4, rue du Maroquin (ancien)


Rue du Maroquin n° 4 – VI 301 (Blondel), O 208 (cadastre)

Oriel ajouté en 1604 par le marchand Ambroise Trausch – Démolie en 1856


Plan-relief de 1727, côté nord-est de la rue du Maroquin. La maison se trouve sous une partie des quatrième et cinquième toitures à partir de la gauche (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

La maison qui a 19 pieds de long et un encorbellement (3 pieds de saillie) est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom d’Ambroise Trausch qui est autorisé en 1599 à réunir à la sienne une partie de la maison voisine et à démolir le bâtiment arrière pour en faire une petite cour où mettre un puits. Ambroise Trausch ajoute en 1604 au rez-de-chaussée un oriel en bois à trois fenêtres. Il accepte en 1609 le poste de directeur de la Halle mais y renonce quelques mois plus tard parce qu’il reprend seul le commerce qu’il menait avec un associé. Il vend en 1610 sa maison au marchand de vins Laurent Meyer qui en transmet la propriété à son gendre Jean Zenger, marchand promu en 1694 directeur de la Halle. La maison appartient ensuite au fournier Philippe Fimbel (1696-1701), au cordonnier Michel Merckel puis indivisément à deux de ses enfants (1740). Le farinier Jean Léonard Hoffsess achète successivement les deux moitiés en 1773 et 1775. Il fait repeindre en 1785 les arcades au-dessous de l’encorbellement. Le farinier Jean Obrecht n’est pas autorisé en 1817 à réparer la façade qui a un encorbellement quoiqu’elle ne dépasse pas de l’alignement.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois, une avance et un oriel. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, les façades sur rue sont les quatrième et cinquième à gauche de (q) ou cinquième et sixième à droite de (p). Tous deux ont un rez-de-chaussée à deux portes et une fenêtre, trois étages à quatre et trois fenêtres et une toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour S montre l’arrière (1-4) du bâtiment de gauche et le bâtiment (1-2) à gauche de la cour. La cour Q montre l’arrière (1-4) du bâtiment de droite et le bâtiment (2-3) au fond de la cour qui se retrouve dans la cour R en (3-4).


Cours S, Q et R

Charles Frédéric Ernst rachète en 1840 la rente foncière due aux nobles de Landsperg. L’Œuvre Notre Dame achète le maison en 1855 et la fait démolir l’année suivante avec ses voisines pour faire construire à leur place un grand bâtiment. L’adjudication des travaux a lieu fin décembre 1856. L’État devient locataire du nouveau bâtiment le premier janvier 1860 (école de santé militaire).


La rue du Maroquin après démolition des maisons. Le numéro 4 se trouvait à l’extrême droite de l’image (Photographie de Charles Winter, Musées de Strasbourg)

octobre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1856. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Ambroise Trausch, marchand, et (1576) Catherine Geiger – luthériens
1610 v Laurent Meyer, marchand de vins, et (1609) Susanne Beuchler puis (1620) Anne Werner – luthériens
1670* h Jean Zengel, marchand, et (1659) Anne Catherine Meyer – luthériens
1696 h Loup Philippe Fimpel, fournier, et (1675) Marguerite Diebold puis (1686) Anne Catherine Zengel – luthériens
1701 v Jean Michel Merckel, cordonnier, et (1693) Anne Barbe Notter – luthériens

Moitié appartenant à Jean Jacques Merckel

1740 v Jacques Klein, cordonnier, et (1734) Susanne Marguerite Ehinger – luthériens
1773 adj Léonard Hoffsess

Moitié appartenant à Ursule Barbe Merckel femme d’André Meyer

1740 h André Meyer, cordonnier, et (1714) Ursule Barbe Merckel – luthériens
1745* h Benjamin Westermann, cordonnier, et (1734) Barbe Meyer – luthériens
h (copropriétaire) André Westermann, cordonnier, et (1770) Catherine Salomé Huck remariée (1775) avec le cordonnier Chrétien Westermann – luthériens
1775 v Léonard Hoffsess

Maison entière

Léonard Hoffsess, farinier, et (1773) Anne Barbe Westermann, d’abord (1765) femme du farinier Jean Jacques Lix – luthériens
1803 v Jean Obrecht, farinier, et (1801) Marie Salomé Schuler, (société 1804) avec Anne Schuler, puis (1820) Anne Marie Korn, d’abord (1803) femme du tondeur de draps Jean Christophe Schæff
1829 h Charles Frédéric Ernst, baquetier, et (1829) Marguerite Salomé Obrecht puis (1836) Joséphine Klein
(copropriétaire) Charles Bijon, machiniste, et (1842) Caroline Muff puis (1852) Caroline Salomé Ernst
1855 v Œuvre Notre Dame

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 745 livres en 1700, 900 livres en 1736, 1 000 livres en 1754

(1765, Liste Blondel) VI 301, Jean Jacques Klein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Hoffseß, 4 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 208, Ernst , Charles Frédéric, baquetier rue des Dentelles 19 – maison, sol – 1,65 are

Locations

1702, (cave) Isaac Thenn, brasseur à l’Autruche
1710, Georges Mutschler, revendeur
1829, Thiébaut Lobstein, cordonnier
1830, Jean Jacques Obrecht, farinier, et Marie Anne Leser

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 46-v
La maison appartient à Ambroise Trausch qui règle 1 livre 6 sols 4 deniers pour sa maison de 19 pieds de long, un encorbellement (3 pieds de saillie), une porte de cave (5 pieds de long, saillie de 4 pieds ½), deux soupiraux (2 pieds ½ chacun, 1 pied ½ de large), une plate-forme (6 pieds de saillie, 29 pieds de long), un volet amovible (8 pieds ½ de long, 15 pouces de large)

Oben am Andern Eck In Kurben Gaß Zum Falckhen wider hinab
Ambrosius Trausch hatt vor seinem hauß 19 schu lang, Oben ein Vsstoß 3 schu herausser, Vnden ein Kellerthüer 5 schu lang, 4 ½ schu herauß, Zweÿ Kellerfenster Jedes 2 ½ schu lang, vnd 1 ½ schu breit, Mehr ein steinerin staffel 6 schu herausser vnd 29 schu lang, ein Vssaz Laden 8 ½ schu lang vnd 15 Zoll breit vf der Allmendt, Soll Allmend sein vnd bleiben, Bessert für das Niessenn, j lb vj ß iiij d

Préposés au bâtiment (Bauherren), Conseillers et Vingt-et-Un, Quinze

1599, Préposés au bâtiment (VII 1314)
Ambroise Trausch demande l’autorisation de réunir à la sienne une partie de la maison voisine, d’en faire une petite cour où mettre un puits.

Ambrosius Trausch in Kurbengaßen. 212. 218.
(f° 212) Sambstags den 17.ten 9.br. – Ambrosius Trausch in Kurbengaßen In seim hauß von sein Nachbüeren etwas erkauffen, Zu sein hauß brechen Zu eim höfflin, mach. vnd sein bronnen darein & Ist für die H XV gewiß.

Ambroise Trausch demande l’autorisation d’acheter un bâtiment qui donne à l’arrière de sa maison et de le démolir pour en faire une cour et agrandir sa maison pour laquelle il a déjà dépensé 1 400 florins
(p. 218) Dienstag 22.t 9.br. 99. – Ambrosius Trausch begert in Kurbengaß ein hinder heußlin so vff Ihnen stosst vnd feÿll Ist Zukauffen, so fern man Ihm gönnen will dasselb abzubrech. und Zu einem höfflin Zumachen, dan Ihm sein hauße gar zu enng, vnangesehen er albereit 1400 fl. darin verbawen. Steht Zu mein H. XV.

1599, Protocole des Quinze (2 R 28)
Même demande transmise aux Quinze. Le chef des travaux y est favorable mais laisse aux Quinze le soin de décider de l’autoriser à démolir la maison vers le Marché aux fruits. Il y est autorisé pour avoir davantage de jour.

Ambrosius Trausch (heuser zusammenprechen. 169. 170.
(f° 169) Sambstag den XXIIII Novembris – Ambrosius Trauschen halb, sagt d. Lonh., er verstehe das er das nebenhauß begert Zu kauff. wofer Ime vergönt würde, daruon Zu seinem hauß Zu prechen, Wollt das hind. theil geg. dem Obßmarckt sonder seÿn laßen, were Im Zu willfahren, stehet aber Zu mein herren. Mr Stoffel stellts Zu mein herren, ob sÿ Ime gönnen wöllen, das hind. heüßlin weg Zuprechen. Mr Michel sagt seÿ ein finster thun, Wann Ime gegönnt würde, das hinderheüßlin weg Zuprechen, geb mehr lufft vnd tag, Zubeÿden theilen vnd allen seitten, Ist Ihnen erlaubt.

1604, Préposés au bâtiment (VII 1319)
Ambroise Trausch demande l’autorisation d’ajouter un oriel en bois à trois fenêtres (4 pieds de large, en saillie de 3 pieds) pour mieux éclairer sa maison.

Ambrosius Trausch in der Kurbengaßen. 92.
(f° 92) Freÿtag 8. Junÿ – Ambrosius Trausch bittet vnd begert Ihme Zugönen In d. Kurbengaßen ein hützene Lucern 4 sch In breite vnd 3 schuh herauß nur mit dreien fenstern Zumach. vmb mehrers vssehens willen. Ist für die h. XXI gewissen, da will man referiren. Ist Ihme von vnsern H Rheth XXI gegönt vnd zugelaß. Zeigt H Stettmr. an den 23. Junÿ 1604.

1604, Conseillers et XXI (1 R 83)
Même demande transmise aux Conseillers et aux Vingt-et-Un. L’oriel sera placé au rez-de-chaussée, ne préjudiciera à personne et sera un ormenent.

Ambrosius Trausch vmb Lucern fenster.
(f° 161) Montag den XVIII Junÿ – Ambrosius Trausch vbergibt supplôn vnd bitt d. man Ime erlauben woll ein Lucern fenster in undern gaden seines hauses in Kurbengaß, so 2 schu u 4 Zoll u 4 schu in der weite halte würdt, sched keinem Nachbarn, sey ein Zier wie Bawherren referiren Konten die dofür halten d. Ime Zuerlauben.
Erkant, Ist willfahrt u wollen Bawherren suchen d. es auf dem Pfenningthurn eingeschben werd. H. Grienwaldt rh.

1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Lingenhœl est autorisé à repeindre les arcades au-dessous de l’encorbellement chez le farinier Léonard Hoffsess rue Saint-Urbain

(f° 369-v) Dienstags den 11. Octobris 1783. – Lienhard Hoffseß, Meelhändler
Idem [Herr Lingenhölin, der Maurer] nôe Lienhard Hoffses, des Meelhändlers, bittet zu erlauben an deßen behausung in der Urbans Gaß gelegen, die bögen unter dem überhang anstreichen Zulaßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, poêle pour l’officier et chambre pour domestique, plus haut quatre chambres, au rez-de-chaussée l’atelier de cordonnier, étroit vestibule, bûcher, petite cour, cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique à côté de l’entrée, au premier étage un poêle, une chambre, une cuisine et un vestibule, au deuxième étage un poêle, une alcôve, une cuisine et un vestibule, le comble à double couverture de tuiles plates renferme deux chambres, de cette moitié de maison dépendent aussi la moitié du bûcher, la moitié de la cour et la cave voûtée de devant, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins
  • 1754 (billet d’estimation traduit) Une boutique se trouve à côté de l’entrée, le premier étage comprend un poêle, une chambre, une cuisine et un vestibule, le deuxième étage un poêle une alcôve, une cuisine et un vestibule, le comble qui renferne deux chambres a une double couverture de tuiles plates, la cave est voûtée, un bûcher se trouve dans la cour, le tout estimé à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin

nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
Obrecht
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages mauvais en bois avance et lanterne
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 80 case 3

Ernst Charles Frédéric baquetier rue des dentelles N° 19
1857 Œuvre Notre Dame rue du Maroquin N° 4

O 208, maison, sol, R. du maroquin 4
Contenance : 1,65
Revenu total : 99,86 (99 et 0,86)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 11 / 9
1858, Diminutions – Œuvre Notre Dame f° 80, O 208, maison, revenu 99, Démolition, supprimée en 1858

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin

4
pro. Hoffses, Leonore farinier – Landerne
Loc. Fix Chrétien cordonnier – Cordonnier
Loc. Wunderer Jacques faiseur de Begne – Miroir
Loc. Lixs Jean Tourneur – Charpentier
Loc. Keumin Salomé fille Couturiere – Bouché

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin p. 312

4
Pr. Hoffses, Leonore, farinier – Lanterne
Lo. Fix Chrétien, Cordonnier – Cordonniers
Lo. Wunderer Jacques, faiseur de Peignes – Miroir
Lo. Lixs Jean, Tourneur – Charpentiers
Lo. Keumin Salomé, fille couturiere – Bouchers


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom d’Ambroise Trausch dans le Livre des communaux de 1587.
Fils de Henri Trausch, Ambroise Trausch épouse en 1576 Catherine Geiger, fille de David Geiger

Mariage, cathédrale (luth. p. 264) 1576. Sontag Quasimodogeniti den 29. Aprilis. Ambrosius Trausch, H Heinrich Trausch sun, J. Catharina H David Geigers docht. Eingesegnet Zinstag den 8. Maÿ (i 135)

Le marchand Ambroise Trausch hypothèque la maison au profit d’Anne Dalheimer femme de Jean Schatz, assesseur des Quinze.

1609 (xiiij tag Septembris), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 460-v
(Inchoat. in Proth. fol: 392.) Erschienen herr Ambrosius Trausch der handelßmann burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn hannß Schatzen fünffzehners der St. St. Alß Eheuogt frawen Annæ dahlheimerin – schuldig sige 500 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. Straßburg Inn der Kurbengaßen, einsit nebent Daniel Müller dem Mehlman, Andersit nebent N. dem Schuomacher hinden Vff ein behaußung stoßend dem Werck Vnser Frauwen Münster Zuständig, dauon gnd ein pfund pfenning bodenzinß den Edlen vonn Landtsperg, Mehr 20 guldin gelts Abloßig mit 500 guldin dem Closter Zu Sant Marx Zu Straßburg

Les Quinze estiment le 7 juin que les candidats qui se sont inscrits pour remplir les fonctions de directeur de la Halle n’ont pas les qualités requises. Ils s’adressent à Ambroise Trausch, un peu âgé mais aisé, qui accepte le poste à l’automne, le temps de régler ses affaires avec son associé. Ils choisissent de nommer Isaac Botzheim dans l’intervalle.
1609, Protocole des Quinze (2 R 37)
Ambrosius Trausch (würdt Kaufhaus verwalter). 94. 96.
(f° 94-v) Mittwoch den VII. Junÿ – Kaufhaus verwalter. Ambrosius Trausch
H Grünwalt vnd H Schatz referiren, Nach dem Ihnen bevohlen worden, Wegen deß hauß verwalters Im Kauffhauß Wie personen sollten angesprochen werden, hab man daß Ambtbüchlin besichtiget, die Wahl nitt gar gutt, Gambß wann er der Wein empfindt, Weiß er sich ettwan nitt Zuhalten, derweg. vff leütt gedacht die sich den Wein nicht überwinden laßen, Seÿ Ihnen Ambrosius Trausch eingefallen, der gleichwol ettwas alt, aber begütet, den sÿ für tauglich geacht, Ihnen angesprochen, der sich erclärt, wollt es Im namen Gottes vff sich nehmen wo er Meine Herren sollte annemblich seÿn vnd man sich der bestallung halb mitt Ime vergleichen würde, er könt aber vor dem Augusto nicht andretten, mocht man In mittels ein Spetter ordnen, seÿ man vff Isaac Botzheim bedacht, der deß Kauffhauß erfahren, der könt diße Stell bitz In Augustum versehen, In mittels würde sich Trausch deßen gewerbs da er Inn gemeinschafft, können ledig machen, er hatt dan ansehen, ist deß handels erfahren, auch so begütet, das er dem thun kan abwartten, allein würdt er auch wöllen beßere besoldung haben, hatt sich hören laßen, das er sich vff 50 fl. weiters wollt bestellen laßen, man hielt aber darfür, er möcht sich mitt 12. vrtl. frucht laßen settigen.
Erkandt man soll mitt Ime ferners handlen, auch mitt Isaac Botzheim reden, ob er sich wollt dahin gebrauchen laßen bitz sich Trausch möcht einstellen, dieweÿl man sich aber erinnert, daß d. Kauffhauß verwalter beÿ Rhät vnd XXI. Zu confirmiren, Seindt Zwöen Receß Im protocoll 1602. fol. 93. vnd 95. gelesen, Wie mans mitt Friderich Fuchßen gehalten. Wider vmbgefragt vnd Erkandt, Wan er sich vff die alt bestallung Wie Friderich Fuchß will bestellen laßen, So kan mans bitz Sambstag referiren, alß dann darvon reden, Wie es Inn Jene Stub Zupringen.

Ambroise Trausch demande que le salaire soit augmenté. Les Quinze font remarquer qu’il a déjà été augmenté sept ans auparavant lorsque Frédéric Fuchs est entré en fonction. Ambroise Trausch accepte finalement l’ancien salaire.
(f° 96) Sambstag den 10. Junÿ – Ambrosius Trausch. Kaufhaus verwalter.
Jetz hab referirt, waß H Grünwalt vnd H Schatz mitt Ambrosius Trauschen derg. der Kaufhaus verwaltung tractirt vnd gehandelt, Wie er sich anfangs ettwas schwer gemacht, die besoldung seÿ Ime Zu gering vnd 8 vrtl. frucht addition begert, endtlich aber alß Ime Zugesproch. worden, es werdt schwerlich beÿ vnsern herrn Zuerhalten seÿn, dann man erst vor siben Jahren, alß Friderich Fuchß an das ambt kommen, die besoldung gebessert, hab er sich angeben und bewilligt sich vff die alt bestallung bestellen Zu laßen, aber darbeÿ vermeldet, die weÿl er noch nitt seinen Schwager Inn gemeinschafft, daß er vorbeschluß der Rechnung, die sich bitz Zu endt deß Monats Augusti verziehen möcht, nicht werden andretten können, vnd daß vff diße seine erclerung die herren vff spetter bedacht gewesen, die den dienst Inmittelst verstehen möchten, alß Isaac Botzheim der lang Im Kauffhauß gewesen, Conrad Breüning vnd seither vff Wolff Harnister der auch handels erfahren, Erkandt, bitz Montag Inn die groß Stub pringen, dieweÿl man die Wahl nitt gar gutt gehabt, hab man andere personen ansprechen müßen, vnd redlich mitt Ambrosio Trauschen, der handels erfahren vnd wohl begüetet, so weitt gehandelt, das er bewillligt, steh vff die alt bestallung bestellen Zulaßen, dieweil er aber erst Im Augusto werd andretten Können, das Meine gn. Herren vff ein person wöllen bedacht seÿn, die den dienst In mittels verstehen möchten. Ego.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un confirment l’élection d’Ambroise Trausch le 12 juin. Il renonce à ses fonctions le 19 août parce qu’il dirige seul ses affaires sans associé.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
(f° 157-v) XII Junÿ – H. XV. lasen p. Irem Secretarium fürbring. Alß Innen ein ausschuß wegen Kauffhauß verwalters Zumachen befohlen vnd aber auß denen so sich geschriben geben Kein dewlichen find. konnen hatt. sie etlich angesprochen, die es aber nit annehmen wollen, Also auf Ambrosium Drausch gedacht mit dem auch gehandelt der sich erbotten in d. alten besoldung Zubedienen, allein könne er vor dem Augusto nit aufziehen derweg Hn XV. die fürsehung thun wollen d. dise Mees vnd in Zwischen der dienst soll versehen werd
Erk. Ist gleichwol vmbgefragt ob Jemandt gebetten vnd derweyl* er drausch confirmirt so auch bald hernach geschworen.

(f° 219-v) XIX Augusti – Ambrosius Trausch resignirt Kauffhauß Meister ampt
Ambrosius Trausch bedanckt sich, d. m herren Ime Zum hauß Meister im Kauffhauß verordnet, d. er aber den bißher geführten handel gantz auf sich genohmen, vnd angemelten dienst nit verstehen würrd konnen, hat er sich des eydts u. diensts Zuerlaßen. Erk. Ist Ime willfahrt.

Ambroise Trausch fait son testament en 1618. Il confirme les termes du contrat de mariage passé avec Catherine Geiger, nomme pour héritière sa fille Catherine, femme du marchand Daniel Richshoffer et fait des legs à ses petits-enfants Ambroise, Daniel et Jean Jacques.
1618, Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 62, A n° 365)
(f° 181-v) Testamentum nuncupativum deß Ehrenvesten fürnehmen Herrn Ambrosÿ Trauschenn handelßmanns vnnd burgern Zu Straßburg
1618 (…) persönlich erschienen Ist der Ehrenvest vnd fürnehme herr Ambrosius Trausch handelßman vnd burger Zu Straßburg zwar mit einem hohen ansehenlichen Alter von dem lieben Gott begabt, Aber doch darbeÿ von den gnaden Gotteß gehendeß vnd stehendeß leibß
Vnnd für daß Viede, Sowill er der herr testator die Zwüschen Ihme vnnd der Ehren: vnd tugendreichen frawen Catharinam Geÿgerin seiner lieben ehegemahlin, Zur Zeit Ihrer Vermählung vffgerichte Eheberedung mit Allen Ihrem Innhalt In crafft dießes seines testaments && letsten willens wider confirmirt (…)
für daß Sübende (…) seinen lieben Enckeln mit Nahmen Ambrosius, Daniel vnnd Hanß Jacob
Vnnd Zum Elfften (…) ernennt vnnd bestimpt er der herr testirer Zu seiner eintzigen, rechten, wahren und vngezweiffelten Erbin Catharinam Trauschin seine liebe dochter, Daniel Richßhoffers des handelßmans und burgers Zu Straßburg eheliche haußfraw in Alle seine verlaßenschafft
minute, Not. Strintz (Daniel, 58 not 60)

Ambroise Trausch dans d’autres affaires évoquées dans les registres (Quinze, Conseillers et Vingt-et-Un)
1593 Conseillers et XXI (1 R 72) Mattheus Geiger, Ambrosius Trausch vmb Zahlung irer Rüstung. 292.
1596 Conseillers et XXI (1 R 75) Valentin Trausch. 59. Kayserl. Maiestet begert copey von Valentin Trauschen büchern vmb Rechnung. 279. Ambrosius Trausch entschlägt Veltin seines bruders Rechnung. 317. Jacob Trausch und Martin Trausch. 331. Kayserl. Maiestet begert Veltin Trauschen rechnung. 458. Ambrosius Trausch wegen Keyserl. schreibens sein bruder Veltin betreffend. 460.f
Kayserl. Maiestet vmb das Ambrosius Trausch über psit: möchte gehört werden. 188.
1604 Conseillers et XXI (1 R 83) Ambrosius Trausch bericht wegen seines bruders Valentin. 103.
1606 Conseillers et XXI (1 R 85) Ambrosius Trausch contra Anstet Dieboldt. 34

Ambroise Trausch et sa femme Catherine Geiger, fille de David Geiger, vendent la maison à Laurent Meyer

1610 (x Septembris), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 232
Erschienen herr Ambrosius Trusch burg. Zu St. vnd Fr. Catharin gygerin sein eheliche hußfr. wyld d. Ehrenuest fürsichtig wyß St. herrn Daniel Gygers beÿsitzers d. herrn fünffzehen d. bestend. Regiments der S S selig docht. (verkaufft)
h Lorentz Meygers burgern alhie
huß hoffstatt V hefflein V Stallung m. allen and. Iren gebeu. glg. Inn d. S S Inn Kurbengaß einseyt neben Daniel Müller dem Melman andersyt neben (-) dem Schumacher stoßend hinden vff Thobie Strintzen* vnd Zum theil vff heußer vnßer Fr. Werck zustendig, dauon geth j lb d gelts es seÿe ewig ehrschetzigk oder lehen Zinß wie sich befinden weren* also hatt der Kheüffer angenommen wyld d. Edel vesten werner von landtsperg selig erben, So dann xx guld. glt SW vff d. Andern Februarÿ fallend Std zu hauptgutt (…) dem großen gemeyn Almoß z. S. Marx, Sunst für ledig vnd eÿg. & der Khauff vber deßelb. beschwerd. für 2075 guld. zu xv batzen

Originaire de Trænheim, l’employé à l’auberge du Cerf Laurent Meyer épouse début 1609 Susanne, fille du corroyeur Jean Beuchler. Il devient bourgeois le 5 février 1609 en s’inscrivant à la tribu des Fribourgeois
Mariage, cathédrale (luth. p. 220)
1609. Dominica Sexagesima. Mehr Lorentz Meÿer von Dirhtheim* hauß knecht Zum hirtzen, Jfr Susanna Hans Biechtels des lederbereiters n: g: dochter (i 114)

1609, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 916
Lorentz Meÿer von Trenheim Empfahet d. Burgerrecht von Susanna weÿlandt Hanß Beichtel deß Lederbereiters seellig dochter vnd will Zum Freÿburg. dinnen. Actum den 5. februarÿ A° 1610

Laurent Meyer se remarie en 1620 avec Anne, fille du tanneur Georges Werner
Mariage, Saint-Thomas (luth. 439, n° 1383)
1620. Dominica I. Aduentus. Lorentz Meyer Vndt Jungfraw Anna Görg Werner des Rothgerbers alhie Eheliche Tochter (i 450)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 111) 1620. Lorentz Meyer burger alhier, vnd J. Anna Jörg Werner des Rothgerbers tochter (eingesegnet zu S. Thoman montag den 11 10.bris)

Le marchand de vins Laurent Meyer hypothèque la maison au profit des Bâlois Nicolas Passavant et son fils Claude Passavant

1622 (ut spâ. [xxiiij. octobris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 426
(Inchoat. in Prot. fol. 312.) Erschienen h. Lorentz Meÿer d. Weinhändler burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit herrn Reinhardt Passauant von Basell so Zugeg. Inn nammen seines vatters herrn Niclauß Passauant vnd desselben Sohn Clade Passauant] – schuldig seÿen 4000 guldin
zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn der St. St. Inn d. Kurben gaß. einseit n. Daniel Müller dem Mahler, and. seit n. Caspar dorn schuomach. hind. vff ein Wercks behaußung stoßend, dauon gnd. j. lb d den Edlen von Landtsperg, Mehr x lb d. gld. loß mit ij C lb dem hauß Zu Sant Marx

Le brasseur Gabriel Büchel cède à son cousin Jean Büchel la part qui lui revient dans la succession de la première femme de Laurent Meyer
1624 (xxxj. Septembris), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 382
(Inchoat. in Prot. fol. 237.) Erschienen Gabriel Büchell der Biersieder burger Zu Straßburg
hatt in gegensein h. hannß Büchell burgers Zu Straßburg seines Vettern bekhandt
daß Jetzgenanter h hannß Büchell Ime Bekhenner für ein drittetheil Am fünfftentheil der Verfangenschaft des Wÿdembs so Lorentz Meÿer d. Weinhändler von seiner erst. haußfr. selig. Zunÿeß. erlegt vnd bezahlt 65 pfund pfenning

Le brossier Isaac Büchel cède au corroyeur Jean Büchel la part qui lui revient dans la succession de Susanne Büchel, femme du marchand de vins Laurent Meyer.
1626 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 438-v
Erschienen Isaac Büechel der Bürstenbinder burger Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Büechels deß Lederbereiters auch burgers alhie (übergeben)
ij C gld a 15. bz. so ihme Isaac Büechel für seinen dritentheil an der Verfangenschaft so Lorentz Meÿer der Weinhändler auch burger alhie von Susanna Beüchlerin seiner erstern haußfr. see. ad dies vitæ wÿdembs weÿß zunüeßen hat, gebürt – umb Lv lb

Le marchand de vin Laurent Meyer dans d’autres affaires évoquées dans les registres (Quinze, Conseillers et Vingt-et-Un)
1619 XV (2 R 47) Laurentz Meÿer. 273. 287. [Müntzverführen]
1623 XV (2 R 51) Lorentz Meÿer [Wein verkauffen]. 61.
1628 VII 1343 Bauherren Abloßung Lorentz Meÿern dem Weinhändler. 11.
1634 XV (2 R 60) Lorentz Meÿer [Weinmandat überschritten]. 128.
1637 XV (2 R 62) Krahnmeister Ca Knecht. 237. Ca. Lorentz Meÿern [wegen Lagergelts]. 251.
1639 XV (2 R 63) Lorentz Meÿer [der weinhändler] wegen Schlettstetter [pt° schulden]. 78. 181. 106.
1642 Conseillers et XXI (1 R 125) – Lorentz Meÿerß Wittib Vnd Erben [pt° deponirten geldts]. 137.
1642 XV (2 R 65) Lorentz Meÿers Wittib vndt Erben [pt° deponirten geldts]. 305.
1643 Conseillers et XXI (1 R 126) Lorentz Meÿers Wittib [pt° obligation]. 25.
1645 XV (2 R 66) Lorentz Meÿers wittib [pt° deponirten geldts]. 209.

La maison revient à sa fille Anne Catherine qui épouse en 1659 le marchand Jean Zengel, fils du cordonnier Jacques Zengel de Spire.

Mariage, cathédrale (luth. p. 102)
1659. Den 10. Aprilis. Zum 2. mahl Ht Johann Zengel handelßmann Jacob Zengelß des geweßenen Schumachers Zu Speier hinderlaßener ehel: Sohn undt Jfr. Anna Catharina Weiland hr. Lorentz Meiers geweßener handelßmanns ehel. Tochter. Montags den 18.ten April: Thiergarten, Copulmatio gehalten (i 103)

Jean Zengel devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu du Miroir.
1658, 4° Livre de bourgeoisie p. 318
Johannes Zengel der Handelsmann Von Speÿr, Jacob Zengels burgers alda hind.lasener Sohn, empfangt das Burgerrecht von seiner Haußfr. Anna Catharina Meÿerin, weÿl. H. Lorentz Meÿers handelsmanns ehelicher hind.lasener dochter, Vmb 8. Gold fl. welche beÿ d. Cantzleÿ erlegt, Ist hievor Ledigen stands geweßen, Vnd wil EE Zunfft der Spiegler dienen Jurav: 25. Aprilis 1659.

1666 XV (2 R 83) Johann Zengel. 137. [der Handelsmann, Hartzständ versenden]

Anne Marie, femme du tannneur Georges Frédéric Ott, cède à la fondation ottonienne un capital de 250 livres assis sur la maison qui appartient au marchand Jean Zengel et à sa femme Anne Catherine Meyer

1680 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 156-v
Anna Maria, Georg Friderich Otten deß Gerbers Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, wie auch Herren Hannß Jacob Blaichers deß föchhändlers
in gegensein deß Edel- hochgelehrten Herren Christoph Güntzers U.I. Dd und dreÿzehn Secretarÿ im nahmen und alß Administratoris der Ottonischen Stifftung
d.nach Ihro Ottin, uff einer allhier in der Kurben gaß zwischen Philipp Fimpel dem Schwartzbeckhen und weÿl. Barthol Hockhen deß Hosenstrickers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin gelegener, und anietzo herrn Johann Zengel dem handelßmann und Annæ Catharinæ Zengelin gebohrner Meÿerin beÿden Eheleuthen eÿgenthümblich gehöriger behaußung. 250. lb erblich angefallen, Zumahlen erwehnte 250. lb gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen seÿen, alß hette Sie Anna Maria Ottin, uff sein Zängels /:hiebeÿ zugegenw:/ Ansuchen und begehren Von dem Ottonischen stipendio 250. lb in bahrem gelt empfangen

Les Quinze proposent le 4 octobre 1694 Jean Zengel pour pourvoir le poste vacant de directeur de la Halle. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’élisent le 6 novembre. Ils sont avertis le 4 juin 1695 que Jean Zengel est mort.

Anne Catherine Meyer veuve de Jean Zengel vend la maison à son gendre le fournier Loup Philippe Fimpel et à sa femme Anne Catherine Zengel, déjà propriétaires de la maison voisine (au nord)
1696 (9. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 568-v
(prot. fol. 78.b) Erschienen Fr. Anna Catharina geb. Meÿerin weil. Hn. Johannis Zengels, gewesenen Kauffhauß verwalthers, sel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Jacob Bleichers, deß Föchhändlers und E.E. Großen Raths beÿsitzers Ihres Curatoris
hatt in gegensein Wolffgang Philipß Fimpels, deß haußfeurers, und Annæ Catharinæ gebohrener Zengelin deßen Ehelicher haußfrauen (…) Ihnen beeden Eheleuthen Ihrem Tochtermann und leiblichen tochter [unterzeichnet] wolffgang Philipus Fimpel, anna catarina fimlin
Eine Behaußung, höfflein und dero hoffstätte mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten, allhier in der Curben: oder St. Urbans gaß einseit neben dem Kaüffer selbsten, anderseit neben Marx Schnepffen den Seÿler, hinten auf hans Jacob Habrecht dem Kantengießer, zum theil, Zum theil auff eine behaußung der fabric deß Münsters gehörig stoßend geleg., darvon gehend jährlich 1 lb.d. bodenzinß den Edlen von Landsperg, So seÿe dieselbe auch umb 500 Pfund pfenning Capital weil. Hn Daniel Richshoffers, gesesen alten Ammeisters seel. hinderlaßene Fr. Wittib vnd Erben umb 500 gulden Straßb. wehr. dem Stifft St Marx, Item umb 250 lb Capital der Ottonianischen Stifftung, So dann umb 250 lb.d. Capital dem Biberischen Legat verhafftet – geschehen über die angegebene beschwede welche die Keuffere übernommen (…) fürgegang. vnd beschehen umb 250 pfund pfenning

Originaire de Waldenburg dans la juridiction de Hohenlohe, (Loup) Philippe Fimpel épouse en 1675 Marguerite Diebold, fille du marchand de plumes Jean Jacques Diebold et veuve du boulanger Régnard Maurer avec lequel elle s’est mariée en 1669.
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 2. n° 5)

1669. Domin. 1. et 2 Trin. den 13 vndt 20. Junÿ Reinhardt Maurer der ledige Schwartzbeck, weÿland Hartmann Maurers des gewesenen Cantzleÿ botten zu Franckfurt nachgelaßener Sohn und Jfr. Margareth weÿland Johann Jacob Dieboldt burgers vndt Feder händlers allhier nachgelaßener tochter. Eingesegnet zu St. Thoman montag den 21. Junÿ (i 3)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 51 n° 328)
1675. Dom. 4. et 5 Trin. 27 Junÿ et 4 Julÿ. Philipp Fimpel der ledige Schwartzbeck weÿl. Friderich Fimbels deß Soldners Zu Waldenburg hohenlohischer herrschafft hind.lassener ehelich. Sohn, Margaretha weÿl. Johann Reinhardt Maurers gewesenen Schwartzbeck und burgers hind.lassene wittib. S. Thomæ den 8. Julÿ (i 27)

Philippe (Loup Philippe ou Wolffgang Philippe) Fimbel devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1675, 4° Livre de bourgeoisie p. 419
Wolffgang Philipp Fimpel von waldenburg aus der Graffschafft hohenlohe, der haußfeurer empfangt das Burgerrecht von seiner haußfrawen Margaretha, weÿl. hannß Reinhatd Maurers des haußfeüeres seel. wittib p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt. Ist Zuvor ledig. stands gewesen vnd will zu den becken dienen. Jur. 21. Julÿ 1675.

Marguerite Diebold meurt en décembre 1685 en délaissant un fils de son premier mariage et quatre enfants issus du veuf. L’inventaire est dressé dans sa maison rue du Maroquin. La masse propre au veuf est de 47 livres, celle des héritiers de 296 livres. L’actif de la communauté s’élève à 763 livres, le passif à 237 livres.
1686 (11.2.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 19) n° 636
Inventarium undt beschreibung aller v. Jed. Haab Nahrung undt Güettere, so weÿlandt die Ehrn: vndt Tugendt sahme fraw Margaretha Dieboldin, deß Ehrsam v. bescheidenen Mstr Wolffgang Philippß Fimpels haußfeürers v. burgers alhie geweßene Geliebte Eheliche haußfr. nach ihrem d. 21. Xbris in nechst abgewichenem 1685. Jahrs auß dießem zergänglichen leben genommenen sterb. hinscheid. hind. Ihro vlaß. welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erfordern v. begehren (…) Actum in d. Königlichen freÿ. Statt Straßburg in fernerem beÿsein H Johann Zengels deß handelßmanns vndt burgers alhier als sein deß Wittibers erbettenen Beÿstandts Montag d. 11. v. Mittwochs d. 13. Februarÿ St: N. A° 1686.
Die seelig abgeleibte Eingangs gemelte fr. hat ab intestato Zu Erben hind.laß. hernach gemelte Ihre in Zwoen vndschiedlich. Ehen Ehelich erzielte Kinder nahmentlich 1. Erstlich Hanß Jacob Maurern, welchen die Fr. seel. in Erster Ehe mit weÿl. Mstr. Hanß Reinhard Maurern geweßenen Haußfeürern v burhern alhier Ehelich erzielet, deß. Wohl geordneter Vogt d. ehren Vest Vorgeachte V. weiße herrn Johann Jacob Windischen haußfeurer v. burger auch E. E. Statt gerichts alhier alt. beÿsitzer so præsens. 2. 3. 4. et 5. So dann Hanß Philipß Fimpeln, Mariam Dorotheam, Annam Margaretham v. Mariam Salome Fimpelin /:welch letzters döchterlin aber bald nach Ihr fr. Margarethæ Fimpelin als seiner leiblich. Mutter dießes Zeitliche leben gleicher gestalt gesegnet hatt, V. deß Mutterliche Erbs portion dahero auf vorgemeltem hind.bliben Wittiber als leiblich. Vattern Erblich erwachßen, v. hernach Ihme zugeschriben befindlich ist, der vorhergemelt.s. noch lebend. Kindere anderer Ehe geordneter Vogt ist Mstr Hanß Georg Brunn Säckler v. burg. alhier so auch psöhnlich Zugeg.
Copia Eheberedung

In Einer d. Statt Straßb. in d. Kurb. Gaß gelegenen v. hiehero gehörigen behaußung ist befund. word. wie Volgt, alß
Ahne Haußrath, Von d. Meel Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In d. obern Stub, In dem vndern Stuben, Im Keller
Eigenthumb an Einer Behaußung (T.) Item Hauß, hoffstatt, höffl. in d. Kurben Gaß (…)
Dem Wittiber Sa. Schulden, Ergäntzung (21, abzug 3, verpleibt) 17, Summa summarum 47 lb
Der Erben, haußrath 40, Wein vnd Lehren Vaßen 6 ß, Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. gold. Ring 8, Sa. Schulden 30, Ergäntzung, Summa summarum 324 lb – Schulden 86 lb, Nach deren Abzug 296 lb
Theilbar, haußrath 50, Schiff und geschirr zum Becken handwerck gehörig 4, Wein vnd Lehren Vaßen 141, Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. gold. Ring 6, Sa. baarschafft 99, Sa. Schulden 36, Sa. pfenningzinß hauptgüter, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 355, Summa summarum 763 lb – Schulden 237 lb, Nach deren Abzug 457 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 810 lb
Wÿdemb so die jetzt seelig abgeleibte Eingangs gemelte fraw von Ihrem Ersten Ehelichen haußwürth Mstr. hanß Reinhard Maurern seel. herrn biß in Ihr seel. hinscheiden genoßen, Vermög deren Zwischen ietzt seel. verstorbenen Frawen v. vorgemelt ihrem Erst. Ehelich haußwürth A° 1669. d. 14. Junÿ Vnd. Notario H David Ößinger senior. seel. auffgerichtet. v. dem über sein Maurers Verlaßenschafft A° 1674. durch mich Notarium verfertigt. Inventario inserirter Eheberedung
Ergäntzung deß Wittibers unveränderten guths. Aus dem über sein für unverändert in die Ehe gebrachter Nahrung durch mich Not. den 21. Julÿ Stylo Vet: A° 1675. auffgerichtetet. Inventario

Wolffgang Philippe Fimbel se remarie en 1686 avec Anne Catherine Zengel
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 181-v,n° 22) 1686. Eodem [Dom: 1 post Tri,.] Zum 2 mal Wolffgang Philipp Fimpel der haußfewrer v Burger alhie, Jfr. Anna Catharina hr. Johann Zengels handelßmanns u. Burgers allhier ehel. T. Mittw. den. 26. Julÿ N Kirch (i 143)

Wolffgang Philippe Fimbel meurt en 1700 en délaissant trois enfants de sa première femme et un de la deuxième. L’inventaire est dressé dans la maison proche de la Cave au Faucon. Les experts estiment la maison voisine à 745 livres. La masse propre à la veuve est de 167 livres, la masse propre aux héritiers de 834 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 867 livres, le passif à 1 709 livres. La veuve se remarie en 1702 avec Jean Vernier Schmitz

1700 (9.8.), Not. Grünwald (Jean Jacques, 6 E 41, 226) n° 114
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vnd Gütter, ligendt vndt Vahrend, verändert vnd unverändert, so weÿl. der Ehrengeachte Wolffgang Philipp Fimpel gewesener Haußfeürer vnd Burger allhier Zu Straßb. nach seinem am 6. Instehend. Monats Augusti aus dießem Zeitlichen genommenen tödlichen hintritt verlaßen, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren dern ane nechst gemeltem folio benambster ab intestato verlaßener Erben, auch deren Ehe: vnd Vögt, durch fraw Annam Catharinam geborene Zenglerin, die hinterbliebene fraw Wittib, mit beÿstand deß Ehrenvesten vnd wohlvorgeachten Herrn Johann Reÿmanns Fastenspeÿs Händlers vnd burgers allhie Zu Straßburg Ihres leiblichen Schwagers vnd geschwornen Curatoris (…) So geschehen vnd angefangen in Straßburg, Dienstags den 24. ebengemelten Monats Augusti Anno 1700.
Der Verstorbenen seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen. 1. Herr M. Johann Philipp Fimpel so præsenz, 2. Frau Mariam Dorotheam Meister H. Peter Nonnenmanns Weißbecken vnd burgers allhier geliebte haußfraw, so bede gegenwärtig, 3. Jungfraw Annam Margaretham, dieße dreÿ mit weÿl. fraw Margaretha Dieboldin in erster Ehe ehelich erzielter Kinder, beÿständlich Hanß Georg Brunnen, Secklers vnd burgers allhier Ihres noch zur zeit ohnentledigten geschwornen Vormundts,
4. Annam Catharinam deß Verstorbenen seel. in 2.ter und letzten Ehe mit Eingangs erwehnter Fraw Wittib ehelich erzielter döchterlein, deßen verordnet vnd geschworner Vogt, anwesend, herr Jacob Schlachtmann Schuhmacher vnd burger allhier, alle vier deß verstorbenen seel. /:So fern kein Posthumus hernach volgen wird.;/ zu vier gleichen theilen ab intestato verlaßener Erben

Vogt nun Hierauff die Inventation vor: und an sich selbsten v. beschreibung dießer Verlaßenschafft So sich in Einer hernach beschriebener in der Statt Straßburg Kurbengaß gelegener vnd der Erben unverändert gehörigen becken behausung befunden wie volgt
(f° 3) Höltz und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, In der Knecht Cammer, In der Cammer C in nebens hauß
Im nebens Hauß, Im obern Stockwerck, In der Cammer D, In des Officiers Stub
(f° 12) Eÿgenthumb ane Haüßern. Item Hauß, Hoff, Hoffstatt, Höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, Weiten, Zugehördten, Rechten vnd Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg Kurbengaß, einseit neben der Statt Falcken Keller (…)
(T.) Item, Ein Behaußung, Höfflein vndt deren Hoffstäth, mit allen dero Gebäwen, Rechten und Gerechtigkeiten, auch übrigen Zugehördten auch übriger Zugehördten allhier Zu Straßburg in der Kurben oder St Urbans Gaß, eins. neben vorbeschriebener der Erben unveränderten becken behaußung, anderseit neben Marx Schnepffen dem Seÿler geleg. hinden auff Hannß Jacob Habrecht den Zinngießen Zum theil, Zum theil vff eine behaußung der Fabric der Münster gehörig stoßend gelegen, welche behausung ebenmäßig durch berührte Hh Werckmeister der Statt Straßburg vorgenommener vnd mir dem Notario Zugestellter auch beÿ dem Concept befindlichen Abschatzung taxirt worden für 745 lb. Davon gehen jährlichen 1. lb d bodenzinß denen Edlen von Landtsperg auff Weÿhenacht. so bißher H N Falck der Schaffner Zu Nider Ehenheim, wie die außgehendigte Quittungen geben, empfang. trifft dem Zinß nach in Capital zu 4 pro Cto 25 lb d welche abgezogen bleibt hiehr noch auszuwerffen 720. lb. Hierüber sagt j. pergamen in allhes. C. Contractstub gefertigten, mit dero anhangeden Innsigel verwahret Kbrieff Inhaltend, wie solcher Von weÿl. H Johann Zengels nachgelaßener Wittib erkaufft worden datirt den 9. Novembris 1696. signirt mit N° 2. Ferner ein pergamentene Kauffbrieff auch in vorbes. Cancelleÿ Contractstub vnd mit dero anhangendem Innsiegel gefertigt, besagt wie hier Ambrosius Trusch solch an H Lorentz Meÿer verhandelt datirt den 13. 9.bris 1616. alte N° 34 et N° 2 bezeichnet. Dabeÿ noch ferner 11. pergament. brieff aller zusammen gebund.
Ligende Gütter. Dorlisheimer banns
(f° 20) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Fraw Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silber 8, Sa. Goldene Ring 8, Sa. baarschafft 15 ß, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (61, Abzug 1, rest) 59, Summa summarum 167 lb
Der Erben unverändert guth, Sa. haußraths 84, Sa. Schiff und geschirrs 3, Sa. lehrer Vaß 18, Sa. Silbers 57, Sa. Guldine ring 12, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 11, Sa. Eÿgenthumb ane Einer behausung 337, Sa. Activ Schulden 26, Sa. Ergäntzung (780, Abzug 5, rest) 774, Summa summarum 1325 lb – Schulden 491, Nach deren Abzug 834 lb
Theylbahr Nahrung, Sa. haußraths 36, Sa. Brennholtz 4, Sa. Wein & vaß 146, Sa. Silbers 20, Sa. baarschafft 65, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 666, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 720, Sa. Eigenthums ane ligenden gütter 40, Sa. Schulden 167, Summa summarum 1867 lb – Passiva 1709, Rest 158 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1501 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 3 000 florins
1700, Livres de la Taille (VII 1173) f° 98-v
(Becker, N° 310) Weÿl: Wolffgang Philipp Fimpels deß geweßenen haußfeürers Verlaßenschafft, Inventirt Nots: Grünwald.
die Concl: finalis Inventarÿ ist fol: 110.b – 1501. lb. 5 ß 6 d, die machen 3000. fl. verstallte 2900 fl. und also 100 fl. Zuwenig. Von welchen 100 fl. alß theilbaren guth, der Nachtrag gesetzt wird, auff Sechs jahr in duplo thut à 6 ß – 1 lb 16 ß
Und in simplo auff vier Jahren macht à 3 ß – 12 ß
Extat daß Stallgelt pro 1700 – 5 lv 14 ß
Itel Gebott – 1 ß 4 s
So dann thun die Unkosten – 3 lb 2 ß 6 s
Summa 11 lb 5 ß 10 d
dt. 27. Jan: 1701.

La veuve et les enfants de Wolffgang Philippe Fimbel vendent la maison au cordonnier Jean Michel Merckel et à sa femme Anne Barbe Notter

1701 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 112
Johannes Reimann der Fasten Speiß händler alß Vogt Weÿl. Wolffgang Philipp Fimpels gewesten Haußfeurers seel. hind.laßene Wittib Catharina geb. Zengelin, welche in d. Kindbett, deßweg. nicht selbst erscheinen kan, Ferner ged. Fimpels sel. Kind 1. Ehe H. M. Johann Philipp Fimpel S. S. Theologiæ studios., Hans Peter Nonnenmann der haußfeurer alß Ehevogt Mariæ Dorotheæ Fimpelin, welche auch in d. Kindbett ist, Item Anna Margaretha Fimpelin mit beÿstand H. Lucæ Schaffen deß Schneiders ihres Curatoris, So dan Jacob Schlachtmann der Schuhmacher alß Vogt ged. Fimpels 2. Kind. letzter Ehe
in gegensein Johann Michael Merckels deß Schuhmachers und Annæ Barbaræ geb. Notterin mit beÿstand hans Georg Notter deß schuemachers Ihres Schwagers respect. leiblich. bruders
Eine Behausung, höfflein und dero Hoffstätte mit allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier ane der Curben oder St. Urbans Gaßen einseit neben den Verkäufern selbsten anderseit neben Marx Schnepffen dem Seÿler hind. auff hans Jacob Habrecht den Kantengießer zum theÿl und zum theÿl auff eine behaußung der fabric deß Münsters gehörig, stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 1 lb d bodenzinß denen Edlen von Landsperg

Fils du cordonnier Philippe Merckel, Michel Merckel épouse en 1693 Anne Barbe Notter, fille du cordonnier Jean Barthelémy Notter : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1693, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung Mr Michael Merckelß Schumach: und Jfr Annæ Barbaræ Notterin
Eheberedung – Persönlich kommen und erschienen der Ehrenhafft Meister Michael Merckel der Ledige Schuemacher, Weÿland des Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Philipp Merckels auch geweßenen Schuemachers und burgers alhier Zu Straßburg hinderlaßener Ehelicher Sohn, alß Bräutigamb, mit beÿstand des Ehrengeachten Herrn Johann Georg Enßels Ebenmäßig geweßenen Schuemachers und burgers alhier Seines Vettern ane einem, So dann die Ehren und Tugendsahme Jungfraw Anna Barbara Notterin des Ehrenvesten Vorachtbahren und weißen – Beschehen und verhandelt in Straßburg den 19. Monathstag Aprilis im Jahr Unsers Heÿls 1693, Jacob Christoph Pantrion

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 37, n° 233)
1693. Eodem [Dom. Exaudi] seÿn Zum 1 mahl außgeruffen worden Michael Merckel der ledige Schumacher weÿland Philipp Merckels auch Schuemachers und burgers allhier nachg. ehl. S. Jfr Anna Barbara Hr Johann Bartholomæ Notters E. E. Großen Raths alhen beÿsitzers und Schuemachers ehl. Tochter Seÿt Copulirt Word. den 23. Maÿ deßen seÿn Zeugen Michel Merckel als hozeider Anna barbra noh derr Als hoch zeirren (i 37)

Michel Merckel loue une partie de sa cave à Isaac Thenn, brasseur à l’Autruche

1702 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 25
Michel Merckel schuemacher
in gegensein Isaac Thennen, biersieders zuem Strauß
in sein, Merckels, behaußung den Vordersten theil deß unterschlagenen Kellers auf die Gaß herauß auf 9 jahr lang anfangend auf A. Mariæ 1702 – um einen jährlichen Zinß nemlich 5 lb

Michel Merckel loue une partie de sa maison au revendeur Georges Mutschler

1710 (14.11.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 687 (bb) v
Michel Merckel schuem:
in gegensein Georg Mutschlers grempen
entlehnt, in seinem hauß allhier in der Kurben gass stueb stueb Cammer holtzhauß Kuchen u. Keller auf i. ja lang, anfangend auf Weÿhn. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Michel Merckel et Barbe Notter hypothèquent la maison au profit du cordonnier Jean Georges Notter, leur beau-frère et frère respectif

1714 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 39
Michel Merckel Schuemacher und Barbara geb. Notterin mit beÿstand Friderich Notters Schuemachers Ihres leiblichen bruders Und Elias Hoch auch Schuemachers Ihres Vettern
in gegensein Johann Georg Notters Schuemachers Ihres resp. Schwagers und bruders – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, Hauß, Höfflein Hoffstatt cum appertinentÿs allhier in der Curbengaß einseit neben Peter Nonnenmann Haußfeurern anderseit neben Marx Schnepff Seÿlern hinten auf ein fabric des Münsters gehöriges Hauß stoßend gelegen

Anne Catherine Kæss, veuve du cordonnier Jean Barthelémy Notter meurt dans la maison de sa fille. Elle délaisse cinq enfants dont un musicien aveugle. L’actif de la succession s’élève à 227 livres, le passif à 80 livres.
1714 (7.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 31)
Inventarium undt Beschreibung aller Haab, Nahrung vnd Gütere, so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Anna Catharina Notterin gebohrne Käßin, auch Weÿl. des Ehrenvesten, Vorachtbahren und Weißen Herrn Johann Bartholme Notters, geweßenen Schuemachers und E. E. Großen Raths alhier Zu Straßburg, alten beÿsitzers hinderlaßene Wittib, nunmehr seel. nach ihrem Sontags den 27. Maÿ Jüngsthin aus dießem mühensamen leben Genommenen tödlich ableiben, Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg, Donnerstags den 7. Junÿ 1714.
Die abgeleibte Fraw seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1. H Johann Georg Nottern, Schuemachern vnd burgern alhier Vor einem vierdten theil so der Inventur selbsten beÿgewohnt, 2. Fraw Annam Barbaram Merckelin gebohrne Notterin, H. Michael Merckels Schuemachers vnd burgers alhier Haußfraw, mit beÿstand deßelben vor den Andern vierdten Theil, 3. Michael Nottern, den blinden Spielman sie die Pfrundt Im Weÿßenhauß alhie geneüßt aber Majorennis vnd über 40 Jahr alt ist, vor den dritten vierdten theil welcher gleichfalls Persönlich Zugegen war, und dann 4. Johann Bartholme Nottern, Schuemachern und burgern Zu Berlin, Churfürstl. Brandenburgischer Jurisdiction, in deßen nahmen weilen er abweßend, auch ohnverburgert, der ordnung gemäß, der wohl Edel vnd Veste Herr Joh: Frantz Michael Schenck, E. E. Kleinen Raths alhie wohlverdiente beÿsitzer (…) dießem Geschäfft Persönlich beÿgewohnt, vor den vierdten vnd dann 5. Johann Friderich Nottern, Schuemachern vnd burgern alhier, welcher ebenmäßig Zugegen vor den fünfften vnd letzten Stammtheil, Alle fünff der in Gott ruhend. Frauen seel. mit hievorgemelten ihren Zuerst verstorbenen hauß würth ehelich erzeugt Söhne vnd dochter vnd ab intestato verlaßene Erben

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegener, H. Michael Merckel dem Schuemacher vnd diß orths dochtermann Zuständiger behaußung ist befunden worden wie volgt
Series rubricar. Sa. haußraths 86, Sa. silbers 11, Sa. Goldenen Ring 5, Sa. der Schulden 125, Summa summarum 227 lb – Schulden 80, Nach solchem abzug 147 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 115 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que le fils établi à Berlin doit régler le droit de détraction.
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 87
(Schuhmacher, F. N° 1297) Weÿl. Fr. Annæ Catharinæ gebohrner Kähßin auch weÿl. Hn Johann Bartholme Notters geweßten Schuemachers Exsenatoris und burgers alhier hinderlaßener Wittib verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 22, 115. lb é ß 8 d, die machen 200 fl. dieselbe verstallte Hiengegen auch so viel.
Extat das Stallgelt pro 1717 – 6 ß
Gebott – 1 ß 6 d
Abhandlung – 5 ß 6 d, Summa 12. ß 10 d
Abzug. Johann Bartholme Notter der Schuemacher Zu Berlin, Churfürstl. Brandenburgischer Jurisdiction, soll von Mütterl. Erbe der 29. lb 10. ß 10. d als alhier frembd und ohnverburgert den Abzug erlegen mit 2. lb 19 ß 1 d
Machen obige beede Summen zusammen, 3. lb 11 ß 11 d
dt. omn. d. 9° Jul. 1714.

Michel Merckel meurt en juin 1715 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue du Maroquin. La masse propre à la veuve est de 161 livres, la masse propre aux héritiers de 181 livres. L’actif de la communauté s’élève à 438 livres, le passif à 539 livres.

1715 (26. 7.bris) Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 34)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿland der Ehren Vorgeachte Herr Michael Merckel geweßene Schuemacher Vndt Burger alhier Zu Str. Nunmehr Seel. Nach Seinem Montags den 17.ten Junÿ Jüngsthin aus dießem Mühesaùeb Leben Genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren Vnd Tugendsamen Fraw. Ursulæ Barbaræ Meÿerin Gebohrner Merckelin des Ehrenhafften Meister Andres Meÿers Schuhmachers vndt burgers alhier Ehefrauen, Mit beÿstand Erstgedachts Ihres Haußwürths so dann des Ehrenhafften V. bescheidenen Meister Johann Georg Fischers auch Schuhmachers vndt Burgers alhier alß Geordnet vndt Geschworenen Vogts Mariæ Dorotheæ, Michaels, Johann Jacobs vndt Johann Philipp Merckels alle des abgeleibten seel. mit hernachgemelter seiner hinterlaßenen Wittib Ehelich erzeugter Söhn vnd dochter v. ab intestato Verlaßener Erben, Inventirt, durch die Ehr vndt Tugendsame fraw Annam Barbaram Merckelin Gebohrne Notterin, die Hinterbliebene Wittib mit beÿstand des Ehren Vorgeachten vnd Wohlachtbahren Herrn Johann Georg Notters Schuemachers v. burgers Zu Straßburg Ihres Vielgeliebten bruders v. geschwornen Curatoris (…) Actum Straßburg Donnerstags d. 26. 7.bris 1715.

In einer Alhier Zu Straßburg in der Kurbengaßen gelegener Vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behausung ist befund. word. wie volgt
Hültzenwercks. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In des Officiers Stub, In der Kuchen, In der Wohn stub, In der Stub Cammer
Eigenthumb Ane einer Behaußung (T.) It. Hauß Hoff v. hofflein Mit allen deren gebäwen, begriffen, weitten recht. Zugehörd. v. gerechtigkeit. geleg. alhie Zu Straßb. In St. Urbans gaß, einseit Neb. Peter Nunnenman dem haußfeurer anders. neben Marx Schnepffen dem Seÿler hind. auff eine behaußung dem frawenwerck gehörig stoßend, Davon Geh. Jährlich 1 lb d bod. Zinß d. Edlen von Landsperg. It. 10 lb 10 ß dem Stifft St Marx Jahrs vff Liecht Meß in Stb. Wehrungs Capital ablößig mit 262 lb 10 ß, It. 10 lb d Gelt der Ottonianisch Stifftung Jahrs vff d. 26. febr. in Capital ablößig mit 250 lb, It. 10 lb d des Biberisch. Legat stifftung Jahrs vff Joh. Bapt: ablößig in Capital mit 250 lb d, It. 14 lb d Gelts à 4 p C° herrn Johann Georg Notter Schuemacher V burger alhie der Wittib brudern Jahrs vff Michaelis ablößig in Capital Mit 350 lb d, sonsten freÿ ledig v Eig, Vber Vorstehende beschwerd. durch der St. Str. Geschwohr: Werck Meister Vermög Vberlüffert v. beÿ Mein des Notarÿ Concept befindlich Von Ihnen Eigenhändlig subscribirt. Vnd d. 13. Aug. 1718. datirten scheins Annoch æstimirt pro 347 lb 10 ß. Über Vorst. beh. bes. I. t. Perg. Kbrieff in der Cancelleÿ Contr. Stub Gef. Vnd Mit dero anhang. Ins. Verw. datirt d. 25. febr: 1701 Inhaltend welcher Gestalt d. eingangs Gemelte bede Eheleuthe vorstehende behausung Von Weÿl. Wolffg. Philipp Fimpels des haußfeurers seel. Erb. erhandelt haben.
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Auß dem über eingangs gemelter beed. Eheleuthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch mich unterschriebenen Notarium in Anno 1694. auffgerichteten Inventario
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen Unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 18, Sa. des Silbers 10 ß, Sa. der Guldenen Ring 2, Sa. der Schuld 35, Sa. der Ergäntzung 104, Summa summarum 161 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. Kleÿder vndt Weißen Zeügs 2, Sa. der Ergäntzung 213, Summa summarum 216 lb – Schulden per se, Nach deren Abzug 181 lb
Das Theilbahre Guth betreffend, Sa. des haußraths 34, Sa. der Leeren Vaß 1, Sa. des Led: Schue vnd Werckzeugs Zum Schuemacher Handw. gehörig 47, Sa. des Silbers 8, Sa. Eigenthumbs ane Einer behaußung 347, Summa summarum 438 lb – Schulden 539 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die gantze theilbahre Verlaßenschafft vmb 100 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 242 lb
Eheberedung (…) Straßburg den 19. Monathstag Aprilis im Jahr Unsers Heÿls 1693, Jacob Christoph Pantrion
Copia Testamenti – 1715 (…) auff Sambstag den 8. Monats tag Junÿ, Nachmittag zwischen zweÿ und dreÿ Uhren der Ehrenhafft und vorachtbare Meister Michael Merckel, Schuemacher vnd mit vnd neben ihme die Ehren und tugendsame Fraw Anna Barbara Merckelin gebohrne Notterin, beede Eheleüthe und burgere alhier Zu Straßburg (…) Zu sich erfordern laßen, die wir dann Ihne Maritum unpäßlichen Krancken leibs auff einem bette liegend, Sie die Ehefrau aber Gesund gehend: vnd stehend. (…) Jacob Christoph Pantrion, Notarius publicus

Anne Barbe Notter meurt en mars 1736 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 147 livres, le passif à 160 livres. Les enfants Ursule Barbe, Michel et Philippe se répartissent la jouissance des étaux de cordonnier à l’avant de la maison.

1736 (28.4.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 68)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl die Ehren und tugendsame Frau Anna Barbara Merckelin geb. Notterin auch weÿl. des Ehren v. vorgeachten H. Michael Merckels geweßenen Schumachers v. burgers allhier hinderlaßene wittib nunmehro seel. nach ihrem d. 27. Martÿ jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödl. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundl. erfordern v. begehren der verstorbenen Frauen seel. mit oberwehntem ihrem zuvor verstorbenen Ehemann ehel. erzeugter Söhne v dochter und ab intestato verlaßener Erben, nahmentl. Fr. Ursulæ Barbara Meÿerin geb. Merckelin des Ehrenhafften H. Andreæ Meÿers Schumachers und burgers alhier haußfrauen, beÿständ. erstgedachts Ihres Ehevogts, Ferners Michael Merckels, noch leedigen Schumachers, so etlich und 30. Jahr alt dahero für sich selbsten und ohnbevögtigt, weiters Mstr. Johann Jacob Merckels Schuemachers v. burgers allhier, So dann Mstr. Johann Philipp Merckels ebenmäßigen Schuhmachers v. burgers allhier, welche alle dießer Inventur beÿgewohnt (…) So beschehen in Straßburg den 25.ten Aprilis 1736.

In einer alhier zu Straßburg in St :Urbans gaßen gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behausung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. It. eine behaußung, hofflein und hoffstatt mit allen dero gebäuen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßb. In St. Urbans gaßen, 1.s. neben hannß Peter Nonnenman dem schwartzbecken, 2.s. neben Matern Westermann dem schumacher hind. auf ein Stifftshauß Zum Frauenwerck gehörig stoßend gelegen, davon gehen Jährlich 1 lb d. boden Zinß denen Edlen von Landsperg, so zu doppeltem Capital gerechnet thut 40 lb. It. 10 lb auff Liecht Meß dem Stifft Zu St Marx in Capital ablößig mit 260 lb, It. 10 lb d Jahrs auf d. 26. febr. der Ottonianischen Stifftung allh. in hauptgut redimible mit 250 lb, It. 10 lb d der Biberischen Stifftung allh. so dem eheweiligen H. Pastori novi Templi Jährl. gereicht wird in hauptgut ablößig mit 250 lb d, It. 8 lb d weÿl. H. Dd. Gollen geweß. Schaffners Zu St. Thomæ nachgelaßener Wittib Jahrs auff weÿhenachten ist in Capital abzulößen mit 200 lb d, thun vorstehende beschwerd. zusammen 990 lb, dargegen ist obgemelte behaußung durch die geschworne Hh. Werckmeistere der St. Str. laut überschickten attestati vom 18. Aprilis 1736. æstimirt worden vor 900 lb. alßo höher onerirt dann selbige angeschlagen hernacher passivé inserirt Zubefind. um 90. lb
Und besagt über vorstehende beh. 1. t. perg. Kbr. in d. St. Str. anh. C. C. St. Ins. verwahrt, dat. d. 25. febr. 1701. weißet, welchergestalten H Michael Merckel und die verstorbenen fr. seel. als beede Eheleuthe von weÿl. Wolffgang Philipp Fimpels geweßenen haußfeurers und burgers allh. hinderlaßener Wittib v. Erben ane sich erhandelt haben
Series rubricarum, Sa. haußraths 82, Sa. des Leders Schue vndt Werckzeugs Zum Schumacher Hand werck gehörig 31, Sa. des Silbers 4, Sa. Guldenen Ring 3, Sa. der baarschafft 25, Eigenthumb ane einer behaußung o, Summa summarum 147 lb – Schulden 160 lb, Übertreffen also die vorhandene Passiva die sambtliche activ Nahrung dem Stall anschlag nach 12 lb
Abschatzung dem 18. Aprill 1736. Auff begëren weilandt der Ehr und tugentsamen Frau Anna Barbra Mërcklerin seel. Hinder Laßenen Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Kurben gaßen gelëgen einseits Neben Peter nunen Mann dem schwartz bëcken, ander seits Neben, Meister Matern Nëstermann dem schumacher hinden auff ein Stiffts hauß so Zum frauen hauß gehörich Stoßent, welche behaußung Stuben Cammren, Kuchen hauß Ehren, officier stuben und Cammer Vor dem Knecht, oben dar über Vier Cammren, unden uff dem botten die schumacher wërck statt und schmales hauß Ehren holtz Cammer höffell und gewölbter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der statt Straßburg geschworne wërck Meistere sich in der besichtigung befundten und Jetzigen preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausent und Acht hundert Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Vergleich wegen der inventirten Mütterl. behausung. Deßwegen haben sich die Parthen mit einander verglichen und vereinbaret, daß selbige ohnvertheilt ausgesetzt verbleiben und solche Fr. Ursulæ Barbaræ Meÿerin geb. Merckelin H Andreæ Meÿers des schumachers haußfr. der hinterl. tochter, Item Michael Merckel und Joh: Philipp Merckel sambt und Zwar Joh: Philipp Merckeln der obere Schumacher stand, H. Andreæ Meÿern als Ehevogten Ursulæ Barbaræ Mercklerin der mittlere und dann Michael Merckeln der untere auff der Kellerthür befindl. Schuhmacher standt Jährl. jeedem theil à 15. lb d. biß zu fernerer Austrag der Sach v wofern sic die Parthen anderwerts vergleichen möchten verliehen v. überlaßen seÿn solle, so dieselbe under sich von dato übers Jahr mit einander Zuverrechnen und Zuvergleichen schuldig seÿ sollen, treül. ohne alle gefehrde, maßen Sie sich dann zu bekräfftigung dießen eigenhändig unterschrieben.

Michel Merckel meurt célibataire. Le quart de la maison revient à sa sœur et ses deux frères. L’actif de la succession s’élève à 74 livres, le passif à 73 livres.

1738 (4.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 69) sn
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland der Ehrsam vnd bescheidene Meister Michael Merckel noch lediger Schumach. und burger Zu Straßburg, nach seinem den 24. Februarÿ nechsthin aus dießem Zeitlich. leben genommenen tödlichen Ableiben verlaßen (…) So beschehen in Straßburg Dienstags den 4.ten Martÿ Anno 1738.
Der abgeleibte seelige hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlich die Ehren und tugendsame Fraw Barbaram Meÿerin gebohrne Merckelin des Ehrenhafften Meister Andreæ Meÿers, Schumachers und burgers alhier geliebte Haußfraw, beÿständlich erstgemelts Ihres Ehe vogts, Ferner Meister Johann Jacob Merckel, Schuemachern vnd burgern allhier, Vnd dann Meister Johann Philipp Merckeln, ebenmeßig Schuhmacher und burger Zu Straßburg, Alle dreÿ des Verstorbenen Leiblichen Geschwüsterde vnd ab intestato zu gleichen theilen verlaßene rechtmäsige erben.

In einer alhier zu Straßburg in der Kurben gaßen gelegener: vnd Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item ein Vierdter theil vor vngetheilt, von vnd ane einer behaußung, hofflein vnd hoffstatt, mit allen deren gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden undt gerechtigkeiten, gelegen alhier in St. Urbans gaßen, einseit neben Hannß Peter Nonnenman, dem Haußfeürer, anderseit neben Matern Westermann, dem Schumacher, hind. auff ein Stifftshauß Zum Frauenwerck gehörig stoßend gelegen, Ist die gantze behaußung, So durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere den 18. Aprilis. 1736. beÿ weÿland Frauen Annæ Barbaræ Merckelin gebohrner Notterin seel. alß des verstorbenen Mutter verlaßenschaffts Inventation laut dero überschickten vnd noch vorhandenen scheins ab eod. dato æstimirt word. pro 900 lb. d. dargegen ist besagte behaußung onerirt wie folgt. Erstlichen soll mabb Jährlichen 1 lb d. bod. Zinß denen Edlen von Landsperg, zu doppeltem Capital gerechnet thut 40 lb. It. 10 lb auff Liechtmeß dem Stifft Zu St Marx in Cap. ablößig mit 250 lb, It. 10 lb d Jahrs auf den 26. febr. d. Ottonianischen Stifftung in h.guth azulösen mit 250 lb, It. 10 lb d der Biberischen Stifftung, so dem Jeweiligen Herrn Pastori Novi Templi Jährlich gereicht würd, in h.guth ablößig mit 250 lb d, It. 8 lb d weÿl. H. Dd. Gollen geweßenen Schaffners Zu St. Thomæ, nachgelaßener Wittib, Jahrs auff Weÿhenachten ist in Capital abzulößen mit 200 lb d, Vnd dann 2. lb d Mstr. Andres Meÿern Schuhmachern vnd burgers alhier des verstorbenen Schwag. Jährlichen auff den 21. Jan. in Capital lösig mit 50. lb d. Thun vorstehende beschwerd. zusammen 1040 lb, Conferendo findet sich daß obige behaußung höher gravirt alß selbig angeschlag. 140. lb d Thut dießer Verlaßenschafft ein quart daran Zuleid. so hernacher den Passiv: schulden einverleibt Zubefind. 35 lb. Vnd besagt über vorgemelte behaußung ein teutsch. Perg. Kbr: in d. Statt Straßb. Cancelleÿ Contract stuben Insigel, datirt d. 25. febr. 1701.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 37, Sa. des Werckzeugs leder vndt Schue Zum Schumacher Handwerck gehörig 27, Sa. des Silbers 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung o, Sa. Schulden 7, Summa summarum 74 lb – Schulden 73 lb, Schluß Summ 1 lb.

Jean Jacques Merckel hypothèque son tiers de maison au profit du cordonnier Jean Guillaume Eckerlin

1738 (15.9.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 527
Johann Jacob Merckel der schuhmacher
in gegensein Johann Willhelm Eckerlin des schuemachers – schuldig seÿen 25 pfund
Einen dritten theil für ohnabgetheilt ahne einer vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deßen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne St Urbans gaß einseit neben Hannß Peter Nonnenmann dem haußfeurer, anderseit neben Matern Westermann dem schuhmacher, hinten auff eine der Fabric des Münsters allhier zuständigen behausung – davon gibt man denen Edlen von Landsperg 1 lb ane bodenzinß – als ein elterliches Erbguth ihme zu einem und seinen beeden geschwistrigen zu übrigen zween dritten teilen eigenthümlich zuständig

Autre hypothèque entre les mêmes.
1738 (15.9.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 528
Johann Jacob Merckel der schuhmacher
in gegensein Johann Willhelm Eckerlin des schuemachers – schuldig seÿen 50 pfund
Einen dritten theil für ohnabgetheilt ahne einer vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deßen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne St Urbans gaß einseit neben Hannß Peter Nonnenmann dem haußfeurer, anderseit neben Matern Westermann dem schuhmacher, hinten auff eine der Fabric des Münsters allhier zuständigen behausung – davon gibt man denen Edlen von Landsperg 1 lb ane bodenzinß – als ein elterliches Erbguth ihme zu einem und seinen beeden geschwistrigen zu übrigen zween dritten teilen eigenthümlich zuständig

Le cordonnier Jean Philippe Merckel vend son tiers de maison à sa sœur Barbe femme d’André Meyer et à son frère Jean Jacques qui en deviennent ainsi propriétaires pour moitié.

1740 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 298
Johann Philipp Merckel der schuhmacher
in gegensein seiner geschwisterden und miterben ahne elterlichen Verlaßenschafft, Barbaræ geb. Merckelin Andreas Meÿer des schuhmachers eheweibs wie auch Johann Jacob Merckel ebenfalls schuhmachers
einen dritten theil für ohnabgetheilt ane Einer Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne St Urbans: gaß, einseit neben Peter Nonnenmann dem haußfeurer, anderseit neben Matern Westermann dem schuhmacher, hinten auff der Fabric des Münsters gehörigen hauß zum theil theils Johann Daniel Helmstätter dem Meelhändtler – um 500, 250, 250 und 50 pfund (verhafftet), als von seinen eltern weÿl. Johann Michael Merckel dem schuhmacher und Anna Barbara geb. Notterin die selbige am 25. Februarÿ 1701 erkaufft haben – mit dem angezeigten bodenzinß [sic] – 962 pfund ahne capital und 50, geschehen um 125 pfund

Moitié appartenant à Jean Jacques Merckel

Jean Jacques Merckel vend sa moitié indivise au cordonnier Jacques Klein et à sa femme Susanne Marguerite Ehinger.

1743 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 617 n° 198-v
Johann Jacob Merckel der schuhmacher und Jacobe geb. Meÿerin
in gegensein H. Jacob Klein des schuhmachers und Susanna Margaretha geb. Ehingerin
die unvertheilte helffte einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane St Urbans gaß, einseit neben Peter Nonnenmann dem haußfeurer, anderseit neben Matern Westermann dem schuhmacher, hinten auff ein dem Stifft Frauhauß gehörigen hauß – von solcher gantzen behausung gbt man denen Edlen von Landsperg 1 lb ane bodenzinß – theils als ein elterliches erb, theils als einem am 24. maÿ 1740 erkaufftes guth, die übrige helffte aber des verkäufers schwester Fr. Barbara Meÿer geb. Merckelin gehörig, (um 500, 262, 250, 250, 200, 50 und 75 pfund verhafftet, geschehen um 481 pfund

Fils du cordonnier Jean Klein, Jean Jacques Klein épouse en 1734 Susanne Marguerite Ehinger, fille du tonnelier Jean Georges Ehinger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1734, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Joh: Jacob Kleinen Schuemach. vnd Jgf. Susannæ Marg: Ehingerin (Exp.)
Copia der Eheberedung – Zwischen den Ehrenhafften Meister Johann Jacob Klein, dem leedigen Schuhmacher, weÿland deß Ehrengeachten Herrn Johann Kleinen auch gewesenen Schuemachers und burgers allhier seeligen hinterlaßenem Sohn, alß hochzeiter ane einem, so dann der Ehren und Tugendsahmen Jgfr. Susanna Margaretha Ehingerin, weÿland Meister Johann Georg Ehingers geweßenen Kieffers und burgers allhier hinterlaßenen dochter alß hochzeiterin andern theils (…) So beschehen und verhandelt Straßburg Montags en 19. Aprilis Anno 1734. Expedirt (…) den 4. Martÿ Anno 174* Johannes Brackenhoffer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 120, n° 12)
1734. d. 12. Maji sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden Joh: Jacob Klein der ledige schuemacher v. b. alhier weÿl. Joh: Kleinen gewesenen b. v. schuhmachers nachgel. ehl. Sohn v. Jgfr. Anna Margaretha weÿl. Joh: Geörg Ehingers geweß. b. v. Kiefers Nachgelaßene ehl. dochter [unterzeichnet] Johann Jacob Klein als hochzeiter, Junfra Susanna Margaretha Egnerin als hochzeiterin (i 124)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Marthe Braun rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 74 livres, ceux de la femme à 395 livres.
1736 (9.4.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 68) n° 172
Inventarium über Meister Johann Jacob Kleinen, Schumachers und Frawen Susannæ Margarethæ gebohrner Ehingerin, beeder Eheleuthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet, in Anno 1736 – damit mann sich nun auff zutragenden fall auf der Ergäntzung desto besser zu reguliren weiß (…) Actum Straßburg den 9.ten Aprilis 1736. Expedirt aber den 3. Martÿ 1747.
In einer alhie Zu Straßburg In der Kurbengaßen gelegenen, Frauen Marthæ Braunin Wittibin Zuständiger behaußung darinnen beede Eheleuthe Lehnungsweiße wohnen, ist befund. worden wie volgt
Series rubricarum. Sa. haußrath 45, Sa. Leder Schuh und werckzeugs 17, Sa. Silbers 2, Sa. der baarschafft 10, Summa summarum des Ehemanns in den Ehestand zugebrachten Vermögens 74 lb
Dießemnach Wird auch der Ehefrauen Zugebrachte unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 40, Sa. Silber 9, Sa. Goldene Ring 6, Sa. Baarschafft 246, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 93, Summa summarum 395. lb

Susanne Marguerite Ehinger meurt en septembre 1749 en délaissant sept enfants dont l’un meurt peu après sa mère. Un accord entre les copropriétaires Jean Jacques Klein et André Meyer a eu lieu le 12 décembre 1743. Les experts estiment la moitié de maison à 700 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 257 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 148 livres, le passif de 1 622 livres.

1750 (9.2.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1274) n° 178
Inventarium über Weÿland Frawen Susannæ Margarethæ gebohrner Ehingerin herrn Johann Jacob Klein Schuhmachers undt burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1750. – nach ihrem am 8.ten Septembris Jüngst verfloßenen 1749.sten jahrs genommenen tödlichen hientritt hie zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Hn Johann Daniel Ehinger, Feÿelhawers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Susannæ Margarethæ, Mariæ Barbaræ, Catharinæ Magdalenæ, Johann Jacob, Johann Benjamin, Annæ Mariæ und Andreæ, So dann Catharinæ Salome welche den 5.ten Octobris letzthien, also Vier wochen nach seiner lieben Mutter seeligen hinscheiden in die ewige glückseeligkeit gefolget, mithien der wittiber als Vatter dessen Mütterliche Erbs portion sich anmaßet, alle acht gebohrner Kleinen, so die Verstorbene seelig mit vorgemeltem Ihrem hinterbliebenen wittiber ehelichen erziehlet und ab intestato Zu acht gleichen portionen und antheÿlern Zu Kinder und rechtmäsigen Erben verlaßen – So beschehen in der Statt Straßburg den 9.ten Monathstag Februarÿ Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der genanten St. Urbans gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behausung folgender maßen befunden worden
Eigenthümliche Helfte ane einer Behaußung. Der halbe theÿl vor ohnvertheÿlt Von und ane einer behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen derselben überigen begriffen, weiten, Zugehörden und gerechtigkeiten allhier ane der genanten sanct urbans gaß einseith neben Peter Nonnenmann dem Haußfeurer anderseith neben Matern Westermann dem schuhemacher, hinden auff ein dem Stifft Frawenhauß gehöriges hauß stoßend gelegen, Von solcher gantzen behaußung gibt mann jährlichen denen Edlen Von Landtsperg 1. lb d boden zinnß, so jedem Zur helffte mit 10. ß dahien ab zu zahlen sonsten außer hienach unter den passivis benambsten darauff hafftenden Capitalien freÿ leedig und eigen. Über die eine in dieße Verlaßenschafft gehörige Helffte behaußung urkundet eine auß allhießiger Cantzley Contractstub Verfertigter Pergamentene Kauffverschreibung dedato 9.ten Maÿ Anno 1743. und mit derselben anhangenden größeren Insigel verwahret. Dießemnach weißet ferner eine Zwischen meister Andreas Meÿer schuhmacher und burger allhier als Eÿgenthümblichen innhaber der Einten und Herrn Johann Jacob Klein dißorts Wittiber und besitzer der andern helfften behaußung beschehener gütlicher abhandlung besagter dießer behaußung dedato 12. 10.bris 1743. und Von E. E. Kleinen raht sub eodem dato confirmirt, welche auf pergament geschriebene abtheilung Vor Herrn Von Carben dem Actuario Von raths wegen überschickten und der Statt kleineren Vorgetruckten Secret Insiegel bekräfftiget. Vor beschriebene hiehero gehörige Helffte behaußung ist Vermög hießiger Statt geschwornen herren Werckmeistere überschickter schrifftlicher Abschatzung dedato 7.ten hujus angeschlagen worden für und umb 700. lb
Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guts. Nach besag der über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachten Nahrungen durch nunmehro weÿland H Notarium Jacob Christoph Pantrion in Anno 1736. auffgerichteten und in Anno 1747. durch H Notarium Johann Brackenhoffer expedirten Inventarÿ
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Derer Erben ohnverändert guth, Sa. haußraths 30. Sa. Silbers 2. Sa. goldener ring 1. Sa. activ schuld 40. Sa. Erg. 343, Summa summarum 417 lb – Schulden 160, Nach deren Abzug 257 lb
Dießemnach wird auch des Wittibers ohnverändert und Zugleich das gemein Verantwortung und theilbar guth unter einer Mass consignirt und beschrieben. Sa. haußraths 55. Sa. Werckzeugs wie auch leder und gemachter arbeith zum schuemacher handwerck gehörig 95. Sa. Faß und bütten 10. Sa. Silbers 9. Sa. Eigenthums ane einer behaußung 700. Sa. der Activ Schulden 277, Summa summarum 1148 lb – Schulden 1622 lb, In Vergleichung 473 lb
Mehr Schulden dann Nahrung 216 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert und theilbarer Nahrung zugeltend 217 lb
Abschatzung Vom 7. Februarÿ 1750. Auff begehren Meister Johann Jacob Meÿers deß Schuemachers, ist eine halbe behaußung allhier in der Statt Straßburg in der St Urbans Fgaß, einseit neben N. Nonnenmann dem Haußfeürer, anderseit neben Matern Westermann dem Schuemacher und hinten auff eine behaußung dem Stifft Frawen Hauß gehörig, solche behaußung hat neben dem Eingang einen laden, auff dem Ersten stock eine Stube, ein Kammer, Eine Kuche, und hauß Ehren, auff dem Zweÿten Stock ist eine Stuben, Ein Stub Kammer, ein Kuchen und ein Hauß öhren, darüber ist der tachstuhl mit breit Ziegeln doppelt gedeckt, Worunter Zwo Kammeren, Ferner gehöret Zu dieser helffte deß haußes das halbe holtz hauß, das halbe höfflein und der Vordere Keller, Welcher gewölbt Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeister, nach vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Ein Tausend und Vier hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt Straßburg Montags en 19. Aprilis Anno 1734.
Copia Codicilli reciproci – 1734 (…) Dienstags den 29. Aprilis abends Zwischen acht und Neun Uhren beÿ Zweÿen hellbrennenden Liechtern Vor nunn weÿland Herrn Jacob Christoph Pantrion gewesenen Notario jurato und burger allhier (…) Persönlich kommen und erschienen seind der Ehrsame und bescheidene Johann Jacob Klein der Leedige Schuemacher und die Ehren und tugendsamen Jungfrau Susanna Margaretha gebohrne Egnerin beeder Ehelich Verlobte

Compte sommaire de la succession, dressé en 1773.
1773 (3. Maÿ), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 589) n° 262
Summarische Berechnung über Weiland Fr. Susannæ Margarethæ Kleinin geborener Ehingerin Mr Johann Jacob Klein, des Schuhmachers und burgers alher zu Straßburg am 8. Septembris 1749 verstorbene Ehefraun seel. Verlaßenschaft durch mich unterschriebenen offenbaren geschwornen Notarium mit aufgerechneten besserungen gefertigt.
Nach Außweiß des über sothane Verlaßenschafft durch H Johann Jacob Heß Notarium juratum alhier den 9. Febr. 1750. auffgerichteten, sofort auf hiesiger Statt Stall den 12. aug. dicti anni abgehandelt und den 17. ejusdem beÿ E. Löbl. Vogteÿ gericht producirten Inventarii bestehet
derer Erben unverändertes Vermögen in folgenden Rubricen

La moitié de maison revient par adjudication judiciaire à Léonard Hoffsess le 9 décembre 1773 (référence dans les actes ultérieurs)

Moitié appartenant à Ursule Barbe Merckel femme d’André Meyer

André Meyer demande l’autorisation de faire son chef d’œuvre à la place de Jean Georges Sifrid qui y renonce en arguant qu’il va épouser une fille de maître. Les Quinze accordent la dispense mais Jean Georges Sifrid qui a tenté de vendre ses droits à plusieurs reprises ne sera plus admis au chef d’œuvre.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
E. E. Zunfft der Schuemacher, Andreas Meÿer – Hans Georg Sifrid
(f° 102) Sambstags den 14.ten Aprilis 1714. – Andreas Meÿer Ca. E. E. Zunfft der schuhmacher pt° Meisterstücks
H nôe Andreas Meÿers deß ledigen Schuhknechts von Vengenheim gtra E. E. Zunfft der Schuhmacher, der ist willens Meister Michel Merckels deß burgers vnd schuhmachers tochter Zu heürathen vnd das Meisterstück Zu verfertigen vnd weilen lauth mitkommenden Zunfftscheins Hanß Georg Sifrid auff das Meisterstück renuncirt alß bittet ihne ahne seine stell kommen Zu laßen. Saltzm. Citatus præsens b. hd mehrerm bericht deputation. Gl. s[etzts] Erk. ahne die Obere handwercks herren gewießen.

(f° 124) Sambstags den 28.t Aprilis 1714 – Iidem [Obere handwercks herren] laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß Andres Meÿer der Schuhmacher von Vengenheim wider EE. Zunfft der Schuhmacher geklagt, daß dieselbe ihne Zum Meisterstück nicht admittiren wolte, mit vnd.th. bitt beÿ ihme gn. dispensation, alß man die parten ferner gehört, habe supplicant gemeldet, daß er mit meister Michel Merckels deß schuhmachers tochter versprochen were vnd willens seÿe in das Recht hanß Georg Sifrids, so auff das Meisterstück renuncirt, Zu tretten, vnd ahne deßen statt das Meisterstück Zuverfertigen, anbeÿ gegenwärtigen schein E E Zunfft gerichts der Schuhmacher vom 5. Aprilis jüngst producirt, daß er Sigfridt auff das handwerck vnd meisterstück verzug gethan hette, welches ged. Sigfrid darinn widersprochen, daß Er des handwerck nicht quittiren, sondern selbiges mit seiner hand fortführen, das meisterstück aber nicht machen wolte, angesehen Er die mittel dazu nicht hette, Warauff H Pandrion alß Zunfftmeister geantwortet, daß Er nichts darwider einzuwenden hette, außer daß Er nicht wüße, ob nicht Sÿfrid für dise Cession vom Meÿer etwas bekäme, alß welcher schon underschiedlich mahl mit seinem recht gleichsam gehandelt, mit underth. bitt ihme Sÿfrid solchen handel nieder Zulegen, dabeneben were es auch ihne dem, daß ged. Meÿer eines Meisters tochter heürathe so billich Zu consideriren, wegen dieses umbstandts vnd daß vom Imploranten den anderen so nachfahre ahne dem weg nichts entzogen werde, so vermeinten die Hh Deputirte, daß ihme in seinem begehren gegen erlag 2. lb d halb der Statt halb der Zunfft willfahrt werden könte, jedoch mit dem anhang, daß Er Sigfrid nimmermehr Zum meisterstück gelaßen werden solte, Erk. beliebt.

Fils du laboureur Jean Meyer de Vendenheim, André Meyer épouse en 1714 Ursule Barbe Merckel : contrat de mariage non conservé, célébration
1714, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Andreas Meÿers Schuhmacher und Jgfr Ursulæ Barbaræ Märckelin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 266, n° 1146)
1714. Eodem [Mittwoch den 17.t 8.br] sind nach 2 mähl. Proclamation ehelich copulirt worden, Andres Meÿer der Ledige Schuhmacher, weÿl. Hanß Meÿer hannßen b. und Ackermanns Zu Vendenheim nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd J Ursula Barbara Michael Merckel b. v. Schuhm. allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] ander reß meÿer, Ursula barbara mercklerin (i 365)

André Meyer devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage.
1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 808
Andreaß Maÿer der Schuemacher Von Vendenheim Weÿl: Hanß Maÿer gew: Würths daselbst sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr: Ursula Barbara Mercklerin p. 2. gold fl 16 ß. wird beÿ den schumachern dienen. Jur: d. 19. 9.bris 1714

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 129 livres, ceux de la femme à 114 livres.

1715 (10.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 34) n° 42
Inventarium über des Ehrenhafften Meister Andres Meÿers Schuemachers und der Ehren : und Tugendsamen Frauen Ursulæ Barbaræ Meÿerin, gebohrner Merckelin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg, einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1715
Actum und inventiret Straßburg den 10.ten Julÿ 1715 in præsentia H Johann Georg Notters Schuhmachers der Ehefr. Vatters und hierzu erbettenen beÿsitzers, Expedirt vnd ausgefertigtet aber den 11. Augusti 1742.
in einer allhier zu Straßburg in der Curbengaß gelegenen der frawen Eltern zuständigen behaußung ist befunden worden, wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögen, Sa. haußraths 39, Sa. Silbers 2, Sa. der baarschafft 87, Summa summarum 129 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen berschrieben, Sa. haußraths 89, Sa. Silbers 5, Sa. der baarschafft 7, Sa. goldener Ring 11, Summa summarum 114 lb

Barbe Merckel femme d’André Meyer hypothèque la maison dont elle vient d’acheter le tiers au profit du cordonnier Benjamin Westermann

1740 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 299-v
Barbara geb. Merckelin Andreas Meÿer des schuhmachers eheweib ferner dero bruder Johann Jacob Merckel der schuhmacher
in gegensein Benjamin Westermann ebenfalls schuhmachers, 75 pfund zu vollkommener bezahlung des kauffschillings des heutigen tags erkaufften dritten theil hiernach beschriebener behausung
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehör, rechten und gerechtigkeiten ahne St Urbans: gaß, einseit neben Peter Nonnenmann dem haußfeurer, anderseit neben Matern Westermann dem schuhmacher, hinten auff der Fabric des Münsters gehörigen hauß – davon gibt man denen Edlen von Landsperg 1 lt ane bodenzinß – zwo tertzen von ihren eltern weÿl. Johann Michael Merckel des schuhmachers und Annæ Barbaræ geb. Notterin, den übrigen dritten theil aber von Johann Philipp Merckel dem schuhmacher ihrem bruder heutigen tags erkaufft habe

Ursule Barbe Merckel meurt de maladie consomptive le 27 février 1749 à l’âge de 53 ans
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 8, 1728-1752, p. 360, n° 1069)
1748. Dienstags d. 27. Februarÿ abends um 7. Uhr entschlieff in Christo seelig Fr. Ursula Barbara Meÿerin geb. Merckelin, Andreas Meÿers Schuhmacher: Meisters und burgers allhier geweßene Eheliebste an einer Verzehrenden Kranckheit, ward Mittw. d. 29. ejusdem Zu ihrer Grabs Ruh nach S Helenen gebracht ætat. 53. Jahr 7 Monath [unterzeichnet] Andreß meÿer alß meÿen, benjamin Westermann als thochermann (i 185)v

André Meyer meurt inopinément le 3 mai 1753 à l’âge de 66 ans
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 9-b, 1753-1770, n° 21)
Anno 1753. Donnerstags d. 3. Maji Nachmittag um 3. Uhr entschlieff in Christo sanfft und seelig Meister Andreas Meÿer burger und Schuhmacher allhier, ward den folgenden Freÿtag am den 4. Ejusdem Abends um 5. Uhr nach gehaltener leichen Predigt Zu seiner Grabes: Ruhe nach St. Helenen gebracht, seines Alters 66. Jahr 6 Monath und 21. Tag, Wie solches bezeugen benjamin Westerman als Thochtder mann (i 6)

La moitié de maison revient à leur fille Barbe Meyer qui épouse en 1734 le cordonnier Benjamin Westermann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

1734, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Benjamin Westermann Schumach: vnd Jfr Barbaræ Meÿerin
Copia der Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsame und bescheidere Benjamin Westermann, der ledige Schuhemacher, weÿland des Ehrenhafften Herrn Christian Westermanns auch geweßenen Schuhemachers und burgers alhier hinterlaßener Sohn, mit beÿstand Herrn Christian Westermanns ebenmäßigen Schuhemacher seines Bruders und Herrn Johann Georg Werners auch Schuhmachers deßen auch ohnentledigten Vogts als Hochzeiter an einem, So dann die Ehren und tugendsame Jungfrauen Barbara Meÿerin des Ehren vorgeachte, Herrn Andres Meÿers geichfalls Schuhemachers und burgers allhier ehelichr Tochter, mit assistentz erstgedachts ihres Vatters als Hochzeiterin andern theils (…) So beschehen in Straßburg den 22. Octobris 1734. Das gegenwärtige Eheberedung Von dem, durch nun weÿland herrn Jacob Christoph Pantrion geweßenen Notarium publicum und berümbten Practicum zu Straßburg seeligen eigenhändig aufgesetzten Original getreulich außgefertiget seÿe, bescheine Ich der unterschriebene Notarius als jetziger rechtmäsiger besitzer Pantrionischer Notariat acten, Joh: Richard Häring Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 127 n° 474)
1734. Mittw d. 17. 9.br sind nach 2.maliger Proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet worden, Benjamin Wester Mann der ledige schuemacher v. b. alhier, weÿl. Christian Wester Manns geweß. b. v. schuemachers Nachgel. ehel. Sohn v. J. Barbara, Andreas Meÿers b. v. schuemachers ehl. Tochter, benjamin Westerman als hoch Zeiter, Barbara Meÿerin als hoch Zeirin (i 131)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison propre au mari rue du Maroquin.
1735 (29.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 66)
Inventarium über Meister Benjamin Westermanns, Schumachers und frauen Barbaræ, gebohrene Meÿerin beeder Eheleuthe und burgere Zu Straßburg, einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1735 – und Zwar Sie die Ehefrau, mit beÿstand Mstr. Andreæ Meÿers Schuhmachers und burgers allhier ihres Vatters (…) So beschehen Straßburg d. 29.ten Martÿ 1735.
In einer alhie Zu Straßburg in der Curbengaßen gelegenen behaußung ist befunden worden wir folgt
Eigenthum ane einer behaußung, so des Manns ohn verändert betreffendt. It. Hauß, Hoffstatt vnd Höfflein, mit allen deßen gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten geleg. alhie Zu Straßburg in der Kurbengaßen
$ 8071

Benjamin Westermann meurt en juin 1754 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Saint-Urbain (ou rue du Maroquin). La moitié de maison propre à la veuve est estimée à la somme de 500 livres. La masse propre à la veuve est de 55 livres, celle des héritiers de 102 livres. L’actif de la communauté s’élève à 125 livres et le passif à 312 livres.

1754 (27.8.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1276) n° 249
Inventarium über Weÿland des Ehrsamen Meister Benjamin Westermann geweßenen Schuhmachers und Burgers alhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1754. – nach seinem Am 1.sten Junÿ Jüngsthien genommenen tödlichen hintritt, Hie zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundfleißiges ansuchen undt begehren herrn Johannes Huck auch Schuhmachers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Benjamin, Andreæ, Christian und Margarethæ Barbaræ aller Vier Westermann, so der Verstorbene seelig mit nach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib Ehelichen erziehlte und ab intestato Zu Vier gleichen portionen und antheileren Zu Kinder und Rechtmäsige Erben Verlaßen, heut dato ordnungs mäßig inventirt undt ersucht durch Fraw Barbaram Westermännin gebohrne Meÿerin, die hinterbliebene Wittib mit Zuziehung Herrn Christian Westermann Ebenmäßigen schumachers und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstands – So beschehen Straßburg den 22.sten Augusti 1754.
Copia auffgerichteter Eheberedung
Copia Codicilli reciproci vor weÿland herrn Jacob Christoph Pantrion geweßenen Notario Publico

In einer allhier Zu Straßburg ahne der genanten S. Urbans gaß gelegener und in disse Verlaßenschafft eigenthümlich gehörige behaußung folgender massen befunden worden.
Eigenthumb Einer Behaußung (E.) Ein hauß, hoffstatt in die St: Urbans gaß 1.seith neben Georg Friderich Lang dem ältern (…)
(f° 13) Eÿgenthumb einer halben Behaußung (W.) der halbe theÿl vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, höfflein und hoffstetten mit aller derselben begriffen, weiten, Zugehörten, Recht vnd gerechtigkeiten allhier ane der genannten St. Urbans gaaß * und ist die gantze behaußung 1.s. neben N. Maurer dem haußfeurer, 2.s. H Matern Westermann d. Schuhmacher, hinden auf eine der Fabrique Frawenhauß allhier gehöriger behaußung stoßend gelegen, vnd von gedachter gantzen behaußung gibt mann denen Edlen von Landsperg 1. lb pfenning bodenzinß thut Vor dißseithige helffte abzurichten 10. ß der andere halbe theil dißer behaußung ist H. Joh: Jacob Klein dem Schuhmacher und burger allhier eigenthümlich gehörig, sonsten über diße und andere darauff hafftender hiernach unter denen passivis beschriebener Capitalien freÿ ledig und eigen, und ist dieße halbe behaußung vermög der Statt Straßburg geschworner Herrn Werckmeistere überschickter schrifftlicher Abschatzung angeschlagen worden für und umb 1000 fl. so thut 500 lb.
(f° 15) Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögen.Nach Anleitung Inventarium illatorum über beeder geweßener Eheleuth Nahrungen deb 29. Martÿ 1735. durch weÿl. H Jacob Christoph Pantrion geweßenen Notarium publicum auffgerichtet
(f° 19) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußrath 41, Sa. Silber 6, Sa. Goldene Ring 1, Sa. Eigenthum. behaußung 500, Sa. activ Schulden 50, Sa. Ergäntzungs rest 27, Summa summarum 627 lb – Schulden 571, Nach solchem abzug 55 lb
Dießemnach würd der Erben unverändert eigenthümlich Vermögen beschrieben, Sa. haußrath 26, Sa. Vaß 3, Sa. Silber 4, Sa. Eigenthümliche behauß. 750, Sa. Pfenningzinß 75, Sa. Ergäntzungs Rest 243, Summa summarum 1102 lb – Schulden 700, Nach deren Abzug 102 lb
Endlichen ürd auch die übrige Verlaßenschafft unter einem Titul als theÿlbar beschrieben, Sa. haußraths 18, Sa. gemachte arbeit 58, Sa. Vaß und ein 41, Sa. Silber 5, Sa. Goldener Ring 12 ß, Summa summarum 125 lb – Schulden 312 lb, Übertreffen die passiv schulden die sogenante theilbare activ nahrung benantlich umb 187 lb
Conclusio finalis 270 lb
Cpoia der Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg den 22. Octobris 1734
Copia Codicilli. Persönlich kommen und erschienen ist der Ehrenhaffte Meister Benjamin Westermann Schuhmacher und mit und neben ihme die Ehren und tugendsahme Frau Barbara gebohrner Meÿerin beede Eheleuthe und burgere (…) Beschehen in Straßburg in mein Notarÿ behaußung in der Straßen gelegen, Dienstags den 24. Februarÿ Anno 1739.
Abschatzung vom 20. Augusti 1754. auff begehren Weÿland Benjamin Westermanns seel. hinterlaßener Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in de Statt Straßburg in der St Urbans gaß gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg und bestehet in einer helffte einer Wohnung in oben gedachter St. Urbans gaß einseits neben Nonnenmann dem Haußfeurer, anderseits neben Matern Westermann dem Schuemacher, und hinten auff eine behaußung dem Stifft frawen hauß gehörig, neben dem Eingang ist ein laden, in dem Ersten stock eine Stuben eine Kammer eine Kuchen und haußöhren, in dem zweÿten und dritten stocj ist eine Stube, eine Stub Kammer, eine Kuchen und Haußöhren, darüber ist der tachstuhl so mit breit Zieglen doppelt gedeckt, Worunter Zweÿ Kammern in dem Höfflein ein holtz hauß, und dabeÿ auch ein gewölbter Keller, Auch von uns den unterschriebenenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach auch nur Zur helffte æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und umb Ein Taußend Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Barbe Meyer meurt en 1757 en délaissant quatre enfants. La moitié de maison qui lui est propre est estimée à sa valeur portée à l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 480 livres, le passif à 1 239 livres.

1757 (30.8.), Not. Fické (6 E 41, 754) n° 89
Inventarium über Weÿland der viel Ehren: und tugendsamen frauen Barbaræ Westermännin gebohrener Meÿerin, weil. Herrn Benjamin Westermann, gewesenen Schumachers und burgern alhier seel. nachgelaßener Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1757 – nach ihrem Montags den 22.ten dieses Monats und Jahrs aus dießer zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem zu End ermeltem Dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Johannes Huck, des Schumachers und Burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts der Verstorbenen, Frauen seel. mit weil. oberwehntem Herrn Benjamin Westermann, ihrem verstorbenen Ehemann seel. ehelich erzeugt und nach tod ab intestato Zu Erben verlaßener vier Kindern mit Namen und 1.mo H Benjamin, so 17 Jar alt, Studioso und Notariats befließenen, 2.do, Andreä, seines Alters 16 Jahr, in Erlernung des Schuemacher Profession begriffen, 3.tio Christian im 14.ten Jahr seines Alters stehend und 4.to Margarethæ Barbaræ ohngefehr 4 Jahr alt, der Westermann (…) So beschehen Straßburg den 30.ten Augusti 1757.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Urbans Gaß gelegener hiehero eigenthümlich gehöriger behaußung hat sich befunden als
Eigenthum ane Häusern. Erstlich die Helfte vor ohnvertheilt Von und ane einer Behaußung, Höflein und hoffstatt, mit allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörten, Rechten vnd Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane der St. Urbans Gaß, 1. seith neben Friderich Maurer, dem Schwartzbeck, 2. seith neben Meister Matern Westermann, dem Schuhmacher, hinden auf eine der fabric Frauenhauses gehöriger Behaußung stoßend, Von solcher gantzen behausung giebt mann denen Edlen von Landsperg jährlichen 1. lb und alsso Zu dißortiger helfte 10. ß ane bodenzinß, Ansonten und auser der darauf haftenden hiernach unter den passivis beschriebener Capitalien ist selbige gegen männiglichen freÿ leedig: und eigen, und wird dermalen nach vorher erbettener der wohlverordneten Herren dreÿ löbl. Stadt Statts großgünstiger Erlaubnus dahier angesetzt nach dem Preis, wie solche helfte in Ao: 1754 nach absterben weil. Meister Benjamin Westermanns der Kinder und Erben leiblichen Vaters seel. weißt das über deßen Verlaßenschaft durch Herrn Notarium Joh: Jacob Heß auffgerichtete Inventarium fol: 34.a durch die Herren Werckmeister angeschlagen worden nämlich ad 500 lb. Wird nun hievon oben erwehnten bodenzinßes doppelter Capitals betrag in abzug gebracht mit 10 lb, So verbleibt ane solchem Anschlag hier auszuwerfen annoch übrig 490.
Uber solche behausung, woran die andere helfte Meister Joh: Jacob Klein dem Schumacher alhier eigenthümlich gehörig ist, und die verstorbene fr. seel. die dießortige Helfte ererbt hat ist besagend vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter Kaufbrief mit deren anhangendem größern Insiegel verwahret dedato 21.ten Maji 1740. hiebeÿ mit Lit. A. notirt, Ferner ein gleichmäßiger Kauffbrieff datirt d. 25. febr. 1701. mit Lit. B. signirt. Weiters ein dergleichen Kauffbrieff vom 9.ten 9.bris 1696. mit altem N° 2 und hienächst mit Lit. C. bemerckt.
Item eine Behaußung ane der St: Urbans Gaß 1.seith neben Mstr. Georg Friderich Lang dem ältern (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 71, Sa. gemachter Schuh und Werckzeugs Zum Schuhmacher handwerck gehörig 28, Sa. Weins und leerer Faß 41, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Eigenthums ane häußer 1240, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75, Sa. Schulden 16, Summa summarum 1480 lb – Schulden 1239 lb, Nach solchem abzug et Conclusio finalis Inventarÿ 241 lb

1770, Protocole des Quinze (2 R 181)
Andreas Westermann, Schuhmacher (Rapiarium)
(f° 7) Sambstags d. 17. Februarÿ 1770. – Osterrieth nôe Andreas Westermann in aîis Ca. E. E. Zft der schumacher H Zmr. auch in aîs erholt Mem: huius u. b. Deput. Claus sen: prod. Except. jt° pt° und bittet simil. Deput. erkant.

(f° 16) Sambstags d. 24. Martÿ 1770. – Osterrieth nôe Andreas Westermann in aîis Ca. E. E. Zft der schumacher H Zmr. auch in aîs bittet Commun. sententiæ.

La maison revient pour partie à André Westermann qui épouse en 1770 Catherine Salomé Huck, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration.
1770 (1.6.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 194
Eheberedung – zwischen dem Ehrbar und wohlgeachten Herrn Andreä Westermann, dem ledigen Schumacher, Weiland herrn Benjamin Westermann gewesenen Schumacher meisters und Burgers alhier mit nun auch Weiland Fraun Barbara, gebohrner Meÿerin ehelich erzeugt hinterlaßenem Sohn, volljährigen alters und ohnbevögtigt, eines
und andern Theils der Viel Ehren und Tugendsamen Jungfrau Catharina Salome Huckin, Herrn Johannes Huck, des ebenmäßigen Schumachers und burgers hieselbst mit fraun Catharina Salome gebohrner Lixin ehelich erziehlten Jgfr. Tochter
Geschehen den 1. Junÿ im Jahr Christi 1770 [unterzeichnet] Andreas Westerman als hochzeiter, Catharina Salome Huckin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 178)
Im Jahr 1770 Mittwochs den 15. Augst sind nach geschehenen gewöhnlichen Proclamationen Dom. VIII. et IX. post Trinit. in offentlicher Gemeindt copulirt und ehelich eingesegnet worden Andreas Westermann der leedige Schuemacher von hier weÿland Benjamin Westermanns geweßenen Schuhmachers und burgers allhier und auch weÿland Annæ Barbaræ gebohrner Meÿerin nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfer Catharina Salome Huckin Johann Hucken des Schuhmachers und burgers allhier und Catharinæ Salome gebohrne Lixin eheliche tochter [unterzeichnet] Andreas Westermann als hochzeiter Catharina Salome Huckin als Hochzeiterin (i 186)

André Westermann meurt en 1774 en délaissant deux filles. La maison lui appartient pour un quart, un autre quart appartient à son frère Chrétien Westermann et la moitié à Léonard Hoffsess. La masse propre à la veuve est de 234 livres, la masse propre aux héritiers de 40 livres. L’actif de la communauté s’élève à 139 livres, le passif à 373 livres.

1774 (12.7.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 767) n° 570
Inventarium über Weiland des Ehrengeachten Mstr Andreä Westermann gewesenen Schumachers und Burgers allhier zu Straßburg, nunmehro seel. Vermögens Nachlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1774. – nach seinem Freÿtags den 6. May dieses 1774.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem Zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und begehren des Wohl Ehrbaren Mstr Isaac Lang des Schuhmachers und Burgers alhier, des Defuncti mit hernach ermelter seiner Ehefrauen und nun hinterlaßener Wittib ehelich erzeugt nach todt Zu intestato Erben verlaßen und gleich hienach benambster zweÿ töchterlin eines, und andern theils der Viel Ehren und tugendreichen frauen Catharina Salome gebohrne Huckin, die hinterbliebene Wittib, hiebeÿ mit Herrn Johannes Huck dem ebenmäßigen Schuemacher und burger alhier verbeÿstandet – So geschehen Straßburg den 12. Julii 1774.
Des verstorbenen seel. ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder mit Nahmen und 1.mo Catharina Salome, so beÿnahe 3 Jar erreicht und 2.do Maria Magdalena so anderthalb Jahr erlangt, die Westermännin, welche der Defunctus mit seiner Eingangs ermelten hinterlaßenen Wittib erzeugt hat, In deren Nahmen denn deren geordnet und geschworener Vogt Eingangs ermelter Mstr Isaac Lang der Schuhmacher und b. alhier.

In einer allhier Zu Straßburg an der St. Urbansgaß gelegenen hiehero zum theil eigenthümlich gehörigen behaußung, hat sich befunden als
Eigenthum an Häußern (E.) Erstlich die helfte an der helfte oder ein quart am gantzen vor ohnvertheilt, von und an einer behausung höfflein und hoffstatt, mit allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der St. Urbans Gaß, einseit neben Friderich Vix dem Schwartzbeck, anderseit neben Meister Joh: Georg Steinmetz dem Schuhmacher hinten auf eine dem Löbl. Stift Frauwenhaußes gehörige behausung stosend, Von solcher gantzen behaußung reicht man denen Edlen von Landtsperg jährlich 1 lb d und also Zu disortiger quart 5 ß an bodenzinß, ansonsten und ausser denen darauf haftender und hienach undter den Passivis beschriebenen Capitalien ist solche gegen männiglichen freÿ ledig eigen, und wird dermalen nach vorher erhaltener des wohlverordneter Herrn dreÿ löbl. Stadt Stalls großgünstigen Erlaubnus um den Preiß angesetzt, wie solch ehemalen Zu des Defuncti Vaters seel. Verlaßenschaft Inventur æstimirt worden, das ist a 2000 lb. d zu hierortiger quart 500 lb. Wird nun hinvon das bodenzinß der 5 ß doppelter Capital betrag in Abzug gebracht mit 10 lb, so verbleibt an solchem Anschlag hier auszuwerffen annoch übrig 490 lb.
An solcher behausung participirt Christian Westermann der ledige Schuhmacher, des Defuncti bruder auch 1 quart und Leonhard Hofsäß der Meelhändler alhier die andere Helfte. Darüber und zwar über die völlige Behausung besagt 1. deutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stube gefertigter Kauffbrieff mit deri anhangenden Insigel verwahrt, de Dato 21. Maÿ 1740. mit A notirt. Ferner ein gleichmäßiger Kauffbrieff datirt den 25. Februarÿ 1701 mit B signirt. So dann ein dergleichen Kauffbrieff vom 9.ten 9.bris 1696. mit altem N° 2 und Lit. C. bemerckt.
(E.) It. die helfte vor unvertheilt von und an 1 behausung ebenmäßig Zu Straßburg an der St. Urbans Gaß (…)
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Ausweißlich ds über beeder nun zertrennten Eheleuthe einander vor unverändert zu und eingebrachte Haabschafften, durch den unterschriebenen Notarium sub dato 23.ten Augusti 1770 gefertigten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der hinterbliebenen Wittib unveränderen Vermögens, Sa. Haußraths 33, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. goldener Ring 6, Sa. der baarschaft 6, Sa. Schuld 50, Sa. der Ergäntzung 133, Summa summarum 234 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unverändert Vermögen in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 29, Sa. Werckzeugs Zur Schuhmacher Profession gehörig 12 ß, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. der Baarschafft 5, Sa. Ergäntzung 865, Summa summarum 903 lb – Schulden 501 lb, Nach deren Abzug 40 lb
Endlich so wird auch die Theilbare Mass folgender maßen beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Feders und gemachter Schuh 51, Sa. der Baarschafft 7, Sa. Schulden 49, Summa summarum 139 lb – Schulden 373 lb, In Vergleichung 234 lb
Conclusio finalis Inventarÿ und Stall Summa 401 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 800 florins
1774, Livres de la Taille (VII 1180) p. 175
Schuhmacher N° 3479 – Weÿl. Andreä Westermann des geweßenen Schumachers und burgers allhier Verlaßenschafft jnvent. H. Not Fické
Concl. Final. jnvent. Ist fol. 106., 401 lb 16 ß 11 7/8 d die machen 800 fl. verstallte 300 fl. Zu wenig 500 fl.
Wovon nachtrag vor 4 Jahr als derselbe Zünfftig worden in duplo à 1 lb 10 ß – 6 lb
und zweÿ jahr in simplo – 1 lb 10 ß
Ext. Stallgelt 1774 – 1 lb 16 ß
Geb. – 2 ß 6 d
Abhandung – 1 lb 3 ß 6 d (zusammen) 10 lb 12 ß
der nachtrag auff die helffte moderirt, restirt 6 lb 17 ß
dt. 10. aug. 1774.

Catherine Salomé Huck se remarie avec le cordonnier Chrétien Westermann, fils de Chrétien Westermann le vieux : contrat de mariage, célébration
1775 (14.6.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 253
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und vorgeachte Herr Christian Westermann der ledige jüngere Schumacher meister, Herrn Christian Westermann Senioris auch Schumachers und Burgers alhier ehelicher Sohn, volljährigen Altern, eines
und andern theils die Ehren und tugendbegabte Frau Catharina Salome Westermännin gebohrne Huckin weiland Herrn Andreä Westermann des gewesenen ebenmäßigen Schumacher und Burgers alhier hinterlaßene Frau Wittib, hiebey mit Herrn Johannes Huck dem auch Schuemacher und Burger hieselbst ijrem geliebten Vater verbeÿstandet
auf Mittwoch den 14.ten Junii 1775 [unterzeichnet] Christian Westermann als hochzeiter, Catharina Salome Westermänin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 103)
Im Jahr 1775. Dienstags den 11. Julii Abends um Fünf Uhr wurden nach vorhergegangenen gewohnlichen Proclamationen, Dominica Tertia & Quarta post Trinitatis offentlich ehelich eingesegnet Christian Westermann lediger Schuhmacher und burger allhier, Christian Westermanns, Schuhmachers und burgers allhier und weiland Frau Jacoba gebohrner Hüttnerin ehelicher Sohn, und Frau Catharina Salome gebohrne Huckin weiland Andreas Westermanns gewesenen Schuhmachers und burgers allhier hinterlaßene Wittwe, [unterzeichnet] Christian Westermann als hochzeiter, Catharina Salome Werstemanin als Hochzeiterin (i 155)

Le tuteur des enfants d’André Westermann vend la moitié de maison à Léonard Hoffsess, déjà propriétaire de l’autre moitié pour l’avoir acquise par adjudication judiciaire deux ans plus tôt

1775 (21.9.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 398-v
Mr Isaac Lang der schuhmacher alß geordneter und geschworener vogt weÿl. Andreas Westermann der schuhmacher zweÿ jüngsten kinder nahmentlich Catharina Salome und Maria Magdalena derer Westermannin, Christian Westermann ledig aber großjähriger schuhmacher
in gegensein H. Leonhard Hoffseß des meelhändlers und Annæ Barbaræ Westermännin unter assistentz Johann Götz und Johann Jacob Westermann beede schuhmacher
die helffte vor abgetheilt von und ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane St Urbansgaß, einseit neben Jacob Vix dem haußfeurer, anderseit neben Georg Steinmetz dem schuhmacher, hinten theils auf der Porstischen Wb. und erben theils auf ein der Fabric des münsters zuständ. haus – von dieser gantzen behausung gibt man den Edlen von Landsperg 1 pf ane bodenzinß – ihme Christian Westermann zur helffte und denen curanden zue anderen helffte, alß ein von ihrem groß und respectivé uhrgroß vatter ererbt, daran die andere helffte denen käuffer, alß ein auf der Ganth unterem 9. Decembris 1773 erkaufftes guth – (um 250, 250 und 250 florins verhafftet, geschehen um) 1450 gulden

Deux moitiés réunies

La maison appartient alors en entier au farinier Léonard Hoffsess et à sa femme Anne Barbe Westermann, veuve de Jean Jacques Lix.

Fils du cordonnier Jean Georges Lix, le farinier Jean Jacques Lix épouse en 1765 Anne Marie Westermann, fille du cordonnier Chrétien Westermann : contrat de mariage, célébration
1765 (10.7.), Not. Hüttel (6 E 41, 859) n° 29
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehren und vorgeachte Herr Johann Jacob Lix, leediger Meelmann und Burger allhier, weÿland Mstr Johann Georg Lix des gewesenen Schuhmachers und burgers hieselbst, längst weil. mit Frauen Maria Salome gebohrner Wolfin seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter, ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrau Anna Barbara Westermännin, herrn Christian Westermann, des hiesigen Burgers und Schuhmachers mit weÿland Frauen Jacobe gebohrner Hüttnerin, seiner verstorbenen Ehegattin seel. ehelich erzielte Tochter, beÿständlich erstgedachten ihrem Vatters als hochzeiterin
So beschehen Zu Straßburg Mittwoch den 10 Julii Anni 1765 [unterzeichnet] Johann Jacob Lix Als hoch Zeyder, Anna Barbara Westermännin ls hoch Zeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 20, n° 30)
Im Jaht Christi 1765, Mittwoch den 14. Augusti sind nach vorhergegangenen ordentl. Proclamationen, so auff Dom. IX. und Dom. X. post Trin. geschehen, in offentl. Gemeinde ehel. copuliert und eingesegnet worden, Johann Jacob Lix, der ledige Meelhändler von hier, weÿl. Joh: Georg Lixen, gewesenen Schuemachers und burgers allhier, mit Maria Salome gb. Wolffin, ehl. erzeugter und hinterlaßener Sohn, und Jgfr. Anna Barbara Westermännin Mstr. Christian Westermanns Sen. Schuhmachers und burgers allhier, mit weÿl. Jacobe gb. Hüttnerin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Lix als hoch Zeitder, Anna Barbara Westermännin Als hoch Zeitderin (i 25)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 163 livres, ceux de la femme à 230 livres.
1765 (21.10.), Not. Hüttel (6 E 41, 854) n° 47
Inventarium über des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Lix, Meelhändlers und der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Annæ Barbaræ Lixin, gebohrner Westermännin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, errichtet Anno 1765. – in der am 10.ten Julii gegenwärtigen 1765.sten Jahrs vor mir Notario errichteten Eheberedung §° 4.to sich vor ohnverändert reservirt und vorbehalten (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in fernerm beÿseÿn Hn Christian Westermann Schuhmachers und burgers hieselbsten der Ehefrauen eheleiblichen Vatters und hierzu erbettenen beÿstabdts wie nicht weniger H Johann Daniel Lentz Meelhändlers und ebenmäßigen hiesigen Burgers des Ehemanns Schwagers (…) Montags den 21. Octobris Anni 1765.
In einer allhier zu Straßburg ane der St. Urbans Gas gelegenen von beden Eheleuthen lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebrachten Guts. Sa. haußraths 24, Sa. Schiff und geschirr zum meelhandel gehörig 21, Sa. Frucht Meel und gekörns 128, Sa. Saurkrauts 10, Sa. Silbers 4, Summa summarum 189 lb – Schulden 54 lb, Nach deren Abzug 134 lb Dazu gelegt die ihme gebührige helfte ane denen haussteuren, antrefen 28, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Gut in vero pretio 163. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen zugebrachtes gut geschrieben, Sa. haußraths 86, Sa. Silbers 17, Sa. goldener Ring 16, Sa. baarschafft 83, Summa summarum 202 lb – Deme beÿzurechnen die Ihro gebührige helfte ane denen verehrten haussteuren 28 lb. Der Ehefrau zugebrachtes Vermögen dem wahren werth nach. 230 lb

Jean Jacques Lix termine son apprentissage de trois ans chez le meunier Lauth en avril 1758.
1758, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 268-v) den 6.ten Apr. 1758 – Johann Jacob Lix d. Leedige Müller Von hier bittet Ihme seine beÿ H Rathh. Lauth dem Dingßen Mülller außgestandene 3 Lehrjahr Vor zuschreiben. Erkandt willfahrt.

Il cotise à la tribu des Boulangers pour pouvoir vendre de la farine et de la semoule
1765, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 211-v) Donnerstags den 7. Martii 1765 – Geld Zünfftiger
Joh: Jacob Lix so beÿ E. E. Zunfft der Lucern Leibzünfftig will beÿ dieser Ehrs. Zunfft Geldzüfftig werden um der Meel v. Grießhandel treiben Zu können, bittet um gerichtl. Reception. Erk. willfahrt.

Il devient tributaire à la Lanterne le 13 juin 1765 et obtient en août le droit de vanner que détenait Jean Hetzel, devenu meunier à Ribeauvillé
1765, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 212)
(f° 41-v) Donnerstags den 13.den Junÿ 1765 – Johann Jacob Lix, der leedige Müller, prod. Statt Stall Schein Vom 1. hujus bittet ein gleiches
Erkant, Seÿe derselben als ein Meelmann Zwar leibzünfftig Zu recipiren pt° des gebettenen Wannenrechts aber noch Zur Zeit Zur Geduld Zu verweißen.
dt. pro Zunfftrecht 3 lb 7 ß d

(f° 43) Donnerstags den 29.ten Augusti 1765. – Joh: Jacob Lix, der Meelmann, bittet Ihme Johannes Hetzel, des ehemaligen Meelmanns nunmehro aber Müllers Zu Rappolsweiler vacantes Wannenrecht gng. zu conferiren. Erkannt, Willfahrt dt. 2. lb. 6. ß

Jean Jacques Lix meurt en 1772 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Maroquin. La masse propre à la veuve est de 161 livres, celle des héritiers de 451 livres. L’actif de la communauté s’élève à 461 livres et le passif à 586 livres.
1772 (17.6.), Not. Hüttel (6 E 41, 855) n° 107
Inventarium über Weÿl. Hn Johann Jacob Lix des geweßenen Meelhändlers und Burgers Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft errichtet Anno 1772. – nach seinem den 21.ten Aprilis gegenwärtigen Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft sowohl auf Requisition Fr. Annæ Barbaræ gebohrner Westermännin seiner hinterbliebenen Wittib, beiständlich H Isaac Lang, des Schuhmachers und hiesigen Burgers ihres Schwagers, als auch herrn Johann Daniel Lentz des Meelhändlers und ebenmäßigen burgers hieselbst als geschwornen Vogts des Verstorbenen seel. mit vorged. seiner nunmahligen Wittib ehelich erzeugter und nach todt Zurück gelaßener Zweÿ Kinder und ab intestato Erben, Nahmentlich Johann Jacob und Christian inventirt und ersucht, durch Sie die Fraw Wittib selbsten (…) So geschehen Zu Straßburg Mittwochs en 17.ten Junii Anno 1772.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St Urbans Gäßel gelegenen und dißorts Lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt.
Ergäntzung der Wittib währender Ehe abgegangen unveränderten Guths Inhalt der über beeder nun Zertrennten Eheleuth einander für unverändert in den Ehestand Zugebracht Nahrungen durch mich Not. A° 1765. errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der vor mir Not° am 10. Julii A° 1765. errichteten Eheberedung
Copia des Verstorbenen seel. vor mir Not° auffgerichteten Codicilli
Der Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 27, Sa. Silbers 5, Sa.gold. Ring 4, Sa. Schuld 25, Sa. Erg. 99, Summa summarum 161 lb
Dieemnach wird auch derer Erben unverändert Gut, Sa. haußraths 34, Sa. Schiff und geschirr zum Meelhandel gehörig 4, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzungs rests 435, Summa summarum 476 lb – Schulden 25, Detrahendo 451 lb
Endlich wird auch das gemein verändert und theilbar Gut beschrieben, Sa. haußraths 33, Sa. Schiff und geschirr Zum Melhandel gehörig 13, Sa. Frucht, Meel und Gekörns 156, Sa. Silbers 7, Sa. Schulden 251, Summa summarum 461 lb – Schulden 586, Compensando 124 lb
Stall Summ 236 – Zweiffelhaffte und verlorne Schulden 33 lb
Copia der Eheberedung (…) – Copia Codicilli (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 400 florins (200 livres) sur un total de 900 florins
1772, Livres de la Taille (VII 1180) f° 145
Lucern No. 3061 – Weÿl. Johann Jacob Lix geweßenen Meelhändlers und burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. Not. Hüttel.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 89.b., 487 lb 18 ß 3 d, die machen 900 fl, verstallte 500 fl. zu wenig 400 fl. weilen aber dießer überschuß Von dem in Anno 1770 gethanen Mültterlichen Erb herrühret so wirt nur das Stallgeldt vor 2 jahr angesetzt thut 1 lb 4 ß
Ext. Stallgeldt 1772 – 2 lb 2 ß
Geb – 2 ß 6 d
Abhandlung – 1 lb 1 ß 6, Summa 4 lb 10 ß
dt. 1. Aug. 1772.

Fils du tonnelier Léonard Hoffsess, le meunier Jean Léonard Hoffsess épouse en 1773 Anne Barbe Westermann, veuve de Jean Jacques Lix : contrat de mariage, célébration

1773 (21.4.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 418
Eheberedung – Zwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Joh: Leonhard Hoffseß dem leedigen Müllern Weÿl. H. Joh: Leonhard Hofseß geweßenen Kiefers und burgers alhier Zu Straßburg sel. nachgelaßenem ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Annä Barbarä Lixin geb. Westermännin, Weÿl. Hn Joh: Jacob Lix geweßenen Meelhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib als der frauen hochzeiterin, ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in præsentia (…) Hn Joh: Daniel Lentz Meelhändlers der Fr. hochzeiterin beeder Kinder erster Ehe geschwornen Hn Vogts aller burgere allhie (…) auf Mittwoch den 21. Apr: A° 1773 [unterzeichnet] Johan Lienhart Hoffseß als hochzeith, Anna Barbara Lixin Als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 27-v)
Im Jahr Christi 1773. Mittwochs den 12. Maÿ sind nach gewesenen gewöhnlichen proclamationen Dominica Jubilate et Dominica Cantate offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Leonhardt Hofseß leediger Mehlhändler und burger allhier, weÿland Johann Leonhardt Hofseß geweßenen Kiefers und burgers allhier und Frauen Maria Magdalena gebohrner Schleberin ehelicher Sohn und Frau Anna Barbara gebohrne Westermännin, weÿland Johann Jacob Lix geweßenen Mehlhänlders und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johan lienhart hoffseß hochzeiter, Anna Barbara Lixin Als hochzeiterin (i 79)

Jean Léonard Hoffsess fait son apprentissage de 1759 à 1762 chez la veuve du meunier Guillaume Greiner
1760, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 278) Heut dato den 7. Jan. 1760 – H. Rathh. Phil. Jacob Lauth der Dingßenmüller im Nahmen Fraw Sabinæ Schnellerin weÿl. Willhelm Greiners seel. Zornen Müllers wb. bittet Johann Lienhard Hoffseß weÿl. Joh: Lienhard Hoffseß geweßenen Kieffers allhier seel. sohn, von Joh. Bapt: 1759 bis solche Zeith 1762. das müller handwerckh beÿ Ihro Zu Erlernen Ihro Zu Zuschreiben. Erkandt willfahrt.

1762, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 212)
(f° 5-v) Sambstags den 2. Julÿ 1762 – Ausgethaner Lehrjung – H. Johann Friderich Lauth der Zornenmüller, erschienen nôe Frauen Sabinæ gebohrner Schnellerin weÿl. Willhelm Greiners des geweßenen Zornen Müllers und burgers allhier hinderlaßener Wittib, seiner dermaligen Schwiger Mutter und bit Johann Lienhard Hoffseß von hier gebürtig, ihren Zuthun, vide die Einschreibung vom 7. Januarÿ 1760. Erkannt, willfahrt, dt. 1. lb 11 ß d

Après une première demande en mai, Jean Léonard Hoffsess devient tributaire à la Lanterne le 19 juin 1773. Il obtient le même jour le droit de vanner que détenait Jean Jacques Lix
(f° 118-v) Sambstags den 8. Maji 1773 – Leonhard Hofseß der ledige Müller bittet ihn Zünfftig zu recipiren. Erkannt in Ermanglung eines Statt Scheins seÿe der implorant noch Zur Zeit mit seinem begehren ab und an die Ordnung Zu verweißen.

(f° 119) Donnerstags den 19.ten Junii 1773. – Leonhard Hofseß, der gelernte Müller, weil. Johann Leonhard hofses, des hiesigen burgers und Kiegers hinterlaßener ehelicher Sohn producirt Statt Stall Schein vom 8.ten Maji bittet ihn inter denen Meelleuthen leibzünfftig Zu recipiren, erkannt willfahrt, dt 3. lb 7 ß
Idem bittet weil. Johann Jacob Lix, des gewesenen Zünfigen Meelmanns seines Ehevorhahren gehabt und durch deßen Wittib seine nunmalige Ehefrau bisher getriebenes Wannenrecht ihm Zu Zu schreiben.
Erkannt unter der Condition willfahrt, daß der Implorant beÿ E. E. Zunfft der Becken beÿ nechstem Gericht auch das Meelrecht begehren und erhalten soll. dt. 3. lb 6 ß

Il cotise à la tribu des Boulangers pour pouvoir vendre de la farine et de la semoule comme le premier mari de sa femme
1773, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 65-v) Mittwochs den 22. Septembris – Geld zünfftiger
Leonhard Hoffsäß, leibzünfftigen Es En Zunft Zur Lucern stehet vor und bitt ihne, weilen er sich an eine verwittibte Meelhändlerin verheurathet, als Geldzünftigen beÿ dieser E. Zunft auf: und anzunehmen auch ihme anbeÿ das Meel: und Grießrecht ferner fort angedeÿhen Zulaßen.
Erkandt, seÿe Imploranten gegen Erlag der Gebühr seinem Petito Zu willfahren.

1774, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 124) Montags den 10. Jenner 1774 (Johann Leonhard Hofses, Meelmann, als Gekörns Rüger erkosen)

1783, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 213)
(f° 3-b) Dienstags den 9. Decembris 1783 (als Spottschöff supernumerarius erwehlt)
(f° 5) Mittwochs den 7. Jenner 1784. (idem)

Jean Léonard Hoffsess et sa femme font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 314 livres, ceux de la femme à 473 livres.
1773 (29.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 732) n° 879
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Leonhard Hoffseß Meelhändlers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Barbarä Hoffseßin gebohrner Westermännin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1773. – und sich vermög der den 21.sten Aprilis 1773. Vor mir unterschriebenen, Notario auffgerichteten Heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg in Præsentia Herrn Andreä Dietz Schwartz und Schönfärbers des Ehemanns entledigten Herrn Vogts und H Johann Daniel Bentzÿ Meelhändlers der Ehelichen beeder Kinder Erster Ehe geschwornen Curatoris beeden Burgere allhier auf Sambstag den 29.ten Maÿ anno 1773.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St: Urbans Gaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behaußung befunden Worden Wie folgt
Wÿdumb Welchen dißortige Ehefrau Von Weÿland H Jacob Lix dem geweßenen Meelhändler und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem erstern Ehemann seel. theils Lebtägig theils biß zu der Kinder Zwantzig Jährigen Alter oder vorheriger Verheurathung Zigenießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Silbers 38, Sa. Goldenen Rings 3, Sa. Baarschafft 10, Sa. Schulden 230, Summa summarum 291 lb – darzu geleht die Ihme dem Ehemann vermög der Eheberedung gehöriger helffte ane denen haussteuren 22, Des Manns Vermögen in vero pretio 314 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 225, Sa. Wein und leerer Faß 11, Sa. Schiff und geschirr auch Waaren Zum Meelhandel gehörig 306, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 31, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 49, ß der baarschafft 87, Sa. Schulden 521, Summa summarum 1232 lb – Schulden 781, Nach deren Abzug 451 – Hierzu kombt ferner die Ihro der Ehefrauen gebührige Helffte ane denen Verehrten haussteuren 22 lb, der Frauen sambtl. in die Ehe gebracht Vermögen dem vero pretio nach 473 lb

Jean Léonard Hoffsess meurt à l’automne 1792, sa veuve en 1794 en délaissant deux fils de son premier mariage et deux du deuxième. L’inventaire est dressé dans leur maison rue du Maroquin. La masse propre au mari est de 1 503 livres tournois, celle de la veuve de 5 741 livres. L’actif de la communauté s’élève à 11 663 livres, le passif à 18 686 livres. Un état des loyers y est joint.

1795 (19 therm. 3), Strasbourg 4 (5), Not. Greis n° 779, altes 578
Inventarium samt Verkauff und Erörerung Weiland burgers Johann Leonhard Hoffses gewesenen Meelhändlers, so im Monat Septembris oder Oct° 1792 und auch weiland der burgerin Annä Barbarä Westermann so den 30. Nivose des 2. Jahrs der Republick verstorben, beeder gewesener Eheleute und Inwoner dahier Zu Straßburg Verlaßenschafften, Welche auf Ansuchen des burgers Christian Westermann Schumachers als geordneten Vogts der entseelten Ehefrau in erster Ehe mit weil. br. Johann Jacob Lix, gewes. ebenmäßigen Meelhändler alhier, so am 21. Aprilis 1772. verstorben ehelich erzeugt hinterlassener Zween Söhn, Namens Br. Johann Jacob Lix, so 27. Jahr alt, Adjudant major unter dem 5. Artillerie Regiment und br. Christian Lix, so 23. Jahr alt Volontaire au Bataillon de la montagne, so beede dermalen abwesend: Wie auch brs. Joh: Daniel Hoffses, Kiefers als geordnet und beeidigten Vogts (…) der beeden nun verstorbenen Eheleuthe in ihrer jetzigen Ehe erzeugt und hinterlaßenener Zween Söhne, mit Namen Joh: Leonhard Hoffses so 18. Jahr und Joh: Friedrich Hoffses so 14 Jahr alt, inventirt und ersucht

hausrath, In der Wonstub, In der Nebenkammer, In der Kuch, Im haußehren, In der Magdkammer, In der Soldatenkammer, Auf der bühn, In der Stubkammer, Im Keller
(p. 12) Eigenthum ane einer behaußung. (E.) Neml. eine Behaußung Höffl. u. Hoffstatt mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der St Urbans Gaß mit N° 4 bezeichnet, 1.s neben Andreas Fad dem beck, 2.s neben Joh: Steinmetz Schumacher hinten auf Jacob Friedrich Borst Zinngieser Zum theil und Zum theil auf ein in der Fabrick des Münsters zuständiges hauß stosend, wovon man jährlich der Familie Landsperg 4 li. ane bodenzinß reichte, sonst aber ist solche behaußung auser denen darauf hafftenden hienach inventirten passiv Capitalien und der Grundsteur gegen männiglich frei, ledig eigen und hier ohnpræjudicirlich in Anschlag gebracht, wie selbige in Zweien malen erkaufft worden pro 8640. Über die eine Helffte daran sagt I. teutsch pergam. ehemalig. Gant Kfbrf. ded. 9. Dec. 1773. Und über die andere Helffte I. teutsch pergam. Kfbrf. in der ehemalig Contr. Stub errichtet ded. 21. Sept. .1775
Ergäntzung des Ehemanns Erben abgegangenen unveränderten Guts Nach Masgab des über beeder geweßter Eheleuth durch auch weil. br. und Notarium Joh: Daniel Langheinrich am 29. maÿ 1773 errichteten Inventarii
(p. 16) Series rubricarum hujus Inventarii, des Verstorbenen Ehemanns unveränderten Guts, Kleidung und weisen gezeugs 255, Ergäntzung Rest 1247, Summa summarum 1503 livres
Diesemnach wird auch der entseelte Ehefrauen unverändert Vermögen beschrieben, Kleidung und weisen gezeugs 493, Ergäntzung Rest 8374, Summa summarum 8867 livres – Schulden 3126 livres, Nach solchem Abzug 5741 livres
Endlich wird auch das gemein verändert und theibare Gut beschrieben, Sa. hausraths 1343, Sa. Schiff und geschirrs wie auch Waar zum Meelhandel gehörig 635, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeid 134, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeid 73, Sa. baarschafft 447, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 8640, Sa. activorum 389, Summa summarum 11.663 livres – Schulden 18.686 livres, In Vergleichung, theilbar Passiv onus 7023 livres
Endlich berichteten auch beede Vögte daß der entseelen Ehefrau ältester Sohn zwoter Ehe Johann Leonhard Hoffses gewes. Canonier der 65. halben Brigade zu Hanheim am 22. febr. 1795 alt stils oder 4. ventose 3 in dasigem Militarischen Spital an einer Wunde laut Abzug daraus dem Register des verstorbenen gesagter Gemeinde Hanheim 28. Aprilis 1795 gestorben
Abschrift der Eheberedung de dato 21. Aprilis 1773 (…) – Joh: Daniel Langheinrich Nots.
(f° 19) Verkauf Register – (f° 35) Abrechnung – (f° 45) Fernere Aberchnung n° 1119, Einnahm vom hauß, Erstl. entrichtete b. Silberzahn den Haußzinß pro Michaeli 1795 bis und mit Weinachten 1796 alt stils oder 5 ni. 5 für 6 Quartal à 60 quartaliter
Item zalte br Löffler den Haußzinß pro Michaeli 1795 für 3 Monat
Item deselbe ferner den Haußzinß pro Weinachten 1795 bis und mit solche zeit 1796 für 5 quartal à 30 quartaliter
Item erlegte b. Schöttel den Haußzinß pro Michaeli 1795 bis und mit Weinachten 96 g 6 Quartal à 25 quartaliter
Item bezalte b. Michel, Schumacher, den Haußzinß f. erstgemelte 6 Quartal à 22 10 quartaliter
Item entrichtete N. Sigel den Haußzinß d vorgesagte 6 Quartal à 12 quartaliter, 2 vent. 5
Enregistrement, acp 36 F° 100-v du 19 ther 3

La maison est vendue devant le juge de paix le 6 floréal XI au farinier Jean Obrecht. Le tribunal civil ratifie la vente le 20 floréal suivant (voir les titres à l’inventaire de 1849).

Fils de Jean Jacques Obrecht, vigneron à Gertwiller, Jean Obrecht épouse en 1801 Marie Salomé Schuler, fille de Jean Georges Schuler de Barr.
Mariage, Barr (n° 20)
Vom 12. tag ses Monats Ventos im IX. Jahr der francken Republik. Heuraths Acte Von Johannes Obrecht seines Alters von 31 Jahr, gebürtig von Gertweiler, wohnhaft zu Straßburg, geboren den 15. Jenner im Jahre 1770 ehelich erzeugter Sohn von weiland Johann Jacob Obrecht Burger und Reebmann zu gedachtem Gertweiler und der verstorbenen Maria Magdalena gebohrner Glöckenmüller und fusilier unter der 25. halb brigade behörig mit einem Congé Limité seines Militair dienstes Versehend, vnd Von Maria Salome Schuller des alters von 28. Jahr allhier den 19. Octobris im Jahr 1772 geboren und wohnhaft, ehelich erzeugte Tochter von Johann Georg Schuler, dem Burger und Wollweber dahier und der Anna Maria gebohrner Baumhauer [unterzeichnet] Johannes Obrecht, Maria Salome Schuler (i 13)

Le farinier Jean Obrecht hypothèque la maison au profit du tourneur Jean Lips

1803 (4 prairial 11), Strasbourg 7 (42), Not. Stoeber n° 1349, 4457
Obligation – Erschienen persönlich Bürger Johannes Obrecht, Mehlhändler und Inwoner alhie (…) schuldig worden seÿe
dem Bürger Johannes Lips, dreher und Inwoner alhie, die Summ von 100 francs
Unterpfand, eine Behausung, hoff und hoffstatt gelegen alhie Zu Straßburg in der Corduangaß mit Numero 4 bezeichnet, einseit neben Andreas Fad, Beck, anderseit neben Johannes Steinmetz Schuemacher und hinten auf Jacob Friderich Borst, Zingießer stoßend, so außer denen darauf bereits hafftenden Capitalien und d.en Abgaben, eigen (…) Straßburg den 4. prairial im Eilfften Jaht

Marie Salomé Schuler meurt en 1804 en délaissant deux fils

1804 (28 therm. 12), Strasbourg 14 (25), Not. Lex n° 4288
Inventaire de la succession de Marie Salomé Schuler épouse de Jean Obrecht, farinier décédée le 2 germinal. dernier – à la requête du veuf et de Jean Georges Schuler, drapier à Barr, tuteur établi par la justice aux deux enfants Jean âgé de 2 ans et Jean Jacques âgé de 3 semaines – mariés sans contrat de mariage
Immeuble, Une maison cour écuries bâtiments droits appartenances et dépendances sise en cette ville rue du Maroquin N° 4, d’un côté Jean Steinmetz cordonnier d’autre André Fath le boulanger devant la Rue derrière Sr Forst fondeur en étain – chargée d’une rente foncière de 4 fr envers les héritiers Landsperg de Strasbourg, provient des héritiers de Jean Frédéric Hoffsess, Culottier, adjugé devant Jean Michel Remond juge de paix du troisième arrondissement le 6 floréal 11, estimée 10.050 francs
mobilier 1349 fr dont numéraire 200 fr, total de l’actif 11.399 fr, passuf 7300 fr
Enregistrement, acp 93 F° 68-v du 7 fru 12

L’architecte municipal n’autorise pas Jean Obrecht à réparer la façade qui a un encorbellement quoiqu’elle ne dépasse pas de l’alignement.

1817, 283 MW 357
Le Sr Obrecht farinier propriétaire de la maison sise rue du maroquin N° 4 à Strasbourg vous expose de vouloir bien lui accorder de réparer la façade de ladite maison – Renvoyé à l’architecte le 5 août 1817
(…) Considérant que cette maison a une avance je suis d’avis quoiqu’elle soit alignée a rez de chaussée qu’on ne peut permettre lesdites réparations, 13 août 1817 Villot

Sœur de la susdite Marie Madeleine Schuler, Anne Schuler qui était en société avec Jean Obrecht depuis 1804 meurt en juin 1819 en délaissant deux enfants naturels issus de Jean Obrecht.

1819 (25.11.), Strasbourg 14 (55 mal classé, reclassé), Not. Lex n° 1382
Inventaire de la succession d’Anne Schuller fille décédée le 4 juin dernier – dans la maison mortuaire appartenant au Sr Obrecht – à la requête de 1. Jean Obrecht farinier à cause de la société universelle avec la défunte suivant contrat de société reçu Me Lex le 28 thermidor 12 (16 août 1804), 2. Valentin Deichler farinier mandataire de 1. Anne Marie Baumhauer veuve de Jean Michel Schuler demeurant Barr, héritière de sa fille pour un quart dans la moitié des biens, 2. Jean Jacques Schuler drapier, 3. Marie Schuler majeure les deux domiciliés à Barr, 3. Georges Schuler sellier héritiers pour un quart de leur sœur, 4. ledit Obrecht père et tuteur légal de Jean Obrecht et Jacques Obrecht ses enfants héritiers pour l’autre quart par représentation de leur mère Marie Madeleine Schuler, 5. dudit Georges Schuler tuteur de Georges âgé de 14 ans et Salomé âgée de 10 ans, ayant pour subrogé tuteur le Sr Deichler, enfants naturels de la défunte
Biens et charges de la société, meubles 1135 fr, Immeuble à Barr 6420 fr, créances hypothécaires 3450 fr, créances chirographaires 3479 fr, autres créances 1026 fr, passif reprises de la succession de de la défunte 2847 fr, reprises du Sr Obrecht 5484 fr, dettes de la société 5905 fr
garde robe 175 fr, meubles 499 fr, immeuble 350 fr, dettes actives 3947 fr, ensemble 4297 fr
Enregistrement, acp 145 F° 77-v du 26.11.

Jean Obrecht se remarie avec Anne Marie Korn, native de Barr et veuve du tondeur de draps Jean Christophe Schæff qu’elle a épousé en 1803
Mariage, Strasbourg (n° 74)

Acte de mariage célébré le 16 mars 1820. Jean Obrecht majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 janvier 1770 à Gertwiller (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, veuf de Marie Salomé Schuler, décédée en cette ville le 2 germinal an XII, farinier, fils de feu Jean Jacques Obrecht, vigneron à Gertwiller, et de feu Marie Madeleine Gloeckler et Anne Marie Korn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 19 avril 1779 à Barr (Bas Rhin) domiciliée à Barr, veuve de Jean Christophe Schaeff, tondeur de draps décédé audit lieu le 30 janvier 1816, fille de feu Jean Korn, tonnelier, et de feu Reine Speckel (signé) Johannes Obrecht, Anna Maria Korn (i 5)

Mariage, Barr (n° 25)
Vom 17. tag des Monats Ventos im XI Jahr des Francken Republick, Heurats Acte von Johann Christoph Schäf seines alters 22 Jahr, alhier den 26. November im Jahr 1780 gebiren und wohnhaft, ehelich erzeugter leediger Sohn von weiland Johann Jacob Schäf, dem gewesten hiesigen burger und Tuchscherer und der auch verstorbenen Anna Ursula geborner Brod seiner Eltern, conscrit vom 9. Jahr behörig mit einelm Certificat de Remplacement des Militaire dienstes versehen, Bürger und auch Tuchscherer, Und von Anna Maria Korn ihres Alters 23 Jahr alhier den 19. Aprilis im Jahr 1779 geboren und wohnhaft ehelich erzeugte leedige Tochter von Johannes Korn, dem hiesigen Bürger und Kiefer, und der verstorbenen Regina gebohrner Speckel ihrer Eltern
[unterzeichnet] Johann Christoph Schäf, Anna Maria Korn (i 15) 17 ventos XI ou 8 mars 1803

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1821 (23.2.), Strasbourg 14 (57), Me Lex n° 2838
Inventaire des apports de Jean Obrecht, marchand farinier, et d’Anne Marie Korn, communs en biens suivant contrat de mariage reçu Carnari notaire à Barr le 14 février 1820
le mari mobilier 4419 fr, créances 6262 fr, numéraire 1400 fr, total 12.081 fr, passif 4152 fr
la femme mobilier 1602 fr, créances 1550 fr, numéraire 1000 fr, ensemble 4152 fr
immeuble une maison à Barr – pré à Strasbourg
Enregistrement, acp 151 F° 95 du 24.2.

Jean Obrecht loue une partie de la maison au maître cordonnier Thiébaut Lobstein

1829 (22.12.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 58 F° 151-v
29 septembre 1829, Bail – Jean Obrecht
à Thiébaud Lobstein, maître cordonnier en cette ville
la maison c’est à dire la boutique et le second étage donnant par derrière avec tout ce qui fait partie – commence aujourd’hui 29 septembre et finira audit jour 1835 – moyennant un loyer annuel de 192 francs

Jean Obrecht vend sa part de maison au baquetier Charles Frédéric Ernst

1829 (10.10.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2893
Jean Obrecht, farinier
à Charles Frédéric Ernst, bacquetier
la nue propriété de 7/8 indivis dans une maison, cour, écuries, bâtiment, en dépendant & autres droits & appartenances située à Strasbourg rue du Maroquin n° 4 d’un côté Michel Grad boulanger, d’autre la veuve et héritiers Krentzberger tamissier, devant la rue, derrière le Sr Borst potier d’étain – seize 24° ou deux tiers comme ayant participé à la communauté de Marie Salomé Schuler, acquis des héritiers Jean Frédéric Hofsaes, culottier, suivant adjudication définitive devant M. Remond Juge de paix du troisième arrondissement le 14 ventôse 11 et 5 floréal et déclaration de command homologuée par jugement du Tribunal Civil du 20 floréal suivant – quatre 24° ou un 6° acquis de Jean Jacques Obrecht, garçon farinier son fils lequel l’a hérité de sa mère, par acte reçu Ritleng notaire à Strasbourg le 31 mai 1827, un 24° comme héritier de Jean Obrecht, garçon tourneur son fils décédé le 14 avril 1823 – grevée d’une rente foncière annuelle de 4 fr envers la famille de Landsperg – n’entrera en jouissance qu’au jour du décès du vendeur qui se réserve la jouissance sa vie durante – moyennant 6000 francs
Enregistrement, acp 196 F° 159 du 20.10.

Charles Frédéric Ernst épouse en 1829 Marguerite Salomé Obrecht, fille naturelle du vendeur
1829 (27.2.), Strasbourg 8 (46 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2625
Contrat de mariage – Charles Frédéric Ernst, baquetier, fils majeur de feu Jean Ernst, baquetier, et d’Elisabeth Vogel
Marguerite Salomé Obrecht, fille mineure de Jean Obrecht, farinier, procréé hors mariage avec feu Anne Schuler
communauté d’acquets partageable par moitié
la future épouse apporte un quart de maison à Barr
Enregistrement, acp 193 F° 129 du 3.3.

Jean Obrecht meurt en décembre 1829 en délaissant un fils de son premier mariage et deux enfants naturels

1830 (7.1.), Strasbourg 14 (88), Me Ritleng n° 1091
Inventaire de la succession de Jean Obrecht, marchand fariner, décédé le 14 décembre dernier, dans une maison rue du Maroquin n° 4 – à la requête de 1. Anne Marie Korn la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Carnari notaire à Barr le 14 février 1820, 2. Jean Jacques Obrecht, marchand épicier fils majeur du défunt procréé avec Marie Salomé Schuler
en présence de Georges Schuler dit Obrecht, serrurier & Salomé Schuler dite Obrecht femme de Charles Frédéric Ernst, baquetier, intervenant à raison des droits qu’ils peuvent avoir à exercer sur la succession en qualité de représentants de feu Anne Schuler leur mère, suivant contrat de société avec ladite Anne Schuler reçu Lex notaire à Strasbourg le 28 thermidor 12, inventaire de la succession d’Anne Schuler Me Lex 25 novembre 1819

immeubles propres au défunt inexistants. Sept 8° indivis d’une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue du Maroquin n° 4 d’un côté Michel Gradt boulanger, d’autre les veuve et héritiers Krentzberger, devant la rue, derrière le Sr Borst potier d’étain, vendue à Charles Frédéric Ernst, bacquetier, par acre passé devant Me Grimmer le 17 octobre dernier
meubles dans une chambre au premier étage ayant vue sur la rue du Maroquin, dans une chambre à côté de la précédente ayant vue sur la cour, dans le corridor, au premier étage dans la boutique au rez de chaussée, dans le corridor au rez de chaussée, dans le bucher, au troisième étage dans une chambre ayant vue sur la propriété du Sr Gradt, dans une chambre au troisième étage ayant vue sur la cour de la maison mortuaire, au grenier dans une chambre à côté, dans la chambre dite des soldats, dans la sécherie au quatrième étage donnant sur la rue, cuisine, dans la cave, estimée 2412 fr – argent 273 fr
Titres et papiers, Contrat de mariage, le futur époux donne la jouissance viagère gratuite de l’habitation suivante, dans la maison à lui propre rue du Maroquin à Strasbourg n° 4 entre Christophe Fraencklé et les enfants Steinmetz, devant la rue, derrière le Sr Borst, cette habitation consiste en un poele donnant sur la rue, la chambre à côté donnant aussi sur la rue, la chambre derrière celle ci donnant dans le vestibule, la cuisine à côté du poele, un grenier, une chambre à linge sale, au quatrième étage dont les fenêtres donnent sur la rue & dans la cour, la cave par laquelle passent les tuyaux de la fontaine, la boutique ou magasin au rez de chaussée à droite en entrant dans la maison. Plus la jouissance de chercher et faire chercher de l’eau à sa fontaine dans ladite cour, le droit de faire sa lessive dans la buanderie à côté de la fontaine et de loger son bois sur le grenier, ladite jouissance estimée à 100 francs par an, le 8° 860 fr
par acte reçu Carnari le 1 avril 1820, changement au Contrat de mariage, qu’au lieu de donner à la future la jouissance gratuite du logement au premier étage, il dit lui donne un logement au second étage consistant en deux poeles donnant sur la rue, une chambre derrière, une cuisine à côté la chambre & celer à bois au quatrième étage, la cave par laquelle passent les tuyaux de la fontaine, le droit de chercher et et prendre l’eau à la fontaine, le droit de faire la lessive dans la buanderie à côté de la fontaine, quant à la jouissance de la boutique au rez de chaussée la future y renonce
Inventaire de Salomé Schuler épouse en premières noces dressé par Me Lex le 28 thermidor 12, apports du défunt 359 fr, Immeuble, Dans l’Inventaire des apports est sipulé que les immeubles se trouvant désignés dans la succession d’Anne Schuler & la société qui a existé avec cette dernière par acte reçu Lex le 25 novembre 1809 & Inventaire de sa première femme reçu Lex le 28 thermidor 12 – la moitié indivise d’une maison à Barr, créances 12.582 fr, dettes actives de la communauté 2410 fr – passif 1497 fr
acp 198 (3 Q 29 913) f° 83-v (six dernières vacations) – La masse active de la communauté se compose d’une valeur mobiliere estimée 2072
Propre du défunt, créances 359, idem 12.582, une maison à Barr N° 66 rue Windengass, 21 ares 36 ca. de vignes en cinq pièces à Barr,
Dettes actives de la communauté, 2410.

Liquidation de la succession
1830 (23.3.), M° Ritleng
Liquidation et partage de la succession de Jean Obrecht, vivant fariner à Strasbourg où il est décédé le 14 décembre 1829 et de la société qui avait existé entre lui et feu Anne Schuler fille majeure demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de société reçu par M° Lex notaire à Strasbourg – faite entre ses trois enfants nommés Jean Jacques Obrecht, marchand épicier en qualité d’unique héritier dudit Jean Obrecht son père, Georges Obrecht, serrurier et Salomé Obrecht femme de Charles Frédéric Ernst, baquetier demeurant en cette ville, lesdits Georges et Salomé Obrecht en qualité de seuls représentants de ladite Anne Schuler leur mère et comme ayant droit en leur qualité d’enfants naturels de cette derière à la moitié de sa succession et comme étant au lieu et place de ses héritiers suivant acte notarié
acp 198 (3 Q 29 913) f° 181-v du 29.3. – La masse active est de 19.834, la masse passive de 14.069, reste 5764 francs
La Dame Ernst reçoit dans son lot une maison n° 66 à Barr

Héritier de son père, Jean Jacques Obrecht ratifie la vente que son père a passée au profit de Charles Frédéric Ernst auquel il cède sa part.

1830 (23.3.), Strasbourg 14 (88), Me Ritleng n° 1186
1. Jean Jacques Obrecht, marchand épicier & farinier, 2. Charles Frédéric Ernst, baquetier, lesquels ont exposé que par contrat reçu Grimmer notaire à Strasbourg le 10 octobre 1829 le sieur Ernst a acquis de feu Jean Obrecht, farinier, sept 8° indivis d’une maison, cour, écurie, bâtiment en déendant appartenances & dépendances le tout situé à Strasbourg rue du Maroquin n° 4, mais le Sr Obrecht étant décédé depuis son fils Jean Jacques Obrecht seul et unique héritier, qualité constatée par l’inventaire dressé le 7 janvier dernier, déclare se réserver tous ses droits pour attaquer la vente des sept 8° de maison et ratifier le contenu de la vente, en outre abandonne à titre de licitation
à Charles Frédéric Ernst baquetier
le 8° indivis d’une maison rue du Maroquin n° 4, d’un côté Michel Gradt boulanger, d’autre les veuve et héritiers Krentzberger, devant la rue, derrière le Sr Borst potier d’étain – moyennant 860 fr
acp 198 (3 Q 29 913) f° 181-v du 29.3.

Charles Frédéric Ernst loue une partie de la maison au vendeur ci-dessus le farinier Jean Jacques Obrecht et à sa femme Marie Anne Leser

1830 (11.5.), Strasbourg 14 (88), Me Ritleng n° 1264
Bail – Charles Frédéric Ernst, bacquetier – bail de 25 années à commencer le jour du décès de Marie Anne Schmitt fille majeure demeurant présentement dans la maison de M Ernst & occupe le logement au premier étage ci dessus désigné
à Jean Jacques Obrecht, farinier, et Marie Anne Leser
dans la maison appartenant à M. Ernst située à Strasbourg rue du Maroquin n° 4 au rez de chaussée 1. la boutique de farinier se trouvant à gauche en entrant dans la maison & la chambre derrière cette boutique
2. une grande pièce au fond de la maison, l’écurie à gauche de ladite pièce & une étable à porcs à droite de la même pièce donnant sur la cour
3. le droit dans la cour & au puits en commun avec le propriétaire ou les autres locataires
4. la cave du milieu fermée par des lattes, Au premier étage le poele, la chambre à côté du poele ayant vue sur la rue du Maroquin, une petite chambre derrière la précédente et la cuisine, au troisième étage la chambre des soldats plus deux chambres au cinquième étage – moyennant un loyer annuel de 200 francs
acp 199 (3 Q 29 914) f° 124 du 21.5.

Marguerite Salomé Obrecht meurt en 1836 en délaissant une fille

1836 (3.2.), Strasbourg 8 (64), Me G. Grimmer n° 5521
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Obrecht, épouse de Charles Frédéric Ernst, baquetier, décédée le 25 août 1835 – à la requête du veuf, commun en biens &sui contrat de mariage reçu Grimmer notaire soussigné le 27 février 1829, agissant comme père et tuteur naturel de Marie Caroline Salomé âgée de 2 ans 11 mois – en présence de Jacques Obrecht, farinier subrogé tuteur

dans une maison rue des Dentelles n° 19
Titres et papiers, 4. Me Grimmer 10 octobre 1829, Jean Obrecht, farinier, vend sept 8° dans une maison & dépendances sise à Strasbourg rue du Maroquin n° 4
joint Contrat reçu Ritleng, par lequel Jean Jacques Obrecht, marchand épicier & farinier à Strasbourg, cède un 8° indivis de la maison susdite
5. expédition de l’adjudication définitive reçue Me Stoeber le 19 janvier 1833 de la propriété d’une maison & dépendances rue des Dentelles n° 23, d’un côté le Sr Ott,, d’autre le Sr Albrecht, devant la rue, derrière M. Ernst – de la succession de de Madeleine Dorothée Harr femme de Jean Frédéric Roegner, ancien boulanger
propre de la défunte, une maison à Barr Windengass n° 66
masse de la communauté, 1. une maison & dépendances situés à Strasbourg rue du Maroquin n° 4, d’un côté Michel Grad boulanger, d’autre la veuve et héritiers Krentzberger, devant la rue, derrière le Sr Borst potier d’étain, estimée à un revenu de 250 fr, en capital 5000 fr
2. une maison & dépendances située à Strasbourg rue des Dentelles n° 23 désignée pièce cote E, estimée à 5000 fr
Enregistrement, acp 238 F° 24-v du 11.2.

Charles Frédéric Ernst se remarie avec Joséphine Klein, native de Barr
1836 (25.3.), Strasbourg 8 (64), Me G. Grimmer n° 5574
Contrat de mariage – Charles Frédéric Ernst, bacquetier, veuf avec un enfant de Marguerite Obrecht
Joséphine Klein, majeure en cette ville, fille de David Klein, boucher, et de Marie Madeleine Schmitt à Barr
régime de la communauté réduite aux acquets
art. 4, le futur époux déclare que ses apports consistent en (…) 3. une maison & dépendances à Strasbourg rue du Maroquin n° 4
4. une maison & dépendances sise cette ville rue des Dentelles n° 3
Enregistrement, acp 239 F° 47 du 25.3.

Charles Frédéric Ernst et Sophie Klein hypothèquent la maison rue du Maroquin, une maison rue des Dentelles et une autre au Finckwiller au profit du négociant Charles Friedel

1841 (25.5.), Strasbourg 12 (154), Me Noetinger n° 13.248
Ouverture de crédit du 25 Mai 1841 – furent presens le sieur Charles Frédéric Ernst baquetier et sous son autorisation et assistance Dame Sophie Klein son épouse demeurans ensemble à Strasbourg d’une part
Et M Charles Friedel, négociant demeurant à Strasbourg d’autre part (…) M. Fridel ouvre par les présentes en faveur des conjoints Ernst un crédit jusqu’à concurrence de la somme de 10.000 francs
hypothèquent 1. La moitié par indivis d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du maroquin N° 4 d’un côté Michel Grad boulanger de l’autre les veuve et héritiers Krentzberger, pardevant la rue par derrière le Sr Borst potier d’étain
2. La moitié par invivis d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Dentelles N° 23 d’un côté le Sr Ott de l’autre le Sr Albrecht par devant la rue par derrière M Ernst
3. et de la totalité d’une maison consistant en deux corps de logis cour puits, écurie, jardins appartenances et dépendances sise à Strasbourg quartier Finckwiller N° 22 d’un côté les Sr Laurent Schwing et Gints de l’autre le sieur Roser aboutissant par derrière sue MM Ott et Schmiyer.
Les époux Ernst déclarent que les deux premières maisons dépendent de la communauté de biens qui a existé entre M Ernst et dame Marguerite Salomé Obrecht sa première femme et par suite du décès de celle-ci la moitié est échue à M Ernst et l’autre moitié à Caroline Salomé Ernst sa fille mineure issue du premier lit. Il est néanmoins expressément convenu entre les parties que si par suite d’une licitation ou d’un partage entre M Ernst et sa dite fille du premier lit, mondit S Ernst devenait propriétaire de la totalité des dites deux maisonsou de l’une d’elles, ces maisons ou l’une ou l’autre seraient aussi par cela même hypothéquées en totallité au profit de M. Fridel (…)
La maison au quartier Finckwiller a été acquise (…)

Charles Frédéric Ernst meurt en septembre 1849 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants issus de la veuve. Parmi les titres figure la quittance de la rente foncière accordée le 21 août 1840 par madame Rinck de Baldenstein née de Reinach

1849 (24. 7.br), Strasbourg 10 (114), Not. Zimmer n° 8028
Inventaire de la succession de feu M. Charles Frédéric Ernst, en son vivant marchand de bois, demeurant à Strasbourg où il est décédé le 15 septembre 1849 & de la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Sophie Klein sa veuve survivante
L’an 1849 le lundi 24 septembre à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Sophie Klein demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve en secondes noces de M. Charles Frédéric Ernst, en son vivant marchand de bois, demeurant en cette ville agissant en qualité de commune en biens avec le défunt son mari en vertu de leur contrat de mariage dont elle va représenter la grosse après la levée des scellés dont il va être parlé, 2) à cause des reprises en deniers qu’elle peut avoir à exercer sur la communauté de biens qui a existé entre entre elle et son mari pour biens propre aliénés ou dévalués pendant le mariage, 3) à cause des avantages matrimoniaux qui peuvent résulter à son profit dudit contrat de mariagen 4) comme mère et tutrice légale de a) Sophie Ernst née le 30 avril 1838 et b) Victor Ernst né le 15 mars 1842, les deux mineurs demeurant et domiciliés avec elle issus du mariage de la requérante avec le défunt sieur Ernst sus nommé
2° Monsieur Charles Frédéric Schneegans, professeur domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur datif de Salomé Caroline Ernst, mineure sans état née le 16 février 1833 du mariage en premières noces de feu le sieur Ernst avec feue Dame Marguerite Salomé Obrecht
En présence de 1° Mr Edouard Schneegans, confiseur, demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité du subrogé tuteur des mineurs Sophie Ernst et Victor Ernst enfants du second lit du défunt (…) 2° M. Jacques Obrecht, farinier, demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur de la mineure Salomé Caroline Ernst

(vacation du 9 mars) Contrat de mariage reçu par M° Guillaume Grimmer notaire à Strasbourg le 25 mars 1836
Immeubles. Il dépend de la communauté de biens présentement inventoriée 1° Une maison au quartier Finckwiller n° 22 (…)
2° Une maison à rez de chaussée et sept étages rue des Dentelles N° 13 (…)
3° Une maison, petite cour, petite boucherie, et autres appartenances et dépendances le tout situé à Barr rue dite Dunckelgass N° 60 (…)
4° Un jardin de la contenance de 28 ares 55 centiares situé hors la porte d’Austerlitz de la Ville de Strasbourg banlieue de cette ville canton dit Grosschurmfeld (…)
5° Environ 8 ares 25 centiares de vignes situés au ban de Barr (…)
(vacation du 11 mars)
Il dépend de la première communauté de biens
1° Une maison sise à Strasbourg rue des dentelles n° 23 (…)
2° Une maison sise à Strasbourg rue du maroquin n° 4 tenant d’un côté à la propriété de M. Willm boulanger de l’autre celle de M. Resch par devant la rue par derrière l’Œuvre Notre Dame, acquise par le défunt du sieur Jean Obrecht, farinier, et Jean Jacques Obrecht, épicier et farinier, les deux demeurant à Strasbourg suivant 1° contrat reçu par M° Guillaume Grimmer le 10 octobre 1829 et 2° contrat contenant ratification reçu par M° Ritleng le 23 mars 1830. (…) A l’appui de la propriété dudit immeuble ont été trouvés les titres suivants qui ont été paraphés sous la cote O savoir 1) une expédition de chacun des contrats susdits, 2) une quittance dressée le 21 août 1840 par M Schauffler huissier à Strasbourg comme mandataire de Madame Rinck de Baldenstein née de Reinach pour prix de rachat d’une rente foncière qui grevait ledit immeuble en faveur de cette Dame, 3) la grosse d’un jugement d’adjudication rendu à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 24 germinal an XI ratifié le 20 floréal an XI, 3) la grosse d’un transport reçu par M° Zimmer (…)
acp 387 (3 Q 30 102) f° 58 Burtz subst. Zimmer (succession déclarée le 15 mars 1850). Objets dépendant de la première communauté, estimée 60, objets provenant de la première communauté 35, objets propres du défunt 158, garde robe 276
objets de la 2° communauté, meubles marchandises et autres 20.560, un fourneau dans une maison à Barr 5, des tonneaux dans une cave à Gertwiller 150
acp 390 (3 Q 30 105) f° 56-v – Description du contrat de mariage
Il dépend de la communauté 1) meubles et provisions de bois 16.498, 2) extances 5124
Immeubles (supra), passif de la communauté 101.047. Reprises de la veuve 1500
Valeurs dépendant de la première communauté 2406, valeurs de la masse propre de la première femme 996, valeur acquises par le défunt pendant le veuvage 14.238, dettes payées pour la première communauté 15.570, dettes grevant la masse propre à la première femme 156, dettes propres au défunt contractées pendant le veuvage 7342
Récapitulation des valeurs actives et du passif de la communauté, actif 47.932, passif 102.547, actif immobilier susdésigné
Droits du défunt de la première communauté, valeurs existantes 35, valeurs liquides 9890
Actif immobilier 1) maison rue des Dentelles N° 23 (supra), valeurs liquides 5187, valeurs existants 11.060, passif de la masse propre 7647, masse propre de la mineure 10.060, Il est dû au Sr Ernst par la 2° communauté 3883
Passif indivis entre la mineure et le Sr Ernst 4000
Masse propre du Sr Ernst, actif mobilier 4550, passif 37.678
Masse propre à la veuve 1500, passif 27.657

Liquidation correspondante
1853 (2.9.), Strasbourg 10 (125), Not. Zimmer n° 10.209
Liquidation et partage de la succession de Charles Frédéric Ernst, marchand de bois, et de la communauté de biens avec Marguerite Salomé Obrecht sa première femme et Sophie Klein sa deuxième femme
L’an 1853 le vendredi 2 septembre à neuf heures du matin, ont comparu 1 M. Charles Frédéric Schneegans, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, agissant en qualité de tuteur datif de dame Salomé Caroline Ernst, épouse actuelle de Mr Charles Bijon ci après nommé demeurant ensemble et domiciliés à Mülhouse (…) 2° dame Sophie Klein demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Charles Frédéric Ernst, en son vivant marchand de bois en cette ville agissant 1) en son nom personnel, 2) en qualité de mère et tutrice légale de Sophie Ernst née le 30 avril 1838 et Victor Ernst né le 15 mars 1842, les deux mineurs demeurant et domiciliés avec elle issus du mariage de la requérante avec le défunt sieur Ernst susnommé, lesdits mineurs et la dame Bijon habiles à se dire et porter seuls et uniques héritier du dit M Ernst chacun de pour un tiers, la dame Bijon comme enfant issue du premier mariage du défunt avec feue dame Marguerite Salomé Obrecht, 3° Mr Edouard Schneegans, confiseur, demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité du subrogé tuteur des mineurs Sophie Ernst et Victor Ernst (…) 4° dame Salomé Caroline Ernst épouse encore mineure mais émancipée par le mariage de Mr Charles Bijon, machiniste (du chemin de fer de Strasbourg à Bâle) demeurant tous deux et domiciliés à Mülhouse (…)

Observations préliminaires. Mariage en premières noces de M. Ernst. Contrat de mariage. Feu M Ernst et dame Marguerite Salomé Obrecht son épouse en premières noces ont réglé les conventions civiles de leur mariage par acte âssé devant M° Louis Léopold Grimmer alors notaire à Strasbourg le 27 février 1829 (…)
Décès de la femme en premières noces Marguerite Salomé Obrecht, Tutelle légale de Mr Ernst. Usufruit. La dame Ernst née Obrecht est décédée à Strasbourg le 25 avril 1835 (…)
Inventaire et liquidation
Mariage en secondes noces de M. Ernst, Contrat de mariage, devant ledit M° Grimmer le 25 mars 1836
Décès e M. Ernst. Nomination de M. Schneegans comme tuteur de l’enfant du premier lit. Compte de tutelle. Inventaire
Observations relatives à la vente du mobilier
Gestion de Madame Ernst. Indivision de la masse
Vente du jardin dépendant de la seconde communauté. Emploi des rentrées
Maintien de l’indivision
Mariage de Madame Bijon, Contrat de mariage
acp 422 (3 Q 30 137) f° 65 du 8.9. – Chapitre 1° Liquidation de la première communauté servant de compte de tutelle à Mme Bijon par la succession de son père tuteur légal. Actif maison 9928, passif 20.817. Excédent de passif 10.892, doit moitié à chaque enfant de M Ernst de la première femme 5446. On a compris dans l’actif des objets de ménage provenant des présents de noces faits par les père et mère évalués à 57 francs
Masse propre de feue D° Ernst née Obrecht 5247, passif 7707, excédent de passif 2458 francs. Mais il y a à l’actif une créance d’une valeur de 11.000 francs
Résumé. Il revient à la succession de M Ernst 1)la somme de 84, 2° par Mr Bijon 7915, 3) et la moitié indivise avec cette dernière de la maison rue du Maroquin N° 4 et de la pièce de pré ban de Strasbourg et de la maison rue des Dentelles N° 20
Ladite succession est débitrice de la moitié de la somme de 4000 francs due à M Goetz, 2000. Il résulte d’un autre côté que M Bijon est propriétaire 1) d’un capital de 11.000 francs dû par les conjoints Dietz de Barr, 3) et de l’autre moitié des immeubles et qu’elle doit à la succession de son père pour reliquat de compte 7915 et à M Goetz l’autre moitié du capital 2000
Chapitre 2. Etablissement des reprises des époux Ernst-Klein et à la 2° communauté 1)) reprises en deniers de la veuve 1500, 2) reprises en nature, garde robe sans désignation, 3) reprises en deniers dues à la succession Ernst 17.640, 4) reprises en nature de la succession 634, 5) récompenses dues à la 2° communauté par le Sr Ernst 23.712
Chapitre 3, Liquidation de la 2° communauté et de la masse propre du Sr Ernst
1° Communauté, masse active 119.498, masse passive 112.273, reliquat actif 7224 dont la moitié à la veuve et moitié à la succession Ernst 3612
On porte au n° 161 de l’actif un jardin avec maison et dépendances hors la porte d’Austerlitz qui a été vendu par acte reçu Zimmer le 6 mai 1852 moyennant 7130 francs
2° Compte des revenus des immeubles de la première communauté courus et réalisés depuis le décès de M Ernst, recette 7212, dépense 1624, reliquat actif de 5588 dont moitié à Mde Bijon moitié à la succession Ernst
3° Masse propre au Sr Ernst, actif 36.472, passif 228.576, reliquat actif 7896 (…)&
Chapitre 4. Recettes et dépenses diverses à émarger dans le compte personnel des parties – Chapitre 5, Preuve de l’emploi de l’argent comptant, recettes 99.138, dépense 99.138
Chapitre 6, Etablissement des droits des parties dans les valeurs liquides
Etat des biens meubles, créances, immeubles et dettes existants encore en nature
acp 422 (3 Q 30 137) f° 92-v du 19.9. – Liquidation supplémentaire, 13 septembre
§ 1. première communauté Ernst-Obrecht, actif 1487, passif 225, reste 860
§ 2 Communauté Ernst-Klein, actif 1993 passif des revenus 922, reste 1064
Valeurs actives de la 2° communauté 815, passif 6071, excédent de passif 5256
§ 3 Masse propre du S Ernst, revenus de la 1° communauté 430, revenus de la 2° communauté 532 (…) masse passive 1007
Droits des parties

Caroline Salomé Ernst femme du machiniste Charles Bijon demeurant à Mulhouse, hypothèque sa part dans les immeubles au profit de sa belle-mère Sophie Klein

1854 (13.3.), Strasbourg 10 (126), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.484
Affectation hypothécaire – Caroline Salomé Ernst épouse dûment assistée et autorisée de son mari ci présent M. Charles Bijon machiniste demeurant tous deux et domiciliés à Mulhouse, laquelle dame comparante a exposé qu’aux termes de deux actes de Liquidation et partage dressés par M° Zimmer notaire soussigné les 2 et 16 septembre 1853 elle doit
1° à Mme Sophie Klein demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Charles Frédéric Ernst en son vivant marchand de bois en constructeur de bateaux. a) la somme de 800 francs (…) b) la somme de 8332 francs
et 2°) à Mlle Sophie Ernst et à M Victor Ernst les deux mineurs, 150 francs
hypothèque. 1) une maison sise à Strasbourg, rue des dentelles n° 23 composée de bâtiment de devant, de milieu et de derrière, cour, pompe, cave voûtée, aisances, et dépendances, le tout tenant d’un côté au propriétés de M.M. Ott et Rasp, de l’autre à celle de M. Aronshon, docteur en médecine, par derrière à la maison de Mmle veuve Ernst née Vogler
2) une maison sise à Strasbourg, rue du maroquin n° 4, tenant d’un côté à la propriété de M. Willm, boulanger, de l’autre à celle de M. Resch par derrière à l’Œuvre Notre Dame.
3) environ quatre ares de prés situés au ban de Strasbourg au canton dit Schachenfeld (…)
4) une maison au quartier Finckwiller N° 22 (…)
5) une maison rue des Dentelles N° 13 (…)
6) une maison à Barr rue dite Klein Duckelgass oi petite rue de la brune n° 60 (…)
les immeubles susdésignés appartiennent à Mme Bijon par indivis avec Mme veuve Ernst et avec les mineurs Ernst susnommés ses frères et sœurs consanguins savoir ceux décrits sous les numéros 1, 2 et 3 qui dépendaient de la communauté de biens qui a exsité entre feu M Ernst et dame Marguerite Salomé Obrecht sa femme en premières noces, pour deux tiers ou 4/6 et ceux décrits sous les numéros 4, 5, 6 et 7 qui dépendaient de la communauté de biens qui a existé entre feu M Ernst et dame Sophie Klein sa femme en secondes noces, pour un sixième ainsi que le tout résulte des dits seux actes de liquidation et de partage auxquels au surplus, les parties se réfèrent pour un établissement de propriété plus détaillé

Fils du garde forestier Claude Bijon, le machiniste au chemin de fer Charles Bijon épouse en 1842 Caroline Muff
Mariage, Strasbourg (n° 480) Du 19° jour du mois d’octobre 1842. Acte de mariage de Charles Bijon, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 décembre 1814 à Geudertheim (Bas Rhin) domicilié à la Robertsau Mairie de Strasbourg, Serrurier, fils de Claude Bijon, ancien garde forestier et de Eve Schaeck conjoints domiciliés à la Robertsau, ci présents et consentants et de Caroline Muff, Majeurs d’ans, née en légitime mariage le 26 septembre 1820 en cette Mairie, domiciliée en cette Mairie, fille de Jean Daniel Muff, Jardinier, et d’Anne Marie Wahl conjoints domiciliés à la Robertsau ci présents et consentants (signé) Charles Bijon, Caroline Muff (i 41)

Il se remarie en 1852 avec Caroline Salomé Ernst
1852 (3.8.), Strasbourg 10 (122), Not. Zimmer n° 9636
Contrat de mariage – Ont comparu 1. Monsieur Charles Bijon, machiniste au chemin de fer demeurant et domicilié à Strasbourg veuf sans enfant de Dme Caroline Muff, né à Geudertheim (Bas Rhin) le 17 décembre 1814 du légitime mariage de Mr Claude Bijon, vivant garde forestier et de D° Eve Schaeck sa veuve survivante demeurant à la Robertsau, futur époux d’une part
2° Mademoiselle Caroline Salomé Ernst, mineure sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg née en ladite ville le 11 février 1833 du légitime mariage de feu M. Charles Frédéric Ernst, marchand de bois et de feu D° Marguerite Salomé Obrecht vivant conjoints à Strasbourg future épouse d’autre part
3° Mad. Elisabeth Vogler demeurant et domicilié à Strasbourg veuve de Mr Jean Ernst vivant baquetier en ladite ville, ayeule paternelle de la Dlle future agissant aux présentes pour autoriser cette dernière encore mineure

acp 412 (3 Q 30 127) f° 17-v du 4.8. – Stipulation de la communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages, le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié des biens de la communauté.
Les apprts du futur consistent en une valeur de 6524 francs, ceux de la future épouse sont décrits 1) en un inventaire reçu Grimmer Nre le 3 février 1836, 2° en un inventaire reçu Burtz subst. Zimmer Nre le 24 septembre 1849.
Il a été convenu qu’à l’égard de l’indivision des biens meubles et immeubles dépendant de la communauté qui a existé entre le Sr Ernst et Sophie Klein son épouse en 2° noces de ne pouvoir procéder audit partage avant cinq mois, ce qui est rempli par la V° Ernst tant en son nom qu’en celui de ses enfants mineurs.
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant du futur mariage.

Les héritiers vendent la maison par licitation à l’Œuvre Notre Dame, autorisée par délibération de la commission municipale en date du 13 novembre 1854 et par arrêté du préfet en date du 14 avril

1855, M° Zeyssolff (minutes en déficit)
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 610 (2266) n° 23
Pardevant M° Louis Charles Zeyssolff ont comparu D° Caroline Salomé Ernst épouse de Mr Charles Bijon, machiniste qui à ce présent l’autorise, domiciliés et demeurant à Weyersheim, Dame Sophie Klein, veuve du sieur Charles François Ernst, vivant baquetier et marchand de bois à Strasbourg agissant tant en son propre nom qu’en qualité de tutrice légale de Sophie et Victor Ernst ses deux enfants mineurs nés de son mariage avec le défunt son époux, Mr Edouard Schneegans, confiseur demeurant à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur desdits mineurs, lesquems ont déposé à M° Zeyssolff Notaire le cahier des charges clauses et conditions de la vente par licitation d’une maison sise en cette ville rue du Maroquin N° 4 appartenant par indivis (aux requérants)
Cahier des charges clauses et conditions de la vente par licitation d’une maison ci après désignée, dressé par M° Louis Charles Zeyssolff, notaire à Strasbourg, à ce commis par jugement du tribunal civil de première instance séant en cette ville le 30 août 1855.

Désignation de l’immeuble à vendre. Une Maison d’habitation, composée de bâtiments de devant et de derrière, cour, tous droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Maroquin N° 4, d’un côté Mr Michel Grad, boulanger, de l’autre la veuve et les héritiers Krentzberger par devant la rue par derrière les héritiers Borst.
Titres de propriété. Mr Jean Obrecht s’était rendu adjudicataire de cette maison durant la communauté de biens partageable de trois aux deux tiers qui avait existé entre lui et D° Marie Salomé Schuler son épouse, des héritiers du sieur Jean Frédéric Hofsuess vivant culotier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par Mr Remond, juge de paix du troisième arrondissement de cette ville, à ce commis le 5 floréal an onze et déclaration de command du lendemain, enregistré et homologué par le tribunal civil séant en cette ville le 20 floréal de la même année. Après le décès de la D° Obrecht, sa part audit immeuble égale à in tiers fut recueillie par ses deux enfant nés de son mariage avec ledit son époux savoir 1° Mr Jean Jacques Obrecht garçon farinier pour 4/24, 2° Mr Jean Obrecht, garçon tourneur pour autant 4/24, ensemble 8/24 ou un tiers. Mais ce dernier étant décédé sans postérité sa succession fut recueillie par son père le sieur Jean Obrecht pour un quart ou 1/24 et par son frère germain Jean Jacques Obrecht pour les trois quarts restants ou 3/24, ensemble 4/24. Le Sieur Obrecht père était par conséquent propriétaire audit immeuble des deux tiers, soit 16/24 de son chef comme participant pour autant à ladite communauté, de un 24° comme en ayant hérité de son fils Jean Obrecht, et de 4/24 pour avoir acquis de son fils Jean Jacques Obrecht sa part de l’héritage maternel dudit immeuble suivant acte reçu par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 31 mai 1827 portant quittance du prix, ensemble 21/24. Mr Obrecht a cédé ses parts au Sieur Charles Frédéric Ernst baquetier demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Guillaume Grimmer, notaire en cette ville le 10 octobre 1829 pour le prix de 6000 francs en déduction duquel (…). Et par acte reçu par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 23 mars 1830 le sieur Jean Jacques Obrecht fils agissant en qualité de seul et unique héritier de son père, qualité qui est constatée par l’inventaire de sa succession dressé par ledit notaire le 7 janvier 1830, d’une part Et mondit sieur Ernst d’autre part, ont exposé que les 3000 francs dont le sieur Obrecht père avait donné quittance à Mr Ernst par le contrat de vente reçu par M° Grimmer susdit le 10 octobre 1829 resteront déposés entre les mains de Mr Ernst et qu’ils font partie de la succession du défunt sieur Obrecht, laquelme a été liquidée par acte reçu par ledit notaire Ritleng ledit jour 23 mars 1830, en conséquence Mr Obrecht ratifie la vente reçue par M° Grimmer, qu’il allait attaquer et par le même acte vendit à M Ernst le huitième soit 3/24 indivis de ladite maison qui lui appartenait du chef de son père défunt Jean Obrecht pour le prix de 860 francs quittancés au contrat.
Cet immeuble avait été grevé d’une rente foncière au profit de la famille de Landsperg-Reinach, laquelel fut éteinte par Mr Ernst le 20 août 1840.
L’acquisition faite par Mr Ernst a eu lieu pendant la communauté de biens qui avait existé entre lui et D° Marguerite Salomé Obrecht, son épouse en premières noces, avec laquelle il procréa une enfant nommée D° Caroline Salomé Ernst épouse de Mr Charles Bijon machiniste demeurant à Weyersheim, laquelle recueillit dans la succession de sa mère défunte la moitié de ladite maison, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé par M° Guillaume Grimmer ancien notaire à Strasbourg le 3 février 1836 enregistré. Mr Ernst convola en secondes noces avec dame Sophie Klein, leur conventions anténuptiales furent réglées par acte reçu par M° Guillaume Grimmer susdit le 25 mars 1836 lequel assure à la veuve survivante l’usufruit à vie de la portion disponible des biens que son époux délaissera à son décès, sur laquelle seront à imputer les 2400 francs dont Mr Ernst a fait donation à son épouse si elle lui survit. Au décès de Mr Ernst sa succession fut inventoriée par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 15 septembre 1849 enregistrée. Cet acte constate qu’il délaissa pour seuls héritiers des trois enfants 1° D° Caroline Salomé Ernst épouse Bijon sus nommée née de son premier mariage pour un tiers, 2° Dlle Sophie Ernst pour un tiers, 3° Sieur Victor Ernst pour un tiers, unité 3/3. Ces deux derniers nés du second mariage encore mineurs sont sous la tutelle égale de leur mère madame veuve Ernst et ont pour subrogé tuteur Mr Edouard Schnéegans confiseur à Strasbourg. De ce qui précède, il résulte qu’à la maison à liciter participent Madame Bijon pour 4/6, Sophie Ernst pour 1/6, Victor Ernst pour 1/6, total égal à l’unité. Dans cet état ce choses Madame Bijon assistée de Mr Frédéric Traut avoué à Strasbourg ayant introduit la demande en licitation dudit immeuble contre les mineurs, le tribunal civil séant en cette ville saisi de la cause rendit sous la date du 30 avril dernier le jugement dont le dispositif suit (…) La mise à prix de l’immeuble est fixée judiciairement à 27.500 francs (…) Strasbourg le 25 mai 1855
Lundi 18 juin (…) adjugé moyennant le prix de 28.000 à mondit sieur Traut qui a déclaré avoir enchéri pour l’Œuvre Notre Dame de la Ville de Strasbourg
Copie de la procuration. Nous maire de la Ville de Strasbourg donnons pouvoir et procuration à M° Frédéric Traut, adjoint d’enchérir pour l’Œuvre Notre Dame une maison et dépendances sise à Strasbourg rue du Maroquin numéro 4 jusqu’à concurrence du prix de 28.000 francs, les frais judiciaires et autres frais pour parvenir à la vente ainsi que ceux auxquels elle donne ouverture à la charge de l’Œuvre Notre Dame, laquelle acquisition a été autorisée par délibération de la commission municipale de ladite ville en date du 13 novembre 1854. arrêté de Mr le Préfet du Bas Rhin du 14 avril dernier dont une Copie est demeurée ci jointe et annexée. Strasbourg le 18 juin 1855, signé Coulaux. Enregistré à Strasbourg le 23 juin 1855
acp 440 (3 Q 30 155) f° 56-v du 4.6., Cahier des charges du 25 mai – acp 441 (3 Q 30 156) f° 5-v du 23.6., adjudication du 18 juin

Les matériaux provenant de la démolition sont vendus le 26 septembre 1856.

1856 (26. 7.br), Maire
Procès verbal d’adjudication des matériaux provenant de la démolition des propriétés de l’Œuvre Notre Dame sises rue du Maroquin N° 4, 5, 6, 7 et 8 à divers moyennant 4390 francs, le 26 septembre, approuvé le 1.8.br
acp 453 (3 Q 30 168) f° 89-v du 4. 8.br

L’Œuvre Notre Dame fait construire un nouveau bâtiment et en adjuge les travaux en décembre 1856.

1856 (29. Xbre), Maire
Procès verbal d’adjudication des travaux de construction d’une maison place du Château pour le compte de l’Œuvre Notre Dame
la platrerie à Louis Villa, plâtrier à Strasbourg pour 16.298 francs
la couverture en ardoises à Georges Weyhl, couvreur en ardoises à Strasbourg pour 6476 francs
la ferblanterie à Jean Israel Frick, ferblantier à Strasbourg pour 3477 francs
la serrurerie à Auguste Baumeister serrurier à Strasbourg pour 24.206 francs
la peinture à Dick et Ruthard, peintres à Strasbourg pour 6682 francs
maire, 29. Xbre 1856 approuvé le 9 février
acp 457 (3 Q 30 172) f° 86-v du 24.2.1857
Soumission par laquelle le Sr Blumer, menuisier à Strasbourg, s’engage à exécuter les travaux de menuiserie à la maison sus dite au prix du devis montant à 35.232 francs
maire, 27 janvier 1857 approuvé le 9 février
acp 457 (3 Q 30 172) f° 86-v du 24.2.1857
Soumission par laquelle le Sr Goerner, charpentier à Strasbourg, s’engage à exécuter les travaux de charpente à ladite maison au prix du devis montant à 44.864 francs
maire, 27 janvier 1857 approuvé le 9 février
acp 457 (3 Q 30 172) f° 86-v du 24.2.1857
Soumission par laquelle le Adolphe Weyer, architecte à Strasbourg, s’engage à exécuter les travaux de maçonnerie à ladite maison au prix du devis montant à 142.641 francs
maire, 24 janvier 1857 approuvé le 9 février
acp 457 (3 Q 30 172) f° 86-v du 24.2.1857

Projet de construction et mémoires

1857, Enregistrement de Strasbourg, ssp 124 (3 Q 31 623) f° 61 du 24.2.
Le 15 février – Projet de construction d’une maison à loyer avec façades sur la place du château, de la cathédrale et de la rue du Maroquin de la Ville de Strasbourg, dressé et signé par l’architecte de l’Œuvre Notre Dame de ladite ville et montant à la somme totale de 370.000 francs
ssp. 24 février – Du 5 mars 1855. Mémoire explicatif de la construction ci-dessus désignée, dressé et signé par le même
ssp. 24 février – Du 15 février 1856. Mémoire explicatif supplémentaire de la construction ci-dessus désignée, dressé et signé par le même
ssp. 24 février – Du 5 mai 1855. Onze plans d’ensemble et de détail de la même construction, dressés et signés paar l’architecte de l’Œuvre Notre Dame de la Ville de Strasbourg, datés du même jour, et annexés au procès verbal d’adjudication des dits travaux, enregistré cejourd’hui.

L’Œuvre Notre Dame vend une partie du sol à la Ville pour être réunie à la voie publique

1857 (2. 8.br), Maire
Vente par l’Œuvre Notre Dame de Strasbourg
à la Ville de Strasbourg
de 155 mètres carrés de terrain formant l’emplacement des maisons démolies appartenant à ladite fondation, pour servir au dégagement des abords de la cathédrale et à l’appropriement de la place du château impérial et être ainsi réuni à la voie publique, moyennant 24.575 francs
Décret du 26 mars 1852 appliqué à la Ville de Strasbourg par décret impérial du 22 juin 1854, n° 2506 § 2
acp 463 (3 Q 30 178) f° 69-v du 12. 8.br

L’Œuvre Notre Dame loue le bâtiment à l’Etat

1860 (12.1.), Intendant
Intendant, le 12 janvier – Bail par l’Œuvre Notre Dame de Strasbourg
à l’Etat
d’un grand bâtiment place du Château à Strasbourg pour 20 ans du 1 janvier 1860, Loyer annuel 21.700 francs
acp 484 (3 Q 30 199) f° 83 du 18.1.



16, rue des Tonneliers


Rue des Tonneliers n° 16 – VII 399 (Blondel), O 57 puis section19 parcelle 148 (cadastre)

Reconstruite par Jean Jacques Scær (1770), maître maçon Georges Christophe Freysinger


Le numéro 16 au milieu de l’image (avril 2014) – Etages (octobre 2007), les fenêtres ont les croisillons d’origine
Rez-de-chaussée, boucherie Bœtsch (publiée sur Archi-Wiki)

La maison appartient à la fin du XVI° siècle au marchand Michel Goll qui demande en 1584 l’autorisation d’ouvrir une communication avec une autre qu’il a l’intention d’acheter à l’arrière de la sienne. Les Quinze l’éconduisent malgré l’avis favorable du chef de chantier. Ilm fait tout de même des communications avec la maison arrière que son beau-frère a achetée. Il s’ensuit pendant plusieurs années des dissensions entre Michel Goll et les Quinze.
Le Livre des communaux (1587) y mentionne un encorbellement (16 pieds 3 pouces de long) et un auvent de même longueur. Le propriétaire pose chaque jour des marchandises et des barriques devant sa maison et la voisine au sud dont il est aussi propriétaire. Michel Goll fait faillite en 1595 et meurt peu après. Sa maison revient à ses créanciers de Francfort qui la vendent en 1624 au tonnelier Jean Henri Stürtzel. Elle revient à nouveau aux créanciers de Francfort en 1639. Originaire de Muttersholtz, le revendeur Adam Engel puis sa veuve en sont propriétaires de 1655 à 1699. Les Préposés au bâtiment n’autorisent pas le revendeur Martin Wurtz à ajouter un étage en 1710 quand il demande l’autorisation de réparer son encorbellement (16 pieds ½ de long). Son gendre boucher Jean Jacques Kamm puis le marchand de futaine Auguste Krieg entretiennent la maison, estimée à 900 livres à la mort du premier en 1734 et à 1 100 livres à celle du deuxième en 1743. A la mort de sa veuve, les experts l’évaluent seulement à 600 livres. Le cordonnier Jean Jacques Scær est autorisé en mars 1770 à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations. Il confie les travaux à Georges Christophe Freysinger qui édifie la même année un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages. Un chaînage se trouve de chaque côté de la façade à deux travées. Les étages sont séparés par des cordons. Les fausses clés des linteaux arqués sont moulurées.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 159, rue des Tonneliers (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (l) : rez-de-chaussée à deux ouvertures en arcade, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à étage mansardé et un niveau de lucarnes. L’arrière (cour) donne dans la rue de l’Etal, à gauche de (k). La cour E représente l’arrière de la maison à gauche de (5) et l’édicule (1-2-3) à gauche de la porte (6-1) à l’angle sud-est ; les autres bâtiments font partie des propriétés voisines.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 16.


Rue de l’Etal, cour E


Rue de l’Etal – La cour se trouvait à l’emplacement du bâtiment blanc (avril 2015)

Les héritiers Scær vendent en 1828 la maison à l’épicier Jean Baptiste Romer. Elle appartient ensuite à des bouchers, dont le premier Michel Pierre Anstett acquiert le bâtiment en 1833. Samuel Hirsch fait remplacer en 1890 les arcades par une devanture à volet roulant.
La Ville envisage en 1971 d’acquérir le maison pour empêcher sa démolition. Jean Muller fait transformer la même année quatre logements en y aménageant des salles d’eau et des cabinets. L’architecte des Bâtiments de France s’oppose en 1988 au projet de surélever le bâtiment.


Rez-de-chaussée avant et après sa transformation en 1890 (dossier de la Police du Bâtiment)

octobre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Michel Goll, marchand, et (1576) Marie Fettich – luthériens
1620* adj Jérôme Stahlenburger, prévôt à Francfort
1624 v Jean Henri Stürtzel, tonnelier, et (1612) Barbe Pierre Doll – luthériens
1639 adj Catherine Müller, femme de Thierry Springer, juriste à Francfort
1655 v Adam Engel, revendeur, et (v. 1638) Marie Mey – luthériens
1667 h Jean Frédéric Rinck, tonnelier, et (1667) Marie Mey veuve d’Adam Engel – luthériens
1699 h Martin Wurtz, boucher, et (1692) Catherine Mey – luthériens
1721 h Jean Jacques Kamm, boucher, et (1710) Marie Catherine Wurtz – luthériens
1734 v Jean Daniel Baur, marchand de cuir, et (1707) Marie Félicité Bitsch – luthériens
1736 v Auguste Krieg, marchand de futaine, et (1731) Marie Madeleine Witter d’abord (1726) femme de Jean Giess, marchand de futaine – luthériens
1764 v Jean Jacques Scær, cordonnier, et (1756) Marie Salomé Carl puis (1763) Catherine Barbe Michel – luthériens
(puis indivis avec le suivant et) Chrétien Sommer, cordonnier, et (1808) Marie Dorothée Scær
1818 h Philippe Jacques Scær, commis des Ponts et Chaussées, et (1803) Marie Elisabeth Dartillon puis Kreuter
1828 v Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et (1823) Caroline Metz
1833 v Michel Pierre Anstett, boucher, et (1733) Charlotte Wiedersohn
1866 v Bernard May, boucher, et Thérèse Kammer
1884 Samuel Hirsch, rentier
1906* Charles Erb
1923* v Joseph Aloïse Kugler, maître boucher à Hochfelden, et Amélie Trend*
1938* Joseph Aloïse Kugler

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 525 florins en 1699, 900 florins en 1720 et en 1735, 1 100 florins en 1741, 600 florins en 1763

(1765, Liste Blondel) VII 399, Jean Jacques Scarr
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Scaer, 1 toises, 1 pied et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 57, Anstett, Michel Pierre, boucher rue des Tonneliers 7 – maison, sol – 1,15 are

Locations

1655, Gabriel Voltz, cordonnier
1664, Jean Martin Romer, tailleur, et (1645) Barbe Schmitt
1695, Jacques Lanaux, aubergiste
1711, Jean Georges Flechtner, marchand de futaine
1780, (boutique) Jean Gaspard Werdmüller de Zurich
1862, Bernard May, boucher (ensuite propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 231
Comme sa voisine en aval, la maison appartient à Michel Goll qui en paie 3 livres 6 sols 4 deniers pour un encorbellement (16 pieds 3 pouces de long, saillie de 6 pieds ½), un auvent (même longueur, 4 pieds de saillie), une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de long, saillie de 7 pieds) et un soupirail incliné (2 pieds ½ de long, 21 pieds de saillie). On pose chaque jour des marchandises et des barriques devant ces maisons

Anderseitt Küffergaß vnden Vom Eckh widerumben Hienauff
Verners hatt gedachter Michael Goll an dem Andern hauß nechst Oben an disem ein Vsstoß xvj schu iij Zoll lang, v+ schu herauß, Daruor ein Wettertach In gleicher lenge iiij schu herauß, Item ein ligende Kellerthüer vi+ schu breÿt vij schu herauß, darneben ein ligend Kellerfenster ii+ schu lang, xxj Zoll herauß, hatt sonsten auch vor disen beÿden heüsern den Platz mit allerhandt Wahren Vndt Thonnen täglich vorschlagen, Bessert für das Niessen, iij lb. vj ß iiij d
[in margine :] Soll ihme mitt ernst gepotten, vnd beÿ ernstlicher Straff beuolen werden, mitt seinen Vssazen etwas mehr dann bißhero gespärt worden maß zuhalt.

Préposés au bâtiment (Bauherren), protocoles des Quinze

1584, Protocole des Quinze (2 R 14)
Le marchand Michel Goll expose le 6 juin qu’il entreposait jusqu’à présent ses marchandises chez feu son beau-père Auguste Fettich rue de l’Epine. Il devra les transporter dans sa maison rue des Tonneliers qui est cependant trop petite. Etienne Kaiser est disposé à lui vendre une petite maison à l’arrière de la sienne, dans la rue derrière la Mauresse, ce qui lui permettra d’agrandir sa maison non par luxe mais par nécessité. Les préposés se rendent sur place le 10 juin. Un pignon en pierre sépare la maison de celle de Goll qui mettrait des marchandises au rez-de-chaussée et habiterait à l’étage. La maison Kaiser est large mais peu profonde, le rez-de-chaussée comprend l’entrée, une cage d’escalier, un entrepôt pour les barriques de saindoux, une écurie pour six chevaux, une petite cour, les deux étages ont chacun un poêle et des chambres, dépense, cuisine, dans les combles chambre pour les domestiques, le grenier est aménagé en bûcher. Le chef de chantier Frauler estime qu’il n’y a pas d’inconvénient à accéder à la demande d’ouvrir des communications entre les deux bâtiments. Jacques Kœsser fait remarquer que la maison à vendre se trouve dans une ruelle peu passante et qu’elle a peu de chance d’intéresser un artisan ou un marchand. L’assemblée ne statue pas sur la demande, le quorum n’étant pas atteint. Les Quinze estiment le 13 juin que la maison de Michel Goll est satisfaisante et que celle d’Etienne Kayser est assez grande pour une maison de bourgeois : ils éconduisent Michel Goll.

(f° 47) 6. Junÿ – Michael Goll. Heuser Zusamen prechen
Michel Goll der handelßmann, vbergibt ein Splôn organo Bitterlbronnÿ, Ist verleßen, hat Inn, Es sey meniglich bewußt, d. sein schwehr Augustus Fettich seliger vnd er ein gemein gewerb inn Kieffergaß mitt einander vffgericht haben vihl wahren Inn seines schwehers hauß in dorlißgaß gelegen. d schweh. auch ettlich diener beÿ sich erhalten. Solch hauß werde Itzo seiner schwäger einem Zugetheilt, d. er sich deren nicht mehr werd. gebrauchen Können, So seÿe sein hauß wohnung In Kieffergaß so eng, das er für seine Kinder vnd gesind nicht platz In allein Zur nodturfft haben konne. Da er doch verhoffe noch mehr Kinder Zu bekommen, Sey auch kein gelegenheit, die krancken von den gesunden abzusöndern, Item hab auch Zu holtz Korn vnd andere nodturff nicht platz vnd mueß sich daher feues* besorgen. Nuhr trage sich Itzo ein gelegenheit Zu d. Steffan Kaÿßern, ein Kleine behaußung veyll so vff Ine beÿ d Mörin Zunfftstub stosse, dar Inne bitzher nuhr Stallung gehalten, Veÿll Ist, vnd Kayßer Ime disselbig gonnen wolte, wo es bey mein H außpring. möchte, dieselb. Zu einem hauß Zuprechen. Begers Zu keinem pracht od wollust, sonder Zur hochsten nodtrufft, Bitt den augenschein In seiner vnd derselben behaußung durch verordnete einnemmen Zu laßen vnd Ime darauff nach befundener warheit Zugestatt. d. er solch hauß kauffen vnd Zu seinem hauß prechen vnd gebrauchen möge.
Erkant, Ime anzeigen, Mein herren wieder Zu Irer gelegenheit den augenschein einnemen. Den mag der xv meister fürnemmen wann er gelegenheitt hatt, Würdt sichs befinden, ob Ime Zu willfahren oder nicht. J. Kagen. Bauh.

(f° 51-v) X Junÿ – Michael Goll
Von dannen seind mein Herren ut supra In des vnbewandert doch durgehnd gässlein hinder der Mörin gangen. Steffan Kaysers behausung welche Michel Goll, Zu seiner behaußung Inn Kieffergaß Zu accomodiren vnd Zusammen Zuprech. begert, besichtigt, die Ist von Gollen hauß mit einem steinern gebell durchauff abgesondert, Im selben gebell begert Goll ettlich thüren vnnd liechter durch Zuprechen die heußer Zusammen Zurichten, damitt er vnden möge gewolb Zu den wahren vnd oben Zu seiner haußhaltung mehr platz machen. Sonst Ist Kaysers hauß Zimlichen breÿdt aber nicht tieff, hatt vnden einen eingang Zum schnecken, ein platz dar Inne er Kayßer seine herings schmalttz thonnen gehabt, vnd ein Stall Zu sechs pferden, ein Kleines schmahles höflin Ist Inn die höhe gebawen, hatt Zweÿ mahl stuben und Camern, mit neb. Camern vnd Kuchen Vber einand. oben auff vnd. tach ettlich gemechlin gesind Zuleg. darüber die buen Zum holtz vnd and. so an eine Zug hinauff gezog. würd.
Nach besichtigung dißer hatt Goll mein herrn durch Gorius Morgen des Kuttlers hauß seins nechst nachbarn In die Kieffergaß Inn sein behausung Ins gaden gefüret, weither seind mein herren mitt kommen, dwl. man die weithe des haußes vnden wohl sehen Kan, vnd mein H vor diß auch einmahl dar Inne vffm augenschein geweßen.
Alß mein herren widerumb hinauff Inn Ir stub kommen seind die drey* und Werckmeister herin gelaßen, die Werckmeister erstlich Adolff Stürmers heußer halb gehört, die haltens dafür d. Ime ohn einichen nachteill menigkliche leichtlich Zu willfahren, dwl. es Zusammen vnderscheidne heußer pleyben vnd sein Jetzige wohnung der Inne er gahr wenig platzs hatt Zu besserer seiner gelegenheit Zu Zurichten.
Souihl Michel Gollen belangt (nachdem h Friderich Wolff vnnd Balthasar Stosser außgedrett.) Referiren die werckleutt erstlich Frauwelen dwl. Goll ein grosser handell fürt vnd In seinem hauß (f° 52-v) Inn Kueffergaß lützel platz. So macht Ime sein begren nach Inn den gebell thueren vnd fenster durchzuprechen Zu Zulaßen sein, M. Jacob Kößer sagt, es stand Steffan Keyßers hauß In einem engen gäßlin, da kein durchwandern Ist, alßo d. sich weder handwercks noch handelßleuth fuegklich dazu behelffen, damit dann Goll seinen handell desto besser treyben möge, were er auch der meynung, d. Ime Zuwillfahren Kondte Vbernacht (wi man sagt) widerumb Zweÿ heußer darauß gemacht werden. Etlinger vnd Jörger seind Michel Gollen halben (dwl. seine verwandt noch dauß) gehört, Wolten Im helff. willfahren Inn ansehung er ein groß. handell füre, vnd kein nodtwendigen platz, Zudem obgleich ein handtwercks man Inn Kaÿßers hauß Käme, Inn das enge abweg gelegene gäßlin, So würde Goll dannoch noch mehr vff den Stall geb. dann Jener geben würde. Adolff Stürmern belangend, seind Ettlinger Stößer vnd Jörger (dann die außgedrettene herren wid. herein kommen) gehört vnd haben alle dreÿ Kein bedencken, Ime sein begeren Zu Zulaßen, damitt Ist Inen, vnd den werckhleuth. (so nach angezeigte Irem bedencken außgangen) erlaubt worden. Da haben mein Herren von Adolff Stürmers beger geredt vnnd ettliche herren dafür gehalten, d. er beÿde heuser scheiden, Ime selbs tag vnd lufft verbawen vnd das hinderhauß gahr v.derben werde. Es jst aber Erkandt, d. man Ime willfahren, doch Zuuorderist er Innern soll, man hetts für Rhätlicher d. er dißer baw vnderließe, solte wohl mehr seinen schaden, dann seinen nutz schaffen. Will er (p. 53) dann vff seinem begeren oder fürnemmen beharren so sey willfahrt, B. s.
Mitt Michel Gollen begeren hatt man von weg.der geringen anzahl herren nicht können fürfahren sonder deßhalb müssen einstellen.

(f° 54) Sambstag den XIII. Junÿ – Michael Goll
Waß Michel Goll bey mein herren suppliciren vnd wie mein herren verschinen Mittwoch den augenschein eingenommen Ist hieoben auß dem Protocoll verleßen, vnnd haben die herren so auff dem augenschein geweßen (auch mündlich Referiren wie mans befunden, vnd waß Ir bedencken Nemlich dwl. Goll hieuor die Zweÿ heußer Inn Küeffer gaß dar inn er wohnt so Zweÿ vnd.scheiden abgesondert heüßer geweßen, Zusammen gebroch. dageg. vber noch ein guth hauß hatt, so er Zu seinem handel praucht, vnd Steffan Kayßer hauß für ein Ehrlichen burger weitte genüg. das es wohl sonder Zubewohnen. So solt man Gollen sein begeren abschlagen. Dißer meynung seind die vbrigen herren alle. Also Ist einhellig Erkant, das es Ime abgeschlagen soll werden. J. Kageneck vnd (-)

1585, Protocole des Quinze (2 R 15)
Les Quinze constatent le 29 mai 1585 que Michel Goll a ouvert des communications entre les deux maisons bien que les Quinze et les Vingt-et-Un le lui aient interdit. L’assemblée fixe la visite des lieux au lundi 13 juin. La visite est maintenue bien que la femme de Michel Goll soit sur le point d’accoucher. Les chefs de chantier Jacques Kœsser (charpentiers) et Thiébaut Frauler (maçons) constatent qu’une porte a été ouverte dans la boutique au rez-de-chaussée et une autre dans la cuisine à l’étage. Michel Goll déclare qu’il lui faut des chambres pour ses enfants qui ont pris de l’âge, et qu’il ne va pas mettre à la rue, qu’en outre les ouvertures doivent seulement subsister le temps de son bail. Les Quinze infligent à Michel Goll une amende de cent livres pour avoir contrevenu à la décision des deux assemblées et lui notifient de remettre les lieux dans leur ancien état sous huitaine. Les ouvriers qui ont fait les ouvertures seront condamnés à 5 livres d’amende s’ils sont bourgeois, Michel Goll devra régler 10 livres s’ils ne sont pas bourgeois.
Michel Goll déclare le même jour que son beau-frère a acheté la maison qu’il lui a ensuite louée. Comme le charpentier auquel il s’est adressé a refusé de faire le travail, il a engagé des employés au pont du Corbeau. Il déclare que les cadres des portes sont des remplois. Quand on lui oppose que l’un d’eux est neuf, il déclare qu’un charpentier du nom de Haus le lui a fait. Michel Goll répète que la place lui manque pour les siens et que son intention n’a pas été de défier le Magistrat. Les Quinze maintiennent l’amende.
Michel Goll produit le 19 juin l’acte de vente à son beau-frère. Il n’estime pas avoir contrevenu au règlement puisque les deux bâtiments seront à nouveau séparés à la fin de son bail. Il demande l’autorisation de rester dans la maison jusqu’à ce qu’il ait trouvé à se loger dans une plus grande maison. Pour l’heures sa femme est sur le point d’accoucher, trois de ses enfants ont la rougeole et il doit préparer la prochaine foire. L’assemblée lui donne jusqu’à la Saint-Michel pour remettre la maison dans son ancien état. Elle se tient à l’amende qu’elle lui a infligée en faisant remarquer que Michel Goll trouvait la maison assez grande quand il l’a achetée.
Mandataire de Michel Goll, Pierre Bittelbronn déclare le 19 août que Michel Goll a versé le montant de l’amende. Il réitère son précédent exposé et termine en demandant aux Quinze de prolonger le délai. Le mandataire ajoute que Michel Goll pourrait acheter l’ancienne maison de Matthias Wicker devant la cathédrale. L’assemblée en-deçà du quorum réserve sa décision. Elle décide le 28 août de prolonger le délai d’un an.

(f° 80) Sambstag den XXIX Maÿ – Michael Goll. Heuser Zusammen prechen
Idem [J. Prechter] zeigt an, das Michel Goll seine zwo heußen Inn Kieffergaß vnd hinden der Mörin Zunfft zusammen gebrochen habe, ohnangesehen es Ime sowohl bey Rhat und XXI abgeschlag. sein soll, als es Ime von mein H XV Zuvohr abgeschlag. word.
Erkant, Mein herren XV sollen Zu des H XV gerichts gelegenheit samptlich vff den augenschein gehen.

(f° 84) Mittwoch den IX Junÿ – Michael Goll
Dieweyll es auff d. stett drey schlagen würdt Ist der augenschein Inn Michel Gollen hauß Jetzo eingeholt den werckmeystern wider erlaubt vnd der XV. Mr umbefragt, ob er den herrn bitz Sambstag widerumb soll bey beschicken gebieth. H Treubell entschuldigt sich d. Ime sampstag hie Zusein ohnmüglich aber bitz Montag wolt er wohlerscheinen. J Werner* hatt auch wichtige geschefft Zu Breuschwickershim Zuversehen.
Erkant, bitz Montag bey beschicken gebiethen lassen, od. bitz Sambstag wie es am füglichsten vnd sollen die Junckherrn hiezu teyb* od. sich wider bey mein herren Zur gewohnlicher stund furdern.

(f° 84-v) Montag den XIIII Junÿ – Michel Goll
J Prechter XV Mr Als Jüngst erkandt vff heutt widerumb beÿ beschicken Zugebieth. den augenschein Inn Gollischen hauß einzunemmen, Konne er meine H. nicht verhalten d. Gollen haußfraw groß schwanger vnd gehe nähig vff dem Zihl, hab er nitt erlich herren dauon geredt, Es möhge villeicht die fraw, wann mein H. alßo samptlich Im Hauß Kämen, darab erschrecken, vnd was Ir ettwa vber kurtz od. lang begegnete, mein Herren der vnglimpff mög. Zugemessen werd. darumb sol est zu mein H. ob man den augenschein fürgehn lassen, oder den Werckmeistern vffs ernstlichst, beÿ Ihrem burgereyd, einbinden vnd beuchten wolte, d. sy es allenthalben, ob. vnd vnden besichtighen solten, wie es mitt dem durchprechen geschaffen, vnd mein H widerumb Referiren, wie sys befunden. Dwl. doch mein H hieuor den augenschein eingenommen, habe derwegen ein frag darüber halten wöllen, Nachdem nuhr ein vnderred gehalten, vnd sie herren einander gehört, Ist Inn der and. vmbfrag.
Erkant, d. man den augenschein Jetzo samptlich einnemen, den XV. Knecht (ut virarum eius) hinschicke vnd Ihne Goll avisiren solle, d. mein herren Jetzo Kommen werden.

(f° 85) Eodem die. Michael Goll
Sind meine herren samptlich (ausserhalb Friderich wolffen so verwandtnuß halb sich absentir) Inn Michel Gollen hauß gangen, M Jacob Käßer Zimmermann, vnd Diebolt Fraweler Maurer der Stattwerckleutt mitgenommen vnd befunden, d Goll vnden Im gaden vnd oben auff Inn der Kuchen durchproch. vnd hültzine thürgestell einsetzen lassen, Was die herrn mit ihme od. er mitt den herren geredt, hab Ich alß da nicht so mehr dabeÿ kommen können nicht gehört, Dann d. Goll sich bemühet* mein herren Zu bereden, d. sy den augenschein recht einnemmen vnd besichtig. sollen was er für platz Im gantzen hauß habe,
Erkandt Man soll Zuuorderist die werckleuth hören, Seind herren gelassen vnd Inen p. XV Mr gesetzt sy (f° 85-v) sollen mein herren berichten, wie sy den augenschein befunden. Frawler sagt, sovihl er gesehen, vnd vor dißem auch, als man auff dem augenschein gewesen, befinde er d. die thür hinden Im Gaden wie auch die oben In der Kuchen, nyt* dahin geordnet, sonst habe er kein ander Neuwen durchpruch befunden.
Mr Jacob sagt auch d. nicht diße 2 durchprüch sey. die thürgestell des vnder vnd 3 schuh weith und 6 schuh hoch, das vber nicht uber 2 ½ schuch weith das vnder thürgestell sey alt, das ober New, vnd seÿe der Goll es habs Ime hie Keiner machen wollen hab er frömbde werckleuth gebraucht, Frawler sagt, es hab von Ime verstanden d. sein schwager das hinderhauß Kaufft vnd es Ime ein Jahracht ghelauhen & Seind die mandata d. Anno & 52 vnd 82 von Zusammen prechung der heußer verlesen, Würdt von ettlich herren angezeigt, d. er sich Zimlich Pöhß auffm augenschein erzeigt, vnd anderm gesyg hab, war gelt bedörff der leugt wo es findt alßo hab er mitt dem platz auch gethan. Wo er seine Kinder hin logiren soll, ob er sy soll vff die gaß legen, man soll den augenschein Recht einnemmen, werd man befinden, das von nöthen sey od. nicht. Ist es hab sein schwager Augustus mitt bewilligung H Matthißen von Gotteßheim seines vogts, das hind.hauß Kaufft vnd es Ime gelauhen, so hab es nit alß sein eygen, sond. als entlehner vff ein Jahracht durchproch.
Als nuhn ettlich herrn der meynung geweß, d. man bedencken soll, wie er zu straff. ettlich dafür gehalten, Dwl. mein H. Zu vollkommen anzahl (außehalb [f° 86] H Frid. Wolfen) vnd sobald nicht so starck Zusammen kommen möchten, d. mans Jetzo fürnemmen vnd außmachen solte, Ist
Erkandt Man solls Jetzo außmachen vnd darüber erkennen, Ist alßo vmbgefragt vnd abermahlen der straff halben vngleiche meynungen gefallen, Inn gemein aber haltens mein herren für ein grossen frevell vnd sondern nur* hielten, d. er Goll, vber d. es Ime erstlich von mein herren xv. vnd volgends alß er beÿ Rhät und xxi darumb wid. supplicirt, daselbst auch abgeschlagen, dannoch forthgefahren vnd durchprech. Zudem d. von Ime gesagt worden, d. er vff meiner H. XV damaliger abschlagungs erkandtnuß. Sich* soll haben vernemmen laßen, Die XV seyen nicht allein herren Rhät und XX setzen mehr den XV. Derhalb von Neuwem vmbgefragt, und durchs mehr, da das minder nicht über 3 vngleicher stimmen waß
Erkandt, Man soll Ime des begangenen frevels halben j C lb d Zu straff abnemmen und gebiethen. Inn dreÿ. Tagen vff den Pfenningthurn Zuerlegen. Vnd dabey ferner bey L lb d gebiethen, die durchprüch widerumb Innerhalb Acht tagen Zu Zumauren wie sy zuvohr geweßen. Man sol Ine auch bey seinem burgereÿd hören, was er für werckleuth od. taglöhner darzu gebraucht, die Ime geholf. Seind sy burger, so soll man Inen die straff vermög Mandats (Jedem 5 lb auß Iren eygen secklin) abnemmen. Seind sy nicht burger, So soll er Goll für dieselb. x lb auch abrichten vnd mitt den j C lb In drey. tagen erlegen.

(f° 86-v) Eodem die. Michael Goll
Michel Goll würd herein gelaßen vnnd Ime p. XV. Mr J. Prechter fürgehalten, er wüßt sich Zuerinnern, was er vorgangens Jahrs, beÿ mein herren XV vnd volgends auch beÿ Rhät vnd XXI angesucht, seins hauß halb. da Ime sein begeren auß bewegenden vrsachen an beyden ortten abgeschlagen, Dwl. dann man herr* In erfarung Kommen, d. er Vber desselbig., die [f° 87] heußer zusammen gebrochen, hab man den augenschein wöllen einnemmen, da man befunden, d. er vnßern herrn bescheyd Zuwider auß seinem eygnen willen fürgenommen, welches Ime alß einem burger nicht gebührt, Soll Zuvordrist beÿ seinem burgereÿd anzeig. waß er für werckleutt darzu gebraucht habe.
Goll sagt, d. Ine die nodt getrungen anzusuch. hab alle mittell gesucht, vnd mit Rhat guth freund seinen schwager Augenschein gebetten, der hab das hinderhauß mit bewilligung seines vogts J Matthiß von Gottesheims Kaufft, vnd er Goll es Ime abentlehnet, nicht der meynung sich einich. ungehorsams gegen mein herren Zugebrauchen, sonder dieweyll ers Zum höchsten vonnöth. hab ein Zimmermann alhier angesprochen, der habs nicht thun wöllen, also habe ers durch frembde laß. mach. die er bey seinem Eÿd nit kenne od. nitt nennen anzuzeigen wüße. Gefragt wo er sy besolt, war sy angesproch ? Sagt, sein gesind hab. sy uff der schindpruck und sonst geholt, wo man sy bekommen konnen, Gefragt, wer Ime die thürgestell gemacht. Sagt es seÿen alte thürgestell, Ist Ime gesagt, das aber sey ein New gestell, wirds ein Zimmermann gemacht haben. Sagt es habs einer gemacht heiß Meister Hauß, wüß seinen nammen anderst nicht & Zeigt Ime der XV. Mr weither an, dwl. er nicht hab gehandlet, wie einem burg. gebühre, vnd vber meine herren abschlag mit frevell darwider gethan, So haben mein herren erkandt, d. er für sie werckleuth, so wie er sagt, frömbd sein sollen, Zuuordrist x lb d vnd dann d. er fürsetzliche muthwilliger weÿß wider meine H. XV vnd Rhtat vnd XXI erkandtnuß den vortheil gesucht, j C lb d alles inn dreyen tagen vff dem Pfenningthurn Zu straff erstatten solle, Vnd gebiethen Ime mein H XV. weither bey fünffzig [f° 87-v] pfund pfenningen, d. er die beyden thüren od. durchprüch Inn acht tagen widerumb soll Zumachen laßen allerdings wie es Zuvohr gewesen, Vnnd wo mein herren seiner haußfrawen nicht daran geschondt hetten, werd. sy wohl befragt geweßen ein andere straff gegen Ime fürzunemmen, das hab er Ime auß beuelch meiner herren sollen anzeigen.
Goll, Er wolt mein herrn gern Vnd.thenig gehorsam leysten, bitt aber es wöllens doch mein herren Recht besichtig, können mein herren Ime platz Zeigen da es seine Kinder hin legen Kann, woll ers gern thun. Er hoff aber man werd: Ine nicht laßen seine Kinder vff die gaß legen. Er sey auch ein armer burger, bitt doch man wölls Recht besehen, Mann soll Ime sonst platz geben, er p.testire sich Zum höchst. hat anders nicht thun Können, er mueß Ja platz zu seinen Kindern haben, habs vß Keinen ungehorsam od. trug gethan.
Erkandt, beÿ vorigem bescheyd pleiben laßen vnd Ime dabeÿ anzeigen, d. mein herren ob seiner unbescheidenheit vnd p.testiren ein beschwerd wöllen Inen deßwegen die straff vorbehalt. haben, Vnd mag mans mit der Zeitt ein gedanck sein.

(f° 88) Sambstag den XIX Junÿ – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbr. erscheine meinherren vnd.thg Zuberichten, welchermaßen Er Jüngster erkandtnuß vnthg. pariret, statt vnd vollziehung, vnd daneb.. mein h. vnd XXI Zupitten vnd für zupringen, waß sein hohe nodturfft erfordert, vbergibt derweg. solches In gegenwart d schrifft, mit sampt dem Original Kauffbrieff vber das hinderhauß Bitt gn. an vnd abzuhören.
Die Splôn od. schrifft (ohn ein titul) Ist verleßen, Erholt was er fernd dißer Steffan Kaysers behausung halben, an mein herren gelangt, was für verstehen Ine vnd Kayßer Zu dem brieff vnd verkauff des haußes verursacht, Alß aber die motifen villeicht damalen nicht genugsam fürpracht, vnd er bey m. h. nichts erlangen mög. auch Rhat vnd 21. bey m. h. 15. bedelt haben pleyben lassen, sey er vom Kauff abgestanden. Nachgehends auff Kaysers belang, hab sich sein schwager Augustus Fettich als burg. und Zünfftig mit Ime consensu h Mathis von Gotteßheim seines vogts eingelaß. Ime Kayser das hauß abkauff.v.mög vbergebnen Original Kauffbrieffe, auch das hauß eingenommen vnd bezog. Dwl nuhn er nirgend platz Zu seinen wahr. sein fraw d geburtt nähig, die Kinder Zum theil erwachß. das er sy auß seiner schlaffkammer thun müß. hab er mitt seinem schwager gehandelt Ime das hauß Zuleyh. vnd vff ein Reuerß an Zweÿ ortten durchprech. Zulaß. sich Im wenigst verseh. d. es mein h. entgeg. vnd Zuwider [f° 89] sein solte. Dwl. es nicht wid. mein h. ordnung sond. Zweÿ vnderschiedliche heußer pleyb. vnd and. alhie deßgleichen vnverbotten plieben, Darauß anzunemmen d. sein gemueth nicht geweß. gemeine ordnung, vihl weniger meine h. bevehl vnd dener* zuwider (deren doch seines wüsens keins fürgang.) ettwas hin zu nemmen, vnd er verhoffentlich keins fürsetzlichen vberfahrens vnd veracht könne beschuldigt werden, daß unangesehen, habe er die beschwerlich groß straff erlegt,
Bittet aber dabey mein herren wollen Ime bey seins schwag. gönnung pleyben laß oder wo es meine herren Ir bedencklich, dißelbige doch auff ein geraumpte Zeitt xij od x Jahr lang vmb die gebühr erstreck. damitt er sich Inmittelst vmb ein anders gelegenheit vmb thun, sein handell einziehen, sein außstand Zusammen treyben möge, Alßdann sey ers vrbüttig Inn vorigen stand Zurichten, Sey Ime Jetzo Ime d. eyll nicht möglich, seiner haußfrauwen, Item dreyer an d. Rödte krancker Kinder, vnd vohrsehend. Meß halb: Köne es bey seinem burgereyd behalt d. es für sein wyb kind vnd gsind (so 24 p.son) nicht platz, geschweigen einen freind Zuleg. Im gegenhauß vber sey vnden Ir Conthor, In d. mitte die Zuckerstub, oben auff m dritten gemach bitz vnden das tach draht vnd andere wahren, die nicht ein pletzlin Jemand zu leg., wie der augenschein geb. würde. Gehröse sich auff seinen warhafften bericht, werden mein herren alles vnd dabey erweg. d. er mitt seinem handell gemeiner Statt vnd burgerschafft nicht wenig fürstendig, Auch die Kist Im Kauffhauß Jährlich nicht vmb ein gerings gebeßert, Sein hochste noturfft anseh. vnd [f° 89-v] Ime willferigen bescheid widerfahren lassen, weitleüffigern Innhalts d. vbergeben schrifft vnd sagt Bittelb. weicher, es hat Er Goll meinherren nicht vnderlassen wollen Zuberichten, d. er meiner h. bescheid pariren vnd daneben nochmal vnderthenig. vmb die gönnung Zubittenn.
Erkandt, Dwl. die straff erlegt Ist, vnd er drey Kinder hatt so an der Rodte ligen, die fraw nähig, die Meß auff dem halß, So soll man Ime den termin, die durchprüch widerumb Zu Zumach. vnd Im vorigen stand Zurichten, bitz künfftig Michaelis erstrecken, alßo d. er Ime nochmahl bey den 50 lb d soll gebotten sein* laß. Man werde alßbald nach Michaelis den augenschein wid. einnemmen vnd wo die durchgeng nicht Inn alt. stand gericht weren, Ime die straff nicht fahren laß. daneben soll man Ime sein Splôn ableynen vnd außtrucklich sag. d. er wid. ordnung gehandelt, d. er meiner h. vnd Rhat vnd xxj erkantnuß freuerlich vnd muthwilliger weÿß vberdrett., d. es nicht die meynung wann einer ahn eim ortt etwas Kaufft vnd danach den platz Zu eng befinde, d. er darumb so weitt vmb sich freß. vnd Ime platz genug machen möge. & It. d. der Jüngst Ime gegeben bescheid In vollkommen meiner herren anzahl ergangen, dabey mein h. es Jetzo nochmalen laß. pleyb. allein die erstreckung des termins auß gnad. bewilligt. Vnd d. mein herren beschuldigt, als hett sy nicht berichts genung eingenommen, [f° 90] solten sy mein herren nicht si für einfeltig anseh. d. sy nicht wüßt. was sy für bericht einnemmen, vnd was sy v.mog Irer ordnung sprech. solt.
Solches Ist Inen weittleuffig, durch B. XV. p. me fürgehalten, Sy pitt mein H wöllens nicht alßo v.sehn, sond. Goll gebe Ime selbs die schuld, d. er mein h. nicht genugsam berichtet habe.

(f° 124) Donnerstag den XIX Augusti – Michael Goll
Michel Goll mit beÿstand J. Peter Bittelbrons seines procurators, vbergibt durch denselbigen ein Suplôn die Ist verleßen, Inhaltend, Dwl. mein h. Ine straffbar erkandt, von wegen deß durchprechens ohn erlaubnuß, In seins schwagers hauß, hinden an seinem hauß gelegen, hab er die straff ohn einich widersprechen ghorsamlich erlegt, das Ime aber dabey vfferlegt, bitz Michaelis die durchprüch wider Zu Zumauren bey hoher straff [f° 124-v] darüber setzen, er sein haußfrau vnd Kind. hoch bekümmert, verhoffe doch mein h. als getrewe Vätter vnd liebhaber der burgerschafft werden den vnwillen gegen Ime fallen laß, vnd Ime Inn dem, so ohn Jemands schaden, Ime Zu seiner vnd der seinen ohnvermeydlichen nodturff gegondt werden mag g bedencken,
Erholt darnach die ungelegenheit so er In voriger splôn auch erzelt, wie er drey Kinder so er auß der Cammer mueßen lig., denen er ein pedagogum geordnet vnd hab 2 töchterlin, so er mitt der Zeitt auch auß seiner Cammer werde thun mueß. dazu er Kein platz, vihl weniger d. er etwa ein frembde gast oder Zwen Kondte beherbergen, Item wan sain haußfrau Kindtbetterin od. Jemand Im hauß Kranck wird, Kan er Inen kein abgesondert gemach geb. & Nuhn sey die hinder behaußung, die sein schwag. mitt seines vogts bewilligung kaufft, kein solch hauß daran andern burgern vihl möcht geleg* sein, lig nicht an einer straß, sonder Inn einem unwanderbaren geßlin, seye In vihl Jahren nitt bewohnt, allein Zur Pferdstallung gebraucht, würd noch In vihl Jaren nicht verkaufft sein worden, Könne keinem burger schedlich sein, wan sy Ime noch lenger Zu sein behaußung gegondt würde. Er begere sy nicht beharrlich, sonder nuhr ein Jahr od. Jeh. od. bitz er ein ander gelegenheit bekommen möchte, Bitt derweg. wo mein H. an seiner fürprachten nodturfft Zweivel hab, sy woll. [f° 125] den augenschein darüber einnemen laß. vnd sich sein weyb vnd Kinder allein vmb sovihl g. bedencken, Inen den gebrauch des hindern hauß wie es Jetzund durchgebroch. Allein ein bestimpte Jahracht vergonnen Zu prauchen, Mitt erbeiths Zuverdienen & ferners Inhalts
Ferner Zeigt Bittelb. mündtlich an, d. er Goll durch Ezechiel Spatzinger albereid auch an ander ortt lassen ansuchen, ob er ein gelegne behaußung bekommen möchte, d. er für sich vnd die seinen mehr platz haben vnd seinen handell desto fuegklichs treyben Kondt, Wie Ezechiel (Im fall m. h. daran Zweiuel hetten) dasselb m. h. würde berichten Können, vnd so Ime gelegenheit Zustunde, wolt er ohne das in dißem ortt beharrlich nitt pleyb. dieweyll mans dafür halten will, d. andere burger sich alda beßer Zunehmen. Bitt derowegen wie Inn splôn.
J Prechter bericht, d. er nach herr Matthis Wickers behaußung vorm Münster trachte, wo er dazu käme, Mochten mein herren oder die pflegereyen Ires außstands auff den Wycker desto besser bezalt werden.
Erkant, dwl. ettlich herren abdretten die vberigen Inn geringer anzahl, So soll mans gegen Inen Zu bedacht Zieh. (B.m.) vnd herrn ordnen die es fürderlich bedancken, vnd wider herpringen, darmitt Ime noch vor Franckfurter Meß möge bescheid werden. H Beinheim H Mösinger.

(f° 133-v) Sambstag den XXVIII Augusti – Michael Goll
Michel Gollen schrifftlich vnd Mundlich fürpring. sup. 124. vnd H Beinheims & H Mösingers bedancken Im Bedacht XV. N° 19 fol. 18. v.leß. Steht summarie darauff, d. Ime Gollen die gnad zu bewißen, d. er die beyde durchprüch noch ein Jahr lang möge offen behalten, sonst aber soll es Inn allwegs bey dem geschehenen gebott verpleiben, alßo d. er Michaelis A° 86. Alle durchprüch wider Inn vorigen stand gerichtet vnd vermauren haben solle, beÿ der straff, dabeÿ Ime gebetten &
Erkant, vnd der Herren bedancken durchs mehr geruhen, da das minder fünff vngleichen stimmen wahren.

1586, Protocole des Quinze (2 R 16)
Les Quinze prolongent une nouvelle fois le délai jusqu’à Pâques 1587.

(f° 150) Mittwoch den XVII Augusti – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbron, vbergibt ein fernere underthenige suplôn, So verleßen In deren er alle seine beschwerden, wie In sein behaußung In Kueffergaß Zu eng, vnd Ime das hinderhauß geg. d. Mörin Zunfft so hochnothwendigs, widerholt vnd noch weitleuffiger außfüert, Und bitt auffs vleyßigist Ime Zugestatten, d. er das hinderhauß wie es Zuuohr durchgebrochen allein noch so lang haben vnd geprauchen möge, bitz er ein andere gelegener und geraumbter behaußung zu seinem gewerb vnd handl möge bekommen Deren er bish. vber allen angewandten vleÿß noch keine zutragen* *gen Konden.
Inn der vmbfrag haben vihl herren sich der vorigen handlung erinnert vnd repetirt, warumb er so mitt einer hohen ungewohnlichen straff beladen.
Erkandt Ime den termin Nach vnd Zu dißem Mahl bitz nechst künfftig ostern prorogiren, Inn der Zeitt soll er alle durchprüch wider Zugemaurt vnd in den alten Zustand gerichtet haben, mit d. Commination, wo es nicht beschehen, d. mein herren nicht underlaßen werden gebührende straffe geg. Ime fürzunemmen.

1587, Protocole des Quinze (2 R 17)
Les Quinze autorisent le 20 mai Michel Goll à rouvrir jusqu’à la Saint-Michel les portes qu’il a fait murer à condition que le pétitionnaire ne vienne plus présenter la même supplique à l’avenir. Il présente cependant le 16 décembre une nouvelle demande avec les arguments habituels. Il obtient une nouvelle autorisation jusqu’à la Saint-Jacques.

(f° 77-v) Sambstag den XX May – Michel Goll
Michel Goll p. Emanuelem Golden (filium meum) vbergibt ein Splôn, pitt dießelbig gnedig an vnd an Zuhören, Ist verlesen, Inhalts, d. er vermög meine herren erkandtnuß die thür In sein hinderhauß Jetzverschinen ostern wid. Zu zu mauren laß. Erzelt demnach sein grosse beschwerden vnd ungelegenheiten, wie er so geht engen platz vnd Ime Jetzo richt* wahren kommen, die er wed. verstoß* noch packen kan, So hat er bitzher kein and. gelegener hauß, ohnangesehen er mitt ernst darnach getrachten bekommen können, Dwl. dan den polemg* nicht wenig an vffgang der Commercien geleg. So pitt er Ime die fernere guthtatt Zubeweiß. vnd Ine die thur widerumb durchprechen, vnd das hinderhauß prauchen Zulassen, bitz er ein bequemer behausung zu seinem handell bekommen möge & weittleuffigern außfuerlichern Innhalts, Post lectione sagt Emanuel d. der spl.cant Innhalt Jetzgehörter splôn unterthänig wölle gebetten haben, Ist der ferndig Recess fol. 150. geleßen, vnd Inn de ersten vmbfrag die meynungen vngleich gang. vnd an vffzeichnen auch Zweiuelll fürgefallen derwegen es für ein vnderred gehalten, Weilen vmbgefragt vnd Erkant Man soll Ime vmb sovihl willfahren d. er die thür wider auffprechen, vnd beÿ Michaelis aber nicht lenger offen halten möge, alß dann soll er sie wider Zugemaurt haben, bey meiner h. ernstlicher straff vnd forehin mein herren mitt solchem ansuchen vnbeunruht lassen. B. Mr.

(f° 177-v) Sambstag den XVI Decembris – Michael Goll
Michel Goll vbergibt abermahl durch Bittelbrin ein Sploôn Zuverlesen, dar Inne er meldet, ob Ime wohl hievor bescheid geben d. er mein herren forehin nicht mehr beunruhen soll. So treyb Ine doch die vnvermeydliche nodt, meine herren seinen großen schaden fürzupring. vnd. vmb ferner hulff Zubitten, erzelt demnach waß Ime an seinen wahren vnd. in der haußhaltung für schaden geschehen, seith er vermög meiner h. lesten bescheid die durchpruch wid. Zumauren lassen Was es für ein gelegenheitt mit dem hinderheußlin Im Stanckgäßlein hatt, d. es einem handtwercksman vnd burger nicht wohl Zubewohnen, vihl Jahr auch eps bewohnt sonder nuhr für ein Stallung gebraucht, vnd d. er vber allen angewendten vleÿß bitzher kein ander hauß, da er mehr platz hette, bekommen können Wie es auch mitt dem andern hauß Inn Kueffergaß geg. Ime vber geschaffen, Bittet nochmalen Ine vff dißmahl etwaß gnediger Zubedancken vnd ime Zugönnen, das hinder wid. Zum forder hauß Zuprechen, allein solang, bitz er ein ander bequemer behausung zu seinem handl bekomm. möge, alßdann er schuldig sein solle, sy allerdings wid. abzusondern vnd abgesondert Zuuerkauffen. Erbeutt sich für solche gönnung der Statt Jährlich ettwas Zugeben, so lang er sich daren gebrauchen werde
Nach verlesung, Sagt er p. Bittel. d. er auch Im hinderheußlin allerdings nichts bauwen lassen, allein den durchpruch vnd zugang mach. wolt zu seiner höchsten nothdurff, bitz er ein and. gelegen hauß möchte bekommen, so Inn der vmbfrag Ist ein gezweytte meinung gefallen, Die Ich außsprech. vnd der einen beyfallen das mehr machen sollen, wie von alter herkommen, Aber et Ist noch ein vmbfrag gehalten vnd durchs mehr
Erkandt, das man Ime die Zeitt bitz Jacobi prorogiren vnd zulassen soll, den vndern durchpruch wider Zuöffnen hernach vmb Jacobi soll es wider lassen Zu mauren vnd Inmittelst auch im Hinderhauß sonst nichts verändern. B. M. et Ego.

1588, Protocole des Quinze (2 R 18)
Michel Goll remercie le 29 juillet 1588 les Conseillers et les Vingt-et-Un de l’avoir autorisé à conserver ses ouvertures jusqu’à la Saint-Jacques ; il comptait ne plus devoir présenter de nouvelle supplique puisqu’il allait acheter une plus grande maison. Comme un incendie s’est déclaré dans le bâtiment arrière, il a pensé refaire le caveau et faire d’autres transformations qui éviteraient tout danger, en conservant deux bâtiment séparés. Il demande l’autorisation de conserver les ouvertures tant qu’il possédera la maison avant. L’assemblée remet sa décision à une séance ultérieure. Michel Goll est autorisé le 5 août à conserver ses ouvertures pendant une année supplémentaire.

(f° 93-v) Montag den XXIX Iulÿ – Michael Goll
Michel Goll p. Bittelbron vbergibt ein splôn so verlesen. Bedanckt sich der Ime Zuvorderist d mein herren Ime den durchpruch Inn sein hinderhauß bey Jacobi gestattet, habe v.hofft ein weitter vnd gelegener behaußung Zu seinem handell Zubekommen, damit er nicht mehr dörfft mein herren brauch. welches sich aber bitzher nicht schicken wöllen, darumb werde er getrungen wider an Zusehen, sonderlich dwl. sich ohnlangs ein vnversehene gefehrliche brunst Im hinderauß Zugetragen, Darumb er bedacht were, daselbst Im hinderhauß ein gewölb Zubauwen, vnd das gantz hauß vor brunst vnd weithere gefahr Zu versehen, wolts dannoch ein sonder hauß pleyben vnd so er auß dem fordern wegziehen solte, den durchbruch wider Zumauren laßen Dwl. er dann ihme den Jezt eroffnete durchgang nicht könne Ins werck richten, des hinderhaußes auch zu seinem handell nicht antretten, das hauß auch alßo geschaffen, d. er von keinem burger od. handwercksman fuegklich Zubewohnen, So pitt er Ime nicht allein In seinem vorhabenden Baw, sonder auch Zu seinem handell, solang er das forder hauß möcht bewohnen, Zugestatten, den durchgebrochenen eingang Ins hinderhauß offen Zuhaben.
Erkant Jetzmals geg. Ime Zu bedacht Ziehen (dwl. Zwen h. abgedretten) vnd künfftig so mein H. Inn mehrer anzahl beyeinander, davon reden. Sag. Ime J Bietenheim und H Mösinger

(f° 98) Montag den V Augusti – Michael Goll
Michel Gollen hette verschinen Sambstags acht tag fürgebrachte Suplô, Ist wider verleßen (dortt Zwen herrn ab und pleyben* x sig.) Erkandt J noch ein Jahr lang erlauben den durchpruch Zuprauchen, welches erlich h. nicht gefallen, sond. gewolt, d. ime die Jüngst erkandtnuß vergangenes Jahrs leßen soll, dieß vermeindt haben diß Jetzig* stracks Zuwider sein, Alßo Ist der ferndig Receß fol. 177 verlesen und ieder vmbgefragt, da dann Erkandt vnd das vorige mehr bestedigt, d Ime noch ein Jahr die offnung Zugelaßen, doch soll er nichts Inn der behaußung verändern.

1590, Protocole des Quinze (2 R 19)
Les rapporteurs exposent le 21 mars 1590 que Michel Goll n’a pas muré les ouvertures comme il s’y était engagé le 6 décembre précédent. Il est donc passible d’une amende de 50 livres. Un des conseillers déclare qu’il faudrait que les chefs de chantier inspectent d’abord les lieux. Michel Goll déclare le 23 juin qu’il n’a pas encore trouvé de maison à sa convenance et s’excuse de ne pas avoir muré les ouvertures autorisées pendant la foire de Noël. Comme l’ordre de fermer les ouvertures n’a pu lui être remis parce qu’il se trouvait à Francfort puis à Nuremberg, la notification devra lui être remise et l’amende ajournée.
Michel Goll s’excuse le 25 juin de ne pas comparaître en personne parce qu’un de ses enfants vient de mourir et remercie l’assemblée d’avoir prorogé le délai jusqu’au 24 juin. Il a fermé l’ouverture en conservant cependant un jour de deux pieds sur deux pour pouvoir jeter un œil dans la boutique. Il proteste contre l’amende de 50 livres qu’il doit régler pour n’avoir pas fermé l’ouverture à l’étage. Le conseiller Prechter rapporte que Matthias Weickerl n’a pas voulu vendre sa maison à Michel Goll. L’assemblée s’en tient à sa précédente décision et maintient l’amende.
Michel Goll présente à nouveau le 26 décembre sa demande du 25 juillet. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’autorisent à rouvrir la porte pendant la foire.

(f° 42) XXI Martÿ – Michael Goll
H Auwenheim und H heuß Referiren Ir bedencken vff Michel Gollen den vj Decembris Jüngst vbergebene splôn so Jetzo wieder verleßen nemlich dieweÿll Goll dem bescheid nicht nachkommen, die durchprüch vnden vnd oben nicht Zugemacht wie er doch In seiner splôn fürgibt, d. es beschehen, So soll man Ime die 50. lb straff abnemmen vnd Ime weitter bey solcher straff oder der vngehorsame gebrochen* dem bescheyd statt Zuthun, vnd die heußer Inn vorigen stand Zuricht. d. er* geht abgesondert seyen, Wie Im Bedacht xv N° 26 fol. 39. gleichwohl sagt h Fürst d. er v.meint, man hette die werckleuth Zuuorderist den augenschein sollen einemmen lassen aber es Ist durchs Matt. Erkandt, vnd der herren bedencken geuolgt.

(f° 78-v) Zinstag den XXIII Iunÿ – Michel Goll. Heüser Zusamen prechen
Michel Goll p. Bittelb. dieweÿll er bitzher die gelegenheitt nicht haben mögen, seinen handell anderstwohin Zurichten, wie er gern gethan hette, vnd noch verhoff Zubekommen, Werde er getrungen widerumb beÿ mein herren anzusehen, Zu weyhenachten sey Ime Zugelassen, die thür Ins hinderhauß Zuöffnen vnd dieselbige Meß offen Zugeprauchen. Bitt Ime diße Meß Zu gonnen, d. er s allein ein Monatlang möge offen halten, Wölls alßdan wider Zumachen, darmit geschehe Ime ein sondere guththat, die er sich erbeithe Zuvedinenen. Zeigt der H xv Meyster an, d. Ime Gollen der hieuor (sup. fo. 42) ergangen bescheid nicht angezeigt, dwl. er In franckfurth Meß und hernach wegen der Statt Nürnberg ein guthe Zeytt abwesend, auch andere verhinderung hingefallen.
Erkandt, Man solle Ime Zuuorderist den hievorigen bescheidt anzeig. Vnd Ime Itzo Inn seinem begehren willfahren mitt dem anhang, wann er seinen erbeithen nicht statt thun vnd es wider Zumacht, d. er Ime meiner H *ther straff sehen solle. Ist die handlung sup. auß dem p.tocoll verleß. Zu er Innerung.

(f° 82) Sambstag den XXV. Julÿ – Michael Goll
Christoff Seytz Nots. Innamen Michael Gollen der laßt sich seines nicht selbst erscheinens entschuldigen, d. Ime ein Kind mitt todt abgangen, vbergibt ein Splôn pitt sie Zuverleßen. Wie beschehen, dar Inne bedanckt er sich d. Ime den 24. Junÿ Jüngst gegondt die gaden thür Ins hinderhauß wider iiij wochen lang offen Inhaben, Sagt hab sich wid. Zugemaurt, allein ein loch ij schuh hoch vnd schuhs breydt dar Inn gelaß. d. er Ins hinderhauß sehen, vnd Ein hund auß vnd einspringen möge, seys hoch vonnöthen, dann Ime vorgester Zumacht vnderstanden worden ein zu prechen, Bekümmert sich aber hoch, s. er der vngehorasme beschuldigt vnd vmb 50 lb gestrafft vmb das er die thur Im obern gemach nicht zugemaurt, Betheurts bey dem Eyd, d ers nys dahin verstanden, d. er die thur Im mittlern stock solt Zumauren sond. allem vor der vndern thür Im gaden. Ehrzehlt dannach die mercklichen vngelegenheit vnd hochste nodthurfft das er solche thuren vnd des hinderhauß nicht konne entrathen, Wie es mit beyden heüßern eh geschaffen was es für gemach vnd warzu es bedürffig, Bitt ine der straff gn. Zuerlaßen vnd Zubewilligen, d. der die thür Im mittlern gaden od. gemach möge offen behalten, bitz er ein andere gelegenheit bekomme, dabey er dan melden, d. er nitt h. Matthis Weickern handlen, der sich aber In keinen kauff mitt Ime einlassen wöllen & Weittleuffigen Innhalts, Zeigt H Prechter an, d. Goll Ine selber bericht, Es sey mitt seinem bruder Zu H Weickern gangen, mitt Ime Zuhandlen, H Weicker gefragt, Wer Ime gesagt (f° 83) daß Ime sein hauß veyll sein soll, Goll unverdacht gesagt, der Stettmeister Kagenecker habe Ime gesagt, Weicker gesagt sein nebenauß vnd das hauß Inn Krautenaw sey Ime veÿll, aber sein behausung Dar Inn er wohne, veÿll Zuthun, sey Ime Inn sein gedancken nyt Kommen, Alßo habe Goll cum tanto de uaso* wider abziehen muessen, Vnbefragt, Vnd das Mehr worden, das mans bey vorigem bescheyd solle pleyben lassen. Dwl. aber der herrn nuhr Acht vnd alßo In genug. anzal d. sie vermög der ordnung nicht kommen oder sollen bescheyde geben, So ist wider vmbgefragt, Vnd
Erkandt, d mans Jetzmals geg. Stegltzen soll In bedacht Ziehenn. Wider vmbgefragt, ob mans wolte herren beuohlen, die handlung vff zu stehen vnd Zubedancken. Erkandt, Man solls einstellen, beÿ die herren Inn mehrer anzahl vorhanden, davon Zureden, Statt sententia, canis commendit iurium

(f° 140) Mittwoch den XVI. Decembris – Michel Goll. Heüser Zusamen prechen
Michel Goll e. Bittelbronn, vmb gnedige vergönnung d. eröffnung der thüren Inn seinem gaden vnd erbawung d. gewölb Im hindern hauß übergibt er ein splôn so verleßen, darin führt er weittleuffig auff, wie sein eüßerste notturfft erfordert, die Zugemaurte thier Inn das hinderhauß wid.umb Zuöffnen, vnd wo er vermeinte Zweÿ gewölb über einander Zuschlag. & Bitt vnd erpeütt sich wie in splôn daruff ist auch d. Receß vom 25.ten Julÿ supra fol. 82. vnd volgends die damalen übergebene Splôn verlesen.
Erkandt Ime Inn den willfahren, daß er die öffnung dieße weÿhenacht meß haben möge, vnd solls hernach wid.umb Zumachen, das überig soll man zubedacht Ziehen, vnd Hn ordnen die es bedancken (J. Bietenh. H. Beinheilm vnd H Obrecht.) was Ime Inn ein vnnd den andern weg Zuwillfahren od. abzuschlag. Sag ime antwortt.

1591, Protocole des Quinze (2 R 20)
Le président des Quinze rapporte le 22 mai 1591 que Michel Goll l’a plusieurs fois interpellé pour obtenir une visite de sa maison. L’assemblée se rend sur place, Michel Goll montre le caveau qu’il souhaite faire transformer en bureau par le maçon Michel Mebhard. Le maître maçon expose les travaux que Michel Goll a l’intention de faire : transformer la cave et le caveau pour y entreposer ses marchandises, percer une ouverture dans la cage d’escalier pour accéder à la maison avant, faire un nouveau bureau qui avance dans la cour et agrandir légèrement son logement à l’étage. L’assemblée approuve les travaux. Certains conseillers sont d’avis de revenir sur l’amende de 50 livres mais comme ils en ignorent la raison ils devront d’abord s’informer plus amplemet. Un feuillet joint fait état d’ouvertures non autorisées établies 28 ans auparavant entre la maison de commerce et celle dans la rue de l’Etal.

(f° 72) Sambstag den XXII Maÿ. – Michael Goll
der XV Meyster J. Böcklin Zeigt an, d. Michel Goll Ime ettlich mahl nach geloffen vnd begert habe, den augenschein einzunehmen, Also hab er XV. Mr die werckleuth Jetzo herauff bescheyden, die seyen vorhanden, ob man heran Jetzo gleich den augenschein einemmen wöllen, Ist auß ferndig. p.tocoll geleßen wie Michael Goll suppliciret vnd d. es dermalen gegen Ime Zu bedacht gezogen auch herrn beuohlen worden Zu bedencken, Aber kein augenschein fürzunemmen Erkandt, Alßo wie das ptocoll Zuuohr were besichtigt worden, So hette man die werckleuth Jetziger Zeÿt Zu bescheyden wohl vmbgehen können.
Dwl. aber ettlich herrn dafür gehalten, Wann Gollen supliciren abgehört würde, d. man den augenschein Jetzo einnemmen und die sachen gleich außmachen möchte, So hab Ich auß beuelch, die letste, vnd die daruor Inn Julio des Gollen vbergebne supplicationes verleßen vnd was darauff Erkandt worden
Erkandt, damit mein H. gemeinlich sehen könne, wie es Inn Gollen hauß beschaffen, dieweyll auch die werckleuth bescheyden, So soll man Jetzo samptlich vff den augenschein gehn darnach weither dauon Reden. Alßo stend mein H hinab Inn Kueffergaß, durch Gorius Morgen des Kuttlers hauß Inß Stanckgesslin Inn Gollen hinderhauß von dannen wider herdurch Inn die haupt behaußung od. gaden, theils herrn vnd die werckleut auch oben hinauff gangen, hatt Goll (wie Ich hernach gehört.) ettlich herren so am nechsten bey Ime gestanden, angezeigt, auch ein visirung p. seinen Maurer Michel Mebharten gewißen wie er die gewölb Im hinderhauß bauwen, den durch pruch verrucken vnd ein Contörlin Zurichten wollte.
Alß man wider herauff Inn die stub kammer, sind die beÿde werckmeÿser gehört, Sagt M Michel d. Zimmermann d. sie daß hauß oben besehen, sey ein C* ding*, ein haußehr, Zwo Kameren vnd ein stäge, sey mitt holtz belegt, dörff Goll Zu ein solch gewerb wohl mehr platz, erzehlt wie es Goll vermeind. Zubauwen, vnd holt darfür d. Ime wohl ettwas Zu willfartten, d. auch desto weniger gefahr Zu besorgen were &
M Georg d. Steinmetz sagt, Es beger Goll erstlich das Keller gewölb vnd ein gewölb oben darauff Zumachen, damitt er seine wahren desto besser verstehen möge, fürs ander wolt er den durchgang Ins forderhauß beym schnecken machen (f° 73) Zum dritten Ein Contörlein vff vj schuh herauß Ins hinder höflin, dauon es den tag hette, Zum vierten haben sie den augenschein oben auff eingenommen sey ein enger platz, Goll dörff Zu seiner haußhaltung der platz wohl der*, Wo mein herren sonst Kein ander bedenckens haben so hielt er darfür, d. Inn sein begeren wohl Zu Zulassen.
Darauff Inen den Werckmeÿstern erlaubt von der sach geredt vnd
Erkandt Man soll Ime Inn seinem begehren willfahren, Mitt dem anhang, d. ers dahin soll Richten Wann ime ein andere gelegeheitt fürfeltt d. er das forder und hinderhauß wider söndern, vnd zu vnderschiedlichen häußer vnd wohnungen Zurichten solle.
Inn voriger vmbfrag seind ettliche (vj) herren der meynung gewesen, d. man Ime die hievor erkante straff der 50 lb (ettlich darund. habens nuhr vffs 25. lb verstanden) abnemmen solle ohnangesehen seiner Splôn vnd verantworttung Im Julio geschehen, so dermalen Zubedencken bevohlen. Ist derwegen ein Newer umbfrag gehaltten vnd Erkant, dwl. ettlich herren nicht wüßten waß zuuohr gehandelt vnd warumb Ime die straff vfferlegt, So sollen die herren denen es beuohlen geweß. vff suchen, warauff es berühre vnd es wider hieher pringen.
(scheda) Michel Gollen behausung in d. Küeffer gaß Wie auch hinder der Morin Seind Vor Vngefehr 28 Jharen Vom Gewerbhauß in d. hauß Zum Stanck 2 tag fenster Wid. ordnung eingebroch. worden. hernacher etliche wenig Ihne Vergünstiget, Aber nicht erlaubt. vide p.tocol p. Säcker

1610, Préposés au bâtiment (VII 1325)
Les héritiers de Michel Goll demandent que la ruelle entre leur maison et le poêle de la Mauresse soit dégagée et rouverte.

Michel Gollen erben wegen des gesselins in Kieffergaß
(f° 82) Sambstag den 19.ten Maÿ – Mathis von Gottesheim, H. Mathis Stoffelins beuelch haber weg. Michel Gollen erben übergibt Supplication wegen des gesselins zwischen Ihrem hauß In Kieffergaß vnd Zwisch. oder hinden an der Mörin Zunfft gelegen bittet solch gäßelin wider Zuraumen vnd Zu öffnen. Ist Ihm antzeigt Es gehör für B den wollen wies forbring.

1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Les héritiers de Michel Goll demandent que la ruelle des Senteurs ne soit pas encombrée par les deux bourgeois qui souhaitent la louer moyennant 25 sols. La Mauresse souhaite elle aussi louer la ruelle à cause des mauvaises odeurs.

(f° 6) Donstag 17. Jenner 1611. Michel Gollen Erben – Mathis von Gottesheim hat hieuor Innamen d. Gollischen Erben Suplicirt das man das Gestanck gässelin. hinden an d. Mörin Zunfft, so Zweien burg. vmb 25 ß d. Verlühen wolte, wider offnen damit vß dem Gollischen hauß der vß vnd Ingang nit gesperrt werde, Ist abgelesen, vnd referirt das H Amr. Mürssel Innamen d. Mörin Zunfft auch vmb lühenung dieses gässelins angesucht, weil die Jetzigen Inhaber gar ein Wüest gestanck mach. der Zunfft Ihr Keller lad. verlegen vnd schir Niemand oben In d. Stub. die fenster vffthun dörfe. derhalb Jetz Erkandt, wollen die H den Augenschein Innemen.

1710, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Le revendeur Martin Wurtz demande l’autorisation de remplacer l’ancien encorbellement (16 pieds ½ de long, en saillie de 5 pieds ½ vers l’hôtel de ville et de 4 pieds 10 pouces vers la halle, les corbeaux étant en retrait d’un pied 7 pouces) et d’ajouter un étage. Les préposés constatent que l’encorbellement a seulement cinq poutres en chêne dont l’une est pourrie. Ils estiment qu’une fois réparé il ne pourra pas soutenir l’étage supplémentaire. Ils éconduisent le pétitionnaire

(f° 8) Montags den 27. Januarÿ 1710. – Martin Wurtz pt° eines Überhangs
Augenschein eingenommen an Martin Wurtzen des Krempen in der Küeffergaßen gelegener behausung, an deren Er den Überhang, welcher 16 ½ schuhe lang, gegen der Pfaltz 5 ½ schuhe gegen dem Kauffhauß aber 4 schuhe und 10 Zoll Vom hauß Herauß breit ist, an dem einen endt 2. schuhe 3. Zoll, an dem andern aber 1. schuhe 7 Zoll biß an die darunder befindliche steinere Käpffer hinweg schneiden denselben wider frisch auffbawen und umb ein stock höhen Zulaßen gesinnet ist. Erk. Bedacht.

(f° 9-v) Dienstags den 28. Januarÿ 1710 – Martin Wurtz pt° Überhangs
Wegen des am 27.ten huius an Martin Wurtzen des Krempen in der Küeffergaßen gelegener behausung eingenommenen augenscheins, referiren dieselbe, daß Sie den Überhang visitirt und gefunden hätten, daß allein fünff eichene balcken daran der eine faul seÿe, sich befänden, undt ahn einziehende newe Balcken, Zumahlen da derselbe umb einen stock erhöhet werden solte, nicht Daurhaft gebawen werden könte. Erk. Würdt das begehren abgeleint

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Les préposés autorisent Jean Jacques Scær à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations

(f° 13-v) Dienstag den 13 Martÿ. – Joh. Jacob Scär
Johann Jacob Scär dem schuhmacher wird erlaubt sein hauß in der Kieffergaß auff das alte fundament zu bawen.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1770, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Freysinger expose les travaux à faire dans la maison du cordonnier Jean Jacques Scær rue des Tonneliers : aménager un poêle à cheminée à la française au premier et un autre au deuxième étage, une cuisine pourvue d’un fourneau et d’une chemnée au deuxième et une autre au troisième étage.

(p. 225) Freÿtags den 28. Septembris 1770 – Johann Jacob Scär der schuhmacher will in seiner in der Kiefergaß gelegenen behaußung im ersten Zweÿten und dritten stock jedesmal eine Stube mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen, daneben jedesmal ein rund gegoßener ofen, die rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im ersten Zweÿten und dritten stock jedesmal eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr an steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkanndt, willfahrt – Mr Freÿsinger.

Description de la maison

  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle et un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, au-dessus aussi un poêle et deux chambres, au rez-de-chaussée la boutique, un vestibule, un petit poêle, elle a une cave voûtée, une petite cour, un puits et à l’arrière une sortie vers le Marché aux Poissons, le tout estimé à la somme de 1 800 florins
  • 1741 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une petite boutique à cloison en planches, à l’arrière un caveau pour les marchandises, un étroit vestibule, un puits et une sortie vers le Marché aux Poissons, à chacun des deux étages un poêle et un vestibule où se trouve le fourneau, le vieux comble comprend deux petits greniers, la chambre à soldats se trouve dans celui du bas, le tout estimé à la somme de 2 200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Tonneliers

nouveau N° / ancien N° : 17 / 7
Scaer
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 17 case 3

Anstett, Michel Pierre, boucher rue des tonneliers N° 7 à Strasbourg

O 57, maison, sol, R. des tonneliers 7
Contenance : 1,15
Revenu total : 108,60 (108 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 331 case 1

Anstett, Michel Pierre, boucher
1863 Anstett, Eugène et Auguste Edouard, bouchers
1868 Mey Bernard
1885/86 Hirsch Samuel, Rentner

O 57, maison, sol, Rue des tonneliers 16
Contenance : 1,15
Revenu total : 108,60 (108 et 0,60)
Folio de provenance : (17)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre allemand, registre 30 p. 234 case 8

Parcelle, section 19, n° 148 – autrefois O 57
Canton : Küfergasse Hs Nr 16
Désignation : Hf, 2 Whs (sol 2 maisons)
Contenance : 0,94
Revenu : 1000 – 1400
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1906), compte 549
Hirsch Jakob
1920 Hirsch Moses, Kaufmann in Strassburg
gelöscht 1922

(Propriétaire à partir de l’exercice 1906), compte 1441
Erb Karl u. Ehefrau
1932 Erb Charles et les héritiers de son épouse
(1338)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 4527
Kugler Léon boucher à Strasbourg et son épouse Henriette née Burgard chacun pour moitié
1920 Kugler Joseph Aloïse maître boucher à Hochfelden et son épouse Amélie née Trend*
1938 Kugler Joseph Aloïse
(2503)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 251 Rue des Tonneliers p. 404

7
Pr. Scaerr, J. Jacques – Cordonniers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Küfergasse (Seite 91)

(Haus Nr.) 16
Erb, Metzgermstr. 03
Wormser, Kaufmann. 1
Meyer, Giesser. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 721 W 296)

Rue des Tonneliers 16 (dossier I, 1886-1992)

Le propriétaire Hirsch charge en 1890 les entrepreneurs J. et E. Klein de poser une devanture à volet roulant. Après que le notaire Pierre Loth a demandé un certificat d’urbanisme en 1971, la Ville déclare avec l’appui de l’architecte des Bâtiments de France qu’elle s’oppose à une éventuelle démolition du bâtiment de style XVIII°. Le directeur régional des affaires culturelles écarte en 1972 l’inscription à l’inventaire supplémentaire, notamment parce que le bâtiment se trouve dans le futur secteur sauvegardé. Jean Muller fait transformer en 1971 quatre logements au premier et au quatrième étage en y aménageant des salles d’eau et des cabinets d’aisance. L’architecte des Bâtiments de France émet en 1988 un avis défavorable au projet de surélever le bâtiment.

1923, Léon Kuegler charcuterie
1931, Salomon Levy, antiquaire
1938, Camille Spagna, alimentation
1963, Robert Kapusta, tableaux et encadrement
1974-1978, la Boîte aux merveilles, produits exotiques
1978, la Boutiquette, vêtements, jouets, bijoux exotiques
1980, Montmartre Voyages
1985, restaurant de la Place puis (1990) l’Assiette du Chasseur

Sommaire
  • 1886 (mai) – Le maire notifie la rentière Caroline Hirsch (demeurant 124, Grand rue) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1886 (la façade a été lavée)
  • 1887 – Le voisin (n° 18) se plaint des fumées qui sortent d’une cheminée sise au 11, rue de l’Etal (bâtiment arrière du n° 6) – L’installation de chauffage a été raccordée à la cheminée du bâtiment avant
  • 1889 (juin) – Le maire notifie le sieur Hirsch (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889, mais il reste une inscription en français
  • 1890 – Les entrepreneurs J. et E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom du sieur Hirsch l’autorisation de poser une devanture à volet roulant comprenant la porte d’entrée – Travaux terminés, juin – Dessin (élévation, coupe, plan du rez-de-chaussée, état ancien et état projeté)
  • 1903 – Le maire notifie le sieur Hirsch (demeurant 3, rue Saint-Fridolin) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1903
  • Commission contre les logements insalubres – 1903 (janvier). Les alcôves servent au propriétaire. La pièce mansardée occupée par la servante doit être plâtrée
    1903 (novembre) – Rapport de la commission. Les chambres sont bien tenues
    1906. Remarques en trois points. Propriétaire Erb, demeurant sur place. La boutique du charcutier est bien tenue – Travaux terminés, juillet 1907
    1915, Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1923 – Léon Kuegler demande une autorisation pour des machines électriques déjà installées dans sa charcuterie – Avis de l’inspecteur du travail – Autorisation – Dessin
  • 1929 – Une voisine (n° 14) se plaint des déchets qui encombrent le toit vitré qui recouvre la cour du n° 16 – La toiture de la remise a été nettoyée, novembre 1929
  • 1931 – La Police du Bâtiment constate que Salomon Levy a fait suspendre une antenne de T.S.F. entre les bâtiments n° 16 et n° 5. – L’antenne est enlevée, avril 1931
    1931 – La Police du Bâtiment constate que l’antiquaire Salomon Levy a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation, mars 1931
    1931 (novembre) – Clément Sauer déclare avoir remplacé l’enseigne par une nouvelle
  • 1937 – Les entrepreneurs en crépissage Kleffer et Cammada (de la Wantzenau) sont autorisés à occuper la voie publique devant la maison qui appartient à L. Kugler
  • 1938 – Camille Spagna (magasin d’alimentation) déclare avoir supprimé l’enseigne lumineuse
  • 1963 – Robert Kapusta demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Tableaux Kapusta) – Autorisation
    1968 – La Police du Bâtiment constate que Robert Kapusta a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Robert Kapusta demande l’autorisation de remplacer son ancienne enseigne par une nouvelle à double face (Tableaux encadrements R. Kapusta) – Même demande par la société Publi-Est (à Cronenbourg, 84, route de Mittelhausbergen) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – L’enseigne n’est pas enlevée, avril
  • 1971 – Le notaire Pierre Loth (27, rue de la Haute-Montée) demande un certificat d’urbanisme sur la propriété Kuegler – Extrait du plan cadastral – Extrait de la matrice cadastrale (Léon Kugler, boucher pour 5/8 et l’épouse née Marie Messmer pour 3/8
    1971 (avril) – Rapport de visite. Le n° 16 se trouve dans le périmètre de protection du n° 10, inscrit à l’inventaire des monuments historiques en 1920. Le bâtiment de style XVIII° a un rez-de-chaussée et trois étages, chambres sous combles et toit à la Mansard. Les bandeaux, les chaînages et les encadrements de fenêtre sont en pierre, le reste en maçonnerie crépie. Les arcades du rez-de-chaussée ont été remplacées en 1890 par une sous-poutre métallique et une devanture. Chaque étage a deux fenêtres de style XVIII° dont la clé sculptée a un motif différent. Des garde-corps en ferronnerie d’époque se trouvent au premier étage. L’escalier a un garde-corps en bois du XVIII° siècle. « En conclusion, c’est une harmonieuse façade qui mérite d’être conservée. »
    1971 (mai) – Le secrétaire général adresse un rapport au maire sur le 16, rue des Tonneliers et les 17-19 place Henri-Dunant.
    1971 (juin) – La Ville signifie au notaire qu’elle s’oppose à une démolition et demande son appui à l’architecte des Bâtiments de France, ce qu’il fait par un courrier du 25 juin 1971.
    1971 (août) – Acquisition éventuelle de bâtiments anciens pendant l’Année de la conservation des monuments et des sites.
    1971 (octobre) – La Ville raie la maison de la liste puisque le nouveau propriétaire a déposé une demande de réparation. – L’architecte des Bâtiments de France a demandé que la maison soit inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques
    1972 (septembre) – Le directeur régional des affaires culturelles écarte l’inscription à l’inventaire supplémentaire étant donné (1) que le bâtiment ne présente pas d’intérêt majeur, (2) qu’il se trouve dans le périmètre de protection de plusieurs bâtiments inscrits à l’inventaire supplémentaire et (3) qu’il se trouve dans le futur Secteur sauvegardé.
    1972 (novembre) – Le bâtiment a été ravalé. – La Ville renonce à acquérir la maison
  • 1971 – Jean Muller (demeurant rue des Bateliers) dépose une demande de permis de construire pour transformer la maison sous la direction de G. Weiss, ingénieur en bâtiment (116, route de Colmar au Neudorf) – Devis pour transformer quatre logements au premier et au quatrième étage (aménager des salles d’eau, des cabinets d’aisance, le bâtiment n’en comprenant qu’un dans la cour intérieure, installer un chauffage central, refaire la toiture) – Plan cadastral de situation – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (la façade n’étant pas transformée) – Permis accordé en 27 août 1971 – Travaux terminés, façade ravalée, juin 1972. – Déclaration d’achèvement des travaux, novembre 1972
  • 1974 – La société Boîte aux merveilles (produits exotiques) est autorisée à poser une enseigne
    1976 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable à la demande de la société Rowa, agissant pour la Boîte aux merveilles, pour poser un store en corbeille à larges rayures noires et blanches – Courrier d’A. Kabyle. Le store n’est pas retiré, octobre 1976. Il est soumis à triple taxe, janvier 1977
    1976 (décembre) – Demande de la société Rowa (rue du Général Leclerc à la Wantzenau)
    1977 (octobre) – Le store est autorisé à titre de régularisation suite à l’avis favorable émis par l’architecte des Bâtiments de France
  • 1978 – Patrice Klein (3, rue du Parc à Schiltigheim, pour la Boîte aux merveilles) est autorisé à repeindre la devanture suite à l’avis favorable émis par l’architecte des Bâtiments de France – Travaux terminés, septembre 1978
    1978 (octobre) – A. Kabyle déclare ne plus posséder le magasin. Les droits d’enseigne et de store sont exigibles pour l’année en cours.
  • 1978 – La Boutiquette (vêtements, jouets, bijoux exotiques) demande l’autorisation de poser une enseigne. Photographies – Le propriétaire Jean Muller donne aux conjoints Klein son accord pour une enseigne – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
  • 1980 (juillet) – J.-P. Knauf (3, rue Vincent Scotto à Illkirch) demande l’autorisation de repeindre la devanture – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable 1980 (septembre) – Nouvelle autorisation au nom de Montmartre Voyages – Dessin – L’enseigne est posée, juin 1981
  • 1980 – Projet de restaurant, la Boîte aux merveilles, par D. Fridez, (à Poligny, Jura) – Dessin – Le magasin Montmartre Voyages n’est pas modifié, août 1981.
    1985 – E. Menoux, gérant du restaurant (sàrl REM), demande l’autorisation de poser une enseigne. Photographies (Restaurant de la Place). Dessin de l’enseigne perpendiculaire en fer forgé éclairée par deux lampes – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation de poser l’enseigne – Les lampes ne sont pas posées
    1986 – Le maire demande que la lampe blanche soit peinte en couleur, par exemple en noir – La lampe est repeinte en couleur fer forgé
  • 1988 (octobre) – Les notaires associés Emile Feurer et Martial Feurer d’Obernai demandent des renseignements d’urbanisme (propriétaire, Jean Muller)
    1988 (novembre) – Nouvelle demande, pour surélever et aménager les combles – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour surélever le bâtiment
  • 1989 – La société Edde Néon (18, rue du Heyritz), demande l’autorisation de remplacer l’enseigne par une nouvelle – Photographie (Restaurant de la Place) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de supprimer le pourtour en néon
  • 1989 – Le géomètre Pierre Bardel (70, boulevard de Reuilly à Paris XII) demande un certificat d’urbanisme. Propriétaire, Cogefina
  • 1990 – Christian Campiglio, propriétaire du restaurant l’Assiette du Chasseur, demande au préfet l’autorisation de fermer l’établissement à trois heures au lieu d’une heure trente
    Rapport de la Commission de sécurité
  • 1991 – Le notaire Martin Diemer (7, place de Bordeaux à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme (propriétaire, Cogefina, rue de la Boétie à Paris)
  • 1990 – L’entreprise Kapp (4, rue de Rouen à Strasbourg) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
    1992 – Droits de voirie réglés par l’architecte André Kessler (rue des Magasins à Strasbourg)

Autres dossiers
721 W 297 – (volume 2) 1990
946 W 134 – (volume 3) 1990-1996
721 W 295 – déclaration de travaux (refus) 1990
1625 W 231 – ravalement, 2005
782 W 253 – 11 rue de l’ Etal, 1903


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Michel Goll.
Originaire de Colmar, il épouse en 1576 Marie, fille d’Auguste Fettich

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 154-v, n° 376)
1576. Do. III [post Trinitatis] Michel Gol von Kolmar und Maria fettichin her Augustin fettichs dochter, 23 Julÿ (i 157)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 267) 1576. Sontag den 6. Junÿ Michel Goll von Colmar, Maria H Augustus Fettichs dochter alhie, werd. Zu S Thomas eingesegnet word. (i 136)

Michel Goll achète le droit de bourgeoisie deux ans plus tard en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1578, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105)293-294
Michael Goll von Collmar hatt das burgkrecht Kaufft und diene Zum spiegl, Eod. die [4 april a° & 78]

Michel Goll adresse le 11 janvier aux Conseillers et aux Vingt-et-Un une supplique dans laquelle il expose qu’un inventaire de ses biens a été dressé par autorité de justice alors qu’il est disposé à céder ses biens à ses créanciers. L’assemblée donne le 3 février lecture d’un arrêté impérial qui convoque les créanciers à Spire pour statuer sur la cession de biens et la séparation de biens avec sa femme. L’avocat Hochfelder fait observer que la convocation à Spire est contraire aux règlements de Strasbourg. La femme de Michel Goll demande le 24 février l’intercession du Magistrat pour libérer son mari emprisonné à Nuremberg. L’assemblée statue le 19 mars sur la représentation de la Ville au tribunal de Spire. Nuremberg répond le 26 avril qu’elle attend la sentence du tribunal de Spire avant de prendre une décision.
1595, Conseillers et XXI (1 R 74)
Michel Goll beclagt immissionem in sein Hab vnd guetter. 9. Keyserl. Mandat darin alle Michel Gollen creditores nach Speyr citirt werden. 42. Maria Fettigin vmb Erledigung ihres Mans Michel Gollen. 83. Creditores vmb Abforderung von Kreys Cammergericht. 111. Nürnberg contra Michael Gollen. 163.

(f° 9) XI Januarÿ – Michel Goll beclagt immissionem in sein Hab vnd guetter.
L. Bittling p. Michel Gollen übergibt ein supplôn darin er weitlauffig sich beclagt, d. er sein vnverhort Im d. hauß eingenohmen, d. gaden verspert vnd mit grossem seinem vncosten durch Soldner verwacht vnnd vom Schultheißen vnndt sch.ber des Stattgerichts Inventirt word. Ir auch vnndt sein weib vnst gesindt Zum hauß hienauß stoßen wolten vnangesehen er sich aller billichkeit erbotten, sein haußfraw auch uber 20.000 fl. im gewerb hatt, Bitt derwegen man woll Im Citation an seine creditores vergohnnen ad videndum se bonis cedens welches Im Zuuor vor einem Ersamen Rhat nit zugedeyen mog. Erkant Ist für Rhatt hewisen. H. Mosinger, H Meyer.

(f° 42) Montag den III Februarÿ – Es ist ein Keyß. Mandat abgelesen word. so mit Michel Gollen supplôn erkant, dorin alle Gollen creditores nacher Speyr den 24. Martÿ Jungst gelad. werden ad videndum se bonis & * et separationem bonorum uxoris à bonis mariti fieri.
Item ein schreiben von Keyß. Cammer an meine Hh verlesen, dorin gemeld. d. Goll wider mherrn proces begert von wegen des schnellen fahrens vnd vbereilens, aber es sey In kein p.ces, sondern erkant word. m. hn Zuvor vmb bericht anzulang. Dorumb so gebietten sie von Keyß. Macht weg. d. mhern in 6 wochen Iren bericht aller verloffenheit des einfalls in sein Gollen gutter nacher Speyr schicken wollen.
Es ist auch Gollen supplôn p. citandis creditoribus ans Kayß. Cammergericht verlesen word.
H Hochfeld. vermeint so vil d. mandat anlangt könne mans woll laßen anschlag. doch soll mans mit den Advocatis bedencken, sonst seÿ d. mherren Jurisdiction Zuwid. d. die creditores nacher Speyr citirt werd. d. schreiben dorin von mherren bericht begert würdt soll für Rhatt gewisen werd. vnd die supplôn denen von Nürnberg zugeschickt, vndt begert d. sie nach d. Keÿß. Cammer bericht wollen. Erkant, gefolgt.

(f° 83) XXIV Februarÿ – Weg. Maria Fettigen Michel Gollen haußfrau erscheint Geörg Fettig Ir brud. sambt Ihrer übergibt ein supplôn darin sie bitt d. Ir Man Michel Goll so auf verursachen deren Zu Nurnberg Kranck in thurn geführt word. mochte der gefangknis erledigt vnnd bei Ir In Irem hauß mit Soldner verwacht werd. domit sie seiner desto beser abwartten möge, oder Il fall m hrn denen v. Nurnberg Zuuor zusch.ben vnndt berichten wolten, d sie Inen Ires vatter seelig dienst in aufbringung Zil 1000 fl. Zuerkennen geben wolten, wie nach Irer unerzogner Jung. Kinder, die m. Herren Zugleich auch ein fußfall gethan, große beschwerd Zugemuth fuhren, vndt Ir vnder deß ein freyen Zugang vergennen, auch Zugleich disse supplôn Zuschicken, verhoff sie die v. Nurnberg würd. sie Irer bitt gewehren. Erkant, Soll für Gr. Rhatt gewisen werd. Ir der Zugang Zu Irem kranck Man erlaubt vnnd die fürschrifft bewilligt, darin auch der Kind. fußfall gedacht werd. soll. H. Teurer, H. Wolffart.

(f° 111) XIX Martÿ – Bittelb. wegen aller creditoren so burg. alhie Michel Gollen vbergibt er ein suplôn mit beÿstandt Lux Gollen, darin mhrren sie erinnern wie sie sambt andern Michel Gollen creditoren vor Cammergericht den 24 Martÿ Jungst kommendt citirt an videndum separationem bonorum uxoris et cessionem sein Gollen d aber solches m Hrn Jurisdiction Zu wider vnd verkleinerlich auch anderenlandische creditoren bei Irer obrigkeit ebenmäßig begeren thun werd. d. sie hie ir sachen mochten außfuhren, Also Bitten sie d. m Hrn sie die burg. durch Iren Syndicum lassen vertretten oder sonst vermelden lassen ob sie selbst entscheiden sollen oder ohn gefahr kennen auß pleiben. Erkant Man solls mit den d bedencken Ist befohlen word. H Reinbold Meyer H Hugwart Ist sonst für Rhatt gewisen.

(f° 163) XXVI Aprilis – Nürnberg antwort an m herrn schreiben für Michael Gollen vndt melden d. sie In der gefengnis nit erlassen Konnen, d. er nit für ein maleficium sonder nuhr ein ciuil sich haltet, er auch d. beneficum cessionis in der Cammer außzubring. begert dagegen sie gegen handlung fürgewant vndt ein sententz erwarten, vnndt der wegen mit solcher Intempestiba indulgentia nit selbst p.iudiciren sollen. So soll Gollen fraw alß supplicantin Ir genuegen lassen d. m Herren Ir decretum der Execution gegen Irer person gemiltert vndt sie sambt den Kindern im hauß gelaßen hab. Zu dem erwarten sie noch mherren bescheidt in pô gebettener citation rôe p.lationis, neben abschrifft der unverrichten in nenter* vnndt cassa burg. ohn die sie sich nit Zuerclaren wissen. Letstlichen so erclär sich die supplicantin nit d. sie von dem Irigen der sachen helfen wolt. darumb sie bitt Iren Hr wollens bei altem stand p.leiben laßen. Erkant, Ist für Rhat gewiesen.

Quittance des créanciers
1596, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1311)
(f° 171) Sambst. den 24. Julÿ – Vogteÿgeld
H Caspar Kniebs und Lux Goll alß vßschutz Michel Gollen creditoren haben gelüffert 500 h

Marie Fettich, veuve de Michel Goll, pour laquelle agit son curateur Georges Fettich, demande à être exemptée de la Taille en qualité de faillie
1598, Protocole des Quinze (2 R 27)
(f° 180-v) Sambstag den IX Decembris – Michel Gollen wittib Ca. Stall
Geörg Fettich alß vogt Mariæ Fettichin seiner schwester, Michel Gollen selig. wittib, p. Peter Knörer, übergibt ein Splôn, so verlesen, darinnen referirt er sich vff ein artl., so meine hn. vor dißem sollen vffgesetzt haben, Was einer Inn Fallimenten stecken hatt, das er nicht schuldig deßelbig Zuverstallen, so lang vnd vil bitz Ime ettwas daruon worden, vnd er es widerumb nutzen vnd gebrauchen möge, dieweil dann seiner schwester nahrung noch Inn Ihren gewollt sonder Im Gollischen Falliment steckt, So bitt er den dreÿen des Stalls Zubevelhen, so lang die sachen Inn Jetzigen stand, Järlich dreÿ schilling Stallgeltt von Ihr anzunehmen,
Erklandt geg. Ime Zubedacht Ziehen, vffm Stall erkundig, wie es damitt geschaffen, vnd es bedencken geordnet H. Kolöffel vnd H Kniebß geben antwortt B. q. Mr.

Autres quittances enregistrées à la Tour aux deniers
1605, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1320)
(f° 126) Mittwochs 7. Augusti – Vogteÿ geldt abgelöst
H Georg Fettich weÿl. Michel Gollen bezaltt für 49 wochen martzal von 67 h 10 ß d so bißher den Gollischen Creditoren vff Jacobi verzinßt word. vnd die losung herr Ihnen 1500 h den 5 Julÿ Ihnen erlegt haben damit gedachte 57 h 10 ß erlößt, aber vff Zedel von den losung herren Ihnen betzaltt 49 woch. martzal 63 h 11 ß d. Die urkundt haben die loßung herren beÿhand.

1606, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1321)
(f° 177) Mittwoch 8.ten 8.br. – Vogteÿ geldt abgelöst
Michel Gollen wittib p. Augustum Ihren sohn hat Zedul von Loßung herren für gelegt, das dieselben Ihme abgelößt haben 90 h Zinß mit 2000 g capital in dreÿen malen Nemblich
18.ten Februarÿ 606 Ihm daran erlegt 500 h d thun 2000 h 29 wochen martzal – 50 h 3 ß 10 f
mehr Ihme 2 Junÿ Capital erlegt 500 h d thun 1500 h 15 wochen martzal – 19 h 9 ß 2 d
mehr Ihme 7 Augusti 606 daran erlegt 1000 h die thun 9 wochen martzal – 7 h 15 ß d
So dann Ihm auch von 500 d Capital die vff Jacobi mit 22 h 10 ß verzinßt word. d. Capital erlegt sampt martzal von Jacobi biß 3.t Xbris Aô 606 thun 19 woch – 8 h 4 ß d
Summa 85 h 12 ß s
die hat obgemelter Augustus goll empfang. vnd luth h grienwaldts vnd H Kniebsen Zedel dieselben haben auch die Urkhundt vber 2000 f Capital beyhand. Die Urkhundt vber 500 h d haben wir empfang.

1599, Préposés au bâtiment et à la Tour aux deniers (VII 1314)
Michel Schoningers diener von Aach contra Michel Gollen creditores. 160. 153.

Autres mentions de Michel Goll dans les registres des Conseillers et des Vingt-et-Un et des Quinze
1588 XV (2 R 18) Michael Goll. (monopolische handlung) 125. 148.
1590 XV (2 R 19) Michel Goll. (Silberkauff) 35. 40. 42.
1592 XV (2 R 21) Michel Goll. (Barchanthandel) 150. 164. (pt°offenen Laden in Lottringen) 182.
1593 XV (2 R 22) Michel Goll. (frembde Müntzen) 151. 155. 195.
1594 Conseillers et XXI (1 R 73) Michel Goll vmb Vorschrifft an den von Harrencurt. 20. 136. Michel Goll vmb Restitution 2 pleyfäßlin. 250.
1594 XV (2 R 23) Michel Goll (Seÿler contra Mathis Karcher und Michel Goll). 92. (Barchent weber contra Michel Goll) 125.
1595 XV (2 R 24) Michel Goll (schuld ins Kauffhaus). 41. dessen creditoren. 99.
1596 XV (2 R 25) Michel Goll. Basel für Bartholome Schoburger contra Michel Gollen. 63. Statt S Gallen, Zurch, Schaffhausen vmb Befürderung der Rechtfertigung Bartholome Schoburger contra Michel Gollen. 86. Michel Gollen creditores zu Augspurg. 121. Gollischen falliments curatores contra D Obertum Giphanum. 419. Gollische creditores contra Peter Antoni Hortensÿ de Picaria diener. 448. 467.
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) Michel Gollen Curator Dietherich Planck contra Antoni Hendel. 364.
1601 Conseillers et XXI (1 R 80) Johann Stocker contra Michel Gollen. 180. (schulden)
Michel Gollen creditores contra Curatoris bonorum. 88.
1603 Conseillers et XXI (1 R 82) Daniel Fettich und Hans Friderich Fettich contra Michel Gollen falliment. 395. 399.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89) [Nürnberg contra Michel Gollen falliment. 370.]

Les héritiers de Michel Goll sont cités pour la dernière fois dans les tenants et aboutissants des voisins. La maison revient ensuite à Jérôme Stahlenburger : son mandataire, le marchand Jean Jacques Müller, la vend en 1624 au tonnelier Jean Henri Stürtzel et à sa femme Barbe Doll.

1624 (xiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 27
(Inchoat. in Prot. fol. 21 – Protocollat. fol. 302.) Erschienen Herr H Johann Jacob Müller handelßman Von franckhfurth, Alß gewalthaber, wie er sagte, Weÿlandt H. Hieronimi Stahlenburger Schultheißen Zue Franckhfuth seligen erben (verkaufft)
Hannß Heinrich Stürtzel küeffer burger Zu Straßburg, vnd Barbara Dollin seiner ehelichen haußfrauwen
Hauß, hoffstatt, Vndt höfflin, mit Allen Ihren gebäwen & gelegeb Inn der St. St. Inn Küeffer gassen eins. Jacob Hüß dem Küeffer And. s. Philipps Weinschenckh dem schuhmacher, Hinden Vff ein Allmend gäßlin, das gestanck gäßlin genant, dauon gend 4 fl. geldts vff Mariä Liechtmeß Lößig mit j C. fl. weÿl. Philipps Schmidts selig erben, Sonst eÿgen Vndt Alles Recht & also & Vnndt ist disser Khauff vber obgehörtten beschwerdt so die Kheuffere vff sich nemmen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 850 pfund

Le tonnelier Jean Henri Stürtzel épouse en 1612 Barbe, fille du boulanger Pierre Doll.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 331-v, n° 1013)
1612. Sontag den 11. Octob. Hannß Heinrich Stürtzell d. küeff. vndt Barbara, Peter Dollen des Becken Alhier Nachgelaßene tochter. Eingeseg. Zinstag 20. Octob. (i 342)

Jean Henri Stürtzel hypothèque la maison au profit de l’ancien consul Charles Spielmann

1628 (12. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 594-v
Erschienen hannß henrich Stürtzel der Küeffer burger Zu Straßburg
hatt in gegensein deß Ehrenuesten fürsichtigen vnd wohlweisen herrn Caroli Spielmanns Alt Ammeisters der St. St. – schuldig worden, 75 pfund
Vnderpfand sein soll hauß, hofstat, vnd höflin mit allen Andern deren gebäwen & alhie in Küeffer gaß einseit neben Jacob hussen dem Küeffer, 2.seit neben Philipps Weinschencken dem schuhmacher hind. vff ein Allmend geßlin stoßend gelegen, so zuuor V.hafft vmb 100. fl. St. w. H Lienhard Bauren XXI.er, Item vmb 200. lb d dem Stifft S. Thoman So dann vmb 500. lb d restirend. Kauffschilling herrn Johann Jacob Müller von Franckhforth

Cléophée Schmid vend à Léonard Baur un capital garanti sur la maison rue des Tonneliers qui appartient à Jean Henri Stürtzel

1629 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 189
Erschienen Johann Baptista von d. Brucken burger Zu St. alß Eheuogt Cleophe Schmidin, mit beÿstand hanß Heinrich Schmiden, auch burgers alhie seines Schwagern
hatt in gegensein deß Ehrenuesten Frommen vnd weisen herren Lienhard Bauren xv.ers (verkaufft)
100 gld. Capital St. w so, vermög eines latinischen brieffs mit des Bischofflichen hoffs Insigel datirt in Anno & 1528. Jarß vff Liechtmeß mit 7 R. besagter wehrung von, vff vnd Abe hanß Heinrich Stürtzels deß Küeffers behausung alhie in Küeffergaß. v.zinßt word, – für vnd vmb 35. lb

Jean Henri Stürtzel et sa femme qui habitent alors à Westhoffen sont admis à l’hôpital en qualité da pauvres pensionnaires
1658, Conseillers et XXI (1 R 141)
(f° 203) Sambstag d. 9. Octobr. – Daniel v. Carol Spielman gebrüder vberreich. per Egê Vnd.ge Supplication Bericht daß Johan Heinrich Stürtzel vnd sein Weib, welche sich Zu Westhoffen auffhalten hohen alterß, vnd In hochst betrübten Zustandt leben, auch In außerster durfftigkeit begriffen, Alß bitt sie In Ihrem nahmen Mh wollen sie beÿde In die Arme pfrund Un dem hoßpital erkennen. Seÿe beÿde auß dißer Statt gebührtig. Erk. Sindt mitt dem begehren an die H Pfleger Zu h. worden.

Acte qui mentionne le la distillerie appartenant à Jean Henri Stürtzel a été vendue par adjudication judiciaire en 1640. Les actes ultérieurs établissent que la maison est vendue par adjudication judiciaire le 28 septembre 1639.

1639 (6. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 316
(Prot. fol. 134. v. sess.) Erschienen Hanß Heinrich Stürtzel der Küeffer burger Zu Str. und Barbara sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hanß Samuel Nagel auch Küeffer alhie
Ein Brennhütt sampt dem garten daran vnd Bronnen, auch Schöpfflein mit allen andern ihren gebäwen außerhalb der St. Str. vor dem Judenthor Zwischen den beeden Wassern gelegen, einseit neben Martin Waltern geweßenen Stattküeffer anderseit neben Georg Späthen dem Küeffer hinden vffs Waßer Vornen vff die Allmend gaß stoßend, dauon gehen Jährlich vff Martini j. lb 5 ß Bodenzinß der statt strb. sonst ledig eigen – vmb 40. Pfund d
[in margine :] Erschienen H Philipps Keller alß Schaffner des Stiffts St: Thomann alhie, an einem, So dann hanß Samuel Nagel der hieringenante Käuffer am andern theil, Zeigten an, demnach ermeltem Stifft diße v.kauffte Brenhütt v.mög der den 15. Maÿ 1624. vffgerichteten v.schreibung neben einer in der Kieffergaßen gelegener Behaußung vmb 200. Lib. d v.setzt auch solche Brennhütt laut des den 19.ten Febr. 1640. datirten Gant Kauffbrieff und des den 29.t Julÿ 1640. Expulsion bescheidt albereit an sich gezogen, daß Er Schaffner ihme Nageln solch. des Stiffts Gerechtigkeit für vnd vmb die 90. Lib. so Er hannß Heinrich Stürtzeln dem Bemeinten V.käuffer noch schuldig Vfrecht eÿgenthümblich cedirt Vnd übergeben – Actum den 1. Augusti 1640

Catherine Müller, femme de Thierry (Théodore) Springer de Francfort cède la maison au revendeur Adam Engel moyennant 440 livres

1655 (8. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 85-v
Erschienen Fr. Catharina Müllerin H Johann Theodorici Springers U.I.D. Zu Franckhfort Wohnhaft ehelicher Haußfr. in crafft eines sub dato franckhfort d. 12. Decembris 1654. gefertigten Und Von ihnen beeden Eheleuthen Underschriebenen auch mit ihren pittschafften Verwahrten Gewalts gevollmächtigter Befelchhaber H Johann Baptista Börffenicht handelßmann alhier
hatt in gegensein Adam Engels deß Grempen
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der küeffergaßen, neben Mathiß Holtzingern dem Küeffern anderseit neben weÿl. Martin Würtz. deß Schreiners seel. Erben hinden vff daß gestanckh gäßlin dahien es auch einen Außgang hatt stoßend geleg. davon gehend Jährlich 4. fl. Wehrung Vff Liechtmeß ablößig mit 100. fl besagter Wehrung H Daniel Steinbockhen alt. groß. Rhats verwanth – umb 387 lb
[in margine :] NB. der Kauff ist für freÿ ledig Und eig. geschehen umb 440. lb gehet ab 52. lb 10. ß für die Steinbockhisch. beschwärdt bleiben 387. lb. 20. ß

Originaire de Muttersholtz, le revendeur Adam Engel et sa femme Marie Mey achètent le droit de bourgeoisie le 26 novembre 1639 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1639, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 884
Adam Engel Von Muderscheltz der Gremb Erkaufft d. Burgerrecht für sich vnd Sein Haußfrauw Mariam Miegin Vmb 20 golf fl. Hatt Keine Kinder würd Zur mörin dienen. Jur. den 26. 9.bris Anno 1639.

Adam Engel loue la maison en entier sauf la cave, un caveau et une partie de la boutique au cordonnier Gabriel Voltz

1655 (21. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 122-v
Erschienen Adam Engel der Gremp alhie
hatt in gegensein Gabriel Voltzen deß Schuhmachers
Verlühen habe, hauß, hoffstatt, und höfflin mit allen deren gebäwen /:nichts davon alß ein gewölb und den Großen Keller wie auch einen platz im laden auß genohmen alhie in der Küeffergaßen neben H. Mathißen Holtzingern dem Küeffern ein: Vnd and.seit neben weÿl. Martin Würtzen deß Schreiners seel. Erben gelegen, Vff Vier Jahr lang Von nechstkommend Mariæ Verkündung angerechnet, für und Umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 12. lib.

Adam Engel est nommé garde de la Ville
1653, Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 162-v) Sambstag d. 5. Nouem: – Adam Engel.
Beÿ E E Zunfft der Kirschner ist Zu einem Scharwechter erwöhlet word. Adam Engel

La femme d’Adam Engel vend en 1649 du suif sans autorisation et des harengs en 1658.
1649 Protocole des Quinze (2 R 68) Adam Engelß Fraw wegen Unschlittkauffs wider ordnung. 10. Adam Engelß Fraw, Unschlitt Kauff, Straff 25. lb. 17. vmb moderation 19. moderirt 28.
1658 XV (2 R 76) Adam Engelß Fraw pt° Herin Verkauffs. 35. Straff 100. lb. 39. vmb Straff moderation 47. Straff moderation 54.

La Monnaie vend en 1659 au receveur du béguinage à la Tour un capital garanti sur la maison qui appartient à Adam Engel d’après un titre de 1528

1659 (14. febr.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 138-v
Erschienen H Anthoni Diebolt alß der Statt Straßburg Müntz Verwalther
in gegensein H Hannß Jacob Seupels deß Silberarbeiters, im nahmen H Johann Friderich Seupels delß Schaffners der Samlung Zum Thurn
geg. bahr erlegt. 338. lb. 16. ß 10. d cedirt habe 4. fl. straßb. wehr. iährlich. vff liechtmeß fallend und mit 100. fl berührter Wehr. wid. lößig. zinnßes, so anietzo Adam Engel der Kremp vermög latinisch. pergamentinen 12. Kal. Febr. a° 1528. mit deß Bischoffl. hoffs anhangenden Contract Insigel gefertigt. Zinnßbrieffs von, vff und abe seiner alhie in Küeffergaß. gelegener Behaußung Zu raÿch. und 1 lib. 18. ß 6. d Marzahl schuldig, Item (…)

Odile Gambs vend à Véronique Bitlinger un capital garanti sur la maison qui appartient à Adam Engel

1661 (5. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 586
Erschienen H. Friderich Schell der Silberarbeiter alß Vogt Jungfr. Otilia Gambsin,
hatt in gegensein deß Ehrenvest, hochgelehrten H. Georg Obrechten U.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Advocati et Procuratoris alß Curatoris Fr. Veronicæ Bitlingerin
100. lb. Capital rest so Adam Engel der Kremp Von seiner alhie in Küeffergaßen gelegener behaußung Vermög des Von H. Jeremiæ Ursino Notario und alten Kleinen Rhats v.wanth. ertheilten attestati Ihro Jungfr. Ottiliæ iährlich Zu Verzinnßen schuldig (…)
[in margine :] Vide in Prot. extens. de A° 1646. fol. 194. fac. 2.

Le revendeur Adam Engel meurt le 27 avril 1663
Sépulture, cathédrale (luth. f° 27-v)
1663. Aprilis d. 27. Adam Engel, Gremp

Inventaire dressé dans la maison de feu le revendeur Adam Engel après que le tailleur Jean Martin Romer a quitté la ville en abandonnant sa femme Barbe Schmitt qu’il a épousée en 1645.

1664 (22.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 33) f° 7
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab Nahrung vndt Schulden, so Mr Hannß Martin Romers, Schneidern, vndt Barbaræ Schmidin beeder Eheleuthen vndt Burgern alhie Zuständig, welche der Ursachen, weÿlen Er hannß Martin, Donnerstags den 28.ten Februarÿ Jüngsthin außgetretten, Auch Sie Barbaram Schmidin mit beÿstand Mr Johann Bromanns, auch Schneiders vndt Burgers alhier, Ihres geschwornen Vogts (…) So beschehen Inn beÿsein Mr Christoff Walckmanns Schuhmachers vndt burgers alhie, Ihr d. frau dochtermanns auff Montag den 22.t Februarÿ Anno 1664.

In einer alhie in der Statt Straßburg Inn der Küeffergaßen gelegenen behaußung, so weÿl. Adam Engels, geweßenen Gremppen vndt Burgers alhie seel. hinterlaßener wittwen Zuständig, beede Ehewürth lehnungsweiß in Lehnung haben, ist befunden Worden Wie Volgt
Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, Inn der Cammer E, Im undern haußöhren
Werckzeug Zum Schneider Handwerck gehörig
Ergäntzung der Frawen unveränderten Gauth, Auß dem über weÿl. Georg Böhringers E. E. Zunfft der weinsticher geweßenen büttens vnd burgers alhier ihres llieben haußwürths seel. Verlaßenschafft den 8. Martÿ A° 1638 auffgerichteten Inventario
Der Frawen unverändert Guths, Sa. hausraths 59, Sa. Silbers 3, Sa. Goldenen Ring 2, Sa. Ergäntzung 12, Summa summarum 77 lib
Die theilbahre Nahrung betreffend, Sa. Haußraths 9, Sa. werckzeugs Zum Schneid. handwerck gehörig 15 ß, Summa summarum 10 lib – Schulden 43 lb, Übertreffen also die Schulden aus theilbaren Nahrung Zu bezahlend. die theilbahre Nahrung vmb 33 lib
Eheberedungs Copeÿ – Zwischen dem Ehrsamen vndt bescheidenen hannß Martin Romern, Schneidern, hannß Romers Schneiders vndt burgers alhier ehelichem Sohn, alß hochzeiter einen theils, So dann der tugendsamem frawen Barbara Schmidin, weÿl. Georg Böringers geweßenen büttels beÿ E. Ehrs. Zunfft der Weinsticher seel. nachgelaßener Wittib andern theils (…) vff ihr der hochzeiterin seiten aber hannß Ehemann Schneider alß deroselben vogt, Herrn M Johannes Brunn Prediger v. Diaconus Zum alten St Peter vndt Peter Schmidt Schneider vndt burger der hochzeiterin bruder (…) Fürs Fünffte vndt weilen Sie die Fraw hochzeiterin Zweÿ lieben Kinderlin ein Söhnlin so bresthafft vnd ein döchterlin die Vätterlicher hülff benöthiget (…) Beschehen vndt Verhandelt inn dißer dß heÿligen reichs freÿen Ststt Straßburg Mittwochs den 28. Maÿ 1645, Laurentius Dreüttel Nots. Publ.

Le receveur du béguinage à la Tour revend en 1659 à la veuve d’Adam Engel le capital garanti sur sa maison

1665 (22. April), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 207
Erschienen herr Johann Schmid alß Schaffner der Samblung Zum Thurn,
hatt in gegensein herren Johann Wolffgang Heßlers E.E Großen Rhats Beÿsitzers alß Curatoris Mariæ, weÿl. Adam Engels deß Krempen seel. Wittibin
bekannt daß Sue Engelin Ihro der Samblung 100 fl. Straßburger Wehrung erlegt, und dadurch die ienige 4 fl. g. Wehrung Von uff und ab ihrer alhier in der Küeffer Gaßen neben Mathiß Holtzingern dem Küffern gelegener behaußung, Vermög der 12. Calend. Februarÿ A° 1528. durch weÿl. H. Jacobum Schmidten alß deß Bischofflich. Hoffs damahlig. geweßenen Contractuum Notarium nun längst seel. uffgerichteter Verschreibung iährlich termino Purificationis Mariæ fallend. Zinnßes abgekaufft abgelöst und bedeutete behaußung solcher beschwärd allerdingß liberirt habe

Marie, veuve d’Adam Engel, se remarie en 1667 avec le tonnelier Jean Frédéric Rinck, fils de tonnelier
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63-v) 1667.
Dn. I. Trinit. d. 9. Junii. Johan Fridrich Rinck der Küeffer, H Sebastian Rincken Küeffers v. burgers allhier Ehelicher Sohn, Fr. Maria, Adam Engel Handelsmanns v. burgers allhier nachgelaßene Wittib. Copulirt Donnerst. d. 20. Junii Zu St. Thomæ (i 68)

Le boucher Martin Wurtz loue au nom de sa cousine Marie Mey veuve Engel la maison à l’aubergiste Jacques Lanaux

1695 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 235-v
Martin Wurtz, der Metzger im Nahmen Mariæ Engelin, geb. Meÿin, Wittib seiner Baßen
Jacques Lano, Aubergiste
entlehnt, Eine behaußung, mit allen deren Gebäuen und zugehördt. nichts darvon alß d. vordern großen Keller, welchen der Verleiher sich vorbehaltet außgenomm. allhier in d. Küffergaßen, einseit neben Heinrich Kaüffer dem Schreiner, anderseit neben Valentin Gräff dem bürstenbind. hind. auff die Zunfftstub zur Mörin, darbeÿ Sie auch ein außgang hat, stoßend geleg. auff Vier jahr lang, von Johannis Baptistæ dieß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 36 pfund 10 schilling
[in margine :] hierinn gemelter Martin Wurtz alß Ehevogt Catharinæ geb. Meÿin, hierinn gemeldter Meÿischen wittib eintziger besitzerin des hierinnen beschriebenen haußes, hat in gegensein hierinn gemelten Jacques Lano des Entlehners (…) auff fernerer zweÿ Jahr lang von ged. Joh: Bapt. angehend (umb) 36 pfund d. reducirt, den 1. junÿ 1699

Veuve d’Adam Engel et de Jean Frédéric Rinck, Marie Mey meurt le 25 janvier 1699 en délaissant pour héritiers les enfants de son frère Gui Mey, pêcheur à Rathsamhausen. Elle a institué pour sa légataire universelle Catherine Mey, femme du revendeur Martin Wurtz. Elle est propriétaire de deux maisons vis à vis l’une de l’autre rue des Tonneliers. La succession s’élève à 5 257 livres.

1699 (9.2.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 45) n° 435
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme Frau Maria gebohrne Meÿin, erstmals weÿland des Ehrengeachten weiß. Hrn Adam Engel gewesenen Gremp nunmahlen aber auch weÿland deß Ehrenthafft v. achtbaren Meist. Johann Friderich Rinckhen, geweßenen Küeffers allhier seeligen hinterlaßene Wittib auch seelige nach ihrem Sontags den 25. Januarÿ Jüngsthin aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Tugendsamen Frauen Catharinæ Wurtzin gebohrner Meÿin, deß Ehrenhafft und achtbaren Hrn Martin Wurtzen, Grempen und burgers allhier ehelicher Haußfrauwen, der Verstorbenen Frauen seeliger p. Testamentum hinterlaßener einiger Erbin, mit beÿstand deßelben (…) So geschehen in Straßburg den 9. Februarÿ in Fernerem beÿseÿn deß hoch Edel Vest und hochgelehrten auch Edel Wohl Ehrenvest und hochachtbahren Herrn Johann Ulrich Friden, deß gehemien beständigen Regiments der Herren Fünffzehen allhier, hochverdientenen ältesten secretarÿ, als der abgeleibten Frauen seelig in dero Testamento hochverordneten Testamentarÿ und Herrn Philipp Jacob Erhards, verschiedener Stifftungen wohlmeritirten Schaffners auch E. E. Kleinen Raths jetzmaligen beÿsitzers als von Ehrengedachten Kleinen Rath in Nahmen der Frauen seelig frembder Anverwandten in Specie deputirten Herren, Montag den 9. Februarÿ Styli Novi Anno 1699.

(f° 2) Publication hievorgeschriebener der Verstorbener Frawen seel. auffgerichteter Letzter willen (…) 1. Herr Johann Ulrich Frid (…), 2. Herr Philipp Jacob Erhard (…), 3. Fraw Barbara Schmutzin gebohrne Megin, weÿl. herrn Christian Schmutzen, gewesenen Pfarrers Zu Mietersholtz wittib, burgerin Zu Baldenheim als weÿl. Viox Megen gewesenen Fischers und burgers zu Rathsamhauß. und Baldenheim der Fr. sel. eheleiblich. bruders Tochter, 4. Fraw Juliana Waltherin gebohrne Megin, Lorentz Walthers, burgers Zu Ebweiler Ritterständischer herrschafft, Tocht. eheliche haußfrau vorhergedachten d. Frawen seel. Eheleiblich Bruders, 5. Fraw Catharina Wurtzin gebohrne Megin herrn Martin Wurtzen des Grempen und burgers allhier Zu Straßburg Eheweib, so ebenmäßig vorher erwenten Viox Megen d. Fr. seel. Bruders Tochter und ihre einige instituirte Erbin auch dero haußwürthß, 6. Thomas Meg, Burg. Zu Schlettstatt, als d. Sohn von mehrgedachtem der Frn. seel. Brudern, erclärte sich, daß Er mit denen letzten willen gantz zufriden, 7. Fraw Eva Braunin gebohrne Megin, Meister Johann Daniel Braunen des Küblers und burgers allhier eheliche haußfrau, als auch eine Tochter von offtvorher bedittenen Viox Megen d. Frn. seelig bruder, mit assistentz dero haußwürth, 8. Hannß Caspar Knecht, burg. Zu Schlettstatt in nahmen Frauen Salome Knechtin gebohrner Megin seines Eheweibs, also gleichfalls mehrangeregt. d. Fr. seel. Bruders Tochter, 9. herr Johann Friderich Redwitz, Notarius juratus als weÿl. Frauen Annæ Klingelmeÿerin gebohrner Megin, N. Klingelmeÿers geweßenen burgers Zu Niderhauß. seel. geweßener haußfrawen, vielerwehnt. Viox Megen d. Frauen seel. bruders Tochter Kinder (…) 10. Hannß Klingelmeÿ. burg. zu Nid.hauß. 11. Fraw Eva Braunin gebohrne Klingelmeÿerin Antoni Braunen burgers Zu Epffig haußfr. 12. Hannß Stöhr, burg. Zu Ruest und 13. Hannß Jacob Metzg. auch burg. Zu Ruest, dieße 4. vorgedacht. Frn. Annæ Klingelmeÿerin, d. verstorbenen Fr. see. Bruders Tocht. in verschiedenen Ehen erzeugte Söhn und Töchter (…), 14. Herr M. Johann Jacob Böhler wohlverdienter Diaconus beÿ der Newen Kirchen alhier (…) im nahmen d. haußarmen beÿ der Newen Kirchen (…), 15. Herr Bernhard Jost d. Grahnmeister und Küeff. auch burg. allhier (wegen) legats (…) So beschehen in Straßburg in der Fr. seel. Sterb behausung in der Küeffergaß. geleg. auff Freÿtag den 6. tag des Monats Februarÿ Styli Novi A° 1699.
(f° 4) In einer allhier in der Statt Straßburg in der Küeffer Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt. (f° 7) Schrein: und höltzenwerck. Auff der Obern bühn, Im obern Stübel, In der Cammer A, Vor dieser Cammer, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, Vor diesen Gemachen, In der Wohn Stuben, In der Stub Cammer, Im hintern Süblin, In der Kuchen, Im hauß öhren, Im Gaden Stüblin, In dem Keller
(f° 11) Eigenthumb ane häusern. Erstlichen I behausung, Hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuen begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß I. seit neben herrn Bernhard Josten (…)
Item eine behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebeuen, begriffen, weithen, Rechten Zugehörd. und gerechtigkeiten gelegen allhie Zue Straßburg auch in d. Küeffergaß, einseit neben Valentin Gräffen dem buchbinder, anderseit neben herrn Heinrich Kauffern dem Schreiner, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen Außgang hat, stoßend gelegen, So freÿ, ledig und eigen und durch vorgemelte hrn Werckmeistere æstimirt pro 525 lb. Darüber saget 1. Teutscher pergament: Kffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangend. Cantzleÿ Contr. Insigel verwahrt, datirt den 8. Febr. Anno 1655. Ferner I. Copia vidimata einer Kffverschrbg. vor hrn Jacob Küglern Contractuum Notario auffgerichtet, de dato 28.ten Maÿ A° 1658. Mehr i. alter teutscher Pergam: Kffbrff. de dato 28. Maÿ A° 1588. ohne Insigel Und dann ein Pergam: Ganth Kffbrff mit deß Statt gerichts Zu Straßb. anhangend. Insigel verwahrt, datirt den 28.ten Septembris 1639. alles mit Jetzigem N° 7 bemerckt.
(f° 14) Abzug in dieses Inventarium gehörig, Sa. haußraths 189, Sa. Wahren zu dem Grempenwerck 268, Sa. Wein, Eßig und Vaß 290, Sa. Früchten 12, Sa. baarschafft 1630, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 828, Sa. Eigenthums ane häusern 1725, Sa. Schulden 314, Summa summarum et Conclusio finalis Inventarÿ 5257 lb
Copia der abgeleibten Frauen seeligen auffgerichteten Testamenti nuncupativi. 1691 (…) auff Donnerstag den 20. tag des Monats Decembris neuen Calenders Zwischen Fünff undt Sechß uhren, beÿ dreÿ hellbennenden liechtern Vor mir (Notario) persönlich kommen und erschienen die Ehren: und tugendsame Fraw Maria Engellin gebohrne Meÿin weÿland Herrn Johann Adam Engels gewesenen Grempens und burgers allhier seligen hinterlaßene Wittib, Von der Gnaden Gottes gesunden gehend und stehenden leibs, auch guten richtigen verstandts, Sinnen und Vernunfft (…) Johann Christoph Stöffel, Nots. publ.
Copia Vorgedachter Verstorbenen Frauen seeligen auffgerichteten Nach Dispositionis (…) auff Dienstag den 14. Tag des monats Maÿ Styli Novi abends Zwischen Sechß und Acht Uhren Anno 1697. Johann Reinhardt Lang Notarius regius Civisq. Argentinensis

Originaire de Rathsamhausen, l’héritière Catherine Mey acquiert avec sa sœur Eve le droit de bourgeoisie en décembre 1684 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse et en promettant d’épouser un bourgeois
1684, 3° Livre de bourgeoisie p. 1025
Catharina undt Eva Meÿin von Oberrathsamhausen, empfangen das burger Recht p. 16. gold. fl. so Sie auff dem Pfenningthurn erlegt mit condition daß Sie sich an einen burger verheurathen sollen, Zünfftig Zur Mörin, promis. 30. Xbr. 1684.

Le boucher Martin Wurtz épouse en 1692 Catherine, fille du pêcheur Gui Mey de Rathsamhausen-le-Haut : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration à Illkirch
Copia Beeder eingangs gemelter Eheleuthe Zur Zeit dero Verheürathung mit einander auffgerichteter Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Martin Wurtzen juniore, dem ledigen Metzger des Ehren Vest und Vorgeachten herrn Martin Wurtzen des ältern und burgers allhier Zu Straßburg eheleiblichen Sohn, alß Bräutigamb mit assistentz erstgedachts seines Vatters, wie auch herrn Johann Philipp Kammen E: E: Großen Rahts beÿsitzers und herrn Johann Albrecht Ungers Meisters an einem, sodann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauwen Catharina weÿland des Ehrsamen Veit Meÿen gewesenen fischers zu Ober Rahtsamhaußen seligen nachgelaßener Tochter alß der Jungfrau hochzeiterin, mit beÿstand herrn Johann Jacob Lichteisens Speciers ihres anoch ohnentledigten Vogts, herrn Bernhard Josten Küfers und herrn Georg Bögners Küblers, am andern theil (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 31. Julÿ anno 1691. Andreas Schmidt Not. publ.

Mariage, Illkirch (luth. f° 35)
MDCXCII. den 12. vnd 19. Augusti St. n. sind in Illkirch Zum ersten vnd andern mal außgeruffen vnd den 21. Ej. copulirt vnd eingesegnet Word. auf Permission vnd Erlaubnus des Regirend. H. Ammeisters, laut beiligend. Scheins, Johann Martin Wurtz, der ledige Metzger, H Martin Wurtzen, Metzgers vnd burgers, wie auch Schöffen in Straßburg, alhie aber wohnhaft Vnd Anna Elisabeth gebohrner Nagelin, seiner ehl. haußfrawen ehl. Sohn, Vnd Jfr. Catharina, Vitus Meyen, gewesenen Fischers vnd burgers von Rathsenhaußen vnd Eva seiner ehl. haußfr. hind. ehl. Tochter [unterzeichnet] Martin Wurtz alß hochzeÿter, Catharina Maÿin hochzeiterin ahn deßen Nahmen vnderschriben Johann Jacob Liecht Eÿßen als vogt (41)

Le revendeur Martin Wurtz loue la maison au marchand de futaine Jean Georges Flechtner

1711 (ut sup. [26. oct.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 616-v
Martin Wurtz gremp
in gegensein Joh. Georg flechtner barchethändlers
entlehnt, seine behaußung biß auf den großen Keller allhier in der Kiefergass, einseit neben Steinern anderseit neben Bernhard Schlögel hinten auff ein gässlen stoßend – auf 6 jahr lang anfangend auf Weÿhn: 1711 – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund

Catherine Mey meurt en juillet 1720 en délaissant une fille. La défunte est propriétaire des deux maisons échues dans la succession de sa tante, celle à l’est est estimée à la somme de 900 livres. Elle a acquis avec son mari deux maisons ruelle du Bouc. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre au veuf est de 481 livres, celle de l’héritière de 3404 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 982 livres, le passif à 1 083 livres.

1720 (18. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) n° 1060
Inventarium und Beschreibung, aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Viel Ehren und Tugendsahme Frau Catharina Wurtzin gebohrne Meÿin, des Ehrenvest und Wohl Vorgeachten, herrn Martin Wurtzen, gesaltzen Wahrhändlers und burgers allhier zu Straßburg geweßene Ehegattin, nunmehr seelige, Welche den 29.ten Julÿ dieses noch lauffenden 1720.sten Jahrs tödlichen Verblichen, nach solch ihrem seeligen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Mariæ Catharinæ Kammin gebohrner Wurtzin, des Ehren vnd Wohlgeachten Herrn Johann Jacob Kammen, des Metzgers und burgers allhier ehelicher haußfrau als der abgeleibten Frawen seel. mit Vorermeltem ihren hinterbliebenen H Wittiber ehelich erzielter Tochter und ab intestato Verlaßener einiger Erbin (…) So beschehen in fernerem beÿsein der Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Margarethæ Kammin, gebohrner Düringerin der Fraw Tochter geehrten Fraw Schwiger auff Montag den 18.ten Novembris Anno 1720.

In einer in der Statt Straßburg ane der Küeffergaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im obern Hauß öhren Vor d. Cammer A, In der Obern Stub, In des Knechts Cammer, In der Cammer C, In der Wohnstub, In derern Stub Cammer, In des officiers Stub, Im mittlern haußöhren, In der Undern Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einem Metzger Banck (W.)
Eigenthumb ane häusern. (E.) Erstlichen I. behausung, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß einseit neben Hn Friderich Schwingen dem Küffern, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann allhier gelegen, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend (…)
Item eine behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auch in der Küeffergaß, eins. neben Bernhard Schlegel dem ältern Kübler, anders. neben H. Lorentz Steinen dem Soldner, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen Außgang hat, stoßend gelegen, So freÿ, ledig und eigen und durch mehrgemelte hrn Werckmeistere æstimirt vor 900 lb. Darüber saget 1. teutscher pergament: Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhangend. C. Contr. Insigel verwahrt, datirt den 8. Febr. A° 1655. Ferner I. Copia vidimata einer Kauffverschrbg. vor hrn Jacobo Küglern Contractuum Notario auffgerichtet, de dato 28.ten Maÿ Anno 1658. Mehr i. alter teutscher Pergam: Kffbrff. de dato 28. Maÿ A° 1588. ohne Insigel, Und dann ein Pergam: Gant Kauffbrieff mit deß Statt gerichts Zu Straßburg anhangendem Insigel verwahrt, datirt den 28.ten Septembris 1639. alles mit altem N° 6 und Jetzigem N° 5. signirt
(T.) It. Zweÿ häuser neben einander allhier in Straßburg jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Ergäntzung des Herrn wittibers ohnverändert. Guths. nach besag Inventarÿ über eingangs ernandter beeder Ehepersonen einand. in den Ehestand Zugehörd Nahrung durch weÿland Herrn Andream Schmidt Notarium in Anno 1692. auffgerichtet
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Dienstags den 31. Julÿ anno 1691. Andreas Schmidt Not. publ.
Copia der Verstorbenen Frauen seeligen auffgerichteten Codicilli – 1720 (…) auff Mittwoch den 22. tag des Monats Maÿ abends zwischen Sechs; und Sieben Uhren, die Ehren: und tugendsame Frau Catharina Wurtzin gebohrne Meÿin, des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Martin Wurtzen des Fastenspeis händlers und burgers allhier eheliche haußfrau (…) zu sich in Ihre eigenthümliche in der Kieffergaß liegende Behausung und dero obern hindern Stüblein mit den fenstern in den hoff außsehend, in specie requirirten, beruffen und kommen lassen, und uns Zwar Zimblich Krancken Leibs, auf einem bette liegend (…) Vor das andere, will Sie die Frau Codicillierin Zu widervergeltung derjenigen eheliche lieben, trew und freundschafft, welche der hauswürth herr Martin Wurtz wehrender Ihrer Ehe Ihro jeweilen erzeigte, auch noch ferner in das künfftige ohngewendet Zuerweißen verhoffet, demselben hiemit so lang Er in dem Wittibstand Verbleiben Wird, dann Wann Er sich wider verheurathen solte, solle solcher Wÿdemb gäntzlichen gefallen, mithin tod und absein, nicht nur allein Ihro Wohn: sondern auch die gegen hinüber einseit neben Meister Bernhard Schlögel dem Kügler, anderseit neben Herrn Lorentz Steinern dem Soldner in der Kieffergaß gelegene behaußung, welche beede häußer Ihro der Frawen Codicillierin ohnverändert, maßen Sie solche Von Ihr seithen hero ererbet, Wie nicht weniger Ihren dritten theil an der in dem Bocksgäßlein gelegenen behaußung (…) Dahingegen aber drittens, soll dero haußwürth nicht nur allein obligirt und Verbunden sein, Ihre tochter und tochtermann, Meister Johann Jacob Kammen, den Metzger und Fraw Mariam Catharinam Kammin gebohrne Wurtzin seine haußfrau wehrender solchen genußes in dero Wohn behaußung ane der Küeffergaß gelegen und Zwar die jenige gemach, welche Sie biß dato auch bewohnt, sondern auch die heübühn und Stal im bocksgäßlein, so dann den Metzigbanck in der Kleinen Metzig gelegen, Warauff der tochtermann würcklichen Metzigt, Welche Zwar dero haußwürth gehörig, freÿ und ohne einigen heller Zinß respective bewohnen und genießen Zulaßen – Johann Lobstein
Copia der abgeleibten Frawen seeligen auffgerichtete Nach Disposition – 1720 (…) auff Donnerstag den 4. tag des Monats Julÿ (…) zu sich in Ihre eigenthümlichen in der Kieffergaß liegenden und hernach benambßter Frawen Disponentin eigenthümlich zuständigen behausung deren obern hindern Stüblein mit den fenstern in den hoff außsehend,
Abzug in dieses Inventarium gehörig, Des Herrn Wittibers ohnverändert Guth, Sa. haußraths 1, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumb ane einem Metzgerbanck 321, Sa. Ergäntzung (260, abzuzuehen 103, verbleibt) 157, Summa summarum 481 lb
Der Fraw Erbin ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 122, Sa. Waß 30, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptguths 400, Sa. liegenen guths 15, Sa. Eigenthumbs ane häusern 1900, Sa. Ergäntzung (3809, bezalt 2882, verbleibt) 926, Summa summarum 3404 lb
Das gemein, verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 108, Sa. Wahren 177, Sa. grempenwerck 55, Sa. Wein, brandenwein, Eßig und Vaßen 707, Sa. Silber geschmeids 44, Sa. Goldener Ring 11, Sa. baarschafft 130, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Eigenthums ane häußern 172, Sa. Schulden 75, Summa summarum 1982 lb – Schulden 1083, Nach deren Abzug 899 lb
Gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 4784 lb

Catherine Mey meurt le 29 juillet 1720. Le pasteur cite ses parents mais ne donne pas son âge.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1712-1741, f° 67, n° 418)
Anno 1720, den 29 Julii fruhe morgens eine halb viertel stund vor 4 Uhr, ist gestorben fr Catharina wurtzin gebohrne Meyin, Martin Wurtz deß gesaltzenen wahr händlers und burgers alher gewesene Ehefr. dero Eltern waren Weÿl. Viox Meÿ gewesener fischer in Ober Rathsamhausen und seine Ehefr. Eva gebohrne Hamänin, ist den 31. ejusd. auf dem Gotes Acker St. Galli begraben, und von mir M Philipp Strohl ein Leich Sermon gehalt. word. [unterzeichnet] Martin Wurrtz als Wüttwer, hanß Jacob Kamm Alß dochder Man (i 70)

Marie Catherine Wurtz s’accorde avec son père sur les droits de jouissance dans les deux maisons rue des Tonneliers. La maison à l’est revient à la seule fille, le père ayant droit de jouir de la cave

1721, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) Joint au n° 1060 du 18. 9.br
Lüffer und Vergleichung der eigenthümlichen häußer welche der Frau Erbin vor ohnverändert gebührig
Betreffend erstl. die behausung, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier in der Kieffergaß einseit neben Hn Friderich Schwingen dem Küffern, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann allhier gelegen, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend, welche freÿ ledig und eigen um in den Inventario fol: 78. fac. 2.da angeschlagen pro 1000 lb
So ist dießelbige auff die art und weiße, wie der H. Vatter, auch die Fraw Tochter und H. Tochtermann selbige biß dahero bewohnet und beseßen haben Ihnen noch ferner alßo Zubesitzen und Zugenießen, Von Faßnacht 1721. biß 1722
Vermög sonderbahren betroffenen Vergleichs Vom 30. Januarÿ 1721. überlaßen Worden
Was aber die andere behausung in der Küeffergaß gelegen berührt, deren im Inventario fol: 79. fac: 1.a et 2.da gedacht, welche eins. neben Bernhard Schlegel+ dem ältern Küblern, anders. neben H. Lorentz Steinen dem Einspänniger gelegen, hinden auff das gestanckh gäßlein, dahin es auch einen außgang hat, stoßend, so freÿ ledig und eigen um in den Inventario fol: 79. fac. 2.da æstimirt pro 900. lb, ist selbige, der Fraw Tochter, von dem H Vatter würcklichen abgetretten und außerhalb des Kellers, als welcher dem H Wittiber nach besag vorangezogenen Vergleichs, Zu seinem Wein und Grempenwahr wehren, expressé vorbehalten, damit sonsten nach beliebigem gefallen Zu schalten und Zu walten extradirt Worden. Die über beede vorgemelte häuser besagende in dem Mütterlichen Inventario, theils folio 78. fac: 2.da theils fol: 79. fac: j.ma und fol: 80 fac: j.ma & 2.da Sub Nis 4 et 5 registrirte Documenta seind herrn Johann Jacob Kammen dem Tochtermann den 31. Januarÿ 1721. sammenthafft Zuhanden gelieffert und zugestellet worden [unterzeichnet] hanß Jacob Kamm

Fils du boucher Jean Philippe Kamm, Jean Jacques Kamm épouse en 1710 Marie Catherine Wurtz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Jacob Kammen dem leedigen metzgern, des Wohl Ehrenvest, Fürsichtig, Großachtbahrn und Wohlweißen Herrn Johann Philipp Kammen, des Metzgers und Viehhändlers, auch EE großen Raths allhier Zu Straßburg alten wohlverdienten beÿsitzers eheleiblichem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Catharinæ Wurtzin des Ehren und vorgeachten herrn Martin Wurtzen des Fastenspeishändlers und burgers allhier ehelich erzielter Jungfrauen tochter, als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern Theil, sich begeben und Zugetragen, daß hierauff Montags den 4. Augusti Anno 1710 in erstgementer Jungfrauen Hochzeiterin Eltern behaußung ane der Kieffergaß gelegen. – Expedirt, Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 125, n° 713)
Anno 1710. den 10. Sept. sind nach geschehener ordentlicher Ausruffung in der Kirch St. Thomas ehel. eingesegnet word. Johann Jacob Kamm, der ledige Metzger, H. Joh: Philipp Kamm deß burgers und Metzgers auch E.E. Großen Raths alten beÿsitzers Ehel. Sohn und Jungfr. Maria Catharina, H Martin Wurtz deß burgers und fasten Speishändlers Ehel. tochter [unterzeichnet] hanßah Kamm Alß hochzeider, Maria Catharina Wurtzin als Hochzeuterin (i 127)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse rue des Tonneliers. Ceux du mari s’élèvent à 202 livres, ceux de la femme à 682 livres.
1710 (17.9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 89) n° 800
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung u. Güethere, so der Ehren und Vorgeachten Hr Johann Jacob Kamm, Metzg. und die Ehren undt Tugendsahme Fr. Maria Catharina Kammin, gebohrne Wurtzin, beede Eheleuthe u. burger. allhier Zu Straßb. einand. in die Ehe Zugebracht, Welche d. ursach. allweilen in ihr beed. vor ehrenberühtt. Ehepersohnen mit einander auffgerichteten Eheberedung außdrucklich enhalten, daß einem jed. d.selb. seinen in die Ehe bringene Nahrung ein unveränd. freÿ v. vorbehalt. Gut sein, ach was davon durante matrimonio v.ändert wird (…) Actum in Straßb. in fernerem beÿsein d. Viel Ehren u. tugendreich. Fr. Margaretha Kammin geb. Dürningerin des Manns werthgeliebt. Fr. Mutter, auff Montag d. 17.ten Novembris Anno 1710.
In einer allhier Zu Straßb. ane d. Kieffergaß gelegenen und d. Fr. geliebt. Eltern eigenthümlich gehörig. behausung befunden worden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 8, Summa summarum 111 lb – Schulden 7, Nach solchem abzug 103 – deme beizufügen die ae beeder Eheleuth gehaltenem hochzeitlich Ehrenfest verhert bekommenen haussteuren 98 lb, Des Mans in die Ehe gebrachtes guth 202 lb
Der Frauen zugebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 289, Sa. der Schaaff 6, Sa. Silbers 47, Sa. Goldener Ring 27, Sa. baarschafft 262, Summa summarum 632 lb – Warzu Zuechnen der Ihro gehörige dritte theil ane denen haussteuren 49, der Frauen eigenthümlich in die Ehe gebrachtes Guth. 682 lb

Martin Wurtz meurt en 1724 dans la maison de sa fille. L’actif de la succession s’élève à 1781 livres, le passif à 90 livres.
1724 (3.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 14) n° 255
Inventarium und Beschreibung, aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿland der Ehren und Wohl Vorgeachte Herr Martin Wurtz der geweßene Fastenspeishändler und burger allhier nunmehr seel. nach seinem Mittwochs den 1. Martÿ dießes Laufenden 1724.sten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Mariæ Catharinæ Kammin geb. Wurtzin, mit beÿstand des Ehren vnd Wohlgeachten Herrn Johann Jacob Kammen, des Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres Ehevogts, des Abgeleibten seel. mit auch Weÿl. Frauen Catharina Wurtzin geb. Meÿin, seiner gewesenen hausfrauen ebenmäßig seel. ehelich erzeugter Frauen Tochter und ab intestato Verlaßener einiger Erbin (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 3.ten Aprilis Anno 1724.

In einer allhier zu Straßburg ane der Kieffergaß gelegenen und der Fraun Erbin eigenthümlich zuständigen Behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Obern Cammer, In d. Soldaten Cammern
Eigenthumb ane einem Metzger Banck (…)
Eigenthumb ane häusern. It. Zween drittetheil Von und ane 2. häuser neben einander allhier in Straßburg jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. haußraths 84, Sa. Wein, brandenwein und Lährer Vaß 200, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 45, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 656, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 333, Sa. Eigenthums ane häußern 115, Sa. Eigenthums ane einem Metzigbanck 321, Sa. Schulden 18, Summa summarum 1781 lb – Schulden 90, Restirende gantze Verlaßenschafft, Conclusio finalis Inventarÿ 1690 lb
Ungewiß Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden in das Erbe Zugeltend 254 lb

Jean Jacques Kamm meurt en 1734 en délaissant trois fils. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 4 870 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 616 livres, le passif à 2 546 livres

1734 (5.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 39) n° 881
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren: und Wohl Vorgeachten Herr Johann Jacob Kamm, der geweßene Metzger und Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Freÿtags den 19. Martÿ dießer Lauffenden 1734.sten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Johann Jacob Kamm, Ledigen Metzgers, so Majorennis und ohnbevögtigt, So dann des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Philipp Gecklers des Metzgers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Martins und Johann Daniels, der Kammen, alßo aller dreÿen des verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielter Söhn und ab intestato Verlaßener rechtmäsiger Erben, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren: und tugendsame Frau Mariam Catharinam Kammin gebohrne Wurtzin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Bruders des handelsmanns und burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris (…) So Beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 5. Maÿ et seqq. Anno 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Bocksgäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Auff dem Gang, In der Magd Cammer, Im Mittlern haußöhren, In der Cammer D, In der Obern nebens Stub, In den Obern Stub Cammer, In den Obern Vordern Stub, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In des Knechts Cammer, Im Keller, Im Vordern Kelller, Im hoff
Eigenthumb ane Metzgerbäncken (…)
Eigenthumb ane häußern. (W.) Erstl. eine behausung, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Kieffergaß einseit neben Johann Friderich Schwingen dem Kieffer, and. neben H. Joh: Hermann Schwerdten dem ältern handelsmann, hinden auf die herrberg Zur Äxt stoßend (…)
(W.) Item eine Behausung, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auch in der Kieffergaß, einseit neben Bernhard Schlegel dem ältern Kübler, anderseit neben Hn. Joh: Jacob Francken dem handelsmann, hinden auff das so genante gestanckh gäßlein, dahien Sie auch einen Außgang hat, stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch vorgedachte der Satt Straßburg geschworne Werckmeistere inhalt berührter Schrifftlicher Abschatzung vom 3. May Anno 1734. æstimirt vor 900 lb. Hierüber meldet ein Teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, datirt den 8.ten Februarÿ Anno 1655. Dabeÿ ein alter teutsch. pergamenter Kauffverschreibung durch H. Jacob Küglern Contractuum Notarium gefertiget davon das Insiegel abgerißen datirt den 28.ten Maÿ Anno 1588. So dann ein pergamentener Ganth Kauffbrieff mit des Statt gerichts Zu Straßburg anhangendem Insigel corroborirt, datirt den 28.ten 7.bris 1639. alles mit alten N° 6 et 5. signirt und dabeÿ gelaßen
(W.) It. ein behaußung jenseit der Preusch oberhalb St. Niclaus Kirchen, in der Bocksgaß (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Margaretha Kammin gebohrne Dürningerin weÿl. H Johann Philipp Kammen des ältern gewesenen Metzgers und E. E. großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers, auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr sel. hinterlaßene Frau Wittib des Verstorbenen seel. eheleibliche Mutter von gedachtem Ihrem in Gott seelig entschlaffenen haußwürth Zeit lebens zu genießen hat.
Ergäntzung der Wittib angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ üebr eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1710. durch Weÿl. H Notm. Johann Reinhatd Langen nunmehr seel. consignirt aber durch H Not. Johann Daniel Langen expedit
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 204, Sa. Lährer vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 90, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 37, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 900, Sa. Eigenthum ane häußern 3630, Sa. Eigenthumbs ane einem Metzig banck 531, Sa. Schuld 75, Summa summarum 5481 lb – Schulden 605, Nach deren Abzug 4870 lb
Der Erben unverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 191, Sa. Viehes 119, Sa. heus, ohmat und Strohes 40, Sa. besserung im hoff 7, Sa. Lährer Vaß 2, Sa.Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. baarschafft 71, Sa. pfenningzinß hauptgüter 25, Sa. Eigenthumb ane einem Metzig banck 71, Sa. Schulden 1072, Summa summarum 1616 lb – Schulden 2546, In Compensatione 929 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4876 lb – Stamm Summ 3946 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend 12, so de Erben ohnverändert und theilbar 437 lb
Abschatzung dem 3. Meÿ 1734. Auff begehren Weiland deß achtbahren und bescheitenen H: Johann Jackob Kammen dëß geweßenen Mëtzgers seel. hinder Laßnen fraw wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem box gëßelin gelegen (…)
Der 2.te begrief ist auch alhie in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen, ein seits Neben Herrman schwêndt (…)
Der 3.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen, ein seits Neben Bernhardt schlegell dem Kubler, anderseits Neben Beniamin Frantz barget gremmer hinden auff daß gäßlin Zur mehren Stoßend welche behausung Stuben, hauß Ehren worinen der herdt und waßerstein oben wiedrum Stuben 2 cammern auff dem botten der Lahten hauß Ehren stubell hofflin brunen gewölbter Keller hinden einen außgang auff dem fischmärck neben gebaulein worin wahren këmerlin und holtz Cämmerlin sampt aller gerechtig Keidt wie selbs durch der Statt Straßburg geschworne wërckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen Vor und Umb Ein Tausent und acht Hundert Guldenn
Der 4.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg bestehet in Zweÿ Metzger bëncken (…)
Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Montags den 4. Augusti Anno 1710


Catherine Wurtz veuve de Jean Jacques Kamm vend la maison au marchand de cuir Jean Daniel Baur l’aîné

1734 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 285
Fr. Maria Catharina geb. Wurtzin weÿl. Johann Jacob Kamm des Metzgers wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Bruder der Lederhändler
in gegensein H. Johann Daniel Baur des ältern Lederhändlers
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Kieffer gaß, einseit neben Johann Jacob Frantz dem handelsmann anderseit neben Bernhard Schlegel dem älten kübler hinten auff das sogenannte gestanckgäßlein stoßend und einen ausgang dahin habend – um 150 und 500 pfund capitalien verhafftet – als ein elterliches Erbguth – um 650 pfund ausmachende capitalien, geschehen um 750 pfund

Fils du pharmacien Chrétien Baur de Lahr, le marchand de cuir Jean Daniel Baur achète le droit de bourgeoisie en janvier 1704.
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 748
Joh: Daniel Baur, der Lädhändler V. Lohr durlach: Herrschafft weÿl. Christian Bauren gew. Apotheckers daselbst hinterl. sohn, empfangt d. burgerrecht gratis V/ wird beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur: d. 19. Januarÿ 1704.

Il épouse en 1707 Marie Félicité, fille du marchand épicier Jean Lux Bitsch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 109-v, n° 620)
Anno 1707 den 16. Mertzen seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet word. H. Johann Daniel Bawer der ledige handelsmann weÿl. J Christian Bawren, gewesenen Apotheckers Zu Lahr hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Maria Felicitas weÿl. H. Joh: Lucas bitschen, deß geweßenen burgers und Specereÿ händlers alhier hinterlaßener Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als hochzeider, Maria Felicitas Bitschin als hochzeiterin (i 112)

Marie Félicité Bitsch meurt à l’âge de 28 ans en 1715. L’inventaire de sa succession est seulement connu par le répertoire du notaire
1715, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 145
Inventarium über weÿland Frauen Mariæ Felicitas gebohrner Bitschin H. Johann Daniel Bauren des Lederhändlers haußfrauen seel. Verlassenschafft

Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1687-1733, f° 76 n° 4)
1715. Sambstag d. 16. febr. Morgens nach 8 uhren starb fr: Maria Felicitas gebohrne bittschin, herrn daniel bauren, des burgers und Lederhändlers allhier geweßene eheliche haußfrau, war geboren den 19. Aug. 1686. und also ihres alters 28. Jahr 5. mens. v. 22. Tag. Wurde Montag darauff zu St Helenæ begraben vnd Von Mir Martino Silberrad diac. Thom. daselbst auff dem Gottesacker die leichpredigt gehalten. dieses bezeugen [unterzeichnet] Johann Daniel Baur Als Wittwers (i 78)

Jean Daniel Baur l’aîné meurt en 1749 à l’âge de 80 ans. L’acte porte par erreur qu’il est veuf de Marie Salomé Spielmann (laquelle était la femme de son fils). Ses deux fils Jean Daniel et Jean Jacques sont témoins de l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. 1741-1771, f° 58 n° 352)
Anno 1749. Mitwoch den 3. Sept. früh nach 6 uhr ist gestorben und Donnerst. den 4. ejusd. Zu St Helenæ begraben worden H Johann Daniel Bauer, sen. Lederhändler und burger alhier, seines Alters 80. Jahr (-) Monath weniger 3 tag, Seine Eltern waren weÿl. Hr. Christoph Bauer gewesenen Apothecker Zu Lahr und fr. Catharina gebohrne Saltzmännin, war verheurathet mit weÿl. fr. Maria Salome gebohrner (Sp)ielmännin, die Leichen Sermon hielte Zu St. Helenæ M. Johann Georg Schweighäuser Diac. Thom. [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als Sohn, Johann Jacob Baur als Sohn (i 60)


Jean Daniel Baur vend la maison au marchand de futaine Auguste Krieg et à sa femme Marie Madeleine Witter

1736 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 774
Johann Daniel Bauer der ältere Lederhändler
in gegensein H. Augustus Krieg des Barchethändlers und Mariæ Magdalenæ geb. Witterin
Eine Behausung, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten an der Kieffergaß, einseit neben H. Johann Jacob Frantz dem handelsmann, anderseit neben weÿl. Bernhard Schlegel des ältern küblers erben, hinten auff das sogenannte gestanck: gäßlein hinder der zunfft stub zur Möhrin und einen ausgang dahin habend – um 500 pfund verhafftet, dem Verkäufer seith den 2. Augusti 1734 da er selbige erkaufft hat eigenthümlich zuständig – umb 1300 pfund

Auguste Krieg temine en 1723 son apprentissage de trois ans chez son père (barbier)
1725, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 4) Dienstags den 24. April 1725 – Augustus Krieg erscheint vnd bit seiner beÿ seinem H. Vatter vom 16. April 1720 biß dato 1723. ausgestandener Lehrjahr verschreibung. Erkand, willfahrt (dt. 1. lb 6 ß, 5 ß gcht)

Fille de l’orfèvre Jean Michel Witter, Marie Madeleine Witter épouse en 1726 le marchand de futaine Jean Giess : contrat de mariage, célébration
1726 (18. Dec.), Not. Marbach (Jean 34 Not 8) f° 60-v

Eheberedung – zwischen den Ehren und vorgeachte Herrn Johannes Gießen, dem Barchethändlern burgern und Wittwern allhier Zu Straßburg als dem Brautigamb ane einem,
So dann der viel Ehr: und tugendsamen Jungfer Maria Magdalena gebohrne Widderin, des Ehrengeachten und Kunsterfahren Herrn Johann Michael Widders deß Silberarbeiters, und auch burgers allhier Ehelichen tochter, als der Jungfer Hochzeiterin andern theils
So beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 18. deß Monaths Decembris Anni 1726.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 48-v n° 188)
1727. Mittw. d. 12. febr. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Joh: Gieß der barchethändler, wittwer v. b. alhier v. Jgfr. Maria Magdalena H Michael Widters b. v. silberarbeiters ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Gieß alts hochzeiter, Maria Magdalena Wittnerin als hochzeiderin, benjamin frantz als stifvatter Johannes Jacobus Witter, Log. et Mat. P. P. ord. als Bruder (i 52)

Elle se remarie en 1731 avec Auguste Krieg, fils du chirurgien Auguste Krieg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusto Kriegen, dem leedigen nunmahligen barchet händlern, Weÿland des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusti Kriegen, geweßenen Chirurgi und burgers allhier nun seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ehelichem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Mariæ Magdalenæ Gießin gebohrner Widderin, weÿland des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Gießen geweßenen Barchethändlers und burgers allhier, nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, als der Frau hochzeiterin ane dem andern theil (…) So Beschehen und Verhandelt seind dieße ding in der Löblichen Statt Straßburg Dienstag den 3. Junÿ im Jahr des Herren alß man nach unsers einigen Erlößers heÿlandts und Seeligmachers Jesu Christi Gnadenreiches Geburth und Menschwerdung Zahlte 1731. – Johann Daniel Lang Notarius publicus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 93-v n° 341)
1731. Mittw. d. 25. Julÿ sind nach 2. maliger proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word: H. Augustus Krieg, der Ledige Barchethändler v. b. alhier, weÿl. H. Augustus Kriegen, geweß. b. v. Chirurgi Nachgel. ehel. Sohn vnd fr. Maria Magdalena weÿl. H Joh: Gießen Geweß. b. v. Barchethändlers Nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Augustus Krieg als hoch Zeither, Maria Magdalena Gießin als Hochzeiterin (i 98)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Vieux-Marché-aux-Poissons près du poêle de la Mauresse. Ceux du mari s’élèvent à 378 livres, ceux de la femme à 542 livres.
1733 (24.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 43) n° 395
Inventarium über des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Augusti Kriegen, des barchethändlers und der Ehren und tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Widderin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1733. – allweilen in ihr beeder mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to außdrucklichen Versehen, daß eines jeeden in die Ehe gebrachte Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben – So beschehen Zu Straßburg auff Dienstag den 24.ten Martÿ A° 1733.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem undern Fischmarckt ohnfern der Zunfftstuben Zur Möhrin gelegenen behaußung befunden worden, wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachte Mittel, Sa. Haußraths 32, Sa. Müntz Cabinets 100, Sa. Silber Geschmeids 19, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 200, Summa summarum 359 lb – Wann nun hierzu gerechnet wird die ane hernach beschribenen Haußteuren dem selben gebürige helffte 19 lb, So belaufft sich sein des Eheherrn völliger in die Ehe gebrachtes Guth dem vero pretio nach auf 378 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 103, Sa. Silber geschmeids 18, Sa. goldener Ring 17, Sa. baarschafft 382, Summa summarum 523 lb – Darzu gelegt die ane hernach beschriebenen Haussteuren deroselben gebührige helffte anlangend 19 lb, Beträgt demnach Ihro der Ehefrauen gesambter in die Ehe gebrachte Nahrung dem vero pretio nach 542 lb

Auguste Krieg meurt en 1741 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 1 100 livres. La masse propre à la veuve est de 455 livres, celle des héritiers de 375 livres. L’actif de la communauté s’élève à  2085 livres et le passif à 2 418 livres. On remarque que Jean Daniel Baur qui a vendu la maison est cité sous le nom de Jean Daniel Braun.

1741 (16.7.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 74) n° 653
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehren und Großachtbaren H. Augusti Kriegen geweßten Barchet händlers und Burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1741. – nachdeme derselbe den (-) dießen lauffenden 1741. Jahrs Von dem lieben Gott aus dießer Welt seel. abgefordert worden, Zeitl. hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren S. T. Herrn Johann Friderichs Von Gottesheim, Mit Obrigkeit Zu Geÿderthein und E. E. Kleinen Raths auch Löbl. Policeÿ Gerichts alten wohlmeritirten Assessoris und Vornehmen burgers allhier, als geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ, so in die Zehen Jahr, Philipp Jacobs, so in die Acht Jahr, und Johann Friderichs, so in die Sieben Jahr alt, der Kriegen, aller dreÿ des abgeleibten Herrn Kriegen mit der Vil Ehren und Viel Tugendreichen Frauen Maria Magdalena Kriegin gebohrner Witterin, deßelben geweßten Ehagattin und nunmahliger Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato verlaßener Erben, inventirt durch sie die hinterbliebene Frau Wittib mit beÿstand S. T. Herrn Johann Friderich Kürsteins, Silberarbeiter und Burgers allhier, deroselben H Schwagers und hierzu erbettenen Assistenten, ingleichem Margaretham Debusin Von hier gebürtig, die dienstmagd im hauß (…) So beschehen Zu Straßb. in fernerer Gegenwarth der Wohl Ehren u. Viel tugendgezierten Fr. Annæ Mariæ Kriegin gebohrner von Gottesheim Herrn Augusti Kriegen, geweßten berühmten Chirurg Wundtartzts und Burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib des abgeleibten seeL ehel. Frau Mutter auff Sambstag den 16. Septembris Anno 1741.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kieffer Gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörig und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 8) Ane Höltzen und Schreinwerck. Soldaten Cammer, Auff der Bühn, vor die Soldaten Cammer, In der Schwartz getüch Cammer, Auff dem 2. Stockwerck In der Vordern Stub, Im obern Hauß Ehren, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller, Im Gewölb
(f° 12) Eigenthumb ane eine Behausung (T.) Eine Behaußung höfflein, bronnen und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Kieffer Gaß, einseith neben Hn Benjamin Frantzen, dem Barchet händlern, anders. neben Joh: Weber, dem Meßerschmidt, hinten auff herrn Düriningers, des leedigen handelßmanns Fabrick, auch Zum theil auff das so genandte gestanck Gäßel, hinter der Zunfftstub Zur Möhrin stoßend und einen außgang dahien habend, so freÿ ledig und eigen, maßen die darauff gestandene Capitalia wie à tergo hernach allegirten brieffs, deßgleich in regist. Cancell. Contract de A° 1736. fol. 774.a et A° 1734. fol. 39.a Zusehen, baar bezahlt und angelöst worden, welches hauß durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conceptum gelieferter Abschatzung Vom 11. dieses Monats Septembris 1741. Angeschlagen pro 2200 gulden oder 1100 lb. Darüber besagt i. teutscher Pergament Kauffbr. in allh. C: C: stub gefertiget u. m. deroselben Anhang; Insiegel Verwahret, Weißend, wie der Verstorbene H Krieg und deßen nunmahlige Fr. Wittib solche behaußung H. Joh: Daniel Braunen dem ältern lederhändlern und burgern allhier aberkaufft haben datirt d. 3. 7.bris 1736.
(f° 18) Ergäntzung der Fr: wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßter Ehepersohnen einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung, durch mich Notarium d. 24. Martÿ Anno 1733. auffgerichtet
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, vid. Ext. Prot. Sub N° (-), Copia Codicill Reciproci
Der Frau Wittib eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 25, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring, 7, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung (415, Abgang 1, verbleibt) 413, Summa summarum 530 b – Schuld 75, Nach deren Abzug 455 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnveränderten Vätterliches Guth beschrieben, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 1, Sa. Schuld 75, der Erben ohnveränderten guths (349, abgang 2, Nach deren Abzug) 347, Summa summarum 450 lb – Schulden 75 lb, Compensando 375 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 31, Sa. Gewerbswaaren 933, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 13, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1100 lb, Summa summarum 2085 lb – Schulden 2418 lb, Theilbares passiv onus 333 lb
Stall Summ 498 lb
Wÿdembs Verfangenschaft, So eingangs gedachte Frau Anna Maria Kriegin gebohrne von Gottesheim weÿl. H Augusti Kriegen des ältern geweßenen berühmmten Chirurgi und Wund artzt allhier seel. hinterbliebene Wittibn des letst Verstorbenen Jüngern H Kriegen seel. eheleibl. Fr. Mutter Zeit lebens Zu genießen
Copia der Eheberedung (…) So Beschehen und Verhandelt seind dieße ding in der Löblichen Statt Straßburg Dienstag den 3. Junÿ 1731. – Johann Daniel Lang Notarius publicus
Copia beeder geweßter Ehepersohnen mit einander auffgerichteten Codicilli Reciproci. 1739. (…) auff Montag den 10. Augusti, persönlich kommen und erschienen der Wohl Ehren und wohl achtbare Herr Augustus Krieg, barchethändler auch mit und beneben Ihme die Viel Ehr und tugendgezierte Frau Maria Magdalena Kriegin gebohrne Witterin bede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, De Herr Krieg Zwar etwas Krancken und ohnpäßlichen Leibes, auff einem bette liegend (…) Johann Daniel Lang Notarius publicus
Abschatzung dem 11. Sept : 1741. Auff begëren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Augustuß Krieg deß geweßenen handelßmann seel. hindter Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Kufer gaßen gelegen ein seitß Neben H Frantz Beniamin dem Parchethändler, anderseitß Neben Johannes wëber dem mëßerschmidt hindten auff H Turingerß fabrick stosßent, welch behausung undten einen kleinen Lahten mit diellen verschlagen hinden daran ein gewölbell Zu wahren ein schmalleß hauß Ehren daß höffell undt bronen einen auß gang auff dem fischmärck, gewölbter Keller oben dar über, Zweÿ Stock über ein andter ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt worüber daß tach mit Zweÿ Kleinen binen, in der undtern die soldaten Kammer, ein alter tach stull sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß Nach angeschlagen wirdt vor und Umb Zweÿ Tausendt und Zweÿ hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 000 florins
1742, Livres de la Taille (VII 1179) f° 119-v
Spiegel N. 8491 – Weÿl. Augusti Kriegen gewesenen Barchet händler und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H Not. Lang
Concl. fin. Inv. ist Fol. 115 – 495. 6. 9 ½, die machen 1000 fl. Verstallte nur 900 fl. Zu wenig 100 fl.
Nachtrag auff acht Jahr in duplo à 6 ß – 2 lb 8 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo à 3 ß – 18 ß
Extat das Stallgelt pro 1742 – 2 lb 14 ß
Gebott 3 ß
Abhandlung – 15 lb 6 ß – Summa 6 lb 18 ß 6 s
auf bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 18 ß – Restirt 6 lb 6 ß
dt. 9. Aprilis 1742.

Les marchands de futaine s’adressent aux Quinze pour que la veuve d’Auguste Krieg ne fasse pas en même temps commerce de futaine et de plumes.
1747, Protocole des Quinze (2 R 157, (registre endommagé)
(p. 432) Sambstags d. 2. Septembris – Augustus Kriegen wittib Ca. Barchet Krähmer
Faust nôe derer hießigen Barchet Krähmer C. weÿl. Augustus Kriegen wittib, weilen citati MGhh bescheid vom 17. Julÿ Jüngst entgegen den Barchetkram, Federhandel Zugleich continuirt, als bitt unterth: Ihro 8. tag sub pœna amissionis beneficÿ optionis anzusehen einen oder den anderen Zu erwahlen, ref. exp: Roemer Ca. erstgedachte Barchet Krähmer und E. E. Zunfft Zum Spiegel Hn Zunfftmeister, prod. unterth. Memor: und bitten, Faust ohne præjuditz vorherigen begehren bitt cop. et T. O. Rœmer laßts Zu, und wegen dem Zunfftmeister Zum Spiegel berufft sich auff den botten /:Ille des citati Ehefrau angelegt:/ Erk. pt° des ertern begehren in suspenso Zu laßen pt° des andern cop: und T. O. Zugelaßen und solle dem Zunfftmeister E. E. Zunfft Zum Spiegel beÿ straff gebotten werden.

(p. 605) Sambstags d. 9. Decembris – Barchet Krähmer Ca Augustus Kriegen wittib
Faust nôe derer allhiesigen Barchet Krähmer Ca. weÿl. Augustus Kriegen wittib, Auff gghh. Memoriale prod. Exceptiones, Rœmer bitt cop. et depp.on Faust laßt cop. Zu und bitt auch umb depp.on Erkandt cop. et depp.on Obere Kauffhauß Hn.

Marie Madeleine Witter meurt en 1763 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 540 livres, le passif à 428 livres. Le notaire expose la maison aux enchères. La succession se rend propriétaire de sa propre maison.

1763 (22.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 721) n° 472
Inventarium über Weÿland der Viel Ehr: und tugendreichen frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Witterin, längst weÿl. H. Augusti Krieg des geweßenen barchethändlers und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener fr. Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1763. – als dieselbe Montags den 16. Maÿ dießes lauffenden 1763.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 22. Junÿ Anno 1763.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. frau Mariam Magdalenam Ottin gebohrne Kriegin, Herrn David Ott Rothgerbers und Lederbereiters auch Burgers allhier Zu Straßburg frau Eheliebstin, so unter assistentz deßelben dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, in den Ersten dritten Stammtheil. 2. Herrn Philipp Jacob Krieg den leedigen handelßmann so sich dermahlen in Berlin in Condition aufhält in deßen Nahmen S. T. herr Joachim Friderich Kirstenstein, Vornehmer Silberarbeiter und Es En Großen Raths dermahliger wohlverdienten beÿsitzer und burger allhier, als sein geehrter Hr Oncle, und ehemaliger geschworner Hr Vogt beÿ der Invantation Zugegen war, in den Zweÿten dritten Stammtheil, So dann 3. herrn Joh: Friderich Krieg, den ebenmäßigen Seiden Knöpffmacher und nunmahligen Barchethändler und burger allhier so sich in Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, in den dritte und& Letzten Stammtheil, Alßo alle dreÿ der Verstorbenenn Frauen seel. mit Ihren Verstorbenen Ehemann seel. ehelich Erzeugte und nach todt Verlaßener beeder Hh. Söhne und Eine Frau tochter, als Zu dreÿen gleichlingen portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kieffergaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane eine Häußeren. Erstl. Eine Behaußung, Höffl. Bronnen u. hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Kieffer Gaß, einseith neben Hn Philipp Jacob Dürr dem Caffée sieder u. burgern allhier, 2. seith neben Joh: Jacob Weber, dem Meßerschmidt, hinten auff Herrn Johann Michael Greiner den Kieffer Weinh. und Burger allhier Zum theil auff das so genandte Gestanck Gäßlein, hinter der Zunfftstub Zur Möhrin, stoßend und einen Außgang dahien habend, so freÿ ledig und eigen, und isch solche durch (die Werckmeistere) l. Abschatzungs Zeduls Vom 1. Julii A° 1763. æstimirt pro 1200 fl. oder 600 lb. Darüber besagt ein teutsch. Perg: Kffbr. in allh. C: C: Stub gef: u. m. deros. Anh; Ins. Verw: & Weißend, Wie der Verstorbene Hr Krieg und deßen nun auch Abgeleibten Fr. W. solche behaußung Herrn Joh: Daniel Braunen dem Ältern Lederh. u. b. allh. aberkaufft haben dat. d. 3. 7.bris 1736.
Item eine Kleine Behaußung u. hoffstatt im Zwinger Zwischen denen beiden Metzger und Spithal Thoren (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 68, Sa. Wahren zum Barchethandel gehörig 640, Sa. Wein und Lehrer faß 6, Sa. Silbers 3, Sa. goldenen Rings 1, Sa. pfenningzinß und deßen hauptguths 204, Sa. Eigenthums ane häußern 615 lb, Summa summarum 1540 lb – Schulden 428 lb, Nach deren Abzug 1111 lb
Stall Summ 1318 lb
– Auf Ansuchen eingangs gedachter Weÿland frauen Mariä Magdalenä Kriegin geb. Witterin, seel. nachgel. Kinder und deren respê H Mandatarÿ Wurde die Ihnen Vor Mütterlicher Erbschafft gehörige ane der Kieffer Gaß gelegene Behaußung einseith neben Hn Philipp Jacob Dürr dem Caffée sieder, 2. seith neben H. Joh: Jacob Weber, dem Meßerschmid, hinten auf Hn Johann Michael Greiner den Weinhändler Zum theil und Zum theil auf das so genandte Gestanck Gäßlein, hinter E. E. Zfft Zur Möhrin, woselbst hin solche Behaußung auch einen Außgang hat stoßend, sambt allen deren Recht und Gerechtigkeiten, Vor freÿ leedig eigen, weßwegen Kriegische Erben die wehrschaft Versproch. nach deme solche Vorher durch das wochenblättel und den geschworne Außruffer Kund gemacht worden (…) einer freÿwilligen Versteigerung unter Nachgesetzten Conditionen außgesetzt. 1. Solle solche behausung Vor freÿ leedig eigen außgeruffen werden pro 3500 fl. (…)
außgeruffen pro 3500 fl. Worauff dann Hr. Bergmann gebotten 3510 fl. Welcher dann declarirt, daß Er solches Gebott Vor und im Nahmen gesambte Erbschafft gethan – Straßburg d. 19. 7.bris 1763 [unterzeichnet] Christian Ehrenfried Bergmann

Les héritiers passent une vente provisoire devant notaire. Le courtier Jean Daniel Bex achète la maison moyennant 1 950 livres

1763 (19. Xbr), Not. Langheinrich (6 E 41, 743) n° 193
weÿl. fraun Maria Magdalena Kriegin geb. Witterin die verwittibte barchethändlerin seel. Verlaßenschafft dreÿen Kinder und erben ane einem
So dann H. Joh: Daniel Bex der Statt Straßburg geschwornen Courtier andern theils
dero Mütterl. an der Kieffergaß gelegene behaußung, einseit neben H. Dürr dem Caffetier 2.s neben H Weber dem Meßerschmidt hinten auf das gäßel hinter der Mörin Zunfft Stub stoßend – um 2900 gulden

Les enfants et héritiers Krieg vendent la maison au cordonnier Jean Jacques Scær et à sa femme Catherine Barbe Michel

1764 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 1
H. Philipp Jacob Krieg der handelsmann und deßen bruder H. Johann Philipp Krieg der barchethändler, mehr deren schwester Fr. Maria Margaretha geb. Kriegin H. Johann David Ott des rothgerbers ehefrau
in gegensein Johann Jacob Scaer des schuhmachers und Catharinæ Barbaræ geb. Michelin [unterzeichnet] scärr
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kieffergaß einseit neben Johann Philipp Dürr dem caffesieder, anderseit neben Jacob Weber dem meßerschmitt, hinten auff das sogenannte getranckgäßel hinter der zunfft zur Möhrin und einen außgang dahin habend – als ein elterliches erbguth

Fils du prévôt d’Abtweiler près de Kreuznach en juridiction de Stein-Kallenfels, Jean Jacques Scær épouse en 1756 Marie Salomé Carl, fille du cordonnier Jean Jacques Carl : contrat de mariage, célébration
1756 (22.9.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1289) f° 249
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Hr Johann Jacob Scär ledigen schuhmacher von Abtweiler freÿherrlichen Stein Kalenfelßischer Herrschafft gebürtig, H Christian Scär des Vormahligen Schultheißen zu gedachtem Abtweiler mit weÿland frauen Anna Maria gebohrner Götzmännin ehelich erziehltem Sohn, welcher seines Vatters consens zu haben hiebeÿ versicherte, alß dem Hochzeiter beÿständlich S° T° H Johann Christoph Görmann Hochadelichen Schaffners und vornehmen Burgers allhier ane einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Maria Salome Carlinn weÿland H Johann Jacob Carls geweßenen schuhmachers und burgers allhier mit frauen Maria Salome gebohrner Dannenberherin seiner hinterbliebenen wittib dermahlen H Johann Düringers auch schuhmachers und burgers allhier Ehefrauen erzielhter tochter, alß der Jungfr. Hochzeiterin mit assistentz H Johann Melchior Haaß des Zimmermeisters und burgera dahier ihres geschwornen und noch ohnentledigten Vogts ane dem anden theil
Straßburg den 22. Septembris Anno 1756 [unterzeichnet] Jacob Scär Als Hoch Zeitter, Maria Salome Carlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 154, n° 19)
1759. Mittwoch den 35. April wurden nach zweÿmahliger Außruffung, in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai Ehelich eingesegnet Johann Jacob Scär Schuhmacher, burger alhier, H. Christian Scär Schultheiß in Äbtweiler Steincalenfelßischer Herrschafft Ehelicher Sohn, v. Jgf. Maria Salome Carlin, weÿl. Johann Jacob Carls gew. Schumachers v. burgers allh. hinterlaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Joh: Jacob Scärr Als hochzeiter, Maria Salome Carlin als hochzeit (i 156)

Marie Salomé Carl meurt en 1763 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de sa mère à l’angle de la rue du Maroquin et de la place aux Cochons de lait. La masse propre aux héritiers s’élève à 61 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 88 livres, le passif de 198 livres.
1763 (13.4.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1283) n° 387
Inventarium über Weÿl. Frn Mariæ Salome Scärin gebohrener Carlin, Hn Johann Jacob Scär burgers und Schuhmachers alhier Zu Straßburg geweßener Ehelich hausfrauen seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1763. – nach ihrem am 18.ten Novembris jüngsthien genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H Leonhard Haaß, Zimmermanns und burgers alhier als geschwornen Vogts Mariæ Susannä, Mariæ Elisabethæ und Johannis Jacobi, dießer dreÿen Scären, so die Verstorbene selig mit nachgemelten ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelichen erziehlt und ab intestato Zu dreÿen gleichen portionen und antheileren Zu Kinder und rechtmäsigen Erben verlaßen (…) So beschehen alhier Zu Straßburg den 13. Aprilis 1763.
In einer alhier Zu Straßburg ane der genanten S Urbans gaß am eck des Ferchels marckts der großen Metzig hinüber gelegenen der Carlischen Wittib und Erben eigenthümlich zuständiger behaußung folgender maßen befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 35, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Goldene Ring 10 ß, Sa. activ Schuld 25, Summa summarum 61 lb
Dießmnach Würd auch die übrige Verlaßenschafft unter einem titul als theilbahr beschrieben, Sa. haußraths 18, Sa. Werckzeug und leder 15, Sa. Silber 3, Sa. activ Schulden 50, Summa summarum 88 lb – Schulden 198 lb, Compensando 110 lb
Conclusio finalis 48 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 25. Septembris 1756, Johann Jacob Heß Notarius juratus

Jean Jacques Scær se remarie en 1763 avec Catherine Michel, fille du serrurier Jean Georges Michel et de sa femme Marie Catherine Immendœrffer
1763, Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1290) répert. 6 E 41, 1267-2 n° 339
Eheberedung – Johann Jacob Scär Schuemacher
Catharina Barbara Michelin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 3-v, n° 6)
1763 den 3. des Augstmonats wurden nach gewöhnlichen Aufbieten in der Kirche Zu St Nicolai ehelich getraut Johann Jacob Scär Schuhmacher, burger u. wittwer alhier und Jungfr. Catharina Michelin Johann Georg Michels, des Schloßers u. burgers allhier mit Maria Katharina Immendörferin seiner Ehefrauen erzeugte tochter, [unterzeichnet] Joh: Jacob Scärr Als hochzeitter, Catharina Barbara Michelin als Hochzeiterin (i 6) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 430) 24 et 31 juillet 1763 (i 435)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 100 livres, ceux de la femme à 166 livres.
1767 (10.6.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1285) n° 441
Inventarium über Herrn Johann Jacob Scär Schumacher und Frauen Catharinæ Barbaræ geb. Michelin, beeder Eheleuthen und Burgeren alhier in die Ehe gebrachter Nahrungen auffgerichtet Anno 1767. – und kraft deren mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben, als ein ohnverändert und Vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung derselben expressé reservirt, conditionirt und bedungen (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beÿseÿn H Georg Michel, Schloßer u. b. alh. der Ehefr. leibl. Bruder und erbettenen beÿsandts den 10.ten Junÿ 1767.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögen, Sa. haußraths 95, Sa. Silbers 4, Summa summarum 100 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung consignirt und beschrieben Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 9, Sa. Guldenen Rings 6, Sa. baarschafft 97, Summa summarum 166 lb.

Jean Jacques Scær loue pendant les foires une boutique à Jean Gaspard Werdmüller de Zurich.

1780 (23.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1075) n° 33,
Lehnung – H. Johann Caspar Werdmüller von Zürich ane Einem so dann
H. Johann Jacob Scär schuhmacher meister zu Straßburg am anderen theil
1. überlaßt H. Scaer auf 9 nacheinander folgenden jahren nemlich von weÿnacht meeß dieses laufenden Jahrs angerechnet bis anno 1789 inclusive der Johani Meeß also zusammen auf 18 hiesige meesen, in seiner eigenthümlich in der Kieffer gaß zu Straßburg gelegenen behausung einseit neben dem Caffé hauß zu den dreÿzehen Cantonen genannt und anderseit neben H. Johann Jacob Weber dem meserschmid, den gantzen laaden ebenes fußes, nebst dem daran stosenden Comptoir und auser dem selben in dem höfflein befindlichen Plätzlein leere Kisten dahin zu stellen, welches Er mit einem behörigen dach auf seinen Cösten bedecken wird
(bedingungen) 2. soll H. Scär den Laaden mit nöthiger gestellen tisch und stühlen versehen wie auch obigen H. Werdmüller in beÿden Meesen den nöthigen Kertzen und liechter anschaffen und in der weÿnacht meß das Comptoir von seinem holtz einheitzen laßen – um 125 livres de france für jede meeß

Les Quinze remettent à Jean Jacques Scær et à sa femme Catherine Wilhelm [sic] une attestation par laquelle ils sont exemptés de taxe lors de la vente d’une maison dans l’ouvrage à corne de Kehl
1781, Protocole des Quinze (2 R 191)
Jacob Scär, Catharina gebohrne Wilhelm freÿzug mit Kehl
(p. 279) Sambstags den 30.sten Junii 1781.
Idem [Osterrieth] nomine Jacob Scär, des burgers und schuhmachers und dessen ehefrauen Catharina gebohrner Wilhelm producirt unterthäniges memoriale juncto petito Attestati den freÿzug mit Kehl betreffend. Erkandt, wird mit gebettenen attestato willfahrt in folgenden Terminis
Wir die geheimr Räthe der Stadt Straßburg die Fünff Zehen genant urkunden und bekennen hiemit, wie daß Johann Jacob Scär, der hiesige burger und schuhmacher undt dessen ehefrau Catharina gebohrne Wilhelm uns per memoriale geziemend vortragen laßen daß sie ein hauß nebst garten in dem Hornwerck zu Kehl theils Erblich theils Käuflich erhalten, welches sie dermalen Zu verkaufen und den Erlöß davon zu beziehen gedencken, solcher wolle ihnen aber ohne abzug nicht gefolget werden, es wäre dann daß sie bescheinigen würden, daß die Margraf Baadische ländt ins besonders das hornwercl Kehl mit hiesiger Stadt freÿzügig seÿe, dahero sie Ins umb unser Attestatum in unterthänigkeit gebetten, da wir um auf die von dem hochfürstlich Margraf Badischen Amt Zu Kehl unterem 10.ten Aprilis 1769. ausgestellte reversales wegen reciprocitæt des freÿen Zugs die dasige unterthanen seithero freyzügig gehalten auch fernerhin Zu halten mitschlossen falls das nemliche gegen die hiesig. angesessene alldort wird beoachtet werden, als haben wir mit dem begehrten Attestato um Zu Angezeigtem ende um so willigen hiemit willfahren wollen, deßen Zu wahrer urkund und merhern bekräfftigung wird solches durch unsern secretarium ausferigen und nebst fürdruckung unsers secret Insigels unterschrieben laßen, Straßburg den 30.sten Junii 1781.

Leur fils et héritier pour moitié Philippe Jacques Scær, commis des Ponts et Chaussées, épouse en 1803 Marie Elisabeth, fille naturelle du chirurgien Guillaume François Salles Dartillon et de Marie Elisabeth Kreuter : contrat de mariage, célébration

1803 (1 floréal 11), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber N° 4361 (1030)
Eheberedung – erschienen burger Philipp Samuel Scär, Commis principal des ponts et Chaussées de cet arrondissement, b. Johann Jacob Scär Schumachers allhier mit weil. Maria Catharina geb. Michel erzeugter lediger Sohn als breütigam grosjärigen alters gleichwol beÿständ. seines geliebten Vaters
und b. Margaretha Rosina D’artillon, weiland b. Mariæ Elisabethä Kreuter, letztmans b. Johann Gottfried Bleÿ Schloßers alhier geweßener Ehefraun im ledigen stand erzeugte tochter unter assistentz solches ihres Stiefvaters
Straßburg den ersten floreal im eilften Jahr der Republick [unterzeichnet] Philippe Samuel Scaer, Marguerithe Rosine d’Artillon

Mariage, Strasbourg (n° 24)
Du troisième jour du mois de Brumaire l’an douze de la République française. Acte de mariage de Philippe Samuel Scaer, âgé de 34 ans, Emploïé Principal des ponts & chaussées né en cette ville le 17 octobre 1779, y domicilié, fils légitime de Jean Jacques Scaer, Cordonnier, ci présent & feue Catherine Barbe Michel, Et de Marguerite Rosine Salles D’artillon, âgée de 21 ans accomplis, née en cette ville le 19 décembre 1781, y domicilié, fille née hors la mariage de feu Guillaume François Salles D’artillon, Docteur en Médecine, et de feüe Marie Elisabeth Kreuter,duement autorisée à cet effet par Jean Geoffroi Bley, Serrurier, son tuteur, ci-présent (signé) Ph. S. Scaer, Marguerithe Rosine Salles d’Artillon
[in margine :] Salles D’artillon remplacé par Kreiter. Cette rectification a été faite en exécution d’un jugement du Tribunal civil séant à Strasbourg en date du 21 décembre 1808. (i 15)

Marie Elisabeth Dartillon fait dresser l’inventaire de ses apports (6802 francs) dans la maison Scær rue des Tonneliers.

1804 (29 prairial 12), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1975, 5832
Inventarium über burgerin Margaretha Rosina Dartillon burgers Philipp Samuel Scaer commis principal des Ponts et Chaussées du deuxième arrondissement allhier wohnhaft, in ihrem den 3. brumaire lezthin angetrettenen ehestand zugebrachte Nahrungen, in der vor unterschr. Not. den 1 floreal 11 passirten Eheberedung (vorbehalten haben)
in einer an der Kiefergaß gelegenen des Ehemanns elterlichen behausung
hausrath 474, 715, 317 fr, silber, haussteur 134 fr
Anteil Einer behausung so der Ehefrau in die Ehe gebracht, Nemlich den 5.ten theil für unvertheilt Einer behausung bronnens und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, und zugehörden gelegen alhier a der Kuppelgaß Numero 5 einseit neben der Gastherberg zum Raben samt 21 großen faßen in 11 gebunden circa 785 hl enthaltend, Einen zehnten theil hieran hat dieselbe vermög des vor mir Notario den 11 pr 12 passirten Vergleichs von burger Johann Gottfried Bleÿ ihrem Stiefvater käuflich angenommen, der übrige zehnten theil ist ihro als mütterlichen Guth zuständig
berechnung gegenwärtigen Inventarii, hausrath 1506 fr, silber 191 fr, baarschafft 504 fr, behausung 4600 fr, summa summarum 6802 francs
Enregistrement, acp 92 F° 63-v du 30 pr. 12

Registre de population 600 MW 67, 1815 sqq, Rue des Tonneliers 7 (p. 600)
Scär, Jacques, 1727, beuf, Offwiller, (à Strasbourg depuis) 1751, décédé le 20 fev. 1818
id. Philippe, 1769, Empl., Strasbourg, décédé à Schlestatt
id. née Berg, Margueritte, 1782,Ep. Strasbourg, dél. marché neuf 2
Sommer Chrétien Conrad, 1779, Cordonnier, Saarbruck (depuis 1799), mort le 27 Mars 1823
id. née Scär, Dorothée, 1779, Strasbourg, dél. même rue 4

Après la mort de Jean Jacques Scær en février 1818 (voir ci-dessus), le cordonnier Chrétien Conrad Sommer et Marie Dorothée Scær cèdent leur moitié de maison à leur cohéritier Philippe Samuel Scær et à sa femme Marguerite Rosine Kreuter

1818 (30.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), Not. Hickel, n° 52
Chrétien Conrad Sommer, cordonnier, et Marie Dorothée Scaer
à Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt tant en son nom et qu’au nom et comme mandataire de Marguerite Rosine Kreuter son épouse
la moitié d’une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances appartenant à la venderesse par indivis avec le Sr Scaer acquéreur son frère propriétaire de l’autre moitié sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon cafetie, d’autre en partie le Sr Lauth avoué en partie le Sr Greiner marchand de vins, devant la rue des Tonneliers , derrière rue des étals où ladite maison a une issue est est marquée du n° 3 – avec les croisées, les chantiers dans la cave, les rayons, bancs, comptoir, doubles portes servant au magasin aux époques de foires
Echue à la venderesse dans la succession de Jean Jacques Scaer cordonnier et Catherine Barbe née Michel ses père et mère dont elle est héritière pour moitié avec le Sr Scaer son frère – acquis la totalité des héritiers Krieg par acte passé à la Chambre des contrats le 2 janvier 1764 – moyennant 5161 francs
Enregistrement, acp 139 F° 118 du 3.7.

L’acquéreur loue le lendemain la maison entière au vendeur

1818 (1.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), Not. Hickel n° 53
Bail de 3 années à commencer le 24 juin dernier – Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt
à Chrétien Conrad Sommer, cordonnier, et Marie Dorothée Scaer
la moitié d’une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances appartenant à la bailleresse par indivis avec le Sr Scaer acquéreur son frère propriétaire de l’autre moitié sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, avec les croisées, les chantiers dans la une maison sise sur rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon cafetier d’autre en partie le Sr Lauth avoué en partie le Sr Greiner marchand de vins, devant la rue des Tonneliers, derrière la rue des étals où ladite maison a une issue est est marquée du n° 3 – déclarant la bien connaitre l’ayant habitée depuis nombre d’années avec bancs, comptoir, doubles portes servant au magasin aux époques de foires
art. 6, s’il convenait au bailleur pendant la durée du présent bail d’établir son domicile à Strasbourg, les preneurs seront tenus de faire mettre à sa disposition le deuxième étage avec appartenances de la maison louée à charge de payer le même loyer qui aurait été payé par les sous locataires
art. 8, seront tenus en raison des deux foires qui se tiennent chaque année dans cette ville d’évacuer le magasin au rez de chaussée 10 jours avant l’ouverture de chaque foire et de tenir à disposition des locataires pendant la durée de la foire un lit complet à placer dans le comptoir du magasin – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 139 F° 118-v du 3.7.

Originaire de Saint-Jean près de Sarrebruck, Chrétien Sommer épouse Marie Dorothée Scær en 1808
1808 (15.3.), Strasbourg 5 (25), Not. F. Grimmer n° 4947
Contrat de mariage – Chrétien Sommer, cordonnier en cette ville, fils de Jacques Sommer, cordonnier de St Jean près de Sarrebrück, et de feu Jeannette née Hensi
Marie Dorothée Scaer, fille de Jean Jacques Scaer, cordonnier, et de feu Catherine née Michel
Enregistrement, acp 105 F° 38-v du 28.3.

La part de maison provenant de la mère de l’épouse figure à l’inventaire des apports
1808 (6.9.), Strasbourg 5 (26), Not. F. Grimmer n° 5212
Inventaire des apports de Chrétien Sommer, cordonnier ,et de Marie Dorothée née Scaer, assitée de Jean Jacques Scaer, cordonnier son père – contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 19 mars dernier
dans la maison des conjoints rue des tonneliers n° 7
la femme, meubles 403 fr, bijoux 42 fr
le mari, Immeuble, une partie d’une maison rue des tonneliers n° 7 comme bien maternel, pour note – total 645 fr, numéraire 200 fr, présents de noces 321 fr
Enregistrement, acp 107 F° 100-v du 10.9.

La maison revient à Marie Dorothée Scær en qualité d’héritière de son frère Philippe Samuel Scær. Lors de la vente aux enchères, la veuve Marguerite Rosine Kraeuter s’en rend acquéreuse

1828 (21.2.), Strasbourg 4 (66), Me Hatt n° 3914
Adjudication préparatoire le 28 janvier n° 3957, Dépôt du cahier des charges 26 novembre n° 3749 – Adjudication définitive – Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier en qualité d’héritière sous bénéfice d’inventaire de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées demeurant à Schlestadt, assistée de M° Louis Auguste Eissen son avoué (…) suivant jugement du 12 octobre et procès verbal d’experts du 25 octobre entériné par jugement du 20 courant
Cahier des Charges, à la requête de Marie Dorothée Scaer (…) héritière de son frère.
à Jean Jacques Thomas, lequel déclare avoir enchéri pour Marguerite Rosinne Kraeutter autrefois Dartillon veuve dudit défunt Samuel Scaer, conducteur des Ponts et Chaussées à Schlestadt – 8800 fr
Désignation de l’immeuble et mise à prix, une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth et le Sr Greiner, derrière la rue des étaux
Cette maison consiste en un seul bâtiment, cour avec pompe au fond de la cour, bucher et lieux. Le bâtiment principal renferme au rez de chaussée en entrant passage au fond escalier à gauche, boutique et arrière boutique premier étage cage d’escalier sur le devant une cahmbre avec alcove au fond une chambre, cuisine et bucher, second et troisième étage même distribution, dessus comble à la mansarde renfermant quatre chambres et escaliers couvert à tuiles doubles, dessous ledit bâtiment cave voûtée, rapport d’experts du 29 octobre 1827 estimé 6500 fr
[Joint] rapport d’experts du 29.10., François Reiner architacte du roi, Jean Jacques Stotz et Jean Chrétien Arnold architectes [ut supra]
II. Enonciation des titres de propriété, le Sr Scaer est propriétaire de la moitié comme héritier de son père Jean Jacques Scaer, cordonnier, et de l’autre moitié pour l’avoir acquise de la poursuivante Mde Sommer née Scaer par acte reçu par M° Hickel le 30 juin 1818
Enregistrement, acp 188 F° 54-v du 23.2.

Marguerite Rosine Kreutter vend quelques mois plus tard la maison au marchand épicier Jean Baptiste Romer et à sa femme Caroline Metz

1828 (14.8.), Strasbourg 3 (78), Me Schreider n° 3781
Marguerite Rosine Kreutter autrefois Dartillon veuve de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt assistée de Jean Jacques Thomas, marchand de potier son cousin germain par alliance
à Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et Caroline Metz
une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7 d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth & le Sr Greiner, derrière la rue des Etaux
Etablissement de la propriété, acquis de Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier, par acte reçu Hatt notaire à Strasbourg le 21 février 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 numéro /61. A la D° Sommer en qualité de seule et unique héritière de Philippe Samuel Scaer, ci devant nommé son frère, ledit Scaer en était propriétaire comme héritier pour moitié de son père Jean Jacques Scaer, cordonnier, l’autre moitié à la D° Sommer par contrat passé devant M° Hickel le 30 juin 1818. Dans la présente vente sont compris trois fourneaux en fonte les volets qui sont au rez de chaussée – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 190 F° 182-v du 20.8.

Originaire de Sélestat, Jean Baptiste Romer épouse en 1823 Caroline Metz d’Epfig
Mariage, Epfig (n° 12)
Acte de mariage célébré à la Maison commune d’Epffig le 15 juin 1823. Jean Baptiste Rohmer, Majeur dans, né en légitime mariage le 8 Messidor an VI à Schlestatt, domicilié à Strasbourg, Marchand épicier, fils de Laurent Rohmer, Tannneur domicilié à Schlestatt, ci présent et consentant, et de Ursula Bucher
Anne Barbe Caroline Metz, Mineure d’ans, née en légitime mariage le 6 Vendémiaise an XI à Epffig, domiciliée à Epffig, fille de feu Jean Georges Metz, vivant cultivateur à Epffig, y décédé e 30 juin 1812 et Anne Barbe Kientz, décédée ne cette mairie le 5 août 1808 (signé) Jean Bte Romer, Caroline Metz (i 7)

Registre de population 600 MW 67 (p. 601)
Rohmer, Jn Bapt. 1797, Négt. Schlestadt, (à Str. depuis 1822), auparavant Finckwiller 8, Entré Mars 1830
id. née Mertz, Caroline, 1801, Ep., Epffig
id. Jn Bapt. 1824, Strasbourg
id. Françoise Caroline, 1825, Strasbourg
Anstett, Michel Pierre, 1808, boucher, M. (auparavant) rue de l’homme de Pierre 2, Entré avril 34
id. née Widersonn, Charlotte, 1803, Ep.
id. Pierre Eugène, 1834 6 mai, Enf.
(…) Anstett Charlotte Sophie, 1835, 27 Novb., Enf
id. Charles Emile, 1838, 5 Sept., Enf
(p. 602) Anstett, Michel Pierre, 1808, boucher, M, Entré janv. 41.
id. née Widersonn, Charlotte, 1803,Ep.
Edouard Auguste, 1841, 13 janvier, Ennf.

Jean Baptiste Romer et Caroline Metz vendent la maison au boucher Michel Pierre Anstett et sa femme Charlotte Wiedersohn

1833 (5.11.), Strasbourg 12 (132), Me Noetinger n° 5857
Jean Baptiste Romer, marchand épicier, et Caroline Metz
à Michel Pierre Anstett, boucher, et Charlotte Wiedersohn
une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 7, d’un côté le Sr Bourdon, d’autre les héritiers Lauth & Sr Greiner, devant la rue, derrière la rue des Etaux – acquise de Marguerite Rosine Kreutter autrefois Dartillon veuve de Philippe Samuel Scaer, conducteur principal des Ponts et Chaussées à Schlestadt, par acte reçu Schreider notaire à Strasbourg le 14 août 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 215 numéro 67, La D° Scaer l’avait acquise de Marie Dorothée Scaer veuve de Chrétien Sommer, cordonnier, par adjudication définitive dressée par M° Hatt le 21 février 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 numéro 61. La veuve Sommer était seule et unique héritière de Philippe Samuel Scaer susnommé. Ledit Scaer en avait recueilli la moitié de Jean Jacques Scaer son père cordonnier et acquis la moitié de sa sœur apr acte reçu Me Hickel le 30 juin 1818 – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 221 f° 55-v du 11.11.Lauth

Fils de boucher, Michel Pierre Anstett épouse en 1833 Charlotte Wiedersohn, fille de boucher
Mariage, Strasbourg (n° 5) Du troisième jour du mois de janvier l’an 1833. Acte de mariage de Pierre Michel Anstett, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 mai 1808 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Boucher, fils de feu Henri Christophe Anstett, messager de la Préfecture décédé en cette ville le 24 juin 1812 et de feu Salomé Wentzler, décédée en cette ville le 11 octobre 1820
Charlotte Wiederum, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 5 pluviôse an XI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Daniel Wiedersum, Boucher, décédé en cette ville le 17 Germinal an XI et de feu Madeleinee Winter décédée en cette ville le 29 août 1818 (signé) Michel Pierre Anstatt, Scharlott Wiedesom (i 4)

Registre de population 600 MW 382
Anstett, Michel Pierre, Strasbourg 1806, h.m., boucher, luthérien, français, (à Strasbourg d.s.n.)
id. née Wittersohn, Charlotte, Strasbourg 1803, f.m., sa femme, idem
id. Eugène, Strasbourg 34, son fils, boucher, idem
id. Eugénie, Strasbourg 45, sa fille, idem
Weilern Ferdinande, Strasbourg 35, f. servante, catholique, badoise (à Strasbourg dep. 1855)
Treuter, Salomé, Ittenheim 33, f. servante, luthérienne, française, (à Strasbourg 24 Jan. 56), anct. grand rue 54
Anstett, Edouard Auguste, Strasbourg 41, g. boucher, luthérien, ([biffé] 25 X 58) derechef, C eng* 18 Mai 59
Eck, Jules, Barr, 23. 8.bre 45, g., apprenti boucher, luthérien, français (à Strasbourg depuis 5 9. 59) Barr
rue des tonneliers 7 / 16

Michel Pierre Anstett et Charlotte Wiedersohn hypothèquent la maison au profit de Daniel Reibel

1852 (23.4.), Strasbourg 4 (108), Not. Lauth n° 5207
Du 23 Avril 1852. Obligation – Furent présens M. Michel Pierre Anstett, boucher et dame Charlotte Wiedersohn son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Daniel Reybel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens Numéro un, à ce présent et acceptant, la comme principale de 2000 francs
hypothèquent. Une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des tonneliers n° 7, tenant d’un côté à M. Ernst de l’autre côté à M Lauth, donnant par derrière sur la rue des étaux.
Déclarent les débiteurs que cet immeuble est franc ey libre de toutes dettes, privilèges & hypothèques sans exception, qu’il leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M Jean Baptiste Romer, marchand épicier et de dame Caroline Metz conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 5 novembre 1833, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 18 du même mois de novembre volume 275 Numéro 50 & que le prix d’acquisition est intégralement payé ainsi qu’ils l’ont justifié

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1852 (30.9.), Strasbourg 4 (108), Not. Lauth n° 5499
Du 30 septembre 1852. Obligation – Furent présens M. Michel Pierre Anstett, boucher et dame Charlotte Wiedersohn son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Daniel Reybel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens Numéro un, à ce présent et acceptant, la comme principale de 2000 francs
hypothèquent. Une maison avec cour, pompe, bucher, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg rue des tonneliers n° 7, tenant d’un côté à M. Ernst de l’autre côté à M Lauth, donnant par derrière sur la rue des étaux.
Déclarent les débiteurs que cet immeuble leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M Jean Baptiste Romer marchand épicier et de dame Caroline Metz conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 5 novembre 1833, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 18 du même mois de novembre volume 275 Numéro 50 & que le prix d’acquisition est intégralement payé ainsi qu’ils l’ont justifié

Michel Pierre Anstett loue une partie de la maison au boucher Bernard May

1862 (30.7.), Strasbourg 4 (120), Not. Lauth n° 10.315
Du 30 juillet 1862. Bail – A comparu Eugène Anstett, boucher et propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes donné à loyer pour 9 années entières et consécutives qui courront du 29 septembre prochain et finiront à pareil jour de l’année 1871
à M. Bernard May, boucher demeurant et domicilié à Strasbourg
1. Un étal de boucher se trouvant au rez-de-chaussée d’une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers N° 16 dont M. Anstett est propriétaire, avec les chambres et la cuisine y attenant,
2. Une petite chambre au premier étage de ladite maison et donnant dans la cour,
3. Le droit d’exercer son métier de boucher dans la cour et droit commun avec les autres locataires de la maison de puiser l’eau à la pompe,
4. Et les meubless dont la description suit. Deux balances avec poids, un comptoir, 60 crochets et une petite table qui se trouvent dans ledit étal ainsi que tous les instruments servant à l’exploitation de la boucherie – moyennant un loyer annuel de 500 francs (signé) Bernhard Maÿ
acp 513 (3 Q 30 228) f° 9-v du 2.8.

Michel Pierre Anstett vend la maison au boucher Bernard May et à sa femme Thérèse Kammer en s’y réservant l’habitation

1866 (24.11.), M° Stromeyer
Vente par Pierre Eugène Anstett, ancien boucher, propriétaire à Strasbourg
à Bernard May, boucher, et Thérèse Kammer sa femme à Strasbourg
d’une maison sise à Strasbourg rue des Tonneliers n° 16 moyennant une rente annuelle et viagère de 1800 francs payables de mois en mois avec la somme de 150 francs, ladite rente estimée à un capital de 18.000 francs
Le Sr Anstett se réserve sa vie durant le droit d’habitation d’une chambre et chambrette servant de décharge au quatrième étage, estimé à un revenu annuel de 40 francs, en capital 400 francs. Jouissance du 25 décembre 1864.
Origine, héritage pour un quart dans la succession de Michel Pierre Anstet, so père boucher à Strasbourg décédé le 10 août 1861, ¼ dans la succession de Charlotte Wiedersohn sa mère décédée le 16 novembre 1861, 2/4 dans la succession de son frère Edouard Auguste Anstett décédé boucher à Strasbourg le 15 juillet 1862. Origine antérieure, vente Noetinger Nre le 5 novembre 1833.
acp 559 (3 Q 30 274) f° 43-v du 1.12.

Bernard May et sa fille Sophie Mey vendent quatre sixièmes de la maison à Samuel Hirsch

1884 (19.3.) M° Mossler
Bernhard May, Metzger, und Sophie May, hier, und Elisabeth Kammer Ehefrau Bernhard May, hier
an Samuel Hirsch, Rentner hieselbst
die ungetheilte vier 6° eines hier Küfergasse N° 16 Wohnhauses mit Zugehör. Durch die Eheleute Bernhard May und Therese Kammer erworben laut Urkunde Stromeyer vom 24 November 1866. Die Ehefrau May ist am 16. August 1881 hieselbst gestorben und wurde zu ⅓ von der genanten Sophie Mey beerbt.
Besitzeintritt sogleich, Genußantritt vom 25. l. Mts an und Steuereinnahme vom 1. April 1884 ab. Der Kaufpreis besteht in 1) einer von Peter Eugen Anstett Rentner hier lebenslänglich zu zahlenden Rente von M. 960 geschuldet laut Urkunde Stromeyer wie oben, 2) einer an Anstett als Gefälle der Rente du zahlende Betrag vom 240. 3) einer baarer bezahlten Summ von 160 (960 x 10, 240, 160, zusammen 10.000 M) Die Namen der beiden andern Kinder May sind nicht genannt.
acp 748 (3 Q 30 463) f° 7 n° 4646 du 21.3.



12, rue des Sept-Hommes


Rue des Sept-Hommes n° 12 – IV 385 (Blondel), N 899 puis section 60 parcelle n° 48 (cadastre)

Auberge aux Deux clés (1914) – Démolie en 1919 (Grande Percée)


Le n° 12 est la maison étayée suite à la démolition du n° 10. L’orfèvre Seeger a son enseigne au n° 14 (AMS, fonds Schimpf, cote 112 Z 7)
Même endroit avant démolition du n° 10 (AMS, cote 1 Fi 23 n° 28) – Vue lors de la démolition (1 Fi 23 n° 29)

La maison est sise « derrière le poêle des pelletiers près de la rue du Pilot ». L’arrière ne donne pas sur l’auberge des garçons boulangers comme celles à l’ouest mais sur une maison donnant dans la rue des Chandelles. L’inspecteur à l’aumône Christophe Rœmer la vend en 1611 au pelletier Henri Bleicher ; elle appartiendra ensuite jusqu’au début du XIX° siècle à des pelletiers, d’abord aux successeurs de Henri Bleicher puis à Jean Jacques Franck (1703) et à son gendre Samuel Becké, natif de Breslau. Sur le plan-relief de 1727, elle forme la partie gauche du deuxième bâtiment à droite de la rue des Chandelles au milieu de l’image (rez-de-chaussée et trois étages). Sa valeur minimale s’élève à 200 livres en 1714 puis à 750 livres en 1754 ; on peut en conclure que Samuel Becké y ait fait des travaux importants.


Rue des Pelletiers à gauche, rue des Sept-Hommes à droite.
Le n° 8 se trouve sur la droite du deuxième groupe de maisons (toiture à trois lucarnes) à droite du carrefour au milieu de l’image, Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 – Cour T (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à gauche du repère (p)nbsp;: au rez-de-chaussée deux fenêtres suivies d’une porte, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour T montre l’arrière (à droite de 10) du bâtiment sur rue puis (10-9-8) un bâtiment qui lui est en partie accolé.
La maison porte d’abord le n°3 (1784-1857) puis le n°12.

Geoffroi Hutt achète en 1847 la maison où il exploite une auberge, reprise par ses successeurs Antoine Bonhomme, Alexis Hartenstein puis Michel Düringer. Le bâtiment a trois étages puis à partir de 1866 quatre étages d’après les actes sans que le cadastre mentionne aucune modification. La maison ne figure pas dans l’enquête sur les bâtiments à démolir pour la Grande percée (1905) ni parmi les dessins relevés par le Service d’architecture (1911). La ville acquiert en 1917 l’auberge aux Deux clés puis fait démolir le bâtiment en 1919. Le sol sert ensuite à édifier l’actuel 5, rue des Francs-Bourgeois.


Le numéro 12 se trouvait sur la gauche (mai 2017)

octobre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1919 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Christophe Rœmer, inspecteur à l’aumône, et (1610) Catherine Linck d’abord (1600) femme du potier Georges Hüls puis (1606) du vitrier Léonard Wagner, remariée (1612) avec l’aubergiste Gaspard Floss – luthériens
1611 v Henri Bleicher, pelletier, et (v. 1603) Barbe Kopff – luthériens
1630* h Jean Henri Bleicher, pelletier, et (1626) Barbe Rœmer – luthériens
1658 h Georges Klug, pelletier, et (1635) Barbe Rœmer veuve de Jean Henri Bleicher
1703 v Jean Jacques Franck, pelletier, et (1698) Marie Salomé Braun – luthériens
1714 h Georges Michel Kübler, pelletier, et (1714) Marie Salomé Braun veuve de Jean Jacques Franck – luthériens
1755 adj Samuel Becké, pelletier, et (1728) Anne Marguerite Franck puis (1766) Sara Barth – luthériens
1806 v Jean Frédéric Simon, chaussetier puis cabaretier, et (1795) Susanne Dorothée Sembach
1840 v Jean Rehn, vitrier, et (1827) Françoise Schafflützel d’abord (1816) femme du vitrier David Pfister
1847 v Geoffroi Hutt, aubergiste, et (1830) Marie Anne Bohn d’abord (1814) femme du cultivateur François Antoine Mattlinger
1860 v Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, et (1829) Marie Anne Persohn
(puis indivise avec) Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs, et (1856) Marie Julie Bonhomme
1866 v Jean Linck, tailleur puis épicier, et (1864) Eléonore Gerber
1870 v Alexis Hartenstein, aubergiste, et (1864) Marie Catherine Reichard
1892 v Georges Uebel, tripier, et (1875) Félicie Joséphine Jacquemin puis (1878) Françoise Kessler
1895 v Michel Düringer, cultivateur puis aubergiste, et (1888) Christine Eck remariée (1904) avec Charles Paul Schrœder
1917 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 200 livres en 1714, 750 livres en 1754, 600 livres en 1760

(1765, Liste Blondel) IV 385, Samuel Becké
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Beck Wittib, 4 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 899, Simon, Frédéric, hér. – maison, sol – 0,58 are / Louis Rehn vitrier rue Madeleine

Locations

1687, Samuel Schwartz, batteur d’or
1689, Jacques Dumais
1722, Jean Thomas Kœnig, cordonnier
1724, François Antoine Anstett, formier (manant)
1764, Jean Frédéric Bollinger, cordonnier
1767, Jean Jacques Aubry, perruquier, et Marie Anne Barrière puis Jeanne Catherine Pierre
1783, Marguerite Jäggi

Description de la maison

  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert partie de tuiles plates partie de tuiles creuses, la cave est voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des sept hommes et rue Ste Barbe vers la place d’armes

nouveau N° / ancien N° : 26 / 3
Simon
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 258 case 3

Rehn, vitrier, rue Madeleine à Strasbourg
Hutt Geoffroi rue des 7 hommes 3, 1849

N 899, maison, sol, Rue des 7 hommes 3
Contenance : 0,58
Revenu total : 149,30 (149 et 0,30)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 998 case 1

Hutt Geoffroy
1862 Bonhomme, Antoine, propriétaire
1868 Linck Jean tailleur d’habits
1871 Hartenstein Alexis
1887/88 Hartenstein Alexis Wittwe geb. Reichardt
94/95 Uebel, Georg, Kuttler
96/97 Düringer Michael
(ancien f° 746)

N 899, maison, sol, Rue des Sept hommes 12
Contenance : 0,58
Revenu total : 149,30 (149 et 0,30)
Folio de provenance : (258)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre allemand, registre 32 p. 392 case 2

Parcelle, section 60, n° 48 – autrefois N 899, 907.p
Canton : Siebenmannsgasse Hs N° 12 – 849 / 1267
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,73
Revenu : 4,75 – Valeur 2100 / 2300 / 1500
Remarques : 1910 Minderung – 1919 Abbruch – 1927 porté p. 387 c. 3 [parcelle 43 Kochlöfelgässel N° 3]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1918), compte 2072
Düringer Michael, Wittwe
1918 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1918), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 113 Des Sept Hommes p. 194

3
loc. Mengs, J. Fred. Cordonnier – Cordonniers
loc. Reiterhardt, Ant. tailleur – Tailleurs
loc. Reiter, veuve d’un fourbisseur – Maréchaux
loc. Siegel, Laurent, garçon maçon – Manant
(ajout) loc. Bonfils, Madeleine, Bourg. majeure

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Siebenmannsgasse (Seite 161)

(Haus Nr.) 12
Düringer, Wirt. 01
Schröder, Geschäftsf. 1

Annuaire de 1912

12
Schröder, Chr. Wirtin Zu d. 2 Schlüsseln. E


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle à Christophe Rœmer et à sa femme Catherine Linck.
Fille du tanneur Georges Linck de Villingen, Catherine Linck épouse en 1600 le potier Georges Hüls puis en 1606 le vitrier Léonard Wagner avant de se marier en 1610 avec Christophe Rœmer, inspecteur à l’aumône Saint-Marc. Elle se remariera en 1612 avec l’aubergiste Gaspard Floss.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 66-v, n° 11)
1600. Jörg hulß der Kachler, J. Katharina Jörg linck. des Rottgerbers von füllingen seligen tochter, 25. Februarÿ (i 69)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 103-v, n° 45)
1606. Lienhart Wagner der glaser, Catharina Jörg Hilser des Kachlers hinderlaßene Wittwe. 25. Novemb. (i. 106)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 121-v, n° 82)
1610. Eodem [14. Augusti] Christoff Römer Visitator Zu S. Marx, Katharina, Lienhart Wagners Wittib (i 124)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 130-v, n°47)
1612. 22. Junÿ, Caspar Floß der Weinschenck Im Falckenkeller, Katharina, Stoffel Römers S. Wittib (i 133)

Les héritiers de Léonard Wagner vendent leurs droits à sa veuve Catherine Linck, assistée de son mari aubergiste Gaspard Floss
1613 (11. Februarÿ), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch) f° 84-v
Außkauff Zwischen weÿland Lienhard Wagners seligen Witwen und Testam: erben
erschienen seind Hanß Weÿß der Huffschmid Burger Zu Willstet als geordneter vogt Bartholomei Lincken Schlossers vnd Burgers Zu gemeltem Willstett mit Elisabetha Khüenastin seiner ehelichen haußfrauwen erzeugter Kinder, als weÿland vnsers gewesenen Burgers Lienhardt Wagners des Glasers seligen instituirt vnd eingesetzter Erben mit beÿstand der Kinder vatters an einem,
vnd Jetzernanten Lienhardt Wagners seligen hinderlaßener wittwen Catharinæ Linckin mit beÿstand Caspar Floßen des Weinschencken Ihres Jetzig. ehelichen haußwürths vnd Abraham Rohren des Notarÿ am andern theÿl vnd bns erzehlen vnd fürpring. lassen
Nachdem mehrgenanter Lienhardt Wagner seligen beÿ zeÿt seines Lebens ein Testaments vnd letzten willen auffgericht, vnd In demselben obemelten Bartholomeen Lincken seines Schwagers eheleiblich Kinder Zu Erben ernant vnd also eingesetzt, Das nach Ihr Catharinæ seiner ehelichen haußfrauwen Jetz hind.laßener wittwen deren er den Usufructum vnd genuß aller vnd Jeder seiner Verlaßenschafft verordnet, todtlich abgang, alle angeregte seine Verlaßenschafft so sich vermög auffgerichten Inventarÿ dem anschlag nach Zusammen auf 347 pfund 10 schilling erstreckt (…) Vnd In mittels sie Catharina die Nüesserin vnd ernanter Caspar Floß Ihr lieber ehelicher haußwürt mehrermeltem Bartholomeo Lincken Ihrem Brudern vnd Schwag. zu desselben haußfraw vnd Kinder hoher notdurfft (die Verfangenschaft umb 200 pfund)

L’inspecteur de l’aumôme Chrétien Rœmer et Catherine Linck vendent la maison derrière le poêle des pelletiers près la rue du Pilot au pelletier Henri Bleicher et à sa femme Barbe. En marge, quittance remise à Catherine Linck alors femme de Gaspard Floss

1611 (ut spâ [xvij. tag Maÿ]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 206-v
(Inchoat. in Proth. fol: 157.) Erschienen Christoff Römer burger Zu Straßburg und Jetziger Zeit Visitator vnd Allmusen Kheüffler Zu Sant Marx vnd Catharin Linckin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Heinrich Pleicher dem Kirschner vnd Barbaræ seiner ehelichen Haußwürthin
Hauß, Hoffestatt vnd hind. heüßlin mit Allenn Iren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Hinder der Kirschner Zunfftstubenn beÿ dem Pfalgäßlin einsit nebent Geörg fisch. dem goldschlager Andersit Hanß diethrich dem Kirschner stost Hindenn vff Jonas Hegenauwer dem kirschnern, Dauon gendt vier pfundt gelts Ablößig mit j C lb d vff weÿhenachten vnd Johannis fallend herrn Friderich Helden 3. Inn der Müntz, Item 5 guldin gelts werung Ablößig mit j C guldin derselben werung vff Johannis Baptistæ fallendt Herrn Bastian Branden dem handelsmann Alhie So dann Ist sie noch verhafftet für ein schuldt 50. lb. Zu Zweÿenn mahlen wann es gefordert würdt Zuerlegen herrn hanß Peter Schaffnern In Morß Münster Hoff, Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles recht & Also d. & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 237 pfund
(Nota d. Khauff für boll 437 lb 10 ß)
[in margine :] Erschienen Caspar Floß burger Alhie Als ehevogt Catharin Linckin Christoff Römer seligen Witwen Als welchem disse Summ nunmahlen zustendig (…) Actum 23. Nouemb. Anno 1612.

Henri Bleicher hypothèque la maison au profit du pelletier Mathias Hellbeck dit Bœhm.

1614 (viij. Februarÿ), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 73
(Inchoat. in Proth: fol. 60.) Erschienen Heinrich Pleich. der Kirschner burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Mathÿß Helbeck genannt Böhem des Kürschners burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 50 pfund pfenning Straßburger
Zum Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüen & gelegen Inn d. St. St. hinder der Kirschner Zunfft stuben einseit neben hannß Dietherich dem Kirschner vnd and.sit hannß Philipß Spiegell dem Balbierer hind. vff d. Becken Knecht stub stoßend Dauon gett iij llb d gelts Abloßig mit j C lb h Friderich Helcken, Item fünff guldin gelts Lößig mit 100 guldin Straßburg. werung w* Sebastian Branden erben
[in margine :] Erschienen Mathÿß Helbeck der Jung. hatt in gegensein Heinrich Pleichers bekhandt (…) Act. 1. Augusti Anno 1614.

La maison revient à son fils Jean Henri qui épouse en 1626 Barbe Rœmer, fille du pelletier Jean Rœmer : contrat de mariage célébration

1626 (27.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) n° 649
Eheberedung – Zwüsch. dem Ersamen Hannß Heinrich Pleÿchers Kürßnern, deß Ehrenhafften Heinrich Pleÿchers Kürßners v. burgers Zu Straßburg selig. Sohn Ane einem
So dann der Ehr: u. tugend. Jungf. Barbara Römerin, des Ehrengeachten v. fürnehmen herrn hanß Römers Kürßners burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am Andern theil
Actum in Straßburg Montagß d. 27.ten Februarÿ Anno 1626
[unterzeichnet] Heinrich Bleicher

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 57)
1626. Eadem 4. Julÿ. Hanß Heinrich Bleicher d. Kürßner, Heinrich Bleicher des Kürßners Sohn v. J. Barbara H. Hanß Römer des Kürßners Tochter, Copulatio 13. Junÿ zu Jung S. Peter (i 30)

Henri Bleicher hypothèque la maison sise derrière le poêle des Pelletiers au profit du pelletier Georges Meyer

1640 (ut supra [13. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 413-v
Erschienen Heinrich Bleicher der Kürschner und burger alhie bekante
in gegensein Georg Meÿgers des Kürschners – schuldig seÿen 100. Reichßthaler
dafür in specie Vnderpfand sein soll Hauß, Höffel und Hoffstatt gelegen alhie hinder der Kürschner Stuben neben Michel Kleinen && Jacob Pläppertfußen hinden vff Jonas högenauwren stoßend

Barbe Rœmer se remarie en 1635 avec le pelletier Jean Georges Klug. Ses enfants Jean Jacques Bleicher et Barbe Bleicher femme du pelletier Jean Philippe Reinbold lui cèdent la maison en 1658.

1658 (18. Oct.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 505
(Protocoll. fol. 75.) Erschienen Hannß Jacob Blaÿcher der Kürßner und Burger Zu Straßburg, Undt Barbara, Hannß Philipß Reinboldts auch Kürschners und Burgers alhie eheliche Haußfraw sein Schwester mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Barbaræ, weÿl. H Georg Klugen geweßenen Kürßners alhie nunmehr nachgelaßener Wittibin, ihrer eheleiblich. Mutter, mit beÿstandt H Mathiß Helbeckhen deß Jüngern fehehändlers, ihres Vogts – daß Die beede Geschwisterdten Und Zwar Er Hannß Jacob Zu treÿ, Undt Sie Barbara Zum übrig. Vierter theil, Ihro der Mutter
hauß undt hoffstatt mit allen ihren Gebäwen, rechten und Zugehördten, alhie hinder der Kürßner Stuben, einseit neben Martin Kalben dem Kürschner, anderseit neben Weÿl. Michael Kleinen deß Küeffers seel. wittib und Erben, hinden vff Jonam Högenawern den Kürschnern stoßend gelegen – umb 400 lb.

Jean Jacques Bleicher rachète un capital assis sur la maison en vertu d’un titre établi en 1550.

1678 (17.6.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 469-v
Herr Johann Friderich Von Gotteßheim der Jünger, im nahmen herrn Johann Friderichs Von Gotteßheim des ältern Schaffners deß Stiffts St. Matthæi et Nicolai in Vndis
in gegensein H Hannß Jacob Blaichers deß Föchhändlers
bekandt, daß Er Blaicher besagtem Stifft 70. fl. Straßburger wehrung in bahrem Gelt erlegt, und damit die Jenige 3. fl. gedachter wehrung so derselbe Von seiner alhier hinder der Kürschner Stuben neben Hannß David Rhaÿnen dem Biersieder gelegener behaußung Vermög eines Lateinischen pergamentinen sub dato 2. Nonas Aug. et 12. Calend. Septembr. A° 1550. iährlichen term. Joh: Bapt: zu zinß Zu raichen schuldig geweßenen beraits den 15. 8.bris a° 1676. abgelöst, widergekaufft und dadurch die behaußung solcher beschwärdt allerdingß liberirt habe

Les héritiers du pelletier Georges Klug louent la maison au batteur d’or Samuel Schwartz

1687 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 160-v
Hannß Georg Aÿgnuß der Schwartzbeckh alß Ehevogt Barbaræ Gebohrner Reinboldin und im nahmen Weÿl. Georg Klugen gewesenen Kürsners Seel. nachgelaßener dreÿ übrigen Erben [unterzeichnet] Ich hanß görg Eignuß beken wie obstedt
in gegensein Samuel Schwartzen Goldschlagers
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren Gebawen und Zugehördten, alhier hinder der Kirßner Stuben, einseit neben Martin Kalben dem Kirßner anderseit neben Hannß Georg Wÿdman dem Küffer Gelegen, uff ein Jahr lang Von Mariæ Verkündigung dießes Jahrs angerechnet, umb einen zinß von 32 Gulden

Jean Jacques Bleicher et les autres héritiers de Georges Klug louent la maison à Jacques Dumais

1689 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 479-v
H. Johann Jacob Bleicher E.E. Großen Rhats beÿsitzer und H. Johann Meßner der Föchhändler, beede für sich und im nahmen Gesambter Georg Klug. deß Kürßners seel. Erben
in gegensein Jacques Du Mais mit beÿstand H. dietrich Par terre hoffmeÿsters beÿ H. Intendant. seines hierzu Gebraucht. Interpretis [unterzeichnet] dumes, Parterre
entlehnt, eine behaußung hind. der Kürßer stub zwischen Hannß Martin Kalben und Hannß Georg Widman dem Kieffer Gelegen, mit allen derne Gebäuen, nichts außgenommen, uff ein Jahr lang von Mich: dießes Jahrs angerechnet, umb ein Jährlichen zinnß nemlichen 25 Pfund

Jean Jacques Bleicher et ses cohéritiers vendent la maison moyennant 450 livres au pelletier Jean Jacques Franck et à sa femme Marie Salomé Braun

1703 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 159
(450) Hr. Joh: Jacob Bleicher handelsmann u. E.E. großen Raths beÿsitzer für sich u. noe. übriger hier nicht benambßter eÿgenthümer HHn. infra verk. behaußung, Item Barb: geb. Rimboldin Emanuel Wehners haußfeurers haußfr:
in gegensein Joh: Jacob Francken kürßners und Mar: Salome geb. Braunin, daß sie comparenten theils für sich theilß alß negotiorum gestor
eine behaußung mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeiten allhier hinter der Kürßner stueb einseit neben Martin Kalben Kürßnern anderseit neben weÿl. Joh: Carl Rothen wittib hinten auf Hn Georg Friedrich kürßnern et consorten stoßend gelegen – umb 450 pfund

Fils du pelletier Jean Daniel Franck, Jean Jacques Franck épouse en 1698 Marie Salomé Braun, fille du boulanger Jean Daniel Braun : contrat de mariage, célébration
1698, (30. Apr.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 173
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Ehrbahren Johann Jacob Francken, Ledigem Kieffer, herrn Hannß Daniel Francken Kürßners und Burgers Zu Straßburg Ehelichem Sohn, als Hochzeitter an einem, So dann
der Ehren: und Tugendsamen Jungfr. Mariæ Salome Braunin, weÿland Herrn Hannß Daniel Braun, geweßenen weißbecken und burgers alhier seel. nachgelaßene Eheliche dochter, als der hochzeiterin, am andern theil
Actum Straßburg in beÿsein H Hannß Daniel Francken, deß Hochzeiters Vattern Obgedacht, Auff sein deß Bräuttigambs, So dann auff der Jfr. hochzeiterin seith. H Hannß Paul Löfflers deß Müllers, Ihres geschwornen Vogts, vnd H. Moritz Meÿerers deß Weißbecken, Ihres Stieffvatters, Mittwochs den 30. Apr. St. N. Anno 1698. [unterzeichnet] Johann Jacob franck als hochzeiter bekenn wie ob steht, Maria Salome braunin Als hoch zeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 51-v, n° 7)
Mittwochs den 2. Julÿ st. n. 1698. seind nach zweymahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclauß copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Franck der ledige Kürschner und burger alhier, Johann Daniel Francken, deß Kürschners und burgers alhier ehelicher Sohn, und Jungfer Maria Salomé Braunin, weÿl. Johann Daniel Braunen geweßenen weißbecken und burgerß alhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Franck als hochzeiter, Maria Salome braunin als hochzeyderin (i 55, proclamation Saint-Thomas f° 68 n° 364 i 70)

Marie Salomé Braun fait dresser l’inventaire de ses apports (150 livres) dans une boulangerie face à la Grue (actuelle rue de la Douane)
1698 (7.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 21) n° 15
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so die Ehren: und tugendsahme Fr. Maria Salome Franckin, gebohrne Braunin, deß Ehrenthafften Johann Jacob Francken, Kürßners v. burgers Zu Straßburg Eheliche haußfrau Zu demselben Ihrem geliebten haußwürth für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben damit mann sich Künffighien der Ergäntz. wegen darnach Zu reguliren haben möchte, vorgenommen (…) Actum in fernerer Præsentz Herrn Johann Daniel Francken, Kürßners deß Ehemanns Vattern, auff sein deß Manns, So dann H Moritz Meÿern Weißbecken vnd Frawen Annæ Mariæ Hoffetin beed. Eheleuth, der Fr. respec. Stieff Vatters vnd Rechten mutter, wie auch H Johann Paul Löfflers, Müllers derselben noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, auff der Frawen seithen, Montags den 7. Julÿ A° 1698.
In einer alhier Zu Strassburg am Cran Gelegener Becken Behaußung Befund. worden wie Volgt
Sa. haußraths 68, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Guldener Ring 8, Sa. baarschafft 67, Summa summarum 150 lb – Haussteuren 24 lb

Les Quinze accordent une dispense à Jean Daniel Franck qui n’a pas fait son tour de compagnon pour pouvoir devenir maître
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
(f° 112-v) Sambstag den 31. Maÿ – Johann Jacob Franck Ca. E. E. Zunfft der Kürschner
Noîe Johann Jacob Francken, des ledigen Kürschners ersch. D Goll Ca. E. E. Zunfft der Kürschner, Weilen er Nicht gewandert, als bitt de vmb gn. Dispensation, d. Meisterstück Zumachen, Künast H. Johann Beck p.sens bericht, daß es Wid. E. E. Zunfft Articul kauffe, jedoch dispensationem wohl leiden mögen, mit bitt, der beden Interesse bestens Zu beobachten. Goll setzt sein begehren, Kün. priora.
Herr XV.er Kellermann, als Oberh., bericht, daß es Nicht umb d. Meisterstück, sondern umb d. Meisterrecht Zuthun seÿe, darzu Keiner gelang. Könte, er habe dann Zuvor Krafft Articul 2 jahr gewandt. Vnd, ob Zwar die Zunfft dem Imploranten die sach Nicht schwehr mache, dennoch sie darinnen Nicht dispensiren Könten. Erk gegen erlag 1 lb d dipensando willfahrt.

Jean Daniel Franck et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de Henri Künast, contrôleur de l’accise.

1707 (31.10.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 674
Joh. Jacob Franck Kürßner u. Maria Salome geb. Braunin
in gegensein H. Joh. Heinrich Künast Controlleur im umgeld – schuldig seÿen 125 lb,
unterpfand, ihre behaußung allhier hinter der Kürßner stueb einseit neben Martin Kalb anderseit neben Johann Carl Rothen wittib hinten auf Georg friderici Kürßnern
[in margine :] Maria Salome der Schuldnerin und Georg Michael Küblers Kürßners ihres ietzigen Ehevogts

Jean Daniel Franck meurt en novembre 1713 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 200 livres. La masse propre à la veuve est de 118 livres, celle des héritiers de 343 livres. L’actif de la communauté s’élève à 351 livres et le passif à 853 livres.

1714 (26.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 38) n° 6
Inventarium über Weÿland deß Ehrenhafften Meister Johann Jacob Francken, Geweßenen Kürßners und Burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft Auffgerichtet Anno 1714. – nach seinem den 23.ten 9.bris deß nechst abgewichenen 1713. Jahrs genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Mr Hannß Georg Wöhrle, Schuemachers vndt Burgers alhier, Als Geordnet: und Geschworenen Vogts Johann Daniels, Mariæ Salomeæ, Annæ Margarethæ und Annæ Mariæ der Francken aller vier geschwüsterd deß Jetzabgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato nachgelaßener rechtmäsiger Erben – Actum Straßburg Montags den 26. Febr : A° 1714.
Copia Heuraths verschreib.

In einer alhie Zu Straßburg Hinder der Kürßner stub gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (T.) Item hauß und hoffstatt mit allen deren begriffen weiten rechten zugehörden vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg hinder der Kürßnerstuben i. s neben Johann Martin Kalben deß Kürßners Kindern, 2.s. neben Weÿl. H Johann Carl Rothen deß Ganthkäüfflers seel. Wittib, hinden auff H Georg Friderici den Kürschner stoßend, davon gibt mann Jahrs auff Michaelis 14. lb Zinnß H Johann Heinrich Künasten Lößig mit 350. lb d sonst gegen männiglich freÿ Ledig und eigen Vnd ist diße Behaußung durch der Statt Straßb. geschworne Werckleüth Vermög einer apud Conceptum befindlicher schrifftlicher Abschatzung Vom 7. Martÿ 1714. hiehero gewürdiget vmb 200. lb. Darüber Vorhanden I. perg. Kauffbrieff auß allhieß. C Contractstub und mit dero anh. Ins. verwahret datirt den 31. Martÿ 1703. notirt mit N° 1.
(E.) Item der halbe theil an einer Tertz Ane der Bieggergaß (…)
Ergäntzung der Wittib unverändert Gutts. Vermög deß über demselben in dieße Ehe Gebrachte Nahrung, durch mich Eingangs Gemeldten Notm. den 7. Julÿ A° 1698. auffgerichteten Inventarÿ ist mangenld befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermög. Sa. haußraths 12, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Baarschafft 15 ß, Sa. der Schuld 20, Sa. Ergäntzungs (403, Abgang 1, Rest) 402, Summa summarum 439 lb – Schulden 321, Nach deren Abzug 118 lb
Dießemnach wird auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. Guldin Rings 1, Sa. Eigenthums An einer behaußung 66, Sa. Schuld 137, Sa. Ergäntzung 207, Summa summarum 430 lb – Schulden 86 lb, der Erben unveränderte Nahrung 343 lb
Endlichen wird auch das Gemein Verantwortung und Theilbar Gutt beschrieben, Sa. haußraths 36, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 107, Sa. Silbergeschirrs 5, Sa. Goldenen Rings 18 ß, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthumbs An einer Behaußung 200, Summa summarum 351 lb – Schulden 853 lb, In Vergleichung 501 lb
Wiÿdumb Welchen Fraw Anna Maria Meürerin Gebohrne Hoffetin der Wittib Mutter ad dies vitæ usufruirt, Wavon das Eigenth. der Wittib gehörig vnd Verfnagen (…) Vermög durch H Joh: Ludwig Scherern Notm: den 22. 8.bris aô 1712. Gefertigt. (…) Scheins

Marie Salomé Braun se remarie avec le pelletier Georges Michel Kübler, fils du cordonnier Jean Georges Kübler de « Freistett » en Basse Sliésie : contrat de mariage, célébration

1714 (2. Octobris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 332
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Ehrbahren Georg Michael Kübler, Ledigen Kürßner von Freÿstätt in der Nider Schleßing gebürtig weÿl. Mr Johann Georg Küblers Geweßenen Schuemachers vnd Burgers daselbst nunmehr seel. hinderlaßenel Ehelichem Sohn Als Hochzeitern Ane einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Mariæ Salome gebohrner Braunin Weÿl. Mr Johann Jacob Francken, Geweßenen Kürßners und Burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener wittib, alß der Hochzeiterin Am Andern theil
Actum Straßburg in fernerer præsentz (…) Meister Johann Georg Wöhrle, Schuhmachers Ihrer Kinder Erster Ehe Geschwornen Vogts, Dienstags den 2. Octobris Anno 1714 [unterzeichnet] Georg Michel Kübler allß Hochzeiter, Maria Salome braunin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 145-v, n° 843-a)
Anno 1714 den 31 Octobr. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Georg Michael Kübler der ledige Kürßner von freÿstet in Nider Schlesien, weil. Joh: Georg Kübler des gewes. burgers und Schuhmachers daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Fr. Maria Salome weÿl. Joh: Jacob Franck deß gewesenen burgers und Kürßners alhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Georg Michel Kübler als hochzeiuer Mar Salome frenin gbor braunin (i 148)

Georges Michel Kübler devient bourgeois deux mois après son mariage
1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 808
Johann Michael Kübler, der Kürßner, Von Freÿtätt, weÿl. Johann Georg Kübler gew: schumachers sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Salome Brauin p. 2. gold fl 16 ß. wird beÿ E.E. Zunfft der Schumacher dienen. Jur: d. 20. Dito [X.bris] 1714

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient pour partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 81 livres, ceux de la femme à 57 livres.
1715 (21.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 40) n° 1
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehrengedachte Mr Georg Michael Kübler der Kürßner und die Ehren: und tugendsame fraw Maria Salome Küblerin gebohrne Braunin, beede Eheleuthe vnd Bürgere allhier zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe gebracht, Welche Nahrungen der Ursach halben, damit mann sich Künfftiger Zeit, wegen der in Ihr beeden Eheleüth mit einander auffgerichteter Eheberedung Verglichener Ergäntzung darnach Zu reguliren haben mögte (…) Actum in præsentia H Johann Heinrich Künasts vornehmen Burgers alhier, als dero Ehefrawen noch Zue Zeiy ohnentledigten Vogts Montags den 21. Januarÿ Anno 1715.
Pro Nota. die Zwischen Eingangs Gemelten beÿden Eheleüth auffgerichteter Eheberedung ist den 2. 8.bris Anno 1714. von mir Eingangs gemeltem Notario sub N. 332. verschriben Zubefinden

In einer alhier Zu Straßburg Hinder der Kürßner Zunfftstub gelegener vnd in dieße Nahrung gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Soldaten Cammer, In der Gesellen Cammer, In der Wohnstub, Im Haußöhren, Im Hindern Stübel, In der obern Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (T.) Item hauß v. hoffstatt mit allen dero begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zu Straßburg hinder der Kürschner Zunfftstub, i. seith neben Hanß Martin Kalben deß Kürßners Kindern, 2.s. neben Weÿl. H Joh. Carl Rothen deß Ganthkäüfflers seel. Wittib v. Kinder, hinden auff H Georg Friderici den Kürschner stoßend, davon gehen Jahrs auff Michaelis 14. lb. d Zinnß H. Johann Heinrich Künasten, Lößig mit 350. lb d. sonst gegen männiglichen freÿ Ledig eigen. Es ist aber solche Behauß. alhier nicht zu æstimiren, sondern, wann selbige stehender Ehe verkaufft werden solte, dem darauß erlößten pretio nach, Zuergäntzen verabschiedet worden. Vnd sagt darüber I. perg. Kbr. auß allhies. C. C. stub und mit dero anhangendem Ins. verwahret datirt den 31. Martÿ A° 1703. notirt mit N° 1.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unverändert Gutt, Sa. haußraths 50, Sa. Silber geschmeids 14, Sa. Baarschafft 16, Summa summarum 81 lb
der Ehebr. unverändert Vermögen betreffend, Sa. haußraths 227, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 149, Sa. Meels 7, Sa. Silbergeschirrs 18, Sa. Goldenen Rings 22, Sa. baarschafft 15,. Eigenthumbs An einer Behauß., Summa summarum 436 lb – Schulden 494 lb, In Vergleichung 57 lb

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit du charpentier Jean Georges Hoffet

1716 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 38
Erschienen Michel Kübler Kürßner und Maria Salome geb. Braunin beÿständlich Daniel Braun weißb: und Joh: Georg Hoffet zimmermanns
in gegensein H. Johann Heinrich künasts handelsmanns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behausung allhier hinter der Kürßner stueb, einseit neben Martin Kalb anderseit neben Joh: Carl Rothen wittib hinten auff H Friderici

Le conseil de la tribu des Tanneurs cite Georges Michel Kübler à comparaître. Ils interdisent à Georges Michel Kübler de revendre le parchemin qu’il a acheté à un marchand bâlois.
1716, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 100) Donnerstag den 25. junÿ Anno 1716 – Christian Bruder Sen. Pergamenter clagt wider Geörg Michael Kübler den Kürßner vndt Burgern allhier, daß er pergament von fremden orthen anhero bringen, durch seine haußfrau den buchbindern, buchtruckern und Sippmachern von hauß Zu hauß herumb tragen vnd verkaufften laße, so wider ordnung, bat umb abstraffung vnd ferneren Inhibition, Beclagter Zugegen meldet, es hätte Ihme verwichene Weÿhenachtmaß ein Kauffmann von Baßel nahmens Emanuel Schmidt eine quantitæt Pergament, weilen er solches in seinem laden nicht logiren Könte, außzuheben, vnd anbeÿ die commission gegeben, wann etwa jemandt nach Pergament fragen vnd etwas davon Zukauffen verlangen solte, er solches best möglich verkauffen möchte, deßen haußfrau habe darauff beÿ gegebener gelegenheit etlichen Sippmachern davon part ertheilt, welche dann sofort berührt Pergament dem Kauffmann selbsten abgehandelt, wäre also ohnbefugt angeclagt, bat dahero absolutionem.
Erkandt, würd die Sach Zu weiterer vndersuchung außgesetzt, in zwischen aber beclagtem beÿ ohnaußbleiblicher Straff verbotten alles Pergament Kauff vnd verkauffens, als Ihme ohngebührig, sich, vnder was prætext es sein mag, Zuenthalten.

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Thomas Kœnig.

1722 (12.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 700-v
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Johann Thomas König des Schuhmachers
In seiner hinter der Kürßner zunfft stub einseit neben Rauscher dem nestler anderseit neben Percellat dem tabackhändler gelegenen wohnbehausung, unten auff dem boden Eine stub und Kuchen, Mehr zweÿ stiegen hoch eine Kammer und auff dem dritten stock eine Kammer, so dann einen unterschlagenen platz im Keller, von nächstkünfftigen weÿhnachten und vermittelst vierteljährigen auffkündigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au formier manant François Antoine Anstett

1724 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 300
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Frantz Anthoni Anstaett des Leistenschneider und schirmers
In seiner hinter der Kürßner Stub einseit neben Percellat dem tabackhändler anderseit neben Rauscher dem Nestler gelegenen Behausung Unten auff dem bodern eine Stub Ferner dreÿ Stiege hoch eine Kammer, So dann einen unterschlagenen beschlüßigen Keller – von; nächstkünfftigen Michaelis fürwährenden Jahr ihren anfang nehmen auff viertel jährigen auffkündigung sich endigen solle – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 gulden

Georges Michel Kübler loue une partie de sa maison au cordonnier Marc Gerhard

1724 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 391-v
Georg Michael Kübler der Kürßner
in gegensein Marx Gerhard des Schuemachers
In seiner allhier hinder der Kürßner Zunfftstub einseit neben Rauscher dem Nestler anderseit neben Percellat dem handelsmann gelegenen behausung, zweÿ stiegen hoch in den hoff eine Stub Kuchen und Kammer welche auff die Gaße siehet, So dann einen unterschlagenen Keller – von nächstkünfftigen Michaelis ihren anfang nehmen – um einen jährlichen Zinß nemlich 16 gulden

Anne Marguerite Franck hypothèque sa part de la maison au profit de Marie Salomé Braun femme de Georges Michel Kübler (sa mère)

1728 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 425
Jfr. Anna Margaretha Franckin so über 25 Jahr alt zu seÿn versicherte beÿständlich ihres annoch ohnentledigten Vogts Johann Georg Wöhrle des Schuemachers
in gegensein ihrer leiblichen Mutter Mariæ Salome geb. Braunin Georg Michael Kubler des Kürßners ehefraun – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten hinder der Kürßner Stueb einseit neben Johannes Rauscher dem Nestler anderseit neben Kuentz dem Gürttler hinten auff weÿl. H. Georg Friderici Kürßners hinterlaßenen wittib und Erben

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Sachs, veuve du docteur en médecine Auguste Wencker

1740 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 558
H. Georg Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand ihres vettern Johann Michael Ending des leinenwebers und Johann Heinrich Berger des tabacbereiters
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Sachßin weÿl. H. Augusti Wencker gewesten med. Doctoris und Prodemonstratoris Botanices atque Chymiæ hinterlassener Fr. wittib mit beÿstand ihres H. Vatters S.T. H. Johann Jacob Sachß Med. Dris. Et Profess. Publ. ord. auch capituli Thomani allhier Canonici – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehör, rechten und gerechtigkeiten hinder der Kürßner Stueb, einseit neben N N d. Tripier, anderseit neben N N Kuentz dem gürttler, hinten auff N N den Leistenschneider

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Thierry Fahlmer

1742 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 5-v
Georg Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome Garten Braunin mit beÿstand Johann Michael Endling des leinenwebers und Johann Heinrich Bergers des tabacbereiters beede ihrer geschwistrig kinder ehemänner
H. Johann Dietrich Fahlmers des handelsmanns, 250 pf
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Kürßner stub ; der Küblerischen ehefrau eigenthümlich zuständig, einseit neben NN dem fripier, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN den leistenschneider

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun hypothèquent la maison au profit de son gendre pelletier Samuel Becké

1742 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 86-v
Johann Michael Kübler der Kürßner und Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand Johann Michael Endling des Leinenwebers und Johann Heinrich Bergers des tabacbereiters beede ihrer geswisterig kinder Ehemänner
in gegensein H. Samuel Beck des veech: händlers ihres tochtermanns – 125 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Kürßner zunfft stub, einseit neben NN dem fripier, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN den leistenschneider – ane statt des zinßes aber Creditor befugt seÿn seine waar in beschriebener behausung zu beitzen und zu tröcknen

Georges Michel Kübler et Marie Salomé Braun font dresser un état de leur biens pour cause de faillite. La maison est estimée à 650 livres, somme qui figure au contrat d’entretien des enfants. La masse propre à la femme s’élève à 160 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 329 livres, le passif de 1 590 livres.

1742 (29.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 239) n° 173-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so Meister Georg Michael Kübler, der Kürßner und Frau Maria Salome gebohrene Braunin, beede Ehepersohnen und Burgere allhier zu Str.anjetzo tam active quam passive würcklich haben und besitzen, welche der Ursachen, allweilen die Ehefrau Ihe Zugebrachtes und wehrender Ehe ererbtes in denen Ehepactis sich vor unverändert Vorbehaltenes Guth zu Salviren gedencket, und auch dahero mit Johann Michael Endling, dem Leinen Weber und burgern allhier würcklichen bevögtigen lassen (…) auf Sambstag en 29.ten Septembris Anno 1742.

In einer allhier Zu Straßburg hinder der Kürßner Zunfft Stuben gelegenen und der Ehefrauen unveränderten Behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung (F.) Eine behaußung und Hoffstatt, mit allen deren begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hinder der Kürßner Zunfft stub, einseith neben N. Riegern, dem Frippier ehevögtl. weiß, anderseith neben Hn N. Kuntz dem gürtlern allh. hinden auff H. Joh: Georg Tornarius den Kürßner, allh. so außer denen darauff hafftenden u. hernach passivé eingetragenen Capitalien, freÿ ledig und eigen und dißorts ohnpræjudicirlichen auf den fuß als solche dießorts Ehefrau Von Ihren KK erster Ehe nach den errichteten KK. Vertrag eigenthümbl. Zu ihren Antheilern überlaßen worden, hiehero angeschlagen umb 650 lb. Dieße Behaußung ist in Ihr der Ehefrauen erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft theilbare Nahrung gehörig gewesten und wie gesagt Ihro in dem den 8.ten Aug. 1714. beÿ löbl. Vogteÿ Gericht errichtet u. respe. den 6. Jul. 1722. enregistrirt und confirmirten KK Vertrag, eigenthümbl. cedirt und überlaßen worden. Darüber Vorhanden I. teutsch. perg. Kbr. in allh. C. C. stub gef. u. m. dero anh. Ins. Verw: datirt d. 31. Martÿ Anno 1703 m. alt. N° 1 notirt und dabeÿ wieder gelaßen.
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen unveränderten Guths. Nach außweiß der über beeder eingangs gemeldter Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen durch weÿl. H Joh: Heinrich Langen sen: gewes. Notm. Pub. allh. in A° 1715.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 41, Sa. goldener Ring 3, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 650, Sa. Schuld 15, Sa. Ergäntzung (356, Abzug 380, In Compensatione 24) Summa summarum 710 lb. – Schulden 549, Nach deren Abgang 160 lb
Des Ehemanns ohnveränderte und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 61, Sa. Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 85, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 18 ß, Sa. Schulden 179, Summa summarum 329 lb – Schulden 1590, In Vergleichung 1261 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Dienstags den 20. Octobris 1714. Johann Heinrich Lang sen. Nots. req.situs

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit du marchand pelletier Samuel Becké (son gendre)

1746 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 569
Fr. Maria Salome geb. Braunin mit beÿstand ihres Ehemanns Geörg Michael Kübler des Kürßners unter fernerer assistentz ihres streitvogts Johann Michael Endling des leinenweber
in gegensein ihres tochtermanns H. Samuel Becke des rauchwaarhändlers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der Kürßnerzunfft stub, einseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, anderseit neben N. Kuntz dem Gürtler hinten auff N.N. den Leistenschneider

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit de sa fille Marie Salomé Franck

1749 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 421
Maria Salome geb. Braunin Georg Michael Kübler des kürßners Ehefrau mit beÿstand ihres streit vogts Johann Michael Endling des leinenwebers und Martin Braun des paßmentirers
in gegensein ihrer tochter erster ehe Maria Salome Franckin mit beÿstand Johann Daniel Inckel des glaßers – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der kürßner zunfft stub, einseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, anderseit neben N. Kuntz dem gürtler, hinten auff NN leistenschneider

Marie Salomé Braun assistée de son mari Georges Michel Kübler hypothèque la maison au profit du chirurgien Paul Frédéric Zinserlin pour rembourser une dette de son mari

1752 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 231-v
Fr. Maria Salome geb. Braunin Georg Michael Kübler des kürßners Ehefrau mit beÿstand ihres vogts und vetters Johann Michael Endling des leinenwebers und ihres tochtermanns H. Samuel Becke des veechhändlers und E.E. grosen Raths beÿsitzers
H. Paul Friedrich Zinßerlin der chirurgus am andern theil
demnach er Kübler zufolg E.E. großen Raths bescheids vom (-) Junÿ 1749 condemnirt worden ihme Zinßerlin eine haupt summ von 650 gulden benebst zinßen und uncösten (zu zahlen)
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinter der Kürsner zunfft stub, einseit neben N. Kuntz dem gürtler, anderseit neben Friedrich Rüger dem altgewänder, hinten auff N N den Leistenschneider

Inventaire par révision dressé après la mort de Marie Salomé Braun en 1754 à la requête de ses deux filles et héritières. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 767 livres, le passif à 1818 livres.

1754 (21. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 258) n° 590-a
Revisio und respe. Inventarium aller derjenigen Haab und nahrung, welche weÿl. Frau Maria Salome Küblerin gebohrene Braunin, Georg Michael Küblers des Kürßners und burgers allhier Zu Straßburg gewesene Ehefrau nunmehr seelig nach ihrem den 4.ten aug. dieses lauffenden 1754.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren nachgemelter der Verstorbenen in erster Ehe ehel. erzeugter Zween frauen töchtere nach dem Eingang dießes Inventarii nebst ihren Ehegatten ordentlichen benambßet, fleißig inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßb. auff Donnerstag den 21. 9.bris 1754.
Die verstorbenen seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. die Ehren und tugendsame Fr. Mariam Salome geb. Franckin des Ehrenachtbaren meisters Joh: Fried. Neukamms des nagelschmidts und b. allh. Zu Str. Ehegattinin dieße beÿständlich dießes ihres Ehemanns gegenwärtig, So dann 2. die Hoch Ehren und tugendreiche Frau Annam Margaretham gebohrne Franckin, des Wohl Ehrenvest Großachtbaren fürsichtig und weißen herrn Samuel Becke des rauchwaar händlersn E. E. Gr. Raths alten wohlverdienten beÿs. v. vornehmen b. allh. fr. Eheliebstin, welche nebst vor wol vermeldeten ihrem herrn Ehelibeste dießer Inventur in person abgewartet, dieße beeder der Verstorbenen seel. in Erster ehe mit weÿl. dem Ehrenachtbaren Mr Joh: Jacob Francken, dem gewes. Kürschners v. b. allh. längst seel. ehel. erzeugte frauen töchter und ab intestato Erben
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Str: hinder der Kirschner Stub gelegenen in dieße Verl. gehörigen behaußung folgener maßen ich befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nehml. j. Beh. v. Hoffstatt, mit allen deren gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hind. der Kürßner Stub, j.s. neben N. Riegern, dem Frippier ehevögtl. weiß, 2.s. neben Joh: Frid. Kuntz dem gürtlern allh. hinden auff Mr Joh: Georg Tornarius den Kürschnern stoß. so außer denen darauff hafftenden und hernach inventirten passiv Cap. ledig eigen v. durch die Herren Werckmeistere dießer Löbl. Stadt nach Außweiß der mit Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung vom 14. Xbr A° 1754. æstimirt und angeschlagen pro 750 lb. Darüber bes. j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. stub und mit deren anh. Ins. Vw. datirt d. 31. Martÿ A° 1703.
Sa. haußraths 17, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Summa summarum 767 lb – Schulden 1801 und 17, Pssiv onus 1051 lb
Abschatzung Vom 14. Xbris 1754. Auff begehren Meister Joh: Michael Kübler des Burgers, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, hinder der Kürschner Stub Gelegen, einseÿts neben Herr Kuntz anderseÿts neben N. N. dem fripiés und hinden auff Herr Bansmädel dem Goltschmid Stoßend, solche behausung bestehet in etlichen Stuben, Kammeren und Küchen, darüber ist der Tagstuhl mit breidt, und hohl Ziegler belegt, hatt auch einen Gewölbten Keller. Von uns den underschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern, nach Vorhero beschehener besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeith dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und um Eintausent und Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister

Georges Michel Kübler est admis pensionnaire à l’hôpital
1755, Conseillers et XXI (1 R 238)
Georg Michael Kübler der burger und Kürschner alhier wird ad dies vitæ in den Spithal recipirt. 45.
(p. 45) Sambstag den 22. Marty 1755. – Christmann nôe Georg Michael Kübler des Burgers und Kürschners alhier producirt unterth. Memoriale und bitten mit beÿl. N° 1 biß 5 inclus. pt° auffnahm in den Spithal. Erk. wird der Implorant ane die hochansehnliche Hh. pfleger des mehrern Hospithals umb allda auffgenommen und Lebtägig Verpflegt Zu werden, Verwießen. Depp. H. Rathh. Kürschner, H. Rathh. Adam

Samuel Becké acquiert le 20 mars 1755 la maison par adjudication judiciaire comme le mentionent les actes ultérieurs.
Fils du secrétaire Jean Becké de Breslau (Wrocław en Pologne), Samuel Becké épouse en 1728 Anne Marguerite Franck, fille de Jean Jacques Franck (le précédent propriétaire) : contrat de mariage, célébration

1728 (23. Aug.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 26
Eheberedung – zwischen dem Eren Achtbaren Samuel Becken, dem leedigen Kürsnern Von Breßlaw gebürtig, weÿl. herrn Johann Becken gewesenen Wagampt schreibers alda nachgelaßenen ehelichen Sohn alß Bräuthigam ane einem
so dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Annæ Margarethæ Franckin, weÿl. Johann Jacob Francken gewesenen Kürßner und burgers allhier Zu Straßb. nachgelaßenen ehelichen Tochter als der Jgfr. hochzeiterin andern theil
Beschehen und verhandelt allhier Zu Straßb. auff Montag den 23. Aug. Anno 1728. [unterzeichnet] Samuel Becke alß hochzeiter, Anna Margretha franckin als hohzeitrin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 207-v, n° 1181)
Anno 1728 den 6 Octobr. sind nach geschehener ordentlicher ausruffung ehelich eingesegnet worden in der Kirch zu St. Thomas, Samuel Becke der ledige Kürßner Von Breßlaw weÿland Johann Becke deß wag ampts schreibers daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Anna Margaretha Weÿland Johann Jacob Franck deß geweßenen burgers und Kirßners alhier hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Samuel Becke als Hochzeiter, Anna Margretha franckin alß hochzeiterin (i 212)

Samuel Becké devient bourgeois quinze jours après son mariage
1728, 4° Livre de bourgeoisie p. 946
Samuel Beck .d Kürßner Von Weßlau geb: erhalt d. b. Von sein ehefr: Anna Marg: Johann Jacob Francken b: undt Kürßners Hint. dochter umb die tertz d. alt. b. will beÿ E.E. Zunfft d: Kürßner dienen Jur. d. 23.t octob. 1728

Il devient tributaire chez les pelletiers deux jours après avoir acquis le droit de bourgeoisie. Il produit un certificat d’apprentissage daté de Breslau le 19 juin 1719.
1728, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
(f° 28) Mittwochs den 25. Octobris 1728 – Neuzünfftiger
Samuel Becke auß Breßlau gebürtig Weÿl. H Johann Becken, geweßenen Waagschreibers allda hinderlaßener ehelicher Sohn, ließ nebst producirung geburts scheins de dato 3. Aprilis 1728. unter der Stadt Breßlau hangendem Insiegel, deßgleichen deßen Lehrbrieffs datirt Breßlau den 19. Junÿ 1719. und weilen er den Stallschein noch nicht erhoben, in ermanglung deßen, des Cantzleÿ Scheins de dato 23. Octobris Anno 1728. durch Meister Georg Michael Küblern, den Kürßnern Vor: und anbringen, daß er beÿ Meister Johann Caspar Cloßen Kürßner, Zu Breßlau gebührmäßig gelernet, gewandert und die erfordrend * über allhier gearbeitet hätte, mit angehencker bitt, ihme gleich andern das Zufft und Große Recht angedeÿhen Zu laßen.
Erkannt, weilen sein Anbringen der Wahrheit gemäß, als seÿe Ihme gegen erlag der Gebühr in seinem petito willfahrt. Waran hin er, in ansehung er eines Mitzünfftigen Meisters tochter geheürathet, nach præstirten jurament gleich entricht
Vor das handwerck 1 lb 10 ß, Vor das Stubenrecht 16 ß 8 d, In des handwercks Gebrauch 1 lb 6 ß 8, Vor die Feuer Eÿmer bestellung 15 ß, Vor die Pfenningthurns Gebühr 1 lb, dem Zunftschreiber 2 ß, dem Büttel 5 ß, also Zusammen 5 lb 15 ß 4 d

Le pelletier Jean Georges Theurkauff fait grief à la femme de Samuel Becké de vendre des marchandises de mauvaise qualité au marché de Saverne. La défenderesse est condamnée à une amende faute d’avoir produit des témoignages convainquants.
1731, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
Johann Georg Theurkauffs haußfrau Ca. Herrn Samuel Becken des Kürßners Ehegattin
(f° 50-v) Sambstags den 15.ten Septembris 1731, – Meister Johann Georg Theurkauffs, des Kürßners haußfrau Klagt Ca. Herrn Samuel Becken, des Kürßners, und jetzigen Zunfft Schaffners Ehegattin, daß sie Beckin auff dem vor etlichen tagen gehaltenen Zaberer Jahr Marck wieder art Ihro ihre Waar verachtet, und sie alte verrauchte und s.v. beschißene Beltz geheissen, bitt umb gebührende Abstraffung,
Beklagte Zugegen replicirt, hätte da Klägerin sie eine große Frau Föchhändlerin, welche mit stinckenden Schaaff beltzen auff die Märcktt gehe genennet, Zur antword gegeben, daß sie doch keine rechiche* sondern gute neue Waar hätte, bitt umb beweißthumb, Klägerin nochmalen vorgefördert und gefragt, ob sie glubwürdige gezeugen ihrer Anklag hätte, sagte daß neben andern so sie nicht Kennete auch Georg Günther, der Mit Meister und deßen Ehefrau, wie auch Johann Heinrich Goldbach, des Kürßners Ehefrau gehört hatte darauff Frau Beckin ebenfalls vorgelaßen und ihro beditten, ob sie im gegentheil auch ihre verantwortung wieder Klägerin daß nehmlichen dieselbe ihre beltz Zu erst verachtet, durch genungsame Gezeugnus wahr machen Könte, dieße
benande Meister David Formier Von Waßlenheim Zu ihrem Gezeugen, welcher aber dermahlen nicht anweßend, Nach gehaltener Umbfrag waren der Klägerin Gezeugen und Zwar allein Georg Günther und deßen Ehefrau, Johann Heinrichs Goldbachs Ehefrau aber weilen Beklagte darwieder præstiren, daß sie den tag Zuvor mit ihro in streit gefallen nicht vorgelaßen, Georg Günther nach gebener handtreu deponirte, hätte gehört, daß Beklagte Zur Klägerin geredet, die Beklagte hätte Kleine Verrauchte und verpabelte Waar so, wie sie, nehmlichen wie Klägerin, seßen Ehefrau auch vorgefordert meldete, nach dem sie in handgelübd genommen geweßen, Könne nichts anders sagen, alß daß Beklagte ihro Klägerin die Waar Veracht hätte, beziehet sich auff die Wort ihres Ehemanns. Hierauff ward der Articul das Nachruffen und Verachten der Waar betreffend abgeleßen und per majora vota Erkannd, Solle die Beklagte nebst der Gerichts Gebühr, so sie liegen laßen solle den Articul mit 1 lb 10 ß d beßern, dabeÿ aber ihro ihre anklag wieder Klägerin weilen Gezeugen nicht Zugegen vorbehalten seÿn als dann ferner ergehen solle, was rechtens.

Litige entre Samuel Becké et le compagnon Jean Koch. L’affaire est traitée sur des pages endommagées du registre
1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Samuel Becke C. E.E. Meisterschafft der Kürschner. 255. 266. 276. 284. 297 (Table)
(p. 255) Sambstag den 26. Augusti 1734 – [-] und Kürschnermeisters und [-] Kürschners Meisterschafft prod. unterth. [-] appellation, bitt [-] urkund laß. Erk. sill urkundt [-]
(p. 266) Sambstag den 4. Septembris 1734. – Fuchß nôe Samuel Becke et Cons. in Actis C. E. E. Zunfft der Kürschner auff producirte App. vom 28. Aug. jüngst prod. Appellation Klag juncto petito sambt beylagen Sub N. 1. 2. Zug. bitt Deput. Fuchß bitt similiter. Erk. Deput. willfahrt.

(p. 276) den 11. Septembris 1735 – [-] Hrn Secret. Kleinclaus referiren [-]ßner handwerckhs den 26. Aug. [-]hafft Johann Koch den Gesell von [-] Kürßner angeklagt, daß er beÿ [-] Kürschner allhier beÿ dem er in [-]nommen, nun aber beÿ[-] nach ordnung sich wieder[-] wochen aus der Statt Ziehen [-] und Meisters Verantwortung [-]nnnt, sich aber wieder mit [-]anft* per Majora die[-] weilen der Gesell von dem [-] und er. meister auch Krafft [-]eilung der Kundschafft [-] bißheigen ordnung nach [-]onath Zur Statt hinaus Ziehen, [-]kschawen, anbeÿ die Gerichts[-]chen bescheid Becke der Meister[-]angl. jüngst beÿ Mgh. contra [p. 277] E. E. Zunfft der [-] davon an derselbe[-] Appellationsklag [-]sie das Factum [-] beÿlag N° 2e /:s[-] articul buch Fol. [-] wolten zu erken[-] cassiren und auß[-] Mit Appellanten [-] Zu arbeiten befu[-] bewilligte 15. ß [-] Gedacht E. Zun[-] umb Deput. ge[-] denen besitzung [-] schrifft widerh[-] Glock und P[-]samen Gesel[-] Jüngst dene[-] daß wann [-] wolle, so ha[-] oder Sein wo[-] hätten replic[-] wollen die[-] Zuführen. [-] daß nach [-] enthaltenen[-] beÿ seinen [-] man dan[-] Ihme Zu[-] Zu Ihme [-] Zu thu[-] Zunfft gu[-] Zu Mghh.

(p. 284) Sambstag d. 18. Sept. 1734 – Fuchs nôe Samuel Becke et Cons. C. E. E. Zunfft der Kürßner bitt ut ante [communication bescheids]. Erk. Willfahrt

(p. 297) Sambstag den 18. Sept. 1734 – Bescheis. In Sach[-] deßen [-] am e[-] (p. 298) [-]el ! Auff producirten Zunfft: [-] jüngtjien, basaf welches [-] von gedachtem seinem Meister [-]nd er, Meister, auch Krafft Scheins [-]ung der Kundschafft consentirt, [-]ben, und entweder ein Monath [-]aber sich wieder alhier umb[-]kösten liegen laßen wolle. Eigelegte [-] Sub N° 1 et 2, und angehencktem [-] sententia à quà gantzlich zu [-] der Gesell beÿ seinem Meister [-]ng es beÿden gefällig, ohngehin:[-] gegener auch dem Gesellen die [-]ß Zu restituiren schuldig sein sollen [-] beÿ gebettener, bewilligter, und [-] gethane Verantwortung, juncto [-] bescheid Zu laßen, und all[-] Anbringen, Ist der Hh. Depp. [-]thel Zu Recht erkant, daß der [-] Meister Samuel Becke, nach[-] die Altgesellen die es auch Zu [-] eingeführt sein wird, noch [-] dem Zunfft gerichtt erlegte [-] ein solches hiemit erkennen.

Anne Marguerite Franck meurt en 1760 en délaissant deux fils, l’un jurisconsulte au service des princes de Waldeck, l’autre sous-officier au service de Wurtemberg. Les experts estiment la maison rue des Sept-Hommes à 600 livres. L’inventaire est dressé dans sa maison aux Petites Arcades. La masse propre au veuf est de 404 livres, celle des héritiers de 315 livres. L’actif de la communauté s’élève à 8 166 livres, le passif à 7 569 livres.

1760 (4.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 264) n° 814
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die hoch Ehren und tugendbegabte Frau Anna Margaretha geb. Franckin des Wohl Ehrenvesten Großachtbaren und weißen Herrn Samuel Becke, des Vornehmen Föchhändlers undt E. E. Großen Raths alten Wolverdienten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Frau Eheliebstin nunmehr seel. nach ihrem den 14. Julÿ dießen lauffenden 1760.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 4.ten Septembris, Anno 1760.
Die Verstorbene Frau Rathherrin seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. S.T. Herrn Samuel Becke, J.ris Consultum und hochverdientenen hochfürstlichen Waldeckischen Rath dermalen Zu Paris sich auffhaltet, dahero abwesend, allein mit hoher Assistentz des hoch Edelvest Fürsichtig und hochweißen herrn Philipp Jacob Städels des beständigen Regiments derer Herren XV. hochansehnlicher Herrn Assessoris und Vornehmen Burgers allhier welcher dem Geschäfft in hoher Person selbst beÿgewohnt, in dem einen Stammtheil
So dann 2. S. T. Herrn Johann Daniel Becke, derzeit *ter Lieutenant unter Ihro hoch Fürstlichen Durchleucht Zu Würtenberg und Tegg & errichtetem gens d’armerie à cheval und annoch burgers allhier, welcher ebenfalls nicht allhier, aber derzeit bevögtigt mit herrn Johann Martin Braun des Seidenhändlers und burgers allier, so in deßen Nahmen dießes Geschäfft von Anfang biß Zu End in Persohn abgewartet, in dem andern Stammtheil, Alle beede der Verstorbenen Fraun Rathherrrin seel. mit vorher wolbemeldeten ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiben ehelich erzeugte zween Herrn Söhne und Zu gleichlingen portionen Erben

In einer allhier Zu Straßburg unter der Kleinen gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörige behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern (T.) Erst. Eine behaußung, höfflein und alten baufällige hinder hauß unter der Kleinen Gewerbslauben (…)
(T.) It. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen Iren begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier hinder E. E. Zunfft der Kürschner in der Siebenmanns gaß, einseit neben Friderich Rügern dem frippier anders. neben Joh: Frid. Kuntzen dem Gürtler hinden auff Mr Joh: Georg Tornarius, dem Kürschnern stoßend, so ledig und eigen, und in crafft vorgemeldter Abschatzung gewürdiget vor 600. Hierüber meldet j. teut. perg. Ganth Kauffbr. von seithen E. E. Kl. rhats gef. v. mit deßen anh. Ins. corroborirt dedato 20.ten martÿ 1755.
Ergäntzung des Herrn Wittiber abgegnenen unveränderten Guths, Vermög des durch nun weÿl. Hrn Johann Philipp Lichtenbegrer geweßenen Notarium publ. jur. über beed. nun zertrennten Ehe personen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in A° 1729 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers gesambtes unveränderten Vermögen, Sa. Silbergeschmeids 15 ß, Sa. guldenen Rings 12, Sa. Ergäntzungs Rests 491, Summa summarum 504 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 404 lb
Derer Herren Erben unverändert guth, Sa. Kleidung 52, Silbergeschmeids 3 ß , Sa. Schulden 100, Sa. Ergäntzung 162n Summa summarum 315 lb
Das theilbare Vermögen, Sa. haußraths 160, Sa. Waaren vnd Beltzwerck wie auch Werckzeug Zum Fechhandel gehörig 3345, Sa. Weins v leerer Faß 362, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 92, Sa. goldener Ring, Ketten und Perlen und dergl. geschmeid 47, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1050, Sa. Eigenthums ane Häusern 2100, Sa. Schulden 1009, Summa summarum 8166 lb – Schulden 7569 lb, Nach deren Abzug 597 lb
Stall summa 1316 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter, Zweiffelhaffte Schulden
Copia der Eheberedung (…) Geschehen v. v.handelt allh. Zu Str. auff montag den 23.ten Aug. A° 1728. Joh: Phil. Lichtenberger Not.
Abschatzung Vom 4.ten 7.bris 1760. Auff begehren Herrn Rath Herr Samuel Becker jst Eine Behaußung allhier jn der Statt Straßburg unter der Kleinen Gewerbs Laub gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist Auch allhier jn der Statt Straßburg Hinter der Kürschner Stub jn der sieben Mans Gaß gelegen Einseÿts Neben N Eÿsen dem Schuhmacher, ander seÿts Neben Meister Kuntz dem Gürtler und hinden Auff N. N. stoßend, solcher begriff bestehet jn Etlichen Stuben Kammern und Kuchen, dar über ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt hat auch einen Gewölbten Käller und Brunnen. Von Uns dem Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschworne Werck Meister Nach Vorhero Geschehener Besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Ein Thausend Zweÿ Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Huber

Samuel Becké loue la maison au cordonnier Jean Frédéric Bollinger.

1764 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 460
H. Rathh. Samuel Becke der veechhändler
in gegensein Johann Friedrich Bollinger des schuhmachers
entlehnt, eine behausung cum appertinentis ane dem Siebenmannsgaß – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Johannis Baptistæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund

Samuel Becké se remarie en 1766 avec Sara Barth, fille de l’orfèvre Louis Barth de Colmar : contrat de mariage, célébration
1766 (18.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 495
Eheberedung – Zwischen dem wohl Ehrenvesten, Großachtbaren und weißen Herrn Samuel Becke, vornehmen Föchhändlern E: E: Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzern, Wittweren und burgern allhier Zu Straßburg als dem Herrn Hochzeitern ane Einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrauen Sara Barthin, weÿl. des wohl Ehrenvesten und Kunsterfahrnen herrn Ludwig Barthen geweßenen Silberarbeiters und Burgers in Comar seel. mit der Hoch Ehren und tugendreichen Frauen Sara gebohrner von Petersholtz seiner hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugter Tochter als der Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
Seind dieße Ding Zugangen und beschehen allhier Zu Straßburg auff Dienstag den 18. Februarÿ anno 1766 und Samuel Becke alß Hochzeiter, Sara barthin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 148-v, n° 802)
Im Jahr 1766, den 6. Aprilis sind nach zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausrufung Zu St Thomæ und in der Prediger Kirch auf obrigkeitlicher Erlaubnus Zu Haus copulirt und eingesegnet worden Herr Samuel Becke der wittiber Föchhändler und burger allhier wie auch E. E. grossen Raths alter beÿsitzer und Jungfrau Sara Barthin weÿland Herrn Ludwig Barth gewesenen Silberarbeiters und burgers Zu Colmar ehelich nachgelaßene Tochter [unterzeichnet] Samuel Becke alß Hochzeiter, Sara barthin als hochzeiterin (i 151)

Sara Barth devient bourgeoise deux mois après son mariage
1766, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 94-v
Sara Barthin, von Colmar gebürtig verheurat. an H. Samuel Becke, alten EE großen Raths beÿsitzer und burger allhier, erhalt das burgerrecht aus besonderer Consideration gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Kürßner, prom. den 23. Junÿ 1766.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 8604 livres, ceux de la femme à 822 livres.

1766 (3.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1029
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrenveste Großachtbare und weiße Herr Samuel Becké, der Vornehme Föchhändler, E.E. Großen Rhat alter wohlverdienter Beÿsitzer und die Hoch Ehren und tugendreiche Frau Sara gebohrene Barthin, beede Ehepersonen und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, auch sich in crafft der den 18.ten Februarÿ A° 1766. mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 3.ten Julÿ Anno 1766. In fernerer gegenwart Herrn Friderich Rathgeber des Vornehmen Handelßmanns und Burgers in Oberbrunn, Ihres Herrn Schwagers

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Gewerbslaub gelegenen in diese Nahrung eigenthümlich gehörige Behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern (H.) Nemlichen Zween dritte theil vor unvertheilt von und ane jr. behaußung, höfflein und hoffstatt unter der Kleinen Gewerbslauben (…)
(H.) It. Zween dritte theil vor unvertheilt von und ane jr. Beh. v. Hoffstatt m. allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. hinder E. E. Zunfft der Kürschner in der sogenanden Siebenmanns gaß, j.s.neben Friderich Riegern dem frippier vormals, modo N. N. dem Schuhmacher, 2. s. neben Joh: Fried. Kuntzen dem Gürtlern, hinden auff Mr Johann Georg Tornarius, dem Kürschnern stoßend, so ledig eigen, und nach obigem Calculo gewürdiget vor 900 lb, darvon betragen die 2/3, 600 lb, die übrige tertz ist denen beeden herren Söhn erster Ehe gebührig, derentwegen meldet j. teut. perg. Ganth Kffbr. von seithen E. E. Kl. Rhats unter anh. Ins. gef. datirt den 20.ten martÿ 1755.
Series rubricarum hujus Inv. Des Eheh. in die Ehe gebrachten Guths, Sa. haußraths 539, Sa. Weins v leerer Faß 628, Sa. Waaren und Werckzeug Zum Föchhandel und Kürschner Profession gehörig 5000, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 227, Sa. gold. Ring 423, Sa. baarschafft 933, Sa. Pfgzß hptg. 200, Sa. Eigenthums ane Häusern 2266, Sa. Schulden 1753, Summa summarum 11.972 lb – Schulden 3368 lb, Nach deren Abzug 8604 lb
Der Ehefrauen zugebrachte Nahr. Sa. haußraths 117, Sa. Silber geschmeids 58, Sa. gold. Ring, Perlein v. dgl. geschm. 363, Sa. baarschafft 262, Summa summarum 822 lb

Inventaire dressé dans la maison après la mort du perruquier Jean Jacques Aubry qui délaisse deux enfants en premières noces avec Marie Anne Barrière et deux de la veuve Jeanne Catherine Pierre

1767 (28.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1498) n° 45
Inventarium über Weÿland Jean Jacques Aubry, geweßenen Perruckenmachers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet anno 1767 – nach seinem den 17. Martÿ 1766. aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Erfordern und Begehren Fraun Johannæ Catharinæ Aubry gebohrner Pierre des abgelebten seel. hinterbliebener Wittib, so von H. Johann Martin Schuhemacher del hiesigen burger und Schneidermeisters verbeÿstandet (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in einer ane der Siebenmanns gaß gelegenen, Hrn Rathherrn Becké eigenthümlich zuständigen und dißorts Zum theil lehnungs weiß inhabenden Behausung auf Montag den 25.ten May 1767.
Die verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen 1.mo Jfrau Susannam Barbaram Aubry so mehrjährig und Zugegen, 2.do Jfrau. Mariam Elisabetham Aubry, so auch mehrjährig und gegenwärtig, beede des Verstorbenen seel. mit auch weil. Maria Anna geborner Barriere deßen ersterer Ehefrauen erzeugte Kinder und von H. Frantz Joseph Quinchamp dem hiesigen burger und Caffetier ihrem oncle verbeÿstandet,
3.tio Jgfrau Catharinam Barbaram Aubry ihres alters 16 Jahr, 4.to Mariam Dorotheam Aubry in dem sechsten Jahr ihres alters stehend, Beede letztere Von dem Verstorbenen seel. in Zweÿter Ehe mit dißorts hinterbliebener Wittib ehelich erzeugte Kinder und mit H. Johannes Burger dem Perruckenmacher und burger hieselbsten so zugegen bevögtigt

Copia der Zwischen dem abgelebten und der Hinterbliebenen Wittib Zur Zeit ihrer Verehelichung Vor nun weil. Hrn Notario Revoire errichteten Eheberedung de dato 20.ten Junÿ 1748.
Pardevant le Notaire juré de la Ville de Strasbourg (…) Collation des présentes a eté faite sur la Minute de feu Sr Revoire cydevant notaire estant en la possession du soussigné notaire juré et public de la Ville de Strasbourg ce 22 may 1757, Albert
Sa. Hausraths 14 lb, Sa. des Werckzeugs zur Peruckenmacher Profession gehörig 4 ß, Summa summarum 14 lb – Schulden aus der verlaßenschafft 20 lb, Compensando, passiv onus loco stall summ 5 lb

Le capitaine Jean Daniel Becké vend à son père la part qui lui revient dans la maison rue des Sept-Hommes

1769 (9. Sept.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 264) Joint au n° 814 du 4 sept. 1760
Erschienen aine dato Zu end gemelt vor mir offenbarem und Zu dießem Inventations geschäfft adhibirtem Notario, S. T. Herr Johann Daniel Becke, derzeit wolbestelter Capitain unter Ihro hoch Fürstlichen Durchleucht Zu Würtenberg Tegg & Leib granadiere regiment, dißorts Herr Sohn majorennis der hat
in gegensein S.T. Herrn Samuel Becke, Vornehmen Föchhändlers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier zu Straßburg seines herrn Vatters declarirt, daß nach dem in dem hievor über weÿl. Frauen Annæ Margarethæ gebohrner Franckin respectivé sein herrn Rathherrn Becke erstern Eheliebstin und des herrn Sohns frau Mutter seel. Verlaßenschafft (…)
seinen Antheil das ist der sechste unvertheilte theil von und ane der behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg hinder E. E. Zunfft der Kürschner, die Siebenmanns gaß genant, einseit neben Friderich Rügern dem frippier anderseit neben Johann Friderich Kuntzen dem Gürtler hinden auff Meister Johann Georg Tornarius dem Kürschnern stoßend, so freÿ ledig und eigen, woran Ihme Herrn Vatter selbsten Zwen dritte theil und Herrn Johann Becke, hochverdienten Syndico auff der universität zu Göttingen (…) und zwar dieße behaußung auff den fuß derr 1200 pfund (…) So geschehen Straßburg auff Sambstag den 9. Septembris anno 1769

L’inventaire dressé après la mort de Samuel Becké n’est pas conservé (il doit s’agir du numéro 1255, noté manquant lors de la confection du répertoire). Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 600 florins (1 800 livres) sur un total de 12 500 florins

1772, Livres de la Taille (VII 1180) f° 142
2902 Weÿl. H. Samuel Becke geweßenen Fochhändlers Exs. und burgers allhier Verlassenschafft jnventirt H Not. Dautel
Concl. final. jnvent. Ist fol. 269.b 4725. lb 12 ß 11.¾ d adde die wieder ordnung gemachten abzug von den waaren und anderen mit 1524. lb 16 ß so thut dießelbe 6270 lb 8 ß 11 ¾. d die machen 12.500 fl. Verstallte 8900 fl. zu wenig 3600 fl.
Wovon nachtrag 6. Jahr in duplo a 10 lb, 64 lb
und 4 Jahr in simplo 21 lb
Ext. stallgeldt 1771, 14 lb
Geb. 2 ß
Abhandlung 9 lb, (zusammen) 110 lb
das Simplex nachgelaßen restirt 89 lb
dt. 18. Maÿ 1772

Etat des biens que Marguerite Jäggi a laissés dans la maison après avoir quitté la ville pour éviter les poursuites de ses créanciers

1783 (30.5.), Not. Lederlin (6 E 41, 905) n° 225
Designatio über Margarethæ Jäggin gebohrner N. der von hier abgetrettenen burgerin zurückgelassene weniger Haabseeligkeiten, errichtet Anno 1783 – der von hier ausgetrettenen Burgerin nach ihrer von ohngefehr sieben wochen wegen obwaltendem Schulden last genommener Flucht activé verlaßen, so viel erkundiget werden Konte, passivé Zu bezahlen schuldig ist, welche auf Requisition Frauen Sarä Becké gebohrner Barthin, weÿland Herrn Exsenatoris Samuel Becke, geweßenen Föchhändlers und burgers dahier hinderlaßener Frauen Wittib, beÿ welcher die Fluchtige gewohnt hat, inventirt (…) so geschehen Straßburg d. 20. Maÿ 1783.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Siebenmanns gaß gelegenen H. Exsenatoris Becke hinderlaßener Wittib zuständigen behausung folgender maßen sich befunden als (…) activa 7 lb, passiva 17 lb, Compensando 9 lb

Sara Barth meurt en 1804 en délaissant des héritiers collatéraux. Elle est devenue propriétaire indivise des immeubles suite à la mort de son fils Chrétien Théophile Becké en 1772.

1804 (5 vend. 13), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1993, 6050
Inventaire de la succession de Sara Barth veuve du Sr Samuel Becké marchand pelletier décédée le 27 fructidor dernier – à la requête de 1. Salomé Barth femme de Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, héritière de sa sœur pour une cinquième portion, a constitué pour ses mandataires ses deux fils Samuel Rathgeber et Georges Louis Rathgeber dont le premier est boutonnier à Obebronn l’autre demeurant à Niederbronn,
2. les enfants et petit enfants de Louis Barth, orfèvre à Ribeauvillé, frère de la défunte pour la cinquième portion a) Marie Madeleine Barth femme de Jean Henri Beisser négociant à Ribeauvillé, b) Sr Jean Jacques Barth orfèvre jouialler à Ribeauvillé, c) De Louise Barth épouse du Sr Jean Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé, d) les enfants de Marguerite Madeleine Barth conçus avec Jean Philippe Steffan propriétaire à Ribeauvillé, nommés Philippine et Caroline Stephan
3. les enfants de Catherine Marguerite Barth, sœur de la défunte avec Jean Feberey négociant à Oberbronn, pour la cinquième portion a) Marguerite Madeleine Feberey femme de Frédéric Jacques Schweitzer, faiseur de bas au métier à Oberbronn, b) Jean Philippe Feberey, notaire public à Reichshoffen, c) Dorothée Frédérique Feberey épouse de Casimir Schmidt employé a la sous préfecture de Wissmbourg,
4. Marie Madeleine Barth femme de Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn sœur de la défunte, 5 Demoiselle Marie Ursule Barth majeure sa sœur

en la demeure qu’occupoit la défunte faisant partie de la maison sous les petites Arcades N° 2
Portion dans deux Maisons, 2/9 dans une Maison située en cette ville l’une sous les petites arcades N° 2 consistant en deux Corps de logis puits cour deux caves voutées avec appartenances, d’un côté les freres Müsel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Nestler apothicaire en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier – dont on paie annuellement à la commune une redevance foncière de 4 francs, sur laquelle maison existent différents titres de ventes passées à ma Chambre des Contrats les 7 septembre 1744 et 27 janvier 1749
Plus 2/9 dans une maison appartenances située derrière le cidevant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3, d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Rüger frippier, aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier, Cette maison a été acquise à la chambre des Subhastations le 20 mars 1755 et par un autre contrat passé à la Chambre des Contrats le 31 mars 1703, Les deux 9° dans les maisons susrelatées sont échues à la défunte par le décès de son fils Chrétien Théophile Becké comme unique héritiere d’après les lois qui existoient lors de son decès arrivé en l’an 1772, usufruit dont jouissoit la défunte en vertu du testament mystique de feu Samuel Barth passé le 27 juillet 1769 déposé le même jour enl’étude de M° Dautel – la défunte avoit la jouissance de la succesion à l’exception de la légitime délivrée aux enfants du premier lit faisant pour la part du Sr Jean Becké, syndic a l’université de Goettingue, et pour la part de Jean Daniel Becké vivant Capitaine des Grenadiers du Duc de Würtemberg
Etat sommaire, meubles 703 fr, garde robe 375 fr, argenterie 252 fr, or bijoux 354 fr, dettes actives 1866 fr, porton de maisons o, total de la masse 3552 fr, passif 752 fr, reste 2799 fr
(Jointes) Quittances de loyer de l’emplacement de deux boutiques sous les petites arcades, 5 nivôse 14, 4 fr ; der Allmend zins von zweÿen gädlein mit 4 francken, den 6 nivose 11
(Joints) Compte des recettes et dépenses faites par Jean Stahl en qualité de mandataire Recette 1. Loyers Maison rue des Sept hommes, Sr Giessé journalier pour le quartier échu a la St Michel 1805 24 fr, an XIV du Sr Simon pr. le même Quartier 32, NB le loyer de la Ve. Huber cordonnier et celui du Sr Rapp aussi cordonnier pour trois mois que le Sr Traeger doit acquitter
Maison sous les petites arcades ; an XIV du S Philibert marchand de tabac 135 fr, du Sr Sohn marchand de cuirs 100 fr, du S heckmann 11 fr
1805 de la Demois. Freymann pour le Quartier de Noel 18, du Sr Sohn marchand de cuirs 100 fr, du S heckmann 22 fr, NB. le Sr Philibert ayant délogé a la St Michel n’avoit plus de loyer a payer et son logement n’a pas été reloué
Enregistrement, acp 94 F° 28 du 6 vend. 13

Ursule Barth, sœur de la précédente, est propriétaire d’une partie des mêmes immeubles à sa mort en 1805.

1805 (30 fruct. 13), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber n° 248
Inventaire de la succession délaissée par Dlle Ursule Barth décédée le 4 du présent mois – à la requête de Samuel Rathgeber, boutonnier à Oberbronn, Georges Louis Rathgeber, culottier demeurant à Niderbronn, mandataire de Marie Salomé Barth veuve de Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, leur mère sœur germaine de la défunte, Jean Henri Oertle se portant fort De Marie Catherine Barth épouse de Jean Henri Beysser négociant à Ribeauvillé, niece de la défunte, pour Jean Jacques Barth orfèvre et jouaillier a Colmar neveu de la défunte et pour Jean Philippe Steffan propriétaire a Ribeauvillé tuteur des enfants de Marguerite Madeleine Steffan, Philippine Steffan et Caroline Steffan, Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé au nom de sa femme Marie Madeleine Barth, Georges Louis Müntz Courtier de marchandises se portant fort de Me Jean Philippe Feberey notaire public à Reichshoffen, petit neveu de la défunte, et Dorothée Frédérique Feberey épouse de Casimir Schmidt employé a la sous préfecture de Wissmbourg, petite niece de la défunte, Marie Salomé Rathgeber héritiere pour un tiers, la D° Beysser Jean Jacques Barth, les enfants Steffan et D° Dorn pour l’autre tiers, lesdits Feberey pour le dernier tiers, suivant testament reçu Stoeber père notaire à Strasbourg le 2 du présent

en la demeure qu’occupoit la défunte faisant partie de la maison sise à Strasbourg sous les petites arcades N° 2
meubles 753 fr, numéraire 174 fr
immeuble, 11/45 dans une maison située en cette ville sous les petites arcades N° 2 consistant en deux corps de logis puits cour et deux caves voutées, d’un côté les freres Müssel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Netter apothicaire et en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier – chargée envers la commune d’une rente foncière de 4 francs – acquis par contrat passé à la Chambre des Contratsle 7 septembre 1744 et 27 janvier 1749, estimée 17.000 fr, ici 755 fr
Plus 2/45 dans une maison située derrière le ci devant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3, d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Rieger frippier, aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – acquis par contrat passé à la Chambre des Subhastations le 20 mars 1755, et par autre contrat passé à la Chambre des Contrats le 31 mars 1703, estimée 4000 fr, ici 177 fr
total de la masse 1860 fr, passif 265 fr
(Testament, Legs à sa servante Eve Freyss, dans une chambre au premier étage sur le devant dans la maison Becké sous les grandes arcades n° 2)
Enregistrement, acp 97 F° 127 du 30 fruct.

Les héritiers de Samuel Becké et de Sara Barth vendent les deux maisons par adjudication. Celle rue des Sept-Hommes revient au cabaretier Jean Frédéric Simon

1806 (29.3.), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber
203, Cahier des charges du 13 messisor 13 – Adjudication de deux maisons faisant partie de la succession des défunts Samuel Becké, marchand pelletier, et Sara née Barth, à la requête de M. Jean Frédéric Lauth, Jurisconsulte et avocat, en qualité de mandataire de D° Wilhelmine Charlotte Becké, de Caroline Sophie Louise Becké femme de Gustaphe Alberti, plus Louise Sophie Becké veuve Volbart et Sr Charles Frédéric Jean Chrétien Becké selon pouvoir donné a Gottingue, lesdits mandants héritiers de feu Jean Becké leur père vivant syndic de l’Université de Goettingue, Plus à la requête de Joseph Momy, Juriscosulte et avocat au tribunal, en qualité de Mandataire de D° Marie Caroline Eleonore de Becké, Sr Jean Charles Xavier de Becké Capital de Chasseurs R. et I. et Chevalier de l’ordre de St Charles, D° Caroline de Becké, représentant feu leur père Jean Daniel de Becké, lieutenant colonel et Chevalier de l’Ordre du mérite militaire du duc de Wirtemberg, Lesdites deux branches héritières ab intestato de feu Sr Samuel Becké ; plus à la requête du Sr Jean Stahl
Henri Riss pour Jean Frédéric Simon Cabaretier (la maison rue des Sept hommes) – pour 4300 francs
Jean Jacques Stolz maçon pour Jean Jacques Exel marchand épicier (vente Stoeber fils) – pour 21.000 francs
adjudication de deux maisons situées en cette ville l’une sous les petites arcades N° 2 consistante dans une grande boutique, trois étages pour logement, puit cour deux caves voutées et autres aisances, d’un côté les freres Müssel négociants, d’autre le Sr Exel négociant, aboutissant en partie sur le Sr Lichtenberger coutelier en partie sur le Sr Netter apothicaire – doit annuellement à la ville pour permission de placer deux boutiques sous l’arc de la maison – mise à prix 17.000 fr Plus une maison appartenances située derrière le ci devant poele des Pelletiers dans dans la rue des Sept hommes N° 3 consistant en trois étages pour logement puit cave voutée, d’un côté le Sr Reusner cordonnier, d’autre le Sr Offenburger menuisier / d’un côté Jean Frédéric Kunz ciseleur, d’autre Frédéric Reusner frippier aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – mise à prix 4000 fr
n° 237 du 12 thermidor 13 – n° 243 du 28 thermidor – n° 246 du 10 fructidor – n° 252 du 30 fructidor – n° 258 du 6 vend. 14 – n° 283 du 21 janvier
(Joint :) que le Sr de Becke vivant Lieutenant Colonel au Service du Duc de Wirtemberg et Chevalier de L’ordre pour le mérite natif de Strasbourg est décédé en cette garnison le 29 octobre de l’année courante et n’a laissé d’autres enfants qu’une fille Marie Caroline Eleonore de Becke et un fils Sr Jean Charles Xavier de Becké capitaine de chasseur Royal et Imperial et Chevalier de l’ordre de St Charles, Fait en Garnison a Louisbourg le 9 décembre 1801
(Joint, Rapport d’experts) du 28 prairial 13, Jean Chrétien Arnold maçon, Gédéon Emanuel Stuber charpentier (…) 1. que la maison située sous les petites arcades N° 2 était bien entetenue et avons estimé que les réparations locatives nécessaires a y faire ne peuvent monter qu’a la somme de 20 francs
2. Qui a été effectivement fait par ladite veuve différentes réparations majeures non seulement utiles mais nécessaire même pour la durabilité de l’immeuble en question et à charge des propriétaire, savoir celle du mur de la fosse d’aisance celle de l’arcade qui supporte le devant du bâtiment principal, celle de la platte forme qui couvre la maison de derrière ainsi qu’une toiture construite par dessus et enfin un escalier neuf au second étage, estimées 800 fr
3. Que la maison sise rue des sept hommes n° 3 etant moins bien entetenue exige plusieurs réparations surtout celle de la toiture, lesquelles réparations ensemble nous avons évaluées à 250 fr
4. Que dans cette même maison la défunte usufuitière a fait faire différent ouvrages nécessaires pour la location de cet immeuble tant en croisées neuves qu’en poeles de fonte qu’elle y a fait placer au lieu des anciens en poterie qui etoient tombés en ruine, estimés 200 francs – mises à prix 17.000 fr et 4000 francs

Vente pasée suite à l’adjudication au profit de Jean Frédéric Simon et de sa femme Susanne Dorothée Sembach

1806 (29.3.), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber, n° 2676, 7015
M. Jean Frédéric Lauth, Jurisconsulte et avoué près des tribunaux établis en cette ville, en qualité de mandataire de De Wilhelmine Charlotte Becké sa femme, Dlle Caroline Sophie Louise Becké femme de Gustave Alberti, de De Louise Sophie Becké veuve Vollbarth et du Sr Charles Frédéric Jean Chrétien Becké selon pouvoir donné a Gottingue, lesdits mandants héritiers de feu Jean Becké leur père vivant syndic de l’Université de Goettingue,
Plus Joseph Momy, Jurisconsulte et avoué près des tribunaux établis en cette ville, au nom des enfants et uniques héritiers bénéficiaires de feu Sr Jean Daniel de Becké leur père, lieutenant colonel et Chevalier de l’Ordre du mérite militaire du duc de Wurtemberg, savoir de De Caroline de Becké majeure demeurant à Louisbourg, plus de M. Jean Charles Xavier de Becké, Capitaine du régiment Impérial et Royal Autrichien des Chasseurs tyroliens N° 64 Chevalier de l’ordre pour le Mérite militaire demeurant ordinairement à Mannheim, 2. M. Jean Stahl Jurisconsulte en cette ville, en qualité de mandataire de Samuel Rathgeber, boutonnier à Oberbronn comme représentant sa mère De Salomé Barth, veuve de Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn, Jean Jacques Barth orfèvre et jouaillier à Colmar, Jean Mathieu Dorn négociant à Ribeauvillé mandataire de des enfants et petits enfants de feu Louis Barth orfèvre à Ribeuavillé, Jean Frédéric Rathgeber négociant à Oberbronn au nom de sa femme Marie Madeleine Wurz et De Marie Ursule Barth majeure d’ans, Plus le même Stahl en qualité de mandataire de Casimir Schmidt, employé a la sous préfecture de Wissmbourg, au nom de sa femme Dorothée Frédérique Feberey, Plus led. Stahl en qualité de mandataire de Frédéric Jacques Schweitzer, faiseur de bas au métier, enfin Georges Müntz Courtier en cette ville comme cessionnaire des droits de Me Jean Philippe Feberey notaire public à Reichshoffen par cession passée détect M° Stoeber fils le 7 floréal 13, tous en qualité d’héritiers de feu Samuel Becké marchand Pelletier et de Sara née Barth conjoints
à Jean Frédéric Simon et Susanne Dorothée née Sembach
une maison sise en cette ville rue des Sept hommes N° 3 consistant en trois étages pour logement, puit cave voutée et toutes ses appartenances, d’un côté le Sr Reusner cordonnier d’autre le Sr Offenburger menuisier aboutissant sur le Sr Tornarius pelletier – moyennant 4300 francs
Enregistrement, acp 99 F° 78-v du 29.3.

Fils de chaussetier, Jean Frédéric Simon épouse en 1795 Susanne Dorothée Sembach, fille de boulanger
1795 (25 therm. 3), Strasbourg 4 (10), Not. Greis n° 786, Altes N° 379
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Johann Friedrich Simon, leediger Strumpffstricker allhier, des Bürgers Johann Friderich Simon, Strumpffstrickers allhier mit Eva Margaretha gebohrner Erhard ehelich erzeugter Sohn, unter Authorisation dieses seines Vaters ane einem Theil
sodann die leedige Bürgerin Susanna Dorothea Sembach, weiland des Bürgers Johann Adam Sembach, gewesenen Becken allhie mit auch weiland Dorothea gebohrner Heß ehelich erzeugte hinterlaßene großjährige Tochter, beiständlich ihres Bruders des Bürgers Johann Jacob Sembach, Becken allhier, an dem andern theil
Geschehen allher Zu Straßburg in mein des Notarii Schreibstube den 25. Thermidor im dritten Jahr der Frantzösisch Einen und unzetrennlichen Republick [unterzeichnet] Jean Frederic Simon, Susanna Doroth Sembachin
Enregistrement, acp 36 F° 129 du 27 therm. 3, revenu industriel 200 francs

Le débitant de bière Jean Frédéric Simon meurt en 1826 en délaissant cinq enfants

1826 (3.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), Me Hickel n° 2221
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière décédé le 1 juin dernier – à la requête de 1. Susanne Dorothée Sembach la veuve demeurant rue des Sept Hommes n° 3, mère et tutrice légale de Charles Gustave Simon, 2. Philippe Frédéric Simon, baquetier demeurant même rue n° 4, 3. Sophie Dorothée Simon épouse de Thibaud Schneider meunier, 4. Eve Catherine Simon, 5. Frédérique Wilhelmine Simon demeurant rue des Sept Hommes n° 3, héritiers pour un cinquième de leur père, en présence de Jean Jacques Simon, fabricant de bas rue du Faubourg de Pierre n° 55, subrogé tuteur du mineur
Contrat de vente passé devant M° Stoeber le 29 mars 1806, acquis du mandataire & cessionnaire des héritiers Samuel Becké pelletier & Sare Barth une maison en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, transcrit au bureau des hypothèques volume le 29 mars 1806, estimée 4000 fr
mobilier 373 fr, argent 50 fr (dont garde robe 41 fr)
Contrat de mariage devant M° Greis le 25 thermidor 3 – total 4423 francs
Enregistrement, acp 179 F° 87-v du 5.7.

Sophie Dorothée Simon femme du marchand fariner Thiébaut Schneider cède sa part de maison à ses frères et sœurs

1835 (25.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), Me Hickel n° 5099
Sophie Dorothée Simon épouse de Thiébaut Schneider marchand fariner
à 1. Eve Catherine Simon épouse de Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2. Frédérique Wilhelmine Simon épouse de Daniel Schaan, imprimeur, 3. Charles Gustave Simon, imprimeur, pour un tiers chacun
le quart indivis avec les acquéreurs d’une maison avec grande cave voutée, pompe, & autres appartenances & dépendances sise en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, d’un côté M. Bontems actuellement M. Lipp, d’autre M. Koch – sont compris dans cette vente notamment un billard, différents fourneaux avec tuyaux et pierres et différents autres objets mobiliers – les vendeurs ont recueilli ledit immeuble dans la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière, et de Susanne Dorothée Sembach dont ils sont héritiers pour un 5° ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, les conjoints Simon ont acquis ladite maison des héritiers de Samuel Becké, marchand pelletier, et de Sare Barth, suivant vente passée devant Me Stoeber père le 29 mars 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 28 n° 138 – moyennant 2250 francs
Enregistrement, acp 233 F° 27-v du 27.7

Les héritiers Simon vendent au vitrier Jean Rehn la maison et divers objets mobiliers dont un billard

1840 (15.4.), Strasbourg 12 (152), Me Noetinger n° 12.235
1. Eve Catherine Simon épouse de Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2. Frédérique Wilhelmine Simon épouse de Daniel Schaan, imprimeur, 3. Charles Gustave Simon, aussi imprimeur
à Jean Rehn, vitrier
une maison avec appartenances & dépendances située en cette ville rue des Sept Hommes n° 3, d’un côté M Lantz pelletier, d’autre M Koch cordonniern devant la rue, derrière le Sr Billot chapelier
sont compris dans la vente les objets mobiliers suivants, un billard avec trois billes, 16 queues & deux longues queues, plus quatre tables avec les bancs, une table avec tiroir, un comptoir, trois quinquets, une ardoise, quatre fourneaux en fonte & en fayence, deux chaudrons en cuivre avec couvercles en bois – les vendeurs ont recueilli trois cinquième dans la succession de Jean Frédéric Simon, débitant de bière, et Susanne Dorothée Sembach leurs père et mère, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, les conjoints Simon ont acquis ladite maison des héritiers de Samuel Becké, marchand pelletier, et de Sare Barth, suivant vente passée devant Me Stoeber père le 29 mars 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 28 n° 138 – moyennant 12.300 francs
Enregistrement, acp 277 f° 56-v du 20.4.

Jean Rehn est marié à Françoise Schafflützel qui a épousé en premières noces le vitrier David Pfister
1816 (17.5.), Strasbourg 12 (64), Not. Wengler n° 9565
Contrat de mariage – David Pfister vitrier, veuf sans enfant de Marie Barbe née Riehl
Françoise Schaaflutzel demeurant à Strasbourg, fille mineure de Jean Jacques Schaaflutzel, tanneur, et de Jeannette Charlotte Gilg (si fr) (si fr)
Régime de communauté partageable par moitié
Enregistrement f° 86 du 17.5.

David Pfister meurt en 1825 en délaissant deux enfants issus de la veuve
1825 (22.12.), Strasbourg 12 (98), Me Wengler n° 14.064
Inventaire de la succession de David Pfister, vitrier décédé le 26 novembre dernier – à la requête de Françoise Schafflützel, la veuve en son nom et comme tutrice naturelle de ses deux enfants mineurs Sophie âgée de 8 ans née le 28 juin 1817 et Adolphe né le 13 mars 1821 – en présence de Jonathan Pfister employé subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu Wengler notaire à Strasbourg le 17 mai 1816
dans la maison mortuaire rue de la Madeleine n° 10
Description des objets provenant de la succession de Marie Barbe Riehl épouse en premières noces du défunt Pfister et dont celui ci avait la jouissance viagère suivant inventaire dressé par le soussigné notaire le 11 juillet 1814, immeuble, une petite maison à trois étages avec ses appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue Ste Madeleine n° 10 d’un côté le Sr Moll marchand de fruits, d’autre Conrad Ulrich, devant la rue, derrière une ruelle communale – acquis par la défunte dame Pfeiffer née Riehl des héritiers d’Adam Chrétien Mehl, vitrier, par acte reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 14 mars 1809
mobilier 2841 fr, passif 7511 fr
Enregistrement, acp 176 F° 61 du 29.12.

Originaire de Landau, Jean Rehn épouse Françoise Schafflützel en 1827
Mariage, Strasbourg (n° 155)
Acte de mariage célébré le premier mai 1827, Jean Rehn, Mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le 25 fructidor an X à Landau (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, vitrier, fils de Jean Rehn, vitrier, et de Marguerite Rosin Stichler, conjoints domiciliés à Landau, et Françoise Schafflützel, Majeure d’ans née en légitime mariage le 21 Fructidor an IV à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, veuve de David Pfister, vitrier décédé en cette ville le 26 novembre 1825, fille de feu Jean Jacques Schafflützel, tourneur décédé en cette ville le 26 décembre 1815 et de Jeanne Charlotte Gilig, domiciliée en cette ville ci présente et consentante, veuve de Léonard Kien propriétaire à Obernai. (signé) Jean Rehn, Françoise Pfister née Schafflützel (i 1)

Françoise Schaaflutzel consent au mariage de sa fille Sophie Pfister avec Jean Jacques Rehn
1844 (6.11.), M° Noetinger
Consentement par Françoise Schafflützel veuve en secondes noces de David Pfister vitrier et épouse en secondes noces de Jean Rehn vitrier à Strasbourg, au mariage de sa fille Sophie Pfister à Strasbourg avec Jean Jacques Rehn, chaudronnier à Landau (Bavière rhénane)
acp 329 (3 Q 30 044) f° 49-v du 7.11.

Françoise Schaaflutzel meurt en 1867 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième

1867 (27.2.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Rehn, vitrier, et Françoise Schaaflützel sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 5 janvier 1867, à la requête du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre. le 28 avril 1827. comme mandataire de Henriette Amélie Rehn, épouse de Frédéric Rehn, propriétaire à Landau, 2) Adèle Rehn, épouse de Charles Wernert, serrurier à Strasbourg, 3) ledit Sr Werner comme mandataire de Sophie Pfister épouse de Jacques Rehn, chaudronnier à Landau, 4) Adolphe Pfister, négociant à Sanjosé, les deux enfants du premier mariage

acp 561 (3 Q 30 276) f° 49 du 6.3. (succession déclarée le 4 août 1867) Communauté, mobilier 1374, argent 10.000, livret de caisse d’épargne 1003, un autre 997, deux obligations du chemin de fer de l’Est 619, trois obligations du Crédit foncier 1488, créances Wernert 10.012, autres créances 817, autres 676, intérêts 3198, loyer 3
Une maison rue des Sœurs N° 16, loyers arriérés 76
Une maison rue de la Madeleine N° 17, loyers 14
un hectare de terre à Wollmenheim (Bavière) 79
Succession, garde robe 240, reprises 7052
Une maison rue de la Madeleine N° 15
Rapport 8000

Liquidation de la même succession
1867 (17.6.), M° Noetinger
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Jean Rehn, propriétaire, et Françoise Schaflützel ssa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 5 janvier 1867, dressé à la requête du veuf, comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre. le 28 avril 1827. comme usufruitier du quart de la succession, 2) Frédéric Rehn, propriétaire à Landau, mandataire de Henriette Amélie Rehn sa femme, 3) Adèle Rehn, épouse de Charles Wernert, serrurier à Strasbourg, ces deux issus du second mariage, 4) le mandataire d’Adolphe Pfister, négociant demeurant à Sanjosé (Californie), 5) Jacques Rehn, chaudronnier à Landau, mandataire de Sophie Pfister sa femme, ces deux issus du premier mariage avec David Pfister, vitrier à Strasbourg

acp 563 (3 Q 30 278) f° 91 du 22.6. – Compte du Sr Jean Rehn le veuf. Il porte en recette pour sommes par lui touchées 36.577, il a payé 200, reste 36.377. De cette somme il revient à la succession 2000 mais il a payé à la décharge des enfants 766, reste 1233. Partant M Rehn est comptable de 35.610.
Communauté. Masse active, mobilier 1376, reliquat de compte 34.777, deux livrets de caisse d’épargne 2031, deux obligations du chemin de fer de l’Est 619, trois obligations du Crédit foncier 1488, créances du Sr Wernert mari d’Adèle Rehn 10.215, créance Fleig 311, créance Bantz 690, créance sur Frédéric Rehn épouse de Henriette Amélie Rehn 3150, prix d’immeubles 28.249, un terrain à Wolwenheim (Bavière) 3633, intérêts 96, total 86.038 – Passif 18.474, reste 67.564 (dont moitié 33.782)
Succession, bénéfice de la communauté 33.782, reprises 7052, garde robe 240, reliquat du compte du veuf 2000, prix d’une maison du pae le Sr Dubesi 6048, rapport des enfants, Adolphe Pfister 2000, Jacques Rehn 2000, Amélie Rehn 2000, De Wernert 2000, intérêts 161, Total 57.284 – Masse passive 441, reste 56.842
Droits des parties de abandonnements

Jean Rehn et Françoise Schafflützel vendent la maison (rez-de-chaussée et trois étages) à l’aubergiste Geoffroi Hutt et à sa femme Marie Anne Bohn

1847 (26. 8.br), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.676
Ont comparu Monsieur Jean Rehn, vitrier, & dame Françoise Schafflützel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg rue Sainte Madeleine N° 10 (vendent)
à Monsieur Geofroi Hutt, aubergiste, & Dame Marie Anne Bohn, son épouse à ce dûment autorisée de sondit mari, demeurant ensemble à Strasbourg rue des incendiaires N° 2, à ce présens & acceptant
Une maison à rez-de-chaussée surmonté de trois étages, droits, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg rue des Sept hommes n° 3,, tenant d’un côté à Mr Lang, pelletier, de l’autre à M Koch, cordonnier, donnant par devant sur ladite rue & tirant par derrière sur le Sr Billot, chapelier (…) Les vendeurs déclarent être propriétaires de ladite maison & dépendances au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° dame Eve Catherine Simon épouse du sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° dame Frédérique Wilhelmine Simon, épouse du sieur Daniel Schaan, imprimeur &, 3° sieur Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés qui en a la minute & son collègue le 15 avril 1840, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg, & inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41, cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun & Schaan & le dit Sr Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans les successions du Sieur Jean Frédéric Simon, en son vivant débitant de bière & de Dame Suzanne Dorothée Sembach, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième, ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 & d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec dame Sophie Dorothée Simon, épouse du Sieur Thiébaut Schneider, farinier demeurant à Strasbourg, dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon, en son vivant baquetier à Strasbourg, dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés, ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° & pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Quant aux titres de propriété antérieurs, les parties se réfèrent au contrat de vente du 15 avril 1840 sus énoncé dans lequel ils se trouvent amplement détaillés & analysés – moyennant, 11.000 francs
acp 366 (3 Q 30 081) f° 53-v

Marie Bohn épouse en 1814 François Antoine Mattlinger, tous deux d’Epfig
Mariage, Epfig (n° 9) Acte de mariage célébré le 7 septembre 1814. François Antoine Mattlinger, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 5 juin 1772 à Epffig, domicilié à Epffig, Militaire, fils de Jean Mattlinger, vivant tailleur domicilié en cette commune, décédé le 20 nivôse en XII de la République, et d’Anne Marie Spriss décédée en cette commune me 20 frimaire an XIV de la République, et Marie Anne Bohn, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 juillet 1793 à Epffig, domiciliée à Epffig, fille d’Antoine Bohn, garde champêtre dans cette commune, ci présente et consentant et d’Anne Marie Schütz (signé) Madinger, Maria Anna Bohn (i 6)

Marie Bohn se remarie en 1830 avec Geoffroi Hutt, originaire de Gumbrechtshoffen
Mariage, Strasbourg (n° 274)
Du 5° jour du mois d’Août 1830, Acte de mariage de Geofroi Hutt, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 fructidor an X à Gumbrechtshoffen /Bas Rhin/ domicilié à Gumbrechtshoffen, Journalier, fils de feu Antoine Hutt, Journalier décédé à Gumbrechtshoffen le 12 janvier 1814 et de feu Eve Weiss, décédée au même lieu le 25 mars 1815, et de Marie Anne Bohn, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 juillet 1793 à Epfig .Bas Rhin, domiciliée à Strasbourg, veuve d’Antoine Mattlinger Journalier décédé à Epfig le 21 août 1827 fille de feu Antoine Bohn, garde champêtre décédé à Epfig le 24 mars 1826 et d’Anne Marie Schütz demeurant e cette ville ci présente et consentante (signé) hutt, Maria Anna Matlinger (i 25)

L’aubergiste Geoffroi Hutt meurt en 1853 en délaissant un fils.
1853 (12.7.), M° Grimmer
Inventaire communauté de biens qui a existé entre Marie Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger, vigneron, et veuve en 2° noces de Geoffroi Hutt, aubergiste à Strasbourg où il est décédé le 7 avril 1853, dressé à la requête de la veuve agissant comme commune en biens à défaut de contrat de mariage et comme légataire à titre universel de son mari suivant testament reçu Grimmer le 2 janvier 1846 et comme mère et tutrice de Frédéric Auguste Hutt son fils
acp 421 (3 Q 30 136) f° 21-v du 14.7. (succession déclarée le 28 7.bre 1853 N° 1622) Communauté, meubles estimée 2632
acp 422 (3 Q 30 137) f° 75-v du 12.9. (vacation du 8 septembre) Communauté, argent comptant 600
Une maison à Strasbourg rue des sept hommes N° 3
Succession, garde robe estimée à 141 – passif 6522 francs

Testament de Geoffroi Hutt,
1853, M° Grimmer
10 janvier 1846, Testament de Geoffroi Hutt, aubergiste à Strasbourg, par lequel il lègue à Anne Marie Bohn son épouse l’usufruit de toute sa succession avec dispense de fournir caution
acp 418 (3 Q 30 133) f° 43-v du 13.4. (décès du 11 avril 1852, déclaration du 28 7.bre 1853)

Registre de population 600 MW 196, 1846 sqq, Rue des Sept Hommes n° 3, p. 49 (i 29)
Hutt, Geoffroi, 1804, Gumbrechtshoffen, Débit. propr. (à Strasbourg depuis 12 janvier 1830, N° 72-1841, (auparavant) rue des Incendiaires, (entré) 21 May 1842, décédé 11 avril 1853
id. née Bohn, Marie, 1793, Epffig, Ep.
id. Fred. Auguste, 1830, Strasbourg, fils
Mattlinger, Rosalie, 1820, Epffig, enf. du 1° lit, (sortie) 15 février 1849, rue de Schiltigheim 15

Liquidation de la succession
1861 (16.4.), M° Grimmer
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Geoffroi Hutt, vivant aubergiste à Strasbourg, et Marie Bohn sa veuve et de la succession du Sr Hutt décédé le 7 avril 1853, dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens à défaut du contrat de mariage et comme usufruitière de la moitié de la succession de feur son mari, suivant Testament reçu Grimmer Nre le 2 janvier 1846, II. Auguste Hutt, tapissier à Schlestadt
acp 498 (3 Q 30 213) f° 1-v du 17.4. (succession déclarée le 28 septembre 1853) Communauté, 1) mobilier 2632, 2) argent 600, 3) prix de vente de la maison 15.000, 4) revenus 1259, total 19.451
Masse passive, 8895, reste 10.598 (moitié 5922)
Succession, moitié de la communauté 5299, garde robe 144, total 5440
Droits des parties – Compte de tutelles

Marie Bohn lègue le quart de sa fortune à ses deux enfants du premier lit Joséphine et Jérôme Madlinger
1861 (12.6.), M° Momy
Dépôt du testament olographe de Marie Bohn veuve de Geoffroi Hutt décédée à Strasbourg le 7 juin 1861, ledit testament en date du 28 mars 1861 enregistré aujourd’hui
acp 499 (3 Q 30 214) f° 73 du 14.6.
1861, Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) f° 66 du 14.6.
Testament, 18 mars 1861 – Marie Bohn lègue à ses deux enfants Joséphine et Jérôme Madlinger le quart de sa fortune par préciput (décès du 7 juin 1861)

Marie Bohn et son fils Frédéric Auguste Hutt vendent la maison au pensionnaire de l’Etat Antoine Bonhomme et à sa femme Marie Anne Persohn, demeurant autrefois à Lauterbourg

1860 (19. Xbr), Strasbourg 15 (103), Me Momy n° 6825
Sont comparus 1° Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces du Sieur Antoine Madlinger en son vivant vigneron à Epfig & Veuve en secondes noces de M. Geofroi Hütt, en son vivant aubergiste à Strasbourg où ladite veuve demeure et est domiciliée, 2° Et M. Frédéric Auguste Hutt, tapissier demeurant et domicilié en la même ville (ont vendu)
à M. Antoine Bonhomme, propriétaire, pensionnaire de l’Etat & à D° Marie Anne Persohn, son épouse à ce par lui dument assistée et autorisée, demeurant autrefois à Lauterbourg, présentement à Strasbourg
Désignation. Une maison à rez-de-chaussée surmonté de trois étages, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Sept hommes donnant par devant sur ladite rue & tirant par derrière sur le Sr Billot, chapelier, d’un côté à Mr Chrétien Weber, boulanger, de l’autre au Sieur Steinmetz tailleur. Cette maison portait autrefois le n° 3 & présentement le n° 12. Etablissement de la propriété. Les vendeurs déclarent que la maison présentement vendue dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hutt ci-dessus qualifiée & son défunt mari pour avoit été acquise par eux de Mr Jean Rehn, vitrier, & de D° Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré. Ce contrat a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et à la suite de cette transcription inscription d’office a été prise le 6 novembre& 1847 volume 476 Numéro 205 (…). Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 7 avril 1853, la part du défunt dans les biens de la communauté qui avait existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié, alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan, imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire sus dit et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg, & inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun & Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans les successions du Sieur Jean Frédéric Simon, en son vivant débitant de bière, & de Dame Suzanne Dorothée Sembach, conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième, ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 & d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon, Epouse du Sieur Thiébaut Schneider, farinier demeurant à Strasbourg, dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon, en son vivant baquetier à Strasbourg, dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie & décharger le Notaire soussigné – Prix, 15.000 francs
acp 494 (3 Q 30 209) f° 52-v du 21. Xbre – acp 492 (3 Q 30 207) f° 4 du 2.10.

Originaire de Puy-la-Roque (Tarn et Garonne), le bottier Antoine Bonhomme épouse en 1829 Marie Anne Persohn en légitimant un enfant
Mariage, Neuf-Brisach (n° 7)
L’an 1829 le 19 octobre à neuf heures du matin (…) Antoine Bonhomme, né le 7 octobre 1800 au Puy-la-Roque, bottier au régiment de hussards de chartres (premier de l’arme) en garnison à Neuf-Brisach, domicilié de droit audit Puy-la-Roque, Majeur, fils légitime de feu Jean Pierre Bonhomme charpentier décédé à ladite commune, et de la survivante Catherine Cavalerie, domiciliée également au Puy-la-Roque (…) d’une part et Marie Anne Persohn, née le premier janvier 1799 à Lauterbourg arrondissement de Wissembourg département du Bas Rhin, domiciliée de fait à Neuf Brisach etde droit à Lauterbourg, Majeur, fille de feu Christophe Persohn, boulanger décédé à Lauterbourg et de la survivante Julienne Brésel (…) et aussitôt lesdits époux ont déclaré qu’il est né d’eux le 27 septembre dernier un enfant naturel du sexe féminin inscrit le même jour sur les regsitres de l’Etat civil de la commune de Lunéville, chef-lieu d’arrondissement du département de la Meurthe sous les noms de Anne Marie Persohn, lequel enfant ils reconnaissent pour leur fille légitime (i 117)

Proclamation, Lauterbourg (n° 12) Le 7 juin 1829. Antoine Bonhomme, majeur d’ans, né en légitime mariage au Puy-la-Roque (Tarn et Garonne), bottier au premier régiment de hussards en garnison à Neuf-Brisach, domicilié de droit audit Puy-la-Roque, fils de feu Jean Pierre Bonhomme en son vivant charpentier, et de Catherine Cavalerie, et Marie Anne Persohn, majeure d’ans née en légitime mariage à Lauterbourg, domiciliée de fait à Neuf Brisach (Haut-Rhin) fille de feu Christophe Persohn en son vivant boulanger à Lauterbourg et de Julienne Bressel domiciliée à Lauterbourg (i 5)

Marie Anne Persohn meurt en 1863 en délaissant une fille. La maison est aménagée en débit de boissons.

1863 (17.10.), Strasbourg 15 (110), Not. Momy (Hippolyte) n° 9180
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat et Marie Anne Persohn
L’an 1863 le Samedi 17 octobre dans une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes numéro 12 où est décédée le 10 octobre courant Mad. Marie Anne Persohn épouse de M Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat et débitant demeurant à Strasbourg. A la requête et en présence 1° de Mr Antoine Bonhomme, le veuf ci-dessus qualtifié, agissant ès présentes tant comme ayant été commun en biens avec se défunte épouse avec laquelle il s’est marié sans avoir fait de contrat anténuptial qu’en sa qualité de donataire d’un quart en toute propriété et d’un quart en usufruit viager de l’universalité de tous les biens meubles et immeubles composant la succession de ladite défunte son épouse aux termes d’une donation entre vifs reçue le 9 juin 1856 par M° Louis Henri Britt notaire à Lauterbourg en présence de témoins, enregistré à Lauterbourg le 13 octobre courant (…) 2° de Monsieur Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, demeurant en ladite ville, agissant au nom et comme mandataire de Dame Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs à Faulquemont où ils demeurent (…) ladite Dame Dufour habiles à se dire et porter seule et unique héritière de Mad. Bonhomme sa mère défunte

Communauté. Salle de débit, Chambre numéro 1, Chambre numéro 2, Chambre numéro 4, Chambre numéro 5, Chambre numéro 7, Chambre numéro 8 Chambre numéro 9, Au coridor, Chambre numéro 10, Chambre numéro 11, Chambre numéro 12, Chambre de M Huser, Chambre de M Bonhomme, Chambre à côté de la cuisine, Cave, Cuisine
Immeubles de la communauté. Le veuf requétant déclare que quatre parcelles de biens ruraux sis dans la banlieue de Lauterbourg (…)
Il dépend en outre de la communauté une maison avec cour, puits commun, appartenances & dépendances tels que grange et écurie le tout sis dans la ville de Lauterbourg dans la grand rue (…)
N° 9185, Clôture du 19. 8.bre 1863. Suite des immeubles de la communauté. Une maison à rez-de-chaussée surmontée de trois étages, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, donnant par devant sur ladite rue, tenant par derrière sur le Sr Billo chapelier.d’un côté M Steinmetz tailleur de l’autre M Riehl. Cet immeuble a été acquis par les conjoints Bonhomme de Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger en son vivant vigneron à Epfig et veuve en secondes noces de Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg où ladite Dame demeure Et de M. Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant en ladite ville suivant contrat passé devant M° Momy le 19 décembre 1860 dont une expédition en forme a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office en même temps vol. 773 N° 61. Dans ce contrat se trouve amplement établie l’origine antérieure de la propriété dudit immeuble mias le Sr Bonhomme déclare ne pouvoir représenter ni l’expédition ci dessus mentionnée ni les autres titres de propriété, attendu qu’ils se trouvent entre les mains d’un des créanciers ayant hypothèque dudit immeuble
acp 526 (3 Q 30 241) f° 18 du 20.10. (succession déclarée le 9 avril 1864) Communauté, mobilier 2396, loyers 735
69 ares 38 de terres Ban de Lauterbourg. Une maison à Lauterbourg, Une maison à Strasbourg – créances 1000, passif 18.365
Succession, garde robe 92
acp 531 (3 Q 30 246) f° 72 du 8.4. (vacation du 31 mars – Communauté, créances 3155. Reprises de la défunte, immeubles aliénés 4245

Registre de population, 600 MW 375, 1850 sqq – 12, rue des Sept Hommes
(i 158) Bonhomme, Antoine, Caussade (Tarn et Garonne) 01, hm, cathol. (à Strasbourg depuis) décembre 60, carte de séjour 1273
id. née Persohn, Marie Anne, Lauterbourg 01, fm, cathol., décédée le 10 8.bre 1862.

Marie Julie Bonhomme et son mari Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs, hypothèquent les immeubles indivis avec son père au profit de Pierre Rielle, baron de Schauenbourg

1863 (19 8.br), Strasbourg 15 (110), Not. Momy (Hippolyte) n° 9186
Obligation – Ont comparu Monsieur Jean Gratien Dufour, vérificatieur de la culture des tabacs à Faulquemont (Moselle) et dame Marie Julie Bonhomme son épouse de lui dûment assistée et autorisée demeurant ensemble à Faulquemont (ont déclaré devoir)
(…)
à Monsieur Pierre Rielle Baron de Schauenbourg ancien Pair de France, domicilié à Strasbourg pour lequel est ici présent stipule et accepte Monsieur Jean Baptiste Léon Mengus principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 2000 francs
hypothèque. 1° Une maison avec cour, puits commun, grange, écurie, appartenances le tout sis dans la ville de Lauterbourg dans la grand rue (…)
2° Une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12 tenant d’un côté à M Steinmetz de l’autre Mr Riehl donnan par devant sur ladite rue et par derrière sur le Sr Billo chapelier. (…) Les immeubles ci-dessus constitués en hypothèque appartiennent indicisément aux époux Dufour et à Mr Bonhomme comme dépendant de la communauté de biens qui a existé entre Mr Bonhomme et dame Marie Anne Persohn son épouse décédée, de laquelle madame Dufour est seule et unique héritière, ainsi que le tout résulte de l’inventaire après le décès de Mad. Bonhomme, dressé par M° Momy l’un des notaires soussignés, les 17 et 19 octobre courant et qui sera enregistre avant ou en même temps de les présentes. M. Bonhomme a acquis l’immeuble sis à Strasbourg de Marie Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger vigneron à Epfig et en secondes noces de Geoffroi Hütt aubergiste à Strasbourg et de Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Momy l’un des notaires soussignés et son collègue le 19 décembre 1860, enregistré. Et il a acquis l’immeuble sis à Lauterbourg (…) le 21 octobre 1841 – Situation hypothécaire

Marie Bonhomme épouse Jean Dufour en 1856. Les époux légitiment un enfant né à Paris.
Mariage, Lauterbourg (n° 4)
Le 29 avril 1856. Acte de mariage du Sr Jean Dufour, âgé de 35 ans, né à Aiguillon, Département du Lot et Garonne le 3 novembre 1820, employé des tabacs, domicilié audit Aiguillon, fils majeur et légitime de feu Gratien Dufour mort à 64 ans ancien employé des contributions directes à Aiguillon y décédé le 15. mars 1851 et de Catherine Augé âgée de 61 ans, débitante de tabacs audit Aiguilon, et Dlle Marie Bonhomme, âgée de 26 ans, née à Lunéville Département de la Meurthe le 21 septembre 1829, domiciliée à Lauterbourg, fille majeure et légitime d’Antoine Bonhomme âgé de 55 ans, propriétaire à Lauterbourg ci présent et consentant et de Marie Anne Persohn âgée de 57 ans, domiciliée à Lauterbourg (…) à l’instant jes époux ont déclaré avoir un enfant du sexe masculin né hors le mariage à Paris, Mairie du douzième arrondissement le 18 septembre 1852 inscrit d’après l’extrait de son acte de naissance ci joint sous le nom de Marie Louis Bonhomme qu’ils reconnaissent par les présentes et conformément à l’article 331 avec mention expresse que par suite de cette reconnaissance ledit enfant soit légitime de père et mère (i 4)

Compte de la succession dressé à la demande du tribunal
1867 (19.7.), Strasbourg 15 (119), Not. Momy (Hippolyte) n° 12.148
Etat du compte liquidation et partage de la succession Marie Anne Persohn femme Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, ancien cabaretier, avec lequel elle demeurait à Strasbourg où ele est décédée le 10 octobre 1863, dressé en exécution d’un jugement rendu par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 9 avril 1857.
Observations préliminaires. Le jugement du tribunal civil de Strasbourg ci-dessus allégué (…) a mis fin à une instance lue devant ce siège entre le Sieur Jean Nicolas Schramm, Commerçant et maire de la commune de Faulquemont (Moselle), demandeur, comparant par M Wolff, son avoué constitué et 1. Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des Tabacs domicilié à Marmande, tant en son nom personnel que comme tuteur légal de Louis Marie Dufour et Paul Marie Gratien Dufour, ses deux enfants mineurs issus de son union avec feu Julie Marie Bonhomme son épouse décédée, 2° Ulysse Bidoux, Employé des Ponts et Chaussées domicilié à Marmande, subrogé tuteur desdits mineurs Dufour, 3° Antoine Bonhomme, ci-dessus qualifié, les trois défendeurs comparant par M° Engelhard, leur avoué constitué (…)
Précis des faits. La Dame Marie Anne Persohn épouse de Mr Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat domicilié à Strasbourg est décédé dans cette ville le 10 octobre 1863 (…)
acp 564 (3 Q 30 279) f° 69 du 24.7. – Communauté, 42.052, masse passive 23.373, reste 18.679
Succession, moitié de la communauté 9339, pric d’immeubles vendus 4972, total 14309 – Passif 43, reste 14.266.

Antoine Bonhomme meurt à l’hôpital. Il délaisse deux petits-fils
1869 (16.12.), Strasbourg 15 (123), Not. Momy (Hippolyte) n° 13.293
Inventaire de la succession d’Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat
L’An 1869, le Jeudi 15 décembre à deux heures de l’après-midi en la maison sise à la Robertsau dépendances de Strasbourg quartier bleu rue du Coq N° 24 où a demeuré Mr Antoine Bonhomme, Pensionnaire de l’Etat domicilié à Strasbourg et décédé à l’hôpital Civil de la dite ville le 31 juillet dernier où il se trouvait et traitement à ses frais.
A la requête et en présence de Mr Jean Dufour dit Gratien, vérificateur de la culture des Tabacs demeurant à Aiguillon (Lot et Garonne), agissant comme tuteur naturel et légal de Louis Marie Dufour âgé de 16 ans et Paul Marie Gratien Dufour âgé de 12 ans, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec D° Julie Marie Bonhomme sa femme décédée à Marmande le 25 octobre 1866, lesdits mineurs habiles à se dire et porter seuls héritiers et représentant de Mr Antoine Bonhomme leur aïeul maternel ci-dessus qualifié sous la réserve de bénéfice d’inventaire. En présence de Mr Emile Stein, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Mr Ulysse Bidou, Employé des Ponts et Chaussées demeurant à Marmande, (…) subrogé tuteur desdits mineurs
dans la maison où il habitait et avait pension chez Mesdemoiselles Rommel rue du Coq N° 24 Quartier bleu à la Robertsau. La représentation des vêtemenns, hardes et papieres sera faite par Mesd. Adèle et Caroline Rommel majeures sans profession
acp 588 (3 Q 30 303) f° 95-v du 21.12. (succession déclarée le 29 janvier 1870)
Succession, mobilier 85, argent 1000, créances 7519 francs

Antoine Bonhomme et sa fille Julie Bonhomme femme de Jean Gratien Dufour vendent la maison à quatre étages au tailleur Jean Linck et à sa femme Eléonore Gerber. Les mêmes parties passent un autre acte portant vente des objets mobiliers, dont ceux de la salle d’auberge.

1866 (9.5.), Strasbourg 15 (116), Not. Momy (Hippolyte) n° 11.236
Ont comparu Mr Antoine Bonhomme, pensionnaire de l’Etat, logeur et débitant à l’enseigne de la pomme d’or domicilié et demeurant à Strasbourg, Et Mr Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, domicilié et demeurant en ladite ville, agissant en qualité de mandataire de Mad. Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs demeurant ci-devant à Faulquemont aujourd’hui à Marmande (ont déclaré vendre)
à Mr Jean Linck, tailleur d’habits et à D° Eléonore Gerber sa femme de lui autorisée domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg
Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages située dans la ville de Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, ayant sa façade sur ladite rue donnant par derrière sur le Sieur Billot chapelier.d’un côté M Chrétien Weber boulanger de l’autre le Sr Steinmetz tailleur, Tel que cet immeuble se poursuit et de comporte (…). Etablissement de la propriété. L’immeuble vendu dépendait de la communauté de biens légale ayant existé entre Mr Antoine Bonhomme et Mad. Marie Anne Persohn son épouse décédée à Strasbourg le 10 octobre 1853 délaissant pour seule et unique héritière la D° Dufour sa fille ainsi que’il est constaté par l’Intitulé de l’inventaire dressé après décès de la D° Bonhomme par M° Momy notaire soussigné le 17 octobre 1863 enregistré. M. Bonhomme et sa défunte épouse ont acquis ledit immeuble de D° Marie Anne Bohn veuve en premières noces d’Antoine Madlinger et en secondes noces de Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg et de M. Frédéric Auguste Hütt tapissier, demeurant & domicilié à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et l’un de ses collègues le 19 décembre 1860 dument enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office vol. 773 N° 61. La vente de cet immeuble a eu lieu moyennant le prix de 15.000 francs (…)
La maison dont s’agit dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hütt ci-dessus qualifiée et son défunt mari pour avoir été acquise par eux de Monsieur Jean Rehn vitrier et de Dame Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaire à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré. Ce contrat a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et à la suite de cette transcription inscription d’offidea été prise au bureau le 6 novembre 1847 volume 476 N° 205 (…). Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 7 avril 1853 la part du défunt dans les biens de la communauté qui avait existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun et Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans la succession du Sr Jean Frédéric Simon en son vivant débitant de bière et Dame Suzanne Dorothée Sembach conjoints à Strasbourg leurs père & mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon susnommés ainsi que cela résulte des deux contrats cidessus relatés, 3° et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie et décharger les notaires soussignés – Assurance contre l’incendie (…) – Prix, 20.000 francs
acp 554 (3 Q 30 269) f° 32-v du 18.5.
N° 11.237. Vente du 9 Mai 1866 – Ont comparu Monsieur Antoine Bonhomme , pensionnaire de l’Etat, logeur & débitant à l’enseigne de la pomme d’or domicilié & demeurant à Strasbourg, Et Mr Gustave Wolff, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg, domicilié et demeurant en ladite ville, agissant en qualité de mandataire de Mad. Marie Julie Bonhomme épouse de Mr Jean Gratien Dufour, vérificateur de la culture des tabacs demeurant ci-devant à Faulquemont & aujourd’hui à Marmande (…) Lesquels ont déclaré vendre avec la garantie solidaire entre M Bonhomme & la dame Dufour sa fille
à Mr Jean Linck, tailleur d’habits et à D° Eléonore Gerber sa femme de lui autorisée domiciliés et demeurant ensemble à Strasbourg
Les objets mobiliers ci après détaillés & qui se trouvent présentement dans la maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12
Rez-de-chaussée. Chambre d’auberge, Cuisine,
Premier étage, Chambre n° 1, Chambre n° 2, Chambre n° 3,
Deuxième étage, Chambre n° 4, Chambre n° 5
Troisième étage, Chambre n° 7, Chambre n° 8, Chambre n° 9, Chambre n° 10
Quatrième étage, Chambre n° 11, Chambre n° 12, Chambre n° 13
Total de l’estimation des objets vendus, 2000 francs (enregistré le 18 mai 1866 f° 32 vol. 4)

Originaire de Kutzenhausen, Jean Linck épouse en 1864 Eléonore Gerber, native d’Auenheim
Mariage, Strasbourg (n° 387)
Du 16° jour du mois d’août 1864. Acte de mariage de Jean Linck, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 décembre 1829 à Kutzenhausen (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg et précédemment à Metz (Moselle) tailleur, fils de Chrétien Linck, cultivateur domicilié à Lampertsloch (Bas Rhin) et de feu Marie Anne Meyer décédée à Kutzenhausen me 23 septembre 1838 et de Eléonore Gerber, majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 février 1842 à Auenheim (Bas Rhin) domiciliée à Bischwiller (Bas Rhin), servante, fille de Laurent Gerber, boucher demeurant à Soufflenheim (Bas Rhin) ci présent et consentant et de feu Catherine Kleon décédée à Auenheim le 6 mars 1858 (i 44)

1864 (8.8.), M° Grimmer
Consentement par Chrétien Linck, Journalier à Lampertsloch, au mariage de son fils Jean Linck, ouvrier tailleur à Strasbourg, avec Eléonore Gerber de Bischwiller
acp 535 (3 Q 30 250) f° 20-v du 9.8.

Testament par lequel Eléonore Gerber institue son mari marchand épicier pour son légataire universel
1872 (11.10.), M° Flach
11 october 1872. Testament von Eleonore Gerber Ehefrau von Johann Linck, Specereÿ Kremer in Straßburg, durch welchen Sie ihrem Ehegatten als universal Erben eingesetzt
Gestorben den 4. December 1872
acp 610 (3 Q 30 325) f° 56-v du 6.12. (Erklärung S.D. N° 201)

Eléonore Gerber meurt en décembre 1872 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue de Schiltigheim.
1873 (12.2.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventar nach Erklärung der Güter gemeinschaft die zwischen Johann Linck Eigenthümer in Straßburg und Eleonore Gerber seine Ehefrau in Straßburg existirt hat, und von dem Nachlass dieser Letztern den 4. December 1872 gestorben
errichtet durch den Wittwe handelnd als Theilnehmer der halben Güteremeinschafft als Eigenthümer eines viertels und als Nutznieser eines andern Vietels nach Akt vor Notar Flach den 11. October 1872, und als Vater von Maria Eugenie und Emil Georg Linck
acp 613 (3 Q 30 328) f° 17 du 15.2. n° 796 (ZU 9/4 1875, Bd. 687 n° 1243, erklärt 24/3 1874) – Gemeinschafft. Mobilien 1441
Ein Haus Schiltigheimerstraße in Straßburg
Geld 200, Ausstände 350 – Passif 16.468.

Jean Linck et Eléonore Gerber vendent la maison à rez-de-chaussée et quatre étages ainsi que divers objets mobiliers à l’aubergiste Alexis Hartenstein et à sa femme Marie Catherine Reichardt

1870 (16.4.), Strasbourg 15 (124), Not. Momy (Hippolyte) n° 14.250
Sont comparus Monsieur Jean Linck, tailleur d’habits, et Dame Elléonore Gerber son épouse de lui autorisée domiciliés et demeurant à Strasbourg, lesquels ont déclaré vendre
à Monsieur Alexis Hartenstein, exploitant ci-devant un estaminet hors la porte d’Austerlitz dans la banlieue de Strasbourg et dame Marie Catherine Reichardt son épouse de lui autorisée demeurant ensemble aujourd’hui à Strasbourg,
1° Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, d’un côté Chrétien Weber boulanger, de l’autre le Sr Steinmetz, tailleur, par derrière Billot, chapelier. Ledit immeuble et inscrit au plan cadastral de la Ville de Strasbourg sous le Numéro 899 de la section N, à 58 cent.
2° Les objets mobiliers ci après spécifiés se trouvant dans la maison vendue, savoir, Un comptoir avec sa garniture, un assortiment de mesures en étain pour les liquides, une armoire à portes vitrées encastrée dans une croisée, six tables en bois peint, 24 tabourets, une horloge, deux miroirs avec cadre en bois, sept tableaux encadrés, les appareils servant à l’éclairage au gaz y compris le compteur, un chaudron à lessive en cuivre, deux pots économiques avec leurs lunettes, les chantiers se trouvant dans la cave, six poëles dont un en fayende un autre en fer, quatre en tôle de forme carrée avec leurs cors et pierres enfins trois petits camorifères en tôle
Etablissement de la propriété. L’immeuble vendu a été acquis par les époux Linck du Sieur Antoine Bonhomme pensionnaire de l’Etat demeurant à Strasbourg et de Dame Marie Julie Bonhomme épouse de Monsieur Jean Gratien Dufour vérificateur de la culture des tabacs demeurant alors à Marmande, suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et un de ses collègues le 9 mai 1866 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois vol. 1061 N° 54 et inscrit d’office Vol. 921 N° 155. Cette vente a été faite pour le prix de 20.000 francs (…). Ledit immeuble dépendait de la communauté de biens légale ayant existé entre Monsieur Antoine Bonhomme et Madame Marie Anne Persohn son épouse décédée à Strasbourg le 6 octobre 1863 délaissant pour seule et unique héritière la dame Dufour sa fille ainsi qu’il est consaté par l’intitulé de l’inventaire dresse après le décès de la Dame Bonhomme par M° Momy notaire soussigné le 17 octobre 1863. Monsieur Bonhomme et sa défunte épouse avaient acquis le dit immeuble de Dame Marie Anne Bohn veuve en premières noces du Sr Antoine Madlinger et en secondes noces de M. Geoffroi Hütt en son vivant aubergiste à Strasbourg et de Monsieur Frédéric Auguste Hütt tapissier demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Momy notaire soussigné et l’un de ses collègues le 19 décembre 1860 dument enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 835 N° 82 et inscrit d’office vol. 773 N° 61. La vente de cet immeuble a eu lieu moyennant le prix de 15.000 francs (…)
La maison dont s’agit dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre la veuve Hütt ci-dessus qualifiée et son défunt mari pour avoir été acquise par eux de Monsieur Jean Rehn vitrier et de Dame Françoise Schafflützel conjoints demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger et son collègue notaire à Strasbourg le 26 octobre 1847 enregistré, transcrit et inscrit d’office. Le Sieur Hütt étant décédé à Strasbourg le 4 juillet 1853 la part du défunt dans les biens de la communauté qui a existé entre lui et sa veuve survivante est avenue à son fils Frédéric Auguste Hütt ci-dessus qualifié alors mineur comme étant habile à se dire seul et unique héritier du défunt son père ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue notaire à Strasbourg les 12 juillet et 8 septembre 1853 enregistré. Dans le contrat de vente reçu par M° Noetinger le 28 octobre 1847 ci-dessus relaté, les conjoints Rehn et Schafflützel ont déclaré qu’ils étaient propriétaires de la dite maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de 1° Dame Eve Catherine Simon épouse du Sieur Louis Frédéric Braun, imprimeur, 2° Frédérique Wilhelmine Simon femme du Sieur Daniel Schaan imprimeur, 3° Et Charles Gustave Simon aussi imprimeur demeurant tous à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Noetinger notaire sus dit et son collègue le 15 avril 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg et inscrit d’office le 4 mai 1840 vol. 326 N° 41. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.300 francs (…). Lesdites dames Braun et Schaan et le dit Sieur Simon en étaient devenus propriétaires 1° pour en avoir recueilli trois cinquièmes dans la succession du Sieur Jean Frédéric Simon en son vivant débitant de bière et Dame Suzanne Dorothée Sembach conjoints à Strasbourg leurs père et mère dont ils étaient héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela résulte d’inventaire dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 3 juillet 1826 et d’une liquidation dressée par le même notaire le 27 août 1829, 2° Pour avoir recueilli ensemble un autre cinquième conjointement avec Dame Sophie Dorothée Simon épouse du Sieur Thiébaut Schneider farinier demeurant à Strasbourg dans la succession de leur frère germain Philippe Frédéric Simon en son vivant baquetier à Strasbourg dont ils étaient les seuls héritiers chacun de pour un quart, lequel sieur Philippe Frédéric Simon avait lui-même recueilli un cinquième dudit immeuble dans la succession de ses père et mère les conjoints Simon sus-nommés ainsi que cela résulte des deux contrats ci-dessus relatés, 3° Et pour avoir recueilli le cinquième restant de ladite Dame Schneider née Simon suivant contrat de vente passé devant M° Hickel le 25 juillet 1835, ledit contrat portant quittance définitive du prix de vente. Les titres de propriété antérieurs se trouvent amplement détaillés et analysés dans le contrat de vente du 15 avril 1840 ci dessus énoncé. Les parties déclarent se contenter de l’origine de propriété qui vient d’être établie – Situation hypothécaire (…) – Prix, 24.500 francs
acp 592 (3 Q 30 307) f° 92 du 21.4.

Originaire de Freistroff Alexis Hartenstein épouse en 1864 Marie Catherine Reichhard d’Ettendorf. Les époux légitiment deux enfants
Mariage, Ettendorf (n° 7)
Le premier octobre 1864 à huit heures du matin, Acte de mariage de Hartenstein Alexis, célibataire, âgé de 28 ans, né à Freistroff (Moselle) le 14 juillet 1836, profession aucune, domicilié à Freistroff (Moselle) fils naturel de père inconnu et de Hartenstein Marie, âgée de 60 ans, domiciliée à Freistroff, consentant suivant acte notarié en date du 24 septembre 1864, et de Reichhard Marie Catherine, célibataire, âgée de 35 ans, née à Ettendorf le 31 décembre 1828, domiciliée à Ettendorf, fille légitime de Reichhard Antoine âgé de 63 ans, cultivateur domicilié à Ettendorf ci présent et consentant etd e feu Gangloff Marie, domiciliée à Ettendorf y décédée le premier octobre 1838 (…) que le premier septembre dernier il a été passé contrat devant M° Matter notaire à Hochfelden (…) Et à l’instant Alexis Hartenstein et Marie Catherine Reichhard ont déclaré devant les témoins soussignés reconnaître pour leurs enfants légitimes les nommées Reichhard Marie Amélie née le 29 août 1856 à Ettendorf et 2° Reichhard Marie Brigitte née en cette commune le premier février 1863. Lesdits époux ont déclaré que leurs enfants ci-dessus relatés porteront dès ce jour le nom de Hartenstein (i 5)

Alexis Hartenstein et Marie Catherine Reichhard hypothèquent la maison au profit des demoiselles Pothier

1870 (16.4.), Strasbourg 15 (124), Not. Momy (Hippolyte) n° 14.251
Monsieur Alexis Hartenstein, exploitant ci-devant un estaminet hors la porte d’Austerlitz dans la banlieue de Strasbourg et dame Marie Catherine Reichardt son épouse de lui autorisée demeurant ensemble aujourd’hui à Strasbourg (ont déclaré devoir)
à Mesdemoiselles Aimée Pothier, Octavie Pothier et Clemence Pothier, les trois rentières demeurant et domiciliées ensemble à Strasbourg, la somme principale de 10.500 francs
Affectation hypothécaire. Une maison à rez-de-chaussée surmontée de quatre étages sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 12, d’un côté à M. [blanc]
Origine de la propriété. Les époux Hartenstein sont propriétaires de l’immeuble sus-désigné pour en voir fait l’acquisition du Sr Jean Linck, tailleur d’habits, et dame Eléonore Gerber son épouse demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé ce jourd’hui même devant M° Momy notaire soussigné et sus relaté. L’origine de propriété dudit immeuble etant amplement établie au titre sus-visé, les parties dispensent les notaires soussignés de le faire aux présentes, les déchargeant de toute responsabilité à cet égard
Promesse d’emploi (…) M. Jean Dufour ainé dit Gratien vérificateur de la culture des tabacs demeurant à Aiguillon (…) comme tuteur naturel et légal de ses deux fils mineurs Louis Marie Dufour et Paul Marie Gratien Dufour issus de son mariage avec dame Julie Marie Bonhomme son épouse décédée

L’aubergiste Alexis Hartenstein meurt en 1885 dans sa maison, Marie Catherine Reichhard en 1893 chez le boulanger Antoine Jucker rue des Charpentiers
Décès, Strasbourg (n° 1094)
Strassburg am 1. Mai 1885. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute Maria Catharina Hartenstein geb. Reichhard, wohnhaft zu Strassburg Siebenmannsgasse 12, und zeigte an, daß ihr Gatte der Gastwirt Alexis Hartenstein 48 Jahre alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Freisdorf (Lothringen) Sohn der verstorbenen ledigen gewerbslosen Maria Hartenstein, in ihr Wohnung am 30. April des Jahres 1885 Vormittags um 9 uhr verstorben sei. (i 2)

Décès, Strasbourg (n° 2854)
Strassburg am 11. November 1893. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute der Bäckermeister Antoni Jucker wohnhaft zu Straßburg Zimmerleutgasse 5, und zeigte an, daß die Rentnerin Maria Katharina Hartenstein geborene Reichhard, 65 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Ettendorf, Unter-Elsass, Wittwe des Gastwirtes Alexius Hartenstein, Tochter der verstorbenen Eheleute Anton Reichard, Ackerer und Maria Gangloff, zuletzt zu Ettendorf wohnhaft gewesen, zu Straßburg in des Anzeigers Behaußung am 10. November des Jahres 1893 Vormittag im elf Uhr verstorben sei. (i 33)

Marie Catherine Reichhard qui a été envoyée en possession de la succession de son mari en septembre 1885 vend la maison en 1892 au maître tripier Georges Uebel.

Originaire d’Alteheim en Bade, le boucher Georges Uebel épouse à Wolfisheim en 1875 Félicie Joséphine Jacquemin, native de Strasbourg et demeurant à Wolfisheim, puis en 1878 Françoise Kessler, originaire de Lierbach près d’Oppenau
Mariage, Wolfisheim (n° 4)
Am 30. September 1875. Heirathsurkunde von Uebel Georg, geboren zu Altenheim (Baden) den 22. März des Jahres 1846, Metzger wohnhaft zu Altenheim, Großherzogthum Baden, großjähriger Sohn von weiland Uebel Georg, gestorben zu Altenheim den 22. Mai 1875 und dessen Wittwe Buttner Katharina, ohne Beruf, wohnhaft zu Altenheim,
und von Jacquemin, Felicia Josephine, geboren zu Straßburg den 21. September 1857, wohnhaft zu Wolfisheim, minderjährige Tochter von Jacquemin Johann Joseph, 65 Jahren Pensionär, wohnhaft zu Wolfisheim, und dessen Ehefrau Ott Melanien gestorben zu Wolfisheim den 5. Februar 1869 (i 3)

Mariage, Wolfisheim (n° 1)
Am 24. Januar 1878. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Kuttler Georg Uebel, Wittwer aus erster Ehe von Felicia Josephine Jacquemin, evangelischer Religion, geboren den 22. März des Jahres 1846 zu Altenheim im Großherzogthum Baden, wohnhaft zu Wolfisheim, Sohn des zu Altenheim verstorbenen Landwirths Georg Uebel und dessen Wittwe Katharinaa Buttner, ohne Stand, wohnhaft zu Altenheim,
die Köchin Franziska Kessler, ledigen Stands, katholischer Religion, geboren den 26. Februar des Jahres 1846 zu Lierbach, Kreis Offenburg, Großh. Baden, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Tagners Johannes Kessler und dessen Ehefrau Margaretha Doll, ohne Stand, beide Eltern wohnhaft zu Lierbach (i 1)

Georges Uebel, marié à Françoise Kessler la revend en 1895 à l’aubergiste Michel Düringer et à sa femme Christine Eck.

1895 (14.2.), M° Keller (dans Sept-Hommes n° 12, (96 MW 173)
Vom 14. Februar 1895. Kaufvertrag Düringer-Uebel
Vor Justizrat Dr Keller, Notar mit den Amtsitze in Strassburg ist erschienen
Herr Georg Uebel, Kuttlermeister in Straßburg wohnhaft, derselbe verkaufft
An Herrn Michael Düringer, Gastwirt und an sein von ihm ermächtigte Ehefrau Christine gebohrne Eck, beide beisammen in Strassburg wohnhaft, solidarische Ankäufer, hier zugegen und dies annehmend, das nachverzeichnete Grundstück
In der Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß über Keller, vier Stockwerke und Speicher, gelegen an der Siebenmannsgasse Nummer 12. eingeschrieben im Kataster unter Section N Nr 899 für eine Fläche von 85 quadratmeter neben Tapeziermeister Ludwig und Goldschmied Seeger, vornen die Gassen hinten Eschrich und Billo.
Kaufpreis. Der vereinbarte Kaufpreis beträgt 23.000 Mark (…)
Eigenthumsnachweis. Der Verkäufer erklärt, daß das verkaufte Grundstück sein Eigentum geworden ist, weil er daselbe erworben hat durch Kauf von Maria Katharina Reichard Gastwirtin Witwe von Alexis Hartenstein in Strassburg, gemäß Kauffvertrags aufgenommen von Notar Loew in Strassburg vom 8. Oktober 1892 überschrieben im Hypothekenamte hierselbst am 8. desselben Monats Band 2561 Nr. 28. der Kaufpreis ist in der Urkudnde selbst quittirt. Dasselbe Grundstück gehörte zu der Errungenschafts gemeinschafft, welche inhaltlich Ehevertrages vor Notar Matter in Hochfelden vom ersten September 1864 zwischen dem verstorbenen H Hartenstein und seiner Wittwe bestanden hat, weil sie diesselbe erkauft haben von Johann Linck, Schneider und Eleonore Gerber Eheleute in Strassburg gemäß Kaufvertrages aufgenommen von dem früheren Notar Momy in Strassburg am 16. April 1866 überschrieben in hiesigem Hypothekenamte am 3. Mai darauf Band 1207 Nr. 72. Der Kaufpreis ist auch der Erklärung des Verkäufers ganz ausbezahlt.
Durch das am 30. April 1885 erfolgte Ableben des H Hartenstein war dessen Wittwe auf Grund des Artikels 767 des bürgerlichen Gesetzbuchs einzige Erbin ihres Gatten geworden, und ließ sich durch Beschluß des kaiserlichen Amtsgerichts Strassburg vom 27. September dieses Jahrs gemäß Artikel 770 desselben Gesetzbuchs in den Besitz des Nachlasses ihres Ehemann einweisen. Eine Ausfertigung dieses Beschlusses ist der vorerwänhten Erwerbsurkunde des Verkäufers angeheftet.
Die Ehegatten Linck hatten das Grundstück erworben durch Kauf von Anton Bonhmme Pensionär und Maria Julie Bonhomme Ehegattin von Johann Gratien Dufour in Marmande gemäß Urkunde aufgenommen von Notar Momy in Strassburg vom 9. Mai 1860 überschrieben am 31. desselben Monats, Band 921. Nr. 155. Das Grundstück rührte aus der Gütergemeinschaft welche zwischen dem genannten Anton Bonhomme und seiner Ehefrau Maria Anna Persohn bestanden hatte. Letztere starb in Strassburg den 10. Oktober 1863 und hinterließ als einzige Erbin ihre Tochter die frau Dufour ausweilich Inventars aufgenommen von Notar Momy am 17. desselben Monats. Die Ehegatten Bonhomme hatten das Grundstück gekauft von Maria Anna Bohn Wittwe Gottfried Hütt in Straßburg und Genossen, laut Urkunde aufgenommen von dem genannten Notar Momy am 19. Dezember 1860, überschrieben am 26. desselben Monats Band 835 Nr 82.
Civilstands- und Hypothekar- Verhältnise. Der Verkäufer erklärt daß er verheirathet ist mit der bei ihm wohnhaften Frau Franciska Roesser* in Gütergemeinschaft, und daß das verkaufte Grundstück von Hypotheken und Privilegien frei ist.
Errichtet in Straßburg Im Jahre 1895 den 14. Februar

Originaire de Berstett, le cultivateur Michel Düringer épouse en 1888 Christine Eck, native de Brumath. Tous deux habitent à Vendenheim.
Mariage, Vendenheim (n° 8)
Vendenheim am ersten Dezember 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Ackerer Michael Düringer, evangelischer Religion, geboren den 30. August des Jahres 1864 zu Berstett, wohnhaft zu Vendenheim Sohn des Holzhändlers Michael Düringer und dessen hier verstorbenen Ehefrau Maria geb. Düringer, wohnhaft zu Vendenheim, die gewerbslose Christine Eck, evangelischer Religion, geboren den 25. März des Jahres 1868 zu Brumath wohnhaft zu Vendenheim, Tochter des Ackerers Jacob Eck und dessen verstorbenen Ehefrau Margaretha Salomea geb. Becker, wohnhaft zu Vendenheim (i 9)

L’aubergiste Michel Düringer meurt à l’hospice de diaconesses le 28 septembre 1903
Décès, Strasbourg (n° 2558)
Strassburg am 28 September 1903. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschien heute die Diakonessinschwester Elisa Henrÿ, wohnhaft in Strassburg im Diakonissenhaus und zeigte an, daß des Gastwirt Michael Düringer, 39 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg Siebenmansgasse 12, geboren zu Berstett, Unter Elsass, Ehemann von Christin gebirne Eck, Sohn der verstorbenen Eheleute Michael Düringer, Landwirt und Maria georne Düringer zuletzt in Vendenheim wohnhaft, zu Strassburg im Diakonissenhaus am 28. September des Jahres 1903 vormittags um zehn ein halb Uhr verstorben sei (i 228)

Christine Eck se remarie en 1904 avec Charles Paul Schrœder, originaire de Grosschönau près de Görlitz en Saxe.
Mariage, Strasbourg (n° 1420)
Strassburg am 22. Dezember 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Gastwirt Karl Paul Schröder, evangelischer Religion, geboren am 22. Oktober des Jahres 1868 zu Grossschönau Sachsen wohnhaft in Strassburg Siebenmansgasse 12, Sohn des verstorbenen Gastwirts Karl Friderich Moritz Schröder und seiner verstorbenen Ehefrau Pauline Luise Wilhelmine geborner Barth, beide zuletzt wohnhaft in Zittau, Sachsen,
die Gastwirtin Christina Eck Wittwe des Gastwirts Michael Düringer, evangelischer Religion, geboren am 25. Märtz des Jahres 1868 zu Brumath, Unter-Elsaßn wohnhaft in Straßburg wie oben, tochter des verstorbenen Ackerers Jakob Eck und seiner verstorbenen Ehefrau Margaretha Salome gebornen Becker, beide zuletzt wohnhaft in Vendenheim, Unter-Elsaß (i 221)

Christine Eck, veuve de Michel Düringer et de Paul Schrœder, est devenue propriétaire de la maison par disposition testamentaire de Michel Düringer, mort en délaissant trois enfants. Elle cède la maison à la Ville moyennant 30 000 marks auxquels s’ajoutent 15 000 marks pour la dédommager de son auberge. La vente sera définitive après approbation par le conseil municipal.

1917, Sept-Hommes n° 12 (96 MW 173)
Wohnungs-Amt. Akten betreffend, Kauf Siebenmannsgasse 12
Rep. N° 143. Kauf-Vertrag
Vor dem unterzeichneten Beigeordneten der Stadt Strassburg, Regierungsrat Dr. Heinrich Emerich, handelnd als gesetzlicher Vertreter des Bürgermeisters der Stadt Straßburg als Urkundsperson, sind heute in seinem Amtszimmer erschienen die ihm bekannten 1) Frau Witwe Paul Schroeder, geborne Christine Eck Verwitwete Michael Düringer, wohnhaft in Strassburg, Rehgasse 5,
2. Herr Arthur Weeber, Hilfsarbeiter beim hiesigen Bürgermeisteramt, in Strassburg wohnhaft, handelnd als Vertreter der Stadt Strassburg bei diesem Vertrage laut beigehefteter Vollmacht des Bürgermeisters vom heutigen und vorbehaltlich der Genehmigung des Gemeinderates.
Die Erschienen erklären zur Beurkundung was folgt
§. 1. Frau Witwe Schroeder verkauft an die Stadt Strassburg, für die Herr Weeber dies annimt, das nachbezeichnete Anwesen
Bezeichnung. Untergemarkung Strassburg Stadt, Flur 60 Nr. 48, 73 qm, Siebenmannsgasse 12, mit einem Nutzungswert von 2100 Mk. eingetragen im Eigenthumsbuch von Strassburg auf Blatt 2201.
§. 2. Eigenthumsnachweis. Eheleute Michael Düringer, Gastwirt, und Christine geb. Eck haben das oben bezeichnete Anwesen durch Kaufvertrag vor Notar Justizrat Dr. Keller in Strassburg vom 14. Februar 1895. Rep. Nr. 8893, erworben von Georg Uebel, Kuttlermeister in Strassburg. Der Anteil des Ehemanns Düringer ging laut dessen letztwilliger Verfügung nach seinem Tode auf seine Ehefrau Christine, wiederverheiratete Schroeder, über und wurde unter dem 13. Dezember 1904 auf deren Namen allein im Grundbuche (Eigenthumsbuche) eingetragen. Die Anteile der damals noch minderjährigen Kinder wurden durch Hypothekareintragung (s. § 3.) auf das Eigentum versichert.
§ . Hypotheken. A . Die Stadt Strassburg übernimmt folgende auf dem verkauften Eigentum lastenden Hypotheken (…) B. Von nachstehende Hypotheken wird heute die Lößung bewilligt. Diese werden nicht von der Käuferin übernommen (…) 639 Mark zu Gunsten von Marie Salomea Düringer, Tochter von Michael in Straßburg, 685 Mark zu Gunsten von Karl Michael Düringer, Sohn von Michael in Straßburg, 723 Mark zu Gunsten von Anna Margaretha Düringer, Tochter von Michael in Straßburg
§. 4. Kaufpreis. Der Kauf geschiht um einen Kaufpreis von 30.000 Mark. Ausserdem zahlt die Käuferin an die Verkäuferin einen weiteren Betrag von 15.000 Mark als entschädigung für die Aufgabe des in dem Anwesen betriebenen Geschäftes (Wirtschaft)
§ 9. Erklärung. Gegenüber der Verkehrssteuramt wird erklärt, dass gegenwärtiger Vertrag zum Zwecke der Sanierung der Altstadt (Grosser Strassendurchbruch) abgeschlossen wird, d. h. dass das verkaufte Haus zu diesem Zwecek abgebrochen werden soll.
§ 10. Vorstehender Kaufbertrag erfolgt ausdrücklich unter dem Vorbehalte der nachträglichen Genehmigung durch den Gemeinderat. Sollte der Gemeinderat die Genehmigung versagen, so gehen die bereits gezahlten Kösten des Vertrages zu Lasten der Verkäuferin, d. h. sie sind von ihr der Stadt zu erstatten.
Hierüber Urkunde aufgenommen zu Strassburg i.Els. den 28. Juli 1917 in dem Amtzimmer des Beurkundenden.
(Bd. 1149 Bl. 47. No. 454 eingetragen Strassburg I, den 11. August 1917)



7, place Saint-Etienne (VI 73)


Place Saint-Etienne n° 7 – VI 73 (Blondel)

Nouveau bâtiment en 1604 par la veuve du barbier André Brand – Réunie à la maison voisine en 1773 et reconstruite la même année

1725 Saint-Etienne 7
La maison est celle à droite du pignon Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
La maison est le premier bâtiment à droite du pignon (février 2008)

La maison et la voisine qui forme angle sont inscrites au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve d’André Brand. Les deux façades ont un encorbellement. La veuve hypothèque en 1604 la maison à côté de celle formant angle après l’avoir reconstruite à neuf. Elle vend en 1612 la maison d’angle au barbier Jean Sesser, en conservant celle sur la place. Les héritiers de son gendre Frédéric Reinthaler la vendent en 1674 au barbier Emanuel Brantz, propriétaire de la maison d’angle. Les deux maisons sont à nouveau détachées après sa mort. Les trois filles du receveur Jean Spiess l’achètent avec les sommes provenant de la succession de leur père et y habitent. Le tailleur Jean Frédéric Ulrici en est propriétaire de 1704 à la mort de sa veuve en 1732. Sur le plan-relief de 1727, la maison a trois étages à deux fenêtres chacun. Jean Jacques Engels, receveur puis messager (1732-1757) doit y avoir fait des travaux puisque sa valeur minimale passe de 400 livres en 1732 à 800 livres en 1750. Manant, le sacristain de Saint Etienne en devient propriétaire en 1757. Le voisin Georges Michel Müller l’achète en 1773 par adjudication judiciaire. Il est autorisé à la reconstruire la même année en la réunissant à la sienne. Les deux bâtiments partagent ensuite la même destinée.

septembre 2021

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1773. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

André Brand, barbier, et (1571) Anne Oster – luthériens
(indivis avec le suivant) Jean Kitsch, tailleur, et (1602) Elisabeth Brand – luthériens
1621 h Frédéric Reinthaler, peignier, et (1606) Susanne Brand puis (1621) Marie Baldner – luthériens
1674 v Emanuel Brantz, barbier, et (1658) Salomé Hartmann d’abord (1652) femme de l’orfèvre Daniel Kauffmann, (1662) Susanne Reinthaler, (1680) Marie Kœnig d’abord (1660) femme du pasteur Jean Frédéric Geiger, (1687) Dorothée Pauli d’abord (1636) femme du revendeur Louis Schlehenacker, (1669) du blanchisseur Jean Louis Griesbach puis (1674) du tanneur Jean Georges Beyer – luthériens
1691 h Jean Frédéric Brantz, fondeur en étain, et (1692) Susanne Reinthaler puis (1710) Susanne Marie Richshoffer – luthériens
1692 v Hugues Quirin Feuchter, tonnelier, et (1687) Susanne Pauli puis (1689) Susanne Marie Wildermuth – luthériens
1696 adj Marie Julienne Spiess femme (1677) du perruquier Jean Jacques Waldmann puis (1698) du marchand pelletier Michel Frœreisen – luthériens
Marie Chrétienne Spiess, célibataire († 1702) – luthérienne
Catherine Madeleine Spiess, femme (1679) d’Elie de Gottesheim – luthériens
1704 v Jean Philippe Ulrici, tailleur, et (1679) Marie Hanel – luthériens
1732 v Jean Jacques Engels, receveur, et (1707) Salomé Datt puis (1726) Marie Barbe Reuter d’abord (1699) femme du relieur Jean Philippe Spach puis (1707) du cordonnier Jean Jacques Elles – luthériens
(cohéritier) André Dürrbach, tonnelier, et (1738) Marie Madeleine Engels – luthériens
1757 v Frédéric Charles Labourse, sacristain, et (1745) Anne Marie Aubry – catholiques
1773 adj Georges Michel Müller, maître maçon (voisin)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1680, 485 livres en 1702, 450 livres en 1725, 400 livres en 1732 et 800 livres en 1750.

(1765, Liste Blondel) VI 73, Frederic Labourse
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Müller, 4 toises, 4 pieds et 0 pouce

Locations

1691, Hugues Quirin Feuchter, tonnelier (ensuite propriétaire)
1702, Guillaume Schmuck, libraire
1703, Jean Stamm, messager

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450)
(NB La maison ci-dessous comprend le bâtiment d’angle et un autre qui donne seulement sur la place)
La maison appartient à la veuve d’André Brand qui règle un loyer de 13 sols 8 deniers. Elle a 22 pieds 10 pouces de long, un encorbellement en saillie de 2 pieds 9 pouces, un étal en pierre (3 pieds ½ de long, 15 pouces de large), une porte de cave inclinée à deux murets (8 pieds de large, 5 pieds de saillie), de l’autre côté vers l’auberge à la Vierge un encorbellement (16 pieds 3 pouces de long, 2 pied 9 pouces de saillie), une marche en pierre (2 pieds ½ de long, un pied de large).

(Sanct Stephans Plan)
Andres Branden des Scherers Wittwe hatt Vor Irem Hauß auff Sanct Stephans Plan 22 schu 10 Zoll lang, Oben ein Vsstoß 2 schu 9 Zoll herauß, Ein steinen Bencklin 3 ½ schu lang 15 Zoll breÿt, Ein lehenete Kellerthüer mit Zweÿen Meürlin 8 schu breÿt, vnd 5 schu heraus, Item mehr ein steinen Benckhlin 3 ½ schu lang und 1 ½ schu breit, Item vf der Andern seitten gegend. Jungfrauen ein Vsstoß 16 schu 3 Zoll lang und 2 schu 9 Zoll heraus, Ein steinerin staffel 3 ½ schu lang, vnd 1 schu breit, Soll p, Bessert für dise Nüeßung xiii ß viii d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le sacristain Frédéric Charles Labourse demande l’autorisation de modifier une croisée. Les préposés ordonnent à l’inspecteur du bâtiment de dresser un plan du quartier

(f° 56-v) Dienstags den 12. Maji 1772 – Friderich Carl Labourse
Friderich Carl Labourse, der Sigrist beÿ St Stephan bittet zu erlauben die Creutzstöck an seinem Haus auf dem Stephans Plan verändern Zu laßen.
Erkannt, Soll Hr. Bau Inspector bevor einen Plan wegen dem daselbst anzunehmenden Allignement verfertigen.

1773, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maçon Georges Michel Müller est autorisé à construire à neuf la maison selon le plan qu’il a produit

(f° 262-v) Dienstags den 26. Octobris 1773. – Hr. Rathh. Georg Michael Müller
Hr. Rathh. Georg Michael Müller, der Maurer, bittet ihme zu erlauben, deßen an sich erkaufte ane dem Stephans Plan neben der Seinigen gelegene behausung dem vorgewiesenen und wieder zurück gezogenen Plan nach neu aufzubauen. Erkannt, Willfahrt

Description de la maison

  • 1702 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une buanderie, une cave voûtée et une cave solivée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 970 florins
  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, buanderie, chambre à soldats, vestibules dont l’un a une cloison en lattes, une cave voûtée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1732 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisines, vestibule, buanderie, une cave solivée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une buanderie et une petite chambre à côté de l’entrée, au premier étage un poêle, une alcôve, une cuisine et un vestibule, le deuxième étage est semblable au premier, le troisième étage a trois chambres et un vestibule, le comble qui a une double couverture en tuiles plates comprend deux greniers dallés, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins.

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom de la veuve d’André Brand.
Le barbier André Brand épouse en 1571 Anne, fille du meunier Ulric Oster

Mariage, cathédrale (luth. p. 216)
1571. Sontag den 14. Octob: Andreas Brandt der Scherer, Anna, Ulrich Oster deß Spitelmüllers hind. dochter (i 111)

Anne Oster veuve du barbier André Brand hypothèque la maison qu’elle vient de faire bâtir entre la sienne et celle de Loup Haan au profit du boulanger Conrad Mohr

1604 (6. tag Martÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 100
(Inchoatum in Proth. fol: 109.) Erschienen Anna Osterin, Wÿland Andres Brand. des Balbierers selig. Witwe, Mit beÿstandt Pauli Fischers Schloßers, Ires geschwornen Vogts
Hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit des Erbaren Cunradt Mohr Haußbeckh. burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund
Zum vnderpfand ÿngesetzt, Ein Neuw genauwen hauß, mit der hoffestatt, Sampt allen begriffen vnd Zugehörd, gelegen Inn der St: St. Ane S. Steffans Plan, Einsit nebent Ir der Bekhennerin selbst Vnd andersit nebent Wolff Haanen, hinden vff Ambrosius Brimmer den Becken stoßend, So freÿ, ledig & eÿg,

La maison appartient ensuite pour moitié à sa fille Elisabeth Brand qui épouse en 1602 le tailleur Jean Kitsch
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 71-v, n° 5)
1602. Dominica 2. Epiphan. Hans Kitsch d. Schneid. vnd J: Elyzabeth M: Andres Brandten des scherers selig. tochter alhie. Confirmatioê facta die Martis 26. Januarÿ (i 180)

Jean Kitsch et Elisabeth Brand d’une part, Frédéric Reinthaler et Susanne Brand d’autre part hypothèquent la maison au profit du même Conrad Mohr. En marge, quittances remises en 1622 et en 1634 à Frédéric Reinthaler

1618 (xxiij. Novembris), Chancellerie, vol. 430 f° 460
(Inchoat. in Prot. fol. 331.) Erschienen hannß Kitsch der schneÿder vnd Elisabeth Brandin sein eheliche haußfr. Sodann Friderich Reindaler d. Strehelmacher burger Zu Straßburg vnd Susanna Brandin sein haußwürthin bemelter Elisabeth. schwester
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Cunradt Mohren burgers Zu Straßburg – schuldig sigend 50 pfund pfenning
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren geb. gelg. Inn d. St. St. vff Sant Steffans plan einseit neben hannß Soser dem Ballier and. seit Wolffgang haann, hind. vff Ludwig Velten den schwartzbeck. stoßend
(vide cassaturam in Reg. 1602 fol: 23.)
[in margine :] Erschienen h. hannß Jacob Schell hatt in gegensein Friderich Reinthalers Alls Jetzigen Inhaber des Vnderpfandts (…) Actum den 6.ten Julÿ Anno 1622.
[in margine :] Erschienen Georg Friderich Schell für sich selbs vnd innamen seines Brudern Paul Schellen so ietzmals inn der frembde vnd Herr Martin Schell, alß vogt Anna Maria Schellin alle sein H hannß Jacob seel: Kindern, haben in gegensein Friderich Reinthalers des Debitoris bekant (…) q.tirt den 17. Janu: 1634.

Jean Kitsch et Elisabeth Brand vendent la moitié de la maison à leur beau-frère Frédéric Reinthaler

1621 (xviij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 43-v
(Inchoat. in Prot. fol. 26. – Postea pthlm fol. 505) Erschienen hannß Kitsch der schneÿder burger Zu Straßburg vnd Elisabeth Brandin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Friderich Reinthaler dem strehelmacher burgern Zu Straßburg Ihrem schwager, So Auch Zugegen
den halben theil Ane hauß, hoffstatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg vff Sanct Steffans Plan, einseit neben hanß Söser dem balbierer, anderseit nebent Wolffgang haanen dem schaffner, hinden vff Ludwig Keller dem schwartzbecken stoßend, dauon gend sammenthafft ij lb x ß d gelts Ablößig mit 50 pfund pfenning vff den (-) Cunradt Mehrern, sunst ledig vnd eigen, darvon der vbrig halbteil gerüerter behaußung sampt der halben geschwerdt sein des Keüffers Kind. mit wÿland Susanna Brandin seligen erzielet für unverändert Zuständig Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte halbe beschwerdt so der Keüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 325 pfundt
Hiebeÿ Ist gewesen hannß Söser balbierer des Keüffers Kinder Vogt

Le peignier Frédéric Reinthaler épouse Susanne Brand en 1606.
Mariage, cathédrale (luth. p. 179)
1606. Dominica 8. post trinitatis. Friderich Reinthaler der stehlmacher vnd Susanna Andreas Brandt des Balbierers n: g: tochter. (i 93)

Susanne Brand meurt en délaissant quatre enfants, André Gebhard, Susanne, Jean Paul et Frédéric
1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
(f° 33-v) Mittwoch den 29. Januar. 1623 – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Valentin Beüchler, Notarius, alß vogt hannß Friderichs, Andreßen, Gebhardts, Susannæ vnd Hannß Paulen, Friderich Rheinthalers des Strehlmachers mit Weÿland Susanna Brandin ietzo seelig. erzeugter Kinder, hat ins vogteÿgelt angelegt 150. h.
Haben Ihme darumb Zukauffen geben 7 h 10 ß, vff Conversion: Pauli fallendt. Ing. fol. 87.

Frédéric Reinthaler se remarie en 1621 avec Marie Baldner fille du garde bois Sixte Baldner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 53 n° 7)
1621. Dnica Invocavit et Reminiscere d 18 & 25 Februarÿ, Friderich Rheinthaler Streelmacher, J. Maria Herr Sixt Baldners gewesenen Hagmeisters v. Rathsherren p.m. Tochter Rdi Dni Senioris Caroli pastoris privigna. Ader. cum sponso sponsæ frater Hans Baldner der Schwartzbeck (i 297)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 114) 1621. dominica Invocavit d. 18. febr. Friderich Rheinthaler der Streelmacher vnd J. Maria H. Sixt Baldner alten grosen Raths v.wandten tochter, eingesegnet zu S Wilhelm Montag d. 5. febr (i 62)

Les héritiers de Frédéric Reinthaler vendent trois quarts de la maison au barbier Emanuel Brantz, propriétaire de la maison voisine (qui avait appartenu à André Brand). Le dernier quart appartient à la femme de l’acquéreur, Susanne Reinthaler.

1674 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 430-v
Andres Lobstein der Würth Zum Bockh alß Vogt Cleophe, weÿl. Friderich Rheinthalers deß Strählmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, Daniel Hammerer der Silberarbeiter alß Ehevogt Margarethæ Rheinthalerin, der hoch ehrwürdig- hochgelehrte Herr Balthasar Böebel S.S. Theol. et Professor, der Ehrwürdig Wohlgelehrte herr M. Johann Stigler Diaconus der Pfarrkirch Zu St. Niclaus, Daniel Pfeffinger der Rothgerber alß Ehevogt Susannæ Böblein, H. Joseph Henrich Baumann der Bader alß Ehevogt Annæ Mariæ Böblin, Frantz Rheinthaler der Schuhmacher alß Vogt Salomeen und Samuel Stiglers und dann herr Sebastian Gerlach der Schuhmacher alß Vogt frawen Catharinæ, herren Andres Gebhard Rheinthalers E. E. Groß. Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin
in gegensein herrn Emanuel Brantzen deß Barbierers
dreÿ vierte theil denen Verkäuffern für ohnvertheilt gebührend ahne hauß höfflin hoffstatt und allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit. Alhier an St. Stephans Plan, einseit neben dem Käuffern selbsten, anderseit neben – hinden uff Henrich Uhlmann den Schwartzbeckhen stoßend gelegen, daran der übrige ein Vierdte Theil frawen Susannæ Rheinthalerin deß Käuffers eheliche haußfrauen und Elisabethæ Rheinhalerin eÿgenthümblich gehörig – umb 300 pfund

Fils du barbier Emanuel Brantz, Emanuel Brantz épouse en 1658 Salomé, veuve de l’orfèvre Daniel Kauffmann
Mariage, cathédrale (luth. f° 95)
1658. Herr Emanuel Brantz Barbirer weÿl. Herr Emanuel Brantzen Barbierer v. burger, ehl. hind.laßener Ehelicher Sohn, Und Fr Salome weÿl. herrn Daniel Kaufmanns Silberarbeiters v burg.s alhier hind.laßene wittib dinstag d. 19. 8.bris im Münster (i 96)

Daniel Kauffmann épouse en 1652 Salomé, fille de Georges Hartmann
Mariage, cathédrale (luth. p. 547)
1652. Dom. 15. Trin. 26. 7.br. H Daniel Kauffmann Silber Arbeiter alhier, Weilandt H andreæ Kauffmanns des burgers vnndt Notarÿ Publici alhier hinderlaßener Ehelicher Sohn Vnndt J. Salome H Geörg Hartmans des Burgers alhier Eheliche dochter. Diens. 5. 8.br. Münster, Spigell, H Stub (i 295)

Salomé Hartmann femme d’Emanuel Brantz nomme pour héritières ses deux filles Marie Salomé Kauffmann et Marie Madeleine Brantz.
1661 (28. 7.bris), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Testamentum nuncupativum Frawen Salome Harttmännin H Emanuel Brantzen barbierers vndt Wundarztes alhier ehelichen Haußfrawen. Act. den 28. 7.bris 1661.
persönlich kommen und erschienen die Ehren: vnd tugendsamme Fraw Salome Harttmännin Herrn Emanuel Brantzen Barbierers vndt Wundarzen alhie zu Straßburg eheliche haußfr. Zwar schwach. und Krancken Leibs auff einem beth ligend, Jedoch von verliehung Göttlich Gnad. guten richtigen verstandts und vernünfftiger Reden und gesprächs (…)
Zum andern, Will eingangs gedachte Fr. testiererin aller ihre Jemahlen auffgerichtete Letste willen besonders deß den 2.ten Augusti A° 1659. mit und neben ihrem Jetzigen haußwürth vor H Gotfried Stößern Contractuum Notarii angegebene und auffgerichtete Codicill für ihre Persohn hiemit gäntzlichen annulirt, cassirt aufgehoben und wid.ruffen haben
(…) alß Will Vil ernambste Fr. Testiererin Zu ihren Wahren Erben, Welche auch ohne das ihre rechtmäsige ab intestato Erben weren ernennen Vnd ein seÿen Mariam Salome Kauffmännin vnd Mariam Magdalenam Brantzin beede ihrer in erster und Letzterer Ehe erzeigte Liebe Töchterlin
Beschehen seindt alle diese ding In Straßburg in einer auf dem St. Stephans Plan gelegenen Barbier behaußung dero obern Vordern Stub Cammer mit den Fenstern auf die gaß außsehende, Welche Fr. Barbaræ Muhelin eigenthümlich zuständig (…) Sambstags den 28. Septembris A° 1661.

Emanuel Brantz se remarie en 1662 avec Susanne, fille du peignier Jean Paul Reinthaler et de Susanne Müller : contrat de mariage, célébration
1662 (13. Junÿ), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16)
N° 113. Eheberedung Zwischen H. Emanuel Brantzen Barbierer vndt Wundartzt auch burgern alhier Vnd Jungfr. Susannæ H Hanß Paul Rheinthalers Strehlmachers v. burgers alhier eheliche tochter – Act. den 13.ten Junÿ A° 1662.
Zwischen dem Ehrenvest. Wohlvorgeacht. vnd Kunstreichen H. Emanuel Brantzen, Barbierern vndt Wundartzten auch burgern alhie Zu Straßb. alß Brauttigamb an Einem,
So dann der Vil Ehren vnd Tugendsamen Jfr. Susannæ, H Hanß Paul Rheinthalers burgers vnd Strehlmachers alhier mit Fr. Susanna Müllerin seiner ehelich haußfr. ehelich erzeigter dochter Alß hochzeiterin Andern theils
Verhandelt vnd bescheh. In der Heÿl. Reichs freÿ Statt Straßburg den 13.ten Junÿ Im Jahr des herrn alß mann Zahlte 1662.

Mariage, cathédrale (luth. f° 22-v, n° 32)
1662 (Dom: 6 post Trin. d. 6. Julÿ) Zum 2 mahl hr. Elisabeth Brantz der Barbierer und burger alhie und Jr. Susanna Johann Paul Rheinthalers Streelmachers und burgers alhier ehel: Tochter, Dinstags den 22.ten Julÿ Spiegel, Münster (i 25)

Malade, Emanuel Brantz fait son testament par lequel il nomme pour héritiers ses enfants. Si sa fille Marie Madeleine née de son premier mariage venait à mourir sans enfant, sa demi-sœur Marie Salomé Kauffmann ne pourra pas hériter des biens propres au testateur.
1674 (18. Nov), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla)
Testamentum nuncupativum cum codicillo Herr Emanuel Brantzen Barbierers vnd Fr. Susannæ gebohrner Rheinthalerin
1674, Mittwochs den 18. Monats tag Novembris Alten Calenders Vormittag Zwischen 6 vnd 7 Vhren (…) der Ehrenveste Wohlvorgeachte vnd Kunsterfahrene herr Emanuel Brantz Barbierers vndt Wundtarz Vndt die Vil Ehren vndt tugendreiche Frau Susanna gebohrne Rheinthalerin beede Ehegemechte vndt Burgere alhie Zu Straßburg (…) Als wie nuhn beÿ obgedachten beeden Ehepersohnen In dero Eügenthümblich bewohnend. vndt vff dem Stephansplan alhie gelegener behaußung dero Obern Stub Cammer mit den fenstern auff die Gaß außsehendt, Erschienen, haben Wir den Ehemann wegen Einer Ihme Zugestoßener schwachen hützigen Kranckheit auff Einem beth ligent, Sie die Ehefrau aber gesunden, gehenden: vndt stehend. leibs
Als will Er Herr Testator Zu seinen rechten, wahren Erben ernennen undt Einsetzen alle seine bereits in voriger als auch Jetzigen oder noch Künfftiger Ehe erzeigte oder noch erziehlende Liebe Kinder, Welche auch ohne das seine nächste ab intestato Erben weren, So vil Maria Magdalena Brantzin auß erster Ehe erzeugtes döchterlin vätterliche Erbs portion betrifft, daß nichts davon auff Jfr. Mariam Salome Kauffmännins eine Stieffdochter od. deren künfftigen Kind. Kommen, sondern vff ihre vbrige Mitgeschwistrige wann sie ledig. standts oder ohne eheliche Leibs Erben versterben würde, sich Im übrig ihro ohnverfänglich gelangen solle

Emanuel Brantz est autorisé à reprendre le compagnon de la boutique Hessler devenue vacante
1674, Protocole des Quinze (2 R 90)
(f° 265-v) Sambstag den 19. Decembris – Emanuel Brantz wundartz p. Reüßners, übergibt Unterthäniges anbringen, bittet, weile, so wohl der Heßler selbsten, als auch die fraw Gestorben, also selbige Barbier Stub Zugehet, Ihme Zu erlauben, den Gesellen so sich annoch daselbsten aufhalt, in Seine Barbier Stub Zu nemmen, weilen so wohl Er, als auch Sein Gesell unpäßlich. Erkand, willfarth.

Malade, Emanuel Brantz fait un nouveau testament. Les biens de sa fille en premier mariage devront le cas échéant revenir à sa mère Marie Michel.
1662 (3. 8.bris), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Testamentum nuncupativum et Codicillus Herrn Emanuel Brantzen Barbierers und Burgers allhier Vndt Fr Susannæ Rheinthalerin beeder Ehepersohnen. Act. den 3. 8.bris 1662.
Mittw. den 18. 9.br A° 1674. ist gegenwärtig Testament vndt Codicill durch ein anderwertlich testament wie beÿ meinen Actis Gehöriger Orth zu find. gäntzlich cassirt vndt abgethan word. Actum ut supra.
Persönlich kommen und erschienen ist H. Emanuel Brantz Barbierers vndt Wundtarz Vnd beneben Ihme Fr. Susannæ Rheinthalerin beeder Ehegemächt undt Burgere alhie Zu Straßburg Er Zwar sehr schwach vndt Kranckh vff einem beth liegend, Sie aber gesunden gehenden vndt stehenden Leibs (…)
Als will Er H Testator Zu seinem Wahren rechten Erben ernennen undt Einsetzen Mariam Magdalenam Brantzin sein in Erster Ehe mit weÿl. Fr. Salome Hartmännin ehelich erzeigtes döchterlin (…) daß wan dem jenig. Waß gedachtes Maria Magdalena sein Töchterlin von ihme ererbt nicht auff seiner ersten verstorbenen Lini oder vbrige Erben kommen vnd gelang. solle sondern will demselben Fr. Barbaram Michelin seine Liebe Mutter (…)
Zugang. vnd besch. In der Statt Straßburg in Einer vf dem Stephans Plan gelegenen Behaußung so Fr. Barbaræ Michelin des H. Testierers Mueter eigenthümlich zuständig dero Obern Stub Cammer miy den fenstern auf die gaß außehend (…) Freÿtags den 3. Octobris A° 1662. Vormittag Zwischen 10. vndt 11. vhren

Susanne Reinthaler meurt en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre au veuf est de 1 358 livres, celle des héritiers de 273 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 442 livres, le passif à 1 085 livres.

1680 (23.2.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 14) n° 5
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeder Haab, Nahrung undt Güethere, ligender: undt Vahrender, Veränderter: undt vnveränderter Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. die Viel Ehren: und tugendtsahme Fr. Susanna Rheinthalerin des Ehrenvesten, Wohlvorgeachten, undt Kunsterfahrenen Herrn Emanuel Brantzen Barbierers, Vndt Wundtartzen alhie Zu Straßburg in lebzeitten geweßene haußfraw seel. als dieselbe den 1.ten 9.br des nächst verstrichenen 1679.ten Jahrs das Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, verlaßen, Welche auf gebührliches Ansuchen erfordern undt begehren des Ehrenhafften H Hanß Jacob Röderers Rothgerbers vndt Burgers alhie alß geschwornen Vogts Elisabethæ, Friderichs, Mariæ Salome, Hanß Paulus vndt Mariæ Elisabeth aller Fünff ob Ehrengedachte verstorbenen frawen seel. mit vor: vndr nachbemeltem herrn Wittibern ehelich erzeugter Kind. vndt nächsten ab intestato hind.bliebener Erben inventirt (…) So beschehen vnd Angefangen In beÿsein Fr. Susannæ Rheinthalerin der frawen seel. hinderlaßener Muter den 23.ten Febr. A° 1680.

In Einer In der Statt Straßb. vf dem Stephansblohn gelegenen und h; Emanuel Brantzen eigenthümlich zuständigen behaußung ist befund. worden als volgt
Ahne Schreinerwerck. Vff der obern bün, Vor dißer bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Im Speiß Kämmerlen, Im obern Hauß öhrn, In der obern Stuben, In deren Stub Cammer, In d. Cammer C, Vor dißer Cammer, Im Kinder Stübel, In deren Cammer, In mitlern haußöhren, In der mitlern Stuben, In der undern oder Barbier Stuben, Im der Küchen, Im vnd. haußöhrn
Eügenthumb ahne Häußern. (T.) Ein Barbier behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehörden undt Gerechtig Keiten am Eckh des Stephans Plan (…)
(T.) Item Hauß, höfflin, hoffstatt vndt Allen deren Gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten undt Gerechtigkeiten, Alhier ahn St. Stephans plan, 1.s neben dem herrn Wittibern selbsten, 2.s. neben Einem nacher Moltzheim gehörig. Behausung, hind. vff Heinrich Uhlmann den Schwartzbecken stoßend geleg. so auch allerdings freÿ, ledig, vnd auch wie die Geschworne Werckmeistere solche gewürdiget hab. æstimirt pro 350. lb Meldet hierüber u. in alhiesiger Cancelleÿ Contractst. auffgericht: und mit dero anh. Ins. verwahrte Kauff verschreibg. datirt den 13. Julÿ A° 1674. sig. mit N° 6.
Wÿdembs Verfangenschaft, so Von weÿl. Fr. Salome Hartmännin des Herrn Wittibers geweßener erstern haußfr. seel. herrührend
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Mann hatt auch den Erben Inhalt Inventarÿ vber ihrer verstorbenen Mueterl. In den Ehestandt für unverändert Zugebrachten Nahrung In A° 1662. durch herrn Johann Georg Langen Not. Cæs. auffgerichtet
Abzug in dießes Inventarium gehörig, Deß Hern Wittibers ohnveränderte Vermögenschaft, Sa. haußraths 131, Sa. Lährer vaß 9, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 87, Sa. Goldener Ring 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 730, Sa. Ergäntzungs Rests 746, Summa summarum 1738 lb – Schulden 380, Nach deren Abzug 1358 lb
Der Erben ohnveränderte Verlaßenschafft, Sa. haußraths 53 Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener ring 8, Sa. baarschafft 5, Sa. Ergäntzung 190, Summa summarum 273 lb
Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 129, Sa. Instrumenten et medicamenten Zu barbierkunst gehörig 15, Sa. Weins 73, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 98, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 322, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 695, Sa. Eigenthumbs ane häußern 1050, Sa. Schulden 45, Summa summarum 2442 lb – Schulden 1085, Nach deren Abzug 1347 lb – Summa finalis 3837 lb

Emanuel Brantz se remarie avec Marie, veuve du diacre de Saint-Guillaume Jean Frédéric Geiger
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 144, n° 16)
1680. Dominica Exaudi et Pentecostes d. 23 vndt 30. Maÿ. Herr Emanuel Brantz wundartzt vndt Burger allhier vnd Fr. Maria Hr. Johannes Friderich Geigers geweßenen Diaconi Zu St Wilhelm vnd Canonici Zu S Stephan nachgel. wittib (i 92)

Pasteur à Illkirch, Jean Frédéric Geiger épouse en 1660 Marie, fille du diacre David Kœnig.
Mariage, cathédrale (luth. f° 118, n° 29)
1660. Fest. Trinitatis den 17. Junÿ Zum 2. mahl hr. Johann Friderich Geiger Pfarrer Zu Illkirch hisiger herrschafft Weilandt hr hans Heinrich Geiger geweßenen Stattglaßers u. E. E. großen Raths beÿsitzers hinterlaßener ehel. Sohn, Jfr. Maria hr. David König bei dieser Stiffts Kirchen des Münsters Diaconi ehel. Tochter, Dienstags den 26. Junÿ Spiegel, Münster, Hh stub (i 119)

Emanuel Brantz se remarie en 1687 avec Dorothée, veuve du tanneur Jean Georges Beyer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwisch. dem Edem Wohl Ehrenvest, fürsichtig u. weiß auch kunstreich H Emanuel Brantz, barbierern undt wundartzt, auch Eines Groß. Raths alhie alten: u. eines Ehrsamen löblch. Vogteÿ gerichts ietzmaglig. wohlverordneten beÿsitzern; als dem herrn braütigamb; ane einem, So dann d. viel Ehren: und tugendreich. Frawen Dorotheæ gebohrner Paulin, weÿl. des Ehrenvest u. wohlvorgeacht. Hn Joh: Georg Beÿers geweß. Rothgerbers und wohnung burgers alhier selig nachgelaßener Wittib als d. Fraw hochzeiterin am and.n theil (…) Bescheh. v. verhandelt in d. Königl. Statt Straßburg Montags d. 4. Augusti als man nach Christi geburth Zahlte 1687, Friderich Meÿle Notarius req.situs

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 179 n° 16)
1687. Dom XII et XIII Trin. Hr Emanuel Brantz, Wund Artzt Vnd Burger auch E. Ehrs. großen Raths alter Beÿsitzer alhier Vndt Fr. Dorothea, Wld. Hrn. Hanß Georg Beÿers deß Rothgerbers vndt Burgers alhie hinterl W. Wil. Mittw. d. 27. Aug. (i 110)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. p. 128) 1687. den 12. undt 13. Trin. 17. et 24. Aug. H Emanuel Brantz, barbierer undt E. E. groß. Raths alt. Beÿsitzer Fr. Dorothea weÿl. H. Joh: Georg Beÿers burgers vndt Rothgerbers allhier Wittib. Copu. Zu St. Wilhelm Mittwoch 27. Aug. (i 66)

Fille du boulanger Jean Pauli, Dorothée Pauli épouse en 1636 le revendeur Louis Schlehenacker, en 1669 le blanchisseur Jean Louis Griesbach puis en 1674 Jean Georges Beyer
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 191-v)
1636. Domin. XVII Trinit. d. 9. Octob. Ludwig Schleen Acker der Gremp weyl. Diebold Schleen Ackers burgers vnd Grempens alhier hinderlaßener Sohn, Jungfr. Dorothea, weÿl. Hannß Pauli weißbeckhen vndt burgers alhie nachgelaßene tochter. Eingesegnet Montag d. 17. 8.bris St Thoman (i 198)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 145-v, n° 36)
1669. Herr Johann Ludwig Grießbach der Bleicher unndt Eines Ehrsamen Stattgerichts allhier beÿsitzer vndt Frau Dorothea Hr Ludwig Schleenackers des gewesenen Handelsmanns Vnndt Eines Ehrsamen Kleinen Raths gewesenen beÿsitzers hinderl. Wittib. Donnerst 9. Sept. (i 147)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. p. 4 n° 12) 1669. Dom. XII et XIII Triniy. den 29. Aug et 5. Sept. Herr Johann Ludwig Grießbach der ältere burger undt bleicher auch beÿsitzer eines Ehrsam. Stattgerichts allhier, Fr. Dorothea weÿland H. Ludwig Schleenackers Specereÿ händlers vnd eines Ehrsamen Kleinen Raths verwandt. hinderlaßene Wittib. Eingesegnet Donnerstag den 9. Sept Zu Alt. St. Peter (i 4)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 47)
1674. Dom. XI et XII Trin. d. 30. Aug. 6. Sept. H Johann Georg Beÿer der ältere burger und Rothgerber allhier, Fr. Dorothea weÿl. H Johann Ludwig Grießbachs deß burgers allhier hinderlaßene Wittib. St. Thomæ den 10. Sept. (i 25)

Emanuel Brantz est nommé préposé en chef aux métiers
1682 Conseillers et XXI (1 R 165)
Herr Emanuel Brantz würd Ober Handtwercks herr. 181.

Dorothée Pauli meurt en 1689 en délaissant sept enfants en premières noces avec Louis Schlehenacker. La maison est estimée à 350 livres selon le billet daté de 1687. La masse propre au veuf est de 3 839 livres, celle des héritiers de 1 793 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 442 livres, le passif à 1 085 livres.

1689 (7.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6081) n° 236
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeder Liegendter undt Vahrendter, v.ändert undt unveränderter Haab, Nahrung undt Güthere, so weÿland die Viel Ehren: undt tugendreiche fraw Dorothea Paulin, deß Edlen Wohl Ehrenvest fürsichtigen und wohlweißen auch Kunstreichen Herrn Emanuel Brantzen, barbierers undt Wundartztes auch E. E. Großen Raths alhier ietzmahlig. beÿsitzers gewesene eheliche Haußfraw nunmehr seelige, nach Ihrem d. eilfft. Januarÿ Jüngsthien tödlich. genommenen hienscheid. hind. Ihro Verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren der ane nachstehendtem folio benahmßter der abgeleibten frawen seeligen nächster ab intestato nachgel. Erben vorgenommen (…) welches beschehen und angefang. in Straßburg Montags d. 7. Martÿ aô 1689.
Die Verstorbene fraw seelig hatt ab intestato Zu Erben Verlaß. wie volgt. 1. weÿl. des Ehrwürdig. u. wohlgelehrten herr M. Johann Ludwig Schlehenackers, gewesenen Pfarrers Zu Eckboltzh. seelig. nachgelaßene beede Kind. Johann Ludwig u. Annam Ursulam deren geschworner Vogt d. Ehrengeachte Herr Dietrich Schlehenacker, biersied. Zum Störckel burger alhier, u. weilen d.selbe selbst. als Erb interessirt, als ist Zum theilvogt erbetten so auch d. gewohnliche Juramentum abgelegt d. Ehrenvest vorgeachte. H. Joh: Jacob Rauch, Bichhändler, burg. Zu gerührten Straßburg mit Assistentz des Ehrenvest. und Rechts wohlgelehrt. Herrn Joh: Friderich Redtwitz, Not publ. Jurati: Zum erst. Stamm
2. weÿl. d. Ehrn: undt Tugendsahmen frawen Dorotheæ Schlehenackerin, deß Ehrenachtbarn u. Kunstreichen Herr, Johann Georg Geßlers, barbierers undt Wundtartzts burgers alhier, gewesener ehelicher haußfrawen seelig nachgelaßener beeder döchter benantlichen die viel Ehren u. tugendreiche Fraw Margaretham Rommelspurgerin, deß wohl Ehrenvest Vorgeachten Herrn Balthasar Friderich Stößers, wohlverordnet. Schaffners des allhiesigen Mehren Hospitals Eheliebste mit hülff deßelben in erster Ehe mit dem Ehrenvest vorgeachten Herrn Isaac Rommelspurgern. Led.bereitern burgern Zu Straßburg erzeügt, und Jungfr. Annam Dorotheam Geßlerin so auch selbst Zugeg. mit assistentz deß Ehrenvest. vorgeachten u. Kunstreichen Hanß Jacob Geßlers, barbierers u. Wundartzts burg.s in bemelten Straßburg Ihres Geordnet: u. geschwornen Vogts in and.er Ehe mit gedachtem H. hannß Georg Geßlers erziehlt, beede halb Schwester Zum And. Stamm
3. weÿl. der Ehrn: u. tugendsamen Frawen Catharinæ Schlehenackerin, auch weÿl. des Ehrenvest Herrn Hannß Peter Monforts, bierseid.s burg.s alhier seel. gewes. ehelicher haußfrawen auch seelig ehelich erziehlte Kind. benantl. die Ehren: und tugendsame Fr. Catharinam deß Ehrenhafft. Hannß Jacob Heckmanns, Weißbeck. burgers. alhier eheliche haußfr. so zwar Sie meistens, Er ab. nicht biel dem Geschäfft beÿgewohnt, ferner die Ehrn: und tugendsame fraw Ursulam des Ehrenhafft. Philipp Jacob Schropp. biersied.s Zum Roosencrantz burg. alhier eheliche Haußfraw in geg.sein gedachts Ihres Ehemanns, Item den Ehrenhafften Hn Niclaus Montfort biersiede.n burg. alhier, so auch selbst geg. wärtig war, Weiter hannß Peter undt hannß Ludwig die Montfort, d.en geordnet und geschworner Vogt d. Ehrengeachte Herr Johann Mock, Würt u. Gastgeb. auf dem Arùbrust Rhein burg. alhie, dieße 5. zum dritten Stamm
4. weÿl. d. Ehrn: und tugendsame Frawen Ursulæ Schlehenackerin seelig mit dem Ehrengeacht. Hn Isaac Thennen, biersied. Zum Strauß burger alhier ehelich erzeugte nachgelaßene dochter die Ehren: u. tugendsame Fraw Ursulam Thennin, des Ehrenhafft. H. Johann Philipp Brandthoffers, biersieds Zum Vogelgesang eheliche haußfr., so nicht allemahl anwesendt war, Zum 4. Stamm
5. d. Ehrn: und tugendsame Fr. Marthan Schlehenackerin, des Ehrenhafft. H. Joh. Henrich Sÿlbachs, Biersieds Zum Rieß. burgers alhier eheliche haußfr. Zum Fünfft. Stamm
6. die Ehrn: und tugendsame Fr. Salome Schlehenackerin, des Ehrengeachten Herrn David Stieglers, weißbeckers, Burgers zu erwehntem Straßburg eheliche haußfraw welche selnst ohne d. haußwürth geg. Zum Sechßt. Stamm.
7. den Ehrengeachten H Dieterich Schlehenacker, biersied. Zum Störckel burgen alhier zum Siebend. Stamm selbst geg.wärtig. dießer 4. letztere Stamm beÿstandt in gleichen vorgenanter H. Nots. Joh: Friderich Redwitz, alle 7. Stämm zu gleich. Rechten der Verstorbenen frawen seeligen Kind. und Enckel

Copia der Eheberedung – Montags d. 4. Augusti als man nach Christi geburth Zahlte 1687, Friderich Meÿle Notarius req.situs
Werckzeug und Instrumenta Zu der barbier kunst gehörig des herrn Wittibers ohnverändert
Eügenthumb ahne Häußern des Herrn Wittibers ohnvän.te. Ein Barbier behaußung mit allen d.en gebäwen, begriffen, Zugehördt. Rechten u. gerechtig Keit. ist ein Eck am Stephansplan (…)
Item ein Hauß, hoffstatt u. höfflin mit allen and.en d.en gebäwen, begriff. weit. Zugehörd. Recht. u. gerechtigkeit. alhier ahn St. Stephans plan, eins. neb. hievor geschribener behaußung, and.s. neb. hanß Georg Merckel dem Kornwerffer geleg, hind. auf eine behaußung so d. Closter frawen Zur Rewern gehörig, stoßendt so auch allerdings freÿ, ledig u. eÿg. u. hie.o gleichfalls wie solches in aô 1687. angeschlagen geweßt. æstimirt vor 350. lb Hierüb. weißet eine in alhiesig. Cancelleÿ Contractstub aufgerichtete u. mit d° anhangend. Insigel so v.wahrte Kauff v.schreib. dat. d. 13. Julÿ aô 1674. signirt mit N° 6.
Wÿdemb so d. herr Wittib. von weÿl. Frauen Salome Hartmännin seiner Ersten haußfrauwen Zeit lebens Zugenieß.
Wÿdemb, So d. Herr Wittib. Von weÿl. Fr. Susanna Reinthalerin seiner Zweÿt. ehelich. haußfr. theils ad certum tempus theils lebenlang Zugenieß. hatt
Wÿdemb, So d. Herr Wittib. von weÿl. frauen Maria Königin seiner dritt. haußfrawen seelig Zeit lebens Zu genieß. hatt, deß. Eÿg.thun dann herrn M. Joh: Friderich Geÿgern Diacono Zu Mittelbergheim gehörig
Eÿg.thumb ahne häüßen u. Gädl. d. Erb ohnvädt. Erstl. en hauß sampt einem bronnen beÿ d. Steinern bruck in d. Obern Straß so ein Eck ist ane d. Gerb: u. thuchstub gaß (…)
Item eine behaußung geleg. a,n d. Obern Straaß inn St. Barbaræ gaß (…)
Item d. dritte theil ane einen gad. daran d. übrige Zweÿte theil weÿl. herrn hanß Georg Baÿers der verstorb. fr. ohneins letß. haußwürths seel. (…)
Wÿdemb So die fraw seelig von H. Hanß Georg Bäyern Rothgerbern u. burg. alhier Zeit lebens Zu usufruiren gehabt
Abschatzung freitag d. 20. Maÿ 1689. Weillandt fraw Dorothea Branden, Gebohre paullin See. hinder laßene Erben behaußung allhie in der Statt Straßburg die Erste in der Straß beÿ dem Steinen brucklein, Ein Eckh ane der ducher Stub Gaßen (…)
Die andere Behaußung alhier in der Statt Straßburg in der so genandten Barbaræ Gaßen (…)
Die drite Behaußung alhie in der ducher Stub gaßen (…)
haußrath 568, abgang 160, restirt 407, solches dem Stall tax nach m ein tertz davon abgezog. verbleibt annoch übrig 271 lb, Sa. Werckzeuga u. allerhand Instrument Zur Barbierkunst gehörig 14, Sa. frücht,und Meel 30, Sa. Lehr Vaß, Sa. Pfenningzinß hauptgüth. 1318, Sa. Eÿgenthumb ane Häußern 1050, Sa. Schulden 60, Ergäntzung (301, Abgang 36, verbleibt) 264, Summa summarum des Wittibers gantz ohnverändert v.mögens 4372 lb – Schulden 533, Verbleibt 3839 lb
Nach solchem Volgt die beschreibung d. Erben ohnv.ädert eÿg.thümblichen Nahrung, Sa. pfenningzinß hauptgüter 680, Eigenthum ane häußern 879, Summa summarum 2769 lb – Schulden 975, Über abzug verbleibt 1793 lb
Endlich wird auch d. gemein v.ändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 16, Sa. Früchten 121, Sa. Wein undt Lehre vaß 8
Conclusio finalis Inventarÿ 8258 lb – Stall Summ 7618

Emanuel Brantz meurt en janvier 1691 en délaissant une fille de son premier mariage et quatre enfants du deuxième avec Susanne Reinthaler. Les experts estiment la maison à la somme de 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 681 livres, le passif à 1 034 livres.

1691 (12.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6297) n° 310
Inventarium undt beschreibung aller u. Jeder Haab undt Nahrung, so weÿl. d. Edel, wohl Ehrenvest fürsichtig undt Weiße auch Kunstreiche Herr Emanuel Brantz, barbierer undt Wundartzt, auch E. E. Grosen Raths gewes. beÿsitzer nunmehr seelig. nach seinem d. 15. Januarÿ Jüngsthien tödlich genommenen hinscheid. hind. Ihme verlaß. welche v.laßschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren der Ehren: viel tugendreich. fr. Mariæ Magdalenæ Brantzin H Joh: Philipp Olters, des von hier Verzogenen Silberarbeiters, burgers alhier verlaßene eheliche haußfrauw, mit Assistentz undt beÿstandt des Ehrengeacht. Herrn Emanuel Wehners, Schwartzbeck. burg.s Zu ged. Straßb. Ihres geordnet: undt geschwornn theilvogts, ferner d. Viel Ehren: undt tugendreichen Fr. Annæ Salome Brantzin, des Ehrenvesten Vorgeacht. herrn Martin Jacob Euthen, handelsmanns, burgers alhier Eheliebst. und dann des Ehrenvest. vorgeacht. herrn Johann Friderich Schäffers Specerieres burgers allda, als geordnet u. geschwornen Curatoris Hn Emanuel d. ledigen Barbierers undt Wundartzts, herrn Friderichs ledig. Kannengieß. und Hn Joh: Pauli, L. L. Studiosi, so alle selbst. geg.wärtig, darunf. fr. Maria Magdalena Olterin, in erster Ehe mit weÿl. fr. Maria Salome Hartmännin, die and. 4. ab. mit weÿl. Fr. Susanna Reinthalerin in and.er u. Zweÿt. Ehr des verstorb. Hn Rathh. seel. in Zwoen Ehe erzeugt. Kind. u. ab intestato nachgelaß.er Erb. (…) Welches beschehen inn Straßburg Montag d. 12. Monatstag Martÿ aô 1691.

Inn einer inn der Statt Straßburg ane dem Stephansplan gelegen: inn dieße Verlaßenschafft gehörig. hernach beschrib.en behaußung hatt sich befund. wie volgt
Holtz undt Schreinerwerck. Unter der bühnen auf der Trückeneÿ, In d. Cammer A, In d. Cammer B, In diser Stub cammer, In d. Cammer C, Vor dießen Gemachen, In der mittlern Eck: stub, In deroselben Stub Cammer, In dem mittlern stock in der hintern stub, Im Küchel, In dem Mittlern haußöhr, In der Barbier stuben, In dem hauß öhren vor der barbierstuben, In der untern Kuchen, Hinter der Küchen an der hintern stuben, In dem höffel – Allerhand sachen, In der Studier Stub Cammer
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstlichen ein barbier behaußung mit allen deren gebäwen, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, i. seit ein eck am Stephans blan (…)
Item Ein hauß, hoffstatt vnd höfflein, mit allen andern deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier ahn St. Stephans blan, 1.s neben hievorgeschriebenen behaußung, 2.s. neben hanß Geörg Merckel dem Kornwerffer gelegen, hinten auf eine behaußung, so denen Closterfrawen Zum Rewern gehörig, stoßend, so auch allerdigs freÿ, ledig und eÿg. und hiehero gewürdiget, wie solche beÿ des in Gott auf d. Hn. Rathh. beed. letsterer Verstorb. haußfr. seel. Verlaß. Inventation auch angeschlag. geweß. 350. lb d. Hierüber weißet ein in alhiesig. Cantzleÿ Contract stub auffgerichtete: und mit dero anhangendem Innsigel v.wahrte auff verschreibung, datirt den 13. Julÿ aô 1674. signirt mit N° 6.
Wÿdem, so d.vor verstorb. H. Rathh. seel. Von weÿland Fr. Salome Hartmännin seiner erstern haußfrawen seelig. Zeit lebens Zugenieß. gehabt.
Wÿdumb so der verstorbene Herr Ratherr seel. von weÿland frawen Susanna Rheithalerin seiner Zweÿten ehelichen haußfrawen theils ad certum tempus theils Lebenlang Zugenießen gehabt
Wÿdumb So der verstorbene Herr Ratherr seel. von weÿland frawen Maria Königin seiner dritten haußfrauwen seel. Zeit lebens Zugenießen gehabt, deßen Eÿgenthumb nun Herrn M. Johann Friderich Geÿgern Pfarrherrn Zu Mittelbergheim heimbfallet
Wÿdumb So der abgeleibte in Gott ruhende Herr Rathh. seel. von frawen Dorothea Paulin seiner vierdten haußfrawen seel. usufructuarie genoßen (…) erwachß. nunmahls auff ged. fr. Dorotheæ Paulin hind.laßene Erben, als weÿl. herrn M. Joh: Ludwig Schlehenackers gewes. Pfarrers Zu Eckboltzh. seelig. nachgelaßene beede Kind. Johann Ludwig und Annam Ursulam Zum Siebend. Stamm, auff weÿl. fr. Dorotheæ Schlehenackerin H Joh: Georg Geßlers gewes. barbierers undt Wundtartzts gewes. ehelich. haußfrawen seel. nachgelaßener tochter weÿl. Frawen Margaretha Rommelspurg. ehelich mit Hn Isaac Rommelspurg. Led.bereitern alhier seel. ehelich erzeugt nachgelaßene Kind., auff weÿl. frawen Dorotheæ Schlehenackerin seel. mit H Isaac Rommelspurg. led.bereiter alhier auch seel. in erster Ehe erzeugte tochter weÿl. frawen Margarethæ Rommelspurg.in Herrn Balthasar Friderich Stößers, Schaffners des Mehren Hospitals gewes. ehefrau. haußfr. mit demselb. ehelich erzeügte Kind. am Siebend. Stamm Zur helffte Und die übrige helfte auf Fr. Annam Dorotheam Geßlerin herrn Hermann Schwerdt, handelsmannn burgers alhier Eheliebste, so mit Hn Joh: Georg Geßlern ehelich erziehlt
Zum dritt Stamm auff weÿl. Fr. Catharinæ Schlehenackerin auch weÿl. herrn Hannß Peter Monforts gewesenen bierseid.s burgers alhier seel. gewes. ehelicher haußfrawen mit demselb. ehelich erzeügte fünff hind.laßene Kind. als Fr. Catharinam Monfortin Hannß Jacob Heckmanns, Weißbeck. burg. alhier Eheliche haußfr. Fr. Ursulam Monfortin H Philipp Jacob Schropp. biersied.s Zum Roosencrantz burg. alhier Ehewürthin, Hn Niclaus Montfort biersiede.n burg. alhier, hannß Peter undt hannß Ludwig die Montfort so beede noch ledig. standts
Zum viert. Stamm auff weÿl. Fr. Ursulæ Schlehenackerin mit H Isaac Thennen biersied. Zum Strauß Ihrem Ehemann ehelich erzeugte hindlaß.e tochter Fr. Ursulam Thennin Herrn Joh: Philipp Brandthoffers biersieds Zum vogelgesang eheliche haußfr.
Fr. Marthan Schlehenackerin, H. Johann Henrich Sÿlbachs, Biersieds Zum Weißen hahnen eheliche haußfr. Zum Fünfft. Stamm
Fr. Salome Schlehenackerin, Hn David Stieglers weißbeck Burgs alhier Ehewürthin Zum Sechst. Stamm, Und dann Zum siebend. Stamm auff H Dieterich Schlehenackeren, biersied. Zum Störckel burgen alhier.
Norma hujus inventarÿ. Sa. haußraths 249, Sa. Werckzeugs u. allerhand Instrument. Zum barbierkunst gehörig 26, Sa. Frücht. 233, Sa. Weins und Lehrer vaß 25, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 172, Sa. Guld. Ring 32, Sa. baarschafft 1308, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1409, Sa. Eigenthumbs ane häuß. 1050, Sa. Schulden 173, Summa summarum 4681 lb – Schulden 1034, In Vergleichung 3647 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 5694 lb

Lors du partage, la maison d’angle revient au barbier Emanuel Brantz et la maison voisine au potier d’étain Jean Frédéric Brantz

1691 (24.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6297) Joint au n° 310 du 12 mars 1691
Sambstags den 24. Martÿ Anno 1691. haben weÿlandt Herren Emanuel Brantzen gewesenen Barbierers undt Wundtartzts auch E. E. Großen Raths alhier Zu Straßburg beÿsitzers seel. hinderlaßene Herrn Sohn undt frawen töchterer seine auff dem Stephansplan hinderlaßer haüßer einander nachvolgender maßen überlaßen, undt sich derentwegen mit wißen und belieben deren Herren Ehe: vndt Vögte Verglichen
Erstlichen die Barbier Behaußung mit allen deren gebäwen begriffen, Zugehördten, rechten undt Gerechtigkeiten, so ein Eck an dem Stephansplan ist (…)
die andere Behaußung, hoffstatt und höfflin, aber mit allen andern deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten undt Gerechtigkeiten alhier ahn St. Stephansplan, einseit neben hievorbeschriebener behaußung, anderseith neben hanß Georg Merckel dem Kornwerffer gelegen, hinden auf eine behaußung so denen Closterfrawen Zur Rewern gehörig, stoßend so auch freÿ ledig vndt eÿgen, ist herrn Friderich Brantzen ledigen Kannengießer überlaßen worden umb Ein Tausendt Gulden
demnach auch inn den Documenten und alten brieffe sich befindet, daß das höfflein Zu der letzt beschriebenen behaußung gehörig gewesen, man aber auß der Barbier behaußung durch solch höfflein Zu dem heimlichen gemach, darzu man die alte gerechtigkeit Zu gehen gehabt, gehen müßen als haben sich beede herren brüder dahier Verglichen, daß das höfflein Zu der Eck: oder Barbier behaußung fürohien eÿgenthümblich gehören, dahien gegen inn deme das nebens hauß jederzeit leÿden müßen, daß das heimliche Gemach durch solches hatt müßen außgefürt werden, ins künfftig ein wechsel gemacht undt deßelbe einmahl durch die barbier: undt Eck behaußung ein andermahl aber durch das nebens hauß außgeführt undt also fürohin continuirt werden solle. Versprechen solches stät undt vest Zu halten Mit renunciation alller undt Jeder restlicher freÿheiten. Actum Straßburg ut supra.

Jean Frédéric Brantz loue la maison au tonnelier Hugues Quirin Feuchter

1691 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 395
Friderich Brantz, der Zinngießer
in gegensein Hugonis Quirini Feuchters, deß Kieffers
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und Zugehördt allhier am Stephans Plan einseit neb. der Brantzisch. barbier behaußung, and.seit neben hans Georg Merckel dem Kornwerffer geleg. auff eine Viertel jährige Auffkündung, anzufang. auff Johannis Baptistæ dießes 1691. st. jahrs umb einen Viertel jährig. Zinß nemblich 4 lb 10 ß

Jean Frédéric Brantz hypothèque deux maisons dont celle place Saint-Etienne au profit de l’avocat Jean Raoul Saltzmann et de son père pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann

1691 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 925
Friderich Brantz, der Zinngießer, mit beÿstand H. Johann Friderich Schäffers deß Specirierers seines noch ohnentledigtenn Vogts
in gegensein Hn Johann Rudolph Saltzmanns, J.U. Ddi und E.E. Großen Raths Procuratoris & Advocati für sich und im nahmen Hn Balthasar Friderich Saltzmann SS. Theol. Licent. und Pfarrherrs der Neuen Kirchen deßen leiblich Vatters – schuldig seÿen 700 pfund Nemblich Ihme H. Pfarrh. Saltzmann dem Vatter 500 pfund, Ihme Hn Ddo Saltzmann dem Sohn aber 200 pfund
unterpfand, Erstlich diejenige behaußung mit allen deren Gebäuen Recht. und zugehörd. welche d. debitor heut dato von Bernhard Trautmann dem Schuhmacher, erkaufft und in d. Contractstub verschreiben laßen und geleg. in d. Obern straßen geg. dem haargäßlein einseit neb. Ludwig Küchel, dem Kieffer, and.seit neb. weil. Christoph Kraußen, gewes. Kachlers Erb., hind. auff Philipß Fautel dem Pastetenbeck zum Winckelbronnen stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 6 ß 6 d perge immediate vorstehen. verschr.
So dann hauß, höfflein, hoffstatt sambt all. der. Gebäuen, Recht und zugehördt allhier an St. Stephans Plan, einseit neb. hans Georg Merckel dem Kornwerffer, anderseit neben H. Emanuel Brantzen dem barbierer und wundartzt hinten auff eine behaußung dem Closter zu St. Mariæ Magdalenæ gehörig stoßend gelegen

Jean Frédéric Brantz vend la maison à Hugues Quirin Feuchter et à sa femme Susanne Marie Wildermuth moyennant 550 livres

1692 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 350-v
H. Friderich Brantz der Zinngießer, mit beÿstand Hn Johann Friderich Schäffers deß Specirierers, seines noch ohnentledigten Vogts
in gegensein Hugo Quirin Feuchters, deß Kieffers und Susannæ Mariæ gebohrner Wildermuthin, mit beÿstand H. Johann Carl Schragen, deß Statt Seÿlers und E.E. Kleinen Raths alt. Beÿsitzers ihres Schwagers
hauß, hoffstatt, mit allen deren gebäuen, rechten und Zugehördt, allhier an St. Stephans Plan, einseit neben Hn Emanuel Brantzen dem barbierer und Wundartzt, anderseit neben hans Georg Merckel, den Kornwerffer, hinten auff Henrich Ullmann den Schwartzbecken stoßend gelegen – umb 550 pfund

Hugues Quirin Feuchter et Susanne Marie Wildermuth hypothèquent le même jour la maison au profit d’Anne Susanne Bœckler veuve du pasteur Jean Fels et de Marie Odile Meissner

1692 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 351
Hugo Quirinus Feuchter, der jüngere Kieffer und Susanna Maria gebohrne Wildermuthin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Theobald Wildermuths der Und. Elsaßischen Ritterschaffts Secretarÿ Ihres leiblich. Bruders und H. Johann Carl Schragen, deß Statt Seÿlers und E.E. Kleinen Raths alt. Beÿsitzs ihres Schwagers
in gegensein Fr. Annæ Susannæ gebohrner Böcklerin, weil. H. Johannis Felßen gewesenen Pfarrherrn zu St. Aureliæ sel. hind.laßener Wittib, mit beÿstand Hn Johannis Böcklers Medicinæ Doctoris & Professoris Ihres leiblich. bruders und Vogts wie auch Hn M. Johann Reinhard Brechten, Præceptor. Infer. Gymnas. et Ecclesiastis alß Vogts Jfr. Mariæ Ottiliæ Meißnerin – Ihro Felßischer Fr. Wittib 300 Pfund und Ihro Jfr. Meißnerin 150 pfund alßo in summa 450 Pfund – daß Sie damit hernach beschriebene behaußung haben erkauffen und bezahlen können
unterpfand, hauß, hoffstatt p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung

Autre hypothèque le même jour au profit de Jean Thiébaut Widermuth, secrétaire au Directoire de la noblesse de Basse-Alsace, frère de l’épouse

1692 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 351-v
Hugo Quirinus Feuchter, der Kieffer und Susanna Maria gebohrne Wildermuthin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Carl Schragen, deß Statt Seÿlers und E.E. Kleinen Raths alt. Beÿsitzs ihres Schwagers
in gegensein H. Johann Theobald Wildermuths Nieder Elsaßischen Ritterstands Secretarÿ auch Ihres respect. H. Schwagers und Bruders – schuldig seÿen 100 pfund, Ihnen zu erkauffung hernach hypothecirt. behaußung
unterpfand, hauß, hoffstatt p perge ut supra in vorstehend. Verschr.

Fils du tonnelier Hugues Quirin Feuchter, Hugues Quirin Feuchter épouse en 1687 Susanne Pauli, fille du maître d’école de Bouxwiller
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 155, n° 49) 1687. Dom. 1 Adventus. Zum 2. mahl Hugo Quirin Feuchter der Burger Küffer Hugo Quirin Feuchters des ältern auch Küffers ehel. S. Jfr. Susanna Jacob Pauli Schulmeisters Zu Bußweiler Graffl. hanaw. herrschafft ehel. T. Mittw. den 10. 10.br. N Kirch (i 156)

Susanne Pauli devient bourgeoise à titre gratuit le 12 janvier 1688. Elle meurt suite à ses couches en septembre de la même année.
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 537
Susanna Paulin von Buchßweÿler, empfangt das burgerrecht von Hugo Quirin Fichter ihren Ehemann, gratis, ist ledigen standts gewesen, Küffer, promis. eod. [12. Jan. 1688]

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. B, 1687-1715 f° 12 n° 51)
Montags früh d. 20. Sept. st. n. An. 1688. ist gestorben und darauff den 21.ejusdem zu St Helena begraben worden Susanna gebohrne Paulin Hugo Quirini Feuchters des Kieffers vnd hiesigen Burgers frau ihres alters 23. Jahr da sie 8 Tag vorher (…). Puerp. (i 13)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Hugues Quirin Feuchter à se remarier avant la fin de son deuil
1689 Conseillers et XXI (1 R 172)
(f° 43) den 19. Februarÿ – M. nôe Hugo Quirin Feuchter burgers und Kieffers alhier, prod. Attestatum mortis wegen seiner 1.sten haußfr. so laut scheins den 20.ten sept jüngst verstorben, weilen Er ich aber anderwertlich verheurathen will, und beÿ 3. wochen der Terminus luctus nicht verfloßen, bitt Er umb Dispensation wegen der Oster freÿtag. Erkant, Dispensando gratis willfahrt.

Hugues Quirin Feuchter se remarie en 1689 avec Susanne Marie, fille de Philippe Wildermuth, autrefois au service des comtes de Nassau à Sarrebruck et ensuite manant à Strasbourg.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 163-v)
1689. Dom. 50.ma zum 2 mahl Hugo Quirinus Feuchter der Jung Burger und Kiefer, Jfr. Susanna Maria Weiland H. Philipp Wildermuths gewesenen Graffl. Nassaw Con* Zu Sarbrucken u. folgends Schirms Verwanthen alhie nachgel. T. Mittw. den 2. Mart. N. Kirch (i 165)

Susanne Marie Wildermuth devient bourgeoise en février 1689
1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 551
Susanna Maria Wildermuthin Von hier gebürtig, Weÿl. H Philipp Wildermuths Verschiedenen Herren und Fürsten gewesenen Agenten und Schirms Verwandten allhier nachgel. Ehel. tochter empfangt das Burgerrecht Von Hugo Quirin Feüchter burgern und Kieffern allhier, Ihrem jetzmahligen Verlobten, gratis, ist Ledigen standts Vnd Wird beÿ E. E. Zunfft der Kieffer dienen. Promis: d. 17. febr: 1689.

Anne Susanne Bœckler veuve du pasteur Jean Fels devient propriétaire de la maison par adjudication judiciaire contre Hugues Quirin Feuchter en date du premier février 1696. Elle cède en juin ses droits aux sœurs Spiess.

1696 (26. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 337
(Prot. fol. 40.-b) Erschienen Fr. Susanna, gebohrne Böcklerin, weÿl. Hn M. Johannes Felßen geweßenen Pfarrherrn Zu St. Aurelien sel. hind.laßene Wittib, mit beÿstand herrn Johannis Böcklers, Med. Doctoris et Professoris, Ihres H. Bruders vnd Vogts, So dann H Johann Christoff Roth, der Silberarbeiter, als ietzmahliger Ehevogt Fr. Mariæ Ottiliæ gebohrner Meißnerin mit beÿstand H M Johann Reichard Brechten, Præceptoris Inferioris Gymnasÿ et Ecclesiast. Ihres bißher gewesenen Curatoris
haben in gegensein H Philipß Ludwig Künasts, EE Großen Raths Procuratoris & Advocati ordinarÿ, alß Curatorus Jfr Mariæ Christinæ Spießin, H. Johann Friderich Spor, deß Buchhändlers alß Curatoris weil. Fr. Catharinæ Magdalenæ Spießin mit Hn Eliæ von Gottesheim, ehelich erzeugter dreÿ Kind. mit beÿstand erstged. Ihres leiblich. vatters, So dann Fr. Mariæ Julianæ gebohrner Spießign weil. Johann Jacob Waldmanns, gewesenen Peruquenmachers sel. nachgelaßener wittib, mit beÿstand erstged. H. Gottesheims ihres Schwagers vnd vogts, angezeigt und bekandt daß Sie Felßische Wittib (…) Ihnen Spießischen Interessenten (verkaufft)
d.jenige Ganthrecht welches Sie verkäuffer vermög deß under deß Kleinen Raths alhier anhangend. Insiegel am 1. Febr. jüngst außgefertigt. Ganthkauffbrieffs, vnd darauff geschrieben E. E. Groß. Raths Erkantnuß vom 2.te April. jüngst, auch darauff Eod. die würcklich beschehene vnd annectirte Expulsion Hugo Quirin Feuchter d. Küffer erlanget hab. auff hauß vnd hoffstatt mit allen deren Gebäu. Recht, begriffen vnd Zugehördt. allhier an St. Stephans Plan, einseit neb. H. Emanuel Brantzen, den barbierer vnd wundartzt, anderseit neb. hans Georg Merckel dem Kornwerffer, hinden auff Heinrich Ullmann, dem haußfeurer, stoßend geleg. welchen erlangte Ganthrecht geg. männiglich freÿ ledig vnd eÿg. seÿe, Ist demnach solcher Verkauff vnd Kauff also vnd dergestalt d.Sie die Kaüffere in alll der Verkäufferin recht vollkomm. trett. vnd steh. soll, zugang. vnd geschehen für vnd vmb 500 pfund.

Les trois filles et héritières de feu Jean Spiess, receveur de l’abbaye Saint-Etienne l’achètent avec l’argent provenant de la vente du mobilier de leur père (voir le compte dressé en 1709) et y habitent, à savoir Marie Julienne Spiess femme du perruquier Jean Jacques Waldmann puis du marchand pelletier Michel Frœreisen, Marie Chrétienne Spiess, célibataire, et Catherine Madeleine Spiess, femme du receveur Elie de Gottesheim

Fils du perruquier Philippe Waldmann, Jean Jacques Waldmann épouse Marie Julienne Spiess en 1677.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 126, n° 35)
1677. Dominica 21 et 22 Trinitatis d. 4. vndt 14. 9.bris. H Johann Jacob Waldmann der perruquenmacher Philipps Waldmann des Peruquen Machers vnd burgers allhier ehel. Sohn, Jungfr. Maria Juliana Hr. Johanne Spießen Schaffners Zu St Stephan ehel. Tochter (i 83)

Marie Julienne Spiess se remarie en 1698 avec le marchand pelletier Michel Frœreissen
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 92 n° 472)
1698. Mittw. d. 5. 9.br wurd. nach ordentl. proclamat. copulirt H Michael Fröreiß. Kürschner v. Handelsmann auch E. E. Kl. Raths alter Beÿsitzer allhier v. Fr. Maria Juliana weÿl. Hn Joh: Jacob Waldtmanns des geweß. Peruckenmachers v. B. allhier nachgelaßene W. [unterzeichnet] Michel frereiß. als hochzeiter,Maria Juliana waltmänin als hochzeiterin (i 92)

Michel Frœreissen et Marie Julienne Spiess font dresser l’inventaire de leurs apports dans lequel figure le tiers de la maison place Saint-Etienne. Ceux du mari s’élèvent à 1 913 livres, ceux de la femme à 839 livres.

1699 (17.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 22) n° 1
Inventarium über deß Ehrenvest und Hochgeachten Herrn Michael Fröreisen Rauhwahrhändlers, vnd frawen Mariæ Julianæ Fröreißin gebohrner Spießin, beeder Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Haab Nahrung und Güttere auffgerichtet Anno 1699. – der Ursachen halben, damit mann Künfftiger Zeit der Ergäntzung wegen daran zu reguliren haben möchte, vorgenommen (…) Actum Dienstags den 17. Febr. A° 1699.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Stallgaß Gelegener dem Eheherrn Zuständiger behaußung befund. worden wie volgt.
Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, Vor dießen Cammern, Im Obern Stüb., In der Wahren Cammer, In de Mägd Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im Haußöhren
(f° 19-v) Eÿgenthumb an einer Behaußung. (M.) It. eine Behaußung u. hoffstatt, mit allen deren begriffen ane d. Stallgaß gegen der Behaußung Zum Stall genant (…)
(F.) It. 1/3.th. für ungetheilt Von u. ane hauß und hoffstatt, mit allen dero gebäuen, begriffen, Weith. Rechten, Zugehörden v. Gerechtig Keiten Geleg. allh. Zu Straßb.an St: Stephansplan, 1.s. neben H. Emanuel Brantzen dem Wundartzten und Barbierer, 2.s. neben Hß Georg Merckels des Kornwerffers W. u. Erb. hinden auff Heinrich Uhlmann den haußfeurer stoßend, so geg. männiglich freÿ ledig u. Eig.. Die übrige Zween 3.th an dieser Behaußung seind d. fr. Schwester und Schwest. KK. für ungetheilt gehörig vnd sagt darüb. ein perg. Kffbr. mit d. St. St. anh. C. C. Ins. Verw. deßen datum den 26. tag des Monats Junÿ. 1696.
Nota. Vorstehende Häuser seind nicht anzuschlagen sondern, wann ein od. das andere stehend deiser Ehe verkaufft werd. solte, dem Kauffschilling nach Zuergäntzen Verglich. werdten.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Eheherrn unveränderte Nahrung betr. Sa. Haußraths 463, Sa. Wahren Zum Rhauwahrhandel gehörig 472, Sa. Werckzeug Zum Kürschner handwerck gehörig 12, Sa. Pferdts sampt dem Geschirr 38, Sa. Weins und Leerer Vaß 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 59, Sa. Guldener Ring 58, Sa. baarschafft 1171, Eÿgenthumb an einer Behausung, Sa. Schulden 748, Summa summarum 3060 lb – Schulden 1147, Verpleibt 1913 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 306, Sa. Frucht 118, Sa. Weins und Leerer Vaß 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 61, Sa. Guldene Ring 67, Sa. Baarschafft 86, Sa. Gütterzinßes 26, Eÿgenthumb an einer behausung, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Schulden 55, Summa summarum 839 lb

Les actes suivants portent que Marie Julienne Spiess femme de Michel Frœreisen a cédé sa part à ses deux sœurs.
Marie Chrétienne Spiess meurt célibataire en 1702 en délaissant pour héritiers sa sœur Marie Julienne et les deux enfants issus de sa deuxième sœur Catherine Madeleine. L’actif de la succession s’élève à 630 livres. Le titre de 1612 relate la vente de la maison voisine.

1702 (2.5.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 57) n° 522
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere, so weÿland die viel : ehren und Tugendreiche Jungfraw Maria Christina Spießin, Weÿland des Edlen, Wohl ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Spießen geweßenen Wohlverdienten Schaffners des Stiffts St. Stephan und vornehmen burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seeligen, mit auch weÿland der Edlen, viel ehren und tugendreichen Frawen Christina Spießin gebohrner Ulricijn, deßelben Frawen Eheliebstin seeligen ehelich erziehlte und nach todt Verlaßener Jungfer Tochter nunmehr seelige, nach ihrem den 13.ten Aprilis dießes 1702.ten Jahrs beschehenem seeligem absterben, Zeitlichen verlaßen, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Verstorbenen Jungfrauwen seeligen ab intestato verlaßener Erben (…) inventirt durch den Wohledel Vest und hochgelehrten Herrn Philipp Ludwig Künasten Jurium Practicum auch E. E. Großen Rahts und anderer höheren gerichts stellen wohlmeritirten Advocatum und Procuratorem ordinarium, der in Gott ruhenden Jungfrauen seeligen gewesenen herrn Curatorem (…) So beschehen in Straßburg den 2.ten Maÿ Anno 1702.
Die in Gott ruhende Jungfraw seelige hat ab intestato Zu irhen Erben verlaßen wie folgt. 1. Weÿland Frawen Catharinæ Magdalenæ von Gottesheim, gebohrner Spießin, dero ältisten Schwester seelig, mit auch Weÿland Herrn Eliæ von Gottesheim, gewesenen vornehmen Burgern alhier Zu Straßburg auch mit Bannherrn und Obrichkeit Zu Geÿdertheim nun auch seeligen ehelich erziehlte Jfr. Tochter und beede Söhn nahmens Jfr. Mariam Salome, welche aber gleich des andern tags nach der verstorbenen seel. auch verschiden, Hrn Johannem Philippum und Hrn Johann Friderich von Gottesheim deren geschworner Vogt Herr Johann Friderich Spohr, vornehmer Buchhändler und E. E. roßen Rahts alhier alter, auch E. E. Kleinen Rahts anestatt eines constoflers jetzmahliger Wohlverdienter Assessor, welcher dem geschäfft persönlich abwartete und dann
2. Fraw Mariam Julianam Fröreißin, gebohrne Spießin, herrn Michael Fröreißen des Vöchhändlers und E. E. Kleinen Rahts alhier altenn Wohlverdienten beÿsitzers Fraw Eheliebste, dero jüngste Schwester, so mit beÿstands ihres Herrn Ehevogts Zugegen war. Bede der abgeleibten Jungfer seeligen Zu gleichen Stämmen ab intestato verlaßenen Erben

In einer in der Statt Straßburg an dem Stephansplan gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zur helffte gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Antheil ane einer Behaußung. Der halbe theil vor ohnvertheilt ane einer behaußung und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten. allhier ane St: Stephans Plahn, einseit neb Hrn. Emanuel Brantz. dem Barbierer undt Wundartzt, anders. neb. Hannß Georg Merckel dem Kornwerffer, hinden auff Heinrich Vollmann den haußfeurer stoßend geleg. so freÿ ledig und eig. und durch (die Werckmeistere) sammenthafft den 10. Maÿ A° 1702. angeschlagen pro 483. lb Und Zu daran hiehero gehörige helffte 242 lb 10 ß
NB. Die übrige helfte dieser Behaußung ist weÿl. Frawen Catharinæ Magdalenæ gebohrner Spießin der abgeleibten Jungfr. eheleibl. Frawen Schwester seel. mit weÿl. herrn Eliæ von Gottesheim gewesenen Mit Bannherrn und Obrigkeit zu Geÿderheim nun auch seel. ehelich erzeugt nach tod verlaßener Kinder gehörig Und sagt über die völlige behaußung ein teutsch. pergament. Kauffbrieff üb. das Ganth Recht ane solcher behaußung, wie solches vorgedachten beed. Spießischer Frawen Schwesteren und respective d° Kinder auch Frauen Mariæ Julianæ gebohrner Spießin damahlen weÿl. Herrn Johann Jacob Waldmanns geweßenen Peruquenmachers und burgers allhier seel. hinderbliebener Fr. Wittib und nunmehro Herrn Michael Fröreißens des Föchhändlers und E. E. Kleinen Rahts alhier alt. Beÿsitzers hievorn ehren ermeldt Frauen Eheliebstin allen dreÿ Zu gleichen antheilern cedirt worden in allhießig. Cancelleÿ Contractstub auffgerichtet, datirt d. 26. Junÿ A° 1696. mit N° 1. notirt
Demnach aber vorehren bedeutete Fraw Maria Juliana Fröreißin gebohrne Spießin der verstorbenen Jungfr. seel. und Fr. Catharinæ Magdalenæ Gottesheimerin gebohrner Spießin ihrer Schwester seel. Kindern dero erkauffte tertz wie sie hiebeÿ bekandte nachgehends auch allein cediret als ist ane vorgedacht. behaußung nunmehr die helffte d. abgeleibt. Jgfr. seel. und die übrige helffte verernandt. Gottesheimisch. Jinder Zuständig.
Mehr sagt üb. obige Behauß. j. teutsch. pergam: Ganth Kauffbr. mit E. E. Kl. Raths allhier größern Insigel verwahrt datirt d. 1. Febr: 1696. Weiter j. teutsch perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangehdem Canc. Contr. Insigel v.wahrt de dato d. 13. Junÿ A° 1674. mit altem N° 6 bemerckt. Und dann j. alt teutsch pergam. Kauffbr. mit d. Statt Straßb. Contract Insigel bekräfftiget, die dh Hrn Jacobum Kuglern Notarium instrumentirt datirt d. 17. Febr. A° 1612. mit altem N° 2 alles abr mit jetzigen N° 1 bemerckt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 106, Sa. Frucht 23, Sa. Wein u. Lährer Vaß 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. Guldener Ring 1, Sa. baarschafft 23, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 32, Sa. Antheils ane einer behaußung 242, Sa. Schulden 141, Summa summarum 630 lb ([corrigé en] 425 lb

Fils du receveur Jean Frédéric de Gottesheim, Elie de Gottesheim épouse en 1679 Catherine Madeleine Spiess : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen em Edlen, Ehrenvest undt großachtbahren herrn Elias von Gottesheim, daß auch Edlen wohl Ehrenvest vndt großachtbahren Herrn Johann Friderich von Gottesheims deß ältern, wohlverordneten Schaffners deß Stiffts St: Matthæi et Nicolai in undis alhie Zue Straßburg geliebten ehelichem Sohne alß dem Bräutigamb ane einem, So dann der viel Ehren: und Tugendreichen Jungfrauen Catharinæ Magdalenæ, deß auch Wohl Ehrenvest undt Fürgeachten, herrn Johann Spießen deß Stiffts und Capituls Zue St. Stephan alhie wohlverordneten Schaffners, beliebten eheleiblichen dochter, alß der hochzeiterin ane dem andern theil (…) So beschehen vndt verhandelt inn deß heiligen Reichß Freÿen Statt Straßburg auff Dienstag ipsa Johannis Baptistæ den 24. Junÿ im Jahr deß Herrn alß man Zahlte 1679 [unterzeichnet] Johann Friderich von Gottesheim der Elter als vatter, Johann Hartmann Wertz des Herrn Hochzeiters vogt, Johann Friderich von Gottesheim der jüngere alß des Hochzeiters bruder – Johann Christoph Werbeckh, Notarius

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 140, n° 39)
1679. Dominicâ 22 et 23. Trinit. den 16. Undt 23. 9.bris. Herr Elias Von Gottesheim, Hr. Johann Friderich Von Gottesheim wohlverordneten Schaffners Zu Clauß in undis und Burgers alhier nachgel. ehel. Sohn, Jungfr. Catharina Magdalena, hr. Johannes Spießen wohlverordneten Schaffners beÿ St. Stephan Undt burgers alhier ehel. Tochter. Cop. d. 15. Aug. p. me (i 54)

Catherine Madeleine Spiess meurt en 1694 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue Saltzmann. La masse propre au veuf est de 1 802 livres, celle des héritiers de 369 livres. L’actif de la communauté s’élève à 261 livres, le passif à 875 livres.
1694 (9.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 36) n° 353
Inventarium und Beschreibung Aller d.jenig. Haab, Nahrung und Güther, so weÿl. die Viel Ehren v. tugendreiche Fr. Catharina Magdalena Von Gottesheim gebohrne Spießin, des Ehren Wohl Ehrenvest und großachtbahren Herrn Eliæ Von Gottesheim Vornehmen burgers allhier Zu Str. geweßene fr. Eheliebstin nunmehr seel. nach ihrem den 10.ten Maÿ dieses 1694.sten Jahrs genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Edlen Wohl Erhenvest, großachtbahren vnd Weiß herrn Joh. Friderich Sporen, vornehmen b. u. Buchhändlers auch E. E. Kleinen Rhats allhier zu Straßburg alt. wohlverdienten Assessoris als geschwornen Vogts Mariæ Salome, Johannis Philippi und Johann Friderichen Von Gottesheim, der abgeleibten fr. seel. mit obehrengedachten ihrem hinterbliebenen H. Wittib. ehelich erziehlter dreÿer Kind. v. ab intestato verlaßener Erben (…) Actum den 9 Augustÿ Anno 1694.

In einer allhier in Straßburg in der Saltzmanns gaß gelegenen Von beed. eingangs herrn gedacht. Eheleuth Lehnungsweiße bewohnten behaußung ist befund. wie folgt
Hültzen und Schreinwerck. Auff dem Kasten, In der obern stub, In der ober stub Kammer, In d. Wohnstub, Vor dießen gemach, In der Kuchen
Eigenthumb ane einer behausung [biffé] (W.) der dritte theil ane einer Lähren hoffstatt in dem dorff Geÿderth. (…)
Alte Gottesheimische verschaffte Stipendia
Ergäntzung des Herrn Wittibers unverändert. Guths, Vermög Inventarÿ über des Herrn Wittibers und d. abgeleibten Fr. seel. einand. in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch H Benedictum Großen Notarium in A° 1680. auffgerichtet dem Hn Wittiber Zuergäntzen
Copia der Eheberedung – (…) den 24. Junÿ im Jahr deß Herrn alß man Zahlte 1679 Johann Christoph Werbeckh, Notarius
Abzug dießer Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Des Hern Wittibers Nahrung, Sa. haußraths 105, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 69, Sa. guldener Ring 13, Sa. der baarschafft 48, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 708, Sa. Gülth von liegenden güthern 25, Sa. lehen und anderen gefälle 189, Sa. Ergäntzung (680, Abgang 37, per rest) 642, Summa summarum 1802 lb
Der Erben Vermögen, Sa. haußraths 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 35, Sa. Guldener ring 31, Sa. baarschafft 41, Sa. Schuld 8, Sa. Ergäntzung (202, abgang 1, In Vergleichung) 201, Summa summarum 369 lb
Das Theilbahre Guth, Sa. haußraths 85, Sa. früchten 23, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. Guldener Ring 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 110, Sa. Schulden 7, Summa summarum 261 lb – Schulden 875, In Vergleichung 614 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1557 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 2 800 florins
1699, Livres de la Taille (VII 1173) f° 61-v
(Fischer) Weÿl. Fr: Catharinæ Magdalenæ von Gottesheim, H. Eliæ von Gottesheim haußfrauen Verlaßenschafft Inventarium verfertigte H Nots: Johann Reinhard Lang,
Die Beschluß summa Inventarÿ balelaufft sich fol: 128.b auff 1557 lb, 17 ß 5 d, die thun 3100 fl. verstallte 2800 fl. also Zu wenig 300 fl.
davon wird Nachtrag gerechnet vor 4 Jahr in duplo, macht à 18 ß – 3 lb 12 ß
Und dann vor vier Jahr in simplo macht à 9 ß – 1 lb 16 ß
Item so kombt darzu daß Stallgelt pro 1699 – 5 lb 11 ß
So dann Gebott und Unkosten – 3 lb 10 ß 6 d – Sa. 14. lb 9 ß 6 d
dt. 27. febr: 1700

Elie de Gottesheim meurt en décembre 1701 en délaissant deux fils et une fille qui meurt peu de temps après lui. Les experts estiment à la somme de 485 livres la maison dont la moitié appartient aux héritiers. L’actif de la succession s’élève à 1 929 livres, le passif à 82 livres.

1702 (2.5.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 57) n° 521
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿland der Wohl Edle und hochachtbahre Herr Elias Von Gottesheim geweßener Vornehmer burger alhier Zu Straßburg und mit Bannherr Zu Geÿdertheim nunmehr seeliger nach seinem den 28.ten Decembris des verwichenen 1701.sten jahres aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehren, Fürsichtig, hochachtbahren und Wohlweißen herrn Johannes Friderich Sporen, vornehmen Buchhändlers auch E. E. Großen Rhats alhier alten und E. E. Kleinen Rahts ane statt eines Constofflers jetzmahligen wohlverdienten Assessoris als geschwornen Vogts Jfr. Mariæ Salome, welche aber seithero auch dieses Zeitliche gesegnet, Johann Philipp und Johann Friderich von Gottesheim, des verstorbenen Herrn seeligen mit weÿland der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Catharina Magdalena von Gottesheim gebohrner Spießin, seiner geweßenen Frawen Eheliebstin seeligen ehelich erziehlter dreÿer Kinder und ab intestato verlaßener Erben inventirt durch obedelermelten Herrn Rathherrn Sporen, deßgleichen der Viel ehren und tugendreiche Fraw Mariam Julianam Fröreißin gebohrner Spießin des abgeleibten Herren seeligen Fraw geschweÿh., mit beÿstand des Wohl Ehrenvest, vorgeacht und Weißen, Herrn Michael Fröreißen, des vöchhändlers und E. E. Kleinen Rahts alten wohlverdienten beÿsitzers ihres Ehevogts, nicht weniger Annam Margaretham Reboldin, des verstorbenen Herrn seeligen gewesene Magd (…) Actum Straßburg den 2. maÿ Anno 1702.

In einer in der Statt Straßburg auff dem Stephans plan gelegenen und Zur helffte in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Ins officiers Stub, In der Cammer A, In der Cammer B, In der obern Stub, In der Wohnstub, In der Cammer, In der Kuchen, Vor der Kuchen, Unden im hauß, Im Keller
Lehen und and. gefäll. Erstl. de, dritt. theil ane einem Lehen (…) genandt d. Ladhoff beÿ hagenaw gelegen
Antheil ane einer behaußung. Die helffte Vor ohnvertheilt ane Einer behaußung undt hoffstatt sambt allen deren Gebäuen, begriffen, Weith. Recht. Zugehörd. und Gerechtigkeit. allhier ahne St: Stephans plahn, Einseith neb. herrn Emanuel Brantzen, dem Barbierer undt Wundartzten, anderseith neben Hannß Georg Merckel dem Kornwerffer hinden auff Heinrich Vollmann den haußfeurer stoßend, gelegen, so freÿ ledig undt Eigen undt durch (die Werckmeistere) sammenthafft den 10. Maÿ Anno 1702. angeschlagen pro 485. lb. Und zu daran hiehero gehörige helffte 242 lb 10 ß.
NB. der übrige halbe theil solcher behaußung ist in Weÿland Jgfr Mariæ Christinæ Spießen der Erben Vielgeliebten frauen Mutter seligen eheleiblichen Jgfrauen Schwester dero baaßen auch seel: Verlaßenschafft gehörig. Undt sagt über die völlige behaußung j. T. perg. Kbrieff, wie solches des Hrn seel. Frau auch vorehrenerwehnt d. Jfr. Schwag. see. ingleichen frauen Mariæ Julianæ gebohrner Spießin damahlen Weÿland herrn Johann Jacob Waldmanns geweßenen Peruquenmachers und burgers allhier seelig. hiend.bliebener fraw Wittib undt nunmehro herrn Michael Fröreißens des föchhändlers und E. E. Kleinen Raths allhier alten beÿsitzer, hievor ehrenermelt frauen Eheliebstin allen dreÿen Zugleich antheilen cedirt worden in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben auffgerichtet datirt d. 26. Junÿ Anno 1696. mit jetzigem N° 1. notirt. Demnach aber Vorheren bedeutete fraw Maria Julliana Fröreißin gebohrne Spießin, Jgfrauen Mariæ Christinæ Spießin ihrer ledig. Jgfrn Schwester seelig und des abgelebten herrn seel. mit Weÿl. frawen Catharina Magdalena gebohrner Spießin ihrer Schwester auch seelig hind.laßenen Erben, dero erkauffte tertz wie sie hieher beÿ bekantlich war, nachgehends gleichergestalt allein cedirt, alß ist ane Vorerwehnter behaußung nunmehro die helffte hiehero in dieße undt der übrige halbe theil in Vor ehrenangezogener Jgft. Mariæ Christinæ Spießin dero baaßen seel. Verlaßenschafft gehörig. Mehr sagt über obige behausung j. T. perg. ganth Kauffbrieff mit E.E. Kleinen Raths allh. größern inns. v.wahrt, datirt den 1.ten Februarÿ 1696. Weist j. T. perg. Kbrieff in d. St. Str. anhangend. C. C. Ins. becräfftiget de dato d. 13. Julÿ Anno 1674. mit altem N° 6 bemerckt und denn j. alt. T. perg. Kbr. m. d. St. Str. Contract Ins. corroborirt, dh H Jacobum Küglern, Notarium instrumentirt dat. d. 17. febr A° 1612. mit altem N° 2 undt letztern N° 1 notirt
Alte Gottesheimische Stipendia
Weÿland Jungfrauen Mariæ Salome von Gottesheim des Herrn seel. velaßener Jfr. Tochter auff dero den 14. Aprilis Anno 1602. beschehenes seligen absterben hinderlaßne Ihro allein Zuständig geweßenen Mobilia
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 164, Sa. früchten 57, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 117, Sa.Guldener Ring 53, Sa. baarschafft 46, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1064, Sa. Gülth von liegenden güthern 25, Sa. Lehen und andere Gefell 187, Sa. Anthiels ane einer behaußung 252, Sa. Schulden Nulla, Summa summarum 1929 lb – Schulden 82, In Vergleichung, Conclusio finalis Inventarÿ 1877 lb
Abschatzung Mittwoch d. 10. Maÿ 1702. Weÿlandt deß Ehr Hafften und bescheidenen Herrn Elias Gottes heimer Seel: hinder laßne Erben behaußung Alhie in der Statt Straßburg auff dem Stephan blan, Ein seitz nsch herrn Manuel Brantz balbierer, Ander seitz Neben hanß Jerg Märcklerischen Erben, hinden auff gedachten Herrn Brantzen stoßend welche behaußung sambt bauch Küche und einer gewölbten und einer gebälckten Keller auch übrig begriff Zugehör und Gerechtigkeit wie solches in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen Vor und umb Neun Hundert Siebentzig Gulden. Bezeügnus der Statt Straßburg geschworner Werckhl, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 3 100 florins
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 101-v
(Fischer, F., N. 232) Weÿl. Hn. Eliæ von Gottesheim geweßenen burgers alhier und mit Bannherrns Zu Geÿdertheim Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 74, 1940. lb. 3. ß 1. d., die machen 3800. fr. Verstallte allein 3100 fl, also Zu wenig 700 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf 6. jahr in duplo vor seinem tod, th. à 2 lb 2 ß d – 12 lb 12 ß
und auf 4. jahr in simplo à 1. lb 1. ß d macht – 4 lb 4 ß
Extat d. Stallgelt pro 1701 biß 1708 mit à 6 lb d th. – 48 lb
Ferner ane Nachtrag wegen dießer acht jahr in duplo th. – 16 lb 16 ß
Gebott – 13 ß 4 d
Abhandlung – 2 lb 2 ß 6 d, Summa 84 lb 7 ß 10 d
Auf suppliciren des Vogts, seind Zweÿ jahr in duplo und 2. zweÿ in simplo sambt der helffte ane dem Letzten nachtrag, durch die Hhn. dreÿ nachgelaßen worden th. 14. lb 14 ß, restirt 69. lb 13 ß 10 d
dt. 3° aug. 1709.

Le tuteur des enfants d’Elie de Gottesheim et Michel Frœreisen louent la maison au libraire Guillaume Schmuck

1702 (9. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 499
Erschienen Hr. Joh: Frid: Sporr buchführer u. Exsenator alß Vogt Weÿl. Hn. Eliæ v. Gottesheim 2 KK. u. Hr. Michael Fröreißen Rauhwahrhändler
in gegensein Hn. frid: Wilhelm Schmucken Senatoris u. buchhändlers
verliehen, eine behaußung cum appertinentiis allhier auf St. Stephans plan einseit neben (-) Brantzen Chirurgo, anderseit neben denen merckelinischen EE. hinten auf eundem Brantzen stoßend gelegen, auf ein jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1702, um einen jährlichen Zinß nemlich en25 pfund
[in margine :] hierinn besagter H. Verleihere haben in gg.sein Joh: Stammen Einspennigers, angezeigt und bekannt, daß Sie Locatores, ihm, Stammen, hierinnen verschriebenes hauß mit allen hierinnen stipulirten clausulen u. conditionen verliehen hätten, auf 2 jahr lang anfangend auf Joh: Bapt. 1702, den 15. maÿ 1703

Compte que rendent les héritiers du libraire Jean Frédéric Spoor, tuteur des deux fils d’Elie de Gottesheim. Ils y exposent que les trois sœurs Spiess ont acquis la maison de deniers provenant de leur père. Le messager Jean Stamm a pris à bail la maison après Guillaume Schmuck

1709, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 84) n° 760
Rechnung besagend Was Weÿlandt Herr Johann Friderich Spoor gewesener Buchhändler undt E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg alter Assessor, alß geschworner Vogt Herrn Johannis Philippi undt Hn Johannis Friderici von Gottesheim, Weÿlandt S.T. Herrn Eliæ von Gottesheim, geweßenen Mitbannherrns Zu Geÿdertheim undt auch Weÿlandt S.T. Frauen Catharinæ Magdalenæ Von Gottesheim gebohrner Spießin, beeder Eheleuthe undt burgere in Löblich gedachter Statt Straßburg nunmehr seeligen, mit einander ehelich erstberührter seiner beeden Curanden halben vom 14.ten Julÿ Anno 1694. da Er zu dießer Vogteÿ gekommen, biß in sein seeligen hienscheiden, welches den 1. Julÿ Anno 1709. beschehen, undt nach deßen tödlichen Ableiben seine hinterbliebene fraw Wittib undt Erben, biß den 19. 8.bris ejusd. Anni, eingenommen, außgegeben auch sonsten in allerhandt weege Verrichtet haben. – Erste und Letzte Rechnung dieser Vogteÿ

Großvätterliche Erbschafft anlangd. Alß weÿl. Herr Johannes Spieß gewesener Schaffners des Closters St. Stephan und burger allhier zu Straßburg, der Vogts Personen Hr Großvatter seel. den 21. Februarÿ 1696. dießes zeitliche auch gesegnet (…) deßelbenn Verlaßenschafft den 21. Maÿ et sequentibus A° 1696 durch herrn Johann Friderich Redwitzen Notarium gebührend inventirt (…)
Behaußung, welche auß senen Großvätterlichen mittlen erkaufft concernirend. Es gibet dickernandtes Großvätterliche Looß: und Abtheilung Register fol: 70. fac. 1.ma Zuerkennen, daß sambtlich dreÿ Stamm Erben auß denen ob verkaufften Großvätterlich. Mobilien erlößten Geltern (d. 5. Junÿ 1696 von Herrn Johann Böcklern Medicinæ Doctore et Prof. publ. et Cons. d. 26. Junÿ dicto Anno hernach darüb. in allhiesig Cancelleÿ Contractstuben auffgerichteten verschreibung) eine behaußung auff dem Stephans Plahn allhier, einseit neben dem Brantzischen Barbierhauß, anders. neben Hannß Georg Merckel dem Kornwerffer geleg. hind. auff Heinrich Vollmann den haußfeurer stoßend, vor freÿ ledig und eig. ins gemein erkaufft pro 500. lb und war dahero denen Vogts Personen eine tertz daran vor ohnvertheilt Zuständig. Dieße behaußung nun hab. samptliche Interessenten hernach mit einander bewohnt und genoßen biß Fraw Maria Juliana gebohrne Spießin der Vogts Personen Frauen Mutter seelig. eheleibliche Frau Schwester sich ane Hn Michael Fröreißen nunmahlig. alt. Groß. Raths v.wanth. und vöchhändler, allhier verheurathet, welche d. 6. 8.br A° 1698 beschehen, da sie dann ihren dritten Stammtheil ihren übrig. beed. Mit Erbs Stammen volendts auch cediret (und deroselb. davor 175. lb d baar bezahlet word. woran die d. Vogts Personen helffte den 1. Maÿ 1700 baar erlegt (…), also daß dieße Behaußung Jungfrauen Mariæ Christinæ Spießin ihrer Matertera Zu einem und denen Vogts Personen Zum andern halben theil Zuständig war, wie dann auch Sie Jfr. Maria Christina Spießin und der Vogts Personen hr. Vatter mit und beneben Ihren denen Curandis selbst selbige ins Gemein beseßen, Wie aber nach Jfr. Mariæ Christinæ Spießin seel: tödlichen ableiben solche behaußung verlehnet und nachgehends gar wider Verkaufft worden, ist hernach fol: (-) fac: (-) et seq. umbständlich erwehnt Zusehen
Der Vogts Personen Mütterlich Guth berührend. – Antheil ane einer Behaußung. Wegen des, in dieß Erbschafft gehörigen halb. theil ane einer behaußung alhie ane St. Stephans Plahn geleg. (…) ane dießer ihrer Jfr. Baaßen seel. halben theil wid. die helffte ererbet, Ihnen an der völligen behaußung dreÿ vierte theil gehörig waren. Dieße völlige behaußung nun ist auff Johannis Baptistæ 1702 ane herrn Rathherrn Friedrich Wilhelm Schmucken allhier auff ein Jahr lang biß Johannis Baptistæ 1703 von beederseiths Herren Interessenten umb 25 lb. jährlich. Zinnßes verlühen (…) hernach aber und auff Johannis Baptistæ 1703 wurde selibige ane Herrn Johann Stammen den Einspänniger umb gleich. Zinnß verlühen (…) Auff Weÿhenacht. 1703. aber wurde solche behaußung samenthafft ane Johann Philipp Unrici den Schneid. und burg. allhier verkaufft pro 637. lb

Le tuteur des deux enfants d’Elie de Gottesheim pour trois quarts et Marie Julienne Spiess pour un quart vendent la maison au tailleur Jean Philippe Ulrici et à sa femme Marie Hanel moyennant 637 livres

1704 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 33
(637) Hr. Joh: Friderich Spoor E.E. großen Raths beÿsitzer u. buchführer alß vogt weÿl. Hn. Eliæ v. Gottesheim 2 KK. wie auch Maria Juliana geb. Spießin H. Michael Fröreißen rauchwaarhändlers Haußfr.
in gegensein Joh: Philipp Ulrici schneiders u. Mariæ geb. Hanelin
Er Spoor dicto noê. zur ¾.ten, Sie Fr: Fröreißin aber zu ¼.ten theil, Hauß u. hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen u. zugehörden allhier ahn St. Stephans Plan einseit neben H. Emanuel Brantzen Chirurgo anderseit neben weÿl. Hanß Georg Merckels kornwerffers E.E. hinten auf Heinrich ullmann den Haußfeurern stoßend gelegen – um 637 pfund

Fils du pasteur de Legelshurst dans le bailliage de Willstätt, Jean Philippe Ulrici épouse en 1679 Marie Hanel originaire du Palatinat
Mariage, cathédrale (luth. f° 71)
1679. Dom XIII post Trinit. Zum 2. mal Johann Philipp Ulrici der Schneider Herrn Philipp Ulrici gewesenen Grav. hanawischen Pfarrers* Zu Legelshurst in dem Ampt Wilstett nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr. Maria Weiland Georg Hahnels Burgers vnd G* u. *ßer Zu *thal unter das Churpfaltzisch.Amt* Werth* gehörig nachgelaßene Ehel. T. Donnerstag den 25.ten 7.bris Münster (i 72)

Tous deux achètent le droit de bourgeoisie quelques jours après leur mariage
1679, 3° Livre de bourgeoisie p. 1011
Johann Philipp Ulrici Von Legelshurst der Schneider erkaufft das burgerrecht vor sich und seine haußfr. Maria Hanlin p. 20. gold fl so Er auff dem Pfenningthurn erlegt v. würd Zu den Schneidern dienen. Jur. 1. 8.br. 1679.

Jean Philippe Ulrici meurt le 21 avril 1725 en délaissant pour héritière testamentaire sa veuve. Les experts estiment la maison à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 668 livres, le passif à 40 livres.

1725 (30.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 1) n° 74 (1444)
Inventarium Vndt beschreibung aller Vnnd Jeder liegend vndt vahrend. haab Vnd Nahr. überahl nichts davon außgenommen, so weÿl. der wohl Ehren veste Vndt Vorgeachte herr Johann Philipp Ulrici gewesener Schneider vndt burger alhier nunmehr seel. nach seinem d. 21. Aprilis Jüngsthien aus dießer Zeit vndt Welt genommenen tödl. hintritt Zeit. Verlaßen, welche Nahrungß Verlaßenschafft dato Zu end stehend auf freundl. ansuchen erfordern vndt begehren frawen Mariæ gebohrner Hännlin deßen hinterbl. Wb. vnd Zuvolg seines mit Ihro auffgerichteten Testam. Nuncup. auff Zuvorhero erhaltenen Indultum Testandi intituirten eintzigen Erbin (…) Actum Straßb. d. 30. Maÿ 1725.

In einer alhier Zu Straßb. gelegenen in dieße Erbschafft gehörig. behaußung befund. word. wie volgt.
(f° 12) Eigenthumb ahne einer behausung. Nembl. eine behausung und hoffstatt, sampt übrigen dero begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg auff dem Stephans Plan gelegen einseit neben H Emanuel Brantzen Chirurgo und burgers allhier, ander seith neben H. N. Weißnern dem Ritterschafftlichen Einspännigern allhier, Vorn uff den Stephans Plan und hinden uff gedachten H. Emanuel Brantzen stoßend, so freÿ Ledig und eigen, und hießiger Statt geschworne Werckmeistern Crafft ihres Von sich gegebenen, beÿ dem Concept Liegenden Zeduls dedato 12. Maÿ 1725. æstimirt und angeschlagen p. 450. lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff auß allhiesiger Cantzleÿ Contractstub Verfertiget und mit deroselben anhangendem Innsiegel Verwahret de dato 17. Jan : A° 1704 deßen jnnhalt welcher gestalten der Verstorbene seel. und deßen hinterbl. fr Witb. Maria gebohrne Hänelin von H Joh: Friderich Spoorer dem buchführer als vogt weÿl. Eliæ von Gottesh. 2. KK. pro 637. lb 10 ß d solche Kaufflichen ahne sich gebracht haben
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 47, Sa. Weins und Lährer Vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. guldenen Ringen 4, Sa. baarschafft 133, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 450, Summa summarum 668 lb – Schulden 40 lb, Nach deren Abzug 627 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 627 lb
Copia von dem Verstorbenen seel. und einer hinterbl. Wittib auffgerichteten Testamenti nuncupativi – 1712 (…) auff Montag den 21. Novembris Vormittags Zwischen neun undt Zehen Uhren in einer in der Statt Straßburg ahne der Renngaß gelegenen, mir Notario eigenthümlich zuständig. bewohnenden behaußung (…) persönlich kommen und erschienen der wohl Ehrenveste vnd Vorgeachte Herr Johann Philipp Ulrici burger und Schneider allhier und mit Ihme die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria gebohrne Hammelin beede Eheleuth, (legirt) Annæ Mariæ gebohrner Ulricÿn S: T: Herrn Johann Jacob Jucæ* geweßenen Pfarrers zu Legelshurst ehelichen haußfrau als des H. Testators Schwester (…) Frauen Margarethä gebohrner Ulricÿn mit auch weÿl. H Johann Matthia Humesiußen geweßenen Pfarrer zu Auenheim ehelich Erzeugter hinterlaßenen beeden Kinder nahmentlich Johann Matthiæ und Margarethæ (…) Frauen Magdalenæ gebohrner Hannelin S. T. Herrn Georg Gottfried Wörners Organisten und Schulbedienten Zu Burckhardtswaldt Meÿßnischer Jurisdiction als der Fraw Testatrix lieben frauen Schwester (…) Johann Jacob Baldner Nots.
Abschatzung d. 12.ten Maÿ aô 1725. Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen H Johann Philipp Ulritzi gewesenen Schneiders seel. hinterlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auf dem Stephans blohn gelegen, einseits Neben H Emanuel Brantz Balbierer, ander seits Neben H Weißner, hinden auff schon Ermelten Brantzen stoßend, welche behaußung Stuben, Cammern, Küche, Bauch küche, Soldaten Cammer, hauß Ehren wovon einer mit einem unterschlag und gebalckter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werkcleuthe sich in der besichtigung befunden vnd Jetzigem preiß Nach angeschlagen Wird Vor und umb Neun Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Marie Hanel fait un codicillle par lequel elle ordonne différents legs et institue pour héritiers les enfants de Jean Matthieu Humesius, pasteur à Auenheim, les enfants de sa sœur Madeleine Hanel veuve de Geoffroi Lœbner, organiste à Burkhardswalde près de Meissen, Jean Stamm, employé à la Tour aux deniers et sa servante Anne Marie Strobel
1725 (1. Aug.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 82
Codicill – Persönlich kommen und erschienen ist die Viel ehr vnd tugendreiche Frau Maria gebohrne Hannelin, weÿl. des wohl Ehrenvest und Vorgeachten Herrn Johann Philipp Ulrici gewesenen Schneiders und burgers allhier gewesene eheliche haußfrau Von der gnaden des grundgütigen gottes gesunden gehend und stehenden Leibs, auch guten richtigen Verstandts, Sinnen und Vernunfft
Drittens Legirt und Vermacht die Fr. Testatrix weÿl. S. T. H. Johann Matthiæ Humesiußen gewesenen Pfarrers Zu augenheim hochgräffl. Hanaw Liechtenbergischer herrschafft mit auch weÿl. frauen Margarethæ gebohrner Ulricÿ der Fr. Testirerin Ehemann seel. Schwester ehelich erzeugten hinterlaßenen respectivé Sohn und tochter Nahmentl. Herrn Johann Matthiæ Humesiußen Studioso und Frauen Margarethæ gebohrner Humesiußin so ahne Herrn Duncker Pfarrherrn Zu Hottenbach Hochfürstl. Birckenfelidischer Jurisdiction verheurathet ist (…)
Vierdens, (…) weÿl. frauen Magdalenæ gebohrner Hannelin jhrer lieben Schwester seel. mit auch weÿl. S: T: herrn Georg Gottfried Lowener geweßenen organisten und Schulbedienten zu Burckhardtswalt Meÿsnischer Jurisdiction ehelich erzeugten annoch lebenden Zweÿen öhnen Nahmentl. H. Christian und Gottfried Löwener, So dann dieser beeden gebrüderer Schwester seel. weÿl. Frauen Annæ Magdalenæ Senckerin gebohrne Löbnerin ehelich erzeugten hinterlaßener nunmahls ane Meister Paul Schwöringen Burgers und Schuhmachern in Wilsdorff Verheurathet (…)
Sechstens Legirt und vermacht Sie H. Johann Stammen selbsten Zu wieder vergeltung und Erkantlichkeith (…) und seiner lieben haußfrauen Fr. Annæ Catharinæ Stammin gebohrner Geÿerin (…)
Endlich und Zum Siebenzehenden (zum Erben) instituirt, ernannt und eingesetzt haben benantl. und Erstl. Herrn Johann Matthiam Humesiußen Stusiosum und Frau Margaretham gebohrne Humesiußin so ane Herrn Dunckher Pfarrherrn Zu Hottenbach verheurathet beede weÿl. H. Johann Matthiæ Humesiußen gewesenen Pfarrers Zu Auenheim hinterlaßenen Sohn und Tochter zu gleichen portionen in einem Völlig. Stammtheil, Zweÿtens weÿl. fr. Magdalenæ gebohrne Hannelin, der testirerin Schwester seel. mit auch weÿl. H. Gottfried Lobener geweßenen organisten Burckhardtswalt ehelich erzeugte beede Söhn, H. Gottfried Löbner und H. Christian Löbner wie auch dieser beeden Verstorbenen Schwester Annæ Magdalenæ Henckerin gebohrne Löbnerin nachgelaßene Tochter Paul Schwöringen schuhmachern Zu Wilsdorff eheliche haußfrau, alle dreÿ zu gleichen antheilern, ebenmahl in einem Völligen oder den Zweÿten Stammtheil, Drittens H. Johann Stammen bedienten auff hiesiger Statt Pfenningthurn gleichfalls in einen Völligen oder den dritten Stammtheil vnd dann Annam Mariam Strobelin ihre dienst Magd auch in einem Völligen oder den Vierden Stammtheil
Mittwochs den ersten Augusti Anno 1725. x der Fr. Testirerin handzeich.

Marie Henel fait un testament qui annule les dispositions antérieures. Elle institue pour héritiers Jean Stamm, employé à la Tour aux deniers et sa cousine Anne Marie Strobel de Dossenheim
1729 (27. Oct.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 57) n° 199
Testamentum nuncupativum Frauen Mariæ Ulriciin gebohrner Hanellin Wittib und burgerin alhier. 1729,
Zuwißen daß auff Donnerstag den 27. Octobris Anno 1729. Nachmittag Zwischen 2 und 3. Uhren (…) die Ehren: und tugendsame Frau Maria Ulrici, gebohrne Henellin weÿland H Johann Philipp Ulrici geweßenen Schneiders und burgers alhier seel. nachgelaßene wittib durch Gnade Gottes gesund gehend und stehenden leibs auch reichtiger Sinnen guter Vernunfft
2. Thut sie (…) alle ihre hiebevor auffgerichtete letzte Willen Verordnungen (…) cassiren, annulliren, abthun und Vernichten
4. setzt (…) Zu ihren wahren und ungezweiffelten Erben ein benantlich Hrn Johann Stammen, den dreÿer Knecht des alhiesigen Pfenningthurns in die helffte, in die andere helffte aber Annam Mariam Straublerin von Dosenheim ihrer Baaß

Marie Hanel meurt en juin 1732 en délaissant pour héritier universel Jean Stamm. Les experts estiment la maison à la somme de 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 465 livres, le passif à moins d’une livre.

1732 (1.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 39) n° 1171
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Ulricijn gebohrner Hanelin weÿl. Herrn Johann Philipp Ulrici des geweßenen Schneiders und burgers alhier Zu Straßburg nachgelaßener Wittib nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1732. – nach ihrem am 11. Junÿ Jüngsthien genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freund fleißiges ansuchen und begehren des Ehrengeachten H Johannis Stammen, dreÿer Knechts auff allhiesigem Pfenningthurn und burgers alhier, Krafft hernach inserirten Testamenti nuncupativi instituirten einigen Erben, heut dato ordnungsmaßig inventirt und ersucht, durch erstgemelten H Johann Stammen den instituirten Erben und Annam Mariam Strublerin Von Dosenheim gebürtig die dienstmagd (…) So beschehen Straßburg den 1. Julÿ Anno 1732.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Stephansplahn gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen undt deswegen hernacher fol. (-) beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, in der Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuche, Im understen Hauß ehren, Im Keller
(f° 6) Eÿgenthum ane einer behaußung. Ein behaußung und Hoffstatt, sambt übrigen dero begriffen weithen rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten alhier Zu Straßburg, auff dem Stephans plahn einseit neben H Reichling Chirurgo, anderseit neben H v. Dettlingen, Vornen auff den Stephansplahn, hinten auff gedachten H Reichling stoßend, so freÿ Ledig und eigen und durch hiesiger Statt geschworne Werckmeistere, Krafft ihres von sich gegebenen beÿ dem Concept Liegenden Zeduls dedato 27. Junÿ Anno 1732 æstimirt und angeschlagen pro 400 lb. Darüber besagt ein Teutscher Pergamentener Kauffbrieff, aus alhiesiger Cantzleÿ Contract stub Verfertiget, und mit deroselben anhangendem Insigel Verwahrt dedato 17. Januarÿ Anni 1704. mit N° 1 notirt
Haußrath, baarschafft 18, Eigenthum ane einer Behaußung 400 Schuld 3, Summa summarum 465 lb – Schulden 12 ß, Nach deren Abzug 464 lb
Legata, H Pfarrer Durgert Zu Uttenbach mit fraun Margaretha gebohrner Hanösischin, Johann Matthias Hanösisch ihrem Pfettern (…) 246 lb – Nach deren Abzug 217 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 464 lb
Abschatzung dem 27. Junÿ 1732. Auff begehren weiland der Ehr und Tugendsamen frau Anna Maria Ulritzin hinderlaßene Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg auff dem Stefans blann gelegen ein seits Neben H tocter reübling, andereits Neben dem Grav: Herrn Von Tettling hinden auff getachten reihling Stoßend welche behaußung Stuben Cammern, Soldaten Cammer, Kuchen hauß Ehren Buchkuchen getrembter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wird vor und umb Acht Hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1732, Livres de la Taille (VII 1177) f° 166
(Schneider F. N° 5702) Weÿl. Fr. Mariæ gebohrner Hanellin auch weÿl. Johann Philipp Ulrici gewesenen Schneiders und burgers alhier Wittiben Verlaßenschafft inventirt H Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist fol. 40.b. – 464 lb 12 ß 3 ½ d, die machen 900 fl. Verstallte hiengegen 1500 fl.
Extat Stallgeltt pro 1732 – 2 lb 5 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 12 ß 6 s, Summa 2 lb 19 ß 6 d
Abzug. H Pfarrer Dunchert Zu Ullenbach Kinder haben von 75 lb d legat den Abzug zu erlegen mit 7 lb 10 ß
Johann Matthias Hanösisch von 10 lb, 1 lb
der Verstorbenen Frauen dreÿer Schwester Kinder von 75 lb d legat 7 lb 10 ß
dt. 30. Julÿ 1732.

Jean Stamm héritier universel et Anne Marie Strubler usufruitière vendent la maison au sergent au Magistrat Jean Jacques Engels et à sa femme Marie Barbe Reuter moyennant 725 livres

1732 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 371
Johannes Stamm dreÿer Knecht als hæres universalis testamentarius weÿl. Fr. Mariæ gebohrner Hanelin, weÿl. Johann Philipp Ulrici gewesten hießigen Schneiders hinterlaßener wittib, Krafft ihres am 27. Octobris 1729 vor Christoph Michael Hoffmann Not. auffgerichteten testamenti Nuncupativi §° 4 instituirt, Ferner Anna Maria Strublerin ledigen standts, so ohnbevögtigt zu sein versicherte, beÿständlich Johann Peter Sponnemer Cantzleÿ botten welche zufolg angeregtem Testamento §° 3 die helffte verstorbener Ulricischer wittib verlaßenschafft lebtägig zu usufruiren hat
in gegensein Johann Jacob Engels Rathsbotten und Mariæ Barbaræ geb. Reuterin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten auff St Stephans Plan, einseit neben Johannes Reuchlin Juniore Chirurgo anderseit neben S.T. H. Christian Reinhard von Dettling hinten auff ged. Rauchlin – um 725 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de la fabrique Sainte-Aurélie

1732 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 372
Johann Jacob Engels Rathsbott und Maria Barbara geb. Reuterin mit beÿstand H. Johann Valentin Juncker und H. Lucas Schaaff EE. kleinen Raths alten beÿsitzers
in gegensein der Fabric der Kirch zu St Aureliæ Pflegers H. Daniel von Friedolsheim guw. und deren schaffners H. Johann Christoph Jost Underschreibers zu St Marx – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine aus jetzigem Vorschuß vollkommen bezalt heutigen tags erkaufft und verschriebene Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten auff St Stephans Plan einseit neben S.T. H. Christian Reinhard von Dettling anderseit neben Johannes Reuchlin Juniore Chirurgo hinten auff ebendiesen

Originaire de Siefersheim près de Kreuznach en Palatinat, l’étudiant Jean Jacques Engels épouse en 1707 Salomé, fille du boucher Jean Georges Datt. L’acte de mariage donne pour origine Kreuznach, le livre de bourgeoisie Siefersheim. Les parties ne passent pas de contrat de mariage comme l’indique l’inventaire (1726)
Mariage, Bischheim (luth. p. 96)
1707. Aus Erlaubnus uns. Hochadel. gnädig. Obrigkeit seind nach gewohnlicher Proclamation und Gottes Ordnung ehelich einesegnet worden H Joh: Jacob Engel, stusiosus von Creutznach, Joh: Jacob Engels burgers daselbst ehel. Sohn, und Salome, Joh: Georg Datten, Metzgers vnd burgers in Straßburg eheliche tochter und Johann Jacob Engels Als Hochzeiter, salome dattin als hochzeiderin (i 52)

Le receveur Jean Jacques Engels et Marie Salomé Datt font dresser un état de leurs biens pour devenir bourgeois
1721 (22.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 51) n° 1658
Designatio derjenigen haußräthlichen Mobilien und übrige Vermögens, so der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Engels, hochadelicher Schaffner und die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome gebohrene Dattin beede Eheleuthe allhier der Zeit in Nahrung besitzen (…) Straßburg den 22. Junÿ A° 1721.

Le receveur Jean Jacques Engels et Marie Salomé Datt achètent le droit de bourgeoisie en août 1721
1721, 3° Livre de bourgeoisie p. 1313
Herr Johann Jacob Engels Adel. Schaffner allhier Von Siffersheim Sebastian Engels Rebmanns allda ehel. Sohn vnd seine fraw Maria Salome Dattin von hier erkauffen das Burger Recht pro 6 Gold fl 16 s bringen dreÿ Kinder mit so bey der ordnung gelaßen worden wollen Zur Steltz dienen Jur. den 13. Augusti Anno 1721.

Jean Jacques Engels est élu adjoint aux trois messagers du Magistrat le 23 décembre 1724. Il obtient une gratification le 26 novembre 1725 puis est nommé titulaire le 21 avril 1727.

Marie Salomé Datt meurt en mars 1726 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Elisabeth près de l’église Saint-Louis. Les biens des héritiers s’élèvent à 23 livres. L’actif de la communauté s’élève à 40 livres, le passif à 40 livres.
1726 (7. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 23) n° 762
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Salomeæ gebohrner Dattin Hn Johann Jacob Engels bestelten Rathsbotten und burgers gewesten Ehegattin nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1726. – nach ihren am 22. Martÿ dießes Zu end lauffenden 1726.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt hie zeitlichen verlaßen, Wie solche Verlaßenschafft auf freundfleißiges Ansuchen und begehren des Ehrengeachten H. Philipp Jacob Datten des Metzgers und burgers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfer Mariæ Magdalenæ, Jgfr. Margarethæ Salomeæ und Johann Georgen aller dreÿ Engels so die Verstorbene seel. mit Vorher Vermeltem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeilt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Zu Erben Verlaßen, und weilen dieße dreÿ Kinder und Erben frembd und ohnverburgert alß ist in deren Nahmen beÿ E: E: Kleinen Rath unterthänig erbetten und Gnädig Deputirt worden der Edle und Rechtsgelehrte fürsichtig und weiße H. Johann Jacob Schübler J.U. Ltus und wohl ermelten E: E: Kleinen Raths ietzmahliger beÿsitzer, welcher dem geschäfft in persohn abgewartet (…) So beschehen Straßburg den 7.. Novembris Anno 1726.

Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig. Er hatt der wittiber beÿ seiner gegebenen handtreu gleich anfangs dießer Inventation gleubwürdig bericht, daß alß der sich vor ohngefähr 18 Jahren mit seiner verstorbenen, Fr. seel. verheurathet dazumahlen Keine Eheberedung Zwischen ihnen auffgerichtet, weniger der Zugebrachten Nahrung halben etwas schrifftlicjes Zu Papÿr gebracht worden
In einer allhier Zu Straßburg ane der Elisabethæ gaß ohnfern der Kirch S Louis gelegenen lehn behaußung und dero inhabenden gemächern folgender maßen befunden
E. haußrath 22, Goldene Ringe 16 ß, Summa summarum 23 lb
T. haußrath 36, Silber 2, baarschafft 20, Summa summarum 58 lb
Schulden. Item Mstr. Johann Fried: Butz dem schneid. u. burgern allhier soll mann vor ein quartal Haußzinß, Sa. 40, verbleibt 19 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 49 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les trois enfants non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 90-v
(Steltz F. N° 4032) Weÿl. Fr. Mariæ Salome gebohrner Dattin, H. Johann Jacob Engels Raths botten und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist fol. 30. – 49 lb 12 ß 8 d
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 3 ß 6 s, Summa 5 ß 6 d
Abzug. Die dreÿ ältiste Kinder so ohnverburgert sollen Von Mütterl. Erbe der 29. lb. 15 ß 9 d den Abzug erlegen mit 2 lb 19 ß 2 d
Auff die Von denen Obern Stall Herren an die Herren dreÿ geschehener remission haben dieselbe Vorstehenden Abzug moderirt ad 1 lb 10 ß
dt. omnia d. 22.t Mart. 1727

Jean Jacques Engels se remarie avec Barbe, veuve du cordonnier Jean Jacques Elles : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1726, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 535
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H Johann Jacob Engels geschwornen Rathsbotten und burger, alhier alß Brautigam ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Barbaræ Ellußin gebohrner Rödererin weÿland Meister Johann Jacob Elluß gewesenen Schuhmachers und Burgers alhier nunmehro seel. nachgelaßener wittib alß hochzeiterin am andern theÿl (…) So beschehen und Verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 13. Novembris Anno 1726. Christoph Michael Hoffmann Nots. mit paraphe

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 46-v, n° 182)
1726. Eod. [Mittw. d. 4. Xbr] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Jacob Engels der Raths bott, Wittwer v. b. alhier v. Fr. Maria Barbara weÿl. Joh: Jacob Elles gewes. b. u. schuhmachers nachgel. Wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Engels als Hochzeiter, Maria Barbara Elleßin als hochzeiterin (i 50)

Fille du tondeur de draps Georges Reuter, Marie Barbe Reuter épouse en 1699 le relieur Jean Philippe Spach puis en 1707 le cordonnier Jean Jacques Elles
Mariage, Schiltigheim (luth. p. 198) Heüt dato d. 1. Aprilis st. n. 1699 (…) Johann Philipp Spach der ledige buchbinder in Straßburg weÿl. Johann Philips Spachen auch buchbindters vnd burgers in Straßburg ehelicher Sohn, vnd Maria Barbara Reüterin, H. Georg Reüters burgers und tuchscherers in Straßburg eheliche dochter (so zuvor mit dem Statt * unehlich Kind erziehlten) nach 2 maliger in Straßburg ehelich copulirt [unterzeichnet] Johann Philipp Spach als hoch Zeitter (i 103)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 177 n° 804)
1707. Mittwoch den 26.ten Maÿ seind nach 2.mahl. Proclamation ehl. copulirt worden Hanß Jacob Elles der ledige Schuhmacher, Hanß Jacob Elles des Hoßenstrickers ehl. Sohn und Fr, Maria Barbara, weÿl. Joh: Phil. Spach gewesenen büttels Zur Steltz hinterl. wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Elles Alls hochzeitter X fe. Maria Barbara Spachin (i 176)

Jean Jacques Engels et Barbe Reuter font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 412 livres, ceux de la femme à 537 livres.
1727 (5.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 26) n° 832
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johann Jacob Engels geschwornen Rathsbotten und der Ehren: und tugendsahmen frawen Mariä Barbarä Engelsin gebohrner Reutherin, beeder Eheleuthe und burgere allhier einander für unverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1727. – in ihrem vor Kurtzer Zeit mit Gott angetrettenem Ehestand würcklich Zusammen gebracht und Krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung ihnen und ihren Erben als ein ohnverändert und Vorbehalten Guth (…) So beschehen Straßburg den 5. Augusti Anno 1727.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 135, Sa. Meels 3, Sa. Silbers 9, Sa. goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 120, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern Nihil,, Sa. Schulden 136, Summa summarum 406 lb – Darzu ist zurechnen, der Ihme gebührige halbe theil ane denen Verehrten haussteuren 6 lb, des Ehemanns Völlig in die Ehe gebracht Guth 412 lb
Dießemnach Wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 252, Sa. Silbers 29, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 220, Sa. Schulden 14 – Schulden 531 lb – Hierzu Kombt die helffte ane denen Verehrten haussteuren 6 lb, Der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht guth 537 lb

Jean Jacques Engels meurt en février 1750 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 800 livres. La masse propre à la veuve est de 380 livres, la masse propre aux héritiers de 161 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 232 livres, le passif à 452 livres.

1750 (16.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 372) n° 380
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Jacob Engels, der Statt Straßburg geweßenen ältesten geschwornen Rathsbotten und burgers allhier nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1750. (…) als derselbe Donnerstags den 26. Februarÿ dießes Lauffenden 1750.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. in Erster Ehe mit auch Weÿl. der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Maria Salome gebohrner Dattin ehelich erziehten Sohns und Zwoer Töchter alß deßelben ab intestato Verlaßener rechtmäsiger Erben (…) ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Mariam Barbaram Engelsin gebohrne Reutherin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehrenvesten Wohlachtbahren und Wohlweißen herrn Johann Jacob Kriegers deß Schuhmachers und E. E. Großen Raths jetzig wohlverdienten Beÿsitzers, Ihres ane Vogts statt erbettenen herrn beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 16. Martÿ Anno 1750.
Der in Gott seelig entschlaffene hat zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Mariam Magdalenam Dürbachin gebohrne Engelsin herrn Andreas Dürbach des Kieffers und burgers allhier geliebte Ehegattin, welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts dem geschäfft in persohn abwartete. 2.do Frau Margaretham Salome Gräffin gebohrne Engelsin, Herrn David Gräff hohldrähers und burgers allhier geliebte Ehefrau Welcha ebenmäßig mit assistentz gemelten Ihres Ehevogts in Persohn beÿ diesem geschäfft sich eingefunden. So dann 3.tio Herrn Johann Georg Engels, berühmten Mathematicum und burgern allhier, welcher beneben Frauen Maria Salome Engelsin gebohrner Stuckin, seiner geliebten Ehegattin in Persohn dem geschäfft beÿgewohnet, Alßo alle dreÿ des seelig verstorbenen mit weÿland Frauen Maria Salome gebohrner Dattin seiner geweßenen Ersten Eheliebstin seeligen ehelich erzielte Sohn und töchtere und ab intestato Zu dreÿen gleichen portionen und Stammteilen verlaßene Rechtmäsige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Stephans Plahn gelegenen und in diiße Verlaßenschafft gehörigen hieunten eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im obern Haußöhren, In der Kammer A, In der Kammer B, In der Magd Kammer, In der obern Kuchen, In der obern Vordern Stub, In dero Stub Cammer, In der wohnstub, In der Stub Kammer, In der Küchen, Im undern haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung und hoffstatt mit allen deroselben gebäuwen begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg auf St. Stephans Plan, einseith neben H Johann Wilhelm dem Kieffer und Weinhändler, anderseit neben H Georg Michael Müller, dem Maurer und steinhauer hinden auf vorgedachten herrn Johann Wilhelm stoßend, so gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) vemög überschickter Schrifftlicher Abschatzung vom 16. Martÿ 1750. angeschlagen pro 800 lb. Darüber besagt ein teutscher pergam. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangenden Insigel verwahrt, de dato 26. Augusti 1732. Dabeÿ ferner dreÿ alte in wohl ermelter Contract stub gefertigte und mit dero anhangenden Insieglen verwahrte teutsche pergam. Kauffbrieff de datis 15. Julÿ 1671, 20.ten Junÿ 1696 et 17.ten Januarÿ 1704. So dann ein teutscher pergam. ganth Kauffbrieff mit E. E. Klein Raths der Statt Straßburg anhangendem Insigel corroborirt datirt den 1. Februarÿ 1696.
Ergäntzung der Wittib abgengagenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen in Anno 1727. durch weÿland herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann seel. vergriffen und durch mich Notarium expedirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung.
Der Wittib ohnverändert Vermögen Sa. haußraths 47, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 25, Sa. Schuld 37, Erg. Rest 255, Summa summarum 380 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 71, Sa. Silbers 2, Erg. Rest 125, Summa summarum 199 –b – Schulden 37, Detrahendo verbleibt 161 lb
Endlichen Wird nun auch das gemein Verantwortung und theilbare Guth beschrieben, Sa. haußraths 77, Sa. Wein und Lährer vaß 40, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 800, Summa summarum 1232 lb – Schulden 452 lb, Nach deren Abzug 780 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1322 lb – Stall Summ 1232 lb
Eheberedung (…) So beschehen den 13. Novembris Anno 1726. Christoph Michael Hoffmann Nots. mit paraphe
Abschatzung Vom 16. Martÿ 1750. Auff begehren Weÿland herrn Johann Jacob Engels deß geweßenen Raths botten seel. hinterlaßener Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, auff dem Stephans Plahn, einseit neben Herrn Michel Müller dem Maurer Meister anderseit neben Johann Willhelm dem Kieffer und hinten auff vorgedachten Wilhelm Stosend gelegen, solche behaußung hat neben dem Eingang ein bauchküchen und Kämmerlein auff dem Ersten stockh eine Stube Stub Kammer Kuchen und Haußöhren, auff dem Zweÿten Stock ist es auch allßo Wie auff dem Ersten auff dem dritten stockh seind dreÿ Kammeren und ein haußöhren, darüber ist der Tachstuhl so mit breit Ziegleln doppelt gedecktt, Worunter Zwo besetzte bühnen unten dem hauß ist ein geträhmter Keller,Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorhero beschehener besichtigung mit akker Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor vnd umb Ein Tausend und Sechs Hundert Gulden. [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister

Le tonnelier André Dürrbach et Marie Madeleine Engels hypothèquent leur part de maison au profit de leur belle-mère et mère respective Marie Barbe Reuter veuve de Jean Jacques Engels.

1750 (16.6.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 286-v
Andreas Dürrbach der kiefer und Maria Magdalena geb. Engelßin mit beÿstand ihres bruders H. Johann Georg Engels des mathematici und ihres vettern Abraham Datt des metzgers
in gegensein Mariæ Barbaræ geb. Reuterein weÿl. Johann Jacob Engels des rathsbotten wittib mit beÿstand H. Rathh. Johann Jacob Krieger – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, erstlich eine anheute erkauffte behausung, gärtlein, höfflein und hoffstatt in der vorstatt Krautenau in dem quartier St Nicolas in der neuen gaß beÿ denen Prechtehäußlein, einseit ist ein Eck, anderseit neben David Braun dem tabacbereiter hinten auff das alte begräbnuß zu St Stephan – davon soll man auff Annunciationis Mariæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 15 ß ane bodenzinß
so dann zweÿ 9. theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt ane St Stephans plan, einseit neben Georg Michael Müller des maurer meister, anderseit neben Johannes Wilhelm dem weinhändler, hinten auff denselben – als ein vätterliches erbgut

L’enseignant Jean Georges Engels et sa femme Marie Salomé Stuck hypothèquent leur part de maison au profit de Jacques Hector Gombault, secrétaire en chef à la Halle

1751 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 89
H. Johann Georg Engels der mathematicus und Maria Salome geb. Stuckin mit beÿstand ihres vogts Johann Kuntz des küblers und Johann Georg Trawitz des sigristen beede ihrer vettern
in gegensein H. Jacob Hector Gombault des Oberschreibers in allhiesigem kaufhauß – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 2/9 theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt auf St Stephans Plan, einseit neben Johann Wilhelm dem kieffer, anderseit neben Georg Michael Müller dem maurer meister, hinten auff vorgedachten Wilhelm

Marie Barbe Reuter veuve de Jean Jacques Engels hypothèque son tiers de maison au profit du notaire Jean Raoul Dinckel.

1752 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 20-v
Fr. Maria Barbara geb. Reuterin weÿl. Johann Jacob Engels rathsbotten wittib mit beÿstand H. Rathh. Johann Jacob Krieger
in gegensein H. Not. Johann Rudolph Dinckel – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane St Stephans Plan, einseit neben Georg Michael Müller dem maurer meister, anderseit neben Johann Wilhelm dem kieffern hinten auff denselben

La maison appartient pour un tiers à André Dürrbach et à sa femme Marie Madeleine Engels.

Fils du tonnelier André Dürrbach, le tonnelier André Dürrbach s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en juillet 1737. Il paie en avril 1738 une amende pour avoir dépassé le temps prescrit pour confectionner son chef d’œuvre. Il est reçu tributaire le 22 juillet 1738.
1737, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 373-v) Dienstags den 16.ten Julÿ 1737 – Andreas Dürrbach der Ledige Kieffer weÿland Mstr Andreæ Dürrbachs gewesenen burgers und Kieffers allhier Ehl. sohn, würdt auff ansuchen H. Joh: Daniel Stammen Zum meisterstück eingeschrieben und Zahlte den gewohnlichen werckstatten Zinns.

(f° 387) Dienstags d. 22.t april 1738 – Mstr Andreas Dürrbach wurde vorgestellt, daß Er 14 tag über die gewohniliche Zeit an einem meisterstück gearbeitet, ille ist der anklag geständig. Erkandt soll deßwegen ane Extraordinari werckstatten Zinß 1 lb 10 ß d. ref. exp.

(f° 388-v) Dienstags den 22. Julÿ 1738 – Mstr Andreas Dürrbach erhalt das Zunfftrecht und Zahlt als eines Zünfftigen Sohn, wie obige [10. ß 6 d pro feureÿmer 10 ß p. prot. 2 ß 6 d.]

André Dürrbach épouse en 1738 Marie Madeleine Engels
Mariage, Illkirch (luth.)
1738. d. 25. Maji sind auf erlaubnus Hoch Adel. obrigkeit und H. Ammeisters in strasb. Zum 1 et 2 mal Zu gleich ausgeruffen und d. 27. ejusdem ehl. copuliret und eingesegnet word. H. Andreas Dürrbach der ledige burg. und Kieffer Meister alhier in Strasb. Und Maria Magdalena H Joh: Jacob Engels des burg. und gschwornen Rathsbotten in Straßburg ehl. tochter [unterzeichnet] Andreaß dirrbach als goch Zeither, Maria Magdalena Engelsin alß hoch Zeitherin, David gräß Als schwahger ( 140)

André Dürrbach devient tonnelier à la Grue bien que le poste revienne à un catholique d’après l’alternative ; il n’y a en effet aucun candidat catholique et le catholique Gaspard Rudolph renonce à sa fonction qu’il ne remplit pas depuis une dizaine d’années. Il fournit une caution et prête serment le 23 juillet.
1740, Protocole des Quinze (2 R 149)
(p. 444) Sambstag d. 9. Julÿ 1740 – Moss. Nôe Andreas Dürrbach b. und Kieffers prod. Attetstatum on H. Johann Niclaus Zäpffel dem Cran Meister bitt den Implorant in der Zahl der Cran Kieffer gdgst. auffzunehmen. Erk. Ober Ungelt Herren

(p. 457) Sambstag d. 16. Julÿ 1740. – Andreas Dürrbach pt° Cran Kieffer stell,
Obere Umbgelt Herren laßen durch Herren Secretarium kleinclaus referiren, daß Andreas Dürbach der Burger und Kieffer allhier den 9. huj. ein Attestatum Von H Joh: Niclaus Zäpffel dem Cran Meister besag Welches beschienen, daß under denen 15. Geschworne Cran Kieffern sich mehr nicht alß Caspar Rudolph und Niclaus Herrmann Römisch Catholischer Religion befänden, daß keiner so dießer Religion sich deßwegen angemelt, und daß anregter Rudolph schon beÿ Zehen Jahr den Cran nicht mehr bedienet habe, producirt und gehorsambst gebetten Ihme, Imploranten in die Zahl der Cran Kieffer gnädig. auffzunehmen. Auff geschehene Weißung habe derselbe petitum wiederhohlet und einen Schein Von ged. Caspar Rudolph den bißherig. Crann Kieffer Vorgelegt, daß derselbe sich sothanen diensts eines Craan Kieffers bedancke. Wobeÿ H. Zäpffel der Cren meister auch mündlich Versichert, daß deßen Rudolph schon mehr alß 15 Jahr nicht mehr alß Craan Kieffer an den Craan gekommen seÿe. Auff seithen der Hh Deputirten Vermeine man daß dieser Rudolph seiner Craan Kieffer stelle Zu erlaßen, und deßen platz der Implorant anzunehmen, anbeÿ aber derselbe auch Zustellung einer bürgerlichen Caution von 100 Reichsthaler, wie die Ordnung es erfordere, anzuhalten, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 466) Sambstag d. 23. Julÿ 1740. – Andreas Dürrbach der new angenommene Cran Kieffer stellt sich ad Jur. Herr Secret. Kleinclaus berichtet daß dießer Dürbach ein bürgerliche Caution von 100. thaler wie üblich bereiths gestellt, Ihme auch die Ordnung vorgeleßen worden. Jur. Eod.

Marie Madeleine Engels femme d’André Dürrbach meurt le 16 juin 1751.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1731-1764 f° 148, n° 921)
1751. Mittw. d. 16. Junÿ nachts um 11. uhr ist an eine Let*zündung verstorben Maria Magdalena g. Engelsin, Mstr Andreas Dürbachs b. undt Kieffers allh. ehl. Hausfr und Freit. darauf bey gehaltener leichenpredig auf dem Gottes Acker S Helena begraben worden Æt. 43. jahr 2 Monath 7 tag [unterzeichnet] Andreaß dürrbach als Eman, David gräff Als schwager (i 151)

André Dürrbach se remarie avec Marie Anne Müller, fille du coutelier Christophe Müller de Montbéliard ; contrat de mariage, célébration
1752 (3.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 209
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Andrea Dürbach, dem Wittiber, Kieffer und burger allhier Zu Straßburg, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Maria Anna Müllerin, weÿland der Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Christoph Müllers geweßenen Meßerschmidts und burgers in Mümpelgarth mit auch Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Jeanne gebohrner Medicine beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Montag den 3. Julÿ Anno 1752. [unterzeichnet] Andreaß dürrbach als hochzeiter, Joh: Gottfried Dürrbach als Bruder, Maria Anna Millerin als hochziterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182-v) n° 26)
Aô 1752. d. 6. Sept. Seind alhier nach zweÿmahliger Ausruffung so Dom. XIII. u. XIV nach Trinitatis in der Kirche Zu S Wilhelm ehelig copulirt und eingesegnet worden Andreas Dürrbach, Kieffer, Wittwer u. burger alhier, Jungfrau Anna Marian weÿl. Christoph Müller, geweßten dratziehers und burgers Zu Kander in der Marggraffschafft Durlach und Johannæ Melezel nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Andreaß dürrbach als hochzeidter, Anna Maria millerin als hochzeiterin (i 187)

Anne Marie Müller native d’Allenjoie devient bourgeoise à titre gratuit pour bon comportement le 4 novembre 1752.
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 508
Frau Anna Maria Müllerin Von alenjoie im mümpelgardischen gebürtig, andreä Dürrbachs Burgers und Kieffers Ehefrau erhalt das Burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will betiers EE Zunfft der Kieffer dienen, prom. d. 4. Novemb. 1752.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari comprennent une maison à la Krutenau et une partie de la maison place Saint-Etienne.

1752, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 376)
[fragment d’inventaire sans intitulé]
(Répertoire : 503 – Inventarium über Herrn Andreä Dürbach des Kieffers und Frauen Maria Anna Dürbachin geb. Müllerin beeder Eheleuthe in die Ehe gebrachte Nahrung)
(f° 9) Eigenthumb ane Häußern (M.) Erstlichen eine ehemahls au Grenadier François genander Wirths behausung in dem Quartier Sti Nicolai in undis in der Vorstatt Krautenau in der neuen gaß, beÿ denen Prechterhäußlein (…)
It. Fünff Neuntetheil für ohnvertheilt Von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf St. Stephans Plahn einseit neben herrn Johann Wilhelm dem Kieffer und Weinhändler, anderseit neben Herrn Georg Michel Müller, dem Maurer und Steinhauer hinden auf Vorgedachten Herrn Johann Wilhelm stoßend so vor freÿ Ledig und eigen allhier ohnverfänglich æstimirt worden, die gantze behaußung zu 1250. lb. d. gerechnet pro 694. 8. 10 2/3.. Von dießen Fünff Neundten theilen hat der Ehemann Von seiner Ersteren Ehefrauen Weÿland Frauen Maria Magdalena Dürrbachin gebohrner Engelßin nun seeligen Zween, So dann Von seiner Stieff Schwiegermutter auch weÿland Frauen Maria Barbara Engelßin gebohrner Reuterin seeligen dreÿ Neunthetheil Testaments Weiße ererbt und seind die noch übrige Vier Neuntetheil vorgedachter seiner Ersten Ehefrauen seeligen Zweÿen eheleiblichen geschwüsterden Frauen Margarethæ Salome Gräffin, gebohrner Engelßin Herrn David Gräff des hohldrähers und burgers allhier Ehefraun und Herrn Johann Georg Engels dem Mathematico und Burgern allhier für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über die gantze behaußung sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff in allh. Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhang. Insiegel verwahret, de dato 26.ten Augusti 1732. Dabeÿ ferner dreÿ alte u. wohlermelter Contract Stub geferigte und mit dero anhangeden Insiegeln verwahrten teutsche pergamentine Kauffbrieff de datis 13.ten Junÿ 1674, 26. Junÿ 1696 et 17.ten Januarÿ 1704. So dann ein teutscher perg. Ganth Kauffbrieff mit E: E: Kleinen Raths der Statt Straßburg anhang. Insiegel corroboriret datirt den 1.ten Februarÿ 1696.

Marguerite Salomé Engels femme du tourneur David Græff hypothèque sa part de maison au profit de Jean Jacques Œlinger
1755 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 275
Fr. Margaretha Salome geb. Engelsin David Gräff des hohldrähers ehefrau mit beÿstand ihres streitvogts Friedrich Samuel Fröreißen des hohldrähers
in gegensein H. Not. Johann Jacob Oelinger – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, 2/9 theil vor ohnvertheilt ane einer behausung cum appertinentis ane St Stephans plan einseit neben Müller dem maurermeister anderseit neben (-), hinten auff Georg Volck

La même passe une nouvelle hypothèque au profit du courtier Jean Chrétien Storr

1755 (19.12.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 397
Fr. Margaretha Salome geb. Engelsin David Gräff des hohldrehers ehefrau mit beÿstand Friedrich Samuel Fröreißen des hohldrehers ihres geschwornen vogts
in gegensein H. Johann Christian Storr des courtier – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, zweÿ 9. theil vor unvertheilt ane einer behausung ane dem Stephansplan, einseit neben N. Wilhelm dem kieffer, anderseit neben H. Müller dem maurermeister, hinten auff Johann Mähn den weißbecken

André Dürrbach et Marie Anne Müller hypothèquent leur part de maison au profit du tourneur municipal Jean Michel Kræutler

1756 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 219
Andreas Dürbach der kieffer und Maria Anna geb. Müllerin mit beÿstand H. Ullrich und H. Schenckbecher beede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer
H. Johann Michael Kräutler des stadtdrehers als vogt weÿl. Isaac Kübler des silberarbeiters zweÿ kinder Isaac und Jacob der Kräutler – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, fünff 9. theil vor unvertheilt ane einer behausung cum appertinentis ane St Stephans Plan, einseit neben Georg Michael Müller dem maurer, anderseit neben Johann Wilhelm dem kieffer, hinten auff eben dieselbe

André Dürrbach meurt en 1763 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs. L’inventaire est dressé dans sa maison à la Krutenau. La masse propre à la veuve est de 77 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 262 livres, le passif à 425 livres.
1763 (8.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 402) n° 977
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Andreä Dürbach des geweßenen Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1763. (…) nachdeme derselbe Montag den 28. Februarÿ dießes lauffenden 1763. Jahrs (…) verstorben zeitlichen hinter sich verlaßen Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsamen Frau Mariæ Sophiæ Dürrbachin gebohrner Müllerin der hinterbliebenen Wittib mit beÿstand der Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Peter Forschet des ehrenhafftigen Sattlers und burger allhier Zu Straßburg Ihres erbettenen beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 8. Martÿ Anno 1763.
Der seelig Verstorbene hat Zu seinen Erben per testamentum verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Susannam Hummelin gebohrne Dürrbachin Weÿland Hn Niclaus Hummeln des geweßten Schiffmanns u. burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßene Wittib, welche in selbst eigener Persohn dem geschäfft abgewartet, 2.do frau Margaretham Bochin gebohrne Dürrbachin H Johann Daniel Boch des Weinhändlers und burgers allhier Ehegattin, welche mit Beÿhülff gedachten Ihres Ehevogts in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden. 3.tio Herrn Gottfried Dürrbach, den Sigristen beÿ der Evangelischen Kirch Zu S Wilhelm und burgern allhier, welcher in selbst eigener Persohn Zugegen war, So dann 4.to Johann Heinrich Dürrbach, den ledigen Kübler so abweßend deßen geschworner Vogt ist vorgedachter Herr Gottfried Dürrbach, deßen Bruder, welcher aber vor sich selbsten hierbeÿ interessirt (…) zu einem Theilvogten erbetten worden H Daniel Andreas Unselt der Seckler und burgere allhier (…) Also alle Vier des seelig. Verstorbenen eleibliche Geschwisterde und per testamentum nach abzug derer verordneten Legaten Zu ungleichen portionen und Stammtheilern verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in der Neugaß gelegene in dieß Verlaßenschafft gehörigen und behaußung
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Nemlich eine Vormahlige Würths behausung an Granadirer ahn dem Quartier Zu St Nicolai (…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuthe mit einander für ohnverändert in den Ehestand Zugehörige Nahrungen durch mich Notarium in Anno 1752. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
Der wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 6 ß, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 1, Sa. Schulden 25, Sa. Erg. Rest 49, Summa summarum 77 lb
Dießemnach Wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung und Zwar weilen Keine Errungenschaft ausfält unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 38, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 220, Summa summarum 262 lb – Schulden 425, In Vergleichung 163 lb
Mehr Schulden als nahrung der Statt æstimation nach

André Dürrbach (ayant-droit de sa femme défunte), Marguerite Salomé Engels femme de Daniel Græff et Jean Georges Engels vendent la maison à Jean Geoffroi Dürrbach, sacristain à Saint-Guillaume

1757 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 58
Andreas Dürrbach der kieffer und Fr. Margaretha Salome geb. Engelsin, Daniel Graff des hohldrehers ehefrau mit beÿstand ihres vogts Friedrich Samuel Fröreißen auch hohldrehers, und Fr. Maria Salome Engelsin geb. Stockin als gewalthaltberin ihres Ehemanns H. Johann Georg Engels des Mathematici
in gegensein Johann Gottfried Dürrbach des sigristen zu St Wilhelm
eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten auf dem St Stephans plan einseit neben H. Michael Müller dem maurer, anderseit und hinten auff Wilhelmischen wittib und erben – ihme Dürrbach ein 5. 9. theils als ein von seiner schwiegermutter Maria Barbara Engelsin geb. Reuterin per testamentum vermacht, theils als ein von seiner verstorbenen ehefrau ererbtes beede Engelsischen geschwisterden aber zu übrigen 4. 9.te theil als ein von ihrem vatter ererbtes guth – um 940 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Geoffroi Dürrbach à vendre la maison au manant Frédéric Charles Labourse sans faire dresser d’estimation

1757, Conseillers et XXI (1 R 240)
(p. 42) Sambstag den 26. Februarÿ 1757 – Johann Gottfried Dürrbach der sigrist erhaltet erlaubnuß sein hauß an Friderich Carl Labourse den sigristen Verkauffen, dießer auch also kauffen zu dörffen und dispense Vom gewohnlichen augenschein. 42.
Faust nôe Johann Gottfried Dürrbach des burgers und sigristen Zu S. Wilhelm, der ist willens sein Eigenthümliche ane dem Stephans plan alhier gelegene ehemals Engelsische behaußung an Friderich Carl Labourse den Sigristen Zu St Stephan der aber ohnver[burgert] umb 1800 gulden sampt übernahm aller Kösten Zu verkauffen, bittet dahero umb gnadige erlaubnus, solchen Kauff und Verkauff in allhiesiger Cantzleÿ Contract stube also verschreiben laßen Zu Können Zugleich umb gratiose dispensation Vom augenschein, weilen das objectum durch mitgehende Contract Verschreibung notorisch wird.
Christmann nôe gedachten Friderich Carl Labourse der bittet E. G. umb gnädige erlaubnus besagte behausung umb ermelten preiß Kauffen Zu dörffen, und dispensation Von augenschein. Erkandt, wird denen Imploranten mit gebettener erlaubnus alß respectiué Kauffen und Verkauffen Zu dörffen diepensando Von dem augenschein Jedoch unter dießem anhang willfahrt, daß der Contract in Mr Hhn Cantzleÿ Contract Stube in beÿseÿn derer Hh. deputirten, welche auff das gemeiner Statt deßfalls versirendes interesse nach inhalt der gedruckten ordnung bestermaßen Zu vigiliren Haben, verschrieben werden solte. Depp. H. Rathh. Rame, H. Rathh. Blanck

Jean Geoffroi Dürrbach vend la maison quelques jours après l’avoir achetée au sacristain de Saint-Etienne Frédéric Charles Labourse

1757 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 63
Johann Gottfried Dürrbach der Sigrist zu St Wilhelm
in gegensein Friedrich Carl Labourse des sigristen zu St Stephan
eine behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auf dem St Stephans plan, einseit neben H Michael Müller dem maurer anderseit und hinten auff die Wilhelmische wittib und erben – ihme als ein d. 26 hujus erkaufftes guth – um 940 pfund

Fils du sacristain et maître d’éole Louis Labourse, Frédéric Charles Labourse épouse en 1745 Anne Marie Aubry, fille du chirurgien militaire François Aubry : contrat de mariage, célébration
1745 (12.6.), Not. Claus (Adam, 7 not 12, protocole) 427-v
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen H. Friderich Carl Labourse dem organisten Sigrist vndt Schulmeistern in der Pfarreÿ Zu St Stephan allhier Zu Straßburg weÿl. Louis Labourse auch gewesenen Sigristen und schulmeisters daselbsten hinterlaßenem Ehl. Sohn als Hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr: und tugendsamen Jungfrauen Maria Anna Aubry weÿland François Aubry des allhier wohnhafftig geweßenen Veldtscheerers hinterbliebenen Ehel. tochter als Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen Zu Straßburg en 12. tag des Monats Junÿ in den 1745 jahre [unterzeichnet] F Labourse als hochzeiter, + Signum der hochzeiterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 20)
Hodie 14 mensis Junÿ anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt fridericus Carolus filius joannis Ludovici La Bourse dum viveret dictæ ecclesiæ ædituus & anna maria filia francicis Obry Lugdunensis et Annæ Christinæ Beaumont conjugum pariter argentina Nata anbo commorantes in hac Parochia (signé) F X La Bourse, + signum sponsæ

Frédéric Charles Labourse et Anne Marie Aubry hypothèquent la maison au profit du palefrenier Antoine Beck

1767 (7.4.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 234-v
Friedrich Carl Labourse der sigrist zu St. Stephan und Anna Maria geb. Auberÿ mit beÿstand H. Lt. Boecler und H. Rath. Beck beede E.E. kleinen Raths beysitzer
in gegensein Antoni Beck des stallknechts bey H. Rathh. Bleßig – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane dem Stephansplatz, einseit neben H. Rathh. Müller, anderseit neben Fr. Elisabeth Zäpfelin geb. Wilhelmin, hinten auff N. Mohn den weißbecken

Frédéric Charles Labourse et Anne Marie Aubry accordent à leur fille Anne Sophie et à son mari Georges Ignace Maderhoffer, fondeur de cloches et de canons, l’habitation au premier étage de leur maison lors de leur contrat de mariage

1771 (7.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 328
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Georg Ignatius Maderhoffer, der leedige Stuck: und Glockengießer, auch Burger dahier, Weiland Hn Frantz Ignatii Maderhoffers, des auch geweßenen Stuck: und Glockengießers auch Burgers dahier seel. nachgelaßener ehelicher Sohn, unter assistentz herrn Johann Michael Engel, des Singers beÿm Jungen St. Peter und burgers dahier /:als welcher nahmens Hn Ignatii Kunenbergers des Baliers auf dem Zimmerhoff und Burgers alhier, des Hochzeithers annoch ohnentledigtenen Vogts (…):/ als Hochzeiter ane einem
Sodann Jungfer Anna Sophia Labourse, Herrn Friderich Carl Labourse, des Sigristen Zu St. Stephan allhier ehelich erzeugte Tochter, unter Autorisation dießes ihres Vatters, als Hochzeitherin ane dem andern Theil

Fünfftens, haben sich Eingangs gedachter Herr Friderich Carl Labourse und Frau Anna Maria gebohrne Aubry, der Hochzeiterin geliebte Elteren und Zwar die Mutter unter Autorisation ihres Ehemanns, liebreich erkläret und respectivé Verbindlich gemacht, die beede dißorthige hochzeitleuthe in die Ihnen beeden Eltern eigenthümliche ane dem Stephans Plahn gelegene behaußung aufzunehmen und denenselben eine Kammer auf dem ersten Stock auf die Gaß aus sehend, ein Stublein auf dem dritten stock in den hoff und die Kuche auf dem Zwischen Stock, ferner Platz im Keller und Platz vor Holtz Zu legen, einzuraumen, so dann solle auch dem hochzeiter gegönnet seÿn, in der unteren Bauchküche auf seiner Profession Zu arbeiten, welches alles Sie beede Hochzeitleuthe, so lang beede eltern oder auch und eines derselben im Leben seÿn wird, ohne Zinß Zu nutzen und Zu bewohnen haben sollen
Actum allhier Zu Straßburg in der Jfr. Hochzeiterin Eltern Behaußung an dem Stephans Plahn gelegen, auf Mittwoch den 7. Augusti anno 1771 [unterzeichnet] Georg Ignatius Maderhoffer als hochzeiter, Anne Sophie La Bourse ams hochzeiterin
behaußung ane dem Stephans Plahn

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 81-v)
Hodie 26 augusti anni 1771 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Georgius Ignatius Maderhoffer æris liquandi artifex et ciuis hujas, filius defunctorum Francisci Ignatii Maderhoffer æris liquandi artifcis quondam ciuis hujatis et Barbaræ Kuttlerin conjugum, et Anna Sophia Labourse, filia friderici caroli Labourse, hujus parochiæ æditui et annæ Mariæ Aubery conjugum, ambo in hac parochia commorantes (signé) Georg Ignatius Maderhoffer, Anne Sophie La Bourse

Marie Anne Aubry meurt en 1772 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à son prix d’achat, soit 940 livres. La masse propre au veuf est de 13 livres, celle des héritiers de 94 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1057 livres, le passif à 848 livres.

1772 (13.2.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 815) n° 605
Inventarium über Weiland Frauen Mariä Annä Labourse geb. Aubry H. Friedrich Carl Labourse, des Organisten Siegristen und Schuhld(ien)ers in der Pfarrk. zu St Stephan allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschaft auffgerichtet Anno 1772 – nach ihrem Montags den 3. Januarÿ dießen lauffenden 1772.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgeachten des hinterbliebenen Wittibers wie auch Frn Annæ Sophiæ geb. Labourse Hn Georg Ignatÿ Maderhoffers des Stuck und Glockengießers, auch burgers allhier ehelicher haußfrauen der Verstorbenen, Fr. seel; mit erstgedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten tochter und ab intestato Verlaßener universal Erbin, beÿständlich dießes ihres Ehemanns (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in fernerem beisein Herrn Johann Michel Hirschels des Fischhändlers und E. Kleinen Raths jetzig. wohlverdienten beisitzers als aus obgedachten E. Kleinen Raths Mittel abgeordneten H Deputati, auf Sambstag den 13.ten Februarÿ 1772.
Copia beeder Zertrennter Eheleuth von Weil. H. Not. Adam Claus seel. d. 12. Junÿ 1745. mit einander errichteten Eheberedung

In einer alhier Zu Straßburg ane dem St Stephans Plahn gelegen und in dießer T. Verlaßenschafft gehörigen behaußung nefunden worden wie folgt.
(f° 3-v) Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Neml. eine behaußung und hoffstatt mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Stephans plan 1. s. neben H. Rathh. Müller dem Maurer Mr. 2. s. neben Hn Frantz Zäpffel dem Weinhändler uxorio nôe stoßend, so außer den darauf hafftenden passiv Capital gegen männigl. freÿ, leedig, eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen wie d. hinterbliebene wittiber selbig. v. Johann Gottfried Dürbach dem Sigristen zu St Wilhelm erkaufft pro 940. lb. Dießerwegen ist vorhanden ein in allhießiger CC stub gefertigter pergamentener Kauffbrieff mit dero anhangenden Insiegel versehen sub dato 28. Februarÿ Anno 1757.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Guth, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 21, Sa. Goldenen Rings 3, Summa summarum 24 – Schulden 37, Nach deren Abzug 13 lb
Der Erbin Guth, Sa. Kleidung 45, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldener Ring 1, Sa. Schuld 37, Summa summarum 94 lb
Das theilbare Vermögen, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 940, Summa summarum 1057 lb – Schulden 848, Nach deren Abzug 208 lb
Völlige Verlaßenschafft in vero pretio 290 lb
Copia der Eheberedung , Straßburg den 12. tag des Montaths Junÿ 1745, T. Adam Claus Notarius
Außlüfferung des tochter und Erbin ohnveränderter Natural Rubriquen, Selbige sind in dem Verlaßenschafft Inventario specifice beschrieben – [unterzeichnet] Anna Sophia Maderhofferin, Georg Ignatius Maderhoffer, Friderich Charles La Bourse, den 15. feb. 1772

Le voisin Georges Michel Müller, maître maçon, acquiert la maison par adjudication judiciaire le 23 juin 1773 (voir l’inventaire dressé en 1781 après sa mort) et la réunit à la sienne.



66, près l’Homme de fer


Près l’Homme de fer n° 66 – VI 463 (Blondel), N 751 (cadastre)

Maître d’ouvrage François Hilbert, 1746
Maison à l’Homme de fer (zum eisernen Mann, 1770), derrière la Petite boucherie entre l’escalier aux Tilleuls et le Petit pont de pierre – démolie en 1841


La maison à l’Homme de fer occupe la partie droite de l’image. On notera que la statue ne se trouve pas ou plus sur le bâtiment éponyme (image B.N.U, Numistral)

La Ville bâtit en 1711 une boutique de 16 pieds de long et 8 pieds de large le long du Fossé des Tanneurs en aval de la fontaine, face à la montée aux Tilleuls pour la louer à l’arquebusier Chrétien Trincks moyennant 7 livres 10 sols. Chrétien Trincks qui n’a pas assez de place pour tous ses outils obtient en 1725 que la Ville construise un nouveau bâtiment dont il paiera un loyer de 25 livres. Il fait construire en 1727 un bûcher dans un recoin où les soldats font leurs besoins. La Ville construit en 1738 devant la maison une boutique pour le passementier Jean Daniel Schœner. Chrétien Trincks qui ne paie plus son loyer à cause de ses mauvaises affaires est remplacé en 1738 par l’arquebusier François Hilbert qui se propose en 1744 d’acheter le bâtiment dont il est locataire. La vente est passée le 22 juin 1744, suivie de celle des deux boutiques adjacentes le 8 octobre 1745. François Hilbert qui a l’intention de remplacer la maison, les deux boutiques et le bûcher par un nouveau bâtiment est autorisé en février 1746 à enclore un nouveau terrain de 224 pieds carrés. Il emprunte au même moment une somme pour régler la nouvelle construction. Il est autorisé en 1770 à modifier les croisées du deuxième étage à condition de supprimer l’encorbellement. La nouvelle maison porte l’enseigne à l’Homme de fer dans les inventaires dressés en 1770 et en 1772 lors de la faillite de François Hilbert. La maison a alors toujours une avance vers le fossé. Elle comprend en 1783 quatre boutiques, quatre poêles, deux cuisines, plusieurs chambres et une cave voûtée. Les héritiers du négociant Jean Daniel Sold qui l’avait acquise en 1773 lors de la faillite la vendent en 1785 au ceinturier François Antoine Laroche. Elle passe en 1819 à son fils doreur aussi appelé François Antoine Laroche. La Ville l’achète et la fait démolir en 1841 pour réunir le sol à la voie publique.


Le bâtiment se trouve devant le canal, à gauche du bâtiment en U (Plan-relief de 1727, Musée historique)
Bâtiment agrandi sur le plan Blondel (1765, parcelle 463)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (f) : à gauche la face sud vers le fossé à l’arrière du bâtiment, à deux fenêtres par niveau, à droite la face orientale dont le rez-de-chaussée comprend une porte, deux fenêtres, une autre porte et trois arcades, chacun des deux étages huit fenêtres, comme le montre la gravure. La toiture a deux étages de lucarnes. Un bâtiment est adossé à la face nord. L’arrière (1-2) du bâtiment donne dans la cour A (Fossé des Tanneurs). La face nord et le bâtiment qui y est adossé sont représentés en (9-10-11).
La maison porte d’abord le n° 66, près l’Homme de fer.



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, plan, îlot 47 (Musée des Plans-relief)

septembre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires (1711 à 1841) ou locataires (l). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Ville de Strasbourg
1711 l Chrétien Trincks, arquebusier, et (1710) Marie Salomé Winter – luthériens
1744 v François Hilbert, arquebusier, et (1738) Madeleine Schenckbecher – catholiques
1773 adj Jean Daniel Sold, négociant, célibataire († 1783) – luthérien
1785 v François Antoine Laroche, ceinturier, et (1772) Marguerite Elisabeth Bitterolff – catholiques
1819 h François Antoine Laroche, doreur, et (1802) Marie Madeleine Graff
1840 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 000 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) IV 463, au Sr Hilbert
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Sold, 12 toises, 2 pieds et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 751, Laroche, François Antoine – maison, sol, 1 are / barré

Locations

1761, Armand Prosper de Bergeret, chanoine
1738-1744, François Hilbert (futur propriétaire)
1773, François Hilbert (ancien propriétaire)
1780, François Antoine Laroche, ceinturier (futur propriétaire)

Livres des communaux

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 676
Les loyers qu’établissent les Préposés au bâtiment sont portés dans le registre.

Christian Trinckßen, der büchßenmacher, soll Von einem /:neüen Hauß und:/ 16 schuh lang und 8. schuhe breiten Gädlein, welches Gemeine Statt Ihme unterhalb des Allmend bronnens beÿ der Kuppelinder Steeg bawen laßen, Jahrs auff Matthiæ und laut Prot: de 1711. f : 203 a° 1713. I.mo, 7 lb 10 ß ([corrigé en] 25 lb – 27 lb 10 ß) in das Künfftige L. Prot. 1725 fol: 184. 25 lb. d. 1727. I.mo
jetzt Frantz Hilpert auf Mich. 27 lb 10 ß Prot: 1740. fol: 76
(Quittungen 1713-1728)

Ferner soll Er von einem 75. quadrat schuh Großen Allmend winckel an obiger behaußung, Jahrs auf Martini und laut Prot: de 1727. fol. 219-b anno 1728. I.mo,1 lb
(Quittungen 1728-1741)
Neuzb fol 182-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 182-b
Le loyer s’éteint quand la Ville vend le bâtiment à François Hilbert.

alzb. 676
Frantz Hilpert, soll von einem neuen Hauß und Gädlein welches gemeine Statt Ihme unterhalb des Allmend Bronnens beÿ der Kuppelinder Steeg bauen laßen Jahrs af Michaelis, 27 lb 10 ß
Nota daß der 75 quadrat schuh Großer winckel an obige behaußung Zu einer hütt auch unter die 27. lb 10 ß begrffen seÿnd
(Quittungen 1741-1744)
Dießen Hauß und Zugehörd ist Frantz Hilpert L. Prot. de A° 1744. fol. 15. Verkaufft worden

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
L’arquebusier Chrétien Trincks demande que la Ville bâtisse une boutique le long du Fossé des Tanneurs en aval de la fontaine, face à la montée aux Tilleuls. Les chefs de chantier qui ont visité les lieux estiment qu’on peut y bâtir une boutique de 16 pieds de long et 8 pieds de large pour cent florins. Les préposés demandent de s’accorder sur le loyer avant de construire la boutique.

(197-v) Mittwochs den 14. Octobris 1711 – Christian Trincks pt° eines Gädlins
Christian Trincks, der Büchßenmacher, ersucht MGhh. underthänig Ihme ein Gädlein an den Gerber Graben unterhalb dem brunnen gegen der Kuppenlinder Steeg Zu bawen Zu laßen, der Statt Werckmeister berichten, daß mann diesen platz bereits Hiebevor Zu erbawung eines gädleins besichtiget, es Könnte dieses Gädlein 16. schuhe lang und 8. schuhe breit gebawen werden, und würde 100. fl. Zu bawen costen. Erk. Soll Zuvorderist der Zinnß regulirt, las dann gebawen werden.

Chrétien Trincks accepte de régler un loyer de 7 livres 10 sols. Il demande que la boutique comprenne aussi un petit poêle, ce que les préposés refusent.

(f° 203) Dienstags den 27. Octobris 1711 – Christian Trincksen dem Büchßenmacher würdt ein gädlein gebawen
Christian Trinckßen, dem Büchßenmacher, ist angezeigt worden, daß MGHh. Ihme ein Gädlein unterhalb des Allmend brunnens an den Gerber Graben ohnfern des Kuppenlinder Steegs 16. schuhe lang und 8. schuhe breit bawen laßen wolte, wann er 7. lb 10 ß d Zinnß auff Matthiæ jährlichen darvon abzurichten sich erklären würde, welches Er Zuthun Versprochen hatt, bate darbeÿ Ihme auch ein Stübel daran Zubawen. Erk. würd das begehren abgelaint.

1725, Préposés au bâtiment (VII 1391)
Chrétien Trincks déclare ne pas avoir la place pour tous ses outils. Il demande que la Ville construise un petit bâtiment pour y mettre ses machines à percer et à étirer. Les préposés chargent le chef des travaux de faire un devis. Chrétien Trincks accepte de payer un loyer de 25 livres pour le nouveau bâtiment qui remplacera l’ancien.

(f° 135) Dienstags den 20. Martÿ 1725 – Mr Christian Trincks wegen Gädleins
Meister Christian Trincks der Büchßenmacher ersucht MGHh Unterthänig, Weilen sein gädel an dem Graben beÿ der Kleinen Metzig, so Er dem Pfenningthurn mit 7 lb 10 ß Verzinßet, so Klein, daß er sein Geschirr nicht alles darinn haben, noch sein Handtwerckh leicht darinn treiben Könne, jhme noch ein Kleiner Gebäwel an dieses Gädlein machen Zulaßen, Worinnen er einen bohr und Ziehbanckh haben möge. Erkant, Augenschein

(f° 144-v) Donnerstags den 19. Ejusd. [Apr: 1725] – Mr Christian Trincks wegen Gädleins
Hierauf examinirten Mghhn Mr. Christian Trincks ohnfern dem Kuppellinder Steeg liegendes : vnd Gemeiner Statt mit 7. lb 10 ß d Verzinßliches Büchßenmacher : Gädlein, welcher daßelne vergrößern vnd Zu Seinem Handwerck bequemer gebawen haben will. Erk. ut ante [MGHh zu bedacht genommen].

(f° 146-v) Dienstags den 24. Ejusd. [Aprilis 1725] – Mr Christian Trincks wegen Gädleins
Wegen eingenommenen Augenscheins vor Meister Christian Trincksen des Büchsenmachers ohnfern dem Kuppellinder Steeg beÿ der Eulen liegenden Gädleins, welcher solches, vergrößert gemacht haben will, ist Erkand, Solle Herrn Mollinger, der Statt Lohner, einen Deuis machen, wie hoch solches wohl möchte Zustehen kommen, da dann solches examinirt und nach guthbefinden das begehrte werckstellig gemacht werden.

(f° 182) Dienstags den 11. Sept. 1725 – Mr Christian Trincksen betr.
Herr Frantz Rudolph Mollinger, der Statt Lohner, producirt einen Aufriß, wie Christian Trincksen, des Büchsenmachers Häußlein gegen der verzinßung könte gebawen werden. Erk. beliebt, und solle Trincksen beschickt Ihme 25. lb d. Zinß gefordert, deßen antwort Notirt und als dann wann es gebawen sein wird, der Zinß regulirt werden.

(f° 184) Dienstags den 18. Ejusdem [Sept. 1725] – Mr Christian Trincksen Gädlein betreffend
Wegen eingenommenen Augenscheins vor dem Gädlein so vor Christian Trincksen solle gebawen werden, ist Erkand, weilen Christian Trincksen Hievon 50 fl. Zinß Zugeben Verspricht, als solle das newe nach dem vorgelegten aufriß gebawen, das alte aber anderwärtlich gebraucht werden.

(f° 188) Dienstags den 25. Sept. 1725 – Mr Christian Trincksen Gädlein
Hierauf seind die Obere: Baw Herren vnd Herren dreÿ Zu Christian Trincksen des Büchsenmachers ohnfern der Kuppellinder Steg liegendes Gädlein gefahren, vnd haben examinirt ob nicht das alte wann das newe gebawen und anderwärtich verlühen werden.

1726, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Chrétien Trincks demande quelle somme il doit régler pour le nouveau bâtiment. Les préposés s’en tiennent à la somme convenue de 25 livres ou 50 florins

(f° 6) Dienstags den 22. Ejusd. [Jan. 1726] – Christian Trincksen wegen Haußzinßes
Meister Christian Christian Trincksen, der Büchßenmacher, will vernehmen, was Er Künfftighin von Seinem beÿ der Kuppellinder Steg liegender vnd von Gemeiner Statt newerbawten Häußlein Ane Zinnß bezahlen solle.
Erk. bleibt beÿ dem geforderten 50 gulden, und solle bis nechst Kommende Martini mit Ihme abgerechnet werden, was Er dieses Häußleins halben und Seines Zuvor gehabten Gädlein ane Zinß werde Zubezahlen haben.

1727, Préposés au bâtiment (VII 1392)
L’arquebusier Chrétien Trincks fait remarquer qu’il y a près de sa nouvelle boutique près du Hibou un recoin où les soldats de la garde et d’autres font leurs besoins. Il demande l’autorisation d’y construire un bûcher qui abriterait son bois et lui épargnerait les mauvaises odeurs. Les préposés se rendent sur place et autorisent de clore un terrain de 75 pieds carrés et de le couvrir d’un toit en tuiles moyennant un loyer annuel d’une livre à condition qu’il serve seulement de bûcher. Ils passeut outre l’opposition du cordonnier Frédéric Notter qui craint que les soldats ne se rapprochent de son logement.

(f° 217) Dienstags den 14. Ejusd. [Octobris 1727] – Christian Trincksen wegen bawens
Christian Trincksen der Büchsenmacher, laßt durch Seine haußfraw berichten, daß an Ihrem ohnfern der Eulen new erbawten und Gemeiner Statt verzinßlichen Häußlein ein Winckel sich befindet, wo die Soldaten von der wacht und andere leuthe s.v. Ihre nothurfft verrichten, bittet zugleich daß Ihnen ein Klein gemächlein möchte dahien gebawen werden, damit Sie den winter durch etwas ane Brennholtz verwahren vnd von dem üblen geruch befreÿet sein Könten. Erk. wird auch ein Augenschein einzunehmen beliebt.

(f° 218-v) Donnerstags den 16. Ejusdem. [Octobris 1727] – wurden nachfolgende augenschein eingenommen als Christian Trincksen
Christian Trincksen des Büchsenmachers Von dem Pfenningthurn in Lehnung Habenden Hauß beÿm Steinern brückel am Gerbergraben, welcher gebetten, einen Hinden an ged. Hauß befindlichen 75. quadat schuhe großen Allmendtwinckel mit diehlen Zuschlagen, und jhme solchen Zu einer Holtzhütt Zukommen Zulaßen.

(f° 219-v) Dienstags den 21. Ejusdem. [Octobris 1727] – Christian Trincksen wegen bawens
Auf eingenommenen Augenschein an Christian Trincksen des Büchsenmachers von dem Pfenningthurn in Lehnung Habenden Hauß beÿm Steinern bruck am Gerbergraben liegenden Behaußung, ist ohneracht Mr Friderich Notter, der Schuhmacher, sich höchstens opponirt, vorgebend daß wann Trincksen in Seinem begehren willfarth wird, jedermann sich auf seine Seite begeben, und Seine nothurfft daselbst verrichten würde, da Er dann wegen üblen geruchs in Seiner wohnung nicht wohl bleiben Könte, Erkand worden, daß der verlangte 75. Quadrat schuh Große Allmend winckel mit dielen Zugemacht, und ein Ziegeldach darüber gebawen, Trincksen auch Jährlichen vnd a° 1728. auf Martini Zum erstenmahl j. lb d Zinß davon geben, solchen platz auch anderster nicht als vor ein Holtzhauß gebrauchen, und nicht anderwärtlich verlehnt werden solle.

1738, Préposés au bâtiment (VII 1398)
Le maître des rentes Bernard Eisentraut expose que Chrétien Trincks a omis de régler deux loyers annuels de 26 livres malgré ses mises en demeure. Chrétien Trincks répond que ses affaires marchent mal. Le maître des rentes accorde un délai jusqu’à la Saint-Michel et demande des garants dans la quinzaine.

Statt hauß am Gerbergraben – Christian Trinckßen, Johann Daniel Schöner, Caspar Pfister, Frantz Hilbert
(f° 33-v) Dienstags den 10. Ejusdem [Junÿ] – Christian Trinckßen
Herr Bernhard Eisentraut der Zinßmeister Klagt contra Christian Trinckßen den Büchßenmacher, daß selbiger Von dem Laut Statt Zinßbuch fol: 676. umb 26. lb in Lehnung Habenden Hauß am Gerbergraben, auf Mathiæ Letzthin bereits Zweÿ Zins schuldig worden, die er alles anmahnens ohngeachtet Von jhme nicht haben Kan, begehrt außweißung Ob er das Hauß nicht anderwehrts Verlehnen solle. Trinckß Zugegen sagt er Habe Vielen Läuffen in Vorrath gekaufft, der meinung etwas daran Zu profitiren, die aber anietzo Keinen abgang, und er auch sonsten nicht Viel Zuverdienen hat, Verspricht jedoch sobald möglich die Zahlung Zuthun. Erkant, wird Beklagtem biß nächst Künfftigen Michaelis Zeit Zu Bezahlung der Extantzen gegeben, wofern er Zwischen Hier und instehenden Joh. Baptistæ tag genusgsame Caution dafür stellen wird, in entsteh: oder Unterlaßung deßen aber solle selbiger das Hauß Raumen.

Le passementier Jean Daniel Schœner demande que la Ville construise une boutique devant la maison qu’habite Chrétien Trincks. Les préposés ordonnent de construire deux boutiques dont l’une sera louée à Schœner. Pour que le jour ne soit paa occulté, la porte et la fenêtre de la maison louée à Chrétien Trincks seront interverties, la porte s’ouvrira désormais vers le petit pont.

(f° 42-v) Donnerstag den 24. Ejusdem [Junÿ 1738] – Johann Daniel Schöner
seind folgende Augenschein eingenommen worden.
Am Steinern Brückel am Gerbergraben, auf Ansuchen Johann Daniel Schöners des Paßmentirers, welcher gebetten jhme fornen an Christian Trinckßen des Büchßenmachers bewohnenden Statthauß ein gädlein Zubauen,, und umb ein Leÿdentlichen Zinß Zuverlehnen, der Platz Vom Brückel biß am Trinckßen Hauß befindet sich 24. Lang, und Könte etwan 9 schuhe breit werden. Erkannt sollen Zweÿ Gädlein dahin gebauen, und das fordere davon Schönern Verlehnt werden, und damit Trinckßen Hauß des tags Halben Kein schaden Leÿde, alle die anietzo auf der seithen stehende Thür Verändern vnd ferner in die Wand gegen dem Brückel gemacht, und das allda befindliche fenster auf sie seith wo anietzo die Thür ist Versetzt werden.

Le maître des rentes propose de remplacer le locataire insolvable Chrétien Trincks par l’arquebusier Gaspard Pfister.

(f° 50) Dienstags den 12 Ejusdem [Augusti 1738] – Caspar Pfister
Herr Bernhard Eisentraut der Zinßmeister proponirt, daß er Gelegenheit Habe, das von Christian Trinckßen dem Büchßenmacher bewohnte Statthauß am Gerbergraben, maßen derselbe nicht mehr im standt den Zinß davon Zubezahlen, an Caspar Pfister dem Büchßenmacher auf dreÿ jahr Von nächstkünfftigem Michaelis Anfangend, gegen 55 fl. jährlichen Zinß Zuverlehnen, wann Mhh. Ihren Consens darzu geben wollen. Erkannt fiat.

François Hilbert qui habite désormais la maison qu’occupait Chrétien Trincks demande de faire des réparations à la maison et de réduire la taille de son creuset pour avoir assez de place pour un soufflet. Les préposés se chargent des réparations mais le locataire devra régler lui-même les dépenses pour ses outils.

(f° 64-v) Dienstags den 7. Octobris 1738. – Frantz Hilbert
Frantz Hilbert der Büchßenmacher, welcher Von Christian Trinckßen dem Büchßenmacher bewohnte Statthauß am Gerbergraben bißher in Lehnung gehabte Hauß am Gerbergraben Von Herrn Zinßmeister gelühen bittet die fenster, und was sonsten nöthig, repariren, wie auch die Eß umb die Helffte Kleiner machen Zulaßen, damit er Platz habe einen Größer Blaßbalg Zulegen. Erkannt solle der Beständer ir Eß, so er selbige geändert haben will, selbsten machen, die übrige Nöthige reparationen aber Von der Statt gemacht werden.

1740, Préposés au bâtiment (VII 1399)
La maison est louée pour trois nouvelles années à François Hilbert qui présente pour garant le fondeur Pierre Ducland

(f° 76) Dienstags den 22. Novembris 1740 – Frantz Hilbert
Frantz Hilbert der Büchßenmacher bittet umb Neüe Lehnung des Haußes am Gerbergraben hinder der Kleinen Metzig, weilen seine gehabte dreÿjährige Lehnung auf Letztern Michaelis Zu ende gegangen, stellt Zum Bürgen Pierre Duclans den Burger und Gießer allhier welcher auch die Bürgschafft Zuübernehmen Versprochen. Erkannt wird ihme wieder eine dreÿjährige Lehnung Von jüngstern Michaelis an, umb den Vorigen Zinß der 55. fl. gegeben, und wird der Bürg angenommen welcher sich nebst dem beständter Hieher Eigenhändig Underschrieben [unterzeichnet] Frantz Hilberth, Pierre Ducland

1743, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Nouveau bail pour un loyer de 27 livres 10 sols à condition que le locataire se charge d’entretenir les fenêtres, les fourneaux, les serrures et les clés. Son garant est le marchand de vins François Schenckbecher.

(f° 135) Dienstags den 12. Ejusdem [Novembris 1743.] – Frantz Hilpert
Frantz Hilpert der Büchßenmacher bittet um Neüe Lehnung über das Hauß, am Gerbergraben, hinder der Kleinen Metzig, an dem Kuppelinder steeg, worvon er Laut Statt inßbuch fol. 182-b 27. lb 10 ß Zinß Zahlt.
Erkannt wird ihme ein Neüe Lehnung auf dreÿ jahr Gegeben, mit dem beding, daß er den Nemlichen Zinß der 27. lb 10 ß Alle jahr Ordentlich abrichten, Anbeÿ die Fenster, den Offen, die schlößer und schlüßel an den Thüren währender Lehnung auf seinen Kosten Unterhalten solle, so er Versprochen.

(f° 136) Dienstags den 19. Novembris 1743 – Frantz Hilpert
Frantz Hilpert der Büchßenmacher stellet wegen der am 12. huius erhaltenen Neüen Lehnung über das Hauß am Gerbergraben, Hinder der Kleinen Metzig am Kuppellinder steeg Zum bürgen Frantz Schenckbecher den Kieffer und Weinhändler allhier, welcher die bürgschafft übernommen, und sich nebst dem Beständter in dem Broüillon eigenhändig Unterschrieben.

1744, Préposés au bâtiment (VII 1401)
François Hilbert se propose d’acheter la maison qu’il tient à bail. Les préposés le renvoient aux Quinze. Une mention marginale porte que les Quinze ont autorisé la vente le 9 mai 1744 pour une somme de 1 200 florins, la vente a lieu le 22 juin à la Chambre des Contrats

(f° 15) Mittwoch den 22. Aprilis 1744 – Frantz Hilbert
An dem Statthauß hinder der kleinen Metzig zwischen dem Kuppellinder steeg und dem steineren Brückel am Gerber Graben, welches Frantz Hilpert der Büchßenmacher Laut Statt inßbuch fol. 182-b 27. lb 10 ß Zinß des Jahrs in Lehnung hat, und sambt der daran gebawenen Hütt Von diehlen Zukauffen begehrt, Erkant solle durch Herrn Lohner und Werckmeister des Zimmerhoffs abgeschätzt und die Abschatzung für gnädige Herren die XV. gebracht werden.
[in margine :] Ist jhme L. Erk. d.. Hh. XV. Vom 9. Maÿ 1744. für eigen Kaufflich erlaßen worden um 1200 fl. mit den anhang daß er die Stattgraben maur so weit sein gebäu gehet, und daroben stehet, unterhalten sole. Verschrieben in d. Contractstub d. 22. Junÿ 1744.

1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
Décision des Quinze, dans un registre endommagé

(p. 325) Sambstag d. 2. May 1744 – Frantz Hilpert pt° Erkauffung einer Behaußung von der Statt
Römer nôe Frantz Hilpert b. und buchsenmachers prod. vnderth. Mem/ Erk. vid. infra pag. 338.

(p. 338) [-]tag d. 9. May 1744. – [-] und Verordnt, daß durch den [-] Werckmeister des Zimmerhofs, [-]en abgeschatzet, und der Abschatzung [-] Herrn dießen Verkauff nicht [-] wollen, für Mghh. die XV. ge[-]lle, welches auch Eod. befolgten[-] schrifftlich Zu Mgg. protocoll [-] aus welcher ersichtlich daß [-] dem Steinernen brückel [-] Klein Lädlein so der Statt Zu[-]den gegen der Kleinen Metzig [-]d, hinden auff den [-]behaußung 31. schuh lang [-]bt einen Kleinen holtz[-] stehet Einen stock mit [-] neben herumb mit diehlen [-] 8. schuh lang und breit [-]n dem Gerbergrab[-]

1745, Préposés au bâtiment (VII 1401)
François Hilbert propose d’acheter les deux boutiques à côté de sa maison pour avoir assez de place pour loger ses enfants et ses employés. L’une est louée au passementier Jean Daniel Schœner pour 4 livres 10 sols, l’autre au tailleur Jean Christophe Spring pour 7 livres. Les préposés visitent les lieux. Le passementier fait observer que le boutique lui sert à gagner sa vie. François Hilbert pourrait obtenir un terrain vers la Petite boucherie. Une nouvelle visite a lieu en présence du préteur royal

(f° 117) Sambstags den 11. Ejusdem [Septembris 1745] seynd folgende Augenschein eingenommen worden – Frantz Hilbert Ca. Johann Daniel Schöner und Joh: Christoph Spring
An Frantz Hilbert dem Büchßenmacher Hauß am steineren Brückel hinder der kleinen Metzig, welcher Mhh. gebetten die daran gelegene der Statt Zugehörde Zweÿ gädlein Gegen dem brückel, deren eines Johann Daniel Schöner dem Paßmentirer um 7. lb 10 ß und das Andere Johann Christoph Spring dem schneider um 7. lb. & jährlichen Zinß Verlühen, Zukauffen Zugeben, gleichwie jhme das Häußlein auch Verkaufft worden, Vorgebend dießes Haüßlein wäre so klein, daß er Keinen Platz darinn Habe, seine Kinder und Gesind Zulogiren.
Johann Daniel Schöner Hingegen Batte gantz Inständig, jhme dießes gädelein in welchem er seine Kundschafft und Nahrung hat, nicht zu entziehen, worauf Hilberten bedeutet worden, daß Wan jhme auf der Andern seithen seines Haußes, gegen d. Kleinen Metzig noch etwas Allmendt Könte Laßen Zukommen sein Häußlein darmit Zuerweitern, wormit jhme aber nicht Gedienet ware, Indeme er, wann ihme in seinem begehren Willfahrt wurde, auß seinem jetzigen Laden oder Werckstatt eine stuben Zumachen, und die Werckstatt in die suchende Gädlein Zuerlegen gedencket. Erkant, weilen des Herrn Prætoris Regÿ Excell. dießen Hilbert durch Herrn Siberrad recomendieren Laßen, als solle derselbe ersucht werden, den augenschein selbst einzunehmen.

(f° 121) Sambstags den 18. Ejusdem [Septembris 1745.] – Frantz Hilbert
Deßgleichen ist in des Herrn Prætoris Regÿ gegenwahrt nochmahliger Augenschein eingenommen worden an Frantz Hilbert des Büchßenmachers Hauß am Steinern Brückel hinder der Kleinen Metzig und denen daran Befindlichen Zweÿ Gädlein, welche Hilbert Zukauffen begehrt. Erkannt, An gnädige Herren die XV. Verwießen,

L’assesseur des Quinze Zorn de Bulach rapporte les propos du préteur royal qui estime que les boutiques que les Préposés au bâtiment ont bâties pourraient être vendues au prix de 600 florins établi par le chef des travaux et le chef de chantier. De nouvelles boutiques seront construites pour les anciens locataires.

(f° 124) Dienstags den 5. Ejusdem [Octobris 1745.] – Frantz Hilbert, Joh: Daniel Schoner
Frantz Hilbert der Büchßenmacher Bittet nochmahlen jhme die an seinem Hauß hinder der kleinen Metzig am Gerbergreban stehende Zweÿ Gädlein, welche Johann Daniel Schöner der Paßmentirer und Johann Christoph Spring der schneider in Lehnung haben, Käufflich Zuüberlaßen, Herr XV. Von Bulach berichtet, daß Herr Prætor Regius dießer sach halben mit jhme geredet und gesagt, daß weilen dieße Gädlein auß Erkantnus der Ober Bauherren gebauen worden und Von Kleiner Wichtigkeit seÿnd, dieselbe auch Ohne die sach Vor die Herren XV. Zubringen, wohl Könten Verkaufft werden. Herr Prætor Regius Habe solch durch den Herrn Lohner und Werckmeister abschätzen laßen, welche Sie auf 600 fl. æstimirt und seÿe seine meinung besagte Gädlein um sothanen Anschlag Hilberten Käufflich Zuüberlaßen, und Schöner und Springer Andere Gädlein dargegen Zubauen.
Erkant, werden die Zweÿ Gädlein quæstionis Frantz Hilberten um gemeldete 600 fl. für eigen Verkaufft, und solle für Schöner, welcher noch Zweÿ Jahr lehnung hat, ein ander Gädlein neben Johann Michael Mercken des grempen Häußlein jenseiths der straß gegen dem Blauen Bauren Gebauen, und wann es fertig, der Zinß regulirt werden, Indeßen Aber Hilbert ihme solang in dem jetzigen Gädlein Laßen, biß das andere gebauen seÿn wird.
[in margine :] Verschrieben in der Contract Stub den 8. 8.bris 1745.

1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
François Hilbert qui a l’intention de remplacer la maison, les deux boutiques et le bûcher par un nouveau bâtiment demande l’autorisation d’enclore un nouveau terrain de 224 pieds carrés. Il demande en outre de déplacer la boutique du revendeur Philippe Hermann pour l’aligner avec son bâtiment. Les préposés le lui accordent moyennant paiement de 24 livres, ce qu’il accepte.

(f° 7) Donnerstag den 3. Februarÿ 1746. – Frantz Hilbert
An Frantz Hilberts des Buchsenmachers Hauß welcher sowohl das Hauß, als auch die in Vorigem Jahr ihme Verkauffte Zweÿ Gädlein fornen und die Holtzhütt hinden daran, alles am Gerbergraben beÿm steinern Brückel gelegen, abzubrechen, und in ein Gebäud Zubringen willens, und Mghh. um erlaubnus gebetten noch etwas weniges auf das Allmend Zufahren, welches des Werckmeisters abmeß: und außrechnung nach 224. quadrat schuhe außmacht, mit dem erbieten, das Von der Statt erbaute und an Philipp Hermann den Grempen Verlühene Gädlein auf seinen Kosten, seinem Hauß Zugleich Hervor Zurucken.
Erkant Gegen erlag 24. lb für ein und alle mahl Zubezahlen Willfahrt, so er acceptiret und die angesetzte 24. lb. d auch gleich erlegt.

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
L’arquebusier François Hilbert est autorisé à modifier les croisées du deuxième étage à condition de supprimer l’encorbellement et de peindre la maison.

(f° 22) Dienstags den 22. Maÿ 1770. – Frantz Hilbert
Frantz Hilbert den büchsenschiffter wird erlaubt an seinem hauß in der Kinderspielgaß auff dem zweÿten Stockwerck einen Creutzstock zu verändern unter dem beding daß er die außladung am hauß hinwegmachen und das hauß anstreichen solle.

Description de la maison

  • 1783 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre boutiques, quatre poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place de l’homme de fer

nouveau N° / ancien N° : 16 / 66
Laroche
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois bon état
(Légende)

Cadastre

La maison est inscrite au tableau indicatif mais ne figure ni sur le plan ni dans la matrice

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue près l’homme de Fer p. 161
66
Prop. Laroche, François, Fondeur – Marechaux
Loc. Schlitzer, Zacharie, Doreur – Echasse


Relevé d’actes

Chrétien Trincks devient locataire de la maison communale, voir plus haut.
Fils du maçon Chrétien Trincks à Oederan près de Dresde en Saxe, l’arquebusier Chrétien Trincks achète le droit de bourgeoisie en 1709 en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux

1709, 3° Livre de bourgeoisie p. 1275
Christian Trinck, der büchßenmacher V. Ederen auß Sachßen, weÿl. Christian Trincks gew: Maurers daselbst hint. sohn, erkaufft d. burgerrecht p. 2. gold fl. 16 ß w. beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. 1. Martÿ.

Il épouse à domicile sans proclamation en 1710 Marie Salomé Winter, fille du garde bois Jean Jacques Winter
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 143)
1710. Mittwochs den 8. Januarÿ seind auf Erlaubnus deß Regirenden Herrn Ammeisters Herrligk. ohne vorhergehende außruffung privatim Zu hauß eingesegnet worden Christian Trincks, der ledige Büchßenmacher Gesell, weiland Christoph Trincks des gewesenen Maur meisters Zu Edem ohnweit Dreßden in sachßen hinderlaßener ehelicher Sohn Vnd Jfr. Maria Salome weiland H Johann Jacob Winders gewesenen Hagmeisters allhier v. fr. Mariæ Elisabethæ geborner Nößelin hinderlaßene eheliche dochter [unterzeichnet] Christian Trincks als hochg Zeitter, Maria Salome Winterin als hocht derin (i 148)

Chrétien Trincks devient tributaire le 4 mars 1710.
1720, Registres annuels de la Taille (VII 1213) f° 248-v
Schmidt. Christian Trincks. Jur. 4. Mart. 1710. – dt. 29. may.

Les inspecteurs arquebusiers font grief à plusieurs ouvriers dont Chrétien Trincks de travailler comme des maîtres alors qu’il n’en ont pas qualité.
1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
(f° 200) Sambstags den 16. Aug. 1710. S. noîe geschwornen Schawer der Büchßenmacher erscheint Johann Bad. et cons. Cit. per sched. Christoph Matthis Erhart, Philippe Payet, le nommé Finé, N. Longuedet, wie auch Christian Trings die Büchßenmacher, klagen daß Selbige, die noch keine Meister seÿen, vnd zu der Meisterschafft nicht gehören, sich größerer freÿheit anmassen alß ehrliche Meister, auch gar ihre nahmen auff die Läuff vnd Schloß stehen laßen, als bitten Principales Ihnen solches Zu inhibiren. K. Citati præsentes mögen Zu ihrer Verantworttung deputationen, wohl leiden. S. weilen dieselbe ihre nahmen, auch auff frembde arbeit stehen laßen, alß bitet wie vor. Erk gebettene Deputation willfahrt. Obere Handtwerck Hhn.

(f° 208-v) Sambstags den 23. Augusti 1710. Saltzm. noîe E. E. Meisterschafft der Büchßenmacher Ersch. H. Johann Bader, bittet unterthänig vmb gn. communication deß q.tra die stümbler ergangenen bescheid. Erk. willfahrt.

Chrétien Trincks apparaît souvent dans les registres du corps des serruriers dans des affaires qui l’opposent à d’autres arquebusiers
Les arquebusiers portent devant les Quinze leurs griefs contre Chrétien Trincks qui fabrique des serrures sans les soumettre à une inspection malgré leurs mises en garde répétées. Le défendeur se prévaut d’un autre arquebusier qui ne fait pas non plus inspecter ses serrures et de dessins qu’aurait fait feu l’inspecteur Zacharie Zachmann. Les dénégations des différentes parties et le peu de preuves poussent la commission à ne pas statuer sur l’affaire mais les inspecteurs arquebusiers devront inspecter à plusieurs les serrures et tenir un registre.

1722, Protocole des Quinze (2 R 126)
die Büchßenmacher C. Christian Trinx
(p. 94) Sambstag d. 14. Martÿ 1722 – die Büchßenmacher C. Christian Trinx
Iidem [Ober Handwerck Hh.] laßen ferner per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, daß die geschworne Buchßenschawer Ca. Christian Trinx den Büchßenmacher geklagt, daß dieser seine Schloß die er Verfertige, nicht auff die Schaw kommen laßen, sondern noch darzu poche und trotze mit unterthäniger Bitt Ihne beÿ straaff des Articuls der 3. lb Zum Gehorsam anzuhalten, Ref. Expensis.
Vorauff Beklagert geantwortet, er Versichere hoch, daß Gegentheilig Vorgeben wieder alle wahrheit seÿe, habe anbeÿ umb Deputation gebetten und facta Relatione den Gegner abzuweißen, Ref. Exp.
Dißer Deputation seÿe willfahrt und beseßen worden, da vorgestanden Johann Kleÿbaum, Johann Friderich Störr Wilhelm Bader und Jacob Brion, welche nahmens der Meisterschafft beÿgefügt, daß sie den Beklagten Vielmahl gewarnet, er solle dem Articul nachgeleben, er thue es aber nicht, sondern beruffe sich auff einem andern Büchßenmacher, welcher auch Kein Schloß schawen laße, Wie dann Beklagter ein gewißes Buchßenschloß Verfertiget, welches Zwar innwendig und auch außwendig, oben an dem so genanten Stülben beÿ der Zinnpfann wie sonsten Gebräuchlich bezeichnet war, dabeÿ Vorgegeben, daß Zacharias Zachman geweßter Schawer so aber nunmehro gestorben, selbiges gezeichnet habe, so aber nicht waahr seÿe laut ged. Zachmanns coram Notario den 7. febr. 1721. gethaner Erklärung, so Jacob Brion Vorgelegt, Krafft deß. Zachmann declarirt, daß er das quæstionirte Buchßenschloß Keines weegs gezeichnet &
Worauff Beklagter ferner geantwortet er könne genug thun daß Zacharias Zachmann das quæstionirte Schloß so Ille Vorgewießen geschawet und gezeichnet habe, die Sach seÿe auch schon beÿ Hrn Räth und XXI. ausgemacht word., welches er schrifftlich erweißen wolle, In dem übrigen seÿe Brion selbsten der jenige welcher ohngeschawte waahr Verkaufft, wobeÿ er ein Büchßenschloß Vorgelegt, auff welchem ged. Brions nahmen gestochen, aber nicht schaumäßig gezeichnet war, Brion habe aber negirt daß er sothanes Schloß gemacht, mit Vermelten, es Könne ein jeder Ihme seinen nahmen auff ein Schloß stechen,
hierauff habe man denen parthen anbefohlen, so wohl deren Ordnung als auch die in dießer Sach ergangene handwercks bescheid vorzulegen, so auch geschehen. Was nun die Ordnung betreffe, so finde man daß nach denenselben dreÿ Schau meister und nicht nur einer jährlich erwöhlet würd, folglich auch Keine schaw vorgenommen werd. solle, alß in Gegensein aller, undt nicht durch einen allein, Wie beÿ dem heutigen Casu solle geschehen sein. Die Handwercks bescheid betr. so seÿe Bericht d. 15. Januarÿ 1721. beÿ der Meisterschafft erkant word. daß 2. Von denen Meistern beneben dem Zunftschreiber Zu Zacharias Zachmann gehen, das Schloß demselben Vorlegen undt von Ihm Vernehmen sollen, ob er solches gezeichnet oder nicht. Und nachdeme d. 20. Ejusd. des Zachmanns Deposition dahien gehend, Er Könne Meister Trinckßen gezeichnet haben & Abgeleßen worden, hat ged. Meisterschafft Erkandt, weilen Meister Brion nicht genugsam beweißen Kan, daß (p. 96) Meister Trincks das quæstionirte Schloß selbsten gezeichnet alß seye Trincks Von der anklag absolvirt, hingegen solle Brion die unkosten von ged. 15. und 20. Januarÿ entrichten, und fürther beÿ denen dem Schaw Articul angesetzten straaff Kein Meister macht habe allein die Schloßer auff den Schaw Zu Zeichnen.
In dem übrigen so haben Meister Trinx noch beÿgesetzt daß Zachmann undt Brion Zur Zeit alß das quæstionirte Schloß gezeichnet worden, Schau meister waren, Brion aber seÿe nicht hier sondern Zu Paris gewesen, allein er habe den Zachmann gefragt, Ob Er des Trinxen Schloß geschawet habe, worauff er aber mit Nein geactwortet.
auff seithen der Hh Depp. halte man davor daß die Kläger Ihre Klag beßer zu beweißen anzuweißen seÿen, maßen auff des Zachmanns gethane Zweÿmahlige differente Außaag Keine sondere Reflexion zu machen, undt seÿe man auch der meinung, daß künfftighien beÿ 10. lb straaff Kein Schaumeister allein die Schaw Vornehmen, und durch sie die Schawer ein ordentliches Schawregsiter, damit man jederweilen der Schaw halb genugsamen Bericht haben könne, gehalten werden solle, pt° der Gegen Klag so Trinx wider ged Brion geführet, Weilen selbige Zu Recht nicht erwießen, alß habe man auff seiten der Hh Depp. auch keine attention daran machen können, die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erk. bedacht gefolgt.

Chrétien Trincks demande communication d’une sentence contre les fourbisseurs rendue vingt ans plus tôt.
1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
(p. 171) Sambstag d. 13. Martÿ 1745 – Moss. nôe. Christian Trinx Buchßenmacher bitt comm. des A° 1720. oder 1721. erhaltenen bescheids Ca die Schwerdfeger pt° Verfertigung der Bajonetten. Erkannt, Willfahrt.

Chrétien Trincks meurt le 27 mai 1747 à l’âge de 66 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1714-1780, f° 100 n° 22)
1747. d. 27. Maji abends um 6. uhr starb Mstr Christian Trincks, Büchsenschiffter u. burger allhier, seines alters 66. jahr 1. monath. T. M. Joh: Jacob Graff, Pastor, der ihme Mont. seq. zu S Gallen parentirt [unterzeichnet] Simon Winter * Sem. als Verwandter, Johann Schäffer ams Verwander (i 101)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent un avis favorable pour admettre Salomé Winter, veuve de Chrétien Trincks, comme pensionnaire à l’hôpital.
1748, Conseillers et XXI (1 R 231)
(p. 74) Sambstags d. 22. Junÿ 1748 – weÿl. Christian Trincks Ehefrau wird ad dies vitæ in den Hospital recipirt
Roemer n. Salome gebohrner Winterin weÿl. Christian Trincks gewesenen burgers und buchsenmachers hinterlaßener Wittib producirt unterthäniges Memoriale und bitten sambt beÿl. sub Littis a. biß e. inclusivé um gnädige aufnahm in dem merhen Hospital. Erkandt wird die Implorantin an die Hochverordnete Hh. Pflegere deß mehrern Hospital Zur aufnahm und lebtägiger Verpflegung Verwießen. Depp. H. Rathh. Teutsch, H. Rathh. Adam.

La Ville de Strasbourg vend à l’arquebusier François Hilbert une petite maison et une cabane en planches sises entre la montée aux Tilleuls et le Petit pont de pierre moyennant 600 livres, à charge d’entretenir le mur qui longe la maison

1744 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 345
im Nahmen Löbl. Stadt Straßburg S.T. H. XV Friedrich Kornmann als Oberbauherr, H. Nicolaus Wilhelm Anstett E.E. großen Raths alten beÿsitzers und dreÿer des Pfenningthurns und H. Lt. Joseph Heinrich Pettmeßer Ober Secretarÿ daselbst
in gegensein Frantz Hilbert des buchßenmachers, zufolg Gnädigen H. der XV. Erkantnus von 9. maÿ jüngst
ein häußlein und hoffstatt samt einer daran gebauenen hütte von dielen allhier hinder der kleinen metzig zwischen dem Kuppelinder steeg und dem steinern brückel am gerbergraben, einseit neben einem gemeiner Stadt gehörigen gädlein, anderseit und vornen das Allmend, hinten auff den gerbergraben stoßend und einen überhang über die Maur habend – der käuffer ist schuldig die maur so weit das hauß und hütt gehet auf seine costen zu unterhalten – um 600 pfund

Fils de Joseph Hilbert arquebusier en Moravie (à Vienne dans le contrat de mariage), François Hilbert épouse en 1738 Madeleine Schenckbecher, fille d’un marchand d’Obernai : contrat de mariage, célébration
1738 (6.9.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 62
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Herrn Frantz Hilbert, dem ledigen Büchßenmacher und burger allhier Zu Straßburg, des Ehren Vorachtbahren H Joseph Hilbert, des Büchßenmachers Zu Wien und der Ehren und Tugendbegabten Frauen Eva gebohrner Röckenzainin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren: und Tugendgezierten Jungfrauen Magdalenä Schenckbecherin, weÿland des Wohl Ehrengeachten H Sebastian Schenckbechers, gewesenen Handelsmanns Zu Oberehenheim mit auch Weÿland der Ehren und Tugendbegabten Frauen Margaretha gebohrner Bürckelin ehelich erzielter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern Theil
Geschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Sambstags den 6. Septembris Anno 1738. [unterzeichnet] Frantz Hilberth als hochzeiter, Maria magdalena schenckbecherin als hochzetherin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 53)
Hodie die 22. Mensis Septembris anni 1738 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti sunt honestus adolescens Franciscus hilbert professione suâ armorum opifex oriundus ex marschrein* in Moravia et pudica virgo Magdalena Schenckbecherin oriunda ex Civitate obernenneheimens diœcesis Argentinensis (signé) frantz Hilberth, Magdalena schenckbecherin (i 30)

La Ville de Strasbourg vend deux boutiques adossées à sa maison moyennant 300 livres

1745 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 715-v
im namen der hoch verordneten Ober Bauherren S.T. H. XV. Friedrich Kornmann H. Johannes Silberrad dreÿer des Pfenningthurns und H. Lt. Joseph Heinrich Pettmeßer des Obersecretarÿ daselbst (…) namens gemeiner stadt Straßburg
in gegensein Frantz Hilpert des buchßenmachers [unterzeichnet] hilberth
zweÿ an einander stoßende gädlein samt deren hoffstätten und zugehörde, hinten der Kleinen Metzig gegen der gastbehausung zum blauen bauren über, einseit ist ein eck am Allmend, anderseit neben dem käuffer selbst, hinten auff den Rindshäutergraben – um 300 pfund

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher hypothèquent la maison et les deux boutiques au profit de Jean Philippe Dorsner, receveur adjoint de Saint-Nicolas-aux-Ondes pour en régler les frais de construction

1746 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 138
Frantz Hilpert der büchßenmacher und Magdalena geb. Schenckbecherin mit beÿstand ihres vatters bruders Frantz Schenckbecher des weinhändler und ihres vetters Joseph Anthoni des tabachändlers
in gegensein des Stiffts Sti Nicolai in undis Schaffneÿ Substituti H. Lt. Johann Philipp Dorßner – zu bauung hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt, zweÿ gädlein und eine hütt hinter der kleinen metzig zwischen dem Kuppelinder: Steeg und dem steinern brückel am gerbergraben, ein und anderseit wie auch vornen am Allmend, hinten auff den gerbergraben – als ein theils am 22. Junÿ 1744 theils am 18. 8.bris 1745 erkaufftes guth

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher hypothèquent la maison derrière la Petite boucherie entre l’escalier aux Tilleuls et le Petit pont de pierre au profit de la veuve du marchand Jean Daniel Diebold

1746 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 721
Frantz Hilbert der büchßenmacher und Magdalena geb. Schenckbecherin mit beÿstand ihres vatters bruders H. Frantz Schenckbecher des weinhändlers und ihres vettern Joseph Anthoni des tabachändlers
in gegensein H. Johann Daniel Städel des banquier als mandatarÿ Fr. Catharinæ Salome geb. Andreßin weÿl. H. Johann Daniel Diebold des handelsmanns wittib – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt samt deren zugehörden und rechten hinder der kleinen Metzig zwischen dem Kuppelinder steeg und dem steinernen brückel am Gerbergraben, ein und anderseit wie auch vornen am Allmend, hinten auff dem Gerbergraben

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher hypothèquent la maison au profit de juriste Chrétien Louis Nicolai

1754 (5.12.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 503-v
Frantz Hilbert des büchßenmacher und Magdalena geb. Schenckbecherin mit beÿstand H. Busch und H Schott beede E.E. kleinen raths beÿsitzer
in gegensein H. Christian Ludwig Nicolai J. Cti und E. E. kleinen raths referendari – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt samt deren zugehörden und rechten hinter der kleinen metzig zwischen der Kuppelinder steeg und dem steineren brückel am gerbergraben, ein und anderseit wie auch vornen am Allmend, hinten den Gerbergraben

L’armurier François Hilbert loue une partie de la maison au chanoine Armand Prosper de Bergeret

1761 (2. 8.bre), Not. Humbourg (6 E 41, 106)
Bail de 4 années qui ont commencé a la St Michel 29. sept. dernier – Sr François hilbert armurier
à Messire Armand Prospere de Bergeret, Chanoine de l’Insigne Eglise collegiale de St Pierre le Jeune
Sçavoir tous les appartemens du Second étage de la maison dud. Sr Hilbert au fossé des tanneurs consistant en quatre pièces, Sçavoir deux chambres et deux poeles encore une cuisine plus une chambre dans la mansarde pour le domestique, un grenier pour le bois et une place séparée dans la Cave – moyennant un loyer annuel de 230 livres
(charges, clauses et conditions) 6. le preneur convertira en cuisine la chambre qui servoit cy devant a cet usage et à l’expiration du Bail il ne fera qu’enlever l’Evier et blanchir ladite cuisine, le tout à ses frais
7. le bailleur ayant une pensionnaire qui couche dans la chambre a main gauche elle y restera jusqu’a ce qu’elle quitte sa pension chez le Sr hilbert, à condition neanmois qu’elle n’occupera ladite chambre que pour y coucher s’y habiller ou autres besoins
10. si le locataire de la maison canoniale du Sr Bailleur venoit à la quiter avant l’echeance du présente bail ledit Sr preneur poura sortir de l’appartement que le Sr hilbert vient de luy louer

Le corps des arquebusiers porte devant les Quinze le litige qui l’oppose à François Hilbert quant au nombre d’apprentis qu’il est autorisé à prendre. Les Quinze refusent de statuer.
1767, Protocole des Quinze (2 R 178) registre détérioré
E. E. Meisterschafft der Büchsenmacher contra Frantz Hilbert
(p. 142) Sambstags d. 28 Martii 1767 – Fröerisen nôe E. E. Meisterschafft der Büchsenmacher allhier Obermr. cit. Frantz Hilbert der burger und Büchsenmacher prod. unterth. Implorations schrifft junctis petitis, sampt beÿl. N° 1 bitt Deput. Obsterrieth bitt Cop. et T. O. obt.

(p. 180) Sambstags d. 11. Aprilis 1767 – Fröerisen nôe E. E. Meisterschafft der Büchsenmacher in aîs ctra Frantz Hilbert auch in aîs productum vom 28. Martii und bitt Deput. Osterrieth prod. unth. Exceptiones juncto petito et submissione bitt gleichfalls Deput. Erk. Deputatio.

(p. 424) Sambstags d. 19. Septembris 1767
Bescheid. Sambstags d. 2.ten Maÿ 1767. In Sachen E. E. Meisterschafft der Büchsenmacher Obermr. Implorantin ane einem, entgegen und Contra Frantz Hilbert dem burger und Büchsenmacher Imploraten am andern theil. Auf prod. unt. Imp. schrift mit beÿl. Sub N° 1 junctis petitis Implorirender Meisterschafft einen artickel Zu ertheilen, durch welchen die anzahl derer Gesellen, so jeder Meister halten darf, auf 4. bestimmet werde, desgleichen auch anzubefehlen, daß jeder frembde gesell so anhero kommet, vom alttesten bis zu dem jüngsten meister umb arbeit schauen laßen solle, wie nicht weniger jedem meister, so 4 gesellen hat, zu untersagen, keine gesellen Zu Verschreiben, er gäbe dann einem seiner 2. gesellen Zuvor abschied, damit die auf 4 gesellen gesetzte anzahl durch verschribene gesellen nicht könne übertreffen werden, idq. ob contestationem ref. exp. Übergenene Exceptiones sampt beÿgefügtem bitte den Imploranten nomine quo agit mit seinem wiederrechtlichen begehren puncto der zu bestimmenden Gesellen anzahl und der verschreibung derselben ab: und Zu ruhe zu verweißen, ref. exp: puncto der gesellen umbfrag umb arbeit aber unß überlaßend. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbringen ist der Hh. Depp: abgelegten relation nach Erkanndt, daß die Parthen mit ihrem begehren, wie solches formirt, außer Gericht und Recht zu setzen seÿen, idque compensatis expensis.

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher hypothèquent la maison au profit de Marguerite Lodi de Hœnheim, pour laquelle accepte sa mère.

1769 (4.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 135)
Obligation – furent presens François Hilbert Bourgeois armurier de cette ville y demeurant Et Madeleine Schenckbecher sa femme qu’il autorise à l’Effet de ce qui suit et en outre assistée de Jean Kohlmann Potier et Mathias Schenckbecher Etudiant, Ses parens (reconnaisent devoir)
à Dlle anne marguerite Lodi majeure d’ans demeurante à Hoenheim, pour laquelle Barbe Herl sa mere femme d’Ignace Lodi cy présente stipule et accepte la somme de 1000 livres tournois
hypothèque, une maison Scituée en cette ville proche le fossé des tanneurs beym Steinern Brückel, La rue de part et d’autre et par derrière led. fossé (…) chargée de 5500 livres de capitaux

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher font dresser un inventaire de leur biens mobiliers à remetttre à leurs créanciers, dans leur maison appelée à l’Homme de fer, sise près du Petit pont. L’actif s’élève à 2 689 livres, le passif à 5 923 livres

1770 (26.5.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 763) n° 438
Inventarium über Herrn Frantz Hilbert, des Büchsenschifters und Fraun Magdalenæ, gebohrner Schenckbecherin, beeder Eheleuthe und Burger alhier Zu Straßburg dermalen besitzende Mobiliar Vermögenschafft, wie solche unter dem heutigen Dato auf begehren beeder Eheleuthe um den Belauf davon ihrer Creditorschafft darweisen zu können (…) Straßburg den 26.ten May 1770.
In einer alhier zu Straßburg am steinern Brückel gelegenen Zum eisernen Mann genanten hieher eigenthümlich gehörige behaußung hat sich befunden wie folgt
Sa. haußraths 401, Sa. Werckzeugs Zur Büchsenschifter Profession gehörig 299, Sa. Waaren der Büchsenschifter Profession abhangend 1184, Sa. Faß und Bütten 6, Sa. Silbers 12, Sa. Gold und dergleichen Geschmeids 60, Sa. Activ Schulden 726, Summa summarum 2689 lb
Nota. Des Eigenthum an einer am sogenanten steinern Brückel ohnfern des alten Weinmarckts gelegener behaußung, bleibt mit solcher darauf stehenden Hypothec so in 8 Articul 3908. lb belaufft, darum ausgesetzt, weil dißorts nur die frage von der Mobiliar Mass movirt worden
Passiv Schulden 11.826 fl. oder 5923 lb, In Vergleichung, Nachstand 3223 lb

François Hilbert et Madeleine Schenckbecher font dresser un inventaire de leur biens, la femme pour obtenir le bénéfice de cession, le mari pour être reconnu failli. L’inventaire est dressé dans leur maison à l’enseigne de l’Homme de fer qui a une avance vers le fossé. Les justificatifs montrent que la maison a coûté 5 000 livres ; elle est estimée à 4 500 livres. La masse propre à la femme s’élève à 444 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 4 798 livres, le passif de 9 381 livres.

1772 (2.11.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 765) n° 507
Inventarium über Herrn Frantz Hilbert des Büchsenmachers und Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrne Schenckbecherin beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg dermalen habend und besitzende Vermögenschaft, wie auch dagegen zu bezalen stehende Passiv Schulden, auffgericht im Jahr 1772. – die Ehefrau hiebeÿ mit Herrn Georg Albrecht Hagen dem Handelsmann verbeiständet, wegen des abhandenen Schuldenlasts, das beneficium Cessionis et jus prælationis, der Ehemann aber das flebile beneficium Cessionis bonorum gerichtl. Zu erlangen gemüßiget ist (…) So beschehen Strasburg auf Montag den 2. Novembris 1772.

In einer alhie Zu Straßburg oben am Platz beÿm steinern Brückel gelegener Zum eisernen Mann geschildeten hieher eigenthümlich gehörigen behausung hat sich befunden, wie folgt.
Eigenthum an einer Behausung. Näml. i. Behausung und Hoffstatt sambt allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßburg hinter der Kleinen Metzig zwischen dem Kuppel Linder Steeg und der steinern bruck am Gerber Graben, also vornen und beederseiths am Allmend, und hinten mit einem Überhang oder Ober Gebäu auf den Gerber oder Rindshäutergraben stosend. Diese Behausung cum appertinentiis ist außer denen darauf versichert stehenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien gegen männigl. freÿ leedig eigen und obwol dieselbe mit dem Ankauf des Platzes neu auf zu erbauen erprobl. der über aller glaubhafft gefertigter auch hiebeÿ vorgewiesenen verzeichnus über 5000. lb. d. zustehen gekommen, Er wird doch, für solche als freÿ ledig und eigen hier ohnpræjudicirl. nur angesetzt und ausgeworfen 4500 lb. Über den von löbl. Stadt Zur hoffstatt Kauffweis überkommenen Platz, besag. 2. in alhies. C C Stub errichtete und auf Pergament ausgefertigte Kauffbrief de datis 22. Junii 1744 und 8.ten 8.bris 1745. Sodann I. von löbl. Stadt Pfenningthurn über die Zalung für die Erlaubnus Zum Überhang in den Gerber Graben sub dato 8. Februarÿ 1746. ertheilte Quittung.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Hier stehet anzumercken, daß die beede Ehe persohnen ihr in dem Ehe Contract §° 3.tio vor unverändert vorbehalten Einbringen nicht inventiren laßen, Es hat aber die Ehefrau um von dem Ihrigen den beweiß Zu führen hiebeÿ denjenigen Vermögens Schein zum Grund gelegt, den Ihro unterm 19. Augusti 1738.von der Gerichtsbarkeit zu Ober Ehenheim ertheilt und Zu Überkommung des alhiesigen burger Rechts beÿ E: E: großen Rath ahier producirt worden
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefrau unveränderten Vermögens, Sa. Kleidung 3 Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 404, Summa summarum 444 lb.
Diesemnach so wird auch des Ehemanns unverändert und die theilbare haabschafft unter einer Maß als dem Ehemann gehörig beschrieben, Sa. haußraths 183, Sa. Werckzeuge zur Büchsenschifter Profession gehörig 11, Sa. der waar zur Büchsenschifter Profession gehörig 54, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 49, Sa. Eigenthum ane einer Behausung 4500, Summa summarum 4798 lb – Schulden 9381 lb, In Vergleichung 4382 lb
Zweiffelhaft und verlohrene Schulden 1385 lb

François Hilbert devient échevin en 1750. Il renonce à ses fonctions en 1772 (suite à sa faillite)
1750 Conseillers et XXI (1 R 233) – Schöffen. Schmidt, H. Frantz Hilbert. 167.
1772 Conseillers et XXI (1 R 255) – Frantz Hilbert des büchsenschiffters resignation auf sein beÿ E. E. Zunft der schmid bißher getragenes schöffen Ambt wird Verzeichnet. 376.

Marie Jeanne et Marie Elisabeth Hilbert font dresser un état de leur mobilier qu’elles louent à leur père François Hilbert pour qu’il en garnisse son logement près de la Petite boucherie.
1773 (30.10.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 766) n° 550
Designatio Verschiedene hausräthliche Effecten, welche Jungfrauen Mariæ Johannæ und Mariæ Elisabethæ Hilbertin, Herrn Frantz Hilbert des buchsenschäfters und burgers alhier ehelichen großjährigen töchtern, aus ihrem Verdienst nach und nach angeschaft, in Gemeinschafft eigenthümlich gehörig
Summa 303 lb. (…) daß Sie beede Jungfrauen Comparentinen alle solche vorbeschriebene haußräthliche Effecten ihrem gebliebten Vater, dem auch Eingangs ermelten Herrn Frantz Hilbert dem buchsenschäfter und burger dahier wie ane geschäft, darum in Lehnung übergeben und entlassen hätten, damit derselbe in der überhaupt in Lehnung übernommenen behausung an der kleinen Metzig befindliche Zimmer garniren und verlehnen könne (um) 24 gulden
Auf Sambstags den 30.ten Octobris 1773.

Le négociant Jean Daniel Sold acquiert la maison par adjudication judiciaire le 15 avril 1773 (voir la référence à son inventaire ci-dessous). Il la loue à son ancien propriétaire François Hilbert, à l’exception des boutiques louées à des artisans.

1777 (8.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1062) n° 23
Sr Jean Daniel Sold negociant, bail pour tous le temps que le Sr comparant vivra
au Sr François Hilpert maître armurier et Madeleine Scheinbecher assitée de Mathias Scheinbecher clerc du diocese de Strasbourg et François Langenbacher maître relieur (si lat. hilbert)
la maison et dépendances a luy appartenante en cette ville située vis à vis le quay des tanneurs aupres du pont dit Steinerbrückel dont il s’est rendu adjudicataire sans en rien excepter que les trois petites boutiques qui sont actuellement occupées par un barbier un ferblantier et un cordonnier – moyennant un loyer annuel de 700 livres tournois

Jean Daniel Sold loue la maison au ceinturier François Antoine Laroche

1780 (18.9.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 369
Erschienen H. Johann Daniel Soldt, der Burger und Handelsmann allhier
in gegensein H. Franz Antoni La Roche des Gürtlers und burgers dahier
entlehnt, die dem H. Verlehner eigenthümlich zuständige ane der steinernen Brück nächst dem Gerbergraben beÿ der kleinen Metzig gelegene gantze Behausung, nichts davon als die dreÿ nebeneinander vorfindige gegen Faudelischer behausung stehende boutiquen außgenohmen, als die keinen theil dieses Lehnung ausmachen, Und ist diese Lehenung auff neun nacheinander folgende Jahren vestgesetzt und geschloßen worden, auf instehenden Michaelis tag ihren anfang zu nehmen – um einen Jahrs Zinß von 288 gulden
(…) 2. soll die Küchen hinten der grosen boutique, wozu das kleine darneben gelegenen Cabinet gezogen worden, auff gemeine Kösten dergestalt eingerichtet werden, daß der Entlehner das nöthige Zu seiner profession gehörig vollbringen kan

Le marchand Jean Daniel Sold meurt célibataire à l’âge de 80 ans le 3 octobre 1783. Il est échevin chez les Maréchaux depuis 1765.

Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1772-1788 p. 124 n° 246)
Im Jahr 1783 Freÿtag den 3. Octobris Vormittag um Zehn Uhren starb Alters blödigkeiten Herr Johann Daniel Sold, der Handelsmann und burger allhier, ledigen Stands, derselbe ward gebohren den 26. Aprilis im Jahr 1703 und hat also in dieser Welt gelebt 80 Jahr, fünf Monate und sieben Täge. Seine Eltern waren weiland Herr Georg Wilhelm Sold, gewesener Handelsmann und burger allhier und Frau Barbara gebohrne Lichtenbergerin. An dem darauf folgenden Sonntag als den 5. Octobris wurde sein entseelter Leichnam beÿ einer von dem unterschriebenen Pfarrer gehaltenen Leichenrede, auf dem Gottesacker Sanctæ Helenæ Christlich begraben (i 127)

1765 Conseillers et XXI (1 R 248) – H. Joh: Daniel Sold der burger und handelßmann Wird Schöff beÿ E. E. Zunfft der Schmid und schwört. 274.

L’inventaire de ses biens est dressé dans sa maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. Les experts estiment la maison derrière la Petite boucherie à la somme de 1 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 9 508 livres, le passif à 10 029 livres. L’inventaire comprend un état des loyers encaissés.

1783 (4. 9.br), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 346) n° 1211
Inventarium über Weiland Johann Daniel Sold, des gewesenen ledigen Handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg nunmehr sel. Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1783.
[Première page fragmentaire] nach dessen am 3.ten des letzt ver[wichenen] Octobermonats dießer Zu Ende laufenden 17[83.ten] Jahrs [genomm]enen töd[lichen hin]tritt hie zeitlichen Zurückgelaßen hat (…) So geschehen alhier zu Straßburg an einer an der Fischmarckt gegen der Lungengaß über gelegenen hieher gehörigen und hernach beschriebener behausung, auf Dinstag [-] et sequentibus im Jahr 1783.
Der selig Verstorbene hat per Testamentum in scriptis Clausum zu seinen Erben Verlaßen. 1.mo Jungfrau Mariam Salomeam Soldin des Erblaßers leibliche Schwester in den ersten dritten Stammtheil. 2.do Frau Mariam Barbaram Ottoin gebohrne Ottin weiland H Joh: Philipp Otto, des gewesenen Kiefers und Burgers alhier hinterlaßene Wittwe des Defuncti Schwester tochter, in den Zweiten dritten Stammteil, so unter Assistentz S.T. Joh: Friderich Reisers des Vornehmen Handelsmanns und burgers hieselbst diesem Verlaßenschaft Geschäfft abgewartet und 3.tio H Johann Gottfried Renner, den ledigen hiesig Verburgerten Juwelierer, Jungfr. Mariam Barbaram Rennerin und Frau Annam Dorotheam Schillingin gebohrne Rennerin, H. Karl Friderich August Schilling des hiesig Verburgerten handelßmanns Ehefrau, alle diese drei Geschwistrige, als des see. Verstorbenen, ebenfallsige Schwester Kinder, Zugleichen teilen in den übrigen und letzten dritten Stammteil seiner gesamten Erb: und Verlaßenschaft.
Welche sämtliche vorherbenandte Erben und Zwar Jgf. Maria Salome Soldin, Jgfr. Maria Barbara Rennerin und fr. Dorothe Schillingin unter Verbeistandung S.T. Herrn Joh: Friderich Lobstein Notarii publici und berühmten Practici auch burgers alhier, diesem Successions geschäfft in Person beigewohnet.

Ane Höltzen und Schreinwerck. In der vordern Wohnstuben auf dem I. Stock, In dem Schlafzimmer, In der Kuchen, Im Hausöhren auf den 1.ten Stock, In der hintern Stube auf dem ersten Stock, In der hintern Stubkammer auf dem 1.sten Stock, In der undern Wohnstuben auf dem 2. Stock, Im Haußöhren auf dem 2. Stock, Im Kasten daselbst, Auf der Druckenei, Im Keller
Eigenthum ane Reeben Avenheimer Banns
Eigenthum an Häusern. Erstl. eine Behausung, Hoffstatt, Höffl. und Gumpbronnen nebst allen deren übrigen Gebäuden an dem Fischmarckt (…)
It. eine Behausung samt Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Strasb. hinter der kleinen Metzig an der steinernen bruck am Gerbergraben, Vornen und beederseits am Allmend und hinten auf den Gerbergraben stosend, so ausser denen darauf haftenden hernach eingetragenen passiv Kapitalien, sonsten gegen männiglich frei ledig eigen und durch schon gemelten Löbl. Stadt Strasb. Hh. Werckleute laut Abschatzung Zeduls von obigem dato gewürdiget pro 2000 fl. oder 1000 lb. Dieserwegen ist Vorhanden ein teutscher pergam. Ganth Kauffbrieff, aus welchem ersichtlich wie der Verstorbene sel. solche behausung aus Frantz Hilbert des buchsenmachers u. bgrs. alh. falliments Massa an sich gebracht sub dato 15. Aprilis 1773.
Waaren zum Eisenhandel gehörig
Series rubricarum hujus Inventarii. Abschrift des von dem selig. Verstorbenen unterm 9. Aprilis 1781. verschlossen auffgerichteten Testaments. Abschrift des Hinterlegungs-Akts so von H. Notario Tobias Schumacher über Vorheriges testament am 9. Aprilis 1781. passirt worden. Abschrift des Eröfnungs Akts, so über obiges Testament und Zwar den 8. Octobris 1783. Vorgegangen.
Sa. Haußraths 109, Sa. Waaren Zum Eisenhandel 1227, Sa. Weins und Faß 155, Sa. Silbers und dgl. Geschmeids 44. Sa. Golds u. gdl. Geschmeids 21, Sa. Baarschaft 961, Sa. Kapitalien und Schulden 2875, Sa. Eigenthums an Reeben 212, Sa. Eigenthums an häusern 2900, Summa summarum 9508 lb – Schulden 10.029, Compensando 521 lb – Zweiffelhaffte und für verlohren geachtete Capitalien 6610 lb
Abschatzung Vom 15.ten Novembris 1783. Auf begerrn Weÿland Herr johannes Danjel Sold dem gewesenen Handelsmann ist Eine behausung alhie in der statt Straßburg auf dem fischmarck gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist auch alhie in der statt straburg am gerber graben, beÿ der steinern bruck gelegen, Einseÿts neben dem allmend, anderer seÿts neben johann Georg Zicks dem Mehlman, und Hinten auf den gerber graben stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier boutiquen, ferner in Vier stuben Zweÿ Küchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breÿdzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ tausend gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner Wmstr. Götz Wmstr.
Rechnung enthaltend Alles dasjenige, was Notarius Philipp Ludwig Übersaal als von Seite, Eines Ehrsamen Grosen Raths ernannter Curator weiland Herrn Johann Daniel Sold des hannßen Eisenhändlers und burgers alhier Zu Straßburg seel. eingenommen und hingegen wieder ausgegeben hat. (…)
1783. Septembris. 27. Zahlte Hr Frantz Antoni Laroche, der Gürtler und Burger alhier an Haus Zinns Von der Behausung am Gerbergraben gelegen pro quartali Johannis Baptistæ 1783 gerechnet, 24 fl.
30. entrichtete Meister Frantz Michael Seÿler, der Spengler de Laden zinns in bemelter behausung pro quartali Michaelis 1783
Octobris. 6. hr Frantz Niclaus Monricus der Chirurgus alhier, an Hauszinns, so er vor das quartal Johannis Baptistæ 1783 schuldig verblieben 10 fl.

Les héritiers de Jean Daniel Sold vendent la maison à son locataire François Antoine Laroche : vente provisoire devant notaire et acte passé à la Chambre des Contrats moyennant 3 000 livres.

1785 (4. Augstm.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 346) Joint au n° 1211 du 4 nov. 1793
persönlich erschienen 1° Frau Maria Barbara Ottoin gebohrne Ottin, weil. H. Joh: Philipp Otto, des gewesenen Kiefers, Weinhändlers und Burgers hieselbst hinterbliebene Wittwe, unter verbeistandung H. Philipp Jakob Otto ihres leiblichen H. Sohns, 2. Herr Heinrich Joseph Wengler, Notarius publicus juratus et Practicus auch burger alhier als obrigkeitlich bestellter Curator H. Johann Gottfried Renner, des ledigen großjährigen Goldarbeiters und hiesigen burgers, 3.tio Jungfer Maria Barbara Rennerin, die hiesige mehrjährige Burgerin und 4. Anna Dorothea Schillingin gebohrne Rennerin, H. Karl Friderich August Schilling des hiesig Verburgerten handelßmanns Ehegattin, und Zwar beede letztere unter Assistentz S.T. Herrn Joh: Friderich Lobstein, Notarii publici et Practici auch burgers alhier,(…) alle vier aber haben als weil. Joh: Daniel Sold, des gewesenen Handelsmanns und burgers dahier und auch Weil. Jungfrau Mariä Salome Soldin, ihres respe. Oncle und Tante theils mittelst testament und theils ohntestirt hinterlassene Erben
in gegensein H. Frantz Anton Laroche, des burgers und Gürtlers alhier (…) unter dem ausdrucklochen Vorbehalt E. E.Grosen Raths alhier Retification und Confirmation interims weise verkauft
eine Behausung und Hoffstatt, samt allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, auch allen dem was Wand, band, Neid und Nagelvest ist, auch den darin befindlichen Öffen, überhaupt aber, so, wie er der Käufer es bisher in Mieth gehabt, gelegen alhier Zu Strasburg bei der steinernen bruck am Gerbergraben, Vornen und einseits am Allmend, anderseit neben der kleinen Metzig und hinten auf erwähnten Graben stosend, so ausser 2500 Gulden (und 1040 gulden) passiv Kapitalien – um 2060 Gulden – So geschehen alhier zu Straßburg auf Donnerstag den 4. des Augstmonats im Jahr 1785.

1785 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 344-v
Fr. Maria Barbara Ottoin geb. Ottin weÿl. Johann Philipp Otto des kieffers weinhändlers wittib weÿl. H. Philipp Jacob Otto ihres leiblichen sohns, H. Heinrich Joseph Wengler notarius publicus juratus ac practicus als gerichtlich bestellter curator Johann Gottfried Renner des ledig großjährigen goldarbeiters, Jungfer Maria Barbara Rennerin großjährige burgerin, Fr. Anna Dorothea Schillingin geb. Rennerin H. Carl Friedrich Schilling des handelsmanns ehegattin unter assistentz H. Johann Friedrich Lobstein notarii publici jurati ac practici
in gegensein H. Frantz Antoni Laroche des gürtlers – in gefolg interims verschreibung vom 4. dieses vor H. Not. Lichtenberger errichtet
eine behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auch allen darinnen wand bend niet und nagelvest denen gesamten öffen (…) wie er käuffer dieselbe seit einigen jahren in mieth gehabt und annoch miethweiß zu genießen hätte beÿ der steineren bruck am Gerbergraben, einseit und vornen Allmend, anderseit neben der kleinen Metzig, hinten auff besagten graben – denen verkäuffern aus ihres oncle weÿl. H. Johann Jacob Sold gewesten handelsmanns zweÿ dritten theil und der übrige dritte theil in auch weÿl. Jungfer Maria Salome Soldin ihrer tante Verlaßenschafft theils mittels letzten willens disposition theils ab intestato erblich zugefallen daran sie Fr. Ottoin 5 12. oder 15. 36.te theil, jedem vorgenannten Rennerischen dreÿ kindern und geschwistrigen 6. 36.te theil – um 6000 gulden

Fils du maître de langue François Antoine Laroche, le ceinturier François Antoine Laroche fait son apprentissage chez le ceinturier Jean Chrétien Haas de 1761 à 1764.
1761, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 105) Donnerstags d. 19. Februarÿ Anno 1761 – Eingeschriebener Lehrjung
Mr Johann Christian Haaß, der Gürtler und Burger allhier stehet vor und bitt, man wolle seinen Jungen Frantz Anthoni La Roche, Frantz Antoni Laroche des Sprachmeisters alhier ehelichen Sohn Zu Ihme auff Vier Jahr lang in die Lehr einschreiben, die Lehr fangt an d. 31. Martÿ 1760. und endiget sich auff bemelte Zeit 1764. der Lehrjung gibt kein Lehrgeld, leidet aber alle Unkosten, producirt anbeÿ Schein von denen beeden Hoch: und wohlverordneten Obern Handwercks Herren, de dato 31. Maÿ 1760.

(f° 142) Freÿtags d. 14. Septembris 1764 – Außgethaner Lehrjung
Mr Johann Christian Haaß, der Gürtler und Burger allhier, stehet vor und bittet, man wolle seinen geweßenen Lehrjungen Frantz Anthoni Laroche, Frantz Antoni Laroche, des Sprachmeisters allhier ehelichen Sohn von Ihme seiner Lzhrzeit halben austhun, selbige hat sich geendiget den 31. Martii 1764. sind beede Theil mit einander Zufrieden. Vide die Einschreibung vom 19.ten Februarÿ 1761. (T. 1 ß d)
1773, Registres annuels de la Taille (VII 1266) f° 397-v
Schmidt. Laroche François Ant. jun: 23. Sept. 1772. 2 lb 2 ß

Fils du libraire François Antoine Laroche, le ceinturier François Antoine Laroche épouse en 1772 Marguerite Elisabeth Bitterolff, fille du marchand farinier Joseph Bitterolff : contrat de mariage, célébration
1772 (11.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 343
Eheberedung – persönlich erschienen H. Frantz Anthoni Laroche, der Gürtler Mr. allhier, H. Frantz Anthoni Laroche, des bücherhändlers alhier ehelicher Sohn, unter assistentz deßelben so aber dermahlen allhier abweßend, anhero der Sohn dafür cavirt, als hochzeiter ane einem
und Jungfer Margaretha Elisabetha Pitterolffin, weilandt H. Joseph Petterolff, des gewesenen Meehlhänders und Burgers dahier seel. nachgelaßene tochter unter authorität H. Joseph Pitterolff, des ebenmäßigen Meehlhändlers und burgers dahier deren bruders und ohnentledigten vogts als hochzeiterin ane dem andern theil
auf Freÿtag den 11. Septembris Anno 1772 [unterzeichnet] frantz andoni larosch, Margaretha Elisabetha Bitterolffin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 95)
Hodie 22 Septembris anni 1772 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscis Antonius Laroche *onarius solutis filius legitimus Francisci Antoni Laroche librarii et civis hujatis et Catharinæ Schneider conjugum in parochia ad st petrum seniorem hujatem commorans et Margaretha Elisabetha Bitterolff soluta fila legitima defuncti Josephi Bitterolff mercatoris et ciuis hujatis dum viveret et Mariæ Magdalenæ Niessin superstitis ejus viduæ in nostra parochia (signé) frantz andoni laroch, Margaritha Elisabetha bitterolffin (i 99)

Les Quinze autorisent le 8 février 1772 le corps des ceinturiers à recevoir François Antoine Laroche maître bien qu’il n’ait pas fait ses années d’épreuve faute d’avoir trouvé un maître qui l’embauche.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
Frantz Anthoni Laroche Ca. E.E. Meisterschafft der Gürtler
(p. 50) Sambstags den 8. Februarii 1772 – Idem [Wilhelm] nôe. Frantz Anthoni Laroche des ledigen gürtler gesellen von hier gebürtig Ca. E. E. Meisterschafft der gürtler allhier Obermr. producirt unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. N° 1 umb gnädige dispens von den muthjahren und admission Zum Meisterrecht. Claus nôe des Obermrs. beziehet sich auf gegentheilige beÿl. N° 1. und in gefolg derselben inhalts setzt gegenth. petitum Zu E: Gn. bitt aber refusionem expensarum. Wilhelm bitt ablesung und wie in producto.
Erkandt, wird der Implorant gegen ersetzung der Uncosten und erlag dreÿ pfund d halb löbl. Stadt, halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von Verarbeitung der Muthjahr dispensirt, sofort Zum Meisterrecht der Gürtler alhier aufgenommen.

1772, Gürtler Protocoll (XI 158)
Frantz Anthoni Laroche 3-b, 4, 4-b (Meisterstück), 7, 10 (bis), 10-b, 11 (bis), 11-b, 12-b (ter), 16-b, 17, 17-b, 18 (bis), 18-b, 19-b, 22, 22-b, 24 (bis), 24-b, 29, 29-b (bis), 33-b, 35 (bis)
François Antoine Laroche demande à être reçu maître bien qu’il n’ait pas fait ses années d’épreuve. L’assemblée le renvoie aux Quinze
(f° 3-v) Mittwoch den 22. Januarÿ 1772
Frantz Anthoni Laroche, der ledige Gürtler Gesell, von hier gebürtig, stehet vor und bittet, man wolle Ihn Zum meisterrecht admittiren, ohnnöthig zu haben die Muthjahr zu verarbeiten, maßen er schon vor einem Jahr alhie um Arbeit geschaut, aber Keine bekommen können.
Erkandt, weilen der von Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen E. E. Meisterschafft d. 5. Decembris 1673. ertheilte 9.t Articul klar vermög deßen jeeder Gesell der nicht eines hiesigen Meisters Sohn, ist, und allhier Meister Zu werden begehrt, Zweÿ Jahr Zuvor in leedigen Stand beÿ einem oder zween Meistern seine Zeit verarbeiten soll, solches aber von Imploranten biß dato nicht geschehen, sich aber hiebeÿ in der umbfrag geäußert, daß kein Meister Ihm Arbeit geben Könne, als ist derselbe in seinem begehren an Gnädige Herren die XV. verwißen worden, um beÿ hochdenenselben Dispensation solchen Articuls in Unterthänigkeit Zu sollicitiren.

Les ceinturiers enregistrent les droits dus pour les années d’épreuve et donnent à François Antoine Laroche le sujet de son chef d’œuvre qu’il fait chez Philippe Henri Kuntz
1772, Gürtler Protocoll (XI 158)
(f° 4) Montags den 10. Februarÿ 1772 – Frantz Anthoni Laroche, der ledige Gürtler Gesell, von hier gebürtig, stehet vor und producirt bescheid von Gnädigen H denen Herren XV. sub dato 8. hujus mensis & anni, vermög desen Er von denen Muthjahren gegen Erlag aller Kösten und 3. lb d halb löbl. Statt und halb E. E. Meisterschafft anfällig zu dispensiren seÿe, will solchem bescheid parition leisten, bittet dahero Ihne so gleich in die muthjahr einzuschreiben, und auch wieder daraus auszuthun.
Erkandt, willfahrt (Eingeschriebener in die Muthjahr 1 lb, Auflaggelt 19 ß, Ausgethaner aus denen Muthjahren 1 lb Auflaggelt 19 ß,, Dispensation 3 lb)

Eodem die stehet d.selbe ferner vor und bitt man wolle Ihme das Meisterstück aufgeben verfertigt solches beÿ Meister Philipp Heinrich Kuntz dem einen geschwornen.
Erkandt willfahrt, derselbe fangt solches an d. 7.ten Aprilis 1772 (Auflaggeld 16 ß, dt. auf Abschlag ales obigen 4 lb 10 ß, restiret 3 lb 1 ß, zusammen 7 lb 11 ß)

François Antoine Laroche fait dresser un état de sa fortune (pour devenir bourgeois)
1772 (10. 7.br), Not. Lobstein (6 E 41, 840)
Designatio Alles deßen was Mr Frantz Antoni Laroche der leedige Gürtler von hier gebürtig welcher beÿ Em. allhiesigem hochlöbl. Magistrat um das Burgerrecht in unterthänigkeit einzukommen willens ist eigenthümlich besitzen und in Vermögen hat
Summarischer Calculus, hausrath 121 lb, Werckzeug 258 lb, gold. rings 3 lb

François Antoine Laroche devient bourgeois le 23 septembre 1772 : inscription au livre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 67-v
Frantz Antoni Laroche der gürtler von hier gebürtig erhalt des burgerrecht von seiner Ehefrauen Margareth Elisabeth weÿl. Joseph Bitrolff gewesenen handelsmanns und burgers allhier hinterl. ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der schmidt. Jur. eod. [23. 7.bris 1772]

(VI 286 bis, p. 408) Schmidt N° 30. den 17 7.bris 1772
Meister Frantz Anthon Laroche gürtler, Frantz Anthon Laroche Vormahlig. Sprach meister und Buchändlers alhier mit Cath. Schmitter ehel. erzeigter Sohn. Verlobt ane Weÿl. Joseph Bitterolff großen Meelhändlers und B: allhier Ehel. tochter. Seine scheine Zeig. daß Er Ehrl. geborhen Cath. Relig. geleistete Stadt Stall Caution, daß seine sponsa Stall gebühr in richtigkeit, und Er des Zunfftrechts beÿ E: E: Zunfft Zur schmidt Vertröstet word.
Vermög Einem Von H: Johann Friderich Lobstein dem geschwornen Not. allhier unterm 11.ten dieses lauffend. Monaths und Jahrs errichteten und unterzogenen Summarisch. Calculo, hat der Impl. Ersicht gemacht waß deß. Vermög. Bestehe in Gutem Haußrath, worunter aber kein Kleyding und weißzeug begriffen ist und von H Roth dem geschwornen Käuffler Alhier angeschlagen word. p. 121. lb so dann ane werckzeug und gemachte waaren Zum gürtler handwerckh gehörig und von H. David Kuntz dem gürtler und b. Allhier Abgeschätzt vor 250. 12 ß 6 d so dann Eines gold. rings à 3. lb Zusammen aber 382 lb 12 ß 6 d. Worüber er den Eÿdt des wahren und ohnveränderten Eigenthumb abgelegt, und 100 lb beym B. Pcoll. Deponiret
Impl. bittet E: G: ihme a sponsa um den A: B: Schl. des burger rechts gnädig Zu Vertrösten.
Receptus a Sponsa vm den A: B: sch. Eod. die.

Fonctions auxquelles François Antoine Laroche est successivement élu
1774, Gürtler Protocoll (XI 158)
(f° 7) Montags den 5. Decembris 1774, als Untermeister erwählt
(f° 10) Mittwoch den 6. ehelich 1774, als Obermeister erwählt
(f° 11) Dienstag den26 Novembris 1776, als Untermeister erwählt
(f° 11-b) Donnerstag d. 4. Xbrie 1777, als Obermeister erwählt
(f° 12-b) Dienstags d. 17. 9.bris 1778, als Untermeister erwählt
(f° 16-b) Sambstags d. 11. Xbr 1779, als Obermeister erwählt
(f° 18-b) Donnerstag den 12. Novembris 1781, als Geschworner erwählt
(f° 22) Donnerstag den 28 Novembris 1782, als Untermeister erwählt
(f° 22-b) Montags den 1. Decembris 1783, als Obermeister erwählt
(f° 24-b) Mittwoch den 17. Novembris 1784, als Untermeister erwählt
(f° 29) Dienstags den 13. Decembris 1785, als Obermeister erwählt
(f° 33-b) Dienstag den 9. Decembris 1788, als Untermeister erwählt
(f° 35) Mittwoch den 13. Januarÿ 1790, als Obermeister erwählt
(idem) Montag den 12. Aprilis 11790, als Sydic erwählt

La veuve de François Antoine Laroche, Marguerite Bitterolff, meurt en 1818 chez son fils curé à Riedseltz
Décès, Riedseltz (n° 29)
Déclaration de décès le 23 décembre 1818. Marguerite Bitterolff, Veuve de feu Monsieur Laroche vivant doreur à Strasbourg, âgée de 73 ans, née à Strasbourg, domiciliée à Riedseltz morte en cette mairie cejourd’hui à deux heures du matin en la maison curiale (i 12)

François Antoine Laroche fils rachète de ses frères et sœurs les parts de la maison et en devient seul propriétaire

1819 (11.12.), Strasbourg 10 (66), Not. Zimmer n° 8680, 5287
1. François Joseph Laroche ci devant ciseleur présentement consigne, 2. Marguerite Laroche épouse de Jean Baptiste Xavier Bährmann, employé à l’académie royale de Strasbourg, 3. François Joseph Imbs, doreur et vernisseur, fondé de pouvoir de 1) Maximilien Laroche desservant la cure de Riedseltz arrondissement de Wissembourg ; 2) Louise Laroche majeure demeurant avec ledit M le Curé son frère à Riedseltz, 4. Jean Laroche, garçon ciseleur majeur, les cinq frères et sœurs Laroche conjointement avec François Antoine Laroche leur frère acquéreur héritiers chacun pour un 6° de la succession de de François Antoine Laroche ciseleur et Marie Marguerite née Bitterolff leurs père et mère
à François Antoine Laroche, ciseleur, et Marie Madeleine Graff
cinq 6° par indivis dans une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg en face du fossé des tanneurs vis à vis l’Homme de Fer n° 66 derrière les petites Boucheries entre le pont de pierre dudit fossé et la propriété du Sr Brey fils passementier, devant la rue derrière ledit fossé, ensemble cinq 6° de tous poeles murés et non murés, doubles fenêtres, jalousies, chaudron à lessive et généralement tout ce qui dans ledit bâtiment tient en mur ou à clous et qui a droit de nature immobilière – le Sr François Antoine Laroche père a acquis ladite maison de Marie Barbe Ott veuve de Jean Philippe Otto tonnelier et marchand vin et ses trois frères et sœurs par vente passée à la Chambre des Contrats le 13 août 1785 – moyennant 12.500 fr
Enregistrement, acp 145 f° 114 du 14.11.

Le doreur François Antoine Laroche épouse en 1802 Marie Madeleine Graff, fille du consigne à la Porte blanche
1802 (6 brum. 11), Strasbourg 14 (18), Not. Lex n° 2365
Eheberedung – b: Frantz Antoni Laroche gieser und Vergolder mehrjährigen alters des b. Frantz Antoni Larosche, ebenfalls gieser und Vergolder, mit Anna Margaretha geb. Bitterolff ehelich erzeugter Sohn
und die bürgerin Maria Magdalena Graff die ledige mehrjährige des b. Frantz Joseph Graff, Consigne adjoint bey dem Weißenthurn thor, mit Fr. Sophia Graff geb. Bauer ehelich erziehle tochter
erklärt die hochzeiterin, daß sie mit in die Ehe bringe eine in dem Metardus Gäßlein allhier gelegene mit N° 3 bezeichnete behausung und zubehörden 1.s. neben b: Grimm eh. Notario, 2.s neben b: Gradwohl dem Schreiner, vornen gedachte Gaß hinten auff b. Wägel dem Schaffner der Saltzmagazin
Enregistrement, acp 86 F° 4 du 12 brum. 11

François Antoine Laroche meurt en 1849 à Ingwiller chez son fils curé en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue du Dôme.
1849 (1 8.br), Strasbourg 1 (105), Not. Rencker n° 20.536
Inventaire de la succession de François Antoine Laroche
L’an 1849 le Lundi premier octobre à une heure après midi, Ont comparu 1° Dame Marie Madeleine Graff, veuve de M. François Antoine Laroche, en son vivant propriétaire, domiciliée à Strasbourg, 2° M. François Antoine Laroche, curé domicilié à Scheibenhardt, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire de son frère M. Alexandre Charles Laroché, curé domicilié à Ingwiller (…), 3. M. Auguste Laroche, fabricant de bronzes, domicilié à Strasbourg, Lesquels ont déclaré que par exploit de l’huissier Samuel de Strasbourg en date du 29 septembre dernier (…) ils ont fait sommer Dame Sophie Laroche épouse de M. Joseph de Lipowski, Professeur à l’école industrielle de Strasbourg, domicilié en ladite ville, à se trouver cejourd’hui à l’heure ci dessus indiquée en la demeure de feu M. François Antoine Laroche, père, décédé à Ingwiller le 21 août dernier à l’effet de procéder à l’inventaire de la succession délaissée par ledit Sr Laroche, père, & de la communauté qui a existé entre lui & son épouse au contenu de leur Contrat de mariage passé devant M° Lex notaire à Strasbourg le 6 brumaire an XI. (…) MM. François Antoine Laroche, Alexandre Charles Laroche, Auguste Laroche & Madame Lipowski agissant en qualité de seuls et uniques héritiers chacun de pour un quart de feu ledit sieur François Antoine Laroche leur père

Chambre d’habitation, Chambre à coucher sur la rue, Chambre à coucher sur la cour, Salon, Corridor, Chambre de domestique, Cuisine, Au grenier, Dans la cave
Rapports. M. Auguste Laroche a repris l’expédition& de son contrat de mariage passé entre lui et Mme Thérèse Bolla devant M° North Notaire à Wasselonne le premier octobre 1843
(vacation du 3 octobre) Immeuble. Une Maison à Rez-de-chaussée & trois étages Rue du Dôme N° 20 (…)
Titres et papiers. Contrat de mariage – Testament olographe fait par le défunt le 15 août 1844 (…) lègue la pleine et entière propriété d’un quart de tous mes biens à Marie Madeleine Laroche née Graff
Propres inexistants de la veuve, la maison Rue St Médard (…)
Propres inexistants du défunt, Suivant testament olographe de M Jean Michel Keim prêtre à Marienthal en date du 10 février 1832 déposé en l’étude de M° Ritleng notaire à Strasbourg le 23 juin 1838 le défunt a été institué légataire universel
acp 387 (3 Q 30 102) f° 78-v du 9 octobre (succession déclarée le 11 février 1850) Communauté, mobilier évalué 2284, argent comptant 110, rapports à faire par les héritiers à la succession 14.091, garde robe du défunt 249
Une maison à Strasbourg rue du Dome N° 20, créances 4040 – Passif 30.000 et 426
Enregistrement de Strasbourg, ssp 107 (3 Q 31 606) f° 26 du 9.10. ssp du 15.8.1844 – Testament de François Antoine Laroche

Les héritiers liquident la succession après la mort de Marie Madeleine Graff en 1856.
1856 (14. 9.br), Strasbourg 1 (142), Not. Rencker n° 24.251
Liquidation et partage des successions délaissées par Monsieur François Antoine Laroche, en son vivant propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, décédé à Ingwiller le 21 août 1849, et par Dame Marie Madeleine Graff, sa veuve, domiciliée en ladite ville de Strasbourg où elle est décédée le 5 octobre dernier
à la requête et en présence 1. de Monsieur François Antoine Laroche, curé à Scheibenhardt où il est domicilié, 2. de Monsieur Alexandre Charles Laroché, curé domicilié à Ingwiller, 3. de Monsieur Auguste Laroche, fabricant de Bronzes, domicilié à Strasbourg, 4° et de Dame Sophie Laroche, Epouse séparée de biens par justice du S. Joseph de Lipowski, Professeur demeurant à Paris, elle demeurant à Strasbourg (…) Messieurs François Antoine Laroche, Alexandre Charles Laroche, Auguste Laroche et Mad. Lipowski, agissant en qualité de seuls et uniques héritiers chacun de pour un quart de feu Monsieur François Antoine Laroche et Dame Marie Madeleine Graff leur père et mère ci-dessus dénommés.

Observations préliminaires. La succession délaissée par Mons. Laroche père et la Communauté qui a existé entre lui et sa femme ont été établies par l’inventaire dressé par M° Rencker notaire soussigné et l’un de ses Collègues le premier octobre 1849. Madame Laroche avait droit en vertu du testament de son mari à la propriété d’un quart dans sa succession et à l’usufruit viager d’un autre quart. Les héritiers ont laissé toute la masse dans l’indivision jusqu’au décès de la mère (…)
Masse active, se compose 1) d’une Maison à Rez-de-chaussée & trois étages Rue du Dôme N° 20 (…)
acp 455 (3 Q 30 170) f° 12 du 17. 9.br du 17 novembre (succession déclarée le 11 février 1850 et 7 janvier 1587) Il dépend des dites succession Une maison sise à Strasbourg rue du Dôme N° 20 estimée 86.000, rapport de la D° Lipowski 4000, rapport d’Auguste Laroche 20.000, ce que doit François Antoine Laroche 1606, ce que doit Charles Laroche 2280, rente de 102 francs 4 % en capital 2040, rente de 50 francs 4 % en capital 1000, argent en compte courant chez Hirsch & Cie 1008, à la Caisse d’épargne 1026, total 118.964
déduire créance hypothécaire 30.000, rapport à De Lipowski 500, reste 83.964 francs
Auguste Laroche reçoit la maison

Le maire vend les matériaux provenant de la maison sise 66, place de l’Homme de fer. Le sol est réuni à la voie publique comme le montre le cadastre.

1841 (20.8.), Maire
Vente par la Ville de Strasbourg des matériaux provenant de la démolition d’une maison Place de l’homme de fer N° 66
à Frédéric Ballis, tonnelier à Strasbourg sous la caution de Michel Heitz aubergiste à Strasbourg pour 1160 francs – approuvé le 30 août
acp 290 (3 Q 30 005) f° 63 du 3.9.



3, rue du Fossé des Tailleurs (ancien 5)


Rue du Fossé des Tailleurs n° 3 – VI 208 (Blondel) O 246, puis section 19 parcelle 19 (cadastre)

Reconstruite par Melchior Hartung, orfèvre, (1602) – Oriel par Martin Reinold, marchand (1609)
Auberge à la Toison d’or (1743 et suivantes)


Vers 1910 (Archi-wiki) – Vue en mars 2018 – Oriel remonté rue des Hallebardes (août 2021)

Inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom des héritiers de Valentin Storck, la maison a 20 pieds de long et un auvent de même longueur. Elle appartient au début du XVII° siècle à l’orfèvre Melchior Hartung qui supprime en 1600 une marche dallée pour mettre le pavage au même niveau que ses voisins et entrer de plain-pied dans sa boutique. Il reconstruit en 1602 la maison en modifiant l’auvent que les Préposés au bâtiment soumettent à un loyer de 5 sols. Sa veuve vend en 1606 la maison au marchand Martin Reinold (Martin Renault, réformé originaire de Sainte-Marie-aux-Mines) qui y fait établir en 1609 un oriel dont la hauteur initiale d’un étage est portée à trois étages. On conserve un contrat exceptionnel par lequel Martin Reinold charge le maître maçon Daniel Bederich de sculpter un oriel en bois de chêne dont l’étage inférieur portera les figures de la Justice et de la Charité. Le loyer communal pour l’auvent subsiste. Martin Reinold vend en 1622 la maison au marchand Christophe Axt, son parent par sa femme. Elle appartient à partir de 1677 à l’apprêteur de chapeaux Jean Fischer qui part s’établir à Francfort puis aux marchands Jean Conrad Henninger (1684-1719) et Georges Jacques Strauss (1719-1743). Ancien garde du comte du Bourg et inspecteur à la Chambre de police, Claude Joseph Lambert y établit en 1743 l’auberge à la Toison d’or.



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 181 (© Musée des Plans-relief) 1 – Cour

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie, trois étages en bois et un oriel. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à droite du repère (b) ; rez-de-chaussée à trois ouvertures dont celle de droite est la porte, quatre étages entièrement occupés par des ouvertures, toiture à un niveau de lucarnes. L’arrière de la maison qui donne sur le fossé dit Ulmergraben (cour) est celle du milieu entre les repères (4-5).
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857). Elle est réunie en 1833 à la voisine vers le nord n° 3 qui gardera le même numéro après 1857.


Figures de la Justice et de la Charité (premier étage) – Détails

Le négociant Jean Daniel Christmann achète la maison en 1798 puis la revend. Sa veuve la rachète en 1817 avant de la céder au négociant Paul Simon Mühé qui la réunira à la voisine en 1833. La jouissance du fossé Ulmergraben est réglée par l’arrêté du maire en date du 30 mai 1822 puis un accord passé en 1884.
La façade et la toiture sont inscrites le 25 juin 1929 à l’inventaire des monuments historiques. Détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944, la maison est reconstruite d’un seul tenant avec les anciens 5 à 11 de la même rue et 1 à 3 place Gutenberg. L’oriel est remonté vers la rue des Hallebardes (n° 2). Une nouvelle devanture remplace en 1990 une porte et une fenêtre.


Millésime (deuxième étage) – Quatre-de-chiffre et initiales MR (premier étage)
Vue après les bombardements (Spehner, AMS cote 1 Fi 94)

septembre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Melchior Hartung, orfèvre, et (1567) Rosine Dreher, d’abord (1564) femme de Bernard Schæntzel, puis (1578) Marie Pullian, remariée (1604) avec l’orfèvre Claude Bittot – luthériens
1606 v Martin Reinold, marchand, et (1578) Elisabeth Lobstein – réformé et luthérienne
1622 v Christophe Axt, marchand, et (1604) Cléophée Storck – luthériens
1634 adj Guillaume Hærlin, orfèvre, et (1601) Susanne Parthess puis Elisabeth Herbst femme (1610) de Jean Ritter, receveur à l’hôtel de Marmoutier, puis (1620) du marchand Jonas Hammerer – luthériens
1664* h Guillaume Frédéric Sopher et Jean Gothard Sopher, fils du pharmacien de Lahr Charles Frédéric Sopher (bourgeois en 1664)
1677 v Jean Fischer, apprêteur de chapeaux, et (1671) Cléophée Zorn puis (1679) Ursule Büchel – luthériens
1684 v Jean Conrad Henninger, marchand, et (1677) Anne Salomé Schmidt puis (1687) Marie Dorothée Hellbeck – luthériens
1719 v Georges Jacques Strauss, marchand, et (1715) Elisabeth Leydecker – luthériens
1743 v Claude Joseph Lambert, garde, employé municipal, aubergiste, et (1729) Marie Claude Le Begue, d’abord (1714) femme du traiteur Léonard Dubois dit Demoulins – catholiques
1798 v Jean Daniel Christmann, négociant, et (1793) Anne Marie Fleischhauer puis (1802) Frédérique Sophie Lung
1809 v Jean Théophile Marzolff, baquetier, et (1803) Anne Marie Aufschlager
1813 v Laurent Voltz, tonnelier, et (1811) Catherine Salomé Zimmer
1817 v Charles Louis Bahn, passementier, et (1812) Frédérique Sophie Lung veuve de Jean Daniel Christmann (supra)
1826 v Paul Simon Mühé, négociant, et (1820) Frédérique Henriette Hoffmann
1863 h Adélaïde Mühe, religieuse à Conflans
1900 Théodore Camille Schauffler, négociant
1947* h Eugène Michel Jean Royer, rentier, son épouse née Schauffler à Nice

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 325 livres en 1701, 1 200 livres en 1735, 750 livres en 1765.

(1765, Liste Blondel) VI 208, au Sr Lambert
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Galler, 2 toises, 5 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 246, Mühe, Paul, Vieux Marché aux Poissons 61 – maison, sol – 0,66 are

Locations

1678, Jean Fischer, apprêteur de chapeaux (futur propriétaire)
Aubergistes
1743, Claude Joseph Lambert (propriétaire)
1761, Pierre Tintelier
1764, Jean Henri Klopffer et Marie Dorothée Artzner
1767, Jean Adam Sebastian et (1720) Marie Madeleine Monnet

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 32
Les héritiers de Valentin Storck règlent 1 livre 4 sols 8 deniers pour leur maison au fossé des Tailleurs qui a 20 pieds de long, un auvent de même longueur en saillie de 6 pieds, un étal de tailleur (12 pieds de long, 2 pieds ½ de large), une marche en pierre devant la porte (9 pieds de long, en saillie de 7 pieds) une porte de cave (7 pieds de long sur 4 pieds ½ de large), un banc (5 pieds ½ de long, 1 pied ½ de large), un soupirail (2 pieds de long, 15 pouces de large)

Schneider Graben die Einseith
Veltin Storcken seligen Erben haben ein Hauß darneben 20 schu lang, Oben ein Wettertach auch so lang Vnd 6 schu herauß, Mehr ein Schneÿder Banckh 12 schu lang 2 ½ schu breÿt, Ein steinerin Staffel vor der Thüeren 7 schu herauß Vnd 9 schu lang, Mehr ein Kellerthüer 7 schu lang 4 ½ schu breÿt, Ein Siz benckhlin 5 ½ schu lang 1 ½ schu breÿt, Item ein Kellerfenster 2 schu lang, 15 Zoll breÿt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Nießen, j lb iiij ß viij d

1602, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 264
Les préposés inscrivent en 1602 un loyer de 5 sols que doivent le revendeur Melchior Hartung et sa femme Marie Pullian pour une maison neuve au fossé des Tailleurs. Les contribuables suivants sont Martin Reinhard puis Christophe Axt.

Item v ß d gibt Melchior harttung der Krämer vnd maria Pullianerin von einem wetterdach vff Johann baptiste gefallend, Ist Ihro gönt vnd Zugelassen worden, wie Im buch der Newen Leÿhenungen fo. Act. den 9.ten Junÿ ao 1602. An einer newen erbawenen behausung vffm schneidergraben gelegen.
Jetz Martin Reÿnhart
(rub.) Jetz Christoff Axt
new 8.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 8
Le loyer est reporté au folio 8 du nouveau registre. Guillaume Herlin puis signal Frédéric Sopher doit 10 sols pour un oriel.

Jetzt Wilhelm Friderich Sopher
Wilhelm Härlen, Soll gemeiner Statt (…) Item Von einem Ercker seiner behaußung Vf dem Schneidergraben Jahrs vf Johis Baptæ 10 ß
Alt d. f. 264
New fol. 7
Ext. 1652

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 7
Les contribuables suivants sont Jean Conrad Henninger à partir de 1685 puis le marchand Georges Jacques Strauss

Wilhelm Friderich Sopher, Soll gemeiner Statt von einem Ercker seiner Behaußung vff dem Schneidergraben, Jahr vff Johann: Bapt., 10 ß
ietz Johann Fischer 1678
jetzt H. Johann Conrad Henninger 85. io.
Jetzt H. Georg Jacob Strauß, Kauffmann

St: Zinnßb. p. 8
Neuzb. 425
(Quittungen 1673-1741=

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 425
Les contribuables suivants sont Claude Joseph Lambert à partir de 1744 puis Jean Daniel Christmann

alzb. 7
Georg Jacob Strauß soll von einem Ercker seiner Behaußung auf den schneider Graben Jahrs auf Joh. Bapt: (id est 24 Junii) 10 ß
(Quittungen 1741-An 10) [in margine :] 6 Messidor
C 205

jetzt Claude Joseph Lambert 1744. I.mo
Les héritiers Lambert
Jean Daniel Christmann

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1600, Préposés au bâtiment (VII 1315)
La femme de Melchior Hartung demande l’autorisation de supprimer une marche dallée (8 pieds sur 8) sous laquelle se trouve une petite cave pour mettre le pavage au même niveau que ses voisins et entrer de plain pied dans sa boutique. Elle demande par contre de mettre quelques marches devant sa porte et de rabaisser la porte de sa cave. Les préposés le lui accordent eu égard que le communal en sera agrandi.

Melchior Hartungs fraw vffm Schneidergraben pt° staffels. 179.
(f° 179-v) Mittwoch d. 12. Novembris A° 1600 – Melchior Harttungs Fraw die begert vffm Schneid. graben ein braiten gepflesterten dritt od. staffel so vff 8 schuh lang vnd breit vnd vff ij. schuh hoch darunder sie ein Klein gewölblin oder Kellerlin hatt, Zuverändern, vnd hinweg Zuthun damit es vornen her gegen dem Pflaster, vnd and.seiten Ihren nachburen gleich werde, vnd sie ebens fueß Ins gaden ghen könte, allein würde sie ein Par steinere staffelin so geschmeidiges sein kan vor d. haußthieren vonnöten haben. Bittet Ihr solches Zu Zulassen, sonderlich auch die hohe Keller thier nidere Zumachen, & Erkandt weil das Almendt erweitet oder gebessert würt, vnd ein besserer wolstand sein würt, Ihro In Ihrem begeren Zu willfahren. bedanckt sichs.

1602, Préposés au bâtiment (VII 1317)
Le revendeur Melchior Hartung qui a demandé le droit de mettre un auvent à sa nouvelle maison déclare avoir changé d’avis. Comme l’auvent existe, les préposés se rendent sur place et constatent que l’auvent (19 pieds 4 pouces de large et une saillie de 7 pieds) a quatre anciennes poutres et 4 anciens chevrons et que plusieurs poutres et chevons ont été rajoutés. Les charpentiers qui ont reconstruit l’auvent sont Jean Schwartz et Jean Arnold. Les préposés proposent de soumttre l’avent à une redevance annuelle de 5 sols. Les charpentiers déclarent qu’il n’ont fait que réparer l’auvent que les maçons ont ensuite démonté ; ils sont mis à l’amende pour ne pas avoir demandé d’autorisation.

Melchior Hartung der kremer pt° Wetterdächel vffm Schneidergraben. 55. 57. 105. Hans Schwartz und Hans Arnold. 151.
(f° 55-v) Freÿtag den 9.ten Aprilis – Melchior Hartung kremer hat hieuor ein Augenschein vmb ein Wetterdächel begert, aber Jetzo gesagt, bedörffs nit mehr, Ist referirt, das solch wetterdächel er d. Herren vnerwarttet gemacht, derhalben den Werckheüthen beuohlen dasselb. ordenlich ab zu messen vnd Zu referiren

(f° 57) Sambstag den 10. Aprilis – Melchior Hartung des Krämers wettterdachs halben so er vff dem Schneidergraben an seiner erbawenen behausung ohn erlaubnus gemacht, Referiren Stattlonh. vnd bede Werckmeister Sie haben empfang. bevel nach solch gemacht wetterdach abgemessen, ghee 7 sch brait herauß vnd seie 19 sch 4 Zoll lang, hat 4 alte Träm ligen lasen auch 4 alte sparren, vnd Newe balcken vnd sparren darzwischen Zugezogen, seie aber gar abgebrochen geweßen vnd heissen die Zween Zimmerleüth so es gemacht hanns schwartz und hanns Arnoldt. Soll den Bawherren fürgrbracht werd.

(f° 105) Zinstag 9.ten Junÿ – Hab antzeigt das Melchior Hartung vffm schneid. grab. unerwarttet des Augenscheins ein wett.dächel abgebrochen vnd ein newes vnerlaubt gemacht hat In lenge 19 schuh und 7 sch breit herauß, seie Zugestelt biß Zur Bawh. Zusammenkunfft.
Erkandt sie Zubeschicken vnd vff solch wett.dächlin 5 ß d Zinß daruff zuschlagen Vnd die Zwen Zimmerleüth so solches gemacht wie hieuornen fol. 37. Zusehen Zubeschicken vnd Zustraffen, Soll der Zinß weÿhenachten 1602. erstlich gefallen.

(f° 151) Mittwoch den erst. Sept. – Hans Schwartz und Hans Arnold bede Zimmerleuth vnd gesagt, das sie Melchior Hartung dem krämer vffm schneid. graben ein wetterdach gemacht, vnerlaubt, vnd vnerwartet des Augenscheins & die sag. sie haben nit new gemacht, sondern nur das alt dach sie noch da, wie vor auch, seine nur höltzer hinein gestossen worden, oder balcken, die vsser Pfett. seie noch da, die alten Sparren seien noch da, vnd seie vnderspreisst worden, sie habens nit hinweg gethan, sondern der Maurer hab die dach abgehebt, haben sie noch d. alt dach wider vß gemacht vnd seie nichts newes daran gemacht worden
Damit abgedretten, weil sie gestendig seindt, das sies wid. gemacht hab. so wider ordnung. So soll man ihnen 30 ß Zustraff abnemmen, da sie gnad begeren beÿ ein pfund bleibe, lassen, das Ist Ihnen angezeigt. die bitten vmb gnad wöllens nit mehr thun. Alß Ist Ihnen j lb d in 3 tag Zuerleg. bevohlen word.
Zalt j h d samstags den 4 Septembris. Verrechnet post nativitatis Mariæ 1602

1609, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Le comptable Martin Reinbold qui a acheté une maison a l’intention de mettre un oriel en bois devant son poêle (8 pieds de large, saillie de 4 pieds). Le gentilhomme Prechter le renvoie aux Conseillers et aux Vingt-et-Un

(f° 18-v) Donnerstag den 9. Februarÿ – Martin Reinbold der buochhalter in des Bitto gaden, bitt Ihm an seim erkaufft. hauß oben In der Stuben ein hültzeren Ercker 4 sch herauß vnd 8 sch In braite nur In der Stuben oder nur j gadens hoch. Ist deßhalben Niemand gefragt, sond. hat Jr. Prechter Ihme ertheilt es gehöre für Rhat XXI nit für B : schweigt still.

1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un laissent à l’appréciation des Préposés au bâtiment d’autoriser Martin Reinot à mettre un oriel de 8 pieds de long sur 6 de large à sa maison au Fossé des Tailleurs

(f° 34) XI. Februarÿ – Martin Reinnott vmb Ercker
Martin Reinnott haltet p. supplônem an d. Ime in seinem hauß auf dem Schneidergraben ein Ercker 8 schu in die leng 6 in die breit erlauben woll, wie die Bawhhn. weren wissen anzumelden, die refer d Ime wol Zuerlauben aber nit so viel schu.
Erk. Bawhn vnd drey sollen befelch vnd gewaldt haben Ime den Ercker Zum wolstand d. statt Zuerlauben. H. Kolloffel, H Kobele.

1609, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Les préposés l’autorisent à titre gratuit à placer un oriel en saillie de trois pieds et demi sur huit à coupole arquée devant son poêle. Jean Lagay déclare que Martin Reinbold va poser l’oriel non pas sur le côté mais au milieu de sa maison puis que l’oriel aura trois étages de haut. Martin Reinbold demande en juin l’autorisation de reculer la porte de sa cave (6 pieds 9 pouces sur 4 pieds un pouce) et le soupirail (2 pieds 2 pouces).

(f° 41) Zinstag den 7. Martÿ – Martin Reinbold des buochhalters Sup.ton so er beÿ Rhat XXI vbergeben abglesen, vnd weil B vnd 3 beuelch und gewalt geben, seinen Ercker Zu Zulaß. od. nit & Ist dauon geredt, vnd Ihme sein begehren 3 ½ schuh vnd 8 schuh, herauß vnd In braite – (Im Lecht) Zugelaß. ohn Zinß.

(f° 42) Mittwoch 8. Martÿ – Martin Reimbolden Ist angezeigt d. vnser H Ihm ein Ercker In d. stuben ein gad. hoch mit welsch. hauben 4 sch herauß vnd 8 schuh breit vberhaupt gemess. Zugelassen seie, bedanckt sich vnd Nimbts an.

(f° 47-v) Montags 13. Martÿ – Martin Reinbold p. hanns Lagaÿ sagt wer bedacht sein bewilligten Ercker nit Ins eck, sond. In die Mitte nur ein gad. hoch Zumach. In vorig. braite vnd lenge. Ist zugelaß.

(f° 60) Dienstag prima Aprilis – Martin Reinbolds Zimmermann hans Lageÿ sagt die baw herren haben sein bawherren gegönt den bewilligten Ercker 3 gad. hoch Zumachen, heb er Anthung sollen vnd wöllen.

(f° 102) Zinstag den 13.ten Junÿ 609. – Martin Reÿmbold lasst p. hanns flach Anhalten vnd bitten weil er ein Ercker macht vnd die Kellerthier Verrucken muß so bitt er Ihm solchs Zu gestatten, bleib beÿ alter breite, vnd lenge, Sollen die werckleüth hören, sehen vnd Abmeß. wid. referiren, Referirt M Joham die Kellerthier ghe 6 sch 9 Zoll Im liecht herauff vnd weÿt Im liecht 4 sch ein Zoll, das Kellerfenster Ist 2 schuh lang ij sch brait, sollen bede stuck verruckt vnd verandert werd.

Description de la maison

  • 1701 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique et une cave voûtée
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, au-dessus un grand poêle et un petit poêle, une cuisine étroite, vestibule et chambre, pièce pour l’officier, au rez-de-chaussée la boutique et un vestibule, à l’arrière un petit magasin, une issue sur le fossé dit Ulmergraben, cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2 400 florins
  • 1765 (billet d’estimation traduit) L’auberge comprend la salle de débit, trois poêles, une cuisine et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Tailleurs

nouveau N° / ancien N° : 3 / 4
Mühe
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages en bois mauvais et lanterne
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 93 case 2

Muhé, Paul, quincaillier, vx marché aux poissons N° 61

O 246, Maison, sol, rue des tailleurs 4
Contenance : 0,66 (total 1,32)
Revenu total : 95 et 0,34 (total 203,68)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 10

O 247, maison, sol, idem (rue des tailleurs 4)
Contenance : 0,66
Revenu total : 108 et 0,34
Folio de provenance : 93, 3° case
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 93 case 3

Muhé, Paul, quincaillier, vx marché aux poissons N° 61

O 247, maison, sol, rue des tailleurs 5
Contenance : 0,66
Revenu total : 108,34 (108 et 0,34)
Folio de destination: 93, 2° case
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 172 case 2

Muhé, Paul, quincaillier, Place Gutenberg 4. Rayé 1859
1859. Mühé, Paul Simon, propriétaire, Place Gutenberg 4. Rayé pour 1865
1865 Mühe Adélaïde, religieuse à Conflans
1900 Schauffler, Theodor Camill, Kaufmann

O 246, Maison, sol, Rue des tailleurs 3
Contenance : 0,66 (total 1,32)
Revenu total : 95 et 0,34 (total 203,68)
Folio de provenance : (93)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 18

O 247, maison, sol, idem (Rue des tailleurs 3)
Contenance : 0,66
Revenu total : 108 et 0,34
Folio de provenance : (93)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

Cadastre allemand, registre 30 p. 222 case 8

Parcelle, section 19, n° 19 – autrefois O 246, 247
Canton : Schneidergraben Hs N° 3 – Rue du Fossé des Tailleurs
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,05 puis 1,60
Revenu : 1900 – 2800
Remarques : 1943 Verein.

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1911), compte 1053
Schauffler Theodor Camill S. v. Kamill
gelöscht 1911

(Propriétaire à partir de l’exercice 1911), compte 467
Greyenbühl Leo
1905 Schauffler Theodor u. Ehefr.
gelöscht, 1943

(Propriétaire à partir de l’exercice 1943), compte 6125
Schauffler Theodor Kamillus, Wittwe
clos, 1947

(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6343
Royer Eugène Michel Jean, rentier son épouse née Schauffler à Nice*
(3466)

Cadastre allemand, registre 30 p. 222 case 8

Parcelle, section 19, n° 19.a – aus Graben
Canton : Ulmergraben, M. 2363, 8/06
Désignation : Hf
Contenance : 0,52
Revenu :
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1943), compte 467 (supra)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1943), compte 6125 (supra)

Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace (notice p. 528)

Façade et toiture, (inscrites le 25 juin 1929), déplacées 2, rue des Hallebardes
Le Service de la reconstruction décida de démolir entièrement le bâtiment sis 3, rue du Fossé des Tailleurs qui avait subi d’importants dommages pendant la dernière guerre. Le Service des Monuments historiques obtint que l’oriel rectangulaire soit replacé dans la partie du nouveau bâtiment orientée vers la rue des Hallebardes.
Il s’agit d’un bel ensemble sculpté sur trois niveaux, comparable à la maison Kammerzell mais à plus petite échelle. Les encadrements de fenêtres ont des ornements caractéristiques de la deuxième moitié du XVI° siècle : colonnettes d’encadrement, frises d’oves en linteau, le décor étant plus riche aux deux étages inférieurs. Au premier niveau, deux figures féminines allégoriques occupent les angles, l’une symbolisant la Justice et l’autre, accompagnée de deux enfants et d’un pélican, la Charité. Des masques léonins forment des consoles, une guirlande de fruits suit les appuis. A l’étage intermédiaire, les pilastres cannelés reposent sur des consoles sculptées de masques plus ou moins grotesques. Le millésime 1609 figure en cartouche.

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

(Rubrique non renseignée)
Canton VI, Rue 165 des Tailleurs p. 325

4
(-)

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schneidergraben (Seite 152)

(Haus Nr.) 5
Bernhard, Näherin. 0
Delesalle-Barghan, Schuhmacherartikel Schäftefabrik E 012

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 807 W 188)

Rue du Fossé des Tailleurs 3 (1884-1991) renvoi au dossier Place Gutenberg 4, 5, 6 pour la reconstruction

Le maire, considérant que l’arrêté du maire en date du 30 mai 1822 a autorisé les riverains à jouir du fossé Ulmergraben alors propriété communale, autorise en 1884 Aloïse Linder, demeurant à Obernai, à conserver à titre précaire les aménagements (fosse d’aisances) sur le terrain communal à l’arrière de la parcelle. La maison est raccordée aux canalisations en 1886. La couturière Lina Hügele est autorisée en 1908 à employer plus de dix personnes dans son atelier au deuxième étage ; elle le transfère la même année au 4, rue des Veaux. La maison est détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944. Elle est reconstruite d’un seul tenant avec les anciens 5 à 11 de la même rue et 1 à 3 place Gutenberg. Une nouvelle devanture remplace en 1990 une porte et une fenêtre.

Sommaire
  • 1884 – Aloïse Linder, demeurant à Obernai, demande l’autorisation de continuer à jouir de l’ouverture de sa maison vers le fossé dit Ulmergraben. Cette ouverture qui donne depuis un temps immémorial accès à la fosse d’aisances est entretenue aux frais des riverains, a déjà été reconnue par le maire le 30 mai 1822 et par une demande que les différents riverains lui ont adressée en 1833.
    Le maire, considérant que l’arrêté du maire en date du 30 mai 1822 a autorisé les riverains à jouir du fossé Ulmergraben alors propriété communale, que les constructions au-dessus et au-dessous du sol pourraient ultérieurement donner lieu à des litiges, autorise le 8 décembre 1884 le pétitionnaire à conserver à titre précaire les aménagements sur le terrain communal. L’accès au puits doit être entretenu aux frais du bénéficiaire et recouvert d’une plaque en pierre ou en métal. Le bénéficiaire devra verser à la Ville un droit annuel d’un mark. – Croquis
  • 1886 – Le maire notifie Aloïse Linder, demeurant à Obernai, de raccorder la maison aux canalisations qui existent depuis plus de dix ans
    L’entrepreneur P. Matter (15, rue Kageneck) demande l’autorisation de faire deux raccords aux canalisations – Autorisation de faire les travaux au 3, rue du Fossé des Tailleurs qui appartient au sieur Linder – Dessin
  • 1889 – Le maire notifie Aloïse Linder, rentier à Obernai, de faire ravaler la façade
    L’entrepreneur Matter demande un délai d’un an que le maire accorde. Travaux terminés, juillet 1890.
    1895 – Nouvelle demande. Aloïse Linder objecte que le ravalement remonte à 1890 seulement et que les parties en bois ont été peintes à l’huile. Le maire fait remarquer que l’enduit qui recouvre le crépi devrait être entretenu. Il accorde un délai puis de nouveaux délais, en 1896 après la mort d’Aloïse Linder en mai 1896, puis en 1897. – La façade a été repeinte à l’huile, septembre 1898.
  • 1900 – J. Mack demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation accordée pour l’enseigne déjà posée
  • 1902 – Le maire constate que Louise Henlé a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
  • 1906 (juin) – Le maire notifie le rentier Camille Schauffler (74, allée de la Robertsau), de faire ravaler la façade. Le propriétaire répond que le ravalement a eu lieu en mai.
    1907 – Nouvelle demande. Le conservateur des monuments historiques et d’autres personnes se tiennent gratuitement à disposition du propriétaire concernant les parties remarquables du bâtiment. La Police du Bâtiment note en marge que la façade n’est pas sale
  • 1908 – La couturière Lina Hügele (deuxième étage) demande l’autorisation d’avoir plus de dix employés. – Dossier – Le commissaire de police transmet une liste des prescriptions à observer. – Autorisation d’aménager un atelier de vêtements pour femmes, août 1908 – Plan de l’étage – Lina Hügele transfère en octobre l’atelier au premier étage du 4, rue des Veaux.
  • 1910 – Le peintre G. Grimm (10, rue des Dentelles) demande au commissaire de police l’autorisation d’occuper la voie publique pour ravaler la façade. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
  • 1915 – Une enseigne est supprimée
  • 1915 – Commission des logements militaires. Propriétaire, Schauffler, 74 allée de la Robertsau – Rien à signaler
  • 1927 – Le maire constate que Ed. Salignon, directeur de la maison A. Dony (4 et 6 place Gutenberg) a fait poser sans autorisation une antenne de T.S.F. entre le 3, rue du Fossé des Tailleurs et le 5, rue des Hallebardes – Demande – Autorisation
  • 1928 – Rapport du service des incendies. Un incendie s’est déclaré dans une chambre à cause d’une portière de cheminée défectueuse. – Propriétaire, Camille Schauffler, demeurant 13, rue Auguste-Lamey – Travaux terminés. janvier 1929
  • 1938 – Georges Hembach (5, rue Grandidier) demande l’autorisation de poser des matériaux devant le bâtiment – Autorisation – Le même demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant la maison Schauffler – Autorisation
    1938 – L’entrepreneur en bâtiment Zavagno-Riegel (route du Rhin au Neudorf) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour y poser du mortier – Autorisation
  • 1945 – Certificats de sinistré accordés à Hubert Hiss, à Joseph Beyel, à Hugure Drigo et à Alphonse Felden suite au bombardement aérien du 11 août 1944 qui a entièrement détruit la maison
  • 1953 – Courrier de l’architecte Adolphe Wolff. La société anonyme Quincaillerie centrale a acquis la parcelle sise 3, rue du Fossé des Tailleurs de Mme Royer-Schauffler. Pour faire valoir ses droits auprès du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, elle a besoin d’une coupe de l’ancien bâtiment.
  • 1990 – La société Création Jean Besson (Tissus Besson) demande l’autorisation de modifier une devanture, propriétaire du terrain section 19 parcelle 25, Ch. Reinhardt (16, rue du Vieux-Marché-aux-Vins). La société Steinbach Design (rue Transversale à Vendenheim) transmet un dossier.
    Le syndic de copropriétaires Ch. Reinhard donne son accord – Plan cadastral de situation – Photographies – Rapport de la commission de sécurité (surface totale 116 m² dont 82 ouverts au public) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – La Direction départementale du travail et de l’emploi communique les prescriptions à observer – Le maire autorise les travaux, septembre 1990. – Dessins (ancien et nouvel état)
    Suivi des travaux. La nouvelle devanture remplace une porte et une fenêtre, octobre 1990
    1991 – Visite de la Commissio de sécurité
  • 1991 – La S.C.I. Gutenberg communique sa nouvelle adresse, 3, rue du Fossé des Tailleurs

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle à l’orfèvre Melchior Hartung et à sa femme Marie Pullian. Originaire d’Erfurt, Melchior Hartung achète le droit de bourgeoisie en juillet 1564 puis se marie en 1567 avec Rosine Dreher, fille du secrétaire Jacques Dreher, qui avait épousé en 1564 Bernard Schæntzel, orfèvre originaire de Trèves.

1564, 3° Livre de bourgeoisie p. 59
Melchior Harttung von Ertfurth der goldschmidt hatt das burgkrecht Kaufft und dient zu der Steltz. eod. die [Zinstags den 18.ten Juli A° & Lxiiij]

Mariage, cathédrale (luth. p. 162)
1567. Suntag den 9. Hornung. Melchior Hartung, von Erffurdt, Goldtschmidt, Rosina, Bernhard Schentzels, seligen hind.lasne witwe. In der Kleinen stattel gassen werden sie ir ausgang haben auß des stein schneiders hauß, aber sie wonen in dem Kessel gessel Zum Samson, eingesgnet den 12. hornung (i 84)

Mariage, cathédrale (luth. p. 116)
1564. Suntag den 20. Hornung. Bernhard Schäntzell von Trier, Goldschmidt, Rosina Magister Jacob Dreers, weiland der Herren fünffzehen schreibers, nachgelaßenee dochter (i 61)

Melchior Hartung se remarie en 1578 avec Marie, fille de Michel Pullian
Mariage, cathédrale (luth. p. 287)
1578. Sontag den 19. Jener. Melchior Hartung Goldschmid, Maria, Michael Pulian hind.lasne docht. wonet in Predig. gaß. T. Seidtbrenners. Eingesgnet Montag den 3. hornung (i 146)

Le négociant Melchior Hartung l’aîné prend pour apprenti Jean Prieur, fils de Claude Prieur de Château-Salins en Lorraine
1602 (Ersten Julÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 310
(Inchoat. fo: 321.) Erschienen Claudius Priour von Saltzburg Inn Lotharingen gelegen Inn nammen vnd von wegen Hanßen, seines lieben Sohns ane eim,
So dann Melchior Hartung der Jünger handelsmann burg. alhie Inn nammen Hn Melchior Hartungs des eÿltern Gewerbsmans seines lieben Vattern, am andern theÿl
Haben beÿde Partheÿen gegen einand. bekhandt vnd offentlich verÿehen, das Sie sich von bemelts Hansen wegen freundlichen mit einander vereinbart vnnd verglichen wie hernach volgt, Nemlich, Das bemelter herr Melchior Hartung der eÿlter gedachten Hansen Inn sein Gewerb vnnd Handel vff vnd anemmen soll Fünff Jar lang die nechsten nach einander volgend vnd vff Johannis Baptistæ Jüngst von dato verschinnen angefangen (…)
Hiebeÿ gewesen Als Dolmetschen herr Anstet Mellin Stattschreyber Zu Saltzburg und Niclaus Hanns auch wonhaft Zu Saltzburg, hierzu erbetten

Marie, veuve du négociant Melchior Hartung, assistée de son frère négociant Simon Pullian, de son fils Melchior Hartung et de son gendre par alliance Antoine Bertram, rembourse une obligation
1603 (letzten tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 84
Erschienen Frauw Maria Wÿland herr Melchior Hartungs des Gewerbßmans burgers alhie seligen Witwe mit beÿstandt vnd bewilligung herrn Simon Bullians auch Gewerbßmans Ires lieben bruders vnd geschwornen Vogts, Mehr Melchior Hartungs und Anthoni Bertram Ir Sohn und Stieff dochtermann
Haben Inn gegensein herrn Michael Beringers offnen Notarÿ Inn nammen vnnd vonn wegen des Ehrenvesten Fürsichtigen vnnd Wÿßen herrn Christophel Städelins Altameÿsters der Statt Straßburg
erlegt und bezalt 300 pfundt pfenning Straßburger Vnnd damit ane sich gelößt die 300 pfundt pfenning welche Jr Herr Philips Hatt der Ferber noch per rest ane verkheüffter Behaußung schuldig dieselben vff Johannis Baptistæ Anno 1613 Zuerlegen vnnd hie Zwischen Järlich Zuverzinsen pflichtig, Vermög besond. Verschreibung so auch durch herrn Jacobum Kügler Contractuum Notarium darüber vffgericht davon datum den X. Februarÿ Ao 601.

Marie Pullian veuve de Melchior Hartung prend pour apprenti Adam Müller, demi-frère de Jacques Trau qu habite à « Lemmart » en Lorraine
1604 (6 Februarÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 49-v
(Inchoat. fo: 40.) Erschienen Fraw Maria Bullianerin weÿland herrn Melchior Hartungs seligen witwe ane Einem,
So dann Jacob Trauw Vonn Lemmart In dem Hertzogthumb Lottharingen den namen Adam Miller seines Stieffbrud. weÿland Peter Miller Zu Lemmats seligen Sohn, am Anderntheil,
Haben beede Partheÿen gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen daß sie sich von bemelts Adams wegen freundlich vereinbart vnd verglichen Inn dise weÿß Nemblich d. bemelte Frauw Maria Inen Adam Inn Ir gewerb Vnnd handell vff vnnd Annemmen soll Vier Jar lang die nechst nacheinander Volgend vnd faßnacht nechstkünfftig Anfahen sollen, denselben mit essen drinck und geleyt der Notturfft nach versehen Auch Zu aller ehr vnd forcht gotts Anhalten dagegen bemelter Adam sich gegen obgedachter frauwen Marien sich freundlich Erzeigen seinem Gewerb vnd handell täglich früh vnd speth abwarten derselben gebetten vnd verbotten (…)

La veuve se remarie avec l’orfèvre Claude Bitto qui avait épousé en premières noces Agnès Holl en 1570.
Mariage, cathédrale (luth. p. 139)
1604. Domin. 9 post Trinitatis den 5. Augusti. Clude Bittot der goltschmid, Maria Melchior hartung des goldschmidts n. g. witwe (i 73)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 5, n° 48)
1570. Dominica IIII Adventus. Clade Bittod von heem aus sophoien Agnes Jacob hollen des silber kremers dochter seind eingesegnet 8. Ianuarÿ anni sequentis (i 7)

Originaire d’Aime en Savoie, Claude Bittot achète le 24 décembre 1571 le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1571, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 191
Glade Bittodt von Ehm auß sofoÿen das burgerkrecht Kaufft vnd dient Zum Spiegel den 24. decemb. a° 71

Marie Pullian femme de Claude Bittot assistée de son fils Melchior Hartung vendent au marchand Martin Reinel (Reinold) la maison grevée d’un cens communal de 5 sols pour un auvent

1606 (5 Februarÿ), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 32
Erschienen Fraw Maria Bullianerin herrn Claude Bydo Ehegemahll mit beÿstand desselb auch herr Melchior hartungs Ires lieb. Sohns verkaufft
herrn Martin Reynel burgern alhie gewerbsman
huß v hoffestatt m all Iren gebeu geleg. Inn d. S S vff dem Schneÿder graben einseyt neben herrn hanns Fiessers selig. erben die anderseÿt hanns Feder goldschmidt stoßend hind vff d. Ulmer grien, davon gnd 8 guld gelts vff S Michels tag ablosig mit 200 gulden SW Jacob Rychßhoffers selig. erben, Mehr ij lb x ß vff Martini loßig mit L lb d gelts vff d heylig pfingsttag widerkheuffig mit xx lb d Armen Sondersiechen Zur rothen Kirch, So dann xv ß gelts vff dem geiligen Creütz erfündungs tag widerkheuffig m xv lb d herrn Reynbold Meygern v dann 5 schilling Allmend Zinß vff Martini vonn dem Wetterdach hieher Inn hauptgtt gerechnet für v lb d Sunst frey ledig eÿg der Khauff vber solche beschwerd für 905 pfund pfenning

Originaire de Sainte-Marie-aux-Mines, Martin Reinold achète le droit de bourgeoisie en juillet 1578 en s’inscrivant à la tribu du Miroir. Il est réformé de la paroisse française d’après son testament (voir plus bas)
1578, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 300
Marthin Reÿnoldt von Markirch der Kremer hatt das burgkrecht Kaufft und dient Zum spiegel Eod. die [den 8.ten July 78]

Martin Reinold épouse un mois plus tard Elisabeth, fille de Félix Lobstein : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Erbaren Martin Reinoldt von Maria Kürch ane eim vnd der Zichtigen Jungfr. Elisabetha Lobsteinin deß Ehrenhafften vnd fürnemmen Herrn Felix Lobstein Handelßmann vnd Burgers dießer Statt Straßburg ehelichen dochter ahm andern theil, Inn beÿsein, auff Rhat, guten wissen willen vnd gehell der fürnehmen weißen vnd bescheidenen Herrn Niclauß Götzen deß älnttern, Beÿsitzer deß grossen Rhats vnd Anthoni Panthaleons von Markirch vff sein deß Breitigamß Seÿtten, So dann der auch Ehrenhafft vnd fürnehmen Foelixen Lobstein deß Vatters, Theobald Erharden deß Notarÿn Allß geschworne Vogts, Lorentzen von Vessenheims vnd Leonhard Seÿtzen deß Notarÿ vff Ihr Jgfr. Elisabethen Seithen (…) Geschehen Zinstags den 8. Monats Julÿ Allß mann nach Christi vnnsers einigen Erlöser vnd seeligmachers gepurt Zalt 1578.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 123, n° 20)
1578. den 18. Augusti. Mit diesen sind auch eingesegnet word. Martin Reinold von Markirch und Elßbeth Lobsteinin herrn Felix Lobstein tochter von Straßburgk (i 138)

Martin Reinold passe en 4 mai 1609 un contrat avec le tailleur de pierres Daniel Bederich pour construire un oriel à trois étages. Le charpentier Jean Lagey, témoin, transmettra des requêtes aux Préposés au bâtiment (voir plus haut).

1609 (vt spâ [4 Maÿ]), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 222-v
(Inchoat. fo: 251.) Erschienen Martin Reinoldt, Handelßmann burger Zu Str. an eim
So dann Daniel Federich Steinmetz auch burger alhie am Andern theil
Haben bede Partheÿen gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿehen, Nammlich das Hat Erstgenanter H. Martin Reinoldt, Ime Daniel Bederich, Ein Hultzenen Ercker von Eichenem holtz, dreÿ gaden hoch vß zuschnützlen, In seiner Behaußung In der St: St: Vffm Schneider graben gelegen Verdingt, In dise Weÿß
Erstlich In dem Ersten, Vndersten gaden die Zweÿ Bilder, Justitia vnd Charitas, sampt Iren gebürenden Zierden, das Ander vnnd Oberst gemach, So Achtzehen Posten (mit d. 2 obersten) mit Corintischen Seulen Posamenten, vnd Capitalen gezieret, Item die gesims vnd die Stürtzel belangent sindt 30 stückh, die sollen geziert werden mit laubwerck vnd von Früchten, die Stürtzell mit Kalbsaugen, Was die Sims büeg sindt 6. auch von Laubwerck sollen geziert werden, It. die 4. mittelmeßige Pföstlin, die sollen auch mit laubwerck geziert werden, Item dreÿ über ligende pföstlin, darunter 2. mit Krachsteinen, Vnd d. dritt Ein Conportumenta vnd d. Kauffmanns Merckzeichnet, So dann Acht fenster Pföstlin, mit Termensen Oben Angesichter vnd vnden vß vf Termenser weiß vßgezog. Welche alle obgemelte 69. Stuck vßgemacht vnd verfertiget werden sollen Innherhalb Sechs wochen, Doch soll er Meister Daniel In diser Zeit kein and. annemmen bitz diße obgemelte Stuck v.fertiget word., Für Welche arbeÿt denn Ime Meister Daniel Bederich, durch herrn Martin Reinoldt gelüffert werden sollen In Barem gelt 30. lb d Zu bezalen In dise Weÿß, Nammlich Wuchentlich 2. lb d Vnd den Vberrest Nachuollendung des Wercks fürderlich gelüffert werden, alles ungeuorlich, Hiebeÿ gewesen Hanß Flalckh Steinmetz, Hanß Lackkeÿ Zimmerman

(Traduction) Ont comparu Martin Reinold, marchand bourgeois de Strasbourg d’une part et Daniel Bederich, tailleur de pierres, aussi bourgeois de Strasbourg d’autre part, lesquels ont convenu de ce qui suit.
Ledit Martin Reinold a chargé Daniel Bederich de sculpter un oriel en bois de chêne à trois niveaux pour sa maison sise à Strasbourg au fossé des Tailleurs en stipulant premièrement que l’étage inférieur portera les figures de la Justice et de la Charité ainsi que leurs attributs,
la partie supérieure aura dix-huit grands montants (dont les deux du haut) ornés de colonnes, de galons et de chapiteaux corinthiens,
item il y aura trente corniches et linteaux qui comprendront des feuillages et des fruits, les linteaux des œils de veau, les courbures des corniches au nombre de six des feuillages,
item les quatre montants intermédiaires seront aussi ornés de feuillages,
item en haut trois montants dont deux comporteront des consoles et le troisième un médaillon* et l’emblême des marchands,
item huit montants de fenêtres comportant en haut des termes sous forme de visages et en bas des figures surgissant à la manière de termes.
Toutes les 69 pièces devront être conçues et réalisées dans les six semaines. Le maître Daniel ne devra pas accepter d’autre marché jusqu’à ce que les susdites pièces soient terminées. Martin Reinold remettra pour ce travail à maître Daniel Bederich 30 livres comptant, à savoir deux livres par semaine et le reliquat au moment où le tout sera terminé. Convenu loyalement en présence de Jean Falck, tailleur de pierres, et de Jean Lackey, charpentier
(Remarque. Posten est interprété comme Pfosten et traduit par grand montant. Conportumenta est rendu par médaillon.

Martin Reinold achète ensuite une maison rue du Maroquin où est dressé l’inventaire après sa mort en 1626.

Martin Reinold (Martin Renault) vend la maison au marchand Christophe Axt (dont la femme est une des héritières testamentaires de Marie Lobstein). La maison est grevée d’un cens communal de 5 sols pour un auvent au-dessus de la porte d’entrée.

1622 (xiiij. Junÿ), Chancellerie, vol. 446 f° 196
(P. fol. 151.) Erschienen h Martin Renault d. handelßmann burg. Zu Straßburg (verkaufft)
H. Christoff Axt dem handelsmann burger Zu Straßburg
hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren geb. gelg. Inn d. St. St. vff den schneÿder grab. einseit neben h. Roberth Khönigßman, And.seit n. h Friderich Ringler, hind. vff den Vlmer graben stoßend, davon gdn ij lb ß d geld lößig mit L lb vff Martini dem Stifft Zu sant [-] Mehr j lb gelts loßig mit xx lb d vff Pfingstag den Armen sond. siech. Zur Roth. Kirch, So dan v ß d gld All. Zinß von dem wettertächell obwendig der haußthieren vff Martini Sonst ledig eÿg. & Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 1330 pfund
[in margine :] Erschienen Jacob Garners deß Bergrichters Zu Maria Kirch gewalthaber Daniel Groß Heinrich Würth Zur Eulen und Jacob Badiso paßmentirer alher, haben in gegensein Wilhelm Härlin deß goldschmidts alhie alß ietzigen Inhabers dißer behaußung (…) Actum den 14. febr. Anno 1637.

Originaire de Wœrth, le marchand Christophe Axt épouse en 1604 Cléophée, fille du marchand Jacques Storck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 201 n° 546)
1604. sontag den 13. Maÿ. Christoph Axt Von Werdt d. Handels Mann vndt Cleophe, Jacob Storcken des Handelsmanns alhie Nachgelaß. tochter. Eingesegnet Zinnstag 22. Maÿ (i 204)

Le marchand Christophe Axt de Wœrth devient bourgeois par sa femme une dizaine de jours après son mariage
1604, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 840
Christoph Axt vonn Wördt der Handelsmann empfahet das Burg: Vonn seiner Haußfrawen Cleophe, weÿland Herren Jacob Storcken deß Handelsmanns dochter, Will Zum Spiegel dienen, Actum 31. Maÿ Anno 604.

Accord passé par Léonard Wanner, tuteur des deux enfants cadets de feu Christophe Axt
1634 (4. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 418-v
Erschienen Samuel Emerich der handelßmann, burger Zu St. mit beÿstand H hanß Caspar Emerichen seines eheleiblichen Vaters
hatt in gegensein weÿ: Christoff Axten gewesenen handelßmanns see: Zweÿer Jüngerer Kindern sein Samuel Emerichen haußfrawen Cleophe Axtin geschwisterten Vogts H Lienhard Wanners Grossen Rhats v.wanthen bekannt,
daß Er von demselben vfrecht & so lang biß die sach dieses nachspecificirtten Gadens halber vorm Ers: Kleinen Rhat erörtert sein würdt, entlehnt und bestanden, wie dann Er H Wanner nach Anleitung deß den 2. Junÿ 1632. Vorm Ers. vogteÿgericht ergangenen gescheidts, ihme Samuel Emerichen auch oberwehnte Zeit (…) v.lühen hat, daß Äxtische hindergaden alhie in der Krämergassen, so Frantz Heinrich Khun bißhero ein Zeit lang auch Lehens weiß inngehabt, für vnd vmb 45. lb St. Jährlichs Zinses

Demande faite par les créanciers de Christophe Axt.
1648, Protocole des Quinze (2 R 67)
(f° 181-v) Sambstag den 23. 7.bris – Christoph Axten Creditorum Außschütz H. Augustin Glaßer, per Dr. Knaf. bitt ihme 151. lb. d.thurns Zinß abzustatten, Zu abzahlung Advocaten, Procurator vnd Notarien lohn & Erkant, würdt ane die herren dreÿen des d.thurns gewieß.

Location d’une boutique par les héritiers de Christophe Axt, Cléophée veuve de Samuel Emmerich, remariée avec Frédéric Balthasar Kalt, Anne Elisabeth femme de Florentin Tochtermann et Isaac, compagnon barbier dont on n’a pas de nouvelles
1642, s.d. (Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 448
[in margine :] nov valet – Erschienen Fraw Cleophe Axtin weÿl. H Samuel Emmerichs geweßenen handelßmanns see: nachgelaßene Wittib, an ietzo Friderich Balthasar Kalten deß huetstaffierers alhie eheliche haußfr.,
So dann Anna Elisabetha Axtin, Florentin Tochtermanns deß Pastetenbecken Ehewürthin, beede geschwisterde, mit beÿstand ietztgedachter Ihrer Ehevögten und herren Johann Herbsten deß Goldschmidts ihres nechsten hierzu erbettenen Verwanth, für sich selbsten Vnd im nahmen Isaac Axten deß Barbiergesellen ihres brud. so in der Wanderschafft, Vermuthlich mit tod abgang. für welche Sie geschwisterde in dißem fall ohnverscheidentlich caviren und gutgesprochen thun
haben in gegensein H Johann Ansorg deß handelßmanns burgers Zue Str.
Einen Gaden mit allen deßen rechten und gerechtigkeiten Vnder obgenannten Samuel Emerichs see: Behaußung, alhie in d. Krämergaß geleg. einseit neben Weÿl. Robert Königsmanns deß handelßmanns see: Wittib und Erben Gaden, gebraucht Melchior Reuter der handelßmann Vmb einen gewißen Zinß, anderseit neben einem Gaden in gewißen Emmerichs behaußung so gegen dem Vischbronnen und Eck ist, hind. Vff ein behaußung Zur Wannen genannt stoßend, welche beede Gaden Zwo Riegewändt und dar Zwischen der gang in die Ober behaußung gehnd vnverscheidet, von dißem hetzt verkaufften Gd gehen Jährlich vff Viti & Modesti 30. R.

Le marchand Guillaume Herlin acquiert la maison par adjudication judiciaire le 12 avril 1634 comme l’indique l’inventaire dressé en 1652 après la mort de sa femme Susanne Parthess. La maison revient ensuite à son héritier Guillaume Frédéric Sopher (voir en particulier le Livre des loyers communaux ouvert en 1652 et la requête des héritiers en 1655) et à son frère Jean Gothard Sopher (voir plus bas).
Guillaume Frédéric et Jean Gothard Sopher, fils de l’ancien pharmacien de Lahr Charles Frédéric Sopher, acquièrent le droit de bourgeoisie le 26 mars 1664.

1663, 3° Livre de bourgeoisie, p. 968
Wilhelm Frid.ich und Johann Gothard weÿl. H. Carl Friderich Sophers geweßenen Apotheckers zu Lohr hind.lasener 2. Söhn erkauffen d. burgerrecht ein Jed. Vmb 16. Goltfl. v. 32. d so vff dem Pfen: thurn erlegt. Seind alle bede noch ledigen Stands, vnd haben Ihr aigen gueth. Signat: den 26. Martÿ 1664.

Le tuteur des enfants de Charles Frédéric Sopher, pharmacien de Lahr, loue la maison au marchand Henri Reuter

1666 (6. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 381-v
Erschienen H Johann Jacob Schatz Notarius alß Vogt weÿl. H Carl Friderich Sophers geweßenen Apotheckers Zu Lahr nunmehr seel. nachgelaßener Einiger Kind. mit beÿstand H Johann Christoph Sophers deß Apotheckhers Zu besagtem lahr ihres eheleiblich. Bruders
in gegensein H Heinrich Reuters deß handelßmanns
verlüh. habe Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie am Schneider Graben neben Fr. Otilia Reuterin geleg vff Sechß Jahr lang von Michaelis dißes Jahrs angerechnet, um einen jährlichen Zinß benantlich. treÿßig treÿ Guld.

Jean Gothard Sopher hypothèque la moitié de la maison au profit du compagnon barbier Guillaume Frédéric Sopher

1676 (29. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 811-v
Johann Gothard Sopher der Kremp burger Zue Lahr
in gegensein herrn Johann Jacob Schatzen Notarÿ burgers Zu Straßburg alß Vogts Wilhelm Friderich Sophers, deß Barbiergesellen – schuldig seÿe 50. lb
Unterpfand, die helffte dem Schuldner für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen übrigen Gebäwen und Zugehördten alhie an dem Schneidergraben, einseit neben Fr. Ottilia Schallerin Wittibin, anderseit neben (-) hinden uff Stephan Kretzinger den Knöpffmacher stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung gehend iährlichen 10. ß Allmend Zinnß gemeiner Statt

Le tuteur de Guillaume Frédéric Sopher et Jean Gothard Sopher loue la maison à l’apprêteur de chapeaux Jean Fischer

1676 (8. 10.br.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 997
herr Johann Jacob Schatz Notarius alß Vogt Wilhelm Friderich Sophers, und Johann Gothardt Sopher der Schneider burger Zu Lahr für sich selbsten
in gegensein Johann Fischers deß huetstaffirers
verlühen haben Eine behaußung mit allen deren Gebäwen alhie uff dem Schneidergraben anderseit neben frawen Otiliæ Schallerin Wittibin, anderseit neben herrn Johann Jacob Saltzmann dem handelsmann gelegen uff 9. Jahr lang Von Joh. Bapt: a° 1677 angerechnet – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 lb

Tailleur à Lahr, Jean Gothard Sopher hypothèque la moitié de la maison au profit de l’apprêteur de chapeaux Jean Fischer

1677 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 261-v
Johann Gothardt Sopher Schneider Von Lohr
in gegensein H. Johann Fischers huetstaffierers – schuldig seÿe 25. lb
unterpfand, die helffte ahne einer alhier auf dem Schneidergraben zwischen denen Schallerischen Erben und herrn Johann Jacob Saltzmann dem handelßmann

Jean Gothard Sopher vend audit Jean Fischer un capital et la moitié de la maison grevée d’un cens communal de 10 sols pour un oriel et un auvent.

1677 (30. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 489
Gotthard Sopher der Schneider burger zu Lahr
in gegensein H. Johann Fischers deß Huetstaffierers burgers Zu Straßburg
243. fl. Capital Von und ahne einer mehrern Summ, so die Stat Straßburg Vermög eines pergamentinnen Sub dato 4. Julÿ a° 1622. mit dero anhangendem Großern Insigel außgefertigten Zinnß brieffs jährlichen term. Ulrici Zu Verzinßen obligirt,
Item die helffte Ihme Sopher für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoffstatt und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, rechten zugehördten und Gerechtigkeiten alhier uff dem Schneider Graben, einseit neben weÿl. herrn Jacobi Schallers SS Theol. Doct. et Profess. nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, anderseit neben herrn Johann Jacob Saltzmann dem handelsmann hinden uff den Ulmergraben stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehendt iährlichen 10. ß Ärckher Zinnß und Von dem Wetterdächlein der Statt Pfenningthurn , so seÿe die ietzt Verkauffte hauß helffte auch noch umb 50. lb Wilhelm Friderich Sopher deß Verkäuffers eheleiblichen bruder Verhafftet – umb 600. fl.

Fils de l’apprêteur de chapeaux Emmanel Fischer, Jean Fischer épouse en 1671 Cléophée, fille du marchand Jean Frédéric Zorn
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 287 n° 58)
1671. Eôdem Domin: [7. Trin.] j. uice. Johann Fischer der Ledige huttstaffierer, weÿl. hrn Immanuelis Fischer, gewesen. huttstaffierers vnd Burger alhie ehelicher Sohn, vnd Jungfr: Cleophe, weÿl. hrn. Joh. friderici Zorn, gewesenen handelsmanns vnd burgers alhie hind.lasene Eheliche Tochter. Cop. ad D Nic. 17. Aug. (i 306)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 143-v, n° IX) 1671. Dom: 7 posst Trinit. Zum 2 mahl Hr Johann Fischer der hutstaffierer vndt Burger alhier Weiland J Emanuel Fischers gewesenen hutstaffierers v burgers alhier nachgelaß. ehel. Sohn. Jfr. Cleophe, Weiland H Johann Friderich Zornen gewesenen handelßmanns v. Burgers alhie nachgelaßene ehel. T. Donnerstags den 17.t Aug: St Niclauß (i 146)

Cléophée Zorn meurt en 1679 en délaissant trois enfants dont le cadet meurt peu de temps après elle. L’inventaire est dressé dans la maison Richshoffer face à l’hôtel de ville. La moitié de la maison au Fossé des Tailleurs est estimée à son prix d’achat, soit 300 livres. La masse propre au veuf est de 81 livres, celle des héritiers de 1 002 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 588 livres, le passif à 2 520 livres.

1679 (23.5.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 13) n° 28
Inventarium vndt beschreibung aller Haab, Nahrung, vndt Güethere, Ligender vndt Vahrender, Veränderter vndt Vnveränderter Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. die Vil Ehren vndt tugendreiche Fr. Cleophe Zornin des Ehrengeachten vndt Wohlvornehmen Herrn Johann Fischers des Handelßmanns, vndt Hutstaffierers auch Burgers alhie Zu Straßburg im Lebzeit geweßene haußfraw seel. Alß dieselbe den 7.ten Martÿ dieses lauffenden 1679.ten Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, verlaßen (…) so beschehen vnd Angefangen Freÿtags den 23.ten Maÿ A° 1679.
Die in Gott verschiedere Fraw seel. hatt Zue Erben ab intestato Verlaßen alß Volgt. &. Johann Christoph, 2. Johannem vnd 3. Johann Friderich die Fischer, von Welchen der leste Namentlch Johann Friderich baldt sie Mueter seel. in die Ewigkeit nachgevolgt, so der Herr Wittiber alß Vatter geerbt. Beed. übrigen Söhnlin ab. geordnet und geschworner Vogt der Ehrenveste vndt wohlvorgeachte Herr Philipp Friderich von Gottesheim Wohlverordneter Saltz Verwanther Vndt Burger Alhie Zu Straßburg

In Einer In der Statt Straßburg nahe beÿ der Pfaltz gelegenen und Weÿlandt Herrn Johann Christoph Reißhoffers geweßenen großen Raths Verwanthen alhie seeligen nachgelaßenen Söhnen eÿgenthümblichen Zueständigen behaußung Ist befunden worden alß volgt
ahne Holtzwerck. Im Obern Stuben, In der Kuchen, In der Cammer A, In der Stuben vff dem Andern Bod., In d. Stub Cammer, Im Haußöhren Vor dießer Cammer, In der Cammer B, In d. Cammer C, In d. Cammer D, In der Wohnstuben,, In der Stub Cammer, Im Haußöhren, In der 4.ten Stuben, In d. Stub Cammer, In d. Kuchen, In der Cammer E, Vor dießer Vemmer, Im Gaden stübel, Im Gaden
Eügenthumb ahne einer Behaußung (T.) It. die helfft. für unvertheilt ahne hauß, hoffstatt vnd allen vbrig. deren Gebeuwen, begriffen, recht. Zugehörden vnd gerechtig Keit alhie vff dem Schneid. Graben 1.s neb. H Johann Jacob Saltzmann dem handelsmann vnd Burger Alhie, 2.s neben weÿl. H Jacobi Schallers SS Theil. Doctoris et Professoris nunmehr sel. nachgelaßeneer wittiben, hind. vff den Ulmer Graben stoßend geleg. von welcher gantzen behaußung gehend Jährlich 10 ß d Ärckher Zinß, vnd von dem wetterdächlin der Statt Pfenningthurn, so seÿe die angeregte Hauß helfte auch noch verhafftet Wilhelm Friderich Sopher Barbierer vmb 100 fl. sonsten freÿ ledig und Eig. vnd solche helffte wie solche Allererst in A° 1677. erkaufft worden angeschlag. pro 600 fl. die thun 300 lb nach abzug ersterwehnten Capitals so auch In diesem Contract begriffen allein noch restirt 178 lb (über diese beschwerden vndt bereits hievor eingetragene 121. lb 17 ß Pfenningthurn capital)
Über diese behaußung wie auch erstbesagtes Capital meldet vorangezogene Kauffverschreibung welche am 30. Junÿ 1677. in Allhiesig. Cancelleÿ Contractstub. Auffgerichtet word. sig. mit N° 1.
Ergäntzung des Wittibers Unveränderten Guths. Nach Inhalt In A° 1671. auffgerichteten Inventarÿ So der Jetzmahlige herr wittiber vnd seine verstorbene Ehefrau einand. alß ein unverändert Guth in den Ehestandt Zusammen gebacht
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths. Eigenthumb ahne häußern. It. fol. 54. etliche vnd.schiedliche antheiler von vnd ahne dreÿen Häußlein ahne dem Staden underhalb der Schindbrucken gelegen (…)
It. fol : 55. j hauß, hoff, hoffstatt in der Knoblochs gaßen Zum Knobloch genandt (…)
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Des Herrn Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 8, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldenen Ring 1, Sa. Guths Ergäntzung 70, Summa summarum 81 lb
Der Erben unveränderte Verheurathet mit, Sa. haußraths 150, Sa. Lehrer Vaß 18 ß, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 35, Sa. Guldener Ring 18, Sa. Baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptguths 122, Sa. Guths Ergäntzung 665, Summa summarum 1002 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 130, Sa. Wahren Zur Hutstaffierer Handlung gehörig 1860 Sa. Weins vndt Lährer Vaßen 140, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 68, Sa. guldener Rng 7 ß, Sa.& baarschafft 765, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 121, Sa. Eigenthums Ahne Einer Behaußung 178, Sa. Schulden 310, Summa summarum 3588 lb – Schulden 2520 lb, Restirend 1058 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2148 lb

Jean Fischer se remarie en 1679 avec Ursule, fille du marchand Jean Büchel. La vente de 1695 mentionne qu’Ursule Büchel est alors veuve de Jean Fischer, marchand à Francfort
Mariage, cathédrale (luth. f° 71)
1679. Dominic. XIV post Trinit. zum 2 Mal H. Johann Fischer der hutstaffirer v. handelßmann auch Burger alhier, J. Ursula H Johann Bichel des handelsmanns b. Burger alhie ehel. T. (i. 72)

1695 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 279
Weÿl. Fr. Marthæ Schülerin geb. Mügin sel. nachgelaßene Testaments Erben und Erstlich Zwar im Nahmen Fr. Ursulæ geb. Büchlerin weil. H. Johann Fischers gewesenen handelßmanns zu Franckforth sel witt. auch im Nahmen H. Daniel Büchels, handelßmanns zu Franckforth, und Fr. Annæ Elisabethæ Theürerin Georg Albrechts, deß Zuckerbecks zu Nürnberg haußfrau, H. Johann Peter Schäffer E. E. Kleinen Raths beÿsitzer und hierzu an statt dießen frembdten Erben in specie Deputiret, Ferner Fr. Maria Salome geb. Büchelin, weil. Johann Jacob Pabsten gewesenen Specirirers zu Tübing. nachgelaßene Wittib, so ohnbevögtigt mit beÿstand Hn Johannis Büchels, deß ältern handelßmanns, ihres leiblich. Vatters, H. Philippß Jacob Büchel der handelßmann für sich selbsten, H. Joh: Büchel, der ledige handelßmann und Jfr. Eva Büchelin deß. Schwester, so beede Majorennes mit beÿstand H. Wolffgang Lochmanns, Ihres ohnentledigt. Vogts, Mehr H. Johann Friderich Schatz, Notar. Publ. alß mündlich constituirter mandatarius wie Er anzeigte, und H. Andreas Schmid, auch Notar. Publ. hierbeÿ attestirte, Frau Margaretha Ursula geb. Dreherin, Hn Christian Bauren, deß Apotheckers zu Waßlenheim haußfrau, und H. Johann Jacob Dreher der ledige Specirirer so majorennis mit beÿstand obged. H. Johann Friderich Schatzen Notarÿ Publici seines bißherig. theil vogts, Item Jfr. Maria, Anna Elisabetha, Salome, und Ursula, weil. hans Werner Eÿden gewes. Schuhmachers mit Maria Mügin erzeugt. töchter, so alle majorennes, mit beÿstand Andres Rheinthalers Ihres Vogts, erstged. Ihrer leiblich. Mutter und usufructuariæ Ihrer töchter antheilß, wie auch Susanna Catharina erstged. Mariæ Mügin mit hans Georg Schwaben dem Schuhmacher Ihren ietzig. Ehemann erzeugte tochter, mit beÿstand ged. Ihrer leibl. Eltern, Ingleichen Johann Friderich Heurer der Silberarbeiter für sich selbst, Fr. Susanna geb. Stößerin hans Georg Schertzen, deß Nadlers haußfrau mit beÿstand ged. Ihres Ehevogts, Anna Margaretha geb. Stößerin, weil. Daniel Scheichen gewesenen Spengler sel. nachgelaßene Wittib, und Jgfr. Anna Salome Stößerin so majorennis, beede auch mit beÿstand vorgeml. Schertzen Ihres Curatoris, So dann Salome geb. Gießbrechtin, hans Georg Verny deß hosenstrickers haußfrau, mit beÿstand ihres Ehevogts, Und endlich hans Martin Gießbrecht, Schiffmann für sich selbst. [unterzeichnet] Maria Eÿdin, Maria Salome Eÿdin

Jean Fischer et les représentants de Guillaume Frédéric Sopher, disparu sans donner de ses nouvelles, vendent la maison au marchand de drap Jean Conrad Henninger moyennant 650 livres. L’acte allègue (faussement) que la maison est grevée de dix sols de rente pour un oriel et de dix autres sols pour un auvent

1684 (14.7.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 294-v
(Prothocoll. 36.) Erschienen Herr Johannes Fischer der huetstaffierer burger zu Straßburg für sich selbsten und herr Johann Christoph Sopher der Apothecker zu Lahr für sich selbsten, und alß hiebeÿ auß der Ampt schreibereÿ Lahr sub dato 30. Maÿ nechst hiern ertheilten Scheins constituirter Mandatarius Gottfried Sophers deß Schneiders seines eheleiblichen bruders, und beÿde Zugleich im nahmen Wilhelm Friderich Sophers deß Barbirers so nun bereits in die 14. Jahr hinweg Verreist und mann nicht wiße, ob Er noch lebendig oder Verstorben seÿe
in gegensein H. Johann Conrad Henningers deß Tuchhändlers alhier
hauß hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier uff dem Schneider Graben einseit neben weÿl. herrn Samuel Reuters geweßenen handelßmanns nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, anderseit neben H. Jacob Saltzmann dem handelßmann, hinden uff den Vlmer Graben stoßend gelegen, Von welcher behaußung gehend jährlichen 10. ß Von dem Ärckher, Item 10. ß Von dem Wetter dächlin der Statt Pfenningthurn – umb 1700. fl.
[in margine :] Anna Maria gebohrne Eckin, weÿl. Carl Friderich Sophers, gewes. Apotheckers Zu Lahr nachgelaßene Wittib mit beÿstand H. Johann Marbachs E. E. Kl. Raths Procuratoris et Advocati ordinarÿ (quittung) den 1. April. 1689

Originaire de Durlach, le marchand Jean Conrad Henninger épouse en 1677 Anne Salomé, fille de l’assesseur au Sénat Jean Pierre Schmidt
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 74, n° 442)
1677. Dom. 1. et 2. Advent. den 2.ten Xbr., H. Joh: Conrad Henninger d lediger handelßmann H. Joh: Ludwig Henningers gewesenen burgers v. handelßmanns zu Durlach hind.lassener Ehelich sohn, Jfr. Anna Salome deß Edel Vest Fürsichtig u. wohl weiße H. Johann Pet.* Schmids deß best. Reg. der H XXI beÿsitzers eheliche tochter. Cop. St. Thom. 13. Xbr (i 39)

Jean Conrad Henninger devient bourgeois un mois après son mariage
1678, 4° Livre de bourgeoisie p. 445
Johann Conrad Henninger der Handelßmann Von Durlach empfangt das burger recht von Anna Salome Schmidin seiner haußfr. p 8. Gold fl. welche auff der Cantzleÿ erlegt worden seindt, ist Zuvor ledigen standts geweßenen und wirdt Zum Spiegel dienen. Jur. 19. Jan 1678.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du cordonnier Jean Georges Schimpff rue des Tonneliers. Ceux du mari s’élèvent à 370 livres, ceux de la femme à 456 livres.
1678 (16.4.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 2) n° 8 (193)
Inventarium vndt beschreibung Aller Haab Nahrung und Güettern, so d. Ehrenvest H. Johann Conrad Henninger, Handelsmann vndt die Viel Ehren vndt tugendtreiche Fr. Anna Salome Henningerin, gebohrne Schmidin, beede Ehegemächte und burgere allhier zu Straßb: einander in den Ehestandt Zugebracht, welche der vrsachen, dieweilen In Ihr beeder auffgerichteten Eheberedung expresse versehen, daß einem Jedwedern sein in den Ehestandt Zugebrachte Nahrung ein reservirt vnd unverändert Guth sein (…) Actum in fernerer gegenwertigkeit deß Edlen, vesten fürsichtig vndt weißen H Johann Peter Schmiden XXI. des beständigen Regiments, wie auch deß Edlen Vesten vnd hochgelehrten H Johann Heinrich Spatzen J. V. Ddi E. E. Kleinen Raths wolbestelten Procuratoris vndt Advocat, d. Fr. respectivé Vatters vndt noch ohnentledigten H Vogts Dienstags den 16. Aprilis Anno 1678.

Inn einer in der Statt Straßb: In der Kieffergaß gelegen, weÿl. Hanß Georg Schimpffen geweßenen Schuhmachers hinderlaßener Erben gehörig wie volgt.
Eÿgenthumb ane Häußern. It. ane 2. häußern einem vordern vndt einem hindern, vnder der großen Erbslauben (…)
Deß herrn Nahrung, Sa. haußraths 76, Sa. früchten 18, Sa. Silbers 4, Sa. guldener Ring 22, Sa. der baarschafft 250, Summa summarum 370 lb
Der Frawen Nahrung, Sa. haußraths 173, Sa. Silbers 56, Sa. goldener Ketten in Ring v. geschmeid 96, Sa. Pfenningzinß hauptguth 50, Sa. Gülth von liegenden güthern 46, Sa. Eigenthumb ane heußern 31, Summa summarum 456 lb

Jean Conrad Henninger se remarie en 1687 avec Marie Dorothée, fille du marchand Matthieu Hellbeck dit Bœhm
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 127, n° 743)
1687. Dom. 1. et 2. Trin. d. 1. undt 8. Junÿ, H. Johann Cunrad Henninger der Burger undt Handelßmann allhier, Jfr. Maria Dorothea weÿl. H. Mathäi Hellbecks genannt Böhmen, geweßen. Handelsmann v. E.E. Groß. Rats Verwant allhier nachgelaßene eheliche Tochter. Cop. Mittwoch den ii. Junÿ (i)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Fossé des Tailleurs. Ceux du mari s’élèvent à 2 016 livres, ceux de la femme à 757 livres.

1687 (26. 9.br), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 12) f° 702-b
Inventarium vndt Beschreibung Aller d. Jenig. Haab, Nahrung vndt Güettern, ligend. v. vahrend. Keÿnerleÿ außgenommen, so der Ehrenveste vndt wohlgeachte Herr Johann Conrad Henninger handelßmann v. burger alhier und die Viel Ehren v. tugendreiche Fraw Maria Dorothe Hölbeckin, beede Eheleuth einand. inn die Ehe Zugebracht, welche der Vrsach weilen, inn uffgerichtet. ihren Ehepactis eines jeed. Zubringendes Zeitliches Vermög. unverändert zu sein, reservirt word. (…) Actum in gegenwarth deß auch Ehrenvest. v. wohlvorgeacht H. Johann Adam Müllers auch handelßmann v burgers allhier, sein H. Henningers in Erster Ehe gezeügten Kind. Vogts, wie auch in beÿsein der Viel Ehren v. tugendreich. Fr. Marthanna weÿl. H. Mathæi Hölbeckin genant Böhmen geweßenen Vöhrhändlers v. E. E. Groß. Raths Alten beÿsitzers seel. hind.laßener wittibin ehrengedact. Fr. Mariæ Dorotheæ Hölbeckin Frawen Mutter, vff Mittwoch d. 16. 9.bris st: n: A° 1687.

(f° 23) Eÿgenthumb ane einer Behauß. v. gad. (H.) Nemblich. hauß, hoffstatt, mit allen seinenweithen, begriffen, Zugehörd. Recht. v. gerechtigkeit, alhie Zu Straßb. vff dem Schneid. grab. geleg. j. s. neb. H. Paul Kolb. Erb. 2. s. H. Joh: Jacob Saltzmann dem handelßmann, hind. vff den Vlmergraben stoßend. davon gefallen Jahrs Gemeiner Statt Str. v. dem Ercker v. dem wettertächel 10 ß in Cap. gerecht. p. 20. lb. So dann haben die Sopherische Kind. jahrs von dißem hauß 32 fl. à 4 pro Ct° gerechnet. zinß Zuempfahen th. d. Capital 400 lb. Sonst ledig eÿg. v. üb. beede dieße onera æstimirt p. 450. lb. V.mög Perg. Kauffbrieffs dat. den 14. Julÿ 1684.
Summarischer Calculus mit vffgerrechneter Besserung üb. Fr. Mariæ Salomeen Schmidin, H. Johann Conrad Henningers handelsmanns v. burgers alhier Ersten haußfrawen seel. in A° 1686. inventirte Verlaßenschafft der Erben unverändert Guth, haußrath 54 (beßerung 27), Silber 35 (beßerung 11), guldine Ring 92 (beßerung 23), Ergäntzung 955, Summa summarum 1199 lb
Theilbar huett, haußrath 135 (beßerung 67), wahren 4528, früchten 8 (beßerung 4) ; Lehren vaß 45 (beßerung 22), Silber 26 (beßerung 8)
Abzug. deß Herrn Guett, Sa. haußraths 292, wahren 5215, wein v. vaß 75, Silbers 97, Guldiner Ring 61, baarschafft 190, hauß v. gad. 675, Activa 1075, Summa summarum 7704 lb – Sa. Passivorum 5687 lb, Nach solchem abzug 2016 lb
Der Frawen guett, Sa. haußraths 182, Silbers 56, Guldiner ring. 61, baarschafft 447, haußsteuren 9, Summa summarum 757 lb

Jean Conrad Henninger hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de Georges Sigismond Fettich. En marge, quittances remises au marchand Georges Jacques Strauss en 1727 puis à Claude Joseph Lambert en 1746.

1692 (4. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 450-v
H. Johann Conrad Henninger der Handelßmann
in gegensein H. Christoph Gambß des Specirierers alß Vogt weÿl. Georg Sigmund Fettichs hinderlaßener Zweÿer jüngst. Söhne – schuldig seÿe 400 pfund
unterpfand, Hauß hoffstatt mit allen deren gebäuen und zugehörd allhier auff den Schneider Graben, einseit neben weÿl. Samuel Reüthers seel. Erben anderseit neben Johann Jacob Salzmann dem handelßmann, hinten uff den Ullmergraben stoßend gelegen, von welcher behaußung gehend Jährlich 10 ß d vom Wetterdächlein der Statt Pfenningthurn
[in margine :] (…) in gegensein H. Georg Jacob Strauß handelsmanns als jetzigen proprietarÿ hier verpfändter behaußung (quittung) den 15. febr. 1727
[in margine :] (…) in gegensein H. Claude Joseph Lambert visitatoris beÿ der allmosenstub allhier als dermaligen proprietarÿ hievor verpfändeter behaußung (quittung) den 13. jan. 1746

Marie Dorothée Hellbeck dite Bœhm meurt en 1 700 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 1 325 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 2 240 livres. L’actif du veuf et de la communauté est de 3 423 livres, le passif de 2 842 livres.

1701 (18.4.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 21) n° 8
Inventarium über Weÿland der Viel Ehr: und Tugendreichen Frawen Mariæ Dorotheæ Henningerin gebohrner Höllbeckin genannt Böhmin, Herrn Johann Conrad Henningers Handelsmanns und burger zu Straßburg geweßener Eheliebstin seel. Verlaßenschafft aufgerichtet in Anno 1701. (…) nach Ihrem Sambstag den 7. Monatstag Augusti alß Zurück gelegten 1700. Jahrs aus dießem mühesamen traur: und Kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, Welches alles auf gebührendes erfordern deß Wohl Ehrengeacht vnd vorachtbahren herrn Johann Reichard Höllbecks genant Böhmen Knöpffmachers und Seidenändlers und auch burgers Zu Straßburg der Verstorbenen frawen Eheleiblichen bruders und Zugleich geordnet und geschworenen Curatoris und vogt Johann Conrads, der abgeleibten Frauen seel. mit vor und nachgemeltem Ihrem hinderbliebenen Herrn Wüttwern Ehelich erzeugten Söhnleins und ab intestato einigen Erben, ersucht (…) Actum Straßburg Montags den 18. Monats tag Aprilis Anno 1701.
Copia Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli Reciproci
Bericht Wegen der theÿlbahren Verlaßenschafft. Zuwißen, demnach gegenwärtige sambtliche Verlaßenschafft Active Inventirt und beschrieben gewesen und solchem nach die Ersuchung beederseits unveränderte Nahrung vorgenomen worden, hat der Herr wittiber Zur r*ung gegeben, welcher maßen hat leicht Zu *ßen und unschwehr Zu remonstriren, daß /:in ansehung Er geraume Zeit her, kein offen Gewerb mehr geführet, anbeÿ viele, vnd theÿls sehr langwehrende Kranckheiten, Kindbetten und Leichen, beÿ bekand schwehr: und teurer Zeit, ein namhafftes gekostet:/ nicht nur die Errungenschaft sich dardurch Consumirt, sondern auch sein in Ehe gebracht unveränderte Nahrung mercklich verringert worden (…)

In einer in der Statt Straßburg ane dem sogenanten Schneider graben gelegene und in gegenwärtig verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Holtz und Schreinerwerck. Auff der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor diesen Cammern, Im hindern stübel
Eÿgenthumb ane einer Behaußung deß herrn Wittwers unverändert. Item hauß und hoffstatt mit allen deßen gebäuden, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeit, gelegen in d. Statt Straßburg, einseith neben Fr. Catharinæ, weÿl. herrn M. Friderich Lerse gewesenen Præceptoris superioris Gymnasÿ alhie seel. wittib, Anderseith neben Herrn Johann Georg Moseder, dem handelßmann und burgern alhier hinden auf den Ulbergraben stoßend. Darvon gibt mann Jährlich 10 ß d Zinß auf alhiesiger Statt Pfenningthurn, So dann 32 gulden Zinß, weÿl. herrn Georg Sÿmund Fetichs E. E. Kleinen Raths Alten beÿsitzers alhier seel. Erben in haubtgutt widerlößig mit 400 lib d. sonst freÿ, ledig und eigen, und ist dießen behaußung durch sie Statt Straßb. geschworne Werckmeister inhalt der beÿm Concept gegenwärtig. Inventarÿ befindliche Abschatzung sub dato d. 13. Maÿ Anno 1701. für 2650 gulden, thut über Abzug obige und Zwar dem Pfenningthurn zinß für doppelt Capital gerechneter beschwerd alhier außzuwerffen 905 lb. Darüber sagt ein Pergamin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt datirt d. 14. Julÿ Anno 1684. mit N° 2 notirt.
Abschatzung Freÿtag d. 13. Maÿ 1701. Auff begehren deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Conrath hönicher, burger und Kauffmans behaußung alhier in der Statt Straßburg auff dem Schneidter Graben inseitz Neben Fraw Lörschen Ander seitz Neben herrn Johann Moßeter dem handels Mann, hinden auff den Ulmer Graben stoßend, welche behaußung sambt Laden und Gewölbten Keller auch übrige begriffen Zugehör und Gerechtig Keiten wie solches in der besichtigung befunden und dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen Vor und um Zweÿ Taussendt Sechs Hundert Fünffzüg Gulden, Bezeügnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung deß Erben unveränderten guths Auß dem über deß Herrn Wittwers und der abgeleibten frawen seel. in die Ehe gebrachte Nahrung den 26. Novembris Anno 1687. durch herrn Johann Jacob Böllern den Notarium auffgerichtetem Inventario
(f° 25) Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Deß Erben unverändert Vermögen, auf Ansuchen haußraths 80, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 27, Sa. guldinen Ring und dergleichen geschmeid 53, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung (1993, Abzuziehen 64, verbleibt) 1929, Summa summarum 2240 lb
Deß Herrn Wittwers unverändert und Theÿlbar guttn Sa. haußraths 314, Sa.wein und Faß 47, Sa. Wahren 249, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 86, Sa.Guldinen Ring und geschmeids 29, Sa. Baarschafft 686, Sa. Eÿgenthumbs ane einer Behaußung 905, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 136, Sa. Schulden 969, Summa summarum 3423 lb – Schulden 2842 lb, Nach deren Abzug 580 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3585 lb
Wÿdemb So der Herr Wittwer von Weÿl. Frauen Maria Salome gebohrner Schmidin seiner Ersten Ehefraun seel. Zu genießen hat, 763 lb

Jean Conrad Henninger hypothèque la maison au profit de l’avocat Michel Oswald Scheffmacher

1717 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 46-v
S.T. H. Michel oßwaldt Scheffmacher J.Ctus Gemeiner Statt Rath und Advocatus einßen
und andern theils Johann Conrad Henninger handelsmanns, er Henninger ihme H. Advocat schuldig seÿe 375 pfund
unterpfand, seine behausung c. appert: auf dem Schneidergraben einseit neben Jacob Leÿdeckern anderseit neben Joh: Georg Moßedern beede handesleuthen hinten auff den Ulmergraben

Jean Conrad Henninger meurt en 1720 en délaissant deux filles de son premier mariage et un fils du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison rue Saltzmann. Les experts estiment la maison rue de l’Aimant à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 139 livres, le passif à 2 536 livres.
1720 (29.7.), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 344
Inventarium über Weÿl. deß Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Johann Conrad Henningers, geweßenen Handelßmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft – nach seinem Donnerstags d. 23.ten Maÿ dieses fortlauffenden 1720.ten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Actum in der königl. Statt Straßburg Montags d. 29.ten Julÿ A° 1720.
Der Verstorbene Herr seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen wie Volgt. 1. die tugendsame fr. Catharinam Margaretham gebohrne Henningerin H Georg Sigmund Fürsten deß burgers allhier fr. Eheliebste, welche beneben ged. ihrem Eheherrn dem Geschäfft persohnl. abgewartet, 2° Weÿl. der Tugendsahmen frauen Elisabethä Ehringerin gebohrner Henningerin H. Johann Daniel Ehringers deß Courtiers v. burgers allhier geweßener Ehefrauen seel. hinderlaßene 2. Kinder benantl. Johann Daniel v. Mariam Elisabetham, Weilen aber dieselben annoch minorennes, als ist in dero Nahmen H Johann Adam Crohn Tabackbereiter v. burg. alhier deroselben geschwohrner Vogt beÿ dem Geschäfft erschienen, diese deß Verstorbenen H. seel. mit weÿl. der Ehr: v. tugendsahmen frauen Anna Salome gebohrner Schmidin in Erster Ehe erzeugte Töchter
3. den Wohl Ehren Vesten und Wohlgelehrten Herrn Johann Conrad Henninger Med: Ltum. so ebenmäßig beÿ dem Geschäfft præsens war, diesen letztern mit Weÿl. der Ehren und tugendbegabten fr. Maria Dorothea gebohrner Hellbeckin, in Letzter Ehe erzeugten H. Sohn, Alle deß Verstorbenen H. seel. hinterlaßene Kinder v. Enckel zu gleichen portionen v. Antheilern

In einer in der Statt Straßburg in der Saltzmanns gaß gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung ist befund. worden, als volgt.
Ane Höltzen v. Schreinwerck, Auff der bühn, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Nebens Cammer, In der Hindern Kuchen, Im hindern Cämmerl., Im Obern Hauß Ehren, In der hauß Cammer, In der Küchen, In der Studier Stub, Im Keller, Im Garten
Eigenthum einer behaußung und Garten. Eine behaußung, Hoffstatt, Höfflein und Garten mit allen deren Gebäuen, Zugehörden und Gerechtigkeiten alhier ane der Obern Straßen in dem Magneten Gäßlein, einseit neben N: N: dem Mehlmann, 2.s neben der Mollingerischen r. Wittib und hat der Garten hinten einen außgang in die Hanen Gaß, von welcher behaußung man Jahrs 1. lb 19. ß 1 d dem bruderhoff allhier vor bod. zinnß zu lüffern schuldig, ferner ist es auch um 75. lb Capit: dem Ordenshauß St. Johann verhafftet, sonsten gegen männigl. freÿ, leedig v. eigen, und so viel die behaußung betrifft so ist solche durch der St: Straßburg. geschwornen Werckmeistere Crafft einer beÿ mein Notarÿ Concept befindl. Abschatzung sub dato 28. 7.bris A° 1720 angeschlagen worden vor 450. lb. Davon seind abzuziehen obige beschwerden, so in ohnvorgreiffl. Capital thun 115. lb. Nach deren Abzug wird ane obigem Anschlag der behaußung annoch restiren 335. lb. Der garten aber ist durch Hn Johann Neßmann den geschwornen Schätzer angeschlagen worden umb 50. lb, Wird also der samtliche anschlag seÿn benandl. 385 lb. Darüber meldet i. teut. perg. Kbr. in allhies. C.C. Stuben gefertiget v. m. der anh. Ins. verwahrt datirt d. 18.. 7.br 1714. So dann finden sich noch 4. alte darüber besagende perg. Kbr.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 221, Sa. deß Weins und d. Lähren Faß 8, Sa. der Bibliothec 22, Sa. silbergeschirrs 16, Sa. der goldenen Ring 18 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter Haupt Guths 475, Sa. Eigenthums einer behaußung und Garten 385, Sa. der Schulden ins Erbe zugeltend 10, Summa summarum 1139 lb – Sa. der Schulden 2536 lb, Solchem nach werden die Passiva die gantze Verlaßenschafft dem Stalltax nach übertreffen umb 1407 lb

Jean Conrad Henninger vend la maison, grevée d’une rente communale de 10 sols pour un auvent, au marchand Georges Jacques Strauss moyennant 1 750 livres

1719 (8.4.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 171-v
(1750) Joh: Conrad Henninger handelsmann
in gegensein Georg Jacob Strauß handelsmann
hauß hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten auf dem Schneider graben, einseit neben Jacob Leÿdecker anderseit neben dem Moßederischen hinderhauß, hinten auf den Ulmergraben – davon gibt man 10 ß von dem Wetter tächlein der Statt Pfthrn. – um 400 und 375 für verhafftet, geschehen um 975 pfund

Originaire d’Ulm, le marchand Georges Jacques Strauss épouse en 1715 Elisabeth Leydecker, fille du marchand Jean Henri Leydecker : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren herrn Georg Jacob Straußen, dem ledigen handelsmann und burgern allhier Zu Straßburg Weÿland des Edel Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren herrn Frantz Christoph Straußen Geweßenen Kauff: und Handelßmanns auch Vornehmen Burgers in der Statt Ulm seeligen mit auch Weÿlandt der Edlen Viel Ehr und Tugendbegabten Frauen Anna Regina gebohrner Bruckardtin nunmehr auch seeligen Ehelich erzeugtem Herrn Sohn Als dem herrn Bräutigamb Ane Einem, So dann der Viel Ehr und Tugendt reichen Jungfrauen Elisabetha deß Edel Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren herrn Johann Heinrich Leÿdeckers Vornehmen Handelßmanns und burgers allhier Zu Straßburg mit der Edlen Viel Ehr und Tugendbegabten Frauen Elisabetha leÿdeckerin gebohrner Schawmännin in Zweÿter Ehe erzeugter Jungfrau Tochter alß der Jungfrau Hochzeiterin am andern Theil (…) So geschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 27. Monatstag Junÿ in dem Jahr alß man nach unsers einigen Heÿlands Erlösers und Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1715.. Philipp Jacob Mader Nots. publ.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 274 n° 28)
1715. Eodem [Mitwoch den 10. Julÿ] Seind nach 2. mahl. Proclamation ehelich copuliert word. H. Georg Jacob Strauß, der Ledige Handelsmann weÿl. H Frantz Christoph Straußen, gewesenen b. und handelsmanns Zu Ulm Hinterl. ehl. Sohn vnd J. Elisabetha H Johann Heinrich Leideckers des ellteren b. vnd Handelsmanns allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Georg Jacob Strauß als hochzeiter, Elisabeth Leÿdeckerin aß hochzeiterin (i 273)

Georges Jacques Strauss devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1715, 4° Livre de bourgeoisie p. 815
H. Georg Jacob Strauß Von Ulm, weÿl. H. Frantz Christoph Strauß gew. Handelsmann daselbst sohn, emp. das Burgerrecht Von seiner Fr: Elisabetha Lindeckerin p. 2. gold fr. 16. ß wird Zum Spiegel dienen. Jur. d. 14. Aug. 1715.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Henri Leydecker rue Mercière. Ceux du mari s’élèvent à 158 livres, ceux de la femme à 1 317 livres.
1716 (1.4.), Not. Mader (6 E 41, 672) n° 224
Inventarium über deß Wohl Ehrenvesten undt Großachtbahren Herrn Georg Jacob Straußen Handelßmanns und der Viel Ehr: und Tugendreichen Frawen Elisabethä Straußin gebohrner Leÿdeckerin, beeder Eheleüthe und burgere allhier Zu Straßburg, einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1716 – und vermög der mit einander auffgerichteten Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten Haben (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerm gegenseÿn deß Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Heinrich Leÿdecker Handelsmanns und burgers der Frawen Hern Vatters alß erbettenen beÿstandts, auff Mittwoch den 1.ten Aprilis Anno 1716.

In Einer in der Statt Straßburg ane der Krähmergaßen gelegenen Herrn Johann Heinrich Leÿdecken dem ältern Zuständigen behaußung ist befunden worden wie Volgt
Abzug in gegenwärtiges Inventarium. Deß Ehe Herrn Unveränderte Nahrung. Sa. Haußraths 143, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Summa summarum 158 lb
Der Ehefrawen unverändert Guth, Sa. Haußraths 540, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 48, Sa. Guldener Ring und geschmeids 151, Sa. der Baarschafft 576, Summa summarum 1317 lb
Sa. der Haussteuren 92 lb daran gebührt dem Herrn Crafft der Eheberedung die helffte thut 46 lb

Georges Jacques Strauss est autorisé à héberger des marchands pendant la foire de la Saint-Jean d’été et de la Saint-Jean d’hiver
1732, Protocole des Quinze (2 R 139, notes du greffier)
(f° 62-v) Sambst. den 14. Junÿ – M. nôe H. Georg Jacob Strauß burger und handelsmanns alhier b. unth. gn. erl. 1. oder 2. frembde handels persohnen Vorstehender Meß Zeit d: auch in kost und losament halten Zu dörffen gegen bezahlung deß Umbgeldts à 1 fl. Vom ohm. Erk. ut ante |Willfahrt nach ordnung]

(f° 119-v) Sambst. 13. Xbris – M. nôe H. Georg Jacob Strauß bgers u. handelsmanns alhier weg. 1. oder 2. frembde handels leuthen. S. ut ante [gegen erlag 1 fl. Vom ohm Umbgeldts]. Erk. ut ante |Willfahrt nach ordnung]

Même autorisation l’année suivante
1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
(p. 119) Sambst. den 6. Junÿ – M. nôe H. Georg Jacob Strauß brgs und handelsmanns b. unth. gn. erk. 1. oder 2. frembde handels leuth in Vorstehender Meß in kost und losament halten Zu dörffen Erk. ut modo |nach ordnung Willfahrt]

(p. 220) Sambst. 19. Xbris – M. nôe H. Georg Jacob Strauß burgers undt handelsmanns E. umb gn. p.mission 1. oder 2. frembde handels persohnen in Vorstehender Meß in kost und losament halten Zu dörffen Erk. ut modo |nach ordnung Willfahrt]

Elisabeth Leydecker meurt en 1735 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 1 200 livres. La masse propre au veuf est de 33 livres, celle des héritiers de 2 066 livres. L’actif de la communauté s’élève à 10 115 livres, le passif à 9 442 livres.

1735 (26.5.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 18) n° 378
Inventarium über Weÿland der viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Elisabethæ Straußin, gebohrner Leideckerin des Ehrenvesten und Großachtbaren herrn Geörg Jacob Straußen, Vornehmen Handelßmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Frau Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1735. – nach Ihrem den 11. Novembris nächst verwichenen 1734.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H Frantz Heinrich, der handlung befließenen, so nach hiesigen Statuten majorennis als der abgeleibten Frauen seel. mit vorermeltem deren hinterbliebenem H. Wittiber ehelich erzeugter und ab intestato Zu Erben hinterlaßenen einigen Sohns, mit beÿstand des Ehrenvesten und Großachtbaren Herrn Joh: Daniel leidecker handelßmanns und burgers allhier seines Herrn Oncle, fleißig inventirt (…) So beschehen in fernerem Gegenseyn Frauen Elisabethæ Leideckerin der abgeleibten Frau seel. frau Mutter auff Montag den 23. May 1735.

Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Magd Cammer, Vor dießer Cammer, In der Officiers Stub, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, Im Obern Stüblein, Im Haußöhren, In der Obern Stub, In der Kuchen, In der Wohnstub, Im Contoir, Im laden Im Keller
Wÿdums Verfangenschaft. Tit. Frau Elisabetha Leideckerin gebohrne Schaumännin weÿl. Tit. H. Johann Heinrich Leidecker des ältern, gewesenen handelßmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau Wittib dißirts abgeleibten frau seel. geliebte frau Mutter (…)
Eigenthum ane einer Behaußung (T.) Nemlichen ein hauß und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuen begriffen, Zugehörden Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen in allhiesiger Statt auff dem schneidergraben einseith neb. H. Jacob Leidecker dem handelßmann 2.s. neben dem Moßederischen hinderhauß, hinden auff den Ulmer Graben stoßend davon gehen Jährlichen auff Joh. Bapt: 10. ß s von dem Wettedächlein gemeiner Statt pfenningthurn so Zu Capital gerechnet antreffen 10. lb, Item 16 lb d a 4 pro Cento gerechneten Zinnß frawen Susannæ Margarethæ Städelin gebohrner Wagnerin Jährlichen auff Weÿhenachten ablößig in Capital mit 400 lb. Sonsten ist solche behaußung freÿ ledig und eigen und durch die allhießig. geschwohrne Werckmeister vermög deren außgestellten schrifftlichen Abschatzung dedato 11. Maÿ 1735. über obige darauff hafftende beschwerden angeschlagen worden vor 790.. Darüber besagt ein perg: Kbr. m. allh. C.C. Stub anhang: Inns. verw. datirt den 8. Aprilis Anno 1719.
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ über Eingangs gedachter beeder geweßener Ehhepersohnen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen inn A° 1716. durch hrn Philipp Jacob Mader Notarium auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 9, Sa. Ergäntzung 46, Summa summarum 66 lb – Schulden per se, Compensando 33 lb
Solchemnach folget auch des Sohns und Erben unveränderten mütterliche Nahrung, Sa. haußraths 253, Sa. Silber und geschmeids 29, Sa. goldener Ring und geschmeid 60, Sa. baarschafft 30, Sa. Ergäntzung 1592, Sa. Activ schuld 100, Summa summarum 2066 lb
Endlichen wird auch die gemeine Veränderte und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 169,Sa. Wahren ins Gewerb gehörig 4613, Sa. Wein und leerer Faß 206, Sa. Silber und geschmeidt 20, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 923, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 790, Sa. Activ Schulden 3379, Summa summarum 10.115 lb – Schulden 9442 lb, Nach deren Abzug 673 lb
Beschluß summa 5706 lb
Copia der Eheberedung (…) 1715.. Philipp Jacob Mader Nots. publ.
Copia Codicilli reciproci in A° 1722 mit einander auffgerichtet – auff Freÿtag den 24. Monats tag Julÿ Nachmittag Zweÿ dreÿ und Vier uhren in einer in der Statt Straßburg ane der Krämer gaßen gelegenen von Weÿl. S. T. Herrn Johann Heinrich Leÿdeckers des ältern geweßenen handelßmanns und burgers allhier seel. nachgelaßener Frau Wittib bewohnenden behaußung dero obern Stuben mit denen Fenstern auff gedachter gaß außsehend (…) Persönlich kommen ist, der wohl Ehren Veste und großachtbahre Herr gee& Jacob Strauß, handelßmann und beneben Ihme die Viel Ehr und Tugendreichen Frau Elisabetha gebohrne leÿdeckerin beede Eheleuthe und burgern allhier, durch die gnade Gottes auffrecht gesunden gehend und stehenden leiber (…)
Abschatzung den 11. Maÿ 1735. Auff begehren deß Wohlachtbahren und bescheidenen H. Georg Jacob Strauß deß handelsmann ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff dem schneiders graben gelegen, ein seits neben H: Jacob leit Ecker hantels mann, anderseits neben Johann Geörg Mossetter auch hantelsmannn, hinten auff dem ulmer graben Stoßend, welche behaußung stuben, Kammern, Kuchen, haußehren, oben darüber ein stuben, und nebens stübell, mit einem schmahlen Küchell, haußehren und Kammer, Ohficies Kammer, unten auff dem boden der lathen und haußehren, hinten daran eine Kleine wahren Maccassin, einem außgang in den ulmer graben gewölbter Keller, sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschworne werckleüthe ist besichtiget worden, und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen worden, Vor und umb Zweÿ Tausent und Vier Hundert Gulden Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 400 florins (700 livres) sur un total de 5 400 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) p. f° 58
(Spiegel F. N. 6716) Weÿl. Fr. Elisabethæ gebohrner Leÿdeckerin H. Georg Jacob Straußen Handelßmann und Burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft invenirt H. Not. Johann Philipp Lichtenberger.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 161.b, 2706 lb 11 ß 7 d. die machen 5400 fl. Verstallte nur 4000 fl. zu wenig 1400 fl.
Nachtrag auff Sechs Jahr in duplo macht à 4 lb 4 ß – 25 lb 4 ß
Und auff Vier Jahr in simplo à 2 lb. 2 ß – 8 lb 8 ß
Extat das Stallgeltt pro 1735. mit 7 lb. 7 ß
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 3 lb 7 ß 6 d, Summa 44 lb 9 ß 6 d
Auf Bitten nachgelassen 8. lb 8 ß – Rest 36 lb 1 ß 6 d
dt. 13. Julÿ 1735.

Héritier de la maison, le hussard François Henri Strauss vend la maison à l’inspecteur de l’Aumône Claude Joseph Lambert pour 1 400 livres

1743 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 277
H. Frantz Heinrich Strauß dermaliger volontaire unter dem Löbl. Hussaren regiment Berchiny
in gegensein H. Claude Joseph Lambert visitatoris beÿ der Allmoßen stub
eine behausung und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Schneidergraben einseit neben H. Gerhard Walther dem handelsmann, anderseit neben H. Philipp Dambach dem handelsmann, hinten auff den Ullwergraben – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß weg. des Wetter dächleins – um 400 und 400 pfund verhafftet, den verkäuffer als ein elterliches erbguth -geschehen um 600 pfund

Fils du parfumeur Nicolas Lambert, Claude Joseph Lambert épouse en 1729 Marie Claude Le Begue, veuve du traiteur Léonard Dubois dit Demoulins avec lequel elle s’était mariée en 1714 : contrat de mariage, célébration
1729 (9. Xbr), Not. Humbourg (6 E 41, 47)
Contrat de mariage – furent presents Le Sieur Claude Joseph Lambert fils majeur d’ans des defunts Sieur Nicolas Lambert viuant marchand parfumeur Manancier de cette ville et de D° Anne Marie Reiss ses Pere et mere, etant de present garde de Monseigneur Le Maréchal Comte du Bourg Commendant en Chef en Alsace demeurant en cette ville, faisant stipulant et agissant pour Luy et en son nom d’une part
Et Dle. Marie Claude Le Begue veuve du Sr Leonard du bois dit du moulin vivant Cabaretier a la toison d’or Bourgeois de cette dite ville, fille de defunts Sr George Le Begue viuant Chirurgien de cette dte. ville et de Dle. Catherine Elisabeth Hungerin aussy ses Pere et mere, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom d’autre part
Fait lû et passé audit Strasbourg Le Neuf° Decembre 1729 (signé) claude Joseph Lambert, marie glaude Le begue

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 174)
Hodie 2. Decembris Anni 1729. (…) Conjuncti fuerunt claudius Josephus Lambert in servitiis apud illustriss. Dominum Maréchallum Dubourg et Maria claudia Le Begue, defuncti Leonhardi Dubois Hospitis ad aureum vellus relicta vidua ambo parochiani nostri (signé) claude Joseph Lambert, Marie glaude Duboy (i 92)

Claude Joseph Lambert devient bourgeois à titre gratuit quelques jours après son mariage
1729, 3° Livre de bourgeoisie p. 1374
H. Claude Joseph Lambert garde de Monseign. le Marechal erhalt d. b. gratis, will beÿ E: E: Zunfft d. freÿb. dienen, Jur. d. 7. Xbr. 1729.

Garde du comte du Bourg, Claude Joseph Lambert qui a épousé la veuve de l’aubergiste à la Toison d’or devient tributaire chez les Fribourgeois le 20 décembre 1729.
1729, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 97-v) Dienstags den 20.ten Dec: 1729 – Neuzünfftiger
Claude Joseph Lambert, der Guarde beÿ Monseigneur le Marechal Comte Du Bourg allhier erscheinet undt prod: Burger Urkund de dato 7.ten vnd 17.ten Dec: 1729. mit bitt weilen er Zufolg deß producti das burgerrecht und von Gn. Hh denen XV. den Schanck à la Toison d’or erhalten Ihne Leibzünfftig Zu recipiren.
Erkandt, daß demselben in ansehung, Weÿl. Lionard Dubois deß geweßenen würths à la Toison d’or nachgelaßene wittib geheurathet und beschehener hoher Recommandationen, Jedoch ohn alle præjuditz und schadlich consequenz gegen Erlag den 6. lb 14 ß d Zu Willfahren seÿe. ded. et jur. auff die ordn.

Claude Joseph Lambert est autorisé à vendre le vin étranger non plus au détail mais en gros et obtient un ajustement sur l’accise déjà acquittée.
1738, Protocole des Quinze (2 R 147)
(p. 30) Sambstag d. 25. Januarÿ 1738 – Christ nôe. Claude Joseph Lambert b. undt weinhändlers prod. underth. Mem. pt° Umgelts. Erk. Obere Ungelt herren.

(p. 53) Sambstag d. 1. Febr. 1738. – Claude Joseph Lambert pt° Frembden wein
Obere Ungeld Herren laßen durch Hrn Secret. Kleinclaus referiren Claude Joseph Lambert der Burger und Weinhändler habe in einem den 25. Januarÿ jüngst producirten unterthänigen Memorial Vorgetragen, Es hetten Mgh. Ihne A° 1736 erlaubt Frembde Wein en detail Zu verkauffen, er seÿe aber nunmehr gesinnet dergleich Wein nicht mehr en detail sondern allein en gros Zu verkauffen, mit demuthiger bitt Ine gleich andern so Frembde wein en gros Verkauffen, pt° des Umbgelts Zu halten.
Auff geschehene Weißung, habe der Implorant beÿgesetzt, es seÿen Ihm noch ohngefehr 6 ohm. Schein wein übrig, wavon er auch des große Umbgeld bezahlt, er hoffe man Werde Ihme solches wiederumb restituiren indeme er das Detail auffgeben. Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß dem Imploranten in seinem Begehren Zu willfahren seÿe, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erk. Willfahrt.

Inspecteur à la Chambre de police, Claude Joseph Lambert obtient en 1742 une augmentation de son traitement.
Claude Joseph Lambert qui vient d’acheter la maison au Fossé des Tailleurs est autorisé à débiter du vin étranger sous son ancienne enseigne à la Toison d’or en l’attachant à sa maison. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.

1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Claude Joseph Lambert pt° Real Schilts Gerechtigkeit à la Toison d’or
(p. 508) Sambstag d. 16. Nov. 1743. – Römer nôe H. Claude Joseph Lambert Visitatoris des allhießig des allhießig. Allmosens Ppal. hat das Straußische hauß auff dem Schneider Graben gekaufft, und Wed. derselbe Vormahls Würth à la Toison d’or Vermög mit Kommendem Attestat gewesen, alß bitt mit der Schilds Gerechtigkeit à la Toison d’or Zu ged. hauß, vnd mit dem Schanck aller Frembden wein Ihme Zu Willfahren. Erk. Ober Ungelt Herren

(p. 530) Sambstag d. 23. Nov. 1743. – Claude Joseph Lambert pt° Real Schilts Gerechtigkeit
Iidem [Obere Ungelt Herren] laßen ferner per Eundem Referiren, daß Claude Joseph Lambert der Visitator des allhießigen Allmosens, den 16. hujus per Recessum berichtet Er habe das Straußische Hauß auff dem Gerber Graben gekaufft, und Weil derselbe Vormahls Würth à la Toison d’or Vermög mit Kommenden, und nun abgeleßenen Attestati von E. E. Zunfft der Freÿburger, gewesen, alß wolte Er Vnderth. gebetten haben, mit der Schilts gerechtigkeit à la Toison d’or Zu gedachtem hauß, und mit dem Schanckh aller Frembden wein gn. Zu willfahren.
Auff geschehene Weisung habe der Implorant beygesetzt, Er Verlange für sich Keinen offentlichen Weinschanck Zu treiben, Wie ein Würth, sondern nur in ermeltem Hauß Frantzösische und Frembde wein en detail Zu Verkauffen, deßen er schon die Erlaubnuß habe, Er supplicire nicht umb einen quartal Schild, sondern umb die Real Schilts Gerechtigkeit auff erwehntes Hauß, damit seine Fraw mit der Zeit, wann er Zu sterben Kommen wüde, allda ein Etablissement haben möge, und Wein außschencken dörffe.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß in beeden puncten dem Imploranten Zu Willfahren, jedoch daß Er für die Real Schilds Gerechtigkeit, ein für alle mahl Gemeiner Statt Pfenningthurn 50 pfund Zu erlegen schuldig sein solle, Welches des Herrn Prætoris Regÿ Excellenz, dero man hievon Nachricht gegeben, auch also agreirt, die Genehmhaltung zu Mgh. Erkandt, Bedacht gefolgt.

(p. 572) Sambstag den 14. Nov. 1743. – Obere Ungelt Herren laßen durch Herrn Secretarium Kleinclaus proponiren, daß communication hernach gesetzten Bescheidts seÿe begehrt, Willfahrt und sofort wie volgt Zu papier Gebracht worden.
Bescheid. Sambstag d. 23. Nov. 1743. In Sachen H. Claude Joseph Lambert Visitator des allhießigen Allmosens, Auff deßelben gethanes Unterthäniges Ansuchen und bitten, Ihme, alß der das Straußische Hauß auff dem Schneider Graben gekaufft, und Vormahls Würth à la Toison d’or Vermög vorgelegten Attestati von E. E. Zunfft der Freÿburger, gewesen, mit der Schilts gerechtigkeit à la Toison d’or Zu gedachtem hauß, und mit dem Schanckh aller Frembden wein gn. Zu willfahren, genommenen Bedacht, und der Ober Vngelt herrn abgelegte Relation, Ist Erkandt, wird dem Imploranten in beeden puncten Willfahrt, jedoch daß er für die Real Schilds Gerechtigkeit, ein für alle mahl Gemeiner Statt Pfenningth. Fünffzig pfund d. Zu erlegen schuldig sein solle. Zu Mghh. stehend, Ob sie diesen Auffsatz alßo genehmhalten, und dabeÿ erkennen wollen, daß derselbe in dieser formb expedirt vnd dem petenten Zugestellt Werden solle. Erk quo ad sic.

Les Quinze autorisent l’aubergiste Pierre Tintelier à exploiter l’enseigne à la Toison d’or
1761, Protocole des Quinze (2 R 173)
(p. 283) Sambstags d. 18. Julÿ – Claus nôe Sr Pierre Tintelier des burgers und Gastgebers allhier producirt Zunfftschein, bitt Krafft deßelben Ihme mit dem Weinschanck in dem Wirths haus à la Toison d’or gnädig Zu willfahrten. Erk. nach ordnung willfahrt.

Claude Joseph Lambert obtient remboursement de l’accise sur le vin qui reste dans l’auberge après que l’exploitant l’a quittée
1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
(p. 181) Sambstags d. 10. Peter 1762. – N. Lambert pt° Entschlagung bezahlten Würths Umbgelds
H. Secretarius Stædel referirte ferner, es habe H. N. Lambert als proprietarius des Würths haußes à la Toison d’or sothanes Würthhauß nebst seinen in vorrath gehabten Weinen vor einiger Zeit einem Würth in bestand gegeben. Nun seÿe sothaner Würth außer stand die Würtschafft weiter zu führen, Er aber nicht gesonnen solche proprio nomine Zu continuiren, mithin da ihme der annoch vorräthige wein Zurück gefallen das gehörige Würths Umbgeld aber bereits davon bezahlt, so er in betrachtung erwahnter umbstände ohne merklichen nachtheil Krafft der Ordnung nicht auf sich leiden Könne, als verhoffe derselbe Mghh. geruheten ratione des annoch vorhendenen quanti, so sich laut mitgehenden von Schrag dem Weinsticher entheilten attestati auf 79. Ohmen belauffet, Zu erkennen, daß ihme sothanes Würths umbgeld nach abzug der ordentlichen burger gebühr wiederumb zu restituiren seÿe.
Nach abgestattetem Bericht, und eingesehenem attestato ist Erkanndt, daß dem Imploranten mit gebettener entschlagung des bereits bezahlten Würths umbgelds von denen annoch vorhandenen 79. Ohmen wein, mit 118 fl. 5 ß unter seinem oblato Keine Weitere Würtschafft Zutreiben, Zu Willfahren seÿe.

Claude Joseph Lambert loue la maison à l’aubergiste Jean Henri Klopffer et à sa femme Marie Dorothée Artzner en s’y réservent l’habitation

1764 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 228
H. Claude Joseph Lambert
in gegensein Johann Heinrich Klopffer des gastgebers und Mariæ Dorotheæ geb. Artznerin
entlehnt, eine ihme auf dem Schneidergraben gelegen zuständigen behausung, nichts davon ausgenommen als auf dem zweÿten stock die große stub und in krancken tagen sowohl für den verlehner als deßen ehefrau die nebens stub, platz für holtz zu legen nabst einen kleinen unterschlagenen keller – auff 3 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Annunciationis Mariæ angerechnet (mit mobilien in einer specification beschrieben) – um einen jährlichen Zinß nemlich 125 pfund

Les Quinze autorisent l’ancien aubergiste au Bateau de Francfort à exploiter l’auberge à la Toison d’Or
1764, Protocole des Quinze (2 R 176)
(p. 168) Sambstags d. 24. Martii 1764 – Claus nôe Johann Heinrich Klopffer des geweßten Würths Zum Franckfurther schiff, dieser bitt E. G. unterth. ihme mit dem Weinschanck Von gedachtem Würthshauß auf das jenige à la Toison d’Or gnädig Zu Willfahren und setzt. Erk. Wird dem Imploranten mit gebtettenem Weinschanck à la Toison d’Or nach ordnung Willfahrt.

Marie Claude Le Begue meurt en février 1765 et Claude Joseph Lambert au mois d’avril en laissant pour héritiers ceux que le veuf a institués, c’est-à-dire les enfants de François Lambert et de sa femme Anne Josèphe Hubert, de Valenciennes en Hainaut. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1956 livres, le passif à 86 livres.

1765 (17.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1497) n° 26 ½
Inventarium über Weiland des vorgeachten Herrn Claude Joseph Duso Lambert, geweßeneb burgers dahier zu Straßburg und auch weiland Frauen Marie Claude gebohrner Le Begue deßen kurtz Vor ihme abgelebter Ehegattin, beede nunmeho seel. Verlaßenschafften, auffgerichtet Anno 1765 – nach ihrem und zwar die Frau seel. Sonntags den 17.ten Februarÿ, der Herr seel. aber Samstags den 27.ten Aprilis dieses laufenden 1765.ten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft /:nachdeme die zu erst Verstorbenen frau seel. zufolg vor Hrn. Humbourg dem Königlichen Notario den 9.ten Decembris Anno 1729 errichteten und hernach copeÿlich eingetragenen Eheberedung §° 6.to vorernanntem ihren in die Ewigkeit nachgefolgten Eheherrn in Abgang Leibes Erben dero sambtlich Haab und Nahrung eigenthümlich Verlaßen:/ auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Johann Joseph Großen, des hiesigen burgers und handelsmanns, als geordnet und geschworenen Vogts Hrn. François Lambert zu Valencien im Hennegau mit Frauen Anna Josepha gebohrner Hubert seiner Ehegattin ehelich erzielter Vier Kinder nahmens Dominique François Joseph 14 Jahr 1 Monat, Toussaint Joseph 7 Jahr 1 Monat, Margaretha Alexandra Josepha 3 ½ Jahr und Maria Josepha 7 ½ Monat alt, wie nicht weniger derer von solcher Ehe annoch ferner zu erzielender Kinder, derer von dem letzt Verstorbenen Eheherrn in seinem unterm 13.ten Aprilis letzthin errichteten Testamento solemni in scriptis clauso §° II.mo (…) instituirt (…) und ersucht durch Fr. Mariam Margaretham geborne Guelotte Hrn Philipp Jacob Lutzen des burgers und gastgebers zum goldenen Creutz dahier Ehefrau und Fr. Claudinam geb. Deldono Hrn Matthias Gallers des Schneidermeisters und burgers hieselbsten Ehegattin, des abgelebten Herrn seel. nahe an verwandt, so demselben in seiner letztern Kranckheit abgewartet (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Freÿtag den 17. May Anno 1785.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schneidergraben gelegenen und hiehero eigenthümlich gehörigen Behausung, die Gast herrberg zum goldenen Fließ genannt, folgendermaßen befunden worden als
(f° 11) Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine Behausung und Hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auf dem Schneidergraben, 1.s. n. Gerhard Walther dem handelsmann, 2.s. weil. Philipp Dambachs des handelsmanns Erben, hinten auf dem Ullwer graben stoßend gelegen davon gibt man jährlichen löbl. Statt Pfenningthurn 10 ß wegen des Wetter dächleins, sonsten aber gegen männiglichen freÿ leedig und eigen, welche behausung durch (die Werckmeistere) Vermög eingeschickter Von ihnen unterschriebenener und dießem Concept anliegender Abschatzung de dato 21.ten May 1765. dem wahren werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um 750 lb, Hievon abgezogen obige beschwerde der 10 ß zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 20 lb, Nach deren abzug verbleibt an obigem Anschlag hier außzuwerffen noch übrig 730 lb. Hierüber docirt ein teutscher pergamentener Kaufbrieff mit Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahret de dato 1.ten Julÿ 1743. so mit Lit A. bezeichnet und wobeÿ noch Zweÿ andere alte pergamentene Kauffbrieff gebunden
– Abschatzung Vom 21.t Maÿ 1765. Auff Begehren Weil. H. Friderich Clodt Des gewesener Gast gebers weil. hiender Lasener Erben ist eine gastherberg alhier in der Statt Strasburg auff dem Schneider Graben gelegen Zum Guldenen Flus genandt Einseits Neben H. Walter dem glashendler ander seits Neben den dambächen Kiendter Und hienden auff den Ulmer Graben Stosenent [sic] gelegen, solche gastherberg besteht in einer gast Stuben Ferner in dreÿ Stuben eine Kichen Und Ettliche Kamern dar Iber ist der dach Stuhl mit breidtziglein beleg hat auch ein Gewelbten Keller. Von uns unterschriebnen der Statt Strasburg Geschwornen werck Meister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor vnd vmb Ein Thausent Finff Hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Verzeichnuß dererjenigen Effecten so Monsieur Claud Joseph Lambert eigenthümlich zuständig, welche H. Johann Heinrich Klöpfer dermahliger Gastgeber zum Goldenen Vließ von ermelten Mons. Lambert entlehnt, im Keller, In dem Saal auf dem boden, Auf dem ersten Stock, In der Küchen, Auf dem dritten Stock, Im nebens Kämmerlein, d. 26. mart. 1764
hausrath 414 lb, wein 35 lb, silbers 1 lb, baarschafft 86 lb, Eigenthum an einer behausung 730 lb, Gülth von liegenden güthern (zu Säsolsheim) 690 lb, schulden 313 lb, Summa summarum 1956 lb – Schulden 86 lb, In Compensatione 1869 lb
Summa præ und legata 894 lb, Stall summa 1131 lb – Zweiffelhaffte schulden 313 lb
Producta, quittung der Zunnft der Freÿburger
Copia der Eheberedung (…) Humbourg Notaire. L’article sixieme du présent Contrat de mariage a été insinué et registré ez Registres du Conseil souverain d’Alsace suivant l’arret rendu en iceluy cejourd’hui 7° janvier 1730.
Copia Testamenti – Je soussigné Claude Joseph Dusaut dit Lambert demeurant en cette ville rue dite frohneck au Cabaret ou pend pour enseigne la Croix d’or, paroisse St Laurent (…) etant malade de corps (…) légue à François Lambert mon neuveu demeurant à Valenciennes (…), à Dominique Joseph fils ainé du dit François Lambert (…), Onziemement, je fais, crée, nomme et institue pour mes héritiers les Enfants du dt. Sieur François Lambert demeurant à Valenciennes, nés et à naître du présent mariage seulement – Hinterlegung, Zu sich in die gast herrberg zur goldenen Creutz allhier Zu Straßburg ane dem frohneck gelegen, und zwar in ein darinn Lehnungs weiß inhabendes auf dem dritten stockwerck gelegenes Zimmer mit zweÿen Creutzstock fensteren auf die gaß außsehend (…) Sambstags den 13. Aprilis Anno 1765. Johannes Anrich Notarius

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 200 florins et que la légataire de Vienne en Autriche doit régler le droit de détraction.
1766, Livres de la Taille (VII 1180) f° 17
(Freÿburger N° 1458) Weÿl. Claude Joseph Lambert und auch Weÿl. Fr. Marie Claudine geb. Lebegue geweßener Eheleuthen und burgeren allhier Verlaßenschafft jnvent. H. not. Anrich.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 81, 1869 lb 12 ß 1 s, davon gehet aber wieder ab wegen der Beßerung so der Verstallung nicht unterworffen 1738 lb 10 ß 8 d, Verbleibt 1131 lb 1 ß 5 d, die machen 2200 fl. Verstallte 1100 fl. Zu wenig 1100 fl.
Wovon Nachtrag 8 Jahr in duplo à 3 lb 6 ß – 26 lb 8 ß
und 6. Jahr in simplo – 9 lb 18 ß
Ext. Stallgelt 1764 et 1765. – 6 lb
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 3 lb 2 ß 6 s – Summa 45 lb 11 ß
H de Deldono Zu Wien wohnhaft hat Von 345 lb legat den abzug Zu erlegen mit 34 lb 10 ß
Vermög Erkandtnus derer oberen Stallherren Vom 27. Januarÿ. 1766. Ist das simplex ane dem Nachtrag nachgelaßen worden.
dt. 29. Januarÿ 1766.

Compte que rend le marchand Jean Joseph Gross de la tutelle des biens qui appartiennent aux héritiers, enfants de François Lambert de Valenciennes
1766 (19.8.), Not. Anrich (6 E 41, 1520) n° 7
Berechnung Zwischen Hrn Johann Joseph Groß dem hiesigen burger und Handelsmann als geordnet und geschworenen Vogts Hrn François Lamberts Von valenciennes mit frauen Anna josepha geborner Hubert ehelich erzeugt und noch zu erzeugenden Kinder ane einem
So dann Hr. François Lambert deßer Kinder Vatter Vorgedacht als Vermög einer beÿ Löbl. Vogteÿ Gericht den 24. Maÿ hujus anni vorgegangenen Erkanntnuß usufructuaria des seinen Kindern Von weil. Hrn Claude Joseph Duso Lambert geweßenem burger allhier zugefallenen Erbguths

Jean Joseph Gross loue l’auberge au marchand de vins Jean Adam Sebastian

1767 (28.8.), Not. Laquiante (6 E 41, 1024)
Bail de 5 années qui commencent a la St Michel prochaine – Sr Jean Joseph Gross negociant en qualité du tuteur établi par la justice aux héritiers mineurs de feu Sr Claude Joseph Lambert Cabaretier lesquels héritiers sont les enfants du Sr François Lambert de valancienne
au Sr Jean Adam Sebastian marchand de vin
la maison appartenante auxd. héritiers en cette ville sur le quay des tailleurs portant pour enseigne la toison d’or sans en Rien excepter ny reserver, moyennant un loyer annuel de 400 livres tournois

Fils de Jean Sebastian (Bastian) et de Claude Elisabeth Fischer de Molsheim, Jean Adam Sebastian de Dorlisheim épouse à Wasselonne Marie Madeleine Monnet qui en est originaire : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Jungen Gesellen Adam Bastian Weÿl. Hanß Bastians gewesenen Burgers zu Dorlisheim ehelichem Sohn als Hochzeiter ane einem, Sodann der Tugendsamen Jungfrauen Maria Magdalena Monetin des auch Ehrsamen Caspar Monet Burgers zu Waßlenheim ehelich erzielten Tochter als Hochzeiterin andern Theils (…) Welches alles beschehen in Beÿseÿn und persönlicher Gegenwarth der Ehrengeachten und bescheidenen auf seithen des Hochzeiters Hanß Georg Wolfen des Schumachers deßen Vogts und Hanß Bastian deßen Bruders beeder von Dorlisheim, so dann auf seithen der Jungfrau Hochzeiterin dero Vaters Eingangs gemelt, Herrn Frantz Chenin Stabhalters alhier Zu Waßlenheim und Herrn Heinrich Imlers burgers und Rindsfus wirth alhier (…) deßen Zu wahrer Zeugnus habe ich Philipp Jacob Mader Notarius publicus und Amtschreiber gegenwärtige Heuraths verschreibung (…) auf mein gewohnlich Notariat Insigel hier aufgedruckt, Geschehen Zu Waßlenheim den 16. Junÿ Anno Christi 1720, P. J. Mader Not. Publ. p.t. Ambtschreiber zu Waßlenheim und Marlenheim

Mariage, Wasselonne (cath. f° 29)
Die 9. Julÿ 1720. præmissis præmittendis in facie Ecclesiæ (…) iuncti sunt Matrimonio honestus Adolescens Adamus Bastian, Joîs Bastian et Claudiæ Elisabethæ Fischerin coniugum ex Molsheimb legitimus et Pudica virgo Maria Magdalena Monetin caspari Monet et Margarethæ Wetzleron coniugum in Wasslonne legitima (signé) Adam Bastian, + signum sponsæ (i 31)

Jean Adam Sebastian de Dorlisheim et Marie Anne Monet de Wasselonne achètent le droit de bourgeoisie le 21 avril 1732. le mari devient le même jour tributaire chez les Fribourgeois
1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 984
Adam Sebastian d: schwartzbeck Von dorlißheim und sein ehefr. Magdalena Monetin Von Waßlenheim geb. erhalten d: b. Zusammen umb den neuen b. wollen beÿ E. E. Zunfft d. Becker dienen. Jur. et prom : d. 21.t ap. 1732.

1760, Registres annuels de la Taille (VII 1253) f° 102
Freÿburger – Sebastian, Joh: Adam, Jur. 21. April 1732 – 2. lb 5 ß
dt. 28. Aprilis

Jean Adam Sebastian obtient une augmentation de son traitement de messager adjoint de la Taille
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 662) Sambstag d. 23. Xbris 1741 – Joh: Adam Sebastian pt° addit.
Moss. noê Joh: Adam Sebastian burgers und Unterstallbotten prod. Unterth. Memoriale Erk. Ober Stall Herren

L’aubergiste à la Toison d’or Jean Adam Sebastian meurt en 1770 en délaissant six enfants qui abandonnent la succession à la veuve leur mère. L’actif de la succession s’élève à 719 livres, le passif à 444 livres.

1770 (3.9.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 39) s.n.
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrenvesten Herrn Johann Adam Sebastian gewesenen Würths und Gastgebers à la Toison d’or und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet in Anno 1770 – nach seinem Mittwochs den 15:den letzverwirckten Monaths Augusti aus dießer Welt genommenen tödtlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschaft ane heutig zu Ende gesetztem dato auf Zuvor geschehenes geziemendes Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohlen Frauen Maria Magdalena gebohrner Monettin der dißorths hinterbliebener Wittib so mit Herrn Antoni Riehl dem Schneidermeister u. b. dahier verbeÿstandet (…), so dann Anna Maria Bonnin dißorths Enckelin so sich im haus aufhaltet die dienstmagd (…) So beschehen alhier in der Königlichen Stadt Strassburg in personlicher Gegenwärtigkeit der hernach benannten Erben und des wegen denen Abwesenden hierzu ernannten Herrn Deputati auf Montag den dritten Septembris 1770.
Benennung der Erben, Der verstorbene seelig hat ab intestato Zu seinen wahren und rechtmäßigen Erben verlaßen, deßen mit Eingangs gedachter dießortigen Wittib ehelich erzeugte Hh. Söhn und Fraun Töchter, Nahmentlich 1.mo Herr Frantz Joseph Sebastian zu Manheim wohnhaft anietzo aber alhier gegenwärtig, 2.do Frau Maria Sibilla gebohrne Sebastianin, so an Meister Johann David Heitz den Schumacher und Burgern alhier geheurathet, un ter deßen Verbeÿstandung hier anwesend, 3.tio Herr Johann Jacob Sebastian, Würth und Gastgeber zum goldenen Kreutz und burger zu Dinckelspiel auch Land-Vogt über dasiges Gebieth, so alhier ohnverburgert und abwedend, dahero hiebeÿ Zugegen ware der Wohl Ehrenveste Herr Philipp Jacob Baldner Perruquier und burger alhier, Eines Ehrs. Kleinen Raths dermahligen Beÿsitzer, (…) hierzu ernannter Herr Deputatus, 4.to Herr Heinrich Wilhelm Sebastian, Würth und Gastgeber auf E. E. Zunft der Becker und burger alhier in eigener Person zugegen, 5.to Frau Catharina Margaretha gebohrne Sebastianin, Herrn Paul Mißmer des Schließenmeisters auf dem erstern Canal-Schließen auch burgers zu Straßburg Ehefrauen mit deßen Beÿhülff anwesend, Und dann 6.to der Wohl Ehrwürdige Herr Johann David Sebastian, dermahliger Caplan zu Schwobsheim, so majorennis, In deßen Namen obgedachter Herr Frantz Joseph Sebastian sein ältere Bruder agirent hat
Bericht und respective Vergleich gegenwärtiger Vermögenschaft halben betreffend. (…) dises haben in ihrer qualitæt als Kinder und Erben auf gegenwärtige ihres Vaters seel. Verlaßenschaft tam active quam passive vor sich und ihre Erben freÿwillig wißend und wohlbedächtlich gäntzlichen Verzug gethan und wollen, daß diese gesamte Vermögenschaft, sie bestehe worinn sie immer wolle, ohnuntersucht Frauen Maria Magdalena se&in gebohrneer Monettin ihrer geliebten Mutter völlih entschlagen seÿ und eigenthümlich verbleiben solle (…) den 3.ten Septembris 1770.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem sogenannten Schneider Graben gelegenen à la Toison d’Or zum Schild führenden dißorts in Lehnung habender Würths und Gast behausung hat sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 161 lb, Sa. Weins und leren faßen 511 lb, Sa. Baarschafft 8 lb, Sa. Schulden 38 lb, Summa summarum 719 lb – Schulden 444 lb, In Vergleichung 274 lb, Stall summa 11 lb – Zweiffelhaffte schulden 31 lb
Copia der Eheberedung (…) auf mein gewohnlich Notariat Insigel hier aufgedruckt, Geschehen Zu Waßlenheim den 16. Junÿ Anno Christi 1720, P. J. Mader Not. Publ. p.t. Ambtschreiber zu Waßlenheim und Marlenheim
Abschriff des vom Verstorbenen seel. vor mit Notario und Gezeugen auffgerichteten Codicilli – der Wohl Ehrenveste Herr Johann Adam Sebastian, der Zeit Würth und Gastgeber à la toison d’or und burger allhier Zu Straßburg (…) zwar kranck und unpaßen und theils in einem Seßel sitzenden theils auch zu bette liegenden Leibes (…) allhier zu Straßburg und einer ane dem sogenannten Schneider Graben gelegenen La Toison d’Or zum Schild habenden von dem H. Codicillatore in lehnung habeder Würths und Gast-behausung und dero obern- oder Wohn Stuben mit denen fenstern auf die Gaß aus sehend,(…) den 15. des Monaths Augusti im Jahr Jesu Christi unsers Heÿlands und Seeligmachers 1770, Philipp Jacob Marbach Nots.
(Documenta. Lettre de Dinckelspiel, 24. Aug. 1770, Mémoire des frais d’enterrement – Mémoire des Drogues – Schneider arbeit – Catalogue de livres)

Autres comptes que rend le marchand Jean Joseph Gross de la tutelle des biens qui appartiennent aux enfants de François Lambert de Valenciennes
1771, Not. Anrich (6 E 41, 1520) n° 13
Rechnung mein Johann Joseph Großen des burgers und Handelsmanns dahier Zu Straßburg als geordnet: und geschwohrnen Vogts Hrn François Lamberts und fraun Annæ Josephæ geborner Hubertin beeder zu Valenciennes wohnhafter Eheleuthen mit einander erzeugt und noch zu erzeugender Kinder, inhaltend alles dasjenige was ich Von dem dießen Kindern von weiland Herrn Claude Joseph Duso Lambert geweßenem burger hieselbsten ihrem oncle zugekommenen Erbguth ane Zinnßen seith dem 20. Augusti 1766 als dem beschluß meiner ersten hierüber deren Vatter als usufructuario gegebenen Rechnung biß den 27. Maÿ 1771 eingenommen und dagegen wieder außgegeben habe. – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ
Primo in einer Wirths behaußung und Hoffstatt dahier ane dem Schneider Graben gelegen
Ane Hauß Zinnßen. Erstlichen erhielte Von meiner Curanden ane dem Schneider graben allhier gelegenen behaußung folgende Zinnße. pro quartali Michaelis 1766, 31. lb (…)

1777, Not. Anrich (6 E 41, 1520) n° 30
Rechnung mein Johann Joseph Großn des burgers und Handelsmanns allhier Zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Hrn François Lamberts und fraun Annæ Josephæ geborner Hubertin beeder zu Valenciennes wohnhafter Eheleuthen mit einander erzeugte fünff Kinder, inhaltend alles dasjenige was ich Von dem dießen Kindern von weiland Herrn Claude Joseph Duso Lambert geweßenem burger hieselbsten ihrem oncle zugekommenen Erbguth ane Zinnßen seith dem 27. Maÿ 1771 als dem beschluß meiner Zweÿten hierüber deren Vatter als Nutznießer beregtem Erbguths gegebenen Rechnung biß Weÿhenachten 1777 eingenommen und dagegen wieder außgegeben habe – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ
Primo in einer Wirths behaußung und Hoffstatt dahier ane dem Schneider Graben gelegen
Ane Hauß Zinnßen. Erstlichen erhielte Von meiner Curanden ane dem Schneider graben allhier gelegenen behaußung folgende Zinnße. pro quartali Johannis Baptistæ 1771, 25. lb

1783, Not. Anrich (6 E 41, 1520) n° 49
Rechnung mein Johann Joseph Großn des burgers und Handelsmanns allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Herrn François Lamberts und fraun Annæ Josephæ geborner Hubertin beeder zu Valenciennes wohnhafter Eheleuthen mit einander erzeugter fünff Kinder, inhaltend alles dasjenige was ich Von dem dießen Kindern von weiland Herrn Claude Joseph Duso Lambert geweßenem burger hieselbsten ihrem oncle anerstorbenen Erbguth ane Zinnßen so theils denen emancipirten älteren meiner Curanden und theils gedachtem deren Vatter und Nutznießer der meinen jüngern Curanden zuständigen Antheileren zu Kommen, seith Weÿhenachten 1777 als dem beschluß meiner dritten hierüber abgelegten Rechnung biß Annunciationis Mariæ 1783 eingenommen und dagegen wieder außgegeben noch sonsten gehandelet habe – Vierte Rechnung dießer Vogteÿ
Primo in einer Wirths behaußung und Hoffstatt dahier ane dem Schneider Graben gelegen
Ane Hauß Zinnßen. Erstlichen erhielte Von meiner Curanden ane dem Schneider graben allhier gelegenen behaußung folgende Zinnße. pro quartali Johannis Baptistæ 1778 von Mde Mauritz, 25. lb
pro quartali Michaelis 1778 von Hrn Magnus (…)
Weither von Hrn Joseph Duelli, pro quartali Weihenachten 1780

Le mandataire des héritiers Lambert vend la maison au négociant Jean Daniel Christmann

1798 (29 thermidor), Strasbourg 9 (anc. cote 4), Not. Dinckel n° 1096
Cit Charles Henri Kern, homme de loi, comme mandataire de la cit. Alexandrine Marguerite Lambert, journaliere majeure à Valenciennes, femme divorcée sans enfant d’Etienne Lecluse, Coeffeur à Paris, et aussi du cit. Pierre Joseph Laurette Praticien à Valenciennes comme curataur de Dominique Joseph Lambert et de Toussaint Joseph Lambert caporal de la cinq. Compagnie du deuxième Bataillon de la 107° Demi Brigade armée du Bas Rhin absent depuis environ trois ans, plus le Cit. Louis Pezé negociant en cette commune
le Cit. Kern en conformité de l’homologation faite au Tribunal Civil du Département du Nord seant a Douay le 22 thermidor dernier, suivant neuf encheres faites devant le Cit. Remond Juge de paix du troisième arrondissement de cette ville selon les procès verbaux dressés
au Cit. Jean Daniel Christmann Negotiant audit Strasbourg
une maison avec toutes ses appartenances droits et dépendances situé en cette commune fossé des tailleurs N° 4 d’un côté Jean Walter negociant d’autre Ferdinand René tailleur par derrière le fossé dit Ulmergraben, chargée d’une rente foncière de deux francs envers la commune de Strasbourg, la vente de ladite maison a laquelle le C. Kern ez qualité possede trois 5° et le Pezé deux 5° est faite moyennant 8500 francs
(Joint, Procuration) Acte du Juge de Paix en date du 1. floreal 6 (…) est aussi comparu le C. Louis Bené Négociant en cette comme lequel a exposé qu’ayant également une part pour deux 5° à la maison susmentionnée appartenant à la succession de feu Claude Joseph Lambert décédé en cette commune en 1765 – le 11 floreal, personne ne s’est présenté – le 18 floreal, personne – le 25 floreal, mise de 6000 fr, pour 6100 fr à Jean Guillaume Matthis – et le 8 thermidor
(enregistré le 29 thermidor)

Jean Daniel Christmann vend la maison au baquetier Jean Theophile Marzolff et à sa femme Anne Marie Aufschlager moyennant 10 864 francs

1809 (23.11.), Strasbourg 12 (28), Not. Wengler n° 4438
Jean Daniel Christmann négociant demeurant rue des Hallebardes n° 16
à Jean Theophile Marzolff, baquetier, et Anne Marie Aufschlager demeurant fossé des tailleurs n° 5
une maison a rez de chaussée et trois étages avec tréfonds, fontaine et toutes autres appartenances, droits, dépendances sise à Strasbourg fossé des tailleurs n° 4, d’un côté le Sr Ehmann négociant, d’autre Ferdinand Réné, tailleur, par devant la rue et par derrière le fossé appelé Ulmer-graben – grevée envers la ville de Strasbourg d’une rente communale de deux francs – acquise pendant le premier mariage d’Alexandrine Marguerite Lambert et autres par licitation drerssée par M° Dinckel le 29 thermidor 6 et pour ce qui est de la portion qui en appartenait à feu Anne Marie Fleischhauer sa première femme toute sa succession lui a été cédée et abandonnée par Frédéric Henri Fleischhauer son père et unique héritier par Convention passe devant M° Lung le 16 prairial 10 – moyennant 10.864 francs équivalant à 11.000 livres
Enregistrement, acp 113 f° 136-v du 24.11.

Fils de tisserand, Jean Théophile Marzolff épouse en 1803 Anne Marie Aufschlager, fille de pasteur : contrat de mariage, célébration
1803 (26 prairial 11), Strasbourg 14 (21), Not. Lex, n° 3058
Contrat de mariage – Cit. Jean Théophile Marzolff, Baquetier natif de cette ville, fils majeur de feu Jean Philippe Marzolff, tisserand, et de Marie Madeleine née Fuchs
dlle Anne Marie Aufschlager, fille majeure de feu Jean Melchior Marzolff, ministre de la parole de Dieu a Kuhnheim département du Haut Rhin, et de De Anne Marie Schir [unterzeichnet] Johann gottlieb Marzolff
Enregistrement de Strasbourg, acp 88 F° 59-v du 5 mess. 11
Etat des apports, 28 thermidor n° 3198 – le futur époux 618 fr et la future épouse 1046 fr

Mariage, Strasbourg (n° 352)
Du 11° jour du mois de messidor l’an XI de la République française. Acte de mariage de Jean Théophile Marzolff, âgé de 26 ans, baquetier, né en cette ville le 20 décembre 1776, y domicilié, fils légitime de feu Jean Philippe Marzolff, tisserand, et de Marie Madeleine Fuchs, Et d’Anne Marie Aufschlager, âgée de 26 ans, domiciliée en cette ville depuis six ans, née à Kunheim, Département au Haut-rhin le premier juin 1777 fille légitime de feu Jean Melchior Aufschlager, ministre du culte demeurant en cette ville et d’Anne Marie Birr (signé) Jean Téophille Mazolff, Anna Maria Aufschlager (i 32)

Registre de population 600 MW 64, 1808 sqq. p. 37 – Fossé des Tailleurs N° 4 (i 44)
Marzolff, Jean Théophil, 34, Baquetier
id. née Aufschlager, Anne Marie, 33, épouse
id. Jean Théophil, 5, fils
id. Charles Frédéric 4, fils
id. Jacques
id. Chrétien nés le 18. Jr 1811
Registre de population 600 MW 64, p. 37.b – Fossé des Tailleurs N° 5 (i 46)
Marzolff, Jean Théophil, 26, Journalier, Strasbourg, (auparavant) Mé aux poissons 60 – Délogé fossé des Tailleurs N° 4
id. née Aufschlager, Anne Marie, 26, épouse, Kuhneim

Acte qui mentionne les héritiers d’Anne Marie Aufschlager femme de Jean Théophile Marzolff
1834 (25.1.), Strasbourg 2 (76), Me Weigel n° 8300
Inventaire de la succession d’ Anne Marie Birr, décédée le le 13 janvier dernier veuve de Melchior Aufschlager, pasteur à Kuhneim (Haut Rhin) – à la requête de I. 1. Frédéric Aufschlager, chef d’institution, 2 Théodore Aufschlager, architecte, 3. Emelie Aufschlager femme de Charles Auguste Schuler, artiste dessinateur, petits enfants, II. encore mondit Frédéric Aufschlager mandataire de Madeleine Aufschlager épouse de Wilhelm Sack, fabricant de bas demeurant à Colmar, petite fille par représentation de Jean Jacques Aufschlager, fabricant de bas à Colmar, III. mondit Frédéric Aufschlager se faisant fort de Charles Martzloff, célibataire majeur militaire au premier régiment de hussards 5° escadron en garnison à Rambouillet et Jean Théophile Martzloff, tonnelier à Paris, présentement militaire à la première compagnie de vétérans en garnison à Clairvaux (Aube), celui ci en qualité de tuteur de Caroline et Louise Martzloff ses enfants nés d’Anne Marie Aufschlager, fille de la défunte, IV. Auguste Aufschlager, fabricant de bas à Strasbourg petit fils par représentation de Geoffroi Aufschlager, V. Louise Aufschlager épouse de Charles Louis Schuler, graveur en taille douce à Carlsruhe, fille de la défunte assistée de Théophile Schuler pasteur de l’église St Nicolas à Strasbourg et mandataire de Charles Louis Schuler, VI. Henri Wachter, commis négociant, petit fils par représentation de Christine Aufschlager femme de Georges Henri Wachter, droguiste, héritiers pour un 61° Frédéric Théodore et Emilie par représentation de Jean Frédéric Aufschlager, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, 2. réprésentants d’Anne Marie Aufschlager femme Martzolff, 3. Madeleine Aufschlager épouse Schuler, Jean Jacques Aufschlager fabricant de bas à Colmar, 4. représentants de Geoffroi : Auguste, 5. Louise Aufschlager épouse de Charles Louis Schuler, 6. Wachter (…) suivant testament du 4 avril 1833 enregistré le 25 janvier
garde robe distribuée aux pauvres, meubles partagés, créances actives 683 fr, valeurs à partager 9265 fr, passif 812 fr ; garde robe 127 fr, argent, créances actives 630 fr
succession de, garde robe 44 fr, meubles 127 fr, argent 9565 fr, créances actives 63 fr, totalité de l’actif, 10 322 fr, passif 129 fr
Enregistrement, acp 222 F° 178-v du 4.2.

Jean Théophile Marzolff et Anne Marie Aufschlager vendent la maison au tonnelier Laurent Voltz et à sa femme Catherine Salomé Zimmer moyennant 16 000 francs

1813 (8.4.), Strasbourg 7 (50), Not. Stoeber jeune n° 13
Jean Théophile Marzolff baquetier et Anne Marie Aufschlager
à Laurent Voltz tonnelier, natif de Hoenheim demeurant à Strasbourg, et Catherine Salomé Zimmer
Rue du Fossé des Tailleurs 3 (1884-1991) cote 807 W 188
voir aussi Place Gutenberg 4, 5, 6
une maison à rez de chaussée et trois étages avec tréfonds, fontaine, appartenances & dépendances sise à Strasbourg fossé des tailleurs n° 4 d’un côté Georges Ehmann négociant, d’autre Ferdinand Réné tailleur, devant la rue, derrière le fossé appelé Ulmergraben – grévée envers la ville d’une rente communale annuelle de 2 fr – acquis de Daniel Christmann, négociant, par acte reçu par M° Wengler le 23 novembre 1809, ledit Christmann l’a acquis pendant le mariage avec Alexandrine Marguerite Lambert suivant contrat passé devant M° Dinckel le 29 thermidor 6, la succession a été abandonnée par Frédéric Henri Fleischhauer père unique héritier par convention passé devant M° Lung le 16 floréal 10 – moyennant 16.000 francs
Enregistrement, acp 122 F° 38-v du 9.4.

Laurent Voltz épouse en 1811 Catherine Salomé Zimmer, tous deux de Hœnheim après avoir passé un contrat de mariage pardevant le notaire de Bischheim (voir l’inventaire ci-dessous)
Mariage, Strasbourg (n° 113)
Acte de mariage célébré le 3 avril 1811. Laurent Voltz, majeur d’ans, né le 22 septembre 1783 à Hoenheim Département du Bas-thin, domicilié à Strasbourg baquetier, fils de Jean Georges Voltz cultivateur audit lieu ci présent et consentant et de feu Catherine Zimmer décédée à Hoenheim le 8 mars 1809 et Catherine Salomé Zimmer, majeure d’ans, née le 6 septembre 1789 à Hoenheim, domiciliée à Hoenheim, fille de Jean Zimmer, cultivateur audit lieu ci présent et consentant et de feu Madeleine Riff décédée à Hoenheim le 25 juillet 1809 (Signé) Lorentz Voltz, Catharina Salome Zimmerin. (i 31)

Laurent Voltz meurt en 1856 en délaissant six enfants
1856 (5.7.), Strasbourg 10 (132), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.587
Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession de Laurent Voltz, en son vivant baquetier à Strasbourg où il est décédé le 17 avril 1856.
Ont comparu 1° De Catherine Salomé Zimmer, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Laurent Voltz en son vivant baquetier en la même ville, agissant à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts & partageable par moitié qui a existé entre elle & feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Koch alors notaire à Bischheim le 24 janvier 1811
2) Dlle Sophie Voltz, majeure sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, 3) Le Sr Laurent Théodore Voltz, baquetier, demeurant et domicilié en la même ville, 4) Dlle Caroline Voltz, majeure sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg, 5) Dlle Louise Voltz, aussi majeure sans état demeurant et domiciliée en ladite ville, 6) Dame Julie Voltz, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Théodore Barchwitz en son vivant typographe, agissant en son nom & comme mandataire de M. Adolphe Gustave Voltz, sergent au 89° régiment d’infanterie en garnison à Marseille (…) habiles à se dire et porter héritiers chacun de pour un 6° dudit Sr Laurent Voltz leur père décédé à Strasbourg le 17 avril 1851.
Analyse du contrat de mariage. Reprises de la veuve en nature 1670
acp 451 (3 Q 30 166) f° 83-v du 7.7. (succession déclarée le 7 juillet 1856) Communauté, mobilier 284, dépôt à la caisse d’épargne 1010 – passif 1670
Succession, garde robe 70
La veuve déclare avoir prélevé en toute propriété les objets mobiliers & créances pour la remplir de partie de ses reprises

Registre de population 600 MW 64, 1808 sqq. p. 37 – Fossé des Tailleurs N° 4 (i 44)
Voltz, Laurent, 30, baquetier, (né à) Hoenheim, (à Strasbourg depuis) 1800, (auparavant) R. des bouchers 13, entré avril 1813
id. née Zimmer, Cather. Salomé, 23, id.
id. Edouard 31 mai 1813 mort 16 7.bre 1813

1860 (16.1.), M° Zimmer
Consentement par Catherine Salomé Zimmer veuve de Laurent Voltz bacquetier à Strasbourg au mariage de sa fille Louise Voltz célibataire à Strasbourg avec Adolphe Mathaeus ouvrier serrurier à Strasbourg
acp 484 (3 Q 30 199) f° 82-v du 17.1.

Laurent Voltz et Catherine Salomé Zimmer vendent la maison au passementier Charles Louis Bahn et à sa femme Sophie Frédérique Lung (veuve de Jean Daniel Christmann, ancien propriétaire de la maison) moyennant 10 000 francs

1817 (27.9.), Strasbourg 10 (63), Not. Zimmer n° 4752, 7816
Laurent Voltz, ci devant tonnelier, et Catherine Salomé Zimmer
à Charles Louis Bahn, passementier, et Sophie Frédérique Lung
une maison avec droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg fossé des Tailleurs n° 4, d’un côté ma maison de Ferdinand Réné tailleur d’habits, d’autre le Sr Ehmannn négociant, derrière le fossé dit Ulmergraben – acquis de Théophile Martzolff, baquetier, et Anne Marie Aufschlager par acte reçu Stober jeune notaire à Strasbourg le 8 avril 1813, ledit Martzolff l’a acquis de Jean Daniel Christmann, négociant, par acte reçu M° Wengler le 23 novembre 1809, Christmann l’a acquis par contrat passé devant M° Dinckel le 29 thermidor 6 et M° Lung le 16 prairoal 10 – moyennant 10.000 francs
Enregistrement, acp 135 f° 188 du 29..bre
[autre acte :] Me Roessel le 4 septembre 1817, n° 4599 la maison Fossé des Tailleurs n° 4 entre le Sr Ehrmann négociant et le Sr Réné tailleur derrière un fossé ; acquise de Théophile Martzolff baquetier et Anne Marie Aufschlager par acte reçu M° Stober jeune le 8 avril 1813 – mise à prix 10.000 francs – le 18 septembre personne ne s’est présenté

Sophie Frédérique Lung vend la maison au négociant Paul Simon Muhe moyennant 11 100 francs

1826 (29.12.), Strasbourg 10 (74), Me Zimmer n° 10 307
Sophie Frédérique Lung veuve en premières noces de Jean Daniel Christmann et en secondes noces de Charles Louis Bahn, les deux marchands passementiers, tant pour elle même que se portant fort de Frédérique Eugénie Bahn sa fille mineure née à Strasbourg le 24 février 1813, 2. Eugénie Barbe Bahn
à Paul Simon Muhe, négociant
une maison avec toutes ses aisances, appartenances ét dépendances sise à Strasbourg Fossé des Tailleurs n° 4 d’un côté la maison Réné n° 3, d’autre la maison Ehrmann n° 5, derrière le fossé dit Ulmergraben, en face de la maison du Sr acquéreur – à la venderesse conjointement au Sr Bahn son premier mari acquis de Laurent Voltz, tonnelier, et de Catherine Salomé par contrat reçu M° Zimmer le 27 septembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques volume 97 n° 114, ledit Voltz l’a acquis de Jean Théophile Martzolff, bacquetier, et d’Anne Marie Auffschlager par acte reçu M° Stoeber le 8 avril 1813, Martzolff l’a acquis de Jean Daniel Christmann premier mari de la venderesse suivant acte dressé par Me Wengler le 23 novembre 1809, l’inventaire après le dècés dudit Christmann a été dressé par M° Boessenius le 2 juillet 1811, et celui après le décès dudit Bahn par M° Zimmer le 1 mai 1819 – moyennant 11.100 francs
Enregistrement, acp 182 f° 1 du 2.1.27

Fils de négociant, Paul Simon Mühe épouse en 1820 Frédérique Henriette Hoffmann, fille de docteur en médecine
1820 (28.1.), Strasbourg 12 (78), Me Wengler, n° 11 718
Contrat de mariage – Paul Simon Mühe, négociant demeurant Vieux Marché aux Poissons n° 61, fils de feu Paul Simon Mühe, négociant, et de Catherine Marguerite Cossinat
Frédérique Henriette Hoffmann fille majeure de Jean Thiébaut Hoffmann, docteur en médecine, et de Louise Charlotte Lienhart demeurant à Obernay – communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement d, acp 146 F° 35 du 1.2.

Frédérique Henriette Hoffmann meurt en 1854 en délaissant quatre enfants. Paul Simon Mühé a acheté la maison voisine (n° 5) en 1833.

1854 (24.7.), Strasbourg 1 (138), Not. Rencker n° 23.053
Inventaire communauté de biens qui a existé entre Paul Simon Mühé, propriétaire à Strasbourg, et Françoise Henriette Hoffmann son épouse et de la succession de cette dernière
L’an 1854 le 24 juillet à neuf heures du matin, à la requête et en présence 1° de Monsieur Paul Simon Muhe, propriétaire domicilié à Strasbourg, 2° de Monsieur Honoré Hoffmann propriétaire domicilié aussi à Strasbourg agissant en qualité de mandataire de Mr Willfran Muhe, Etudiant en théologie domicilié en la même ville (…) 3. de Mr Honoré Muhe sans état né le 27 avril 1834, 4° de Demoiselle Marie Muhe sans état née le premier avril 1836, les deux domiciliés à Strasbourg, mineurs émancipés par mondit sieur Paul Simon Muhe leur père suivant déclaration faite devant le Juge de paix du Canton Nord de la Ville de Strasbourg le 8 juin dernier, assistée de du dit Sieur Henri Hoffmann leur oncle, leur curateur nommé à la suite du même procès verbal d’émancipation. 5° de Demoiselle Adèle Muhe majeure sans état demeurant à Strasbourg. Il va être procédé (…) à l’inventaire de la succession délaisée par Dame Françoise Henriette Hoffmann épouse du dit sieur Paul Simon Muhe décédée à la Robersau Mairie de Strasbourg le 3 avril dernier et de la Communauté qui a existé entre elle et son dit mari.. M. Willfran Muhe, M Honoré Muhe & Adèle Mademoiselle Muhe agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de leur mère

Au ban de la Robertsau, Mairie de Strasbourg. 9. Une maison, terre, jardin, appartenances & dépendances sise au Canton dit Friesersgarten (…)
12. Une petite maison avec cour, dépendances, le tout d’une contenance d’environ 10 ares au canton dit Friesergarten (…)
Ville de Strasbourg. 14. Une maison sise à Strasbourg fossé des Tailleurs N° 4 acquise des veuve et héritiers di S. Charles Louis Bahn passementier à Strasbourg en vertu du contrat passé devant M° Zimmer notaire en cette ville le 29 décembre 1826 moyennant 11.100 francs payés comptant.
15. Une maison sise en la même ville fossé des Tailleurs N° 5 acquide de M Louis Immortel Ehrmann et de D° Caroline Wappler son épouse de Strasbourg en vertu du Contrat passé devant le soussigné notaire Rencker le 21 novembre 1833 moyennant 7000 francs payés comptant.
acp 432 (3 Q 30 147) f° 6 du 27.7. (succession déclarée le 21 juillet 1844) Le veuf commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Wengler Nre à Strasbourg le 28 janvier 1820. Par ledit contrat de mariage il a été stipulé que la future épouse née le 15 novembre 1801 ne prendra part à la communauté qu’à la date de sa majorité. Le future a en outre l’usufruit de la succession de son épouse auquel il déclare renoncer
Communauté, mobilier estimé 83.304, une inscription de 2110 francs en capital 43.463, une inscription de 8120 francs en capital 16.550, une action sur la maison Gloxin & compagnie à Strasbourg 5000
Immeubles. Un hectare 15 ares prés ban de Killstett
3 hectares 5 ares 83 terre ban de Fessenheim et Lochwiller
2 hectares 49 ares 89 terre et prés à la Wantzenau
91 ares 5 terre à Gougenheim
un hectare 44 ares 86 terre ban de Dinsheim canton de Molsheim
Une maison à la Robertsau canton Friesersgarten, une petite maison dit lieu, 52 ares 25 terres à la Robertsau
une maison à Strasbourg fossé des tailleurs 4, une autre dite rue N° 5
38 ares 65 terres ban d’Obernai
Succession, garde robe 230, Divers immeubles ban d’Obernai sans indication
43 ares terres ban de Wingersheim
15 ares de pré ban de Bossendorf
Reprises du veuf 52.400, reprises de la défunte 24.894

Lors de la liquidation, les deux maisons au Fossé des Tailleurs reviennent au veuf

1858 (8.3.), Strasbourg 1 (145), Not. Rencker
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Paul Simon Mühé, propriétaire à Strasbourg, et Françoise Henriette Hoffmann son épouse et de la succession de cette dernière, à la requête de 1. Paul Simon Muh&, son mari, commun en beins en vertu de son contrat de mariage reçu Wengler le 28 janvier 1820, 2. Honoré Muhé négociant à Strasbourg, 3. Marie Muhé, célibataire à Strasbourg, 4. Willfran Muhé, prêtre à Strasbourg, 5) Louise Adèle Muhé religieuse à Conflans, représentée par Honoré Hoffmannn, propriétaire à Strasbourg son mandataire

acp 467 (3 Q 30 182) f° 62 du 9.3.
Inventaire de la succession de de la défunte a été dressé par M° Rencker Nre le 24 & 25 juillet 1854., lequel constate que les reprises du veuf s’élèvent à 62.526 dont à déduire le don matutinal fait à la défunte soit 2000, reste 60.526 et ceux de la défunte à 13.963
Liquidation de la Communauté. Masse active 1) mobilier 816, 2) créances 60.900, 3) capitaux remboursés 20.100, 4) une inscription de rentes 3 % en capital 42.516, 5) une inscription de rente 4 ½ % en capital 18.621, 6) une action du comptoir Gloxin 5000, 7) immeubles 64.190, total 212.413.
dont à déduire les reprises, reste 135.549.
Il revient au veuf la moitié 67.824, ses reprises 62.526 total 130.350, à déduire don de noces 2000, rets 128.350
Les enfants ont à recevoir 1) moitié de la communauté 67.824, 2) reprises 13.968, 3) don matutinal 2000, total 83.792 4) immeubles propres à la défunte 10.810, total 94.602
Allocations et abandonnements. M. Mühe 2) deux maisons sises à Strasbourg fossé des tailleurs N° 4 et 5

Paul Simon Mühé meurt en 1863

1863 (20.5.), Strasbourg 1 (174), Not. Alfred Ritleng (fils) n° 3019
Inventaire de la succession de Paul Simon Mühé
L’an 1863 Mercredi 20 Mai à neuf heures du matin en la demeure de Monsieur Paul Simon Mühe, en son vivant propriétaire demeurant à Strasbourg où il est décédé le 6 mai courant au lieu dit La Robertsau. A la requête et en présence 1° de Monsieur Auguste François Wulfran Mühe, prêtre demeurant à La Robertsau banlieue de Strasbourg, 2° de Mademoiselle Marie Mühe, célibataire, majeure demeurant à Strasbourg agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire de Mademoiselle Adelaïde Mühe, sa sœur, célibataire majeure, Religieuse en la maison du Sacré Cœur demeurant à Conflans (…) 3° Monsieur Honoré Mühe, Négociant domicilié à Strasbourg, agissant (…) comme habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de leur père feu ledit Sr Paul Simon Mühe
4° enfin de Monsieur Etienne Barth fondé de pouvoir de Monsieur Théodore Humann demeurant à Strasbourg, en qualité d’exécuteur testamentaire de feu ledit Sieur Paul Simon Muhe, fonctions auxquelles il a été nommé par ledit défunt aux termes de son Testament ci après relaté

Testament olographe déposé en l’étide de M° Ritleng (…) Je lègue par préciput 1° à mon fils Wulfran Muhe l’usufruit viager d’un capital de 20.000 francs, 2° à mon fls Honoté la nue propriété de ce même capital (…) Je veux que mon frère Ferdinand Muhe conserve sa vie durant & sans indemnité le logement qu’il occupe présentement dans ma maison à Strasbourg (…) à ma cousine Anna Maria Cayenze née Schott de Knittelsheim demeurant à Gittromstein Bavière Rhénane (…) à la Robertsau le 11 novembre 1862.
Mobilier en ville. Salon du troisième étage, Chambre à coucher, Au quatrième étage logement, Au cinquième étage chambre des domestiques
En la maison à la Robertsau (…)
Immeubles de la succession. Ville de Strasbourg. I° Une Maison à rez de chaussée surmonté de quatre étages située place Gutemberg N° 4 (…)
II Une maison avec toutes ses aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg fossé des tailleurs N° 4 anicen, entre la maison ci après désignée & la maison du mineur Bartolmess donnant par derrière sur la cour ancien Ulmergraben qui la sépare de la maison désigée plus haut. Titres de propriété. Feu Monsieur Mühe est devenu propriétaire de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir acquis de Dame Sophie Frédérique Lung veuve en premières noces de feu le Sieur Jean Daniel Christmann & en secondes noces de feu le sieur Charles Louis Bahn, passementier à Strasbourg & de Frédérique Eugénie Bahn de Strasbourg aux termes d’un contrat de vente portant quittance du prix passé devant M° Georges Frédéric Zimmer & son collègue notaires à Strasbourg le 29 décembre 1826 enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 janvier suivant volume 197 N° 78. La veuve Bahn susnommée était propriétaire du dit Immeuble pour l’avoir acquis conjointement avec le Sr Bahn son époux en secondes noces par contrat de vente que Laurent Voltz ci devant tonnelier & Catherine Salomé Zimmer conjoints à Strasbourg en ont âssé au profit desdits conjoints Bahn devant M° Zimmer notaire susnommé & l’un de des Collègues le 27 septembre 1827 enregistré le 29 dudit mois & transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le premier octobre suivant volume 97 N° 114. Lesdits conjoints Voltz avaient eux-mêmes acquis la dite maison de Jean Théophile Marzolff baquetier & Anne Marie Auffschlager, conjoints de cette ville par Contrat de vente passé à leur profit contrat de vente M° Stooeber jeune alors notaire à Strasbourg le 8 avril 1813 enregistré le lendemain. Auxquels conjoints Marzolff ledite maison avait été vendue par le Sr Jean Daniel Christmann susnommé en vertu de contrat passé à leur profit devant M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 23 novembre 1809 enregistré le lendemain
III. Une Maison sise à Strasbourg fossé des Tailleurs Numéro 5 ancien (…)
IV. Une Maison sise à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons N° 71 ancien N° 42 nouveau (…)
B. Bâtiments du Magasin Luckner.Un immeuble sonsistant en magasin, grenier, cours, appartenances & dépendances connue sous le Nom de Magasin Luckner situé à Strasbourg rue ds Juifs n° 17 (…)
acp 522 (3 Q 30 237) f° 34-v du 28.5. (succession déclarée le 20 juillet 1863) Il dépend de ladite succession argenterie estimée 2830, médailles 848, mobilier en ville 977, mobilier à la Robertsau 3550n autre 2120, garde robe 264, valeur en portefeuille 115.666, 14 actions Hirsch 18.200, un coupon de l’emprunt romain 770, trois autres 2300, dix obligations des forges d’Audincourt 5000, deux obligations de Strasbourg 4000, intérêts 207, trois obligations chemin de fer Lyon à Genève 903, rentes 2160, 40, 820, 27.783
Une maison à Strasbourg place Gutenberg N° 4, Une maison fossé des tailleurs n° 4, une maison même rue n° 5, une maison vieux marché aux poissons N° 71, un magasin rue des Juifs N° 9
(vacation du 30 juin) acp 523 (3 Q 30 238) f° 34-v du 2.7. Il dépend encore de la succession 1) Un Christ en argent 125, 2) argent 2850, 3) créances rentrées 141 – Passif 2655

Lors de la liquidation, les deux maisons au Fossé des Tailleurs reviennent à Adélaïde Mühe, religieuse à Conflans

1863 (30.6.), Strasbourg 1 (174), Not. Alfred Ritleng (fils) n° 3083
Liquidation et partage des successions délaissées par Monsieur Paul Simon Mühé, en son vivant propriétaire demeurant à Strasbourg & de Dame Frédérique Henriette Hoffmann son épouse
A la requête et en présence I. de Monsieur Auguste François Wulfran Mühe, prêtre demeurant à La Robertsau banlieue de Strasbourg, II. de Mademoiselle Marie Mühe, célibataire, majeure demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire de Mademoiselle Adelaïde Mühe, sa sœur, célibataire majeure, Religieuse en la maison du Sacré Cœur demeurant à Conflans (…), III. de Monsieur Honoré Mühe, négociant domicilié à Strasbourg, agissant (…) comme habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de leur père & mère ci-dessus nommés. Et en présence de Monsieur Etienne Barth fondé de pouvoir de Monsieur Théodore Humann demeurant à Strasbourg, en qualité d’exécuteur testamentaire de feu ledit Sieur Paul Simon Muhe, fonctions auxquelles il a été nommé par ledit défunt aux termes de son Testament ci après relaté

Première observation. Décès de Madame Muhe née Hoffmann. Madame Muhe née Hoffmann est décédée à la Robertsau banlieue de Strasbourg le 3 avril 1854.
Deuxième observation. Inventaire (dressé par M° Rencker le 24 & 25 juillet 1854)
Troisième observation. Liquidation par M° Rencker le 8 mars 1858)
Quatrième observation. Décès de Mr Paul Simon Muhé (à la Robertsau le 6 mai 1853) Cinquième observation Inventaire, par M° Ritleng fils notaire soussigné le 20 mai
Sixième observation, Testament (…)
Septième observation. Compte de M. Ferdinand Mühe, son frère
Huitième observation. Les requérants font observer que feu leur père avait exprimé verbalement le désir que son excédent de caisse soit destiné aux pauvres
Neuvième observation. succession Honoré Hoffmann
Dixième obligation. Les requérants déclarant qu’ils ont déjà procédé à l’amiable entre eux à un partage mobilier
26. Une Maison à rez de chaussée surmonté de quatre étages située place Gutemberg N° 4 (…)
27 Une maison avec toutes ses aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg fossé des tailleurs N° 4 ancien, entre la maison ci après désignée & la maison du mineur Bartolmess donnant par derrière sur la cour ancien Ulmergraben qui la sépare de la maison désignée plus haut (inventorié à la vacation du 25 mai dernier de l’inventaire sus relaté). Titres de propriété. Feu Monsieur Mühe est devenu propriétaire de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir acquis de Dame Sophie Frédérique Lung veuve en premières noces de feu le Sieur Jean Daniel Christmann & en secondes noces de feu le sieur Charles Louis Bahn, passementier à Strasbourg & de Frédérique Eugénie Bahn de Strasbourg aux termes d’un contrat de vente portant quittance du prix passé devant M° Georges Frédéric Zimmer & son collègue notaires à Strasbourg le 29 décembre 1826 enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 janvier suivant volume 197 N° 78. La veuve Bahn susnommée était propriétaire du dit Immeuble pour l’avoir acquis conjointement avec le Sr Bahn son époux en secondes noces par contrat de vente que Laurent Voltz ci devant tonnelier & Catherine Salomé Zimmer conjoints à Strasbourg en ont passé au profit desdits conjoints Bahn devant M° Zimmer notaire susnommé & l’un de des Collègues le 27 septembre 1827 enregistré le 29 dudit mois & transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le premier octobre suivant volume 97 N° 114. Lesdits conjoints Voltz avaient eux-mêmes acquis la dite maison de Jean Théophile Marzolff baquetier & Anne Marie Auffschlager, conjoints de cette ville par Contrat de vente passé à leur profit contrat de vente M° Stooeber jeune alors notaire à Strasbourg le 8 avril 1813 enregistré le lendemain. Auxquels conjoints Marzolff ladite maison avait été vendue par le Sr Jean Daniel Christmann susnommé en vertu de contrat passé à leur profit devant M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 23 novembre 1809 enregistré le lendemain
27. Une Maison sise à Strasbourg fossé des Tailleurs Numéro 5 ancien (…)
28. Une Maison sise à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons N° 71 ancien N° 42 nouveau (…)
29. Bâtiments du Magasin Luckner.Un immeuble consistant en magasin, grenier, cours, appartenances & dépendances connue sous le Nom de Magasin Luckner situé à Strasbourg rue ds Juifs n° 17 (…)
Attributions. 1° Monsieur Honoré Mühe, 1° La maison sise à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons N° 42 nouveau, estimée à 26.000 francs
2° Mademoiselle Marie Mühe, 2° La maison sise à Strasbourg place Gutemberg N° 4 estimée à 30.130 francs
3° Mademoiselle Adélaïde Mühe, 1° Les deux maisons sises à Strasbourg fossé des tailleurs N° 4 & 5 anciens estimées à 27.000 francs
4° Monsieur Auguste François Wulfran Mühe, 1° Le Magasin Luckner.sis à Strasbourg rue ds Juifs n° 17 évalué à 32.000 francs
acp 523 (3 Q 30 238) f° 35-v du 2.7. – Masse à partager 1) argent comptant 29.628, 2) billets 37.500, 3) intérêts 166, 4) argenterie 2380, 5) effets mobiliers 1950, 6) 14 actions Hirsch 18.200, 7) quatre coupons de l’emprunt romain 3080, 8) dix obligations des forges d’Audincourt 5000, intérêts 87, 9) huit obligations au porteur de la Ville de Strasbourg 4000, intérêts 207, 10) trois obligations chemin de fer Lyon à Genève 903, 11) rentes 2160, 12) 40, 13) 820, capital 49.988, 14) créances & intérêts 124, 15) autre 24.197, 16) maisons 30.130, 17) 27.000, 18) 26.000, 19) magasin 32.000, 20) créances sans titre 38, total à partager 313.395 francs



18, rue du Maroquin


Rue du Maroquin n° 18 – VI 299 (Blondel), O 206 (cadastre)

Maison sur le Gradin (auff der Gräth) puis au Gradin – Façade en saillie, 1789, maître d’ouvrage Jean Geoffroi Herrenschneider – Démolie en 1860 pour réunir le sol à la voie publique


Façade à l’enseigne Herrenschneider puis Gustave Hepp (photographies de Charles Winter, Musées de Strasbourg)
Dessin dressé lors de l’enquête précédant l’expropriation forcée (1859, Musées de Strasbourg)

Située sur le Gradin à côté de la Cave au Faucon (auff der Gräth neben dem Falckenkeller), la maison fait l’angle de la place de la Cathédrale et de la rue du Maroquin. Dans le Livre des communaux de 1587, elle appartient à la veuve du farinier Frédéric Linck ; la façade vers la rue a 49 pieds de long, celle vers la place doit faire 16 pieds d’après la longueur de la plate-forme. Comme sa voisine l’auberge de la Cave au Faucon, la maison est une emphytéose de l’Œuvre Notre Dame (1624), de la Monnaie (1658) puis d’Elie Brackenhoffer (1676) ; Simon Weber qui rachète le 18 avril 1763 le domaine direct en le réunissant au domaine utile devient propriétaire à part entière de la maison.
La veuve Linck accorde en 1624 à son voisin aubergiste à la Cave au Faucon le droit de faire s’écouler les eaux de son évier dans sa fosse d’aisances. La maison appartient de 1658 à 1677 au marchand Jean Jacques Schell qui devient péager au Pont du Rhin puis préposé à la balance de la douane puis au tamisier Simon Weber qui a la réputation d’être une forte tête. Ses descendants la conserveront jusqu’à son expropriation en 1859. Les préposés l’autorisent en 1693 à surbâtir un terrain communal pour agrandir son poêle mais l’affaire reste en suspens à cause du loyer élevé. Ils autorisent en 1718 son fils aussi nommé Simon Weber à remplacer les poutres pourries de son encorbellement. Troisième tamisier du même nom, Simon Weber demande en 1745 l’autorisation de remplacer sa galerie que les intempéries dégradent par une construction qui agrandirait sa maison mais occulterait les entrées de la Cave au Faucon ; les préposés estiment que la Monnaie devrait acheter la maison et la remplacer par un bâtiment plus régulier. Simon Weber est finalement autorisé en 1748 à reconstruire sa maison en l’alignant avec la Cave au Faucon, à y mettre un balcon et à ouvrir sa porte sur la terrasse du Faucon. La Ville suggère en 1768 d’acheter la maison pour aligner la Cave au Faucon mais l’affaire n’a pas de suite. Jean Daniel Lung qui vient d’acheter de la Ville l’ancienne Cave au Faucon cède en 1784 sa cave à son gendre Jean Geoffroi Herrenschneider, petit-fils de Simon Weber. Tous deux proposent en 1785 à la Ville d’aligner leurs maisons contre un dédommagement de 9 000 livres tournois mais l’offre est déclinée. Jean Geoffroi Herrenschneider est autorisé la même année à convertir une croisée en porte mais pas en arcade ; il est condamné à restituer l’état antérieur après avoir transformé sans autorisation la cave en boutique. Sa demande de rehausser deux arcades et de les surbâtir selon l’alignement est rejetée en 1789. Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider qui transforment sans autorisation le caveau en boutique la même année sont autorisés à conserver la boutique après avoir confirmé devant notaire qu’ils en jouissent à titre précaire. Jean Geoffroi Herrenschneider fait ôter en 1798 les boutiques de cordonnier adossées à son bâtiment pour pouvoir le transformer.


Plan-relief de 1725. La maison est la partie droite de celui au milieu de l’image, précédé d‘un bâtiment à demi-toit (Musée historique, cliché Mathieu Bertola, musées de Strasbourg)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne vers la place un bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et balcon, vers la rue un bâtiment à rez-de-chaussée et quatre étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la place se trouve entre les repères (o-p) : porte et arcade au rez-de-chaussée, deux étages surmontés d’un toit, à l’arrière un étage supplémentaire. L’avance par rapport à la maison sur la gauche est représentée en (n-o). La façade rue du Maroquin comprend l’équivalent de (n-o) à droite du repère (p) puis un bâtiment qui s’ouvre par une porte au rez-de-chaussée et comprend quatre étages à deux fenêtres chacun.
La maison porte d’abord les n° 1 et 2 rue du Maroquin et 1, place de la Cathédrale (1784-1857) puis le n° 18 rue du Maroquin et 4, place de la Cathédrale.

La Ville de Strasbourg loue en 1846 au propriétaire un terrain communal devant sa maison. Elle acquiert la maison et ses voisines par expropriation forcée le 21 novembre 1859 pour en réunir le sol à la voie publique. Les maisons sont démolies en août 1860 d’après le cadastre et en octobre 1860 d’après le dessin portant estimation des maisons.


Aspect actuel. La maison se trouvait à l’avant de la poste, sur la droite (image Fabien Romary)

septembre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1860. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Frédéric Linck, boulanger, et (1570) Barbe Dachs, remariée (1588) avec le meunier Balthasar Ulrich – luthériens
1630* h Frédéric Linck, boulanger, et (1605) Dorothée Schlosser – luthériens
(dont) Frédéric Linck, , et (1632) Sara Damon – luthériens
1658 v Jean Jacques Schell, marchand, péager au Pont du Rhin, et (1652) Elisabeth Schmidt puis (1672) Catherine Schmidt – luthériens
1677 v Simon Weber, tamisier, et (1673) Marie Salomé Schmitz – luthériens
1711 h Simon Weber, tamisier, et (1703) Elisabeth Alber – luthériens
1731 h Simon Weber, tamisier, et (1731) Catherine Salomé Martin – luthériens
(unique héritière) Jean Geoffroi Herrenschneider, boutonnier, et (1753) Marguerite Madeleine Weber puis (1764) Catherine Marguerite Leonhard – luthériens
1784 h Jean Geoffroi Herrenschneider, boutonnier, et (1784) Marguerite Madeleine Lung – luthériens
1834 h Jean Henri Hepp, négociant, (1803) et Marguerite Madeleine Herrenschneider
1845 h (indivis avec le suivant) Frédéric Théodore Hepp, négociant, et (1836) Louise Amélie Lamp
1852 h Henri Gustave Hepp, négociant, enfant (1862) avec Louise Four
1859 exp Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1704, 600 livres en 1711, 375 livres en 1730, 500 livres en 1777

(1765, Liste Blondel) VI 299, Simon Weber
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Simon Weber, 8 toises, 2 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 206, Hepp, Jean Henri – rue du Maroquin 2 – maison, sol – 1,7 are

Locations

1672, Jean Michel Diebold, tourneur
1786 (étal), Jean Daniel Dürr, cordonnier
1788 (boutique) Jean Georges Dotzler, tamisier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 46
(Façade rue du Maroquin, 49 pieds de long) La maison formant l’angle de la rue du Maroquin à côté de la Cave au Faucon appartient à la veuve du farinier Frédéric Linck qui doit à la Ville deux sols pour un tas de planches posées le long du mur

Oben am Andern Eck In Kurben Gaß Zum Falckhen wider hinab
Friderich Lincken des Maëlmans Wittib vf der Kraëten hatt vornen am Eckh In Kurbengaß neben dem Keller Zum Falckhen 49. schu lang, vnd befindt sich recht vßgenohmen einem hauffen dielen vf d. gassen ane d. Mauren ligen, soll deßwegen gerechferttiget werden, Bessert für die dielen, ij ß d

Idem f° 66-v
(Façade vers le Gradin) La veuve de Frédéric Linck doit 1 livre 17 sols et 10 deniers pour une plate-forme (16 pieds de long, saillie de 23 pieds), un auvent (12 pieds ½ sur 4 pieds ½), trois étaux amovibles (10 pieds de long sur 5 pieds ½) vers le bas et un étal amovible (7 pieds ½ de long sur 5 pied ½) vers le bas. Mention marginale, le terrain enclos sera à l’avenir soumis à un cens perpétuel à déterminer.

Vff der Leingräten
Friderich Lincken Wittwe hatt vff der Grätten Vor Irem hauß, vnden ahne der Gräeten 3 steinerin Tritt 16 schu lang vnd 23 schu herausser, Darüber ein Wettertach 12 ½ schu lang vnd 4 ½ schu herauß, Vnden ahne der Graëtten 3 Vssaz Benckh 10 schu lang, vnd 5 ½ schu herauß, Vndt oben auch ein Vssaz banckh 7 ½ schu lang vnd 5 ½ schu breÿt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für dises Niessen, j lb xvij ß x d
[in margine :] Diße Inzaünung soll hinfürtter bestendiglich verzinßet Vndt der zinß daruff benent werd.

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 581
Simon Weber doit d’un étal près de la Cathédrale pour y vendre les jours de marché 8 sols à partir de 1674 (puis 15 sols à partir de 1712)

Simon Weber, der Sibmacher, Soll vom platz zum Stand beÿ dem Münster, Jahrs vf den Marckhtag darauff feil zuhaben, vff Johan: Bapt: und 1674 primo, 8 ß ([corrigé en] à 15 ß p. 1712. I.mo)
Protocoll: pag. 47
(Quittungen 1676-1741)
Neuzb fol 397

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 397
Même loyer porté au registre suivant, résilié en 1780.

alzb. 581
Simon Weber der Sibmacher soll vom platz Zum Stand beÿ dem Münster auf den marckt tag darauff feÿl zuhaben, Jahrs auf Johan: Bapt (id est 24. Junii), 15 ß
beÿ dem Münster
(Quittungen 1741-1780)
Hat auf Johannis Bapt: 1780. den Platz aufgegeben

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 300-d
Le boutonnier et marchand de soie Geoffroi Herrenschneider doit à partir de 1791 3 livres pour une cave sous le Gradin dont la Ville s’est réservé la propriété lors de l’aliénation de la Cave au Faucon

Gottfried Herrenschneider Knopffmacher und seidenhändler solle wegen einem Keller unter der Gräth, wovon sich löbl. Stadt beÿ Verkauffung des alten falcken Kellers das eigenthum vorbehalten, laut löbl: bau Amts protocoll vom 12. januarii 1790. (10. Pluvios) fol: 380 und verschrebung in hiesiger Cantzleÿ Contract stube de 29 januarii daraufhin, auf nemlichen tag und anno 1791. erstenmahls ane zinß 3 lb
(Quittungen 1791-an 10)
N. C. 57

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1673, Préposés au bâtiment (VII 1363) f° 47-v
Le tamisier Simon Weber doit chaque année 8 sols pour un étal près de la cathédrale pour y vendre les jours de marché

(f° 47-v) Montags den 2. Junÿ.- Simon Weber, Allmend zinß
Simon Weber der Sibmacher, soll vom platz Zum Stand beÿ dem Münster, jahrs vff die ordentliche Marcktag feil zu haben vff Joh. Bapt: und 1674. p°, 8 ß

1693, Préposés au bâtiment, VII 1375
Les préposés informent la femme de Simon Weber qu’ils ont autorisé son mari à empiéter sur la communal pour agrandir son poêle moyennant un loyer annuel d’une livre. Elle objecte que la somme est élevée pour un petit terrain. Les préposés proposent soit un loyer de 10 sols soit une cession moyennant 15 livres. Le propriétaire demande à réfléchir.

(f° 86) Montags den 7. Decembris. – Simon Weber
Simon Webers deß Siebmachers auff der Grät beÿ dem Falckenkeller haußfrawen, ist angezeigt worden, daß Mhh. ihrem Mann mit erweitterung ihrer stuben, begehrter maßen Willfahren wollen, Wann er Jährlichen 1. lb. d bodenzinß darvon gebe. Sie aber beschwehrte sich, daß solches Von einem so kleinen plätzlein Gar Zuviel seÿe, darauff Erkandt Worden, daß er entweder Jährlich 10. ß bodenzinß geben solle, oder Wann er diesen Zinnß abkauffen wolte 15. lb. d. darfür erlegen. Ille name es zu bedacht.

1718, Préposés au bâtiment, VII 1388 f° 92-v
Après visite des lieux, les préposés autorisent Simon Weber à réparer son encorbellement en saillie de 3 pieds qui a été démonté parce que ses poutres sont pourries

(f° 92-v) Dienstags den 9. Aug. 1718. – Simon Weber pt° Uberhangs
Augenschein eingenommen in Simon Webers des Sippmachers, auff dem Falcken Keller stehenden behausung, an deren der Uberhang welcher 3. schuhe breit und (-) schuhe lang ist, deren die balcken ganz faul seindt, biß auff der balcken abgebrochen worden, umb deß reparation Weber umb erlaubnus angeführt hatt. Erk. Willfahrt.

1745, Préposés au bâtiment, VII 1401
Simon Weber demande l’autorisation de supprimer sa galerie que les impempéries dégradent après chaque réparation et de la rempacer par une construction qui agrandirait sa maison. Les préposés le renvoient à la Monnaie, propriétaire de la Cave au Faucon dont certaines fenêtres recevraient moins de lumière ou plus du tout.

(f°117-v) Sambstags den 11 Ejusdem [Septembris 1745]. – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß neben dem Falckenkeller beÿm Münster, welcher um erlaubnus Gebotten seinen Altan, der jhme, wann er jhn gleich neü machen Laßet, durch den Regen allermahl bald wieder ruinirt wird, Zum theil Zuüberbauen und sein hauß dardurch Zuerweitern. Weilen aber solches nicht geschehen Kan, daß nicht einige fenster am Falcken Keller Verdunckelt, und Andern Gar Verbauet würden, als ist der Implorant mit seinem Petito an die Oberen Müntzherren, welche die Direction über dem Falcken Keller haben, Verwießen.

1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés éconduisent Simon Weber. Ils estiment que la Monnaie devrait acheter la maison et la remplacer par un bâtiment plus régulier.
Simon Weber demande quelques semaines plus tard l’autorisation de réparer la galerie délabrée qui sert de toiture à sa maison et dont le bois est pourri et de reconstruire sa maison telle qu’elle se trouve.

(f° 7) Donnerstags den Februarÿ 1746. – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß am Falcken Keller, ist der am 11. Septembris 1745. eingenommene Augenschein, in beÿseÿn Herrn XV. Paul Gottfried Gambßen alß Ober Müntzherrn, und Herrn XV. Secretarÿ Frantz Heinrich Städels, wegen Webers Vorhabender Änderung des Haußes, nochmals wiederhohlt, und befunden worden, daß dem Imploranten nichts Zu erlauben, sondern Vielmehr Zuwünschen wäre daß dießes Hauß wegen seiner üblen Beschaffenheit und Übelstandts durch die Obere Müntzherrn er Kaufft, Zu dem Falckenkeller gezogen und regulärer Gebauen werden Könte.

(f° 30) Montags den 16. Ejusdem [Maÿ 1746] – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß neben dem Falcken Keller, welcher um erlaubnus gebotten seinen altan der jhme Zugleich auch theils Zum dach dienet und gantz baufällig, und in dem Holtzwerck faul ist, repariren und das Häußel auf die Art wie es anietzö ist, Neu auffbauen Zulaßen.

1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Simon Weber réitère en juillet 1748 sa demande de reconstruire sa maison dont le défunt chef des travaux Jean Pierre Pflug aurait fait un dessin en ajoutant que le préteur royal l’a assuré de son appui. Les préposés ordonnent de prendre des informations auprès du préteur royal et de rechercher le dessin de Pflug. Il est autorisé en août à reconstruire sa maison sur le point de s’effondrer en reculant le bâtiment au-dessous duquel se trouve la cave de l’auberge au Faucon de manière à l’aligner avec l’auberge et de le garnir d’un balcon. Il est en outre autorisé, conformément au dessin, à mettre sa porte sur la terrasse du Faucon en s’engageant à la déplacer si la Ville décidait de ravancer l’auberge.

(f° 50) Dienstags den 30 Ejusdem [Julÿ 1748] – Simon Weber
Simon Weber der Siebmacher wiederhohlet seine seith etlichen Jahren her schon Öffters gethane Unterthänige bitt, jhme Zuerlauben, sein Gantz baufälliges Haus am Falckenkeller nach dem Von dem Verstorbenen Herrn Lohner Verfertigten Riß der jhme aber nicht zugestellt worden, so Zubauen, daß er mit seiner famille darin wohnen Könne, mit dem beÿsatz daß er Herrn Prætori Regio deßwegen seine aufberatung* Gemacht, welcher jhme die sach gar nicht erschwehret sondern an Mghh. Verwießen. Erkannt solle mit Herrn Præt. Regio Geredet werden, und H. Pfllug nachsehen, Ob er angeführten Riß Unter seines Hn Vatters seel. schrifften nicht finde.

(f° 58) Sambstag den 17. Ejusdem [augusti 1748] – Simon Weber
An Simon Weber des Siebmachers hauß am Falckenkeller, welcher nochmahls Unterthänig gebotten, jhme Zuerlauben, daßselbe Zubauen ehe es gar zisammenfalle, weilen das Holtzwerck daran meistens faul, offerirt alles was seinem gebaud darneben, worunder der Keller Zum Falckenkeller ist, Vorstehet, abzuschneiden und deme Zugleich auffzubauen, wann Mgh. jhme nur die gnädige erlaubnus geben wollen, daß er einen Balcon darvor machen und solchen auch an besagtem seinem gebäud über dem Keller fortführen dörffe. Auf gegebenen Bericht Von H. Pflug dem architecte, daß Herr Prætor Regius den Riß Hierüber gesehen, und darinn Consentire, ist Erkannt, dem Imploranten in seinem begehren Willfahrt.

Idem – Derselbe bittet ferner um erlaubnus seine Haußthür welche in dem Riß fornen und gegen der St. Urbansgaß Gezeichnet, wieder auf die seithe des Falcken Kellers Terrasse wo Sie anietzo ist, Zureichten, mit dem erbieten, solche wieder Hinweg zuthun, wofern mit der Zeit das Gebaud des Falcken Kellers auf besagte Terrasse Vorgeruckt werden solte. Erkant, auf diese Condition willfahrt.

1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Le tamisier Simon Weber se plaint que les cordonniers fixent leurs étaux à son mur. Les préposés ordonnent aux propriétaires des étaux de les fixer aux pieux qui se trouvent sur le communal.

(f° 43-v) Dienstags den 12. 8.bris 1762. – Simon Weber
Ferner Augenschein eingenommen an Simon Weber des Sippmachers an der St: Urbans gaß, welcher sich wieder diejenige schuemacher so an dem gäbel seines haußes auff dem allmendt sitzen und Schuh feÿl haben beklaget, daß Sie mit jhren ständten seine maur beschädigen, Kloben und Hacken in dieselbe einschlagen, weßwegen er schadloßhaltung begehret und bittet denen beklagten Zu Verbieten jhre ständt nicht mehr nagelvest an seines maur Zu machen
Erkannt Sollen die Schuhmacher jhre Ständt nicht mehr nagelvest an des Klägers maur anmachen, jedoch ist jhnen erlaubt Kleine Pföstlein auff das Allmend zu schlagen ihre ständ daran zu befestigen.

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Les préposés décident de supprimer les marches et la cuisine de l’auberge au Faucon qui dépassent de l’alignement. Comme il n’y a pas de place pour la cuisine, la Ville devra acheter la maison de Simon Weber.

(f° 23-v) Freÿtags den 3. Junÿ 1768. – Falckenkeller
Ferner augenschein eingenommen am falckenkeller, allwo die Stafflen und Küchen so unter der terrasse im Keller ist nach dem angenommenen allignement hinweg gemacht werden sollen, weilen aber in dem hauß Kein andere platz zu einer Kuchen sich befindet, als wurde Erkannt, Solle Simon Weber der Sippmacher citirt und getrachtet werden, daß er sein darneben sich befindliches häußlein Gemeiner Statt käufflchen überlaße, damit die Küche in daßelbige verlegt und die dermahlige Zugeworffen werden Könne.

1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber demande au nom du boutonnier Jean Geoffroi Herrenschneider l’autorisation de convertir une croisée en porte. Il y est autorisé à condition de ne pas transformer la partie qui dépasse de l’alignement.
Jean Daniel Lung (qui vient d’acheter de la Ville l’ancienne Cave au Faucon) et son gendre Jean Geoffroi Herrenschneider proposent d’aligner leurs maisons si la Ville leur verse un dédommagement de 9000 livres tournois. Les préposés refusent.
Le maître maçon Gruber demande de faire une arcade au lieu de la porte autorisée. Les préposés refusent.
Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider démontent les étaux pour pouvoir percer la nouvelle porte. Les employés de la Ville se plaignent des mots vifs que leur a adressés Jean Daniel Lung. Les étaux seront remis en place aux frais des deux propriétaires jusqu’à ce que la porte soit terminée.
Jean Geoffroi Herrenschneider a transformé en boutique la cave qui dépendait de la Cave au Faucon alors qu’il n’en a pas la libre disposition. Il est comdamné sous huitaine à remettre les lieux en l’état antérieur.
Les cordonniers Jean Daniel Dürr et Marie Madeleine Seifert se plaignent que Jean Geoffroi Herrenschneider trouble la jouissance de leurs étaux. Les préposés ordonnent une visite des lieux

(f° 226) Dienstags den 15. februarii 1785. – Gottfridt Herrenschneider
Herr Gruber, der Maurer, nôe Gottfridt Herrenschneider, des Knopffmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung am Münster Platz am Eck der Urbans Gaß, die Gräth genannt, in der Urbans Gaß aus einem Kreutzstock eine thür machen zu laßen. Erkannt, Mit dem ausdrucklichen Anhang Willfahrt, daß an besagter behausung soweit solche dem Alignement nach abgeschnitten werden solle, nicht das mindeste gemacht werde.

(f° 229-v) Dienstags den 22. Februarÿ 1785. – Hr. Johann Daniel Lung und Johann Gottfridt Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und deßen tochtermann Johann Gottfridt Herrenschneider beede Knopffmacher und Seidenhändler presentiren unterthäniges Memoriale vorstellend, daß da der erstere als acquisitor des ehemaligen Falckenkellers mit seinem Gesuch des zu verändernden Alignements abgewiesen worden, ein deutliches Kennzeichen seie, wie sehr des andern Imploranten Vorstehendes Haus Zur Gräth genannt, im Weeg und mißfällig seÿn müße. Als seien beede Imploranten übereingekommen als das ganze Gebäu in grader Flucht Zu Ziehen, wann wegen Abschneidung der Vorstehenden Gräth Von Löblicher Stadt eine Schadloshaltung Von Neuntausend livres zuerkannt werden würde. Erkannt, Seien die Imploranten mit ihrem ohnbefugten Antrag abzuweisen.

(f° 247) Dienstags den 5. Aprilis 1785. – Joh. Gottfridt Herrenschneider, Knopffmacher
Herr Gruber, der Maurer, nôe Johann Gottfridt Herrenschneider, des Knopffmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung an dem Münster Platz am Eck der St Urbans Gaß gelegen, in der St. Urbans Gaß statt des den 15.ten februarii jüngst erlaubten thüren Gestells einen bogen Zu Zwo Thüren gegen der Gaß aufgehend machen zu laßen. Erkannt, Abweisung.

(f° 254) Dienstags den 19. Aprilis 1785. – Hr. Joh. Daniel Lung und Gottfrid Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und Gottfrid Herrenschneider wurden vorbeschieden, weilen Sie eigenmächtiger weis die, an ihrer behausung in der St. Urbans Gaß gestandenen Ständ weggerißen und auf das von dißorts angelegtes Verbott gegen den dreier Knecht unnütze Wort ausgestoßen. Citati zugegen sagen, da an dem Herrenschneiderischen Hauß eine Thür ausgebrochen wird, so konten die Ständ ohnmöglich stehen bleiben, und da der dreier Knecht auch ein Verbott wegen Ausbrechung der thür angelangt, so haben Sie sich auf Meiner Gnädigen Herren Erkantnus berufen. Anthoni Müller der dreier Knecht versichert, Er habe kein Verbott auf Ausbrechung einer Thür wol aber eines Thors und dann Wegräumung der Ständt angelegt, worauf Citati und besonders Herr Lung mit vielen Eifer geantwortet, er achte dieses Verbott nicht, er gehe weiter. Herr Lung entschuldigte sich, daß er von nichts gehört als von Ausbechung der Hausthür und sich daher auf Meiner Gnädigen Herren disfalls erhaltene Erlaubnus berufen. Erkannt, Seie auf beklagter Kösten die Ständ in solang bis die Hausthür eingerichtet seÿn wird, anderwärts hin zu stellen, als dann aber wieder nach Herrn Inspector Stredbeck Anordnung an Vorige Stelle zu placiren. Anbei seie denen Citatis ihres widrigen Verhaltens wegen ein Verweis zu geben.

(f° 270-v) Dienstags den 3. Maji 1785. – Gottfrid Herrenschneider, Joh. Daniel Lung
Gottfrid Herrenschneider, der Seiden Knopffmacher wurde vorbeschieden, weilen er den Keller unter der Gräth, so Herrn Johann Daniel Lung, als Käufer des ehemaligen Falckenkellers, bis zu vollführung des dasigen Alignement gratis zu geniesen überlaßen worden, Zu einer Boutique eingerichtet. Citatus zugegen sagt, Er habe von gedachtem Herrn Lung solchen theil Kellers entlehnet, und geglaubt er könne solchen zu seinem Gebrauch einrichten laßen, wie ihme gefällig. Nach eingesehenem Steig Procès verbal über den ehemaligen Falckenkeller, worinn nur gemeldt, daß dem Käufer dieses Stück Kellers solang gratis zu geniesen überlaßen werden solle, bis Zu Ausführung des dasigen Alignements geschritten werden wird, ihme aber die freie Disposition darüber nicht zugestanden worden wurde, Erkannt, Seie dieser Keller in Zeit vion Acht Tagen wieder in vorigen Stand Zu Stellen. Welche Erkantnus dann Herrn Johann Daniel Lung um sich demnach zu richten zu notificiren.

Les cordonniers Jean Daniel Dürr et Marie Marguerite Seifert se plaignent que Jean Geoffroi Herrenschneider les trouble dans la jouissance de leurs étaux.

(f° 282-v) Dienstags den 24. Maji 1785. – Joh: Daniel Dürr, Maria Margaretha Seifertin Wittib Ctra. Gottfried Herrenschneider
Johann Daniel Dürr und Maria Margaretha Seifertin Wittib, die Schumacher klagen wider Gottfried Herrenschneider, den Seiden Knöpffmacher, daß er nicht nachlaße sie wegen ihren an seiner behausung am Münster Platz gegen der St. Urbans Gaß stehen habenden Standen Zu beunruhigen wie er dann erst kürtzlich Vorbäncklein habe machen laßen um besagte Ständt weg zu treiben. Erkannt, Augenschein.

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le maître maçon Schneller demande au nom du marchand Herrenschneider l’autorisation de rehausser deux arcades et de les surbâtir selon l’alignement. Les préposés refusent parce que la maison est inesthétique alors que le Magistrat a l’intention d’embellir la place et que la Ville s’est réservé des droits sur la cave du Faucon lors de sa vente.
Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider ont transformé sans autorisation le caveau en boutique et supprimé l’escalier de cave dont la Ville s’est réservé la propriété lors de la vente de la Cave au Faucon en en accordant la jouissance à l’acquéreur. Les défendeurs devront soit remettre les lieux dans leur état antérieur soit payer dix livres par an en s’engageant à mettre les lieux à disposition de la Ville à sa première réquisition.

(f° 232) Dienstags den 31° Martii 1789. – Herrenschneiderische behaußung auf dem Münsterplatz
Meister Schnöller der Maurer nomine eines ungenannten Handelsmanns so Herrn Herrenschneiders auf dem Münster platz gelegene behaußung einen bogen höher zu machen und nach dem allignement zweÿ stöck darauf bauen und anstreichen zu dörfen. Erkannt, Augenschein.

(f° 246-v) Dienstags den 28. Aprilis 1789. – Herrenschneiderische behaußung auf dem Münsterplatz pt° eines bogens und aufsatzes von zweÿ stöck
An der Herrenschneiderischen behaußung auf dem Münsterplatz neben dem so genannten alten Falckenkeller puncto erlaubnus einen bogen höher zu machen und zweÿ stöck darauf zu setzen und anstreichen zu dörffen, da nun bemerckt worden, daß mann von jeder Zeit gesucht den Münsterplatz zu verschönern und den übelstand den dießes haus verursachte weg zu schaffen, Löbl. Statt auch des wegen den eingang in den Keller des alten Falckenkellers da solcher H Lung dem Knöpffmacher verkaufft worden so in dem Haus quæstionis sich befindet, ausdrucklichen sich in dem Kauff Contract desfalls vorbehalten als wurde Erkannt, Abweißung.

(f° 260-v) Dienstags den 17. Novembris 1789. – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider, beede Knopffmacher und Seidenhändler, wurden vorbeschieden, weilen Sie an dem Stuck Keller, so unter sein Hrn Herrenschneiders an dem Münster Platz am Eck der St. Urbans Gaß (recte Corduan-Gaße) gelegenen behausung sich befindet, und zu dem ehemaligen Falckenkeller gehörig war, welcher löbliche Stadt sich bey Verkaufung besagten Falckenkellers das Eigenthum ausdrucklichen vorbehalten hat, das Gewölb, so über dem Kellerthor war, ohne vorherige Erlaubnus mithin eigenmächtiger weis einschlagen, die dasige Kellersteeg wegräumen, und einen Laden dahin machen laßen. Beede Citati zugegen, sind der Anklag geständig, sagen dagegen zu ihrer Verantwortung, Sie sehen dieses Ihr Verfahren nicht an, als hätten Sie in Gemeiner Stadt rechten gegriffen, weilen besagter Keller jederzeit der Stadt Eigenthum verbleiben solle, es mag derselbe beschaffen seÿn, wie er will, Und da Ihme Herrn Lung bei Erkaufung des Falckenkellers die Nutzung quæstionirten Kellers bis zu Ausführung des dasigen Alignements gratis überlaßen worden, so habe er geglaubt, Er könne Hrn. Herrenschneider, als seinem tochtermann diese Verändering zu machen ohne Anstand erlauben, bitten daher beede Citati um Entladung von gegebener Assignation.
Erkannt, Sollen Citati gehalten seÿn, entweder den Keller sogleich wieder in der alten Stand zu stellen, oder aber, jedoch nur præcario, denselben in dem jetzigen Stand in so lang zu laßen bis von Gemeiner Stadt wegen die Sach wieder in den alten Stand zu setzen verordnet werden wird, in zwischen aber jährlich vor diese Vergünstigung zehen Pfund Pfenning Zins auf löblicher Stadt Pfenningthurn zu bezahlen, auch dieserwegen eine besondere Verschreibung in Löblicher Stadt Kantzlei Contract Stub passiren zu laßen.

Les deux propriétaires proposent à la Ville, au cas où elle voudrait réaliser l’alignement, de lui céder moyennant 6 000 florins et de racheter 2 000 florins la partie derrière l’alignement, de sorte que la Ville ne devrait que 4 000 florins. Les préposés déclarent s’en tenir à leur décision du 17 novembre précédent.

(f° 369-v) Dienstags den 1. Decembris 1789. – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider, Knopffmacher, pt° Kellers unter der Gräth
Herr Johann Daniel Lung und Herr Gottfried Herrenschneider, beede Knopffmacher und Seidenhändler præsentiren unterthäniges Memoriale puncto des unter der Herrenschneider’schen behausung, am Eck des Münster Platz und St. Urbans Gaß gelegen, befindlichen zu dem ehemaligen Falckenkeller gehörig, so löbliche Stadt sich bei deßen Verkaufung vorbehalten, davon Herr Herrenschneider das Gewölb eingeschlagen und die Steeg weggeräumt hat, mit bitten, die dißfallsige den 17. Novembris jüngst ergangene Erkantnus gäntzlich auf sich zu laßen, und beede Imploranten von der darin enthaltenen Klag zu absolviren allenfalls unter der Erklärung von Seiten des implorirenden Herrenschneiders und ohnnachtheilig ihrer habenden Rechts Mittel, als auf welche Sie keines Weegs Verzug thun wollen, mithin Vergleichs weise, daß er Herrenschneider seine behausung, die Gräth genannt, wann in Zukunft Löbliche Stadt Zur Execution des Allignements schreiten würde, Wolgedachter Stadt um 6000. fl. zum Abbruch eigenthümlich überlaßen, und dieselbe nach einer vierjährigen Aufkündigung räumen wolle, mit dem Vorbehalt jedoch, daß ihme, wie auch seiner etwa hinterlaßenden wittib und Erben oder dem als dannigen Eigenthümer freistehen solle, dasjenige Hintere theil derselben, so der Flucht des alten Falckenkellers nach stehen bleiben darf, nebst dem vordern Theil so abgebrochen werden müßte um 2000. fl. wieder an sich Zu Ziehen und zu behalten, so daß Er für den Platz welchen Er durch Abschneidung des vordern Theils und Zurücksetzung seiner facade verlieren würde, nur 4000. fl. zu empfangen haben solte, Wann dagegen löbliche Stadt versprechen wird, ihn den Keller bis dahin ferner ohnentgeltlich geniesen zu laßen. Erkannt, Seÿen die Imploranten mit ihrem begehren ab: und an dißortige Erkantnus vom 17. Novembris jüngst zu verweisen.

Les parties conviennent de passer un contrat à la Chambre des Contrats en modifiant la décision du 17 novembre, les bénéficiaires devront régler un loyer annuel de trois livres tant qu’ils jouiront à titre précaire de la cave et remettre les lieux en leur état antérieur à première réquisition de la Ville.

(p. 380) Anno 1790. Dienstags den 12. Januarii – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneiders, pt° Kellers unter der Gräth vom alten Falckenkeller
In Sachen Herrn Daniel Lung und Herrn Gottfried Herrenschneiders, beeder Knöpffmacher und burger allhier, wegen Einschlagung des Gewölbs und übriger Abänderung eines Kellers, so sich unter der sogenannten Greth befindet und von dem alten Falkenkeller herrühtet, von welchem sich löbliche Stadt bei Verkaufung des alten Falckenkellers das Eigenthumb vorbehalten, übergeben die Imploranten unterthäniges Memoriale mit bitten, Wie geruheten wolten, Ihre Déclaration, wie daß Sie die von Ihnen gemachte abänderung des Keller Gewölbs quæstionis als ein Precarium und blose Vergünstigung,bis Löbliche Stadt anderwärtig Verordnen wird, ansehen und anerkennen, auch zu deßen mehrer Bekräftigung eine Verschreibung auf Löblicher Stadt Contractstube passirten wollen, Zu verzeichnen, denselben aber der angesetzte jährliche Zins von 10. lb d entweder gantz Zu erlaßen, oder wenigstens auf ein gantz geringes in signum recognitionis jener Vergünstigung Zu reduciren.. Wo Euer Gnadan nicht lieber wolten, die in Frag befangene Behausung die Greth genannt durch unpartheiische von beeden Theilen zu ernenende Experten, ohn auf die gemachten Bauveränderungen quæstionis als wo durch sothane Behausung einen etwaigen mehrern Werth erhalten haben mag, acht zu haben, blos nach dem Zustand wie sie vorher war, abwürdigen laßen. Welches als dann der Preis seÿn solle, um welchen man sich anheischig macht, Löblicher Stadt dieses Haus Zu überlaßen, Wann einstens das Alignement vollzogen und daselbe abgeschnitten werden solle, somithin das unterm 17. Novembris jüngst ertheile Decret als ohne fernern Gegenstand wieder bei zubringen.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt. Seÿen die Imploranten schuldig und gehalten die Verschreibung, daß die Einschlagung des Gewölbs und übrigen Abänderung des Kellers, so sich unter der sogenannten Greth befindet, und von dem alten Falckenkeller herrühret, von welchem sich Löbliche Stadt bei Verkaufung des Falckenkehhers das Eigenthum vorbehalten, nur precariô seÿe, mithin auf Löblicher Stadt ersterer Ansuchen dem hiebei vorgelegten Plan nach wieder in den vorigen Stand Zustellen, in Zwischen aber jährlich in Recognitionem Precarii drei Pfund Pfenning Zins Zu bezalen in Löblicher Stadt Kanzlei Contract Stub auf Ihr, der Imploranten Kösten vornehmen Zu laßen, Als in wie weit dißortige Erkantnus vom 17. Novembris jüngst abzuändern. Anbei wird Herr Johann Daniel Saum bestens ersucht und authorisirt der Verschreibung Namens Löbl. Stadt bei zu wohnen.

1798, Voirie (283 MW 365)

Voirie M.ple – Enlèvement des Barraques appart.tes à M Richshoffer, M Burckartsmeyer, Henneberg et Fischer
Strasbourg le 30 fru. 5, Geofroid Herrenschneider aux Cit. Officiers Municipaux de la Commune de Strasbourg
Comme il se trouve à la Maison appartenante à moi Geofroid Herrenschneider située sur la place de la Cathedrale au Coin de la rue des Maroquains un mûre de 18 à 20 pieds de long donant dans la susdite Rue auquel ils se trouvent dépuis 12 ans que j’habite Cette Maison 3 petites Bûdes de Cordonniers qui sont enclouées au mur à moi propre, Ces trois susdite Bûdes ne m’ont pas encore embarrassées dépuis que j’habite la Maison mais voyant maintenant la plus grande urgence de faire percer Ce Mûre pour me procurer un appartement très nécessaire à mon commerce et de faire encore plusieurs autres Réparations tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Maison qui a été très endommagée par les Vilnies infectueuses qui se sont consommées dans ces 3 bûdes, Je me Vois dans la nécessité de vous prier de vouloir bien ordonner aux 3 cordonniers Propriétaires des bûdes de les ôter de Mon mur

Délibération de l’Administration Municipale, 9 fri an VI, Vû la pétition du Cit Geofroid Herrenschneider, Vu aussi l’avis des Inspecteurs des Bâtiments, Arrête qu’il sera denoncé aux particuliers qui occupent des boutiques placées sur le communal et adossées contre le mur dont s’agit pour les enlever, le 11 frimaire 6

Ce jourd’huit deuxième Vendemiaire An 6 (…) Nous soussignés Inspecteur des Bâtiments (…) nous sommes transportés sur les lieux pour voir et examiner le Contenu de ladite demande et avons trouvé que le mur ou le petitionnaire veut faire percer ladite porte pour établir une boutique se trouve dans la rue des maroquins et appartient en toute propriété audit Cit. herrenschneider par conséquent les soussignés sont d’avis que la demande peut lui être accordée – Arnold, Kaltner

Description de la maison

  • 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles dont un est voûté, petites chambres, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton Sud – Place de la Cathédrale

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
boutique du N° 1 rue du Maroquin
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et balcon
(Légende)

Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin

nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Herrenschneider
Rez de chaussée et 4 étages médiocres en maçonnerie

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 80 case 1

Hepp, Jean Henry, rue du maroquin n° 2
Hepp, Henri Gustave, Rue du Maroquin n° 2 (1853)

O 206, Maison, sol, R. du Maroquin 1 et 2
Contenance : 1,70
Revenu total : 540,88 (540 et 0,88)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41 / 33
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11

Cadastre napoléonien, registre 16 f° 208 case 1

Hepp, Henri Gustave

O 206, Maison, sol, Rue du Maroquin 18
Contenance : 1,70
Revenu total : 540,88 (540 et 0,88)
Folio de provenance : (80)
Folio de destination : Démolition en août 1860. (sol) voie publique
Année d’entrée :
Année de sortie : 1860 – (sol) 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 14
1861 Hepp Henri Gustave f° 208, O 206, Maison, revenu 540, Démolition en août 1860, supp.en 1861
Idem f° 208, O 206, Sol 1,70 are, revenu 0,88, Terrain destiné à l’agrandisst. de la place de la cathédrale et devenu voie publique, supp. en 1861

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin p. 312

1
Pr. Herrenschneider, Geofroid, Boutonnier – Miroir
Lo. Gerlin, J. Pierre, Mtre de Guidhart* – Manant
Lo. Gerlin, frs. Suisse, pensionné –


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de Frédéric Linck dans le Livre des communaux. Originaire de Kirchheim unter Teck en Wurtemberg, Frédéric Linck épouse en 1570 Barbe Dachs, fille du farinier Michel Tachs.

Mariage, cathédrale (luth. p. 213)
1570. Friderich Linck der Beck von Kirchheim an d. Eck, Barbara Michel Dachsen des Melmans hind.lasene dochter, wirt ob den falcken keller wohnt. Eingesegnet Zinstag den (-) Augusti hora 10 (i 104)

Le boulanger Frédéric Linck devient bourgeois par sa femme Barbe Dachs
1570, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 341
Frÿdrich Linck von Kirchen an der Eck der beck hatt das burgkrecht Empfang. von barbaren Weÿlandt Michel dachs. des Mehlmanns sellig. Dochter, seiner ehefraw. und dient Zu den Beck. Eod. die [5. Augusti A° Lxx]

La veuve se remarie en 1588 avec le meunier Balthasar Ulrich
Mariage, cathédrale (luth. p. 144) 1588. Dominca Quasimodogeniti. 14. Aprilis Balthasar Ulrich d. Habermüller vnd Barbara Friderich Lincken des Mahlmanns nachgel. wittib. Eingesegnet Zinßag den 23.t Aprilis (i 75)

Assistée de son fils Frédéric Linck, Barbe Dachs veuve du meunier Balthasar Ulrich passe un acord avec son voisin Gaspard Flos, aubergiste à la Cave au Faucon. Les deux maisons sont propriété de l’Œuvre Notre Dame. La veuve Linck accorde à titre de pure tolérance que les eaux provenant de l’évier de son voisin s’écoulent dans la fosse d’aisances à condition que les frais supplémentaires de vidange soient à sa charge.

1612 (xv tag Decembris), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 539
(Inchoat. in Proth. fol: 528.) Erschienen h. Michael Bering. Nots. burger Zu Straßburg Als ein geschworner vogt Barbaræ Taxin wÿland Balthasar Ulrich gewesenen habermüllers selig witwe mit beÿstand Friderich Lincken des müllers Ihres Sohns Ane eim,
So dann Caspar Flooß der Weinschanck Im Falcken Keller burger zu Straßburg Am Andern theil
haben bede parth. gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿeh. demnach sie bede nachbauren Caspar Floß vnd Barbara Ihre behausung. vor dem Münster Alhie Inn der Kurbengaßen & lÿhnungs weÿß vonn dem werck Vnser Fr. Münster Inhaben Vnd besitzen, vnnd aber ermelter Caspar Floß einen Nooch vß seiner behausung Vom wasserstein Inn gedachter Barbaræ profeÿ vnd heimlichkeit lauffen hatt, das hierauff ernant Caspar flooß sich hiemit erclärt haben will, solchen einlauff Allein für ein gönnung vnd Khein gerechtigkeit Zu erkhennen, vnnd Zuhaltten, Mit ferner bescheÿdenheit, wo sich aber kurtz od: lang befünden möchte, das das profeÿ durch solch. wasserstein vff geschwelet werd. solte, Als dann mehrgemelt. Caspar Flooß dasselbig. profeÿ vß Zuführen werd. Inn seinem cost. seübern Zulaß. schuldig vnd verbund. sein solle, Sunst soll Auch Caspar Flooß den Nooch durch die Maur dadurch das Waßer lauffet, Inn seinen costen Zuhaltt. vnd versehen, damit der Mauren hierdurch Khein schad. Zugefügt werden, Alles Vngeuorlich

Les trois enfants et héritiers de Barbe Dachs (le meunier Frédéric Linck, Barbe Linck et le fils issu du mariage de Catherine Linck et de Chrétien Scholl) s’accordent sur la maison qui est une emphytéose de l’Œuvre Notre Dame en en laissant la jouissance pendant trois ans à Barbe Linck

1624 (13. Martÿ), Chancellerie, vol. 454 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 22
Vertrag zwischen Friderich Lincken selig. Erben wegen der Behausung
Erschienen Friderich Linck der haber Müller für sich selbs, Valentin Tretzel der Rotgerber als vogt Hans Philipsen weÿland Catharinæ Linckin seligen mit Herrn Christian Schollen Großen Rhats bewandten ehelich erzeugten minderjährigen Sohns, vnd Johann Ulrich Heisch der Notarius, als geordnet vnd geschworner vogt Barbaræ Linckin, alle treÿ für sich selbs vnd respectivé vogtlicher weÿß weÿland Barbaræ Dachsin Friderich Lincken des Brotbecken hinderlaßener wittwen hinderlaßener Kinder vnd Erben vogt, vnd Zuerkennen geben vnd bekant haben,
Als nach vorgemelter Barbaræ Dachsin Ir der treyen erben eheleibliche Muter vnd grosmuter seligen tödlichen abgang bey vertheylung derselben verlaßenschafft, von wegen der Behausung so ein Erblehen von dem werck vnser Frawen Im Münster alhie neben der Behausung Zum dem Falcken Keller genant gelegen, vnd derselben Besitz vnd bewohnung wegen, In fürgenommener abtheylung gerürter verlaßenschafft, am streÿt erhaben, deßen wegen sie für einen Ersamen Kleinen Rhat kommen vnd Zu güttlich. handlung angewisen (…) In beÿ: vnd gegensein herrn Philipps Mangoldten obgedachts Friderich Lincken Schwagers, volgender gestalt verglichen worden, das nemlichen, obangeregt Ir der bemelten dreÿen Erben In gemein angehorige Behausung obermelter Jungfrawen Barbaræ Linckin, Johann Ulrich Heuschen vogt tocht. dreÿ Jar lang, die nechsten Von Mariæ verkündung nechstkünfftig anzurechnen, nach einand. volgende leÿgenungs weÿß Innhaben, bewohnen vnd Irer nodurfft vnd geleg.eyt, geprauchen (…)

La maison appartient pour un tiers au boulanger Frédéric Linck qui épouse en 1605 Dorothée, fille du revendeur Samuel Schlosser
Mariage, cathédrale (luth. p. 149)
1605. Dominica septuagesima den 27. Ianuarÿ. Friderich Linck der Beck und Dorothe Samuel Schlosser des grempen n.g. dochter (i 77)

Elle revient ensuite aux enfants de Frédéric Linck, dont Frédéric qui épouse en 1632 Sara, fille de Jean Louis Damon
Mariage, cathédrale (luth. p. 309)
1632. Doîca Jubilat. 22. April. Friderich Linck der Müller Friderich Lincken deß Habermüllers sohn, J. Sara Hans Ludwig Damonn. tochter. eingesegnet Zinstag den 15. Maÿ (i 159)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126) 1632. Eadem [Dom. Voc. Jucundat. 6. Maÿ] Friderich Linck j. Müller Friderich Linck deß eltern v. habermüllers ehelicher Sohn, vnnd J. Sara H. Hans Ludwig Damons gewesenen burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 15. Maÿ Im Münster (i 65)

1634, Protocole des Quinze (2 R 60) Friderich Linck der Jüngere umb Meelwann. 122.
1635, Conseillers et XXI (1 R 118) Friderich Linckh et consorten pt° mehl. 188.
1637, Protocole des Quinze (2 R 62) Friderich Linckh der Habermüller. 79.

1657, Protocole des Quinze (2 R 75) Hanß Friderich Linckh vmb Wannenrecht. 26.
(f° 26) Sambstag den 14. Febr. – Hanß Friderich Linckh per Dr. Bitsch, prod: Lucernen Zunfftschein, bitt ane Hanß Leonhardt Rößlers deß becken statt Ihme d. Wannenrecht gn. Zugestatten. Erkandt, Würdt Willfahrt hat Schein empfangen.

Le boulanger Jean Louis Linck et son frère meunier Jean Georges Linck vendent au marchand Jean Jacques Schell leur part de maison dont le domaine direct appartient à la Monnaie

1658 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 350
Erschienen hannß Ludwig Linckh der Weißbeckh, Vnd hannß Georg Linckh der Müller, Gebrüder, beede mit beÿstand H Hannß Mögele deß Meelmanns sein hannß Georg geweßenen und sein hannß Ludwig noch würckhlich. Vogts
in gegensein H hannß Jacob Schellen deß handelsmanns
die Erb lehnungß Gerechtigkeit und Beßerung so Ihnen beed. Gebrüdern Zur dritten theil gebühre vff einer Behaußung und Gädlin, vor dem Münster vff der Gräth am Falckhen Keller stehend. Welche Behausung iure dominÿ directi der Statt Straßburg Müntz gehörig seÿe, und solch Eÿgenthumb iährlich mit 3 lib. ewig. Zinnßes recognoscirt werde – auch noch umb 50. lib bemelter Statt Straßburg verhafftet – umb 40 Pfund pfenning

Fils de l’assesseur des Vingt-et-Un Chrétien Schell, le marchand Jean Jacques Schell épouse en 1652 Elisabeth Schmidt, fille du tonnelier municipal Daniel Schmidt
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 98-v)
1652. Dnica 7.a 15 febr. Herr Johan Jacob Schell d. Handelsman des Ehrnw. fürsichtigen v. wollweisen Herr Christian Schellen des bestendigen Regiments der Herren xxi. hinderlassener Sohn, J. Elisabetha H Daniel Schmidt Burgers vnd Stadtkieffers Eheliche tochter, Zinst. 24. febr. A. St Peter (i 100)

Le farinier Jean Frédéric Linck vend à son tour le tiers qui lui appartient à Jean Jacques Schell

1665 (30. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 165
(Prot. fol. 11.) Erschienen hannß Friderich Linckh der Meelmann
in gegensein H Hannß Jacob Schellen deß handelßmanns
die Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung so ihme dem Verkäuffern, seiner Anzeig nach, Zum tritten theil gebühre Einer Behaußung und Gädlin vor dem Münster vff der Gräd am Falckhen Keller stehend, welche Behaußung iure dominÿ directi der Statt Müntzen gehörig seÿe, und solch Eigenthumb iährlich mit 30. lib ewig. erbzinnßes recognoscirt werd. so seÿe die Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung der gantz. Behaußung auch noch umb 50. lib besagter Müntz verhafftet (zum tritten theim übernohmen) – umb 60 Pfund

Jean Jacques Schell hypothèque au profit du tuteur de ses enfants divers immeubles dont le domaine utile de sa maison sur le Gradin à côté de la Cave au Faucon. En marge, quittance accordée en 1677 à Simon Weber et à sa femme Marie Salomé

1668 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 149-v
Erschienen hannß Jacob Schell der handelßmann
in gegensein H Christoph Scheublers Notarÿ und EE Kleinen Rhats Beÿsitzers, alß sein Schellen Kind. Vogt mit assistentz H Daniel Schmid EE großen Rhats Beÿsitzers ihres Groß Vatters – schuldig seÿe 450. Pfund
Unterpfand sein soll daß Gültguth in Eckhwerßheim Bann geleg. (…), Item 183. lb so H Hannß Martin Schell der Lederhändler deß Debitoris Brud. alle Jahr vff weÿhenacht. Zu verzinnßen pflichtig,
Item die Erb lehnungß Gerechtigkeit und Beßerung ahn Einer Behaußung ahie vor dem Münster vff der Gräth neben dem Falckhenkeller an der Kurbengaßen geleg. daran daß Dominum directum der Statt Müntz gehörig seÿe und iährlich. vff Johann Bapt. mit 3. lib. ewig. erblehnungß Zinß recognoscirt werde
[in margine :] Erschienen Hannß Jacob Schell der Jünger Kieffer für sich selbsten und im nahmen herrn Johann Philipp Schüblers Notarÿ alß Ehevogts Annæ Elisabethæ Schellin seiner eheleiblichen Schwester, denen obgemelte Schellische 200. lb gebühren, hatt, in gegensein Simon Webers deß Sippmachers und Mariæ Salome beÿder Eheleuth alß ietziger Possessores der uff der Gräth neben den Falckhen Keller gelegener behaußung (quittung) Act. d. 20. Xbr. 1677

Les Quinze nomment Jean Jacques Schell adjoint à la Chambre du suif après que son beau-père Daniel Schmidt s’est porté garant
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
Hans Jacob Schell Vicarius beÿ d. Unschlitt Cammer
(f° 7-v) Sambstag den 22. Januarÿ – Hans Jacob Schell per Dr. Bitschen producirt Supplication, pittet Vns das Vicariat beÿ der Unschlitt Cammer, Erkant, vor Obere Unschlit Herren gewißen, die solten von Rathherr Schmidten vernemen, wie er zu caviren gemeind.

(f° 10-v) Freÿtag den 28. Januarÿ – Obere Ungelt Herren laßen per herr Negelin referiren, daß wegen Hans Jacob Schellen caution mit H Daniel Schmiden seinem Schwehr Vatter geredet worden, weil nun derselbe sich von 2. bis in 3000 thale anerbietig macht, alß fragt sich ob Ihme das vicariat In der Vnschlitt Cammer Zu conferiren. Erkandt quoad sic, die caution aber werckstellig Zumachen, den Ob. Unschlitt Herren überlaßen.
1659 Conseillers et XXI (1 R 142)
(f° 226) Sambstag d. 17. Decemb. – Beÿ E. E. Zunfft der Gerber Ist ahne statt Isaac Rummelßperger erwöhlt word. Hanß Jacob Schell.

1660 Conseillers et XXI (1 R 143) Johann Jacob Schell und Consorten wegen Pfenningthurns Capital. 68. Schellische Erben wegen eines Pfenningthurns Capitals. 108.
1660 XV (2 R 78) Jacob Schell der Sattlergesell Ca. Sattler. 94. 97. 105. 111. 113.
1666 XV (2 R 83) Johann Jacob Schell umb Compensation. 202. 211. umb Nachlaß Schuld. 215. 217.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Jacques Schell et Jean Georges Werner péagers au Pont du Rhin
1671, Conseillers et XXI (1 R 154)
Hannß Jacob Schell würdt Zoller auff der Rheinbrückh
(p. 312) Montags d. 23. Octobris – die heren XV laßen durch Herrn Secr. Nägelin anzeigen, Sie hetten einen Außschuß der Jenigen Personen, So Sich Zu Widerersetzung deß Rhein Zollers Angeben gemacht, Vndt samt darauff Hannß Jacob Schell, vndt Hanß Georg Werner unanimiter [erkosen]

(p. 321) Sambstag d. 28. Octobris – die new erwehlte Rhein Zoller Johann Jacob Schell, Johann Georg Werner Vndt Daniel Öhlinger schwören vff die Ordnung.

1671, Protocole des Quinze (2 R 88)
Rhein Zolls beßere bestellung 22,
Außschutz wegen d. Rhein zoller dienst 141. 143 (hannß Jacob Schell, hannß Georg Wörner, Daniel Öhlinger), Hannß Christoph Roll geweßener Rhein Zoller 148. Hannß Georg Wörner Rhein Zoller 179
Hannß Christoph Roll der Rheinzoller 13. 169

Jean Jacques Schell se remarie en 1672 avec Catherine Schmidt, fille de Jacques Schmidt
Mariage, cathédrale (luth. f° 156, n° 32)
1672. Dom: 10. post Trinit. Zum 2 mahl Johann Jacob Schell der Rheinbrucken Zoller und burger alhier, Jfr. Catharina Weiland Hn Jacob Schmidt gewesenen Beweißers u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. T. Donnerstags den 22.ten Aug. im Münster (i 158)

Le péager au Rhin Jean Jacques Schell loue la maison au tourneur Jean Michel Diebold

1672 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 449-v
Hannß Jacob Schel der Rhein Zoller
in gegensein hannß Michael Diebolts deß Trähers
verlühen, Eine behaußung über dem falckhen Keller uff der Gräth gelegen, uff Vier Jahr lang Von bevorstehend. Michael. angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 13. lb

Les Quinze nomment Jean Jacques Schell préposé de la balance à la Douane (Zollkeller)
1674, Protocole des Quinze (2 R 90)
Waag Meisters Stell in dem Zollkeller – Johann Jacob Schell
(f° 241) Sambstag den 7. Novmbr. – Waag Meisters Stell in dem Zollkeller
Ob. Kaufhaus Herren proponiren, weilen Heinrich Fleischbein der gewesen wag Meister in dem Zollkeller Gott ergeben, Vnd solche stell vacirend, ob die Sach Montag beÿ H Räth Vnd XXI die sach wegen der umbkundung angebracht werden solle. Erkandt, quoad sic.

(f° 253) Montags den 30. Novembr. – Ausschutz Eines Wag Meisters im Zollkeller – Johann Jacob Schell
Obere Kaufhaus Herren laßen per me den Ausschutz eines Wag Meisters in dem Zollkeller ane stat des Verstorbenen Johan Heinrich Fleischbeins Vortragen, daß nemblichen Von den 14. persohnen so sich darumb Geschrieben Gegeben Volgende 5. in Ausschutz kommen, als (1) Hans Jacob Schell, (2) Johannes Goos, (3) Joachim von Botzheim, (4) Christoph Wilhelm Stromer Notar. (5) Georg Heinrich Musculus. Erkandt, wurd beliebt Vnd Soll gleich ietzo Vor Hn Räth Und XXI Gebracht worden, so p. me geschehen v ist Johann Jacob Schell so seithero vicarius ordinarius in dem Zollkeller Gewesen, per majora darzu erwehlt worden.

Jean Jacques Schell et Catherine Schmidt font dresser l’inventaire de leurs apports. Le domaine direct de la maison appartient alors à Elie Brackenhoffer

1676 (20.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 10) f° 323
Inventarium vndt Beschreibung aller Vndt Jeder haab undt nahrung, so der Ehrengeachte Herr Johann Jacob Schell, hieß. Zollkellers bedientter, seines nunmahlig. geliebt. Ehelich. haußfr. d. Viel Ehren: undt Tugendsamen fr. Catharinæ Schmidin, Weÿl. deß Erenhafft. V. Vorgeacht. H. Jacob Schmiden, geweßenen bawmeisters v. burgers allhier hinderlaßene Ehelichen dochter in diese Vor 4. Jahren bereits mit Einand. angetrettene Ehe Würcklichen Zugebracht hatt, Welche Zur Verhütung all überrächtigen streits, Wie Er herr Schell solches alles in beÿsein angeregt seiner geliebt. Ehelich. haußfr. V. derselben Wohlerbettenen H beÿstadts des Wohl Ehrwürdig v. Wohlgelehrte H Jacobi Philippi Espichs, Wohlmeritirten Diaconi Zum jung. St: Peter alhier Vorgewieß. angegeben, geäuget V gezeiget (…) Actum Straßburg Dienstags den 20.ten Junÿ Annp 1676.

In einer d. Statt Straßb. in der Bruderhoffs gaß gelegenen v. hiehero nicht gehörig. behausung ist befund. worden wie volgt.
Sa. haußraths 189, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 68, Sa. goldener Ring 26, baarschafft 18, Pfenningzinß hauptgüter 25
Eigenthumb ane einer Behausung. It. hauß v. hoffstatt mit all. deren gebäuwen, begriffenn Weith. Recht. Zuegehörd. v. gerechtigkeit. geleg. in d. Statt Straßb. Vor dem Münster auf d. Gräthen od. dem Falcken Keller, eins. ein Eck ane d. Kurbengaß, anders. neb. gedachtem Falckenkellern hind. auf H. Joh: Bernhard d. handelßmann alhier stoßend, davon geh. jars 3. lb d Erblehens Zinß H. XV.ers Eliæ Brackenhoffern auf Joh. Bapt: in hauptg. ablösig deb Zinß nach gerechnet mit 60. lb d. Ferner 2. lb. 10 ß gelts Vor Wohl Ehren besagtem H. XV.ern Brackenhoffern jars auf Margarethæ lößig in hauptg. dem Zinß nach mit 50. lb d. Über das ist diese behausung auch beneb. vorhergehenden Cap. v. 1. gültguth v.pfändet, Weilen aber solche schuld hernach beÿ d. passiv schuld eingetrag. befindlich, v. dieses hauß sonst freÿ ledig v. eig. alß ist über obspecificirte bschwerden dieses hauß annoch angeschlagen pro 225. lb. Über 2/3. theil ane solch. behaus. ist Vorhand. 1. p.gam. Kauffbr. mit d. Statt Straßb. Contract Ins. v.wahrt de dato d. 30.t Martÿ A° 1665. So dann ein pap. Extractus in allhiesig. Cancelleÿ Contract stub vfert. dat. d. 5. Aug. A° 1658. beedes mit alt. N° 10. not.
Summa per se 225, Pfenningzinß hauptgüetter 25, Gültguth 50, Schulden, Summa summarum (602) – Schulden 16 lb

L’employé à la Douane Jean Jacques Schell vend le domaine utile de la maison au tamisier Simon Weber et à sa femme Marie Salomé

1677 (14. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 808-v
Johann Jacob Schell beampter im Zollkeller
in gegensein Simon Webers des Sippmachers undt Mariæ Salome beÿder Eheleuth
die Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung Uff einer behausung undt gädlein Vor dem Münster Vff der gräd am Falckhenkeller stehendt, welche behausung jure dominÿ directi H. Eliæ Brackhenhoffern XV. gehörig seÿe, undt solch Eÿgenthumb jährlichen mit 3 lb d ewigen ErbZinnßes recognoscirt werde, so seÿe dieße Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung auch noch umb 50. lb besagtem H. Fünff Zehner Brackhenhoffern, Item umb 400. fl. sein des Verkäuffers eheleiblichen Kindern Verhafftet – umb 200 fl.

Simon Weber et sa femme Marie Salomé hypothèquent la maison au profit des enfants de Jean Jacques Faust, ancien aubergiste à la Couchette. Les parents du débiteur en portent caution en hypothéquant leur maison à la Krutenau.

1677 (20. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 816-v
Simon Webers der Jünger, Sippmacher und Maria Salome sein eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herrn Christoph Schüblers und herrn Johann Georg Metzgers, beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mitter ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein H. Michael Fausten deß Zinngießers alß Vogts, weÿl. herrn Johann Jacob Fausten geweßenen Würthß zum Spanbeth nunmehr sel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, die Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung uff einer behaußung undt Gädlein, allhier Vor dem Münster, uff der Grädt am Falckhenkeller stehend, welche behausung Jure dominÿ directi p H. Eliæ Brackhenhoffern Fünf Zehnern gehörig seÿe, undt solch Eÿgenthumb jährlich. mit 3 lb d ewigen Erb Zinnßes recognoscirt werde, so seÿe dieße Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung auch noch umb 50. lb besagtem H. Fünff Zehner Brackhenhoffern, Item umb 400. fl. sein des Verkäuffers eheleiblichen Kindern Verhafftet
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so seind hierbeÿ persönlich erschienen H. Simon Weber der älter Wagner und Anna Maria Weberin beÿde Eheleuth undt Zwar Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen hern Johann Daniel Richßhoffers und herrn Johann Niclaus Caroli beÿde alß auß obwohlgedachten Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter, die haben sich für obige schuldt und biß dieselbe völlig wirdt bezahlt sein, Verbürgt (…) und deßwegen insonderheit Zu Unterpfand, Verlegt Ein haüßlein mit allen deren Gebäwen Rechten und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau am Blumen Gießen neben David Gori dem Gartenmann gelegen, davon gehend jährlich 4. fl. bodenzinß der Statt Pfenningthurn
Item Ein Garten so Ein halb Ackher groß beÿ der Kurbau, einseit neben hannß Schweitzer, anderseit neben Jacob Hetzel, gelegen

Lors de l’inventaire dressé après la mort de Marie Salomé Schmitz en 1704 les experts estiment la maison à 200 livres puis à 600 livres en 1711 lors de l’inventaire dressé après la mort de Simon Weber.
La maison revient à son fils Simon Weber qui épouse en 1703 Elisabeth Alber, fille du tanneur Adam Alber : contrat de mariage, célébration

1703 (30.t julÿ), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 4) f° 126
Eheberedung – zwischen dem wohlgeachten Simon Weber, dem ledig. Siebmacher, deß auch Ehrb Vorgeacht. Herrn Simon Weber Burgers vnd Siebmachers allhier Zu Straßburg mit der Tugendsamen frawen Salome gebohrner Schmitzin, Ehelich erziehlen Sohn, alß hochzeitern ahn einem
vnd dann der Viel Ehren vnd tugendbegabt. Jungfer Elisabetha. S. Tit. Herrn Johann Adam Albers, gerbers v. lederbereiters auch löbl. Policeÿgerichts wohlverdienten beÿsitzers mitt S. T. frawen Salome gebohrner Reffoldin Ehelich erzielten Jungfer Tochtern alß hochzeiterin anden theils
Geschehen v. verhandelt in der Statt Straßburg auff montag den 30.t julÿ, alß mann Nach J Ch. herr Unsers einig. Erlößers geburth Zahlte 1703. Jahr

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 92-v, n° 511)
den 26 Sept. 1703 seind nach außruffung eingesegnet word. Simon Weber der ledige Sipmacher, H. Simon Webers des burgers undt Sipmachers alhier ehelicher Sohn, und Jgf. Elisabetha H. Johann Adam Albers, burgers Rothgerbers und eines löblichen Policeÿ gerichts beÿsitzers eheliche Tochter [unterzeichnet] simon Weber alß hochzeiter, Elisabetha Alberin Als Hoßseiter (i 95)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 104 livres, ceux de la femme à 231 livres.
1704 (1.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 11) f° 432
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Meister Simon Weber der Jüngere Sippmacher und die Ehren: und tugendsahme fraw Elisabetha gebohrne Alberin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Adam Alber Rothgerber und burgers allhier und der viel Ehren: und tugendreichen frawen Salome gebohrner Reffoldin der Ehefrawen beeder Eltern, So dann des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Simon Weber Sen: Sippmacher und auch burgers allhier des Manns leiblich. Vatters, Sambstags den 1. Martÿ Anno 1704.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Nahr. betr., Sa. Hausraths 48, Sa. Werckzeugs Zum Sippmacher handw. gehörig 4, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 47, Summa summarum 104 lb
der Fr. Vermög. belang. Sa. Hausraths 140, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 13, Sa. Baarschafft 70, Summa summarum 231 lb

Simon Weber et Elisabeth Alber hypothèquent la maison au profit de Salomé Reisseissen veuve Geiger et d’Elie Brackenhoffer, greffier à l’audience du consul. Les deux sœurs et cohéritières du débiteur déclarent n’avoir aucun droit sur la maison.

1711 (23.11.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 673-v
Simon Weber der Sippmacher und Elisabetha geb. Alberin mit beÿstand H. Johann Adam Albers des gerbers und lederbereiters Ihres leiblichen Vatters und Johann Albers auch gerbers und lederbereiters Ihres leiblichen bruders
in gegensein herrn Francisci Reiseisens U.J.Ddi und Cancelleriæ Contractuum Actuarÿ als Curatoris Fraun Salome Geigerin wittib geb. Reißeisin so dann hn Elias Brackenhofers E. Löbl. Ammeister Audienz Actuarÿ – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, die Erblehens gerechtigkeit od. dominium utile ahne einem hauß sambt allen gebäuden, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten oben ane der St Urbans od. Curben gaß gegen dem Münster über einseit zum theil ein Eck theils neben dem Falcken Keller anderseit ist auch Ein Eck ahne ged. gaß hind: auff Peter Nonnen Mann haußfeurern, das Dominium directum obged. Brackenhofferischen fr. Wittib und Erben gehörig denen mann auch davon jährlich 3 lb ewigen Erblehen zinnßes zu rechnen hat
Worbeÿ erschienen obged. Weberische Mit Erben Nahmens Maria Salome Weberin Johann Meÿers Sandführers eheliche hausfrau mit beÿstand und consens deßelben So dann Susanna Catharina Weberin David Meÿers deß Sippmachers hausfrau, die haben angezeigt und bekannt daß bemelte Erblehengerechtigkeit ged. haußes ged. Simon Webern Ihrem leiblichen bruder eigenthümlichen und allein gehörig seÿe und keine ansprach daran zu machen haben

Simon Weber dans les registres de la tribu des Charpentiers
1718, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 33) Dienstags den 22. Junÿ 1718
Cra Mr Simon Weber und Johann Michael Gundelfinger den gesellen

Le tamisier David Meyer fait grief à Simon Weber (son beau-frère) de manœuvrer pour lui prendre un compagnon. Le conseil de tribu écarte ses arguments et renvoie à sa décision du 22 juin précédent.
(f° 35) Dienstags den 4. Octobris 1718 – David Meÿer Contra Simon Weber beede Sippmacher, Klagt daß Er Ihme seine werckstatt zu sperren suche, in deme Er Ihme einen Gesellen abspannet und alß Er den Letztern gesellen bekommen solte, seÿe Bekl. nebst Carl Reinthaler Zuvor auf die Schenck gangen vnd hätten den Complot mit dem Gesellen gemacht, ehe und bevor einige Gesellen dazu Kommen, wie Er demnach der handt außgeben, Er habe dem Gesellen beschieben, welches aber nicht seÿn, sondern der Meister von Hagenau beÿ welchem der Gesell gewesen, halte Simon Weber vor einen s.v. etc. der Gesell habe auch sehr ungleiche reden getrieben, daß Er bald von Zabern bald von Hagenau were beschrieben word. bitt also Ihne beÿ seinem Meister recht zu manuteniren daß Kl. Ihle seine Gesellen nicht aufstifften solle. Kläger præsens sagt, mann solle nur Carlen Reinthaler und dem Gesellen darüber hören, maßen sich die sach nicht also befinde, sondern habe dem Gesellen aufrecht und redlich durch seinen Vatter beschrieben mit dem Meister Von Hagenau habe Er gar nichts Zuthun, hätte auch nicht einmahm beÿ Ihme gearbeitet, sondern es ist derselbe von Zabern beschrieben were dan Zumahlen habe Ihme sein Meister abschied gegeben, undt alß Er anhero gelangt, habe Kl. Kein gruß von Ihme nehmen wollen.
Ignatius Baldinger der Gesell von Ettlinger referirt als Er noch Zu hauß gewesen, hätte Ihne alle diß Mr Weber schon gern gehabt, es hätte aber dazumahlen nicht seyn Können, weilen Er schon auf Hagenau beschrieben war, Alß Er aber Von Hagenau hienweg gereist, seÿe Er auf Zabern vnd von dort habe Er Ihne beschrieben.
Erkand es soll beÿ dem 22. Junÿ Jüngst ertheilten bescheid verbleiben, weilen die übrige Meister auch beschrieben, und theils beschrieben worden seind.

(f° 39) Dienstags den 13. Junÿ 1719
Frantz Carl Box Wannenmacher Contra Simon Weber den Sippmacher

Le tamisier Jean Georges Fels fait grief à Simon Weber d’avoir vendu des vans tout l’été à l’encontre du règlement. Le conseil condamne le défendeur à cinq livres d’amende en vertu du règlement en date du 16 mai 1688. Simon Weber déclare qu’il va porter l’affaire devant les Quinze.
(f° 97) Dienstags den 25. Novembris 1727 – Hannß Geörg Felß der Sippmacher Contra Simon Webern auch Sippmachern, Klagt, daß Er den gantzen Verwichenen Sommer hin durch Wannen wieder ordtnung Verkaufft, welches schädlich, Bitt abstraffung, oder aber Ihme vnd den andern Mit Meistern Zu erlauben, daß Sie auch Wannen Verkauffen dörffen anbeÿ ruffe vnd winckte deß Beklagten frau den Kaufleuten, so daß die andere dadurch nicht Verkauffen Könten. Beklager Zugegen Ist der anklag geständign Er kauffe aber die Wannen selbsten Von den Wannenmachern, vnd hätte Er der Kläger die Klag nicht, sondern die Wannenmacher anstellen sollen.
Erkand, es seÿe der beklagte In den articul von gn. G. den XV.ern gegeben de dato 16. Maÿ 1688. der 5. lb d Zu Condemniren ref. Exp. Ille will es vor die G. H. die XV. gelangen laßen.

Simon Weber introduit une plainte en décembre 1727 en faisant remarquer qu’elle est motivée par des rancœurs. Contrairement à ce qu’il prétend, il n’achète pas seulement des marchandises aux vanniers de Strasbourg mais en fait venir de Bade. La commission confirme la décision de la tribu qui s’appuie sur le règlement de 1688 et condammne Simon Weber aux dépens. L’affaire se poursuit par un litige sur les sommes à verser.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 434) Sambstag d. 13. Xbris 1727 – Moss. nôe Simon Webers des Sippmachers und burgers Cit. Joh: Georg Feltz auch burger undt Sippmacher, prod. App. Klag juncto petito und beylag Lit. A. handelt jnhalts. Fuchs bitt Cop. et T Ord. Obt.

1727-1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
(p. 434) Sambstag d. 13. Xbris 1727 – Moss. nôe Simon Webers des Sippmachers und burgers Cit. Joh: Georg Feltz auch burger undt Sippmacher, prod. App. Klag juncto petito und beylag Lit. A. handelt jnhalts. Fuchs bitt Cop. et T Ord. Obt.

(p. 12) Sambstag d. 24. Januarÿ 172[8] – Fuchß nôe Joh: Georg Felß des burgers undt Sipmachers alhie contra Simon Weber auch Sipmachers, auff gegentheilige Appellations Klag, prod. Except. mt beÿlag. Sub N. 1. 2. Moss bitt Cop. et T. Ord. Obt. (notes p. 9)

(notes p. 31) Sambst. den 21. febr. – F. Joh: Georg Felß Ca. Simon Weber erholt rec. u, prod. vom 24. Jenner jüngst, Weil citatus noch keine cop. davon bekommen, alß 6 noch mahl cop. T. O. F. weil gegner appellanten auch seine appell. Kl. schrifftl. eingegeben alß laßt cop. zu b. aber Dep M. Pr. Erk. cop. u. Zeit 8.

(p. 95) Sambstag d. 13. Martÿ 1728 – Fuchß nôe Joh: Georg Felß des burgers und Sipmacher Cit. Simon Weber erholt Except. und Recess vom 24. Januarÿ und 21. Febr: jüngst bitt Deput. Moss prod. Undtg. Replicas, mit Wied.hohltem bitten, Fuchß Weil dieses pord. nur Zum umbtrieb dient, alß erholt prod. d. d d. bitt Deput. Moss bitt auch Deput. bey welcher Frantz Carl Buchß wannenmacher erscheine. Fuchß priora. Erk. Ober Handwerck Herren und soll dam Wannenmacher gebetten werden. (notes p. 50)

(p. 139) Sambstag d. 10. Aprilis 1728. – Simon Weber Ca. Hanß Georg Felß pt° mulctæ
Obere Handwerckh hrn laßen per Eundem [Secretarium] referiren, daß Simon Weber, der burger undt Sippmacher alhier den 25. Novembris jüngst beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth Gericht Vorgetelt,undt wieder Ine durch Hanß Georg Fels auch Sippmacher und burger allhir Klagend angebracht word. daß er, Weber, den gantzen verwichenen Sommer durch Wannen wieder ordnung verkaufft, so Ihnen den Sippmachen schädlich, mit bitt Ihne abzustraffen, oder aber Ihme, Felsen, und seinen Mitt Meistern auch Zu erlauben, daß Sie Wannen verkauffen dörffen, & auff Welches der beklagte der anklag geständig gewesen, mit dem beysatz Er kauffe die Wannen sebsten Von denen Wannenmachern, und hätte er Kläger die Klag nicht, sondern die Wannenmacher anstellen sollen, So fort seÿ erkandt worden, daß der beklagte in den Articul Von Mgh. gegeben de dato 8. Maÿ 1688. der 5. lb Zu condemniren, Refusis Expensis.
Von diesem bescheid habe Simon Weber an mghh. appellirt, und d. 13. Xbris 1727. seine Appellations Klag juncto petite mit beÿlag Lit. A. Johann Georg Felß aber den 24. des darauff folgenden Monaths Januarÿ seine Exceptiones mit beÿlagen sub N. 1. et 2. vnd Weber den 13. Martÿ jüngst Replicas producirt, Ille ließt dieße Acta ab, und berichtet daraufff daß da auff geschehene Remission man die Parthen auch mündlich gehört, der Appellant beÿgesetzt, Es seÿ beÿ dießer Sach eine große passion, Worauff der Appellat Geantwortet, Gegner Kauffe die Wannen nicht nur allein von denen heißigen Wannenmachern, sondern bekenne auch deren noch von über Rhein her, und seÿe derselbe schon etliche mahl gestraffet worden, Er beruffe sich in dem übrigen auff seine Exceptiones und auff einen Articul vom 8. Maÿ 1688. dahin gehend, daß die Sipmacher sich des Einkauffs undt Verkauffs der Wannen, undt der Wannenmacher waahren sowohl inn: alß auch außerhalb der Statt Straßburg innerhalb einer Meil weegs gäntzlich enthalten sollen, beÿ 5. pfundt d. Straaff. Die in denen beÿlagen Sub N. 1. et 2. benambste Zweÿ Wannenmacher seÿen auch gehört worden, welche ausgesagt daß Sie wegen des Gegeners an Ihren orth nichts verkauffen Könten
Auff seithen der Hh. Deuptirten finde man daß übel und muthwillig appellirt, mithien der Appellant wohl meritirte in poenam temeré litigantium condemnirt Zue werden Und halte man, daß die Sententia â quâ Zu confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweißen undt in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erk. bedacht geflolgt. (notes p. 65 et 145)

(notes p. 73) Mont. den 12. April. Oberhwksg. H. laßen bescheid ansagen in s. Simon Webers Ca. Joh: Georg Felß

(p. 158) Sambstag en 24. Aprilis – Fuchß nôe Joh: Georg Fels cintra Simon [Weber -] wilfahrt. (notes p. 83)

(p. 170) Sambstag d. 8. Maÿ 1728
Bescheid – Sambstag d. 10. Aprilis 1728. In Sachen Simon Weber des burgers undt Sippmacher Ca. (page abîmée – notes p. 88)

(notes p. 221) Sambst. 12. Junÿ. F. nôe Joh: Georg Felß Ca. Simon Weber Zufolg Mghh. bescheid vom 10. Aprilis jüngst vermög deßen gegner in alle uncosten condemnirt wd. prod. specif. expensarum sambt beÿl. N° 1 und b. uth. pro taxa. M. cit. b. uth. *f Tax. Erk. Ob Hwks Hh.

(notes p. 227.) Mittw. den 16. Junÿ – Iid. Schr. unkosten Zedul in s. Joh: Georg Fels Ca. Simon Weber p° taxæ. Erk. Zu geg. solt die Taxam Zu Mgh. u. waß Mghh. Vor guy befinde. Werden d. wolle er gelten laßen. llle H. setz beÿ d. seithero Wider 6 ß Weg. begehrten taxation er außgelegt habe. H. Dep. daß der unkosten Zedul zu approbiren. Erk. auch 6 ß pro no* exp. erleg. solle. Erk. in plenum.

(p. 226) Sambstag d. 19. Junÿ 1728. – Joh: Georg Fels C. Simon Weber
Iidem [Obere Handwerckh hrn] laßen per Eundem [Secretarium] referiren, daß Joh: Georg Felß der Sipmacher contra Simon Weber, auch Sipmacheer, Welcher Letztere ohnlägst in die unkosten condemnirt worden, d. (-) hujus eine specification sothaner unkosten, sammenthafft auff 5 fl. 5 ß 5 d sich belauffend producirt, mit beÿlag N° 1 und hätte beede umb deren taxation angesucht, undt alß man selbige in beysein beeder parthen durchgangen, habe man nichts darinen Zu ändern gewußt Wie dann auch der condemnirte nichts darwieder eingewendet, sondern bedütten daß was Mghh. für guth befänden er deßen sich bequemen wolte, der producens aber habe beÿgesetzt, daß er seithero wiederumb 6. ß ausgelegt, Und halte man davor, daß gemelte Specification Zu approbiren, undt der condemnirte die darinnen benambste unkosten der 5 fl. 5 ß 5 d beneben den rerst new ausgelegte 6. ß Zu bezahlen schuldig sein solle. Erk. also beliebt. (notes p. 231, 184)

Dienstags den 22. Martÿ 1729
1729, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
Klagen Simon Weber den Gesellen Von hier und Hannß Michel Schäfer den Gesellen Von Schweinfurth

Le tamisier Jean Georges Fels fait grief, en son nom et en celui de son pupille Jean Charles Reinthaler, à Simon Weber de ne pas partager les marchandises qu’il reçoit, en l’occurrence des mesures de grains et des pelles. Le conseil demande à celui qui passe une commande d’en avertir désormais quinze jours auparavant le maître de tribu et inflige une amende à chacune des parties, le plaignant pour injures et le défendeur pour ne pas observer le règlement.
(f° 127-v) Dienstags den 14. Martÿ 1730 – Hannß Geörg Felß der Sippmacher so wohl in seinem Nahmen als auch als Vogt Joh: Carl Reithalers Sippmachers wittib, klagt contra Mr Simon Webern auch Sippmachern, daß, wann Wahr, nemlich Sestergeschirr vnd Schauflen & anhero Kämen, das Er gleich den Übrigen Sippmachern gehalten seÿe, solche Ihnen Vermög Articuls theil ane solcher wahr zu geben, in Specie aber ane den Letßhien angekommenen Vnd von dem Beklagten allein übernommenen Sestergeschirr & ref. Exp.
Beklagter præsens meldet in antworth, wann die wahr nicht bestellt seÿn, so Könrten Kl. theil daran prætendiren, betreffende aber die letstere anhero gekommene wahr, nemblich das Sestergeschirr, Hatte Er in das theil geben wollen, ohnerachtet Er dieselbe bestellet vnd 6. fl. darauff gegeben aber dergestalten daß Er der Kläg. Sie allein behalten solte, anbeÿ hielte der Beklagte den Klägern als nunmahligen beÿsitzern E. E. gerichts einen Kerl und Lumpen, Er hätte auch vber* das mit E. E. Gericht nicht Zu *ertiren vnd die Sach müße Vor gnd. Hh die XV. gelangen, Indem Er den articul Beßer, alß E. E. Gericht Verstünde.
Erkand es seÿe einem Jeeden Sippmacher auferlegt wann Er wahr bestellen will solches dem Jeweiligen Hrn Zunfftmeister 14. tag Zuvor anzuzeigen Vnd wann hernach solche bestellte wahr anhero käme, die helffte davon gegen Erlag der gebühr ins theil Kommen laßen solle Beÿ ohhnachläßlicher straff der in den articuln enthaltenen 5. lb d wegen deß beklagten grosser begangener Unfueg, und daß er den Klägern als gerichtsmann einen Kerl geheißen, seÿe Er in i lb d straf verfallen, vnd habe demselben eine abbitt Zu thun, wegen der abbitt hat Er præstanda præstirt.

Simon Weber et sa femme Elisabeth Albert meurent à un an d’intervalle en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 613 livres, le passif à 319 livres.

1731 (2.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) n° 664 (622)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung Vndt Güthere so weÿl. der Ehrengeachte Meister Simon Weber, Sippmacher Und die Ehren: und tugendsahme frau Elisabetha Weberin gebohrne Alberin beedte Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Ihrem Und zwar die frau Freÿtags den 5.ten augusti des Verfloßenen 1729.sten Jahrs, der Mann aber dienstags den 5.ten Xbris des nächst zurückgelegten 1730.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Simon Webers Leedigen Sippmachers, Und des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Peter Fritzen Schreiners undt burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Abrahams, Philipps beedter Sippmacher gesellen und Catharinæ Elisabethæ der Webern aller Vier der abgestorbenen Eheleuthen seel. mit einander ehelich erziehlter Kinder und ab intestato verlaßener rechtsmäßiger Erben, inventirt durch Sie die Erben selbsten, auf zuvorhien ane dieselbe wie auch Salomeam Meÿerin die haußhälterin, hannß Michel Schääffern Von Schweitz* und Caspar Schloriger Von Nörtlingen auß Schwaben beedte gesellen, beschehener gebührender anerinnern (…) geaigt und gezeigt – So beschehen Straßburg dienstags den 2. Januarÿ 1731.
Extractus Auß dem Von beeden geweßenen Ehepersohnen d. 25. apr. 1704 Vor weÿl. Hrn Nor. Christoph Eberhard Bären aufgerichtetem Codicilli

In einer allhier zu Straßburg beÿ dem Münster ane dem würthshauß zum Falcken Keller gelegenen und hiehero in Erblehnungs gerechtigkeit eÿgenthümblich gehörigen behaußung befundten wordten wie Volgt.
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. Nembl. die Erblehnlungs gerechtigkeit Vndt beßerung auff einer behaußung Vndt Gädlein Vor dem Münster auff der grädt am falckenkeller gelegen, welche behaußung jure Dominji directj weÿl. S. T. H. Eliæ Brackenhoffer geweßenen Ammeisters vnd hochverdienten beÿsitzers des beständigen Regiments der Herren XIII. allhier längst seel. hinderbliebener fr. Wittib vndt Erben Vormahls, modo fr. Dri Hartschmidtin wittib gehörig, welches Eÿgenthumb jährl. auff Martini mit 3. lb. d Ewigen Erblehnzinnßes recognoscirt wurd. sonsten aber gegen männiglichen über dieße undt unter denen hieunden specificirten passiv Schulden enthaltene Capitalien ohnverhafftet, freÿ, leedig und eÿgen, undt ist die behaußung durch (die Werckmeistere) Vermög der, beÿ mein dem Concept befindl. schrifftlichen Abschatzung vom 13. Xbris 1730. taxirt worden pro 375. lb. Wann nun obberührter Erblehnzinnß Zu doppeltem Capital wie gewohnlich davon weggerechnet würd, so th. 20. lb d, Rest außzuwerffen 255. Darüber besagt ein teutscher perg. Kffbr. mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt datirt den 14. Decembr. A° 1677. Und ist solche behaußung dem abgeleibten seel. von seinen Geschwüsterden Käufflichen cedirt und überlaßen wordten.
– Abschatzung d. 13. Xbris 1730. Auff begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen H Simon Weber gewesenen Statt Sipmachers seel: hinter laßene Erben, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg beÿ dem Münster ein Eck an der Kurbe gaßen gelegen, das hauß Zur Kräth genandt, einseits Neben dem Wirts hauß Zum Falcken Keller, ander seits Neben Peter Nonnenmann hauß Feurer, Welche behausung, stuben Wo Von eins gewölbt Kämmrl. Hauß Ehren mit herd und Waßerstein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlag. wird Vor und Umb Sieben hundert und Fünffzig gulden. bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohrene Werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Maurhoffs.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 97, Sa. wahren und Werckzeug Zum Sippmacher handwerck gehörig 90, Sa. wein undt leeren vaß 27, Sa. silbers 11, Sa. Goldener Ring 2, Sa. baarschafft 55, Sa. beßerung ane einer behaußung 255, Sa. Schulden 73, Summa summarum 613 lb, Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 319 lb Nach deren Abzug 293 lb

Compte que rend le menuisier Jean Pierre Fritz de la gestion des biens qui appartiennent à Catherine Elisabeth Weber, fille des précédents.
1734, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 24) n° 853 (809)
Rechnung Mein Johann Peter Fritzen Schreiners alß geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ Elisabethæ Weberin, weÿlandt Meister Simon Weber, Sippmachers, mit auch weÿland fraun Elisabethæ gebohrner Alberin beede seel. Ehelich erzeugten undt hinterlaßenen döchterleins, Innhaltend und außweißend was Ich vom 1. Januarÿ 1731 als dann gedachter meiner Curandin Eltern seel. Verlaßenschafft Inventiret und Separiret auch distrahiret worden, biß Joh. Bapt: 1734 Ihrentwegen Eingenommen Und Hiengegen wieder außgegeben, auch sonsten In eine und andere weeg Gehandelt und Verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Lors du partage de la succession, Simon Weber rachète les parts de la maison et en devient seul propriétaire

1731 (2.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) Joint au n° 664 (622) du 2janv. 1731
Abhandlung der behaußung. Die in dem Verfertigten Inventario fol: fac: et seqq: beschriebene Erbkehnungs Gerechtigkeit und beßerung auff einer behaußung und Gädlein Vor dem Münster auff der grädt am falckenkeller gelegen welche behaußung jure Dominj Directj Fr. Drj Hartschmidtin Wittib gehörig, welches Eÿgenthumb jährl. auff Martini mit 3. lb. d Ewigen Erblehnzinnßes recognoscirt würd. ist von der zween jüngsten Söhnen Und tochter geschwornen Vogten mit Consens derselben
Simon Weber dem ältesten Sohn käufflich cedirt und überlaßen worden
über abzug obgedachten Ewigen Erbzinnßes, ferner 50 lb. Capital welche mann S.T. H. Elias Brackenhoffers geweßten hochverdienten Ammaÿsters hoch seel. andenckens hinterbliebener Fr. Wittib Undt Erben, So dann des S.T. Hn Francisco Ösingern J.U. Dd Und in dießer Statt C.C. stub bestmeritirtem actuario schuldigen hauptguths der 151. lb, welche beedte Capitalien und Erbzinnß der Cessionarius über sich nimbt, vor und umb 998 pfund – unterschrieben Straßburg den 13. Januarÿ 1731. [unterzeichnet] Simon Weber, Abraham Weber, Philipp Weber, Johann Peter fritz als Vogt

Simon Weber devient tributaire chez les Charpentiers le 10 janvier 1731
1731, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 136) Mittwochs den 10. Januarÿ 1731 – Evangel. Neuzünfftiger
Simon Weber der Sippmacher weÿl. Simon Webers des Sippmachers nachgelaßener Ehel. Sohn prod. Stallschein dedato 16. Xbr 1730. bitt ihne als einen Zünfftigen anzunehmen. Erk. willf. dt. 1 lb 10 ß d.

Simon Weber épouse en 1731 Catherine Salomé Martin, fille du messager Georges Michel Martin : contrat de mariage, célébration
1731 (9. 8.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 622
Eheberedung – entzwischen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Mstr Simon Webern, Leedigen Sippmachern vnd burgern allhier, weÿl. H. Simon Webers geweßenen ebenmäßigen Sippmachers vnd burgers allda Ehel. nachgelaßenem Sohn, als dem Hochzeiter ane Einem, beiständlich H. Joh. Georg Alber Rothgerber vnd Lederbereiters seines Vettern vnd H. Joh. Peter Fritzen, Schreiners seines gewesenen Vogten
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfer Catharinæ Salome Martinin, weil. H. Geörg Michel Martin geweßenen Einspännigers vnd burgers allhier seel. Ehelich erzeugter dochter als der Jgfr. Hochzeiterin andern Theils, mit beÿstandt H. Joh. Daniel Borsten peruquenmacher Ihres Schwagers
Actum (…) donnerstags den 9.ten Augusti Anno 1731 [unterzeichnet] Simon Weber als hoch Zeÿdern Catharina Salome Martinin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 96-b, n° 38)
1731. Mittwoch d. 3. 8.br seind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Simon Weber der Ledige Siebmacher u. b alhier, weÿl. Simon Webers b. v. Siebmachers nachgel. Sohn, v. Jgfr. Catharina Salome, weÿl. H. Geörg Michael Martins geweß. b. v. Einspännigers Nachgel. egl. Tochter [unterzeichnet] Simon Weber Als Hochzeÿter, Catharina Salome Martinin (i 101)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent la maison s’élèvent à 180 livres, ceux de la femme à 263 livres.

1731 (5. 9.bris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) n° 679 (636)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehrsahme und bescheidene Mstr. Simon Weber der Sipmacher Und die Ehren und tugendsahme frau Catharina Salome gebohrne Martinin beede Eheleuthe Und burgere alhier zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren Jeedes Vermög Ihrer mit einander aufgerichteten Eheberedung Vor unverändert vorbehalten hat – Actum in fernerem gegenseÿn fr. Anna Catharina Martinin gebohrner Schlumbergerin der Ehefr. Mutter, Straßburg Montags den 5° 9.bris A° 1731.

In einer alhier Zue Straßburg auf dem Münsterplatz gelegener Vnd dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen behaußung befund. alß volgt
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. (M.) Nemblich die Erblehnlungs gerechtigkeit Vnd beßerung auf einer behausung vnd Gädlein vor dem Münster auf der Gräth am falckenkeller gelegen, welche behaußung Jure dominÿ directi weÿl. S. T. Herrn Elias Brackenhoffer geweßenen Ammeisters vnd hochverdienten beÿsitzers des geheimen Collegÿ der Herren XIII. fr. Wittib vnd H. Erben Vormahls, modo H. Dr Hartschmidts fraw Wittib zuständig, welcher mann Jährlichen auf Martini pro recognitione ane Ewigen Erblehnzinnß 3. lb. d zu reichen pflichtig. sonsten aber außer denen unter den passivis enthaltenen zweÿen Capitalien freÿ, leedig und Eigen. Darüber besagt in allhießiger Cantzleÿ Contract stub gefertigten Pergamentener Kauffbrieff mit dero anhangendem Innsiegel verwarth, datirt den 14.ten Decembris 1677. Dieße behaußung ist dem dießortigen Ehemann den 13. Januarÿ 1731. beÿ Vätterlichen Verlaßenschaffts Abtheilung Von deßen geschwüsterden und Miterben gegen vbernahm des vorher erwehnten Erbehnungszinnßes vnd denen zweÿen under denen passivis inventirten Capitalien ein* annoch Eigenthümlichen Cedirt vnd vberlaßen worden pro 998. lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns Vermögen, Sa. Haußraths 66, Sa. Werckzeugs zur hiehro gehöriger helffte 102, Sa. silbers 9, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 998, Summa summarum 1177 lb – Passiv Schulden 1023 lb, Compensando 154 lb – haussteuren 25 lb, des Ehemanns gesambte unveränderte Nahrung 180 lb
Der Ehefrauen Nahrung Concernirend, Sa. haußraths 147, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 237 lb – haussteuren 25, Der Ehefrauen Nahrung 263 – Conclusio finalis Inventarÿ 443 lb

Catherine Salomé Martin fait dresser un état de ses biens
1731 (22.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
Jungfer Catharina Salome Martinin, weÿl. Hn Georg Michael Martin geweßenen Einspännigers und burgers alhier seel. nachgelaßene ehel. tochter, so Verlobt an Meister Simon Weber dem ledigen Sipmacher und burgern alhier, hat würcklich eigenthümlich in Vermögen, darüber Sie mit handtreu abgelegt,
baarschafft 165,
Item wird ihro uff abschlag Vätterlichen Erbs ane 192. lb Capital, so Valentin Diemer Ackermann und burger Zu Ittenheim laut Obligation auß alhießiger Cantzleÿ Contractstub de 3. Martÿ Anno 1727. assignirt 100 lb, Summa 265.
Sig. Straßburg den 22.ten Augusti Anno 1731.
[unterzeichnet] Catharina Salome Martinin

Catherine Salomé Martin devient bourgeoise le 11 novembre
1731, 4° Livre de bourgeoisie p. 976
Catharina Salome Martinin von hier geb. erhalt d. b. gratis, will beÿ EE Zunfft d. Zimmerleuth dienen. Prom. eodem [11. 9..br]

Mittwochs den 9. Januarÿ 1732
Klagen Contra Simon Webern auch Sippmachern

Montags den 17. Marty [sic] 1735
contra H Mstr Simon Weber dem Sippmacher Sargen gelüffert
Dienstags den 14.ten Junÿ 1735
contra H Mstr Simon Weber dem Sippmacher

Jean Nock de Cappel en Bade se plaint de Catherine femme de Simon Weber, Jean Georges Fels l’aîné et Jean Charles Reinthaler, tous tamisiers. Il est venu livrer des pelles et les a proposées aux tourneurs et aux tamisiers qui n’en ont pas voulu, le lendemain les défendeurs les lui ont achetées, après quoi le maître de tribu lui a infligé une amende. La femme de Simon Weber déclare qu’avant de partir le plaignant a déposé les pelles chez elle pour 14 sols la douzaine dont les tourneurs n’ont pas voulu. Les tourneurs déclarent que le plaignant n’était pas là en personne et que les pelles étaient trop chères. Trois touneurs témoignent des circonstances dans lesquelles le maître de la tribu a infligé l’amende au plaignant. Les Quinze confirment la décision du conseil de tribu.
(f° 308-v) Dienstags den 25.ten 7.bris 1741 – Hannß Nockh Von Cappell Klagt Contra Frau Catharina Weberin Meister Simon Weber deß Sippmachers Ehefrau, ferner hannß Georg Felßen deß Ältern sippmachers wittib, beÿständlich Mst hannß Georg Felßen Sippmachers Ihres sohns, So dann weÿl. Johann Carl Reinthalers des Sippmachers wittib, alle dreÿ Beklagte, hier Zugegen, daß Er im Monath Julio Schaufeln hiehero gebracht und dieselbe nach Ordnung und Articul Zur Vertheilung vor das Münster gelüffert, nach deme aber den Ersten tag weder die Träher noch Sippmacher Meisterschafft einige davon gewollt, habe Er dieselbe gezwungener weiß einstellen müßen, den Andern tag aber darauff haben die dreÿ Beklagte Sippmacher Meister & fraun so besagte Schaufeln Ihme abgekaufft, Nun Er wieder Ordnung damahl gehandelt habe solle, hab herr Zunfftmeister Ine Crafft scheins vom 27. Junÿ 1741. privatim pro 3. lb gestrafft und 19 ß d Uncosten angesetzt, dieweilen aber die beklagte wieder Ihren articul Ohnwißend seiner gehandelt, alß bittet Er maßen Er sich den Regress ane sie vorbehalten, die Bekagte anzuhalten Ihme die angesetzte straff und Uncosten wieder Zu refundiren, ref. Exp.
Meister Simon Weber des Sippmachers Ehefrau sagt nach deme die quæst. schaufeln vor Kläger am Donnerstag eingestellt waren, Er Nockh aber am Freÿtag abends fortgereißt, habe Sie Weberin, weilen Ihr Mann wothend*, aber damahlen, nicht hier war, Über Ihme geruffen, Er sollte die quæst. schauflen hergeben, welches Er auch gethan, und Zwahr das dutzend à 14 ß d Jedoch mit dem anhang, daß sie auch die treger Meister, vermög Articuls dazu avertiren sollten, welches Sie auch der treher Meisterschafft wißend gemacht, Verhoffe also dießfalls nicht gefehlt Zu haben, anbeÿ aber habe die treher Meisterschafft Kein antheil davon gewolt, welcher aufsag frau Felßin und Frau Reinhalerin die Anderen Zwo beklagte auch beÿstimmenten, bitten absol. ref. Exp.
Hannß Geörg Kuch de Träher Ober Meister sagt interviendo der wothend* der träher Meister were gekommen [f° 310] solche Schaufeln Vermög Articuls Zu theilen, da war aber Hannß Nock der Käuffer nicht Zugegen, nach deme Er aber erschienen habe, Er das dutzend pro 18 ß gebotten endlich wollte Er sie vmb 16 ß d laßen und angesehen die treger Meistern, die Schaufeln umb diesen preis nicht wollten, haben die dreÿ Beklagte solche des andern tags gekaufft, woraufhin sich Er Obermeister Nôe deß handwercks beÿ dem Herrn Zunfftmeister beklagt, und angesehen Er Nockh wieder Articul gehandelt, habe Er Ihme, weilen Er nacher hauß fort eilete, den Articul mit 3. lb. und 19 ß d Uncosten angesetzt, Und angesehen die dreÿ Beklagte die quæst. schaufeln das dutzend umb 14 ß d hatten, Sie aber Ihnen 16 ß d bezahlten sollten, haben die Träher Meisterschafft Keine Schaufeln mehr gewolt.
Meister Johann Michel Ruop Jun: und Johannes Keller die beede drehere und Zwahr der [f° 310-v] letztere als damahliger Rüeger sagt, nach deme Sie Andere Arbeith getheilt, habe Er hannß Nockhen auch gefragt wie Er seine schauffel gebe, hatt Er geantwortet 18 ß d das dutzend, Jedoch auf das Näheste 17 ß d darüber Er replicirt Wann Er 12 ß d umb das dutzend, wie andere auch geben, wollte so seÿn Er bereit sie Zunehmen, darüber Er Nock in anthwort ertheilt wann Er die quæst. schaufel, nicht umb 17 ß d nehmen Wollte, so wüßte Er schon warmit hien, Nechst dießem habe Er sie eingestellt und weren folgenden Tages nicht mehr in das theil gekommen, sondern Er habe sie den quæst. Beklagten dreÿ weibern Verkaufft, Nach deme hannß Nockh wieder eingelaßen wurde, war Er geständig daß die dreÿ Beklagte freÿtags Abends zwischen Vier und fünff Uhren Ihme die Schaufflen [f° 311] abgekaufft doch habe Er Ihnen befohlen Sie sollten Es den trähern ansagen.
Meister Ruop Jun. Johannes Keller und hannß Georg Kuckh alle dreÿ treger deponiren, daß Hannß Nockhen Herrn Zunfftmeisters hauß, Alß Er ihme den Articul Abgeleß, gesagt, Er sehe wohl daß Er gefehlt habe, bitt iIhme nur umb 3 fl. anzusetzen, warauf Er aber beÿ dem Articul Verblieben, wie Er auch die 3. lb d erlegt, Er wollte aber auf das Michaeli Gericht die dreÿ Beklagte verklagen, daß Sie Ihme die straff wieder geben müßten.
Erkandt, Es seÿe die von Hannß Nockhen erhaltene straff benebst Uncosten Zue Confirmiren.

Simon Weber et Catherine Salomé Martin hypothèquent la maison au profit de Jean Henri Rosenzweig, étudiant en philosophie

1735 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 547-v
Simon Weber der Sippmacher und Catharina Salome geb. Martinin mit beÿstand ihres bruders H. Philipp Heinrich Martin S.S. Theologiæ Studjosi und ihres schwagers Johann Daniel Borst Peruquenmachers
in gegensein H. Heinrich Rang Cazernier als geschwornen vogts H. Johann Heinrich Roßenzweig Philosophiæ Studiosi – schuldig seÿen 500 pfund (…) zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, nach zuvor von Fr. Salome Harttschmidtin geb. Brackenhofferin weÿl. S.T. H. Johann Nicolaus Harttschmidt geweßenen S.S. Theologiæ Doctoris et Prof. Publ. Ord. F. wittib als Dominia directa hiernach beschriebener Erblehenhaußes, die Erblehnungs gerechtigkeit der das durch eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten vor dem Münster auff der gräth beÿ dem Falckenkeller, einseit ist ein Eck an St Urbans gaß anderseit ist ein Eck an bemeldtem Falckenkeller hinten theils auff eben denselben theils auff Johann Peter Nonnenmann dem haußfeurer, der Brackenhoferischer familie modo obged. Harttschmittischer Fr. wittib allein 3 lb. ahne Erblehen zinnß (um 152 und 50 pfund capitalien verhafftet), als ein von seinen geschwisterden in Abteilung seines vatters seel. weÿl. Simon Weber des Sippmachers verlassenschafft zufolg einer vor H. Not. Johann Jacob Oelinger am 13. Januarÿ 1731 aufgerichteten Kauffverschreibung

Simon Weber et Catherine Salomé Martin hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Frédéric Fritsch

1742 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 187-v
Simon Weber der Sippmacher und Maria Salome geb. Martinin mit beÿstand ihres bruders H. M. Philipp Heinrich Martin des seminaristen und ihres Schwagers Johann Daniel Borst des Perruckenmachers
in gegensein in gegensein H. Johann Friedrich Faust J.U.L. und Schaffners des mehrern hospitals als mündlich bevollmächtigter seines schwagers H. Johann Friedrich Fristch des handelsmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, nach zuvor von Fr. Salome geb. Brackenhofferin weÿl. H. Johann Nicolaus Hartschmidt gewesten Theol. D. et Prof. Fr. wittib als dominia directa hiernach beschriebener behausung, das dominium utile oder die Erblehnungs gerechtigkeit einer behausung und hoffstatt cum appertinentis vor dem Münster auff der gräth beÿ dem Falckenkeller, einseit ist ein Eck ane St Urbans gaß anderseit ist ein Eck an besagtem Falckenkeller hinten auff den selben und theils Peter Nonnenmann den haußfeurer – der Brackenhofferischen familie modo ged. Fr. Hartschmidtin 3 lb erblehenzinß

Simon Weber meurt en 1776 en délaissant trois petits-enfants issus de Marguerite Madeleine Weber et de Jean Geoffroi Herrenschneider. Le défunt a racheté pour 80 livres le domaine direct le 18 avril 1763. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre à la veuve est de 256 livres, la masse propre aux héritiers présente un déficit de 266 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 073 livres, le passif à 179 livres.

1777 (20.2.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 845) n° 87
Inventarium über Weiland Herrn Simon Webers geweßenen Sippmachers nunmehro seel. Verlaßenschafft (…) nach seinem am 25. Septembris des letzverfloßenen Jahrs 1776 aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen sowohl Frauen Catharinæ Salome gebohrner Martinin, der hinterbliebenen Frauen wittib beiständlich Meister Johannes Lorenz, des Mehl: Händlers und burgers hieselbst, als auch H: Johann Michael Porsts des buchbinders und ebenmäßig burgers dahier als geschwornen Vormunds derer hernach benamßten von dem verstorbenen seel zurückgelaßenen dreien minderjährigen Enkel und Erben – von wohlermelter hinterbliebener Frauen wittib nach deme vordersamst dieselbe sowohl als auch Georg Weiß der im Hauß befindliche Sippmachers: Gesell (…) geäugt und gezeigt – So geschehen allhier zu Straßburg in hernach hierinnen beschriebenen Sterb: behaußung, in fernerer Gegenwarth Herrn Joh: Gottfried Herrenschneider des Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers dahier als derer dreien Enkele und Erben leiblichen Vaters, auf donnerstag den 20. Tag des Monats Februarii im Jahr der Ganden 1767.
Benennung der Erben. Der verstorbene H. Weeber seelig hat ab intestato ziu seinen Erben verlaßen, herach benamßte aus seiner mit der hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugten: längst verstorbenen einzigen tochter entsproßene dreÿ Enkele als 1° Jgfr. Margaretham Magdalenam, 2.do Johann Gottfried, leediger Knöpffmachers Gesell, 3.tio Joh: Simon, primæ classis discipulum, Alle dreÿ Herrenschneidere, Weiland Frauen Margarethæ Magdalenæ Herrenschneiderin gebohrner Weberin seelig mit H. Johann Gottfried Herrenschneider, dem Knopffmacher, Seidenhändler und burgern allhier in deßen Erster Ehe erzielte, dermalen noch minderjährige Kinder, Vor welche H. Johann Michael Porst der buchbinder und burger hieslbst als dererselben geordnet und geschworener Vormund

(f° 10) Eigenthum ane einer Behausung. (E.) Neml. eine Behaußung samt allen deroselben Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg ane dem Münster Platz auf der Gräth, einseith neben der Gast behausung zum Falcken Keller genannt, anderseith ein Eck ane der St. Urbans Gaß, hinten auf Meister Vix den Weißbeck stoßend, so freÿ, leedig und eigen. Und ist diese behaußung vermög beigebrachten Abschatzung zedels dedato 23.ten Januarii dieses Jahrs geschätzt und angeschlagen worden vor und um 500. lb. Darüber besagt ein in allhiesiger Cantzleÿ Contract: Stuben gefertigter Pergamentiner Kauffbrieff mit dero anhandendem Insigel verwahrt de dato 14.ten Xbris 1677 vermög deßen des Verstorbenen seel. beede Eltern, sothane behaußung von Johann Jacob Schell dem gewesenen beamten im Zollkeller käuflich an sich gebracht. Und ist dieselbe dem verstorbenen seel. am 13. Jan: 1731. beÿ vätterlicher Verlaßenschaffts abtheilung von deßen Geschwüsterden und Miterben eigenthümlich cedirt und überlaßen worden. So dann ist ferner darüber vorhanden zine in Löbl. gedachter Cantzleÿ Contract: Stub beschehene und auf Papier ausgefertigte Verschreibung d. d° 18.ten Aprilis 1763. vermög welcher Frau Catharina Barbara Büttnerin gebohrne Hartschmidtin dreÿ pfund Pfenning Erblehen Zinnßes, so ehemals auf dieser behaußung gehaftet, dem verstorbenen seel. um 80. lb Straßburger verkauft, cedirt und überlaßen hat, wodurch demnach das Dominium directum mit dem Dominio utili consolidirt und die behaußung von dem darauf gehafteten Erblehen-Last während dieses nun zertrennten Ehe befreÿt worden.
(f° 13) Ergäntzung, Nach Anleitung (…) durch weiland Hn Notarium Johann Jacob Oelinger am 5.ten 9.bris 1731. aufgerichteten Inventarii
(f° 18) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii, Abschrift des von dem verstorbenen seeligen aufgerichteten Codicills – der Frauen Wittib Vermögenschaft, Sa. Haußraths 18, Sa. Silber geschmeids 2, Sa. Schuld 75, Sa. der Ergäntzung 161, Summa summarum 256 lb
das denen dreÿen Enkelen und Erben von dem verstorbenen als ihrem Groß-Vater seel. dermalen anerstorbenen Erb Guth beschrieben, Sa. haußraths 10, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500, Sa. der Ergäntzung -, Summa summarum 510 lb – Schulden 777 lb Nach deren Abzug Passiv onus 266 lb
die gemeinsam theilbare Nahrung und Verlassenschafft, Sa. Hausraths 47, Sa. Werckzeugs und Waar Zum Siebmacher Handwerck gehörig 14, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Schuld 702, Summa summarum 1073 lb – Schulden 179 lb, Nach deren Abzug 894 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 884 lb – Stall Summa dieses Inventarii 824 lb
(f° 23) Abschrift der Eheberedung (…) Actum donnerstags den 9. Augusti Anno 1731. Joh: Jacob Oelinger notarius jurats.
(f° 26) Abschrift des Codicills – Herr Simon Weber, Sippmacher und burger allhier (…) zu sich in seine ane dem Münster Plaz neben dem Falckenkeller gelegene behausung berufen, Erschienen, in der auf dem ersten Stock solcher behausung befindlichen Stuben, mit denen fenstern auf gedachten Münster: Plaz außsehend – Donnerstag den 8. februarii Anno 1766. – Johann Daniel Langheinrich, Nots. juratus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 300 florins
1777 (30. Apr.), Livres de la Taille (VII 1180) f° 216
(Zimmerleuth N° 4064) Weÿl. Simon Weber gew. Sippmachers und Burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. Not. Albert.
Concl. Inventarÿ Ist fol. 102. dedutis deducendis 824 lb 2 ß 7 d. die machen 1600. fl. Verstallte 1300 fl. Zu wenig 300 fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo 6 Jahr a 18 ß – 5 lb 8 ß
und 4 Jahr in simplo – 1 lb 16 ß
Ext kein Stallgeldt
Geb – 2 ß 6 s
Abhandlug – 1 lb 10 ß 6 d, Summa 8 lb 17 ß
der Nachtrag auff die helffte moderirt restirt 5 lb 5 ß
dt. 7. Aprilis 1777.

Jean Geoffroi Herrenschneider devient tributaire au Miroir le 24 juillet 1753
1753, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 150) Dienstags den 24. Julÿ 1753 – Neuzünfftiger
Johann Gottfried Herrenschneider der Knöpffmacher H. Johannes Herrenschneider des Knöpffmachers und Leib Zünfftigeb Ehel. Sohn ist Zufolg producirten Stallschein vom 14.ten Julÿ gegen erlag Ein Pfund Leib Zünfftig als Knöpffmacher auff und angenommen worden, ded. et prom. obed.

Fils de boutonnier, Jean Geoffroi Herrenschneider épouse en 1753 Marguerite Madeleine Weber : contrat de mariage, célébration
1753 (29.10), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 565) n° 8
(Eheberedung) der Ehrengeachte und Großachtbahre Herr Johann Gottfried Herrenschneider, Leediger Knopffmacher, Seidenhändler und burger allhier, des wohl Edlen und Ehrengeachten herrn Johannes Herrenschneider Knopffmachers Seidenhändlers und b. allh. mit weÿl. fr. Eva Margaretha geb. Küchelin ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter ane einem
So dann die Ehren und tugendbegabte Jgfr. Margaretha Magdalena Weberin, des Ehren und Vorgeachten Hn Simon Weber, Sippmachers und burgers allhier mit der Ehren und tugendbegabten fr. Catharina Salome geb. Martinin ehelich erzeugte tochter als Jgfr. Hochzeiterin am andern theil – auf Montag den 29.ten Octobris a° 1753 [unterzeichnet] Johann Gottfried Herren schneider als hochzeiter, Johannes Heren Schneider als Vatter, Margatha Magdalena Weberin als hoch Zeiderin, Simon Weber als Vatter, Catharina Salome Weberin als mutter

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 319-b, n° 1176)
1753. Mittwoch d. 21. Nov seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Joh Gottfrid Herrenschneider lediger Knopffmacher H Joh Herrenschneiders Knopffmachers und Seyeden handlers auch b alh ehl Soh, und Jfr Margaretha Magdalena h Simon Webers b und Sippmachers allh ehl tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Herrenschneider als hochzeiter, Margatha Magdalena Weberin als hoch Zederin (i 325)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 142 livres, ceux de la femme à 280 livres.
1753 (3.12.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 548) n° 14
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Gottfried Herrenschneider Knopffmacher und Seidenhändlers, und der Ehren und Tugendbegabten Fr. Margarethæ Magdalenæ geb. Weberin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1753. – und vermög Ihrer vor mir Notario den 29. Octobris letsthin mit einander aufgerichteter Eheberedung §° 5.to Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So Geschehen allhier Zu Straßburg in einer auf dem Münster: platz oben ane der St: Urbans gaß gelegenen, der Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen und von beeden jungen Eheleuthen bewohnenden behauß. in præsentia des Ehren und Wohlvorgeachten H. Johannes herrenschneider Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier als des Eheherrn leibl. Vatters auff deßelben und auff der Ehefr. seiten des auch Ehren und wohlvorgeachten herrn Simon Weber Sippmachers und burgers allh. der Ehren und tugendbegabten Fr. Catharinæ Salome Weberin geb. Martinin deroselben Geehrten Eltern, auf Montag den 3. Decembris A° 1753. Nachmittag
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebrachte guth, Sa. hausraths 26 lb, Sa. der wahren Zum Seidenhandel 50 lb, Sa. Silbers 1 lb, Summa summarum 78 lb – darzu gelegt deßen helffte ane denen haussteuren 64 lb, So bestehet des Ehemanns dermahlig. eigenthümlich in die Ehe gebracht Vermögen sammenthafft in 142 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht gut, Sa. hausraths 53 lb, Sa. Silbers 32 lb, Sa. Gold. ring 20 lb, Sa. der baarschafft 108 lb, Summa summarum 215 lb – darzu gelegt die Ihro der Ehefr. gebührigen helffte ane denen haussteuren 64 lb, So Ist Ihr der Ehefrauen dermahlen besitzendes und als unverändert in die Ehe gebrachtes Vermögen 280 lb

Marguerite Madeleine Weber meurt en 1760 en délaissant trois enfants. La masse propre aux héritiers s’élève à 436 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 720 livres, le passif de 1 027 livres.
1761 (30.3.), Not. Albert (J. Georges, 6 E 41, 842) n° 22
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Fraun Margarethæ Magdalenæ Herrenscheiderin, gebohrner Weberin, des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Gottfried Herrenschneiders, Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers allhier zu Straßburg im Leben gewesene Eheliebsten nunmehro seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet den 30° Marty Anno 1761. – nach ihrem den 15.den Septembris des nächst zurückgelegten 1760.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier zeitlichen zurückgelaßen (…), nachdeme Vorhero (…) in der Sterb-haus befindlichen dienst: Magd, nahmens Annæ Mariæ Kriegerin von hier gebürtig, (geaigt und gezeigt) – So geschehen Allhier Zu Straßburg in einer ane dem Münster: platz oben ane der St. Urbans: gaß gelegenen, und dißorthiger Kinder und Erben Mütterlichen Groß Eltern eigenthümlich zuständigen behaußung Auf Montag den 30.ten Martÿ Anno 1761.
Benennung derer Erben. Die Verstorbene seelige hat ab intestato zu gleichen Portionen und Antheilern zu Erben hinterlaßen hernach benambste ihre dreÿ mit dero hinterbliebenen und eingangs gemeldten Herrn Wittiber ehelich erzielte minderjährige Kinder, als 1.mo Margaretham Magdalenam, so bald 5 jahr alt, 2.do Johann Gottfried, so ein und dreÿ viertel Jahr alt, 3.tio Johann Simon, so Sieben Monath alt, welche dreÿ minderjährige Kinder und Erben mit Herrn Johann Simon Weber, dem Sippmacher und Burgern allhier, als ihrem Mütterlichen Großvatter, bevögtiget seind

(f° 12-v) Werckzeug und Waaren Zur Knöpff: macher profession und Seidenhandel gehörig
(f° 12) Ergäntzung derer Kinder und Erben ermanglenden ohnveränderten Mütterlichen guthß, Nach Maaßgab der über beeder nun zertrennter Ehe: Personen zusammengebrachte Nahrung den 3.ten decembris A° 1753. durch Hn Notarium Johann Daniel Schwaighäuser aufgerichteten Inventarii
(f° 15) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii, Abschrift der Eheberedung, Derer Kinder und Erben anerstorbenen Mütterlich Guth, Sa. Hausraths 91, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Schuld 100, Sa. Ergäntzung (227, abzug 1, restirt) 225, Summa summarum 436 lb
Dießemnach so wird auch die übrige Verlaßenschaft, und zwar des Herrn Wittibers ohnveränderte Nahrung und theilbare Verlaßenschaft zusammen ohne special Untersuchung unter einem titul beschrieben, Sa. Haußraths 25, Sa. Werckzeugs und Waaren Zur Knopffmacher profession und zum Seiden: handel gehörig 546, Sa. Silbers 9, Sa. Golden geschmeids 6, Sa. Baarschafft 32, Sa. Schulden 101, Summa summarum 720 lb – Schulden 1027 lb Passiv onus 306 lb
Stall Summa dieses Inventarii 130. lb
Abschrift der Eheberedung (…) auf Montag den 29.ten Octobris a° 1753, Johann Daniel Schweighäußer Notarius juratus publicus

Jean Geoffroi Herrenschneider se remarie en 1764 avec Catherine Marguerite Leonhard, fille du pasteur de Saint-Pierre-le-Vieux : contrat de mariage, célébration
1764 (26.5.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 849) n° 36
(Eheberedung) Herr Johann Gottfried Herrenschneider, der Seiden Händler, Wittiber und burger dahier als Hochzeiter ane einem,
und Jungfrau Catharina Margaretha Leonhardin, weiland Herrn M. Philipp Jacob Leonhards gewesenen Treu-eifrigen Pfarr Herrn beÿ der Evangelischen Kirche zum Alten St. Peter dahier längst seeligen, mit Frauen Anna Dorothea gebohrner Bärin ehelich erzeugt und nach tof gelaßene Tochter als Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen und abgelesen in gegenwart S.T. Herrn Philipp Friedrich Leonhards wohlbestellten Abend- Prediger beÿ der Evangelischen Kirch zum alten St Peter dahier (…) Straßburg auf Sambstag den 26. tag des Monats May Im Jahr 1764. [unterzeichnet] Johan Gottfried Herrenschneider als Hochzeiter, Catharina Margaretha Leonhardin als Hochzeiterin, Anna Dorothea Leonhardin als Mutter, Simon Weber als schwiger Vatter

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth.)
Im Jahr 1764 seind (…) den 13. Junii copulirt worden Herr Johann Gottfried Herrenschneider, wittwer, Knopffmacher und burger allhier und Jgfr: Catharina Margaretha weiland S.E. Herren Philipp Jacob Leonhards geweßenen treueÿfrigen Pfarrers beÿ dießer Gemeine zum Alten Sanct Peter mit Fr. Anna Dorothea gebohrner Bärin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johan Gottfried Herrenschneider als hochzeiter, Catharina Margaretha Leonhardin als hochzeiterin (i 154)
Proclamation Temple-Neuf (luth. f° 463)
Anno 1764. Dom: Exaudi und Festo Pentecostes als den 3.ten und 10. Junÿ wurden proclamirt H. Johann Gottfried Herrenschneider Seiden-Knopffmacher, Seidenhändler, wittwer und burger allhier, und Jgfr: Cathar: Margr: Leonhardin, weil H. M. Phil: Jacob Leonhards gewesenen Pastoris zum Alten St Peter und burgers allhier mit Frau Anna Dorothea gebohr. Bärin ehelich erzeugte Tochter. Sind den 13.ten Junÿ zum Alten St Peter allhier ehelich copulirt worden. Uxor I erat weil: Frau Margaretha Magdalena gebohr. Weberin so 1760. d 15 Sept: verstorben (i 467)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 579 livres, ceux de la femme à 163 livres.
1764 (11.12.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 843) n° 48
Inventarium über Herrn Johann Gottfried Herrenschneiders, des Seidenhändlers, und Frauen Catharinæ Magdalenæ gebohrner Leonhardin beeder Eheleuthe und burgere allhier zue Straßburg einander in den Ehestand zugebrachtes Vermögen und sich in conformitæt ihrer am 26.ten Maÿ dieses laufenden 1764. Jahres aufgerichteten Heurath: Verschreibung Vor eigen und ohnverändert vorbehalten haben.

So geschehen allhier zu gedachtem Straßburg, In einer an der St. Urbans gaß gelegener, von beeden Eheleuthen zum theil lehnungs: weis bewohnenden behaußung, In fernerer gegenwart Frauen Annæ Dorotheæ Leonhardin gebohrner Bärin, Wittib, der Ehefrauen Frauen Muter, wie auch H. Philipp Friderich Leonhards, wohlbestellten Abend: Prediger beÿ der Evangelischen Kirche Zum alten St. Peter dahier deroselben Herrn bruders und besonders hierzu genommenen beÿstands, auf dienstag Nahmittag den Eilften decembris Im Jaher 1764.
Derer dreÿen Kinder erster Ehe Pfetter,Göttel und geschenckt Geld betreffend, Margaretha Magdalena zuständig, Johann Gottfried gehörig, Johann Simon gebührig
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eigenthümliches Vermögen, Sa. hausraths 158, Sa. Werckzeug Zur profession gehörig 7, Sa. Waaren Zur profession und zum Seidenhandel gehörig 878, Sa. Weins und leeren Faß 5, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Rings 2, Sa. Schulden 231, Summa summarum 1310 lb – Schulden 730 lb, Nach deren Abzug 579 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 122, Sa. Silbers 19, Sa. Goldener Ring 20, Summa summarum 163 lb
Recapitulatio, 742 lb – Haussteuren 14 lb

Jean Geoffroi Herrenschneider l’aîné meurt en 1810 en délaissant quatre enfants dont les trois aînés sont issus de Marguerite Madeleine Weber
1810 (20.8.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1204, 5495
Inventaire de la succession de Jean Geoffroi Herrenschneider père, marchand de soie décédé le 26 juillet courant – à la requête de 1. Catherine Marguerite Léonhard la veuve, 2. Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Michel Geyler marchand passementier, 3. Jean Henri Hepp négociant fondé de pouvoir de Jean Géofroi Herrenschneider fils négociant, 4. Jean Simon Herrenschneider pasteur de la commune de Schiltigheim, 5. Marguerite Barbe Herrenschneider femme de Jean Frédéric Boeswillwald marchand passementier, procréés les trois premiers du mariage avec Marguerite Madeleine Weber et la De Boeswillwald avec la veuve
dans une maison rue Mercière n° 2 appartenant aux conjoints Boeswillwald
Contrat de mariage devant Albert notaire le 26 mai 1764
propres de la veuve : meubles apportés 194 fr, or 50 fr, créances 500 fr, Inventaire des apports remploi 1457 fr, bien propres 1701 fr
propres des héritiers, meubles 223 fr, argenterie 35 fr, linge 110 fr, remploi des propres 5750 fr, total 6119 fr, dettes 500 fr, reste 5619 fr
communauté, meubles 125 fr, argenterie 27 fr, meubles 27 fr, argenterie 6 fr, cuves 232 fr, numéraire 69 fr, créances 391 fr et prix de maison 14.812 fr
immeuble terres de Schnersheim 720 fr, total 16.410 fr, déduire 6857 fr, reste 9553 fr
Enregistrement, acp 115 F° 84 du 21.8.

Catherine Marguerite Leonhard meurt en 1811 en délaissant une fille
1811 (26.3.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 118
Inventaire de la succession de Catherine Marguerite Leonhard veuve de Jean Geofroi Herrenschneider, marchand de soie, décédée le 10 janvier dernier – à la requête de Marguerite Barbe Herrenschneider épouse de Jean Frédéric Boeswillwald marchand passementier, fille unique héritière de la défunte
meubles 453 fr, tonneaux 175 fr, garde robe 45 fr, argenterie 60 fr, numéraire 394 fr, créances 5197 fr sur la maison vendue au Sr Boeswillawald rue Mercière n° 2 devant M° Übersaal le 22 juin 1809, terres à Schnersheim 600 fr, total des meubles 6753 fr, des immeubles 600 fr
(vente de meubles du 28.2. n° 82 devant la maison rue mercière n° 2)
Enregistrement, acp 116 F° 174-v du 29.3.

Catherine Salomé Martin meurt en 1783. La succession s’élève à 566 livres

1783 (16.6.), Not. Lung (6 E 41, 1524) n° 64
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Salome Weberin, gebohrner Martinin, auch weiland H. Simon Weber, gewesenen Siebmachers und Burgers alhier Zu Straßburg hinterbliebener Wittib nunmehr seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1783. – nach ihrem den 6. dieses laufenden Monats aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Montag den 16. Junii Anno 1783.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben hinterlaßen, die aus ihrer längst verstorbenen eintzigen Tochter, weiland Frn. Margaretha Magdalena gebohrner Weberin entsproßene mit H. Joh. Gottfried Herrenschneider, dem Knopffmacher, Seidenhändler und Burger alhie, in deßen erster Ehe erzeugte Jungfer tochter und zween Söhne, als dißortige Enckel, benantlichen 1° Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneiderin, so majorennis und beÿständlich erstgedachten ihres Herrn Vaters persönlich diesen Geschäfft Zugegen war, 2° H. Johann Gottfried Herrenschneider, der ledige Knopffmacher dahier, welcher in verfloßenem Monat Maÿ sein 23.tes Jahr zurückgelegt habe, daher sein Interesse selbsten hiebeÿ besorget hat, und 3° H. Mag. Johann Simon Herrenschneider S. S. Theologiæ Cultor, so 22 Jahr alt und ebenfalls in Person dieser Inventur abwarrtete, Alle dreÿ der Verstorbenen seel. ab intestato Zu dreÿen gleichlingen Antheilen hinterlaßene Erben.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Münster platz gelegenen und hernach beschriebenen Behausung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. Näml. eine behausung samt allen deroselben Rechten und Zugehörden, alhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz auf der Gräth gelegen, eins. neben der ehemaligen Gastbehaußung zum Falckenkeller genannt anders. ein Eck ane dem St Urbansgaß, und hinten auf H. Dietsch den Färber und Bgr. alhier stoßend, so freÿ ledig und eigen. Solche Behausung wird auf die von den Wohlverordneten Hh. dreÿ Löbl. Stadt Stalls eingeholte Bewilligung um den nämlichen Preis, wie selbige vermög des über der Defunctæ Ehemann sel. Verlaßenschaft durch H. Notarium und Lt. Albert ausgefertigt. Inventarii den 23.ten Januarÿ A° 1777 durch die Hh. Werckleut dieser Stadt abgeschätzt worden, maßen keine baukösten seither daran verwendet worden, hier ausgeworfen mit 500 lb. Darüber besagt ein in alhies.C. C. Stb. gefertigter pergamenter Kaufbrief, mit dero anhangendem Insigel verwahrt de dato 14. Dec. 1677. vermög deßen gedachten verstorbenen Ehemanns und dißortigen Großvatters seel. beede Eltern, sothane behaußung käuflich an sich gebracht haben. Beÿ deßen Vaters Verlaßenschaft Abtheilung aber wurde dieselbe am 13. Januarii 1731. Ihme von seinen Geschwüsterden und Miterben eigenthümlich cedirt und überlassen. Sodann ist ferner darüber vorhanden, eine in ged. C. C. Stb. beschehene, auf Papier ausgefertigte Verschreibung d. d. 18. April. 1763. zufolg welcher Frau Cath. Barb. Büttnerin geb. Hartschmidin 3. lb. ewigen Geldes u. respe. Erblehenzinses, so ehemals auf dieser behausung gehaftet, dem verstorbenen H. Simon Weber, dißortigen Großvater seel. um 80 lb. d. Straßburger verkauft, cedirt und überlaßen hat, wodurch also das dominium directum mit den dominio utili consolidirt und die behausung von dem darauf gehafteten Erblehen befreÿet worden.
Series Rubricarum hujus Inventarii. Bericht wegen gegenwärtigem Inventario. Zufolg des durch weiland H Simon Weber, der Defunctæ gewesenen Ehemann seel. den 8. Febr. A° 1776. durch auch weil. H. Notario Langheinrich und fünff Zeügen auffgerichteten Codicilli hatte Zwar die Verstorbene seeL deßen samtliche Verlaßenschaft salva Legitma bis an ihr Lebens ende Wittums weiße Zu genießen, worüber auch den 18. Aprilis 1777. durch H Notarium Albert eine summarische Berechnung gefertiget, und derer dreÿ Enckel und Erben Legitima, dadurch regulirt, welche nach Inhalts des beÿ Löbl. Vogteÿgericht den 15. Maÿ drauffhin errichteten Kinervertrags deren Vater H. Joh: Gottfried Herrenschneider gegen derselben desto bester Alimentation und Education bis Zu eines jeden 20 jährigen Alter in Genuß übergeben worden, daher die samtliche Erben beÿ dieser Inventur declarirten, daß Sie nur nach das Großvätterliche Wittums guth an die Grosmütterliche Verlaßenschaft Zu forden haben, dieweilen aber solches gröstentheils in denen großvätterlichen Zween Tertzen an der hernach beschriebenen Behaußung bestehe und Sie an beeden großelterlichen Verlaßenschaften Zu gleichlingen Erbtheilen participiren, so wurde für unnöthig erachtet besagtes Wittums guth won großmütterlicher Verlaßenschafft abzusondern
Sa. hausraths 61, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behausung 500, Summa summarum 566 lb
(Lettre jointe) Erbach d. 27. sept. 1788, M Joh: Simon Herrenschneider Mitprediger und Corector Zu Erbach

Lors de la liquidation, Jean Geoffroi Herrenschneider rachète les parts de son frère et de sa sœur

1784 (30. 7.br), Not. Lung (6 E 41, 1524) Joint au 64 du 16 juin 1783
Abtheil: Außweiß: und Erörerung – Zuwißen seÿe hiemit, daß vor mit unterschriebenem geschwornem Notario Löbl. Stadt Straßburg, als zu weil. Fr. Catharinä Salome Weberin geb. Martinin, auch weil. H. Simon Weber, gewesenen Siebmachers und Burgers alhier hinterbliebener Wittib seel. Verlaßenschaft Geschäfft adhibirtem Inventir-Schreiber persönlich erschienen seind, Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneiderin, so majorennis, beÿständlich H. Joh. Michael Geÿler, des Paßmentirers Seidenhändlers und Burgers alhier, wie auch H. M. Johann Simon Herrenschneider S.S. Theologiæ Cultor, welcher seine Majorennitæt noch nicht völlig erreicht hat, derowegen verspricht gegenwärtiges nach erlangtem 25. jährigem Alter Zu ratificiren, auch hiebeÿ unter Assistentz und garantie seines geliebten Vaters H. Joh. Gottfried Herrenschneider des Knopffmachers Seidenhändlers und burgers dahier agiret
diese haben in Gegensein ihres Bruders H. Johann Gottfried Herrenschneider, des ledigen Knopffmachers und Burgers dahier, so großjährig zu seÿn declarirte (…) cediren, abtretten und überlaßen
die Ihnen beeden Cedenten zu gleichen Antheilen eigenthümlich zuständige zween dritte Theil für unvertheilt ane einer Behausung, samt allen deroselben Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz auf der Gräth gelegen einseit neben der hernachbenamsten H. Johann Daniel Lung gehörigen ehemaligen Gastbehaußung zum alten Falckenkeller genannt, anderseit ist ein Eck ane dem St Urbansgaß ausmachend, und hinten auf H. Dietz dem Färber und Burger alhier stoßend, so außer denen Vingtiemes und Einquartierung gegen männiglich freÿ, ledig, eigen, und Sie die Cedenten von obgedachtem H. Simon Weber, ihrem Großvatter seel. zu zwo tertzen, Er der Cessionnarius aber zu einem tertz ererbt haben, auch beÿ vorgenannter ihrer Großmutter als Wittums nießerin, Verlaßenschafft Abtheilung gemeinschaftlich ausgesetzt geblieben ist – um 2100 Gulden hiesiger Währung, das ist die gantze behausung zu 3150 gulden gerechnet (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Donnerstag de, 30. Septembris Anno 1784.

Jean Geoffroi Herrenschneider épouse en 1784 Marguerite Madeleine Lung, fille de boutonnier : contrat de mariage, célébration. Le père de la mariée qui a acquis par adjudication de la Ville l’auberge à la Cave au Faucon cède à son gendre et voisin la cave qui se trouve sous sa maison, d’une surface d’environ 18 pieds et demi sur 29 pieds, sous les réserves de l’adjudication. Le mur de séparation à construire sera commun entre les parties.
1784 (14. 8.br), Not. Lung (6 E 41, 1528) n° 49
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Gottfried Herrenschneider der ledige Knopffmacher Seidenhändler und burger alhier, H. Johann Gottfried Herrenschneider, auch Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers dahier, mit weil. Fr. Margaretha Magdalena gebohrner Weberin ehelich erzeugte großjähriger Sohn, als Hochzeiterer ane einem,
So dann Margaretha Magdalena Lungin, H. Johann Daniel Lung, des Knopfmachers, Seidenhändlers und burgers hieselbst mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Schulerin ehelich erzeugte Tochter, las hochzeiterin ane dem andern Theil

Sechstens, da der Jgfr. Hochzeiterin geliebter Vater obgedacht, die ehemalige Gastbehausung zum Alten Falkenkelller genannt, an sich ersteigert und Ihme den 30.ten Septembris jüngst in Löblicher Canzleÿ Contract: Stub eigenthümlich Zugeschrieben worden, auch Er der H. Hochzeiter das völlige Eigenthum der dabeÿ auf der Gräht ane dem Münsterplatz gelegenen mit seinen zweÿen Geschwistern gemeinschaftlich gehabten behaußung durch die den nämlichen Tag vor mir Notario passirte Erbs Cession erhalten hat, und aber diese beede Häußer dergestalten in einander gebauet, daß es für beÿde Theile Vortheilhafter wäre, solche soviel möglich von einander Zu separiren, Wozu Er der Jungfr. Hochzeiterin Hr Vater jedoch das meiste beÿzutragen hätte, und deßen auch in ansehung dieses Eheverspruchs Zum Nutzen der beeden künftigen Eheleuten erbietig ist, als gibt und überläßt Er herr Lung, der Vater, ihme dem H. Hochzeiter, seinen Erben und Nachkommen, den völligen unter sein des H. Hochzeiters behaußung befindlichen Keller, bis an die Maur welche solchen von dem hintern Keller des Falckenkellers unterscheidet und ist solcher Kellerplatz ohngefehr 18 ½ Schuh breit und ohngefehr 29. schuh tief, wovon Löbliche Stadt in denen Steig: Conditionen des Falckenkellers das vordere Theil soviel das Alignement gehet, ohngefehr 14. Schuh in der tiefe antreffend, sich eigenthümlich vorbehalten, und ihme Steigerer nur den Genuß davon gelaßen, solang bis Löbliche Stadt zur Execution des dasigen Alignement schreiten wird, da als dann dieser Platz der Flucht der neu Zuerbauenden Façade nach abgeschnitten und Zum Allmend gezogen werden solle, ohne daß der alsdannige Eigenthümer weder in ansehung der Zu machenden Veränderung noch sonsten einige Entschädigung zu fordern berechtiget, das hintere Theil berührten Kellerplatzes aber bis an besagte Scheidmaur, ohngefehr 15. Schuh tief, ist ihme Steigerer und dißorts Cedenten eigenthümlich gehörig,
Ferner cedirt Er Hr Lung Ihme H. Herrenschneider die ohnvertheilte Hälfte ane gedachter Separations: Maur von dem Fundament bis oben unter das darauf ruhende dach, jedoch mit dem Beding, daß Zwar Er Hr Herrenschneider solche Maur gemeinschafftlich nutzen, genießen und an dieselbe bauen könne, solche aber nicht ohne sein H. Lungen oder deßen Nachkommen Consens erhöhen oder verändern dörfe, Dagegen cedirt und überlaßt Er H. Herrenschneider ihme H. Lung, deßen Erben und Nachkommen, die Zu sein H. Herrenschneiders behaußung bisher gehörig gewesene: über erwehntem hintern Keller au Rez de chaussée befindliche stube, Zu einem freÿen Eigenthum, um darüber nach seinem belieben Zu disponiren. Welches alles Sie beede Theile einander Tauschweiß hiemit wircklich abtrette, jedem Theil jedoch der Genuß davon bis künftig Frühjahr, wie seither, ohngestört vorbehalten bleiben solle. Und weilen dasjenige, so Er Hr Lung ihme H. Herrenschneider hiedurch übergibt, den Werth der dagegen erhantenden Stube übertrift, so will Er solchen mehrern Werth demselbe als eine Schankung unter Lebendigen und Donationem propter nuptias auch in Consideration des hernach folgenden Artikels, hiemit freÿwillig und ohnwiderruftlich geschenckt und überlaßen haben
damit nun berührter Endzweck der Separation solcher beeder Häußer vollkommen erreicht werden möge, so wurde hiebeÿ ferner abgeredet, daß auf nächstkünftiges Frühjahr vorermelte Scheidmaur auf gemeinschaftliche Kösten wo nötig ausgemaurt und in gehörigen Stand gestellet, auf der Seithe aber zwischen sein H. Herrenschneiders Hauß und dem alten Falckenkeller, so weit als dieser auf die Gaß heraus gebauet werden wird, eine gemeinschaftliche Feurmaur, mit gehörigen blindlöchern versehen, von Grund aus aufgeführt, und diejenige Maur, so vor dem Falckenkeller oder künftiger neuen Façade deßelben heraus, an sein H. Herrenschneiders behaußung, in dem Keller unter seiner auf der Gräth stehenden eigenen Maur, annoch Zu Zu mauren oder Zu setzen seÿn wird, auf deßen alleinige Kösten gemacht werden solle, wann ihme H. Lung mit seiner behaußung auf solcher Seithe heraus zu fahren nicht erlaubt würde, im Fall Er aber solche Erlaubnus erhielte, mithin für ihn H. Herrenschneider nur ein kleines Plätzlein im Keller Zu Zu mauren verbleiben würde, so solle solches mit der übrigen gemeinschaftlichen Maur gemacht werden, und dagegen die hinter der neuen Façade über dem Keller befindliche Herrenschneiderische eigene Maur, gleich wie die im Keller gemeinschaftlich seÿn, also daß an solcher ganzen Maur in einem wie dem andern Fall dasjenige Theil, so vor die Façade des Falckenkellers herausgehen wird, von dem Fundement bis oben aus ihme H. Herrenschneider allein gehörig, das innere oder hinter der Façade befindliche Theil aber, nebst der daranstosenden hintern Scheidmaur, gemeinschaftlich seÿe. Und um ihme H. Herrenschneider diese baukösten Zu erleichtern so verspricht Er H. Lung dieselben für ihn auszulegen, worüber als dann eine Obligation in Löbl. Cantzleÿ Contarct: stub errichtet und deren betrag demselben durch H. Herrenschneider zu vier pro Cento verzinset werden solle – So geschehen alhier zu Straßburg auf Donnerstag den 14.den Octobris Anno 1784. [unterzeichnet] Johan Gottfried Herren schneider als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Lungin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 134-v, n° 268)
Im Jahr 1785 dienstag den ersten Feruarÿ sind (…) in den Stand der heilihen Ehe eingesegnet worden Herr Johann Gottfried Herrenschneider, der ledige Seiden knopffmacher und burger allhier, Herrn Johann Gottfried Herrenschneider, des Seiden knopffmachers und burgers allhier mit weiland Frau Margaretha Magdalena gebohrner Weberin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Margaretha Magdalena Lungin, Herrn Johann Daniel Lung des Seiden knopffmachers und burgers alhier mit frau Maria Magdalena gebohrner Schulerin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Herrenschneider als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Lungin als hochzeiterin

Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 169)
Anno Christi 1785 wurden in unsere Prediger-Kirch Dominicâ Quinquages. und Sexages. offentlich proclamirt, H. Johann Gottfriedt Herrenschneider, lediger Seiden Knöpffmacher und burger alhier, H. Johann Gottfriedt Herrenschneiders, Seidenhändlers, Knöpffmachers und burgers allhier ehl. erzeugter Sohn und Jgfr. Margaretha Magdalena Lungin Johann Daniel Lung, Seidenhändlers Knöpffmachers und burgers alhier, ehl. erzeugte Tochter. Diese Persohnen wurden acuh zu St. Thomæ copulirt (i 170)

Jean Geoffroi Herrenschneider devient tributaire au Miroir le 14 juin 1785
1785, Protocole de la tribu du Miroir (XI 280) a. Conseil
(f° 5) Dienstags, den 14. Junii 1785 – E. Leibzünfftiger
Joh: Gottfried Herrenschneider den jüngern des Johann Gottfried Herrenschneiders ältern diesorts leibzünftigen Knöpffmachers, ältern Sohn, 1. Ehe als Knopfm. auf vorgelegten Stallschein von gestern, gegen Erlag 4 lb 16 s Hat angelobet.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 646 livres, ceux de la femme à 1 898 livres.

1785 (11.8.), Not. Lung (6 E 41, 1525) n° 107
Inventarium über Herrn Johann Gottfried Herrenschneider, des Knopffmachers und Seidenhändlers, wie auch Fr. Margarethä Magdalenä gebohrner Lungin, beede Eheleute und Burgere alhier, einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1785. – in ihrem den 1. Februarÿ jüngst angetrettenen Ehesand Zugebracht und in der vor mir Notario den 14. Octobris A° 1784 gepflogenen Eheberedung §° 3° eigenthümlich vorbehalten haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer ane dem Münsterplatz gelegenen dem Ehemann Zuständigen behaußung, in beÿsein deßen geehrten Vaters H. Joh: Gottfried Herren schneider, Knöpffmachers Seidenhädlers Ÿ Burgers alhier, wie auch H. Joh: Daniel Lung des ebenmäßigen Knöpffmachers, Seidenhädlers und hießigen burgers der Ehefraun geliebten Vaters, ams deroselben Beÿständtsn auf Donnerstag den 11. Augusti Anno 1785.

Eigenthum ane einer Behausung, so der Ehemann in die Ehe gebracht. Nämlich eine Behausung und Hofstatt samt allen deren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, ane dem Münsterplatz auf der sogenannten Gräth, einseit neben der Eingangs gedachtem H. Joh. Daniel Lung Zuständigen ehemaligen Gastbehausung zum Falcken genannt, anderseit ein Eck an der St Urbansgaß ausmachend, und hinten auf H. Dietz den Färber und Burger alhier stoßend, so außer henrachgemelte Capitalien freÿ, ledig, eigen und auf eben den Fuß wie Er der Ehemann einen theil derselben käuflich ane sich gebracht hat, hier ohne præjudicirlich in Auswurf gebracht wird mit 3150 fl. Von solcher Behausung hat der Ehemann eine Tertz von seinem Großvater weil. H. Simon Weber, dem Siebmacher und burger dahier ererbt, die übrige zwo tertzen aber seind Ihme von deßen Geschwisterden durch die den 30. Septembris 1784. vor mir Notario passirte Erbscession überlassen worden.
Series Rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachen Vermögens, Sa. hausraths 122, Sa. Waaren und Werckzeugs zur Knöpffmachers Profession gehörig 169, Sa. Silbers 61, Sa. goldener Ring 35, Sa. Eigenthums ane einer behausung 3150, Summa summarum 3538 fl. – Schulden 2100, Nach deren abzug 1438 fl. – deme beÿzurechnen deßen Hälfte ane der Haussteuren, antreffend 208, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Guth 1646 fl.
Folgt nun auch doe Beschreibung der Ehefrauen in die Ehe gebrchten Guths, Sa. Hausraths 503, Sa. Silbers 56, Sa. goldener Ringe 69, Sa. Baarschaft 1060, Summa summarum 1690 lb – Wird nun auch hierzu gerechnet deroselben Hälfte ane den Haussteuren anlangend 208, der Ehefrau in die Ehe gebracht Guth 1898 fl.
(Verzeichnus Meiner Währn)

Jean Geoffroi Herrenschneider loue un étal devant sa maison au cordonnier Jean Daniel Dürr.

1786 (26.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1101) n° 53
Sr Jean Gottfried Herrenschneider Boutonnier, Bail de 18 années qui commencent à courir de ce jour
à Jean Daniel Dürr cordonnier
la Boutique dite Ständel qui se trouve devant sa maison sise dans la Rue de St Urbain de cette ville pour y débiter et vendre ses marchandises comme aussy le petit cabinet sous l’escalier dans l’entrée de ladite maison pour audit preneur servir de dépot pour ses marchandises tel qu’il l’occupe déjà présentement – moyennant un loyer annuel de 15 florins

Jean Geoffroi Herrenschneider loue une boutique au tamisier Jean Georges Dotzler

1788 (25.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 1108) n° 51
Bail pour 18 années qui ont commencé à courir de ce jour – le Sr Godfroid Herrenschneider le jeune Mr boutonnier
au Sr Jean Georges Dotzler tamisier
Une boutique et une cave y attenante dans la maison qui appartient au Sr bailleur ladite maison située sur la place de la cathédrale au coin de la rue St Urbain – moyennant un loyer annuel de 48 livres

Suite aux délibérations consignées dans les registres des Préposés au bâtiment, les boutonniers Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider confirment que la Ville a accordé la propriété de la cave à titre précaire.

1790 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 n° 31
H. Johann Daniel Lung und H. Gottfried Herrenschneider beeden knopffmacher seidenhändler
in gegensein H. Johann Daniel Saum des handelsmanns als beÿsitzer löbl. Oberbauamts
daß die von ihnen vorgenommenen einschlagung des gewölbs und übrigen abänderung des kellers so sich unter der sogenannten Greth befindet und von dem alten Falckenkeller herrühret, von welchen sich löbl. Statt beÿ verkauffung des Falcken kellers in krafft Contract vom 30. sept. 1784, das eigenthum vorbehalten nur præcario seÿn sofort auff löbl. statt ersteren ansuchen all dießes dem hierbeÿ vorgelegten plan nach wider in den vorigen stand au stellen sich unverscheidentlich verbindlich machen, in recognitionem precarii 3 pfund

Jean Geoffroi Herrenschneider hypothèque la maison au profit de son beau-père Jean Daniel Lung l’aîné

1790 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 80
H. Johann Gottfried Herrenschneider der junge Seiden knopffmacher
in gegensein H. Johann Daniel Lung des älteren seiden händlers seines Schwiegervatters – schuldig seÿen 1700 gulden zum hauptbau hiernach beschriebener behausung
unterpfand, angeregte ane dem Münsterplatz behausung samt zugehörden, einseit ist ein Eck ane der St Urbans gaß anderseit neben H. creditori

Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider meurt en 1834 en délaissant pour unique héritière sa fille Marguerite Madeleine femme de Jean Henri Hepp

1834 (7.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 67), Me Hickel n° 4780
Liquidation et Partage – Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider, négociant et propriétaire, décédée à Schiltigheim le 9 décembre 1833 – à la requête de Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Henri Hepp, négociant, seule et unique héritière de son père
Contrat de mariage passé devant Lung notaire le 14 octobre 1784, communauté réduite aux acquets
communauté, maison à Schiltigheim – actif 6732 fr, passif, reprises idem
succession, art. 2, une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg place de la Cathédrale n° 1, d’un côté la propriété de Mde Hepp d’autre la rue du Maroquin derrière le Sr Grad boulanger, estimée à 14.000 francs, recueilli un tiers dans la succession de Simon Weber, tamisier son grand père maternel acquis deux tiers de ses frères et sœurs par acte devant Lung notaire le 30 septembre 1784
Total de l’actif 14.284 fr, passif 2172 francs
Enregistrement, acp 225 F° 91 du 9.6.

1839 (13.6.), Strasbourg 9 (75), Me Becker
Déclaration tenant lieu d’Inventaire – succession de Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider à Schiltigheim par Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Henri Hepp à Strasbourg
une maison dépendances à Schiltigheim
Enregistrement, acp 269 F° 46 du 18.6.

La maison revient à Marguerite Madeleine Herrenschneider qui épouse en 1803 le négociant Jean Henri Hepp

1803 (13 prairial 11), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 296, 1605
Eheberedung – bürger Johann Heinrich Hepp, lediger handelsmann, bürgers Sixtus Hepp, Organisten allhier, mit fraun Anna geb. Diehl volljäriger sohn
So dann Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneider, des bürgers Gottfried Herrenschneider, Poßmentirers, mit Fr. Margaretha Magdalena geb. Lung erzeugte tochter
Enregistrement, acp 88 f° 18-v du 15 pr. 11

Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve de Jean Henri Hepp fait donation de ses biens à ses sept enfants. Les deux maisons contiguës place de la Cathédrale, l’une provenant de son père et l’autre, ancienne auberge à la Cave au Faucon, de sa mère, reviennent à Frédéric Théodore Hepp et à Henri Gustave Hepp.

1845 (6.11.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2911
Partage anticipé – De Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve du Sr Jean Henri Hepp, vivant négociant à Strasbourg, Laquelle a déclaré faire donation entre vifs et irrévocable en toute propriété à titre de partage anticipé
A ses sept enfants ci après nommés issus de son mariage avec feu Mr son époux, savoir 1° Mr Frédéric Théodore Hepp, négociant, 2° Mr. Eugène Hepp, pharmacien à l’hôpital civil, 3° Mr Louis Emile Hepp, commis négociant, 4° Delle Henriette Julie Hepp, majeure, 5° Demme Sophie Emilie Hepp, majeure, Tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, à ce présents et acceptants,
6° Mr. Charles Edouard Hepp, commis négociant, 7° Mr. Henri Gustave Hepp, négociant, ces deux derniers demeurant à Paris, pour lesquels acceptent & stipulent savoir (…)
A M. M. Frédéric Théodore Hepp & Henri Gustave Hepp, à chacun pour moitié et indivisément
I° Une maison avec cave, rez de chaussée surmonté de deux étages appartenances et dépendances, sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 1 faisant le coin de la rue du maroquin, d’un côté ladite rue, de l’autre et par derrière la maison ci après décrite. II. Une autre maison connue sous la dénomination zum alten falckenkeller avec petite cour, puits, bâtiment latéral, droits, appartenances et dépendances située à côté de la précédente, portant le N° 2 bis, d’un côté la propriété de M. Lung, de l’autre la maison prédécrite, donnant par derrière sur la propriété du sieur Wilm, ledit bâtiment latéral donnant dans la rue du mariquin où il a une issue marquée du N° 2.
Pour la perception des droits d’enregistrement, ces maisons ont été évaluées à un revenu annuel de 3500 francs & en capital à 70.000 francs.
La donation des maisons a eu lieu aux charges, clauses et conditions suivantes (…) 4° Mme veuve Hepp se réserve la jouissance viagère et gratuite d’un logement dans lesdites maisons se composant : Du premier étage des deux maisons, du second étage de celle portant le N° 1, d’une chambre à linge sale, d’une cave, d’une chambre de domestique & d’un bûcher. 5° M. M. Frédéric Théodore Hepp & Henri Gustave Hepp serviront à Mme leur mère donatrice une rente annuelle & viagère de 2000 francs
Titres de propriété des maisons. Maison place de la Cathédrale N° 1. Elle est avenue à Mme Hepp dans la succession de feu Mr Jean Geofroi Herrenschneider son père, vivant négociant et propriétaire à Strasbourg, dont elle était seule et unique héritière, ainsi que le tout est constaté par la liquidation de ladite succession dressée par Me Hickel lors notaire à Strasbourg le 7 juin 1834. enregistrée. Cet immeuble avait fait partie des apports en mariage de M. Herrenschneider ainsi qu’il est à voir dans l’inventaire dressé par Me Lung lors notaire à Strasbourg en date en commencement du 11 août 1785.
Maison dite Falckenkeller, portant le N° 2.bis. Feu Mr Jean Daniel Lung père, vivant marchand de soie à Strasbourg en fit l’acquisition de la ville de Strasbourg suivant contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de cette ville le 30 septembre 1784. Cette acquisition fut faite pendant la communauté partageable des deux tiers en tiers qui a subsisté entre Mr Lung et De Marie Madeleine Schuler son épouse. Par conséquent Mr Lung en était propriétaire pour deux tiers & Mme son épouse pour un tiers. Par suite du décès de Mr Lung, les deux tiers qui lui avaient appartenu à ladite maison sont avenus à ses six enfants nommés 1° Mr Jean Daniel Lung, marchand de rubans, 2° De Christine Salomé Lung épouse du sieur André Multzer tapissier, 3° De Marie Elisabeth Lung épouse du sieur Jean Jacques Stamm, 4° De Sophie Frédérique Lung Veuve du sieur Charles Bahn, 5° De Christine Lung épouse de Mr Charles Louis Bucherer, marchand de vins, 6° Et De Marguerite Madeleine Lung épouse du sieur Jean Geofroi Herrenschneider propriétaire, tous de Strasbourg, lesquels six enfants possédaient chacun un neuvième ou 6/54. du dit immeuble.
Mme Veuve Lung, Mr Lung fils, les Dames Stamm, Bahn, Bucherer, Herrenschneider sont devenus propriétaire chacun d’un 54°, des 6/54 qui avaient appartenu à la femme Multzer suivant acte passé devant Me Zimmer le 21 août 1818. D’après ce qui précède, participaient alors à la propriété du dit immeuble, savoir Mme veuve Lung 1° comme ayant été commune en biens avec son époux défunt pour un tiers ou 18/54, 2° comme s’étant rendue acquéreuse sur sa fille la femme Multzer pour 1/54, ensemble 19/54,
Mr Lung fils 1° Comme héritier de son père pour 6/54, 2° Comme acquéreur sur la femme Multzer pour1/54, ensemble 7/54,
Mme Stamm pour autant, ci 7/54,
Mme Bahn pour autant, ci 7/54,
Mme Bucherer pour autant, ci 7/54,
Mme Herrenschneider pour autant, ci 7/54.
Mr Lung fils acquit de sa mère & de ses quatre sœurs leur part à la maison prédécrite en vertu 1° d’un contrat passé devant Me Zimmer le 24 juin 1817, 2° d’un contrat passé devant Me Hickel le 25 nov. 1822. Enfin mondit Sr Lung, De Anne Marie Lung son épouse ont vendu cette maison à Mr Hepp défunt à Mme sa veuve comparante, lesquels l’ont acquis au profit du survivant d’eux, suivant contrat dressé par Me Hickel le 28. nov. 1825. transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 6 décembre suivant volume 155 N° 17.
acp 343 (3 Q 30 058) f° 34

La Ville de Strasbourg loue au propriétaire Hepp un terrain communal devant sa maison

1846 (14.4.), Maire
Bail pour 18 ans du 1 juillet 1846 par la Ville de Strasbourg
au Sr Hopp propriétaire à Strasbourg
d’un terrain communal devant la maison du locataire place de la Cathédrale N° 1 moyennant un loyer annuel de 5 francs – approuvé le 13 juin
acp 349 (3 Q 30 064) f° 97 du 2.7.

Frédéric Théodore Hepp et Louise Amélie Lamp vendent au copropriétaire Henri Gustave Hepp, leur moitié des deux maisons

1852 (15.2.), Zeyssolff (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Théodore Hepp, Négociant et Louise Amélie Lamp son épouse à Strasbourg
à Henri Gustave Hepp, négociant audit lieu
de la moitié indivise avec l’acquéreur propriétaire de l’autre moitié
1° d’une Maison sise à Strasbourg place de la Cathédrale N° 1
2° d’une autre maison adjacente à la première sous le N° 2 moyennant 35.000 francs
à compte de laquelle somme le Sr Théodore Hepp délègue l’acquéreur de payer en son acquit et décharge 1° à Eugène Hepp, pharmcien, 2) Louis Emile Hepp, commis négociant, 3° Henriette Julie Hepp, célibataire, 4° Sophie Emilie Hepp célibataire, et 5° Charles Edouard Hepp commis Négociant tous à Strasbourg la somme de 25.000 francs faisant la moitié de celle de 50.000 francs dont Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve de Jean Henri Hepp vivant Négociant à Strasbourg a fait donation à ses enfants suivant partage anticipé reçu Zeyssolff Nre le 16 novembre 1845, par le même acte Md veuve Hepp donatrice s’est réservé la jouissance viagère de celle N° 1 et de lui servir une rente annuelle et viagère de 2000 francs
Pour la perception des droits d’enregistrement, le soussigné évalue le droit d’usufruit à un revenu anuel de 200 francs, en capital 2000 francs
acp 407 (3 Q 30 122) f° 41-v du 19.2.

Célibataire, Henri Gustave Hepp reconnaît en 1877 Marie Joséphine Four qui est née en 1862 de Louise Four, originaire de Liepvre.
1877, (25.1.), M° Loew
Anerkennung durch Heinrich Gustav Hepp, Kaufmann zu Straßburg, welcher hiemit anerkannt als seine natürliche Tochter Marie Josephine Four, geboren von Fr. Louise Four am 7. Mai 1862, und eingetragen in dem Register der Bürgermeisterei Straßburg als geboren von Fr. Louise Four und einem unbekannten Vater, Ferner gestattet er, daß das anerkannte Kind von heute an seinen Nahmen führe und Maria Josephine Hepp genannt werde
acp 660 (3 Q 30 375) f° 20-v du 26.1. n° 336

Registre de population 600 MW 232, Rue du Maroquin N° 1, folio 2 (i 4)
Fours, Marie Louise, 1827, Liepvre, Ht Rhin, d.tique Hepp, 21 juin 52, (carte de sûreté 3767, (auparavant) grand rue 7, (entrée) 7 7.bre 54, (sortie) 12 juillet, r. des tanneurs 7.

Registre de population, 600 MW 308
Hepp, Gustave, Strasbourg 15, Garçon, négociant, luthérien, français, dep. sa naiss.
(sur la même fiche, 5 demoiselles de comptoir, 2 servantes)
Place de la Cathédrale N. 3. puis 4

La Ville de Strasbourg acquiert le 21 novembre 1859 par expropriation forcée la maison pour en réunir le sol à la voie publique. Les maisons sont démolies en août 1860 d’après la cadastre et en octobre 1860 d’après le dessin portant estimation des maisons.

1860 (24.8.), M° Momy
Quittance par Henri Gustave Hepp, négociant à Strasbourg
à la Ville de Strasbourg
de la somme de 100.000 francs, du prix de la maison place de la Cathédrale N° 4 et rue du Maroquin N° 18 également expropriée pour cause d’utilité publique en vertu du même jugement (du tribunal civil de Strasbourgle 21 novembre 1859 et décision du jury du 6 juillet 1860)
acp 491 (3 Q 30 206) f° 40 du 3.9.

(Légende du dessin reproduit en haut de la notice, Musées de Strasbourg)
trois maisons faisant face à la place de la cathédrale, et situées entre la place du Château et la rue du Maroquin (ou de Saint Urbain, Kurbengas) et qui seront démolies en 1860. pour élargir l’avenue à la place du Chateau (relevé fait le Jeudi 10 mars 1859 à 2 h. de relevée

Le vendredi 6 juillet 1860, le jury d’expropriation avait à statuer sur le prix à accorder
1° la maison (ancienn. Lung) Christmann formant le coin vis à vis l’angle sud-ouest de la cathédrale
MM Buck et Matz, Nég. y établis (demande du propriétaire) 96.000
(offre de la ville) 55.000
(décision du jury) 73.000
pr. un bail pr. 9 ans (demande du propriétaire) 18
(offre de la ville) 9
(décision du jury) 14
2. Hepp (H. G.) au coin de la R. du marocain
(demande du propriétaire) 150.000
(offre de la ville) 60.000
(décision du jury) 100.000
3. Willm, boulanger rue du marocain adossé à la maison Hepp
(demande du propriétaire) 48.000
(offre de la ville) 25.000
(décision du jury) 34.000
Ces 3. maisons ont été demolies au mois d’octobre 1860



10, rue du Maroquin


Rue du Maroquin n° 10 – VI 310 (Blondel), O 215 (cadastre)

Façade reconstruite en 1768 par le cordonnier Jean Huck
Démolie en 1864 pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché cliché Mathieu Bertola, © Musées de Strasbourg)

La maison dont l’arrière donne sur l’auberge au Cerf appartient au début du XVII° siècle au fondeur Jean Fischer puis pendant une quarantaine d’années au cordonnier et assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel. Ses héritiers la vendent en 1660 au cordonnier Kilien Klencker qui la transmet à son fils du même nom. Le tamisier catholique Jean Georges Kœrner en est propriétaire de 1694 à sa mort. Le cordonnier Jean Huck achète en 1714 la maison et meurt quelques années plus tard ; sa veuve continue l’atelier de son mari. Sur le plan-relief de 1727, la maison fait partie du troisième bâtiment au premier plan à partir de la gauche (partie droite du premier bâtiment à trois étages dont la toiture a deux lucarnes). Le fils de Jean Huck, aussi nommé Jean Huck, achète en 1768 de la Ville un terrain devant sa maison pour l’aligner, indice qu’il reconstruit la façade, ce que confirme la mention en pierre de taille portée dans l’Atlas des alignements. Le bâtiment lui-même reste inchangé puisqu’il n’en est pas fait mention dans les registres des Préposés aux feux.


Terrain que Jean Huck acquiert en 1768 de la Ville (AMS, cote VII 1413)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179
Cours F et G (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en pierre de taille. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (s) : trois fenêtres en arcade puis porte d’entrée, trois étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière donne dans la cour F entre (4-5-6) et au nord dans la cour G (mur 3-4).
La maison porte d’abord le n° 13 (1784-1857) puis le n° 10.


Plan de la maison, annexé à l’acte de vente de 1864 (ADBR, cote 7 E 57 15, 112)
Façade du 9, rue du Marais Kageneck

Les héritiers de Marie Madeleine Huck vendent en 1846 la maison au vannier Jean Chrétien Hackenschmidt qui la cède en 1864 à l’Œuvre Notre Dame pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé. Le revendeur Jean Geiss et le boulanger Jacques Schaub achètent la même année les matériaux provenant de sa démolition.
Jacques Schaub reconstruit à neuf en 1865 au Marais Kageneck une maison à la place d’une ancienne à rez-de-chaussée et un étage. Adolphe Seyboth y signale le millésime 1768, l’année même où Jean Huck achète le terrain pour aligner sa façade. L’aspect de la façade rue du Maroquin en 1830 correspond exactement à celle de la maison au Marais Kageneck. Il ne fait donc pas de doute que Jacques Schaub y a remonté la façade achetée quelques années auparavant.
La façade reconstruite par Jean Huck a un rez-de-chaussée à arcades boutiquières parementé de grès à refends, aux étages inférieurs des linteaux couronnés de petites corniches à cartouches, des cordons moulurés entre les étages, des chaînages jusqu’au deuxième étage.

septembre 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1864, date de démolition. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Philippe Nürnberger, cordonnier, et (1583) Marie Sesenecker – luthériens
1600 v Jean Fischer, fondeur, et (v. 1591) Claire Anne Kleffler, d’abord (v. 1573) femme du rubanier Jacques Heusele – luthériens
1604 v Jean Zahn, menuisier, et (1600) Anne Marie Wolffer puis (1609) Anne Kœbel, remariée (1610) avec Gaspard Dorn – luthériens
1608- v Matthias Wolffer, aubergiste, et (1595) Ursule Stœsser – luthériens
1609 v Gaspard Merckel, cordonnier, et (1587) Barbe Meyer, (1599) Reine Weinmüller puis (1635) Ursule Wendrum, d’abord (1628) femme du pasteur Théophile Sutor – luthériens
1649* h (copropriétaires) Anne Ursule Sutor et (1651) Nicolas Lux, tailleur, d’abord (1644) mari de Salomé Walch – luthériens
Anne Mock, femme du cordonnier Jean Jacques Griesser à Obernai – catholiques, puis (1655) Jean Jacques Würth, cordonnier
1660 v Kilien Klencker (Klenckner), cordonnier, et (1647) Anne Chrétienne Ingweiler – luthériens
1684 h Kilien Klencker (Klenckner), cordonnier, et (1674) Anne Catherine Œlinger puis (1680) Marie Salomé Moscherosch – luthériens
1694 v Jean Georges Kœrner, tamisier, et (1684) Anne Véronique Thæm – catholiques
1712 h Jean Georges Kœrner, tamisier, et (1711) Catherine Barbe Feltz – catholiques
1714 v Jean Huck, cordonnier, et (1695) Chrétienne Göpffer d’abord (1683) femme du cordonnier Laurent Weber puis (1718) Marie Madeleine Westermann – luthériens
1719 h Jean Huck, cordonnier, et (1746) Catherine Salomé Lix – luthériens
1805 h Jean Chrétien Huck, cordonnier, célibataire († 1812) et Marie Madeleine Huck
1812 h Marie Madeleine Huck, célibataire († 1845)
1845 v Jean Chrétien Hackenschmidt, vannier, et (1835) Louise Urban
1864 v Œuvre Notre Dame

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 475 livres en 1717

(1765, Liste Blondel) VI 310, Jean Huck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh. Huck, 3 toises, 5 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 215, Huck, Madeleine, fille rue du Maroquin 13 – maison, sol – 1,1 are

Locations

1603, Kilien Kempff, cordonnier
1644, Jean Schwertzel, cordonnier
1782, Geoffroi Metzger, pâtissier
1820, André Martin Bonlarron, herboriste
1820, François Martin Bonlarron, employé à la préfecture

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Jean Huck acquiert un terrain communal devant sa maison. Il doit à la ville 57 florins 4 sols 10 deniers pour une surface de 3 toises un pied et 8 pouces ½, à 17 florins 5 sols la toise

(f° 18) Dienstags den 3. Maÿ – Johannes Huck – Idem [H. Werner der baw: Insp.] producirt abriß des Allmendts welches Johannes Huck der Schuemacher Zu seinem hauß in der Kurben gaß einbezogen, 3 Cl. 1 Sch. 8 ½ Z. ins quadrat außmachend. Erkannt, solle à 17 fl. 5 ß vom Claffter 57 fl. 4 ß 10 d. bezahlen. dedit eodem.
[Plan]

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin

nouveau N° / ancien N° : 25 / 13
veuve Huck
Rez de chaussée et 3 étages en pierre de taille
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 82 case 3

Huck Madeleine fille rue du maroquin N° 13
Hackenschmitt, Jean Chrétien, vanier rue du maroquin N° 13 (subst. pr. 1848)

O 215, maison, sol, R du maroquin N° 13
Contenance : 1,10
Revenu total : 99,57 (99 et 0,57)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 /14
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 208 case 2

Hackenschmitt, Chrétien Jean, vanier (rayé pour 1865)

O 215, Maison, sol, Rue du Maroquin 10
Contenance : 1,10
Revenu total : 99,57 (99 et 0,57)
Folio de provenance : (82)
Folio de destination : Démolie, (sol 255)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 15
Porté au f° 255, Œuvre Notre Dame, Place du Château 5 (O 199 sqq)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin

13
pro. Huck, Jean, Cordonier – Cordonier
Loc. Fromm, Gotlieb, Tailleur – Tailleur
Loc. Feÿeraben, Antoine, garçon Masson – Manans
Loc. Sauderer, pierre, garçon Masson – Manans

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin p. 313

13
Pr. Huck, Jean, Cordonnier – Cordonniers
Lo. Fromm, Gotltieb, Tailleur – Tailleurs
Lo. Feyeraben, Antoine, maçon – Manant
Lo. Sauderer, Pierre, maçon – Manant


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au cordonnier Philippe Nürnberger (le jeune) qui épouse en 1583 Marie, fille du cordonnier Laurent Sesenecker

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 349-v, n° 721)
1583. Dominica IX. Philip Nürnberger der schuemacher v. Maria Eseneckerin, Lorentz Esenecker des schuemachers dochter . 6. Augusti (i 354)

Philippe Nürnberger et Marie Sesenecker vendent la maison au laveur de minerai Jean Fischer et à sa femme Claire Kleffler. En marge, quittance remise en 1605 à Jean Zahn, alors propriétaire.

1600 (5.t. febr.), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 6-v
Khauffverschreibung Hanns Vischers deß Kretzweschers vber ein Behausung In Kurbengassen
Erschienen Philip Nürnberger der Jünger Schuhmacher vnd Maria Seseneckerin sein eheliche haußfr. vnd
haben in gegenwertigkheit Hanns Vischer deß Kretzweschers vnd Clare Klefflerin seiner haußfr. angezeigt und bekhandt, das sie mit rhat vnd vorwißen herrn Ruprecht Schwencken deß Rhatherrn (verkaufft)
Ein Behausung hoffstatt mit Allen derselben begriffen weiten rechten und gerechtigkeit. gelegen alhie Inn Kurbengaßen einseit neben Niclaus Carle dem Schuhmacher anderseit neb dem Keüffer selbst. hind. vff die Herberg Zum hirtz Ziehend, davon gent Jars ein pfund d. dem stifft Zum Jungen S Peter vff Liechtmeß mit 20 pfund lösig, Mehr Zwen guld. St. Wehr. vff Marie verkhündung vnser Frawen Werckh lösig mit 50 fl. ermelter wehr. Ferner 2. lib. vff Urbani herrn Reinboldt Meÿerin dem Rhatherrn mit 40. lb ablösig Weiter vff Johannis Baptæ 2. lib. d herrn Jacob Erhardts selig. hinderlaßener Wittib mit 40 pfund abzulösen, vnd dann Neün guld. SW vff Johannis Baptistæ herrn Niclaus Reÿchen Kindern mit 200 guld. berürter wh. lösig Item 3 gulden St. w. vff Laurentÿ mit 60 guld. gesetzter wehrung, widerkheüffig Fr. Marie Böhmin, ferner ein pfund 5 schilling vff Bartholomei Conradt Mahren dem Becken mit 25. pfund abzulösen, It. 2. lib. 10. ß vff Adolffi Steffan Scherern dem alt. Kuchen meister vff deß herren Amr. stub. mit 50 pfund ablösig, Mehr 2 pfund 10 schilling Järlichen vff Andrei mit 50 pfund abzulösen w hans von Awenheims selig. Kinder, die sie oder war es von Irentwegen thun will (…) Letztl. zweÿ pfund 10 schilling vff adolffi w. Melchior Ludwig deß Schusters hind.laßener Kinder mit 50 pfund ablösig sonst ledig und eig. (…) bekhant d der Khauff für freÿ ledig vnd eigen Zugang. vmb 510 pfund aber nach abzug gesetzter beschwerden die sich Im rechnen 437 lib vnd xv ß belauffen geschehen vmb 72 lib.
Actum in p.sentia Lorentz Seseneckers vnd vff deß Kheüffers seit. hans Jacob Bettman Notarius, Martin Höhn deß Schneiders vnd Philip Kellers deß Schindelspalters Zinst. den. 5.t. febr. 1600.
[in margine :] Erschienen Paul Mockh obgemelt vnnd hatt Inn gegenwertigkheit Hanns Vischers bekhant, das er vß handen Matheus Wolfers deß würths Zum Spanbeth wegen Hans Zahnen deß Schreiners seines Schwagers alls Jetziger Innhaber dieß. behaußung (…) Actum Mittwoch d. 14. Aug. 1605.

Originaire de Nuremberg, le fondeur et laveur de minerai Jean Fischer devient bourgeois par sa femme Claire Anne Kleffler, veuve du rubanier Jacques Hesler
1591, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 675
Hanß Visch. von Nürnberg ein schmeltzer hatt von Clar Anna Klefflerin w. Jacob Heßler deß Nestlers s. wittwe das Burckrecht empfang. vnd will Zu dem Spieglern dienen. Act. 21. Septembr. A 91.

Originaire de Lindau, le rubanier Jacques Heusele achète le droit de bourgeoisie en 1572. Il fait baptiser les années suivantes des enfants issus de sa femme Claire Kleff
1572, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 206
Jacob heüsele von Lindaw der Nestler, hatt das burgkrecht kaufft und dient Zum Spiegel. Act. Zinstag den 2.ten 7.bris A° 72.

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120-v, n° 44)
1574. Brachmonat. Jacobus Hesselin nestler, Clara Kleffin, Maria, J. Maria Michael Bollingers haußfrau, Susanna feingerin h.dei- gutleut schafners fraw, Abraham Baumgartner (i 125)
Baptême, cathédrale, 1576. Jacob Hesele, Nestler, Clara (Inf.) Mathis (f° 59, i 61)
1579. Jacob Häselin des Nestlers vnd Clara eheliche tochter Susanna (f° 85-v, i 92)

Le laveur de minerai Jean Fischer loue la maison au cordonnier Kilien Kempff

1603 (vt spâ [Erst. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 46-v
(Inchoat. fo: 53.) Erschienen Kilian Kempff der Schumacher
hatt Inn gegensein hanns Vischers Gretzwescher burger alhier bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgende vnd vff Marie Verkhündung nechstkhünfftig ane stehen sollen, vonn bemeltem Hannß Vischer desselben huß hoffestatt mit deren gebeuwen gelegen Inn der S S Inn Kurbengaß, einseit neben Hanns Ulrich Kerner Schumacher andersit Niclaus Carle Schumacher Nach der Statt Straßburg bruch v gewonheit Entlenen für vnd vmb ein Jerlichen Zinß Namlich 24 guld. SW

Jean Fischer et Claire Anne Kleffler vendent la maison au menuisier Jean Zahn et à sa femme Anne Marie Wolffer, assistée de son frère aubergiste Matthias Wolffer

1604 (19. 7.bris), Chancellerie, vol. 350 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 74-v
Kauffverschreibung Hans Zahnen deß Schreiners vber ein Behausung In Curbengaß
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1604 folio 123 Zubefinden.) Erschienen Hanns Vischer der Kretzwescher vnd Clar Anna Klefflerin beede ehegemechd haben (…) zu kauffen geben
Hanns Zahnen dem Schreiner vnd Annæ Mariæ Wolferin, desselben haußfr., welche beede Zugeg. solche bekhand vnd ahngenommen, vnd mit bestandt Mathis Wolfers des würths Zum Spahnbett Ihres bruders vnnd Schwagers
Eine behausung Hoffstatt sambt allen andern derselben weiten, begriffen, Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten alhie Inn dieser Statt vnd In Kurdwan gaß Zwischen Niclaus Carle vnd Hanns Ullrich Körnnern beid. Schumacher geleg. Hinden vff die herberg Zum Hirsch stoßend dauon gehnt Järlich j lib d vff liechtmessen dem Stifft Zum Jungen S Peter, In hauptguth Loosigk mit 20 Pfund d Mehr Zwehn gld. Str. werung vnser frauwen werck Jahrs vff Mariæ Verkündung In hauptguth mit 50 fl. derselb. w. losig, Item Zweÿ Pfund d herren Reÿmbold Meÿern vff Urbani mit viertzig lib. d hauptguth loosigk, Item Zweÿ Pfund d vff Jois Bapt. Jacob Gerber seeligen erben In hauptguth Loosig mit 40. lib, Item dreÿ gls. Str. w. Mariæ Behmin* vff Laurentÿ stohnd In hauptguth 60. fl. derselb. werung, Item j lib v ß d vff Bartholomei Conrad Moren dem Becken abzulosen mit 25 lib., So dann Hannsen von Auwenheims Kindern 2 Pfund & Zehen schilling d widerkeuffig mit 50 pfund & hauptgutts (…) sonsten ist diese behausung noch hafft vnnd verbund. Hn Ambrosio Schmiden vnnd Paulo Mocken vmb 158 gld. Zu 15 btz. welche (…), It. vnnd H. Eberhard Beeren vnd Ambrosio Schnellen dem Schumacher vogtlicher weise vmb 300 gld. Straßburg. wehrung, die aber hannß Ulrich Kerner der Schumacher Zu erlegen vnd damit die behausung zu ledigen schuldig ist (…) d. dieser verkauff vnnd Kauff über abzugk obspecificirter beschwerden für freÿ ledig eÿgen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 584 gld.
In beisein Hn Hanns Jacob Bettmanns Notarÿ

Originaire d’Ebern en Franconie, Jean Zahn épouse en 1600 Anne Marie Wolffer, fille de Jacques Wolffer du comté de Veringen
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 50, n° XVIII)
1600. den 2. Decembr, seind Ehelich eingesegnet word. Hans Zahn von Ebern im Franckenland der Schreiner und Anna Maria Wolfferin weiland Jacob Wolffen von Veringen seligen nachgelaßene dochter (i 57)

Le menuisier Jean Zahn achète le droit de bourgeoisie, assisté de Matthias Wolffer, aubergiste à la Couchette (son beau-frère)
1600, 3° Livre de bourgeoisie p. 630
Hanß Zahn, d. Schreiner, Khaufft d. Burg: mit beÿstandt Mathis Wolffer des Wurths Zum Spanbeth gibt sein nahrung für 100 fl. ahn, vnd will zun Zimmerleüthen diehnen, Act. den 22. Aprilis 1600.

Jean Zahn se remarie en 1609 avec Anne, fille du menuisier Thiébaut Kœbel
Mariage, cathédrale (luth. p. 228)
1609. Dominica 8 Trinitatis. Hans Zan der schreiner und Anna dieboldt Köbel des schreiners dochter (i 118)

Jean Zahn hypothèque la maison au profit de Matthias Wolffer

1609 (19 Junÿ), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 276-v
(Inchoat. fo: 305.) Erschienen Hanß Zahnen der Schreiner burger Zu Str.
Hatt Inn gegensein Herr Mathiæ Wolffers würts Zuer Spannbetth alhie – schuldig seÿe 517 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd hoffstatt mit deren gebewen & geleg. in d. St. Stb. In Curbengaßen, einseit neben Niclaus Carle vnd And.sit Ulrich Kernern beder Schuhmacher, stost hinden vf die Herberg Zum hürtzen, Dauon gend Jährlich j lb dem Stifft herren Zum Jung. St. Peter Losig mit xx lb, Mehr 2 fl. St. w. Vnser Fr. werck ablößig Syend In Hauptgutt L fl derselben werung, Item 2 lb d gelts Lösig mit 40 lb wÿland Remboldt Meÿers s. Erb. Item 2 lb wid.lösig mit 40. lb d Martin Trauschen, Item 3 lb St. werung In hauptgutt Lx gld. H. Hanß Friderich Jung. Item j lb v ß d mit xxv lb lösig Conradt Moren dem Schwartzbecken Sunst Ledig eÿgen

La maison revient ensuite au créancier comme le montre l’acte suivant. Originaire de Veringen, l’aubergiste à l’Esprit Matthias Wolffer épouse en 1595 Ursule, fille du fournier Laurent Stœsser

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72-v n° 25)
1595. Matthis Wolffer von Feringen, der Wirtt Zum Geist, vnnd Jungfrau Ursula, Lorentz Stössers des hausbecken tochter. Eingesegnet Montag nach Quasimodo geniti den 28. Aprilis (i 40)

Originaire de Veringen sur la Lauchert (en Wurtemberg), Matthias (Matthieu) Wolffer devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 725
Matheus Wölffer von Verinngenn an der Loucher, der würdt Zum geist, hat vonn Ursula, Lorenntz Stößers deß Schwartz beckenn dochter seiner haußfrauwen, das burgerrecht empfang. vnd wüll Zun Freÿburgernn dienen. Actum den 6.ten Maÿ 95

Matthias Wolffer vend la maison pour 612 livres au cordonnier Gaspard Merckel et à sa femme Reine

1609 (14. Xbris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 492
Erschienen H Mathias Wolffer würth Zum Spanbett alhie hatt (…) verkaufft
Caspar Merckle dem Schumacher vnd Regina seiner ehegemahlen
Hauß vnd hoffstattn, mit allen deren gebewen geleg. In d. St: St Inn Kurbengaß, einseit neben Niclaus Carle vnd Andersit Ulrich Kernern bed. Schumacher stoßend hinden vff die herrberg Zum Hirtzen, Dauon gendt j lb d gelts Lösig mit xx lb d vff Mariæ Liechtm: den Stifft herren Zum Jung. St. Peter, Mehr zween guldin gelts vf Dorotheæ ablößig mit L gld St. werung dem Werck vnser Fr. münster, Item Zweÿ Pfund pfenning gelts wid. lösig mit 40 pfund d vf Vrbani Jgfr. Ursulen, wÿland H Reilboldt Meÿers s. dochter, Item abermals 2 lb d gelts vff Johannis Baptistæ Inn hauptgutt mit xl lb d abzulösen H Martin Truschen, Item 3 guldin gelts, lösig mit 60 guldin derselben werung vf Laurentÿ fallend Hans Friderich Jungen, So dann j lb 5 ß gelts lösig mit 25. lb Conrad Moren dem Brodtbecken vf Adolphi fallendt Sunst ledig eÿg. Vnd Alles Recht & Also & der kauff vber obestimpte beschwerd. davon d. Keüffer gewißen vnd für baß Zuuerzinsen über sich nemmen soll, zugang. vmb 429 pfund xv ß d St.
Nota es sollen auch 100 dannen dielen In obgehörtem Kauff gehören.
Hiebeÿ gewesen die Ehrenhafften vnd weisen herren Mathis Erb, Hans Esell, Christophell Haaß Schneid. Diebold köbell Schreiner, Erasmus Bettman, Hans Braun, Friderich Träger Zimmerman alle hierzu erbetten.
(der kauff für ledig eÿgen 612. lb x ß d Beschwerd. 182. lb 15. ß, Beßerung 429. 15.)

Originaire de « Holzkirchen », le cordonnier Gaspard Merckel épouse en 1587 Barbe, fille du censier Frédéric Meyer de Wolfach
Mariage, cathédrale (luth. p. 130)
1587. Maius. Dominica Jubilate 7. Maÿ, Caspar Mercklin von Holtzkirchen d. Schuemacher vnd Barbara Friderich Meiers Zu Wolfach nachg. tochter. Montags 15. Maÿ (i 68)

Originaire de « Holzbach » près de Nördlingen, Gaspard Merckel achète le droit de bourgeoisie quinze jours après son mariage.
1587, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 470
Caspar Merckle von Holtzbach beÿ Nörlingen ein Schumacher, mit beÿstand Caspar Lentzen des Schumachers Hat das Burgerrecht kaufft vnd will Zu den Schumachern dienen. Act. den 24.t, Maÿ 87.

Il se remarie en 1599 avec Reine, fille de Thomas Weinmüller, originaire de l’Allgäu.
Mariage, cathédrale (luth. p. 53)
1599. Caspar Merckle der schumacher, Regina Thoman Weinmüller von Heren Heÿren* auß dem algeÿ tochter. Ist ein gesegnet den 30. Aprilis von M scheuing (i 29)

Isaac Reble et Euphrosine Tuppens vendent au docteur en médecine Isaac Habrecht un capital assis sur la maison de Gaspard Merckel rue du Maroquin

1628 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 427
Erschienen H Isaac Reble vnd Euphrosina Tuppensin sein eheliche haußfr. mit beÿstand Andreß Keßels deß guldinschreibers vnd h. hanß Ulrich Cloters deß Notÿ alß ihrer nechsten v.wanthen (verkaufft)
dem Ehrenvesten hochgelehrten herrn Isaac Habrechten medicinæ Doctori
60 gul. hauptg. St. wer. so Jahß vff Laurentÿ mit dreÿ gulden besagter werung H. Caspar Merckel alter grosser Raths verwanther von vff vnd Abe seiner behaußung alhie in Kurbawgaß. Zuuerzinsen pflichtig V.mög eines pergamentin Zinßbrieffs mit deß Bischofflichen hoffs alhie anhangen. Insigel datirt den 9. 7.bris A° 1581. Vnd were diser Kauff für freÿ, ledig eigen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb xxxv. lb

L’assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel se remarie en 1635 avec Ursule, veuve de Théophile Sutor, pasteur de Sainte-Marie-aux-Mines
Mariage, cathédrale (luth. p. 370)
1635. H. Caspar Merckel alter groser Raths v.wandt, v. Ursula H Theophilus Suder pfarrer Zu Markirch n. witwe eingesegnet Zinstag 26 Jenner (i 190)

Diacre à Sainte-Marie-aux-Mines, Théophile Sutor épouse en 1628 Ursule, fille de Simon Wendrum, ancien bailli à Rothau
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 58)
1628 In Festo Pentecostes den 1. Junÿ. M. Theophilus Sutor, Diaconus Zu Markirch, Vnd J Ursula Simon Wendtrumb gewesenen Amptmans Zu Rotaw hinderlaßene Tochter. Eingesegnet den 10. Junÿ. (i 5)

Ursule, veuve de l‘assesseur au Grand Sénat Gaspard Merckel, loue une partie de la maison au cordonnier Jean Schwertzel

1644 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 569
Erschienen Fraw Ursula, weÿl. H Caspar Merckhelß geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel: wittib, mit beÿstand Conrad Stöckhels deß Schuhmachers ihres vogts
hatt in gegensein hannß Schwertzelß deß Schuhmachers
verlühen, die undere Stub, hauß öhren und Stand Zusampt dem Vorkeller, wie auch ein Kammer im mittlern, ein Kammer im obern Stockh, und beÿ dißer Kammer Platz zum brennholtz, in ihro Ursulæ Behaußung in der Kurbengaß geg. d. alt. Pfaltz gelegen, vff Zweÿ Jahr lang von nechstkünfftig. Michaelis angerechnet, umb einen iährlich Zunnß nemblich 17. Pfund

Gaspard Merckel a institué pour son héritière Anne Ursule Sutor (fille de sa femme) et pour usufruitière Ursule Wendrum. Anne Ursule Sutor hypothèque les deux tiers de la maison au profit de Georges Basile Geyer pour rembourser les héritiers de Wigelius Mock, curé à Weyersheim. En marge, quittance remise en 1767 à Kilien Klencker.

1649 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 441-v
Erschienen Philipß Meÿer der Schuhmacher alß Vogt Annæ Ursulæ Sutorin weÿl. H Caspar Merckhelß groß. Rhats Verwanthers seel. instituirte Erbin: mit beÿstand Ursulæ Wendrumin vorgedachts H. Merckhelß wittibin deßelben Verlaßenschafft widems Nießerin ihr der Erbin Muter und Conrad Störckelß deß schuhmachers ihres Vogts
hatt in gegensein H Georg Basilÿ Geÿers – schuldig seÿen 50. lib Zu außweißung H Wigelei Mockh geweßenen Priesters Zu Weÿherßheim nachgelaßene Erben vff nachgemeldter Behaußung habend 46. lib und dann deß Stiffts iung. St. Peter vff solcher Behaußung habenden Nachtragß bahr gelühenen gelts
dafür in spê. Und.pfand sein sollen Zwen tritte theil ahne hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & unden in der Kurbengaß: geg. d. alten Pfaltz hienüber, neben hannß hohlen dem schuhmachern ein: und anderseit hannß Ulrich Wilden dem Schuhmachern hind. vff die herberg Zum hirschen stoßend gelegen, von welch. gantz. Behaußung gehdn iahrlich. 3. fl. wehr. vff Laurentÿ lößig mit 60. fl. wehr. Evæ Fingerlin, Item 2 fl. wehr. vff Dorotheæ lößig mit 4 fl. wehr. der Fabric deß Münsters
[in margine :] Erschienen herr Johann Caspar Dietzel der Stattrichter und Schaffner deß Collegÿ Wilhelmitani alß Curator deß hern Creditoris nunmehr seel. nachgelaßener und noch ohnverheuratheter Kinder, hatt in gegensein H Chilian Klenckhners deß ältern Schuhmachers alß ietzigen Possessoris hierin gedachter Zue tritten theil ahne hierinn beschriebener behaußung (…) Act. d. 16. Junÿ a° 1676
(vide sub dato 9. Julÿ a° 1649)

Anne Mock, femme du cordonnier Jean Jacques Griesser à Obernai et héritière de son frère Wigelius Mock donne quittance à Anne Ursule Sutor de 40 livres garanties sur la maison rue du Maroquin

1649 (9. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 490-v
Erschienen Anna Mockhin hannß Jacob Grießers deß Schuhmachers Zu ober Ehenheim eheliche haußfraw mit beÿstand erstermeldts ihres Ehevogts
hatt in gegensein Philippß Meÿers deß Schuhmachers alß Vogts Annæ Ursulä Sutorin weÿl. H Caspar Merckhelß groß. Rhats Verwanthens seel. instituirter Testaments Erbin mit beÿstand Ursulæ Wendrumin vorgedachts H Meckhelß wittibin und deßelb. Verlaßenschafft Widemsnießein ihr d. Erbin Muter und Conrad Stöckhelß deß Schuhmachers ihres Vogts
bekannt, daß Sie die Merckhelische Erbin die ienige 40. lb sampt davon hinderständigen Zinnß, so dieselbe weÿl. H Wigeleo Mockhen geweßenen Priestern Zu Weÿerßheim ihr Annæ Brudern vff die Merckhelische alhie in Kurbengaß geg. der alt. Pfaltz hienüber gelegenen Behaußung mit 40 lib also verglichener maß. über seinen ahne solch. Behaußung habenden 1/9. noch ferneres alß eine darauff gelegte Beschwärdt gehabt, Zu genüeg. befriedigt word. seÿe (…)
Dabeÿ seind geweß H. Andreß Gering und H Hannß Friderich Groß beede alß vß E. E. Kleinen Rhats mittel Zu außweißung obgedachts H Mockhen Creditores insonderheit Deputirten Vnd H Georg Basilius Geÿer alß der Zu dießer Bezahlung, crafft der am 29. Julÿ iüngsthin in d. Cancelleÿ Contractstuben verfaßter obligation daß Gelt dargelühen hatt

Anne Ursule, fille de Théophile Sutor, pasteur de Sainte-Marie-aux-Mines, achète le droit de bourgeoisie en 1645 en s’inscrivant à la tribu des cordonniers
1643, 3° Livre de bourgeoisie p. 899
Anna Ursula weÿl. Herrn Theophili Suters gewesenen Pfarrhrn Zu Maria kirch seel. hinderlaßene dochter Erkhaufft d. burgerrecht vmb den alten burger schilling der Acht gold fl. hatt noch kein eigen guth Soll Zu den Schumachern dienen, Act. den 30. 9.bris 1643.

Anne Ursule Sutor épouse en 1651 le tailleur Nicolas Lux
Mariage, cathédrale (luth. f° 539 n° XLVII).
1651. Eodem [Dom. 24. Trin: 9. 9.br]. Niclaus Lux der Schneider vnnd burger alhier Vnndt J. Anna Ursula, weilandt Theophili Suters des geweßenen Evangelischen Pfarrers Zu Markürch hinderlaßenen Ehelichen dochter (i 287)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 241-v n° 21) 1651. Dominia XXIV Trinit. Niclaus Lux d. Schneider v. burger allhie vnd Jungfr. Anna Ursula weÿland herrn Theophili Suters gewesenen Pfarrers Zu Mariakirch hinderlaßene eheliche tochter – im Münster (i 260)

Fils du boulanger Erard Lux à Saint-Jean-sur-Sarre (Sarrebruck), Nicolas Lux épouse en 1644 Salomé Walch, veuve du tailleur Christophe Kitsch.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228, n° 6)
1644. Eâdem [Dominca Reminiscere] Niclauß Lux von S Johann Nassawischer Sarbruckischer Herrschafft der Schneider, Erhard Lux des Becker vnd burgers Zu St Johann hinderlaßener Sohn, vnd Salome Walchin Christoff Kitschen gewesenen Schneiders vnd burgers alhier hinderlaßene wittwe (i 246)

Fille du cordonnier Sébastien Walch, Salomé Walch épouse en 1623 le cordonnier Jean Kessel puis en 1634 le tailleur Christophe Kitsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 8-v n° 23)
1623. Hans Keßel der Schumacher, Erhardt Keßel des Schumachers hinderlaßener Sohn, Vndt J: Salome Sebastian Walchen des Schuemachers Eheliche Tochter. Eingesegnet Zinstag 6. Maÿ. (i 6)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 171)
1634. Eadem [Dom. Trinitat. 8. Maÿ] Christoph Kütsch der Schneider hanß Kütschen gewesenen schneiders vnd burgers alhie nachgelaßener Sohn vnndt Salome Hnaß Keßel gewesenen Schuhmachers vndt burgers alhie nachgelaßene wittwe. Cop. 17. Junÿ Zu S. Claus (i 87, pas dans les reg. de Saint-Nicolas)

Nicolas Lux de Sarrebruck devient bourgeois par sa femme Salomé veuve de Christophe Kitsch en avril 1644.
1644, 4° Livre de bourgeoisie p. 220
Niclaus Lux von Sarbrücken, Schneider empfahet daß Burgerrecht von seiner haußfrauwen Salome Christoph Kütschen des Schneiders seel. We. vmb 8 G. et 3 fl. ist ledigen stands gewesen v. wird zu dem Schneidern dien. Jur. den 11. ten Aprilis 1644.

Anne, femme du cordonnier Jean Jacques Grieser, vend au cordonnier Jean Jacques Würth le tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à la femme de Nicolas Lux

1655 (17. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 530-v
(Protocoll. fol. 69.) Erschienen ut supra [Anna, hannß Jacob Grißers deß Schuhmachers und Burgers Zu Oberenheim Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts]
in gegensein H hannß Jacob Würthen deß Schuhmachers und Burgers Zu Straßburg
einen tritten theil Ihro für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoff und werckstatt, mit all. deren Gebäwen & alhie in der Kurbengaß., einseit neben hannß Ulrich Wild. anderseit neben hannß Hohlen beede Schuhmach. hind. vff die herberg Zum hirsch. stoßend gelegen daran die übrige Zwen tritte theil Niclauß Luxen dem Schneidern ehevögtlich. weiße Zustehen, von welcher gantz. Behaußung gehen iahrs vff Laurentÿ 3 fl. straßb. wehr. lößig mit 60. fl. ermelt. wehr. weÿl. Isaac Habrechts deß vhrenmachers seel. Erb. Item 2. fl. wehr. vff Dorotheæ lößig mit 40 fl. besagt. wehr. der Fabric deß Münsters (zum tritten theil übernohmen) – umb 100. lb
(f° 530) Erschienen Anna, Hannß Jacob Grißers deß Schuhmachers und Burgers Zu Oberenheim Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
hatt in gegensein Niclaus Luxen deß Schneiders und Burgers Zu Straßburg (…) albereit umb ostern a° 1654. vffrecht und redlich verkaufft und Zukauffen gegeben habe, 40 lib. von und ahne 106. lib. Capitalrest, so die Stat Straßburg, vermög eines pergamentinen am 8. Junÿ a° 1622 mit deroselben anhangenden größern Insigel gefertigten Zinßbrieffs und deme überschribener resp. reduction und particulae Ablaßung, iährlich termino Medardi mit 5 lib. 6 ß Zu verzinßen schuldig ist, sampt den Zinßextantz von bemelt. 40. lib. Capital (…) vmb 25. lib. Act. 17. Sept : a° 1655.

L’acquéreur est soit Jean Jacques Würth qui épouse en 1655 Jacqueline Sommer, soit son père, originaire de Günzburg, qui épouse en 1619 Marie Zeiseneck
Mariage, cathédrale (luth. f° 37, n° LX)
1655. mehr zum 2 mal eod. [Dom. XVI. Trin. d. 31. 7.br)] Johann Jacob Würth der Schuehmach. H Johann Jacob Würth, des Burgers vnd Schuehmachers allhier Ehelicher Sohn Vnd J. Jacobe, Weilandt Lorentz Sommers des Burgers vnd Thornhüters allhier hinterlaßene eheliche Tochter. Zinst. Bettag Donnerst* 79. [in margine :] Dienst. 9. 8.br. Freÿburg. Hh. Stub, Münster (i 38)

Mariage, cathédrale (luth. p. 86)
1619. Hans Jacob Würth von ober Küntzburgk der schuchmacher vnd J. Maria Jacob Zeiseneck des schuchmachers e. tochter, eingesegnet montag den 19. Julÿ (i 48)

Jean Jacques Würth vend sa part de maison au cordonnier Kilien Klenckner

1660 (31. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 378-v
(Prot. fol. 30.) Erschienen H Hannß Jacob Würth der Schuhmacher
in gegensein Chilian Klenckhners deß Schuhmachers
Einen tritten theil Ihme für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoff und Werckh statt auch allen übrig. deren Gebäwen, Begriffen, Zusammenugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurbengaßen, einseit neben hannß Ulrich Wild., anderseit neben hannß hohlen beede Schuhmach. hind. vff die herberg zum hirsch. stoßend gelegen, daran die übrige Zwen tritte theil Niclaus Luxen dem Schneidern ehevögtlich weiße Zusteh. von welcher gantzen Behaußung gehend iahrs termino Laurentÿ 3. fl. Straßb. wehr. lößig mit 60. fl. ermelter Wehr. weÿl. Isaac Habrechts deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2. fl. besagter wehr. vff Dorotheæ lößig mit 40. fl. solch. wehr. der Fabric deß Münsters

Eve, femme du cordonnier Antoine Buch de Barr, cède à l’Orphelinat un capital assis sur la maison qui appartient à Kilien Klencker

1660 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 543-v
Erschienen Eva, Anthoni Büechen deß Wollenwebers Burgers Zu Straßburg, wohnhaft Zu Barr eheliche haußfrau, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein H. Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿsenhaußes
daß Sie Eva, besagtem Waÿsenhauß, ahne statt bekanntlich schuldige 31. lib 10. ß vffrecht redlich ohnwiderrufflich in solutum cedirt und übergeben habe 31. lib. 10. ß so Chilian Klenckhner der Schuhmach. von vff und abe seiner alhie in der Kurbengaß. gelegener Behausung iährlich. termino Laurentÿ mit j lib. 1 ß 6 d Zu verzinnßen schuldig
[in margine :] (…) in gegensein Johann Huckhen Schuemachers, als ietzigen proprietarÿ hierinn bem. Hauses in d. Kurbengaß (quittung) act. d. 5.ten aprilis 1714.

Anne Ursule (Sutor) et Pierre Montfort, tous deux héritiers testamentaires de Jacqueline Wendrum, passent une obligation au profit d’Anne, veuve de Guillaume Wendrum, de Saint-Avold en Lorraine
1658 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 336
Erschienen Anna Ursula, Niclauß Luxen deß Schneiders eheliche Haußfraw mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, so dann Er Niclaus Lux alß, hiebeÿ beschienener Maßen, hierzu gevollmächtigter Befelchhaber Hannß Peter Montfort deß Biersieders beede alß weÿl. Jacobeen Wendrumbin instituirte Erben
in gegensein Annæ, weÿl. Wilhelm Wendrumbs Zu St: Tervor in Lothring. hinderlaßener Wittibin, im nahmen ihres mit ersterwehntem Wilhelm Wendrumb ehelich erziehlter Kinder, Anthonius, Georgen undt Catharinæ mit beÿstand Johann Grünwaldts Burgers Zu Straßb. – schuldig seÿen 40 lb (…)

Anne Ursule, femme du tailleur Nicolas Lux, cède les deux tiers indivis de la maison à Kilien Klencker, déjà propriétaire de l’autre tiers.

1660 (11. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 481-v
(Prot. fol. 44) Erschienen Anna Ursula, Niclauß Luxen deß Schneiders Eheweib mit beÿstand H Jonæ Andreß. Von Veßenheim E.E. Großen Rhats beÿsitzers
in gegensein Chilian Klenckhners deß Schuhmachers mit beÿstand deß Ehrenvest- From- und Wohlweÿsen herrn Isaac Fausten deß beständigen Regiments der herren Fünffzehen
Zwen tritte theil, ihme für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt werckhstatt und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weiten, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurben Gaßen, einseit neben hannß Ulrich Wilden einseit neben hannß hohlen beede Schuhmacher hinden uff die herberg Zum Hirschen stoßend gelegen, daran der übrige tritte theil, ihme dem Käuffern Vorhien Zuständig, Von welcher gantzen behaußung gehendt iahrs termino Laurentÿ 3. fl. Straßburger Wehrung, lößig mit 60. fl. ermelter Wehrung Weÿl. Isaac Habrechts deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2. fl. besagter Wehrung uff Dorotheæ lößig mit 50. fl. solcher wehrung der Fabric deß Münsters, so seÿe auch solcher Zweÿte theil umb 50. lib H Georg Basilio Geÿern treÿern der Statt Stallß verhafftet (übernohmen) – umb 315 lb

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit d’André Fischer, assesseur au Grand Sénat

1660 (5. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 622-v
Erschienen Chilian Klenckhner der Schuhmacher
in gegensein H Andres Fischers E.E groß. Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 200 Pfund – daß Er damit, H Georg Basilÿ Geÿers, Treÿers der statt stalls vff nach beschriebene Behaußung gehabte 50. lib albößen
Unterpfand sein soll hauß hoff und Werckstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Recht. und Zugehördten alhie in der Kurbengaß, einseit neben hannß Ulrich Wild. anderseit neben hannß hohl. beede Schuhmach., hind. vff die herberg Zum hirsch stoßend gelegen, davon gehend iahrs termino Laurentÿ 3 fl. straß. Wehr. lößig mit 60. fl. ermelter Wehr. weÿl. Isaac Habrecht deß Uhrenmachers seel. Erben, Item 2 fl. wehr. lößig mit 50. fl. wehr. der Fabric deß Münsters

Originaire de Repperndorf en Franconie, Kilien Klencker épouse en 1647 Anne Chrétienne, fille du marchand de soie Michel Ingweiler : contrat de mariage, célébration
1647 (4. Jan, Chambre des Contrats, vol. 498 f° 7-v
(Eheberedung) Erschienen Chilian Klenckher der Schuhmacher von Repperndorff vß Franckhen, Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand H Michael Käß. deß Schuhmachers und Burgers alhie, an einem,
So dann Jungfrau Anna Christina Weÿl. H Michael Ingweilers deß Seidenhändlers und Burgers Zu Straßburg, nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter, alß hochzeiterin, mit beÿstand H Alberti Weßners des& Apotheckhers und alt. Treÿers deß Pfenningthurns ihres Vogts und H Zachariæ Ingweilers deß Seidenhändlers ihres Bruders am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. p. 503)
1647. Domin: 3. Epiphanias. Kilian Klencker, der Schuhmacher, Caspar Klencker, deß geweßenen Schmidts Zu Ropperndorff in Francken ehelicher Sohn, vnd Jungf: Anna Christina, H Michel Ingweiler deß geweßenen Handelßmanns vnd Burgers allhier eheliche tochter. Im Münster Mont. 8. febr. (i 256)

Kilien Klencker devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage.
1647, 4° Livre de bourgeoisie p. 241
Kilian Glenckher der Schumacher Von Kepperndorff, empfangt d. Burgerrecht von seiner Haußfrauwen Anna Christinan Weÿl. Michael Ingweÿlers seel. dochter vmb 8 Gold fl. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, seind ledigen stands gewesen vnd würd Er Zu E. E. Zunfft der Schumachern dienen. Jur. 10. Feb. 1647.

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Wieger

1663 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 247
Erschienen Chilian Klenckher der Schuhmach.
in gegensein H Johann Jacob Wiegers U.I. Ddi. auch der hochwürdig. evangelisch. Herrn dom Capitularen hoher Stifft Straßburg Secretarÿ – schuldig seÿen 50 Pfund
Unterpfand sein sollen hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Kurbengaß, einseit neben hannß Ulrich Wild., anderseit neben hannß Höhlen, hind. vff der herberg Zum Hirsch stoßend gelegen, davon gehen iährlich. termino Laurentÿ 3. fl. straßb. wehr. lößig mit 60. fl. besagter wehr. dem Waÿsenhauß, Item 2. fl. wehr. termino Dorotheæ lößig mit 50. fl. wehr. der Fabric deß Münsters

Kilien Klencker l’aîné hypothèque la maison au profit de la confrérie des cordonniers. En marge, quittance remise en 1714 à Jean Huck, alors propriétaire.

1680 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 210
Chilian Klenckhner der alter Schuhmacher
in gegensein Mathis Schlachtmanns und Christoph Dürren beÿder Schuhmacher alß beÿsitzer der Schuh Knecht bruderschafft – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier unden in der Kurbengaß, einseit neben Hannß Hohlen, anderseit neben Daniel Braunen beÿden Schuhmachern, hinden uff daß Würthßhauß Zum Hirtzen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Hucken, Schuemachers alß ietzmahlig. Proprietarÿ hierin beml. an d. Curbengaßen liegend. Haußes (quittung) act. d. 19.ten februarÿ 1714.

Anne Chrétienne (Ingweiler) meurt à l’âge de 53 ans en 1680, Kilien Klencker à l’âge de 71 ans en 1684
Sépulture, cathédrale (luth. f° 96)
1680. December. d. 14. Fr. Anna Christina, hr. Kilian Klenckners des Alteren, Schuhmachers fr. begraben, starb d. 12. huius 53 Jjahr alt (i 98)

Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 116-v)
1684. October. d. 19.t Kilian Klenckner, Alteren, Schuhmacher vegraben starb d. 17. hûs, ætat. 71 J. 10. Mon. 9. tag. (i 120)

La maison revient à son fils aussi nommé Kilien Klencker qui épouse en 1674 Anne Catherine Œlinger, fille de l’orfèvre Daniel Œlinger

Mariage, cathédrale (luth. f° 178-v, n° 27)
1674. Fest. Pentecostes. Zum 2. mahl Kilian Klenckner Jünger Burger Hn Kilian Klenckners des elteren Schuhmachers vnd Burgers alhie ehel: Sohn, Jfr. Anna Catharina, Hr Daniel Öhlingers Silberarbeiters v.Zollers am Rheinzoll ehel. T. Donnerstags den 28.ten Junÿ Münster (i 181)

Il se remarie en 1680 avec Marie Salomé, fille du cordonnier Materne Moscherosch.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 84-v, n° 50)
1680. Dom. XX. post Trinit. Zum 2. mal Kilian Klencker der Jung Burger und Schuhmacher, Jfr. Maria Salome Weild. Matern Moschenrosch gewesenen Schuhmacher und Burger alhie eheliche Tochter. Donnerst. d. 6. 9.br. Münster (i 88)

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de Jean Georges Ehrlen, assesseur au Grand Sénat. Autre quittance remise au même en marge.

1691 (10.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 672-v
Kilian Klenckner, der Schuhmacher
in gegensein Hn Johann Georg Ehrlen, E.E. großen Raths alt. beÿsitzers – schuldig seÿe100 pfund, Ihme Zu völliger bezahlung Annæ Margarethæ Klencknerin seiner leiblich. Schwester gehabt antheiler an nachbeschriebener behaußung
unterpfand, Hauß, Hoff, weckstatt und alle übrige deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt. und Gerechtigkeiten allhier in d. Kurben: od. St. Urbans gaß, einseit neben Daniel Braunen dem Schuhmacher, anderseit neben hans Peter Koppel, auch Schuhmachers, hind. auff dei herberg Zum Hirsch. Stoßend gelegen, darvon gehen jährlich 2. guld. strßb. wehr. uff Dorotheæ lößig mit 50 fl. ged. wehr. der fabric deß Münsters
[in margine :] (…) in gegensein Johann Hucken, Schuhmachers als jetzigen proprietarÿ hier Vorbeml. Haußes in d. Kurben gaßen (quittung) d 5. april. 1714

Kilien Klencker hypothèque la maison au profit de sa belle-mère Marguerite Prügel, veuve du cordonnier Materne Moscherosch. En marge, quittance remise en 1705 à Anne Véronique Diem, veuve de Jean Georges Kœrner.

1692 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 574-v
Kilian Klenckner, der Schuhmacher
in gegensein fr. Margarethæ gebohrner Prüglerin, weÿl. Hn Matern Moscherosch gewesenen Schuhmachers seel. nachgelaßener Wittib seiner Schwiegermutter mit beÿstand Hn Abrahams Fausten, des Specereÿ händlers und dreÿers ses Umbgelds Ihres Curatoris – schuldig seÿe 75 pfund, Ihme zu völliger ausweisung Elisabethæ gebohrne Klencknerin, Samuel pfunden des Nadlers Haußfrauen seiner leibl. Schwester auff hernach beschriebener behausung gehabten Erbschaffts prætension
unterpfand, Hauß, hoff, werckstatt und alle übrige deren Gebäuen und zugehördten, allhier in der Curbengaß, einseit neben Daniel Braunen, anderseit neben Abrahamb werner beede Schuemacher, hinden uff die Herberg zum Hirschen stoßend gelegen, daran gehend Jährl. term. Laurenty 3 fl. Straß. wehr. lösig mit 60 fl. ermelter wehr. dem Waÿsenhauß, Item 2 fl. besagter wehr. uff Dorotheæ lösig mit 50 fl. solcher wehr. der Fabric des Münsters
[in margine :] (…) in gegensein weÿl. Hn Johann Georg Körners wittib Annæ Veronicæ geb. Diemin mit beÿstand u. Consens Hn Joh: Michael Hucken schuem. dero Curatoris alß nunmahliger proprietariæ hierinn versetzten haußes (quittung), den 1. apr. 1705

Kilien Klencker et sa femme Marie Salomé Moscherosch meurent tous deux en mai 1705 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison rue Sainte-Madeleine. La succession s’élève à 50 livres.
1705 (6.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Mstr. Kilian Klenckner, geweßener Schumacher und auch weÿl. die Ehren und tugendsahme fr. Maria Salome gebohrne Moscheroschin, beede Eheleuth und Burgere alhier zu Straßburg nach ihrem im Monath Maÿ Jüngsthin bald nach einander genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften vnd achtbaren H. Christian Westermann Schumachers vnd burger alhier alß geschwornen vogts Mariæ Salome, Kilians, Mariæ Elisabethæ, Mariæ Ursulæ und Annæ Margarethæ Klencknerein aller fünff geschwüsterd. vnd der abgeleibten Eheleuth seel. mit einand. Ehelich erzeugter Kind. vnd ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch die Zweÿ älyeste geschwüsterd so Majorennes vnd ihne den vogt (…) geeugt vnd gezeigt (…) Actum Straßburg Sonntag den 6. Junÿ Anno 1705.

In einer alhier Zu Straßb. in der Utengaßen gelegener und in siese verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. word. wie volgt.
Haußrath Auff der bühn In der Leder Cammer, Im untern Haußöhren
Eigenthumb ane Einer behaußung. Item ein vorder und hinderhauß mit allen deßen gebäuen in der Utengaß (…)
Sa. haußraths 50, Sa. Eigenthums ane einer behaußung o, Summa summarum 50 lb

Kilien Klencker vend la maison au tamisier Jean Georges Kœrner, assesseur au Grand Sénat

1694 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 467
Kilian Klenckner der Schuhmacher
in gegensein H. Johann Georg Körners des Sippmachers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers
Hauß, Hoff und Werckstatt, sambt übrigen deren gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten allhier in St. Urbans od. sogenandten Kurben gaßen, einseit neben Daniel Braun anderseit neben Abraham werner beed. Schuhmachern hinden auff die Herberg Zum Hirtzen stoßend gelegen, darvon gehend Jahrs 2 fl. Straßb. Wehr. der Fabric deß Münsters allhier ablösig mit 40 fl. ged. Wehr., so seÿe dieselbe auch umb 60 fl. Capital dem waisenhauß, und umb 400 fl. Capital Andres Fischern, Ferner umb 100 fl. Capital (Item um 100 fl. Capital, Mehr umb 200 fl. Capital), So dann umb 200 fl. Capital Fr. Margarethæ Moscheroschin geb. Prüglerin Wittib des verkäuffers Schwieger, und Endlichen umb 100 fl. Capital (verhafftet), geschehen umb 350 pfund

Jean Georges Kœrner et sa femme Anne Véronique Augustin hypothèquent la maison au profit des filles du marchand de vins Jean Georges Denninger

1695 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 494-v
Erschienen H. Johann Georg Körner, der Sippmacher und E. E. großen Raths alter beÿsitzer und Fr. Anna Veronica geb. Augustinin, deßen Eheliche haußfrau, vnd Zwar dieselbe mit beÿstand H. Nicolaus Pfeil, Und Matthias Einsiedlers, beeder E.E. großen Raths beÿsitzer und hierzu insond.heit dep.
hatt in gegensein Jfr. Annæ Mariæ und Jgfr. Marthæ weil. hans Georg Denningers gewesenen weinhändlers sel. nachgelaßene töchter, mit beÿstand H. Johann Caspar Francken Notar. Publ. und E.E. großen Raths alt. Beisitzers Ihres Curatoris – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Hauß, hoff, und werckstatt, mit allen deren Gebäuen recht. und Zugehördt. allhier in St. Urbans od. Curbengaß, einseit neben Daniel Braun and. seit neben Abraham Werner beed. Schuemachern, hind. auff die Gastherberg zum hirtzen stoßend geleg. – darvon gehend jährlich 2 gulden Straßb. wehr. d. Fabric deß Münsters allhier ablösig mit 40 fl. ged. wehr.
[in margine :] Martha Denningerin anietzo Michaels von Hipßen deß huthmachers haußfrau (quittung), den21. mart. 1698 [unterzeichnet] Marthdan däninger, Michel von hiepen

Anne Véronique Thæm veuve Kœrner vend son tiers de maison à son fils tamisier Jean Georges Kœrner sur le pied de mille livres

1712 (ut ante [20. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 143-v
(166) Anna Veronica Körnerin wittib geb. Thämin beÿständlich Joh: Michel Huck schuemachers ihres vogts
in gegensein Joh: Georg Körners sippmachers ihres sohns
ihren theil ahn hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun schuem. anderseit neben Joh: Georg Dürr schuem. hinten auf den Hirtzen stoßend und zwar auf den fueß der 1000 pfund so viel d. gantze hauß betrifft

Jean Loup Kœrner vend sa part de maison à son frère Jean Georges Kœrner

1712 (ut ante [27. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 157
Joh: Wolffgang Körner, 21 Jahr alt u. unbevögtigt, beÿständlich andres apffels schuemachers
in gegensein Joh: Georg Körners sippmachers seines bruders
seinen völligen theil ahn hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun schumachern anderseit neben Joh: Georg Dürr schuem: hinteb auf den Hirtzen – um 143 lb

Fille du garde des princes de Durlach Jean Henri Feltz, Catherine Barbe Feltz fiancée à Jean Georges Kœrner fait dresser un état de sa fortune
1711 (7.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) Catharina Barbara, Weÿl. Hannß Heinrich Filtzen geweßenen Leib guarde beÿ Ihro hochfürstl. dhlt. Von Durlach seel. eheliche tochter, verlobt an Johann Georg Kernern den ledigen Sipmacher, weÿl. H. Johann Georg Kernern geweßenen Alten Großen rathhsverwanthen alhier nunmehro seel. ehelichen Sohn, hat würcklich an eÿgenthümblich in Vermögen
Sumarum 209. lb
Sig. Straßburg den 7.ten Aug. 1711. [unterzeichnet] catrina barbra filtzen

Jean Georges Kœrner épouse en 1711 Catherine Barbe Feltz, originaire de Durlach
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 8)
1711. Die 26. Mensis Octobris Sacro matrimonÿ vinculo Copulati sunt Joannes Georgius Kerner Argentinensis Et Catharina Barbara Feltzin ex Durlach oriunda ambo parochiani mei (signé) Johan Görge Körner, catrina barbra feiltzin (i 9)

Catherine Barbe Feltz acquiert le droit de bourgeoisie quelques semaines après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1711, 4° Livre de bourgeoisie p. 787
Catharina Barbara Feltzin, Von Durlach, Weÿl. Joh: Heinrich Feltz gewesenen garde daselbst hinterl. tochter, empfangt das burgerrecht gratis, wird beÿ E E Zunfft der Zimmeleuth dienen. Promisit 9. Xbr. 1711

Jean Georges Kœrner et sa femme Catherine Barbe Feltz hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Georges Braun

1712 (ut ante [27. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 159
Joh: Georg Körner sippmacher und Cath: Barb: geb. föltzin beÿständlich Joh: Georg Schwab schuem. und Christian Westermann schuemachers
in gegensein Joh: Georg Braunen handelsmanns – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen und zugehörden in der Kurbengass, einseit neben Daniel Braun anderseit neben Joh: Georg Dürr hat in gegenwärtigkeit den Hirtzen

Jean Georges Kœrner et sa femme Catherine Barbe Feltz hypothèquent la maison au profit du consul régent Jacques Wencker

1712 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 451-v
Johann Georg Körner Sippmacher und Catharina Barbara geb. Filßin mit beÿstand Johann Georg Schwaben und Christian Westermanns beed. Schumacher ihrer Vettern
in gegensein /:tit:/ herren Jacob Wenckers ietzregierend. H. Ammeister dreÿzehners und Scholarchæ als Pflegers und H. Johann Heüpel als Schaffners des Waÿsenhaußes – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen gebäuen, rechten und gerechtigkeiten in der Curben gaßen, einseit neben Daniel braun Schuemacher anderseit neben hannß Georg Dürr auch schuemacher hinten auf d. gasthauß zum kleinen hirtzen

Un compagnon a été attribué à Jean Georges Kœrner qui l’a cédé à Simon Weber. Le conseil de tribu estime que Jean Georges Kœrner devra attendre son tour pour recevoir un nouveau compagnon.
1715, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 6-v) Donnerstags den 24. Jan. 1715 – Mstr Johann Georg Körner der Sippmacher Klagt Ca. die samptliche Gesellen, in specie aber Ca. Daniel Buben den Gesellen daß sie demeselben verwichenen Montag die werckstatt ohnerachtet Sie schon am Längsten Leer gestanden, Übergangen, und ged. gesell Zu David Meÿern, der Er doch schon einen Gesellen gehabt in Arbeit gangen. Bekl. sagen Sie hette demeselben schon Vor 3 wochen einen Gesellen Zuschicken wollen, weilen sich derselbe aber dazumahlen bedanckt, und Simon Webern den ihme Zugeschickten Gesellen hatt Zukommen Laßen, Als haben Sie bekl. Gesellen Daniel Buben nach ordnung David Meÿern Zugeschickt, hoffen deßwegen weilen Kl. sich des ersten Gesellen bedanckt, der Anklag absolvirt zu seÿn.
Mstr. Simon Weber sagt interveniendo, daß Kl. sich nicht des Gesellen bedanckt habe, sondern vmb ihne einen Gesellen zuerweißen denselben doch ihne ohn præjuditz uberlaßen habe. Er Körner hette sich auch offerirt die Sach in gutem zu accomodiren, David Meÿer wiederspricht solchen außsagen, und meldet weilen Kl damahlig Zugeschickte Gesellen Simon Webern Uberlaßen, hoffe Er das Recht Zu bek. Gesellen nahmens Daniel Buben Zuhaben.
Mstr. Friderich Rauscher protestirt wieder alles passirte, maßen Ihne der Bek. Gesellen eÿgentlich Zu Käme, weilen sein Werckstatt schon in Ewige lange Zeit Leer stehet, verlangt demnach Zuwißen, worumb Sie sein Werckstatt Ubergehen.
Erkant Kl. soll nicht allein Bek. Gesellen Verlohren Haben, sondern auch so lang still stehen biß die ordtnung wieder ane Ihm Kompt, maßen Er sich sein Recht ohne præjudiz den andern Meistern nicht vorbehalten Kan. Ingl. in alle Uncoten condemnirt seÿe, mit dem bedeut. daß sie Gesampte Meisterschafft einige Articul deßwegen beÿ unsern Gn. H den XV. sollen confirmiren laßen.

Catherine Barbe Feltz meurt en 1750 après avoir institué pour héritiers ceux que nommera son mari. Le notaire déclare dans une remarque préliminaire que le testament qui instiue des tiers est antérieur à l’ordonnance royale qui invalide de tels actes. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Hôpital. L’actif de la succession s’élève à 428 livres, le passif à 166 livres.
1750 (5. 9.bris), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1274) n° 197
Inventarium über Weÿland Frawen Catharinæ Barbaræ gebohrner Viltzin, H. Johann Georg Körrner Sippmachers und burgers allhier geweßener Ehelichen Hausfrawen Seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in anno 1750. – nach Ihrem an 5.ten Augusti jüngst genommenen tödlichen hientritt, Hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgemelten hinterbliebenen Wittiber, weilen nun die Verstorbene Seelig Vermög hienach beschriebenen Testamenti nuncupativi fol° (-) paragrapho Zum dritten diejenige so Ir hinterbliebener Wittiber ab intestato od. per Testamentum Zu erben ernennen wirdt, auch Ihre Erben seÿn sollen, dem zufolg hatt Er dieße Verlaßenschafft, in so weit sich angemasset, heut dato ordnungs mäßig inventirt (…) So beschen Straßburg den 5.ten 9.bris 1730.
Bericht Ahn Statt der Eheberedung. Der hinterbliebene Wittiber hatt nach abgelegter handtrew glaubwürdig berichtet daß, als Er sich den 15.ten 7.bris anno 1711 als vor 29 Jahren mit seiner Verstorbenen Ehefrau seeligen Verheurathet, Sie dazumahlen keine Eheberedung mit einander auffgerichtet
Copia Auffgerichteten Testamenti nuncupativi. Vermög der Von Ihro königlichen Maÿestätt zu versaile anno 1744 unterschriebener Ordonnance seint alle dergleichen Testamenta od. institutiones welche l’héritier tiers favorisiren von dem tag der publication auffzurichten Verbotten, dieses vorher inserirtes testament aber, welches schon den 24.ten Februarÿ 1740., also Vier gantz jahr vor ergangenem arrest geordnet und Zu papÿr gebracht, demnach so behauptet der witiber nach dem inhalt vor eingetragenen Testamento und willen seiner Verstorbenen Frawen seel. bevor ab die weder in auf: noch absteigender lini kein noth erben Verlaßen, dero rechtmäsiger instituirter Erb Zu sein

In einer allhier Zu Straßburg ane dem genanten Spithal gäßlein gelegener und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger und hernach fo : (-) beschriebener behaußung folgendermaßen befunden worden
(f° 9) Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt allhier im Spithal gäßlein (…)
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 32, Sa. Wahren und werckzeug 166, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthum einer Behausung 375, Summa summarum 428 lb – Schulden 166, Nach solchem abzug 262 lb
Conclusio finalis 262 lb
Testamentum nuncupativum – 1740 (…) auf Montag den 24. Monathstag Februarii Vormittag Zwischen 10, 11 und 12 Uhren, in einer allhier Zu Straßburg ane der Spithal: gaß gelegenen und denen beeden hernach bemambsten testirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung, dero Wohn Stuben mit denen Fenstern auf gedachte gaß außehende (…) persönlich kommen und erschienen seÿnd, der Ehrengeachte und bescheidene Jerr Johann Geörg Körner Sippmacher und die Ehren und tugendsame Frau Catharina Barbara gebohrne Viltzin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, Er der Mann Zar aufrechten, gesundten gehend: und stehenden, Sie die Frau aber etwas schwach und Krancken leibs, dahero auf einem bette liegend (…) Johann Jacob Oelinger Notarius juratus

Réglement de la succession après une remarque préliminaire qui établit que le testament est invalide d’après l’ordonnance royale
1752, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 61) n° 1521
Summarischer Calculus Über Weÿland fraun Catharinæ Barbaræ Körnerin gebohrner Viltzin Mstr. Joh: Georg Körner Sippmachers vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen Verlaßenschafft auß dem darüber in anno 1750 aufgerichtetem Inventario mit aufgerechneter beßerung und Überbeßerung gefertigt.
Vorbericht. Damahlen auß deme allegirtem Inventario inserirtem Eingangs als dem fom: 16. fac. 2.da et sequenti erstablerem wie auch aus dem fol. 47.b annectirten bericht errhellet, daß man aus Wichtigen gründen obermelen Wittiber M. Joh: Geörg Körner vor den universal erben seiner fraun Verlaßenschafft angesehen, maßen derselben weilen die defuncta weder in auf noch absteigender Linie Kein Noth Erben verlaßen, vermittelst der vbeln Interpretation, das dem Inventario Copeÿlich inserirten Testamenti nuncupativi Reciproci auch dafür aufgeworffen in Conformitæt deßen, sagt mann gleich fol. 2.b Ursachen die defuncta in allegirtem Testamento paragrapho tertio Zu Ihren Erben instituirt diejenigen so Ihr Ehemann ab intestato oder per testamentum Zu seinen Erben ernennen werde, auch Ihre Erben seÿn sollen, so habe Er der Wittiber sich Ihrer Verlaßenschafft so weit angemaßet.
Weiter würd fol. 16.b Zum behuff deßen, daß Er der Wittiber seiner fraun rechtmäsiger Erb seÿe, Ihro König. Maÿestäth Unßers Allergnedigsten Königs vnd Herrns Erklärung, welche die jenige Testamenta den willen eines dritten verbieten bereits vnd den 23. Decembris 1744 ergangen, den 23.ten Januarÿ 1745 au Conseil souverain d’Alsace enregistrirt vnd denen samtlichen allhießigen Notarÿs den 5. Decembris letzt allegirten anni von Obrigkeit wegen publicirt worden, allegirt, meldend, weilen obmentionirten Testamentum nuncupativum Reiciprocum in anno 1741. errichtet, die Königliche declaration aber erst in anno 1744 erfolget, so seÿe ohnumbstößlich das alte gültig vnd einfolglich gehörte die dießeitige Verlaßenschafft dem Wittiber eigenthümlich Zu, welches auch et hoc fundamento fol. 47.b Soutenirt würd, und were deßwegen die in dem Inventario gemachte abzug vnd Abtheilung Viel besagter Verlaßenschafft nur pro forma geschehen, wordurch aber der H. Inventir Notarius auch allen seiten sich selbsten Contradicirt oder Er müßte den Inhalt höchst ged. Königl. ordonnance weder durch Lesen noch wohl capirt haben.
Wann nun die vorher berührte allegata in grund der wahrheit bestünden, so weren die heutige, der Körnerischen Verlaßenschafft angemaßte Erben, in actu ohnmächtig gegenwärtigen Calculum vnd darund. Ihre petita Zu formiren, demnach aber dieselbe gantz irrig, hätte man hiebeÿ gelegenheit sehr viele objectiones hierüber machen alleinen es stand Zu erspahrung aller weitläuffigkeit nur der Vornembsten Zugedencken
primo wann die obangegangene Königliche Erklärung nicht interveniret, mithin das Viel mentionirte Testament bestand hielte, so hätte der Wittiber auß deßen abgelebten frauen Verlaßenschafft sich dennach nichts anderes, /:falls auch die ordonnance de anno 1735. die Testamenta Reciproca oder Codicillis reciprocis nicht verbietete:/ alß des lediglichen genuß Keines weegs aber der proprietät weniger facultatis alienationis Zuerfreuen, welches Er dannoch würcklichen, wie Infer* fol. (-) gezeiget wird eigentätiger weiß Exerciret.
Secundo ist sich nicht wenig vber die hardiesse zu bewundern, daß beeder der Inventir Notarius und der Wittiber sich temererement unterstehen Juro Königl. Maÿestaten allergnädigste Erklärung de dato 23. Decembris 1744 ohnvernantwortlicher weiß Zu eludiren vnd fälschlich Zu verstehen*, wie wann dergleichen vorhien gestifette Testamenta biß ane obiges datum gültig seÿen, dadoch Zufolg deren dreÿen Inhaltenden articula, die dießotige Casus nicht allein nicht Existirten sondern viel mehr Zufolg primi articuli gantz verwerfflich mithien das offt angegangene Körnierische Testamentum nunc. Recipr. Keines weges bestehen Kan noch mag, so daß der abgeleibten Verlaßenschafft auf die rechtmäsige Erben kommen und fallen muß. Woraus
Tertio warscheinlch Zu erkennen, daß mann Zum theil die rechtmäsige Erben ungerechter weiß hintanzusetzen theils aber dergestalten umb Gemeiner Statti ermanglung eines H Deputati umb den abzug Zu bringen gesucht.

Jean Georges Kœrner est admis pensionnaire à l’hôpital civil.
1755 Conseillers et XXI (1 R 238)
(p. 80) Sambstag den 19.ten Aprilis 1755 – Johann Georg Kerner der burger und sippmacher wird ad dies vitæ in dem Spithal beÿbehalten
Christmann nôe Johann Georg Kerner des burgers und sippmachers alhier producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub Nis 1 biß 6. incl. pt° auffnahm in den Hospithal. Erkandt, wird der Implorant ane den hochansehnlichen Hh. pflegere des mehrern Hospitals umb allda beÿbehalten und lebtägig verpflegt Zu werden, verwießen

Jean Georges Kœrner et Catherine Barbe Feltz vendent la maison au cordonnier Jean Huck et à sa femme Chrétienne Göpffer moyennant 1 125 livres

1714 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 7
(1125) Johann Georg Körner sippmacher und Catharina Barbara geb. Feltzin
in gegensein Johann Huck schuemacher und Christinæ geb. Göpfferin
hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Kurbengaß, einseit neben Daniel Braun schumacher anderseit neben Johann Georg Dürr schuemacher hinten auff. den hirtzen – um 330, 100, 100, 75, 50, 25 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 445 pfund

Fils du cultivateur Martin Huck de Herrlisheim en juridiction de Hanau, le cordonnier Jean Huck devient bourgeois en février 1695 par sa fiancée Chrétienne veuve du cordonnier Laurent Weber.
1695, 4° Livre de bourgeoisie p. 651
Johannes Huck der ledige schumacher Von Herlißheim Hanawisch: Herrschafft, Martin Hucken, baursmanns daselbst Ehl: sohn, empfangt das Burgerrecht Von Christina weÿl. Lorentz Webers gewes. burgers und Schumachers allhier hinterl. Wittib seiner jetzmahligen Verlobten gratis Vnd wird beÿ E. E. der schumacher dienen. Jur: d. 23. Februarÿ 1695.

Jean Huck épouse Chrétienne Gœpffer veuve de Laurent Weber en juin 1695 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1695, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Hucken Schumach: vnd fr. Christinæ Göpfferin weÿl. Lorentz Webers deß Schumachers Wb.
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Meister Johann Hucken dem noch Ledigen Schuemacher, deß Ehrsamen Martin Hucken bürgers Zu Hörlißheim Hochgräfflich Hanawischer herrschafft ehelichem Sohn, alß dem bräutigamb ane Einem, so dann der Ehren und tugendsamen Frawen Christinæ Göpfferin weÿl. deß Ehrenhafften Meister Lorentz Webers auch gewesenen Schuemachers und burgers alhie nachgelaßener Wittibin, alß der Hochzeiterin am andern theil – 1795, Jacob Christoph Pantrion, Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 57, n° 332)
1695. Eodem [Dom. III post Trinitatis] ist ein paar Ehevolck außgeruffen worden, Johannes Huck, Schumacher, Martin Hucken, des Landtmanns Zu Hörlißheim hochfürstl. Hanauischer herrschafft ehelicher Sohn, Fr. Christina, weÿl. Lorentz Webers, geweßenen Schuhmachers und burgers, nachgel. ehl. wittib. Seÿnd copulirt worden den 29. Junÿ dessen seÿen Zeugen Johannes Huck alls hochzeiter (i 56)

Originaire de Kolbsheim, Laurent Weber épouse Marguerite Bilger en 1667 et devient bourgeois. Il se remarie en 1683 avec Chrétienne, fille de Chrétien Gœpffer (ici Dœrffer), de Plobsheim
1667, 4° Livre de bourgeoisie p. 359
Lorentz Weber, der Schuhmacher Von Kolbßheim, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Margaretha, Weÿl. Wolffgang Billigers deß becken seel. hinderlaßene dochter umn 8. goldt fl. so er beÿ der Cancelleÿ erlegt, ist Zuuor ledigen standts gewesen und Will Zu E. E. Zunfft der Schuhmacher dienen. Jurav. den 27 Julÿ A° 1667.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 114)
1683. Dom : 6. post Trinitatis. Zum 2. mahl Lorentz Weber der schuhmacher und burger allhier und Jfr. Christina, weÿl. Christmann Döpffers des burgers in Plobsheim Adel. Zornischer herrschafft ehel. T. Mont. den 2.ten Aug. Zun Predigern (i 115)

Jean Huck et Chrétienne Gœpffer font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison propre à l’épouse rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 119 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1695 (14.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 3)
Inventarium vnd Beschreibung, aller Haab vnd Nahrung so der Ehrsam: vnd bescheidene Mr Johannes Huckh, Schuhmacher und die Ehren: vnd tugendsahme fraw Christina gebohrne Göpfferin, beede Eheleuth vnd burgere alhier, Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung, alß ein unverändert Guth in den Ehestandt Zugebracht, – zwar Er der Mann mit beÿstand des Ehrenhafft: und achtbahren H Daniel Braunen, Schuhmachers vnd burgers alhier seines Gewesenen Meisters vnd guten freündts, Sie die fraw aber, mit assistentz der Ehren vorgeachten Herrn Jacob Schlachtmanns des Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Curatoris, vnd M Heinrich Martin Krafften, ebenmäßig Schuhmachers Ihrer Kinder erster Ehe Geschwornen Vogts, inventirt (…) Act. Donnerstags den 14. Julÿ 1695.

In einer alhie In der Statt Straßburg, In der Curben Gaßen Gelegener behaußung, Ist befund. worden wie volft
Vff der bühnen, In der Cammer A
Der Kind. Pfetter, Göttel, vnd geschenckt Geldt, Johannis gehörig, Mariæ Magdalenæ zuständig
Eigenthumb ane einer behausung so der frawen unverändert. (F.) Item ein Vord: vnd Hinderhauß mit allen ihren Gebeuwen Inn der Kurbengaßen (…)
Wÿdemb, So eingangs gemelte fraw Christina Huckin geb. Göpferin ad dies vitæ Zugenießen hat. Es hat Weÿland Lorentz Weber gewesener Schuhmacher vnd burg. alhier nunmehr seel. der frawen voriger haußwürth, inn ihrer den 22. Julÿ 1683 mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio Seine in St. Urbans Gaßen alhier Gelegenen vnd vorher fol. (-) beschriebenen behaußung Gegen abrichtung der darauff hafftenden Jährlichen bod. Zinß ad dies vitæ Zugenießen verschafft, thut nach Inhalt des über sein Webers seel. Verlaßenschafft in Anno 1691. auffgerichteten Inventarÿ fol. 52.a
Der Frawen unveränderten Vermögen, Sa. haußraths 148, Sa. werckzeugs Schue und leder Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 45, Sa. früchten 5, Sa. Wein und leeren vaß 10, Sa. guldenen ring 7, Sa. baarschafft 19, Sa. Eÿgenthumbbs ane einer behaußung 160, Sa. Schulden 64, Summa summarum 457 lb – Schulden 103, Nach deren Abzug 354 lb
Des Manns unverändert Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. werckzeugs Schue und leder Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 5, Sa. früchten 27, Sa. Silbers 10 ß, Sa. baarschafft 4, Sa. Liegende güths 25, Sa. Schulden 29, Summa summarum 119 lb

Chrétienne Gœpffer meurt en 1717 en délaissant deux enfants de son premier mari. Les experts estiment la maison acquise pendant la communauté à 475 livres. La masse propre au veuf est de 249 livres, celle des héritiers présente un déficit de 7 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 613 livres, le passif à 169 livres.

1717 (23.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 38)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung vnd Güetere, so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Christina Huckin gebohrne Göpfferin, des Ehrenhafften Meister Johann Hucken, Schumachers vnd burgers alhier geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem Sontags den 23. Maÿ Jüngsthin, auß dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlich. verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Abgeleibten fraun seel. hinderlaßener resp° Sohns vnd dochter wie auch dere Ehevogts vnd erbettenen herrn beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg Mitwochs den 23.ten Jun: 1717.
Die abgeleibte Fraw Selige hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt, 1. M. Johann Webern, Schuhmachern vnd burgern alhier, so Persönlcih Zugeg. war vnd dann 2. Fraw Mariam Magdalenam Rüebelin, gebohrne Weberin, Mstr Jacob Rüebels des Jüngern Schuhmachers vndt burgers amhie, haußfraw, beÿständlich erstgemelts Ihres Ehevogts, mit fernerer Assistentz des Wohl Ehrenvesten Rechtsgelehr. vnd Großachtbahren Herrn Johann Adam Ösingers Vornehme Notarÿ Jurati et Practici alhier, beide der verstorbenen Frauen seel. mit weÿl. Lorentz Webern Schuhmachern vndt burgern alhier Ihrem ersten hauß würth seel. ehelich erzeugte respe° Sohn vnd dochter vnd ab intestato Zu Zwen gleich. antheilen verlaßene Erben
Eheberedungs Copeÿ
Extract Auß eingangs gemelter Verstorbenen frauen seel. Codicilly

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegenen, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung Ist befund worden wie volgt.
Eigenthumb ane Häußern. (E.) Item ein vord: Hind. hauß: in der Curbengaßen (…)
(T.) Item Hauß vnd Hoffstatt, mit allen begriffen, Weiten, rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, geleg. alhier Zu Straßburg In der Kurbengaßen, einseit neben Daniel Braunen dem Schumacher, anderseit neben Johann Peter Cappel dem Schue Knecht hinden auff das Würthshauß Zuem Hirtzen stoßend. So freÿ ledig vnd eigen durch die geschworne Werckmeister alhier laut vorallegirten Schatz Zeduls angeschlagen pro 475. lb. vnd besagt über solche behausung ein teutscher Perg. Kbr. mit der Cancelleÿ Contract stuben anhang. Insigel verwahrt, datirt den 8. Jan: 1714.
Eigenthumb ane Liegenden Güethern (T.) im Härlißh. Bann
Ergäntzung des Wittwers unveränderten Guths. Laut der über eingangs gemelter beeder Eheleuthe in den Ehestand einander zugebrachte Nahrung durch auch unterschriebenen Notarium in Anno 1695, auffgerichteten Inventary
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwers Unverändert Guth. Sa. Haußraths 4, Sa. der baarschafft 2, Sa. d. ligend. Güther 93, Sa. schuld 45, Sa. der Ergäntzung 123, Summa summarum 269 lb – Schulden 249 lb
Der Erben Unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 44n Sa. leeren Vaß 2, Sa. Guldenen Ring 4, Sa. der baarschafft 2, Sa. Eigenthums ane i. behausung 358, Sa. Schuld. 20, Summa summarum 432 lb – Schulden 439 lb, Passiv onus 7 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 64, Sa. Frucht 16, Sa. Wein und Vaß 25, Sa. led. Schue und Werckzeugs 44, Sa. d. baarschafft 66, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 296, Sa. Eigenthumbs i. beh. 475, Sa. Eigenthums ane einem Veldt acker 5, Sa. schuld 619, Summa summarum 1613 lb – Schulden 169, Nach deren Abzug 1433 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1685 lb – Ungewiß und Zweiffelhaffte Capitalia so theilbar 392 lb, in die hinterbliebene Nahrung Zugeltend 538 lb
Eheberedung (…) 1695, Jacob Christoph Pantrion, Nots.

Lors du partage annexé à l’inventaire, les héritiers cèdent au veuf leur part à la maison acquise pendant la communauté.

Abtheilungs Concept über Weÿland Frauen Christinæ Huckin gebohrner Göpfferin seel. Verlaßenschafft auffgerichtet den 21. Julÿ Anno 1717.
(f° 24) Bericht vnd Vergleichung der Theilbaren Behaußung In der Curbengaßen gelegen.
solche ist mit allen ihren Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Wie solche in dem Mütterlich Inventario Weitlaüffig beschrieben dem wittwer /:welcher vorhin schon den Zweiten theil eigenthümlich daran hat:/ Käufflichen cedirt vnd übergeben worden, Zu der Erben daran gehörigen Onv.. oder dritten theil pro 400 lb.
Straßburg den 28. Aug. 1717.
(f° 25-v) Vergleich und Vertheilung der Erben unveränderten Behaußung (…)

Jean Huck se remarie en 1718 avec Marie Madeleine Westermann, fille du cordonnier Chrétien Westermann : contrat de mariage non conservé, célébration
1718, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Johann Hucken Schuemach. vndt Jgfr Mariæ Magd: Westermännin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 305, n° 1306)
1718. Eodem [Mittwoch den 8.ten Junÿ] seind nach 2. mahl. Proclamation ehl. copul. word. Johannes Huck der Wittwer b. und Schuhmacher und J. Maria Magdalena, weÿl. Christian Westemann, gew. b. und Schuhm. hinderl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes huck als hoh Zeiter, Maria Magdalena Westermännin als hochzeitern (i 304)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 704 livres, ceux de la femme à 726 livres.

1718 (15.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 41)
Inventarium über Meister Johann Hucken, Schumachers, und Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrener. Westermännin einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1718 – So beschehen in Straßburg In fernerer Gegenwarth des Ehrenhafften undt Vorachtbaren Herrn Johann Dörffers Küeffers vnd Burgers alhier der Ehefrauen Vattern vnd hierzu erbettenen Assistenten, Montags den 115. Aug: 1718.

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegenen, dem Mann Vor unverändert Zuständigen behaußung Ist befund word. wie volgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung deo dem Eheherrn gehörig. Item Hauß vnd Hoffstatt, mit allen deren gebäuwen, begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg In der Kurbengaßen, einseit neben Daniel Braunen dem Schumacher, anders. neben Johann Peter Kappel auch Schuemacher hinden auff das Gasthauß Zuem Hirtzen stoßend. So freÿ ledig vnd eigen, vnd Zu verhütung Künftttiger præjuditz ohnentschlag. gelaßen worden. Über solche behaußung besagt i. teutscher Perg. Kauffbrieff mit der Cancelleÿ Contract stuben anhangendem Insigel verwahret, datirt den 8. Jan: 1714.
Series rubricarum. Des Ehemanns Nahrung betreffendt. Sa. Haußraths 161, Sa. Wein und Vaß 77, Sa. der frucht 21, Sa. des Rindtviehes 13, Sa. des Leders und Schuh 101, Sa. des Silbers 3, Sa. der Baarschafft 280, Sa. d. Capitalien 729, Sa. des hauß o, Sa. d. Ligenden Güthere o, Sa. der Activ Schulden 533, Summa summarum 1921 lb – Schulden 214, Nach deren Abzug 1704 lb
Der frauen guth betreffend, Sa. haußraths 135, Sa. Weins vnd Vaß 14, Sa. d. frucht 3, Sa. des Silbers 23, Sa. guldenen Ring 8, Sa. der Baarschafft 75, Sa. der Schulden 493, Summa summarum 753 lb – Schulden 27, bleibt 726 lb
Sa. der haußfrau 23 lb

Jean Huck meurt le 6 juillet 1719 à l’âge de 54 ans. L’inventaire dressé après sa mort n’est pas conservé.

1719 ([30 Aug.]), Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Weÿl. H. Joh: Hucken geweßenen Schumachers alhier Verl.

Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 24-v, n° 38)
1719. Donnerst. d. 6. Julÿ abends zwischen 4 v. 5. Uhr ist an größen Leibs schmertzen gestorben v. Sambst. darauf beÿ Gehaltener Leich Pr. auf dem Guttes Acker S Helenen begraben worden Mr Johannes Huck, burger v. schuhmacher alhier, seines alters 54. Jahr vnd einen Monathe [unterzeichnet] Johannes Weber Als stiefsohn, Johann Jacob riebell als stieff dochterman (i 27)

Malade, Marie Madeleine Westermann fait son testament en 1728. Elle confie l’éducation de son fils à son frère cordonnier Jean Jacques Westermann. Elle institue son fils pour héritier ou à défaut ses frères Chrétien et Jean Jacques Westermann
1728 (7. Martÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 134
Codicill – Persönlich erschienen seÿe die ehr und tugendsame Fr. Maria Magdalena gebohrne Westermännin weÿl. Johann Hucken geweß. Schuemachers vndt burgers alhie nachgelaßenee Wittib ohnbäßlish leibes Zu bette liegend, Jedoch aber dabeÿ von der gnadt deß grundgütig. gottes guten richtigen verstandts (…)
dießem nach vndt vor das andere ist der Fr. Testierein ernstilches will, daß wafern der allerhöchst gott Sie in dieser ihrer Kranckheit auß dieser Zeit vnd welt abfordern thete, oder aber nach diesen, ehe vndt bevor ihr habendes eintzige Söhnlein Johannes huckh erwachß. v. erzog.seÿn werdt, durch den Zeitlich; tod zu sich in die ewigkeit abfordern solte, Ihr geliebter bruder Joh: Jacob Westermann der Schumacher vnd burg. alhie erstberührtes ihr leibes Söhnlein Zu sich wohnen v. biß zu erlang. seines 18. Jährigen alters beÿ sich behalten (…) solle mehr gedachten Joh: Jacob Westerman der fr. Testirerin habendt. behauß. alhie Zu straßb. in der Curbengaß geg. dem bronnen hienüber geleg. gedachte Zeit über biß der Knab das 18.t jahr erlanget Zinß freÿ zu bewohnen (…) vorbehaltlich der Stub Cammer über der werckstatt welche dem Knaben Zu seinem lager eingeraumbt, auch die bett vor sein deß Knaben eigenen bettwerck, lad*, Zu liegen* auffgerichtet werden sollen, so dann der groß. Cammer über der erstgedacht. Stub Cammer, welche ihme dem Söhnlein Zu Versorg v. aufheb. deßen haußräth. mobilieren reservirt vndt eingeraumbt werd. solte (…) Solte aber wieder verhoffen mehr benambster Joh: Jacob Westermann vor verfloß. deß Knaben erlangt. 18. jährig alter mit tod abgehen v. Er der Knab die berührte Zeit auß beÿ sein Westermanns verlaßend. wittib nicht bleiben können, solle deßen vogt ihn alß den andererts zu versorgen sich angeleg. seÿn lassen und solch. falls die genieß. deß haußes aufgehob. seÿn. (…)
endliche vnd Zum dritten dieweilen die institution haæredum oder die einsetz vnd benehambß. der Erben eines Jeden Zu recht bestänig. testaments fürnembsten fundament grundt veste ist œ alß wll Fr. Maria Magdalena Huckin geb. Westermännin die Fr. Testierein zu ihrem rechten wahren v. ohngeweiffel zu erben instituirt vnd eingesetzt haben Joh: Hucken ihres mit ihren verstorbenen Ehemann seel. ehelich erzeugtes habendes eintzige Söhnleih alß welches auch ab intestato ihr rechtmäsiger Erb wäre, Jedoch mit dießem expresse anhang im fall erstbenambstes dero Söhnlein ledigen standts mit tod abgienge, daß alles das jenige so daßelbe von ihr der Fr. Testierein ererbet hat, auf ihre beede brüder Christian Westermann vnd Joh: Jacob Westermann beede Schumacher v burgere alhier (…) substituirt
Geschehen in Einer alhier Zu Straßburg& in der Curben gaßen gelegenen der testirerin eigenthümlich zuständigen behaußung dero obern Stuben mit denen fenstern in bemelte gaß geg. den Caffe hauß hienüber außsehen (…) Sonntagß d. 7. Martÿ morgens zwischen acht und neun uhren Im Jar Christi 1728. [unterzeichnet] Maria Magdalena huckin

Marie Madeleine Westermann meurt en 1770. L’actif de la succession s’élève à 1 210 livres, le passif à 65 livres.
1770 (11.5.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 763) f° 437
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsamen Fraun Mariæ Magdalenæ Huckin gebohrener Westermännin, längst weiland Herrn Johannes Huck, gewesenen Schumachermeisters und Burgers dahier Zu Straßburg hinterlaßener Wittib, nunmehro auch seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet im Jahr 1770. – nach ihrem Mittwochs den 17.ten Januarÿ dieses 1770.ten Jahrs beschehener Übergang Zur Ewigkeit hier Zeitlichen verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und freundlich begehren Herrn Johannes Huck des Schuemachers und bs. dahier der Fraun defunctæ leibl. Sohns und ab intestato verlaßener einzigen Erben (…) So beschehen Straßburg auf Freÿtag den 11.ten May 1770.
In einer alhier Zu Straßburg an der St. Urbansgaß gelegener Behausung hat sich befunden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 61, Sa. leeren Faß 2, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 1, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 274, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 340, Sa. der Gülten von eigenth. liegenden güthern 19, Sa. Schulden 509, Summa summarum 1210 lb – Schulden 65 lb, Nach deren Abzug 1145 lb

Propriétaire de la maison depuis la mort de Jean Huck, son fils Jean Huck épouse en 1746 Catherine Salomé Lix, fille du cordonnier Jean Georges Lix : contrat de mariage, célébration

1746 (8.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 773
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Mr Johann Hucken dem ledigen Schuemach: weÿl. deß ehrsam: vndt bescheid: Meister Johann Hucken auch geweß. Schuemach: vnd burg: alhier mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Westermännin ehelich erzeugten hinterlaß. Sohn, alß hochzeitern ane einem
So dann Jfr. Catharina Salome Lixin des Ehrsahmen Meister Johann Georg Lixen Schumach. v. b. alhie mit Fr. Maria Salome Wolffin ehelich erzeügter dochter, alß hochzeitherin andern theilß
Actum in fernerm beÿsein auf seith. deß hochzeith. H. Joh: Birckels Schumach. seines Vogts, und Christian Westermann auch Schumach. seines nechsten anverwanth. auf der Jfr. hochzeiterinn seithen aber ihres Vatters oben benambst vnd Martin Baldners deß fischers alß nahen anverwanth. sambtl. burgere alhie Straßb. d. 8. Julÿ 1746. [unterzeichnet] Johannes Huck als Hochzeiter, Catharina Salome Lixin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 252 n° 966)
1746. Mittw. d. 3. Aug. seind nach ordentl. proclamation ehel. copulirt und eingesegnet worden Johannes Huck der led. Schuhmacher u. Burg. allhie H. Joh: Hucken geweßenen Schuhmach. u. burg. allh. nachgelaß. ehel. Sohn, u. J. Catharina Salome Joh: Georg Lixen Schuhm. und Burg. allh. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Huck als Hochzeiter, Catharina Salomea Lixin als hochzeitrin (i 257)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Sa mère usufruitière y a fait pour 400 livres de réparations. Ceux du mari s’élèvent à 937 livres, ceux de la femme à 231 livres.

1750 (5.10.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 24) n° 878
Inventarium über des Ehrsamen und bescheidenen Meister Johannes Huck, des Schuhmachers und der Ehren und tugendsahmen Fraun Catharinä Salome Huckin gebohrner Lixin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1750 – einander in ihren den 3. Augusti 1746 angetrettenen Ehestand zugebracht auch was seitheri der Ehemann von seiner Mutter auf liefferung vätterl. guths empfangen, welche der Ursachen alldieweilen in ihrer Vor mir Notario auffgerichteten Eheberedung dero 4.ten Puncten außdrucklich abgeredet, daß einem jeden und seinen Erben das in die Ehe bringend und ererbende Vermögen ein freÿ und eigen guth seÿn und bleiben solle – So beschehen in fernerem beÿsein Mr Johann Friderich Lix des Schuemachers und burgers allhier der Ehefraun Vogts und Fr. Mariä Magdalenä geb. Westermännin des Ehemanns leiblicher Mutter beÿständ. Mr Christian Westermanns des Schuemachers und burgers allhier, Straßburg den 5.ten Octobris Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Urbans gaß gelegener hiernach v.schriebener behaußung befunden worden wie folgt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Maria Magdalena Huckin gebohrne Westermännin weÿl. Herrn Johannes Huck des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg seeligen hinterbliebene Wittib des Ehemanns Mutter lebtägig Zu genießen berechtiget. Nemblichen es hat des Ehemanns ietzgedachter Vatter seeliger in der mit seiner damahligen Jgfr. hochzeiterin jetzt hinterbliebener Wittib Vor H Not° Jacob Christoph Pantrion d. 18. Matiers 1718. gepflogenen Eheberedung dero 6.ten Puncten Ihro Zu einem lebtägigen doch Wieder rückfälligen Vor Wÿdem verschrieben
Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen dero Gebäuwen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg in St. Urbansgaß 1.s neben weÿl. herrn Daniel Braunen des Schuhmachers seel. W. und Erben 2.s. lb Johann Peter Kappeln auch Schuhmachers hinten auf die Gastherberg Zum Hirtzen stoßend so freÿ leedig und eigen. Darüber bes. i. teutscher perg. Kffbr. m. der Statt Straßburg C. C. St. anhang. Ins. Verw. dat. d. 8.ten Jan. 1714.
In dießer behaußung seÿnd durch die Frau Wÿdembs Nießerin wie in Vorhergehender Abrechnung Zusehen 400 lb Verbauen worden, die der Sohn gegen freÿer beziehnung des haußes auf der Mutter tod in ihrer Verlaßenschafft einzuschießen hätte gehabt, allein Sie hat ihm Zufolg angezogener Abrechnung 291. lb die demselben Vor in dem Kinder vertrag berechnet Vätterl. guth über bereits empfangenes annoch gebürten, an dießer 400 lb d angewießen, und statt des Zinßes davon einige Gemach in dem hauß Zu bewohnen eingeraumt, dahero Er der Sohn dießotiger Ehemann nach seiner Mutter tod gegen beziehung Vorstehenden haußes nur noch ane Baukösten in ihre Verl. einzuschießen muß 100 lb
Wÿdembs Verfangenschaft, Hier sollte auch das jenigen was der Ehefraun Mutter Frau Maria Salome Lixin gebohrne Wolffin Von Weÿl. Mr Johann Georg Lix dem geweßenen Schuemacher und burgern allhier Zu Straßburg seel. lebtägig Zu genießen berechtighet ist (…)
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gerbacht Gut Sa. Haußraths 109, Sa. Lährer Fß 9, Sa. Silbers 13, Sa. der Baarschafft 264, Erg. ane Matten o, Gülth von liegenden güthern o, Summa summarum 937 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. Haußraths 87, Sa. Silbers 15, Sa. Goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 108, Summa summarum 231 lb

Le cordonnier Jean Huck héberge pendant plusieurs années des marchands pendant les foires. Ceux nommément cités en 1762 et 1764 sont originaires d’Iserlohn.
1756, Protocole des Quinze (2 R 167)
(p. 446) Sambstags den 29. Decembris 1756 – Johannes Huck der schuhmacher pto 2 messleuth, Willfahrt

1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
(p. 454) Sambstags d. 17. Decembris – Johannes Huck der schuhmacher idem [pt° messleuth], Willfahrt

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
(p. 431) Sambstags den 23. Decembris – Claus nôe Johannes Huck, des schuhmachers und Johann Jacob Vogt des schwerdtfegers wegen dreÿ frembden Kauffeuthen w* Jeder Implorant gleichfalls über tisch und losament zu halten gesinnet seÿe. Erkandt nch ordnung willfahrt

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 249) Sambstag d. 21. Junÿ – [-] nôe Johannes Huck des Schuhmachers und Philipp Jacob Vogt des Schwerdtfegers bitten um Erlaubnus diese Meß hindurch in 3 frembde Kauffeuthen in Kost und logement nehmen zu dörffen. Erk. ut supra [nach ordnung willfahrt]

1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
(p. 343) Sambstags d. 19. Junii 1762 – Idem [Claus] nôe Johannes Huck des schuhmachers, dieser bitt umb erlaubnus dieße Meß über Zweÿ Meßleuthe in Kost und logis annehmen Zu dörffen. Erk. nach Ordnung mit gebettener erlaubnus willfahrt
(p. 630) Sambstags d. 18. Decembris 1762 – Claus nôe Johannes Huck des burgers und schuhmachers allhier, dieser bittet ihme gnädig zu erlauben H Johann Wilhelm Oberbeck und Johann Peter Bellhauß die Meß hindurch an Tisch und Losament auffnehmen Zu dörffen. Erk. wird dem Imploranten inn seinem begehren Willfahrt.

1764, Protocole des Quinze (2 R 176)
(p. 451) Sambstags d. 23. Junii 1764 – Faust nôe Johannes Huck des burgers und schuhmachers dieser bittet unterthänig Zweÿ frembde Meßherren Johann Wilhelm Oferbeck und Johann Peter Bollhauß von Iserlohn, samt ihren Knecht diese Johannis Meß zeit hindurch Kost und Losament aufnehmen Zu dörffen. Erkannt, nach ordnung Willfahrt.

Jean Huck hypothèque la maison au profit du pâtissier Geoffroi Metzger

1782 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 381-v
Johannes Huck der schuhmacher meister
in gegensein H. Gottfried Metzger des Zuckerbecks – schuldig seÿe 300 gulden
unterpfand, eine behausung ane St Urbanus gaß, einseit neben der Langischen wittib, anderseit neben Georg Jockers dem schuhmacher, hinten auff die Gastherberg zum Hirtzen

Jean Huck meurt en 1789 en délaissant quatre enfants. L’actif de la succession s’élève à 2236 francs, le passif à 2067 francs.

1800 (6 prairial 8), Strasbourg 7 (12), Not. Stoeber n° 1550
Inventarium über und beschreibung alles deßen was weÿl. burger Johannes Huck gew. Schuhmachers nach seinem bereits im Monath februarii des jahrs 1789 erfolgten Absterben an Vermögen hinterlassen, auf Ansuchen deßen hinterbliebenen Wittib Catharina Salome geb. Lix beÿständlich Johann Gottfried Braun Paßmentirers
Des verstorbenen ab intestato verlaßene Erben sind 1. dessen ältere tochter Catharina Salome geb. Huck des bürgers Christian Westermann Schuhmachers Zhefrau, 2. des Defuncti älterer Sohn bürger Johannes Huck schumacher, 3. des Defuncti jüngerer großjähriger Sohn der bürger Christian Huck leediger Schuemacher, So dann 4 des Defuncti jüngere großjährige leedige tochter Maria Magdalena Huck unter verbeÿstandung burgers Diebold Wurtz Meelhändlers

der Wittib unveränderten vermögen, silber 10 lb, goldene ringe 19 lb, schulden 200 lb, ergäntzung, inhalts Inventarii durch H Brackenhoffer Not. im Jahr 1750 auffgerichtet 950 fr, Summa summarum 1179 fr
der Erbrn ohnveränderten Vermögen, kleidung 45 fr, Silber 29 fr, Pfenningzinß hauptgüter 760 fr, Matten Herrlisheimer banns, Gülthen
Eigenthum an einer behausung, so der Erben ohnverändert. Nemlichen eine behausung hof hoffstatt und brunnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Urbansgaß mit N° 13 bezeichnet einseit neben burger Friedrich Späth Schneider anderseit neben dem bürger Georg Jockers Schuemacher hinten auf die Gastbehaußung zum Hirtzen, darüber besagt eine vor Häring Not. den 19. 7.br 1767 passirten Erbscession
Ergäntzung 17 lb, Summa summarum 852 fr – Schulden 200 fr, Nach deren abzug 652 fr
Folgt nun die beschreibung des theilbaren Guths, hausrath 684 fr, leerer Faß 106 fr, gold. ring 18 fr, baarschafft 550 fr, schulden 878 fr, Summa summarum 2236 fr – schulden 2067 fr, Nach deren Abzug 168 fr
Eheberedung (…) den 8. julÿ 1746 Brackenhoffer Not.
Copia Codicilli vor J. Carl Fické Not. am 20. maÿ 1776
Enregistrement, acp 74 F° 30 du 14 pr. 8

Les héritiers vendent des meubles après la mort de leur mère Catherine Salomé Lix
1805 (20 mess. 13), Strasbourg 4 (34), Not. Stoeber n° 217
Vente de meubles par les héritiers de feue Catherine Salomé Lix veuve de Jean Huck cordonnier rue du Maroquin n° 13
à la requête de 1. Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westermann, 2. Chrétien Huck cordonnier, 3. Jean Huck cordonnier, 4. Marie Madeleine Huck fille majeure, les quatre héritiers de la défunte décédée le 26 germinal dernier
total ce ce que les enfants ont à rapporter dans la masse 13.831 fr, total de la masse à partager 14.741 fr

Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westermann vend sa moitié de maison à son frère Jean Chrétien Huck et à sa sœur Marie Madeleine Huck.

1805 (2 compl. 13), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber n° 2618, 6712
Catherine Salomé Westermann née Huck femme de Chrétien Westermann cordonnier, Jean Huck cordonnier
à Jean Chrétien Huck cordonnier et Marie Madeleine Huck fille majeure assistée de son frère
la moitié dans une Maison appartenances et dépendances scitués dans la rue St Urbain N° 13, d’un côté le Sr Spiel traiteur, d’autre Valentin Diemer Vanier, aboutissant sur l’auberge du Cerf, dont l’autre moitié appartenant aux cessionnaires – moyennant 4000 francs
Enregistrement, acp 97 F° 144 du 6 vend 14

Chrétien Huck meurt célibataire en 1812 après avoir légué la maison à sa sœur Marie Madeleine

1812 (3.7.), Strasbourg 4 (41), Not. Stoeber n° 1866
Inventaire de la succession de Chrétien Huck cordonnier décédé 20 janvier dernier – dressé à la requête de 1. Catherine Salomé Huck femme de Chrétien Westemann cordonnier, 2. Jean Huck, cordonnier au nom des enfants mineurs Jean Huck et Geofroid Huck et 3. Marie Madeleine Huck, légataires à titre universel savoir la femme Westermann pour un tiers, les enfants Huck pour un tiers et la Dlle Huck pour un tiers de leur frère et oncle suivant testament nuncupatif reçu M° Stoeber le 25 janvier dernier

dans la maison rue du maroquin n° 13
succession, mobilier 212 fr, créances 230 fr, passif 400 fr
Maison, la moitié d’une maison et appartenances sise rue du Maroquin n° 13 d’un côté le Sr Spaeth tailleur d’autre Diemer fabricant de cribes, aboutissant sur. auberge au Cerf, laquelle moitié de maison le défunt a légué suivant ledit testament à sa sœur Marie Madeleine Huck moiennant la somme de 4000 fr
biens ruraux à Herrlisheim, Offendorf, non estimés
Enregistrement, acp 120 F° 29-v du 8.7.

Inventaire dressé après la mort du locataire André Martin Bonlarron, herboriste

1820 (11.3.), Strasbourg 8 (29), Me Roessel n° 7027
Inventaire de la succession d’André Martin Bonlarron, herboriste décédé le 13 février dernier – à la requête de Sophie Taubert la veuve en son nom, mère et tutrice légale de Martin et Charles ses enfants, en présence de Jean Herr, baquetier, subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 459 fr, garde robe 109 fr, ensemble 568 fr, passif 68 fr
Enregistrement, acp 146 F° 133 du 14.3.

Inventaire dressé après la mort du locataire François Martin Bonlarron, employé à la préfecture

1820 (11.3.), Strasbourg 8 (29), Me Roessel n° 7028
Inventaire de la succession de François Martin Bonlarron, employé à la préfecture décédé le 22 février dernier – à la requête de Sophie Taubert veuve d’André Martin Bonlarron, herboriste en son nom, mère et tutrice légale de Martin et Charles ses enfants
/:et de Marie Reine Demant veuve de François Martin Bonlarron à cause de la communauté en biens:/ lignes annulées:/ Jean Herr bacquetier subrogé tuteur
dans une maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 119 fr, numéraire 705 fr ensemble 824 fr, passif 64 fr
Enregistrement, acp 146 F° 133 du 14.3.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Sophie Taubert, veuve d’André Martin Bonlarron

1821 (21.3.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7738
Inventaire de la succession de Sophie Taubert veuve d’André Martin Bonlarron, herboriste, décédée le 8 mars courant – à la requête de Louis Marie Poncet, percepteur des contributions directes à Strasbourg en sa qualité de membre de la commission administrative des hospices civils – en présence de Jean Herr baquetier subrogé tuteur de Martin et Charles enfants mineurs de la défunte
dans la maison rue du Maroquin n° 13
mobilier 867 fr, créances 600 fr, argenterie 77 fr, ensemble 1544 fr, passif 350 fr
Enregistrement, acp 151 F° 170-v du 22.3.

Marie Madeleine Huck meurt en 1845 en délaissant des héritiers collatéraux. L’acte établit la filiation de propriété jusqu’en 1714 (avec quelques inexactitudes)

1845 (2. 7.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 50
Inventaire de la succession de Madlle Marie Madeleine Huck, vivante célibataire majeure, domiciliée et demeurant à Strasbourg, y décédée le 8 juin dernier.
L’an 1845 le 2 septembre à cinq heures de relevée, à la requête et en présence de I. Mme Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clémentz Profoss, propriétaire, de son mari dûment autorisée et assistée, II. D° Marie Dorothée Westermann, veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; III. a) Dlle Catherine Salomée Lang, b) Dlle Marie Madeleine Lang, toutes deux célibataires majeures sans profession, et venant toutes les deux par représentation de leur mère D° Catherine Salomé Westermann vivante épouse du Sieur Isaac Lang, cordonnier à Strasbourg, IV. a) De Jacobée Holtzapfel épouse assistée et autorisée du Sieur Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, b) De Sophie Holtzapfel épouse dûment assistée et autorisée de M. Jean Charles Holtzapfel, avocat, c) Et enfin De Louise Sigrist veuve du Sr Théophile Holtzapfel en son vivant tourneur, agissant en qualité de mère et tutrice naturelle et légale de Louise, Madeleine, Sophie et Théophile Holtzapfel ses quatre enfants mineurs issus du mariage qui a existé entre elle et son dit défunt mari qu’ils représentent comme ses seuls et uniques héritiers, Tous domiciliés et demeurant à Strasbourg, Ledits mineurs Holtzapfel, venant par représentation de leur père ainsi qu’il a été dit Sr Théophile Holtzapfel qui a lui-même concuremment avec ses sœurs De Eisenbrand et Holtzapfel vient par représentation de leur mère de Jacobée Westermann vivante épouse du Sieur Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg
Et lesdits De Profoss, veuve Maurer les représentants de la D° Lang ainsi que les enfants et petits enfants Holtzapfel venant tous par représentation de leur mère, grand-mère et ayeule respective De Catherine Salomé Huck, veuve en premières noces du Sieur André Westermann vivant cordonnier à Strasbourg et décédé veuve en secondes noces du Sr Chrétien Hutann aussi cordonnier en ladite ville sœur de la défunte Dlle Marie Madeleine Huck dont ils sont habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chaque branche pour un quart ainsi qu’il résulte des deux testaments dont il va être question ci après.

Testament. Par son testament par acte public dressé par M° Chrétien Théophile Stoeber le jeune Notaire à Strasbourg en présence de témoins le 28 février 1827, enregistré le 28 juillet dernier (…) Mais plus tard les D° Lang et Holtzapfel décédèrent et les legs faits en leur faveur fut caducs en vertu de l’article 1039 du code civil des français. La défunte fit en conséquence de nouvelles dispositions testamentaires au profit des enfants et représentans Lang et Holtzapfel suivant testament olographe en date de Strasbourg du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836, traduit en français (…) déposé (…) en l’étude du soussigné notaire Reiss suivant procès verbal du 28 juillet dernier enregistré et mis au rang des minutes dudit notaire soussigné suivant procès verbal en date du 28 juillet dernier
5° Immeuble. Une Maison avec pompe, cour, caves, droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du Maroquin N° 13, tenant d’un côté au Sr Spaeth tailleur d’habits, de l’autre côté au Sieur Valentin Diemer, faiseur de cribles, par derrière sur l’auberge au Cerf et par devant ladite rue du maroquin.
Origine de la propriété. La défunte était devenue propriétaire de cette maison pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, notaire en cette ville, présens quatre témoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et Dame Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritière pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec son dit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sieur Chrétien Westermann cordonnier en cette ville et Jean Huck cordonnier audit lieu par contrat reçu par Jean Daniel Stoeber Notaire public à Strasbourg qui en a gardé minute, en présence de témoins, le second jour complémentaire de l’an XIII de la République française. Le Sr Jean Huck l’avait hérité ou recueilli dans la succession de ses père et mère les conjoints Jean Huck, cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était le seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par M Jacques Christophe Pantrion vivant Notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. arrêté le 6 juillet de la même année. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe Fels suivant contrat reçu à la ci devant Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackau [Mackau] Maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Titres et papiers. Titres relatifs à la maison. Cote première. Pièce unique qui est un vieux titre d’acquisition sur parchemin (…) en date du 8 janvier 1717. Cote deuxième. Pièce unique qui est un vieux titre d’acquisition également sur parchemin (…) par M° Jean Daniel Stoeber
acp 339 (3 Q 30 054) f° 74 (déclaration du 1. Xbre 1845) Garde robe 110, Linge et meubles meublans 416, argent comptant 600, créances 6117
Immeuble une maison à Strasbourg rue du Maroquin N° 13
Dettes passives 1493

Marie Madeleine Huck meurt de marasme dans sa maison à l’âge de 83 ans
Décès, Strasbourg (n° 1026)
Déclaration faite (…) le 9 juin 1845 du décès de Marie Madeleine Huck, âgée de 83 ans, née à Strasbourg, non mariée, domiciliée à Strasbourg, morte en cette mairie le 8 du mois courant à 10 heures du matin dans la maison située N° 13, rue du maroquin, fille de feu Jean Huck, cordonnier, et de feu Catherine Salomé Lix [in margine :] marasme (i 62)

Testament olographe de Marie Madeleine Huck
1845 (16.8.), M° Reiss
Dépôt du testament olographe de Marie Madeleine Huck, célibataire à Strasbourg, en date à Strasbourg du mois de novembre 1836, enregistré le 14 août 1845 enregistré en ce bureau le 14 août 1845 f° 87 v°
acp 339 (3 Q 30 054) f° 37-v du 22.8.

Liquidation de la succession
1846 (21.3.), M° Reiss
Liquidation et partage de la succession de Marie Madeleine Huck, célibataire majeure, décédée à Strasbourg le 8 juin 1845. Entre Marie Barbe Westermann épouse de Léopold Clément Profoss, propriétaire à Strasbourg, II. Marie Dorothée Westermann, veuve de Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; III. a) Catherine Salomée Lang, b) Marie Madeleine Lang, toutes deux célibataires majeures à Strasbourg venant par représentation de leur mère Catherine Salomé Westermann épouse en son vivant d’Isaac Lang, cordonnier à Strasbourg, IV. a) Jacobée Holtzapfel épouse de Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier en cette ville, b) Sophie Holtzapfel épouse de Jean Charles Holtzapfel, avocat à Strasbourg, c) Louise Sigrist veuve de Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg, agissant en qualité de tutrice naturelle et légale de Louise, Madeleine, Sophie et Théophile Holtzapfel ses quatre enfants mineurs issus du mariage avec le dit défunt, Les mineurs venant par représentation de leur père qui lui-même concuremment avec ses sœurs femmes Eisenbrand et Holtzapfel vient par représentation de leur mère de Jacobée Westermann vivante épouse de Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg. Les femmes Profoss, veuve Maurer, les représentants de la femme Lang par représentation de leur mère, grand-mère et aïeule respective Catherine Salomé Huck, veuve de Chrétien Westermann cordonnier à Strasbourg sœur de la défunte.

acp 346 (3 Q 30 061) f° 45-v du 25.3. Cette opération est précédée de diverses observations préliminaire qui sont, 1° observation, Par son Testament (…), 2° observation, inventaire (…) Les valeurs et effets mobiliers et argent comptant ont été partageés à l’amiable entre les parties, 3° observation (licitation de la maison), 4° observation (surenchère de la maison)
Masse active. Elle se compose 1° d’une somme de 2274 francs en principal et intérêts dus par les conjoints Thiébaut Kern et Catherine Lux conjoints à Ingenheim et Michel Barthel cultivateur &t Marguerite Kern conjoints ausit lieu suivant obligation reçue Boersch le 8 octobre 1838, 2274 francs
2° d’une somme de 1028 francs en principal et intérêts dus par Martin Schneider meunier et Barbe Haas conjoints à Cleebourg suivant obligation reçue Karth notaire à Wissembourg le 16 mai 1840
3° d’une somme de 1548 francs en principal et intérêts dus par Michel Hornecker et Anne Negmacher conjoints à Eckwersheim suivant obligation reçue Stoeber à Strasbourg le 5 novembre 1840
4° d’une somme de 1212 francs en principal et intérêts dus par Jacques Rohfritsch cultivateur à Oberhausbergen suivant obligation reçue Boersch le 26 mars 1845
5° Les intérêts d’un capital de 1270 francs (…) 37 francs, 6° les intérêts d’ue somme principale de 733 francs (…) 21 francs, 7° Enfin des rapports restant dus par l’acquéreur de la maison 14.651, Ensemble 20.769 francs
Masse passive 3032. Balance 17.737 francs
Comptes particuliers – Fournissement et délégations

Les héritiers font vendre la maison. La colicitante Sophie Holtzapfel se porte acquéreuse.

1845 (10. 9.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 143
N° 88, 4. 8.bre 1845. Dépôt du cahier des charges. Ledit M° Reis, commis par jugement du tribunal de première instance séant à Strasbourg en date du 24 du mois de septembre dernier, pour recevoir les enchères et procéder à la vente de la maison ci après désignée, Ont comparu (…)
N° 85. 3. 8.bre 1845. Cahier des charges, clauses et conditions de la vente aux enchères par aurtorié de justice qui aura lieu par le ministère de M° Reiss, Notaire à Strasbourg, commis par jugement du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg du 24 septembre 1845, d’une maison située en la dite ville, rue du maroquin marquée du N° 13.
Exposé. Dame Louise Sigrist veuve du Sieur Théophile Holtzapfel en son vivant tourneur à Strasbourg où elle demeure, ayant agi en qualité de tutrice naturelle et légale de ses quatre enfants mineurs issus du légitime mariage qui a existé entre elle et son dit défunt mari qui sont 1. Louise Holtzapfel âgée de 16 ans, 2° Madeleine Holtzapfel âgée de 12 ans, 3. Sophie Holtzapfel âgée de 12 ans, 4. et enfin Théophile Holtzapfel âgé de 8 ans, a fait convoquer et réunir en conseil de famille les parens et amis desdits mineurs afin de faite autoriser à vendre une maison située à Strasbourg rue du maroquin dépendant de la succession de Demoiselle Marie Madeleine Huck, vivant célibataire majeure, copropriétaire par indivis ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé sur ladite succession par M° Reiss, Notaire soussigné qui en a la minute et son collègue le 2 septembre dernier enregistré. Cette délibération fut homologuée par jugement du tribunal civil de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville en date du 24 du dit mois de septembre dernier, enregistré qui en même temps a ordonné que devant le Notaire soussigné, à ce commis il soit procédé à la vente par licitation de la maison et dépendances désignée ci après sur la mise à prix de 10.000 francs (…)

Désignation de la Maison à vendre. Une Maison avec pompe, Cour, Caves, droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du maroquin marquée du Numéro 13, tenant d’un côté au Sieur Spaeth tailleur d’habits, de l’autre côté au Sieur Valentin Diemer, faiseur de cribles par devant ladite rue du maroquin et par derrière sur l’auberge au Cerf.
Origine de la propriété. Cette maison dépend de la succession de ladite demoiselle Huck susnommée qui en a légué la propriété aux ci après nommés et dans la proportion également ci après établie, aux temres d’un premier testament par acte public dressé par M° Chrétien Théophile Stoeber le jeune Notaire à Strasbourg en présence de témoins, prédécesseur médiat du Notaire soussigné qui en a la minute, le 28 février 1827, enregistré le 28 juillet dernier en encore aux termes d’un second testament olographe en date de Strasbourg du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836, traduit en français (…) déposé (…) en l’étude du soussigné notaire Reiss suivant procès verbal du 28 juillet dernier enregistré et mis au rangd es minutes dudit notaire soussigné par acte du 16 août suivant. Elle appartient par indivis et dans le proportions suivantes 1° aux quatre enfants mineurs Holtzapfel chacun propre 1/48, ensemble pour 4/48
2° Dame Sophie Holtzapfel épouse de Monsieur Jean Charles Holtzapfel, avocat, les deux domiciliés à Strasbourg pour 4/48
3° Dame Jacobée Holtzapfel épouse de Monsieur Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, domiciliés et demeurant également en cette ville, pour 4/48
4° Mademoiselle Catherine Salomée Lang, célibataire majeure, sans profession, domiciliée à Strasbourg, pour 6/48
5° Mademoiselle Marie Madeleine Lang, aussi célibataire majeure, demeurant à Strasbourg pour la même proportion 6/48
6° Dame Marie Dorothée Westermann veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; elle y domiciliée et y demeurant pour un quart ou 12/48
7° Dame Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clementz Profoss, propriétaire, demeurans ensemble en ladite ville pour la même portion de 12/48, Total égal à l’entier 48/48. La défunte Demoiselle Huck était devenue propriétaire de cette maison pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, notaire en cette ville, présens quatre ttémoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et Dame Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritière pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec son dit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sieur Chrétien Westermann cordonnier en cette ville et Jean Huck cordonnier audit lieu par contrat reçu par Jean Daniel Stoeber Notaire public à Strasbourg qui en a gardé minute, en présence de témoins, le second jour complémentaire de l’an XIII de la République française. Le SieurJean Huck l’avait héritée dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck, cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était le seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par Monsieur Jacques Christophe Pantrion vivant Notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. arrêté le 6 juillet de la même année. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe Fels suivant contrat reçu à la ci devant Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackan [Mackau] Maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Prix d’estimation servant de mise à Prix, Les enchères seront ouvertes sur la mise à Prix de 10.000 francs
Charges, clauses et conditions de l’adjudication (…)
N° 143 du 10. 9.bre 1845. Adjudication – (…) plusieurs mises dont la dernière faire par M. Jean Charles Holtzapfel qui a déclaré avoir enchéri pour son épouse Dame Sophie Holtzapfel colicitante a porté le pris de ladite maison à la somme de 12.800 francs outre les charges de l’enchère. Et deux autres bougies successivement allumées s’étant éteintes sans mise ultérieure, le notaire Reiss soussigné a déclaré ladite maison adjugée au profit de ladite De Holtzapfel moyennant la somme de 12.800 francs
acp 340 (3 Q 30 055) f° 69-v, cahier des charges – acp 343 (3 Q 30 058) f° 21 (adjudication)

La maison est vendue après surenchère au vannier Jean Chrétien Hackenschmidt

1845 (27.12.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 443 (2668) n° 69
Extrait des minutes du Greffe du Tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg
Cahier des charges, clauses et conditions de la vente aux enchères par aurtorié de justice qui aura lieu par le ministère de M° Reiss, Notaire à Strasbourg, commis par jugement du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg du 24 septembre 1845, d’une maison située en la dite ville, rue du maroquin marquée du N° 13.
[voir l’acte Reiss]
(f° 147-v) Le notaire Reiss soussigne déclare que par acte au greffe du tribunal de ce siège sous la date du 17 novembre il a été fait une surenchère sur l’immeuble objet des présentes.
(Chrétien Hackenschmidt)
Cahier des charges supplémentaire. Par acte dressé au greffe du tribunal de ce siège sous la date du 17 novembre 1845 enregistré le même jour le sieur Chrétien Hackenschmidt fabricant vannier domicilié à Strasbourg ayant constitué M° Lederlin acoué près ce siège a fait une surmise du 6° sur une maison (…) Fait à Strasbourg le 25 novembre 1845 par M° Jean Louis Eugène Lederlin avoué près ledit tribunal demeurant à Strasbourg rue des hallebardes numéro 29
(f° 149-v) Adjudication sur surenchère. L’an 1845 le 12 décembre, à l’audeinc publique des criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville (…) Adjuge définitiveent l’immeuble formant l’article unique di cahier des charges de l’affiche au surenchérisseur pour ladite somme de 14.940 francs

Jean Chrétien Hackenschmidt et Louise Urban vendent en 1864 la maison à l’Œuvre Notre Dame pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé.

1864 (18.7.), Strasbourg 15 (112), Not. Momy (Hippolyte) n° 9797
Ont comparu Monsieur Jean Chrétien Hackenschmidt, fabricant vannier et Dame Louise Urban son épouse assistée de son mari, demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg (ont vendu)
à l’Œuvre Notre Dame de la Ville de Strasbourg pour laquelle son administrateur M. Charles Coulaux, Maire de ladite ville, Membre du corps législatif de France, du Conseil général du département du Bas-Rhin et de l’ordre impérial de la légion d’honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg
Désignation. Une maison à rez de chaussée, trois étages, mansardes, greniers & cave avec cour, droits, aisances appartenances et dépendances, le tout occupant une superficie d’environ 80 mètres carrés et 62 centimètres carrés et située à Strasbourg rue du Maroquin n° 13 ancien et n° 10 nouveau, tenat d’un côté à l’Œuvre Notre Dame, de l’autre au Sr Schott cordier autrefois zu Sr Valentin Diemer, par devant la rue et par derrière l’auberge au Cerf.
Délibération et arrêté relatifs à la vente. L’acquisition faisant l’objet du présent contrat a été autorisée par M. le Préfet du département du Bas-Rhin, l’avis dui conseil de Préfecture entendu, suivant arrêté pris à la date du 9 juillet courant à la suite de deux délibérations du conseil municipal de Strasbourg du 22 mars et du 10 juillet 1864 tendant à ce que la ville soit autorisée à faire l’acquisition pour agrandir les dépendances de l’Ecole militaire de Santé.
Annexes. Les parties ont requis M° Momy d’annexer aux présentes 1° une copie sur papier non timbré délivré par M. Daviel conseiller de préfecture de l’arrêté préfectoral préallégué, 2°et le plan sur papier frappé du timbre à l’extraordinaire (…) de la maison présentement vendue (…)
Etablissement de la propriété. I. L’immeuble dont il s’agit appartenait aux conjoints Hackenschmidt, vendeurs, pour en avoir fait l’acquisition à la barre du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé à l’audience publique des criées de ce tribunal le 12 décembre 1845 à la suite d’une surenchère du sixième faite pour M. Hackenschmidt par procès verbal dressé au greffe du tribunal le 17 novembre précédent, sur le prix principal de 12.800 francs porté en un procès verbal d’enchère dressé par Mr Reiss lors notaire à Strasbourg le 10 du même mois de novembre. Ces différents procès verbaux ont été transcrits au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 décembre 1845 volume 443 N° 69 et inscrits d’office au Volume 439 n° 44. La vente par adjudication dressée par M° Reiss prénommé le 10 novembre 1845 a été ordonnée par un jugement du tribunal civil de Strasbourg du 24 septembre précédent contenant homologation d’une délibération prise par le conseil de famille des mineurs Holtzapfel ci après nommée sous la présidence de M. le Juge de paix du canton sud de Strasbourg le 4 septembre 1840 (…). Les parties venderesses dans les procès verbaux préallégués ont été 1. Mad. Marie Barbe Westermann épouse de M. Léopold Clément Profoss, propriétaire, 2° Mad. Marie Dorothée Westermann veuve de M. Nathanaël Maurer, vivant vannier à Strasbourg; 3° Dlle Catherine Salomé Lang, sans profession, 4° Dlle Marie Madeleine Lang, sans profession, 5° De Jacobée Holtzapfel épouse de M. Pierre Alphonse Eisenbrandt charcutier, 6° D° Suzanne Holtzapfel épouse de M. Jean Charles Holtzapfel, avocat, 7° Louise Holtzapfel, 8° Madeleine Holtzapfel, 9° Sophie Holtzapfel, 10° Sr Théophile Holtzapfel, ces quatre derniers mineurs sous la tutelle légale de leur mère Mad. Louise Sigrist veuve de M. Théophile Holtzapfel vivant tourneur à Strasbourg, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg & ayant agi en qualité de seuls héritiers de Dlle Marie Madeleine Huck vivant célibataire majeure décédée en cette ville le 8 juin dernier ainsi qu’il résulte a) d’un testament par acte public dressé par M°Stoeber le jeune lors notaire en présence de quatre témoins le 28 février 1827, b) d’un testament olographe en date de cette ville du (le quantième étant illisible) mois de novembre 1836 déposé (…) en l’étude du même notaire Stoeber suivant procès verbal du 16 août 1845, c) et de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de la Dlle Huck par M° Reiss prénommé le 2 septembre 1845.. Le prix d’acquisition du sieur Hackenschmidts s’est élevé à 14.940 francs (…)
II. Madlle Huck était devenue propriétaire de la maison présentement vendue pour avoir recueilli la moitié dans la succession testamentaire de son frère M Jean Chrétien Huck, vivant célibataire, cordonnier à Strasbourg, y décédé suivant son testament par acte public dressé par M° Stoeber père, lors notaire en cette ville en présence de quatre ttémoins le 15 juin 1810 enregistré le 25 janvier 1812. Elle a hérité un quart dans la succession de ses père et mère, les conjoints Jean Huck vivant cordonnier et De Catherine Salomé Lix, tous deux décédés audit Strasbourg et dont elle était héritiers pour un quart conjointement avec des trois autres frères et sœurs. Enfin elle a acquis le dernier quart ou plutôt la moitié indivise avec sondit frère Jean Chrétien Huck de leur frère et sœur Catherine Salomé Huck veuve du Sr Chrétien Westermann cordonnier à Strasbourg par contrat passé devant M° Jean Daniel Stoeber lors notaire en cette ville le premier jour complémentaire de l’an XIII de la République française. III. Ledit Jean Huck l’avait hérité dans la succession de ses père et mère les conjoints Jean Huck cordonnier et Christine Goepfer demeurant à Strasbourg dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès dudit Sr Jean Huck par M° Jacques Christophe Pantrion vivant notaire public à Strasbourg le 30 août 1719. IV. Les époux Jean Huck avaient acheté cette maison des époux Jean Georges Koerner vannier et Catherine Barbe suivant acte reçu à la ci devant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg par M. François Guillaume de Rackan [Mackau] maître et conseiller de ladite ville le 8 janvier 1714.
Circulation (…) Prix, 26.000 francs. (…) Etat civil des vendeurs. Els vendeurs affirment 1° qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de communauté de biens aux termes de leur contrat de mariage passé par devant M° Noetinger notaire à Strasbourg le 4 juin 1835, 2° qu’ils n’ont jamais été chargés de tutelle ni d’autres fonctions emportant hypothèque légale, 3° et que l’immeuble par eux vendu esr franc et libre de dettes privilèges et hauteurs
(Joints, Plan, arrêté du préfet)
Préfecture du Bas-Rhin, 6° Division. Commune de Strasbourg. Acquisitions d’immeubles
Nous, préfet du Bas-Rhin, séant en conseil de Préfecture, présents MM. Bellaire, S Praut & Dervieu,
Vu les délibérations du conseil municipal de Strasbourg en date du 22 mars & 10 juin 1864 tendant à ce que la commune soit autorisée à acquérir pour le compte & aux frais de l’Œuvre Notre Dame moyennant le prix de 26.000 francs une maison appartenant au Sr. Hackenschmidt, sise à Strasbourg rue du maroquin 10 & occupant une superficie d’environ 8 ares 62,
Vu la promesse de vente souscrite le 24 Xbre 1843 par le Sr. Hackenschmidt,
Vu le procès verbal d’expertise, dressé le 29 juin 1864 par les Sr Arnold & Klotz, ce dernier désigné à cet effet par M. le Maire de Strasbourg,
Celui de l’enquête à laquelle il a été procédé les 20, 21 & 22 mai 1864 par le Sr Mallarmé, adj. au Maire de Strasbourg chargé de cette mission par notre arrêté du 3 mai 1864, L’avis du commissaire enquêteur, Le plan de l’immeuble à acquérir, Vu copie de la dépêche de S. Ex. le Ministre de la Guerre du 10 mars 1864, Vu l’arrêté du Gouvernement du 3 frimaire An XII. sur l’administration de l’Œuvre Notre Dame, la loi u 18 juillet 1837, le décret du 25 mars 1852,
Considérant que l’immeuble cidessus désigné est indispensable pour agrandir, en conformité de la lettre de S. Ex. le Minsitre de la Guerre du 10 mars 1864, les dépendances de l’école militaire de santé établie dans la bâtiment construit par l’Œuvre Notre Dame sur la place du Château à Strasbourg, Considérant que le prix demandé par le propriétaire est convenable, Considérant que l’enquête qui a eu lieu n’a soulevé aucune objection,
L’avis du conseil de Préfecture entendu, Arrêtons, Art. 1° La commune de Strasbourg est autorisée à acquérir pour le compte & aux frais de l’Œuvre Notre Dame moyennant le prix de 26.000 francs du Sr. Hackenschmidt une maison sise à Strasbourg rue du maroquin 10 (…)
acp 534 (3 Q 30 249) f° 92-v du 27.7.

Jean Geiss et Jacques Schaub acquièrent les matériaux de la maison en août 1864

1864 (1.8.), Maire
Procès verbal d’adjudication des matériaux d’une maison à démolir rue du Maroquin n° 10 appartenant à l’Œuvre Notre Dame
à Jean Geiss revendeur à Strasbourg et Jacques Schaub boulanger à Strasbourg approuvé le 5 août
acp 535 (3 Q 30 250) f° 14 du 6.8.



9, rue du Marais-Kageneck


Rue du Marais-Kageneck n° 9 – I 119 (Blondel), P 133 puis (1875) P 257, section 52, parcelle 18 (cadastre)

Deux nouveaux bâtiments construits par Jacques Schaub (1865, 1866) – Façade XVIII° provenant du 10, rue du Maroquin


Façade en deux parties du n° 9, le cordon au-dessus du troisième étage est commun aux deux parties (octobre 2013 et octobre 2007)
Partie droite caractéristique du XVIII° siècle (août 2021)

La maison appartient au début du XVII° siècle au jardinier Chrétien Ohl (Ol Christman, diebolts hansen Son selon la dénomination qui le distingue d’un autre Chrétien Ohl). Vendue à deux reprises par ses créanciers après sa mort, elle devient propriété du jardinier Laurent Wunderer. Le jardinier André Reibel fils de Michel achète en 1694 la maison qui restera dans sa famille jusqu’en 1864. Les bâtiments sont ceux qui sont accolés en L après les bâtiments disposés en U au milieu de l’image ; la maison sur rue a un étage. Les experts l’estiment en 1786 à une valeur minimale de 300 livres.


Plan-relief de 1725 (Musée historique)


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 9 – Cours D et V (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une façade à rez-de-chaussée surmonté d’un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (c-d) : premier bâtiment en porte cochère surmonté de greniers, bâtiment à rez-de-chaussée et un étage surmonté d’une toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre entre (3-4) la porte cochère et l’arrière du bâtiment sur rue qui y a son entrée. Le bâtiment (2-3) se trouve à droite de la cour, la remise (1-2) au fond de la cour. Le mur (4-5) ferme la cour sur la gauche, suivi du bâtiment (5-1) devant le bâtiment arrière. La cour V représente en (24-25) l’arrière du bâtiment au fond de la cour.
La maison porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 49. Elle prend le n° 9 après 1873.


Vues de la cour (octobre 2019) – Arrière du bâtiment sur rue – Arrière du bâtiment à galeries à droite de la cour – Arrière du bâtiment à gauche de la cour – Angle gauche à l’avant de la cour
Façade de la partie gauche (octobre 2019)

Le boulanger Jacques Schaub achète la propriété en 1864. Il s’associe la même année avec son gendre Philippe Sengel et construit un nouveau bâtiment sur la moitié du terrain au début de l’année suivante. Le revenu passe de 44 francs à 256 francs. Le maire cède un terrain communal en décembre 1865. Philippe Sengel rétrocède sa part en avril 1866. Jacques Schaub construit la même année un deuxième bâtiment sur l’autre moitié du terrain. Le revenu passe alors à 362 francs. La partie droite de la façade, caractéristique de la deuxième moitié du XVIII° siècle (Adolphe Seyboth signale dans son ouvrage le millésime 1768, éd. en all. p. 273), provient sans doute de la maison sise 10, rue du Maroquin. Les bâtiments sur cour sont construits en pans de bois, celui de droite a des galeries fermées. Antoine Atzenhoffer fait construire en 1893 un bâtiment arrière à un étage.

Marais Kageneck (312 MW 17)
Plan dressé après le siège de 1870 (AMS, cote 312 MW 17, extrait)
Le n° 49 (actuel n° 9) est le dernier bâtiment aligné sur la gauche.

septembre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Chrétien Ohl (Ol Christman, diebolts hansen Son), jardinier, et (1571) Anne Werckmeister – luthériens
1631 h Jean Georges Würmel, boucher, et (1631) Barbe Ohl – luthériens
1637 h Elie Ohl, jardinier, et (1628) Anne Wahl – luthériens
1641 adj Laurent Wunderer, jardinier, et (1585) Rosine Hügel puis (1604) Anne Schott – luthériens
1644 h Thiébaut Schæffer, jardinier, et (1639) Marguerite Wunderer – luthériens
1683 h Thiébaut Jud, jardinier, et (1672) Marguerite Schæffer puis (1690) Aurélie von Fridolsheim d’abord (1677) femme du jardinier Laurent Hammerer – luthériens
1685 v Martin Buhler, jardinier, et (1684) Aurélie Sigfrid – luthériens
1691 v André Reibel fils de Michel, jardinier, et (1681) Aurélie Wunderer – luthériens
1733* h Michel Reibel fils d’André, jardinier, et (1719) Marguerite Wolff puis (1733) Anne von Fridolsheim d’abord (1715) femme d’André Lix fils de Jean – luthériens
1741* h André Voltz fils de Thiébaut, jardinier, et (1743) Marie Reibel – luthériens
1785 h Thiébaut Voltz fils d’André, jardinier, et (1786) Marguerite Lix – luthériens
1834 h Daniel Vix, jardinier, et (1827) Marie Voltz
1864 v Jacques Schaub, boulanger, et (1833) Marguerite Salomé Strohl puis (1859) Marguerite (Barbe) Wollschlegel, d’abord (1847) femme du jardinier Frédéric Charles Wendland
1864 h (copropriétaires, 1864-1866) Philippe (Jacques) Sengel, charron, et ( 1862) (Caroline) Louise Schaub
1894* v Antoine Atzenhoffer, poseur d’aiguillages, et (1874) Caroline Roman, d’abord (1861) femme de l’aubergiste Philippe Charles Kiervel
1922- h Antoine Auguste Atzenhoffer, comptable

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1786

(1765, Liste Blondel) I 119, André Woltz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Andres Foltz Wittib, 7 toises, 0 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 133, Voltz, Thiébaut, cultivateur – maison, sol, cour, bâtiment – 4,1 ares / Voltz Marie veuve Vix Daniel

Locations

1689, Michel Ohl fils de Jean
1691, Michel Reibel, journalier
1865, Nicolas Michel, journalier, et Catherine Fischbach

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du marais Kageneck

nouveau N° / ancien N° : 49 / 25
Voltz
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 63 case 4

Voltz Marie, V° Fix Daniel

P 133, maison, sol, Marais Kageneck 49
Contenance : 4,10
Revenu total : 46,13 (44 et 2,13)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 6 / 5
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 157 case 2

Voltz Marie, veuve, Fils de Daniel
1866 Sengel, Philippe charron & Schaub, Jacques boulanger à Strasbourg
Schaub, Jacques

P 133, sol, maison, bat. Marais Kageneck 25
Contenance : 4,10
Revenu total : 46,13 (44 et 2,13)
Folio de provenance : (63)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1866
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1866, Diminutions – Voltz Marie veuve f° 157, P 133, maison, revenu 44, démolie en 1865, supp. en 1866

P 1571, sol, Marais Kageneck 49
Contenance : 0,16
Revenu total : 0,08 (total du sol 2,13 et 0,08 – 2,21)
Folio de provenance : voie publique
Folio de destination :
Année d’entrée :1867

P 133, maison
Revenu total : 258,21 (256 et 2,21)
Folio de provenance : C.on nouvelle
Folio de destination : 157 agrand.
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 65 / 52
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30

P 133, maison
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance : 157 agrand.
Folio de destination : theilw. zerstört
Année d’entrée : 1870
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30
1870, Augmentations – Schaub Jacques f° 157, P 133, maison, revenu 362, addition de construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Schaub Jacques f° 157, P 133, Maison, revenu 356, addition de construction en 1867, supp. en 1870

P 133, Haus
Revenu total : 37,21 (35 et 2,21)
Folio de provenance : 157 agrand.
Folio de destination : berichtigung, theilw. zerstört
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
1871 – Schaub Jacques f° 157, P 133, revenu 362

P 133, maison
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance : Rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30
1875 – Schaub Jakob f° 157-II, P 133, maison, revenu 362, rectification

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 169 case 1

Schaub Jakob
1891/92 Schaub Josef Frau geb. Wollschlegel Barbara
94/95 Atzenhoffer Anton, Weichensteller y. Ehefr. Karoline geb. Roman

P 257, Hofraum, Haus, Kageneckerbruch 9
Contenance : 4,26
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 38 / 30

Cadastre allemand, registre 31 p. 202 case 3

Parcelle, section 52, n° 18 – autrefois P 257
Canton : Im Kagenecker Bruch, Hs N° 9
Désignation : Hf, 3 Whs
Contenance : 4,11
Revenu : 4700 – 6500
Remarques :

(Propriétaire), compte 1753
Atzenhoffer, Anton u. Ehefr.
1922 Atzenhoffer Antoine Auguste comptable et son épouse
(625)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton I, Rue 15 Marais de Kageneck, p. 31

25
Pr. – Voltz Thiebault – Jard. f. b.

Registres de population

(1795) 1° section, Marais de Kageneck N° 25 (registre 600 MW 1) – légende

Theobald Voltz, 39, Journalier, Strasbourg
Marguerite Lix, 32, Sa femme, id

Registres de population

(1798) 1° section, Marais de Kageneck N° 25 (registre 600 MW 13, p. 272)

Voltz Thibaut, Cultivateur, Cit. actif, 41
Voltz née Lix, Marguerite, Epouse, 33
Oestreicher, Madeleine, Servante, 20, Suflum – An 5
Voltz, Marguerite, fille, 11
Voltz, Thibaut, fils, 8
Voltz, Daniel, id. 6
Voltz, Salomé, fille, 12 Mess. 6

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kageneckerbruch (Seite 70)

(Haus Nr.) 9
Artz, Wwe. 0
Irrmann, Fuhrunternehmer. 0
Hildenbrand, Magazinarbeiter. 0
Bechle, Ladendiener. 1
Buschmann, Tagner. 1
Bendel, Eisenb.-Bremnse. 1
Lorentz, Maurer. 1
Munsch, Bremser. 1
Bronner, Tagnerin. 2
Girardin, Wwe. 2
Müller, Tagnerin. 2
Hacker, Tagner. 2
Rössner, Schreiner. 2
Hanauer, Bremser. 3
Metzger, Strassenreiniger. 3
Seiler, Gasarbeieter. 3
Simon, Schreiner. 3
Straub, Wwe. 3
Burtscher,Wwe. 4
Eber, Strassenbahn-Schaffner. 4
Edel, Strassenreiniger. 4
Fäsel, Gärtner. 4
Guhl, Tagner. 4
Ferrari, Zementeur. 5
Caspar, Tagner H 0
Rub, Bahn.-Arbeiter. H 0
Höfer, Eisenbahn-Arbeiter. H 1
Kempf, Bremser. H 1
Felme, Sattler. H 2
Rauscher, Sattler. H 2
Fust, Bremser. H 3
Küntz, Postbote. H 3
Költz, Rangierer. H 3
Pecorini, Zementeur. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 837 W 194)

Marais Kageneck (rue du) n° 9 (dossier I, 1884-1989)

Antoine Atzenhoffer qui demeure dans la maison voisine (n° 7) fait construire en 1893 un bâtiment arrière à un étage : les travaux sont terminés en novembre.
La Commission contre les logements insalubres ordonne de faire de nombreux travaux. Les salles de bain prévues en 1964 ne sont pas exécutées. Le dossier se termine par des pièces concernant les projets de réaménagement du quartier.

Sommaire
  • 1907 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie dans une chambre
    1908 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie dans une cuisine (due à la graisse dans une marmite)
    1911 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie au rez-de-chaussée du bâtiment arrière
  • 1926 – Le locataire Laurent Kaiser se plaint de son logement au deuxième étage du bâtiment sur rue après une augmentation de loyer (propriétaire, Auguste Atzenhoffer, demeurant 4, rue Jean Hultz). La Police du Bâtiment ordonne des réparations, terminées en juillet.
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Atzenhoffer, demeurant au n° 7. L’humidité dans le logement à droite au rez-de-chaussée dans le passage n’a pu être constatée, 1903.
    Visite de 1907, remarques en 4 points
    1908. Les cloisons dans les pièces sombres doivent être supprimées
    1909. Alfred Decker demande une visite de son logement
    1913. Le locataire Wenninger se plaint de son logement.
    Idem Guthier-Kircheis. La cloison de la cuisine doit être plâtrée
    1914. Commission des logements militaires, rapport en 10 points
    1916, Idem (Marais Kageneck n° 9, propriétaire Atzenhoffer sur place), remarques en 42 points. Rapports complémentaires pour les travaux non encore exécutés
    Rapport. Trente-deux familles qui ont de nombreux enfants habitent la maison dont la façade a 3,20 mètres et une profondeur de 9,50 m sans que l’aération soit prévue à l’arrière. Certains logements ne devraient pas être loués à des fins d’habitation.
    1917. Plusieurs locataires élèvent des lapins au grenier. Tous les clapiers ne sont pas conformes aux prescriptions.
  • 1934 (avril) – Le locataire Henri Klumpp se plaint de son logement. La Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée. Nouvelle plainte en décembre, pour mauvaises odeurs – Travaux exécutés après le départ du locataire, septembre 1935
    1934 – Rapport des pompiers après un feu de cheminée (aile droite). La cheminée défectueuse est réparée, octobre
  • 1943 – Un locataire fait remarquer que la fumée envahit certains logements bien que leur locataire ne fasse pas de feu. Le rapport établit que les cheminées sont encombrées de suie
  • 1947 (février) – Un locataire se plaint que la rampe d’escalier manque dans la troisième volée et que les conduites d’eau ont gelé – Travaux terminés, mai
    1948 – Trois locataires se plaignent que l’eau a envahi leur logement suite à un orage. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée. (propriétaire, Auguste Atzenhoffer, demeurant 4, rue Jean Hultz)
    1949 – Autre plainte, le plâtre se détache du plafond. La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée.
    1963 – Plainte d’un locataire (propriétaire, Ott demeurant 1, rue du Chêne au Neudorf) – Lors de la visite, la toiture et les cheminées étaient réparées. Le logement par contre manque d’entretien – La menuiserie intérieure est réparée, décembre 1963
  • 1964 – Rapport des pompiers suite à un feu de cheminée dans le bâtiment arrière
  • 1965 – Jean-Georges Ott (1, rue du Chêne au Neudorf) dépose une demande de permis de construire (section 52, parcelle 18) pour aménager des salles de bain (premier et deuxième étages) et des cabinets de toilette (troisième et quatrième étages) – Plan de situation – Dessins – Le technicien en bâtiment Paul Spinner décrit les travaux à faire – Permis accordé le 18 mai 1965 — Les travaux ne sont pas exécutés
  • 1965 – Le locataire Dentler se plaint que l’eau s’infiltre par la toiture défectueuse
    1970 – Un locataire se plaint que M. Kanian qui exploite un atelier de traitement de peaux de lapins conserve des liquides inflammables au grenier. La Police du Bâtiment constate que M. Kanian fabrique depuis 37 ans de petits jouets dans une pièce au rez-de-chaussée et dans les combles. La Police du Bâtiment conclut que l’affaire d’ordre locatif échappe à sa compétence.
  • 1973 – Le service des incendies constate qu’une cheminée est défectueuse – Rapport de la Police du Bâtiment (propriétaire, Jean Georges Ott, 26 rue du Canal à Eckbolsheim)
    1979 – Le service des incendies constate que des appareils de chauffage sont mal raccordés à une cheminée – Le maire en fait part au propriétaire
    1982 – Le service des incendies constate que la toiture du bâtiment arrière s’est effondrée après une fuite d’eau – Le locataire Roux se plaint que son plafond s’est écroulé. Le maire écrit au propriétaire (Ott, Immeuble Conseil, 4, rue Martin Bucer) de faire réparer la toiture et de rendre conformes les installations électriques. Le locataire retire sa plainte, le propriétaire ayant fourni un autre logement
  • 1989 – Pierre Eberhard (propriétaire des n° 11, 15 et 17) demande en son nom et en celui d’autres propriétaires, commerçants et locataires de la rue du Marais-Kageneck une entrevue pour connaître les intentions de la ville sur l’ancienne caserne des pompiers, l’ancienne usine Félix Levy, le ravalement des façades rue Moll
    1989 (août) – L’OPAH (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat) Gare-Porte de Schirmeck, en cours depuis octobre 1988, comprend le carrefour du boulevard Wilson et du Faubourg de Saverne. Le maire a proposé le 4 juillet 1989 que l’Agence d’Urbanisme soit nommée chef de projet de l’OPAH (compte rendu de réunion, plans de propositions en annexe).
    1989 (octobre) – Le Maire répond à Pierre Eberhard
  • 1989 (juin) – Le maire refuse d’autoriser Jean-Georges Ott (28, rue du Manège à Eckbolsheim) à faire les travaux prévus parce qu’il devrait prévoir quinze places de stationenement
    Travaux demandés (voir lettre du 9 juillet), aménager un garage dans un ancien logement, rénover un local commercial. L’architecte Pierre Kimmenauer avait proposé d’aménager le sous-sol en galerie d’exposition.

Autres dossiers
837 W 195, garage et salle d’exposition, 1988-1990, refusé)
942 W 87 (volume II, 1990-1996)


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au jardinier Chrétien Ohl (tenants et aboutissants, 1607, 1631). Fils de Jean Ohl fils de Thiébaut, il épouse en 1571 Anne, fille de Guillaume Werckmeister. Leur fils Elis (infra) naît en 1582.

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 76, n° 5)
1571. Ol Christman, Ol diebolts hansenn nachgelaßener Son, und Anna Wilhelm Werckmeisters nachgelaßene dochter (i 40)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 117, n° 81) 1582. 22. Julÿ. Oel Christmann, Oel thieboldts hansen sohn, Anna (Infans) Elias (i 65)

Chrétien Ohl l’aîné, jardinier aux Charrons, assisté de son fils Elie Ohl, hypothèque la maison au profit de la veuve du jardinier Loup Gorius. En marge, acte du 18 novembre 1637 par lequel Elie Ohl, fils de feu Chrétien Ohl, s’engage à régler les héritiers de la créancière qui ont obtenu l’expropriation faute de paiement.

1626 (xiij. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 459 n° 696-v
Erschienen ohl Christmann d. Elter gartner vnder wagner, burger Alhie mit beÿstand Eliæ ohlen auch gartners Alda seines sohns vnd Johann Reichen deß Notÿ
hatt in gegensein hannß Schellen deß gartners vnder Wagner Alß ietzig. vogts Margreth Weÿl. Wolff Goriusen auch gewesenen Garters daselbst s. tochter – schuldig word. 77 Pfund
vnderpfand hoff, hauß, hoffstat Scheür, Stall vnd allen and. gebawen alhie im Kagenecker bruch neb. Elias ohlen obgedacht, j. vnd 2. s. neben Sixt N. dem Schultheiß. Zu Rohr hind. vff Michel Wolffen dauon gehen Jahrß 2 ß d bod. Zinß dem Stifft Jungen S. Peter
[in margine :] Erschienen Elias Ohl gartner Vnder wagner, weÿ: ohl Christmanns deß eltern Sohn, mit beÿstand H Daniel Branden Notÿ An einem, So dann weÿ: Margreth Goriußen s: ab intestato Erben mit namen Daniel Voltz vnd Elias Wunderer beede gartner Vnder wagner An andern theil, Zeigten an, demnach an hierin bestimpter schuldt 27. lb beneben den 7. frt. früchten Er, Ohl Christmann noch in Zeit seines lebens, hanß Schellen vögtlicher Weiß abgericht, dahero Er, Ohl Christmann noch in allen deß ohrts 50. lb (wie nach schuldig verblieben, im gegentheil Er Ohl Christman auch allerhand an sie Goriusische Erben p.tendirt, und die sach Erstlich Vor Einen Ers. Statt gericht hernacher vor E. Ers. groß. Rhat alhie anhäng. gemacht, Sie Gorischre Erben auch albereith die expulsion hierin gedachten haußes vnd possession erhalten, Alß heten Sie sich vf. E. Ers. großen Rhats den 2. dieß. ertheilt. bescheid mit ein and. Zuverhüetung weitläuffigen Vncostens in beisein H Joh: Friderich Leoparden und H. Johann Georg Marbach alß vß erst wohl gedachts Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt und gegen einander. gehabter anforderung verglichen, daß Er Elias Ohl ihnen den Goriußischen Erben für alle deßorths gehabte forderung vff nechstkünfftig weÿhenacht. 40. lb. d ohne zinß zuerstaten, vnder deßen sie solche Behaußung abzutretten nit schuldig vnd im fall solche Zahlung nit erfolgt werd., Alß denn Sie Ihnen ihre Albereith erlangte recht hiemit außdruckentlich vorbehalt hab. wollen – Act. den 18. 9.bris 1637.

Chrétien Ohl l’aîné se porte garant de son fils jardinier Chrétien Ohl le jeune en hypothéquant sa maison. En marge, quittance accordée en 1663 au propriétaire de la maison, Thiébaut Schæffer.

1627 (ut spâ. [xj. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 313
Erschienen Ohl Christmann der Jung gartner vnder Wagner, burger Zu St.
hatt in gegensein Daniel Steinbocken, Würths im Falckenkeller alhie – schuldig seÿe 50. pfund d. St.
Vnd Zu noch mehrer sicherheit seind auch erschienen Ohl Christman der elter sein deß Debitoris eheleiblich Vater vnd Bernhardts hannß gartner An steinstraß die haben sich für sich & für obige schuld Zu rechten Bürgen Mit vnd selbst schuldner vnd Zahlere unver. gesetzt
Er Ohl Christmann der Elter in spê zu vnderpfand v.legt hauß, hoff, hoffstat, Scheür vnd Stall, mit allen and.en & alhie im Kagenecker bruch neben Andreß Isen j. vnd 2 seit Elias ohlen sein sohn, hind. vff besagts Isens garten stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß x lb d bod. Zinß dem Stifft Jung S. Peter
[in margine :] Erschienen H Johann Sebastian Gambß alß der Statt Straßburg Müntz verwalter, hatt in gegensein diebold Schäffers Gartners Vnderwagner, alß ietzig Possessoris hierinn gedachter behaußung (quittirt) Actum den 29. Aug. A. 1663

Chrétien Ohl fils de Jean Ohl fils de Thiébaut hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Planck. Les témoins sont ses fils Chrétien Ohl et Elie Ohl.

1630 (17. feb.), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 161
Erschienen ohl Christmann, ohl dieboldts hansen sohn, gartner vnd burger Zu straßb.
hatt in gegensein hanß Plancken deß Weißbecken auch burgers Zu St. – schuldig seÿ 100. Pfund
zu vnderpfand verlegt vnd eingesetzt, hauß, hoff, hoffstat, Scheür vnd Ställ mit allen andern deren gebäwen, & so gelegen alhie im Kagenecker Bruck neben elias ohlen sein Debitoris sohn & neben Georg Lehesen, hind. vff Michel Wolffen witib stosend, welche zuuor v.hafftet seind vmb 100. gld. Daniel Steinbocken, vnd dann gehen Jarß auch dauon x. ß d bod. Zinß dem Stifft Zum Jungen S. Peter alhie
Dabeÿ gewesen Christman vnd Elias die ohlen, bede deß Bekenners Söhn

Chrétien Ohl l’aîné lègue le jouissance de ses biens immeubles pendant neuf ans à sa petite-fille Barbe, fille d’Adolphe Ohl, en rétribution de ses services. L’acte est annulé.
1630 ([23. 9.bris]), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 746
(nil actum) Erschienen ohl Christmann der Alt, gartner vnder Wagner, burger Zu Straßb., gleich wohl hohen alters, nichts desto weniger noch gesunden stehend vnd gehenden Leibs, auch guter verstendlicher Sinnen vndt vernunfft, Zeigte selbst mündtlich An, wie daß sein Enckel Barbara Adolff Ohlen auch gartners vnder wagner alhie, vnd sein Christmann ehelich. Sohns tochter, ihme alß ihrem Großvater biß hero getrewlich hauß erhalten, Alß wolte Er dieselb danckbarer widergeltung volgender gestalt bedencken, Inmaßen er auch hiemit alßbalden verordnet daß besagt sein Enckel Barbara nach sein deß Großvaters absterben, deselben hauß v hof sampt allen anderen ligend. gütern (…) vnd also sein gantz. V.laßenschafft (…) Neün Jahr lang, vnd alle Jar höher nicht dann für vnd vmb 5. lb. Zinses rüewiglich, ohne sein ohl Christmanns Kinder vnd erben einiche widerred, irrung vnd eintrag, zubesitzen, nutzen und zu nüeß. macht haben solle

Acte de même teneur dressé le lendemain en des termes légèrement différents
1630 (24. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 747
Erschienen ohl Christmann der elter gartner vnder Wagner, burger Zu St. mit beÿstand Urias Hucken gartners An einem
So dann Barbara seines sohns Adolff Ohlen auch gartners daselbsten eheliche dochter mit beÿstand hanß Bentzen ihres Vogts am 2. theil, Zeigten an und bekannten gegen einander,
demnach er ohl Christmann nun ein hohes Alter, durch die genad Gottes erreicht, vnd seine leibs cräfften durch schwere handarbeit also abgenommen, daß ihme seiner handtierung ferner nachzugehen unmüglich fallen thue, darzu auch in den trawrigen Wittibstand, Gottes gnedigen willen nach gesetzt worden, dahero er guter wartung in seinem hohen Matern alter bedörffig, Vnd bißhero obgedachte Barbara sein Enckel ihme die haußhaltung dermassen gefüert, daß Er daran ein gut wohlhäbig genüegen getragen, auch Er sich solches zu derselben fürbaß getröste, Alß heten sie sich mit einander eines Leibgedings vff ihr beeder obgedachter beÿständern Zuuor gepflogenen rhat und gutachten, dergestalt und dahin verglichen daß Er Christmann Ohl der Großvater ihr Barbaræ sein Enckel Einen Lehnacker im Zielbaum (…)
Zum and. hat auch mehrgedachter Großvater Sein hauß vnd hoff sampt allem haußrath nichts dauon außgeschloßen (…) mit diesem beding Ihr Barbaræ übergeben, daß dieselb solches alles von Nechstkommend Weÿhenachten an Neün Jarlang die nechsten nach einander volgend, haben, besitzen gebrauchen, nutzen vnd nüeßen (…)
Hiengegen soll offtgedachte Barbara ihrem lieben Großvater in diser ihr ietz vbergebenen hauß mit speiß und tranck, nothwendiger kleidung (…) versehen (…)

Chrétien Ohl l’aîné vend la maison à Barbe Ohl fille d’Adolphe.

1631 (17. Feb:), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 106-v
Erschienen Ohl Christman der älter, gartner Vnder Wagner, mit beÿstandt Clauß Würmblins deß Weinstichers
hatt in gegensein Barbaræ Ohlin, mit beÿstand Ohl Adolffen auch gartners An Steinstraß ihres Vattern, vndt hanß Bentzen ihres vogts (verkaufft)
hoff, hauß, hoffstat, scheür und Ställ, mit allen andern ihren gebäwen, alhie im Kagenecker Bruch neben Georg Lehesen & Elias Ohlen, hind.vff Michel Wolffen vnd hanß Weilers garten stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich 10. ß d bod. Zinß dem Stifft Jungen S. Peter, So seind sie auch verhafftet vmb 50. lb d hanß Plancken dem weißbecken, Item vmb 50 lb d Daniel Steinbocken, Item vmb 50. lb. d Wolff Goriußen deß gartners see: tochter so zwar noch streitig, So dann vmb 50. lb weÿ: H Hanß Jacob Crusÿ, Hanß Jacob Winters, hanß Ohlen und Georg Nartz. Kindern, all sein Verkäuffers Enckeln sonst eigen,
Item eine Kuhe, Zweÿ pferdt, Kärch, schiff vnd geschirr (…) für vnd vmb 600. lb vber abzug der beschwerden aber vmb 390. lb d. daran der Verkäuffer ihro Käufferin 150. lb d dergestalt abgehen zumaßen verwilligt, daß sie hingegen ihne sein leben lang vermög deß en 24. Novembris Jüngsthin auch in der Contractstuben vffgerichten Leibgedings, gebürlich Zuund.halten schuldig sein soll

Barbe Ohl épouse quelques semaines plus tard le boucher Jean Georges Würmel, fils de l’aubergiste Nicolas Würmel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 10)
1631. Dominica 2. post Trinitatis. Hanß Görg Würmel d. Metzg. Clauß wurmels deß alten Wurts Zuem grauen man ehelich. Sohn J. Barbara Adolph Ohlen deß Gartners alhier eheliche tochter (i 11)

L’inventaire de 1683 (voir plus loin) cite deux adjudications judiciaires qui se rapportent à la maison, datées du 7 janvier 1635 et du 20 mai 1641. La première doit être l’adjudication au profit des héritiers de Loup Gorius sur Barbe Ohl, la deuxième celle au profit des héritiers de Laurent Wunderer sur Elie Ohl.

Devenu propriétaire en 1637 (voir ci-dessus l’obligation datée de 1626), Elie Ohl fils de Chrétien épouse en 1628 Anne fille de Jacques Wahl, de Dorlisheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186)
1628. Dominicâ Exaudi. Elias Ohl, d. gartner alhie Christmann Ohl deß gartners ehelich. Sohn, J Anna Jacobs Wallen Burg. Zue Dorlißheim eheliche tochter. 3. Junÿ (i 191)

La vente de 1644 est consentie par les enfants et héritiers de Laurent Wunderer, soit 1) les enfants de Jacques Wunderer, 2) Elie Wunderer, 3) Catherine Wunderer femme de Daniel Voltz et 4) Anne Wunderer femme de Jacques Reibel
Fils de Jacques, Laurent Wunderer épouse en 1585 Rosine Hügel puis en 1604 Anne Schott
Mariage, Sainte-Aurélie (luth.p. 107, n° 12)
1585. den 28. Junÿ seind eingesegnet Lorentz wunderer Jacob wunderers nachgelaßener Son vnd Rosina Anstet Hügels nachgelaßene Tochter (i 55)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p 7, n° 2)
1604. den 16. Januarÿ. Mit diesen Sindt eingesegnet Lorentz Wunderer d gartner vnd Anna Hans Schotten des gartners tochter (i 4)

(Baptêmes, Laurent Wunderer et Anne Schott, Sainte-Aurélie, Elisée 1605 n° 22, Catherine 1611 n° 41, Anne 1615 n° 28)

Issu du premier mariage, Jacques Wunderer épouse en 1614 Getrude, fille d’Oswald Moll
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 136 n° 42)
1614. 4. Octobris Jacob Wunderer der Gartner, J. Gertrud, Oswald Mollen S. gartners alhier (i 140)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p. 27) 1614. den 4. Octobris ist bei uns außgeruffen worden Jacob wunderer Lorentz wunderer Burger vnd Gartner alhie ehelicher Sohn, J Gertrud Oswald Mollen deß gartners seligen hinderlaßene eheliche tochter Seind Zum Alten S Peter eingesegnet worden (i 14)

Elie ou Elisée Wunderer épouse en 1627 Anne, fille du jardinier Jean Westermann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 182)
1627. Elias Wunderer d. Gartner Lorentz Wunderer deß gartners alhie nachgelaßener Sohn, J. Anna Hanß Westermanns deß gartners allhier eheliche tochter 26 Junÿ (i 187)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p 66) 1625. den 26. Junÿ Seind Zum Alt S Peter ehelichen eingesegnet Worden Eliseus Wunderer der gartner Lorentz Wunderers des gewesenen Gartners alhie ehelicher Sohn, Vnndt J Anna Hans Westermans des Gartners alhie eheliche Tochter, welche auch beÿ vns seind ausgeruffen worden (i 35)

Catherine Wunderer épouse en 1630 le jardinier Daniel Voltz
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 80, n° 9)
1630. den 25. Maÿ Sind nach Ordentlicher ausruffung Ehelichen eingesegnet worden Daniel Voltz der Gartner Hrn David Voltzen s. des gewesenen gartners vnd Fünffzehners nachgelaßener ehelicher Sohn, vndt J. Catharina Lorentz Wunderers S. des gewesenen gartners vndt Burgers alhie nachgelaßene eheliche tochter (i 42)

Anne épouse en 1636 le jardinier Jacques Reubel
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 100)
1636. 7. Junÿ, St. Aurel. Jacob Reübel der gartner allhier, J. Anna Lorentz Wunderers des gartners nachgelaßene tochter (i 53)

Les enfants et héritiers de Laurent Wunderer d’une part, la veuve du boulanger Jean Planck (voir l’obligation de 1630) et Barbe Ohl femme de Jean Georges Würmel (voir la vente de 1631) vendent la maison à Thiébaut Schæffer et à sa femme Marguerite Wunderer (petite-fille de Laurent Wunderer)

1644 (23. febr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 126-v
Erschienen Elias Wunderer Gartner und. wagner für sich selbst. und alß Vogt weÿl. Jacob Wunderers Gartners daselbst nunmehr seel. nachgelaßene sechß Kinder, mit nahmen Margaretha, Diebold Schäffers eheliche haußfrau, Aurelia, Anna, hannß, Lorentz und Jacob, Mehr Daniel Voltz Gartner und. wagner alß Ehevogt Catharinæ Wundererin, Vnd Jacob Reübel Gartner alda alß Ehevogt Annæ Wundererin, alle weÿl. Lorentz Wunderers Gartners und. wagner seel. Erb. und Erbens Erben, Ferners H Daniel Steinbockh alter groß. Rhats Verwanth. für sich selbst. Mehr H Georg Rhem Schaffner Zu St Marx alß Vogt Annæ Mariæ Rosenbergerin Weÿl. hannß Blanckhen deß Weißbeckh. seel. wittibin, Vnd dann Barbara Ohlin, mit beÿstand hannß Georg Würmelß ihres Ehevogts
haben in gegensein Diebold Schäffers und Margaretha Wundererin seiner Ehewürthin bekant, daß Sie Lorentz Wunderers seel. Erben und Erbens Erb. wie auch H Daniel Steinbockh die Blanckische wittib Dni Steinbockh Et Emptoren Mont. d. 11. martÿ a° 1644 für sich selbst. und im nahmen ihrer mit interessent. alle alß vff nachgemeldter Behaußung versicherter Creditoren (gekaufft)
Hauß, Scheur und tall mit allen deren Gebäwen alhie im Kageneckher Bruch neben Georg Lehens dem Gartnern und. Wagner Zu beed. seit. hind. vff Mathiß Geÿern den Gartnern stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 10. ß d vff Joh. Bapt: und weÿhenachten iedes mahlß zum halben theil dem Stifft Zum iung. St. Peter, Bodenzinß, deßweg. die de a° 1638. inclusive biß dahero verfallene Zinnß ohnbezahlt außständig seind, So ist dieße Behaußung verhafftet denen wundererisch. Erb. umb 40. lib. Capital, zinnnß und Marzahl biß dato 12. li 10. ß, Vncost. ahne 39. lib. 6 ß 6 d daran 32. lib 15 ß d durch die vffgehabene Nutzung compensirt word. noch per Rest 6 lib. 11 ß 6 d Item 28 lib. lidlohn besagter Barbaræ ohlin, Mahr H Daniel Steinbockh ahne hauptgut 50. lib. davon 14 ¾. Jahr Zinnß 36. lib. 17. ß 6 d Ferners hannß Blanckh wittib umb 59. lib. 4 ß 9 d Und wer noch ferners liq.diren wirt daß Er vff diße Behaußung versichert seÿe – umb 265 Pfund

Fils du jardinier du même nom, le jardinier Thiébaut Schæffer épouse en 1639 Marguerite, fille de Jacques Wunderer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 44-v)
1639. Eodem [Dnca Quinquag: 24. febr.] Dieboldt Schäffer der Gartner, Dieboldt Schäffer des Gartners Ehelicher Sohn J. Margreth Jacob Wunderers des Gartners hinterlaßene tochter. Zinst. 5. Martÿ (i 46)

Marguerite Wunderer veuve de Thiébaut Schæffer meurt en décembre 1683 en délaissant trois enfants. La succession s’élève à 802 livres, L’acte mentionne que la maison est attribuée à la petit-fille de la défunte, Anne Schott.

1683 (1.2.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 1) n° 7
Inventarium und Beschreibung aller Haab Nahrung und Güettere, Ligend und vahrender, lehen: und Eÿgener, Verändert und Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hindan gesetzt, So weÿland die tugendsame Margaretha Wundererin deß auch weÿland deß Ehrengeachten Diebold Schäffers deß Eltern geweßenen Garttners Under wagnern hinderlaßene Wittib, nach Ihren Sambstags den 26.ten Decembris dießes nechst abgewichenen 1682.ten Jahrs, tödlichem ableiben verlaßen, welche uff ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Daniel Wilden deß Eltern alß geschwornen Curatoris und vogts Jacob Schäffers deß Ledigen Garttners, Ferner Margarethæ Schäfferin, deß Ehrengeachten Diebold Juden deß Jüngen auch Garttners Allda, haußfrauw, mit beÿstand besagts Ihres Ehemanns, So dann deß Ehrenhafften Michael Voltzen Davidts Sohns auch Garttners daselbsten, alß ahnestatt Dieboldt Juden obgemeld deß rechten Vogts geschwornen theÿl Vogts Annæ weÿland der tugendsamen Frauwen Annæ Schäfferin mit dem Ehrengeachten Andreß Schotten auch Garttner Under wagern Ihrem hinterlassene haußwirth ehelich erzeugten döchterlins, in fernerm gegensein gemeldt Andreß Schotten deß Vatters, aller dreÿ der Verstorbenen, Frauwen seeligen hinderlaßener Kinder und der abgeleibten dochter hinterl. Enckleins und nunmehr ab intestato und mit gewißem beding per testamentum eingesetzte nechsten Erben Ersucht und befunden durch obgemelden Sohn und dochter (…) Beschehen in wohlermelter Statt Straßburg Montags den Ersten Februarÿ Anno 1683.

Copia deß von der Abgeleibten frn. seelig auffgerichteten Testamenti nuncupativi – In dem Jahr 1682 (…) auff Freÿtag den 13. tag deß Monats Martÿ Styli novi Abendts Zwischen Acht und Neün Uhren in der Königlichen Freÿen statt Straßburg und einer daselbst in der Vorstatt underwagnern in der neüwen Zeil gelegenen dem Ehrengeachten Diebold Juden dem Jüngern Garttner vnderwagnern Eÿgenthümlich zuständiger behausung dero Undern Stuben mit den Fenstern auff die gaß außsehend (…) persönlich erschienen die Ehren: und tugendsame Frauw Margaretha gebohrne Wundererin weÿland Diebold Schäffers geweßenen garttners vnderwagnern burgers alhier nunmehr seelig hinderlaßene Wittib von dem gnaden des grundgütigen Gottes aufrechten gesund gehend und stehenden leibes auch guther verständiger Sinnen und vernunfft (…) Johann Heinrich Lang Nots.
Haußrath So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg auch dero vorstatt außerhalb deß Zollthors an dem sogenanten Kagenecker bruch gelegenen hernachbeschriebenen behaußung sich befunden alß volgt
In der Kammern A, In der Cammer B, Inn der Wohn Stuben, Inn der Stub Cammer, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb Einer behaußung. Item Hauß, Hoff, Hoffstatt Scheur und Ställ mit Allen Ihren überigen gebäuwen begriffen, weithen, rechten und Zugehörden, gelegen in der Statt Straßburg, auch dero voorstatt im Kagenecker bruch, eins. neben Andreß Brilinger, anders. neben Lorentz huckhen Gärttner, vnder wagner, hinden vff Matthiß Geÿern auch Garttner Allda vornen vff bemeltten bruch oder daß Allmend stoßend, davon gehen Jahrs uff (-) 10 ß gelts, oder boden Zinß der [sic] Stifft Zum Jungen St Peter allhier gehörig, sonsten ledig eÿgen und hiehero angeschlagen für 250 lb. Darüber anietzo Vorhanden Zwen Pergamentene ganth Kauffbrieff darund. der Erste datirt deb 7. Januarÿ Anno 1635. der Andere aber den 20. Maÿ Anno 1641. beede mit N° 1 bemerckt.
Item der halbetheÿl vor ungetheÿlt von und ahne Zweÿ Kleinen häußlin beÿ dem Crohnenburger thor vnd dem sogenanten halben tach gelegen (…)
Nota. die Inn dem Kagenecker bruch gelegene behaußung ist Zwischen den 3. geschwisterden und dero Eines theÿls geschwisterd Kind. und deßorts Ecklein umb 300 lb. d verlooßt, auch in solchem looß Anne dem Enckelin Zugefallen, gibt Also daran* seiner Mutter seel beeden geschwisterden Jacob und Margaretha gemeinlich davon herauß 400
Forma Hujus Inventarÿ. Haußrath 23, Früchten 9, Blumen uff den Veld 10, Vÿhe 22, Schiff und geschirr 6, Strohe und booßen 2. Tünchung 9, Pfenningzinß hauptguth 8, Silber und guldene Ring 2, Eÿgenthumb ahne Einer behaußung 255, Eÿgenthumb ligender Veldgütter 434, Beßerung der lehengütter 17, Schuld 2, Summa summarum 802 lb
Summa Prælegaten 97 – Conclusio finalis Inventarÿ 802 lb

Le tuteur d’Anne Schott vend quelques mois plus tard la maison à Thiébaut Jud le jeune (mari de Marguerite Schæffer, autre fille de la défunte)

1683 (8. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 399-v
Herr Johann Gumbrecht der Älter undt herr Johann Jacob Schneider beÿdte alß auß E.E. großen Rhats mittel ahne statt nachgemelts diebold Juden, welcher Annæ, Andres Schotten döchterleins Vogt und Zugleich kaüffer ist, insonderheit Deputirte
in gegensein dieboldt Juden des Jüngern Gartners Underwagner, obged.
Einen dritten theÿl, Ihro Annæ für ohnvertheÿlt gebührendt, ahne hauß, hoff, hoffstatt, Scheur undt Stallung, sampt allen deren gebaüwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten undt Gerechtigkeiten, alhier im Kageneckher Bruch, einseit neben Andres Brüllinger, anderseit neben Hannß Voltzen et consorten, hinden uff Mathis Geÿer stoßend gelegen, undt gehendt von der gantzen behausung 10 ß d bodenzinß dem Stifft Jungen St: Peter – umb 200 fl.

Fils du jardinier Nicolas Jud, Thiébaut Jud épouse Marguerite Schæffer en 1672.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151-v, n° 5)
1672. Diebolt Jud der Jüngere, Claus Judten des Burgers Undt Gartners Unter den wagnern Ehelich Sohn, Vndt J Margaretha, Diebolt Schäfers des Burgers und Gartners allhier Ehel. Tochter. Zinst. 15.febr. (i 153)

Marguerite Schæffer meurt en novembre 1689 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison aux Maisons Neuves (faubourg de Cronenbourg). La masse propre au veuf est de 386 livres, celle des héritiers de 516 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 815 livres, le passif à 736 livres.
1690 (2.1.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 5) n° 110
Inventarium und Beschreibung Aller Haab, Nahrung und Güettere ligend. und vahrender, lehen und Eÿgener, verändert und Unveränderter, keinerleÿ davon außgenommen noch hindan gesetzt, So weÿland die Ehren und tugendsahme Fraw Margaretha Judin gebohrne Schäfferin deß Ehrengeachten Diebold Juden gartners Underwagnern und burgers Zue Straßburg geweßene Ehefraw nunmehr seelig, nach Ihrem Donnerstags den 24.ten Novembris deß nechst abgewichenen 1689.ten Jahres beschehenen tödlichen ableiben hinder Ihro verlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsahmen oswald Mollen garttners und burgers allda als geschwornen Curatoris und vogts Dieboldts, Margarethæ und Aureliæ geschwisterden der abgeleibten Frauwen seeligen mit obbesagtem diebold Juden Ihrem geweßenen Ehemann und nunmehro hinderlaßenen wittwer ehelich erzeugte dreÿ Kinder und anjetzo derselben ab intestato nechste Erbe, Jedem Zum dritten theÿl berührend (…) beschehen in wohl ermeldter Statt Straßburg Montag den andern Januarÿ Stÿli novi Anno 1690.

So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg vorstatt in der Neüen Zeilen und hernach beschriebenen Theÿlbahrer behaußung als volgt befunden
Holtz: vnd feder werck. Inn der obern Stuben, Inn der Stub Cammer, Inn der Kuchen, Im haußöhren, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Camer auff dem hainostel*, Inn der wohnstuben, Inn der Stub Cammer, Im Haußöhren, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb Einer Behaußung. (T.) Item Hauß, Hoff, Hoffestatt, Scheür, Stallung in der Voorstatt Underwagnern in der Neuwen Zeilen (…)
(E.) Item Ein Sechsten theÿl vor ungetheilt von und ane einem Kleinen Häuüßlein sampt denen appertinentien beÿ dem Crohnenburger thor (…)
Ergäntzung der Erben vor unverändert in Ehestand gebracht und ererbt aber anjetzo manglend. befundenen Guths. Auß dem Theÿl Register welcher besagt waß der abgeleibten frauwen seeligen in abtheilung weÿland deß Ehrengeachteen Diebold Schäffers deß ältern geweßenen garttners under wagnern und burgers Zu Straßburg Ihres lieben Vatters seelige verlaßenschafft
Ergäntzung deß Wittwers vor unverändert in Ehestand gebracht und darinnen ererbten, aber anjetzo alienirt und abgangenen Guths. Vermög Theÿlrgisters welches besagt waß dem Wittwer Inn weÿland deß Ehrengeachteen Clauß Juden geweßenen Garttners und burgers zu Straßburg seines lieben vatters seelugen Verlaßenschaffts Abtehÿlung für deßen gebührenden halben theÿl Erbich Zu und angefallen
Forma hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Deß Wittwers unverändert gutt, Haußrath 13, Guldener Ring 1, Eÿgenthumb liegender Veldgüther 200, Beßerung ane lehengüthern 2, Ergäntzung (218, abzug 19, Rest) 199, Summa summarum 416 lb – Schuld 30, Nach deren Abzug 386 lb
Vogt nuhn hierundt der Erben unveränderte Nahrung, haußrath 27, Kueh 2, Guldener Ring 1, Eÿgenthumb liegender veldt güther 270, beßerung ane lehengüthern 8, Eÿgenthumb Einer beßerung 2, Schuld 30, Ergäntzung (228, Abzug 9, Rest) 219 lb Summa summarum 516 lb
Hierauff würd auch die Gemeine und theÿlbare substantz beschrieben, haußrath 50, Früchten auf dem Casten 150, blumen auff dem velde 24, Vÿhe 87, Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 18, hanff 12, heüw Strohe und boosten 9, besserung 8, Silber geschirr und Geschmeidt 8, Guldene Ring 5, Eigenthumb Einer behausung 450, Eÿgenthumb liegender veldtgüther 557, beßerung ane lehengüthern 6, Pfenningzinß hauptgüter 427 lb, Summa summarum 1815 lb – Schulden 736, Nach deren Abzug 1069 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft deß Wittwers unverändert. Vermög deß über weÿland frauwen Othilia Ruelmännin deß Ehrengeachten Christoph Winthers garttners vnderwagnern und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen haußfrau und deß wittwers geliebten Mutter seelig. den 18.ten Januarÿ A° 1684. auffgerichteten Verlaßenschafft Inventarÿ
Wÿdumbs Verfangenschaft so theÿlbar. Item hat der Wittwer wehrender dieser Ehe von Martin Marlen seinem Einbändigen bruder welcher ahne vorbeschriebener behausung so Christoph Wither garttner underwagnern biß ahne sein absterben Wÿdumblich Zunutzen und zugenießen hat

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Thiébaut Jud à se remarier avant Pâques alors que son deuil n’est pas terminé. Il argue qu’il a trois enfants malades et des domestiques dont il faut s’occuper et que le travail des champs l’occupe.
1690 Conseillers et XXI (1 R 173)
(f° 69) den 20.ten febr. – Diebold Jud der garttner pt° dispensationis sich zuverheurath.
Gol beneben Dibold Juden dem gartnern und burgern alhier prod. ansuchen und bitten mit beÿlag a. weilen der liebe gott den 2.ten Xbr vorigen jahrs sei haußfrauw von dieser welt abgefordert, Er eine schwäre haußhaltung mit 3. Krancken Kindern und gesindten erhalten, darneben auch ein großen ackherbauw führen muß, den last aber alleinig nicht ertragen möge, umb dispensation sich annoch vor Ostern anderwertlich Zuverheurathen. Erkandt Dispensando willfahrt und solle Implorant 3. lb d in beede Allmoßen Zugeben schuldig sein.
Hr. XV Johann Richshofer, Rath. Kamm

Thiébaut Jud se remarie en mars 1690 avec Aurélie von Fridolsheim qui avait épousé en 1677 le jardinier Laurent Hammerer.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 23)
Eodem [1 Martÿ 1690] diebolt Jud gartner Und burger alhier und Aurelia, Lorentz Hammerers burgers Und Gartners alhier hinterlaßen wittib gebohrne fridolsheimerin [unterzeichnet] diebold Judt hochzeiter, + dießes hat hieher gesetzt hochzeiter, Clauß Judt als beÿstandt des brutter (i 24)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 175, n° 29)
1677. den 10 Maji seindt Copulirt worden Lorentz Hammerer gartner V. Burger, V. Aurelia Hanß von Fridolßheim deß gartners alhie ehelich tochter (i 176)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari proviennent en partie de son premier mariage avec Marguerite Schæffer, ceux de la femme s’élèvent à 402 livres.
1690 (4.7.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 6)
Inventarium über deß Ehrengeachten Diebold Juden Garttners underwagnern und der Ehren und tugendsahmen frawen Aureliæ von fridolsheim beeder Ehegemächd und burgere alhie Zue Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebrachte ligend und vahrende Haab und Nahrung, auffgerichtet Anno 1690. (…) durch sie also vnd ein Jeedes Insonderheit in des andern Persöhnlicher gegenwarth und fernern beÿsein der Ehrenhafft Ehrengeachten Ehrsam und bescheidenen Herrn hanß von Fridolsheim und hanß von Fridolsheim hanßen Sohns beeder gartner under wagnern und burgere zu Straßburg der Frauwen geliebten herrn Vatters, bruders und vogts (…) Beschehen den andern tag Julÿ Ano 1690.

So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg vorstatt in der Neüen Zeilen und hernach beschriebenen Theÿlbahrer behaußung als volgt befunden
Holtz: vnd feder werck. Inn der obern Cammer, Inn der obern Stuben, Inn der Kuchen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Im Haußöhren, Inn der Wohnstuben, Inn der Stub Cammer, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ahne einer Behaußung. dem mann gehörig. Item Zwen dritte theÿm vor ungetheÿlt von und ane Hauß, Hoff, Hoffestatt, Scheür, Stallung mit allen dero übrigen gebd’autrewen, begriffenn zugehörden rechten und gerechtigkeiten auß dem concept dorthin biß ledig eÿg.
Nota. der übrige dritte theÿl ahne dießer behaußung ist deß wittwers in erster Ehe mit weÿland Margaretha Schäfferin ehelich erziehlte 3 Kindern vor ungetheylt gehörig. Über die gantze behausung besagt Ein teutscher Perg: auß dem Concept biß dorthin mit A notirt
Forma hujus Inventarÿ. Deß Manns vor unverändert in Ehestand gebrachtes Vermögen, Haußrath 17, Wein und faß 33, Früchten auf dem Casten 181, blumen auff dem velde 38, Vÿhe 100, Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 32, hanff 12, heüw Strohe und boosten 12, tüngung 12, Silber geschirr und Geschmeidt 12, Guldene Ring 7, Eigenthumb Einer behausung o, Eÿgenthumb liegender veldtgütter, Summa summarum 547 lb – Schulden 625, (In Compensatione) 127 lb
Hierauff wird auch der frauwen in dißen Ehestand gebrachtes guth, haußrath 129, früchten auff dem Kasten 19, blumen auf dem velde 30, Vyhe 15 Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 24, heuw und stroh, wie auch Tüngung 7, Silber geschirr und geschmeyds 17, guldener Ring 12, baarschafft 146, Summa summarum 402 lb
Wÿdumb So die fraw von Ihrem Ersten haußwürth Lorentz Hammerer geweßenen gartner und wagnersn (…) ad dies vitæ Zunießen Erstlichen hauß, hoff, hoffstatt (…)
Wÿdumbs Verfangenschaft dem Mann gehörig. Vermög deß über weÿland frauwen Othilia Ruelmännin deß Ehrengeachten Christoph Winthers garttners vnderwagnern und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen haußfrau und deß manns geliebten Mutter seelig. den 18.ten Januarÿ A° 1684. auffgerichteten Verlaßenschafft Inventarÿ

Le notaire Jean Frédéric Marbach dresse l’inventaire (non conservé) de Thiébaut Jud fils de Nicolas. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 000 florins (1 000 livres) sur un total de 8 400 florins
1712, Livres de la Taille (VII 1174) f° 243
(GUW, F. N° 785) Weÿl. Diebolt Judten Claußen Sohn geweßenen Gartners und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Marbach.
Concl. fin. Inv. ist fol. 144, 4231. lb, 1 ß 6 d, die machen 8400. fl. Verstallte 6400 fl. alßo zu wenig 2000 fl.
Warvon der Nachtrag alß Theilbahr Guht gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo, macht à 6 lb d, 36 lb
Und auff vier jahr in simplo trifft à 3 lb, 12 lb
Extat d. Stallgellt pri 1712, 10 lb 19 ß
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 4 lb 7 ß 6 d – Summa 63. lb 7 ß 10 d
Auff inständiges bitten haben die Herren Dreÿ nachgelaßen zweÿ jahr in duplo und dreÿ jahr in simplo, trifft 21. lb., restirt 42. lb 7 ß 10 d
dt. 23° Martÿ 1712.

Aurélie von Fridolsheim meurt en 1719 en délaissant des héritiers collatéraux. La succession s’élève à 1 300 livres.
1719 (5.8.), Not. Mader (6 E 41, 674) n° 311
Inventarium über Weÿl. der tugendsamen Frauen Aureliæ Judin gebohrner von Fridolßheim auch Weÿl. deß Ehrengeachten Diebold Juden, gewesenen Gartners unter Wagnern und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlassener Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft – nach ihrem Sontags den 30. Julÿ dieses Vortlauffenden 1719.ten Jahrs beschehenen tödl. ableiben Zeitl. verlaßen – So beschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auf Samstag den 5.ten Aug. A° 1719
Die Verstorbene Frau seel: hat per Testamentum zu Erben verlaßen als Volgt 1. Weÿl. Margarethä v. Fridolßh: mit Hanß Peter Müller dem ältern Seÿler v. burgern allhier ehel: erzeugte Vier Kinder benantl. 1. Johann Müller den Seÿler und burgers allhier, 2. Frau Susannam Mägelin gebohrne Müllerin, Johann Michael Mägelin deß Metzger und burgers allhier Ehefrau, 3. Annam Mariam Marbächin gebohrne Müllerin H. Johann Friderich Marbachs deß Schneiders und burgers allhier Haußfrau, So dann 4. Weÿl. Hanß Peter Müllers deß Jüngern Seÿlers und burgers allhier mit Barbara gebohrner Rothin seiner Ehefraun erzeugte Vier Kinder Nahmens Johann Bernhard, Hanß Peter, Hanß Daniel und Mariam Margaretham, Weilen aber diese Vier letztere annoch minorennes als ist in dero Nahmen Johannes Müller der Seiler vorgedacht dero geschworner Vogt hierbeÿ erschienen, demnach aber derselbe auch hierbeÿ interessirt, als ist in deroselben Nahmen ferner zugegen geweßen Diebold Jud, GVW. und burger zu mehrgedachtem Straßburg, als dero geordnet und geschworener Theil Vogt, in den Ersten Stamm theil
2. Hanß von Fridolsßheim Hanßen Sohn, G.V.W. und burgern allhier, in den 2.ten, So dann 3. Hanß Bernhard Wagnern den Seiler und burgern allhier in den dritten Stamm theil

In einer in der Statt Straßburg ane der Cronenburger straßen gelegenen in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung sich befunden als Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Hauß Cammer, In der Kuchen, In der wohnstub
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 54, Sa. Weins und der Lähren Faß 10, Sa. Silber Geschirrs 9, Sa. Goldener Ringe 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 885, Sa. Eigenthums Liegender feld güther 332, Sa. beßerung ane lehengüthern 3, Summa summarum 1300 lb
Summa Præ- und Legaten 400 lb Nach deren Abzug 900 lb – Conclusio finalis Inventarÿ Beschluß v. Verstallungs summa 1300 lb

Thiébaut Jud vend la maison au jardinier Martin Buhler assisté de son beau-père André Sigfrid.

1685 (26. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 509
diebold Jud Gartner Underwagner
in gegensein Martin Buhlers Gartners ahne Steinstraß mit beÿstand andreß Sÿfrids Gartners Underwagner seines Schweher Vatters
Eine behaußung, Hoff, Scheür, Stallung sambt allen übrigen deren Gebäwen und Zugehördten allhier im Kagenecker bruch einseit neben andres Brüllinger anderseit neben Hannß Voltzen beede Gartner Underwagnern Hinden uff H. Johann Conrad Huethen E.E. großen Rhats Alten beÿsitzer stoßend gelegen, davon gehen Jahrs 10. ß bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter – umb 750 fl.

Fils du jardinier Georges Buhler, Martin Buhler épouse en 1684 Aurélie Sigfrid, fille du jardinier André Sigfrid.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 196-v, n° 3)
1684. Januarius, d. (-) Martin Buler d. ledig. gartenmann Georg Bulers des burgers ehl. sohn, J. Aurelia Andreß Sigfrids gartners v. burgers ehl. tochter (i 198)

Martin Buhler loue la maison à Michel Ohl fils de Jean

1689 (23. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 633
Martin Buhler, Garttner an steinstraß
in gegensein Michael Ohlen hanßen sohns
entlehnt, eine behaußung, hoff, Scheur, ställ mit allen deren begriffen und zugehördt, außgenommen den dritten theÿl il Vierdt. theÿl in d. Scheuren, so d. Verleiher sich reservirt, allhier im Kageneckerbruch einseit neb. Andres Brühlinger anderseit neb. hans Voltz. Wittib hinten auff Rathh. Huthen gart. stoßend, auff dreÿ Jahr lang von instehend. weihnacht. anzurechnen – umb Zwölff pfund

Martin Buhler loue une partie de la maison au journalier Michel Reibel

1691 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 408-v
Martin Buhler der Gartenmann
in gegensein Michael Raübel, deß Taglöhners
entlehnt, In seiner im Kagenecker bruch gelegenen behaußung, eine Stub und Zwo Cammern, ein Fruchtschütt über den Thor, platz in der Scheuren wor ein paar wägen mit frucht, alles auff dreÿ jahr lang, von Johann Bapt. diß jahrs anzufang. umb 7 pfund pfenning jährlich. Zinß

Martin Buhler quitte Strasbourg pour s’établir à Heilbronn
1701 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 30
Martin Buhler der Garttner anjetzo zu Hailbronn Wohnhaft [unterzeichnet] Marthin buhler

Jardinier au faubourg de Pierre, Martin Buhler vend la maison au jardinier André Reibel

1691 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 875-v
Martin Buhler der Gartter an Steinstraß
in gegensein Andres Raübels Garttners Und.wagner
hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ mit allen übrig. deren gebäuen Rechten und Zugehördt. allhier im Kagenecker Bruch einseit neben Andres Brülinger garttner nun sel. wittib, hind. auff Georg Rothen Garthen stoßend geleg. darvon gibt man Jährlich 10 ß bodenzinß, dem Stifft jungen St. Peter allhier, so seÿe d.selben auch noch umb 250 Capital diebold Juden dem Garttner Und.wagner verhafftet – geschehen umb 150 pfund

Fils du jardinier Michel Reibel, André Reibel épouse en 1681 Aurélie Wunderer, fille du jardinier Jean Wunderer.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 189)
1681. Eodem [Donnerst.. den 10. Febr: St: Aurel:] Andres Reubel der Gartner, Michel Reibels des Gartners Sohn, Jfr. Aurelia Hans Wunderers des Gartners Ehel. Tochter (i 97)

Non conservé, l’inventaire après décès d’André Reibel fils de Michel est dressé en 1733

1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 777
Inventarium über Andreßen Reÿbels Michels Sohns gewes. GVW. seel. Verlassenschafft

Celui de sa veuve est dressé la même année. Aurélie Wunderer meurt à l’âge de 73 ans le 7 janvier 1733. Ses deux fils André et Michel sont témoins de l’acte.

1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 754
Inventarium über Aureliä Reÿbelin geb. Wundererin Andreæ Reÿbels Michels Sohns gewes. GVW. nachgel. Wittib seel. Verlassenschafft

Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. reg. 1733-1768 f° 2, n° 3)
1733. Mittw. den 7. Jan. Zu mittag Zwischen 11 v. 12 uhr ist gestorben Fr. Aurelia geb.. Wunderein ihres alters 73 jahr 3 monat v 3. wochen weÿl. Andreß Reubel gewesenen burgers v. gartners hinderlaßene Wittib wurde Freÿt. den 9. ejusdem nach gehaltener Leichen predigt in der Kirchen Zu St Gallen ehrlich Zur erden bestattet, davon Zeugen [unterzeichnet] Andres Reibell Alson, Michel Reibel als son (i 2)

La maison revient à son fils Michel qui épouse en 1719 Marguerite Wolff, fille du jardinier Jean Wolff

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 87, n° 3)
1719. Mittw. d. 8. Febr: wurden nach dreÿmal. proclamation Ehel. copulirt vnd Eingesegnet worden, Michael Reibel lediger gartner alh. weil. Andres Reibels burgers v. Gartners alh. hinterl. Ehel. Sohn und Jfr. Margaretha, weil. Johannes Wolffen burgers und gartners alh. haußfraw Ehl. Tochter [unterzeichnet] Michael Reibel als hochzeÿter, Margaretha Wolffin zeichen + (i 88)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Marais Kageneck. Ceux du mari s’élèvent à 130 livres, ceux de la femme à 149 livres.
1720 (1.3.), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 351
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Michael Reÿbels Andreßen Sohns GVW. und der Tugendsahmen Frauen Margarethä gebohrner Wolffin beeder Eheleuth v. burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1720. – vermög der mit einander auffgerichteter Heÿraths Verschreibung vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn deß Ehrengeachten Daniel Voltzen deß ältern GVW und burgers allhier der Ehefrauen geweßenen Curatoris auff Freÿtag den 1.ten Martÿ Anno 1720.
Pro nota. Demnach die Ehefrau kurtz vor ihrer Verheÿrathung ihren antheil Vätter: und Mütterl. Guths Erblichen erhalten, als hat man beliebter kürtze halben solche im Loos erhaltene Stück nicht de novo inventirt (…)

In einer in der Statt Straßburg Vorstatt in dem Cagenecker bruch gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden als volgt
Series rubricarum. Des Manns Nahrung betr. Sa. haußraths 28, Sa. der Früchten 38, Sa. Viehes 38, Sa. Schiff und geschirrs 15, Sa. Baarschafft 1, Summa summarum 120 lb – sazugelegt die ane hernach beschriebenen haussteuren ihme gehörige Zweÿ dritte Theil thut 9 lb, So thut des Ehemanns völlige in Ehestand gebrachte Nahrung dem billigen Werth nach 130 lb
Der Ehefrauen guth, Sa. haußraths 55, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 79, Sa. der Schulden in die Nahrung 4, Summa summarum 144 lb – Darzu gelegt dero gehörigen drittentheil ane hernach beschriebenen Haussteuren ist 4 lb, Solchemnach betrifft sich der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachtes Guth dem billigen werth nach benantl. 149 lb

Non conservé, l’inventaire après décès de Marguerite Wolff, épouse de Michel Reibel fils d’André, est dressé en 1733.
1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 749
Inventarium über Margaretha Reÿbelin geb. Wolffin, Michel Reÿbels Andreßen Sohns GVW. Ehefr. seel. Verlassenschafft

Michel Reibel se remarie en 1733 avec Anne von Fridolsheim qui a épouse en premières noces André Lix fils de Jean en 1715 : contrat de mariage, célébration
1733 (28.7.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Michael Reÿbel Andreßen Sohn GVW und burgern allhier Zu Straßburg alß del Wittiber und Breutigamb ane Einem
Sodann der tugendsamen Annä Lixin gebohrner von Fridolßheim, Weÿl. des Ehrengeachten Andres Lixen Hanßen Sohns geweßenen Gartners und burgers daselbst hinterlaßenen Wittib alß der Frau Hochzeitterin am andern theil
So geschehen in Straßburg den 28. Julÿ Anno 1733 [unterzeichnet] Michel Reibel Andresen son als hochzeitter, anna livin geborne uonfrideheim

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 77-v n° 8)
1715. Mittw. d. 20. Februarÿ wurden nach zweÿmaliger proclamation Ehl. copulirt v. eingesegnet Andreas Lix der ledige gartner weÿl. H Johann Lixen burgers und gartners allh. hinterl. Ehl. Sohn vnd Jgfr. Anna H Theobald von Fridelsheim burgers v. gartners allhie Ehl. tochter [unterzeichnet] Andreas Lix als hochzeitter, Anna Von fridolß hen als hoch zetterin (i 79)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 134-v n° 14)
1733. Mittw. d. 19. Augusti sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Michael Reubel, Andreßen Sohn Gartner unterwagnern und burger allhier und Fr. Anna geb. Von Fridolßhem weÿl. Andreas Lixen gewesenen Gartners unterwagnern und burgers allhier hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Michel Reibel als hochzeiter, Fr. Anna Lixin Zeichen +

Non conservé, l’inventaire après décès de Michel Reibel est dressé en 1741

1741, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 108
Inventarium über Weil. Michael Reibel gew. Gartenmanns Verlassenschafft

Anne von Fridolsheim successivement veuve d’André Lix et de Michel Reibel meurt en 1768 en délaissant quatre enfants de son premier mariage. L’actif de la succession s’élève à 2805 livres, le passif à 26 livres.
1768 (28.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1207) n° 1595
Inventarium über Weÿland des viel Ehren und Tugendsahmen Fraun Annä geb. von Fridolßheim, letztmals auch weiland Herrn Michael Reÿbel des ältern gew. gvw. u. b. allhier zu Straßburg selig hinterbliebener Wb. nun auch selig Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1768. – nach ihrem Sonntag den 18.t dieses Monaths Decembris zu end eilenden 1768.st. Jahrs aus dießer welt genommenen tödtlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verl. auf Ehrenfreundliches Ansuchen, Erfordern und begehren deroselben in erster Ehe mit weiland dem Ehrenachtbaren Herrn Andreä Lix Hanßen Sohn dem jüngern gew. gvw. brn. allhier ihrem den 19. Januarÿ 1733. in dem Herrn seligen entschlafenen Ehemann Erzeugter Herren Sohn und Frauen Töchter und ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen Straßburg Mittwochs den 20.ten Decembris A. 1768.
Die Abgeleibte selig Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Herrn Johann Lix Andresen Sohn den mittlern, GVW und brn. allhier so in Ehe lebet mit Fraun Anna geb. Von Fridolßheim in den erstern vierten Haupttheil, Zweitens Frau Mariam Reÿbelin geb. Lixin, Herrn Diebold Reÿbel auch Gartners allda Ehegattin die unter deßen Assistentz hiebeÿ gegenwärtig, in den zweiten vierten Hauptteil. Drittens Frau Margaretham Wunderein geb. Lixin, Herrn Dieboldt Wunderer Hanßen Sohn GVW. u. brs. dahier Ehefrau, welche beÿständlich deßen sich hiebeÿ eingefundenen iin den dritten vierten Haupttheil, So dann Viertens Herrn Abraham Lix Andresen Sohn den ältern GVW. u. brn allhier in den letztern vierten Haupttheil, Alle Vier der Entseelten Fraun selig mit eingangs gedachten dero erstern Ehemann seelig erzeugte Söhne und Frauen töchtere et ab intestato Zu gleichen portionen und Haupttheilen verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt unterwagnern ane der Seeloßgaß gelegenen und in diese Verl. gehörigen dannenhero drunten beschriebenen behausung befunden worden wie folgt.
(f° 5) Eigenthum ane häußeren. Anfängl. Eine Behaußung, hoff, hoffstatt, Scheür und Stallung sampt einem gar kl. Garthenplätzlin alhier Zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagner ane der Seelosgaß (…)
Und dann Eine Behausung, hoff, hoffstatt, Scheur, Stallung auch daran gelegenes gärtlein ane der Renngaß (…)
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Sa. Haußraths 73, Sa. Wein und Faß 50, Sa. Silbern Geschmeids 1, Sa. Baarschafft 60, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 1492, Sa. Eigenthum ane Häußern 1059, Sa. Activorum 68, Summa summarum 2805 lb – Schulden 26 lb, Nach deren Abzug 2778 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 400, Zweiffelhaffte Schulden 80 lb

La maison revient à Marie Reibel qui épouse en 1743 le jardinier André Voltz, fils de Thiébaut Voltz et de Salomé Müll : contrat de mariage, célébration

1742, (6. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 96
Eheberedung zwischen dem Ehrsam und Bescheidenen Andres Voltz, Leedigem garthner Diebold Voltz gvw mit Fr. Salome Voltzin gebohrner Müllin ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeither, beÿständlichen seines erstged. Vatters und Andres Müll auch garthners alda, seines oncle ane einem,
So dann der Tugendsamen Jgfr. Mariæ Reÿbelin, Weÿl. Michael Reÿbels Andreßen Sohn, geweßten Garthners V.W. und burgers allhier mit auch weÿl. Frn Margaretha gebohrner Wolffin nun beder seel. ehelich erzielten Tochtern alß der Jgfr. hochzeiterin, mit beÿstandt Michael Wolff ihres geschwornen Vogts und Jacob Neßmann ihres Schwagers beeder garthner unterwagnern ane dem andern theil gepflogen
Actum Straßb. Donnerstags den 6.ten Septembris A° 1742. [unterzeichnet] Andreas Voltz als hochzeiter, Maria Reibelin als Hochzeitrin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 171-v, n° 7)
1743. Mittw. den 13. febr. sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt v eingesegnet worden Andreas Voltz der ledige Gartner v. burger Theobald Voltz burgers vnd Gartners ehel. Sohn v. Jungfrau Maria weÿl. Michael Reubel burgers v. Gartners hinderlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Andreas Voltz als hochzeiter, Maria Reÿbelin als hochzeiterin (i 176)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Marais Kageneck qui appartient en propre à la femme. Ceux du mari s’élèvent à 241 livres, ceux de la femme ne décomptent pas la valeur des immeubles.

1743 (6.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1136) n° 265
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Andres Voltz Diebolds Sohn GVW und der tugendsahmen Frauen Mariä Voltzin gebohrner Reubelin, beeder Eheleuthe und Bürgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743. (…) weche der ursachen alldieweilen in ihrer vor mir Notario den 6.ten 7.bris 1742. auffgerichteten Eheberedung §° 10.to expresse enthalten, daß einem jedem sein in die Ehe bringendes Vermögen Vor unverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn Diebold Voltz GVW und Frauen Salome Voltzin gebohrner Müllin des Ehemanns eheleiblicher Eltern ferner Michael Wolff GVW der Ehefrauen nocj ohnentledigten Vogts und Jacob Neßmans auch Gartners alda dero Schwagers, Straßburg Mittwochß den 6. Martÿ 1743.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Kagenecker Bruch gegen der neuen Cazern über gelegenen der Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (F.) Nembl. eine Behaußung Hofff, Hoffstatt, Scheur und Stallung mit allen deren gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagnern ane dem Kagenecker bruch gegen der Cazern über, 1.s. neben Hannß Brüllinger Andreßen Sohn, 2.s. neben Andres Müll dem jüngern zum theil und zum theil neben Hannß Roth hinten auf Georg Roth Zum theil und Zum theil auff Diebold Moll, alle GVW. stoßend gelegen, davon man Jährl. auff Martini 10 ß bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter allhier abzurichten schuldig sonsten aber über hernach eingetragenen passiv Capitalia gegen männiglich freÿ leedig eÿgen. Darüber besagt I. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 23.ten 9.bris 1691. mit altem N° 1 notirt. Ferner j. dergleichen daselbst gefertigter Kauffbrieff Sub dato 26.ten 8.bris 1685. mit altem N° 2 bezeichnet
Abzug in gegenwärtig Inventarÿ. Des Ehemanns ohnverändert guth. Sa. haußraths 62, Sa. Schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau gehörig 24, Sa. Pferd s. ihrem geschirr 66, Sa. Ohmets und Strohs 10, Sa. Früchten 26, Sa. Zwiebelsaads Zwiebelen und Knoblochs 5, Sa. beßerung auf dem feld 26, Sa. bluhmen auf dem feld 15, Sa. Silbers 9 ß, Sa. der baarschafft 2, Summa summarum 241 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 112, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 12, Sa. lährer faß 7, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 50, Eigenth. ane I. behausung, Eigenth. liegenden güthern, Beßerung ane lehengüthern, Summa summarum 193 lb – Schulden 245 lb

Marie Reibel, veuve d’André Voltz fils de Thiébaut, vend la maison à son fils célibataire Thiébaut Voltz

1785 (13.3.), Not. Stoeber (6 E 41, 1264) n° 123
Frau Maria Volzin geb. Reÿbelin weÿl. Andreas Volz Diebold Sohn gew. gvw. wb. beiständlich Andreas Volz Andresen Sohn des jüngern Gartners allda, auf Rechnung künfftiger mütterlicher Erbschafft
ihrem jüngsten Sohn Diebold Volz ledigen Gartner
Eine behausung hof hoffstatt Scheur u. Stallung mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt unterwagnern an dem Kageneckerbruch gegen der Casernes über, einseit neben Diebold Moll gvw. u. solcher Ehrs. Zunfft büttels Ehefrau, 2.s neben Andreas Müll dem ältern ebenmäßigen Gartner allda u. solcher Ehrs. Zunft büttel, hinten auf Andreas Müll den jüngern auch G. allda frau zum theil und zum theil auf iebold Moll gvw. Verl. – davon man jährlich auf Martini dem Stifft Jungen St Peter 10 sch. bodenzinß zu geben pflichtig – um 1800 gulden in die Erbschaft einzuschießen

Marie Reibel meurt l’année suivante en délaissant cinq enfants. L’inventaire fait état de la maison que les experts estiment à la somme minimale de 300 livres. La succession s’élève à 1 295 livres

1786 (24.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1251) n° 500
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Volzin geb. Reÿbelin auch weil. Andreas Volz Diebold Sohn gew. guw. u. brs alhier hinterbliebener Wb. Verl. aufgerichtet Anno 1785 – nach ihrem Freÿtags den 22. 9.bris des abgewichenen 1785.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlasen hat. Welche succession auf gebührendes ansuchen u. begehren des abgeleibten mit erstbes. ihrem den 29.ten May A. 1763 verstorbenen Ehemann erzeugte fünf Kinder u. ab intestato verlaßener Erben so nach dem eingang dieses Invy. benamset sind, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in der allhier Zu Straßburg am Kageneckerbruch gelegenen, u. in diese Verl. gehörigen behausung dienstags den 24.ten Januarÿ Anno 1786.
Die Verstorbene hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt. Erstl. Frau Mariam Mötschelin geb. Voltzin, Diebold Mötschel des jüngern gvw. v. brs. alhier Ehefrau unter deßen autorisation zugegen, in den fünften haupttheil
Zweitens Andream Voltz, Andresen Sohn jüngern gvw. u. br allhier, so in Ehe lebet mit Fraun Mariæ Salome geb. Neßmännin in den fünften haupttheil
Drittens Abraham Voltz gbw. u. br. allhier, so in Ehe lebet mit Fraun Barbarä geb. Müllin in den fünften haupttheil
Viertens Diebold Volz gvw u. be. allhier, so anjetzo verhelichet mit Fraun Margarethæ geb. Lixin in den fünften haupttheil
Endlich Fünftens Fr. Salome Reÿbelin geb. Volzin David Reÿbel des jüngern gvw. v. brs.allhier Eheweib vo ihme hierbeÿ authorisirt in den lezten den fünften haupttheil

(f° 5-v) Schiff und geschirr Zum Feld vnd Ackerbau gehörig.
Eigenthum an einer Behausung. Nämlich eine Bbehausung, hof, hofstatt, Scheur und Stallung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg dero Vortstadt VW. an dem Kagenecker bruch gegen der Caserne über, 1.s. neben David Müll GUW u. solcher Ehrs. Zunft büttels Ehefraun, 2.s. neben Andreas Müll, dem ältern G. allda u. solcher Zunft büttel, hinten auf Andreas Müll den jüngern, auch G. allda Ehefr. z. th. u. z. th. auf diebold Moll, guw. Verl. Zieh. davon man jährl. auf Martini dem Stift Jungen St. Peter allh. 10 ß bodenzinß richtig zu machen hat, sonst über die gewohnliche Beschwerde ledig und eigen, Es ist aber solche behaus. s. Zugehörden (durch die Werckmeistere) ausweisl. deren Zu mein Not. Conc. gelieferten Abschatzung vom 27.t Januarÿ 1786. taxirt worden pro 300. lb, Jenen bodenzinß Zu doppeltem Capital gerechnet und abgezogen mit 20 lb, So restiren auszuwerfen 280, lb. Darüber bes. I. dtsch. perg. Kfbrf. in allh. CCStb. gefert. m. dero anhngd. d. d. 23. 9.bris 1691 m. a. N° 1 notirt. Und I. dgl. Kfbr. sub dato 26. 8.bris 1685. m. a. N° 2. bez.
Norma hujus inventary. Sa. hausraths 45 lb, Sa. Schiff und geschirrs Zum Feld u. Ackerbau gehörig 25 lb, Sa. Pferd s. deren Geschirr 20 lb, Sa. heu und ohmet 12 lb, Sa. Früchten an der Kast 29 lb, Sa. Blumen auf dem Feld 8 lb, Sa. Beßerung im hof u. auf dem Feld 5 lb, Sa. Silbers16 ß, Sa.Goldenen Rings 10 ß, Sa. Eigenthums an I. beh. 280 lb, Sa. Eigenthum an liegenden Güthern 856 lb, Sa. Beßerung ane Lehengüthern 10 lb, Summa summarum 1295 lb – Stall summ 1295 lb

Thiébaut Voltz épouse en 1786 Marguerite Lix, fille d’André Lix fils de Jean le jeune : contrat de mariage, célébration

1785 (7. Xbr), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 230
Eheberedung – persönl. erschienen Theobald Volz, led. Gartner w. Andres Volz Diebold S. hew. Guw. u. Brs ; allh. mit auch w. Fr. Anna Maria geb. Reibelin ehel. erzeugter Sohn, als Hochzeiter beiständl. seines Bruders Andres Volz, Andr. S. des Jüngern auch G. allda ane einem
Und Jgfr. Margaretha Lixin, Andres Lix Hs. S des Jüngern Guw. u. Brs allh. l. Fr. Margaretha geb. Schellin ehel. erzeugt tochter als Braut
Straßburg den 7. Decembris A° 1785 [unterzeichnet] Theobald Voltz als hochzeiter, Margaretha Lixin als Hochzeiterin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 37, n° 3)
Im Jahr 1786. Mittwoch den 18. Jenner, sind in den Stand der h. Ehe nach ordentliche Domin. post Epiph. prima und secunda geschehenen proclamation, eingesegnet worden Diebold Voltz der ledige weil. Andreas Voltz geweßenen Gartners UW. und burgern alhie und Fr. Maria gebohrnen Reÿbelin ehel. Sohn, und Jgfr. Margarethan Andreas Lix, Hansen Sohn junioris gartners UW und burgers aljie, und Fr. Margaretha gebohrnen Schottin ehel. Tochter [unterzeichnet] Theobald Voltz als Hochzeiter, Margaretha Lixin als hochzeiterin (i 39)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ceux du mari, non comptés les immeubles, s’élèvent à 438 livres, ceux de la femme à 164 livres.

1786 (4.3.), Not. Stoeber (6 E 41, 1251) n° 504
Inventarium über Theobald Volz Gartners Unterwagnern und Fr. Margarethä Volzin geb. Lixin, beeder Eheleuthe u. brn. alhie einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1786 – in ihrer den 19.ten Januarÿ jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht haben (…) weil dieselbe in ihrer vor mir Not° den 7.t Decembris vorigen Jahes errichteten Eheberedung §° 3.tio ihres Einbringens halben ein unverändert und vorbehalten Gut stipulirt haben
So geschehen in der allh. Zu Straßb. am Kagenecker bruch gelegenen dem Ehemann eigenthumb. zuständigen behausung, Sonntag den 4. Martÿ Anno 1786.

Schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau geh.
Eigenthum an einer Behausung. (M) Neml. I. Behausung, hof, hofstatt Scheur und Stallung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allh. Zu Strasb. im Kagenecker bruch gegen der Cassern über 1.s neb. David Müll Guw. u. solcher Zunft büttel ehevögtl. weiß, 2.s. neb. Andres Müll dem ältern auch G. allda hinten auf Andres Müll dem jüngern auch G. allda ehevögtl. ws. zum theil u. th. auf dieb. Moll G. allda Verl. Zieh. davon man jährl. auf Martini dem Stift Jungen St Peter allh. 10 ß ane Bodenzs. Zu entrichten hat, sonst über die gewohnl. Beschwerden ledig. Es hat aber der Ehemann diese Behsg. beÿ mütterl. Abtheilung Erörterung angenommen vor 900. lb. Darüber bes. I. deutsch. perg. Kfbr. aus allh. C.C.Stb. d.d. 23. 9.bris 1691 m. N° A ot. Und I. dergl. Kfbf. sub dato 26. 8.bris 1685.mit N° 2 notirt
Norma hujus inventarii. Des Ehemanns Vermögen, Sa. hausraths 45 lb, Sa. Schiff u. Gesch. 43 lb, Sa. Pferd s. d. Gesch. 47 lb, Sa. heu Ohmet und Stroh 40 lb, Sa. Frucht 18 lb, Sa. Silber 3 lb, Sa. Baarschafft 92 lb, Sa. Beßerung im hof u. a. d. feld 14 lb, Sa. Blumen auf dem feld 7 lb, Sa. Eigenth. an I. Behs 900 lb, Eigenth. an Lieg. Güther o, Beßerung ane lehengüthern o, Summa summarum 1212 lb – Schuld 800 lb, Nach deren Abzug 412 lb, Wird nun dazu gerechnet die Helfte an hiernach beschr. hst. anlangend 25 lb, So thut des Ehemanns samptl. Vermögen 438 lb
Diesemnach wird auch der Ehefr. vermögen besch. Sa. hausrath 95 lb, Sa. frucht 12 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. Gold. Rings 2 lb, Sa. Baarschafft 4 lb, Sa. Beßerung a. d. feld 17 lb, Sa. Blumen a. d. feld 4 lb, Summa summarum 139 lb – Und wann dazu gerechnet wird die (haussteuren) anlangend 25 lb, So weiset sich daß der Ehefr. völliges Guth sich belaufe auf 164 lb

Thiébaut Voltz meurt en 1841 en délaissant cinq enfants
1841 (15.4.), M° Grimmer
Inventaire en une vacation de la succession de Thiébaut Voltz fils d’André jardinier décédé à Strasbourg le premier du courant
à la requête de 1. Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl, jardinier, 2. Thiébaut Voltz, aussi jardinier, 3. Marie Voltz veuve de Daniel Vix, héritiers chacun pour un quart du défunt leur père
4. Barbe Voltz fille mineure sous la tutelle de Madeleine Voltz veuve de Daniel Voltz, 5. et Daniel Voltz, jardinier héritiers ensemble pour le dernier quart du défunt leur grand père, tous à Strasbourg
portant prisée de la masse mobilière à 531 francs
Il dépend en outre 5 ares de jardin à Strasbourg rue des payens im Thiergarten
acp 286 (3 Q 30 001) f° 58 du 16.4.

Partage des immeubles
1841 (24.9.), M° Grimmer
Partage en quatre lots immeubles dépendant de la succession de Thiébaut Voltz, jardinier décédé à Strasbourg le premier avril 1841
entre ses enfants et petits enfans qui sont 1. Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl, 2. Thiébaut Voltz, jardinier, 3. Marie Voltz veuve de Daniel Vix, 4. Daniel Voltz, jardinier, 5. et Barbe Voltz fille majeure sous la tutelle de Madeleine Voltz veuve de Daniel Voltz, tous demeurant à Strasbourg
il est attribué (…) 4° et à Daniel Voltz et Barbe Voltz, petits enfans du défunt
acp 291 (3 Q 30 006) f° 20 du 27.9.

Thiébaut Voltz fait donation de la maison à sa fille Marie femme du jardinier Daniel Vix

1834 (2.4.), Strasbourg, M° F. Grimmer
Donation entre vifs faite sous le titre de Partage anticipé d’après l’art. 1075 et 1076 du Code Civil – Thiébaut Voltz père, jardinier cultivateur
sa fille Marie Voltz femme de Daniel Vix, jardinier cultivateur
une maison dépendances à Strasbourg Marais Kageneck n° 25 à charge de laisser la jouissance au donateur sa vie durante & après lui à Thiébaut Voltz fils du donateur de le nourrir si ce dernier décède avant son père de verser dans la succession 1000 francs 2. de payer à Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl 1000 fr, 3. et aux enfants de Daniel Voltz pareille somme – estimée à un revenu de 200 fr ou un capital de 4000 francs
Enregistrement, acp 224 F° 75-v du 9.4.

Fils du journalier Thiébaut Vix, Daniel Vix épouse Marie Voltz en 1827
1827 (8.1.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3228
Contrat de mariage – Daniel Vix, jardinier cultivateur, fils majeur de Thiébaut Vix, journalier, et de Marie Müll
Marie Voltz, fille majeure de Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur, et Marguerite née Lix
régime de communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 182 F° 50-v du 18.1.

1827 (14.5.), Strasbourg, Me Hatt
Consentement – Thiébaut Vix, jardinier, au mariage de Daniel Vix avec Dlle Voltz majeure
Enregistrement, acp 183 F° 178-v du 14.5.

Daniel Vix meurt en 1841 en délaissant deux enfants
1841 (14.8.), M° Grimmer
Inventaire en une vacation de la communauté de biens qui a existé entre Marie Voltz et Daniel Vix, jardinier à Strasbourg, y décédé le 12 mars 1841 et de la succession de ce dernier, à la requête de la veuve tant en son nom que comme tutrice légale de Daniel Vix et Marie Salomé Vix, ses deux enfants mineurs
Meubles 551, garde robe 53, argent 81
Immeubles, 77 ares 50 c de terre et pré à Strasbourg en huit pièces
Passif 4803 dont 1503 francs dus en remploi à la veuve et 2250 en remploi aux héritiers
acp 290 (3 Q 30 005) f° 25 du 17.8.

Marie Voltz hypothèque la maison au profit des mineurs Ruhlmann

1857 (4. 7.br), Strasbourg 4 (115), Not. Lauth (Auguste Frédéric) n° 8323
Obligation – A comparu Dame Marie Voltz, veuve de Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, laquelle reconnaît devoir
aux enfants André Ruhlmann et Daniel Ruhlmann les deux mineurs sans état, domiciliés à Strasbourg, pour lesquels stipule et accepte M Daniel Ruhlmann, propriétaire et jardinier cultivateur demeurant et domicilié aussi à Strasbourg leur oncle et subrogé tuteur, la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Ville et banlieue de Strasbourg
1. Section P N° 133, Une maison avec cour, grange, écurie, droits, aisances et dépendances, sise au Marais Kageneck n° 49, cidevant n° 25, tenant d’un côté à Daniel Reibel de l’autre côté à Daniel Baer
2. Section B N° 1599 vingt quatre ares 40 de terre au canton dit im Wolplon (…)
La débitrice déclare que les immeubles susdésignés lui appartiennent, savoir, L’article premier au moyen de la donation qui lui a été faite par son père Thiébaut Voltz aux termes d’un acte reçu par M° Grimmer, notaire à Strasbourg le 2 avril 1834, enregistré

Son fils Daniel meurt en 1858 en délaissant pour héritiers sa mère et sa sœur Salomé.
1858 (4.6.), M° Grimmer
Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession délaissée par Daniel Vix jardinier à Strasbourg décédé le 14 décembre 1857, dressé à la requête de 1) Marie Voltz veuve de Daniel Vix, jardinier à Strasbourg, sa mère, 2) Marie Salomé Vix, célibataire sa sœur
acp 469 (3 Q 30 184) f° 87 du 5.6. (succession déclarée le 3 juin 1858) Il dépend de ladite succession, garde robe estimée 87
78 ares 50 terre ban de Strasbourg

Acte de notoriété correspondant
1870 (4.2), M° Hoffherr
Notoriété constatant que Daniel Vix jardinier à Strasbourg est décédé le 14 décembre 1857 laissant pour héritiers ses frères et sœurs
acp 590 (3 Q 30 305) f° 3-v du 5.2.

Marie Voltz veuve de Daniel Vix meurt sans descendance en 1876 (sa fille Marie Salomé Vix épouse en 1860 Charles Daniel Braunwald et meurt quelques années plus tard sans enfant) en délaissant des héritiers testamentaires.
1876 (27.10.), M° Allonas
Inventar des Nachlaßes der zu Strassburg am 5. Mai 1876 gestorbenen Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix, Auf Ansuchen von 1. Theobald Riehl, Ackerer in Strassburg, 2. Margaretha Riehl Ehefrau des Tagners Johann Pfoltzer zu Straßburg, 3. Friderich Riehl, Ackergärtner allda, 4. Magdalena Riehl Ehefrau Friderich Hoh Melker zu Cronenburg, 5. Barbara Riehl, verlassene Ehefrau des nach Amerika ausgewanderten Friderich Hildebrandt, obgenante handelnd als Universal legatäre je zu 1/5 der Verstorbenen, ihrer Grostante, zufolge Testament vor Notar Hoffherr zu Straßburg vom 17. März 1870, registrirt am 3. Juni 1876 vol. 652 N° 1952 f° 61 & zu nacktem Eigenthum, die Nutznießung ihres Vermögens vermachte die Verstorbene dem Carl Daniel Braunwald Eigenthümer Zu Straßburg zufolge demselben Testament, jedoch laut Act registrirt unterm heutigen Tage verzichtete p. Braunwald auf diese Nutznießung
acp 656 (3 Q 30 371) f° 41 du 28.10. n° 3077 (sterbfaltabelle Bd. 62. fol. 174 N° 13 – Nachlas erklärt am 30/10. 76 Bd. 121 N° 452)
1. Kleider der Verstorbenen beschrieben & angeschlagen zu M. 18
2. Baares geld 2000
die Parteien erklären, daß sie die Möbel & das baare Geld oben angeben bereits unter sich getheilt haben

Testament
1876, M° Hoffherr
Testament 17 März 1871 – wodurch die am 5 Mai 1876 zu Strassburg gestorbene Maria Voltz, Witwe Daniel Vix, folgendes verfügt hat
Ich gebe die lebenlängliche & freie Nutznießung meines meinem bei mir wohnenden Tochtermann Daniel Braunwald
Ich gebe das nakte Eigenthum meines Vermögens den Kindern der Eheleute Diebolt Riehl, Gärtner & Margaretha Riehl meinen Neffen und Nichten namens Diebold Riehl, Margaretha Riehl Ehefrau Pfoltzer, Barbara Riehl Ehefrau Hildebrandt, Friderich Riehl, Magdalena Riehl Ehefrau Friderich Hoh, alle zu Straßburg jedem für 1/5.tel, Fals einer oder das andere vor der Testiererin stirbt, kommt dessen Antheil seinen Kindern Zu & in Ermanglungg von solcher den übrigen Legatarien
acp 652 (3 Q 30 367) f° 61 du 2.6. n° 1952

Acte de notoriété correspondant. Son gendre Charles Daniel Braunwald renonce à l’usufruit qu’elle lui a légué.
1876 (27.10.), M° Allonas
Notorietät bestätigend daß Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix in Strassburg am 5. Mai 1876 gestorben ist ohne vorbehalts erben hinterlassen zu haben und daß dem Vollzuge ihres Testaments aufgenommen durch den ehemaligen Notar Hoffherr am 17. Märtz 1871 einregistrirt am 3. Juni 1876 wonach die Verlebte den Eigenthümer Carl Daniel Braunwald in Straßburg als Universal legatar in lebenlänglicher Nutznießung und ihre Neffen und Nichten im fünften Grad 1. Theobald Riehl, Rentner in Strassburg, 2. Margaretha Riehl Ehefrau von Johann Pfoltzer Tagner in Straßburg, 3. Barbara Riehl zu Strassburg wohnhaft, verlassene Ehefrau des schon längst nach Amerika ausgewanderten Friderich Hildebrandt, 4. Johann Friderich Riehl, Ackergärtner von Strassburg und 5. Magdalena Riehl Ehefrau von Friderich Hoh Melker zu Kronenburg als Universal legataren zu naktem Eigenthum eingesetzt hat, nichts im Wege steht.
acp 657 (3 Q 30 372) f° 3 du 28.10. N° 3392
Verzichtleistung durch Carl Daniel Braunwald, Eigenthümer in Strassburg auf die lebenlängliche Nutznießung des gantzen Nachlasses welche ihm durch Frau Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix gestorben zu Strassburg am 5. Mai 1876 zufolge ihres vor Notar Hoffherr in Straßburg am 18. März 1871. erichteten Testaments registrirt am 3. Juni 1876 vermacht ist
acp 657 (3 Q 30 372) f° 3 du 28.10. N° 3391 (Sterbfaltabelle Bd. 62. fol. 174 N° 13 – Nachlas erklärt am 30. October 1876)

Marie Voltz veuve de Daniel Vix vend la maison au boulanger Jacques Schaub et à sa femme Marguerite Wollschlegel

1864 (3.10.), Strasbourg 4 (122), Not. Lauth n° 11.260
Vente – A comparu Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, laquelle déclare (vendre)
à M. Jacques Schaub, boulanger, et à Dame Marguerite Wollschlegel, son épouse, demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Désignation. Une maison avec cour, grange, écuries, bâtiments de devant et de derrière,et autres droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Marais Kageneck N° 49 autrefois N° 25, tenant d’un côté à M. Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert et tirant par derrière sur M Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 6 centiares, ainsi que ledit immeuble se poursuit et s’étend (…)
Etablissement de la propriété. La venderesse déclare que l’immeuble présentement vendu lui appartient en toute propriété au moyen de la donation qui lui en a été faite par M. Thiébaut Voltz, son père, jardinier cultivateur à Strasbourg, aux termes d’un acte passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 2 avril 1834, que M. Voltz père a réservé pour lui et pour M. Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur à Strasbourg, son fils, certains droits de jouissance et d’habitation et a chargé la venderesse de payer diverses sommes à ses autres frères et sœurs mais ces sommes se trouvent payées et quittancées et les droits d’habitation et de jouissance de M.M. Thiébaut Voltz père et fils se trouvent éteints par suite de leur décès (…) Prix. La présente vente a été conclue pour le prix de 11.000 francs
acp 536 (3 Q 30 251) f° 67 du 7.10.

Originaire de Wasselonne, Jacques Schaub épouse en 1833 Marguerite Salomé Strohl, native de Brumath
1833 (27.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), Me Hickel n° 4596
Contrat de mariage – Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg fils de Michel Schaub, tonnelier à Wasselonne, et de Marguerite Salomé Gaumer
Marguerite Salomé Strohl, fille de Jean Jacques Strohl, chanvrier à Brumath, et Anne Marie Artopé
régime de commnauté d’acquets
Enregistrement, acp 220 F° 106-v du 5.10.

Marguerite Salomé Strohl meurt en 1858 en délaissant deux filles.
1858 (11.5.), Strasbourg 9 (115), Not. Becker n° 7848
Inventaire après le décès de Madame Marguerite Salomé Strohl en son vivant épouse de Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg où elle est décédée le 11 mars 1858.
L’an 1858 le Mardi 11 mai à neuf heures du matin. A la requête de Me Jacques Schaub, boulanger demeurant à Strasbourg, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Dame Marguerite Sophie Strohl sa femme défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hickel notaire à Strasbourg le 27 septembre 1833, 2) comme donataire, dispensé de faire remploi des valeurs mobilières, en vertu du même contrat de mariage, de l’usufruit, tant qu’il vivra, de la moitié des biens composant la succession de son épouse défunte, donation à laquelle il se réserve de renoncer, 3) et comme père et tuteur légal de de ses deux enfants mineures issues de son mariage avec ladite défunte et nommées a) Louise Schaub âgée de 16 ans, b) Henriette Schaub âgée de 15 ans. En présence de Mr Daniel Marx, cordonnier demeurant à Brumath, ledit Sr Marx agissant au nom et comme subrogé tuteur des deux enfants mineures (…) Lesdites deux enfants Schaub habiles à se dire et porter seules héritières chacune pour moitié de ladite dame Schaub leur mète décédée à Strasbourg le 11 mars dernier (…)
trouvés dans le logement qu’occupaient les conjoints Schaub rue du faubourg de pierres n° 53 autrefois n° 34 dépendant de la communauté de biens qui a existé entre les mêmes conjoints Schaub

acp 469 (3 Q 30 184) f° 46-v du 17.5. (succession déclarée le 1. 7.bre 1858) Communauté, mobilier 3062
Succession, garde robe 164, mobilier propres existant 378, inexistant 164
acp 470 (3 Q 30 185) f° 88-v du 15.7. (vacation du 10 juillet n° 7908) Titres et papiers. Côte première. Contrat de mariage (…)
Côte deux. Succession de Dlle Marie-Dorothée Strohl, tante de la défunte
Côte trois. Maison sise à Strasbourg faubourg de pierres N° 53 autrefois N° 34 faisant partie de la communauté (…)
Communauté, argent comptant 300. Une maison à Strasbourg faubourg de Pierre N° 53, 39 ares 97 terres ban de Strasbourg
créances 286 – Passif 16.688
acp 470 (3 Q 30 185) f° 99 du 19.7. (vacation du 17 juillet) Dépouillement. Masse active 24.983, masse passive 30.646 francs

Jacques Schaub se remarie en 1859 avec Marguerite Barbe Wollschlegel, veuve du jardinier Frédéric Charles Wendland
1859 (18.6.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg, veuf avec deux enfants de Marguerite Sophie Strohl sa femme en premières noces d’une part
Marguerite Barbe Wollschlegel, veuve avec un enfant de Frédéric Charles Wendland jardinier à Strasbourg d’autre part
acp 479 (3 Q 30 194) f° 58 du 27.6. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur sont constatés par inventaire reçu Becker Nre le 11 juin 1858. Ceux de la future épouse consistent en une valeur de 2504 francs
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux d’une part d’enfant en toute propriété

Charles Frédéric Windland épouse en 1847 Marguerite Barbe Wollschlegel, fille de Jacques Wollschlegel, cultivateur au Neuhoff
1847 (1.7.), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.421
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Charles Frédéric Windlang, jardinier demeurant à Strasbourg, fils de feu Charles Christophe Windlang en son vivant jardinier à Strasbourg & de Dame Catherine Sibille Klughertz sa veuve & veuve en secondes noces de Michel Banckhuser demeurant à Strasbourg, stipulant en son propre nom, sous l’assistance & avec le consentement de sadite mère comme futur époux d’une part
& Mademoiselle Marguerite Barbe Wollschlaegel, célibataire, sans état, demeurant au Neuhoff, banlieue de Strasbourg, fille majeure du sieur Jacques Wollschlaegel, cultivateur & Dame Anne Marie Bentzinger conjoints demeurant aussi au Neuhoff, stipulant en son propre nom sous l’assistance & avec le consentement de sesdits père et mère, comme future épouse d’autre part

communauté de biens réduite aux acquêts
Article sept. Madame veuve Banckhuser fait donation entre vifss en avancement de sa future successionn,avec dispense de rapport en nature, au futur époux son fils qui accepte, de lma nue propriété de la moitié à prendre du côté du Sr Reibell jardinier dans un jardin entouré de treilles, sis au ban de Strasbourg au canton dit Bandels Garten (…)
acp 363 (3 Q 30 078) f° 28-v – Donation en avancement d’hoirie par Jacques Wollschlaegel, cultivateur au Neuhoff et Anne Marie Bentzinger sa femme à la future épouse leur fille acceptant de la somme de 1230 francs montant de l’estimation de divers objets mobiliers détaillés en un état estimatif enregistré aujourd’hui
Apport par le futur époux de la somme de 1000 francs provenant de la succession de Charles Christophe Wendlang son père
Donation en avancement d’hoirie par préciput par Catherine Sibille Klughertz mère du futur époux au futur époux acceptant de la nue propriété (supra)
Donation par le prémouant des futur époux au survivant de l’usufruit viager de toute sa succession

Frédéric Charles Wendland meurt en 1857 en délaissant une fille
1857 (10.6.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Charles Wendland, jardinier à Strasbourg et Marguerite Barbe Wohlschlegel sa femme et de la succession du Sr Wendland décédé le 4 mai 1857, dressé à la requête 1) de la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre le premier juillet 1847 et comme mère et tutrice naturelle de Caroline Frédérique Wendland sa fille
acp 460 (3 Q 30 175) f° 98 du 15.6. (succession déclarée le 14 octobre 1857)
Communauté, mobilier estimé 792
Succession, garde robe 92
29 ares 23 terre ban de Strasbourg canton Dedelsgarten
15 ares 80 terre dit ban canton Kammerfeld
diverses parties d’une maison à Strasbourg rue de l’Abreuvoir N° 8, immeubles estimés à 6100 francs

Déclaration suite à l’expropriation forcée d’un terrain qui appartient à la mineure Caroline Frédérique Wendland
1862 (12.5.), M° Noetinger
Déclaration par Eugène [sic] Schaub, boulanger et Marguerite Barbe Wohlschlegel sa femme à Strasbourg agissant le Sr Schaub comme cotuteur & sa femme comme mère et tutrice légale de Caroline Frédérique Wendland sa fille issue du premier mariage avec Frédéric Charles Wendland et le Sr Georges Wendland jardinier à Strasbourg subrogé tuteur de ladite mineure
qu’il dépendait de la succession dudit Sr Wendland une parcelle de terre ban de Strasbourg expropriée pour cause d’utilité publique pour 1422 francs que ledits Sr Schaub a touché en qualité de cotuteur et d’administrateur de la fortune de la dlle Wendland
acp 510 (3 Q 30 225) f° 67 du 15.5.

Inventaire après décès d’un locataire, le journalier Nicolas Michel, marié avec Catherine Fischbach

1865 (25.11.), Strasbourg 14 (166), Not. Antoine Ritleng (père) n° 15.749
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Nicolas Michel journalier Catherine Fischbach
L’an 1865 Samendi 22 novembre en la demeure ci après désignée à Strasbourg où est décédée le 3 septembre dernier Dame Catherine Fischbach femme du sieur Nicolas Michel, journalier demeurant à Strasbourg, à la requête & en présence du dit sieur Nicolas Michel, domicilié & demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre lui & sa femme défunte, qu’en qualité de tuteur légal de ses deux enfants mineurs issus de leur mariage & nommés Eugène Nicolas Michel âgé de 5 ans & Joseph Alexandre Michel âgé de 3 ans, ces deux mineurs avec leur frère mineur Georges Adolphe Michel, décédé après sa mère le trois novembre courant, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de ladite défunte femme Michel leur mère. Le requête Nicolas Michel héritier reéservataire pour le quart dudit Georges Adolphe Michel son fils défunt & les dits mineurs habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour moitié des trois quarts restants. Et en présence du sieur Georges Fischbach, cultivateur domicilié & demeurant à Saessolsheimn agissant en qualité de subrogé tuteur desdits deux mineurs
en la demeure mortuaire rue du marais Kageneck n° 49
acp 548 (3 Q 30 263) f° 56-v du 4.12. – Communauté, mobilier 193, argent 24, argent à la caisse d’épargne 1082
Succession, garde robe 57, 4 ares 50 prés ban de Saessolsheim
Passif de la succession 74 francs

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel vendent la moitié indivise de l’immeuble à Philippe Sengel (gendre du mari).

1864 (9.12.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.315
Vente – Ont comparu M. Jacques Schaub, boulanger, et Dame Marguerite Wollschlegel, son épouse, de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels déclarent (vendre)
à M. Philippe Sengel, charron, demeurant et domicilié en la même ville
la moitié indivise d’une maison avec cour, grange, écuries, bâtiments de devant et de derrière, et autres droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue du Marais Kageneck N° 49 autrefois N° 25, tenant d’un côté à M. Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert et tirant par derrière sur M Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 6 centiares, ainsi que ledit immeuble se poursuit et s’étend (…)
Les vendeurs déclarent qu’ils ont acquis le sus-dit immeuble de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du dit mois d’octobre Vol. 996 N° 4 et inscrit d’office Vol. 879 N° 87 pour sûreté de la somme de 11.000 francs (…). cette dernière [veuve Vix] avait été propriétaire du susdit immeuble au moyen de la donation qui lui en a été faite par M. Thiébaut Voltz, son père, jardinier cultivateur à Strasbourg, aux termes d’un acte passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 2 avril 1834. M. Voltz père avait réservé pour lui et pour M. Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur, son fils, certains droits de jouissance et d’habitation et avait chargé Madame veuve Vix de payer diverses sommes à ses autres frères et sœurs mais ces sommes se trouvent payées et quittancées et les droits d’habitation et de jouissance de M.M. Thiébaut Voltz père et fils se trouvent éteints par suite de leur décès (…) La présente vente a été conclue pour le prix de 5500 francs
acp 538 (3 Q 30 253) f° 77 du 17.12.

Le charron Philippe Jacques Sengel épouse en 1862 Caroline Louise Schaub, issue du premier lit de Jacques Schaub : contrat de mariage, célébration
1862 (26. 7.bre), M° Noetinger
Contrat de mariage – Philippe Jacques Sengel, charron à Strasbourg d’une part
Caroline Louise Schaub, mineure à Strasbourg, fille de Jacques Schaub, boulanger, et de Marguerite Salomé Strohl son épouse d’autre part
acp 514 (3 Q 30 229) f° 65 du 29. 7.bre – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) en objets mobiliers estimés à 3000 francs
2) Une maison sise à Strasbourg rue du Faubourg de Saverné N° 46
Les apports de la future consistent en une somme de 5500 francs, formant le reliquat de son compte de tutelle reçu Noetinger le 16 août 1862, dont moitié est soumise à l’usufruit de son père.
Donation par le Sr Schaub à la future épouse sa fille ce acceptant d’un mobilier estimé à 589 francs
Donation par le futur à la future en cas de survie de cette derniète de l’universalité de sa succession et par la future épouse au futur époux del’usufruit viager de toute sa succession. En cas d’existence d’enfant ces donations seront réduites à un quart en propriété et un quart en usufruit.

Mariage, Strasbourg (n° 446)
Du 27° jour du mois de septembre 1862 à neuf heures du matin, Acte de mariage de Philippe Jacques Sengel, majeur, né hors le mariage le 28 janvier 1831 à Graffenstaden commune d’Illkirch (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Charron, fils de Salomé Sengel veuve de Rodolphe Freymann, boucher domicilié à Graffenstaden, et de Caroline Louise Schaub, mineure d’ans, née en légitime mariage le 25 mai 1842 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans professionn fille de Jacques Schaub, boulanger domicilié à Strasbourgn ci présent et consentant et de feu Marguerite Salomé Strohl, décédée à Strasbourg le 16 mars 1858 – il a été passé me 26 de ce mois un contrat de mariage devant M° Victor Noetinger, notaire à Strasbourg (i 22)

1862 (30.8.), M° Grimmer
Consentement par Salomé Sengel veuve de Rodolphe Freymann à Graffenstaden au mariage de son fils Philippe Jacques Sengel charron à Strasbourg avec Louise Schaub au dit lieu
acp 513 (3 Q 30 228) f° 83 du 2.9. Ritleng subst. Grimmer

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel d’une part, Philippe Sengel et Louise Schaub d’autre part hypothèquent la maison nouvellement construite au Marais Kageneck au profit du libraire Charles Auguste Bœckel.

1865 (7.2.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.380
Obligation – Ont comparu M. Jacques Schaub, boulanger, et Dame Marguerite Barbe Wollschlaegel, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg
Et M. Philippe Jacques Sengel, charron, et Dame Louise Schaub, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés en la même ville, lesquels reconnnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Charles Auguste Boeckel, libraire, demeurant et domicilié en cette ville, à ce présent et acceptant, la somme principale de 13.000 francs
hypothèque. Ville de Strasbourg. 1. Une maison à rez de chaussée et plusieurs étages nouvellement construite, avec cour, grange et autres bâtiments, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise rue du marais Kageneck n° 49 autrefois n° 25, tenant d’un côté à M Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert, et tirant par derrière sur M. Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 10 centiares.
2. Et trois maisons d’habitation à rez de chaussée surmontées de plusieurs étages et greniers, dont deux nouvellement construites, celle du milieu et celle de derrière, avec cours, droits, aisances, appartenances et dépendances, tenant d’un côté à M. Scheydecker, de l’autre côté à M. Gerhardt, donnant devant sur la rue du faubourg de Saverne où elle porte le Numéro 46, autrefois le N° 33, et tenant par derrière sur la rue du Marais vert où elle porte le n° 35. Cette propriété inscrite au cadastre section N Numéro 20 avec une superficie de 4 ares 40 centiares.
(…) Les débiteurs déclarent que les immeubles qu’ils viennent d’hypothéquer leur appartiennent en toute propriété pour leur être avenus de la manière suivante, savoir
L’article premier pour avoir fait nouvellement construire et à frais communs une maison d’habitation et au moyen de l’acquisition que les époux Schaub ont fait de l’ancienne maison d’habitation, des autres bâtiments et du terrain de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du dit mois d’octobre Vol. 996 N° 4 et inscrit d’office Vol. 879 N° 87 pour sûreté de la somme de 11.000 francs (…). et encore au moyen de l’acquisition que les époux Sengel ont fait des époux Schaub de la moitié indivise des anciennes constructions et du terrain aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth le 9 décembre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre Vol. 1004 Numéro 36 et inscrit d’office Vol. 885 N° 108 pour sûreté de la somme de 5500 francs, montant du prix de la vente (…)
Et l’article deux (…)
Les débiteurs déclarent en outre qu’ils emploieront la somme présentement empruntée à solder les frais de construction de la maison sise rue du marais Kageneck qui aura une valeur de 40.000 francs et que l’immeuble sis rue du faubourg de Saverne et rue du maraiss vert a une valeur de 80.000 francs environ. (…)
Les époux Sengel déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de communauté de biens et qu’ils ne sont et n’ont jamais été chargés d’une gestion emportant hypothèque légale. Et de leur côté les conjoints Schaub déclarent qu’ils sont aussi mariés sous le regime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Noetiger notaire à Strasbourg le 18 juin 1859, que les deux sont mariés en secondes noces & ayant des enfants du premier lit, que les enfants du premier lit de M. Schaub sont tous majeurs mais que l’enfant du premier lit de la Dame Schaub, nommée Caroline Wendland, est encore mineure et a hypothèque légale sur les biens des époux Schaub, débiteurs, que cette hypothèque est de peu d’importance et que du reste ils émanciperont la Dlle Wendland dans le courant de mars prochain, époque à laquelle elle aura atteint l’âge voulu en sorte que cette hypothèque disparaîtra.

La Ville de Strasbourg vend au sieur Schaub un terrain de seize mètres carrés rue Kageneck

1865 (30. Xbre), Maire
Vente par la Ville de Strasbourg
au Sr Schaub, propriétaire à Strasbourg
de 16 mètres de terrain rue Kageneck moyennant 150 francs
approuvé le 12 janvier 1866
acp 550 (3 Q 30 265) f° 8-v du 18.1.1866

Les conjoints Schaub et Sengel ont démoli l’ancienne maison et construit une nouvelle sur la moitié du terrain. Les conjoints Schaub ont l’intention de bâtir une seconde maison sur l’autre moitié de terrain, mais comme les conjoints Sengel refusent d’engager de nouveaux frais, ils rétrocèdent leur moitié aux conjoints Schaub.

1866, Enregistrement de Strasbourg, ssp 145 (3 Q 31 644)
f° 42-v du 2.11.
Vente du 10 avril 1866 – Le soussigné Mr Jacques Schaub, ancien boulanger, et Barbe Wollschlegel son épouse autorisée à Strasbourg
Et Mr Philippe Jacques Sengel, charron, et Louise Schaub son épouse d’autre part
Pour arriver à la vente qui formera l’objet des présentes, ont préalablement exposé ce qui suit. Suivant contrat reçu Lauth Nre à Strasbourg le 3 octobre 1864, enregistré, les conjoints Schaub ont f’ait l’acquisition de Dame Marie Voltz, jardinière à Strasbourg, veuve de Daniel Vix en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, d’une maison avec cour, grange, écuries, droits et dépendances, sise à Strasbourg rue du Marais Kageneck N° 49, et sur une superficie de 4 ares 10 cent.. Cette acquisition a été faite moyennant le prix de 11.000 francs qui, à la demande des époux Schaub, a été payés à leur décharge et contre subrogation dans les droits de la veuve Vix par Mr Jean Daniel Schott, propriétaire à Strasbourg aux termes du contrat même, dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques le 13 du même mois d’octobre Volume 996 N° 4. Il a été pris une inscription d’office Volume 879 N° 87. Les époux Schaub ont intéressé les époux Sengel dans cette acquisition et leur ont vendu la moitié de la maison [sic] somme due à M Schott aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth Nre susdit le 9 décembre 1864 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre. Les époux Schaub & Sengel ont alors démoli la maison d’habitation et ont construit sur la moitié du terrain une nouvelle maison et pour subvenir aux frais de construction ont emprunté une somme de 13.000 francs de Mr Charles Auguste Boeckel libraire à Strasbourg, aux termes d’une obligation reçue par ledit M° Lauth le 7 février 1865, enregistrée et inscrite au bureau des hypothèques. Aujourd’hui les époux Schaub ont manifesté l’intention aux époux Sengel de surbâtir d’une seconde maison d’habitation l’autre moitié de terrain, mais les époux Sengel ont refusé de coopérer à la nouvelle bâtisse, et ont proposé de rétrocéder aux époux Schaub leur moitié indivise de l’immeuble. Enfin cette proposition a été agréée par les époux Schaub. En conséquence les époux Sengel vendent avec la garantie solidaire de droit aux époux Schaub, ce acceptant, leur moitié indivise de la maison d’habitation, cour, grange, bâtiment latéral, droit et dépendances, située à Strasbourg rue ei Marais Kageneck 49 (…) La présente vente a été conclue pour le prix de 12.000 francs
Dépôt, M° Lauth le 31 octobre 1866 n° 11.959

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel hypothèquent les deux nouvelles maisons au profit de Caroline Arbogast, veuve du marchand de farine Philippe Jacques Michel. Philippe Sengel et Louise Schaub se portent garants.

1866 (31.10.), Strasbourg 4 (124), Not. Lauth (Auguste Frédéric) n° 11.960
Obligation – Ont comparu M. Jacques Schaub, ancien boulanger, et Dame Marguerite Barbe Wollschlaegel, son épouse, de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à Madame Caroline Arbogast, vivant de son bien, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Philippe Jacques Michel, en son vivant marchand de farine en la même ville, à ce présente at acceptante, la somme principale de 16.000 francs (…)
hypothèque. Ville de Strasbourg. Une propriété composée de deux maisons d’habitation à rez de chaussée et plusieurs étages nouvellement construites, avec cour, grange et autres bâtiments, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise rue du marais Kageneck n° 49 autrefois n° 25, tenant d’un côté à M Gellert plâtrier, de l’autre côté à M. Wagner, et tirant par derrière sur M. Steinmetz. Cette propriété inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 10 centiares.
Les époux Schaub déclarent qu’ils ont fait l’acquisition de cette propriété, qui alors se composait seulement d’une vieille maison d’habitation, de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, suivant contrat reçu par M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre 1864, que cette acquisition a été faite moyennant le prix de 11.000 francs qui, à la demande des époux Schaub, a été payée à leur décharge et contre subrogation dans les droits de la veuve Vix par Mr Jean Daniel Schott, propriétaire, demeurant à Strasbourg, aux termes du contrat même, dont une expédition a été transcrite et inscrite d’office au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du même mois d’octobre Volume Volume 879 N° 87, qu’ils ont intéressé dans cette acquisition M. Philippe Jacques Sengel, charron, et Dame Louise Schaub son épouse demeurant à Strasbourg en leur vendant la moitié indivise de ladite propriété à charge de payer la moitié de la somme due à M. Schottt aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth le 9 décembre 1864, enregistré et transcrit et inscrit d’office au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre Volume 885 N° 108, qu’ils ont alors démoli avec les époux Sengel la vieille maison d’habitation et ont construit sur la moitié du terrain une nouvelle maison, et que pour subvenir aux frais de construction ils ont emprunte conjointement avec les époux Sengel une somme de 13.000 francs de Mr Charles Auguste Boeckel libraire, demeurant à Strasbourg, aux termes d’une obligation reçue par ledit M° Lauth le 7 février 1865, enregistrée et inscrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 16 du même mois de février Volume 886 N° 242, qu’ayant manifesté aux époux Sengel l’intention de surbâtir d’une d’une seconde maison d’habitation l’autre moitié de terrain, ceux-ci ont refusé de coopérer à la nouvelle bâtisse, et ont rétrocédé aux époux Schaub leur moitié indivise de l’immeuble & dettes contractées envers M. M. Schott et Boeckel, ainsi qu’il a été expliqué plus haut, le tout aux termes d’un contrat fait sous seing privé à Strasbourg le 10 août dernier et dont l’un des doubles a été déposé pour minute à M° Lauth suivant acte de dépôt dressé par lui cejourd’hui et avec lequel il sera soumis à la formalité de l’enregistrement avant ou avec les présentes, que depuis ils ont fait construire la seconde maison d’habitation dont ils a été parlé ci-dessus et qu’ils sont seuls propriétaires de la totalité de l’immeuble hypothéqué et que les fonds présentement empruntée serviront à solder les frais de constructions des nouvelles batises. (…)
Finalement déclarent les époux Schaub qu’ils sont mariés sous le regime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Noetiger notaire à Strasbourg le 18 juin 1859, que les deux sont mariés en secondes noces & ayant des enfants du premier lit, que les enfants du premier lit de M. Schaub sont tous majeurs mais que l’enfant du premier lit de la Dame Schaub, nommée Caroline Wendland, est encore mineure mais a été émancipée suivant déclaration faite par sa mère devant M. le juge de paix du canton Est de la Ville de Strasbourg le 21 septembre dernier (…)
Sont intervenus et furent présents M. Philippe Jacques Sengel, charron et D Louise Schaub, son épouse, de lui autorisée, les deux déjà cidessus nommés, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont dit qu’ils ont reçu lecture et communication de l’obligation qui précède et déclarent se constituer garants et répondants solidaires des époux Schaub débiteurs, envers Madame Michel, ce acceptant (…) Et à la sûreté et garantie de leurs engagements les époux Sengel (hypothèquent)
Trois maisons d’habitation à rez de chaussée surmontées de plusieurs étages et greniers, dont deux nouvellement construites, cette du milieu et cette de derrière, avec cours, droits, aisances, appartenances et dépendances, sises à Strasbourg, tenant d’un côté à M. Scheydecker, de l’autre côté à M. Gerhardt, donnant devant sur la rue du faubourg ee Saverne où elles portent le Numéro 46, autrefois le N° 33, et tenant par derrière sur la rue du Marais vert où elles portent le n° 35. (…)

La maison est inscrite en 1894 au nom d’Antoine Atzenhoffer et de sa femme Caroline Roman.
Originaire d’Altenheim, le poseur d’aiguillages Antoine Atzenhoffer épouse en 1874 Caroline Roman, native de Kniebis en Bade et veuve de l’aubergiste Philippe Charles Kiervel.

Mariage, Strasbourg (n° 487)
Den 25. Juli 1874. Heiraths-Urkunde von Anton Atzenhoffer, geboren zu Altenheim (Unter-Elsass) den 18. Juli 1846, Weichensteller an der Eisenbahn, wohnhaft zu Strassburg, volljähriger ehelicher Sohn von weiland Anton Atzenhoffer, Tagner zu Strassburg, gestorben den 28. März 1863 und von Therese Oth, ohne Gewerb zu Altenheim wohnhaft, hier gegenwärtig und einwilligend, und von Caroline Romann, Wittwe von Philipp Carl Kiervel, Wirth zu Strassburg gestorben deb 4. Juli 1873, geboren zu Kniebis (Baden) den 24. Mai 1840, Rentnerin wohnhaft zu Strassburg, volljährige eheliche Tochter von Lorentz Romann, Handlungsreisenden zu Oberkirch (Baden) wohnhaft und von weiland Rosine Weber zu Oberkirch gestorben nach dem vorgelegten Sterbeact den 24. October 1857 (i 38)

Originaire de Strasbourg, Philippe Charles Kiervel épouse Caroline Roman en 1861.
Mariage, Strasbourg (n° 183)
Du 25° jour du mois d’avril 1861 à dix heures du marin. Acte de mariage de Philippe Charles Kiervel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 novembre 1827 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Aubergiste, fils de feu Philippe Jacques Kiervel, menuisier décédé à Strasbourg le 28 juin 1860 et de feu Elisabeth Catherine Degen décédée à Strasbourg le 30 mars 1834. et de Caroline Roman, mineure d’ans, née en légitime mariage le 24 mai 1840 à Kniebis, paroisse de Ripoldsau, grand duché de Bade, domiciliée de droit à Kniebis et de fait à Strasbourg, sans profession, fille de Laurent Roman, commerçant domicilié à Kniebis et de feu Rosine Weber, décédée à Oberkirch grand duché de Baden le 29 octobre 1850. (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (i 51)

1861 (20.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) f° 42-v du 24.4.
Consentement par Laurent Roman, commerçant à Kniebeis, grand duché de Bade, au mariage de sa fille Caroline Romann avec le Sr Philippe Charles Kirwel, aubergiste à Strasbourg



16, rue des Veaux


Rue des Veaux n° 16 – VI 373 (Blondel), O 530 puis section 24 parcelle 25 (cadastre)

Bâtiment latéral ouest surélevé par Jean Frédéric Saum (vers 1773)
Bâtiment sur rue détruit en 1944, reconstruit en 1957 (architectes Charles Edouard Mewès et Gaspard Kœnig)


Façade sur rue (reconstruite en 1957 et rehaussée en 1998-2000, vue en août 2021)
Cour, bâtiment latéral droit et gauche, arcade derrière laquelle on voit le bâtiment vers la rivière (juin 2010)
Façade vers l’Ill (août 2021)
Bâtiment vers la rue (1966, dossier du n° 18, cote 709 W 59)

La maison dont le pavillon vers la rivière est soutenu par des pieux en chêne est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom du gentilhomme Bernard de Lützelbourg. Ses deux fils, l’un au service du prince de Lorraine l’autre à celui du prince électeur de Saxe, la vendent en 1616 à Henri Vagius. Jean Philippe Schatz dont la femme est héritière testamentaire de Henri Vagius cède à titre d’antichrèse la maison au capitaine Adolphe Dümmler et à sa femme Anne Dorothée Glaser qui en devient propriétaire. Le gentilhomme Philippe Albert de Bernhold l’achète en 1667, il est autorisé la même année à faire une avance de trois pieds de large le long du bâtiment arrière vers la rivière qui a 50 pieds. Sur le plan-relief de 1727, le bâtiment vers la rivière est celui qui est le plus clair au milieu de l’image. Le bâtiment latéral à gauche de la cour (à rez-de-chaussée et un étage) est bien visible, de même que sur la vue depuis l’est de l’îlot (haut de l’image). Une tourelle se trouve à la jonction de ce bâtiment et de celui qui longe la rue.
Le capitaine Sigefroi de Bernhold remplace en 1729 deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été. Il aligne sa risberme avec celle de son voisin en 1761. Le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum devient propriétaire en 1761. Il charge en 1770 le maître maçon Jean Lingenhœlin de travaux dans le bâtiment latéral gauche puis en 1774 dans le bâtiment latéral droit et dans le bâtiment principal. Il surélève le bâtiment latéral droit puisque des travaux y ont lieu au deuxième étage en 1774 et au troisième an 1777.


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 203 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (p-q) : porte d’entrée vers l’ouest, suivie de quatre fenêtres, cinq fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour M représente l’arrière (2-3) de la façade sur rue, l’aile gauche (1-2) vers l’ouest, l’aile droite (4-5-6) vers le fond de la cour, le bâtiment (1-6) qui donne sur la rivière et dont la façade sud est représentée à la cour D.
La maison porte d’abord le n° 40 (1784-1857) puis le n° 16.


Cours M et D, plan

Le chirurgien dentiste Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage puis réparer l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig. Le gros œuvre est terminé en août 1957. Le nouveau bâtiment a un rez-de-chaussée dont les quatre arcades rappellent celles qui se trouvent dans la cour et deux étages à sept fenêtres chacun. La façade est rehaussée entre 1998 et 2000 pour prendre son aspect actuel.


Bâtiment latéral gauche (image Falkenstein, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Façade vers l’Ill (image Spehner, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Même bâtiment, vers 1960 (AMS, 1 Fi 155, 459)
Veaux 10 sqq (1003 W 1 n° 549)
Au premier plan, le n° 10, le n° 16 est la quatrième maison (vers 1942, AMS, cote 1003 W 3 n° 549)
Escalier dans l’aile ouest (Rapport de fouille n° 5247, P.A.I.R., mai 2011) – Façade arrière du bâtiment sur rue – Bâtiment latéral ouest (juillet 2022)
Bâtiment à deux étages dessiné par les architectes Mewes et Kœnig en 1956 (dossier de la Police du Bâtiment)


Relevé de la tourelle, 1948, Charles Czarnowsky
Linteau remployé sur la façade du bâtiment ouest (juillet 2022)

août 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Bernard de Lutzelbourg et Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau – luthériens
1592* h (indivision) Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, et Anne de Wiltz puis Claude Beyer de Boppart
Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan du prince électeur de Saxe, et Anne de Zetritz puis Odile de Lœzer – luthériens
1616 v Henri Vagius, et (1601) Elisabeth Wolfarth, d’abord (1594) femme de Matthias Roth – luthériens
1631* h Jean Philippe Schatz, marchand, et (1610) Agnès Meyer puis (1629) Anne Botz – luthériens (héritière testamentaire des précédents)
1660 v Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie. et (v. 1641) Anne Dorothée Glaser – luthériens, manants
1667 v Philippe Albert de Bernhold et (1660) Anne Eléonore Zorn de Plobsheim – luthériens
1680* h Sigefroi de Bernhold, capitaine, et (1691) Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre – luthériens
1741 h (indivision) Octavie Sabine de Bernhold, et (1723) Samson Ferdinand de Landsperg
Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel, († 1747)
Antoine Sigefroi de Bernhold, colonel, et (1747) Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse – luthériens
1761 v Jean Frédéric Saum, marchand de cuir, et (1758) Susanne Dorothée Rœderer – luthériens
1801 v Frédéric Rodolphe Saltzmann, juriste, libraire, et (1779) Marguerite Salomé Müller – luthériens
1807 v Joseph Arroy, négociant, célibataire († 1840)
1814 b Charles Adam de Lewenhaupt, officier retiré, et (1811) Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
1832 v Jules César Saum, propriétaire, et (1832) Marie Louise Pauline Hecht
1887* h Georges Roth, professeur à l’université, et (1887) Marie Cécile Hecht
1908* Guillaume Weibel
1914* Emile Ruffenach, avocat
1919* Frédéric Emile Jules Schaller, directeur de banque et sa femme née Pabst
1920* Marie Félix Braun, directeur de brasserie, et Anne Marguerite Schaller
1931* Alfred Burgard, chirurgien dentiste

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 5100 livres en 1747, 3000 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) VI 373, Jean Fréderic Saum
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Saum, 8 toises, 1 pied et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 530, Saum, Jules César, rue des Veaux 20- maison, sol – 7,2 ares

Locations

1650, Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie (ensuite propriétaire)
1662, (cave) Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette
1675, (cave) Jean Georges Asfalck, marchand
1763, Jean Frédéric Ritzhaub, banquier
1775, Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais
1801, Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, juriste, et Salomé Gombault
1810, 1831, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, et Marie Catherine Schmitz
1815, Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg
1818, Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte veuf de Marguerite Petit
1820, Marie Louise d’Esebeck, veuve de Charles de Closen de Heydenbourg puis de Gustave Henri comte de Strahlenheim

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450), f° 79

Kalbs Gaß Ein seit nach dem Closter Sanct Stephan hinab
Juncker Bernhard von Lützelburg hatt ein Heüßel hinden vff dem Wasser vff zwenen Aichenen Pfäelen 7 ½ schu breÿt und 7 schu herauß, Item Vnden ein Brütsch 9 schu lang und 9 schu breÿt, Item Vornen In Kalbsgassen Lehenende Kellerthür 7 ½ schu breÿt und 3 schu herauß, Soll Allmendt sein und bleiben, Bessert für das Niessen, j lb xiii ß 4 d

Rue des veaux, d’un côté en descendant vers le monastère Saint-Etienne
Le gentilhomme Bernard de Lutzelbourg a une maisonnette sur deux pieux en chêne (7 pieds ½ de long en saillie de 7 pieds) par-derrière vers la rivière, De même en bas un lavoir (9 pieds de long en saillie de 3 pieds), De même une porte de cave inclinée (de 7 pieds ½ de long en saillie de 3 pieds) à l’avant sur la rue des Veaux, Est communal et doit le rester, doit pour la jouissance 1 livre 13 sols 4 deniers

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1667, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Les préposés autorisent Philippe Albert Bernhold à faire une avance de trois pieds de large sur les 50 pieds que fait le bâtiment arrière vers la rivière, moyennant 30 florins réglés en capital sur la Tour aux deniers. Il est en outre autorisé à ajouter un étage au même bâtiment.

(f° 72) Donnerstags den 1. Aug. – Jr Stettmstr. Stettmeistr. Bernolt. Ußstoß
Augenschein eingenommen in Jr Stettmstr. Philipp Albrecht Bernolts erkauffter in der Kalbßgassen gelegener Behaußung da er begehrt, d. Ihme erlaubt werden möchte in deßen hindern stock gegen dem Wasser Welcher 50. schue lang ist, einen Vßstoß zue machen 3. Werckschue hienauß vber d. Wasser. Weilen er entschlossen bessern wohlstandts halben solchen hindern stock oder gebauw umb ein stockwerckh Zuerhöhen. Weilen nun sich befunden d. gesuchte Vßstoß gegen dem Wasser Niemand hinderlich, vnd die erhöhung dießer Stockwercks eine mehrere Zierat, Alß ist Erkandt wie hernacher fol. (-) Zuseh.

(f° 77-v°) Dinstags den 13. Eiusdem [Augusti] – Jr. Bernholdt. Ußstoß
In sachen Jr Philipp Albrecht Bernholdts stettmstr. ist vff eingenommenen und referirten augenschein Erkandt, würdt Ihme in seinem begehren deß Außstoßes halben gegen dem Wasser hiemit Willfahrt, doch d. Er dafür dem fisco 30. fl. Zubezahlen schuldig sein solle. – Seindt mit Pfthrns. Zinßen compensirt den 13. febr. 1668

1729, Préposés au bâtiment (VII 1393)
Les préposés autorisent le menuisier Jean Georges Zimmermann, au nom de Sigefroi de Bernhold, à remplacer par de nouveaux deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été et que les glaces ont emporté

(f° 192) Donnerstags den 30. Ejusd. [Junÿ 1729] – Herr General Sigfrid von Bernold wegen allmends
Herr General Sigfrid von Bernold laßt Mghhn. durch Meister Johann Georg Zimmmern, den Zimmermann ersuchen, weilen das eiß an Seinem hinter Seiner in der Kalbsgaßen liegenden wohnung befindlichen Sommerhäußleins, so auf pfählen stehet, Zween davon weggenommen, Ihme zu erlauben an deren platz, zween andere schlagen zu laßen. Erk. gebettener masen willfahrt.

1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à ravancer sa risberme selon le même alignement que son voisin Jean Jacques Rœderer (futur n° 14) à condition de ne pas y construire de bâtiment sans autorisation

(f° 118-v) Dienstags den 10. 9.bris 1761 – Jr Sigfridt von Bernholdt
Jr Sigfridt von Bernholdt Läßet durch Johann Jacob Röderer dem Rothgerber umb erlaubnuß bitten mit seiner Landvest hinter seinem an der Kalbs: gaß gelegenen hauß in der nemblichen flucht wie H. Röderer seine darneben gemacht auff die Preusch herauß zu fahren. Erkannt, gegen einmahliger bezahlung willfahrt, sub conditione daß er Kein Gebäu darauff setzen solle ohne erhaltene erlaubnus Von Mghh. und soll H. Werner der Bau Inspector die flucht außstecken.

1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à construire la risberme en pierres de taille moyennant un loyer annuel de cinq sols

(f° 2-v) Sambstag den 16. Ejusdem [Januarÿ 1762] – Jr. Sigfried von Bernholdt u. Joh: Jacob Röderer
An Jr. Sigfried von Bernholdts hauß an der Kalbsgaß alwo Joh: Jacob Röderer der Rothgerber mand. nôe. um erlaubnus gebetten eine Landvest von quadersteinen hinten auff das waßer in der nemblichen flucht von seiner Röderers oben darneben auffzuführen und zu solchem end auff die breusch hinauß zu fahren Erkannt, gebettener maßen willfahrt gegen erlag 5 ß d jährlichen bodenzinßes.

1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le marchand de cuir Saum est autorisé à ouvrir de nouvelles croisées et à en modifier d’autres.

(f° 71) Dienstags den 5. Martii 1771 – Hr. Saum, der Lederhändler
Hr. Saum, der Lederhändler, bittet zu erlauben an seinem haus in der Kalbs gaß gelegen Kreutzstöck ausbrechen und verändern zu dörfen. Erkannt, Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jean Lingenhœlin expose les travaux que le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum a l’intention de faire dans le bâtiment latéral gauche à l’arrière de sa cour : fourneau dans la cuisine au rez-de-chaussée, cheminée à la française dans la chambre du premier étage vers la cour

(p. 210) Mittwochs den 14. Junii 1770. – H Johann Friderich Saum der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung hinden im hof lincker hand im flügel au rez de chaussée eine Kuchen gegen dem hoff neben der Steeg mit herd und Caminschoß machen, das rohr am steinen gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im nemlichen flügel im ersten stock eine Cammer gegen dem hof mit einem französischen Camin und Gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jean Lingenhœlin de faire des travaux dans l’aile droite en plaçant des fourneaux dans le poêle à l’étage, dans les cuisines au premier et au deuxième étage, dans le poêle du deuxième étage. Dans le bâtiment principal, dans les deux poêles et dans une chambre au deuxième étage.
(p. 306) Freÿtags en 22.ten Aprilis 1774 – Herr Johann Friderich Saum, der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung in dem flügel rechter hand im ersten stock eine Stube mit einem runden ofen setzen, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb Wohl versehen, das rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt. Der Zweÿte stock ist diesem gleich.
In dem ersten und Zweÿten stock im nemlichen flügel jedes mal eine Kuchen Gegen dem hof mit Herd und Camin Schoß machen, die rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock im nemlichen flügel eine Stube gegen dem hof, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
In dem haupt gebäu im Zweÿten stock Zweÿ Stuben gegen der gaß, hinden daran ein Vor Camin auf ein gewölb ruhend, wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock im haubt gebäu eine Cammer gegen der gaß mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkandt, durch aus Willfahrt, mit dem anhang alß alle Vor Camin thürlein mit Eisenblech beschlagen werden. – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer de travaux dans la cuisine au troisième étage de l’aile droite
(p. 436) Mittwochs den 11.ten Junii 1777. – H Saum der Lederhändler will in seiner ane der Kalbsgaß gelegenen behaußung in nebens gebäu Rechter hand im Hoff im dritten stock eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr an steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkand willfahrt – Mstr Härtelmeÿer

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue des Veaux

nouveau N° / ancien N° : 22 / 20
Loewenhaupt
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 186 case 3

Saum Jules Cesar rue des veaux N° 20

O 530, maison, sol, R. des veaux n° 20
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 90 / 72
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 16 case 1

Saum Jules César
1887/88 Hecht Marie Cäcilie, Fräulein
1889/90 Roth Georg Universitätsprofessor & Frau Maria Cäcilia Hecht

O 530, maison, sol, Rue des Veaux 16
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Folio de provenance : (186)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 90
fenêtres du 3° et au-dessus : 8

Cadastre allemand, registre 30 p. 315 case 5

Parcelle, section 24, n° 25 – autrefois O 530
Canton : Kalbsgasse Hs. Nr. 16
Désignation : Hf, 2 Whs u NG
Contenance : 7,22
Revenu : 4600 – 4300
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 1015
Roth Georg Ehefrau
1908 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1418
Weibel Guillaume
1935 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 4095
Ruffenach Emil Rechtsanwalt
1919 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1919), compte 4238
Schaller Friedr. Emil Julius Bankdirektor und Ehefr. geb. Pabst in Gg.
1920 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 4293
Braun Marie Felix Dr. jur. Brauereidirektor Ehefrau Anna Margaretha geb. Schaller
1931 Burgard Alfred chirurgien dentiste et son épouse
(1028)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 189 des Veaux

20
Prop. Saum, Joseph, frederic, negociant – Marchands
Loc. Jacquet, Jean Michel, Repetiteur en droit – ni b. ni m.
Loc. D°. Blain, anne, veuve – ni b. ni m.
Loc. Stridbeck, Jean geofroid, graveur – Echasses
Loc. Dlle Le Riche, fille – ni b. ni m

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 189 des Veaux p. 336

20
Pr. Saum, Joseph, frederic, Negociant – Miroir
Lo. Jacquet, Jean Michel, repetiteur en droit
Lo. Belain de Marais D° Anne, veuve
Lo. Stridbeck, Jean Geofroid, graveur – Echasses
Lo. Le Riche, fille

Registres de population

(1795) 7° section, Rue des Veaux N° 20 (registre 600 MW 7) – légende

Jn. Frederic Saum, 66, Marchand de Cuir, Strasb.
M. Madeleine Granau, 30, Servante, id
P. Stanislas Commart, 62, homme de lettres, Valenciennes, 1756
Salomé Gombault, 49, Epouse, Strasb.
Eugenie Commart, 24, file, id
Joséphine Commart, 23, fille, id
Hipolyte Commart, 20, fils, id
Louis Commart, 15, fils, id
Louis Commart, 14, fils, id
Barbe Gombault, 57, belle sœur, id
Louis Gombault, 55, id, id
Catherine Gombault, 42, id, id
Marie Anne Satler, 43, Servante, Ruffach, 1786
Cecile Braun, 20, Servante, Strasb.
Bernard M.el Jaquét, 58, Juge de Paix, Guebwilller, 1759
Anne Marie Rothann, 66, Cuisiniere, Strasb.
Salomé Bieth, 40, Servante, id
M. Madeleine Müller, 35, Epiciere, id
Fred. Guillaume Müller, 13, fils, id
M. Madeleine Lehmann, 40, Servante, Vesthoffen, 1783
Auguste Gremp, 35, Veuve, Stuttgardt, 1789
Louis Gremp, 14, fils, id
Frédéric Gremp, 12, fils, id
Louise Steckiner, 30, Servante, Andlau, 1791
Catherine Seldner, 37, Servante, Oberotterbach, 1787

Registres de population

(1798) 4° Arrondissement, VII° Section, rue des Veaux n° 20 (registre 600 MW 19) – légende

Jacquet, Michel, homme de loi, 60
Rothan, Marie, Cuisiniere, 67, Strasbourg
Bieth, Salomé, Servante, 43, id – [les trois précédents] delogés
Jean Leonard Roederer, march. tanneur, 21 ½, Strasbourg
Marie Elisabeth née Roederer sa femme, 24, Wasselonne, 3 ans
Leonard Charles Roederer son fils, 1
Jean Pierre Beniere*, son Compagnon, 17, de Paris, 9 mois
Marie Agathe Treiber, Servante, 24, de Stouttgardt, 5 [mois]
Joseph Guilain Commart, homme de loi, 63, Strasbourg
Salomé Gombault, sa femme, 51, id
Eugenie Commart, (leurs enfants), 27, id
Joséphine Commart, (leurs enfants),fille, 24, id
Hipolite Commart, (leurs enfants),22, 6 mois, id
Louis Commart, (leurs enfants),17, 6 M, id
Alexandrine Commart, (leurs enfants),16, id
Barbe Gombault, (leurs Belles sœurs), 59, id
Louise Gombault, (leurs Belles sœurs), 57, id
Catherine Gombault, (leurs Belles sœurs), 42, id
Magdeleine Kirtzing, Cuisiniere, 30, id
Marie Chopinet, Servante, 20, id – [les deux précédents] delogées
Ignace Scharenberger, Jardinier, 42, de Sultz
Catharina Schultz, sa femme, 25, Strasbourg
Teres Scharenberger, (leurs enfants), 3 ½, id
Françoise Scharenberger, (leurs enfants), 1 ½
Teres Rieffer, leur niece, 13, de Sultz
(25)
[verso]
Schremling, Marg.te, Servante, 44, Strasbourg – E. le 1. nivose 7, Est allé Finckweiller 3
Baudouin, Elisabeth, Servante, 25, Sarrebourg – id.
Wiver, Jn. Nicolas, Artiste, 66, Noenes* – id.
Laugier, Amélie, Enseigne, 47, Marlenheim – id.
Biotte, f.ois Antoine, Quart. Me. des Gendarmes, 25, Strasbourg – id.
Biote, Xavier, 35, Strasbourg – id.
Herrenschneider, Cath., Domestique, 16, Fegersheim – id.
Dusauget, Louis, Conduct. d’artill., 52, Pontamousson
Hugot, Adelaide, sa femme, 39, Vesly
Dusauget, Louis, leur fils, 18, Abbeville
Dusauget, Adelaide, leur fille, 15, Joinville
Dusauget, Edme, leur fille, 15, Perthes
Dusauget, Henriette, leur fille, 6, Momel
Gross, Off. de santé du 3° C.e, 22, Sarrebourg – E. le 27 Frim.
Houchard, Eleve du Génie, 18, Sarrebourg – id.
Reboulat, Bernard, Employé militaire, 31, Dijon – E. le 14 G.al 7 de la rue des Echasses 3
Litty, Catherine, sa femme, 23, Strasbourg – id.
Reboulat, Victor, fils, 4 mois, id – id.
Litty, Joseph, leur frere, 15 mois, id – id.
Litty, Martin, leur frere, 11 mois – id.
Huy, Marie Anne, Ouvriere, 26, Erstein – id.
Wamst, Marie Anne, Servante, 46, Niederbronn – id.
Kuhn, Elisabeth, femme divorcée, 39, Lichtemberg – id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kalbsgasse (Seite 74)

(Haus Nr.) 16
Lau, Schuhmachermstr. 0
Breitenstein, Pfarrer. 1
Dr. Nöldeke, Univ. Prof. 01
Frhr. v. Bibra, Ministerialrat a. D. 02
Frhr. v. Bibra, Reg.-Ass. 2.
Frhr. v. Bibra, Refer. 2.
Schneider, Rentnerin. 2.
Dorn, Oberpostschaffner. H 0
Kühnen, Rentnerin. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (947 W 33)

Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage dans un des bâtiments par les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer qui réparent l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig, le gros œuvre étant terminé en août 1957 sans que la corniche corresponde aux plans.

Autres dossiers
1198 W 2414, demande de renseignements, 1998
1198 W 1378, AP, 1998
1308 W 836, ravalement, 2000
1331 W 210, extension, 1998-2001
1687 W 316, ravalement, 2010-2011

Sommaire
  • 1867 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Saum l’autorisation de faire une prise de gaz pour deux becs
  • 1883 – Le maire notifie le propriétaire de faire faire une fosse au lieu de rejeter les excréments humains dans l’Ill – Décembre, le conduit vers l’Ill ne sert plus qu’aux eaux de pluie et à des eaux usées
  • 1891 – Le maire notifie le propriétaire, Mme Hecht, de faire ravaler les façades.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence les volets du rez de chaussée et de la cave – Les modifications ont été faites, juillet 1896
  • 1907 – Les peintres Beck et Schmidt demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1912 – La chute d’une cheminée a endommagé le toit du n° 18 – Réparations
  • 1913 – L’avocat Ruffenach demande l’autorisation de poser une plaque professionnelle – La plaque sans saillie est posée.
  • 1915 – Rapport de la Commission militaire des logements. Les travaux de raccordement aux canalisations sont en cours. Travaux terminés, août 1915
  • 1917 – La marchande de modes Eugénie Streicher demande l’autorisation de poser une enseigne émaillée – Accord
  • 1917 – Modification de la cheminée après un incendie – Les modifications ont été faites, octobre 1918
  • 1922 – Des fragments de crépi tombent du mur mitoyen vers l’Ill sur la propriété du n° 18 – Le propriétaire, le directeur de brasserie Braun, demande l’autorisation de poser un échafaudage
  • 1931 – Albert Burghard (propriétaire demeurant 1, rue de Zurich) demande l’autorisation d’aménager un garage dans un bâtiment existant (entrepreneur, P. Guri et E. Meyer, 4, rue des Balayeurs) – Autorisation. Calcul statique, plan de la parcelle, dessin – Travaux terminés, juin 1931 – Permis d’occupation, juin 1931
  • 1932 – La Police du Bâtiment constate que le propriétaire Burghardt fait faire des travaux sans autorisation – Demande d’autorisation – L’entrepreneur P. Guri et E. Meyer expose que la façade du bâtiment arrière s’est en partie affaissée, il y a des champignons au fond de la cour – Autorisation – Extrait du plan cadastral – Calcul statique – Le voisin Henri Bertrand qui n’a pas donné à l’entrepreneur l’autorisation de faire les travaux sur son terrain propose un compromis – Gros œuvre terminé, octobre 1932 – Permis d’occupation à délivrer, mars 1933, n’a pas été délivré, idem
  • 1945, 1947 – Les bâtiments ont été endommagés par le bombardement aérien du 11 août 1945. Certificats de sinsitré délivrés à Charles Lœgel (deuxième étage, maison entièrement détruite), Albert Blæs, Gabrielle Felzinger (premier étage, inhabitable), Jeanne Herrmann (premier étage, maison entièrement détruite), Keser (premier étage, inhabitable), A. Burghard, Joseph Muller
  • 1946 – Le maire fait part au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme que l’aile latérale droite du bâtiment avant menace de s’écrouler, le bâtiment arrière étant intact (rapport du 2 juin 1946). Le M.R.U. répond que le retard est dû à l’architecte du propriétaire – Les travaux de reconstruction de la maison arrière sont terminés et correspondent aux prescriptions de la Police du Bâtiment, novembre 1946
  • 1956 – L’entreprise de construction Barbier-Kientz est autorisée à occuper la voie publique pour le compte du propriétaire Burghard
  • 1956 – Projet de reconstruction de l’immeuble sinistré (partie sur la rue) par les architectes Mewes et Kœnig – Extrait du plan cadastral – La corniche de la toiture devra se retourner du côté latéral pour éviter que le mur pignon ne soit trop haut, une servitude de gouttière est donc nécessaire – Permis de construire délivré par le Ministère de la Reconstruction et du Logement – Gros œuvre terminé, août 1957 – La corniche de la toiture n’a pas été exécutée comme prévu (croquis) – Commentaires de la Police du Bâtiment, compte tenu que le pignon est en arrière de l’alignement légal et que l’école est volontairement à distance de l’alignement légal – Certificat de conformité délivré par le directeur départemental du ministère de la reconstruction, 8 septembre 1959.
  • 1961 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le pignon qui donne vers l’école voisine – Le propriétaire répond qu’il a consenti à détruire un débarras en saillie moyennant que la ville crépisse le mur – La Ville propose de poser un treillis à garnir de plantes – Travaux achevés, juillet 1962
  • 1969 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le mur sur l’Ill – Demande adressée au nouveau propriétaire, Herrmann Frères
    1970 – Projets du nouveau propriétaire, Edouard Helwig
    1971 – Autorisation d’occuper la voie publique par un échafaudage – Travaux intérieurs. Façade ravalée, septembre 1971
  • 1982-1984 – Le propriétaire Edouard Helwig demande l’autorisation de réparer le toit, crépir et peindre les murs – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le propriétaire demande une subvention à la Ville – La ville acccorde une subvention pour la peinture parce que la cour est visible de la rue – Coupure de journal – Factures

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2265)

Alfred Burghard déclare les dommages dus aux bombardements du 11 août 1944. Sept des onze appartements sont inhabitables (bâtiment avant et aile latérale)

Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 47
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 16
Burghard Alfr.
Quartier : Place de la Cathedrale

Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Ums Münster
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Fliegerschaden vom 11. 8. 1944

Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Eigentümer : Burghard Alfred Kalbsgasse 16
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus, Seitenbau, Hinterhaus
2. Beschädigte Gebäudeteile : Vorderhaus, Seitenbau
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : Totalschaden
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen : 11, bewohnbar 4, unbewohnbar 7
Geschäfte –
Werkstätten –
Garageräume –
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar : Einsturzgefahr
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 17 8. 1944
Unterschrift : Alfred Burghard
Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 46
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 14
Schuster Otto
Quartier : Place de la Cathedrale


Relevé d’actes

Bernard de Lutzelbourg est propriétaire de la maison dans le Livre des communaux de 1587. Il épouse Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau. Il meurt en délaissant deux fils et deux filles (voir les actes suivants) La maison revient à ses fils Gautier, successivement marié avec Anne de Wiltz et Claude Beyer de Boppart, et Garnier, successivement marié avec Anne de Zetritz et Odile de Lœzer.

Mariage, cathédrale (luth. p. 177)
1590. Dominica 11. post Trinitatis. 28. Junÿ. Der Edel und Vest Bernhard von Lüzelburg, So die Edel Ehrn vnd tugendreiche fraw Lucia Böcklerin von Böcklinsaw, Ludwigen von Reinach selig. tochter weiland des auch Edlen vnd Vesten Wilhelm Böcklin von Böcklinsaw nachg. wittfraw. Eingesegnet Montags den 13.t Julÿ (i 92)

Bernard de Lützelbourg épouse Véronique de Landsperg, fille de Sébastien de Landsperg et d’Anne de Rathsamhausen Ehnwihr, dont
Gautier, épouse Anne, fille de Jean de Wiltz, gouverneur de Thionville et de Claude Beyer de Boppart
Garnier, grand veneur de l’électeur de Saxe
Béatrice, épouse (1576) Jean Schweickart de Sickingen
(Lehr, L’Alsace noble, p. 330)

1) Elisabeth, † 1614. Sie heiratete im Jahre 1581 den Oberamtmann und Rat zu Saarbrücken Johann Nikolaus von Hagen, † 14. Aug. 1622, Sohn von Johann von Hagen und Beatrix Zandt von Merl;
2) Friedrich erwähnt 1589;
3) Werner, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Zetritz und in 2. Ehe mit Odilia von Loezer;
4) Beatrix, † 22. Febr. 1610 in Ebernburg. Sie heiratete am 27. Mai 1575 Ernst Johann Schweikhard den Älteren von Sickingen, † 13. Sept. 1589 zu Ebernburg, Sohn von Franz Konrad von Sickingen und Maria Luzia von Andlau;
5) Walther, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Wiltz, noch 1621 erwähnt und in 2. Ehe mit Anna Margarethe von Eltz. (référence)

1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
On découvre dans la maison du défunt Bernard de Lutzelbourg trois grands coffres qui doivent contenir de l’argent. Le gentilhomme Bœcklin en fait part aux Quinze pour éviter que cet argent sorte de la ville. Le gentilhomme Prechter demande en avril la conduite à tenir pour encaisser au mieux les droits qui reviennent à la ville si les héritiers, dont l’un habite en Saxe, se partagent la succession. Les héritiers font dresser l’inventaire réglementaire mais les fils s’opposent à ce que les titres qui se trouvent dans la maison Landsperg soient inventoriés, en alléguant qu’ils ont trait à des possessions lorraines dont leur père leur a fait donation. Les fils se sont accordés à ce sujet avec leurs sœurs et leur neveu (Sickingen et Rumroth). L’inventaire est suspendu jusqu’à ce que les héritiers aient produit la donation. Bœcklin rapporte en septembre que les héritiers s’efforcent de fournir tous les documents. L’affaire sera close seulement quand les héritiers auront réglé les droits de détraction.
J Bernhardt von Lützelburg. 40. 49. 72. 129.
(f° 40) Sambstag den IIII Martÿ – J Bernhard von Lützelburg
J. Böcklin Zeigt an, Nach dem Bernhardt von Lützelburg mitt todt abgang. seÿ er alß vogt seiner stieffdochter Zu Bernhard von Kageneckh vnnd Friderich Bocken erfordert, alles versecretiren helffen, haben Inn einem gewölb dreÿ große eÿßere trög vnd Zween eÿsen stöck befunden, vermeint man sÿ seÿen voll geltts, hab ers mein herren wöllen anzeigen, ob vff mittel Zu gedencken, das solch geltt nicht auß der Statt ettwan Inn Lothring. geführt vnd wider vnns od. vnsere Religions verwandte gebraucht werden möchte, ob villeicht mein H, das geltt vff dem pfenningthurn Zunehmen vnnd ein Jar Zweÿ anstatt des Abzugs vergebens brauchten. Item hab er auch mitt H. Beinheimen daruon geredt, dieweil Lützelburger seliger ein Zehenden vnnd Zoll Zu Waßlenheim hatt, so zwischen mein herren vnnd Ime Zu Zeitten spann gegeben, Ob man Jetzo vmb solchen Zehenden handlen möchte vnnd denselben Zu der Statt handen pring. der ein Sohn wohnt Zu Sarburg, der ander ist am Säxischen hoff, könte auch des Abzugs halben bedacht werden.
Erkandt das geltt belangendt soll J. Hans Conrad Böcklin der sachen wahrnehmmen, so die theilung fürgenohmmen was man mitt dem geltt wollte fürnehmen, solches mein Hn berichten vnnd dieweil sÿ ohn Zweiffel auch des abzugs halben werden ansuchen, soll man des Zolls vnd Zehenden Zu Waßlenheim eingedenck seÿn, ob man darumb könte Inn handlung kommen.

(f° 49) Sambstag den Ersten Aprls. – Bernhard von Lützelburg
J. Prechter Zeigt an, dieweil er Inn erfahrung pracht das Bernhardt von Lützelburg selig. erben vff den 26. diß hiehör beschriben, auch ohn Zweiffel abtheilen werden, mein h. auch ein feder von der ganss möcht werden, dieweil einer Im landt Zu Sachßen wohnet, Hatt er für gutt gehaltten, das mans möchte dahien richten, das es Zuuor bedacht, vnnd dieweil meiner H. Aduocaten von beden theilen sollen darzu erpetten seÿn, das Ihnen möcht Zugesprochen werden, wie auch D Gerbelio, das die Aduocaten nichts thäten so mein h. Zu nachtheil gereichen möcht, Item D Gerbelius auch, der Inn Doctor Keÿsers abzug die erben soll angewißen haben, vmb milterung des abzugs anzusuchen, die sonst weren guttwillig gewesen, den Zehenden pfenning Zuerstatten, dann so deß ortts ettwas nachgegeben würde, möchten die Grempischen erben mein Hn auch wider ein unrhue machen.
Erkant, B Mr. sollen die dreÿ Aduocaten vnnd D Gerbelium erfordern, Ihnen den casum anzeig. vnnd beuelhen sich Zuberhatschlag. was Zuthun, damitt mein Hn kein unrhue gemacht vnnd d. Statt werde was Ihr gebürt, D. Gerbelius würdt wissen nach zusuchen beÿm Cleinen Rhat.

(f° 72) Sambstag den XXVIII Maÿ – J. Bernhart von Lützelburg
Der Rhatschreiber bringt für, die Lützelburgischen erben haben Ihme vor dißen durch D Steffan laßen ansprechen, sich Zur Inventation gebrauchen Zulaßen, er erstlich abgeschlag. letstlich bewilliget, souil er seiner Amptgeschefft halb. berichten könne, Wie sÿs auch Zur selbig. Zeitt fürgenohmen, vnd nach dem man Zusammen kommen, daruon geredt, wie die Inventation fürzunehmen, seÿ Ime durch Emanuel Goldern Im Lützelburger hoff angezeigt, daß Mathiß von Gotteßheim vnnd noch ein herr Ime bevolhen anzuzeig. das meine Hn Rhät vnnd XXI erkandtnuß seÿ, das die Lützelburgischen erben ein ordentlich Inventarium sollen vffrichten alles was darein gehört, darein bring. vnd den erbfall vor dem Cleinen Rhat außnehmen denen es angezeigt, die sich erpotten, der Erkandtnuß nachzusetzen, ein ordenlich Inventarium vff zurichten, dabeÿ ers müßen bewenden laßen haben daruff die Inventation fürgenohmmen haußrhat, silbergeschirr, barschafft, ligende güeter, Zinß vnd gültten alles ersuchen laßen vnnd alß man auch Im Landsperger hoff die brieff ersuchen sollen, habens die Söhne nitt bewillig. wollen, gesagt, das es die brieff so über die Lottringische lehen, die Ihr vatter Ihnen per modum donationis inter vivos übergeben, seÿen nuhn dreÿ Jar Inn poßeß, Doctor Sturtz beuelchhaber der Sickingischen vnd Rhumroth es widersprochen, wie auch J. Böcken von weg. seiner Vogtsdochter einredt gehabt, müßen die donation besichtig. Jene es bestritten, das sÿ nicht Inns Inventarium gehörig, daruff man sich verglichen, die Inventation einzustellen, bitz die donation exhibirt vnd besichtiget, Item schaffner alle Ire Rechnung. vff Johannis gethan, damitt das Inventarium ergentzt. Dieweil man sÿ dann nicht weitters treiben können, hab ers müß. pleiben laßen. Inn mittels von Bittelbron gehört, das die brüder mitt den schwestern vnnd schwester Kindt verglichen, wie der vertrag soll vor Rhat bestetigt werden. J. Böckel Ihne bericht, das die Lützelburgischen nicht willens, die Inventation ferner Zu continuiren, habs mein H. sollen anzeig., stells Zu mein Hn was sÿ erachten, das man ferners Zuthun schuldig, sollen billich das Inventarium ergentzen, das mein Hn Ihr abzug mög werden Ob mein h wöllen content seÿn, od. Ihnen vffleg. [f° 73] dem Jenig. so Ime beuohlen, nach Zukommen, vnnd ein vollkomlich Inventarium Zumachen, od nicht, das stehe Zu mein herren.
J. Böckel referirt wie d. Rhatschreiner, Item wie die Vergleichung beschehen mitt den schwestern vnd Rhumrath, durch nidergesetzte vom Adel vnd die Doctores. Were die donatio Zubesichtig. ob sÿ crefftig od. nicht, dann mein H vnnd sein vogts dochter Ihr Interesse dabeÿ, seÿ Vil gutts dings Inn den Kösten, nicht allein von lehen, sonder auch eigenthümliche dörffer vnd anders Inn Lottring. das vonnöthen solches Zuersuchen, Item so greiffen die brüder Inn die baarschafft, Zalen darauff die schwestern vnnd den Rhumroth, gleichwol wöllen sÿ gutt darfür seÿn, so man abzug dauon schuldig.
Erkandt, dieweil mein Hn Inn geringer anzal, die sach beÿ Rhät vnd XXI tractirt, Soll man deù Rhatschreiber sag. das er sein fürpring. per modum supplicationis enstelle, vnd für Rhät vnd XXI pringe, wöll man sehen, das er audientz bekomme, Inn mittelst nichs von handen laßen.

(f° 129) Sambstag den IX Septembris – J. Bernhart von Lützelburgs erben
J. Böcklin Zeigt an, das die Lützelburgische Erben allen fleiß anwenden, brieffliche verkhünden vnnd was noch hie ist, hienweg Zupring. wo es geschiht, so werdt mein herren nichts oder wenig für den abzug, were den schaffnern (.Friderich Zornen, Jacob Meÿern, Johann Edling.) Zugebietten, beÿ Ihren burgereÿden nichts von handen zugeben, bitz vff meiner herren weitteren bescheidt.
Erkandt Bede Mr. sollen die schaffner fürderlich beschicken vnnd Ihnen beÿ Ihren burgereÿden gepietten nichts auß handen volg. Zulaßen, bitz die Lützelburgische erben des abzugs halb mitt mein h. verglichen, vnnd soll man nichts überstehen, damitt die Grempischen erben nicht ursach sich Zubeclagen.

1605, Protocole des Quinze (2 R 33)
Veneur du prince électeur de Saxe, Garnier de Lutzelbourg va venir à Strasbourg. Les Quinze fixent le droit de manance à huit livres, ce qu’il trouve trop élevé. Il estime pouvoir donner six livres et une livre en sus, ce qu’acceptent les Quinze.
J Werner von Lützelburg. 89. 97. 99.
(f° 89) Sambstag den 20. Aprilis. – J. Werner von Lützelburg
Frantz Piering Schaffner J. Werner von Lützelburg Churf. Sachsischen Jägermeisters p. Disdorpium, Er hab seinen Junckern das Mandat saltzgelts halb überschickt, der sich erclärt, das er Inn kurtzem seiner nottwendigen geschefft halb herkommen werde, wöll er sich alß dann mitt mein herrn Vergleichen, das sÿ content seÿn werden, dieweil er aber Inn seinem hoff werd. einköhren, hab er des Junckern erclärung mein Hn. fürpringen sollen, Wöll verhoffen, man werd sich den einzüg nicht laßen Zuwider seÿn.
Erkandt, dem Schaffner anzeig. man laß den Junckern beÿ seinem erpietten verpleiben, er mög Inn seinem hoff ein Zieh. Wann er aber herkombt, Soll es d. schaffner anzuzeig. schuldig seÿn Mr.

(f° 97, 97-v) Mittwoch den VIII Maÿ
(D. Steffan) dann er werd. ein tag oder ettlich nicht hie seÿn,; muß den Marckttag Zu Meurßmünster Inn namen J. Werner von Lützelburg der den vierten Stamtheil besuchen, seÿ vergleichung Zutreffen, hab er bitzhero Inn der sachen gedient.
J. Werner von Lützelburg – Daruff entstehet ein frag, dieweil gedachter Werner von Lützelburg Churfürstlicher Sachsischer Jägermeister Jetzo allhie vnd sich seines einzugs halb begert mitt mein herren Zuvergleichen, was Ime für ein Schutz vnd Schirmgeltt Zubestimmen.
Erkandt Ime viij ln vfflegen vnd soll man Ime Zu muthen, fidelitatem Zuversprechen, hören was er darzu sag. will, Solls Ime D. Stephan anzeig. Sagen Ime B. Mr.

(f° 99-v) Sambstag den XI Maÿ – J. Werner von Lützelburg
H Stettmr. Büchßner referirt, demnach er auß bevelch meiner herren von J. Werner von Lützelburg den Verspruch fidelitatis angenohmmen, hat er sich beschwert 8 lb Zugeben, dieweil er seinem Gnedigsten Churfürsten vnd Herrn von einem hauß so er Ime geschenckt, nicht mehr dann 6 lb gebe, aber sich erpotten mein herren j lb weitters Zu geben, vnd heb gar gern versprochen auch sich erclärt, das er Ime Inn seiner Bestallung geg. dem Churfürsten vorbehaltten, wider sein vatterlandt vnd die Statt Straßburg nicht Zudienen.
Erkandt, Ine beÿ seinem erpieten der vij lb pleiben laßen, Kan mans dem Schaffner anzeigen dieweil d. Juncker hiein Inns Westerich reÿßt. Mr.

1615, Conseillers et XXI (1 R 96)
Garnier de Lutzelbourg écrit de Dresde qu’il est trop âgé pour continuer à voyager. Il demande à être relevé de son droit de manance aux Conseillers et aux Vingt-et-Un qui renvoient l’affaire aux Quinze. Les Quinze donnent leur accord mais les fils du demandeur, jusqu’à présent logés chez les Landsberg, devront à l’avenir être logés chez des aubergistes.
(f° 331) Sambstag den II Decembris. – Werner von Lützelburg sagt sein Schirm auf
Werner von Lützelburg schrb. auß Dreßden darin mherren Zur augenschaw, d. er aber alters halben disser ort nit bald mehr reisen würd, od. feur v Rauch halten, Bitt er Ime des Schirms wid. Zuerlassen sonderlich weil auch die Jar nun mehr foruber, mit erbetten. Erk. Ist für mein H. die XV gewisen, die komme Ine des Schirms erlassen.

1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 215). Montag den 4. Decembris – Jr Werner von Lützelburg. Schirms vffsag
Ein schreiben vonn Jr Werner von Lützellburg, Churfürstlichen Sächßischen Jägermeistern vnd Cammer Junckern, sub dato Dreßden den 28. Augusti 1615. ahn Hrn Meister vnd Rhat allhie gerichtet, so verschienen Sambstag beÿ Hrn Rhat vnd XXI abgeleßen vnnd für mein Hrn die fünffzehen gewissen, Ist fürgelegt aber nicht verleßen worden, weÿl es allein den schutz vnd schirm belangt, darinnen der Junckher bißhero gewesen, den er aber Jutzunder, wegen seines altters, meinen Hrn vffschreibt, vnd den Hrn solcher Inhalt noch wohl bewußt ware, sonndern allßo balf vmbgefragt vnd Erkant, Man soll solche abkündung vonn Ime vff vnnd annehmen vnd einem Schaffner Frantz Peüring im Landspergischen Hoff beschicken, Ime solches anzeigen, mitt bevelch des Junckhern söhn, so bißhero Jr vffkehr beÿ Ime gehapt, ferner nicht Zubeherbergen, sondern ahn ein feÿlen würth Zuweißen, Item wahfern es noch nicht geschehen, die sachen vfm Stall vollendts richtig Zumachen, dessen dann die Vfm Stall auch Zu avisiren. Mr
[in margine :] Ist bereits verricht. den 16. Xbr. 1615.

Autres références sur Garnier de Lutzelbourg dans les mêmes registres
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Werner von Lützelburg vmb Einspänniger. 281.
1619 Conseillers et XXI (1 R 101) Johann Georg Churfürst zu Sachsen intecedirt p. Werner von Lützelburg. 27.
1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Johan Rudolph vnd Sebastian Schenck maturanda sententia [umb beforderung bescheids] in causa contra Werner von Lutzelburg. 9.

Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan chez le prince électeur de Saxe, et Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, vendent la maison à Henri Vagius et à sa femme Elisabeth Wolfart moyennant 1 125 livres

1616 (2. Martÿ), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger), Scheda ad fol. 132
(P. fol. 121.) Erschienen der Ehrenvest hochgelehrte herr Sebastian Leüttersperg beder Rect. doctor vnd der St. St. advocat deß gleichen herr Frantz Beüring burger Zu Straßburg, bede Als vollmächtigter gewalthaber der Woledlen vnd Gestreng Werner Von Lützelburg Churfürstl. Sächsisch. hoff Jägermeÿster vnd Cammer Juncker vnd Walther von Lützelburg Fürst. dhlt. Zu Lottring.Gubernator Zu Sarburg gebüder (haben verkaufft)
Heinrich Vagio vnd Elisabeth Wollfarthin seiner ehelichen haußfrauwen burgern zu Straßburg
hoff, hauß, hoffestatt, Stallung vnd brunnen mit Allen Ihren gebeüwen, begriff. weÿth. Recht. vnd Zugehördden wie die von Lützelburg bitzanhero beseß. gelegen Inn der St. St. Inn der Kalbßgaßn einseit neben h. Johann Mock. And.seit neben J. hanß Philipß Zugkmantells hoff, hind. vff die Breusch stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht, besetzung, eÿgenthumb od. herrschafft od. derergleich. (…) Zugang. vnd beschehen Für Vnd Vmb 1125 pfund

Fils du receveur de l’Eglise rouge Thiébaut Vagius, Henri Vagius épouse en 1601 Elisabeth Wolfarth, veuve de Matthias Roth
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 64, n° XXIII)
1601. den 16. Novembr. sind Ehelich eingesegnet worden herr Henricus Vagius vonn Straßburg, weiland herrn Theobald vagÿ Schaffners Zur Rotenkirchen vnd Burgers alhier selig. nachgelaßener Sohn, vnd Fraw Elisabeth Wolffhartin weiland herrn Hans Matthis Rothen seligen nachgelaßene widtwe (i 61)

Matthias Roth épouse en 1594 Elisabeth Wolfarth, fille du parcheminier Laurent Wolffart
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 11-v, n° 39)
1594. H. Hanns Matthiß Roth, vnndt Elisabeth Lorentz Wolfarten des pergamenters tochter. Eingesegnet Zu Illkirch den 18. Junÿ (i 12)

Henri Vagius acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme neuf mois après son mariage
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 815
Herr Heinrich Vagius empfahet d. B: Vonn seiner Haußfrawen Elßbethen w: Herrn Mathis Rothen selig. witib will Zun Gartnern Inn Crautenaw dienen, Vnnd sein Nahrung für 5000 fl. angeben. Act. 24. Aug:

Jean Mathias Roth a institué l’hôpital bourgeois pour héritier universel. Henri Vagius a versé les sommes en argent de mauvais aloi, soumises à un complément de paiement. L’acte se termine par une question juridique ayant trait aux droits à verser sur ces compléments
1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
(f° 136-v) Sambstag den 22. Junÿ – Hanß Philipp Schatz, Joseph Arhard Schaffner im mehren Spittahl – Hanß Matthiß Rothen Erbschafft – Henrich Fagÿ Erben – Pfundtzoll in käuffen und Cessionen verfallen – Ob man von Nachträgen pfundt Zoll schuldig
Hanß Philipp Schatz, vnd Joseph Arhard des mehren spittals schaffner Erschienen berichten p. N Eggen, daß weÿland Hanß Matthiß Rothen erbschafft den armen im Spittal, alß instituirten Erben heimgefallen, daran weÿland Heinrich Fagius in schlechtem gelt ettwas abgestattet, solches aber nun mehr dem Spittahl an reducirtem capital gut gethan worden, vnnd weilen hievor, so wol vom schafer des Spittahls, als auch herrn Schatz ehvögtlicher weiß der pfundt Zoll abgefordert wird, solches aber beeden supplicanten, weilen sie für sich kein interresse dabeÿ beschwerlich, auch sonsten nicht herkommens, das von dergleichen donationen ad pias causas derselb. gefordert werde, Alß haben sie es an diesem orth anbringen, vnnd sich davon Zu absolviren betten wollen, produciren Zu mehrern bericht Ein memorial, so verlesen, deß Innhalts das herr Heinrich Fagius in gedachter H Hanß Matthiß Rothen Erbschafft gut gelt schuldig verpliben 623. lb, dargeg. haben seine Erben dem Mehrern Spittal ein Zinnßbrieff vff den Pfenningthurn, welcher schlecht. gelt 1500 lb. aber an reducirten capital 409 lib. d thut über geben, darvor werde der pfundt Zoll gefordert. herr Kügler alß oberpfrundt Zollh. wie auch h. Frantz berichtet, das Contractuum Notarÿ instruction weise auß, das was von käuffen oder Cessionen hier in der Contractstub verschrieben werde, davon auch der pfund Zoll verfallen seÿe, Nun seÿe dieße handlung Zwischen dem mehrern Spittahl und Fagÿ Erben in der Contractstub verschrieben, begehre dannenhero d. pfund Zoller außweisung weßen Er sich in diesem fall Zu verhalten. Beÿ der vmbfrag ward dafür gehalten, scheine vnbillich das der, der nachtragt oder dem auch nachgetrag. wird, solte pfundt Zoll geben, weilen es an ledige bezahlung ist, dahero vermuthlich beede Supplicanten in diesem fall werden Zu absolviren sein, doch weilen vff die bahn kommen, das fast ein gleichförmiger Casus in vorig. Protocollis werde Zu finden sein, Ist Erkanndt worden das solcher Zuvordrist vffgeschlag. inmittelst das geschefft geg. supplicaten zu bedacht genommen sein solle.

L’hôpital bourgeois donne quittance à Anne Botz, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Philippe Schatz et héritière testamentaire de Henri Vagius et d’Elisabeth Wolfarth

1631 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 426
Erschienen die woldel, Gestreng, Ehrenveste, fürsichtige vnd wolweise herren Bernhard von Kageneck, ietzregirender Stettmeister, vnd herr Daniel Ringler Alt. Ammeister dr St. St. alß verordnete Pflegere deß Mehren Spitals, vnd herr Joseph Erhard alß Schaffner daselbsten, An einem,
So dann weÿ: H Henrich Vagÿ see: eingesetzter Testaments Erbin Anna Botzin Ehevogt H Johann Philipp Schatz, Großen Rhats Verwanther, Wie auch seine Vagÿ haußfrawen Elisabeth Wolfahrtin see. Erben wegen der Ehrwürdig wolgelert herr M. Johannes Georgius Schüring Diaconus Zu S. Wilhelm alhie, innamen Barbaræ Wolfartin seiner Schwiger und Lazarus Wolfahrt für sich selbst, vnd alß geschworner Vogt Anna Wohlfahrtin seiner Schwestern An andern theil
Zeigten An, vnd bekannten gegen einand. demnach dem Spital, vermög der auch in der Contractstuben den 18. Septembris Anno 1628. vber hanß Mathiß Rothen see: Verlaßenschafft vffericht. verschreib: vnd Lüfferung (…)

Le marchand Jean Philippe Schatz épouse en 1610 Agnès Meyer puis en 1629 Anne Botz, fille de Louis Botz, administrateur de la tuilerie dite untere Ziegeloffen
Mariage, cathédrale (luth. p. 240)
1610. Dominica Quinquagesima hans philips schatz der handels man vnd Junchfraw Agnes h. hans heinrich meÿer n:g: tochter (i 124)

Mariage, cathédrale (luth. p. 276)
1629. H Hans Philips Schatz der Handelsmann, Vnd J Anna Ludwig Botz verwalters auf dem vndern Ziegeloffen n. tochter, eingesegnet montag 26. 8.bris (i 143)

Références de Jean Philippe Schatz dans les registres
1627 Conseillers et XXI (1 R 109)
(f° 27-v) Sambstags den 17. Febr. – Hanß Philipp Schatz ist H. Werner Gambßen, so ihn Rhatt khommen, auff den Stall für dises Jahr substituirt. d. schwört auff die ordnung
1628, Protocole des Quinze (2 R 56) Hannß Philipp Schatz. 236. 265. [wegen Hannß Michael Reimbolds]
1631, Protocole des Quinze (2 R 57) H. Hanß Philipp Schatz. [Abloßung] 27. [Stand am Vischmarckh] 127.
1636, Protocole des Quinze (2 R 61) Adam Bott et consorten Ca. H. Hanß Philipp Schatzen. 229. Conrad Müller Ca Hanß Philipp Schatzen. 229. [Stand am Vischmarckh]
1638 Conseillers et XXI (1 R 121) Johann Philipp Schatz. 82. [platz gegen dem mittlern Ziegeloff über]

Philippe Ulmann Bœcklin de Bœcklinsau (propriétaire de l’actuel n° 14) aménage un four à pain dans son bâtiment arrière et demande l’autorisation de poser des poutres dans le mur qui appartient en propre à son voisin Jean Philippe Schatz. L’autorisation est accordée à titre révocable.

1637, (ut supra [9. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 718
Erschienen Jrn Philipps Vlman Böckle von Böcklinsaw
hatt in gegensein H Johann Philipps Schatzen grossen Rhats v.wanthen alhie bekant
demnach Er Jr. Böckhle in seinem Adelichen alhie in der Kalbßgaßen und neben ihme Schatzen gelegenen hoff einen Bachoffen in der vndern Kuchen deß hinderhauses setzen und machen, vnd zu desselben besserer habung dreÿ höltzer vnderhalb, darauff der Rost ligt, in sein H Schatzen eigenthümliche Maur, vff vngefohr ein halb werckhschuh tieff legen lassen, daß solche Einlegung ihme H Schatzen und alle seinen Nachkommenden, wed. vber kurtz noch lange Zeit, im geringsten an seiner dißohrts habend. gerechtigkeit nit præiudicirlich und nachtheilig sein, sondern einig vnd allein für ein Nachbarliche Gonnung inmaß es auch an ihm selbsten ist, gehalten werd., auch Er Jr. Böckel vnd seine Nachkommende vf ihren costen, vff sein H Schatz. od. deß. Nachkommenden begehren, solche höltzer wider herauß thun und sein Schatz eigene Maur wid. in vorig. stand richten zulaß. schuldig sein sollen

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz et l’étudiant Jean Henri Schatz louent la maison au capitaine de cavalerie Adolphe Dümmler

1650 (28. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1140-v
Erschienen H. Balthasar Ludwig Küenast der Handelsmann Und alter großen Rhats Verwanther alß Ehevogt Fr. Agneß Schatzin, Item H. Johann Schatz der handelßmann Vnd dann H. Johann Heinrich Schatz L.L. Studiosus, beede für sich selbsten
haben in gegensein H. Adolph Dümler deß Rittmaÿsters
Verlühen haben hauß, hoff, hoffstatt, hinder hauß Stallung, Gärtlin Keller Und die darinn ligende vf (-) fud. haltende faß mit allen deren Gebäwen, nichts davon alß eine Cammer außgeschloßen, welche Sie die Schatzische Ihnen außtruckhlich vorbehalten haben, Alhier in der Kalbßgaßen, neben Jrn. Philipß Uhlmann Böckhlin & neben dem Zillerisch. hoff gelegen, also Vnd dergelstalten daß Er H. Rittmaÿster dümler, Ihnen denen Schatzischen hingegen so bald Er die Behaußung bezog. haben wird 900 Pfund lüffern, vndt solche Behaußung ahne statt deß Von dem Vorgeschoßenen 900. lb Jährlich gefalenden Zinnßes Lehnungs weiß inn haben und bewohnen
(cassirt und anderwerts verschrieben wie in registrand. de a° 1651. fol. 294. fac. 2 & fol. seqq. zu befind. ist)

Les mêmes engagent à titre d’antichrèse la maison à Adolphe Dümmler, manant de Strasbourg. En marge, quittances dont celle qu’accorde la veuve Dümmler en 1660.

1651 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 294-v
(Lect. & confirmat. beÿ Rhat den 9. april. a° 1651.) Erschienen H Johann Schatz d handelßmann, H Johann Heinrich Schatz L.L. Stud. und Fr. Agneß Schatzin H Balthasar Ludwig Küenasts deß handelßmanns eheliche haußfr. und Sie Fr. Agneß insonderheit mit beÿstand H Valentin Jägers und H Daniel Steinbockhß beed. alß vß E. E großen Rhats mittel, vff Ihr Fr. Agneßen am 16. Jan: iüngsthien wohlerwehntem Rhat überraichte demüetige s[up]p[lica]tôn. ahne statt der nechst. Verwanth. hierzu insonderheit Deputirte, an einem,
So dann H Adolph Dümler Rittmaÿster Schirms Verwanther alhie mit beÿstand H Johann Jacob Seiberts Med. Doct. am andern theil (…) einen vffrechten und redlich Contractum antichreseos vff folgend weiß mit einand. getroffen hetten,
Nemlich es hetten Sie die Schatzische Geschwisterd ohnverscheidentlich ihme H Rittmaÿster Dümlern ihrer alhie in der Kalbßgaßen gelegene Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeit. nichts davon alß eine einige Camer außgenohmen, vff nechstverschienenen Mariæ Verkündigung (…)
hiengeg. so hette Er H Rittmaÿster Dümler ihnen den treÿen Schatzisch. Geschwisterd. ohnverscheidentlich 900 Pfund pfenning in bahrem Gelt auch guten groben vff den fuß deß Reichßthalers zu 15. ß gerechnet. Sorten vorgeschoß. Also und dergestalt daß Er H Rittmaÿster Dümler die berührte Schatzische Behaußung entwed. selbst. bewohnen od. anderwerts verleÿhen nutz. und nieß. solle und möge neun Jahr lang und also biß Annunciationis Mariæ a° 1660. beständig (…)
(f° 297) Und wiewohl. die obbeschriebene Behaußung noch umb 600. lib. H Daniel Thomaß dem handelßmann von St. Lamprecht und umb 300. lib. H M. Joh: Mägerlin Diacono Zu St. Thoman verhafftet ist, so sollen iedoch solche beede Capitalien mit dem obernannt. eben Zu dem Ende dargeschoßenen und vffgenohmenen dümlerisch. 900. lib obgelegt werd. also daß diße Behaußung, außerhalb mehr ermelts H Rittmaÿster Dümlers, sonst. niemandts alß Lazari wohlfahrts seel. Erb. umb 186. lib. 2 ß d verhafftet bleibe
[in margine :] Erschienen Fr. Anna Dorothea obedelgemelts H. Adolph Dümlers nunmehr seel. hinderlaßene Fr. Wittib, mit beÿstand deß Freÿ Raths wohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckle von Böcklinsaw und deß Edel- Vesten hochgelehrten H Johann Henrich Wÿlandts V. I. D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß Rhats und Sÿndici, beede alß ihr Fr. Annæ Dorotheæ und ihres eheleiblich. döchterlins Dorotheæ Elisabethæ Vögte, hatt in gegensein obehrenernannter treÿ Schatzisch. Geschwisterd H Johann, H Johann Henrichs und Fr. Agneßen, mit beÿstand der Ehrenvest und weÿsen H Jonæ Andreß. von Veßenheim und H. Paul Friderich Marbachs, alß aus E.E . groß. Rhats mittel ahne statt nächster Verwanther, alß aus E. E. Groß. Rhatt mittel , ahne statt rechter Verwanther, Ihro Fr. Agneß insonderheit beÿgeordnet, bekannt, daß Sie Dietriche Fr. wittib, von Inen den Schatzisch. Geschwisterd. ahne deren in vorstehender Verschreibung benambsten 900 Pfund pfenning 300 Pfund pfenning in bahrem Gelt Zugenüg empfangen habe, dieselbe dafür sofernen quittiren, So viel die übrige 600 Pfund pfenning betrifft, soll die dümmlerische Fr. wittib, die obgeschribene Behaußung und Zugehörd noch Vier Jahr lang von Jüngst verschinen Mariæ Verkündung angerechnet, ahne statt d. Interessen Zu genieß. haben, Es were dann daß inmittelst solche Behaußung, welche dann nunmehr feil ist, verkaufft würde, welch. falls die dümlerische wittib, gleichwohlen vff eine vorhergehende vierteljährige vffkündung diße Behausung, Jedoch geg. Satisfaction der hinderständig. 600. lib abzutretten schuldig sein (…) den 7. Aprilis a° 1660

Compte que rendent les héritiers de Jean Philippe Schatz aux héritiers de Jean Lantzenberger sur le prix de la maison Schatz rue des Veaux
1651 (28. Julÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 19) n° 19
Underschidliche Abrechnungen Zwischen weÿl. H. Johann Lantzenberg.s deß Älttern Erben
Abrechnung wegen der Schatzischen Behaußung In der Kalbsgaßen Alhier. Weÿland H Johann Philipp Schatzen geweßenen handelßmanns cit. E. Ehrs. Großen Raths inn Straßb. seel. Erben seindt weÿl. H Johann Lantzenbergers deß Älttern seel. Erben vff obgemeler Behaußung in Capital schuldig geweßen lauth Lantzenb. haupt buchs fol. 193.

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz l’aîné et le juriste Jean Henri Schatz vendent la maison à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler (créancière)

1660 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 702-v
(Prot. fol. 59 – 1200. lib) Erschienen H Balthasar Ludwig Küenast der handelßmann alß Ehevogt Fr. Agneßen Küenastin gebohrner Schatzin H Johann Schatz der älter, handelsmann, und H Johann Henrich Schatz U.I. Doctorandum und EE Kleinen Rhats Advocatus & Procurator, Geschwistrige
in gegensein Frawen Annæ Dorotheæ Dümmlerin, gebohrner Glaserin mit beÿstand deß Freÿ hochwohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckhle von Böckhlinsau Und deß Edel- Vest- hochgelehrt. H Johann Henrich Wielandts V.I.D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß, Rhats und Sÿndici, ihre und ihrer einig. dochter herrn Vormünder – vff unserer g. Herrn Rhät und Ein und Zwantzig. am 9. Julÿ iüngsthien obrigkeitlich ertheilten Consenz
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten, Zugehördten und deren im Keller ligenden Faßen, alhie in der Kalbßgaß. einseit neben dem Böckhelisch, anderseit neben dem Zugmantelisch. hoff hind. vff die Preusch stoßend gelegen, Welche behaußung umb 372. fl. weÿl. Lazari Wohlfahrts seel. Erben und umb 300. fl. weÿl. H M. Johann Mägerlins geweßenen Diaconi Zu St Thoman nunmehr seel. nachgelaßenen Erben verhafftet (übernohmen) – umb 728 Guld.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la vente des héritiers Schatz à la veuve Dimler

1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
(f° 136) Montag d. 9. Julÿ – Dimlerische Wittib vm consens
Dimlerische Fr. Wittib, Bericht per Bitsch d. sie d. Schatzisch. Erben Ihre Wohnbehaußung aberkauff. Bitt vm ratification deß beschehenen Kauffs. Erk. Willfahrt word.

Ancien capitaine de cavalerie entré au service du roi de Suède, Adolphe Dümmler meurt le 30 novembre 1658 en délaissant une fille issue de sa veuve Anne Dorothée Glaser (fille du juriste Josias Glaser et de sa femme Marie Dorothée Mock, voir plus bas). L’inventaire est dressé rue des Veaux dans la maison de feu Jean Philippe Schatz. La succession s’élève à 8 806 livres.

1658 (30. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 11) n° 24 (603)
Inventarium vnd Beschreibg. aller Hab und Nahrung v. gütere so weÿland des Reichts freÿ wohl Edel gestreng dapffen und Mannhafft. herr Adolph Dimler geweßenen Rittmstr. vnd Ihro Königl. Maÿt. In Schweden Bram*, welcher den 20. Novembr. Jüngst *and. Jahres tödlich v.plichen hinderlaßen So auff Erfordern v. begehren des reichts freÿ wohl Edelgebohrnen gestrengen herr Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw, welcher von dem verstorbenen Hn Ritt meister sel. In seinem auffgerichteten Testamento hernach gemelter seiner Einigen hinderlaßenen dochter und Testaments Erbin Zu einem vogt nominirt und Erbetten, So dann des Edlen v. hochgelehrten herren Johann Heinrich Wielanden JV Doctoris löbl. Nider Elsaßischen Ritterschafft wohlbestellt. raht und Syndici, alß welcher von wohl Edel gedacht Nider Elsaßischen raichts ritterschafft herrn dirctoren räth und Außschüß, benebem Ob Edelgedachtem herrn Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw obberührt einigen dochter Zue einem Curatori vnd vormund adiungirt (…) durch die wohl Edle viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Dorotheam dimlerin gebohrne glaßerin die hind.plibene fraw wittib Mit beÿstandt des Edlen und vest Herrn Wolfgangs Sigels geweßenen Amptmans Zu Durcastel so sann des Ehrenvesten vndt vorgeachten herren Paul Reichardys burgers In Straßb. der fraw wittib, nahen Gewantens geeÿgt und gezeigt (…) Actum Donnerstags d. 30. Decembt. A° 1658.

Inn einer Inn der Statt Straßburg Inn der Kalbsgaßen gelegenen undt weÿl. herrn Johann Philipß Schatz gewesenen handelsmanns v. E.E groß. Rahts beÿsitzers hinderlaßenen Erben Zuständig. beh. ist befund. wie folgt
Auff den underen Bühnen, Cammer A, Cammer B, Inn der Obern stuben, Inn den Stubkammer, vor dieser Cammer, Cammer C, Inn der wohnstuben, Inn d. schwartz thuch kammer, Stubkammer, Im obern haußohren, Kuchen, In des herrn Rittm. sel Stuben, Stubkammer, Inn den rüst Kammern Inn dem hinderst. Cämmerlin aufs waßer sehend, Im Saal, Im gewölb, Inn d. Kuchen, Im keller
Ane Liegenden Güttern. Item hauß, hof, scheür, Ställ, gartt. in der Ruprechtsaw in dem beltzwört (…)
Abzug in dießes Inventarium, Sa. haußraths 1082, Sa. früchten 163, Sa. weins vnd Leeren vaß 159, Sa. vyhes schiff und geschirrs 155, Sa. silber geschirr vnd Geschmeids 709, Sa. Anschlags guldener Ketten, Ring undt geschmeid 1072, Sa. baarschafft 241, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2392, Sa. Liegende güther 70, Sa. Schulden 443, Summa summarum 8806 lb
Sa. der ungewißen vnd Zweiffelhafften Pfenningzinß hauptgüter 1543 lb, Sa. der Ungewißen Zweiffelhafften vnd verlohrenen Schulden 1800 lb

1642 Conseillers et XXI (1 R 125)
(f° 53) Sambstag d. 14. Maÿ – Adolph Dimler vberreicht p. Knauffel. vdthg. supplication vmb intercessionales an die Statt Nürnberg. Erk Willfahrt. H. XV. Dieffenbecher v. H. Steinbeck
1645, Protocole des Quinze (2 R 66) H. Adolph Dümbler. 209. [der Rittmeister, umb Fruchtkauff]

Adolphe Dümmler qui paie 3 livres de droit de manance est dispensé des impositions extraordinaires parce qu’il est immatriculé au Directoire de la noblesse
1657, Protocole des Quinze (2 R 75)
(f° 56-v) Schirmgerichts wegen erhöhung ettlicher Schirmgeltter
Adolph Dumler für die 2. lb 5 ß d ietz 3. lb d bleibt Extra ordinari Fr. gellts befreÿt weÿlen Er beÿ der Ritterschafft immatriculirt

La veuve d’Adolphe Dümmler demande que son droit de manance (12 livres 10 sols) soit réduit. Les quinze la renvoient aux préposés de la manance.
1659, Protocole des Quinze (2 R 77)
(f° 100-v) H. Adolph Dümmlers Rittmeisters seel. Wittib per Dr. Bitsch, t. Supplication, pro moderatione ihrer bißherig. Jährlich 12. lb. 10 ß Schirmbgelt. Erkandt, Für Schirmbherren gewieß.

Sommes qui reviennent à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler dans la succession de sa mère Marie Dorothée Mock suivant l’inventaire dressé en 1641, où est mentionnée la faillite de Josias Glaser
1659, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 1) n° 7
Die Edle viel Ehren undt tugendreiche Fraw Anna Dorothea Dümmlerin, gebohrne Glaßerin, hat zwar nach inhalt Inventarÿ über Fr. Mariæ Dorotheæ Mockin, ihrer lieben Mutter seel: Verlassenschafft den 15. Martÿ A° 1641. durch H. Christoph Schüblern Notarium Vffgericht, wie fol: 91: fac. 1.a ermelten Inventarÿ Zusehen für ererbt Mütterlich guett allein Zuerfordern inn Summa 3319 lib. (…)
Summa deßen So Fr. Anna Dorothea Dümmlerin inn mangel stehet vnd Zuvor auß H: Josiæ Glasers Nahrung, weilen Ihme wie nachher Zusehen die theilbar Verlaßenschafft sampt den Passivis cedirt vnd übergeben Worden, Zuerstatten were, Ist Vndt thuet 915 lb. Von dißen großen Vndt Zimmlichen fehler nun hat H: Rittmeister Adolph Dümler seel: Vndt Sie Fraw Anna Dorothea Glaßerin beede Eheleuth Zu Zeit alß es H. Josiæ Glaßers Verlaßenschafft ad concursum Creditorum gerathen, noch nichts gewußt, sondern es ist H: Notario Scheüblern den Calculum, waß Ihme H: Dümlern Vndt seiner haußfrauen ane die Glaserische Verlaßenschafft gebühren möchten Zufüehern, anvertrawet gewesen (…)
Solche Summ davon abgezogen wer übrig verplieben nemlichen 1883 lib. davon H. Josiæ Glaßern für 2/3 theil 1255 lib, Vnd Ihro Fraw Annæ Dorotheæ Dümmlerin Zur Tertz gebühret 627 lib.

Anne Dorothée Glaser loue une cave à Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette

1662 (4. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 9-v
Erschienen Johann Vincato Ritterschafft Bott, im Nahmen Fr. Annæ Dorotheæ Dümlerin, wittibin gebohrner Glaserin
in gegensein H Daniel Aÿrers deß Gastgebern Zum Spanbeth, bekannt, daß Sie Fr. Dümlerin Ihme H. Aÿrern verlühen habe
in ihrer in der Kalbßgaßen gelegener Behaußung den Keller, Inmaß. derselbe mit latten underschlag. sampt denen darinn ligend. faß. ohngefährdt treÿßig Fuder zusammen haltend, vff 9 Jahr lang Von Jetzt verwichenen weÿhenacht. angerechnet, um einen iährlich. Zinß benantlich. Zehen Pfund pfenning

Extrait de l’inventaire d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler, dressé en 1718.
1718, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 112) n° 1012
Extractus Auß Weÿland S. T. Frawen Annæ Dorotheaæ Dümmlerin gebohrener Glaserin auch weÿl. S. T. Herrn Adolphi Dümmlers der Königlichen Cron Schweden gewesenen Ritt Meisters, auch E. Hochlöbl. Freÿen Ritterschafft des Undern Elsaßes incorporirten Mitglieds, seeligen hinderlaßener Fraw Wittib auch seeligen Verlaßenschafft Inventario, durch ebenmäßig weÿland Herrn Johann Christoph Wincklern Notarium gleichfalls sele in A° 1667 auffgerichtet gefertiget

Les héritiers testamentaires d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler vendent la maison au gentilhomme Philippe Albert Bernhold, préteur et assesseur des Quinze

1667 (27. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 504-v
(Prot. fol. 33.) Erschienen der Edel- From- und wohlweÿs Herr Johann Philipß Mülb deß beständig. Regiments der herren Fünffzehn für sich selbst., Item H Johann Andreas Mergelett E.E. Siebner Gerichts Actuarius alß Vogt Annæ Catharinæ, Josiæ, Johann Wilhelms und Tobiæ, H Josiæ Städels deß Buchführers und anietzo Treÿers der Statt Pfenningthurns mit weÿl. Fr. Fr. Anna Magdalena gebohrner Huoberin nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind., mit assistentz erstermelts ihres eheleiblich. Vatters, Item H Anthoni Flach E.E Kleinen Rhats Beÿsitzers, alß aus deß wohl gedachten Rhats mittel ahne statt H Wolff Jacob Schultzen LL. Stud. von Nürnberg und H Johann Jacob Butzen Gräffl. Leining. Dachßburgischen Gerichtsschreibers zu Falckhenburg, mit weÿl. Fr. Annæ Ursulæ Glaserin seel. ehelich erziehlte Zweÿen Kind. Deputirter, Item Fr. Anna Catharina Schmuckhin hannß Peter Bürckhels würths zu Hunnenweÿher eheliche haußfrau mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, Friderich Wilhelm Schmuckh Gewerbßdiener für sich selbsten, H Ernst Friderich Gambß alter Gräv. Rappolsteinisch. Cancelleÿ verwanther, und Anna Catharina gebohrne Stüdelerin beÿde Eheleuthen im nahmen Mariæ Elisabethæ, hannß Wilhelms, Annæ Margarethæ, Annæ Dorotheæ, Annæ Magdalenæ, und Annæ Rosinæ der Schmuckhisch. Geschwisterd., ihr Fr. Annæ Catharinæ mit weÿl. H Hannß Wilhelm Schmuckh. geweßenen gräv. Rappolsteinisch. Stattschreiber Zu Rappolßweÿher nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. mit assistentz d. Ehrenvest fürsichtig und weÿse H Johann Philipß Zeißolff und H Paul Friderich Marbachß, beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, So dann H Gambß und Sie Anna Catharina weÿl. Catharinæ Agathæ Gambßin ihrer mit einander ehelich erziehlten und abgeleibten döchterlins Erben, alle alß weÿl. Fr. Annæ Dorotheæ Dimmlerin wittibin gebohrner Glaserin nunmehr seel. testamentliche Erben und resp. Erbens Erben
in gegensein deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen H Philipß Albrechts Bernholdts dißer Statt alten Stättmaÿsters und Fünffzehners
demnach vorernannte Fr. Dümmlerin in ihrem vffgerichteten Testamento solemni in scriptis underschiedliche starcke Legata verordnet, und damit selbige außgerichtet werd. möchten, in solchem Testamento Vnd damit zum treÿzehend., neben dem Gut in Ruprechtsaw auch hernach beschriebene Behausung Zu versilbern befohlen, So hetten Sie die instituirte Erben, dißer der Fr. Testatricis letzt. willen Zu vollziehen, und sonderlich auch der Städelische Vogt vff obwohlgedachts EE. groß. Rhats gestrig. Tags obrigkeitlich interponirte Decretum alienandi
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten auch denen im vordern Keller ligend. Faßen, in der Kalbßgaßen einseit neben der adelich. Böckhelisch: anderseit neben d. adelich Zugmantelisch ietzt Zÿhnhardisch. Behaußung hind. vff die Preusch stoßend geleg. – umb 1125 Pfund pfenning

Philippe Albert Bernhold dans les différents registres
1654 Conseillers et XXI (1 R 137) Philipp Albrecht Bernholdt. 51. 56. [Zinß]
1654 XV (2 R 72) Jr Philipp Albrecht Bernhold. 54-b. [Zinß]
1657 Conseillers et XXI (1 R 140)
(f° 182-v) Sambstag d. 12. Septembr. – Philipp Albrecht Bernholdf Hoffmeister Ihrer fr. gd. H Christian Ernsten Marggraffenß Zu Brandenburg, Bitt Mh. wollen seinem gd. h. die Ehr thun vnd Ihnen d. Licent. vnd Accises freÿ laß. Erk. Soll bedacht werd.
188)
1658 Conseillers et XXI (1 R 141) Jr. Philipp Albrecht Bernholdt. 71. [Zinß].
1658 XV (2 R 76) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 74 [zinß]. [Johann Jacob Bernhold] 127.
1659 Conseillers et XXI (1 R 142) Philipp Albrecht Bernholdt. 131. [Zinß].
1659 XV (2 R 77) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 128 [Zinß].

Philippe Albert Bernhold demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un à devenir bourgeois. L’assemblée le renvoie aux Quinze. Il est nommé quelques jours plus tard assesseur des Quinze
1660 Conseillers et XXI (1 R 143)
Philipp Albrecht von Bernoldt. 85. 92. 94. [Bernhold]
(f° 85) Sambstag d. 14. April – Philipp Albrecht von Bernoldt vberreicht per Bitsch Und.ges anbringen, Bericht d. Er sich in daß Burgerrecht begeben, Bitt Mh. woll. ratione deß Stall geldts per deputatos mitt Ihme tractiren laßen. Erk. Ist mitt dem begehren an Mh. die XV. gewiß. Word.
(f° 94) Sambstag d. 28. Aprilis – Philipp Albrecht von Bernoldt wird XV.er
1660 XV (2 R 78) Jr. XV. Philipp Albrecht Bernhold. 65 [pt° Stallgelts]. 110 [additional Seckel].
(f° 70) Sambstag den 28. Aprilis – Philipp Albrecht Bernhold wird XV.
1663 XV (2 R 80) H. von Bernhold. 113. deßen Adel. Haußfrau. 184 [Philipp Albrecht von Bernholdt, Abloßung].
1666 XV (2 R 83) Herr Stättmeister Philipp Albrecht Bernhold. 185. 90. [wein]
1677 Conseillers et XXI (1 R 160)
(f° 33) Mittwoch d. 24. Januarÿ 1677 – Herr Philipp Albrecht] Bernhold geht mit todt ab.
1679 Conseillers et XXI (1 R 162)
(f° 31) Sambstags den 15. Februarÿ 1678 – Johann Hartmann von Westerburg Ersucht MGHh. umb assistentz inn seines an die Bernholdische Erben habenden Forderung

Fils de Philippe Jacques Bernhold, Philippe Albert Bernhold acquiert le droit de bourgeoisie le 4 février 1660.
1659, 3° Livre de bourgeoisie, p. 961
Juncker Philipp Albrecht Bernholdt, weÿl. Jr. Philipp Jacob Bernholdts Ehelicher Sohn, erkauft d. burgerrecht Vmb 4. Goldfl. die er auff dem Pfenningthurn erlegt, Ist noch ledigen Standts Jurav: 4. febr. 1660.

Philippe Albert Bernhold épouse en 1660 Anne Eléonore Zorn de Plobsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 106, n° 4)
1660. Ohne erlaubnus und erkantnus E. E. Grosen Raths Haben sich im Hauß durch H M. Kolben einsegnen lassen Juncker Philipps Albrecht Bernold Weÿland Jr: Philipp Jacob Bernolds & gewesenen Obrist. und Guverneur in Rheinfelden Hinderlaßener ehelich. Sohn, mit Jungfr. Anna Eleonora Zornin Weÿland H. Wolff Dietrich Zornen von Plobsheim, gewesenen Stättmeisters und XIII. alhier hinderlassene eheliche tochter. Dienstags d. 21. Februarÿ (i 117)

Philippe Albert Bernhold loue une cave au marchand Jean Georges Asfalck

1675 (4. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 503
der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Herr Philipp Albrecht Bernhold dießer Statt alter Stättmaÿster und fünff Zehner
in gegensein herrn hannß Georg Aßfalckhen deß handelsmanns
Verlühen haben den Vordern Keller sambt darinn ligenden faßen allhier in seiner in der Kalbßgaßen gelegenen Wohnbehaußung, uff Neun Jahr lang Von bevorstehend Michael angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 24. fl.

Philippe Albert Bernhold meurt le 22 janvier 1677 en délaissant deux fils, Philippe Thierry et Sigefroi. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 12 849 livres. La succession se monte à 9 055 livres.

1677 (12.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 10) f° 402
Inventarium v. Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güther, ligender Vndt Vahrender, Verändert undt vnveränderten keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Reichß: Freÿ: Hochwohl Edelgebohrne Herr Herr Philipp Albrecht Bernholt, hochmeritirt Stettmeÿster, auch deß bestendigen Geheÿmen Regiments der Herren dreÿ Zehen beÿ dießer deß H Reichß freÿen Statt Straßburg hochansehnliche Assessor, beÿ seinem am 22. Januarÿ diß Lauffenden 1677.sten Jahrs, beschehen seeligen Absterben, Zeittlichen Verlaßenschafft, So vff erfordern, vndt begehren, deß auch Reichß freÿ hoch edelgebohren herrn herrn Geörg Dietrich Zornen von Plobßheim ebenmäßig Stettmeisters vnd erstedelgemelten Collegÿ d. Herren XIII. beÿsitzers, Alß erst edelgemelten Collegÿ d. Herren XIII.beÿsitzers, Alß nechst Anuerwanthers v. vormundts, beeder deß seel. verstorbenen Herrn Stettmeisters mit hernach gelemelten seiner höchstbetrübten hoch Adelich. Fraw wittibin ehelich gezeügten Herrn Söhn, nahmentlich Herrn Philippß Dietrich vndt Herrn Sigfridt Bernholden, inventirt, durch die Reichß Freÿ hochedelgebohrne Fraw, Fraw Annam Eleonoram Bernholdtn gebohrene Zörnin von Plobßheim, die höchstbetrüble Fraw wittib, mit assistetz deß wohl Edel Vest hochweiß vndt hochgelehrten herrn Johann Ulrich Friden, J. Cti. der Statt Straßburg hochmeritirten Raths vndt hochansehnlich. Sÿndici ihres erbettenen herrn Curatoris, gezeÿgt vndt ahngegeben (…) Ahngefangen dinstags den 12.ten Junÿ A° 1677.

Erstlichen, Ane Haußrath, So in Einer alhier Zu Straßburg, ane Kalbß Gaßen gelegenen, v. in dieße Verlaßenschafft behörigen Behaußung befunden word. wie volgt.
Vff dem obern Kast. Vff den and Kast. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. obern Stuben, In d. Stub Cammer, Im hauß öhren, Vff dem Bühnel, In d. Wohnstub, Im Contörl. In d. Stub Cammer, In d. Kuch. Im haußöhren, In d. Speiß Cammer, In d. Studier Stub, In d. Stub Cammer, In G. Sttettm. Zorn Cammer, Im Kleinen Sommerheußel, In deß Hrn Studier st., In d. Hoff, In d. Kuch,
(f° 23) Häußer So in dieß v.laß. behörig. (E.) Erstlichen Ein schloß Zu Plobßh die alte burg genant (…) æstimirt 1500 lb
(T.) It: hauß, hoff, hoffstatt, mit allen seinen gebäuwen, begriffen, Zugehördt. Rechten v. Gerechtigkeiten gelegen inn d. St. Straßb. inn d. Kalbßgaß, j.s neben d. Adelich. Böckhlischen behaußung, 2.s. neben dem Zÿlnhardisch. hoff, hind. vff die Preüsch stoßend, ist ledig eÿgen,æstimirt p. 3000 fl. th. 1500. lb. Darüb. sagt j. perg. Kauffbr. Krafft deß. d. H.Stett: seel: diße behauß. v. denen Schmuckischen Erben & Cons. p. 1025. ln Zu eÿg erkh. Dabeÿ noch 6 alte Kauffbrieff v. 2. spruch brieff alle üb. diß hauß sagend, so beÿsammen gebund. befindlich.
Volgen die Stammgüetter, den beeden Adelichen Söhnen vnd Erben Zugehörig. Stammhäußer v. höff. Hoffstatt Zu Liechtenaw. Stamhoff Kalenburg
Summarischer Calculus der Erben gutt, Sa. Silbers 660, guldiner Ketten 379, Pfenningzinß hauptgüter hauptgüettr 3948, gülten v. Ligenden güettern 2462, Eÿgenthumbb Einer behaußung v. Rebhoff 2000, Eÿgenthumb ane Liegende güthern 787, Schuld ins Erbe Zugeltend 60, Ergäntzung (4411, Abfang 1859, Pleibt) 2551, Summa summarum 12.849 lb
Theilbares Guett, Sa. haußraths 731,Früchten 511, weinß v Lähren vaßb 243, Silbers 228, baarschafft 2709, Pfenningzinß hauptgüter 2915, Eÿgenthumbs ane einer behauß. 1500, Schulden 217, Summa summarum 9055 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 21.099 lb

La maison revient à Sigefroi de Bernhold qui épouse en 1691 Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre, fille de Georges Geoffroi de Rathsamhausen et d’Eléonore de Venningen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(f° 28-v) Copia der Eheberedung – zwischen dem hoch Edlegebohrn und gestrengen Herrn Sigfrid von Bernold, Rittmeistern, des Weÿland in Gott ruhenden hoch Edelbegohren und gestrengen Herrn Philipp Albrecht von Bernold, der Statt Straßburg geweßenen hochansehnlichen Stättmeisters, mit der hoch Edelgebohren Viel Ehrenreich: und tugendgezierten Frauen Anna Eleonora von Bernold gebohrener Zornin von Plopßheim erzeugtem Sohn, So dann der auch hoch Edelgebohrn, Viel Ehrenreich und Tugendgezierten Fräulein Charlotta Magdalena Elisabetha von Rathsamhausen zum Stein, Weÿland des hoch Edelgebohren und Gestrengen Herrn Georg Gottfried von Rathsamhausen zum Stein nunmehr seeligen, mit der hoch Edelgebohrnen Viel Ehrenreich: und tugendbegabten Frauen Eleonora von Rathsamhausen gebohrnen Von Venningen ehelich erziehlt und nachgelaßener Tochter, am andern Theil – Welches beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg dienstag den Eilfften Decembris St: N: in dem Jahr als man nach der gnadenreichen Geburth Jesu Christi unsers Einigen Erlößers vnd Seeligmachers Zahlten 1691

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 32-v)
1691. Dinstags d. 11. 10.bris deß Abendts seindt zu Hauß copulirt Undt eingesegnet Worden der hoch Edelgebohrne Herr Sigfridt Bernholdt rittmeister Weÿl. deß hoch Edelgebohrnen hrn. Philipp Bernholdt beÿ hießiger statt geweßener Stättmeisters & ehl. Sohn, Undt die hoch Edelgebohrne fräulein Charlotta Magdalena, deß Weÿl. hoch Edelgebohrnen Georg Gottfriedt Von Rathsamhaußen Zum Stein nachgel. ehl fräulein [unterzeichnet] Sigfrid Von Beernholt Rittmeister als hochzeiter, charotta Magdalen von ratzamhausen zul steun als hochzeiterin (i 35)

Capitaine au régiment d’infanterie Quad, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit du marchand Jean Guillaume Reichard

1689 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 36-v
der hoch Edelgebohrne Herr Sigfrid von Bernhold Capitain und. den Königlichen. Quadischen Regiment Zu Pferd, mit beÿstand Hn Sebastian Goldbachs * Bernoldisch. Schaffners [unterzeichnet] Sigfrid de Bernhold
in gegensein Hn Johann Wilhelm Reichards deß handelßmanns und E:E: Kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿe 100 Pfund
unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebäuen Rechten und zugehördten allhier ane der Kalbsgaß einseit neben /:tit:/ Hn Johann Philipß Johamen von Mundolßheim dießer Statt Stättmeistern und dreÿ Zehenern anderseit neben /:tit:/ Fr. Evæ Jacobe von Lützelburg Wittib gebohrne Böcklin von Böcklinsau hind. auff die Breusch stoßend gelegen
deßen Zu noch mehrer Versicherung, so ist hierbeÿ persönlich erschienen, die hoch Edelgebohren auch hoch tugendbegabte Fr. Anna Eleonora Bernholdin, gebohrne Zornin wittib, deß herrn Debitoris leiblich. Fr. Mutter mit beÿstand /:tit:/ herrn Christoph Güntzers JCti Königl. Raths und Syndici auch dießer Statt Cancelleÿ Directoris Ihres Hn curatoris, die hat sich für obige Schuld, und biß dieselbige bezahlt sein wird, verbürgt
[in margine :] Fr. Maria, gebohrne Bratfischin, deß hierinn gemeldten Hn Reichards sel. nachgelaßene wittib, so ohnbevögtigt mit beÿstand Hn Philipp Jacob Erhards Schaffners der Rothen Kirchen, So dann Sie Fr. Reichardin und Er H. Erhard auch im nahmen Fr. Johanna, gebohrner Reichardin, Hn Christoph Bernhard Wienthel deß handelßmanns eheliche haußfrau ihrer leiblich. tochter, in gegensein (…) – den 26. April. 1701

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties. Anne Eléonore Zorn se porte garante de son fils.

1695 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 653-v
/:salv. tit:/ Herr Sigfrid von Bernhold Obrister
in gegensein Herrn Johann Wilhelm Reichards, deß handelsmanns und E.E. großen Raths alten beÿsitzers, Ihme Herrn Reichard über die am 26.t Januarÿ 1689 in der C. Contract stuben verschriebener 1000 pfund Capital annoch ferner schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, die in vorbemeldter Verschreibung vom 26. Januarÿ 1689 auch hypothecirte Bernholdische an der Kalbsgaßen gelegene Behausung – deßen Zu mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen /:salv. tit:/ Fr. Anna Eleonora von Bernhold geb. Zornin deß herrn debitoris leibliche Fr. Mutter, so ohnbevögtigt, mit beÿstand Hn Johann Jacob Heinrici, Med. Doctoris & Practici, die hat sich für solche Schuld verbürgt

Brigadier des armées du roi et colonel au Régiment d’Alsace, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit de Marie Bratfisch veuve Reinhard

1715 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 831
Sal: Tit: herr Sigfridt von Bernhold Brigadier des armées du Roy et Colonel du Regiment d’Alsace
in gegensein H. Joh: Hetz der handlungs bedientens nahmens frauen Mariæ Reinhardtin wittib geb. Bratfischin – schuldig seÿen 300 und 200 pfund
unterpfand, sein adelich wohnhauß cum appert: allhier ahn der Kalbsgass

Sigefroi de Bernhold et Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Sachs, et du greffier à la Chambre des Contrats François Œsinger

1728 (3.11.), E 764
der freÿ hochwohlgeborne Herr Herr Sigfrid von Bernhold Königl. General Feldmarschall und Obrister beÿ Ein. löblichen Ellsäßischen Regiment und die freÿhochwohlgeborne fraw fraw Charlotta Magdalena von Bernhold geb. von Rathsamhausen zum Stein mit assistentz des freÿhochwohlgebornen H. H. Antoni Sigfrid von Bernhold Hauptmann beÿ Ein. Löbl. Regiment von Lenck ihres H. Sohns
in gegensein hochwohl und hochgelehrten H. H. Johann Jacob Sachsen Medicinæ Doctoris et Professoris Publici Capituli Thomani Canonici und hochberühmten practici auch burgers alhier und H. Francisci Ösingers J.U.Lti beÿ löbl. Stadt Straßburg Cantzleÿ wohlbestelten Contractuum Actuarÿ – schuldig seÿen 2000 gulden
unterpfand, eine Wohnbehausung, welche dem Debitirenden H. General eigenthümlich zuständig, bestehend in einem Vordern, nebens und hinderhauß, hoff, hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der sogenanten Kalbsgaß, einseit neben denen hochad. Johamischen Erben anderseit neben Christmann Röderer dem Rothgerber mit dem hindern hauß auff die breusch

Sigefroi de Bernhold meurt le 21 août 1741 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Veaux, non décrite bien qu’elle fasse partie de la succession à laquelle la veuve renonce. L’actif de la succession s’élève à 21 933 livres, le passif à 8 402 livres.

1741 (17.8.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 72 et 73) n° 651
Inventarium über Weÿland des Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn H. Sigfrids von Bernhold geweßenen hochansehn. Marechal des Camps et des Armées du Roy Wohl seeligen Andenckens eigenthümliche Verlaßenschafft und Stammgüthere – nachdeme der allerhöchste Gott denselben vor 12 tagen, nemblich den 2.t dießen Monats Augusti aus dießem Vergängl. Welt weßen in die seel. Ewigkeit Versetzet Zeitl. hinter sich Verlaßen hat, welche Verlaßenschafft auf Requisition sein des seel. Hern Generalen mit der hochwohlgebornen Fr. Fr. Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrner Von Rathsamhaußen zum Stein deßen geweßter Ehegemahlin und nunmahligen fraw Wittib ehelich erzeugter hochadel. Zweÿer Söhnen und Frauen tochter (…) So beschehen allhier zu Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth des hoch Edel vest und hochgelehrten H: Lazari Christiani Sahlers J. U. Lti und beÿ hochlöblich erwehnter Löbl Ritterschafft des Untern Elsaßes Wohlmeritirten Advocati v. vornehmen burgers allhier won dem freÿ hochwohl gebornen herrn H. Samson Ferdinand von Landsperg vor hochwohl gedachter Fr. Generalin von Bernhold der doßeitigen hochadel. Fr. Wittib gerodneten H. Curatore, schrifftlich constituirten Mandatarÿ, ingl. der Wohl Edlen v. hochst wolgelehrter H Joh: Sigfrid Breuen des seel. H Generalen geweßten Schaffner auf donnerstag den 17.ten Augusti et seqq. Anno 1741
Der in Gott ruhende Herr General hat zu Erben verlaßen wie folgt 1. den Freÿhochwohlgeb. Hn Philipp Gottfried von Bernhold Hochbestellten Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Elsasischen Regiment, so persönlich zugegen gewesen, 2. den Freÿ hochwohlgeb. Hn. Hn. Sigfrid Anthoni von Bernhold hochansehnlichen Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Regiment Appelgrohn, so seine stelle hierbeÿ selbsten Vertretten, und dann 3. die Freÿ hochwolhgebohrne Fr. Fr. Octaviam Sabinam Von Landsperg gebohrne von Bernhold des Freÿ hochwohlgebohren Hn Hn. Sambson Ferdinands Von Landsperg Fr. Ehegemahlin, welche mit zuziehuung des Freÿ hochwohlgeb. Herrn Carl Ferdinand Zorns von Bulach hochverdienten XV.ers des beständigen Regiments allh. Ihres hier Zuerbetten hochgeehrten H Assistenten dem Geschäfft persönlich abwartete, Also alle dreÿ des in Gott ruhenden Hn. Generalen mit eingangs hochgedachter deßen hoch Adel. Fr. Ehegemahlin ehelich erzeugte H. Söhne und Fr. tochter auch ab intestato Zu dreÿen gleichen Antheilen Verlaßene hochadel. Erben.

In einer allhier ane der Kalbsgaß gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 13) Ane Höltzen und Schreinerwerck. Im vordern hauß auff dem 3.ten Stock, In der Cammer N° 1, In der Cammer N° 2, In der Cammer N° 3, Auff der Heubühn N° 4 – Im mittlern Stockwerck, in der vordern Stub N° 5, In dem Gemach oder Zimmer N° 6, Im Cabinet N° 7, Im Cabinet N° 8, In der Camin Cammer N° 9, In der Camin Cammer N° 10, In der Cammer N° 11, Im untern Haußehren, Im Zimmer N° 12, Im Zimmer N° 13, In der Cammer Magd Cammer N° 14, In der Cammer neben der Cammer Magd Cammer N° 15, In der Kuchen, In der Magd Cammer N° 16 – Im Lincken gebäude, Im Zimmer N° 17, Im Zimmer N° 18, Im der Gesinds Stub N° 19, In der Laquayen Cammer N° 20, In der Cammer N° 21
(f° 54-v) Stammgüthere so denen beeden Herren Söhnen nunmehro zukommen, Kallenberg und Roßsteeg
(f° 62-v) Rathsamhausisches Stammguth. Fidei Commiss und Stammguth zu Westhaußen
(f° 68-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane einer Behaußung allh. zu Straßburg. Eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaßen geleg. der Adelich Rathsamhaußische Hoff genand, (…)
(f° 88-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane eine Mühl v. liegende güther beÿ Mollkirch
(f° 89) Dombrouckisch. Antheil ane dem Herrschafftl. Dorff Niederottenrott
Series rubricarum hujus Inventarÿ, In Ansehung die hinterbliebene hochadeliche Frau Wittib von der theilbahren Nahrung abgestanden und sich derentwegen mit einer gewißen Summ gelds außweißen lassen, so wird selbige ohne fernere besondere Untersuchung unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 1203, Sa. Bibliothec 62, Sa. Tafflen 84, Sa. Gutsch und Geschirrs 140, Sa. Pferd 144, Sa. brennholtzes 125, Sa. Anckens und Liechter 26, Sa. Frucht, Melles und Kleÿen 131, Sa. Wein und Lährer Faß 214, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 1375, Sa. Goldenen Rings, Ketten, Peerlein und dergleichen Geschmeids 385, Sa. Gülthen von liegende güthern 5494, Sa. Matten, Capital: Boden: und anderer Geld zinnß 233, Sa. Eigenthum einer behaußung 5100, Sa. Schulden 7210, Summa summarum 21.933 lb – Sa. Schulden 8402 lb, Detrahendo verbleibt 13.530 lb
(f° 28-v) Copia der Eheberedung (…) Straßburg dienstag den Eilfften Decembris 1691
(f° 33) Copia letzten Willens Disposition (…) So geschrieben und befohlen in meinem Hauß zu Straßburg den 16. Februarÿ 1739

Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel au régiment d’Alsace, et Sigefoi Antoine de Bernhold, colonel au régiment Royal suédois, hypothèquent deux tiers de la maison au profit de l’Œuvre Notre Dame

1745 (15.11.), E 770
die freÿ wohlgeborne H. Philipp Gottfried von Bernhold hochbestellter Obrist und Commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Ellsäßischen regiment und freÿ hochwolhgebohrne H. Sigfried Antoni von Bernhold auch hochadelischer Obrist und commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Regiment royal suedois beede gebrüdere anjetzo abweßend
in gegensein löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen ST H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. statt löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen S.T. H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. Statt Straßburg hochmeritiert. alten Ammeisters und XIII.r als pfleger und H. Lt. Mauritius de Vaudin als schaffner ged. Stiffts – schuldig seÿen 6000 gulden
unterpfand, 1. die ihnen eigenthümlich zuständig zwo tertzen ane einer freÿadelischen wohn behausung ane der Kalbs gaßen, einseit neben gewesten hochad. Johamischen behausung modo N. Meynau dem handelsmann anderseit neben H. Christian Röderer dem rothgerber hinten auf die Breusch vornen die Kalbsgaß, sambt vorder, nebens und hinterhauß und dazu gehörigen rechten und gerechtigkeiten, wie solche zwo tertzen von weÿl. H. general von Bernhold ihres H. vatters ane sich gebracht, so annoch die gantze behausung um 2000 gulden daran aber die hochadel. Fr von Landsperg geb. von Bernhold ihrer Fr. schwester eine tertz schuldig, H Dr Sachßen schuldig
item ein gültgut zu Kirrweiller (…)

Philippe Geoffroi de Bernhold meurt à Sarrebruck le 16 février 1747 en délaissant pour héritiers son frère et sa sœur. L’actif de la succession s’élève à 9006 florins, le passif à 24 094 florins.

1747 (20.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 90) n° 763
Inventarium und beschreibung aller derjenigen eigenthümlichen Haab, Nahrung und Güthere, auch Activ und Passiv schulden, so weiland der freÿ Hochwohlgeborne Herr, Herr Philipp Gottfried von Bernhold, geweßter Obrister der Infanterie und Commendant eines Bataillon in dem löblichen Regiment Elsaß nun seelig, nach seinem den 16. Februarÿ dieses lauffenden 1747. Jahrs, in der Statt Zweÿbrücken beschehenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des hochedel Vest und hochgelehrten Herrn Latzari Christiani Sahlers, Juris utriusque Licentiati und einer löbl. Ritterschafft des untern Elsaßes hochmeritirten Advocati auch consulenten beÿ einer hochlöblichen Ortenauischen Ritterschafft, alß von obhochgemeltem Nider Elsäs&ischen Ritter Directorio (…) ex officio constituirten Curatoris Massæ (…) inventirt, durch Herrn Johann Caspar Rohlin* den hoch Adelichen von Bernholdischen Schaffner, so beÿ des seel. H. Obrist Absterben in Zweÿbrucken zugegen ware, wie auch durch Herrn Wilhelm Kramer, deßelben geweßten Cammerdiener (…) So beschehen Zu Straßburg, in der hochadlichen von Bernholdischen behausung, ane der Kalbsgaß gelegen ; auff Sambstag den 20. ten Maji Anno 1747.
Copia declarationis und darauff ertheilten Decreti. Nachdeme (…) mein werthester H. bruder den 16. febr. 1747 in der statt Zweÿbrucken nach seiner außgestandenen hitzigen kranckheit dieses zeitliche gesegnet, die freÿhochwohlgeborne Fr. Eleonora von Bernhold wittib geb. von Rathsamhaußen zum Stein meine Fr. Mutter nebst meiner Schwester Fr. Octavia von Landsperg geb. von Bernhold (…) (unterschrieben) Antoni Sigfried von Bernhold curatorio noe.

(f° 8-v) Antheil an einer behausung so zwischen dem seeligen Herrn Obristen und deßen zweÿen noch lebenden hochadelichen Geschwüsterden ins gemein außgesetzt, Nemblichen eine vorder und hinderbehausung, Hoff, hoffstatt, bronnen und Stallung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg an der Kalbsgaßen, einseit neben dem hiebevorigen Adelich von Johamischen jetzt (-) anderseit neben Herrn Christmann Röderer dem Gerber, vornen auff gedachte Kalbsgaß und hinten auff das Waßer die Preusch stosend, so über hernach gemelte daroben hafftende Capitalia eigen und beÿ weÿl. Herrn Generalen Sigfridts von Bernhold des Herrn Obristen Herrn Vatters seeligen Verlaßenschafft Inventur, den 6.ten novembris 1741. durch Herrn Johann Quirinum Berga den Steinhauer und Maurermeister, Wie auch durch Johann Michael Osterrieth, den zimmermann, beede burgere alhier, nach Zuvor abgelegter handtreu für freÿ ledig und eigen angeschlagen, so dermalen auch Zu Ersparung der unkosten, Wie Wohl ohn einigen Præjuditz, weilen die dißortige tertz doch Zur Versteigerung kommen wird, dabeÿ Zulaßen, beliebet worden, nemblichen umb 20.400 Livres oder 10.200 fl, Auff dießer Behaußung hafften folgende gemeinschaftliche Passiv Capitalia (6840 fl. der antheil) 2280 fl. die übrige Zwo tertzen seind Herrn Obristen Antoni Sigfried von Bernhold und Frauen Octavia Sabina von Landsperg gebohrner von Bernhold vor ohnvertheilt Auständig. Die über die völlige behausung besagende Documenta und brieffschafften, seind in des abgeleibten herrn Obristen seeligen Vätterlichen Güther Designation, durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet, à fol: 72. fac 2.de biß ad fol: 76. fac. 2.da, umbständlichen beschriben, Wohin man sich dißorts beleibter Kürtze halben beziegen Wollen
(f° 19-v) Wÿdembs verfangenschaft, So die freÿ hochwohlgebornen Frau Frau Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrne von Rathsambhaußen Zum Stein, von dem weÿland freÿ hochwohlgebornen herrn herrn Sigfrid von Bernhold geweßten hochasnehnlichem Marechal de Camps et des Armées du Roy Ihrem herrn Ehegemahl seel. Andenckens Zeit leben Wÿdembs weiß Zugenießen hat
(f° 20-v) Extractus aus Weÿland der freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Annæ Louisæ Claudinæ gebohrner von Rathsamhausen zum Stein, auch weÿl. des freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Johann Christian von Dombrouck geweßten hochfürstl. Straßburg bischöflichen und thomb capitulischen Oberjägermeisters längst seeligen hinterbliebener Frauen wittib (…)
hausrath 397 fl., f° 21 silber 472 fl., gold 60 fl., baarschafft 1285, 2400 (zusammen) 3685 fl.
Schulden 2112 fl., Summa summarum 9006 fl., Schulden 24.094 fl., In Vergleichung 15.087 fl.

Antoine Sigefroi de Bernhold épouse en 1747 Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse, fillle de François Jacques Wurmser de Vendenheim Sundhouse et de Sophie de Landsperg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Anthoni Sigfrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßeteeg und Rodern Erlach und Berolstein & Ihro Allerchristlichsten Königlichen Majestät unsers allergnädigsten Königs und Herrn Obristen der Infanterie & Weiland des auch freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Sifgrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßsteeg, Rodern Erlach und Berolstein & Ihro allehöchstgedachten aller christlichsten Majestät geweßenen Marechal des Camps & Armées und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Elisabethæ von Bernhold gebohrner Freÿin von Rathsamhausen zu Stein ehelich erzeugten Sohns, als hochadelichen Herrn bräutigam an Einem und der auch freÿ hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlottæ Sophiæ Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen des auch weil. freÿ reichs hochwohlgebornen Herrn Herrn Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim zu Sundhausen, Herrn zu Mißenheim und anderer Orten & Ihro Königl. Kaÿßerl. Majestät Rath auch der ohnmittelbaren freÿn Reichs Ritterschaft in Schwaben Viertels am Neckar und Schwartzwald des Ortenauischen bezircks gewesenen hochverdienten Directorial Rath und Ausschußes auch eines hochlöbl. Nieder Elsasischen Ritter Diretcorii hochansehnlichen Zugeordneten und Truchenmeisters und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Friderica Sophia Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen gebohrner von Landsperg erzielt und hinterlaßener ehelicher Fräulein tochter, als hochadelicher Fräulein braut (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 87-v n° 16)
1747. Mittw. den 6. Sept.sind auf eine, mir, Von Ihro Gnaden dem regirenden herrn Ammeister ertheilte Erlaubnuß im Hauß in den Stand der Heil. Ehe eingesegnet worden, der Freÿ Hochwohlgeborne Herr Antonius Sigfrid von Bernhold, hochbestellert Obrister beÿ dem frantzösischem König. Schwedischen Regiment Zugeordneter beÿ einem hoch Löbl. Ritter Directorio im Untern Elsaßn Herr Zu Westhaußen Rodern & des weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Hern Herrn Sigfrid von Bernhold geweßten Marechal des Camps és Armées du Roy, Zugeordneten beÿ dem Hochlöbl. Ritter Directorium Untern Elsaß, Herrn Zu Westhaußen, Rodern & Hinterlaßener ehelicher Herr Sohn und die freÿ Hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhaußen, des Weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Herren Herren Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim Zu Sundhaußen und Missenheim Löbl. freÿ unmittelbarer Reichs Ritterschafft in der Ortenau geweßten Hochansehnlichen Directorial Rath und Außschuses auch Zugeordneten beÿ Löbl. freÿ umittelbarem Ritter Diretorio im Untern Elsaß nachgelaßene ehel. erzeugte Fräulein tochter [unterzeichnet] Anton Sigfrid Von Bernhold alß Bräutigamb, Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhauden alß Hochzeÿderin (i 90)

Antoine Sigefroi de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison de location Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 26 670 florins, le passif à 34 640 florins
1775 (9. 9.br), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 612
Inventarium über Weiland des Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Anthon Siegfried Freÿherrn von Bernhold, Ritters des Königlichen Ordens von dem Kriegs Verdienst, wie auch des hochfürstlich Landgräflich Heßen Caßelischen haußordens vom goldenen Löwen, hochbestellten Obristen zu Fuß, vice Directoris E. hochlöbl. Ritterschaft in Schwaben des Cantons Ortenau, wie auch Zugeordneten Ritter Raths Es. hochlöbl. Ritter Directoris im Untern Elsaß, herrn zu Westhausen, Rodern, Niederotterott, Rooßsteeg, Kalenburg und andern Orten nunmehro hochseel. Vermögens Nachlaasaenschaft auffgerichtet im Jahr 1775. – nach hochderoselben Sambstags den 14.ten Octobris dieses 1775.ten Jahrs dahier Zu Straßburg aus dießer Zeitlichkeit erfolgten tödlichen hintritt velaßen haben. Welche Vermögens Nachlaasaenschaft auf hohes Erfordern und begehren der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Sophiæ Bernhold, gebohrnen Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhausein, des hoch seel. Hn hinterlaßenen hochadel. Frau Wittib beÿständl. des hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard freÿh. von Wurmser Zu Vendenheim hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, Ritters des hohen königl. Ordens vom Kriegs Verdienst, auch des beständigen geheimen Regiments der Hn XV. Zu Straßburg hochadelichen Hn beÿsitzers auch Hn Benedict Heinrich Marbach des allhies. Waÿsenhaußes Schaffners auf die bereits von des hochaelichen Hn Defuncti zu Beneficial Erbinnen verlaßener hochadelichen Frauen Töchtern beschehene Renunciation, (ersucht) die Domestiquen aber, nahmentl. Jungfr. Charlotta Vogelin die Kammerjungfer, Susanna Margaretha und Catharina die beeden Siefermännin hierortige Köchin und Stubenmagd, Friderich Giffar, die dreÿ bedienten und dann Joseph Heiligenstein, der Kutscher (…) So beschehen und angefang alh. Zu Straßburg den 9. 9.bris im Jahr 1775.
Des Hochseeligen Herrn Hochadeliche Erbinnen wären zwar 1° die Freÿ hochwohlgeborne Frau, Frau Carolina Christina Wilhelmina geb. von Bernholdn des Freÿ hochwohlgebornen H. H. Joh: Leopold, Freÿherrn von Dettlingen, Rittern des hohen Ordens vom Kriegs Verdients und hochmeritirten Obristen Zu Fuß, Hn zu Scharrachbergheiln Gerstheim und anderer Orten Frau Ehe Gemahlin, 2° die Hochgeborne Frau, Frau Paulina Charlotte Henriette geb. von Bernhold, des freÿ hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard Freÿherrn von Wurmser, Zu Vendenheim, Rittern des hohen Ordens von Kriegs Verdienst hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, und des beständigen geheimen Regiments gnädiger herren deren XV.ner dahier Zu Straßburg, hochad. Hn Beÿsitz. Hn Zu Sundhausen, Vendenheimn Mißenheim auch anderer orthen Frau Eheliebstin, Beÿde des hoch seel. Hn mit eingangs hoch Ehrenermelter hochderoselben hintel. hochadel. Fr. Wb. ehel. erzeugten Fr. Töchter

In einer alhier Zu Straßburg an der mittlern Langenstraß gelegenen hierorts in Lehnung bewohnender behaußung hat sich befunden, wie folgt
Ergäntzung der Hochadelichen Frauen Wittib stante matrimonio in Abgang und Veränderung gekommenen unveränderten Vermögens. (…) Vermög Special Theil-Register über dasjenige was sie hochadel. nunmehrige Fr. Wb. beÿ Erörterung und Abtheilung weÿl. (…) Herrn Frantz Jacob Wurmsers von Vendenheim, Zu Sundhausen (…) ihres Herrn Vatters hochseeligen Andenckens eigenthüml. Verlaßenschaft vor einem 4.ten Stammtheil erblich überkommen hat, besagend durch nun weil. Hn Notarium Joh: Daniel Lang im Jahr 1746. agefangen
Summarischer Calculus, des Hochadelichen Herrn unveränderte und theilbare Verl. betreffend, Sa. haußraths 3993 fl. Sa. bücher 12, Sa. brennholtzes 60, Sa. der Kutschen und Chaisen 443, Sa. der Pferd 140, Sa. des Weins und der leeren Faß 1111, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 3535, Sa. Golgs u. dergl. Geschmeids 652, Sa. baarschafft 4018, Sa. pro Anno 1775 giebig und beÿ dem Concept angegebenen Revenuen 8674, Sa. der Activ Schulden 4018, Summa summarum 26.670 fl. – Passiv Schulden 34.640 fl. In Vergleichung 7970 fl
Copia der Eheberedung (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747
(Inventarium illatorum, Laquiante, Notaire Royal, 24 décembre 1772)

Partage des biens sis aux bans de Richtolsheim et Saasenheim
1777 (22.1.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 70
Revisio Abschatz: und Abtheilung über Die in den Bännen Richtolßheim und Saßenheim gelegene in das ehemalige Freÿherrlichen Bernholdische Stamm: und Substitutions Guth gehörige güther so nach absterben weiland des hochwohlgebornen herrn Siegfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold seel. deßen hinterlassenen zween Frauen töchteren nehmlich Frauen Carolinä Wilhelminä Christinä von Dettlingern geb. Freÿin von Bernhold und Frauen Paulinä Henriettä Charlottä von Wumser geb. Freÿin von Bernhold vor ledig und eigen zuständig sind

Autre partage
1777 (30.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 77
Zuwißen seÿe hiemit daß persönlich erschienen seind die hochwolgeborne Frau Catharina Wilhelmina Carolina geb. Freÿin von Bernhold des hochwolgebornen herrn Johann Leopold Baron von Dettlingen Obristen zu Fuß, Ritters des Königlichen Ordens von Kriegs Verdienst, herrschafft zu Scharrachbergheim, Gerstheim, Rosteeg und andern Orten Frau Ehegemahlin und die gleichfalls hochwolgeborne Frau Paulina Henrietta Charlotta geb. Freÿin von Bernhold des hochwohlgebornen herrn Friderich Ludwig Reinhard Baron Wurmser von Vendenheim Obristen zu Fuß, und hochgeachten Ordens Ritters herrschafft Zu Vendenheim Rosteeg und anderer Orten Frau Ehegemahlin (…) diese haben zu erkennen gegeben, daß nachdem Ihnen auf absterben weÿland des hochwohlgebornen Hern Sigfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold gewesenen Obristen Zu Fuß, Ritters des Königl. frantzösischen milit. meriten ordens, herrschafft Zu Westhaußen und anderer Orten, ihres herrn Vaters und letzten dieses Manns Stammens und Namens seeligen unter anderen ehemaligen Freÿherrlich von Bernholdischen Stamm und Susbtitutions Gütheren, auch die herrschaft Kalenburg oder Roßteeg (…)

Octavie Sabine de Bernhold épouse en 1723 Samson Ferdinand de Landsperg dans son château à Nidernai
Mariage, Goxwiller (luth. p. 48)
1723. Sonnt. d. 24. 8.b. abends um 6. uhr ist in den hochadel. Landspergischer Schloß Zu Nider Ehenheim von mir und.schriebenen Pfarrer Ehelich copulirt worden der wolgeborne Juncker und Herr Herr Samson Ferdinand von Landsperg, des wohlgebornen Juncker und Herrn Herrn Joh: Sigmund von Landsperg v. der wolgebornen Frauen Frauen frä Susannä geb. Böcklin von Böckelsau Ehl. Sohn, Und die wolgeborne fräulin Octavia Sabina des freÿ- hochwohlgebornen Herrn Herrn Sigfrid von Bernholdt Ihrer Königl. Majestät von franckreich feld-marchalen und der freÿ hochwohlgebornen frauen frauen Elisabethä Charlottæ geb. von Rathsamhaußen Ehl. fräulein tochter [unterzeichnet] Samson Ferdinandt Von Lanssperg, Octavia Sabina Von Bernhold (i 25)

Octavie Sabine de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Brûlée. L’actif de la succession s’élève à 28 235 florins, le passif à 13 396 florins
1779 (4.2.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 632) n° 99
Inventarium über Weiland der Hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg geb. Freÿin von Bernhold auch Weiland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frauen Wittib nunmehro auch hochseeligen Vermögens Nachlassenschafft – nach Ihrem den 16.den decembris des jüngst abgewichenen 1775.ten Jahrs alhier zu Straßburg genommenen tödlichen Vonhinnenscheiden hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl herrn Frantz Antoni Matern Humbourg Advocati et Procurat. ordinarii eines hochlöbl. Königlichen freÿohnmittelbaren Ritter directorii im Untern Elsaß (…) Gewalthabers derer hochwohlgebornen Herren Herrn Siegfrid Johann Samson freÿhern von Landsperg des heiligen Ludwig Ordens Ritters eines hochlöbl. Königlichen Ritter-Directorii des freÿohnmittelbaren Adels im Untern Elsaß Directorial Raths Mit-Herrschaft zu Nieder Ehenheim, Meistratzheim, Lingolßheim und anderen Orten und Herrn Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg des hohen deutschen Ordens Ritters Mit Herrschafft an erstbesagten Orten als auch Herrn Tobias Schumachers löblicher Stadt Straßburg offenbar geschwornen Notarii und beÿ hochgedachter Ritterschafft imatriculirten Inventirschreibers als (…) ernannten Mandatarii der hochwohlgebornen Freÿfrauen Octaviæ Franciscæ Fridericæ von Glaubitz gebohrner Freÿin von Landsperg Weiland des hochwohlgebornen Herrn Christian Sigismund Freÿherrn von Glaubitz geweßenen General Lieutenant der königlichen Armeen Inspectoris über den Rheinfluß und die daselbst angelegte Wercker, des hohen königlichen Ordens vom Kriegs Verdienst Ritters hoch seel. hinterbliebener frauen Wittib und des hochwohlgebornen Herrn Frantz Maria Freÿherrn von Landsperg Mit-Herrschafft an vorbesagten Orten inventirt und ersucht durch Frau Christiana Goldschmidin gebohrne Greckelin von Wurmß gebürtig die haushälterin /:angesehen die Zwo Mägde schon üner einiger Zeit aus dißortigen dienst gegangen:/ (…) geäugt und gezeigt – So geschehen alhier Zu Straßburg in der ane der brand-Gaß gelegenen hieunten beschrienenen Sterb behaußung (…) auf donnerstag den 4 februarÿ und folgende täge im Jahr 1779.
Ernennung der Erben. Der hochseeligen Freÿfrauen von Landsperg Krafft Ihres den 23.ten Aprilis 1777. verschloßen errichteten und den 29.ten besagten Monaths beÿ herrn Notario Johann Rudolph Dinckel deponirten den 22.ten Decembris 1778. aber eröffnet und publicirten testaments eingesetzte rechtsmäßigen Erben sind, hoch deroselben im eingang dieses Inv: schon benannte herren Söhne und Frau Tochter als 1.mo die hochwohlgeborne Freÿfrau Octavia Francisca Friderica verwittibte von Glaubitz gebohrne freÿin von Landsperg, 2.do der hochwohlgeborne Herr Sigfrid Johann Samson Freÿherr von Landsperg, 3.tio der hochwohlgeborne Herr Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg Und 4.to der hochwohlgeborne Herr Frantz Maria Freÿherr von Landsperg

In einer allhier zu Straßburg ane der Brand Gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung folgendermaßen befunden worden
Höltzen: und Schreinwerck, Im wohnzimmer, Im Schlaff Zimmer darneben, In der Cammer Jungfer Schlaffzimmer, In dem Toilette zimmer, Auff des Herrn Städtmeisters Gang, Im Haußöhren, Im rothen Zimmer (…)
(f° 14) Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaß gelegen, ehemahlen der Adelich Rathsamhaußische und jetzo der Landspergische Hof genannt, (…)
Norma Nach deren dieses Inventarium zu expediren, Sa. haußraths 1872 fl., Sa. silber geschirr und Geschmeids 292, Sa. Golden Geschmeids 1, Sa. baarschafft 368, Eigenthum ane eiber behausung 18.000, Eigenthümliche Gült Güther &, Sa. Schulden 7700, Summa summarum 28.235 fl. – Schulden 13 396 fl, Nach deren Abzug 14.838 fl.
Copia Weÿland der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg gebohrne Freÿin Von Bernhold Weÿland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frau Wittib aufgerichteten Testamenti Solennis in Scriptis (…) Zweÿtens verordne Ich und ist mein Will, daß Herr Stätt Meister Frantz Samuel Freÿherr von Berckheim in der mir zuständigen ane der Brandgaß allhier gelegenen behaußung das gantze hinderhauß, den Keller, die Remise, Stallung, heubühn, das Holtz: und hünerhauß die Ein: und außfahrt in den hoff, überhaupt alles das, was derselbe biß dato besseßen, genoßen und bewohnt hat, fernerhin und biß an das Ende seines Lebens freÿ (genießen solle) – So geschehen in Straßburg den 23. Aprilis Anno 1777. – Copia Actus Depositionis, auf dienstag den 29. Aprilis 1777, Johann Rudolph Dinckel

Biens que la baronne de Bernhold née Wurmser a laissés à Strasbourg après son départ, dans l’hôtel de Zuckmantel
1781 (24. Oct.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 633) f° 141
Verzeichnuß Derjenigen Effecten welche in die Reichs freÿwohlgebohrne verwittibte Freÿfrau von Bernhold geb. Freÿin von Wurmßer beÿ deeo Abreise von Straßburg in dem freÿherrlich von Zuckmantelischen Hôtel in den langen Straß alhier zurückgelaßen
als In der Kammer Jungfer Zimmer, Im haußehren und Bedienten Zimmer, Im garde des Meubles, In der gnädigen Frauen Zimmer, In dero Schlaf Zimmer, In der obern küchen – Summa 1602 fl.

Vente de meubles après la mort de Charlotte Sophie de Wurmser veuve de Jean Sigefroi de Bernhold
1792 (20.4.), Not. Ensfelder – acp 10 f° 53 du 20 avril 1792
Vente de meubles de la succession Dame Charlotte Sophie de Wurmser veuve de feu le sieur Jean Sigfrid de Bernhold décédée le 27 mars dr. à la requête des Dames Caroline Christine de Bernold épouse de M. Jean Leopold de Dettlingen et autres enfant de la défunte héritiers sous bénéfice d’inventaire, montant le 17 du courant à 1945 livres, le 18 à 1198 livres

Sigefroi de Bernhold et sa sœur Octavie, femme de Samson de Landsperg, vendent la maison au marchand Jean Frédéric Saum moyennant 4 000 livres

1761 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 375
der hochwohlgeborne Jr. Sigfrid von Bernhold oberst von der infanterie und deßen schwester Fr. Octavia geb. von Bernhold des auch hochwohlgebornen Jr. Samson von Landsperg beÿständlich des hochwohlgebornen Jr. Johann Reinhard von Buch
in gegensein Johann Friedrich Saum des lederhändlers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kalbsgaß, einseit neben H. Johann Jacob Röderer dem gerber anderseit neben H. Pierre Mayno dem tabacfabricanten hinten auf das waßer – als ein elterliches erbguth – um 4000 pfund

Fils du cordier Christophe Saum, le tanneur Jean Frédéric Saum devient tributaire chez les Tanneurs le 30 avril 1755
1755, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 30) Mittwoch den 20. Augusti Anno 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und Lederbereiter, Christoph Saum des ältern seÿler und burgers allhier ehelicher Sohn, stunde Vor mit producirung Stallscheins de dato 30. Aprilis 1755. und bate um das Zunfftrecht.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt
[in margine :] Zunfft 2 lb 16 ß é s, Pfgthrn 13 ß 4 d, scribæ 2 ß, büttel 1 ß, (zusammen) 3 lb 12 ß 6 d, Spendirte 15 ß, S. 4 lv 7 ß 6 d

(f° 62) Freÿtag den 12. Decembris A° 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und ledenhändler allhier so den 20. Augusti jüngsthien zünfftig worden, stunde Vor und hielte um den Lederschnitt an.
Erkannt, gegen erlag der Gebühr willfahrt.

Jean Frédéric Saum cotise en outre à la tribu du Miroir pour avoir le droit de vendre du cuir.
1755, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 207) Donnerstags den 11. Septembris 1755 – Geldzünfftiger
Johann Friderich Saum der Rothgerber und Burger allhier, ist wegen frembden Lederhandels gegen Erlaag 2 pfund13 schilling 4 pfenning geldzünfftig auff und angenommen worden, Ihme anbeÿ alle andere handlung inhibirt, dt. et prom. obed.

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 45 livres que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que le contrevenant n’avait pas d’intention maligne et que l’amende est disporportionnée au délit. Les Quinze ramènent l’amende à 3 livres.
1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
(p. 107) Sambstags den 16. Februarÿ 1757 – Faust nôe Johann Friderich Saum des burgers und Lederhändlers allhier, pplis will von einem beÿ E E Zunfft der schuemacher wieder ihne ergangenen bescheid appellirt und um Verzeichnus gebetten haben, Cum oblato sothanen bescheid ad acta zu lieffern. Erkannt, Verzeichnus.

(p. 171) Sambstags den 26. martii – Fuchs nôe E E Zunfft der schumacher Hn Zunfftmeister Ctra Johann Friderich Saum, gegner hat Von einem beÿ derseitigen Zum gericht ertheilten bescheid an mghhrn appellirt, dieße appellation aber nicht prosequirt, bitt dahero ob instantes ferias dem gegner Zu Vorlegung seiner Vermeintlichen appellations Klag Zeit ad proximam Sub ipsa præclusione anzusetzen. Christmann pro faust bitt d proximam. Erkandtn Zeit ad proximam zugelaßen.

(p. 213) Sambstags den 23. aprilis – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers in actis ctra E E Zunfft der schuemacher Hn Zunfftmeister, producirt unterth. appellats Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 bitt deput. Fuchs bitt Cop. et term. ord. obtinuit.

(p. 410) Sambstags den 19.ten Novembris 1757 – Saum ctra die Schuemacher
Obere Handwercks Herren laßen per Hn Secretarium Städel referiren, es habe H. Joh: Friderich Saum der Lederhändler den 23.t aprilis jüngst ctra E. E. Zunfft der schuhmacher H. Zunfftmeister, eine unterthänige appellations Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 producirt und darinn Exponirt, was maßen Er durch die sub N° 1 mitkommende Sententiam â quâ un dreÿmahl 15. lb d von E. E. Zunfft gerichts der schuemacher, dießer erheblichen ursachen halben Condemnirt Worden, daß Er aber so viel stück frembde roßhäut ohne daß Er solche Zuvor schauen laßen obgleich an hießige schuemacher Verkaufft habe, Weilen appellant aber in dem lederhandel noch nicht lang Etablirt, und so gleich man ihne Von der Existentz eines wiedrigen articuls Vermeintliche nachricht gegeben, sich der schau Zumahlen solche nur 21 sols gekostet, Welche (klei)nigkeit allen argwohn eines Vorsatzes be(-) zu unterwerffen, Freÿmüthig erklähret, alls an mghh das unterthänige bitten, dieselbe geruheten den appellanten Von der in der sententia à quà ihme aufgebärdeten straffe derer 45. lb d gnädig Zu absolviren ref. in Contestationem Expensis.
Eodem habe der Appellatische H Zunfftmeister per recessum um deputationem gebetten et facta relatione den Zunfft bescheid gnädig zu Confirmiren ref: noviter factis Expensis.
Auff geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf Contenta seines producti bezogen, mit nochmahliger Versicherung daß dießes Versehen nicht auß Vorsatz sondern aus unvorsichtigkeit, wegen Vielen anderen geschafften geschehen seÿe, bitt unterth. solches in Consideration Zuziehen.
H Johann Martin Meÿer, H Johann Martin Schwing und H Johann Michael Saltzmann alle 3 schuemacher, sodann Johann Daniel Fridel und Emanuel Reffolt beede gerbere und artickel beruffen mit dem beÿsatz, daß sie nicht davon hatten abweichen können, Es seÿe wahr daß der appellant bald nach dem verkaufft der ohngeschauten häute Zu denen schauern gegangen, solche angezeigte und das schaugelt Zu Zahlen offerirt wollten übrigens die Decision dießer sache mghhen überlaßen haben.
Auff seiten derer Hrn Deputirten habe man eingesehen, daß Er in der that scheme, daß der fehler des appellanten mehr aus übereilung und unvorsichtigkeit als aus Vorsatz herkomme, mithin keine proportion in ansehung der angesetzten straff der 45. lb mit dem Crimen, so Er begangen vorhanden, da nun über dießes die appellation selbst gestehen müßen, daß der appellant solches, obgleich zu Späth angezeigte, als hätten die Hrn Deputirte dafür gehalten, daß eine moderation der straff platz haben könne mithin der meinung seÿn wolle, daß die in erster instantz angesetzte straff auff dreÿ pfund zu moderiren seÿe ref. exp. Erkandt, bedacht gefolgt.

Jean Frédéric Saum épouse en 1758 Susanne Dorothée Rœderer, fille du tanneur Jean Jacques Rœderer : contrat de mariage, célébration
1758 (13.10), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 305
Eheberedung – entzwischen dem ehrenvest und wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Saum, em Ledigen Rothgerber und Lederhändler auch burgern allhier Zu Straßburg, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren Herrn Christoph Saum, des ältern, Seÿlers und burgers allhier, mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria gebohrner von Fridolßheim ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dannder Viel Ehren: und Tugendgezierten Jungfrauen Susanna Dorothea Rödererin, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderersn des Rothgerbers und Lederhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Susanna Dorothea gebohrner Ulrichin ehelich erziehlter tochtern als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30. Octobris Anno 1758. [unterzeichnet] Johann Friderich Saum als Hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth., f° 218-v)
Anno 1759. d. 14. februarÿ Seind in der Kirche zu S. Wilhelm nachdeme Sie daselbsten und in der Kirche zu S Aureliæ Dom. V.ti post Epiphanias und Dom. Septuagesima Zweymahl porclamirtt waren, Zur Ehe eingesegnet worden Herr Johann Friderich Saum, lediger Lederhändler u. burger allhier, Herrn Christoph Saum des ältern Seilers und burgers allhie ehelicher Sohn, und Jungfrau Sußanna Dorothea, Herren Johann Jacob Röderers Rothgerbers, Lederbereiters und burgers allhier und Frauen Susannæ Dorotheæ Ulrichin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Saul als hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin als hochzeiterin (i 224)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Veaux dans la maison qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 2 630 livres, ceux de la femme à 1 370 livres.
1759 (17.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 394) n° 801
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Saum, des Rothgerber lederhändlers, wie auch der Wol Ehren und Tugend gezierten Frauen Susannä Dorotheä Saumin, gebohrner Rödererin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1759. – alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen in Straßburg in fernerer beÿsein des Ehrenvest und Wohl vorachtbahrn herrn Johann Christoph Saum des ältern und Seÿlers und der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ gebohrner von Frodolßheim, beeder Eheleuth und burgere allhier des Eheherrn vielgeliebter Eltern, wie auch des Ehrenvesten und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderers, des Rothgerbers und Lederhändlers und der Viel Ehren und tugendbegabten Frauwn Susannæ Dorotheæ gebohrner Ulrichin, beeder Eheleuthe und burgere allhier der Ehefrauen hertzlich geliebter eltern auf Sambstag deb 17. Martÿ Anno 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen der Ehefrauen hertzlich geliebten H Vater eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 448, Sa. Wahren Zum Lederhandel gehörig 2470, Sa. der Frucht 15, Sa. Weins 7, Sa. Silbergeschmeids 78, Sa. baarschafft 503, Sa. liegender Güther nihil, Sa. Schulden 2176, Summa summarum 5700 lb – Schulden 218 lb,, Detrahendo verbleibt 149 lb, Hierzu ist ferner Zurechnen der Ihme zuständige halbetheil ane denen verehrten haussteuren antreffend 149 lb, des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht Guth 2630 lb
Diesemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 462, Sa. Silbergeschmeids 38, Sa. Guldener Ring 204, Sa. der baarschafft 515, Summa summarum 1220 lb – Darzu kombt ferner die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haußsteuren ertragen 149, Der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen dem billichen Werth nach 1370 lb

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 66 florins que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que plusieurs circonstances plaident en faveur du contrevenant qui a subi un préjudice comme les peaux ont été confisquées. Les Quinze annulent l’amende. Ils délivrent une expédition de leur jugement.
1761-1762, Protocole des Quinze (2 R 173, 174)
(p. 507) Sambstags d. 19. Decembris – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers und Burgers allhier Ca. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister prod wiedrigen Zunfft berichts bescheid Vom 10.ten hujus Von welchem principalis an E. G. appellirt, bittet appellationis Verzeichnuß. Erk. Verzeichnuß.

(p. 43) Sambstags den 30. Januarii – Schumacher ctra Saum
Froereisen nôe gedachten Hn Zunfftmeisters ctra Johann Friderich Saum den burger und Leder händler, werden gegner Von einem gerichts bescheid de dato den 19. 7.bris Jüngst an mghn appellirt, die appellations Klag aber noch nicht producirt, bitt dieselbe pro deserta Zu halten ref. Exp.
Faust dieße appellation ist beÿ meiner Ghh protocollo angegeben worden, werde man aber ohne dem über den Casum quæstionis besagenden Zunft artickel der appellations Klag nicht verfertigen Können und der herr Zunft schreiber dießeitigen sollicitirens ohngeachtet deßen Copiam erschweret als bitt die Communication gegen erlag der gebühr anzubefehlen, und indeßen term. ord. gnädig Zuzulaßen. Froereisen setzt.
Erkandt, daß Von H Zunftschreiber die Copia articuli quæstionis gegen erlag der gebühr ausuzulieffern seÿe.

(p. 101) Sambstags den 13. Martii 1762 – Saum Ca. die Schuhmacher
Osterrieth pro Faust nôe Friderich Saum des Lederhändlers in actis contra E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister wie auch Salomon Meÿer des Lederschauers auch in aîs prod. unterthänige appellations Klag junctis petitis bitt unterth. Deputationem. Froereisen bitt Copiam et T O obt.

(p. 193) Sambstags d. 83. Maÿ 1762 – Saum Ca. Schuhmacher
Idem [Faust] nôe Friderich Saum in aîs c. Eundem [E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister] erholt appellations Klag vol 13. Martii j. und bitt deputationem. Froereisen prod. u,nterth. Exceptiones juncto petito und bitt similiter. Erk. ut ante [Deputatio]

(p. 252) Sambstags den 15.ten Maÿ 1762. Saum Ca. Schumacher zunfft
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [Hn Secretarium Stædel], Es seÿe Friderich Saum der Lederhändler und Burger allhier durch bescheid E. E. Zunfft Gerichts der Schumacher de dato 10. Decembris 1761. weilen er von einem Lederhändler, sage Gerber von Hagenau nahmens Loyson, 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur schau gelüffert, wieder Ordnung abgekaufft in conformitæt des articuls vom 29. Xbris 1619. und 21. 7.bris 1636. in die darinnen enthaltene straf der 8 ß von jeder haut, so 66 fl 4 ß ausmacht und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden.
Von diesem bescheid habe derselbe d. 19. ejusdem an mghh. appellirt, appellations Verzeichnis gebetten und erhalten, sofort den 13.ten Martii jüngst seine unterthänige appellations Klage junctis petitis überreichet, Hochdieselbe geruheten Zu Erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft Gericht der Schuemacher übel gegen ihn gesprochen, folglich von diesem Spruch wohl appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causâ in 24 stunden und S. I. E. sowohl von denen in primâ instantia Klägerin als E. E. Gericht, so durch jenes übel bedachte Urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. lb æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Hierwieder habe appellatischer Zunnft H Zunfftmeister den 8. hujus seine unterthänige Exceptiones übergeben und Gebetten Mgghh geruheten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen daß in prima instantia wohl gesprochen übel davon appellirt, infolglichen der von appellatischem E. Gericht de dato 10. Xbriis anni elapsi ertheilte bescheid Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu remittiren seÿe, idq. refusis appellationis expensis.
Auf geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf contenta seine appellations Klag bezogen.
Nôe appellatischer Zunfft seÿen die in vorgehender Streitsache benambste 3. Hh Schöffen vorgestanden, Welche wiederumb das jenige, was in ihren Exceptionibus enthalten, repetirt und umb manutenentz des artickels gebetten.
Die Hh. Depp. hätten Zwar beÿ untersuchung des quæstionirten artickels wahrgenommen, daß allen hießigen sowohl als frembden Gerbern verbotten, das in allhießiger Statt befindliche oder vor auswarts herein gebrachte Leder Vor Verlauff anderthalb tagen an jemand anders als die hießige schumacher Zu verkauffen, Es befänden sich aber in der heutigen Sache verschiedene umbstanden, welche in favor des appellanten militiren 1° So seÿe gewiß und werde nicht contestirt, daß der appellant seinen jungen, umb die Partheÿ Roßleder Zu Kauffen expresse auf Hagenau geschickt, 2° seÿe auch wahr, daß der frembde Gerber den appellanten von hier abgeholt, und ohnfern den Guthleuthhauß der Kauff geschloßen worden, sodann und 3° welches vermutlich Zu mercken wäre, der appellant durch die andicirte Straf, Wann er auch dem artickel clar entgegen gehandelt hätte, allzuviel gravirt, in dem ihme erstlich die Roßheüt Von den Schumachern weg genommen, und derselbe über dieses in die straf des artickels fällig erachtet worden, Wobeÿ aber auch die Hh. Depp. befunden, daß der appellant in forderung seiner Dommages und interêts wie auch der restitution des ihme hinweg genommenen Leders Zu weith gegangen, Weßwegen die H. Depp. dafür gehalten, daß dem appellanten die in erster instanz angesetzte Straf aus bewegenden ursachen nachzulaßen übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis. Erkanndt bedacht gefolgt.

(p. 273) Sambstags den 15. Maÿ 1762. – Bescheid
In Sachen Friderich Saum, des Burgers und Lederhändlers allhier appellanten ane Einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister appellaten am andern theil, Auf prod. Zunfft Gerichts bescheid vermög welches der appellant, weilen er von einem Gerber von Hagenau 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur Schau gelüffert werden, und eehe die erlaubte Zeit worüber wer, allhier wieder ordnung abgekaufft, in conformitæt des artickels in die darinnen enthaltene Straf der 8 ß von jeder haut und alßo in 66 fl 4 ß und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden, interponirte und Verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellations Klag junctis petitis, Wir geruheten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft der Schuemacher übel gesprochen, wohl aber appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causa in 24. stunden und Sub ipsa Executione sowohl von denen in primâ instantia Klägerin, als E. E. Zunfft Gericht, so durch jenes übel bedachte urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen Sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten, Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. livres æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, des appellatischen H Zunfftmeisters vorgelegte Exceptiones sampt beÿgefügtem Bitten, Wir geruheten in Rechten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß in primâ instantiâ wohl gesprochen, übel davon appellirt, infolglich die sententia a quâ Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu verweißen seÿe, idq. refusis appellationis Expensis, auch alla übrig der Parthen anhehörtes Vor: und anbringen, ist es Herrn Deputirten abgelegten relation nach Erkanndt, daß dem appellanten aus bewegenden Ursachen die in erster instanz angesetzte Straff nachzulaßenn übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis.

Jean Frédéric Saum loue au banquier Jean Frédéric Ritzhaub l’appartement qu’occupait jusqu’à présent la demoiselle Quad
1763 (21.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 109)
Bail – Sr Jean Frédéric Saum Marchand de cuirs
au Sr Jean frideric Rutzhaub Banquier, bail 9 années à compter du jour que Mademoiselle de Quadt aura évacué les appartements ci après mentionnés
Sçavoir de tous les appartements et dépendances que Mademoiselle de Quadt occupe présentement comme Locataire dans la maison du Sr Bailleur en cette ville rue des veaux sans la moindre réserve ni exception si ce n’est des écuries de la remise pour la voiture du grenier a foin dont des greniers de la maison – moyennant un loyer annuel de 750 livres

Susanne Dorothée Rœderer meurt en 1774 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 3000 livres. La masse propre au veuf est de 10 614 livres, celle des héritiers de 1 032 livres. L’actif de la communauté s’élève à 10 941 livres, le passif à 14 954 livres.

1775 (24.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 592
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Susannæ Dorotheæ Saumin gebohrner Roedererin, Herrn Johann Friderich Saum des Rothgerbers lederbereiters und burgers alhier Zu Straßburg auch Erben geweßener Frau Eheliebstin nunmehro seeligen Vermögens Nachlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1775. – nach ihrem Freÿtags den 21.ten Januarii des Verfloßenen 1774.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und begehren Herrn Johann Carl Röderern des Biersieders Zu Straßburg und burgers dahier, als geordnet und Verpflichteten Vogts der Fraun Defunctæ mit hieoben ermelten ihren Eheherrn und nun hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugter Zu Erben verlaßener und gleich hiernach benamßter Vier Kinder (…) So beschehen Straßburg auf Dienstag den 24. Januarii Anno 1775. Der Verstorbenen Fraun Saumin seel. ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder sind nahmentl. und 1° Joh: Friderich, 2° Johannes, 3° Maria Dorothea, 4° Anna Maria die Saumen Welche die Frau Defuncta mit eingangs ermelten H Joh: Friderich Saum Ihrem Eheliebsten und nun hinterl. H. witibber ehel. erzeuget und wie ged. zu intestats Erben verlaßen

In einer alhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen hiehero eigenthümlich gehörigen behaußung sich befunden hat als
(f° 11-v) Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behausung, bestehend in Vorder und Hinter hauß auch Seith. Gebäu samt deren hoffstätten und einem hoff, mit allen übrig. deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Kalbs Gaß, eins. neben Weild. herrn Johann Jacob Roederern des gewesenen Rothgerbers lederh. und burgers alhier nachgelaßener frau Wittib und Erben, anders. neben Weil. herrn Pierre Maino, des gewes. Taback fabricanten und Burgers alh. seel. hinterlaßenen herren Söhnen und Erben, hinten auf das Waßer stoßend, Von seinem Zur Landveste von Seithen löbl Stadt Pfenningthurn erlangten Allmend Plätzel, so Zu einem Gärtel angelegt worden, reicht man aljärlich 5 ß an Allmend Zinß, Sonsten aber ist solche behausung cum appertinentiis keines wegs verpfändet sondern gegen mänigl. freÿ ledig eigen und solcher Art, durch (die Werckmeistere) vermög deroselben vorgenommenen und bereits schon unterm 12. ohnvertheilt anno præterito schriftl. ausgetheilten und beÿ dem Concept dieses Inventarii verwahrl. liegenden Abschatzung gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 3000 lb. Wird nun davon abgezogen jenem Allmend Zinses doppelten Capitals beträgt mit 10 lb, So verbleibt an solchem anschlag hier auszuwerfen übrig 2990 lb. Über diese Behausung so seithero in die gebäuen verbessert worden, besagt und ist vorhanden eine in alhiesiger C C Stub den 24. Xbris 1761. vorgegangene auch auf Pergament ausgefertigte und mit deren anhangenden größern Insigel verwahrte Kauf Verschreibung hiebeÿ mit Lit. A notirt ausweisend, wie dieselben von J. G. Herrn Siegfried von Bernhold Obrist von der Infanterie und der hochwolgeb. frau Octavia Sabina von Landsperg geb. von Bernholf, beeden hochadel. geschwüsterden erkauft worden
Item eine kleine behausung vor dem Fischerthor in Ruprechtsau (…)
(f° 14) Eigenthum ane Gärten und liegende gütheren
(f° 19) Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe angegangen unveränderten Guth. Vermög des über beeder gewesener Ehe Persohnen einander vor unverändert zu und eingebrachte Vermögenschaft durch Herr Notarium Joh: Rudolph Dinckel sub dato 17. Martii 1759. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unveränderten Guths, Sa. haußraths 47, Sa. Silber und dergl. geschmeids 26, Sa. Ergäntzung 10.690, Summa summarum 10.764 lb – Schuld 150, Nach deren Abzug 10.614 lb
Diesemnach so wird auch der Kinder und Erben anerstorben mütterlich Erbguth in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 153, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 11, Sa. guldener Ring und dergleichen Geschmeids 43, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung 674, Summa summarum 1032 lb
Endlich wo wird die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 176, Sa. Waaren Zum Lederhandel gehörig 1355, Sa. leeren faß 269, Sa. Chaise 37, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. baarschafft 823, Sa. Eigenthums ane Gärten und liegenden güthern 811, Sa. beßerung oder Schaufel rechts von Lehen güthern (-), Sa. Eigenthums ane häußern 3350, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2850, Sa. Schulden 1262, Summa summarum 10.941 lb – Schulden 14.954, In gegeneinander haltung beeder Sullen, 4012 lb
Beschluß und Stall summa 7634
Grosse 94 Z 87 – Lect. auff der Statt Stall den 13. Aprilis 175. – Prod. beÿ löbl. Vogteÿ gericht d. 17.ten apr: 1765.
(ex 53 10-10-2570, ex 63 06-03-01)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 12 500 florins (6 250 livres) sur un total de 14 800 florins
1775, Livres de la Taille (VII 1180) f° 189
(Gerber N° 3624) Weÿl. Fr. Susannæ Dorotheæ geb. Roedererin Joh: Friedrich Saum des Rothgerbers Lederbereiters und burgers allhier gew. Fr. Eheliebstin verlaßenschafft jnventirt H Not. Ficke
Concl. Final. jnvent. ist fol. 188-b 11.646 lb 18 ß 10 ½ d davon gehet aber wieder ab wegen dem Jenigen so der Verstallung nicht underworffen geweßen 4224. lb 6 ß ½ Verbleibt 7422 lb 12 ß 10 ½ d die machen 14.800 fl. Verstallte 2300 fl. allßo Zu wenig 12.500. fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 38 lb 2 ß – 288 lb 12 ß
und 4 Jahr in simplo – 76 lb 4 ß
Ext. Stallgeld 1775 – 23 lb 17 ß
Geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 23 lb 10 ß 9 d – Summa 252 lb 6 ß
Vermög Erkanndtnus derer Oberen Stallherren Vom 19. juny 1775 Ist der nachtrag auf 228 lb 12 ß moderirt worden, restiert 276 lb 2 ß
dt. den 20. Junÿ 1775.

Jean Frédéric Saum loue un appartement à Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais

1775 (26.1.), Not. Lacombe (6 E 41, 157)
Bail – Jean Frédéric Saum négociant
à Anne Marguerite Roemer veuve de M. Paul Belin desmarais ancien officier des trouppes de Saint dominique assitée de M Paul Louis Seignette desmarais docteur en médecine à Strasbourg
scavoir, L’apartement du premier étage dans la maison qu’il possede en cette ville rue des Veaux consistant en une antichambre ayant jour sur la cour, Un cabinet attenant à ladite antichambre prenant jour sur l’escalier,
Une chambre à cheminée et deux croisées donnant sur la rue avec alcove garnie de papier,
Un grand salon a trois croisées donnant sur la rue ou il se trouve un fourneau de fonte,
Un cabinet avec alcove tapissé de papier donnant sur la rue,
une garde robe sombre garnie d’une tablette et portemanteau,
une chambre à cheminée prenant jour sur la cour,
Un cabinet a côté prenant jour sur lad. cour,
Un grand balcon Regnant tout le long de l’appartement dont l’usage a la De preneuse,
Plus au premier étage en face du susd. appartement,
une grande sale a manger a trois croisées sur la cour avec fourneau de fonte,
Une grande chambre a cheminée sur ladite cour attenante à la sale a manger,
Une cuisine au rez de chaussée avec garde manger et petit poel de domestique ou Il se trouve un fourneau,
Un petit caveau attenant au poel de domestiques,
Ue chambre pour un domestique a côté du second escalier,
Une écurie pour quatre chevaux,
Une remise pour deux voitures,
Un buffet sous l’escalier derrière la chambre de domestique fermant à clef,
Une portion de la cave voutée qui regne sous le devant de la maison séparée par des lattes munie de chantiers,
Une chambre au second étage prenant jour sur une gallerie,
L’usage commun des greniers et de la buanderie pour la lessive,
Enfin une chambre au grenier pour le linge sale fermant à clef,
Et finalement le droit de faire entrer son bois dans la cour d’y entrer et sortir a toute heure avec équipages, pour 600 livres tournois

Jean Frédéric Saum livre aux peigniers de la corne pour 728 florins
1778, Miroir (XI 298, Protocole du corps des peigniers (1778-1791)
(f° 22) Montags den 5. Maji 1783. Hornschuld
Hr Johann Friderich Saum, der hiesige burger und Lederhändler, stehet vor und meldet, daß er den 6. Augusti 1781. dieser ehrsamen Meisterschafft an Horn geliefert habe vor 728 fl. (…)

Jean Frédéric Saum meurt en 1797 en délaissant trois enfants.

1797 (26 frim. 6), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 573
Inventarium und beschreibung all deßjenigen zeitlichen Vermögens Welches weiland der burger Johann Friedrich Saum lederhändler nach seinem den 19 vendemiaire lauffenden Jahrs genommenen tödlichen hintritt hinterlassen hat
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen Seine mit längst weÿl. fraun Salome Dorothea Rödererin erzeugte zweÿ großjährige Kinder Mit Nahmen 1. burger Johann Friedrich Saum handelsmann in Lyon (procuration Jean Frédéric Saum négociant a Lyon y demeurant rue Pizay N° 120), 2. burger Johannes Saum Lederhändler allhier und 3. Fr. Maria Dorothea Saintmartin geb. Saumin hern Frantz Andreas Saintmartin des Kammer herrn beÿ Ihro hochfürstlichen durchlaucht den regirenden hern Marggraffen von Baden Ehegattin (procuration signée François St Martin chambellan de Mgr le Margrave de Baden)

in einer an der Kalbsgaß gelegen in diese Verlaßenschafft gehörigen mit N° 20 bezeichneten behaußung worinn der Erb: laßer verstorben ist
Hausrath, Im mitlern Zimmer des Hinter Haußes auf das Waser aussehend, In dem Cabinet darneben, Im ersten Zimmer neben der Kuchen in den Hoff aussehend, Im Zimmer darneben, Im ersten Zimmer im Hinterhauß auf das Waßer aussehend, In dem Zimmer des Lincken Flugels im hinterhauß, Im Gartenhäußel, In der Soldaten Kammer, In der untern Kuch im hoff, In der kleinen remise, Im laden, In der Magazin, In der Nebens Magazin, Auff der großen bühn
(f° 6 v°) Eigenthum ane einer behaußung, Nämlichen Eine behaußung Hoff hoffstatt und Gärtlein auch Stallung in Vorder: Nebens: und hintergebäuen bestehend mit allen übrigen begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der Kalbsgaß N° 20 bezeichnet einseit neben dem br. Philipp Jacob Knoderer lederhändler anderseit neben b. Peter Maino dem tabackhändler hibten auf das waßer stoßend, wovon mann der hiesigen Comune jährlich einen Livre bodenzinß zu entrichten hat, ohnpræjudicirlich æstimirt vor 25 000 livres, darüber besagt Kauffbrieff in der ehemaligen Contract Stub gefertiget de dato 24. Decembris 1761, Ferner sind vorhanden 3 Augenschein Procès verbaux und Extracten aus der XV. Kammer Memoriale de datis 14. Junÿ 1770, 22. Aprilis 1774 und 9. Junÿ 1777.
(f° 7) Eigenthum ane einer behausung und Garthen in Ruprechts-Au gelegen, Nämlichen eine behaußung Hoff Stallung und Scheuer, Weÿher und baumgarthen 3 viertzel groß blumen und gemüßgarthen Ein acker so dann 11 und 3 quart acker gebauenen grund mit allen übrigen gebäuden, Weithen, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen Außerhalb hiesiger Statt Vor dem Fischerthor unterhalb der Aubruck an den so genannten Muhrgießen beÿ der Schiff: Matt es. neben dem Muhrgießen as. neben der öffentlichen promenade hinten auf die burger Ostertags Wittib und Erben, davor reicht mann der hiesigen Commune jährlichen pro recognitione domini directi in 5 articklen 11 livres 12 s 8 d, hier ohnpræjudicirlich angeschlagen vor 12 000 li, Hierüber besagt ein Steigerungs procès verbal und Adjudication in der Cantzleÿ des ehemaligen Ritter-directorii sub dato 7. oct. 1771
(f° 7 v°) Eigenthümlicher Antheil an einer Loh: und taback: Mühl, Nämlichen 19/90.te theile vor ohnvertheilt von und ane einer Loh: und taback: Mühl, Mühlbehausung, Schopffen, Rinden: Scheuer, Waßerbau, Hoff und hoffstatt auch allem allda befindlichen lauffenden geschirr mit allen übrigen daselbst befindlichen Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten außerhalb dieser Stadt zwischen dem Juden und Fischerthor unten am teich Kopff zwischen denen Waßeren nahe beÿ dem Neßelsteeg es. neben dem burger Joh: Daniel Saum jun: as. neben einem Acker grund der hiesigen Commune gehörig vornen auf den Allmend weeg und hinten auf das Waßer stoßend, von welcher gantzen Mühl und zugehörden der hiesigen commune jährlich 2 livres zu reichen sind, ohnnachtheilig æstimirt vor 1000, über diese 19/90. besagt Kaufbrieff C.C. Stub de dato 15. maÿ 1783, Wobeÿ ein ältere dergleichen brief vom 4. apr. 1735 und eine Kauff-Verschreibung über 2/30 theile de dato 9. jan. 1771
Mobilien Verkauf
(f° 14 v) Abrechnung, summa der Mobiliar Mass so unter denen Erben zu vertheilen ist 5197 livres
Enregistrement, acp 56 F° 121-v du 4 nivose 6

Les héritiers exposent la maison aux enchères. Le cohéritier Jean Saum fait la mise la plus élevée

1797 (28 frimaire 6), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 318
den 28. frimaire im 6. Jahr erschienen der burger Johann Friedrich Saum Handels-Mann in Lyon, ferner der burger Johanns Saum Lederhändler allhier und Frau Maria Dorothea Saum herrn François St. Martin Kammer Herrn in Marggräfflich badischen diensten fr. Eheliebste crafft procuration s. d. Marburg den 25. Novembris 1797, alle dreÿ Comparenten als Erben ihres Verstorbenen Vaters weÿland des brs Johann Friedrich Saum ehemaligen Lederhändlers
steigerungs: weiße ausgeruffen und angebotten wird Eine ihnen denen requirenten Erblich angefallene behaußung Hoff Hoffstatt, Stallung und Gärthlein in Vorder: Nebens: und Hintergebäuen bestehend mit all übrigen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier an der Kalbsgaß mit N° 20 bezeichnet einseit neben dem br Philipp Jacob Knoderer dem Lederhändler anderseit neben br Peter Maino dem taback Fabrikant hinten auf das Waßer stoßend, Wovon mann der hiesigen commune jährlichen Einen Livre boden-zinnß zu entrichten hat, zum steigeren ausgeruffen vor 40.000 L. darauf gebotten br. Ludwig Klotz hiesiger burger Maurer und Steinhauer 41.000 Livres
den 14. Nivose 6, burger Johann Jacob Warth zimmermann 42.000 Livres
den 24. Nivose 6, br Johannes Saum Lederhändler 44.200 Livres

Inventaire après décès d’un locataire, le juriste Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart

1801 (16 frimaire 10), Strasbourg 1 (22), Not. Lacombe n° 2350
Inventaire de la succession du Cit. Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, homme de lettres à Strasbourg, décédé le 10 prairial 9, à la requête de Mde Salomé Gombault la veuve, Dlles Barbe Eugénie Petronille Commart, Marguerite Joséphine Commart, les Cit. Ignace Hypolite Commart, Louis Nestor Casimir Commart fils et filles Et du Cit. Jacques Antoine Tobie Gombault chef de bureau des logements de cette ville en qualité de curateur et la De veuve Commart en qualité de tutrice nommée par la justice a Dlle Sophie Eugenie Alexandrine Commart fille mineure du défunt
en son logement maison rue des veaux n° 20
Chambre a coucher à gauche, salon, seconde chambre à coucher, antichambre, décharge, vestibule, chambre sur le derrière, deuxième chambre, troisième chambre, vestibule au second, première chambre au troisième étage, chambre, cuisine, Grenier Cour, Cave
total des meubles 3065 fr, total de la masse mobilière 3133 fr, passif reprises de la veuve 9600 fr, dettes 7787 fr, ensemble 17.387 fr, déficit 14.254 fr
Enregistrement, acp 83 f° 18-v du 26 fri 10

Les héritiers vendent la maison à Marguerite Salomée Müller épouse du juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann, provisoirement rayé de la liste des émigrés

1801 (26 therm. 9), Strasbourg 6 (25), Not. Laquiante n° 187
cit. Jean Saum marchand thanneur en cette ville agissant tant en son nom et qu’au nom de De Marie Dorothée Saum épouse de Me François de St Martin chambellan du Margraff de Bade demeurant a Rastadt, Cit. Jean Daniel Mannberger fabriquant de tabac mandataire du Cit. Frédéric Saum négociant à Lyon (Procuration Lyon demeurant rue Pisai maison N° 20)
à De Marguerite Salomée Müller épouse du cit. Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de Lettres – Autorisation d’acheter par le Tribunal civil, son mari a déclaré qu’il estoit pret a l’autoriser à cet effet mais comme il a eu le malheur d’être porté sur la liste des Emigrés dont il n’a été rayé que provisoirement (…)
une maison Cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scize rue des Veaux N° 20, d’un côté le cit. Maino négociant d’autre le cit. Knoderer marchand de Cuirs derrière la rivière d’Ill devant la rue – pour 34.000 francs
Enregistrement, acp 80 F° 4 du 26 ther. 9

Fils unique du diacre Jean Rodolphe Saltzmann, Frédéric Rodolphe Saltzmann épouse en 1779 Marguerite Salomé Müller, fille de l’aubergiste au Dauphin Jean Georges Müller : contrat de mariage, célébration
1779 (30. 9.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 196
(Eheberedung) S.T. Herr Friderich Rudolph Saltzmann, beder Rechten Licentiat und Hertzoglich Sächsisch Koburg- Meininigischer geheimer Legations- Rahr auch burger alhier, des S. T. Herrn Johann Rudolph Saltzmann treuiferigen Diaconi und Selsorgers bei der Prediger Gemeinde auch burgers alhier, mit weiland S.T. Frau Maria Elisabet gebohrner Saur, ehelich erzeugter einziger, anjetzo großjähriger Sohn,
So dann die woledle und tugendgezierte Jungfrau Margareta Salome Müller, des weiland ehren- und wol-achtbaren H. Johann Georg Müller, gewesenen hiesigen burgers und bierbrauers zum Delphin in erster Ehe mit weiland Frau Margareta Salome gebohrner Voltz erzielte einzige Tochter
Straßburg auf dienstag den 30. Wintermonats in dem Jahr nach Christi Geburt 1779. [unterzeichnet] Johann Rudolph Saltzmann als Bräutigam, Franciscus Walter als Schwager, Margaretha Salome Müllerin als Braut, Johannes Müller als oncle, Philipp Jacob Lauth junior als Stief Vatter

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 5, n° 1)
Im Jahr Christ 1780 Mittwoch den 12. Jenner seindt nach ordentlicher proclamation (…) copuliret undt eingesegnet, herr Friderich Rudolph Saltzmann juris utrisque Licentaitus, Hertzoglich-Sachsen-Coburg-Meinungischer Geheimer Legations-Rath und burger alhier herren Johann Rudolph Saltzmann, diaconi beÿ dießer Evangelischen Prediger-Kirch auch burgers allhier und weÿland Frauen Mariä Elisabethä gebohrner Saurin ehelicher Sohn und Jungfrau Margaretha Salome Müllerin weÿland herrn Johann Georg Müllers gewesenen bierbrauers und burgers allhier und auch Weÿland Frauen Salome von Friedolsheim gebohrner Voltzin eheliche tochter [unterzeichnet] Friderich Rudolph Saltzmann als Hochzeiter, Margaretha Salome Müllerin als hochzeiterrin, Johannes Müller als oncle (i 109)

Conseiller de la légation ducale de Saxe-Cobourg-Meiningen, Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire au Miroir le 12 juin 1781.
1781, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 262-v) Dienstags, den 12. Junii 1781 – Leibzünfftiger
Hr Lt Friderich Rudolph Saltzmann, hertzoglich- Sächsisch- Koburg- Meiningischer geheimen Legations Raht, des H. Joh: Rudolph Saltzmann, Helfer bei der Prediger Kirche u. b. alhie einziger ehl. Sohn, wurde auf zu Lieferen Versprochenen Stallschein gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d Leibzünfftig als ein Zudiener angenommen. Hat angelobet.

Il quitte le Miroir en novembre 1783
(f° 310-v) Dienstags, den 18. Novembris 1783 – Resignans
Hr Legationsraht Friderich Rudolph Saltzmann stehet Vor und bittet, ihn gegen Erlag der Gebühr seines diesortigen Zunftrechts Zu erlaßen. Erkannt, willfahrt.

Frédéric Rodolphe Saltzmann s’inscrit à la tribu des Cordonniers puis à celle de l’Echasse
1784, Registres annuels de la Taille (VII 1277) f° 366, Schuhmacher
Saltzmann, Lt. Frid. Rudolph, ins. 16. Jun. 1781. – 48 lb 3 ß
Vide Spiegel F., dt. 7. Julii
modo Steltz T.

Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire à l’Echasse le 13 juillet 1784. Il demande l’autorisation de reprendre la librairie d’Albert Frédéric Bartholomæi. Il est reçu tributaire mais renvoyé aux Quinze au sujet de la librairie.
1784, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 551) Dienstags den 13. Julÿ 1784. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
H. Friderich Rudolph Saltzmann beÿder Rechten Licentiat und Burger allhier, stehet vor und producirt Erlaß bescheid von Er. En. Zunfft der Schmid Vom 3.ten Julÿ 1784. und Stallschein vom 5.ten ejusdem, sodann eine Erkantnus Gnädiger Herren der dreÿzehen Vom 19.ten Julÿ 1783. Krafft deren ihm als Commendataire Hn Albrecht Friderich Barthomomäi, dem Buchhändler aber als Buchhändler selbst erlaubt worden ist inter denen Von ihnen beeder selbst vorgeschlagenen Bedingungen den Nahmen Academische Buchhandlung Zu führen, bittet nunmehro ihr disorts als Zünftiger anzunehmen, ihne anbeÿ Zu erlauben auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörfen.
Erkanndt, seÿe Zwar Implorant disorts als Zünftig anzunehlen, betreffend aber dessen begehren auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörffen so seÿe er desfalls an den gehörigen Herren Richter zu Verweißen, um solches in unterthänigkeit Zu sollicitiren. Dt 5 ß 5 ß pro Zunftrecht Juravit eodem.

Les Quinze consultent les règlements sans y voir rien qui s’oppose à ce que Frédéric Rodolphe Saltzmann reprenne la librairie.
1784, Protocole des Quinze (2 R 194)
H Johann Friderich Rudolph Saltzmann eine buchhandlung zuführen
(f° 248) Sambstags den 17.ten Julii 1784. – Ostrerrieth nomine H. Joh: Friderich Rudolph Saltzmann des hiesigen Burgers und Juris utrisuqye licentiati producirt unterthäniges memoriale juncto petito samt beÿlag sub litt. A puncto Rechts eine buchhandlung Zuführen.
Erkandt, Obere Handwercks H und denenselben Zugleich die hände eröfnet nach untersuchung der sache sogleich definitive Zu sprechen.
Nachdene hierauf die H Deputirte sich zusammen gethan und sowohl H Örtel E E Zunfft Zur Steltz H Zunfftmeister als auch H Stein den buchhändler vorberufen lassen um deren Erklärung über des H. Imploranten begehren Zu vernehmen, diese aber solche dahin ertheilet, das weder artickel noch ordnungen vorhanden, welche einige formalitæten Zu aufnahm der buchhändler erforderen solche also leediglich von der willkuhr hoher Oberen abhangen, Sie die H. Deputirte auch in nachschlagung der in annis 1753 et 1772. der buchhandlung wegen von MGHh. ertheilten verordnungen nichts gefunden welches des H Imploranten begehren hinderlich seÿn könte, als haben sie Erkand daß H Implorant mit dem Recht unter seinem eigenen nahmen eine buchhandlung Zuführen Zu willfahren seÿe.

Le juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann et Marguerite Salomé Müller vendent moyennant 27 654 francs la maison au négociant Joseph Arroy fils, propriétaire de la maison voisine (n° 18)

1807 (22.5.), Strasbourg 10 (48), Not. Zimmer n° 2213, 3178
Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de lettres et Marguerite Salomé Müller demeurant rue de la Chaine n° 2
à Joseph Arroy fils négociant demeurant rue des Veaux n° 19
Une Maison avec tous ses Bâtiments cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scise a Strasbourg rue des Veaux n° 20, entre le Sr Knoderer marchand de cuirs et led. M Arroy acquéreur devant rue des Veaux derrière riviere – acquis devant Me Laquiante le 26 thermidor 9 – pour 27.654 francs
Enregistrement, acp 102 f° 155 du 22.5.

Inventaire après décès de la locataire Marie Catherine Schmitz, épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la fabrique de tabac Arroy

1810 (21.5.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1183, 5386
Inventaire de la succession de Marie Catherine Schmitz épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la Fabrique de tabac de M Arroy à Strasbourg, décédée le 4 décembre dernier – à la requête du veuf tuteur naturel des quatre enfants Marie Thérèse née le 11 germinal 3, Marie Sophie née le 29 prairial 7, Caroline Elisabeth née le 28 fructidor 9 et Jean Jacques Ignace né le 14 mars 1808, en présence d’Antoine Wescher cordonnier subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 20 thermidor 2
dans une maison rue des Veaux n° 20 appartenant à M Arroy négociant
meubles 959 fr, argenterie 12 fr, capitaux 6912 fr, maison à Osthoffen 2400 fr, total 10.281 fr
Enregistrement, acp 114 F° 160 du 21.5.

Joseph Arroy vend la maison et des effets mobiliers à l’officier retiré Charles Adam de Lewenhaupt. Des clauses règlent les droits des deux voisins

1814 (2.11.), Strasbourg 12 (57), Not. Wengler n° 8517
Joseph Arroy négociant domicilié rue des Veaux n° 19
à Charles Adam, comte de Lewenhaupt officier retiré demeurant autrefois à Bouxwiller actuellement en ladite ville sous l’assistance de Louis Dischbein notaire à Saar-union son conseil judiciaire
1. une maison consistant en bâtiments de devant, de derrière et latéraux, cour, écurie, remise, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec toutes ses appartenances, droits et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, d’un côté la propriété du Sr vendeur d’autre la maison du Sr Knoderer marchand de cuirs devant ladite rue des Veaux derrière la rivière de l’Ill – acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller par acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, la D° Saltzmann née Müller l’a acquise de Jean Saum, marchand tanneur, et de Marie Dorothée Saum épouse St. Martin à Rastatt et Frédéric Saum négociant à Lyon par acte reçu Laquiante notaire à Strasbourg le 26 thermidor 9 (14 août 1801)
Charges, clauses et conditions, 4. les murs pignons séparatifs qui se trouvent entre la maison du Sr vendeur et celle du Sr Knoderer resteront mitoyens entre ces propriétés, 5. la porte de communication entre la maison vendue et celle du Sr vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement en cas d’événement ou d’accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera, 6. l’acquéreur est tenu de griller les fenetres et ouvertures qui donnent sur la terrasse dans la maison du Sr vendeur aussitôt que celui ci en fera la demande, 7. Le Sr vendeur en cas de batise de sa maison n° 19 ne pourra pas avancer le bâtiment de derrière vers la rivière et ce bâtiment doit commencer et rester dans sa direction et position actuelle
Désignation des effets mobiliers rue des Veaux n° 20, Logement du côté de l’eau. Salle à manger au rez de chaussée, cuisine, gloriette, buanderie – premier étage : sallon, chambre du mileu, chambre à coucher, chambre à droite, chambre attenante ; mansardes première chambre, chambre à coucher, troisième chambre, cuisine, quatrième chambre à coucher, 5° chambre, chambre à droite, premier, deuxième, troisième logement au troisième, logement de M Jacquet, logement de M Mathieu, office, salle à manger – Au second, première chambre, deuxième chambre, troisième chambre, logement sur la rue à droite première chambre, deuxième chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté – pour 38.000 fr, savoir la maison 34.000 francs et les effets mobiliers 4000 francs – 38.000 fr, savoir la maison 34.000 fr et les effets mobiliers 4000 fr
enreg. manquant f° 32 du 4.11.

Charles Adam de Lewenhaupt épouse en 1811 Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
Mariage, Bouxwiller (n° 1)
Acte de mariage célébré à cinq heures du soir le 14 janvier 1811. Charles Adam Lewenhaupt, âgé de 50 ans, né le 10 novembre 1760 ) Strasbourg, rentier à Bouxwiller, fils majeur de feu Adam Compte de Lewenhaupt, décédé à Paris suivant l’cte mortuaire du 17 juin 1775, lequel nous a été déposé, et de feue Caroline Christine Anne Louise née Sinclaire, décédée à Strasbourg le 5 mai 1809, Christiane Charlotte Louise Strahlenheim âgée de 27 ans 11 mois, née le 7 février 1783 à Carsbronne département de la Sarre, domiciliée à Deux-Ponts, fille majeure de feu Gustave Hening comte de Strahlenheim, décédé le 9 janvier 1788 suivant d’acte mortuaire, laquelle nous a été Déposee, et Marie Louise née Essebeck, ses père et mère (…) et Vû l’opposition à nous signifiée le 15 septembre 1810 pat M° Derot huissier Imp. près le tribunal de Saverne au nom de Madeleine Lewenhaupt domiciliée à Strasbourg, par laquelle elle nous a déclaré s’opposer à ce qu’il soit procédé à la Célébration du mariage de Charles Adam Lewenhaupt son frère, laquelle opposition a été levée par jugement du Tribunal de Saverne en date du 26 septembre 1810. confirmé par arrêt de la Cour d’appel de Colmar du 15 décembre suivant (signé) Charles de Lewenhaupt, Charlotte Louise Christianne Stralenheim (i 3)

Charles Adam Comte de Lewenhaupt loue une partie de la maison à Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg

1815 (22.2.), Strasbourg 12 (59), Not. Wengler n° 8888
Charles Adam Comte de Lewenhaupt officier retiré domicilié rue des Veaux n° 20, bail de 6 années à commencer le 25 mars prochain (signé) Charles Lewenhaupt
à Sophie née d’Ichtratzheim épouse de Balthasar Baron de Schauenbourg lieutenant général des Armées du Roi et demeurant à Strasbourg rue Elisabeth n° 24 (Sophie Jchtersheim Schauenbourg)
toutes les localités ci après détaillées qui se trouvent dans la maison de mondit Sr comte de Lewenhaupt sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20 savoir 1. tout le premier étage de la maison de devant composé de 7 pièces y compris l’antichambre, dans l’une desquelles pièces se trouve une hollandaise sur la cour, dans l’autre un trumeau à cheminée avec une peinture, dans le salon deux grands trumeaux (…) dans la chambre à coucher a alcove aussi un trumeau à cheminée et dans tout le logement se trouvent deux tringles d’alcove et 8 tringles de fenetres, 2. une petite salle à manger une chambre à côté et la cuisine le tout a plein pied au premier étage du bâtiment latéral a droite en entrant donnant sur la cour avec trois tringles et une tourne broche dans la cuisine, 3. Un bucher au dessous du logement mentionné au premier article, 4. les armoires murées dans le corridor en montant l’escalier, 6. enfin une cave séparée en lattes au dessous de ladite maison – pour 1000 francs par an
enreg. f° 84 du 24.2.

Inventaire après décès d’un locataire, le jurisconsulte Bernard Michel Jacquet, veuf de Marguerite Petit

1818 (27.4.), Strasbourg 15 (23), Not. Lex n° 4378
Inventaire de la succession de Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte décédé le 18 avril courant, veuf en premières noces de Marguerite Petit – à la requête de 1. Marie Anne Grundler veuve de François Joseph Ehekirch le jeune domiciliée à Bühl tutrice naturelle de ses 6 enfants mineurs 1) Marie Anne âgée de 20 ans, 2) Joseph âgé de 19 ans, 3) Jean Baptiste âgé de 15 ans, 4) Rose âgée de 12 ans, 5) Charlotte âgée de 7 ans, 6) Madeleine âgée de 5 ans, représentés par Jean Baptiste Grundler capitaine d’artillerie retraité, 2. Dominique Ehekirch majeur propriétaire à Bühl tant en son nom et que subrogé tuteur des enfants mineurs procréés avec Barbe Gissy leur mère et feu Jean Baptiste Ehekirch maître d’école à la vallée de St Amarin lesdits enfants nommés Joseph âgé de 19 ans, Barbe âgée de 18 ans, Madeleine âgée de 16 ans, Jean Baptiste âgé de 20 ans héritiers représentant Madeleine Jacquet sœur du défunt, formant la première branche,
4. Joseph Sisson doreur à Guebwiller, 5. Reine Soehnlen femme de Maurice Fröhliger de Soultz représentée par Jean Baptiste Grundler, 5. Marie Anne Soehnlen femme de Léonard Klausnitzler bonnetier à Schnersheim, Reine et Marie Anne Soehnlen filles d’Ursule Sisson femme de Joseph Soehnlen tonnelier à Soultz, cette dernière fille de Joseph Sisson fils de feu Catherine Jacquet sœur du défunt pour la deuxième branche,
7. Jacques Jehlen propriétaire à Guebwiller & 8. Barbe Jehlen femme de Georges Joseph potier de terre, 9. Marguerite Jehlen femme d’Augustin Marckert fabricant de fourneaux, 11. Anne Marie Jehlen femme d’Antoine Ackermann propriétaire tous domiciliés à Guebwiller représentés par ledit Grundler héritiers conjointement avec Joseph Jehlen leur frère par représentation de Barbe Frey femme de Jacques Jehlen le vieux propriétaire à Guebwiller et fille d’Anne Marie Jacquet troisième sœur du défunt procréée avec Michel Frey à Guebwiller pour la troisième branche,
12. François Joseph Rimlin tourneur en bois, 13. Barbe Rimlin veuve de Jean Baptiste Mittler menuisier, 14. Sébastien Rimlin tourneur en bois, 15. Françoise Rimlin femme de François Joseph Munsch, 16. Catherine Vogelweyd veuve de Michel Rimlin tourneur en bois tuteur de 1) Rose 9 ans, 2) Michel 8 ans, 3) Catherine 5 ans par représentation de leur mère et ayeule Françoise Jacquet quatrième sœur du défunt veuve de François Joseph Rimlin à Guebwiller, pour la quatrième branche – déclaré par Thérèse Fenderich fille majeure domestique au service du défunt –
dans le logement qu’occupoit en cette ville rue des Veaux n° 20
Titres et papiers, Contrat de mariage avec Marguerite Petit devant Me Lacombe le 28 août 1772, Inventaire de Louis Petit exsénateur père de la De Jaquet, Not. Dinckel le 30 juin 1777 (Partage Me Lex 1. 7.bre 1818 n° 58)
mobilier dans la chambre à coucher, première chambre sur le devant, au vestibule, dans la chambre de décharge, dans la seconde chambre sur le devant, dans la 3è chambre sur le devant, au grenier, 47.481 fr
provenant succession de la De Jaquet 9041 fr, total du passif particulier 1916 fr
récapitulation : mobilier 483 et 243 fr, numéraire 1170 fr, créances chirographaires 120.208 fr, dettes douteuses 10.366 fr, dettes hypothécaires 27.010 fr, total 49.481 fr, passif 10.689 fr
Enregistrement, acp 138 F° 171 du 2.5.

Inventaire après décès de Marie Louise d’Esebeck, veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim (belle-mère du propriétaire)

1820 (29.11.), Strasbourg 12 (81), Me Wengler n° 12.098
Inventaire de la succession de Marie Louise Esebeck veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim, lieutenant général des armées du Roi décédée à Achenheim le 18 juillet dernier – à la requête de 1. François Louis Klauhold avocat avoué près le Tribunal civil mandataire de Charles baron de Hohenfels, commissaire royal bavarois près l’administration du district de Deux Ponts et de Mde Amélie baronne de Hohenfels épouse de Charles Edouard baron de Hruby, envoyé impérial d’Autriche près la cour de Münic y résidant, 2. Me Antoine François Thomas Lacombe, notaire royal pour représenter les enfants héritiers de feu Henri Gustave comte de Strahlenheim, domicilié à Freysingen en Bavière, petits enfants de la défunte et 3. Charles Auguste comte de Strahlenheim, chef d’escadron retiré du deuxième régiment des grenadiers à cheval, officier de la Légion d’Honneur et chevalier de l’ordre rotal et militaire de St Louis demeurant à Strasbourg tant en son nom que comme fondé de pouvoir de Caroline Louise Henriette comtesse de Strahlenheim sa sœur épouse de Charles d’Almosy, inspecteur des forêts royales bavaroises domicilié à Langen-Candel (procuration à Landau), 4. Mde Christiane comtesse de Strahlenheim épouse de Charles Adam comte de Loewenhaupt officier retiré à Strasbourg, héritiers de leur mère et ayeule, le baron de Hohenfels et la De Hruby par représentation de Mde Frédérique née Closen leur mère veuve de Chrétien de Hohenfels conseiller privé de S.A.S. le duc de Deux Ponts fille de la défunte en premier mariage Charles de Closen de Heydenbourg, maréchal des camps des armées du roy pour 1/5, les enfants de Henri Gustave de Strahlenheim pour 1/5, Charles Auguste de Strahlenheim et Mde d’Almosy et C.tese de Loewenhaupt pour 1/5, tous ces derniers issus du mariage avec Gustave Henri comte de Strahlenheim
dans la maison que la défunte a habité cette ville rue des Veaux n° 20
mobilier 740 fr, numéraire 115 fr, ensemble 855 fr, passif 31 505 fr, corps de biens à Soultz sous Forêts non estimé
Enregistrement, acp 150 F° 60-v du 7.12. – vacation du 16.1. (acp 150 F° 178 du 17.1.)

Charles Adam comte de Lœwenhaupt meurt en 1822 en délaissant un fils

1822 (3.12.), Strasbourg 12 (84), Me Wengler n° 12.494
Inventaire de la succession de Charles Adam comte de Loewenhaupt, propriétaire officier retiré à Strasbourg décédé à Achenheim le 4 septembre dernier – à la requête de Christine Charlotte Louise comtesse de Strahlenheim, mère et tutrice légale de Charles Auguste de Loewenhaupt son fils 10 ans, en présence de Philippe Daniel Ottmann, négociant, subrogé tuteur – Contrat de mariage devant Me Morel à Bouxweiller le 13 janvier 1811, communauté légale
biens immeubles acquis pendant la communauté. Ville de Strasbourg. 1. une maison consistant en bâtiment de devant, de derrière et latéraux, cour, écuries, remises, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec tous les droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, estimée 30.000 fr, d’un côté M Arroy d’autre M Knoderer marchand de vins devant la rue derrière l’Ill – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu par le soussigné notaire le 2 novembre 1814, le Sr Arroy l’a acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann, homme de lettres, et Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg 21 mai 1807, ledit Saltzmann l’a acquis de Jean Saum et de Marie Dorothée Saum épouse de François St Martin et Frédéric Saum le premier à Strasbourg, les seconds à Rastatt le troisième à Lyon par acte reçu Laquiante le 26 thermidor 9
dans la maison de campagne à Achenheim 4519 fr – à Strasbourg dans la maison rue des Veaux n° 20, au rez de chaussée du bâtiment de derrière donnant sur la rivière, dans le salon, dans le cabinet à côté, dans la cuisine – bâtiment latéral à droite dans la cour, première chambre, dans la chambre à côté, dans le salon du bâtiment de derrière donnant sur le quai, dans la chambre à droite à côté, dans le grand salon donnant sur le quai, dans la première chambre du bâtiment latéral à gauche, dans la chambre à côté, première chambre aux mansardes donnant sur l’Ill, dans la chambre à côté, chambre à servante aux mansardes, cour et greniers 5906 fr, créances 70.960 fr, numéraire 8815 fr, campagne à Achenheim 44.600 fr
rente foncière à Wildengutt 1585 fr, ensemble de la communauté 166.386 fr, passif 18.064 fr
propre du fils, garde robe 625 fr, biens à Oberbronn 8460 fr, Gundershoffen 20.820 fr, Mertzwiller 28.196 fr, Gumbrechtshoffen 33.183 fr, Uttenhoffen 2034 fr, Uhrwiller 8486 fr, Niederbronn 3720 fr, Zinswiller 8293 fr, Rauschenbourg 31.280 fr, forets 20.963 fr, Zittersheim 29.000 fr, Wildenguth 25.414 fr, ensemble 220.476 fr, passif 2673 fr
vacation du 2.4. (acp 157 F° 29-v du 9.4.)

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs

1831 (5.2.), Strasbourg 15 (49), Me Lacombe, sans num.
Inventaire de la succession de Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, décédé le 29 janvier, à la requête des enfants petits enfants I. Jean Plumeret, jardinier fleuriste père et tuteur légal de Thérèse, Jean Baptiste, Xavier ses trois enfants issus de Thérèse Scharrenberger, II. Sophie Scharrenberger femme d’André Weyer maître maçon, III. Ignace Scharrenberger, ecclésiastique, héritiers de leur père et grand père, en présence dudit Ignace Scharrenberger subrogé tuteur des mineurs
en une maison rue des Veaux n° 20 au troisième étage d’un bâtiment latéral
acp 202 (3 Q 29 917) f° 182-v du 14.2. – La masse active se compose savoir garde robe du défunt 143 fr, mobilier 371 fr, numéraire 125 fr, créances 11.265 fr, ensemble 11 904 fr, sans passif

Christiane Charlotte Louise de Stralenheim vend en son nom et en celui de son fils la maison à Jules César Saum, rentier à Lyon, pour 47 500 francs

1832 (12.7.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1307
Christiane Charlotte Louise comtesse de Stralenheim veuve de Charles Adam comte de Lewenhaupt vivant officier, tant pour elle que comme mère et tutrice légale de son fils Charles Auguste comte de Lewenhaupt né le 4 avril 1812
à Jules César Saum, rentier à Lyon rue de l’Arbre sec n° 30
une maison consistant en bâtiments de devant, latéraux et de derrière, cour, écurie, remises, magasins, pompe et petite terrasse sur la rivière de l’Ill avec toutes ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20, d’un côté la maison appartenant à M Rist ci devant M Arroy, d’autre la maison du Sr Knoderer fabricant de cuir derrière la rivière d’Illl, et divers effets mobiliers et autres objets dont le détail est inséré dans un état que les parties ont fait dresser aujourd’hui – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu Wengler notaire à Strasbourg le 2 novembre 1814 – Contrat de mariage passé devant M° Morel à Bouxwiler le 13 janvier 1811, inventaire par M° Wengler le 3 décembre 1821, appartenait audit Arroy pour l’avoir acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, appartenait à la De Saltzmann née Müller de Jean Saum, marchand tanneur et Marie Dorothée Saum épouse de François de St Martin et Frédéric Saum, négociant à Lyon père du Sr acquéreur, par acte reçu Laquiante le 14 août 1801 (26 therm. 9)
Etat du logement au premier étage, occupé par M Gerard percepteur. Cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, salle à manger, anti-chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté du salon, pièce communiquant au salon, pièce donnant sur l’antichambre, corridor, cave – II. logement au second étage occupé par M Claude, docteur en médecine, antichambre, chambre, chambre qui donne dans la cour, salon, chambre du milieu, chambre à alcove, première chambre qui donne sur la cour, deuxième chambre qui donne sur la cour, cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, grenier à linge, caves – III. logement au troisième étage, bâtiment latéral occupé par M. Lapaille, officier en retraite, 1. chambre à droite en montant l’escalier donnant sur la cour, grenier se trouvant au dessus dudit logement, chambre du portier, 12 juillet 1832 – pour 47.500 francs
Enregistrement, acp 211 f° 86 du 14.7.

Jules César Saum épouse en 1832 Marie Louise Pauline Hecht
1832 (24.12.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1427
Contrat de mariage – Jules César Saum, propriétaire, fils de Jean Frédéric Saum, négociant, et de Claudine Fonbonne
Marie Louise Pauline Hecht, fille de Louis Hecht, professeur à l’école de pharmacie, et de Marie Salomé Lix
Enregistrement, acp 214 f° 138-v du 28.12. régimé de la communauté sous réserve d’apports

Accord entre les voisins, conformément aux clauses de la vente de 1814 (ci-dessus)

1834 (26.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 3, ssp du 6.2.
Transaction – Jean Louis Rist, docteur en médecine, comme se portant fort de son fils Edouard Michel Geofroi Rist, substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Schlestadt et Charles Daniel Rist, propriétaire d’autre part
propriétaires des deux maisons n° 19 et 20 de la rue des Veaux, c’est à dire M. Rist de la maison n° 19 et M Saum de la maison n° 20
suite à diverses sommations et actes qu’ils se sont signifiés réciproquement au sujet de la cloture d’une porte existante dans un mur qui sépare les propriétés respectives et donnant d’un côté dans la cour de M Saum et de l’autre dans une écurie appartenant à MM Rist on arrête ce qui suit savoir,
le Sr Saum en vertu de l’art. 5 du contrat de vente passé devant M° Wengler le 2 novembre 1814 ainsi conçu « la porte de communication entre la maison vendue et celle du vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement, en cas d’événement et accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera » Demande que la porte en question soit entièrement confisquée et murée à frais communs. Les Sr Rist par contre conformément à l’art. 662 du Code civil désirent conserver et pratiquer un enfoncement au même endroit où se trouve l’ouverture de la porte et au besoin de faire admettre et régler leur demande juridiquement et par experts suivant les loix. Les parties contractantes au lieu de faire décider leurs prétentions réciproques par les tribunaux ou par un expert sont convenus de ce qui suit,
2. L’ouverture résultante de l’enlèvement de cette porte sera entièrement fermée et murée du côté de M. Saum, 1. la porte de communication sera enlevée. Le mur entier ayant en cet endroit une épaisseur de 11 pouces ou 30 cm afin de laisser du côté de MM Rist une niche également de 11 pouces ou 30 cm de profondeur. 3. L’enfoncement résultant d’une part des travaux indiqués ci dessus du côté de M. Saum et de l’absence de travaux pareils du côté de M Rist ne pourra jamais nuire à la mitoyenneté du mur ni aux droits qui competent aujourd’hui aux parties en vertu de l’art. 5 du contrat du 2 novembre 1814 et de l’art. 662 du Code civil

Marie Louise Pauline Hecht meurt en 1866 en délaissant des héritiers collatéraux

1866 (23.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.659
Inventaire de la succession de Marie Louise Pauline Hecht épouse de M. Jules César Saum, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée le 12 mars 1866.
L’an 1866 le Samedi 23 juin à neuf neures du matin, à la requête I. de Monsieur Jules César Saum, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant 1° à cause de la Communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Madame Marie Louise Pauline Hecht sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire soussigné le 24 décembre 1832, 2° comme donataire de l’usufruit viager de la totalité ddes biens meubles et immeubles composant la succession ed feu son épouse en vertu du même contrat
II. de Monsieur Louis Auguste Jules Hecht, Juge de paix du Canton sud de la Ville de Strasbourg où il demeure, agissant en son nom personnel, III. de Monsieur Louis Emile Hecht, docteur en médecine agrégé de la faculte de médecine de Strasbourg demeurant en cette ville, agissant aussi en son nom personnel, IV. de Madame Salomé Wilhelmine Mathilde Hecht, épouse de M. Henri Eugène Rosssel, notaire à la résidence de Strasbourg demeurant ensemble en cette ville, agissant également en son nom personnel sous l’autorisation de son mari présent
M. Louis Auguste Hecht habiles à se dire et porter héritier pour moitié de feu Mad. Saum née Hecht sa tante germaine sus-nommée,, M. Louis Emile Hecht et Mad. Roessel habiles à se dire et porter héritiers ensemble pour l’autre moitié de la même défunte leur tante, par représentation de M. Louis Emile Hecht leur père en son vivant docteur en pharmacie à Strasbourg et par suite de la renonciation faite à la succession de la défunte par M. Louis Frédéric Alfred Hecht leur frère élève en droit en cette ville, suivant renonciation faite au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 16 mai dernier
Fait et dressé en la maison appartenant à M. Saum sise rue des Veaux n° 16 où Mad° Saum est décédée le 12 mars 1866. (signé) Jules Saum

Meubles. Salle à manger, Cabinet à côté, Cuisine, Salon, Chambre d’habitation ; Chambre à Coucher, Dans une Chambre, Dans les Chambres aux mansardes
acp 555 (3 Q 30 270) f° 17 du 26.6. (succession déclarée le 11 7.bre 1866)
Communauté. Mobilier 5414, argent 5000, cinq actions Klose & Cie 5000, reprises de la défunte 48.987, Maison 6210, créances 17
1/3 de deux actiona dans la filature de Hüttenheim
4 ha 79. 70. terre à Ittlenheim
4 ha 42 53 terre à Rohr
4 ha 35 97 terre à Hilsenheim
3 ha 51 96 herres à Booftzheim
1/3 d’une maison rue Ste Barbe N° 16
1/3 d’une maison rue des arcades N° 42

Jules César Saum meurt le 17 août 1870 après avoir fait un testament qui comprend plusieurs legs et par lequel il institue pour ses héritiers son beau-frère et ses neveux, déjà héritiers de sa femme
1870 (17.8.), M° Koerttgé
Dépôt du testament olographe de Jules César Saum
acp 590 (3 Q 30 305) f° 178-v du 18.8.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 154 (3 Q 31 653) f° 88 du 18.8. (M° Koertgé, décès di 17 août 1870)
Testament du 12 mars 1868 – Je soussigné Jules César Saum propriétaire à Strasbourg étant sain de corps et d’esprit déclare faire les dispositions testamentaires suivants.
Je lègue A° à Mlle Antoinette Schmaltz demeurant à Lyon place neuve St Jean N° 2 et 3 une rente annuelle et viagère de 400 francs (…)
2° à Dlle Joséphine Madeleine Koebellin actuellement cuisinière à mon service, une somme en capital de 4000 francs plus le lit complet (…)
3° à Sophie Rodenberg Couturière une rente annuelle et viagère de 200 francs
4° à Marie Barth pensionnaire (maison Ste Barbe) une rente annuelle et viagère de 100 francs
5° à Dlle Eugénie Hoppé rentière à Strasbourg une somme en capital de 1500 francs
6° au Sr Frey présentement portier chez moi (s’il este ncore à mon service) une somme de 250 francs
7° au St Louis Diebold cocher de M. de doyen Stoltz pareille somme de 250 francs
8° à Joseph Brassel et Jean Berbi cultivateurs à Westhausern (canton de Marmoutier) mes fermiers un corps de biens (…)
9° aux pauvres protestants de Lyon une somme de 500 francs
10° à l’église protestante de St Nicolas à Strasbourg pareille somme de 500 francs
J’institue pour les légataires universels 1° Jule Auguste Hecht maon beau-frère présentment juge de paix à Strasbourg pour les deux tiers de ladite succession, 2° Louis Hecht docteur en médecine à Strasbourg mon neveu et sa sœur ma nièce Md. Mathilde Hecht épouse du Sr Eugène Roessel notaire conjointement pour le troisième tiers (…)

Lors de la liquidation de la succession, la maison rue des Veaux reste indivise.

1874 (31.12.), Strasbourg 10 (175), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 9595
Liquidation und Theilung der Gütergemeinschaft zwischen Julius Cesar Saum und Maria Louise Pauline Hecht
sind erschienen I) Herr Ludwig August Julius Hecht, ehemaliger Friedensrichter, wohnhaft in Straßburg, II) Herr Ludwig Emil Hecht, Doktor der Medizin wohnhaft in Nanzig, III) und Frau Salome Wilhelmine Mathilde Hecht, hierzu gehörig ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des Herrn Heinrich Eugen Roessel, ehemaligen Notar hierzu gegenwärtig, beide mit einander in Straßburg wohnhaft (…)
Vorläufige Bemerkungen. Erste Bemerkung. Tod der Frau Saum, Inventar.
Frau Marie Louise Pauline Hecht Ehegattin des Herrn Julius César Saum ist kindenlos in Straßburg den 12. Märtz 1855 gestorben und hat als einzige Erben hinterlassen, ihren leiblichen bruder Herrn Ludwig August Julius Hechty vorgenant für eine Hälfte oder zwei viertel und für die andere Hälfte oder jedes einen vierten theil Herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel schon oben genannt ihr Neffe und Nichte (…) Das Inventar der Gütergemeinschaft (…) ist durch H Ludwig Friderich Zimmer damals Notar in Straßburg en 23. Juni 1856 errichtet worden (…)
Zweite Bemerkung. Verkauf des Hauses in Straßburg am Eck der Gewerbslaub Straße gelegen
Dritte Bemerkung. Tod des Herrn Saum, Testament.
Herr Saum ist ebenfalls in Straßburg dden 17. August 1870 gestorben. Laut seinem eigenhändig geschriebenen Testament von Straßburg den 12. Märtz 1858 datirt (…) hat der Verstorbene als Universal erben eingesetzt 1) Herr udwig August Julius Hecht vorganant für 2/3 theil, 2) und herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel zusammen für den letzten drittel (…)
Vierte Bemerkung. Verwaltungs-Rechnung
Fünffte Bemerkung. Plan der Operationen
Erste Abtheilung. Liquidation der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Saum bestanden hatte
Zweite Abtheilung, Thheilung der Hinterlassenschaft der Frau Saum
Dritte Abtheilung, Theilung der Hinterlassenschaft des Herrn Saum. Activ Masse
2) in einem Haus in Straßburg Kalbsgaße N° 16 gelegen zwischen ehemaligem Eigenthumb Rist und H. Knoderer hinten auf die Ill stoßend.
Die Parteien sind übereingekommen dieses Haus in den Unvertheiltheit zu lassen, deßenwegen hier nur Meldung pour mémoire geschieht
Vierte Abtheilung, Abrechnungen zwischen den Parteien und Ueberlieferungen
acp 636 (3 Q 30 351) f° 3 du 8.1.

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1887 au nom de Marie Cécile Hecht, fille du juge de paix Louis Auguste Jules Hecht, et de son mari Georges Roth, professeur à l’université, fils du cultivateur Georges Roth, de Hohfranckenheim

Mariage, Strasbourg (n° 499)
Straßburg am 9. August 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Professor an der Kaiser-Wilhelm’s Universität Georg Roth, evangelischer Religion geboren den 26. Januar des Jahres 1845 zu Hohfrankenheim (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg Sohn der verstorbenen Eheleute Georg Roth, Ackerer und Anna Urban, zuletzt wohnhaft un Kirweiler (Uner-Elsaß), 2. die Marie Caecilia Hecht, ohne Beruf, evangelischer Religion geboren den 4. October des Jahres 1860 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des verstorbenen Friedensrichters außer Dienst Ludwig August Julius Hecht, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und der Marie Friederike Kern, Rentnerin wohnhaft zu Straßburg (i 104)

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