9, rue du Marais-Kageneck


Rue du Marais-Kageneck n° 9 – I 119 (Blondel), P 133 puis (1875) P 257, section 52, parcelle 18 (cadastre)

Deux nouveaux bâtiments construits par Jacques Schaub (1865, 1866) – Façade XVIII° provenant du 10, rue du Maroquin


Façade en deux parties du n° 9, le cordon au-dessus du troisième étage est commun aux deux parties (octobre 2013 et octobre 2007)
Partie droite caractéristique du XVIII° siècle (août 2021)

La maison appartient au début du XVII° siècle au jardinier Chrétien Ohl (Ol Christman, diebolts hansen Son selon la dénomination qui le distingue d’un autre Chrétien Ohl). Vendue à deux reprises par ses créanciers après sa mort, elle devient propriété du jardinier Laurent Wunderer. Le jardinier André Reibel fils de Michel achète en 1694 la maison qui restera dans sa famille jusqu’en 1864. Les bâtiments sont ceux qui sont accolés en L après les bâtiments disposés en U au milieu de l’image ; la maison sur rue a un étage. Les experts l’estiment en 1786 à une valeur minimale de 300 livres.


Plan-relief de 1725 (Musée historique)


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 9 – Cours D et V (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une façade à rez-de-chaussée surmonté d’un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (c-d) : premier bâtiment en porte cochère surmonté de greniers, bâtiment à rez-de-chaussée et un étage surmonté d’une toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre entre (3-4) la porte cochère et l’arrière du bâtiment sur rue qui y a son entrée. Le bâtiment (2-3) se trouve à droite de la cour, la remise (1-2) au fond de la cour. Le mur (4-5) ferme la cour sur la gauche, suivi du bâtiment (5-1) devant le bâtiment arrière. La cour V représente en (24-25) l’arrière du bâtiment au fond de la cour.
La maison porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 49. Elle prend le n° 9 après 1873.


Vues de la cour (octobre 2019) – Arrière du bâtiment sur rue – Arrière du bâtiment à galeries à droite de la cour – Arrière du bâtiment à gauche de la cour – Angle gauche à l’avant de la cour
Façade de la partie gauche (octobre 2019)

Le boulanger Jacques Schaub achète la propriété en 1864. Il s’associe la même année avec son gendre Philippe Sengel et construit un nouveau bâtiment sur la moitié du terrain au début de l’année suivante. Le revenu passe de 44 francs à 256 francs. Le maire cède un terrain communal en décembre 1865. Philippe Sengel rétrocède sa part en avril 1866. Jacques Schaub construit la même année un deuxième bâtiment sur l’autre moitié du terrain. Le revenu passe alors à 362 francs. La partie droite de la façade, caractéristique de la deuxième moitié du XVIII° siècle (Adolphe Seyboth signale dans son ouvrage le millésime 1768, éd. en all. p. 273), provient sans doute de la maison sise 10, rue du Maroquin. Les bâtiments sur cour sont construits en pans de bois, celui de droite a des galeries fermées. Antoine Atzenhoffer fait construire en 1893 un bâtiment arrière à un étage.

Marais Kageneck (312 MW 17)
Plan dressé après le siège de 1870 (AMS, cote 312 MW 17, extrait)
Le n° 49 (actuel n° 9) est le dernier bâtiment aligné sur la gauche.

septembre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Chrétien Ohl (Ol Christman, diebolts hansen Son), jardinier, et (1571) Anne Werckmeister – luthériens
1631 h Jean Georges Würmel, boucher, et (1631) Barbe Ohl – luthériens
1637 h Elie Ohl, jardinier, et (1628) Anne Wahl – luthériens
1641 adj Laurent Wunderer, jardinier, et (1585) Rosine Hügel puis (1604) Anne Schott – luthériens
1644 h Thiébaut Schæffer, jardinier, et (1639) Marguerite Wunderer – luthériens
1683 h Thiébaut Jud, jardinier, et (1672) Marguerite Schæffer puis (1690) Aurélie von Fridolsheim d’abord (1677) femme du jardinier Laurent Hammerer – luthériens
1685 v Martin Buhler, jardinier, et (1684) Aurélie Sigfrid – luthériens
1691 v André Reibel fils de Michel, jardinier, et (1681) Aurélie Wunderer – luthériens
1733* h Michel Reibel fils d’André, jardinier, et (1719) Marguerite Wolff puis (1733) Anne von Fridolsheim d’abord (1715) femme d’André Lix fils de Jean – luthériens
1741* h André Voltz fils de Thiébaut, jardinier, et (1743) Marie Reibel – luthériens
1785 h Thiébaut Voltz fils d’André, jardinier, et (1786) Marguerite Lix – luthériens
1834 h Daniel Vix, jardinier, et (1827) Marie Voltz
1864 v Jacques Schaub, boulanger, et (1833) Marguerite Salomé Strohl puis (1859) Marguerite (Barbe) Wollschlegel, d’abord (1847) femme du jardinier Frédéric Charles Wendland
1864 h (copropriétaires, 1864-1866) Philippe (Jacques) Sengel, charron, et ( 1862) (Caroline) Louise Schaub
1894* v Antoine Atzenhoffer, poseur d’aiguillages, et (1874) Caroline Roman, d’abord (1861) femme de l’aubergiste Philippe Charles Kiervel
1922- h Antoine Auguste Atzenhoffer, comptable

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1786

(1765, Liste Blondel) I 119, André Woltz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Andres Foltz Wittib, 7 toises, 0 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 133, Voltz, Thiébaut, cultivateur – maison, sol, cour, bâtiment – 4,1 ares / Voltz Marie veuve Vix Daniel

Locations

1689, Michel Ohl fils de Jean
1691, Michel Reibel, journalier
1865, Nicolas Michel, journalier, et Catherine Fischbach

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du marais Kageneck

nouveau N° / ancien N° : 49 / 25
Voltz
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 63 case 4

Voltz Marie, V° Fix Daniel

P 133, maison, sol, Marais Kageneck 49
Contenance : 4,10
Revenu total : 46,13 (44 et 2,13)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 6 / 5
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 157 case 2

Voltz Marie, veuve, Fils de Daniel
1866 Sengel, Philippe charron & Schaub, Jacques boulanger à Strasbourg
Schaub, Jacques

P 133, sol, maison, bat. Marais Kageneck 25
Contenance : 4,10
Revenu total : 46,13 (44 et 2,13)
Folio de provenance : (63)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1866
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1866, Diminutions – Voltz Marie veuve f° 157, P 133, maison, revenu 44, démolie en 1865, supp. en 1866

P 1571, sol, Marais Kageneck 49
Contenance : 0,16
Revenu total : 0,08 (total du sol 2,13 et 0,08 – 2,21)
Folio de provenance : voie publique
Folio de destination :
Année d’entrée :1867

P 133, maison
Revenu total : 258,21 (256 et 2,21)
Folio de provenance : C.on nouvelle
Folio de destination : 157 agrand.
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 65 / 52
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30

P 133, maison
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance : 157 agrand.
Folio de destination : theilw. zerstört
Année d’entrée : 1870
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30
1870, Augmentations – Schaub Jacques f° 157, P 133, maison, revenu 362, addition de construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Schaub Jacques f° 157, P 133, Maison, revenu 356, addition de construction en 1867, supp. en 1870

P 133, Haus
Revenu total : 37,21 (35 et 2,21)
Folio de provenance : 157 agrand.
Folio de destination : berichtigung, theilw. zerstört
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
1871 – Schaub Jacques f° 157, P 133, revenu 362

P 133, maison
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance : Rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 37 / 30
1875 – Schaub Jakob f° 157-II, P 133, maison, revenu 362, rectification

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 169 case 1

Schaub Jakob
1891/92 Schaub Josef Frau geb. Wollschlegel Barbara
94/95 Atzenhoffer Anton, Weichensteller y. Ehefr. Karoline geb. Roman

P 257, Hofraum, Haus, Kageneckerbruch 9
Contenance : 4,26
Revenu total : 364,21 (362 et 2,21)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 38 / 30

Cadastre allemand, registre 31 p. 202 case 3

Parcelle, section 52, n° 18 – autrefois P 257
Canton : Im Kagenecker Bruch, Hs N° 9
Désignation : Hf, 3 Whs
Contenance : 4,11
Revenu : 4700 – 6500
Remarques :

(Propriétaire), compte 1753
Atzenhoffer, Anton u. Ehefr.
1922 Atzenhoffer Antoine Auguste comptable et son épouse
(625)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton I, Rue 15 Marais de Kageneck, p. 31

25
Pr. – Voltz Thiebault – Jard. f. b.

Registres de population

(1795) 1° section, Marais de Kageneck N° 25 (registre 600 MW 1) – légende

Theobald Voltz, 39, Journalier, Strasbourg
Marguerite Lix, 32, Sa femme, id

Registres de population

(1798) 1° section, Marais de Kageneck N° 25 (registre 600 MW 13, p. 272)

Voltz Thibaut, Cultivateur, Cit. actif, 41
Voltz née Lix, Marguerite, Epouse, 33
Oestreicher, Madeleine, Servante, 20, Suflum – An 5
Voltz, Marguerite, fille, 11
Voltz, Thibaut, fils, 8
Voltz, Daniel, id. 6
Voltz, Salomé, fille, 12 Mess. 6

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kageneckerbruch (Seite 70)

(Haus Nr.) 9
Artz, Wwe. 0
Irrmann, Fuhrunternehmer. 0
Hildenbrand, Magazinarbeiter. 0
Bechle, Ladendiener. 1
Buschmann, Tagner. 1
Bendel, Eisenb.-Bremnse. 1
Lorentz, Maurer. 1
Munsch, Bremser. 1
Bronner, Tagnerin. 2
Girardin, Wwe. 2
Müller, Tagnerin. 2
Hacker, Tagner. 2
Rössner, Schreiner. 2
Hanauer, Bremser. 3
Metzger, Strassenreiniger. 3
Seiler, Gasarbeieter. 3
Simon, Schreiner. 3
Straub, Wwe. 3
Burtscher,Wwe. 4
Eber, Strassenbahn-Schaffner. 4
Edel, Strassenreiniger. 4
Fäsel, Gärtner. 4
Guhl, Tagner. 4
Ferrari, Zementeur. 5
Caspar, Tagner H 0
Rub, Bahn.-Arbeiter. H 0
Höfer, Eisenbahn-Arbeiter. H 1
Kempf, Bremser. H 1
Felme, Sattler. H 2
Rauscher, Sattler. H 2
Fust, Bremser. H 3
Küntz, Postbote. H 3
Költz, Rangierer. H 3
Pecorini, Zementeur. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 837 W 194)

Marais Kageneck (rue du) n° 9 (dossier I, 1884-1989)

Antoine Atzenhoffer qui demeure dans la maison voisine (n° 7) fait construire en 1893 un bâtiment arrière à un étage : les travaux sont terminés en novembre.
La Commission contre les logements insalubres ordonne de faire de nombreux travaux. Les salles de bain prévues en 1964 ne sont pas exécutées. Le dossier se termine par des pièces concernant les projets de réaménagement du quartier.

Sommaire
  • 1907 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie dans une chambre
    1908 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie dans une cuisine (due à la graisse dans une marmite)
    1911 – Rapport d’intervention des pompiers pour un incendie au rez-de-chaussée du bâtiment arrière
  • 1926 – Le locataire Laurent Kaiser se plaint de son logement au deuxième étage du bâtiment sur rue après une augmentation de loyer (propriétaire, Auguste Atzenhoffer, demeurant 4, rue Jean Hultz). La Police du Bâtiment ordonne des réparations, terminées en juillet.
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Atzenhoffer, demeurant au n° 7. L’humidité dans le logement à droite au rez-de-chaussée dans le passage n’a pu être constatée, 1903.
    Visite de 1907, remarques en 4 points
    1908. Les cloisons dans les pièces sombres doivent être supprimées
    1909. Alfred Decker demande une visite de son logement
    1913. Le locataire Wenninger se plaint de son logement.
    Idem Guthier-Kircheis. La cloison de la cuisine doit être plâtrée
    1914. Commission des logements militaires, rapport en 10 points
    1916, Idem (Marais Kageneck n° 9, propriétaire Atzenhoffer sur place), remarques en 42 points. Rapports complémentaires pour les travaux non encore exécutés
    Rapport. Trente-deux familles qui ont de nombreux enfants habitent la maison dont la façade a 3,20 mètres et une profondeur de 9,50 m sans que l’aération soit prévue à l’arrière. Certains logements ne devraient pas être loués à des fins d’habitation.
    1917. Plusieurs locataires élèvent des lapins au grenier. Tous les clapiers ne sont pas conformes aux prescriptions.
  • 1934 (avril) – Le locataire Henri Klumpp se plaint de son logement. La Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée. Nouvelle plainte en décembre, pour mauvaises odeurs – Travaux exécutés après le départ du locataire, septembre 1935
    1934 – Rapport des pompiers après un feu de cheminée (aile droite). La cheminée défectueuse est réparée, octobre
  • 1943 – Un locataire fait remarquer que la fumée envahit certains logements bien que leur locataire ne fasse pas de feu. Le rapport établit que les cheminées sont encombrées de suie
  • 1947 (février) – Un locataire se plaint que la rampe d’escalier manque dans la troisième volée et que les conduites d’eau ont gelé – Travaux terminés, mai
    1948 – Trois locataires se plaignent que l’eau a envahi leur logement suite à un orage. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée. (propriétaire, Auguste Atzenhoffer, demeurant 4, rue Jean Hultz)
    1949 – Autre plainte, le plâtre se détache du plafond. La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée.
    1963 – Plainte d’un locataire (propriétaire, Ott demeurant 1, rue du Chêne au Neudorf) – Lors de la visite, la toiture et les cheminées étaient réparées. Le logement par contre manque d’entretien – La menuiserie intérieure est réparée, décembre 1963
  • 1964 – Rapport des pompiers suite à un feu de cheminée dans le bâtiment arrière
  • 1965 – Jean-Georges Ott (1, rue du Chêne au Neudorf) dépose une demande de permis de construire (section 52, parcelle 18) pour aménager des salles de bain (premier et deuxième étages) et des cabinets de toilette (troisième et quatrième étages) – Plan de situation – Dessins – Le technicien en bâtiment Paul Spinner décrit les travaux à faire – Permis accordé le 18 mai 1965 — Les travaux ne sont pas exécutés
  • 1965 – Le locataire Dentler se plaint que l’eau s’infiltre par la toiture défectueuse
    1970 – Un locataire se plaint que M. Kanian qui exploite un atelier de traitement de peaux de lapins conserve des liquides inflammables au grenier. La Police du Bâtiment constate que M. Kanian fabrique depuis 37 ans de petits jouets dans une pièce au rez-de-chaussée et dans les combles. La Police du Bâtiment conclut que l’affaire d’ordre locatif échappe à sa compétence.
  • 1973 – Le service des incendies constate qu’une cheminée est défectueuse – Rapport de la Police du Bâtiment (propriétaire, Jean Georges Ott, 26 rue du Canal à Eckbolsheim)
    1979 – Le service des incendies constate que des appareils de chauffage sont mal raccordés à une cheminée – Le maire en fait part au propriétaire
    1982 – Le service des incendies constate que la toiture du bâtiment arrière s’est effondrée après une fuite d’eau – Le locataire Roux se plaint que son plafond s’est écroulé. Le maire écrit au propriétaire (Ott, Immeuble Conseil, 4, rue Martin Bucer) de faire réparer la toiture et de rendre conformes les installations électriques. Le locataire retire sa plainte, le propriétaire ayant fourni un autre logement
  • 1989 – Pierre Eberhard (propriétaire des n° 11, 15 et 17) demande en son nom et en celui d’autres propriétaires, commerçants et locataires de la rue du Marais-Kageneck une entrevue pour connaître les intentions de la ville sur l’ancienne caserne des pompiers, l’ancienne usine Félix Levy, le ravalement des façades rue Moll
    1989 (août) – L’OPAH (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat) Gare-Porte de Schirmeck, en cours depuis octobre 1988, comprend le carrefour du boulevard Wilson et du Faubourg de Saverne. Le maire a proposé le 4 juillet 1989 que l’Agence d’Urbanisme soit nommée chef de projet de l’OPAH (compte rendu de réunion, plans de propositions en annexe).
    1989 (octobre) – Le Maire répond à Pierre Eberhard
  • 1989 (juin) – Le maire refuse d’autoriser Jean-Georges Ott (28, rue du Manège à Eckbolsheim) à faire les travaux prévus parce qu’il devrait prévoir quinze places de stationenement
    Travaux demandés (voir lettre du 9 juillet), aménager un garage dans un ancien logement, rénover un local commercial. L’architecte Pierre Kimmenauer avait proposé d’aménager le sous-sol en galerie d’exposition.

Autres dossiers
837 W 195, garage et salle d’exposition, 1988-1990, refusé)
942 W 87 (volume II, 1990-1996)


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au jardinier Chrétien Ohl (tenants et aboutissants, 1607, 1631). Fils de Jean Ohl fils de Thiébaut, il épouse en 1571 Anne, fille de Guillaume Werckmeister. Leur fils Elis (infra) naît en 1582.

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 76, n° 5)
1571. Ol Christman, Ol diebolts hansenn nachgelaßener Son, und Anna Wilhelm Werckmeisters nachgelaßene dochter (i 40)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 117, n° 81) 1582. 22. Julÿ. Oel Christmann, Oel thieboldts hansen sohn, Anna (Infans) Elias (i 65)

Chrétien Ohl l’aîné, jardinier aux Charrons, assisté de son fils Elie Ohl, hypothèque la maison au profit de la veuve du jardinier Loup Gorius. En marge, acte du 18 novembre 1637 par lequel Elie Ohl, fils de feu Chrétien Ohl, s’engage à régler les héritiers de la créancière qui ont obtenu l’expropriation faute de paiement.

1626 (xiij. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 459 n° 696-v
Erschienen ohl Christmann d. Elter gartner vnder wagner, burger Alhie mit beÿstand Eliæ ohlen auch gartners Alda seines sohns vnd Johann Reichen deß Notÿ
hatt in gegensein hannß Schellen deß gartners vnder Wagner Alß ietzig. vogts Margreth Weÿl. Wolff Goriusen auch gewesenen Garters daselbst s. tochter – schuldig word. 77 Pfund
vnderpfand hoff, hauß, hoffstat Scheür, Stall vnd allen and. gebawen alhie im Kagenecker bruch neb. Elias ohlen obgedacht, j. vnd 2. s. neben Sixt N. dem Schultheiß. Zu Rohr hind. vff Michel Wolffen dauon gehen Jahrß 2 ß d bod. Zinß dem Stifft Jungen S. Peter
[in margine :] Erschienen Elias Ohl gartner Vnder wagner, weÿ: ohl Christmanns deß eltern Sohn, mit beÿstand H Daniel Branden Notÿ An einem, So dann weÿ: Margreth Goriußen s: ab intestato Erben mit namen Daniel Voltz vnd Elias Wunderer beede gartner Vnder wagner An andern theil, Zeigten an, demnach an hierin bestimpter schuldt 27. lb beneben den 7. frt. früchten Er, Ohl Christmann noch in Zeit seines lebens, hanß Schellen vögtlicher Weiß abgericht, dahero Er, Ohl Christmann noch in allen deß ohrts 50. lb (wie nach schuldig verblieben, im gegentheil Er Ohl Christman auch allerhand an sie Goriusische Erben p.tendirt, und die sach Erstlich Vor Einen Ers. Statt gericht hernacher vor E. Ers. groß. Rhat alhie anhäng. gemacht, Sie Gorischre Erben auch albereith die expulsion hierin gedachten haußes vnd possession erhalten, Alß heten Sie sich vf. E. Ers. großen Rhats den 2. dieß. ertheilt. bescheid mit ein and. Zuverhüetung weitläuffigen Vncostens in beisein H Joh: Friderich Leoparden und H. Johann Georg Marbach alß vß erst wohl gedachts Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt und gegen einander. gehabter anforderung verglichen, daß Er Elias Ohl ihnen den Goriußischen Erben für alle deßorths gehabte forderung vff nechstkünfftig weÿhenacht. 40. lb. d ohne zinß zuerstaten, vnder deßen sie solche Behaußung abzutretten nit schuldig vnd im fall solche Zahlung nit erfolgt werd., Alß denn Sie Ihnen ihre Albereith erlangte recht hiemit außdruckentlich vorbehalt hab. wollen – Act. den 18. 9.bris 1637.

Chrétien Ohl l’aîné se porte garant de son fils jardinier Chrétien Ohl le jeune en hypothéquant sa maison. En marge, quittance accordée en 1663 au propriétaire de la maison, Thiébaut Schæffer.

1627 (ut spâ. [xj. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 313
Erschienen Ohl Christmann der Jung gartner vnder Wagner, burger Zu St.
hatt in gegensein Daniel Steinbocken, Würths im Falckenkeller alhie – schuldig seÿe 50. pfund d. St.
Vnd Zu noch mehrer sicherheit seind auch erschienen Ohl Christman der elter sein deß Debitoris eheleiblich Vater vnd Bernhardts hannß gartner An steinstraß die haben sich für sich & für obige schuld Zu rechten Bürgen Mit vnd selbst schuldner vnd Zahlere unver. gesetzt
Er Ohl Christmann der Elter in spê zu vnderpfand v.legt hauß, hoff, hoffstat, Scheür vnd Stall, mit allen and.en & alhie im Kagenecker bruch neben Andreß Isen j. vnd 2 seit Elias ohlen sein sohn, hind. vff besagts Isens garten stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß x lb d bod. Zinß dem Stifft Jung S. Peter
[in margine :] Erschienen H Johann Sebastian Gambß alß der Statt Straßburg Müntz verwalter, hatt in gegensein diebold Schäffers Gartners Vnderwagner, alß ietzig Possessoris hierinn gedachter behaußung (quittirt) Actum den 29. Aug. A. 1663

Chrétien Ohl fils de Jean Ohl fils de Thiébaut hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Planck. Les témoins sont ses fils Chrétien Ohl et Elie Ohl.

1630 (17. feb.), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 161
Erschienen ohl Christmann, ohl dieboldts hansen sohn, gartner vnd burger Zu straßb.
hatt in gegensein hanß Plancken deß Weißbecken auch burgers Zu St. – schuldig seÿ 100. Pfund
zu vnderpfand verlegt vnd eingesetzt, hauß, hoff, hoffstat, Scheür vnd Ställ mit allen andern deren gebäwen, & so gelegen alhie im Kagenecker Bruck neben elias ohlen sein Debitoris sohn & neben Georg Lehesen, hind. vff Michel Wolffen witib stosend, welche zuuor v.hafftet seind vmb 100. gld. Daniel Steinbocken, vnd dann gehen Jarß auch dauon x. ß d bod. Zinß dem Stifft Zum Jungen S. Peter alhie
Dabeÿ gewesen Christman vnd Elias die ohlen, bede deß Bekenners Söhn

Chrétien Ohl l’aîné lègue le jouissance de ses biens immeubles pendant neuf ans à sa petite-fille Barbe, fille d’Adolphe Ohl, en rétribution de ses services. L’acte est annulé.
1630 ([23. 9.bris]), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 746
(nil actum) Erschienen ohl Christmann der Alt, gartner vnder Wagner, burger Zu Straßb., gleich wohl hohen alters, nichts desto weniger noch gesunden stehend vnd gehenden Leibs, auch guter verstendlicher Sinnen vndt vernunfft, Zeigte selbst mündtlich An, wie daß sein Enckel Barbara Adolff Ohlen auch gartners vnder wagner alhie, vnd sein Christmann ehelich. Sohns tochter, ihme alß ihrem Großvater biß hero getrewlich hauß erhalten, Alß wolte Er dieselb danckbarer widergeltung volgender gestalt bedencken, Inmaßen er auch hiemit alßbalden verordnet daß besagt sein Enckel Barbara nach sein deß Großvaters absterben, deselben hauß v hof sampt allen anderen ligend. gütern (…) vnd also sein gantz. V.laßenschafft (…) Neün Jahr lang, vnd alle Jar höher nicht dann für vnd vmb 5. lb. Zinses rüewiglich, ohne sein ohl Christmanns Kinder vnd erben einiche widerred, irrung vnd eintrag, zubesitzen, nutzen und zu nüeß. macht haben solle

Acte de même teneur dressé le lendemain en des termes légèrement différents
1630 (24. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 747
Erschienen ohl Christmann der elter gartner vnder Wagner, burger Zu St. mit beÿstand Urias Hucken gartners An einem
So dann Barbara seines sohns Adolff Ohlen auch gartners daselbsten eheliche dochter mit beÿstand hanß Bentzen ihres Vogts am 2. theil, Zeigten an und bekannten gegen einander,
demnach er ohl Christmann nun ein hohes Alter, durch die genad Gottes erreicht, vnd seine leibs cräfften durch schwere handarbeit also abgenommen, daß ihme seiner handtierung ferner nachzugehen unmüglich fallen thue, darzu auch in den trawrigen Wittibstand, Gottes gnedigen willen nach gesetzt worden, dahero er guter wartung in seinem hohen Matern alter bedörffig, Vnd bißhero obgedachte Barbara sein Enckel ihme die haußhaltung dermassen gefüert, daß Er daran ein gut wohlhäbig genüegen getragen, auch Er sich solches zu derselben fürbaß getröste, Alß heten sie sich mit einander eines Leibgedings vff ihr beeder obgedachter beÿständern Zuuor gepflogenen rhat und gutachten, dergestalt und dahin verglichen daß Er Christmann Ohl der Großvater ihr Barbaræ sein Enckel Einen Lehnacker im Zielbaum (…)
Zum and. hat auch mehrgedachter Großvater Sein hauß vnd hoff sampt allem haußrath nichts dauon außgeschloßen (…) mit diesem beding Ihr Barbaræ übergeben, daß dieselb solches alles von Nechstkommend Weÿhenachten an Neün Jarlang die nechsten nach einander volgend, haben, besitzen gebrauchen, nutzen vnd nüeßen (…)
Hiengegen soll offtgedachte Barbara ihrem lieben Großvater in diser ihr ietz vbergebenen hauß mit speiß und tranck, nothwendiger kleidung (…) versehen (…)

Chrétien Ohl l’aîné vend la maison à Barbe Ohl fille d’Adolphe.

1631 (17. Feb:), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 106-v
Erschienen Ohl Christman der älter, gartner Vnder Wagner, mit beÿstandt Clauß Würmblins deß Weinstichers
hatt in gegensein Barbaræ Ohlin, mit beÿstand Ohl Adolffen auch gartners An Steinstraß ihres Vattern, vndt hanß Bentzen ihres vogts (verkaufft)
hoff, hauß, hoffstat, scheür und Ställ, mit allen andern ihren gebäwen, alhie im Kagenecker Bruch neben Georg Lehesen & Elias Ohlen, hind.vff Michel Wolffen vnd hanß Weilers garten stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich 10. ß d bod. Zinß dem Stifft Jungen S. Peter, So seind sie auch verhafftet vmb 50. lb d hanß Plancken dem weißbecken, Item vmb 50 lb d Daniel Steinbocken, Item vmb 50. lb. d Wolff Goriußen deß gartners see: tochter so zwar noch streitig, So dann vmb 50. lb weÿ: H Hanß Jacob Crusÿ, Hanß Jacob Winters, hanß Ohlen und Georg Nartz. Kindern, all sein Verkäuffers Enckeln sonst eigen,
Item eine Kuhe, Zweÿ pferdt, Kärch, schiff vnd geschirr (…) für vnd vmb 600. lb vber abzug der beschwerden aber vmb 390. lb d. daran der Verkäuffer ihro Käufferin 150. lb d dergestalt abgehen zumaßen verwilligt, daß sie hingegen ihne sein leben lang vermög deß en 24. Novembris Jüngsthin auch in der Contractstuben vffgerichten Leibgedings, gebürlich Zuund.halten schuldig sein soll

Barbe Ohl épouse quelques semaines plus tard le boucher Jean Georges Würmel, fils de l’aubergiste Nicolas Würmel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 10)
1631. Dominica 2. post Trinitatis. Hanß Görg Würmel d. Metzg. Clauß wurmels deß alten Wurts Zuem grauen man ehelich. Sohn J. Barbara Adolph Ohlen deß Gartners alhier eheliche tochter (i 11)

L’inventaire de 1683 (voir plus loin) cite deux adjudications judiciaires qui se rapportent à la maison, datées du 7 janvier 1635 et du 20 mai 1641. La première doit être l’adjudication au profit des héritiers de Loup Gorius sur Barbe Ohl, la deuxième celle au profit des héritiers de Laurent Wunderer sur Elie Ohl.

Devenu propriétaire en 1637 (voir ci-dessus l’obligation datée de 1626), Elie Ohl fils de Chrétien épouse en 1628 Anne fille de Jacques Wahl, de Dorlisheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186)
1628. Dominicâ Exaudi. Elias Ohl, d. gartner alhie Christmann Ohl deß gartners ehelich. Sohn, J Anna Jacobs Wallen Burg. Zue Dorlißheim eheliche tochter. 3. Junÿ (i 191)

La vente de 1644 est consentie par les enfants et héritiers de Laurent Wunderer, soit 1) les enfants de Jacques Wunderer, 2) Elie Wunderer, 3) Catherine Wunderer femme de Daniel Voltz et 4) Anne Wunderer femme de Jacques Reibel
Fils de Jacques, Laurent Wunderer épouse en 1585 Rosine Hügel puis en 1604 Anne Schott
Mariage, Sainte-Aurélie (luth.p. 107, n° 12)
1585. den 28. Junÿ seind eingesegnet Lorentz wunderer Jacob wunderers nachgelaßener Son vnd Rosina Anstet Hügels nachgelaßene Tochter (i 55)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p 7, n° 2)
1604. den 16. Januarÿ. Mit diesen Sindt eingesegnet Lorentz Wunderer d gartner vnd Anna Hans Schotten des gartners tochter (i 4)

(Baptêmes, Laurent Wunderer et Anne Schott, Sainte-Aurélie, Elisée 1605 n° 22, Catherine 1611 n° 41, Anne 1615 n° 28)

Issu du premier mariage, Jacques Wunderer épouse en 1614 Getrude, fille d’Oswald Moll
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 136 n° 42)
1614. 4. Octobris Jacob Wunderer der Gartner, J. Gertrud, Oswald Mollen S. gartners alhier (i 140)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p. 27) 1614. den 4. Octobris ist bei uns außgeruffen worden Jacob wunderer Lorentz wunderer Burger vnd Gartner alhie ehelicher Sohn, J Gertrud Oswald Mollen deß gartners seligen hinderlaßene eheliche tochter Seind Zum Alten S Peter eingesegnet worden (i 14)

Elie ou Elisée Wunderer épouse en 1627 Anne, fille du jardinier Jean Westermann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 182)
1627. Elias Wunderer d. Gartner Lorentz Wunderer deß gartners alhie nachgelaßener Sohn, J. Anna Hanß Westermanns deß gartners allhier eheliche tochter 26 Junÿ (i 187)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p 66) 1625. den 26. Junÿ Seind Zum Alt S Peter ehelichen eingesegnet Worden Eliseus Wunderer der gartner Lorentz Wunderers des gewesenen Gartners alhie ehelicher Sohn, Vnndt J Anna Hans Westermans des Gartners alhie eheliche Tochter, welche auch beÿ vns seind ausgeruffen worden (i 35)

Catherine Wunderer épouse en 1630 le jardinier Daniel Voltz
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 80, n° 9)
1630. den 25. Maÿ Sind nach Ordentlicher ausruffung Ehelichen eingesegnet worden Daniel Voltz der Gartner Hrn David Voltzen s. des gewesenen gartners vnd Fünffzehners nachgelaßener ehelicher Sohn, vndt J. Catharina Lorentz Wunderers S. des gewesenen gartners vndt Burgers alhie nachgelaßene eheliche tochter (i 42)

Anne épouse en 1636 le jardinier Jacques Reubel
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 100)
1636. 7. Junÿ, St. Aurel. Jacob Reübel der gartner allhier, J. Anna Lorentz Wunderers des gartners nachgelaßene tochter (i 53)

Les enfants et héritiers de Laurent Wunderer d’une part, la veuve du boulanger Jean Planck (voir l’obligation de 1630) et Barbe Ohl femme de Jean Georges Würmel (voir la vente de 1631) vendent la maison à Thiébaut Schæffer et à sa femme Marguerite Wunderer (petite-fille de Laurent Wunderer)

1644 (23. febr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 126-v
Erschienen Elias Wunderer Gartner und. wagner für sich selbst. und alß Vogt weÿl. Jacob Wunderers Gartners daselbst nunmehr seel. nachgelaßene sechß Kinder, mit nahmen Margaretha, Diebold Schäffers eheliche haußfrau, Aurelia, Anna, hannß, Lorentz und Jacob, Mehr Daniel Voltz Gartner und. wagner alß Ehevogt Catharinæ Wundererin, Vnd Jacob Reübel Gartner alda alß Ehevogt Annæ Wundererin, alle weÿl. Lorentz Wunderers Gartners und. wagner seel. Erb. und Erbens Erben, Ferners H Daniel Steinbockh alter groß. Rhats Verwanth. für sich selbst. Mehr H Georg Rhem Schaffner Zu St Marx alß Vogt Annæ Mariæ Rosenbergerin Weÿl. hannß Blanckhen deß Weißbeckh. seel. wittibin, Vnd dann Barbara Ohlin, mit beÿstand hannß Georg Würmelß ihres Ehevogts
haben in gegensein Diebold Schäffers und Margaretha Wundererin seiner Ehewürthin bekant, daß Sie Lorentz Wunderers seel. Erben und Erbens Erb. wie auch H Daniel Steinbockh die Blanckische wittib Dni Steinbockh Et Emptoren Mont. d. 11. martÿ a° 1644 für sich selbst. und im nahmen ihrer mit interessent. alle alß vff nachgemeldter Behaußung versicherter Creditoren (gekaufft)
Hauß, Scheur und tall mit allen deren Gebäwen alhie im Kageneckher Bruch neben Georg Lehens dem Gartnern und. Wagner Zu beed. seit. hind. vff Mathiß Geÿern den Gartnern stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 10. ß d vff Joh. Bapt: und weÿhenachten iedes mahlß zum halben theil dem Stifft Zum iung. St. Peter, Bodenzinß, deßweg. die de a° 1638. inclusive biß dahero verfallene Zinnß ohnbezahlt außständig seind, So ist dieße Behaußung verhafftet denen wundererisch. Erb. umb 40. lib. Capital, zinnnß und Marzahl biß dato 12. li 10. ß, Vncost. ahne 39. lib. 6 ß 6 d daran 32. lib 15 ß d durch die vffgehabene Nutzung compensirt word. noch per Rest 6 lib. 11 ß 6 d Item 28 lib. lidlohn besagter Barbaræ ohlin, Mahr H Daniel Steinbockh ahne hauptgut 50. lib. davon 14 ¾. Jahr Zinnß 36. lib. 17. ß 6 d Ferners hannß Blanckh wittib umb 59. lib. 4 ß 9 d Und wer noch ferners liq.diren wirt daß Er vff diße Behaußung versichert seÿe – umb 265 Pfund

Fils du jardinier du même nom, le jardinier Thiébaut Schæffer épouse en 1639 Marguerite, fille de Jacques Wunderer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 44-v)
1639. Eodem [Dnca Quinquag: 24. febr.] Dieboldt Schäffer der Gartner, Dieboldt Schäffer des Gartners Ehelicher Sohn J. Margreth Jacob Wunderers des Gartners hinterlaßene tochter. Zinst. 5. Martÿ (i 46)

Marguerite Wunderer veuve de Thiébaut Schæffer meurt en décembre 1683 en délaissant trois enfants. La succession s’élève à 802 livres, L’acte mentionne que la maison est attribuée à la petit-fille de la défunte, Anne Schott.

1683 (1.2.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 1) n° 7
Inventarium und Beschreibung aller Haab Nahrung und Güettere, Ligend und vahrender, lehen: und Eÿgener, Verändert und Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hindan gesetzt, So weÿland die tugendsame Margaretha Wundererin deß auch weÿland deß Ehrengeachten Diebold Schäffers deß Eltern geweßenen Garttners Under wagnern hinderlaßene Wittib, nach Ihren Sambstags den 26.ten Decembris dießes nechst abgewichenen 1682.ten Jahrs, tödlichem ableiben verlaßen, welche uff ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Daniel Wilden deß Eltern alß geschwornen Curatoris und vogts Jacob Schäffers deß Ledigen Garttners, Ferner Margarethæ Schäfferin, deß Ehrengeachten Diebold Juden deß Jüngen auch Garttners Allda, haußfrauw, mit beÿstand besagts Ihres Ehemanns, So dann deß Ehrenhafften Michael Voltzen Davidts Sohns auch Garttners daselbsten, alß ahnestatt Dieboldt Juden obgemeld deß rechten Vogts geschwornen theÿl Vogts Annæ weÿland der tugendsamen Frauwen Annæ Schäfferin mit dem Ehrengeachten Andreß Schotten auch Garttner Under wagern Ihrem hinterlassene haußwirth ehelich erzeugten döchterlins, in fernerm gegensein gemeldt Andreß Schotten deß Vatters, aller dreÿ der Verstorbenen, Frauwen seeligen hinderlaßener Kinder und der abgeleibten dochter hinterl. Enckleins und nunmehr ab intestato und mit gewißem beding per testamentum eingesetzte nechsten Erben Ersucht und befunden durch obgemelden Sohn und dochter (…) Beschehen in wohlermelter Statt Straßburg Montags den Ersten Februarÿ Anno 1683.

Copia deß von der Abgeleibten frn. seelig auffgerichteten Testamenti nuncupativi – In dem Jahr 1682 (…) auff Freÿtag den 13. tag deß Monats Martÿ Styli novi Abendts Zwischen Acht und Neün Uhren in der Königlichen Freÿen statt Straßburg und einer daselbst in der Vorstatt underwagnern in der neüwen Zeil gelegenen dem Ehrengeachten Diebold Juden dem Jüngern Garttner vnderwagnern Eÿgenthümlich zuständiger behausung dero Undern Stuben mit den Fenstern auff die gaß außsehend (…) persönlich erschienen die Ehren: und tugendsame Frauw Margaretha gebohrne Wundererin weÿland Diebold Schäffers geweßenen garttners vnderwagnern burgers alhier nunmehr seelig hinderlaßene Wittib von dem gnaden des grundgütigen Gottes aufrechten gesund gehend und stehenden leibes auch guther verständiger Sinnen und vernunfft (…) Johann Heinrich Lang Nots.
Haußrath So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg auch dero vorstatt außerhalb deß Zollthors an dem sogenanten Kagenecker bruch gelegenen hernachbeschriebenen behaußung sich befunden alß volgt
In der Kammern A, In der Cammer B, Inn der Wohn Stuben, Inn der Stub Cammer, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb Einer behaußung. Item Hauß, Hoff, Hoffstatt Scheur und Ställ mit Allen Ihren überigen gebäuwen begriffen, weithen, rechten und Zugehörden, gelegen in der Statt Straßburg, auch dero voorstatt im Kagenecker bruch, eins. neben Andreß Brilinger, anders. neben Lorentz huckhen Gärttner, vnder wagner, hinden vff Matthiß Geÿern auch Garttner Allda vornen vff bemeltten bruch oder daß Allmend stoßend, davon gehen Jahrs uff (-) 10 ß gelts, oder boden Zinß der [sic] Stifft Zum Jungen St Peter allhier gehörig, sonsten ledig eÿgen und hiehero angeschlagen für 250 lb. Darüber anietzo Vorhanden Zwen Pergamentene ganth Kauffbrieff darund. der Erste datirt deb 7. Januarÿ Anno 1635. der Andere aber den 20. Maÿ Anno 1641. beede mit N° 1 bemerckt.
Item der halbetheÿl vor ungetheÿlt von und ahne Zweÿ Kleinen häußlin beÿ dem Crohnenburger thor vnd dem sogenanten halben tach gelegen (…)
Nota. die Inn dem Kagenecker bruch gelegene behaußung ist Zwischen den 3. geschwisterden und dero Eines theÿls geschwisterd Kind. und deßorts Ecklein umb 300 lb. d verlooßt, auch in solchem looß Anne dem Enckelin Zugefallen, gibt Also daran* seiner Mutter seel beeden geschwisterden Jacob und Margaretha gemeinlich davon herauß 400
Forma Hujus Inventarÿ. Haußrath 23, Früchten 9, Blumen uff den Veld 10, Vÿhe 22, Schiff und geschirr 6, Strohe und booßen 2. Tünchung 9, Pfenningzinß hauptguth 8, Silber und guldene Ring 2, Eÿgenthumb ahne Einer behaußung 255, Eÿgenthumb ligender Veldgütter 434, Beßerung der lehengütter 17, Schuld 2, Summa summarum 802 lb
Summa Prælegaten 97 – Conclusio finalis Inventarÿ 802 lb

Le tuteur d’Anne Schott vend quelques mois plus tard la maison à Thiébaut Jud le jeune (mari de Marguerite Schæffer, autre fille de la défunte)

1683 (8. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 399-v
Herr Johann Gumbrecht der Älter undt herr Johann Jacob Schneider beÿdte alß auß E.E. großen Rhats mittel ahne statt nachgemelts diebold Juden, welcher Annæ, Andres Schotten döchterleins Vogt und Zugleich kaüffer ist, insonderheit Deputirte
in gegensein dieboldt Juden des Jüngern Gartners Underwagner, obged.
Einen dritten theÿl, Ihro Annæ für ohnvertheÿlt gebührendt, ahne hauß, hoff, hoffstatt, Scheur undt Stallung, sampt allen deren gebaüwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten undt Gerechtigkeiten, alhier im Kageneckher Bruch, einseit neben Andres Brüllinger, anderseit neben Hannß Voltzen et consorten, hinden uff Mathis Geÿer stoßend gelegen, undt gehendt von der gantzen behausung 10 ß d bodenzinß dem Stifft Jungen St: Peter – umb 200 fl.

Fils du jardinier Nicolas Jud, Thiébaut Jud épouse Marguerite Schæffer en 1672.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151-v, n° 5)
1672. Diebolt Jud der Jüngere, Claus Judten des Burgers Undt Gartners Unter den wagnern Ehelich Sohn, Vndt J Margaretha, Diebolt Schäfers des Burgers und Gartners allhier Ehel. Tochter. Zinst. 15.febr. (i 153)

Marguerite Schæffer meurt en novembre 1689 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison aux Maisons Neuves (faubourg de Cronenbourg). La masse propre au veuf est de 386 livres, celle des héritiers de 516 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 815 livres, le passif à 736 livres.
1690 (2.1.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 5) n° 110
Inventarium und Beschreibung Aller Haab, Nahrung und Güettere ligend. und vahrender, lehen und Eÿgener, verändert und Unveränderter, keinerleÿ davon außgenommen noch hindan gesetzt, So weÿland die Ehren und tugendsahme Fraw Margaretha Judin gebohrne Schäfferin deß Ehrengeachten Diebold Juden gartners Underwagnern und burgers Zue Straßburg geweßene Ehefraw nunmehr seelig, nach Ihrem Donnerstags den 24.ten Novembris deß nechst abgewichenen 1689.ten Jahres beschehenen tödlichen ableiben hinder Ihro verlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsahmen oswald Mollen garttners und burgers allda als geschwornen Curatoris und vogts Dieboldts, Margarethæ und Aureliæ geschwisterden der abgeleibten Frauwen seeligen mit obbesagtem diebold Juden Ihrem geweßenen Ehemann und nunmehro hinderlaßenen wittwer ehelich erzeugte dreÿ Kinder und anjetzo derselben ab intestato nechste Erbe, Jedem Zum dritten theÿl berührend (…) beschehen in wohl ermeldter Statt Straßburg Montag den andern Januarÿ Stÿli novi Anno 1690.

So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg vorstatt in der Neüen Zeilen und hernach beschriebenen Theÿlbahrer behaußung als volgt befunden
Holtz: vnd feder werck. Inn der obern Stuben, Inn der Stub Cammer, Inn der Kuchen, Im haußöhren, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Camer auff dem hainostel*, Inn der wohnstuben, Inn der Stub Cammer, Im Haußöhren, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb Einer Behaußung. (T.) Item Hauß, Hoff, Hoffestatt, Scheür, Stallung in der Voorstatt Underwagnern in der Neuwen Zeilen (…)
(E.) Item Ein Sechsten theÿl vor ungetheilt von und ane einem Kleinen Häuüßlein sampt denen appertinentien beÿ dem Crohnenburger thor (…)
Ergäntzung der Erben vor unverändert in Ehestand gebracht und ererbt aber anjetzo manglend. befundenen Guths. Auß dem Theÿl Register welcher besagt waß der abgeleibten frauwen seeligen in abtheilung weÿland deß Ehrengeachteen Diebold Schäffers deß ältern geweßenen garttners under wagnern und burgers Zu Straßburg Ihres lieben Vatters seelige verlaßenschafft
Ergäntzung deß Wittwers vor unverändert in Ehestand gebracht und darinnen ererbten, aber anjetzo alienirt und abgangenen Guths. Vermög Theÿlrgisters welches besagt waß dem Wittwer Inn weÿland deß Ehrengeachteen Clauß Juden geweßenen Garttners und burgers zu Straßburg seines lieben vatters seelugen Verlaßenschaffts Abtehÿlung für deßen gebührenden halben theÿl Erbich Zu und angefallen
Forma hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Deß Wittwers unverändert gutt, Haußrath 13, Guldener Ring 1, Eÿgenthumb liegender Veldgüther 200, Beßerung ane lehengüthern 2, Ergäntzung (218, abzug 19, Rest) 199, Summa summarum 416 lb – Schuld 30, Nach deren Abzug 386 lb
Vogt nuhn hierundt der Erben unveränderte Nahrung, haußrath 27, Kueh 2, Guldener Ring 1, Eÿgenthumb liegender veldt güther 270, beßerung ane lehengüthern 8, Eÿgenthumb Einer beßerung 2, Schuld 30, Ergäntzung (228, Abzug 9, Rest) 219 lb Summa summarum 516 lb
Hierauff würd auch die Gemeine und theÿlbare substantz beschrieben, haußrath 50, Früchten auf dem Casten 150, blumen auff dem velde 24, Vÿhe 87, Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 18, hanff 12, heüw Strohe und boosten 9, besserung 8, Silber geschirr und Geschmeidt 8, Guldene Ring 5, Eigenthumb Einer behausung 450, Eÿgenthumb liegender veldtgüther 557, beßerung ane lehengüthern 6, Pfenningzinß hauptgüter 427 lb, Summa summarum 1815 lb – Schulden 736, Nach deren Abzug 1069 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft deß Wittwers unverändert. Vermög deß über weÿland frauwen Othilia Ruelmännin deß Ehrengeachten Christoph Winthers garttners vnderwagnern und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen haußfrau und deß wittwers geliebten Mutter seelig. den 18.ten Januarÿ A° 1684. auffgerichteten Verlaßenschafft Inventarÿ
Wÿdumbs Verfangenschaft so theÿlbar. Item hat der Wittwer wehrender dieser Ehe von Martin Marlen seinem Einbändigen bruder welcher ahne vorbeschriebener behausung so Christoph Wither garttner underwagnern biß ahne sein absterben Wÿdumblich Zunutzen und zugenießen hat

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Thiébaut Jud à se remarier avant Pâques alors que son deuil n’est pas terminé. Il argue qu’il a trois enfants malades et des domestiques dont il faut s’occuper et que le travail des champs l’occupe.
1690 Conseillers et XXI (1 R 173)
(f° 69) den 20.ten febr. – Diebold Jud der garttner pt° dispensationis sich zuverheurath.
Gol beneben Dibold Juden dem gartnern und burgern alhier prod. ansuchen und bitten mit beÿlag a. weilen der liebe gott den 2.ten Xbr vorigen jahrs sei haußfrauw von dieser welt abgefordert, Er eine schwäre haußhaltung mit 3. Krancken Kindern und gesindten erhalten, darneben auch ein großen ackherbauw führen muß, den last aber alleinig nicht ertragen möge, umb dispensation sich annoch vor Ostern anderwertlich Zuverheurathen. Erkandt Dispensando willfahrt und solle Implorant 3. lb d in beede Allmoßen Zugeben schuldig sein.
Hr. XV Johann Richshofer, Rath. Kamm

Thiébaut Jud se remarie en mars 1690 avec Aurélie von Fridolsheim qui avait épousé en 1677 le jardinier Laurent Hammerer.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 23)
Eodem [1 Martÿ 1690] diebolt Jud gartner Und burger alhier und Aurelia, Lorentz Hammerers burgers Und Gartners alhier hinterlaßen wittib gebohrne fridolsheimerin [unterzeichnet] diebold Judt hochzeiter, + dießes hat hieher gesetzt hochzeiter, Clauß Judt als beÿstandt des brutter (i 24)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 175, n° 29)
1677. den 10 Maji seindt Copulirt worden Lorentz Hammerer gartner V. Burger, V. Aurelia Hanß von Fridolßheim deß gartners alhie ehelich tochter (i 176)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari proviennent en partie de son premier mariage avec Marguerite Schæffer, ceux de la femme s’élèvent à 402 livres.
1690 (4.7.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 6)
Inventarium über deß Ehrengeachten Diebold Juden Garttners underwagnern und der Ehren und tugendsahmen frawen Aureliæ von fridolsheim beeder Ehegemächd und burgere alhie Zue Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebrachte ligend und vahrende Haab und Nahrung, auffgerichtet Anno 1690. (…) durch sie also vnd ein Jeedes Insonderheit in des andern Persöhnlicher gegenwarth und fernern beÿsein der Ehrenhafft Ehrengeachten Ehrsam und bescheidenen Herrn hanß von Fridolsheim und hanß von Fridolsheim hanßen Sohns beeder gartner under wagnern und burgere zu Straßburg der Frauwen geliebten herrn Vatters, bruders und vogts (…) Beschehen den andern tag Julÿ Ano 1690.

So sich Inn Einer Inn der Statt Straßburg vorstatt in der Neüen Zeilen und hernach beschriebenen Theÿlbahrer behaußung als volgt befunden
Holtz: vnd feder werck. Inn der obern Cammer, Inn der obern Stuben, Inn der Kuchen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Im Haußöhren, Inn der Wohnstuben, Inn der Stub Cammer, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ahne einer Behaußung. dem mann gehörig. Item Zwen dritte theÿm vor ungetheÿlt von und ane Hauß, Hoff, Hoffestatt, Scheür, Stallung mit allen dero übrigen gebd’autrewen, begriffenn zugehörden rechten und gerechtigkeiten auß dem concept dorthin biß ledig eÿg.
Nota. der übrige dritte theÿl ahne dießer behaußung ist deß wittwers in erster Ehe mit weÿland Margaretha Schäfferin ehelich erziehlte 3 Kindern vor ungetheylt gehörig. Über die gantze behausung besagt Ein teutscher Perg: auß dem Concept biß dorthin mit A notirt
Forma hujus Inventarÿ. Deß Manns vor unverändert in Ehestand gebrachtes Vermögen, Haußrath 17, Wein und faß 33, Früchten auf dem Casten 181, blumen auff dem velde 38, Vÿhe 100, Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 32, hanff 12, heüw Strohe und boosten 12, tüngung 12, Silber geschirr und Geschmeidt 12, Guldene Ring 7, Eigenthumb Einer behausung o, Eÿgenthumb liegender veldtgütter, Summa summarum 547 lb – Schulden 625, (In Compensatione) 127 lb
Hierauff wird auch der frauwen in dißen Ehestand gebrachtes guth, haußrath 129, früchten auff dem Kasten 19, blumen auf dem velde 30, Vyhe 15 Schiff und geschirr Zum Acker und veldbauw gehörig 24, heuw und stroh, wie auch Tüngung 7, Silber geschirr und geschmeyds 17, guldener Ring 12, baarschafft 146, Summa summarum 402 lb
Wÿdumb So die fraw von Ihrem Ersten haußwürth Lorentz Hammerer geweßenen gartner und wagnersn (…) ad dies vitæ Zunießen Erstlichen hauß, hoff, hoffstatt (…)
Wÿdumbs Verfangenschaft dem Mann gehörig. Vermög deß über weÿland frauwen Othilia Ruelmännin deß Ehrengeachten Christoph Winthers garttners vnderwagnern und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen haußfrau und deß manns geliebten Mutter seelig. den 18.ten Januarÿ A° 1684. auffgerichteten Verlaßenschafft Inventarÿ

Le notaire Jean Frédéric Marbach dresse l’inventaire (non conservé) de Thiébaut Jud fils de Nicolas. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 000 florins (1 000 livres) sur un total de 8 400 florins
1712, Livres de la Taille (VII 1174) f° 243
(GUW, F. N° 785) Weÿl. Diebolt Judten Claußen Sohn geweßenen Gartners und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Marbach.
Concl. fin. Inv. ist fol. 144, 4231. lb, 1 ß 6 d, die machen 8400. fl. Verstallte 6400 fl. alßo zu wenig 2000 fl.
Warvon der Nachtrag alß Theilbahr Guht gerechnet wird auff Sechs jahr in duplo, macht à 6 lb d, 36 lb
Und auff vier jahr in simplo trifft à 3 lb, 12 lb
Extat d. Stallgellt pri 1712, 10 lb 19 ß
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 4 lb 7 ß 6 d – Summa 63. lb 7 ß 10 d
Auff inständiges bitten haben die Herren Dreÿ nachgelaßen zweÿ jahr in duplo und dreÿ jahr in simplo, trifft 21. lb., restirt 42. lb 7 ß 10 d
dt. 23° Martÿ 1712.

Aurélie von Fridolsheim meurt en 1719 en délaissant des héritiers collatéraux. La succession s’élève à 1 300 livres.
1719 (5.8.), Not. Mader (6 E 41, 674) n° 311
Inventarium über Weÿl. der tugendsamen Frauen Aureliæ Judin gebohrner von Fridolßheim auch Weÿl. deß Ehrengeachten Diebold Juden, gewesenen Gartners unter Wagnern und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlassener Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft – nach ihrem Sontags den 30. Julÿ dieses Vortlauffenden 1719.ten Jahrs beschehenen tödl. ableiben Zeitl. verlaßen – So beschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auf Samstag den 5.ten Aug. A° 1719
Die Verstorbene Frau seel: hat per Testamentum zu Erben verlaßen als Volgt 1. Weÿl. Margarethä v. Fridolßh: mit Hanß Peter Müller dem ältern Seÿler v. burgern allhier ehel: erzeugte Vier Kinder benantl. 1. Johann Müller den Seÿler und burgers allhier, 2. Frau Susannam Mägelin gebohrne Müllerin, Johann Michael Mägelin deß Metzger und burgers allhier Ehefrau, 3. Annam Mariam Marbächin gebohrne Müllerin H. Johann Friderich Marbachs deß Schneiders und burgers allhier Haußfrau, So dann 4. Weÿl. Hanß Peter Müllers deß Jüngern Seÿlers und burgers allhier mit Barbara gebohrner Rothin seiner Ehefraun erzeugte Vier Kinder Nahmens Johann Bernhard, Hanß Peter, Hanß Daniel und Mariam Margaretham, Weilen aber diese Vier letztere annoch minorennes als ist in dero Nahmen Johannes Müller der Seiler vorgedacht dero geschworner Vogt hierbeÿ erschienen, demnach aber derselbe auch hierbeÿ interessirt, als ist in deroselben Nahmen ferner zugegen geweßen Diebold Jud, GVW. und burger zu mehrgedachtem Straßburg, als dero geordnet und geschworener Theil Vogt, in den Ersten Stamm theil
2. Hanß von Fridolsßheim Hanßen Sohn, G.V.W. und burgern allhier, in den 2.ten, So dann 3. Hanß Bernhard Wagnern den Seiler und burgern allhier in den dritten Stamm theil

In einer in der Statt Straßburg ane der Cronenburger straßen gelegenen in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung sich befunden als Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Hauß Cammer, In der Kuchen, In der wohnstub
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 54, Sa. Weins und der Lähren Faß 10, Sa. Silber Geschirrs 9, Sa. Goldener Ringe 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 885, Sa. Eigenthums Liegender feld güther 332, Sa. beßerung ane lehengüthern 3, Summa summarum 1300 lb
Summa Præ- und Legaten 400 lb Nach deren Abzug 900 lb – Conclusio finalis Inventarÿ Beschluß v. Verstallungs summa 1300 lb

Thiébaut Jud vend la maison au jardinier Martin Buhler assisté de son beau-père André Sigfrid.

1685 (26. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 509
diebold Jud Gartner Underwagner
in gegensein Martin Buhlers Gartners ahne Steinstraß mit beÿstand andreß Sÿfrids Gartners Underwagner seines Schweher Vatters
Eine behaußung, Hoff, Scheür, Stallung sambt allen übrigen deren Gebäwen und Zugehördten allhier im Kagenecker bruch einseit neben andres Brüllinger anderseit neben Hannß Voltzen beede Gartner Underwagnern Hinden uff H. Johann Conrad Huethen E.E. großen Rhats Alten beÿsitzer stoßend gelegen, davon gehen Jahrs 10. ß bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter – umb 750 fl.

Fils du jardinier Georges Buhler, Martin Buhler épouse en 1684 Aurélie Sigfrid, fille du jardinier André Sigfrid.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 196-v, n° 3)
1684. Januarius, d. (-) Martin Buler d. ledig. gartenmann Georg Bulers des burgers ehl. sohn, J. Aurelia Andreß Sigfrids gartners v. burgers ehl. tochter (i 198)

Martin Buhler loue la maison à Michel Ohl fils de Jean

1689 (23. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 633
Martin Buhler, Garttner an steinstraß
in gegensein Michael Ohlen hanßen sohns
entlehnt, eine behaußung, hoff, Scheur, ställ mit allen deren begriffen und zugehördt, außgenommen den dritten theÿl il Vierdt. theÿl in d. Scheuren, so d. Verleiher sich reservirt, allhier im Kageneckerbruch einseit neb. Andres Brühlinger anderseit neb. hans Voltz. Wittib hinten auff Rathh. Huthen gart. stoßend, auff dreÿ Jahr lang von instehend. weihnacht. anzurechnen – umb Zwölff pfund

Martin Buhler loue une partie de la maison au journalier Michel Reibel

1691 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 408-v
Martin Buhler der Gartenmann
in gegensein Michael Raübel, deß Taglöhners
entlehnt, In seiner im Kagenecker bruch gelegenen behaußung, eine Stub und Zwo Cammern, ein Fruchtschütt über den Thor, platz in der Scheuren wor ein paar wägen mit frucht, alles auff dreÿ jahr lang, von Johann Bapt. diß jahrs anzufang. umb 7 pfund pfenning jährlich. Zinß

Martin Buhler quitte Strasbourg pour s’établir à Heilbronn
1701 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 30
Martin Buhler der Garttner anjetzo zu Hailbronn Wohnhaft [unterzeichnet] Marthin buhler

Jardinier au faubourg de Pierre, Martin Buhler vend la maison au jardinier André Reibel

1691 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 875-v
Martin Buhler der Gartter an Steinstraß
in gegensein Andres Raübels Garttners Und.wagner
hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ mit allen übrig. deren gebäuen Rechten und Zugehördt. allhier im Kagenecker Bruch einseit neben Andres Brülinger garttner nun sel. wittib, hind. auff Georg Rothen Garthen stoßend geleg. darvon gibt man Jährlich 10 ß bodenzinß, dem Stifft jungen St. Peter allhier, so seÿe d.selben auch noch umb 250 Capital diebold Juden dem Garttner Und.wagner verhafftet – geschehen umb 150 pfund

Fils du jardinier Michel Reibel, André Reibel épouse en 1681 Aurélie Wunderer, fille du jardinier Jean Wunderer.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 189)
1681. Eodem [Donnerst.. den 10. Febr: St: Aurel:] Andres Reubel der Gartner, Michel Reibels des Gartners Sohn, Jfr. Aurelia Hans Wunderers des Gartners Ehel. Tochter (i 97)

Non conservé, l’inventaire après décès d’André Reibel fils de Michel est dressé en 1733

1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 777
Inventarium über Andreßen Reÿbels Michels Sohns gewes. GVW. seel. Verlassenschafft

Celui de sa veuve est dressé la même année. Aurélie Wunderer meurt à l’âge de 73 ans le 7 janvier 1733. Ses deux fils André et Michel sont témoins de l’acte.

1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 754
Inventarium über Aureliä Reÿbelin geb. Wundererin Andreæ Reÿbels Michels Sohns gewes. GVW. nachgel. Wittib seel. Verlassenschafft

Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. reg. 1733-1768 f° 2, n° 3)
1733. Mittw. den 7. Jan. Zu mittag Zwischen 11 v. 12 uhr ist gestorben Fr. Aurelia geb.. Wunderein ihres alters 73 jahr 3 monat v 3. wochen weÿl. Andreß Reubel gewesenen burgers v. gartners hinderlaßene Wittib wurde Freÿt. den 9. ejusdem nach gehaltener Leichen predigt in der Kirchen Zu St Gallen ehrlich Zur erden bestattet, davon Zeugen [unterzeichnet] Andres Reibell Alson, Michel Reibel als son (i 2)

La maison revient à son fils Michel qui épouse en 1719 Marguerite Wolff, fille du jardinier Jean Wolff

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 87, n° 3)
1719. Mittw. d. 8. Febr: wurden nach dreÿmal. proclamation Ehel. copulirt vnd Eingesegnet worden, Michael Reibel lediger gartner alh. weil. Andres Reibels burgers v. Gartners alh. hinterl. Ehel. Sohn und Jfr. Margaretha, weil. Johannes Wolffen burgers und gartners alh. haußfraw Ehl. Tochter [unterzeichnet] Michael Reibel als hochzeÿter, Margaretha Wolffin zeichen + (i 88)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Marais Kageneck. Ceux du mari s’élèvent à 130 livres, ceux de la femme à 149 livres.
1720 (1.3.), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 351
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Michael Reÿbels Andreßen Sohns GVW. und der Tugendsahmen Frauen Margarethä gebohrner Wolffin beeder Eheleuth v. burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1720. – vermög der mit einander auffgerichteter Heÿraths Verschreibung vor unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn deß Ehrengeachten Daniel Voltzen deß ältern GVW und burgers allhier der Ehefrauen geweßenen Curatoris auff Freÿtag den 1.ten Martÿ Anno 1720.
Pro nota. Demnach die Ehefrau kurtz vor ihrer Verheÿrathung ihren antheil Vätter: und Mütterl. Guths Erblichen erhalten, als hat man beliebter kürtze halben solche im Loos erhaltene Stück nicht de novo inventirt (…)

In einer in der Statt Straßburg Vorstatt in dem Cagenecker bruch gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden als volgt
Series rubricarum. Des Manns Nahrung betr. Sa. haußraths 28, Sa. der Früchten 38, Sa. Viehes 38, Sa. Schiff und geschirrs 15, Sa. Baarschafft 1, Summa summarum 120 lb – sazugelegt die ane hernach beschriebenen haussteuren ihme gehörige Zweÿ dritte Theil thut 9 lb, So thut des Ehemanns völlige in Ehestand gebrachte Nahrung dem billigen Werth nach 130 lb
Der Ehefrauen guth, Sa. haußraths 55, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 79, Sa. der Schulden in die Nahrung 4, Summa summarum 144 lb – Darzu gelegt dero gehörigen drittentheil ane hernach beschriebenen Haussteuren ist 4 lb, Solchemnach betrifft sich der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachtes Guth dem billigen werth nach benantl. 149 lb

Non conservé, l’inventaire après décès de Marguerite Wolff, épouse de Michel Reibel fils d’André, est dressé en 1733.
1733, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 749
Inventarium über Margaretha Reÿbelin geb. Wolffin, Michel Reÿbels Andreßen Sohns GVW. Ehefr. seel. Verlassenschafft

Michel Reibel se remarie en 1733 avec Anne von Fridolsheim qui a épouse en premières noces André Lix fils de Jean en 1715 : contrat de mariage, célébration
1733 (28.7.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Michael Reÿbel Andreßen Sohn GVW und burgern allhier Zu Straßburg alß del Wittiber und Breutigamb ane Einem
Sodann der tugendsamen Annä Lixin gebohrner von Fridolßheim, Weÿl. des Ehrengeachten Andres Lixen Hanßen Sohns geweßenen Gartners und burgers daselbst hinterlaßenen Wittib alß der Frau Hochzeitterin am andern theil
So geschehen in Straßburg den 28. Julÿ Anno 1733 [unterzeichnet] Michel Reibel Andresen son als hochzeitter, anna livin geborne uonfrideheim

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 77-v n° 8)
1715. Mittw. d. 20. Februarÿ wurden nach zweÿmaliger proclamation Ehl. copulirt v. eingesegnet Andreas Lix der ledige gartner weÿl. H Johann Lixen burgers und gartners allh. hinterl. Ehl. Sohn vnd Jgfr. Anna H Theobald von Fridelsheim burgers v. gartners allhie Ehl. tochter [unterzeichnet] Andreas Lix als hochzeitter, Anna Von fridolß hen als hoch zetterin (i 79)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 134-v n° 14)
1733. Mittw. d. 19. Augusti sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Michael Reubel, Andreßen Sohn Gartner unterwagnern und burger allhier und Fr. Anna geb. Von Fridolßhem weÿl. Andreas Lixen gewesenen Gartners unterwagnern und burgers allhier hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Michel Reibel als hochzeiter, Fr. Anna Lixin Zeichen +

Non conservé, l’inventaire après décès de Michel Reibel est dressé en 1741

1741, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 108
Inventarium über Weil. Michael Reibel gew. Gartenmanns Verlassenschafft

Anne von Fridolsheim successivement veuve d’André Lix et de Michel Reibel meurt en 1768 en délaissant quatre enfants de son premier mariage. L’actif de la succession s’élève à 2805 livres, le passif à 26 livres.
1768 (28.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1207) n° 1595
Inventarium über Weÿland des viel Ehren und Tugendsahmen Fraun Annä geb. von Fridolßheim, letztmals auch weiland Herrn Michael Reÿbel des ältern gew. gvw. u. b. allhier zu Straßburg selig hinterbliebener Wb. nun auch selig Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1768. – nach ihrem Sonntag den 18.t dieses Monaths Decembris zu end eilenden 1768.st. Jahrs aus dießer welt genommenen tödtlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verl. auf Ehrenfreundliches Ansuchen, Erfordern und begehren deroselben in erster Ehe mit weiland dem Ehrenachtbaren Herrn Andreä Lix Hanßen Sohn dem jüngern gew. gvw. brn. allhier ihrem den 19. Januarÿ 1733. in dem Herrn seligen entschlafenen Ehemann Erzeugter Herren Sohn und Frauen Töchter und ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen Straßburg Mittwochs den 20.ten Decembris A. 1768.
Die Abgeleibte selig Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Herrn Johann Lix Andresen Sohn den mittlern, GVW und brn. allhier so in Ehe lebet mit Fraun Anna geb. Von Fridolßheim in den erstern vierten Haupttheil, Zweitens Frau Mariam Reÿbelin geb. Lixin, Herrn Diebold Reÿbel auch Gartners allda Ehegattin die unter deßen Assistentz hiebeÿ gegenwärtig, in den zweiten vierten Hauptteil. Drittens Frau Margaretham Wunderein geb. Lixin, Herrn Dieboldt Wunderer Hanßen Sohn GVW. u. brs. dahier Ehefrau, welche beÿständlich deßen sich hiebeÿ eingefundenen iin den dritten vierten Haupttheil, So dann Viertens Herrn Abraham Lix Andresen Sohn den ältern GVW. u. brn allhier in den letztern vierten Haupttheil, Alle Vier der Entseelten Fraun selig mit eingangs gedachten dero erstern Ehemann seelig erzeugte Söhne und Frauen töchtere et ab intestato Zu gleichen portionen und Haupttheilen verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt unterwagnern ane der Seeloßgaß gelegenen und in diese Verl. gehörigen dannenhero drunten beschriebenen behausung befunden worden wie folgt.
(f° 5) Eigenthum ane häußeren. Anfängl. Eine Behaußung, hoff, hoffstatt, Scheür und Stallung sampt einem gar kl. Garthenplätzlin alhier Zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagner ane der Seelosgaß (…)
Und dann Eine Behausung, hoff, hoffstatt, Scheur, Stallung auch daran gelegenes gärtlein ane der Renngaß (…)
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Sa. Haußraths 73, Sa. Wein und Faß 50, Sa. Silbern Geschmeids 1, Sa. Baarschafft 60, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 1492, Sa. Eigenthum ane Häußern 1059, Sa. Activorum 68, Summa summarum 2805 lb – Schulden 26 lb, Nach deren Abzug 2778 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 400, Zweiffelhaffte Schulden 80 lb

La maison revient à Marie Reibel qui épouse en 1743 le jardinier André Voltz, fils de Thiébaut Voltz et de Salomé Müll : contrat de mariage, célébration

1742, (6. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 96
Eheberedung zwischen dem Ehrsam und Bescheidenen Andres Voltz, Leedigem garthner Diebold Voltz gvw mit Fr. Salome Voltzin gebohrner Müllin ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeither, beÿständlichen seines erstged. Vatters und Andres Müll auch garthners alda, seines oncle ane einem,
So dann der Tugendsamen Jgfr. Mariæ Reÿbelin, Weÿl. Michael Reÿbels Andreßen Sohn, geweßten Garthners V.W. und burgers allhier mit auch weÿl. Frn Margaretha gebohrner Wolffin nun beder seel. ehelich erzielten Tochtern alß der Jgfr. hochzeiterin, mit beÿstandt Michael Wolff ihres geschwornen Vogts und Jacob Neßmann ihres Schwagers beeder garthner unterwagnern ane dem andern theil gepflogen
Actum Straßb. Donnerstags den 6.ten Septembris A° 1742. [unterzeichnet] Andreas Voltz als hochzeiter, Maria Reibelin als Hochzeitrin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 171-v, n° 7)
1743. Mittw. den 13. febr. sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt v eingesegnet worden Andreas Voltz der ledige Gartner v. burger Theobald Voltz burgers vnd Gartners ehel. Sohn v. Jungfrau Maria weÿl. Michael Reubel burgers v. Gartners hinderlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Andreas Voltz als hochzeiter, Maria Reÿbelin als hochzeiterin (i 176)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Marais Kageneck qui appartient en propre à la femme. Ceux du mari s’élèvent à 241 livres, ceux de la femme ne décomptent pas la valeur des immeubles.

1743 (6.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1136) n° 265
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Andres Voltz Diebolds Sohn GVW und der tugendsahmen Frauen Mariä Voltzin gebohrner Reubelin, beeder Eheleuthe und Bürgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743. (…) weche der ursachen alldieweilen in ihrer vor mir Notario den 6.ten 7.bris 1742. auffgerichteten Eheberedung §° 10.to expresse enthalten, daß einem jedem sein in die Ehe bringendes Vermögen Vor unverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn Diebold Voltz GVW und Frauen Salome Voltzin gebohrner Müllin des Ehemanns eheleiblicher Eltern ferner Michael Wolff GVW der Ehefrauen nocj ohnentledigten Vogts und Jacob Neßmans auch Gartners alda dero Schwagers, Straßburg Mittwochß den 6. Martÿ 1743.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Kagenecker Bruch gegen der neuen Cazern über gelegenen der Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (F.) Nembl. eine Behaußung Hofff, Hoffstatt, Scheur und Stallung mit allen deren gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagnern ane dem Kagenecker bruch gegen der Cazern über, 1.s. neben Hannß Brüllinger Andreßen Sohn, 2.s. neben Andres Müll dem jüngern zum theil und zum theil neben Hannß Roth hinten auf Georg Roth Zum theil und Zum theil auff Diebold Moll, alle GVW. stoßend gelegen, davon man Jährl. auff Martini 10 ß bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter allhier abzurichten schuldig sonsten aber über hernach eingetragenen passiv Capitalia gegen männiglich freÿ leedig eÿgen. Darüber besagt I. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 23.ten 9.bris 1691. mit altem N° 1 notirt. Ferner j. dergleichen daselbst gefertigter Kauffbrieff Sub dato 26.ten 8.bris 1685. mit altem N° 2 bezeichnet
Abzug in gegenwärtig Inventarÿ. Des Ehemanns ohnverändert guth. Sa. haußraths 62, Sa. Schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau gehörig 24, Sa. Pferd s. ihrem geschirr 66, Sa. Ohmets und Strohs 10, Sa. Früchten 26, Sa. Zwiebelsaads Zwiebelen und Knoblochs 5, Sa. beßerung auf dem feld 26, Sa. bluhmen auf dem feld 15, Sa. Silbers 9 ß, Sa. der baarschafft 2, Summa summarum 241 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 112, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 12, Sa. lährer faß 7, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 50, Eigenth. ane I. behausung, Eigenth. liegenden güthern, Beßerung ane lehengüthern, Summa summarum 193 lb – Schulden 245 lb

Marie Reibel, veuve d’André Voltz fils de Thiébaut, vend la maison à son fils célibataire Thiébaut Voltz

1785 (13.3.), Not. Stoeber (6 E 41, 1264) n° 123
Frau Maria Volzin geb. Reÿbelin weÿl. Andreas Volz Diebold Sohn gew. gvw. wb. beiständlich Andreas Volz Andresen Sohn des jüngern Gartners allda, auf Rechnung künfftiger mütterlicher Erbschafft
ihrem jüngsten Sohn Diebold Volz ledigen Gartner
Eine behausung hof hoffstatt Scheur u. Stallung mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt unterwagnern an dem Kageneckerbruch gegen der Casernes über, einseit neben Diebold Moll gvw. u. solcher Ehrs. Zunfft büttels Ehefrau, 2.s neben Andreas Müll dem ältern ebenmäßigen Gartner allda u. solcher Ehrs. Zunft büttel, hinten auf Andreas Müll den jüngern auch G. allda frau zum theil und zum theil auf iebold Moll gvw. Verl. – davon man jährlich auf Martini dem Stifft Jungen St Peter 10 sch. bodenzinß zu geben pflichtig – um 1800 gulden in die Erbschaft einzuschießen

Marie Reibel meurt l’année suivante en délaissant cinq enfants. L’inventaire fait état de la maison que les experts estiment à la somme minimale de 300 livres. La succession s’élève à 1 295 livres

1786 (24.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1251) n° 500
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Volzin geb. Reÿbelin auch weil. Andreas Volz Diebold Sohn gew. guw. u. brs alhier hinterbliebener Wb. Verl. aufgerichtet Anno 1785 – nach ihrem Freÿtags den 22. 9.bris des abgewichenen 1785.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlasen hat. Welche succession auf gebührendes ansuchen u. begehren des abgeleibten mit erstbes. ihrem den 29.ten May A. 1763 verstorbenen Ehemann erzeugte fünf Kinder u. ab intestato verlaßener Erben so nach dem eingang dieses Invy. benamset sind, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in der allhier Zu Straßburg am Kageneckerbruch gelegenen, u. in diese Verl. gehörigen behausung dienstags den 24.ten Januarÿ Anno 1786.
Die Verstorbene hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt. Erstl. Frau Mariam Mötschelin geb. Voltzin, Diebold Mötschel des jüngern gvw. v. brs. alhier Ehefrau unter deßen autorisation zugegen, in den fünften haupttheil
Zweitens Andream Voltz, Andresen Sohn jüngern gvw. u. br allhier, so in Ehe lebet mit Fraun Mariæ Salome geb. Neßmännin in den fünften haupttheil
Drittens Abraham Voltz gbw. u. br. allhier, so in Ehe lebet mit Fraun Barbarä geb. Müllin in den fünften haupttheil
Viertens Diebold Volz gvw u. be. allhier, so anjetzo verhelichet mit Fraun Margarethæ geb. Lixin in den fünften haupttheil
Endlich Fünftens Fr. Salome Reÿbelin geb. Volzin David Reÿbel des jüngern gvw. v. brs.allhier Eheweib vo ihme hierbeÿ authorisirt in den lezten den fünften haupttheil

(f° 5-v) Schiff und geschirr Zum Feld vnd Ackerbau gehörig.
Eigenthum an einer Behausung. Nämlich eine Bbehausung, hof, hofstatt, Scheur und Stallung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg dero Vortstadt VW. an dem Kagenecker bruch gegen der Caserne über, 1.s. neben David Müll GUW u. solcher Ehrs. Zunft büttels Ehefraun, 2.s. neben Andreas Müll, dem ältern G. allda u. solcher Zunft büttel, hinten auf Andreas Müll den jüngern, auch G. allda Ehefr. z. th. u. z. th. auf diebold Moll, guw. Verl. Zieh. davon man jährl. auf Martini dem Stift Jungen St. Peter allh. 10 ß bodenzinß richtig zu machen hat, sonst über die gewohnliche Beschwerde ledig und eigen, Es ist aber solche behaus. s. Zugehörden (durch die Werckmeistere) ausweisl. deren Zu mein Not. Conc. gelieferten Abschatzung vom 27.t Januarÿ 1786. taxirt worden pro 300. lb, Jenen bodenzinß Zu doppeltem Capital gerechnet und abgezogen mit 20 lb, So restiren auszuwerfen 280, lb. Darüber bes. I. dtsch. perg. Kfbrf. in allh. CCStb. gefert. m. dero anhngd. d. d. 23. 9.bris 1691 m. a. N° 1 notirt. Und I. dgl. Kfbr. sub dato 26. 8.bris 1685. m. a. N° 2. bez.
Norma hujus inventary. Sa. hausraths 45 lb, Sa. Schiff und geschirrs Zum Feld u. Ackerbau gehörig 25 lb, Sa. Pferd s. deren Geschirr 20 lb, Sa. heu und ohmet 12 lb, Sa. Früchten an der Kast 29 lb, Sa. Blumen auf dem Feld 8 lb, Sa. Beßerung im hof u. auf dem Feld 5 lb, Sa. Silbers16 ß, Sa.Goldenen Rings 10 ß, Sa. Eigenthums an I. beh. 280 lb, Sa. Eigenthum an liegenden Güthern 856 lb, Sa. Beßerung ane Lehengüthern 10 lb, Summa summarum 1295 lb – Stall summ 1295 lb

Thiébaut Voltz épouse en 1786 Marguerite Lix, fille d’André Lix fils de Jean le jeune : contrat de mariage, célébration

1785 (7. Xbr), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 230
Eheberedung – persönl. erschienen Theobald Volz, led. Gartner w. Andres Volz Diebold S. hew. Guw. u. Brs ; allh. mit auch w. Fr. Anna Maria geb. Reibelin ehel. erzeugter Sohn, als Hochzeiter beiständl. seines Bruders Andres Volz, Andr. S. des Jüngern auch G. allda ane einem
Und Jgfr. Margaretha Lixin, Andres Lix Hs. S des Jüngern Guw. u. Brs allh. l. Fr. Margaretha geb. Schellin ehel. erzeugt tochter als Braut
Straßburg den 7. Decembris A° 1785 [unterzeichnet] Theobald Voltz als hochzeiter, Margaretha Lixin als Hochzeiterin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 37, n° 3)
Im Jahr 1786. Mittwoch den 18. Jenner, sind in den Stand der h. Ehe nach ordentliche Domin. post Epiph. prima und secunda geschehenen proclamation, eingesegnet worden Diebold Voltz der ledige weil. Andreas Voltz geweßenen Gartners UW. und burgern alhie und Fr. Maria gebohrnen Reÿbelin ehel. Sohn, und Jgfr. Margarethan Andreas Lix, Hansen Sohn junioris gartners UW und burgers aljie, und Fr. Margaretha gebohrnen Schottin ehel. Tochter [unterzeichnet] Theobald Voltz als Hochzeiter, Margaretha Lixin als hochzeiterin (i 39)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ceux du mari, non comptés les immeubles, s’élèvent à 438 livres, ceux de la femme à 164 livres.

1786 (4.3.), Not. Stoeber (6 E 41, 1251) n° 504
Inventarium über Theobald Volz Gartners Unterwagnern und Fr. Margarethä Volzin geb. Lixin, beeder Eheleuthe u. brn. alhie einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1786 – in ihrer den 19.ten Januarÿ jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht haben (…) weil dieselbe in ihrer vor mir Not° den 7.t Decembris vorigen Jahes errichteten Eheberedung §° 3.tio ihres Einbringens halben ein unverändert und vorbehalten Gut stipulirt haben
So geschehen in der allh. Zu Straßb. am Kagenecker bruch gelegenen dem Ehemann eigenthumb. zuständigen behausung, Sonntag den 4. Martÿ Anno 1786.

Schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau geh.
Eigenthum an einer Behausung. (M) Neml. I. Behausung, hof, hofstatt Scheur und Stallung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allh. Zu Strasb. im Kagenecker bruch gegen der Cassern über 1.s neb. David Müll Guw. u. solcher Zunft büttel ehevögtl. weiß, 2.s. neb. Andres Müll dem ältern auch G. allda hinten auf Andres Müll dem jüngern auch G. allda ehevögtl. ws. zum theil u. th. auf dieb. Moll G. allda Verl. Zieh. davon man jährl. auf Martini dem Stift Jungen St Peter allh. 10 ß ane Bodenzs. Zu entrichten hat, sonst über die gewohnl. Beschwerden ledig. Es hat aber der Ehemann diese Behsg. beÿ mütterl. Abtheilung Erörterung angenommen vor 900. lb. Darüber bes. I. deutsch. perg. Kfbr. aus allh. C.C.Stb. d.d. 23. 9.bris 1691 m. N° A ot. Und I. dergl. Kfbf. sub dato 26. 8.bris 1685.mit N° 2 notirt
Norma hujus inventarii. Des Ehemanns Vermögen, Sa. hausraths 45 lb, Sa. Schiff u. Gesch. 43 lb, Sa. Pferd s. d. Gesch. 47 lb, Sa. heu Ohmet und Stroh 40 lb, Sa. Frucht 18 lb, Sa. Silber 3 lb, Sa. Baarschafft 92 lb, Sa. Beßerung im hof u. a. d. feld 14 lb, Sa. Blumen auf dem feld 7 lb, Sa. Eigenth. an I. Behs 900 lb, Eigenth. an Lieg. Güther o, Beßerung ane lehengüthern o, Summa summarum 1212 lb – Schuld 800 lb, Nach deren Abzug 412 lb, Wird nun dazu gerechnet die Helfte an hiernach beschr. hst. anlangend 25 lb, So thut des Ehemanns samptl. Vermögen 438 lb
Diesemnach wird auch der Ehefr. vermögen besch. Sa. hausrath 95 lb, Sa. frucht 12 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. Gold. Rings 2 lb, Sa. Baarschafft 4 lb, Sa. Beßerung a. d. feld 17 lb, Sa. Blumen a. d. feld 4 lb, Summa summarum 139 lb – Und wann dazu gerechnet wird die (haussteuren) anlangend 25 lb, So weiset sich daß der Ehefr. völliges Guth sich belaufe auf 164 lb

Thiébaut Voltz meurt en 1841 en délaissant cinq enfants
1841 (15.4.), M° Grimmer
Inventaire en une vacation de la succession de Thiébaut Voltz fils d’André jardinier décédé à Strasbourg le premier du courant
à la requête de 1. Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl, jardinier, 2. Thiébaut Voltz, aussi jardinier, 3. Marie Voltz veuve de Daniel Vix, héritiers chacun pour un quart du défunt leur père
4. Barbe Voltz fille mineure sous la tutelle de Madeleine Voltz veuve de Daniel Voltz, 5. et Daniel Voltz, jardinier héritiers ensemble pour le dernier quart du défunt leur grand père, tous à Strasbourg
portant prisée de la masse mobilière à 531 francs
Il dépend en outre 5 ares de jardin à Strasbourg rue des payens im Thiergarten
acp 286 (3 Q 30 001) f° 58 du 16.4.

Partage des immeubles
1841 (24.9.), M° Grimmer
Partage en quatre lots immeubles dépendant de la succession de Thiébaut Voltz, jardinier décédé à Strasbourg le premier avril 1841
entre ses enfants et petits enfans qui sont 1. Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl, 2. Thiébaut Voltz, jardinier, 3. Marie Voltz veuve de Daniel Vix, 4. Daniel Voltz, jardinier, 5. et Barbe Voltz fille majeure sous la tutelle de Madeleine Voltz veuve de Daniel Voltz, tous demeurant à Strasbourg
il est attribué (…) 4° et à Daniel Voltz et Barbe Voltz, petits enfans du défunt
acp 291 (3 Q 30 006) f° 20 du 27.9.

Thiébaut Voltz fait donation de la maison à sa fille Marie femme du jardinier Daniel Vix

1834 (2.4.), Strasbourg, M° F. Grimmer
Donation entre vifs faite sous le titre de Partage anticipé d’après l’art. 1075 et 1076 du Code Civil – Thiébaut Voltz père, jardinier cultivateur
sa fille Marie Voltz femme de Daniel Vix, jardinier cultivateur
une maison dépendances à Strasbourg Marais Kageneck n° 25 à charge de laisser la jouissance au donateur sa vie durante & après lui à Thiébaut Voltz fils du donateur de le nourrir si ce dernier décède avant son père de verser dans la succession 1000 francs 2. de payer à Marguerite Voltz femme de Daniel Riehl 1000 fr, 3. et aux enfants de Daniel Voltz pareille somme – estimée à un revenu de 200 fr ou un capital de 4000 francs
Enregistrement, acp 224 F° 75-v du 9.4.

Fils du journalier Thiébaut Vix, Daniel Vix épouse Marie Voltz en 1827
1827 (8.1.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3228
Contrat de mariage – Daniel Vix, jardinier cultivateur, fils majeur de Thiébaut Vix, journalier, et de Marie Müll
Marie Voltz, fille majeure de Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur, et Marguerite née Lix
régime de communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 182 F° 50-v du 18.1.

1827 (14.5.), Strasbourg, Me Hatt
Consentement – Thiébaut Vix, jardinier, au mariage de Daniel Vix avec Dlle Voltz majeure
Enregistrement, acp 183 F° 178-v du 14.5.

Daniel Vix meurt en 1841 en délaissant deux enfants
1841 (14.8.), M° Grimmer
Inventaire en une vacation de la communauté de biens qui a existé entre Marie Voltz et Daniel Vix, jardinier à Strasbourg, y décédé le 12 mars 1841 et de la succession de ce dernier, à la requête de la veuve tant en son nom que comme tutrice légale de Daniel Vix et Marie Salomé Vix, ses deux enfants mineurs
Meubles 551, garde robe 53, argent 81
Immeubles, 77 ares 50 c de terre et pré à Strasbourg en huit pièces
Passif 4803 dont 1503 francs dus en remploi à la veuve et 2250 en remploi aux héritiers
acp 290 (3 Q 30 005) f° 25 du 17.8.

Marie Voltz hypothèque la maison au profit des mineurs Ruhlmann

1857 (4. 7.br), Strasbourg 4 (115), Not. Lauth (Auguste Frédéric) n° 8323
Obligation – A comparu Dame Marie Voltz, veuve de Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, laquelle reconnaît devoir
aux enfants André Ruhlmann et Daniel Ruhlmann les deux mineurs sans état, domiciliés à Strasbourg, pour lesquels stipule et accepte M Daniel Ruhlmann, propriétaire et jardinier cultivateur demeurant et domicilié aussi à Strasbourg leur oncle et subrogé tuteur, la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Ville et banlieue de Strasbourg
1. Section P N° 133, Une maison avec cour, grange, écurie, droits, aisances et dépendances, sise au Marais Kageneck n° 49, cidevant n° 25, tenant d’un côté à Daniel Reibel de l’autre côté à Daniel Baer
2. Section B N° 1599 vingt quatre ares 40 de terre au canton dit im Wolplon (…)
La débitrice déclare que les immeubles susdésignés lui appartiennent, savoir, L’article premier au moyen de la donation qui lui a été faite par son père Thiébaut Voltz aux termes d’un acte reçu par M° Grimmer, notaire à Strasbourg le 2 avril 1834, enregistré

Son fils Daniel meurt en 1858 en délaissant pour héritiers sa mère et sa sœur Salomé.
1858 (4.6.), M° Grimmer
Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession délaissée par Daniel Vix jardinier à Strasbourg décédé le 14 décembre 1857, dressé à la requête de 1) Marie Voltz veuve de Daniel Vix, jardinier à Strasbourg, sa mère, 2) Marie Salomé Vix, célibataire sa sœur
acp 469 (3 Q 30 184) f° 87 du 5.6. (succession déclarée le 3 juin 1858) Il dépend de ladite succession, garde robe estimée 87
78 ares 50 terre ban de Strasbourg

Acte de notoriété correspondant
1870 (4.2), M° Hoffherr
Notoriété constatant que Daniel Vix jardinier à Strasbourg est décédé le 14 décembre 1857 laissant pour héritiers ses frères et sœurs
acp 590 (3 Q 30 305) f° 3-v du 5.2.

Marie Voltz veuve de Daniel Vix meurt sans descendance en 1876 (sa fille Marie Salomé Vix épouse en 1860 Charles Daniel Braunwald et meurt quelques années plus tard sans enfant) en délaissant des héritiers testamentaires.
1876 (27.10.), M° Allonas
Inventar des Nachlaßes der zu Strassburg am 5. Mai 1876 gestorbenen Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix, Auf Ansuchen von 1. Theobald Riehl, Ackerer in Strassburg, 2. Margaretha Riehl Ehefrau des Tagners Johann Pfoltzer zu Straßburg, 3. Friderich Riehl, Ackergärtner allda, 4. Magdalena Riehl Ehefrau Friderich Hoh Melker zu Cronenburg, 5. Barbara Riehl, verlassene Ehefrau des nach Amerika ausgewanderten Friderich Hildebrandt, obgenante handelnd als Universal legatäre je zu 1/5 der Verstorbenen, ihrer Grostante, zufolge Testament vor Notar Hoffherr zu Straßburg vom 17. März 1870, registrirt am 3. Juni 1876 vol. 652 N° 1952 f° 61 & zu nacktem Eigenthum, die Nutznießung ihres Vermögens vermachte die Verstorbene dem Carl Daniel Braunwald Eigenthümer Zu Straßburg zufolge demselben Testament, jedoch laut Act registrirt unterm heutigen Tage verzichtete p. Braunwald auf diese Nutznießung
acp 656 (3 Q 30 371) f° 41 du 28.10. n° 3077 (sterbfaltabelle Bd. 62. fol. 174 N° 13 – Nachlas erklärt am 30/10. 76 Bd. 121 N° 452)
1. Kleider der Verstorbenen beschrieben & angeschlagen zu M. 18
2. Baares geld 2000
die Parteien erklären, daß sie die Möbel & das baare Geld oben angeben bereits unter sich getheilt haben

Testament
1876, M° Hoffherr
Testament 17 März 1871 – wodurch die am 5 Mai 1876 zu Strassburg gestorbene Maria Voltz, Witwe Daniel Vix, folgendes verfügt hat
Ich gebe die lebenlängliche & freie Nutznießung meines meinem bei mir wohnenden Tochtermann Daniel Braunwald
Ich gebe das nakte Eigenthum meines Vermögens den Kindern der Eheleute Diebolt Riehl, Gärtner & Margaretha Riehl meinen Neffen und Nichten namens Diebold Riehl, Margaretha Riehl Ehefrau Pfoltzer, Barbara Riehl Ehefrau Hildebrandt, Friderich Riehl, Magdalena Riehl Ehefrau Friderich Hoh, alle zu Straßburg jedem für 1/5.tel, Fals einer oder das andere vor der Testiererin stirbt, kommt dessen Antheil seinen Kindern Zu & in Ermanglungg von solcher den übrigen Legatarien
acp 652 (3 Q 30 367) f° 61 du 2.6. n° 1952

Acte de notoriété correspondant. Son gendre Charles Daniel Braunwald renonce à l’usufruit qu’elle lui a légué.
1876 (27.10.), M° Allonas
Notorietät bestätigend daß Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix in Strassburg am 5. Mai 1876 gestorben ist ohne vorbehalts erben hinterlassen zu haben und daß dem Vollzuge ihres Testaments aufgenommen durch den ehemaligen Notar Hoffherr am 17. Märtz 1871 einregistrirt am 3. Juni 1876 wonach die Verlebte den Eigenthümer Carl Daniel Braunwald in Straßburg als Universal legatar in lebenlänglicher Nutznießung und ihre Neffen und Nichten im fünften Grad 1. Theobald Riehl, Rentner in Strassburg, 2. Margaretha Riehl Ehefrau von Johann Pfoltzer Tagner in Straßburg, 3. Barbara Riehl zu Strassburg wohnhaft, verlassene Ehefrau des schon längst nach Amerika ausgewanderten Friderich Hildebrandt, 4. Johann Friderich Riehl, Ackergärtner von Strassburg und 5. Magdalena Riehl Ehefrau von Friderich Hoh Melker zu Kronenburg als Universal legataren zu naktem Eigenthum eingesetzt hat, nichts im Wege steht.
acp 657 (3 Q 30 372) f° 3 du 28.10. N° 3392
Verzichtleistung durch Carl Daniel Braunwald, Eigenthümer in Strassburg auf die lebenlängliche Nutznießung des gantzen Nachlasses welche ihm durch Frau Maria Voltz Wittwe von Daniel Vix gestorben zu Strassburg am 5. Mai 1876 zufolge ihres vor Notar Hoffherr in Straßburg am 18. März 1871. erichteten Testaments registrirt am 3. Juni 1876 vermacht ist
acp 657 (3 Q 30 372) f° 3 du 28.10. N° 3391 (Sterbfaltabelle Bd. 62. fol. 174 N° 13 – Nachlas erklärt am 30. October 1876)

Marie Voltz veuve de Daniel Vix vend la maison au boulanger Jacques Schaub et à sa femme Marguerite Wollschlegel

1864 (3.10.), Strasbourg 4 (122), Not. Lauth n° 11.260
Vente – A comparu Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, laquelle déclare (vendre)
à M. Jacques Schaub, boulanger, et à Dame Marguerite Wollschlegel, son épouse, demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Désignation. Une maison avec cour, grange, écuries, bâtiments de devant et de derrière,et autres droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue du Marais Kageneck N° 49 autrefois N° 25, tenant d’un côté à M. Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert et tirant par derrière sur M Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 6 centiares, ainsi que ledit immeuble se poursuit et s’étend (…)
Etablissement de la propriété. La venderesse déclare que l’immeuble présentement vendu lui appartient en toute propriété au moyen de la donation qui lui en a été faite par M. Thiébaut Voltz, son père, jardinier cultivateur à Strasbourg, aux termes d’un acte passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 2 avril 1834, que M. Voltz père a réservé pour lui et pour M. Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur à Strasbourg, son fils, certains droits de jouissance et d’habitation et a chargé la venderesse de payer diverses sommes à ses autres frères et sœurs mais ces sommes se trouvent payées et quittancées et les droits d’habitation et de jouissance de M.M. Thiébaut Voltz père et fils se trouvent éteints par suite de leur décès (…) Prix. La présente vente a été conclue pour le prix de 11.000 francs
acp 536 (3 Q 30 251) f° 67 du 7.10.

Originaire de Wasselonne, Jacques Schaub épouse en 1833 Marguerite Salomé Strohl, native de Brumath
1833 (27.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), Me Hickel n° 4596
Contrat de mariage – Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg fils de Michel Schaub, tonnelier à Wasselonne, et de Marguerite Salomé Gaumer
Marguerite Salomé Strohl, fille de Jean Jacques Strohl, chanvrier à Brumath, et Anne Marie Artopé
régime de commnauté d’acquets
Enregistrement, acp 220 F° 106-v du 5.10.

Marguerite Salomé Strohl meurt en 1858 en délaissant deux filles.
1858 (11.5.), Strasbourg 9 (115), Not. Becker n° 7848
Inventaire après le décès de Madame Marguerite Salomé Strohl en son vivant épouse de Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg où elle est décédée le 11 mars 1858.
L’an 1858 le Mardi 11 mai à neuf heures du matin. A la requête de Me Jacques Schaub, boulanger demeurant à Strasbourg, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Dame Marguerite Sophie Strohl sa femme défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hickel notaire à Strasbourg le 27 septembre 1833, 2) comme donataire, dispensé de faire remploi des valeurs mobilières, en vertu du même contrat de mariage, de l’usufruit, tant qu’il vivra, de la moitié des biens composant la succession de son épouse défunte, donation à laquelle il se réserve de renoncer, 3) et comme père et tuteur légal de de ses deux enfants mineures issues de son mariage avec ladite défunte et nommées a) Louise Schaub âgée de 16 ans, b) Henriette Schaub âgée de 15 ans. En présence de Mr Daniel Marx, cordonnier demeurant à Brumath, ledit Sr Marx agissant au nom et comme subrogé tuteur des deux enfants mineures (…) Lesdites deux enfants Schaub habiles à se dire et porter seules héritières chacune pour moitié de ladite dame Schaub leur mète décédée à Strasbourg le 11 mars dernier (…)
trouvés dans le logement qu’occupaient les conjoints Schaub rue du faubourg de pierres n° 53 autrefois n° 34 dépendant de la communauté de biens qui a existé entre les mêmes conjoints Schaub

acp 469 (3 Q 30 184) f° 46-v du 17.5. (succession déclarée le 1. 7.bre 1858) Communauté, mobilier 3062
Succession, garde robe 164, mobilier propres existant 378, inexistant 164
acp 470 (3 Q 30 185) f° 88-v du 15.7. (vacation du 10 juillet n° 7908) Titres et papiers. Côte première. Contrat de mariage (…)
Côte deux. Succession de Dlle Marie-Dorothée Strohl, tante de la défunte
Côte trois. Maison sise à Strasbourg faubourg de pierres N° 53 autrefois N° 34 faisant partie de la communauté (…)
Communauté, argent comptant 300. Une maison à Strasbourg faubourg de Pierre N° 53, 39 ares 97 terres ban de Strasbourg
créances 286 – Passif 16.688
acp 470 (3 Q 30 185) f° 99 du 19.7. (vacation du 17 juillet) Dépouillement. Masse active 24.983, masse passive 30.646 francs

Jacques Schaub se remarie en 1859 avec Marguerite Barbe Wollschlegel, veuve du jardinier Frédéric Charles Wendland
1859 (18.6.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Jacques Schaub, boulanger à Strasbourg, veuf avec deux enfants de Marguerite Sophie Strohl sa femme en premières noces d’une part
Marguerite Barbe Wollschlegel, veuve avec un enfant de Frédéric Charles Wendland jardinier à Strasbourg d’autre part
acp 479 (3 Q 30 194) f° 58 du 27.6. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur sont constatés par inventaire reçu Becker Nre le 11 juin 1858. Ceux de la future épouse consistent en une valeur de 2504 francs
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux d’une part d’enfant en toute propriété

Charles Frédéric Windland épouse en 1847 Marguerite Barbe Wollschlegel, fille de Jacques Wollschlegel, cultivateur au Neuhoff
1847 (1.7.), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.421
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Charles Frédéric Windlang, jardinier demeurant à Strasbourg, fils de feu Charles Christophe Windlang en son vivant jardinier à Strasbourg & de Dame Catherine Sibille Klughertz sa veuve & veuve en secondes noces de Michel Banckhuser demeurant à Strasbourg, stipulant en son propre nom, sous l’assistance & avec le consentement de sadite mère comme futur époux d’une part
& Mademoiselle Marguerite Barbe Wollschlaegel, célibataire, sans état, demeurant au Neuhoff, banlieue de Strasbourg, fille majeure du sieur Jacques Wollschlaegel, cultivateur & Dame Anne Marie Bentzinger conjoints demeurant aussi au Neuhoff, stipulant en son propre nom sous l’assistance & avec le consentement de sesdits père et mère, comme future épouse d’autre part

communauté de biens réduite aux acquêts
Article sept. Madame veuve Banckhuser fait donation entre vifss en avancement de sa future successionn,avec dispense de rapport en nature, au futur époux son fils qui accepte, de lma nue propriété de la moitié à prendre du côté du Sr Reibell jardinier dans un jardin entouré de treilles, sis au ban de Strasbourg au canton dit Bandels Garten (…)
acp 363 (3 Q 30 078) f° 28-v – Donation en avancement d’hoirie par Jacques Wollschlaegel, cultivateur au Neuhoff et Anne Marie Bentzinger sa femme à la future épouse leur fille acceptant de la somme de 1230 francs montant de l’estimation de divers objets mobiliers détaillés en un état estimatif enregistré aujourd’hui
Apport par le futur époux de la somme de 1000 francs provenant de la succession de Charles Christophe Wendlang son père
Donation en avancement d’hoirie par préciput par Catherine Sibille Klughertz mère du futur époux au futur époux acceptant de la nue propriété (supra)
Donation par le prémouant des futur époux au survivant de l’usufruit viager de toute sa succession

Frédéric Charles Wendland meurt en 1857 en délaissant une fille
1857 (10.6.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Charles Wendland, jardinier à Strasbourg et Marguerite Barbe Wohlschlegel sa femme et de la succession du Sr Wendland décédé le 4 mai 1857, dressé à la requête 1) de la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger Nre le premier juillet 1847 et comme mère et tutrice naturelle de Caroline Frédérique Wendland sa fille
acp 460 (3 Q 30 175) f° 98 du 15.6. (succession déclarée le 14 octobre 1857)
Communauté, mobilier estimé 792
Succession, garde robe 92
29 ares 23 terre ban de Strasbourg canton Dedelsgarten
15 ares 80 terre dit ban canton Kammerfeld
diverses parties d’une maison à Strasbourg rue de l’Abreuvoir N° 8, immeubles estimés à 6100 francs

Déclaration suite à l’expropriation forcée d’un terrain qui appartient à la mineure Caroline Frédérique Wendland
1862 (12.5.), M° Noetinger
Déclaration par Eugène [sic] Schaub, boulanger et Marguerite Barbe Wohlschlegel sa femme à Strasbourg agissant le Sr Schaub comme cotuteur & sa femme comme mère et tutrice légale de Caroline Frédérique Wendland sa fille issue du premier mariage avec Frédéric Charles Wendland et le Sr Georges Wendland jardinier à Strasbourg subrogé tuteur de ladite mineure
qu’il dépendait de la succession dudit Sr Wendland une parcelle de terre ban de Strasbourg expropriée pour cause d’utilité publique pour 1422 francs que ledits Sr Schaub a touché en qualité de cotuteur et d’administrateur de la fortune de la dlle Wendland
acp 510 (3 Q 30 225) f° 67 du 15.5.

Inventaire après décès d’un locataire, le journalier Nicolas Michel, marié avec Catherine Fischbach

1865 (25.11.), Strasbourg 14 (166), Not. Antoine Ritleng (père) n° 15.749
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Nicolas Michel journalier Catherine Fischbach
L’an 1865 Samendi 22 novembre en la demeure ci après désignée à Strasbourg où est décédée le 3 septembre dernier Dame Catherine Fischbach femme du sieur Nicolas Michel, journalier demeurant à Strasbourg, à la requête & en présence du dit sieur Nicolas Michel, domicilié & demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre lui & sa femme défunte, qu’en qualité de tuteur légal de ses deux enfants mineurs issus de leur mariage & nommés Eugène Nicolas Michel âgé de 5 ans & Joseph Alexandre Michel âgé de 3 ans, ces deux mineurs avec leur frère mineur Georges Adolphe Michel, décédé après sa mère le trois novembre courant, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de ladite défunte femme Michel leur mère. Le requête Nicolas Michel héritier reéservataire pour le quart dudit Georges Adolphe Michel son fils défunt & les dits mineurs habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour moitié des trois quarts restants. Et en présence du sieur Georges Fischbach, cultivateur domicilié & demeurant à Saessolsheimn agissant en qualité de subrogé tuteur desdits deux mineurs
en la demeure mortuaire rue du marais Kageneck n° 49
acp 548 (3 Q 30 263) f° 56-v du 4.12. – Communauté, mobilier 193, argent 24, argent à la caisse d’épargne 1082
Succession, garde robe 57, 4 ares 50 prés ban de Saessolsheim
Passif de la succession 74 francs

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel vendent la moitié indivise de l’immeuble à Philippe Sengel (gendre du mari).

1864 (9.12.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.315
Vente – Ont comparu M. Jacques Schaub, boulanger, et Dame Marguerite Wollschlegel, son épouse, de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels déclarent (vendre)
à M. Philippe Sengel, charron, demeurant et domicilié en la même ville
la moitié indivise d’une maison avec cour, grange, écuries, bâtiments de devant et de derrière, et autres droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue du Marais Kageneck N° 49 autrefois N° 25, tenant d’un côté à M. Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert et tirant par derrière sur M Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 6 centiares, ainsi que ledit immeuble se poursuit et s’étend (…)
Les vendeurs déclarent qu’ils ont acquis le sus-dit immeuble de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du dit mois d’octobre Vol. 996 N° 4 et inscrit d’office Vol. 879 N° 87 pour sûreté de la somme de 11.000 francs (…). cette dernière [veuve Vix] avait été propriétaire du susdit immeuble au moyen de la donation qui lui en a été faite par M. Thiébaut Voltz, son père, jardinier cultivateur à Strasbourg, aux termes d’un acte passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 2 avril 1834. M. Voltz père avait réservé pour lui et pour M. Thiébaut Voltz, jardinier cultivateur, son fils, certains droits de jouissance et d’habitation et avait chargé Madame veuve Vix de payer diverses sommes à ses autres frères et sœurs mais ces sommes se trouvent payées et quittancées et les droits d’habitation et de jouissance de M.M. Thiébaut Voltz père et fils se trouvent éteints par suite de leur décès (…) La présente vente a été conclue pour le prix de 5500 francs
acp 538 (3 Q 30 253) f° 77 du 17.12.

Le charron Philippe Jacques Sengel épouse en 1862 Caroline Louise Schaub, issue du premier lit de Jacques Schaub : contrat de mariage, célébration
1862 (26. 7.bre), M° Noetinger
Contrat de mariage – Philippe Jacques Sengel, charron à Strasbourg d’une part
Caroline Louise Schaub, mineure à Strasbourg, fille de Jacques Schaub, boulanger, et de Marguerite Salomé Strohl son épouse d’autre part
acp 514 (3 Q 30 229) f° 65 du 29. 7.bre – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) en objets mobiliers estimés à 3000 francs
2) Une maison sise à Strasbourg rue du Faubourg de Saverné N° 46
Les apports de la future consistent en une somme de 5500 francs, formant le reliquat de son compte de tutelle reçu Noetinger le 16 août 1862, dont moitié est soumise à l’usufruit de son père.
Donation par le Sr Schaub à la future épouse sa fille ce acceptant d’un mobilier estimé à 589 francs
Donation par le futur à la future en cas de survie de cette derniète de l’universalité de sa succession et par la future épouse au futur époux del’usufruit viager de toute sa succession. En cas d’existence d’enfant ces donations seront réduites à un quart en propriété et un quart en usufruit.

Mariage, Strasbourg (n° 446)
Du 27° jour du mois de septembre 1862 à neuf heures du matin, Acte de mariage de Philippe Jacques Sengel, majeur, né hors le mariage le 28 janvier 1831 à Graffenstaden commune d’Illkirch (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Charron, fils de Salomé Sengel veuve de Rodolphe Freymann, boucher domicilié à Graffenstaden, et de Caroline Louise Schaub, mineure d’ans, née en légitime mariage le 25 mai 1842 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans professionn fille de Jacques Schaub, boulanger domicilié à Strasbourgn ci présent et consentant et de feu Marguerite Salomé Strohl, décédée à Strasbourg le 16 mars 1858 – il a été passé me 26 de ce mois un contrat de mariage devant M° Victor Noetinger, notaire à Strasbourg (i 22)

1862 (30.8.), M° Grimmer
Consentement par Salomé Sengel veuve de Rodolphe Freymann à Graffenstaden au mariage de son fils Philippe Jacques Sengel charron à Strasbourg avec Louise Schaub au dit lieu
acp 513 (3 Q 30 228) f° 83 du 2.9. Ritleng subst. Grimmer

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel d’une part, Philippe Sengel et Louise Schaub d’autre part hypothèquent la maison nouvellement construite au Marais Kageneck au profit du libraire Charles Auguste Bœckel.

1865 (7.2.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.380
Obligation – Ont comparu M. Jacques Schaub, boulanger, et Dame Marguerite Barbe Wollschlaegel, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg
Et M. Philippe Jacques Sengel, charron, et Dame Louise Schaub, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés en la même ville, lesquels reconnnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à M. Charles Auguste Boeckel, libraire, demeurant et domicilié en cette ville, à ce présent et acceptant, la somme principale de 13.000 francs
hypothèque. Ville de Strasbourg. 1. Une maison à rez de chaussée et plusieurs étages nouvellement construite, avec cour, grange et autres bâtiments, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise rue du marais Kageneck n° 49 autrefois n° 25, tenant d’un côté à M Kuff, de l’autre côté à M. Sieffert, et tirant par derrière sur M. Steinmetz. Cette maison inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 10 centiares.
2. Et trois maisons d’habitation à rez de chaussée surmontées de plusieurs étages et greniers, dont deux nouvellement construites, celle du milieu et celle de derrière, avec cours, droits, aisances, appartenances et dépendances, tenant d’un côté à M. Scheydecker, de l’autre côté à M. Gerhardt, donnant devant sur la rue du faubourg de Saverne où elle porte le Numéro 46, autrefois le N° 33, et tenant par derrière sur la rue du Marais vert où elle porte le n° 35. Cette propriété inscrite au cadastre section N Numéro 20 avec une superficie de 4 ares 40 centiares.
(…) Les débiteurs déclarent que les immeubles qu’ils viennent d’hypothéquer leur appartiennent en toute propriété pour leur être avenus de la manière suivante, savoir
L’article premier pour avoir fait nouvellement construire et à frais communs une maison d’habitation et au moyen de l’acquisition que les époux Schaub ont fait de l’ancienne maison d’habitation, des autres bâtiments et du terrain de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du dit mois d’octobre Vol. 996 N° 4 et inscrit d’office Vol. 879 N° 87 pour sûreté de la somme de 11.000 francs (…). et encore au moyen de l’acquisition que les époux Sengel ont fait des époux Schaub de la moitié indivise des anciennes constructions et du terrain aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth le 9 décembre dernier, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre Vol. 1004 Numéro 36 et inscrit d’office Vol. 885 N° 108 pour sûreté de la somme de 5500 francs, montant du prix de la vente (…)
Et l’article deux (…)
Les débiteurs déclarent en outre qu’ils emploieront la somme présentement empruntée à solder les frais de construction de la maison sise rue du marais Kageneck qui aura une valeur de 40.000 francs et que l’immeuble sis rue du faubourg de Saverne et rue du maraiss vert a une valeur de 80.000 francs environ. (…)
Les époux Sengel déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de communauté de biens et qu’ils ne sont et n’ont jamais été chargés d’une gestion emportant hypothèque légale. Et de leur côté les conjoints Schaub déclarent qu’ils sont aussi mariés sous le regime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Noetiger notaire à Strasbourg le 18 juin 1859, que les deux sont mariés en secondes noces & ayant des enfants du premier lit, que les enfants du premier lit de M. Schaub sont tous majeurs mais que l’enfant du premier lit de la Dame Schaub, nommée Caroline Wendland, est encore mineure et a hypothèque légale sur les biens des époux Schaub, débiteurs, que cette hypothèque est de peu d’importance et que du reste ils émanciperont la Dlle Wendland dans le courant de mars prochain, époque à laquelle elle aura atteint l’âge voulu en sorte que cette hypothèque disparaîtra.

La Ville de Strasbourg vend au sieur Schaub un terrain de seize mètres carrés rue Kageneck

1865 (30. Xbre), Maire
Vente par la Ville de Strasbourg
au Sr Schaub, propriétaire à Strasbourg
de 16 mètres de terrain rue Kageneck moyennant 150 francs
approuvé le 12 janvier 1866
acp 550 (3 Q 30 265) f° 8-v du 18.1.1866

Les conjoints Schaub et Sengel ont démoli l’ancienne maison et construit une nouvelle sur la moitié du terrain. Les conjoints Schaub ont l’intention de bâtir une seconde maison sur l’autre moitié de terrain, mais comme les conjoints Sengel refusent d’engager de nouveaux frais, ils rétrocèdent leur moitié aux conjoints Schaub.

1866, Enregistrement de Strasbourg, ssp 145 (3 Q 31 644)
f° 42-v du 2.11.
Vente du 10 avril 1866 – Le soussigné Mr Jacques Schaub, ancien boulanger, et Barbe Wollschlegel son épouse autorisée à Strasbourg
Et Mr Philippe Jacques Sengel, charron, et Louise Schaub son épouse d’autre part
Pour arriver à la vente qui formera l’objet des présentes, ont préalablement exposé ce qui suit. Suivant contrat reçu Lauth Nre à Strasbourg le 3 octobre 1864, enregistré, les conjoints Schaub ont f’ait l’acquisition de Dame Marie Voltz, jardinière à Strasbourg, veuve de Daniel Vix en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, d’une maison avec cour, grange, écuries, droits et dépendances, sise à Strasbourg rue du Marais Kageneck N° 49, et sur une superficie de 4 ares 10 cent.. Cette acquisition a été faite moyennant le prix de 11.000 francs qui, à la demande des époux Schaub, a été payés à leur décharge et contre subrogation dans les droits de la veuve Vix par Mr Jean Daniel Schott, propriétaire à Strasbourg aux termes du contrat même, dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques le 13 du même mois d’octobre Volume 996 N° 4. Il a été pris une inscription d’office Volume 879 N° 87. Les époux Schaub ont intéressé les époux Sengel dans cette acquisition et leur ont vendu la moitié de la maison [sic] somme due à M Schott aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth Nre susdit le 9 décembre 1864 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre. Les époux Schaub & Sengel ont alors démoli la maison d’habitation et ont construit sur la moitié du terrain une nouvelle maison et pour subvenir aux frais de construction ont emprunté une somme de 13.000 francs de Mr Charles Auguste Boeckel libraire à Strasbourg, aux termes d’une obligation reçue par ledit M° Lauth le 7 février 1865, enregistrée et inscrite au bureau des hypothèques. Aujourd’hui les époux Schaub ont manifesté l’intention aux époux Sengel de surbâtir d’une seconde maison d’habitation l’autre moitié de terrain, mais les époux Sengel ont refusé de coopérer à la nouvelle bâtisse, et ont proposé de rétrocéder aux époux Schaub leur moitié indivise de l’immeuble. Enfin cette proposition a été agréée par les époux Schaub. En conséquence les époux Sengel vendent avec la garantie solidaire de droit aux époux Schaub, ce acceptant, leur moitié indivise de la maison d’habitation, cour, grange, bâtiment latéral, droit et dépendances, située à Strasbourg rue ei Marais Kageneck 49 (…) La présente vente a été conclue pour le prix de 12.000 francs
Dépôt, M° Lauth le 31 octobre 1866 n° 11.959

Jacques Schaub et Marguerite Wollschlegel hypothèquent les deux nouvelles maisons au profit de Caroline Arbogast, veuve du marchand de farine Philippe Jacques Michel. Philippe Sengel et Louise Schaub se portent garants.

1866 (31.10.), Strasbourg 4 (124), Not. Lauth (Auguste Frédéric) n° 11.960
Obligation – Ont comparu M. Jacques Schaub, ancien boulanger, et Dame Marguerite Barbe Wollschlaegel, son épouse, de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à Madame Caroline Arbogast, vivant de son bien, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Philippe Jacques Michel, en son vivant marchand de farine en la même ville, à ce présente at acceptante, la somme principale de 16.000 francs (…)
hypothèque. Ville de Strasbourg. Une propriété composée de deux maisons d’habitation à rez de chaussée et plusieurs étages nouvellement construites, avec cour, grange et autres bâtiments, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise rue du marais Kageneck n° 49 autrefois n° 25, tenant d’un côté à M Gellert plâtrier, de l’autre côté à M. Wagner, et tirant par derrière sur M. Steinmetz. Cette propriété inscrite au cadastre section P Numéro 133 avec une superficie de 4 ares 10 centiares.
Les époux Schaub déclarent qu’ils ont fait l’acquisition de cette propriété, qui alors se composait seulement d’une vieille maison d’habitation, de Dame Marie Voltz, jardinière, demeurant à Strasbourg, veuve de M. Daniel Vix, en son vivant jardinier cultivateur en la même ville, suivant contrat reçu par M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 3 octobre 1864, que cette acquisition a été faite moyennant le prix de 11.000 francs qui, à la demande des époux Schaub, a été payée à leur décharge et contre subrogation dans les droits de la veuve Vix par Mr Jean Daniel Schott, propriétaire, demeurant à Strasbourg, aux termes du contrat même, dont une expédition a été transcrite et inscrite d’office au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 du même mois d’octobre Volume Volume 879 N° 87, qu’ils ont intéressé dans cette acquisition M. Philippe Jacques Sengel, charron, et Dame Louise Schaub son épouse demeurant à Strasbourg en leur vendant la moitié indivise de ladite propriété à charge de payer la moitié de la somme due à M. Schottt aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth le 9 décembre 1864, enregistré et transcrit et inscrit d’office au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 du même mois de décembre Volume 885 N° 108, qu’ils ont alors démoli avec les époux Sengel la vieille maison d’habitation et ont construit sur la moitié du terrain une nouvelle maison, et que pour subvenir aux frais de construction ils ont emprunte conjointement avec les époux Sengel une somme de 13.000 francs de Mr Charles Auguste Boeckel libraire, demeurant à Strasbourg, aux termes d’une obligation reçue par ledit M° Lauth le 7 février 1865, enregistrée et inscrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 16 du même mois de février Volume 886 N° 242, qu’ayant manifesté aux époux Sengel l’intention de surbâtir d’une d’une seconde maison d’habitation l’autre moitié de terrain, ceux-ci ont refusé de coopérer à la nouvelle bâtisse, et ont rétrocédé aux époux Schaub leur moitié indivise de l’immeuble & dettes contractées envers M. M. Schott et Boeckel, ainsi qu’il a été expliqué plus haut, le tout aux termes d’un contrat fait sous seing privé à Strasbourg le 10 août dernier et dont l’un des doubles a été déposé pour minute à M° Lauth suivant acte de dépôt dressé par lui cejourd’hui et avec lequel il sera soumis à la formalité de l’enregistrement avant ou avec les présentes, que depuis ils ont fait construire la seconde maison d’habitation dont ils a été parlé ci-dessus et qu’ils sont seuls propriétaires de la totalité de l’immeuble hypothéqué et que les fonds présentement empruntée serviront à solder les frais de constructions des nouvelles batises. (…)
Finalement déclarent les époux Schaub qu’ils sont mariés sous le regime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Noetiger notaire à Strasbourg le 18 juin 1859, que les deux sont mariés en secondes noces & ayant des enfants du premier lit, que les enfants du premier lit de M. Schaub sont tous majeurs mais que l’enfant du premier lit de la Dame Schaub, nommée Caroline Wendland, est encore mineure mais a été émancipée suivant déclaration faite par sa mère devant M. le juge de paix du canton Est de la Ville de Strasbourg le 21 septembre dernier (…)
Sont intervenus et furent présents M. Philippe Jacques Sengel, charron et D Louise Schaub, son épouse, de lui autorisée, les deux déjà cidessus nommés, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont dit qu’ils ont reçu lecture et communication de l’obligation qui précède et déclarent se constituer garants et répondants solidaires des époux Schaub débiteurs, envers Madame Michel, ce acceptant (…) Et à la sûreté et garantie de leurs engagements les époux Sengel (hypothèquent)
Trois maisons d’habitation à rez de chaussée surmontées de plusieurs étages et greniers, dont deux nouvellement construites, cette du milieu et cette de derrière, avec cours, droits, aisances, appartenances et dépendances, sises à Strasbourg, tenant d’un côté à M. Scheydecker, de l’autre côté à M. Gerhardt, donnant devant sur la rue du faubourg ee Saverne où elles portent le Numéro 46, autrefois le N° 33, et tenant par derrière sur la rue du Marais vert où elles portent le n° 35. (…)

La maison est inscrite en 1894 au nom d’Antoine Atzenhoffer et de sa femme Caroline Roman.
Originaire d’Altenheim, le poseur d’aiguillages Antoine Atzenhoffer épouse en 1874 Caroline Roman, native de Kniebis en Bade et veuve de l’aubergiste Philippe Charles Kiervel.

Mariage, Strasbourg (n° 487)
Den 25. Juli 1874. Heiraths-Urkunde von Anton Atzenhoffer, geboren zu Altenheim (Unter-Elsass) den 18. Juli 1846, Weichensteller an der Eisenbahn, wohnhaft zu Strassburg, volljähriger ehelicher Sohn von weiland Anton Atzenhoffer, Tagner zu Strassburg, gestorben den 28. März 1863 und von Therese Oth, ohne Gewerb zu Altenheim wohnhaft, hier gegenwärtig und einwilligend, und von Caroline Romann, Wittwe von Philipp Carl Kiervel, Wirth zu Strassburg gestorben deb 4. Juli 1873, geboren zu Kniebis (Baden) den 24. Mai 1840, Rentnerin wohnhaft zu Strassburg, volljährige eheliche Tochter von Lorentz Romann, Handlungsreisenden zu Oberkirch (Baden) wohnhaft und von weiland Rosine Weber zu Oberkirch gestorben nach dem vorgelegten Sterbeact den 24. October 1857 (i 38)

Originaire de Strasbourg, Philippe Charles Kiervel épouse Caroline Roman en 1861.
Mariage, Strasbourg (n° 183)
Du 25° jour du mois d’avril 1861 à dix heures du marin. Acte de mariage de Philippe Charles Kiervel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 novembre 1827 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Aubergiste, fils de feu Philippe Jacques Kiervel, menuisier décédé à Strasbourg le 28 juin 1860 et de feu Elisabeth Catherine Degen décédée à Strasbourg le 30 mars 1834. et de Caroline Roman, mineure d’ans, née en légitime mariage le 24 mai 1840 à Kniebis, paroisse de Ripoldsau, grand duché de Bade, domiciliée de droit à Kniebis et de fait à Strasbourg, sans profession, fille de Laurent Roman, commerçant domicilié à Kniebis et de feu Rosine Weber, décédée à Oberkirch grand duché de Baden le 29 octobre 1850. (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (i 51)

1861 (20.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) f° 42-v du 24.4.
Consentement par Laurent Roman, commerçant à Kniebeis, grand duché de Bade, au mariage de sa fille Caroline Romann avec le Sr Philippe Charles Kirwel, aubergiste à Strasbourg



Jean Georges Meck, tonnelier, et (1697) Marguerite Kermann puis (1699) Anne Marguerite Vogt – luthériens


Fils du tonnelier Christophe Meck de Spire, Jean Georges Meck qui a travaillé trois ans à Strasbourg chez Jean Knobloch et Jean Georges Nagel est reçu maître le 17 août 1697. Il épouse le 30 août 1697 Marie Marguerite Kermann, fille du serrurier municipal André Kermann, et devient bourgeois le 11 septembre. Il se remarie en mai 1699 avec Anne Marguerite Vogt, fille du marchand de bois Nicolas Vogt. Les registres de la tribu font état de plusieurs affaires à son propos : prix pour transporter le bois de douves (1704), tonneau égaré lors d’une location (1705), travail comme journalier chez le marchand de vins Jean Conrad Boch (1709), vin de Bourgogne manquant (1711).
Les Quinze nomment Jean Georges Meck tonnelier à la Grue. Il meurt le 18 décembre 1715 à l’âge de 51 ans de fièvre chaude, sa veuve Anne Marguerite Vogt le 10 septembre 1727.

Maison en propriété
1705, derrière le poêle des pelletiers (IV 387, ensuite rue des Sept-Hommes n° 8)

Enfants

  • Marguerite Salomé, épouse (1734) le constructeur de bateaux Jean Daniel von Zabern
  • Jean Georges, tailleur, épouse (1729) Marie Catherine Claus puis (1730) Anne Barbe Müller
  • Marie Dorothée épouse (1745) le passementier Jean Philippe Schæffer
  • Anne Marie épouse (1759) le tailleur Chrétien Othon Sigismond Meyer


Signature à l’acte de mariage (Temple-Neuf, 1697)


Originaire de Spire, le compagnon tonnelier Jean Georges Meck qui a travaillé deux ans et demi chez Jean Knobloch et six mois chez Jean Georges Nagel demande son inscription au chef d’œuvre en décembre 1696.

1696, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 47-v) Mittwochs den 19. Decembris Anno 1696 – Johann Georg Meckh von Speÿer der Küeffer Knecht beÿ H Johann Knobloch inn arbeit erscheint und bittet weilen Er Seine Jahr acht, als beÿ gedacht Seinem Mstr. H. Johann Knobloch Zweÿ und ein halb Jahr und beÿ H hannß Georg Nagele ein halb Jahr verarbeitet, ob man Ihn wolte Zum Meisterstück einschreiben, Erkanndt auff Erlag der Gebühr so 1. lb 10 ß willfahrt.

Fils du tonnelier Christophe Meck de Spire, Jean Georges Meck présente son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits. Il est reçu maître le 17 août 1697.

(f° 70) Sambstags den 17.ten Augusti Anno 1697 wurde in præsentia Hr XV.er Kellermanns, alß Obmanns, und der dreÿ geschwohrnen Hh Schauer, Johann Georg Möckhen deß Ledigen Kieffers, Weÿland Christoph Möckhen, ebenmäßigen Kieffers und gewesenen Burgers Zue Speÿer seel. hinderlaßenen Ehelichen Sohns Meisterstück geschaut, vnd haben die Hh. Schauer referirt, daß sie in der Estern Schau daß Vaß, wohlgefüget gedencket, und in guter form in der andern Schau wohlge Endet und die Böden in einer Größe befunden, in der dritten Schau War daß Faß Sauber ausgemachtet und Wohlabgebunden, also, daß Es für ein Guet Meisterstück wohl passierlich, worauff dann obged. H. XV. nebst der Hh. Schauern Ihr alß ein meister Confirmirt.

Jean Georges Meck épouse le 30 août 1697 Marie Marguerite Kermann, fille du serrurier municipal André Kermann

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 82, n° 431)
1697. Mittw d. 30. Aug. wurd. nach Zweÿmahl. außruffung copulirt. Johann Georg Möck der ledige Kieffer B. allhie, weil. Christoph Möcken, gewesenen Kieffers v. B. zu Speÿr nachgelaß. ehl. sohn v. J/ Maria Margaretha, weil. Andreä Körnmanns, gewesenen Stattschloßers v.B. alhie nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Geörg Möckh alls hochzeiter, marie maregaretha J (i 81)

Jean Georges Meck devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage.

1697, 3° Livre de bourgeoisie p. 1193
Johann Georg Mackh der ledige Kieffer von Speÿer Christoph Mäcken gewes: Kieffers daselbst hinterl. Ehel. sohn, empfangt das burgerrecht gratis vnd wird beÿ E. E. Zunfft der Kieffer dienen, Jurav: 11. 7.bris 1697.

Marguerite Kermann meurt en novembre 1698 en délaissant sa mère pour unique héritière. L’inventaire est dressé rue des Juifs, chez la veuve du péager de Graffenstaden Jean Michel Fischer. La masse propre au veuf est de 5 livres, l’actif des héritiers s’élève à 133 livres, le passif à 884 livres. L’actif de la communauté s’élève à 127 livres, le passif à 242 livres.

1698 (27. 9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 2) n° 45
Inventarium und Beschreibung aller derjenige Haab, Nahrung vnd Güther, so Weÿland die Ehren und tugendsahme fraw Margaretha Möckin gebohrne Kermännin, deß Ehrenthafft und bescheidenen Meister Hannß Geörg Möcken, Kieffers und burgers alhier zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau seelig nach Ihrem den ersten Novembris dießes Zu end lauffenden 1698.sten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, der Ehren und tugendsahmen Frawen Dorothea gebohrnen Metzger, weÿland herrn Anndreæ Kermanns, geweßenen Statt Schloßers und burgers allhier seeligen nachgelaßener Wittib, der Verstorbene seeligen Mutter und ab intestato einig. Erbin beÿständlich deß Ehrengeachten und bescheidenen Meister Johann Geörg Hildenbrandts Schreiners wittib burgers alhier Ires geschworne Vogts Inventirt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 27. Novembris Anno 1698.

In einer in der Statt Straßburg in der Juden gaß gelegene Fr. Mariæ Fischerin Weÿl. H Hannß Michael Fischers geweßenen Zollers Zu Graffenstaden seeligen hinderlaßenen Wittib Eigenthümlich Zuständigen behaußung befunden worden Wie Volgt
Ergäntzung deß Wittibers unveränderten Guths. Pro Nota. Weilen Kein Inventarium Zugebrachter Nahrung gefertiget worden doch aber eines jeden dießer beeden Ehegattin in den Ehestand Zugebrachte Nahrung Crafft der Ehepacten für unverändert reservirt Worden, als hatt mann die Ergäntzung auf deß Wittibers und der Erbin mündlichen bericht doch auf nachmahlige erinnerung der geleisteten handtrew gesuchet
Copia der Eheberedung – persönlich erschienen vnser burger Johann Geörg Möck der ledige Küffer, Von Speÿr gehörig, als hochzeiter, mit beÿstand vnsers burgers Johann Kuttlochs des Küffers, beÿ dem er bißgeri in diensten gewesen, an einem, So dann Maria Margaretha, weÿland unsers burgers und geschwornen Stattschloßers Andreæ Kermans seel. nachgelaßene leibliche tochter, mit beÿstand auch Unsers burgers Sigmund Felgenhauers deß schloßers, ihres Curatoris, als Hochzeiterin, am andern theil (…) deßen Zu wahren Urkund haben wir Meister und rath obged. unserer Cancelleÿ Contract: Innsigel hencken laßen, an diesen brieff, dar geben ist am 10. tag Monaths Octobris im Jahr deß Herren 1697.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers Unverändertes Guth, Sa. haußraths 2, Sa. Werckzeugs, Holtz, Reiff und band zum Kieffer Handwerckh gehörig 8, Sa. Guldenen Rings 14 ß, Sa. der Schuld 7 ß, Sa. Ergäntzung 9, Summa summarum 20 lb – Schulden 15, Nach deren Abzug 5 lb
Der Erben Unveränderte Verlaßenschafft, Sa. haußraths 27, Sa. Silbergeschmeids 19 ß, Sa. Guldenen Ring 6, Sa. baarschafft 1, Sa. Schuldt 15, Sa. der Ergäntzung 82, Summa summarum 134 lb – Schulden 7 ß, Nach deren Abzug 133 lb
Das Gemein Verändert und Theilbahr Guth, Sa. haußraths 10, Sa. Werckzeugs, Holtz, Reiff und and Zum Kieffer handwerckh gehörig 10, Sa. Essigs und Lährer Vaß 24, Sa. Baarschafft 82, Sa. Schuldt 1, Summa summarum 127. lb – Schulden 242 lb, Passiv onus 114 lb
Beschluß und Verstallungs Summa 58 lb

Le tonnelier Isaac Holtzing fait grief à Jean Georges Meck de travailler pour son client Pfæler à un prix dérisoire. Le défendeur déclare que Pfæler est venu lui demander de cercler un tonneau. Le conseil inflige une amende à Jean Georges Meck pour n’avoir pas demandé au plaignant s’il avait bien été réglé de son précédent travail. L’amende est ensuite ramenée d’une livre à cinq sols.

1697, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 209) Montags den 22. Novembris Anno 1700 – Meister Isaac Holtzing der Kieffer Klagt Ca. Johann Georg Möckhen, Er hätte Ihme seinen bißherigen Kunden den herrn Pfäler abgespannet, in deme Er Ihme Ein Vaß von 100 ohmen Vor Einen Thaler gebunden, Weilen auf gemelden herrn Pfälers Zuemuthen der Kläger umb solchen liederlichen Preiß daß Vaß nicht binden wollen wendet Vor, Er Möckh seÿe Zue Ihme gekommen, Undt hätte vermeldet, wie daß herr Pfähler Ihne Zue bindten bestellet habe, deßwegen auch anfragen wollen, ob Er daß Vaß binden dörffe, Warauff der Cläger dem beklagten Zur antwort gegeben, es gelte Ihme gleich, wan sich einer finde, der Es umb sonst bindete, so wäre Er Zufrieden, Er Vor sein theil Keine solches nicht thun,
Warauff der beklagte sich Vernehmen laßen, Er hätte daß Vaß bereits schon gebunden, womit der Kläger übel Zuefrieden war und gesagt, es wäre eine schlechte Mannier und nicht rechtschaffen gehandelt, suchte also auff solche weiß ihne umb seine Kunden Zubringen, wolle alßo umb gebührende abstraffung gebetten haben.
Der beklagte antworthet Er hätte dem Kläger seinen Künden Keines weegs abgespannen, sondern herr Pfäler seÿe etlich mahl Zu Ihme ins hauß Kommen undt habe Ihn angesprochen, ob Er Ihm seine Vaß binden wolte, worauff Er geanthwortet, Er seÿe gar wohl Zuefrieden, Wann Er anderst dem Holtzing nichts schuldig seÿe, wendet auch Vor Er habe den Kläger Vorher gebührend darumb gefragt, der es Ihme gar gerne erlaubet, warauff Er mit herrn Pfälern accordiret, undt die arbeith angenommen habe. Welchemnach in gehaltener Umbfrag Erkandt wordten, daß der Beklagte, Weilen Er daß Vaß ehe und bevor Er Klägern befragt gehabt, auß dem Keller gethan 1 lb d Straff erlegen solle Vndt Verbleibe auff gebettene moderation Beÿ 5 ß d welche Er dato gleich Zahlt hatte.

Jean Georges Meck se remarie en mai 1699 avec Anne Marguerite Vogt, fille du marchand de bois Nicolas Vogt

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 68-v)
den 6 maÿi A. 1699. seind copulirt Worden hanß Georg Möck burger v kieffer alhie V. Jungfrau Anna Margaretha herrn Niclaus Vogts holtzhändlers V. burgers alhie hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Georg Möck alls Hochzeiter, Anna maria Vogdi alls heiter (i 70)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à deux sols une fois le passif défalqué.

1699 (11.5.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 19) n° 14
Inventarium über dasjenige Vermögen, So Meister Johann Georg Möck der Kieffer und fraw Anna Margaretha gebohrne Vogtin beede Eheleuth und burgere zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, auffgerichtet Anno 1699. – in Ihren Mittwochs den 6. lauffenden Monats Maÿ angetrettenen Ehestand kraft auffgerichteter heüraths verschreibung einander für unverändert zugebracht (…) Actum Straßburg Montags den 11, Dienstags den 19. und Mittwochs den 27. Monatstag Maÿ Neuen Calenders Anno 1699.
In Herrn Bartholomæy Erasmi Albrechts deß Kupferschmidts behaußung neben dem Ganthauß befunden worden wie volgt
Der Ehefrau Vermögen, Sa. Kleÿdung und weißen gezeugs 94, Guldinen Ring 12, Baarschafft 133, Pfenningzinß hauptgüter 75
Eÿgenthumb ane einem Metziger banck. Item ein Metziger banck under der Kleinen Metzig (…) 31 lb, Schulden – Passiv Schulden 75
Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Kleÿdung und weißen gezeugs 63, Meel 3, Werckzeug zum Kieffer handwerck gehörig 52, Wein, brandenwein 96, Schuld 1, Baarschafft 15, Silber 2, Summa summarum 234 lb – Schulden 234, Nach deren Abzug 2 ß

Le tonnelier Jean Bernard Færber a livré un tonneau neuf sans l’imprégner à l’épicier Pfæhler qui a chargé Jean Georges Meck de l’imprégner en défalquant la rétribution à Færber. Il se plaint que Jean Georges Meck aurait fait croire à son client que les tonneaux neufs devaient être imprégnés quand ils sont livrés. Le conseil déclare que le plaignant doit demander au client restitution du prix défalqué puisqu’il n’a pas promis d’imprégner le tonneau. Jean Georges Meck est mis à l’amende pour avoir mis en cause la compétence du plaignant lors de l’affaire.

1697, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 220-v) Mittwoch den 16.ten Februarÿ Anno 1701 – Meister Johann Bernhard Färber der Kieffer Klagt wider Meister Johann Georg Möcken, sagende habe ohnlängsten Ein New stuckh Vaß ahne herrn Pfähler den Specierer verkaufft, ohnangedungen daß Er es gebüehnend lüffern solle, nun Aber hätte Ihme herr Pfähler ahne seiner Zahlung 5 ß. d. Weilen Er solches Vaß durch Möcken büehnen laßen abgezogen, vndt Zwar meistens darumb Weilen Möckh herrn Pfähler glauben gemacht, der Verkauffer wäre Schuldig daß Vaß gebüehnt Zuelüffern, deßwegen Er gefragt haben Wolte, ob Ein articul vorhanden wäre, Welcher Verlangt, Wann nichts angedungen, daß der Verkauffer die vaß gebühnt lüffern solle. Beklagter præsens, respondirt, habe nichts Zue Pfählern gesagt, daß Kläger schuldig wäre daß Vaß gebühnt Zuelüffern, Im übrigen habe Er ja nichts an Ihne Zuefordern, sondern ahne herrn Pfähler,
Erkandt, solle Kläger die 5 ß d ane H. Pfähler suchen, Weilen Er den bühn nicht Versprochen, würde aber Kläger erweißen können, daß beklagter H Pfähler Zue einbehaltung der 5. ß d auffgestifftet habe, so solle denselben die Straff noch vorbehalten sein.
inter eadem Klagt berührter Färber weilen über gemelten Möcken deß alß Sie mit einander abgetretten, habe Möckh Zue Ihme gesagt, Wann er schon so lang Meister wäre alß Er und sie große Vaß machen wolte, so wolte Er daß gelt nicht Zue dem holtz Lehnen, und weilen Er Ihne dardurch Zuverschimpffen gedenckt, alß Bathe Er Zuverhelffung gebührender Satisfaction, Weilen nun beklagter der anklag geständig war, alß Ist Ihme durch gehaltene vmbfrag 10. ß d straff auffgelegt wordten, auff gesuchte moderation aber verbleibe es beÿ 5 d die Er dato gleich erlegt.

Le conseil reproche à Jean Georges Meck d’avoir engagé un aide pendant quinze jours sans régler de droit. Le défendeur déclare que l’engagement n’a pas duré plus de trois jours.

(f° 287-v) Dienstags den 27. Februarÿ Anno 1703 – Meister Hannß Georg Möckh der Kieffer ist auch deßhalben beklagt [daß er einen Knecht beÿ 14 tag in arbeith gehalten, ehe Er den Knecht schilling nach ordnung dem H Altschaffner eingeschickt], Ille war ebenfalls mehr nicht als dreÿ Tag den Knecht, ehe Er die Gebühr beÿm H Altschaffner abgericht, in arbeith gehabt Zuhaben, geständig. Erkandt soll der Knecht beÿ nechstem Gericht vorgefordert vndt deßwengen examinirt werden.

Jean Frédéric Metzger se plaint que Jean Georges Meck travaille pour le batelier Jean Daniel Ulrich qui ne lui a pas réglé son dû. Le conseil interdit à Jean Georges Meck sous peine d’amende de travailler pour ce client avant qu’il a réglé ses dettes.

(f° 309-v) Montags den 17. Decembris Anno 1703 – Meister Johann Friderich Metzger der Kieffer Klagt wider Johann Georg Möcken den Kieffer daß Er H Daniel Ulrich dem Schiffmann arbeithe, darselbe aber seÿe Kläger 6 fl 3 ß 10 d Lüttlohn schuldig, bittet demnach Möcken solang die arbeith beÿ Ulrichen Zuverbiethen, biß Er bezahlt sein würde, Erkandt wirdt Möcken die arbeith beÿ 1 lb Verbotten biß Kläger Völlig contentirt seÿn wirdt.

Georges Bender de Sultzbach a convenu avec Jean Georges Meck de lui livrer du bois de douves pour 45 florins mais sans compter le transport. Le défendeur lui a alors remis deux florins. Lors d’une autre livraison, le plaignant réclame à nouveau le prix du transport. Il reçoit à nouveau deux florins qui sont loin de couvrir le prix du transport. Le conseil condamne le défendeur à régler le transport.

(f° 321-v) Donnerstags den 6. Martÿ Anno 1704 – Georg Bendter daubenholtzhawer Von Sultzbach Klagt wider Mstr hannß Georg Möcken Kieffern allhier, meldet daß Er Ihme ohnlängst einen brieff umb etliche gattungen daubenholtz geschrieben habe, deßen Inhalt ist daß Er Ihme Klägern sambt dem fuhrlohn für solche in den brieff benambsßte daugen 45. fl. 5 ß d Zahlen wolte. Warauff dann Kläger hieher nacher Straßburg gekommen undt Ihme bedütten, daß Er Zwar solche dauben umb obgemeler preiß hawen aber mit dem fürlohn gar nichts Zuthun haben wolte. Darauffhin dann bekl. Ihme 2 fl. darauff gegeben vndt mit einander nichts weiter geredet, undt umb 18 fl. zween Wägen Voll nacher Straßb. Zuführen gedingt, Welches die fuhrleuth Ihme auch gelüffert, Alß aber Kläger nacher Straßb. gekommen beÿ beklagtem etwas Gelts Zuhohlen, so habe er gesagt Kläger solle den Fuhrlohn Zahlen, vnd weilen beklagter erst den halben theil der daugen hat und alßo noch 18. fl. fuhrlohn geben solte, Er Ja hat nichts für seine daugen bekähme Bekl. replicirt und sagt Er habe Ihme Klägern den Fuhrlohn mit eingedungen undt 2 fl: daraufft gegeben.
Erkandt weilen auß den Umbstäden wohl Zueracht, daß solches nicht seÿn Kan in dem Kläger 36 fl fuhrlohn haben müßte und also nicht mehr dann 9 lb 5 ß d für solche daugen bekäme, alß hat E. E. Gericht Klägern eine handtreÿ zu præstiren anerbotten, vndt wann Er solche mit gutem Gewißen Vollbringen würde daß daß Er den fuhrlohn außgedungen habe, so sollt Beklagter schuldig sein Ihme solches holtz umb gemelden preiß Zubezahlen. Warauff dann Kläger die Handtrew /:nach dem Ihm dießelbe Von allen anweßen herrn deß Gerichts scharff undt Gewißenhafft Vorgetragen worden:/ præstirt hat, vnd also bekl. condemnirt worden daß Ihme solches Zubezahlen und den Fuhrlohn auff sich Leiden solle, die Gerichts Unkosten aber seindt compensirt vndt wann kläger den rest solchen daubenholtzes gehawen haben würde, beklagter Ihme solches gleich Zubezahlen schuldig sein solle.

Le conseiller Jean Frédéric Knœrr a loué à Jean Georges Meck plusieurs tonneaux d’une contenance totale de 76 mesures moyennant un loyer de quatre deniers par semaine et par mesure. Un tonneau de dix mesures manque à la fin de la location. Jean Georges Meck devra régler le loyer jusqu’au jour courant ou rendre un tonneau pareil à celui qui a été égaré. Il est condamné deux mois plus tard à régler seize florins pour le tonneau égaré.

(p. 366) Dienstags den 23. Junÿ Anno 1705
Hr Johann Friderich Knörr, Rathherr, Klagt contra Hannß Georg Möckhen, daß Er demeselben etliche Vaß in 76 ohmen bestehend gelühen, davon Er Ihme Von Jedem ohmen wochentlich 4. d. Versprochen, Vnd ihme auch alle wider gelüffert, biß auf ein Zehen öhmig, davon H. Kläger den Versprochenen Zinnß fordert ersteigert sich demnach derselbige, maßen es biß heüt dato gerechnet 25 Wochen außträgt, auf 8. fl. 3 ß 4 d.
Bekl. replicirt habe Ihme H. Kläger widerumb eines Lüffern aber solches nicht annehmen wollen, vnd Gesagt es seÿe nicht so guth alß das seinige geweßen.
Erkandt beklagter solle herrn Klägern den Veraccordirten Zinnß und für das Zehenöhmig Vaß Vor den ohmen 3 ß 4 d innerhalb den nächsten acht tagen Zahlen oder aber herrn Klägern widerumb solche Gattung ein Vaß wie das seinige gewesen Lüffern.

(p. 375) Mittwochs den 26. Augusti Anno 1705
Hr Johann Friderich Knörr, Rathherr, prod. Extract auß deß jetz regirenden herrn Ammeisters Audientz sub dato 7. Augusti Jüngsthin Vermög deßen Ihro Amstrs. herrlichkeit die sach zwischen gedachtem H. Rathh. Knörren und Johann Georg Möcken dem Kieffer pt° eines Verlohrnen Zehenöhmigen Vaßes und geforderten Vaßzinnß dießem Ehrsamen Zunfft gericht wider anheim gewießen hat, darauff dann die beÿ dießem Ehrsamen Gericht Vom 23.ten Junÿ Jüngsthin deßwegen ergangene Erkandtnuß nochmahlen dergestalten confirmirt worden, nemlichen daß Er Möckh wegen deß Verlohrenen Vaßes, den jenigen Zinß biß dato, Von denen wider gelüfferten Vaßen aber, so lang Er Sie gebraucht à 4 d die Woch Von Jedem ohmen Vor das Verlohrene Zehenöhmige Vaß selbsten aber für Jeden Ohmen 3 ß 4 d und alßo Laut Vorgelegter Specification Zusammen 16 fl. 1 ß 4 s Zahlen solle.

Jean Georges Meck demande l’autorisation de prendre un nouvel apprenti avant que le délai de vacance arrive à sa fin. Le conseil refuse.

(f° 376-v) Dienstags den 15. Septembris Anno 1705
Meister hannß Georg Möckh, der Kieffer stehet Vor und bathe, ob E: E: Gericht Ihme erlauben wolle, einen Lehrjungen anzunehmen. Erkandt, weilen seine gewohnlicher maßen stillstehende Zeit erst auff nächst Künfftige Weÿhenachten Zu end gienge, daß Ihme in seinem Gesuchen nicht gratificirt werden könne.

Le tonnelier Jean Georges Klein a rempli pour le compte de Richshoffer les tonneaux de la cave. Jean Georges Meck qui a apporté du vin pour les ouvriers sa plaint de la beuverie qui a eu lieu. Les témoins (Jean Georges Gori âgé de 19 ans, Antoine Güntzer âgé de 28 ans, au service du plaignant, et le tonnelier Jean Daniel Warnaba) font des dépositions qui ne concordent pas. Le conseil demande aux parties de se serrer la main.

(f° 435) Montags den 29. dito [9.bris 1706]
Mstr Johann Georg Meckh Kieffer, Klagt wider Meister Johann Georg Kleinen Kieffer, meldet daß Er Vor dreÿ wochen wein in H Richßhoffers Keller gefüllet vnnd Er nach deme Er seinem gesindt befohlen waß Zuthun seÿe anderwärtig hingegangen, beklagter aber beÿ solchem wein füllen gewesen habe beklagter Vorgegeben Er Kläger habe ein ständel Voll wein in herren Richßhoffers hauß in denn stall für den knecht vnnd die mägt getragen, welches Er auff sich nicht stehen laßen wolte, Beklagter Zugegen sagt daß Ihme herr Güntzer befohlen in den Keller Zugehen vnnd Zu sagen daß H. Richßhoffer den Keller auff Johanni lähren solle, darauff habe Er es Klägern Gesagt, aber Ihme darneben verbotten davon H Richßhoffern alß einem Krancken nichts Zu sagen, doch aber seÿe Kläger Zu herren Richßhoffer hienauß auff den Schießrhein Gegangen vnnd Beklagten dermaßen hienein gehawen daß derselbe Ihne nachgehends fast nicht mehr ansehen wollen. Darüber Er beklagter gesagt habe Kläger habe Ihne so eingehawen, Wann Er Wolte, Könte Konte Er Ihme Klägern auch ein Pfahl anrichten dann vier Krug vnd bouteillies in den Stall gekommen daß sich der Stall Knecht doll vnnd voll getruncken vnd* fast denn Stall anßzunden Kläger offerirt sein sach durch Zeugen Zu verificieren
Vornemblich aber durch seinen Jungen nahmens Hanß Georg Gori seines alters 19 Jahr, dieße nach deme Er in handgelibt genommen vnnd die Wahrheit Zu reeden, nachtrucklich erinnert Worden deponirte, daß Klein in Herren Richßhoffers Keller gekommen vnd zu Ihme Jungen gesagt habe dein Meister habe noch Wacker beÿ herrn Richßhoffer eingehawene Mann Ich aber wolte so Könte Ich deinem Meister auch ein spiel anrichten Vnd Wan Er auch nit Vmb verziehung bitt so sag Ichs Ihme herren Richßhoffer noch, dann Er hatt dem Kncht wein hinderrig in den Stall getragen daß Er sich doll vnd voll getruncken.
Anthoni Güntzer Von Bläßheim Kieffer knecht beÿ Klägern in arbeith seines alters ungefehr 28 Jahr gelobte ahn die Wahheit Zu reeden Vnnd sagte alß die Sach passiret habe Wein auß dem Keller getragen Vnnd seÿe alßo auff vnd abgegangen habe demnach nichts gehört alß daß Klein Zum Jungen gesagt habe, Wann ich deinem Meister übel wolte so Könte Ich Ihme auch im Spiel anrichten, dann Er hat dem Stall Knecht Zu sich* Zu trincken gegeben, daß Er Fast den Stall angezunden.
Johann Daniel Warnaba Kieffer Vndt burger allhier Wurde Ebenfals in handtrew gezogen, Waß er dießer sach wegen Wußte die pure wahrheit Zu reden, deponirte darauff, daß Er anders nicht Gehört alß daß Klein uber den Jungen schmält in deme Er gesehen daß ein Reiberlein Geronnen vnnd gefragt wie der Kerl seÿe der Stall Knecht meinend, darüber sagte (p. 436) der Jung Er weiße es nicht, wann ihme vnßer Herr Gott nicht beßer Könte so seÿe Er verlohren, darüber Er Klein den Jungen ein wenig titulirt vnd gesagt ob Er einem Meister also antworten solle, ferner sagte Klein nach deme Sie etlich mahm auß solchem Vaß getruncken, Er wolte daß Reiberlein gar auß dem Vaß machen daß niemand mehr darüber Könne, sonsten habe Er nichts gehört.
Erk. Weilen der Zeügen ausag nicht über einstimmet auch der Jung alß deß Klägers Jung dißfals nicht als ein Zeug Zu Consideriren, und demnach die sach weith nicht genugsam erwießen, daß beede Parthen einand. die händ geben und mithien die sach ex officio auffgehoben sein solle, Welches Sie auch gethan.

Jean Georges Meck est mis à l’amende pour avoir eu des mots vifs à l’encontre du conseiller Wilhelm le jour du serment.

Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 31) Dienstags den 31. dito [Januarÿ 1708] Meister Johann Georg Möcken wurde Vorgehalten, daß Er Jüngst Verwichenen Schwöhrtag weilen es etwas lang gew*ret vngehaltene Worth gegen Herrn Rathherrn Willhelm außgestoßen. Beklagter respondirt Er müße bekennen daß Er sich mit etlichen Worthen übereulet es seÿe Ihme Leÿd das solches geschehen. Erk. Weilen Er sich nicht Wohl Verandtworten könne, daß Er Zuvorerist den Herrn Rathherrn mit ge*ner hand umb verzeihung bitten vnnd darbeneben 2. lb Straff erlegen solle, auff gesuchte Mäßigung Verblieb es beÿ 1 lb 10 ß d.

Le conseil reproche au maître Jean Georges Meck de travailler chez Boch comme journalier. Il lui inflige une amende de 5 livres et lui interdit de récidiver sous peine de payer dix livres

1697, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 45-v) Montags den 18. Junÿ – Meister Johann Georg Möckhen wurde auff sein erschienen vorgehalten daß mann gewißen nachricht habe daß er Herrn Johann Conrad Bochen dem weinhändler im taglohn arbeithe, so wieder ordnung seÿe. Ille repondirt die händel so Hr Boch sonsten habe giengen Ihme nicht ahn im überigen Er seÿe Er mit herrn Bochen bezahlung Zufrieden, hoffe nicht daß sich deßwegen Jeemandt darwieder Zu legen habe in deme Er auch vor seine herren beschwehrten und Nahrung sorgen muß auch wann Er nichts habe gebe Ihme auch niemahdt nichts, und alß mann Ihme gefragt ob Er die anklag wann mann Ihme eine handtrew oder eÿd darüber auffbürthen solle, damit wiederlegen Könte antwortete Er es wäre nicht schuldig darüber einen eÿd Zu thun.
Erkandt weilen auß seiner Verantwortung erhället daß Er der anklag schuldig unnd dadurch der gantzen Meisterschafft ein großes nachtheil Zuwöltzet auch auff die gethane befragung ohnartige antworth gegeben, alß ob mann nicht ursach hätte Wie Er H. Bochen arbeithet Zu fragen daß Er 5. lb d Straff erlegen Und solches arbeithen Ihme in Künfftiger Zeit beÿ 10 lb d Verbotten sein solle, darmit mann aber desto Ehender darauff Kundigen möge ob Er ins Künfftige Ihme herrn Bochen noch ferner im Taglohn arbeitethete so solle seinem Gesind anbefohlen werden, führohien beÿ Verlieherung Ihrer Ehrlichen Nahmen genauwe achtung darauff Zue haben, ob Er ihme H Bochen noch im tag lohn arbeithete. Ille begehrte Copiam Sententiæ Und sagt Er habe Jetzundt Kein gelt die Straff Zuerlegen.

L’affaire de Jean Georges Meck qui est journalier chez le marchand de vins Jean Conrad Boch est portée devant les Quinze. Jean Conrad Boch déclare qu’il lui a été permis en 1694 d’employer un maître. La commission constate que ces allégations sont justes. Les Quinze prorogent cette décision et annulent l’amende de cinq livres que le conseil des Tonneliers a infligée à Jean Georges Meck.

1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 8) Freÿtags den 25.ten Januarÿ 1709 – Johann Georg Meck Ca. E. E. Zunfft der Kieffer – Johann Conrad Boch pt° Muctæ umb erlaubnus, einen Meister von Ober handwercks im taglohn Zu halten
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per H Friden referiren, daß Johann Georg Meck der Kieffer geklagt, daß E. E. Zunfft gericht ihne vmb 5 lb d gestrafft hette, ursach weilen Er beÿ Johann Conrad Bochen den Weinhändler im taglohn geschafft vnd Zugleich vmb deren erlaßung gebetten. Alß man nun beÿ der Deputation die sach examinirt, habe Er Meck gesteh. müßen daß es gescheh. were, allein auff dießes hin weilen Boch ihne versichert, daß solches ihme erlaubt were, darauff herr Roß et Consorten geantwortet, daß es niemahlen üblich gewesen were, daß Ein Kieffer in taglohn arbeite und wann dießes geschehe, das Kieffer handwerck gantz Zu grund gehen müßte, neben dem gegener wohl gewußt, daß es ihme verbotten were, Auff welches hien Johann Conrad Boch so auch vorgestanden gegenwärtigen bescheid, so ahne dießem hohen orth in aô 1694. ergangen producirt, so abgelesen worden, vnd vber dahin gehet, daß damahlen ihme einen Meister kiefer handwercks in taglohn Zu arbeiten anzustellen vergönnet worden, mit dem beÿsatz, daß Er auch beÿ seinem Vatter seel. das Kieffer handwerck erlernt hette, vnd ob schon herr Roßer vergeben wollen, daß sein Vatter Kein Kieffer gewesen, so seÿe doch das Contrarium darauff abzunehmen daß E. E. Gericht der Kieffer ihne Kiefferknecht Zuhalten erlaubt hette, wie der Zunnftgerichts Protocoll aufweisen werde, alß man MHh. Protocoll de âô 1694. auffgeschlagen, so habe man gefunden daß sein deß Bochen vorgeben der warheit gemäß were, vnd weilen damahlen ihme Bochen Einß Meister Kieffer handwercks in taglohn zuhalten permittirt worden, so vermeine man daß Er beÿ dießem bescheid noch ferner maintenirt vnd der angesetzten straff der 5 lb d gäntzlichen erlaßen werden könte, die genehmhaltung Zu Mghh stellend. Erk. würd der bedacht beliebt.

Le marchand Jean Jacques Schatz se plaint de Jean Georges Meck auquel il a confié la garde de 256 mesures de vin de Bourgogne en lui remettant la clé de sa cave. Lors de la vente, il remarque quatorze mois plus tard qu’il manque 24 mesures. Il apparaît que le défendeur qui n’a pas toujours eu les clés de la cave aurait vendu six mesures de vin. Le conseil demande aux parties de s’accorder mais elles portent l’affaire devant le Petit Sénat.
(f° 130-v) Dienstags den 21. Julÿ Anno 1711 – Herr Johann Jacob Schatz handelßmann und burger allhier klagt wieder Johann Georg Möcken Kieffern meldet daß er demeselben eine quantitæt Von 256 Ohmen Burgunder Wein an vertraut demeselben auch den Schlüßel Zu dem Keller eingelüffert habe, als nun sogemeldte Wein verkaufft und die Rechnung darüber gezogen worden, befande sich 24 Ohmen weniger als eingekellert Worden, denrentwegen erwisen wolte, weilen die Wein nicht länger als Vierzehen Monath beÿläuffig gelegen und er also nicht glauben könne daß solcher Wein in so Kurtzer Zeit, so viel gezehrt haben könne, wo der überrest hiengekommen seÿe, bittet derowegen die sach zu Examiniren. Angesehen alß Er Kläger mit Ihme Beklagten deßwegen geredet, derselbe allererst Sechs Ohmen und etliche Maasen angegeben die er verkaufft, und begehrt, daß er Ihme des daraus erlößte Geldt auff Rechnung setzen solte, Beklagter Zugegen replicirt es seÿe hern Klägers Schaffners nicht geweßt, wäre dahero auch nicht schuldig rechnung Von seinem Wein Zugeben, besonders weil er den Schlüßel nicht immer gehalt, darbeneben meldend er halte herrn Klägern für einen brafen Mann, wann er Ihme würd erweißen Können daß er Ihme Von seinem Wein entwendet habe, Er herr Kläger wäre etliche mahl mit guten freundten in solchen Keller gegangen und hätten getruncken.
Nach deme nun Klag und Verantwortung reiff überlegt und befunden worden, daß der abgang ohn müglich so groß seÿn könne auch deßwegen dem Beklagten Zugesprochen worden, daß Er sich mit herrn Klägern accomodiren solle, derselbe aber sich im geringsten Zu nichts verstehen wolle, alß ist Erkand, daß Herr Kläger die sach vor einem Ehrsamen Kleinen Rath gelangen laßen möge.

Le ceinturier Jean Adam Steinbach charge Jean Georges Meck de mettre dans deux tonneaux 53 mesures de vin qu’il vient d’acheter. On constate que l’un d’eux fuit. Le défendeur répond au plaignant qu’il aurait dû faire réparer le tonneau. Jean Georges Meck refuse de remplacer les deux mesures perdues. Le conseil nomme une commission pour examiner le tonneau défectueux.
(f° 201-v) Dienstags den 17. 8.bris Anno 1713 – Herr Johann Adam Steinbach der Gürtler Klagt wieder Joh: Geörg Möcken Kieffern meldet daß Er verwichenes Frühjahr ein Partheÿ Wein gekaufft von 52 Ohm. Welchen gedachter Möck hat füllen sollen, es hat aber derselbe nur ein faß, Weilen der Wein beÿ der Nacht erst gekommen, auß gebährent, und das Andere übernacht liegen laßen, als Er nun solche beede faß auß gelähret, hat sich gefunden daß das faß worin solcher Wein gekommen allenthalben geronnen und als Kläger solches gesehen, habe Er Zu beklagten gesagt Er solle solchen Wein wieder außlähren derselbe aber ô gericht, daß Er Ihme den schaden wiederersetzen solle. Beklagter replicirt Kläger hätte Zuvorderist daß faß repariren laßen sollen; ehe Er solchen wein hat wollen laßen darin thun, hoffe derohalben nicht Ihme solchen schad. Zuersetzen.
Erkandt sollen sich beede Parthen mit einander Vergleichen, Als nun der bescheidt den Parthen angesagt worden, und gefragt ob sie sich mit einander Vergleichen Wollen, hat sich der Kläger offerirt, was E. E. Gericht erkennen wird, demeselben will Er nachgeleben. Beklagter aber als Ihme das Ehrsame Gericht Vorgetragen, ob Er Kläger die 2. Ohmen wein, wie beklagter an Ihme begehrt erstatten, oder aber solches E. E. Gericht anheim stellen wolte, hat Er darüber mit Nein geantwortet. Darauffhin dann E. E. Gericht Erkand daß zween Hh. deß Gerichts, nembl. H. Gundelwein und H. Wörner solches faß visiren sollen, auff deren relation ferner ergehen wird was recht ist.

Les Quinze nomment Jean Georges Meck tonnelier à la Grue

1715, Protocole des Quinze (2 R 119)
(f° 235-v) Sambstag den 20. Julÿ – G. nôe Johann Georg Meck deß burgers und Kieffers allhier, berichtet daß durch absterben Johann Wolffgang von Botzheim geweßenen burgers und Kieffers allhier eine Küffers stell am Graan Vacirend worden, bittet solches ihme gn. Zukommen Zulaßen. Erk. Ober Ungeldts herren

(f° 260-v Sambstag den 31.ten Augusti – Johann Georg Meck pt° Cran Kieffereÿ
Ober Ungeldts Herren laßen durch Herrn Secretarii Friden referiren, daß Hanß Georg Meck der burger und Kieffer allhier sich umb den Cran Kieffers dienst angemeldet habe, deme er beÿ der deputation beÿgefügt, daß die Zeiten so schwer weren daß er solches Zu ergreiffen gemüßiget, und weilen einige auß der Zahl gestorben, wolte er nochmalen unth. gebetten haben, ihn anzunehmen, auff welches hie man sich erkündiget, Wie viel der Cran kieffer seÿen, und in was Vorstandt es sich befindte, da sich hievor gethan, daß annoch Zehen die arbeit abwarthen können, Vier sehr alt seÿen, Zweÿ gestorben und einer den Cran gäntzlichen quittiret habe, weilen nun unterschidene manglen, habe man ihn anstandt gehabt, die ratification zu Mgherren stellend und falls er angenommen worden, solten er daß iurament beÿ Mghh. abzulegen haben werde. Erkant beliebt.

Jean Georges Meck meurt le 15 décembre 1715 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 317 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 102 livres, le passif à 515 livres.

1716 (12.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 41) n° 8
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Meister Johann Georg Mäcken, Geweßenen Küffers vnd burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1716 – nach seinem den 15.ten Decembris nechst abgewichenen 1715.ten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H Diebold Vogten holtzhändlers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Salome, Johann Georgen, Johann Nicolai, Mariæ Dorotheæ und Annæ Mariæ der Mäcken deß Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßener rechtmäsiger Erben Jedes Zu einem fünfften theil berührend, vorgenommen, ersucht und inventirt durch die Ehren und tugendsame fraw Annam Margaretham Mäckin gebohrne Vogtin die hinterlaßene Wittib mit beÿstand H Joh: Jacob Vogten, Küffers und Weinhändlers auch burger alhoer derselben geschwornen Curatoris – Actum Straßburg Donnerstags den 12.ten Martÿ A° 1716.

Copia der Zwischen Eingangs gemelten beÿden Geweßenen Eheleuthen auffgerichteten heuraths Vergleichung, pge. in prot: C fol. 1033. er seqq.
In einer alhier Zu Straßburg hinder der Kürschner Zunfftstub gegen dem Pfahlgäßlein über gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden, wie volgt.
Ane Hültzen und Schreinwerck, Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Im obern vordern Haußöhren, Auff dem hindern bühnel, In der Wohnstub, In der Küchen, In der Cammer C, In d Soldaten Cammer, Im undern Haußöhren, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Item die Erb lehnungs Gerechtigkeit und beßerung auffeiner behaußung hoff und hinderhauß gelegen alhier Zu Straßb. hinter der Kürßner Zunfftstub, 1.s n. weÿl. Joh: Carl Rothen des Ganth Käuffers seel. Wittib, 2.s n. David Bettigers deß Caminfegers seel. Erben, hinten auff die Becker Knecht herberg stoßend gelegen, wavon d. Dominium directum der hohen Schuhl alhier gehörig und Jährlichen mit 12. ß d Ewig, Ehrschätzig und fürbietigen Zinnß recognoscirt wird, so ist auch solch dominium utile annoch vmb 200 lb d der Rothen Kirch alhier so dann vmb 400 lb d Kauffschillings rest verhafftet, H. Schlögeln dem Jüngern Küblers und burgers alhier, sonsten freÿ ledig und eigen, undt ist solch Dominium utile über vorangeregte beschwerden durch der St. Straßb. geschwornen Werckleuth Vermög einer ad conceptum überreichter schrifftlicher abschatz. vom 13. Martÿ A° 1716. hiehero gewürdiget für o
Darüber vorgend. 1. teutscher perg. Kbrieff auß alhies. C C Stub mit dero anh. Ins. Verw. datirt den 14.ten Jan. A° 1705. mit N° 1 notirt
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Gutt, Auß dem über beÿder geweßener Eheleuth von H. Notario Elia Winckler Verfertigten Inventario Zugebrachter Nahrungen de A° 1699
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahr. betr. Sa. hausraths 12, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Schulden 45, Sa. Ergäntzung 256, Summa summarum 317 lb
Diesemnach wird auch der Erben und verändert und Zugleich das Theilbar Guth beschrieben
Sa. haußraths 48, Sa. Werckzeug, Reÿff und band zum Kieffer handwerck gehörig 37, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. Eigenthums an einer behaußung o, Sa. Schulden 7, Summa summarum 102 lb – Schulden 515, die Theilbare Passiva übertreffen das Theilbahre Gutt umb 412 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 75 lb
Abschatzung d. 13.ten Martzÿ anô: 1716. Weÿlandt deß Ehrenhafften Vnd bescheiten H. hanß Jacob Menckh Küffer Seel, hinderlassen: Frau Wietib Vnd Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg hinder der Kürschner Stuben Gelegen Einseitz Neben H Gißeling pfarherr ander seith Neben hanß Michäll Arnoldt, hinden auff die beckhen herberg stoßend, welche behaußung, hoff, hoffstatt, hinder gebeÿ, Neben gang, Werckstatt, Ein gewölbter Keller, Vnd hoff, Sampt Aller Ihrer Recht Vnd Gerechtigkht. Wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleüthe sich in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt vor und umb Süben Hundert Gultin. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

Jean Georges Meck meurt de fièvre chaude le 18 décembre 1715 à l’âge de 51 ans.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 245, n° 54)
Donnerst. d. 19. Xbr. 1715. Morgens Zwischen 7. v. 8. Uhr ist an dem hitzigen fieber gestorben v. Samst. darauf nach gehaltener Leich. Pr. Zum J St. Peter, Zu S. Helenen begraben worden , Mr. Joh. Geörg Mäck, b. v. Kiefer alhie, seines alters 51 Jahr [unterzeichnet] diebolt Vogt als schwager, Fridrich Reuttestrach alß Schwager (i 250)

Anne Marguerite Vogt meurt en 1727 en délaissant quatre enfants. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 74 livres, le passif à 105 livres.

1727 (6. 9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 37) n° 964
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die Ehren und tugendsamme Frau Anna Margaretha Möckin gebohrner Vogtin, Weÿland deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Johann Geörg Möcken geweßenen Kieffers und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlaßene Wittib, nunmehr auch seelig, nach Ihrem den 10. Septembris dießes Zu endlauffenden 1727.ten Jahrs aus dießer mühesammen Kummer Vollen und Zergänglichen Welth genommenen seel. Hintritt hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Johann Diebold Vogten deß ältern Holtzhändlers und burgers allhier als geschwornen Vogts der Verstorbenen seel. mit obgedachtem Ihrem geweßenen Ehemann ehelich erzeugten und Hinterlaßenen Vier Kindern, alß deroselben ab intestato rechtmäsiger Erben benantlichen Margarethæ Salome, Johann Geörgen Ledigen Schneiders, Mariä Dorotheä und Annä Mariä der Möckin, Inventirt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 6. 9.bris A° 1727.

In Einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg hinter der Kürschnerstub gegen dem Pfahlgäßel über gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung befunden Worden Wie volgt
Eigenthumb ahne einer Behaußung. Eine Behaußung Hoffstatt und höfflin mit allen übrigen Ihren eithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg Hinter der Kürschner stub gegen dem Pfahl gäßel, ein seith neben N. Lutzen dem Gürtlern anderseith neben N. Kießel dem Einspänniger Ehevögtlicher Weiße Hinten auff der Becken Knecht Herrberg tochter. Davon gibt mann Jährlich der Hohen Schuhl allhier 12. ß d ewig fürbietig und Ehrschätzigen Zinnß, Jährlichen auff Weÿhenachten, so in dreÿfachem Capital Zu æstimirt th. 36. lb. It. 8. lb 4 ß zinnß Jahr auff Matthiæ Apostoli gab mann vormahls dem Stifft Zur der Rothen Kirch, nunmehro aber dem allhießigen mehren Hospithal so in Währungs Capital ablösig mit 210. lb, It. 16. lb d Zinnß à 4 pro cto Jährlichen auff den 27.ten Jan: Weÿl Joh: Georg Schlögels deß Jüngern geweßenen Küblers und burgers allhier hinterlaßenen Wittib und Erben so in Capital ablößig mit 400 lb Item soll mann H. Joh: Diebold Vogten dem ältern Holtzhändler und burger allhier dießer Kinder Vogten und Mutter brudern, davon Er von Zwölff Jahren her Zinß Zu erfordern berechtiget Wäre aber Keinen Verlanget in Capital 75 lb, Sa. der Vorherigen beschwerden th. 721. lb
Dahingegen ist das Dominium utile daran den 13. Martÿ A° 1716. beÿ absterben der Kinder Vatters seel. durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere angeschlagen Worden, dabeÿ mann es auch dißmalen gelaßen, Weilen Sie die Kinder gar Wenig Zum besten haben umb ersparung des unkosten Willen über abzug der darauff hafftenden beschwerden für o. Darüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. gefertiget und mit dero anhagendem Secret Innsiegel bekräfftiget datirt den 14.t Jan. A° 1705.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 53, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 5, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldenen Ringen 2, Sa. Schulden 11, Summa summarum 74 lb – Schulden 105 lb (Passiv onus) 30 lb


Enfants

Marguerite Salomé Meck épouse en 1734 le constructeur de bateaux Jean Daniel von Zabern, marié en 1727 avec Eve Barbe Brion puis en 1728 avec Anne Marie Meyer

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 9, n° 6)
Mittwoch d. 28. Mai 1727 ist in der Kirch Zu S Wilhelm nach geschehener außruffung Dominica Rogate & Exaudi ehelich eingesegnet worden Joh: Daniel von Zabern der ledige Schifbäuer v. b. weiland Martin von Zabern, Schifbäuer v. b. v. Annæ Mariæ Adamin ehelicher Sohn vnd Jfr Eva Barbara Weiland Friderich Brions Secklers v. burgers v. Barbæ Baldnerin eheliche dochter [unterzeichnet] Johan Daniel Von Zabern Als hochzeiter, Eva barbara brionin Als Hochzeiterin (i 10)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 16 n° 18)
Mittwoch d. 27. 8.bris 1728 ist nach 2.maliger außruffung Dominica XXI et XXII Trin. in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich copulirt v. eingesegnet worden Joh: Daniel von Zabern der Schifbäuer, burger v. witwer weiland Evæ Barbaræ Brionin ehemann v. Jft. Anna Maria Weiland Joh: Philipp Meÿers, deß Ammelongmachers v. burgers v. Annæ Müegin eheliche dochter [unterzeichnet] Johan Daniel Von Zabern Als hochzeiter, Anna Maria Meÿerin Alls Hochzeierin (i 17)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 44-v n° 2)
A° 1734. den 10. Januarÿ Seind nach zweÿmaliger außruffung nemlich Dom. I. et II. post Epiphan. in der Kirch Zu S Wilhelm ehl. copulirt v. eingesegnet worden Johann Daniel von Zabern der Schffbäuer burger und wittwer allhier und Jungfr. Margaretha Salome, Weÿl. Johann Georg Möcken gewesenen Kieffers und burgers allhier und Fr. Margaretha Salome Vögtin nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Von Zabern Als hoch Zdter, margaretha salome möckin (i 47)

Le tailleur Jean Georges Meck épouse en 1729 Marie Catherine Claus, fille de potier. Il se remarie en 1730 avec Anne Barbe Müller, originaire de Colmar

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 74-v n° 269)
1729. Eod. [Mittw. d. 13. Jul.] sind nach 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Geörg Mögg, der ledige schneider v : b. alhie weÿl. Joh: Georg Möggen geweß. b. v. Kiefers Nachgel. ehel. Sohn v. Jgf. Maria Catharina weÿl. Joh: Geörg Claußen gew. b. v. haffners Nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg meck als hochzeiter Maria Catharina Klaußin als hochzeiterin (i 79)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 80-v, n° 292)
1730. Eod. [Mittw. d. 3. Maji] sind nach 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Geörg Möck der schneider Wittwer v. b. alhier b. J. Anna Barbara Joh: Jacob Müllers b. v. Metzgers Zu Colmar ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann gorg meck als hochzeiter Anna barbra Miller als hoch Zeiterin (i 85)

Marie Dorothée Meck épouse en 1745 le passementier Jean Philippe Schæffer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 240, n° 920)
1745. Mittw. d. 30. Jun. seind nach ordentl. Proclamation Ehl. copul. und eingesegnet worden Johann Philipp Schäffer der led. pasmentirer u. b. allhier nachgel. Johann Heinrich Schäffers gewesenen pasmentirers u. b. allhier nachgelaßener Sohn u. J. Maria Dorothea weÿl. Johann Georg möggen gewesenen Kieffers und b. Allhier nchgel. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johan Phil. scheffer als hochzeider maria dorothea meggen als hochßeterin (i 246)

Anne Marie Meck épouse en 1759 le tailleur Chrétien Othon Sigismond Meyer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 100-v, n° 634)
Anno 1759. Mitwoch den 18. Julÿ Seind nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation vnd Außruffung Zu St. Thomæ und in der Neuen Kirch Zu St Thomæ copulirt u. eingesegnet worden, Christian Otto Sigmund Meÿer der Wittiber, Schneider und burger allhier u. Jungfr. Anna Maria Meckin Weil. Joh: Georg Meck gewesenen Kieffers u. burgers allhier hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Christian Otto Sigmund Meÿer als hochzeiter, Anna Maria Meckin als hochzeitin (i 103)



8, rue des Sept-Hommes


Rue des Sept-Hommes n° 8 – IV 387 (Blondel), N 897 puis section 60 parcelle 46 (cadastre)

Agrandie par Ursule Stehlé, 1867 – Démolie en 1913 (Grande Percée)


Coin de la rue des Sept-Hommes (à gauche) et de la rue Saint-Barbe (à droite), photographie prise en 1912 lors de la démolition. Le n° 8 est la troisième maison à gauche de la plus haute au milieu de l’image (AMS, fonds Schimpf, cote 112 Z 7)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (© Musée des Plans-relief) 1. Les maisons sont semblables aux élévations de 1830, sauf deux maisons surhaussées d’un étage

La maison qui doit une rente foncière à l’Université (Haute Ecole) et sa voisine (ensuite n° 10) appartiennent au début du XVII° siècle au marchand Jacques Storck. Le batteur d’or Georges Fischer la vend en 1609 au tailleur Georges Merg en conservant le futur n° 10 : les parties conviennent que le puits restera commun entre les deux maisons, l’eau qui tombe dans la cour des vendeurs s’écoulera par la propriété des acquéreurs. Jean Martin Mentzer et Anne Elisabeth Merg abandonnent en 1693 leurs droits sur le puits. Le tonnelier Jean Georges Meck en est propriétaire jusqu’à sa mort. Sur le plan-relief de 1727, la maison fait partie du deuxième groupe (toiture à trois lucanes) à partir de la droite du carrefour au centre de l’image. Le rez-de-chaussée comprend un étroit vestibule et à sa gauche un poêle et une cuisine. Un autre bâtiment se trouve au fond de la cour. Le marchand de bois Thiébaut Vogt achète en 1732 la maison qui se transmet ensuite jusqu’en 1842 : au tonnelier Jean Frédéric Maus, au tailleur Philippe Jacques von Zabern puis au boucher André Münch.


Rue des Pelletiers à gauche, rue des Sept-Hommes à droite.
Le n° 8 se trouve sur la droite du deuxième groupe de maisons (toiture à trois lucarnes) à droite du carrefour au milieu de l’image,Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)


Cour X

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère p  : deux fenêtres suivies de la porte d’entrée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à deux lucarnes. La cour X montre l’arrière (1-4) de la façade sur rue, le bâtiment latéral (3-4) à galeries, le bâtiment arrière (2-3), le mur (1-2) qui sépare à l’est la cour de celle du voisin.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 8.

Le menuisier Charles Bilger fait faillite en 1842. Les propriétaires suivants n’habitent pas sur place (l’orfèvre Jean Valentin Deuchler, le menuisier François Xavier Rust). Marie Ursule Stehlé achète la maison en 1860 et la fait agrandir en 1867 : le revenu passe de 90 à 100 francs, le nombre de fenêtres au troisième et au-dessus de 2 à 8. Le marchand de fruits Jean Guillaume Birck habite la maison qu’il achète en 1875. Sa veuve la vend à la ville de Strasbourg (exercice 1908) qui la fait démolir en 1913. Le sol devient voie publique.
Les enquêteurs qui visitent les bâtiments sur le tracé de la Grande Percée relèvent en 1907 une imposte au-dessus de la porte d’entrée, une galerie à quatre niveaux bien conservée et une auge en fonte à côté du puits.

Flur 60 (1910) AMS 907 W 161
Plan cadastral de 1897, mis à jour en 1910 (AMS, cote 907 W 161)

août 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Storck, marchand, et (1568) Elisabeth Lobstein – luthériens
1608 v Georges Fischer, batteur d’or, et (1606) Jacqueline Blæs, d’abord (1595) femme du batteur d’or Martin Kallhard – luthériens
1609 v Georges Merg, tailleur et commissaire priseur, et (1598) Anne Stempffer puis (1628) Amélie Fessmann, d’abord (1600) femme du cordier Léonard Hetzel puis (1611) du teinturier Jean Thiébaut Ehrstein – luthériens
1632* h Jean Martin Merg, pasteur, et (1632) Anne von Mutzig, remariée (1648) avec le pelletier Jean Werdemann – luthériens
1633 v Emanuel Mentel, pasteur, et (1619) Marthe Bentz – luthériens
1636 v Jean Martin Merg ci-dessus
1670* h Jean Georges Merg, pelletier, et (1662) Barbe Bœhler – luthériens
1693 h Jean Martin Mentzer, pelletier, et (1688) Marie Elisabeth Merg – luthériens
1699 v Jean Charles Roth, commissaire priseur, et (1674) Ester Schrimpff puis (1696) Anne Barbe Ruprecht, d’abord (1682) femme du brasseur Jean David Zeiss, remariée (1713) avec l’aubergiste Jean Michel Arnold – luthériens
1703 v Jean Kirweiler, juriste († 1718), et Odile Schneider, remariée (1721) avec le juriste Jean Meyer – catholiques
1705 v Jean Georges Meck, tonnelier, et (1697) Marguerite Kermann puis (1699) Anne Marguerite Vogt – luthériens
1732 v Thiébaut Vogt, marchand de bois, et (1693) Aurélie Pfitzer puis (1720) Marie Eve Grauss – luthériens
1738 h Jean Frédéric Maus, tonnelier, et (1725) Anne Marguerite Vogt – luthériens
1785 h Philippe Jacques von Zabern, tailleur, et (1784) Dorothée Elisabeth Geyler – luthériens
1816 h Caroline Elisabeth Zabern et (1811) le chirurgien Jean Jacques Lobstein, (1817) le boucher Philippe Jacques Kieffer veuf de Marie Madeleine Rasp, (1823) le boucher André Münch
1842 v (Frédéric) Charles Bilger, menuisier, et (1842) Madeleine Dambach
1847 v Jean Valentin Deuchler, orfèvre bijoutier, et (1825) Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier
1855 v François Xavier Rust, menuisier, et (1826) Anne Marie Eissenbrand
1860 v Marie Ursule Stehlé, rentière († 1883)
1875 v Jean Guillaume Bierck, marchand de fruits, et (1858) Caroline Madeleine Dubesi puis (1891) Salomé Jest, femme (1864) divorcée du serrurier Georges Decker
1908* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1717, 375 livres en 1737, 500 livres en 1743, 400 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 387, la veuve Jean Fréderic Muss
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Muß Wittib, 2 toises, 2 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 897, Münch, André, boucher – maison, sol, 1 are / Bilger Charles

Locations

1854, François Boulanger père et François Boulanger fils, menuisiers

Description de la maison

  • 1716 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, un atelier, une cave voûtée, le tout estimé avec la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend poêle, chambres, petite cuisine, étroit vestibule, petite maison arrière où se trouvent un petit poêle et le passage, vestibule au rez-de-chaussée, cave voûtée, bûcher, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée à gauche un poêle, petite cuisine, vestibule, puits, cave voûtée à droite de la cour chambre à soldats au-dessus de laquelle se trouve poêle, chambre, cuisine, vestibule, dépense, passage vers le bâtiment arrière où se trouvent un poêle, une chambre, une cuisine et un vestibule, sous le toit une chambre, très vieux comble à deux pignons en bois, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des sept hommes et rue Ste Barbe vers la place d’armes

nouveau N° / ancien N° : 22 / 5
Zabern
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 259 case 1

Bilger, Charles à Strasbourg
Deuchler Jean Valentin orfèvre rue des 7 hommes 5
(1856) Rust François Xavier Menuisier N° 5, demeure rue du chaudron 2

N 897, maison, sol, R. des 7 hommes 5
Contenance : 1,00
Revenu total : 90,52 (90 et 0,52)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 999 case 1

Rust François Xavier épicier
1863 Stehlé Ursule rentière
1876 Birk Johann Wilhelm, Obsthändler
1894/95 Birck Wilhelm Wwe geb. Dubesi
1906 (2538) Bierck Johann Wilhelm Witwe Salome geb. Jest
1908 (12) Straßburg die Gemeinde
(ancien f° 747)

N 897, maison, sol, Rue des Sept hommes 8
Contenance : 1,00
Revenu total : 90,52 (90 et 0,52)
Folio de provenance : (259)
Folio de destination : 747, augm.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

N 897, maison
Revenu total : 100,52 (100 et 0,52)
Folio de provenance : 747, augm.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
1870, Augmentations – Stehlé Ursule f° 747, N 897, maison, revenu 100, addition de construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Diminutions – Stehlé Ursule f° 747, N 897, maison, revenu 90, addition de construction en 1869, supp. en 1870

Cadastre allemand, registre 32 p. 391 case 4

Parcelle, section 60, n° 46 – autrefois N 897
Canton : Siebenmannsgasse Hs N° 8 – 1267 / 329
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,87
Revenu : 900 / 1300 (revenu net 4,35)
Remarques : 1913, Abbruch – 1927, porté p. 387 c. 3.

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 113 Des Sept Hommes 194

5
pr. de Zabern, Philippe, tailleur – Tailleurs
loc. Kapp, J. Adam, Tourneur, Charpent.
loc. Krauser, Joseph, Journalier – Manant
loc. Roudolf, Jean Michel, Journalier, cocher chez M. Kohlerfeldt – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Siebenmannsgasse (Seite 161)

(Haus Nr.) 8
Kumprink, Näherin. 0
Diebolt, Buchhalter. 1
Schlösinger, Wwe. 2
Birck, Rentner, E 3
Pistor, Wäscherin. H 0
Stephan, Packer, H 0
Diebold, Fuhrmann. H 2

Annuaire de 1880

Siebenmannsgasse (Seite 284)

8
Bierck W, Obsthändler
Dietrich, G, Tagner
Hack August, Tagner
Lakorix Anton, Schriftsetzer
Müller Frantz, Tagner
Schweizer J. C. Webergeselle
Uhrweiler J. P. Schumachergeselle

Grille d’enquête

(78)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Siebenmannsgasse 8

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 11. Türeinfassungen – 1. Renaiss. (Erdgesch.) mit Oberlicht
    [Encadrement de porte] Renaissance (rez-de-chaussée) avec imposte

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – In 4 Stockwerken Gedeckte Traillen, Prof. Brüstung und Balken verkleidung (Joss)
    [Galerie sur cour] Galeries couvertes aux 4 étages, Garnies de balustrades et de poutres moulurées
  • 6. Brunnenanlage – Brunnentrog Vase (Gießvase) XVIII Jahrh.
    [Puits] Auge en fonte (XVIII° siècle)
  • 11. Holztraillen – siehe 5. gut erhalten
    [Treillage en bois] Balustrade, voir sous 5), bien conservée
  • 13. Holzdecken – 1 mit Deckleisten (Erdgeschoß)
    [Plafonds en bois] 1 à lattes (rez-de-chaussée)

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle à Jasques Storck. Originaire de Spire, il épouse en 1568 Elisabeth, fille de Gabriel Lobstein.

Mariage, cathédrale (luth. p. 179)
1568. Sontag den 1. Augusti. Jacob Storck von Speir, Elisabeth, Gabriel Lobsteins hind.laßne docht. (i 92)

Elisabeth Lobstein veuve du marchand Jacques Storck, Elisabeth Storck femme du marchand Léonard Wanner et Cléophée Storck femme du marchand Christophe Axt vendent deux maisons voisines au batteur d’or Georges Fischer. En marge, quittance donnée en 1615 à Georges Merg et Jean Philippe Spiegel, propriétaires des deux maisons

1608 (vt spâ [iij. tag Augusti]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 365
(P. fol. 299.) Erschienen der Ehr: Fr. vnd weÿß herr hannß hugwarth xv. d Straßburg vnd herr Johann Moock burger Zu Straßburg, bede Als geordnete ober vnd vnd. vögt Elizabeth Lopstein wÿland herrn Jacob Storck. des handelßmanns Alhie selig witwe, Item Lienhardt Wanner d. handelsmann burg. Zu Straßburg Vnd Elizabeth Störckin sein eheliche haußfr. So dann Christoff Axt handelsmann burg. Alhie vnd Cleophe Störckin sein eheliche haußwürthin derselbig. Elizabeth schwester bede wÿland obgedachtes Jacob Storck. hind.lassene döchter, haben (verkaufft)
Geörg Fischer dem goldtschlager, burgern Zu Straßburg So auch Zugeg.
Zweÿ haüser neben einand. sampt der hoffstatt höfflin, hind, hauß vnd Brunnen, geleg. hind. d. Kirschner stubenn geg. dem pfalgäßlin über, einsit neb. Jacob Schantzen dem Buchbinder, And.sit neb. Christoff N. dem schneÿd. hind. vff d. Becker knecht stuben stoßend, Dauon gend Ein pfund vier schilling pfenning Bodenzinß vff Martini fallend der Schuolen alhier, So dann xx gl glts Ablösig mit iiij gl Straßburger werung vff Mathiæ Apostoli Junckher hannß Christoff Wurmsern dessen schaffner h. Bläß Eg. Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Rht & Also das & Vnd Ist disser Khauff, vber hieuor bestimpte beschwerd. Zugang. vnd besch. für vnd vmb 440 pfund pfenning
Hiebey sind gewesen vff des Khoüffers seit. h. Wilhelm Binckellman sein schwag. vnd Ulrich Nodter d schuomach. burgere zu Straßburg
(vide in Reg. 1609. fol. 121. – vide in Reg: 1612. fol. 413.)
[in margine:] Erschienen h. Johann Mock Als vogt Elizabeth Lopffsteinin hatt in gegensein Geörg Fischers des Khöuffers (…) Quitt. Act. 3. Februarÿ Anno 1609.
[in margine:] Erschienen herr Lienhardt wanner vnd herr Christoff Axt beede mit verkhoüfere hieoben gemelt haben in gegensein Geörg Merg vnd hannß Philipß Spiegell beede besitzere vnd Inhabere der hierin geschriebenen heüßern (…) Quittirten, Actum 3. Februarÿ Anno 1615.

Originaire de Lübeck, le batteur d’or Georges Fischer épouse en 1606 Jacqueline (Blæs), veuve du batteur d’or Martin Kallhard : contrat de mariage, célébration
1606 (4. Febr.), Divers (63 Not 3), contrats de mariage
(Parchemin) zwischen dem Ehrenhafften Georg Vischern Goldtschlagern von Lübeck gebürttig an einem
So dann frawen Jacobeen weilandt Martin Khalhardts des Goldtschlagers burgers Zu Straßburg seligen hinderlaßenen Wittib am andern theil
durch underhandlung auch in beÿsein vnd persönlicher gegenerttigkeit der Ehrenhafften Ersamen und bescheidenen hanß Conradt Vischers schaffners Zum Trachenfels vnd Ulrich Notters schumachers burger alhie, vff des hochzeitters, So dann vff ihr der fraw hochzeitterin seitten Herr hanß Martin Reibers Notarÿ ihres vogts, herrn Wilhelm Pinckelmans beÿsitzer des grossen Rhats vnd Pauli Ledertzen buchhändlers ihrer Kinder vogts
auff Zinstag den 4. Februarÿ als man vor Christi vnsers heilands geburt gezalt 1606

Mariage, cathédrale (luth. p. 168)
1606. Dominica septuagesima den 16. Februarÿ. Jerg fischer von Lubeck* der Goldschlager vnd Jacobe Martin Kalhardt des goldschlagers witwe (i 88)

Martin Kallhard épouse en 1595 Jacqueline, fille du menuisier Philippe Blasius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 77, n° 41)
1595. Exaudi. Martin Kalhardt der goldschlager vnd Jacobe, Philipps Blasius des schreiners hinderlaßne tochter, Eingesegnet Montag nach Trinitatis den 16. Junÿ (i 42)

Georges Vischer devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu de l’Echasse
1606, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 869
Georg Vischer Von Leibeck der Goldschlager empfahet des B: vonn seiner haußfrawen Jacobe Martin Kalhart deß goldschlagers Witiben Will Zur Steltzen dienen. Actum 25 Martÿ 1606.

Georges Fischer hypothèque les deux maisons au profit de Guillaume Birckelmann

1609 (3. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 73-v
(Inchoatum. in Protho. fol: 95.) Erschienen Geörg Fischer der goldtschlag. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Wilhelm Bürckellmans burgers Zu Straßburg – schuldig sige 1000 pfund pfenning Straßburg
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Zweÿ heüser, neben eind. sampt deren hoffestett, höfflin, hind. hauß vnd Brunnen, gelegen Inn der Statt Straßburg, hind. der Kirschner stuben, geg. dem pfolgäßlin vber, einsit neben Jacob Schmutz dem Buchbünder, And.sit neb. Christoff N. den schneÿd. hind. vff der Becken Knecht stuben stoßend, Dauon gond j lb iiij ß d Bod. Zinses, vff Martini fallend, der schuolen Alhier, So dann xx gl gelts Ablösig mit iiij C gl Straßburg werung Junckher hannß Christoff Wurmser, dessen schaffner h. Bläß Eg. weÿther verhafftet für ein schuldt iij C xxxx lb d Zu Zÿlen Zuerleg. Fr. Elisabeth Lopffsteinin
(vid. in Reg. 1608. fol: 365.)

Georges Fischer et Jacqueline Blæs vendent une des deux maisons au tailleur Georges Merg et à sa femme Anne Stempffer. Le puits reste commun entre les deux maisons. L’eau qui tombe dans la cour des vendeurs s’écoulera par la propriété des acquéreurs.

1609 (ut spâ [xxiij tag. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 121-v
(Inchoatum. in Protho. fol: 124.) Erschienen Georg Fischer der goldtschlag. burger Zu Straßburg vnd Jacoba Bläßin sein eheliche haußfrauw (haben verkaufft)
Geörg Merg dem schneÿder burgern Zu Straßburg, vnnd Annen Stempfferin seiner ehelich. haußwürthin, So bede Zugeg.
hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Ihren gebeüen gelegen Inn de Statt Straßburg, hind. der Kürschner Zunfftstub. einsit neben den Verkhoüffern Vorbehalttener behausung Vnd Andersit nebent Jacob Schertzen dem Buchbünder, hind. vff der Becken Knecht Zunfftstuben stoßend, Dauon gond xij ß d Ane j lb iiij ß d Boden Zinß vff Martini fallend der schuolen Alhie daran die vbrig. xij ß d die Verkhöuffere von Ihrer Vorbehalttenen Behausung Zu geben schuldig, Item Zehen guldin gelts, Von vnd ane xx guldin gelts sammenthafft mit iiij C gl Ablösig Straßburger werung vff Mathiæ Apostoli Junckher hannß Christoff Wurmsern deß. schaffner h. Bläß Egen, daran die vbrig x guldin gelts die verkhöuffere vonn Ihrer Vorbehalttenen Behausung Zu Verzinsen pflichtig, Ahne welche beschwerd. obgenannte Khoüfferer Zum halben theil gewisen sein sollen (…), Weÿther Ist disse Jetzverkhauffte Behausung noch volljährig vmb 50 pfund & geg. hern Wilhelm Binckellman, Nach verschünung Acht Jahren wider Zu erleg. Sunst für freÿ ledig vnd eÿg. & Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist disser Khauff vber obbestimpte beschwerd. so die Kheüffer vber sich nemmen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 212 pfund
Vndt Ist hierin sonderlich. Abgeredt, Als zwisch. Ihnen die Verkhöuffern Vnd Khoüffern ein Brunnen Inn dem hoff stoth, So haben sie solchen Brunnen zwüsch Inen gemein wiwol tag Als nacht bestimpt denselben Inn gemein Zu gebrauch. vnd Zu Erhalten, Da dann sie ein gemeine scheÿdtwandt Inn das höfflin vnd darinn ein thier zum Brunnen Zugehen Zu machen vnd vff Zurichten schuldig sein sollen Vngeuorlich,
Ferner so würde Alles wasser so sich Inn d. verkhöuffere höfflin sammlet seinen vßgang vnd vßlauff Inn dem doulen durch der Kheuffere Behausung haben vnd behaltt.
Hiebeÿ sind gewesen h. Wilhelm Binckellman, Philipß Keller schindellspalt. vnd Michell Eckstein Nots.
(vide in Reg: 1608 fol. 365.)

Le tailleur Georges Merg épouse en 1598 Anne, fille du tisserand Jean Stempffer.
Mariage, cathédrale (luth. p. 32)
1598. Dominica Inuocauit. Jerg Merg der schneider, Anna Hans Stempfer des webers tochter (i 19)

Georges Merg hypothèque la maison au profit de la Chambre des contributions

1613 (ut spâ [Ersten Novembr.]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) n° 302
(Inchoat. fol: 307.) Erschienen M Jörg Merg der Schnyder
hatt In gegensein herr Heinrich Obrechts Rech. meÿsters alle beuelchaber vnßerer gnedigen deputirten heren der loßung Stuben denselben vffrecht vnd redlichen schulden schuldig sein 80 guldin 3 schilling 8 pfenning
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v. hofflin mit allen and. Iren gebeu gelegen Inn der S S hinder der Kürßner Zunfftstuben einseÿt neben Jacob Schentzen Buchbindern andersÿt neben Philipp Spenglern stoßend hind. vff die Becken knecht Stuben, dauon gen xij ß d boden Zinß der Schulen, Mehr 5 pfund pfenning gelts abloßig mit 100 pfund pfenning Johann Moocken vogtlicher wÿß, wÿther 10 guldin gelts Straßburger loßig mit ij C g deselben werung hans Christophel Wurmbßer, Mehr ij lb x ß gls widerkheuffig mit L lb d h Wilhelm Binckelman Sunst eÿg.

Jean Philippe Spiegel et Georges Merg hypothèquent leurs maisons contiguës au profit de la Tribu des Boulangers

1615 (iij. Februarÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 55
(Inchoat. in Proth. fol. 41.) Erschienen hannß Philipß Spiegell der Balbierer vnd Geörg Merg der schneÿd. burger Zu Straßburg
haben bekhandt vnd in gegenwertigkeit h. Geörg Boch vnd h. Gall Geloner burger Zu Straßburg beder Inn nammen vnd von weg. einer ersammen Zunfft Zun Beck. – schuldig sigent 100 pfund Straßburger
Zum vnderpfand eingesetzt hauß, hoffestatt, hofflin vnd hind.heußlin mit Allen Ihren gebeüwen & geleg. Inn d. St. St. hind. d. Kirschner Zunfftstub einseit neben dem nachgeschriebenen hauß vnd and.seit neb. Heinrich Pleicher dem kirschner hind. vff d. Becken Knecht stub stoßend, dauon gnd xij ß d Bod. Zinß der schuelen alhie, Mehr x gld Abloßig mit ij ß gl werung herrn Bläß Eg. in schffnerswÿß, So dan sind sie noch verhafftet vmb j C xxxx lb Elisabeth Lopffsteinin selig erb. Sunst ledig eÿg
Deßgleich. so Verlegt Geörg Merg hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß mit Allen Ihren geb. & glg Inn d. St. St. Auch hind. d. Zunfftstuben kirschner einseit neben dem vorgeschriebbene hauß, And.seit Jacob Schantz dem Buchbind. hind. vff Becken knechtstub. stoßend, dauon gen xij ß Bod. Zinß d. schuolen, Mehr L gl geld Abloßig mit ij C gl werung Bläß Eig. In schaffners wÿß So dan sind sie wÿther verhafftet vmb L. lb Elisabeth Lopffsteinin s erben Vnd für L lb d herrn Wilhelm Binckellman Rathhern
[in margine :] Erschienen h. Geörg dambach Jetziger Zunfft meister der Becker, hatt in gegensein Georg Merg vnd Michel Kleinen des küeffers (…) Actum den 12.ten Februarÿ Anno 1723
(vide Nachtrag in Regist. 1632. fol. 547)

Le commissaire priseur Georges Merg se remarie en 1628 avec Amélie Fessmann, originaire de Geudertheim, qui a épousé en 1600 le cordier Léonard Hetzel puis en 1611 le teinturier Jean Thiébaut Ehrstein
Mariage, cathédrale (luth. p. 260)
1628. Dominica 14 Trin: 14 7.bris. Geörg Merg der gantkeüffler, vnd Amelia Hans Thiebold Ehrstein des Zollers an der Rheinbruck n. witwe. Eingesegnet Zinstag 30. 7.bris (i 135)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 124-v, n°34)
1611. 9. April. Hans Diebolt Ehrstein der Ferber, Amelia, Lienhart Hetzels Seilers S. wittib (i 127)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 66 n° 5)
1600. Lienhart Hetzel der Seiler J Amalia diebolt feßman des Kieffers Von Geidertheim tochtern den 29. Januarÿ (i 68)

Le commissaire priseur Georges Merg meurt en délaissant un fils issu d’Anne Stempffer, Jean Martin Merg, pasteur à Ostwald. L’inventaire est dressé dans la maison des subhastations. La masse propre au veuf présente un déficit de 197 livres, celle des héritiers s’élève à 495 livres. L’actif de la communauté s’élève à 36 livres.
1634 (12.2.), Not. Oesinger (David, 37 Not 3) n° 5
Inventarium undt Beschreibung Aller undt Jeder haab, Nahrung und Güettere, ligend und Vahrender, So weÿlandt der Ehrengeachte Mr Georg Merg gewesener burger und Ganthkäuffler alhie Zue Straßburg nach seinem Tödlichen ableiben verlaßen vnd auff erfordern, ansuchen und begehren des Ehrwürdig vnd wohlgelehrten herrn M. Johannis Martini Mergÿ wohlverordneten Pfarrherrs Zu St. Oßwaldt und Burgers alhier des Verstorbenen seligen mit weÿl. der Ehren: vnd Tugendsamen Frawen Annæ Stempfferin seiner ersten haußfrawen selig. ehelich erzeügter vnd nach Todt hinterlaßenen Sohns, alß rechtmäsigen eintzigen ab intestato Erben fleißig ersucht, Inuentirt durch die auch Ehren und Tugendsame fraw Ameliam Fäßmännin mehr bemelten verstorbenen Geörg Merg. seligen nachgelaßene wittwe mit beÿstand des Erbaren vnd bescheidenen Samuel Schragen desSeÿlers und burgers alhie Ires geschwornen Vogts (…) Actum Straßb. Michaels den 12. Februarÿ A° 1632.

In Einer Behaußung Alhie Zu Straßburg So Erstgemelter Gemeinen Statt Zugehörd und das Ganthauß genandt würdt Ist befund. worden wie volgt
Ahne Haußraht, Vff der Obersten Bünn, Vff der Andern Bünn, In der Cammer A, Vor dißer Cammern, In der Cammer B, In der Cammer C, Im Haußöhren, In der Cammer D, Im Haußöhren, In der Kuchen, In der Stuben, Im Conthor, Im Keller
Haußrath, Wittwe 23, Erben 52, Theilbar 12, Silbergeschirr und geschmeids E. 13.,Baarschafft E. 1, Guldin Ring W. 5, Summa summarum der Erben unverändert Gueths 68 lb
Schulden ins erb T 36, Sa. der Witwen unveränderten Nahrung 109 lb – Schulden aus dem Erb W 60
Summa summarum des Theilbaren verlaßenschafft 36 lb – Schulden aus dem Erb T 46, Detrahendo 10 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 32 lb

La maison revient au fils pasteur Jean Martin Merg qui épouse en 1632 Anne, fille de l’aubergiste Chrétien von Mutzig

Mariage, cathédrale (luth. p. 307)
1632. Doîca 60. 5. Februar: H. M. Johannes Martinus Merg pfarrer Zu Oswald, Georg Merg gant keüflers sohn vnd J. Anna Christman von Mutzig des weinschencken n. tochter. eingesegnet Zinstag den 14. februa: (i 158)

Pasteur à Ostwald, Jean Martin Merg vend en 1633 la maison à Emanuel Mentel, pasteur à Dorlisheim

1633 (8. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 174
(Protocollat. fol. 44.) Erschienen herr M. Johannes Martinus Merg, Pfarrer Zu Illwickerßh.
hatt in gegensein H M. Emanuel Mentelÿ, Pfarrers zu dorolßheim (verkaufft)
hauß, hoffstat, höflin vnd hinderhauß, mit allen andern ihren gebäwen & alhie hind. der Kürschner Zunfftstuben gegen dem Pfahlgäßlin vber neben Michel Kleinen dem Küeffer & Christoff Schentzen dem Buchbinder hind. vff der Becken knecht stuben, stoßend gelegen, dauon gehen Jährlichen 12. ß d. bod. Zinß der Schulen alhie, Item Zehen gld. geltd S. wehr: vff (-) Fr. Hanna Bawmännin in haubtgut mit 200. gld. besagter werung abzulösen, sonst ledig eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwd. so der Käuffer vff sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 390 fl.

Pasteur à Saint-Jean d’Obernai, Emanuel Mentel épouse en 1619 Marthe, fille du geôlier Jean Bentz. Le mariage proclamé à Saint-Pierre-le-Vieux est célébré à Gertwiller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 147-v)
1619. 9. Martÿ zu gertweiler. H. Mag. Emanuel Mentel Pfarrer zu S. Johann beÿ Ober Neheim, J. Martha Hans Bentzen Turnhütters Tochter (i 152)

Emanuel Mentel est nommé pasteur de Saint-Guillaume
1642 Conseillers et XXI (1 R 125)
(f° 131-v) Sambstag d. 22 Octobr. – Mr Emanuel Mentelio würdt d. Pfarr Ampt Zu St Wilhelm conferirt.
H. Frantz referirte d. Verschienenen Mittwoch die wahl des Pfarrers Zu St Wilhelm Verrichtet word. Vnd wehren die Maiora vff H. Mentelium gefallen. Erk. Ist confirmirt word.

Diacre à Saint-Guillaume, Emanuel Mentel revend la maison à Jean Martin Merg.

1636 (ut spâ. [30. Xbris]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 1032-v
(Protocoll. fol. 162. fac. 2.) – Erschienen H M. Emanuel Mendel Diaconus Zu S. Wilhelm alhie
hat in gegenwärtigkeit H. M. Johann Martin Mergen Pfarrers Zu Illwickersheim (verkaufft)
hauß, hoffstat, höflin unnd hinderhauß mit allen andern ihren gebäwen & alhie hinder der Kürschner Zunfft stuben gegen dem Pfahlgäßlin vber, neben Michel Kleinen dem Küeffer & Christoff Schentzen dem Buchbinder, hinden vf der Becken Knecht stuben, dauon gehen Jährlich 12. ß d. bodenzinß der Schulen alhie, Item 10. fl. gelts Straßburg Wehrung Fr. hannß Bawmännin in hauptgut mit 200 fl. w. abzulösen sonst eÿgen, Vnd were dißer Kauff vber die beschwerd geschehen per 390. fl. & 15. bz.
(vide in Regist. 1633. fol. 174.)

Anne von Mutzig se remarie en 1648 avec le pelletier Jean Werdemann : contrat de mariage, célébration
1648 (21. Feb.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25)
Eheberedung – Zwischendem Ehrenthafften und bescheidene Johann Werdemann ledigen Kü[rsner] H Johann Werdemanns burgers vnd K[ürsners] alhier eheleiblichem Sohn Als Brä[tigam an Einem,
So dann der Ehren undt [tugend]reichen Frawen Anna von Mutzig, weÿl. des Ehrwürdig. und wohlgelehrten [Herrn] Martini Mergen gewesenen [-] Pfarrh. Zue Illwickerßheim hi[nter]laßener Wittiben als Hochzeiterin
Geschehen den 21. Feb. A° (1648)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 35-v)
1648. In Festo paschatis. hans Werdemann d Kürschner hanß Werdemann deß kürschners alhie ehelicher Sohn, Vnd Fraw Anna h Martin Merg des Pfarrers Zu Oßwald nachgel. wittib. Copulirt 10 Aprilis .J. St. Pet. (i 46)

Jean Werdemann et Anne von Mutzig hypothèquent la maison au profit de Jacques Schœpff

1650 (11. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 670-v
Erschienen hannß Werthemann der Kürßner und Anna von Mutzig sein eheliche haußfr. und Sie Anna insonderheit mit beÿstand H Adam Burckhardts und H Philipß Eckerts beeder alß vß E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
haben in gegensein Jacob Schöpffen – schuldig seÿen 50. lib
Underpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie gegen dem Pfahlgäßlin hienüber neben Michael Kleinen dem ältern Kieffern ein und anderseit neben Christoph Schentz. dem Buchbind. hind. vff der Beckhenknechtstub stoßend gelegen, so Zuvor verhafftet umb 200. fl. dem Stifft Allheilig. und 50. fl. E.E. Zunfft der Beckh.

La maison revient à Jean Georges Merg, fils du pasteur Jean Martin Merg. Pelletier, il épouse en 1662 Barbe Bœhler, fille du tonnelier Pierre Bœhler : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsam v. bescheidenen Meister Hannß Georg Mergen dem ledig. Kürschner weÿl. deß Ehrwürdig. v. wohlgelehrten H. M. Johann Martin Merg. geweßenen Pfarrherens Zu St. Oßwaldt burgers in Straßb. ehelichem Sohn alß bräutigam Eines and. theils aber d. Zuchtig. v. tugendsamen Jgft. Barbara, weÿl. deß Ehrsam v. bescheidenen Mr Peter Böhlers gewesenen Kieffers. burg. alhier Ehelichen Tochter, als hochzeiterin, auch darbeÿ in beÿsein v. durch unterhandlung d. Ehrengeachten Ehrsam v. bescheiden Mstr Michel Kleinen Kieffers sein deß Hochzeitters geschwornen Vogts (…) vf sein deß hochzeitters, vf Ihro d. Jfr. Hochzeiterin seit aber Meister Sebastian Zittelmeÿers Ihres Vogts vnd Mr Hannß Jacob Geügers d.selben Stieff V. beede Kieffer allerseits burg.e alhier alß beÿständere (…) beschrhen seind dise ding in deß heÿl. Reichß freÿ. Statt Straßb. vf Montags d. 26. Maÿ Anno 1662.. L. Dreüttel Nots. – Coll. 1. Aug. Anno 671. Johann Christoph Werbeckh Notarius Cæsareus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 48-v)
1662. Dom. VI. Trinitatis d. 6. Julii. Johann Geörg Merg der Kürschner Weiland H. M. Johann Martini Mergen, geweßenen Pfarrer zu Oswald hinterlassener Ehelicher Sohn, vnd J. Barbara, Weiland Peter Böhler, Küeffer v. burgers allhie hinderlaßener Eheliche Tochter Copulirt Mont. .d 14. Julii Zu St Thoman (i 53)

Jean Georges Merg et Barbe Bœhler meurent à quelques jours d’intervalle en 1688 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Chandelles près de l’auberge des compagnons tailleurs. La masse propre aux héritiers se monte à 160 livres. L’actif de la communauté s’élève à 425 livres, le passif à 720 livres.

1688 (11. 8.br), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6043) n° 214
Inventarium undt beschreibung aller u. jed. Haab undt Nahrung so weÿl. d. Ehrengeachte Herr Hanß Georg Merg, Kürßner u. die tugendsame Barbara Bölerin, beede gewes. Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg, darund. d. Mann d. 30. Aug. Jüngst u. die fraw d. 10. 7.br. Zeitlich Verstorben hind. Ihnen verlaß. welche v.laß.schafft auf freundliches ansuch. erford.n u. begehren des Ehrengeacht. Joh: Christian Roosers, Schneids. u. burgers alhier als geordnet : u. geschwornen vogts Jgfr. Annæ Elisabethæ, Jgfr. Mariæ Margarethæn Johannis, Hanß Georg, Annæ Barbaræ u. Mariæ Salome, d. beed. Verstorb. Eheleüth. ehelich mit einand. erzeugt. Kind. u. ab intestato nachgelaß.er Erben, vorgenommen, durch die beede ältiste döchtere (…) geäugt und gezeigt (…) welches bescheh. in Straßb. Montags d. eilfft. 8.bris Anno 1688.

In der Cammer A, In d. Cammer B, In d. wohnstuben, In d. Hindern Cammer, Im und. haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb an einer behausung. Item ein hauß, hoffstatt und höffl. mit allen deßelben rechten, weithen und Gerechtigkeiten Inn dieser Statt Straßburg, in d. hellen liecht. gaß gegen dem Pfal gäßlein mit einer seithen neben hans Georg Wÿdtmann Küeffern und mit d. anden seithen Melchior Linck Schneidern gelegen, und hinden auff d. Beckenknecht stub stoßend, davon gehen Zuvor 10 guld. Straßburger Wehrung Jährl. vff Matthiæ Apostoli ablößig mit 200 fl. berührter wehrung, d. wohl Edlen fr. Jannæ Bawmännin, Item ein pfund 5 schilling Gelts Jährl. vff Michaelis Ist inn hauptguth wied. abzulösen mit 25 lb. E. E. Zunfft d. Becken, So dann 12 ß d boden Zinß d. hohen schul dieser Statt Str. sonst allerdings freÿ ledig undt eigen und ist hiehero über jetzt gehört beschwerd. angeschlagen. undt gewürdiget per 125. Darüber ist beÿ Gegenwärtig. Inventation kein brieff befunden worden.
Copia d. Zwisch. beed. Verstorben. Ehegemecht nunmehr seel. mit einand. auffgerichtet. Eheberedung
Volgt nun hierauff due Inventaôn u. beschreibung d. v.laßschafft für und ane sich selbst.
Der Frawen seel. Erben ohnverändert. Eÿgenthumb Vermögen,
Inn einer inn d. Statt Straßburg inn d. hellenliechten gaß beÿ d. Schneid. Knechtstub gegen dem Pfahlhäßel gelegen, inn dießer v.laß. gehörig, hernach beschrieben theilbaren behaußung befund. word. wie volgt, Sa. haußraths 22, Sa. Guldener Rung 2, Ergäntzung, auß den Theil register über weÿl. Peter Böhlers gewesenen Küeffers undt burgers alhier Zie Straßburg d. frawen Vatters seel. Verlaßenschafft in Anno 1658. d. 15. Martÿ von Jeremia Ursino Noto. publ. auffgerichtet (147, gehet wied. ab 11, verbleibt) 135, Summa summarum 160 lb
Auf solches und endlich wird nun auch d. gemein verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 55, Sa. Werckzeugs u. wahren Zum Kürßner handwerck gehörig 163, Sa. frucht 22, Sa. weins u. lerher vaß 11, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 23, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 125, Sa. Schuld 22, Summa summarum 425 lb – Schulden 720 lb, Gegen einandergehalten, 292 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 185 lb
Copia der Eheberedung – (…) beschehen seind dise ding in deß heÿl. Reichß freÿ. Statt Straßb. vf Montags d. 26. Maÿ Anno 1662.

Premier compte que rend le tailleur Jean Chrétien Roser à ses pupilles, enfants de Jean Georges Merg
1692, Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6277) n° 349
Rechnung Mein Johann Christian Roosers, Schneiders burgers alhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrawen Mariæ Margarethæ, Johannis, hannß Georgen, Annæ Barbaræ undt Mariæ Salome, weÿl. hannß Georg Mergen, gewesenen Kürschners undt auch weÿl. frawen Barbaræ Böhlerin, beed. Eheleuth burgere alhier zu Straßburg seel. nachgelaßener fünff Kind. inhaltend was ich seit dem 11. 8.bris anno 1688. als Von der Vätter: undt Mütterlichen Inventation ahn bis d. 23.ten febr. anno 1692. berührter vogts Persohnen halben, so wohl eingenommen als außgegeben und sonsten vögtlicher weiß verrichtet undt verhandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogeÿ

Deuxième compte
1693, Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6135) n° 379
Rechnung Mein Johann Christian Roosers, Schneids. burgers alhier Zu Straßburg als geordneten undt geschworenen Vogts Johannes, hannß Georg, annæ Barbaræ undt Mariæ Salome, weÿl. hannß Georg Mergen, gewesenen Kürßners undt auch weÿl. frawen Barbaræ Böhlerin beed. Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg nachgelaß.er 4. Kind. inhaltend waß ich seit d. 23. februa. 1692. biß Ostern 1693. von vorig. abgelegter erster Rechnung berührter Vogts Persohnen halb. eingenommen dahien geg. wied. außgegeben und sonsten Vögtlich. weiß Verhandelt habe. Andere Rechnung dieser Vogteÿ

Les enfants et héritiers Merg cèdent la maison à leurs créanciers. En marge, acte par lequel les créanciers restituent la maison moyennant 600 florins

1689 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 153
Elisabetha gebohrne Mergin, hans Martin Mentzers, deß Kirßners haußfr. mit beÿstand deßelben, Maria Margaretha Mergin noch ledig. stands aber majorennis mit beÿstand Johann Christian Rosers deß Schneiders Ihres Vogts, So dann Er Roser auch alß vogt deroselben noch jüngern 4.Geschwistrige alle alß weÿl. hans Georg Mergen gewesenen Kirschners hinderlaßene Kinder
in gegensein H. Johann David Trahners, deß handelßmanns und E.E. großen Raths beÿsitzers, Hn Johann Jacob Bleichers, auch handelsmannss und ged. Ers. Raths alt. beÿsitzer, H. Johann Michael Emmerich und H. Matthæi Höllbecken genant Böhm, beed. handelsßleuthe, angezeigt und bekandt demnach Sie obgem. H. Trahner, H. Bleicher, H. Emmerich und Böhm an obgem. hans Georg Mergen seel. Verlaßenschafft starcke prætensiones zu formiren, alß hätten sie ged. Merg. Kind. respect. deren Ehe und Vogt krafft deß am 28.t. Febr. jüngst beÿ EE Großen Rath referirt und Obrigkeitlich confirmirt. Vergleichs Ihm benandt. Vier Hhn Creditoribus an bezahlung überlaßen
beneb. übrig. völlig. vätterlich. Verlaßenschafft activé & passive vberlaß. haben in spec. hauß, hoffstatt, höfflein und hinderhauß, mit allen andern Ihren Gebäuen, begriffen Recht und zugehördt. allhier hind. d. Kürßner Stub geg. dem Pfahlgäßlein, einseit neben hans Georg Widmann dem Küffer anderseit neben Melchior Linck dem Schneid. und Mehlwäg. hind. auff die Beckenknechtstub stoßend geleg., darvon gehen jährlich 12 ß d bodenzinß der Hohen Schul allhier, so seÿe dieselbe auch umb 200 fl. Straßb. wehr. der Rothen Kirch, Item umb 50 fl. der Becken Zufft allhier, So dann umb 100 pfund d Capital denen obged. Mergischen vier jüngst. Kindern gehörig, so die Hh. Creditores resp. Cessionarÿ von obged. Vogt hierbeÿ baar empfang.
(…) Und ist darbeÿ insond.heit verglich. daß im fall solche behaußung künfftighin wid. solte verkaufft werd. die Mergische Kind. samentlich d. verkauff 600 fl. wid. haben solle, Fürs eins, Fürs andere daß die Verkauffung innerhalb Vier jahr nicht gescheh. soll
[in margine :] Erschienen hierinn gemeldte Mergische Creditores in Specie H. Trahner und H. Bleicher beede E.E. Großen Raths alte Beÿsitzer, wie auch H. Emmerich und H. Böhm beede handelßleuthe, haben in gegensein deß hierinn gemeldt. hans Martin Mentzers Ehevögtlicher und Johann Christian Rosers Vögtlicher weiß angezeigt und bekandt, daß hierin getroffenen Vergleich gemäß die Mergische Creditores, Ihme Mergische gesambte Kindern die hierin vormals in solutum abgetrettene behaußung umb die accordirte 600 fl. wider Zurück cedirt haben – den 2. Mart. 1693

Les enfants et héritiers Merg vendent cinq sixièmes de la maison au pelletier Jean Martin Mentzer et à sa femme Marie Elisabeth Merg, cohéritière

1693 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 266
Christian Roser, der Schneid. alß Vogt weil. hans Georg Mergen, gewesenen Kirßners sel. nachgelaßener noch ledig. 5. Kind.
in gegensein hans Martin Mentzers, deß Kirßners und Mariæ Elisabethæ gebohrner Mergin
Fünff Sechste theil ane hauß, hoffstatt, höfflein und hind. hauß, auch Gemeinschafft deß Bronnens, mit allen andern deßen Gebäuen, recht. und zugehördt, allhier hind. drr Kirßner Stuben, geg. dem Pfahlgäßlein, einseit neben hans Georg widman dem Kieffer and. seit neben David Farrenschon, dem Caminfeger, hinden auff die Beckerknecht Stub stoßend, darvon gehend jährlich 12 ß d Erblehen Zinß der hohen Schuel allhier, Sonsten seÿe dieselbe auch noch umb 100 lb Capital denen Mergischen Vier Kind., und umb 50 fl. od. 25 lb Capital (auch umb 100 lb Capital verhafftet), umb 42 pfund

Fils du pelletier André Mentzer, Jean Martin Mentzer épouse Elisabeth Merg en 1688
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 9)
1688. Mittwoch den 24. 9.bris 1688. ist (…) nach gewohnlicher Proclamation, So 22. et 23. Trinitatis geschehen, copulirt worden, Hanß Martin Mentzer, der ledige Kürschner H Andreas Mentzers, Burgers und Kürschners Allhier Ehelicher Sohn, mit Jungfrawen Elisabetha weiland Johann Georg Mergen, gewesenen Burgers und Kürschners allhier Hinderlaßenen Ehelichen Tochter [unterzeichnet] hanß Martin Mentzer, haltz hozeittern Elisabtea mergin haltz ho Zeiterin (i 11)

Les acquéreurs hypothèquent un mois plus tard la maison au profit de Susanne Schneider

1693 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 421-v
hans Martin Mentzer, der Kirßner und Anna Elisabeth gebohrne Mergin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Tobiæ Werdenmanns, deß Kirßners und Peter Böhlers deß Kieffers ihrer beeden Vettern
H. M. Johann Michael Rebhans E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers alß Vogts Susannæ Schneiderin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein und hind. hauß, mit allen deren Gebäuen, rechten und Zugehördt. allhier hind. der Kirßner Stuben gegen dem Pfahlgäßlein, einseit neben hans Georg Widmann, dem Kieffer, anderseit neben David Farrenschon, dem Caminfeger, hind. auff die Beckenknecht stub stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 12 ß d. Erblehen zinß der hohen Schul allhier /:mit deren Consens auch dieße auffnahm geschehen, doch salvo dominio directo, welches hierdurch nicht verpfändt wird, wie H. Johann David Erhard, J.U.Ltus und Schaffners d. ged. hoh. Schul hierbeÿ anzeigte und erklärte:/

Jean Georges Widmann et Anne Dorothée Theurkauff s’accordent avec leurs voisins Jean Martin Mentzer et Anne Elisabeth Merg au sujet du puits. Les conjoints Mentzer abandonnent toute prétention sur le puits, avec l’accord de l’Université, détentrice du domaine direct.

1693 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 548-v
Hans Georg Widmann, der Kieffer und Anna Dorothea gebohrne Theurkauffin, mit beÿstand H. Johann Marbachs E.E. Kleinen Raths Procuratoris an einem
So dann hans Martin Mentzer, der Kirßner und Anna Elisabetha Mergin, mit beÿstand Hn Christoph Wehrle, auch Kirschners und E:E: Kleinen Raths beÿsitzers, am andern theil
demnach Er Widman und Er Mentzer Zweÿ neben einander in der heÿligen Liechtergaß, hinder der Kirschner Stub gegen dem Pfahlgäßlein über gelegene haüßer besitzen, welche beede Erblehen, daran d. dominium directum der hohen Schul allhier gehörig, under seinem widmanns tach aber ein bronnen befindlich, zu welchem Mentzer den Zugang und gemeinen gebrauch /:vermög seines Kauffbrieffs:/ prætendiert, welches aber Er Widmann, alß in deßen Kauffbrieff darvon nichts befindlich, nicht gestatten woll. darüber beede Part. in einem bereits angespannenen process verwickelt word. Alß hätten Sie Zu erhaltung guter Nachbar schafft durch vermittlung obbemeldter Hhn. beÿständer sich darüber guthwillig verglich. alß hernach folget,
Nemblich und für das erste, so renuncirt Er Mentzer und deß. haußfr. für sich, ihrer Erben und Nachkommen, auff alle Ansprach solchen bronnens und über laßen solchen Ihme Widmann, und deßen haußfr. auch all. Ihren Erb. und Nachkomm. gantz allein, denenselben all deßhalben gehabte jura & actiones absq. novatione cedirend, mit übergab d. feder, dahingeg. und für d. andere so hat Er Widmann /:und Zwar auß den Mitteln seiner haußfrauen, welche Er deßweg. auff ged. behaußung versicherte:/ Ihme Mentzern baar erlegt und würcklich bezahlt 28 pfund (…) Endlich ist auch hierbeÿ persönlich Erschienen H. Johann David Erhard, J.U.Lt. Und Schaffner d. hohen Schul, der hat angezeigt, daß solche transaction mit vorwißen und Genehmhaltung der HH. Scholarchen, doch absq. præjudicio dominÿ directi, geschehen seÿe

Martin Mentzer fait grief à Georges Fenger de Blæsheim de lui avoir livré du mauvais vin. La faute revient au tonnelier Jean Georges Widmann qui a livré un mauvais tonneau.
1695, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 25) Montags den 14. Novembris Anno 1695 – H. Martin Mentzer d. Kirschner Kläger Ctra Georg Fenger von Bläßheim beklager, berichtet Kläger, daß beklagter Ihme 10 Ohmen schimmlicher wein gelieffert, begehre andern wein von Ihme, beklagter berichtet daß Er Ihme guten wein geliefert, hanß Georg Widman d. Küeffer habe ein schimmliches Faß darzu geben der hat Sicher erklärt Ihme andern wein Zu verschaffen, darbeÿ es verblieben.

Jean Martin Mentzer et Anne Elisabeth Merg vendent la maison au commissaire priseur Jean Charles Roth

1699 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 144-v
hans Martin Mentzer der Kirßner und Anna Elisabetha geb. Mergin
in gegensein H. Johann Carl Rothen deß ganth Kaüfflers
hauß, hoffstatt, höfflein und hinderhauß, auch gemeinschafft deß bronnens, mit allen deßen Gebaüen, Recht. Und Zugehördt. allhier hinder der Kirßner Stuben geg. dem Pfalgäßlein, einseit neben den Kaüffer selbsten as. neb. David Böttiger dem Caminfeger hinten auff die Beckerknecht Herberg stoßend geleg. darvon gehen jährlich 12 ß d Ewig, Erschätzig, fürbietigen Erblehenzinß der hohen Schul allhier, so seÿe solche auch noch umb 100 lb capital d. Roth. Kirchen verhafftet – mit wißen und Consens er hohen Schuel, gestalt. solches H. Johann Conrad Fritz, Schaffneÿ Substitutus anzeigte, geschehen umb 250 pfund

Fils du commissaire priseur Tobie Roth, Jean Charles Roth épouse en 1674 Ester, fille du cordonnier Jean Georges Schrimpff
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 178-v, n° 24)
1674. Dom: Iubilate. uml 2. mahl Johann Carl Roth der Schneider [Tobiæ] Rothen des Gandtkeufflers allhie ehel. Sohn, Jfr. Ester Johann Georg Schrimpffen Schumachers und Burgers alhier ehel. T. Dienstags den 28.ten Maji, Münster (i 181)

Jean Charles Roth se remarie en 1696 avec Anne Barbe Ruprecht, fille du brasseur Jean Georges Ruprecht, épouse en premières noces (1682) du brasseur Jean David Zeiss
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 70, n° 383)
1696. Mittw. d. 19. 7.br wurd. nach Zweÿmahliger außruffung eingesegnet Johann Carl Roth der Inventier v. gantkäuffler alhie v. Fr. Anna Barbara weil. Johann David Zeÿßen gewesenen Bierwürths Zum sternen allhier nachgelaß. wittwe [unterzeichnet] Johann Carl Roht der keiffler als hochzeyter, Anna barbare rotin als hochzeitrin (i 69)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 103, n° 608)
1682. H Johann David Zeiss d. burg. u. biersied. allhier, Jfr. Anna Barbara weÿl. Johann Geörg Ruprechts burg. und biersied. allhier eheliche tochter. Cop. St thomæ d. 22. octbr. (i 53)

Vente de meubles de la succession de Jean Charles Roth
1702 (21.2.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Verkauff und Looßregister Innhaltend Waß abe weÿland herrn Johann Carl Rothen, gewesenen Ganth Käufflers und burgers zu Straßburg, nunmehro seel. hinterlaßener dreÿer Kinder zweÿter Ehe Mobilien erlößt worden, auffgerichtet 1702.
Zuwißen, daß, nachdem weÿland Joh. Carl Roth, gewesener Ganth Käuffler und burger zu Straßburg, Jüngsthin dießes Zeitliche Gesegnet und darauff deßelben Verlaßenschafft durch beeÿdigte persohnen inventirt gewesen (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 3 100 florins
1702, Livres de la Taille (VII 1173) f° 140-v
(Mörin, N° 546) Weÿl: H Johann Carl Rothen deß geweßenen Ganth und burger Käufflers hinterlassenes Vermögen, Inventirt Herr Notarius Ösinger.
Die Beschluß Summa Inventarÿ ist fol: 95.b 1577. lb, 18 ß 4 d, die thun 3100. fl. verstallte 3000 fl. und also 100 fl. Zuwenig
Von welcher nun der Nachtrag gerechnet wird auff fünff jahr in duplo macht à 6 ß 1 lb 10 ß, Und auf vier jahr thut à 3 ß, 12 ß,
Item so thun die Gebott 2 ß,
So dann ist pro die abhandlung 2 lb 12 ß 6 d, Summa 4 lb 17 ß 2 d
Darzu kombt das Stallgelt pro 1702, 5 lb 17 ß, Summa 10 lb 14 ß 2 d

Compte que rend le cordonnier Jérémie Schmidt le jeune de la gestion des biens qui appartiennent à ses pupilles, les trois fils issus du premier mariage de Jean Charles Roth
1703 (Ann: Mar:), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 6) n° 124
Rechnung Mein Jeremiæ Schmidten deß Jüngern Schuhmachers undt burgers Zu Straßburg, alß geordnet und geschworenen Vogts weÿl. H. Johann Carl Rothen, geweßenen Ganth: vndt burger Käufflern allhier mit auch weÿland frawen Esther Rothin gebohrner Schrimpffin seiner erstern haußfrawen seel. ehelich erzeugter dreÿer Sohn, Nahmens Johann Georgen, geweßenen ledigen Schiffknechts nunmehr auch seel. Johann Carl vndt Johann Philipp Rothen, der dreÿen Gebrüder, inhaltendt waß ich vom 20.ten Januar. 1702 biß Annunciationis Mariæ 1703. dießer Vogts Persohnen halben eingenommen undt hingegen widerumb außgegeben, oder in anderer weege vögtlicher weiß verrichtet und verhandet habe. – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Eÿgenthumb ane Häußern. Waß die Inn der Kieffergaß gelegene in dem vätterl. Verlaßenschafft Inventario fol. 50. beschrieben

Anne Barbe Ruprecht se remarie en 1713 avec l’aubergiste Jean Michel Arnold
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 246, n° 1070)
1713. Mitwoch den 1.ten febr. Sind nach 2. mahl. Proclamation ehel. copulirt worden Hanß Michael Arnold der ledige wirth weÿl. Hanß Michael Arnold gew. b. und wirths alhier, hinterl. ehel. Sohn vnd fr. Anna Barbara weÿl. Johann Hen. Rothen gew. b. vnd Ganthkäufflers hinterL Wittib [unterzeichnet] Johann Michael Arnold als hochzeiter, Anna barbara rothin (i 245)

Anne Barbe Ruprecht meurt en 1719 en délaissant deux enfants issus de Jean Charles Roth. L’actif de la succession s’élève à 650 livres, le passif à 112 livres.
1719 (4. 9.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 46) n° 23
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahr: so weÿl. die Ehrn: u. tugendsahme Fr: Anna Barbara Arnoldin gebohrnene Ruprechtin, Joh: Michel Arnolds deß Außgetrettenen Würths u. burgers allhier gelaßene Ehefr., nach ihrem den 6.ten 8.bris Jüngsthien genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern u. begehren 1. deß Ehrsam u. bescheidenen Johann Friderich Rothen, ledigen Schneiders, so Majorennis aber beÿständlich deß Ehrenvest u. weißen Hn Emanuel Wehners Schwartzbecken und E.E. Kleinen Raths beÿsitzers u. 2. der Ehren und tugendsahmen Jfr. Annæ Barbaræ Rothin beÿständlich deß Ehren Vorgeachten Hn Theobald Paul Müllers Küeffers u. burgers allhier Ihres geschwornenn Vogts beeder der Jetzt abgeleibten fr: seel: mit weÿl. Hn Joh: Carl Rothen geweßenen Ganth Kaüfflern u. burger allhier In zweÿter Ehe erzeugter Kinder und Erben
Bericht u. respe. Vergleich, der Verstorbenen frawen seel. angegebenen Aber wegen überfallener blödigkeit nicht in Völligen Stand gebrachte Disposition. Es hat die Abgeleibte fraw seel. in Ihrer Kranckheit mich unterschriebenen Notarium auff Mittwoch den Vierten octobris dießes Zuend lauffenden 1719.ten Jahrs, zu sich vor Ihr Krancken beth bescheiden laßen und auff beschehenes Erscheinen, In beÿsein H. David Montforts Ihres Curatoris, frawen Catharinæ H. Theobald Paul Müllers deß Küffers Haußfrawen und frawen Margarethæ Weÿl. Joh: Georg Mecken deß Küffers seel. Wittib angezeigt, daß Weilen Sie Ihr Sohn Johann Friderich Roth, der Ledige Schneider ein Merckliches gecostet, Sie Ihrer dochter Annæ Barbaræ Rothin all Ihre umb und an Ihren Leib gehörige Kleÿder und Weißen Gezeug so viel sich nach Ihren seel. Absterben befinden wird, Item Ihr best außbereitetes beth, alß Under: und deckbeth, schulter und haupten Küßen (…) in baarem geld 10 Guden Zu einem prælegat Zuverdordnen entschloßen seÿ, deßwegen mich Notarium requirirt, deß Ich solch Ihre Dispositionem ad notam nehmen und in beÿsein einiger Zeügen den gebührenden Actum darüber halten wolte. Als aber Ich der Nots: solches zu papÿr Gebracht und darauff den Actum zu Vollziehen mich wider Angemeldet, Ist Sie Immittelst mit einer hefftigen, hitz dargestalten überfallen worden, daß Sie Kein wortt mehr zu andtwortten vermochte, an welchem Zustand sie auch am zweÿten tag hernach seelig verschieden (…) Actum Straßburg den 7. 9.br. A° 1719

In einer allhie zu Straßburg ane der Heÿl. Liechtengaß gelegener u. in dieße Verlassenschafft gehörigen behauß: befund. worden wie Volgt
Auff der obern Bühn
Eigenthumb an einer behausung (…)
Abschatzung d. 9.t. 9.bris ano. 1719
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 57, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 5, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthums an einer behaußung 233, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 350, Sa. Schuld 1, Summa summarum 650 lb – Schulden 112 lb – Nach solchem abzug 538 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 588 lb

Les tuteurs des enfants issus des deux mariages de Jean Charles Roth vendent le domaine utile de la maison au juriste Jean Kirweiler

1703 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 96-v
(437) Jeremias Schmid schuemacher u. Joh: Reimann fastenspeishändler beÿde alß Vögte weÿl. Joh: Carl Rothen geweßenen Gantkäuflers KK. erster u. zweÿther ehe
in gegensein Hn Joh: Kürweÿllers Jurium Candidati
ihrer Curanden Erblehens Gerechtigkeit u. beßerung auf einer behaußung allhier hinter der kürßner zunftstuben einseit neben besagten Rothen wittib anderseit neben David Farrenschon Caminfegern hinten auf der becker knecht herberg stoßend gelegen, mit allen weithen, begriffen, rechten, zugehörden u. gerechtigkeit wie selbige anjetzo stehet, von erwehnter wittib anstoßender behaußung durch eine Riegelwand separiret ist, welche riegelwand zuer helfte dem Hn. Käufer gebüren solle u. habe die hohe Schuel allhier d. dominum directum daran, weßwegen jährlichen in recognitione dominÿ directi 12 ß d ewig fürbietig ehrschätzigen Zinß auf weÿhn: dahien zulüfferen – umn 100 pfund verhaftet und 337 pfund

Le Magistrat autorise les tuteurs à vendre la maison à Jean Kirweiler, originaire de Sélestat mais bourgeois de Strasbourg
94 Z 1 (AMS, Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auff Gebührendes Ansuchen Jeremiæ Schmidten des Schuhmachers vndt burgers allhier alß Geordneten Vogts Hanß Georgen, Carl vnd Philipßen weÿl. Johann Carl Rothen gewesenen Ganth Käufflers seel. in seiner Ersten Ehe erzeugtter dreÿer Söhne, welcher dero auff Einer seiner hinderlaßenen Zween behaußungen hinder der Kürßner Zunfftstuben ane fünff aneinander gelegenen Erblehigen Vndt dem Stifft der Hohen Schulen jure dominÿ directi gehörigen Häußern, habende Erblehens Gerechtigkeit vnd beßerung H Johann Gehrweÿlern von Schlettstatt nunmehr aber auch Verburgert allhier, Vmb 437. lb 10 ß d Überlaßen Vndt Verkaufft, würdt nach denen erlegten 8. lb 15 ß d Zur schuldigem Ehrschatz, so beede Parthen Zur hälfte, vndt Vor der Verschreibung richtig Zue machen Versprochen H Cancellarÿ vnd Scholarchen Consens, Zur Verschreibung Solchen Contracts hiermit ertheilet, Sign. Straßb. den 27. Februarÿ a : 1703. [unterzeichnet] Johann Reinbold Friderici, Franciscus Reißeißen

Fils de Wendelin Kirweiler, assesseur au Sénat de Sélestat, Jean Kirweiler acquiert le droit de bourgeoisie pour lui et sa femme Odile Schneider, fille du maître des rentes Jean Jacques Schneider de Molsheim (la mariage n’est célébré ni à Strasbourg, ni à Molsheim ni à Sélestat).
1702, 3° Livre de bourgeoisie p. 1236
Herr Johann Kürweiler Jur: Cand. Von Schlestatt weÿl. H. Wendling Kürweÿlers EE Groß. Raths daselbst gew: beisitzers sohn und fraw Ottilia H. Joh: Jacob schneider, des Rentmeisters Zu Moltzheim tochter erkauffen das burgerrecht p. 6. gold fl. so auf dem Pfenningth. erlegt. Worden und Werden beÿ EE Zunfft der Weinstichern dienen. Jur. d. 13. Dito [Nouembris 1702]

Jean Kirweiler devient préposé à l’accise à la faveur de sa religion et de sa connaissance des deux langues.
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 33) Sambstags den 7. Febr. 1705. – Johann Kirweÿler wirdt ins Ungelt promovirt
Obere Ungelts Herren laßen per Herrn Friden proponiren daß seither die Ungelts Ferme Zu endt gegangen, 2. personen im Ungelt sich befunden, welche Zedul geschriben, als Joh: Philipp Hartmann vndt Johann Kuntz deren in d. woch. 25 ß empfangen, Weilen nun dießer Kuntz sich unlängst absentirt undt dem bericht nach, beÿ seinem Vetter Zu Studtgardt sich auffhalten solle, vnd nicht wider kommen werde, auch die alternativ ein Subjectum von Cathol. Religion erfordere, So habe man von den Jenigen, die sich jüngst vmb den Zollerdienst angemeldt, H. Joh. Kirweiler der beeder Sprachen wohl Kundig, dazu bester maßen recommendirt wolle. Electus H. Kirrweiler.

Baptême d’un enfant en 1709. Jean Kirweiler est alors avocat à l’officialité
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 688)
Die 20 Marty Anni 1709 baptizatus est Infans, cui nomen Joannes Ludovicus ante biduum natus es legitimo thoro domini Joannis Kihrweiler, Advocati in officilatatu argentinensis et Odiliæ Schneiderin culquæ et Sacro fonte Susceperunt fidelis dominus Joannes Eluert Senatus argentinensis viginti unum vir Juris utriusque Licentiatus, Satrapa civitatis Dachsburgensis et domina Maria Anna Simonaire Nata Jebmanin (i 39)
autre1714 i 99

Le notaire apostolique Jean Kirweiler meurt d’apoplexie le 17 février 1718
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 104)
Die 17.a Februarÿ 1718 pie in domino decessit clarissimus d.nus Joannes Kürwiller Sclestadiensis et notarius apostolicus Senatus huius civitatis consiliarius, nec non custos* Episcopi argentinensis causarum patronus, apoplexiâ tactus, p* tamen compl* an* absolutus et sacramento Extremæ unctionis præmunitis, Die vero 20 eiusdem mensis et anni honorifice in cœmeterio Ecclesiæ nostræ contigui fuit sepultus (i 118)

Odile Schneider se remarie en 1721 avec le juriste Jean Meyer, originaire d’Obernai : contrat de mariage, célébration
1721 (23. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 60
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und wohlgelehrten Herrn Johann Meÿer, Jurium Practico von Ober Ehenheim gebürtig, des Ehren: vnd vorgeachten herrn Christian Meÿers des Weißbecken und burgers daselbsten ehelicher Sohn, als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Ottiliæ Kürweilerin, gebohrner Schneiderin weÿland des Wohl Ehrenvest, Großachtbahr und weißen herrn Johann Kürweilers E.E. großen Raths allhier Zu Straßburg alten beÿsitzers nunmehr seeligen hinderlaßener Frau Wittib als der Frauwn Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein herrn Christian Meÿers des Weißbecken von Ober Ehenheim des herrn hochzeiters geliebten Vatters vnd Hn Edmundi Tullÿ, Peruquenmachers auf sein des bräutigambs, So dann auf Ihro der hochzeiterin seithen hrn Johann Michael Kirchmeÿers Kunst vnd flach Mahlers allhier alle burgere allhier Zu Straßburg, auff Dienstag den 23.ten Septembris Anno 1721. [unterzeichnet] Johanneß Meyer als Hochzeiter, othilia kürweillrin als hochzeiterin

Mariage, Obernai (cath. p. 160)
Anno 1721. die Septembris 15. tribus proclamationibus in hac Ecclesia et totidem in parochia ad Stum Stephanim intra Argentinam (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti fuerunt Dnus Joannes Meyer (*) Christiani Meyer et Elisabethæ Scheidecker civium ober Ehnhemensium filius legitimus et Dna Odilia Schneiderin defuncti Dni Joannis Kirrweiler Senatûs argentinensis dum viveret assessoris vidua (i 161à

Jean Meyer devient bourgeois par sa femme Odile Schneider, fille du boucher Jean Jacques Schneider de Molsheim et veuve du conseiller Jean Kirweiler
1721, 4° Livre de bourgeoisie p. 867
Johannes Meÿer Juris Studiosus von Ober Ehenheim geb. Christian Meÿer des Weißbeckh. allda ehel. Sohn erh. d. burg. recht vmb 2. Gold fl. 16 d Von seiner Ehefraun Ottilia Schneiderin weÿl. Johann Jacob Schneider gew. burg. v. Metzgers Zu Molßh. ehel. Tochter, so an weÿl. H. Rathh. Kirrweÿler Verheurathet gewesen, w. beÿ E. E. Zunfft d. schmid dienen Jur. Eodem. [10. Novembr. 1721]

Jean Kirweiler vend le domaine utile de la maison au tonnelier Jean Georges Meck et à sa femme Anne Marguerite Vogt moyennant 700 livres

1706 (14.1.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 35
(750) hr. Johann Kürweÿler Jurium Candidatus
in gegensein Joh. Georg Möck Kiefers u. Annæ Marg: geb. Vogtin
die Erblehens Gerechtigkeit u. beßerung auf einer behaußung allhier hinter der Kürßner Zunfftstueb, einseit neben Rothischen wittib anderseit neben David Bettiger Caminfegern hinten auf der Beckerknecht herberg stoßend gelegen, mit allen weithen, begriffen, rechten, zugehörden u. Gerechtigkeiten darvon d. dominum directum der hohen Schuel gehörig wohin jährlichen 12 ß ewig fürbietig ehrschätzigen zinß zu reichen seÿen – um 200 pfund verhafftet geschehen um 550 pfund

Les experts estiment la maison à la somme de 350 livres lors de l’inventaire dressé en 1716 après la mort de Jean Georges Meck. La même somme est reprise en 1727 à la mort de sa veuve.
Les enfants et héritiers de Jean Georges Meck vendent le domaine utile de la maison au marchand de bois Thiébaut Vogt

1732 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 68
weÿl. Johann Georg Märck des kieffers hinterlaßene zweÿ ältere Kinder nahmens Jfr Margaretha Salome Märckin, so ohnbevögtigt und mehrjährig zu sein versicherte beÿständlich ihres bruders Johann Georg Märck schneiders, ferner erstged. Märck Schneider und mehrjährigen burger, endlich Johann Conrad Dietrich der Schuemacher als vogt ad hunc actum Mariæ Dorotheæ und Annæ Mariæ der Märck
in gegensein Johann Diebold Vogt holtzhändlers – obrigkeitlich confirmirten versteigerung wie auch nach vorheriger beÿ der hohen Schuel als dominio directo hiernach beschriebener behausung haußes
das Dominium utile oder die Erblehnungs: gerechtigkeit und beßerung eines vordern: und hinden haußes höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten hinder der Kürßner Znfftstub einseit neben Johann David Kuntz dem gürttler anderseit neben David Betticher Caminfegers seel. Erben hinten auff die Beckenknecht herrberg – auff weÿnachten bemelter hohen Schuel 12 ß erblehenzinß recogitionem dominÿ directi ewig ehrschätzigen und fürbietigen zinß – um 733 pfund

Les experts estiment la maison à la somme de 375 livres lors de l’inventaire dressé en 1737 après la mort de Marie Eve Grauss, deuxième femme de Thiébaut Vogt. La même somme est reprise l’année suivante lors de l’inventaire dressé après la mort de Thiébaut Vogt.
Lors du règlement de la succession, Anne Marguerite Vogt femme de Jean Frédéric Maus rachète les parts de ses frères et sœurs et devient seule propriétaire de la maison derrière le poêle des Pelletiers.

1738 (22 Sept.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 25) Joint au n° 538 du 6 août 1738
[Inventarium über Weÿland Herrn Johann Theobald Vogt des ältern geweßenen Holtzhändlers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft]
(f° 31) Abhandlung der Behaußung am Pfohlgäßel
Die Erblehens Gerechtigkeit und Besserung eines Vordern und Hinteren Haußes, Höfflein und Hoffstatt mit allen derselben Gebäuen, Zugehörden und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt hinder der Kürschner Zunfft Stub, 1.s. neben Joh: David Kuntzen dem Gurtler 2.s. neben Mr Karcher dem Schuhmacher gelegen, hinden auff die Becken Knecht Herrberg stosend, davon gibt man Jährl. auff Weÿhenachtender Hohen Schuhl in recognitionem Domini directi ane ewigen ehrschätzigen und fürbietigen Erblehen Zinnß 12 ß abzurichten schuldig, nach denen daran in der samtlichen Erben Vätterliche Verlaßenschafft zwo Tertzen und in der Kinder letzter Ehe Mütterliche Verlaßenschafft die übrige Tertz gehörig
ist Frauen Annæ Margarethæ Maußin der Tochter erster Ehe von samtlichen Erben erster und zweÿter Ehe mit consens deren Ehe und herren Vögten über besagte ehrschätzigen Zinß alß freÿ ledig und eigen in der Erbschafft eigenthümlichen cedirt und überlaßen (…) vor und um 1530 guldin oder 765 lb
Straßburg d. 22. Septembr. 1738.

Fils du musicien Jean Georges Maus, Jean Frédéric Maus fait son apprentissage de 1715 à 1718 chez le tonnelier Daniel Christ
1715, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 263) Dienstags den 18. Jun: Anno 1715 – Herr Daniel Christ nimbt vermög scheins von d. Obern handwerck Hh sub dato 15. Junÿ 1715 Zum Lehrjungen an Joh: Fried: Maußen, Weÿl. Joh: Georg Maußen gewesenen Musici ehelichen sohn willens denselben vom 18.to 1715 das Kieffer Handwerck Zulernen gegen erlegung 95. fl.. vnd d. Fr Zur discretion ein Louis d’or, seind deß Jungen Bürgen für das Lehrgeld und hinweg Lauffen H Bartholome Kolb der Spec: und H Joh: Boch Kieffers dt. pro inscriptione 15. ß und pro Zfft. schrb. et büttel 2 ß 6 d.

(f° 384) Dienstags den 14. Junÿ A° 1718 – Joh: Daniel Christ der Kieffer und burger allhier stehet nebst Johann Friderich Maußen, weÿl. Johann Georg Maußen des Musici hinterlaßenen ehelichen Sohn seinen biß daher gewesenen Lehrjungen Vor, bathe weilen Sie beede mit einander wohl zufrieden und deß Jungen lehrzeit bereits Verstrichen Ihne gerichtlich Looß Zu sprechen, Erkandt Willfahrt dt. Vor daß Außthun 15 ß pro Zunfft schreiber und Büttel 2 ß 6 d.

Le conseil des Tonneliers n’admet pas Jean Frédéric Maus à faire son chef d’œuvre parce qu’il apprend le métier d’aubergiste et qu’il n’a pas fait son tour de compagnon. Il est cependant admis à s’inscrire un mois plus tard
(f° 445) Mittwoch den 7. Aug: 1720 – Mstr. Joh: Dan: Christ der Kieffer stehet Vor und bittet daß man Joh: Friderich Mausen seinen gewesenen Lehrjungen weilen seine Lehrzeith bereiths Zweÿ Jahr Verfloßen Ihne Zu Verfertigung deß Meisterstücks einzuschreiben. Erkandt, weilen Er die 2. Jahr nach verfloßener Lehrzeit sich beÿ H Michael Kecken vmb das Biersieden Zu Erlernen alß ein Lehrjung auffgehalten so Könne Ihme dißmahlen in seinem petito nicht willfarth werden, sondern solle gedachter Mauß wann er ein Jahr auff der Wanderschafft Zugebracht wieder anmelden oder anmelden laßen.

(f° 449) Dienstags den 17. 7.bris 1720 – H Joh: Bartholme Kolb Specierer stehet Vor bittet Johann Friderich Maußen den leedigen Kieffer Knecht seinen Vogts Sohn welcher beÿ Meister Joh: Daniel Christen allhier gelernet Zu Verfertigung deß Meisterstücks einzuschreiben, Erkandt willfahrt dadit Werckstatten Zinnß 1. lb. 10 ß und pro Zunfftschreiber et büttel 2 ß 6 d.

Jean Frédéric Maus est reçu maître le 17 mars 1725 bien que les examinateurs aient relevé quelques défauts
1725, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 118-v) Sambstags den 17. Martÿ Anno 1725. ist Johann Friderich Maußen, deß Leedigen Von hier gebürthigen Kiefers Verfertigtes Meisterstück vaß Zum dritten mahl besichtiget Worden, davon die dreÿ Herren Schauern Referirten, daß in der Ersten schau sich etliche Bückel und täschlein befunden haben, so Er aber verbeßert, In der Zweÿten Schaw, War der Hintere Boden vmb etwaß Zu Klein, deßwegen sich etliche einfüglein hervorgethan, In der dritten Schau fande sich das gebänd etwaß ohnfleißig, dahero die herren Schaumeistern Ihme Zwar Wegen solcher fehler Zweÿ Jahr ohn gesind Zu verbleiben angesetzt haben, welches aber der Herr XV. St: Leau als Obann Ihme erlaßen, mithien Ihme Zu fernerm seinem guthen Vorhaben gratulirt Worden.

Jean Frédéric Maus épouse en 1725 Anne Marguerite Vogt, fille du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt : contrat de mariage, célébration
1725 (12. Julÿ), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1178
Eheberedung Zwischen H. Johann Friderich Mauß, leedigen Kieffern und burgern alhier beÿständlich S. T. H. Johann Breÿen, E. E. Groß. Raths alten wohlmeritirten beÿsitzers und H. Johann Michael Schweickhaußer, Metzger als des H. Hochzeiters gel. H. Vatters und Bartholomei Kolben des handelsmanns allhier vornehmer burger alhier, alß dem H Hochzeiter an einem
So dann der Viel Ehr und tugendreiche Jungfrauen Annä Margarethä gebohrner Vögtin, H Johann Diebold Vogts, holtzhändlers ehl. erzeugten tochter mit assistentz ersternant ihres Vatters und H. Johann Georg Wörner huffschmidts ihres H. Vogts, sambtl. burgere alhier Zu ged. Straßburg alß der Jungfrau hochzeiterin andern theils
Actum Straßburg Donnerstag den 12.ten Julÿ Anno 1725. [unterzeichnet] Johann Fridterich Mauß, Anna Margaretha Vogtin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 111-v, n° 24)
1725. dom: XX. et XXI. Trinit: seind proclamirt vnd Mittwoch den 24. octob. copulirt worden, Johann Friderich Mauß der ledige Kieffer vnd burger allhier H Johann Georg Maußen gewesenen Burgers vndt Statt Musicanten allhier Nachgelaßener Ehel. Sohn vnd Jungfrau Anna Margaretha Vogtin H Johann diebold Vogts burgers vnd holtzhändlers allhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Fridtrich Mauß Als hoch Zeitter, Ana Margretha Vogtin hohzeirin (i 114)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue Thomann dans une maison qui appartient à la mère du mari. Ceux du mari s’élèvent à 242 livres, ceux de la femme à 448 livres.
1725 (22. 9.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 1) n° 8
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrenachtbare Hr. Johann Friderich Mauß, Kieffer, und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Margaretha gebohrne Vögtin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und vermög der ohnlängsten under Ihnen vor angetrettener Ehe auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) Beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg in fernerem Gegensein Herrn Johann Diebold Vogt holtzhändler und burgers allhier der Ehefrauen gel. vatters auff Donnerstag den 22. Novembris Anno 1725.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomans looh gelegenen, des Ehemanns Mutter eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgendermaßen befunden.
Wÿdumb Verfangenschaft, h. Joh: Diebold Vogt der holtzhändler allhier von weÿl. Frauen Aureliæ gebohrneer Pfitzerin seiner erstern Ehegattin dißorts Ehefrauen mutter seel. Verlaßenschafft Wÿdums Weiße (…) zu genießen, wavon des Eigenthum finito usufructu Ihro der Ehefrauen anfällig.
(f° 8) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Vermögen betr. Sa. haußraths 192, Sa. Werckzeugs Zu dem Küffer handwerck gehörig 12, Sa. eßig 4, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 27, Summa summarum 242 lb
Der Ehefrauen Nahrung belangens, Sa. haußraths 82, Sa. Kleÿdung und weißgezeug 131, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 21, Sa. baarschafft 204, Summa summarum 448 lb

Jean Frédéric Maus meurt en décembre 1742 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre à la veuve est de 915 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 91 livres, le passif à 193 livres.

1743 (30.1.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 34) n° 698
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Friderich Maußen, geweßenen Kieffer und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1743. – nach seinem den 30. Decembris letzt verwichenen 1742. Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Annæ Margarethæ Maußin, gebohrner Vögtin der hinterbliebenen wittib, beÿständlich Herrn Johann Moßeder, Zinngieser und burgers allhier deroselben hierzu erbettenen beÿstands in gegenwarth herrn Friderich Koch, Metzger und Burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ und Mariæ Dorotheæ des Verstorbenen seel mit vorgedachter wittib ehelich erzeugter und ab intestato Zu Erben Verlaßener beeder Töchtere fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 30. Januarÿ Anno 1743.
Copia der Eheberedung, perge in der Exped: die Minutte unter denen Rohrischen Acten de A° 1725.

Hierauff wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter hinder der Kürßner Zunfft Stub gelegenen behaußung befunden, Vor und ane sich selbsten beschrieben
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe Zusammen gebrachte Nahrungen in A° 1725. durch auch Eingangs gemelten Notarium auffgerichtet
Eigenthum ane einer Behaußung (W.) die Erblehens Gerechtigkeit und besserung eines Vordern und Hinteren Haußes, Höfflein und Hoffstatt mit allen derselben Gebäuen, Zugehörden und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt hinder der Kürßner Zunfft Stub, in Seith neben Johann David Kuntz, dem Gurtler, ander Seith neben Mr Johann Geörg Karcher, dem Schuhmacher gelegen, hinden auff die Becken Knecht Herrberg stoßend davon gibt man Jährlichen auff Weÿhenachten der Hohen Schuhl allhier in recognitionem Domini directi ane ewigen, ehrschätzigen und fürbietigen Erblehen Zinnß 12 ß d so ohnvergreifflich Zu Capital Zurechnen vor 12. lb. It. 4. lb 4 ß d Zinnß Jahrs auff den 1. Martÿ dem teutschen mehrern hospital alhier in das Corpus der rothen Kirch, ablösig in Wahrungs Capital mit 100 lb. Machen also die beschwerden auß 112 lb. Und ist diese behaußung durch die allhiesig geschworne Herrn Werckmeistere Vermög deren außgestellten schrifftlichen Abschatzung de dato 24. Januarÿ Anno 1743 æstimirt worden vor 500 lb, abgezogen Vorgemelte beschwerden so thun 112 lb, So Verbleiben ane dem Anschlag annoch übrig 388 lb diese Erblehens Gerechtigkeit und beßerung der behaußung ist der Wittib beÿ Vätterlicher Verlaßenschafft abtheilung in Anno 1738 eigenthümlichen cedirt und überlaßen worden. Sonsten besagen zween pergament: Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhang. C C Innsiegel verwahret, davon der eine datirt den 14. Februarÿ Anno 1732. und der andere vom 14.ten Januarÿ A° 1705. beede m. a. N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. Silbers 12 ß, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 5, Sa. anschlags der Behaußung 388, Sa. restirender Ergäntzung 411, Sa. Activ schulden 75 lb, Summa summarum 915 lb
Dießemnach wird die überige Vorhandene Nahrung weilen die wittib auf das theilbare Guth renuncirt als denen Erben gehörig beschrieben, Sa. haußraths 67, Sa. Faß und Tauben 5, Sa. Silbers 18, Summa summarum 91 lb – Schulden 193 lb In Compensatione 402 lb – Schluß Summ 440 lb
Abschatzung dem 24. Januarÿ 1743. Auff begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister Johann frittrich Mauß deß geweßenen Küffers seel. hinder Laßenen fraw wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg hinden der Kurschner Stub gelëgen Ein seitß Neben Meister Daniell Kuntzen dem Gürtler, anderseitß Neben Meister Johann Jorg Karger dem schumacher hinden auff die bëcker Stuben Stoßend, welche behausung, unden ein gangß Lincker handt ein Stuben Kuchell hauß Ehren der hoff und brunnen gewölbter Keller rëchter handt ihm hoff die Soldaten Cammer oben darüber ein Stuben, Küchen hauß Ehren ein Nebenß Cammer der gang in daß hinder heusell darinn ein Stuben Camer Kuchen hauß Ehren, oben under dem tach ein Cammer, Ein sehr alter tachstull mit 2 holtzren gebell sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt vor und umb Ein Tausendt Gulden, Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Anne Marguerite Vogt meurt en 1784 en délaissant quatre petits-enfants issus de ses deux filles. Les experts estiment la maison 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 959 livres.

1784 (16.2.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) n° 373
Inventarium über Weiland Fraun Annä Margaretha Maußin gebohrner Vogtin, auch weiland Johann Friedrich Mauß, gewesenen Kiefermeisters und Burgers alhier hinterbliebenen Wittib, Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1784. – nach ihrem Sontags den 18. Januarii jüngst aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat (…) So geschehen in der alh. Zu Straßburg an der sogenanten sieben Manns Gaß gelegenen Pfahlgäßlein über gelegenen und in diese Verlaßenschaft gehöriger behausung auf Montag den 16.ten februarii 1784.
Die abgeleibte hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt 1° Weil. Fr. Mariæ Magdalenæ Geilerin geb. Maußin, der den 27. Nov: 1755 verstorbenen Tochter mit H. Joh. Stephan Geiler, dem Kiefer Mr. u. b. alh. ihrem hinterbliebenen Wittiber erzeugte beede großjährige Töchter, als Enckelinnen benantlich a) Jfgr Dorotheam Elisabetham, so 33 Jahr alt und b) Jgfr. Susannam Salome so 31 Jahr auf sich hat, in den ersten Stammtheil, Welche beede Erbinnen Zugegen, sich der Assistentz ihres erstbenanten eheleibl. Vaters bedienet
2.do. weil. Fr. Marg. Dorotheæ Zentlerin geb. Maußin, mit auch weil. Joh. Daniel Zentler gewes. Metzger u. b. alh. erzeugte beede Kinder als Enckelin nahmentl. a) Jgfr Margaretham Dorotheam Zentlerin, welche 26 Jahr alt, mithin majorennis und sich der Assitenz H. Philipp Jacob Dürr E. E. Großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers gebrauchte und b) Philipp Jacob Zentler, den ledigen seiden Knopffmacher, so zu Lyon dermalen in Arbeit stehet, und 23. Jahr alt, mithin großjährigen Alters, Weilen nun derselbe vermög des beÿ diesem Concept befindlichen Schreibens consentirt hat, daß ohne deßen Beÿwesen gegenwärtigr Inventur und Erörterung könte vorgenommen werden, so hat Zugleich erstbenantter H. Exenator Dürr deßen Interesse hiebeÿ besorget in den Zweÿten Stammtheil, Beede von der Abgeleibten mit vorbennanntem ihrem den 30. Dec. 1742 verstorbenen Ehemann erzeugten Töchteren abstammende Enckel und ab intestato verlaßenden Erbien

Eigenthum an einer behausung. Nemlich 1. behausung in Vorder und Hinder gebäude bestehend hoflein und hoffstatt mit allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an der sogenannten Siebenmanns Gaß gegen dem Pfahlgäßl. über 1.s neben Philipp Heinrich Kunz dem Gürtler 2.s neben Joh. Daniel Schäfer dem jüngern Schumacher hinten auf der beckerherberg Ziehnd gelegen, davon man jährl. der hohen Schul 12 ß ewigen ehrschätzigen und fürbietigen Zinß zu entrichten hat, sonsten dieselbe über den Vingt. ledig eigen Und durch (die Werckmeistere) ausweistlich denen Zu diesem Concept übergebenen abschatzung Zeduls vom 18. huj: taxirt pro 400, abgezogen jene real beschwerde zu doppeltem Capital gerechnet anlangend 24, So restiren auszuwerfen 376, Solche behs. s. zugehörden ist der Verstorbenen bei väterl. Verl. abtheilung A° 1738 eigenthümlich cedirt und überlaßen worden. Darüber besagen 2. deutsch. perg. Kfbr. in der St. Str. C.C. Stb. anhgd. Ins. verw. davon der eine datirt d. 14. Februarÿ 1732 der andere den 14. Januarÿ 1705, beedes mit altem N° 1 bemerckt
Norma hujus inventarÿ Sa. hausraths 57 lb, Sa. brandenweins 13 lb, Sa. Silbernen Geschmeids 1 lb, Sa. Goldener ring 1 lb, Sa. Eigenthums an I. behausung 376 lb, Sa. der activ schuld 510 lb, Summa summarum 959 lb – Stall summ 859 lb
Copia der Großmütterlichen Verordnung – frau Anna Margaretha gebohrne Vogtin weÿl. Joh: Friderich Muß geweßenen Kiefer Mr und burger alh. Zu Straßburg hinterbliebene Wittib (…) zu sich in die Ihro gehörige in hiesiger Stadt an der sogenannten Siebenmanns gaß gegen dem Pfahlgäßlein über gelegenen Behausung berufen laßen, die wir auf unser Erscheinen eine Stiege hoch in der vordern Stube mit denen Fensteren auf die Gaß aussehend, Zwar etwas kräncklichen und Alters halben schwahen Leibes auf einem Seßel sitzend (…) Strassburg Freÿtags den 2. Martii anno 1781, Johann Friedrich Greiß Notarius juratus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 700 florins
1784, Livres de la Taille (VII 1180) f° 343
(Kiefer F. N° 120) Weÿl: Fr: Annä Margarethä gebohrner Vogtin, auch weÿl. Johann Friderich Mauß des gewesenen Kiefers und Burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschaft inventirt Hr Notarius Stöber.
Concl. fin: Invent: ist fol. 859. lb 13 ß 11 d die machen 1700 fl. Verstallte 1500 fl. also Zuwenig 200 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 12 ß, 4 lb 16 ß
und Sechs Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 16 ß
Ext: Stallgeld pro 1783. 2 lb 5 ß
Gebott, 2 ß 6 d
Abhandlung, 1 lb 15 ß 6 s – Summa 10 lb 15 ß
Auf fürgebrachte motiven ist der völlige Nachtrag auf die Helfte moderirt worden gehet demnach ab 3 lb 6 ß, Restiert 7 lb 9 ß
dt. 3. Martii 1784.

Susanne Salomé Geyler, fille du tonnelier Etienne Geyler et de Marie Madeleine Muss cède sa part de maison à sa sœur Dorothée Elisabeth, épouse du tailleur Philippe Jacques von Zabern

1785 (19.10.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) Joint au n° 373 du 16 févr. 1784
Verkauf und Erlöß wie auch Erörterungs Register über Weiland Fraun Annä Margaretha Maußin geb. Vogtin, auch weil. Joh. Friedrich Mauß, gewesenen Kiefermeisters und Burgers alh. hinterbliebene Wittib, Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1784
Persönlich erschienen Jfr. Susanna Salome Geilerin, so großjährigen alters, beÿständlich ihres Vaters H. Johann Stephan Geiler, Kiefermeisters und burgers allhier, freÿwillig anzeigend, wie daß Sie
ihrer Schester und Miterbin in gegenwärtiger großmütterl. Verl. benandlich Fraun Dorotheä Elisabethä geborner Geilerin, H. Philipp Jacob von Zabern des Schneiders u. brg. allhier Ehegattin in unvertheiltem Erb kauflich cedirt und überlaßen wolle
den vierten theil für unvertheilt an einer behausung in vorder und hindergebäu bestehend, hoflein bronnen und hoffstatt mit allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an der sogenannten Siebenmanns gaß gegen dem Pfahlgäßlein über 1.s neben Philipp Heinrich Kunz dem Gürtler, 2.s neben Seiler dem kübler hinten auf die beckerherberg Ziehend; von welcher völligen behausung samt Zugehörden man jährlich der hohen Schul 12 ß ewigen ehrschätzig und fürbietigen zinß zu entrichten hat (…) welchen vierdten theil die Cedentin und dißortiger Erbschafft erlanget hat der Cessionario selbsten aber der vierte theil auf solche Art Zugekommen, die übrige Helffte der behausung aber Zentlericheen Geschwisterden Zuständig ist – um die summa der 500 gulden
Straßburg Mittwoch den 19. Octobris Anno 1775

Les deux enfants du boucher Jean Daniel Zentler et de Marguerite Dorothée Muss exposent la maison aux enchères
1785 (10. 9.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1264) n° 132
auf Ansuchen Margaretha Dorothea Zentlerin beÿständlich H. Exsenatoris Philipp Jacob Dürr weÿl. auch erstbes. H. Exsen. Philipp Jacob Dürr selbst als bevollmächtigter des in Lÿon sich aufhaltenden H. Philipp Jacob Zentlers des Seidenknopffmachers
die ihnen beeden Geschwüsterden vor ihrer Großmutter weÿl. Fr. Annæ Margarethæ Mausin geb. Vogtin auch weÿl. Johann Friedrich Mauß des gew. Kiefers Wittib erblich angefallenen helffte für unvertheilt an einer behaußung in Vorder: und hintergebäu bestehend höflein bronnen und hoffstatt mit allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der sogenannten Siebenmannsgaß gegen dem Pfalgäßlein über, einseit neben Philipp Heinrich Kunz dem Gürtler, anderseit neben Seiler dem Kübler hinten auf die beckerherberg, von welcher völligen behaußung man jähr. der hohen Schul 12 ß ewigen ehrschätzig und fürbietigen zinß zu entrichten hat, ausgebotten vor 1000 gulden
(Lettre de Lyon) 6. nov. 1785, eine adresse beleiben Sie gütigst zu à M Philippe Jacques Zentler Marchand jnjoliveur demeure dans la maison de purgatoire Rue ferrendiere au premier étage sur le derrière à Lyon

Ils cèdent leurs parts à leur cousine et cohéritière Dorothée Elisabeth Geyler, épouse du tailleur Philippe Jacques von Zabern, qui en devient seule propriétaire

1785 (15.12.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248), Joint au n° 373 du 16 févr. 1784
Verkauf und Erlöß wie auch Erörterungs Register über Weiland Fraun Annä Margaretha Maußin geb. Vogtin, auch weil. Joh. Friedrich Mauß, gewesenen Kiefermeisters und Burgers alh. hinterbliebene Wittib, Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1784
Persönlich erschienen Jungfer Margaretha Dorothea Zentlerin so großjährigen alters beÿständlich H. Johann Stephan Geÿler Kiefermeisters u. brs. allhier und Hr. Exsenator Philipp Jacob Dürr als vermög der mir Notario fürgewiesenen vor beeden Königlichen Notariis zu Lyon den 18.t 8.bris 1755 passirten Vollmacht constituirter Mandatarius Philipp Jacob Zentler des ledigen Seiden knopffmacher daselbst, freÿwillig anzeigend und bekennend, daß Sie
ihrer baas und Miterbin ane gegenwärtigen grosmütterlichen Verlaßenschafft benandlich Fraun Dorotheä Elisabethä gebohrner Geilerin, Herrn Philipp Jacob von Zabern des Schneiders und burgera allhier Ehegattin (cediren und überlassen wollen)
die helfte für unvertheilt an einer behausung in Vorder und hindergebäu bestehend, hoflein bronnen und hoffstadt mit allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an der sogenannten Siebenmanns gaß gegen dem Pfalgäßlein über 1.s neben Philipp Heinrich Kunz dem Gürtler, 2.s neben Seiler dem Kübler hinten auf die beckerherberg Ziehend, von welcher völligen behausung samt Zugehörden man jährlich der hohen Schul 12 ß ewigen ehrschätzigen und fürbietigen Zinß zu entrichten hat, sonst ist dieselbe über die gewohnl. beschwerden ledig und eigen, welche helffte besagte Cedenten aus dißortiger Erbschafft erlanget haben und woran der Cessionariæ die übrige helffte theils ererbter u. theils schon übernommener masen eigenthümlich zuständig ist – um die summa der 1200 Gulden
Donnerstags de, 15. Decembris Anno 1785.

Le tailleur Philippe Jacques von Zabern et Dorothée Elisabeth Geyler hypothèquent le même jour la maison au profit du maître d’école Jean Christophe Haug

1785 (15.12.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 507-v
Philipp Jacob von Zabern der Schneidermeister und Dorothea Elisabetha geb. Geilerin unter assistentz H. Johann Stephan Geiler des kieffer und weinhändlers ihres leiblichen vatters und H. M. Johann Christoph Haug des schullehrers zu St Nicolaus
in gegensein Fr. Mariæ Salome Weberin geb. Roëderin – schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane der Siebenmanns gaß, einseit neben Mr Kuntz dem gürtler, anderseit neben Mr Seiler dem kübler, hinten auff die becken herberg

Fils de boutonnier, Philippe Jacques von Zabern épouse Dorothée Elisabeth Geyler en 1784 : contrat de mariage, célébration
1784 (5.11), Not. Zimmer (6 E 41, 1445) n° 293
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Philipp Jacob von Zabern der ledige Schneider meister alhier, Herrn Johann Daniel von Zabern, des Knöpffmachers, Seidenhändlers und burgers dahier mit Frauen Maria Dorothea gebohrner Glockin ehelich erzeugter Sohn, als bräutigam ane einem
Und Jungfrau Dorothea Elisabetha Geÿlerin, Herrn Johann Stephan Geÿler des Kiefermeisters und burgers alhier mit weiland Fraun Margaretha Magdalena gebohrner Mausin ehelich erzeugte tochter, beiständlich erstgedachten ihres H Vaters, als Brauth an dem andern theil
So geschehen alhier zu Straßburg (…) Freitag den 5. Novembris Anno 1784 [unterzeichnet] Philipp Jacob von Zabern als hochzeitern Dorothea Elisabetha Geÿlerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51-v, n° 30)
1784. Dienstag den 7. Decembris sind in unserer Kirch, nach vorher geschehener zweÿmaliger Proclamation copulirt worden Philipp Jacob von Zabern, led. Schneider meister und burger alhier, H Johann Daniel von Zabern, des Knöpffmachers und Burgers alhier, mit weil. Fr. Maria Dorothea geb. Glockin ehl. erzeugter Sohn, Und Jgfr. Dorothea Elisabetha, H Johann Stephan Geÿler, des Weinhändlers und burgers alhier, mit weil. Fr. Maria Magdalena geb. Mausin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob von Zabern als bräutigamn Jf Dorothea Elisabetha Geylerin als Braut (i 54)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Sept Hommes. Ceux du mari s’élèvent à 107 livres, ceux de la femme à 506 livres.
1785 (5.1.), Not. Zimmer (6 E 41, 1434) n° 653
Inventarium über Herrn Philipp Jacob von Zabern, des Schneidermeisters und Frauen Dorotheä Elisabethä gebohrener Geÿlerin, beder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1785. – einander in ihren den 7.ten Decembris des verwichenen 1784.sten Jahrs angetrettenen Ehestand für unverändert Zugebracht haben, Solche auf Ansuchen erstgemelter Eheleuthe, Sie die Ehefrau beiständlich H. Johann Stephan Geiler, des Kiefer Meisters und Burgers dahier (…) So beschehen allhier Zu Straßburg den 5. Januarÿ Anno 1785.
In einer alhier Zu Straßburg ane der sieben Manns Gaß gelegenen nicht hiehero gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Die beschreibung sein des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 32, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 19, Sa. baarschafft 15, Summa summarum 67 lb – Und wann hiebeÿ gerechnet wird die ihme dem Ehemann, vermög der vor mir Notario und Zeugen den 5. Novembris 1784 §° 5.to derselbe gehörigen helfte ane denen eingegangenen haussteuren 40 lb, So kommt sein des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen auf 107 lb
Diesemnach wird auch ihr der Ehefrauen unverändert in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 134, Sa. Silbers und gergl. Geschmeids 16, Sa. goldenen Rings 30, Sa. baarschafft 285 lb Summa summarum 166 lb – deme beÿzurechnen ihr der Ehefrau helfte ane denen eingegangenen haussteuren 40 lb, demnach belaufft sich ihr der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth auf 506 lb

Dorothée Elisabeth Geyler meurt en 1816 en délaissant pour unique héritière sa fille Caroline Elisabeth Zabern

1816 (27.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 21), Not. Bossenius n° 669
Déclaration d’hérédité de Philippe Jacques Zabern tailleur d’habits – à la requête de Caroline Elisabeth née Zabern veuve de Jean Jacques Lobstein, officier de santé, que Dorothée Elisabeth née Geyler femme dudit Sr Zabern et mère la De Lobstein est décédée le 1 février 1816
propres, immeuble, savoir une maison, petite cour et puits avec toutes autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Sept hommes n° 5, d’un côté la succession du Sr Offenbauer menuisier, d’autre N. Hölzel tourneur, derrière N. Gruber boulanger, estimée 5000 fr
garde robe 98 fr ; total 5098 fr – communauté meubles 227 fr
enreg. manquant F° 110 du .6.

Caroline Elisabeth Zabern épouse en 1811 le chirurgien Jean Jacques Lobstein de Lamperteim.
Mariage, Lampertheim (n° 5)
Acte de mariage célébré le 10 décembre 1811, Jean Jâques Lobstein, non-marié, âgé de 22 ans 8 mois 17 jours né le 23 mars 1789 à Lampertheim, domicilié à Lampertheim, Chirurgien, fils de Valentin Lobstein, Chirurgien, et de Marie Barbe née Seeger, conjoints, ci présents et consentants, Demoiselle Caroline Elisabeth von Zabern, âgée de 22 ans 4 mois 8 jours, née le 2 août 1789 à Strasbourg, Bas-Rhin, domiciliée à Strasbourgn fille de Philippe Jâques von Zabern, taileur, et de Dorothée Elisabeth née Geyler, conjoints, ci présents et consentants (signé) J. J. Lobstein, Carolina Elisabetha von Zabern (i 6)

Jean Jacques Lobstein meurt deux ans plus tard en délaissant pour héritière sa mère
1814 (20.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 19), Not. Bossenius n° 587, 6110
Inventaire de la succession de Jean Jacques Lobstein, chirurgien décédé le 19 décembre dernier – à la requête de Caroline Elisabeth née Zabern la veuve, Michel Schwebel adjoint au maire de Lampertheim, mandataire de Valentin Lobstein chirurgien et Barbe née Seeger père et mère du défunt aussi tuteur naturel de Marie Salomé Lobstein sœur du défunt

dans une maison rue des Sept Hommes n° 5
Contrat de mariage dressé par Me Stoeber le 24 octobre 1811
à la veuve,: meubles pour note, moitié d’une maison à Lampertheim 800 fr, remplacement 1427 fr, déduire 27 fr, reste 1400 fr, présents de noces 7 fr, passif 800 fr
propres des héritiers, meubles 249 fr, moitié de maison à Lampertheim 800 fr, remplacement 70 fr, total 1119 fr, passif 1000 fr, reste 119 fr
communauté, créances 54 fr, passif 1832 fr et 100 fr, déficit 1828 fr
présents de noces 90 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 126 du 21.5.
(n° 562, 5890) du 16 juillet 1813 – Inventaire des apports de Jean Jacques Lobstein, chirurgien, et de Caroline Elisabeth Zabern domiciliés à Lampertheim pour le moment en cette ville, suivant contrat de mariage dressé par Me Stoeber le 24 novembre 1811
le mari, portion d’immeuble non estimée, montre 80 fr
la femme, meubles 1245 fr, or 33 fr, portion d’immeuble non estimée, numéraire 1337 fr, présents de noces 195 fr

Caroline Elisabeth Zabern se remarie en 1817 avec le boucher Philippe Jacques Kieffer
1817 (11.7.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 708, 7171
Contrat de mariage – Sr Philippe Jacques Kieffer, boucher veuf de Marie Madeleine Rasp
Dame Caroline Elisabeth von Zabern veuve de feu Jean Jacques Lobstein Chirurgien
régime de la ommunauté avec réserve d’apports
Enregistrement, acp 134 F° 190-v du 12.7.

Caroline Elisabeth Zabern fait dresser l’inventaire de ses apports
1818 (30.10.), Strasbourg 3 (64), Not. Schreider n° 37
Inventaire des apports de Caroline Elisabeth Zabern, veuve en premières noces de Jean Jacques Lobstein, chirurgien à Lampertheim, épouse actuelle de Philippe Jacques Kieffer boucher veuf de Marie Madeleine Rasp suivant contrat de mariage reçu Ubersaal notaire à Strasbourg le 11 juillet 1817
meubles 1973 fr, numéraire 2385 fr, ensemble 4358 fr
Enregistrement, acp 140 F° 160 du 2.11.

Philippe Jacques Kieffer meurt en 1822 en délaissant sa veuve pour unique héritière. L’inventaire est dressé dans la maison propre à Caroline Elisabeth Zabern rue des Sept Hommes.

1822 (29.7.), Strasbourg 4 (53), Me Hatt n° 483
Inventaire de la succession de Philippe Jacques Kieffer, boucher décédé le19 mars dernier – à la requête de Caroline Elisabeth née Zabern la veuve légataire universelle suivant contrat de mariage reçu Übersaal notaire à Strasbourg le 11 juillet 1817, légataire universelle suivant testament reçu Hatt notaire le 9 février dernier
en une maison rue des Sept Hommes n° 5
maison appartenant à la veuve, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 5, d’un côté le Sr Bontems menuisier, d’autre leSr Holtzapfel tourneur, derrière le Sr Grucker boulanger
reprises de la veuve 4353 fr
un étal de boucher appartenant au défunt, un étal de boucher sis à Strasbourg sous les Petites Boucherier n° 86 entre le Sr Freyss et la veuve Schneegans, acquis par adjudication dressée par Me Roessel le 17 janvier 1815, estimé 1000 fr
ensemble 1136 fr
garde robe 136 fr ; communauté meubles 53 fr, créances 207 fr, total de la masse active du défunt et de la communauté 1396 fr, passif du défunt 1406 fr, passif de la communauté 4501 fr, ensemble du passif 5987 fr
Enregistrement, acp 158 F° 154 du5.8.

Caroline Elisabeth Zabern se remarie en 1823 avec le boucher André Münch originaire d’Eckbolsheim
1823 (30.1.), Strasbourg 4 (54), Me Hatt n° 788
Contrat de mariage – André Münch, boucher à Strasbourg, fils majeur de Laurent Münch, boucher à Eckbolsheim, et d’Eve Meyer
Caroline Elisabeth née Zabern veuve de Philippe Jacques Kieffer, boucher
régime de communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 161 F° 80 du 4.2.

Registre de population
600 MW 51 (1815-1840 Rue des Sept Hommes n° 5 (i 186 sqq)
(p. 366) Zabern, Philippe Jacques 1760, tailleur, veuf, Strasbourg – mort le 18 juin 1819
Lobstein née Zabern, Caroline Elis. 1792, veuve, Strasbourg
Kieffer, Philippe Jacques, boucher, décédé le 19 mars 1822
Kieffer, Ph. Jacques, 1 Mai 1818, fils de Ph. Jacques, mort le 6 mars 1820
Kieffer, Charles Edouard, né l 5 Mai 1819, décédé le 6 fev. 1822
(p. 367) Münch, André, 1806, Boucher, même maison
id. née Zabern, Caroline Elis. 1792, Ep., voyés page précédente, fev. 1823
Münch, Charles André, 1825, 22 av.
Münch, Caroline Elisabeth, 1829, 7 9.bre
Münch, Wilhelmine Frédériquen 1829 8 fev.

La fondation de l’Université (Haute Ecole) passe un titre nouvel pour proroger la rente emphythéotique de 2 francs 40 centimes.

1823 (29.4.), Strasbourg 4 (55), Me Hatt n° 993
Titre nouvel – Caroline Elisabeth Zabern épouse en secondes noces d’André Münch, boucher
a déclaré que Philippe Jacques Zabern, tailleur d’habits, et Dorothée Elisabeth Geiler, ses père et mère, étaient propriétaires d’une maison sise à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 5, d’un côté le Sr Bontems menuisier, d’autre le Sr Holzapfel tourneur, aboutissant sur le Sr Grucker boulanger, suivant cession reçue Stoeber notaire à Strasbourg le 19 octobre 1785, que ladite maison était grevée d’une rente emphythéotique envers la fondation de la Haute Ecole de 2 fr 40 c payable à Noël de chaque année, que la comparante est propriétaire actuelle seule et unique héritière, que Jean Frédéric Wieger en sa qualité de receveur a requis la De comparate de passer titre nouvel
Enregistrement, acp 162 F° 175 du 5.5.

Veuf de Charlotte Elisabeth Zabern, l’aubergiste André Münch meurt en 1871 en délaissant deux enfants
1871 (20.11.), Strasbourg 13 (99), Not. Flach (Jean Georges) n° 7933
Notoriété (…) avoir parfaitement connu le Sr André Münch ancien aubergiste à Strasbourg et savoir qu’il est décédé à Strasbourg le 25 août 1871 et qu’il a délaissé pour seuls et uniques héritiers ses deux enfants M. Charles André Münch, capitaine du 22° bataillon des chasseurs à pied en garnison à Paris Et Mad. Caroline Munch épouse de Mr Charles Kessler, peintre demeurant à Strasbourg
acp 601 (3 Q 30 316) f° 10-v du 20.11.

Décès, Strasbourg (n° 2221)
Déclaration de décès. Le 26 août 1871 Ont comparu Emile Eugène Schmitt, âgé de 26 ans, Professeur au gymnase protestant, neveu du défunt domicilié à Strasbourg, et Jean Schmitt, âgé de 62 ans, pensionnaire de l’état, ami du défunt domicilié à Strasbourg
Lesquels nous ont déclaré que André Münch, âgé de 71 ans, né à Eckbolsheim (Bas-Rhin) Marchand de vins, veuf de Charlotte Elisabeth Zabern domicilié à Strasbourg fils de feu Laurent Münch, cultivateur et de feu Eve Meyer, est décédéle 25 août 1871 à l’heure de midi en la maison impasse Ste Elisabeth 1 (i 121)

Le boucher André Münch et Catherine Elisabeth von Zabern vendent la maison au menuisier Frédéric Charles Bilger et à sa fiancée Madeleine Dambach

1842 (20.6.), Strasbourg 12 (157), Me Noetinger n° 14.779
Ont comparu M. André Münch, boucher & D° Catherine Elisabeth von Zabern, son épouse de lui à ce dûment autorisée, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont vendu
à M. Frédéric Charles Bilger, menuisier & à Dlle Madeleine Dambach majeure d’ans, futur époux, demeurant à Strasbourg acquéreurs à ce présens et acceptant
Une maison & dépendances sise à Strasbourg, rue des sept hommes N° 5, d’un côté M Lange, pelletier, de l’autre M Zottner pardevant la rue & par derrière M Grucker
Madame Münch a recueilli cet immeuble dans la succession de sa mère D° Dorothée Elisabeth Geiler, épouse du St Philippe Jacques von Zabern, tailleur à Strasbourg dont elle était seule & unique héritière. La Dame von Zabern née Geiler en est devenue propriétaire suivant acte passé devant M Stoeber Notaire à Strasbourg le 15 décembre 1785. – La vente est en outre faite pour le prix de 6000 francs
acp 300 (3 Q 30 015) f° 4-v

Fils de menuisier, Frédéric Charles Bilger épouse Madeleine Dambach, fille d’aubergiste, en 1842.

1842 (8. 7.br), Strasbourg 12 (158), Me Noetinger n° 15.038
Contrat de mariage – Ont comparu M. Frédéric Charles Bilger, menuisier demeurant à Strasbourg, fils majeur de M Frederic Bilger, menuisier & de D° Charlotte Kircher, sa veuve demeurant à Strasbourg, stipulant comme futur époux d’une part
et Dlle Madeleine Dambach majeure d’ans demeurant dans la banlieue de Strasbourg sur la route de Lingolsheim, fille de feus le Sr Philippe Dambach aubergiste audit lieu et de D° Salomé Pauli stipulant comme future épouse d’autre part
acp 303 (3 Q 30 017) f° 10-v – Ameublissement par les futur époux d’une maison à Strasbourg rue des sept hommes n° 5 acquise par contrat reçu Noetinger le 20 juin 1842 pour 1000 francs qui seont payables par la communauté présentement établie
Les apports de la future consistent en un trousseau de 1200 francs et en ses droits dans la succession de ses auteurs, droits qui ne seront établis que lors de la majorité des cohéritiers, 2° des créances actives pour 800 francs, du bois & des outils & ustensiles de menuisier pour 3700 francs total 3800 francs
Donation à titre de don matutinal par le futur époux à la future épouse d’une somme de 600 francs à prendre sur le plus clair de la succession
Donation réciproque entre les fututs au profit du survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession du prémourant, réductible en cas d’enfants

Frédéric Charles Bilger et Madeleine Dambach hypothèquent la maison au profit de la directrice de pensionnat Elise Kramp

1843 (11.8.), Strasbourg 4 (97), Me Lauth n° 672
Obligation – Ont comparu Le Sr Frédéric Charles Bilger, menuisier et Dame Madeleine Dambach son épouse qu’il autorise aux effets ci après demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont déclaré devoir
à Delle Elise Kramp, Directrice de Pensionnat demeurant et domiciliée à Strasbourg, la somme de 2000 francs (…)
hypothèquent spécialement Une Maison avec cour, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 5 entre les Sr Zottner et Lamay. Les débiteurs déclarent que l’immeuble qu’ils viennent d’hypothéquer leur appartient en toute propriété par suite d’acquisition qu’ils en ont faite aux termes d’un contrat reçu par M° Noetinger, notaire à Strasbourg le 27 juin 1842 enregistré et qu’il est franc et exempt de cens et rente foncière, dettes et hypothèques et n’est frappé que d’un privilège de 6000 francs formant restant du prix d’acquisition

Frédéric Charles Bilger meurt sans enfant en 1863.
1863 (7.7.), Strasbourg 4 (121), Not. Lauth n° 10.775
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Charles Bilger et Madeleine Dambach
L’an 1863 le 7 juillet à huit heures du matin, à la requête de Dame Madeleine Dambach, sans état, veuve de M. Frédéric Charles Bilger, en son vivant menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes, 1. à cause de la communauté de biens qui avait existé entre elle et son défunt mari aux termes d’un contrat de mariage passé devant M° Noetnger père alors notaire à Strasbourg le 8 septembre 1842 (…) laquelle communauté elle se réserve d’accepter ou de répudier ainsi qu’elle avisera par la suite, 2. comme créancière de cette communauté et même de la succession se son mari pour raison des reprises et conventions matrimoniales, 3. et encore comme donataire en usufruit pendant sa vie de tous les biens meubles et immeubles sans aucune exception dépendances de la succession dudit défunt son mari aux termes de son contrat de mariage cidessus énoncé
M Daniel Bilger, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, Dlle Elisabeth Bilger sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, sœur du défunt et autre successible ayant renoncé à la succession suivant déclaration faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 2 juillet dernier, M. Bilger habile à se dire et porter seul et unique héritier dudit feu M. Bilger son frère

le tout trouvé dans une maison sise à Strasbourg rue impasse de la corne de cerf n° 6 où M. Bilger est décédé le 13 février dernier
la veuve requérante déclare que de tous les apports du défunt il n’existe plus rien et que quant à son trousseau ceux des objets qui existent encore en nature se trouvent confondus avec ceux inventoriés ci-dessus, qu’en l’année 1843 les immeubles dépendant de la succession de des père et mère ont été vendus et qu’elle a touché pour sa part au prix la somme de 2083 francs (…) que de plus elle a hérité de sa sœur Mlle Caroline Dambach décédée célibataire à Strasbourg une somme de 348 francs
acp 523 (3 Q 30 238) f° 56 du 9.7. (succession déclarée le 27 juillet 1863)
Communauté, mobilier 909, argent comptant 150, livret de caisse d’épargne 555, total 1615
Succession, garde robe 108, reprises de la veuve 3631
Cession par le Sr Bilger à la veuve à titre de remploi 1) de toute la communauté 1615, 2) de la garde robe 108

Marie Madeleine Dambach meurt en 1865.
1865 (6.5.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.465
Inventaire par déclaration de la succession Marie Madeleine Dambach veuve Charles Bilger
L’an 1865 le samedi 6 mai, Ont comparu Dame Salomé Dambach épouse assistée de et autorisée de M. Michel Neubert, aubergiste, M. Philippe Dambach, sans état et M. M Geoffroi Dambach aussi sans état, tous demeurant et domiciliés dans la banlieue de Strasbourg hors la porte nationale sur la route de Ligolsheim, Les comparans frères et sœurs germains seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de Dame Marie Madeleine Dambach leur soeur, veuve de Charles Bilger, de son vivant ébébiste à Strasbourg, où elle était domiciliée et est décédée le 14 mars dernier
acp 542 (3 Q 30 257) f° 87-v du 9.5. (succession déclarée le 12 mai 1865)
Il dépend de ladite succession 1), prix du maison 879, 2) créances 360, 3) dépôt à la caisse d’épargne 1000 francs

Les créanciers de Frédéric Charles Bilger exposent ses immeubles aux enchères. La maison rue des Sept-Hommes est acquise par l’orfèvre bijoutier Jean Valentin Deuchler

1847 (20.3.), Strasbourg 12 (171), Not. Noetinger n° 19.163
Cahier des charges dressé par M° Charles Noetinger et son collègue notaires à la résidence de Strasbourg, ledit M° Noetinger commis à l’effet des présentes en exécution d’un jugement rendu par le tribunal civil de Strasbourg le premier mars 1847. A la requête et en présence de Monsieur Edouard Zimmermann, marchand de bois, agissant en qualité de syndic de la faillite du Sieur Daniel Bilger, menuisier demeurant en la même ville, suivant contrat d’union dressé judiciairement devant le tribunal de commerce de cette ville le 22 janvier 1847, enregistré le 8 février suivant. Enonciation du jugement qui a ordonné la vente (…)
(Jean Valentin Deuchler)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison avec petite cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 5 d’un côté Monsieur Lange Pelletier de l’autre M Zottner pardevant la rue et par derrière M Gauckler. ainsi que cet immeuble se trouve et comport au jour de l’adjudication (…)
Etablissement de la propriété. Monsieur Zimmermann au nom qu’il agit déclare que la dite maison fait partie des biens appartenant aux créanciers du Sieur Bilger par le contrat d’union précité. Le sieur Bilger a acquis cet immeuble de Mr André Münch, boucher et de Dame Catherine von Zabern son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Noetinger l’un des notaires soussignés le 20 juin 1842. Et Madame Münch l’avait recueilli dans la succession de sa mère Dame Dorothée Elisabeth Geiler épouse du sieur Philippe Jacques von Zabern tailleur à Strasbourg dont elle était unique héritiers. La Dame von Zabern née Geiler en est devenue propriétaire suivant acte passé devant M° Stoeber notaire à Strasbourg le 15 décembre 1785.
Etat hypothécaire du failli (…), Charges, clauses et conditions (…), Mise à prix fixée à la somme de 6000 francs
N° 19.233, 21 avril 1847. Adjudication. (…) Enchéri par diverses personnes et en dernier lieu par le sieur Joseph Guth, propriétaire demeurant à Strasbourg à la somme de 9000 francs pour et au nom de Mr Jean Valentin Deuchler orfèvre bijoutier demeurant à Strasbourg
acp 359 (3 Q 30 074) f° 44-v et acp 360 (3 Q 30 075) f° 62

Fils de farinier, Jean Valentin Deuchler épouse en 1825 Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier, fille d’un employé à la manufacture des tabacs
1825 (3.3.), Strasbourg 8 (39), Me G. Grimmer n° 465
Contrat de mariage – Jean Valentin Deuschler, bijoutier, fils majeur de Jean Valentin Deuschler, farinier, et de Marguerite Salomé Trautwein
Adélaïde Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier, fille majeure de feu Jean Georges Ponnier, employé à la manufacture des tabacs, et de Charlotte Dorothée Cappaun
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 172 F° 55-v du 8.3.

Valentin Deuchler loue la maison aux menuisiers François Boulanger père et François Boulanger fils

1854, Enregistrement de Strasbourg, ssp 119 (3 Q 31 618) f° 3-v du 7.12.
25 février 1853, Bail – Le soussigné Sr Valentin Deuchler, orfèvre à Strasbourg, donne à bail pour 3, 6 ou 9 années à partir du 24 Juin 1853
à MM François Boulanger père et François Boulanger fils, les deux menuisiers à Strasbourg, preneurs solidaires
une maison & dépendances, sise à Strasbourg, rue des sept hommes N° 5 appartenant à M Deucher. – loyer anniel de 600 francs

Jean Valentin Deuchler et Adélaïde Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier vendent la maison au menuisier François Xavier Rust

1855 (8.2.), M° Noetinger
Vente par Jean Valentin Deuchler, orfèvre, & Adélaïde Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier sa femme à Strasbourg
à François Xavier Rust, Menuisier à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 5 moyennant 9500 francs
Origine, adjudication Noetinger Nre le 21 avril 1847
acp 437 (3 Q 30 152) f° 43-v du 13.2.

Fils de journalier, le menuisier François Xavier Rust épouse en 1826 Anne Marie Eissenbrand, fille de cordonnier
Mariage, Strasbourg (n° 29)
Acte de mariage célébré le 24 janvier 1826. François Xavier Ruest, mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le premier germinal an X à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Menuisier, fils de Jacques Ruest, Journalier ci présent et consentant et de feu Madeleine Berg décédée en cette ville le 11 mars 1818, Anne Marie Eissenbrand, majeure d’ans, née en légitime mariage le 18 Thermindor an VI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille d’Antoine Eissenbrand, Cordonnier, et d’Anne Marie Welschinger, ci présents et consentants (signé) Farentz Xaverie Ruest, anna Maria Eisenbrand (i 18)

François Xavier Rust consent au mariage de sa fille demeurant à Paris
1849 (21.4.), M° Keller
Consentement par François Xavier Rust poseur d’ornements à Strasbourg au mariage de sa fille Marie Madeleine Rust avec Charles Lecomte les deux à Paris
acp 381 (3 Q 30 096) f° 85 du 23.4.

François Xavier Rust vend la maison à la rentière Marie Ursule Stehlé

1860 (27.8.), Strasbourg 13 (nouv. 84), Not. Flach (Jean Georges) n° 4192
A comparu M. François Xavier Rust, menuisier demeurant à Strasbourg, lequel a vendu à
Mad.lle Ursule Stehlé rentière demeurant à Strasbourg,
Une maison avec petite cour, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 8, ancien N° 5, d’un côté Mr Netter de l’autre le sieur Pransz, devant la rue et parderrière le sieur Bock, boulanger. Sont compris dans cette vente cinq fourneaux en fayence avec leurs tuyaux, les âtres et réchauds de cuisine toutes les cloisons et séparations dans les caves et sur les greniers (…)
L’immeuble cidessus désigné a été acquis par M. Rust, comparant, de Mr Jean Valentin Deuschler, orfèvre bijoutier, et de Dame Adélaïde Charlotte Elisabeth Guillemette Ponnier son épouse, demeurant ensemble à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Charles Noetinger, notaire à Strasbourg le 8 et 10 février 1855 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques volume le 15 du même mois volume 601 Numéro 37 et inscription d’office du même jour volume 627 Numéro 75. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 9500 francs (…) Mr Deuchler avait acquis lui-même cette maison durant son mariage avec sa dite épouse dans la faillite du Sieur Charles Bilger menuisier demeurant à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Noetinger notaire susdit le 21 avril 1847, en exécution d’un jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le premier mars 1847. Quant à l’origine de la propriété du dit immeuble sur la tête dudit Sieur Bilger et ses précédents propriétaires, elle se trouve suffisamment constatée dans ledit contrat de vente passé devant M° Noetinger les 8 et 10 février 1855 (…) – moyennant le prix de 10.000 francs
acp 491 (3 Q 30 206) f° 28 du 28.8.

Originaire de Rothenburg en Wurtemberg, Ursule Stehlé meurt célibataire le 17 mai 1883 à l’âge de 68 ans. Le décès est déclaré par son neveu employé de banque Albert Kley. La modiste Sophie Stehlé, aussi originaire de Rothenburg, habite la maison quand Ursule Stehlé en est propriétaire.
Décès, Strasbourg (n° 1201)
Straßburg am 18. Mai 1883. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Bank-Beamte Albert Kley wohnhaft zu Straßburg, Neuenmarkt 6, und zeigte an, daß seine Tante die ledige Rentnerin Ursula Stehle, 68 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Rottenburg (Würtenberg), Tochter der verstorbenen Eheleute Anton Stehle, Fruchtmesser, und der Margaretha Steiger, zu Straßburg Broglieplatz 14 am 17. Mai des Jahres 1883 Nachmittags um vier Uhr verstorben sei. (i 76)

Registre de population 600 MW 375, Rue des sept hommes N° 5 / 8 (i 128)
Stehlé, Sophie, (née à) Rothenbourg, 12, fille, Modiste, catholique, (nationalité) Wurtemberg, (à Strasbourg depuis) 34
Zahn, Beatrix, (née à) Rothenbourg 1 juillet 36, fille, sa nièce, (à Strasbourg depuis) 58

Ursule Stehlé vend la maison au marchand de fruits Jean Guillaume Bierck et à sa femme Caroline Madeleine Dubesi

1875 (20.3.), M° Koerttgé
Verkauf durch Ursula Stehlé Rentnerin Zu Straßburg
an Johann Wilhelm Birck, Obsthändler & dessen Ehefrau Caroline Magdalena Dubesi zu Straßburg
das Haus zu Straßburg Siebenmannsgasse N° 8 für 20.000 M, wovon 12.000 M baar bezalt
die Verkäuferin behält sich den Genuß ihrer Wohnung im Hause bis 21 Juni 1871, abgeschätzt zu 80 M, Besitz und Genuß vom 25. März 1875
Erwerbstitel, Kauf vor Notar Flach 27 August 1860
acp 638 (3 Q 30 352) f° 74-v du 23.3. n° 1052

Fils de menuisier, Jean Guillaume Bierck épouse en 1858 Caroline Madeleine Dubesi, fille de marchand de fruits
Mariage, Strasbourg (n° 225)
Du 18° jour du mois de Mai 1858 à dix heures du matin, Acte de mariage de Jean Guillaume Bierck, majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 mars 1829 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Menuisier, fils de feu Jean Martin Bierck, menuisier décédé à Strasbourg le 15 février 1850 et de Marie Madeleine Sey, marchande de coiffes domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante, et de Madeleine Caroline Dubesi, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 mai 1831 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans état, fille de Joseph Dubesi, marchand de fruits et de Marie Madeleine Lentz, sans état, conjoints domiciliés à Strasbourg, ci présents et consentants – il n’a pas été passé de contrat de mariage (signé) G Bierck, Dubesi (i 19)

Jean Guillaume Bierck se remarie en 1891 avec la polisseuse Salomé Jest, femme divorcée du serrurier Georges Decker qu’elle avait épousé en 1864
Mariage, Strasbourg (n° 338)
Strassburg am 18. April 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung der Rentner Johann Wilhelm Bierck, Wittwer von Magdalena Dubesi, evangelischer Religion, geboren am 21. März des Jahres 1829 zu Straßburg, wohnhaft in Strassburg Sohn des verstorbenen Schreinermeisters Johann Martin Bierck und seiner verstorbenen Ehefrau Maria Magdalena geborenen Say, beide zuletzt wohnhaft in Strassburg
die Silberpoliererin Salomea Jest, geschiedene Ehefrau des Schloßers Georg Decker, katholischer Religion, geboren am 5. Oktober des Jahres 1846 wohnhaft in Strassburg, Tochter des verstorbenen Webers Michael Jest und seiner verstorbenen Ehefrau Maria Magdalena geborenen Wolf, beide zuletzt in Strassburg [unterzeichnet] Wilhelm Bierck Salomé Birck geb. Jest (i 159)

Mariage, Strasbourg (n° 283)
Du 21° jour du mois de juin 1864 à dix heures du marin. Acte de mariage de Georges Decker, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 juillet 1841 au Neuhof banlieue de Strasbourg, domicilié au Neuhof, serrurier, fils de feu Jean Decker, journalier décédé au Neuhof le 17 juillet 1863 et de feu Marie Barbe Walter, décédée au Neuhof le 2 mars 1864, et de Salomé Jest, mineure d’ans, née en légitime mariage le 5 octobre 1846 à Strasbourg, domiciliée à la Musau banlieue de Strasbourg, polisseuse, fille de Michel Jest, tisserand domicilié à la Musau ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Wolff décédée à Strasbourg le 25 janvier 1855 (signé) Deker, Jest
[in margine :] Durch rechtskräftiges Urtheil des Kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg vom 9. Februar 1694 ist die Ehe zwischen dem Schlosser Georg Decker und Salomea Decker geborene Jest aufgelöst worden. Straßburg, den 26. Mai 1894. Der Standesbeamte. (i 42)



16, rue des Veaux


Rue des Veaux n° 16 – VI 373 (Blondel), O 530 puis section 24 parcelle 25 (cadastre)

Bâtiment latéral ouest surélevé par Jean Frédéric Saum (vers 1773)
Bâtiment sur rue détruit en 1944, reconstruit en 1957 (architectes Charles Edouard Mewès et Gaspard Kœnig)


Façade sur rue (reconstruite en 1957 et rehaussée en 1998-2000, vue en août 2021)
Cour, bâtiment latéral droit et gauche, arcade derrière laquelle on voit le bâtiment vers la rivière (juin 2010)
Façade vers l’Ill (août 2021)
Bâtiment vers la rue (1966, dossier du n° 18, cote 709 W 59)

La maison dont le pavillon vers la rivière est soutenu par des pieux en chêne est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom du gentilhomme Bernard de Lützelbourg. Ses deux fils, l’un au service du prince de Lorraine l’autre à celui du prince électeur de Saxe, la vendent en 1616 à Henri Vagius. Jean Philippe Schatz dont la femme est héritière testamentaire de Henri Vagius cède à titre d’antichrèse la maison au capitaine Adolphe Dümmler et à sa femme Anne Dorothée Glaser qui en devient propriétaire. Le gentilhomme Philippe Albert de Bernhold l’achète en 1667, il est autorisé la même année à faire une avance de trois pieds de large le long du bâtiment arrière vers la rivière qui a 50 pieds. Sur le plan-relief de 1727, le bâtiment vers la rivière est celui qui est le plus clair au milieu de l’image. Le bâtiment latéral à gauche de la cour (à rez-de-chaussée et un étage) est bien visible, de même que sur la vue depuis l’est de l’îlot (haut de l’image). Une tourelle se trouve à la jonction de ce bâtiment et de celui qui longe la rue.
Le capitaine Sigefroi de Bernhold remplace en 1729 deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été. Il aligne sa risberme avec celle de son voisin en 1761. Le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum devient propriétaire en 1761. Il charge en 1770 le maître maçon Jean Lingenhœlin de travaux dans le bâtiment latéral gauche puis en 1774 dans le bâtiment latéral droit et dans le bâtiment principal. Il surélève le bâtiment latéral droit puisque des travaux y ont lieu au deuxième étage en 1774 et au troisième an 1777.


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 203 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (p-q) : porte d’entrée vers l’ouest, suivie de quatre fenêtres, cinq fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour M représente l’arrière (2-3) de la façade sur rue, l’aile gauche (1-2) vers l’ouest, l’aile droite (4-5-6) vers le fond de la cour, le bâtiment (1-6) qui donne sur la rivière et dont la façade sud est représentée à la cour D.
La maison porte d’abord le n° 40 (1784-1857) puis le n° 16.


Cours M et D, plan

Le chirurgien dentiste Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage puis réparer l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig. Le gros œuvre est terminé en août 1957. Le nouveau bâtiment a un rez-de-chaussée dont les quatre arcades rappellent celles qui se trouvent dans la cour et deux étages à sept fenêtres chacun. La façade est rehaussée entre 1998 et 2000 pour prendre son aspect actuel.


Bâtiment latéral gauche (image Falkenstein, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Façade vers l’Ill (image Spehner, vers 1930, AMS, 1 Fi 99, 365)
Même bâtiment, vers 1960 (AMS, 1 Fi 155, 459)
Veaux 10 sqq (1003 W 1 n° 549)
Au premier plan, le n° 10, le n° 16 est la quatrième maison (vers 1942, AMS, cote 1003 W 3 n° 549)
Escalier dans l’aile ouest (Rapport de fouille n° 5247, P.A.I.R., mai 2011) – Façade arrière du bâtiment sur rue – Bâtiment latéral ouest (juillet 2022)
Bâtiment à deux étages dessiné par les architectes Mewes et Kœnig en 1956 (dossier de la Police du Bâtiment)


Relevé de la tourelle, 1948, Charles Czarnowsky
Linteau remployé sur la façade du bâtiment ouest (juillet 2022)

août 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Bernard de Lutzelbourg et Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau – luthériens
1592* h (indivision) Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, et Anne de Wiltz puis Claude Beyer de Boppart
Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan du prince électeur de Saxe, et Anne de Zetritz puis Odile de Lœzer – luthériens
1616 v Henri Vagius, et (1601) Elisabeth Wolfarth, d’abord (1594) femme de Matthias Roth – luthériens
1631* h Jean Philippe Schatz, marchand, et (1610) Agnès Meyer puis (1629) Anne Botz – luthériens (héritière testamentaire des précédents)
1660 v Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie. et (v. 1641) Anne Dorothée Glaser – luthériens, manants
1667 v Philippe Albert de Bernhold et (1660) Anne Eléonore Zorn de Plobsheim – luthériens
1680* h Sigefroi de Bernhold, capitaine, et (1691) Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre – luthériens
1741 h (indivision) Octavie Sabine de Bernhold, et (1723) Samson Ferdinand de Landsperg
Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel, († 1747)
Antoine Sigefroi de Bernhold, colonel, et (1747) Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse – luthériens
1761 v Jean Frédéric Saum, marchand de cuir, et (1758) Susanne Dorothée Rœderer – luthériens
1801 v Frédéric Rodolphe Saltzmann, juriste, libraire, et (1779) Marguerite Salomé Müller – luthériens
1807 v Joseph Arroy, négociant, célibataire († 1840)
1814 b Charles Adam de Lewenhaupt, officier retiré, et (1811) Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
1832 v Jules César Saum, propriétaire, et (1832) Marie Louise Pauline Hecht
1887* h Georges Roth, professeur à l’université, et (1887) Marie Cécile Hecht
1908* Guillaume Weibel
1914* Emile Ruffenach, avocat
1919* Frédéric Emile Jules Schaller, directeur de banque et sa femme née Pabst
1920* Marie Félix Braun, directeur de brasserie, et Anne Marguerite Schaller
1931* Alfred Burgard, chirurgien dentiste

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 5100 livres en 1747, 3000 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) VI 373, Jean Fréderic Saum
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Saum, 8 toises, 1 pied et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 530, Saum, Jules César, rue des Veaux 20- maison, sol – 7,2 ares

Locations

1650, Adolphe Dümmler, capitaine de cavalerie (ensuite propriétaire)
1662, (cave) Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette
1675, (cave) Jean Georges Asfalck, marchand
1763, Jean Frédéric Ritzhaub, banquier
1775, Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais
1801, Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, juriste, et Salomé Gombault
1810, 1831, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, et Marie Catherine Schmitz
1815, Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg
1818, Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte veuf de Marguerite Petit
1820, Marie Louise d’Esebeck, veuve de Charles de Closen de Heydenbourg puis de Gustave Henri comte de Strahlenheim

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450), f° 79

Kalbs Gaß Ein seit nach dem Closter Sanct Stephan hinab
Juncker Bernhard von Lützelburg hatt ein Heüßel hinden vff dem Wasser vff zwenen Aichenen Pfäelen 7 ½ schu breÿt und 7 schu herauß, Item Vnden ein Brütsch 9 schu lang und 9 schu breÿt, Item Vornen In Kalbsgassen Lehenende Kellerthür 7 ½ schu breÿt und 3 schu herauß, Soll Allmendt sein und bleiben, Bessert für das Niessen, j lb xiii ß 4 d

Rue des veaux, d’un côté en descendant vers le monastère Saint-Etienne
Le gentilhomme Bernard de Lutzelbourg a une maisonnette sur deux pieux en chêne (7 pieds ½ de long en saillie de 7 pieds) par-derrière vers la rivière, De même en bas un lavoir (9 pieds de long en saillie de 3 pieds), De même une porte de cave inclinée (de 7 pieds ½ de long en saillie de 3 pieds) à l’avant sur la rue des Veaux, Est communal et doit le rester, doit pour la jouissance 1 livre 13 sols 4 deniers

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1667, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Les préposés autorisent Philippe Albert Bernhold à faire une avance de trois pieds de large sur les 50 pieds que fait le bâtiment arrière vers la rivière, moyennant 30 florins réglés en capital sur la Tour aux deniers. Il est en outre autorisé à ajouter un étage au même bâtiment.

(f° 72) Donnerstags den 1. Aug. – Jr Stettmstr. Stettmeistr. Bernolt. Ußstoß
Augenschein eingenommen in Jr Stettmstr. Philipp Albrecht Bernolts erkauffter in der Kalbßgassen gelegener Behaußung da er begehrt, d. Ihme erlaubt werden möchte in deßen hindern stock gegen dem Wasser Welcher 50. schue lang ist, einen Vßstoß zue machen 3. Werckschue hienauß vber d. Wasser. Weilen er entschlossen bessern wohlstandts halben solchen hindern stock oder gebauw umb ein stockwerckh Zuerhöhen. Weilen nun sich befunden d. gesuchte Vßstoß gegen dem Wasser Niemand hinderlich, vnd die erhöhung dießer Stockwercks eine mehrere Zierat, Alß ist Erkandt wie hernacher fol. (-) Zuseh.

(f° 77-v°) Dinstags den 13. Eiusdem [Augusti] – Jr. Bernholdt. Ußstoß
In sachen Jr Philipp Albrecht Bernholdts stettmstr. ist vff eingenommenen und referirten augenschein Erkandt, würdt Ihme in seinem begehren deß Außstoßes halben gegen dem Wasser hiemit Willfahrt, doch d. Er dafür dem fisco 30. fl. Zubezahlen schuldig sein solle. – Seindt mit Pfthrns. Zinßen compensirt den 13. febr. 1668

1729, Préposés au bâtiment (VII 1393)
Les préposés autorisent le menuisier Jean Georges Zimmermann, au nom de Sigefroi de Bernhold, à remplacer par de nouveaux deux des pieux qui soutiennent le pavillon d’été et que les glaces ont emporté

(f° 192) Donnerstags den 30. Ejusd. [Junÿ 1729] – Herr General Sigfrid von Bernold wegen allmends
Herr General Sigfrid von Bernold laßt Mghhn. durch Meister Johann Georg Zimmmern, den Zimmermann ersuchen, weilen das eiß an Seinem hinter Seiner in der Kalbsgaßen liegenden wohnung befindlichen Sommerhäußleins, so auf pfählen stehet, Zween davon weggenommen, Ihme zu erlauben an deren platz, zween andere schlagen zu laßen. Erk. gebettener masen willfahrt.

1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à ravancer sa risberme selon le même alignement que son voisin Jean Jacques Rœderer (futur n° 14) à condition de ne pas y construire de bâtiment sans autorisation

(f° 118-v) Dienstags den 10. 9.bris 1761 – Jr Sigfridt von Bernholdt
Jr Sigfridt von Bernholdt Läßet durch Johann Jacob Röderer dem Rothgerber umb erlaubnuß bitten mit seiner Landvest hinter seinem an der Kalbs: gaß gelegenen hauß in der nemblichen flucht wie H. Röderer seine darneben gemacht auff die Preusch herauß zu fahren. Erkannt, gegen einmahliger bezahlung willfahrt, sub conditione daß er Kein Gebäu darauff setzen solle ohne erhaltene erlaubnus Von Mghh. und soll H. Werner der Bau Inspector die flucht außstecken.

1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Les préposés autorisent Sigefroi de Bernhold à construire la risberme en pierres de taille moyennant un loyer annuel de cinq sols

(f° 2-v) Sambstag den 16. Ejusdem [Januarÿ 1762] – Jr. Sigfried von Bernholdt u. Joh: Jacob Röderer
An Jr. Sigfried von Bernholdts hauß an der Kalbsgaß alwo Joh: Jacob Röderer der Rothgerber mand. nôe. um erlaubnus gebetten eine Landvest von quadersteinen hinten auff das waßer in der nemblichen flucht von seiner Röderers oben darneben auffzuführen und zu solchem end auff die breusch hinauß zu fahren Erkannt, gebettener maßen willfahrt gegen erlag 5 ß d jährlichen bodenzinßes.

1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le marchand de cuir Saum est autorisé à ouvrir de nouvelles croisées et à en modifier d’autres.

(f° 71) Dienstags den 5. Martii 1771 – Hr. Saum, der Lederhändler
Hr. Saum, der Lederhändler, bittet zu erlauben an seinem haus in der Kalbs gaß gelegen Kreutzstöck ausbrechen und verändern zu dörfen. Erkannt, Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jean Lingenhœlin expose les travaux que le marchand de cuirs Jean Frédéric Saum a l’intention de faire dans le bâtiment latéral gauche à l’arrière de sa cour : fourneau dans la cuisine au rez-de-chaussée, cheminée à la française dans la chambre du premier étage vers la cour

(p. 210) Mittwochs den 14. Junii 1770. – H Johann Friderich Saum der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung hinden im hof lincker hand im flügel au rez de chaussée eine Kuchen gegen dem hoff neben der Steeg mit herd und Caminschoß machen, das rohr am steinen gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im nemlichen flügel im ersten stock eine Cammer gegen dem hof mit einem französischen Camin und Gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jean Lingenhœlin de faire des travaux dans l’aile droite en plaçant des fourneaux dans le poêle à l’étage, dans les cuisines au premier et au deuxième étage, dans le poêle du deuxième étage. Dans le bâtiment principal, dans les deux poêles et dans une chambre au deuxième étage.
(p. 306) Freÿtags en 22.ten Aprilis 1774 – Herr Johann Friderich Saum, der Lederhändler will in seiner in der Kalbsgaß gelegenen behausung in dem flügel rechter hand im ersten stock eine Stube mit einem runden ofen setzen, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb Wohl versehen, das rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt. Der Zweÿte stock ist diesem gleich.
In dem ersten und Zweÿten stock im nemlichen flügel jedes mal eine Kuchen Gegen dem hof mit Herd und Camin Schoß machen, die rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock im nemlichen flügel eine Stube gegen dem hof, hinden daran im Vor Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
In dem haupt gebäu im Zweÿten stock Zweÿ Stuben gegen der gaß, hinden daran ein Vor Camin auf ein gewölb ruhend, wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock im haubt gebäu eine Cammer gegen der gaß mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkandt, durch aus Willfahrt, mit dem anhang alß alle Vor Camin thürlein mit Eisenblech beschlagen werden. – Mr Linckenhölin

Jean Frédéric Saum charge le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer de travaux dans la cuisine au troisième étage de l’aile droite
(p. 436) Mittwochs den 11.ten Junii 1777. – H Saum der Lederhändler will in seiner ane der Kalbsgaß gelegenen behaußung in nebens gebäu Rechter hand im Hoff im dritten stock eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr an steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkand willfahrt – Mstr Härtelmeÿer

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue des Veaux

nouveau N° / ancien N° : 22 / 20
Loewenhaupt
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 186 case 3

Saum Jules Cesar rue des veaux N° 20

O 530, maison, sol, R. des veaux n° 20
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 90 / 72
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 16 case 1

Saum Jules César
1887/88 Hecht Marie Cäcilie, Fräulein
1889/90 Roth Georg Universitätsprofessor & Frau Maria Cäcilia Hecht

O 530, maison, sol, Rue des Veaux 16
Contenance : 7,20
Revenu total : 575.75 (572 et 3,75)
Folio de provenance : (186)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 90
fenêtres du 3° et au-dessus : 8

Cadastre allemand, registre 30 p. 315 case 5

Parcelle, section 24, n° 25 – autrefois O 530
Canton : Kalbsgasse Hs. Nr. 16
Désignation : Hf, 2 Whs u NG
Contenance : 7,22
Revenu : 4600 – 4300
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 1015
Roth Georg Ehefrau
1908 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1418
Weibel Guillaume
1935 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 4095
Ruffenach Emil Rechtsanwalt
1919 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1919), compte 4238
Schaller Friedr. Emil Julius Bankdirektor und Ehefr. geb. Pabst in Gg.
1920 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 4293
Braun Marie Felix Dr. jur. Brauereidirektor Ehefrau Anna Margaretha geb. Schaller
1931 Burgard Alfred chirurgien dentiste et son épouse
(1028)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, Rue 189 des Veaux

20
Prop. Saum, Joseph, frederic, negociant – Marchands
Loc. Jacquet, Jean Michel, Repetiteur en droit – ni b. ni m.
Loc. D°. Blain, anne, veuve – ni b. ni m.
Loc. Stridbeck, Jean geofroid, graveur – Echasses
Loc. Dlle Le Riche, fille – ni b. ni m

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 189 des Veaux p. 336

20
Pr. Saum, Joseph, frederic, Negociant – Miroir
Lo. Jacquet, Jean Michel, repetiteur en droit
Lo. Belain de Marais D° Anne, veuve
Lo. Stridbeck, Jean Geofroid, graveur – Echasses
Lo. Le Riche, fille

Registres de population

(1795) 7° section, Rue des Veaux N° 20 (registre 600 MW 7) – légende

Jn. Frederic Saum, 66, Marchand de Cuir, Strasb.
M. Madeleine Granau, 30, Servante, id
P. Stanislas Commart, 62, homme de lettres, Valenciennes, 1756
Salomé Gombault, 49, Epouse, Strasb.
Eugenie Commart, 24, file, id
Joséphine Commart, 23, fille, id
Hipolyte Commart, 20, fils, id
Louis Commart, 15, fils, id
Louis Commart, 14, fils, id
Barbe Gombault, 57, belle sœur, id
Louis Gombault, 55, id, id
Catherine Gombault, 42, id, id
Marie Anne Satler, 43, Servante, Ruffach, 1786
Cecile Braun, 20, Servante, Strasb.
Bernard M.el Jaquét, 58, Juge de Paix, Guebwilller, 1759
Anne Marie Rothann, 66, Cuisiniere, Strasb.
Salomé Bieth, 40, Servante, id
M. Madeleine Müller, 35, Epiciere, id
Fred. Guillaume Müller, 13, fils, id
M. Madeleine Lehmann, 40, Servante, Vesthoffen, 1783
Auguste Gremp, 35, Veuve, Stuttgardt, 1789
Louis Gremp, 14, fils, id
Frédéric Gremp, 12, fils, id
Louise Steckiner, 30, Servante, Andlau, 1791
Catherine Seldner, 37, Servante, Oberotterbach, 1787

Registres de population

(1798) 4° Arrondissement, VII° Section, rue des Veaux n° 20 (registre 600 MW 19) – légende

Jacquet, Michel, homme de loi, 60
Rothan, Marie, Cuisiniere, 67, Strasbourg
Bieth, Salomé, Servante, 43, id – [les trois précédents] delogés
Jean Leonard Roederer, march. tanneur, 21 ½, Strasbourg
Marie Elisabeth née Roederer sa femme, 24, Wasselonne, 3 ans
Leonard Charles Roederer son fils, 1
Jean Pierre Beniere*, son Compagnon, 17, de Paris, 9 mois
Marie Agathe Treiber, Servante, 24, de Stouttgardt, 5 [mois]
Joseph Guilain Commart, homme de loi, 63, Strasbourg
Salomé Gombault, sa femme, 51, id
Eugenie Commart, (leurs enfants), 27, id
Joséphine Commart, (leurs enfants),fille, 24, id
Hipolite Commart, (leurs enfants),22, 6 mois, id
Louis Commart, (leurs enfants),17, 6 M, id
Alexandrine Commart, (leurs enfants),16, id
Barbe Gombault, (leurs Belles sœurs), 59, id
Louise Gombault, (leurs Belles sœurs), 57, id
Catherine Gombault, (leurs Belles sœurs), 42, id
Magdeleine Kirtzing, Cuisiniere, 30, id
Marie Chopinet, Servante, 20, id – [les deux précédents] delogées
Ignace Scharenberger, Jardinier, 42, de Sultz
Catharina Schultz, sa femme, 25, Strasbourg
Teres Scharenberger, (leurs enfants), 3 ½, id
Françoise Scharenberger, (leurs enfants), 1 ½
Teres Rieffer, leur niece, 13, de Sultz
(25)
[verso]
Schremling, Marg.te, Servante, 44, Strasbourg – E. le 1. nivose 7, Est allé Finckweiller 3
Baudouin, Elisabeth, Servante, 25, Sarrebourg – id.
Wiver, Jn. Nicolas, Artiste, 66, Noenes* – id.
Laugier, Amélie, Enseigne, 47, Marlenheim – id.
Biotte, f.ois Antoine, Quart. Me. des Gendarmes, 25, Strasbourg – id.
Biote, Xavier, 35, Strasbourg – id.
Herrenschneider, Cath., Domestique, 16, Fegersheim – id.
Dusauget, Louis, Conduct. d’artill., 52, Pontamousson
Hugot, Adelaide, sa femme, 39, Vesly
Dusauget, Louis, leur fils, 18, Abbeville
Dusauget, Adelaide, leur fille, 15, Joinville
Dusauget, Edme, leur fille, 15, Perthes
Dusauget, Henriette, leur fille, 6, Momel
Gross, Off. de santé du 3° C.e, 22, Sarrebourg – E. le 27 Frim.
Houchard, Eleve du Génie, 18, Sarrebourg – id.
Reboulat, Bernard, Employé militaire, 31, Dijon – E. le 14 G.al 7 de la rue des Echasses 3
Litty, Catherine, sa femme, 23, Strasbourg – id.
Reboulat, Victor, fils, 4 mois, id – id.
Litty, Joseph, leur frere, 15 mois, id – id.
Litty, Martin, leur frere, 11 mois – id.
Huy, Marie Anne, Ouvriere, 26, Erstein – id.
Wamst, Marie Anne, Servante, 46, Niederbronn – id.
Kuhn, Elisabeth, femme divorcée, 39, Lichtemberg – id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kalbsgasse (Seite 74)

(Haus Nr.) 16
Lau, Schuhmachermstr. 0
Breitenstein, Pfarrer. 1
Dr. Nöldeke, Univ. Prof. 01
Frhr. v. Bibra, Ministerialrat a. D. 02
Frhr. v. Bibra, Reg.-Ass. 2.
Frhr. v. Bibra, Refer. 2.
Schneider, Rentnerin. 2.
Dorn, Oberpostschaffner. H 0
Kühnen, Rentnerin. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (947 W 33)

Albert Burghard fait aménager en 1931 un garage dans un des bâtiments par les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer qui réparent l’année suivante le bâtiment arrière dont une partie s’affaisse. Le bombardement aérien du 11 août 1945 endommage fortement le bâtiment avant et l’aile latérale. L’aile latérale droite est reconstruite en 1946 puis le bâtiment avant en 1956 sous la direction des architectes Mewes et Kœnig, le gros œuvre étant terminé en août 1957 sans que la corniche corresponde aux plans.

Autres dossiers
1198 W 2414, demande de renseignements, 1998
1198 W 1378, AP, 1998
1308 W 836, ravalement, 2000
1331 W 210, extension, 1998-2001
1687 W 316, ravalement, 2010-2011

Sommaire
  • 1867 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Saum l’autorisation de faire une prise de gaz pour deux becs
  • 1883 – Le maire notifie le propriétaire de faire faire une fosse au lieu de rejeter les excréments humains dans l’Ill – Décembre, le conduit vers l’Ill ne sert plus qu’aux eaux de pluie et à des eaux usées
  • 1891 – Le maire notifie le propriétaire, Mme Hecht, de faire ravaler les façades.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence les volets du rez de chaussée et de la cave – Les modifications ont été faites, juillet 1896
  • 1907 – Les peintres Beck et Schmidt demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1912 – La chute d’une cheminée a endommagé le toit du n° 18 – Réparations
  • 1913 – L’avocat Ruffenach demande l’autorisation de poser une plaque professionnelle – La plaque sans saillie est posée.
  • 1915 – Rapport de la Commission militaire des logements. Les travaux de raccordement aux canalisations sont en cours. Travaux terminés, août 1915
  • 1917 – La marchande de modes Eugénie Streicher demande l’autorisation de poser une enseigne émaillée – Accord
  • 1917 – Modification de la cheminée après un incendie – Les modifications ont été faites, octobre 1918
  • 1922 – Des fragments de crépi tombent du mur mitoyen vers l’Ill sur la propriété du n° 18 – Le propriétaire, le directeur de brasserie Braun, demande l’autorisation de poser un échafaudage
  • 1931 – Albert Burghard (propriétaire demeurant 1, rue de Zurich) demande l’autorisation d’aménager un garage dans un bâtiment existant (entrepreneur, P. Guri et E. Meyer, 4, rue des Balayeurs) – Autorisation. Calcul statique, plan de la parcelle, dessin – Travaux terminés, juin 1931 – Permis d’occupation, juin 1931
  • 1932 – La Police du Bâtiment constate que le propriétaire Burghardt fait faire des travaux sans autorisation – Demande d’autorisation – L’entrepreneur P. Guri et E. Meyer expose que la façade du bâtiment arrière s’est en partie affaissée, il y a des champignons au fond de la cour – Autorisation – Extrait du plan cadastral – Calcul statique – Le voisin Henri Bertrand qui n’a pas donné à l’entrepreneur l’autorisation de faire les travaux sur son terrain propose un compromis – Gros œuvre terminé, octobre 1932 – Permis d’occupation à délivrer, mars 1933, n’a pas été délivré, idem
  • 1945, 1947 – Les bâtiments ont été endommagés par le bombardement aérien du 11 août 1945. Certificats de sinsitré délivrés à Charles Lœgel (deuxième étage, maison entièrement détruite), Albert Blæs, Gabrielle Felzinger (premier étage, inhabitable), Jeanne Herrmann (premier étage, maison entièrement détruite), Keser (premier étage, inhabitable), A. Burghard, Joseph Muller
  • 1946 – Le maire fait part au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme que l’aile latérale droite du bâtiment avant menace de s’écrouler, le bâtiment arrière étant intact (rapport du 2 juin 1946). Le M.R.U. répond que le retard est dû à l’architecte du propriétaire – Les travaux de reconstruction de la maison arrière sont terminés et correspondent aux prescriptions de la Police du Bâtiment, novembre 1946
  • 1956 – L’entreprise de construction Barbier-Kientz est autorisée à occuper la voie publique pour le compte du propriétaire Burghard
  • 1956 – Projet de reconstruction de l’immeuble sinistré (partie sur la rue) par les architectes Mewes et Kœnig – Extrait du plan cadastral – La corniche de la toiture devra se retourner du côté latéral pour éviter que le mur pignon ne soit trop haut, une servitude de gouttière est donc nécessaire – Permis de construire délivré par le Ministère de la Reconstruction et du Logement – Gros œuvre terminé, août 1957 – La corniche de la toiture n’a pas été exécutée comme prévu (croquis) – Commentaires de la Police du Bâtiment, compte tenu que le pignon est en arrière de l’alignement légal et que l’école est volontairement à distance de l’alignement légal – Certificat de conformité délivré par le directeur départemental du ministère de la reconstruction, 8 septembre 1959.
  • 1961 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le pignon qui donne vers l’école voisine – Le propriétaire répond qu’il a consenti à détruire un débarras en saillie moyennant que la ville crépisse le mur – La Ville propose de poser un treillis à garnir de plantes – Travaux achevés, juillet 1962
  • 1969 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire ravaler le mur sur l’Ill – Demande adressée au nouveau propriétaire, Herrmann Frères
    1970 – Projets du nouveau propriétaire, Edouard Helwig
    1971 – Autorisation d’occuper la voie publique par un échafaudage – Travaux intérieurs. Façade ravalée, septembre 1971
  • 1982-1984 – Le propriétaire Edouard Helwig demande l’autorisation de réparer le toit, crépir et peindre les murs – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le propriétaire demande une subvention à la Ville – La ville acccorde une subvention pour la peinture parce que la cour est visible de la rue – Coupure de journal – Factures

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2265)

Alfred Burghard déclare les dommages dus aux bombardements du 11 août 1944. Sept des onze appartements sont inhabitables (bâtiment avant et aile latérale)

Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 47
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 16
Burghard Alfr.
Quartier : Place de la Cathedrale

Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Ums Münster
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Fliegerschaden vom 11. 8. 1944

Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Kalbsgasse Nr. 16
Eigentümer : Burghard Alfred Kalbsgasse 16
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus, Seitenbau, Hinterhaus
2. Beschädigte Gebäudeteile : Vorderhaus, Seitenbau
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : Totalschaden
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen : 11, bewohnbar 4, unbewohnbar 7
Geschäfte –
Werkstätten –
Garageräume –
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar : Einsturzgefahr
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 17 8. 1944
Unterschrift : Alfred Burghard
Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 46
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kalbsgasse 14
Schuster Otto
Quartier : Place de la Cathedrale


Relevé d’actes

Bernard de Lutzelbourg est propriétaire de la maison dans le Livre des communaux de 1587. Il épouse Véronique de Landsperg puis (1590) Lucie de Reinach veuve de Guillaume Bœcklin de Bœcklinsau. Il meurt en délaissant deux fils et deux filles (voir les actes suivants) La maison revient à ses fils Gautier, successivement marié avec Anne de Wiltz et Claude Beyer de Boppart, et Garnier, successivement marié avec Anne de Zetritz et Odile de Lœzer.

Mariage, cathédrale (luth. p. 177)
1590. Dominica 11. post Trinitatis. 28. Junÿ. Der Edel und Vest Bernhard von Lüzelburg, So die Edel Ehrn vnd tugendreiche fraw Lucia Böcklerin von Böcklinsaw, Ludwigen von Reinach selig. tochter weiland des auch Edlen vnd Vesten Wilhelm Böcklin von Böcklinsaw nachg. wittfraw. Eingesegnet Montags den 13.t Julÿ (i 92)

Bernard de Lützelbourg épouse Véronique de Landsperg, fille de Sébastien de Landsperg et d’Anne de Rathsamhausen Ehnwihr, dont
Gautier, épouse Anne, fille de Jean de Wiltz, gouverneur de Thionville et de Claude Beyer de Boppart
Garnier, grand veneur de l’électeur de Saxe
Béatrice, épouse (1576) Jean Schweickart de Sickingen
(Lehr, L’Alsace noble, p. 330)

1) Elisabeth, † 1614. Sie heiratete im Jahre 1581 den Oberamtmann und Rat zu Saarbrücken Johann Nikolaus von Hagen, † 14. Aug. 1622, Sohn von Johann von Hagen und Beatrix Zandt von Merl;
2) Friedrich erwähnt 1589;
3) Werner, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Zetritz und in 2. Ehe mit Odilia von Loezer;
4) Beatrix, † 22. Febr. 1610 in Ebernburg. Sie heiratete am 27. Mai 1575 Ernst Johann Schweikhard den Älteren von Sickingen, † 13. Sept. 1589 zu Ebernburg, Sohn von Franz Konrad von Sickingen und Maria Luzia von Andlau;
5) Walther, verheiratet in 1. Ehe mit Anna von Wiltz, noch 1621 erwähnt und in 2. Ehe mit Anna Margarethe von Eltz. (référence)

1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
On découvre dans la maison du défunt Bernard de Lutzelbourg trois grands coffres qui doivent contenir de l’argent. Le gentilhomme Bœcklin en fait part aux Quinze pour éviter que cet argent sorte de la ville. Le gentilhomme Prechter demande en avril la conduite à tenir pour encaisser au mieux les droits qui reviennent à la ville si les héritiers, dont l’un habite en Saxe, se partagent la succession. Les héritiers font dresser l’inventaire réglementaire mais les fils s’opposent à ce que les titres qui se trouvent dans la maison Landsperg soient inventoriés, en alléguant qu’ils ont trait à des possessions lorraines dont leur père leur a fait donation. Les fils se sont accordés à ce sujet avec leurs sœurs et leur neveu (Sickingen et Rumroth). L’inventaire est suspendu jusqu’à ce que les héritiers aient produit la donation. Bœcklin rapporte en septembre que les héritiers s’efforcent de fournir tous les documents. L’affaire sera close seulement quand les héritiers auront réglé les droits de détraction.
J Bernhardt von Lützelburg. 40. 49. 72. 129.
(f° 40) Sambstag den IIII Martÿ – J Bernhard von Lützelburg
J. Böcklin Zeigt an, Nach dem Bernhardt von Lützelburg mitt todt abgang. seÿ er alß vogt seiner stieffdochter Zu Bernhard von Kageneckh vnnd Friderich Bocken erfordert, alles versecretiren helffen, haben Inn einem gewölb dreÿ große eÿßere trög vnd Zween eÿsen stöck befunden, vermeint man sÿ seÿen voll geltts, hab ers mein herren wöllen anzeigen, ob vff mittel Zu gedencken, das solch geltt nicht auß der Statt ettwan Inn Lothring. geführt vnd wider vnns od. vnsere Religions verwandte gebraucht werden möchte, ob villeicht mein H, das geltt vff dem pfenningthurn Zunehmen vnnd ein Jar Zweÿ anstatt des Abzugs vergebens brauchten. Item hab er auch mitt H. Beinheimen daruon geredt, dieweil Lützelburger seliger ein Zehenden vnnd Zoll Zu Waßlenheim hatt, so zwischen mein herren vnnd Ime Zu Zeitten spann gegeben, Ob man Jetzo vmb solchen Zehenden handlen möchte vnnd denselben Zu der Statt handen pring. der ein Sohn wohnt Zu Sarburg, der ander ist am Säxischen hoff, könte auch des Abzugs halben bedacht werden.
Erkandt das geltt belangendt soll J. Hans Conrad Böcklin der sachen wahrnehmmen, so die theilung fürgenohmmen was man mitt dem geltt wollte fürnehmen, solches mein Hn berichten vnnd dieweil sÿ ohn Zweiffel auch des abzugs halben werden ansuchen, soll man des Zolls vnd Zehenden Zu Waßlenheim eingedenck seÿn, ob man darumb könte Inn handlung kommen.

(f° 49) Sambstag den Ersten Aprls. – Bernhard von Lützelburg
J. Prechter Zeigt an, dieweil er Inn erfahrung pracht das Bernhardt von Lützelburg selig. erben vff den 26. diß hiehör beschriben, auch ohn Zweiffel abtheilen werden, mein h. auch ein feder von der ganss möcht werden, dieweil einer Im landt Zu Sachßen wohnet, Hatt er für gutt gehaltten, das mans möchte dahien richten, das es Zuuor bedacht, vnnd dieweil meiner H. Aduocaten von beden theilen sollen darzu erpetten seÿn, das Ihnen möcht Zugesprochen werden, wie auch D Gerbelio, das die Aduocaten nichts thäten so mein h. Zu nachtheil gereichen möcht, Item D Gerbelius auch, der Inn Doctor Keÿsers abzug die erben soll angewißen haben, vmb milterung des abzugs anzusuchen, die sonst weren guttwillig gewesen, den Zehenden pfenning Zuerstatten, dann so deß ortts ettwas nachgegeben würde, möchten die Grempischen erben mein Hn auch wider ein unrhue machen.
Erkant, B Mr. sollen die dreÿ Aduocaten vnnd D Gerbelium erfordern, Ihnen den casum anzeig. vnnd beuelhen sich Zuberhatschlag. was Zuthun, damitt mein Hn kein unrhue gemacht vnnd d. Statt werde was Ihr gebürt, D. Gerbelius würdt wissen nach zusuchen beÿm Cleinen Rhat.

(f° 72) Sambstag den XXVIII Maÿ – J. Bernhart von Lützelburg
Der Rhatschreiber bringt für, die Lützelburgischen erben haben Ihme vor dißen durch D Steffan laßen ansprechen, sich Zur Inventation gebrauchen Zulaßen, er erstlich abgeschlag. letstlich bewilliget, souil er seiner Amptgeschefft halb. berichten könne, Wie sÿs auch Zur selbig. Zeitt fürgenohmen, vnd nach dem man Zusammen kommen, daruon geredt, wie die Inventation fürzunehmen, seÿ Ime durch Emanuel Goldern Im Lützelburger hoff angezeigt, daß Mathiß von Gotteßheim vnnd noch ein herr Ime bevolhen anzuzeig. das meine Hn Rhät vnnd XXI erkandtnuß seÿ, das die Lützelburgischen erben ein ordentlich Inventarium sollen vffrichten alles was darein gehört, darein bring. vnd den erbfall vor dem Cleinen Rhat außnehmen denen es angezeigt, die sich erpotten, der Erkandtnuß nachzusetzen, ein ordenlich Inventarium vff zurichten, dabeÿ ers müßen bewenden laßen haben daruff die Inventation fürgenohmmen haußrhat, silbergeschirr, barschafft, ligende güeter, Zinß vnd gültten alles ersuchen laßen vnnd alß man auch Im Landsperger hoff die brieff ersuchen sollen, habens die Söhne nitt bewillig. wollen, gesagt, das es die brieff so über die Lottringische lehen, die Ihr vatter Ihnen per modum donationis inter vivos übergeben, seÿen nuhn dreÿ Jar Inn poßeß, Doctor Sturtz beuelchhaber der Sickingischen vnd Rhumroth es widersprochen, wie auch J. Böcken von weg. seiner Vogtsdochter einredt gehabt, müßen die donation besichtig. Jene es bestritten, das sÿ nicht Inns Inventarium gehörig, daruff man sich verglichen, die Inventation einzustellen, bitz die donation exhibirt vnd besichtiget, Item schaffner alle Ire Rechnung. vff Johannis gethan, damitt das Inventarium ergentzt. Dieweil man sÿ dann nicht weitters treiben können, hab ers müß. pleiben laßen. Inn mittels von Bittelbron gehört, das die brüder mitt den schwestern vnnd schwester Kindt verglichen, wie der vertrag soll vor Rhat bestetigt werden. J. Böckel Ihne bericht, das die Lützelburgischen nicht willens, die Inventation ferner Zu continuiren, habs mein H. sollen anzeig., stells Zu mein Hn was sÿ erachten, das man ferners Zuthun schuldig, sollen billich das Inventarium ergentzen, das mein Hn Ihr abzug mög werden Ob mein h wöllen content seÿn, od. Ihnen vffleg. [f° 73] dem Jenig. so Ime beuohlen, nach Zukommen, vnnd ein vollkomlich Inventarium Zumachen, od nicht, das stehe Zu mein herren.
J. Böckel referirt wie d. Rhatschreiner, Item wie die Vergleichung beschehen mitt den schwestern vnd Rhumrath, durch nidergesetzte vom Adel vnd die Doctores. Were die donatio Zubesichtig. ob sÿ crefftig od. nicht, dann mein H vnnd sein vogts dochter Ihr Interesse dabeÿ, seÿ Vil gutts dings Inn den Kösten, nicht allein von lehen, sonder auch eigenthümliche dörffer vnd anders Inn Lottring. das vonnöthen solches Zuersuchen, Item so greiffen die brüder Inn die baarschafft, Zalen darauff die schwestern vnnd den Rhumroth, gleichwol wöllen sÿ gutt darfür seÿn, so man abzug dauon schuldig.
Erkandt, dieweil mein Hn Inn geringer anzal, die sach beÿ Rhät vnd XXI tractirt, Soll man deù Rhatschreiber sag. das er sein fürpring. per modum supplicationis enstelle, vnd für Rhät vnd XXI pringe, wöll man sehen, das er audientz bekomme, Inn mittelst nichs von handen laßen.

(f° 129) Sambstag den IX Septembris – J. Bernhart von Lützelburgs erben
J. Böcklin Zeigt an, das die Lützelburgische Erben allen fleiß anwenden, brieffliche verkhünden vnnd was noch hie ist, hienweg Zupring. wo es geschiht, so werdt mein herren nichts oder wenig für den abzug, were den schaffnern (.Friderich Zornen, Jacob Meÿern, Johann Edling.) Zugebietten, beÿ Ihren burgereÿden nichts von handen zugeben, bitz vff meiner herren weitteren bescheidt.
Erkandt Bede Mr. sollen die schaffner fürderlich beschicken vnnd Ihnen beÿ Ihren burgereÿden gepietten nichts auß handen volg. Zulaßen, bitz die Lützelburgische erben des abzugs halb mitt mein h. verglichen, vnnd soll man nichts überstehen, damitt die Grempischen erben nicht ursach sich Zubeclagen.

1605, Protocole des Quinze (2 R 33)
Veneur du prince électeur de Saxe, Garnier de Lutzelbourg va venir à Strasbourg. Les Quinze fixent le droit de manance à huit livres, ce qu’il trouve trop élevé. Il estime pouvoir donner six livres et une livre en sus, ce qu’acceptent les Quinze.
J Werner von Lützelburg. 89. 97. 99.
(f° 89) Sambstag den 20. Aprilis. – J. Werner von Lützelburg
Frantz Piering Schaffner J. Werner von Lützelburg Churf. Sachsischen Jägermeisters p. Disdorpium, Er hab seinen Junckern das Mandat saltzgelts halb überschickt, der sich erclärt, das er Inn kurtzem seiner nottwendigen geschefft halb herkommen werde, wöll er sich alß dann mitt mein herrn Vergleichen, das sÿ content seÿn werden, dieweil er aber Inn seinem hoff werd. einköhren, hab er des Junckern erclärung mein Hn. fürpringen sollen, Wöll verhoffen, man werd sich den einzüg nicht laßen Zuwider seÿn.
Erkandt, dem Schaffner anzeig. man laß den Junckern beÿ seinem erpietten verpleiben, er mög Inn seinem hoff ein Zieh. Wann er aber herkombt, Soll es d. schaffner anzuzeig. schuldig seÿn Mr.

(f° 97, 97-v) Mittwoch den VIII Maÿ
(D. Steffan) dann er werd. ein tag oder ettlich nicht hie seÿn,; muß den Marckttag Zu Meurßmünster Inn namen J. Werner von Lützelburg der den vierten Stamtheil besuchen, seÿ vergleichung Zutreffen, hab er bitzhero Inn der sachen gedient.
J. Werner von Lützelburg – Daruff entstehet ein frag, dieweil gedachter Werner von Lützelburg Churfürstlicher Sachsischer Jägermeister Jetzo allhie vnd sich seines einzugs halb begert mitt mein herren Zuvergleichen, was Ime für ein Schutz vnd Schirmgeltt Zubestimmen.
Erkandt Ime viij ln vfflegen vnd soll man Ime Zu muthen, fidelitatem Zuversprechen, hören was er darzu sag. will, Solls Ime D. Stephan anzeig. Sagen Ime B. Mr.

(f° 99-v) Sambstag den XI Maÿ – J. Werner von Lützelburg
H Stettmr. Büchßner referirt, demnach er auß bevelch meiner herren von J. Werner von Lützelburg den Verspruch fidelitatis angenohmmen, hat er sich beschwert 8 lb Zugeben, dieweil er seinem Gnedigsten Churfürsten vnd Herrn von einem hauß so er Ime geschenckt, nicht mehr dann 6 lb gebe, aber sich erpotten mein herren j lb weitters Zu geben, vnd heb gar gern versprochen auch sich erclärt, das er Ime Inn seiner Bestallung geg. dem Churfürsten vorbehaltten, wider sein vatterlandt vnd die Statt Straßburg nicht Zudienen.
Erkandt, Ine beÿ seinem erpieten der vij lb pleiben laßen, Kan mans dem Schaffner anzeigen dieweil d. Juncker hiein Inns Westerich reÿßt. Mr.

1615, Conseillers et XXI (1 R 96)
Garnier de Lutzelbourg écrit de Dresde qu’il est trop âgé pour continuer à voyager. Il demande à être relevé de son droit de manance aux Conseillers et aux Vingt-et-Un qui renvoient l’affaire aux Quinze. Les Quinze donnent leur accord mais les fils du demandeur, jusqu’à présent logés chez les Landsberg, devront à l’avenir être logés chez des aubergistes.
(f° 331) Sambstag den II Decembris. – Werner von Lützelburg sagt sein Schirm auf
Werner von Lützelburg schrb. auß Dreßden darin mherren Zur augenschaw, d. er aber alters halben disser ort nit bald mehr reisen würd, od. feur v Rauch halten, Bitt er Ime des Schirms wid. Zuerlassen sonderlich weil auch die Jar nun mehr foruber, mit erbetten. Erk. Ist für mein H. die XV gewisen, die komme Ine des Schirms erlassen.

1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 215). Montag den 4. Decembris – Jr Werner von Lützelburg. Schirms vffsag
Ein schreiben vonn Jr Werner von Lützellburg, Churfürstlichen Sächßischen Jägermeistern vnd Cammer Junckern, sub dato Dreßden den 28. Augusti 1615. ahn Hrn Meister vnd Rhat allhie gerichtet, so verschienen Sambstag beÿ Hrn Rhat vnd XXI abgeleßen vnnd für mein Hrn die fünffzehen gewissen, Ist fürgelegt aber nicht verleßen worden, weÿl es allein den schutz vnd schirm belangt, darinnen der Junckher bißhero gewesen, den er aber Jutzunder, wegen seines altters, meinen Hrn vffschreibt, vnd den Hrn solcher Inhalt noch wohl bewußt ware, sonndern allßo balf vmbgefragt vnd Erkant, Man soll solche abkündung vonn Ime vff vnnd annehmen vnd einem Schaffner Frantz Peüring im Landspergischen Hoff beschicken, Ime solches anzeigen, mitt bevelch des Junckhern söhn, so bißhero Jr vffkehr beÿ Ime gehapt, ferner nicht Zubeherbergen, sondern ahn ein feÿlen würth Zuweißen, Item wahfern es noch nicht geschehen, die sachen vfm Stall vollendts richtig Zumachen, dessen dann die Vfm Stall auch Zu avisiren. Mr
[in margine :] Ist bereits verricht. den 16. Xbr. 1615.

Autres références sur Garnier de Lutzelbourg dans les mêmes registres
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Werner von Lützelburg vmb Einspänniger. 281.
1619 Conseillers et XXI (1 R 101) Johann Georg Churfürst zu Sachsen intecedirt p. Werner von Lützelburg. 27.
1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Johan Rudolph vnd Sebastian Schenck maturanda sententia [umb beforderung bescheids] in causa contra Werner von Lutzelburg. 9.

Garnier de Lutzelbourg, veneur et chambellan chez le prince électeur de Saxe, et Gautier de Lutzelbourg, gouverneur pour le prince de Lorraine à Sarrebourg, vendent la maison à Henri Vagius et à sa femme Elisabeth Wolfart moyennant 1 125 livres

1616 (2. Martÿ), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger), Scheda ad fol. 132
(P. fol. 121.) Erschienen der Ehrenvest hochgelehrte herr Sebastian Leüttersperg beder Rect. doctor vnd der St. St. advocat deß gleichen herr Frantz Beüring burger Zu Straßburg, bede Als vollmächtigter gewalthaber der Woledlen vnd Gestreng Werner Von Lützelburg Churfürstl. Sächsisch. hoff Jägermeÿster vnd Cammer Juncker vnd Walther von Lützelburg Fürst. dhlt. Zu Lottring.Gubernator Zu Sarburg gebüder (haben verkaufft)
Heinrich Vagio vnd Elisabeth Wollfarthin seiner ehelichen haußfrauwen burgern zu Straßburg
hoff, hauß, hoffestatt, Stallung vnd brunnen mit Allen Ihren gebeüwen, begriff. weÿth. Recht. vnd Zugehördden wie die von Lützelburg bitzanhero beseß. gelegen Inn der St. St. Inn der Kalbßgaßn einseit neben h. Johann Mock. And.seit neben J. hanß Philipß Zugkmantells hoff, hind. vff die Breusch stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht, besetzung, eÿgenthumb od. herrschafft od. derergleich. (…) Zugang. vnd beschehen Für Vnd Vmb 1125 pfund

Fils du receveur de l’Eglise rouge Thiébaut Vagius, Henri Vagius épouse en 1601 Elisabeth Wolfarth, veuve de Matthias Roth
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 64, n° XXIII)
1601. den 16. Novembr. sind Ehelich eingesegnet worden herr Henricus Vagius vonn Straßburg, weiland herrn Theobald vagÿ Schaffners Zur Rotenkirchen vnd Burgers alhier selig. nachgelaßener Sohn, vnd Fraw Elisabeth Wolffhartin weiland herrn Hans Matthis Rothen seligen nachgelaßene widtwe (i 61)

Matthias Roth épouse en 1594 Elisabeth Wolfarth, fille du parcheminier Laurent Wolffart
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 11-v, n° 39)
1594. H. Hanns Matthiß Roth, vnndt Elisabeth Lorentz Wolfarten des pergamenters tochter. Eingesegnet Zu Illkirch den 18. Junÿ (i 12)

Henri Vagius acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme neuf mois après son mariage
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 815
Herr Heinrich Vagius empfahet d. B: Vonn seiner Haußfrawen Elßbethen w: Herrn Mathis Rothen selig. witib will Zun Gartnern Inn Crautenaw dienen, Vnnd sein Nahrung für 5000 fl. angeben. Act. 24. Aug:

Jean Mathias Roth a institué l’hôpital bourgeois pour héritier universel. Henri Vagius a versé les sommes en argent de mauvais aloi, soumises à un complément de paiement. L’acte se termine par une question juridique ayant trait aux droits à verser sur ces compléments
1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
(f° 136-v) Sambstag den 22. Junÿ – Hanß Philipp Schatz, Joseph Arhard Schaffner im mehren Spittahl – Hanß Matthiß Rothen Erbschafft – Henrich Fagÿ Erben – Pfundtzoll in käuffen und Cessionen verfallen – Ob man von Nachträgen pfundt Zoll schuldig
Hanß Philipp Schatz, vnd Joseph Arhard des mehren spittals schaffner Erschienen berichten p. N Eggen, daß weÿland Hanß Matthiß Rothen erbschafft den armen im Spittal, alß instituirten Erben heimgefallen, daran weÿland Heinrich Fagius in schlechtem gelt ettwas abgestattet, solches aber nun mehr dem Spittahl an reducirtem capital gut gethan worden, vnnd weilen hievor, so wol vom schafer des Spittahls, als auch herrn Schatz ehvögtlicher weiß der pfundt Zoll abgefordert wird, solches aber beeden supplicanten, weilen sie für sich kein interresse dabeÿ beschwerlich, auch sonsten nicht herkommens, das von dergleichen donationen ad pias causas derselb. gefordert werde, Alß haben sie es an diesem orth anbringen, vnnd sich davon Zu absolviren betten wollen, produciren Zu mehrern bericht Ein memorial, so verlesen, deß Innhalts das herr Heinrich Fagius in gedachter H Hanß Matthiß Rothen Erbschafft gut gelt schuldig verpliben 623. lb, dargeg. haben seine Erben dem Mehrern Spittal ein Zinnßbrieff vff den Pfenningthurn, welcher schlecht. gelt 1500 lb. aber an reducirten capital 409 lib. d thut über geben, darvor werde der pfundt Zoll gefordert. herr Kügler alß oberpfrundt Zollh. wie auch h. Frantz berichtet, das Contractuum Notarÿ instruction weise auß, das was von käuffen oder Cessionen hier in der Contractstub verschrieben werde, davon auch der pfund Zoll verfallen seÿe, Nun seÿe dieße handlung Zwischen dem mehrern Spittahl und Fagÿ Erben in der Contractstub verschrieben, begehre dannenhero d. pfund Zoller außweisung weßen Er sich in diesem fall Zu verhalten. Beÿ der vmbfrag ward dafür gehalten, scheine vnbillich das der, der nachtragt oder dem auch nachgetrag. wird, solte pfundt Zoll geben, weilen es an ledige bezahlung ist, dahero vermuthlich beede Supplicanten in diesem fall werden Zu absolviren sein, doch weilen vff die bahn kommen, das fast ein gleichförmiger Casus in vorig. Protocollis werde Zu finden sein, Ist Erkanndt worden das solcher Zuvordrist vffgeschlag. inmittelst das geschefft geg. supplicaten zu bedacht genommen sein solle.

L’hôpital bourgeois donne quittance à Anne Botz, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Philippe Schatz et héritière testamentaire de Henri Vagius et d’Elisabeth Wolfarth

1631 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 426
Erschienen die woldel, Gestreng, Ehrenveste, fürsichtige vnd wolweise herren Bernhard von Kageneck, ietzregirender Stettmeister, vnd herr Daniel Ringler Alt. Ammeister dr St. St. alß verordnete Pflegere deß Mehren Spitals, vnd herr Joseph Erhard alß Schaffner daselbsten, An einem,
So dann weÿ: H Henrich Vagÿ see: eingesetzter Testaments Erbin Anna Botzin Ehevogt H Johann Philipp Schatz, Großen Rhats Verwanther, Wie auch seine Vagÿ haußfrawen Elisabeth Wolfahrtin see. Erben wegen der Ehrwürdig wolgelert herr M. Johannes Georgius Schüring Diaconus Zu S. Wilhelm alhie, innamen Barbaræ Wolfartin seiner Schwiger und Lazarus Wolfahrt für sich selbst, vnd alß geschworner Vogt Anna Wohlfahrtin seiner Schwestern An andern theil
Zeigten An, vnd bekannten gegen einand. demnach dem Spital, vermög der auch in der Contractstuben den 18. Septembris Anno 1628. vber hanß Mathiß Rothen see: Verlaßenschafft vffericht. verschreib: vnd Lüfferung (…)

Le marchand Jean Philippe Schatz épouse en 1610 Agnès Meyer puis en 1629 Anne Botz, fille de Louis Botz, administrateur de la tuilerie dite untere Ziegeloffen
Mariage, cathédrale (luth. p. 240)
1610. Dominica Quinquagesima hans philips schatz der handels man vnd Junchfraw Agnes h. hans heinrich meÿer n:g: tochter (i 124)

Mariage, cathédrale (luth. p. 276)
1629. H Hans Philips Schatz der Handelsmann, Vnd J Anna Ludwig Botz verwalters auf dem vndern Ziegeloffen n. tochter, eingesegnet montag 26. 8.bris (i 143)

Références de Jean Philippe Schatz dans les registres
1627 Conseillers et XXI (1 R 109)
(f° 27-v) Sambstags den 17. Febr. – Hanß Philipp Schatz ist H. Werner Gambßen, so ihn Rhatt khommen, auff den Stall für dises Jahr substituirt. d. schwört auff die ordnung
1628, Protocole des Quinze (2 R 56) Hannß Philipp Schatz. 236. 265. [wegen Hannß Michael Reimbolds]
1631, Protocole des Quinze (2 R 57) H. Hanß Philipp Schatz. [Abloßung] 27. [Stand am Vischmarckh] 127.
1636, Protocole des Quinze (2 R 61) Adam Bott et consorten Ca. H. Hanß Philipp Schatzen. 229. Conrad Müller Ca Hanß Philipp Schatzen. 229. [Stand am Vischmarckh]
1638 Conseillers et XXI (1 R 121) Johann Philipp Schatz. 82. [platz gegen dem mittlern Ziegeloff über]

Philippe Ulmann Bœcklin de Bœcklinsau (propriétaire de l’actuel n° 14) aménage un four à pain dans son bâtiment arrière et demande l’autorisation de poser des poutres dans le mur qui appartient en propre à son voisin Jean Philippe Schatz. L’autorisation est accordée à titre révocable.

1637, (ut supra [9. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 718
Erschienen Jrn Philipps Vlman Böckle von Böcklinsaw
hatt in gegensein H Johann Philipps Schatzen grossen Rhats v.wanthen alhie bekant
demnach Er Jr. Böckhle in seinem Adelichen alhie in der Kalbßgaßen und neben ihme Schatzen gelegenen hoff einen Bachoffen in der vndern Kuchen deß hinderhauses setzen und machen, vnd zu desselben besserer habung dreÿ höltzer vnderhalb, darauff der Rost ligt, in sein H Schatzen eigenthümliche Maur, vff vngefohr ein halb werckhschuh tieff legen lassen, daß solche Einlegung ihme H Schatzen und alle seinen Nachkommenden, wed. vber kurtz noch lange Zeit, im geringsten an seiner dißohrts habend. gerechtigkeit nit præiudicirlich und nachtheilig sein, sondern einig vnd allein für ein Nachbarliche Gonnung inmaß es auch an ihm selbsten ist, gehalten werd., auch Er Jr. Böckel vnd seine Nachkommende vf ihren costen, vff sein H Schatz. od. deß. Nachkommenden begehren, solche höltzer wider herauß thun und sein Schatz eigene Maur wid. in vorig. stand richten zulaß. schuldig sein sollen

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz et l’étudiant Jean Henri Schatz louent la maison au capitaine de cavalerie Adolphe Dümmler

1650 (28. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1140-v
Erschienen H. Balthasar Ludwig Küenast der Handelsmann Und alter großen Rhats Verwanther alß Ehevogt Fr. Agneß Schatzin, Item H. Johann Schatz der handelßmann Vnd dann H. Johann Heinrich Schatz L.L. Studiosus, beede für sich selbsten
haben in gegensein H. Adolph Dümler deß Rittmaÿsters
Verlühen haben hauß, hoff, hoffstatt, hinder hauß Stallung, Gärtlin Keller Und die darinn ligende vf (-) fud. haltende faß mit allen deren Gebäwen, nichts davon alß eine Cammer außgeschloßen, welche Sie die Schatzische Ihnen außtruckhlich vorbehalten haben, Alhier in der Kalbßgaßen, neben Jrn. Philipß Uhlmann Böckhlin & neben dem Zillerisch. hoff gelegen, also Vnd dergelstalten daß Er H. Rittmaÿster dümler, Ihnen denen Schatzischen hingegen so bald Er die Behaußung bezog. haben wird 900 Pfund lüffern, vndt solche Behaußung ahne statt deß Von dem Vorgeschoßenen 900. lb Jährlich gefalenden Zinnßes Lehnungs weiß inn haben und bewohnen
(cassirt und anderwerts verschrieben wie in registrand. de a° 1651. fol. 294. fac. 2 & fol. seqq. zu befind. ist)

Les mêmes engagent à titre d’antichrèse la maison à Adolphe Dümmler, manant de Strasbourg. En marge, quittances dont celle qu’accorde la veuve Dümmler en 1660.

1651 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 294-v
(Lect. & confirmat. beÿ Rhat den 9. april. a° 1651.) Erschienen H Johann Schatz d handelßmann, H Johann Heinrich Schatz L.L. Stud. und Fr. Agneß Schatzin H Balthasar Ludwig Küenasts deß handelßmanns eheliche haußfr. und Sie Fr. Agneß insonderheit mit beÿstand H Valentin Jägers und H Daniel Steinbockhß beed. alß vß E. E großen Rhats mittel, vff Ihr Fr. Agneßen am 16. Jan: iüngsthien wohlerwehntem Rhat überraichte demüetige s[up]p[lica]tôn. ahne statt der nechst. Verwanth. hierzu insonderheit Deputirte, an einem,
So dann H Adolph Dümler Rittmaÿster Schirms Verwanther alhie mit beÿstand H Johann Jacob Seiberts Med. Doct. am andern theil (…) einen vffrechten und redlich Contractum antichreseos vff folgend weiß mit einand. getroffen hetten,
Nemlich es hetten Sie die Schatzische Geschwisterd ohnverscheidentlich ihme H Rittmaÿster Dümlern ihrer alhie in der Kalbßgaßen gelegene Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeit. nichts davon alß eine einige Camer außgenohmen, vff nechstverschienenen Mariæ Verkündigung (…)
hiengeg. so hette Er H Rittmaÿster Dümler ihnen den treÿen Schatzisch. Geschwisterd. ohnverscheidentlich 900 Pfund pfenning in bahrem Gelt auch guten groben vff den fuß deß Reichßthalers zu 15. ß gerechnet. Sorten vorgeschoß. Also und dergestalt daß Er H Rittmaÿster Dümler die berührte Schatzische Behaußung entwed. selbst. bewohnen od. anderwerts verleÿhen nutz. und nieß. solle und möge neun Jahr lang und also biß Annunciationis Mariæ a° 1660. beständig (…)
(f° 297) Und wiewohl. die obbeschriebene Behaußung noch umb 600. lib. H Daniel Thomaß dem handelßmann von St. Lamprecht und umb 300. lib. H M. Joh: Mägerlin Diacono Zu St. Thoman verhafftet ist, so sollen iedoch solche beede Capitalien mit dem obernannt. eben Zu dem Ende dargeschoßenen und vffgenohmenen dümlerisch. 900. lib obgelegt werd. also daß diße Behaußung, außerhalb mehr ermelts H Rittmaÿster Dümlers, sonst. niemandts alß Lazari wohlfahrts seel. Erb. umb 186. lib. 2 ß d verhafftet bleibe
[in margine :] Erschienen Fr. Anna Dorothea obedelgemelts H. Adolph Dümlers nunmehr seel. hinderlaßene Fr. Wittib, mit beÿstand deß Freÿ Raths wohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckle von Böcklinsaw und deß Edel- Vesten hochgelehrten H Johann Henrich Wÿlandts V. I. D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß Rhats und Sÿndici, beede alß ihr Fr. Annæ Dorotheæ und ihres eheleiblich. döchterlins Dorotheæ Elisabethæ Vögte, hatt in gegensein obehrenernannter treÿ Schatzisch. Geschwisterd H Johann, H Johann Henrichs und Fr. Agneßen, mit beÿstand der Ehrenvest und weÿsen H Jonæ Andreß. von Veßenheim und H. Paul Friderich Marbachs, alß aus E.E . groß. Rhats mittel ahne statt nächster Verwanther, alß aus E. E. Groß. Rhatt mittel , ahne statt rechter Verwanther, Ihro Fr. Agneß insonderheit beÿgeordnet, bekannt, daß Sie Dietriche Fr. wittib, von Inen den Schatzisch. Geschwisterd. ahne deren in vorstehender Verschreibung benambsten 900 Pfund pfenning 300 Pfund pfenning in bahrem Gelt Zugenüg empfangen habe, dieselbe dafür sofernen quittiren, So viel die übrige 600 Pfund pfenning betrifft, soll die dümmlerische Fr. wittib, die obgeschribene Behaußung und Zugehörd noch Vier Jahr lang von Jüngst verschinen Mariæ Verkündung angerechnet, ahne statt d. Interessen Zu genieß. haben, Es were dann daß inmittelst solche Behaußung, welche dann nunmehr feil ist, verkaufft würde, welch. falls die dümlerische wittib, gleichwohlen vff eine vorhergehende vierteljährige vffkündung diße Behausung, Jedoch geg. Satisfaction der hinderständig. 600. lib abzutretten schuldig sein (…) den 7. Aprilis a° 1660

Compte que rendent les héritiers de Jean Philippe Schatz aux héritiers de Jean Lantzenberger sur le prix de la maison Schatz rue des Veaux
1651 (28. Julÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 19) n° 19
Underschidliche Abrechnungen Zwischen weÿl. H. Johann Lantzenberg.s deß Älttern Erben
Abrechnung wegen der Schatzischen Behaußung In der Kalbsgaßen Alhier. Weÿland H Johann Philipp Schatzen geweßenen handelßmanns cit. E. Ehrs. Großen Raths inn Straßb. seel. Erben seindt weÿl. H Johann Lantzenbergers deß Älttern seel. Erben vff obgemeler Behaußung in Capital schuldig geweßen lauth Lantzenb. haupt buchs fol. 193.

Agnès Schatz femme du marchand Balthasar Louis Künast, le marchand Jean Schatz l’aîné et le juriste Jean Henri Schatz vendent la maison à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler (créancière)

1660 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 702-v
(Prot. fol. 59 – 1200. lib) Erschienen H Balthasar Ludwig Küenast der handelßmann alß Ehevogt Fr. Agneßen Küenastin gebohrner Schatzin H Johann Schatz der älter, handelsmann, und H Johann Henrich Schatz U.I. Doctorandum und EE Kleinen Rhats Advocatus & Procurator, Geschwistrige
in gegensein Frawen Annæ Dorotheæ Dümmlerin, gebohrner Glaserin mit beÿstand deß Freÿ hochwohl Edelgebohrnen Gestreng H Wolff Jacob Böckhle von Böckhlinsau Und deß Edel- Vest- hochgelehrt. H Johann Henrich Wielandts V.I.D. und der freÿen Reichß Ritterschafft im undern Elsaß, Rhats und Sÿndici, ihre und ihrer einig. dochter herrn Vormünder – vff unserer g. Herrn Rhät und Ein und Zwantzig. am 9. Julÿ iüngsthien obrigkeitlich ertheilten Consenz
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten, Zugehördten und deren im Keller ligenden Faßen, alhie in der Kalbßgaß. einseit neben dem Böckhelisch, anderseit neben dem Zugmantelisch. hoff hind. vff die Preusch stoßend gelegen, Welche behaußung umb 372. fl. weÿl. Lazari Wohlfahrts seel. Erben und umb 300. fl. weÿl. H M. Johann Mägerlins geweßenen Diaconi Zu St Thoman nunmehr seel. nachgelaßenen Erben verhafftet (übernohmen) – umb 728 Guld.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la vente des héritiers Schatz à la veuve Dimler

1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
(f° 136) Montag d. 9. Julÿ – Dimlerische Wittib vm consens
Dimlerische Fr. Wittib, Bericht per Bitsch d. sie d. Schatzisch. Erben Ihre Wohnbehaußung aberkauff. Bitt vm ratification deß beschehenen Kauffs. Erk. Willfahrt word.

Ancien capitaine de cavalerie entré au service du roi de Suède, Adolphe Dümmler meurt le 30 novembre 1658 en délaissant une fille issue de sa veuve Anne Dorothée Glaser (fille du juriste Josias Glaser et de sa femme Marie Dorothée Mock, voir plus bas). L’inventaire est dressé rue des Veaux dans la maison de feu Jean Philippe Schatz. La succession s’élève à 8 806 livres.

1658 (30. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 11) n° 24 (603)
Inventarium vnd Beschreibg. aller Hab und Nahrung v. gütere so weÿland des Reichts freÿ wohl Edel gestreng dapffen und Mannhafft. herr Adolph Dimler geweßenen Rittmstr. vnd Ihro Königl. Maÿt. In Schweden Bram*, welcher den 20. Novembr. Jüngst *and. Jahres tödlich v.plichen hinderlaßen So auff Erfordern v. begehren des reichts freÿ wohl Edelgebohrnen gestrengen herr Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw, welcher von dem verstorbenen Hn Ritt meister sel. In seinem auffgerichteten Testamento hernach gemelter seiner Einigen hinderlaßenen dochter und Testaments Erbin Zu einem vogt nominirt und Erbetten, So dann des Edlen v. hochgelehrten herren Johann Heinrich Wielanden JV Doctoris löbl. Nider Elsaßischen Ritterschafft wohlbestellt. raht und Syndici, alß welcher von wohl Edel gedacht Nider Elsaßischen raichts ritterschafft herrn dirctoren räth und Außschüß, benebem Ob Edelgedachtem herrn Wolff Jacob Böcklin von Böcklinsaw obberührt einigen dochter Zue einem Curatori vnd vormund adiungirt (…) durch die wohl Edle viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Dorotheam dimlerin gebohrne glaßerin die hind.plibene fraw wittib Mit beÿstandt des Edlen und vest Herrn Wolfgangs Sigels geweßenen Amptmans Zu Durcastel so sann des Ehrenvesten vndt vorgeachten herren Paul Reichardys burgers In Straßb. der fraw wittib, nahen Gewantens geeÿgt und gezeigt (…) Actum Donnerstags d. 30. Decembt. A° 1658.

Inn einer Inn der Statt Straßburg Inn der Kalbsgaßen gelegenen undt weÿl. herrn Johann Philipß Schatz gewesenen handelsmanns v. E.E groß. Rahts beÿsitzers hinderlaßenen Erben Zuständig. beh. ist befund. wie folgt
Auff den underen Bühnen, Cammer A, Cammer B, Inn der Obern stuben, Inn den Stubkammer, vor dieser Cammer, Cammer C, Inn der wohnstuben, Inn d. schwartz thuch kammer, Stubkammer, Im obern haußohren, Kuchen, In des herrn Rittm. sel Stuben, Stubkammer, Inn den rüst Kammern Inn dem hinderst. Cämmerlin aufs waßer sehend, Im Saal, Im gewölb, Inn d. Kuchen, Im keller
Ane Liegenden Güttern. Item hauß, hof, scheür, Ställ, gartt. in der Ruprechtsaw in dem beltzwört (…)
Abzug in dießes Inventarium, Sa. haußraths 1082, Sa. früchten 163, Sa. weins vnd Leeren vaß 159, Sa. vyhes schiff und geschirrs 155, Sa. silber geschirr vnd Geschmeids 709, Sa. Anschlags guldener Ketten, Ring undt geschmeid 1072, Sa. baarschafft 241, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2392, Sa. Liegende güther 70, Sa. Schulden 443, Summa summarum 8806 lb
Sa. der ungewißen vnd Zweiffelhafften Pfenningzinß hauptgüter 1543 lb, Sa. der Ungewißen Zweiffelhafften vnd verlohrenen Schulden 1800 lb

1642 Conseillers et XXI (1 R 125)
(f° 53) Sambstag d. 14. Maÿ – Adolph Dimler vberreicht p. Knauffel. vdthg. supplication vmb intercessionales an die Statt Nürnberg. Erk Willfahrt. H. XV. Dieffenbecher v. H. Steinbeck
1645, Protocole des Quinze (2 R 66) H. Adolph Dümbler. 209. [der Rittmeister, umb Fruchtkauff]

Adolphe Dümmler qui paie 3 livres de droit de manance est dispensé des impositions extraordinaires parce qu’il est immatriculé au Directoire de la noblesse
1657, Protocole des Quinze (2 R 75)
(f° 56-v) Schirmgerichts wegen erhöhung ettlicher Schirmgeltter
Adolph Dumler für die 2. lb 5 ß d ietz 3. lb d bleibt Extra ordinari Fr. gellts befreÿt weÿlen Er beÿ der Ritterschafft immatriculirt

La veuve d’Adolphe Dümmler demande que son droit de manance (12 livres 10 sols) soit réduit. Les quinze la renvoient aux préposés de la manance.
1659, Protocole des Quinze (2 R 77)
(f° 100-v) H. Adolph Dümmlers Rittmeisters seel. Wittib per Dr. Bitsch, t. Supplication, pro moderatione ihrer bißherig. Jährlich 12. lb. 10 ß Schirmbgelt. Erkandt, Für Schirmbherren gewieß.

Sommes qui reviennent à Anne Dorothée Glaser veuve Dümmler dans la succession de sa mère Marie Dorothée Mock suivant l’inventaire dressé en 1641, où est mentionnée la faillite de Josias Glaser
1659, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 1) n° 7
Die Edle viel Ehren undt tugendreiche Fraw Anna Dorothea Dümmlerin, gebohrne Glaßerin, hat zwar nach inhalt Inventarÿ über Fr. Mariæ Dorotheæ Mockin, ihrer lieben Mutter seel: Verlassenschafft den 15. Martÿ A° 1641. durch H. Christoph Schüblern Notarium Vffgericht, wie fol: 91: fac. 1.a ermelten Inventarÿ Zusehen für ererbt Mütterlich guett allein Zuerfordern inn Summa 3319 lib. (…)
Summa deßen So Fr. Anna Dorothea Dümmlerin inn mangel stehet vnd Zuvor auß H: Josiæ Glasers Nahrung, weilen Ihme wie nachher Zusehen die theilbar Verlaßenschafft sampt den Passivis cedirt vnd übergeben Worden, Zuerstatten were, Ist Vndt thuet 915 lb. Von dißen großen Vndt Zimmlichen fehler nun hat H: Rittmeister Adolph Dümler seel: Vndt Sie Fraw Anna Dorothea Glaßerin beede Eheleuth Zu Zeit alß es H. Josiæ Glaßers Verlaßenschafft ad concursum Creditorum gerathen, noch nichts gewußt, sondern es ist H: Notario Scheüblern den Calculum, waß Ihme H: Dümlern Vndt seiner haußfrauen ane die Glaserische Verlaßenschafft gebühren möchten Zufüehern, anvertrawet gewesen (…)
Solche Summ davon abgezogen wer übrig verplieben nemlichen 1883 lib. davon H. Josiæ Glaßern für 2/3 theil 1255 lib, Vnd Ihro Fraw Annæ Dorotheæ Dümmlerin Zur Tertz gebühret 627 lib.

Anne Dorothée Glaser loue une cave à Daniel Eyrer, aubergiste à la Couchette

1662 (4. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 9-v
Erschienen Johann Vincato Ritterschafft Bott, im Nahmen Fr. Annæ Dorotheæ Dümlerin, wittibin gebohrner Glaserin
in gegensein H Daniel Aÿrers deß Gastgebern Zum Spanbeth, bekannt, daß Sie Fr. Dümlerin Ihme H. Aÿrern verlühen habe
in ihrer in der Kalbßgaßen gelegener Behaußung den Keller, Inmaß. derselbe mit latten underschlag. sampt denen darinn ligend. faß. ohngefährdt treÿßig Fuder zusammen haltend, vff 9 Jahr lang Von Jetzt verwichenen weÿhenacht. angerechnet, um einen iährlich. Zinß benantlich. Zehen Pfund pfenning

Extrait de l’inventaire d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler, dressé en 1718.
1718, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 112) n° 1012
Extractus Auß Weÿland S. T. Frawen Annæ Dorotheaæ Dümmlerin gebohrener Glaserin auch weÿl. S. T. Herrn Adolphi Dümmlers der Königlichen Cron Schweden gewesenen Ritt Meisters, auch E. Hochlöbl. Freÿen Ritterschafft des Undern Elsaßes incorporirten Mitglieds, seeligen hinderlaßener Fraw Wittib auch seeligen Verlaßenschafft Inventario, durch ebenmäßig weÿland Herrn Johann Christoph Wincklern Notarium gleichfalls sele in A° 1667 auffgerichtet gefertiget

Les héritiers testamentaires d’Anne Dorothée Glaser veuve d’Adolphe Dümmler vendent la maison au gentilhomme Philippe Albert Bernhold, préteur et assesseur des Quinze

1667 (27. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 504-v
(Prot. fol. 33.) Erschienen der Edel- From- und wohlweÿs Herr Johann Philipß Mülb deß beständig. Regiments der herren Fünffzehn für sich selbst., Item H Johann Andreas Mergelett E.E. Siebner Gerichts Actuarius alß Vogt Annæ Catharinæ, Josiæ, Johann Wilhelms und Tobiæ, H Josiæ Städels deß Buchführers und anietzo Treÿers der Statt Pfenningthurns mit weÿl. Fr. Fr. Anna Magdalena gebohrner Huoberin nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind., mit assistentz erstermelts ihres eheleiblich. Vatters, Item H Anthoni Flach E.E Kleinen Rhats Beÿsitzers, alß aus deß wohl gedachten Rhats mittel ahne statt H Wolff Jacob Schultzen LL. Stud. von Nürnberg und H Johann Jacob Butzen Gräffl. Leining. Dachßburgischen Gerichtsschreibers zu Falckhenburg, mit weÿl. Fr. Annæ Ursulæ Glaserin seel. ehelich erziehlte Zweÿen Kind. Deputirter, Item Fr. Anna Catharina Schmuckhin hannß Peter Bürckhels würths zu Hunnenweÿher eheliche haußfrau mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, Friderich Wilhelm Schmuckh Gewerbßdiener für sich selbsten, H Ernst Friderich Gambß alter Gräv. Rappolsteinisch. Cancelleÿ verwanther, und Anna Catharina gebohrne Stüdelerin beÿde Eheleuthen im nahmen Mariæ Elisabethæ, hannß Wilhelms, Annæ Margarethæ, Annæ Dorotheæ, Annæ Magdalenæ, und Annæ Rosinæ der Schmuckhisch. Geschwisterd., ihr Fr. Annæ Catharinæ mit weÿl. H Hannß Wilhelm Schmuckh. geweßenen gräv. Rappolsteinisch. Stattschreiber Zu Rappolßweÿher nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. mit assistentz d. Ehrenvest fürsichtig und weÿse H Johann Philipß Zeißolff und H Paul Friderich Marbachß, beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, So dann H Gambß und Sie Anna Catharina weÿl. Catharinæ Agathæ Gambßin ihrer mit einander ehelich erziehlten und abgeleibten döchterlins Erben, alle alß weÿl. Fr. Annæ Dorotheæ Dimmlerin wittibin gebohrner Glaserin nunmehr seel. testamentliche Erben und resp. Erbens Erben
in gegensein deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen H Philipß Albrechts Bernholdts dißer Statt alten Stättmaÿsters und Fünffzehners
demnach vorernannte Fr. Dümmlerin in ihrem vffgerichteten Testamento solemni in scriptis underschiedliche starcke Legata verordnet, und damit selbige außgerichtet werd. möchten, in solchem Testamento Vnd damit zum treÿzehend., neben dem Gut in Ruprechtsaw auch hernach beschriebene Behausung Zu versilbern befohlen, So hetten Sie die instituirte Erben, dißer der Fr. Testatricis letzt. willen Zu vollziehen, und sonderlich auch der Städelische Vogt vff obwohlgedachts EE. groß. Rhats gestrig. Tags obrigkeitlich interponirte Decretum alienandi
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten auch denen im vordern Keller ligend. Faßen, in der Kalbßgaßen einseit neben der adelich. Böckhelisch: anderseit neben d. adelich Zugmantelisch ietzt Zÿhnhardisch. Behaußung hind. vff die Preusch stoßend geleg. – umb 1125 Pfund pfenning

Philippe Albert Bernhold dans les différents registres
1654 Conseillers et XXI (1 R 137) Philipp Albrecht Bernholdt. 51. 56. [Zinß]
1654 XV (2 R 72) Jr Philipp Albrecht Bernhold. 54-b. [Zinß]
1657 Conseillers et XXI (1 R 140)
(f° 182-v) Sambstag d. 12. Septembr. – Philipp Albrecht Bernholdf Hoffmeister Ihrer fr. gd. H Christian Ernsten Marggraffenß Zu Brandenburg, Bitt Mh. wollen seinem gd. h. die Ehr thun vnd Ihnen d. Licent. vnd Accises freÿ laß. Erk. Soll bedacht werd.
188)
1658 Conseillers et XXI (1 R 141) Jr. Philipp Albrecht Bernholdt. 71. [Zinß].
1658 XV (2 R 76) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 74 [zinß]. [Johann Jacob Bernhold] 127.
1659 Conseillers et XXI (1 R 142) Philipp Albrecht Bernholdt. 131. [Zinß].
1659 XV (2 R 77) Jr. Philipp Albrecht Bernhold. 128 [Zinß].

Philippe Albert Bernhold demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un à devenir bourgeois. L’assemblée le renvoie aux Quinze. Il est nommé quelques jours plus tard assesseur des Quinze
1660 Conseillers et XXI (1 R 143)
Philipp Albrecht von Bernoldt. 85. 92. 94. [Bernhold]
(f° 85) Sambstag d. 14. April – Philipp Albrecht von Bernoldt vberreicht per Bitsch Und.ges anbringen, Bericht d. Er sich in daß Burgerrecht begeben, Bitt Mh. woll. ratione deß Stall geldts per deputatos mitt Ihme tractiren laßen. Erk. Ist mitt dem begehren an Mh. die XV. gewiß. Word.
(f° 94) Sambstag d. 28. Aprilis – Philipp Albrecht von Bernoldt wird XV.er
1660 XV (2 R 78) Jr. XV. Philipp Albrecht Bernhold. 65 [pt° Stallgelts]. 110 [additional Seckel].
(f° 70) Sambstag den 28. Aprilis – Philipp Albrecht Bernhold wird XV.
1663 XV (2 R 80) H. von Bernhold. 113. deßen Adel. Haußfrau. 184 [Philipp Albrecht von Bernholdt, Abloßung].
1666 XV (2 R 83) Herr Stättmeister Philipp Albrecht Bernhold. 185. 90. [wein]
1677 Conseillers et XXI (1 R 160)
(f° 33) Mittwoch d. 24. Januarÿ 1677 – Herr Philipp Albrecht] Bernhold geht mit todt ab.
1679 Conseillers et XXI (1 R 162)
(f° 31) Sambstags den 15. Februarÿ 1678 – Johann Hartmann von Westerburg Ersucht MGHh. umb assistentz inn seines an die Bernholdische Erben habenden Forderung

Fils de Philippe Jacques Bernhold, Philippe Albert Bernhold acquiert le droit de bourgeoisie le 4 février 1660.
1659, 3° Livre de bourgeoisie, p. 961
Juncker Philipp Albrecht Bernholdt, weÿl. Jr. Philipp Jacob Bernholdts Ehelicher Sohn, erkauft d. burgerrecht Vmb 4. Goldfl. die er auff dem Pfenningthurn erlegt, Ist noch ledigen Standts Jurav: 4. febr. 1660.

Philippe Albert Bernhold épouse en 1660 Anne Eléonore Zorn de Plobsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 106, n° 4)
1660. Ohne erlaubnus und erkantnus E. E. Grosen Raths Haben sich im Hauß durch H M. Kolben einsegnen lassen Juncker Philipps Albrecht Bernold Weÿland Jr: Philipp Jacob Bernolds & gewesenen Obrist. und Guverneur in Rheinfelden Hinderlaßener ehelich. Sohn, mit Jungfr. Anna Eleonora Zornin Weÿland H. Wolff Dietrich Zornen von Plobsheim, gewesenen Stättmeisters und XIII. alhier hinderlassene eheliche tochter. Dienstags d. 21. Februarÿ (i 117)

Philippe Albert Bernhold loue une cave au marchand Jean Georges Asfalck

1675 (4. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 503
der Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrne Herr Philipp Albrecht Bernhold dießer Statt alter Stättmaÿster und fünff Zehner
in gegensein herrn hannß Georg Aßfalckhen deß handelsmanns
Verlühen haben den Vordern Keller sambt darinn ligenden faßen allhier in seiner in der Kalbßgaßen gelegenen Wohnbehaußung, uff Neun Jahr lang Von bevorstehend Michael angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 24. fl.

Philippe Albert Bernhold meurt le 22 janvier 1677 en délaissant deux fils, Philippe Thierry et Sigefroi. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 12 849 livres. La succession se monte à 9 055 livres.

1677 (12.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 10) f° 402
Inventarium v. Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güther, ligender Vndt Vahrender, Verändert undt vnveränderten keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Reichß: Freÿ: Hochwohl Edelgebohrne Herr Herr Philipp Albrecht Bernholt, hochmeritirt Stettmeÿster, auch deß bestendigen Geheÿmen Regiments der Herren dreÿ Zehen beÿ dießer deß H Reichß freÿen Statt Straßburg hochansehnliche Assessor, beÿ seinem am 22. Januarÿ diß Lauffenden 1677.sten Jahrs, beschehen seeligen Absterben, Zeittlichen Verlaßenschafft, So vff erfordern, vndt begehren, deß auch Reichß freÿ hoch edelgebohren herrn herrn Geörg Dietrich Zornen von Plobßheim ebenmäßig Stettmeisters vnd erstedelgemelten Collegÿ d. Herren XIII. beÿsitzers, Alß erst edelgemelten Collegÿ d. Herren XIII.beÿsitzers, Alß nechst Anuerwanthers v. vormundts, beeder deß seel. verstorbenen Herrn Stettmeisters mit hernach gelemelten seiner höchstbetrübten hoch Adelich. Fraw wittibin ehelich gezeügten Herrn Söhn, nahmentlich Herrn Philippß Dietrich vndt Herrn Sigfridt Bernholden, inventirt, durch die Reichß Freÿ hochedelgebohrne Fraw, Fraw Annam Eleonoram Bernholdtn gebohrene Zörnin von Plobßheim, die höchstbetrüble Fraw wittib, mit assistetz deß wohl Edel Vest hochweiß vndt hochgelehrten herrn Johann Ulrich Friden, J. Cti. der Statt Straßburg hochmeritirten Raths vndt hochansehnlich. Sÿndici ihres erbettenen herrn Curatoris, gezeÿgt vndt ahngegeben (…) Ahngefangen dinstags den 12.ten Junÿ A° 1677.

Erstlichen, Ane Haußrath, So in Einer alhier Zu Straßburg, ane Kalbß Gaßen gelegenen, v. in dieße Verlaßenschafft behörigen Behaußung befunden word. wie volgt.
Vff dem obern Kast. Vff den and Kast. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. obern Stuben, In d. Stub Cammer, Im hauß öhren, Vff dem Bühnel, In d. Wohnstub, Im Contörl. In d. Stub Cammer, In d. Kuch. Im haußöhren, In d. Speiß Cammer, In d. Studier Stub, In d. Stub Cammer, In G. Sttettm. Zorn Cammer, Im Kleinen Sommerheußel, In deß Hrn Studier st., In d. Hoff, In d. Kuch,
(f° 23) Häußer So in dieß v.laß. behörig. (E.) Erstlichen Ein schloß Zu Plobßh die alte burg genant (…) æstimirt 1500 lb
(T.) It: hauß, hoff, hoffstatt, mit allen seinen gebäuwen, begriffen, Zugehördt. Rechten v. Gerechtigkeiten gelegen inn d. St. Straßb. inn d. Kalbßgaß, j.s neben d. Adelich. Böckhlischen behaußung, 2.s. neben dem Zÿlnhardisch. hoff, hind. vff die Preüsch stoßend, ist ledig eÿgen,æstimirt p. 3000 fl. th. 1500. lb. Darüb. sagt j. perg. Kauffbr. Krafft deß. d. H.Stett: seel: diße behauß. v. denen Schmuckischen Erben & Cons. p. 1025. ln Zu eÿg erkh. Dabeÿ noch 6 alte Kauffbrieff v. 2. spruch brieff alle üb. diß hauß sagend, so beÿsammen gebund. befindlich.
Volgen die Stammgüetter, den beeden Adelichen Söhnen vnd Erben Zugehörig. Stammhäußer v. höff. Hoffstatt Zu Liechtenaw. Stamhoff Kalenburg
Summarischer Calculus der Erben gutt, Sa. Silbers 660, guldiner Ketten 379, Pfenningzinß hauptgüter hauptgüettr 3948, gülten v. Ligenden güettern 2462, Eÿgenthumbb Einer behaußung v. Rebhoff 2000, Eÿgenthumb ane Liegende güthern 787, Schuld ins Erbe Zugeltend 60, Ergäntzung (4411, Abfang 1859, Pleibt) 2551, Summa summarum 12.849 lb
Theilbares Guett, Sa. haußraths 731,Früchten 511, weinß v Lähren vaßb 243, Silbers 228, baarschafft 2709, Pfenningzinß hauptgüter 2915, Eÿgenthumbs ane einer behauß. 1500, Schulden 217, Summa summarum 9055 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 21.099 lb

La maison revient à Sigefroi de Bernhold qui épouse en 1691 Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre, fille de Georges Geoffroi de Rathsamhausen et d’Eléonore de Venningen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(f° 28-v) Copia der Eheberedung – zwischen dem hoch Edlegebohrn und gestrengen Herrn Sigfrid von Bernold, Rittmeistern, des Weÿland in Gott ruhenden hoch Edelbegohren und gestrengen Herrn Philipp Albrecht von Bernold, der Statt Straßburg geweßenen hochansehnlichen Stättmeisters, mit der hoch Edelgebohren Viel Ehrenreich: und tugendgezierten Frauen Anna Eleonora von Bernold gebohrener Zornin von Plopßheim erzeugtem Sohn, So dann der auch hoch Edelgebohrn, Viel Ehrenreich und Tugendgezierten Fräulein Charlotta Magdalena Elisabetha von Rathsamhausen zum Stein, Weÿland des hoch Edelgebohren und Gestrengen Herrn Georg Gottfried von Rathsamhausen zum Stein nunmehr seeligen, mit der hoch Edelgebohrnen Viel Ehrenreich: und tugendbegabten Frauen Eleonora von Rathsamhausen gebohrnen Von Venningen ehelich erziehlt und nachgelaßener Tochter, am andern Theil – Welches beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg dienstag den Eilfften Decembris St: N: in dem Jahr als man nach der gnadenreichen Geburth Jesu Christi unsers Einigen Erlößers vnd Seeligmachers Zahlten 1691

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 32-v)
1691. Dinstags d. 11. 10.bris deß Abendts seindt zu Hauß copulirt Undt eingesegnet Worden der hoch Edelgebohrne Herr Sigfridt Bernholdt rittmeister Weÿl. deß hoch Edelgebohrnen hrn. Philipp Bernholdt beÿ hießiger statt geweßener Stättmeisters & ehl. Sohn, Undt die hoch Edelgebohrne fräulein Charlotta Magdalena, deß Weÿl. hoch Edelgebohrnen Georg Gottfriedt Von Rathsamhaußen Zum Stein nachgel. ehl fräulein [unterzeichnet] Sigfrid Von Beernholt Rittmeister als hochzeiter, charotta Magdalen von ratzamhausen zul steun als hochzeiterin (i 35)

Capitaine au régiment d’infanterie Quad, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit du marchand Jean Guillaume Reichard

1689 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 36-v
der hoch Edelgebohrne Herr Sigfrid von Bernhold Capitain und. den Königlichen. Quadischen Regiment Zu Pferd, mit beÿstand Hn Sebastian Goldbachs * Bernoldisch. Schaffners [unterzeichnet] Sigfrid de Bernhold
in gegensein Hn Johann Wilhelm Reichards deß handelßmanns und E:E: Kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿe 100 Pfund
unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebäuen Rechten und zugehördten allhier ane der Kalbsgaß einseit neben /:tit:/ Hn Johann Philipß Johamen von Mundolßheim dießer Statt Stättmeistern und dreÿ Zehenern anderseit neben /:tit:/ Fr. Evæ Jacobe von Lützelburg Wittib gebohrne Böcklin von Böcklinsau hind. auff die Breusch stoßend gelegen
deßen Zu noch mehrer Versicherung, so ist hierbeÿ persönlich erschienen, die hoch Edelgebohren auch hoch tugendbegabte Fr. Anna Eleonora Bernholdin, gebohrne Zornin wittib, deß herrn Debitoris leiblich. Fr. Mutter mit beÿstand /:tit:/ herrn Christoph Güntzers JCti Königl. Raths und Syndici auch dießer Statt Cancelleÿ Directoris Ihres Hn curatoris, die hat sich für obige Schuld, und biß dieselbige bezahlt sein wird, verbürgt
[in margine :] Fr. Maria, gebohrne Bratfischin, deß hierinn gemeldten Hn Reichards sel. nachgelaßene wittib, so ohnbevögtigt mit beÿstand Hn Philipp Jacob Erhards Schaffners der Rothen Kirchen, So dann Sie Fr. Reichardin und Er H. Erhard auch im nahmen Fr. Johanna, gebohrner Reichardin, Hn Christoph Bernhard Wienthel deß handelßmanns eheliche haußfrau ihrer leiblich. tochter, in gegensein (…) – den 26. April. 1701

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties. Anne Eléonore Zorn se porte garante de son fils.

1695 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 653-v
/:salv. tit:/ Herr Sigfrid von Bernhold Obrister
in gegensein Herrn Johann Wilhelm Reichards, deß handelsmanns und E.E. großen Raths alten beÿsitzers, Ihme Herrn Reichard über die am 26.t Januarÿ 1689 in der C. Contract stuben verschriebener 1000 pfund Capital annoch ferner schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, die in vorbemeldter Verschreibung vom 26. Januarÿ 1689 auch hypothecirte Bernholdische an der Kalbsgaßen gelegene Behausung – deßen Zu mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen /:salv. tit:/ Fr. Anna Eleonora von Bernhold geb. Zornin deß herrn debitoris leibliche Fr. Mutter, so ohnbevögtigt, mit beÿstand Hn Johann Jacob Heinrici, Med. Doctoris & Practici, die hat sich für solche Schuld verbürgt

Brigadier des armées du roi et colonel au Régiment d’Alsace, Sigefroi de Bernhold hypothèque la maison au profit de Marie Bratfisch veuve Reinhard

1715 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 831
Sal: Tit: herr Sigfridt von Bernhold Brigadier des armées du Roy et Colonel du Regiment d’Alsace
in gegensein H. Joh: Hetz der handlungs bedientens nahmens frauen Mariæ Reinhardtin wittib geb. Bratfischin – schuldig seÿen 300 und 200 pfund
unterpfand, sein adelich wohnhauß cum appert: allhier ahn der Kalbsgass

Sigefroi de Bernhold et Charlotte Madeleine de Rathsamhausen à la Pierre hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Sachs, et du greffier à la Chambre des Contrats François Œsinger

1728 (3.11.), E 764
der freÿ hochwohlgeborne Herr Herr Sigfrid von Bernhold Königl. General Feldmarschall und Obrister beÿ Ein. löblichen Ellsäßischen Regiment und die freÿhochwohlgeborne fraw fraw Charlotta Magdalena von Bernhold geb. von Rathsamhausen zum Stein mit assistentz des freÿhochwohlgebornen H. H. Antoni Sigfrid von Bernhold Hauptmann beÿ Ein. Löbl. Regiment von Lenck ihres H. Sohns
in gegensein hochwohl und hochgelehrten H. H. Johann Jacob Sachsen Medicinæ Doctoris et Professoris Publici Capituli Thomani Canonici und hochberühmten practici auch burgers alhier und H. Francisci Ösingers J.U.Lti beÿ löbl. Stadt Straßburg Cantzleÿ wohlbestelten Contractuum Actuarÿ – schuldig seÿen 2000 gulden
unterpfand, eine Wohnbehausung, welche dem Debitirenden H. General eigenthümlich zuständig, bestehend in einem Vordern, nebens und hinderhauß, hoff, hoffstatt mit allen derselben zugehörden, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der sogenanten Kalbsgaß, einseit neben denen hochad. Johamischen Erben anderseit neben Christmann Röderer dem Rothgerber mit dem hindern hauß auff die breusch

Sigefroi de Bernhold meurt le 21 août 1741 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Veaux, non décrite bien qu’elle fasse partie de la succession à laquelle la veuve renonce. L’actif de la succession s’élève à 21 933 livres, le passif à 8 402 livres.

1741 (17.8.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 72 et 73) n° 651
Inventarium über Weÿland des Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn H. Sigfrids von Bernhold geweßenen hochansehn. Marechal des Camps et des Armées du Roy Wohl seeligen Andenckens eigenthümliche Verlaßenschafft und Stammgüthere – nachdeme der allerhöchste Gott denselben vor 12 tagen, nemblich den 2.t dießen Monats Augusti aus dießem Vergängl. Welt weßen in die seel. Ewigkeit Versetzet Zeitl. hinter sich Verlaßen hat, welche Verlaßenschafft auf Requisition sein des seel. Hern Generalen mit der hochwohlgebornen Fr. Fr. Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrner Von Rathsamhaußen zum Stein deßen geweßter Ehegemahlin und nunmahligen fraw Wittib ehelich erzeugter hochadel. Zweÿer Söhnen und Frauen tochter (…) So beschehen allhier zu Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth des hoch Edel vest und hochgelehrten H: Lazari Christiani Sahlers J. U. Lti und beÿ hochlöblich erwehnter Löbl Ritterschafft des Untern Elsaßes Wohlmeritirten Advocati v. vornehmen burgers allhier won dem freÿ hochwohl gebornen herrn H. Samson Ferdinand von Landsperg vor hochwohl gedachter Fr. Generalin von Bernhold der doßeitigen hochadel. Fr. Wittib gerodneten H. Curatore, schrifftlich constituirten Mandatarÿ, ingl. der Wohl Edlen v. hochst wolgelehrter H Joh: Sigfrid Breuen des seel. H Generalen geweßten Schaffner auf donnerstag den 17.ten Augusti et seqq. Anno 1741
Der in Gott ruhende Herr General hat zu Erben verlaßen wie folgt 1. den Freÿhochwohlgeb. Hn Philipp Gottfried von Bernhold Hochbestellten Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Elsasischen Regiment, so persönlich zugegen gewesen, 2. den Freÿ hochwohlgeb. Hn. Hn. Sigfrid Anthoni von Bernhold hochansehnlichen Capitaine des grenadiers unter dem Löbl. Regiment Appelgrohn, so seine stelle hierbeÿ selbsten Vertretten, und dann 3. die Freÿ hochwolhgebohrne Fr. Fr. Octaviam Sabinam Von Landsperg gebohrne von Bernhold des Freÿ hochwohlgebohren Hn Hn. Sambson Ferdinands Von Landsperg Fr. Ehegemahlin, welche mit zuziehuung des Freÿ hochwohlgeb. Herrn Carl Ferdinand Zorns von Bulach hochverdienten XV.ers des beständigen Regiments allh. Ihres hier Zuerbetten hochgeehrten H Assistenten dem Geschäfft persönlich abwartete, Also alle dreÿ des in Gott ruhenden Hn. Generalen mit eingangs hochgedachter deßen hoch Adel. Fr. Ehegemahlin ehelich erzeugte H. Söhne und Fr. tochter auch ab intestato Zu dreÿen gleichen Antheilen Verlaßene hochadel. Erben.

In einer allhier ane der Kalbsgaß gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 13) Ane Höltzen und Schreinerwerck. Im vordern hauß auff dem 3.ten Stock, In der Cammer N° 1, In der Cammer N° 2, In der Cammer N° 3, Auff der Heubühn N° 4 – Im mittlern Stockwerck, in der vordern Stub N° 5, In dem Gemach oder Zimmer N° 6, Im Cabinet N° 7, Im Cabinet N° 8, In der Camin Cammer N° 9, In der Camin Cammer N° 10, In der Cammer N° 11, Im untern Haußehren, Im Zimmer N° 12, Im Zimmer N° 13, In der Cammer Magd Cammer N° 14, In der Cammer neben der Cammer Magd Cammer N° 15, In der Kuchen, In der Magd Cammer N° 16 – Im Lincken gebäude, Im Zimmer N° 17, Im Zimmer N° 18, Im der Gesinds Stub N° 19, In der Laquayen Cammer N° 20, In der Cammer N° 21
(f° 54-v) Stammgüthere so denen beeden Herren Söhnen nunmehro zukommen, Kallenberg und Roßsteeg
(f° 62-v) Rathsamhausisches Stammguth. Fidei Commiss und Stammguth zu Westhaußen
(f° 68-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane einer Behaußung allh. zu Straßburg. Eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaßen geleg. der Adelich Rathsamhaußische Hoff genand, (…)
(f° 88-v) Dombrouckisch. Eigenthumb ane eine Mühl v. liegende güther beÿ Mollkirch
(f° 89) Dombrouckisch. Antheil ane dem Herrschafftl. Dorff Niederottenrott
Series rubricarum hujus Inventarÿ, In Ansehung die hinterbliebene hochadeliche Frau Wittib von der theilbahren Nahrung abgestanden und sich derentwegen mit einer gewißen Summ gelds außweißen lassen, so wird selbige ohne fernere besondere Untersuchung unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 1203, Sa. Bibliothec 62, Sa. Tafflen 84, Sa. Gutsch und Geschirrs 140, Sa. Pferd 144, Sa. brennholtzes 125, Sa. Anckens und Liechter 26, Sa. Frucht, Melles und Kleÿen 131, Sa. Wein und Lährer Faß 214, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 1375, Sa. Goldenen Rings, Ketten, Peerlein und dergleichen Geschmeids 385, Sa. Gülthen von liegende güthern 5494, Sa. Matten, Capital: Boden: und anderer Geld zinnß 233, Sa. Eigenthum einer behaußung 5100, Sa. Schulden 7210, Summa summarum 21.933 lb – Sa. Schulden 8402 lb, Detrahendo verbleibt 13.530 lb
(f° 28-v) Copia der Eheberedung (…) Straßburg dienstag den Eilfften Decembris 1691
(f° 33) Copia letzten Willens Disposition (…) So geschrieben und befohlen in meinem Hauß zu Straßburg den 16. Februarÿ 1739

Philippe Geoffroi de Bernhold, colonel au régiment d’Alsace, et Sigefoi Antoine de Bernhold, colonel au régiment Royal suédois, hypothèquent deux tiers de la maison au profit de l’Œuvre Notre Dame

1745 (15.11.), E 770
die freÿ wohlgeborne H. Philipp Gottfried von Bernhold hochbestellter Obrist und Commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Ellsäßischen regiment und freÿ hochwolhgebohrne H. Sigfried Antoni von Bernhold auch hochadelischer Obrist und commandant d’un bataillon beÿ E. löbl. Regiment royal suedois beede gebrüdere anjetzo abweßend
in gegensein löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen ST H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. statt löbl. stifft Unser Lieben Frawen Werck allhier in deßen nahmen S.T. H. Johann Valentin Beyerle beÿ löbl. Statt Straßburg hochmeritiert. alten Ammeisters und XIII.r als pfleger und H. Lt. Mauritius de Vaudin als schaffner ged. Stiffts – schuldig seÿen 6000 gulden
unterpfand, 1. die ihnen eigenthümlich zuständig zwo tertzen ane einer freÿadelischen wohn behausung ane der Kalbs gaßen, einseit neben gewesten hochad. Johamischen behausung modo N. Meynau dem handelsmann anderseit neben H. Christian Röderer dem rothgerber hinten auf die Breusch vornen die Kalbsgaß, sambt vorder, nebens und hinterhauß und dazu gehörigen rechten und gerechtigkeiten, wie solche zwo tertzen von weÿl. H. general von Bernhold ihres H. vatters ane sich gebracht, so annoch die gantze behausung um 2000 gulden daran aber die hochadel. Fr von Landsperg geb. von Bernhold ihrer Fr. schwester eine tertz schuldig, H Dr Sachßen schuldig
item ein gültgut zu Kirrweiller (…)

Philippe Geoffroi de Bernhold meurt à Sarrebruck le 16 février 1747 en délaissant pour héritiers son frère et sa sœur. L’actif de la succession s’élève à 9006 florins, le passif à 24 094 florins.

1747 (20.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 90) n° 763
Inventarium und beschreibung aller derjenigen eigenthümlichen Haab, Nahrung und Güthere, auch Activ und Passiv schulden, so weiland der freÿ Hochwohlgeborne Herr, Herr Philipp Gottfried von Bernhold, geweßter Obrister der Infanterie und Commendant eines Bataillon in dem löblichen Regiment Elsaß nun seelig, nach seinem den 16. Februarÿ dieses lauffenden 1747. Jahrs, in der Statt Zweÿbrücken beschehenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des hochedel Vest und hochgelehrten Herrn Latzari Christiani Sahlers, Juris utriusque Licentiati und einer löbl. Ritterschafft des untern Elsaßes hochmeritirten Advocati auch consulenten beÿ einer hochlöblichen Ortenauischen Ritterschafft, alß von obhochgemeltem Nider Elsäs&ischen Ritter Directorio (…) ex officio constituirten Curatoris Massæ (…) inventirt, durch Herrn Johann Caspar Rohlin* den hoch Adelichen von Bernholdischen Schaffner, so beÿ des seel. H. Obrist Absterben in Zweÿbrucken zugegen ware, wie auch durch Herrn Wilhelm Kramer, deßelben geweßten Cammerdiener (…) So beschehen Zu Straßburg, in der hochadlichen von Bernholdischen behausung, ane der Kalbsgaß gelegen ; auff Sambstag den 20. ten Maji Anno 1747.
Copia declarationis und darauff ertheilten Decreti. Nachdeme (…) mein werthester H. bruder den 16. febr. 1747 in der statt Zweÿbrucken nach seiner außgestandenen hitzigen kranckheit dieses zeitliche gesegnet, die freÿhochwohlgeborne Fr. Eleonora von Bernhold wittib geb. von Rathsamhaußen zum Stein meine Fr. Mutter nebst meiner Schwester Fr. Octavia von Landsperg geb. von Bernhold (…) (unterschrieben) Antoni Sigfried von Bernhold curatorio noe.

(f° 8-v) Antheil an einer behausung so zwischen dem seeligen Herrn Obristen und deßen zweÿen noch lebenden hochadelichen Geschwüsterden ins gemein außgesetzt, Nemblichen eine vorder und hinderbehausung, Hoff, hoffstatt, bronnen und Stallung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg an der Kalbsgaßen, einseit neben dem hiebevorigen Adelich von Johamischen jetzt (-) anderseit neben Herrn Christmann Röderer dem Gerber, vornen auff gedachte Kalbsgaß und hinten auff das Waßer die Preusch stosend, so über hernach gemelte daroben hafftende Capitalia eigen und beÿ weÿl. Herrn Generalen Sigfridts von Bernhold des Herrn Obristen Herrn Vatters seeligen Verlaßenschafft Inventur, den 6.ten novembris 1741. durch Herrn Johann Quirinum Berga den Steinhauer und Maurermeister, Wie auch durch Johann Michael Osterrieth, den zimmermann, beede burgere alhier, nach Zuvor abgelegter handtreu für freÿ ledig und eigen angeschlagen, so dermalen auch Zu Ersparung der unkosten, Wie Wohl ohn einigen Præjuditz, weilen die dißortige tertz doch Zur Versteigerung kommen wird, dabeÿ Zulaßen, beliebet worden, nemblichen umb 20.400 Livres oder 10.200 fl, Auff dießer Behaußung hafften folgende gemeinschaftliche Passiv Capitalia (6840 fl. der antheil) 2280 fl. die übrige Zwo tertzen seind Herrn Obristen Antoni Sigfried von Bernhold und Frauen Octavia Sabina von Landsperg gebohrner von Bernhold vor ohnvertheilt Auständig. Die über die völlige behausung besagende Documenta und brieffschafften, seind in des abgeleibten herrn Obristen seeligen Vätterlichen Güther Designation, durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet, à fol: 72. fac 2.de biß ad fol: 76. fac. 2.da, umbständlichen beschriben, Wohin man sich dißorts beleibter Kürtze halben beziegen Wollen
(f° 19-v) Wÿdembs verfangenschaft, So die freÿ hochwohlgebornen Frau Frau Charlotta Magdalena Elisabetha von Bernhold gebohrne von Rathsambhaußen Zum Stein, von dem weÿland freÿ hochwohlgebornen herrn herrn Sigfrid von Bernhold geweßten hochasnehnlichem Marechal de Camps et des Armées du Roy Ihrem herrn Ehegemahl seel. Andenckens Zeit leben Wÿdembs weiß Zugenießen hat
(f° 20-v) Extractus aus Weÿland der freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Annæ Louisæ Claudinæ gebohrner von Rathsamhausen zum Stein, auch weÿl. des freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Johann Christian von Dombrouck geweßten hochfürstl. Straßburg bischöflichen und thomb capitulischen Oberjägermeisters längst seeligen hinterbliebener Frauen wittib (…)
hausrath 397 fl., f° 21 silber 472 fl., gold 60 fl., baarschafft 1285, 2400 (zusammen) 3685 fl.
Schulden 2112 fl., Summa summarum 9006 fl., Schulden 24.094 fl., In Vergleichung 15.087 fl.

Antoine Sigefroi de Bernhold épouse en 1747 Charlotte Sophie Wurmser de Vendenheim Sundhouse, fillle de François Jacques Wurmser de Vendenheim Sundhouse et de Sophie de Landsperg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Anthoni Sigfrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßeteeg und Rodern Erlach und Berolstein & Ihro Allerchristlichsten Königlichen Majestät unsers allergnädigsten Königs und Herrn Obristen der Infanterie & Weiland des auch freÿ hochwohlgebornen Herrn Herrn Sifgrid von Bernholdt, Herrn Zu Westhausen, Roßsteeg, Rodern Erlach und Berolstein & Ihro allehöchstgedachten aller christlichsten Majestät geweßenen Marechal des Camps & Armées und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Elisabethæ von Bernhold gebohrner Freÿin von Rathsamhausen zu Stein ehelich erzeugten Sohns, als hochadelichen Herrn bräutigam an Einem und der auch freÿ hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlottæ Sophiæ Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen des auch weil. freÿ reichs hochwohlgebornen Herrn Herrn Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim zu Sundhausen, Herrn zu Mißenheim und anderer Orten & Ihro Königl. Kaÿßerl. Majestät Rath auch der ohnmittelbaren freÿn Reichs Ritterschaft in Schwaben Viertels am Neckar und Schwartzwald des Ortenauischen bezircks gewesenen hochverdienten Directorial Rath und Ausschußes auch eines hochlöbl. Nieder Elsasischen Ritter Diretcorii hochansehnlichen Zugeordneten und Truchenmeisters und der auch freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Friderica Sophia Wurmserin von Vendenheim zu Sundhausen gebohrner von Landsperg erzielt und hinterlaßener ehelicher Fräulein tochter, als hochadelicher Fräulein braut (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 87-v n° 16)
1747. Mittw. den 6. Sept.sind auf eine, mir, Von Ihro Gnaden dem regirenden herrn Ammeister ertheilte Erlaubnuß im Hauß in den Stand der Heil. Ehe eingesegnet worden, der Freÿ Hochwohlgeborne Herr Antonius Sigfrid von Bernhold, hochbestellert Obrister beÿ dem frantzösischem König. Schwedischen Regiment Zugeordneter beÿ einem hoch Löbl. Ritter Directorio im Untern Elsaßn Herr Zu Westhaußen Rodern & des weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Hern Herrn Sigfrid von Bernhold geweßten Marechal des Camps és Armées du Roy, Zugeordneten beÿ dem Hochlöbl. Ritter Directorium Untern Elsaß, Herrn Zu Westhaußen, Rodern & Hinterlaßener ehelicher Herr Sohn und die freÿ Hochwohlgebornen Fräulein Fräulein Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhaußen, des Weÿl. Freÿ Hochwohlgebornen Herren Herren Frantz Jacob Wurmser von Vendenheim Zu Sundhaußen und Missenheim Löbl. freÿ unmittelbarer Reichs Ritterschafft in der Ortenau geweßten Hochansehnlichen Directorial Rath und Außschuses auch Zugeordneten beÿ Löbl. freÿ umittelbarem Ritter Diretorio im Untern Elsaß nachgelaßene ehel. erzeugte Fräulein tochter [unterzeichnet] Anton Sigfrid Von Bernhold alß Bräutigamb, Charlotta Sophia Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhauden alß Hochzeÿderin (i 90)

Antoine Sigefroi de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison de location Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 26 670 florins, le passif à 34 640 florins
1775 (9. 9.br), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 612
Inventarium über Weiland des Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Anthon Siegfried Freÿherrn von Bernhold, Ritters des Königlichen Ordens von dem Kriegs Verdienst, wie auch des hochfürstlich Landgräflich Heßen Caßelischen haußordens vom goldenen Löwen, hochbestellten Obristen zu Fuß, vice Directoris E. hochlöbl. Ritterschaft in Schwaben des Cantons Ortenau, wie auch Zugeordneten Ritter Raths Es. hochlöbl. Ritter Directoris im Untern Elsaß, herrn zu Westhausen, Rodern, Niederotterott, Rooßsteeg, Kalenburg und andern Orten nunmehro hochseel. Vermögens Nachlaasaenschaft auffgerichtet im Jahr 1775. – nach hochderoselben Sambstags den 14.ten Octobris dieses 1775.ten Jahrs dahier Zu Straßburg aus dießer Zeitlichkeit erfolgten tödlichen hintritt velaßen haben. Welche Vermögens Nachlaasaenschaft auf hohes Erfordern und begehren der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Frauen Charlottæ Sophiæ Bernhold, gebohrnen Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhausein, des hoch seel. Hn hinterlaßenen hochadel. Frau Wittib beÿständl. des hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard freÿh. von Wurmser Zu Vendenheim hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, Ritters des hohen königl. Ordens vom Kriegs Verdienst, auch des beständigen geheimen Regiments der Hn XV. Zu Straßburg hochadelichen Hn beÿsitzers auch Hn Benedict Heinrich Marbach des allhies. Waÿsenhaußes Schaffners auf die bereits von des hochaelichen Hn Defuncti zu Beneficial Erbinnen verlaßener hochadelichen Frauen Töchtern beschehene Renunciation, (ersucht) die Domestiquen aber, nahmentl. Jungfr. Charlotta Vogelin die Kammerjungfer, Susanna Margaretha und Catharina die beeden Siefermännin hierortige Köchin und Stubenmagd, Friderich Giffar, die dreÿ bedienten und dann Joseph Heiligenstein, der Kutscher (…) So beschehen und angefang alh. Zu Straßburg den 9. 9.bris im Jahr 1775.
Des Hochseeligen Herrn Hochadeliche Erbinnen wären zwar 1° die Freÿ hochwohlgeborne Frau, Frau Carolina Christina Wilhelmina geb. von Bernholdn des Freÿ hochwohlgebornen H. H. Joh: Leopold, Freÿherrn von Dettlingen, Rittern des hohen Ordens vom Kriegs Verdients und hochmeritirten Obristen Zu Fuß, Hn zu Scharrachbergheiln Gerstheim und anderer Orten Frau Ehe Gemahlin, 2° die Hochgeborne Frau, Frau Paulina Charlotte Henriette geb. von Bernhold, des freÿ hochwohlgebornen Hn Hn Friderich Ludwig Reinhard Freÿherrn von Wurmser, Zu Vendenheim, Rittern des hohen Ordens von Kriegs Verdienst hochverdienten Obristen des hochlöbl. Provincial Regiments Colmar, und des beständigen geheimen Regiments gnädiger herren deren XV.ner dahier Zu Straßburg, hochad. Hn Beÿsitz. Hn Zu Sundhausen, Vendenheimn Mißenheim auch anderer orthen Frau Eheliebstin, Beÿde des hoch seel. Hn mit eingangs hoch Ehrenermelter hochderoselben hintel. hochadel. Fr. Wb. ehel. erzeugten Fr. Töchter

In einer alhier Zu Straßburg an der mittlern Langenstraß gelegenen hierorts in Lehnung bewohnender behaußung hat sich befunden, wie folgt
Ergäntzung der Hochadelichen Frauen Wittib stante matrimonio in Abgang und Veränderung gekommenen unveränderten Vermögens. (…) Vermög Special Theil-Register über dasjenige was sie hochadel. nunmehrige Fr. Wb. beÿ Erörterung und Abtheilung weÿl. (…) Herrn Frantz Jacob Wurmsers von Vendenheim, Zu Sundhausen (…) ihres Herrn Vatters hochseeligen Andenckens eigenthüml. Verlaßenschaft vor einem 4.ten Stammtheil erblich überkommen hat, besagend durch nun weil. Hn Notarium Joh: Daniel Lang im Jahr 1746. agefangen
Summarischer Calculus, des Hochadelichen Herrn unveränderte und theilbare Verl. betreffend, Sa. haußraths 3993 fl. Sa. bücher 12, Sa. brennholtzes 60, Sa. der Kutschen und Chaisen 443, Sa. der Pferd 140, Sa. des Weins und der leeren Faß 1111, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 3535, Sa. Golgs u. dergl. Geschmeids 652, Sa. baarschafft 4018, Sa. pro Anno 1775 giebig und beÿ dem Concept angegebenen Revenuen 8674, Sa. der Activ Schulden 4018, Summa summarum 26.670 fl. – Passiv Schulden 34.640 fl. In Vergleichung 7970 fl
Copia der Eheberedung (…) So geschehen Straßburg den 4. Septembris 1747
(Inventarium illatorum, Laquiante, Notaire Royal, 24 décembre 1772)

Partage des biens sis aux bans de Richtolsheim et Saasenheim
1777 (22.1.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 70
Revisio Abschatz: und Abtheilung über Die in den Bännen Richtolßheim und Saßenheim gelegene in das ehemalige Freÿherrlichen Bernholdische Stamm: und Substitutions Guth gehörige güther so nach absterben weiland des hochwohlgebornen herrn Siegfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold seel. deßen hinterlassenen zween Frauen töchteren nehmlich Frauen Carolinä Wilhelminä Christinä von Dettlingern geb. Freÿin von Bernhold und Frauen Paulinä Henriettä Charlottä von Wumser geb. Freÿin von Bernhold vor ledig und eigen zuständig sind

Autre partage
1777 (30.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 77
Zuwißen seÿe hiemit daß persönlich erschienen seind die hochwolgeborne Frau Catharina Wilhelmina Carolina geb. Freÿin von Bernhold des hochwolgebornen herrn Johann Leopold Baron von Dettlingen Obristen zu Fuß, Ritters des Königlichen Ordens von Kriegs Verdienst, herrschafft zu Scharrachbergheim, Gerstheim, Rosteeg und andern Orten Frau Ehegemahlin und die gleichfalls hochwolgeborne Frau Paulina Henrietta Charlotta geb. Freÿin von Bernhold des hochwohlgebornen herrn Friderich Ludwig Reinhard Baron Wurmser von Vendenheim Obristen zu Fuß, und hochgeachten Ordens Ritters herrschafft Zu Vendenheim Rosteeg und anderer Orten Frau Ehegemahlin (…) diese haben zu erkennen gegeben, daß nachdem Ihnen auf absterben weÿland des hochwohlgebornen Hern Sigfrid Antoni Freÿherrn von Bernhold gewesenen Obristen Zu Fuß, Ritters des Königl. frantzösischen milit. meriten ordens, herrschafft Zu Westhaußen und anderer Orten, ihres herrn Vaters und letzten dieses Manns Stammens und Namens seeligen unter anderen ehemaligen Freÿherrlich von Bernholdischen Stamm und Susbtitutions Gütheren, auch die herrschaft Kalenburg oder Roßteeg (…)

Octavie Sabine de Bernhold épouse en 1723 Samson Ferdinand de Landsperg dans son château à Nidernai
Mariage, Goxwiller (luth. p. 48)
1723. Sonnt. d. 24. 8.b. abends um 6. uhr ist in den hochadel. Landspergischer Schloß Zu Nider Ehenheim von mir und.schriebenen Pfarrer Ehelich copulirt worden der wolgeborne Juncker und Herr Herr Samson Ferdinand von Landsperg, des wohlgebornen Juncker und Herrn Herrn Joh: Sigmund von Landsperg v. der wolgebornen Frauen Frauen frä Susannä geb. Böcklin von Böckelsau Ehl. Sohn, Und die wolgeborne fräulin Octavia Sabina des freÿ- hochwohlgebornen Herrn Herrn Sigfrid von Bernholdt Ihrer Königl. Majestät von franckreich feld-marchalen und der freÿ hochwohlgebornen frauen frauen Elisabethä Charlottæ geb. von Rathsamhaußen Ehl. fräulein tochter [unterzeichnet] Samson Ferdinandt Von Lanssperg, Octavia Sabina Von Bernhold (i 25)

Octavie Sabine de Bernhold meurt en 1775 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Brûlée. L’actif de la succession s’élève à 28 235 florins, le passif à 13 396 florins
1779 (4.2.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 632) n° 99
Inventarium über Weiland der Hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg geb. Freÿin von Bernhold auch Weiland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frauen Wittib nunmehro auch hochseeligen Vermögens Nachlassenschafft – nach Ihrem den 16.den decembris des jüngst abgewichenen 1775.ten Jahrs alhier zu Straßburg genommenen tödlichen Vonhinnenscheiden hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl herrn Frantz Antoni Matern Humbourg Advocati et Procurat. ordinarii eines hochlöbl. Königlichen freÿohnmittelbaren Ritter directorii im Untern Elsaß (…) Gewalthabers derer hochwohlgebornen Herren Herrn Siegfrid Johann Samson freÿhern von Landsperg des heiligen Ludwig Ordens Ritters eines hochlöbl. Königlichen Ritter-Directorii des freÿohnmittelbaren Adels im Untern Elsaß Directorial Raths Mit-Herrschaft zu Nieder Ehenheim, Meistratzheim, Lingolßheim und anderen Orten und Herrn Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg des hohen deutschen Ordens Ritters Mit Herrschafft an erstbesagten Orten als auch Herrn Tobias Schumachers löblicher Stadt Straßburg offenbar geschwornen Notarii und beÿ hochgedachter Ritterschafft imatriculirten Inventirschreibers als (…) ernannten Mandatarii der hochwohlgebornen Freÿfrauen Octaviæ Franciscæ Fridericæ von Glaubitz gebohrner Freÿin von Landsperg Weiland des hochwohlgebornen Herrn Christian Sigismund Freÿherrn von Glaubitz geweßenen General Lieutenant der königlichen Armeen Inspectoris über den Rheinfluß und die daselbst angelegte Wercker, des hohen königlichen Ordens vom Kriegs Verdienst Ritters hoch seel. hinterbliebener frauen Wittib und des hochwohlgebornen Herrn Frantz Maria Freÿherrn von Landsperg Mit-Herrschafft an vorbesagten Orten inventirt und ersucht durch Frau Christiana Goldschmidin gebohrne Greckelin von Wurmß gebürtig die haushälterin /:angesehen die Zwo Mägde schon üner einiger Zeit aus dißortigen dienst gegangen:/ (…) geäugt und gezeigt – So geschehen alhier Zu Straßburg in der ane der brand-Gaß gelegenen hieunten beschrienenen Sterb behaußung (…) auf donnerstag den 4 februarÿ und folgende täge im Jahr 1779.
Ernennung der Erben. Der hochseeligen Freÿfrauen von Landsperg Krafft Ihres den 23.ten Aprilis 1777. verschloßen errichteten und den 29.ten besagten Monaths beÿ herrn Notario Johann Rudolph Dinckel deponirten den 22.ten Decembris 1778. aber eröffnet und publicirten testaments eingesetzte rechtsmäßigen Erben sind, hoch deroselben im eingang dieses Inv: schon benannte herren Söhne und Frau Tochter als 1.mo die hochwohlgeborne Freÿfrau Octavia Francisca Friderica verwittibte von Glaubitz gebohrne freÿin von Landsperg, 2.do der hochwohlgeborne Herr Sigfrid Johann Samson Freÿherr von Landsperg, 3.tio der hochwohlgeborne Herr Friderich Heinrich Carl Baron von Landsperg Und 4.to der hochwohlgeborne Herr Frantz Maria Freÿherr von Landsperg

In einer allhier zu Straßburg ane der Brand Gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung folgendermaßen befunden worden
Höltzen: und Schreinwerck, Im wohnzimmer, Im Schlaff Zimmer darneben, In der Cammer Jungfer Schlaffzimmer, In dem Toilette zimmer, Auff des Herrn Städtmeisters Gang, Im Haußöhren, Im rothen Zimmer (…)
(f° 14) Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine behaußung allhier zu Straßburg ane der Brandgaß gelegen, ehemahlen der Adelich Rathsamhaußische und jetzo der Landspergische Hof genannt, (…)
Norma Nach deren dieses Inventarium zu expediren, Sa. haußraths 1872 fl., Sa. silber geschirr und Geschmeids 292, Sa. Golden Geschmeids 1, Sa. baarschafft 368, Eigenthum ane eiber behausung 18.000, Eigenthümliche Gült Güther &, Sa. Schulden 7700, Summa summarum 28.235 fl. – Schulden 13 396 fl, Nach deren Abzug 14.838 fl.
Copia Weÿland der Freÿ hochwohlgebornen Frauen Octaviæ Sabinæ Freÿin von Landsperg gebohrne Freÿin Von Bernhold Weÿland des Hochwohlgebornen Herrn Samson Ferdinand Freÿherrn von Landsperg geweßenen Herrn zu Nieder Ehenheim, Lingolßheim, Meistratzheim und anderen Orten hochseeligen Andenckens hinterbliebener Frau Wittib aufgerichteten Testamenti Solennis in Scriptis (…) Zweÿtens verordne Ich und ist mein Will, daß Herr Stätt Meister Frantz Samuel Freÿherr von Berckheim in der mir zuständigen ane der Brandgaß allhier gelegenen behaußung das gantze hinderhauß, den Keller, die Remise, Stallung, heubühn, das Holtz: und hünerhauß die Ein: und außfahrt in den hoff, überhaupt alles das, was derselbe biß dato besseßen, genoßen und bewohnt hat, fernerhin und biß an das Ende seines Lebens freÿ (genießen solle) – So geschehen in Straßburg den 23. Aprilis Anno 1777. – Copia Actus Depositionis, auf dienstag den 29. Aprilis 1777, Johann Rudolph Dinckel

Biens que la baronne de Bernhold née Wurmser a laissés à Strasbourg après son départ, dans l’hôtel de Zuckmantel
1781 (24. Oct.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 633) f° 141
Verzeichnuß Derjenigen Effecten welche in die Reichs freÿwohlgebohrne verwittibte Freÿfrau von Bernhold geb. Freÿin von Wurmßer beÿ deeo Abreise von Straßburg in dem freÿherrlich von Zuckmantelischen Hôtel in den langen Straß alhier zurückgelaßen
als In der Kammer Jungfer Zimmer, Im haußehren und Bedienten Zimmer, Im garde des Meubles, In der gnädigen Frauen Zimmer, In dero Schlaf Zimmer, In der obern küchen – Summa 1602 fl.

Vente de meubles après la mort de Charlotte Sophie de Wurmser veuve de Jean Sigefroi de Bernhold
1792 (20.4.), Not. Ensfelder – acp 10 f° 53 du 20 avril 1792
Vente de meubles de la succession Dame Charlotte Sophie de Wurmser veuve de feu le sieur Jean Sigfrid de Bernhold décédée le 27 mars dr. à la requête des Dames Caroline Christine de Bernold épouse de M. Jean Leopold de Dettlingen et autres enfant de la défunte héritiers sous bénéfice d’inventaire, montant le 17 du courant à 1945 livres, le 18 à 1198 livres

Sigefroi de Bernhold et sa sœur Octavie, femme de Samson de Landsperg, vendent la maison au marchand Jean Frédéric Saum moyennant 4 000 livres

1761 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 375
der hochwohlgeborne Jr. Sigfrid von Bernhold oberst von der infanterie und deßen schwester Fr. Octavia geb. von Bernhold des auch hochwohlgebornen Jr. Samson von Landsperg beÿständlich des hochwohlgebornen Jr. Johann Reinhard von Buch
in gegensein Johann Friedrich Saum des lederhändlers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kalbsgaß, einseit neben H. Johann Jacob Röderer dem gerber anderseit neben H. Pierre Mayno dem tabacfabricanten hinten auf das waßer – als ein elterliches erbguth – um 4000 pfund

Fils du cordier Christophe Saum, le tanneur Jean Frédéric Saum devient tributaire chez les Tanneurs le 30 avril 1755
1755, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 30) Mittwoch den 20. Augusti Anno 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und Lederbereiter, Christoph Saum des ältern seÿler und burgers allhier ehelicher Sohn, stunde Vor mit producirung Stallscheins de dato 30. Aprilis 1755. und bate um das Zunfftrecht.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt
[in margine :] Zunfft 2 lb 16 ß é s, Pfgthrn 13 ß 4 d, scribæ 2 ß, büttel 1 ß, (zusammen) 3 lb 12 ß 6 d, Spendirte 15 ß, S. 4 lv 7 ß 6 d

(f° 62) Freÿtag den 12. Decembris A° 1755 – Johann Friderich Saum, der Rothgerber und ledenhändler allhier so den 20. Augusti jüngsthien zünfftig worden, stunde Vor und hielte um den Lederschnitt an.
Erkannt, gegen erlag der Gebühr willfahrt.

Jean Frédéric Saum cotise en outre à la tribu du Miroir pour avoir le droit de vendre du cuir.
1755, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 207) Donnerstags den 11. Septembris 1755 – Geldzünfftiger
Johann Friderich Saum der Rothgerber und Burger allhier, ist wegen frembden Lederhandels gegen Erlaag 2 pfund13 schilling 4 pfenning geldzünfftig auff und angenommen worden, Ihme anbeÿ alle andere handlung inhibirt, dt. et prom. obed.

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 45 livres que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que le contrevenant n’avait pas d’intention maligne et que l’amende est disporportionnée au délit. Les Quinze ramènent l’amende à 3 livres.
1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
(p. 107) Sambstags den 16. Februarÿ 1757 – Faust nôe Johann Friderich Saum des burgers und Lederhändlers allhier, pplis will von einem beÿ E E Zunfft der schuemacher wieder ihne ergangenen bescheid appellirt und um Verzeichnus gebetten haben, Cum oblato sothanen bescheid ad acta zu lieffern. Erkannt, Verzeichnus.

(p. 171) Sambstags den 26. martii – Fuchs nôe E E Zunfft der schumacher Hn Zunfftmeister Ctra Johann Friderich Saum, gegner hat Von einem beÿ derseitigen Zum gericht ertheilten bescheid an mghhrn appellirt, dieße appellation aber nicht prosequirt, bitt dahero ob instantes ferias dem gegner Zu Vorlegung seiner Vermeintlichen appellations Klag Zeit ad proximam Sub ipsa præclusione anzusetzen. Christmann pro faust bitt d proximam. Erkandtn Zeit ad proximam zugelaßen.

(p. 213) Sambstags den 23. aprilis – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers in actis ctra E E Zunfft der schuemacher Hn Zunfftmeister, producirt unterth. appellats Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 bitt deput. Fuchs bitt Cop. et term. ord. obtinuit.

(p. 410) Sambstags den 19.ten Novembris 1757 – Saum ctra die Schuemacher
Obere Handwercks Herren laßen per Hn Secretarium Städel referiren, es habe H. Joh: Friderich Saum der Lederhändler den 23.t aprilis jüngst ctra E. E. Zunfft der schuhmacher H. Zunfftmeister, eine unterthänige appellations Klag juncto petito mit beÿlag Sub N° 1 producirt und darinn Exponirt, was maßen Er durch die sub N° 1 mitkommende Sententiam â quâ un dreÿmahl 15. lb d von E. E. Zunfft gerichts der schuemacher, dießer erheblichen ursachen halben Condemnirt Worden, daß Er aber so viel stück frembde roßhäut ohne daß Er solche Zuvor schauen laßen obgleich an hießige schuemacher Verkaufft habe, Weilen appellant aber in dem lederhandel noch nicht lang Etablirt, und so gleich man ihne Von der Existentz eines wiedrigen articuls Vermeintliche nachricht gegeben, sich der schau Zumahlen solche nur 21 sols gekostet, Welche (klei)nigkeit allen argwohn eines Vorsatzes be(-) zu unterwerffen, Freÿmüthig erklähret, alls an mghh das unterthänige bitten, dieselbe geruheten den appellanten Von der in der sententia à quà ihme aufgebärdeten straffe derer 45. lb d gnädig Zu absolviren ref. in Contestationem Expensis.
Eodem habe der Appellatische H Zunfftmeister per recessum um deputationem gebetten et facta relatione den Zunfft bescheid gnädig zu Confirmiren ref: noviter factis Expensis.
Auff geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf Contenta seines producti bezogen, mit nochmahliger Versicherung daß dießes Versehen nicht auß Vorsatz sondern aus unvorsichtigkeit, wegen Vielen anderen geschafften geschehen seÿe, bitt unterth. solches in Consideration Zuziehen.
H Johann Martin Meÿer, H Johann Martin Schwing und H Johann Michael Saltzmann alle 3 schuemacher, sodann Johann Daniel Fridel und Emanuel Reffolt beede gerbere und artickel beruffen mit dem beÿsatz, daß sie nicht davon hatten abweichen können, Es seÿe wahr daß der appellant bald nach dem verkaufft der ohngeschauten häute Zu denen schauern gegangen, solche angezeigte und das schaugelt Zu Zahlen offerirt wollten übrigens die Decision dießer sache mghhen überlaßen haben.
Auff seiten derer Hrn Deputirten habe man eingesehen, daß Er in der that scheme, daß der fehler des appellanten mehr aus übereilung und unvorsichtigkeit als aus Vorsatz herkomme, mithin keine proportion in ansehung der angesetzten straff der 45. lb mit dem Crimen, so Er begangen vorhanden, da nun über dießes die appellation selbst gestehen müßen, daß der appellant solches, obgleich zu Späth angezeigte, als hätten die Hrn Deputirte dafür gehalten, daß eine moderation der straff platz haben könne mithin der meinung seÿn wolle, daß die in erster instantz angesetzte straff auff dreÿ pfund zu moderiren seÿe ref. exp. Erkandt, bedacht gefolgt.

Jean Frédéric Saum épouse en 1758 Susanne Dorothée Rœderer, fille du tanneur Jean Jacques Rœderer : contrat de mariage, célébration
1758 (13.10), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 305
Eheberedung – entzwischen dem ehrenvest und wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Saum, em Ledigen Rothgerber und Lederhändler auch burgern allhier Zu Straßburg, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren Herrn Christoph Saum, des ältern, Seÿlers und burgers allhier, mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria gebohrner von Fridolßheim ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dannder Viel Ehren: und Tugendgezierten Jungfrauen Susanna Dorothea Rödererin, des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderersn des Rothgerbers und Lederhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Susanna Dorothea gebohrner Ulrichin ehelich erziehlter tochtern als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30. Octobris Anno 1758. [unterzeichnet] Johann Friderich Saum als Hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth., f° 218-v)
Anno 1759. d. 14. februarÿ Seind in der Kirche zu S. Wilhelm nachdeme Sie daselbsten und in der Kirche zu S Aureliæ Dom. V.ti post Epiphanias und Dom. Septuagesima Zweymahl porclamirtt waren, Zur Ehe eingesegnet worden Herr Johann Friderich Saum, lediger Lederhändler u. burger allhier, Herrn Christoph Saum des ältern Seilers und burgers allhie ehelicher Sohn, und Jungfrau Sußanna Dorothea, Herren Johann Jacob Röderers Rothgerbers, Lederbereiters und burgers allhier und Frauen Susannæ Dorotheæ Ulrichin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Saul als hochzeiter, Susanna Dorothea Rödererin als hochzeiterin (i 224)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Veaux dans la maison qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 2 630 livres, ceux de la femme à 1 370 livres.
1759 (17.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 394) n° 801
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Saum, des Rothgerber lederhändlers, wie auch der Wol Ehren und Tugend gezierten Frauen Susannä Dorotheä Saumin, gebohrner Rödererin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1759. – alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen in Straßburg in fernerer beÿsein des Ehrenvest und Wohl vorachtbahrn herrn Johann Christoph Saum des ältern und Seÿlers und der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ gebohrner von Frodolßheim, beeder Eheleuth und burgere allhier des Eheherrn vielgeliebter Eltern, wie auch des Ehrenvesten und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Röderers, des Rothgerbers und Lederhändlers und der Viel Ehren und tugendbegabten Frauwn Susannæ Dorotheæ gebohrner Ulrichin, beeder Eheleuthe und burgere allhier der Ehefrauen hertzlich geliebter eltern auf Sambstag deb 17. Martÿ Anno 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen der Ehefrauen hertzlich geliebten H Vater eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 448, Sa. Wahren Zum Lederhandel gehörig 2470, Sa. der Frucht 15, Sa. Weins 7, Sa. Silbergeschmeids 78, Sa. baarschafft 503, Sa. liegender Güther nihil, Sa. Schulden 2176, Summa summarum 5700 lb – Schulden 218 lb,, Detrahendo verbleibt 149 lb, Hierzu ist ferner Zurechnen der Ihme zuständige halbetheil ane denen verehrten haussteuren antreffend 149 lb, des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht Guth 2630 lb
Diesemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 462, Sa. Silbergeschmeids 38, Sa. Guldener Ring 204, Sa. der baarschafft 515, Summa summarum 1220 lb – Darzu kombt ferner die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haußsteuren ertragen 149, Der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen dem billichen Werth nach 1370 lb

Jean Frédéric Saum fait appel chez les Quinze d’une amende de 66 florins que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour avoir vendu des peaux de cheval sans les avoir fait préalablement inspecter. La commission estime que plusieurs circonstances plaident en faveur du contrevenant qui a subi un préjudice comme les peaux ont été confisquées. Les Quinze annulent l’amende. Ils délivrent une expédition de leur jugement.
1761-1762, Protocole des Quinze (2 R 173, 174)
(p. 507) Sambstags d. 19. Decembris – Faust nôe Johann Friderich Saum des Lederhändlers und Burgers allhier Ca. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister prod wiedrigen Zunfft berichts bescheid Vom 10.ten hujus Von welchem principalis an E. G. appellirt, bittet appellationis Verzeichnuß. Erk. Verzeichnuß.

(p. 43) Sambstags den 30. Januarii – Schumacher ctra Saum
Froereisen nôe gedachten Hn Zunfftmeisters ctra Johann Friderich Saum den burger und Leder händler, werden gegner Von einem gerichts bescheid de dato den 19. 7.bris Jüngst an mghn appellirt, die appellations Klag aber noch nicht producirt, bitt dieselbe pro deserta Zu halten ref. Exp.
Faust dieße appellation ist beÿ meiner Ghh protocollo angegeben worden, werde man aber ohne dem über den Casum quæstionis besagenden Zunft artickel der appellations Klag nicht verfertigen Können und der herr Zunft schreiber dießeitigen sollicitirens ohngeachtet deßen Copiam erschweret als bitt die Communication gegen erlag der gebühr anzubefehlen, und indeßen term. ord. gnädig Zuzulaßen. Froereisen setzt.
Erkandt, daß Von H Zunftschreiber die Copia articuli quæstionis gegen erlag der gebühr ausuzulieffern seÿe.

(p. 101) Sambstags den 13. Martii 1762 – Saum Ca. die Schuhmacher
Osterrieth pro Faust nôe Friderich Saum des Lederhändlers in actis contra E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister wie auch Salomon Meÿer des Lederschauers auch in aîs prod. unterthänige appellations Klag junctis petitis bitt unterth. Deputationem. Froereisen bitt Copiam et T O obt.

(p. 193) Sambstags d. 83. Maÿ 1762 – Saum Ca. Schuhmacher
Idem [Faust] nôe Friderich Saum in aîs c. Eundem [E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister] erholt appellations Klag vol 13. Martii j. und bitt deputationem. Froereisen prod. u,nterth. Exceptiones juncto petito und bitt similiter. Erk. ut ante [Deputatio]

(p. 252) Sambstags den 15.ten Maÿ 1762. Saum Ca. Schumacher zunfft
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [Hn Secretarium Stædel], Es seÿe Friderich Saum der Lederhändler und Burger allhier durch bescheid E. E. Zunfft Gerichts der Schumacher de dato 10. Decembris 1761. weilen er von einem Lederhändler, sage Gerber von Hagenau nahmens Loyson, 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur schau gelüffert, wieder Ordnung abgekaufft in conformitæt des articuls vom 29. Xbris 1619. und 21. 7.bris 1636. in die darinnen enthaltene straf der 8 ß von jeder haut, so 66 fl 4 ß ausmacht und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden.
Von diesem bescheid habe derselbe d. 19. ejusdem an mghh. appellirt, appellations Verzeichnis gebetten und erhalten, sofort den 13.ten Martii jüngst seine unterthänige appellations Klage junctis petitis überreichet, Hochdieselbe geruheten Zu Erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft Gericht der Schuemacher übel gegen ihn gesprochen, folglich von diesem Spruch wohl appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causâ in 24 stunden und S. I. E. sowohl von denen in primâ instantia Klägerin als E. E. Gericht, so durch jenes übel bedachte Urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. lb æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Hierwieder habe appellatischer Zunnft H Zunfftmeister den 8. hujus seine unterthänige Exceptiones übergeben und Gebetten Mgghh geruheten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen daß in prima instantia wohl gesprochen übel davon appellirt, infolglichen der von appellatischem E. Gericht de dato 10. Xbriis anni elapsi ertheilte bescheid Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu remittiren seÿe, idq. refusis appellationis expensis.
Auf geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf contenta seine appellations Klag bezogen.
Nôe appellatischer Zunfft seÿen die in vorgehender Streitsache benambste 3. Hh Schöffen vorgestanden, Welche wiederumb das jenige, was in ihren Exceptionibus enthalten, repetirt und umb manutenentz des artickels gebetten.
Die Hh. Depp. hätten Zwar beÿ untersuchung des quæstionirten artickels wahrgenommen, daß allen hießigen sowohl als frembden Gerbern verbotten, das in allhießiger Statt befindliche oder vor auswarts herein gebrachte Leder Vor Verlauff anderthalb tagen an jemand anders als die hießige schumacher Zu verkauffen, Es befänden sich aber in der heutigen Sache verschiedene umbstanden, welche in favor des appellanten militiren 1° So seÿe gewiß und werde nicht contestirt, daß der appellant seinen jungen, umb die Partheÿ Roßleder Zu Kauffen expresse auf Hagenau geschickt, 2° seÿe auch wahr, daß der frembde Gerber den appellanten von hier abgeholt, und ohnfern den Guthleuthhauß der Kauff geschloßen worden, sodann und 3° welches vermutlich Zu mercken wäre, der appellant durch die andicirte Straf, Wann er auch dem artickel clar entgegen gehandelt hätte, allzuviel gravirt, in dem ihme erstlich die Roßheüt Von den Schumachern weg genommen, und derselbe über dieses in die straf des artickels fällig erachtet worden, Wobeÿ aber auch die Hh. Depp. befunden, daß der appellant in forderung seiner Dommages und interêts wie auch der restitution des ihme hinweg genommenen Leders Zu weith gegangen, Weßwegen die H. Depp. dafür gehalten, daß dem appellanten die in erster instanz angesetzte Straf aus bewegenden ursachen nachzulaßen übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis. Erkanndt bedacht gefolgt.

(p. 273) Sambstags den 15. Maÿ 1762. – Bescheid
In Sachen Friderich Saum, des Burgers und Lederhändlers allhier appellanten ane Einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister appellaten am andern theil, Auf prod. Zunfft Gerichts bescheid vermög welches der appellant, weilen er von einem Gerber von Hagenau 83 stuck Roßleder, ehe es auf die Zunfft Stub Zur Schau gelüffert werden, und eehe die erlaubte Zeit worüber wer, allhier wieder ordnung abgekaufft, in conformitæt des artickels in die darinnen enthaltene Straf der 8 ß von jeder haut und alßo in 66 fl 4 ß und in die Gerichts: Kösten ad 3 fl. 3 ß liquidirt condemnirt worden, interponirte und Verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellations Klag junctis petitis, Wir geruheten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß beÿ E. E. Zunfft der Schuemacher übel gesprochen, wohl aber appellirt worden, demnach die Sententia à quà vor nichtig und wiederrechtlich Zu erklären, die angesetzte Straf aufzuheben, dem appellanten aber das Leder quæstionis cum omni causa in 24. stunden und Sub ipsa Executione sowohl von denen in primâ instantia Klägerin, als E. E. Zunfft Gericht, so durch jenes übel bedachte urthel litem suam gemacht, solidarie Zu repræsentiren, in entstehung deßen dem appellanten gegen Sie samtlich solidarie die forderung aller Kosten, Schaden und interesse, so er appellant auf 1200. livres æstimirt, vor gehörigem Richter Zu suchen vorzubehalten seÿe, idque refusis expensis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, des appellatischen H Zunfftmeisters vorgelegte Exceptiones sampt beÿgefügtem Bitten, Wir geruheten in Rechten Zu erkennen und aus Zusprechen, daß in primâ instantiâ wohl gesprochen, übel davon appellirt, infolglich die sententia a quâ Zu confirmiren und ad judicem à quo ad exequendum Zu verweißen seÿe, idq. refusis appellationis Expensis, auch alla übrig der Parthen anhehörtes Vor: und anbringen, ist es Herrn Deputirten abgelegten relation nach Erkanndt, daß dem appellanten aus bewegenden Ursachen die in erster instanz angesetzte Straff nachzulaßenn übriges aber die Parthen außer Gericht und Recht setzen seÿen, idque compensantis expensis.

Jean Frédéric Saum loue au banquier Jean Frédéric Ritzhaub l’appartement qu’occupait jusqu’à présent la demoiselle Quad
1763 (21.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 109)
Bail – Sr Jean Frédéric Saum Marchand de cuirs
au Sr Jean frideric Rutzhaub Banquier, bail 9 années à compter du jour que Mademoiselle de Quadt aura évacué les appartements ci après mentionnés
Sçavoir de tous les appartements et dépendances que Mademoiselle de Quadt occupe présentement comme Locataire dans la maison du Sr Bailleur en cette ville rue des veaux sans la moindre réserve ni exception si ce n’est des écuries de la remise pour la voiture du grenier a foin dont des greniers de la maison – moyennant un loyer annuel de 750 livres

Susanne Dorothée Rœderer meurt en 1774 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 3000 livres. La masse propre au veuf est de 10 614 livres, celle des héritiers de 1 032 livres. L’actif de la communauté s’élève à 10 941 livres, le passif à 14 954 livres.

1775 (24.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 592
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Susannæ Dorotheæ Saumin gebohrner Roedererin, Herrn Johann Friderich Saum des Rothgerbers lederbereiters und burgers alhier Zu Straßburg auch Erben geweßener Frau Eheliebstin nunmehro seeligen Vermögens Nachlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1775. – nach ihrem Freÿtags den 21.ten Januarii des Verfloßenen 1774.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf Veranstalten und begehren Herrn Johann Carl Röderern des Biersieders Zu Straßburg und burgers dahier, als geordnet und Verpflichteten Vogts der Fraun Defunctæ mit hieoben ermelten ihren Eheherrn und nun hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugter Zu Erben verlaßener und gleich hiernach benamßter Vier Kinder (…) So beschehen Straßburg auf Dienstag den 24. Januarii Anno 1775. Der Verstorbenen Fraun Saumin seel. ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder sind nahmentl. und 1° Joh: Friderich, 2° Johannes, 3° Maria Dorothea, 4° Anna Maria die Saumen Welche die Frau Defuncta mit eingangs ermelten H Joh: Friderich Saum Ihrem Eheliebsten und nun hinterl. H. witibber ehel. erzeuget und wie ged. zu intestats Erben verlaßen

In einer alhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß gelegenen hiehero eigenthümlich gehörigen behaußung sich befunden hat als
(f° 11-v) Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behausung, bestehend in Vorder und Hinter hauß auch Seith. Gebäu samt deren hoffstätten und einem hoff, mit allen übrig. deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Kalbs Gaß, eins. neben Weild. herrn Johann Jacob Roederern des gewesenen Rothgerbers lederh. und burgers alhier nachgelaßener frau Wittib und Erben, anders. neben Weil. herrn Pierre Maino, des gewes. Taback fabricanten und Burgers alh. seel. hinterlaßenen herren Söhnen und Erben, hinten auf das Waßer stoßend, Von seinem Zur Landveste von Seithen löbl Stadt Pfenningthurn erlangten Allmend Plätzel, so Zu einem Gärtel angelegt worden, reicht man aljärlich 5 ß an Allmend Zinß, Sonsten aber ist solche behausung cum appertinentiis keines wegs verpfändet sondern gegen mänigl. freÿ ledig eigen und solcher Art, durch (die Werckmeistere) vermög deroselben vorgenommenen und bereits schon unterm 12. ohnvertheilt anno præterito schriftl. ausgetheilten und beÿ dem Concept dieses Inventarii verwahrl. liegenden Abschatzung gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 3000 lb. Wird nun davon abgezogen jenem Allmend Zinses doppelten Capitals beträgt mit 10 lb, So verbleibt an solchem anschlag hier auszuwerfen übrig 2990 lb. Über diese Behausung so seithero in die gebäuen verbessert worden, besagt und ist vorhanden eine in alhiesiger C C Stub den 24. Xbris 1761. vorgegangene auch auf Pergament ausgefertigte und mit deren anhangenden größern Insigel verwahrte Kauf Verschreibung hiebeÿ mit Lit. A notirt ausweisend, wie dieselben von J. G. Herrn Siegfried von Bernhold Obrist von der Infanterie und der hochwolgeb. frau Octavia Sabina von Landsperg geb. von Bernholf, beeden hochadel. geschwüsterden erkauft worden
Item eine kleine behausung vor dem Fischerthor in Ruprechtsau (…)
(f° 14) Eigenthum ane Gärten und liegende gütheren
(f° 19) Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe angegangen unveränderten Guth. Vermög des über beeder gewesener Ehe Persohnen einander vor unverändert zu und eingebrachte Vermögenschaft durch Herr Notarium Joh: Rudolph Dinckel sub dato 17. Martii 1759. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unveränderten Guths, Sa. haußraths 47, Sa. Silber und dergl. geschmeids 26, Sa. Ergäntzung 10.690, Summa summarum 10.764 lb – Schuld 150, Nach deren Abzug 10.614 lb
Diesemnach so wird auch der Kinder und Erben anerstorben mütterlich Erbguth in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 153, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 11, Sa. guldener Ring und dergleichen Geschmeids 43, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung 674, Summa summarum 1032 lb
Endlich wo wird die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 176, Sa. Waaren Zum Lederhandel gehörig 1355, Sa. leeren faß 269, Sa. Chaise 37, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. baarschafft 823, Sa. Eigenthums ane Gärten und liegenden güthern 811, Sa. beßerung oder Schaufel rechts von Lehen güthern (-), Sa. Eigenthums ane häußern 3350, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2850, Sa. Schulden 1262, Summa summarum 10.941 lb – Schulden 14.954, In gegeneinander haltung beeder Sullen, 4012 lb
Beschluß und Stall summa 7634
Grosse 94 Z 87 – Lect. auff der Statt Stall den 13. Aprilis 175. – Prod. beÿ löbl. Vogteÿ gericht d. 17.ten apr: 1765.
(ex 53 10-10-2570, ex 63 06-03-01)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 12 500 florins (6 250 livres) sur un total de 14 800 florins
1775, Livres de la Taille (VII 1180) f° 189
(Gerber N° 3624) Weÿl. Fr. Susannæ Dorotheæ geb. Roedererin Joh: Friedrich Saum des Rothgerbers Lederbereiters und burgers allhier gew. Fr. Eheliebstin verlaßenschafft jnventirt H Not. Ficke
Concl. Final. jnvent. ist fol. 188-b 11.646 lb 18 ß 10 ½ d davon gehet aber wieder ab wegen dem Jenigen so der Verstallung nicht underworffen geweßen 4224. lb 6 ß ½ Verbleibt 7422 lb 12 ß 10 ½ d die machen 14.800 fl. Verstallte 2300 fl. allßo Zu wenig 12.500. fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 38 lb 2 ß – 288 lb 12 ß
und 4 Jahr in simplo – 76 lb 4 ß
Ext. Stallgeld 1775 – 23 lb 17 ß
Geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 23 lb 10 ß 9 d – Summa 252 lb 6 ß
Vermög Erkanndtnus derer Oberen Stallherren Vom 19. juny 1775 Ist der nachtrag auf 228 lb 12 ß moderirt worden, restiert 276 lb 2 ß
dt. den 20. Junÿ 1775.

Jean Frédéric Saum loue un appartement à Anne Marguerite Rœmer veuve de l’officier Paul Belin Desmarais

1775 (26.1.), Not. Lacombe (6 E 41, 157)
Bail – Jean Frédéric Saum négociant
à Anne Marguerite Roemer veuve de M. Paul Belin desmarais ancien officier des trouppes de Saint dominique assitée de M Paul Louis Seignette desmarais docteur en médecine à Strasbourg
scavoir, L’apartement du premier étage dans la maison qu’il possede en cette ville rue des Veaux consistant en une antichambre ayant jour sur la cour, Un cabinet attenant à ladite antichambre prenant jour sur l’escalier,
Une chambre à cheminée et deux croisées donnant sur la rue avec alcove garnie de papier,
Un grand salon a trois croisées donnant sur la rue ou il se trouve un fourneau de fonte,
Un cabinet avec alcove tapissé de papier donnant sur la rue,
une garde robe sombre garnie d’une tablette et portemanteau,
une chambre à cheminée prenant jour sur la cour,
Un cabinet a côté prenant jour sur lad. cour,
Un grand balcon Regnant tout le long de l’appartement dont l’usage a la De preneuse,
Plus au premier étage en face du susd. appartement,
une grande sale a manger a trois croisées sur la cour avec fourneau de fonte,
Une grande chambre a cheminée sur ladite cour attenante à la sale a manger,
Une cuisine au rez de chaussée avec garde manger et petit poel de domestique ou Il se trouve un fourneau,
Un petit caveau attenant au poel de domestiques,
Ue chambre pour un domestique a côté du second escalier,
Une écurie pour quatre chevaux,
Une remise pour deux voitures,
Un buffet sous l’escalier derrière la chambre de domestique fermant à clef,
Une portion de la cave voutée qui regne sous le devant de la maison séparée par des lattes munie de chantiers,
Une chambre au second étage prenant jour sur une gallerie,
L’usage commun des greniers et de la buanderie pour la lessive,
Enfin une chambre au grenier pour le linge sale fermant à clef,
Et finalement le droit de faire entrer son bois dans la cour d’y entrer et sortir a toute heure avec équipages, pour 600 livres tournois

Jean Frédéric Saum livre aux peigniers de la corne pour 728 florins
1778, Miroir (XI 298, Protocole du corps des peigniers (1778-1791)
(f° 22) Montags den 5. Maji 1783. Hornschuld
Hr Johann Friderich Saum, der hiesige burger und Lederhändler, stehet vor und meldet, daß er den 6. Augusti 1781. dieser ehrsamen Meisterschafft an Horn geliefert habe vor 728 fl. (…)

Jean Frédéric Saum meurt en 1797 en délaissant trois enfants.

1797 (26 frim. 6), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 573
Inventarium und beschreibung all deßjenigen zeitlichen Vermögens Welches weiland der burger Johann Friedrich Saum lederhändler nach seinem den 19 vendemiaire lauffenden Jahrs genommenen tödlichen hintritt hinterlassen hat
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen Seine mit längst weÿl. fraun Salome Dorothea Rödererin erzeugte zweÿ großjährige Kinder Mit Nahmen 1. burger Johann Friedrich Saum handelsmann in Lyon (procuration Jean Frédéric Saum négociant a Lyon y demeurant rue Pizay N° 120), 2. burger Johannes Saum Lederhändler allhier und 3. Fr. Maria Dorothea Saintmartin geb. Saumin hern Frantz Andreas Saintmartin des Kammer herrn beÿ Ihro hochfürstlichen durchlaucht den regirenden hern Marggraffen von Baden Ehegattin (procuration signée François St Martin chambellan de Mgr le Margrave de Baden)

in einer an der Kalbsgaß gelegen in diese Verlaßenschafft gehörigen mit N° 20 bezeichneten behaußung worinn der Erb: laßer verstorben ist
Hausrath, Im mitlern Zimmer des Hinter Haußes auf das Waser aussehend, In dem Cabinet darneben, Im ersten Zimmer neben der Kuchen in den Hoff aussehend, Im Zimmer darneben, Im ersten Zimmer im Hinterhauß auf das Waßer aussehend, In dem Zimmer des Lincken Flugels im hinterhauß, Im Gartenhäußel, In der Soldaten Kammer, In der untern Kuch im hoff, In der kleinen remise, Im laden, In der Magazin, In der Nebens Magazin, Auff der großen bühn
(f° 6 v°) Eigenthum ane einer behaußung, Nämlichen Eine behaußung Hoff hoffstatt und Gärtlein auch Stallung in Vorder: Nebens: und hintergebäuen bestehend mit allen übrigen begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der Kalbsgaß N° 20 bezeichnet einseit neben dem br. Philipp Jacob Knoderer lederhändler anderseit neben b. Peter Maino dem tabackhändler hibten auf das waßer stoßend, wovon mann der hiesigen Comune jährlich einen Livre bodenzinß zu entrichten hat, ohnpræjudicirlich æstimirt vor 25 000 livres, darüber besagt Kauffbrieff in der ehemaligen Contract Stub gefertiget de dato 24. Decembris 1761, Ferner sind vorhanden 3 Augenschein Procès verbaux und Extracten aus der XV. Kammer Memoriale de datis 14. Junÿ 1770, 22. Aprilis 1774 und 9. Junÿ 1777.
(f° 7) Eigenthum ane einer behausung und Garthen in Ruprechts-Au gelegen, Nämlichen eine behaußung Hoff Stallung und Scheuer, Weÿher und baumgarthen 3 viertzel groß blumen und gemüßgarthen Ein acker so dann 11 und 3 quart acker gebauenen grund mit allen übrigen gebäuden, Weithen, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen Außerhalb hiesiger Statt Vor dem Fischerthor unterhalb der Aubruck an den so genannten Muhrgießen beÿ der Schiff: Matt es. neben dem Muhrgießen as. neben der öffentlichen promenade hinten auf die burger Ostertags Wittib und Erben, davor reicht mann der hiesigen Commune jährlichen pro recognitione domini directi in 5 articklen 11 livres 12 s 8 d, hier ohnpræjudicirlich angeschlagen vor 12 000 li, Hierüber besagt ein Steigerungs procès verbal und Adjudication in der Cantzleÿ des ehemaligen Ritter-directorii sub dato 7. oct. 1771
(f° 7 v°) Eigenthümlicher Antheil an einer Loh: und taback: Mühl, Nämlichen 19/90.te theile vor ohnvertheilt von und ane einer Loh: und taback: Mühl, Mühlbehausung, Schopffen, Rinden: Scheuer, Waßerbau, Hoff und hoffstatt auch allem allda befindlichen lauffenden geschirr mit allen übrigen daselbst befindlichen Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten außerhalb dieser Stadt zwischen dem Juden und Fischerthor unten am teich Kopff zwischen denen Waßeren nahe beÿ dem Neßelsteeg es. neben dem burger Joh: Daniel Saum jun: as. neben einem Acker grund der hiesigen Commune gehörig vornen auf den Allmend weeg und hinten auf das Waßer stoßend, von welcher gantzen Mühl und zugehörden der hiesigen commune jährlich 2 livres zu reichen sind, ohnnachtheilig æstimirt vor 1000, über diese 19/90. besagt Kaufbrieff C.C. Stub de dato 15. maÿ 1783, Wobeÿ ein ältere dergleichen brief vom 4. apr. 1735 und eine Kauff-Verschreibung über 2/30 theile de dato 9. jan. 1771
Mobilien Verkauf
(f° 14 v) Abrechnung, summa der Mobiliar Mass so unter denen Erben zu vertheilen ist 5197 livres
Enregistrement, acp 56 F° 121-v du 4 nivose 6

Les héritiers exposent la maison aux enchères. Le cohéritier Jean Saum fait la mise la plus élevée

1797 (28 frimaire 6), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 318
den 28. frimaire im 6. Jahr erschienen der burger Johann Friedrich Saum Handels-Mann in Lyon, ferner der burger Johanns Saum Lederhändler allhier und Frau Maria Dorothea Saum herrn François St. Martin Kammer Herrn in Marggräfflich badischen diensten fr. Eheliebste crafft procuration s. d. Marburg den 25. Novembris 1797, alle dreÿ Comparenten als Erben ihres Verstorbenen Vaters weÿland des brs Johann Friedrich Saum ehemaligen Lederhändlers
steigerungs: weiße ausgeruffen und angebotten wird Eine ihnen denen requirenten Erblich angefallene behaußung Hoff Hoffstatt, Stallung und Gärthlein in Vorder: Nebens: und Hintergebäuen bestehend mit all übrigen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier an der Kalbsgaß mit N° 20 bezeichnet einseit neben dem br Philipp Jacob Knoderer dem Lederhändler anderseit neben br Peter Maino dem taback Fabrikant hinten auf das Waßer stoßend, Wovon mann der hiesigen commune jährlichen Einen Livre boden-zinnß zu entrichten hat, zum steigeren ausgeruffen vor 40.000 L. darauf gebotten br. Ludwig Klotz hiesiger burger Maurer und Steinhauer 41.000 Livres
den 14. Nivose 6, burger Johann Jacob Warth zimmermann 42.000 Livres
den 24. Nivose 6, br Johannes Saum Lederhändler 44.200 Livres

Inventaire après décès d’un locataire, le juriste Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart

1801 (16 frimaire 10), Strasbourg 1 (22), Not. Lacombe n° 2350
Inventaire de la succession du Cit. Pierre Stanislas Joseph Guislain Commart, homme de lettres à Strasbourg, décédé le 10 prairial 9, à la requête de Mde Salomé Gombault la veuve, Dlles Barbe Eugénie Petronille Commart, Marguerite Joséphine Commart, les Cit. Ignace Hypolite Commart, Louis Nestor Casimir Commart fils et filles Et du Cit. Jacques Antoine Tobie Gombault chef de bureau des logements de cette ville en qualité de curateur et la De veuve Commart en qualité de tutrice nommée par la justice a Dlle Sophie Eugenie Alexandrine Commart fille mineure du défunt
en son logement maison rue des veaux n° 20
Chambre a coucher à gauche, salon, seconde chambre à coucher, antichambre, décharge, vestibule, chambre sur le derrière, deuxième chambre, troisième chambre, vestibule au second, première chambre au troisième étage, chambre, cuisine, Grenier Cour, Cave
total des meubles 3065 fr, total de la masse mobilière 3133 fr, passif reprises de la veuve 9600 fr, dettes 7787 fr, ensemble 17.387 fr, déficit 14.254 fr
Enregistrement, acp 83 f° 18-v du 26 fri 10

Les héritiers vendent la maison à Marguerite Salomée Müller épouse du juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann, provisoirement rayé de la liste des émigrés

1801 (26 therm. 9), Strasbourg 6 (25), Not. Laquiante n° 187
cit. Jean Saum marchand thanneur en cette ville agissant tant en son nom et qu’au nom de De Marie Dorothée Saum épouse de Me François de St Martin chambellan du Margraff de Bade demeurant a Rastadt, Cit. Jean Daniel Mannberger fabriquant de tabac mandataire du Cit. Frédéric Saum négociant à Lyon (Procuration Lyon demeurant rue Pisai maison N° 20)
à De Marguerite Salomée Müller épouse du cit. Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de Lettres – Autorisation d’acheter par le Tribunal civil, son mari a déclaré qu’il estoit pret a l’autoriser à cet effet mais comme il a eu le malheur d’être porté sur la liste des Emigrés dont il n’a été rayé que provisoirement (…)
une maison Cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scize rue des Veaux N° 20, d’un côté le cit. Maino négociant d’autre le cit. Knoderer marchand de Cuirs derrière la rivière d’Ill devant la rue – pour 34.000 francs
Enregistrement, acp 80 F° 4 du 26 ther. 9

Fils unique du diacre Jean Rodolphe Saltzmann, Frédéric Rodolphe Saltzmann épouse en 1779 Marguerite Salomé Müller, fille de l’aubergiste au Dauphin Jean Georges Müller : contrat de mariage, célébration
1779 (30. 9.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 196
(Eheberedung) S.T. Herr Friderich Rudolph Saltzmann, beder Rechten Licentiat und Hertzoglich Sächsisch Koburg- Meininigischer geheimer Legations- Rahr auch burger alhier, des S. T. Herrn Johann Rudolph Saltzmann treuiferigen Diaconi und Selsorgers bei der Prediger Gemeinde auch burgers alhier, mit weiland S.T. Frau Maria Elisabet gebohrner Saur, ehelich erzeugter einziger, anjetzo großjähriger Sohn,
So dann die woledle und tugendgezierte Jungfrau Margareta Salome Müller, des weiland ehren- und wol-achtbaren H. Johann Georg Müller, gewesenen hiesigen burgers und bierbrauers zum Delphin in erster Ehe mit weiland Frau Margareta Salome gebohrner Voltz erzielte einzige Tochter
Straßburg auf dienstag den 30. Wintermonats in dem Jahr nach Christi Geburt 1779. [unterzeichnet] Johann Rudolph Saltzmann als Bräutigam, Franciscus Walter als Schwager, Margaretha Salome Müllerin als Braut, Johannes Müller als oncle, Philipp Jacob Lauth junior als Stief Vatter

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 5, n° 1)
Im Jahr Christ 1780 Mittwoch den 12. Jenner seindt nach ordentlicher proclamation (…) copuliret undt eingesegnet, herr Friderich Rudolph Saltzmann juris utrisque Licentaitus, Hertzoglich-Sachsen-Coburg-Meinungischer Geheimer Legations-Rath und burger alhier herren Johann Rudolph Saltzmann, diaconi beÿ dießer Evangelischen Prediger-Kirch auch burgers allhier und weÿland Frauen Mariä Elisabethä gebohrner Saurin ehelicher Sohn und Jungfrau Margaretha Salome Müllerin weÿland herrn Johann Georg Müllers gewesenen bierbrauers und burgers allhier und auch Weÿland Frauen Salome von Friedolsheim gebohrner Voltzin eheliche tochter [unterzeichnet] Friderich Rudolph Saltzmann als Hochzeiter, Margaretha Salome Müllerin als hochzeiterrin, Johannes Müller als oncle (i 109)

Conseiller de la légation ducale de Saxe-Cobourg-Meiningen, Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire au Miroir le 12 juin 1781.
1781, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 262-v) Dienstags, den 12. Junii 1781 – Leibzünfftiger
Hr Lt Friderich Rudolph Saltzmann, hertzoglich- Sächsisch- Koburg- Meiningischer geheimen Legations Raht, des H. Joh: Rudolph Saltzmann, Helfer bei der Prediger Kirche u. b. alhie einziger ehl. Sohn, wurde auf zu Lieferen Versprochenen Stallschein gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d Leibzünfftig als ein Zudiener angenommen. Hat angelobet.

Il quitte le Miroir en novembre 1783
(f° 310-v) Dienstags, den 18. Novembris 1783 – Resignans
Hr Legationsraht Friderich Rudolph Saltzmann stehet Vor und bittet, ihn gegen Erlag der Gebühr seines diesortigen Zunftrechts Zu erlaßen. Erkannt, willfahrt.

Frédéric Rodolphe Saltzmann s’inscrit à la tribu des Cordonniers puis à celle de l’Echasse
1784, Registres annuels de la Taille (VII 1277) f° 366, Schuhmacher
Saltzmann, Lt. Frid. Rudolph, ins. 16. Jun. 1781. – 48 lb 3 ß
Vide Spiegel F., dt. 7. Julii
modo Steltz T.

Frédéric Rodolphe Saltzmann devient tributaire à l’Echasse le 13 juillet 1784. Il demande l’autorisation de reprendre la librairie d’Albert Frédéric Bartholomæi. Il est reçu tributaire mais renvoyé aux Quinze au sujet de la librairie.
1784, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 551) Dienstags den 13. Julÿ 1784. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
H. Friderich Rudolph Saltzmann beÿder Rechten Licentiat und Burger allhier, stehet vor und producirt Erlaß bescheid von Er. En. Zunfft der Schmid Vom 3.ten Julÿ 1784. und Stallschein vom 5.ten ejusdem, sodann eine Erkantnus Gnädiger Herren der dreÿzehen Vom 19.ten Julÿ 1783. Krafft deren ihm als Commendataire Hn Albrecht Friderich Barthomomäi, dem Buchhändler aber als Buchhändler selbst erlaubt worden ist inter denen Von ihnen beeder selbst vorgeschlagenen Bedingungen den Nahmen Academische Buchhandlung Zu führen, bittet nunmehro ihr disorts als Zünftiger anzunehmen, ihne anbeÿ Zu erlauben auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörfen.
Erkanndt, seÿe Zwar Implorant disorts als Zünftig anzunehlen, betreffend aber dessen begehren auf seinen eigenen Nahmen obige Buchhandlung führen Zu dörffen so seÿe er desfalls an den gehörigen Herren Richter zu Verweißen, um solches in unterthänigkeit Zu sollicitiren. Dt 5 ß 5 ß pro Zunftrecht Juravit eodem.

Les Quinze consultent les règlements sans y voir rien qui s’oppose à ce que Frédéric Rodolphe Saltzmann reprenne la librairie.
1784, Protocole des Quinze (2 R 194)
H Johann Friderich Rudolph Saltzmann eine buchhandlung zuführen
(f° 248) Sambstags den 17.ten Julii 1784. – Ostrerrieth nomine H. Joh: Friderich Rudolph Saltzmann des hiesigen Burgers und Juris utrisuqye licentiati producirt unterthäniges memoriale juncto petito samt beÿlag sub litt. A puncto Rechts eine buchhandlung Zuführen.
Erkandt, Obere Handwercks H und denenselben Zugleich die hände eröfnet nach untersuchung der sache sogleich definitive Zu sprechen.
Nachdene hierauf die H Deputirte sich zusammen gethan und sowohl H Örtel E E Zunfft Zur Steltz H Zunfftmeister als auch H Stein den buchhändler vorberufen lassen um deren Erklärung über des H. Imploranten begehren Zu vernehmen, diese aber solche dahin ertheilet, das weder artickel noch ordnungen vorhanden, welche einige formalitæten Zu aufnahm der buchhändler erforderen solche also leediglich von der willkuhr hoher Oberen abhangen, Sie die H. Deputirte auch in nachschlagung der in annis 1753 et 1772. der buchhandlung wegen von MGHh. ertheilten verordnungen nichts gefunden welches des H Imploranten begehren hinderlich seÿn könte, als haben sie Erkand daß H Implorant mit dem Recht unter seinem eigenen nahmen eine buchhandlung Zuführen Zu willfahren seÿe.

Le juriste Frédéric Rodolphe Saltzmann et Marguerite Salomé Müller vendent moyennant 27 654 francs la maison au négociant Joseph Arroy fils, propriétaire de la maison voisine (n° 18)

1807 (22.5.), Strasbourg 10 (48), Not. Zimmer n° 2213, 3178
Frédéric Rodolphe Saltzmann homme de lettres et Marguerite Salomé Müller demeurant rue de la Chaine n° 2
à Joseph Arroy fils négociant demeurant rue des Veaux n° 19
Une Maison avec tous ses Bâtiments cour Ecurie remise petit jardin appartenances et dépendances scise a Strasbourg rue des Veaux n° 20, entre le Sr Knoderer marchand de cuirs et led. M Arroy acquéreur devant rue des Veaux derrière riviere – acquis devant Me Laquiante le 26 thermidor 9 – pour 27.654 francs
Enregistrement, acp 102 f° 155 du 22.5.

Inventaire après décès de la locataire Marie Catherine Schmitz, épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la fabrique de tabac Arroy

1810 (21.5.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1183, 5386
Inventaire de la succession de Marie Catherine Schmitz épouse de Jean Ignace Scharrenberger, maître ouvrier à la Fabrique de tabac de M Arroy à Strasbourg, décédée le 4 décembre dernier – à la requête du veuf tuteur naturel des quatre enfants Marie Thérèse née le 11 germinal 3, Marie Sophie née le 29 prairial 7, Caroline Elisabeth née le 28 fructidor 9 et Jean Jacques Ignace né le 14 mars 1808, en présence d’Antoine Wescher cordonnier subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 20 thermidor 2
dans une maison rue des Veaux n° 20 appartenant à M Arroy négociant
meubles 959 fr, argenterie 12 fr, capitaux 6912 fr, maison à Osthoffen 2400 fr, total 10.281 fr
Enregistrement, acp 114 F° 160 du 21.5.

Joseph Arroy vend la maison et des effets mobiliers à l’officier retiré Charles Adam de Lewenhaupt. Des clauses règlent les droits des deux voisins

1814 (2.11.), Strasbourg 12 (57), Not. Wengler n° 8517
Joseph Arroy négociant domicilié rue des Veaux n° 19
à Charles Adam, comte de Lewenhaupt officier retiré demeurant autrefois à Bouxwiller actuellement en ladite ville sous l’assistance de Louis Dischbein notaire à Saar-union son conseil judiciaire
1. une maison consistant en bâtiments de devant, de derrière et latéraux, cour, écurie, remise, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec toutes ses appartenances, droits et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, d’un côté la propriété du Sr vendeur d’autre la maison du Sr Knoderer marchand de cuirs devant ladite rue des Veaux derrière la rivière de l’Ill – acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller par acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, la D° Saltzmann née Müller l’a acquise de Jean Saum, marchand tanneur, et de Marie Dorothée Saum épouse St. Martin à Rastatt et Frédéric Saum négociant à Lyon par acte reçu Laquiante notaire à Strasbourg le 26 thermidor 9 (14 août 1801)
Charges, clauses et conditions, 4. les murs pignons séparatifs qui se trouvent entre la maison du Sr vendeur et celle du Sr Knoderer resteront mitoyens entre ces propriétés, 5. la porte de communication entre la maison vendue et celle du Sr vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement en cas d’événement ou d’accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera, 6. l’acquéreur est tenu de griller les fenetres et ouvertures qui donnent sur la terrasse dans la maison du Sr vendeur aussitôt que celui ci en fera la demande, 7. Le Sr vendeur en cas de batise de sa maison n° 19 ne pourra pas avancer le bâtiment de derrière vers la rivière et ce bâtiment doit commencer et rester dans sa direction et position actuelle
Désignation des effets mobiliers rue des Veaux n° 20, Logement du côté de l’eau. Salle à manger au rez de chaussée, cuisine, gloriette, buanderie – premier étage : sallon, chambre du mileu, chambre à coucher, chambre à droite, chambre attenante ; mansardes première chambre, chambre à coucher, troisième chambre, cuisine, quatrième chambre à coucher, 5° chambre, chambre à droite, premier, deuxième, troisième logement au troisième, logement de M Jacquet, logement de M Mathieu, office, salle à manger – Au second, première chambre, deuxième chambre, troisième chambre, logement sur la rue à droite première chambre, deuxième chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté – pour 38.000 fr, savoir la maison 34.000 francs et les effets mobiliers 4000 francs – 38.000 fr, savoir la maison 34.000 fr et les effets mobiliers 4000 fr
enreg. manquant f° 32 du 4.11.

Charles Adam de Lewenhaupt épouse en 1811 Christiane Charlotte Louise de Strahlenheim
Mariage, Bouxwiller (n° 1)
Acte de mariage célébré à cinq heures du soir le 14 janvier 1811. Charles Adam Lewenhaupt, âgé de 50 ans, né le 10 novembre 1760 ) Strasbourg, rentier à Bouxwiller, fils majeur de feu Adam Compte de Lewenhaupt, décédé à Paris suivant l’cte mortuaire du 17 juin 1775, lequel nous a été déposé, et de feue Caroline Christine Anne Louise née Sinclaire, décédée à Strasbourg le 5 mai 1809, Christiane Charlotte Louise Strahlenheim âgée de 27 ans 11 mois, née le 7 février 1783 à Carsbronne département de la Sarre, domiciliée à Deux-Ponts, fille majeure de feu Gustave Hening comte de Strahlenheim, décédé le 9 janvier 1788 suivant d’acte mortuaire, laquelle nous a été Déposee, et Marie Louise née Essebeck, ses père et mère (…) et Vû l’opposition à nous signifiée le 15 septembre 1810 pat M° Derot huissier Imp. près le tribunal de Saverne au nom de Madeleine Lewenhaupt domiciliée à Strasbourg, par laquelle elle nous a déclaré s’opposer à ce qu’il soit procédé à la Célébration du mariage de Charles Adam Lewenhaupt son frère, laquelle opposition a été levée par jugement du Tribunal de Saverne en date du 26 septembre 1810. confirmé par arrêt de la Cour d’appel de Colmar du 15 décembre suivant (signé) Charles de Lewenhaupt, Charlotte Louise Christianne Stralenheim (i 3)

Charles Adam Comte de Lewenhaupt loue une partie de la maison à Sophie d’Ichtratzheim épouse de l’officier Balthasar de Schauenbourg

1815 (22.2.), Strasbourg 12 (59), Not. Wengler n° 8888
Charles Adam Comte de Lewenhaupt officier retiré domicilié rue des Veaux n° 20, bail de 6 années à commencer le 25 mars prochain (signé) Charles Lewenhaupt
à Sophie née d’Ichtratzheim épouse de Balthasar Baron de Schauenbourg lieutenant général des Armées du Roi et demeurant à Strasbourg rue Elisabeth n° 24 (Sophie Jchtersheim Schauenbourg)
toutes les localités ci après détaillées qui se trouvent dans la maison de mondit Sr comte de Lewenhaupt sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20 savoir 1. tout le premier étage de la maison de devant composé de 7 pièces y compris l’antichambre, dans l’une desquelles pièces se trouve une hollandaise sur la cour, dans l’autre un trumeau à cheminée avec une peinture, dans le salon deux grands trumeaux (…) dans la chambre à coucher a alcove aussi un trumeau à cheminée et dans tout le logement se trouvent deux tringles d’alcove et 8 tringles de fenetres, 2. une petite salle à manger une chambre à côté et la cuisine le tout a plein pied au premier étage du bâtiment latéral a droite en entrant donnant sur la cour avec trois tringles et une tourne broche dans la cuisine, 3. Un bucher au dessous du logement mentionné au premier article, 4. les armoires murées dans le corridor en montant l’escalier, 6. enfin une cave séparée en lattes au dessous de ladite maison – pour 1000 francs par an
enreg. f° 84 du 24.2.

Inventaire après décès d’un locataire, le jurisconsulte Bernard Michel Jacquet, veuf de Marguerite Petit

1818 (27.4.), Strasbourg 15 (23), Not. Lex n° 4378
Inventaire de la succession de Bernard Michel Jacquet, jurisconsulte décédé le 18 avril courant, veuf en premières noces de Marguerite Petit – à la requête de 1. Marie Anne Grundler veuve de François Joseph Ehekirch le jeune domiciliée à Bühl tutrice naturelle de ses 6 enfants mineurs 1) Marie Anne âgée de 20 ans, 2) Joseph âgé de 19 ans, 3) Jean Baptiste âgé de 15 ans, 4) Rose âgée de 12 ans, 5) Charlotte âgée de 7 ans, 6) Madeleine âgée de 5 ans, représentés par Jean Baptiste Grundler capitaine d’artillerie retraité, 2. Dominique Ehekirch majeur propriétaire à Bühl tant en son nom et que subrogé tuteur des enfants mineurs procréés avec Barbe Gissy leur mère et feu Jean Baptiste Ehekirch maître d’école à la vallée de St Amarin lesdits enfants nommés Joseph âgé de 19 ans, Barbe âgée de 18 ans, Madeleine âgée de 16 ans, Jean Baptiste âgé de 20 ans héritiers représentant Madeleine Jacquet sœur du défunt, formant la première branche,
4. Joseph Sisson doreur à Guebwiller, 5. Reine Soehnlen femme de Maurice Fröhliger de Soultz représentée par Jean Baptiste Grundler, 5. Marie Anne Soehnlen femme de Léonard Klausnitzler bonnetier à Schnersheim, Reine et Marie Anne Soehnlen filles d’Ursule Sisson femme de Joseph Soehnlen tonnelier à Soultz, cette dernière fille de Joseph Sisson fils de feu Catherine Jacquet sœur du défunt pour la deuxième branche,
7. Jacques Jehlen propriétaire à Guebwiller & 8. Barbe Jehlen femme de Georges Joseph potier de terre, 9. Marguerite Jehlen femme d’Augustin Marckert fabricant de fourneaux, 11. Anne Marie Jehlen femme d’Antoine Ackermann propriétaire tous domiciliés à Guebwiller représentés par ledit Grundler héritiers conjointement avec Joseph Jehlen leur frère par représentation de Barbe Frey femme de Jacques Jehlen le vieux propriétaire à Guebwiller et fille d’Anne Marie Jacquet troisième sœur du défunt procréée avec Michel Frey à Guebwiller pour la troisième branche,
12. François Joseph Rimlin tourneur en bois, 13. Barbe Rimlin veuve de Jean Baptiste Mittler menuisier, 14. Sébastien Rimlin tourneur en bois, 15. Françoise Rimlin femme de François Joseph Munsch, 16. Catherine Vogelweyd veuve de Michel Rimlin tourneur en bois tuteur de 1) Rose 9 ans, 2) Michel 8 ans, 3) Catherine 5 ans par représentation de leur mère et ayeule Françoise Jacquet quatrième sœur du défunt veuve de François Joseph Rimlin à Guebwiller, pour la quatrième branche – déclaré par Thérèse Fenderich fille majeure domestique au service du défunt –
dans le logement qu’occupoit en cette ville rue des Veaux n° 20
Titres et papiers, Contrat de mariage avec Marguerite Petit devant Me Lacombe le 28 août 1772, Inventaire de Louis Petit exsénateur père de la De Jaquet, Not. Dinckel le 30 juin 1777 (Partage Me Lex 1. 7.bre 1818 n° 58)
mobilier dans la chambre à coucher, première chambre sur le devant, au vestibule, dans la chambre de décharge, dans la seconde chambre sur le devant, dans la 3è chambre sur le devant, au grenier, 47.481 fr
provenant succession de la De Jaquet 9041 fr, total du passif particulier 1916 fr
récapitulation : mobilier 483 et 243 fr, numéraire 1170 fr, créances chirographaires 120.208 fr, dettes douteuses 10.366 fr, dettes hypothécaires 27.010 fr, total 49.481 fr, passif 10.689 fr
Enregistrement, acp 138 F° 171 du 2.5.

Inventaire après décès de Marie Louise d’Esebeck, veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim (belle-mère du propriétaire)

1820 (29.11.), Strasbourg 12 (81), Me Wengler n° 12.098
Inventaire de la succession de Marie Louise Esebeck veuve en secondes noces de Gustave Henri comte de Strahlenheim, lieutenant général des armées du Roi décédée à Achenheim le 18 juillet dernier – à la requête de 1. François Louis Klauhold avocat avoué près le Tribunal civil mandataire de Charles baron de Hohenfels, commissaire royal bavarois près l’administration du district de Deux Ponts et de Mde Amélie baronne de Hohenfels épouse de Charles Edouard baron de Hruby, envoyé impérial d’Autriche près la cour de Münic y résidant, 2. Me Antoine François Thomas Lacombe, notaire royal pour représenter les enfants héritiers de feu Henri Gustave comte de Strahlenheim, domicilié à Freysingen en Bavière, petits enfants de la défunte et 3. Charles Auguste comte de Strahlenheim, chef d’escadron retiré du deuxième régiment des grenadiers à cheval, officier de la Légion d’Honneur et chevalier de l’ordre rotal et militaire de St Louis demeurant à Strasbourg tant en son nom que comme fondé de pouvoir de Caroline Louise Henriette comtesse de Strahlenheim sa sœur épouse de Charles d’Almosy, inspecteur des forêts royales bavaroises domicilié à Langen-Candel (procuration à Landau), 4. Mde Christiane comtesse de Strahlenheim épouse de Charles Adam comte de Loewenhaupt officier retiré à Strasbourg, héritiers de leur mère et ayeule, le baron de Hohenfels et la De Hruby par représentation de Mde Frédérique née Closen leur mère veuve de Chrétien de Hohenfels conseiller privé de S.A.S. le duc de Deux Ponts fille de la défunte en premier mariage Charles de Closen de Heydenbourg, maréchal des camps des armées du roy pour 1/5, les enfants de Henri Gustave de Strahlenheim pour 1/5, Charles Auguste de Strahlenheim et Mde d’Almosy et C.tese de Loewenhaupt pour 1/5, tous ces derniers issus du mariage avec Gustave Henri comte de Strahlenheim
dans la maison que la défunte a habité cette ville rue des Veaux n° 20
mobilier 740 fr, numéraire 115 fr, ensemble 855 fr, passif 31 505 fr, corps de biens à Soultz sous Forêts non estimé
Enregistrement, acp 150 F° 60-v du 7.12. – vacation du 16.1. (acp 150 F° 178 du 17.1.)

Charles Adam comte de Lœwenhaupt meurt en 1822 en délaissant un fils

1822 (3.12.), Strasbourg 12 (84), Me Wengler n° 12.494
Inventaire de la succession de Charles Adam comte de Loewenhaupt, propriétaire officier retiré à Strasbourg décédé à Achenheim le 4 septembre dernier – à la requête de Christine Charlotte Louise comtesse de Strahlenheim, mère et tutrice légale de Charles Auguste de Loewenhaupt son fils 10 ans, en présence de Philippe Daniel Ottmann, négociant, subrogé tuteur – Contrat de mariage devant Me Morel à Bouxweiller le 13 janvier 1811, communauté légale
biens immeubles acquis pendant la communauté. Ville de Strasbourg. 1. une maison consistant en bâtiment de devant, de derrière et latéraux, cour, écuries, remises, magasin, pompe et petite terrasse sur la rivière avec tous les droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue des Veaux n° 20, estimée 30.000 fr, d’un côté M Arroy d’autre M Knoderer marchand de vins devant la rue derrière l’Ill – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu par le soussigné notaire le 2 novembre 1814, le Sr Arroy l’a acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann, homme de lettres, et Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg 21 mai 1807, ledit Saltzmann l’a acquis de Jean Saum et de Marie Dorothée Saum épouse de François St Martin et Frédéric Saum le premier à Strasbourg, les seconds à Rastatt le troisième à Lyon par acte reçu Laquiante le 26 thermidor 9
dans la maison de campagne à Achenheim 4519 fr – à Strasbourg dans la maison rue des Veaux n° 20, au rez de chaussée du bâtiment de derrière donnant sur la rivière, dans le salon, dans le cabinet à côté, dans la cuisine – bâtiment latéral à droite dans la cour, première chambre, dans la chambre à côté, dans le salon du bâtiment de derrière donnant sur le quai, dans la chambre à droite à côté, dans le grand salon donnant sur le quai, dans la première chambre du bâtiment latéral à gauche, dans la chambre à côté, première chambre aux mansardes donnant sur l’Ill, dans la chambre à côté, chambre à servante aux mansardes, cour et greniers 5906 fr, créances 70.960 fr, numéraire 8815 fr, campagne à Achenheim 44.600 fr
rente foncière à Wildengutt 1585 fr, ensemble de la communauté 166.386 fr, passif 18.064 fr
propre du fils, garde robe 625 fr, biens à Oberbronn 8460 fr, Gundershoffen 20.820 fr, Mertzwiller 28.196 fr, Gumbrechtshoffen 33.183 fr, Uttenhoffen 2034 fr, Uhrwiller 8486 fr, Niederbronn 3720 fr, Zinswiller 8293 fr, Rauschenbourg 31.280 fr, forets 20.963 fr, Zittersheim 29.000 fr, Wildenguth 25.414 fr, ensemble 220.476 fr, passif 2673 fr
vacation du 2.4. (acp 157 F° 29-v du 9.4.)

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs

1831 (5.2.), Strasbourg 15 (49), Me Lacombe, sans num.
Inventaire de la succession de Jean Ignace Scharrenberger, surveillant à la manufacture des tabacs, décédé le 29 janvier, à la requête des enfants petits enfants I. Jean Plumeret, jardinier fleuriste père et tuteur légal de Thérèse, Jean Baptiste, Xavier ses trois enfants issus de Thérèse Scharrenberger, II. Sophie Scharrenberger femme d’André Weyer maître maçon, III. Ignace Scharrenberger, ecclésiastique, héritiers de leur père et grand père, en présence dudit Ignace Scharrenberger subrogé tuteur des mineurs
en une maison rue des Veaux n° 20 au troisième étage d’un bâtiment latéral
acp 202 (3 Q 29 917) f° 182-v du 14.2. – La masse active se compose savoir garde robe du défunt 143 fr, mobilier 371 fr, numéraire 125 fr, créances 11.265 fr, ensemble 11 904 fr, sans passif

Christiane Charlotte Louise de Stralenheim vend en son nom et en celui de son fils la maison à Jules César Saum, rentier à Lyon, pour 47 500 francs

1832 (12.7.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1307
Christiane Charlotte Louise comtesse de Stralenheim veuve de Charles Adam comte de Lewenhaupt vivant officier, tant pour elle que comme mère et tutrice légale de son fils Charles Auguste comte de Lewenhaupt né le 4 avril 1812
à Jules César Saum, rentier à Lyon rue de l’Arbre sec n° 30
une maison consistant en bâtiments de devant, latéraux et de derrière, cour, écurie, remises, magasins, pompe et petite terrasse sur la rivière de l’Ill avec toutes ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Veaux n° 20, d’un côté la maison appartenant à M Rist ci devant M Arroy, d’autre la maison du Sr Knoderer fabricant de cuir derrière la rivière d’Illl, et divers effets mobiliers et autres objets dont le détail est inséré dans un état que les parties ont fait dresser aujourd’hui – acquis de Joseph Arroy, négociant, par acte reçu Wengler notaire à Strasbourg le 2 novembre 1814 – Contrat de mariage passé devant M° Morel à Bouxwiler le 13 janvier 1811, inventaire par M° Wengler le 3 décembre 1821, appartenait audit Arroy pour l’avoir acquis de Frédéric Rodolphe Saltzmann et de Marguerite Salomé Müller suivant acte reçu Zimmer le 21 mai 1807, appartenait à la De Saltzmann née Müller de Jean Saum, marchand tanneur et Marie Dorothée Saum épouse de François de St Martin et Frédéric Saum, négociant à Lyon père du Sr acquéreur, par acte reçu Laquiante le 14 août 1801 (26 therm. 9)
Etat du logement au premier étage, occupé par M Gerard percepteur. Cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, salle à manger, anti-chambre, chambre à coucher, salon, chambre à côté du salon, pièce communiquant au salon, pièce donnant sur l’antichambre, corridor, cave – II. logement au second étage occupé par M Claude, docteur en médecine, antichambre, chambre, chambre qui donne dans la cour, salon, chambre du milieu, chambre à alcove, première chambre qui donne sur la cour, deuxième chambre qui donne sur la cour, cuisine, petite pièce à côté de la cuisine, grenier à linge, caves – III. logement au troisième étage, bâtiment latéral occupé par M. Lapaille, officier en retraite, 1. chambre à droite en montant l’escalier donnant sur la cour, grenier se trouvant au dessus dudit logement, chambre du portier, 12 juillet 1832 – pour 47.500 francs
Enregistrement, acp 211 f° 86 du 14.7.

Jules César Saum épouse en 1832 Marie Louise Pauline Hecht
1832 (24.12.), Strasbourg 10 (86), Me Zimmer n° 1427
Contrat de mariage – Jules César Saum, propriétaire, fils de Jean Frédéric Saum, négociant, et de Claudine Fonbonne
Marie Louise Pauline Hecht, fille de Louis Hecht, professeur à l’école de pharmacie, et de Marie Salomé Lix
Enregistrement, acp 214 f° 138-v du 28.12. régimé de la communauté sous réserve d’apports

Accord entre les voisins, conformément aux clauses de la vente de 1814 (ci-dessus)

1834 (26.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 3, ssp du 6.2.
Transaction – Jean Louis Rist, docteur en médecine, comme se portant fort de son fils Edouard Michel Geofroi Rist, substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Schlestadt et Charles Daniel Rist, propriétaire d’autre part
propriétaires des deux maisons n° 19 et 20 de la rue des Veaux, c’est à dire M. Rist de la maison n° 19 et M Saum de la maison n° 20
suite à diverses sommations et actes qu’ils se sont signifiés réciproquement au sujet de la cloture d’une porte existante dans un mur qui sépare les propriétés respectives et donnant d’un côté dans la cour de M Saum et de l’autre dans une écurie appartenant à MM Rist on arrête ce qui suit savoir,
le Sr Saum en vertu de l’art. 5 du contrat de vente passé devant M° Wengler le 2 novembre 1814 ainsi conçu « la porte de communication entre la maison vendue et celle du vendeur doit subsister aussi longtemps que les deux parties le jugeront à propos pour s’en servir réciproquement, en cas d’événement et accident urgent en s’avertissant cependant l’une l’autre jusqu’à ce qu’elle restera fermée par serrure et verroux et sera entièrement confisquée et murée à frais communs dès que l’une ou l’autre des parties l’exigera » Demande que la porte en question soit entièrement confisquée et murée à frais communs. Les Sr Rist par contre conformément à l’art. 662 du Code civil désirent conserver et pratiquer un enfoncement au même endroit où se trouve l’ouverture de la porte et au besoin de faire admettre et régler leur demande juridiquement et par experts suivant les loix. Les parties contractantes au lieu de faire décider leurs prétentions réciproques par les tribunaux ou par un expert sont convenus de ce qui suit,
2. L’ouverture résultante de l’enlèvement de cette porte sera entièrement fermée et murée du côté de M. Saum, 1. la porte de communication sera enlevée. Le mur entier ayant en cet endroit une épaisseur de 11 pouces ou 30 cm afin de laisser du côté de MM Rist une niche également de 11 pouces ou 30 cm de profondeur. 3. L’enfoncement résultant d’une part des travaux indiqués ci dessus du côté de M. Saum et de l’absence de travaux pareils du côté de M Rist ne pourra jamais nuire à la mitoyenneté du mur ni aux droits qui competent aujourd’hui aux parties en vertu de l’art. 5 du contrat du 2 novembre 1814 et de l’art. 662 du Code civil

Marie Louise Pauline Hecht meurt en 1866 en délaissant des héritiers collatéraux

1866 (23.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.659
Inventaire de la succession de Marie Louise Pauline Hecht épouse de M. Jules César Saum, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée le 12 mars 1866.
L’an 1866 le Samedi 23 juin à neuf neures du matin, à la requête I. de Monsieur Jules César Saum, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant 1° à cause de la Communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre lui et Madame Marie Louise Pauline Hecht sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire soussigné le 24 décembre 1832, 2° comme donataire de l’usufruit viager de la totalité ddes biens meubles et immeubles composant la succession ed feu son épouse en vertu du même contrat
II. de Monsieur Louis Auguste Jules Hecht, Juge de paix du Canton sud de la Ville de Strasbourg où il demeure, agissant en son nom personnel, III. de Monsieur Louis Emile Hecht, docteur en médecine agrégé de la faculte de médecine de Strasbourg demeurant en cette ville, agissant aussi en son nom personnel, IV. de Madame Salomé Wilhelmine Mathilde Hecht, épouse de M. Henri Eugène Rosssel, notaire à la résidence de Strasbourg demeurant ensemble en cette ville, agissant également en son nom personnel sous l’autorisation de son mari présent
M. Louis Auguste Hecht habiles à se dire et porter héritier pour moitié de feu Mad. Saum née Hecht sa tante germaine sus-nommée,, M. Louis Emile Hecht et Mad. Roessel habiles à se dire et porter héritiers ensemble pour l’autre moitié de la même défunte leur tante, par représentation de M. Louis Emile Hecht leur père en son vivant docteur en pharmacie à Strasbourg et par suite de la renonciation faite à la succession de la défunte par M. Louis Frédéric Alfred Hecht leur frère élève en droit en cette ville, suivant renonciation faite au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 16 mai dernier
Fait et dressé en la maison appartenant à M. Saum sise rue des Veaux n° 16 où Mad° Saum est décédée le 12 mars 1866. (signé) Jules Saum

Meubles. Salle à manger, Cabinet à côté, Cuisine, Salon, Chambre d’habitation ; Chambre à Coucher, Dans une Chambre, Dans les Chambres aux mansardes
acp 555 (3 Q 30 270) f° 17 du 26.6. (succession déclarée le 11 7.bre 1866)
Communauté. Mobilier 5414, argent 5000, cinq actions Klose & Cie 5000, reprises de la défunte 48.987, Maison 6210, créances 17
1/3 de deux actiona dans la filature de Hüttenheim
4 ha 79. 70. terre à Ittlenheim
4 ha 42 53 terre à Rohr
4 ha 35 97 terre à Hilsenheim
3 ha 51 96 herres à Booftzheim
1/3 d’une maison rue Ste Barbe N° 16
1/3 d’une maison rue des arcades N° 42

Jules César Saum meurt le 17 août 1870 après avoir fait un testament qui comprend plusieurs legs et par lequel il institue pour ses héritiers son beau-frère et ses neveux, déjà héritiers de sa femme
1870 (17.8.), M° Koerttgé
Dépôt du testament olographe de Jules César Saum
acp 590 (3 Q 30 305) f° 178-v du 18.8.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 154 (3 Q 31 653) f° 88 du 18.8. (M° Koertgé, décès di 17 août 1870)
Testament du 12 mars 1868 – Je soussigné Jules César Saum propriétaire à Strasbourg étant sain de corps et d’esprit déclare faire les dispositions testamentaires suivants.
Je lègue A° à Mlle Antoinette Schmaltz demeurant à Lyon place neuve St Jean N° 2 et 3 une rente annuelle et viagère de 400 francs (…)
2° à Dlle Joséphine Madeleine Koebellin actuellement cuisinière à mon service, une somme en capital de 4000 francs plus le lit complet (…)
3° à Sophie Rodenberg Couturière une rente annuelle et viagère de 200 francs
4° à Marie Barth pensionnaire (maison Ste Barbe) une rente annuelle et viagère de 100 francs
5° à Dlle Eugénie Hoppé rentière à Strasbourg une somme en capital de 1500 francs
6° au Sr Frey présentement portier chez moi (s’il este ncore à mon service) une somme de 250 francs
7° au St Louis Diebold cocher de M. de doyen Stoltz pareille somme de 250 francs
8° à Joseph Brassel et Jean Berbi cultivateurs à Westhausern (canton de Marmoutier) mes fermiers un corps de biens (…)
9° aux pauvres protestants de Lyon une somme de 500 francs
10° à l’église protestante de St Nicolas à Strasbourg pareille somme de 500 francs
J’institue pour les légataires universels 1° Jule Auguste Hecht maon beau-frère présentment juge de paix à Strasbourg pour les deux tiers de ladite succession, 2° Louis Hecht docteur en médecine à Strasbourg mon neveu et sa sœur ma nièce Md. Mathilde Hecht épouse du Sr Eugène Roessel notaire conjointement pour le troisième tiers (…)

Lors de la liquidation de la succession, la maison rue des Veaux reste indivise.

1874 (31.12.), Strasbourg 10 (175), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 9595
Liquidation und Theilung der Gütergemeinschaft zwischen Julius Cesar Saum und Maria Louise Pauline Hecht
sind erschienen I) Herr Ludwig August Julius Hecht, ehemaliger Friedensrichter, wohnhaft in Straßburg, II) Herr Ludwig Emil Hecht, Doktor der Medizin wohnhaft in Nanzig, III) und Frau Salome Wilhelmine Mathilde Hecht, hierzu gehörig ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des Herrn Heinrich Eugen Roessel, ehemaligen Notar hierzu gegenwärtig, beide mit einander in Straßburg wohnhaft (…)
Vorläufige Bemerkungen. Erste Bemerkung. Tod der Frau Saum, Inventar.
Frau Marie Louise Pauline Hecht Ehegattin des Herrn Julius César Saum ist kindenlos in Straßburg den 12. Märtz 1855 gestorben und hat als einzige Erben hinterlassen, ihren leiblichen bruder Herrn Ludwig August Julius Hechty vorgenant für eine Hälfte oder zwei viertel und für die andere Hälfte oder jedes einen vierten theil Herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel schon oben genannt ihr Neffe und Nichte (…) Das Inventar der Gütergemeinschaft (…) ist durch H Ludwig Friderich Zimmer damals Notar in Straßburg en 23. Juni 1856 errichtet worden (…)
Zweite Bemerkung. Verkauf des Hauses in Straßburg am Eck der Gewerbslaub Straße gelegen
Dritte Bemerkung. Tod des Herrn Saum, Testament.
Herr Saum ist ebenfalls in Straßburg dden 17. August 1870 gestorben. Laut seinem eigenhändig geschriebenen Testament von Straßburg den 12. Märtz 1858 datirt (…) hat der Verstorbene als Universal erben eingesetzt 1) Herr udwig August Julius Hecht vorganant für 2/3 theil, 2) und herrn Ludwig Emil Hecht und Frau Roessel zusammen für den letzten drittel (…)
Vierte Bemerkung. Verwaltungs-Rechnung
Fünffte Bemerkung. Plan der Operationen
Erste Abtheilung. Liquidation der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Saum bestanden hatte
Zweite Abtheilung, Thheilung der Hinterlassenschaft der Frau Saum
Dritte Abtheilung, Theilung der Hinterlassenschaft des Herrn Saum. Activ Masse
2) in einem Haus in Straßburg Kalbsgaße N° 16 gelegen zwischen ehemaligem Eigenthumb Rist und H. Knoderer hinten auf die Ill stoßend.
Die Parteien sind übereingekommen dieses Haus in den Unvertheiltheit zu lassen, deßenwegen hier nur Meldung pour mémoire geschieht
Vierte Abtheilung, Abrechnungen zwischen den Parteien und Ueberlieferungen
acp 636 (3 Q 30 351) f° 3 du 8.1.

La maison est inscrite au cadastre à partir de 1887 au nom de Marie Cécile Hecht, fille du juge de paix Louis Auguste Jules Hecht, et de son mari Georges Roth, professeur à l’université, fils du cultivateur Georges Roth, de Hohfranckenheim

Mariage, Strasbourg (n° 499)
Straßburg am 9. August 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Professor an der Kaiser-Wilhelm’s Universität Georg Roth, evangelischer Religion geboren den 26. Januar des Jahres 1845 zu Hohfrankenheim (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg Sohn der verstorbenen Eheleute Georg Roth, Ackerer und Anna Urban, zuletzt wohnhaft un Kirweiler (Uner-Elsaß), 2. die Marie Caecilia Hecht, ohne Beruf, evangelischer Religion geboren den 4. October des Jahres 1860 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des verstorbenen Friedensrichters außer Dienst Ludwig August Julius Hecht, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und der Marie Friederike Kern, Rentnerin wohnhaft zu Straßburg (i 104)



11, rue des Cerceaux


Rue des Cerceaux n° 11 – II 360 (Blondel)

Bain au Cerceau (Reiffbad), vendu à la Ville en 1838 pour établir le quai Finkmatt


Maisons le long du canal entre le Faubourg de Pierre à gauche et le Fossé des Treize à droite
Plan-relief de 1725 (Musée historique)

Le baigneur du bain aux Cerceaux Simon Geisler doit à partir de 1573 un loyer de 10 sols pour une risberme et un mur à l’arrière de sa maison établis sur le communal. Inscrit dans le Livre des communaux de 1587 au nom de Martin Sick, le bain aux Cerceaux a plusieurs avances sur le communal : cheminée devant la maison, latrines et avance sur le canal. Martin Sick vend en 1601 le bain et un jardin de l’autre côté de la rue à Jean Schneeweis. Après avoir appartenu à plusieurs exploitants successifs (Jean Gross, Michel von Hipsheim, Chrétien Reinlé), il est attribué en 1640 à un créancier qui le revend au docteur en droit Jean Ernest Heus. Les bains sont ensuite exploités jusqu’en 1742 par des locataires dont Jean Jacques Hoffmann (1698-1720). Les bains en assez mauvais état nécessitent en 1690 des réparations. Selon la description la plus précise (1738), la maison comprend au rez-de-chaussée le bain et la salle de bain, un vestibule, la chambre à soldats, une cave voûtée et un puits, au premier étage deux poêles chauffés par un fourneau, un vestibule, une dépense et une cuisine, sous les combles un poêle, une cuisine, un vestibule et trois chambres, les greniers ne sont pas dallés. Sur le plan-relief de 1727, la façade arrière de la maison est celle à gauche du muret en partant de la droite. Jean Ulric Ruckstuhl, fils du cordonnier du même nom et propriétaire du bain, n’obtient pas l’autorisation de l’exploiter. L’ancien baigneur au bain de Spire Jean Schmidt l’achète en 1742 et répare la même année la risberme. Il en transmet la propriété à son gendre Jean Jacques Brosé qui fait réparer en 1782 la façade en pans de bois vers le canal. Frédéric David Ræser exploite le bain qui appartient à sa femme et devient officier de santé sous la Révolution.
Le boulanger Michel Bilger achète la maison en 1823. La Ville s’en rend propriétaire en 1838 pour établir un nouveau quai. Les matériaux provenant de sa démolition sont vendus en avril 1839. La parcelle ne figure pas au cadastre bien que les plans aient été levés avant que la Ville ne l’achète.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 50, élévations vers la rue et vers le canal (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (c-d) : porte sur la droite, six fenêtres au rez-de-chaussée et cinq à l’étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. La façade vers le canal est la plus large entre (7-8). Le premier niveau de la toiture est aménagé et forme un pignon sur la gauche.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, plan de l’îlot

août 2021

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1838 (date d’expropriation). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Martin Sick, cordier puis baigneur, et (1574) Barbe Bleicher – luthériens
1601 v Jean Schneeweis, tisserand puis baigneur, et (1595) Catherine Küttler – luthériens
1610 v Georges Stegelé, baigneur, et (v. 1593) Elisabeth Klein – luthériens (vente résiliée)
1616 v Jean Gross, tisserand puis baigneur, et (1611) Anne Iselé – luthériens
1621 v Michel von Hipsheim, baigneur, et (1615) Anne Kœnig puis (1622) Anne Marie Himmelreich, remariée (1632) avec le barbier Louis Isaac Schwartz – luthériens
1623 v Chrétien Reinlé, baigneur, et (1619) Jacqueline Wickenmüller d’abord (1597) femme du baigneur Jean Gastel, puis (1639) Susanne Kammerer, d’abord (1634) femme du sergent municipal Jean Speck – luthériens
1640 adj Georges Müeg, consul, et (1599) Anne Chrétienne Wogesser – luthériens
1642 v Jean Ernest Heus, docteur en droit , et (1609) Anne Ursule Berner – luthériens
1656 h Jean Jacques Wieger, secrétaire au Grand chapitre protestant de la cathédrale, et (1646) Anne Madeleine Heus puis (1659) Barbe Erhard, veuve du secrétaire aux affaires criminelles Jean Charles Wesener – luthériens
1686 v Auguste Hoffmann, menuisier, et (1666) Marie Jacqueline Reichelt – luthériens
1694 v Jean Frédéric Eisenmann, pharmacien, et (1679) Marie Elisabeth Wetzel puis (1686) Catherine Marguerite Sebitzius, remariée (1705) avec le pharmacien Jean Henri Kopp – luthériens
1714 v Jean Ulric Ruckstuhl, cordonnier, et (1710) Marie Marguerite Andres – luthériens
1738 asj Jean Jacques Œlinger, notaire, et (1715) Marie Marthe Ellès puis (1740) Catherine Elisabeth Knoll – luthériens
1739 v Claude Toussaux dit la Garenne, archer de la Maréchaussée d’Alsace, et (v. 1700) Elisabeth Roth – catholiques
1742 v Jean Schmidt, baigneur, et (1734) Salomé Schuck puis (1735) Susanne Salomé Schaffner – luthériens
1773 h Jean Jacques Brosé, baigneur et (1754) Marie Dorothée Schmidt – luthériens
1784 h Frédéric David Ræser, baigneur et (1784) Dorothée Salomé Brosé – luthériens
1828 v Michel Bilger, boulanger, et (1818) Marguerite Litt
1838 v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 330 livres en 1690, 435 livres en 1701, 1 250 livres en 1737, 900 livres en 1741, 400 livres en 1784.

(1765, Liste Blondel) II 360, la veuve Jean Schmitt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh: Brocé, 7 toises, 3 pieds et 3 pouces

Locations

1609, Martin Nübellspach, baigneur
1655, 1664, Jean Henri Baumann, baigneur
1688, Jean Georges Fels, baigneur
1697, veuve de Frédéric Thomas, baigneur
1720, Samuel Schuck, baigneur
1726, Jean Martin Wimmer, baigneur
1736, Georges Frédéric Bickert, baigneur

Baigneurs locataires

  • 1609, Martin Nübellspach, baigneur, et Elisabeth
  • 1655, 1664, Jean Henri Baumann, baigneur, et (1655) Anne Marie Bœbe, ensuite établi au bain de Spire
  • 1688, Jean Georges Fels, baigneur, et Marie Madeleine Debus puis (1690) Susanne Baumann, d’abord (1685) femme du baigneur Jean Schuck
  • 1697-1720, Frédéric Thomas, baigneur et Anne Marie Baumann
    Jean Jacques Hoffmann, baigneur, et (1698) Anne Marie Baumann veuve de Frédéric Thomas
  • 1720-1725, Samuel Schuck, baigneur, et Marie Salomé Hetzel
  • 1726-1727, Jean Martin Wimmer, baigneur, et (1724) Marie Salomé Gilg, remariée (1729) avec le cordonnier Jean Jacques Bender
  • 1736, Georges Frédéric Bickert, baigneur, et Anne Catherine Morffender

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 234-v
Le baigneur du bain aux Cerceaux Simon Geisler doit à partir de 1573 un loyer de 10 sols pour le communal enclos d’une risberme et un mur à l’arrière de sa maison sur lequel il a construit. Le loyer passe ensuite aux baigneurs Martin Sick, Jean Schneegans er Jean Michel von Hipsheim. La somme à régler est de 15 sols au 9 octobre 1627.

Item x ß. Allmend boden Zins gibt Simon Geiseler bader Im Reiffbad von Einem Ingezeuntten Allmend Einer Landvesten vnd muren hinden vff dem waßer An seiner behusung, daruff Er Ein new Anstößlin Erbuwen, gefallet der Erst Zinns vff Sant Johans tag Zu Sÿngichen Anno & xv C Lxxiij.
Jetz Martin Sick d. bader
Jetzo Hanns Schneeweiß der bader
(rub.) Jetz Michel Von hüpß. d. Bad. 15 ß d, d. 9. octob. 1627.
Neü 372.

1587, Livre communaux (VII 1450) f° 468-v
L’enquête de 1587 relève que le baigneur du bain aux Cerceaux Martin Sick a une cheminée (3 pieds sur 1 pied) sur le communal devant sa maison dont il paie 1 sol, en outre à l’arrière de sa maison une avance sur l’eau (45 pieds de long, saillie de 2 pieds ½), des latrines (5 pieds sur 3 pieds ½) dont il paie 11 sols 4 deniers

Reÿffgäßlin die Eine Seitten.
Martin Sickh der Bader im Reiffbad hatt ane der Badtstuben vornen Im Reÿffgäßlin ein außgestossen Kemmatt iij schuh breit j schuh herauß, Bessert für das Niessen, j ß d.
So dann hatt Er auch hinden an disem Hauß vff dem Wassergraben ein Vsstoß In der Höhe xlv schu lang ii+ schu herauß, Item ein Profeÿ v schuh breÿt, iii+ schuh herauß, Bessert für das Niessen, xj ß iiij d.

1652, Livre des loyers communaux ; VII 1461 (1652-1672) f° 372-v
Suite du livre D, nouveaux contribuables Ernest Heus puis les enfants de Jean Jacques Wieger

Herrn Doctor Ernst Heüßen Erben, Sollen gemeiner Statt, Vom eingezeünten Allmendt am Reifbadt, einer Landfest, Vndt Mauren hinden vfs Waßer, Jahrs vf Johannis 15 ß d
Alt. d. f. 234
New fol. 314
Jetzt Hannß Jacob Wiegers Kinder
(Quittungen, 1653-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 314
Suite du registre précédent

Hannß Jacob Wigers Erben, Sollen vom eingezäunten Allmend am Reiffbad einer Landfest vndt Mauren hinden vfs Waßer, vff Johann: 15 ß
St. Zinnßb. p. 372
ietz H. Ddus Friderich Wiger. 1677
jetzt Augustus Hoffmann
jetzt herr Joh: Frid.ich Eisenmann
Jetzt H. M. Joh: Ullrich Geißler
Jetzt Joh: Ullrich Ruckstuhl. 1717
Elisabetha Tousseaux
jetzt Johannes Schmid

(Quittungen 1673-1741, dont 1703 zalt H. M. Geißler)
Neuzb fol 108

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 108
Suite du précédent

alzb. 314
Johannes Schmid Soll vom eingezäunten Allmend am Reiffbad einer Landfest vndt Mauren hinden auf das Waßer, Jahrs auf Johann: Bapt. (id est 24 Junii) 15 ß
(6 Messidor)
(Quittungen 1741-an 10)
C 113

modo Johann Jacob Broße der Bader
Friderich David Räßer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1742, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Jean Schmid est autorisé à réparer la risberme dont il paie un loyer communal

(f° 6) Dienstags den 30. Ejusdem [Januarÿ 1742] – Johannes Schmid
Johannes Schmid der Bader im Reiffbad um erlaubnus seine Laut Statt Zinßbuch fol: 314: Verzinßende, und dermahlen schadhaffte Landvest hinder seinem Hauß in dem engen Graben, wovon die Pfähl nachstehen, repariren Zulaßen. Erkant, in Vorigem Meß Willfahrt, und solle Herr Lohner auffsicht haben damit daß Meß nicht überschritten werde.

1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le baigneur Jean Jacques Brose est autorisé à vendre des chapeaux de paille sur un des étaux face aux écuries communales au Finckwiller pendant l’été

(f° 44-v) Dienstags den 17. Martii 1778 – Johann Jacob Brose bader, Tzb. fol. 7.a
Johann Jacob Brose, der Reifbader auf sein unterthäniges Ansuchen erlaubt wehrend diesem sommer /:die mess zeit nicht mitgerechnet weilen Er um solche zeit diesen Platz räumet:/ Vier monat lang seine Stroh hüth gegen dem Herrenstall über wo die andere stand stehen, gegen Erlag 15 ß d feil zu haben.

1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le maître maçon Jean Jacques Fessler est autorisé au nom du baigneur Jean Jacques Brosé à réparer et repeindre ses deux maisons rue des Cerceaux.

(f° 135) Dienstags den 1. Septembris 1778 – Jacob Brose baader
Mr Joh. Jacob Fäßler, der Maurer, nôe. Jacob Brose, des Baaders, bittet zu erlauben deßen Zwo an der Reifgaß gelegene Behausungen repariren und anstreichen zu laßen, Erkannt, Willfahrt.

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Nouvelle demande pour vendre des chapeaux de paille

(f° 223) Dienstags den 2. Martii 1779 – Joh. Jacob Brose, Reif:bader
Johann Jacob Brose, der Reif:bader wird abermalen auf sein unterthäniges Ansuchen erlaubt wehrend diesem Sommer /:die Meßzeit nicht mitgerechnet, weilen Er wehrend derselben diesen Platz zu räumen schuldig:/ vier Monat lang seine Stroh: Hut gegen dem Herrenstall über, wo die andere Ständ stehen, gegen erlag 15 ß d feil zu haben.

1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître charpentier Valentin Haas est autorisé au nom du baigneur Jean Jacques Brosé à réparer la façade en pans de bois vers le canal

(f° 99-v) Dienstags den 9. Julii 1782 – Joh: Jacob Brose, Reif bader
Lr Valentin Haas, der Zimmermann nôe Johann Jacob Brose, des Reifbaders, bittet zu erlauben an deßen Behausung an der Reifgaß gelegen hinten auf den engen Graben an der façade Riegelwand einige Reparationen machen Zu laßen Erkannt Willfahrt.

1788, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le maître maçon Fessler est autorisé au nom du baigneur Frédéric David Ræser à repeindre la façade vers la rue et celle vers la rivière

(f° 65) Dienstags den 29. Aprilis 1788 – Friderich David Räser, Reifbader
Mr Fäßler, der Maurer, nôe Friderich David Räser, des Reif Baders, bittet zu erlauben deßen behausung in der Reif Gaß gelegen N° 11 sowol gegen besagter Gaß als gegen dem engen Graben weisen und anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Protocole de tribus

1751, Protocole de la tribu des Maçons (XI 238)
Jean Schmdt a passé un accord avec le maçon Faussert qui présente ensuite une facture différente. Le maçon a fait un si mauvais travail que l’eau entre dans la maison. Jean Schmidt est autorisé à s’adresser à un autre maçon pour faire le travail nécessaire.

(f° 138) Donnerstags den 21.ten Octobris 1751. – Johannes Schmidt des baders auff der Reÿffgaß allhier Ehefrau, deren mann kranck, bitte weilen der Meister Faußert Ihnen gebaut hat p. accord Sie auch demselben den accord bezalt vnd Er Ihro anderen nach conto gemacht, mit deme Sie deßwegen beÿ E. E. Kleinen Rath litigire, hierauff so schlechte arbeit gemacht daß das waßer Ihnen ins haus lauffe und großen schaden thiut, vnd deßen reparation höchst nöthig vnd pressant Ihnen Zu erlauben einen andern meister Zunehmen
Erkandt, Willfahrt ad interim, weiles Sie ein notfall einen andern meister Zunehmen.

Description de la maison

  • 1690 (billet d’estimation traduit) La maison ou bain qui est en assez mauvais état et nécessite des réparations à plusieurs endroits comprend un nouveau bûcher, le tout estimé avec deux petites caves, appartenances et dépendances à la somme de 660 florins
  • 1738 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée le bain et la salle de bain, vestibule, chambre à soldats, cave voûtée et puits, au premier étage deux poêles chauffés par un fourneau, vestibule, dépense et cuisine, sous les combles un poêle, cuisine, vestibule et trois chambres, des greniers non dallés, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins
  • 1741 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée la salle de bain, chambre à soldats et vestibule, à l’étage deux poêles, cuisine, vestibule, sous le toit un poêle et trois chambres, le comble très ancien comprend des greniers non dallés, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1784 (billet d’estimation traduit) La maison comprend le bain et la salle de bain, deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Cerceaux

nouveau N° / ancien N° : 16 / 11
Roeser
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage en bois médiocre état
(Légende)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 46 des Cerceaux p. 81

11
lo: Räser, David, Maréchal ferrant – Maréchaux
Pr. Dorothée Brosin Veuve
lo: Nicolas Antoine, Etudiant – Privilégié


Relevé d’actes

Le bain est inscrit au Livre des communaux (1587) au nom de Martin Sick. Originaire de Tubingue, Martin Sick achète le droit de bourgeoisie le 6 février 1573

1573, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 226
Martin Sick von Tübing. der seiler hatt das burglrecht Kaufft und dient Zur Mörin Act. den 6.ten Februarj a° 74.

Martin Sick épouse en 1574 Barbe Bleicher, fille du charpentier Conrad Bleicher, de Rheinfelden
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 109, n° 2)
1574. den 18. Januarÿ sind Ehelich eingesegnet worden Martin Sick von Tübingen Vnd Berbel Bleicherin, Conrad Bleichers selig von Reinfelden nachgelaßene Tochter (i 124)

Le baigneur Martin Sick et sa femme Barbe Bleicher vendent au baigneur Jean Schneeweis, bourgeois de Westhoffen et à sa femme Catherine le bain aux Cerceaux et un terrain sis de l’autre côté de la rue à cause d’une maison qui reste propriété des vendeurs

1601 (vj tag Maÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 154-v
(P. fol. 154.) Erschienen Martin Sÿck der Bader Im Rheiffbad, burger Zu Straßburg vnd Barbara wÿland Cunradt Pleÿcher des Zimmermanns selig. dochter sein eheliche haußfrauw Haben (verkaufft)
Hanns Sneeweÿß dem Bader burger Zu Westhoff. Vnnd Catharin seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffestatt, sampt der Badstuben, genant zum Rheiffbad Inn .St. S. ane der Steinstraß. Inn der Rheÿffgassen geleg. einsit nebent Veltin Eck dem schreÿner, And.sit nebent Michell Künen Khinder, hind. vff der Statt graben stoßend Vornen Inn die Reiffgaß, Dauon gond vonn einem gang so hind. vffs wasser gebawen Zehen wohnung pfenning Allmendt gelt der herrschafft Alhier,
Item ein hoff gegen disser Badstuben geleg. Inn der Rheiff gaß, einsit nebent Christman Schell Von Suffelwÿherßh. Andersit Martin Sÿcken dem Verkhöuffer selbß, hind. vff den hoff Zum hechten genant, besitzt Heinrich Trusch d. holtzhändler, Vnnd Ist hierin sonderlich Abgeredt, das man zwüschen dissem hoff vnnd d. Verkhöuffer behausung Sechs schuo Vor d. behausung, Inn den hoff herwarths, ein dielen wandt gemeinlich von der Khöuffer vnd verkhöuffer weg. buwen sollen vnd Jeder Zeit Von demselbig, Vnnd Iren nachkommen erhalten werden, Ouch solle der khöuffer seine Erben Vnnd nachkommen den Verkhöuffern Inn Irer behausung nebent dissen hoff geleg. das liecht vnd den tag nimmer Zuuerbauwen macht hab., sunst solle Ime vff der Ander seiten zubauwen erlaubt sein, Vonn dissem hoff sampt der Behausung so dann Verkhöuffern Zugehörig vnd darnebenent geleg. deßgleich. Vonn dem Badt gond ein pfund vnd fünff schilling pfenning bodenzinß empfahet Adam Mechler Item 10 guldin gelts Ablösig mit dritthalb hundert guldin Straßburg werung vff Marie Verkhündung fallend, Wÿland Martin Leüprandt selig. Erben, Item vj guldin gelts Ablösig C L guld. derselbig werung vff Urbani herrn Johann Mock des Notarÿ selig. Khinder, Vnd dann iiij guld gelts lösig mit j C guld. vff Lucæ fallend Andreß Bimbell, dem burger meister Zu Oberehenh. Sunst eÿg.
Dabeÿ Abgeredt wiewol sein des verkhöffers nebenthauß nebent den hoff geleg. Auch Inn dissen vorgemelten beschwerd. verhafft so soll nichts desto weniger der Khöuffer obgedacht dieselbig beschwerden Allein Zuuerzinsen über sich nemmen vnd behalt. getrewlich vnd vngevorlich & Vnd Alles Recht & Vnd Ist disser Khouff zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 1600 gulden Straßburger Werung
Dabeÿ Ist gewesen Wendling Lind. wullinweber, Balthazar Weÿß, Engellhardt Waldman leÿnenweber, Hannß henckell Auch Leÿnenweber, Alle burgere Zu Straßburg, Vnnd hannß Awell von Graffenstad. Vnnd hannß Andreß von Wang.

Le tisserand Jean Schneeweis épouse en 1595 Catherine Küttler, fille du tisserand Abraham Küttler
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 42, n° 5)
1595. 27 Januarÿ, Hans Schneweis Webern J. Katharina Abraham Kütterlein des Webers /:tit:/ (i 44)

Le tisserand Jean Schneeweis déclare s’établir à Wangen mais souhaite conserver le droit de bourgeoisie pendant un puisqu’il ne sait pas s’il y restera. Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent leur accord.
1595, Conseillers et XXI (1 R 75)
(f° 151) XV. Maÿ – Hans Schneeweiß vmb Erhaltung burgerrechtens
Hans Schneeweiß d. Leinenweber es steht Ime gelegenheit Zu d. es Zu wang. heuslich sich nid.lassen Kan d. aber nit weiß ob es sein gelegenheit sein würdt, daraussen Zupleiben So bitt er Ime d. burg.recht ein Jar lang auf Zuhalten, will er alle gepuer abrichten.
Erkant Ist Im Zugelassen d. wangen mherr. burg Zugehört. H. Sundheim H Mebhart
hatt Sambst den 5. Junÿ hatt er Aploni Kolben Jergen stallgelt vnd anderer beschwert in die Cantzley p recht.

Originaire de Strasbourg, Jean Schneeweis achète le droit de bourgeoisie le 6 octobre 1601 en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1601, 3° Livre de bourgeoisie p. 348
Hannß Schneweiß Vonn Straßburg, Kaufft mit beÿstand Balthasar Weissen deß Käufflers das B: will Zun Schmiden dienen Vnnd sein Nahrung für 500 fl. angeben. Act. 6. Octob: 1601.

Le baigneur Jean Schneeweis et Catherine Küttler hypothèquent la bain aux Cerceaux au profit de Conrad Boch

1609 (xxiiij tag Januarÿ), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 51-v
(Inchoat. in Proth. fol: 82.) Erschienen hannß Schneeweÿß der Bader Im Reÿffbad burger Zu Straßburg vnd Catharin Kütterlin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vnnd Inn gegenwertigkheit herrn Geörg Bochen burgers zu Straßburg – schuldig sigent 200 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnnd hoffestatt sampt d. Badstuben genannt Zum Reÿffbad geleg. Inn d. voorstatt Straßburg Ane Steinstraß, Inn der Reÿffgaß, einsit neben Veltin Eck dem schreÿner vnd Andersit nebent Michell Khüenen selig. erb. hind. vff d. Statt graben, vornen Inn die Reÿfgaß stoßend, Dauon geth Insonderheit vonn dem gang Am wasser x ß d Allmend gelt der Statt Straßburg,
Mehr Ein hoff Inn gemelt Reÿffgaß geg. disser Badstuben über geleg. neben Christman Schollen von Sufelweÿherßheim, Andersit neben einer Behaußung Martin Sÿchen witwe zuständig hinden vff ein hauß Zum hecht. genant stoßend, vonn Jetzgemelter Badstuben vnd dessen hoff gond sammenhafft j lb v ß d Bodenzinß Adam Mechler Inn schaffners wÿß, Mehr x gl gelts Lösig mit ij C gl L wÿland Martin Leuprecht selig. erben, Item vj gl gelts Lösig mit j C L gl Johann Moocken selig. Khündern, Item iiij gl gelts widkheuffig mit j C gl Andres Pünbell zu Obernehnh. Vnd seind sie noch weÿthers verhafftet vmb j C xxx lb wÿland vor genannts Martin Sÿch. selig. erb. Sunst ledig vnd eÿg.

Le baigneur Jean Schneeweis et sa femme Catherine louent le bain aux Cerceaux et le terrain en face au baigneur Martin Nübellspach originaire de Knielingen (près de Karlsruhe) et à sa femme Elisabeth Diener

1609 (ut spâ [2 tag Septembris]), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 441
(Inchoat. in Proth. fol: 376.) Erschienen hannß Schneewÿß d. Bad. Im Reÿffbad. burger Zu Straßburg vnd Catharin sein eheliche haußfrauw (haben verkaufft)
Martin Nübellspach dem Bader Vonn Knieling. Inn d. Marggraffschafft, vnd Elizabethen dienerin seiner Vermahlt. haußfrauwen
hauß Vnd hoffestatt, geleg. Alhie In d. Statt Straßburg Ane Steinstraß Inn der Reÿffgaß, einsit neb. Veltin Eck des schreiners erb. And.sit neb. Michell Küenen selig. Khindern, hind. vff d. Stattgrab. vnd vornen Inn die Reÿffgaß stoßend, Dauon gehet Insonderheit vonn einem gang, so vffs wasser hinden her gebawen, x ß d Allmend gelt Vnserer Statt,
Mehr Ein hoff Inn gemelter Reÿffgaß, geg. disser Badstuben vber, nebent Christmann Schall Zu Suffelweÿhrßh. einsit vnd And.sit neb. einer Behaußung Martin Sÿcken erb. Georg, hind. vff ein hauß Zum hechten genannt stoßend, Vonn der Jetzgemelter Badstuben vndt dem hoff dageg. vber, sampt gedachts Martins Sÿcken erb. behaußung darneben geleg. gind. sammenthafft j L v ß d vorigs erschätzigks Zinßes, Adam Mechler dem Notario Inn schaffners weÿß vff Johis. vnd Weÿhenacht. Mehr x gl gelts Lösig mit ij C L gl vff Mariæ Verkhündigung, wÿland Martin Leuprandt selig. erb. Item vj gl gelt Lösig mit j C L gl vff Urbani Johann Mocken des Notarÿ selig. Khindern, Vnd dann iiij gl gelts widerkhouffig mit j C gl Alles Werung vff Lucæ, Andres Pimpell zu Oberehenh. dabeÿ dann insonderheit abgeredt, das mehrgenannt. Kheüffer für sich vnd seine erben Alle disse Jetzerzehlte beschwerd. vber sich Zu nemmen vnd diselbe ohne cost. vnd schad. vßzurichten vnd mitler Zeit abzulösen schuldig vnd verbund. So dann weÿther Ist solche Badstub weÿther verhafftet für ij C xx guldin Straßburger werung Zu Zÿlen Zuerlegen, wÿland obgedachts Martin Sÿcken selig. erb. Sunst ledig vnd eÿg.
Mehr soll Auch in dissen Khauff gehörig, der Vorkhauf vnd fürgebott vff der Behausung nebent dem hoff gegen d. Badstuben. Vnnd Ist disser Khauff Zugang. vnd bescheh. vber obbestimpte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Für vnd vmb 1380 guldin
Vnnd Inn dissem Verkhauff Insond.heit Abgeredt, das sie die Verkhoüffere Inn den gemach. so sie Inen Allererst Zuricht. vnd bauwen werd. die Zeit Ihres lebens ohne einig. Zinß Zu wohnen vnd Zu besitz. macht haben sollen, Auch welche gebauwen gemach nach Ihr bed. Absterb. den Khouffern ohne einig. nachtrag beÿ dissem Khauff verpleib., Ouch haben die Verkäuffer Ime vorbehaltt. so lang Inen gefallig sie würde Inn d. Mannß stuben Mannhütt Zusein
Hiebeÿ Ist h. Absilon Simon Vnd h. hannß Martin Reüber beed. Notÿ h. Marx Vogell d. Balbierer d. Khoüffern unerledigten vogt, Geörg Grauw d. huttmach. vnd Johann Fuchß d. Frauwen schneÿd. Alle burger Zu Straßburg
[in margine :] disse gegenwärtiger Contract Ist Zurück gang. darumb Inn gegenwärtigkeit der parth. es wid. cassirt, Act. 2. Martÿ Anno 1610.

Acte qui mentionne les héritiers de Jean Schneeweis et Catherine Küttler (Marthe Anne Schneeweis pour le mari et le notaire Philippe Mangold, héritier testamentaire de la femme)
1637 (ut supra [7. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 598-v
Erschienen der Ehrenuest, Fürsichtig unnd Wohl Weise herr Joachim Brackenhofer alt Ammeister der Statt Straßburg, An j.
So dann weÿ: hannß Schneeweißen deß gewesenen Reiffbaders und burgers alhie see: eingesetzter Testaments Erbin Marthan Schneeweißin auch s. nachgelaßener Erbin, Marthan Langin Stieff Groß vatter, Veit Krengler der Hosenstricker von Barr, an ietzo Schirmbs Verwanther alhier mit beÿstandt sein Krenglers stieffenckels Vogt Georg Dammans Kremers alhie, So dann herr Philipps Mangoldt Notarius alß weÿ: obgedachts Schneeweisen see: geweßener haußfrawen Catharinæ Kuttlerin see: eingesetzter Testaments Erben mit beÿstandt Ihr Catharinæ gewesenen Vogts hanß Moosen deß Schneiders alhie, Am Andern theil,

Le baigneur du bain au Cerceau Jean Schneeweis et Catherine Küttler vendent la maison au baigneur Georges Stegelé et à sa femme Elisabeth Klein en s’y réservant un logement leur vie durant

1610 (ut spâ [xxx tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 220
(Inchoat. in Proth. fol: 179.) Erschienen hannß Schneeweÿß der Bader Im Reÿffbadt burger Zu Straßburg Vnd Catharin Kitterlin sein eheliche haußfr. (haben verkaufft)
Geörg Stegele dem Bader Vnnd Elitzabeth Kleinin seiner ehelich. haußfr.
das Reÿffbadt hauß vnd hoffestatt, geleg. Inn d. St.St. Ane Steinstraß Inn der Reÿffgaß, einsit neb. Veltin Eck des schreÿners selig. erb. And.seit neb. Michell Kuenen selig. Khindern, hind. vff d. Statt grab. vnd vorn. Inn die Reÿffgaß stoßend, Dauon geth Insond.heit Von einem gang so hind. vffs wasser gebauwen x ß Allmend gelt d. St. St.
Mehr ein hoff inn gemelter Reÿffgaß geg. disser Badtstub. vber, neben Christman Schallen Zu Sufferwÿherßh. einsit, And.sit der Behausung Martin Sÿck. erben gehörig, hind. vff ein hauß Zum hechten genannt stoßend, Vonn der Jetzgemelter Badtstuben vnd dem hoff dargegen vber, sampt gedachts Martin Sÿck. erben Behausung darneben geleg. gend j lb v ß ewiges erschätzigs Zinses Adam Meckhler dem Notario Inn schaffners wÿß vff Johannis vnd weÿhenachten, Mehr x gl gelts Lösig mit ij C L gl werung vff Mariæ Verkhündung wÿland Martin Leuprandt selig. erb. Item vj gl gelts Lösig mit j C L gl werung vff Urbani, Johann Moock des Notÿ selig. Khindern, Item iiij gl gelts wid. khoüffig mit j C gl werung vff Lucæ Andres Pimpell Zu Obernehenh. So dann Ist solche Badtstub weÿther verhafftet für iij C gl werung Alle Jahr daren j C gl Zuerleg. wÿland obgedachts Martin Sÿckh. selig. erb. Sunst ledig vnd eÿg. Mehr soll Auch Inn dießem Khauff gehörig nach der Verkheüffer Absterben der voorkhauff vnd für gebott vff d. Behausung nebent dem hoff geg. d. Badtstub. vber, dann sie die Verkhoüffer solch Inen bitz Ihr leben Zeit vorbehaltt. wollen, Vnd Ist disser Khauff vber obbestimpte beschwerd. vnd schulden welche die Khoüffere Zu verzinßen vnd Abzurichten vber sich genommen Zugang. vnd bescheh. Für vnd vmb 1600 guldin Straßburger werung
So & Vnd Ist hierinn Insonderheit Abgeredt Vnd haben die Verkhoüffere Inen vßgedingt ein stüblein, Zwo Khammern ein Küchlin vff einer seit. vnd die Bien nit weÿth daruon, die Zeit Ihres lebens darin ohne Zinß Zu wohnen, deßgleich. wöllen die Verkhoüffer die Mann vnd weiber stuben versehen, Ouch die selbe bede stuben mit beth vnd gethüch Inn Ihrem costen erhaltten, vnnd wann sie mit todt Abgeh. soll solche gönnung vffhören, vnd wann eins od. das Ander verstürben soll ein stub Alls baldt dem Khoüffern zu fallen, Endtlich wann die verkhoüffer beÿ Ihr lebzeith. Inn disse Vorbehalttenen gemach buwen werd. das dasselbig dem Khoüffern Verpleiben, vngeuorlich
Hiebeÿ Georg Meÿer Nots. Mathÿs Bidderle leinenweber, Jacob Kolb der Kupfferschmÿdt, hannß Schneÿd. der Bad.
[in margine :] Proth. vide in Reg: 1601 fol: 185.

Le baigneur Georges Stegle fait baptiser des enfants en 1594 (la mère est Elisabeth) et en 1600 (la mère est Elisabeth Klein)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 232-v, n° 164)
1594. P. Georg Stigel ein bader, M. Elisabeth, I. Elisabeth. Compat. Jonas Schiner im Koppelhoff, Margarita, Niclaus Batten des Notarÿ fraw, Elizabeth, Heinrich N des buttels Zur Lucernen fraw (i 121)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 95, n° 103)
1600. P. Jerg Stegle ein bader, M. Elisabet Kleinin, I. Hanns Jergen. Compat. Wilhelm Müller ein Kauf Herr, Christianus Dunthinus* ein gad. diener in H Bastian Brand. gaden, J. Maria Böschin ‘i 61)

Georges Stegelé entre dans la garde municipale en 1599.
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Hans Zimmerman und Georg Stegle der bader werden Scharwechter. 344.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88) Georg Stegelins fraw Elisabeth contra Christmannische creditores. 130.

Georges Stegelé qui sert depuis huit ans dans la garde est candidat au poste de capitaine des gardes
1606, Conseillers et XXI (1 R 85)
Scharwechter hautptmanschafft bestellen. 114. [Georg Stegele, Martin Ebele] 129. [Hans Weißkopff, Georg Wetter] 130. [außschuß] 156.
(f° 128-v) XI. Juni – Georg Stegele d. bad. so 8 Jar in d. Wacht gangen helt vmb hautptmanschafft ahn, Martin Ebele so 20 Jar lang j Jar in d. Scharwart gang. bitt gleichfurung. Erkant sollen sicg geschriben geben. H. Hugwartn H Voltz.

Redevenus propriétaires, le baigneur du bain au Cerceau Jean Schneeweis et Catherine Küttler vendent la maison et le terrain en face au tisserand Jean Gross et à sa femme Anne Iselé

1616 (ix. Septembris), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 390-v
(P. fol. 413.) Erschienen hannß Schneeweÿß der Bader Im Reÿffbad burg. Zu Straßburg vnnd Catharin Kütterlin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hannß Groß der leinenweber burgern Zu Straßburg vnd Anna Iselerin seiner ehelich. haußwürthin
das Reÿffbadt Als hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren gebeüwen & geleg. Inn d. voorstatt Ane Steinstraß Inn der Reÿffgaß einseit neben dem Kheüffer selbst, And.sit nebent Barbara Gerlachin wÿland Samson Strintz s. witw. hind. vff d Statt grab.inn die Reÿfffaß stoßend Davon gnd. Insonderheit Von einem gang so vffs wasser hinder her gebauwen x ß Allmend gelt, d. Statt St.
Mehr ein hoff Inn gemelter Reÿffaß, geg. disser Badtstub. über, neb. Christmann Scholl von Süffellwüherßh. vnd And.sit n. Thoman Bencker dem leinenweber, hind. vff Heinrich Trausch. holtzhändler stoßend, Vnd gend vom jetzgemelter Bad stub. vnd dem hoff dargegen vber gnd j lb v ß d. Ehrschätziges Zinßes vff weÿhenachten Adams Mechlers s. witwe, Mehr x gl gelts Ablößig mit ij C L gl. werung vff Mariæ Verkhündung wÿland Martin Leüprands h. erb. It. j gl Loßig mit j C L gl werung vff Urbani Johann Moock.So dann iiij gl gelts Ablöß. mit j C gl werung vff Santt Lucas tag Andreß Bembell Burgermeisters Zu oberneh. s. Erben, dabeÿ dann Insonderheit abgehend das mergenannte Kheuffer All disse beschwerd. Zu seiner gelegenheit Abzulösen schuldig, So dann sind sie noch verhafftet vmb ij C L gl Straßburg. werung herrn Geörg müeg byß. d. großen Raths weÿther vmb ij C lb herrn Georg Boch. Zu erleg. Sunst ledig vnd eÿg., Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 500 pfund pfenning

Le tisserand Jean Gross épouse en 1611 Anne, fille du tisserand Jean Iselé
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 236-v, n° 69)
1611. Hans Groß d. Leinenweber, Anna Hans Isele des leinenwebers hinderlaßene tochter. Eingesegnet Mont. d. 17. Junÿ (i 123)

Le baigneur Jean Gross et Anne Iselé hypothèquent la propriété au profit du commissaire priseur Martin Repplé

1619 (ix. Januarÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 25
(Inchoat. in Prot. fol. 21.) Erschienen hannß Groß der Bader Im Reÿffbadt burger Zu Straßburg vnd Anna Iselin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Martin Reple Khoüfflers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 50 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Als das Reÿffbadt mit seinen heüsern, hoff, hoffstatt vnd schopff, Auch Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn d. Statt Straßburg Ane Steinstraß Inn d. Rheÿffgassen einseit nebent hannß Nussen Anderseit neben einer behausung den Bekhennern gehörig, hind. vff den graben stoßend, dauon gnd. j lb v ß d bodenzinß Adam Mechler Inn schaffners weÿß, Mehr vj gl gelts lößig mit j C. L gl Johann Moock, Item x gl gelts lößig mit ij C l gl herrn Christoff Leuprand, Item iiij gl gelts wid. kheuffig mit j C gl einer Wittwen zu Oberehenh. Mehr x lb d gelts stnd inn hptgutt ij C lb d Georg Boch, So dann xiij gl glts Inn hauptgutt mit ij C L gl Abzulösen herrn Geörg Müeg deßgleich. seind sie noch verhafftet Vmb ij C lb d Zu Zielen Zuerleg. hannß Schneeweÿß

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1620 (vj. Julÿ), Chancellerie, vol. 439 f° 357
(Inchoat. in Prot. fol. 342.) Erschienen hannß Groß der Bader Im Reÿffbadt burger Zu Straßburg vnd Anna Iselin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Martin Reple Khoüfflers burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 25 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, das Reÿffbadt mit seinen heüsern, hoff, hoffstatt vnd schopff, Auch Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Ane Steinstraß, Inn d. Reÿffgaß einseit hanß Nuß anderseit neben einer behaußung dem Bekhennern noch Zuständig, hinden vff den graben stoßend, dauon gdn j lb v ß Bod. zinß, Adam Methler Inn schaffners wÿß, Mehr vj gl lösig mit j C. L gl Johann Mock. Item x gl. Geld loß. mit ij C L gl Christoff Leüprandt, Item iiij gl gelts loßig mit j C. gl einer Witwen Zu Oberkirch, It. x lb geld loß. mit ij C lb Geörg Boch. It. xiij. gl gld loßig mit ij C L gl Geörg Müeg, It. seind sie verhafftet vmb j C L lb & hanß Schneweÿß So dann vmb L lb d den gl* *cht Zuvorst

Le baigneur Jean Gross et Anne Iselé vendent le bain aux Cerceaux et le terrain en face à Michel von Hipsheim

1621 (ut spâ. [xxiij. Maÿ]), Chancellerie, vol. 443 f° 288-v
(P. fol. 934.) Erschienen Hannß Groß der bader Im Reiffbad burger Zu Straßburg und Anna Iselerin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Michell von hipßheim burgern Zu Straßburg
das Reÿffbadt Als hauß vnd hoffstatt mit allen ihren gebeüwen gelegen Inn der Vorstatt Steinstraß Inn der Reiffgassen, anderseit neben den Verkeuffern Anderseit neben hanß Nussen dem seÿler hinden vff der Statt graben vnd vornen vff die Reiffgaß stoßend, dauon gend Insonderheit von einem gang so vffs wasser hinden her gebauwen x ß d Allmend gelt der Statt Straßburg
Mehr ein hoff Inn gemelter gassen gegen dißer badtstuben vber neben Christmann Schal von Suffellweÿherßheim einseit, anderseit neben Thoman Bencker dem leinenweber hinden vff Heinrich Treuschen den holtzhändler stoßend Vnd gnd von Jetzgemelter badtstuben vnd dem hoff dargegen vber nachvolgende beschwerd. Als j. lb v ß d ehschätzigs Zinßes vff Weÿhenachten Adam Mohlers seligen Witwen, Mehr x guldin gelts Ablößig mit ij C L gulden werung Mariæ Verkündigung wÿland Martin Leüprandts selige erben, Item vj gulden gelts lößig mit j C guld, werung vff Urbani herrn Johann Mocken deßgleichen iiij gulden geltd ablößig mit j C gulden gerüert werung vff Sanct Lucas tag Andres Bimbell burger meisters Zu Oberhenheim seligen erben, dieße hieuor gemelte hauptgütter vnd beschwerden seind hiehero gerechnet für ij C L lb d , welche beschwerd Auch dem keüffer zu seiner gelegenheit Abzulösen freÿ stehen sollen Wie man sagt, Ferner seindt sie noch verhafftet vmb ij C lb guld. Straßburger Werung herrn Geörg Müegen dreÿ Zehenern des geheÿmen regiments Alhier vff Michaelis Zuuerzinßen, Weither vmb ij C lb s Geörg Boasten darund. 25. lb vff Johannis Baptistæ vnd 50. lb s vff weÿhenachten würdt verzinß. Item vmb xxv lb Anthoni Wendling dem Sinner Am gran Alhie, So dann vmb J C xxx lb Hannß Schneweiß von dem sie erkaufft vff Michaelis der Zinß fallend, machen diße nechste bescherden 561. lb 5 ß d welche wann sie gefordert werden Zuerlegen schuldig, sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C Lxxxviij lb xv ß
(vide in Reg. 1616. fol. 391.)
(Hipsen hat diß hauß wider v.kaufft Christman Reinle prout in Regist. de Anno 1623. fol. 750.)

Le baigneur du bain aux Plantes Michel von Hipsheim épouse en 1615 Anne, fille du boucher Martin Kœnig
Mariage, cathédrale (luth. p. 30)
1615. Dominica VIII Trinit. den 30. Julÿ. Michel von Hipsen der pflantzbader alhie, vnd J. Anna Martin König des Metzigers tochter. eingesegnet Zinstag den 8. Augusti (i 20)

Il se remarie en 1622 avec Anne Marie, fille du chapelier Gall Himmelreich
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14-v) 1622. Michel Von Hipßen d. Reiffbader alhie, Anna Maria, Gall Himreich selig. deß hutmach.s nachgelaß. tochter, 5. Martÿ (i 163)

Veuve, Anne Marie (Himmelreich) se remarie en 1632 avec le barbier Louis Isaac Schwartz, fils d’un notaire d’Augsbourg
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 164-v n° 8)
1632. Cantate. Ludwig Isaac Schwartz der Barbirer von Augspurg, David Schwartzen des Notarÿ daselbst ehelich. Sohn, vnd Anna Maria weiland Michel von Hipsen gewesenen Nader, im Trusenbad hinderl. witwe (i 177)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14) 1632. Dominica Cantate. Ludwig Isaac Schwartz d. Barbirer, David Schwartzen deß Notarÿ Zu Augspurg ehel. Sohn, Anna Maria Michel von Hipßen hinderlaßene Wittib. 8. Maÿ, St. Claus.

Le baigneur du bain aux Cerceaux Michel von Hipsheim et sa femme Anne Marie Himmelreich vendent la propriété au baigneur Chrétien Reinlé

1623 (xxij. Septembris), Chancellerie, vol. 450 f° 750-v
(Inchoat. in Prot. fol. 394. – Prothocollat. fol. 463) Erschienen Michell von Hüpßheim d Bad. im Reÿffbad burger Zu Straßburg, vnd Anna Maria Himmelreichin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Christmann Reinle dem Bad. burg. Zu Straßburg
das Reÿff Badt Alß hauß vnd hoffstatt, mit Allen ihren geb. d. geleg. Inn d. St. St. Ane Steinstraß, einseit hanß Groß, And. seit n. Clauß wolff hind. vff d. Statt Innern grab. vnd vorn vff die Reÿffgaß, dauon gnd insonderheit Von eim gang so vffs wasser hind. hero gebawen x ß d Allmend geld d. St. St.
Mehr ein hoff Inn gemelt. gaß geg. dissem Bad über, neb. Christman Schal Von Suffelweÿhersh. einseit vnd And. seit neben Thoman Bencker dem leinenweber, hind. vff Heinrich Trausch. stoßend, v. gnd von der Badtstub vnd von dem hoff j. lb v ß d erschätzigs zinses vff Weÿhenachten Adam Mechlers erb. Mehr x guld. geld lößig mit 250. gl werg. vff mariæ Verkhündung weÿland Martin Leuprandts erb., It. vj gld gld loß mit 150. gl werunf vff Urbani Johann Mocken, It. iiij gl gld loß mit j. C. gl vff Lucæ Andreß Bembell Zu Oberehen. d. Burgermeÿster, Ferner seind sie verhafftet vmb 250. gld Werung h. Geörg Mueg vff Michaelis Zuverzinß. It. vmb 200. lb vff Pauli Bekehrung Geörg Boch, So dan seind sie verhafftet vmb 250. lb hannß Groß dem leinenweber, Sunst eÿgen Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich nimpt Zugang. vmb iiij C xviij lb xv ß
(vide in Regist: de A° 1621 fol. 286. vide etiam in Reg: 1628. fol. 109.
[in margine :] Erschienen deß Verkeüffers haußfr Anna Maria mit beÿstand Lorentz Lincken deß Glaßmahlers ihres Schwag. eins, So dann d. Käuffer am and. theil, Zeigten an, weil ihme Käuffer den restirend. Kauffschilling Zu dem getroffenen Zielen Zuerlegen, etwas schwehr fallen thut, Alß heten sie sich eine prolongation mit einander dahien v.glichen (…) Act. 1. Octob. 630.

Originaire de Wissembourg, le baigneur Chrétien Reinlé épouse en 1619 Jacqueline, veuve du baigneur Jean Gastel.
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1292)
1619. Dominica Sexagesima, Christman Reinlin von Weißenburg der Bader Vndt Jacobea, wÿland hans Gastels des Baders und Burgers alhie nachgelaß. Witwe (i 433)

Originaire de Hœchst, le baigneur Jean Gastel épouse en 1597 Jacqueline, fille du message Georges Wickenmüller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54, n° 37)
1597. Hans Gastel von Höchst der bader, J Jacobe Jörg Wickenmüller des bottenn tochter, 2. Augusti. (i 56)

Chrétien Reinlé devient bourgeois par sa femme Jacqueline Würthermüller veuve du baigneur Jean Gastel en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux.
1618, 4° Livre de bourgeoisie p. 8
Christmann Reinle Von Cron Weißenburg der Bader, empfangt d. Burg. recht Von Jacobe Würthermüllerin, Hanß Gastelß deß Baders hind.laßebe wittib vnd Wüll Zu den Schmid. dienen. Actum den 11. feb. 1619.

Chrétien Reinlé hypothèque le bain aux Cerceaux au profit de Jean Huber, aubergiste au Lion d’Or

1627 (9. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 350
Erschienen Christmann Reinle d. bader burger Zu St.
hatt in gegensein Jacob huebers deß Küeffers auch burg. alhie Alß befehlhabers hannß huebers Gasthalters Zum Guldinen Löwen seines brueders – schuldig word. 100 pfundt
dafür Vnderpfand sein soll daß Reÿffbad mit dessen behausung, hoffstatt vnd allen andern gebäwen, alhie an Steinstraß neb. hannß Groß Leinenwebern j. vnd 2. seit Clauß Wolffen hind. vffs wasser od. der Statt Innern graben, Vnd ist das hauß Zuuor v.hafftet vmb 250. fl. St. wer. Martin Leübrandts Erb. Item vmb 150. fl. wer. H. Johann Mocken deß schiffmanns Erb, Item vmb 100. fl. Andreß Bümbel burg.meist. Zu Oberehenh. Item vmb 250. fl. werung H Georg Müegen xiij, Item vmb 200. lb Georg Bochen, Item vmb 175. lb hanß Grossen, So dann vmb 193. lb. 15 ß d Michel von hipßheim Rest am Kauffschilling, so gehen auch dauon x ß Allmend Zinß d. Str. St. vom gang vfm wasser, So dann 25. ß d ehrschätzigs Zinß Adam Mechlers Erb.
(cassirt wegen der in A° 1633. fol: 358. vfgerichten Schreib.)

Le baigneur Chrétien Reinlé hypothèque le bain aux Cerceaux au profit de Sébastien Brand

1630 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 412
Erschienen Christman Reinle der Bader burger Zu Str.
hatt in gegensein herrn Sebastian Brand. auch burgers alhie, bekannt, daß er demselben vff den 22. Septembris Anno 1623. für par geluhen, vnd Zur angab deß Kauffschillings seines Reiffbads mit deßen zugehörigen heusern verwendeten gelts (…) schuldig worden 100 pfund
dafür Vnderpfand sein soll daß Reiffbadt, Alß hauß und hoffstat mit allen ihren gebäwen & alhie an d. Steinstraß neben hanß Grossen & neben Clauß Wolffen hind. vf der Statt Innern graben, vnd vornen vff die Reiffgaß, dauon geben xv. ß d. allmendt gelt d. St. St.
Mehr ein hoff in gemelter gassen, gegen disem Bad vber neben Christman Schalen von Sufelwÿhersheim ein vnd anderseit neben Thoman Bencker dem Leinenweber hind vff H Heinrich Trausch XIII. stoßend gelegen, vnd gehen von der Bad stuben vnd dem hoff 1 lb 5 ß Ehrschätziges Zinses vf weÿhenachten Adam Mechlers Erben, So seind sie auch v.hafftet vmb 250. fl. Martin Leüprandts Erben, Item vmb 150. fl. H Johann Mocken see: Erben, It. vmb 100. fl. Andreß Bembel zu Oberehenheim, Item vmb 250. fl. w. H Georg Müegen, Alt Ammeister, Item vmb 200. lb d Georg Bochen, Item vmb 185. lb Isaac Güetel dem schwartzbecken, So dann vmb 200. lb Michel von hipsen dem Bader Rest am Kauffschilling

Le baigneur Chrétien Reinlé hypothèque le bain aux Cerceaux au profit de Marguerite Neff, veuve de l’aubergiste à la Fleur Jean Huber

1633 (25. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 358-v
Erschienen Christmann Reinle der Reiffbader burger Zu St.
hat in gegenwärtigkeit Margreth Nefin weÿ: hanß Huebers gewesenen Würths Zur Blumen wittiben – vber die par erlegte 50. lb noch per rest schuldig seÿ 50. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat, sampt der Badstuben, vnd allen andern ihren gebäwen, gelegen alhie in der Reiffgassn, einseit neben hanß Grossen anderseit neben Clauß Wolffen, hinden vff der Statt Innern graben stoßend
Item einen hoff gegen ietzgemeltem hauß hinüber gelegen, dauon gehen Jährlich 15 ß d Allmend gend s St St., Item 25. ß d erschätigs Zinses Adam Mechlers see. Erben, So seind sie auch noch verhafftet vmb 250. gld. St. W. Martin Leopards see. Erben, Item vmb 150. fl. w. weÿ: Johann Mocken s: witib vnd Erben, Item vmb 100. gld. Andreß Bimbel Burgermeister zu Oberehenheim, Item umb 250. gld. w. herrn Georg Müegen Alt. Ammeister, Item umb 200. lb. d Georg Bochen, Mehr umb 370. fl. Isaac Güetel dem Schwartzbecken, so dann vmb 183. lb 5 ß d Lorentz Lincken dem glaßmahler
(vide cassaturam in Regist. 1627. fol. 350)

Baigneur du bain aux Cerceaux, Chrétien Reinlé se remarie en 1639 avec Susanne, veuve du sergent municipal Jean Speck
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 5-v)
1639. Dom. Cantate. 12. May. Christman Reinle der Reiffbader V burger vndt Susanna Hanß Specken deß dreÿerknechts nachgel. Wittib. Eingesegnet JS Peter Mont. 20. Maÿ (i 8)

Employé des Trois de la Tour aux deniers, Jean Speck épouse en 1634 Susanne, fille du pelletier Sébastien Kammerer
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 158-v)
1634. Dom: Cantate 4. Maÿ. Hanß Speckh dreÿer Knecht Auff d. pfenning thurn burg. alhie v. Jungfr. Susanna, Sebastian Kammerer Kürschner v. burger alhier Nachgelaßenee dochter.Eingesegnet Zu St Thomas Zinstag d. 13. Maÿ (i 165)

Susanne Kammerer femme de Chrétien Reinlé fait son testament. Elle lègue une certaine somme à sa sœur Anne Marie qui a quitté la ville après avoir épousé un soldat et institue pour héritière Jacqueline Gastel, belle-fille de son mari.
1642 (2. Nov.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 63) f° 12
Testamentum nuncupativum Susannæ Cammererin Christmann Reinle Reiffbaders Haußfrau
1642 (…) auff Mittwochs den 2. Monatstag Novembris Vormittag zwüschen Acht unndt Neun Uhren (…) Persönlich kommen und erschienen ist die Ehren vnndt Tugendsame Fraw Susanna Cammererin deß Ehrenthafften vnndt bescheidenen Christmann Reinle Reiffbaders und Burgers Zu Straßburg eheliche haußfrauw Zwar zugestandener Leibs kranckheit etwaß vbel auf vndt dahero Inn einem bette Ligend, Jedoch aber darbeÿ guter Verständiger Sinnen, Richtiger Vernunfft gespräch vnd wüßen (…)
Fürs dritten Weilen die fraw Testiererin noch eine schwester von beeden banden Anna Maria Cammererin genandt welche mit einem Soldaten Verheurathet, vnndt nuhn um die Zehen Jahr Inn der frembde, alßo daß sie nicht Weiß ob selbige noch beÿ Leben oder nicht (…) fünff Pfund Pfenning Zu einem Legat verordnet (…)
Zum vierden, so verschafft vndt verordnet sie vorhergenandtem Christman Reinle Ihrem Lieben haußwürth alle vndt Jede Ihre haab Nahrung vnd güetter (…) zu einem wÿdumb (…)
Endlichen und Zum fünfften (…) So ernänt Frau Susanna Cammerein die Testirerin Zu Ihrem rechten, Wahren und einiger Erben (…) Jungfrau Jacobeam Gatlerin Weÿlandt Hanns Gastels geweßenen Außschrepffers und burgers Zu Straßburg seeligen hinderlaßene dochter, Christmann Reinle Ihres Lieben Haußwürths Stieffdochter

Créancier selon deux obligations datées respectivement du 26 octobre 1612 et du 29 novembre 1627, l’ancien consul Georges Müeg a été envoyé en possession du bain aux Cerceaux suivant jugement rendu par le Petit Sénat le 9 septembre 1640. Ses héritiers cèdent en 1642 leurs droits au docteur en droit Jean Ernest Heus.

1642 (14. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 568-v
Erschienen Weÿl. deß Ehrenvest- Fürsichtig- und hochweÿs H Georg Muegen dißer Statt geweßenen Ammaÿsters nunmehr sel. hinderlaßene Erben mit nahmen der Ehrenvest- Fürsichtig- und Weÿse H Johann Jacob Müeg dißer Statt ein und Zwantzig für sich selbsten und alß Vogt Weÿl. seiner Schwester, Frawen Annæ Mariæ Müegin nunmehr seel. mit H Gebhardt Boschen ehelich erziehlten dochter, Margarethæ Boschin, mit beÿstand ersternandts der Vogts dochter Vatters, Item die ehrenvest- hochwohlgelehrte herr Johann Carl Müeg dero recht. Candidatus und H Georg Friderich Müeg Ampt Mann vff Herrenstein, beede für sich selbst. Vnd dann der Edel und hochgelehrte H Johann Ludwig Müeg dero recht. doctor und deß freÿen Ritterstandts im undern Elsaß bestellter Syndicus, alß Vetter, und in Crafft empfangenen Gewalts, Befelchhaber H Georg Daniel Müegen,
haben in gegensein deß Edel- hochgelehrten H Ernesti Heüßen dero Recht. Doctoris und Advocati alhie bekannt, demnach seelig ernanndter H Ammaÿster Müeg (den 26. Octobris a° 1612 und 29. 9.br. a° 1627 schuldig worden) 250. gulden hauptgut
(cedirt und abgetretten) die ienige Recht und Gerechtsame, so deroselben Mügisch. H.Vatter seel. in crafft einer den 31. martÿ a° 1612. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter Kauffverschreibung, wie auch E. E. Kl. Rhats den 9. Septembris a° 1640. ertheilt. Bescheÿdts (…) vff hauß, hoffstatt, Badstuben, sampt allen deren Gebäwen, daß Reiffbad genannt, alhie ane der Steinstraß, in der Reiffgaß., neben etwann Veltin Geckhen dem Schreiner ein: und anderseit Michael Küenen Kindern zuständig. häußern gelegen, und hinf. vff der Statt graben stoßend, Wie auch vff einem hoff geg. dißer Badstuben über, in besagter Reiffgaß. neben etwann Christmann Schallen von sufferlweÿherßheim, ein und anderseit neben Martin Sÿckhen deß Speÿrbaders Erben gelegen, und hind. vff den hoff Zum hechten genannt, so ietzmahlß H Martin Andreß König XXI.er besitzt stoßend

L’étudiant Jean Ulric Meyer donne quittance à Ernest Heus l’aîné d’une rente annuelle de 6 florins garantie sur le bain aux Cerceaux d’après un acte de 1536.

1650 (7. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1086-v
Erschienen H Johann Ulrich Meÿer LL Studiosus
hatt bekannt, daß der Edel- hochgelehrte H Ernestus Heuß der älter der Recht. Doctor & Advocatus senior auch der hochwürdig. Evangelisch. herrn dom Capitularen hoh. Stifft Straßburg Consiliarius,
ihme H Meÿern die ienige 6. fl. straßburg. iährlich vermög eines lateinisch. pergamentinen Idus Maÿ a° 1533. mit deß Bischoffl. hoffs anhangenden Contract. Insigel gefertigt. Zinnßbrieffs und beÿ demselben befindlich 2. nonas Augusti und 18. Kal. Sept. a° 1536. datirt. gleicher gestalt gesigelt. Transfixes termino Vrbani von vff und abe dem Reiffbad mit allen deß. Gebäwen und andern in besagtem transfix sprcificirt. Vnderpfand verfallend. Zinnßes mit 65. lib. also verglichener maß. abgelößt

Ernest Heus loue en son nom et en celui de la veuve et des héritiers de Ernest Heus l’aîné le bain aux Cerceaux au baigneur Jean Henri Baumann

1655 (27. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 282
Erschienen der Ehrenvest, hochgelehrte H Ernst Heüß U. J. Ddus Und Treÿer deß Pfenningthurns für sich selbst. Undt im nahmen Weÿl. deß Edel Vnd hochgelehrt. H. Ernst Heüßen U. J. D. Advocati Senioris Und der Evang. H. dom Capitularen hoher Stifft Straßburg geweßenen Consiliarÿ nunmehr seel. hinderlaßener Fr. wittib Vnd übriger Erben
in gegensein hannß Henrich Baumanns deß Baders mit beÿstand Eliæ Nägelins deß Pflantzbaders seines noch ohnentledigt. Vogts, wie aucha deß Ehrenvest und hochgelehrten H. Johann Georg Brimmers U. J. Ddi und Aduocati
Verlühen habe, die Behaußung zum Reiffbad genannt, mit aller ihrer Zugehördt sond.lich auch dem gegen über gelegenen hoff, alhie in der Steinstraß in der Reiffgaßen gelegen, vff Neün Jahr lang Von Johannis Baptistä nechstkommend angerechnet, für und umb einen Jährlichen Zinnß benantlich 27. lb 10. ß
Dabeÿ insonderheit abgerecht worden ist (…), Zum andern Weilen der Bronnen in der entlehnten behaußung etwaß mangel hat ahne dem Waßer alß hatt H. Dr Heüß für sich und in nahmen nechst einbrechendem Sommer deßwegen vnd Zwar so fernern ohne sonderbahren Costen geschehen Kann, Vorsorg zu thun

Fils du baigneur au bain de Spire Jean Georges Baumann, Jean Henri Baumann épouse en 1655 Anne Marie, fille du boulanger Balthasar Bœbel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 249, n° 13)
1655. Domin I & II. Trinit. 17 & 24. Junÿ. Hans Heinrich Bawman, Bader vnd burger alhier Weiland hans Jeorgen Baumans, Speirbaders v burgers alhier hinterlaßener ehelicher sohn vnd Jungfr. Anna Maria, weil. Balthasar Böbels burgers vndt Weißbecken alhie eheliche hinterl. Tochter. Copul. Zu S Claus Mont. 25. Junÿ (i 267)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 110-v, n° 21) 1655. 17. Ejusd. Dnâ j. Trin. Johann Heinrich Bawman der Bader, Johann Geörg Baumans deß Baders im Speirbad nachgelaßener ehelicher Sohn J Anna Maria Balthasar Böbel deß Weißbecken nachgelaßene eheliche Tochter. Mont. 25. Ej. S Clauß (i 112)

L’ancien consul Jean Wencker donne quittance aux héritiers d’Ernest Heus d’une rente annuelle de 4 florins rachetable moyennant 1 000 florins, garantie sur le bain aux Cerceaux d’après un acte de 1518.

1655 (12. Novemb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 617-v
Erschienen der Edel- Fürsichtig und hochweÿse herr Johann Wenckher dißer Statt alter Ammaÿster Treÿ Zehener und Scholarch.
hatt in gegensein H Johann Georg Lempen deß Apotheckers im nahmen weÿl. deß Edel- hochgelehrten H Ernesti heuß. deß ältern, V.I. D. & Advocati senioris auch der hochwürdig Evangelisch. Herrn dom Capitularen hoher Stifft Straßburg geweßenen Consiliarÿ nunmehr seel. hinderlaßene Fr. Wittibin und gesampter Erben
hatt in gegensein H Johann Georg Lempen deß Apotheckers im nahmen weÿl. deß Edel- hochgelehrten H Pauli* heuß. deß ältern, V.I. D. & Advocati senioris auch der hochwürdig Evangelisch. Herrn dom Capitularen hoher Stifft Straßburg geweßenen Consiliarÿ nunmehr seel. hinderlaßene Fr. Wittibin und gesampter Erben
bekannt, daß Sie die heußische Fr. Wittib und Erben ehrengedachtem H Ammaÿster Wenckhern die ienige 4. fl. straßb. wehr. So Sie denselben vermög eines pergamentinen latinischen 9. Kalend. Jan. a° 1518. mit deß Bischoff. hoffs anhangendem contract Insigel durch Hn Jacobum Schmiden alß deßelben hoffs damahlig. Contractuum Notarium wie auch eines teutsch. sub dato 19. Maÿ a° 1571. durch weÿl. H. Jacobum Kuglern alß besagt. hoffs geweßenen Contractuum Notarium mit selbig. hoffs anhangendem Contract Insigel gefertigten und das dominum utile oder nutzliche herrschafft einander gezogener Zinnßbrieff von, vff und abe, dero ahne Steinstraß gelegenem Reÿffbad iährlich. termino Lucæ Evangelistæ Zu Zinnß Zu raÿchen schuldig geweß. seind, mit 1000 fl. straßb. wehr. abgelößt, widergekaufft, auch Zinnß, Marzahl und brieff costen abgerichtet

Le bain aux Cerceaux est décrit dans l’inventaire dressé en 1656 après la mort d’Anne Ursule Berner veuve d’Ernst Heus. Lors du partage, il revient à sa fille Anne Madeleine, femme du docteur en droit Jean Jacques Wieger

Les administrateurs de la fondation d’Ambroise Gilg et les fabriciens de Saint-Nicolas donnent quittance à Jean Jacques Wieger d’une rente annuelle de 4 florins rachetable moyennant 250 florins, garantie sur le bain aux Cerceaux d’après un acte de 1538.

1656 (5. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 166-v
Erschienen der Ehrwürdig Vnd Wohlgelehrte H Mr Nicolaus Jacobus Brem Diaconus der Kirchen Zu St. Niclaus alß Vnd H Sigismundus Breit Schulmeÿster daselbsten, beede alß über Weÿl. H. Ambrosÿ Gilgen seel. Spittal Stifftung Verordnete Testamentarÿ, wie auch H Johann Thoman Kaw E.E. großen Rhats alter Beÿsitzern alß Kirchen und H Johann Kornmann der Handelßmann alß Kirchen Vnd Fabric Pflegers gemelten Kirchen Zu St: Niclauß
in gegensein deß Ehrenvest, Hochgelehrten H Johann Jacob Wiegers U. J. Doctorandi und Advocati Und der hochwürdigen Evang. Herrn Dom Capitularen hoher Stifft Straßburg Secretarÿ alß Ehevogts Fr. Annæ Magdalenæ Heüßin Und H hannß Georg Lempen deß apotheckers alß Ehevogts Fr. Susannæ Heußin und beeder im nahmen gemelt Vnd Von wegen weÿl. H. Ernesti Heüßen geweßenen U. J. D. et Advocati Senio. auch Vor hocherwehnter herrn Dom Capiularen Consiliarÿ nunmehr seel. hinderlaßener gesampter Erben
bekannt, daß ersterwehnt Heußische Erben, berührter Stifftung die jenige 10. fl. Straßburger Wehrung Jährlichen Vff Mariæ Verkündung gefallende Zinnße so Sie die Heußische Erben vermög eines lateinischen pergamentinen 6. Kalend. aprilis Anno 1538. mit deß Bischoffl. Hoffs anhangendem Insigel durch weÿl. H Sebastianum Schmiden alß deßelben hoffs damahlig. Contractuum Notarium nun längst seel. Ußgefertigten zinnßbrieffs Von Vff und abe dem Reÿffbad Vnd deren Gebäwen alhie in der Vor Statt Steinstraßen in dem Reÿff gäßlin geleg. Zu raichen Verbunden geweßen mit 250. fl. mehrgemelter Wehrung widerabgekaufft abgelößt

Jean Jacques Wieger loue à nouveau le bain aux Cerceaux au baigneur Jean Henri Baumann

1664 (5. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 377-v
Erschienen der Ehrenvest- hochgelehrte H Johann Jacob Wieger V.I. Ddus auch der hochwürdig. Evangelisch. Hh dom Capitularen hoh. Stifft Straßburg secretarius
in gegensein hannß Henrich Bawmanns deß Baders, mit beÿstand hannß Stiglers deß Weißbeckh. seines Schwäher
entlehnt zu haben geständig war, daß Reÿffbad mit seinen Gebäwen und Zugehördten vff ein Jahr lang von Jetzt verschienenen Joh. Bapt: angerechnet, umb 13 Pfund

Jean Frédéric Wieger vend la maison dite bain aux Cerceaux au menuisier Auguste Hoffmann et à sa femme Marie Jacqueline

1686 (15.2.)n Chambre des Contrats, vol. 556 f° 99
der Edel und hochgelehrte H. Friderich Wieger U.J. Ddus und E.E. Großen Rhats Actuarius
in gegensein Augusti Hoffmanns deß Schreiners und Mariæ Jacobe beeder Eheleuthe und Zwar dieselbe mit beÿstand deß Edel Vest und hochgelehrten H. Julÿ Reichelts Prof. Publ: beÿ hießiger löblichen Universitæt und H. Johann Carl Stöffelin handelßmanns Ihres respe. Eheleiblichen bruders und Vetters
eine behaußung, hoffstatt sambt der badstuben, dahier uff der Reiffgaß, einseit neben Martin Bahnen dem weber anderseit neben Christman Wolffels Lebküchler hinden uff der Statt Graben und Zum Reiffbad genand, Item ein höfflein gegen über so ewta ein gärtlein gewesen, einseit neben H. Johann Melchior Ziegler Specerirer anderseit neben Lorentz Armbruster leinenweber hinden uff Clemens Reÿffen den Holtzhändler stoßend gelegen, davon gehen Jahrs 15. ß allmend Geld gemeiner Statt Von einem Landveste ahne dem Waßer, Item 1 lb 5. ß d. prætendirenden Ehrschatzes, in das Granische Lehen so ietzo Johannes Noll der Schaffner im bischofflichen hoff ein nimbt, wo beÿ dießer Verschreibung selbst zugegen warn – umb 600 fl.

Fils de l’aubergiste Frédéric Guillaume Hoffmann établi à Weimar en Thuringe, le menuisier Auguste Hoffmann épouse en 1666 Marie Jacqueline Reichelt, fille du tailleur Jules Reichelt
Mariage, cathédrale (luth. f° 69-v, n° 1) Anno 1666. Dom. I. Epiphanias. Zum 2 mahl Augustus Hoffmann der ledige Schreiner hr. Friderich Wilhelm Hoffmann, Gastgebers Zu Weinmer on Thüringen ehel. Sohn, Jfr Maria Jacobea Weiland Julÿ Reicheld gewesenen Schneiders u. Burgers alhier nachgelaßene ehel Tochter. Donnerstags den 18.t Ian: Münster (i 72)

Auguste Hoffmann devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1665, 4° Livre de bourgeoisie p. 348
Augustus Hoffmann, der Schreiner Von Weinmar, empfangt das burgerrecht Von Maria Jacoba Weÿlandt Junÿ Reichels deß Schneiders seel. dochter, seiner Haußfrauwen, umb 8. Gold fl. so er beÿ der Cancelleÿ erlegt, und will beÿ E. E. Zunfft der Zimmermann dienen. Jur. den 25. Januarÿ A° 1666.

Auguste Hoffmann est autorisé à titre de dispense à employer un compagnon.
1666, Protocole des Quinze (2 R 83)
(f° 32) Sambstag den 24. Februarÿ – Augustin Hoffman der Schreiner vndt burger per Reüßner vff Mghh. Jüngst ertheilten bescheid, pittet Zuverstatten, daß er nunzumahl einen Gesellen fürdern möge. Erkand, dispensando willfahrt.

Auguste Hoffmann loue le bain aux Cerceaux au baigneur Jean Georges Fels

1688 (12.1.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 26-v
Augustus Hoffmann, der Schreiner
in gegensein hans Georg Felßen, deß baders
entlehnt, das alßo genandte Reiffbad allhier an Steinstraß in d. Reiffgaßen gelegen, nemblich die badstub und Nebensstub sambt einer Cammer oberhalb, Ferner Platz zu Sechs Fud. holtz, wie auch die Zugehörung Zum bad, alß nemblich achzehn Fuß Kübeln vnd Zwanzig sieben hand Kübel, Ein Zwag Keßel und ein trückelhuth, auff ein halbe lehnung, d. ist Neun jar von heut dato anzu rechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 13 pfund pfenning
(…) Zum vierd. bleibt dem Verleiher erlaubt den Farb Keßel anderswohin zu placiren, auch einen bachoffen in die badstube zu setzen

Originaire de Munster en Haute-Alsace, Jean Georges Fels devient bourgeois avec sa femme Marie Madeleine Debus en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux. Ils n’apportent pas d’enfant.
1686, 3° Livre de bourgeoisie p. 1029
Hanns Georg Felß Von Münster in St. Gregorÿ thal, erkaufft das burger Recht für sich vndt seiner haußfr. Mariam Magdalenam Debußin pro 6. gold fl. so Er beÿ dem Pfenningthurn erlegt, hatt Keine Kinder, Zünfftig beÿ EE Zunfft der Schmid. Jur. 10. april 1686

Femme du baigneur du bain aux Cerceaux Jean Georges Fels, Marie Madeleine Debus meurt en 1687. Le veuf est unique héritier après la mort de son fils. L’actif de la succession s’élève à 20 livres, le passif à 5 livres.
1687 (28.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6348) n° 167
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder haab undt nahrung, so weÿl. die tugendtsahme Maria Magdalena Debußin, des Ehrsamen Hanß Georg Felß, Reiffbaders, burgers alhier zu Straßburg, gewes. eheliche haußfrau nunmehr seelig, nach ihrem den d. 19. febr. Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hinnd. Ihri Verlaß. welche Verlaßensch. auf freundliches ansuch. erfordern und begehren ersternant. wittibers so hanß Georg. d. verstorb.en seel. mit Ihme erzeugtes hind.laß.es Söhnlein welches vor 6. woch. als nach d. Mutter Verstorben, geerbet (…) welches beschehen in Straßburg Donnerstags d. 28. Aug. 1687.
wobeÿ Zu berichten d. beÿ angetrettener Ehe kein Eheberedung auffgerichtet auch Keines von* anden. etwas ane mitteln zugebracht
Inn d. Steinstraß in Reiffgäßel geleg.en Reiffbad so nicht hieh. gehörig, hatt sich befunden wie volgt.
Sa. hausraths, Schulden 2, Summa summarum 20. lb – Schulden 5 lb, Nach deren Abzug, Summa finalis Inventarÿ 15 lb

Marie Madeleine Debus meurt le 19 février 1687 à l’âge de 37 ans.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. f° 131)
1687. Febr. d. 21.t Maria Magdalena Debusin Joh: Georg Felsen Reiffbaders fr. begraben starb d. 19. h.us beÿ 37 jahr alt (i 134)

Le propriétaire Auguste Hoffmann meurt en 1689 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 330 livres. La masse propre à la veuve est de 142 livres. La masse propre aux héritiers est nulle. L’actif de la communauté s’élève à 137 livres, le passif à 245 livres.

1690 (29. 9.br), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 1)
Inventarium Und beschreibung aller vnd jeder, ligend. vnd fahrender, Haab V. Nahrung, so der Weÿl. Ehrsamb v. bescheÿdene Meister Augustus Hoffmann gewesener burger vnd Schreiner allhier Zu Straßburg, nach seinem den 25. julÿ 1689. aus dießem Mühe seelig Jammerleb. genommenen tödlichen hintritt, hinderlaß. welche auf dienst freundliches ansuch. Vnd begehren, deß Seelig Verstorbenen hinderlaßener 5 Kind. Vnd Erb. hernach gemelt, V. Christoff Stierel deß Schreiners dero geschwornen Vogts, durch Maria Jacobe die hinderbliebene wittib, mit beÿstand Herrn Christian Haanen, auch burgers Vnd Schreiners Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum in p.sentita obgemeltter beeder, der Wittib Vnd Kind. Vögte, Vnd lein Nachgemeltt geschwornen jnventir schreibers, auff Dienstags den 2. Novembris 1690.
Der seel. Verstorbene hat ab intestato Zu Erben jinterlaß. 1. Maria Jacobe, 2 Augustus, 3. Johanna Magdalena, 4 Catharina Dorothea, Jacob Christian, Alle, deß seelig Verstorbenen, mit Maria Jacobe der hinderbliebenen Wittib in Erster Ehe, Ehelich erziehlt Vnd hinderlaßener Kind.
Copia d. Eheberedung

Volget hierauff die beschreibung der Verlaßenschafft Vor V. ahne sich selbst, So inn einer in diese Verlaßenschafft gehörig. Vnd hernach fol. beschriebener behausung gefund. word.
Behausung. It. eine in der Statt Straßburg Vorstatt in der Reiffgaß gelegene behausung daß Reiffbad genand, sampt einem dargeg. über gelegenen Platz, worauff jetz baw holtz Zu j hauß mit geschlag. stehet, j.s neben Samuel Flechner, büttel uff d. Tucher stub, 2. s. neben dem mehren Hospital, hind. uff der (-) grab. stoßend, davon geht Jährlich d. Statt Pfenning 15 ß Allmend Zinß, mehr in den Bischoffl. hoff allhier Zu Straßburg weg. deß So genandt. granisch. lehens, 25 ß halb Zu Joh. Baptistæ v. halb Zu Joh: Evangelistæ, so dann restirt mann annoch H Lt° Friderich Wieger, Contractuum Actuario Kauffschillings rest 200 lb d à 5 pro Cto Jährlich Vor Zinßlich, über solch beschwerden, durch die geschworne d. Statt Werckmeistere lautt der über außgestellt. schein æstimirt v. angeschlagen vor 90 lb
Norma hujus inventarÿ. der Wittib Ergäntzung 142, der Erben Ergäntzung, Nichts
Theilbar, Haußrath 24, Werckzeug 23, behausung 90, Summa summarum 137 lb – Schulden 245 lb
Abschatzung Sambstags d. 2 Xbris 1690. Weillandt deß Ehrbahren Vnd bescheidenen Meister Augustinus Hoffman, burger vnd schreiner See: hinderlaßene fraw Wittib Vnd Erben behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Reiffgaßen, daß Reiffbad genandt, Ein Seitzs Neben einer behaußung, dem alhießigen Spittal gehörig, anderseits Neben Meister Samuel Fleckhner dem Leinenweber, hinden auff dem Engen graben stoßend Welche behaußung oder Bad Zimlich schlecht vnd in Etlichen Ordten bawens Nottig, ist Sampt Zweÿen Kellerlin wie auch ein New vor holtz auffgeschlagens gebeü oder holtz Schopff auch übrigen begriffen recht vnd gerechtigkeit wie solches durch sie geordnete Werckhleuthe in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß vnd Wehrt nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Sechß hundert vnd Sechzig Guldin. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Johannes Berga Werck Meister des Maurhoffs.

Le locataire Jean Georges Fels se remarie en 1690 avec Susanne, veuve du baigneur Jean Schuck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 28)
den 18. Octobris 1690 seind von mir copulirt Worden Hans Georg Fels der burger Und Bader alhie Und Susanna Hannß Schucken deß Burgers Vnd Baders alhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] hanß Georg felß Alls hochzeiter, Susanna schuckien als hochzeitrin (i 29)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 176) 1690. Dom. (-) Zum 2. mahl Hanß Georg Felß der Reiffbader v. Burger alhie, Susann Weiland Johann Schucken Speir-Baders u. Burgers nachgel. W. Mittw. den 18.t 8.bris alt. S Peter (i 177)

Susanne Baumann épouse en 1685 Jean Schuck, baigneur au bain de Spire
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 200, n° 28)
1685. Julius d. 2. Joh: Schuck d. Speyrbader v. burger alhie J. Susanna Joh: Heinrich Baumans Speyrbaders vnd burgers alhie hint. ehl. tochter (i 201)

Marie Jacqueline Hoffmann et ses enfants vendent le bain aux Cerceaux au pharmacien Jean Frédéric Eisenmann

1694 (2.2.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 91
Maria Jacobe geb. Reicheltin, weÿl. Augusti Hoffmanns gewesenen Schreiners sel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Christian Hahn, deß Schreiners, Ihres vogts, So dann Johann Christoph Sterle, der Schreiner, alß vogt sein Hoffmanns mit ihro seiner haußfrauen, erzeugter Fünff Kinder
Hn Johann Friderich Eisenmanns deß apotheckers und E:E: Kleinen Raths beÿsitzers
Eine behaußung, hoffstatt sambt der baadstuben, allhier auff der reiffgaß, einseit neben David Schranckenmüller dem Tabackbereiter, anderseit neben hans Georg Heller, dem leinenweber, hinten auf den Statt graben stoßend gelegen, und Zum Reiff genandt,
Item Ein höfflein gegen über, so etwan ein gärttlein gewesen, einseit neben Lorentz Henrich Geltel, dem Schultheißen v. Höhnheim, and.seit uff Lorentz Armbruster, dem Leinenweber, hind. uff Clemens Reÿffen d. holzhändler, stoßend geleg, von welcher behaußung geh. jahrs 15 ß von einer Landveste an dem waßer, Item 1 lb 5 ß d prætendirend. Ehrschatz, in d. granische modo Lerchenfeldische Lehen, empfangt anietzo H. Pick Freÿherrl. lerchenfeldische lehenschaffner, so seÿe dieselbe auch umb 200 lb Capital (verhafftet) – umb 225 pfund

Jean Frédéric Eisenmann loue le bain aux Cerceaux à Marie Anne Baumann, veuve du baigneur Frédéric Thomas

1697 (3.6.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 269-v
H. Johann Friderich Eisenmann der Apothecker und E:E: kleinen Raths alter Beÿsitzer
in gegensein Annæ Mariæ geb. Baumännin weÿl. Friderich Thomas gewesenen Badern seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Johann Martin Silberads des würths, Ihres Vogts
entlehnt, das Ihme Hn Eisenmann gehörige Reiffbad sambt allen deßen gebaüen, begriffen und zugehörden allhier in der Vorstatt an Steinstraß auff der reiffgaß gelegen sambt dem gegen über gelegen: und zu ged. Raiffbad gehörigen Holtzplatz, auff vier jahr lang von nechst Künfftig Joh. Bapt: angerechnet, umb einen Jährlichen Zinß Nemblich 30 pfund

Originaire de Durlach, le baigneur Frédéric Thomas acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Anne Marie Baumann
1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 578
Friderich Thomas Von Durlach, der bader, weÿl. Joh: Philipp Thomas, geweßenen Rebmanns daselbst hinterl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Maria gebohrner Bawmännin seiner jetzmahl. haußfr: p. 2. Gold fl. 16. ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts gewest, V. wird auf E: E: Zunfft der schmidt dienen. Jur: d 28. 8.br: 1690

Le baigneur Jean Frédéric Thomas, Marie Françoise et Anne Catherine Thomas, tous trois de Saverne, enfants de feu le baigneur Jean Frédéric Thomas acquèrent le droit de bourgeoisie le 27 novembre 1702.
1702, 3° Livre de bourgeoisie p. 1236
Joh: Friderich Thomas der bader, Maria Francisca und Anna Catharina dreÿ geschwistrigen Von Zabern, Weÿl. Joh: Friderich Thomas gew. Baders Zum Reiff alhier hint. Kinder, erkauffen das Burgerrecht p. 2. Gold fl. und 16 ß seind auf dem Pfenningthurn erlegt worden, Werden beÿ E E Zunfft der schmid dienen, Jur : d. 27. Ejusd. [Novembris] 1702.

Enfants nés à Strasbourg en 1691 et 1693 du baigneur Frédéric Thomas et d’Anne Marie Baumann
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 147)
Anno 1691. 16. Septembris baptizaui Joannem Henricum natum 14. huius inter horam primam et secundam ante auroram filium Friderici Thomæ Civis et Baders Argentinæ et Annæ Mariæ Baumännin conjugum Patrinus Laurentius Läderer Müller zu Schäffolsheimb et pudica virgine Annâ Mariâ Zollerin Tabernensi (i 76)
Baptême, Saint-Marc (cath. p. 16 n° 58) Anno Dni 1693. Die vero 25.t 7.bris Baptizata est Maria Salome filia friderici Thomas ciuis Argent. et Annæ Mariæ Baumännin arg. conjugum hic commorantium (i 12)

Le barbier Frédéric Thomas meurt le 27 décembre 1696
Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 14)
Fridericus Thomas Scarrificator maritus Annæ Mariæ N pie confessus coîcatus* & junctus* ultimum diem clausit 27. Xbris 1696. ferio S Joâis Euangelistæ ætatis 40 circiter & die sequeti in Cœmeterio S. Galli intumulatus (i 10)

Sa veuve Anne Marie Baumann se remarie en 1698 avec Jean Jacques Hoffmann, originaire de Wansleben en Saxe : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Hannß Jacob Hoffmann, Ledigen Bader deß auch Ehrengeachten Johann Hoffmann Baders und Burgers Zu Groß Wantzleben Chur Brandenburgischer Jurisdiction Ehelichem Sohn, als dem hochzeiter ane einem, So dann der Ehren: und Tugendsamen Frauen Annæ Mariæ gebohrner Baumännin Weÿl. des Ehrengeachten Friderich Thomas gewesenen Reiffbaders undt burgers alhier Zu Straßburg hinderlaßener Wittib als der hochzeiterin andern theils – Beschehen on der Königlichen Statt Straßburg Sontags den Ersten Junÿ neuen Calenders Anno 1698. Johann Philipp Schübler Notarius publicus juratus.

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 35)
Anno Dni 1698. Die vero prima Junÿ tribus denuntiaoîbus rité premissis omnibis seruatis seruandis solemniter a me matrimonio juncti & inthronizati sunt Joannes Jacobus Hoofman ex Wansleben Joannis Hofman & Mariæ Baumannin ciuium ibidem filius & honesta Anna Maria Baumannin Joannis Friderici Thomas Scarrificatoris vidua (i 19)

Jean Jacques Hoffmann devient bourgeois par sa femme quelques jours avant son mariage
1698, 4° Livre de bourgeoisie p. 700
Joh: Jacob Hoffmann, der Bader Von Großen Waltsheim Churbrand. Jurisdiction, Johann Hoffmans Baders daselbst Ehl. sohn, empfang das Burger recht von Weÿl. Friderich Thomasen hint. Wittib gratis, vnd will beÿ E. E. Zunfft der Schmiden dienen. Jur. d. 28. May 1698.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 9 livres, ceux de la femme à 59 livres.
1699 (5.1.), Not. Schübler (Jean Philippe, 56 Not 10)
[abîmé par l’humidité. Suscription en fin d’acte] Inventarium über deß Ehrengeachten Hannß Jacob Hoffmanns, der Zeit Reiffbaders, wie auch der Ehren und tugendsahmen frawen Annæ Mariæ gebohrner Bawmännin, beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet 1699.
Actum Straßburg in fernerer gegenwart deß Ehrengeachten [-] Braunen weißbecken, auff seon deß Manns, Sodann auff der seiten des Ehrengeachten Johann Friderich Thomer Meßerschmidts der Ehefrauen Kinnder erster Ehe geschwornen und geordneten vogts beeder burgere allhier, als hiezu in specie erbettener beÿständere, auff Montags d. 5. Januarÿ Anno 1699.
In einer in [-] auff der R [-] Steinstraß
In der Str[-], In der Soldaten Cammer, In der Obern Cammern In die hindersten Stuben
(f° 11) Abzug in dießes Inventarium. Des Manns Vermögen, Sa. Kleidung, 9
Der Frawen Nahrung, Sa. haußraths 77, Sa. Werckzeugs, gemachter Baderwahr auch Schiff und geschirrs Zum Bader handwerck 61, Sa. Silbergeschirrs 2, Sa. Guldinen Rings 1, Sa. der baarschafft 18 ß, Summa summarum 143 lb – Schulden 83 lb, Nach deren Abzug 59 lb

Le baigneur du bain aux Cerceaux Jean Jacques Hoffmann produit devant les Quinze un certificat d’apprentissage qui établit qu’il a appris le métier de chirurgien. La commission distingue la qualité alléguée de chirurgien et l’amende infligée pour avoir rasé des clients hors de son établissement. L’amende est maintenue, l’affaire professionnelle renvoyée aux préposés généraux aux métiers.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Johann Jacob Hoffmann Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
(f° 159-v) Sambstags den 31. May 1704. – K. nôe Joh: Jacob Hoffmann des Reiffbaders, Cit. der Sched. E. E. Meisterschafft der Barbirer, prod. unterth. Memoriale vnd bitten mit beÿlag sub N° 1 seines lehrbrieffs und erlernten Chyrurgie, bittet wie inhalts. G. nôe E. E. gerichts Zur Lucern erscheint, H Rath. Mollinger, So dann im mahlen E E Meistersch der Barbierer H Johann Philipp Wildt, und bitten vmb darauff Zu antworten, Term. Ord. obtinuerunt.

(f° 186-v) Sambstags den 14.ten Junÿ. – Johann Jacob Hoffmann Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
K. noîe Johann Jacob Hoffmann Cit. per Sched. E. E. Meisterschafft der Barbierer Ober meister in actis benant, auff productum vom 31. May, will man erklärung Vernehmen. G. Citatus præs., weilen man sich mit Gegnerin, in weitläuffigkeit einzulaßen, nicht willens, als sagt man wider contenta producti generalia, bittet in ansehung gegner selbsten Geständig daß er die Baderkunst erlernet, manutenenz des jüngst ergangenen bescheids, anbeÿ, weilen dießes eine andere sach Gegnern zu beßrung der beÿ E. E. Zunfft Gericht Zur Lucern Ihme angesetzten straff richterlichen anzuhalten. K. auff gegentheiliges weiteres einstrewen, bittet deputationem Gn. Zu erkennen lâq. factâ, wie in dißeitigen producto gebetten worden vndt die Sachen mit einander nicht Zu Confundiren. G. priora, K. setzt. Auff beschehenen Bericht von Herrn XV. Scherer, als E. E. Zunfft Zur Lucern Ober Herren deß Klagender Hoffmann seith letsterem bescheid widerumb außerhalb seinem hauß, rasirt und demselben Zu wider gehandelt habe, vnd daß ihme dießer ursach weg. 5. lb d straff angesetzt worden seÿe.
Ist Erkandt wirdt , was dis straff betrifft, die sach an E. E. Zunfft gericht mit deme, Kläger sich abzufinden, remittirt die andere sach aber Zur deputaôn verwießen. Obere Handtwerckhh.

Jean Jacques Hoffmann reprend l’affaire évoquée en 1704. Il expose qu’il a épousé une veuve chargée de quatre enfants en qu’il en a maintenant lui-même un. Il demande l’autorisation d’exercer son métier de chirurgien puisqu’il lui est difficile de subvenir à ses besoins d’autant qu’il doit régler un loyer pour son établissement. Son certificat d’apprentissage établit qu’il a appris le métier de baigneur et de chirurgien auprès de son père à Wansleben. Les représentants des chirurgiens déclarent que l’usage est différent à Strasbourg qu’à Wansleben. Il y a à Strasbourg une clientèle pour les cinq baigneurs qui y sont établis alors qu’il y a 40 barbiers. Les Quinze consultent le règlement qui stipule que les baigneurs ne doivent pas exercer le métier de chirurgien. Les Quinze adoptent l’avis du préteur royal et éconduisent le pétitionnaire.
707, Protocole des Quinze (2 R 111)
(f° 5-v) Freÿtags den 21. Januarÿ 1707 – Joh: Jacob Hoffmann Ca. E.E. Meisterschafft der Barbierer
Obere Handwerckhh. laßen per H. Friden proponiren, es habe schon in Majo 1704. Johann Jacob Hoffmann der Reiffbader undt burger alhier Ca. E.E. Meisterschafft der Barbierer ein unterth. Memoriale übergeben, H. Fridt lese daßelbe ab, darinnen derselbe remonstrirte welcher gestalten Er vor einigen Jahren die verwittibte Reiffbaderin mit vier Kindern geheürathet vndt auch seithero mit derselben ein Kindt erziehet habe. Weilen Er aber sich vndt die Seinige, in erwegung ermeltes Badt nicht eigen, sondern mit 60. fl. jährl. verzinßt werden müße, nicht ernehren könne, so habe Er sich seiner mit erlernten Chyrurgie wie beÿgelegter Lehrbrieff außwieße, bedienet, auch ohne ruhm Zu melden, einige gute Curen verrichtet, Nachdeme aber Ihme solches beÿ 5. lb d straff, ex adverso nidergelegt, auch Zugleich solche andictirt worden seÿ, Als wolte Er unterth. gebetten haben, Ihne, dero, nicht allen gd. Zu entbinden sondern auch Zu erlauben, daß Er seiner erlernte Chyrurgie mit undt lb seiner Badkunst, in ansehung Er sich beÿ dießer letztern, mit den Seinigen, ohnmöglich erhalten könne, treiben möge.
Diesem Memoriali habe Er seinem Lehrbrieff beÿgelegt, daraus Zuersehen, daß Er in aô 1685. Zu Wandsleben beÿ seinem Vatter Ejusd. Nominis, der daselbst burger Bader undt Wundtartzt gewesen, Vier Jahr gelernt habe, vndt den 18. Julÿ dicti anni Ordentlich eingeschrieben worden seÿe, mit dem beÿfügen, daß Er neben der Baderkunst zugleich die Chyrurgie gelernt habe.
Worauff in nahmen der Meisterschafft der Barbierer Herr Rath. Randenrath H. Caspar Christian Busch et Cons. beditten, daß Einer, der die Chyrurgie treiben wolle, Zuvor sein Examen außgestanden undt das Meisterst. gemacht haben müße. (2) Wann schon des Imploranten vatter Chyrurgus gewesen, so seÿe doch die frag, ob Er die Kunst auch gelernt habe, (3) were deßen begehren schnurstracks wider dero articul. Auff welches Implorant replicirt daß Zu Wandsleben gebräuchlich, daß man beeden beÿsamen treibe, dagegen die Meisterschafft regerirt, daß Zu Wandsleben es ein andres were, undt Zu Straßburg es auch eine Andere Ordnung hette. Neben dem weren der Bader nur Fünff sie sich wohl ernehren könten, dahingegen der Barbirer über 40 seÿen, und würde die Bader auch nicht gern sehen, wann Sie, denenselben, eintrag thun wolten.
Auff seithen der Herrn Deputirten habe man vor nöthig erachtet, die articul der Barbier auffzuschlagen, darinnen, wie aus deren ablesung abzunehmen war enthalte, daß die Bader sich er Chyrurgie allerdings enthalten sollen, deßwegen Zu MGHerren stehen werde, Ob sie beÿ dem Imploranten, wan Er præstanda præstirt haben werde, dispensiren oder denselben abweißen wollen.
Herr Prætor Regius hielte davor, daß der Implorant vor dießes mahl noch abgewießen werden könte. Erk. Gefolgt.

La maison est estimée à la somme de 270 livres lors de l’inventaire dressé en 1701 après la mort de Jean Frédéric Eisenmann. Sa fille Marie Elisabeth femme de l’enseignant Jean Ulric Geissler vend en 1714 la maison au cordonnier Jean Ulric Ruckstuhl et à sa femme Marie Marguerite Andres.

1714 (8.11.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 782-v
(900) frau Maria Elisabetha geb. Eißenmännin bei H. M. Joh: Ulrich Geißlers Præceptoris sup: Gyn: ihres mariti
in gegensein Joh: Ulrich Ruckstuels schuemachers und Mariæ Marg: geb. Andreßin
eine behaußung hoffstatt sambt der baadstueben auf der Reiffgass, einseit neben Joh: Philipp Nobis huetm: anderseit neben Joh: Georg Heller hinten auf den Stattgraben stoßend zuem reif genant,
Item ein höfflein gegen über so etwan ein gärtlein geweßen einseit neben Andres Hagenmann anderseit neben Philipp Kaÿßer hinten auf Clemens Reiff und gibt mann jährlichen 15 ß von einer landvest dem Pfthrn, Item 1 lb 5 ß d auf Martini prætendirten Ehrschatz in d. Grahnische modo lerchenfeldiche lehen – um 900 pfund

Fils du cordonnier Jean Ulric Ruckstuhl et de sa femme Barbe Kappler, Jean Ulric Ruckstuhl fils passe en 1709 un contrat de mariage avec Eve Elisabeth Diebold, fille du trompette Jean Frédéric Diebold (le mariage n’est pas célébré).
1709 (4. Maÿ), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 513
Eheberedung zwischen Herrn Johann Ulrich Ruckstuhl leedigen Schuhmacher herrn Johann Ulrich Ruckstuhl des ältern auch Schuhmacher vnd burgers allhier mit frawen Barbara gebohrner Kapplerin seel. ehelich erzeugtem Sohn als dem hochzeitern beÿständlich gedachts seines vattern vndt herrn Abrahamb Werners auch Schuhmacher und burgers allhier seines vogts ane einem
So dann Jgfrn Evæ Elisabethæ gebohrner Dieboldin weÿl. Herrn Johann Friderich Dieboldt geweßenen Statt: vnd Veldt Trompeter auch burgers allhier seel. mit frawen Eva Elisabetha gebohrner heußerin seel. ehelich erzeigten tochter als der Jfr hochzeiterin, beÿständlich herrn Johann Martin Drädel tabackbereiters Ihres geschwornen vogts vndt herrn Johann Michael Dieboldt hohltrehers dero vatters bruders beeder burgere allgiernn andern theils
Actum Straßburg Sambstags d. 4. Maÿ 1709. [unterzeichnet] Johannes Ulrich Rugstuhl als hochzeiter bekenne wie Vorsteht, Eva Elisabetha dieoboldin altz hochzeiterin bekenne wie vorsteht

Jean Ulric Ruckstuhl épouse en 1710 Marie Marguerite Andres fille du charpentier Jean Andres : contrat de mariage, célébration
1710 (26. Aug.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsam: vnd bescheidene Johann Ulrich Ruckstuhl der Jung. noch ledigen Schuhmacher, des Ehrenhafften h. Johann Ulrich Ruckstuhl des ältern auch Schuhmachers vnd burgers allhier ehelicher Sohn mit beÿstand erstgemelts vatters vndt H. Johann Martin Rüegers auch Schuhmachers vnd E. E. Kleinen Raths alten beysitzers, seines herrn Vettern aks hochzeitern ane einem
So dann die Ehrn: vnd Tugendsame Jungfrn Maria Margaretha Andreßin, weÿl. M. Johann Andreßen, gewesenen Zimmermanns vnd burgers alhie seel. hind.laßene dochter, mit beÿstand H Johann Friderich Ferbers Specierers ihres Geschwornen Vogtsn vnd Mr Johann Georg Hoffets Zimmermanns ihres vettern als hochzeitern andern theils
bescheh. in Straßburg, Montags den 26. Aug. 1710. [unterzeichnet] Johannes Ulrich Rugstuhl der Juger als hochzeiter, Maria Margaretha Andareslin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 125 n° 714)
Anno 1710. den 10. Sept. seind nach gehaltener ordentlicher außruffungen in der Kirch zu St Thomas ehel. eingesegnet word. Joh: Ulrich Ruckstuhl der ledige Schuhmacher, Joh: Ulrich Ruckstuhl deß burgers und Schuhmachers alhie ehel. Sohn, und Jungfr. Maria Margaretha weÿl. Johann Andreas des gewesenen Zimmermann und burgers alhier hinderlaßene Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Ulrich Rugstuhl als hochzeiter, Mari Margreta Andreasin als hochzeitterin (i 127)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au Faubourg de Pierre dans la maison qui appartient au père du mari
1710 (23. 8.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 22) n° 20
Inventarium über Mr Johann Ulrich Ruckstuhls des Jüngern Schumachers vnd Frawen Mariæ Margarethæ Ruckstuhlin gebohrner Andreßen beed. Eheleuthe In den Ehestand zusammen gebrachte Nahrung. auffgerichtet Anno 1710. – Actum Straßburg in fernerer gegenwarth H Johann Heinrich Ferbers, Speceriers, der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts d. 23. 8.bris 1710.
In einer alhie Zu Straßburg ane der Steinstraßen gelegenen, Mt Ulrich Ruckstuhlen dem ältern des Manns vattern Zum theil Zuständigen behaußung ist befund. word. wie volgt.

Jean Ulric Ruckstuhl et Marie Marguerite Andres hypothèquent la maison au profit de la fabrique de Saint-Pierre-le-Vieux

1717 (31. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 683
Johann Ulrich Ruckstuel schuemacher und Maria Marg: geb. Andreßin beÿständlich Paul Dürr und Joh: Daniel Dürr beder Fischer
in gegensein H. Gerhardt Walter jun: handelsmanns alß Fabric Pflegers beÿm alten S Peter – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, d. Reifbadt allhier in der Steintraße in der Reifgass, einseit neben Philipp Nobis dem huetmacher anderseit neben Johann heller hinten auf der Statt graben, davon gehen 1 lb 5 ß in d. Lerchenfeldische lehen
Item die helfte ahn einem hauß c. appert: allhier in der Krautenau einseit neben H. Johann Martin Weist: anderseit neben Claus diener hinten auf Peter Fürst

Jean Ulric Ruckstuhl et Marie Marguerite Andres hypothèquent le bain aux Cerceaux et une maison à la Krutenau au profit du marchand Jean Daniel Walter

1719 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 139-v
Joh: Ulrich Ruckstuel schuemacher und Maria Marg. geb. Andreßin beÿständlich Joh. Daniel dürr fischers und Joh: Jacob dürr auch Fischers
in gegensein H. Joh. Daniel Walter handelsmanns – schuldig seÿen 15 pfund
unterpfand, den Reifbadt allhier in der Reifgaß
Item die helffte ahn einem hauß in der Krautenau der Pfaffenhoff genant

Locataire, le baigneur Jean Jacques Hoffmann meurt en 1720 en délaissant une fille qui a épousé un jardinier fleuriste. La masse propre à la veuve est de 46 livres, la masse propre aux héritiers de 3 livres. L’actif de la communauté s’élève à 81 livres, le passif à 48 livres.

1720 (19.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 4) n° 115
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehrenvest, Wohlvorgeacht und weiß herr Johann Jacob Hoffmann, der Reiffbader auch E: E: kleinen Raths geweßene alter beÿsitzer nunmehr seel. Nach seinem den 30.ten Junÿ dießes Lauffenden 1720.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, des Ehren vnd Vorgeachten Mr Johann Andreæ Heckmanns, des Schneid.s und burgers alhier, als Schrifftlich constituirten Mandatarÿ der Ehren und tugendsamen frawen Mariæ Elisabethæ Kusterin gebohrner Hoffmännin, Herrn Dietrich Christian Kusters des Kunstgärthners beÿ Ihro hochfürstl. durchlaucht Zu hohlstein eheliche haußfrauen als des abgeleibten seeligen mit hernach benanter seiner hinderbliebenen Wittib ehelich erzielte tochter undt ab intestato verlaßene einiger Erbin, In deren Nahmen aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg mittel, (…) der Ehrenvest und weiße H Isaac Hannß Metzger, Metzger und vorher angedachten Kleinen Raths jetziger beÿsitzer inventirt durch die Ehren und tugendsame Frau Annan Martha, Hoffmännin gebohrne Baumännin, die hind.bliebene Wittib mit beÿstand des Ehren und wohlgeachten Hn Johann Georg Felßen des Speÿrbades. und burg. allhier geschwornen Curatoris (…) So geschehen in Straßburg en 19.ten Augusti anno 1720.

In einer allhier zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen und in dieße verlaßenschafft nicht gehörigen behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Weiberstub, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Vor der Wohnstub, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer
Ergäntzung der Wittib ohnverändert guths, Nach besag Inventarÿ über d. Wittib in die Ehe gebrachte Nahrung durch H Johann Philipp Schübler Not. publ. in Anno 1699. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 28, Sa. Werckzeugs auch Schiff und geschirr Zum Bader handwerck gehörig 3 Sa. Silbers 1 Sa. goldenen Rings 1 Sa. Schuld 30, Ergäntzung (118, Abgang 100, per rest übrig) 17, Summa summarum 82 lb – Schulden 35, Nach deren Abzug 46 lb
Der Erbin ohnverändert guth, Sa. haußraths 8, Sa. Schulden 25, Summa summarum 33 lb – Schulden 30, In Vergleichung 3 lb
Das Theilbahr Vermögen, Sa. haußraths 58, Sa. Werckzeugs gemachter Badwahr auch Schiff und geschirr Zum Bader handwerck gehörig 23, Summa summarum 81 lb – Schulden, Verbleibt 33 lb
Stall Summ 42 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Sontags den Ersten Junÿ neuen Calenders Anno 1698. Johann Philipp Schübler Notarius publicus juratus.

Jean Ulric Ruckstuhl et Marie Marguerite Andres hypothèquent à nouveau la maison au profit du marchand Jean Daniel Walter

1720 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 203-v
Johann Ulrich Ruckstuhl Schuemacher und Maria Margaretha geb. Andresin mit beÿstand Jacob und daniel gebrüdere der Dürren fischer
in gegensein H. Johann Daniel Walters handelsmanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, erstlich das Reiffbad cum appertinentÿs in d. Steinstraß auff reiffgaß
Item die helffte für ohnvertheilt ahn einem hauß Und hoff cum appertinentÿs d. Pfaffenhoff genandt allhier in der Krautenau einseit neben H. Martin weinsticher neben denen diemerischen erben

Jean Ulric Ruckstuhl loue le bain aux Cerceaux au baigneur Samuel Schuck et à sa femme Marie Salomé Hetzel

1720 (15.10.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 492-v
Johann Ulrich Ruckstuel Schuemacher
in gegensein Samuel Schuck baders und Mariæ Salome Hetzelin
in seinen allhier in der Vorstatt Steinstraß in der reiffgaß liegend. Wohnhauß das reiffbad genannt nachfolgende gemach und gelegenheiten Nemlich Unten die badstueb, platz zu ohngefähr 10 fud. holtz zu legen, Mehr einen kleinen aparten keller, Ferner zwo stueben eine Stub Cammer und Kuchen auff einem boden eine steeg hoch droben So dann zwo stiegen hoch eine Cammer vor die gesellen und endlich 3. steeg hoch droben ein bühnlein, alles auff 4 Jahr lang anfangend auff Weÿnachten 1720 – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund

Le conseil de la Lanterne a infligé une amende au barbier Samuel Schuck pour avoir rasé son parrain souffrant hors de sa boutique. Les représentants de la Lanterne font observer que le contrevenant est un récidiviste. Les Quinze constatent que le règlement stipule que les barbiers ne doivent pas exercer leur métier hors de leur boutique. Ils réduisent l’amende du pétitionnaire.
1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Samuel Schucken Außschröpffer C. E. E. Zunfft zur Lucern
(f° 143) Sambstags den 31. May 1710. – S. nôe Samuel Schucken des Außschröpffers Cit. per Sched. E E Zunfft Zur Lucern Zunfftmr. H. Rath. Mollinger, Pplis klagt daß Citirte, Ihne, weilen Er seinen gevettermann und haußmeister, so etwas unpäßlich war, außer seinem Hauß rasirt, vmb 5. lb mulctirt bittet deßwegen deputationem et factâ relatione, Ihne der straffen gnädig Zu erlaußen.
G. Citatus præs. berichtet daß Implorant wid. gegebenen Articul Gehandelt, bittet dahero des ergangenen bescheids manutenenz. S. priora. Erk. gebettene deputation willfahrt. Ob. Handwercks Hh.

(f° 196-v) Montags den 11. Aug. 1710. – Samuel Schucken C. E. E. Zunfft zur Lucern
Iidem [Obere Handwercks Herren] par Herrn Friden es habe Samuel Schucken der Außschröpffer Ca E. E. Zunfft zur Lucern geclagt, daß Sie Ihne, weilen Er seiner Gevatterman, auß dem hauß rasirt umb 5 lb d gestrafft hetten, anbeÿ man denselben ferner angehört, habe er bekennen müßen, daß Er seinen Gevatterman rasirt habe, anbeÿ vermeldet, daß Er schon müßte, wie Er sich ernehre. Noîe ged. Zunfft seÿe erschienen, Herrn Rathh. Mollinger et Cons. die berichtet, daß es nicht das erste mahl wäre, daß Kläger dergleichen Gethan habe, derselbe halte allerhandt leüth auff, nehme Sie in die Cur, undt richte fast eine gantze Barbierstub auff, anbeÿ gebetten, Sie beÿ ihren articklen gn. zu manuteniren.
H. Frid lißt dießelbe ab, dahin gehendt, daß denen Badern das rasiren außerhalb ihren Haüßern beÿ 5. lb straff verbotten seÿn solle. Weilen dießer articul Clar, so halte man davor, daß es biß solchen gelaßen, mithin der Implorant, wider an E. E. Zunfft gericht cum moderatione besagter straff auff 3. lb d Verwießen werden Könte. Erkandt, Bedacht gefolgt.

Jean Ulric Ruckstuhl et Marguerite Andres hypothèquent leur maison à la Krutenau et le bain aux Cerceaux au profit du marchand Frédéric Kuntz.

1723 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 412
Johann Ulrich Ruckstuhl der schuemacher und Margaretha geb. Andreßin mit beÿstand hannß Jacob dürr und Johann Daniel Dürr beede gebrüder Fischer ihrer geschwistrigkindter und Johann Heinrich Söllner des küblers ihres schwagers
in gegensein H. Friedrich Kuntz des handelsmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine behausung cum appertinentÿs allhier in der Krauttenau einseit neben Johann Jacob Martin dem weinsticher anderseit neben Nicolaus Diemer gewesten haußfeurers wittib und Erben hinten auff Peter Fürst den zimmermann
Ferner Eine Badbehausung zum Reiff genannt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auch denen gegen über gelegenen gärttlein allhier ahne des Steinstraß in der Reÿffgaß, einseit neben Johann Philipp Nobis dem huetmacher anderseit neben Johann Georg heller dem Leinenweber hinden auff den innern Statt graben, davon gibt man 1 lb 5 ß ane bodenzinß in das Lerchenfeldische lehen

Jean Ulric Ruckstuhl hypothèque les mêmes immeubles au profit de Marie Elisabeth Wibmar femme du marchand Frédéric Kuntz

1723 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 527
Johann Ulrich Ruckstuhl der Schuemacher
in gegensein Fr. Mariæ Elisabethæ geb. wibmerin H. Friedrich Kuntz des handelsmanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung cum appertinentis allhier in der Krautenau, einseit neben H. Johann Jacob Martin den weinsticher anderseit neben weÿl. Nicolaus diemers haußfeurers wittib und erben hinten auff Peter fürst den zimmermann
ferner eine Baadbehausung zum Reÿff genannt cum appertinentis ahne der Reÿffgaß, einseit neben Nobis dem huetmacher anderseit neben heller dem Leinenweber hinten auff den Stattgraben – davon gibt man 5 ß ane bodenzinß

Baigneur du bain aux Cerceaux, Samuel Schuck meurt en 1726 en délaissant trois enfants issus de sa veuve Marie Salomé Hetzel. L’actif de la succession s’élève à 81 livres, le passif à 10 livres.

1726 (9. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 2) n° 97-b (1468)
Inventarium vndt beschreibung aller derjenig. Haab Nahr. vndt Güttere, Schulden undt gegen schuld. überahl nichts davon außgenommen, so weÿl. der ehrsame und bescheidene Samuel Schuckh geweßener bader im Reiffbad vndt burger alhier nunmehr seel. nach seinem 3 wochen vor weÿhnacht. diß 1725. sten Jahrs aus dießer Zeit undt welt genommenen tödl. hintritt Zeitl. verlaß. welche Nahr. Verlaßenschafft dato zu end stehendt auf freundliches ansuch. v. begehren deßelb. hinterbl. Wb. hernach benambste wie auch Joh: Schucken ebenfals baders v. burgers alhier mit deßelben hint. Wittib ehelich erzeugt hinterl. Kinder nahmentl. Mariæ Dorotheæ, Mariæ Salome undt Samuels, geschwornen vogts, ersucht vndt Inventirt, vndt nachdem die Wittib fr. Maria Salome gebohrne Hefelin mit assistentz vndt beÿstand Mr Andres Hägenmanns Schneiders v. burgers alhier als ane vogtsstatt hierzu erbettenen assistent, wie auch Ulrich Schäffer vnd Carl Friderich Gedre* beede bader gesellen (…) Actum Straßb. d. 9. Novembr. 1726.

Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Es berichtet fr. Maria Salome Schuckin gebohrne Hetzelin die hinterbliebenee wittib, daß Zur Zeit ihrer Verheurathung Sie vndt ihr Verstorb. ehemann seel. wenig zusammen gebracht auch wehrender ehe nichts Ererbt, deßweg. auch Zur Zeit ihrer verheurathung Keine eheberedt. mit einander auffgerichtet, noch einander etwas verschriben haben, dannenhero dann sembtl. dermahlen vorhandene verlaßenschafft ohne unterschied unter einer Massa als theilb. Inventirt vnd beschrieben word. ist.
In einer alhier Zu Straßb. auff der Reiffgaß gelegenen Joh: Ulrich Ruckstuhl dem Schuemacher Zugehörig. Behaußung das Reiffbad genant befund. word. alß volgt
In der wohnstuben
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 44, Sa. Wohn vnd Werckzeugs zum Baad. handwerck gehörig 26, Sa. Silbers 17 ß, Sa. Activ Schulden 9, Summa summarum 81 lb – Schulden 10, Nach deren Abzug 71 lb

Marie Salomé Hetzel meurt en 1748 en délaissant une petite-fille. L’inventaire est dressé au Vieux-Marché-aux-Vins dans le bain de Spire. L’actif de la succession s’élève à 8 livres, le passif à 141 livres.
1748 (17.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 65) f° 1474
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Naab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren: und tugendsame frau Maria Salome Schuckin, geb. Hetzelin, weÿl. des Ehrengeachten Mr Samuel Schuck, des geweßenen Reiffbaders und Burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nachgelaßene Wittib nun auch seel. als dieselbe Sonntag d. 24.ten Martÿ dießes lauffenden 1748.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des Ehren: und wohlvorgeachten herrn Johann Schmidts, des Reiffbaders und Burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Mariä Salome Müllerin, des Ehrengeachten Mr Johann Jacob Müllers des Schuemachers und burgers allhier mit auch weÿl. Frauen Maria Dorothea geb. Schuckin ehelich erziehlt und hinterlaßenes töchterlein, als dißorths Enckelin (…) durch die Ehren und tugendsame Frau Mariam Magdalenam Schuckin geb. Hetzelin, die Sohns frau mit beÿstand des Ehren und Vorgeachten Hn Samuel Hetzels des Versilbert Pferd Zeug und Zinn Knöpffmachers auch burgers allhier dero eheleibl. Vatters (…) So beschehen in Straßburg aug Mittwoch den17.ten Aprilis 1748.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarck gelegenen Zum Speÿrbad genandten und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
Abzug. Sa. h=haußraths 7, Sa. Silbers 5 ß, Summa summarum 8 lb – Schulden 141 lb – Mehr Schulden als nahrung dem Staltax nach 132 lb

Jean Ulric Ruckstuhl loue le bain aux Cerceaux au baigneur Jean Martin Wimmer et à sa femme Marie Salomé Gilg.

1726 (15.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 527
Johann Ulrich Ruckstuehl der Schuemacher
in gegensein Johann Martin Wimmer des Baders und Mariæ Salome geb. Jilgin des Roßbaders
In seiner auff der Reiffgaß in der vorstatt ahne Steinstraß einseit neben Johannes heller dem Leinenweber anderseit neben Johann Philipp Nobis dem huemacher hinten auff den innern Stattgraben gelegenen behausung Einen besondern gewölbten Keller in dem haußöhren platz zum holtz die Baad Stueb, Ferner eine Stiege hoch zwo Stuben so durch einen offen gewärmt werden, Eine Stueb kammer darneben sambt der Kuchen, zwo Stiegen hoch eine Kammer für die gesellen, dreÿ Stiegen hoch eine Bühn und ein Kämmerlein darneben – auff 1 jahr lang anfangend von nächst kommend weÿhnachten – 70 gu
[in margine :] Johann Ulrich Ruckstuehl in gegenwartt Maria Salome Wimmerin geb. Jilgin der wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand ihres vatters hannß Jacob Jilg des Roßbaders, auff 1 jahr lang prolongirt, anfangend auff weÿhnachten fürwährenden jahrs, um den angedungenen zinß, den 6. oct. 1727

Fils du baigneur Christophe Wimmer à Dettingen près de Heidenheim (Dettingen am Albuch) en Wurtemberg, Jean Martin Wimmer épouse en 1724 Marie Salomé Gilg, fille du baigneur du bain aux Roses : contrat de mariage, célébration
1724 (7. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) f° 120
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: vnd vorgeachten Herrn Johann Martin Wimmer dem ledigen bader von Tettingen Heÿdenheim Ampts aus dem hertzogthum Würtenberg gebürtig, des Ehrenvest wohlvorgeachten Kunsterfahrenen herrn Christoph Wimmers des Baders und Wundartztes Zu besagtem Tettingen ehelichem Sohn als dem Bräutigamb, ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Salome Gillÿin des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Gillÿ des Roßenbaders vnd burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Donnerstag den 7. Decembris Anno 1724. [unterzeichnet] Johann Martin Wimmer als hochzeiter, Maria Salome Gillÿin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 26-v, n° 105)
1724. Mittw. d. 13. Xbr. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Martin Wimmer der ledige Bader von Dettingen in dem Hertzogthum Würtenberg, Joh: Christoph Wimmers, Baders v. Wundartztes daselbst ehl. Sohn V Jungf. Maria Salome, Joh: Jacob Gilgs B. v. Rooßbaders alhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Martin Wimmer als hochzeiter, Maria Salome gillÿin als hochzeiterin (i 30)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au Bain aux Roses. Ceux du mari s’élèvent à 84 livres, ceux de la femme à 164 livres.
1725 (22.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 295
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung Vnd güethere, so der Ehren und Vorgeachte Johann Martin Wimmer, der Bader und die Ehren und Tugendsahme frau Maria Salome Wimmerin gebohrene Jillÿin beede Eheleuthe allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung, expresse enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung, reservirt vnd ohnverändert sein vndt bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 22.ten Martÿ Anno 1725.
[In ein]er allhier Zu Straßburg ane dem Rooß [-] gelegenen Vnd in die zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 34, Sa. Werckzeugs Zur Bader profession gehörig 11, Sa. baarschafft 28, Summa summarum 74 lb. – Darzu gelegt ane denen Verehrten haußsteuren Zween drittetheil 10 lb, Des Manns völlig in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 84 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 112, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 42, Summa summarum 159 lb – Hierzu kombt der drittetheil ane denen haussteuren 5, Der Frauen Völlige in die Ehe zugebrachte Nahrung dem billichen Werth nach 164 lb

Jean Martin Wimmer et sa femme native de Colmar deviennent bourgeois en 1726 en apportant une fille
1726, 3° Livre de bourgeoisie p. 1357
Johann Martin Wimmer d. bader Von Dettingen geb. und sein ehefr. Maria Salome Gilgin Von Colmar erhalt. d. b. umb die tertz d. newen b. Ir Kindt Nahmens Cath: Marg: wird beÿ ordtnung gelaßen wollen beÿ E E Zunfft d schmid dienen. Jur et prom. d. 5.ten April 1726.

Jean Martin Wimmer meurt peu de temps après. L’inventaire de ses biens est dressé en 1727. Sa veuve se remarie en 1729 avec le cordonnier Jean Jacques Bender : contrat de mariage, célébration
1727, Not. Lobstein (Jean, répertoire 65 Not 22) n° 437
Inventarium über weÿland Meister Johann Martin Wimmers des Reiffbaders seeligen Verlaßenschafft

1728 (30. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 75) n° 604
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Martin Johann Jacob Bender ledigen Schuhmacher und burgern alhier alß bräuthigam ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Salomeæ Wemmerin gebohrne Jelgin Weÿl. H Johann Martin Wimmer geweßenen Reiffbaders und burgers alhier nachgelaßene wittib alß hochzeiterin am andern theil
So beschehen Straßburg den 30.ten Novembris Anno 1728. [unterzeichnet] Johann Jacob Bader als hon Zeider, Maria Salome Wemmerin Geb. Gülÿin als hochzeiderin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 69-v n° 248)
1729. Eod. {Mittw. d. 9. Martÿ] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Jacob Bender d. Jungen Lediger schuhmacher v. b. alhier, Joh: Jacob Benders b. v. schuhmachers ehl. Sohn, v. fr. Maria Salome weÿl. Joh: Martin Wimmers geweßenen b. v. Reiffbaders Nachgel. Wittib [unterzeichnet] Johann Jacob bender Ams hoch Zeider, Maria Salome Wemmerin als hochzeiderin (i 73)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 148 livres.
1729 (16.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 32) n° 987
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Bender Schuhmachers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Salomeæ Benderin gebohrenen Ilgin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zusammen gebrachter Nahrungen auffgerichtet in Anno 1729. – in Ihren Vor kurtzer Zeit mit Gott angetrettenen Ehestand würcklich zusammen gebracht und Krafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung Ihnen und Ihren Erben als ein ohnverändert und vorbehaltenen Guth mithin die Ergäntzung des Künfftigen abgangs expresse reservirt conditionirt und bedungen (…) So beschehen in fernern beÿseÿn an seithen des Ehemanns H Johann Jacob Benders des Schuemachers seines leibl. Vatters, so dann auff seithen der Ehefrauen H Johann Jacob Ilgen des Rooßbaders ihres leibl. Vatters, beede burgere alhier, Straßburg den 16.ten Augusti Anno 1729.
Haußrath, M 41, F 108, Werckzeug Zum Schuhmacher handwerck gehörig M 5, Silber M 1, F 10 Goldener Ring F 6, Baarschafft F 22
Summa summarum des Ehemanns sambtlich eingebrachten Vermögens 49 lb
Summa summarum aller Vorher beschribener der Ehefrauen samdte Zugebrachter Nahrung 148 lb – Haussteur 16 lb

Marie Salomé Gilg meurt en 1732 en délaissant ses parents pour héritiers. L’inventaire est dressé au bain aux Roses. La masse propre au veuf est de 6 livres, celle des héritiers de 41 livres. L’actif de la communauté s’élève à 80 livres, le passif à 59 livres.
1732 (20. 8.bris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 40) n° 1189
Inventarium über Weÿl. der Ehren: und Tugendsahmen Fr: Maria Salome geb. Ilgin Mstr. Johann Jacob Bender des Schuhm: u. b. allhier zu Straßb. gewesener ehel. Haußfr: nunmehro Seel. Verlaß. auffgerichtet Anno 1732. – nach ihrem den 21. 7.bris jüngsthien ohne Verlaßung Kinder und Leibes erben genommenen tödl. hientritt hie Zeitl. verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen u. begehren Hn Johann Jacob Ilg des Rooßbaders u. Fr. Margarethæ gebohrner Altin beeder Eheleuthe u. burgere allhier der Verstorbenen Seel. Leibl. Eltern und ab intestato Erben, mit Hülff u. beÿstand Mstr Johannes Dietzen des Schneiders u. burgers allhier (…) So beschehen Straßburg Montags den 20. 8.bris 1732.

In einer alhier Zu Straßburg ane der neüen bruck gelegenen Zum Rooßbaad genannten behausung und dero inhabenden lehngemachen folgendermaßen befunden
Haußrath W 4 ß, E 52 lb, T 12 lb, Werckzeug und gemachte arbeit Zum Schuemacher handwerck gehörig W 13 ß, T 2 lb, Ergäntzung der Erben 29 lb, Summa summarum der Erben ohnveränderter Nahrung 90 lb – Schulden 25 lb, Nach deren Abzug 65 lb
Schulden W 15 ß, E 3 lb, T 12 ß
Goldener Ringe E 2 lb, baarschafft E 2, T 38, Schulden T 26, Summa summarum der Theilbahren Verlaßenschafft 80 lb – Schulden 59 lb, Conferendo 20 lb
Schulden W 25, Ergäntzung W 14, Summa summarum des Wittibers Vermögens 41 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 128 lb
Copia der Eheberedung

Jean Ulric Ruckstuhl et Marie Madeleine Andres hypothèquent la bain aux Cerceaux au profit de Jean Philippe Stœr, garde de l’accise

1729 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 603 n° 6
Johann Ulrich Ruckstuehl der Schuemacher und Maria Margaretha geb. Andreßin mit beÿstand ihrer geschwistrig Kinder Johann Daniel Dürr fischers und Johannes Arnold des schneiders
in gegensein Johann Philipp Stör garde allhießigen Umbgeldts – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine Baadbehausung das Reÿffbaad genannt bestehend in hauß hoffstatt gärttlein gegen über mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff der Reÿffgaß einseit neben Johann Philipp Nowis dem huetmacher anderseit neben Johann Philipp Heller dem Leinenweber hinten auff den graben

Jean Ulric Ruckstuhl et Marie Madeleine Andres hypothèquent la bain aux Cerceaux au profit du notaire Jean Jacques Œlinger

1731 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 126-v
Johann Ulrich Ruckstuhl der Schuemacher und Maria Margaretha geb. Andreßin beÿständlich ihres geschwistrigkindts Ehemanns Philipp Jacob Kaÿßer des Leinenwebers und ihres vettern Johann Arnold Schneiders
in gegensein H. Not. Johann Jacob Oelinger – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, die Baad behausung das Reiffbaad genannt samt einem gegen über liegenden leeren Platz mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff der Reiffgaß, einseit neben weÿl. Philipp Nowes gewesten huetmachers hinterlassenen Erben anderseit neben Johann Georg Klingler dem grempen hinten auff den innern Stattgraben – davon gibt man in das granisch modo Lerchenfeldische lehen ahne ehrschätzigen zinnß 1 lb 5 ß

Jean Ulric Ruckstuhl loue le bain aux Cerceaux au baigneur Georges Frédéric Bickert

1736 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 423
Johann Ulrich Ruckstuehl der Schuhmacher
in gegensein Georg Friedrich Bickert des baders
In seiner allhier auff der Reiffgaß einseit neben weÿl. Johann Philipp Nowis des huetmachers Kindern anderseit neben hannß Georg Klingler dem grempen hinten auff dem innern Stadtgraben stoßend gelegen behausung unden auff dem boden die Baadstueb, Einen Platz zum holtz und den gantzen vordern keller, Eine stiege hoch zwo stuben, Stuebkammer und Kuchen zwo stiegen hoch eine kammer – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkommenden Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 pfund

Le baigneur Georges Frédéric Bickert meurt en 1737 en délaissant un jeune fils non bourgeois issu de la veuve Anne Catherine Morffender. Les biens propres de la veuve s’élèvent à 30 livres. L’actif de la succession s’élève à 34 livres, le passif à 53 livres.

1737 (1.6.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 13) n° 183
Inventarium über Weÿl. H. Georg Friedrich Bickert des geweßenen baders und burgers allhier Zu Straßb. seel. Verlt. (…) so weÿland der Ehrs: undt bescheidene H. Georg Fried. Bickert der geweßene Bader in allhiesigem Reiffbad und burger Zu Straßburg nunmehr seelig. nach seinem Sontags den 14.ten des Monats Apr: fortlauffenden 1737.ten Jahrs genommenem tödlichem hintritt, hinter ihme Zeitlichen verlaßen (…) ersucht durch die Ehr und tugendsahme Frau Annam Catharinam Bickertin gebohrne Morffenderin die hinterbliebene Wittib, mit beÿstandt des auch Ehrnachtbahren H. Johann Jacob Kochen des würths Zu dem rothen Ochßen ahne allhiesiger Rheinstraas und burgers Zu Straßburg derselben geordnet undt geschworenen Curatoris, wie auch Johann Martin Bolles von Pfürdt beÿ Nürnberg derer Bader gesellen (…) So beschehen allhier on der Königlichen Statt Straßburg Sambstags den 1. des Monats Junÿ A° Dni 1737.
Denominatio haeredis, Der seelig verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen mit Nahmen Johann Theobald Bickert, so ohngefähr 3 ½ Jahr alt, In deßen Nahmen der auch Ehren u achtbare H. Johann Christoph Bohlani der Schneider vndt Burger allhier Zu Straßburg alß deßelben (…) geordnet undt geschworener Vogt
Alldieweilen aber Er der obbenamste Erb allhier frembdt und ohnverburgert, alß ist auß E. E. Kl. R. Mittel unterthänig Erbetten und Zu dießem Geschäfft gnädig abgeordnet worden der wohl Ehren Veste und Großachtbahre H Johann Ulrich Cammerern Seiler alß wohl Ehren ermeld Ehrs. Kleinen Raths dermahliger beÿständlich vnd burger allhier Zu Straßburg so auch in Persohn Zugangen ware.

Bericht Wegen dießer Verlaßenschafft. Zu wißen seÿe hiermit, demnach man Zu in gegenwertiger Verlaßenschafft Inventur geschritten undt dahero gleich Zu Anfang solchen Geschäfft die hinterbliebene Wittib befragt, ob Zwischen Ihr und dero verstorbenen Ehemann Zur Zeit Ihrer beschehenen Verheurathung keine Ehe Pacten noch nachstehender Ehe ein Inventarium Illatorum oder Letzten wille auffgerichtet worden seÿen hat dieselbe auff die gegebene Handtreu versichert, daß weder Ein noch das andere vorgegangen (…)
In einer allhier Zu Straßburg ahne der so genandten Reiffgaß gelegenen, das Reiffbadt genandten (barré : Mr Joh: Ulrich Ruckstuhl dem Schuemacher und burger alhier eÿgenthümlich zuständigen) hiehero nicht gehörigen behaußung
Ane Höltz und Schreinerwerck, Oben in der Cammer, In der Wohn Stuben, In der Wohn Stub Cammer, In der Manns oder Stub auff das Wasser
Schiff und geschirr wie auch Waaren Zum ader Handwerck gehörig
Schulden aus der T. Verlassenschafft zu bezahlend, Item Joh: Ulrich Ruckstuhl dem Schuemacher allhier solle man ahne haußzinnß pro Quartat St. Joh. Bapt: 37
Norma hujus inventarii. der Wittib ohnverändert, Sa. hausraths 29 lb, Sa. Silbers 12 ß, Sa. baarschafft 18 ß, Summa summarum 30 lb
Solchem nach wird die überige sambtliche Verlaßenschafft nach Anleitung des hievornen befindlich berichts unter einem Titul alß Theilbahr beschrieben, Sa. hausraths 7 lb, Sa. brennholtzes 2 lb, Sa. Schiff und Geschirr wie auch waar zum Baderhandwerck gehörig 24 lb, Sa. Baarschafft 12 ß, Summa summarum 34 lb – Sa. Schulden 53 lb, die Theilbahre passiva übersteigen solche Activ Nahrung in vero Pretio 18 lb – Stall summ 12 lb

Marie Marguerite Andres femme de Jean Ulric Ruckstuhl meurt en 1738 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre au veuf est de 868 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 184 livres, le passif à 1 849 livres

1739 (19.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 37) n° 1134 (1088)
Inventarium über Weÿl. der Ehren und Tugendsahmen Fr. Mariæ Margarethæ geb. Andreßin Hn Joh: Ulrich Ruckstuhls des schumachers Und Burgers allhier geweßener Ehefr. nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1738. – nach ihrem den 18. febr: lauffenden Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen Tödl. hintritt Zeitl. Verlaßen auf freundl. Ansuchen erfordern Vnd begehren H. Johann Ulrich Ruckstuhls des Feldschehrer unter dem Reg. La Marck so abweßend aber majorennis in deßen Nahmen erschienen Johann Paul Jost der Schuemacher Und burger allhier So dann H Johann Heinrich Fleischmanns, des Fischers vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Vogts Johann Jacob Ruckstuhls, beeder der abgeleibten seeligen mit dem hinterbl. Wittiber ehelich erzeugter nach Tod Verlaßener Erben, ersucht und inventirt (…) So beschehen allh. Zu Straßburg auff Montag den 19. Maÿ 1738.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen Vnd hernach beschriebener behausung befind. worden als Volgt
(f° 6) Eigenthumb ane einer Behausung und Hoffplätzlein. Eine Behaußung Hoffstatt sampt der Badstub gelegen allhier Zu Straßburg auff der Reiffgß 1. S. neben Johann Philipp Nobis gewes. Huethmach. Hinterl. Erben, 2. S. neben Joh: Georg Klingler dem Grempen hinten auff den stattgraben stoßend Zum Reiff genand; so dann i. Höffl. gegen über so etwann i. gärt. gewesen 1.s. neben Andres Hegemann dem Schneid 2. S. neben Jacob Fuchßen dem leinenweber hinten auf Clemens Reiff stoßend, davon man jährl. 15 ß Von einer Landvest allh. Statt Pfenningth. v. 1. lb 5 ß jährl. auf Martini prætendirten Ehrschatzes in das Grahinsch modo Lerchenfeldisch Lehen Zu liefern, so über dieße v. hernach unter denen passivis befindl. Onera freÿ leedig V. eigen so Vermög einer Von denen allhieß. Hh. Werckmeistern Zum Concept gel. schrifftich Abschatzung de dato 27. Junii 1738. æstimirt Vnd angeschlagen Vor undt umb 1250. lb. Hievon abgezog. die daroben hafftende onera so zu doppeltem Capital ohnverfängl. gerechnet antreffen 100 lb. Verbl. alß annoch per Rest so hiehero in Außwurff Zubringen 1150. Über Vorbeschriebene behaus. v. hoffplätzlein ist Vorhand. i. pergam. Kauffbrieff in allh. C.C. stub gef. mit deroselben anhang. Innsiegel verwahrt dedato 8. 9.bris 1714.
(f° 8) Ergäntzung der Kinder Vnd Erben ermanglenden unveränderten Mütterlichen guts. Inhalt Inventarii illatorum de 1713. durch herrn Notm. Christoph Jacob Pantrion auffgerichtet hat man denselben vor manglend Mütterlich guth zu ergäntzen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Erben Nahrung, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung 818, Summa summarum 868 lb
Des Wittibers unverändert und theibahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 34, Sa. Silbers 7 ß Sa. Eÿgenthumbs ane einer behausung 1150, Summa summarum 1184 lb – Schulden 1849 lb, Compesando 665 lb
Abschatzung dem 27: Junÿ: 1738. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheiten H Johann Heinrich ruckstull deß Schumachers ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg, auff der reiffgaßen gelegen, einseits Neben Hannß Jörg Klinger dem Krëmhen, anderseits andreß Philipß Nobiß seel. Erben, hinden auff dem Engen graben Stoßend, welche behaußung unden auff dem botten daß baht und bahtstuben, hauß Ehren Soldaten Cammer gewölbter Keller und bronen oben ihm Ersten Stock Zweÿ stuben so durch einen offen gewërmbt wërden, hauß Ehren, Nebenß stuben Cammer und Kuchen, oben underdem ein stuben Kuchen, hauß Ehren sambt 3: Cammeren Zweÿ un besetzte bienen sambt aller gerechtig Keidt wie Solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befindten und Jetzigen breÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Vmb Zweÿ tausent und Vünff hundert Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les créanciers font vendre la maison. L’acquéreur est l’un des créanciers, le notaire Jean Jacques Œlinger

1739 (7/13.8.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 362
Mittwoch d. 24. sept. 1738 – In Sachen weÿl. Maria Ursula Störin kinder vogten ad lites Klägers Contra Johann Ulrich Ruckstuehl dem Schuhmacher Bekl. zufolg Erkanntnus EE. kleinen Raths vom 7. maÿ 1738 und der Ruffzedel 11. Augusti 1738 wurde des Beklagten und deßen kinder
H. Johann Jacob Oelinger Not. Publ. als als letzt und meistbietenden Mit creditori
Bader behausung samt zugehörden ahne der Reiffgaß einseit neben weÿl. Johann Philipp Nobis des huetmachers Erben anderseit neben Johann Georg Klingler dem grempen hinten auff dreÿzehen graben
ferner ein höfflein so dermalen zu einem gärttlein gebauen samt derin befindlichen pflantzen gegen dem haus über, einseit neben Andreas Hegenmann anderseit neben Jacob Fuchs dem leinenweber hinten auff Clemens Reiff dem holtzhändler – davon gibt man 15 ß ane bodenzinß so von der Landvest der Badbehaußung dem pfenningthurn giebig sind und 1 livre auff Martini in das granisch: modo Lerchenfeldische Lehen zu entrichten habenden Ehraschätzigen zinnßes – geschehen um 1930 gulden

Jean Jacques Œlinger revend l’année suivante la maison au cavalier de la Marechaussée Claude Toussaux et à sa femme Elisabeth Roth.

1739 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 321
H. Johann Jacob Oelinger Not. Publ: und Practicus
in gegensein Claude Toussot des Cavalier de la Marechaussée d’Alsace und Elisabethæ geb. Rothin
Eine Behausung, höfflein, Bronnen, Badhauß und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten das Reiffbad genannt in der Vorstatt ahne Steinstraß auff der Reiffgaß, einseit neben Johann Georg Klingler dem grempen anderseit neben weÿl. Philipp Nowes des huetmachers erben hinten auff den sogenannten engen graben – davon gibt man in das granisch modo Lerchenfeldische Lehen 12 ß 6 d ane ehrschätig ewigen zinß
ferner Einen gegen ged. haus über liegenden garttenplatz einseit neben Andreas Högenmann dem schneider anderseit neben Jacob Fuchs dem leinenweber hinten auff Clemens Reiff dem holtzhändler cum appertinentis, davon gibt man in obged. Lehen 12 ß 6 ahne ehrschätigen zinß – als ein am 27. Septembris 1738 ahne hiesiger ganth umb 965 pfund erkaufft – um 600 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund

Les experts estiment la maison à la somme de 1 800 livres lors de l’inventaire dressé après la mort de Claude Toussaux en 1741.
La veuve et ses enfants vendent le bain aux Cerceaux et le jardin en face au baigneur Jean Schmidt et à sa femme Susanne Salomé Schaffner

1742 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 23-v
Erschienen weÿl. Claude Toussot gewesten Cavalier de la Maréchaussée d’Alsace wittib Fr. Elisabetha geb. Rothin mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Hebenstreit hauptkandten beÿ E.E. Zunfft der Schmidt, ferner Charles Toussot Cavalier de la Maréchaussée d’Alsace, mehr Andreas Mühlbaur der wirth als vogt gesagten Hebenstreit mit weÿl. Fr. Maria Catharina geb. Toussot seiner ehefrau erzeugte 6 kinder Johann Michael, Leopold, Ferdinand Wilhelm, Catharina, Margaretha Elisabetha, Johann Mathias und Johann Georg Gabriel der Hebenstreit, fermer erstgemelter H. als vogt Jean Baptiste Deldono schweitzers beÿ Mgr le Maréchal de Broglie mit weÿl. Fr. Margaretha Toussot seel. erzielter dreÿ kinder Claudine, Margaretha Elisabetha und Friedrich der Deldono und Fr. Maria Eleonora geb. Toussot obgedachten Mühlbaur eheliebstin
in gegensein Johannes Schmidt des baders und Susannæ Salome geb. Schaffnerin (laut) erkanntnus 14. Decembris jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
eine behausung, höfflein, bronnen, badhauß und hoffstatt mit übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der vorstatt Steinstraß auff der Reiffgaß, einseit neben Johann Georg Klingler dem krempen anderseit neben weÿl. Philipp Nowes des huthmachers erben, hinten auff den innern stadt graben – davon gibt man in das Granischen modo Lerchenfeldische Lehen 12 ß 6 ane ehrschätzig ewigen zinß, so dann d. hiesiger Stadt Pfenning Thurn 15 ß von der Landveste
Ferner einen gegen gedachten hauß über liegend. gartenplatz, einseit neben Andreas Högenmann dem schneider anderseit neben Jacob Fuchß dem leinenweber, hinten auff Clemens Reiff holtzhändler – davon gibt man in obgedachtes lehen 12 ß 6 ehrschätzig zinß – ihro Toussotische wittib als ein während ihrer ehe am 6. julÿ 1739 erkaufftes guth zu einer tertz, zu den zweÿ übrigen tertzen aber ihren kindern und enckeln als ein respe. groß und vätterlichen erbguth – um 600 und 500 pfund verhafftet, geschehen um 25 pfund

Fils du cordonnier Jean Schmidt à Herbrechtingen en Wurtemberg, le baigneur Jean Schmidt épouse en 1734 Salomé Schuck, fille du baigneur Samuel Schuck (ancien locataire) : contrat de mariage, célébration
1734 (7.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 305
Eheberedung – zwischen den ehrsamen vnd bescheidenen Johann Schmidt dem ledigen bader von hertbrechtigen auß dem hertzogthumb wirtenberg gebürtig, Johann Schmidtß deß Schumachers vndt burgers daselbst ehelich erzeugtem Sohn, alß hr hochzeiter ane einem,
so dann Jfr. Mar: Salome Schuckin, weÿl. deß ehrsamen Samuel Schuckhen geweßenen baders vndt burgers alhier Zu Straßburg ehelich erzeugt hinterlaßenen dochter alß hochzeiterin
auf der Jfr. hochzeiterin seithen aber Johann Jacob Müllers auch Schuhmachers vndt burgers alhier dero Schwagers, Straßburg d 7. Junÿ 1734. [unterzeichnet] Johannes Schmidt als Hochzeiter, Johann Ulrich Ruckstuhl alls beÿstandt, Maria salome schuckin hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151-v, n° 12)
1734. Fest. Pentec. et * Trinit. seind außgeruffen vndt Mittwoch darauff als den 23. Junÿ Ehelich eingesegnet worden Johannes Schmidt der ledige Bader von Herrbrechtlingen in dem Hertzogthumb Würtenberg vnd Johannes Schmidt gewesenen Schuemachers allda nachgel. Ehel. Sohn Vndt Jungfrau Maria Salome Schuckin Samuel Schuck gewesenen Burgers vnnd Baders alhie Nachgel. Ehel. Tochter, [unterzeichnet] Johannes Schmid als Hochzeiter, Maria Salome schuckin als hochzeiterin (i 154)

Jean Schmidt fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeois
1734 (2.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 153-a
(Vermögens Schein) Was Vorweißer dieses Johannes Schmid der ledige Bader von Hertbrechtigen auß dem wirtenbergischen gebürtig, so scih alhier haußlichen Niderzulaßen willens vnd an eine burgers dochter Ehelich versproch. ist, dannen hero vmbb das burgerrecht alhier unterthanig anzuhalten willens ist, Zu bescheinung seines Vermögens mir unterschriebenen Ane bahren geld 516 guld. vorgewießen v. auff den disch gelegen darbeÿ mit handtrew an eines wahren eÿdes statt auff die ihme deßweg. gethane remonstration
Straßb. d. 2. Junÿ Anno 1734.

Jean Schmidt devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1012
Johannes schmidt der bader Von Herbensteig. im wirtenbergisch. geb. erhalt d. b. von seiner ehefr. Maria Salome Samuel schucken gewes. baders alhie tochter umb d: alt b. will beÿ E E Zunfft d. schmidt dienen, Jur. eodem [31 Julÿ 1734.]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans le bain de Spire au Vieux-Marché-aux-Vins. Ceux du mari s’élèvent à 54 livres, ceux de la femme à 205 livres.
1735 (17.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 39) n° 347
Inventarium vndt beschreibung all der Jenigen haab vndt Nahrung, so der Ehrenhaffte vndt bescheidene Johannes Schmid bader im Speÿrbad, wie auch die tugendsame fr. Susanna Salome gebohrne Schaffnerin beede Eheleuthe vndt burg. alhier in Straßb: einander in den ehestand Zugebracht haben (…) ind eme sie sich in ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung beederseits ein ohnverändert guth reservirt vnd vorbehalten habe (…) actum Straßb. d. 17. Junÿ 1735. in fernern beÿseÿn Mstr Johann Jacob Müllers schumach : v. b. alhier alß von der fr. hierzu erbettenen bÿstandts.
In dem Speÿrbad alhie Zu Straßburg auf dem alten weinmarck gelegen hat sich befunden alß volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe zugebrachten Vermögen, Sa. haußraths 42, Sa. Schiff und geschirrs 35, Sa. Silbers 5, Sa. der baarschafft 9, Summa summarum 91 lb – Schulden 7, Nach deren Abzug 54 lb
Diesenmach so wird dan auch der Ehefrauen in die Ehe Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa haußraths 53, Sa. Silbers 9, Sa. Goldener Ring 10, Sa. der baarschafft 131, Summa summarum 205 lb
Haussteuren (-)

Jean Schmidt est dispensé de faire dresser un inventaire des biens de sa femme morte 21 semaines après son mariage
1735 (31.1.), VII 1178 – Livres de la Taille p. 7
Johann Schmidt der bader bittet weilen Er nur 21. wochen in der Ehe geweßen umb erlaßung der Inventur.
Fr. Maria Salome Schuckin der Verstorbenen Mutter und Erbin mit beÿstand Johann Ulrich Ruckstuhl des Schuemachers bitten gleiches. Erkannt Willfahrt.

Jean Schmidt se remarie avec Susanne Salomé Schaffner, fille de l’oculiste Christophe Schaffner : contrat de mariage, célébration
1735 (29.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 359
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen Johannes Schmid, dem bader, burger undt wittiber alhier alß hochzeiter ane einem
So dann der tugendsamen Jfr. Susannæ Salome Schaffnerin, weÿl. H Christoph Schaffners geweßenen oculisten undt burg. alhier ehelich erzeugten hinterbl. dochter alß hochzeiterin andern theilß
Actum in beÿseÿn auf seith. deß hochzeiters Mstr Joh: Jacob Müllers Schumachers seines Schwagers, auf der Jfr. hochzeiterin seith. aber errn Georg Gottfried Gambsen deß handelßmanns beeder burgere alhier alß hierzu erbettener assistenten, Straßburg den 29. Aprilis A° 1735. [unterzeichnet] Johannes Schmid als Hochzeiter, Susanna Salome Schaffnern Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 155-v, n° 13)
1735. Dom. Exau. et Fest. Pentec. seind außgeruffen vndt Mittwoch darauff als den 1. Junÿ Ehelich eingesegnet worden Johannes Schmidt Witwer Burger vnd Speÿrbader allhier Vndt Jungfrau Susanna Salome Schaffnerin H. Johann Christoph Schaffnern Augen Artztes vnd Burgers alhier Nachgel ? Ehel. Tochter, [unterzeichnet] Johannes Schmid als Hochzeiter, Susanne Salome Schaffnerin als hochzeiterin (i 158)

Native de Strasbourg, Susanne Salomé Schaffner devient bourgeoise par son mari.
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1022
Susanna Salome schafnerin Johann schmids b. und baders ehefr. von hier geb. erhalt d. b. gratis wird beÿ E E Zunft d. schmidt dienen. Jur. eodem [27. Julÿ 1735]

Le conseil de la Lanterne inflige en 1740 une amende à Jean Schmidt qui a saigné une cliente hors de sa boutique. Il argue que l’intervention était urgente.
1742, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
Johannes Schmid Speÿr bader beclagt
(f° 39) Dienstag den 12. Julÿ 1740 – Idem [Herr Geörg Friderich Euth der althmeister der Chirurgorum] Klagt C. Johannes Schmid den speÿhr bader dahier daß Er Fraw Grünbachin über gaß Zur Ader gelaßen auch ohne schür rasiren thue.
Beklagter sagt daß Erstere seÿe Ein nothfall gewesen sonsten Müste Er auch suchen Weib Vndt Kindt Zue Ernähren.
H Kläger bittet wegen die gestännuß beklagten den articul bessern Zue machen, Cum Expensis.
Erkandt solle der beklagte den articul bessern mit 5 lb d refusis Expensis. Beklagter bittet Vmb Gnad Vnd Verspricht sich Zur bessern. Warauff Ihme die helffte nachgelassen, mit beÿsatz 6 ß Unkösten.

Le conseil de la Lanterne inflige en 1742 une amende à Jean Schmidt qui rase des clients hors de sa boutique.
(f° 156) den 12. Apr. 1742 – H Geörg Guldten der Altmeister der Herren Chirurgorum dahier Klagt Ca. Johannes Schmid den Speÿr bader daß derselbe über gass rasire und ader laße, bittet denselben den articul bessern Zu machen cum expensis zumahlen derselbe schon den 12.ten Julÿ 1740. in dergleichen stücken betretten worden vnd solch weg. den aricul Zu bessern Condemnirt worden.
Beklagter Zugegen ist Zwar der ahnklag nicht geständig, Jedannoch sagt Er Er tractire alle die Jenige welche Zu Ihme daß vertrawen haben.
Nach gehaltener umbfrag Ist Erkandt seÿe beklagter ahnzuhalthen Weÿlen Er schon Zum 2. mahl betretten worden den articul mit 5 lb Zu bessern nebst abtrag der Unkösten.
Beklagter bittet umb Gnad, Warauff Ihme 1 lb d nachgelassen worden mit beding sich nicht mehr bedretten Zu laßen.

Jean Schmidt loue une partie de sa maison au fabricant de poudre Jean Frédéric Huber

1742 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 287-v
Johannes Schmidt der bader
in gegensein Johann Friedrich Hubers des Pulvermachers
verlühen, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig auff dem Reiffgaß in der Vorstatt Steinstraß gelegenen badbehausung, das reiffbad genandt, auf dem ersten stock eine stub, stub kammer, kuchen, eine kammer auf dem graben hinauß eine stub auch dahin sehend, eine trockneÿ auf dem zweÿten stock, eine kammer gegen dem graben, eine kleine mit dielen gemachte kammer gegen der gaß, einen keller gegen dem graben samt der landveste und darauff befindliche reebheld, wie auch den gebrauch der badstüben solang er der verlehner das hauß nur selbst wohnen wird – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Jean Schmidt meurt en 1752 en délaissant trois enfants. Le bain aux Cerceaux est porté à la somme de 1101 livres, la maison construite sur le terrain en face à la somme de 719 livres. La masse propre à la veuve est de 235 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 893 livres, le passif à 2 209 livres.

1752 (3.8.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 16
Inventarium über und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthern, so weÿland der Ehren und wohl vorgeachte auch Kunsterfahrene H. Johannes Schmidt geweßener Reiffbader und Burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seeliger, nach seinem Mittwochs den 22. Martÿ dieses lauffenden 1752 Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehrengeachten Meister Philipp Jacob Kaÿsers des Leinenwebers und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Jgfr: Mariæ Dorotheæ, Jgfr: Susannæ Salome und Johannis der Schmidt, des abgeleibten seeligen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben (…) durch die Frau Susannam Salome gebohrne Schaffnerin, die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Wohl Ehren und Kunsterfahrnen herrn Georg Friedrich Nestlins, des Trusenbaders und burgers allhier (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 5.ten Augusti A° 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern (E et T). Eine behaußung, Höfflein, bronnen, badhauß und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, das Reiffbad genanndt, allhier in der Vorstatt Steinstraaß auff der Reiffgaß, einseiths neben weÿland Johann Georg Klinglers des Grempen seeligen Wittib und Erben, anderseiths neben weÿland Philipp Nobes, des geweßenen huthmachers seeligen Erben, hinten auf den so genandten engen hindern Stattgraben stoßend, gelegen, davon gibt man jährlichen in das Lerchenfeldische Lehen 12 ß 6 d ane Ehrschätzigen ewigen Zinnß, so dann 15 ß d ane bodenzinß wegen dem Landvest, sonsten aber über hernach beschriebene beschwerden freÿ, leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut abschatzung Zeduls vom 26.ten Julÿ 1752 angeschlagen pro 1101 lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentenen Kauffbrieff inhaltend wie Claude Toussot der Cavalier de la Marechaussée und deßen Ehefrau solche behaußung von herrn Notario Joh: Jacob Oelinger an sich erkaufft de dato 6.ten Julÿ 1739 mit der Statt Straßburg anhangenden C. C. Innsiegel corroborirt u mit N° 1 notirt, dabeÿ man es wiederum gelaßen, Ferner soll darüber besagen ein teutscher Pergamentener Kaufbrieff wie der verstorbene seeliger und deßen hinterbliebene nunmahlige wittib solches an sich erkaufft, so sich aber beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventation nicht hervorgethan, zum bericht.
Item Eine behaußung, Höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß auf der Reiffgaß einseiths neben Meister Andrea hegemann dem Schneider anderseith neben Meister Joh: Jacob fixen dem auch Schneider und hinten auff herrn Clemenz Reiff dem holtzhändler stoßend gelegen, davon reicht man gleichfalls in das Lerchenfeldische Lehen 12 ß 6 d ane ewigen Ehrschätzigen Zinß sonsten aber über hernach beschriebene beschwerden freÿ, leedig eigen und durch vorgemeldte der Statt Straßburg geschwohrene Werckleuthe laut abschatzungs Zeduls von obigem dato gewürdiget umb 719, lb. Hierüber meldet vorher allegirter Kaufbrieff sub dato 6. Julÿ 1739 mit N° 1 notirt. Ferner solte hier über besagten I. neuere Kauffverschreibung wie nembl. der Verstorbene seel. und die Wittib dießen platz an sich erkaufft haben, maßen Sie erst wie die Wittib nach Notarium berichteten ein hauß wehrender Ihren Ehe darauf gebauet haben, so sich aber nicht hervorgethan, zum Bericht.
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen ohnveränderten Guths Inhalt Zugebrachtn Nahrungs Inventarÿ über beeder Zertrennten Eheleuthe Zur Zeit Ihrer Verheürathung durch h. Notarium Johann Brackenhoffer in Anno 1735 aufgerichtet
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 5 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. goldenen ring 4 lb, Sa. Schuld 40 lb, Sa. der Ergäntzung 184 lb, Summa summarum 235 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahres Vermögen. Sa. hausraths 49 lb, Sa. Waar zur bader Profession gehörig 15 lb, Sa. silbers 6 lb, Sa. goldenen Rings 14 ß, Sa. Eigenthums ane häußern 1820 lb, Summa summarum 1893 lb – Schulden 2209 lb, In Vergleichung 316 lb – Mehr schulden als Nahrung der Stall tax nach 81 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) den 29. Aprilis 1735, Not. Johannes Brackenhoffer

La veuve de Jean Schmidt fait appel devant les Quinze d’une amende qui lui a été infligée. Le corps des chirurgiens objecte que l’appel a été interjeté trop tard. Les Quinze réduisent l’amende de moitié.
1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
(p. 368) Sambstags den 31. Augusti – Johannes Schmidt des Reiffbaders Wittib Contra Chirurgos
Idem [Pastorius] nôe Weÿl. Johannes Schmidt des gewesenen Reiffbaders und burgers Wittib Ca. E. E. mstrschafft derer chirurgorum, alt meister prod. unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlag sub litt. A. Faust die gegnerin hat den bescheid sub litt A in rem judicatam erwachßen laßen, bitt demnach dieselbe nicht mehr anzuhören, Wiederspricht dero memor. und bittet dieselbe in ipso limine Judici abzuweißen ref exp. Pastorius beziehet sich auff Contenta producto und bitt die darinn facte prælectione ist Erkannt daß die angesetzte straff der 5. lb d Ex gratia auf die helfte zu moderiren seÿe, ref. Exp.

Susanne Salomé Schaffner meurt en 1778 en délaissant trois enfants. La succession comprend la maison édifiée sur l’ancien jardin face au bain aux Cerceaux. Les experts estiment la maison 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 995 livres, le passif à 62 livres.
1778 (6.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 823) n° 807
Inventarium über Weil. Fr. Susannä Salome Schmidin geb. Schaffnerin, auch weil. Hn Johann Schmid des geweßenen Reiffbaders und b. allhier zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1778. – nach ihrem den 5.ten Februarÿ dieses lauffenden 1778.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier Zu Straßburg, auf Freÿtag den 6.ten Martÿ 1778.
Der Verstorbenen Frn. seel. per Testamentum Verlaßene Erben sind 1.mo Fr. Maria Dorothea Broßerin geb. Schmidin H.Jacob Broße des Reiffbaders und b. allhier Zu Straßburg eheliche haußfraw, welche mit beihülff dießes Ihres manns beÿ gegenwärtige Verlaßenschafft Inventur erschienen, In den Ersten dritten Stammtheil, 2.do weil. Fr. Susanna Salome Klockin geb. Schmidin mit H Johann Christian Klock dem bürstenbinder und Sigristen zum alten S Peter Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehle auch lebende beede Kinder als a) Jfr Susanna Salome Klockin und b) Johann Daniel Klock, deren geordneter Vogt ist vorgedachter H Joh: Jacob Broße der Bader und burger alhier, weilen aber derselbe beÿ dießem Verlaßenschafft Geschäfft selbsten uxorio nôe interessirt ist, als were beÿ dießer Verlaßenschafft Inventur an deßen Stelle Zugangen, H Johann Daniel Stöber, Notarius publicus und Practicus alhier, welcher als theilvogt behöriger orthen præstanda præstirt hat, In den Zweÿten dritten Stammtheil und dann 3.tio Hr Johannes Schmid, der ledige Chirurgus, welcher dieser Verlaßenschafft Inventur in selbst eigener Persohn abwartete, In den dritten und letzten Stammtheil, Alle seind der Verstorbenen Fr. seel. mit vorgedachtem weil. H. Johann Schmid dem geweßenen Reiffbader und b. allhier Ihrem Ehemann seel. ehel. erziehlte Kinder und Enckel und per Testamentum zu dreÿen Stammtheilen Verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen u. in diese Verlaßenschafft gehörigen behausung befund. worden als folgt
(f° 4-v) Eigenthumb ane einer Behaus. Neml. i. behaußung, höffl. und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörd. und Gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Straßb. in der Vorstatt Steinstras auff der Reiffgaß, 1. s. neben N. Kestenman dem tabackbereiter, 2. s. neben weil. Mr Joh: Jacob Fixen des geweßenen Schneiders Wittib und hinten auf weil. H. Clements Reiff des holtzhändlers Wb. stoßend gelegen, davon reicht man in das Lerchenfeldische Lehen 12 ß 6 d ane ewigen Ehrschätzigen Zinß sonsten aber gegen männigl. freÿ, leedig eigen und dh. löbl. Statt Straßb. geschwohrne Werckhleuthe vermög Abschatzung Zeduls vom 11.ten Martÿ gewürdiget pro 400 lb. Abgezogen der darüber haftende Zinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 31 lb, Restirt noch 368. Dießerwegen Vorhand ein teutsch. perg. Kauffbrieff über diese und des Reifbaad besagende ab. seith diesem Fr. Broßin cedirte Behauß. in alh. C. C. stub gefertiget d. d. 6. Julÿ 1739. Und dann j. ferners teutsch perg. Kauffbrieff weißend wie beede nun verstorbene Schmidtische Eheleuth diese behausung nebst dem Reifbad wehrend ihrer Ehe an sich gebracht haben und ist derselbe in alh. C. C. Stub auf pergam. gefertigt u. v. 22. Januarÿ 1742. datirt.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Verstorbenen seel. vor H. Not. Johann Daniel Langheinrich den 14. 7.br 1758. errichteten Codicill
Copia der Verstorbenen seel. vor gedachtem H. Not. Johann Daniel Langheinrich den 30.ten Augusti 1770 errichteten Testamenti nuncupativi
Sa. hausraths 43, Sa. Silbers 1 , Sa. goldenen ring 12 ß, Sa. pfenningzinß hauptgüter 550, Sa. behaußung 368, Sa. der Schulden 31, Summa summarum 995 lb – Schulden 62 lb, Nach deren Abzug 932 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 100 lb
Copia Codicilli – persönlich erschienen Susanna Salome Schmidtin gebohrne Schaffnerin, Weÿland herrn Johann Schmidts des geweßenen Reiffbaders und burgers allhier Zu Straßburg seeligen nachgelaßene Wittib gesunden, gehend und stehenden Leibes (…) Donnerstags den 14. Decemb. Abends Zwischen 5. 6. und 7. Uhren Anno 1758. H. Not. Johann Daniel Langheinrich
Copia Codicilli – persönlich erschienen Frau Susanna Salome Schmidtin gebohrne Schaffnerin, Weÿland herrn Johannes Schmidts geweßenen Reifbaders und burgers allhier Zu Straßburg seeligen nachgelaßene Wittib, gesunden, gehend und stehenden Leibes (…) Straßburg auf Donnerstag d. 30 augusti Nachmmittag zwischen 1. 2. und 3. Uhren Anno 1770. H. Not. Johann Daniel Langheinrich

Marie Dorothée Schmidt devient seule propriétaire de la maison par une cession passée le 15 juin 1773 devant le notaire Jean Daniel Langheinrich (référence donnée à l’inventaire de 1784)
Elle épouse en 1754 Jean Jacques Brosé, fils du pasteur Jacques Brosé de Kürnbach en Wurtemberg : contrat de mariage, célébration

1754 (7.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 33
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehren: vnd bescheidene Herr Johann Jacob Broße von Körnbach gebürtig, Würtenbergischer herrschafft H Jacob Broße des gewesenen Pfarrers daselbst seel. nachgel. Sohn
und die Viel Ehren: und tugendsahme Jungfr. Maria Dorothea Schmidin, weÿland herrn Johann Schmid den geweßenen Reiffbaders und burgers allhier, nun seel. nachgelaßene tochter an dem andern theil
auff der Jgfr. Hochzeiterin seithen H Philipp Jacob Keÿßers, des wullenwebers, und burgers allhier dero ohnentledigten Vogts, auf Mittwoch den 7.ten Augusti 1734 [unterzeichnet] Johann Jacob Broße als hochzeiter, Maria Dorothea Schmidin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 209, n° 3)
1754. Sonnt. VI et V V.quag. proclamati, Mitt. d. 12. copulati H Joh: Jacob Broße, lediger Bader u. b. h. l. gebürtig v. Kürnbach Würtenbergischer herrschafft, weÿl. Hn Joh: Jacob Broße gew. Evangel. Pfarrers daselbst ehel. sohn u.Jgfr Maria Dorothea weÿl. Hn Johannes Schmidt gew. Baders u. b. ehel. tochter [unterzeichnet] Joh: Jacob Broße hochzeitern Maria Dorothea schmidin hochzeitterin (i 213)

Jean Jacques Brosé demande une attestation d’après laquelle les sujets wurtembergeois ont le droit de s’établir à Strasbourg
1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
(p. 434) Sambstags d. 14. Augusti 1762. – pt° attestati des freÿzugs mit Würtenberg
Osterrieth p. Freundt nôe Johann Jacob Broße des Baders und Burgers allhier der ist eines attestati benöthigt daß die Würtenbergische unterthanen gegen die Statt Straßburg freÿzug seÿen, bitt ihme damit in forma probante gnädig Zu willfahren. Erk. Willfahrt.

Le baigneur du bain aux Cerceaux Jean Jacques Brosé meurt en 1784 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 855 livres, celle des héritiers de 176 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 635 livres et le passif à 445 livres.

1784 (6.4.), Not. Zimmer (6 E 41, 1432) n° 615
Inventarium über Weiland H. Johann Jacob Broße, des gewesenen Reifbaders und burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1784. – nach seinem den 6.ten Januarii 1784. aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, hier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Frauen Mariä Dorothea gebohrner Schmidtin, des Verstorbenen hinterbliebener Wittib, beiständlich Herrn Johann Schmidt, des Chirurgi und Burgers alhier ihres H. Bruders inventirt (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg den 26. Aprilis Anno 1784.
Der Verstorbene Hat ab intestato Zu deßen einigen Erben hinterlassen, benantlich 1.mo Jungfrau Dorotheam Salome Broßein, so majorennis Zu seÿn declarirte, und beiständlich Herrn Frantz Lorentz Marchal des Chirurgi und E. E. Grosen Raths dermaligen wohlmeritirten beisitzers hiebei persönlich anwesend war und 2.do Johann Philipp Heinrich Broße, so 12. Jahr am leben, beide sein des Verstorbenen mit Eingangs gedachter deßen hinterbliebener Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilen nachgelaßene Erben. Vorgementer minorennen Sohns geordnet und geschworener Vogts ist Herr Johann Arnold Isengarth, Chirurgus und burger alhier

In einer alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Steinstras und der sogenanten Reifgaß gelegener und hernach beschriebener behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Häusern und Zugehörden. Erstlich eine behausung samt der Baad-Gerechtigkeit das Reifbad genant, mit allen deren übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstadt Steinstraas in der Reifgaß, einseit neben Conrad Mecken dem Weber anderseit neben Mr N. Nobes dem Schuhmacher und hinten auf den Stattgraben, der Enge Graben genant, stosend, so auser 15 ß bodenzinß so man jerlich hiesiger Stadt Pfenningthurn und 13 ß 6 d Ehrschätzigen Zinß, so jährlich in das Lerchenfeldische Lehen Zu entrichten wie auch hernach eingetragene Passiv Capitalien, frei, ledig, iegen und durch die Hh. Werckmeistere und geschworne Schätzer dieser Stadt, vermög ihres Zu der Minutte dieses Inventarii gelieferten und dabei annectirte verbliebenen Abschatzungs Zettuls d.d. 4.te May 1784. angeschlagen worden vor 600 lb. Und wann bemelte Ehrschätzige wie auch bodenzinß zusammen antreffend 1 lb 5 ß 6 d in doppelten Capital berechnet, hievon abgezogen wird mit 57, So verbleibt an bemelter Æstimation annoch hier auszuwerfen übrig 543. Über bemelte Behausung und Zugehörden besagt eine vor Weiland H. Not° Johann Daniel Langheinrich den 15. Junii 1773. passirte Erbs Cession. Und dann Zwen teutsche pergamentene Kaufbrief sowohl über vorherige als auch hernach erwehnte behausung lautend, und in allhiesiger C. C. Stub den 6.ten Juli 1739. und 22. Januarii 1742 passirt
So dann eine Behausung Höfflein und Hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstadt Steinstraas in der Reifgaß (…)
(f° 10) Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Wie die hinterbliebene Wittib auf beschehenes Anfragen declarirt, so seÿe weder ihr noch des Defuncti in die Ehe gebrachtes Vermögen inventirt worden (…)
Ergäntzung der Erben daurender Ehe abgegangener unveränderter Guts. Nemlich vermög das, aus der Ambeÿ Heitterbach, Zinßbacher Pfaltzgraffenweiler Staats und Dornstetter Oberamtes den 3. Maÿ 1763. gefertigten theil und Verwieß; Zettuls inhaltend was dem Verstorbenen bei Abtheil und Erörterung weiland Fr. Annä Catharinä Margarethä Reidermeÿerin, gebohrner Suhnin auch weiland Christian Riedermeÿer hinterbliebener Wittib, seiner gewester eheleiblicher Mutter Verlaßenschafft erbsweise zugekommen (…)
(f° 12) Ergäntzung der hinterbliebeneen Wittib stehend sieser Ehe alienirten unveränderten Vermögens. Zufolg der durch H Johann Friderich Lobstein Notm publ. und practicum allhier in Anno 1778. gefertigter Designation über dasjenige so ihri der Wittib bei Vergelich Abtheil und Erörterung ihrer Mutter weiland Fr Susanna Salome Schmidtin gebohrnen Schaffnerin auch weiland H Johannes Schmidt gewesenen reifbaders und burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft (…)
(f° 14) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der an 7. Augusti 1754 auffgerichteter Eheberedung. Copia des vor weiland H Notario Johann Daniel Lanheinrich deb 3. Septembris 1770. auffgerichtete Codicilli nuncupativi
Des hinterbliebenen Wittib unveränderten Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 1, Sa. goldener ring und dergleichen Geschmeids 3, Sa. Eigenthums ane Häusern und Zugehörden 918, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzung (63, Abgang 1371) Summa summarum 1012 – Schulden 1868 ln In Vergleichung, Passiv onus 855 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Kleidung und weisen gezeug 22, Sa. Silbers 4, Sa. Ergäntzung 174, Summa summarum 201 lb – Schuld 25, Nach deren Abzug 176 lb
Endlich folgt auch die Beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guts, Sa. haußraths 58, Sa. Wein und leerer Faß 53, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 200 Sa. Schuld 1307, Summa summarum 1635 lb – Schulden 445 lb, Nach deren Abzug 1190 lb
Stall Summ 471 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Mittwoch den 7. Augusti 1754, Johann Friderich Lobstein, Notarius juratus
Copia Codicilli nuncupativi – persönlich erschienen Herr Johann Jacob Broße Reiff Bader und burger allhier Zu Straßburg von der Gande Gottes guter Richtiger Sinnen Vernunfft Verstandts und Gesprächs (…) beÿ gesunden gehend und stehenden Leibs (…) auf Montag den 3. Septembris Nachmittag zwischen Ein, Zwei und Drei Uhren Anno 1770, Johann Daniel Langheinrich, Nots: publ. juratus
Abschatzung Vom 4. Maÿ 1784. Auf geberen Weÿland Herr johann jacob Broser dem geweßenen Reiffbader ist Eine behausung alhie in der statt strasburg auf der Reÿffgas gelegen Eins eÿths neben Kunrath Mercke dem Webern anderer seÿts neben Meister Nobes dem schuhmacher und Hinten aus den Engengraben stoßend gelegen, solche behausung bestehe in Einem bad und badstube, ferner in Zweÿ stuben Zweÿ Kuchen und Etlichen Kammern, darüber ist der dachstuhl mit breid Zigel belegt, hat auch ein gehtrembter Keller gleinen Hofff und brunnen Vor und und Ein Tausend Zweÿ Hundert gulden
Der zweÿte begriff ist auch alhie in der statt straßburg auff der Reiffgaß (…)
Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Acht Hundert gulden. [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr., Götz WMstr.

Marie Dorothée Schmidt cède la maison à sa fille Dorothée Salomé lors du contrat de mariage passé avec le baigneur Frédéric David Ræser, originaire de Winnenden en Wurtemberg (près de Stuttgart) ; contrat de mariage, célébration

1784 (25.6), Not. Zimmer (6 E 41, 1445) n° 284
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Friderich David Räßer, der ledige Bader Von Winnanden, Herzogl. Würtenbergischer Herrschafft, Herrn Joseph Friderich Räßer,n des Chirurgi Zu bemeltem Winnanden mit Fraun Maria Dorothea gebohrner Obermüllerin ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam ane einem
Sodann Jungfrau Dorothea Salome Broßerin, weiland Herrn Johann Jacob Broße, des gewesenen Reifbaders und burgers alhier mit Fraun Maria Dorothea gebohrner Schmidin deßen hinterbliebene Wittib ehelich erzeugte tochter, beiständlich Herrn Frantz Lorentz Marchal des Chirurgi und E. E. Grosen Raths alhier dermaligen wohlverdienten beistands als Jgfr. Brauth abe dem andern theil
Sechstens hat Eingangs erwehnte Fr. Maria Dorothea Broßein geborne Schmidtin der Hochzeiterin eheleibliche Mutter, beiständlich H Johannes Schmidt, des Chirurgi und burgers alhier ihres Bruders der Jgfr. Brauth ihrer tochter, als eine Ehesteur mit in die Ehe Zugeben versprochen, hiemit auch verschriben und Zugesagt die ihme eigenthümlich zuständige behausung samt der Bad: gerechtigkeit, das Reifbad genant, mit allen deren übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstatt Steinstraas, in der Reifgaß, einseit neben Conrad Merke, dem Weber, anderseit neben Mr N. Nobes dem Schumacher, und hinten auf den Stattgraben, der Enge Graben genant, stosend, so auser 15 ß bodenzinß so man järlich hiesiger Stadt Pfenningthurn, und 13 ß 6 d Ehrschätzigem Zinß so jährlich in das Lerchenfeldische Lehen Zu entrichten, frei, ledig, eigen, diese ihr der Jgfr. Hochzeiterin verschriebene Ehesteur jedoch anders nicht dann unter nachstehenden ausdrucklichen Bedingungen und Vorbehalt als
a) Solle Sie die Jgfr. Brauth verpflichtet seÿn, Vor diese ihro hiedurch Zur Ehesteur verschriebene Behausung und bad gerechtigkeit wie auch Zugehörden in ihre künftige Verlaßenschaft die summ von 3000 Gulden hiesig. currento einzuschiesen auh ihren Antheil hieran wieder Zu beziehen haben.
b) Hat sie die Jgfr. Hochzeiterin vorbemelten auf der behausung haftendem Bodenzins sowohl als auch Ehrschätzigem Zinß Zu übernehmen und solchen vom tag der Copulation angerechnet und künftiger Zeit aus dem ihrigen Zu entrichten.
c) Solang es bemelter verwittibten Fr. Brosein beliebig, sollen sowohl alle Kösten, Beschwerden und abgaben so bemeltes bald berühren und davon abhängig, wie auch die samtliche Einkünfte desselben zwischen ihre der Frau Wittib Zur einen, und berührten beeden Hochzeitlichen Personen Zur übrigen Helfte gemeinschaftlich seÿn und bleiben, dergestalten daß an dem abfallenden Nutzen sowohl als auch dem wider verhofften entsteheden Verlust Jeder theil die Helfte Zu empfangen und beizutragen haben solle
So geschehen alhier zu Straßburg (…) Freitag den 25. Junii anno 1784 [unterzeichnet] Friderich David Räser als Bräutigam, Dorothea Salomea Broßein als Braut

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 176 n° 14
In dem Jahr 1784. Montags den 5. Julii Abends um Vier Uhr wurden nach Zweÿmaliger Proclamation Dominicis III. et IV. post Trinitatis ehelich eingesgnet H Friderich David Räser lediger Bader von Winnanden Hertzoglich Würtenbergischer Herrschaft, H Johann Friderich Räsers Chirurgi daselbst u. Frauen Dorothea geborner Obenmüllerin ehelicher Sohn, u. jgfr. Dorothea Salome Brosein weiland H Johann Jakob Brose gewesenen Reifbaders u. burgers allhier mit Frauen Maria Dorothea geborner Schmidin nachgelaßene ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Friderich David Räser als Bräutigam, Dorothea Salomea Broßein als Braut

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que la femme a reçue en dot. Ceux du mari s’élèvent à 391 livres, ceux de la femme à 592 livres.

1785 (19.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1435) n° 688
Inventarium über Herrn Friedrich David Räßer, des Reifbaders und Fraun Dorotheä Salome gebohrner Broßein, beder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1785. (…) in ihrer den 5.ten Julii 1784. angetrettener Ehe Zugebracht. Weclhe auf ihr beeder Ehegatten Ansuchen der Ursachen inventirt, weil dieselbe ihre Illata vermög der vor mit Notario den 20.ten Juni 1784. auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten (…) auf Donnerstag den 19. Maÿ Anno 1785.

In einer alhier Zu Straßburg an der Reifgaaß gelegener und hernach beschriebener behausung befunden worden wie folgt.
Eigenthum ane einer Behausung und Zugehörden (F. Ehesteur) Nemlich eine Behausung samt der Bad: Gerechtigkeit, das Reifbad genant, mit allen deren übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstadt Steinstraas, in der Reifgaß, einseit neben Conrad Merke, dem Weber, anderseit neben Mr N. Nobes dem Schumacher, und hinten auf den Stattgraben, der Enge Graben genant, stosend, so auser 15 ß bodenzinß so man järlich hiesiger Stadt Pfenningthurn und 13 ß 6 d Ehrschätzigem Zinß, so jährlich in das Lerchenfeldische Lehen Zu entrichten, frei, ledig, eigen und hier ohne Nachtheil ausgeworfen wird, vor 1500 lb. Diese Behausung, Bad: Gerechtigkeit und Zugehörden ist durch Frau Mariam Dorotheam gebohrne Schmidtin, weiland H Johann Jacob Broßen des gewesenen Reifbaders und burgers allhier hinterbliebene Wittib, die Fr. Mutter, solche ihrer Fr. tochter Zufolg die Vor mir Notario den 25.ten Junii 1784. auffgerichteter Eheberedung §. 6. Zu einer Ehesteur verschriben worden, mit dem Anhang daß Sie sie tochter in dero künftige mütterlich Verlaßenschaft die summ von 3000 fl. hiesig. currento einzuschiesen verkunden, hingegen aber iren Antheil hieran wieder Zu beziehen befugt seÿn solle, in zwischen aber ist Sie die Fr. Tochter verpflichtet gedachte summ seit dem 11.ten Novembr. 1784. /:als der Zeit da die in bemelter Eheberedung bedungen gewester Gemeinschaft anfgehoben worden seÿe:/ järlich à 4. pt° solang Sie die Fr. Mutter im Leben seÿn würd, Zu verzinsen, anbei ihro der Fr. Mutter die in bemeltem §° stipulirte Wehrung zu lassen oder statt davon järlich 36. fl. Zeitlebens Zu reichen, wie alles mit mehrern aus vorher angeführter Eheberedung Zusehen. So dann besagt über bemelter Behausung und Zugehörden eine vor weiland H. Not° Langheinrich den 15.ten Julii 1773. passirte Erbs: Cession, wie auch i. pergamentener Kaufbrief in alhiesiger C. C. Stub den 6.ten Julii 1739. und 22.sten Januarii 1744. passirt
Widems Verfangenschaft. So Frau Maria Dorothea gebohrne Schmidtin weiland H Johann Jacob Broße gewesenen Reifbaders und burgers alhier hinterbliebene Wittib der disortigen Ehefrau Mutter lebtägig Zu genießen hat
(f° 9) Substitutions : Guth belangens. Nemlich zufolg der durch H Johann Friderich Lobstein, Notarium publicum practicum alhier in Anno 1778. gefertigter Designation und was in derselben angezogener vor Weiland HN Not° Langheinrich den 30.ten Augusti 1770. errichteten Testamenti nuncupativi hat weiland Fr. Susanna Salome Schmidin gebohrne Schaffneri der disortiger Ehefrau Großmutter (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guts. Sa. haußraths 3, Sa. Bücher 15, Sa. Silbers 43, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Baarschafft 272, Summa summarum 337 lb – Und wann hier beigerechnet wird dessen participirende Helfte an der eingegangenen Haussteuren 54 lb, So belaufet sich des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Guth mit der Helfte ane den Haussteuren, zusammen auf 391 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 384, Sa. Brennholtzes 12, Sa. Wein und leerer faß 43, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 38, Sa. goldener Ring und Geschmeids 17, Sa. baarschafft 40, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung und zugehörden 1500, Summa summarum 2038 – Schuld 1500, Nach deren Abzug 538 lb, Wann aber derselben Helfte ane der eingegangenen Haußsteuren hier beigerechnet wird 54 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen 592 lb

Frédéric David Ræser fait appel devant les Quinze d’un amende que lui a infligée le corps des chirurgiens pour pratiquer son métier en-dehors de son établissement. Le contrevenant déclare que le rasage ne peut pas être un privilège des chirurgiens, sans quoi les perruquiers seraient en infraction. Les chirurgiens objectent qu’il leur revient de tout temps de raser leurs clients selon la coutume d’Allemagne et de Suisse, d’où leur nom de barbiers, et que les droits des perruquiers datent de la venue des Français. La commission constate que l’amende a été infligée conformément au règlement qui stipule que les baigneurs n’ont pas le droit de raser ou de saigner hors de leur établissement.
1788, Protocole des Quinze (2 R 199)
Friderich David Räser Reifbader contra Corps der H Chirurgorum
(p. 12) Sambstags den 19.ten Januarii 1788. – Kraus nomine Friderich David Räser des Reifbaders und burgers allhier Contra E. Löbl. Corps der H Chirurgorum H Seniorem producirt Zweÿ bescheide löbl gedachten Corps vom 18.ten Xbris 1786. und 21.sten Xbrus 1787. wovon principalis hiemit an E G appellirt haben will bitt appellationis Verzeichnus. Erkandt appellation verzeichnet.

(p. 99) Sambstags den 8.ten Martii 1788. – Rang nomine Es Löbl. Corps der H Chirurgorum H Senioris Contra Friderich David Räsel dem Reifbader undt burger allhier in actis will vorlegung der appellationis Klag vernehmen, Kraus producirt unterthänige appellations Klag juncto petito, restituirt anbeÿ die erhobene bescheide, Rang bitt Copiam et Terminis ordinis. Obtinet.

(p. 161) Sambstags den 10. May 1788 – Idem [Rang] nôe Es. Löbl. Corps der Chirurgorum Senioris in actis Contra Friderich David Räser auch in actis producirt unterthänige exceptiones juncto petito samt beÿlag litt. a bitt unterthänig Deputationem, Kraus bitt copiam producti und bitt similiter Deputationem. Erkandt Copia et Deputatio.

(p. 176) Sambstags den 24. May 1788 – Obere Handwercks H lassen durch H Secretarium Widt referiren habe Friderich David Räser der Reifbader allhier Contra Es. Löbl. Corps der Chirurgorum Zweÿ widrigen bescheid Gedachten Corps producirt vermög des ersten vom 18.ten Xbris 1786. er in 5. lb d straff und 1 lb 10 ß Kösten Condemnirt worden vermög des Zweiten vom 21.sten Xbris 1787. derselbe in 10. lb d Straf und 1 lb 3 ß kösten Condemnirt worden, auf Interponirt und verzeichnete appellation hat appellant den 8.ten Mertz jüngst seine unterthänige appellations Klag übergeben und darinn gebetten Mghh. geruheten Ihn als appellant wider die beÿ löbl. Corps der Chirurgorum den 18. Xbris 1786. und 24.sten Xbris 1787. ergangenen bescheide auf und anzunehmen, und auf die appellation Recht sprechen Zu erkennen, daß appellant von der wider ihn aus gesprochene condemnationen ref. Exp. loßzuzählen.
Hierüber und diesem entgegen hat appellatischen Corporis H. Senioris in seinen den 10.ten hujus übergebenen exceptionibus gebetten MGHh geruheten in rechten zu erkennen und aus zu sprechen daß in erster Instantz wohl gesprochen, übel appellirt worden, einfolglich daß beede sentintiæ à quibus vom 18.tn Xbris 1786. und 24.sten Xbris 1787. ihrem völligen innhalt nach Zu vollziehen seÿe idque refusis von seiten appellanten et hujus instantiæ Expensis.
Beÿ besesener deputation hat appellant gegenwärtig seine in des appellations schrifft angeführte beschwerden lediglich widerholet dahin gehend, das rasiren stehe in Keiner verbindung mit der Chirurgie, sonsten es den Perruckenmachern welche hier und in gantzen franckreich ihre kunden sowohl Zu hauß als in ihren boutiques rasiren nicht erlaubt wäre, das anderlaßen auser seinem hauß betreffend von auch das auflegen des seidenbaschs, seÿe solches Zufälliger weiß und aus menschenlieb, da mann nicht sogleich einen Chirurgum beÿ der hand hette er aber ohnehin ein gelernter Chirurgius seÿe, um so zu verläßigen von ihme übernommen worden, als er solches ohnentgeltlich gethan, mithin appellatischen Corps kein nachtheil hierdurch erwachsen, solle dahero seine schrifftliche conclusiones widerholt haben.
H Exsenatoris Friderich Heinrich Becker namens des H. Senioris H Daniel Friderich Maßke als Junior erwiederten, das rasiren seÿe Zu allen Zeiten allhier wie auch gantz deutschland und in der Schweitz denen Chirurgis ausschlüßig Zugestanden, dahero ihnen auch der namen barbierer gegeben worden, es seÿe auch das rasiren ein besonderer nahrung Zweig ohne welchen die meisten Chirurgi Kaum das brodt finden würden, das angeführte exempel der Peruckenmacher, denen das rasiren Zugelaßen worden, komme daher weilen die frantzose, so sich allhier niedergelaßen, solches aus besonderer nachsicht gestattet worden, nur können den (p. 178) um so weniger rechtfertigen als es denen baadern nach hiesiger verordnung noch würcklich verbotten bleibt, Ebenso stehe ihnen das Aderlaßen in der von Hh Räth und XXI ertheilten verordung außer ihren badstuben ausdrucklich untesagt, seine übrige entschuldigungen als ob es aus noth und menschenliebe und dabeÿ ohnentgeltlich geschehen seÿe, theils leeren worte theils so beschaffen daß unter solchem vorwand die ordnung alle augenblick Eludirt werden könte, Wann endlich appellant sich das auch Zu Rechtfertigen vermeinet, daß er ein gelernter Chirurgus seÿe, so seÿe ihme wan es gleich wahr wäre, solches dennoch verbotten, weilen die praxis chirurgiæ und was in dieselbe einschlagt, niemand als der so nach ausgestandenem examinis und verrichteten operationen in das Corps der hiesigen Chirurgiorum aufgenommen worden und ein gerechtigkeit besitzt Zukommen
Die H Deputirte haben nach einsehung der von Hh Räth und XXI E. Löbl. Corps der Chirurgorum ertheilten verordnung nicht einsehen können wie der appellant nach seiner in primæ instantia selbst eigener geständnus daß er widerhohlter maßen auserhalb seiner Baad stuben rasirt und ader gelaßen, auch sonst durch auflegung Seidenbasch und deßen Verbindung sothaner ordnung Zuwider gehandelt, sich über die desfalls wider Ihn ergangene Zweÿ bescheide zu beschwehren unterfangen können, da nun die gesetz klar, die von den appellant angebrachten ausfuchten durchaus hinfällig, und unerheblich als haben sie keiner anderen meinung seÿn können, alß daß die sententia à quibus nach ordnung ertheilt und übel appellirt worden sofort dieselbe Zu Confirmiren, jedoch aus besonderer Gnade die aufgesetzte Straf auf 6. lb d Zu moderiren idque refusis Expensis. Erkandt bedacht Confirmirt.

L’officier de santé Frédéric David Ræser meurt sans postérité en 1816

1816 (22.8.), Strasbourg 10 (23), Zimmer n° 604, 7364
Inventaire de la succession de Frédéric David Raeser, officier de santé, décédé le 2 mai 1816 – à la requête de Dorothée Salomé Bressé la veuve et de Jean Georges Roessel, notaire, curateur des héritiers absents – Contrat de mariage reçu par le notaire Zimmer le 25 juin 1784
dans la demeure de la veuve rue du Cercle n° 11
propre du défunt, garde robe 285 fr, remploi 1734 fr, ensemble 2020 fr
propres de la veuve, créances 296 fr
propriété d’une maison à Strasbourg, savoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg faubourg de Pierre rue du Cercle n° 11, entre la veuve Pfeiffer et Théophile Keller épicier, derrière le fossé étroit du Faux Rempart – estimée 8000 fr, cédée à la veuve par Marie Dorothée Schmidt veuve Bressé sa mère par l’article 6 du contrat de mariage
remploi 3034 payements faits à la décharge de la veuve 1629 fr, remploi 1404 fr
communauté, mobilier 957 fr, bibliothèque de 120 volumes 90 fr, argenterie 111 fr, total 1158 fr, passif 3400 fr
Enregistrement, acp 131 f° 69 du 30.8.

Dorothée Salomé Brossé meurt en 1828 en délaissant pour héritière testamentaire Dorothée Kibort

1828 (24.5.), Strasbourg 10 (78), Me Zimmer n° 301
Inventaire de la succession de Dorothée Salomé Brossé, veuve de Frédéric Daniel Raeser, officier de santé, décédée le 13 mars 1828 – à la requête de Dorothée Kibort, majeure, héritière universelle suivant testament olographe du 15 décembre 1820 enregistré le 25 mars 1828 f° 149 et testament public reçu Zimmer notaire à Strasbourg le 7 janvier 1828
dans la maison rue des Cerceaux n° 11
propriété d’une petite maison à Strasbourg. une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg Faubourg de Pierre rue des Cerceaux n° 11, d’un côté la maison de la veuve Pfeiffer, d’autre celle du Sr Antoni cordonnier, devant la rue, derrière le fossé exérieur du Faux Rempart – cette maison était autrefois grevée de 2 fr de rente foncière dont l’une des deux assise sur le revêtement de la maison au profit de la ville, rachetée par quittance du 27 mars 1806, l’autre de 2,50 francs créée en vertu d’un titre constutif passé par le comte de Lerchenfeld le 31 janvier 1717 rachetée par acte sous seing privé en date du 28 octobre 1824 – cédée à la veuve Raeser par Marie Dorothée Schmidt veuve Brossé sa mère par l’article 5 du contrat de mariage reçu Zimmer notaire le 25 juin 1824. Propriété constatée par cession de droits successifs dressé par Langheinrich notaire le 15 juillet 1773, 2. deux contrats passés à la chambre des contrats les 6 juillet 1739 et 22 janvier 1742. Cet immeuble occupé savoir par les conjoints Montagu pour 60 fr de loyer, conjoints Doenné 40 fr, veuve Raeser 40 fr, ensemble 140 fr, estimée 2800 fr
mobilier 1208 fr (garde robe 102 fr, boiserie 327 fr, literie 196 fr, linge 268 fr, batterie de cuisine 17 fr, divers 203 fr, argerterie 84 fr) total 4008 fr, passif 4046 fr
Enregistrement, acp 189 f° 135-v du 28.5.

Dorothée Kibort vend la maison par adjudication. Le boulanger Michel Bilger et sa femme Marguerite Madeleine Litt s’en rendent adjudicataires moyennant 4 600 francs. La venderesse s’y réseve un droit d’habitation.

1828 (2.8.), Strasbourg 10 (78), Me Zimmer n° 365
Dorothée Kibort, fille majeure, en qualité d’unique héritière de Dorothée Salomé Brossé veuve de Frédéric David Raeser, officier de santé, instituée par testament olographe du 15 décembre 1820
(Autre acte) 20 juin n° 327 – Cahier des Charges, mise à prix 2800 fr, adjudication préparatoire du 26 juin n° 340, personne en s’est présenté
à Michel Bilger, boulanger, et Marguerite Madeleine Litt
une maison à rez de chaussée avec premier étage, appartenances et dépendances située à Strasbourg au Faubourg de Pierre rue des Cerceaux n° 11 d’un côté la maison de la veuve Pfeiffer, d’autre celle du Sr Antoni cordonnier, devant la rue des Cerceaux, derrière le fossé exérieur du Faux Rempart – ladite maison a été cédée à la veuve Raeser par Marie Dorothée Schmidt veuve Brossé sa mère suivant l’article 5 du contrat de mariage reçu par Zimmer notaire le 25 juin 1824. Propriété constatée par cession de droits successifs passé devant Langheinrich notaire le 15 juillet 1773, 2. deux contrats passés à la Chambre des contrats les 6 juillet 1739 et 22 janvier 1742 – à la condition expresse que la Dlle Kibort venderesse aura la jouissance gratuite et viagère du logement consistant en la petite chambre se trouvant à droite en montant l’escalier plus une petite cuisine sur le même côté derrière ladite chambre et en une chambre pour le linge sale (…) qui pourra être remplacée par une rente viagère de 60 francs par an – 4000 fr et 600 francs
Enregistrement, acp 190 f° 149-v du 8.8.

Originaire de Breuschwickersheim, Michel Bilger épouse en 1818 Marguerite Litt
1818 (1.6.), Strasbourg 5 (45), Not. F. Grimmer n° 10.437
Contrat de mariage – Michel Bilger, boulanger fils de Laurent Bilger, laboureur à Breuschwickersheim, et de feue Christine Schwentzel
Marguerite Litt, fille majeure de Jean Litt, cordonnier, et de Marguerite Scholl femme actuelle de Valentin Knopf cordonnier
regime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 139 f° 61-v du 8.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1819 (1.6.), Strasbourg 5 (46), Not. F. Grimmer n° 10.764
Inventaire des apports de Michel Bilger, boulanger, et de Marguerite Litt, assitée de Valentin Knopf cordonnier son beau père, suivant le contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 1 juin de l’année dernière
dans la demeure des conjoints grand rue n° 70
le mari meubles 321 fr, grains 196 fr, numéraire 1200 fr, créances 100 fr, immeuble note, total 1817 fr et 60 ares de terres à Breuschwickersheim
la femme meubles 924 fr, argenterie 85 fr, numéraire 2000 fr, terres à Berstedt, total 3010 fr
Enregistrement, acp 143 f° 85 du 10.6.

Michel Bilger et Marguerite Madeleine Litt vendent la maison à la Ville de Strasbourg pour établir un nouveau quai

1838 (14.9.), Strasbourg 15 (64), Me Lacombe n° 1748
Michel Bilger, boulanger, et Marguerite Madeleine Litt
à la ville de Strasbourg, stipulant par Louis Chrétien Reuss adjoint
Description de l’immeuble vendu, une maison à rez de chaussée surmonté d’un étage et de greniers avec appartenances et dépendances situé Faubourg de Pierre rue des Cerceaux n° 11, d’un côté ma veuve Pfeiffer, d’autre le Sr Antoni cordonnier, devant la rue des Cerceaux, derrière le Fossé du Faux Rempart
les vendeurs promettent de faire enlever savoir un pétrin, une table à tour dite Wirckbank, un fourneau et le petit chaudron qui se trouve dans le fournil le tout se trouvant au rez de chaussée dans le mur mitoyen, trois bancs et la cloison vitrée dans la chambre au premier étage donnant vers la rivière – Origine de la propriété, acquis sur Dorothée Kibert, célibataire, fille majeure à Strasbourg suivant acte passé devant Zimmer notaire à Strasbourg le 2 août 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume vol. 215 n° 37, avec réserve de l’habitation viagère gratuite d’un petit logement, par la vente reçue par M° Lacombe ce jour la Dlle Kibert a renoncé au droit d’habitation. Mlle Kibert a recueilli ledit immeuble dans la succession de Dorothée Salomé Brossi veuve de Frédéric David Raeser, officier de santé dont elle est héritière universelle suivant testament olographe di 15 décembre 1820 enregistré le 25 mars 1828 f° 6 et déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 26 mars 1828. La D° Raeser en était propriétaire suivant cession par D° Brossi sa mère au contrat de mariage reçu Zimmer notaire le 25 juin 1784
Autorisation de la vente, au budjet de 1838 à titre du compte sur les travaux du quai de la rive gauche du Faux Rempart, suivant ordonnance du 15 août 1838 du Roi, pour l’établissement d’un quai sur la rive gauche du canal du Faux rempart entre la maison de force et la courtine des Juifs – 23.500 francs
Enregistrement, acp 262 F° 53 du 17.9.

Michel Bilger meurt sans postérité en 1858
1858 (19.6.), M° Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Bilger, ancien boulanger à Strasbourg Marguerite Litt sa veuve et de la succession du Sr Bilger, décédé le 26 mars 1858, dressé à la requête 1) de la veuve, agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer Nre le premier juin 1818, 2) Christine Bilger épouse de Martin Maylander cultivateur à Hangenbiethen, 3) les enfants d’Anne Bilger décédée épouse de Michel Bernhard, cultivateur à Breuschwickersheim nommés Catherine Bernhard, épouse de Georges Baas, aubergiste à Avenheim, Anne Bernhard femme de Frédéric Hildenbrand boucher à Strasbourg, Michel Bernhard cultivateur à Breuschwickersheim, Philippe Bernhard boulanger à Strasbourg, Jacques Bernhard, boulanger à Brunoy, 4) les enfants de Catherine Bilger décédée épouse de Jean Bilger laboureur à Breuschwickersheim nommés Jean Bilger, cultivateur à Wolfisheilm, Georges Bilger garçon laboureur audit lieu, Jacques Bilger laboureur à Breuschwickersheim, Jean Bilger comme père et tuteur de Michel Bilger son fils mineur
5) les enfants de Barbe Bilger, décédée épouse de Georges Baltzer, laboureur à Hangenbiethen nommés Jean Georges Baltzer boulanger à Paris, Jacques Baltzer, boulanger à Hangenbiethen, Barbe Bilger, célibataire audit lieu, Salomé Baltzer, célibataire à Breuschwickersheim, ledit Sr Baltzer père comme tuteur de Philippe Baltzer son fils
acp 470 (3 Q 30 185) f° 35-v du 26.6. (succession déclarée le 16 septembre 1858)
Communauté, mobilier estimé à 750, argent comptant 500, créances & intérêts 21.501 francs
Une maison à Strasbourg faubourg de Pierre N° 8 – Passif 19.464
Succession, bénéfice de la communauté 1543, reprises 6645, garde robe 262

Marguerite Litt meurt sans postérité en 1863
1863 (24.8.), M° Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Marguerite Litt veuve Michel Bilger boulanger à Strasbourg décédée le 25 juillet 1863, dressé à la requête de 1) Catherine Schultz épouse de Jacques Schultz aubergiste à Berstett, 2) Eve Litt épouse de Jean Roth journalier à Gimbrett, 3) Marguerite Litt épouse de Georges Anstett maçon à Bischheim au Saum, 4) Michel Litt musicien au 3° du Génie à Metz, 5) Marie Catherine Litt épouse de Jean Riss, charron à Berstett, 6) Anne Litt épouse de Jacques Brosius cordonnier à Provins, 8) Valentin Scherer laboureur à Mittelhausen, 9) Michel Karcher laboureur à Reitwiller, 10) Valentin Arbogast tisserand à Gimbrett, 11) Jean Arbogast tisserand à Niederhausbergen, 12) Michel Arbogast laboureur à Pfulgriesheim, 13) Christine Arbogast épouse d’André Jacob journalier à Gimbrett, 14) Marie Arbogast en condition à Mundolsheim
acp 524 (3 Q 30 239) f° 82 du 1.9. (succession déclarée le 6 juin 1864)
Il dépend de ladite succession 1) maison estimée à 899, argent comptant 59, créances 16.260, trente obligations du Chemin de fer de l’Est 11.167
Une maison Faubourg de Pierre N° 8
Passif 11.344

1863 (1.8.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Marguerite Litt veuve Michel Bilger ancien boulanger à Strasbourg. Ledit testament en date du 10 août 1860 enregistré ce jourd’hui
acp 524 (3 Q 30 239) f° 18 du 5.8.



26, rue des Chandelles


Rue des Chandelles n° 26 – IV 398 (Blondel), N 920 puis section 60 parcelle 30 (cadastre)

Démolie par la Ville (service d’assainissement), 1907, terrain réuni à la voie publique


Façade rue des Chandelles (AMS, 1 Fi 20, 22)
Angle, rue de la Demi-Lune à gauche

Inscrite dans le Livre des communaux de 1587 au nom du tailleur Mathias Schmeyer, la maison a un encorbellement de part et d’autre de l’angle. Thomas Schmeyer et son voisin tonnelier Simon Ringer (n° 22) réparent en 1602 leurs latrines communes dont la vidange a lieu par la maison de Simon Ringer. Le tailleur Jacques Schneider qui vient d’acheter la maison remplace en 1614 deux poutres de l’encorbellement par des neuves. Le marchand de futaine Jérôme Waltz en fait une maison de rapport. Le ferblantier Marc Schætzel puis son gendre perruquier Jean Jacques Wittmar en sont propriétaires pendant presque cinquante ans (1690-1737). La maison est estimée tout au long du siècle entre 300 et 450 livres. Le courtier Jean Daniel Ehrmann en fait à nouveau une maison de rapport avant de la vendre (1761) au perruquier Jacques Henri Ehrmann qui fait faillite. Le cordonnier Barthelémy Hansmann qui vient de s’en rendre propriétaire n’est pas autorisé en 1768 à peindre sa maison à encorbellement. Il modifie en 1781 sa porte de cave.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (Musée des Plans-relief) 1
Elévations des n° 26, 24 et 22, rue des Chandelles, les deux façades du n° 26 se trouvent au milieu de l’image (vers 1906, AMS cote 316 MW 589)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en bois et deux étages en bois en encorbellement sur les deux rues. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (d) : sur la droite, la façade rue des chandelles a une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres inégalement réparties à chacun des deux étages. La façade sur la gauche dans la rue de la Demi-Lune a un demi-toit.
La maison porte d’abord le n° 1 (1784-1857) puis le n° 26.


Relevé des Monuments historiques (vers 1906, © DRAC Grand-Est, cote DAR 482 B 036-008)
Plan des n° 22 à 26 (AMS cote 316 MW 590)

Le tonnelier et brasseur Jean Louis Specht est propriétaire de la maison (1813-1856) et des voisines (numéros 16 à 26, sauf 22). A sa mort, le menuisier Joseph Sutter l’achète. Ses héritiers la vendent au début du siècle suivant à la Ville de Strasbourg (service d’assainissement) qui la fait démolir en 1907 et en réunit le sol à la voie publique. Le conservateur des monuments historiques note en 1906 dans son rapport que la maison d’angle numéro 26 est « particulièrement remarquable et pittoresque avec ses coloris harmonieux et l’encorbellement du premier étage qui repose sur des consoles ».

août 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Thomas Schmeyer, tailleur, et (1684) Ursule Seitterlin puis (1611) Anne Hammann – luthériens
1613* v Jacques Dalheimer, tailleur, et Madeleine Helckann – luthériens
1614 v Jean Schneider, tailleur, et (1608) Ursule Spillenmacher puis (1622) Rosine Kessmacher, d’abord (1620) femme du pelletier Jean Thiébaut Koch – luthériens
1675* adj Jérôme Waltz, marchand de futaine, et (1660) Elisabeth Sommerecker – luthériens
1685 v Adam Mey, marchand épicier, et (1641) Marie Gerlach puis (1654) Salomé Reinthaler – luthériens
1690 v Marc Schætzel, ferblantier, et (1689) Marthe Meyer puis (1702) Catherine Fischer – luthériens
1729 h Jean Jacques Wittmar, perruquier, et (1728) Marie Elisabeth Schætzel – luthériens
1737 v Jean Daniel Ehrmann, perruquier puis courtier de change, et (1716) Marie Madeleine Fritschmann – luthériens
1761 v Jacques Henri Ehrmann, perruquier, et (1756) Catherine Elisabeth von Gottesheim puis (1766) Marguerite Salomé Erhard, remariée (1774) avec le perruquier Jean Jacques Henri Winckelmann – luthériens
1768 adj Barthelémy Hansmann, cordonnier, et (1752) Dorothée Vogel – luthériens
1810 v Thérèse Bollen, blanchisseuse à Hermolsheim
1813 v Xavier Zimmermann, tailleur puis marchand de fruits, et (1804) Marie Catherine Schock
1813 v Jean Louis Specht, aubergiste, et (1810) Marie Hélène Gerlach
1856 v Jules Joseph Sutter, menuisier, et (1845) Marie Louise Hahn
1884* h (indivision) Adolphe Sutter, agent d’assurances, et (1873) Emilie Rhein
Louise Jeanne Sutter
1896* Joseph Beguin, libraire, et (1886) Caroline Emilie Rhein veuve d’Adolphe Sutter
1899* Louise Jeanne Sutter
1903* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1729, 400 livres en 1753, 450 livres en 1764, 300 livres en 1785

(1765, Liste Blondel) IV 398, Henry Eremann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Haußmann, 5 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 920, Specht, Louis – maison, sol – 0,37

Locations

1765, Jean Baptiste Michel, manant

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151
La maison est inscrite dans le Livre des communaux de 1587 au nom du tailleur Thomas Schmeyger (Thomas Schmeyer). Dans la rue des Chandelles la maison a un encorbellement jusqu’à l’angle de la ruelle vers Sainte-Barbe (22 pieds de long, 2 pieds 3 pouces de saillie) dont la corniche a 22 pieds de long et 1 pied de saillie. Il en doit 2 sols 8 deniers. Du côté de la ruelle, la maison a un encorbellement (21 pieds ½ de long, 4 pieds 2 pouces de saillie) et un chenal en bois. Il en doit 4 sols 7 deniers

Die Gaß nach der Beckenknecht Stuben zum Heiligen Liecht genandt
Thoman Schmeÿger der Schneider hatt vor seinem Hauß oben ein Vsstoß unz ane das Eckh ane die Zwerchgaß gegen Sanct Barbaren, xxij schu lang, vnd ij schuh iij Zoll herauß, daruor ein Staucher xxij schuh lang vnd j schuh herauß, Soll Allmendt sein vndt bleiben, Bessert für das Nüessen, ij ß viiij d

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 156-v
Anderseits der Zwerchgaß Wider Sanct Barbaren gaß zu
Thoman Schmeÿer der Schneider hatt vor dem Eckh Inn die Zwerchgaß gegen Sanct Barbaren Oben einen Vsstoß xxi+ schuh lang, vnd iiij schuh ij Zoll herauß, aampt einem hülzenen Naach, Bessert für das Nüessen, iiij ß viij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1614, Préposés au bâtiment (VII 1329)
Le tailleur Jacques Schneider qui habite la maison d’angle face à la Monnaie remplace l’ancien évier à l’étage par un nouveau et remarque que la poutre sur lequel il reposait est pourrie. Il est autorisé à remplacer deux poutres par des neuves.

(f° 121-v) Montag 8.t. Augusti – Hans Schneid. d. schneid. Im Eckhauß geg. Müntzhoff sagt hab ein wasserstein oben In seinem hauß abgebrochen wöllen Newmachen, vnd fund. das die palcken daruff er gestand. so ein vberstoß Ist, gar faul, bitt Ihm Zu gönnen andere 2 balcken In Zu Ziehen, Erk Ist Ihme sein begeren willfahrt, solls machen wie vorhin geweß.

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Le cordonnier Barthelémy Hansmann demande l’autorisation de peindre sa maison qui a un encorbellement mais pas d’auvent. Les préposés refusent.

(f° 28-v) Dienstags den 28. Junÿ 1768 – Bartholome Hannßmann
Bartholome Hannßmann der schuhmacher bittet umb erlaubnus sein hauß in der hellenlichter gaß so einen überhang hat aber kein wetterdach gehabt anzustreichen. Erkannt, Abgeschagen.

1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Jean Régnard Pfauth, contremaître chez la veuve Freisinger, est autorisé au nom du cordonnier Barthelémy Hansmann à modifier la porte de sa cave.

(f° 270-v) Dienstags den 14. Augusti 1781 – Bartholome Hannßmann
Idem [Johann Reinhard Pfauth der balier beÿ Fr. Freißingerin] nôe. Bartholome Hannßmann des Burgers und schuhmachers bittet um erlaubnus an deßen in der Barbaræ gaß gelegenen behausung die Kellerthür veränderen zu dörffen. Erkannt, Willfahrt.

1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Pfauth est autorisé au nom du cordonnier Barthelémy Hansmann à réparer et blanchir le crépi sous l’encorbellement à condition de ne pas toucher à l’encorbellement

(f° 334-v) Dienstags den 19. Augusti 1783 – Bartholomäus Hannsmann, Schumacher
Idem [Mr Pfauth der Maurer] nôe. Bartholomäus Hannsmann,, des Schumachers bittet zu erlauben an deßen Behausung an der Heiligen Lichter Gaß gelegen, unter dem Überhang den Bestich aus zu beßern und Zu weisen.
Erkannt Willfahrt, doch den Überhang nicht Zu berühren.

1815 (283 MW 357)
Le maire refuse à Louis Specht l’autorisation de ravaler sa maison

n° 361, Louis Specht (…) de faire crépir le rez de chaussée de sa maison sise rue des Chandelles N° 1 sans cependant toucher ni à la porte ni aux croisées, ses moyens après deux blocus de suite ne lui permettant de faire à sa maison d’autres réparations que de faire couvrir de mortier les endroits les plus endommagés, le 11. 8.bre 1815
Villot le 13. 8.bre, Considérant la maison dont il s’agit est a une avance aux deux étages et qu’elle n’est point alignée, suis d’avis que toutes réparations lui soient interdites, le 12. 8.br – maire 13. oct. – prefet 17. oct.

Description de la maison

  • 1729 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, une petite cave solivée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 600 florins.
  • 1785 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 600 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Chandelle

nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Specht
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance sur 2 faces
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 262 case 1

Specht Louis, à Strasbourg
Sutter Joseph, Md. de charbon à Strasbourg (subs° p. 1857)

N 920, maison, sol, R. des Chandelles 1
Contenance : 0,37
Revenu total : 54,19 (54 et 0,19)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 1

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1011 case 2

Sutter Joseph, Marchand de charbons
1860 Sutter Joseph, Jules, la Veuve et Les enfants
1884 Sutter Emil Adolf und Luise Johanna
96/97 Beguin Josef die Frau geb. Rhein
1899/1900 Sutter Luise Johanna
1903 Straßburg die Gemeinde
(ancien f° 759)

N 920, maison, sol, Rue des Chandelles 26
Contenance : 0,37
Revenu total : 54,19 (54 et 0,19)
Folio de provenance : (262)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1

Cadastre allemand, registre 32 p. 389 case 2 (biffé)

Parcelle, section 60, n° 30 – autrefois P 920
Canton : Heiligenlichtergasse Hs Nr 26
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,46
Revenu : 500
Remarques :

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 110 Rue de la Chandelle p. 186

1
Pr. Hansmann, Ve de cordonnier – Cordonniers
loc. Albrecht J. Georges, Cordonnier – Cordonniers
loc. Meyer, Jacques, imprimeur

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Heiligenlichtergasse (Seite 68)

(Haus Nr.) 26
Albert, Kohlenhändler. 01
Christoph, Maler. 2
Tietze, Schreiner. 2
Wacker, Tagner, 2

Annuaire 1907, p. 78 (i 327)

n° 12, 14, 16, 18, 20, 22, 24, 26, Stadt Strassburg E, unbewohnt
Annuaire 1908, p. 75 (i 330)
non mentionnées


Relevé d’actes

D’après les tenants et aboutissants de la maison voisine (ensuite n° 24), la maison appartient au tailleur Thomas Schmeyer en 1612, au tailleur Jacques Dalheim en 1613 et 1614, au tailleur Jacques Schneider en 1616 puis au tailleur Jean Schneider en 1623 puis à ses héritiers en 1641. Le propriétaire est toujours Jean Schneider en 1646 et 1677.
Originaire d’Ellweiler (en Palatinat), Thomas Schmeyer épouse en 1684 Ursule, fille du tailleur Marc Seitterlin.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 3-v, n° 67)
1584. Eodem die [Dom. 13. Trinit.] Thomas Schmeÿer von Ellwÿler, der Schneid. vnd Ursula, Marx Eÿtterlin des Schneids. nachgelaßene tochter, eingesegnet 6. Octob. (i 5)

Il devient bourgeois par sa femme trois semaines plus tard en s’inscrivant à la tribu des tailleurs.
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 538
Thomas Schmoÿerr der Schneider Vonn Elweillerr Hatt das burgerrecht empfangen Von Ursulla Marx seitterlinsn deß schneiderß selligen dochter, Seiner haußfrauenb Vnnd will Zuo den schneidern diennen Acttum denn 31. 8.bris 1584

Le tailleur Thomas Schmeyer qui n’a pas eu beaucoup de travail pendant la guerre demande l’autorisation de débiter du vin dans sa maison face à la Monnaie où le grand-père de sa femme a débité le vin vingt ans auparavant. Les Quinze l’éconduisent, de même que lors d’une nouvelle requête un mois plus tard.
(f° 39) Sambstag den X Martÿ – Thomas Schmeÿer. Wein Zepffen
1593, Protocole des Quinze (2 R 22)
Thomas Schmeÿer. d. schneider p. Lt. Hüenerer, Er hab dißen Krieg wenig arbeit gehabt vnd sich schwerlich außpring. können, bitt Ime Zugestatten, Im Eckhauß beÿm Müntzhoff, da seiner Frawen großvatter vor Zwantzig Jaren wein geschenckt auch wein Zum Zepffen Zuschencken. Erkandt Ime sein begeren abgeschlagen. B. Mr.

(f° 56) Sambstag den VII Aprilis – Thomas Schmeÿer. Wein Zepffen
Thomas Schmeÿer. d. schneider p. Lt. Hüenerer übergibt ein S.pôn so verleßen, Inn deren er nochmalen bittet Ime auß fürgesprachten Ursachen, das wein Zepffen vff der gaß beÿ dem Müntzhoff Zugestatten & Erkandt, Ime sein begeren abschlag. vnd beÿ vorig. bescheidt pleiben lassen. B. Mr.

Thomas Schmeyer paie avec un retard de huit ans ses contributions de la Taille. Il rechigne à régler l’amende que la Taille lui a infligée en arguant que sa femme est malade depuis longtemps. Les Quinze confirment l’amende.
1598, Protocole des Quinze (2 R 27)
Thoman Schmeÿer Ca. Stall. 175.
(f° 175) Mittwoch den VI. Decembris – Thoman Schmeÿer schneider brigt für, er seÿ acht Jahr vff den Staii schuldig, Järlich 12 ß, Wollt Jetzo 4 lib. geben haben, vnd nach dem Schwörtag den Rest sambt dem Vncosten den sÿ Ime fordern, Wiewol ers vermeint nicht schuldig seÿn, So wöllens die dreÿ nicht von Ime annehmen, sonder haben Ihne für meiner Hn gewißen. Also begert er Ziel vnd ein Zedel vff den Stall, seÿ Ime nicht möglich Jetzo mehr Zugeben. Er hab ein lange Zeitt ein krancke frauw gehabt. Erkandt die dreÿ vff dem Stall beÿ Ihrer ordnung pleiben laßen vmb bößen eingang willen. Zeigen Ime an B. q. Mr

Le conseil des Drapiers inflige une amende à Thomas Schmeyer qui teint sans en avoir le droit. Le maître de la tribu donne lecture d’un état transmis par la chambre du Prévôt. Le juriste Bittlinger objecte que l’affaire n’est pas du ressort du Prévôt et que le maître de tribu a engagé des frais inutiles. Il demande à être exempté des frais de la procédure inutile ainsi que de l’amende elle-même.
1601, Protocole des Quinze (2 R 30)
Tucher Zunfft Ca. Thoman Schmeÿer. 68.
(f° 68) Sambstag den IIII Aprilis – Von weg. d. tucher Zunfft erscheint Peter Hönauwer Zunfftmeistern gepieten laß. Thoman Schmeÿern dem schneider, übergibt p. Lt. hünerer ein ohngehorsamenn Zedel, Vmb deßwillen das er weg. des ferbens, so nicht seines handwercks, gestrafft, verweigere sich die straff Zuerlegen, Bitt Ihne darzu anzuhaltten, mitt beköhrung Costens, Ist der ohngehorsam Zedel vom Schultheißen Gericht verlesen. Thoman Schmeÿer p. Lt. Bittlinger, die sach gehöre nicht dahere, es seÿ doch dem Zunfftmeister vndersagt, er werdt Zu ohnnöttigem Costen gebracht, Bitt aber Zeitt acht tag, So wöll er sein verantworttung alßo fürpring. das er nicht allein des Uncostens am Schultheißen Gericht, sonder auch der straff soll ledig Erkandt werden. Tucher Zunfftmeistern der gegentheil hab vff Crautt vnd loth getrauwen, Schmeÿer er hab mitt dem Büttel geschertzt, das wöllen sÿ Jetzo vff die Zunfft Ziehen. Zunfftmeister laßt sonst die begerte Zeitt Zu Ist ohnvmbgefragt Zugelaßen.

Thomas Schmeyer et son voisin tonnelier Simon Ringer (ensuite n° 22) s’accordent au sujet de leurs latrines communes. Elles seront remises en état à frais communs partagés par moitié. La vidange aura lieu par la maison de Simon Ringer comme par le passé quand elle appartenait à Jean Frœreisen (Gfrœrissen), Thomas Schmeyer devra supporter les deux tiers des frais.

1602 (xvj Xbris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 488
(Inchoat. fo: 489.) Erschienen Meÿster Thoman Schmeÿer Schnÿd. ane Eim,
So dann Simon Ringer der Khüffer am and. theÿl
haben gegen einand. bekandt vnd offentlich verÿehen, das Sie sich eines Heimlichen gemachs halben welches mit beden Partheÿen Inn Iren Zween Heüßern Inn heÿligen lichter gassen & gelegen gemein Ist, Als Jetzmals eingefallen vnd bauwens von nöten Künffttigen streÿt Zu fürkommen nachburlich vnd freindtlich mit einander vereinbart vnd verglichen, das Nemblich beÿde Partheÿen daßelbig Inn gemeinen costen, Jedem Zum halbentheÿl widerumb erbauwen, vnd Im bauw erhalten werden soll, Wann aber solches auß fhürens von nöten soll es durch sein Simon Ringers behaußung außgefürt werden, Vnd ane dem uncosten solchen vßfhürens den Zweÿten Pfenning Er Thoman Schmeÿer, vnd den dritten pfenning Simon Ringer, wie es Zuvor auch mit Ime Thoman Schmeÿer vnd Hanns Gfrörÿßen sein Simon Ringers vorfahren gehalten word. Zuerlegen Vnnd aber noch ferners gedachten Simon Ringen so offt es gar außgefürt würdt, Ime Thoman Schmeÿern od. seine nachkommende, Jederzeit Zu seinem dritten Pfenning 5 schilling wid. zu steur vnd nachzugeben schuldig sein sollen
Hiebeÿ gewesen Bastian Steber Kürßner und Philipps Keller Schindelspalter als nachburen hierzu erbetten

Le tailleur Thomas Schmeyer et sa femme Ursule hypothèquent la maison au profit du marchand Christophe Merckelbach

1604 (19 Junÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 181-v
(Inchoat. fo: 190.) Erschienen Thoman Schmeÿer Schneider burger alhie Vnnd Ursula sein eheliche haußfrauw insonderheit aber derselben mit beÿstand Vnnd bewilligung Veÿt Werners Vnnd Hanns Häckels Irer Verwandten
In gegensein herrn Christoph Merckelbachs gewerbßmans – schuldig sein 60 guldin zu 15 batzen
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd hoffestatt mit Iren gebeüwen gelegen In d. St. St. Inn der Heylgen Liechtsgaß einseit Ein Eck ane S Barbeln gaß, and.seit Simon Ring Khueffer stosst hind. vff Veltin freÿen Erben, Dauon gond 5 gld. St. .Ablösig Mit j C gld. bemelter Werung H D. Johann Harttman, Item 5 fl. St. W Ablosig mit j C gl St W Hanns Wolfarth Pergamentern, Item ij lb x ß ablosig mit 50 lb d Steffan Scheren wurth Zum Thiergarten, Item 15 schilling pfenning ablosig mit 15 pfund pfenning Paulo Mocken sunst ledig eig.

Le bailli de Gräfenstein demande l’intercession du Magistrat pour que Thomas Schmeyer délivre la part de succession échue de la femme Jean Walter, habitant de Clausen (en Palatinat)
1604, Conseillers et XXI (1 R 83)
Hans Walters haußfrau von Clausen contra Thoman Schmeÿern. 112.
(f° 112) Montag den VIII Maÿ – Heinrich Bilhartt Amptman Zu Grauenstein fürschreibt seinen angehörigen Hans Walters von Clausen haußfrau deren ein Erbfall Zu und anerstorben vnd von Thomen Schmeÿern soll geluffert werden, welcher sie aber bißher von Ime nit haben mög, Bitt Bitt Ime die handt wid. Ine Schmeÿern Zubiett. Erk. Man soll nach Thomen Schmeÿern schicken fürhalten vnd sein bericht begeren. H. Hugwart, H Schaw.

Le tailleur et fripier Thomas Schmeyer devra cotiser à la Mauresse (pour le droit de fripier). Il doit cependant un arriéré d’amende à la trubu des Tailleurs. L’affaire de l’amende de cinq livres a été portée en 1599 devant la Chambre municipale puis le Grand Sénat. Il est renvoyé devant les Quinze pour la même affaire alors que d’autres vendent aussi du cuir. Il demande à être relaxé ou à ce qu’on prouve qu’il a enfreint le règlement. Le maître de la tribu estime que l’affaire a été jugée et qu’il faut astreindre le contrevenant à payer sous peine d’emprisonnement. Bittlinger répond au nom de Thomas Schmeyer qu’il était absent quand la sentence de la Chambre municipale lui est parvenue, qu’il n’a pas enfreint le règlement et que l’affaire est du ressort du Sénat et non de la Chambre. Les Quinze renvoient à la décision du Sénat.
1604, Protocole des Quinze (2 R 32)
Thoman Schmeÿer ca. Schneider Zunfft. 202.
(f° 202-v) Sambstag den 22. Xbr. – Thoman Schmeÿer schneider vnd altgewender gepieten laßen Geörg Höfflin der Schneider Zunfftmeistern p. Lt Bittlinger sagt er erhalt der Schneider vnd Mörin Zunfftrecht vnd mitt dem leib der Schneider Zunfft, Soll dernweg. auch beÿder Zünfft gerechtigkeit vnd wie* sovihl die nicht wider einander genießen, Er hab Ime aber d. Schneider Zunfft Inn A° 99 ein vermeinte straff 5 lb abgefordert, Ihme darüber vor dem Stattgericht, wie auch vff ein vngehorsamen Zedel vor dem Großen Rhat fürgenohmen, da die sach für meine herrn gewießen vermög Extracts, Er Inn mittels Im wenigsten beclagt noch fürgestellt worden, er auch nicht ursach gehabt zu clagen weÿl die Schneider hetten Cläger seÿn sollen, Jetzo werd er widerumb wie vor fünff jahren gleicher vrsach willen fürgefordert, da er sich vff meine H XV referiret, Sÿ seind aber vff die vngehorsame vor einem Ersamen Rhat wider Ihne verfahren, Nuhn hab er mehr nicht gethan weder auch Urban Krat vnd andere, leder kauff vnd der Kunden verarbeittet. Bitt derwegen dem Zunfftmr. vffzulegen, Ihne ohnmolestirt Zulassen, oder da er vermeint das er wider art. gehandlet, solches vor mein herren für Zubringen, vnd bescheidts Zuerwartten.
Zunfftmr. p. Lt. Hüenerer, Es wüssen meine herren, wann Zünfftige gestrafft vnd sÿ vermeinen beschwert Zu seÿn, das sÿ pflegen sich Zubeclagen, vnd nicht die Zunfft oder gericht, so die straff vffgelegt. Weÿl er nuhr vmb 5 lb gestrafft vnd solches beÿ mein herren nicht angebracht, So seÿ vff des Zunfftmeisters endtlich anhaltten von einem Ersamen Rhat erkandt, das er Inn 8 tag. die straff erlegen, oder Inn gefangknuß eingezogen werden solle, darumb er nicht weitters Zuhören, sonder Zu weißen eines Ersamen Rhats erkandtnuß statt zuthun. Bittlinger, es seÿ Schmeÿer nicht hie gewesen, da der Zedel beÿm Statgericht außgebracht, hab auch nicht wider die artl. gehandlet, gehöre die cognitio vor meine herren vnd nicht für das Stattgericht. Hüenerer, diße exceptio seÿ auch vor Rhat fürgeredet, aber nichts verfangen, bittet es nochmalen beÿ eines Rhats erkandtnuß verpleiben Zulaßen. Erkandt vnd laßt mans beÿ eines Ersamen Rhats erkandtnuß verpleiben. H. Str. Wormßer vnd H Kolöffer B. q. Mr.

Thomas Schmeyer se remarie en 1611 avec Anne, fille du charpentier Jean Hammann d’Obernai.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 315-v, n° 961)
1611. Sonntag den j. Decembris. Thoman Schmeÿger d. Schneider, vndt Anna, hanß Haman deß Schreiners Zu Ober Ehenheim Nachgelaß. t. Eingesegnet Montag den 9. Decembris (i 325)

Susanne Schmeyer, fille de Thomas, s’est fiancée à Haguenau où une femme prétend qu’elle a eu un enfant illégitime et qu’elle a été condamnée pour deux ans. La Chancellerie atteste qu’une telle affaire n’a pas eu lieu
1613 (4. Nou.), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch)
(f° 63) Urkundt Susannä Schmeÿerin Thoman Schmeÿer des Schneiders dochter
(…) daß heüt dato Alls Wir Offener Rhattweÿß beÿ einand. versamblet waren, Unser gewesener burg. Thoman Schweÿer d. Schneid. unß fürbringen lassen, Wie das seine dochter Susanna Schmeÿerin, so sich Zu Hagenaw verlobt, von einer Weibspersohn beschuldigt werde, Als ob sie ein Unehelich. Kind gehabt hette deßweg. alhie Zu Straßburg ahne dem halßeisen gestanden und darzu ahne Vnser Stattwerck 2 Jahr lang gangen Were. Welches doch nicht seÿ, Mitt bitt deßelben In Unserer Cantzleÿ nachsuchen Zu laßen Und Werd sich v.hoffentlich nichts berfind. werd. seiner dochter dessen ein Urkundt mitzutheilen.
Wann Wir nun Ihme Inn seinem begehren willfahrt, inn Unsere Cantzleÿ nachsuchen laßen, sich ane dergleich. dessen sie deßwegen beschuldit word. gantz nichts Wed. eines noch des and. befunden, Als haben Wir Ihme dise Urkundt vff sein bit under Unserer Statt Secret Insigel mitgetheilt und Geben Donnerstags den 4. Nouembris Anno 1613.

Thomas Schmeyer qui a été déchu de son droit de bourgeoisie fait transmettre par sa femme une requête dans laquelle il demande à revenir en ville pour se faire soigner. Les Conseillers et les Vingt-et-Un rejettent la demande en estimant qu’il est déjà heureux qu’on ait pu se débarrasser de lui.
1613, Conseillers et XXI (1 R 93-94)
Thoman Schmeÿer auß der Statt pleiben. 355.
(f° 355-v) Mittwoch den XIV Nouembr. – Thoman Schmeyer laßt durch sein fraw ein schreiben von Distorpio geschrb. übergeben, so abgelesen, dorin er sein arbeit seelig keit des schenckels Zuerkennen gibt, und d. er einen hab der Inne hie heilen wolt wan er sich langer dorff aufhalten. Dan Ime d. burg. recht vonn Rhatt an halß gehenckt worden, Bitt der wegen so lang Ime alhie Zusein Zuerlauben. würdt angezeugt wie er ein boser betrogener Man gewesen d. man fro sein solt d. man seiner ledig were. Erk. Ist Ime sein begeren abgeschlagen und soll Ime bey d. thurnstraff auß d. Statt gebott. werden.

La maison appartient en 1613 et en 1614 à Jacques Dalheimer d’après les tenants et aboutissants. Son fils Jean Christophe naît en 1611. Sa femme défunte Madeleine est appelée Madeleine Helckann (nom raturé).

Baptême, cathédrale (luth. f° 222)
1611. eodem die [Montag den 24 Februarÿ] P Jacob dalheimer der schneider. M. Magdalena. I. Hans Christoph. Compatres Christoph merckelbach der handelsmann,Peter Sporer der papieer, K Anna Philips Riegels stifftochter (i 237)

La maison est vendue le 14 juin 1614 d’après les actes ultérieurs.
Elle appartient au tailleur Jean Schneider. Originaire de Hechingen en Wurtemberg, il épouse en 1608 Ursule, fille d’Erard Spillenmacher

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264, n° 710)
1608. Sonntag den 10. Aprilis. Hans Schneider von Hechingen In Würtenberg. Landt d. schneÿd. vndt Ursula, Erhartt Spillen Machers des schreiners Nachgelaßenee tochter, Eingesegnet 19. Aprilis (i 270)

Originaire de « Göchingen » en Würtemberg, Jean Schneider devient bourgeois par sa femme neuf jours après son mariage
1608, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p.
Hanß Schneider, der schneid. von Göching. In dem Hertzogthum württenberg gelleg. Empfahet daß Burgrecht Von Ursula weÿlandt Ehrhardt Spüllenmachers deß Schreiners seellig. dochter wüll Zu den Schneidern dienen Actum den 28. Aprilis Aô 1608.

Employé à la halle, Georges Claus qui est tuteur d’Elisabeth, Jean Jacques, Anne Marie, André et Ursule, enfants du tailleur Jean Schneider et de sa femme défunte Ursule Spillenmacher, dépose à la Tour aux deniers un capital appartenant à ses pupilles
1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Vogteÿ geldt angelegt, Hans Schneider des Schneiders
(f° 19-v) Mittwoch den 22. Janu. 1623. – Georg Clauß, Kauffhauß Knecht, als Vogt Elisabeth, Hannß Jacobs, Annæ Mariæ, Andreßen vndt Ursulæ, Hanß Schneider des Schneiders mit Ursula Spillenmacherin seiner ehern haußfr. ietzo seelig. ehelich erzeügter Kinder, hatt angelegt 250. h/
Haben thun darumb Zu kauffen geben 12 h 10 ß. Vff Pauli Bekehrung fallendt.Ing. fol. 47.

Jean Schneider se remarie en 1622 avec Rosine, veuve du pelletier Jean Thiébaut Koch.
Mariage, cathédrale (luth. p. 136)
1622. Dominica 21. Trinit: 10. 9.bris. Hans Schneider der schneider, und Rosina Hans Thibold Koch des Kürsners n. witwe, eingesegnet montag den 18. 9.bris) (i 73)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 357) 1622. Hans Schneider der Schneider, Rosina, Hans Dieboldt Kochs des Kürßners hinderlaßene Witwe, Eingesegnet Montag 18. 9.br Im Münster (i 183)

Fille de Frédéric Kessmacher bourgeois à Wittersdorf (à identifier avec le village du Sundgau), Rosine épouse en 1620 Jean Thiébaut Koch, fils du pelletier Barthelémy Koch
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 312-v)
1620. Hans Dieboldt Koch d. Kürßner Barthel Koch des Kürßners hind.laßener Sohn, Vndt J: Rosina, Friderich Keßmachers Burgers Zu Widerßdorff Eheliche dochter (i 161)

La maison revient sans doute par adjudication judiciaire au marchand de futaine Jérôme Waltz et à sa femme Elisabeth (Sommerecker) qui l’hypothèquent en 1676 au profit de Jean Frédéric Theurer, receveur à la fabrique de la Cathédrale

1676 (27. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 647-v
Hieronimus Waltz der barchetkrämer undt Elisabetha beÿdte Eheleuth und Zwar Sie Elisabetha insonderheit mit beÿstandt H Daniel Sommereckhers Silberarbeÿters undt hannß Martin Treutel des Trähers Ihres resp: eheleiblichen bruders und Vettern
in gegensein J Johann Friderich Teürers Schaffners der Fabric deß Münsters – schuldig seÿen 700. fl. à 15. batzen
unterpfand, Eine Vordere undt hindere behausung sampt hoffstatt, höfflin mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier Vff dem Alten Weinmarckh beÿ der Kleinen Metzig, einseit neben H. Johann Friderich Medler Notario, anderseit neben hannß Christoph Dürrbach den huetmacher, hinden uff eine behaußung der Ellenden herberg Zuständig,
Item hauß, und hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten, alhier in der H. Liechtengaß, einseit neben H Johann Wolffgang Pfeÿlen anderseit neben hannß Siebenhans Erben, hinden auch die debitoris stoßend gelegen

Jérôme Waltz vend la maison à Salomé, veuve du marchand épicier Adam Mey, moyennant 400 florins

1685 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 333-v
(prot: fol: 27) Erschienen Hieronimus Woltz der barchet Krämer
hat in gegensein fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specerierers nachgelaßener Wittib mit beÿstand Lorentz Rheinthalers deß Kamm machers Ihres Vogts und Frantz Von Hipßheim hutmachers Ihrer Kinder Vogts
eine behaußung allhier in der Heÿligen Liechtergaß einseit ist ein Eckh anderseit neben Elia Drenner dem Schuhmacher hinden uff Tobias Burckhard den Kieffer stoßend gelegen – umb 400 fl.

L’acquéreuse hypothèque la maison le même jour au profit des enfants mineurs du marchand de bois Jean Jacques Kamm

1685 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 335
fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specerierers nachgelaßene Wittib mit beÿstand Lorentz Rheinthalers deß Kamm machers Ihres Vogts
in gegensein Frantz Von Hipßen deß hutmachers alß Vogts hannß Jacob Kammen geweßenen Holtzhändlers nachgelaßener Kinder – schuldig seÿe 100 fl.
unterpfand, eine behaußung mit allen deren Zugehördten allhier in der Heÿligen Liechtergaß einseit ein Eckh anderseit neben Elia Drenner dem Schuhmacher hinden uff Tobia Burckhard den Kieffer stoßend gelegen

Fils du tisserand Matthias Mey à Offenbourg, le marchand épicier Adam Mey épouse en 1641 Marie Gerlach, fille du cordonnier Pierre Gerlach : contrat de mariage à la Chambre des Contrats,, célébration
1641 (22. febr:), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 155
(Eheberedung) Erschienen Adam Meÿ der Würtz Krämer der hochzeiter mit beÿstand H Joh: Jacob Walters Schul Meÿsters Zu St: Aurelien alhie eins
und Jungfr. Maria Gerlachin die hochzeiterin mit beÿstand Mathiß Streichers deß Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Vogts und Abraham Gerlachß ingleichem Schuhmachers ihres Vettern andern theilß

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 262-v)
1641. Domin: XL. 14. Martÿ, Adam Meÿ der wurtzkrämer Matths Meÿen wullenwebers v. burg. Zu Offenburg Sohn, Jungfr. Maria Peter Gerlach Schuhmachers undt burgers alhie nachgelaßene Tochter. Eingesegnet Montag d. 22. Martÿ St. Thoman.

Adam Mey devient bourgeois quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1641, 4° Livre de bourgeoisie p. 199
Adam Meÿ Von Offenburg der wurtzkrämer Empfangt d. burgerrecht von Seiner Haußfrawen Maria weÿl. Peter Gerlachs deß Schuhmachers seel: nachgelaßener dochter vmb 8 gold. R. ist ledigen Standts geweßen vnd würd zu den Spieglern dienen. Jur. den 30 Martÿ 1641.

Marie Gerlach meurt en 1654 en délaissant pour héritier testamentaire son mari. L’inventaire est dressé dans une maison qui appartient à l’ancien consul Tobie Stædel au Fossé des Tailleurs. La masse active s’élève à 586 livres
1654 (4. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 22) n° 22
Inventarium vndt Beschreibung aller aller Haab vndt Nahrung, so weÿland die Ehren: vndt vieltugendtsame Fraw Maria Gerlachin, deß Ehrengeachten Herrn Adam Meÿen, Specereÿhändlers vndt Burgers alhie, haußfraw nunmehr seel. welche am j. Julÿ Jüngsthin Göttlichem willen nach Zeittl. todts verblichen, nach Ihrem aus dießer welt tödlichen Hinscheÿden Hinder Ihre V.laßen, welche vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren, erst ernandts Ihren hinderlaßenen wittwers, als Crafft auffgerichteten Testamenti Nuncupativi der Fr. seel. Instituirten eintzigen Erben, durch Ihne den H. wittwer selbsten vff Vorher beschehener gebührende errinnerung, auch würcklich erstattete handtrew geäugt und gezeigt (…) So beschehen auff Montag den 4.ten 7.bris A° 1654.

Eheberedungs Copeÿ (…) Beschehen den 22. Februarÿ nach Christi Vnsers lieben herrn geburth 1641, C. Contract stub
Copia Indulti Testandi (…)
Testamentum nuncupativum. 1650 (…) vff Donnerstag den 19. tag des Monats Decembris alten Calenders Zwischen ein Vnd Zweÿen Uhren nachmittag in deß Heÿligen Reichß freÿer Statt Straßburg vnd deroselb Cancelleÿ Contractstuben vor mir Gottfried Stößern als hierzu in specie requirirten Keÿßerlichem Notario publico, wie auch herrn Johann Baptista Börffenicht dem handelsmann vnd burgern Zu Straßburg, Christoff Meÿers der breührten Contractstuben geschwornem substituto,gewesen Jacoben Von Awenheim dem büttel vf der Zunfftstub Zum Spiegel (…) persönlich erschienen Herr Adam Meÿ der Würtzkrämer vnd burger Zu Straßburg vnd Frau Maria Gerlachin, beede Eheleuth Jedes durch Gottes milter ihr Güte noch vffgerichteten stehenden vnd gehenden leibs auch Völligen Verstandts richtiger Sinn vnd Vernünfftiger rede (…) Gotfrid Stösser,Sacræ Cesareæ Majestatis Authoritate publicus Reipublicæ Argentinensis Patriæ Cancellariæ Contractuum Notarius
Inn einer in der Statt Straßburg auff dem Schneid. graben gelegener behaußung, so weÿl. H Tobiæ Städels altten Ammeisters alhie seel. hind.laßener fr. wittwen gehörig, d. wittwer aber lehnungs weiß bewohnt Ist befund. worden, wie volgt
Auff der Obern Bühnen, Auff dem And.n boden, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn dem obern Stüblein, Inn der Wohnstuben, Im Obern Haußöhren, Im Keller, Im Gaden vnder dem Newebaw, Im Conthor
Sa. Haußraths 83, Sa. Weins vndt Vaß 2, Sa. Silbers vndt Geschmeids 9, Sa. Guldenen Ring 10, Sa. d. baarschafft 25, Sa. deß Zum handel gehörig. Schiff und geschirrs 22, Sa. der Wahren 402, Sa. der Schulden 29, Summa summarum 586 lb – Schulden (-), Conclusio finalis Inventarÿ 392 lb

Adam Mey se remarie en 1654 avec Salomé Reinthaler, fille du peignier Frédéric Reinthaler
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 566, LV.)

1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin : 19. 9.br] H Adam Meÿ den Handelsmann Vnndt burger alhie Vnndt J. Salome weilandt H. Friderich Reinthalers des burgers vnndt streelmachers auch E. Ers. Großen Raths alten Beÿsitzers hinterlassene Eheliche dochter. Dienst. 28. 9.br. Münster, Spiegell. H.stub (i 315)

Salomé Reinthaler vend la maison au ferblantier Marc Schætzel et à sa femme Marthe Meyer moyennant 300 livres

1690 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 619
Salome, gebohrne Reinthalerin, Weÿl. H. Adam Meÿen gewesenen Specieriers nachgelaßene wittib, mit beÿstand Lorentz Reinthalers, deß Strehlmachers Ihres Vogts und H. Frantz Reinthalers E.E. Großen Raths beÿsitzers ihres leiblich. bruders
in gegensein Marx Schätzels, deß Spenglers und Marthä Meÿerin, mit beÿstand Marx Schätzels deß Pastetenbecks deß Kaüfflers leiblich. Vatters und hans Martin Eberlins, deß hohltrehers
eine behaußung allher in der Heÿlig. Liechtergaß, ist einseit ein Eck, anderseit neben Elias drenner, dem Schuhmacher hind. auff Tobian Burckard den Kieffer stoßend gelegen – geschehen umb 300 pfund

Fils du fabricant de pâtés Marc Schætzel, le ferblantier Marc Schætzel épouse en 1689 Marthe Meyer, fille du farinier Jean Jacques Meyer
1689 (30.5.), Not. Gross (Benoît, 14 not 1)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Mr Marx Schätzeln, ledigem Spenglern und burgern alhier als dem Hochzeiter an einem,
So dann der Tugendsamen Jungfrawen Martha, weÿland deß Ehrengeachten Hn Hannß Jacob Meÿers gewesenen Meelmanns und burgers alhier in Straßb. mit Frn Anna Catharina gebohrner Gerlachin ehelich erzeugter dochter, als der Jungfr: Hochzeitherin andern theils
Actum Straßb. den 30. Maÿ als auf den H. Pfingstmontag Anno Christi 1669. [unterzeichnet] Marx Schätzel als hochzeither bekenne wie obstehet

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 17, n° 25)
1689. Auff vorbemeltem Tag [Mittwoch d. 18. Julÿ] seind nach 2. maliger proclamation copulirt word. Marx Schätzel d. ledige Spengler, Marx Schätzels des Pasteten: Becken vnd B. alhier v. Fr. Susannæ geb. Duttlerin ehelicher Sohn Vndt J. Martha Wld. Hn Jacob Meÿers deß Meelmanns Vnd B. allhier Und Fr. Catharinæ geb. Gerlachin eheliche Tochter [unterzeichnet] Marx Schätzel, + der Hochzeiterin handzeichen (i 17)

Marthe Meyer fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 295 livres

1690 (25.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6318) n° 265
Inventarium undt beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung, so der Ehrsame Marx Schätzel, Spengler undt die tugendsahme Martha Meÿerin, beeder Eheleuth, burgere alhier Zu Straßburg einand. als ein ohnveränd.t Guth inn d. Ehestand Zugebracht, welches umb d. ursach. weilen in d. Zwisch. Ihnen bee. gedacht. Eheleuth. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich. versehen deß eines Jed. inn die Ehe begrache Zumahlen auch wehren. Ee ererbendte Nahrung jedem theil undt seinen Erb. ohn v.&a&dt seÿn (…) Mittwochs den 25. Januarÿ a° 1690.
Summa summarum d. frawen gantz Ingebracht Nahrung 295 lb, Zweiffelhaffte Schulden 11 – Haussteuren 12 lb

Marc Schætzel hypothèque la maison au profit de la confrérie des barbiers. Sa femme Marthe Meyer se porte garante.

1690 (12. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 695-v
Marx Schätzel, der Spengler
in gegensein Hn Johann Friderich Mägerle, deß Barbierers und wundartzts, alß Altmeisters, und Hn Johann Henrich Mosis, deß ledig. Barbieres alß altgesellen, angezeigt und bekandt, daß Er Schätzel E. Löbl. Gesellschafft der ledigen Barbierer auffrichtig und redlich schuldig seÿe 150 Pfund
unterpfand, Eine behaußung allhier in der Heilig. lichtengaß, ist einseit ein Eck, and. seit neben Elias drenner, dem Schuhmacher, hinden auff Tobiam burckard den Kieffer stoßend gelegen
Zu deßen mehrer Versicherung ist hiebeÿ persönlich erschienen Martha, gebohrne Meÿerin, deß debitoris eheliche haußfrau, und zwar dieselbe mit beÿstand Samuel Braun deß haußfeurers und Johann Haubenstrickers deß Weißbecken, Ihres respect. Schwagers und Vettern, die hat sich für solche Schuld verbürgt

L’inventaire dressé après la mort de Marthe Meyer n’est pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 700 florins
1701, Livres de la Taille (VII 1173) f° 126-v
(Schmid, F. N° 438) Weÿl: Fr: Marthæ Schätzelin, Marx Schätzels deß Spenglers geweßener Haußfrauen Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Johann Heinrich Lang.
Concl: fin: Inv: ist fol: 57.b 349. lb, 15. ß 8 d. die machen 700. fl. verstallte 500. fl. und also 200 fl. Zu wenig.
Extat Stall gelt 1701. 2 lb 2 ß
Nachtrag von nicht verstallten 200 fl. vor vier jahr in duplo macht à 12 ß, 2 lb 8 ß
So dann Vor Zweÿ jahr in simplo macht a 6 ß, 12 ß
Item so sind gebott, 1 ß
So dann thut die Abhandlung, 15 ß, Sa. 5 lb 18 ß 6 s
Bitt umb einige Nachlaß, welche willfahrt und nachgelaßen worden, 1 lb 8 ß. 8. ß, Rest noch 4. lb. 10. ß 6 d
dt. den 18. Jan: 1702.

Marc Schætzel se remarie en 1702 avec Catherine Fischer, fille du boutonnier Daniel Fischer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehr: und vorgeachten Herrn Marco Schätzel, Spenglern, und burgern Au Straßburg, als bräutigamb, ahne einem, so dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinä gebohrner Fischerin Weÿland deß Wohl Ehrengeacht: und wohlachtbar Herrn Daniel Fischers gewesenen Knöpffmachers und burgers allhier Tochter, am andern thei – Solches alles geschehen und Zugangen in der Königlichen Statt Straßburg den 28. Januarÿ 1702

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 86, n° 470)
Eodem [den 15. Februarÿ 1702] ist nach ordentlicher proclamation eingesegnet word. Marcus Schätzel der burger undt spenglern mit Jfr. Catharina weÿl. H Daniel Fischers gewesenen seÿdenhändlers und Knöpffmachers allhier nachgelaßener ehelichen tochter [unterzeichnet] marx schäxtzel, Catharina fischerin alß hochzeiterin (i 88)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Marc Schætzel à se remarier alors que son deuil n’est pas terminé.
1702 Conseillers et XXI (1 R 185)
Marx Schätzel pt° dispensationis Temporis luctus. 63.
(p. 63) Sambstags den 4. Februarÿ 1702. – Niess Ersch. Marx Schätzel der burger und Spengler allhier prod. seiner Frawen Documentum mortis vom 29. Octobris vorigen jahrs, vnd weilen Er den gantzen tag vor herrn Rhatherren Schweitzer hauß ahne dem stand ist, vnd seine haußhaltung dem gesind allein überlaßen muß, alß hat Er sich mit Jungfrau Anna Catharina Fischerin ehelich versprochen,bitt dispensando biß morgen sich Zum ersten mahl proclamiren Zuaßen gn. Zuerlauben. Erk. würdt Imploranten gegen erlag 1. ln ins allmosen dispensando in seinen begehren willfahrt. H. XV Leitersperger und H. Schmuck

Marc Schætzel vend à Anne Catherine Meyer les droits l’usufruit qui lui sont échus de sa première femme

1704 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 224-v
Marx Schätzel Spengler
in gegensein Annæ Catharinæ Meÿerin mit beÿstand H. Joh: Heinrich Grünschmids schuem: Dero vogts u. Bernhard Wassermanns Tabackbereithers
Demnach Margaretha geb. Meÿerin sen Schätzels erste Haußfr: nunmehr seel. ihm Kraft Codicills den lebtägigen genueß aller ihrer Verlaßenschafft verschaffet ihro Annæ Cath: aber alß Erbin pro dimidia parte, sein Schätzels, tod zu erwarthen unthunlich, alß habe Er sich mit ihro u. berührten ihrem sponso auch Vogten eines freundlichen auß Kaufs dergestalt wissentlich verglichen, daß Er, Schätzel, ihro Annæ Cath: für alle Dero dißorths gehabte u. habende erbsforderung baar abgetretten solle 75 pfund wormit Sie von aller solcher Verlaßenschafft gäntzlichen außgewießen, u. der usufructus insoweith Cum proprietate Consolidiret seÿn solle

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 000 livres, ceux de la femme à 401 livres. L’inventaire cite trois titres à l’appui de la propriété de la maison, datés de 1569, 1614 et 1685.

1705 (11.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 13) n° 522
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte vndt bescheidene Meister Marx Schätzel Spengler und die Ehren und tugendsahme fraw Catharina gebohrne Fischerin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßburg einander in dero Ehestand Zugebracht (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvest vnd wohlvorgeachten herrn Johann Adam Müller Sen. vornehmen handelßmann vnd burgers allhier der Ehefrauen geweßenen Herrn Curatoris und dißorths Ihres erbettenen beÿtands, Donnerstags den 11. Junÿ Anno 1705.

In einer allhier Zu Straßburg theils ane der Heÿligen Liechter theils ane St. Barbara gaß gelegener behaußung volgender maßen befunden worden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Soldaten Cammern In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohn Stub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (M.) Item Hauß vnd Hoffstatt sampt dero gebäuwen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg, ane der heÿligen Liechtengaß, ist ein Eck einseits ane St. Barbara Gaß, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St Marx gehörig, hinden auff herrn Andream Greümen den Jüngen Apothecker stoßend, so freÿ leedig und Eigen, æstimirt hiehero ohnvergreifflich pro 215 lb Darüber meldet ein perg. Kauffverschreibung mit der St. Str. anh. C. C. Insigel Verwahrt, deren datum den 18.ten Novembris Anno 1690. Darbeÿ ferner 3 underschiedene ältere perg. Kauffbr. dero der eine de A° 1569, der andere 1614 und der dritte 1685 datirt alles mit N° 1 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Manns Nahrung betr., Sa. haußraths 213, Sa. Wahren und Werckzeugs 238, Sa. Frucht und meel 28, Sa. Weins und Leerer vaß 157, Sa. Silbergeschirrs 31, Sa. baarschafft 134, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 46, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 215, Summa summarum 1064 lb – Hierzu nun ferner zusetzen die dem Mann ane denen Haussteuren gebührende Zwo tertzen so thun 11 lb, des Manns gäntzlich in dieße Ehe eigenthümlich gebrachtes Vermögen 1075 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug verbleibt 1000 lb
Der Frauen Nahrung belangend, Sa. Kleÿdung und weißgezeugs 91, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 277, Summa summarum 390 lb, Hierzu kombt ferner die angebühr hernach beschriebener Haussteuren 11 lb, Sofort erträgt der Frauen völlig vor unverändert in dieße Ehe gebrachte Nahrung benantlichen 401 lb

Litige entre Marc Schætzel qui emploie un fabricant de fioles et le corps des ferblantiers en 1708.
Litige soulevé en 1727 par Marc Schætzel qui ne peut plus marcher ni travailler concernant les remboursements des repas offerts aux compagnons lors de leur arrivée à Strasbourg.

Marc Schætzel meurt en 1729 en délaissant une fille issue de sa veuve. Les experts estiment la maison à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 328 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 487 livres, le passif à 360 livres.

1729 (4. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 25) n° 582
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Verändert: und ohnveränderter überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte Meister Marx Schätzel, der gewesene Spengler und burger allhier zu Straßburg, nunmehr seel. als derselbe Montags den 29.ten Augusti dießes lauffenden 1729.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsahmen frauen Mariæ Elisabethæ Wittmarin gebohrner Schätzelin, mit beÿstand des Ehren: und wohlvorgeachtn Herrn Johann Jacob Wittmars, des Perruckenmachers und burgers allhier Zu Straßburg, Ihres Mariti, als des verstorbenenn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib, ehelich erzeugter tochter, und ab intestato verlaßener universal Erbin inventirt und ersucht, durch die Ehren und tugendsahme Frau Catharinam Schätzelin gebohrne Fischerin die hinterbliebene Wittib, mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten H Johann Reinhard Kuglers, des Gastgebers Zum Einhorn und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 4.ten Octobris Anno 1729.
Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli reciproci

In Einer allhier Zu Straßburg ane der Heÿligenliechtergaß gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der Bühn, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohn Stub Cammer, In der Wohn Stub, In der Kuchen, In untern Haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung (E. et T.) Eine Behaußung und Hoffstatt sambt dero gebäuen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der heÿligen Liechtengaß einseit ist ein Eck anderseit neben Meister Johann Christoph Lichtenberger dem Goldschlager hinden auf herrn Andream Greumen den Apothecker, und E: E: Großen Raths jetzigen beÿsitzern stoßend, so freÿ Ledig eigen, und durch (die Werckmeistere) lauth Abschatzungs Zeduls vom 27. 7.bris Anno 1729. angeschlagen pro 300 lb. Darüber meldet ein teutsche pergamente Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret, deren datum den 18.ten 9.bris A° 1690. Darbeÿ ferner ein alter pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Kleinern Secret Insiegel Verwahret datirt den 14.ten Junÿ Anno 1614, beede mit altem N° 1 notirt und nach beschehener besichtigung wider dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Wittib abgegangen ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeden gewesener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1705. durch Hn Notarium Daniel Rohr nun seel. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12 ß, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Schulden 25, Erg. (300, abgang 1, Remanet) 299, Summa summarum 328 lb
Der Erbin ohnverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 63, Sa. Werckzeugs und gemachter Wahr Zum Spengler handwerck gehörig 81, Sa. Wein und Lährer Vaß 22, Sa. Silbers 14, Sa. goldener Ring 6, Sa. Eigenthumb ane einer Behaußung 300, Summa summarum 487 lb – Schulden 360 lb, Nach solchem abgang 127 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 455 lb
Abschatzung d. 27. 7.bris aô 1729. Auff begehren Weÿland des Ehren Vesten und Vorachtbahren Meister Martz Schettling gewesenen Spänglers seel. hinterlaßene frau Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der hellen liechter gaßen gelegen, ein Eckhauß am höllen gäßlein, anderseits Neben Johann Christoph Leuchenberger Goldschlager, Anderseits Neben herrn Rathh. Keÿmen welche behausung, Stuben, Cammern, Küchel, hauß Ehren Mit herd und Waßerstein und gebälcktes Kellerlein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Sechß Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 28. Januarÿ 1702

La maison revient à sa fille Marie Elisabeth qui épouse en 1728 le perruquier Jean Jacques Wittmar, fils de chirurgien : contrat de mariage, célébration

1728 (15. Maÿ), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 21) n° 492 et (31 Not 77) n° 183
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Jacob Wittmar, dem Ledigen Perucquenmacher, Weÿland des Ehrenvest, Wohlvorgeacht vnd Kunsterfahrenen Herrn Johann Philipp Wittmars, des geweßenen Chirurgi und Wundartzten, auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Maria Elisabetha Schätzelin, des Ehren: Vnd Wohlvorgeachten Herrn Marx Schätzels des Spenglers Vnd burgers allhier Zu Straßburg, ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern Theil
(in gegenwarth Herrn Johann Philipp Wittmars Perucquenmachers deßen eheleiblichen bruders, auf sein des bräutigambs (…) auf Sambstag den 15. Maÿ Im Jahr des herrn als man Zahlte 1728, Johannes Lobstein, Notarius juratus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 206-v, n° 1175)
Anno 1728 den 9. Junÿ sind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Wittmar der ledige Peruquenmacher alhie weil. H. Johann Philipp Widmar des burgers und Chirurgi alhier hinderlaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Elisabeth Marx Schätzel des burgers und Spenglers alhie ehel. tochter [unterzeichnet] Johan Jacob Wittmar als hoch Zeiter, Maria Elisabetha Schätzlerin Als hoch zeitrin (i 211)

Jean Jacques Wittmar et Marie Elisabeth Schætzel hypothèquent la maison au profit de Marguerite Salomé Tromer veuve du pasteur Jean Melchior Erhard.

1732 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 n° 205
Johann Jacob Wittmar Peruquenmacher und Maria Elisabetha geb. Schätzelin mit beÿstand ihrer mutter schwagers Bernhard Notter Buchbincers und ihres Vettern Johann Philipp Geÿler Cantzleÿ Buchbinders
in gegensein H. Notario Johann Paul Tromer der schaffneÿ verwalthers allhießigen Blatterhaußes als vogts seiner tochter Fr. Margarethæ Salome weÿl. H. Johann Melchior Erhard Pfarrers zu Bischheim am Saum hinterlaßener wittib – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, zwo tertzen Einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der heÿlgen Liechtergaß einseit ein eck ahne St Barbara gaß, anderseit neben einem Stiffts hauß dem Allmoßen zu St Marx gehörig hinten auff H. Rathh. Andreas Greuhm Apothecker und auff die Schaffneÿ des Stiffts Carthauß – ihro der correa zu gedachten zweÿ dritten theil, ihrer mutter Fr. Catharina geb. Fischerin weÿl. Marx Schätzel Spenglers wittib zur übrigen tertz eigenthümlich zuständig

Jean Jacques Wittmar et Marie Elisabeth Schætzel hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Jund veuve du marchand Valentin Grauel et du pasteur Jean Schmidt

1732 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 273-v
Johann Jacob Wttmar Peruquenmacher und Maria Elisabetha geb. Schätzelin mit beÿstand ihrer Mutter bruders Johann Ulrich Müller handelsbedienten und ihres Mutter schwagers Bernhard Notter Buchbinders wie auch dießes letstern tochtermanns Johannes Güntzer auch Buchbinders
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Jundtin weÿl. H. Valentin Grauel gewesenen handelsmanns hinterlaßener wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Johann Jacob Spielmann Apotheckers und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers und in fernerer gegenwart H. M. Johannes Schmidt Evangelisch Pfarrers zu Mundolßheim und Mittelhausbergen – schuldig seÿen 1000 pfund zwar Frau Grauelin 200 pfund und H. Pfarrer Schmidt 800 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten am Fischmarckt einseit ist ein eck ahne der Kuttelgaß anderseit neben Andreas Schneller dem Chirurgi hinten auff eben denselben – davor soll man dem Stifft Carthauß 1 lb ahne ewigen ehrschätzigen und fürbietigen zinß, Ferner der hohen Schuel ahne ewigen zinß 7 ß 6 d, Item dem mehrern Hospital in der der Elender herrberg 7 ß 6 weither dem sSifft Nicolai in Undis 1 lb 10 ß ahne dergleichen zinß und endlich hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane allmend zinß
Ferner eine Behausung und hoffstatt cum appertinentis ahne der heÿlgen Liechtergaß einseit ist ein Eck ahne St Barbara gaß, anderseit neben einem dem Allmoßen zu St Marx gehörigen hauß hinten auff H. Rathh. and Greuhm apothecker und auff die Schaffneÿ des Stiffts Carhauß – als ein währender Ehe erkaufft die letstere aber Wittmarische Ehefrau allein als ein von ihrem vatter seel. ererbtes guth

Les héritiers sont exempts d’inventaire quand la veuve de Marc Schætzel meurt en 1736.
1736 (26.5.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 134
fr. Maria Elisabetha gebohrne Schätzelin mit beÿstand H. Johann Jacob Wittmar des Peruckenmachers ihres Ehemanns producirt Vätterl. Inventarium de anno 1729. durch H. Not. Lobstein gefertiget, mit bitt weilen das Vermögen mehr ab alß zugenommen, bittet umb befreÿung fernerer Inventur. Erkannt willfahrt.

Etat des biens qui ont appartenu à Catherine Fischer, parmi lesquels la maison (dont elle avait l’usufruit)

1736 (24. 7.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 45) n° 1037
Designatio, Alles deßen so Frau Maria Elisabetha Wittmarin, gebohrne Schätzelin, herrn Johann Jacob Wittmars, des Peruquenmachers vnd Burgers haußfrau auf absterben frauen Catharinæ Schätzelin gebohrner Fischerin, auch weÿl. Mr Marx Schätzels, des geweßenen Spenglers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib nun auch seel. Ihrer lieben mutter, welche den 23. maÿ Anno 1736 dießes zeitliche geseegnet, geerbet (…) So beschehen zu Straßburg auff Montag den 24.ten 7.bris Anno 1736. In Einer allhier Zu Straßburg ane der Heÿligenliechtergaß gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane haußrath (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung und hoffstatt, sambt d° gebäuen, weithen, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten, geleg. allh. Zu Straßb. ane der heÿligen Liechtengaß, einseit ist ein Eck, anderseit neben Mr Johann Christoph Lichtenberg. dem Goldschlag. hinden auff herrn Johann Daniel Branden, E: E : großen Raths alten beÿsitzers Ehefrau stoßend, so freÿ, ledig, eig. und in weÿl. Mr Marx Schätzels des geweßenen Spenglers v. burg ; allh. Zu Straßb. der fr. ehel. Vatters seel. Verlaßenschafft Invent° de A° 1729. d. mich unterschriebenen Not° auffgerichtet fol. 94. fac 2.da d. der Statt Straßb. geschworne Hn Werckmeistere angeschlag. dabeÿ mann es auch jedoch Keinem theil Zum præjuditz gelaßen pro 300 lb. Darüber sagt ein teutsche perg. Kauffverschreibung, mit der Statt Straßb. anh. Cancelleÿ Contract Ins. verwahret, d.en datum den 18.ten 9.bris Anno 1690. Darbeÿ ferner ein alter perg. Kffbrieff mit der Statt Straßb. Kleinern Secret Ins. Verwahret, datirt d. 14.ten Junÿ A° 1614, beede mit altem N° 1 notirt

Le perruquier Jean Jacques Wittmar meurt en 1783 en délaissant deux filles célibataires et un fils. L’actif de la succession s’élève à 30 livres, le passif à 37 livres
1783 (30.5.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 882) n° 184
Inventarium über Weiland Herrn Johann Jacob Wittmars geweßenen Perruquenlachers und burgers allier Zu Straßburg Verlaßenschafft, errichtet Anno 1780 – nach seinem den 2.ten Aprilis diesen laufenden 1783.ten Jahrs erfolgten Absterben hinterlassen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des Defuncti drei Majorener Kinder (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an der Mittlern Langstraas gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung, Freÿtags den 30. Maÿ Anno 1783.
Des Verstorbenen seelig ab intestato verlassene Erben sind 1° Jungfer Maria Salome Wittmarin, in dem ersten dritten Stammtheil, 2. Jungfer Maria Dorothea Wittmarin, den den Zweiten dritten Stammtheil, diese beede Töchter sind majorennes und haben unter Verbeÿstandung herrn Georg Michael Krauß des buchbinders und burgers alhier dieser Inventation beigewohnt und ihren Nutzen beobachtet,
Und dann 3. Herr Ludwig Wittmar, Perrquenmacher und burger allhier, welcher diesem Verlaßenschaft geschäft persönlich abwartete und sein interesse besorgte, in den letzten dritten Stammtheil, Alle drei sind des Defuncti mit auch weiland Frau Maria Elisabetha gebohrner Schätzelin seiner geweßenen Ehegattin ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichlingen Portionen verlaßene Erben.
Schulden au dieser Verlaßenschafft zu bezahlend, Erstlich weiland herrn Antoine Voinson des frantzösischen Becken Wittib solle man an Hauszinns von ein Viertel Jahr bis nächstkünfftig Joh. Bapt: gerechnet à 26 ß 10 ß des Jahrs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 21 lb, Sa. Schulden 9 lb, summa summarum 30 lb – Schulden 37 lb, Compensando, Passiv onus loco Stall summa 6 lb

Marie Elisabeth Schætzel femme de Jean Jacques Wittmar vend la maison au courtier Jean Daniel Ehrmann

1737 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 236-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Schätzelin Johann Jacob Wittmar des Perruquenmachers ehefrau beÿständlich ihres Ehevogts
in gegensein Johann Daniel Ehremann des geschwornen Courtier
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der heilgen Liechtergaß einseit ist ein Eck ahne St Barbara gaß gegen der königlichen Müntz über, anderseit neben einem dem Stifft zu St Marx gehörigen, von Johann Christoph Liechtenberger dem goldschlager bewohntem hauß, hinten auff H. Rathh. Johann Daniel Brand uxorio nomine – ihr als universal erbin ihrer Elten weÿl. Marx Schätzel des Spenglers und deßen wittib weÿl. Catharina geb. Fischerin eigenthümlich zuständig – um 750 pfund

Marie Madeleine Fritschmann veuve de Jean Daniel Ehrmann vend la maison au perruquier Jacques Henri Ehrmann et à sa femme Catherine Elisabeth von Gottesheim moyennant 600 livres

1761 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 256
H. Johann Michael Emmerich der courtier als mandatarius Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Fritschmännin weÿl. H. Johann Daniel Ehrmann des Courtier wittib
in gegensein H. Jacob Heinrich Ehrmann des perruckenmachers und Catharinæ Elisabethæ geb. von Gottesheim beÿständlich H. Johannes Meÿer des säckers und H. Not. Johann Daniel Langheinrich
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der heÿligen lichtengaß, einseit ist ein Eck ane der Barbara gaß, anderseit neben einer dem Stifft St Marx gehörigen behausung, hinten auff N. Schmidt den kübler – um 600 pfund

La venderesse donne pouvoir à son gendre Jean Michel Emmerich de vendre la maison
(94 Z 79) persönlich erschienen frau Maria Magdalena gebohrene Fritschmännin, weÿl. Herrn Johann Daniel Ehrmanns geweßenen geschworne Wechßel Courtier und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Frau Wittib beÿständlich Herrn Johann Ludwig Imlin junioris Silber Arbeiters und Burgers allhier Ihres geliebten Hn Tochtermanns
anzeigend wie daß Sie die Von Ihrem Ehemann seelig den 2.ten Aprilis 1737. erkauffte Behausung und Hoffstatt mit allen übrigen deren Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der heÿligen Lichtengaß, einseith ein Eck ane der gegen St. Barbarä Gaß, Ziehenden Zwerchgaß, anderseith neben einem dem Stifft St. Marx Zuständigen hauß hinten auff N. Schmid den Kübler stoßend, si gegen männiglichen freÿ, leedig, eigen
an Herrn Jacob Heinrich Ehrmann des Perruquier und Burgern allhier Ver Kaufft Alldieweilen Ihme aber solche dermahlen in allhießiger Cancelleÿ Contract Zugeschrieben Werden solle, Ihro aber gegenwärtige Zeit nicht erlauben Will sich in eigener Persohn dahin Zu Verfügenn und solches Verschreibung beÿ zu wohnen, so Will Sie hiermit und in Crafft dießen Ihrem ältern Herrn tochtermann Herrn Joh: Michael Emmerich dem geschwornen Wechßel Courtier und Burgern allhier Vollkomen Macht und Gewalt ertheilt haben sich in Ihrem Nahmen in allhießige Contract stub Zu Verfügen (…)
So beschehen in Straßburg auff Sonntag den 27. Augusti A° 1761. Johann Daniel Langheinrich Notarius juratus

Jacques Henri Ehrmann termine son apprentissage chez son père Jean Philippe Ehrmann en juin 1750. Il devient maître en janvier 1756.
1750, Protocole du corps des perruquiers (XI 175)
(f° 244) 1750. Mittwochs den 17. Junÿ – Herr Johann Philipp Ehrmann der Perr. und Burger alhier, bittet seinen Sohn Jacob Heinrich, in die Lehr zuschreiben und auszuthun. Erk. seÿe hiemit Zu verzeichnen.

1756, Protocole du corps des Perruquiers (IX 176)
(f° 53-v) 1756. Montags den 19. Januarÿ – Eodem, Hr. Jacob Heinrich Ehrmann der Peruckenm. Herrn Phil. Ehrman, des Perr. u. b. alh. ehel. sohn, prod. Stall und Zftschein von dem heutig. dato, bittet ihne als einen Mr. Sohn, in die maitrise aufzunehmen. Erkandt, seÿe aufzunehmen, worauf ihme die art. vorgel. word. welche er auch zu halten verspr.

Jacques Henri Ehrmann épouse en 1756 Catherine Elisabeth von Gottesheim, fille du pasteur Jean von Gottesheim : contrat de mariage, célébration
1756 (25.10.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 113
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und wohlvorgeachten herrn Jacob Heinrich Ehrmann dem Leedigen Perruquenmacher Hn Joh: Philipp Ehrmanns ebenmäßigen Perruquenmachers und burgers allhier und fraun Maria Dorothea gebohrener Schatzin ehelich erziehlten Hn Sohn als dem H brautigam ane einem
sodann der Viel Ehren und tugendgezierten Jgfr Catharinæ Elisabethä Gottesheimin weÿl. S. T. H. Johann von Gottesheim geweßenen treu Eÿfferigen Diaconi beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu St Nicolai und burgers allhier seel. mit frauen Susanna Maria gebohrner Moscheroschin ehelich erziehlten Jgfr. tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
auff Montag den 25.ten Octobris A° 1756. [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann al s hochzeiter, Catharina Elisabetha Von Gottesheim als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 140 n° 36)
1756. Mittwoch d. 17. Nov. Seind auff Zweÿmahlige Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai in den Ehelichen Stand eingesegnet worden. H. Jacob Heinrich Ehrmann, Peruquenmacher und burger allhier, H. Johann Philipp Ehrmanns, Peruquenmachers Haarshändlers und burgers allhier Ehelicher Sohn, und Jfr. Catharina Elisabetha Gottesheimin, Herren Johannes von Gottesheim geweßten Diaconi Senioris beÿ dieser Evangelischen Gemeinde Zu S. Nicolai nachgelaßene Eheliche Tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann ams hochzeider, Catharina Elisabetha Von Gottesheim als Hochzeiterin (i 142)

Catherine Elisabeth von Gottesheim meurt en 1764 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 655 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 493 livres, le passif à 1 083 livres.

1764 (6.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 722) n° 510
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen frauen Catharinæ Elisabethæ Ehrmännin geb. von Gottesheim des Ehren und Vorgeachten herrn Jacob Heinrich Ehrmanns Perruquier und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1764 – als dieselbe Freÿtags den 15.ten Junÿ dießes lauffenden 1764. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechselt auch solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johannes Meÿers Säcklers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Elisabetha und Mariä Magdalenæ derer Ehrmännin beeder der Verstorbenen seel. mit obgedachtem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt und nach todt Verlaßener Kinder alß deroselben ab intestato Verlaßener Erben ersucht und inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 6.ten Junÿ Anno 1764.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Hellenliechtergaß gelegenen in dießer Verlaßenschafft gehörig. behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen begriffen Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der hellen liechtengaß einseit neben einem Löbl. Stifft St. Marx gehörigen Von H. Georg Jacob Lichtenberger dem Goldschlager bewohnenden behaußung 2.seith ein Eck ane der Allmendgaß gegen denen Kleinen Capucinern hinden auf Johann Schmid den Kübler stoßend, so außer hernach eingetragenen darauf hafftenden passiv Capital freÿ leedig eigen, und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 21. Julÿ 1764. angeschlagen pro 450 lb. Dießes hauß hat der Wittiber wehrender Ehe von Frauen Maria Magdalena Ehrmännin geb. Fritschmännin weÿl. Hn Joh: Daniel Ehrmanns geweßenen Wachßel Courtier und Burgers allhier seel. nachgel. Fr. Wittib an sich erkaufft, es ist auch solches in allh. C. C. Stub ordentlich verschrieben aber biß dato Kein Kauffbrieff davon außgefertiget worden. Es sagt aber hierüber 1. teutsch. pergam. Kauffbrief in allh. C. C Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret d. d. 2. Aprilis A° 1737.
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in der Ehestand Zugebrachte Nahrung Anno 1757. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändert Vermögens, Sa. hausraths 53, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring und dergleichen Geschmeids 15, Sa. Schuld 50, Erg. Rest 527, Summa summarum 655 lb
Dießemnach wird nun auch des Wittibers unverändert und theilbar Vermögen unter einem Titul beschrieben massen der Kind. und Erben Vogt auf die theilbahre Nahrung renunciren und solche dem Wittiber tam active quam passive allein eigenthümlich überlaßen wird, Sa. haußraths 43, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Summa summarum 493 lb – Schulden 1083 lb, In Vergleichung 590. lb – Stall summ 64 lb

Jacques Henri Ehrmann loue une partie de la maison au manant Jean Baptiste Michel

1765 (27.2.), Not. Lobstein (6 E 41, 840) n° 5 (III : Lehnungen)
zwischen H Jacob Heinrich Ehrmann dem Peruquenmacher ane einem
und Jean Baptiste Michel dem Schirmern dahier ane dem andern theil, nachfolgende 3 jährige Lehnung
in seiner ane der hellen Lichtergaß gelegenen behaußung den völligen ersten Stock das ist alles das jenige so eine Steege hoch, mehr im zweÿten Stock eine stub in die helleliechter gaß außsehend, ferner auf den dritten stock eine bühn und Cammer für die Magd zu legen und platz zum holtz wie auch im Keller platz für 20 Ohmen wein zu legen und auf nachst kommenden Annunciationis Mariæ dießes 1765 Jahr ihren Anfang nimbt (um einen jährlichen Zinß= 60 gulden
deponirt den 27. Februarÿ 1765

Jacques Henri Ehrmann se remarie en 1766 avec Marguerite Salomé Erhard, fille de coutelier
Mariage, Robertsau (luth. n° 489)
Montag den 16. November 1766 nach vorhergangener zweÿmaliger ausrufung in der Kirche Zu St. Nicolai in Straßburg, allhier auf Erlaubniß Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters Ehelich copulirt und eingesegnet worden, Herr Jacob Heinrich Ehrmann der Peruckenmacher, burger in Straßburg und Wittwer, und Margaretha Salome, Johann Georg Erhard des burgers und Meßerschmidts in Straßburg Eheliche tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann, als hochzeiter, Margareda salome Erhardin als hochzeiterin (i 255)

Marguerite Salomé Erhard fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 74 livres
1766 (28.11.), Not. Elles (6 E 41, 1333) n° 345
Inventarium über Fraun Margarethä Salome geb. Erhardtin, Jacob Heinrich Ehrmann des Peruquenmachers v. b. dahier Ehefraun, Zu erstged. ihrem Ehemann in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1766. – in beÿseÿn ged. ihres Mariti, inventirt v. ersucht, auch durch sie selbsten unter verbeÿstandung Joh: Georg Erhard des Meßerschmidtts v. bs. dahier, ihres Vatters – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg den 28. Novembris 1766.
In einer behaußung allhier Zu Straßburg ane en sogenanndten däumel Gäßel beÿ Finckweiler gemegen, befunden worden wie folgt
Sa. haußraths 60 lb, Sa. Silbers 14, Summa summarum 74 lb

Jacques Henri Ehrmann meurt en 1773 en délaissant deux filles de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans la maison du cordonnier Michel Vollherbst au Fossé des Treize. La masse propre à la veuve est de 10 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 12 livres, le passif à 202 livres.
1773 (19.6.), Not. Lauth (6 E 41, 646) n° 4
Inventarium über Weÿland Mr Jacob Heinrich Ehrmann, des gewesenen Peruquier und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1773 – , nach seinem den 29.ten Martii laufenden 1773. Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Nahrungs: Verlaßenschaft auf Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohl Fr. Margarethæ Salome Ehrmännin gebohrner Erhardin der hinterbliebenen Wittib beÿständlich H. Johannes Hertenstein des Weisgerbers und Br. hieselbsten fleißig inventirt vnd ersucht, als auch H. Johann Christoph Geÿler, Phil: Magistri und Burgers dahier als geordnet und geschworen Vogts Mariæ Elisabethæ und Mariæ Magdalenæ beeder Ehrmännin, des Verstorbenen seel. mit weil. Fr. Maria Elisabetha gebohrner von Gottesheim in erster Ehe erzeugter und ab intestato Hinterlaßener Erben (…) So geschehen Straßburg auff Sonntag den 19.ten Junii 1773.
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschaft. Dieweilen nach dem durch die hinterbliebene Wittib anbeÿ ertheilten Bericht, Zwischen Ihro und ihrem Verstorbenen Ehemann Keine Eheberedung errichtet, annoch aber ihr der Wittib in nun zertrennte Ehe gebrachtes Guth nach Außweißung producirten durch Vormahligen herrn Not. Joh: Georg Elles den 28.ten Nov. 1766 errichteten Inventarÿ ordnungs-mäßig Verzeichnet und æstimirt worden ist (…)

In einer zu Straßburg ane dem dreÿzehen Graben gelegenen, Mr Michael Vollherbst dem Schuhmacher v. b. allhier zuständigen Behausung befunden worden wir folgt
Passiva (…) It. Fr. Mariæ Salome Erhardin geb. Ittin der Wb. leibl. Mutter für avancirte Kranckheits: und Leich-Unkosten
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Wittib in die Ehe gebrachte und dermahlen annoch in natura Vorhandene Posten, Sa. hausraths 8 lb, Sa. Silbers 1 lb, Summa summarum 10 lb
Solchemnach wird auch die übrige Verlaßenschafft, als derer Beneficial Erben unverändert und theilbahr beschrieben, Sa. hausrath 13 lb – Schulden 202 lb, Compensando, passiv onus 188 lb – Passiv onus loco Stall summ 178 lb

Marguerite Salomé Erhard se remarie en 1774 avec le perruquier Jean Jacques Henri Winckelmann
1774 (27.1.), Not. Anrich (6 E 41, 1516) n° 109
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Johann Jacob Heinrich Winckelmann der leedige Peruckenmacher, Hrn Johann Heinrich Winckelmanns des schirmers und tabackbereiters allhier mit fraun Maria Elisabetha gebohrner Ehretsmännin ehelich erzeugter mehrjähriger Sohn als Hochzeiter ane einem, So dann
Frau Margaretha Salome geborne Ehrhardin weiland Hrn Jacob Heinrich Ehrmanns geweßenen burgers und Perruckenmachers hieselbsten Zurückgelaßene Wittib beÿständlich Hrn Philipp Immhoffs des hiesigen burgers und Schuemachers als Hochzeiterin am adenrn theil
(…) zu Straßburg dden 27. Januarÿ anno 1774 [unterzeichnet] Johann Jacob Heinrigh winckelmann, margreda salome geborne Erhardin

Marguerite Salomé Erhard meurt en 1781 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans la maison du tanneur Jacques Ott rue du Coin-brûlé. La masse propre aux héritiers est de 6 livres. L’actif du veuf s’élève à 72 livres, le passif à 118 livres.
1781 (26. 8.br.), Not. Lauth (6 E 41, 648) n° 103
Inventarium über Weiland Fraun Margar. Salome Winckelmännin, gebohrner Ehrhardin Herrn Jakob Heinrich Winckelmann, des Peruquenmachers und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehefraun, nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1781. (…) nach ihrem den 12.ten 8.bris laufenden 1781.gen Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohl Vorgedachten H, Winckelmanns des hinterbliebenen Wittibers als auch Hn Joh. Mich: Salzmann des Schuemacher meisters Es. En. grosen Raths alten und E. E. Kleinen Raths dermahlig wolverdienten beisitzers (…) vor die beide abwesende und auf nachstehendem blatt benambste Erben insonderheit ernanten Hn Deputati (…)& So geschehen Straßburg auf Freÿtag den 26. Octobris Anno 81.
Die verstorbene hat in Ermanglung ehelich erzeugter Kinder ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1° Johann Georg Ehrhard des bedienten bei einem officier von dem Regiment Dauphin Cavallerie in diensten, mit demselben en semestre sich befindet, mithin dermalen abwesend und dann 2° Jungfer Cathar. Lucretiam Ehrhardin, welche sich in Augsburg bei ihren verwanthen aufhaltet, derowegen hier nicht gegenwärtig. Diese beide Abwesende und der Verstorbenen seel. Leibl. Geschwisterde und wegen nicht vorhandene ehelich erzeugten Kindern ab intestato nachgelaßenee Erben

Bericht in gegenwärtiges Verlaßenschaft Inventarium gehörig. Nachdeme ich der Inventir: Not° Vorher copialiter eingetragene Eheberedung dem Wittiber sowol als auch vor ged. H. Rathh. J: Mich: Saltzmann Verlesen hatte und dem Innhalt deren 2. Punctens gemäs gemelten Wr. um die Documenten Zu der jetzigen Ersuchung der Natural Posten, wie auch Ergäntzungen dienlich, befragte, so hat mit derselbe Zur antwort ertheilt, daß nicht wäre in die Ehe inventirt word. (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane den Brand ein End gelegen hn Jb: Ott dem Rothgerber eigenthüml. Zuständigen und diesorts lehnungsweise bewohnenden behausung befunden worden, wie folgt
Ergäntzung der Verstorbenen seeligen anjetzo derer B: E: angegangen unveränderten Guths, (…) über weil. Mr Jb. Heinrich Ehrmann des gewesenen Perruquier und burgers allhie der verstorbenen seel. geweßten erstern Ehemanns auch seel. Von mir dem disortigen Inventir: Notario in Anno 1775. d. 19. Junii aufgerichtet und expedirten Verlaßenschaft: Inventarii denenselben als manglend Zu ersetzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Der verstorbenen seeligen modo dero B: E: unveränderten Guths, Sa. hausrath 63 lb, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8 ß, Sa. Golden Geschmeids 2 lb, Ergäntzung &, Summa summarum 65 lb – Schulden 59 lb, Detrahendo 6 lb
Solchemnach wird auch des Wittibers unverändert und T. Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 11 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Schulden 59 lb, Summa summarum 72 lb – Schulden 118 lb, In compensatione 46 lb – Passiv Onus loco Stall summæ 40 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 27. Januarÿ 1774, Johannes Anrich Notarius

La maison provenant de la fallite de Henri Ehrmann est vendue par enchère judiciaire au cordonnier Barthelémy Hansmann moyennant 800 livres

1768, s.d. [19/22.9.], Chambre des Contrats, vol. 642 f° 516
Ganthkauf vom 17 Septembris 1767, in sachen Heinrich Ehremann des perruckenmachers alhier creditmaß
ist die ane der heiligen Lichtengaß gelegenen behausung
an Bartholome Hanßmann dem schumacher um 1600 gulden adjudicirt worden

Fils du boulanger Barthelémy Hansmann à « Deningen » en Wurtemberg, Barthelémy Hansmann épouse en 1752 Dorothée Vogel, fille du cordonnier Jean Vogel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.
1752, Not. Hess (J. Jacques, répert. 6 E 41, 1267-2) n° 192
Eheberedung – Bartholme Hannßmanns, Schuhmachers, u. Jgf. Dorothe Vogelin
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Bartholome Hannßmann, leedigem Schuhmacher von Deningen Hochfürstlich Würtenbergischer Jurisdiction gebürtig als bräutigam ane einem, So dann der Ehr: und tugendsamen Jungfrau Dorothea weil. Johannes Vogel, gewesenen Schuemachers und Burgers allhier ehelich erzeugtt und hinterlaßener tochtern als Hochzeiterin andern theils (…) So beschehen Straßburg 28.t Augusti Anno 1752. T. Johann Jacob Heß mit handzug Notarius juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 310, n° 1139)
1752. Mittwoch d. 15. Nov. seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt undt eingesegnet bartholomæus Hansman der ledige schumacher weÿl. bartholomæi Hansman des becken iin donatingen* in wirtenbergischen ehl. sohn undt Jfr. Maria Dorothea weÿl. Joh: Vogels Schumachers u. b. all. ehl. tochter [unterzeichnet] bartholomö hanßmann als hochzeiter, Maria dorodea Voglerin als hochzeiterin

Barthelémy Hansmann devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 511
Bartholme Hannßmann Von Döhningen auß dem würtembergischen der schuhmacher, erhalt das burgerrecht von seiner [Ehefrau] Maria Dorothea weÿ. Johannes Vogel des burgers und schuhmachers Ehel. tochter um den alten burgerschilling, und dient beÿ EE Zunfft der schuhmacher, jur. eodem [2 X.bris 1752]

Barthelémy Hansmann meurt en décembre 1784 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 387 livres, le passif à 749 livres.

1785 (14.4.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1486) n° 105
Inventarium über Weiland Meister Bartholome Hanßmann des gewesten Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. Verlaßenschafft aufgerichtet in Anno 1785. – nach seinem Dienstags den 22. Decembris des Verwichenen 1784.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes ansuchen Frauen Mariæ Dorotheæ gebohrner Vogelin, der dißorts hinterbliebenen Wittib unter assistentz Meister Caspar Schnell, des Schuemachers und burgers allhier, wie auch derer gleich nach dem Eingang dieses Inventarii in specie benembste Kinder und Erben ersucht und inventirt (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 14.ten Aprilis Anno 1785.
Der Verstorbene sel. hat mit Eingangs gemelter seiner hinterlaßenen Wittib nachbenandte Kinder Ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben Verlaßen wir folgt als. 1. Frau Dorotheam Salome Burgerin gebohrne Haanßmännin H Johannes Burgers des Schuhmacher Meisters und Burgers alhier Ehefrau, welche unter autorisation und Verbeÿstandung erstgedacht ihres Ehemanns dieser inventur persönlich beÿgewohnt, und 2. Jungfrau Mariam Magdalenam Haanßmännin, so großjährig, welche unter verbeÿstandung erstgedachten Hn Johannes Burgers ihres Schwagers, diesem Geschäfft persönlich abgewartet, beede Zu gleichen portionen und antheilern verlaßene Kinder und Erben

Bericht und respective Declaration über gegenwärtig Verlaßenschafft. Nach deme man Zur Inventur gegenwärtiger Verlaßenschafft schreiten wolte, Declarirte Eingangs gemelte hinterbliebene Wittib daß Sie Zwar mit ihrem Verstorbenen Ehemann seel. Zur Zeit ihrer Verheürathung Vorherio Copialiter inserirte Eheberedung errichtet, dero Illata aber nicht inventiren laßen auch von beederseits eingebrachtem Vermögen nicht das mindeste mehr naturaliter vorhanden seÿe (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane der heiligen Liechter Gaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer Metzigbanck (…)
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen eine Behausung und Hoffstatt sambt allen übrigen deren begriffen, Rechten und gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der Heiligen Liechter Gaß gelegen einseit ist ein Eck ane der Zwerchgaß, anderseit neben Meister Kraußert dem Schneider und Hinten auf meister Pastorius den Kübler stoßend, so außer dem darauf hafftenden und hernach eingetragenen passiv Capital, freÿ leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) zufolg deren Zu mein Notarii concept übergebener Abschatzung Zeduls Vom 20. Aprilis jüngst æstimirt pro 300. lb. Hierüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Von H Actuario Beguin gefertigte und mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insigel verwahrter ganth Kauffbrief sub dato 17. Septembris 1767. Sothane behaußung hat der dißorts verstorbene aus weiland Johann Jacob Ehrmans geweßten Perruckenmachers und burgers allhier Credit Mass ane sich ersteigert.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Hierauf folgt nun die Beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft und Zwar Zufolg Vorstehenden bericht und respectivé Declaration unter einer Massa Vor und ane sich selbsten. Sa. haußraths 54, Sa. Werckzeugs Zur Schuhmacher Profession gehörig 3 ß, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 875, Sa. Eigenthums ane einer Metzigbanck 57, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300, Sa. Schulden 100, Summa summarum 1387 lb – Schulden 749, Deducendo Verbleibt 638 lb – Stall Summa 463 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg 28.t Augusti Anno 1752. T. Johann Jacob Heß mit handzug Notarius juratus
– Abschatzung Vom 20.t apprill 1785. Auf begeren Weÿland Herr Bartholome Hantzmann, dem geweßenen schumacher Meister ist Eine behausung alhie in der statt strasburg in der Heillige lichter gaß gelegen Ein seÿts Ein Eck auf das allmend anderer seÿts neben Herr Krauß dem schneider, und Hinten auf Meister pastorius dem Kübler stoßend gelegen solche behausung bestehet in Zweÿ stuben Zweÿ Kuchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidziegel belegt hat auch Ein getremter Keller Vor und um Sechs Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhir in der statt strasburg in der glein Metzig gelegen (…)
Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Bau Inscpector und Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Vier Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhor architecte, Kaltner Mstr. Götz Wmstr.

Marie Dorothée Vogler veuve de Barthelémy Hansman hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Busch, chef du bureau des travaux publics

1790 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 180
Fr. Maria Dorothea Hansmännin geb. Voglerin weÿl. Bartholme Hansmann des schuhmachers wittib beÿständlich Johannes Burger des schuhmachers ihres tochtermanns
in gegensein H. Lt. Johann Daniel Busch chef du bureau des travaux publics in deßen nahmen Johann Georg Bleßig des klein uhrenmachers – schuldig seÿen 600 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane der heiligen Lichtergaß, einseit neben Mr Kraußert dem schneider, anderseit neben Mr Pastorius dem kübler

Les héritières Marie Madeleine et Dorothée Salomé Hansmann vendent la maison à la blanchisseuse Thérèse Bollen, demeurant à Hermolsheim

1810 (28.4.), Strasbourg 2 (32), Not. Knobloch n° 4563
1. Marie Madeleine Hansmann épouse de Frédéric Bein passementier, 2. Dorothée Salomé Hansmann épouse de Jean Burger cordonnier
à Thérèse Bollen blanchisseuse de toiles demeurant à Hermolsheim
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles n° 1 formant d’un côté le coin d’une rue traversière, d’autre la veuve Schutz, derrière le Sr Mees graissier – avenu de la succession de Bartholomé Hansmann cordonnier qui l’avait acquis par adjudication le 17 septembre 1767 – moyennant 4905 francs
Enregistrement, acp 114 F° 130-v du 28.4.

Thérèse Bolling, née à Hermolsheim (Mutzig) le 10 août 1777 du blanchisseur Jean Michel Böhling et d’Anne Marie Carl

Thérèse Bollen revend la maison trois ans plus tard au marchand de fruits Xavier Zimmermann

1813 (21.5.), Strasbourg 2 (37), Not. Knobloch n° 6211
Thérèse Bollen célibataire majeure
à Xavier Zimmermann marchand de fruits
une maison avec appartenances et dépendances rue des Chandelles marquée du n° 1, d’un côté le coin d’une rue traversière, d’autre la veuve Schultz, derrière Sr Muss graissier – acquise suivant acte reçu M° Knobloch le 28 avril 1810 – pour 4400 francs
Enregistrement, acp 122 F° 105-v du 22.5.

Fils du tailleur Jacques Zimmermann, le tailleur Xavier Zimmermann épouse en 1804 Marie Catherine Schock, fille du marchand de fruits Georges Schock
1801 (25 germ. 9), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 101 (567)
Eheberedung – erschienen der Burger Xaverius Zimmermann, lediger Schneider und großjährigen Alters, bürgers Jakob Zimmermann, hiesigen Schneiders mit B. Magdalena gebohrner Bernhard ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter, an einem
Und Jungfer Maria Katharina Schock, bürgers Georg Schock, Fastenspeishändlers allhier mit b. Katharina gebohrner Walter ehelich erzielte tochter, beiständlich gedachter ihres Vaters als Braut, am andern theil
Straßburg em 25. Germinal neunten Jahrs der fränckischen Republique [unterzeichnet] Xaverÿ Zimmerman, carin Schock
Enregistrement, acp 78 F° 9 du 2 floréal 9

Xavier Zimmermann et Catherine Schock vendent la maison à l’aubergiste Jean Louis Specht et à sa femme Marie Hélène Gerlach

1813 (14.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 36), Not. Bossenius n° 3697
Sr Xavier Zimmermann, fruitier, et Catherine Schock
au Sr Louis Specht, aubergiste, et Helene Gerlach
Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles N° 1 d’un côté faisant le coin d’une rue traversiere d’autre veuve Schultz par derrière sur le Sr Mus graissier – le vendeur est devenu propriétaire par acte passé devant M° Knobloch le 21 mai 1813 – remis 1. la grosse du Contrat d’acquisition du 21 mai 1813, 2. la grosse du Contrat de vente par De Marie Madeleine Hausmann femme de Frédéric Bein passementier et De Hansmann femme de Jean Burger cordonnier à Thérèse Bollen, fille majeure, devant M° Knoboch le 28 avril 1810, 3. expédition sur parchemin du procès verbal d’adjudication définitive par le ci devant petit Sénat du 17 septembre 1765 – 4000 francs
Enregistrement, acp 122 F° 141 du 15.6.

La maison figure à l’inventaire dressé en 1850 après la mort d’Hélène Gerlach puis à la vente par adjudication des différentes maisons en 1856. L’acquéreur du n°1 (futur n° 26) est le marchand de charbons Joseph Sutter.
Suite à une surenchère, la maison est criée au tribunal. L’acquéreur est à nouveau Joseph Sutter.

1856 (8.8.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 654 (2796) n° 21, Tribunal civil
(Transcription de l’acte de M° Becker)
(f° 52) Par acte dressé au greffe de ce siège le 14 juillet 1856, le sieur Benjamin Levy commerçant domicilié à Strasbourg a fait une surenchère du sixième sur le premier lot
Par acte dressé au greffe de ce siège le 12 juillet 1856, le sieur Joseph Rohfritsch journalier domicilié à Strasbourg a fait une surenchère du sixième sur le deuxième lot
Par acte dressé au greffe de ce siège le 15 juillet 1856, dame Caroline Specht veuve de feu le sieur Jean Michel Doerffer tonnelier à Strasbourg où elle est domiciliééa fait une surenchère du sixième sur le cinquième lot (…)
L’adjudication sur surenchère a eu lieu à l’audience des criées de ce siège vendredi 8 août 1856 (…) 1) Le premier lot [rue des Chandelles n° 1] crié à 2695 francs, enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par M° Picard avoué à 3000 francs
(f° 54) Déclaration d’adjudicataire. L’an 1856 le 8 août au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg ont comparu 1. M. Joseph Achille Picard, avoué près ledit tribunal, domicilié à Strasbourg, 2. le sieur Joseph Sutter, marchand de charrbons domicilié à Strasbourg, M° Picard avoué déclare que c’est pour le sieur Joseph Sutter susdit comme en ayant eu commission qu’il a enchéri et s’est rendu adjudicataire pour le prix de 3000 francs de l’immeuble vendu aujourd’hui ensuite de surenchère

Le menuisier Jules Joseph Sutter épouse en 1845 Marie Louise Hahn
1845 (9.8.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2812
Contrat de mariage – Ont comparu Le sieur Jules Joseph Sutter, menuisier demeurant & domicilié à Strasbourg, fils majeur & légitime du sieur Antoine Sutter, tisserand & de De Madeleine Weber son épouse décédée, agissant en son nom personnel et comme futur époux d’une part
Et Dlle Marie Louise Hahn, fille majeure & légitime du sieur Alexandre Hahn, marchand de charbons & de D° Caroline Armbruster son épouse, tous demeurant et domiciliés en ladite ville
acp 339 (3 Q 30 054) f° 17-v du 16 août – sous le régime de la communauté d’acquets
Les apports de la future épouse se composent d’un mobilier évalué à 500 francs
Donation par le futur époux à la future épouse qui accepte d’une somme de 500 francs pour le cas où elle lui survivrait, laquelle somme sera prélevée sur les biens qui composeront la succession de l’époux prédécédé. Les futurs époux se font en outre donation mutuelle, le prémourant en faveur du survivant, ce qu’ils acceptent, réciproquement de l’usufruit et jouissance viagère et gratuite de tous les biens du prédécédé

Consentement par les parents de la mariée.
1845 (30.7.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2799
Consentement à mariage – Le Sr Alexandre Hahn, marchand de charbons & de De Caroline Armbruster demeurant et domiciliés à Strasbourg, Lesquels déclarent consentir formellement au mariage que Dlle Marie Louise Hahn leur fille majeure demeurant en cette ville se propose de contracter avec le sieur Jules Joseph Sutter menuisier demeurant en la même ville fils du sieur Antoine Sutter tisserand et de Dle Madeleine Wever son épouse demeurant à Strasbourg
acp 338 (3 Q 30 053) f° 77

Joseph Sutter meurt en 1858 en délaissant trois enfants

1858 (26.6.), M° Stromeyer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Joseph Jules Sutter, en son vivant marchand de charbons, et Louise Elisabeth Hahn ; sa femme à Strasbourg et de la succession du dit Sr Sutter décédé le 10 février 1858, dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens à défaut de contrat de mariage et comme mère et tutrice naturelle de Adolphe, Louise et Emilie Sutter ses enfants
acp 470 (3 Q 30 185) f° 50 du 2.7. (succession déclarée le 2 juillet 1858)
Communauté, mobilier 664, créances 7
Une maison à Strasbourg rue des Chandelles N° 1
Succession, garde robe 44

Dissolution de société entre la veuve et Auguste Hahn
1869 (9.11.), M° Keller
Notoriété constatant que la société qui a existé entre Auguste Hahn et Madeleine Louise Hahn veuve Joseph Sutter, marchand de bois à Strasbourg, a été dissoute par jugement du 1° août 1868, qu’il en dépend une somme de 500 francs, montant du cautionnement pour fourniture de charbons à l’école de médecine pour 1868
Intervention de la veuve Hahn, la quelle consent* que ladite somme soit délivrée audit Sr Hahn seul
acp 584 (3 Q 30 299) f° 126 du 11.11.

L’agent d’assurances Adolphe Sutter épouse en 1873 Emilie Rhein, fille du lampiste Auguste Rhein
1873 (25.4.), Strasbourg 4 (137), Not. Charles Lauterbach n° 481
Contrat de mariage. Ont comparu 1. M. Adolphe Sutter, commis d’assurance demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de feu Mr Joseph Jules Sutter et de Dame Marie Louise Hahn, sa veuve, marchande de charbons, demeurant à Strasbourg, futur époux procédant seul et en son nom personnel d’une part
2. Et Mde.lle Emilie Rhein, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille encore mineure de M. Auguste Rhein, lampiste et de Dame Sophie Simonin son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg grand rue N° 107, Future épouse, procédant du consentement et avec l’assistance de ses père et mère ci présents, d’autre part
acp 615 (3 Q 30 330) f° 96 du 26.4. n° 1915 – Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C.C. Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Schenkung durch die Eheleuthe Rhein der Braut ihrer tochter annehmend von einem Mobilien abgeschätzt zu 2473 rankcen
Der Bräutigam bringt in die Ehen Geld 1200, Mobilien 500
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutzniesung des gantzen Nachlasses

Mariage, Strasbourg (n° 290)
Stadt Strassburg, den 6. Mai 1873. Heiraths-Urkunde öffentlich abgeschlossen im Stadthause von Strassburg von Adolph Sutter, geboren zu Strassburg an 16. Februar 1856, Assekurantsbeamter wohnhaft zu Strassburg, ehelicher Sohn von weiland Joseph Julius Sutter, Schreiner zu Straßburg, gestorben den 10. Februar 1858 und von Marie Louise Elisabeth Hahn, ohne Gewerb zu Strassburg wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend, und von Caroline Emilie Rhein, gebürtig Zu Strassburg den 11. April 1856 zu Straßburg, ohne Gewerb wohnhaft zu Strassburg, minderjährige Tochter von August Rhein, Plombier zu Straßburg wohnhaft und von Margaretha Sophie Simonin seiner Ehefrau daselbst wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend (…) die künftige Gattin legt ein gehörig registrirtes von den Herrn Lauterbach, Notar Zu Straßburg wohnhaft den 25. Aprilis dieses Jahrss errichtetes heirathsconsens ihres Vaters vor (i 14)

Veuve du directeur de compagnie d’assurances Adolphe Sutter, Caroline Emilie Rhein se remarie en 1886 avec le libraire Joseph François Beguin
Mariage, Strasbourg (n° 543) Straßburg am 2. Septembre 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchhändler Joseph Franz Beguin, katholischer Religion geboren den 18. Juni des Jahres 1861 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg ehelicher Sohn des verstorbenen Buchhändlers Joseph Antoni Franz Beguin, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und der Magdalena Hisler, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg 2. die Caroline Emilie Rhein, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 11. April des Jahres 1856 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Assekuranz-Direktor Adolph Sutter, gestorben zu Straßburg den 10. Januar 1883 eheliche Tochter des Rentners August Rhein, wohnhaft zu Straßburg und der verstorbenen Margaretha Sophie Simonin, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 1)



5, rue de l’Hôpital militaire


Rue de l’Hôpital militaire n° 5 – O 867 puis section 33 parcelle 30 (cadastre)

Détachée en 1715 de la maison voisine au Grand Cerf à laquelle elle est à nouveau rattachée de 1733 à 1782 et de 1830 à 1852
Maître d’ouvrage, Charles Widmer, marchand de volaille, 1862


La maison en mars 2013 (n° 5 à 1) et en novembre 2012

Les bâtiments arrière de l’auberge au Grand Cerf en sont détachés en 1715 quand le boucher Jean Koch s’en rend propriétaire. Ils correspondent aux deux bâtiments l’un derrière l’autre en bas de l’îlot représenté sur le plan-relief de 1727. Le propriétaire du Grand Cerf les rachète après la mort de Jean Koch en 1733. La partie arrière du Grand Cerf qui est à nouveau détachée de 1782 à 1830 appartient à l’éleveur de vaches Jean Georges Keller puis au cordonnier Jean Huss. Le voisin Michel Rudloff la rachète en 1830. La Ville achète en 1842 la partie avant du terrain.



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 – Plan, îlot 240 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à simple rez-de-chaussée en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, deux bâtiments donnent sur la rue à droite du repère (o). La cour F montre des mêmes appentis (2-3 et 4-1) et la remise (3-4) qui s’ouvre entre eux au fond de la courette. La cour G représente l’arrière (1-2) de la remise, du côté sud de la cour une autre remise (2-3) et au fond de la cour la maison (3-4) dont l’arrière donne dans la cour D.
La maison porte d’abord le n° 26 du quartier des Souabes (1784-1857) ensuite le n° 1 puis 5 de la rue de l’Hôpital militaire.


Cours F, G et D

Le marchand de volaille Charles Widmer achète en 1852 la maison détruite par un incendie le 6 janvier 1862. Il la reconstruit la même année, le revenu passe de 81 à 163 francs. Son gendre Philippe Drion fait construire en 1889 un bâtiment arrière à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et transformer le bâtiment principal. Le propriétaire Henri Husser ajoute en 1969 un troisième étage. Les garages prévus dans la cour (1990 puis 1994) ne sont pas réalisés faute de respecter la proportion minimale d’espaces verts.


Bâtiment arrière construit en 1889 – Vue en 1959 avant l’ajout du troisième étage (dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1715 à 1952 (voir auparavant la maison voisine au Grand Cerf). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1715 v Jean Koch, boucher, et (1708) Anne Marie Meyer puis (1713) Marguerite Kuhlmann – luthériens
1733 v Jean Jacques Lutz, voisin
1782 v Jean Jacques Grün, aubergiste, et (1770) Catherine Etienne Reinbold – luthériens
1782 v Jean Georges Keller, éleveur de vaches, et (1769) Madeleine Griesser – catholiques
1788 h Jean Michel Hœffling, maçon, et (1788) Madeleine Griesser veuve de Jean Georges Keller puis (1802) Marie Salomé Lechler, veuve de l’éleveur de vaches Michel Peter – catholiques
1802* h Jean Georges Keller, éleveur de vaches, et (1803) Marie Chrétienne Sprecher, copropriétaire avec sa sœur célibataire Marie Elisabeth Keller
1820 adj Jean Huss, cordonnier, et (1791) Marie Thérèse Klein
1830 v Michel Rudloff, voisin
1852 v (Noël Dominique) Charles Widmer, marchand de volaille, et (1849) Marie Louise Rebold
1890* h Philippe Drion, boucher, et (1869) Marie Louise Wiedmer puis (1882) Emilie Eugénie Wiedmer
1901* v Frédéric Charles Schaaff et sa femme née Ammel
1907* v Charles Schultz

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1732, 400 livres en 1733

(1765, Liste Blondel) voir la maison voisine
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 867, Rudolph, Michel, quartier des Souabes 26 – maison, sol – 8,1 ares / Klotz /nc non imposable 1844/

Locations

1811, Frédéric Feldmüller, cordier
1811, 1816, Jean Matthias Huss, éleveur de vaches

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldat, cuisines et vestibule, cave solivée, écurie des logements militaires au-dessus de laquelle se trouve un fenil, échoppe, estimée avec la cour, le puits et autres appartenances à la somme de 1200 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) Un vieux bâtiment qui comprend plusieurs poêles, cuisines, vestibules, chambres, chambre à soldats, écurie, remise, portail, échoppe, porcherie, cave solivée estimé avec la cour, le puits et autres appartenances à la somme de 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de l’hôpital militaire et quartier des Souabes

nouveau N° / ancien N° : 11 / 26
Keller
Rez de chaussée mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 263 case 4

Rudolpf quartier des souabes N° 26
Rudolpf les héritiers
Wiedmer Charles Noel Dominique, Md. de volailles Quartier des Souabes 26 (subst. pr. 1854)

O 866, maison, sol, quartier des souabes N° 26
Contenance : 4,30
Revenu total : 83,24 (81 et 2,24)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1016 case 2

Wiedmer Charles Noel Dominique, Marchand de volailles
1890/91 Drion Philipp Metzger d. Fr. Emilie Eugenie Wiedmer
1901 Schaaf Friderich Karl, Rentner

O 866, maison, sol, Rue de l’hôpital militaire 1
Contenance : 4,30
Revenu total : 83,24 (81 et 2,24)
Folio de provenance : (263)
Folio de destination : 1016. Constr. partiellement terminée en juillet 1862
Année d’entrée :
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 866, maison
Revenu total : 81,24 (79 et 2,24)
Folio de provenance : 1016. Constr. partiellement terminée
Folio de destination : 1016, augm. de C.on de 1862
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
1863, Augmentations – Wiedmer Charles f° 1016, O 866, Maison, revenu 79, Portion restante de la maison incendiée le 8 janvier 62, achevée en 1862, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Wiedmer Charles f° 1016, O 866, Maison, revenu 81, Incendie partiel du 8 janvier 62, supp. en 1863

O 866, maison
Revenu total : 165,24 (163 et 2,24)
Folio de provenance : 1016, aug. de c.on
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1865
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
1865, Augmentations – Wiedmer Ch. Noël f° 1016, O 866, Maison, revenu 163, Aug.on de C.on, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865
Diminutions – Wiedmer Ch. Noël f° 1016, O 866, Maison, revenu 79, Aug.on de C.on, supp. en 1865

Cadastre allemand, registre 30, p. 413 case 10

Parcelle, section 33, n° 30 – autrefois O 866
Canton : Militärlazarethstrasse Hs. Nr 5
Désignation : Hf, Whs u. r. m. u. T
Hf, Whs u. NG
(Skizze Whs. r. m. u. T (Keller)
Contenance : 3,47 – 3, 32
Revenu : 1800 – 2800
Remarques : 1920. Zug. S. 414 F 1 [1920, augmentation, p. 418 case 5]
1921 Ab. S. 418 F. 5 [1921, diminution, p. 418 case 5]
(838 – 879), Keller – comptes (en 1920) 1133 [voir 70, rue de Zurich]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1907), compte 1038
Schaaff Fried. Karl u. Ehefr. geb. Ammel
gelöscht 1910

(Propriétaire à partir de l’exercice 1907), compte 1478
Schultz Kart u. Ehefr
(3772)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 346 Quartier des Suabes, p. 488

26
pr. Hoefling, Michel – Moresse
loc. Keller, George fils du précédent
loc. Gaykes, Jean Jacques – Batelier
loc. Lambacher, Caspar, garçon orfèvre
loc. Ehres Adam – Manant
Richard, Antoine, invalide
Oswald Georges, invalide
Strifler, Ignace aussi invalide

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Militärlazarettstrasse (Seite 166)

(Haus Nr.) 5
Maurer, Pensionär. 0
Schwörer, Tagner. 0
Zimmermann, Tagner. 0
Weber, Ober-Telegr.-Ass. 1
Kromer, Rentnerin. 2
Schreiber, Schreiner. 3
Beh, Ofensetzer, H 0
Burkhart, Wäscherin. H 0
Kapp, Tagner, H 0
Heng, Schlosser. H 1
Manias, Tagnerin, H 1
Nörgem, Schreiner. H 1
Hoffmann, Tagnerin H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 260 W 141)

Début du dossier Hôpital militaire n° 1 dont la maison portait le numéro

Le propriétaire Wiedmer charge le maître maçon Henninger de reconstruire sa maison

Sommaire
  • 1862 – Le maître maçon Henninger demande au nom du sieur Wittmer l’autorisation de reconstruire la maison sise 1, rue de l’Hôpital militaire et d’occuper la voie publique sur une profondeur de 4,50 mètres – Accord rédigé par l’agent voyer, « le projet de reconstruction indiqué par un dessin joint à l’appui se compose d’un rez de chaussée, premier et deuxième étage en maçonnerie ».

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 260 W 147)

Le propriétaire Wittmer reconstruit en 1862 le bâtiment avant. Le boucher Drion charge l’entrepreneur Th. Wagner de construire en 1889 un bâtiment arrière à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et de transformer le bâtiment principal. La Commission contre les logements insalubres constate en 1900 que les trois bâtiments sont bien entretenus.
Le propriétaire Henri Husser transforme en 1969 le bâtiment pour aménager un logement au troisième étage. Georgette Husser souhaite en 1990 et en 1994 construire douze emplacements de garage dans la cour, l’autorisation est refusée à deux reprises parce que la proportion minimale d’espaces verts n’est pas respectée.

Sommaire
  • 1889 – L’entrepreneur Th. Wagner (14 rue de la Fontaire, actuellement rue Adolphe Seyboth) demande au nom du boucher Drion l’autorisation de construire un nouveau bâtiment dans la cour du 5 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de construire un bâtiment à un étage, un bâtiment latéral à droite de la cour et de transformer le bâtiment principal. L’inspecteur des travaux note qu’il y a une corniche saillante de 12 centimètres à la façade sur rue. – Plans sur calque – Travaux terminés, août 1889
  • 1895 – L’entreprise Strassburger Baugesellschaft, anciennement J. et E. Klein, demande au nom du boucher Drion l’autorisation d’établir une fosse d’aisances et des latrines – Autorisation – Travaux terminés, avril 1895. – Plan, élévation, coupe
  • 1900 – Le peintre et tapissier Xavier Marbach demande l’autorisation de poser une enseigne – L’enseigne est déjà posée à 2,80 mètres du sol, la Police du Bâtiment demande de la rehausser à 3 mètres. – Autorisation – Travaux terminés, août 1900
  • 1922 – Emile Glaser demande l’autorisation de poser une enseigne (Poudre de savon et savon, Emile Glaser) puis retire sa demande parce qu’il n’exploite pas un magasin mais qu’il est colporteur
  • 1900 – Commission contre les logements insalubres. Propriétaire Schaaf, domicilié rue Brûlée.  » La propriété comprend trois bâtiments, bon entretien général. 6 cabinets d’aisance, 14 familles « . Observations, travaux à faire dans le bâtiment avant, le bâtiment du milieu, le bâtiment arrière
    1915 – Commission des logements militaires. Propriétaire, Schultz domicilié au n° 7. Observations
    1919 – Un locataire du rez-de-chaussée se plaint que son appartement est humide. La Police du Bâtiment estime qu’elle n’a pas à intervenir
  • 1941 – Un locataire se plaint que la pluie et le vent entrent dans son appartement. La Police du Bâtiment qui visite l’appartement mansardé constate que la plainte est fondée et écrit au propriétaire (Schultz, Illringstrasse 9). Les travaux sont en partie exécutés, le plaignant a quitté les lieux avant que tous soient réalisés.
  • 1952 – Les pompiers retirent une souche de cheminée qui menace de tomber sur la voie publique – La Police du Bâtiment écrit au gérant de l’immeuble, Georges Riegel domicilié 21 rue de la Nuée-Bleue. – L’entrepreneur Ernest Jockers (36 rue des Petites-fermes à Kœnigshoffen) est chargé des travaux – Avril 1953, certificat du ramoneur Emile Schleifer (6 rue de l’Epine)
  • 1970 – L’entreprise Schœttell (7 place Saint-Florent à Cronenbourg) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1969 – Henri Husser (pâtisser, 8 rue Robert Kieffer à Bischheim) demande l’autorisation de transformer un logement au troisième étage – Photographies – Description et estimation des travaux (J. Schwartz, 9 route du Neuhof à Illkirch) – Plan de situation, élévations, plans, coupe – Permis de construire – Travaux terminés, août 1970
  • 1976 – Rapport établi suite à une plainte d’un locataire du deuxième étage. Des traces d’humidité proviennent de fuites à l’étage supérieur. Propriétaire, Georgette Husser domiciliée 70 rue de Zurich. Courriers au propriétaire, réponse. La Police du Bâtiment a épuisé ses moyens d’action.
  • 1981 – Maurice Salmon demande l’autorisation de poser une pancarte (Relieur d’art).- Autorisation
  • 1990 – Georgette Husser (domiciliée 70 rue de Zurich) demande l’autorisation de construire 12 emplacements de garage. Architecte, Archi-Look, von der Marck, Ossola, Schilles, 10 rue du Maréchal-Foch à Ostwald – Extrait du plan cadastral – Plans – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Avis défavorable de la Direction départementale de l’équipement – L’ancien hangar est encore en place, février 1991
  • 1993 – Rapport. Une cheminée de maison arrière s’est en partie écroulée, à la limite du bâtiment accessible par le 17 rue du Jeu-de-Paume – Extrait colorié du plan cadastral. Le propriétaire a déposé pour ce bâtiment un permis de construire refusé – La cheminée dangereuse a été démolie, janvier 1993
  • 1995 – André Schilles fait au nom du propriétaire des propositions pour construire les garages refusés – Plans coloriés des n° 5, 7 rue de l’Hôpital militaire et 70 rue de Zurich – Le projet est refusé parce que la proportion de 20 % d’espaces verts n’est pas respectée

Relevé d’actes

Jacques Louis Herrmann et Ursule Eisenmann cèdent la maison à l’arrière de leur auberge au boucher Jean Koch et à sa femme Marguerite Kuhlmann moyennant 800 livres

1715 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 588 n° 25 bb
(800) Jacob Ludwig Herrmann würt zuem großen hirtz und Maria Ursula geb. Eißenmännin
in gegensein Joh: Koch metzgers und Marg: geb. Kuhlmännin
d. hintere hauß ahn ihrem gasthauß zuem hirtzen sambt einem kleinen angehenckten gebäu, Item die scheur in der größe und Gerechtigkeit wie Sie anjetzo stehet sambt einem außenstehendem Stall hoffstätten und höfflein auch Gärtlein, einseit neben dem Verk: anderseit theils ist ein eck theils neben dem Voltzischen Garten vornen gegen dem Spithal hinten auf H. Rathh. Kauffmann – um 300 pf. Fr Ambergerin verhafftet, geschehen um 500 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit de Daniel Ernest Braun

1715 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 588 n° 26-v
immediate supra stehende käuffer und zwar die Frau beÿständlich Joh: Georg flöß des leinenwebers und Jacob Böckel rothgerbers
in gegensein H. Daniel Ernst Braun Exs: – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ut ibi immediate supra in ihrem hinteren hauß usq. ad ambergerin
ferner ihr metzig banck allhier unter der kleinen metzig, einseit neben Joh: Georg Datt anderseit neben Joh: Georg Hahn

Fils du boucher Matthias Koch, Jean Koch épouse en 1708 Anne Marie Meyer, fille de Jean Meyer meunier à la Robertsau
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 113, n° 10)
Mittwochs den 13. Junÿ 1708 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen zu St. Niclauß in Straßburg copulirt undt eingesegnet worden Johannes Koch der ledige Metzger und burger allhier, H. Matthias Kochen deß Metzgers und burgers alhier ehelicher Sohn, undt Jfr. Anna Maria Meÿerin weÿland H Hannß Meÿers gewesenen Müllers und Obermeisters in der Ruprechtsau nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Koch Alß Hoch Zeider, Maria Meÿerin als hochzeiterin, hannß Daniel Hahn alß vogtt (i 117)

Anne Marie Meyer meurt en 1712 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Elisabeth. La masse propre au veuf est de 534 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 66 livres, le passif à 474 livres
1712 (10. 9.bris), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 7) n° 304
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung und Güethere, so Weÿl. die tugendsame Fr. Anna Maria Kochin gebohrne Meÿerin H. Johannes Kochen deß Metzgers und burgers alhier Ehefr. seel. nach Ihrem auff donnerstag den 21.t Julÿ dieses Lauffenden 1712.sten genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren H. Erhard Meÿern Müllern Zu Eckboltzheim und burger zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ und Mariæ Salome gebohrner Kochen der fr. seel. mit ihrem hinderbliebenen Wittiber Ehelich erzeugte Kinder undt ab intestato nachgelaßener Erben, wovon aber das letztere Nahmens Maria Salome bißhero wieder Verstorben und Von dem Wittiber und Vattern ererbt worden, inventirt – Act. in der Königlich. freÿen St. St. auff donnerstag den 10. 9.bris Anno 1712.

Bericht ane Statt eingetragenen passiv: widemb. Demnach sich allererst und zwar nach geschloßenen Inventarii hervorgethan, daß eingangs gedachte Erben von deren mutter seel. passive ererbt, weÿl. Hn Andres Schwing geweßenen Knöpffmachers und burgers alhier seel. hinderlaßene Wittib Nahmens fr. Annæ Mariæ gebohrner frölichin ane 500. fl. widemb vor einen dritten theil ane einem fünfften Stammthein Jährlich (…)
Inn einer alhier in der St: St: in der Elsbethen gaß gelegenen behaußung ist befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einem Metzgerbanckh (…)
Ergäntz. der Erben Unveränderten Guths, Vermög durch mich Vor und nachgemelten adhibirten Notarium in A° 1710. gefertigten Inventarÿ
Wÿdembs, So fr. Anna Maria Schwingin gebohrne Frölichin weÿl. hn Andres Schwingen geweßt. Knöpffmachers und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib, biß vf dero seel. ableben zu genießen
Norma hujus inventarÿ, Copia der heüraths Verschreib.
Copia Codicilli reciproci
der Erben Unveränderte haußrath, 42, Sa. silbers 1, Sa. guldenen rings 8, Sa. Eigenthums Veldacker 75, Sa. beßerung auff den lehen acker 15, Sa. der Schuld 25, Sa. guts Ergäntzung 378, Summa summarum 546 lb – Sa. Schulden 12, Nach deren Abzug 534 lb
des Wittibers unverändert und die theilbare Nahr. under einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 32, Sa. ane Einem Metzgerbanck 5, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 26, Summa summarum 66 lb – Sa. Schulden 474, die theilbar passiva übertreffen des Wittibers unverändert und die theilbare Nahr. 408. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 267 lb

Jean Koch se remarie à Barr avec Marguerite Kuhlmann, fille de l’apprêteur de chapeaux Matthias Kuhlmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Zwischen beeden Ehepersohnen Zur Zeith Ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteten Eheberedung – Zwischen dem bescheidenen Johannes Kochen Metzgern und burgern allhier dem hochzeiter ane einem, So dann der tugendsamen Jungfrawen Margaretha gebohrner Kuhlmännin, herrn Matis Kuhlmann huthstaffierers und burgers Au Barr eheleiblichen tochter der hochzeiterin am andern theil, (darbeÿ) der Ehrenhafften und bescheidenen herrn Mathis Kochen Metzger und burgers allhier des Hochzeitern Vatters, auff der Jungfraw hochzeiterin seithen herrn Reinhard Böckels burgers zu Barr dero stieffbruders – So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 4. Septembris Anno 1713. Johann Peter Kolb Nots. Juratus ac requisitus

Mariage, Barr (luth., n° 14)
1713. Dom. 14. et 15. Trinitatis sind offentlich proclamirt v. d. 26. 7.bris copulirt worden mstr. Johannes Koch b. v. Metzger Zu Straßburg v. Jfr. Margaretha H. Mathis Kullmanns b. v. hutstaffierers, wie auch alten Gerichts beÿsitzers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Koch alß Hoch Zeider, margreda Kuhlmännin Alls hoch zeiterin (i 235)

Jean Koch et Marguerite Kuhlmann font dresser un état de leur actif et de leur passif. La maison est portée à son prix d’achat, c’est-à-dire 800 livres. La masse propre à la femme s’élève à 615 livres. L’actif la communauté est de 379 livres, le passif de 1 143 livres.

1716 (17.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 38) n° 1308
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheiden Johannes Koch Metzger und die Ehren und tugendsahme fraw Margaretha gebohrne Kuhlmännin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, derzeit Active besitzen und hiengegen wieder passivé zu bezahlen haben – So beschehen allhier in der königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn herrn Andrea Zschiederich Leinenweber und burgers allhier der Ehefrawen geschwornenn Curatoris, Und dann herrn Erhard Meÿer Müllers Zu Eckboltzheim des Ehemanns Kinds erster Ehe geordneten Vogts dienstags den 17. Martÿ A° 1716.

In einer allhier ohnfern dem frantzöischen Spithal im Schwaben ländel gelegenen und in dieße Nahrung eÿgenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Wohnstub, Im hauß öhren, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einer Mahlmühl (F.), It. ein Vierter theil samt Stallung V. Schopff wie auch einem Neben häußel V. einem garthen über dem alten bach zu Barr (…) in St. Ulrichs thahl (…)
Ergäntzung, Vermög Inventarÿ über deroselben in dieße Ehe gebrachte Nahrung in Anno 1714. durch herrn Notm. Johann Peter Kolben auffgerichtet
Eÿgenthumb ane einer behaußung und Metzgerbanck (T.) It. das hindere hauß ane der Gastherberg Zum großen Hirtzen genannt samt einem Kleinen angehenckhten gebäw Scheur, und einem außenstehendem Stall hoffstätten, bronnen, höfflein V. gärthlein auch allen übrigen gebäwen begriffen, weithen, zugehördten, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Crautenaw, 1.seith neben Jacob Ludwig Herrmann dem würth zum großen Hirtzen, 2.seith theils ist ein eck theils neben dem Voltzischen Garten Vornen gegen dem frantzöischen Spitahl hinden auff herrn Andream Kauffmann E.E. großen Raths alten beÿsitzern Vornehmen burgern allhier stoßend, davon gehen Jährlichen 1* à 4 pro C° gerechneten Zinnß weÿl. H Stephan amberger gewesenen ohlmann V. burgers allhier seel. hinderlaßener wittib und Erben, so quartaliter bezahlt werd. lößig mit 300. lb, Ferner H. Daniel Ernst Braunen Vornehmen Goldarbeither V. E.E. großen Raths alten hochmeritirten beÿsitzern, burgern allhier so auch quartaliter bezahlt werd. wiederkauffig in haupt Guth mit 200. lb. So dann 8 lb. a Zinnß H Jacob Ludwig Herrmann Würth zum Großen hirtz und burger allhier ebenfalls quartaliter verzinnlich ablößig in Cap. mit 200. lb, sonsten gegen männiglich freÿ leedig und eÿgen und würd solche behaußung wie dieselbe den 15. Januarÿ A° 1715. Von mehrgemeltem Jacob Ludwig Herrmann dem hirtzen würth erkaufft worden anhero æstimirt pro 800. lb. Davon abgezogen, Vorher befindliche und darauff hafftende Passiv Capitalia welche sammenthafft ertragen 700. lb So Verbleibt allhier annoch außzuwerffen im rest benand. 100. Darüber besagt ein perg. Kbr. m. der St. Str. anhang. C.C. Stuben Insiegel Verwahrt datirt den 15 Monathstag Januarÿ A° 1715.
T. It. ein Lehnungsweißebanck under der Kleinen Metzig (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der frawen Nahrung betr. Sa. Hausraths 56, Sa. Silbers 12 ß Sa. Goldener Ring 6, Sa. Eÿgenthumbs ane i. Mahlmühl 60, Sa. Activ Schuld 452, Sa. Ergäntzung 50, Summa summarum 626 lb – Schulden Perse, Nach deren Abzug 615 lb
Das Theilbahr Guth, Sa. hausraths 60, Sa. Schiff und geschirr Zum Veldbaw gehörig 3, Sa. Frucht 4, Sa. Viehe 18, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Rings 1, Sa. baarschafft 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung V. Metzgerbancks 190, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 80, Sa. beßerung ane lehengüthern 7, Sa. Activ Schulden 8, Summa summarum 379 lb – Schulden 1143 lb – Compensatione ergibt sich, daß die theilbar Passiva die Vorhandene theilbare Activ Nahrung übersteigen umb 763 lb
Copia der Zwischen beeden Ehepersohnen Zur Zeith Ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteten Eheberedung (…) auff Montag den 4. Septembris Anno 1713. Johann Peter Kolb Nots. Juratus ac requisitus

Jean Koch meurt en 1731 en délaissant pour héritiers ses frères et sœur. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 682 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 435 livres, le passif à 861 livres

1732 (17.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 13) n° 301
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung so weÿl. der Ehrengeachte H. Johannes Koch der geweste Metzger und burger allhier nach seinem den 25. decembris des abgelegten 1731. Jahrs genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welches Verlassenschafft in beÿsein des Ehrenvest und wohlweisen herrn Luca Schaaffen deß ältern Schreibers und E.E. Kl. Raths Jetztmahliger beÿsitzers alß auß Ehrengedachten Kl. Raths Mittlen im Nahmen der unverburgerten Erben zu dießer Verlassenschafft Inventation deputirten herrenß – durch die Viel Ehren und tugendsame Fraw Margaretha Kochin gebohrne Kuhlmännin beÿständlich H Jacob Böckels deß Rothgerbers und lederbereiters ihres geschwornen Vogts auch burgern allhier zu Straßburg – Actum Straßburg auff Sambstags den 17.ten Maÿ A° 1732.
Denominatio hæredum, der abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Johann Georg Koch Metzer und burger zu Heÿdelberg am Schloßberg, so hier ohnverburgert, 2. Fraw Anna Maria Strohlin gebohrner Kochin, Daniel Strohlen des forst aufsehers Zu Brumath und burgers allhier Ehefrau, 3. Matthias Koch, Notarius publ. jur: und burgers allhier

In einer allhier Zu Straßb. gegen dem frantzösischen Spitthall über gelegener und hernach beschriebener behaußung hat Sich befunden wie Volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung so theilbahr. Eine behaußung das hinder hauß ane der Gastherberg Zum Großen hirtzen genand allhier zu Straßb. in dem so genannten Schwoben landlein gegen dem Frantzösischen Spitthall über gelegen 1.s Joh: Jacob Jacob Lutzen dem gastgeber anderseiths N. Allinger dem blumen gärtner hinden auff Weÿl. H. Dr Kolben seel. Wittib und Erben stoßend welche behaußung mit allen Zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten durch der Statt Straßb. geschwornen Werckh leuthe den 29.ten febr. letzthien für freÿ ledig u. Eigen æstimirt und angeschl. umb 1200. fl. thuen 600. lb, davon gehen ab 8. lb Zinnß zu 4 pro C° gerechneten so Mann Jahrs auff den 15.te Januarÿ H Rathh. Braunen abzuführen macht in ablößigen Capital 200. lb, Nach solchem abgang ist ane dem anschlag annoch in außwurff zubringen 400. lb. Über sothane behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff auß allhießigen Cancelleÿ Contractstub anhangendem Innsiegell de dato 15.ten Januarÿ 1715.
– Abschatzung d 29. February 1732. Auf begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen Johannes Koch gewesenen Metzgers seel. hinderlaßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im schwoben ländlein gegen dem frantzösisch Spittahl gelegen einseits Neben hannß Jacob butz gastgeber, anderseit Neben dem Alinger blumen gärtner, hinden auf die fraw Dr Kolbin stosend, welche behausung Nebens gebäw, Stuben, Cammern Soldaten Cammer Kuchen hauß Ehren, gebälckhtes Kellerlein, stall, Einquartierungs stall, Worüber Ein hewboden, hoff, Vorhöffel, gädlein und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb, Ein Tausend Und zweÿ Hundert Gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Eigenthumb ane Einer Mahlmühl so der Wittib unverändert. It. ein Vierter theil sambt Stallung und schopff wie auch einem Neben häußlein und einem Garten über dem alten bach zu Barr (…) in St. Ulrichs thal (…)
Ergäntzung, durch H. Notm. Rohren seel. in anno 1716. auffgerichteten und verfertigt. falliment Inventarÿ
Norma. Der Wittib Unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 9 ß, Eigm. ane Einer Mahl Mühl 60, Ergäntzung (578, abzug 11, Rest) 567, Summa summarum 682 lb
Demnach würdt auch der Erben Unverändert undt die theilbahre nahrung unter Einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 28, Sa. Silbers 9 ß, Sa. beßerung lehengrundts 6, Eigm. ane Einer behaußung 400, Summa summarum 435 lb – Sa. passivorum 861 lb – Ubertreffen also der Erben Unverändert undt theilbahre passiua derselben unverändert undt theilbahre activ Nahrung deren werth nach umb 425. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 682 lb – Stall Summ 244 lb

Les héritiers Koch vendent la maison pour 650 livres à leur voisin Jean Jacques Lutz qui réunit ainsi la propriété divisée en 1715.

1733 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 n° 221-v
weÿl. Johannes Koch des Metzgers hinterlassenen wittib Fr. Margaretha geb. Kuhlmännin beÿständlich ihres Curatoris Jacob Böckel des Rothgerbers und ged. Kochen hinterlassenen bruder und hæres ab intestato zu einem dritten stammtheil H. Mathias Koch Notarius Publicus für sich selbst und als negotiorum gestor seiner geschwisterden Johann Georg Koch des metzgers und burgers zu Heÿdelberg und Anna Maria geb. Kochin Daniel Strohl des Forstauffsehers zu Brumath hochgräfl. Hanauischer herrschafft und burgers allier ehefrauen
in gegensein Johann Jacques Lutz des gastgebers zum großen hirschen
Eine Behausung bestehend in vorder und hinterhauß hoff scheur Stallung gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau und dem so genannten Schwabenländlein gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben der käuffern Gastbehausung zu großen hirsch anderseit neben Christian Allinger dem blumengärtthners gartten hinten auff weÿl. H. Johann Daniel Kolb gew. Med. D. et Pract. wittib und erben – als ein beÿ lebzeithen verstorbenen Kochen währender deßen ehe erkaufft, mithin theilbares guth deßen beneficial erben zu zwo tertzen und der hinterbliebenen wittib zu einem dritten theil – um 200 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund

La propriété est à nouveau partagée par les héritiers de Jean Jacques Lutz. Sa fille Marie Dorothée femme du pêcheur Jean Memminger et le tuteur de la fille de Philippe Jacques Lutz vendent une maison, grange, écurie et un petit bâtiment attenant à l’aubergiste Jean Jacques Grün.

1782 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 142
Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin Johann Memminger des fischers ehefrau, Ludwig Wilhelm der gastgeber als geordneter und geschworener vogt weÿl. Philipp Jacob Lutz des gastgebers hinterbliebenen einigen tochter nahmens Margaretha
in gegensein H. Johann Jacob Grün des jüngern gastgebers, als letzt und meistbietenden
die ihnen verkäuffer als ein von weÿl. Maria Dorothea Grünin geb. Kleinin ihrer mutter respectiven großmutter seel. erblich angefallen auch unvertheilt gebliebene behausung, hoff, hoffstatt, scheur, stallung, bronnen nebst einem kleinen angehenckten gebäu mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau im Schwaben ländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem garten der gastbehaußung zum Großen hirsch anderseit neben Johann Georg Erhard dem gartenmann, hinten auff H. XXI v. Ichtratzheim zum theil zum theil H. Rathh. Debiez – um 1700 gulden

Fils de l’ancien aubergiste au Grand Cerf devenu aubergiste au Petit Cerf Jean Jacques Grün et d’Anne Marie Stamm, Jean Jacques Grün, aubergiste à la Pomme d’or, épouse en 1770 Catherine Etienne Reinbold, fille du maître maçon Jean Henri Reinbold : contrat de mariage, célébration
1770 (23.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 562
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrengeachten herrn Johann Jacob Grün dem ledigen Gastgebern Zum goldenen Apffel, herrn Johann Jacob Grün des ebenmäßigen Gastgebers Zum kleinen Hirzen und Fr. Annä Mariä gebohrner Stammin beeder ehepersohnen und burgere allhier zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Hochzeiter ane Einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Catharinä Elisabethä Reinboldin, weÿland herrn Johann Henrich Reinbolds geweßenen Maurers und Steinmetzen E.E. kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier mit Frauen Margaretha Dorothea gebohrner Roggenbachin seiner hinterbliebenen Wittib so nunmehr an herrn Georg Christoph Freÿßingern den ebenmäßigen Maurer und Steinhauer auch burgern allhier vereheligt ist, ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfer hochzeiterin am andern theilAne dem Siebenden, hat der hr. hochzeiter seine Jungfer braut
Gast behausung zum goldenen Apffel genannd (…)
So geschehen allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 23. Maÿ Anno 1770 [unterzeichnet] Johann Jacob Grün als hochzeiter, Catharina Elisabetha Reinboldin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 102-v, n° 13)
1770 Sonntag den 10. brachmonath sind (…) ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Grün der jüngere lediger Gastgeber und burger alhier, herrn Johann Jacob Grün, des ältern Gastgebers und burgers alhier mit deßen Ehefrauen Frau Anna Maria gebohrner Stammin ehelicher Sohn, und Jungfer Catharina Elisabetha Reinboldin, weÿland herrn Johann Heinrich Reinbold, geweßenen Maurer Meisters und steinmetzen, auch eines Ehrsamen kleinen Raths geweßten alten beÿsitzers und burgers alhier mit Frauen Margaretha Dorothea gebohrner Roggenbachin, hinterlaßener ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Grün als Hochzeiter, Catharina Elisabeth Reinboldin als Hochzeiterin (i 106)

Jean Jacques Grün revend la même jour la maison à l’éleveur de vaches Jean Georges Keller et à sa femme Madeleine Griesser

1782 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 656 n° 143
H. Johann Jacob Grün der jüngere gastgeber
in gegensein Hannß Georg Keller des melckers und Magdalena geb. Grießerin unter assistentz Georg Ehret des gärtners und Lorentz Schneider des employé underm frantzösischen hospital
eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt, scheur, stallung, nebst einem kleinen angehenckten gebäu mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau im Schwaben ländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem garten der gastbehaußung zum Großen hirsch anderseit neben Johann Georg Erhard dem gartenmann hinten auff ST. H. XXI baron von Ichtratzheim zum theil zum theil H. Rathh. Debiez – 1700 gulden

Originaire de Dossenheim (Fessenheim) dans le Kochersberg, Jean Georges Keller épouse en 1769 Madeleine Griesser originaire d’Avenheim.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 68-v)
Hodie 23 Octobris anni 1769 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes georgius Keller doliarius ex dosenheim hujus diœcesis oriundus, filius Joannis georgii Keller incolæ hujatis et defunctæ annæ Bestin in vivis conjugum et Magdalena grieserin in avenheim etiam hujus diœcesis nata, filia defunctorum andreæ grieser operarii diurnii quondam in dicto loco et Barbaræ deningerin conjugum, ambo in hac parochia commorantes (signé) Johan Georg Keller, + signum sponsæ (i 73)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au quartier Saint-Nicolas dans l’auberge à la Tour d’or. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres, ceux de la femme à 2 livres.
1770 (25.6.), Not. Herrenberger (16 Not 2) n° 151
Inventarium über die Jenige Haab Und Nahrungen, So der Ehrbahre Johann Georg Keller Kieffer gebürtig von Feßenheim, Und Frau Magdalena gebohrne Grießin Von Avenheim gebürtig deßen Ehefrau beede allhier wohnhafte einander in den Ehestand zugebracht, aufgerichtet in Straßburg den 25. Januarÿ 1770. – Und Jeden der Ehegathen, obwohlen Keine Eheberedung auff dero beschehenen Ehe Verlobnus tag auffgerichtet worden, was sie einander in den Ehestand Zugebracht, als ein Vorbehalten Unverändert Guth gehörig ist
In einer allhier Zu Straßburg in dem Quartier St. Nicolas gelegener neben dem gasthauß zum goldenen thurn Antonj Fahrner dem Wurth und burgeren allhier gehörigen behaußung, befunden worden wie folget
dem Ehemann gehörig 146 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen 2 lb

Marie Madeleine Griesser se remarie en 1788 avec le maçon Jean Michel Hœffling, originaire de Colmar : contrat de mariage, célébration
1788 (8.4.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 114
Eheberedung – Johann Michael Höffling ledig großjähriger steinhauer und maurer von Colmar gebürtig Johann Michael des maurers und weil. Anna Maria Müllerin sohn
Maria Magdalena geb. Griesserin weil. Johann Georg Keller des melckers wittib

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 108-v)
Anno Domini 1787 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Michael Höffling Colmariensis lacti merctor annos natus 38 filius legitimus Joannis Michaelis Höffling et defunctæ Annæ Mariæ Müller, et Maria Magdalena Krieser vidua defuncti Joannis Georgii Keller annos nata circiter 42 ambo parochiani nostri (signé) Johann Michael Heffling, + signum sponsæ (i 113)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 243 livres, ceux de la femme à 1 302 livres.

1789 (30.3.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 165
Inventarium über Johann Michael höffling des Melkers und Fraun Mariä Magdalenä gebohrner Grießerin, beede Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander als unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen – einander in ihrem am 15. April des 1788.sten Jahrs angetrettenen Ehestand gegenseitig als unverändert zugebracht haben (…) um den 1.sten Artikel ihrer mit einander vor mir dem Notario am 8.ten April gedachten 1788.sten Jahrs errichteten heiraths-Abrede eine Genüge zu leisten

So geschehen alhier zu Straßburg in einer am Schwabenländlein nächst dem französischen Spital gelegenen, der diesortigen Ehefrauen Zum dritten teil eigenthümlich zugehörigen und hieunten beschriebenen behaußung, auf Montag den 30.sten des Maÿmonats im Jahr 1789.
(F.) Eigentümlicher Anteil ane einer behausung, Nämlich ein dritter theil für unvertheilt von und ane einer Behausung, hof, Hofstatt, Bronnen, Scheur und Stallung, auch einem kleinen hinten angehängtem Gebaude und Gärtlein, nebst allen daran übrigen Zugehörden und Gerechtigkeit gelegen alhier Zu Straßburg im Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospital über, einseit neben dem Holtzplatz, so zur Gastbehausung zum großen Hirsch gehörig, anderseit zum theil neben H. Raÿger und zum theil neben H. Exsenatore Debiez und hinten auf N. Erhard den Gartner stosend so auser den darauf haftenden hernach passive eingetragen befindlichen Capital frei, ledig, eigen und dermalen ohnverfänglich und mit Vorbehalt des Eigentums in berechnung gebracht wird, Zu 600 R, Vorbeschriebene völlige behausung hat die disortige Ehefrau in erster Ehe mit weiland Johann Georg Keller, dem gewesenen hiesig verburgerten Melker erkauft, woran dieselbe dann den vorhergedachten dritten theil participiret, die übrige Zwo terzen aber sind denen beeden Kindern solcher Ehe als zu ihren übrigen Vätterlichen Gut gehörig, Zuständig. Und besagt über dieselbe eine in alhiesiger Kanzley- contract Stub den 2. Aprilis 1782. vorgegangene auf Pergament ausgefertigte und mit derselben aufgedrucktem kleinen Insiegel versehene Kaufverschreibung deren angehängt ein auch alda errichteter Vergleich vom 5. Novembris 1783.
(Series rubricarum hujus Inventarÿ) Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. des Silbers 33, Sa. der baarschafft 209, Summa summarum 243 fl.
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. hausraths 264, Sa. Rindviehes und Pferd 617, Sa. Silbers 4, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 396, Sa. Anteils an einer behaußung 600, Summa summarum 1883 fl. – Passiv-Schulden 581. fl. Nach deren Abzug 1302. fl.

Marie Madeleine Griesser meurt en l’an IX en délaissant deux enfants issus de son premier mariage. La masse propre au veuf est de 686 francs, celle des héritiers de 1 344 francs. L’actif de la communauté s’élève à 3 458 francs, le passif à 1 184 francs.

1801 (1 ther. 9), Strasbourg 4 (32), Not. Roessel, n° 515
Inventarium und beschreibung all derjenige haab Nahrung und Güther so weÿl. burgerin Maria Magdalena Grießer bürgers Johann Michael Höffling des Melckers zu Straßburg, nach ihrem den 3. ventose laufenden 9.t jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
die verstorbene hat ab intestato zu erben verlaßen ihre in erster Ehe mit weÿl. Joh. Georg Keller melcker erzeugten Kinder als burger Johann Georg Keller den ledigen majorennen Melcker und bürgerin Maria Elisabetha Keller auch leedigen und großjährigen Standts, dieser beeder Erben geordneter und geschworener Vogt ist br. Johann Jacob Mühl melcker

im Sterbhaus ane dem Schwabenländel gegen dem frantzösischen hospital über mit N° 26 bezeichnet
Eigenthümlicher antheil ane einer behausung so denen Erben unverändert, E. Nämlich ein dritter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung hoff hoffstatt bronnen Scheur und Stallung auch einem kleinen hinden angehängten Gebäude und Gärtlein nebst all deren übrigen zugehörden und gerechtigkeiten mit N° 26 bezeichnet in sogenannten Schwabenländel gegen dem frantzösischen hospital über, einseit neben dem holtzplatz so zur Gastbehausung zum grosen hirsch gehörig anderseit zum theil neben b. Erhard dem Kunstgärtner und zum theil cit. Jacques Vochoir dem ledigen und hinten wieder auf ihr b. Erhard, ausgeworffen pro 1200 fr, diese völlige und gantze behausung hat die verstorbene Mutter in erster Ehe mit weÿl. Johann Georg Keller dem Melcker erkauft, woran dieselbe dann den vorhergedacht dritten theil participirt, die übrige zwo tertzen an solchem haus aber sind denen beeden Kindern solcher ehe als zu ihrem übrige vätterlichen guth zugehörig zuständig, besagt Kaufbrieff 2. apr. 1782 auch Vergleich de 5. nov. 1783
Inventarium illatorum Not. Wengler den 30. mart. 1789
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers ohnveränderten Vermögens, activ schulden 200 fr, Ergäntzung 486 fr, Summa 686 fr
der Erben ohnverändert maß, hausrath 409 fr, behausung 1200 fr, Ergäntzungs rest 698 fr, Summa summarum 2307 fr – abzuziehen 963 fr, deducendo restiren 1344 fr
die theilbare mass, hausrath 658 fr, activ schulden 2800 fr, Summa summarum 3458 fr – abzuziehen 1184 fr, Deducendo verbleiben 2273 fr
Enregistrement, acp 79 F° 51 du 5 ther. 9

Décès, Strasbourg (n° 692)
Du 4. jour du mois de Ventose L’an neuf de la République française, Acte de décès de Marie Madeleine Grieser décédée hier trois ventose à 10 heures du soir, agée de 54 ans, native d’Offenheim, Département du Bas Rhin, demeurant en cette ville au quartier des Suabes N° 26, fille légitime de feu André Griesser, cultivateur et de feue Madeleine Schmidt, épouse de Michel Hoeffling laitier. Sur la déclaration à moi faite par ledit Michel Hoefling agé de 54 ans (…) (i 177)

Michel Hœffling se remarie en 1802 avec Marie Salomé Lechler, native de Lichtenberg et veuve de l’éleveur de vaches Michel Peter
1802 (1 prai. 10), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber
(Eheberedung) burger Michael Höfling, Wittiber, Melker und Inwoner alhier, als hochzeiter an einem,
so dann burgerin Maria Salome gebohrne Lechler, weiland burgers Michael Peter gewesenen Melkers alhier hinterbliebene Wittib, beiständlich burgers Johann Michael Gommer, Practici und Inwoners alhier, als hochzeiterin andern theils – Straßburg den 1. Prairial 10 [unterzeichnet] Johann Michal höffling, + Maria Salome Peter der Hochzeiterin handzeichen
Enregistrement, acp 84 F° 125 du 11 prai. 10

Mariage, Strasbourg (n° 398)
Du 5° jour du mois de Prairial l’an dix de la République française. Acte de mariage de Jean Michel Höffling, âgé de 52 ans, laitier, domicilié en cette ville depuis 32 ans, né à Colmar, Département au aut-Rhin le 19 avril 1750, fils légitime de feu Jean Michel Höffling, maçon audit lieu et de feuë Anne Marie Müller, veuf de Marie Madeleine Griesser morte en cette ville le 2 ventôse de l’an IX, Et de Marie Salomé Lechler, âgée de 39 ans, domiciliée eb cette ville depuis 13 ans, née à Lichtenberg, Département du Bas Rhin le 18 mars 1763, fille légitime de feu Jean Lechler, invalide et de feuë Anne Marie Schilling, veuve de Michel Peter laitier mort en cette ville le 20 brumaire de l’an IX (signé) Mihal höfling, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 207)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Marais Vert
1802 (6 prai. 10), Strasbourg 7 (16), Not. Stoeber n° 1755, 3299
Inventarium über bürgers Michael Höffling Melkers und burgerin Maria Salome Lechler einander in ihrem stand zugebrachte nahrungen, in der vor mir Notario den 1. dieses Monats Prairial errichten Eheberedung
in dem zu Straßburg in dem grünen bruch N° (-) gelegen und zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung
hausrath (non add.), baarschafft M 1600 fr, baarschafft F. 192 fr, Küh und Geschirr zur Melckereÿ zugehörig F 1224 fr, schulden aus des Ehefraun Nahrung 624
Enregistremen, acp 84 F° 130-v du 14 prai 10

Michel Hœffling meurt en 1808 en délaissant des héritiers collatéraux.
1808 (2.4.), Strasbourg 4 (36), Not. Stoeber n° 561
Inventaire de la succession de Michel Hoeffling laitier décédé le 8 mars dernier – à la requête de Marie Salomé Lechler la veuve, commune en bien en vertu du contrat de mariage passé devant Me Stoeber père le 1 prairial 10, Jean Guillaume Rautenstrauch juge de paix du premier arrondissement fondé de procuration de Michel Meyer cultivateur à Colmar, père et tuteur naturel de Michel Meyer procréé avec Barbe Höffling son épouse sœur germaine du défunt, 2. Ursule Hoeffling épouse de François Joseph Bader maître tisserand à Colmar, 3. Françoise Hoeffling femme de Michel Ziegler journalier à Strasbourg sœur germaine du défunt (procuration, (enfants) de feu Michel Höfling métayer à Strasbourg)
dans la maison ci après désignée au marais verd n° 34 qu’il habitait
propres de la veuve : meubles 213 fr, remplacement Inventaire des apports Me Stoeber 6 flo 10 1024 fr
propres du défunt, garde robe 105 fr, reprises 1600 fr, total 1705 fr
communauté, meubles meublants 41 fr, argenterie 22 fr, bestiaux 1274 fr, numéraire mémoire
Titres et papiers, 3) Me Knobloch 15 nivose 11 vente par Michel Goetz aubergiste au Sr et De Hoeffling d’une maison avec cour écurie appartenances et dépendances sise en cette ville au marais verd près des écuries militaires n° 34, d’un côté le Sr Frantz cabaretier d’autre Michel Hoh jardinier aboutissant sur la maison dud. Sr Goetz qui faisait partie de cette maison devant le communal – occupée par la veuve estimée 1000 fr
total de la masse 2337 fr, passif 2571 fr, reste 233 francs

La maison appartient pour moitié à Jean Georges Keller qui épouse en 1803 Marie Chrétienne Sprecher, originaire d’Ingwiller

1803 (30 flor. 11), Strasbourg 3 (39), Not. Übersaal n° 442
(Eheberedung) der bürger Johann Georg Keller, lediger Melker alhier wohnhaft, des weiland burgers Johann Georg Keller, auch gewesenen Melkers dahier mit auch weiland Maria Magdalena Grieß ehelich erzeugt und nachgelaßener großjähriger Sohn, als hochzeiter an einem
Und Jungfrau Maria Christina Sprecher, des burgers Johann Michael Sprecher zu Ingwiller wohnhaft, mit Odilia Francisca gebohrner Menner ehelich erzeugte Tochter, beiständlich ihres Vaters, als braut – den 30. Floréal in dem eilften Jar des einen: und unzertrennlichen Franken: Republik [unterzeichnet] Joh: Georg keller, + der braut handzeichen
Enregistrement, acp 87 F° 189 du 30 flo. 11

Marie Chrétienne Sprecher meurt en 1806 en délaissant deux enfants. L’inventaire fait état de la moitié de maison propre au veuf.

1806 (30.7.), Strasbourg 3 (30-1), Not. Übersaal –
956, 3347
Inventaire de la succession de Marie Christine Sprecher femme de Jean Georges Keller vacher décédée le 1 février dernier – à la requête du veuf tuteur naturel de Marie Madeleine 2 ans 3 mois et Jean Georges 1 an, 2. Jean Michel Sprecher praticien demeurant à Ingweiler canton de Bouxviller grand père et subrogé tuteur des enfants mineurs
Moitié indivise dans une maison (veuf) Savoir la moitié pour indivis dans une maison avec cour puits grange écurie petit jardin appartenances et dépendances située a Strasbourg vis à vis de l’hopital militaire quartier des Souabes n° 26, d’un côté l’auberge au grand cerf d’autre en partie le Cit. Erhard jardinier en partie Jacques Vochois jardinier, derrière led. Erhard – cette moitié évaluée à 2000 fr, La propriété de cette maison dont l’autre moitié appartient a la sœur du veuf Marie Elisabeth Keller fille majeure est avenue des père et mère Jean Georges Keller vacher et Marie Madeleine Grieser suivant contrat d’achat passé à la cidevant Chambre des Contrats le 2 avril 1782
propres du veuf : meubles 338 fr, vaches cheval harnois 842 fr, maison &&, total général 3247 fr, don matutinal 200 fr, reste 3047 fr
propres des enfants, habits 120 fr, dettes actives &&, total 320 fr
communauté : meubles vaches 237 fr, dettes passives 1765 fr, reste 1528 fr
Contrat de mariage souss. 30 floreal 11
Enregistrement, acp 100 F° 87 du 31.7.

Georges Keller loue une partie de la maison au cordier Frédéric Feldmüller

1811 (16.6.), Strasbourg 7 (48), Not. Stoeber n° 852, 10 442
Bail pour 6 années qui commencent depuis le 24 juin dernier – Georges Keller laitier
à Frédéric Feldmüller Cordier (signé) Veldmüller
dans la maison du bailleur sise près du quai des Suabes N° 26 un Logement et habitation consistant au Second étage dans un poele Chambre Cuisine Grenier et Cave – pour 120 francs
Enregistrement, acp 117 F° 105 du 29.6.

Georges Keller loue une partie de la maison au laitier (éleveur de vaches) Jean Matthias Huss

1811 (12.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 32 n° 1045, ssp du 11. avril dr
Bail pour 6 années par J. Ge. Keller de Strasbourg
à Jean Mathis Hus
Logement dans une maison quartier des Suabes N° 26 pour 240 francs

Autre bail entre les mêmes

1812 (20.1.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 33 n° 2467 ssp du 21 octobre 1811
Bail pour 6 années par Jean Georges Keller de Strasbg.
à Jean Mathis Husz Laitier audit lieu
d’une partie de la maison sise à Strasbg. quartier des Souabes N° 26 avec petit jardin Grenier et écuries pour un loyer annuel de 360 francs

Nouveau bail entre les mêmes

1816 (4.3.), Strasbourg 2 (41), Not. Knobloch n° 7347
Bail pour 18 ans à partir des fêtes de Noël de l’année courante – de Jean Georges Keller laitier
à Jean Mathias Huss laitier
la maison avec toutes ses dépendances sise à Strasbourg quartier dit des Suabes marquée du n° 86 en face de l’hôpital militaire, d’un côté le Sr Ehrhardt jardinier d’autre le Sr Ehrhardt, Le bailleur accepte ce bail pour l’exploiter et occuper par lui même la boutique au rez de chaussée a gauche en entrant par la porte et son logement actuel au premier étage au dessus du poele que le preneur occupe en ce moment, hors ce logement et cette boutique la totalité de ladite maison sera comprise dans ce bail, le bailleur observe cependant que le Sr Frédéric Feldmuller a droit de rester dans ce logement qu’il occupe dans ce moment jusqu’à la St Jean 1817
Enreg. F° 169 du 5.3.

La maison qui appartient pour moitié à Marie Elisabeth Keller, célibataire, et à son frère Jean Georges Keller est vendue après avoir été saisie sur ce dernier. Le voiturier Jean Huss s’en rend acquéreur pour 5 500 francs

1820 (27.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 132, n° 5
Jugement rendu au Tribunal Civil par devant M Marchal juge au Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par voie de licitation de l’immeuble réellement saisi sur Jean Georges Keller, marcard – Cahier des Charges Me Schneegans avoué de Dlle Marie Marguerite Fournier majeure, qu’elle est créancière de Jean Georges Keller, marcard d’une somme principale de 790 fr, par obligation passée devant Me Ubersaal le 2 juin 1815, elle a fait saisir la moitié par indivis de l’immeuble ci après désigné
à Me Klauhold, avoué
Déclaration de command du 8 juillet pour Jean Husz, voiturier, la maison sise en cette ville vis à vis l’hôpital
Désignation de l’immeuble, maison avec cour, écurie, petit jardin, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, d’un côté Jean Deninger d’autre Georges Ehrhard – attendu que la maison appartient par indivis audit Georges Keller et Marie Elisabeth Keller fille majeure sa sœur la poursuivante a d’abord dû demander le partage ou la licitation dudit immeuble conformément à l’article 2205 du Code civil et attendu que la non partageabilité a été reconnue, estimé par le Sr Stotz et Arnold maçon et Madler charpentier experts nommés par rapport du 6 avril 1820 entériné le 8 mai à 5500 francs – le 8 mai 1820
adjudication préparatoire du 22 juin – Adjudication définitive du 6 juillet, pour 5550 francs

Fils de cordonnier, Jean Huss épouse en 1791 Marie Thérèse Klein, fille du vigneron Joseph Klein d’Albé dans la val de Villé
1791 (5.4.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 126
(Eheberedung) erschienen Johannes Huß, der ledige Schuemacher, Matthias Huß des ebenmäßigen Schuhmachers alhier, mit Frau Catharinæ gebohrner Buchmännin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter an einem,
Und Jungfrau Maria Theresia Kleinin, weiland Joseph Klein, des gewesenen Reebmanns zu Erlenbach im Weilerthal, mit Barbara gebohrner Dielensägerin ehelich erzeugte tochter, beiständlich H Johann Mathäus Fritz des Schneidermeisters alhier, als hochzeiterin
auf dienstag den 5. Aprill Abends, im jahr 1791 [unterzeichnet] Johannes hus, + der hochzeiterin handzeichen

Le cordonnier Jean Huss meurt en 1830 en délaissant trois enfants

1830 (30.4.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel, n° 6711
Inventaire de la succession de Jean Mathias Husz, cordonnier décédé le 25 novembre 1829, à la requête de I. Marie Thérèse Klein la veuve, II. à la requête de 1. Jean Philippe Husz, voiturier, 2. Philippe Alexandre Husz, sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille représenté par Jean Philippe Husz, 3. Marie Thérèse Husz épouse de Sébastien Ockly, perruquier, les enfants
immeubles, une maison située à Strasbourg près de l’hôpital militaire n° 26, d’un côté le Sr Rudolph d’autre le jardin de la veuve Ehrhardt devant la rue derrière le Sr Perrin, acquis à la barre du Tribunal Civil le 6 juillet 1820 sur expropriation forcée contre Jean Georges Keller, marchand, et Marie Elisabeth Keller majeure, transcrit au bureau des hypothèques vol. 132 n° 5 – habité par les conjoints Husz, vendue par adjudication volontaire à Michel Rudolph Me Weigel le 16 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques vol. 233 n° 108, estimée 7625 fr
garde robe 33 fr, mobilier 110 fr – passif 7156 fr – total de l’actif 7735 fr
Contrat de mariage Me Ubersaal le 5 avril 1791, Testament Me Weigel le 2 avril 1829
Enregistrement, acp 199 F° 95-v du 10.5.

Thérèse Klein veuve de Jean Huss et ses enfants vendent la maison au marchand de bois Michel Rudloff, propriétaire de la maison voisine (au Grand Cerf)

1830 (16.3.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel n° 6419, Adjudication définitive ; préparatoire 28.1. n° 6345 et 4.3. n° 6391 ; Cahier des Charges 14.1. n° 6312
I. Thérèse Klein veuve de Jean Husz, voiturier, II. 1. Philippe Alexandre Husz, sergent au 6è régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille, 2. Jean Frédéric Husz, voiturier, 3. Marie Thérèse Husz épouse de Sébastien Ockly, perruquier, héritiers de leur père décédé le 25 nov. 1829
à Michel Rudolph, marchand de bois demeurant à Strasbourg rue & près de l’Hôpital Militaire n° —
Désignation de l’immeuble, une maison située à Strasbourg près l’hôpital militaire n° 26, d’un côté le Sr Rudolphe d’autre le jardin de la veuve Erhardt derrière le Sr Perrin devant la rue – de la communauté les titres de propriété se trouvent dans les mains des créanciers – mise à prix 5000 fr
(sur l’adjudication définitive) acquis à la barre du Tribunal Civil par expropriation forcée poursuivie contre Jean Georges Keller, marchand, & licitation sur Marie Elisabeth Keller majeure – moyennant 7825 fr
Enregistrement, acp 198 F° 163 du 22.3.

La maison est décrite à l’inventaire de Catherine Kling en 1837, à celui de Michel Rudloff en 1848 et dans un rapport d’experts dressé en 1840.
Les enfants et héritiers de Jean Rudloff vendent la maison au marchand de volaille Noël Dominique Charles Wiedmer et à Marie Louise Rebold moyennant 9 050 francs

1852 (22 8.br), Strasbourg 10 (123), Not. Zimmer n° 9754
L’an 1852 le 22 octobre Ont comparu 1. Mad. Marie Catherine Rudolph, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Antoine Klotz, en son vivant ébéniste en la même ville, 2. Mad. Marie Louise Rudolph, épouse de Mr Jean Chrétien Wolff , brasseur, à ce présent pour autoriser son épouse à l’effet de ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, 3° ledit Mr Wolff, agissant encore comme mandataire de général & spécial à l’effet des présentes de D° Marie Thérèse Rudolph & de Victor Ruppert, brasseur conjoints demeurant et domiciliés ensemble à Saint Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), 4. M. Valérie-François-Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif de Louise-Joséphine Rudolph née le 22 avril 1833, Sophie Eugénie Rudolph née le 25 avril 1835, les deux demeurant à Strasbourg enfants mineures issus du mariage en premières noces du Sr Michel Rudolph fils, vivant batelier à Strasbourgn avec D° Marguerite Mühlberger sa femme défunte (…) b) comme mandataire de Dlle Marguerite-Catherine Rudolph dite en religion Sœur Hildeberte, religieuse demeurant à Obernai (…), c) comme mandataire général & spécial du Sr. Jean Marie Petit, marchand de bois, et de D° Marie Thérèse Rudolph son épouse demeurant et domiciliés ensemble audit Saint-Etienne (…), 5° Mlle Sophie Gel, majeure sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, 6° D° Joséphine Veith, épouse du Sr Christophe Bomans, aubergiste, ci présent & autorisant son épouse à l’effet de ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés hors la porte d’Austerlitz banlieue de Strasbourg, agissant la D° Bomans comme mère et tutrice légale & son mari comme cotuteur de Michel Eugène Rudolph, mineur sans état demeurant avec sa mère & né à Strasbourg le 21 juillet 1830 du mariage en premières noces de la D° Bomans avec feu ledit Sr Michel Rudolph fils (…), le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg a suivant jugement rendu le 24 septembre 1852 homologué les délibérations de famille et ordonné que devant M° Zimmer soussigné à ce commis il serait procédé à la vente par licitation dudit immeuble
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix. Une maison avec cour, appartenances & dépendances sise à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à Mad° Klotz, de l’autre au jardin de la veuve Ehrhardt par derrière à M. Perrin & pardevant audit quai. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 6000 francs fixée par ledit jugement !
Etablissement de la propriété. Ladite maison dépendait de la communauté de biens qui a existé entre feu Mr Michel Rudolph père, en son vivant marchand de bois & propriétaire & D° Catherine Kling conjoints demeurant en leur vivant à Strasbourg, lesquels ont laissé pour seuls héritiers les dites Dames Klotz, Wolff & Ruppert leurs enfants pour un cinquième, la D° Petit, les Delles Marguerite Catherine Rudolph, religieuse, Louise Joséphine Rudolph, Sophie Rudolph & le mineur Michel Eugène Rudolph leurs petits-enfants ensemble pour un 5° ou chacun pour 1/25 par représentation de leur père le Sr Michel Rudolph fils sus nommé, les quatre premiers étant issus du mariage en premières noces avec ladite De Rudolph née Mühlberger & le dernier étant issu de son mariage en secondes noces avec ladite Dame Bomans, et la Dlle Gel pour le dernier cinquième comme venant par représentation de sa mère De Sophie Rudolph décédée épouse du Sr Michel Gel, en son nom épicier à Strasbourg, cette D° Gel & le Sr Michel Rudolph fils enfants desdits conjoints Michel Rudolph père et mère ainsi que toutes ces qualités se trouvent établies dans deux inventaire des successions des époux Rudolph père et mère dressés par M° Zimmer soussigné les 21 novembre 1837 & 29 juillet 1848 & dans un acte de liquidation et partage des valeurs mobilières de ces successions dressé par le même notaire le 10 février 1849.
Ledit Immeuble qui appartient encore indivisément dans la susdite proportion aux enfants & petits-enfants des conjoints Rudolph père et mère a été acquis par ces derniers de 1) D° Thérèse Klein demeurant à Strasbourg veuve du Sr Jean Husz père en son vivant voiturier en la même ville, 2) Jean Philippe Husz fils, voiturier en la même ville, 3) Philippe Alexandre Husz, alors sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille, domicilié à Strasbourg, 4) et de D° Marie Thérèse Husz, épouse de Sébastien Ockly, perruquier, les deux demeurant à Strasbourg, pour le prix de 7625 francs aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel alors notaire en la même ville le 16 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 dudit mois de mars Vol. 233 N° 100 & inscrit d’office le même jour Vol. 204 n° 391. (…) Le Sr Jean Husz & sa femme née Klein père et mère des autres vendeurs susdommés avaient eux-mêmes acquis ledit Immeuble à la barre du tribunal civil de Strasbourg sur expropriation forcée poursuivie contre Jean Georges Keller, marchand à Strasbourg et licitation entre ce dernier & Dlle Marie Elisabeth Keller, majeure sans état, demeurant en ladite ville ainsi que cela résulte d’un jugement d’adjudication rendu par ledit tribunal civil le 10 juillet 1827 & d’une déclaration de command du huit du même mois. – Charges, clauses et conditions (…) Fait et passé à Strasbourg
Et l’An 1852 le Samedi 18 décembre (…) mise à prix fr. 6000. Plusieurs bougies ayant été allumées, diverses mises furent faites dont la dernière par Mr Jacques Weyher, entrepreneur demeurant et domicilié à Strasbourg qui en a porté le prix à la somme de 9050 francs (…) A l’instant M. Weyher a déclaré se réserver faculté de nommer un command dans les 24 heures de l’adjudication
L’an 1852 le 18 décembre, déclaration de command (…) a déclaré que la maison sise à Strasbourg quai des fleurs numéro 26 proprement dit quartier des Souabes (…) appartient au Sr Noël Dominique Charles Wiedmer, marchand de volaille, et à Dame Marie Louise Rebold conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg
acp 414 (3 Q 30 129) f° 30 du 26 8.br (cahier des charges) – acp 415 (3 Q 30 130) f° 89-v du 20 Xbr (Procès verbal d’adjudication) – f° 90 du 20 Xbr, (déclaration de command)

Fils du marchand de volaille Joseph Widmer, Noël Dominique Charles Widmer épouse en 1849 Marie Louise Rebold, fille de tailleur de pierres
Mariage, Strasbourg (n° 407)
Du 30° jour du mois d’octobre 1849 à dix heures du matin, Acte de mariage de Noël Dominique Charles Widmer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 mai 1828 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Marchand de volaille, fils de Joseph Widmer, marchand de volaille, et de Marie Rosine Gruner, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, Marie Louise Rebold, majeure d’ans née en légitime mariage le 5 février 1828 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Bernard Rebold, tailleur de pierres décédé en cette ville le 4 juin 1832 et de Catherine Düringer, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (…) Et ausitôt lesdits époux ont déclaré reconnaître er légitimer Charles Gustave Adolphe Widmer né en cette ville le premier janvier 1849 inscrit le lendamin sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Widmer, Marie Louise Rebold (i 46)

Registre de population 600 MW 344. (i 115)
Wittmer, Charles, Strasbourg 28, h.m., Md. de volaille, Catholique, Français (à Strasbourg depuis sa naissance)
id. née Rebold, Louise, d° 28, f. m., sa femme, d°, d°, d°
id. Charles, d° 49, g, s fils
id. Louise, d° 51, f. s fille
id. Edouard, d° 54, g, s fils
id. Sophie, d° 55, f, s fille
Dieringer, Catherine, d° 02, f.
Wittmer, Albertine Wilhelmine, d° le 11. Xbre 1858, f.
Rue des Souabes 26 / Rue de l’hôpital militaire 1

La maison revient ensuite à Emilie Eugénie Wiedmer et à son mari boucher Philippe Drion.
Natif de Niederbronn, Philippe Drion épouse en 1869 Marie Louise Wiedmer puis en 1882 sa sœur Emilie Eugénie Wiedemer

Mariage, Strasbourg (n° 681)
Du 9° jour de novembre 1869. Acte de mariage de Philippe Drion, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 octobre 1842 à Niederbronn (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, boucher, fils de feu Philippe Drion, boucher, décédé à Strasbourg le 16 juin 1857 et de Sara Rosenstiel, sans profession domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante, et Marie Louise Widmer, mineure d’ans, née en légitime mariage le 31 mai 1851 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Noël Dominique Charles Widmer, marchand de volaille, et de Marie Louise Rebold, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage, (signé) Ph. Drion, L. Widmer (i 6)

Mariage, Strasbourg (n° 150)
Strassburg den 23. März 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Philipp Drion, evangelischer Religion, geboren den 24 October des Jahres 1842 zu Niederbronn (Unter Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Wittwer von Marie Luise Widmer, gestorben zu Strassburg den 7. August verflossenen Jahrs, ehelicher Sohn des verstorbenen Metzgers Philipp Drion zuletzt wohnhaft Zu Strassburg und der Sara Rosenstiel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg, 2. die Eugenie Emilie Widmer, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 21. Novembris des Jahres 1860 zu Strassburgn wohnhaft zu Strassburg, Tochter des Geflügelhänlders Noel Dominick Carl Widner und dessen Ehefrau Maria Luise Rebold, beide wohnhaft zu Straßburg (i 24)



70, rue de Zurich


Rue de Zurich n° 70 – X 210 (Blondel), O 866 puis section 33 parcelle 32 (cadastre)

Auberge au Grand Cerf (zum Großen Hirtzen) à partir de 1689
Nouveau bâtiment (1843 puis 1853), maître d’ouvrage, Antoine Klotz, menuisier
Bâtiments arrière, 7, rue de l’Hôpital militaire, maître d’ouvrage Jacques Schultz, ébéniste (1896 et 1898)
Ancienne partie ouest, 5, rue de l’Hôpital militaire


Façade rue de Zurich – Façades rue de l’Hôpital militaire (2013)

La maison qui doit avoir appartenu au début du XVII° siècle au jardinier Benoît Hirth suit la destinée des jardins situés à l’arrière. Le cordier David Beuther l’acquiert en plusieurs fois entre 1674 et 1676. Son gendre huilier Etienne Amberger établit dans son jardin une auberge où les clients tirent aussi à l’arquebuse, ce qui lui vaut l’opposition des préposés du champ des Arquebusiers. Etienne Amberger est autorisé en 1696 à pomper l’eau dans le canal Saint-Jean pour la conduire dans son jardin où il a établi des jeux d’eau. Le premier aubergiste est l’ancien vivandier Jean Jacques Stempfel. Son successeur Léopold Winter (1695-1704) est locataire, Jacques Louis Herrmann (1704-1724) devient propriétaire en 1712. Jacques Louis Herrmann et son voisin Jean Koch auquel il a vendu en 1715 la partie ouest de sa propriété sont tenus en 1717 de faire curer le fossé encombré d’immondices. Propriétaire du Grand Cerf depuis 1724, Jean Jacques Lutz y réunit à nouveau en 1733 la maison détachée en 1715 et y construit à neuf un bâtiment latéral. Après sa mort en 1734, l’auberge est reprise par Jean Jacques Grün avec lequel sa veuve s’est remariée puis par différents locataires. Ses héritiers détachent définitivement la partie ouest de la propriété. Le bâtiment au Grand Cerf appartient ensuite au batelier Jean Georges Kieffer (1784-1811) puis à partir de 1820 au marchand de bois Michel Rudloff.


Plan-relief de 1725 (Musée historique). Le Grand Cerf se trouve en bas à droite de l’îlot.
L’îlot sur le plan Blondel (plan de l’existant, ADBR, 1 L Plan 5)



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 – Plan, îlot 240 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie surmonté d’un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (q) qui représente l’angle. Sur la gauche, le pignon vers l’hôpital militaire a deux fenêtres à chaque étage. Sur la droite, la façade vers le quai comprend une fenêtre, la porte puis quatre autres fenêtres, le premier étage six fenêtres ; la toiture a deux fenêtres et deux lucarnes. Un deuxième bâtiment à pignon a deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux fenêtres à l’étage. La cour H représente l’arrière (1-13) du bâtiment sur le quai puis l’aile (13-12) et le pignon (9-12) sur cour, à l’arrière du bâtiment à pignon sur quai.
Les anciens bâtiments sont décrits avec précision dans deux rapports d’experts en 1819 et en 1840. La Ville achète en 1842 pour élargir la rue devant l’hôpital militaire environ la moitié du terrain où se trouvent une maison incendiée et des hangars neufs. Me menuisier Antoine Klotz construit le bâtiment en 1843 puis en 1853.
La maison porte d’abord le n° 27 du quai aux Fleurs (1784-1857) puis le n° 12 qui devient ensuite le 50, rue de Zurich puis le n° 70.


Cour H – Plan du terrain cédé à la Ville (1842, ADBR cote 7 E 57, 10-97)

Elévation en 1925 – Photographie avant transformations, 1968 (dossier de la Police du Bâtiment)

Le maître menuisier Jacques Schultz qui vient d’acheter la maison fait aménager en 1894 dans un hangar à gauche du portail d’entrée un atelier de menuiserie dont il convertit la partie avant en maison d’habitation en 1896 : les pans de bois y sont posés sur la maçonnerie. Il fait construire en 1898 à droite de l’entrée un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois. L’atelier à gauche du portail d’entrée est transformé en maison d’habitation en 1903 et l’atelier est agrandi. L’atelier du sculpteur Albert Schultz est transformé en atelier de tourneur en 1926. Le maître menuisier André Bonnet a un autre atelier à gauche de la cour (1921, 1926). Le pâtissier Henri Husser charge l’architecte Belling de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie, notamment en perçant une devanture (1927 puis 1929). La Ville renonce en 1957 à demander au propriétaire d’acquérir le terrain qui sépare sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich. Henri Husser fait transformer la façade en 1963, ouvre en 1964 un débit de boissons dans sa pâtisserie. Il fait aménager les combles en 1964 puis transformer le magasin en 1968 en y posant de grandes devantures


Atelier construit en 1894 – Bâtiment à gauche du portail, construit en 1896 – Bâtiment à droite du portail, construit en 1898 – Plan de la parcelle, 1903 – Nouvelle devanture du n° 70, 1968 (dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1676 à 1952 (auparavant, voir le jardin Kolb. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1676 v David Beuther, cordier, et (1646) Aurélie Obelé puis (1648) Marguerite Klinger – luthériens
1679* h Etienne Amberger, huilier, et (1671) Marie Madeleine Beuther – luthériens
1712 v Jacques Louis Hermann, aubergiste, et (1704) Marie Ursule Eisenmann puis (1721) Marie Madeleine Ziegler – luthériens
1724 v Jacques Lutz, aubergiste, et (1724) Marie Dorothée Klein – luthériens
1733 h Jean Jacques Grün, aubergiste, et (1733) Marie Dorothée Klein, veuve de Jacques Lutz, puis (1735) Anne Marie Stamm – luthériens (usufruitiers)
1783 h Jean Memminger, pêcheur, et (1757) Marie Dorothée Lutz – luthériens
1784 v Jean Georges Kieffer, batelier, et (1760) Susanne Salomé Ochs – luthériens
1811 adj Jean Georges Erhard, horticulteur, et (1791) Anne Marie Schwing – luthériens
1820 adj Jean Michel Rudloff (Rudolph), marchand de bois, et (1795) Marie Catherine Kling
1840 h Jean Antoine Klotz, menuisier, et (1827) Catherine Rudloff
h Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints, et (1850) Sophie Adèle Klotz
1877 v Alfred Schwind, imprimeur, et (1867) Marie Caroline Staat
1895* v Jacques Schultz, ébéniste, et Madeleine Bürcki
1922-* h Charles Albert Schultz, sculpteur, et copropriétaires
1926* v Henri Husser, pâtissier, et Eugénie Caspar

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1710 – sans la maison voisine, 675 livres en 1721, 1500 livres en 1733

(1765, Liste Blondel) X 210, les enfants du nommé Lutz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Grün, 23 toises, 2 pieds et 0 pouce
son jardin 9 toises, 5 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 866, Rudolph, Michel, quartier des Souabes 26 – maison, sol – 4,3 ares

Locations

1688, Abraham Müller, boucher
1689, Jean Jacques Stempel, aubergiste au Grand Cerf.
1692, Balthasar Faver, employé des fortifications
1695, Léopold Winther, aubergiste
1744, Jean Jacques Wintersinger, aubergiste
1753, Jean Jacques Koch, aubergiste
1774, Jean Philippe Schæcker, brasseur
Liste de locataires, 1760
Liste de locataires, 1782
1795, Anne Marguerite Voll, célibataire
1806, Daniel Kieffer, batelier
1812, Jean Martin Engel, charpentier, et Madeleine Kieffer
1819, Michel Rudolph (futur propriétaire)
1827, Samuel Riebel, garçon batelier

Aubergistes

1689-1695, Jean Jacques Stempfel d’abord vivandier
1695-1704, Léopold Winter
1704-1724, Jacques Louis Herrmann
1724-1734, Jacques Lutz
1734, Jean Jacques Grün
1744, Jean Jacques Wintersinger, aubergiste (bail)
1753, Jean Jacques Koch
1758, Philippe Jacques Lutz
1761, Jean Philippe Schropp
1762-1765, Madeleine Bügler veuve de l’aubergiste Laurent Gillig
1774, Jean Philippe Schæcker, brasseur (bail)

Livres des communaux

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 319
L’huilier Etienne Amberger doit pour une partie de son jardin 2 livres par an

Stephan Amberger, der Ohlmann soll wegen vergröserung seines garttens inn Crautenaw gegen St. Johannnis gießen, neben Hannß Voltzen, Jahrs vff Johannis Baptistæ, und A° 1691. zum ersten mahl, 2 lb
Protoc: p. 1690. p. 48
Jetzt H. Jacob Ludwig Hermann 1713. i.o
jetzt H. Jacob Lutz
Jetzt Johann Jacob Grün
(Quittungen 1691-1741)
Neuzb fol 808

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 808

alzb. 319
Joh: Jacob Grün (sen.) solle wegen vergrößerung seines gartens in der Crautenau gegen St. Johannnis Gießen, Jahrs auf Joh: Bapt. (id est 24. Junii), 2 lb
(Quittungen 1741-an 10)
C. 430

[in margine :] 6. Messidor
modo Georg Fischer
Georg Kieffer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1689, Préposés au bâtiment ,VII 1373
Le préposé des arquebusiers et l’aubergiste du champ des Arquebusiers s’opposent à ce que l’huilier Etienne Amberger obtienne un terrain pour agrandir son jardin où les clients tirent à l’arquebuse alors que les pétitionnaires déclarent en avoir le privilège. Les Préposés au bâtiment renvoient l’affaire aux Conseillers et aux Vingt-et-Un avant de prendre une décision.

(f° 74) Freÿtags den 25. ejusdem [Novembris] – Johann Blümele, Johann Mock Ca. Stephan Amberger
Johann Blümele, der Schützenmeister, und Johann Mock, der Würth auff dem Armbrustrhein, bringen an, daß Sie in erfahrung Gebracht hetten daß Stephan Amberger der Ohlmann ein stück Allmendts an seinem Gartten in der Crautenauw Von gemeiner Statt begehre, umb desto mehrere bequemlichkeit Zuhaben, mit Armbrusten allda Zuschießen : Es thäte aber solches dem Armbrust Rhein großen abbruch, Were ihren privilegien Zu wider, und gehe allda Große üppigkeit und entheÿligung deß Sontags Vor. Item Sie setzen Schützen meister, Siebner und straffen die leüth, und treiben allerhand umrednungen und mißbraüche, so nicht Zuleiden, bitten dahero ihme solches nicht Zugestatten, sondern sein begehren abzuleinen, Amberger regerirte dargegen, daß bißher in dem Gartten, und an verschiedenen andern orthen mehr mit Armbrusten seÿe geschoßen und niemandts Verwehret worden, Sein hauß seÿe ein offenes Würths hauß, wer am Sontag darinnen pleiben, und nicht inn die Kirch gehen wolle, dem wehre es der würth nicht gleich wie anderstwo, die Schützenmeister hätten Sie gemacht, damit es desto ordentlicher beÿ ihnen hergehe, verhoffe er also nicht daß mann ihme sein begehren schwehr machen werde. Erkandt, Klägere sollen ihre beschwehrnuß beÿ Herren Räthen und XXI. anbringen, und wann die Sach allda außgemacht sein würdt, solle alß dann weithers Von dem behehrten platz geredet werd.

1690, Conseillers et XXI (1 R 173)
Les parties s’opposent devant les Conseillers et les Vingt-et-Un sans qu’aucune décision soit prise.

Staahlschützen Ca. Stephan Ambergern. 94. 95. 97. 102. 106.
(p. 94) Sambstags d. 11. Martii 1690. – Staahlschützen des armbrustreins c. Ambergern
Salsm. n. Gesambter Stahl Schützen des Armbrust Rheins contra H. Stephan Amberger den Ohlman, producirt hochgemäßigt unterth. Klag ane exis. petitis mit beÿlag L. a. Gol cop. et 8 tag, obt.

(p. 95) Montags d. 13.ten Martÿ – Amberger ca. die Staahlschützen
Goll n. Stephan Ambergers deß Ohlmanns ca. die sambtliche Stahl Schützen produciren Unterth. gegenbericht annexo petito.

(p. 97) Sambstags d. 18.ten Martÿ 1690 – Staahlschützen des armbrustreins c. Ambergern
Salsm. d. Hh. Stahl Schützen auff dem armbrust Rhein præsentirt H. Johann Georg Grauß Barbiereren und büchsen Meisters vicarium, welcher umb Stephan Amberger, und producirt mand. auff sein persohn, bittet recogn. mand. et sig. Goll recogn. et*
Salsm. producirt replicam juncto petito
Goll n. Stephan Ambergers pet. cop. Salsm. will es Zulaßen.

(p. 102) Sambstags d. 25. Martÿ 1690 – Amberger ca. Staahlschützen
Goll n. Stephan Ambergers ca. die Stahl Schützen producirt mand. und bittet recogn. m. et sigil. Salsm. recogn. b. fidem, Goll accept.
Goll Weilen die Gegenschrifft mit lauther falsis angeführt, also sagt er generalia, und schlieset darauff more solito, Salsm. Mündlichen Gegen beschluß bittet ad prox. Goll laßet es Zu.

(p. 106) Sambstag d. 1. april 1690 – Amberger ca. Staahlschützen
D G. n. Ambergers ca. die sämbtliche Stahl Schützen vom 25. jüngst will gegenschluß vernehmen, saltz. n. part. adirt schließet similiter cum repetitione hatt weg. actorum stellent es Zu Mhh. erk. renunciatis* ferÿs. Erk. vor geschloßen angenommen

1690, Préposés au bâtiment (VII 1374)
Le secrétaire rapporte sa conversation avec le préteur royal qui est d’avis d’accéder à la demande d’Etienne Amberger. Le terrain est accordé moyennant un loyer annuel de deux livres. Etienne Amberger demande quelques jours plus tard le droit d’avancer son pavillon d’un pied et demi vers l’ancien alignement et vers le nouveau ainsi que d’établir un auvent. La permission lui est accordée sans majorer le loyer.

(f° 43) Dienstags den 20. dito [Junÿ] – Stephan Amberger
Ego referire, daß erstbemelter Herr Syndicus mit mir Geredt, und angezeigt, daß in Stephan Ambergers Sachen contra die Schützen meister deß Armbrust Rheins, so vor Hh Räth und XXI. nun eine Zeit hero geschwebet, auß Gewissen Ursachen Kein bescheidt ergehen werden und daß mann demselben in seinem den 24. Novembr: Anno 1689. Gesuchten begehren gar Wohl Willfahen Könne, darauff ist das protocoll de A° 1689. auff Geschlagen und abgeleßen, und ihme in seinem begehren dergestaldt Willfahrt worden, daß er davon Jährlichen und vff Johannis Baptistæ Anno & 1691. Zum ersten mahl 2. lb d zinß davon geben solle.

(f° 46-v) Montags den 26. Junÿ. Augenschein eingenommen – Stephan Amberger
Ferner Augenschein eingenommen, beÿ H. Stephan Ambergers gartten inn der Crautenau, allwo er, über die bereits ihme Vergönstigte Vergrößerung deßelben, noch weither begehrt, ihme Zuerlauben, daß er mit seinem garttenhäußlein 1 ½ schuh Gegen St. Johannis Gießen, und eben soviel gegen dem ihme erlaubten neüen Allmend heraußfahren, und einen Überhang machen dörffe. Erkandt, bedacht.

(f° 48-v) Freÿtags den 7. Julÿ – p° Eingenommenen Augenscheins beÿ H. Stephan Ambergers Gartten, ist demselben in seinem den 20. Junÿ gethanen begehren ebenmäßig willfahrt worden und hatt sein Verpleibens beÿ denen angesetzten 2. lb d.

1696, Préposés au bâtiment, VII 1377
Etienne Amberger demande l’autorisation de pomper l’eau dans le canal Saint-Jean pour la conduire dans son jardin où il a établi des jeux d’eau. Il y est autorisé moyennant un loyer annuel d’une livre, ramené à cinq sols après qu’il s’est engagé à mettre sa pompe à disposition en cas d’incendie.

(f° 22) Mittwochs den 7. Ejusdem [Martÿ 1696] Stephan Amberger umb erlaubnus eine Waßer leitung Zu machen – Augenschein eingenommen Vor Herrn Stephan Ambergers, des Ohlmanns, in der Krautenau ohnfern des Newen Hospithals gelegener behaußung, alwo derselbe eine Waßer spritz in den Vorüber fließenden sogenanten Johannes Gießen setzen, und das Waßer über einen gang durch legende röhr in die in seinem Gartten befindliche Waßerkunst Zu laiten. Erk. Bedacht.

(f° 28) Dienstags den 3. Ejusd: [Aprilis1696] Herr Stephan Amberger pt° einer Waßer leitung in seinem Garten – Wegen eingenommenen augenscheins an Herrn Stephan Ambergers, des Ohlmanns Garten in der Krautenau, ist demselben mit setzung einer Waßerspritz in den fluß wie auch außführung einer Gallerie, umb daß Waßer darüber in seinen Garten Zulaiten, gegen erlag 1. lb. boden Zinnß Willfahrt. Herr Amberger ersucht Mghh. Ihme solches gratis Zu gönnen, in betrachtung Er sich obligiren wolte diese fewer spritz in fewers nöthen, zu loschung der brunsten Zu Verschaffen. Erk. Würd der Allmend Zinnß in solcher Consideration auff 5. ß d. moderirt.

1696, Conseillers et XXI (1 R 179)
Nouveau litige entre les arquebusiers et Etienne Amberger. Les Conseillers et les Vingt-et-Un laissent l’affaire en suspens.

die Stallschützen Ca. Stephan Amberger. 56. 60. 61.
(p. 56) den 31. Martÿ 1696 – die Stallschützen Ca. Amberger
G. n. der gesambten die Schützen des Stahlschießens Auff dem Armbruster Rhein ca. Stephan Amberger producirt Unterth. Memoriale und bitten. S. citatus p.sens b. copeÿ vnd T. O.. G. 8. Tag und copeÿ. S. priora. Erk. 8 Tag und copeÿ

(p. 60) den 7. Aprilis 1696 – Stallschützen Ca. Amberger
G. n. der gesambten die Schützen citiren H. Stephan Amberger Vom 26. Martÿ Will er erklärung vernehmen. S. citatus p.sens bes* handlung in concepto, will das mundum annoch heuth Zur Cancelleÿ lüffern, H. will es ohnfehlbar erwarthen und b. copeÿ. Obt.

(p. 61) Montags den 9. Aprilis 1696 – Stallschützen Ca. Ambergers
G. ersch. die sambtliche Stahlschützen cit. H. Stephanum Ambergers, weilen ggners schrifft Vom 2. hus. allzu Weithlaüffig, und mit lauther falsis narratio auch ohngegeründten falschen Zulag. angefüllet ist, alß widerspricht Mann derselben p. generalia sich per expressum reservirend, die inseri* Klag gehörigen Orthen einzuführen, erhohlet contenta producti Vom 26. Martÿ und 6. umb gdig. Willfahr, schließet und s. S. citatus p.sens generalia et contra schliesset und f. cum repetitione dißeithig. producti, deßen inhalt leicht probirt werd. Kann.

1717, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Les préposés se rendent à l’auberge au Cerf pour examiner la rigole qui ne permet plus aux eaux de s’écouler parce qu’elle est encombrée d’immondices. Ils constatent que les maisons Herrmann et Koch ont posé du fumier près du fossé et que des latrines ont été établies sans autorisation dans le fossé. Hermann et Koch devront supprimer les latrines et reculer le fumier, le chef des travaux fera ensuite curer le fossé aux frais des défendeurs

(f° 248) Donnerstags den 4. Ejusdem [9.bris 1717] französische Hospithal – Augenschein eingenommen beÿ dem alhiesigen Königlichen Hospithal, alwo die Waßerrinne an dem Würths hauß Zum Hirtzel dergestalten mit unraht angefüllet, daß das keinen ablauff haben kann. Erk. Bedacht

(f° 252) Dienstags den 9. 9.bris 1717. französischer Hospithal, Johannes Koch, Jacob Ludwig Hermann – Wegen des am selbigen tag beÿ dem französischen Königl. Hospithal eingenommenen augenschein, ist Johannes Koch der Metzger, undt Herr Jacob Ludwig Hermann der Würth Zum Hirtzel, beschickt und Ihnen angezeigt worden, daß Weilen Koch Zween häußern beßerung an dem gräbel ligen habe, und ein s:v: secret in gedachtes Gräblein ohnerlaubt machen laß. Hermann aber das grablein Vor das Waßer beÿ entstehenden großen regen nicht ablauffen Könte, sondern alda halten bliebe, daß die oben daran Wohnende burger, Wie auch die so in gedachtem Hospithal Zu thun Hätten, dadurch sehr incommodirt würden, Sie solche beßerung Hinwegthun, das s:v: secret Hinweg brechen und das gräbel außwerffen laßen sollen. Illi offeriren so weith eines jeden gerechtigkeit gehet, das gräbel außheben Zu laßen, die beßerung Hinter sich von dem gräbel Zulegen und das s:v: secret Hinweg Zuthun. Erk. Soll der Herr Statt Lohner, wann solches ins werck gesetzt werde, das gräbel in einen guten standt stellen, und sie beede Zu refundirung der daran wendenden unkosten angehalten werden.

1779, Préposés au bâtiment, VII 1418 (731)
André Müller est autorisé au nom de l’aubergiste Grün à reconstruire le mur abattu par le vent à condition de ne pas toucher à la maison.

(f° 367) Dienstags den 14. Decembris 1779. – N. Grün Gastgeber
Mr Andreas Müller, der maurer nôe. N Grün, des Gastgebers Zum Hirsch bittet zu erlauben ane deßen beÿ dem französischen Hospithal gelegenen behausung zum Hirsch genannt, ein Stuck Maur, so der Wind umgerißen, wieder repariren zu laßen. Erkannt, Willfahrt auser diesem aber nichts an der behausung machen zu laßen.

1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber est autorisé à réparer et repeindre la maison du batelier Jean Georges Kieffer

(f° 160-v) Dienstags den 31. Augusti 1784. – Joh: Georg Kiefer, Schiffmann
Idem [Hr. Gruber der Maurer] nôe Joh: Georg Kiefer, des Schiffmanns, bittet zu erlauben deßen bei dem französischen Spithal gelegene behausung repariren und anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le batelier Georges Kieffer charge le maître menuisier Léonard Haas de poser un écarteur à l’angle de la maison.

(f° 212) Dienstags den 18. Januarii 1785. Georg Kiefer Schiffmann – Mr Leonhard Haas, der Zimmermann, nôe. Georg Kiefer, des Schiffmanns, bittet zu erlauben an das Eck seiner gegen dem Französischen Spithal über gelegenen behausung einen Abweiser setzen zu laßen. Erkannt Willfahrt, doch so, daß er der passage nicht hinderlich.

Protocole des Quinze

1689, Protocole des Quinze (2 R 193)
Le vivandier Jean Jacques Stempfel demande aux Quinze de lever l’amende qui lui a été infligée pour avoir servi des oiseaux grillés en assurant qu’il a sollicité le droit de bourgeoisie. Il demande le droit de débiter des boissons après que les préposés de l’accise lui ont attribué une enseigne ; il est renvoyé aux préposés à l’accise.

(f° 257-v) Donnerst. den 28. 8.bris – Johann Jacob Stempffel der Marquetänd zum großen Hirsch, per D Gollen, bericht daß die Herren dreÿ des Umbgeldts ihn, weilen er den gästen gebratene Vögel Vorgestelt, und 8 lb. gestrafft haben bitt Und.th. Umb derer gn. Nachlaß, weilen er ohne dem biß Monntag sich Umb das Burgerrecht anmelden, Und ein ordentl. Würth werden Will. Erk. Vor Obere Umbgelts herren gewießen.

(f° 303) Sambstags den 31. Xbris. – Johann Jacob Stempffel Würth Zum großen Hirsch, per D. Gollen, weilen ihme die Herren im Umgeld den schild gegeben, als bitt er underth. umb den offenen schanck und Zugleich auch umb die gerechtigkeit des schildts, selbigen anderwärtig hie zu nehmen, wann er von dar weg Ziehen werd. Erk. Vor Obere Umbgelts herren gewießen.

1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
L’aubergiste célibataire Léopold Winter demande le droit de débiter le vin au Grand Cerf à la Krutenau. Il reprend l’auberge que Jean Jacques Stempfel vient de quitter pour le Trou aux navets. Il habite à Strasbourg depuis sept ans, a servi à Schiltigheim et au Champ des arquebusiers. Il est déjà bourgeois et va épouser une réformée. Le droit lui est accordé puisqu’il n’établit pas de nouvelle auberge et qu’il s’engage à se conformer au règlement.

(f° 165-v) Sambst. den 24. 7.bris) Leopold Winther pt° Weinschancks
Leopold Winther der ledige Würth Und Burger alhier, per Saltzman, bitt Und.th. ihme den schanck Zum großen Hirschen jnn d. Krautenau zu gestatten. Erk. Vor Obere Umbgeldt Herren gewießen.

(f° 169-v) Freÿtag den 30. 7.bris – Leopold Winther pt° Weinschancks
H. XV.er Johann Sebastian Gambß, als Ober Umbgeldt Herr, läßt in absentia Herrn XV. Kellermans per Herrn Schrag referiren, daß Leopold Winther vmb den Weinschanck Zum großen Hirschen jn des Hn Ambergers Gartten angehalten und, da mann ihn Noch Ferners gehört, er vermeldt habe, daß der vorige Würth, Nahmens hannß Jacob Ständel von dar Weg Zum Rubenloch gezogen seÿe, erscheint, er seines orths schohn beÿ Sieben jahr alhier, Zu Schiltigheim vnd auff dem Schießrhein servirt habe, bereits burger seÿe, sich an eine Von Bern, so beÿ Hn Räth und XXI. Umb d. Burgerrecht angesucht, Und beÿ Rathes erhalten, Verheurathen, Und das Ungeld gleich bezahlen wolte, auch Wegen des schildts, als d. bereits da ware, er seine richtigkeit hätte, Weilen nun er inn Kein Neues Würthshauß kombt, und er præstanda Zu præstiren sich erbiethig machet, so vermeine mann mit MGHh ratification daß ihme inn seinem begehren gratificirt werden könte. Bedacht beliebt.

1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Jacques Louis Herrmann est autorisé en octobre 1704 à exploiter l’auberge au Poirier rue des Veaux en attendant de trouver une autre occasion. Il est autorisé en décembre à débiter le vin au Cerf dans le jardin Amberger en prenant la succession de Léopold Winter.

(f° 265) Sambstags den 25. Octobris 1704 – Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks
H. noîne Jacob Ludwig Hermann burgers vnd Würths allhier, der bittet unterth. in dem Würthshauß Zum birenbaum in der Kalbsgaß den weißbeck ihme Zuerluauben so lang bißEr eine andere gelegenheit werde haben können, Erk. wie vor [ahne die Obere Ungeltsherren gewiesen]

(f° 305) Sambstags den 29. Novembris 1704 – H. nôe. Leopold Winthers deß burgers vnd Gastgebers allhie der hat eine behausung ahne dem hürtzel gelehnt, bittet ihme den schild und schanck daselbsten gn. Zu willfahren. Erk. ahne die Obere Ungelts Herren gewiesen

(f° 305-v) H. noîe. Jacob Ludwig Hermannn deß Würths Zum bierbaum vnd burgers allhier, principalis, hat die wohnung in H. Ambergers garten Zum guldin hirsch genant entlehnt, bittet underthänig ihme die weinschanck daselbsten Zu erlauben. Erk. ahne die Obere Ungelt Herren gewießen.

(f° 308) Freÿtags den 5. Decemb. 1704 – Johann Ludwig Hermann pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungeltsherren laßen] per herrn Friden, es seÿe errinnerlich, daß Johann Ludwig Hermann umb den weinschanck Zum Bierbaum sich angemeldet, und derselbe erhalten, es seÿe aber derselbe seithero wider eingekommen, und habe bericht daß Er alda, aus verschiedenen ursachen nicht bleiben könne, deßwegen des H. Ambergers Gartten in der Krautenau, aus welchem Leopold Winter der vorige würth weg ziehe, gelehnt habe, mit bitt Ihme den schanck alda Zu Continuiren. Weilen es nun ein altes würthhauß und der Implorant burger seÿe, auch alle requisita habe, als stüde Zu Mghherren, Ob Sie demselben in seinem begehren willfahren wollen, Erk. willfahrt

1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
Jacques Louis Herrmann demande que ses pensionnaires vivandiers puissent contiinuer à exercer leur métier. Les Quinze répondent qu’il doit leur donner congé avant la Saint-Michel ou cesser d’être aubergiste.
Il informe en novembre de la même année qu’il est seulement locataire quand on l’avertit que sa cave sera contrôlée.

Jacob Ludwig Hermanns burger und Würths pt° erlaubnus seine haußleuth zu behalten
Jacob Ludwig Hermann pt° wid. eröffnung seines Kellers
weÿl. Stephan Ambergers Wtb vnd Erben pt° dero Würthshaußes Zum Hirschen in der Krautenau
(f° 240-v) Sambstags den 25. Junÿ – Jacob Ludwig Hermann pt° erlaubnus seine haußleuth zu behalten
S. noîe. Jacob Ludwig Hermanns burgers und Würths Zum Kleinen Hirschen beÿm frantzösischen Spitthal Plis. hat einen Sergeanten von H. Cap° Meÿers Comp° beÿ sich in losament, welcher aber sowohl als seine fraw Marcketendereÿ treiben vndt deßwegen die wenigste Zeit hier seindt, vndt nur die alte Mutter sich beÿ den Kindern auffhalte, also keine gefährde Zu besorgen, bittet deßwegen Zu erlauben daß Er selbige behalten dörffe. Erk. wird es beÿ voriger Erkantnus gelaßen undt dem Imploranten die alternativ gegeben, entwed. dieße leüth auff Michaelis fortzuschaffen oder die Würtschafft zu quittiren.

(f° 351-v) Sambstags den 26. Novembris 1707. – Jacob Ludwig Hermann pt° wid. eröffnung seines Kellers
K. noîe Jacob Ludwig Hermanns des Würths Zum großen Hirschen in der Krautenaw, weilen Ihme sein Keller secretirt worden, das haus aber nicht sein eigen seÿe, als bitt unterth. in ansehung er einen großen Zinß gebe, vndt die Einquartierung leiden müße, den Keller wid. eröffnen Zu lassen. Erk. wie vor [an die Oberen Ungelth. gewießen)]

(f° 366-v) Sambstags den 10. Decembr. 1707 – Kn. weÿl. Stephan Ambergers gew. Ohlmanns vnd burgers allhier hinterlaßener Wtb. vnd Erben Curatoris, H. Abraham Helcken, prod. wegen dero Würthshaußes Zum großen Hirschen in der Krautenau, unterthäniges memoriale vnd bitten wie inhalts. Erkant an die Obern Ungelts Hh. gewießen.

1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Jacques Louis Herrmann souhaite quitter l’auberge au Grand Cerf dans le jardin Amberger pour débiter le vin au Jeu de Paume. Les Quinze répondent qu’aucun droit de débit n’est attaché au Jeu de Paume.

Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks im ballenhauß, 93. 107.
Sebastian Beck pt° erlaubnus daß Ludwig Jacob Hermann den Weinschanck im ballhauß treiben dörffe 114
Jacob Ludwig Hermann pt° continuationis des weinschancks im ballenhauß 237
(f° 107-v) Sambstags den 12. Aprilis 1710 – Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Herren] laßen durch H Friden referiren, daß Jacob Ludwig Hermann der burger vnd bißherige Würth Zum hirtzen in dem Ambergischen garten vmb den Weinschanck im Blatterhauß angehalten habe, deme Er alß man ihme ferner gehört, beigefügt, wie doch Er nicht allein burger sondern beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger Leibzünfftig were, vnd schon eine geraume Zeit Würtheÿ getrieben hette, allein in dem Würthshauß Zum Hirtzen nicht mehr bleiben Könte, weilen Er jährlich 108 fl. Zinß geben solle, vnd vmb sich künfftighien ernehren zu können, hett Er H Becken dem bestäter im Kauffhauß das ballenhauß abgelehnt, allwo Er wein auffzäpffen jederman setzen, vnd eßen vnd trincken geben wolte, wie es bißhero geschehen, auch Er nichts anders in lehnung hette, alß nur das Kleine hauß, die Zweÿ groß Ballenheüser H Graff von Hanaw gelehnet und selibige mit häw angefüllet hette
Auff seithen der H. Deputirten, habe man ihme gleich widersprochen daß das ballenhauß niemahlen kein Wirthshauß gewesen were, vnd der Ballenmeister niemahlen die erlaubnus gehabt hette, jedermäniglich eßen vnd trincken Zugeben, wohl aber denen jenigen so beÿ ihme im Ballenhauß sich divertirt vnd erlustiget haben, vnd weillen man besorgt es dörffe hierudurch den Ballenhauß ein recht der Würtheÿ Zugezogen werden, daßelbe auch Zimlich abgesetzen alß habe man dem vorgehalten, dem Implorant mit seinem begehren abgewieß, werden könte. Erk. bedacht beliebt.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
Michel Lobstein sollicite le droit de débit au Grand Cerf. Jacques Louis Herrmann qui a acheté l’auberge demande le droit de l’exploiter. Michel Lobstein s’installe à l’Ancre et Jacques Louis Herrmann au Grand Cerf.

Michael Lobstein pt° Weinschancks zum Hirtzel in der Krautenau, – zum Ancker
Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks zum Hirtzel in der Krautenau
(f° 79) Sambstags den 19. Martÿ 1712. – G. noîe Michael Lobsteins des burgers vndt gastgebers alhie der bittet unterth. Ihme den Weinschanck zum Hirtzel in der Krautenau, vndt wegen instehend. Ferien bis Zu außtrag der Sach, gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungelts Hh.gewießen vndt Inen die Händt geöffnet, dem Imploranten wann Er die requisita habe, Zu willfahren.

(f° 127-v) Sambstag den 28. May 1712 – G. noîe Jacob Ludwig Hermanns des burgers vndt würths alhie, der hat as Würthshauß Zum Hirtzel in der Krautenau gekaufft, bitt unterth. Ihme den weinschanck alda gn. Zu erlauben. Erk.wie vor [an die Oberen Ungelts Hh.gewießen]

(f° 128) Sambstag den 28. May 1712 – G. noîe Michael Lobsteins des burgers vndt Gastgebers alhie der hat die gastherberg Zum Ancker gekaufft, bitt ihme den weinschanck alda gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungelts Hh.gewießen.

(f° 156) Freÿtag den 17. Junÿ 1712 – Jacob Ludwig Hermann pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Hh] per H. Friden, es habe Jacob Ludwig Hermann ansuchung gethan, daß Ihme der weinschanck Zum Hirtzel gn. erlaubt werden möchte, Nun seÿe Er im Ungelt nichts schuldig vndt weilen er schon Längst præstanda præstirt, so halte man davor daß Ihme Willfahrt werden könte. Erk, Willfahrt.

Joh: Michael Lobstein pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Hh] per H. Friden, es hette Johann Michael Lobstein so beÿ dem Hirtzel gewesen, umb den weinschanck Zum Encker angehalten, vnd weilen derselbe auch im Ungelt nichts schuldig vndt præstanda præstirt, so halte man davor daß Ihme ebenmäßig Willfahrt werden könte. Erkannt, Willfahrt.

1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Jacques Lutz est autorisé à débiter le vin au Grand Cerf qu’il vient d’acheter. Il a fait son apprentissage de 1711 à 1713 chez l’aubergiste à L’Esprit Jean Jacques Kamm et va devenir bourgeois.

Jacob Lutz pt° Weinschancks Zum Hirsch ohnfern dem frantzösischen Spithal
(p. 241) Sambstag den 10. Junÿ 1724 – Römer pro Fuchß nahmens Jacob Lutz des Ledigen Würths undt burgers allhier dieser hat das Würthshauß Zum Hirsch ohnfern dem Frantzösischen Spithal gelegen gekaufft, bitt Vndthg. Ihm den Weinschanck allda gnädig Zu Willahren. Erk. Ober Vngelt herren.

(p. 273) Sambstag d. 1. Julÿ 1724. – Obere Vmbgelt herren laßen durch H. Secret. Kleinclaus referiren, daß Jacob Lutz der ledige Würth und burger allhier in einem gehaltenen Recess berichtet, er habe das Würths hauß Zum hirsch an dem Frantzösischen Spithal erkaufft mit Vndt.ges bitt Ihme den Weinschanck allda gnädig Zu willfahren. Auff geschehener Remission habe er seinen Lehrbrieff de dato 27. Junÿ 1723. laut deßen derselbe beÿ H. Joh: Jacob Kamm dem gewesenen Geistwürth allhier die Würtheÿ Zweÿ Jahr lang alß von Ostern 1711 biß widerdahin 1713. behörig erlernet, und sich Wehrender Lehrzeit wohl und wie es einem ehrliebenden Menschen Zukomme, erlernet, Vorgelegt, das burgerrecht aber betreffend, so habe er berichtet, daß er deßen allbereit beÿ E. E. Großen Rath Vertröstet worden, Auff seithen der Hh. Depp. halte man davor, daß weilen der Implorant die Würtheÿ Ordnungs: mäßig erlernet, und derselbe ein Altes Würthshaüß heziehe, Ihme in seinem begehren Zu Willfahren, selbiger anbeÿ aber auch Zu abschwöhrung des Eÿdts auff die Würths ordnung anzuhalten seÿe. Erkandt, bedacht gefolgt.

1731, Protocole des Quinze (2 R 137)
Jean Jacques Lutz n’est pas autorisé à servir de la bière dans sa salle de billard. Il devra s’adresser au bureau de police pour pouvoir servir du café.

(p. 82) Sambstag d. 17. Martÿ 1731. pt° Bier Stützenweis – Gug noe. Joh: Jacob Lutz burgers undt Gastgebers Zum Großen Hirsch bitt Ew. G. permission bier Stützenweis auff seinen Billard Saal kommen zu laßen, und außschencken zu dörffen, gleich auch umb permission im fall der Noth Caffé und Thée auß denen Caffé häußern alldahien kommen Zu laßen. Erk. Ober Umgldh.
(Manuale) Sams. den 17. Marty – G. noe. Joh: Jacob Lutz burgers u. Gastgebers Zum Großen Hirschen b. E. gn. p.mission bier stützenweis auf seinen billard saal kom. zu laßen u. außschenck. zu dörffen, gleich wie auch d. p.mission im fall d. Noth Caffé u. Thée auß den Caffé häußern aldahin kommen Zu laßen. Erk. Ober Umgelds H.
Mont. den 19. Marty – Iid. Lect. rec. d.d.d. [Vom 17. hus.] in s. Joh: Jacob Lutz Würths zu Großen Hirsch. pto. bier: und Caffé schancks. Ille gehört selbst beÿ andere, die billard halten schenckten auch bier auß, pto bierschcks. d. begehren abzuschlagen, pto. Caffé schancks ahn E. Löbl. pol. Gerichts gewießen. Erk. in plenum

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)

Joh: Jacob Grien Weinschanck 122. 134. 292 (pages manquantes)

1753, Protocole des Quinze (2 R 163)
Jean Jacques Koch obtient dispense d’âge pour débiter le vin au Grand Cerf

(p. 515) Sambstag den 10. Novembris – Joh: Jacob Koch pt° dispensationis ætatis u weinschancks
Römer nôe. Johann Jacob Koch des ledigen b. und Würths ctra E. E. Zunfft der Freÿburger H. Zunfftmstr, producirt Zunft bescheid Vermög deßen pples pt° dispensationis ætatis wie auch pt° weinschancks an mghhrn Verwießen Worden, bitt unterth. dem imploranten mit dem weinschanck in dem Würthshauß zum großen Hirsch wie auch mit der dispensation ætatis Zuwilfahren.
Faust E. E. Zunfft setzt gegentheiles begehren Zu mherren, jedoch deßen übrigen die artickel in salvo bleiben. Erkandt denm imploranten gegen Erlag 3. lb zweÿ tertz gemeiner statt die andere tertz aber E. E. Zunfft heimfallen mit der gebettener dispensation ætatis, wie auch mit dem würths recht und weinschanck in dem Würthshauß zum großen Hirschen gegen erlag deren* in denen arctickel enthaltenen gebühren Zu willfahren seÿe. (Rapiarium f° 77)

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
Philippe Jacques Lutz qui a pris à bail l’auberge au Grand Cerf est autorisé à y débiter le vin

(p. 274) Sambstags den 19. Augusti 1758 – Freund nôe Philipp Jacob Lutz des ledigen burgers und Würths allhier der hat das würths hauß zum großen Hirschen gelehnet, producirt Zunfft Schein Vermög welches Er præstanda præstirt, bitt ihme daselbst mit dem Weinschanck gnädig zu willfahren ist. Erkandt nach ordnung Willfahrt.

1761, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
Jean Philippe Schropp, aubergiste célibataire qui a pris à bail le Grand Cerf près de l’hôpital français demande l’autorisation d’y exercer son métier. Il présente son certificat d’apprentissage daté de 1745. Il devra solliciter une dispense auprès des Quinze puisqu’il n’a pas atteint les vingt-cinq ans requis par le règlement. Il devient tributaire deux semaines plus tard après avoir obtenu dispense.

10.te Gericht de 1761. Mittwoch den 9.ten mensis Decembris 1761.
(f° 142) Johann Philipp Schropp der Ledige würth weÿl. Johann Philipp Schropp deß geweßenen Würths undt burgers allhier Nachgelaßener ehelicher Sohn, Erscheinet undt remonstriret, wie daß Er in dem würths hauß Zum großen Hirsch beÿ dem Frantzösischen Hospithal allhier gelegen, /:so derselbe in Lehnung würcklichen bestandten:/ würtschafft zu treiben gesonnen, will derohalben deß Zunfft und würths: rechtens wie auch deß Zunfft: Scheins wegen Erlangung deß Wein Schancks in Vor ermeldtem würths hauß gehorsambst gebetten, Undt zugleich seinen Thauff undt Statt Stall Schein welcher Letstere datiret den 2.ten Dec: 1761. Zusambt deßen Pergamentenem Lehrbrieff de dato Straßburg d. 23. Dec: 1745. hiemirt produciret habe.
Hierauff Erkandt worden, weilen der Implorant Krafft deß producirten Lehrbrieffs die profession der würtschafft Innerhalb 4. Jahren allhier Zwar nach Ordnung Er Lernet, auch Nachgehendt so wohlen allhier alß auch ausserhalb alß hauß Knecht serviret, alleine aber Zu folg deß producirten thauff Scheins, Ihme von der Majorennitæt oder dem alter von 25. Jahren, dermahlen in circa 2. jahr 8 Monat undt 19 tag Abgehen, Ein Solches aber wieder die von gn. Hn. denen XV.en unterm 17.ten 7.bris in Anno 1746. dießer Ehrs. Zunfft gnädig Ertheilte Articul Paragr: 6.to streitet, Alß wirdt derßelbe so wohlen puncto dispensatione ætatis, alß auch dem Wein Schanck in besagtem würths hauß Zum großen Hirschen allvorderistens ahne Gnäd. Herren die XV.en Verwießen undt denenselben, dabeÿ injungiret, wann Er solche dispensation Zusambt dem Weinschanck wirdt Erhalten haben, daß Er sich alß dann dießorths wieder umb stellen, den Ergangenen bescheid produciren, Undt sich Leibzünfftig machen solle.

11.te Gericht de 1761. Dienstag den 22.ten mensis Decembris 1761.
(f° 148) Neuzünfftiger – Johann Philipp Schropp der Ledige würth citiret soll Zufolg Gerichts Erkandtnus Vom 9.ten Xbris 1761: Sich Leibzünfftig machen, Zu dem Endte Gnäd: Herren derer XV.n Erkandtnus produciren. Ille Erscheinet undt produciret Zur partition solchen Gerichts bescheids ein intitulirtes Revidirtes undt vollziehen erneuertes Umgeldts Policeÿ undt getruckhtes Tarifs: Mandat &, so datiret den 30.ten 7.bris 1747: woselbsten von S.T. Herrn XV. Secretarius Städel unterm 12.ten Dec: 1761. geschrieben zu sehen, daß derßelbe nicht nur alleine dispensation wegen dem Ermanglendten Alter gegen Erlag 3. lb. Einer Ehrs. Zunfft der Freÿburger heimfällig sondern auch den weinschanck Zum großen Hirsch allhier würcklichen Erhalten, Undt dardurch alß ein würth alle Nöthige præstanda præstirt habe. Derowegen Ist Erkandt worden, daß demeßelben das völlige Zunfft und Würths: Recht gegen erlag der ordinarj gebühr der 6 lb. I4 ß d beneben 6 ß stubengeldt pro hôc anno, Zusambt dem vorgedachten Dispensations: geldt der 3 lb d Zu conferiren, Mithin derßelbe alß ein Leibzünfftiger Würth zu recipiren seÿe. juravit eodem auff die Ordnung.

1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
La veuve Gilch est autorisée à débiter le vin au Grand Cerf en y transférant le droit attaché aux Six Moreaux.

(p. 529) Sambstags d. 25. Septembris 1762. – Gilchen Wb. pt° Weinschancks
Idem [Schlosser] nôe. N. Gilchein des Würths Wittib, diese ist gesonnen ihr bißherige ingehabtes Würths hauß zu denen 6. Rappen zu verlaßen und in das jenige Zum großen Hirsch beÿ dem Frantzösischen Hospithal Zu Ziehen, bitt ihro mit transferirung ihres schancks dahin Zu Willfahren. Erkandt, nach ordnung willfahrt.

1765, Protocole des Quinze (2 R 177)
Madeleine Bügler veuve de l’aubergiste Laurent Gillig quitte le Grand Cerf pour aller exploiter la Croix d’or

(p. 569) Sambstags d. 28. Septembris 1765. – Gillig Wittib pt° Weinschancks
Froereisen nôe. Frau Magdalenæ gebohrner Bühlerin weÿl. Lorentz Gillig geweßten Würths hinterlaßener Wittib, dieße will ihr biß dato beseßenes Würthshauß Zum großen Hirsch verlaßen und in das goldene Creutz ziehen, bitt ihro mit dem weinschanck daselbst gnädig Zu willfahren. Erk. Nach ordnung willfahrt.

Description de la maison

  • 1705 (billet d’estimation traduit) la maison comprend deux bâtiments arrière, deux petites cours, jardin et puits, estimée 1 400 florins
  • 1721 (billet d’estimation traduit) la maison comprend sol, poêles, cuisines, vestibule, bâtiment latéral à demi-toit sous lequel se trouvent poêles et petites chambres, un bâtiment arrière où se trouvent poêle, réduit, cave solivée, petite cour et puits. Le bâtiment avant comprend un passage latéral dallé, une salle de plaisance, estimée par les experts à 1 350 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral neuf, poêles, chambre d’officier, salle d’auberge, chambres, cuisine, salle à manger, vestibule, puits, salle à cheminée, cave solivée et petite cour, estimée 3 000 florins
  • 1819, Rapport d’experts
  • 1840, Rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Fleurs

nouveau N° / ancien N° : 2 / 27
Kieffer
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 264 case 1

Klotz Antoine à Strasbourg N° 26

O 867, maison, sol, quartier des souabes 27
Contenance : 8,00
Revenu total :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus :

maison
Revenu total : 174,16 (170 et 4,16)
Folio de provenance : Nle Construction de 1843
Folio de destination :
Année d’entrée : 1853
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 1 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus : :
1853, Augmentations – Klotz Antoine f° 264, O 867, Maison, revenu 170, N.elle Construction, achevée en 1850, imposable en 1853, imposée en 1853

Cadastre napoléonien, 27 f° 1019 case 1

Klotz Antoine
1877 Schwind Alfred, Buchdrucker
1895/96 Schultz Jakob (Möbel-) Schreiner – und Ehefrau Magdalena geb. Bürcki in Gütergemeinschaft

O 867, maison, sol, quai des fleurs 12
Contenance : 8
Revenu total : 170
Folio de provenance : (264)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 36 puis 45
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 867, sol, Zürcherstraße 50
Contenance : 8
Revenu total : 4,16
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : v

Cadastre allemand, 30, p. 414 case 2

Parcelle, section 33, n° 32 – autrefois O 866
Canton : Züricherstraße Nr 50 und Militärlazaretstraße Nr. 7 – Rue de Zurich rue de l’Hôpital militaire
Désignation : Hf, 2 Whs, Wst u. NG – sol 3 maisons et bât. acc.
Contenance : 5,10
Revenu : 3700 – 3450 – 1950 – 2350
Remarques : 1910 Berufung – 1933 CN – (Neubau 190-)

(Propriétaire ), compte 1133
Schultz Jakob u. Ehefr. in Gg.
1922 Schultz Charles Albert sculpteur et copropriétaires
1926 Husser Henri et Caspar Eugénie épouse
1947 Husser Henri maître pâtissier
(2133)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 341 Rue du Jeu de Paume p. 489

27
Pr. – Kiefer, Georges – batelier
loc. – Scherf, Guillaume, boucher
loc. – Mutz, Phil. Jacques – boucher
loc. – Fritschmann, Jacques – pêcheur
loc. – Rey, Conrad – batelier
Hollerin, Elisabeth
loc. – Hubrin, Madeleine – Manant
loc. – Springer, Adam – Manant
loc. – Fritschmann, Dorothée, fille – pêcheurs
loc. – Viatte, Jean Pierre, invalide
loc. – Besancon, Jeannette

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Züricherstrasse (Seite 204)

(Haus Nr.) 50
Rühfel, Schriftsetzer. 0
Schulz, Schreinermeister. E 0
Waltz, Küfer. 0
Heitz, Pensionär. 1
Steinberg, Kaufmann. 2
Straub, Steinhauer. H 1
Dahl, Tagner. H 2
Schmidt, Schneiderm. H 2
Fösser,Wwe. H 3
Ley, Bur.-Vorst. H 3
Willem, Buchbinder. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 702 W 220)

Rue de Zurich n° 70 et 7 rue de l’Hôpital militaire ()

L’entrepreneur Greiner remplace en 1885 par un mur la clôture en lattes qui donne dans la rue de l’Hôpital militaire. Le maître menuisier Jacques Schultz fait aménager en 1894 un atelier de menuiserie dans un hangar. Il fait convertir en 1896 en maison d’habitation la partie avant de l’atelier rue de l’Hôpital militaire ; les pans de bois ne forment pas la structure du bâtiment mais sont posés sur la maçonnerie. Jacques Schultz fait construire en 1898 un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois comme l’atelier de 1896 (le bureau se trouve à droite de l’entrée, accolé à la maison avant 50 rue de Zurich, alors que l’atelier se trouve à gauche du portail d’entrée). Il fait installer en 1900 un moteur électrique dans son atelier. L’atelier d’Albert Schultz à gauche du portail d’entrée est transformé en maison d’habitation et l’atelier de sculpture est agrandi en 1903. Un litige s’élève avec la Police du Bâtiment quand elle constate qu’une ouverture se trouve dans le mur coupe-feu avec le voisin Schaaf (5, rue de l’Hôpital militaire). L’entrepreneur Widman perce en 1911 une fenêtre vers la rue dans l’atelier Schultz. Le tourneur sur bois Ræber fait aménager en 1926 un atelier de tourneur dans l’ancien atelier de sculpteur.
Le maître menuisier André Bonnet fait installer en 1921 une fraiseuse électrique dans son atelier, situé à gauche de la cour, à l’arrière de l’atelier Schultz, puis d’autres machines en 1926.
Le pâtissier Henri Husser établit des latrines en 1926 bien que la surface bâtie dépasse déjà le maximum autorisé. Il charge en 1927 l’architecte Belling de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie, notamment en perçant une devanture, puis en 1929 de transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich et d’aménager deux garages pour automobiles.
Le propriétaire Henri Husser demande en 1957 l’autorisation de construire une pièce d’habitation au 50 rue de Zurich. La Ville renonce à demander au propriétaire d’acquérir le terrain qui sépare sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich. Il fait transformer la façade en 1963. Il est autorisé en 1964 à établir un débit de boissons de première catégorie dans sa pâtisserie. Il fait aménager les combles en 1964 puis transformer le magasin en 1968 en posant de grandes devantures.

Sommaire
  • 1885 – L’entrepreneur en bâtiments Greiner (20 rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de remplacer la clôture en lattes qui donne dans la rue de l’Hôpital militaire par un mur de clôture d’après le dessin joint. Propriétaire, Schwindt – Travaux terminés, avril 1885
  • 1890 – Le maire notifie le typographe Eugène Schwind (domicilié sur place 50 rue de Zurich) de faire ravaler les façades. L’intéressé demande un délai, d’autant que le dernier ravalement date de 1881. Le maire accorde le délai jusqu’en juin 1891 – Travaux terminés, juin 1891
  • 1893 – La Police du Bâtiment fait observer que l’atelier de menuiserie dont la toiture n’est pas à l’épreuve du feu ne satisfait pas au règlement. Le propriétaire qui a l’intention de convertir l’atelier en habitation demande un délai. Le délai est accordé d’autant que l’atelier est petit et que le poêle repose sur des dalles.
  • 1894 (septembre) – Les entrepreneurs J. & E. Klein (9 rue Fritz) demandent au nom du propriétaire Schultz l’autorisation d’installer un atelier de menuiserie. Le propriétaire joint une description des travaux prévus. – La Police du Bâtiment fait part de ses observations – Observations du bureau chargé des affaires commerciales (kaiserlicher Gewerbe-Aufsichtsbeamte) sur les machines qui se trouveront dans le nouvel atelier
    1894 (octobre) – Autorisation d’installer dans un hangar un atelier de menuiserie pourvu de machines mais sans local d’habitation – Plan, coupe, élévation. Le bâtiment existant est un appentis allongé à 6 travées, soutenues par des pieux en bois, dont les 5 dernières sont ouvertes et la première fermée par un mur en briques
    Mars 1895 – Le propriétaire demande des précisions sur la borne d’incendie dont fait mention le permis de construire – L’installation est conforme au réglement, le dossier est classé, juin 1895
  • 1894 – Le directeur de l’usine à gaz demande l’autorisation d’installer une prise pour 20 becs dans la propriété Schultz rue de l’Hôpital militaire – Autorisation
  • 1896 – Le propriétaire demande l’autorisation de faire un soubassement en ciment au 50 rue de Zurich – Travaux terminés, juin 1896
  • 1896 – La Police du Bâtiment fait observer au ferblantier Jæger qu’il a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire au 50 rue de Zurich – Demande – Autorisation
  • 1896 – La Police du Bâtiment constate que le maître cordonnier Jacques Schæfer a posé sans autorisation une vitrine au 50 rue de Zurich – Demande – Autorisation
  • 1896 – Le propriétaire J. Schultz demande l’autorisation de transformer le bâtiment en précisant que les pans de bois ne forment pas la structure du bâtiment mais qu’ils sont posés sur la maçonnerie – Autorisation de convertir la partie avant de l’atelier rue de l’Hôpital militaire en maison d’habitation – En marge, suivi des travaux : les murs sont terminés, la charpente du toit est commencée en mars 1896, le gros œuvre est terminé en avril 1896, la plâtrerie est terminée en mai 1896, l’aménagement intérieur est en cours en juin 1896, travaux suspendus de juillet à décembre 1896, travaux terminés en janvier 1897 – Plans et élévations
  • 1897 – La Police du Bâtiment notifie le maître menuisier Jacques Schultz, propriétaire, de faire ravaler la façade du 50 rue de Zurich. Le propriétaire qui prévoit d’importantes réparations l’année suivante demande un délai qui lui est accordé – Travaux terminés, juin 1898
  • 1898 – Le sculpteur Albert Schultz demande l’autorisation de poser une enseigne au 50 rue de Zurich – Autorisation – L’enseigne a été posée juste au-dessous de la lanterne d’éclairage public fixée au mur de la maison, janvier 1899
  • 1897 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de supprimer les volets qui s’ouvrent sur la voie publique au rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich. Rappel, juillet 1898 – Travaux terminés, mai 1899
  • 1898 – Le maître menuisier Jacques Schultz demande l’autorisation de construire un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois comme l’atelier de 1896 – Autorisation de construire le bâtiment le long de la rue de l’Hôpital militaire. Suivi des travaux, les murs sont en construction en novembre, le gros œuvre est terminé en décembre, l’aménagement intérieur est en cours en mars 1899, le bâtiment est terminé sauf la peinture en avril 1899 – Plans, élévations (le bureau se trouve à droite de l’entrée, accolé à la maison avant 50 rue de Zurich alors que l’atelier se trouve à gauche du portail d’entrée)
  • 1899 – La Police du Bâtiment observe que le sculpteur Schultz a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. L’intéressé répond que la pose a été autorisée en 1898. La Police du Bâtiment suppose que l’enseigne a été un temps retirée pour le ravalement.
  • 1900 – Le maître menuisier J. Schultz demande l’autorisation d’installer un moteur électrique de trois chevaux dans son atelier – Autorisation – Travaux terminés, février 1900 – Plan
  • 1903 – L’entrepreneur Widmann fils demande l’autorisation d’agrandir l’atelier d’A. Schultz à l’angle de la rue de Zurich et de celle de l’Hôpital militaire. Autorisation de transformer la maison Schultz en maison d’habitation pour une famille et d’agrandir l’atelier de sculpture. On remarque lors du suivi des travaux que l’exécution ne correspond pas entièrement aux plans puisqu’une fenêtre a été déplacée – Plan de situation (les travaux ont lieu dans l’atelier à gauche du portail d’entrée rue de l’Hôpital militaire) – Le propriétaire donne les raisons du changement (accord avec le voisin Schaaf [5, rue de l’Hôpital militaire]. La Police du Bâtiment répond qu’elle ne peut pas autoriser une ouverture dans le mur coupe-feu vers le voisin et propose des solutions. – Novembre 1903, courriers de la Police du Bâtiment destinés (a) au ministère public, (b) à Albert Schultz, sculpteur demeurant 7 rue de l’Hôpital militaire. Albert Schultz demande un délai jusqu’au printemps, ce qui lui est accordé – Décembre 1903, la Police du Bâtiment écrit au préfet (Bezirkspräsident des Unter-Elsaß). Réponse du préfet (janvier 1904), la Police du Bâtiment informe Albert Schultz que le préfet n’a pas encore pris de décision suite à la requête du 18 décembre. Le préfet rejette les arguments du propriétaire et propose d’établir un puits d’air dans la toiture du grenier voisin en demandant à cet effet une autorisation à la Police du Bâtiment, ce que fait le propriétaire
    1904 (février) – L’entrepreneur Widmann (place Saint-Louis) demande l’autorisation de modifier la fenêtre de cuisine. Autorisation de percer une fenêtre de cuisine vers la cour – Travaux terminés, la nouvelle fenêtre est percée et l’ancienne remplacée par des briques translucides. – Plan
  • 1906 – L’entrepreneur Widmann (place Saint-Louis) demande l’autorisation d’établir des latrines contre la maison. Observations de la Police du Bâtiment – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1906 – Plan
    La Police du Bâtiment dresse un rapport d’inspection illustré d’un croquis. Le rez-de-chaussée sert d’atelier et le premier d’entrepôt à bois. Deux ouvriers y travaillent. En cas d’incendie, les secours peuvent venir de la cour. Les copeaux sont conservés dans une pièce au-dessous du bâtiment voisin. Les latrines communiquent avec l’atelier. La Police du Bâtiment demande au propriétaire de procéder à des transformations.
  • 1911 (avril) – Albert Schultz informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne
    1911 (juin) – L’entrepreneur Widmann (1 place Saint-Louis) demande l’autorisation de ravaler la maison 50 rue de Zurich – Autorisation
    1911 (mai) – L’entrepreneur Widman demande l’autorisation d’ouvrir une fenêtre dans le bâtiment du sieur Schultz 7 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de percer une fenêtre vers la rue dans l’atelier Schultz – Travaux terminés, septembre 1911 – Plan
  • 1915 – Rapport de la Commission des logements militaires
    1915 – Le propriétaire Jacques Schultz se plaint que le fripier Fischer (domicilié 42 rue de Sélestat au Neudorf) entrepose de vieux objets dans la remise. La plainte est fondée.
    1926 – Le locataire Bertrand se plaint que la pluie pénètre dans son logement. La plainte est justifiée, la toiture est défectueuse. Le propriétaire promet de faire réparer la toiture.
  • 1916 – Le tapissier Gustave Knoblich demande l’autorisation de pratiquer son métier dans les locaux d’après des plans joints – Autorisation
    F.W. Kirchner (52 rue du Vieux-marché-aux-poissons) décrit une machine électrique à installer dans les locaux – Autorisation de l’installer au 50 rue de Zurich – Travaux terminés, mai 1919 – Plan de situation
  • 1921 – André Bonnet demande l’autorisation d’installer une fraiseuse électrique – Description, relative à l’installation d’un atelier d’ébénisterie pour le maître menuisier André Bonnet au 50 rue de Zurich, l’accès a lieu par la rue de l’Hôpital militaire – Plan – L’inspecteur du travail fait observer qu’une autorisation du préfet est nécessaire à cause de la proximité de l’hôpital militaire – Autorisation accordée à l’ébéniste André Bonnet, demeurant 14 rue des Poules – Plan (l’atelier Bonnet se trouve à gauche de la cour, à l’arrière de l’atelier Schultz)
  • 1921 – La Police du Bâtiment notifie le sieur Schultz de faire ravaler le bâtiment 50 rue de Zurich. Jacques Schultz répond que la maison est son seul revenu et qu’il lui est impossible de faire faire les travaux demandés.
  • 1925 – Jacques Schultz demande l’autorisation d’aménager une pâtisserie dans une partie d’un logement d’habitation – Plans
  • 1923 – Jacques Schultz demande l’autorisation de construire une chambre et une cuisine au premier étage de sa maison 7 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de rehausser la maison – Le projet n’est pas réalisé – Plan
  • 1926 – Le tourneur sur bois Ræber demande l’autorisation d’aménager un atelier de tourneur dans l’ancien atelier de sculpteur 7 rue de l’Hôpital militaire – Accord de l’inspecteur du travail – Autorisation, le tourneur sur bois Ræber et l’architecte Charles Krebs et fils (24 rue Brûlée) sont autorisés à installer des machines électriques au 7 rue de l’Hôpital militaire – Description de l’aménagement – Plans – La préfecture du Bas-Rhin délivre un récépissé suite à la déclaration d’un établissement de troisième classe,
  • 1926 – Le pâtissier Henri Husser demande l’autorisation d’établir des latrines dans sa propriété. Henri Husser et l’architecte Adolphe Stückle (5 rue des Bateliers) sont autorisés à construire une annexe pour le W.C. sur sa propriété 7 rue de l’Hôpital militaire bien que la surface bâtie dépasse déjà le maximum autorisé – Travaux terminés, décembre 1926 – Plan
  • 1926 – A Bonnet demande l’autorisation d’installer différentes machines électriques dans son atelier situé dans la cour du 50 rue de Zurich – Autorisation – Plan des machines – Récépissé suite à la déclaration d’un établissement de troisième classe, préfecture du Bas-Rhin
    1927 – L’entrepreneur Scheyen et fils (4 rue de la Course) est autorisé à occuper la voie publique à cause de transformations dans la cour
    L’entrepreneur Guri-Meyer (4 rue des Balayeurs) est autorisé à occuper la voie publique à cause de transformations
  • 1926 – Copie d’un jugement du tribunal cantonal dans l’affaire opposant le propriétaire Henri Husser, demeurant 4 rue de l’Abreuvoir, demandeur, et Albert Schranckenmueller, locataire demeurant 50 rue de Zurich, qui n’a pas droit à la prorogation de jouissance instituée par la loi du 1 avril 1926.
    Copie d’un jugement qui accorde prorogation de bail jusqu’au 1 janvier 1926.
  • 1927 – Le propriétaire Henri Husser et l’architecte Belling demandent l’autorisation de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie confiserie, notamment en perçant une devanture – Plan – Le propriétaire qui louait un appartement 3 rue Sainte-Catherine compte entrer en jouissance de deux appartements loués respectivement aux familles Scholwing et Schranckenmuller – La Police du Bâtiment expose que le requérant ne remplit pas les conditions stipulées par l’article 20 de la loi du 2 avril 1926. L’architecte et le propriétaire demandent l’autorisation de transformer la façade de la maison dont le propriétaire occupe exclusivement le rez-de-chaussée. Le procureur de la République estime que le changement de destination n’est pas contraire aux dispositions légales.
    Henri Husser est autorisé le 27 mai 1927 à transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich d’après sa demande du 18 janvier 1927 – Travaux terminés, juin 1927
  • 1929 – Henri Husser et l’architecte Belling (5 rue de Thann au Neudorf) demandent l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich et d’aménager deux garages pour automobiles – Plans – Suivi des travaux, la maçonnerie est terminée, février 1930, les travaux sont terminés, avril 1930
  • 1930 – Les agents de publicité Blindt et Félix (12 quai Saint-Nicolas) demandent l’autorisation de poser en saillie un panonceau métallique (La Maison du café, en vente ici) – Autorisation
  • 1927 – La Police du Bâtiment observe qu’Henri Husser a fait poser sans autorisation un store de 2,50 mètres à sa devanture – Demande – Autorisation
  • 1941 – La Police du Bâtiment demande à A. Bonnet (50 rue de Zurich) de retirer dans les deux semaines le panneau en bois d’un mètre qui porte une inscription. L’enseigne a été retirée, mai 1941
    1941 – La Police du Bâtiment demande à Henri Husser, 50 rue de Zurich, de retirer l’enseigne de 2,00 mètres qui porte une inscription.
  • 1946 – L’entrepreneur R. Braun (18 rue Saint-Nicolas) est autorisé à occuper la voie publique devant la maison Husser pour crépir la façade et déposer des matériaux
  • 1957 – Le propriétaire Henri Husser, domicilié 50 rue de Zurich, dépose un permis de construire une pièce d’habitation au 50 rue de Zurich. Commentaire de la Division VI  » Le terrain en question se trouve dans l’alignement de la rue de l’Hôpital militaire. Il est situé jusqu’à près de 2 m en arrière de l’alignement légal de la rue de Zurich. Pour avancer dans ledit alignement le pétitionnaire devrait acquérir environ 10 m². La transformation est projetée dans l’alignement de la rue de l’Hôpital militaire. « . Réponse de la Division I:  » Dans l’état actuel des choses, il n’y a pas lieu de demander à M. Husser d’acquérir la parcelle de terrain séparant sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich.  » – Arrêté portant permis de construire (entrepreneur, Motz, 11 rue de Lucerne) – Plans – Compte rendu après que les travaux sont terminés, avril 1957
  • 1959 – Henri Husser est autorisé à poser un échafaudage en partie rue de Zurich et en partie rue de l’Hôpital militaire
    1963 – Idem
    1963 – Demande de permis de construire pour transformer et modifier la façade – Extrait du plan cadastral, devis par l’entreprise Wehr (70 rue du faubourg national) – Arrêté portant permis de construire qui régularise une situation de fait
  • 1964 – Demande d’enquête de conformité pour installer un débit de boissons de première catégorie dans un salon de pâtisserie – Certificat de conformité – Arrêté du préfet délivré à Henri Husser
  • 1964 – Autorisation d’occuper la voie publique après occupation sans autorisation
    Demande de permis de construire pour aménager les combles – Devis descriptif – La Direction départementale de la construction accorde une dérogation relative à la hauteur des pièces à aménager qui n’auront pas 2,50 mais seulement 2,38 mètres de haut – Arrêté portant permis de construire, décembre 1964 – Suivi des travaux, travaux terminés, juillet 1965
  • 1967 – Rapport de feu de cheminée
    Demande de permis de construire pour transformer le magasin – Plans, inscription Confiseur-Chocolatier – Plan cadastral – L’affaire est remise
    1968 – L’entreprise Schœttel (7 place Saint-Florent à Cronenbourg) est autorisée à occuper la voie publique (dépôt de matériaux) – Novembre 1968, janvier 1969, Henri Husser (8 rue Robert-Kieffer à Bischheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique devant les deux façades
    1968 – Demande de permis de construire pour transformer le magasin – Plan cadastral – Photographies – Devis estimatif et devis descriptif établi par Jo Schwartz (Illkirch) – Arrêté portant permis de construire – Avenant au permis de construire, affectation à la Caisse mutuelle de dépôts et de prêts – Plan – Arrêté portant permis de construire, novembre 1968, architecte Léon Herrmann (29 rue de la Nuée-Bleue) – Travaux terminés janvier 1969
  • 1982 – La Caisse mutuelle de dépôts et de prêts informe la Police du Bâtiment que l’enseigne lumineuse a été supprimée
    1986 – L’entreprise Fourmenal (papiers peints) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Clichés polaroïd – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
  • 1990 – L’entreprise Fourmenal demande l’autorisation de repeindre les encadrements de vitrine – Autorisation – Travaux terminés

Relevé d’actes

Voir auparavant les propriétaires cités au jardin Kolb. Benoît Hirt devait être propriétaire de la maison, revenue ensuite par héritage à des propriétaires morts sans descendance. D’après les actes suivants, leurs héritiers sont pour un tiers Jean Walter et sa femme Catherine et pour un autre tiers Martin Wurtz, les représentants d’Anne Wurtz femme d’Isaac Trens (dont Marie Trens femme de Jean Hitsch), Marie von Fridolsheim épouse de Jean Wild, Aurélie von Fridolsheim épouse succssive de Jean Hügel et de Jacques Schmidt.
Jean Walter, jardinier au quartier des Charrons, hypothèque au profit de l’huilier David Beuther le tiers de la maison sise entre les deux ponts couverts dans le Petit pré (im Kleinen Auel) et le quart de deux autres proches de la précédente.

1669 (5. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 201
Erschienen Hannß Walter Gartner und. Wagner
in gegensein David Beüters deß Ohlmanns – schuldig seÿe 60. lib.
Unterpfand sein solle ein tritter theil ahne Zweÿen Häußern an einander und ihren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen Gebäwen, alhie in Vorstatt Krautenaw Zwischen den Zwöen gedeckhten Brucken, im Kleinen Awel, einseit neben hannß Voltz dem Gartner, anderseit neben der Allmend, hinden uff gedachten hannß Voltz,
Item Ein Vierter theil an dem vordern hauß auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten, einseit neben gedachtem Voltz, anderseit neben dem obgemelten Gärthlin hind. uff obbeschriebene Zweÿ häußer,
Item ein Vierte theil an einem häußlin, höfflin und Ställelin, in obgenennter Krautenaw ohnfern obbeschriebenen häußern, anderseit neben mehrgemeltem hannß Voltz, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben mit einem End vff ihme Voltz. und mit dem andern End vffs waßer stoßend gelegen

Jean Walter et sa femme Catherine vendent à David Beuther les maisons citées ci-dessus

1674 (21. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 673
hannß Walter Gartner Vnderwagner und Catharina beÿde Eheleuth
in gegensein herrn David Beuters deß Ohlmanns
Einen tritten theil ahn Zweÿen häußern aneinander sambt Ihren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlein und allen Gebäwen und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen in Kleinen Awel, einseit neben hannß Voltzen dem Gartner, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten hannß Voltzen,
Item Einen Vierdten theil an dem Vordern hauß auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten, einseit neben gedachtem Voltzen, anderseit neben dem obgemelten Gärtlein hinden uff obbeschriebene Zweÿ häußer,
Item Einen Vierdten theil an einem häußlein, höfflin und Ställelin in obernannter Krautenau ohnfern obbeschriebenen Häusern, einseit neben mehrgemeltem Hannß Voltzen, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben, mit Einem Ende uff Ihne Voltzen und mit dem andern End uffs waßer stoßend gelegen,
Item Einen dritten theil ahn Zweÿen halb waitzen und rockh. iährlicher Gült, so Lorentz Andres Zu druckterßheim (…) zu geben pflichtig (…) – umb 125 pfund

Marie, femme du jardinier aux Charrons Georges Rinck vend un douzième de la même maison à David Beuther

1675 (21. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 540-v
Maria, Georg Rincken Gartners Vnderwagner Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein herren Davidt Beuters deß Ohlmanns
Einen Zwölfften theil ahne Zweÿen haüßern ahn einander, und deren hoffstätten, höfflin, Scheur Ställen Gärttlin und allen Gebäwen begriffen und zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten Bruckhen im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Garten, anderseit neben dem Allmend hinden uff gedachten Voltzen, Item Einen Zwölfften theil ahn Zweÿern Viertel, halb waitzen und Rockhen, so Lorentz Andres Zu Druchterßheim Von gewißen unßerm Pflug habende Güttern, Item Einen Zwölfften theil ahne einem Viertel gedachter früchten so Adam Diebolt von Handschuhheim iährlichen Zu Gülten zu geben schuldig seÿe, sampt den güttern solche antheiler früchten ertragend, Item j. Vierzahl feldts ohngefähr beÿ dem Kammischen Hoff im Newenbruoch (…) – umb 25. lb

Le boulanger Philippe Metzger vend un quart de la même maison à David Beuther
1676 (10. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 36-v
Philipps Metzger der Weißbeckh
in gegensein herrn Davidt Beuters deß Ohlmanns
Einen Vierdten theil dem Verkäufern für ohnvertheilt gebührend ahn Einem Vordern hauß, auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau einseit neben hannß Voltzen Gartnern in Krautenau einseit neben hannß Voltzen Grtnern in Krautenaw, anderseit neben dem Käuffern Zum theil und theils neben – hinden auch uff den Käuffern.
Item Einen Vierten theil dem Käuffern für ohnvertheilt gebührend ahn einem häußlein, höfflein und Ställelein in erwehnter Krautenaw ohnfern obbeschriebenem Vorder hauß, einseit neben obg. Hannß Voltzen, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben mit einem End uff nehrgemelten Voltzen, und mit dem andern End uffs waßer stoßend gelegen, So dann 10. fl. von und ahne 40. fl. so hannß Beckher Zu Marlenheim bekanntlich schuldig – umb 50 pfund

Le jardinier célibataire André Rencher vend au même un douzième de la même maison.

1676 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 495-v
Andres Rencher der ledige Gartner
in gegensein Davidt Beuthers deß Ohlmanns
Einen Zwölfften theil ahne Zweÿen häußern an einander und deren hoffstätten, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen übrigen Gebäwen, begriffen und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenau Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen, im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartnern, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Voltzen,
Item einen Zwölfften theil ahn zweÿen Viertel halb Waitzen und rocken so Lorentz Andres zue Druchterßheim Von gewißen, underm Pflug habenden Güttern zu geben pflichtig, Item einen Zwölfften theil von und ahne Einem Viertzel gedachter früchten, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlich zugülten zu geben schuldig seÿe – umb 25. lb

Jean Voltz en son nom et au nom de son pupille Georges Schultheiss vend deux douzièmes de la même maison à David Beuther

1676 (12. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 568-v
hannß Voltz Gartner in Krautenau für sich selbsten und alß Vogt Georg Schultheißen
in gegensein herrn David Beuthers deß Ohlmanns
Zwen dritte theil am Viertentheil Ihme dem Verkäuffer gehörig und einen tritten theil am Vierten theil den seinem curando Zustehend ahne hauß, höfflin, hoffstatt und allen übrigen Gebäwen, begriffen und Zugehördten in der Krautenau Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben Georg Veltin dem Fischer, hinden auch uff Ihne den Verkäuffer,
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil, ahne hauß, höfflin hoffstatt und allen übrig. Gebäwen und Zugehördten allda, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben dem Käuffern, hinden auch uff denselben stoßend gelegen
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und wieder Einen dritten theil am Viertentheil, ahne denen zu Druchterßheim und Munoltzheim iährlich fallenden Gülten, welche etwann in allem 2 Viertzel frucht halb Waitzen und rocken ertragen und – raichen, Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und Einen dritten theil am Viertentheil ahn einem Viertzel Gülten halb Waitzen und rocken, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlichen Zu geben Pflichtig, so dann Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil ahne 40. fm. so hannß Beckher Zu Marlenheim bekantlich schuldig seÿe – umb 75 lb
dafür hatt der Käuffer dem Verkäuffer in solutum cedirt 25. lb so diebolt Schwing der Schiff zimmermann von seiner alhier in der Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ bruckhen Zwischen Ihme Schwing und hannß Adam Frießen dem Ohlmann gelegener behaußung bekantlich schuldig seÿe (…)

Martin Wurtz, jardinier au Faubourg de Pierre, Aurélie femme de Jacques Schmitt, Marie femme de Jacques Wild, André Trens, Marie femme de Jean Hirsch et Augustin Trens, vendent ensemble un tiers de la maison au même David Beuther.

1676 (12. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 570-v
Martin Wurtz Gartner ahne Steinstraß, ferners Aurelia, Jacob Schmidts Gartners Vnderwagner Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, Mehr Maria, Jacob Wildten Gartners daselbst eheliche haußfrau mit assistentz erstgemelts ihres Ehemanns, weiter Andres Trenns Gartner alda, Ithem Maria, hannß Hirschen deß Huffschmidts Eheweib mit beÿstand ietz benambst ihres Ehevogts und dann Er Hirsch alß Vogt Augustin Trennßen
in gegensein herrn David Beüthers deß Ohlmanns
Einen dritten theil denen Verkäuffern für ohnvertheilt gebührend, ahne Zweÿen häußern aneinander und deren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen deren Gebäwen rechten und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartnern, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Voltzen,
Item einen dritten theil ahne 2. Viertel halb Waitzen und Rocken Jährlicher Gült so Lorentz Andres Zu Druchterßheim Von gewißen, underm Pflug habenden Güttern Zu geben pflichtig, Item Einen dritten theil, Von und ahne Einem Viertzel halb Waitzen und Rocken, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlich zu gülten zu geben schuldig seÿe, item Einen dritte theil Von und ahne 2. Viertzel Gülten halb Waitzen und rocken, so Andres Lobstein Zu Munoltzheim iährlich Zu gülten Zu geben schuldig seÿe – umb 100. lb

Jacques Rencher, jardinier aux Charrons, vend au même un sixième de la même maison

1678 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 153-v
Jacob Rencher Gartner Vnderwagner
in gegensein herren David Beüthers deß ohlmanns und E:E: Kleinen Rhats beÿsitzers mit beÿstand Herren Hannß Michael Gilgen E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers seines Gegen Schwähers
einen sechsten theil, demselben für ohnvertheilt gebührend, ahne Zweÿen häußern an einander deren hoffstätten, Scheur, Stallen, Gärtlein und allen übrigen Gebäwen, begriffen, und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenaw, Zwischen den Zweÿen gedeckhten bruckhen, im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartners, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Volzen, Item Einen sechsten theil ahn zweÿen Viertel halb waitzen und Rockhen, so Lorentz Andres zu Druchterßheim Von gewißen underm Pflug habenden güttern zugeben pflichtig, Item (…) – umb 75. lb

Fils du marchand et cordier Nicolas Beuther de Constance, David Beuther épouse en 1646 Aurélie, fille du charron Adolphe Obelé.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 232-v, n° 22)
1646. Dominica XXVI. post trinitatis. David Beuter, der Seÿler vnd Burger allhie, herr Niclauß Beuther des Seilers vnd handelßmanns Zu Costnitz ehelicher Son, vnd Jungfr. Aurelia Hanß Adolph Obele gewesenen wagners vnd burgers allhier hinderlaßene eheliche tochter. Mont. Clauß (i 251)

Le sellier David Beuther devient bourgeois par sa femme le 7 décembre 1646.
1646, 4° Livre de bourgeoisie p. 239
David Beuter der Seÿler, empfangt d. burgerrecht vonn seiner haußfrauwen Aurelia, weÿl. hannß Adolph Obelin des Wagners v. burgers alhie seel. dochter vmb 8. Gold fl. ist ledigen stands gewesen v. würd Zur Mörin dienen. Jur. den 7. 10.bris 1646.

Il se remarie en 1648 avec Marguerite, fille du jardinier Sébastien Klinger
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 12-v)
1648. Dominica Reminiscere & Oculi, David Beuther der Seÿler und Burger alhie, Vnd Jungfr. Margaretha, Balthasar Klinger des Gartners und Burgers allhier Eheliche Tochter. Cop. Wilh. Dienst. 7. Martÿ h. X. (i 16)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 234-v, n° 6) 1648. Eadem Dominica [Reminiscere] dauid Beuther der Seÿler und burger alhie und Jungfr. Margaretha Balthasar Klinger des Gärtners und burgers allhier eheliche tochter. Zinst. Wilhelm (i 253)

Mentions de David Beuther dans les registres des Quinze et ceux des Conseillers et des Vingt-et-Un. Il est question en 1659 d’une attestation de son frère Nicolas Beuther à Constance
1648 XV (2 R 67) David Beüther. 98. vid: Ohlleüth Ca. Ohlleüth Ca. David beüthern. 53. 65. 71. 80. 56. 86.
1652 XV (2 R 70) David Beither. 55 [Zins]. 185 [wein]. 229. 231 [Straff]. 286 [wein].
1653 XV (2 R 71) David Beither. 73. 143. 190. [wein]
1654 XV (2 R 72) David Beither. 62. 127. 173. 209 [Wein].
1656 XV (2 R 74) David Beither. 13 [Zins]. 136 [wein]. 193 [wein].
1657 XV (2 R 75) David Beither. 120 [umb wein]. 226 [umb wein].
1658 XV (2 R 76) David Beither. 138 [umb wein]. 229. [umb früchten]
1662 Conseillers et XXI (1 R 145) David Beÿther Öhlman. 193. [Intercessionalibus nacher Gernspach]
1662 XV (2 R 79) David Beither. 9. [wein]
1667 XV (2 R 84) David Beÿtern. 203. Ohlleüth Ca.
1668 XV (2 R 85) Öhlleüth Ca. David Beÿtern. 12. Ca. David Beÿter. 194. 204. 215. 227.
1670 XV (2 R 87) Jacob Teutsch et Cons. die Ohlleüth Ca. David Beÿter den Mitt meister 20, Straff moderation 28

1659 Conseillers et XXI (1 R 142) David Beuther [Intercessionalibus nacher Costnitz]. 198. (f° 246) Sambstag d. 7. Januar. 1660 – Dauit Beither Vberreicht Und.ge Supplication Bitt Um eine attestation auff seinen Bruder Niclauß Beither von Constantz. Erk. Ist an E. E. Rath gewiß word.

David Beuther passe un accord avec les héritiers d’Aurélie Obelé (Oberlin)
1664 (11. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 392
Erschienen David Beüther der ohlmann alß weÿl. Aureliæ Oberlin seel. wittiber an einem,
So dann Maria Samuel Goltbachß deß Metzgers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Daniel Bär der Kürschner Und Mathiß Bär der Küeffer alß Vogt hannß Jacobs, Mariæ Salomeen und Mariæ Magdalenæ der Bärisch. alle weÿl. hannß Mathiß Bären seel. Kind. und alß obernannater Aureliæ Oberlin Erbins Erben Vnd Zwar Er der Vogt mit assistentz H Johann Christmann Merckhlins und H Johann Leonhard Fröreißens beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, am andern theil
Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, Wiewohlen gemelter Beüther, aus ernannter Aureliæ Oberlin Verlaßenschafft 400. lib. und 43. lib. 15. R. iährlich termino Jacobi Zinnßbahrer Pfenningthurns Capitalien (…)

David Beuther meurt le 2 novembre 1678 à l’âge de 56 ans
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 71, n° 39) 1678. Mens. 7.bri. – d. 2. ist hr. David Beuther, Burger und ohlmann wie auch E. E. Kleinen Raths beÿsitzer im 56. iahr vnd 13 wochen seines alters gestorben vnd nach gehaltener Leichnpredigt Zu St: Wilhelm (…) auff S Urbani begraben worden (i 73)

La maison reient à sa fille Marie Madeleine qui épouse en 1671 Etienne Amberger, employé à l’auberge au Bœuf, fils de l’aubergiste Georges Amberger à Altdorf près de Nuremberg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.

Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Stephan Ambergern gebürttig von Alttorff, der Zeit Oberhauß Knecht in der Gastherberg Zum Ochßen alhier Zue Straßburg Weÿland deß Ehrenvesten und Weißen herrn Georg Ambergers geweßenen älttisten Mittraths gedachter in deß heiligen Römischen Reichts Statt Nürnberg jurisdiction gelegenen Statt Alttdorff Ehelich nachgelaßenem Sohn, alß Hochzeitter ane einem, Undt dann der Viel Ehren undt Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Beütterin deß Ehrenvesten undt Vorgeachten herrn David Beütters Ohlmanns Undt burgers allhier Eheleiblichen dochter alß hochzeiterin – Straßburg Sonntags den 16. Aprilis Style Vet. Anno 1671. [unterzeichnet] Steffan Amberger alß Hochzeiterer – Balthasar Klinger alß Groß Vater, dauid beüter oll Man alß Vater, Hannß Michael Gilg als schwager, Philipp Heinrich Theus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 286-v, n° 15)
1671. Domin. Quasim: I. vice Stephan Amberg. von Altorff beÿ Nürnberg, weÿl. Hrn Georgÿ Amberg.s gewesenen gastgebers zum Schwartzen Bären hind.laßener ehelicher Sohn, und Jgfr. Maria Magd: David Beittner, deß Oelman in d. Viehgaß, eheliche Tochter. Cop. ad D: Nic: 11. Maÿ (i 306)

Etienne Amberger devient bourgeois quinze jours après son mariage.
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 386
Stephan Amberger, Von Alttorff beÿ Nürnberg, empfangt daß Burgerrecht Von seiner Haußfrauen Maria Magdalena, dauid Beüters, deß ohlmanns und burgers alhie dochter, umb 8. Gold fm. so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden den 18. Maÿ A° 1671. ist zuuor ledigen standts Geweßen, und will auff E. Ehrs. Zunfft der Becker dienen Jurav. eod. ut supra [26. Maÿ A° 1671]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient aux parents de la femme rue des Bestiaux face à l’auberge au Bœuf. Ceux du mari s’élèvent à 409 livres, ceux de la femme à 419 livres.
1674 (12.3.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 9) n° 220
Inventarium und Beschreibung aller v. ieder Haab v. Nahrung, so der Ehrengeachte Stephan Amberger der Zeit Ohlmann v. burg. alhie, V. die Viel Ehren V. Tugendsame Fr. Maria Magdalena Beutterin, beede Eheleuth und burgere Allhie einander in Ihrem bereits in A° 1671. angetrettenen Ehestand alß unverändert würcklich. Zugebracht hab. (…) Actum Straßburg in beÿsein der Ehrenvest Wohlvorgeachtn v. weiß H. David Beutters Ohlmans v. Burg.s alhier, Ihr d. beed. Eheleuth geliebt. respectibé Vatters vnd Schwehers wie auch H. Johann Michael Gilg des ältern E. E. Groß. Rhats alhuer alt. beÿsitzers Seines H. Gegen Schwehers, Donnerstags d. 12. Martÿ Anno 1674.
In einer der Statt Straßburg in der Viehgaß gegen der Gastherberg Zum Ochßen über gelegenen Ihr der Fr. Elttern Eigenthümlich zuständigen behaußung ist befunden worden, wie volgt
F. haußrath 141, Silbergeschmeid 29, gold. Ring 28, baarschafft 219, Summa summarum 419 lb
Hierauff wird nun auch des Manns sein für unverändert in die Ehe gebrachts Vermögen beschrieben, haußrath 75, Silbergeschmeid 9, Baarschafft 258, Schulden 65, Summa summarum 409 lb

Etienne Amberger est nommé préposé aux portes
1679 Conseillers et XXI (1 R 162) Conseillers et XXI (1 R 120
Stephan Amberger wirdt Zu einem Thorschließer confirmirt. 288.

Etienne Amberger et Marie Madeleine Beuthner louent la maison au quartier des Souabes au boucher Abraham Müller

1688 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 163
H. Stephan Amberger, der ohlmann alß Ehevogt Mariæ Magdalenæ gebohrner Beutherin
in gegensein Abraham Müllers, deß Metzgers
entlehnt, In einer in der Krautenau im Schwabenlädlein, einseit neb. H. hans Voltzen dem Garttner und E.E. Kl. Raths Beÿsitzer, and. seit neben dem Verleiher selbst. geleg. hind. auff ged. Voltzen stoßende Behaußung, Erstlich und. auff dem bod. Eine stub, Küch. und zwo Cammern, gemeinen gebrauch deß hoffs, und bronnen, wie auch den Schopff, Ferner im Ersten Stockwerck Zwo Cammern, deren die eine hind auß gehet, die andere vornen im hoff, so dann oben auff Zwo Fruchtschütt., Item Zweÿ und.schlagene Kellerlein, und in der Scheur einen doppelten Stall, und heübühnen, so breit alß die Scheur ist zur helffte auff ein Jahr lang von Johannis B. dießes jahrs anzurechnen, umb Eilff pfund

Etienne Amberger loue au nom de sa femme Marie Madeleine Beuthner la maison à Jean Jacques Stempel, aubergiste au Grand Cerf.

1689 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 618-v
H. Stephan Amberger, d. Ohlmann, alß Ehevogt Mariæ Magdalenæ, gebohrner Beutherin
in gegensein hans Jacob Stempelß deß würths zum großen Hirschen
entlehnt, Eine Behaußung in d. Krautenau im Schwabenländel an St. Johannis gießen mit allen deren Gebäuen und Zugehördt., außerhalb Einer Stub und Zwo Cammeren, welche anderwerts verlehnt sind, wie auch dem daran gelegenen garten und Sommerhauß, so d. H. erleiher sich selbsten reservirt, auff fünff Jahr lang von instehend. Weihnacht. an zu rechnen, umb 20 pfund pfenning

L’huilier Etienne Amberger loue une partie de sa maison arrière à l’employé des fortifications Balthasar Faver.

1692 (25. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 502
H. Stephan Amberger der Ohlmann
an H. Balthasar Faber deß Schantzmeisters (signé) Baltazard fauer
entlehnt, In dem hinder hauß seiner in der Krautenau gelegenen behaußung Eine Stub, Zwo Cammeren, die underste Fruchtschütte, den vordern halb. Keller, Item die obere Küch. So dann den Großen Stall und die helffte der Scheur, alles auff ein Jahr lang von jüngst verwich. Johannis Baptistæ anzurechnen, um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

L’huilier Etienne Amberger loue l’auberge au Grand Cerf à l’aubergiste Léopold Winter

1695 (17. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 612
H. Stephan Amberger, der Ohlmann
Leopold Winthers, deß würths
entlehnt, d. wüthshauß Zum großen Hirtzen, in der Vorstatt in Krautenau, einseit neben H. hans Voltzen, Garttnern in Krautenau und E.E. Kleinen Raths alt. beÿsitzern anderseit auff deß Verleihers Gartten und hind. auff deß andern behaußung, stoßend geleg., inmaßen solches bißhero hans Jacob Stempel in Lehnung gehabt, auff ein Jahr lang von Michaelis dieß Jahrs an zu rechnen, um einen Zinß nemblich 30 pfund

Compte rendu des Quinze qui visitent les auberges de la ville. Le luthérien Léopold Winter, tributaire chez les Fribourgeois et marié à une réformée, exploite l’auberge au Grand Cerf dans le jardin Amberger. Les Quinze devront convoquer le propriétaire Amberger suite aux rapports qui leur ont été transmis sur l’auberge très bien située

1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(f° 83) Mittwochs den 11. Aprilis. Visitation der Würthshäußer
5. der Große Hirsch beÿm Königl. Spithal – So Leopold Winther, d. Evangelische burger bewohnet, Und eine reformirte Frau auß der Schweitz, Und eine sehr schöhne gelegenheit (:welche des Hn Ambergers Garten ist:) hatt, auch leibzüfftig beÿ den Freÿburgern ist, Weilen unterschiedliches von dießem Würthshauß vor dießem referirt worden, so soll H. Amberger darüber gehört werden.

Etienne Amberger meurt en 1705 en délaissant une fille mariée au marchand Abraham Helck. L’inventaire est dressé dans une maison rue de l’Outre et plade des Cordeliers. Les experts estiment la maison à la Krutenau à la somme de 700 livres. La masse propre à la veuve qui renonce à la communauté est de 4 370 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 035 livres, le passif à 3 435 livres

1705 (3.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Ehrenveste Herr Stephan Amberger, geweßener ohlmann und E:E: Kleinen Raths Alter beÿsitzer, und EE: Kleinen Raths Alter beÿsitzer nunmehr seel. nach seinem Sontags den 12.en Aprilis Jüngsthien Aus dießem zeitlichen leben genommenen tödlichen Ableiben Verlaßen, welche auf freundliches Ansuch. erfordern und begehren der viel Ehren: und tugendreichen Frawen Mariæ Magdalenæ Helckin gebohrner Ambergerin, des Ehrenvesten und vorachtbahrren herrn Abraham Helcken Vornehmen handelßmanns und burgers alhier geliebte haußfrawen, beÿständlich erstgemelts Ihres Ehevogts alß des Verstorbenen seel. Einiger dochter und ab intestato verlaßener Erbin, so aber dieße Inventation änderer Gestalten nicht dann cum beneficio Inventarÿ et legis cedirt und angetretten, durch die Ehren und tugendsahme fraw Mariam Magdalenam Ambergerin Gebohrne Beiterin, die hinderlaßene Wittib dero Geschworner Vogt obgemelter H Abraham Helck, Ihr dochtermann, weilen er aber selbsten beÿ dißem Geschäfft interessirt, alß hat der Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Georg Jacob Duppert ebenmäßig vornehmer handelßmann und burger alhier dero geliebter Herr Schwager und hierzu in specie verordneter und geschwornener Theilvogt dießer Inventation Persönlich beÿgewohnet – Actum Straßburg, Mitwochs den 3.ten Junÿ 1705.

In einer alhie zu Straßburg In der Schlauchgaßen Gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung, Ist befund. worden wie Volgt.
Ane Hültzen: und Schreiner werck, Auff der bühn, Cammer A, Cammer B, Cammer C, In der mittl. Stub Cammer, Im mittl. Haußöhr., Im hindern Stübel, In der Hindern Stub Cammer, In der undern Stub, Im Keller, Im Garten
(f° 26) Eigenthumb ane einem freÿen Meÿerhoff Und Zugehörigen Gütern Zue Freÿstätt über Rhein gelegen
(f° 27) Eigenthum ane einer behaußung (W.) Erstlichen eine behaußung und hoffstatt mit allen ihrs gebäwen, begriffen, weiten rechten Zugehördden und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz (…)
(W.) Item Zweÿ häußer aneinand. sambt ihren Hoffstätten, Höfflein, Scheürn Ställe,, Gärtlein, undt allen andern dero Gebäwen, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, geleg. alhier in der vorstatt Krautenauw, Gegen dem Newen Spital über, ist ein Eck an St. Johannes Gießen im Schwabenländlein ein: und and.seit neben H Andres Kauffmann E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzern geleg. davon und Zwar von dem daselbst auffgerichteten Amrbrustrhein, so von dem allmend darzu Kommen gibt mann jahrs vff Joh. Bapt:æ der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb. bodenzinß sonst freÿ, ledig und eig. durch die geschworne Werckmeister alhier über hievorgeschriebene beschwerd annoch æstimirt, 650 lb. Über vorherbeschriebene häußer seind vorhanden Sieben underschiedene Perg. Kauffbrieff, ieder mit der Statt Straßburg Contract stuben anhang. Ins: verwahrt, davon der erste datirt den 21. 9.bris 1674, der and. den 21. 7.bris 1675., der dritte den 10. Januarÿ 1676, der vierte den 20. Aprilis. 1676, der fünffte den 12. Maÿ 1676, der sechste auch den 12. Maÿ 1675, so dann der Siebende den 25. febr. 1678. Inhaltend welcher gestalten H David Beüter, der fraw wittib herr Vatter seel. solche häußer nach und nach benebens denen hernach geschriebenen Gültgüthern ane sich erhandelt
– Abschatzung den 25. Maÿ ao. 1705. Weÿlands des Ehrenhafften und bescheidenen H. Amberger gewesenen ohlmann seel. hinderlaßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg gegen dem baarfüßer Platz, ein Eckh an der Schluchgaßen einseits neben hannß Michel Ferius Kupfferschmidt anderseit neben H Philippus Spachin buchbinder, stosendt Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausend undt achthudert gulden
Die ander behausung auch alhier in der statt Straßburg in der grautenau gelegen gegen dem Neuen Spithal, ein Eck am St. Johannes gießen im Schwaben Ländlein einseit neben H Andres Kauffmann, anderseit auch auff Vorgedachten Kauffmann stosendt Welche behausung sambt zweÿ hinder häusern Scheur beÿden höfflein garten und bronnen sambt aller gerechtigkeit angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein tausend undt vierhudert gulden Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleute [unterzeichnet] Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs, Johann Jacob osterrieth Werck Meister des Zimmer hoffs
Ergäntzung, vermög des über beeder Eheleuthe in den Ehestand zugebrachter Nahrung durch H. Philipp Heinrich Theum Notarium seel. in Anno 1674. auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Wittib unverändert Guth, Sa. hausraths 108, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 45, Sa. Guldenen Ring 22, Sa. der baarschafft 204, Sa. des Eigenthumbs ane häußern 1550, Sa. der fruchtgülten 17, Sa. der Schulden 50, Sa. der Erg. 2372, Summa summarum 4370 lb
der Fraw Erbin und die Theilbahre Nahrung /:in erwegung die Fraw wittib gleich anfangs der Inventation vff dieße letstere optimo modo renuncirt und solche der Erbin tam active quam passive überlaßen:/ under einer Massa beschrieben, Sa. Hausraths 290, Sa. der früchten 221, Sa. der Wein und vaß 67, Sa. des öhls wie auch schiff und geschirrs Zum öhlmach. 169, Sa. es Karchs, Chaise und Schlitten 21, Sa. der Pferd und rindviehes 32, Sa. des Silbers 86, Sa. des guldnen rings 2, Sa. der baarschafft 23, Sa. deß Eigenthumbs am einem freÿ. Meÿerhoff und Zugehörig. Gütern zu freÿstett über Rhein 900, Sa. der Schulden 221, Summa summarum 2035 lb. – Passiv Schulden 3435 lb, Mehr Schulden als Guth 4370 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2970. lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Sonntags den 16. Aprilis Style Vet. Anno 1671. Philipp Heinrich Theus

Marie Madeleine Beuther meurt en 1717 dans sa maison place des cordeliers. La succession s’élève à 4 975 livres.
1717 (9.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 43) n° 5
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendreichen frawen Mariæ Magdalenæ Ambergerin, gebohrner Beÿderin, auch Weÿl. deß Ehrenvest und wohlgeachten Herrn Stephan Ambergers, Geweßenen Ohlmanns und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers burgers zu Straßburg nunmehr beeden seelige nachgelaßene fraw Wittib Verlaßenschafft – nach ihrem den 15. Januarÿ dießes 1717. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freindliches Ansuchen, erfordern und begehren der Viel Ehren: und tugendreichen frawen Mariæ Magdalenæ Helckin, gebohrner Ambergerin, deß Ehrenvest undt Vorachtbahren Herrn Abraham Helcken Vornehmen Handelßmann und burgers alhier Ehelicher Haußfrawen, als der Jetzt abgeleibten frawen seeligen Eheleiblicher dochter und ab intestato nachgelaßener Eintziger Erbin – Actum Straßburg dienstags den 9.ten Martÿ A° 1717.

In einer alhier Zu Straßburg am Baarfüßerplatz, neben der Schlauchgaß Gelegener und in dieße Verlaßenschafft Gehöriger behaußung befund. worden wie Volgt
Ane hültzen u. Schreinwerck. Auff der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In d. obern Stub Cammer, In der Hidnern Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, In der Vordern Wohnstub, In d. Stub Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Item Eine behaußung und hoffstatt ane dem Barfüßer platz (…)
Rubricæs hujus Inventarÿ. Sa. Hausraths 400, Sa. schiff und geschirrs Zum Öhlmachen Gehörig 25, Sa. Frucht und Meel 5, Sa. Weins und Leeren Vaß 32, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 99, Sa. Guldener Ring 17, Sa. baarschafft 484, Sa. Eigenthums an einer behaußung 950, Sa. Gülten von liegende güthern 19, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 2387, Sa. Schulden 553, Summa summarum, Summa Finalis Inventarÿ 4975 lb
Copia Letzten Willens

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la servante Anne Marie Lagay, légataire non bourgeoise, doit régler le droit de détraction.
1717, Livres de la Taille (VII 1175) n° 232-v
(Becker, F. N° 1847) Weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Beÿderin auch weÿl. H. Stephan Ambergers geweßenen Ohlmanns und burgers alhier hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang senior.
Concl. fin. Inv. ist fol. 70, 4975. lb. 16 ß 11 d, die machen 9900. fl, dieselbe verstallte Hiengegen 11.000. fl.
Extat das Stallgeltt pro 1717 mit – 16 lb 10 ß
Gebott – 1 ß 4 d
Abhandlung 5 lb 2 ß 6 d – Summa 21. lb. 13 ß 10 d.
Abzug. Anna Maria Lagayin die dienst Magd von Lahr gebürtig soll von 13. lb. 14. ß d. anverschafftem Legat alß alhier ohnverburgert den Abzug entrichten mit 1. lb. 7 ß 5 d
dt. omnia d. 10° Maÿ 1717.

Marie Madeleine Beuther vend en 1712 deux maisons adjacentes, sises au quartier des Souabes face au nouvel hôpital à l’angle du canal Saint-Jean, à l’aubergiste Jacques Louis Hermann et à sa femme Marie Ursule Eisenmann moyennant 1 600 livres

1712 (ut ante 2. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 255-v
(1600) fr: Maria Magd: Ambergerin wittib geb. Beutherin beÿständlich H. Abraham Helck handelsmann ihres Curatoris
in gegensein Jacob Ludwig Herrmanns würts und Mariæ Ursulæ geb. Eißenmännin
zweÿ häußer ahneinander sambt ihren hoffstätten höfflein Scheur Ställen Garten allen anderen deren gebäuen, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten in der Krautenau gegen dem neuen Spithal über ist ein eck ahn St Johann gießen im Schwabenländlein, einseit neben H. andres Kauffmann Exs: anderseit und hinten ahn einem Garten stoßend Daniel Voltzen dem Gärtner zuständig, darvon u. zwar von dem daßelbst aufgerichteten armbrusterin so von dem allmendt dar zu gekommen zahlt mann jahrs auf Joh: Bap: dem Pfthrn 2 lb bodenzinß – um 1600 lb
Worbeÿ verglichen, daß der jenige platz in der scheur allwo die verkäuferin eine Galetsch und schlitten stehen hat so lang Sie lebet ihro ohne zinß gelassen werd. solle

Fils de l’aubergiste Matthieu Hermann à Ulm, Jacques Louis Herrmann alors employé à la cave au Faucon épouse en 1704 Marie Ursule, fille de l’aubergiste à la Couchette Georges Jacques Eisenmann
Mariage, Robertsau (luth. f° 128-b, n° 171)
Dienst. den 12.ten Februarÿ Anno 1704. hab ich Pfarrer in der Ruprechts Au auf vorgewiesenen schein von Regirendem Hn Ammeister nach ex dispensatione Zusammen erzogener Proclamation Copulirt und eingesegnet H. Jacob Ludwig Herrmann den Ledigen hauß bedienten Zum Falckenkeller H Matthei Herrmanns burgers v. Gastgebers Zum baumgart in Ulm und weÿl. Maria Faulhaberin uxoris Ehelich. Sohn v. Maria Ursula weÿl. Hr Georg Jacob Eÿsenmanns Gewesenen burgers v. Gastgebers Zum Spanbett in Straßburg und fr. Mariæ Meÿerin Eheliche tochter [unterzeichnet] Jacob Ludwig Hermann als hochzeiter, Maria Ursula Eÿsenmannin als hochzeiterin

Jacques Louis Herrmann devient bourgeois sept mois après son mariage
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 753
Joh: Ludwig Hermann, der würth V. Ulm, auch würths daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr. Maria Ursula Eisenmännin Vhien* p. 2. Gold fl. 16. ß wird zu den Freÿburgern dienen. P. d. 17. d. [7.bris 1704]

Marie Ursule Eisenmann meurt en 1721 en délaissant quatre filles. Les experts estiment la maison 675 livres. La masse propre au veuf est de 15 livres, celle des héritiers de 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 732 livres, le passif à 77 livres.

1721 (15.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 6) n° 146
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Maria Ursula Herrmännin gebohrne Eißenmännin des Ehren: Und Wohlvorgeachten Herrn Jacob Ludwig Herrmanns, des gastgebers zum großen hirtzen vnd burgers allhier zu Straßburg geweßener eheliche haußfrau, nunmehr seelige, nach ihrem den 19.ten Decembris Anno 1719. aus dießer welth genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehren Und Vorgeachten herrn Georg Eißenmanns des Gastgebers auf E.E. Zunfft der Gartnern in Steinstraß und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome, Mariæ Magdalenæ, Mariæ Elisabethæ und Sabinæ der Herrmännin, alle Vier der abgeleibten Frauen seel. mit Vor: und hernachgemeltem Ihrem hinderbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßenen Erben, davon aber das jüngst Töchterlein mit Nahmen Sabinæ gleich nach der Mutter wider verstorben, ein volgig Von dem Herrn Wittiber geerbet worden – so beschehen in Straßburg den 15.ten Maÿ Anno 1721.

Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. (…) weder Eheberedung noch letzter willen Von ihnen nicht ausgerichtet worden
In einer allhier zu Straßburg in der Krautenau nahe beÿ dem Frantzösischen Hospithal gelegen Zum großen Hirtzen genanden und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In dem obern Hindern Stübel, Vor diesem gemach, Auff der bühn, In der Cammer A, In der obern vordern wohn St., In der Hinden stub, In deren Cammer, Im hindern Sommerhauß, Im Undern hindern Sommerhauß, Im Vordern Sommer hauß, Im obern haußöhren, In des officiers Stub, In des Knechts Cammer, Im hind.n Keller In der undern Stuben, Im und.sten haußöhren, In d. Kuch.n Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung hoff, hoffstatt Graßboden und allen andern deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten Zugehördten und gerechtigkeit. geleg. allhier in der Kraut.au gegen dem neuen Spithal über ist ein Eck an St. Johann Gißen im Schwab.ländlein, einseit neben Hn Philipp Fidel dem Metzger anderseit und hinden an Johann Kochen, den Metzger stoß. darvon und Zwar von dem daselbst aufgerichten Armbrustrein, so von dem allmend darzugekommen, zahlt mann jahrs auf Joh. Bapt: der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb. d bod. Zinnß Mehr geh. von solcher behaußung jährl. auf Annunc: Mariæ 14. lb d Zinnß Hn Abraham Helcken dem huetstaffierer und burg. allhier vögtlich. weiß ablößig in haubtguth mit 350. lb. d sonsten freÿ ledig eig. und über dieße beschwährde durch der Statt Straßburg geschwornenn Werckmeister Laut Abschatzungs Zeduls vom 17.ten Maÿ Anno 1721. angeschlagen pro 245. lb. Über dieße und eine noch davon gehenckte behaußung welche aber seithero als d. Hr wittiber und seine haußfrau seel. solche erkaufft wird werkaufft worden, sagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt datirt d. 2.ten Aprilis Anno 1712.
– Abschatzung d. 17.ten Mäÿ ann. 1721. Auff gebehren deß Ehrenhafften, Und bescheÿtenen: H. Jacob Ludtwig hermman Gastgeber, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, ist Ein Eckhauß beÿ dem Frantzöischen spitall gelegen, ist Ein Wirtzhauß, Zu dem hürtzen genandt, Ein seith Neben H: Joh: Philippus Füdtell Metziger, Ander Seith Neben Johannes Koch, Metzger, stoßendt, welche behaußung Hoff statt, stuben Kammeren, Küchen, hauß Ehren, Neben gebeÿ, Mit Einem halben dach darunder Stuben Und Kämmerlin. Ein hinder gebell Mit Stuben, Kämmerlin Gebälckhter Keller, höffell und brunen, An dem fordern hauß, Ein Nebens gang, Mit Steineren platten beleget Ein Sommer hauß, Sammpt Aller Ihrer gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckh Leüthen, in der besichtigung befundten Und dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirdt Vor undt umb Ein Tausend dreÿ Hundert Undt Fünffzüg Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwornen werch Leüth, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werckh Meister deß Meinster, Johann Jacob biermeÿer Werck Meister deß zimmerhofs
Abzug gegenwärtigen Inventarium gehörig, des herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Summa summarum 15 lb
der Erben ohnverändert Guth, Sa. hausraths 6, Sa. Goldener Ring 3, Summa summarum 9 lb
das theilbahr Guth, Sa. haußraths 197, Sa. Wein und Lährer Vaß 54, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 58, Sa. Goldener Ring 10 ß, Sa. baarschafft 67, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 245, Sa. Schulden 10, Summa summarum 732 lb – Schulden 77 lb, Verbleibt 654 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 679 lb
Sa. Zweiffelhaffte und verlohren Schulden ind. Erbe zugelten

Jacques Louis Herrmann se remarie en 1721 avec Marie Madeleine Ziegler, fille du marchand Jean Melchior Ziegler : contrat de mariage, célébration.
1721 (21.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 59
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenvest und wohlvorgeachten herrn Jacob Ludwig Herrmann dem Gastgebern Zum Großen Hirzen und burger allhier zu Straßburg als dem herrn bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Zieglerin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Melchior Zieglers, vornehmen Handelsmann auch burgers allhie zu ermeltem Straßburg ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen auf Montag den 21. Julÿ in dem Jahr des herrn als mann Zahlte 1721.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 176, n° 12)
Mittwoch den 8. Octobr. 1721. seind nach Zweÿmahligen ordentlichen Außruffung in der Evangelisch Pfarrkrich Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt Und eingesegnet worden, H Jacob Ludwig Hermann der wirth Zum großen Hirsch Und burger alhier, Und Jfr Maria Magdalena Zieglerin, H Johann Melchior Zieglers, deß Handelßmanns Und burgers alhie Eheliche tochter welches bezeugen [unterzeichnet] Jacob Ludwig hermann als hochzeiter, Maria Magdalena Zieglerin als hochzeiterin (i 191)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 52) 1721 – Dominica XVI et XVII post Trinit. proclamati sunt H. Jacob Ludwig Herrmann der Gastgeber V. burger alhier und Jgfr. Maria Magdalena H Johann Melchior Zieglers sen. deß specirers V. burg. alhier ehl. Tochter, copulati sunt Zu St. Niclaus

Marie Madeleine Ziegler fait dresser l’inventaire de ses apports (131 livres) dans la maison de son mari
1721 (4. 9.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 7) n° 159 [haut de l’acte abîmé par l’humidité]
Inventarium über der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ Herrmännin gebohrner Zieglerin zu dem Ehren und Vorgeachten Herrn Jacob Ludwig Herrmann, dem Gastgeber zu dem großen Hirtzen und burgern allhier Ihrem Haußwürth Vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – der Ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteter heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßb. in fernerem beÿsein Hn Johann Melchior Zieglers des ältern Specirers und frauen Mariæ Salome Zieglerin geb. Bochin beed. Eheleuth und burger alllh. zu Straßburg der frauen geliebter Eltern
In einer allhier zu Straßburg ane d. Vorstatt Steinstraß gelegenen und der frauen geliebten Eltern eigenthümlich zuständig. behaußung befunden worden wie volgt
Abzug gegenwärtigen Invent., Sa. (haußraths) 332, Sa. Silbergeschmeids 50, Sa. Goldener Ring 48, Sa. baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 175, Sa. Schuld 75, Summa summarum 690. lb – helffte ane deren haussteuren 41. lb – der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Guth 131. lb

Jacques Louis Herrmann et Marie Madeleine Ziegler hypothèquent la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et un pavillon au profit de Jean André Schmutz, pasteur à Saint-Nicolas et chanoine de Saint-Thomas

1723 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 597 n° 427
H. Jacob Ludwig Herrmann der gastgeber zum großen hirschen und Fr. Maria Magdalena geb. Zieglerin mit beÿstand H. Johann Melchior Ziegler Junioris Specirers ihres bruders und Johann Georg Eißenmann des Gatgebers ihres schwagers /:in ansehung ihr Vatter H. Joh: Melchior Ziegler Senior Specirer und ihr leiblicher Schwager Johann Jacob Karcher der wittib dermahlen sich nicht in der statt befinden:/
in gegensein Hn M. Johann Andreas Schmutzen Pfarrers der evangelischen Gemeind St Nicolai und Capituli Thomani Canonici als von einem wohl Ehrwürdigen Conventu Ecclesiatico verordneten Administrators des Dannhauerischen für arme Schuelkinder in statt und land gewidmeten und der Stipendi Gottwaldiani legats – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: hinder: und Sommerhauß hoff hoffstatt und Gartten die gastherberg zum großen hirschen genannt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Krauttenau ohnfern dem Frantzösischen hospitahl, einseit ist ein eck gegen gedachtem hospitahl anderseit neben Philipp Fiedel dem Metzger hinten auff Johann Koch dem Metzger – davon mann jährlich wegen des Armbrust Reins 2 lb ane bodenzinß hiesigen Stadt Pfenning Thurn

Marie Madeleine Ziegler fait vendre des effets mobiliers quand elle se sépare de son mari en 1729.
1729 (31.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 87
Designatio deßjenigen Haußrathß, Effecten und mobilia welche heut dato frawen Mariæ Magdalenæ gebohrne Zieglerin, H. Jacob Ludwig Herrmanns dermahligen gastgebers zum lax undt burger alhier eheliche Haußfrauen, beÿ nunmahls vorhabendem außzug, undt von ihnen beeden Eheleuthen Zusuchen vorgenommenen obrigkeitl. Separation undt Ehescheidung zuer verwahrung, biß auff weitere verordnung Erlangende Separation und ersuchung deß Inventarÿ beed.seits zu gedachter Nahrungen ohngezwung.

Jacques Louis Herrmann vend les trois quarts de la maison à l’aubergiste célibataire Jacques Lutz

1724 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 n° 272
Jacob Ludwig Herrmann der gastgeber beiständlich seiner Kinder erster ehe Vogts Georg Eisenmann auch Gastgebers
in gegensein Jacob Lutz des ledigen gastgebers so ohnbevögtigt und über 25 jahr alt zu seÿn versicherte beÿständlich seines oncle Andreas Scheer Adlerwürths zu Eckboltzheim und Johann Heinrich Spielmann des haußfeurers
9/12 t theil oder 3 quart für ohnvertheilt ahne einer zum großen hirsch genannten Gastherberg bestehend in vorder: und hinderhauß einen Sommerhauß gartten höfflein und hoffstatt mit allen darzu gehörigen gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten in der Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospitahl über, einseits ist ein eck an dem Spithal: gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwabenländlein, anderseit neben Philipp Fiedel dem Metzger hinten auff Johannes Koch den Metzger, davon zwar von dem daselbst befindlich gewesten vom Allmend dazu gekommenen Armbrust Rhein und darauff gebauten Sommerhauß zahlt mann jährlich auff Joh. Baptistæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß – ihme zu gedachten ¾ theil, seinen dreÿ Kindern erster ehe aber zur übrigen quart – in welchem ein Kasten mit 4 thüren 8 tisch und ein doppeltes Kensterlein begriffen – um 262 lb Capital verhafftet, geschehen um 956 pfund

Fils du tonnelier Gaspard Lutz à Eckbolsheim, Jacques Lutz épouse en 1724 Marie Dorothée Klein, fille du tonnelier Jean Frédéric Klein : contrat de mariage, célébration. Le fiancé assure à la future épouse l’habitation viagère dans la maison qu’il vient d’acheter
1724 (14. Sept.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1148
Eheberedung Zwischen H. Jacob Lutzen, Leedigen Gastgeber zum Hirtzen, als Hochzeiter, beÿständlich Lorentz Karcher weißbeckens und burgers allhier und H. Andreas Scheeren burgers und Adlerwürths Zu Eckboltzheim ane einem
So dann Jgfrn Maria Dorothea gebohrner Kleinin, weÿl. Hn Johann Friderich Kleinen, geweßenen Kuttler mit auch weÿl. frauen Catharina gebohrner Lobsteinin ehel. erziehlten tochter als die Jgfr. Hochzeiterin, mit assistentz H. Johann Lobstein metzgers Ihres geschwornen Curatoris und Hn Johann Philipp Knoderer Sattlers beeder burgere allhier, andern theils
6. die wÿdumb betreffendt, so verschafft der H. Hochzeiter seiner geliebten Jgfr. Hochzeiterin deßen eÿgenthümbliche ohnlängst erkauffte und in der Crautenau beÿ dem Frantzösischen Spittahl gelegenen Gast behaußung Zum Großen Hirtzen genandt zu einem gemeinen Lebtägigen Zumahlen wider Rückfälligen wÿdumb und hiengegen Sie die Jgfr. brauth Ihme H. Sponso Zu einem gleichförmigen Gegenwÿdumb in baarem Geldt 1000 guldten à 15. batzen gerechnet
Actum Straßburg Donnerstag den 14. Septembris Anno 1724. [unterzeichnet] Jacob Lutz als hochzeiter beken we Vorstehet, Maria Dorothe Kleinen Alß hoh Zeitrin beken wie ob steht

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 196, n° 23)
1724.- Eodem [Mittwoch d. 11. Octobr.] seind nach Zweÿmaliger öffentlicher Ausruffung in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus ehelich copuliert u. eingesegnet word. Jacob Lutz, der ledige Gastgeber und Burg. allhier, Weil. Caspar Lutzen, geweßenen Kieffers u. Innwohners Zu Eckboltzheim hinterl. ehelicher Sohn, u. Jgfr. Maria Dorothea weil. Joh: Friederich Kleinen geweßenen Metzgers u. Burgers allhier hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Jacob Lutz als hochzeiter, Maria Dorothea Kleinin alß hochzeiterin (i 201)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. L’actif du mari s’élève à 215 livres, le passif à 1 105 livres, l’actif de l’épouse à 1 081 livres, le passif à 86 livres
1724 (12. Xbr), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 56) n° 1867
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außschloßen, so der Ehrengeachte Herr Jacob Lutz, Gastgeber zum Hirtzen genant, und die Viel Ehren und tugendsahme Fraun Maria Dorothea Lutzin gebohrne Kleinin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in dem Ehestand zugebracht, und vermög deren mit einander auffgerichteten Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten haben – So beschehen (…) den 12.ten Decembr. Anno 1724.

In einer alhier zu Straßburg ane der Krauthenau ohnfern der Hechtenbruck gelegenen dem Ehemann eÿgenthümbl. zuständigen behaußung Volgender maßen befunden
Eÿgenthumb ane einem Kuttelbanck (F.) (…)
Item ein drittertheil von und ane einem Kuttelbanck
Eÿgenthumb ane einer behaußung (M.) Benantl. Neun zwölffter theÿl oder dreÿ quart von u. ane der Zum Groß. hirsch genannten und alhier zu Straßburg gelegenen Gastherberg, bestehend in vorder und hinderhauß, einem Sommerhauß, Garth. Höfflein und hoffstatt, mit allen darzu gehörigen Gebäuen begriffen, weith. Recht und Gerechtigkeit. alhie in der Krautenau, gegen dem Frantzösischen Hospital über, I.s ist ein Eck an dem Spithal Gräbel, ohnfern des Blumen Gießens im Schwabenländlein, 2.s. neben neben Philipp Fiedel dem Metzger, hinten auf Johannes Koch, den Metzger stoßend, davon u. Zwar von dem daselbst befindl. gewesten, vom allmend darzugekommenen Armbrust Rhein u. darauff gebauten Sommerhauß zahlt man Jährl. auf Joh. Baptistæ alhiesigem Pfgthrn. 2. lb bod. zinnß sonsten über hernach unter den Passivis specificirte darauff hafftende onera freÿ ledig eÿgen und wird allhier beliebter maßen ohne anschlag gelaßen, doch mit der expressen Anhang und beding, im fall diselbige stante hoc matrimonio verkaufft würde, das als dann der daraus gezogene wahre Kauffschilling ergäntzt werden solle. Die übrige 3/12.te theil der eine quart aber seind Jacob Ludwig Hermanns Gastgebers 3. Kindern erster Ehe eÿgenth. Zuständig. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff in alhießig. Cantzleÿ Contractstuben gefertiget mit dero anhangenden Insiegel verwahrt, datirt d. 2.ten Junÿ A° 1724.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Vermögen betreffend, Sa. hausraths 132, Sa. Wein und leere Vaß 73, Sa. Silber und Geschmeid 9, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung o, Summa summarum 215 lb – Passiv Schulden 1106 lb, In Compensatione 890 lb
der Ehefrauen Nahrung betr.n Sa. hausrath 91, Sa. Silber v. Geschmeid 14, Sa. Goldene Ringe 16, Sa. baarschafft 58, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 900, Sa. Eÿgenthumb ane Kuttelbänck. o, Summa summarum 1081 lb – Schulden 86 lb, Nach deren Abzug 994 lb

Jacques Lutz devient bourgeois par sa femme en janvier 1725
1725, 4° Livre de bourgeoisie p. 914
Jacob Lutz d: würth erhalt das burgerrecht Von seiner ehefr. Dorothea Kleinin fried: Kleinen gewes. Kutlers undt b. hint: dochter umb die tertz d: alten b. will beÿ E E Zunfft d: freÿburger dienen Jur. Eodem [22.ten Jan. 1725]

Jacques Lutz achète des enfants Herrmann le quart restant de la maison.

1729 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 156-v
Jacob Ludwig Herrmann des gastgebers mit weÿl. Maria Ursula geb. Eißenmännin seiner ersten haußfrauen erzeugt noch lebender dreÿ Kinder Maria Salome, Maria Magdalena und Maria Elisabetha der herrmännin geschworner vogt Johann Georg Eißenmann auch gastgeber und ged. Herrmann als usufructuarius seiner Kinder Mütterlichenn guths
in gegensein Jacob Lutz des Gastgebers zum großen hirsch mit beÿstand H. Johann Georg Flach Jurium practici, d. 26. hujus vorgegangenen Versteigerung
3/12 theil für unvertheilt oder die quart ahne einer zum großen hirschen genannten Gastherberg bestehend in Vorder: und hinderhauß, einem Sommer hauß Gartten höfflein und hoffstatt mit allen zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospithals über, einseit ist ein eck ahn ged. Spithals gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwaben Ländlein anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehalt gewesten Metzgers hinterlassenen Erben hinten auff Johannes Koch den Metzger – von solchem hauß und zwar von dem allda befindlich geweste vom Allmend dazu gekommenen armbrust: Raÿn und darauff gebautem Sommerhauß auff Johann Baptistæ hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß, der verkaufende herrmänischen Kinder Vogts und Vatters welcher letstere auff den natural genuß bedüttener hauß antheiler verzug gethan hat, dem käuffer aber zuvorhin zu übrigen 9/12 theilen – um 87 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 387 pfund

L’aubergiste au Grand Cerf Jacques Lutz hypothèque son auberge au profit du cordonnier Jean Balthasar Auffderbruck

1729 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 158
Jacob Lutz der Gastgeber zum großen hirsch
in gegensein Johann Balthasar Auff der Bruck des Schuemachers – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, die Gastherberg zum großen hirschen genannt bestehend in Vorder: und hinderhauß, einem Sommerhauß Gartten höfflein und hoffstatt mit allen weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospithals über, einseit ist ein eck ahn ged. Hospithals gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwaben Ländlein anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehalt gewesten Metzgers hinterlassenen Erben hinten auf Johannes Koch den Metzger – davon und zwar von dem allda befindlich gewesten von dem Allmend dazu gekommenen Armbrust: Raÿn und darauff gebautem Sommerhauß auff Johann Baptistæ hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß

Jacques Lutz hypothèque son auberge au profit de Marie Madeleine Braun

1730 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 135
Johann Jacob Lutz der Gastgeber zum großen Hirsch
in gegensein Jfr. Maria Magdalena Braunin beÿständlich H. Not. Johannes Lobstein – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, Einen aus jetzigem vorschuß meliorirt und mit einem neuen Bau vermerckte gast behausung zum großen Hirschen genannt bestehend in Vorder: Nebens und hinder hauß hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau ohnfern dem Frantzösischen hospital, einseit ist ein eck am Allmend gegen ged. hospithal anderseit neben Ehehaldtischen Erben hinten auff Johannes Koch den Metzger – davon gibt man hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 b ane bodenzinß

Jacques Lutz et Marie Dorothée Klein hypothèquent l’auberge au profit de Jean Frédéric Faust, licencié en droit et receveur de l’hôpital bourgeois pour réparer la maison sise à côté de l’auberge, détachée en 1715, et que Jacques Lutz vient d’acheter.

1733 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 223-v
Johann Jacob Lutz des gastgebers zum großen hirschen und Maria Dorothea geb. Kleinin mit beÿstand ihres mutter bruders Johann Lobstein des metzgers und ihres geschwistrig kindts ehemanns Johann Georg Faudel des sattlers
in gegensein des Mehrern hospitals Schaffners H. Johann Friedrich Faust J. V. Lti – schuldig seÿen 250 pfund zu vollzahlung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung und zu dero vorhabender Reparation
unterpfand, Eine aus jetzigem vorschuß theils bezahlt theils zu repariren vorhabende Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß hoff scheur gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿm frantzösischen hospital im Schwabenländlein einseit neben hernach beschriebener ihnen ebenfalls zugehörigen gastbehausung zum großen Hirsch anderseit neben Christian Allinger des blumengärtthners gartten hinten auff weÿl. H. Johann Daniel Kolb gew. Med. D. et Pract. wittib und erben
Ferner oberwehnte Gastbehausung eben daselbst einseit ist ein eck am allmend gegen dem Blumengießen und obged. Hospital über anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehaldt Metzgers wittib und erben hinten auff die erst designirte behausung hoff gartten und stallung bestehend mit übrigen deren begriffen und zugehörden – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lt ane bodenzinß

Jacques Lutz meurt en 1733 en délaissant trois enfants. Les experts estiment l’auberge à 1 500 livres et la maison voisine à 400 livres. La masse propre à la veuve est de 1 352 livres. L’actif des héritiers s’élève à 1 106 livres, le passif à 1 662 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 658 livres, le passif à 2 714 livres.

1733 (9. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 37) n° 842 [haut abîmé par l’humidité]
Inventarium und [be]schreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Lutz der geweßene Gastgeber zum Großen Hirtzen nunmehr seel. als derselbe dienstags den 25.ten Augusti dießes Lauffenden 1733.sten Jahrs dieses zeitliche in das Ewige verwechßelt – auf Ansuchen anfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Wilhelm Schatzen des zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen vogts Philipp Jacobs, Mariæ Dorotheæ und Johann Friderichs der Lutzen, des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau Wittib erziehlter dreÿer Kinder und ab intestato Verlaßener Rechtsmäßiger Erben, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Dorotheam Lutzin geb. Kleinin die hinterbliebene Frau Wittib mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Georg Dörffers des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris

In einer allhier ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal gelegenen zum großen Hirschen genanden und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Magd Cammer, au Paradis, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im Stübel N° 1, Im Stübel N 2, In der Großen Stub, Im Saal, In der Gaststub, In der Kuchen, Im Garthen, In des Officiers Stub, In des Knechts Cammer, In der Bauchküchen, Im Keller, Im Nebenshauß
Eigenthumb ane Häußern – (E) Erstl. dreÿ Viertetheil Vor ohnvertheilt Von und ane der zum großen Hirsch genandten Gastherberg bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und allen darzu gehörigen, gebaüen, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier an der Vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen hospithal hinüber einseit ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger hinten auf hernach beschriebene theilbahre behaußung stoßend, davon und zwar Von der gantzen behaußung reicht mann jährlich auff Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, (laut) Abschatzungs zeduls vom 7.t. 8.bris Anno 1733 angeschlagen per 1420 lb, Machen die hiehero gehörig dreÿ Viertetheil 1065 lb, Und ist der übrige eine Viertetheil wehrender dießer Ehe erkaufft worden, mithien in gegenwärtige theilbare Nahrung, wie hernacher fol: (-) fac: (-) zuesehen gehörig, Über obgemelte hiehero gehörige zweÿ Viertetheil sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget de dato 2.t Junÿ Anno 1724
(T.) It. ein Viertertheil Vor ohnvertheilt von und ane der hieoben fol: (-) fac: (-) et seqq: beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch genandt cum appertinentiis so über 2 lb bodenzinß vor freÿ Ledig und eigen æstimirt vor 1420 lb, Th. d. hiehero gehörige Vierdte theil 355 lb, Von dießen Vierdtentheil reicht mann ferner 3 lb 10 ß à [5 p. C°] gerechneten genußes H. Johann Sebastian Gambßen J. U. Lto Jahrs auf den 6. Octobris redimibel in Capital mit 87 lb 10 ß, Nach deren Abzug restiret dem anschlag d. hiehero gehörigen Vierdten theil 267 lb, Über solchen Viertentheil meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahret datirt den 24. Martÿ 1729
(T.) It. eine behaußung bestehend in Vorder: und hinderhauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben hieoben beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch anderseit neben Mr Christian Allingers des Blumengärthners garthen, hinten auf weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten beÿsitzers alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon gibt mann Jährl. 8 lb d à 4 pro cento gerechneten zinnßes Hn Joh: Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb, durch hieoben gedachte der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe inhalt gemelten Abschatzungs zeduls vom 7. 8.bris Anno 1733 taxirt für 200 lb, Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget datirt den 11. Maÿ Anno 1733, dabeÿ ein alter pergamentener Kauffbrieff mit berührten Insiegel verwahret de dato 15. jan. Anno 1715
Ergäntzung – Vermög Inventarÿ über der gewesenen Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung in Anno 1724 durch Weÿl. Hn Not.um Daniel Rohren consignirt aber durch Hn Not. Joh: Philipp Lichtenberger in Anno 1726 expedirt
– Abschatzung d. 7. 8.bris ao 1733 – Auf begehren Weÿl. des Ehrenvesten und Vorachtbaren H Jacob Lutz gewesenen Wirth undt Gastgeber Zum grosen Hirtzen genandt seel: hinter laßene fr. Wittib und Erben, ist ein Eck hauß gegen dem frantzösischen Spittahl über gelegen und zum theil gegen dem blumen Gießen, einseits Neben Antoni decker hinden auf die Erben selbsten stosend, Welche behausung Neu Nebens gebäw, Stuben, Officier, gast Stuben, Cammern, Kuchen, Speiß Cammern hauß Ehren, bronnen, Sale mit einem Camin, gebäcklter Keller undt höffel, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornene Werckleuth sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Um 3000 Gulden
Ferner befindet sich ein alt Nebens gebäw einseits Neben den Erben selbsten anderseits Neben der Fr. Doctorin Kolbin garten worin Stuben Kuchen, Hauß Ehren, Cammern, Soldaten Cammer, Stallung, schopff, Einfahrt, Nebens schopff, gädel, /s.h./ schweine stall, gebäcktes Keller, höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Um 800 gulden [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer Werckmeister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhoffs
Abzug gegenwärtigen Inventarii, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 7, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Schuld 87, Erg. Rest 1348, Summa summarum 1454 lb, Schulden 102, Nach deren Abgang 1352 lb
Der Erben ohnverändert Nahrung, Sa. hausraths 35, Sa. Lährer Vaß 4, Sa. Silbers 1, Sa. antheils ane einer behaußung 1065, Summa summarum 1106 lb, Schulden 1662 lb, In Vergleichung, passiv onus, 556 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. hausraths 135, Sa. Wein und Lährer Vaß 316, Sa. Silbergeschmeids 22, Sa. baarschafft 139, Sa. Eigenthumbs ane haüßern 467, Sa. Schuld 1575, Summa summarum 2658 lb, Sa. Schulden 2714, Theilbahrer Passiv onus 56 lb – Stall summ 739 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend 44 lb

Marie Dorothée Klein se remarie en 1733 avec l’aubergiste Jean Jacques Grün, fils de l’aubergiste à la Couronne d’or : contrat de mariage, célébration
1733 (1. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 303
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grün dem ledigen Gastgeber, des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grünen, des ältern Gastgebers Zur gulden Cron Und burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Maria Dorothea Lutzin geb. Kleinin, Weÿland des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Lutzen, des geweßenen Gastgebers Zum großen Hirtzen und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Frau Wittib als der Frauen hochzeiterin, ane dem andern theil – auf dienstag den 1.ten X.bris Anno 1733 [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Maria Dorothe Lutzin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 13-v, n° 3)
1734. Mittwoch den 3. Hornung seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation (…) in den Ehestand eingesegnet word. Johann Jacob Grün der ledige Gastgeber und burger allhier, Johann Jacob Grün deß Aeltern Gastgebers und burgers allhie ehl. Sohn, und Frau Maria Dorothe, weil. Jacob Lutzen geweßten Gastgebers und burgers allhier hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Maria Dorothea Lutzin als hoch zeiterin (i 15)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à la femme. Ceux du mari s’élèvent à 327 livres, ceux de la femme à 3 189 livres.

1734 (26.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 38) n° 870
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Grün, der Gastgeber zum großen Hirsch und die Viel Ehren und tugendsahme Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in præsentia der Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grünen des ältern Gastgebers Zur Cronen und burgers allhier des Ehemanns eheleibl. Vatters und herrn Johann Bleßig Gastgebers zur goldenen Äxt und burgers allhier seines erbettenen Beÿstands, So dann herrn Johann Georg Dörffers des Kieffers und Weinhändlers, auch burgers allhier, der Ehefrauen noch ohnentledigten Curatoris, wie auch herrn Johann Wilhelm Schatzen, des Zinngießers und auch burgers allhier dero Kinder Erster Ege geschwornen Vogts, auf Freÿtag den 26.ten Februarÿ Anno 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem frantzösischen Hospithal gelegenen Zum Großen Hirschen Genanden und in dieße Zugebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auf der bühn, In der Magd Cammer, Au Paradis, Im Saal, In der großen Stub, Im Stübel N° 2, Im Stübel N° 1, Im haußöhren Vor der Wohnstub, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Gast Stub, Im untern haußöhren, In der Kuchen, In der bauch Küchen, In der Officiers Stub, In deßen Knechts Cammer, Im Keller, Im Nebenshauß
Eigenthumb ane häußern (F.) Erstl. die Gastherberg zum großen Hirsch genand, bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, hoffstatt mit allen darzu gehörigen, gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, einseit ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens, im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, davon reicht mann Jährl. auf Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, Sonsten wird dieselbe dißorths für freÿ Ledig und eigen ohnpræjudicirlich angeschlagen pro 2750 lb. Über dreÿ viertetheil dießer behaußung so der Ehefrauen Erster haußwürth seel. in seinem Ledigen Stand erkaufft, sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 2.t Junÿ Anno 1724. So dann meldet über den übrigen vierdten theil so in der Ehefrauen Erster Ehe erkaufft worden, auch ein dergleichen pergamenter Kauffbrieff mit berührtem der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret datirt den 24. Martÿ Anno 1729
(F.) It. eine Behaußung bestehend in Vorder und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, gärthlein und hoffstatt und allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben vorher beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch, anderseit neben Mr Christian Allingers, des Blumengärthners Garthen, hinden auf Weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon gibt mann Jährl. auf den 15.ten Jan. 8 lb d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes Hn Joh: Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb. Sonsten Vor freÿ Ledig und eigen dißorths ohnvergreifflichen æstimirt pro 450. lb. Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget, datirt den 11. Maÿ Anno 1733, dabeÿ ein alter pergamentener Kauffbrieff mit berührten Insiegel verwahret de dato 15. Januarÿ Anno 1715.
Abzug In gegenwärtigen Inventarium gehörig, des Herrn in die ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 145, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Goldener Ring 13, Sa. baarschafft 110, Summa summarum 283 lb – halbe theil ane denen haussteuren 43. lb, des Eheherrn Völlig in die ehe gebracht Guth 327 lb
der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 538, Sa. Wein und Lährer Vaß 722, Sa. Silbergeschmeids 65, Sa. Goldener Ring 35, Sa. baarschafft 99, Sa. Eigenthumbs ane haüßern 3200, Sa. Schulden 78, Summa summarum 4739 lb – Sa. Schulden 1593, Detrahendo verbleibt 3145 lb – halbe theil ane denen haussteuren 43. lb, der frauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 3189 lb
Zweiffelhaffte und verlohren schulden un die Nahrung zugeltend 38 lb

Jean Jacques Grün qui exploite l’auberge au Grand Cerf devient tributaire chez les Fribourgeois
1734, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(2.te Gericht de 1734) Donnerstags den 29.ten Apr: 1734
(f° 157-v) Neu Zünfftiger – Johann Jacob Grün jun. Johann Jacob Grünen Sen.ris Würths und burgers allhier ehelicher sohn der nunmahlige würth zum großen Hirtzen beÿm Frantzösischen Spithal, bittet, weilen Er die würthschafft nach Ordnung erlernet, ihre Zufolg producirten Statt Stallschein vom 17. Martii 1734. Leibzünfftig Zu recipiren. Erkandt wird demselben gegen Erlag 6. lb 14. ß gebettener maßen willfahrt. Dedit nebst 6 ß. Stg. pro hoc A° jur. eod. auff die Ord.
[in margine :] dt Zfftgeb. 6. lb 10 ß, Prot. geldt 4 ß, Stg. pro 1734 6 ß Sa. 7 lb

Marie Dorothée Klein meurt en décembre 1734 en délaissant trois enfants de son premier mariage. La masse propre au veuf est de 176 livres, celle des héritiers de 1 477 livres. L’actif de la communauté s’élève à 827 livres, le passif à 833 livres. L’estimation des maisons est reprise de l’inventaire précédent.

1735 (1.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) n° 927
Inventarium und beschreibung aller derjengen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin, des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Grünen, des Gastgebers zum großen Hirsch und burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche Haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Mittwochs den 22.ten Decembris des zurückgelegten 1734.sten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige verwechselt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und begehren des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Schatzen des Zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Philipp Jacobs, Mariä Dorotheä und Johann Friderichs der Lutzen der verstorbenen Frauen seel. in Erster Ehe mit auch Weÿl. dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Lutzen dem geweßenen Gastgeber zum großen Hirsch und burgern allhier ebenmäßig seel. ehelich erzeugter dreÿer Kinder und sowohl per Testamentum als ab intestato verlaßener Rechtsmäßiger Erben – So beschehen in Straßburg auf dienstag den 1. Februarÿ er seqq. Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem frantzösischen Hospithal gelegenen, Zum Großen Hirsch genanden in dieße Verlaßenschafft gehörigen Gastbehaußung befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auf der bühn, In der Magd Cammer, Im Stübel N° 1, Im Stübel N° 2, In der großen Stub, Im Saal, Au Paradis, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, In der Gast Stub, Im undern haußöhren, In der Kuchen, Im hoff, In der hauß Knechts Cammer, In der Officiers Stub, In der bauch Küchen, Im Keller in der Urbansgaß
Antheil ane häußern (E.) Erstl. ein zwölffter theil Vor ohnvertheilt Von und ane der zum großen Hirsch genanden Gastherberg, bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt mit allen darzu gehörigen Gebaüen, Begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, einseit ist ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, davon und zwar von der gantzen behaußung reicht mann Jährl. auf Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßb. Pfenningthurn, Sonsten ist dieselbe für freÿ Ledig und eigen in dem, über weÿl. Hn Joh: Jacob Lutzen des geweßenen Gastgebers zum großen hirsch und burgers allhier der Verstorbenen frauen seel. Erstern haußwürths auch seel. Verlaßenschafft, durch mich Notarium Johann Lobstein in Anno 1733. aufgerichteten Inventario fol: 46. fac: I.ma durch der Statt Straßburg geschwornen Herren Werckmeistere Laut Abschatzungs Zeduls vom 7. 8.bris Anno 1733 angeschlagen pro 1420. Macht der hiehero gehörige Zwölffte theil 118. lb. Und seind die übrige Eilff Zwölffte theil denen Kindern für vätterlich guth, so die frau seel. gegen dero Education und Alimentation genossen, wie hernacher fol (-) fac. (-) Zusehen gebührig. Über dreÿ viertetheil dießer behaußung so der Ehefrauen Erster haußwürth seel. in seinem Ledigen Stand erkaufft, sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 2.t Junÿ Anno 1724. So dann meldet über den übrigen Vierdten theil so in der Ehefrauen Erster Ehe erkaufft worden, auch ein dergleichen teutscher pergamenter Kauffbrieff, mit erwehntem Insigel verwahret datirt den 24. Martÿ Anno 1729
(E.) It. ein dritter theil Vor unvertheilt von und ane einer Behaußung bestehend in Vorder: und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben hieoben beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch, anderseit neben Meister Christian Allingers, des Blumengärthners Garthen, hinden auf Weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon und zwar von der gantzen behaußung gibt mann Jährl. auf den 15.ten Januarÿ 8 lb d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes Hn Johann Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb. Sonsten ist die Völlige behaußung über vorstehendes onus Vor freÿ Ledig und eigen in vorgedachten weÿl. Hn Joh: Jacob Lutzen seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1733 fol: 99. fac: 2.da durch der Statt Straßburg geschwornen Herren Werckleuthe æstimirt Vor 200 lb. Beträgt der hiehero gehörig dritte theil 66. lb. Die übrige zwo tertzen seind ebenmäßig denen Kindern vor vätterlich guth maßen hieunden fol – fac – befindlich eigenthümlich gebührig. Über dieße Völlige behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit berührtem Insiegel Verwahrt de dato 15.ten Januarÿ Anno 1715. beede mit N° 3. signirt
Wÿdemb, Welchen die Verstorbene Frau seelige Von auch Weÿland Herrn Johann Jacob Lutzen dem geweßenen Gastgeber zum Großen hirsch und burgern allhier Ihrem Erstern hauß würth ebenmäßig seel. theils ad dies vitæ und theils gegen deßen Kinder Education und Alimentation genoßen hat. Solcher bestehet inhalt des über gedachten herrn Johann Jacob Lutzen nunmehr seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium in Anno 1733. aufgerichteten Inventarÿ (…)
Erstl. Eilff Zwölffte theil für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol. fac et seqq. beschriebenen Gast herberg Zum großen hirsch genand, cum appertinentÿs, so über 2. lb d bodenzinß vor freÿ Ledig und eigen æstimirt umb 1420. Thun die hiehero gehörige 11/12.te theil 1301. lb
It. zween drittetheil Vor unvertheilt von und ane der hievornen fol. fac. et seqq. eingetragenen behaußung mit allen deren zugehördten neben der Gastherberg Zum großen hirsch gelegen, so über 200. lb d darauf hafftender Capital für freÿ Ledig und eigen angeschlagen für 200. lb, Machen die hiehero gehörige 2/3.tetheil 133. lb
Ergäntzung, Nach besag Inventarÿ über Eingangs gedachter Eheleuth in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1734. durch mich Notarium aufgerichtet
Abzug in gegenwärtigen Inventarium gehörig, Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 5, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 22, Sa. Schuld 25, Erg. Rest 110, Summa summarum 176 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 221, Sa. Lährer Vaß 34, Sa. Silber geschmeids 29, Sa. Goldenen Rings 10, Sa. baarschafft 10, Sa. Antheils ane häußern 185, Sa. Schuld 1758, Erg. Rest 638, Summa summarum 2887 lb – Schulden 1410 lb, Detrahendo verbleibt 1477 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 38, Sa. Wein und Lähren Vaßes 379, Sa. silbers 1 ß, Sa. baarschafft 355, Sa. beßerung auf der Kinder Vätterl. antheilern ane der gastherberg zum großen hirsch 45, Sa. Schulden 9, Summa summarum 827 lb – Schulden 833 lb, Theilbares Passiv-onus 6 lb
Stall Summ Et Conclusio finalis Inventarÿ 1278 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in der Fr. seel. theilbare Nahrung zugeltend 47 lb
Copia der Eheberedung (…) Not. Lobstein den 1.ten X.bris Anno 1733
Copia Testamenti – in dem Jahr 1734, den 17. tag des Monats Decembris in einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau nahe beÿ dem frantzösischen Hospital gelegenen hernach gemelter Frauen testirerin und Ihren Kindern Erster Ehe eigenthümlich zuständigen zum großen Hirsch genannden Gast behaußung, dero Obern hindern stuben mit denen Fenstern in den hoff und Garthen außsehend (…) die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin des Ehrenvest und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Grünen des Gastgebers Zum Großen Hirtzen und burgern (…) Johannes Lobstein, Not.

Le tuteur des enfants de Marie Dorothée Klein loue l’auberge au veuf.

1735 (1.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) Joint au n° 927
Vergleich und Respectivé Lehenung Zwischen Herrn Johann Jacob Grünen dem hinterbliebenen Wittiber mit assistentz herrn Johann Bleßig, des Gastgebers Zur guldenen Äxt und herrn Johann Jacob Grünen des ältern, auch Gastgebers und burgers allhier seines eheleiblichen Vatters ane einem
So dann Johann Wilhelm Schatzen dem Zinngießer und burgern allhier als Vogten Philipp Jacobs, Mariä Dorotheä und Johann Friderichs der Lutzen der Frauen seel. erziehlter dreÿer Kinder erster Ehe und sowohl per Testamentum als ab intestato nachgelaßene Erben, mit assistentz herrn Johann Friderich Lichtenbergers Notarÿ jurati publici und berühmbten Practici seines erbettenen herrn Beÿsitzers ane dem andern theil, getroffen
Erstlichen Verleÿhet der Kinder und Erben geordneter Herr Vogt Ihme dem hinterbliebeneen Wittiber seiner Curanden eigenthümliche theils Vor Vätter: und theils Vor Mütterlich guth gebührige beede häußer allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, deren das eine in Vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und allen darzu gehörigen Gebaüen bestehend, die Gastherberg zum großen Hirsch genand, das andere aber auch in Vorder: und hinderhauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen übrigen dero gebäuen bestehend neben erwehnter Gastherberg gelegen, welche beede häußer auch Er der herr Wittiber hiemit in Lehenung acceptiret und übernimbt auf Neuen Jahr lang von Annunciationis Mariæ dießes 1735 Jahrs an und auf gleiche zeit Anno 1744, umb 200 Gulden – Actum Straßburg den 1. Martÿ Anno 1735

Jean Jacques Grün se remarie en mai 1735 avec Anne Marie Stamm, fille de batelier, après avoir obtenu permission de se marier avant la fin de son deuil. Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1735, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Joh: Jacob Grünen Gastgeb: und Jfr Annæ Mariæ Staammin (Exp.)
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen H Johann Jacob Grün, Gastgebern Zum Hirschel , des Ehrenhafften H Johann Jacob Grünen, Gastgeber Zum rothen Apfel und burgers allhier ehelich erzeugten Sohn, als hochzeitern ane Einem, So dann der tugendsamen Jgfr. Anna Maria Stammin, Herrn Johann Jacob Stamm, Schiffmanns und E. E. Kleinen Raths allhier beÿsitzers ehelich erzeugten tochter als hochzeiterin andern theils (…) Geschehen, also abgeredt und verglichen, allhier Zu Straßburg den 5.ten Aprilis Anno 1735, Pantrion, coll. den 1. Aprilis 1747, Johannes Brackenhoffer, Notarius publicus juratus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 19-v, n° 5)
1735. Mittwoch den 12. Maÿ seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation (…) in den Ehstand eingesegnet word. Johann Jacob Grün der jüngere Gastgeber und burg. allhier wittwer, und Jgfr. Anna Maria, Hn Johann Jacob Stammen deß Schiffmanns und E.E. Kleinen Raths jetztmahligen Beÿsitzers eheliche Tochter, [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Anna Maria Stamm als hochzeiterin (i 22)

1735 Conseillers et XXI (1 R 218)
Joh: Jacob Grün erhalt Dispensation in der Trauer: Zeit heürathen Zu dörffen. 239.
(p. 239) Montag d. 18. Aprilis – Lt. Christiani, Nomine Johann Jacob Grün des hiesigen burgers und gastgebers, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlag Lit. A. pro gratiosa Dispensatione intra tempus luctus heurathen Zu dörffen, handelt innhalts. Ist Erkandt Wird den Imploranten, in ansehung desen geweste Ehefrau Maria Dorothea grünun schon d. 22. 10.bris iüngst verstorben, und also delselben Zur Zeit seiner vorhabenden anderwerten Verheürathung ihme nicht Viel am dem Tempore lucus fehlen wird, sich mit Jacob Stammen des hiesigen burgers und schiffmanns tochter Ehelich Copuliren Zu laßen Erlaubt, und ihme die dazu nöthige Dispensation gegen erlag dreÿ pfund pfenning in das gemeine Allmoßen obrigkeitlichen ertheilt. Deputati H. Rht. Reineri und H. Rth Dulsecker.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 525 livres, ceux de la femme à 418 livres.
1735 (13.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 42) n° 958
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Grün der Gastgeber zum großen Hirsch und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Grünin gebohrne Stammin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen (…) auff Montag den 13. Junÿ Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau nahe beÿ dem frantzösischen Hospithal gelegenen, Zum Großen Hirsch genand in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Gastbehaußung befunden worden, wie volgt.
(f° 11) Wÿdembs Verfangenschafft, Welche Herr Johann Jacob Stamm der Schiffmann und E.E. Kleinen Raths Jetzig wohlverdienter Assessor, der Ehefrauen eheleiblicher herr Vatter Von Weÿland Frauen Maria Salome Stammin gebohrner Vetterin seiner Erstern haußfrauen seel. Zeit lebens zugenießen hat. Vermög Inventarii (…) und des demselben in fine annectirten beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 13. Junii Anno 1722. aufgerichteten Kinder Vertrags (…)
Wÿdembs Verfangenschafft, Welche Herr Cladÿ Hannßmetzger der Metzger und burger allhier zu Straßburg von Weÿland Frauen Anna Maria Hannßmetzgerin geb. Vetterin, seiner geliebten haußfrauen nunmehr seel. Zeit Lebens Zugeniesen hat. Inhalt Abtheilungs auch respectivé Wÿdems Register Concepti (…) durch mich unterschriebenenen Notarium den 15.ten Novembris Anno 1728. vergriffen
Abzug in gegenwärtig zugebrachte Nahrungs Inventarium gehörig. Des herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 317n Sa. Wein und Lährer Vaß 628, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 47, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 232, Sa. Schulden 28, Summa summarum 1260 lb – Sa. Schulden 815 lb, Nach solchem rabbat 445 lb – helffte der haussteuren 80 – des Herrn Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 525 lb
der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 115, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. Goldener Ring 27, Sa. baarschafft 148, Summa summarum 338 lb – helffte der haussteuren 80 – der Frauen Völlig in die Ehe gebracht gut 418 lb
Beschluß summa 943 lb

Jean Jacques Grün se plaint que son employé Martin Leonhard l’a quitté sans préavis quoiqu’il l’ait particulièrement bien traité. Le conseil des Fribourgeois condamne l’employé à une amende, il devra en outre reprendre son service chez le plaignant et y rester au moins jusqu’à la Saint-Michel.
1735, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
Hr Johann Jacob Grün der Würth zum großen Hirtzen contra Martin Leonhard seinen Hauß Kn.
(f° 172-v) Dienstags den 29.ten Martji A° 1735 – Hr Johann Jacob Grün, der Würth zum großen Hirtzen und deß Gerichts, Klagt Contra Martin Leonhard seinen Hauß Kn. daß Er die dienste ohne Ursach plötzlichen beÿ Ihme quittiret, Maßen Er nur einen tag vor dem Ziel Ihme Solche auffgekündet, undt würcklichen außgetretten, da Er doch im Hauß gelernet undt viel gutes, sowohlen in gesunden alß auch Letstlichen seinen Krancken tagen genoßen, bittet demnach weilen Er Ihne in seiner würtschafft dermahlen sehr benöthiget, denselben Anzuhalten, daß Er beÿ Ihme in diensten wiederumb Ein zugehen, und sich auff eine gewiße Zeit Einschreiben Zu laßen Schuldig seÿn solle.
Ille sagt es wäre die Stipulirte Zeit alß auff welche er sich Zu Klägern engagiret, verfloßen, geweßen, vermeÿnet alßo nicht obligiret geweßen Zu seÿn, Länger Zu verbleiben und den dienst ehender auff zu sagen.
Nach angehörter Klage und Antwort ist Erkant, daß beklagter Haußknecht weilen er seine dienste nicht nach ordnung auffgesaget, und dem Herrn auß dem hauße gegangen 1 lb 10 ß d Straff Zu Erlegen, und wenigstens biß Mich. a: c: Zu Klaggendem herrn sich wiederumb Einschreiben Zu laßen, und solche Zeit über gebührend sich auffzuführen schuldig seÿn solle, Mit dem noch fernerem anhang wann Er vor Verfließung solcher Zeit die dienste quittiren, oder aber sonsten nich wie es gebühret auch aufführen würd Er nicht nur allein Keinen lohn haben sondern auff Ihme die Abstraffung auch abnebebst vorbehalten seÿn solle. Compens. Expensis.

Le tuteur des trois enfants de Jean Jacques Lutz loue l’auberge à Jean Jacques Wintersinger

1744 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 302-v
H. Johann Wilhelm Schatz der zinngießer als vogt weÿl. Johann Jacob Lutz des gastgebers dreÿer kinder Philipp Jacob, Maria Dorothea und Johann Friedrich Lutz
in gegensein H. Johann Jacob Windersinger gastgebers
entlehnt, die zum großen hirsch genannte in der Vorstatt Krautenau beÿ dem frantzösischen Hospital gelege gastbehausung samt allen deroselben zugehör und rechten ; auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 150 gulden

Les aubergistes Jean Jacques Grün et Jean Bezold demandent aux Quinze de lever l’amende qui leur a été infligée après s’être opposés à ce que les inspecteurs et les gardes visitent leur cave afin de vérifier que le vin est vendu au juste prix et qu’il n’est pas frelaté. Les Quinze estiment que la défense qu’ils présentent aggrave leur cas plus qu’elle ne les disculpe. Ils confirment la décision d’infliger une amende.
1747, Protocole des Quinze (2 R 157)
(p. 438) Sambstags d. 2. Septembris – Joh: Jacob Grün und Johannes Bezold pt° nachlassung der Straff
Obere Umbgeltd Hn. lassen per eundem [Secretarium] referiren, es hätten Joh: Jacob Grün, und Johannes Bezold, beede Würth und burgere allhier, beÿ MGHhn d. 26. Augusti jüngst ein unterth. memoriale übergeben, und darinn Vorgestellt, wasmaßen Sie, Imploranten, d.19. ejusdem jeder umb 50. lb d gestrafft worden, nun könnten Sie hienauß nichts anderst schließen alß daß man Sie vor ohngehorsahme burger die sich denen ordnungen wiedersetzen, angesehen haben, allein sie könnten Versichern, daß Sie die visite des H. Inspectori & weinstichers und derer Gardes des Umbgelts also angesehen als ob sie schon etwas verbrochen und dahero durch die würckliche execution Zur straffe gezogen werden sollten, von der gegenwarth dener Obere Umbgeldts Hhn hätten sie (p. 439) aber nicht das geringste gewußt, In hoffnung nun einer gnädigen erhöhe ergehe derer Imploranten unterth. bitten an MGHhn, dieselbe geruhen möchten, Ihnen dießem fehler und verbrechten aus gnaden Zu condoniren, einfolglichen sie der Straffe in gnaden Zu erlaßen. Auff geschehene Weißung hätten die beede Imploranten præsentes sich nochmahlen auff contenta ihres memorialis und petiti bezogen, wann nun denen Imploranten beÿ der Keller visitation deutlich und zu wiederhohlten mahlen beditten worden, wie sothane visitation von seithen der Ihnen vorgesetzten Obere Umbgelthh. theils umb den wahren preiß Zu wißen, umb welche Sie, die würth, Ihre wein an das publicum würcklich verkaufften, theils umb allen vermischungen der Weine Vorzukommen, alter gewohnheit nach vorzunehmen vor nöthig erachtet worden, die Imploranten aber ohnerachtet solcher vorgekehrten notification und befehls, ungehorsahmer und wiederspänstiger weiß solcher visitation sich freventlich wiedersetzt, so daß die Obere Umgelts Hh. ohnverrichter sachen auff eine despectirliche weiß, sich von Ihren häußeren wegbegeben müßen, die vorgebrachte entschuldigung derer Imploranten dero aufführuing mehr aggraviret als entschuldiget, als hätten die Hhn deputirte darfür gehalten, daß es beÿ der d. 18. Augusti jüngst von seithen derer Oberen Umbgelts Hh. angesetzten Straff Zu laßen, mithin die Imploranten mit ihrem begehren abzuweißen seÿen, die confirmation dießes bedachts stehe Zu MGHhn.
H. Prætor Regius setzt beÿ, das Verfahren derer Imploranten, seÿe so beschaffen, daß es Keiner gnad würdig seÿe, weßwegen er auff die confirmation des bedachts wolle angespropchen haben. Erk. Bedacht gefolgt.

Le tuteur des enfants Lutz loue l’auberge à Jean Jacques Koch

1753 (2.10.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 420-v
Frantz Heinrich Gimmig des sattlers als vogt Philipp Jacob, Maria Dorothea und Johann Friedrich der Lutz
in gegensein Johann Jacob Koch des gastgebers
entlehnt, das wirthshauß zum Hirtzel genannt beÿ dem Französischen hospital, auff 3 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden weÿhnachten anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 160 gulden

Compte que rend Jean Frédéric Steinbach de la gestion des biens qui appartiennent aux mineurs Lutz. Le compte rapporte les différents loyers encaissés.

1760 (31.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 396) n° 847
Rechnung Mein Johann Friedrich Steinbach Gastgebers auf E.E. Zunfft der Garthner ane Steinstraß als geordnet und geschworenen vogts Johann Friedrich Lutzen Ledigen Perruquenmachers Weÿl. herrn Johann Jacob Lutz geweßenen Gastgebers mit auch weÿl. Fraun Maria Dorothea geb. Kleinin Jüngern Sohns außweißend alles desjenige was Ich von Anno 1756 da Ich zu dieße Vogteÿ gekommen biß den 31. maÿ Anno 1760 besagten meines Curandi und zum theil auch seiner zweÿen ältern geschwüsterde halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe

Bericht gegenwärtigen Rechnung, Herr Frantz Heinrich Gimmich der Meelwäger welcher vorhien dieße Vogteÿ vor alle dreÿ Lutzische Kinder Nahmentlich Philipp Jacob Lediger Gastgeber, Frau Mariam Dorotheam welche sich seithero ane herrn Johann Memminger den Fischer verheurathet und außwendigt benahmßten Johann Friedrich die Lutzen auf sich gehabte Legate über deßen Administration und Verwaltung vom 23. maÿ 1750 biß Joh. Bapt: 1756 seine Erste und Letste Rechnung gab (…)
Corpus der dreÿen Lutzischen Kinder ins gemein Jährlich zu gewarten habender haußzinnß
Erstl. Laut des vorherigen Vogts abgelegter Rechnung ist die Gastbehaußung zum großen hirsch genand ane der vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen Hospital hienüber gelegen damahlen ane herrn Johann Jacob Koch den Gastgeber verlehnt geweßen umb einen Jährlich zinß von 80 lb
Nachgehends ist selbige ane herrn Johann Daniel Roth dem Gastgeber verlühen worden umb einen Jährlichen zinnß vom 65 lb, So derselbe biß Weÿenachten 1757 alßo ein Jahr lang beseßen,
hernach ist solche behaußung Lähr gestanden biß in Augustum 1758 auf welche Zeit meines Curandi ältester bruder Philipp Jacob Lutz selbige /:mit Consens herrn Grünen des Stieffvatters und herrn Memminger deß Schwagers:/ bezogen
Es hat sich aber derselbe im Martio 1760 von hier absentirt und stehet solche behaußung anjetzo wiederumb Lähr dahero hier Keine zinnß in außwurff zu bringen
It. aus der zweÿten behaußung auch ane der Vorstatt Krautenau im Schwabenländlein neben besagten Gastherberg gelegen gefallen anjetzo Jährlich ane haußzinnßen auf Georg Friedrich Wintersinger dem Schiffknecht aus der einen Obern wohnung 9 lb,
It. aus der zweÿten obern Wohnung zahlte Johann Georg Milius biß Johannis Baptistæ 1758 Jährlichen 9 lb, und biß Michaelis 1758 ist selbige ein Vierteljähr Lähr gestanden und anjetzo ist solche verlühen ane Johann Georg Wintersinger den Schiffknecht umb 11
It. aus der Unden Wohnung im Hoff lieffert anjetzo Antonj Schönenburger der Wäscher des Jahrs 12 lb,
It. von der heubühn solle herr Johann Jacob Grün des Curandi Stieffvatter Jährlichen 3 lb
Hierauff Folgt nun die Rechnung ane und vor sich selbsten, Einnahm Geldts die zweÿ Lutzischen Kinder ins gemein angehend,
Erstl. habe aus der Gastbehaußung zum großen hirsch genand ane haußzinßen eingenommen von herrn Johann Jacob Koch von Joh. Bapt: 1756 biß Weÿhnachten ejusden Anni vor ein halb Jahr 40 lb,
Item von herrn Johann Daniel Roth dem Gastgeber von Weÿenachten 1756 bis dergleichen zeit 1757 vor ein Jahr 65,
von Weÿenachten 1757 biß Augustum 1748 ist dieße behaußung Lähr gestanden und nachgehends von Philipp Jacob Lutz ledigen Gastgeber dem ältern Sohn bezogen worden so Er auch biß in Martium 1760 da Er sich von hier absentirt in gehabt, weßwegen Ihme vor solche zeit nemblich vor ein Jahr und 7 Monath der gemäß auszurechnen so annoch mit Ihme zu regulieren,
It. aus der Nebens behaußung habe eingezogen und zwar aus der einen Obern wohnung von Georg Friedrich Wintersinger dem Schiffknecht von Joh. Bapt: 1756 biß Annunciationis Mariæ 1760 vor ¾ Jahr à 9 lb,
It. aus der zweÿten obern Wohnung von Johann Georg Milius von Johannis Baptistæ 1756 biß gleiche zeit 1758 vor 2 Jahr à 9 lb,
It. ist dieße Wohnung von Joh. Bapt: 1758 biß Michaels ejusdem Anni ein viertel Jahr lang Lähr gestanden und von solcher zeit an biß Annunciationis Mariæ 1759 zahlte Johann Georg Wintersinger der Schiffknecht vor ein halb jahr haußzinnß 5 lb,
It. von Annunciationis Mariæ 1759 biß gedachten Termin 1760 liefferte besagter Johann Georg Wintersinger mit vor ein halb Jahr haußzinnß 11,
It. aus der Undern Wohnung im hoff empfinge Ich von Johann Mentzer dem tabackbereiter ane haußzinnß von Joh. Bapt: 1756 biß Michaelis 1758 vor 2 ½ jahr à 12 lb

Marie Madeleine Quellet, femme de l’aubergiste Jean Jacques Lutz, hypothèque le tiers des deux maisons au profit des enfants mineurs Deldono.

1768 (22.8.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 520
Fr. Maria Magdalena geb. Quelet Johann Jacob Lutz des wirths ehefrau
in gegensein H. Joseph Groß des handelsmanns als vogt ihrer kinder I. ehe Dominique und Jean Baptiste der Deldono, 292 pf
unterpfand, 1. 1/3 vor unvertheilt ane einer behausung cum appertinentis gegen dem frantzösischen hospital über zum Hirtzen genanndt
so dann 1/3 theil vor unvertheilt ane einer behausung neben erstgedachten behausung gelegen

Dorothée Lutz femme du pêcheur Jean Memminger, Philippe Jacques Lutz pensionnaire à l’hôpital, propriétaire, et Jean Jacques Grün, usufruitier, louent l’auberge au Cerf près de l’hôpital français au brasseur Jean Philippe Schæcker

1774 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 83-v
Johann Memminger der fischer und Dorothea geb. Lutzin und Philipp Jacob Lutz der pfrunder in dem mehrern hospital, H. Johann Jacob Grün der gastgeber zum kleinen Hirsch als usufructuarius
in gegensein Mr Johann Philipp Schäcker des bierbrauers
lehnungsweiß, in der zum Hirschen geschildete beÿ dem frantzösischen hospital gelegenen behausung, den gantzen unteren stock oder rez de chaussée, nichts davon ausgenommen, nebst dem hinteren keller samt den garten – auff innstehenden Annunciationis Mariæ anzufangen, um einen jährlichen Zinß nemlich 62 gulden

Anne Marie Stamm meurt en 1782 en délaissant six enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé rue d’Or dans l’auberge à la Pomme d’or. La masse propre au veuf est de 445 livres, celle des héritiers de 2 422 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1904 livres, le passif à 3 438 livres.
1782 (17.5.), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 296) n° 27
Inventarium über Weil.der Viel Ehren und Tugendreichen Fraun Anna Maria gebohrner Stammin, des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johann Jacob Grün des ehemal. Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen und burgers alhier Zu Straßburg geweßter Ehefrauen nun seel. Verlaßenschafft aufgerichtet anno 1782. – nach ihrem den 23. Märtz dieses lauffenden 1782.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hinscheiden Zeitl. Verlaßen (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 25. Maÿ im Jahr 1782.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. weil. Fr. Anna Maria geb. Grünin mit H Michael Braunen dem hiesigen burgern und Paßmentirer ehelich erzeugte annoch minderjährige vier Kinder, mit Nahmen 1° Johann Michael, 2° Johann Jacob, 3° Johann Friderich und 4° Johann Daniel, die Braun, deren geordnet : und geschworener Vogt gleich hernach gemeldter Hr Johann Jacob Grün ist, weilen aber derselbe hierbei selbst interessirt ist, als ist het deßen Verlaßenschafft Geschäfft nahmens derer braunuschen Kinder als geschworner Theilvogt beigewohnt Hr Johann Daniel Humann der hiesige burger und Procurator vicarius welcher seiner Curanden interesse hiebei besorgt hat, in den ersten sechsten Stammtheil
2° H. Johann Jacob Grün, der Gastgeber Zum goldenen Apfel und burger alhie, in den Zweiten sechsten Stammtheil, 3° Fr. Maria Catharina geb. Grün, H. Johann Dürr, des hochfürstlich heßen hanau Lichtenbergischen Ambtschultheißen und Gastgebers Zu Bischheim Zu hohen steg Ehefrau in den dritten sechsten Stammtheil, 4° H. Johann Daniel Grünn den Seidenhändler und burgern allhier, in den Vierten sechsten Stammtheil, 5° H. Johann Friderich Grün, den Gastgeber Zum blauen Hechten und Burgern allhier, in den fünften sechsten Stammtheil, sodann 6° H. Philipp Jacob Grün, en Gastgeber Zum Kleinen Hirtzen und burger, allhier, in den letzten sechsten Stammtheil, welche alle sambt und Zwar Fr. Maria Salome Dürrin von ihrem Ehemann hierzu verbeistandet, gegenwärtiger Inventur in Person beigewohnt haben.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Goldgiesen gelegenen in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behausung folgender masen befunden worden
Ergäntzung derer Kinder und Erben abgegangenen unveränderten Guths. In Gefolg des hievor allegirten durch Weiland H Johann Lobstein Notm. juratum (…) in den Ehestand eingebachter Nahrungen
Antheil ane einer Behausung (E.) Nemlichen 1/6.ter theil für ohnvertheilt vor und ane einer behaußung in dem Goldgießen (…)
Folgt nun hierauff die Beschreibung der Verlaßenschafft ane und für sich selbsten. Des Herrn Wittibers unveränderten Vermögens, Schulden aus der Nahrung 75, Nach deren Abzug 445 lb
Solchemnach wird auch drer Kinder und Erben unveränderter Vermögen beschrieben, Sa. Kleidung 43, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (2309, abgang 5, Restiret) 2303, Summa summarum 2422 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbare Guth beschrieben, Sa. haußraths 59, Sa. Silbers 15, Sa. Golds 16, Sa. baarschafft 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1161, Sa. Schulden 639, Summa summarum 1904 lb – Schulden 3438 lb, Theilbar Passiv onus 1534 lb
Stamm Summ 1100 lb
Copia der Eheberedung (…) den 5. Aprilis Anno 1735
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen die Viel Ehren und tugendreiche Frau Anna Maria Grünin gebohrne Stammin des ehren und Wohlvorgeachten H Joh: Jacob Grün Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen und burgers allhier zu Straßburg eheliche Haußfrau, von der Gnade des Grundgütigen Gottes gesunden gehend und stehenden Leibs (…) auf Dienstag den 19. Decembris 1747.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 200 florins
1785, Livres de la Taille (VII 1181)
Freÿburger N° 315 – Weÿland Fr. Annä Mariä, gebohrner Stammin H. Johann Jacob Grün Senioris, des ehemaligen Gastgebers und Burgers alhier gewesener Ehefr. Verlaßenschaft inventirt H. Not. Dautel.
Concl. fin: Inventarii ist fol. 108. 1100 lb 13 ß 4 3/5. d die machen 2200. fl. verstallte 1100 fl. also Zuwenig 1100 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 3 lb 6 ß – 26 lb 8 ß
und Sechs Jahr in simplo à 1 lb 13 ß – 9 lb 18 ß
Ext. kein Stallgeld
Gebott – 2 ß 6 d, Abhandlung 3 ln 17 ß 6 d – Summa 40 lb 6 ß
Aus besonderen Ursachen ist der Nachtrag auf 13 lb 4 ß d moderirt worden, gehet also ab 23 lb 2 ß – Restiret 17 lb 4 ß
dt. 5. Januarii 1785.

Compte entre Jean Jacques Grün l’aîné, usufruitier, et les héritiers de sa première femme Marie Dorothée Klein, mentionnant les différents loyers encaissés.

1782 (25.5.), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 296)
Ersuch und Berechnung Inhaltend Alles dasjenige was herr Johann Jacob Grün der ältere burger und vormalige Gastgeber zum kleinen hirsch allhier zu Straßburg wegen Weÿl. Fraun Maria Dorothea geb. Klein seiner verstorbenen Erstern Ehegattin zuvor Weÿl. herrn Johann Jacobs Lutz im Leben geweßenen Gastgebers zum großen Hirsch und burgers allhier seel. hinterbliebener wittib auch seel. hinterlassenen annoch vorhandenen Erben, als Weÿl. H. Philipp Jacobs Lutz gewesten gastgebers zum goldenen Creutz u. b. dah. mit Frauen (-) geb.(-) ehel. erzeugt und nach tod hinterlaßenem töchterlein Nahmens Maria Margaretha Lutz und dann Fraun Maria Dorothea Memminger gebohrner Lutzin, H. Johannes Memminger des burgers und Fischers allhier Ehefrauen Zu gleichen helfften eigenthümlich zuständigen Ihme ermeldetem H Grün aber durch auch erwehnte seine Erstere Ehegattin seel. zu ihren Antheiler nebst anderen zum Lebtägigen Genuß mitvermachten Zwoen ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal liegenden behaußungen, ane daraus verfallenen Hauß Zinnßen seit dem 22. Wintermonaths Tag den 1779.sten Jahrs als dem Schluß der an eben diesen tag durch Jhne Herrn Grün solcherthalben abgelegten, approbirt und unterschriebenen Rechnung an, bis auf Weÿhenachten 1781. eingenommen und hiengegen innert erstbesagten Zeit berührter Zweÿer häußern wegen wieder ane Widerzinnßen Anlaagen und beschwerden, wie auch Reparations und dergleich Cösten außgegeben

Inhalt einer unterm 17.ten Februarÿ im Jahr 1744. gefertigten Ersuchung besteht Vorangezogener Wÿdum
Anfänglich in seinem Achtzehenden theil ane der ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal gelegenen Gast behaußung zum Großen hirsch genannt,
2° Ferner in Zween Neünten theilen ane der sothaner Gast behaußung anliehenden Nebens behaußung und
3° So dann in einer haubtsumm von 1082. lb (…)
Einnahm Geldt ane verfallenen Haußzinnßen bis auf Michaelis tag 1781 gerechnet als die Zeit, von welcher an der H Grün der Wÿdums Nießer sich des Ihme anverschafften Wÿdums genuß gäntzlichen und überhaubt begeben
Erstlichen so hat Er H. Grün Von H. Philipp Jacob Scheiber dem bierbrauer ane haußzinnß von zweÿ Jahr von Michaelis Tag 1779. bis wieder dahien 1781 gerechnet à 56. lb des Jahrs eingenommen 112.
It. Von diebold Von Friedolsheim zuwor Diebold Mötschel ane Tabackbühnen zinß vor 2 ¾ Jahrs Von Weÿhenachten 1778. bis Michaelis 1781 gerechnet à 5. lb d. des Jahrs 13. lb 15. ß (…)
It. hat Er H. Grün Von Joseph Gaßer ane haußzinnß vor 2 Jahr Von Michaelis tag 1779. biß daher 1781. gerechnet à 12. lb des Jahrs empfangen 24. lb
It. Von einer Frauen ane Zinnß von dem Barraque Vor 1 ¾. Jahr Von Michaelis tag 1779. bis aug Johannis Baptistæ tag 1781. gerechnet à 5 lb des Jahrs 8 lb 15 ß
ferner von solchem Baraque für I. Monath 10 ß
Item Von Philipp Mauderer ane hauß Zinnß Vor 2 ½ Jahr Von Annunciationis Mariæ 1779 an biß Michaelis tags 1781 gerechnet à 10. lb d des Jahrs, 25. lb
Item Von Georg Schott ane hauß zinnß Vor ¾. Jahr als pro quartali Weÿhnachten 1779 und Ostern ane Joh: Baptistæ quartal 1780 à 10. lb d des Jahrs 1 lb 10
It. Von Anthoni Horn ane hauß zinns Von ged. Schotts wohnung für die 2. letztere quartal 1780. à 10. lb des Jahrs 5 lb
Vor das Oster quartal 1781 ist derselben den Zinnß annoch schuldig, weilen Er nächslicher Weil ausgezogen
Item Von Meister N. Koch dem Schneider welcher nachhero gedacht Wohnung bezogen, ane Zinnß vor ½ Jahr Von Annunciationis Mariæ 1781. bis Michaelis tags dahien gerechnet auch à 10. lb des Jahrs 5
It. Von Georg Keller hat ged. Grün ane hauß Zinnß Vor 2 Jahr von Michaelis 1779 bis dahien 1781. à 24. lb des Jahrs erhalten 48
Vor demselben ferner für heubühnen zinnß Vor das Michaelis quartal 1781. à 7. lb 10. des jahrs 1. 17. 6
Item so wird Von Ihme Herrn Grün Vor sich selbst ane heubühn Zinnß für 1 ¾ Jahr Von Michaelis tag 1779 bis auf Johannis Baptista tag 1781. da solche gemeldter Georg Keller in Lehnung genommen gerechnet à 6 lb des jahrs 10. 10.

Jean Jacques Grün meurt en 1789 dans une maison derrière Saint-Nicolas. L’actif de la succession s’élève à 3 054 livres, le passif à 2 331 livres.
1789 (14.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1442) n° 855
Inventarium über Weiland H. Johann Jacob Grün, des ältern gewesenen Gastgebers und burgers alhier zu Straßburg nun seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1789 – nach seinem den 13.den Februar. 1789. aus dießerWelt genommenen tödlichen hintritt, hier zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen der gleich hach diesem Eingang benandter anwesenden Erbs- Interessenten inventirt, durch Frau Mariam Barbaram gebohrne Grünin, weiland H Christian Gerold, gewesenen Caminfegers und burgers dahier hinterbliebene Wittib, sein des Verstorbenen eheleibliche Schwester, und Jgfr. Maria Salome Frießin, von hier gebürtig (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg, mit Zuziehung H Abraham Reÿbel, E. E. grosen Raths alten und E. E. Kleinen Raths alhier dermalige beisitzers, als hierzu wegen der einen unverburgerter und auser dem Königreich verheüratheter Erbin ernannter H. Deputatus, auf Samstag den 14. Martii Anno 1789.
(f° 4) Der Verstorbene hat ab intestato zu seinen einigen Erben hinterlassen benandlich. I.mo Weiland Fraun Annä Mariä gebohrner Grünin, mit H. Johann Michael Braun, dem Seidenhändler und burger alhier ehelich erzeugte drei Kinder als a) Johann Michael Braun den ledigen Paßmentirer, b) Johann Jacob Braun den ebenmäsigen Paßmentirer und c) Johann Friderich Braun den ledigen Keller, deren geordnet und annoch ohnentledigter Vogt ist gleich hernach gemelter Hr Johann Jacob Grün der jüngere, weil derselbe aber hiebei selbst interessirt, als ist zu einem theilvogt Obrigkeitlich ernannt worden Hr Philipp Schmidt der Huefschmidt und burger alhier, welcher in seiner Qualitæt gegenwärtiger Inventur persönlich beigewohnet und seiner Curanden Interesse besorget hat. Diese 3. Braunische Kinder als des Verstorbenen Enckel ins gemein für den ersten sechsten Haupttheil.
2.do Hr Johann Jacob Grün der jüngere Gastgeber und burger alhier, hiebei zugegen, vor den 2.ten sechsten Haupttheil, 3.tio Frau Maria Salome gebohrne Grünin, H. Johannes Dürr des Schultheis und Gastgebers Zu Bischoffsheim am hohen Steeg, Hochfürstl. Heßen Hanau Lichtenbergischer Herrschafft Ehegattin, in deren Namen gemelter Hr Johann Jacob Grün, als von derselben hierzu bevollmächtigt zu seÿn declarirte, hiebei erschienen, in den dritten sechsten Haupttheil, 4.to H. Johann Daniel Grün, der Knöpffmacher und burger dahier, welcher bei dieser Inventur persönlich anwesend war, in den vierten sechsten Haupttheil, 5. H. Johann Friderich Grün, den Gastgeber und burger alhier, so hiebei persönlich anwesend war, in den fünften sechsten Haupttheil, So dann 6. H. Philipp Jacob Grün, den ebenmäßig Gastgeber und burger alhier, welcher dieser Inventur in Person beigewohnet hat, in den letzten sechsten Haupttheil, Alle 6. des Verstorbenen mit weiland Fraun Anna Maria gebohrner Stammin deßen im Leben gewester Ehegattin ehelich erzeugte Söhn, tochter und der Verstorbenen tochter nachgelaßene 3. Kindern, diesortige Enkel, als ab intestato zu 6. gleichen Haupttheilen nachgelaßeneer Beneficial Erben

(f° 2) In einer alhier Zu Straßburg hinter St Niclaus gelegenen so hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 6) Wÿdem Welchen der Verstorbene von Fraun Anna Maria gebohrner Stammin deßen in Leben gewesener Ehegattin, bis an sein Lebens Ende genoßen hat. Zufolg summarischen Calculi (…) durch H. Not. Dautel den 7. Maÿ 1785. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 100, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 29, Sa. Golds 13, Sa. Schulden 2911, Summa summarum 3054 lb – Schulden 2331, Nach deren Abzug 722 lb
Stall Summ 1332 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 2 600 florins
1789, Livres de la Taille (VII 1181)
Freÿburger N° 1540 – Weÿland H. Johann Jacob Grün, des ältern geweßten Gastgebers und Burgers alhier Verlaßenschaft inventirt H. Notarius Zimmer
Conclusio finalis Inventarii ist fol. 33 deductis deducendis 1332 lb 11 ß 4 11/30 d, diese machen 2600 fl. verstallte 2400 fl. also Zuwenig 200 fl.
Es wird aber der Nachtrag nur vor Vier Jahr angesetzt, und Zwar in simplo, als seit dem tod seiner Ehefrau thut à 6 ß – 1 lb 4 ß
Extat Stallgeld pro 1786. bis 1789. incl. von Vier Jahr à 4 lb 19 ß – 19 lb 16 ß
Gebott – 3 ß 2 d
Abhandlung – 2 lb 19 ß 6 d – Summa 24 lb 2 ß 8 d
dt. 13. Junii 1789.

Marie Dorothée Lutz femme du pêcheur Jean Memminger rachète la moitié de l’auberge au Cerf et en devient seule propriétaire.

1783 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 657 n° 469-v
Ludwig Wilhelm der gastgeber als vogt weÿl. Fr. Maria Dorothea geb. Kleinin in I. ehe mit auch weÿl. Johann Jacob Lutz gewesten gastgebers erzielte tochter nahmens Margaretha als enckelin und erbin weÿl. Philipp Jacob Lutz des gastgebers
in gegensein Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Lutzin Johannes Memminger des fichers dißorthen curandæ tante
die helffte vor unvertheilt von und ane der zum Hirsch geschildete behausung, höfflein, hoffstatt, gärtlein mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospital über, eins. ist ein Eck ane dem spithal gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel, anders. neben H. Steinbach dem metzger, vornen den Staden am blumengießen, hinten Johann Georg Keller den melcker – davon gibt mann auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 gulden ane bodenzinß – die gantze behausung H. Johann Jacob Grün dem älteren ehemaligen gastgeber mit natural genuß verfangen (…) auff sothane natural gennuß verzug gethan (…) wÿdum genuß mit 1691 R vorbehalten in abschlag deren auch auß dem erlöß der nebens behausung so an vorbenannten Keller den melcker verkaufft worden, berechnung Not Dautel – um 450 gulden

L’acquéreuse hypothèque le même jour la maison au profit de Jean Jacques Grün l’aîné (ancien usufruitier)

1783 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 657 n° 471-v
Johannes Memminger der fischkäuffer und Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin mit assistentz Johann Jacob Grün des jüngeren gastgeber und Johann Daniel Grün des seidenhändlers beede ihrer stieffbrüder
in gegensein H. Johann Jacob Grün des älteren ehemaligen gastgebers in deßen nahmen der actuarius stipulire – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, die zum Hirsch geschildete behausung ane der vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospital über eins. ist ein Eck ane dem spithal gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel, anders. neben H. Steinbach dem metzger, vornen den Staden am blumengießen, hinten auf Johann Georg Keller den melcker – auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 gulden ane bodenzinß

Fils de pêcheur, Jean Memminger épouse en 1757 Marie Dorothée Lutz : contrat de mariage, célébration
1757 (15.2.), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 281
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Memminger, dem Ledigen Fischer und burger allhier zu Straßburg, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Memmingers des geweßenen Fischers und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Susanna Margaretha gebohrner Deublerin, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb an einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Maria Dorothea Lutzin, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Lutzen des geweßenen Gastgebers und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren und tugendreichen frauen Maria Dorothea gebohrner Kleinin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehler tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil – den 15. Februarÿ 1757 – [unterzeichnet] Johannes Memminger als hochzeiter, Maria Dorothea lutzin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 208 n° 4)
Anno 1757. d. 7.te Martÿ Seind allhier (…) Zur Ehe eingesegnet worden, Johannes Memminger, lediger fischer und burger allhier weÿl. Johann Memmingers geweßten fischers und burgers allhie u. Susanna Margaretha Däublerin nachgelaßener ehl. Sohn, und Jungfrau Dorothea Weÿl. H Jacob Lutzen geweßenen Gastgebers und burgers allhie und Dorothea Kleinin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Memminger als hochzeiter, dorothea lutzin als hochzeiterin (i 213)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 536 livres, ceux de la femme à 213 livres, non comprise la valeur de sa part de maison.

1758 (30.10.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 392) n° 786
Inventarium über des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Memmingers, des Fischers und der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä Memmingerin gebohrner Lutzin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteten heüraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30. octobris Anno 1758.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau im Hammengäßel gelegenen in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Antheil ane häußern. (F.) Nemblichen ein drittertheil für ohnvertheilt Von und ane Zweÿen häusern allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber gelegen, deren das eine die Gastherberg Zum Großen Hirsch genand in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt und allen darzu gehörigen gebaüen bestehend, das andere aber auch in Vorder: und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen übrigen dero gebäuen bestehend, neben Vorerwehnter Gastherberg Liegend, Worvon die Gast behaußung Zum Großen Hirsch genand der Statt Straßburg Pfenningthurn umb 2. lb. d Jährlichen Allmend zinnßes, Ferner die beede Häußer dem Dannhaurischen und Gottwaldischen Stipendio umb 200 lb, Mehr Mir Notario Johann Rudolph Dinckel umb 200. lb d Weiter dem mehrern Hospital allhier umb 250. lb, Item Weÿland herrn Johann Daniel Braunen geweßenen Bancquiers und Ex Senatoris seeligen Frau Wittib umb 200. lb. alles ane Capital, So dann herrn Johann Jacob Grün dem Gastgeber Zum Kleinen Hirsch und burgern allhier der Ehefrauen herrn Stieffvatter, umb den, Ihme von Weÿland Frauen Maria Dorothea Gebohrner Kleinin seiner Erstern Ehegattin, als der Ehefrauen eheleiblicher Mutter seeligen Verordneten Lebtägigen Wÿdembs genuß Verhafftet, Sonsten aber gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und wird der hiehero gehörige drittetheil dißorths mit allerseithigen belieben ahne Anschlag gelaßen. Die übrige Zween dritte theil aber seind der Ehefrauen Zweÿen eheleiblichen brüdern für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig.
Hievon seind die biß in Martium 1757. als Zu dißortiger Verheurathung Verfallene haußzinnß zu hiehero gehörigem antheil zusamt dem Ihro der Ehefrauen in Ihres Vormahlig geweßenen Vogts herrn Frantz Heinrich Gimmig des Meelwägers und burgers allhier biß Joh. Baptistæ 1756. abgelegten Vogteÿ Rechnung ausgefallenen Activ: Recess zuvor einzubringen, aber beedes gegen denen biß vorgedachte Zeit nemlich in Martium 1757. Verfallenen Wieder: und Wÿdembs Zinnßen auch Reparations Kösten, nicht weniger denen zween drittentheilen so sie Ihren Zween brüdern ane denen 125. lb wie hieoben beÿ der baarschafft erwehnet, Von herrn Grün empfangenem gemeinschafften Capital heraus zugeben har, Zuverrechnen, welches alles dißorts auf künfftig erfolgend abrechnung außgesetzt verbleibet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 39, Sa. Schiff und geschirr zum Fischer gehörig 84, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. baarschafft 190, Sa. Pfenningthurn 112, Sa. Schulden 60, Summa summarum 502 lb – halbe theil ane denen haussteuren 33 lb, des Ehemanns Völlig in die Ehe gebracht Guth 536 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 73, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 74, Sa. Antheils ane Häußern Nihil, Summa summarum 179 lb – halbe theil ane denen haussteuren 33 lb, der Ehefrau Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 213 lb
Beschluß summa 750 lb

Marie Dorothée Lutz vend la maison pour 1 200 livres au batelier Jean Georges Kieffer et à sa femme Susanne Salomé Ochs

1784 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 658 n° 294
Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin Johannes Memminger des fischers ehefrau
in gegensein Johann Georg Kieffer des schiffers und Susannæ Salome geb. Ochßin unter assistentz Daniel winter des schuhmachers und Martin Heckman des Schiffknechts
die zum großen Hirschen geschildete behausung, höfflein, hoffstatt, gärtlein mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Krautenau gegen dem frantzösichen hospital über, einseit ist ein Eck ane dem Spital gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel anderseit neben H. Steinbach dem metzger vornen den Staden am Blumengießen hinten auff Georg Keller den melcker – davon gibt man auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 fl. ane bodenzinß – als ein zum theil ererbt zum theil von deren miterben unterm 11. 9.bris 1783 cedirt erhaltenes hauß – um 2300 gulden

Le garçon batelier Jean Georges Kieffer épouse en 1760 Susanne Salomé Ochs, fille du garçon batelier Jean Philippe Ochs : contrat de mariage, célébration
1760 (17.11), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 350) n° 404
(Eheberedung) erschienen Johann Georg Kiefer der ledige Schif Knecht, Johann Georg Kiefer des nunmahligen Pfründers in dem mehrern Hospithals und burgers alhier mit weiland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Nussin ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand Joh: Friderich Kiefer des tabackbereiters und burgers alhier seines leibl. bruders als hochzeiter ane einem
Sodann Jungfrau Susanna Salome Ochßin, Joh: Philipp Ochß des Schif Knechts und burgers alhier mit frauen Elisabetha gebohrner Burrerin ehelich erzeugte Tochter mit assistentz Johann Jacob Wagner des ebenmäßigen Schif Knechts und burgers dahier ihres vettern – auf Montag den 17. Novembris Anno 1760. [unterzeichnet] Johann Georg Kieffer als hochzeiter, Susana Salome Ohsin als hischzin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 233 n° 15)
Anno 1761 d. 13. Maji. Seind (…) Zur Ehe eingesegnet Worden Johann Georg Kieffer, lediger Schiffknecht u. burger allhie, Johann Georg Kieffers, Gümpel käufflers u. burgers allhie, und Susanna Nußin ehl. Sohn, und Jungfrau Susanna Salome, Philipp Ochßen, Schiffknechts u. burgers allhie und Elisabetha Burerin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jorg Kieffer ams hochzeiter, Susana Salome Ohsin Als hochzerin (i 238)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au commissaire priseur Jean Jacques von Zabern à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 53 livres, ceux de la femme à 88 livres.
1761 (10.7.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 335) n° 818
Inventarium über Johann Georg Kiefer, des Schifknechts und Frauen Susannæ Salome gebohrner Ochßin, beeder Ehepersohnen und burgere alhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – in ihren ohnlängst. angetrettenen Ehestand kraft deroselben den 17.ten 9.bris 1760. vor mir Notario mit einander aufgerichteter Eheberedung §° 4.to für ohnverändert Zugebracht – So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg in fernerer Gegenwarth Jacob Ochß der Schiff Knechts u. b. alh. der Ehefrauen leibl. bruders als deroselben assistenten, wie auch Frauen Elisabethæ Ochßin geb. Burrerin deroselben leibl Mutter, auf Freÿtag den 10. Junÿ Anno 1761.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Crautenau gelegener Hn Joh: Jacob Von Zabern dem geschwornen Käufler eigenthümlich zuständiger und dißorths Zum theil lehnungsweis bewohnender behausung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 7, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 18, Summa summarum 30 lb – haussteuren 22 lb – des Ehemanns völliges in die ehe gebrachtes Vermögen 53 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 47, Sa. silbers 10, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 2, Summa summarum 65 lb – Sa. Haussteuren 22 lb – der Ehefrauen samtl. in die ehe gebrachte Nahrung 88 lb

Inventaire dressé dans la maison Kieffer après la mort de la locataire Anne Marguerite Voll

1795 (1 nivose 4), Strasbourg 5 (7), Not. Grimmer n° 262
Inventarium über Weiland der burgerin Anna Margaretha Voll der ledigen großjährigen zu Straßburg Verlaßenschafft, nach ihrem den 20. dieses monats geschehenen Absterben hinterlassen, auf Ansuchen bürger Johann Friedrich Groß hiesiger Gastgäber beÿ welchem die Verstorbene sich aufgehalten als auch der bürger Johann Georg Kiefer der Schiffmann, den 24. frimaire 4
benennung der Erben, da der Verstorbenen Erben ohnbekannt sind, zum Curator ernannt der bürger Martin Hosch
In einer ohnweit dem hospital Sedentaire gelegenen zum Hirsch genanten und dem bürger Kiefer hiesigen Schiffmann gehörigen behaußung
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 88 li, activ schulden &, summa 88 li, schulden 160 li, In Vergleichung 71 li
Enregistrement, acp 38 F° 121 du 5 nivose 4

Le batelier et marchand de bois Jean Georges Kieffer meurt en 1805 en délaissant six enfants

1805 (16 mess. 13), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 463
Inventaire de la succession de feu Sr Jean Georges Kieffer le vieux vivant Batelier et Marchand de Bois décédé le 9 prairial dernier, à la requête de Susanne Salomé Ochs la veuve assistée du Sr Jean Charles Seyler aubergiste, ainsi que Jean Georges Kieffer le jeune, Daniel Kieffer, André Kieffer ces trois bateliers, Jacques Kieffer tourneur, Catherine Salomé Kieffer femme du Sr Michel Münch cabaretier et Marguerite Salomé Kieffer fille majeure d’ans enfants et héritiers du défunt procréés avec la veuve

en la maison mortuaire cy après designée
propres de la veuve, 412 fr
propres des héritiers, habits 119 fr, dettes actives 214 fr, total 333 fr, passif 273 francs
communauté, meubles 835 fr, argenterie 61 fr, Bateaux et ustensiles de Batelier 959 francs
Propriété d’une maison, Sçavoir une Maison Cour puits avec toutes ses appartenances et dépendances scize en cette ville fauxbourg Krautenau vis à vis l’hopital militaire appellée au grand cerf N° 27, d’un côté un Coin au Ruisseau de l’hopital militaire proche l’ecluse dite blumen gießen et le quartier des Suabes, d’autre Georges Ehrhart jardinier, pardevant le Quai, parderrière Georges Keller laitier, grevée d’une rente foncière annuelle de 8 fr payable au 4 messidor de chaque année a la commune de cette ville, estimée 10.000 francs – propriété constatée par acte passé à la Chambre des Contrats le 5. aout 1784
total général 11.855 fr, passif 6787 fr, reste 5067 fr
Observation, Contrat de mariage par devant Me Jean Frédéric Lichtenberger 17. nov. 1760
Dispositions testamentaires – in einer allhier in der gegend des sogenanntes Schwabenländleins ohnfern der hechtenbruck nahe beÿ dem frantzösischen hospithal gelegenen mit N° 27 bezeichneten zum grosen hirtzen genannten ihme und seiner Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behausung (…) in einer auf dem boden unten befindlich mit zweÿen Creutzstock fenstern auf das waßer und auf den Gaulstaden außsehenden gewohnlichen Wohnung, 3. will er disponent seinen beeden söhnen Johann Daniel Kieffer dem schiffmann und Johann Andres Kieffer dem Steuermann die ihme an eingangs bemeldeter zum grosen hirtzen genannter behausung und allen dero zugehörden, worunter der im hoff stehende Stall samt hinterhäußlein begriffen und Verstanden sind, zuständigen zween dritte theil um einen preiß von 8000 lit., das gantze zu 12 000 lit. oder 11.851 francken angeschlagen habe – den 29 germinal 12, Not. Anrich
(Joints) Notoriété Jean Georges Kieffer naissance paroisse St Pierre le Vieux le 30. jan. 1737, Susanne Salomé Ochs paroisse St Guillaume 16. fev. 1739
Extrait de naissance, Susanna Salome dessen Eltern Johann Philipp Ochs Schiff: Knecht und burger allhier und Anna Elisabetha Bürerin
Johann Georg Par: Johann Georg Kieffer burger und Arbeiter auf dem bruckhoff et Anna Elisabetha geb. Nussin
Enregistrement de Strasbourg, acp 97 f° 25 du 22 mess 13

Le cohéritier Daniel Kieffer prend à bail la maison

1806 (20.9.), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 929 – Joint à l’Inventaire n° 463
Transaction – Susanne Salomé Ochs veuve de Jean Georges Kieffer le vieux vivant Batelier et Marchand de Bois, Jean Georges Kieffer le jeune, Daniel Kieffer, André Kieffer ces trois bateliers, Jacques Kieffer tourneur, Catherine Salomé Kieffer femme du Sr Michel Münch cabaretier et Marguerite Salomé Kieffer fille majeure d’ans enfants et héritiers du défunt procréés avec la veuve
que par l’article 3 il a évalué en faveur de ses deux fils Daniel et André Kieffer les deux tiers a lui competans dans une maison Cour puits et ses appartenances sise en cette ville vis à vis l’hopital militaire appellée au Grand Cerf marquée du n° 27 à 8000 francs
à Daniel Kieffer
bail de 6 ans, la susdite maison au grand Cerf de la Cour de ses bâtiments et toutes ses appartenances et dépendances à l’exception des appartements occupés présentement par la veuve, à commencer de la St Michel prochain, moyennant un loyer annuel de 800 francs
Enregistrement, acp 100 f° 180-v du 27.9.

Marguerite Dorothée Graff, bru du propriétaire et femme du batelier André Kieffer, meurt en 1807.

1808 (13.2.), Strasbourg 3 (31, 2), Not. Übersaal n° 1060, 4179
Inventaire de la succession de Marguerite Dorothée Graff épouse d’André Kieffer batelier décédée le 6 dec. 1807 – à la requête du veuf, commun en biens en vertu du contrat de mariage passé par devant Me Anrich le 29 germinal 11
dans une maison située vis à vis de l’hopital militaire n° 27 dépendant de la succession du père du comparant
propres : apports meubles, garde robe 662 fr
Enregistrement, acp 104 F° 174 du 16.2.

Le batelier et marchand de bois Jean Georges Kieffer meurt en 1810. Ses biens comprennent le sixième indivis de la maison

1810 (24.9.), Strasbourg 7 (27), Not. Stoeber n° 2359
Inventaire de la succession de Jean Georges Kieffer batelier et marchand de bois décédé le 3 juin dernier – à la requête de Catherine Madeleine Mutterer la veuve, à cause de la communauté de biens par contrat de mariage passé devant Me Lung le 1 oct. 1785, mère et tutrice naturelle de 1. Frédéric Charles 19 ans, 2. Sophie Caroline 17 ans, 3. Louis Savine 14 ans, 4. Salomé 10 ans et à la requête de 5. Madeleine Kieffer majeure – en présence d’André Kieffer maître batelier tuteur subrogé

en la demeure du défunt quai du brochet n° 12
Part de maison. Le 6° par indivis d’une maison, cour puits avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau vis à vis de l’hôpital militaire appelée au grand Cerf n° 27, d’un côté au coin du ruisseau de l’hôpital militaire proche l’écluse dite Thunengießen et le quartier des Suabes d’autre Georges Ehrhart jardinier, devant le quai, derrière Georges Keller laitier – chargée d’une rente foncière de 8 francs payable au 4 mess. correspondant au 23 juin – échue de la succession de son père, inventaire Me Anrich le 16 messidor 13, lettre d’achapt passée à la Chambre des Contrats le 5 août 1784 – elle est louée au Sr Daniel Kieffer marchand de bois pour 800 fr, en capital 16.000 francs dont le 6° fait 2666, cette maison est grévée d’usufruit au profit de Susanne Salomé Ochs veuve dudit Georges Kieffer
maison appartenante à la veuve. Une maison sise en cette ville faubourg de la Krautenau quai du brochet n° 12, d’un côté la maison acquise durant la communauté d’autre le Sr Giesbrecht abou. sur le Sr Habersoth – échue à la veuve dans la succession de Michel Mauderer batelier son père, Jean Michel Mauderer homme de lettres son frère en partie suivant inventaire Me Ubersaal 7 dec. 1787, Cette maison a été originairement acquise à la Chambre des subhastations le 1 mars 1753
Maison dépendant de la communauté. Une maison avec cour, bâtiments, appartenances et dépendances sise en cette ville quai du brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant à la veuve, d’autre Jean Stamm, devant la rivière, derrière les héritiers Giesbrecht – acquis souss. le 4 avril 1710 occupée par le Sr Schmutz pêcheur pour 160 fr, en capital 3200 francs
Dépouillement. masse commune, meubles 326 fr, bateaux 1098 fr, bois de chauffage 180 fr, maison 3200 fr, total 4804 fr, passif 3620 fr, reste 1184 francs
masse des héritiers, moitié de la communauté 592 fr, remplacement 300 fr, garde robe 227 fr, maison 2666 fr, total 3785 fr, passif 1016 fr, reste 2769 francs
prétentions de la veuve, moitié de la communauté 592 fr, don matutinal 200 fr, meubles 833 fr, total 1625 fr, déduire le passif 1000 fr, reste 625 francs
Enregistrement, acp 115 F° 133-v du 1.10.

Susanne Salomé Ochs meurt en 1811
1812 (27.1.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1257, 6005
Inventaire de la succession de Susanne Salomé Kieffer née Ochs veuve de Jean Georges Kieffer bâtelier décédée le 19 oct. dernier délaissant I. les 5 enfants de Jean Georges Kieffer batelier procréés avec la veuve Catherine Madeleine Mauderer 1. Susanne Madeleine Kieffer épouse de Martin Engel charpentier, 2. Charles Frédéric garçon batelier 20 ans, 3. Sophie Caroline 18 ans, 4. Sabine Louise 15 ans et Salomé 11 ans, subrogé tuteur Jean André Kieffer batelier
II. Jean Daniel Kieffer bâtelier, III. Jean André Kieffer bâtelier, IV. Jean Jacques Kieffer tourneur, V. Catherine Salomé Kieffer épouse de Jean Michel Münch cabaretier, VI. Marguerite Salomé Kieffer épouse de Jean Daniel Fischer pilote
meubles 495 fr, capitaux portant rente 2585 fr
Joint : réglement de la vente de la maison quai des fleurs n° 27 vis à vis l’hopital militaire a l’enseigne du Cerf
Enregistrement, acp 118 F° 183-v du 28.1.

Le charpentier Jean Martin Engel meurt dans la maison en 1812. Une part de la maison appartient à sa femme Madeleine Kieffer

1812 (21.8.), Strasbourg 4 (41), Not. Stoeber n° 1998
Inventaire de la succession de Jean Martin Engel charpentier décédé le 7 juillet dernier – à la requête de Madeleine Kieffer la veuve mère et tutrice légale de Charles Auguste seul et unique héritier de son père – en présence de Jean Jacques Engel journalier subrogé tuteur – Contrat de mariage devant Me Stoeber le 1 août 1811
dans la maison quai des fleurs n° 27
meubles apportés en mariage par la veuve 592 fr, remplacements 600 francs
Immeuble. un 30° par indivis d’une maison, cour, puits avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau vis à vis de l’hôpital militaire appelé au Grand cerf n° 27, d’un côté le coin au ruisseau de l’hôpital militaire proche l’écluse dite Blumengiesen et le quartier des Suabes, d’autre Georges Ehrhart jardinier, devant le quai, derrière Georges Keller laitier – chargé d’une rente foncière de 8 francs
plus le 10° d’une maison avec cour, bâtiments, appartenances et dépendances sise en cette ville quai du brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant à la veuve Kieffer d’autre Jean Stamm, devant la rivière, derrière les héritiers Giesbrecht – estimée 300 fr, échus de la succession de Jean Georges Kiefer son père
du à la veuve, 200 fr, total 2192 fr, passif 400 fr, reste 1791 francs
propres du défunt meubles 76 fr, passif 200 fr, déficit 124 francs
communauté. meubles 69 fr, bois de construction 323 fr, total 392 fr, passif 3170 fr, déficit 2778 francs
Enregistrement, acp 120 F° 99 du 31.8.

Jean Martin Engel avait épousé Madeleine Kieffer l’année précédente.
1811 (1.7.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2083
Contrat de mariage – le Sr Jean Martin Engel, charpentier domicilié en cette ville, fils de feu le Sr André Engel charpentier a Eckbolsheim et de feu De Catherine Münch comme futur époux d’une part
et Delle Madeleine Kieffer, fille majeure de feu le Sr Georges Kieffer vivant marchand de bois et batelier en cette ville et de De Catherine Madeleine Mutterer icelle domiciliée à Strasbourg comme future épouse
Enregistrement, acp 117 F° 119 du 8.7.

Jean Georges Erhard acquiert la maison par adjudication rendue au tribunal civil le 7 juin 1811.
Fils de jardinier, l’horticulteur Jean Georges Erhard épouse en 1791 Anne Marie Schwing fille d’un jardinier de la Robertsau : contrat de mariage, célébration

1791 (10. 8.br), Not. Zimmer (Georges Frédéric, 6 E 41, 1493) n° 18
(Eheberedung) persönlich erschienen Johann Georg Erhard der ledige Kunstgärtner allhier Johann Georg Erhard des Gärtners mit weiland Fraun Margaretha Salome gebohrner Strebin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter an einem
So dann Jungfrau Anna Maria Schwingin, Johann Jacob Schwing des Ackersmanns in Ruprechts: au mit Fraun Anna Maria gebohrner Walterin ehelich erzeugte Tochter als braut ane dem andern theil – den 10. Octobris 1791 [unterzeichnet] Jean Gorge Erhart, Anna Maria Schwingin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 137, n° 61)
Im Jahr Christi 1791 den 19. Octobris sind (…) copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Ehrhardt der ledige Kunstgärtner und burger allhier weiland Johann Georg Ehrhardts Kunstgärtners und burgers allhier und weiland Frau Margaretha Salome gebohrner Strebin ehelicher Sohn und Jungfer Anna Maria Schwingin aus der Ruprechtsau Johann Jacob Schwing ackersmanns daselbst und fraw Annä Mariä gebohrner Walterin eheliche tochter, der hochzeiter ist 25. die hochzeiterin 24 Jahr alt. Als Zeugen haben unterschrieben Herr Johann David Zocher als Stiefvatter und Pfetter des hochzeiters(…) – [unterzeichnet] Johann Georg Erhart als Hochzeiter, Anna Maria Schwingin Als Hochzeiterin (i 128)

Georges Erhard loue une partie de la maison à Michel Rudolph

1819 (10.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 44 ssp du 5.5.1819
L’accord suivant a été conclu ce jour entre nous, Michel Rudolph et Georges Erhard, par lequel le Sr Erhard
donne à bail au Sr Rudolph
le magasin au Cerf près l’hopital français /:militaire:/ avec la petite maisonnette et la treille. Le Sr Erhard accorde au Sr Rudolph la libre entrée avec voitures par la grande porte, il est aussi permis au Sr Rudolph de faire établir une porte cochere au magasin afin que les charrettes pour le transport du bois puissent entrer et sortir. La cloison qui entoure le magasin restera telle qu’elle est, cependant le Sr Rudolph pourra la reparer ou enlever. Le bail commence au 5 mai 1819 pour durer jusqu’au 5 mai 1821 (…) moyennant 250 francs pour le magasin et la maisonnette

Jean Georges Erhardt et Anne Marie Schwing exposent infructueusement la maison aux enchères

1819 (11.8.), Strasbourg 8 (27), Not. Roessel n° 6634
Enchère – Jean Georges Erhardt, jardinier, et Anne Marie Schwing
vente par enchère d’une maison avec cour, petit pavillon, aisances et dépendances située en ladite ville au coin du quai des Fleurs n° 27 vis à vis de l’hôpital militaire ayant pour enseigne le Cerf, d’un côté le requérant, d’autre le Sr Keller laitier – acquis des veuve et héritiers Jean Georges Kieffer batelier adjudication rendue au Tribunal Civil le 7 juin 1811 et déclaration de command même jour – criée 12.000 francs
adjudication provisoire au Sr Zix graissier pour 13.200 francs
n° 6670 du 27 août, personne ne s’est présenté remis au 3 sept. [pas d’acte ultérieur]

La maison est vendue par expropriation forcée contre le jardinier fleuriste Georges Erhard et Anne Marie Schwing au tribunal civil. Les différents bâtiments sont décrits avec précision. L’acquéreur est le marchand de bois Michel Rudloff.

1820 (25.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 130, n° 17
Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par voie d’expropriation forcée des immeubles réellement saisis sur Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing – Cahier des Charges vente par expropriation forcée de deux maisons, jardins potagers et 40 ares de terre, M Philippe Jacques Bloechel, avocat avoué près le Tribunal Civil de Première Instance demeurant à rue du Bouclier n° 6 occupant pour le Sr Jean Marie Riche, limonadier demeurant à Strasbourg, lequel est créancier de 1. une somme principale de 8000 francs suivant obligation passée par devant Me Lex le 12 juin 1811, 2. 4000 francs par cession par devant Me Zimmer le 17 oct. 1816, 3. 2000 francs aussi portée dans ladite cession, plus 1750 francs
Me Bloechel avoué
Déclaration de command du 4 mai à Michel Rudloff, marchand de bois
Désignation des immeubles saisis telle qu’elle a été inscrite dans le procès verbal de saisie 1. article premier, une maison sise à Strasbourg rue dite près de l’hôpital militaire n° 27, d’un côté la maison de Jean Georges Keller d’autre les parties saisies devant le quai des Fleurs derrière ledit Keller
1° bâtiment 1° corps de logis, Cette maison consiste en un grand poele d’auberge a une porte et deux croisées sur le quai, une croisée et une porte dans la cour, deux croisées vers l’hôpital, à côté il y a une petite cuisine à une croisée donnant dans la cour, à côté il y a une chambre a deux croisées sur le quai, à côté il y a une chambre à coucher à une croisée et une porte qui donne dans la cour, une à coucher a une croisée sur le quai occupé par le Sr Schwob cabaretier. 2. Le premier étage est composé d’une chambre à une croisée sur le quai et une croisée vers l’hôpital a côté il y a une autre chambre à deux croisées, derrière il y a une cuisine à une croisée, en face de la cuisine il y a une chambre donnant sur le quai occupé par les parties saisies, 3. une autre chambre à deux croisées sur le quai a côté il y a une chambre à coucher à une croisée sur le quai, derrière il y a une cuisine et un vestibule à deux croisées sur la cour, occupé par Adam Antoine, batelier, au dessus il y a des mansardes à lucarnes plus greniers et au dessus encore des greniers,
2° bâtiment corps de logis, 1. dans le vestibule, une pompe à droite de la porte d’entrée une chambre à deux croisées sur le quai, à côté il y a une autre chambre à coucher a deux croisées qui donnent sur la cour, derrière il y a une cuisine sur la cour occupée par le Sr Daniel Riebel sur le derrière il y a une grande cave. Premier étage 2. au dessous il y a une cuisine qui prend jour dans le vestibule, une chambre à une cuisine [sic] qui prend jour dans le vestibule une chambre a une croisée dans la cour et une autre chambre a une croisée sur le quai occupée par Sophie Willmann, 3. une chambre de deux croisées qui donne sur le quai a côté il y a une chambre à coucher a une croisée et une cuisine occupée par les parties saisies, 4. une chambre a deux croisées sur la cour, à côté il y a une cuisine à une croisée sur la cour, à côté une autre chambre a coucher à une croisée sur la cour occupée par le Sr Jean Jacques Velten, au dessus il y a des mansardes et des greniers consistant en deux pièces à une croisée, lucarne (?) et une cuisine occupée par le Sr Eichinger, derrière il y a dans un autre bâtiment au rez de chaussée une chambre à deux croisées dans la cour une cuisine à côté et a côté de cette cuisine il y a une chambre à une chambre [sic] a une croisée dans la cour, au dessous il y a une cave occupée par le Sr Brandt.
Troisième bâtiment, le premier étage est composé d’une chambre à deux croisées sur la cour, d’une cuisine a une croisée sur la cour, a côté il y a une chambre a coucher à deux croisées sur la cour, occupée par le Sr Courtel, au dessus il y a des mansardes et des greniers. Ladite maison avec ses appartenances et dépendances section LL n° 211 a un revenu net de 176 fr 80 d’après la matrice du role de 1819 et paye une contribution foncière de 59 fr 85. Ledit bâtiment bati bois, pierre, chaux, brique, argile couvert de tuiles situé sur un fond d’environ 5 ares, (fait) le 13 juillet 1819, mise à prix 500 francs
le 25 nov., remis l’adjudication à quatre mois – remis à quatre mois le 24 février – Adjudication définitive du 4 mai 1820, pour 8000 francs

Alors fossoyeur à l’hôpital militaire, Jean Michel Rudloff épouse en 1795 Marie Catherine Kling, originaire de Marlenheim
Mariage, Strasbourg (n° 517)
Aujourd’hui 2 messidor L’an trois de la République française (…) d’une part Jean michel Rudloff, agé de 24 ans, fossoyeur à l’hôpital militaire sédentaire en cette commune, né et domicilié en cette commune, fils de feu andré Rudloff, charpentier, et de marie Barbe Hutto, de l’autre part, marie catherine Kling agée de 21 ans accomplis, cuisinière audit hôpital, domiciliée en cette commune depuis quatre ans, native de marlenheim, département du bas rhin, fille de feu Georges Kling, serrurier audit lieu, et de marie barbe Dietrich (…) le futur né le 17 février 1771, la future née le 5 janvier 1774 (signé) Michael Rudolph, Maria Chatrina Kling (i 114)

Inventaire après décès du locataire Samuel Riebel, garçon batelier

1827 (20.2.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3313
Inventaire de la succession de Samuel Riebel, garçon batelier décédé le 27 novembre dernier – à la requête d’Anne Marie Denni veuve de Samuel Riebel, mère et tutrice légale de Samuel, Marie, Jacques et Madeleine les quatre enfants, en présence de Michel Rudolph fils, marchand de bois, subrogé tuteur desdits enfants
dans la maison mortuaire quai des Fleurs n° 27
mobilier 161 fr, outils de batelier 500 fr, ensemble 661 fr, comptant 575 fr, ensemble 1236 fr – passif 831 fr – garde robe 27 francs
Enregistrement, acp 182 F° 149-v du 26.2.

Inventaire après décès de Marguerite Muhlberger, femme du batelier Michel Rudolph (bru du propriétaire)

1835 (22.9.), Strasbourg 10 (90), Me Zimmer, n° 2076
Inventaire de la succession de Marguerite Muhlberger décédée le 21 juin 1835 à cause de la communauté avec Michel Rudolph, batelier donataire de sa femme par le contrat de mariage dressé par devant M° Noetinger à Molsheim le 28 août 1823, père et tuteur légal de a) Marguerite Catherine née le 28 avril 1824, b) Marie Thérèse née le 12 février 1828, c) Louise Joséphine née le 22 avril 1833, d) Sophie Eugénie née le 25 avril 1835, en présence de Valère Wernert, marchand épicier à Molsheim, subrogé tuteur des enfants mineurs
dans la maison mortuaire quai des Fleurs n° 27
immeubles, maison à Avolsheim, vignes à Avolsheim et Molsheim
Enregistrement, acp 234 f° 50 du 25.9.

Catherine Kling meurt en 1837 à Marlenheim en délaissant cinq enfants ou leurs représentants

1837 (21.11.), Strasbourg 10 (93), Me Zimmer n° 2708
Inventaire de la succession de Catherine Kling femme de Michel Rudolph, marchand de bois et propriétaire en une maison quai aux Fleurs n° 27 – à la requête de 1. Michel Rudolph père en son nom à cause de la communauté légale, à cause de la donation de la moitié par testament passé devant Me Weigel le 25 avril 1830 et subrogé tuteur de Sophie Gel, 2. Michel Gel, père et tuteur légal de Sophie Gel née le 27 sept. 1822 issue de son mariage avec Sophie Rudolph, 3. Marie Catherine Rudolph épouse d’Antoine Klotz, menuisier, 4. Michel Rudolph fils, marchand de bois, 5. Marie Louise Rudolph épouse de Jean Chrétien Wolff, brasseur, 6. ledit Jean Chrétien Wolff mandataire de Marie Thérèse Rudolph épouse de Victor Ruppert, brasseur à St Etienne (Loire), seuls et uniques héritiers de leur mère et grand mère décédée à Marlenheim le 3 novembre du présent

Loyers, maison quai aux Fleurs n° 27, Michel Rudolph fils, Sr Bressmann cordier, Mad. Odoin, Sr Furler, Sr Lutz, Sr Schäffer journalier, Sr Weber cordier
maison quai aux Fleurs n° 26, Sr Wintz ouvrier en tabacs, Sr Walter journalier, Sr Huse charetier, Mad Jung couturière, Sr Carrelle marchand de volaille, Sr Génévitz pensionnaire
maison cul de sac du Glaive n° 2, Sr Speckel
Immeubles, une maison avec cour, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27, d’un côté le Sr Perrin charpentier, d’autre la maison ci après, derrière le Sr Perrin – acquis à la Barre du Tribunal Civil par expropriation sur Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing pour 8000 francs, Adjudication définitive du 4 mai 1820 et déclaration de command même jour, transcrit au bureau des hypothèques volume 130 n° 9,
2. maison quai aux Fleurs n° 26, d’un côté la maison citée précédemment, d’autre le jardin de la veuve Ehrhardt, derrière le Sr Perrin – acquis des veuve et héritiers Jean Husz, voiturier, par acte passé devant Me Weigel le 16 mars 1830 pour 7625 francs, les conjoints Husz l’ont acquis à la barre du Tribunal civil par expropriation contre Jean Georges Keller et licitation entre ce dernier et Marie Elisabeth Keller, majeure, par acte d’adjudication du 6 juillet 1820 et déclaration de command le 8 même jour
3. une autre petite maison avec ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg cul de sac du Glaive n° 5 quai des Bateliers, des deux côtés et derrière Sr Meyer batelier, devant la ruelle du Glaive – acquis d’André Feltner, batelier, Marie Eckendoerffer par acte Me Wengler le 18 sept. 1812, les conjoints Feltner l’ont acquis de la succession de vacante de Nicolas Vierling par adjudication définitive par devant Me Wengler 20 fructidor 13 (7 sept. 1805)
Enregistrement, acp 254 f° 78-v du 24.11.

Michel Rudolph fils meurt en 1838 en délaissant cinq enfants
1838 (24.8.), Strasbourg 10 (94), Me Zimmer, 2935
Inventaire de la succession de Michel Rudolph, marchand de bois à Strasbourg décédé le 15 août dernier, à la requête de Joséphine Weith, veuve de Michel Rudolph, marchand de bois et batelier, en secondes noces sa seconde épouse, mère et tutrice légale de Michel Eugène né le 21 juillet 1838, 2. Georges Michel Gel, épicier, tuteur datif de 1 Marguerite Catherine née le 28 avril 1834, 2. Marie Thérèse née le 12 février 1828, 3. Louise Joséphine née le 22 avril 1833, 4. Sophie Eugénie née le 24 avril 1835 du premier mariage avec Marguerite Mühlberger, Jean Chrétien Wolff, brasseur, subrogé tuteur de Michel Eugène, 2. Valère Wernert, marchand épicier à Molsheim, subrogé tuteur des enfants du premier lit, Inventaire du premier mariage 22 sept. 1835
Enregistrement, acp 262 f° 12 du 29.8.

Michel Rudolph meurt en 1848 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants

1848 (29.7.), Strasbourg 10 (112), Not. Zimmer n° 7203
Inventaire de la succession de Monsieur Michel Rudolph, propriétaire & ancien marchand de bois à Strasbourg décédé en cette ville le 16 juillet 1848.
L’an 1848 le samedi 29 juillet à une heure de relevée en la maison mortuaire quai Finckwiller N° 8, à la requête de 1. Dame Marie Catherine Rudolph demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Antoine Klotz vivant ébéniste en la même ville, 2. Dame Marie Louise Rudolph, épouse de Mr Jean Chrétien Wolff ancien brasseur demeurant avec lui à Strasbourg, 3° Monsieur Jean Chrétien Wolff susnommé, agissant a) pour autoriser ladite Dame son épouse à l’effet des présentes, b) comme mandataire spécial à l’effet des présentes de D° Marie Thérèse Rudolph & M. Victor Ruppert, brasseur conjoints demeurant ensemble à St Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), c) comme subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 du second mariage du Sr Michel Rudolph fils, batelier à Strasbourg & D° Joséphine Weith sa veuve survivante épouse actuelle du Sr Christophe Baumann aubergiste à la Citadelle de Strasbourg, d) comme subrogé tuteur de 1) Marie Thérèse Rudolph née le 12 février 1828, 2) Louise Joséphine Rudolph née le 22 avril 1833, 3) Sophie Eugénie Rudolph née le 25 avril 1835, ces trois mineurs issus du premier mariage dudit Sr Michel Rudolph fils avec D° Marguerite Mühlberger (…), 4) Mlle Sophie Gel, majeure sans état demeurant à Strasbourg enfant issue du mariage du Sr Michel Gel épicier avec Dame Sophie Rudolpf, 5. Mr Georges Grunder, boulanger demeurant à la Citadelle de cette ville, agissant au nom & comme tuteur datif du mineur Michel Eugène Rudolph susnommé (…) 6° M° Valérie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif des trois enfants mineurs ci dessus nommés issus du premier mariage du Sr Michel Rudolph fils du premier lit, b) au nom et comme mandataire de Dlle Marguerite Catherine Rudolph dite en religion sœur Hildebert religieuse demeurant à Obernai (…) Lesdites Dames Klotz, Wolff & Ruppert habiles à se dire et porter héritières chacune pour un cinquième de la succession du Sr Michel Rudolph père décédé en qualité d’enfants de celui-ci issus de son mariage avec Dame Catherine Kling son épouse aussi décédée. Les quatre enfants mineurs du St Michel Rudolph fils & la Dlle Marguerite Catherine Rudolph habiles à se dire et porter héritiers ensemble pour un 5° chacun ou pour un 25° de la même succession par représentation de leur père décédé aussi fils du Sr Michel Rudolph père. Et Mademoiselle Sophie Gel habiles à se dire et porter héritière pour le dernier 5° dans ladite succession par représentation de sa mère susnommée fille du Sr Michel Rudolph père

Loyers. Il était dû au moment du décès par Mr Carelle pour loyer du logement qu’il occupait dans une maison appartenant à Mr Rudolph sise à Strasbourg près de l’hôpital militaire N° 26, 80 francs
par le Sr Koessel pour loyer des localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph 5 ff
par le Sr Wurtz pour loyer de localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph, 5 francs
par le Sr Hahn pour loyers arriérés depuis le 29 septembre au 25 décembre 1847 de localités par lui occupées dans la même maison, 22 francs, par le même (…) 5 francs
par le Sieur Düringer pour loyer depuis le 24 mars 1848 jusqu’au jour du décès de M Rudolph de localités par lui occupées dans la maison rue du Glaive N° 5 dépendances de la communauté Rudolph, 49 francs
Immeubles. La part indivise de Mr Rudolph dans une maison avec cour & dépendances située à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à la maison n° 27 appartenant autrefois également à Mr Rudolph de l’autre au jardin de la veuve Erhardt & par derrière à Mr Perrin. Cet immeuble dépend de la communauté qui a existé entre Mr Rudolph et sa défunte épouse. L’établissement de propriété de cet immeuble se trouve relaté dans l’inventaire susrelaté, à l’appui de la propriété se trouve un contrat de vente passé devant M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 16 mars 1830, 2° un procès verbal d’adjudication dressé au tribunal civil de cette ville le 6 juillet 1820 & déclaration de command du même jour
La part indivise de Mr Rudolph dans une maison sise à Strasbourg cul de sac du glaive N° 5 sur le quai des bateliers attenant des deux côtés & par derrière au Sr Laugel serrurier. Cet immeuble dépend également de la communauté qui a existé entre les époux Rudolph, L’établissement de propriété de cet immeuble se trouve également constaté dans l’inventaire susrelaté.
acp 374 (3 Q 30 089) f° 40 (succession déclarée le 11 juin 1846) Le mobilier est prisé 586, argent comptant 1648, créances et loyers 41.652, rapport à la succession dus par les héritiers 7199
Immeubles 1° (…), 2° (…). La passif de la succession non compris. Article pro memoria 956 francs

Liquidation. La maison sise 27, quartier des Souabes reste indivise
1849 (10.2.), Strasbourg 10 (113), Not. Zimmer n° 7586
Liquidation et partage de la succession de Michel Rudolph
Ont comparu 1. Dame Marie Catherine Rudolph demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Antoine Klotz vivant ébéniste en la même ville, 2. Dame Marie Louise Rudolph, épouse dûment autorisée de Monsieur Jean Chrétien Wolff ancien brasseur demeurant ensemble à Strasbourg, 3° ledit Monsieur Wolff, agissant a) pour autoriser ladite Dame son épouse, b) comme mandataire spécial à l’effet des présentes de Dame Marie Thérèse Rudolph & M. Victor Ruppert brasseur conjoints demeurant ensemble à St Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), c) comme subrogé tuteur de 1) Marie Thérèse Rudolph, 2) Louise Joséphine Rudolph, 3) Sophie Eugénie Rudolph enfants mineurs issus du mariage en premières noces de feu le Sieur Michel Rudolph fils, vivant batelier à Strasbourg avec Dame Marguerite Mühlberger, d) comme subrogé tuteur de Michel Eugène Rudolph, enfant mineur issu du mariage en secondes noces dudit Sr Michel Rudolph fils avec Dame Joséphine Weith sa veuve survivante épouse actuelle du Sr Christophe Baumann aubergiste à la Citadelle de Strasbourg (…), 4) Mlle Sophie Gel, majeure sans état demeurant à Strasbourg, 5. Mr Georges Grunder, boulanger aubergiste demeurant à l’île du Rhin hors la porte de la Citadelle de cette ville, agissant au nom & comme tuteur datif du mineur Michel Eugène Rudolph susnommé (…) 6° M° Valérie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif des trois enfants mineurs Rudolph du premier lit, b) au nom et comme mandataire de Dlle Marguerite Catherine Rudolph dite en religion Sœur Hildebert religieuse demeurant à Obernay (…) Lesquels ont préliminairement exposé ce qui suit
Monsieur Michel Rudolph vivant propriétaire ancien marchand de bois à Strasbourg est décédé en cette ville le 16 juillet 1848 veuf de Dame Catherine Kling son épouse prédécédée. Suivant inventaire dressé par M° Zimmer soussigné le 9 juillet dernier, Mr Rudolph a délaissé pour seuls héritiers lesdites Dames Klotz, Wolff & Ruppert ses enfants issus de son mariage avec sadite épouse chacune pour un cinquième, les quatre enfants mineurs Rudolph sus nommés ensemble pour un autre cinquième par représentation de leur père défunt enfant issu du même mariage & la Dlle Gel pour le dernier cinquième par représentation de sa mère défunte Sophie Rudolph épouse du Sieur Michel Gel épicier également enfant issu dudit mariage des époux Rudolph.
Madame Rudolph née Kling était elle-même décédée à Strasbourg le 3 novembre 1837 avait délaissé pour seuls héritiers chacun de pour un cinquième (…) ainsi qu’il résulte d’un intitulé d’inventaire dressé par M° Zimmer soussigné le 21 novembre 1837.
M. Rudolph depuis le décès de sa femme était resté en possession des biens dépendant tant de la communauté qui a exitée entre eux que de la succession de son épouse. Enfin les époux Rudolph père et mère ont de leur vivant fait donation par avancement d’hoirie à chacun de leurs enfants d’une certaine somme à titre de dot & de plus Mr Rudolph a depuis le décès de sa femme donné à Mlle Gel une somme de 800 francs sont il sera parlé lors de l’établissement des rapports

Loyers. Il était dû au moment du décès
par Mr Carelle pour loyer du logement qu’il occupait dans une maison appartenant à Mr Rudolph sise à Strasbourg près de l’hôpital militaire N° 26, 80 francs
par le Sr Koessel pour loyer des localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph 5 ff
par le Sr Wurtz pour loyer de localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph, 5 francs
par le Sr Hahn pour loyers arriérés depuis le 29 septembre au 25 décembre 1847 de localités par lui occupées dans la même maison, 22 francs, par le même (…) 5 francs
par le Sieur Düringer pour loyer depuis le 24 mars 1848 jusqu’au jour du décès de M Rudolph de localités par lui occupées dans la maison rue du Glaive N° 5 dépendances de la communauté Rudolph, 49 francs
Objets restés dans l’indivision. 2° La maison avec cour & dépendances située à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à la maison n° 27 appartenant autrefois à Mr Rudolph de l’autre au jardin de la veuve Erhardt & par derrière à Mr Perrin
3° La maison sise à Strasbourg cul de sac du glaive N° 5 sur le quai des bateliers attenant des deux côtés & par derrière au Sr Laugel serrurier
Ces deux immeubles dépendaient de la communauté qui a existé entre Mr & Mme Rudolph
acp 379 (3 Q 30 094) f° 85 – Masse active. Meubles vendus 889, argent comptant 1608, créances chirographaires 16.951, créances hypothécaires 24.405, loyers 168, rapports dus par les héritiers 15.000, Total 59.022
Passif 1846, Reste 57.175 francs

Acte de notoriété auquel est annexé l’acte de baptême de Jean Michel Rudloff
1850 (27. Xbr), Strasbourg 10 (117), Not. Zimmer n° 2531
Acte de dépôt et de notoriété – (…) ont déposé un extrait en langue latine du registre des actes de baptême de la paroisse St Etienne de la Ville de Strasbourg, constatant que feu le Sr Jean Michel Rudloff, vivant propriétaire ancien marchand de bois, est né en cette ville le 17 février 1771 (…)
2) qu’ils ont parfaitement connu le Sr Jean Michel Rudloff en son vivant propriétaire ancien marchand de bois à Strasbourg où il est décédé le 11 juillet 1848,
2) que de la succession du dit Sr Rudloff dépendait une rente de 64 francs inscrite au grand livre de la dette publique au nom de Rudloff (Michel) sous le numéro (…)
3) que c’est par erreur que dans l’inscription susmentionnée ledit Sr Rudloff est désigné seulement sous le prénom de Michel (…)

Cahier des charges dressé pour vendre la maison sise quai aux Fleurs n° 27, comprenant aussi un rapport d’experts sur le n° 26. Antoine Klotz acquiert la maison dont sa femme est copropriétaire

1840 (20.10.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3720
Cahier des Charges du 22 août n° 3670 – Adjudication préparatoire n° 3705 Adjudication définitive – 1. Michel Rudolph père, propriétaire & ancien marchand de bois, à cause de la communauté à défaut de contrat de mariage avec Catherine Kling selon les anciens statuts de la ville, testament par devant Me Weigel le 25 avril 1830, 2. Marie Catherine Rudolph épouse d’Antoine Klotz, menuisier, 3. Marie Louise Rudolph épouse de Jean Chrétien Wolff, brasseur, 4. ledit Jean Chrétien Wolff, mandataire de Marie Thérèse Rudolph épouse de Victor Ruppert, brasseur à St Etienne (Loire), et subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph, 5. Michel Gel, épicier, tuteur légal de sa fille Sophie Gel née le 27 sept. 1822 et tuteur datif de 1. Marguerite Catherine Rudolph née le 28 avril 1824, 2. Marie Thérèse née le 12 février 1828, 3. Louise Joséphine née le 22 avril 1833, 4. Sophie Eugénie née le 25 avril 1835 issues du premier mariage de Michel Rudolph fils et de Marguerite Mühlberger, 6. Georges Grunder, boulanger, tuteur datif de Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 de Michel Rudolph fils et Joséphine Weith sa veuve femme actuelle de Christophe Baumann, 7. Jean Théodore Körttgé, clerc de notaire, mandataire de Valère Wernert, épicier ancien huissier demeurant à Molsheim, subrogé tuteur des enfants Rudolph du premier lit, Inventaire Me Zimmer 21 novembre 1837 héritiers de leur mère et grand mère
à M Klotz co vendeur, qui se réserve faculté d’élire command
il dépend de la communauté de Michel Rudolph père et Catherine Kling entre autres immeuble une maison avec dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27. Cet immeuble a été en majeure partie détruit par un incendie vers la fin de l’année dernière. La ville de Strasbourg offrit alors de racheter 6435 m 77 cm carrés de terrain dépendant de cet immeuble, faisant partie tant de cet immeuble que de la maison sous n° 26 pour l’élargissement de la rue du côté de l’Hôpital Militaire. Le terrain nu dont la ville de Strasbourg demande à acquérir et indiqué et renfermé par les lettres ABRCDEL [sic] sur la copie du plan desdites propriétés, les tuteurs autorisèrent la vente à la ville par jugement du Tribunal civil du 23 avril 1840.
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix, une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27, d’un côté le Sr Perrin, d’autre au terrain qui sera cédé à la ville de Strasbourg et la maison sous n° 26 faisant partie de la succession Rudloff, derrière ledit Perrin, estimée 2000 francs et tous les matériaux & débris, estimée à 100 francs – Etablissement de la propriété, de la communauté légale avec Catherine Kling, inventaire par Me Zimmer le 21 novembre 1837 acquis à la barre du tribunal civil sur expropriation forcée poursuivie contre Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing le 4 mai 1820 et déclaration de command même jour transcrit au bureau des hypothèques volume 130 n° 9 – Charges, Clauses et Conditions, les comparants font réserve comme n’étant pas compris dans la vente 1. de la propriété de 425 m 77 cm de terrain nu compris entre les lignes des lettres ABCDELA sur le plan annexé qui doit être cédé à la ville de Strasbourg, 2. du mur séparant la propriété à vendre de la maison sous n° 26 faisant également partie de la succession de Mde Rudolph, 3. du mur du hangard du côté de la maison n° 26 et des portes s’y trouvant & tournant vers les immeubles n° 26, 4. de la gouttière se trouvant au toit dudit hangard (…) 4. l’adjudicataire sera tenu de faire continuer & construire à ses frais le mur qui sépare les maisons 26 & 27, 5. l’adjudicataire n’aura droit aux matériaux du hangard se trouvant du côté de la maison n° 26 qu’à partir du parement intérieur du mur qui sépare les deux propriétés et en ligne droite jusqu’au terrain à céder à la ville – moyennant 7880 francs
Rapports d’experts, 11 et 21 mai, Jean Jacques Rodé, ancien agent des Contributions directes, Philippe Lauer, architecte, Christophe Goerner aussi architecte (…) nous avons reconnu qu’elles ne pouvaient en aucun cas être partagé entre les parties intéressées,
Maison et dépendances n° 26, cette maison se trouve entre deux cours l’une devant l’autre derrière elle est construite en maçonnerie sur une cave sous solive, elle consiste en un rez de chaussée, un étage, comble à la mansarde. Le rez de chaussée renferme un corridor, deux chambres, cuisine et escalier. Le premier étage deux logements l’un de deux chambres et une cuisine, l’autre de trois chambres et une cuisine. La mansarde deux logements dont chacun d’une chambre et d’une cuisine, le comble est divisé en trois compartiments, toiture en tuiles à double rangée. Dans la cour de derrière se trouve à droite un petit bâtiment en galandure construit sur une cave sous solives, ce bâtiment est composé d’un rez de chaussée, d’un étage, d’un petit grenier ayant toiture en tuiles à double rangée. Dans la cour de devant se trouve un puits avec pompe, fosse et lieux d’aisance et des écuries dont la couverture est en tuiles à simple rangée. Plus un hangard et des écuries qui seront démolis par suite de l’acquisition faite par la ville du terrain qui est destiné à l’élargissement de la rue, le tout estimé non compris la partie de terrain cédé à la ville et les bâtiments qui s’y trouvaient à 6000 francs
la maison et dépendances n° 27, cette propriété consiste en deux corps de bâtiment construits en galandure et une belle cour dont une partie a été également cédée à la ville pour cause d’utilité publique. Le bâtiment latéral donnant sur le quai aux Fleurs consiste en un rez de chaussée un étage, comble incendié. Le bâtiment de derrière consiste dans un rez de chaussée deux étages, un grenier comble en tuiles à double rangée le tout endommagé par l’incendie. Dans l’allée du bâtiment latéral se trouve un puits avec pompe. Cette maison dépendances estimée non compris la partie de terrain cédé à la ville et les débris de construction qui s’y trouvent à 2000 francs
s’est présenté Antoine Klotz, mari d’une des parties (qui déclare) que l’intention du père Rudolph ainsi que celle des enfants n’a jamais été de procéder à la licitation de la maison n° 26 et que c’est par erreur et malentendu qu’elle a été comprise dans la procédure
Enregistrement, acp 282 f° 47-v du 26.10.

Fils du maçon Louis Klotz, Jean Antoine Klotz épouse Catherine Rudolf en 1827
Mariage, Strasbourg (n° 281)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 26 juillet 1827. Jean Antoine Klotz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 nivôse an IV à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, menuisier, fils de feu Louis Klotz, maçon décédé en cette ville le 23 mai 1809 et de Claire Barbe Rieder, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante, Catherine Rudolf, mineure d’ans, née en légitime mariage le 25 septembre 1806 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Michel Rudolf marchand de bois et de Catherine Kling conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) jean antoine Klotz, Rudolph (i 21)

Inventaire des apports
1828 (11.6.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4129
Déclaration d’apports – Jean Antoine Klotz, ébéniste, et Catherine Rudloff que lors de leur mariage ils n’ont pas fait de contrat de mariage
apports du mari, une maison appartenances et dépendances, cour, maison de derrière, sise rue de la Krutenau n° 126, estimée 11 000 fr, mobilier 3000 fr
apports de l’épouse 1115 fr
Enregistrement, acp 189 F° 183 du 16.6.

La Ville de Strasbourg acquiert une partie du terrain dépendant des maisons sises 26 et 27 quai aux Fleurs

1842 (16.9.), Strasbourg 10 (100), Me Zimmer n° 4478
1° M Michel Rudolph, père, propriétaire & ancien marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’au nom & comme subrogé tuteur de la mineure Gel ci après dénommée, 2° De Marie Catherine Rudolph épouse de M. Antoine Klotz ébéniste avec lequel elle demeure à Strasbourg, 3° Ledit M. Antoine Klotz agissant 1) pour autoriser ladite D. son épouse à l’effet des présentes, 2° au nom et comme tuteur datif de Dlle Sophie Gel née le 27 septembre 1822 du mariage du Sr Michel Gel épicier avec De Sophie Rudolph, tous décédés à Strasbourg (…), 4° De Marie Louise Rudolph, épouse de M Jean Chrétien Wolff, brasseur, tous domiciliés et demeurants à Strasbourg, 5. Ledit M Jean Chrétien Wolff, agissant 1) pour autoriser ladite De son épouse, 2) comme mandataire spécial de Marie Thérèse Rudolph épouse de M Victor Ruppert brasseur demeurant ensemble à St Etienne (Loire), 3) comme subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 du second mariage du Sr Michel Rudolph fils batelier à Strasbourg et de De Joséphine Weith sa veuve survivante & femme actuelle du Sr Christophe Bomans aubergiste à la Citadelle de Strasbourg (…), 4) et comme subrogé tuteur de 1. Marguerite Catherine Rudolph née le 28 avril 1824, 2. Marie Thérèse Rudolph née le 12. février 1828, 3. Louise Joséphine Rudolph ne le 22 avril 1835, ces quatre mineurs issus du mariage dudit Sr Michel Rudolph fils et de De Marguerite Mühlberger (…), 6° M Georges Grunder, boulanger demeurant à la Citadelle de Strasbourg au nom & comme tuteur datif dudit mineur Michel Eugène Rudolph nommé à cette qualité en remplacement de ladite De Baumann née Weith (…), 7° M. Théodore Körttgé, clerc de notaire demeurant à Strasbourg agissant au nom & comme mandataire spécial de M. Valerie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim (…) au nom & comme tuteur datif des quatre enfants mineurs ci-dessus dénommés issus du premier mariage du Sr Michel Rudolph
A la ville de Strasbourg au nom de laquelle est ici présent stipule & accepte M Georges Frédéric Schützenberger son maire, professeur à la faculté de droit de cette ville, Député du Bas Rhin, Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, comme autorisé à cet effet par une délibération du conseil municipal de Strasbourg du 13 Janvier 1840 devenue executoire en vertu d’un arreté pris par M. le Préfet du Bas Rhin le 27 mars suivant
435 mêtres 77 centimêtres carrés de terrain nu, situé à Strasbourg quai aux fleurs & dépendant des maisons situées audit quai sous les numéros n° 26 & 27, ces 435 mêtres 77 centimêtres carrés sont renfermés dans les lignes ABCD du côté de l’hôpital militaire et des lettres DEL du côté du quai aux fleurs sur un plan qui a été dressé à cet effet par M Villot architecte de la ville de Strasbourg le 21 octobre 1839 (…). Ledit terrain cédé se trouve encore désigné dans un rapport d’experts fait par M Jean Nicolas Villot architecte de la ville de Strasbourg & M Christophe Goenner, maître charpentier le 19 mars 1840 (…). Ce plan & ce rapport d’experts demeureront annexés au présent acte (…). Le tribunat civil séant à Strasbourg homologua les dites délibérations et par suite autorisa les dits tuteurs à passer vente à la ville de Strasbourg dudit terrain moyennant la somme de 6000 francs suivant jugement du 23 avril 1840 dont une expédition se trouve annexée au cahier des charges dressé par M Zimmer soussigné le 22 août 1840.
Etablissement de la propriété commune aux maisons N° 26 & 27 quai aux fleurs. Ainsi qu’il a été dit cidessus le terrain vendu dépendait des maisons N° 26 & 27 quai aux Fleurs qui elles mêmes faisaient partie de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre le Sr Rudolph père, covendeur, & De Catherine Kling sa défunte épouse. Dans cette communauté M Rudolph, covendeur était intéressé pour deux tiers par suite de la célébration de son mariage avant la promulgation du code civil, De plus suivant le testament public reçu par Me Weigel le 25 Avril 1830, enregistré, ledit Sr Rudolph pere a droit à l’usufruit de la moitié des biens composant la succession de sadite défunte épouse De Rudolph née Kling. L’autre tiers de ladite communauté fait partie de la succession de la défunte De Rudolph qui a laissé pour ses seuls & uniques héritiers chacun pour un cinquième les dites Des Klotz, Ruppert & Wolff, feu le Sr Michel Rudolph fils et la mineure Gel, ses enfants & petit enfant. Ainsi que le tout résulte de l’inventaire de la succession de ladite De Rudolph dressé par Me Zimmer soussigné en date au commencement du 21 novembre 1837. Le Sr Michel Rudolph, fils, étant lui-même décédé laissa pour ses seuls & uniques héritiers chacun pour un 5°, les cinq mineurs Rudolph cidessus dénommés, suivant inventaire dressé par ledit Me Zimmer le 24 août 1838.
Etablissement de la propriété particulier à la maison Numéro 26 quai aux fleurs. M Rudolph père, comparant, a acquis la maison quai aux fleurs n° 26 avec ses dépendances de 1) De Thérèse Klein, Veuve du Sr Jean Huss, voiturier, 2) Sr Jean Philippe Huss voiturier, 3) De Marie Thérèse Huss épouse du Sr Sébastien Ockly, perruquier, tous demeurant à Strasbourg 4) & Sr Philippe Alexandre Huss, alors sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille domicilié à Strasbourg le 16 Mars 1830 (…) Ce procès verbal d’adjudication a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 mars 180., Vol. 233 N° 108. (…) Cet immeuble dépendait de la communauté de biens qui a existé entre ladite De Thérèse Klein & ledit Jean Husz son défunt mari, qui laissa pour ses seuls héritiers lesdits Jean Philippe Husss, Philippe Alexandre Huss & la De Ockly. Le défunt Sr Jean Hus a acquis ladite maison à la barre du Tribunal Civil de Strasbourg sur l’expropriation forcée poursuivie sur Jean Georges Keller marchand demeurant à Strasbourg et licitation entre ce dernier & Dlle Marie Elisabeth Keller, fille majeure demeurant à Strasbourg, suivant jugement rendu audit tribunal le 6 Juillet 1820 & déclaration de command du 8 du même mois.
Etablissement de la propriété particulier à la maison Numéro 27 quai aux fleurs. M Rudolph père a acquis la maison n° 27 avec ses dépendances à la barre du tribunal civil de Strasbourg sur expropriation poursuivie contre le Sr Georges Erhard, jardinier fleuriste, & De Anne Marie Schwing conjoints demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication définitive du 4 mai 1820 & déclaration de command du même jour. Cette adjudication définitive a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 25 mai 1825 Vol. 130 n° 9 – moyennant 6000 francs
(Pièces jointes) Arrêté qui autorise la Ville d’acquérir le terrain du Sr Rudolph pour f. 6000 – 27 mars 1840 (Copie) Préfecture du Bas-Rhin. Nous Préfet du Bas-Rhin séant au Conseil de préfecture, où étaient présens MM. Reibell, Poncet & Kern, Vû une délibération du Conseil municipal de Strasbourg du 16 janvier 1840 par laquelle il vote l’acquisition au prix de 6000 francs d’un terrain appartenant au Sieur Rudolph situé quai aux fleurs et joignant la voie publique, Vû le plan des lieux, Vû le procès verbal d’expertise contradictoire dressé le 19 du courant constatant que l’immeuble dont s’agit a une contenance de 435 mètres 77 carrés et une valeur de 6000 francs, Vû au bas de cet acte la promesse de vendre au prix de l’estimation souscrite par le Sieur Rudolph propriétaire le 26 de ce mois, Vû l’enquête de Commodo & incommodo à laquelle il a été procédé le 23 du même mois de Mars, Vû le budget de la Ville de Strasbourg pour 1840, Vû l’art. 46 de la loi du 18 Juillet 1837, L’avis du Conseil de Préfecture entendu, Considérant que le terrain dont l’acquisition est projetée a pour objet l’élargissement de la voie publique contre l’hôpital militaire, depuis longtemps reconnu indispensable, Considérant que ce projet n’a pas rencontré d’opposition & que les fonds pour acquitter ledit immeuble ont été votés au Budget en 1840, Arrêtons ce qui suit, Mr le Maire de Strasbourg stipulant au nom de la ville, est autorisé à acquérir du Sr Rudolph moyennant la somme de 6000 francs un terrain d’une contenance de 435 mêtres 77 centimètres carré, situé à Strasbourg quai aux fleurs, indiqué au plan annexé au présent arrêté, par les lettres A, B, C, D du côté de l’hôpital militaire et D. E. du côté du quai aux fleurs. Fait à Strasbourg le 27 Mars 1840
Extrait du Registre des Procès verbaux du Conseil Municipal de la Ville de Strasbourg. Séance du 16 Janvier 1840. M. J.J. Lauth fait au Conseil le rapport suivant sur la réclamation du Sr Rudolph contre l’alignement de sa maison.
Messieurs, A l’une de vos dernières séances, vous avéz renvoyé à une commission la demande du Sr Rudolph propriétaire de la maison incendiée quai aux fleurs N° 27. Le rapport que vous fit M. le Maire posa trois questions principales, d’abord si le nouvel alignement proposé par l’architecte de la ville pouvait être donné au propriétaire incendié, si la ville devait considérer comme terrain surbâti et payer comme tel l’espace occupé par une maison incendiée et enfin si la ville peut et doit profiter d’un malheur pour obtenir a peu de frais un alignement qu’elle n’aurait eû de longtemps sans l’événement.
Votre commission s’est transportée à plusieurs reprises sur le terrain pour prendre enfin et vous soumettre les observations suivantes. L’alignement provisoire demandé d’abord par le propriétaire, accordé par l’architecte et refusé en dernier lieu par le Sr Rudolph ne doit être accueilli par vous, car, plus que jamais, nous devons tenir à ce que l’alignement général de la ville qui a subi tant d’épreuves, qui, il n’y a pas encore deux ans, a reçu votre approbation, ne subisse plus la moindre altération, et certainement l’administration de l’hôpital militaire dont les abords doivent être faciles et larges afin d’éviter en tems de guerre tout encombrement, ne pourrait, puisqu’il y a moyen de le faire, se contenter de cette demi-mesure. Nous vous proposons donc de n’admettre que l’ancien alignement portant la rue à 20 mètres de large.
En adoptant ce que nous venons de vous proposer relativement à la largeur de la rue, la seconde question change de face, car il ne s’agit plus seulement de la maison incendiée, mais bien de deux hangards tout neufs et de deux maisonnettes auxquels le feu n’a pas touché, plus d’un vaste terrain non surbati mais clos.
Les architectes ont estimé à raison de cinq francs le mêtre carré de toute la superficie à prendre, nous croyons que c’est assez payé et nous vous prions d’accorder la somme de 2173 francs 15 c pour le terrain renfermé au plan par les lettres A.B.C.D.E.L. contenant 435 m 77 c carrés que le Sr Rudolph cède à la ville déduction faite de un mêtre 14 centimètes carrés que le Sr Rudolph gagne sur la voie publique et qui est enclavé au plan par les lettres I.E.F.
Les constructions sus dénommées que le feu a laissé intactes et auxquelles nous ne pourrions toucher sans expropriation, nous les avons estimées, les matériaux restant au vendeur, à 3827 francs. Total de la somme a payer au Sr Rudolph 6000 francs 15 centimes.
Nous espérons qu’en accordant cette somme et quoique primitivement le pétitionnaire ait demandé 18.000 francs, la troisième question se resoudra d’elle-même, car quoique la ville ne doit être tenu des prix exorbitans pour ce qu’elle achète, le Conseil ne voudra et n’a jamais voulu profiter du malheur d’un de ses concitoyens.
acp 303 (3 Q 30 017) f° 59-v

Accord au sujet d’une cave sous la maison n° 26 dont l’entrée se fait par le n° 27

1842 (5.9.), Strasbourg 10 (100), Me Zimmer n° 4463
1° M Michel Rudolph, père, propriétaire & ancien marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant au présent acte 1. à cause de la communauté légale qui a existé entre lui et feu De Catherine Kling son épouse, laquelle communauté à défaut de contrat de mariage & par la célébration de l’acte de mariage avant la promulgation du code civil est réglée par les anciens statuts de la ville de Strasbourg qui attribuent au mari deux tiers de la communauté, 2) comme usufruitière de la moitié des biens délaissés par ladite défunte dame Rudolph aux termes d’un testament public reçu par Me Weigel le 25 Avril 1830
2° De Marie Catherine Rudolph épouse de M. Antoine Klotz ébéniste avec lequel elle demeure à Strasbourg, 3° De Marie Louise Rudolph, épouse de M Jean Chrétien Wolff, brasseur, 4° ledit M Jean Chrétien Wolff agissant au présent acte 1) pour autoriser ladite D. son épouse à l’effet des présentes, 2) et comme mandataire spécial de Deme Marie Thérèse Rudolph épouse de M Victor Ruppert brasseur demeurant ensemble à St Etienne (Loire)
lesquels exposent ce qui suit. Suivant procès verbal d’adjudication sur licitation judiciaire qui eut lieu devant ledit Me Zimmer soussigné à ce commie le 20 octobre 1840, ledit Me Klotz s’est rendu adjudicataire d’une maison avec dépendances située à Strasbourg quai aux fleurs numéro 27. Cet immeuble qui faisait partie des biens de la communauté légale qui a existé entre ledit M. Rudolph et sa défunte épouse, appartenait pour deux tiers audit Sr Rudolph comparant et pour l’autre tiers aux héritiers de ladite Dame De Rudolph née Kling dont les dites Des Klotz, Wolff & Ruppert sont héritières chacune pour un cinquième.
Pour arriver à la vente de ladite maison, des experts nommés par justice ont dressé le 11 mai 1840 un rapport descriptif de ladite maison qui a été enregistré le 21 du même mois (…). Dans ledit rapport les experts ont omis de mentionner comme faisant partie des dépendances de ladite maison la partie de la cave qui se trouve sous la maison à côté portant le numéro 26, laquelle partie de cave n’a d’autre porte d’entrée que celle qui donne dans la cour de la maison sous le numéro 27. Par suite de cette omission, le cahier des charges qui a été dressé d’après ce rapport n’a pas non plus fait mention de cette cave.
Cet exposé fait les comparans, es noms qu’il agissent voulant prévenir les difficultés que cette omission pourrait occasionner plus tard, reconnaissent et déclarent, mais seulement pour les parts qui peuvent leur appartenir et à leur mandante dans la susdite maison sous le numéro 27, que M Klotz en acquerant la maison sous le numéro 27 suivant le procès verbal cidessus relaté, est nécessairement devenu aussi propriétaire de la partie de cave se trouvant sous la maison numéro 27 & ayant son unique porte d’entrée dans la cour de la maison nouvelle 27, dont cette partie de cave a toujours été une dépendance qui s’est transmise avec l’immeuble entier
acp 303 (3 Q 30 017) f° 4-v

Jean Antoine Klotz meurt en 1847 en délaissant trois enfants

1847 (23. 7.br), Strasbourg 15 (82), Not. Lacombe n° 5829
Inventaire de la succession de Jean Antoine Klotz
Cejourd’hui Jeudi 23 septembre 1847 à deux heures de relevée, en la maison faubourg de la Krutenau N° 126 à Strasbourg, à la requête de 1° Madame Catherine Rudloff, veuve de Mr Jean Antoine Klotz, en son vivant menuisier propriétaire à Strasbourg, ladite dame demeurant et domiciliée à Strasbourg agissant 1° en son nom personnel à cause de la communauté de biens légale qui a existé entre la Dame requérante et son défunt mari, Madame veuve Klotz ayant déclaré qu’elle s’est mariée sans avoir fait de contrat de mariage, 2° en qualité de tutrice légale de A. Louis Klotz âgé de 16 ans, B. Adèle Klotz agée de 14 ans, C. Charles Klotz âgé de 5 ans, ces trois enfants encore mineurs procréés en légitime mariage avec feu M. Jean Antoine Klotz, lesdits trois mineurs, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de Mr Jean Antoine Klotz leur père en son vivant menuisier à Strasbourg où il est décédé le 15 août 1847.
Et en présence de M. Jean Jacques Eugène Petiti, Architecte demeurant à Strasbourg, subrogé tuteur desdits mineurs

Meubles meublants. Sallon au premier étage. Palier du premier étage. Chambre à coucher. Petite chambre à côté. Cuisine. Deuxième étage, chambre du fils. Grenier. Deuxième étage. Au rez-de-chaussée. Cave. Buanderie. Dans un magasin
Immeubles propres au défunt. I° Une maison à rez-de-chaussée et un étage avec cour, ateler de menuisier, hangard, droits, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg sur le quai des chevaux N° 126 (…)
II° Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Pucelles N° 7 (…)
III° Une Maison avec deux cours, droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Juifs N° 7 (…)
Immeuble de la Communauté. Une Maison avec cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg au quai aux fleurs N° 27, donnant par devant sur le Quai, d’un côté sur la place de l’hôpital militaire et de l’autre côté Mad. veuve Perrin. Cet immeuble a été acquis par M° Klotz de Michel Rudolphe père, propriétaire, ancien marchand de bois à Strasbourg et des héritiers de Catherine Kling suivant procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé par M° Zimmer et son Collègue notaires à Strasbourg le 20 octobre 1840 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 6 novembre suivant vol. 364 N° 43 et inscription d’office le même jour vol. 336 N° 13.
acp 365 (3 Q 30 080) f° 45-v, 25.9. (succession déclarée le 10 février 1846) Meubles de la communauté 2304, garde robe du défunt 570, garde robe de la veuve 368
acp 366 (3 Q 30 081) f° 31-v, 22 octobre – meubles 8175 francs
acp 368 (3 Q 30 083) f° 4, 2 décembre – créances 10.824, immeubles (supra), créances de la communauté 15.171, action de la société de la manufacture d’ornements d’architecture de M.M. Heiligenthal et Compagnie à Strasbourg 500
acp 391 (3 Q 30 106) f° 58-v du 15 mai 1850 – créances de la communauté 15.189, Passif de la communauté 11.028, Passif de la succession 2142
Indemnité due par la succession à la communauté 15.343. Vente d’outils et approvisionnements 5840 francs

Compte de tutelle
1848 (18.1.), M° Lacombe
Compte de tutelle par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz agissant en qualité de tutrice de ses enfants mineurs Louis, Adèle et Charles Klotz, rendu
à Sophie Pauline Gel majeure à Strasbourg dont le susdit Sr Klotz était tuteur
dont il résulte due Mme Klotz en sadite qualité doit à la Dlle Gel 4291 francs qu’elle vient de lui payer, dont décharge
acp 368 (3 Q 30 083) f° 89 du 24.1.

1850 (8.5.),Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 7145
Continuation et clôture d’inventaire – Jean Antoine Klotz (vide supra)

Actes de notoriété dressés après la mort du mineur Charles Auguste Klotz
1854 (5.9.), M° Momy
Notoriété constatant que Charles Auguste Klotz, mineur est décédé à Strasbourg le 23 juillet 1854 laissant pour héritiers 1) Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant Menuisier à Strasbourg, sa mère pour un quart, 2) Louis Alexandre Klotz, licencié en droit, 3) Sophie André Klotz épouse de Jean Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints à Strasbourg frère et sœur pour trois quarts.
acp 432 (3 Q 30 147) f° 100 du 7.9.

1854 (13.11.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 1910
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. Charles Auguste Klotz, mineur d’ans, sans profession, demeurant et domicilié à Strasbourg où il est décédé le 23 juillet de la présente année en état de célibat, savoir que ledit défunt a délaissé pour seuls héritiers 1° Dame Catherine Rudolff, sa mère, veuve de feu M. Jean Antoine Klotz, en son nom menuisier propriétaire, ladite dame demeurant et domiciliée à Strasbourg, héritière réservataire pour un quart.
2° M. Louis Alexandre Klotz, licencié en droit, demeurant à Erstein domicilié à Strasbourg, 3° Dame Sophie Adèle Klotz épouse de M. Jean Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesdits Sr Louis Alexandre Klotz et Dame Kreitmann héritiers ensemble pour les trois autres quarts
acp 435 (3 Q 30 150) f° 1-v du 14.11.

Compte de tutelle
1855 (5.1.) Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 2052
Dépôt du Compte de tutelle rendu par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant menuisier à Strasbourg, à Louis Alexandre Klotz, licencié en droit et à Sophie Adèle Klotz épouse Jean Louis Kreitmann fabricant de papiers peints à Strasbourg par acte s. s. p. du 5 janvier 1855
et récépissé du dit compte rendu en bloc, à l’effet de vérifier et examiner dans le délai prescrit
acp 436 (3 Q 30 151) f° 48-v du 9.1.
16 janvier – Arrêté du Compte de tutelle rendu par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant menuisier à Strasbourg, à Louis Alexandre Klotz, licencié en droit et à Sophie Adèle Klotz épouse Jean Louis Kreitmann fabricant de papiers peints à Strasbourg par acte s. s. p. du 5 janvier 1855, duquel il résulte qu’ils ‘ont aucune fortune mobilière à réclamer de leur mère par suite ils la déchargent de la gestion qu’elle a eue de leurs biens
acp 436 (3 Q 30 151) f° 74-v du 17.1.

Adèle Klotz femme du fabricant de papiers peints Louis Kreitmann vend la maison à l’imprimeur Alfred Schwind et à sa femme Marie Caroline Staat

1875 (9.10.), M° Loew
Verkauf – Adele Klotz Ehefrau von Ludwig Kreitmann, Tapeten Fabrikant Zu Straßburg
an Alfred Schwind, Buchdrucker, und Maria Caroline Staat, seiner Ehefrauen Zu Straßburg
von einem Hause zu Straßburg Blumenstaden N° 12 zu 32.000 Mark, wovon 8000 Mark baar bezahlt – Erbschaft der Eltern vor 30 Jahren gestorben
acp 644 (3 Q 30 359) f° 69 n° 3280 du 18.10.

Alfred Schwind épouse Marie Caroline Staat en 1867
1867 (14.9.), Strasbourg 8 (79), Not. Gustave Edouard Loew n° 2404
Contrat de mariage du 14 septembre 1867 – Ont comparu M. Eugène Alfred Schwind, typographe demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Frédéric Schwind, ébéniste à Paris & de feue D° Caroline Reiss son, épouse décédée, procédant comme futur époux d’une part
Et Dlle Marie Caroline Staat, majeure demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille de défunt M. Charles Frédéric Staat, épicier, & D° Julie Martinstein, décédés époux en la dite ville, stipulant comme future épouse d’autre part
acp 566 (3 Q 30 281) f° 51-v du 16.9. – Stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le futur époux ne stipule aucun apport
Les apports de la future épouse consistent en une valeur de 5233 et d’un tiers dans une maison sise à Strasbourg faubourg de Pierres N° 3.
Donation réciproque de l’usufruit viager de toute la succession réductibleen cas d’enfant



14, rue des Aveugles


Rue des Aveugles n° 14 – IV 29 (Blondel), P 682 puis section 56 parcelle 36 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Louis Marxer (1882) – Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Elévations levées par le Service d’architecture en 1911 (AMS, cote 907 W 161)

La maison qui se trouve à côté du Bærenhoff appartient au XVII° siècle aux tisserands Georges Segmehl, Henri Fleischmann (1640-1665) puis Michel Braunwald qui achète en 1682 une petite maison voisine et la réunit à la sienne. Revenue par adjudication judiciaire à la veuve du menuisier Abraham Büchel, elle est estimée à une valeur minimale de 500 livres à sa mort en 1733. Le menuisier Jean Michel Meyling en devient propriétaire en 1744. Il la cède à son fils aussi nommé Jean Michel qui demande en 1764 au maître maçon Jean Christophe Schneider de faire des travaux refusés par les préposés aux feux. Le maître maçon Jean Linckenhœl transforme la même année une cheminée au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 147 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à deux étages en maçonnerie et troisième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue comprend le bâtiment à gauche du repère (d) et la première partie du bâtiment à droite. La grande cour (D’) montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) qui prolonge en arrière celui qui donne à gauche dans la rue, le bâtiment arrière (6-1) et les remises (1-2) au nord de la cour.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 14.


Cour (D’) plan-relief de 1830 – Extrait du plan, 1830 – Coupe (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)

L’employé à l’intendance militaire Georges Michel Silberzahn s’en rend adjudicataire en 1822 puis la cède à son fils clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn. Le journalier Louis Marxer achète en 1864 la maison, en 1870 la voisine (n° 12) en partie enclavée dans la sienne et un terrain à l’arrière détaché du terrain faisant partie d’une maison Grand rue. Il agrandit les bâtiments en 1882 en leur donnant la façade uniforme qu’on voit par la suite et construit un atelier. La Ville les achète (exercice 1908) puis les fait démolir en 1912 lors de la Grande Percée. La partie sud du terrain est occupée par les bâtiments 12 et 14 rue du Vingt-deux-novembre, la partie nord par la rue.


Plan du Lot I de la Grande Percée (Service d’architecture, 1911, AMS, cote 907 W 161)
Rue du Vingt-deux-novembre, juillet 2015 – La maison à droite s’élève sur une partie du terrain de l’ancien n° 14

juillet 2021

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Segmehl, tisserand, et (1613) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer – luthériens
1627 h Jacques Mœst, tisserand, et (1627) Marguerite Ensel veuve de Michel Meyer et de Georges Segmehl – luthériens
1640 v Henri Fleischmann, tisserand, et (1627) Anne Frey, d’abord (1608) femme du tisserand Jean Bæurlé puis (1638) Béatrice Hummer – luthériens
1665 v Jean Michel Braunwald, tisserand, et (1664) Anne Marie Callenberger puis (1674) Anne Madeleine Mosseder – luthériens
1718 adj Abraham Büchel, marchand, et (1681) Catherine Mercklin – luthériens
1734 h Jean Philippe André, marchand, et (1707) Catherine Büchel – luthériens
1744 v Jean Michel Meyling, menuisier, et (1718) Anne Catherine Schœning, (1743) Barbe Verius d’abord (1725) femme de Jean Rummel puis (1760) Barbe Jenn d’abord (1750) femme du maçon Jean Flessa – luthériens
1747 h Jean Michel Meyling, menuisier, et (1747) Marie Salomé Rummel – luthériens
1782 h Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et (1782) Barbe Debs – luthériens
1789 v Jean Daniel Neustœckel, menuisier, et (1786) Anne Catherine Weber – luthériens
1822 adj Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et (1817) Philippine Frédérique Terrass
1859 h Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et (1859) Caroline Amélie Schultz
1864 v Louis Marxer, journalier, et (1842) Anne Marie Wernert
1895* h Marie Louise Joséphine Marxer et (1860) Georges Renner, serrurier, puis (1887) Emile Bauer, imprimeur
1908* v Ville de Strasbourg

Maison au sud, réunie en 1682

Jean Diebold de Gougenheim et Anne
Thiébaut Veltin de Gougenheim et Agnès
Jean Angst, employé des Sept, et (1606) Anne Hummel – luthériens
1624 v Joachim Brackenhoffer, orfèvre puis consul, et (1599) Anne Marie Ziegel – luthériens
1629 v Georges Littmann, boulanger, et (1606) Anne Sultzer – luthériens
1636 h Etienne Meyer, farinier, et (1621) Anne Heuss puis (1636) Anne Sultzer veuve de Georges Littmann – luthériens
1663 v Adam Keller, soldat de la garde, et (1641) Anne Marie Bogner d’abord (1638) femme du remueur de grains Jean Bechtold – luthériens
1670* adj Elie Brackenhoffer et (1646) Anne Schmidt puis (1667) Barbe Erhard – luthériens
1682 v Michel Braunwald (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 500 livres en 1733, 600 livres en 1757, 350 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 29, Michel Mähling
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Meÿling, 2 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 682, Silberzahn, Georges Michel, employé / propriétaire – maison, sol, cour – 3,2 ares

Locations

1744, Philippe Albert Martzolff, tisserand

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Michel Meyling charge le maître maçon Schneider de faire des travaux dans sa maison. Les préposés aux feux refusent en avril 1764 qu’il fasse aménager une cuisine avec un fourneau à droite de l’entrée et poser un fourneau dans le vestibule au premier étage du bâtiment arrière.
Le même charge quelques mois plus tard le maître maçon Linckenhœl de transformer la cheminée dans le poêle au deuxième étage du bâtiment à droite de la cour.

(p. 31) Donnerstags d. 12. Aprilis 1764. – Michel Meÿling der Schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand in der Einfahrt eine Kuchen machen mit herd und Camin schooß, das rohr an einer Riegel wandt hinauf, ferner im hindern gebäut rechter hand ersten Stock ins hauß Ehren einen Herd an ein altes Camin rohr setzen, mit einem Camin schooß, das rohr in das daneben befindliche Camin Rohr hineinfüfren.
Erkandt, mit beeden begehren abgewießen und solle das offelein in der Cammer rechter hand der einfahrt hinweggeschafft werden. – Mr Schneider

(p. 42) Freÿtags d. 20. Julii 1764. – Mr. Meÿling der schreinermeister will in seiner in der Blindengaß gelegenen Behaußung rechter hand im hoff an Zweÿen stuben in das Eck ein Vor Camin setzen, welches ane statt des Camin schooßes gewölbt, das rohr grad hinauf mit einel hunds Kopf versehen welcher auf sich selbesten stoßet.
Erkanndt, Willfahrt – Mr Linckenhölin

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, cuisines, chambres, chambre à soldats, vestibule, cave sous solives,, petite cour estimée avec autres appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et deux ateliers où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles

nouveau N° / ancien N° : 15 / 9
Neustoeckel
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage en bois médiocre
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 171 case 1

Silberzahn Georges Michel

P 682, Maison, sol, cour, rue des aveugles 9
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 859 case 1

Silberzahn Georges Michel
1861 Silberzahn, Frédéric Auguste Adolphe, licencié en droit, rue du faubourg de pierre 17
1866 Marxer Louis journalier à Strasbourg
1895/94 Bauer Emil Rentner Wittwe Marie Luise Josephine geb. Marxer Wittwe I. Ehe Renner Georg
1908 Strassburg die Gemeinde
(ancien folio 607)

P 682, Maison, sol, cour, rue des Aveugles 14
Contenance : 3,20
Revenu total : 118,66 (117 et 1,66)
Folio de provenance : (171)
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 683, Maison, sol, rue des Aveugles 12
Contenance : 0,30
Revenu total : 36 et 0,16
Folio de provenance : 859-II
Folio de destination : 859.I Vergr.
Année d’entrée :1884
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1

P 712.p, sol, cour, rue des Aveugles 12/14
Contenance : 1,05 (total 4,55)
Revenu total : 0,55
Folio de provenance : 871-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1884
Année de sortie :

P 682-683, maison, rue des Aveugles 12
Revenu total : 210
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Augmentations, 1885 – Marxer Ludwig f° 859-I, P 682, Haus, Reinertrag 117, Vergrößerung, 1882
d° P 683, Haus, Reinertrag 36, Vergrößerung, 1882

P 683, atelier, rue des Aveugles 12
Revenu total : 105 (total 317,17)
Folio de provenance : 859-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1885
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 31 p. 282 case 1

Parcelle, section, 56 n° 36 (429/14 – 236) – autrefois P 682, 683, 712.p
Canton : Blindengasse Hs. N° 12/14
Désignation : Hf, Whs, N.G.
Contenance : 4,20
Revenu : 21,00 – 2300 – 3100
Remarques : 1912 Abbruch – 1914 ab 281 F. 5

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 231)

9
loc. – Meyling, Phil. Fréd., menuissier – Charpentiers
loc. – Haeberlin, Jacques, pelletier – Pelletiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Blindengasse (Seite 15)

(Haus Nr.) 12-14
Köhl, Installateur und Brunnenmachermr. 01
Furtwengler, Holzboldhauermstr. 0
Dossmann, Schuhmm. H 1
Fenninger, Einkass. H 1
Mühleisen, Gesch.-Agent. 2.
Gilbert, Wwe. H 2
Gölzelichter, Wwe. H 2
Räppel, Schneiderm. H 2

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 30

La fiche de la maison n’a pas été renseignée

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

(19) Haus : Blindengasse 12/14
[Maison :] 16, rue de l’Argile
a) Geschichtliches : N° 12 Stefan von Marlenheim, Weinsticher, 1587
N° 14. Dem Waisenhaus wo Jacob der Strow schneider wohnt. 1587, Michel Carlen, artiste peintre, 1860


Relevé d’actes

La maison appartient au début des années 1620 au tisserand Georges Segmehl. Originaire de Biberach, il épouse en 1613 Marguerite veuve de Michel Meyer, appelée Marguerite fille du tisserand Georges Endres dans le livre de bourgeoisie.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 133, n° 29)
1613. 19. Julÿ Jerg Seegmel der Leinenweber von Biberach, Margrettha Michel Meÿers wittib

Georges Segmehl devient bourgeois une semaine après son mariage.
1613, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 965
Georg Seegmehl der Leinenweber von Biberach Empfahet d. Burgerrecht von Margaretha weÿl. Georg Endreß. deß Leinenwebers tochter, Wüll Zu den tuchern dienen. Actum den 27. Julÿ Aô 1613.

Assistée de ses beaux-frères Michel Seiffert et Jean Gross, Marguerite veuve de Georges Segmehl se remarie en 1627 avec le tisserand Jacques Mœst ; contrat de mariage, célébration (sous le prénom de Georges)
1627 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 397-v
(Eheberedung ) Erschienen Jacob Möst der Leinenweber burger Zu St. Alß hochzeiter mit beÿstand Mathiß Scheüblen deß Spindeltrehers auch burgers alhie An einem
So dann Margretha weÿ: Georg Seegmeels deß Leinenwebers auch burgers see: Zu St. wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand ihres Vogts Michel Seÿffers deß Leinenwebers vnd hannß Großen auch Leinenwebers ihres Schwestermanns vnd Schwagers 2 theil
(vide Codicill in Reg: 1629 fol: 580)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 182-v)
1627. Dominica X post Trinit. Georg Mist d. Leinenweber alhie Margaretha Geörg Segmehls deß Leinenwebers allhie nachgelaßene wittib. 6. Aug. (i 188)

Marguerite Enser femme depuis deux ans du tisserand Jacques Mœst institue pour légataires ses neveux Abraham Golder, Isaac et Jacques Otthoffer. Le testament est annulé en 1633
1629 (14. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 580
Erschienen Margreth Enserin Jacob Mösten deß Leinenwebers und burgers Zu St. eheliche haußfr. gesund stehend. vnd gehend. Leibs auch guter v.stendlicher Sinnen vnd v.nunfft wie ab ihr genugsamb vschieinen Zeigte an, demnach sie sich vor 2 Jaren mit besagtem ihrem ietzig. haußwürth ehelichen eingelaß. vnd derselb ihr bißher alle eheliche lie vnd trew erwisen, Alß were sie willens anderwerts ihr Codicill vfzurichten vnd d. den 10. Octobris A° 1626. vor H hanß Georg Meÿer dem Noto. vffgerichteten Letzten willens v.ordt. zu cassiren cassirt
(…) daß es beÿ der den 24. Julÿ Anno 1627. zwischen ihr und ihrem ietzig. haußwürth vfgerichten auch in der Contractstb. v.zeichneten Eheberedung v.bleib. soll
(…) 25. lb Abraham Goldter dem schneider ihrer Schwester sohn od. deßen Erben vnd 5. pfund Isaac und Jacoben, Christoph Othofers deß Leinenwebers mit Barbara ihr Codicillirerin Schwester seel. erziehlten zweÿen söhnen legats weiß
(cassirt weg. deß durch mich den 26. 9.bris 1633. vfgerichteten Testaments)

La fille du cordonnier Jean Seegmehl de Biberach vend la maison au secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer

1640 (1. Octob:), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 504
Erschienen Maria Weÿl. hannß Seegmehls des Schuhmachers Zu Biberach seel: hinderlaßenen Töchterlins Vogt Adam Werner der Rothgerber Zu Biberach bekannte
in gegensein H Johann Georg Meÿgern, Stallschreibers Vnd burgers Zu Straßburg (v.kaufft)
hauß hoff hoffstatt mit allen deren recht. gelegen alhie in der Blinden gaß. neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten ietzo H Joachim Brackhenhoffern Alt Ammeister, hinden Vff H Ludwig Metzgers seel. Erben Garten stoßend gelegen – per j. C. Lix Lib. Straßb.

Le notaire et secrétaire de la Taille Jean Georges Meyer revend une semaine plus tard la maison au tisserand Henri Fleischmann et à sa femme Béatrice Hummer

1640 (7. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 516
(Protocoll. fol. 116. fac. 1. et seqq.) Erschienen Hr Johann Georg Meÿger Nots. und verordnete Stallschreiber alhie
hatt in gegensein Heinrich Fleischmanns deß leinenwebers und Beatrix Hummerin seiner ehefrauwen burgern alhie
hauß hoff hoffstatt mit allen andern gebäuwen & gelegen alhie in d. Blinden gaßen neben dem Beerenhoff && etwan neben Georg Repperten Jetzo Herren Joachim Brackhenhoffern Altem Ammeister, hinden vf Herren Ludwig Metzgers des holtzhändlers seel. Erben garten stoßendt, So gantz ledig eigen Vnd ist d. Kauff zugangen vnd beschehen für vnd vmb 182 lib.

(L’acte ainsi que les deux suivants ont sans doute trait au père de l’acquéreur) – Fils du cultivateur André Fleischmann à Alfershausen en Franconie (ici noté Amfershausen), Henri Fleischmann épouse en 1599 Madeleine, fille du tonnelier (sic) Samuel Peter
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182-v, n° 18)
1599. Eodem die [dominica 4. Trinitatis] Heinrich Fleischman ein leinen weber, Andres fleischman eines baüermans Zu Amfershausen im franckenland nachgelaßener Son Vnd J. Magdalena Samuel Peter des Küefers alhie, tochter, dieser Samuel ist Schenck im Spital dißmal. Confirmatio ê factû 9. Julÿ (i 348)

Originaire d’« Auversheim » en Franconie, Henri Fleischmann devient bourgeois par sa femme, fille du tisserand Samuel Peter quinze jours après son mariage
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p 771
Heinrich Fleischman, v. Aunerßheim auß dem Franckenlandt, der Leinenweber, empfahet d. Burg. von Magdalena, Samuel Peter des Leinenwebers dochter, gint sein vermög. für nichts an, Vnd will Zun Tuchern diehnen. Act vts. [26. Julÿ 99]

Madeleine, femme du tisserand Henri Fleischmann, a abandonné pour la quatrième fois en treize semaines ses trois enfants Samuel, Anne Marie et Henri parce que l’aumône qu’elle recevait en argent et en pain ne suffit pas à les entretenir. Elle demande que les deux ainés entrent à l’orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un conviennent d’augmenter le secours qui lui est alloué
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
(f° 51) Sambstag den XXV Febr. – Magdalena Heinrich Fleischmans Kinder steuren
Magdalena Heinrich Fleischmans Leinenwebers hausf. der hie vor 13 wochen Zum vierten mal mit 3 Kleinen Kindern Samuel, Anne Marie, Heinrich deserirt vnd ob sie wol wochentlich 3 plappert vnd 5 leibbrot zur steur gehabt, könne sie sich doch mit den Kindern nit ausbring. Bitt die Zwen ins weysenhauß Zu nehmen, will sie sehen d. sie sich mit dem tritten sampt d. steur verehre.
Erk. d. sie noch mit weysen, solten se mit 4 ß vnnd 6 leibbrot wochentlich von S Marx gesteurt werden.

Henri Fleischmann se marie en 1627 avec Anne, veuve du tisserand Jean Bæurlé
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 76)
1627. Dom. XIV 26. Augusti. Heinrich Fleischman der leinenweber vnd Anna hanß beurle sel. burgers alhie wittwe. copulatio 4. 7.bris Z. J. S. Peter (i 40)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 45-v) 1627. den 26. Augusti. Heinrich Fleischman der Leinenweber vnd burger alhie vnd Anna Hans Baürle des Schneiders und burgers alhier nachgelaßene wittib. J. S. Peter i 52)

Le tisserand Jean Bæurlé épouse en 1608 Anne, fille de Jean Frey, meunier à « Böferdingen » près de Messkirch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264-v n° 718)
1608. Sonntag den 17. Julÿ. Hanß Beürle der schneÿd. vndt Anna, Jacob Freÿhen des Müllers Zu Böferding. beÿ Messkirch tochter. Eingesegnet Mittwoch 25. Julÿ (i 271)

Mariés depuis trois ans, Henri Fleischmann et Anne Frey font leur testament en décembre 1630.

1630 (22. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 787
Erschienen Heinrich Fleischmann d. Leinenweber, burger Zu St. vnd Anna Freÿin, sein eheliche haußfr. beede gesunden & leibs, auch guter sinnen & Zeigten An, Wie daß sie beede in ihrem dreÿ Järigen Ehestand einand. alle eheliche Lieb & erwisen & Alß weren sie vß diß. vnd anderen mehr bewegend. Vrsachen entschloß. ihren Letsten willen, Codicills weiß vffzurichten vnd Zumachen Setzen vnd verordneten auch alßbald. vffs kräfftigst & wie volgt (…)

Henri Fleischmann se remarie en 1638 avec Béatrice, fille du tisserand Jean Cammerer, de « Hochstatt » près d’Augsbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 227)
1638. Dom. XXIII. Trinit. 20. 9.bris. Heinrich Fleischman d. Leinenweber v. burger alhie v. J. Beatrix, Hanß Cammerers deß leinenwebers v. burgers Zu Hochstatt beÿ Augspurg tochter. Cop. 20. 9.bris J. S.t. Peter in frühbett (i 15)

Béatrice, veuve de Henri Fleischmann, et sa fille Anne Marie femme du tisserand Jean Ulric Oberhauser hypothèquent la maison au profit d’André Fischer, assesseur au Grand Sénat

1660 (30. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 602-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmanns deß leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Philipß Keÿßers deß Leinenwebers und Büttels vff der tuch. Zunfftstuben, ihres Vogts, wie auch Anna Maria ihr eheleibliche dochter mit beÿstand hannß Ulrich Oberhaußers deß leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein H Andreß Fischers E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 30 Pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie in der Blind. gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Andreæ Brackenhoffern alten Ammeÿstern, hin. vff weÿl. H Ludwig Metzgers deß Holtzhändlers seel. Erben stoßend geleg.

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de la fondation Schenckbecher pour laquelle agit Jean Régnard Mader, en outre secrétaire aux affaires criminelles

1662 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 418
Erschienen Beatrix weÿl. Henrich Fleischmanns deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Philipß Kaÿßers deß leinenwebers und Büttels vff der tucher Zunfftstuben ihres Curatoris, wie auch Anna Maria ihr Debitricis eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts, So dann Sie Muter und dochter Zugleich mit beÿstand H Johann Peter Schmidts und H Andres Fischers beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputierte
in gegensein H Johann Reinhard Maders Vergicht schreibers und Cancelleÿ Vewanthens alß Schaffners der Schenckhbecherisch. Stifftung – schuldig seÿen 50 pfund
Unterpfand sein soll hauß hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhier in der Blidengaßen einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andrea Brackhenhoffern alten ammaÿstern hind. vff weÿl. H. Ludwig Metzgers deß holtzhändlers seel. Erben stoßend gelegen

Les mêmes vendent la maison au tisserand Jean Michel Braunwald

1665 (24. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 448-v
Erschienen Beatrix, weÿl. Henrich Fleischmann deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Philipß Kaÿsers deß Leinenwebers und Büttels uff der tucher Zunnft stuben ihres Curatoris, Wie auch Anna Maria ihr Beatrix eheleibliche dochter mit assistentz hannß Ulrich Oberhaußers deß Leinenwebers ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Michael Braunwaldts deß Leinenwebers mit beÿstand Conrad Welschen deß Büttels uff der Schuhmacher Zunfft stuben
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H Andreæ Brackenhoffern altem Ammaÿstern und treÿzehnern, hinden uff Georg Dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen, solche Behaußung umb 75. lib der Schenckbecherischen Stifftung Verhafftet – umb 95 Pfund pfenning

Les Conseillers et les Vingt-et-Un attribuent à Jean Michel Braunwald et à sa fiancée un legs pour jeunes époux (le registre est abîmé)
1664, Conseillers et XXI (1 R 147)
Hanß Michel Braunwaldt. 34 bis.
(f° 34) [-] gewohnlichem legato in gnaden [-] Zugleich ein Attestatum von [-] Erk. Soll ferner erkündig [-] – H XV. Fau[-]

(f° 34-v) [-] Faust et H Mercklin referiren, wegen [-]l Braunwaldts vnd seiner verlobten [-]ge ein gar guth Zeugnuß, Er Braunwald [-] handwerck redlich erlernt, darauff ge[-]tend das Meisterstück ohne taden, verfer[tigen [-]ÿe auch die verlobte wegen ihrer die[-] e gestandten, berühmbt. Erk. [mit ein]em Legato willfahrt, doch einfrühgen [-] anstellen – vorige Hh. Deputirte.

Fils du cordonnier Jean Michel Braunwald, Jean Michel Braunwald épouse en 1664 Anne Marie, fille du tisserand Michel Callenberger. Jean Michel Braunwald y est dit par erreur cordonnier comme son père mais il est bien tisserand comme le porte l’acte de baptême à la fin de la même année
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131-v, n° X)
1664. Dom. Reminiscere. Johann Michael Braunwald der schuhmacher, Joh: Michael Braunwald, Schuhmachers sohn, J. Anna Maria Michael Callenberger leinenwebers tochter (i 13)

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 131, n° 107)
1664. Mittw. den 13. Xbris. Johannes Michael Braunwald der leinenweber und Anna Maria Kallenbergerin, Maria Elisabetha – Philipp Lump der Zimmermann, Anna Elisabetha h. Balthasar Bischoffs sel. tochter vnd Anna Maria fixin, Joh. Vixen Salpeter sieders fraw (i 270)

Le tisserand Jean Michel Braunwald le jeune hypothèque la maison au profit des enfants du tisserand André Thomann et d’Ursule Hetzel. Son père cordonnier Michel Braunwald se porte garant.

1666 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 36
Erschienen Hannß Michael Braunwald der Jüngere Leinenweber
in gegensein Abraham Ratzge deß Leinenwebers alß Vogts Andres Thomans deß Leinenwebers mit weÿl. Ursulæ Hetzlerin nunmehr seel ehelich erzeugter Kinder, mit beÿstand ihres ietzgedachts Vatters – schuldig seÿe 25. Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Blindten Gaßen, einseit neben neben dem Bärenhoff, anderseit neben herren Andrea Brackenhoffern alten Ammaÿstern und treÿ Zehnern, hinden uff Georg dänningern den Weinhändlern stoßend gelegen
Zu noch mehrern Versicherung so ist hiebeÿ persönlich erschienen Hannß Michael Braunwald der älter schuhmacher, deß Schuldners eheleiblicher Vatter, der hatt sich für dieße Schuld (…) Verbürgt
[in margine :] Erschienen andres Thoman der Mußquetirer under herrn haubtmann dürren Compagnie beÿ hießiger guarnison, deme an die hierinn bedeutete 25. lb allein gehörig seÿen (quittung) Act. d. 9.ten Julÿ 1677

Anne Marie femme de Jean Michel Braunwald meurt à l’âge de 43 ans en juillet 1673
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 39. n° 53)
1673 Anna Maria, Hanß Michel Braunwalds des Leinenwebers Haußfr. starb den 28. Julÿ Abend umb thorglock Zeit im 43. Jar ihres Alters, undt ist den 30. dito Zu Gutleuüthen begraben (i 21)

Jean Michel Braunwald se remarie en 1674 avec Anne Madeleine Mosseder, fille du brasseur au Cygne Jean Michel Mosseder
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 159-v, n° 32)
1674 (6. Aug. – 10. sept.) Hans Michael Braunwaldt burger v. Leinenweber alhie V. Jungfr. Anna Magdalena Moseterin h. Hans Michael Moseters geweßenen Burgers v. Biersieders zum Schwanen hinderlaßene eheliche tochter (i 161)

Michel Braunwald est nommé garde par la tribu des tailleurs. Il devient échevin chez les Drapiers en 1686
1668 Conseillers et XXI (1 R 151) Michel Braunwaldt Würdt Scharwechter bey EE Zunfft der Schneidern. 208.
1686 Conseillers et XXI (1 R 169) Johann Michael Braunwald wird schöff beÿ den Tuchern. 250.

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Régnard Mader, secrétaire aux affaires criminelles et receveur de l’auberge des Pauvres Passants

1674 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 473-v
Hannß Michael Braunwald der Leinenweber
in gegensein H. Johann Reinhard Maders Vergichtschreibers und Schaffners der Elenden Herberg – schuldig seÿe 25. lb.
Unterpfand, Hauß Hoffstatt Höfflin, Gärtlin mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben H. Eliæ Brackhenhoffern XV. hinden uff H. Hannß Georg Thenningern den Weinhändlern stoßend gelegen

Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit du jardinier Jean Thiébaut Schell. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin

1681 (27. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 465-v
Hannß Michael Braunwaldter leinenweber
in gegensein Herren Diebold Schellen, Gartners Underwagner – schuldig seÿe 75. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier in der blindengaß einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hannß Anstett den Obskrempen, hind. uff Adam Allheÿlig den bastetenbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] Fr. Aurelia, gebohrne Voltzin, hierinn ged. H. Schellen des Creditoris Nun seel. nachgelaßene wittib so ohnbevögtiget mit beÿstand Samuel Hetzels, Rothgerbers Ihres Vettern hat in gegensein Fr. Catharinæ Büchelin gebohrner Merckelin Wittib mit beÿstand herrn Johann Friedrich Ößingers U.J. Licentiatj Und E.E. Kleinen Raths Referentis Ihres H. Curatoris, alß nunmahliger propretariæ hierinn beml. Haußes in d. blind.gaß liegend (quittung) act. d. 16.ten Junÿ 1719

Assesseur au Petit Sénat, Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Jean Michel Mosseder, brasseur au Cygne. En marge, quittance remise en 1719 à Catherine Büchel née Mercklin.

1695 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 119
Erschienen H. Johann Michael Braunwald der Leinenweber und E: E: kleinen Raths beÿsitzer
hatt in gegensein Johann Michael Moseders des biersieders Zum Schwanen – schuldig seÿe 250 pfund
dafür Vnderpfand sein soll, Ein Vorder und Hinder Hauß, Hoff, Hoffstatt sambt den gärttlein darinn, und übrig. deren gebaüen, begriffen, Zugehördten und gerechtigkeit allhier in d. blindengaß, einseit neben dem Bährenhoff, anderseit neben hans Anstätt dem Obst Krempen, hind. auff Adam Allheÿlig den Pastetenbeck stoßend gelegen, welche Häuser Zu vorhien vmb 75 lb Cap: d Schenckbecherischen Stifftung, Ferner vmb 50 lb d Cap. d. Elend. Herberg, Item vmb 40 lb d Cap: Weÿl. Hn Eliæ Brackenhoffer dreÿ Zehners seel. hinterlaßener Wittib vnd Erben, Sodann vmb 75 llb d Cap. Diebold Schellen, Garttner Vnd.wagner vnd E. E. grosen Raths alten beÿsitzer verhafftet
[in margine :] Erschienen Joh: Carl Röderer biersieder beÿm wildten man, u. Joh: Philipp Schell silberarb. bede alß Tochtermänner Hierinn stehenden Creditores uns. für sich vnd nahmens gesambter mit Erben (…) in gegensein Frauen Cath: Büchelin geb. Mercklinin beÿständlich H Joh: Frid: Ößingers U. J. Ddi und Referenten beÿ E. E. Kl. Raths Als numahliger schuldnerin (…) den 13. Febr: 1719.

Jean Michel Braunwald, tisserand et assesseur au Petit Sénat, meurt en novembre 1708 à l’âge de 69 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 1698-1716, f° 110-v)
1708. d. 7. Nov. ist Zu nacht ein 4.tel nach 10 vhr gestorben Johann Michael Braunwald leinenweber vnd beÿ E. E. Kleinen Rath beÿsitzer s. alters 69 Jahr 4 Monat 19 tag vnd ist folgend. 10. Nov. nachmittag vmb 2 Vhr Christlich Zu den Guten leit. begrab. worden und Johann Michael Braunwald Als Sohn, Johann Georg Moseder als schwager (i 112)

Marie Madeleine Mosseder veuve de Jean Michel Braunwald hypothèque la maison au profit de Catherine Büchel née Mercklin.

1714 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 35
Maria Magd: geb. Moßederin Weÿl. H. Joh: Michael Braunwaldt geweßenen leinenwebers wittib beÿständlich Johann Peter Avenarius leinenwebers ihres Curatoris
in gegensein frn. Cath: Büchelin wittib geb. Merckelin beÿständlich H. Joh: Friedrich Ößingers U.J. Ddi u. Refetenten beÿ E. Kl. Rath – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhier in der blindengass einseit neben dem Bärenhoff anderseit neben Leonhardt Maurers wittib hinten auf (-)

D’après son inventaire (voir ci-dessous, 1733) Catherine Büchel acquiert la maison en 1718 par enchère judiciaire sur le teinturier Jean Michel Braunwald (fils des précédents).
Le marchand Abraham Büchel épouse en 1681 Catherine, fille de l’assesseur au Grand Sénat Chrétien Mercklin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15 n° 14)
1681. Fest. Pentecost. H. Abraham Büchel der jüngere Handelsmann H Abraham Büchels des Handelsmanns und ältern E E Großen Raths alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Catharina weÿland Hn Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers vnd beÿ dieser Kirche*n wohlmeritirt Kirchen vnd * pfleger nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnest 2. Junÿ (i 16). Donnerst. den 2
Proclamation, cathédrale (luth. f° 93) 1681. Fest. Pentecost. Zum 2 mahl hr Abraham Büchel der jüngere Specirhandler H Abraham Büchels des ältern E E großen Raths alten Beisitzers ehel. S. Jfr. Catharina Weiland H Johann Christmann Mercklins E E großen Raths alten Beÿsitzers nachgelaßene eheliche T. Donnerst. den 2.t Junÿ S Niclauß (i 94)

Catherine Mercklin meurt en 1733 en délaissant trois enfants. La succession comprend plusieurs maisons dont la maison mortuaire aux Trois Rois dans la Grand rue. Les experts estiment la maison rue des Aveugles à la somme de 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 8 686 livres, le passif à 286 livres.

1733 (19.3.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) n° 260
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin, auch weÿl. des Wohl Ehren vesten und großachtbaren Herrn Abraham Büchels, geweßenen vornehmen Handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterlaßener Frau Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733 – nach Ihren den 19. Januarÿ Innstehenden und Zu End gemelten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 19. Martÿ Anno 1738.
Die Verstorbene Frau seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folget. 1. Tit. Frau Annam Cleopheam Fibichin gebohrne Büchelin, weÿl. Tit. H. Johann Jacob Fibich geweßenen treueiffrigen Diaconi Zu St. Aurelien und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau wittib, so mit beÿstand S.T. Herrn Johann Daniel Francken Banquier und E E. Kleinen Raths allhier jetztmahligen wohlansehnlichen beÿsitzers Ihres geschwornen Herrn Curatoris, und alß ermelter derselbe annoch Vor Endigung dießes Geschäffts das Zeitliche gesegnet, mit beÿstand H. Johann Herman Scherden Junioris handelßmann und burgers allhier ihres erbettenen H. Assistenten dießem Geschäfft Persönlich beÿgewohnt. 2. Tit. Herrn Abraham Büchel Vornehmen handelßmann und burger alhier so auch in Persohn zugegen war. 3. Tit. Frau Catharinam Andrein gebohrne Büchelin weÿl. Tit. herrn Johann Philipp Andre geweßenen handelßmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Frau Wittib, so weilen Sie ohnverburgert mit beÿstand H Joh. Jacob Braunen, Goldarbeiters und burgers allhier Ihres H Tochtermanns dießer Inventation abgewartet, Alle dreÿ der Verstorbenen Frau seel. mit mehrgemeltem Ihrem geweßenen Eheliebsten ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder

Copia des Von der Verstorbenen Frau seel. in Anno 1732. vor mir Notario auffgerichteten Codicilli Clausi
Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter ane der langen straßen gelegenen Zu denen 3. Königen genanden behaußung befunden vor und ane sich selbsten
Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auffm Gang, In der Officier stub, Im undern Stübel, Im untern Haußöhren, In der Stub, In der Stub Cammer, In der finstern Cammer, In der Kuchen, Im Contor
Eigenthum ane Häusern. Erstlich i. Behaußung und hoffestatt ane der obern Straß beÿ der steinern bruck (…)
Item eine Behaußung Von Alters her Zur Glocken jetz zu denen 3 Königen genant ane der obern Straß (…)
Item I hauß hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, Rechten und zugehörden allhier in der blindengaß 1.s neben dem Bären hoff, 2. s. neben Jacob Seemann dem Maurer hinden uff Geörg Gulden den weinhändler stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen und durch die geschworne Werckmeistere vermög ob allegirter Abschatzung angeschlagen und æstimirt worden vor 500. lb. Solche behaußung hat die verstorbene seel. alß Sie Johann Michael Braunwald den färber nun des darauß Zufordern gehabten capitals exequiren laßen in Ao: 1718. der ganth ane sich gezogen, deßwegen aber kein ordentlicher Gant Kauffbrieff vorgelegt werden Können. sonsten seind annoch vorhanden 2. perg. Kbr. auß allhießiger CC Stub unter deren anhang. Innsiegekn gefertiget dedatis 24. Augusti 1661 Sun N°1 und 4. Febr. 1682. Sub N° 2.
Item I. Kl. behaußung in der Vorstatt Krautenau in der Kleinen Viehgaß (…)
Item noch eine Kleine Behaußung in der Kleinen Viehgaß (…)
Eigenthum ane Liegenden Güthern Kuhnheimer Banns
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 286, Sa. Schiff und geschirrs Zur handlung gehörig 29, Sa. Wahren 270, Sa. Wein und Faß 509, Sa. Silbers 130, Sa. Goldener Ring 37, Sa. baarschafft 189, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3363, Sa. Eigenthum ane Liegenden güthern 150, Sa. Anschlags der häußer 3148, Sa. Activ Schulden 570, Summa summarum 8686 lb – Schulden 286, Deducendo, Stall Summ 8399 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 282, Zweiffelhaffte Schulden 221 lb
Copia Testamenti – Ich Catharina Büchelin gebohrne Merckelin Weÿland Abraham Büchel geweßenen handelßmann und burgers allhier Zu Straßburg nun längst seel. nachgelaßene Wittib thue Kund hiermit (…) Siebendens, ist mein Will und behegren, daß meinem Sohn das hauß, so er Von mir schon Viel Jahr lang in Lehnung hat (…)
So geschehen iin Straßburg uff Mittwoch den 30. Januarÿ in dem Jahr des herrn als man Zahlte 1732.
Abschatzung d. 19. Marty 1733. Auff begehren Weÿl. der Viel Ehr undt Tugendsahme fraw Catharinæ Büchlerin, Gebohrne Mergelerin seel: hinterlaßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen straß gelegen (…)
Der 3.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straß in der Blinden gaßen gelegen einseits Neben dem beeren Hoff anderseits Neben Jacob Rehmen Maurer, hinden auf Johannes Gulden Kürsner stosendt Welche behausung ein alt Klein hinder behausung ein alt Klein hinder gebäwlein, Stuben, Kuchen, Cammern, Soldaten Kammer, hauß Ehren, gebälckter Keller und höffel, sambt aller gerechtig Keit Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzig preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausendt Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Sommé de déclarer s’il veut se rendre propriétaire de la maison rue des Aveugles, Abraham Büchel la cède à ses deux sœurs Anne Cleophée veuve du diacre Jean Jacques Fibich et Catherine femme du marchand Jean Philippe André

1734 (16. Sept.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 12) Joint au n° 260 du 19 mars 1733
An Zuend stehendem dato erschienen beÿsammen weÿl. Frauen Catharinæ Büchelin gebohrner Mercklinin seel. Erben mit Ihren Herrn beÿständern, anzeigend, demnach Sie die Erben schon Längstens getrachtet die in die Mütterlich Verlaßenschafft gehörige Zweÿ Häußern, davon das eine ane der Langenstraß gelegen und Zu denen dreÿen Königen genannt wird, und das adere in der Blinden Gaß gelegen Gemeinschafftlich Zu verkauffen, aber sich Kein Kauffmann præsentirten wollen, daß Sie in Zwischen schon gerraume Zeit hero wegen solcher beeder Mütterlicher Häuser mit einander Vorschlägen thun insonderheit der beede Frau Töchtere Ihrem Herrn Bruder schon Längstens die Wahl antragen Laßen, daß deren Herr Bruder solche beede Häußer nemlichen das Hauß Zu den dreÿen Königen genannt um 5300 Guldin, das Hauß in der blinden Gaß aber um 1600 Guldin entweder im Erb übernehmen oder Ihnen seinen Fraun Schwestern um gedachten Preiß überlaßen möge, Weilen nun der Herr Sohn sich auff solche Proposition nicht categorisch erclären wollen, und deßwegen Ihne die beede Frau Schwestern vor E. E. Großen Rath citiren Laßen, um seine endliche Resolution gerichtlich Zuthun, So hätte der Herr Sohn sich erclärt seinen beeden Frau Schwesteren beÿ Ihrem Offerto Zulaßen, mithien seinen angebührigen dritten theil à Proportion des stipulirten Preises Zu entschlagen und Zu überlaßen, wie dann sich die dißortige Erben derentwegen follgender maßen mit einander verglichen haben.
Nemlichen cedirt und überlaßt Herr Abraham Büchel seinen beeden Frau Schwesteren
Frauen Annæ Cleophe Fibichin und Frauen Catharinæ Andrein
in Erbsweiß seinen ererbten Mütterlichen drittentheil sowohl ane der Zu den dreÿen Königen genannten ane der Langen Straßen einseit neben Johann Friderich Weiler dem Kieffer, anderseit neben dem Wirthshauß Zum Rindsfuß gelegenen hinten auff die Gerber Zunfft Stub stehenden behausung, weilen der davon dem Gürtlerhoff allhie Jährlich anzurichten habende und in Goldgulden ablösige Zinß durch dißorts dreÿ Erben ohne Anstand gemeinschaftlich abgefürt werden solle, alß freÿ ledig und eigen
alß auch die tertz ane der in der Blindengaß, einseit neben dem Bärenhoff, anderseit neben Jacob Seeman dem Maurer gelegenen hinden auff Geörg Gulden den Weinhändler stoßenden behaußung so freÿ ledig und eigen, mit allen deren Rechten und Gerechtigkeiten, und Zwar seinen dritten theil ane erstgedachten beeden Häußern um 2300 Gulden Jetzig courant (…) Geschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. Septembris Anno 1734.

Catherine Büchel est ensuite propriétaire de la maison. Elle épouse en 1707 le marchand Jean Philippe André, fils du marchand Jean Philippe André : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvest undt Wohlvorgeachtn Herrn Johann Philipp Andrea, Handelßmann und Burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Herrn Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrawen Catharina Büchelin, Weÿland deß Wohl Ehrenvesten undt Wohlvorgeachten Herrn Abraham Büchel geweßenen Vornehmen Handelßmanns undt Burgers allhier Zu ermeltem Straßburg, nunmehr seel. mit der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Catharinæ gebohrner Mercklinin Ehelich erzügten Tochter, alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ in dem Jahr alß mann nach der Gnadenreichen geburth und Menschwerdung unßers Erlößers und Heÿlandes Jesu Christ Zahlte 1707 [unterzeichnet] Johann Philipp Andreä als Hochzeiter bekenne wie obstehet, Catharina Vüchlerin Als hoch Zeiterin bekenn Wie obstödt – Daniel Rohr, Nots.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 174-v n° 793)
1707. Mitwoch den 16.t Febr. Sind nach 2 mählicher proclamation ehl. copulirt worden, H Joh. Philipp Andreß der ledige handelsmann, weÿl. H Joh: Phil. Andeßen, gewesenen b. Schiff und handelsmanns hinterl. ehel. Sohn und Jungfr. Catharina weÿl. H. Abraham Büchel geb.w. b. vnd Handelsmann Hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Andrä alß Hochtzeiter, Cathrina bichlein als hoch zeitin (i 174)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue qui appartient aux parents de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 556 livres, ceux de la femme à 1 304 livres.
1707 (16.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 17) n° 652
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab vnd Nahrung, so der Ehrenvest v. Vorgeachte Herr Johann Philipp Andreä, handelßmann vnd die Viel Ehren vndt tugendreiche fraw Catharina gebohrne Büchelin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebracht vnd vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen allhier in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vnd vorachtbahren herrn Geörg Friderich Otten Sen. Rothgerber und lederbereithers auch burgers allhier Zu Straßburg der Ehefrawen annoch ohnentledigten vogts ferner der viel Ehren und Tugendreichen Frauwen Catharina gebohrner Mercklinin der Ehefrauen geliebten Fr. Mutter, Weiter des Wohl Ehrwürdig hochachtbar vnd wohlgelehrten H Jacob Fibich der zeit treweifferigen und wohlbestellten Pfarrers der Evangelischen Gemeind Zu Eckboltzheim und der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Mariæ Cleophe gebohrner Büchelin der Ehefrauen respectivé geehrten H. Schwager und geliebter Fr. Schwester, Mittwochs den 16. Martÿ Anno 1707.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraßen gelegenen der Ehefrauen Fr. Mutter Zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Herrn Nahrung, Sa. haußraths 129, Sa. Wein und leerer faß 42, Sa. Silbers 22, Sa. goldenen Rings 12, Sa. baarschafft 349, Summa summarum 556 lb
der Frauen Guth, Sa. haußraths 234, Sa. Silbers 51, Sa. giuldener Ring 90, Sa. baarschafft 927, Summa summarum 1304 lb

Jean Philippe André meurt en 1729 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue de l’Ecurie. La masse propre à la veuve est de 1 541 livres, la masse propre aux héritiers de 410 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 744 livres, le passif à 3 754 livres.
1729 (19. 9.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 5) n° 117
Inventarium über Weÿl. Herrn Johann Philipp Andre, geweßenen Handelßmann und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729. – nach seinem den 26. Martÿ dieses Zuend gemelten Jahrs beschehenen tödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren meister Ehrenfrid Gebhard, des Schreiners und burgers allhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Annæ Catharinæ, Emanuels und Johann Daniels, des abgeleibten herrn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erzeugter Kinder, und beneben der den 27. Julÿ jüngstin alßo nach dem herrn Vatter seel verstorbenen Tochter nahmens Jgf. Cleophe deren Stelle die Frau Mutter und Wittib repræsentirt, ab intestato nachgelaßener Erben inventirt und ersucht durch Frau Catharinam gebohrne Büchelin die hinterbliebene Frau Wittib (…) So geschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehren vest und wohlachtbahren herrn Abraham Büchel handelsmanns und burgers allhier der Fraw wittib bruders und Ihres erbetteben beÿstands, auff Sambstag den 19.t Novembris Anno 1729.

Copia des von beeden gewesenen Eheleuthen vor weÿland herrn Daniel Rohr Notario publico seel. und gezeugen in Anno 1708. auffgerichteten Codicilli reciproci
Hierauff wird nun die Verlaßenschafft vor und ane sich selbsten beschrieben, wie such solche in der von der Fraw wittib lehnungs weiße bewohnenden an der Stallgaß gelegenen behaußung befunden
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ (…) durch weÿl. herrn Daniel Rohren Notarium seel. in A° 1707. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wittib Nahrung betr. Sa. haußraths 29, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 28, Sa. goldener Ring 38, Sa. Pfenningzinß hauptguts 12, Sa. Gültten von liegenden gütheren fallend 4, Sa. der Ergäntzung 4328, Sa. Activ Schuld 100, Summa summarum 1541 lb
Der Erben unverändert Guth betr. Sa. haußraths 20, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Ergäntzung 481 lb, Summa summarum 510 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 410 lb
die theilbare Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 99, Sa. der wahren Zum gewerb gehörig 1839, Sa. Wein und leerer Faß 76, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 337, Sa. Activ Schulden 375, Summa summarum 2744 lb – Schulden 3754 lb, In Compensatione, Theilbar Passiv onus 1010 lb – Stall Summ 942 lb
Zweiffelhaffte Schulden in der Frau Wittib unveränderte Nahrung zugeltend 14, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbare Nahrung Zugeltend 388 lb
Eheberedung (…) So beschehen undt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 24.ten Januarÿ 1707

Catherine Büchel veuve de Jean Philippe André vend la maison au menuisier Jean Michel Meyling et à sa femme Barbe Verius moyennant 1 000 livres

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 167
Fr. Catharina geb. Büchelin weÿl. H. Johann Philipp Andres des handelsmanns wittib mit beÿstand ihres tochtermanns H. Johann Jacob Braun des goldarbeiters und dero bruder H. Abraham Büchel des handelsmanns, als negotiorum gestor seiner schwester Fr. Anna Cleophe geb. Büchelin weÿl. H. M. Jacob Fibich Dicaoni zu St Aurelien wittib
in gegensein Johann Michael Meÿling des schreiners und Barbaræ geb. Veriußin
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten – als ein mütterlichen erbguth – um 1000 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du tailleur Jean Frédéric Barth

1744 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 169
Johann Michael Meÿling der schreiner und Barbara geb. Veriußin mit beÿstand Johann Jacob Zisich des sattlers und Johann Janus des leistenschneiders beede ihrer schwäger
in gegensein Jacob Friedrich Barth des schneiders – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine an heutigen tag erkauffte und aus obigem vorschuß zum theil bezalte behausung, bestehehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben der Seemannischen wittib, anderseit neben dem so genannten Bärenhoff, hinten auff Paul Gulden des weinhändlers garten

Jean Michel Meyling loue une partie de sa maison au tisserand Philippe Albert Martzolff

1744 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 284
Johann Michael Meÿling der schreiner
in gegensein Philipp Albrecht Martzolf des leinenwebers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen ane der blinden gaß, einseit neben der Seemännischen wittib anderseit neben dem Bärenhoff gelegenen behausung, im hinderhauß unten auf dem boden, eine stub kammer, kuchen und hauß öhren, zwo stiegen hoch eine kammer und bühnlein über der kuchen platz zum holtz und einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Assisté de son fils du même nom, Jean Michel Meyling hypothèque la maison au profit du tisserand Elie Martzolff pour régler les travaux qu’il y fait

1749 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 151-v
Johann Michael Meÿling der schreiner /:wobeÿ erschien des schuldners sohn Johann Michael Meÿling der jünger auch schreiner
in gegensein Elias Martzolff des ledigen leinenwebers, zu verbeßerung hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Jacob Seemann des maurers wittib, anderseit neben dem Bärenhoff hinten auff Paul Gulden

La maison est estimée par les experts à 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1757 après la mort d’Anne Barbe Verius, deuxième femme de Jean Michel Meyling.

Jean Michel Meyling cède la maison acquise pendant la communauté avec Barbe Verius à son fils issu de son premier mariage et à sa belle-fille Marie Salomé Rummel issue du premier mariage de Barbe Verius. Il s’y réserve l’habitation dans les parties qu’il occupe, à savoir un atelier à droite en entrant, un poêle, une chambre et une cuisine donnant dans la cour, une chambre au deuxième étage pour la servante, une chambre pour les compagnons au fond de la cour, une partie des greniers et de la cave.

1759 (14.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 68) Joint au n° 1617 du 30 déc. 1757
Vor mir dem unterschriebenem und dießorts adhibirtem Inventir Notario seind (…) erschienen Meister Johann Michael Maÿling der ältere Schreiner und burger allhier zu Straßburg ane einem, ferner Michael Maÿling Jun. auch allhießiger Schreiner, deßen Sohn erster Ehe andern Theils, so dann dritten theils Frau Maria Salome gebohrne Rummelin, des letztern jungen Meÿlings Ehefrau, von ihrem marito hierzu genungsam authorisirt und dißeitige Tochter (…) wie daß die Sich so wohl wegen weÿland Frauen Annæ Catharinæ Schöningin als auch Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Veriußin, des ältern Comparirenden Maÿlings erster und Zweÿter Ehefrauen beeder Maÿlingischen Eheleuthe aber eheleiblicher Muttere Verlaßenschafften, wavon dieselben und Zwar der Maritus von Frauen Anna Catharina Schöningin, deßer Ehefrau aber von Frauen Anna Barbara Veriußin Verlaßenschafft hæredes universalis seind, zu propagir: und Erhaltung Elterlich und Kindlicher harmonie, fried und einigkeit, Vor sich und ihre Erben folgenden gütlichen Vergleich mit einander getroffen, beschloßen auch acceptirr und angenommen haben (…)
Drittens,die in letztere Ehe theilbare behaußung bestehend in Vorder, und hinderhauß, höffein und hoffstatt, samt allen deren übrigen Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem so genanndten Bähren Hoff, anderseit neben H. Ravalliati dem Maurer und Steinhauer, hinten auff H. Johannes Huck, den Gastgebern modo H. Joh: Melchior Klein, dem Weinhändler und burgern allhier stoßend gelegen, mit 500 lb. d. so man Mstr Christian Westermann und 250. lb. d. so man Mstr Joh: Michael Diebold, dem hohldräher in Capital schuldig mithin in dießen beeden Posten um 750. lb. d und dann anjetzo weiter um obangeregte der Stieff tochter vor restirend Mütterlich guth angewießene 104. lb. 11 ß onerirt, und dieße behaußung beÿ jetzigen Zeiten um mehreres nicht werth zu achten, Zumalen immer darinnen nicht geringe Reparationes Zu beförchten, so hat der Wittiber und Vatter auch respê stieffvatter um so mehr als auch davon großer Vingtieme und übrige Stattgebühren Zu geben sind, gegen Ihme dem Sohn und Ihro der Stieff tochter declarirt und bekannt daß Er vor sich und seine Erben Ihnen Jung Maÿlingische Eheleuthen und ihren Erben vorhergeschriebene behaußung cum appertinentiis um die vorspecificirte beede passiv Capitalia (…) cedirt und überlaßen haben wolle (…)
Vierdens dieweilen der Vatter und Wittiber seine Stieff tochter ihres völligen Mütterlichen Guths halben bezahlt und ausgewießen und doch demselben Zwo tertzen hievon in lebens länglichem Wÿdum Zu genießen Zukommen sollen, so haben beede Cessionarien Ihme dem vatter Zu Satisfacirung des genußes folgende Wohnung und Gemach Zeit lebens Zu genießen überlassen und dabeneben alle Reparationes außer dem Kleinen Flickwerck, so sonsten ein jeder locatarius nach lehnungs Gerechtigkeit, zu præstiren schuldig ist (…) und bestehen solche Wohnung und Gemach, in einer Werckstatt unten im hoff, lincker hand im Eingang des haußes, Zum theil auff die Gaß und zum theil in dem hoff aus sehend, daran eine Stub samt Kuchen gleicher gestalten in den hoff aus sehend, ferner oben auf dem Zweÿten Stock darüber ein Cämmerlein vor die Magd ingleichem die gemeinschaftlich. Cammer unter dem dach, Item hinten im hoff eine gemeinschaftliche Cammer für sie Gesellen, Item der halbe theil von der bühne gegen dem bähren hoff Zu, Item derjenige theil von dem Kellern so vornen inden hoff heraus gehet, imit Latten eingefaßt und beschlüßig ist, So dann den gemeinschaftlich. Platz im hoff Zum holtz zu legen, alles wie Er der Vatter es bis anhero inne gehabt, bewohnt, gebraucht und genißen hat. (…)
So beschehen Straßburg auf Sambstags den 14. Aprilis 1759

Fils de Jean Michel Meyling et de sa première femme Anne Catherine Schœning, Jean Michel Meyling épouse en 1747 Marie Salomé Rummel, fille du boucher Jean Rummel et d’Anne Barbe Verius : contrat de mariage, célébration
1747 (27.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1134
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Michael Maÿling Jun. Schreiner und burgern allhier Zu Straßburg, H. Johann Michael Maÿling des ältern Schreiners v. burgers allhier mit weÿl. fraun Anna Catharina gebohrne Schoningin Ehelich erzeugt vnd nach tod Verlaßenem Sohn als hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariæ Salome gebohrner Rummelin weÿl. Johannes Rummel geweßenen Metzgers v. burgers dahier mit Fraun Anna Barbara gebohrner Veriußin Ehelich erzielter und nach tod verlaßener tochter, alß hochzeiterin andern theil
So beschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg den 27.ten Maÿ Anno 1747 [unterzeichnet] Johann Michael Meÿling als hoch zeitter, Jgft. Mariæ Salome Rummelin handzeichen +

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 169-v)
1747. Dom. I. & II. Trinir. d 16 Jun. & 23 Junÿ proclamati sunt Johann Michael Meÿling der schreiner u. b. h. l. Fr. Barbara weÿl. Johannes Rummel gew. schreibers auff der Statt Bruckhoff nachgel. wittib. Copulati et copulati Mittw. d. 26. Junÿ [unterzeichnet] Johann Michel Meÿling alls hochzeiter (i 174)

Jean Michel Meyling meurt en 1784 en délaissant deux enfants. Les experts estiment à 350 livres la maison en partie cédée à leur fils. La masse propre à la veuve est de 294 livres, la masse propre aux héritiers de 23 livres. L’actif de la communauté s’élève à 86 livres, le passif à 380 livres.

1784 (10.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) f° 826
Inventarium über Weil. des Ehrsamen Mr Johann Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg, nunmehro seel. Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1784. – nach seinem Sambstags den 24. Aprilis gegenwärtigen 1784.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem Dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hernach gemelter des defuncti seel. ab intestato Zu Erben verlaßener beeder Söhne und Frauen tochter, wie auch der Tugendsamem Fraun Mariæ Salome gebohrner Rummelin, der hinterbliebenen Wittib selbsten, beiständlich Hn Johann Kiefer, des Glashändlers und burgers alhier, nach Ordnung ersucht und Inventirt worden (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegenen hieheri Zum theil eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerm beschriebener behaußung, auf Sambstag den 10. Julii Anno 1784.
Benambsung der Erben. Der Verstorbene seel. hab ab intestato Zu seinen rechtmäsigen Erben verlaßen nahmentlichen und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen Schreiner: Gesellen, so majorennis und hiebeÿ Zugegen seine eigene Interesse besorget, 2° die tugendsame Frau Mariam Salome Heberlinin gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin des Föghändlers und burgers alhier Ehefrau welche beiständlich dieses ihres Ehemanns Zugegen ihren eigenen Nutzen beobachtet und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ in Persohn gegenwärtig seine eigene Interesse besorget, Alle dreÿ des Verstorbenen sel. mit eingangs gedachter deßen hinterlaßener Wittib ehelich erzeugte Kindern und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheilern verlaßene Erben

Bericht Zu gegenwärtigem Invenario. Es ist Zwar in dem 3.ten Puncten der Zwischen beeden nun Zetrtennten Ehepersohnen errichteten und nächst vorher copialiter einverleibten Eheberedung §° 3.tio ausdrucklichen enthalten, daß beeder seiths Ehepersohnen illata Ordnungs mäßig inventirt, æstimirt und beschrieben werden solten, allein der hinterbliebener Wittib declaration nach ist solche Inventur unterlassen worden (…)
(f° 7-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (W.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen und dermalen durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten und beÿ dieses Inventarii Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins vom 13. 7.bris 1784. gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige Vierte Theil in Auswurf antrift 87. 10. Hievor beschribene gantze behausung ist der dißortigen Wittib und dem defuncto ihrem Ehemann seel. von Weil. M : Joh: Michael Maÿling dem ältern gewesenen Schreiner und burgern alhier, ihrem respê leiblichen und Stiefvatern ausweislich eines unter ihnen vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. auffgerichteten Erbs: Vergleichs und Zwar jedem Zur helfte eigenthümlich cedirt und abgetretten worden. Seithero aber haben beede nun Zertrennte Ehepersohnen die helfte sothaner behausung H. Philipp Friderich Meÿling, dem Schreiner und burgern alhier, dißortigem jüngsten Sohn, käuftlichen überlaßen, so daß heutiges tags der Wittib nur der hievorgemelte vierte theil, und denen Erben der hernachbeschriebene überige vierte theil annoch gebührig ist. Über sothane gantze behaußung besagt und ist vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martÿ 1744.
(f° 8-v) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung (E.) Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, sampt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bähren: hoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurergesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und Zufolg des vorher allegirten von (den Werckmeistern) ausgestelten Abschatzungs Scheins, die gantze behaußung Zu 350. lb d gerechnet, Zu dißortigem vierten theil daran ebenfalls in auswurf gebracht wird um 87. 10. Wie der Defunctus seel. diese antheil behaußung erhalten und wie Er der andere ihme Zugehörig gewesenen vierten theil an seinen jüngeren Sohn H. Philipp Friedrich Maÿling käuflichen abgetretten davon ist schon hievornen beÿ beschreibung der Wittib unveränderten antheils davon der nöthige bericht beschehen auch der über die gantze behaußung besagende Kaufbrief allegirt word.
(f° 10-v) Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib währender Ehe abgegangener unveränderten Guths. Nach anleitung der hievor im bericht angezogen, von der Wittib in Ermanglung eines Inventarii illatorum producirten Verzeichnus hat sich ane deroselben in die Ehe gebrahctem und währen derselben geretteten Vermögen mangelnd befunden, hieher nunmehr Zu ergäntzen stehet, wie folgt (…)
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der hinterbliebenen Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. goldenen Ring 1, Sa. eigenthümlichen antheils ane einer behaußung 87, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 52, Sa. Schulden 15, Sa. der Ergäntzung 133, Summa summarum 294 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 3, Sa. antheils ane einer behaußung 87, Summa summarum 90 lb – Schulden 67, Nach deren Abzug 23 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 43, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 8, Sa. der leeren Faß 4, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 26, Summa summarum 86 lb – Schulden 380, In Vergleichung 293 lb
Beschluß und Stall summa 24 lb

Marie Salomé Rummel meurt en 1789, propriétaire d’une partie de la maison. L’actif de la succession s’élève à 229 livres, le passif à 117 livres.

1789 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 436
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendsamen Fraun Mariæ Salome Maÿligin gebohrner Rommelin, auch Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib, nunmehro auch seel. Verlaßenschaft aufgerichtet in Anno 1789 – nach ihrem Mittwoch den 3.ten Junii gegenwärtigen 1789.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen. (…) So beschehen alhie Zu Straßburg in einer ane der Blindengaß gelegener H. Philipp Friderich Maÿling dem doßortigen jüngern Sohn und Mit Erben eigenthümlich zuständiger behaußung auf Montag den 8.ten Junii Anno 1789.
Benamßung der Erben. Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu irhen rechtmäsigen Erben verlaßen namentlich und 1° Johann Michael Maÿling, den leedigen majorennen Schreiner: Gesellen, welcher beÿständlich Hn Johannes Kiefer, des Glas händlers und burgers alhier, hiebeÿ persönlich zugangen, seine eigene Interesse besorget, 2° die Ehr : und tugendsame Frau Maria Salome Heberlin, gebohrne Maÿlingin, Hn Joh: Jacob Heberlin, des Kürschners und burgers alhier Ehefrau, so beiständlich dieses ihres Ehemanns in eigener Persohn Zugangen, ihren Nutzen besorget und 3° Hn Philipp Friderich Maÿling, den Schreiner Meister und burgern alhier, welcher auch hiebeÿ persönlich Zugegen, seine eigene Interesse beobachtet, Alle dreÿ der Verstorbenen seel. mit auch Weil. Mr. Joh: Michael Maÿling dem gewesenen Schreiner und burgern alhier, ehelich erzeugte Söhn und tochter und ab intestato Zu dreÿ gleichlingen portionen und Antheileren verlaßene Erben

Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung. Nämlich der vierte theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung, bestehend in Vorder: und Hinterhauß, Höfflein und Hoffstatt, samt allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Blindengaß, einseit neben dem sogenannten Bährenhoff, anderseit neben N. Sainona, dem Maurer-Gesellen, und hinten auf Hn Schützenberger, den biersieder stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenem Capitali gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und dermalen nach Zuvor beÿ denen Wohlverordneten Herren dreÿ Löbl. Stadt Stalls geziemend angesucht und großgünstig erhaltener Erlaubnus ane der nämlichen Preis angesetzet wird, wie solche beÿ Weil. Mr Joh: Michael Maÿling, des gewesenen Schreiners und burgers alhier der defunctæ Ehemann seel. Verlaßenschafts Inventur durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben schriftlich ausgestelten Abschatzungs Scheins vom 13. 7.br 1784. gewürdiget worden nämlich um 700. fl. oder 350. lb. Woran der hiehero gehörige vierte theil in auswurf antrift 87. 10.
Die helfte gedachter behaußung ist H. Philipp Friedrich Maÿling, dem Schreiner meister und burgern alhier dem dißortigen jüngern Sohn in Kraft seiner vor H. Not. Joh: Daniel Stöber am 30. 9.bris 1782. auffgerichteter Eheberedung bereits eigenthümlich Zuständig und der überige Vierte theil ist in ermelte Vätterliche Verlaßenschaft gehörig. Über die gantze behaußung meldet eine vor Hn Notario Joh: Jacob Oelinger am 14. Aprilis 1759. erichtete Erbs: Vergleichs Cession und respê Erbs: Vergleich, So dann ist annoch darüber besagtend vorhanden ein teutscher pergamentener in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief dedato 30.ten Martii 1744.
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 60, Sa.Silbers und dergleichen Geschmeids 3, Sa. goldenen Ring 1, Sa. baarschafft 41, Sa. eigenthümlichen Antheils ane einer behaußung 87, Sa. Schulden 34, Summa summarum 229 lb – Schulden 117, Nach deren Abzug 111 lb
Beschluß Summ 138 lb – Stall summ 111 lb

Jean Michel Meyling et Marie Salomé Rummel cèdent en s’y réservant l’habitation la maison à leur fils Philippe Frédéric lors de son mariage avec Barbe Debs, originaire de Hangebieten : contrat de mariage, célébration

1782 (30. 9.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 143
Eheberedung – persönlich erschienen H. Philipp Friderich Meÿling, led. Schreinermeister, H. Johann Michael Meÿling Schreiners u. burger alhier mit Frau Maria Salome geb. Rummelin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter unter authorisation solcher deßen Vaters ane Einem,
und Jungfr. Barbara Debsin weiland Lorentz Debs gew. brs: und ackermanns zu Hangenbietenheim, mit weil. Fraun Barbara geb. Bilgerin ehelich erzielte tochter als braut unter autorisation ihres geschwornen Vogts Lorentz Schöttel burgers und ackersmanns Zu gedachtem Hangenbietenheim andern theil
Zum Siebenden, wollen das Hochzeiters geliebte Eltern und Zwar die Mutter unter assistentz des Vaters, ihme dem Hochzeither Zu einem wahren und unwiederuflichen Eigenthum übergeben und abtretten ihre allhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegene behausung in 2. Vorder und 1 hinterhauß, Hof, Hoffstatt und bronnen, bestehend mit allen deroselben übrigen Gebaüden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, einseit neben weiland Jacob Säeman gew. Maurers Wittib, anderseit neben dem sogenannten bärenhof, hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend gelegen, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerde beladen. Vor und um die Summ der 3000 Gulden, als um welchen Preis auch Er hochzeiter gedachte behausung samt Zugehörden sich und seiner Erben übernimmt, angesehen aber des hochzeiters Eltern so lang sie beede oder eines derselben an leben seÿn werden, sich den freÿen und ungestörten Genuß u. Gebrauch des einen vorder hauses neben dem bärenhof, des völligen hinterhauses, der helffte des Hofs, der helffte des Kellers und der helffte des holtzplatzes vorbehalten so hat Er hochzeiter versprochen, ihnen der Eltern vor die würcklich in Wohnung, Genuß und Gebrauch beziehende vordern behausung neben Säemann des Maurers Wb. helffte des Hofs, helffte des Kllers, Helffte des holtzplatzes u. Gemeinschafft des Bronnens auf nechstkommende Weÿhnachten da solcher Genuß anfängt, die helffte jener Überlassung Preises der 3000 fl. mit 1500 Gulden (…)
Straßburg Sambstags den 30. Novembris Anno 1782 [unterzeichnet] Phillipp Friedrich Meÿling als Hochzeiter, Barbara debsin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v, n° 2)
1783 sind Dominica Septuagesima et Sexagesima proclamirt und dienstag den 25. Hornung in unserer Kirch copulirt worden Philipp Friedrich Maÿling der ledige burger und Schreiner; Meister dahier, Michael Meÿling, des Schreiner: Meisters und Burgers dahier, mit Frau Maria Salome geb. Rumelin ehel. erzeugter Sohn und Jgf. Barbara Debußin weil. Lorentz Debuß gew. Burgers und Ackersmanns in Hangenbietheim mit Barbara geb. Bilgerin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Phillipp Friederich Mayling als hochzeiter, barbara debßin als Hoch zeitrin (i 8)

Barbe Debus devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour bon comportement
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 9-v
Barbara Debus von hangenbiethen gebürtig weÿland Lorentz Debus gewesenen burgers und Ackersmanns daselbst hinterlaßener fr. tochter, verheurathet mit Philipp Friderich Meigling dem hießig. burger und schreiner Mstr. erhaltet das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen Zur E. E. Zunfft der Zimmerleuth, promisit d. 3. Aprilis 1783

Philippe Frédéric Meyling (ici Jean Frédéric) devient tributaire chez les Charpentiers en juin 1783.
1783, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 34-v) Dienstags den 17. Junii 1783. – Neuzünfftiger
Johann Friderich Meÿling, der Schreiner, Joh: Michael Maÿlings, des Schreiners und burgers alhier ehelicher Sohn producirt Stall Schein de dato 3.ten Aprilis jüngst, bittens ihne vermög deßelben, beÿ dieser Ehrsamen Zunfft gegen Erlag der Gebühr, und sub oblato præstanda Zu præstiren, als einen Zünftigen auf: und anzunehmen. Erkant, Gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.

Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand de soieries Jean Frédéric Steinbach

1784 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 258
Mr Philipp Friedrich Meÿling der schreiner, H. Not. Philipp Ludwig Übersaal als geordneter curator sein Meÿling ehefrau Fr. Barbara geb. Debusin
in gegensein H. Johann Georg Jund des glaßers als gerichtlich bestellten vogts H. Johann Friedrich Steinbachs des seidenhändlers erzeugten kinder nahmens Anna Maria, Johann Jacob und Johann Friedrich – schuldig seÿen 300 guldin
unterpfand, des Ehemanns besonders die ihme zuständige ane der Blindengaß gelegene behausung, einseit neben H. Usinger dem beständer im kaufhaus, anderseit neben Seemann dem maurer hinten auff die Kleinische erben

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. L’acte n’est pas terminé.
1786 (4.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1252) n° 519
Inventarium über Mr Philipp Friedrich Maÿling, des Schreiners und Fraun Barbarä Maÿling geb. Debßin, beeder Eheleuthen und brn. allhier einander in die Ehe dermalen besizender Nahrungen und hingegen an Passiv Schulden Zu bezahlen haben. Welche Inventur auf besonderes Ansuchen und begehren der Ehefraun, als welche um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. Kleinen Rath des Beneficium Cessionis Zu begeren für gemüsiget ist, unter assistentz Mr Jacob Häberlin des Kürschners u. brs. allhier, der Sie an Vogts statt hierzu angesprochen fürgenommen wurde (…) So geschehen in der allhier Zu Straßburg in der Blindengaß gelegenen und Zur helffte in des Ehemanns Mass gehörigen behausung Donnerstags d. 4.ten Maÿ Anno 1786.
(non terminé)

Catherine Rummel passe une convention avec Philippe Frédéric Meyling et sa femme Barbe Debus au sujet de la maison

1788 (14.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 209) n° 42
Arrangement – Salomé Rummel veuve de Jean Michel Meyling maître menuisier de cette ville, assistée de Jean Jacques Heberling Chamoisseur son gendre et David Werner revendeur
Et Philippe Frédéric Meyling menusier, son fils, et Barbe Debus sa femme, assistée des Sr Kobelt et Hartmann les deux assesseurs au petit Sénat
pour prendre des arrangements définitifs au sujet de la maison qui a été cédée audit Meyling fils par l’article 7 du contrat de mariage dressé par M° Stoeber
1. la veuve Meyling conservera sa vie durante la jouissance de ladite Maison et ses dépendances pour par elle l’habiter, la louer comme bon lui semblera à charge par elle d’entretenir ladite maison (…), 2. led. Meyling fils et sa femme continueront a jouir du logement dont ils ont joui et qu’ils occupent encore présentement dans ladite maison de même que les places, boutique, caves et aisances qui dépendent dudit logement moyennant un loyer annuel de 24 livres par quartier
(3 et 4, convention sur les hypothèques)

Philippe Frédéric Meyling et Barbe Debus font dresser un état de leur actif et de leur passif pour que la femme puisse solliciter le bénéfice de cession. Le mari propriétaire de la moitié de la maison a quitté la ville. La masse propre à la femme s’élève à 1 180 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 261 livres, le passif de 1 283 livres.

1788 (8. Aug.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 653
Inventarium über Meister Philipp Friderich Meÿling des Schreiners und Fraun Barbarä Meÿlinginn gebohrne Debßin beede Eheleuthen und brn allhier dermalen besizende Nahrungen und hingegen Zu bezahlen habende Passiv Schulden auffgerichtet Anno 1788.
Welche Inventur auf ihr der Ehefraun besonderes Ansuchen und begehren unter assistentz Mr Jacob Heberlin des Kürschners und brs allhier den Sie an Vogts statt hierzu angesprochen, deswegen fürgenommen wurden weil Sie um Salvirung ihres unveränderten Vermögens beÿ E. E. kleinen Rath das beneficium Cessionis zu ergreifen gemüßiget ist, masen auch der Ehemann seit einigen tagen ausgetretten (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg an der Blindengaß gelegenen Fr. Salome geb. Tommelin weil. H. Johann Michael Meÿling des gew. Schreiners brs. allhier Wb. des Ehemanns Mutter Zuständigen und disorths Zum theil lehnungsweise bewohnenden behausung Dienstag den 5. Aug. Anno 1788.

Bericht. So declarirt die Ehefrau beÿständlich eingangs gedacht das Sie ihre in die Ehe gebrachte Mittel zu Inventiren unterlaßen habe, Er könne aber dieselbe aus dem über ihrer Mutter weil. Barbaræ geb. Bilgerin Lorentz Debus des brs u. ackersmanns Zu Hangenbietenheim gew. Ehefrau verlaßenschafft de 1774. errichteten theil R. sodann aus dem über ihres erstbesagten Vaters hinterlaßene Erbtheil d. 1779 besagendes theil Register erwisen (…)
Eigenthum an einer behausung betreffend, so des Ehemanns Mutter Fr. Salome geb. Rummelin annoch lebenslänglich zu geniesen berechtiget. Neml. wie aus der copeÿlich enthaltener Eheberedung §. 7.mo ersichtlich, wurde dem Ehemann von deßen Eltern cedirt und abgetretten I. behausung in zweÿ Vorder häusern und einem hinterhauß hof hoffstatt und bronnen bestehend mit allen derselben übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden u. Rechten allhier zu Straßburg an der blindengaß einseit neben weil. Jacob Seemann gew. Maurers Wb. 2. s. neben dem sogenanten bärenhof hinten auf Kleinischer Kinder Garthen stoßend, so mit keinem bodenzinß und Real beschwerden beladen, vor und um die summ der 3000 Gulden, hievor hat derselbe die helffte mit 1500 Gulden nach der Mutter absterben in die mütterl. Erbschafft einzuschiesen masen Sie nach jener Eheberedung auch die helffte der behausung samt Zugehörden zu geniesen hat. Die übrige helfte solcher behausung aber ist sein des Ehemanns Mutter krafft droben allegirter vor H. Lacombe dem Königl. Not° passirten Verschreibung vom 14. Februarÿ A. 1788 dergestalten ins lebenslängl. Genuß überlassen worden daß die dagegen beede Eheleuthe um einen jährlich. zinß von 48 fl. in der behausung ihrer gewöhnlichen Wohnung wohnen laßen, auch die darauff hafftenden Capitalien als H. Joh: Michael Osterrieth Proc. in d E .E großen Rath auch anderer Gerichtssellen 1400 fl. die dem Sohn selbsten obigen 400 fl.jährl. à 4 pt° verzinsen, sodann die behausung in gutem bau Stand u. Ehren erhalte
Norma hujus inventarÿ. der Ehefrau unveränderte Guth, Sa. hausraths 51 lb, Sa. activ schulden 55 lb, Sa. Ergäntzung 1073 lb, Summa summarum 1180 lb
Dießmnach wird die übrige vorhandene Mass so in des Ehemanns Nahrung gehörig verzeichnet, Sa. hausraths 42 lb, Sa. Werckzeugs und holtz Zur Schreiner prof. gehörig 12 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguts 200 lb, Summa summarum 261 lb, -Schulden 1283 lb, passiv onus 1022 lb

Madeleine Barbe Mayling dont le père est sans domicilié connu épouse en 1812 le tonnelier Jean Georges Kaiser
1812 (14.5.), Strasbourg 5 (35), Not. F. Grimmer n° 7611
Contrat de mariage – Jean Georges Kaiser, garçon tonnelier, fils majeur de feu Pierre Kaiser, laboureur, et de feu Anne Roemer à Wellerstadt dans le royaume de Bavière
Madeleine Barbe Mayling, fille de feu Philippe Frédéric Mayling, menuisier, et de Barbe née Debus assistée de David Treuschel
n° 7608 dépôt du 12 mai – Jean Georges Kaiser garçon tonnelier demeurant rue du Limon n° 26, extrait du registre de baptêmes de l’église de Baiersdorf où il est né le 5 juillet 1779 baptisé
Enregistrement, acp 119 F° 156 du 20.5.

Mariage, Strasbourg (n° 219)
Acte de mariage célébré à neuf heures du matin le 16 May 1812. Jean George Kaiser, majeur d’ans, né le 5 juillet 1779 à Wellerstadt en Bavière, domicilié à Guebviller, Département du haut-Rhin, Tonnelier, fils de feu Jean Pierre Kaiser, cultivateur et de feu Anne Roemer, Madeleine Barbe Mayling, majeure d’ans, née le 10 novembre 1783 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Philippe Frédéric Meyling, menuisier, et de Barbe Debus ci présente et consentante (…) lesdits époux ont déclaré par serment qu’ils sont dans l’impossibilité de produire (…) l’épouse la preuve de l’absence de son père (signé) Johann Georg Kaiser, Magtlebirra mäyling (i 20)

Barbe Debus vend la maison au maître menuisier Jean Daniel Neustœckel moyennant 1 562 livres

1789 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 663 n° 354-v
Fr. Barbara Maylingerin geb. Debußin Philipp Friedrich Meyling des schreinermeisters zu gut geschiedene ehefrau
in gegensein Johann Daniel Neustöckel des schreinermeisters
eine behausung bestehend aus vorder, hinter und seiten gebäude, hoff, hoffstatt, bronnen mit allen derßelben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Blinden gaß einseit neben Mr Jost dem kieffer, anderseit neben dem sogenannten Bären hoff, hinten auff der Kleinischen erben zuständigen garten – ihro der verkäuferin als die durch bescheid E.E. grußen raths vom 17. 9.bris 1788 und 27. maÿ jüngst in ihres Ehemanns mass in ansehung ihres in die Ehe gebrachten guth immittirt worden – (um 1400 fl., 700 fl. und 300 fl. capitalien verhafftet, geschehen um 3124 gulden

Jean Daniel Neustœckel devient tributaire chez les Charpentiers en 28 mai 1782
1782, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 23-v) Dienstags den 28. Maji 1782. – Neuzünfftiger E.R.
Joh: Daniel Neustöckel, der Schreiner und Burger alhier producirt Stallschein de dato 28.ten Maÿ 1782. bittend ihne Zufolg deßelben beÿ diser Ehrsamen Zunfft als einen Züftigen auf und anzunehmen, sub oblato præstanda Zu præstiren. Erkannt, Willfahrt, Juravit.

Fils du maître d’école Georges Frédéric Neustœckel, Jean Daniel Neustœckel épouse en 1786 Anne Catherine Weber, fille du coutelier Jean Jacques Weber : contrat de mariage, célébration
1786 (8.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 194
Eheberedung – persönlich erschienen H. Johann Daniel Neustöckel, leediger Schreiner Meister und burger alhier, Weil. H. Georg Friderich Neustöckel des gewesenen Schulmeisters und burgers alhier mit Frauen Maria Magdalena geb. Lautensackin ehelich erzeugt nach tod Verlaßener Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als hochzeiter ane einem
So dann die Ehr: und tugendsame Jungfrau Anna Catharina Weberin, Weil. H. Joh: Jacob Weber, des gewesenen Klein Meßerschmidts und burgers alhier mit auch Weil. Fraun Maria Elisabetha geb. Schlägelin ehelich erzeugt nach tod Verlaßene tochter, beiständlich H. Joh: Jacob Weber, des Klein: Meßerschmidts und burgers alhier, ihres leiblichen bruders, als die Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
auf Donnerstag den 8.ten Junii Anno 1786. [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hoch Zeiter, Anna Catharina Weberin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 91 n° 13)
1786 Mittwoch den 28. Junii wurden in unserer Kirch nach Vorhergegangener Zweÿmalicher Proclamation copulirt Mstr Johann Daniel Neustöckel led. Schreiner und burger alhier, weil. H. Georg Friderich Neustöckel gew. Schul: Lehrers zu S Aurelien und burgers alhier mit Fr. Maria Magdalena geb. Lautensackin ehl. erzeugter Sohn Und Jgfr. Anna Catharina, weil. Johann Jacob Weber gew. Meßerschmidts und Burgers alhier mit Fr. Maria Elisabetha geb. Schlegelin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Neustöckel als Hochzeiter, Anna Catharina Weberin als hochterin (i 94)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue de l’Ours. Ceux du mari s’élèvent à 305 livres, ceux de la femme à 661 livres.
1786 (25.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 870) n° 380
Inventarium über des Ehrsamen Meister Johann Daniel Neustöckel, des Schreiners, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Catharinæ gebohrner Weberin, beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Vermögenschaften aufgericht in Anno 1786. (…) zu Beleb: und Erfüllung des 4.ten Punctens ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung nach Ordnung ersucht und inventirt worden – So geschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Joh: Jacob Webern des Klein – Meßerschmidts und Burgers alhier, der Ehefraun leiblichen Bruders und hierzu erbettenen beistandrs, in einer in dem sogenannten Thomä loch ane dem Barengäßlein gelegenen dißorts Zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behaußung auf Dienstag den 25.ten Julii anno 1786.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ind ie Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 67, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner – Handwerck gehörig 161, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. Schuld 36, Summa summarum 280 lb – Wird darzu gelegt die ihm gebührige helffte ane denen haussteuren 25 lb, Des Ehemanns gesambtes Vermögen 305 lb
Diesemnach so wir auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben Sa. haußraths 117, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. goldenen Rings 9, Sa. baarschaft. 503, Summa summarum 636 lb – Wird nun auch darzu gelegt die ihro ebenfalls gebührige helffte ane denen Haussteuren mit 25 lb, Der Ehefrau völlige Vermögenschaft 661 lb

Anne Catherine Weber meurt en 1820 en délaissant des héritiers collatéraux.

1821 (19.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 43), Me Hickel n° 774
Inventaire de la succession d’Anne Catherine Weber femme de Jean Daniel Neustoeckel, menuisier, décédée le 18 novembre dernier – à la requête dudit Neustoeckel usufruitier, de Jean Théophile Masské, homme de loi traducteur juré près le Tribunal Civil, curateur de la succession nommé le 4 juin de la présente
[Joint :] Vente de meubles par 1. Marie Madeleine Weber veuve de Jean Frédéric Walch teinturier, 2. Marie Madeleine Weber épouse de Jean Jacques Geiger opticien, 3. Elisabeth Weber fille majeure, 4. Marie Elisabeth Leininger veuve de Charles Zimmermann, tailleur d’habits, 5. Marie Dorothée Leininger veuve de Frédéric Charles Gérold, ramoneur, 6. Philippe Jacques Leininger, menuisier, garçon majeur, le 26 février 1823
Titres et papiers, Contrat de mariage reçu Schaeff le 8 juin 1786, inventaire des apports 25 juin 1786
Contrat de vente passé à la Chambre des contrats le 5 novembre 1789 par qlequel les conjoints ont acquis de Marie Barbe Debus femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Mayling, ménuisier, une maison avec cour, puits et dépendances sise en cette ville rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Jost tonnelier, d’autre ma maison dite Baerenhof, derrière le jardin appartenant aux héritiers Klein, pour 3180 florins
immeuble, une vieille maison consistant en bâtiment de devant, latéraux et de derrière, cour, puits et autres appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté le Sr Rich garçon limonadier, d’autre un inconnu, derrière le S Koebelé peignier, estimée 2000 francs
dans la maison rue des Aveugles n° 9 – mobilier 698 fr (mobilier 282 fr, outils de menuisier 132 fr, (autres meubles), garde robe 79 fr – passif 8857 francs
Enregistrement, acp 153 F° 23 du 25.6.

Les créanciers de Jean Daniel Neustœckel font saisir la maison, vendue par adjudication judiciaire en 1822 à Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire, et à sa femme Philippine Frédérique Terrass

1822 (2.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 146, n° 7
Par devant le Tribunal Civil de Première Instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison réellement saisie sur Daniel Neustoeckel, menuisier – Cahier des charges. Me Schneegans, avoué de Jean Frédéric Roederer, teinturier, en qualité d’héritier partiaire d’Anne Marie Kammerer décédée veuve de Jean Philippe Roederer, teinturier, ses père et mère, en qualité de cessionnaire de Jean Michel Osterrieth, avocat, Jean Kiefer, vitrier, tuteur des enfants mineurs délaissés par Michel Mayling, menuisier, suivant transport passé à la Chambre des Contrats le 21 décembre 1789 de deux obligations passées à la Chambre des Contrats en date des 3 juillet 1783 et 6 juillet 1784, est créancier de Jean Daniel Neustoeckel d’unes somme de 4583 francs
à Me Schneegans moyennant 5500 francs – Déclaration de command le 13 décembre 1821, déclare avoir enchéri pour Georges Michel Silberzahn, employé à l’intendance militaire de la cinquième division, et Philippine Frédérique Terrass
Désignation de l’immeuble, une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 9, d’un côté (-) et d’autre (-), ladite maison construite en bois de charpente et maçonnerie consiste en rez de chaussée et un étage éclairé sur la rue par quatre croisées et dans la cour par cinq. Elle a son entrée par une grande porte cochère a droite en entrant dans la cour se trouve un petit bâtiment formant une habitation au fond de la cour il y a un autre bâtiment construit comme le premier et consistant également en rez de chaussée et un étage prenant jour dans la cour, à droite de ce bâtiment il y a une pompe
Mise à prix 3000 francs, Me Schnegans demeurant Vieux Marché aux Vins n° 86, fait le 13 août 1821
Adjudication préparatoire le 11 octobre, Adjudication définitive le 13 décembre

Fils du farinier Jean Michel Silberzahn, Georges Michel Silberzahn épouse en 1817 Philippine Frédérique Terrass, fille du juriste Guillaume Terrass
Mariage, Strasbourg (n° 201)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 3 juillet 1817. George Michel Silberzahn, mineur d’ans, né en légitime mariage le 3 juillet 1793 à Strasbourg, Emploïé du génie, fils de Jean Michel Silberzahn, farinier en cette ville, et de Catherine Hiss, ci présente et consentante, et Philippine Frédérique Terrass, mineure d’ans, née en légitime mariage le 8 Frimaire an VI de la République française à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Guillaume Terrass, homme de loi décédé en cette ville le 2 Vendémiaire an XIV de la République française et de feu Wilhelmine Louise Laemmerhird, décédée en cette ville me 3 mai 1812 (signé) George Michel Silberzahn, Fridika teres (i 2)

Testament olographe de Georges Michel Silberzahn
1861 (28.2.), M° Becker
Dépôt du testament olographe de Georges Michel Silberzahn
acp 496 (3 Q 30 211) f° 43 du 1.3.
Testament olographe – Georges Michel Silberzahn, 3 mars 1846
Enregistrement de Strasbourg, ssp 133 (3 Q 31 632) 15-v du 1.3.

Georges Michel Silberzahn meurt en 1861, propriétaire d’une maison à l’angle de la rue de la Nuée Bleue et du quai Schœpflin
1861 (13.4.), Strasbourg 9 (121), Not. Becker n° 9007
Inventaire après le décès arrivé le 29 janvier 1861 de M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite, demeurant à Strasbourg
L’an 1861 le Samedi 13 avril à trois heures de relevée, à la requête 1) de Mad. Frédérique Philippine Terrass, demeurant à Strasbourg veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté légale de biens qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son mari défunt, 2) comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession de sondit mari en vertu du testament olographe de ce dernier, en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute à M° Becker l’un des notaires soussignés suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg agissant comme habile à se dire et porter seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…)
trouvés dans le logement qui était le domicile conjugal des époux Silberzahn et que Mad. veuve Silberzahn occupe encore en ce moment qui fait partie d’une maison dépendante de ladite communauté sise à Strasbourg, rue de la Nuée bleue numéro 1, en faisant observer que M. Silberzahn père est décédé le 29 janvier dernier à l’asile d’aliénés de Stephansfeld, commune de Brumath mais que les effets qui étaient à son usage audit asile ont été transportés au susdit logement

Titres et papiers. Cote 1°. Mariage des époux Silberzahn, Héritages recueillis par le mari. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…) Pendant le mariage Mad. Silberzahn n’a recueili aucune succession ni aucun don ou legs. Mais M. Silberzahn a recueilli sa part dans la succession se ses père et mère (…)
Cote 2. Maison à Strasbourg. 31 pièces dont la première est l’un des originaux d’un contrat de vente sous seing privé en date à Strasbourg du 15 novembre 1835, portant la mention Enregistré à Strasbourg le 13 janvier 1836 (…) et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 du même mois volume 301 numéro 32
d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 12 actuellement N° 1 quai Schoepflin (…)
acp 498 (3 Q 30 213) f° 9 du 19.4. (succession déclarée le 20 juillet 1861) Communauté, mobilier estimé à 1797 succession, garde robe 146
acp 500 (3 Q 30 215) f° 98 du 26.7. (vacation du 17 juillet) Communauté, Mobilier 1770, argent comptant 1950, loyers 232, fermage 74, créances 13.000, fermages communs 48, arrérages de pension 75, 25 actions de commerce et d’industrie 8125, douze actions Miréo 30.366, intérêts 294, douze actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est 7165, 21 obligations du chemin de fer 10.187, deux actions Klose et compagnie 10.111, intérêts 140, autres créances 7903
Une maison à Strasbourg quai Schopeflin N° 1
40 ares 81 terres ban de Bischheim et Hoenheim
79 ares 23 terres à Mundolsheim
10 ares 35 terre à Niederhausbergen
10 ares 62 terres à Lampertheim
10 ares 20 terres à Grieshiem
moitié de 2 ares 12 terre à Mundolsheim, 59 ares 97 terre à Niederhausbergen, 38 aees 92 terres à Souffelweyersheim indivis avec Mr Seinguerlet

Acte de notoriété sur Georges Michel Silberzahn
1861 (1 août), Strasbourg 9 (122), Not. Becker n° 9139
Notoriété – (…) qu’ils ont bien connu M. Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire et commis entretenu d’intendance militaire en retraite, précédemment employé du génie, domicilié à Strasbourg et Mad. Philippine Frédérique Terrass, son épouse survivante demeurant audit Strasbourg,
Que mondit Sr Silberzahn est né à Strasbourg le 3 juillet 1793 (…), Que ladite dame Silberzahn est née en la même ville le 18 frimaire de l’an VI de la République (…), Que lesdits époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le 3 juillet 1817 (…) Que mondit sieur Silberzahn est décédé à Brumath le 29 janvier dernier (…)
Que le défunt a fait des dispositions de dernière volonté au profit de son épouse sirvivante, suivant testament olographe en daté à Strasbourg du 3 mars 1846, enregistré à Strasbourg le premier mars 1861 folio 15, déposé audit M° Becker suivant acte de dépôt en date du 28 février dernier (…), Que l’inventaire après décès de M. Silberzahn a été dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier (…)

Liquidation et partage de la succession
1862 (1.3.), Strasbourg 9 (123), Not. Becker n° 9351
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Georges Michel Silberzahn et Frédérique Philippine Terrass
Ont comparu 1) Mad. Frédérique-Philippine Terrass, sans état, demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Georges Michel Silberzahn, en son vivant propriétaire & employé d’intendance militaire en retraite en la même ville, Agissant tant comme ayant été légalement commune en biens avec sondit mari, à défaut de contrat de mariage, que comme légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession du même, aux termes du testament olographe dudit défunt en daté à Strasbourg du 3 mars 1846 déposé pour minute audit M° Becker suivant acte de dépôt dressé par lui le 28 février dernier (…) 2) Et de M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant audit Strasbourg, agissant comme seul et unique héritier de feu M. Silberzahn susnommé son père (…) ainsi qu’ui est justifié par l’intitulé de l’inventaire après le décès de M. Silberzahn père dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 13 avril dernier

Observations préliminaires. Les époux Silberzahn se sont mariés à Strasbourg le juillet 1817. Ils n’ont pas fait de contrat de mariage (…)
Chapitre 1° Liquidation de la communauté d’entre les époux Silberzahn. Masse active. Article 2. Une maison
$ 607
Chapitre 5. Abandonnements. I. A Mad. Silberzahn en pleine propriété
2. La maison avec dépendances sise à Strasbourg désignée à l’article 2 de la même masse, estimée 50.000 francs
acp 508 (3 Q 30 223) f° 30 du 6.3. (succession déclarée le 26 juillet 1861) Communauté. Masse active. 1) mobilier 1797
2) Une maison à Strasbourg rue de la Nuée bleue N° 1, estimée 50.000
3) 30 ares 77 terres ban de Bischheim et Hoenheim, 1250
4) 83 ares 95 terres à Mundolsheim, 4800
5) 10 ares 35 terre à Niederhausbergen, 400
6) 25 actions de l’établissement du commerce et d’industrie Etat d’Autriche 8125
7) 12 de la caisse générale des Chemins de fer à Paris, 480
8) 12 actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est, 7051
9) 21 obligations du chemin de fer de Strasbourg à Bâle, 10.143
10) 2 actions Klose et compagnie 9959
11) le Sr Silberzahn fils est comptable de 9000
12) la veuve est comptable de 1419, Total 104.426 francs
Masse passive 736, Reste 103.689 francs
Succession de Mr Silberzahn, moitié de la communauté 51.844, garde robe 146, Total 51.991
Masse passive 133, Reste 51.858
Compte de Mde Silberzahn, elle a fait recette de 1419, dépense de 880, elle reste comptable de 538 francs
Droits des parties et abandonnements (…)

Georges Michel Silberzahn et Philippine Frédérique Terrass cèdent la maison à leur fils Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn lors de son mariage avec Caroline Amélie Schultz

1859 (22. Xbr), Strasbourg 9 (118), Not. Becker n° 8489
Contrat de mariage – Furent présents Mr Frédéric-Auguste-Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, fils majeur de M. Georges-Michel Silberzahn ; propriétaire, et de Mad. Philippine-Frédérique Terrass, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, M. Silberzahn fils stipulant pour lui et en son nom personnel, à cause au mariage dont il va être question, d’une part, Mr et Mad. Silberzahn père et mère du futur époux (…) stipulant tant pour assister leur fils susnommé qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’une part
Mad.lle Caroline-Amélie Schultz, sans état, fille majeure de Mr Jacques Schultz, propriétaire et de Mad° Marie-Barbe Blet son épouse, tous demeurant audit Strasbourg, Mlle Schultz stipulant aussi pour elle et en son nom personnel à cause du dit mariage, d’autre part, Mr. et Mad° Schultz (…) stipulant tant pour assister Mlle Schultz leur fille susnommée qu’à cause de la dot qu’ils lui constitueront ci-après Aussi d’autre part

Article trois. En considération du dit mariage, les père et mère du futur époux, la femme autorisée à cet effet par son mari, font, par les présentes, donation à titre de dot conjointement et par moitié, en avancement de leurs successions futures, à M. Silberzahn, leur fils, ce acceptant, de l’immeuble ci-apès désigné savoir
Une maison, consistant en différents bâtiments avec cour, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des aveugles n° 14, précédemment n° 9, tenant d’un côté au Sr Reich, de l’autre en partie à la Dlle Matt et en partie au Sr Denu, pardevant à ladite rue et par derrière au Sr Kiener. (…) Cette maison avec ses dépendances est évaluée à raison d’un revenu annuel de 700 francs à un capital de 14.000 francs. Mr et Mad° Silberzahn, donateurs, sont devenus propriétaires de l’immeuble ci-dessus désigné au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite conjointement dans l’expropriation forcée qui a été poursuivie contre le S Jean Daniel Neustoeckel, menuisier demeurant à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un jugement d’adjudication rendu à la barre eu tribunal civil de Strasbourg le 13 décembre 1821 et d’une déclaration de command faite le même jour au greffe du dit tribunal, transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 2 janvier 1822, volume 146 numéro 7 et inscrit d’office le même jour volume 149 numéro 370. Le prix d’adjudication de ladite maison, outre différents frais priilégiés qui étaient à payer par les adjudicataires en sus du prix, se montait à 5500 francs (…) le donataire pourra faire et disposer de l’objet de la donation qui précède, comme de chose lui appartenante en pleine et entière propriété, au moyen des présentes et à compter du jour de la célébration du dit mariage
acp 484 (3 Q 30 199) f° 25-v du 27. Xbr – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en 1) mobilier estimé à 230, 2) créances 3797, 3) 50 francs de rentes 3%
Donation par les conjoints Silberzahn au futur époux leur fils ce acceptant en avancement de leur succession, d’une maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14 d’un revenu de 700, capital 14.000 francs
Donation par les conjoints Schultz à la future épouse leur fille, ce acceptant, en avancement d’hoiroe 1) d’un mobilier estimé à 1318, 2) d’une somme de 4000 francs, 3) 10 ares 36 de terre ban d’Olwisheim au canton Kutzthal d’un revenu de 40, capital 800
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant

1860 (19.1.), M° Becker
Consentement par Georges Michel Silberzahn propriétaire et Philippine Frédérique Terrasse sa femme à Strasbourg au mariage de son fils Frédéric Auguste Silberzahn, clerc de notaire avec Caroline Amélie Schultz les deux à Strasbourg
acp 484 (3 Q 30 199) f° 97 du 23.1.

Le clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn et Caroline Amélie Schultz vendent la maison au journalier Louis Marxer et à sa femme Anne Marie Wernert

1864 (2.8.), M° Becker (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, et Caroline Amélie Schultz sa femme à Strasbourg
à Louis Marxer, journalier, et Anne Marie Wernert sa femme à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue des aveugles N° 14, moyennant 17.000 francs dont 4000 francs payés
Origine, Donation reçue Becker le 22 décembre 1859
acp 535 (3 Q 30 250) f° 7 du 4.8.

Originaire de Waldolwisheim, Louis Marxer épouse en 1841 Anne Marie Wernert, originaire de Bossendorff
Mariage, Strasbourg (n° 130)
Du 17° jour du mois d’avril 1841 Acte de mariage de Louis Marxer majeur d’ans né en légitime mariage le 21 août 1817 à Waldolwisheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Jean Marxer, Journalier décédé à Waldolwisheim le 28 janvier 1825 et de feu Marie Gabriel décédée au même lieu le 12 mai 1828 et de Anne Wernert, majeure d’ans, née en légitime mariage à Bossendorff (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu François Wernert, Cordonnier décédé à Bossendorff le 3 novembre 1834 et de feu Anne Schneider, décédée au même lieu le 10 septembre 1828 (signé) Ludwig Marxer, Anna Wernert (i 31)

Extrait des registres de population
600 MW 300 rue des aveugles 14 / 4 – (2 Janv. 1865) rue des aveugles 14 (i 283)
Marxer, Louis, Waldolwisheim 18, h.m., journalier (à Str. depuis) 39
id. née Werner, Marie Anne ; Bossendorf 16, f. m., sa femme(à Str. depuis) 36
id. Marie Louise Joséphine Strasbourg 42, f., leur fille(à Str. depuis) s.n. – voir femme Renner

La maison revient ensuite à leur fille Marie Louise Joséphine Marxer qui épouse en 1860 le serrurier Georges Renner

Mariage, Strasbourg (n° 14)
Du 10° jour du mois de janvier l’an 1860. Acte de mariage de Georges Renner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 décembre 1838 à Haguenau (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier serrurier, fils de Joseph Renner, maître serrurier, et d’Agnès Riemmer, conjoints domiciliés à Haguenau ci présents et consentants, et de Marie Louise Joséphine Marxer, mineure d’ans, née en légitime mariage le 18 mars 1842 à Strasbourg, domiciliés à Strasbourg, repasseuse, fille de Louis Marxer, journalier, et d’Anne Werner, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a âs été dressé de contrat de mariage (signé) Renner, Marxer (i 10)

Marie Louise Joséphine Marxer se remarie en 1887 avec l’imprimeur Emile Bauer
Mariage, Strasbourg (n° 290)
Straßburg am 7 Mai 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchdruckereibesitzer Emil Bauer, (…) katholischer Religion, geboren den 28. Februar des Jahres 1839 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Tapezierers Peter Alexander Bauer, zuletzt wohnhaft Zu Straßburg und der Caroline Klenschi, ohne Beruf, zu Straßburg, 2. die Marie Luise Josephine Marxer, ohne Beruf (…) katholischer Religion, geboren den 18. Maertz des Jahres 1842 zu Straßburg, daselbst wohnhaft, Wittwe des Brunnenmachers Georg Renner, gestorben zu Straßburg den 20. Februar verflossenen Jahrs, eheliche Tochter des verstorbenen Eigenthümers Ludwig Marxer, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Anna Wernert, ohne Beruf, zu Straßburg


Maison (a)

La maison voisine vers le sud appartient à des campagnards de Gougenheim qui la vendent en 1624 à l’orfèvre Joachim Brackenhoffer au profit duquel elle reste hypothéquée lors de la vente au farniner Georges Litmann. Manant, le soldat de la garde Adam Keller achète en 1663 une maison délabrée avec la permission des Conseillers et des Vingt-et-Un. Jean Michel Braunwald la réunit en 1682 à la maison voisine qu’il possède déjà.

Les deux actes en italiques ont sans doute trait à la maison bien que les tenants et aboutissants diffèrent de ceux cités par la suite
Obligation à laquelle fait référence l’acte suivant. Thiébaut (fils de) Sébastien (Bastians Dieboldt) de Furdenheim se porte garant de son fils Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen

1615 (ut spâ [iij Martÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 110-v
(Inchoat. in Proth. fol : 2) Erschienen Dieboldts hannß Vonn Osthoffenn
hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit herrn Frantz Beüring des schaffners burgers zu Straßburg – schuldig sige 40 pfund pfenning Straßburger
Vnd zu deßen Zu mehrer sicherheit & So Ist Auch Persönlich Erschienen Bastians Dieboldt vonn Virdenheim sein des bekhenners vattern hatt sich für sich & mit sampt Ihme dem bekhenner seinem sohn zu einem rechten bürgen mit und selbß schuldner vnd selbß Zahlen vnver: gesetzt und gemacht
[in margine :] disse Verschreibung Ist vß geheÿß beed parth. wid. cassirt vnd abgethan wegen seines Newen contracts p.ut. in Reg. 1617. fol: 156. Act. 28. Martÿ Anno 1617

Jean (fils de) Thiébaut (Dieboldts Hanns) d’Osthoffen et sa femme Marguerite hypothèquent au profit de François Beuring le tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à ses frères et sœurs

1617 (xxviij. Martÿ), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 156
(P. fol: 162.) Erschienen Diebolds hannß Von Osthoffenn vnd Margred sein ehelich haußfr. haben unver. sich für sich & obligiret
Geg. herrn Frantz Beüring burger, zu Straßburg demselb. & Zuzinsen
ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb Vonn vff vnd Abe Fünff viertzel Reben Im Osthoffen Bann (…)
Item der drittetheil Ane hauß vnd hoffstatt Alhier Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit n. d. Beren hoff, And.seit neben einem Zimmermann, davon die vberig Zwen drittetheil sein des Bekhenners geschwustrig für ungetheilt gehörig, Welche behausung zuuor noch verhafftet gß vmb 1 C lb
(vide cassaturam in Reg. 1615. fol. 110.)
[in margine :] Erschienen Anthoni Spach der Schneider burger Zu Str. alß dem dieße Völlige Schuld sum der 50 lb d von seinen Uberigen mit geschwisterd. eigenthümlich. vbergeb. word. mit beÿstand Jacob Greisels burgers alhie seiner noch ledig. Schwester Susannæ Spächin Vogts, hatt in gegensein Michel Bechtels von Osthoffen, weÿl. diebolds Hanß. seel. Nachkommmen bekannt (…) Act. d. 24. 8.bris 1643.

Anne veuve de Jean Diebold de Gougenheim hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Joachim Brackenhoffer

1623 (ut spâ [x. Martÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 256
(Inchoat. in Prot. fol. 194.) Erschienen Anna weÿland hannß Dieboldt von Gugenheim selig. Witwe mit beÿstand Hannß Jacob Hetzell des Zimmermanns burgers Zu Straßburg Ihres vogts
hatt in gegensein h. Joachim Brackenhoffers goldarbeithers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß einseit neben Jörg Reppen dem zimmermann, anderseit neben jörg Segmehl den Weber hind. vff ermelt Segmehl stoßend

Thiébaut Veltin (Veltins Diebold) de Gougenheim et sa femme Agnès, le tuteur des enfants de l’employé des Sept Jean Angst et de sa première femme Anne vendent la maison à Joachim Brackenhoffer

1624 (xvj. Martÿ), Chancellerie, vol. 452 f° 135
(Inchoat. in Prot. fol. 90) Erschienen Veltins Diebold von Gugenh. vnd Agneß sein eheliche haußfr. diesse für sich selbst, So dann Arbogast Schmÿdt pflaster meÿster burger Zu Straßburg alß vogt hannß Angsten des Sübener Knechts Khund. von weÿland Anna seiner erst. haußfr. selig erzielt vögtlich. weÿß (verkaufft)
h. Joachim Brackenhoffer burger Zu Straßburg
hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. Statt Straßburg, Inn d. Blind. gaß. einseit neb. Jörg Reppel dem Zimmermann, And.seyt n. Jörg Segmehl den leÿnen weber vnd dieboldt Wildt, hind. vff N. N. stoßend, für freÿ led. & Vnd ist disser Khauff zugang. v. besch. für vnd vmb 105 pfundt

Le fabricant de chausses Jean Angster épouse en 1606 Anne, fille du soldat de la garde Jean Hummel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 185)
1606. Doîca 4. post Epiphan. 2. Febr. Hans Angster d. hoßenstricker, Anna, Hans Hummel des quardi knechts am steinstrasser thor Tochter. Eingesegnet Mont. d. 10. Febr. (i 97)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 30-v, n° 1) 1608. dominica IIII Epiph. 2. Februarÿ. Hanß Angster der hoßenstricker, J. Anna, Hanß Hummel des Soldaten vnter dem Steinstraßer Thor alhie Eheliche Tochter. Ist Zum Jungen S Peter eingesegnet worden (i 33)

Joachim Brackenhoffer vend la maison au farinier Georges Littmann

1629 (24. feb.), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 123
(Protocollat. fol. 52.) Erschienen d. Ehrenv. fürsichtig vnd weiß herr Joachim Brackenhofer xxj. (verkaufft)
Georg Lidtmann dem Meelman alhie
Ein behausung sampt deren hofstat v. allen & alhie in der Blind.gaß neben Georg Rappert Zimmermann & neben Hanß Seegmüller Leinenweber, hind. vf erstbesagten Seegmüller die gantz ledig eÿg. vnd ist der Kauff geschehen per 150. lb. d daran vff Johannis Baptstæ nechstkommend da dann der Kauff auch vß vnd ergehen solle (…)

Boulanger à l’Œuvre Notre Dame, Georges Littmann épouse en 1606 Anne, fille du maréchal ferrant Jacques Sultzer de Winterthur en Suisse
Mariage, cathédrale (luth. p. 178)
1624. Georg Littman pfister auf der frawenhauß vnd Anna Jacob Sultzer des schmidts zu winttethurn im schweitzerland tochter, eingesegnet montag 21. Junÿ (i 94)

Anne, veuve de Georges Littmann, épouse en 1636 le farinier Etienne Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 35-v)
1636. dominica 1. Adventus. Stephan Meÿer d. Meelman, Anna Georg Litman deß Meehlmans wittib. 5. Xbris (i 37)

Le boulanger Etienne Meyer avait épousé en premières noces Anne, fille du charretier Jean Heuss d’Ulm
Mariage, cathédrale (luth. p. 115)
1621 Stephan Meyer der weisbeck, Steffan Meyer des grempen. sohn, vnd Anna Hans Heüssen des fuhrmans Zu Ulm e. tochter, eingesegnet Zinstag den 10. Apr. (i 62)

Anne Sultzer femme d’Etienne Meyer meurt en délaissant deux filles de son premier mari Georges Littmann. Elle a en outre adopté le fils issu du premier mariage du veuf avec Anne Heus. La maison rue des Aveugles est un bien propre aux héritiers, celle rue de Schiltigheim est un bien de la communauté. La masse propre au veuf est de 1 livre, celle des héritiers de 48 livres. L’actif de la communauté s’élève à 22 livres, le passif à 78 livres.

1642 (23.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 7
Inventarium vndt beschreibung aller Haab Undt nahrung, so weÿl. die Ehrn: und tugendsame fr. Anna Sultzerin, deß Ehrenhafften Stephann Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hinder ihre verfallen, Welches vff freundliches ansuchen erfordern undt begehren deß Ehrenhafften Meister Hannß Maaßen Schneiders, burgers alhie, als Margarethæ vndt Marthæ, der ietz abgeleibten frn seel. mit weÿl. Mr Georg Littmann, auch geweßenen Meelmann burgern alhie Ihrem vorogen haußwürth seel. ehelich erziehlter hinderlaßener beeder döchtere, So dann Caspar Geÿgers,färbers, burgers alhie, als geschwornen Vogts Johannißen, deß ietzigen Wittwers und weÿl. Annæ Mariæ Heußin seiner erstern haußfrau seel. ehelich erziehlten Söhnleins, welches aber die ietz abgeleibte fr. seel. adoptirt vnd ane Kindtstatt angenommen, undt alß ihr d. fraw seel. adoptirter vndt ab intestato hind.laßen nechster erben durch den wittwer obbemelt geäugt und gezeigt (…) So beschehen vff Mittwoch den 23.t Martÿ A° 1642

Inn einer alhie in d. Statt Straßburg oben an d. Blindengaßen gegen den Roth. Kreutz vber gelegenen Behaußung, so H Johann Wenckern 13.nern alhier von weÿl. Henrich Rohten, deß Kürschners, burgers alhie seel. Erben an sich erganth. d. wittwer aber ietzo lehnungsweiß bewohnt, ist befund. word. wie volgt.
Vff der Andern Bühnen, vor d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammer C, Inn der undern Stuben, Im vndern haußöhren, Inn der Kuchen,, Im Keller
Eÿgenthumb ane Heüßern (E.) Item hauß vnd hoffestatt mit allen Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörd. rechten vnd gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßb. in d. Blindengaß, 1. s. neben hanß Mooß. dem Schneid. 2.s. neben Georg Hellern dem amblungmach. hind. vff Heinrich Fleischman den Leinenweber stoßend, dauon gehen Jahrs vff Johs. Baptæ 4. lb. gelts H. Joachim Brackenhofern ietz Regirednem H Amstr. alhie, ablößig in hauptgutt mit 80. lb d. sonst ledig eigen, hiehero angeschlagen p. 20. lib. d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbbr. mit d. St. Str. anhangendem Contract Insigel dat. den 24. Febr. A° 1629. Inhaltts wie Georg Littmann d. ietz v.storbenen frau seel. vorig. haußwürth seel. vorbeschribene behaußung von obwohl ehrenermeltem H. Amstr Brackenhoffer erkaufft sige mit N° 1
(Th.) Item d. halbe theil ane hauß, hoffstatt, höfflin vnd gärthlin ane dem Roßmarckh in d. Schildtsgassen (…)
Bericht ane statt deß Wittwers unveränderten Gutts Ergäntzung. Zuwissen, demnach mann auch Zur Ergäntzung deß wittwers unveränderten Gutts kommen, d. man Zwahr nach anleithung deß vber weÿl. frn Annæ Magdalenä Heußin seiner ersten haußfrn. seeL. V.laßenschafft in A° 1636. auffgerichteten Inventarÿ befunden (…)
Ergäntzung der Erben unveränderten Gutts. Auß dem vber weÿland Mr Georg Littmanns geweßenen Meelmans vndt Burgers Zue Straßburg seeligen ietz abgeleibten frauen vorige haußwürts seel. V.laßenschafft auffgerichtetem Inventario
Sa. des Wittwers unveränderten haußraths 42, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Rings 8 ß, Summa summarum 51 lb – Schulden 50 lb, Nach deren Abzug 1 lb
Sa. der Erben unveränderten haußraths 19, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 20, Summa summarum 42 lb – Schuld 90 lb, Übertrifft also die Schulden die unveränderte Substantz vmb 48 lb
Sa. Theilbahren haußraths 7, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 15, Summa summarum 22 lb – Schulden 78 lb, Übertreffen also die Schulden die nahrung vmb 56 lb
Beschluß summa 115 lb

Partage des biens de Georges Littmann entre ses deux filles
1649 (28. 9.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 18) n° 29
Lüfferung vndt Abtheilung Weÿland Georg Lidtmanns, geweßenen Meelmanns vndt burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene beede döchter vätterlichen Guths.
Zuwißen, demnach weÿl. Anna Sultzerin, dermahlen Stephan Meÿers, Meelmanns, burgers alhie Zu Straßburg haußfraw seel. In A° 1642 Göttlichen willen nach Zeittlichen todts verblichen, deroselben Verlaßenschafft auch in recht vndt gebührend. Zeitt Inventirt vndy beschrieben, vnd durch Jeremiam Ursinum den Notarium ein ordentlich Inventarium darüber auffgerichtet vnd verfertiget worden (…)

Marguerite Littmann épouse en 1655 l’aiguilletier Jean Christophe Rauscher
1655 (3. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 517 n° 298-v
(Eheberedung) Erschienen hannß Christoph Rauscher der Nestler und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Annæ weÿl. hannß Rauschers deß Nestlers und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittibin seiner Mutter, wie auch Aurelÿ Gerungß deß Thurnhüeters ihres Vogts, und hannß Conrad Rauschers deß Nestlers seines Bruders an einem,
So dann Jungfr. Margaretha, weÿl. Georg Lidmanns deß Meelmanns und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinderbliebene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Moosen deß Sigristen zum alten St. Peter, ihres Vogts am andern theil

Le tuteur de Marthe Lidmann fille de Georges Littmann vend en 1663 au soldat de la garde Adam Keller et à sa femme Anne Marie la maison hypothéquée au profit d’Elie Brackenhoffer

1663 (31. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 528 n° 484-v
(Prot. fol. 61.) Erschienen Hannß Moos der Sigrist Zum alten St Peter alß Vogt Marthä weÿl. Georg Lidmanns geweßenen Meelmanns nunmehr seel. hinderlaßenen döchterleins
in gegensein Adam Kellers deß guardi Knechts und Annæ Mariæ beÿd. Eheleuth
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der Blindengaßen einseit neben obgemeltem Hannß Moosen, anderseit neben weÿl. Georg Hellers seel: wittib, hinden vff weÿl. Henrich Fleischmanns seel. wittib stoßend gelegen, welche Behaußung umb 80 lib Capital und j. lb Marzahl dem Ehrenvest: From: und wohlweÿsen H Eliæ Brackenhoffern deß beständigen Regiments der herren Fünffzeh. verhafftet (übernohmen) – umb 4 lib. Jedoch der gestalten, daß der verkauffende Vogt den kauffend. Eheleuth. /:weilen Sie die Behaußung sonst nicht haben Kauffen wollen:/ den offen, die fenster und läden außbeßern und solch. baw Costen von dießen 4. lib. abgehen

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un non bourgeois après avoir nommé une députation pour examiner l’affaire. La commission constate que la maison est en mauvais état mais que les parties tiennent à passer contrat.

1663, Conseillers et XXI (1 R 146)
(f° 139) Montag den 17. Augusti – Adam Keller wegen haußkauff
Adam Keller, Musquetirer beÿ hiesiger guarnison überreicht per Wilden Vnderth. supplication, bitt Weilen er Vorhabens eine Hanß Moßen des Sigristen Zum alten S Peter Vogts Kindt gehörigen Vndt in der blindengaßen gelegener behaußung p. 170. fl. an sich Zu Kauffen, Vmb Obrigkeitlichen consens. Erk. Soll waß es für ein beschaffenheit damit habe bericht eingezogen werden, Vnd sindt Zu dem ende Deputirt worden H. XV. Faust et H. Voltz.

(f° 141) Montag den 24. Augusti – Adam Keller weg. haußkauff
H. XV. Faust ref: Weilen den 17. huius Adam Keller Musquetirer beÿ hiesiger guarnison beÿ Mhh. supplicando einkommen, Vndt Vmb Obrigkeitlichen consens daß er eine behaußung in der blindengaßen gelegen an sich erkauffen mögte, gebetten, Vndt darauf Ihme beneben H. Voltzen befohlen worden, waß es für ein beschaffenheit damit habe information ein Zu Ziehen, Alß hätten Sie den augenschein eingenohmen, Vndt daß häußlein sehr bawfällig Vndt Von schlechtem werth befunden, Weilen mann aber den kauff beederseits Zu halten begehrt, alß, stünde es lediglich darauf. Mh. deren consentiren wolten. Erk. Willfahrt.

Fille du fabricant de chausses Martin Bogner, Anne Marie Bogner épouse en 1638 le remueur de grains Jean Bechtold.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 40)
1638. Hannß Bechtold d Kornwerffer alhier J. Anna Maria Martin Bogner deß Hoßenmach. hinderlaßene tochter, 29. Jan. (i 41)

Elle se remarie en 1641 avec le soldat Adam Keller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54-v) 1641. Sambstag d. 3. Aprilis. Aus Erkantnus eines Ersam Rhats seind in die Kirch gefürt Undt eingesegnet Worden Adam Keller der Soldat, Anna Maria Hans Bechtels des Kornwerffers S. Wittib (i 56)

La femme d’Adam Keller qui est en poste depuis quelques semaines à Haguenau demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un de rapatrier son mari à Strasbourg. Sa demande est éconduite.
1645, Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 71-v) Sambstag d. 5. Jul. – Adam Kellers Haußfr. Intercessionales
Adam Kellers Haußfr. vberreicht per Mockel vndth. Supplication, Bericht In derselbig. d. Ihr Mann, welcher alhier Underhalt. gewesen, vor etlichen Wochen durchgang. vnd sich Zu Hagenauw In dienst begeben, Bitt deßweg. Vmb Intercessionales an Commendant. an gedachtem orth, Vnnd d. Mhh. Ihnen nachghends Zu Gnad. hiewied. vmb wol. auffnemmen. Erk. Soll Ihr d. begehren abgelehnet werd. – H. XXI. Mieg, H. Bosch.

Anne Marie, femme du mousquetaire Adam Keller sollicite la permission de fabriquer des chausses. Les Quinze refusent en considérant que son mari lui apporte sa solde et qu’elle préfère fabriquer des chausses plutôt que de filer et de carder comme elle y est autorisée.
1658, Protocole des Quinze (2 R 76)
Adam Kellers Fraw Ca. Hoßenstricker. 242. 245.
(f° 242-v) Sambstag den 18. Xbris Anna Maria Adam Kellers deß Mußquetirers haußfr. per E. Lt. supplication, vnd Klagt contra Meisterschafft Hosenstricker handwercks, daß sie ihro vf ermeltem handwerck allein fewrabends weiß Zu arbeit. verbott. bitt es ihro auß gn. Dispensando wid. Zuerlauben. Erkand, H. Dietrich H. XV. Meister bedenckens.

(f° 245) Freÿtag den 24. Xbris) – Adam Hellers Fraw Ca. Hoßenstricker
H. Dietrich und H. Franckenberger Laßen p. G. Frantzen referiern, vff Annæ Mariæ, Adam Hellers deß Mußquetirers allhier haußfrawen den 19. huius producirter supplication hetten Sie von der Meisterschafft Hoßenstricker handwercks, benedict Klingen, Daniel Eßdras vnd Sontag Rüegen, vernohmen, die hetten nun Zuvorderist Ihre habende Kaÿß. Privilegia Vorgelegt, darinn sonderlich beÿm 14.ten §° Clar verseh. daß Kein Meister Einige Hellerin, Mägdlin fürdern solle, Nun habe auch supplicantin inn 5. Jahren nit mehr gestrickt, vnd Könne nit woll spinnen, vnd streichen, so Ihro nit verwehret, mehr als mit Jenem Verdienen Weilen ihre Kind. auch darzu helffen Können, thue es aber vngern, weilen dabeÿ mehr arbeit alß beÿm stricken, dafern Ihro daß stricken vergonnet werden solte würde die Meisterschafft beÿ benachnaurten vnd auf den Märck groß vngelegenheit haben, Weilen nun d. Supplicantin daß spinnen vnd streichen nit verwehret, Ihr Mann alß Ein Soldat seinen monatlich soldt hat, Sie nit so einfältig vnd breßhafft ist, Wie sie sich stellet, auch daß in Prot. 1658. fol: 44. mit Heinrich Fuchß. Wittib, befindliche præjudicum Clar, alß vermeinen Deputirte Es solte Ihre ihr begehren Vorgebrachter maßen abgelaint vnd hingeg.d Spinnen vnd streich. erlaubt. Erkandt, wird d. bedacht placidirt.
[in margine :] Eodem Ist obigen Meistern vnd d. Supplicantin bescheid angezeigt worden.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un accordent un subside à Anne Marie Bogner femme d’Adam Keller pour qu’elle puisse prendre des bains.
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(f° 106-v) Samstag d. 8. Junÿ – Anna Maria Bognerin vm eine Badensteur
Anna Maria Bognerin Adam Kellers Eheweib vberreicht per Bitsch Vnd.thge Supplication Bericht d. sie in Hochster armuth begriffen, vnd leibshalben nicht Vorkommen kan, Bitt Vm eine baden steur. Erk. soll Ihro 3. lib d auß beÿd. Allmuß. mittgetheilt werd. – H. Roderer Vnd H. Kupfferschmidt

Elie Brackenhoffer auquel la maison était hypothéquée la vend au tisserand Michel Braunwald qui la réunit à la sienne.

1682 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 552 n° 24
Erschienen der Edel – fürsichtig und hochweÿse herr Elias Brackenhoffer, Treÿzehner
hat in gegensein hannß Michael Brunwaldts deß Leinenwebers
hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten alhier in der Blinden gaß, einseit neben Hannß Anstätt dem Obß Krämpen, anderseit neben weÿl. Herren Mathis Schmids alten Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff deß Käuffers hoff stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig und eÿgen seÿe. Vnd were dießer Verkauff und Kauff geschehen umb 50. lb



127, Grand rue


Grand Rue n° 127 – IV 311 (Blondel), N 954 puis section 60 parcelle 94 (cadastre)

Partie de l’actuel 24, rue Gutenberg et 21, rue des Francs-Bourgeois

Auberge aux Bâtons Royaux (1691-1701), café à la Reine de France (1776-1778)
Nouveau bâtiment sur les parcelles IV 311 et 323 en 1776, maître d’ouvrage Nicolas Huin, cafetier – maître maçon André Müller


Vers 1910, enseigne Gutenberg Bierquelle, Fontaine de bière Gutenberg. Un étage a été ajouté depuis 1830 (AMS cote 1 Fi 26 n° 17)
En 1913, après démolition des maisons côté ouest de la rue des Fribourgeois (AMS, cote 112 Z 7 – 1913-4)

Située à l’angle de la Grand rue et de la rue des Fribourgeois, la maison dont l’encorbellement fait vingt-neuf pieds et demi de long vers la Grand rue est inscrite au nom du revendeur Thomas Odino dans le Livre des communaux de 1587. Elle revient après plusieurs ventes successives à son gendre Elie Goll qui exploite les bains thermaux de Peterstal au-dessus d’Oberkirch comme son beau-père avant lui. Elle appartient de 1636 à 1691 aux fabricants de pâtés Nicolas Allheilig, venu de Lahr, puis à son fils Jean Adam Allheilig. Originaire de Paris, le traiteur français François Bellan l’acquiert et y établit l’auberge aux Bâtons Royaux. Il la revend en 1701 au monnayeur Benoît Charbonnier qui sollicite des exemptions auxquelles il n’a pas droit. Le compte rendu dressé en 1701 fait état de quatre poêles. La maison appartient ensuite aux fondeurs d’étain Jean Jacques Isenheim, Melchior Edel puis Henri Isenheim (1708-1746). D’après le plan-reflief de 1725, le bâtiment à deux étages a un pignon vers la rue des Fribourgeois. Le sellier Philippe Sauthier n’est pas autorisé à remplacer en 1746 les poutres de son encorbellement. Ses héritiers vendent la maison en 1775 au cafetier Nicolas Huin. Comme il n’est pas autorisé à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations à cause du nouvel alignement, il achète la maison voisine rue des Fribourgeois, cède un terrain à la Ville en 1776 et charge le maître maçon André Müller de bâtir une maison neuve à deux étages surmontés d’un troisième étage mansardé. Le rez-de-chaussée vers la Grand rue a trois arcades, les appuis de fenêtre sont galbés au premier étage. Nicolas Huin y exploite le café à la Reine de France. Ses ayants-droit vendent la maison au charcutier Jean Georges Bernhard.


La maison forme l’angle droit en bas de l’image, Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Extrait du plan Blondel. Les terrains à céder à la Ville sont en avant des lignes rouges (AMS, cote 1 PL 675)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 151 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie vers la Grand rue et en bois vers la rue des Fribourgeois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (a). Sur la gauche, la façade rue des Fribourgeois a six fenêtres, une porte et trois autres fenêtres au rez-de-chaussée, dix fenêtres à chacun des deux étages, une toiture à deux étages de lucarnes. Sur la droite vers la Grand rue, le rez-de-chaussée a trois ouvertures en arcade et deux étages à trois fenêtres surmontés du pignon. La petite cour A montre l’arrière (4-1) de la façade ouest et l’arrière (3-4) de celle sur la Grand rue.
La maison porte d’abord le n° 149 de la Grand rue et le n° 6 de la rue des Fribourgeois (1784-1857) puis le n° 127 de la Grand rue et le n° 5 de la rue des Fribourgeois.


Cour A – Bâtiment actuel, septembre 2019

Les héritiers testamentaires du chanoine de Saint-Denis Joseph Philippe Sauthier vendent la maison au cafetier Jean Kœberlé. Le docteur en médecine Charles Frédéric Gross loue en 1862 le rez-de-chaussée au restaurateur Laurent Kelhetter. Le locataire Jean Geoffroi Johanny installe en 1873 une pharmacie qu’il cède en 1878 à Charles Emanuel Steiner. La Ville acquiert la maison en 1907 sous le couvert de la société immobilière dite Grunderwerbsgesellschaft. Le sol est réuni en 1931 à celui de la parcelle voisine. L’entrée rue des Francs-Bourgeois prend alors le n° 21. La maison est citée pour la dernière fois en 1933 dans le livre d’adresses. Le nouveau bâtiment porte depuis les années 1960 le n° 24 de la rue Gutenberg.

juillet 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Thomas Odino, revendeur, et (v. 1570) Marguerite Bazoille
Georges Genin de Sainte-Marie-aux-Mines
1604 v Abraham Hendel, revendeur, et (1578) Esther Rosenhauer – luthériens
1605 v Paul Mebwart, savonnier, et (1592) Odile Zoller – luthériens
1611* v Elie Goll, marchand à Strasbourg et aubergiste à Bad Peterstal, et (1601) Marguerite Odino – luthériens
1629 v Matthias Hügel, boulanger, et (1624) Catherine Schædler – luthériens
1636 v Nicolas Allheilig, fabricant de pâtés, et (v. 1630) Ursule Probst – luthériens
1656 h Jean Adam Allheilig, fabricant de pâtés, et (1658) Susanne Denninger – luthériens
1691 v François Bellan, traiteur, et (v. 1680) Marguerite Le Moine – catholiques
1701 v Benoît Charbonnier dit Chevalier, officier de la monnaie, et (v. 1685) Marguerite Genon – catholiques
1708 v Jean Jacques Isenheim, fondeur d’étain, et (1703) Sara Schwartz – luthériens
1709 h Melchior Edel, fondeur d’étain, et (1709) Sara Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim – luthériens
1727 adj Jean Henri Isenheim, fondeur d’étain, et (1699) Marie Ursule Schaaff puis (1726) Susanne Salomé Schatz – luthériens
1746 v Jean Philippe Sauthier, sellier, et (1736) Marie Barbe Prima – catholiques
1775 v Jean Huin, cafetier, et (1772) Marguerite Marie Josèphe Scholl – catholiques
1778 h Jacques Henri Burger, perruquier, et (1778) Marguerite Marie Josèphe Scholl veuve de Jean Huin puis (1784) Marie Salomé Walcker – couple mixte puis luthériens
1788 v Jean Bernhard, charcutier, et (1777) Marie Françoise Christmann – catholiques
1801 v Charles Paul Hirn, négociant, et (1800) Françoise Dangelo
1805 v Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint-Denis († 1830)
1830 v Jean Kœberlé, cafetier, et (1826) Jeannette Meyer d’abord (1813) femme de l’ouvrier en tabac Antoine Wolff puis (1824) du garçon cafetier Jean Baptiste Pfrimmer
1849 v Eugène Perrin, architecte et entrepreneur, célibataire († 1853), enfant avec Salomé Sophie Geiger
1852 v Charles Frédéric Gross, docteur en médecine, et (1843) Sophie Salomé Stahl
1863 v Simon Katz, négociant, et (1832) Anne May
1885* v Louis Engelmann à Neustadt an der Haardt
1894 v Baruch Wolff, négociant, et Barbe Weill
1905 v Frédéric Zeiss, négociant
1907 v société dite Grunderwerbsgesellschaft (société d’acquisitions foncières), puis Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 350 livres en 1725, 1 150 livres en 1735, 2 070 livres en 1774, 2 400 livres en 1774 – Nouveau bâtiment, 2 500 livres en 1777

(1765, Liste Blondel) IV 311, Joseph Philippe Sautier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Burger, 15 toises, 4 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 954, Koebelé (Koeberlé), Jean – maison, sol – 1,85 are

Locations

1689, François du Pré, confisseur et manant
1691, François Bellan, traiteur (ensuite propriétaire)
1699, Hyacinthe Lavalette, traiteur, et (1698) Chrétienne Rose Brion
1727, Jean Daniel Isenheim, fondeur d’étain
1745, André Crollat, boutonnier
1786, Jean Ehrlenholtz le jeune
1788, Antoine Laurent Schuhmacher, lustreur, et Catherine Keller
1805, Charles Léopold Chardoillet, receveur de la Loterie, et Marie Elisabeth Louise Dichat
1843, Willard le jeune, mercier
1861, Sébastien Erb
1862, Laurent Kelhetter, restaurateur
1873, Charles Geoffroi Johanny, pharmacien
1877, Charles Emmanuel Steiner, pharmacien

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 182-v
La maison face au poêle des Maréchaux appartient à Thomas Odino qui régle 14 sols 10 deniers. Elle a un encorbellement jusqu’à l’angle de la rue des Fribourgeois (29 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds 10 pouces), plus haut une avance (29 pieds ½ de long, saillie de 9 pouces), un étal (10 pieds ½ de long, 2 pieds 4 pouces de large) un autre étal (10 pieds de long, 2 pieds 3 pouces de large)

Oberstraßen
Thoman Odino hatt vor seinem Hauß gegen d Schmidt Stuben Oben ein Vsstoß, Vnz das Eckh Freÿburger gaß xxix= schu lang, Vnd iij schu x Zoll herauß, Mehr oben ein Staucher xxix= schu lang, Vnd ix Zoll herauß, Ein Banckh x+ schu lang, Vnd ij schu iiij Zoll breit, Mehr j Banckh x schu lang, Vnd ij schu iiij Zoll breit, Bessert für das Niessen, xiiij ß x d

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151-v
La maison à l’angle de la rue des Fribourgeois en allant vers la Monnaie appartient au revendeur français Thomas Odino qui règle 3 sols 10 deniers. Elle a un auvent (13 pieds de long, un pied et demi de saillie), une plate-forme dallée (3 pieds de long, 1 pied ½ de saillie), une cheminée (4 pieds de long, 1 pied ½ de saillie) et une marche dallée (5 pieds de long, 1 pied ½ de large)

Anderseits Freÿburger Gaß.
Thoman Odino der Welsch Grempp hatt vor seinem Hauß am Eckh freÿburger gaßen, gegen dem Müntzhoue Zu, Oben ein Wettertach 13 schu lang, vnd anderhalben schu herauß, Ein besezter steinerin Tritt 3 schu lang vnd 1 ½ schu herauß, Mehr ein angehenckht Kamin 4 schu lang, vnd 1 ½ schu herauß, Mehr ein besezte staffel v schu lang vnd 1 ½ schu breit, Bessert für d. Nießen, iij ß x d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés vont voir la maison du sellier Philippe Sauthier qui demande l’autorisation de remplacer les poutres abîmées de son encorbellement. Ils ajournent leur décision.

(f° 75) Donnerstags 6. Octobris 1746 – Philippe Sautier
Augenschein eingenommen beÿ Philippe Sautier des sattlers hauß in der straß gegen der Schmidstub über, welches einen Überhang hat, daran Verschiedene balcken schadhafft, An deren statt er Neü einzuziehen willens und deßwegen Unterthänig um erlaubnus gebetten. Erkant Bedacht.

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon André Müller demande le 7 mars 1775 au nom du cafetier Nicolas Huin l’autorisation de renconstruire à neuf sa maison sur les anciennes fondations. Les préposés l’éconduisent en le renvoyant au nouvel alignement.

(f° 161-v) Dienstags den 7. Martii 1775 – Nicolas Huin
Andreas Müller, der Maurer Meister nôe. Nicolas Huin, des Caffée Sieders bittet zu erlauben deßen behausung in der Langenstras an der Freÿburger Gas auf das alte fundament neu aufzubauen. Erkannt, Seÿe der Implorant mit seinem begehren ab un an das alda adoptirte allignement zu verweisen.

1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le cafetier Nicolas Huin cède à la Ville un terrain de trois toises carrées moyennant 72 livres

(f° 89-v) Montags den 15. Julii 1776 – Nicolas Huin Caffetier
Idem [Hr. Streidbeck] trägt vor, daß Nicolas Huin, der Caffetier mit seiner ane der Langenstras gelegenen behaußung dem Allignement nach zur weichen mußte, so habe sich gemachter Außmeßung nach befunden, daß 3 Quadrat Klafter zum Allmend liegen geblieben so à 24 lb antreffen 72 lb. Erkannt, Seÿe Nicolas Huin 72 lb aus gemeiner Stadt Cassa zu bezalen.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1776. Le maître maçon Müller le jeune (André Müller) expose les travaux que le cafetier Nicolas Huin a l’intention de faire dans sa maison Grand rue : placer un poêle en fonte au rez-de-chaussée vers la rue des Fribourgeois, un fourneau dans la cuisine à l’arrière. Dans le bâtiment arrière à gauche de l’entrée une salle pourvue d’un poêle rond, à l’arrière une buanderie pourvue d’un chaudron. Au premier étage vers la Grand rue une salle pourvue d’un poêle en fonte. Dans le bâtiment arrière vers la rue une salle pourvue d’un poêle en fonte, à l’arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Au deuxième étage vers la rue à main droite une chambre pourvue d’une cheminée à la française, au même étage vers la rue des Fribourgeois une cuisine pourvue d’un fourneau, à l’avant une salle pourvue d’un poêle en fonte. Au même étage du bâtiment arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Au troisième étage dans la masarde du bâtiment arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Les préposés donnent leur accord à condition de déplacer d’un pied la hotte dans la cuisine au deuxième étage du bâtiment arrière.

(p. 391) Mittwochs den 26.ten Junii 1776 – Sieur Nicolas Huin der Caffe Sieder will in seiner in der Langen straß gelegenen Behaußung auf dem rez de Chausse gegen der freÿburger stub Gaß eine stub gegen der straß mit einem Runden gegossenen offen In welchen in der Hinten daran Befindlichen Kuchen eingefeuert wird machen, Hinten daran eine Kuchen mit Herd und Camin schoß das Rohr mitten durchs gebäu von allem Holtz entfernt.
in dem Hintergebäud Linckerhand neben dem eingang eine Stube mit einem Runden Offen das blechene Rohr In das Hinten daran befindliche Camin Rohr führen, hinten daran eine bauchküchen mit Herd, Bauch keßel und Camin schoß, das Rohr am Steinern gäbel Hienauf von allem Holtz entfernt.
Im ersten stock gegen der straß einen saal mit einem gegossenen Runden offen Hinten daran mit Vor Camin auf eingewölb wohl Verwahrt setzen.
Im Hinter gebäu gegen der gassen eine Stube mit einem gegossenen offen, das Blechene rohr in das hinten daran befindliche Camin Rohr samt einem vor Camin aus welchem in den offen gefeuert wird, Hinten an dieser Stub eine Kuchen mit Herd und Caminschoß das Rohr an steinern gäbel Hinauf von allem Holtz entfernt.
Iù Zweÿten stock gegen der straß Rechter hand ein Zimer mit Einem frantzösischen Camin auf einem gewölb, das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem Holtz entfernt.
im nemlichen stock gegen der Freÿburgerstub gaß eine Kuche mit Herd und Caminschoß das Rohr mitten durchs gebäud von allem holtz entfernt vornen daran eine Stube mit einem gegoßenen Runden offen deßen Blechene Rohr in das Kuchen Camin geführt.
in dem hinterhauß im nemblichen stock eine Kuch mit Herd und Camin schoß das Rohr am steinern gäbel Hinauff von allem Holtz entfernt.
Im dritten stock in der Mansarde im Hinder gebäu eine Kuche mit Herd und Caminschoß das Rohr durchs dach hinauß von allem Holtz entfernt.
Erkand willfahrt, mit dem anhang das der Caminschoß in der im Zweiten stock im Hinterhauß befindlicher Kuchen um einem schuh weiter heraus gerucket werden solle – Mr Müller d. jung

Description de la maison

L’estimation de 1777 est celle de la nouvelle maison qui comprend deux anciennes

  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, poêle pour l’officier, cuisines, atelier, four à fusion, chaudron, petite cave voûtée, petite cour, puits, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 2 700 florins
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule et cabinet, à l’étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule pour l’officier, au rez-de-chaussée atelier de fondeur d’étain, salle de fusion, cabinet, petite cour, puits et cave voûtée, le tout estimé à la somme de 2 300 florins
  • 1777 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux salles de billard, plusieurs poêles, cuisines et chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est en partie solivée et en partie voûtée, estimée avec le puits, la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 5 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 26 / 149
Hirn
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Fribourgeois

nouveau N° / ancien N° : 2 / 6
porte de derrière du N° 149 grand’rue
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages bons en bois

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 31 f° 277 case 3

Koeberlé Jean à Strasbourg
Perrin Eugène, architecte (susbtitution p. 1851)
Gross Charles Frédéric, medecin (1853)

N 954, maison, sol, grand’rue 149
Contenance : 1,85
Revenu total : 288,96 (288 et 0,96)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 46 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 895 case 1

Gross Charles Frédéric, medecin
1865 Katz, Simon, négociant
1885 Engelmann, Ludwig zu Neustadt a/ Hardt
1895/96 Wolf Baruch Kaufmann in Lingolsheim
1906 Zeiss, Friderich Kaufman hier
(ancien f° 643

N 954, Maison, sol, Grand rue 127
Contenance : 1,85
Revenu total : 288,96 (288 et 0,96)
Folio de provenance : (277)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 46 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre allemand, registre 32 p. 401 case 3

Parcelle, section 60, n° 94 – autrefois N 954 / 1594
Canton : Langstrasse N° 127
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,70
Revenu : 3400 / 4300
Remarques : B. V. 1908, 140 – 1931 d. c. 2 [section 60 n° 93, Langstrass Hs N° 129 puis Grand rue 127 et rue des Francs-Bourgeois N° 21]

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades (p. 204)

149
pr. Bernard, Jean, Charcoutier – Fribourg
loc. Hering, Ben. François, vitrier – Echasses
loc. Dela Porte, Empl. au Bureau de la Lott. – Privilégié
(délogé demeure actuellement dans le N° 146 d’autre part)
loc. Pellier, Joseph, Neg. – privilégie
loc. Heller, Jean, friseur de Dames – privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Freiburgergasse (Seite 40)

(Haus Nr.) 5
Lehner, Spezereihdlg. 02
Hosse, Ausläufer. 0
Gress, Ausläufer. 1
Heitz, Kurzwarendllrn. 2
Trotz, Malermeister. 2
Guth, Schneiderm. 3
Horrenberger, Tagner . 3

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 127, s. Freiburgergasse 5

Annuaires 1931-1934

Annuaire 1931 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 154, i 87)
Annuaire 1932 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 154, i 88)
Annuaire 1933 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 155, i 90)
Annuaire 1934 – (pas de 127, p. 184, i 100)

Grille d’enquête

(89)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]


Dessins, Ferrures de porte et Remarques

Haus Freiburgergasse 5 [Maison : 5, rue des Fribourgeois]

a) Geschichtliches : Hans von Dalheim Küffer do Claus von Barre sitzet. 1466, Thoman Odino der Welsch Gremp 1587, Ecl an der Oberstrasse. Zur grünen Linde. 1739. 1741. [Historique repris d’Adolphe Seyboth]

b) Zeitbestimmung : XVIII Jahrh. [Epoque, XVIII° siècle]

c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]

d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. Erdgeschoss – in Stein, 3 Bogenstellungen. Oberstrasse Fenstergewände in Stein, Sohlbänke an Grundriss geschwungen. Flächen Putz

    [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] en pierre, trois arcades vers la Grand rue, encadrements de fenêtres en pierre, appuis galbés, surfaces crépies

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 7. Treppenhaus – Offene Treppe 4 Geschosse jetzt mit Glasdach
    [Cage d’escalier] Cage d’escalier ouverte à quatre étages, aujourd’hui pourvue d’un toit vitré
  • 8. Treppengeländer- Balluster in Bretten geschnitten
    [Balustrades d’escalier] Balustres en planches sculptées
  • 25. Türbeschläge – II. Stock 2 Bocksbänder

    [Ferrures de porte] au 2° étage, deux (*)

Bemerkungen :

I Stock Wandplättchen i. d. Küche
2 1 flügel Pl* (2 Füllungen) mit gesch*ten Rahmen
Und g*st Eingangstüre * der Freiburgergasse gut erhalten

[Remarques –] au premier étage plaques murales dans la cuisine, portes du deuxième étage. La porte d’entrée rue des Fribourgeois est bien conservée

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)


Relevé d’actes


Bains de Petersthal par Matthias Merian, 1644 (image Wikipedia)

La maison est inscrite en 1587 au nom du revendeur Thomas Odino. Il fait baptiser des enfants de sa femme Marguerite à Saint-Thomas à partir de 1574. Il est réputé avoir établi les bains thermaux de Peterstal au-dessus d’Oberkich en Bade (historique). Thomas Odino figure sur la liste des neuf maisons dans lesquelles auraient lieu des réunions de réformés français d’après les déclarations d’Abraham Held en 1585.

Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 112, n° 532)
1574. Dominica Cantate. Thoman Ottiné, Margret, [Infans] Michel, [compatres] hans von Matzene, Heinrich Zorn, Margret Georg Meisner (i 114)
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 138 n° 642) 1575.Dominica Trinitatis. Thoman Ottina, Margret, [Infans] Israel, [compatres] H Philip Schmidt D Iohannes Gergorius hans Grapethen nachgelaßene wittwen (i 140)

Le revendeur Thomas Odino et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit du tonnelier Blaise Leitersperger

1592 (vts. [v. Septemb.]), Chancellerie, vol. 281 (Registranda Kügler) f° 198
(Inchoat fo: 285) Erschienen Thoman Ottino Gremp burg. Zu Straßburg vnd Margred sein eheliche hußfr. Haben vnuer: bekhandt
Inn gegensein Hn Bläsin Leitterspergers Khüffs. burgs. Zu St. – schuldig sein 700 guldin zu 15 batz. gelühen gelts
soll Underpfand sein soll ein Huß, Hoffestatt Höfflin Brunnen vnd Keller mit Allen & geleg. Inn d. St. St. ane d. Obern Straßen vff einer seiten ein Eck ane Freÿburger gaßen, and.seit neben Hanß Grasecks des Puluermachers selig. erben stost hind. vff den Schuldbekhenner selbs, dauon gond. j lib v ß gelts Abloßig mit xxv lib. d. Florian Grafen burger Zu St. selig. Erben Sunst ledig eÿgen

Le revendeur Thomas Odino hypothèque la maison au profit de Raimbaut Meyer

1594 (15. Feb.), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 25-v
Schuldbekenntnus H Reinboldt Meÿers
Erschienen Thoman Odino d gremp
vnd hat In gegensein Reinboldt Meÿers des Rhath. – schuldig seÿe 25 Pfund pfenning
dafür zu Vnderpfand verlegt sein behausung alhie An d Obernstraß geleg. einseith an d. freÿburg. gaß and.seit neben herrn Heinrich Graseck hinden vf den Müntzhoff stoßend, dauon gohnd 8 fl. gelts Jhärlich vf Mathiæ Apli. losig mit 20 fl. St. W. sunst ledig vnd eig. Auch den Crediroren den Kauffbrieff vber diser behausung geben und Zugestelt

Vente de la maison voisine par Thomas Odino et sa femme Marguerite Bazoille

1596 (23 Julÿ), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 60-v
(Extendirt in Volumine Contractuum huius Anni fol. 144.) Erschienen Rheinhardt Grauiset aus befelch wie er sagte seines schwagers Thoman Odino und Margrethe Bazoille seiner ehelichen haußfrauwen Jetziger Zeit sich In St: Petersthal dem Saurprunnen verhaltend

Marguerite, veuve de Thomas Odino, hypothèque la maison au profit de Léonard Fischer, marchand à Francfort

1598 (vts [xi. Febr.]), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 54-v
(Inchoat. fo: 73.) Erschienen Margredt Wÿland Thoman Ottinots des handelsmans seligen wittwe Mit beÿstand herrn Blasÿ Leutterspergers Ires geschwornen Vogts So dann H Johann Schiller burg. vnd handelsman alhie geschworner Vogt obbemelts Thoman Ottinots seligen Kind. Mehr Thoman Ottino gartenman vnd Reychart Otino bemelten frauwen Shön
Hatt Inn gegensein h Leonhardt Vischers gewerbsmans von Franckfurt – schuldig seÿ 250 guldin Zu xv batze gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffstatt vnd höfflin, gelegen Inn s. St. Straßburg Inn d. Obern Straßen einseit ein eck an d. freÿburger gaßen, and.seit neben Michel Conrad stoßt hinden vff N Murer, Dauon gondt 25 guldin ablösig mit 500 guldin Straßburger dietterich dennis seligen erben, Mehr Zwen guldin gelts lösig mit 50 guldin sunst ledig eÿgen

Le batelier André Heinrich donne quittance aux héritiers de Thomas Odino, à savoir la veuve du marchand Thomas Odino (fils) remariée à Jean Solcourt, Marguerite Odino veuve d’Elie Goll et Elisabeth Odino femme du marchand Pierre de Barry.
1637 (67. Novemb:), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 819
Erschienen Andreß Heinrich der Schiffmann alhie
hatt in gegensein weÿ: Thoman Odino geweßenen handelßmanns see. witiben, ietzigen Ehevogts Johann Solcourt deß handelßmanns, So dann sein Odino see. Erben mit namen H Johann Goll., Vorwegen seiner eheleiblich. Mueter Margretha Odinoin, weÿ: Eliæ Gollen see: witibin vnd Peter de Barÿ deß handelßmanns alß Ehevogts Elisabeth Odinoin bekant,
daß Er von denselben die 500. fl. hauptgut, welches Er Heinrich den 26. Junÿ A° 1629. v.mög der auch in der Contractstuben vfgerichteten Verschreibung von Margreth Fürffelderin Zu Basel erkaufft und H M. Emanuel Mendtel helffer Zu S. Wilhelm alhie, Alß weÿl. Mariæ Rothin der geschwornen hebammnen see: eintziger hind.laßener Sohn und Erb, von vf und abe seinem hauß alhie in Freÿburger gaß neben dem Müntzhoff gelegen, Järlich vff den ersten Januarÿ mit 25. fl. nach vßweisung der in alhieiger Cantzleÿ den 3. Januarÿ Anno 1586. vfgerichteten verschreibung zuuerzinsen schuldig (…)
Vber daß haben mehrerwehnte Odinoische in gegensein Mathiß Hügels deß weißbecken alhie bekannt, daß sie die behausung, so er Hügel vff Jüngst v.schienen weÿhenachten An Niclaus Allheÿligen den Pastetenbecken verkaufft, vnd auch neben vorgent. H M. Mendtels hauß für obberürt hauptgut und zinßhafft und und.pfandt gewesen, hiemit gäntzlich und allerdings entschlagen

Georges Genin de Sainte-Marie-aux-Mines vend en 1604 la maison à Abraham Hendel et à sa femme Esther Rosenhauer

1604 (7. Januarÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 13
Erschienen Gorgus Gening burger Zu Marien Kirch hatt verkaufft
Abraham hendell v Ester Roßenhauwerin seiner ehelich. hußfr. Inen
huß hoffestatt v. hefflin m. all Ir gebeud geleh. Inn d. SS an d. Obern strass vff einseyt ein eck ane Freyburger gaß andersyt Heinrich graßecks selg. erb. stoßend hinden vff Mathÿs Rothen d. Murer, dauon gnd xv lb x ß gld. vff (-) losig mit ij C lb herr dietherich demanß selig erben, Mehr 5 pfd gls vff (-) widerkheuffig m. 1. C ld d herrn Johann leuwnio* Churfürstlichen pflch Rath, Mehr 1 lb v ß gelts vff (-) loßig m xxv lb d hans Mucke schloßer Sonst ledig eÿg. der khauff vber die solch beschwerd. für ij C xij lb x

Fils de maçon, le garçon batelier Abraham Hendel épouse en 1578 Esther, fille du peintre Michel Rosenhauer de Bâle
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 99)
1578. Item [Am XIX Sontag die 5. octobris] Abraham Hendel ein schiffknecht weÿland * Hendels eines Maurers vnd burgers allhie nachgelaßener Sohne, dient bey einem Schiffman *att Daniel genant, Hester Roßenhawerin, weÿland Michel Roßenhawers eines Malers vnd burgers Zu Basel nachgelaßene tochter, ist bey *ein Vatter Mans Daniel. Sind mit angezeigt worden von Hanßen Merdlin einem Nadler vnd burger alhie in der selbigen nachpautschafft wonhafft der gibt Zeignuß das Kein irrung vnd Span da sein soll
[in margine :] cofirmatio facta die 30 Octobris

Le revendeur Abraham Hendel et sa femme Esther hypothèquent la maison au profit des enfants d’Antoine Mennel
1604 (vt spâ [xxviij Julÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 227
(Inchoat. fo: 239.) Erschienen Abraham Hendell der gremp v Ester sein eheliche hußfrauw
hab. in gegensein herrn Philips Mannen Schaffners alls geschwornen Vogts Emanuel Wÿland Anthoni Menels der Statt eanatzen* selig Sohn, Mit beÿstand v bewilligung Meyster Mathei Rothen Steinmetzen alls großvatter demselb. Emanuel vffrecht vnd redlicher schuld schuldig sein 100 guldin Zu xv batzen gelühen gelts
dafür Vnderpfand huß hoffestatt höfflin So* In pr: 1604 fo. 9 den v* eld v sind auch noch verhafftet für j C lxij lb x s Gorgus Gening burgern Zu Markirch
(Cassirt vonn wegen einer and. Verschreibung d xiiij Junÿ 1606)
[in margine :] Erschienen M Matheus Roth hatt in gegensein Abraham hendlers bekhant, weyl derselbig hie Ingeschribne vervnderpfande Behausung verkaufft das M Matheus Roth von Emanuel Mentels seines Enckels solcher behausung mit deren begriff vnd Zugehörd vonn den 100 guldin Schuldig freÿ Quirttire (…) den xviij Januarÿ A 1606.

Le contrôleur fait grief à Abraham Hendel d’étaler pêle-mêle des harengs saurs frais et de plus anciens. Abraham Hendel déclare les avoir achetés à Ulric Mürsel. L’amende qui lui est infligée est réduite.
1604, Protocole des Quinze (2 R 32)
Hanns Roppel contra Abraham Hendel. 20. Abraham Hendel. 21.
(f° 20) Mittwoch den 15. Februarÿ – Hanns Roppel contra Abraham Hendel.
Hannß Roppel gewesener gremp p. Schollern gepieten laßen Abraham Hendel, übergibt ein Underthenige suplôn so verlesen, darinn Clagt er weitleüffig, alß er sampt seinem mittschauwer über die gesaltzene Wahr beÿ Abraham Hendel seine wahr, ob sÿ frisch vnd Kauffmansgutt besichtiget vnd befunden das de alte bicking beÿ vnd neben den Neüwen feÿl hatt vnd verkaufft, vnd Ime beuohlen dieselben hienweg Zuthun vnd nicht mehr Zuverkauffen, das er Hendel daruff mit hochmütigen trutzig vnd ehrrürigen wortten Ihne vff de Fischmarckt angefahren vnd gesagt, hörstu Roppel wann du redest das Jetz Inn meinem hauß alte bicking habe, so leügtu Inn den halß hienein vnd redest nicht wie ein ehrlicher mann, mitt fernerem Vermelden, daß er den deren Ime seine wahren nehmen wollte, wohl sehen möchte, er wolle Ime der Bicking geben, das er daran ein weÿl Zu tauwen haben sollte & Bitt Ihle mitt ernst darumb anzusehen vnd seinem Verbrechen nach Zustraffen. & Hendel sagt er wölls verantwortten, so gutt er köne, seÿn gutte neuwe bickingh gewesen, hab sÿ beÿ H Ulrich Mörßeln erkaufft & er muß bekommen das sÿ mit wortten aneinander kommen, der Zorn hab Ihne überwunden, H. Mörsel sagt, hab er die bicking Inn seinem hauß gekaufft, so wüß ers nicht, wann aber das Wetter daruff schlecht, lauffen sÿ bald an. Er hab sonst kein alte bicking Inn seinem hauß gehabt, wie auch noch nicht.
Erkandt, Ime treuwe vffleg. daß er beÿ H Mürßeln die bicking erkauft, vnd soll er weg. seiner freuele wortt Inn dreÿen tag. 3. lb Zur straff erleg. auch dem Roppel den Uncosten wieder erstatten. B. q. Mr.

Abraham Hendel – Referiren sÿ haben Ime den bescheidt angezeigt, ob er könn treüw geben, hab er gesagt, das er gleichwol beÿ Israël Dahlstein auch vff ein hundert gekaufft die hab er noch dahien, wüß nicht ob sy undereinander kommen. & die straff haben sÿ Ime auch angezeigt vnd das er Roppeln den Costen erstatten solle, so begert er gnad. Erkandt Ime 30 ß abnehmen, vnd solle er Ime Roppeln den Costen abrichten. B. q. Mr.

Abraham Hendel et Ester Rosenhauer vendent la maison à Paul Mebwart et à sa femme Odile

1605 (xxj Nouem.), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 287-v
Erschienen Abraham Hindell der Gremp vnd Ester Roßenhauwerin sein eheliche haußfrauw haben unverscheidenlich verkaufft
Paulo Mebharten vnd Otilia seiner ehegemahln
Hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen andern Iren gebewen gelegen In der St: St: Inn der Oberstraßen, einseit ein Eck ane freÿburger gaß, anderseit Conradt Düllinger stost hinden vff Mathÿs Rothen den steinmetzen, Dauon gehndt 25 guldin Jährlich vff Johannis Baptistæ lößig mit 500 guldin Zu xv batzen Johann Dÿenaschten von Franckenthal, Item 10 guldin gelts Jährlich vff (-) D Leurnio* von heÿdelberg Churfürstlichen pfaltz Rath, lößig mit 200 guldin St. Wehrung, So dann Ein pfund 5 schilling Jährlich vff ablößig mit 25 lb Hanns Müller dem Schloßer vnnd sonst auch noch verhafftet für 325 guldin Zu xb batzen George Genning Zu Marien kirch Dazu 100 guldin vff Mariæ verkhündung Anno 606 (…) Sunst ledig eÿgen Der Khauff vber die beschwerden davon die Kheüffere gewÿsen vnd vber sich nemmen sollen, beschehen vmb 365 guldin Zu xv batzen

Paul Mebwart et sa femme Odile (Zoller) hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du soldat Philippe Weber. Odile Zeyssolff veuve de Charles Frédéric Zoller, bailli de Lichtenau en Bade, se porte garante de sa fille et de son gendre.

1606 (5. Februarÿ), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 33
(Inchoat. fo: 55.) Erschienen Paulus Mebhart vnd Fraw Otilien sein eheliche hußfr.
haben in gegensein herr Mathys Erb alls geschwornen vogts Margreden vnd Susannen geschwistern Philips Webers des Soldaten döchtern – schuldig sein 40 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v hefflin mit all Ihren gebeud gelegen In der SS ane der obernstraß ist einseyt ein Eck ane Freyburger gaß, andersyt H Conrad Dyllinger stoßend hind. vff Matys Rothen Steinmetzen, davon gnd 25 guld gld ablosig m. 500 guld zu xv batz. H Johann Denois* burgern Zu Franckenthal, Mehr 10 guld. gelts loßig mit 200 guldin SW herrn Johann Leurnio* der Rechten doctor Churfürstlichem pfaltzgräffischen Rath, Item j lb v ß gelts losig mit xxv lb d hans Müller Schlossern v sind auch noch verhafftet für 325 pfund gelt zu xv batzen Gorges Gening burgern Zu Markirch So dann sind* 150 gulden vff Marien verkhundung Anno 1611 Zubezalen Sunst frey ledig eÿg.
Vnd Zu noch mehrer sicherheit Ist erschÿnen Frauw Otilien Zeyßolffen herrn Carle Friderich Zollers Amptschaffnern Zu lichtenaw selig witwe des Schuldbekhenners Schwÿg. v. Mutter Mit beÿstand h. hanns Jacob Bittman Irs geschwornen Vogt hatt sich für sich & mit sampt d. hauptschuldnern vnver: Zum Bürgen vnd schuldnern ernant

Le revendeur Paul Mebwart et Odile Zoller hypothèquent la maison au profit de leur belle-mère et mère respective Odile Zeyssolff veuve de Charles Frédéric Zoller, bailli de Lichtenau en Bade

1607 (j tag Maÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 185
(Inchoat. in Proth. fol: 195.) Erschienen Paulus Mebert der Gremp burger Zu Straßburg vnnd Otilia Zollerin sein eheliche haußfrauw
Haben bekhandt vnd Inn gegenwärtig Kheit Otilia Zeÿsolffin wÿland Carle Friderich Zollers geweßenen Amptschaffners Zu Liechtenauw selig. witwen, Ihrer Schwÿger vnd Mutter Mit beÿstandt hannß Jacob Bettman des Notarÿ burgers Zu Straßburg Ihres geordnet vogts – schuldig sigen 787 pfund 14 schilling
Zum vnd.pfand Angeb. hauß, hoffestatt vnd hofflin mit Allen Ihren geb. geleg. In d. St. St. Ane d. obern strassen einsit ein Eckhauß Ane d. Freÿburg. gaß, vnd And.seit neb. Magistro Conradt Dilling. hind. vff Mathÿß Roth den Maurer stoßend, dauon xij lb x ß d gelts ablösig mit ij C L lb d Johann Dienast von Franckenthal, Item viij gl. gelts ablösig mit ij C gl werung H. Michell Leurnio Pfaltzgrävisch Rath Zu heÿdelberg, Item j lb v ß d gelts Lösig mit xx lb d hannß Müller dem schloßer, Mehr verhafftet für ein schuldt ij C Lxxv gl. zu zÿlen zu reich. Jörg Gruin* burg. Zu Mariakirh, Vnd dann für ein schuld L lb d Abraham hendell den grempen alhie, So dann noch für xlij lb d Mathÿß Erben dem weinsticher Alhie Sunst freÿ ledig vnd eÿg
Item ferner vnderpfand eingesetzt Sein des Bekhenners gebürende Antheil Ane der Verfangenschaft des wÿdem so Anna Geboldtin wÿland Michell Meberts selig witwe sein Mutter die Zeit Ihres lebens crafft vffgericht. Codicilli vnd Inventarÿ Zu nÿßen
(Ist cassirt prout in Scheda introfixa)

La maison revient ensuite à Elie Goll, natif de Colmar, qui épouse en 1601 Marguerite, fille de Thomas Odino (ancien propriétaire de la même maison) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copeÿ der Eheberedung – Zwisch. dem Erenhafften vndt bescheidenen Heliæ Gollen Weÿland des Ernhafften vnd fürgeachten Hn Mathej Gollen gewesenen burg. vnd handelßmanns Zu Colmar seligen eheleiblichem Sohn an einem, Vnd der Ern vnd Tugendsamen Jungfrawen Margaretha auch weÿland Thomä Odino seligen gewesenen Burg. vnd handelßmann allhie ehelich hinderlaßener Tochter am andern theÿl (…) auff Ir der Jungkfrawen seÿtten herrn Blasium Leÿtterspergern handelßmann Ir der Jungkfr. unter geordneten vogt (…) Johann Saltzmann Rhatschteyber (s.d.)

Mariage, cathédrale (luth. p. 80)
1601. Den 1. Sontags post Epiphanias. Elias Gol von Colmar und Margretha Thomas Ottino sel. nach gelaßene dochter * den 19. Ianuarÿ (i 43)

Originaire de Colmar, le marchand Elie Goll devient bourgeois par sa femme, fille du marchand Thomas Odino. Il s’inscrit à la tribu des Fribourgeois.
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 804
Elias Goll vonn Colmar der Handelsmann empfahet d. B. Vonn Margret Weÿland Thomen Odino deß Handelsmanns seligen dochter Will Zun freÿburgeren dienen Vnd Kein nahrung angeb. Act. 14. Januarÿ 1602.

Aubergiste à Peterstal et bourgeois de Strasbourg, Elie Goll hypothèque au profit des enfants d’André Reinbold sa maison à Strasbourg ainsi que l’auberge et les bains de Peterstal

1611 (ut spâ [xxviij tag Martÿ]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 130-v
(Inchoat. in Proth. fol: 106.) Erschienen Elias Goll Gasthalter Inn Sant Peters thal burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn männiglich Mackg. burgers Zu Gerstbach Als geschwornenn Vormundes Euæ Margred. vnd Annen Marien wÿland h. Andreß Reimboldts selig. Khindern offentlich verÿehen – schuldig seÿe 1000 guldin p. 15. batz.
Zum vnd.pfd ein.stzt vnd v.lgt Als erstlich hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß mit Allen Ihren geb. & geleg. In d. St. St. vff der obern straß, einsit ein Eckhauß Ane d. Freÿburg. gaß And.sit neb. Hannß Murern dem schreÿnern hind. vff N. N. stoßend Ist eÿg.
Item die herrberg vnd Bad Inn Sant Peters thal mit sampt scheuren, Ställen vnd Garttt. Auch Allen Ihren geb. & was darzu gehörig daselbß herumb geleg.

Elie Goll demande une réduction d’impôts en arguant qu’il est aussi imposé à Oberkirch. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’éconduisent.
1631 Conseillers et XXI (1 R 113)
(p. 300) Montag den 28.ten 9.bris 1631 – Elias Goll
Elias Goll d. Aeltter supplirt vmb etwas nachlaß an d. dreÿfach. schatzung, weil er auch Zu Oberkirch mit Schatzung hartt belegt. Erk. Abgeschlag. H. Bleß, H. Stör

L’inventaire des biens d’Elie Goll, bourgeois de Strasbourg et aubergiste aux bains de Peterstal, est dressé en 1635 après sa mort. Il délaisse trois fils, Elie, Jean et Abraham, issus de sa veuve Marguerite Odino. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Serruriers. La masse propre à la veuve est de 250 livres, la masse propre aux héritiers de 800 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 341 livres, le passif à 4 002 livres.
1635 (20.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 4) n° 17
Inventarium vnndt beschreibung Aller v. Jed. ligend. vndt fahrender Haab, Nahrung vndt Güthere, So weÿl. der Ehrenuest vndt vorgeachte H. Elias Goll d. ältere geweßener burg. alhier zu Straßb. vndt gasthalter In St: Peters thal Sauerbrunnen sehl. Nach seinem tödtlich. Abschiedt auß dißer weltt verlaßen, vndt vff beschehenes erfordern, ansuchen v. vornehmen H. Eliæ Gollen, des Jüngern burgers alhier, Johannis Gollen auch burgers daselbsten v. Lorentz Meÿers auch burgers vndt handelßmans allhier Zu Straßb. als geschwornen Vogts Abrahams Gollen, Aller dreÿ gebrüdere obgedachten verstorbenen H. sehl. mit hernach bemelter seiner hind.laßen fr. witwe Ehelich erzeügter dreÿer Söhn vndt rechtmäsig. ab intestato Erben fleißig ersucht, Inventirtn durch die Ehren vnd tugendreiche Fr. Margaretham Odino die Witib mit beÿstand deß Edlen Ehrenvesten v. hochgelehrten herren Johannis Knafelÿ JV Doctoris E. Ehrs. Groß. Rhts dißer der H. Reichß freÿen Statt Straßb. Wolbestelten Advocati vndt Procuratoris Ihres geordneten Curatoris (…) Bescheh. In Straßb. den 20. Julÿ Ao. 1635.

Inn Einer Behaußung In der Statt Straßburg Inn der Schloßergaßen gelegen So Inn diße Erbschafft gehörig vnd hernacher beschriben würdt, Ist befund. worden wie volgt
Auff der Obern büenen des Vord. stocks. Auff dem 2. bod. In d. Cammer A, In der Cammer B. Vor dißer Cammer, In dem Cämmerlin C, In der Vordern Wohnstuben, In der Stub Cammer, In dem Obern hauß Öhren. Inn der Kuchen, Inn der vndern Stuben Im vördern Stockh, Im vndern Cämmerlin ab d. Kuch.
Inn dem Hindern Stock Vff der Obern Büenen, Vff der Andern Bienen, In der Obern Hindern Stub, Inn der Stub Cammer, Vff dem Gang an dißer Cammer, Inn der hindersten Kamin Cammer, In dem Sommerhauß, In deù vndern Saam des hindern Stocks, Inn der vndersten Gerümpell Cammer, Im hoff, Im Keller
Eigenthumb ahne Häußern. 2 Behaußung j hinderer vnndt j vordere Inn der Schloßergaßen (…)
Liegende Güetter So Eigen. Erstlich hauß, hoff, hoffstatt, Scheür und Ställ sambt einem Trotthauß und 2. trotten, wie auch allen andern dero Zugehörd. rechten und gerechtigkeiten geleg. In der Statt Oberkirch hinder der Herberg Zum Guld. Löwen (…)
Vndt Erstlichen der Erben Unveränderten Guths, in die Ehe zugebracht 800 lb
Hernach Würdt auch der Fr. Wittiben unverändert Guth beschriben, Inhalt Eheberedt 250 lb
Sa. haußrhats 456, Sa. Lährer Vaßen 46, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 244, Sa. Guldenen Ring 51, Sa. Baarschafft 109, Sa. Eigenthumbs ahne heußern und ligend. Güethern 3650, Sa. Schulden 2782, Summa summarum 7341 lb – Schulden 4002 lb Nach abzug 3328 lb – Summa finalis 4389 lb
Copeÿ der Eheberedung (…) Johann Saltzmann Rhatschteyber (s.d.)

Elie Goll vend la maison au farinier Matthias Hügel

1629 (26. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 214
(Protocollat. fol. 38.) Erschienen herr Elias Goll burg. Zu St.
hatt in gegensein Mathiß Hügels deß Meelmanns auch burgs alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat höflin mit allen & alhie an der Obern Straß neben hanß Jacob Isenheim dem Kannengüesser & ein Eck an der Freÿburger gassen hinden vff Maria Kolerin die hebammen stoßend geleg. dauon gehen Jarß vff Joh. Baptistæ 12. lb 10 ß d Zinß H Hanß Jacob Becken Raths. Verwanth Zu Basel in haupth. mit 250. lb abzulößen sonst eÿg. Vnd ist d. Kauff vber die beschwd., Zugangen per 715 pfund
[in margine :] Erschienen Margret Gollin mit beÿstand Ihres Sohns H. Gollen (…) Actum den 14. Januarÿ 1635.

Matthias Hügel achète en 1636 la maison voisine. Il vend à la fin de la même année son ancienne maison à Nicolas Allheilig et à sa femme Ursule qui n’auront pas le droit d’exploiter une boulangerie tant que le vendeur aura la sienne dans la maison voisine.

1636 (29. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 1027
(Protocollat. fol. 90.) Erschienen Mathiß Hügel der Weißbeck alhie
hat in gegenwärtigkeit Niclauß Allenheiligen deß Pastetenbecken auch burgers alhie und Ursulä seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
hauß, hoffstat und höfflin sambt dem Bronnen auch allen and. ihre gebäwen & ist einseit ein Eck an der Freÿburger gaß, anderseit neben dem v.käuffer selbsten, hinden vff H. M. Emanuel Mendel Helffer Zu S. Wilhelm alhie stoßendt, dauon gehen Jährlich vff Joh. Baptistæ 12. lb 10. ß Zinß Helenæ Düenastin weÿl. N.N. see. Zur Basel nachgelaßener Wittiben in Hauptgut mit 250. lb abzulösen, Vnd ob wohl solches hauß noch vmb 400. fl. weÿl. Eliæ Gollen see: Wittib und Erben v.hafftet, So hat doch der Verkäuffer solche vff ihme behalten (…) Über die düenastische beschwerdt der 250. lb so die Käuffere vff sich genommen geschehen für und umb 700. lb
Darbeÿ außtruckenlich abgeredt und Ihnen den Käuffern angedingt word., daß Sie so lang sein v.käuffers behaußung Ein Beckenhauß Verbleiben Würdt, dißes ietzerkauffte Hauß darzukommen zu laß. nit macht haben sollen

Originaire de Lahr, le fabricant de pâtés Nicolas Allheilig et sa femme achètent le droit de bourgeoisie le 2 juillet 1636 en s’inscrivant à la tribu des Boulangers. Ils apportent deux fils, Alexandre et Jean Adolphe
1636, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 865
Niclauß Allheiligen der Pastetenbeckh von Lahr erkaufft d. Burgerrecht für sich sein Haußfrauw vnd seine Zweÿ in letzterer Ehe erzielter Kinder Alexandri vnd Hanß Adolff vm 20 gold. fl. würd Zu Becken dienen Jur: d. 2. Junÿ 1636.

Les frères Nicolas et Philippe Allheilig, tous deux fabricants de pâtés, donnent à leur frère Jean Adam Allheilig, aussi fabricant de pâtés, quittance du prix de la maison provenant de leurs père et mère.

1658 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 227-v
Erschienen Niclaus und Philipß die Allheilig Gebrüd. und Pastetenbeckhen
in gegensein hannß Adam Allheilig. deß Pastetenbeckh., ihres Bruders, mit beÿstand H Niclaus Reben, Notarÿ, seines noch ohnentledigten. Vogts
bekannt, daß Sie Niclaus und Philipß die ienige 166. lb 10. ß 4 d welche besagter hannß Adam Ihnen weg. der in vertheilung sein hannß Adamns vätter: und müterlich. Verlassenschafft angenohmener alhie an der obern Straß: geg. der Schmid zunfftstuben gelegener Pastetenbeckhen behaußung, über die darauff hafftende Beschwärdten, zu ihrem rato herauß schuldig verblieben seÿe, Ir genüeg. empfangen haben, dafür bester form rechtes quittirend

Fils de Nicolas Allheilig et d’Ursule Probst, Jean Adam Allheilig épouse en 1658 Susanne, fille du marchand de vins Georges Denninger et de sa femme Elisabeth Schad : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copia – Zwischen dem Ehrsam und Bescheidenen Johann Adam Allheÿlihen dem noch Leedigen Pastetenbecken und burgern Zu Strb. weÿland des Achtbahr und bescheidenen Nicolai Allheiligs auch geweßenen Pastetenbecken und der Ehren und Tugendsamen Frawen Ursulæ Pröbstin, beeder Ehegemächt und burgere Zu gerührtem Strb. seel. hinderbliebenem eheleiblichem Sohn, alß dem Bräuthigamb ane einem, So dann der Ehren: Züchtigen und Tugendsahmen Jungfrawen Susanna, des Ehrenhafft und vorgeachten Herrn Georg Denningers Weinhändlers und Burgers Zu Strb. in erster Ehe mit weÿland der Ehren Vnd tugendsamen frawen Elisabetha Schadin die seel. erzeugten tochter alß der Hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen vnd verhandelt in der heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 23. Martÿ in dem Jahr alß man von Unßers herr einigen Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi Geburth Zahlte 1658. [unterzeichnet] Nicolaus Reeb Nots. des hochzeiters Vogt, Ich Hannß Fronhöffer alß des H Hochzeithers schwager, Johannes Völck als des Hochzeithers Schwager

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120, n° 19)
1658. Dnca Cantate 9 maii. Hanß Adam Allheÿlig der Pastetenbeck Niclauß Allheÿlig des Pastetenbecken nachgel. ehelicher Son, J. Susanna H. Görg Denninger deß Weinhändlers ehel. Tochter. Mont. 17. ejus (i 121, Proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 93 n° 14, i 104)

Le fabricant de pâtés Alexandre Allheilig donne aussi quittance à son frère Jean Adam Allheilig

1659 (17. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 912
Erschienen Alexander Allheilig der Pastetenbeckh
in gegensein Hannß Adam Allheiligs des Pastetenbeckhen, seines eheleiblichen Bruders
bekannt, daß Er, Von demselben, die jenige 125. lb. welche besagter Hannß Adam, Ihme Alexandern, Wegen der, in Vertheilung ihrer Mutter sel. Verlassenschafft, angenohmener, Alhie an der Obern Straßen gegen der Schmid Zunfft Stuben gelegener Pastetenbeckhen Behaußung, über die darauff hafftende Beschwerdte Zu deßen rato herauß schuldig Verblieben seÿe, Zugenügen empfangen habe

Jean Adam Allheilig hypothèque la maison au profit de Jean Philippe Kast, docteur en droit et assesseur au Petit Sénat, pour pouvoir rembourser son frère Alexandre. En marge, quittance remise en 1721 à Sara Schwartz femme de Melchior Edel puis en 1727 à Jean Henri Isenheim

1659 (17. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 911
Erschienen Hannß Adam Allheilig der Pastetenbeckh mit beÿstand H Nicolai Reben deß Notarÿ seines noch ohnentledigten Vogts, Wie auch Alexander Allheiligs deß Pastetenbeckhen seines eheleiblichen Bruders
in gegensein deß Edel, Hochgelehrten H. Johann Philipß Kasten U.J.D. und E: E: Kleinen Rhats actuarÿ et Referentis – schuldig seÿen 100 Pfund,
daß Er damit obgemelten Allexander Allheilig. seinen Brudern, umb die jenige 125. lb. so Er demselben weg. annehmung der alhie in der Obern Straß. an der freÿburger gaßen gelegenen Pastetenbeckhen Behaußung Zuthun ist, bezahlen möge, (…) Dafür dann die obgemelte Pastetenbeckhen Behaußung, so zu Vor noch umb 250. lb Fr Helenæ Dienastin Zu Basel seel. Erben, sodann umb 25. lb. Ursulæ Hannß Fronhöffers Gastgeben Zum Weinstockh ehelicher Haußfrawen v.hafftet
[in margine :] Erschienen H Johann Ludwig Städel J.V.D. und Fiscalis, hat in gegensein Saræ gebohrner Schwartzin, Melchior Edels des Zinngießers ehefrauen, als proprietariæ hierin hypothecirt und beschriebener behaußung, mithin debitrices (…) Actum d. 13. 9.bris 1721.
[in margine :] (…) in gegensein H Johann Heinrich Isenheim, Zinngießers als Käuffers hier Verpfändet: und beschriebener Behaußung (quittung) actum den 30. Januarÿ 1727

Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig loue la maison au confisseur et manant François du Pré

1689 (16. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 458-v
Jean Adam Allheilig, maistre Pasticier et bourgeois de cette ville
bail à François du Pré, confisseur et manant de cette ville (signé) françois Dupré
Une Maison avec tous ses appartements et commodité scitiée dans la grande rüe faisant d’un coté le coin a la rue appelée Freÿburger gaß, d’autre à Jean Ulric Goll, hoste au Corveau, sans en rien reserver ny excepter, Ce présent bail fait pour deux années à commencer à la Sr Michel qui vient, moyennant la somme de 80 florins par an

Jean Adam Allheilig meurt en mai 1714 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison Grand rue près de l’église Saint-Pierre-le-Vieux. L’actif de la succession s’élève à 2034 livres, le passif à 138 livres
1714 (19.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 35) n° 1198
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender Keinerleÿ davon außgeschloßen, so weÿland der Ehren und vorgeachte Herr Johann Adam Allheÿlig der ältere geweßene Pastetenbeck und burger allhier nunmehr seel. nach seinem den 29.t Maÿ instehenden 1714. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herrn seeligen sowohl ab intestato alß per Testamentum nachgelaßene Erben (…), durch die Viel Ehren und tugendreiche fraw Susannam gebohrne Thenningerin die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Ehren Vesten fürsichtig vnd weißen herrn Johann Martin Rueger Schuhmacher v. E. E. Kleinen Raths alten wohlmeritirten beÿsitzer, burgers allhier, Ihres geordneten herrn Curatoris (…) So geschehen allhier in der Königlichen freÿen St. Str. Donnerstags den 19. Julÿ A° 1714.
Der nun in Gott seelig ruhende Herr hat sowoh ab intestato alß per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie Volgt 1. den Ehren und Vorachtbahren H Johann Friderich Allheÿlig Pastetenbeck und burger, allhier Zu Straßburg, so auch in Persohn dem geschäfft abgewarthet, 2. Susannam Meÿelin gebohrne Allheÿligin Johann Daniel Meÿels des gewesenen Würths auff E. E. Zunfftstub der Maurer und burgers allhier haußfrauw, welche aber von allhießiger gnädiger hohen Obrig Keit von hier relegirt worden, dahero in Ihrem Nahmen den Ehrenvest fürsichtig und weiße Herr Lucas Schaaff, Schneider und E. E. Kleinen Raths wohlverdienter Beÿsitzer alß auß wohlermeltem Rathsmittel Zu dießem geschäfft insonderheit deputirt, beÿ gegenwärtiger Inventation persönlich Zugegen geweßt.
3. den Ehrenachtbahren H Johann Adam Allheÿlig ebenmäßigen Pastetenbeck und burgern allhier, so auch præsens war, 4. die Ehren und Tugendsahme fraw Mariam Margaretham Frantzin gebohrne Allheÿligin, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Frantzen gastgebers Zum Hirschen undt burgers allhier Eheliebste, welche auch beneben ersternanntem Ihrem Eheherrn der Inventur in Persohn selbsten beÿgewohnt. 5. die Ehren und tugendsahme Fraw Mariam Magdalenam Kipßin gebohrne Allheÿligin, des Ehrenachbahren herrn Johann Daniel Kipßen Thuchscheerer und burgers allhier Ehegattin so welche beede Eheleuthe gleichfalls beÿ dem geschäfft anweßend waren

Bericht und respective Vergleich in gegenwärtiges Inventarium gehörig. Es haben sich allerseit Interessenten als fr. Wittib vnd Erben mit consens Ihrer respectivé Ehe: vndt geschworner Herren Vögte auch des herrn Deputirten E. E. Kleinen Raths sich mit einander gütlichen dahien verglichen vnd abgeredt, daß gegenwärtige Verlaßenschafft, ob Wohlen die Fr. Wittib nach dero Zugebrachtem Nahrungs Inventario vnd sonsten ein Zimliches als unverändert, theils annoch in natura theils vor die abgegangene stück in Ergäntzung prætendiren Könte, dahingegen vor den verstorbenen seel. nichts schrifftliches über deßen gehabt. unverändert guth vorhanden, dannoch in consideration es rechte leibliche Mutter und Kinder mit einander Zuthun haben, solle als ein gemein verändert und theilbahr Guth tractirt und davon den Erben Zween der Fr. Wittib und Mutter aber der vbrige eine dritte theil eÿgenthümblich Zugeschrieben (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straßen ohnfern der alten St. Peter Kirch gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eÿgenthümblich gehörigen Behaußung sich Volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im hauß Öhren, Auff dem gang, Im Hindern Stock in der Stub, In der Stub Cammer, In der Cammer C, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. Ein Vorder und ein Hinderhauß in der St. Str. ane der Obern Straßen fast gegen dem rothen hanen hinüber (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 224, Sa. Leerer Vaß 85, Sa. Silber geschirr v. Geschmeids 159, Sa. Goldener Ring 10, Sa. Baarschafft 198, Sa. Eigenthum ane i. behaußung 1250, Sa. Schulden 108, Summa summarum 2034 lb – Schulden 138, Nach deren Abzug 1896 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1671 lb
Eheberedungs Copia (…) Beschehen vnd verhandelt in der heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 23. Martÿ 1658.
Copia Testamenti nuncupativi – 1700 (…) auff Donnerstag den 23. 7.bris Nachmittag umb 3 Uhren in einer der St. Str. ane der Langen Straßen ohnfern dem Alten Sacht Peter gelegenen, hernachbenannten beeden Testirenden Ehegemechten eÿgenthümblich Zuständigen Behaußung dero Obern stuben mit den fesntern in ermelte Straß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest und wohlvorgeachte Herr Johann Adam Allheÿlig der Ältere Pastetenbeck undt mit Ihme die Ehren und tugendsahme fraw Susanna gebohrne Thenningerin beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburgn von der Gnade Gottes gesunder gehend und stehendes Leibs (…) Johann Ludovicus Scherer, Notarius jurat. publ.

Partage des meubles après la mort de Susanne Denninger, veuve de Jean Adam Allheilig
1715 (10. Xbris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 37) n° 1291
Abtheilungs Concept Über diejenige Hausraths Posten, Silber geschirr und geschmeidt, so fraw Susanna gebohrene Thenningerin, weÿland Herrn Johann Adam Allheÿlig des ältern geweßenen Pastetenbeck und burgers allhier nunmehr seelig hinderlaßene fraw wittib dero allhier wohnenden vnd sich auffhaltenden Vier Kindern alß H. Johann Friderich vnd H. Johann Adam Allheÿlig, frawen Mariæ Margarethæ Frantzin und Frawen Mariæ Magdalenæ Kipßin under sich Zu Vertheilen, außgehändiget, welche dato nemlichen deb 10. Xbris 1715 (…) Vertheilt worden

Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig loue la maison au traiteur et fabricant de pâtés François Bellan

1691 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 288
Jean Adam Allheilig, maistre Pasticier et bourgeois de cette ville
bail à François Belan, Traitteur et manant de ladte. ville (signé) Bellan
Une maison avec tous ses appartements et commodités Située dans la grande rüe, faisant d’un costé le coin de la rüe appelée Freÿburgergaß, d’autre à la femme de Jean Ulric Goll hoste au Corveau, sans en rien excepter ny reserver, Ce présent bail fait pour deux années consécutives à commencer à la St Michel de l’année courrante et qui finiront a pareil jour de l’année 1693 moyennant la somme de 80 florins par an
Il sera permis au Locataire d’aggrandi le poel d’en bas à ses depens

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Adam Allheilig à vendre la maison au manant François Bellan

1693, Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 67) den 6. Aprilis – Johann Adam Allheilig pt° hauß Verkauffs.
Kl. ersch. Johann Adam Allheilig, der will sein an der Freÿburger gaß gelegenes hauß an François Bellant frantzösischen Traitteur und Basteten beck p. 2000 fl. verkauffen, bittet deßen gdige erlaubnus.
Erk. Zweÿ herren deputirt, umb den gewohnlich. augenschein zinzunehmen.
H. XXI. Brackenhoffer, H. Freundt

(p. 68) Sambstag den 11. Aprilis. Relatio Johann Adam Allheiligs hauß betreff.
Herr XXI Brackenhoffer, und H. Freundt referiren die beschaffenheith deß haußes so Johann Adam Allheiligen François Bellant den frantzösischen Traitteur, verkauffen will, nemlich es liege daßelbe in der Straß gegen den alten post hauß über, habe ein Klein höfflein, und sonsten geringe gemach der käuffer alß welches sich jüngst erntheiltes Verordnung gar gern Vnterwürffig mache, wolle 1000 fl. baar an dem Kauffschilling bezahlen, den rest aber Verzinßen.
Erk. das begehren placidirt, und soll die Verschreibung ordnungsmäßig geschehen

Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig vend la maison au traiteur François Bellan. En marge, quittance remise en 1701 à Benoît Charbonnier

1693 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 296-v
Jean Adam Toussaint maistre pasticier et bourgeois de cette ville
François Bellant aussy maistre pasticier ([corrigé en] traitteur) et manant de lad.te ville
une Maison avec sa place, cour, puit et tous ses bastimens, droits & appartenances, Scituée dans cette ville dans la grand rüe appelée volgairement An der Obern Straß, faisant d’un costé le coin de la rüe appellée Freÿburgergaß d’autre costé tenant à la maison d’Abraham Jund, boucher, du bout par derriere à Christian Guebhard, gantier, laquelle maison est encore chargée et hypothéquée pour la somme de 1000 francs ou 100 livres de Strasbourg – pour 650 livres de Strasbourg ou 2600. livres tournois
[in margine :] Il et a Scavoir que l’Achepteur ayant obtenu la permission d’achepter cette maison par sentence rendüe au grand Conseil de Messr. les Vint un de l’11.me du mois courant (…)
[in margine :] (…) reçu du Sr Benoit Charbonnier dit Chevalier officier de la monnoye de la ville de Strasbourg, possesseur de present de lad. maison les 400 livres restant – Fait le 6. 7.br 1701

Au baptême d’Anne Marguerite Bellan en 1692, François Bellan est dit originaire de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris et sa femme Marguerite Le Moine de Paris.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 174)
Die 28.ua Aprilis An. 1692 Baptizata est Anna Margareta Francisci Bellan parisini parochiæ Sti Nicolai Chardonneret et Margretæ Le Moine parisinæ coniugum filia Quam Susceperunt dominus Michael Le Moine pistor parisinus et domina Anna Wilhelm Domini Garnier uxor (signé) Bellan (i 97)

Les Quinze rendent compte de leur visite des débits de boissons. François Bellan qui tient l’auberge aux Bâtons Royaux face au poêle des Maréchaux a bonne réputation

1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(p. 125) Mittw. den 25. Maÿ. Aubergistes – Iidem [Obere Umgeldts Herren] per Herrn Schragen, daß, als jüngsthin die relation von den Würths häußern abgestattet worden, mann biß auff die Aubergistes Kommen seÿe, deren biß dato 21 geweßen, und seÿe anjetzo die Frag, ob sie Noch Ferners Zu laßen, und wie mann sich des Umbgeldts halben mit ihnen Zu Verhalten, als Welche Nicht Nur Zu hauß jedermann logiren und setzen, sondern auch wein auff die gaß außschencken, Und seÿe
12. au baston royal François Bellan, gegen d. Schmidt Stub über, so von guter renommée seÿe, doher es mit Mghh. ratification Zulassen seÿn werde. Erk. beliebt.

Le traiteur François Bellan loue la maison à l’enseigne aux Bâtons Royaux au traiteur Hyacinthe Lavalette

1699 (27.5.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 12)
Bail 27 May 1699 – fut present François bohlan traiteur en lad° ville Lequel a recognu avoir donné a loyer
A Jacinthe Lavalette aussy M° traiteur
La Maison a luy appartenant Scize dans La Grande rue de cette ville a laq.lle pend pour enseigne les batons Royaux, pour Le temps et espace de trois années a commancer a la St Jean prochain et a finir a pareil Jour en fin desd. trois annéés Moyennant Le prix et Sôe de 300 Liures argent courant par chacune annéé
dans Laq.lle Maison Led. Sr Bellant sera tenu dy laisser Les Meublss Speciffiées dans un petit mémoire signé tant de luy que dud. Laualette Lesquelles Meubles Montent a la sôe de 100 Liures
de la part syd. Laualette Le Sieur Joseph Laualette aussy M° traiteur en cette ville
(signé) jencinthe Laualette, Bellan

Hyacinthe Lavalette qui était cuisinier chez son frère Joseph Lavalette, traiteur à l’Epée Royale, demande l’autorisation d’exploiter l’auberge aux Bâtons royaux sous le nom du Duc de Bourgogne. Les préposés objectent que le nombre maximal d’auberges est atteint et que le pétitionnaire peut servir du vin comme cabaretier en attendant une occasion

L’aubergiste aux Bâtons Royaux François Bellan et sa femme Marguerite Le Moine empruntent de l’argent à l’aubergiste Jacques Vanem. En marge, quittance remise en 1702 à Benoît Charbonnier

1699 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 322 – Not. Bidier du Til le 21. mars 1699
A la demande du Sr Jacques Vaneim Hoste au Lion d’or icy à Strasbourg fût enregistré l’obligation suivante passée par devant le Sr Bidier du Til Notaire Royal
François Bellant, hoste de la maison ou pend pour enseigne les batons Royaux, scize en cette ville dans la grande rüe, et Margueritte le Moyne,
debvoir a Jacques Vaneim Me de la maison ou pend pour enseigne le Lion d’or, la somme de 1300 livres tournois, pour l’employer en leur negoce – en présence de Michel le Moyne et Marin Bouchet Mr Boulangers en cette ville
[in margine :] en présence du Sr Benoist Charbonnier dit Chevalier Officier de la monnoye de cette ville en qualité de propriétaire et possesseur de la maison aussy nommée cy dedans (quittance), le 9. jan. 1702

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent François Bellan à vendre la maison au manant Pierre Benoît Charbonnier. La commission constate que la maison assez délabrée face au poêle des Maréchaux comprend quatre poêles, trois chambres à cheminée, une chambre des logements militaires, une petite chambre et un petit grenier pour environ 100 quartauts de grains.

1701, Conseillers et XXI (1 R 184)
François Bellan Traitteur vmb Erlaubnus seine Behausung ahne Pierre Bennois Charponnier Zu Verkauffen. 80. Relatio. 82.
(p. 80) Sambstags den 16. Aprilis 1701 – François Billan Traitteur vmb Erlaubnus seine Behausung ahne Pierre Bennois Charponnier Zu Verkauffen
S. Ersch. François Billan Traitteur, der will seine Behaußung In der Straß oben ahn der Freÿburger Gaß gelegen ahne gegenwärtigen Pierre Bennois Charponnier, Monnoyeur à 5000 livres Verkauffen, bitt Unterthänigst vmb deßen gnädige Permission. Erk. Werden herr XV. Gambs vndt herr Rath. Gangolff den Augenschein des haußen Quæstionis Einzunemmen Deputirt, Vmb Ihre Relation darüber Naachgehends abzulegen

(p. 81) Sambstags den 16. Aprilis – Relation vorgemelder behausung so François Bellan der Traitteir ahn Pierre Bennois Charponnier verkauffen will.
Herr XV. Gambs frater Meus vndt herr Ratherr Gangolff Referiren, vmb welches François Bellan der Traitteur, Verwichenen Montag beÿ Meinen herren Zu Verkaufften ahn Pierre Bennois Charponniere, Monoyeur, Unterthänigst Eingekommen, woher folgender Maßen dießelbige währe ahn der Freÿburgergaßen In der Straßen gegen der Schmitt Stuben vber gelegen, hätte 4 Stuben, 3 Cammern à Cheminées, darunter die Eine Zue Einquartierung marquiret, Nebst einem Kleinen Cämmerlin, Eine Kleine Fruchtschütte vor etwa 100 frtl. frucht, sonsten sehr alt vndt bawfällig, die Keufer Währe Commis In der Muntz alhier, hätte Einige Exceptiones præsentirt weg. der Charge so Er hatt, Nach deme Ihme aber Remonstrirt Worden, daß Keine Ihme wurden gestattet werden habe Er sich dahien declariret daß Er sich Meine herrn so wohl personal als Real Schirm, der Einquartierung vndt vbrigen dero Ordnungen wie Sie auch Nahmen haben Müsten vnterwerffen vndt submittiren Wolle, die Ratification In dem übrigen dießes Kaufes Zu Meinen gnädigen herren außstellendt. Erkandt, Würdt dem Imploranten In seinem begehren das hauß quæstionis Zu verkaufft gn. willfahrt, vnd die herren Deputirten ersucht die Verschreibung in der Contract Stuben beÿ Zu wohnen ouch daß alle Obige Clausulen vnd Conditiones allda beobachtet vnd der Verschreibung Inseriret Werden bestens Recommendirt.

Alors traiteur à Belfort, François Bellan fait vendre la maison à Benoît Charbonnier dit Chevalier, officier de la monnaie

1701 (16.4), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 206-v
Sr Dominique Cazenave Chirurgien juré et manant de cette ville pour et au nom du Sr François Bellant, Traitteur demeurant presentement à Befort
Sr Benoist Charbonier dit Cheualier officier de la Monnoye de cette ville
Une maison avec sa place, cour, puit et tous ses bastiments, droits, appartenances et dependances Scituée en cette ville de Strasbourg dans la grande rüe appelée volgairement an der obern Straß faisant d’un côté le coin de la rue appellée Freÿburgergass autre costé tenant à la maison d’Abraham Jund maistre boulanger, aboutissant par derriere à Chrestien Guebhard, maistre gantier, hypothequée pour 250 livres de Strasbourg, plus 400 francs ou 100 livres de Strasbourg et pour 400 livres tournois ou 100 livres de Strasbourg, faisant ces trois articles la somme de 1800 livres, Item 1000 livres de France ou 250 livres de Strasbourg (en outre) 2200 livres tournois ou 550 livres de Strasbourg – Il est à Savoir que l’achepteur ayant obtenu la permission d’achepter cette maison par la Sentence susdite s’est obligé de ne revendre pas ladte maison a un autre que bourgeois (…)

La femme de Benoît Charbonnier (nommé Antoine à la première requête) demande l’autorisation de servir du vin dans l’ancienne auberge aux Bâtons Royaus en arguant que son mari est chargé d’une famille nombreuse. Les Quinze accordent en mars 1703 l’autorisation d’exploiter un cabaret à condition que le pétitionnaire devienne manant. Benoît Charbonnier demande en avril à être exempté de l’accise en arguant de la décision prise par les Conseillers et les Vingt-et-Un. Les Quinze refusent l’exemption après avoir constaté que la lettre de provision à laquelle se réfère le pétitionnaire n’en fait pas état.

1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
Benoist Charbonnier pt° Weinschancks
(f° 19) Sambstags den 27.ten Januarÿ 1703 – S. noîe Anthoine Charbonnier des Officiers de la Monnoye Haußfrawen die bittet unterth. weilen Ihr mann eine starckhe famille habe, Ihnen in ihrem eigenen hauß oben an der freÿburger gaß, so vor dießem den Schild aux bastons Royaux gehabt, den weinschanck gn. zu willfahren. Erkandt, vu supra [an die Oberen Ungeltherren gewießen]

(f° 51) Freÿtags den 2. Martÿ 1703 – Benoist Charbonnier pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltherren] per Herrn Friden, es habe Benoist Charbonnier dit Cheualier, bedienter in der Müntz, welcher das Eckhaus, oben an der freÿburger gaß, gekaufft vmb erlaubnus angehalten, daß er den weinschanckh darinnen treiben möchte. Wobeÿ man auch angestanden, weilen der Implorant weder burger noch Schirmer seÿe, und alle die in der Müntz arbeiten, der Statt nicht das geringste beÿ Zutragen pflegen, stünde demnach Zu Mgherren, Ob Sie demselben willfahren wollen, zumahlen es die meinung habe, daß keinem der nicht burger, der weinschanckh in der Statt, gestattet worden solte.
Herr Syndicus hielte davor, daß demselben Zwar der weinschanckh erlaubt, derselbe aber, als ein Cabaretier sich mit seiner frawen, in dem Schirm einschreiben zulassen vndt anderen gewohnlichen conditionen Zu unterwerffen, auch solche zu unterschreiben schuldig seÿn solte. Erk. Gefolgt.

(f° 119-v) Sambstags den 21. Aprilis 1703. – Benoist Charbonnier pt° Ungelts freÿheit
S. noîe Benoist Charbonnier des Schirmers und Müntzer, deßen haußfr. erschienen, Implorant ist neben anderen exemptionen auch vor sich vnd seine familie des Ungelts befreÿt laut bescheids von Herren Rhät und XXI. vom 31. Martÿ jüngsthin, weilen Er aber auch aux bastons Royaux den Weinschanckh habe, Als bittet Ihme, das Jenige, was Er in seine haußhaltung gebraucht, im Ungelt freÿ passiren Zu lassen. Erkandt, an die Oberen Ungeltherren gewießen.

(f° 348-v) Freÿtags den 14. Decembr. 1703. – Benoist Charbonnier pt° freÿen truncks
Iidem [Obere Ungeltherren] per Herrn Friden, es habe Benoist Charbonnier so aux bastons Royaux wein außschencke vnd in der Müntz employirt seÿe, umb einen freÿen trucnkh angesucht, vnd alß man ihne ferner gehört, beditten, daß er vor 6. od. 8. personen, woch. nur 2. ohmen freÿ verlange, vnd auff befragen, aus was vor einer ursach er soches prætendire. seine provision vorgelegt, worinnen aber nicht stehe, daß er des Ungelts freÿ seÿn solle, man Habe auch vor bedencklich angesehen, demeselben Zu willfahren, weilen schon andere Müntzer und Würth deßwegen beÿ dem Herrn Intendanten geklagt, der sie aber abgewiesen habe.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient en mars 1703 les termes de la lettre de provision présentéee par Benoît Charbonnier
1703, Conseillers et XXI (1 R 184)
(f° 59) Sambstags den 3.ten Martÿ 1703 – Benoist Charbonnier Monnoyeur pt° Einiger Franchises
Erschienen Benoist Charbonnier der Monnoyeur prod. deßen Lettres de prouision et réception, welches Er hiermit in Unterthänigkeit notificiren Vndt Zu gleich bitten sollen, Ihnen den darinn enthaltenen prvilegien Vnd Exemptionen gnädiig genießen Zu lassen. Erk. soll Implorant der in seinen Lettres patentes enthaltene privilegien Vndt freÿheiten, Vndt so Ihme gebühren mögen, ohngehindert gaudiren.
H. XV. Reichshoffer vndt H. Rathh. Mohr

Plusieurs employés à la Monnaie (Etienne Bunelle, Benoît Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Etienne d’Elpy et Jean Pierre Windershorn) demandent à l’intendant d’être exemptés de l’accise. L’intendant renvoie l’affaire au consul. Les Quinze constatent qu’ils ont déjà jugé en la matière en décembre 1703.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
(f° 158-v) Freÿtags den 30. May 1704 – Müntz bediente als Estienne Bunelle, Benoist Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Estienne d’Elpy, Jean Pierre Windershorn pt° befreÿung des Ungelts
Obere Ungelts herren Lassen per Herren Friden Proponiren daß etliche Beampte in der Müntz, als Estienne Bunelle, Benoist Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Estienne d’Elpy und Jean Pierre Wintershorn dem Herrn Intendanten vor einigen wochen Gegenwärtigee req.te so H. Frid abgelesen, überreicht, undt unter andern auch die befreÿung des Ungelts prætendirt hetten, Welche req.te der Herr Intendant an dem Reg. Herrn Amm. verwießen undt befohlen, daß man innerhalb 3. tagen darauff antwortten solte, so aber dahero unterblieben, weilen hochermelter Her Intendant verreist gewesen seÿe. Alß man die sache examinirt, habe man sich gleich errinnert, daß schon hiebevor Von dießer materie occasione ged. Charbonniers und Claude Capitaine, und Zwar den 14. Xbris 1703. geredt und damahlen Erkandt worden, daß weilen in dern Lettres de provisions davon nichts enthalten war, und diesße beeden dabeneben Würtschafft treiben Ihnen ihr begehren abgschlagen seÿn solle. Wurde dermahlen Zu Mghherren Ob Sie den Obern Ungelts herren Committiren wollen, dem Herrn Intendanten, benöthigte Remonstration darüber Zuthun.
Herr Syndicus hielte davor, daß den Obern Ungelts Herren, dem Herrn Intendantesn auff besagte req.te eine schrifftl. antwortt Zu übergeben, Communicirt werden könte. Erkant Gefolgt.

Fils de Benoît Charbonnier et de Marguerite Genon, le garçon perruquier Pierre Charbonnier renonce à tous droits sur la maison qu’ont achetée ses parents.
1708 (21.7.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Reuersal – Pierre Charbonnier jeune garçon perruquier Lequel a déclaré que quoy que le Sr benoist charbonnier son pere Monnoyeur en lad. ville et Marguerite Jenon sa mere ayant fait acquisition d’une maison en lad. ville Scituéé vis à vis le gouuernement Laquelle acquisition a esté faite du Sr Lombart ad.at en parlement au proffit dud. comparant par condition en datte de ce jour passé devant moi, Il declare qu’il n’a et ne pretend rien a lad. maison et qu’elle appartient a ses père et mère

Originaire de Tullins en Dauphiné, Pierre Charbonnier achète le droit de bourgeoisie en août 1708.
1708, 3° Livre de bourgeoisie p. 1271
Pierre Charbonnier d. Peruckenmacher V. Tullin en Dauphiné erkaufft d. burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß wird Zum Spiegel dienen, Jur. d. 11. Dito [Augusti] 1708.

La femme de Benoît Charbonnier demande l’autorisation de prendre des pensionnaires comme le sellier français Besson. L’affaire n’a pas de suite.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 45-v) Sambstags den 18.ten Martÿ 1708. -Saltzm. noîe Benoist Charbonnier haußfrauen welche jetzund in deß frantzösischen Sattlern Bresson genandt hauß wohnet, bittet vmb gn. erlaubnus pensionnaire Zuhalten. Erk ahne due Obere Umbgelt herren gewießen.

Marguerite Genon femme de Benoît Charbonnier dit Chevalier demande l’autorisation d’héberger des pensionnaires. Les Quinze constatent qu’elle n’en a pas qualité puisqu’elle n’est ni bourgeoise ni manante. La requérante répond que son mari est en poste à Lyon et qu’elle sert seulement des repas sans vin. Les Quinze accordent la permission à condition que la pétitionnaire règle l’amende que lui a infligée la tribu des Fribourgeois.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
(f° 154-v) Sambstags den 9. Junÿ 1714 – G. noîe Marguerithe Jennon femme de Benois Charbonnier dit Monnoyer Chevalier prod. frantzösische requeste vmb permission pensionaires Zuhalten, Erk. ahne die Obere Ungelts herren gewiesen.

(f° 233) Sambstag den 1. Septembris – S. nôe E. E. Zunfft der Freÿburger Zunfft meister Johann Friderich Bahl Citat Dame Capponniere principalis klagt, daß Citata weder burgerin noch schürmerin seÿe, dießes dannoch ingeachtet sine permission auberge halten bidtet inhibitionem.
G. Citata præsens bittet &deputationem und sie dabeÿ Zulaßen. S. setzts. Erkandt, wird diße sach ahne die Ober Ungeldts herren verwißen.

(f° 421-v) Montag den 17.ten Decembris. – E. E. Zunfft der Freÿburger Ca. De Charbonniere pt° auberge
Iidem [Obere Handt Wecks Herren] per Eund. [Secretarium Friden] laßen referiren daß gedachte Zunfft der Freÿburger Ca. De Charbonniere geklagt daß dieselbige ohne scheu auberge halten anbeÿ gebedten, ihro solches obrigkeitlich nider Zu legen, und sie Zu erlegung angesetzter Straff anzuhalten. Alß man herrn Bahlen alß Zunfftmeister hierüber ferner gehört, habe Er beÿgefügt, wie daß Beklagter schon lange Zeit Officiers halte, und ihnen Zu eßen und Zu trincken gebte, 2° sie weder burgerin noch schürmerin were, 3° man ihro auf seithen deß gerichts beÿ 3. lb d straff auberge zu halten Verbotten hette, deßen ungeachtet sie damit continuirten und obwohl man ihro auch an die handt gegeben, daß wann sie sich hierüber Zu beschwehren hette, sie sich beÿ gn. herren den XV.en anmeldten solte, sie es dannoch nicht gethan hette,
Worauf beklagtin geantwortet, daß Ihr man ein Müntzer Were, und ietz Zu Lion sich aufhielte, auch daß Wahr weren daß die officiers hielte, allein gebte sie Ihnen nur Zu eßen, und sie die Officers lößten daß Zeichen Zu dem wein in dem Ungelts Hauß, und Zahlte vor jeden Ohm. 13. sols 8. deniers ahnbeÿ gestehen müßen, daß die weder burgerin noch schürmerin were, beÿ Welcher beschaffenheit man davor gehalten, daß Ihro auberge Zuhalten Verbotten, und der Zunfft ahn die handt gegeben werden könte, daß Se beklagtin die angesetzte straff der 3. lb d Zu Zahlen anhalten widrigen falls sie mit der execution wider die verfahren solte,. Die Genehmhaltung Zu MGHherren stellend. Erkandt, beliebt.

Benoît Charbonnier dit Chevalier vend la maison au fondeur d’étain Jean Jacques Isenheim moyennant 1 250 livres

1706 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 410-v
(1250) Benoit Charbonnier dt. Cheualier officier de La Monnoye
in gegensein Joh. Jacob Eißenheims Zinngießers
Hauß, Hoff, Hoffstatt brunnen mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahn der obern straß, einseit ist ein eck ahn der freÿburger gaß, anderseit neben Abraham Jund weißbeckers, hinten auf Jacob Reichard schneidern stoßend gelegen – um 250 und 100 lb verhafftet, geschehen um 900 lb

Fils du fondeur d’étain Jean Henri Isenheim, Jean Jacques Isenheim épouse en 1703 Sara Schwartz, fille du chaudronnier Michel Schwartz : contrat de mariage, célébration
1706 (19. Aprilis), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 39) n° 148
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Johann Jacob Eißenheim dem Ledigen Zinngießer, weÿl. deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Eißenheims ebenmäßig geweßenen Zinngießers und burgers alhier, mit der Viel Ehren und tugendsamen frawen Maria Magdalene gebohrner Beinin ehelich erzeugtem und hinderlaßenem Sohn, alß dem Bräutigamb ane Einem
So dann der Ehren: und tugendsammen Jungfr. Saræ gebohrner Schwartzin, deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Michael Schwartzen Kupfferschmidts und burgers alhier mit der Viel Ehren und tugendsammen frawen Sara gebohrner Voltzin ehelich erzeügten Tochter, alß der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
zugleich durch Unterhandlung, guthem Consens Wißen Willen underhandlung des Wohl Ehrsamen und Vorachtbaren Herrn Johann Sebastian Otten Rothgerbers, des Hochzeiters geschwornen Vogts
Beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in Vor erwehnter persohnen beÿweßen (…) Montags den 19.ten Aprilis Anno 1706. [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim Als hoch Zeiter, Sara schwartzin als hoch zeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 168, n° 769)
1706. Mitwoch den 19.t Junÿ Seind nach 2. mahl. proclamation ehl. copulirt worden Joh: Jacob Eißenheim der ledige Zinngießer vnd burger H. Joh: Heinrich Eißenheim gew. burgers und Zinngießers hinterl. ehl. Sohn, vnd J Sara H Michael Schwartzen b. und Kupfer: Schmidts allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim Als hich Zeiter, Sarra schwartzin ahl hoch Ziedern (i 167)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que le mari a achetée avant son mariage et qu’il ameublit parce qu’il y a fait des travaux à la charge de la communauté. Les apports du mari s’élèvent à 243 livres, ceux de la femme à 471 livres.

1706 (4. Xbr), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 10) n° 224
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrenhaffte achtbare und bescheidene Herr Johann Jacob Eißenheim und die Viel Ehren und Tugendsamme Fraw Sara gebohrne Schwartzin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebracht und sich deren jedes nach inhalt Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für Unverändert Vorbehalten haben (…) Actum o , der Königl. Statt Straßb. in fernerem gegenseit deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Michael Schwartz Kupfferschmidts und Fr. Saræ gebohrner Voltzein, obgemeldter Ehefr. geliebten Eltern, obgemelder Ehefr. geliebten Eltern, So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Eißenheimin gebohrner Bainin deß Ehemanns Leiblichen Mutter und H Johann Sebastian Otten, Rothgerbers und Lederbereiters Burgers alhier seines annoch ohnentledigten Vogts, Sambstag den 4. Decembris Anno 1706.

In einer in der Statt Straßburg ahne der innernstraßen oben ahne der Freÿburgergaß gelegenen behaußung befunden Word. Wie Volgt
Bericht Wegen der Behaußung so der Ehemann noch Vor der Ehe erkaufft hatt. Es hatt Zwar der Ehemann die alhier in Straßb: ahne der Straß oben ahne der Freÿburgergaß gelegenen Eck behaußung annoch vor Vollzogener dießer Ehe erkaufft, dieweilen Er aber auß seinen Mittlen darauff nichts bezahlt und noch über dasn in Währender dieser Ehe darinnen auß theilbarer Nahrung Viel gebawen und meliorirt, alß ist Verglichen, daß solche in die theilbare Nahrung fließen und Weder der Ehemann noch seine Erben hienkünfftig daran nichts Unverändertes prætendiren sollen noch wollen Zu Urkundt und Wahren Vesthaltung deßen sich allerseits Interessenten hiernechst Und. eigenhändig Unterschriebenen haben. Sig. den 3. Xbris aô 1706.
Werckzeug und Zinn auch gemachte Arbeith Zum Zinngießer Arbeith gehörig
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths so deß Ehemanns unverändert 55, Sa. Werckzeugs und Geschirrs Zum Zinngießer Handwerck gehörig 68, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Baarschafft 106, Summa summarum 243 lb
Sa. Haußraths so der Ehefrau unverändert 183, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Guldener Ring 21, Sa. Baarschafft 161, Summa summarum 471 lb
Haussteuren 92 lb, Thut Jedem Verglichener maßen Bor einen halben theil 46 lb

Sara Schwartz se remarie en 1709 avec le fondeur d’étain Melchior Edel, fils du fondeur de cloches Jean Pierre Edel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenhafften Achtbaren und bescheidenen Herr Michel Edeln, dem leedigen Zinngießern Von Straßburg gehürthig, deß Wohl Ehren Vesten, Weißen Kunstberühmten und großachtbahren herrn Johann Peter Edelln Stuckh vnnd Glocken gießers auch Eines Ehrsamen Kleinen Raths in Vorgedachter Statt Straßburg Wohlverdienten alten beÿsitzers, mit Weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Marthæ gebohrnee Höllbeckin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Bräutigamb ahne Einem, So dann der Ehren undt tugendbegabten Frauen Sara Eißenheimin gebohrner Schwartzin, weÿland deß Ehrenhafften und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Eißenheimbs geweßenen Zinngießes und burgers allhier seeligen hinderlaßener wittib alß der hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen unndt Verhandtel seind dieße ding un er Königlichen Statt Straßburg, Montags den 22. tag deß Monats Octobris Anno Christi 1708 [unterzeichnet] Melchior Edel als Hochzeiter bekenne wie Obstehet, Sarra gebohrne schwartzin als hoch Zeiterin – Johann Adam Ösinger Notarius juratus publ.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 181-v, n° 880)
1708. Eodem [Mitwoch den 14.ten 9.mbr] sind nach 2 mahl Proclamation ehl. copulirt worden Melchior Edel der Ledige Zinngießer H Joh: Peter Edell des b. und Stuckgießers ehl. Sohn und Fr. Sara weÿl. Johann Jacob Eißenheim gew. b. und Zinngießers hinterl. wittib [unterzeichnet] Melchior Edel Als Hochzeiter, Sara eÿsensen heim hls hoch Zren (i 197)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison, non estimée, que la femme a apportée en mariage. Ceux du mari s’élèvent à 477 livres, ceux de la femme à 119 livres.

1708 (30. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 12) n° 294
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender vnnd Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrsame v. achtb. H. Melchior Edel der Zinngießer und die Edle Viel Ehren und tugendsamme Fraw Sara gebohrne Schwartzin beede Eheleuthe undt burgere allhier einander in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestandt Zu gebracht, undt sich deren Jeedes Crafft Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten hatt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßb. in fernerem beÿsein deß Ehrenvesten wohl Ehrenhafften vnnd vorachtbaren Herrn Johann Peter Edels, Glocken Kießers und eines Ehrs. Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers des Ehemanns geliebten Vatters, Weither deß Wohl Ehrenvesten vnnd Vorachtbaren herrn Michel Schwartzen Kupfferschmidts undt burgers allhier der Ehefr. leiblichen Vatters, so dann auch deß Ehrsammen und achtbahren herren Johannes Dörffers deß Küffers auch burgers allhier Ires annoch ohnentledigten Vogts alß hierzu beederseiths erbettener beÿständere, Freÿtags den 30. 9.bris 1708.

In einer in der Statt Straßburg ahne der Innern Straßen ahne der Freÿburger Gaßen gelegenen in der Ehefrauen Nahrung gehörigen hernach beschribenen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ahne einer behaußung. Hauß, Höffel, Hoffstatt und bronnen, mit allen anderen deßen begriffen, Weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhie in der Statt Straßb. ahne der obern Straß, einseith ist ein Eckh ane der freÿburger gaß, anderseith neben H Abrahamb Jundten, dem Weißbecken, stoßt hinden auff Meister Jacob Reichardten Schneider, davon gehen dem Stifft St: Marx alhie Jährl. auff Joh. Bapt: 10. lb. d Zinß ablößig in Capital mit 250 lb d. Item 5 lb d H Johann Ludwig Städel U. J Lto jahrs auff den 17. Junÿ ist das hauptg. 100. lb d. Item 20. lb d Zinß Jährl. auff Joh. Bapt: S. T. J. Johann Philipp Bartenstein Professori Publico alß vogten der Heinricischen Kinder, Zweÿter Ehe ist in Capital 500 lb, Item 10 lb d Zinnß Jahrs auff den 17. Martÿ H Johann Philipp Schellen dem Silberarbeiter macht die hauptsumma 250. lb. d. Und dann 8. lb d Zinß Jährl. auff den 5. Martÿ Johann David Eißenheim der Ehefrauen Schwager so in Capital Widerlößig mit 200 lib. Summa der Vorher beschriebenen beschwehrten thut 1300 lib d. Sonsten über obige beschwehrten freÿ Ledig und Eigen und hiehero doch niemand Zur Præjuditz in Keinen anschlag gebracht word. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget und mit dero anhangenden Kleineren Secret Innsiegell Verwahrt datirt den 21. Maÿ A° 1706.. Ferner ein frantzö. Pergamentener Kauffbrieff auch ane gemeldem orth gefertiget de dato 16.ten Aprilis Anno 1701.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns in den Ehestandt gebrachtes Guth. Sa. haußraths 127, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 14, Sa. der baarschafft 402, Summa summarum 545 lb – Schulden 57, Nach deren Abzug 477 lb
Der Frauen in den Ehestand gebrachte unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 287, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeith auch ohngerabeith Zum Zinngießer handwerck gehörig 281, Sa. Wein vnd lähren Vaß 7, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldenen Ringen 36, Sa. Eigenthümb ahne einer behaußung (-), Sa. der Schulden 15, Summa summarum 636 lb – Schulden 517, Nach deren Abzug 119 lb
Haussteuren 94 lb

Les Quinze accordent à Melchior Edel dispense d’inscription préalable pour faire son chef d’œuvre. Le pétitionnaire argue que son tour de compagnon a duré neuf ans et qu’il va épouser une veuve de fondeur d’étain.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 237-v) Sambstags den 10. Novembris 1708 – Melchior Edel C. E. E. Meisterschafft der Zinngießer
Saltzm. nôe Melchior Edel deß ledigen Zinngießers gtra. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober meister Citati wollten principalen wegen nicht verarbeiteter Zeit Zum Meisterstück nicht admittiren, da Er doch 9 jahr auff der wanderschafft geweßt vnd Eines Meisters wittib heürathen würdt, bittet deßwegen. dispensation vnd ihme das Meisterrecht gnd. Zu kommen Zu laß.
Kun. weil das petitum wider ordnung, vnd das dispensation begehren beÿ Ewer gnaden stehet alß s. doch den* Er andern dabeÿ nicht vergeßen werden möchten. Erk. würdt Imploranten in seinem begehren gegen erlag 2. lb d. dispensando willfahrt.

Melchior Edel et Sara Schwartz hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Haan.

1722 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 442
Melchior Edel zinngießer und Sara geb. Schwartzin beÿständlich Michael Schwartz des Kupfferschmidts ihres bruders und Johann Pfähler des Ohlmanns ihres Schwagers
in gegensein H. Johann hahnen Med. D. et Pract. – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne d. Straß, einseit ist ein Eck ahne der Freÿburger gaß, anderseit neben Balthasar Hummel dem weißbecken, hinten auff Reichard dem Schneider

Melchior Edel meurt en 1725 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 1 350 livres. La masse propre à la veuve est de 500 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 76 livres, le passif à 1 255 livres

1725 (1.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 288
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿl. der Ehrengeachte Meister Melchior Edel, der geweßene Zinngießer und Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Mittwoch den 24.ten Januarÿ dießes Lauffenden 1725.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und Wohl vorgeachten Herrn Matthæi Edels des Stuck und Glockengießers auch burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Salomeæ, Johann Melchior, Johann Daniels und Barbaræ der Edel, aller vier des Abgeleibten seel. mit hernach genanter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu gleichen antheiltern Verlaßener Erben (…) durch die Ehren und tugendsahme Frau Saram Edelin gebohrner Schwartzin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des Ehren und wohlvorgeachten herrn Philipp Jacob Erhards des Zinngießers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 1.ten Martÿ Anno 1725.

In einer in der Statt Straßburg ane der Obern Straßen gelegenen und in dießer Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im Obern Haußöhren, In der ohnstub, In dero Stub Cammer Im haußöhren Vor der Wohnstub, In der Kuchen, In der Wercktatt, Im Keller
Eigenthumb ahne einer behaußung. (W.) Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, Höfflein und bronnen, mit allen anderen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der obern Straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburgergaß, anders. neben Mr Diebold Hummel, dem Weißbecken, hinden auff Hn Jacob Reichard, den Schneider stoßend, davon gehen Jährl. auf Joh. Bapt: dem Stifft St: Marx allhier 10. lb. d Zinnß, ablößig in Haubtguth mit 250 lb. Ferner 5. lb d. Zinß Jährlich auf den 17. Junÿ denen Kastischen Erben etwan modo herrn Joh: Philipp Güntzer dem goldarbeiter alh. Jährl. auf den 17. 9.bris, redimibel in Cap. mit 100. lb. Weiter 20. lb d Zinnß Jährl. auf Joh. Bapt: H M. Johann Daniel Heinrici Vorhien anjetzo aber H Johann Peter Edel dem Stuck und Glockengießer allhier als welcher deßwegen in sein H. M. Heinrici Recht gestanden, widerlaufig in Capital mit 500 lb. It. 8. lb d Zinß Jährl. auf den 17. Martÿ Hn Johann Philipp Schellen dem Silberarbeiter etwan, modo vorgedachten Hn Johann Peter Edel, dem Stuck und Glockengießer, welcher in solch Recht gestanden, ablößig in haubtguth mit 200. lb. Sonsten über dießer beschwährden und die hernach unter denen theilbaren Passivis eingetragene 150. lb d freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 13.ten Aprilis Anno 1725. angeschlagen pro 300 lb. Darüber meldet j teutscher perg. Kauffbrieff in alhießiger C. Contract Stub gefertiget und mit dero anh. Kleinerem Secret Ins. Verwahrt, sub dato 21. Maÿ Anno 1706. Dabeÿ ferner ein frantzösischer perg. Kauffbrieff, so auch in gemeldem Contract Stub gefertiget und mit derrselben anh. Ins. becräfftiger, de dato 16.ten Aprilis Anno 1701.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths, Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen durch H. Notarium Johann Adam Posinger in Anno 1708 auffgerichtet
Wÿdemb, Welchen die Wittib Wegen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Isenheimin Ihrer in erster Ehe mit weÿl. herrn Johann Jacob Isenheim, dem gewesenen Zinngießer und burgern allhier Zu Straßburg, Ihrem geweßenen Erstern haußwürth seel. ehelich erziehlter Tochter, mit gewißer condition genießen hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 60, Sa. Werckzeugs und Zinns Zum Zinnhießer handwerck gehörig 28., Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300, Sa. Ergäntzung (935, abzuziehen 492, bleibt) 442, Summa summarum 832 lb – Schulden 331 lb, verbleibt 500 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahr Verlaßenschafft, Sa. haußraths 23, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zum Zinngießer handwerck gehörig 3, Sa. Schulden 30, Summa summarum 76 lb – Schulden 1255 lb, Passiv onus 1178 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 750 lb, Mehr Schulden als nahrung dem Stalltax nach 428 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen unndt Verhandtel seind dieße ding un er Königlichen Statt Straßburg, Montags den 22. tag deß Monats Octobris Anno Christi 1709
Abschatzung d. 13.ten April ao. 1725. Auff begehren Weÿland des Ehren Vesten und Vorachtbahren Meister Melchior Edel gewesenen Zingiesers seel: hinter laßene Fraw Wittib und Erben, ist Eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß, ein Eckhauß an der Freÿburger Gaß gelegen, einseiths Neben Thiebold Hummel, Weißbeck, anderseits Neben Jacob Reichert Schneider welche behausung, Stuben, Cammer, officier Stuben Kuchen Werckstatt, schmeltz und bauch Offen, gewölbtes Kellerlein und Klein höffel, mit einem bronnen, sambt aller Gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg Geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor vnd vmb Zweÿ Thausend und Sieben hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent aux quatre enfants de Melchior Edel
1729 (20.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 24) n° 564
Rechnung Mein Matthæi Edels Stuck: und Glockengießers, auch burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Margaretha Salome, Johann Melchiors, Johann Daniels und Barbaræ der Edel, Weÿland Meister Melchior Edels, des geweßenen Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter und nach Tod verlaßener Vier Kinder, ausweißend alles dasjenige, was Ich vom 19. Februarÿ Anno 1725 als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 20. Julÿ Anno 1729 berührter meiner Curanden halben Eingenommen und hingegen wider außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße verhandelt und verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus der Vier Vogts Persohnen ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
12. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen

Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux enfants de Melchior Edel après le mariage de Marguerite Salomé avec le cordonnier Jean Bernard Wild et la clôture du compte de Jean Melchior
1733, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 37) n° 846 [coin supérieur gauche très abîmé par l’humidité]
Rec]hnung Mein [Matthæi] Edel Stuck und Glockengießers auch burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniels und Barba[ræ der Edel Weÿla]nd Meister Melchior Edels des [geweßenen] Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen Wittib erziehlter zweÿer Kinder, inhaltend alles dasjenige, was Ich vom 20. Julÿ Anno 1729 als dem Beschluß meiner abgelegten Erstern Rechnung biß den 20. 8.bris Anno 1733. berührter meiner beeden Curanden halben, ferner Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es gibet meine Wegen der Beeden Curanden und Ihrer Zweÿen ältern Vollbändigen geschwüsterde, Nahmentlich Frauen Margarethæ Salome, so ane Johann Bernhard Wilden, den Schuhmacher Verheurathet und Johann Melchiors, Ledigen Peruquenmacher gesellen, die mich aber beÿde seithero der Vogteÿ entlediget (…)
Corpus der beeden Vogts Persohnen ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
6. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen

Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent à Barbe Edel après clôture du compte de Jean Daniel
1737, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 47) n° 1087
Rechnung Mein Matthäi Edels Stuck und Glockengießers auch E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers und burgers allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenen vogts Jungfrauen Barbarä Edelin, weÿl. Mr Melchior Edels, des geweßenen Zinngießers und burgers allhier seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlter Jüngern tochter, außeißend alles dasjenige, was Ich vom 20. 8.bris Anno 1733 als dem Beschluß meiner abgelegten Zweÿten Rechnung, biß den 29. 78.bris Anno 1737. erwehnter meiner vogts dochter halben, weiter Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Nach besag meines wegen der Vogts dochter und Ihres bruders Johann Daniel Edels /:den Ich aber beÿ errichtetem 20. jährigen alter den 23. 8.bris Anno 1734 ordnungs mäßig gelieffert (…)
Corpus der Vogts dochter ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
3. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen

Les enfants sont dispensés de faire dresser l’inventaire après la mort de leur mère qui bénéficiait de l’aumône Saint-Marc.
1740 (10.8.), Livres de la Taille (VII 1179) f° 35
Weÿl. Melchior Edel des Zinngießers wittib Verlassenschafft betreffend erscheint Johann Melchior Edel der Peruckenmacher und fr. Margarethæ Salome Bernhard Wilden des Schuemachers Ehefrau und bitten in ihrer und der abweßeden Geschwüsterd Nahmen umb befreÿung der Inventur. Erkannt weilen die Verstorbene das Allmoßen beÿ St. Marx biß in ihrem tod genoßen, aus Armuht willfahrt.

Jean Henri Isenheim loue la maison à son frère Jean Daniel Isenheim

1727 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 613
H. Johann Heinrich Isenheim zinngießer
in gegensein seines bruders Johann David Isenheim auch zinngießers
entlehnt, Eine Behausung höfflein bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten nichts davon ausgenommen in der langen straß, einseit ist ein eck ahn der Freÿburger: gaß anderseit neben Hummel dem weißbecken, hinten auff H Reichard den Schneider gelegen – auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Johann Baptistæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund

Jean Henri Isenheim acquiert la maison par enchère judiciaire le 8 janvier 1727 (la référence figure à l’inventaire de 1735)
Fils du fondeur d’étain Jean Henri Isenheim, Jean Henri Isenheim épouse en 1699 Marie Ursule Schaaff, fille du tailleur Lux Schaaff : contrat de mariage, célébration

1699 (31.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Johann Heinrich Eißenheimen, ledigen Kannengießern, weÿl. des Ehrengeachten herrn Johann Heinrich Eißenheims, geweßenen ebenmäßigen Kannengießers burgers alhier Zu Straßburg seelig. nachgelaßenen ehelichen Sohn, als hochzeitern an einem
So dann der viel Ehren: undt tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Ursulæ, des Ehrengeachten herrn Lux Schaaffen, Schneiders auch burgers Zu gedachtem Straßburg eheleiblichen tochter, der Jungfrawen hochzeiterin am andern theil
Welches beschehen in Straßburg Freÿtags d. 31. Julÿ Anno 1699. [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim Als Hoch Zeider, Maria Ursula Schaaffin Als hochzeiterin
Protocollum tertium, f° 66-v

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 101-v, n° 508)
1699. Mittw. d. 9. 7.br wurd. nach ordentl. Außruffung copulirt Johann Heinrich Isenheim d. ledige Zinngießer v. B. allhier, weil. H. Johann Heinrich Isenheims des geweß. Zinngießers v. B. alhier nachgelaß. ehl. Sohn, J. Maria Ursula, Hn Lucä Schaffen des schneiders V. B. allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeidter, Maria Ursula Schaaffin Als hohzeitterin (i 101)

Jean Henri Isenheim se plaint aux Quinze que les contrôleurs de l’étain ne font pas bien leur travail en rapportant ce qu’ils ont fait chez lui. Les Quinze estiment que le plaignant devra régler une amende pour ne pas porter préjudice à l’autorité des contrôleurs et ordonnent que les contrôles suivants soient portés à leur connaissance.
1720, Protocole des Quinze (2 R 124)
(p. 410) Sambstag d. 19. Octobr. 1720 – die Zinnschawer C. Joh: Heinrich Isenheim pt° Prob
Iidem [Obere Handwercks herren] laßen ferner per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, Es hatten die gesamte H Zinnschawer C. Joh: Heinrich Isenheim den Zinngießer undt burger allhier Klagend angebracht, daß dießer, weilen die Prob deßen Zinnß um halt nicht jusr, noch wie sichs gebühret befund. worden nach dreÿmahliger Citation beÿ Ihnen nicht erschienen seÿe, deßweg. sie Kläger nach ordnung solche Sach Mghh. Erkantnus anheim stellen wollen, worauff Beklagter umb Deputation angeruffen, undt umb Vorlegung des Articul buchs sambt der prob undt waag gebetten habe.
Beÿ der Deputation seÿen Von denen Klägern erschienen, H. Rathh. Zachæus Saur, Johann Wilhelm Schatz und Johann Friderich Weiß, Welche sich erst den gehaltenen Recess bezogen mit dem beÿsatz, daß sie von gegnern vernehmen wolten, warumb er nicht erschienen seÿe, Beklagter Zugegen habe geantwortet, Er finde daß Große Mißbrauch beÿ der Zinnschaw Vorgiengen, und wan er erschienen wäre, so würden selbige auch beÿ dieser gelegenheit Verübet word. sein, das erste mahl seÿe er erschienen, sie hätten Ihne aber so hart angefahren und tractirt daß er das 2.te mahl nicht habe erscheinen mögen, dann 1° Schlagen Sie die prob auff Zinn, so nicht einmahl Kaufmanns Guth seÿe, Wie sie Ihme ehedeßen ein Barbierbecken so in den halt aus Zinn 10.ten seÿe, die Englische prob geschlagen hatten, Worauff Kläger replicirt daß Sie das Zinnzeichen in der qualitæt wie solche von dem Meister, der selbiges Verarbeite angegeben werde, auffschlagen, Betreffend das barbier becher so seÿe selbiges eine geschlagene arbeit, deßweg. sie auch selbiges alß Englisch Zinn hätten Zaichnen müßen, jedeme laut 4. Articuls Ihrer ordnung Keine geschlagene arbeit gemacht werden solle alß von purem das ist Englischem Zinn. Beklagter habe hierauff eine Schrifft wollen einleg. er seÿe aber dahien angewießen worden, daß er selbige per procuratorem angeben laßen solle, damit pars adversa deßen commun. begehren und sich darauff verantworten Könne. Indeßen aber hätten die Hh. Depp. davon gehalten daß Zu maintenirung der H. authoritæt dem Bekl. beÿ 5 lb straaff anzubefehlen, sich beÿ dem Kläger Zu sistiren, sein Zu schawen habendes Zinn, durch sie ordnungs mäßig schawen Zu laßen undt wann Ihme durch die Schaw Zu wenig oder Zu viel geschehen solte Ihme solches beÿ Mgh. anzubring. ohnverwert undt Zugelaßen sein solte, darauffhin nachgehendts ferner ergehen Könte was recht ist, die genehmhaltung Zu Mghh. fallend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 433) Sambstag den 23. 9.bris 1720 – Moss nôe E. E. Meisterschafft der Zinngießer erscheint der Alte Ober Meister Philipp Jacob Erhard citirt Johann Heinrich Isenheim auch Zinngießer prod. Extractum Handwercks Protocolli will damit die legitimation præstirt haben, und bitt nochmahl Unterthänig wie den 16. h. gebetten worden. Gug Citatus Verwilligt in die Communication gebettener Copeÿ.Moss acceptirts.

Jean Henri Isenheim demande l’autorisation de prendre un nouvel apprenti bien que les deux ans réglementaires entre la fin d’un apprentissage et le début du suivant ne soient pas écoulés. Les Quinze accordent la permission eu égard que l’apprenti est allié à la famille Fried, à condition que l’intervalle jusqu’à l’apprentissage suivant soit augmenté de la durée manquante. Les Quinze remettent aux parties une expédition de leur décision.
1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
(p. 37) Sambstag den 12. Febr. 1724. – Johann Heinrich Isenheim Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer pt° Lehrjungens
Moss. nôe Johann Heinrich Isenheim Zinngießers Ct. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober Meister H Philipp Jacob Erhard prod. Memoriale und bitten pt° gn. dispensation einen newen Lehr: Jungen an zunehmen. Gug Weil das petitum wider Articul alß bitt Deputationem et Facta Relatione den gegner mit seinem gesuch abzuweisen. Ref. Expensis. Moss. bitt auch Deputation. Erkand, Ober Handwerckh. herren.

(p. 84) Sambstag den 4. Martÿ 1724. – Joh. Heinrich Isenheim Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer pt° Lehrjungens
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium Kleinclaus] Referiren, daß Johann Heinrich Isenheim der burger und Zinngießer allhier C. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober Meister H Philipp Jacob Erhard d. 12. Febr. jüngst ein Memorial eingelegt, jnhalt Welches derselbe vorgetragen, daß Ihme einen Lehrjungen nahmens Johann Georg Schmid Von Reichenweyer gebürtig, von deßen Hier befindlichen Hrn Anverwanthen in die Lehrjahr auff Zu nehmen Zugemuthet worden, Zu Welchem ende er sich beÿ dem Ober Meister angemeldt, von demselben aber Zur Antwort erhalten, daß er die gesetzte Zweÿ Jahr nach außthuung des vorigen Lehrjungen auß warthen mußte, Weil man ihme Imploranten noch neun monath manglen und anbeÿ aber des ged. jungen Anverwanthen Zu Ihme allein das Vertrawen hätten, alß bäthe Er mit Obrigkeitlicher dispensation Krafft deren er den benambsten Jungen in die Lehrzeit auff nehmen und einschreiben dörffe, gnädig Zu willfahren, Auff dises Memorial habe gedachtes Handwerckh geantwortet, daß das quæstionirte petitum wider Articul lauffe, und gebetten den Imploranten abzuweißen, Ref. Expensis.
Beÿ erkandt und beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum Widerhohlet, nahmens erstangeregten Handwerckhs habe obgenanter Erhardt gemelt, es fehleten dem Imploranten noch über dreÿ Fiertel Jahr an der geordneten Zeit, und bäthe die Meisterschafft es beÿ Articul Zu laßen.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß einige Consideration Zu haben vor die Fridische famillie, aus Welcher der Jung den der Implorant anzunehmen willens seÿe, mithien dem Imploranten selbigen jetzund aufzudingen dispensando erlaubt werden Könte, jedoch mit dem anhang, daß wann dieses jungen Lehrzeit Zu end, der Implorant über die geordnete Zeit der Zweÿ Jahr annoch dreÿ Viertel Jahr still zu stehen schuldig sein solle, ehe er wieder einen andern jungen annehmen döffe. die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erkandt, Bedacht gefolgt.

(p. 117) Sambstags d. 18. Martÿ 1724. – Herr Secret. Kleinclaus proponirt daß nachfolgender Vier bescheid Communication seÿe begehrt, auch willfahrt, auch so fort wie hienach Zu sehen Zu papier gebracht worden
Bescheid. Sambstag den 4. Martÿ 1724. In Sachen Johann Heinrich Isenheims des burgers undt Zinngießers allhier Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Zinngießer Imploraten am andern theil pt° annehmung eines Lehrjungens, auff producirters Und.thg. Memoriale undt bitten, der Beklagten darüber gethane mündliche Verantwortung, gebettene undt besessene Conferenz Ist der Hrn Depitirten abgelegter Relation nach Zu Recht Erkandt, wird dem Imploranten aus bewegenden ursachen Johann Georg Schmid Von Reichenweyer gebürtig in die Lehr auff: und Aufzunehmen dispensando erlaubt, jedoch mit dem anhang, daß wann dieses jungen Lehrzeit Zu end, der Implorant über die geordnete Zeit der Zweÿ Jahr annoch dreÿ Frtl. Jahr, ehe er wieder einen andern jungen annehmen döffe, still zu stehen schuldig sein solle.

Marie Ursule Schaff meurt en 1725 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison place de la Cathédrale face au portail Saint-Laurent. La masse propre au veuf est de 646 livres, celle des héritiers de 302 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 289 livres, le passif à 199 livres.
1725 (6. 9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 35) n° 913
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegenter und Fahrenter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hindangesetzt, so Weÿl. die Ehren und Wohl tugendbegabte Frau Maria Ursula Ißenheimin gebohrene Schäffin, deß Ehrenhafften und wohlachtbahren Herrn Johann Heinrich Ißenheimbs Zinngießers und burgers allhier geweßene geliebte Ehefr. nunmehr seel. nach Ihrem den 5. Junÿ dießes Zuend Lauffenden 1725. Jahrs aus dießer mühesamen Kummer vollen umbständig: und Vergänglichen welt genommenen seel. hintritt Hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften und achtbahren Herren Veit Kärchers Schreiners und burger allhier als geordnet und geschwornen Tutoris Johann Heinrichs, Maria Ursula, Johann Lucæ und Margarethæ Salomeä der Isenheimeren als der Verstorbenen seeligen mit obgedachtem Ihrem hinderbliebenen Wittibern Ehelich erzeugtten Kindern und deroselben ab intestato nechster rechtmäsiger Erben, Inventirt (…) Actum im der Königlichen Statt Straßburg in fernerem Beÿsein deß Ehrenvesten und wohlachtbahren Herrn Lucæ Schaaffen Schneiders und E. E. Kleinen Raths allhier alten beÿsitzers auch der Ehren und Wohl tugendsamen Frauen Mariæ Ursulæ gebohrner Rumplerin, beeder Eheleuthen als der dißorths Erben Leiblichen Groß Eltern, dinstag den 6.ten 9.bris Anno 1725.

In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg Gegen der Münster Kirch und Zwar gegen der Thür Zu St. Lorentzen genannt gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behaußung ist befunden Worden Wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerckh. Cammer A, Im obern Haußöhren, In der Obern Stub, In der officir stub, In der Magd Cammer, Im obern haußöhren, Im Hindern Stübel, Im Mittlern Haußöhren, On der Wohn Stub, In der Stuben Kaminer
Eigenthumb ahne Einer behaußung (W:) Eine Behaußung Hoffstatt und Höffl: mit allen übrigen dero Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münst. Kirch gegen der Thür St Lorentzen über, einseit neben H. Isac Kübler deß Silberarbeiters seel. Wittib und Erben, Anderseit neben Herrn Adam Schmidten dem Schneider undt geschwornen Käufflern, hinden auff H. Jacob Dürrningers seeligen wittib stoßend, so gegen Jeeder männiglichen freÿ leedig und eigen und durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere nach anzeig Ihrer beÿ dem Concept sich befindlichen Schrifftlichen Abschatzung Sub dato den 5. Novembris Anno 1725. æstimirt pro 900 lb. Darüber meldet ein Teutscher Pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget so dadirt den 25.ten Jan: Anno 1672. Signirt m. N° 2
Ergäntzung deß Wittibrs abgegangenen ohnveränderten Gueths. Inhalt Inventarÿ über deß Wittibers und seiner verstorbenen geliebten Ehegattin seelig einander in den Ehestand gebrachte Nahrung durch Weÿl. H. Johann Kitschen geweßenen Notarium publicum Anno 1699 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. Werckzeug Zu der Zinngißer profession gehörig 71, Sa. Gold. Rings. 2, Sa. Eigenthumb ahne einer behaußung 900, Sa. Ergäntzung (1097, Abzug 2658, übertrifft umb 1560) Summa summarum 986 lb – Schulden 1635, Conferendo 646 lb
Der Kinder und Erben unveränderte Mütterliche Verlaßensch. Sa. haußraths 69, Sa. Silbers 1, Sa. Guldinen Ring 4, Sa. Schulden 72, Sa. Ergäntzung 154, Summa summarum 302 lb
Daß gemein verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 106, Sa. Werckzeugs 2048, Sa. Wein und Leehrer Vaßen 191, Sa. Silbers 27, Sa. Gold. Ring 5, Sa. baarschafft 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75 lb, Sa. Schulden 1800 lb, Summa summarum 4289 lb – Schulden 199, Nach deren Abzug 4079
Conclusio finalis Inventarÿ 3745 lb
Abschatzung d. 5. 9.bris aô 1725. Auff begehren des Ehren Vesten und Vorachtbaren herrn Johann Heinrich Eißenheim Zingießer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg hinder dem Münster gelegen, einseits neben Isaac Kübler seel. Erben, anderseits Neben Adam Schmids Schneider hinden auf Jacob Dirninger seel. Fraw Wittib stosend welche behaußung, Stuben Cammer, Kuchen, hauß Ehren, officier Stub sambt Einer Kuchen, Werckstatt, Zinschmeltz öfflein gewölbtes Kellerlein Klein höffel, gumpf bronnen und tränckstein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und acht hundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 000 florins (1 500 livres) sur un total de 9 100 florins
1725, Livres de la Taille (VII 1176) f° 21-v
Schmidt F. N° 3853. Weÿl. Fr. Mariæ Ursulæ gebohrner Schaffin H Johann Heinrich Eißenheim Zinngießers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Nit. Ößinger
Cocl. Fin. Inv: ist Fol. 99. 3745. lb 2 ß 5 d Darzu gelegt wegen geringen anschlags der behaußung, alß welche Von den Werckmeistern pro 900 lb d æstimirt Von del H. Wittiber aber in anno 1707. Von deßen geschwüsterden pro 1375. lb. Käufflich angenommen und seithero umb 600 lb. wie in dem Ergäntzungs Abzug fol. 37. Zu sehen meliorirt worden 1000 lb. Summa 4745 lb 2 ß 5 d
Hingegen gehet wieder ab so beÿ der rubric Werckzeug gestoßen und Zu Viel in auswurff gebracht worden 193. lb 7 ß. Compensando restirt 4551. lb 15 ß 8 d, die machen 9100 fl. Verstallte Hiengegen allein 6100. fl. also Zu Wenig 3000 fl.
Von welchen Zu wenig verstallten 3000 fl. alß von theilbahr und errungenem Guht der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 9 lb d th. 54. lb
Und auff vier Jahr in simplo à 4 lb 10 ß d macht 18 lb
Extat kein Stallgelt
Gebott 2 ß
Abhandlung 4 lb 17 ß 6 d, Summa 76 lb 19 ß 6 d
Auff bitten und eingebrachte erhebliche motiven haben die Herren dreÿ den angesetzten Nachtrag auf die helffte moderirt gehet demnach ab 36 lb, Rest 40 lb 19 ß 6 d
dt. 4. Mart. 1726.

Jean Henri Isenheim se remarie en 1726 avec Susanne Salomé Schatz, fille du fondeur d’étain Jean Guillaume Schatz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften und Wohlachtbaren herrn Johann Heinrich Ißenheim Zinngießern, Wittwern und burgern alllhier, alß dem Bräutigamb ane Einem, So dann der Ehren und Wohl tugendsahmen Jungfrauwen Susannæ Salomeä gebohrner Schatzin deß Ehrenhafften und Wohlachtbaren Herrn Johann Wilhelm Schatzen auch Zinngießers und burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendsamen frawen Maria Salomea gebohrner Lobsteinin Ehelich erzeugten Tochter alß der Jungfer Braut andern theils – Beschehen und Verhandelt seÿnd dieße ding, allhier in der Königlichen Statt Straßburg, Mittwochs den 6. Martÿ Anno 1726 [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeitter, Susanna Salome Schatzin Alß Hochzeitterin, Johann Adam Ösinger Notarius juratus publicus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39-v, n° 155)
1726.. Mittw. d. 20. Martÿ sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. einesgnet word. H. Johann Heinrich Isenheim, der b. Zinngießer v. Wittwer b. Jgft. Susanna Salome H. Joh: Wilhelm Schatz b. v. Zinngießers ehl. tochter [unterzeichnet] Joh: Heinrich Isenheim als Hoch Zeitter, Susana Salome Schatzin als hoch Zeitterin (i 43)

La nouvelle épouse fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 345 livres.
1726 (31. 8.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 36) n° 921
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so die Ehren und Tugendbegabte frau Susanna Salome gebohrene Schatzin deß Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Johann Heinrich Ißenheims Zinngießers und Burgers allhier Zu Straßburg eheliche hßfr: Zu erstgedachtem Ihrem Ehewirth in Ihrem mit demeselben ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht (…) Actum in der Köbigl. St: Strßb. in fernerem gegenseÿn H Veit Kärchers Schreiners alß deß dißorths Ehemann Schwagers und deßelben K. K. Erster Ehe geschwornen Vogts, So dann H. Joh: Willhelm Schatzen Zinngießers und burgers allhier auch Fr. Mariæ Salomeæ geb. Lobsteinin der dißorths Ehefr. Leibl. Eltern Donnerstags den 31. 8.bris A° 1726.
In einer allhier in der Königl. Statt Straßb. ahe dem Münster platz gegen der Münster Thür St. Lorentzen genannt gelegenen, dem dißortgs Ehemann Eigenthümlich zuständigen und hernach beschriebenen behaußung befunden Worden Wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 168, Sa. Silber geschmeids 27, Sa. Goldener Ringen 16, Sa. der baarschafft 77, Summa summarum 310 lb – Hierzu Ist Zu Legen die Helffte ahne denen Haussteuren so tht. 35. lb, Beschluß summa 345 lb

Susanne Salomé Schatz meurt en février 1735 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 150 livres. La masse propre au veuf est de 2 074 livres, celle des héritiers de 1 288 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 913 livres, le passif à 2 235 livres.

1735 (12. 7.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 43) n° 976
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Susanna Salome Isenheimin, gebohrner Schatzin, des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Heinrich Isenheims, des ältern, Zinngießers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Freÿtags den 18.ten Februarÿ dießes Lauffenden 1735.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenem tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Hern Johann Wilhelm Schatzen des Zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Susannä Dorotheä, Johann Friderichs, Annä Mariä und Mariä Elisabethä der Isenheim, der Verstorbenen Frauen seel. mit Vor Ehren ernantem Ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter Vier Kinder und ab intestato Verlaßener Rechtmäsiger Erben, ersucht und inventirt (…) So Beschehen in Straßburg auf Montag den 12.ten Septembris Anno 1735.

Inn einer allhier Zu Straßburg Ane deù Münsterplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der Bühn, Vor dießem gemach, In der Stub Cammer, Vor dießen gemachen, Inn der Magd Cammer, In der Cammer A, Im undern hindern Stübel, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, Im Haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstl. eine Behaußung hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münster Kirch gegen der Thür St. Lorentzen hinüber, einseit neben H. Isaac Kübler, dem Silberarbeiter, anderseit neben Hn Johann Jacob Straubhaar dem Groß uhrenmacher, hinden auff N. N. den Kübler stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 19.t 7.bris Anno 1735 angeschlagen pro 1000 lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 25.ten Januarÿ Anno 1672. mit altem N° 2 signirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen.
(T.) It. eine Behaußung, Hoff Hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben H Johann Diebold Hummel dem Weißbecken, hinden auf Johann Jacob Reichards Erben stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch hieoben benahmbsten der Statt Straßburg geschworne herren Werckmeistere inhalt berührten Abschatzungs Zeduls Vom 19. 7.bris Anno 1735 æstimirt per 1150. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff, mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegel Verwahrt, datirt den 8.ten Januarÿ Anno 1727.
Wÿdemb Welchen der Herr Wittiber Von Weÿland Frauen Maria Ursula Isenheimin gebohrner Schaaffin seiner Erstern Ehefrauen nunmehr seel. theils ad dies vitæ und theils mit gewißer Condition Zu usufruiren hat.
Ergäntzung des herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über weÿland Frauen Mariæ Ursulæ Isenheimin geb. Schaaffin des Hn Wittibers Erstern haußfrau nunmehr seel. Verlaßenschafft durch Hn Not. Joh: Adam Ösinger nun auch seel. in Anno 1725. auffgerichtet
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über der Verstorbenen Frauen seel. für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch Weÿl. Hn Not. Johann Adam Ösinger nun seel. in Anno 1726. consignirt aber durch H. Not. Joh: Jacob Ölinger expedirt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des H Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 91, Sa. Werckzeugs Zum Zinngießer handwerck gehörig 419, Sa. Lährer Vaß 28, Sa. Silber geschmeids 27, Sa. goldener Ring 10, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1000, Erg. rest 2145, Summa summarum 3823 lb – Schulden 1749 lb, Nach solchem abzug 2074 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 62, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 17, Sa. Goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 17, Sa. Schulden 75, Erg. Rest 90, Summa summarum 1288
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 23, Sa. Zinns und gemachter arbeit Zum Zinngießer handwerck gehörig 1389, Sa. Weins 87, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 834, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1150, Sa. Schulden 136, Summa summarum 3913 lb – Schulden 2235, Detrahendo verbleibt 1677 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 5714 lb
Abschatzung den 19. September 1735. Auff begehren deß Wohl achtbahren und bescheitenen H: Johann Heinrich Eißenheim deß Cinn gießers, ist eine behausung allhier in der statt straßburg auff dem Münster blatz gegen der st. Laurentzÿ thur hinüber gelegen ein seits neben H. Jacob Kübler dem silber arbeÿter, anderseits neben h. straubharr dem statt uhrenmacher, hinten auff H. N: N: dem Kübler Stoßent, welche behaußung, stuben, Kammeren, Küchen, haußehren im oberen stock, stuben, Kammer, Küche, hauß ehren, so alleß Zue einloschirung Vor dem Officir unten auff dem botten die Cinn gießer wërckstätt neben daran die schmeltz Küchen, hauß ehren, und nebens Kammer, höfflein und bronnen, gewölbter Keller, sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der statt straßburg geschwornen wërckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem breÿß nach angeschlagen wird, Vor und umb Zweÿ dausent Gulden
Der 2.te begriff ist auch allhier in der statt straßburg in der langen straß gelegen ein seits ein Eck on die freÿbürger gaß, anderseits neben Diebolt hümmel dem weißbecken hinten auf Johann Jacobs reicharts Erben stoßend welche behaußung stuben, Kammer, Küchen, haußehren und nebens Kammer, im oberen stock ein stuben Kammer, Küchen, haußehren, vor dem Officir, unten auff dem botten die Cinn gießer Wërck stätt, schmaltz Küchen und nebens Kammer, Klein höffell, bronnen, und gewölbter Keller, sambt aller gerëchtig Keit, wie solches durch der statt straßburg geschwornen wërckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Tausent und dreÿ Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der statt straßburg geschwornen Wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und Verhandelt seÿnd dieße ding, allhier in der Königlichen Statt Straßburg, Mittwochs den 6. Martÿ Anno 1726 [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeitter, Susanna Salome Schatzin Alß Hochzeitterin, Johann Adam Ösinger Notarius juratus publicus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 900 florins (950 livres) sur un total de 11 200 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 95
Schmidt F. N° 6902 – Weÿl. Fr. Susannæ Salome gebohrner Schatzin H. Johann Heinrich Ißenheim senioris Zinngießer und burgers alhier ehel. Haußfrau Verlaßenschafft inventirt H Not. Lobstein
Concl. Fin. Inv. ist fol. 161.b, 5714, 10. 3. Darzu gelegt wegen die Kinder Erster Ehe ererbten Groß Vätterl. Guth die dem Vatter zugeschrieben 100, Summa 5814. 10. 3.
Hingegen werden hier wieder abgezogen die außständige nicht genoßene Activa mit 136.. Und wegen 325 lb d Zu Vier pro Cento angelegten Capitalien 75, Summa Abgangs ist 211. lb.
Compensando restirt 5603. 10. 3., die machen 11.200 fl. Verstallte nur 9300 fl. Zu wenig 1900 fl.
War Von der Nachtrag alß Von theilbahr und errungenem Guht gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 5. lb 14 ß – 34. 4.
Und auff Vier Jahr in simplo à 2 lb. 17. ß – 11. 8.
Extat ukein Stallgelt
Gebott – 3 ß
Abhandlung 6. 7. 6, Summa 52 lb 2 ß 6 d
Auf ansuchen des Wittibers undt bericht daß durch verkauffte Wein seit kurtzem ein ahnsehnliches profitirt worden, haben die Herren dreÿ nachgelaßen 11 lb 8 ß, restirt 40 lb 14 ß 6 d
dt. 19. Novembris 1735.

Jean Henri Isenheim loue la maison entière au boutonnier André Crollat

1745 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 684
H. Johann Heinrich Isenheim der Jüngere Zinngießer als mandatarius seines vatters H. Johann Heinrich Isenheim Senioris Zinngießers
in gegensein Sr André Crollat des knopffmachers
verlühen, eine behausung mit allen deroselben zugehörden und rechten ane der Langen straß, einseit ist ein eck am Freÿburgergäßlein anderseit neben weÿl. Johann Heinrich Demuth des weinhändlers wittib – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 150 gulden

Jean Guillaume Schatz rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à Jean Frédéric Guillaume Isenheim après le mariage de sa sœur Marie Elisabeth avec le tourneur Jean Michel Kræutler
1753, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 73) n° 1591
Rechnung Mein Johann Wilhelm Schatzen Zinngießers und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Friderich Wilhelm Ißenheim des ledigen Zinngießers, weÿland Herrn Johann Heinrich Ißenheim, des ältern geweßenen Zinngießers und burgers allhier mit auch weÿl. frauen Anna Salome Ißenheimin geb. Schatzin ebenmäßig seel. ehelich erziehlten Sohns, inhaltend alles das jenige, was ich von Weÿhenachten 1751 biß den 3.ten Novembris 1753. besagten meines Curandi halben Eingenommen und hiengegen wiederumb außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Zweÿte und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ.
Kurtzer Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es weißet meine Wegen des Vogts : Sohns und seiner Schwester frauen Mariæ Elisabethæ Kräutelin, gebohrner Ißenheimin in herrn Johann Michael Kräutlers des Stattdrähers und burgers allhier zu Straßburg ehelicher haußfrauen erstern abgelegter Rechnung (…)

Jean Henri Isenheim meurt en 1749 en délaissant trois enfants de son premier mariage et deux du deuxième. La succession comprend deux maisons (place de la Cathédrale et rue des Pâtissiers). L’actif de la succession s’élève à 7 195 livres, le passif à 2 508 livres.
1749 (5.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 67) n° 1504
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehrenveste und Wohl Vorgeachte Herr Johann Heinrich Ißenheim, der ältere, geweßener Zinngießer und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe Dienstags den 8.ten Aprilis dießes laufenden1749.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem ewige Verwechselt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeeibten H. seeligen in Zween Ehen ehelich erziehlter herren Söhne, Frau undt Junger töchtere (…) ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf Montag den 8. Maÿ Anno 1749.
Der abgeleibte Herr seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1.mo H. Johann Heinrich Ißenheim, den Zinngießer und burgern allhier, welcher sich in selbst eigener Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, in den Ersten Fünfften Stammtheil, 2.do Frau Mariam Ursulam Ehingerin, gebohrne Ißenheimin, H. Johann Daniel Ehingers, des Feÿelhauers und Burgers allhier Frau Ehegattin, welche mit und beneben demselben dem geschäfft abwartete, in den Zweÿten Fünften Stammtheil, 3. Frau Margaretham Salome Spachin gebohrne Ißenheimin, Hn Johann Christoph Spach, des goldarbeiters und burgers allhier Frau Eheliebstinn welche beneben Ihrem herrn Eheliebsteb beÿ dem Geschäfft erschinnen, in den dritten Fünften Stammtheil, Dieße 3. in erster Ehe mit auch weÿland Frauen Maria Ursula Ißenheimin gebohrner Schaaffin, seel. ehelich erziehlter Hn Sohn und Frau töchter
4.to Hn Johann Friderich Ißenheim, den leedigen Zinngießer Gesellen, welcher auf der Wanderschafft begriffen, in den Vierten Fünften Stammtheil, 5.to Jungfer Mariam Elisabetham Ißenheimin, welche in Persohn hiebeÿ Zugegen gewesen in den Fünfften und letzten Stammtheil, dießer beeder letzteren geschworner Vogt herr Johann Wilhelm Schatz, der Zinngießer und burger allhier, welcher sich beneben seiner Jfr. Curandin beÿ dem Geschäfft eingefunden, dieße 2. letztere in 2.ter Ehe mit auch weÿl. Frauen Susanna Salome gebohrner Schatzin ehelich erzielter Herr Sohn und Jungfer tochter, Also alle 5. der in Gott ruhenden H. seeligen in 2. Ehen ehelich erziehlten Söhn, Frau und Jungfer töchtere und zu 5. gleichen portionen und Antheilern Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, Wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obersten bühn, In der Gesellen Cammer, In der Meel Cammer, Im obern hintern Cämmerlin, In der Küchen, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Untern Stub, Im Untern Hauß öhren, Im Officier Stub, Auf der bühn allda, Im Keller daselbsten
(f° 8) Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen eine Behaußung, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münster Kirch gegen der Thür St. Lorentz hinüber, einseit neben H. Isaac Küblers, des gewesenen Silberarbeiters und burgers allh. nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern, anderseit neben Hn Jacob Decari dem frantzösischen Pastetenbeck, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, so gegen männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut abschatzungs Zeduls vom 30.ten Aprilis Anno 1749 angeschlagen pro 1400 lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 25.ten Januarÿ Anno 1672. mit altem N° 2 signirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen.
It. eine Behaußung und hoffstatt in der Fladergaß (…)
(f° 9) Wÿdemb Welchem der Verstorbene Herr seeliger wegen seiner noch lebenden dreÿen Kindern Erster Ehe ad dies vitæ zu usufruiren gehabt hat. Inhalt Inventarÿ über Weÿland Frauen Mariæ Ursulæ Ißenheimin geb. Schaaffin, des Verstorbenen erstern Haußfrauen seel. Verlaßenschafft, durch Herrn Notm. Johann Adam Ösingern nun seel. in A° 1725. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Sa. Haußraths 131, Sa. Werckzeugs Zur Zinngießer Profession gehörig 347, Sa. Weins und Lährer Vaß 168 Sa. Silber geschirr und Geschmeids 57 Sa. goldener Ring 19, Sa. baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüether 3542, Sa. Eigenthums ane häußern 2480, Sa. Schulden 421, Summa summarum 7195 lb – Schulden 2508 lb, Nach solchem abzug 4686 lb
Stall summ 6588 lb
Copia Dispositionis inter liberos. 1745 (…) Dienstag den 30. tag des Monaths Novembris Abends Zwischen Vier und Fünff Uhren beÿ zweÿen Hellbrennenden Liechtern in einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß gelegenen und Von mir Notario bewohnenden behausung (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest undt Großachtbahre Herr Johann Heinrich Ißenheim, der ältere, Zinngießer und burger allhier Zu Straßburg, Von der Gnade des grundgütigen Gottes guter Richtiger Sinnen, Vernunfft n Verstandts und gesprächs (…) Johannes Lobstein Notarius
Abschatzung Vom 30. Aprilis 1749. Auff begehren Weÿland herrn Johann Heinrich Ißenheim deß geweßenen Zinnhießers hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gegen dem Münster über einseit neben Mons. (-) dem Pastetenbecken anderseit neben herrn Isaac Küblers Erben und hinten auff die Erben selbsten stoßend gelegen, Solche behaußung hat vornen neben dem Eingang eine Zinn gießers Werckstatt und hinden daran ein Kammerlin auff dem Ersten stock eine Stube, Stubkammer Küchen und haußöhren, der Zweÿte Stock ist dem Erstern gleich, Auff dem dritten Stock seind dreÿ Kammern wovon Zwo vor die Einlogirung, darüber ist der tachstuhl Welcher mit breit Ziegeln einfach gedeckt darunter Zwo besetzte bühnen Im höffel seind Zweÿ gewölbte Kellerlein und ein Gumpbronnen, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorher beschehene besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt undt angeschlagen Worden, Vor und umb Zweÿ Tausend Acht Hundert Gulden
Der zweÿte begriff ist auch in der Statt Straßburg in der Fladergaß

(f° 14) Vergleich und überlaßung der häußer
Specificatio Alles Zinnengeschirrs und anders, so herr Johann Heinrich , der ältere Zinngießer und burger allhier, seinem Sohn herrn Johann Heinrich Ißenheim, dem jüngern Zinngießer und burgern allhier umb hernachgesetzten Preiß (…) eigenthümlich überlaßen

Jean Henri Isenheim et les deux enfants de son deuxième mariage vendent la maison au sellier Jean Philippe Sauthier et à sa femme Marie Barbe Prima moyennant 1 377 livres

1746 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 613-v
H. Johann Heinrich Isenheim der ältere Zinngießer und deßen in zweÿer ehe mit weÿl. Fr. Susanna Salome geb. Schatzin erzeugte zweÿ kinder Johann Friedrich und Elisabetha der Isenheim vogt H. Johann Wilhelm Schatz des zinngießers
in gegensein Joseph Philippe Sauthier des sattlers und Mariæ Barbaræ geb. Prima, versteigerung
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Langen straß, einseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben Johann Michael Greiner des weinhändlers Ehefrau, hinten auff. Johann Gottfried Schumann den schreibmeister – ihme H. Isenheim als ein währender seiner letzten Ehe am 28. Januarÿ 1727 erkaufft mithin theilbares guth zu zwo tertzen, zur übrigen tertz aber seinen mitverkäufenden kindern als ein mütterliches erbguth – umb 2755 gulden

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du revendeur Pierre Ledez dit Picard

1746 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 615-v
Joseph Philippe Sauthier der sattler und Maria Barbara geb. Prima mit beÿstand ihres vatters H. Claude Prima und ihres bruders Pierre Prima beede Perruckenmacher
in gegensein Pierre Ledez dit Piccard des krempen, zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Langen straß, einseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben Johann Michael Greiner des weinhändlers uxorio nôe. hinten auff Johann Gottfried Schumann den schreibmeister

Natif de Strasbourg, le sellier Jean Philippe Sauthier acquiert le droit de bourgeoisie le 27 juillet 1735.
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1022
Joseph Philipp Sautier d. Satler Von hier geb. erhalt d. b. umb d. alt. b. will beÿ E. E. Zunfft d. gerber dienen. Jur. . 27. Julÿ 1735

Il devient tributaire le 19 août suivant chez les Tanneurs
1735, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 245-v) Freÿtag den 19. Augusti 1735 – Joseph Philippe Sautier der frantzösische Sattler weÿl. Caspar Sautier geweßenen Sattler und burgers allhier nachgelaßener ehelicher und in das burgerrecht gebrachte Sohn, producirt burger und Stallschein dedato 27. Julÿ 1735. und bate um das Zunfft Recht
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt (4 lb 7 ß Zunfft, 2 ß Scribæ, 1 ß Büttel)

Le sellier français Pierre Gayneau rapporte que Jean Philippe Sauthier emploie son frère sans qu’il ait été apprenti ni compagnon. Jean Philippe Sauthier répond que l’apprentissage a eu lieu chez leur père. Le conseil de tribu renvoie l’affaire au corps de métier.
1735, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 301-v) Donnerstag den 3.ten Martÿ Anno 1740 – Pierre Gayneau der Frantzösische Sattler Klagt wider Joseph Philippe Sauthier deßen Mitmeister, daß er seinen bruder auff dem Handwerck arbeiten laße ohne daß er als Lehr Jung noch als Gesell passirt, bitten Ihne dazu anzuhalten, daß er selbigen beÿ Ihrem handwerck einschreiben laßen möchte.
Beklagter gab Vor sein Bruder wäre eines frantzösischen Sattlers Sohn und hatte das Handwerck beÿ seinem Vatter erlernt, bate Ihne davon zu befreÿen.
Erkant, Kläger und Beklagter sollen diese Streit sach beÿ Ihrem handwerck nach dero habenden Articuli durch den Obern handwercks Herren erörtern lassen.

Fils du sellier Gaspard Sauthier et d’Anne Barbe Thiriet, Jean Philippe Sauthier épouse en 1736 Marie Barbe Prima, fille du perruquier Claude Antoine Prima et de Jeanne Chodet : contrat de mariage, célébration
1736 (26.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 55)
Mariage – furent presens Le sieur Joseph Philippe Sauthier m° Sellier Bourgeois de cette ville y demeurant grand’ruë Paroisse St Louis, fils majeur d’ans usant et jouissant de ses droits de feu Sr Caspar Sauthier en son vivant m° sellier aussi Bourgeois de cette ville et de defunte daml° Anne Barbe Thiriet sa femmen faisant stipulant et agissant pour Luy et en son nom d’une part
Et Le Sieur Claude Antoine Prima m° Peruquier aussi bourgeois de cette ville demeurant sur la place d’arme au coin de La Grande Stadelgass Paroisse St Pierre le Vieux et Dlle Jeanne Chodet sa femme faisant stipulant et agissant pour deml° Marie Barbe Prima leur fille presente de son Consentement d’autre part
Fait lû et passé audit Strasbourg le 16° Janvier 1736 (signé) Joseph philippe Sauthier, marie barbe prima

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 340)
Hodie 7. mensis februarÿ anni 1738 (…) Sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Philippus Sauthier civis et Epiphiarius in hac urbe filus defunctorum Gasparis Sauthier et annæ Barbaræ Tirir conjugum, et Maria Barbara Primat filia Claudÿ Primat civis et Comarium textoris et Joannæ Chodec conjugum commorantes in hac urbe adfuerut testes Claudius Prima, Prænobilis Dnus Dr Elvert Satrapa in Dachsburg, Michaele Petit cive et Epiphiario et Joanne Lenoir (signé) Joseph phillippe Sauthier, Marie Barbe prima (i 177)

Jean Philippe Sauthier et Marie Barbe Prima hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Langlois veuve du sellier Antoine Douillard

1760 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 264
Joseph Philipp Sauthier der sattler und Fr. Maria Barbara geb. Prima mit beÿstand H. Johann Georg Fulgraff des perruckenmachers und Johann Peter Clavel des fastenspeishändlers
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Langlois weÿl. Antoine Douillard des sattlers wittib, schuldig seÿen 1500 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langenstraß, einseit ist ein Eck, anderseit neben H Greiner dem weinhändler ux. noe.

Jean Philippe Sauthier hypothèque la maison au profit du fondeur d’étain Jean Frédéric Isenheim

1771 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 207
H. Joseph Philipp Sauthier der sattler
in gegensein H. Johann Friedrich Ißenheim des zinngießers – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Langen straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburger gaß, anderseit neben N. Reumännin, hinten auff Johann Gotfried Schumann des schreibermeisters verlassener Ehefrau – als ein von Johann Heinrich Ißenheim des zinngießers d. 11. Augusti 1746 vermög contract verschreibung erkaufftes guth

Jean Philippe Sauthier et Marie Barbe Prima engagent leur maison en garantie de la rente qu’ils consentent à leur fils Joseph Philippe Sauthier qui se destine à la prêtrise.

1772 (6. 9.bre), Not. Laquiante (6 E 41, 1045) n° 17
Titre clérical – Sr Joseph Philippe Sauthier Mr sellier de cette ville et Marie Barbe Prima assitée du Sr Jean Georges Fulgraff ex senateur Jean Conrad Lacause employé a St Marc
voulant favoriser le saint désir que M Joseph Philippe Sauthier leur fils clerc de ce diocese de se faire promouvoir a L’ordre du soudiaconat (lui assurent) 150 livres tournois
hypothèque de la maison qu’ils possedent en cette ville scise grand Ruë, tenant d’un côté au Sr Rehman boulanger d’autre la rue du poel de fribourg dont elle fait le coin, par derrière au Sr Schuehman et par devant a la grand rue, estimée 8284 livres
(Joint) Auf ansuchen des H. Joseph philip Sodier den burger und sadtler alhier haben würr beide burger Maurer und Zimmermeister alhir seine behausung gelegen in der langen Straß einseit an H Gehman anders. an der freiburger Gaß und hinden an H Schuhman stosend besehen samt alle Grundt und boden vorder und Nebens gebeÿ Rechten und Gerechtigkeidten so Estimiret würd 8284 livres (…), den 4. Novembris 1772 [unterzeichnet] härtelmaÿer Maurer Meister

Jean Philippe Sauthier meurt en 1774 en délaissant trois fils. Les experts estiment la maison à la somme de 2 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 196 livres, le passif à 8 369 livres.

1774 (28. 7.bre), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 9
Inventaire de la Succession de feu le Sieur Joseph Philippe Sauthier, en son vivant Maître Sellier et Bourgeois de la Ville de Strasbourg, fait en l’année 1774.
Inventaire et Description de tous les Effets Meubles et Immeubles, Dettes actives et passives rien excepté ny reservé, que feu le Sieur Joseph Philippe Sauthier, en son vivant Maître Sellier et Bourgeois de la Ville de Strasbourg avoit possedé, contracté et delaissé apres son decés arrivé le 8° Aoust de la presente année 1774., fait à la Requisition de la Dame Marie Barbe Sauthier née Prima sa veuve et de ses trois fils procréés avec sadite Veuve et du Curateur du fils Cadet (…) Fait Lû et passé audit Strasbourg en la Maison Mortuaire à la grande rue el 28 septembre 1774 en presence du Sieur Michel Rieff Maitre sellier et bourgeois de cette ville, l’assistant de la veuve.
Le Deffunt Sieur Sauthier a delaissé pour ses heritiers ab intestato. 1° Monsieur Claude Joseph Sauthier, Ingénieur majeur d’ans, jouissant de ses droits, 2° Monsieur Joseph Phillippe Sauthier, Ecclesiastique agé de 23 ans et en conséquence majeur suivant les Statuts de cette ville et qui est membre du Seminaire episcopal de cette ville, 3° Monsieur Jean Georges Sauthier agé de 19 ans, mineur auqual a eté établi par justice pour tuteur le Sieur Jean Conrad Lacause bourgeois employé à l’aumonerie de St Marc de cette ville, Tous trois procrés du Mariage qui a existé entre le deffunt et ld. Marie Barbe Prima sa veuve

S’ensuit la Copie du Contrat de mariage (…) le 26 janvier 1736, Humbourg Notaire
Total des meubles meublans 426, Total des Marchandises de Boutique, Outils et Ustensils servant au metier de sellier 1648
(f° 13) Propriété d’une Maison. Sçavoir une Maison et fond avec toutes ses appartenances et dépendances scise en cette ville de Strasbourg rue dite grande rue faisant d’un côté le coin de la rue des fribourgs, tenant de l’autre à Marie Salomé Albrecht femme séparée quant aux biens de Guillaume Reumann bourgeois boulanger de service et aboutissant par derrière à Dlle Schouman fille de feu le Sr Jean Geoffroi Schouman en son vivant Maître Ecrivain de lad. Ville estimée pour franche et quitte de toutes dettes par (les) Experts jurés de cette ville suivant l’estimation qu’ils en ont faitte et donnée par ecrit le 4 octobre 1774 à la Somme de 2400 livres. La Propriété de la susd. maison prouve une Lettre d’achapt passée à la Chambre des Contrats de cette ville le 11 Aoust 1746.
Total de la Propriété d’une maison 2400, Total de l’argent comptant 721, Total géneral 5196 livres – Dettes passives 8369 livres, Plus de dettes que de bien suivant le prix de la chambre de la taille 3173 livres
Total de la dette active douteuse 337 livres

Marie Barbe Prima meurt en 1783 dans la maison du vitrier Fügner rue Sainte-Hélène en délaissant trois enfants. L’actif de la succession s’élève à 557 livres, le passif à 8 livres.
1784 (4.3.), Not. Anrich (6 E 41, 1509) n° 264
Inventarium über Weiland Fraun Mariæ Barbaræ Sauthier geborner Prima, längst weiland Hrn. Joseph Philipp Sauthier geweßenen burgers und Sattlermeisters allhier zu Straßburg hinterbliebener Wittib, nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet anno 1784 – nach ihrem am 26.ten Decembris des letzthingelegten 1783.ten Jahrs aus dieser welt genommenen tödlichen Hintritt allhier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Erfordern und Begehren hernach gemelter beeder der Defunctæ seelig hier anwesender herrn Söhnen und Erben fleißig ersucht und inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in einer ane Stæ Helenæ gaß gelegenen, Hrn. Fügner dem Glaßer eigenthümlich zuständigen und dißorts Zum theil lehnungs weiß inhabenden Behausung auf Donnerstag den 4.ten Martÿ anno 1784.
Die abgelebte Frau seelig hat ab intestato zu ihren rechtmäßigen Erben verlaßen ihre dreÿ mit längst weiland Herrn Joseph Philipp Sauthier vorgedacht ehelich erzeugte Kinder als 1° Herrn Claudium Josephum Sauthier den mehrjährigen und dermalen abweßenden Ingenieur beÿ herrn Milord Percy Zu London, Von welchem bald hernach mehrere Erwehnung bestehen wird, 2° S.T. Herrn Joseph Philipp Sauthier, Priestern in des hiesigen Königlichen Collegii wohlverordneten Professorem Philosophiæ publicum so Zugegen, 3° H. Johann Georg Sauthier so majoris ætatis und persönlich gegenwärtig
Welche dreÿ ihrer abgelebten fraun Mutter Nachlaßenschafft on dreÿ gleiche theil unter sich Zu Vertheilen hätten, angesehen aber Herr Claudius Josephus Sauthier der ältere Hr Sohn den ihme daran Zu Kommenden theil Vermög eines sub 12.sten Januarÿ 1784 an Hrn Professor Sauthier abgelaßenen missiv schreibens, seinem jüngern Hrn Bruder Hrn Johann Georg Sauthier cedirt und übergeben, Alß wird gegenwärtige Verlaßenschafft zwischen ihme Hrn Johann Georg Sauthier Zu Zwo und wohl ernanntem herrn Joseph Philipp Sauthier Zu einer tertz abzutheilen seÿn.
Extractus aus angezogenem Missiv Scheiben &&& Mais voila mon Intention, faites de toute la Succession trois parts, gardéz la votre et je cede la mienne a mon frère George, comme vous etes en quelque façon pourvû, je m’imagine que vous ne trouverés pas mauvais que j’avantageasse mon frère Georges attendu qu’il n’a aucun établissement &&& Collationné pour Extrait
Sa. Hausraths 57 lb, Sa. Pfenningzinß und deßen Hauptguth 500 lb, Summa summarum lb – Schulden 8 lb, Compensando, Stall summ 549 lb
ungewiße und zweiffelhaffte schulden 84 lb
(Lettre datée de Stanwick en Yorkshire ce 12 janvier 1784)

Marie Barbe Prima veuve de Jean Philippe Sauthier et ses enfants vendent la maison au cafetier Nicolas Huin.

1775 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 14
Fr. Maria Barbara Sauthier geb. Prima weÿl. H. Joseph Philipp Sauthier gewesten sattlers wittib, beÿständlich H. Michael Riff des sattlers, ferner dieselbe innahmen ihres großjährigen sohns H. Claude Joseph Sauthier des ingenieurs, mehr nahmens H. Joseph Philipp Sauthier diaconi, Johann Conrad Lacause der allmoßen knecht alß geordneter und geschworener vogt besagten H. Sauthier minderjährigen sohns Johann Georg
in gegensein H. Nicolaus Huin des caffesieders
eine unter ihnen verkäuffern gemeinschafftliche behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, daran ihre wittib dem Ehe contract gemäß die helffte, die andere helffte denen kindern und erben ane der Langen straß ane der Freÿburgergaß wovon dieselbe ein eck außmacht, einseit neben Susanna Schuhmännin, anderseit neben Fr. Reumännin, hinten auff besagte Schuhmännin – H. Abbé Joseph Philipp Sauthier titulo clericali mit 150 li pension verhafftet, das nicht er den käuffer die H. Abbé Sauthier vorausgesetzte pension ins besonderen zu erlegen – um 3515 gulden

Nicolas Huin prend à bail l’auberge du poêle des Pelletiers
1772, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 332) 1751-1778
(f° 268.a) Dienstags den 15. Septembris 1772 abends um fünff Uhr hat sich Ein Löbl. Collegium derer Herren schöffen vesammlet und wurde dabeÿ folgendes verhandelt, wobeÿ hochgebietender Herr Oberherr Zugegen war, Herr Nicolas Huin, mit welchem E. E. Zunft vermög besondern Auffsatzes eine Lehnung auff Neun Jahr lang pro 1300 lit. jährlichen Zinß getroffen hat, beklagte sich, und stellte vor, daß er nunmehr wahrnehme, daß er nicht Zweÿ sondern nur ein Billard in die Entresol stellen Könne, auch sonst nicht Platz genug vor sich, seine Künftlige Ehefrau und Gesind habe, bitte dahero ihme noch über die im bail bemeldte Plätz und Gemach noch was Mehrers gegen offerirung eines mehrern Zinßes angedeÿen zu lassen Hierauff wurde ihme Zwar noch die untere vordere Boutique als eine addition des bail gegen bezalung jährlicher 500 lit mlehrer Zinßes offerirt, welches er aber nicht annehmen wollen, mithin weiter nichts mit ihme vorgegangen noch geschloßen worden.

Originaire de Sainte-Croix en Haute-Alsace, Jean Huin épouse en 1772 Marguerite Marie Josèphe Scholl, fille du marguillier de Saint-Louis Jean Conrad Scholl : contrat de mariage, célébration
1772 (20. 9.bre), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 120
Contrat de mariage – sont comparus le Sr Nicolas Huin, Caffetier, fils majeur d’ans, usant et jouissant de ses droits, de Jean Huin, bourgeois Laboureur à Ste Croix en Alsace, et de Marie Perrin, ses pere et lere d’une part
Et Dem.lle Marguerithe Marie Josephe Scholl, fille du Sr Jean Conrad Scholl, Marguillier de lEglise de St Louis et bourgeois de cette ville, procréé avec feu Dlle Marguerite Lerch, ses pere et mere, agissant sous l’autorité dud. Sr son pere, d’autre part
cejourd’hui 20° novembre 1772 (signé) Nicolas Huin, Marguerithe Marie joseph Scholl

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 346)
Hodie 24. Mensis Novembris anni 1772 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Nicolaus Huin filius minorennis joannis huiin et Mariæ Perin et Maria Margarita Josepha Scholl filia minorennis joannis Conradi scholl æditui nostri et Margarethæ Lerch defunctæ in hac Parchia commorantes Niclaus Nicolas Huin Marguerithe Scholl (i 176)

Originaire d’« Orbisheim », Nicolas Huin devient bourgeois par sa femme le 5 décembre 1772 à l’ancien tarif en s’inscrivant à la tribu des Fribourgeois : inscription et traitement de la demande
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 72-v
Nicolas Huin, Caffé sieder von Orbisheim im Ober Elsaß, erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrau Maria Margaretha Josepha Scholl Conradt Scholl, Sigrist beÿ St Louis und burgers allhier ehel. tochter umb den alten burger schilling will dienen beÿ EE Zunfft der Freÿburger, Jur. den 5. Xbr. 1772.

(VI 286 bis, p. 417) Freÿburger, N° 39. den 26. 7.bris 1772.
Nicolaus Huin der Leedige Keller gebürtig Von Orbisheim. Verlobt an Margaretham Josepham, Joh: Conrad Scholl des B: und sigristen Zu St Louis allhier Ehel. Tochter. Seine Schein Zeig. daß er Ehel. geborhren Cath. Relig. daß seine Sponsæ gebühr in richtigkeith, Er die Erforderl. Stadt Stall Caution geleistet und des Zunfftrecht beÿ E : E : Zunfft der Freÿburger Vertröstet word.
500 fl. Baaren gelts Hat derselbe dargewißen und deßen wahren Eigenthum mit Eÿdt erhärtert auch 103. fl. beÿm B. Proth. deponirt.
Impl. Bittet E. G. ihme a Sponsa um den A. B. schilling des b. rechts gnädigst Zu vertrösten.
Receptus a sponsa um d. A: B: Sch.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du banquier Kornmann rue Saint-Louis. Ceux du mari s’élèvent à 527 livres, ceux de la femme à 815 livres.
1772 (30.11.), Not. Zimmer (6 E 41, 1417) n° 299
Inventaire des apports du Sr Nicolas Huin, bourgeois de Caffetier de cette ville de Strasbourg et de Dlle Marguerithe Marie Josephe née Scholl son Epouse, dressé en l’année 1772
Inventaire et Description de tous les Biens generalement quelconques apportés en mariage par le Sr Nicolas Huin, bourgeois de Caffetier de cette ville, et la Dlle Marguerithe Marie Josephe née Scholl son Epouse, à eux propres et reservés suivant l’article troisième de leur Contrat de mariage passé pardevant le Notaire soussigné le 20° du present mois de novembre. Lequels Biens à la requête dudit Sr Huin et de la Dlle son Epouse, assistée du Sr Jean George Sturm, bourgeois Portier à l’hôpital bourgeois de cette ville, son tuteur (…) Fait et passé à Strasbourg le 30° novembre 1772
Trouvés dans une maison scise en cette ville de Strasbourg rue St Louis appartenante au Sr Kornmann, Banquier à Paris
Etat sommaire du present Inventaire. Les apports du Sieur Huin, Total des Meubles et Effets 473, Total de l’argenterie 88, Total de l’argent comptant 864, Total de la Dette active 600, Total general 2025 livres – A laquelle in convient d’ajouter la moitié des Presens de nôces 81 livres, Montant des biens du Sr Huin 2107 livres
S’ensuit aussi la description des Biens apportés en mariage par la Dlle Huin, Total des meubles et effets 2225, Total des Bagues d’or 34, Total de l’argent comptant 208, Total de la Dot 600, Total general 3179 livres – En y ajoutant la moitié aux Presens de nôces faisant 81, Il appert que tous les Biens appartenant en propre à lad. Dlle Huin se montent ensemble à la somme de 3260 livres

Nicolas Huin hypothèque au profit du ferblantier municipal Jean Georges Müller les deux maisons voisines qu’il a respectivement acquises des héritiers Sauthier et des héritiers Schumann pour en acquitter le prix d’achat et les frais de construction

1776 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 104
H. Nicolas Huin der caffésieder
in gegensein H. Johann Georg Müller des Stattspenglers, ane baar gelühen und theils zue bezahlung der bau kösten nachbeschriebener unterpfändter behausung theils zur abführung (..) des kauffschilling capitals – schuldig seÿe 1000 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden die er unterm 16. Januarÿ 1775 von Fr. Maria Barbara Sauthier geb. Prima erkaufft,
ferner eine behausung so er von Schuhmännischen interessenten unterm 16. Julÿ besagten jahrs käufflich ane sich gebracht, welche beede behausungen aus dem grund neu erbaut und nunmehr nur ein haus formiren, diese neu erbaute behausung nun ist in der Langen straß ane der Freÿburgergaß wovon sie ein eck außmachet, einseit neben Fr. Reumännin, anderseit neben N. Haffner vogteÿ boden, hinten auff denßelben

Nicolas Huin et Marie Josèphe Scholl hypothèquent la maison qu’ils viennent de faire construire

1776 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 279
H. Nicolaus Huin der caffesieder und Maria Josepha geb. Schollin unter assistentz Johann Wunibald Renck des schneiders ihres geordneten curatoris
in gegensein H. Andreas Müller des Maurermeisters und H. Antoni Enderle des Zimmermeisters, H. Müller vor maurer arbeit ane neu erbauten hiernach beschriebenen unterpfändete behausung 800 gulden, H. Enderle vor gemachte Zimmer arbeit, 1500 gulden, an welche hauptsumm der comparenten Stieffmutter Fr. Margaretha Gougin geb. Natzigin 1200 gulden zu genießen
unterpfand, vorgedachte neu erbaute behausung samt zugehörden ane der Straß und zum theils ane der Freÿburgergaß

Nicolas Huin et Marie Josèphe Scholl hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Daniel Lauth

1777 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 134
H. Nicolaus Huin der caffesieder und Maria Margaretha Josepha Schollin unter assistentz H. Johann Conrad Scholl des sigrist zu St Louis ihres leiblichen vattes und H. Johann Bpatista Choisy des sattlers
in gegensein H. Johann Daniel Lauth notarii publici jurati ac practici – schuldig seÿen 1500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Langen straß und zum theil ane der Freÿburger gaß

Nicolas Huin meurt en septembre 1777 en délaissant pour seuls héritiers ses parents habitant à Sainte-Croix. Les experts estiment la maison à 2 500 livres. La masse propre à la veuve est de 630 livres, la masse propre aux héritiers de 228 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 790 livres, le passif à 6 978 livres.

1777 (8. 8.br), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 50
Inventarium über Weiland Herrn Nicolas Huin gewesenen Caffée: Sieders und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1777. – nach seinem den 28.ten 7.bris laufenden 1777.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Nachlaßenschaft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Fraun Margarethæ Mariæ Josephæ Huin gebohrner Schollin, der hinterbliebenen Wittib, wie auch H. Joh. Baptist Choisi berühmten Sattler: Meisters, E. E. Großen Raths alten: und E. E. Kl: Raths dermalig Wohlverdienten Beisitzers und hiesigen Burgers, als (…) Vor die abwesende und auf folgendem benambste ab in& hinterbliebenen Erben aus ged. E Kl. Raths Mittel hierzu insonderheit abgeordneten H. Deputati (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in præsentia H. Johann Conrad Scholl, des Wohlbestellten Sigristen zu St Louis und Burgers dahier, der Fr. Wb. leibl. Vaters und hierzu berufenen Beistands auf Mittwoch den 8.ten 8.bris Anno 1777.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1° Johann Huin, den Taglöhnern und Burgern zu Ste Croix im Elsaß und 2° Fraun Mariam Huin gebohrene Perrin, deßen Ehefrau, diese beede sind des Verstorbenen seeligen Leibliche Eltern und aus Mangel ehelich erzeugt vorhandener Kinder, ab intestato zu gleichlingen Portionen hinterbliebene Erben
Copia der Zwischen beeden nun Zertennten Ehe: Persohnen coram Herrn Notario Zimmer den 20.ten 9.br 1772. als Zur Zeit ihrer Verheurathung auffgerichteten Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Freÿburgergaß und Langen Straß gelegenen Caffée behausung à la Reine de France genannt u. in disortige theilbare Massam gehörig, befunden Worden, wie folgt
Eigenthum an einer Behausung so theilbar. Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg an der untern Langen Straß, an der Freÿburger Gaß, wovon dieselbe ein Eck ausmacht, einseit neben Joh. Jacob Haffner dem Vogtei: Boten, anderseit neben Mr Joh. Wilhelm Reumanns, des Weißbecken geschieden: u. verlaßener Ehefrau, hinten auf ged. Frau Reumännin stosend, so auser hernach specificirten darauf Versicherten Passiv: Capitalien, freÿ, ledig und eigen, Und ist diese Behausung nach Maasgab der Zu diesortigem Concept geschickten und Von H. Hueber und H. Kaltner den 7.ten 8.bris 1777. unterschriebenen Abschatzung, angeschlagen worden, pro 5000 fl. oder 2500 lb. Worüber und zwar Weilen diese Behausung ehender als sie neuer dingen aufgebauen war, aus zweien erkauften alten häusern bestunde, zwo teutsche perg: in allh. C. C. Stub Libells weis verfertigte Kauffverschreibungen besagen, beede mit dero gröserem Insiegel verwahrent sind de datis 16. Jan. und 26.ten Julii 1775
Ergäntzung der Frauen Wittib währender Ehe abgegangener unveränderten Guts, Nach Anleitung des Von beeden nun zetrennten Ehegatten durch H. Not.m Joh. Friedrich Zimmer den 30.ten 9.bris 1772 errichteten Inventarii illatorum
Mütterliche Wÿdums: Verfangenschaft So die Fr. Wb. unverändert u. H. Joh: Conrad Scholl dero Leiblicher Vater von seiner erstern Ehefr. weil. Fr. Margaretha gebohrner Lerchin, Kraft der mit einander auffgerichteten Eheberedung Lebenslänglich Zu genießen hat
Series rubricaruim. der Frau Wittib unverändert, haussteur 2 lb, Sa. Hausraths 136 lb, Sa. Silbers 2 lb, Sa. der Ergäntzung 416 lb, Sa. Schuld 75 lb, Summa summarum 630 lb
Demnach wird auch der Erben unverändert Guth verzeichnet, haussteur 2 lb, Sa. Hausraths 20 lb, Sa. Silbers 2 lb, Sa. des Ergäntzungs: Rests 280 lb, Summa summarum 303 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 228 lb
Endlichen wird dann die gemein: verändert und thielbare Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 73 lb, Sa. Baarschafft 109 lb, Sa. Billards Schiff und Geschirr wie auch vorräthiger Waar zum Caffée: Schanck gehörig 107 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 2500 lb, Summa summarum 2790 lb – Schulden 6978 lb, Passiv onus 4187 lb Endlcihes Passiv: onus loco Stall: summæ 3329 lb
Copia der Eheberedung (…)

Marie Josèphe Scholl demande l’autorisation de se remarier avant la fin de son deuil. Bien que Nicolas Huin ne soit mort que trois mois et demi plus tôt, l’avocat général est dévis d’autoriser le remariage à cause du passif important qui grève la succession. Les Conseillers et les Vingt-et-Un éconduisent la pétitionnaire mais donnent leur autorisation trois mois plus tard.
1778, Conseillers et XXI (1 R 260 et 1 R 261)
weil. Niclaus Huin geweßten Caffésieders wittib Margr. Maria Josepha geb. Schollin wird p° dispensat. in tempore luctus heurathen Zu können, dato noch abgewießen. 395.
(p. 395) Sambstag den 10. Januarii 1778. – Wilhelm nê Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geb. Schollin weil. Niclaus Huin geweßten burgers und Caffeesieders alhier wittib Implorantin prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub N° 1, 2 et 3 puncto dispensationis von der übrigen trauerzeit.
Nach angehörtem voto H. general advocat Mogg welcher gemeldet, es seÿe Zwar der Implorantin maritus erst den 28.sten Septembris Jüngst gestorben, folglichen die Zeit alzukurtz umb wieder in die Zweÿte Ehe schreiten Zu können, wann jedoch anderseits betrachtet wird, daß Implorantin die das Caffée gewerb treibet, ohne mercklichen schaden die Meisterschafft allein fortzuführen nicht Vermag, selbige auß erster Ehe keine Kinder erzielet und der beneficien ihrer Eheberedung, so in general Wÿdumbsgenuß bestehen solte, indeme des defuncti ohnverändert und theilbare Nahrung mit einem starcken passif onere beladen nicht genießen kan, so wolle er Mghh anheim gestellet haben, obnicht beÿ solchem Günstigen Umbständen derselben mit gebettener dispense Zu wilfahren wäre, doch daß selbige dem Allmosen ein erglöckliches beÿzutragen haben solle.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener Umbfrag Implorantin mit ihrem gesuch noch Zur Zeith abgewießen. Dppi. H. Rath, Kimmig, H. Rathh. Lauth.

1778 Conseillers et XXI (1 R 261)
weil. Nicolaus Huin geweßten burgers und Caffésieders alhier wittib fr. Margaretha Maria Josephia geb. Schollin, erhält dispensat. à tempore luctis gegen erlang 6. lb in das allmosen. 76.
(p.76) Sambstag den 14. Martii 1778. – Wilhelm nê Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geb. Schollin weil. Niclaus Huin geweßten burgers und Caffeesieders alhier wittib Implorantin prod. unterth. Memoriale und bitten puncto dispensationis von der übrigen trauerzeit.
Nach angehörtem voto H. general advocat Mogg welcher gemeldet, da Implorantin den 10. Januarii jüngst wegen gleichem begehren abgewießen worden, so seÿe es haubtsächlich darumb geschehen, weilen ihr maritus est gegen viertthalb Monath vestorben da selbige aber seit deme wieder vorstehet, und E. G. neuerdings nach Verlauf über Zween Monath umb nehmliche gnad anflehet, ihre häußliche Umbständten besonders beÿ treibung des Caffé Rechts ihr ohne unvermeidlichen Nachtheil ihr nicht Zulaßen, das angefangene werck ferner allein Zutreiben erlauben, beÿ selbiger auch laut Vorgelegtem Ammenschein Kein Zeichen einiger schwangerschafft nicht wahrzunehmen, so glaube er daß der Implorantin mit gebettener dispense jedoch gegen einigem betrag in das allmoßen Zu willfahren wäre.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener Umbfrag per majora Erkandt, wird der Implorantin mit gebettener dispensatione tempore luctus heurathen zu dörfen, jedoch also wilfahrt, daß selbige sechs pfund d. in allhießiges allmosen entrichte und den erlag zu gehörige orthen bescheine. Dppi. H. Rath, Lauth, H. Rathh. Hervé.

Marie Josèphe Scholl se remarie en 1778 avec le perruquier luthérien Jacques Henri Burger, originaire de Dossenheim (mariages mixtes autorisés, voir la lettre du duc de Choiseul) : contrat de mariage, célébration. Les parties accordent à Madeleine Œrtler, troisième femme de Jean Conrad Scholl, l’habitation dans leur maison pendant son veuvage.
1778 (18.3.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 35
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen, der Ehrengeachte Herr Jacob Heinrich Burger, lediger Perruquier von Dossenheim gebürtig, Georg Jacob Burger, des Innwohners und burgers daselbst, mit Fr. Elisabetha gebohrner Jungin ehelich erzeugter Sohn, unter verbeÿstandung Hn Wunibaldus Rinck des Schneider ; Meisters und Burgers allhier, wie auch Zufolg producirten und von seinen erstged. Eltern sowol als auch seinem H Oncle unterschriebenen allein gleich wieder Zurückgelegten Consens Scheins, hierzu authorisirt, als Hochzeiter an einem
So dann die Viel Ehr: und tugendreiche Frau Margaretha Maria Josepha Huin gebohrne Schollin, Weil. Herrn Nicolas Huin gewesenen Caffée: Sieders und hiesigen Burgers seel. nachgelaßene Wittib, und Zwar unter assistentz Joh: Conrad Scholl des wohlbestellten Sigristen Zu Saint Louis und burgers hieselbten, ihres Leiblichen Vaters als Hochzeiterin am andern theil
Fünfftens, verpflichten sich beede hochzeitliche Personen sowol vor sich als auch ihre Erben gegen Frau Magdalena Schollin gebohrne Örtlerin Eingangs ged. Hn Scholl, ihres Leibl. und respe. Schwieger Vaters Eheliebstin dahin, Wann sich solte Zutragen, daß Hr Scholl vor seiner Zweiten Ehefrauen nächstgedacht versterben würde, so wollen Sie Ihro der als dannigen Wittib als dero resp° Stief: Mutter und Stief: Schwieger: Mutter in dero Würcklich bewohnenden behausung an der Langen Stras und Freiburger gaß liegend u. à la reine de fance, genannt eine Wohnung Zuhinderst auf dem Zweite stock mit denen Fenstern in ged. Freiburgergaß aussehend, so aus einer Stub, Stub: Cammer, Kuchen v einem Pläzlein im Keller bestehen soll, einraumen, und solche Lebenslänglich solang Sie nemlichen im Wittwenstand verbleiben sollte, ohne Zinß und einige Abgab Zu bewohnen und zugebrauchen
So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 18. Martii Anno 1778. nachmittag [unterzeichnet] Jacob heinrich burger als hoch zeiter, Marie joseph huin né choll

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 85)
Hodie 19 mmensis martii anni 1778 (…) in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt jacobus henricus Burger oroindus ex Dosenheim filius legitimus et minorennis Georgii Jacobi Burger et Elisabethæ jung conjugum et civium dicti pagi a decem annis hac in urbe commorans Religione Lutheranus Ex unâ et Maria Josepha Scholl vidua defuncti Nicolai Huin civis Dum viveret hujatis Religione catholica parochiana ad stum petrum senioren (signé) Jacob Friderich burger, Marie Joseph huin (i 45)

Jacques Henri Burger figure sur la liste de nouveaux bourgeois (registres en déficit). Le mariage fait l’objet d’un certificat délivré par le pasteur du Temple-Neuf, conservé dans le fonds Saint-Thomas
VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780) Jacob Heinrich Burger
1778, Temple Neuf, Jacob Heinrich Burger E, Margaretha Maria Josepha geb. Schollin, Nicolas Huin wittib C, 829 (1 AST 89 (Mariages mixtes)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que l’épouse apporte en mariage. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres. L’actif de la femme s’élève à 5 413 livres, le passif à 6 149 livres.

1778 (6.4.), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 55
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Jacob Heinrich Burger, dermaligen Caffée: Sieders, wie auch der Viel: Ehren und Tugendreichen Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geborner Schollin, beede Eheleuthe u. Burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1778 – in ihrem den 23.ten Martii laufenden 1778. Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich Vermög der vor mir Notario den 18.ten d: m: et a: aufgerichteten Ehe: Beredung §° 2° für unverändert vorbehalten haben (…) Sie die Ehefrau unter Verbeiständung H. Joh. Conrad Scholl, des wohlbestellten Sigristen zu St Louis und Burgers dahier ihres leiblichen Vaters, beschehenes Ansuchen inventirt – So geschehen allhier Zu Strasburg auf Montag den 6.ten aprilis Anno 1778.

In einer allhier zu Straßburg ane der langen Stras und Freiburger: Gaß gelegenen à la Reine genannten und diesortiger Ehefraun eigenthümlich zuständigen Caffée: Behausung befunden worden Wie folgt
(f° 6) Eigenthum an einer behausung. (F.) Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an der untern Lang Straas und der Freiburgergaß, Wovon dieselbe ein Eck ausmacht, einseit neben H. J: Jb: Haffner dem Vogtei: Botten, anderseit neben Mr J. Willh: Reumanns des Weißbecken geschieden u. verlaßener Ehefraun, hinten auf ged. Fr. Reumännin stosend, so auser hernach specificirten und darauf Versicherten Passiv: Capitalien frei, ledig und eigen Es ist diese Behausung der unter Ihnenselbsten gemachten Abschatzung nach, hier ohnpræjudicirlichen auszuwerfen genehmigt worden pro 4375 lb. Worüber u. zwar, Weilen vorbesagtes haus, ehender als sie neuer dingen aufgebauen war, aus zweien, Während ihres, als der dißortigen Ehefr : mit weil. Hn Nicolas Huin, dero erstern Ehemann seel. gehabten Ehestandts, erkauften alten Häusern bestunde, 2 teutsche perg. in allhiesig. Löbl. C.C.St: Libells: weis verfertigte Kauf: Verschreibungen de Datis 16. Jan. 1775 und 26. Julii d: a: besagen, so beede in deo gros : Inns. verwahret sind
des Ehemanns zugebrachten Vermögens, Sa. Silbers 16 lb, Sa. Golden: Geschmeids 30 lb, Sa. Baarschafft 25 lb, Sa. Schuld 75 lb, Summa summarum 146 lb
Solchemnach werden auch der Ehefraun in dieder Ehe gebrachte Mittel verzeichnet, Sa. Hausraths 342 lb, Sa. Billards, Schiff und Geschirr wie auch vorräthiger Waar, so zum Caffée: Wesen gehörig 208 lb, Sa. Silber Geschirrs 35 lb, Sa. gold. Ring 10 lb, Sa. Baarschafft 48 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 4375 lb, Sa. Schulden 393 lb, Summa summarum 5413 lb – Schulden 6149 lb, In Gegeneinanderhaltung 735 lb
Schuld in des Ehemanns zugebrachte Nahrung zugeltend, von Georg Jb: Burger und inwohner zu Dosenh: wie auch Elisabetha geb. Jungin als des ehemanns leiblichen Eltern
Mütterlichen Wydums Verfangenschafft so die Ehefrau gebracht

Marie Josèphe Scholl meurt en 1782 en délaissant un fils. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire dressé en 1777 (2 500 livres). La masse propre au veuf est de 125 livres, celle des héritiers de 3 326 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 401 livres, le passif à 1 061 livres.

1782 (21.6.), Not. Lauth (6 E 41, 649) n° 109
Inventarium über Weil. der Viel: Ehr: u: Tugendreichen Fraun Margarethæ Mariæ Josephæ Burgerin gebohrner Schollin, des Ehren: geachten Hn Jakob Heinrich Burger, Caffé: Sieders und Burgers allh: Zu Strasb. gewesene Eheliebstin nunmehr seel. Verlassenschaft aufgerichtet in Annoc 1782. – nach Ihrem den 22.ten Maÿ dieses laufenden 1782.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Vonhinnenscheidten hier Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf freundliches Ansuchen Erfordern und BegehrenHn Jakob Heinrich Burger, des hinterbliebenen Wittibers wie auch Hn Johann Conrad Scholl des Wohlbestellten Sigristen in der Pfarrei zu St Louis und Burgers dahier, als Großvaters u. resp° geordnet und geschworenen Vogts (des) Söhnleins (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Freitag den 21. Junii Anno 1782.
Die verstorbene seelige hat ab intestato zu ihrem Erben verlaßen wie folgt, Nemlichen Heinrich Andreas Conrad Burger, so dermalen nur anderthalben Jahr alt, also unmündig, dahero bevögtiget (…) mit Hn Joh: Conrad Scholl Eingangs gedacht

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straas und Freiburgergaß gelegenen à la Reine genannten in disortig. Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behausung befunden worden, wie folgt
(f° 6) Eigenthum ane einer behausung, so dem Beneficial: Erben unverändert. (E.) Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und bronnen, mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Untern Langstraas u. der Freiburger: Gaß, wovon dieselbe ein Eck ausmacht einseit neben Hn. J. Jb: Hafner dem Vogtei: Botten, anderseit neben Mr Mich. Schott dem Weisbecken, hinten auf ged. Mr. Schott stosend, so auser hernach specificirten u: darauf Versicherten Passiv: Capitalien, frei, ledig u. eigen, Es ist diese Behausung bei Weil. Hn Nicolas Huin gewesenen Caffé: Sieders u. Brs; allhier, als der diesortig. Verstorbenen seel. erstern Ehem. seel. Verlaßenschafft durch eine von H. Hueber und H. Kaltner unterschriebene und Zum dasigen Inventarii Concept schrifftlich eingeschickte Abschatzung datirt den 7.ten 8.bris 1777. æstimirt und diesorts ohnerachtet solche seithero mehr ab: als Zugenommen, den noch dabei gelasen worden pro 5000 fl. oder 2500 lb. Worüber und zwar, Weilen diese Behausung ehender als Sie neuer dingen aufgebauen wurde, aus zweien erkauften alten Häusern bestunde, Zwo teutsche perg: in allh. C. C. Stub Libells weis verfertigte Kauffverschreibungen besagen, so beede mit dero gröserem Insiegel verwahrent sind de Datis 16. Jan. und 26.ten Julii 1775
Abschatzung vom 7. octobre 1777, Auff begeren Weÿland Nicolat Huin dem geweßenen Cafesieder ist Eine Behausung allhir in der statt straßburg in der langen straß gelegen Ein seÿts Ein Eck auf die freÿburger stubgaß anderer seÿts neben frau Rehmerin und hinten auf herr Haffner dem fogteÿ bott stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Zweÿ biljard stuben ferner in Etlichen stuben Kuchen und Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter und Ein getremter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um fünff Tausend gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mst
(f° 7) Ergäntzung des Hn Wittibers währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach anleitung des Von beeden nun zetrtennten Ehepersonen durch mich den adhibirten Inventir: Notarium den 6.ten Aprilis. 1778 angefangenen und d. 27.ten Martii 1782. beschlossenen u. expedirten Inventarii illatorum
(f° 12-v) Gros: Mütterliche Wÿdums: Verfangenschaft, So dem G: E: unverändert und H. J: Conrad Scholl dessen Gros: Vater von seiner erstern Ehefr. weil. Fr. Margaretha gebohrner Lerchin, Kraft der mit einander auffgerichteten Eheberedung Lebenslänglich Zu genießen hat
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Des Hn Wittibers unveränderten Guts, Sa. Silber Geschmeids 8 ß, Sa. golden Geschmeidts 8 lb, Sa. Guts: Ergs. 115 lb, Summa summarum 125 lb
Diesemnach wird auch der Verstorbenen seel: modo dero minorennen Söhnl. als Von dessen Hn Vogt declarirten Beneficial: Erbens unverändert Vermögen verzeichnet, Hausraths 112 lb, Sa. Billards, Schiff und geschirr so Zum Caffé Schanck gehörig 21 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. gold. Ringe 2 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 2500 lb, Sa. der Ergäntzung (passiv onus 1292), Summa summarum 2640 lb – Schulden 5967 lb, In Gegeneinaderhaltung 3326 lb
Endlichen wird auch die gemein : verändert u. theilbare Verlaßenschafft geschrieben, Sa. Hausraths 18 lb, Sa. Billards, Schiff und geschirr, Wie auch vorräthige Waar, Zum Caffé Schanck gehörig 28 lb, Sa. Pferds 12 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. goldenen Rings 12 ß, Sa. Baarschafft 25 lb, Sa. Schulden 1311 lb, Summa summarum 1401 lb – Schulden 1061 lb, Nach deren Abzug 340 lb
Passiv onus loco Stall Summæ 2861 lb – Zweiffelhaffte schulden in des B. E. unveränderten Vermögenschaft zugeltend 393 lb, in de theilbare Verlaßenschaft zugeltend 30 lb – Großmütterl. Wÿdums: Verfangenschaft perge f° 12 b

Calcul sommaire de la succession
1784 (9.2.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 929) n° 111
Summarischer Calculus über Weiland Frauen Margaretha Maria Josepha Burgerin geborner Schollin, Hn Paul Heinrich Burger, Caffetier und burgerlichen Inwohners alhier, im Leben gewesener Ehegattin nunmehrige Verlassenschaft. Nach Anleitung des hierüber durch Hn Notarium Johann Daniel Lauth, den 21. Junÿ 1782 dem Stall tax nach errichtet und expedirten Inventarÿ, mit Aufrichtung Besser und Überbesserungen, durch mich unterschriebenen Notarium

Jacques Henri Burger se remarie en 1784 avec la luthérienne Marie Salomé Walcker aussi dite Walter, fille du charpentier Jean Léonard Walcker : contrat de mariage, célébration
1784 (12.2), Not. Roessel (6 E 41, 936) n° 83
Eheberedung – zwischen Herrn Jacob Heinrich Burger, Wittiber, Caffetier und burgerlichen Innwohner daselbst, H. Georg Jacob Burger, Hosenstrickermstr. und Burgers in Dosenheim mit Fraun Elisabetha gebohrner Jungin, ane einem
So dann Jungfraun Mariä Salome Walckerin, weil. H. Johann Leonhard Walcker geweßenen Zimmermann und hießigen burgers mit auch weil. Fraun (-) gebohrner (-) ehelich erziehlt und hinterl. tochter beÿständlich ihres geschworne und annoch ohnentledigten Vogts H. Johann Christian Beÿerbach, des hießigen Burgers und Schneidermeisters als Braut ane dem andern Theil
Actum Straßburg auf Donnerstag den 12. Februarÿ 1784 [unterzeichnet] Jacob Heinrich Burger als hochzeiter, Maria Salomea Walckerin hochzeiteron
(Deponirt) Straßburg den 13. Februarÿ Anno 1784.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 121 n° 241)
Im Jahr 1784, Mittwoch den 25. Februaii Abends um Vier Uhr sind nach den ordentlichen proclamationen (…) in dieser unserer Kirche Zu St. Thomæ in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Herrn Johann Heinrich Burger der Caffesieder wittwer und burger allhier und Jungfrau Maria Salome weiland Johann Leonhard Walter (sonst auch Walcker genannt) gewesenen Zimmermann und burgers allhier mit weiland Frau Marg. Barb. gebohrner Bartholdin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Burger als hochzeiter Maria Salomea Walterin hochzeiterin (i 125)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont le mari a la jouissance au coin de la rue des Fribourgeois. L’épouse apporte une maison au Fossé des Tanneurs. Les apports du mari s’élèvent à 977 livres, ceux de la femme à 855 livres.

1784 (30.6.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 935) n° 53
Inventarium über Herrn Jacob Heinrich Burger des Caffetier und Fr. Mariæ Salome geb. Walterin beder Eheleute und Burgere alhier Zu Strb. einander für ohnverändert in die Ehe gebrachter Nahrungen aufgerichtet Anno 1784. – in ihrem den 25. Februarii jüngst mit einander angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich vermög der unterem 12. febr. 1784. errichteten Eheberedung für ohnverändert vorbehalten haben, (…) So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der untern Langenstraß ane der Freÿburger gaß gelegenen von dem Ehe H. Wittums weis bewohnenden behaußung in fernerer Gegenwarth H. Joh. Christian Beÿerbach des Burgers u. Schneidermstrs. der Ehefrauen annoch ohnentledigtenen Vogts und beÿstands auf Mittwoch den 30.sten Junii 1784.

Eigenthum ane einer Behaußung (F.) Nemlich eine Behausung an dem Rindshäuter oder Gerber: Graben (…)
Wittum Welcher der Ehemann Hr Jacob Heinrich Burger, von seiner verstorbenen erstern Ehegattin frauen Marg. Mariæ Josephæ geborner Schollin Zugeniesen hat. Nemlich Zufolg des Zwischen ihm H. Burger und seiner erstern Ehefr. einer gebornen Schollin vor H. Not° Joh: Daniel Lauth unterm 18. Märtz 1778 mit einander auffgerichteten Ehe Contracts und Zwar §° 4° (…) Wobeÿ aber auch beede nun Zertrennte Burgerische Eheleuth sowohl vor sich als auch ihre Erben gegen Frau Magdalena Schollin gebohrener Örtlerin Hn Conrad Scholl ihres leibl. und respe. Schwiger Vaters Eheliebste dahien verpflichtet haben, wann sich solte Zutragen, daß Hr Scholl vor seiner Zweÿten Ehefr. nechstgedacht, versterben würde, so wollen sie ihre der als dannige Wittib, als dero respê Stief Mutter und Stieffschwiger Mutter in die würcklich bewohnenden behaußung an der langen stras und Freiburger Gaß liegend a la Reine de France genanndt eine Wohnung Zu hinderst auf den Zweÿten Stock mit denen fenstern in gedachte Freiburger Gaß aussehend, so aus einer Stub, Stub Kammer, Kuchen und einem Plätzel im Keller bestehen soll, einraumen, um solche lebenslänglich so lang sie nemlich im Wittwenstand verbleiben solte ohne Zins und einige Abgang Zu bewohnen und Zugebrauchen.
Series rubricarum hujus Invent.. Des Ehemanns eingebracht Vermögen, Sa. haßraths 224, Sa. Billards Schiff u. gesch 336, Sa. Silbers 19, Sa. golds 31, Sa. baarschaft 75, Sa. Act. Schulden 380, Summa summarum 1066 lb – Schulden 190 lb, Detrahendo verbleiben 975 lb – Dazugelegt deßen gehörige ½ an denen hßteuren 101 lb, Macht bedes 977 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen eingebracht guth beschrieben, Sa. hßraths 89, Sa. Silb. 11, Sa. golds 7, Sa. Eigenth. an i. bhßg. 1500, Sa. baarschaft 175, Summa summarum 1783 lb – Schulden 1029, Nach deren Abzug 753. – Addé dero helfte haussteuren betragt 101, thut bedes 855 lb

Jacques Henri Burger et le grand-père et tuteur de son fils louent une partie de la maison à Jean Ehrlenholtz le jeune.

1786 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 224
Jacob Heinrich Burger ehemaliger caffesieder als nutznießer, H. Johann Conrad Scholl der sigrist zu St Louis als vogt weÿl. Fr. Maria Josepha Burgerin geb. Schollin einigen kinds und proprietarii
in gegensein H. Johannes Ehrlenholtz des jüngern
in ihrer ane der untern Langen straß am eck der Freÿburgergaß gelegene behausung eine vollständige wohnung bestehend aus dem gantzen rez de chaussée eine cammer in der mansarde einen unterschag auff der bühn und einen unterschlagenen keller im vordern hauß – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff Johannis Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 350 lit

Jean Conrad Scholl renonce au nom de sa femme Madeleine Œrler à la jouissance du logement dans la maison au coin de la rue des Fribourgeois eu égard qu’elle est davantage une charge qu’un avantage, d’autant que le droit de café n’y est plus attaché.

1787 (17. Nov), Not. Lauth (6 E 41, 649) Joint au n° 109 du 21 juin 1782
Vor mir dem unterschriebenen als zu weiland Fr: Margarethæ Mariæ Josephæ Burgerin gebohrner Schollin, so allhier Zu Straßburg in Anno 1782. den 22.ten Maji seelig Verstorben, Nahrungs: Verlaßenschafft adhibirt geweßten Inventir: Notario ist ane zu End stehendem Dato in Person erschienen Hr. Jakob Heinrich Burger, der Caffé: Sieder und Burger dahier, dermalen Zu Bischheim am Saum domicilirend, gedachter Verstorbenen seel. geweßter Zweiter Ehemann dieser hatt
in Gegensein mit comparirenden H. Johann Conrad Scholl, des Wohlbestellten Sigristen in der Pfarrei zu St Louis und Frauen Magdalenæ gebohrner Oertlerin, beeder Eheleuthe und Burgere hieselbsten /:und Zwar der Ehe: Herr als geordnet und geschworenee Vogt deßen Enckels Namens Heinrich Andreas Conrad Burger, so im Künftigen Decembrer Sieben Jahr alt, Sie die Ehefrau aber als eine in der, von der seelig: Verstorbenenn mit ihme Comparenten als damaligen Hochzeiter Vor mit Notario den 18.ten Martii 1778 errichteten Ehe: Beredung und dern §. 5.ti
hernach ermelter Behausung nach ihres Eheh. Vorabsterben Stipulirte Besitzerin einer freien Wohnung:/ angezeigt und bekandt, wie daß er Vermög der Kinder: Vertrags den unter andern habenden Natural: Genuß einer ane der Langenstras und Freiburger: Gaß gelegenen à la Reine de France, genannten und mit N° 146 marquirten Eck Behausung, so deßen einzigem Söhnl. v. Erben unverändert, bei seinen heutigen Umstäden nicht mehr in naturâ benutzen Kan, und wie Mit Comparenten Wohl Wissend, daß besagtes Haus wegen nicht mehr habender Caffée: Gerechtigkeit nunmehr nicht so Zinnsreich sondern Vielmehr Wegen jährlich darinnen habeden raparationen Abgaben und der darauf haftenden Passiv: Capitalien davon Zu reichenden Zinßen heutigen tags zu einem Onere erwachsen, Weilen alles dieses die Einnahm ohngeachtet, Wann alles besetzt ist, übersteigt, als will er Hr Comparent aus obangeregten Ursachen hiemit und in Kraft dieses auf den Natural genus mehrgedachter Behaußung in aller Form Rechtens Verzug gethan haben (…)
So geschehen Straßburg auf Sambstag den 17. Novembris Anno 1787

Jacques Henri Burger et Madeleine Salomé Walcker habitent ensuite à Bischheim
1821 (17.1.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7616
Contrat de mariage – Charles Burger, menuisier à Strasbourg fils de feu Jacques Henri Burger, aubergiste à Bischheim au Saum et de feu Madeleine Salomé Walcker
Frédérique Dorothée Flach fille majeure de feu Jean Flach, épinglier, et Marguerite Dorothée Krafft femme actuelle de Jean Brand, meunier
Enregistrement, acp 150 F° 179 du 18.1. – régime de la communauté d’acquets partageable par moitié

Jean Conrad Scholl vend au nom du fils mineur de Marie Marguerite Josèphe Scholl et de Henri Burger la maison au charcutier Jean Bernhard et à sa femme Françoise Christmann moyennant 4 905 livres

1788 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 98-v
H. Johann Conrad Scholl der Sigrist zu St Louis als gerichtlich bestellter vogt weÿl. Fr. Mariæ Margarethæ Josephine Burgerin geb. Schollin mit Heinrich Burger des caffesieders erziehlten hinterbliebenen Söhnleins nahmens Heinrich
in gegensein Johannes Bernhard des wurstmachers und Franciscæ geb. Christmännin, beÿständlich H. Rathh. Frantz Lorentz Gillig des schaffners des löbl. Collegiat Stiffts Jungen St Peter und H. Frantz Georg Burgard des gastgebers
eine behausung, höffelin, hoffstatt, bronnen mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck ane sothanen gaß, anderseit neben Mr Schott dem weißbecken, hinten auff die Haffnersiche wittib und erben – um 9810 gulden

Les acquéreurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit de l’orfèvre Jean Chrétien Pick pour en régler les réparations

1788 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 115
Johann Bernhard der wurstmacher und Francisca geb. Christmännin beÿständlich Joseph Lottmann des ackersmanns zu Feßenheim und Georg Iller des schultheißen zu Offenheim
in gegensein H. Johann Christian Pick des silberarbeiters, zu haupt reparationen hiernach beschriebenen behausung- schuldig seÿen 1000 gulden
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt zugehörden am eck der Freÿburger gaß so sie von Burgertischen curando vor kurtzem erkaufft

Originaire de Walbourg près de Haguenau, Jean Georges Bernhard épouse en 1777 Marie Françoise Christmann, native de Rossfeld près de Benfeld.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 148-v)
anno domini 1777 die vero 8. julii (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes Georgius Bernard oriundus ex Walburg hujus diocesis filius legitimus et majorennis defunctorum Martini Bernard mercenarii ibidem et Magdalenæ Braxmeyerin conjugum in parochia ad stum ludovicum commorans et maria Francisca Christmann oriunda ex Rossfelden parochiæ herbsheim etiam hujus diocesis filia legitima et majorennis defuncti Galli Christmann civis olim et molitoris ibidem et superstitis Annæ Mariæ Lodmænin conjugum in hâc parochiâ commorans (signé) Johannes Georg Bernhard, + signum sponsæ (i 158)

Le cuisinier Jean Georges Bernhard achète le droit de bourgeoisie le 28 juin 1777 : inscription, traitement de la demande
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 174
Johann Georg Bernhard der ledige Koch von Walburg beÿ hagenau gebürtig erhalt das burgerrecht umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der freÿburger, Jur. 28. Junÿ 1777.

Johann Georg Bernhard, der ledige Koch, Weÿland Martins Bernhard Burger Zu Walpurg mit weÿland Magdalena Braxmeÿerin Ehelich erzeugte sohn, der Catolischen Religion Zugethan, Erweiset durch Vorgelegte schein seine Eheliche geburth
Hat auch die erforderliche Stadt Stall caution geleistet, deß Zunfftrechts Zu den Freÿburgern vertröstet das erforderliche Vermögen hat derselbe Baar Vorgewiesen und als Ein wahres Eigenthum Mit handtreu bekräfftiget, auch 100. fl 5 ß Zum B. Protocol. hinderlegt, implorant bittet E. G. unterthänigst Von hoher Recommendation ihme das B. recht umb den alten V. schilling Zu vertrösten.
Receptus umb d. A. B. schilling

Marie Françoise Christmann acquiert le droit de bourgeoisie par son mari à titre gratuit pour bon comportement le 12 juillet 1777 : inscription, traitement de la demande
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 174-v
Maria Francisca Christmännin geb. von Roßfelden verheurathet an Georg Bernhard, den Kochn erhalt das burgerrecht wohl verhältnis wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der feÿburger promis. eod. [12 Julÿ 1777]

(VI 286 bis, p. 513) Freÿburger N° 13 – 5 Julÿ 1777
Jgfr. Maria Francisca Christmännin V. Roßfeld beÿ Benfelden geb. Weÿl. Gallus Christmann gewesenen B. u. müllers daselbst mit Fr. Anna Maria gebohrner Lodmännin Ehelich erzeugte Tochter. Verlobt mit Joh: georg Bernhard dem Hiesigen b. u. Koch Erweiset durch Vorgelegten scheins Ihre Eheliche geb. der Cath. Relig. Zugethan u. Ihren Sponsi Stallgebühr in richtifgkeit.
daß erforderliche Vermögen Hatt dieselbe baar vorgewiesen u. als Ihr Wahren Eigenthum mit handtreu bekräfftiget auch 103. fl 5 beim B. Prot. deponirt
jmporantin bittet E. G. unterthänig Ihro daß B. recht gratis Zu Vertrösten angesehen dieselbe Sieben Jahr ohnunterbrochen beÿ H. Georg burger dem hiesigen B. u. gastgeber a la Ville de Lyon gedienet und Sich Während solcher Zeit getreu u. fleisig erwiesen, lauth vorgelegtem attestat u. handtreulicher affirmation.

Etat de fortune des locataires Antoine Laurent Schuhmacher, lustreur originaire de Wetterdingen dans le diocèse de Constance, et de Catherine Keller native de Montbéliard.

1788 (13.12.), Not. Übersaal (6 E 41, 659) n° 244
Designatio Desjenigen Vermögens, so Antoni Lorentz Schumacher, des Glätters und Seidenwaschers von Wetterdingen in dem Bischoffthum Constanz und Frau Catharina geborner Kellerin von Mümpelgard gebürtig, beede Eheleuthe, welche alhier Zu Strasburg wohnhaft, dermalen eigenthümlich besitzen (…) und der Ursache willen, weil sie bei Einem Ehrsamen Grosen Rath um das Burger Recht unterthänig anzuhalten entschlossen sind
in einer ane der langen Straß am eck der Freiburgergaß gelegen H. Bernhard dem frantzösischen Wurstmacher zuständigen behausung
Sa. Hausraths 493 fl, Sa. Silbers 104 fl. Sa. Sackuhr 108 fl, Sa. Baarschafft 480 fl, Summa 1185 fl. Solches bezeuget Straßburg den 13. ecc&& 1788.

Marie Françoise Christmann obtient le divorce le 2 complèmentaire VIII
Divorce, Strasbourg (n° 408)
Cejourd’hui deuxième jour complèmentaire l’an Sept de la République française une et indivisible (…) est comparue en la maison commune Marie Françoise Christmann, domiciliée en cette commune grand’rue N° 149, native de Rosfelden, Canton de Benfelden Département du Bas-Rhin, demanderesse en divorce, épouse en légitime mariage de Jean Georges Bernard, charicuitier, domicilié en cette Commuine en la susdite demeure, natif deWalbourg Canton de Soultz sous forêts département susdit, défendeur en divorce, Ladite livres Françoise Christmann assistée de Jacques Lutz âgé de 47 ans, menuisier, de Joseph Grübel âgé de 57 ans, perruquier, de Laurent Kolb âgé de 47 ans garde de police, & de Jean Pierre Dierstein âgé de 55 ans, employé à la maison Commune (…) Laquelle Marie Françoise Christmann m’a requis de prononcer la dissolution de son mariage contracté en cette Commune avec ledit Jean Georges Bernard le 8 juillet 1777 et m’a exhibé à cet effet un jugement rendu par le tribunal du Département du Bas Rhin le 4 Messidor dernier (…) Enregistré le 3 compl. an 7 f° 85

Charcutier en la Citadelle, Jean Georges Bernard et Marie Françoise Christmann vendent la maison au négociant Charles Paul Hirn moyennant 16 500 francs

1801 (4 floréal 9), Strasbourg 10 (41), Not. Zimmer n° 912, 785
Cit. Jean Georges Bernard, Chaircuitier en la Citadelle et Marie Françoise Christmann, femme divorcée dudit Bernard led. Divorce prononcé par l’Officier public de cette ville le 2 compl. 7 sous l’assistance des Cit. Charles Riebel Maître de danse et Jacques Lutz menuisier
au Cit. Charles Paul Hirn Negt.
Une Maison petite cour puits appartenances et dépendances scise a Strasbourg grand’rue N° 149, d’un côté le coin de la rue des francbourgeois, d’autre à la maison de Schott le boulanger, derrière celle des veuve et héritiers haffner, (chargée d’un capital de 7200 fr, 12.400 fr, et solde de 1800 francs), pour 16.500 francs
Enregistrement, acp 78 f° 18 du 5 flo. 9

Fils du négociant François Hirn, Charles Paul Hirn épouse en 1800 Françoise Dangelo, fille du négociant Dominique Dangelo : contrat de mariage, célébration
1800 (19 pluviose 8), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 267 (181)
Contrat de mariage – sont comparus le citoyen Charles Paul Hirn, Négociant demeurant à Strasbourg, fils majeur et légitime du cit. François Hirn, Négt. demeurant en cette Commune et de la citoyenne Marie Marguerite née Rebanier ses père et mère futur époux d’une part
Et la Citoyenne Françoise Dangelo, fille majeure et légitime du Cit. Dominique Dangelo, Négociant, et de la Citoyenne Anastase née Dangelo Conjoints demeurant à Strasbourg assistée dudit son père à l’effet des présentes, future épouse, d’autre part
11. Le Cit; François Hirn père, en renonçant pareillement à toutes choses contraires ayx différentes dispositions (…) notamment aux avantages de survie résultant de sondt Contrat de mariage du 6 janvier 1761. déclare en outre qu’il est porté et disposé à céder audit futur sa maison rue des hallebardes et son Commerce, dans l’Etat actif et passif, comme le tout se trouve & sitot qu’il en sera requis par ledit futur son fils cadet, laquelle cession, s’il y echet, est pareillement consenti par ledit Cit.. Claude Antoine Hirn, frere ainé dudit futut, en tant que besoin
Fait, lû et passé à Strasbourg au domicile des conjoints Dangelo (…) le 19 Pluvios après midi ‘an huit de la Republ. française (signé) Charles Hirn, Françoise Dangelo François Hirn
Enregistrement de Strasbourg, acp 71 F° 90 du 21 plu. 8

Mariage, Strasbourg (n° 147)
Cejourd’hui 30° Pluviose l’an VIII de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Charles Paul Hirn, âgé de 22 ans, négociant, né & domicilié en cette Commune fils de François Hirn, négociant, et de Marie Marguerite Rebannier, d’autre part Marie Françoise Dangelot, âgée de 26 ans née & domiciliée en cette Commune, fille de Dominique Dangelot, négociant et d’Anastase née Dangelot (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 5 may 1777 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 25 mars 1773 (signé) Charles Hirn, Marie Françoise Dangelo (i 78)

Charles Paul Hirn expose deux maisons aux enchères

1805 (9 frimaire 14), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2850
Sr Charles Paul Hirn négociant, adjudication volontaire
1. une maison sise en cette ville de Strasbourg Grand rue n° 149 petite cour Puits appartenances et dépendances faisant le coin de la rue des francs bourgeois d’un côté, d’autre attenant a La maison de Schott le boulanger derrière celle des veuve et héritiers Haffner avec toutes ses aisances et servitudes
2. une autre maison scise en cette ville vis à vis les douanes impériales connue sous la dénomination de Zollkeller que le Sr vendeur a acquis de la ville également avec toutes ses charges servitudes aisances circonstances & dépendances
n° 2864, 16 frimaire – la maison grand rue mise à prix 14.500 fr, à François Louis Madler pour 14.550 francs
le Zollkeller mise à prix 15.000 fr,à François Louis Madler pour 15.150 francs
n° 2879, 23 frimaire – n° 2885, 30 frimaire, sans nouvelles enchères

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Elisabeth Louise Dichat, femme de Charles Léopold Chardoillet, receveur de la Loterie

1805 (18 floréal 13), Strasbourg 14 (27), Not. Lex n° 4915
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Louise Dichat femme de Charles Leopold Chardoillet, receveur de la Lotterie Impériale, décédée le 5 messidoe 11 – à la requête du veuf, tuteur naturel des deux enfants Thérèse Caroline née le 28 pluviose 9 et Christophe Gustave Chardouillet né le 8 brumaire 11, représentés par Antoine Georges marchand de fer keur subrogé tuteur
demeurant grand rue n° 149 dans la maison du Sr (Jaeger) négociant
Récapitulation, masse active 74.703 fr (dont numéraire 4973 fr), passif 25.544 fr, dettes douteuses 15.092 fr
Contrat de mariage, M° Tribounet à Belfort le 27 nivose 9 : Charles Leopold Chardoillet, receveur de la Lotterie nationale a Strasbourg, fils majeur de Pierre François Christophe Chardoillet, propriétaire, et de Marie Thérèse Filemer à Belfort et Elisabeth Dichat, fille mineure d’Ignace Dichat, négociant, et de Marguerite Joliot demeurant à Porrentruy
Enregistrement, acp 96 F° 119 du 19 flo. 13

Marie Françoise Dangelo femme de Charles Paul Hirn qui se trouve en Russie meurt en 1840 en délaissant trois enfants
1810 (30.10.), Strasbourg 12 (34), Not. Wengler n° 5253
Inventaire de la succession de Marie Françoise Dangelo épouse de Charles Paul Hirn – à la requête de Jean Baptiste Ballet négociant tuteur, Dominique Antoine Dangelo négociant en qualité de subrogé tuteur d’Auguste Charles âgé de 8 ans, Julie âgée de 6 ans, Joseph Felix âgé de 4 ans, les trois enfants de Marie Françoise Dangelo épouse séparée quant aux biens de Charles Paul Hirn ci devant négociant à Strasbourg, se trouvant présentement en Russie, procrées avec son mari, héritiers de leur mère qui avait son domicile ordinaire a Haguenau, décédée pendant le séjour qu’elle faisait à Strasbourg chez ledit Sr Dangelo son frère le 22 du présent mois
en la maison rue de l’Epine n° 12
dans deux chambres sises au second étage du bâtiment de derrière de ladite maison ayant vue dans la cour – meubles 2806 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 f° 171 du 2.11.

Charles Paul HIrn et Françoise Dangelo qui habitent Haguenau vendent la maison à Joseph Philippe Sauthier, prêtre demeurant à Tournai, moyennant 16 000 francs

1806 (9.8.), Strasbourg 1 (30), Not. Lacombe n° 5703
Charles Paul HIrn négociant demeurant présentement à Haguenau et Françoise Dangelo
à M Joseph Philippe Sauthier Pretre du Diocese de Strasbourg demeurant présentement a Dournay pour lequel M Jean Antoine Meyer pretre du Diocese de Strasbourg
une maison consistant en rez de chaussée deux étages et mansardes petite cour puits et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 149 faisant le coin de la rue des francsbourgeois d’un côté la maison du Sr Schott boulanger, derrière celle des veuve et héritiers Haffner – acquis de Georges Bernard et Françoise Christmann par venre reçue M° Zimmer le 4 floréam 9 – moyennant 16.000 francs
Enregistrement, acp 100 f° 110-v du 11.8.

Chanoine de Saint-Denis et maitre des cérémonies à la Chapelle du roi, Joseph Philippe Sauthier meurt à Paris en 1830 en délaissant des héritiers testamentaires

1830 (21.6.), Strasbourg 14 (88), Me Ritleng n° 1310
Inventaire de la succession de Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint-Denis et maitre des cérémonies à la Chapelle du Roi demeurant à Paris où il est décédé le 19 avril dernier – à la requête de 1. Georges Ritleng, chanoine de la Cathédrale de Strasbourg, exécuteur testamentaire suivant testament olographe daté à Paris au Château des Tuileries le 9 avril 1829 déposé au rang des minutes de M° Ritleng le 27 avril dernier, 2. Louis Leclerc, peintre en voiture, 3. Marie Elisabeth Lacause femme d’Anselme Schildknecht, courrier de Strasbourg à Barr domicilié à Strasbourg, 4. Barbe Kaumann fille majeure, 5. Josephine Kaumann, majeure à Molsheim, en qualité de légataires universelles, lesdites Kaumann représentées par Charles Auguste Schneider, praticien, M Leclerc, Mde Schildknecht héritiers pour un tiers et lesdites Kaumann conjointement pour un tiers, et à la requête de François Joseph Lacause, employé à la douane royale de Strasbourg et Catherine Wiss légataires particuliers
immeuble, une maison sise à Strasbourg grand rue n° 149 faisant le coin de la rue des Fribourgeois où elle est marquée du n° 6 d’un côté le Sr Steyert boulanger d’autre au Sr Kampmann, non estimée. Titres et papiers, contrat reçu M° Lacombe le 8 vendémiaire 14, transcrit, acquis la maison de Charles Paul Hirn et Françoise Dangelo de Haguenau
acp 200 (3 Q 29 915) f° 12-v du 29 juin – Sept premièrev vacations
acp 200 (3 Q 29 915) f° 51-v du 13 juillet – meubles légués 678 fr, meubles légués à l’abbé Zaepffel 75 francs, à M Sultzer 10 francs, un tableau 5 francs, un petit monument à M Fess 6 francs, différents meubles au chanoine Ritleng 27, bibliothèque léguée au Séminaire 520 fr, créances 1028 fr, une maison non estimée – passif 822 fr
acp 200 (3 Q 29 915) f° 94

Les héritiers vendent la maison au cafetier Jean Kœberlé moyennant 18 650 francs

1830 (12.8.), Strasbourg 14 (88, 89), Me Ritleng n° 1390
Cahier des charges, 8 juillet n° 1345 – adjudication préparatoire n° 1356 le 20 juillet – Adjudication définitive 31 juillet n° 1376 – Adjudication sur surmise – 1. Louis Leclerc, peintre de voitures, 2. Marie Elisabeth Lacause femme de Jean Anselme Schildknecht, courrier de Strasbourg à Barr, 3. Charles Georges Schneider, particien, mandataire de Barbe Kaumann, majeure à Strasbourg et Joséphine Kaumann sa sœur majeure à Mosheim
à Jean Koeberlé, caffetier
une maison consistant en un rez de chaussée, deux étages et mansardes, petite cour, puits et dépendances située à Strasbourg Grande rue n° 149 fesant le coin de la rue des Fribourgeois où elle est marquée du n° 6 d’autre la maison du Sr Steyer boulanger, derrière le Sr Kampmann – l’immeuble vendu appartient à M Leclerc pour un tiers, M. Schildkencht pour un tiers, aux Dlles Kaumonn pour un tiers, comme héritiers de M abbé Joseph Philippe Sauthier, chanoine de St Denis et maître de cérémonie de la chapelle du Roi à Paris où il est décédé le 19 avril dernier, testament olographe à Paris le 9 avril 1829 déposé aux rang des actes de M° Ritleng le 27 avril dernier – Origine de la propriété, le défunt l’a acquis par acte reçu Lacombe le 8 vendémiaire 14 de Charles Paul Hirn et de Françoise Dangelo de Haguenau, le Sr Hirn l’avait acquis de Jean Georges Bernard et Françoise Christmann suivant acte dressé par M° Zimmer le 4 floréal 9 transcrit – Mise à prix 16.000 fr – moyennant 18.650 francs
acp 200 (3 Q 29 915) f° 49-v Cahier des charges – acp 200 (3 Q 29 915) f° 78-v – acp 200 (3 Q 29 915) f° 111 du 17 août

Jean Kœberlé épouse Jeannette Meyer, fille du cafetier Joseph Meyer, qui s’est mariée en premières noces avec l’ouvrier en tabac Antoine Wolff en 1813.
1813 (10.3., Strasbourg 5 (37), Not. F. Grimmer n° 8150
Contrat de mariage – Antoine Wolff, ouvrier en tabac, fils de Henri Wolff, brouetteur, et d’Apollonie Himbert
Jeannette Meyer, fille de Joseph Meyer, caffetier, et de Madeleine Dress
Enregistrement, acp 121 F° 190-v du 16.3.

Inventaire des apports
1813 (9.7.), Strasbourg 5 (38), Not. F. Grimmer n° 8345
Inventaire des apports de Jeannette Meyer femme d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, assistée de son père Joseph Meyer caffetier, suivant contrat de mariage du 10 mars dernier
meubles 997 fr, numéraire 1200 fr, total 2197 fr
Enregistrement, acp 123 F° 1-v du 17.7.

Antoine Wolff meurt en 1823 en délaissant trois enfants
1824 (22.3.), Strasbourg 3 (71), Me Schreider n° 1949
Inventaire de la succession d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, décédé le 19 décembre dernier – à la requête de Jeannette Meyer la veuve, en son nom et mère et tutrice légale des trois enfants 1. Caroline âgée de 10 ans passés, 2. Joseph âgé de 8 ans 8 mois, 3. Jeannette Rose âgée de 11 mois – en présence de Joseph Bader, aubergiste à la ville de Lyon subrogé tuteur
au second étage de l’hôtel du Miroir rue des Serruriers
Contrat de mariage reçu Grimmer le 10 mars 1813
garde robe 216 fr, numéraire 528 fr, créances 1145 fr, ensemble 1889 fr, passif 2297 fr
Enregistrement, acp 167 F° 100-v du 1.4.

Jeannette Meyer se remarie en 1824 avec le garçon cafetier Jean Baptiste Pfrimmer
1824 (29.8.), Strasbourg 3 (71), Me Schreider n° 2163
Contrat de mariage – Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier, fils majeur de feu Jean Michel Pfrimmer, blatier, et de Dorothée Woessel
Jeannette Meyer veuve d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac
Enregistrement, acp 169 F° v152 du 4.9. – sous le régime de la communauté d’acquets partageable par moitié

Jean Baptiste Pfrimmer meurt en délaissant pour héritiers les enfants issus du premier mariage de sa veuve
1826 (31.1.), Strasbourg 3 (74), Me Schreider n° 2704
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier décédé le 17 octobre dernier – à la requête de Jeannette Meyer veuve en premières noces d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, en secondes dudit Pfrimmer, mère et tutrice légale de 1. Caroline Wolff, 2. Joseph Wolff, 3. Jeannette Rose Wolff, héritiers sous bénéfice d’inventaire de Jean Baptiste Pfrimmer – en présence de Charles Buchetti fils, négociant, subrogé tuteur
dans la maison mortuaire rue des Serruriers hôtel du Miroir au second étage
contrat de mariage reçu le 29 août 1824 par M° Schreider
garde robe 71 fr, numéraire 154 fr
Enregistrement, acp 176 F° 184-v du 4.2.

Garçon brasseur originaire de Souffelweyersheim, Jean Kœberlé épouse en 1826 Jeannette Meyer
1826 (22.9.), Strasbourg 3 (75), Me Schreider n° 3031
Contrat de mariage – Jean Koeberlé, garçon brasseur à Souffelweyersheim fils de feu Jean Georges Koeberlé et de Marguerite Conrad
Jeannette Meyer, cafetière, veuve en premières noces avec trois enfants d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, et en secondes sans enfant de Jean Baptiste Pfrimmer, cafetier à Strasbourg
Enregistrement, acp 180 F° 113-v du 28.9. – communauté d’acquets partageable par moitié

Jean Kœberlé et Jeannette Meyer hypothèquent la maison au profit du passementier Jean Frédéric Scholl

1842 (20.1.), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14.087
Obligation – Ont comparu M. Jean Koebelé, cafetier, & D° Jeannette Meyer son épouse de lui dûment autorisée, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont reconnu devoir
A M. Jean Frédéric Scholl, fils, passementier demeurant à Strasbourg, créancier, la somme principale de 6000 francs, 2. & à Delle Caroline Metzger, majeure d’ans, demeurant à Strasbourg, créancière, pareille somme de 6000 francs, Ensemble celle de 12.000 francs
Immeubles, Une une maison avec petite cour & dépendances, sise en cette ville grand’rue n° 149, d’un côté tenant au Sr Steigerer faisant de l’autre le coin de la rue des fribourgeois où elle porte le n° 6, donnant par derrière sur M Kampmann. Les débiteurs déclarent sous les peines du stellionat que cette maison leur appartient en toute propriété & qu’elle est franche & libre de tous privilèges & hypothèques

Jean Kœberlé loue un magasin et un logement au mercier Willard le jeune

1843 (4.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 84 (1873) f° 82-v
Bail du 25 janvier 1843 – Monsieur Köbelé, caffetier à Strasbourg déclare donner bail
au Sieur Willard jeune mercier en ville
un Magasin avec Logement situé dans sa Maison grande rue N° 149 composé comme suit, tout le rez de chaussée formant magasin de devant en trois pièces formant le derrière du dit, tout le premier étage dans toute sa Composition de devant en derrière, une Mansarde, une Grande cave, la jouissance de la cour. Le présent bail est fait sous les clauses et conditions suivantes, 1° le tout pour un loyer annuel de 1200 francs payable par quart par 300 francs
2° Le présent bail Commencera à partir de St Jean prochain pour une durée de trois, six ou neuf années (…)
Monsieur Köbelé s’engage à faire faire une séparation à la pièce formant le magasin, plus une nouvelle devanture descendant jusqu’à la route, le tout d’après le modèle voulu par le Sieur Willard qui se son côté s’engage à participer pour la moitié des frais qu’entraînera la devanture (…)
en marge est encore écrit. J’estime la moitié à ma charge pour la devanture à faire à la somme de cent francs

Jeanne Meyer meurt en 1844 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils issu du veuf.

1844 (19. 7.br), Strasbourg 12 (164), Me Noetinger n° 17.133
Inventaire après le décès de Jeanne Meyer veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, en secondes noces Jean Baptiste Pfrimmer et femme en troisièmes noces de Jean Koeberlé
L’an 1844, le Jeudi 19 septembre à neuf heures du matin en la maison Rue des Fribourgeois N° 6 et Grande Rue N° 149 où est décédée le 31 août dernier Dame Jeanne Meyer veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs, et en secondes noces Jean Baptiste Pfrimmer garçon cafetier, et femme en troisièmes noces du Sr Jean Koeberlé propriétaire domicilié à Strasbourg au domicile de sondit mari, en présence et à la requête dudit Sr Jean Koeberlé, agissant tant en son nom à cause de la communauté de biens dissoute entre lui et sadite femme défunte et des autres droits et avantages qui peuvent lui résulter de son contrat de mariage ci après relaté, qu’en qualité de père et tuteur légal de Jean Léon Koeberlé, son fils mineur procréé avec sadite défunte, né le 18 octobre 1829, et en présence 1° de M° Théodore Burtz, Notaire à la résidence de Strasbourg, commis pour représenter le Sr Antoine Joseph Wolff, présumé absent, soldat au service de France, fils majeur et légitime procrée en son premier mariage par la défunte Dame Jeanne Meyer avec le Sr Joseph Antoine Wolff (…) et encore en présence et à la requête de Mademoiselle Jeannette Rose Wolff, majeure sans profession domiciliée à Strasbourg, aussi fille légitime de la défunte procréée en son premier mariage avec le Sr Wolff, et enfin en présence de M. Jean Sarburger, Marchand de bois, en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Jean Léon Koeberlé (…) Lesdits Antoine Joseph Wolff, Jeannette Rose Wolff et Jean Léon Koeberlé étant les héritiers présomptifs chacun pour un tiers de la succession de leur mère défunte

Contrat de mariage passé devant M° Schreider notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826
Communauté d’acquets. Meubles,. Dans la chambre d’habitation au premier étage, Dans une chambre à droite de celle-ci
Immeubles, Une une maison avec cour ayant rez de chaussée, deux étages et mansardes, puits à pompe et autres droits et dépendances située à Strasbourg Grande Rue n° 149 et formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 6 tenant d’une troisième part au Sr Steyert boulanger etd e quatrième part au Sr Kampmann. Cette maison a été acquise pendant la communauté et pour le profit de cette masse de M. Louis Leclerc, peintre de voitures à Strasbourg, de Dame Marie Elisabeth Lacause, femme autorisée du Sr Anselme Schildknecht, courrier à Barr, et des Demoiselles Barbe Kaumann de Strasbourg et Joséphine Kaumann majeure de Molsheim suivant contrat de vente passé devant M° Ritleng qui en a la minute et l’un de ses collègues Notaires à Strasbourg, en forme d’adjudication volontaore publique aux enchères en date du 12 août 1830, enregistré le 17 même mois et année, précédé d’un cahier des charges dressé par ledit M° Ritleng le 8 juillet même année enregistré le 13 et transcrit au bureau des hypothèques volume de Strasbourg le 19 août 1830 volume 238 Numéro 37.
la maison ci-dessus décrite est déclarée par le veuf être d’un produit annuel brut de 1000 francs représentant un capital au denier vingt de 20.000 francs. L’expédition du contrat d’acquisition préallégué a été cotée et paraphiée sous la cote D.
Récapitulation de l’actif de la communauté. mobilier 1591, capital et arrérages 950, argent comptant 75, prix d’estimation de la maison 20.000, avancements d’hoirie aux enfants du premier lit 716, total 23.332 francs – Dettes passives 25.171 francs, Balance 1238 francs
Garde robe de la défunte 206 – Dettes passives de la succession 842 francs
acp 327 (3 Q 30 042) f° 10

Liquidation et partage correspondants
1845 (7. 9.br), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 18.080
Liquidation & partage de la communauté qui a existé entre Jean Koeberlé et Jeanne Meyer
Ont comparu M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec De Jeanne Meyer sa défunte épouse en vertu du contrat de mariage ci-après relaté, 2° comme donataire d’une part d’enfant de cette dernière aux termes du même contrat de mariage, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur, 2. Melle Catherine Schirer, rentière demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire 1° de Jeannette Rose Wolff, majeure, couurière, domiciliée à Strasbourg (…) 2° de M. Joseph Antoine Wolff, soldat au premier escadron du 9° régiment de hussards en garnison à Avesnes (Nord) (…) Et M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé, Les susnommés Jeannette Rose Wolff, Joseph Antoine Wolff et Jean Léon Koeberlé seuls et uniques héritiers de feu leur mère ladite dame Koeberlé née Meyer

Observations préliminaires. Feu la dame Koeberlé était mariée en premières noces avec le Sr Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs à Strasbourg & en troisièmes noces avec ledit Sieur Koeberlé. Le contrat de mariage qui a réglé cette dernière union a été dressé par M° Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, cet acte contient notamment 1) établissement d’une communauté réduite aux acquêts partageable par moitié, 2) donation par la future épouse au futur époux d’une part d’enfant le moins prenant. La Dame Koeberlé est décédée à Strasbourg le 31 août 1844. L’inventaire après décès a été dressé par ledit Notaire Noetinger le 19 septembre même année. La licitation de la maison situéeà Strasbourg & d’une rente foncière dépendant de ladite communauté a été poursuivie par Dlle Jeannette Rose Wolff (…)
acp 341 (3 Q 30 056) f° 99 du 12.11. – Communauté se composant de l’argent comptant 128, arrérages 62, loyers échus 702, arrérages de créances 600, total 1492
Il est dû I. par le veuf pour le prix d’adjudication de la maison et de la rente foncière 30.835, à des créanciers 12.000, pour frais 414, total 12.414, reste 18.440 et intérêts de cette somme 499, ensemble 18.989 francs. Il doit encore pour meubles enchéris 1464, Ensemble 20.403.
II, par Joseph Wolff 333, III. par Jeannere Rose Wolff 288
Total de la masse active 22.518 francs, Masse passive 13.216. Balance, reste 9302 francs
Succession 1° remploi de la défunte 2078, 2° moitié du bénéfice de la communauté 4651, 3) prix de vente du maison 194, Total 6923 – Passif 347, Reste 6549
Droits des parties & Abandonnements (…)

Jean Kœberlé hypothèque la maison au profit de Caroline Metzger

1845 (7. 9.br), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 10.081
Obligation – A comparu Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré devoir légitimement pour dette nouvelle
A Melle Caroline Metzger, majeure, sans profession, demeurant à Strasbourg, la somme principale de 6000 francs
hypothèque. Une une maison avec cour, rez de chaussée, deux étages et dépendances sise à Strasbourg, grand’rue n° 149, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 6 d’un côté M Steyert, boulanger, de l’autre M. Kampmann. M. Koebele a acquis cet immeuble suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 12 août 1830 pendant la communauté qui a existé entre lui et Dme Jeanne Meyer, sa défunte épouse et il est devenu seul propriétaire de la totalité de cet immeuble suivant licitation judiciaire dressée par ledit notaire Noetinger le 25 mars dernier

Jean Kœberlé se rend adjudicataire de la maison dont la vente est poursuivie par sa belle-fille Jeannette Rose Wolff

1845 (12.2.), Strasbourg 12 (165), Me Noetinger n° 17.500
Pardevant M° Noetinger, commis à cet effet en vertu du jugement ci après relaté. Ont comparu M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec feue son épouse De Jeanne Meyer, 2° comme donataire d’une part d’enfant de sa défunte épouse aux termes d’un contrat de mariage passé devant M° Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur, 2. M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé, 3° Melle Jeannette Rose Wolff, majeure sans profession demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de demanderesse & comme poursuivant la licitation des biens ci après désignés, assistée de M Ambroise Ackermann, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg où il demeure, à ce présent. En l’absence du Sr Antoine Joseph Wolff, militaire au service de France, ayant eu son dernier domicile à Strasbourg, auquel le présent dépôt & le cahier des charges seront signifiés en temps utile avant l’adjudication (…)
Cahier des charges. A la requête et en présence 1° M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec De Jeanne Meyer son épouse, veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs et en secondes noces du Sr Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier, décédée le 19 septembre dernier, 2° comme donataire (…) d’une part d’enfant de sa défunte épouse aux termes d’un contrat de mariage passé devant M Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur (…)
Enonciation du jugement qui a ordonné la vente. La Dlle Jeannette Rose Wolff voulant sortir de l’indivision des biens ci-après désignés dépendant de la communauté & succession qye ledit Sr Saarburger Antoine Wolff & Koeberlé père ès qualité exposées devant le tribunal de première instance de cette ville lequel a ordonné que la maison & la vente ci-après désignés soient vendues par licitation par le ministère dudit Notaire Noetinger à ce commis, ainsi que cela resulte d’un jugement rendu par ledit tribunal le 13 janvier dernier
(Jean Koebelé père, colicitant)
Désignation des biens à vendre. 1. Une Maison avec cour, rez de chaussée, deux étages & Mansardes, pompe, appartenances & dépendances, située à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre au Sieur Kampmann.
2. Et une rente en céréales (…)
Etablissement de la propriété. M. Koeberlé père a acquis lesdits biens, durant ladite communauté, savoir. La maison grand’rue N° 149, de M. Louis Leclerc, peintre de voitures, Marie Elisabeth Lacause, femme du Sr Anselme Schildknecht, courrier, tous domiciliés à Strasbourg, Barbe Kaumann, majeure, domiciliée en la même ville & Joséphine Kaumann majeure, domiciliée à Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng, notaire à Strasbourg, le 12 août 1830, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du même mois volume 238 Numéro 37 & inscrit d’office volume 206 Numéro 626 (…) Les Sr Leclerc, DameSchildknecht & Demoiselles Kaumann étaient propriétaires de cet immeuble en leur qualité de légataires universels de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine de St Denis, demeurant à Paris, aux termes du testament olographe de ce dernier, en date de Paris du 9 avril 1829, déposé en l’étude du dit M° Ritleng le 27 avril 1830. M. Sauthier en avait fait l’acquisition de M. Charles Paul Hirn, négociant, et de D° Françoise Dangelo son épouse, demeurant à Haguenau, suivant acte passé devant M° Lacombe père, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV transcrit le 12 août 1806, lequel acte contient quittance du prix. M. Hirn l’avait acquis de Jean Georges Bernard & Françoise Christmann suivant acte passé devant M° Zimmer Notaire à Strasbourg le 4 floreal ab IX transcrit le lendemain.
Mise à prix. Pour la maison, sur la mise à prix de 20.000 francs
N° 17.582. L’an 1845 le 25 mai. (…) Enchérie à celui de 30.150 francs par M. Charles Baer, commissionnaire demeurant à Strasbourg (…) A l’instant le Sr Baer a déclaré avoir enchéri pour et au nom de M. Jean Koebelé père l’un des colicitants, déjà propriétaire de cinq 8°
acp 332 (3 Q 30 047) f° 87 Cahier des charges – acp 334 (3 Q 30 049) f° 24 Adjudication définitive

Jean Kœberlé meurt en 1846 en délaissant un fils.

1846 (22.8.), Strasbourg 12 (169), Me Noetinger n° 18.638
Inventaire de la succession du Sieur Jean Koeberlé en son vivant propriétaire à Strasbourg, y décédé le 17 juillet 1846.
Cejourd’hui 22 août 1846 à trois heures de relevée, A la requête de M. François Joseph Lacause, commis principal des douanes, en retraite demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur datif de Jean Léon Koeberlé, mineur procréé en légitime mariage entre feu le St Jean Koeberlé propriétaire à Strasbourg et dame Jeannette Meyer (…) ledit mineur âgé de 17 ans, agissant en qualité de seul et unique héritier de feu sondit père Jean Koeberlé décédé en cette ville le 7 juillet 1846. En presence de M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé (…)
Le tout fait, trouvé et exhibé à Strasbourg en la maison où demeurait le défunt celui-ci étant mort à l’hôpital où il s’était fait traiter, grand’rue N° 149

Immeubles. Au ban de Souffelweyersheim (…)
En la Ville de Strasbourg. L’expédition d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Noetinger Notaire soussigné à ce commis le 25 mars 1845 enregistré le premier avril suivant en vertu duquel le veuf a acquis de Jeannette Rose Wolff majeure d’ans à Strasbourg et du sieur Antoine Joseph Wolff militaire au service de France propriétaire indivis avec le défunt lui-même et le fils de celui-ci
Une maison avec cour, rez de chaussée, deux étages et mansardes, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre au Sieur Kampmann. Ladite maison est en partie louée à M. Villars, négociant, à M Lacause et en partie occupée par la succession. Les parties évaluent les revenus à 1500 francs par an, lequel revenu capitalisé au denier vingt fait 30.000 francs
Meubles 936, créances 292, immeubles, terre 600, maison 30.000, total de la masse active 32.791 – Masse passive 23.402, déduction faite 9388 francs
acp 351 (3 Q 30 066) f° 95. Il dépend de ladite succession un mobilier estimé 806, argent comptant 156, rentes foncières assises sur divers immeubles ban de Souffelweyersheim et Hoenheim montant à 302 litres 25 centilitres de froment et seigle, évaluées à 906, arrérages 29, créances 292, immeubles (supra), total 32.791, passig 23.402

L’héritier Jean Baptiste Léon Koeberlé qui meurt célibataire à Ebersmunster laisse pour héritiers ses demi-frère et sœur qui hypothèquent la maison au profit du sous-officier Pierre Crétin

1847 (18. Xbr), Strasbourg 12 (173), Not. Noetinger n° 19.787
Obligation – A comparu Mr François Joseph Lacause, commis principal en retraite de l’administration des douanes, demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Demoiselle Jeannette Rose Wolff, sœur de la Providence appelée Marie Clemence, institutrice demeurant à Oberbergheim, aux termes d’une procuration (…) dans laquelle la mandante s’est elle-même portée fort de son frere Joseph Wolff, militaire en garnison à Mostanagem (Algérie), doivent conjointement
A Mr Pierre Crétin, lieutenant du train des parcs d’artillerie en garnison à Pont à Mousson où il demeure, au nom duquel stipule & accepte Mr Auguste Heilmann, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, la somme de 2100 francs pour prêt
hypothèque spécialement. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec mansardes, cour, pompe, droits & appartenances, le tout situé à Strasbourg grand’rue N° 149, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, entre M. Steyert boulanger & M. Kampmann. Lequel Immeuble Mr Lacause déclare appartenir aux débiteurs comme leur etant échu de la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, mineur décédé au couvent d’Ebersmunster, où il était pensionnaire & dont ils sont seuls héritiers chacun pour moitié.
M Lacause déclare en outre que l’immeuble est libre de tous privilèges & de toutes hypothèques à l’exception 1° d’une somme de 3000 francs due par la succession dud. Sr Koeberlé à Mr Jean Frédéric Schall suivant obligation passée devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés le 20 janvier 1842, 2° de celle de 12.000 francs dus à Mlle Metzger aux termes de deux obligations reçues par le même notaire les 20 janvier 1840 & 7 novembre 1845

Jeannette Rose Wolff et Antoine Joseph Wolff exposent la maison aux enchères

1849 (1.5.), Strasbourg 12 (176), Not. Noetinger n° 21.053
Cahier des charges, 1° mai 1849 – A comparu Mademoiselle Jeannette Rose Wolff, institutrice demeurant à Oberbergheim, agissant tant en son nom personne qu’en celui & comme mandataire de M. Antoine Joseph Wolff, fusilier à la première compagnie de discipline en garnison à Mostaganem (Algérie) son frère, Laquelle étant, ainsi que son frère, dans l’intention de vendre aux enchères publiques l’immeuble qui sera ci après décrit a requis ledit M° Noetinger de dresser le cahier des charges (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec Mansardes, cour, pompe, droits & appartenances, le tout situé à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre à M. Kampmann.
Etablissement de la propriété. Les vendeurs sont propriétaires de cette maison pour l’avoir recueillie dans la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, mineur décédé au couvent d’Ebersheim Münster, où il était en pension, leur frère utérin, dont ils sont les seuls & uniques héritiers chacun d’eux pour moitié. Le mineur Koeberlé avait hérité cet immeuble de M. Jean Koeberlé, vivant propriétaire à Strasbourg, son père dont il était seul héritier. Ladite maison avait dépendu tant de la succession de la D° Jeanne Meyer, veuve en premières noces de M. Joseph Antoine Wolff, en secondes noces dudit S. Jean Koeberlé, que de la communauté qui avait exosté entre elle & ce dernier qui s’en était rendu propriétaire suivant procès verbal d’adjudication sur licitation, dressé par M° Noetinger l’un des notaires soussignés, le 25 mars 1845, aux termes duquel elle lui a été adjugée pour le prix de 30.150 francs (…). Les époux Koeberlé avaient acquis ladite maison de M. Louis Leclerc, de D° Marie Elisabeth Lacause, femme du Sr Anselm Schildknecht, tous de Strasbourg, de Barbe Kaumann, majeure de Strasbourg & de Joséphine Kaumann majeure de Molsheim, en vertu d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng, notaire à Strasbourg le 12 avril 1830, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du même mois Vol. 238 N° 37. (…) Les Sr Leclerc, D° Schildknecht & Dlles Kaumann étaient propriétaires de cet immeuble en leur qualité de légataires universels de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint Denis, demeurant à Paris aux termes du testament olographe en date de Paris du 9 avril 1829, déposé en l’étude du dit M° Ritleng le 27 avril 1830. M. Sauthier en avait fait acquisition de M. Charles Paul Hirn, négociant, & de Françoise Dangelo conjoints de Haguenau, suivant acte passé devant M° Lacombe, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV (30 septembre 1805) contenant quittance du prix. (…)
Et aujourd’hui 31 mai 1849 (…) il a été procédé à la lecture tant en français qu’en langue allemande du cahier des charges (…) à la réception des enchères (…) sur la mise à prix de 30.000 francs
acp 382 (3 Q 30 097) f° 83

L’architecte et entrepreneur Eugène Perrin s’en rend acquéreur moyennant 20 200 francs

1849 (12. 7.br), Strasbourg 12 (177), Not. Noetinger n° 21.458
A comparu M. Jean Baptiste Bürckel, propriétaire demeurant à Strasbourg au nom & comme mandataire du Sr Antoine Joseph Wolff, ancien militaire demeurant à Amiens ayant eu son dernier domicile à Strasbourg & de Demoiselle Jeannette Rose Wolff, ancienne institutrice à Oberbergheim actuellement au service de M. le curé d’Oberbruck (…) lequel a vendu
à Monsieur Eugène Perrin, architecte & entrepreneur de travaux publics demeurant à Strasbourg, l’immeuble ci après désigné
Désignation. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec Mansardes, cour, pompes, droits & appartenances située à Strasbourg Grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6 attenant d’une part à la propriété Steyert & d’autre part à celle de MM. Kampmann et Hoerter. (…)
Propriété. Les vendeurs sont devenus propriétaires de l’Immeuble dont il s’agit pour l’avoir recueilli dans la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, décédé en minorité au couvent d’Ebersmunster, leur frère utérin, dont ils étaient les seuls & uniques héritiers comme etant issus du mariage de feu Joseph Antoine Wolff avec Jeanne Meyer qui s’est remariée avec Jean Koeberlé, propriétaire à Strasbourg, père du dit mineur qui avoit lui même recueilli cet immeuble dans la succession de ce dernier dont il était seul & unique héritier, ainsi que le constate l’inventaire dressé après son décès par ledit M° Noetinger le 22 août 1846. Feu le sieur Koeberlé père possedait ledit Immeuble, savoir, une moitié comme ayant été commun en biens avec ladite défunte Jeanne Meyer sa femme, et l’autre moitié au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par les héritiers de cette dernière suivant procès verbal d’adjudication dressé par led. M° Noetinger le 25 mars 1845 moyennant un prix dont il a fait état à la communauté par la liquidation qui en a été dressée par le même notaire le 7 novembre 1845 (…). Ladite communauté en étoit propriétaire au moyen de l’acquisition qui en a été faite de 1° Louis Leclerc, 2° Marie Elisabeth Lacause épouse d’Anselm Schildknecht, demeurant à Strasbourg, 3° Barbe Kaumann, fille majeure en la même ville, 4° Joséphine Kaumann fille majeure demeurant à Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng & son collegue notaires à Strasbourg le 12 avril 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du dit mois d’août volume 238 Numéro 37. (…) Les susnommés Henri Leclerc, dame Schildknecht et les Dlles Kaumann le possédoient comme l’ayant recueilli dans la succession de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine a Saint Denis, décédé à Paris dont ils étaient les légataires universels aux termes de son testament olographe à Paris le 9 avril 1829, déposé pour minute au dit M° Ritleng le 27 avril 1830. Quant au Sieur Sauthier l’immeuble dont il s’agit formait sa propriété par suite de la vente qui lui en avait été faite par M. Charles Paul Hirn, négociant, & Françoise Dangelo son Epouse, demeurant à Haguenau suivant acte passé devant M° Lacombe, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV contenant quittance du prix – Prix, 20.200 francs
acp 387 (3 Q 30 102) f° 25

Eugène Perrin meurt célibataire en délaissant une fille naturelle reconnue issue de Salomé Sophie Geiger
1854 (21.1), Strasbourg 10 (126), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.391
Déclaration tenant lieu d’inventaire, 21 janvier 1854. Eugène Perrin entrepreneur
Ont comparu 1) Mad. Marguerite Magnus, veuve de Mr Louis Henri Perrin en son vivant maître charpentier à Strasbourg, 2) M. Charles Henri Perrin, entrepreneur de bâtimens, 3) M. Théodore Albert Perrin, aussi entrepreneur de bâtimens, agissant en son nom & comme subrogé tuteur de la mineure Perrin ci après nommée (…) 4) Melle Emilie Adélaïde Perrin, sans état, en jouissance de ses droits, 5) Et Dlle Salomé Sophie Geiger, sans état, aussi en jouissance de ses droits, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, cette dernière agissant en qualité de tutrice de Louise Sophie Perrin, mineure, née à Strasbourg le 30 octobre 1848, demeurant et domiciliée en cette ville, enfant naturelle reconnue issue de la Delle Geiger & de M Eugène Perrin en son vivant entrepreneur de bâtimens domicilié à Strasbourg (…)
Mad. veuve Perrin habiles à se dire héritière pour un quart dudit M. Eugène Perrin son fils décédé à Hombourg les bains le 14 août 1853 et M.M. Charles Henri Perrin, Théodore Albert Perrin & Madlle Emilie Adélaïde Perrin, habiles à se porter héritiers ensemble pour les trois quarts restants dudit M. Eugène Perrin leur frère défunt. Le tout sauf les droits de ladite mineure Louise Sophie Perrin enfant naturelle reconnue par le défunt, et, en cette qualité, habile à réclamer la moitié en vertu de l’article 757 du code napoléon

Les parties déclarent que le défunt & M.M. Charles Henri Perrin, Théodore Albert Perrin, ses deux frères, étaient associés suivant convention verbale sous la raison Perrin pour l’entreprise des travaux publics & de travaux de constructions pour particuliers & qu’au décès de M Eugène Perrin ses droits dans l’avoir de ladite société se composaient 1) d’une somme de 526 francs
2) Et du tiers indivis d’une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des petites boucheries faisant le coin de cette rue & de la rue des grandes arcades (…)
Et que la fortune que le défunt a recueillie dans la succession de son père suivant partage dressé par M° Boersch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1842 lui a été délivrée depuis longtems
acp 426 (3 Q 30 141) f° 66 du 23.1. (succession déclarée le 15 janvier 1854
Masse active, garde robe 386, aregnt à la Caisse d’Epargne 278, sa part dans la société Perrin 526, le tiers d’une maison, 86.666. total 87.960 – Masse passive 11.431 francs

L’architecte et entrepreneur Eugène Perrin vend la maison au docteur en médecine Charles Frédéric Gross

1852 (4.5.), M° Grimmer
A comparu Monsieur Eugène Perrin, architecte et entrepreneur de travaux publics demeurant et domicilié à Strasbourg, Monsieur Perrin non marié, lequel a par les présentes vendu
à Monsieur Charles Frédéric Gross, docteur en médecine demeurant et domicilié à Strasbourg acquéreur
une maison à Rez de chaussée et deux étages avec mansardes, Cours, pompe, droits, appartenances située à Strasbourg Grande rue N° 149 formant le coin de la Rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6 tenant d’une part à la propriété des héritiers Steyert de l’autre part à celle de Messieurs Kampmann et Hoerter, sont compris dans cette vente tous les Fourneaux avec leurs pierres et tuyaux, les volets les jalousies, le chaudron a lessive (…)
Etablissement de la propriété. Monsieur Perrin est devenu propriétaire dudit Immeuble pour l’avoir acquis de Monsieur Jean Baptiste Bürckel propriétaire à Strasbourg ayant agi en qualité de Mandataire du sieur Antoine Joseph Wolff ancien militaire demeurant à Amiens et de demoiselle Jeannette Rose Wolff ancienne institutrice à Oberbergheim suivant Contrat de vente passé devant M° Noetinger qui en a la minute et son Collegue notaires à Strasbourg le 12 septembre 1849 dont la grosse a été transcrite au bureau des hypothèques de la même ville le 27 dudit mois de septembre volume 495 Numéro 79 et inscription d’office prise le même jour volume 515 Numéro 318. Cette vente a été conclue moyennant le prix de 20.200 francs (…)
Les sieur et demoiselle Wolff sont eux mêmes devenus propriétaires du dit Immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession du sieur Jean Baptiste Léon Koeberlé décédé en minorité au couvent d’Ebersmunster, leur frère utérin, dont ils étaient les seuls et uniques héritiers comme etant issus du Mariage de feu Joseph Antoine Wolff avec Jeanne Meyer qui s’est remariée avec Jean Koeberlé propriétaire à Strasbourg père du dit mineur qui avoit lui-même recueilli cet immeuble dans la succession de ce dernier dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé après son décès par ledit M° Noetinger le 22 août 1846. Le sieur Koeberlé père possedoit ladite Maison, savoir une moitié comme ayant été commun en biens avec son épouse défunte ladite dame Jeanne Meyer et l’autre moitié au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par les héritiers de cette dernière suivant procès verbal d’enchère dressé par ledit notaire Noetinger le 25 mars 1845 moyennant le prix dont il a fait état à la communauté par la liquidation qui en a été dressée par le même notaire le 7 novembre 1845 (…). Ladite communauté en étoit propriétaire au moyen de l’acquisition qui en a été faite de Monsieur Louis Leclerc, Marie Elisabeth Lacausse femme d’Anselm Schildknecht les deux de Strasbourg et de Barbe Kaumann majeure en la même ville et de Joséphine Kaumann majeure de Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’enchère dressé par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 12 avril 1830 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 19 du dit mois d’août volume 238 Numéro 37. Les susnommés Henri Leclerc, dame Schildknecht et les demoiselles Kaumann le possédoient comme l’ayant recueilli dans la succession de Monsieur Joseph Philippe Sauthier, chanoine a Saint Denis, dont ils étaient les légataires universels aux termes de son testament olographe daté de Paris le 9 avril 1829 déposé pour minute au dit M° Ritleng le 27 avril 1830. Et Monsieur Sauthier est devenu propriétaire du dit immeuble présentement vendu pour l’avoit acquis de Monsieur Charles Paul Hirn, négociant, et de dame Françoise Dangelo conjoints à Haguenau suivant acte passé devant M° Lacombe notaire à Strasbourg le 8 vendemiaire an XIV contenant quittance de ce prix – pour la somme de 25.000 francs
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 544 (2771) n° 4, du 8 mai 1852
acp 409 (3 Q 30 124) f° 54 du 6.5.

1

Fils du chirurgien Jean Frédéric Gross, Charles Frédéric Gross épouse en 1843 Sophie Salomé Stahl
1843 (18.7.), M° Grimmer
Contrat de mariage – Charles Frédéric Gross, docteur en médecine à Strasbourg, fils de feu Jean Frédéric Gross, chirurgien, et de Catherine Salomé Koffler épouse actuelle de Frédéric Pierre Schneider officier de santé d’une part
et Sophie Salomé Stahl, fille mineure de Marie Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth vivant propriétaire à Strasbourg d’autre part
acp 312 (3 Q 30 027) f° 43 du 20.7. – sous le régime de la communauté d’acquets
Donation par la mère du futur à son fils, ce acceptant, d’un mobilier évalué 1266 francs
Les apports du futur consistent en un mobilier et créances évalués à 25.092 francs
Les apports de la future consistent en un mobilier évalué à 1002 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession réductible en cas d’enfants

Charles Frédéric Gross loue le rez-de-chaussée et le premier étage à Sébastien Erb

1861 (16.11.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 134 (3 Q 31 633) f° 81 du 15.1.1862
28 novembre 1861. Bail – Entre les soussignés Charles Frédéric Gross, docteur en médecine d’une part
et Sébastien Erb d’autre part il a été convenu et arrêt é ce qui suit
Mr Gross cède et loue à titre de bail à loyer à Mr Erb, ce acceptant, le rez de chaussée et le premier étage, formant partie d’une maison que Mr Gross possède à Strasbourg grand rue N° 127, formant le coin de la rue des Fribourgeois. Les parties louées se composent de la totallité du rez de chaussée et du premier étage donnant sur les deux rues, d’un petit grenier, d’une cour, de plus les locataire aura l’usage commun aux autres locataires de la maison d’une buanderie et de la pompe. Le bail aura la durée de trois, six ou neuf années au choix respectif des parties contractantes. Il commencera le 25 mars 1862 pour finir à pareil jour des années 1865, 1868 ou 1870 (…) En outre ce bail est fait et conclu moyennant un loyer de 1400 francs par an, payable par quart tous les trois mois

Charles Frédéric Gross loue le rez-de-chaussée et le premier étage au restaurateur Laurent Kelhetter

1862 (27.12.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 136 (3 Q 31 635) f° 73-v du 29.12.
27 décembre 1863. Bail – Mr Charles Frédéric Gross, docteur en médecine, loue pour trois années qui ont commencé le 25. Xbre 1862 avec faculté accordée aux parties de résilier par une dénonciation de six mois pour les quartiers d’usage
au Sr Laurent Kelhetter restaurateur ce acceptant
le Rez de chaussée, une cave et quatre pièces au 1° étage dans la maison que Mr Gross possède à Strasbourg grand rue N° 127
(…) 6° En outre ce bail est fait pour un loyer annuel de 1080 francs, payable par quart tous les trois mois

Charles Frédéric Gross et Salomé Sophie Stahl vendent la maison au négociant Simon Katz

1863 (10.7.), M° Grimmer
Vente par Charles Frédéric Gross, docteur en médecine & Salomé Sophie Stahl, sa femme à Strasbourg
à Simon Katz, Négociant à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg grande rue N° 127 moyennant 30.000 francs, payables par termes de 5000 francs distribués d’une année à l’autre, jouissance et intérêts du 25 juin 1863 , impôts du premier juillet 1863.
acp 523 (3 Q 30 238) f° 62 du 13.7.

Natif de Cernay, Simon Katz épouse Anne May en 1834
Mariage, Strasbourg (n° 193)
Du 26° jour du mois de mai l’an 1834, Acte de mariage de Simon Katz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 novembre 1808 à Cernay (haut Rhin) domicilié à Cernay, marchand, fils de Mathias Katz, marchand, et de Babette Hallbronn, conjoints domiciliés à Cernay ci présents et consentants et de Anne May, majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 mars 1806 à Strasbourg, fille de feu Léon May, marchand décédé en cette ville le 19 avril 1832 et de feu Eve Ullmann décédée cette ville le 21 août 1823 (signé) Simon Katz, anna Maÿ

Simon Katz meurt en 1870 en délaissant pour héritier son fils Léon Katz

1870 (16.8.), Strasbourg 13 (98), Not. Flach (Jean Georges) n° 7690
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Anne May et Simon Katz
A la requête de I. Mad. Anne May sans état veuve de M. Simon Katz en son vivant négociant à Strasbourg où elle demeure, agissant 1° à cause de communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Weigel et son collègue notaires à Strasbourg le 26 mai 1834, 2° comme donataire de son mari en toute propriété d’une somme de 2000 francs aux termes du dit contrat de mariage, 3° et comme donataire en usufruit avec dispense de fournir caution de tous les biens meubles et immeubles délaissés par le défunt aux termes de l’article 8 du dit contrat de mariage. N.B. La dite donation en usufruit se trouve rédite à moitié conformément à la loi, vu l’existence d’enfant issus du mariage
II. M. Léon Katz, négociant demeurant à Strasbourg, habile à se dire et porter seul et unique héritier de son père M. Simon Katz
en une maison sise à Strasbourg rue des Fribourgeois n° 5 où M. Simon Katz est décédé le 18 février 1870.

Mobilier de la communauté. Les époux Katz s’étant retirés chez leur fils ont aliéné tous leurs meubles à l’exception des objets suivants
Immeubles. I. Il dépend de la communauté une maison à rez de chaussée et deux étages avec mansardes, cours, puits, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg grand’rue ancien n° 149 nouveau numéro 127, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 5 anciennement numéro 6, tenant d’un côté à la propriété Koppert de l’autre à celle de M.M. Kampman et Hoerter. Cet immeuble a été acquis par feu M Simon Katz durant son mariage avec Mad. Anne Mey sa veuve de M. Charles Frédéric Gross docteur en médecine et D° Salomé Sophie Stahl conjoints demeurant à Strasbourg par contrat passé devant M° Georges Louis Frédéric Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 10 juillet 1863 moyennant le prix de 30.000 francs
II. Il dépend de la même communauté un terrain d’une contenance d’environ quatre ares hors la porte de Saverne banlieue de Strasbourg le long de la petite route de Mittelhausbergen (…)
Stalles au Temple israélite
acp 595 (3 Q 30 310) f° 48 du 17.8. (succession déclarée le 17 avril 1870) – Communauté, mobilier 477, créances hypothécaires 6500, créances hirographaires 12.783, créances douteuses 16.6, deux stalles au temple israélite 800, maison à Strasbourg 50.000, terre hors la porte de Saverne 200 – Garde robe 329

Léon Katz loue le rez-de-chaussée au pharmacien Charles Geoffroi Johanny, de Trèves

1873 (13.5.), M) Metz
Pacht durch – Leon Katz, Eigenthümer zu Straßburg
an Karl Gottfried Johanny, Pharmaceut in Trier
von einem Magazin nebst drei daran stoßende Zimmer in einem Hause Langstrasse N° 127 für neun Jahr vom 25. September 1873 um einen jährlichen Pacht von 1800 Franken, Hr Ludwig Zoller, Schuster, genehmigt obige Verpachtung
acp 616 (3 Q 30 331) f° 52 n° 2884 du 19.5.

Le pharmacien Charles Geoffroi Johanny vend son fonds au pharmacien Charles Emmanuel Steiner, fils du rentier strasbourgeois Charles Edouard Steiner

1877 (15.3.), M° Schmitz
Verkauf durch Carl Gottfried Johanny, Apotheker in Strassburg wohnend
an Carl Emanuel Steiner, Apotheker Zu Strassburg wohnhaft verbürgt durch seinen Vater Johann Carl Eduard Steiner, Rentner in Strassburg wohnhaft
Ein Apotheker geschäfft und seine gesampte Apothecker einrichtung nebst sämtlicher Zubehörigungen erworben durch den Verkäufer lt. Act vor Notar Metz am 13. Mai 1873 sich befindlich im Hause Langstrasse N° 127
I. die Mobilien & M* um 6693 M
II. die Praxis & Kundschaft 10.017 M, zusammen 16.800.
Bedingungen 1) Ankäufer tritt am 25. März in Besitz und Genuß sämtliche Kaufobjecte & trägt auch die Steuren von da ab, 2) Ankäufer tritt am 25. März cr. in den Miethrechten & Mieth verpflichtungen des Ankäufers bezüglich folgender Räume, die Apotheke, die Materialien, Räume des Laboratoriums, des Kellers, der Glaskammer sowie sämtliche Räume des dritten Etage Miethzins auf ein Jahr d. h. für die ganze Zeit 4000 M
acp 662 (3 Q 30 377) f° 26-v n° 1213 du 16.3.

Le négociant Frédéric Zeiss vend la maison à la société dite Grunderwerbsgesellschaft (société d’acquisitions foncières) pour laquelle agit André Popp, moyennant 90 000 marks

1907 (10. April), Grand rue n° 127 (96 MW 108), vente Keller
10. April 1907. Nr. 23.033 – Kaufverschreibung über 90.000 Mark
Im Jahr 1807, den 10. April, Vor dem unterzeichneten Justizrat Wunder, Notar mit dem Amtssitze zu Bischheim, als Vertreter seines Zur Zeit abwesenden Kollegen Justizrat Dr. Anton Keller, Notar mit dem Amtssitze zu Strassburg, sind erschienen
1. Herr Friedrich Zeiss, Kaufmann wohnhaft zu Strassburg, Schlossergasse Nr. 23., ledig, volljährig,
2. Herr Andreas Popp, Rentner wohnhaft zu Strassburg, handelnd in seiner Eigenschaft als Geschaftsführer der Grunderwerbsgesellschaft Gesellschaft mit beschränkter Haftung mit dem Sitze zu Straßburg und alles nachstehende für diese Gesellschafft annehmend.
Die Erschienenen erklärten zur Beurkundung den folgenden Kaufvertrag. Herr Friedrich Zeis zu 1 verkauft hierdurch an die genannte Grunderwerbsgesellschaft, für welche Herr Popp zugegen ist und handelt, das nachfolgend bezeichnete Grundstück
Stadt Strassburg, Blatt 2298 des Eigentumsbuchs
Flur N Nr. 954, Langstrasse Nr. 127 und Freiburgergasse Nr. 5., ein Ar 85 Quadratmeter, Hofraithe, Wohnhaus, bestehend aus Erdgeschoss, drei Stockwerken
Kaufpreis . Der vereinbarte Kaufpreis beträgt 90.000 Mark. Hiervon sind zahlbar sofort am heutigen Tage 5000 Mark, wofür Quittung (…)
Eigentumsnachweis. Das Kaufgrundstück gehört dem Verkäufer Herrn Zeiss zu Eigentum da er es erwarb von den Eheleuten Baruch Wolff und Barbara geb. Weill in Strassburg lauf Kautvertrags, errichtet vor dem genannten Notar Dr. Keller am 3. April 1905. Eheleute Wolff hatten das Grundstück erworben von dem Kaufmann Jakob Engelmann in Neustadt an der Hardt laut Kaufvertrags desselben Notars vom 27. März 1894.
Die Auflassung soll erst erfolgen nach Zahlung der am 1. Oktober nächsthin fälligen 25.000 Mark (…)
Band 1057 Blatt 21 Nr. 180.

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