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Le 19, Grande rue de la Grange à l’enseigne Myrtil Weill lors de la Grande Percée (vers 1912, AMS cote 1 Fi 23 n° 3)
Aspect actuel (mai 2013), l’emplacement de l’ancien n° 41 se trouve à l’arrière du palmier
La maison à encorbellement est occupée par divers artisans aux XVII° et XVIII° siècles : boutonnier, parcheminier, tricoteur de chausses, tailleur puis bouchers à partir de 1800. Composée d’un bâtiment sur rue et d’un bâtiment arrière, elle est estimée à environ 500 livres strasbourgeoises au cours du XVIII° siècle.
Sur les dessins préparatoires au plan-relief de 1830, la maison est la troisième à gauche du repère (c). Elle a une arcade et une porte à sa gauche au rez-de-chaussée, deux étages qui comportent chacun deux fenêtres, le tout surmonté de trois niveaux de greniers. Comme l’indique l’Atlas des alignements et l’état ultérieur, les étages sont en encorbellement. Les élévations de la cour (I) montrent l’arrière de la façade principale entre (3) et (4), le bâtiment arrière entre (1) et (2), entre (4) et (1) le bâtiment latéral qui relie les deux autres sur la gauche de la cour en sortant du bâtiment principal. La maison comporte depuis 1875 une devanture qui sera transformée en 1914. La cave est agrandie en 1894, le rez-de-chaussée transformé en 1906 pour les besoins de la boutique de boucher. Le premier étage est garni en 1929 de pans de bois qui n’existaient pas auparavant. Le bombardement du 25 septembre 1944 détruit entièrement la maison. Le terrain est occupé par une baraque où est exploitée une pharmacie avant qu’une compagnie d’assurances ne construise le bâtiment actuel sur plusieurs anciennes parcelles.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 140
Cour I – Façade avant transformation (à gauche) et après transformation (à droite) en 1929.
La droite du dessin représente l’encorbellement et l’enseigne qui y est fixée (dossier de la Police du Bâtiment
mai 2013
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 16xxx à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
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Jean Nicolas Weber, boutonnier et sergent à la chambre des Sept |
1694 |
adj |
Jean Georges Weber, parcheminier, et (1680) Elisabeth Rimbach – luthériens |
1720 |
v |
Jean Louis Leiss, tricoteur de chausses, et (1715) Barbe Lorentz – catholiques |
1762 |
h |
Jean Louis Leiss, secrétaire du consul, célibataire |
1769 |
h |
Jean Jacques Leiss, tricoteur de chausses, et (1756) Marie Eve Lender |
|
h |
François Joseph Leis, tailleur d’habits, et (1794) Marguerite Barbe Fritz – catholique et luthérienne |
1800 |
v |
Jean Théophile Harré, boucher et (1796) Catherine Dorothée Rebmann |
1819 |
h |
Charles Jacques Kühnlin, charcutier, et (1819) Elisabeth Fallot |
1863* |
v |
Félix Weill, commerçant |
1890* |
|
Myrtil Weil, boucher, et Marie Mayer |
1929* |
h |
indivision entre Félix Weill, commerçant, et (1914) Irma Gugenheim
Gaston Seligmann Weill, commerçant, et (1920) Madeleine Ulmo |
1950 |
v |
Société Civile Immobilière des numéros 41 et 43 de la rue du 22 Novembre |
1953 |
v |
Compagnie d’assurances La Cité-Vie |
(1765, Liste Blondel) IV 436, Jean Louis Leiss
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 776, Kühnlin, Charles Jacques, maison, sol – 1,2 are puis 0,74
Locations
1720, Susanne Schætzel veuve de Jacques Wenner, coutelier et ancien concierge à la tribu des maréchaux
1805, Anne Marie Müller, originaire de Wittenweier en Bade
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Préposés aux affaires foncières
1730 (VII 1394)
(f° 44-v) Dienstags den 23. Ejusdem [Maÿ 1730.] Johann Ludwig Leÿß – Hannß Georg Burger der Zimmermann nôe Johann Ludwig Leÿßen des Hosenstrickers ersucht Mghh. jhme Zuerlauben, einen Verfaulten Pfosten am Überhang deßen Haußes in der Stadtelgaß herauß: und einen neüen einzumachen. Erkannt Willfahrt, doch solle der Werckmeister nachsehen, daß nichts anders Gemacht werde.
(traduction) Jean Louis Leyss – Le charpentier Jean Georges Burger demande au nom du tricoteur de chausses Jean Louis Leyss l’autorisation de remplacer par un nouveau le pilier pourri à l’encorbellement de sa maison rue de la Grange. Décision, accord, le chef de chantier devra cependant vérifier que rien d’autre n’a été fait.
Description de la maison
- 1735 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau, au premier deux chambres dont une sert de chambre à soldats, un petit bâtiment arrière où se trouve un petit poêle et une chambre au premier, un bûcher, petite cour, puits et cave solivée avec toutes ses appartenances, estimée 950 florins
- 1762 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent trois poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, les combles sont couverts de tuiles plates, il y a aussi une cave solivée, une cour et un puits, estimée 900 florins
Atlas des alignements
2° arrondissement ou Canton Nord – Grande rue de la Grange (f° 24-v)
nouveau N° / ancien N° : 12 / 26
Harré
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois mauvais et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 219 case 4
Kuhnlein Charles Jacques à Strasbourg
N 776, maison, sol, grande rue de la grange 26
Contenance : 0,74
Revenu total : 86,39 (86 et 0,39)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 959 case 1
Kuhnlein Charles Jacques à Schiltigheim N° 262
1863 Weill Felix, commerçant
1890/1 Weil Mÿrtil, Gr. Stadelgasse 19
N 776, maison, sol, Rue de la grange 19
Contenance : 0,74
Revenu total : 86,39 (86 et 0,39)
Année d’entrée : (219)
Année de sortie : Gb [Livre foncier]
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
Cadastre allemand, registre 32 p. 425 case 4
Parcelle, section, 61 n° 54 – autrefois N 776
Canton : Neue Strasse N. 41 – Rue du 22 Novembre – Straße des 19. Juni
Désignation : Hf, Whs. u. NG – Hf, Whs
Contenance : 0,68
Revenu : 1500 – 1000
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1945), compte 3699
Weill Mÿrtil Wwe
1929 Weill Gaston Seligmann pour ½ et copropriétaires
(4278)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 1783
Bass Lazarus Witwe
1924 Levy Julius Kaufmann Ehefr. Gabrielle née Bass
1925 Levy Jules commerçant et cohéritiers
1937 Weill Felix et son épouse et copropr.
(4277)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 100 Grand’rue de Stadel (p. 162)
(maison n°) 26
Pr. Leiss, J. Jacques, bonnetier – Drapiers
loc. Baetsch, Marguerite, veuve – Mauresse
loc. Moÿses, Juif de Büschheim
loc. Lono*, Catherine, fille de bourg.
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Grosse Stadelgasse. V. Rev. – G.H. 8.
vom Gerbergrabengr. Nrn. r., ungr. l. (S. 168-169)
(Nr.) 19
Weill, Fleisch- u. Wurstwarengeschäft E 0123
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 230 MW 141)
Le boucher Myrtil Weil installe en 1875 une devanture qui sera transformée en 1914. Il fait creuser en 1894 une cave sous la sous la partie de la maison où il n’y en a pas encore. Le sous-sol servira à abriter des machines électriques de charcuterie qui font l’objet d’une autorisation en 1911. Le rez-de-chaussée est transformé en 1906 en agrandissant la boutique de boucher et en aménageant un bureau. On reconstruit en 1921 la toiture qui a été détruite par le feu. La façade est transformée en 1929, les dessins permettent de constater que le premier étage est garni de pans de bois qui n’apparaissaient pas auparavant. Le bombardement du 25 septembre 1944 détruit entièrement la maison. Le pharmacien Walther qui a établi un bâtiment provisoire sur le terrain est autorisé en 1948 à poser une enseigne.
Sommaire
- 1875 – Le maître maçon Baldner demande au nom du boucher Weill l’autorisation de réaliser une devanture au 19 Grande rue de la Grange. Le rapport constate que le rez-de-chaussée est dans l’alignement de la rue mais que les étages sont en encorbellement. L’architecte de la Ville autorise les travaux
- 1884 – L’agent de police Niebling fait un rapport sur les boutiques de la petite et de la grande rue de la Grange. Il constate que les latrines de la manière n° 19 qui appartient à la veuve Rosalie Weil née Levy n’ont pas de tuyau d’écoulement et que l’humidité pénètre dans la maison 14 petite rue de la Grange – Visite des lieux, rapport – Juillet, le revêtement de la fosse a été refait, il est étanche
- 1886 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Rosette Weil née Levy, domiciliée sur place, de faire ravaler la façade du 19 Grande rue de la Grange – Travaux terminés, octobre
- 1891 – Rapport de la Police du Bâtiment après un feu de cheminée : la charpente est trop proche de la cheminée – Travaux terminés, juillet 1891
- 1894 – L’architecte Wendling (4 quai Kellermann) demande au nom du boucher Myrtil Weil, propriétaire, l’autorisation de remplacer la fosse d’aisances par une nouvelle plus grande en la garnissant d’une cuvelle d’après le système Rogier Mothe, d’établir une cave sous la partie de la maison où il n’y en a pas encore et de démolir un mur – Autorisation – Septembre, la Police du Bâtiment constate que la réalisation diffère du projet, les poutres de soutien ne sont pas assez solides – Octobre, les travaux sont terminés, pas d’objection
- 1895 – L’entreprise Allgemeine Elektricitäts-Gesellschafft (bureau de Strasbourg 2 rue Kageneck) demande l’autorisation de poser un câble électrique provisoire entre le 15 rue Sainte-Barbe et le 19 Grande rue de la Grange – L’entreprise est autorisée à occuper la voie publique pour poser le câble électrique après avoir obtenu l’accord la direction générale des postes – Février 1896, le câble provisoire est retiré
- 1902 – L’entreprise L. Greiner et F. Peter (8 boulevard de la Porte blanche) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant le 19 Grande rue de la Grange – Autorisation
- 1906 – L’entreprise L. Greiner et F. Peter (17 rue de Molsheim) demande l’autorisation de consolider la solive en bois par une pièce en fer pour que le propriétaire (Myrtil Weill) puisse agrandir la boutique de boucher et le bureau – Autorisation d’agrandir la boutique de boucher et d’aménager un bureau au rez-de-chaussée du 19 Grande rue de la Grange – Travaux terminés, septembre 1905 – Calcul statique
- 1907 – Rapport de feu de cave – Après vérification, seuls ont brûlé quelques chiffons qui retenaient un soupirail
1908, janvier, puis décembre – Nouveaux feux de cave. Le propriétaire est invité à tenir fermées les ouvertures de ramonage
- 1911 – La veuve Myrtil Weill demande une autorisation concernant des machines électriques de charcuterie que son mari a installées en 1895 au sous-sol. Le rapport constate que le local n’est pas réglementaire et qu’il faut donc en retirer les machines. La propriétaire fait observer que le local de travail se trouve au rez-de-chaussée et qu’on n’utilise les machines du sous-sol que deux heures par jour tout au plus. La Police du Bâtiment accorde alors son autorisation – Autorisation d’installer des machines au 19 Grande rue de la Grange, plans de F.W. Kirchner (4 rue de l’Arc-en-Ciel) – Spécifications techniques
- 1914 – L’architecte G. Oberthür (7-9 place Kleber) demande l’autorisation de transformer la devanture du 41 rue Neuve – Autorisation – Plan
- 1920 – L’Inspection du Travail écrit à la Police du Bâtiment suite à une réclamation d’après laquelle un four à fumer dégagerait de la fumée. Il semble que le four et la couverture de la cour soient postérieures aux derniers travaux que la Police du Bâtiment a autorisés. – On ne constate aucun dégagement de fumée lors de la visite des lieux
- 1921 – L’architecte et entrepreneur Fernand Peter (17 rue de Molsheim) a fait poser un échafaudage d’urgence après l’incendie qui s’est déclaré dans la maison Myrtil Weill, 41 rue du Vingt-deux-novembre – Autorisation de reconstruire la toiture détruite par le feu – Plans – Avril 1922, l’architecte répond aux objections de la Police du Bâtiment – Dessin du monte-charge (Ad. Staub, Atelier de constructions mécaniques, Schiltigheim-Strasbourg 2 place de la Gare) – Affaire classée, avril 1924
- 1929 – L’architecte Vogel, Syndicat de la propriété bâtie (4 quai Kellermann) est autorisé à transformer la façade du bâtiment sis 41 rue du Vingt-deux-novembre, propriété de Myrtil Weill (domicilié sur place, section 61 n° 54) – Plans – Les travaux sont terminés sauf la peinture, juillet 1929. Réception finale, pas d’objection
- 1900 – Commission contre les logements insalubres. Observations sur la chambre des apprentis – Travaux terminés, septembre
1906 – La fosse d’aisances est raccordée aux canalisations
1925 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
- 1932 – Rapport de feu de cheminée – La cheminée crevassée a été réparée, avril
- 1941 – L’entreprise Zavagno-Riegel (ravalements, 1 rue Saglio) est autorisée poser un échafaudage sur la voie publique devant le 19 rue du 19 Juin (Hiller)
- 1944 – Certificat de sinistré – MM. Félix et Gaston Weill pour les 41 et 43 rue du Vingt-deux-novembre après le bombardement du 25 septembre 1944 (courrier à envoyer chez Martin Tollemer, La Renaissance, Le Puy, Haute-Loire). Les deux bâtiments sont entièrement détruits
- 1948 – A. Walther (pharmacie Kleber) demande l’autorisation de poser une croix lumineuse à son officine sise 41 rue du Vingt-deux-novembre – Schéma – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire
Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
1945, MRU (424 D 39), rue du Vingt-deux-novembre n° 41 et 43
(Pièces concernant le 41 rue du Vingt-deux-novembre, section 61 n° 54)
Dossier consitué auprès du service de reconstruction après que le maison a été entièrement détruite par le bombardement du 25 septembre 1944
Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
Loi des 11 octobre 1940, 12 juillet 1941 modifiée les 8 novembre 1941 et 7 octobre 1942
Dossier n° NV 6455 Z
Dossier de destruction
Etat-civil du propriétaire, WEILL Gaston et Félix (voie annexe état civil) né le 4 juillet 1885 à Strasbourg, nationalité française, industriel, domicilié à Strasbourg 30 rue Oberlin actuellement le Puy (Hte Loire), veuf de CHADRAC Madeleine Emilie ULLMO décédé à Strasbourg le 14 avril 1940
Mandataire, CALEB, Raphaël, nationalité française, domicilié à Strasbourg 19 rue des Francs Bourgeois, mandataire en vertu d’un pouvoir signé à Lyon le 25 septembre 1945
Renseignements relatifs à l’immeuble sinistré. Adresse, Strasbourg No 41 Rue du 22 Novembre. Section 61 N° 54 cont. 68 cts sol et maison, L.F. feuil. 2287 sect. I
Date, cause et circonstances du sinsitre – Bombardement du 25 septembre 1944 sous le coup d’une bombe directe l’immeuble a été complètement démoli.
Modalités de règlement (…)
Croquis d’implantation
Strasbourg le 14 mars 1946
(feuille annexe)
Destination – Etablissement industriel avec magasins de vente
Origine de propriété – Vente et donation suivant acte dressé par Paul Kahn, notaire à Strasbourg le 31 Mai 1927
Droits réels – néant
Ancienneté – avant 1840 mais complètement remis à neuf
Locations – loué à la Maison Myrtil WEILL, S.A.R.L. insctrits au Registre du commerce b. 558. Le prix du loyer était en 1939 de frs 12.000 par an plus charges et impôts
Assurance. Le bâtiment était-il assuré contre l’incendie ? oui. A la compagnie Rhin & Moselle pol. No 138 813 du 8 juin 1937 pour Frs. 140.000. L’assurance ne couvrait pas les risques de guerre.
Subventions antérieures. Avez-vous déposé pour le même bâtiment une demande de subvention au titre de la loi du 5 août 1940 ou 9 février 1941 ou à tout autre titre ? non
Ville de Strasbourg. Extrait du registre des décès. N° 1620. Le 14 avril 1940 à deux heure est décédé à ([biffé] Strasbourg) Chadrac, Madeleine Emilie ULLMO, née à Lachaux de Fond (Suisse) le 10 septembre 1898 domiciliée à Strasbourg fille de Gaspard ULLMO et de Louise DREYFUS, négociant, domiciliés à Lachaux de Fond, épouse de Gaston WEIL.
Pour extrait conforme le 21 septembre 1945
Ville de Strasbourg. Extrait du registre des naissances. N° 2623 / 1885. Le 4 septembre 1885 à 6 heures est né à Strasbourg un enfant du sexe masculin qui a reçu les prénoms de Gaston Seligmann, fils de Myrtil WEILL, boucher, domicilié à Strasbourg et de Marie MAYER son épouse domiciliée à Strasbourg.
Marié à La Chaux de Fonds (Suisse) le 6 avril 1920 avec Madeleine Emilie ULLMA
Certifié conforme aux registres de l’Etat-Civil, Strasbourg le 17 septembre 1945
Description du bâtiment détruit
Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
Loi des 11 octobre 1940, 12 juillet 1941 modifiée les 8 novembre 1941 et 7 octobre 1942
État descriptif d’un bâtiment totalement détruit
Propriétaire – WEILL Gaston et WEILL Félix
Domicile, Le Puy (Hte Loire) La Renaissance
Mandataire, CALEB, Raphaël, 19 rue des Francs Bourgeois, Strasbourg
Renseignements relatifs au bâtiment détruit. Adresse, Strasbourg 41 Rue du 22 Novembre.
Cadastre sect. 61 N° 54 contenance 68 cts sol et maison, L.F. feuil. 2287 sect. I
Destination – Etablissement industriel avec magasins de vente
Ancienneté – avant 1840 mais complètement remis à neuf cave cimentée etc.
Date, cause et circonstances du sinsitre – Bombardement septembre 1944 sous le coup d’une bombe directe l’immeuble a été complètement démoli.
Description du bâtiment
Sous-sol ou caves – caves cimentées
Rez-de-chaussée – magasins de vente et laboratoires de charcuterie
1° étage – bureuax [sic] et emballage 2 chambres
2° étage – fabrique de Foie Gras 3 chambres
3° étage – buanderie avec chaudron à gaz
Combles ou greniers – oui
Caractéristiques de la construction
Murs – construites de pierres et bois, pierres dominants
Planchers – magasin dalé {sic]
Couverture – tuiles
Agencement moderne.
Y avait-il dans le bâtiment le chauffage central ? non, l’eau ? oui, le gaz ? oui, l’électricité ? oui, un ascenseur ? non, des salles de bains (nombre) ? non, des W.C. (nombre) ? deux, des fosses fixes ? des fosses septiques ? le tout à l’égout ? oui, un puits perdu ?
État de conservation et d’entretien. Grosses réparations et remise à neuf en 1935 (voir annexe)
Emplacement réservé aux croquis
Devis de destruction concernant l’immeuble sis No. 41 rue du 22 Novembre à Strasbourg
Propriétaire, Société Civile Immobilière 41-13 rue du 22 Novembre à Strasbourg
Plans et élévation (polycopie)
Plan conforme à celui de la police du bâtiment du 29/9/1921
Relevé d’actes
Le receveur de l’Aumôme de Saint-Marc donne quittance à Nicolas Weber, sergent à la chambre des tutelles, d’une rente de 5 sous assise sur sa maison Grande rue de la grange contre remboursement d’un capital de 5 livres
1668 (12. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 488-v
Erschienen H. Georg Rehm alß Schaffner deß Großen gemeinen allmosens Zu St Marx
in gegensein Niclaus Webers deß Vogteÿ Gerichts Botten
bekannt, daß Er Weber, besagtem Allmosen 5 Pfundt d in bahrem Gelt erlegt, und, damit, die Jenig. 5. ß d. welche derselbe Jährlichen termino Osualdi von seiner alhie in der großen Stadelgaßen gelegenen Behaußung ihme dem allmosen bißhero Zu zinß Zu raÿchen schuldig gewesen ist, abgelößt und widergekaufft
Le receveur de l’Aumôme de Saint-Marc donne quittance à Nicolas Weber, sergent à la chambre des tutelles, d’une rente assise sur sa maison Grande rue de la grange contre remboursement d’un capital de 50 florins selon un titre de 1544 et 50 florins selon un titre de 1602
1668 (12. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 489-v
Erschienen H. Georg Rehm alß Schaffner deß Großen gemeinen allmosens Zu St Marx
in gegensein Niclaus Webers deß Vogteÿ Gerichts Botten
bekannt, demnach Er Weber, Vermög eines pergamentinen lateinischen sub dato 4.t Calend. Julÿ A° 1544. mit des Bischoffl. hoffs anhangendem Insiegel, durch weÿl. H Theobaldum Hortulanum alß deßelben hoffs gewesenen Contractuum Notarium außgefertigten Zinnßbrieffs und deßelben transfixes sub dato 10. Martÿ A° 1565. 50. Gulden Straßburg. wehrung Jährlichen termino Petri & Pauli Apostolorum, So dann in Krafft eines teutschen Pergamentinen sub dato 29.ten Maÿ Anno 1602. mit der statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel durch weÿl. H Johann Henrich Meÿern alß deroselben Contractuum Notarium auffgerichteten zinnßbrieffs 50. R. Straßburger wehr. Jährlichen termino Philippi Jacobi aptrm. Zinnß bahren Capitalien, uff seiner alhie in der großen Stadelgaßen gelegenen Behaußung, dem allmosen schuldig
Nicolas Weber hypothèque la maison au profit de la Grande Ecole. La maison est grevée d’une rente de 10 sous et d’un demi chapon au profit de la fondation Saint-Jean-à-l’île-verte. En marge, quittance par le propriétaire ultérieur, Jean Louis Leyss
1674 (21. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 675-v
Niclaus Weber der Vogteÿ Gerichts bott
in gegensein herrn Johann Caspar Erhardts alß Schulschaffners – schuldig seÿe 25 pfund
Unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Großen Stadelgaßen, einseit neben einer behaußung dem mehrern Hospital gehörig anderseit neben Samuel Ruepen dem Treÿerknecht, hinden uff – stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß und einen halben Cappen ewigen erschätzigen aber nicht fürbietig. Zinnßes dem Stifft St. Johann Zum Grünen würth
[in margine :] (…) in gegensein Johann Ludwig Leÿß, des Hoßenstrickers, der hier Verpfändete behaußung erkaufft und die Zahlung ged. capitals übernommen (quittung) Actum den 19. Februarÿ 1735.
Nicolas Weber hypothèque la maison au profit de la Grande Ecole pour une nouvelle somme qui s’ajoute à cette de l’obligation précédente
1676 (6. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 612
Niclaus Weber der Vogteÿ gerichtsbott
in gegensein herrn Balthasar Friderich Stößer alß Schulschaffners, bekannt, daß Er Weber besagter hohen schul über die am 21. 9.br. A° 1674. in der Cancelleÿ Contractstuben Verschriebener 25. lb noch ferners 25. lb bahr gelühenen Gelts
unterpfand, Eine behausung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der großen Stadelgaß, einseit neben einer behaußung dem mehrern Hospital gehörig anderseit neben Samuel Ruopen den dreÿer Knecht hinden uff – stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß und ½ Kappen ewigen erschätzigen aber nicht fürbietigen zinnßes dem Stifft St. Johann Zum grünen wörth
[in margine :] (…) in gegensein Johann Ludwig Leÿß des hoßenstrickers und proprietarÿ hier verpfändeter behaußung (quittung) den 19. Februarÿ 1735.
Nicolas Weber hypothèque la maison au profit des enfants de Jean Georges Rehm, ancien greffier en chef à Saint-Marc
1679 (28. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 590-v
Niclaus Weber der Vogteÿ Gerichtsbott
in gegensein herrn Johann Schmidts Schaffners des Großen Gemeinen Allmosens Zu St Marx alß Vogts weÿl. herrn Johann Georg Rhemen geweßenen Oberschreibers daselbst nunmehr seel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, ein Vorder und ein hinder hauß, mit allen deren Gebäwen, Rechten und Zugehördten alhier in der großen Stadelgaßen, einseit neben einer behaußung dem mehrern Hospital gehörig, anderseit neben Samuel Ruopen Treÿer Knecht des Pfenningthurns hinden uff Caspar Steiner den Kachler stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10 ß und einen halben Kappen dem Ordens hauß Zu St. Johann alhier
Le boutonnier Jean Nicolas Weber hypothèque la maison au profit du receveur de la Grande Ecole pour régler à son frère Jean Georges Weber le prix qu’il lui doit de la maison paternelle
1680 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 259-v
Johann Niclaus Weber der Knöpffmacher
in gegensein Herrn Balthasar Friderich Stößers alß Schuhl Schaffners – schuldig seÿe 100. R., damit Johann Georg Weber den Pergamantern seinen eheleiblichen bruder Wegen der Vätterlichen Verlassenschafft außzahlen undt befriedigen können
unterpfand, eine behausung mit allen deren gebäwen und Zugehördten alhier in der Großen Stadelgaß, einseit neben eine behaußung dem mehrern Spittal gehörig, anderseit neben Samuel Ruopen dem dreÿer Knecht hinden uff – stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen 10 ß undt ½ Cappen ewigen, erschätzigen aber nicht fürbietigen Zinnßes dem Stifft St: Johann zum Grünenwörth
Nicolas Weber, sergent à la chambre des Sept, hypothèque la maison au profit d’Agathe Ursule veuve du pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune Elie Kolb
1680 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 458
Niclaus Weber der Sibengerichts bott
in gegensein Herrn Dominici Rincken Pfarrers zu Berstätt, alß Vogts Frawen Agathæ Ursulä weÿl. H. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers Zum Jungen St: Peter nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin – schuldig seÿe 30. lb
unterpfand, Eine behausung mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier in der großen Stadelgaß einseit neben einer behausung dem mehrern Spital gehörig, anderseit neben Samuel Rupen dem dreÿer Knecht, hinden uff stoßend gelegen, Davon gehendt Jährlichen 10. ß d und ½ Cappen ewigen, ehrschätzigen aber nicht fürbietigen Zinnßes dem Stifft St: Johann Zum Grünenwörth
Nicolas Weber, boutonnier et sergent à la chambre des Sept, hypothèque la maison au profit du marchand Jean Frédéric Zeissolff
1681 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 328
Niclaus Weber der Knöpffmacher undt Sÿbnergerichts bott
in gegensein herrn Johann Friderich Zeißolffs deß handelsmanns – schuldig seÿe 82. R.
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier in der großen Stadelgaß einseit neben Samuel Ruopen dem dreÿer Knecht, anderseit neben einer behausung dem mehrern Hospital gehörig hinden uff – stoßend gelegen
Jean Nicolas Weber, sergent à la chambre des Sept, et sa femme Marie Madeleine hypothèquent la maison au profit de Jean Rodolphe Saltzmann, licencié en droit, avocat et procureur au Petit Sénat
1681 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 550, f° 514
Johann Niclaus Weber Sÿbnergerichts Bott und Maria Magdalena sein eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest und weÿsen herren Daniel Ruosen und Herren Johann Saltzmanns beÿder alß aus E.E. Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputierter
in gegensein deß Ehrenvest- hochgelehrten herrn Johann Rudolph Saltzmanns U.I. Ddi und wohlgedachten Rhats Advocati et Procuratoris – schuldig seÿen 50. lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen und zugehörddten alhier in der großen Stadelgaß einseit neben Samuel Rupen dreÿer Knecht deß Pfenningthurns anderseit neben Einer behaußung dem mehrern Hospital gehörig, hinden uff – stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Ludwig Leiß des hoßenstrickers, als dermaligen proprietarÿ hier beschrienener und verpfändeter behaußung (quittung) Actum den 3.ten Martÿ 1729.
Les députés à la faillite de Jean Nicolas Weber, maître d’école à Romanswiller, vendent 339 livres la maison au parcheminier Jean Georges Weber
1694 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 381-v
H. Johann Paul Schübler, beed. Rechten Doctoris und H. Johann Jacob Hirschel, beede E.E. Großen Raths beÿsitzere alß zu distraction und außweißung Johann Niclaus Webers, Schulmeisters zu Rumelsweÿler allhier befindlichen Falliments Nahrung, insonderheit Deputirte
hans Georg Weber, deß Pergamenters
Hauß, höfflein, hind. haüßlein, samb dero hoffstätten, und allen übrigen deren gebaüen, Recht und Zugehördt. allhier an der Großen Stadelgaß, einseit neben H. Samuel Kueffen, alten dreÿern deß Pfenningthurns, and. seit neb. einer behaußung in d. Spitahl gehörig, hind. auff Hans Henrich Stäbler, den Maurer, stoßend geleg., darvon gehend jährlich 10 ß in geld und ein halb. Capaunen ewig erschätzig. Zinß dem Closter zu St Johann alhier, So seÿe dieselbe auch umb 50 lb Capital (Ferner umb 50 lb Capital, Item umb 50 lb Capital, So dann umb 50 lb Cap. verhafftet) – umb 139 – davon obgl. Niclaus Weber Kind. Erster Ehe /:deren Vogt hans Jacob Reÿmann der Kirschner hierbeÿ zugegen solches acceptirte:/ weg. dem mütterlichen. Guths
Jean Georges Weber a épousé en 1680 Elisabeth Rimbach, fille d’un préposé aux ventes
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 287-v)
1680. Festo eod. [Paschali d. 11. April:] Hannß Georg Wäber d. pergamenter, Weÿl: Niclaus Wäbers gewesenen Vogteÿ gerichts Botten alhier Nachgelaßener ehel: Sohn, Undt Jgfr. Elisabetha, Weÿl: Hr Joh: Rimmbachs geweßenen burgers Vndt Käufflers alhier nachgelaßene ehl: Tochter. Copulati Donnerst. 22.ten April.
Proclamation, Temple-Neuf (luth. 78-v) 1680. VIII. Zum 2.mahl Hannß Georg Weber der Pergamenter Weiland Niclauß Webers gewesenen Vogteÿgerichts Botten alhier nachgelaß: ehel: S., Jgfr. Elisabeth Weiland Hr Johann Rimbachs gewesenen Käufflers u. Burgers alhier nachgelaß: ehel: T. Donnerst. den 22.ten April. J. St. Peter
Marie Salomé Weber, fille majeure, vend 350 livres la maison au tricoteur de chausses Jean Louis Leiss et à sa femme Barbe Lorentz
1720 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 109
(400) Maria Salome Weberin so majorennis und ohnbevögtigt beÿständlich Marx Schätzel des Spenglers ihres geschwornen vogts
in gegensein Joh. Ludwig Leiß des hoßenstrickers und Barbaræ gebohrner Lorentzin
hauß höfflein hinterhäußlein sambt dero hofstätten und allen übrigen denen mit allen gebäuden, rechten und zugehörden ahn der großen stadelgaß, einseit neben H. Städel anderseit neben einer behausung in dem spithal gehörig hinten auff – davon gibt man 10 ß in geldt und einen halben Capaunen ewig ehrschätzigen zinß dem Closter zu St Johann, so dann its soche behaußung um 175 pfund /:so dann 12:/ verhafftet – um 162 pfund
Jean Louis Leiss, fils de maçon, épouse en 1715 Barbe Lorentz, fille d’un tricoteur de chausses de Ribeauvillé
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 7)
Die 9 mensis Junÿ anni 1715 (…) sacro matrimonii vinculo juncti sunt Honesti adolescentes Joannes Ludouicus Leys Ciuis ac Magister tibialium textor nec non filius legitimus defuncti Joannis Ludouici Leys Cæmentarii et Ex assessoris minoris Senatus argentinensis et Maria Magdalena Foltzin, Et pudica virgo Barbara Lorentzin Rapschwillana ac legitima filia Joannis Lorentz ciuis ac tybilalium textoris Rapschwillæ et annæ Barbaræ Ballzerin (signé) Johann Ludwig Leüß, + signum sponsæ (i 7)
Barbe Lorentz devient bourgeoise par son mari
1715, 4° Livre de bourgeoisie f° 814
Barbara Lorentzin Von Rappolweÿer weÿl. Johann Lorentz gew: Hosenstrckers daselbst tochter, emp. das burgerrecht Von Jhrem Mann Joh: Ludwig Leuß p. 2. goldR. 16 ß wird beÿ den Tuchern dienen. P. d. 13. Dito [Julÿ] 1715.
Inventaire après le décès d’une locataire, Susanne Schætzel veuve de Jacques Wenner, coutelier et ancien concierge à la tribu des maréchaux
1720 (11.3.), Me Marbach (Jean, 34 Not 2) n° 33 [haut abîmé par l’humidité]
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsamen frawen Susannæ gebohrnen Schätzelin weÿl. deß auch Ehrsamen und bescheidenen Mstr. Jacob Wanners geweßenen büttels auff E: E: Zunfft der Schmid auch Meßerschmidts und burgers alhier zu Straßburg nunmehro auch seel. nachgelaßene Wittib nunmehro auch seel. Verlassenschafft – nach Ihrem Mittwochs den 6.ten dießes lauffend. Monaths Martii aus dießem Jammerthal genommenen tödlichen hientritt hinter Ihro Zeitlichen verlaßen – Actum Montags d. 11.ten Martÿ Anno 1720
Die Verstorbene seel: hat per Testamentum zu Erben verlaßen, Erstlichen fr. Maria Elisabetha Schätzelin Hn Marx Schätzels deß Spenglers und burgers allhier eheliche Tochter, So dann Jungfr. Maria Salome Weberin weÿl. Johann Georg Webers geweßenen Pergamenters und burgers allhier mit weÿl. frawen Saræ gebohrner Schätzelin Ehelich erziehlt und nach tod Verlaßene Tochter
In einer allhier zu Straßb. In der großen Stadel gaßen Ludwig Leißen dem Hoßenstricker eigenthümlich gehörigen behaußung hat sich befund. wie volgt.
Norma hujus inventarÿ, Sa. hausraths 17, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 41, Sa. baarschafft 36, Sa. einer Activ Schuld 7, Summa summarum 66 lb – Schulden 12 lb, Nach deren Abzug 53 lb – Sa. præ und Legaten 4 lb, Nach defalcirung solcher 49 lb
Inventaire après le décès d’Anne Barbe Lorentz femme de Jean Louis Leiss. Elle délaisse six enfants. Les experts estiment la maison 475 livres. La somme taillable s’élève à 577 livres
1735 (7.5.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 38) n° 341 (1918)
Inventarium und beschreibung allerderjenigen liegend und fahrender haab und Nahrung, Schulden und Gegen schulden überall nichts davon außgenommen, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Anna Barbara Leÿßin, gebohrne Lorentzin, des Ehrsamen und bescheidene Mrs Johann Ludwig Leÿß, hoßenstrickers und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen Ehel. Haußfrau nunmehro seel. nach ihrem den 9. Februarÿ jüngst aus dießer welt genommenen tödl. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche heut daro zu end stehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften H Frantz Joseph Willmanns des Kiefers und burgers alhier als geordnet und geschwornen Vogts der Verstorbenen seel. mit erstged. hinterbl. wittib ehel. erzeugter Kindern und ab intestato zu gleichen stammtheilen Verlaßener Erben, nahmens Johann Ludwig, Johann Georg, Johann Jacob, Johann Martin, Mariä Agnes und Mariä Cleophe der Leÿßin – Actum alhier zu Straßburg Sambstags 7.ten Maÿ Anno 1735
Copia Testam. nuncupativi
In einer alhier zu Straßburg an der Großen Stadelgaß in dieße Verl. gehörige behaußung sich befund.
Eigenthumb an einer behauß. Nembl. eine behaußung und hoffstadt mit übrig. dero begriffen, weith. rechten, Zugehördt. und Gerechtig Keiten gelegen alhier zu Straßburg ane der großen stadelgaß, 1.s neben Simon Holländer dem huthmacher des. lehnungs weiß inhabender behaußung d. Spitahl alh. gehörig, 2.s neben Frau Finckin hinten auf 1. hauß in die Kleinstadelgaß ziehend, deßen possessor ohnbekandt, davon gibt man jährlich Zehn schilling d zinnß und einen halb. Capaunen Ewigen Ehrschatz dem Closter St Johann alhier gehörig th. den geldzinnß Zu doppelten Capital, den halben Capaunen aber zu 10. ß d gerechnet antreffen 20. lb 10 s d, Item 2. lb ad 4 pro Cento gerechneten zinnßes dem Stifft St. Marcks alhier auf petri und pauli abzulößen in Capital mit 500. ln, Summa 70. 10. Sonsten freÿ ledig und eigen und durch der Stadt straßb. geschwornen Werckmeister Vermög ihres ausgestelten scheins vom 28° April a. c. Vor leedig und eig. æstimirt und angeschlag. vor und umb 475. lb. Daß also noch abzugebihen an darauf hafftend. onerib. und Capitals hier annoch in Außwirck zu bring. 404. 10. Darüber besagt I. teutsch. pergament. Kauffbrieff mit hies. stadt C.C. stub anhang. größ. Insiegel verwahrt dedato 1. Martÿ 1720.
– Abschatzung dem 23. Aprill 1735. Auff begehren deß bescheitenen Johann Lutwig Leiß deß hoßen strickers, ist eine behaußung alhier in der statt Straßburg in der großen Stattell gaßen gelegen ein seits Neben Simon hölandter dem huthmacher, ander seits Neben der frau finckin, hinden auff N.N. dem gremben stoßent welche behausung Stube, hauß Ehren worinen der herdt oben dar über 2. Cammern einer dar Von die soltaten Cammer hinderhäusell warinen ein Stübell und oben ein Cammern unden auff dem botten daß holtz hauß hofflein bronen und getrëmbter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werckleuthe sich in deren besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Neun Hundert Vünffzig Gulten. bezeichnuß dero Statt Straßburg geschworen Wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Maurhoffs.
Series rubricarum, Sa. Haußraths 59, Faß und bütten 2, Waaren und werckzeug 79, Silbergeschirr 8 ß, Goldene Ring 1, Baarschafft 28, Eigent. an I.r behaußung 404, Summa summarum 577 lb – Beschluß summa 577 lb
Copia Testamenti nuncupativi – des ehrsam und bescheidene Meister Johann Ludwig Leÿß, der noch ledige Hoßenstricker von hier gebürtig Undt die Ehren und tugendsahme Jungfrau Anna Barbara gebohrne Lorentzin Von Rappolßweÿhr gebürtig beede ehelich verlobte hochzeit. Persohnen – Montagß den 18. Martÿ Anno 1715, Joh: Adam Ößinger
Jean Louis Leiss meurt à son tour en 1762. Il délaisse quatre enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 425 livres. La somme taillable s’élève à 568 livres
1762 (21.5.), Me Haering (6 E 41, 1360) n° 175
Inventarium über weÿl. des Ehren und Vorachtbaren hrn Joh: Ludwig Leiß geweßenen hoßenstr. Verl., hr. Joh: Ludwig Leÿß, nach seinem Mittwochs den 28. apr. gegenwärtigen 1762.sten Jahrs jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Von hinnen Schieden
der Verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen 1. S.T. Herrn Joh: Ludwig Leiß wolbestellten secretarium bei J. G. des Jeweilig regierenden H. Ammeister hauß Audienz, 2. hrn Joh. Jacob Leiß hoßenstr. Mr, 3. Weiland Meist: Joh: Martin Leÿß gew. hoßenst: hinterl. Söhnlein Nahmens Ludwig Martin Leiß so ohngef. 5/4 Jahr alt und mit vorged. Mr Johann Jacob Leiß seines Vaters seel. bruder bevögtig (…) hr Frantz Joseph Willemann Weinsticher zum theil vogt gesetzt, 4. Jfr Maria Agnes Leißin volljährigen alters, Samtl. des Verstorbenen seel. Kind. u. Enckel
In einer an der großen Stadelgaß gelegen hiehero eigenthümlich gehörigen behßg.
Eigenthum an einer behßg. Neml. eine behaußung höfflein und hinterhaußlein samt dero hoffstätten und allen übrigen dero begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten an der großen Stadelgaß einseit neben i. dem mehrern hospit. alh. zusn behßg. 2.s H. Jacob Moßeder dem Kiefer u. weinhdl. hinten auf N. Wurmen den tabacmacher ziehend, davon gibt man Jährl. 10 ß zins und Einem halben Cappaunen ewigen Ehrschatzes, dem Closter St Johann alh: (laut) abschatzg. zeduls vom 10. maÿ 1762 angeschlagen word. pro 900, Abgezogen obige beschwerd des ewigen Ehrschatzes der 10 ß ingl. der ½ Capaun 2 ½ ß gerechnet also sammenthafft 12 ß 5 antrifft zu dopm. Capital mit 50 R, So verbl. 850 R od. 425, Das Eigenthum dieser behßg. beweißt Kaufbrieff C.C. Stb d.d. 5. mart. 1720 Ferner Kfb: d.d. 27. maÿ 1694
– Abschatzung Vom 10.te Maÿ 1762, Auff begehren Weil: Joh: Ludwig Leiß Des Gewesenen Strumpff strickers Sel: hienderLasener Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg in der grose Stadell gaß gelegen Einseits Neben H: Mosetter dem Weinhändler Ander seits Neben Einer behausung einem Mehreren hoch Spidall und hienden auff H Wurm Dem thubach Macher, solche behausung bestet in einem Ferder und Hiender gebeÿ War jnen Dreÿ Stuben zweÿ Kichen Und Ettliche Kamern dar jber ist der dach Stull mit breitziglein belegt, hat auch ein getrembten Keller hoff und brunnen, vor und umb 900 gulden, [unterzeichnet] Werner, Huber
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ, hausrath 50 lb, Weins u. derer Faß 18 lb, silbers 3 lb, baarschafft 86 lb, Eigenthum an einer behaußung 425 lb, Summa summarum 584 lb – Schulden 175 lb, Nach deren abzug 408 lb – Stall s.a 568 lb
Les héritiers cèdent pour 500 livres leurs parts de maison au fils aîné Jean Louis Leiss, secrétaire de l’ammestre
1762 (19.6.), Me Haering (6 E 41, 1360) Joint au n° 175 du 21.5.1762
Abtheil: und Erörterung Weÿl. des Ehren und Vorachtbaren hrn Joh: Ludwig Leiß geweßenen hoßenstr. Verl. – (f° 8) Cessio des Dominÿ utilis der in dieser Verlassenschafft gehörigen behausung
als zu weiland herrn Johann Ludwig Leÿß des im leben gewesenen hoßenstrickers seel. Verlassenschafft Inventur, erschienen hr Johann Jacob Leÿß hoßenstricker, ferner H. Frantz Joseph Willemann Weinstricher als geordneter theilvogt Ludwig Martin Leÿßen Weild. Mr Johann Martin Leÿß geweßenen hoßenstrickers seel. mit Fr Catharina Barbara geb. Maderhofferin seiner Wb. erzeugten Söhnleins, so dann Jgfr: Maria Agnes Leÿßin ihrer eigenen Rechte genißend mit H. Frantz Joseph Schuster Schneid. bevögtiget
ihres bruders und resp. des minderjährigen Kinds Oncle als Mit Erben T. H. Johann Ludwig Leÿß wolbestellten Secret.ÿ beÿ J. G: des Jeweilig regierenden H. Ammeisters hauß Audienz
eine behaußung höfflein und hinterhäßlein samt dero hoffstätten und allen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten an der großen Stadelgaß, einseit neben einer dem mehrern hospital alhier zuständigen behaußung anderseit neben H. Jacob Moßeder dem Kiefer und weinhändler hinten auf N. Wurmen den tabacmacher ziehend, davon man Jährl. 10 ß zins und Einem halben Cappaunen ewigen Ehschatzigen zinßes der Commendureÿ St Johann zu geben pflichtig – dem Verstorbenen H. Vater und respe. Großvater seel. als ein den 5. mart. 1720 erkauftes Eigenthum zuständig – um 500 Pfund
Jean Louis Leiss, secrétaire de l’ammestre, meurt en 1769 en délaissant ses héritiers collatéraux, c’est-à-dire son frère, sa sœur et son neveu. La maison est estimée à la somme établie lors de l’inventaire de son père en 1762. Comme la maison est gréve d’un laudème au profit du monastère Saint-Jean qui en détient donc le domaine direct, la propriété est ici désignée comme domaine utile. La succession s’élève à 1 380 livres
1769 (7.3.), Me Haering (6 E 41, 1370) n° 371
Inventarium über Weÿl. des Wohl Edlen und Rechtsgelehrten herrn Joh: Ludwig Leÿß wohbestellten Secretarÿ beÿ J.G. des jeweilig Regirenden herrn AmMr. hauß Audienz Verlassenschafft, nach seinem Sontags den 21. Jenner lauffenden 1769 Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen von hinnen Scheiden, auf Ansuchen des abgeleibten am 24. apr. 1764 vor dem königl. Not° herrn Laquiante außgesprochenen testaments eingesetzter volljährigen Erben
der Verstorbene seelig hat zufolg seines Testaments zu seinen alleinig und allgemeinen Erben verlaßen seine Geschwüsterde und bruders Kind welche ohne hin seine Erben würden geweßen seÿe, I. den Ehrenachtbaren herrn Joh: Jacob Leÿß hoßenstricker Meister, II. die Ehren und tugendsame Jungfr: Maria Agnes Leißin vollbürtigen Jahren, beÿständlich Joh: Friedrich Straubing französ. becken zugegen, III. Ludwig Martin Leÿß weÿl. Mr Joh: Martin Leÿß gew. hoßenstickers m. fr. Catharina Barbara Leÿßin geb. Maderhofferin erzeugtes seit kurtzem 8. Jahr altes Söhnl. welches mit ebengemelten herrn Joh: Jacob Leÿß seines seel. Vaters bruder bevollmächtigt, herr Sigismund Mathis Metzger zum theil vogt ernannt
In einer in der großen Stadel Gaß in dieße Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung
(f° 3v) dominium utile en I.r behaußung. Neml. Ir. behaußung höflein i. hinterhausel, s. dero hoffstätten u. alle übrigen deren begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten an der großen Stadel Gaß einseit neben einer dem mehren hospital allhier zuständigen behaußung anderseit neben H. Jacob Moßeder dem Kieffer und Weinhändler hinten auf andres Wurm den tabackbereiter ziehend, davon gibt man jährlich 10 ß zinß und einen halben Capaunen ewigen Ehrschazes dem Closter St. Johann allhier zu lieffern pflichtig – ingefolg zu Defuncti Vaters seel. weÿl. herrn Joh: Ludwig Leiß hoßenstrickers seel. Verl. Inventarÿ Concepto, das ich der Nots. vergriffen, geliefferten Abschatzung vom 10. maÿ 1762 angeschlagen pro 900 gulden od. 450 lb. Abgezogen obige beschwerden des ewigen Ehrschatzes deren 10 ß ingl. des halben Capaunen gerechnet zu 2 ß 6 also sammenthafft 12 ß 6, zu doppeltem Capital mit 25, so verbleibt auszuwerffen 425, solche behaußung hat d. H. secret. väterl. Ertheilt per Cessionem vom 19. junÿ 1763 an sich gebracht sonsten besagt Kaufbrieff aus C.C. Stub de dato 5. mart. 1720 und i. dergl. Kaufbrieff vom 27. junÿ 1694
Richtschnur gegenwärtigen Inventarÿ, hausrath 51 lb, bücher 6 lb, silbers 10 lb, baarschafft 180 lb, Erblehnung Gerechtigkeit einer behaußung 425 lb, Pfenningzinß hauptgüter 1075 lb, Summa summarum 1747 lb – Schulden 367 lb, Nach deren Abzug 1380 lb – Prælegat 309 lb, verbleiben 1070 lb
Copia Testamenti Nuncupativi, Sr Jean Louis Leiss Secretaire des Audiances de M L’Ammeistre dans un Poele du Second Etage du devant de la maison du Sr Paul Acker Marchand fayencier Potier de la Ville scize grand Ruë – le 24.avr. 1764
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 569)
Anno domini 1769 die 21 januarii mortuus est Dnus joannes Ludovicus Leÿs Secretarius dni consuli regentis hujus urbis, quinquaginta duorum annorum S. Sacramentis pœnitentiæ eucharistiæ Et extremæ unctionis rite munitus, qui postridie a me subscripto sepultus fuit in cœmeterio ecclesiæ nostra contiguo (i 293)
Les préposés de la Taille inscrivent la succession dans leur registre puisque le défunt avait une fortune supérieure à l’assiette de son imposition.
1769, VII 1180 – Livres de la Taille, f° 83
(f° 83) Tucher N° 2307. Weÿl. H. Johann Ludwig Leÿß geweßenen Secretarÿ beÿ dem Jeweilig Regierenden H Ammsiter und burger Allhier Verlassenschafft jnvent. H. not. Häring.
Concl. final. jnvent. ist fol. 37. 1380 lb 3 ß 11 s die machen 2700 R. Verstallte 400 R. zu wenig 2300. R.
Wovon Nachtrag vor 5 Jahr a 3 lb 9 ß, 17 lb 5 ß
Ext. Stallgeldt und deßen schwester 1769, 1 lb 1 ß
geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 2 lb. 4 ß 6 d. (zusammen) 20 lb 13 ß
dt. 18. Martÿ 1769.
Les héritiers cèdent pour 600 livres leurs parts de la maison à Jean Jacques Leyss, frère du précédent propriétaire
1769 (20.3.), Me Haering (6 E 41, 1370) Joint au n° 371 du 7.3.1769
Vergleich Abteil und Erörterung Register Weÿl. des Wohl Edlen und Rechtsgelehrten herrn Johann Ludwig Leÿß wohbestellten Secretarÿ beÿ J: G: des jeweilig regirenden herrn AmMr. hauß Audienz
(f° 4v) zu weiland herrn Johann Ludwig Leÿß Verl. Inventur und Abteilung gezogenen Inventur Schreiber Jungfrau Maria Agnes Leißin vollbürtigen Jahren beÿständlich Joh: Friedrich Straubing französichen Weißbecken, ferner herr Sigismund Mattiß Metzger als geschwornene theil Vogt Ludwig Martin Leÿßen Jene des Schwester dieße deßelben Verstorbenen bruders Söhnlein
herrn Johann Jacob Leÿß hoßenstricker Meisters ihres Mit Erben
das Dominium utile oder die Erblehen Gerechtigkeit einer behausung höflein und hinterhausel, samt deren hoffstätten und allen übrigen deren begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten an der großen Stadel Gaß, einseit neben unter einer dem mehren hospital allhier zuständigen behaußung anderseit neben H. Jacob Moßeder dem Kieffer und Weinhändler hinten auf andreas Wurm den tabackbereiter ziehend, davon gibt man jährlich 10 ß zinß und einen halben Capaunen ewigen Ehrschazes dem Closter St. Johann allhier, dem defuncti beÿ Väterlicher Erben theilung per Cessionem vom 19. junÿ 1762 überlaßen worden, damit Er nunmehr die Comparenten erblich gefället, die völlige behaußung samt zugehörden zu 600 pfund gerechnet wovon Cessionarius 200 für sich selbsten behaltet
Jean Jacques Leiss, tricoteur de chausses, a épousé en 1756 Marie Eve Lender, fille de maçon et concierge à la tribu des maçons : contrat de mariage, célébration
1756 (3.6.), Me Haering (6 E 41, 1375) n° 60
Eheberedung – erschienen Mr Johann Jacob Leÿß leediger Hoßenstricker Herrn Johann Ludwig Leÿß des Hoßenstrickers und burgers alhier mit weiland Frau Maria Barbara gebohrner Lorentzin seel. ehel. erzeugter Sohn, als bräutigam an einem
So dann Jungfrau Maria Eva Lenderin weÿl. Johann Michael Lender geweßenen Maurers und büttels auf der Maurer Stub u. bs. alhier mit frau Maria Magdalena geb. Sturmin, dermalen Caspar Depart Sigristen in der der Pfarreÿ St. Lorentz alhier und hießig. burgers Ehegattin ehelich erzeugte tochter so unbevögtiget und Volljährigen alters, als Hochzeiterin an dem andern theil – [unterzeichnet] Johann Jacob Leis als hochzeiter, Maria Eua lenderin hochzeiterin
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 368)
Hodie 21 Junÿ Anni 1756 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Leiss tibialium textor Argentinensis, filius Joannis Ludovici Leiss tibialium textoris hujatis et Mariæ Barbaræ Lorentz defunctæ olim Conjugum in parochiâ Sti Petri Senioris hujus urbis commorans, et Maria Eva Lender Argentinensis defuncti Joannis Michaelis Lender civis et Cæmentarii hujus urbis, et Mariæ Magdalenæ Sturmin in vivis Conjugum parochiana nostra (signé) Johann Jacob leis, maria eua lenterin (i 187)
La maison revient à leur fils François Joseph Leis, tailleur d’habits, qui épouse en 1794 Marguerite Barbe Fritz
1794 (30 vend. 3), Strasbourg 3 (38), Me Übersaal n° 176 – Enregistrement acp 28 f° 181 du 1 bru. 3
(Contrat de mariage) sont comparus le Citoyen François Joseph Leis, tailleur d’habits demeurant en cette Commune, fils de feu le Citoyen Jean Jacques Leis en son vivant Tricotteur de bas en cette Commune et de feu la citoyenne Marie Eve Lænder ses pere et mere majeur d’ans, usant et jouissant de ses droits, d’une part,
Et la Citoyenne Marguerite Barbe Fritz, fille majeure d’ans usante et jouissante de ses droits, de feu le Citoyen Simon Fritz de cette Commune et de feu la Citoyenne Catherine Lipp ses pere et mere, assistée du Citoyen Jean Daniel Ehrmann, Chandelier en cette Commune d’autre part – Fait et passé cejourd’hui 30 Vendemiaire l’An troisième de la République français une et indivisible (signé) Frantz Joseph Lesi, Margaretha Barbara Fritzin
(enregistrement) revenu de 60 livres
Marguerite Barbe Fritz meurt en 1799 en délaissant un fils naturel, Frédéric Antoine Schircks. Après déduction du passif, la masse active de la communauté s’élève à 1 860 livres
1799 (23 pluv. 7), Strasbourg 3 (21), Me Übersaal n° 579 – Enregistrement de Strasbourg, acp 65 F° 149-v du 23 pluv. 7
Inventarium über der weÿl. bürgerin Margaretha Barbara Leis geb. Fritz des bürgers Frantz Joseph Leis Schneiders Ehefrau Verlassenschafft, angefangen den 14. pluviose VII, nach ihrem den 28 brumaire VIII erfolgten Absterben, auf Ansuchen des Wittwers und brs Joh: Daniel Ehrmann Lichtermachers lhres ernannten subrogirten Vogts des Friedrich Anton Schircks so geboren den 1. oct. 1784 folglich über 14 Jahr alt u. in erlernung des Schneider handwercks begriffen ist, in der ehemaligen Catholischen Pfarr: Kirche zum alten St Peter getauft worden und die Verstorbene auser der Ehe mit Friedrich Schircks dem ledigen Schneider von Magdeburg erzeuget habe, dieser Sohn nach dem Gesetz der Verstorbenen natürlicher Intestat: u. Uni: Erb
In einer an der grosen Stadelgaß gelegenen behaußung N° 26
Eigenthum an einer behaußung so in die theilbare Massam gehoerig, Nämlich eine behaußung höflein bronnen und hoffstatt mit N° 26 bezeichnet samt zugehörden und Rechten gelegen alhier zu Straßburg an der grosen Stadelgaß einseit neben dem br. Joh: Jacob Schuhmacher Wittib anderseit neben N Pepin dem Porzellanhändler hinten auf N. Schatt den Nagelschmidt stoßend, wovon man ehemals jährlich 2 Francken in Geld und einen halben Capaun an ewig ehrschätzigen zinns dem ehemaligen Kloster zu St Johann allhie zu entrichten hatte, diese behaußung erträgt des Wittwers Declaration nach jährlich an zinns, Gottfried Müller des Chirurgi Wittib zahlt von einer kleinen Wohnung auf dem Rez de chaussée jährlich 30 francs, die Wohnung auf dem ersten Stock so der Wittwer besitzet evaluirt ad 60, Lipman Jachel der handelsmann enrichtet von dem zweÿten stock 48, in summa 139 fr, dies betragen in Capital mit 18 multiplicirt, 2484 francs, Obige behaußung hat der Wittwer von seinem Vater ererbet und in die Ehe gebracht, darüber Kaufbrieffe C.C. Stub von 27. maÿ 1694 und 5. mart. 1720
des Erbs unverändert vermoegen, Kleidung und weiß Gezeugts 51 lb
theilbare Massa, hausrath 339 lb, silbers 12 lb, behausung 2484 fr, summa summarum 2835 – Schulden 975, Nach deren Abzug 1860
Extrait des registres de baptême, Frédéric Antoine fils [naturel] de Frédéric Schircks menuisier célibataire natif de Magdebourg et de Marguerite fritz veuve de Strasbourg né ledit jour
Frédéric Antoine Schircks est fils de deux luthériens, le menuisier Frédéric Schircks natif de Magdebourg et de Marguerite Fritz, veuve de Strasbourg
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 123-v)
Hodie die prima octobris anni 1784 (…) baptizatus est fridericus Antonius filius /:prout infra scripta Maria Elisabetha Lez ex declaratione matris sibi in partus doloribus facta nobis sub fide officii sui retulit:/ friedrici Schircks Scriniarii Soluti oriundi es magdenburg et margaretha frizin argentinensis vidua amborum Lutheranorum natus eodem die (i 131)
François Joseph Leis meurt quelques mois plus tard en délaissant pour héritiers ses deux cousins
1799 (8 frimaire 8), Strasbourg 9 (anc. cote 6), Me Dinckel n° 455 – Enregistrement de Strasbourg, acp 70 F° 125 du 9 fri. 8
Inventarium über weÿl. burgers Frantz Joseph Leis gewesenen Schneiders Verlassenschafft, Auf ansuchen burgers Ludwig Martin Leis Juwelierers sowohl für sich und in eigenen Namen das auch als Gewalthabers Frantz König des handelsmanns zu Bonn, so dann des burgers Johann dominic heschmann dermaligen Sergenten unter dem 5.t frantzösischen Artillerie Regiment zu Fuß, so hiebeÿ durch den burger Frantz heschmann deßelben Vater, als sich stelleden präsumptiv Erben weiland des burgers Frantz Joseph Leis Schneiders ihres nahen anverwandten und zwar der erstere als des Defuncti Vaters bruder Sohn, der zweÿte als deßelben Vaters Schwester Sohn und der dritte als seiner Mutter auch verstorbenen halb schwester Sohn (si fr hechman)
in einer an de grosen Stadelgaß gelegen zum theil hieher gehörigen mit N° 26 bezeichneten behausung
mobiliar masse 805 fr
Eigenthümlicher Anteil an einer behausung. Nämlich die hälfte für unvertheilt von und ane einer behausung höflein bronnen und hoffstatt samt alle deren übrigen zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg an der grosen Stadelgaß N° 26, einseit neben dem burger Johann Jacob Schumacher Weinhändler anderseit neben dem bürger Pepin Porcellanhändler und hinten auf den burger Schott Nagelschmidt stoßend, davon soll man 2 francken in Geld und einen halben Cappaun die man ehehin dem vormaligen Kloster St Johann an ewig und ehrschätzigen zinnß jährlich entrichten hatte, der Erben declaration nach, da die behausung wircklich völlig ohnbewohnt, des Jahres und Wohnungs zinß ertragen kann, nämlich die kleine wohnung auf dem boden 30 fr Zins, auf dem ersten Stock 60 Und die auf dem dritten Stock 48, zusammen 138 fr, hiesige Hälfte 69 fr in Capital 142 fr. Über die völlige behausung welche der Verstorbene von seinem Vater ererbet besagt Kaufbrieffe in der C.C.Stub de datis 27. maÿ 1694 und 5. mart. 1720 und davon die andere hälfte weÿl. Margaretha Barbara geb. Fritz des Defuncti gewester Ehefrau hinterlassenen unehelichen Kind da sie in ihrer Eheberedung ein zusammengeworfen und zur hälfte teibares Gut stipulirte als ererbt mütterlich guth zuständig
gesamte Activ Verlassenschafft 2047 fr, passiv schulden 897 fr, Nach deren hinwegrechnung 1150 fr
Les héritiers de François Joseph Leiss et de Barbe Fritz vendent 4 900 francs la maison au boucher Jean Théophile Harré et à Catherine Dorothée Rebmann
1800 (11 floreal 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Me Dinckel n° 707 – Enregistrement de Strasbourg, acp 73 F° 156 du 12 flo. 8
burger Ludwig Martin Leiß Juwelirer, sowohl für sich als auch Namens Frantz König des handelsmanns zu Bonn, ferner Frantz heschmann als Kraft durch den Verwaltungs rath des 5. frantzösischen Artillerie Regiments zu fuß unterm 7. gedachten Monats brumair gewaltsbrief als Mandatarius seines sohns Johann dominic Heschmann, dermaligen Sergenten unter ged. 5. Artillerie Regiment, (alle) in der qualitæt als Intestat Erben weÿl. Frantz Joseph Leiss Schneiders, so dann der b. Johann Daniel Ehrmann Lichtermacher als gesetzlich bestellter Vormund weÿl. Margaretha Barbara geb. Fritz erstgedachtes Frantz Joseph Leiß gewesten Ehefraun hinterlassenen ausser der Ehe erzeugten Knabens Namens Frantz Antoni Schircks
in gegensein des burgers Johann Gottlieb Harre, Metzgers, und Catharinæ Dorotheæ geb. Rebmann
auf voran gegangene bei dem Friedens richter des hiesigen 2. Gerichts bezircks mehrmalige öffentliche Versteigerung und in Gefolg des beÿ dem Civil Tribunal des Niederrheinischen departements am 29. germinal letzthin homologirtes Adjudication Procès verbal, eine behausung höflein bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen zugehörden, weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg an der grosen Stadelgaß N° 26, einseit neben Johann Jacob Schumacher Weinhändler anderseit neben burger Pepin Porcellanhändler hinten auf den burger Runtz Nagelschmidt, außer zween francken in geld und einem halben Cappaunen dem vorrmaligen Closter St Johann allhier zu entrichten gewesen Erblehenzinß, wovon die eine hälfte aus ged. burgers Frantz Joseph Leiß, die andere hälfte aber ais deßen vor ihm verstorbenen Ehefrau Margaretha Barbara geb. Fritz verlassenschafften, die gantze behausung aber ursprünglich vom erstern allein herrührig – um 4900 fr
Jean Théophile Harré a épousé en 1796 Catherine Dorothée Reebman : contrat de mariage, célébration
1796 (18 prai. 4), Strasbourg, Me Saltzmann n° 400, (rép. 6 E 41 449-5) et Enregistrement de Strasbourg, acp 40 F° 151 du 18 prai. 4
(Contrat de mariage) Theophile Harré garçon Chaircuitier
Catharina Dorothée Reebmann
(enregistrement, revenu industriel 160 li)
Mariage, Strasbourg (n° 493 f° 48-v)
Cejourd’hui 9 Messidor l’an quatre de la République française une et indivisible (…) d’une part Jean Théophile Harré agé de 39 ans, Saucissier, domicilié en cette Commune depuis 16 ans, natif de Dirmetstett au Duché de Wirtemberg fils de feu Pierre Harré, Institueur audit lieu, & de feüe Anne Linck, de l’autre part Catherine Dorothée Reebmann agée de 38 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu Jean Frédéric Reebmann, boucher, & de feu Catherine Dorothée Dollinger, (…) Acte de notoriété dressé par Léonard Marchand Juge de paix du second arrondissement de cette commune, qui constate que le futur est né (…), 2° de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née en cette commune le 19 avril 1758, (signé) Johann Gottlieb Harré, Catharina Dorothea Rebmännin (i 53)
Inventaire des apports des précédents, dressé dans la maison dont ils sont propriétaires
1805 (6 mess. 13), Strasbourg 12 (7), Me Wengler n° 1286 – Enregistrement de Strasbourg, acp 97 f° 2-v du 7 mess. 13
Inventaire des apports de Jean Théophile Harré charcutier et Catherine Dorothée Reebmann – Contrat de mariage devant Me Saltzmann le 17 prairial 4 – (signé) Johann Gottleib harre
dans la maison appartenante auxd. conjoints sise grande rue de la Grange n° 26
le mari : meubles, numéraire, 885 fr
la femme : meubles, argenterie, numéraire (2400 fr), total 3388 fr
Inventaire après le décès d’une locataire, Anne Marie Müller
1805 (19 fruct. 13), Strasbourg 12 (8), Me Wengler n° 1385 – Enregistrement de Strasbourg, acp 97 F° 114-v du 20 fruct.
Inventaire de la succession d’Anne Marie Müller célibataire décédée le 12 thermidor 13 – à la requête de Georges Abraham Schoepf cordonnier à Strasbourg et Marie Elisabeth Müller femme de Georges Liermann de Lahr au dela du Rhin et Marie Elisabeth Müller fille majeure, héritiers de leur tante
sur l’indication de Catherine Dorothée Reebmann veuve de Jean Théophile Harré charcutier chez laquelle la défunte a logé et est décédée – dans la maison mortuaire grand rue de la grange n° 26
meubles 1437 fr, passif 291 fr
(Joints) Attestation Philipp Jacob Müller weÿl. Johann diebold burgers und taglöhner dahier mit weÿl. Susanna Katharina bauerbachin, den 18 mart. 1765 geboren
auszug vom 16. 8.bre 1762, Maria Elisabetha
Extract aus dem taufregister der Gemeinde Wittenweyer vom Jahr 1731 den 28. apr. 1731 Anna Maria, Parentes hans Müller und Anna Ursula geb. herrenbrechtin – den 24. mart. 1729 Johann Diebold – den 18. jan. 1722 Andreas – den 21 hornung 1718 Maria Ursula
Maria Elisabetha geb. Müllerin des Maurermeisters Georg Liermann ehefrau den 14. jänner 1765 geboren weÿl. Andreas Rebmann und Anna Ursula Spulerin tochter
(Tableau)
Testament Me Wengler, Anne Marie Müller fille native de Witttenweÿer au dela du Rhin demeurant depuis de longues anées a Strasbourg dans la Grand rue de la Grange ci devant de Stadel maison n° 26 dans une chambre sise au premier étage de ladite maison ayant vue dans ladite rue – le 25 floreal 3
Catherine Dorothée Reebmann veuve de Jean Théodore Harré, fait donation de la maison à son neveu Charles Jacques Kühnlin lors de son contrat de mariage
1819 (22.10.), Strasbourg 8 (28), Me Roessel n° 6772 – Enregistrement de Strasbourg, acp 144 F° 199 du 23.10.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Charles Jacques Kühnlin, chaircutier, fils de feu Jean Jacques Kühnlin, géomètre à Nagold (royaume de Würtemberg) et de feu Marie Anne Wurster
Elisabeth Fallot fille majeure de feu Georges Fallot, tanneur à Montbéliard, et de Sophie née Fallot femme actuelle de Louis Geib, facteur d’orgues à Schiltigheim
art. 6, Donation par Catherine Dorothée Reebmann veuve de Jean Théodore Harré, charcutier tante du futur époux
aux futurs époux, de la maison et de ses dépendances sise en cette ville grand’rue de la Grange n° 26, d’un côté le Sr Jacques Schumacher marchand de vin, d’autre les enfants Pepin, derrière el cloutier Kuntz, évaluée 3000 francs
la donatrice se réserve l’usufruit viager du second étage de lad. maison ainsi que ceux des meubles qu’elle jugera à propos de destiner à son usage – en la demeure de la veuve Harré rue de la Grange n° 26
Inventaire des apports des précédents
1821 (13.12.), Strasbourg 8 (33), Me Roessel n° 8197 – Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 57-v du 15.12.
Inventaire des apports de Charles Jacques Kühnlein, charcutier, et de Sophie Elisabeth Fallot – contrat de mariage devant Me Roessel le 22 oct. 1819
suivant l’art. 6 dudit contrat Catherine Dorothée Reebmann veuve de Jean Théophile Harré, charcutier et tante du Sr Kühnlein a fait donation aux comparants,
1. d’une maison avec appartenances & dépendances située en cette ville grand rue de la Grange n° 26, d’un côté Jacques Schumacher marchand de vin, d’autre les enfants Pepin, derrière le cloutier Kuntz – et de mobilier pour 1619 francs
apports du mari, ceux de la donation – apports de l’épouse, la moitié de la maison et 5395 fr
Voir les extraits du cadastre qui mentionnent les propriétaires suivants
La maison a été entièrement détruite par les bombardements de 1944 (voir plus haut les extraits du dossier). Félix Weill et son frère Gaston Seligmann Weill ainsi que les filles de ce dernier vendent à la Société Civile Immobilière des N° 41 et 43 de la Rue du 22 Novembre, la maison, sa voisine le numéro 43 et la participation financière de l’Etat dans toutes les dépenses de reconstruction et de réparation
1950 (4.1.), Me Taglang (Louis) à Oberschæffolsheim, dossier du MRU (424 D 39)
I. Monsieur Jean Weill, industriel, demeurant à Strasbourg, rue Charles Gradt n° 22, agissant au nom et comme mandataire de
1. Monsieur Félix Weill, industriel, et dame Irma Gugenheim son épouse demeurant ensemble à Lyon, rue Vendôme n° 7 (…),
2. Monsieur Gaston Seligmann Weill, négociant demeurant à Bordeaux, rue Théodore Ducos n° 17, veuf non remarié de dame Madeleine Ulmo,
3. Madame Raymonde Weill, épouse de Monsieur Jean-Claude Lévy, industriel avec lequelle elle demeurant également à Bordeaux à la même adresse (…),
4. Madame Jeannine Weill, sans profession, épouse de Monsieur Robert Meyer, agent de maîtrise, avec lequel elle demeurant à Colombes, rue Marc Bachet n° 14 (…), d’une part
II. Monsieur Alfred Walther, fils, pharmacien demeurant à Strasbourg, rue Beethoven n° 11, agissant en leur qualité de gérant de la Société Civile Immobilière des N° 41 et 43 de la Rue du 22 Novembre, créée en vertu d’un contrat de société sous seing privé en quatre originaux, en date du 30 décembre 1950, dont un original reste ci-annexé, après mention, lequels sera enregistré avec les présentes. Le siège social de ladite Société Civile immobilière est à Strasbourg rue Beethoven n° 11, d’autre part
Lesquels, préalablement au contrat de vente faisant l’objet des présentes, ont exposé ce qui suit. Les époux Félix Weill, Monsieur Gaston Seligmann Weill et les dames Lévy et Meyer sont propriétaires en indivision de l’immeuble suivant,
Ville de Strasbourg. Feuillet 2287 du livre foncier. Section 61 n° 54, rue du 22 Novembre n° 41, 68 centiares sol, maison,
Feuillet 1387 du livre foncier, Section 61 n° 53, rue du 22 Novembre n° 43, 66 centiares sol, maison, comprenant le terrain avec une maison partiellement endommagé et l’autre maison entièrement sinistrée par faits de guerre.
Les dommages afférents à ces immeubles ont fait l’objet d’un dossier qui a été déposé au Service de la Reconstruction du Département du Bas-Rhin sous N° 6454 Z et NV 6455 Z.
Origine de la propriété. La maison N° 41 – Section 61 n° 54 – appartient aux deux frères Messieurs Félix Weill et Gaston Seligmann Weill, sus-nommés, et provient de l’héritage de leurs parents décédés.
La maison N° 43 – Section 61 n° 53 – provient de l’acquisition qui a été faite par lesdits frères Félix Weill et Gaston Seligmann Weill, de Monsieur Isidore Hagenauer, suivant acte de vente passé devant Me. Kahn, notaire à Strasbourg, les 31 mars et 11 juillet 1936, Rep N° 11 866, enregistré à Strasbourg A.C. le 20 juillet 1936 sous vol. 1356 fol. 65 N° 1132. L’épouse du co-propriétaire Monsieur Gaston Seligmann Weill est décédée à Chadrac près Le Puy (Haute-Loire), son domicile, le 14 avril 1940, laissant son époux survivant comme commun en biens de la communauté d’acquêts et ses deux filles, les nommées Jeannine Weill, épouse Meyer, et Raymonde Weill, épouse Lévy, pour ses héritières chacune pour la moitié, sauf le droit d’usufruit d’un quart revenant à l’époux survivant, conformément à l’article 767 du Code Civil, ainsi qu’il est justifié par un acte de notoriété dressé par ledit Me Chambarière, notaire à Bordeaux, le 7 novembre 1950.
Ceci exposé, il est passé à la vente en question comme suit. Monsieur Jean Weill, en sa dite qualité, vend en s’obligeant à toutes les garanties ordinaires et de droit en pareille matière, mais toutefois sans autres garanties que celles de ses mandants en leur qualité de sinistrés en ce qui concerne le droit à la participation de l’Etat, à la Société Civile Immobilière des N° 41 et 43 de la Rue du 22 Novembre, ce accepté par le gérant, les immeubles et la participation de l’Etat suivants.
I. Immeubles. La propriété des immeubles Section 61 N° 64 et N° 53 rue du 22 Novembre N° 41 et N° 43, ci-dessus désignés, avec tout ce qui s’y trouve comme immeubles par nature et par destination, en tant que ces objets sont la propriété des vendeurs, endommagés pour partie. Étant expliqué que les vendeurs ont fait à la Délégation Départementale du Bas-Rhin du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme à Strasbourg la déclaration du fait qui a entraîné les dommages subis par les maisons sus-désignées. Et qu’ils ont commencé, comme il est indiqué ci-dessus, à constituer le dossier administratif prescrit par l’Etat.
II. Droit à la participation de l’Etat. Tous les droits des vendeurs, sans exception, à la participation financière de l’Etat dans toutes les dépenses de reconstruction et de réparation des bâtiments endommagés ou détruits quelles qu’elles soient, participation résultant des lois du 11 octobre 1940, 12 juillet 1941, 7 octobre 1942, 8 septembre 1945, 16 mai 1946 et 28 octobre 1946, comme de toutes lois à venir concernant les dommages de guerre subis par les maisons ci-dessus désignées et susceptibles d’être cédés à des tiers.
Remarque spéciale sur l’occupation. Il est porté à la connaissance de la Société acquéreuse qu’un nommé Colmer occupe dans la maison N° 43, qui existe sans toiture, au premier étage, deux bureaux avec local vers l’arrière-maison et deuxième étage de l’arrière-maison deux autres pièces, dont il fait usage non autorisé par les propriétaires, En outre un nommé Yvel-Levy tenait dans la même maison un magasin qu’il a quitté volontairement après la libération en 1945 et qui, depuis lors, est occupé par un Monsieur Brun. (…) Une autre partie du terrain est déjà occupé par Monsieur Alfred Walther, sus-nommé, avec un baraquement de pharmacie. (…)
Prix de vente. 9 000 000 francs, lequel prix s’appliquera 1. pour les deux immeubles à 3 500 000 francs dont il revient à l’immeuble sinistré N° 43, exempt de la taxe complémentaire, ma somme de 2 000 000 de francs, 2. pour le droit à l’indemnité de reconstruction à 5 500 000 francs. (…)
Etat-civil. Monsieur Jean Weill, comme mandataire des vendeurs, déclare qu’ils sont nés savoir Monsieur Félix Weill à Strasbourg le 7 août 1884 et son épouse à Kolbsheim le 22 juin 1891, Monsieur Gaston Seligmann Weill à Strasbourg le 4 septembre 1885, Madame Raymondé Lévy à Strasbourg le 8 juin 1925, Madame Meyer à Strasbourg le 22 mars 1922, qu’ils sont de nationalité française, qu’ils ne sont pas actuellement et ne sont pas susceptibles d’être ultérieurement l’objet de poursuites pour profits illicites ou indignité nationale pouvant entraîner la confiscation totale ou partielle de leurs biens, le tout dans les termes des ordonnances des 26 décembre 1944 et 6 janvier 1945.
Monsieur Walther, gérant de la Société acquéreuse, est de nationalité française, étant né à Strasbourg le 17 novembre 1913. (…)
Condition suspensive. La présente vente est faite sous la condition suspensive qu’elle reçoive l’agrément du Tribunal de Première Instance de Strasbourg, prescrit par l’article 33 de la loi du 28 octobre 1946, mais seulement en ce qui concerne la cession de la participation de l’Etat. Toutefois les parties n’entendent pas suspendre l’effet du présent contrat à cette homologation et demandent l’enregistrement définitif de la présente mutation immobilière et de la cession de droits aux dommages de guerre.
Annexes (Acte de notoriété) (…) déclarent avoir parfaitement connu Madame Madeleine Ulmo en son vivant sans profession née à Chaux de Fonds le 10 septembre 1898 épouse de Monsieur Gaston Seligmann Weill, industriel, demeurant actuellement à Bordeaux rue Théodore Ducos n° 17, ladite dame ayant été domiciliée à Chadrac près le Puy (Haute-Loire), et ils ont attesté pour vérité et comme étant de notoriété publique, à savoir, 1) que Madame Weill née Ulmo qui était autrefois domiciliée à Strasbourg avait transféré son domicilié à Chadrac près le Puy (Haute-Loire) où elle est décédée le 14 avril 1940, 2) qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire, 3) qu’elle était mariée en premières et uniques noces avec Monsieur Gaston Seligmann Weill depuis le 5 avril 1920 sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts à défaut de contrat d’option fait avant le 1 janvier 1925 de la loi d’introduction du code civil en Alsace et Lorraine du 1 avril 1924, 4) qu’elle a laissé pour seuls héritières à défaut de testament et conformément à la loi ses deux enfants issus du mariage avec Monsieur Gaston Seligmann Weill, à savoir a) Madame Jeannine Weill, née à Strasbourg le 24 mars 1922, épouse de Monsieur Robert Meyer, industriel, demeurant ensemble à Colombes (Seine),pour la moitié de la succession de, b) et Madame Raymonde Weill née à Strasbourg le 7 juin 1925, épouse de Monsieur Jean-Claude Lévy, industriel, demeurant ensemble à Bordeaux 17 rue Théodore Ducos pour) l’autre moitié, sauf les droits d’usufruit du quart revenant à l’époux survivant conformément à l’article 767 du code civil (…)
(Extrait du registre de l’état-civil de la commune de Chadrac) Décès. Le 14 avril 1940 est décédée à Chadrac, lieu dit la Renaissance, Madeleine Emilie Ulmo domiciliée à Strasbourg, 30 rue Obalise, née à Lachaux de Fonds (Suisse) le 10 septembre 1898, sans profession, fille de Gaspard Ulmo et de Louise Befus, négociants domiciliés à Lachaux de Fonds, épouse de Gaston Weill.
(Acte de constitution de la société civile immobilière)
La Société Civile Immobilière des N° 41 et 43 de la Rue du 22 Novembre vend sous condition suspensive à la compagnie d’assurances La Cité-Vie les objets ci-dessus acquis, c’est-à-dire la maison, sa voisine le numéro 43 et la participation financière de l’Etat dans toutes les dépenses de reconstruction et de réparation
1953 (25.6.), Me Hiff (René) n° 4414, dossier du MRU (424 D 39)
Acte de vente (sous condition suspensive)
(I) 1) Monsieur Alfred Walther (père) industriel demeurant à Strasbourg, rue Jean Hultz n° 2, 2) Monsieur Alfred Walther (fils), pharmacien demeurant à Strasbourg, rue Beethoven n° 11, agissant en leur qualité d’associés et Monsieur Alfred Walther (fils) en outre en sa qualité de seul administrateur statutaire de la Société Civile immobilière des numéros 41 et 43 de la rue du 22 Novembre, ayant son siège à Strasbourg rue Beethoven n° 11, constituée aux termes d’un acte sous seing privé en date à Strasbourg du 30 décembre 1950, enregistré à Schiltigheim, bureau des actes civils, le 5 janvier 1951 volume 431, folio 8 n° 2 dont un original demeure annexé à l’acte de vente reçu par Me Taglang, notaire à Oberschaefolsheim, le 4 janvier 1950 (…) vendeurs
(II) Monsieur Daniel Freysz, directeur de société, demeurant à Strasbourg, avenue de la Paix n° 33, agissant en sa qualité de président directeur général, au nom et pour le compte de la société La Cité-Vie, compagnie d’assurances sur la Vie, Société anonyme au capital de 37 500 000 francs, ayant son siège social à Paris, 36. rue de l’Arcade, et son siège administratif à Strasbourg, avenue de la Paix n° 29-31 (…) ladite société comme acquéreuse
Désignation des biens vendus. A. Immeubles. Ville de Strasbourg 1° Section 61 n° 54 – rue du 22 Novembre n° 41 – 68 centiares sol, maison . Cette parcelle ne comporte actuellement qu’un terrain sur lequel se trouvait autrefois la maison n° 41 qui a été totalement sinistrée par faits de guerre
2° Section 61 n° 53 – rue du 22 Novembre n° 43 – 66 centiares sol, maison. Sur cette parcelle se trouvent encore aujourd’hui des vestiges de constructions (rez-de-chaussée, premier étage et une partie du deuxième étage) en partie actuellement encore utilisés, mais destinés à être démolis, le surplus des bâtiments ayant été sinistrés par faits de guerre.
B. Créances pour indemnité de dommages de guerre. La totalité des créances contre l’Etat, auxquelles la société venderesse a droit au titre d’indemnité de dommages de guerre, en raison du sinistre par faits de guerre, des deux immeubles ci-dessus désignés, telle que ces créances résultent des dossiers de sinistres ouverts auprès de la Délégation Départementale du Bas-Rhin du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme sous les numéros
NV 6454 Z pour l’immeuble n° 43 pour un montant de 65 263 francs,
NV 6455 Z pour l’immeuble n° 41 pour un montant de 206 474 francs.
Ces montants s’entendent en valeur de 1939, toute vétusté déduite.
II. D’autre part, Monsieur Alfred Walther fils, susnommé, vend, par les présentes, sous la même condition suspensive, à ladite Société La Cité-Vié, pour laquelle Monsieur Freysz accepte, la construction provisoire (baraque) à démolir, se trouvant actuellement sur le terrain de l’immeuble rue du 22 Novembre n° 41 et dans laquelle est exploitée actuellement une pharmacie. (…)
Origine de propriété, – I. Concernant les immeubles et les créances d’indemnités de dommages de guerre y attachés. Les immeubles ci-dessus désignés ainsi que créances d’indemnités de dommages de guerre y attachés appartiennent à la société venderesse au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite des consorts Weill aux termes d’un acte de vente reçu par Me Taglang, notaire à Oberschaeffolsheim le 4 janvier 1950 (…). Les immeubles sont actuellement inscrits au livre foncier de Strasbourg-Ville, feuillet 2287, au nom de la société venderesse.
Origine antérieure. a) L’immeuble Section 61 n° 54 avait été recueilli par les consorts Weil, vendeurs, dans la succession de leurs père et mère.
b) L’immeuble Section 61 n° 53 avait été acquis par les consorts Weill de Monsieur Isidore Hagenauer aux termes d’un acte reçu par Me Kahn, notaire à Strasbourg les 31 mars et 11 juillet 1936. Pour plus de détails sur l’origine de propriété antérieure, il est référé aux annexes du livre foncier
II. Concernant la baraque. Cette baraque appartient à Monsieur Alfred Walther, fils, vendeur, pour avoir été édifiée par lui déjà antérieurement à l’acquisition du terrain par la société.
Propriété, jouissance. La société acquéreuse sera propriétaire des biens présentement vendus à compter qu jour de la réalisation des conditions suspensives ci après stipulées, auxquelles se trouve subordonnée la validité du présent contrat, et elle en aura la jouissance avec effet à compter du même jour.
Charges et conditions. I. En ce qui concerne les immeubles et baraque vendus (…) les parties contractantes déclarent qu’il a été remis par la société venderesse à Monsieur Daniel Freysz, représentant de la société acquéreuse, qui le reconnaît, un état des locations se trouvant actuellement en cour ainsi que des locations qui existaient avant le sinistre dans les bâtiments détruits et dont le bénéficiaires pourraient éventuellement faire valoir le droit de report de leur bail sur les bâtiments reconstruits. En conséquence les comparants renoncent à l’analyse de ces baux et location dans le présent acte.
Toutefois, il est fait observer spécialement par les représentants de la société venderesse et le représentant de la société acquéreuse reconnaît avoir connaissance
a) qu’un nommé Colmer occupe dans la maison n° 43 qui existe sans toiture au premier étage : deux bureaux avec un local vers l’arrière-maison et deuxième étage de l’arrière-maison : deux autres pièces, dont il fait usage non autorisé par les propriétaires,
b) qu’en outre un nommé Yvel Levy tenait dans la même maison un magasin qu’il a quitté volontairement après la Libération en 1945 et qui, depuis lors, est occupé par Monsieur Brun. (…)
Condition particularités. Obligation de démolir les constructions. La présente vente a lieu sous la condition formelle, acceptée par la société acquéreuse, de démolir aussitôt après que le présente vente sera devenue définitive, et dans le plus bref délai, les restes des constructions se trouvant encore sur les terrains vendus et d’enlever la baraque se trouvant sur le terrain de l’immeuble numéro 41. (…)
Prix. 1° pour les immeubles proprement dits 8 000 000 francs,
2° pour les créances d’indemnités de dommages de guerre des deux immeubles 4 000 000 francs,
3° et pour la baraque, 1 000 000 francs, soit au total 13 000 000 francs. (…)
Condition suspensive. Conformément aux prescriptions de la loi du 28 octobre 1946, modifiée par la loi du 24 mai 1951, la présente vente d’immeubles sinistrés et des créances d’indemnités des dommages de guerre y attachées demeure soumise à l’agrément par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. De convention expresse entre les parties, le présent contrat en entier (…) se trouvent affectés de la condition suspensive de l’obtention de cet agrément par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme.
Déclaration pour l’enregistrement. (…) Enfin la société acquéreuse déclare que les bâtiments résiduels actuellement existants sur les terrains, objet de la présente acquisition, seront incessamment démolis après réalisation définitive de la vente, et que le terrain en son entier est destiné à être surbâti, dans un délai de trois ans au plus tard, d’un immeuble dont les trois quarts au moins de la surface seront affectés à l’habitation et qui offrira des capacités de logement au moins deux fois plus importantes que celle des bâtiments à démolir et qu’elle d’engage à effectuer ces travaux de démolition et de reconstruction dans le délai de trois ans prescrit par l’article 1371 sexiès du Code Général des Impôts (art. 10. du Décret du 6 mai 1953).
Grand rue n° 79 – IV 218 (Blondel) – N 929 puis section 59, n°68 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Michel Starck, maître maçon (1764), modifications par le marchand Philippe Antoine Ferrier
Façade (juin 2016) – Deuxième étage (juin 2018) – Etages (mai 2015 et juin 2013)
La maison qui a son entrée sur la Grand rue comprend différents bâtiments qui ne sont pas les mêmes au fil du temps. Elle a jusqu’en 1699 une sortie rue du Savon (parcelle Blondel IV 224, futur 6 rue du Savon). Au début du XIX° siècle, le propriétaire acquiert à l’arrière un terrain qui faisait partie du poêle des Tanneurs et y construit un bâtiment. Les deux parcelles seront réunies en une seule en 1845.
La maison qui comprend notamment un encorbellement de dix-sept pieds et demi de long est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom du chanoine de Saint-Pierre-le-Jeune Samson Kieffer. Elle appartient ensuite (1604-1631) au chapelier Nicolas Meyer, originaire de Tübingen, puis aux tonneliers et marchands de vin Georges Boch et Jean Jacques Bürckel ; son beau frère docteur en médecine Jean Jacques Sigel acquiert en 1651 la maison qui revient ensuite à des marchands, Raoul Wurtz puis (1690) Jean Paul Flach. Antoine Bessière s’en rend propriétaire en 1705 et y établit l’auberge au Dragon vert qui sera ensuite exploitée par Louis Finance. Le maître maçon Jean Michel Starck l’achète en 1763, il obtient quelques mois plus tard (février 1764) l’autorisation de supprimer l’oriel et de le remplacer par un balcon puis (août 1764) celle d’établir de nouvelles cheminées. Il meurt en juin 1766 avant de terminer la construction. La maison vendue par enchère judiciaire en 1768 revient en 1769 au marchand Jean André Bruder. Ses héritiers la cèdent en 1776 au marchand Philippe Antoine Ferrier qui ajoute un étage et modifie le balcon en 1779, fait des aménagements dans le bâtiment latéral de droite en 1780 puis dans le bâtiment latéral de gauche et le bâtiment arrière en 1786. Pierre Michel d’Ixnard dessine la colonnade élevée dans la cour dans les années 1780.
L’abbé de Hautemer écrit (page 104 de sa Description historique et topographique de la ville de Strasbourg et de tout ce qu’elle contient de plus remarquable en faveur des voyageurs. A Strasbourg Chez Amand Kœnig, Libraire. 1785) : « Nous passerons de là à la grande rue qui ne nous offre rien qui mérite un coup d’œil, si ce n’est un hôtel dont l’architecture moderne ne ressemblant à aucune autre, n’en est pas moins agréable & peut fournir des idées pour varier l’uniformité. » Jean Hermann ajoute (notes écrites de 1786 à 1799, publiées en 1905 par Rodolphe Reuss et citées par Hans Haug, dans les Archives Alsaciennes d’Histoire de l’Art, 1926, p. 156) : « Il ne peut être entendu d’autre maison que celle qui fut bâtie à peu près en 1760, vis à vis du Gæchgässlein, par un maçon prétendu architecte nommé Starck ; elle a sept croisées et un balcon. Elle était prodigieusement surchargée d’ornements et de bas-reliefs que celui qui en fit l’acquisition, après sa mort, M. Ferrier, homme de goût, fit ôter. Ce qu’il y avait de plus détestable, c’était deux colonnes à côté de la porte cochère, qui étaient courbées dans la même direction que son cintre et dont les chapiteaux se joignaient en haut, n’étant séparés l’un de l’autre que par un espace qui portait le monogramme de cet ingénieux artiste. ». Pierre Michel d’Ixnard refait une colonnade dans la cour. Erich Frantz émet des doutes d’ordre stylistique quant à l’intervention de Pierre Michel d’Ixnard sur la façade comme le propose Hans Haug.
L’auberge au Dragon Vert se trouve à gauche de la toiture la plus élevée (cinquième bâtiment à partir de la gauche entre la rue des Drapiers et celle du Savon – Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Planche 28 du Recueil d’architecture, P. Michel d’Ixnard (reproduit dans E. Franz, infra)
L’Atlas des alignements signale un rez-de-chaussée et trois étages en pierre de taille et un balcon. Sur les élévations destinées au plan-relief de 1830, la maison se trouve au milieu de l’alignement a-b (de l’angle de la rue des Drapiers à celui de la rue du Savon). On voit au rez-de-chaussée le porche central et trois fenêtres de part et d’autre, et trois étages de sept fenêtres chacun. Le troisième étage (rajouté en 1779) a de plus petites fenêtres que les étages inférieurs. Différents bâtiments de hauteur identique donnent dans la cour (F) : l’arrière du bâtiment sur rue se trouve entre (3) et (4), les bâtiments à l’ouest entre (4) et (1), ceux à l’est entre (3) et (2). Au fond de la cour s’ouvre le bâtiment représenté entre (1) et (2).
Elévations pour le plan-relief de 1830, cour F, plan de l’îlot 141 (© Musée des Plans-relief)
On y trouve au cours du XIX° siècle l’Ecole privée d’enseignement mutuel et le Casino théologique et littéraire. Le brasseur Laurent Schneider de Kœnigshoffen transforme en 1889 le rez-de-chaussée en salle de restaurant. D’après l’ouvrage Strasbourg et ses bâtiments (Strassburg und seine Bauten, par l’Association des architectes et des ingénieurs d’Alsace-Lorraine, édité chez Trübner à Strasbourg en 1894, p. 548), le propriétaire s’est adressé aux architectes de Rutté, de Berne, et Nadler, de Strasbourg, qui ont aménagé une salle en trois galeries dont celle du centre est éclairée par des coupoles les vitres seraient dues aux peintres sur verre Ott.
En 1909, la salle d’environ 290 places sert de théâtre cinématographique, cité pour la première fois sous le nom de cinéma Olympia en 1913. La façade est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 16 octobre 1930.
La bâtiment subit des dommages lors des bombardements, notamment la toiture et le pignon vers la rue du Savon, remis en état en 1954. Outre le cinéma, on trouve notamment l’établissement de confection pour hommes Salomon Horn (1936) et la manufacture de vêtements Jacques Spiegel (1948, 1952). Un courrier rédigé à l’occasion d’une pose d’enseigne en 1945 mentionne que la bande de fer qui porte l’inscription L. Schneider sous le balcon a été ajoutée à la fin du XIX° siècle. La salle réaménagée en 1953 qui prend le nom de cinéma Caméo ferme ses portes fin 1980. La salle de spectacle Studio 80 le remplace l’année suivante. Le projet de construire un bâtiment neuf dans la partie arrière du terrain n’a pas de suite (1984). L’AFUL Sainte-Hélène charge en 1987 l’architecte Hubert Claudel de réaménager les logements.
Transformation de la salle de cinéma en 1916
(dossier de la Police du Bâtiment)
Projet non réalisé de construire un nouveau bâtiment A (1985)
Réhabilitation de 1988, élévations du bâtiment est vers la rue du Savon (architecte Hubert Claudel, dossier de la Police du Bâtiment)
Plan après les transformations de 1889 (Strasbourg et ses bâtiments, p. 548) – Détail (mai 2018)
juillet 2012, février 2014
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier 1, dossier 2 – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
|
|
Samson Kieffer, chanoine de Saint-Pierre-le-Jeune |
1604 |
v |
Nicolas Meyer, chapelier, et (1584) Apollonie Hug – luthériens |
1631 |
v |
Georges Boch, tonnelier, et (1621) Anne Weber – luthériens |
1638 |
h |
Jean Jacques Bürckel, marchand de vins, (1638) et Anne Weber veuve du tonnelier Georges Boch – luthériens |
1651 |
v |
Jean Jacques Sigel, docteur en médecine, et (1628) Ursule Catherine Bürckel – luthériens |
|
h |
Raoul Wurtz, marchand, et (1661) Eve Walburge Sigel – luthériens |
1690 |
h |
Jean Paul Flach, marchand, et (1686) Félicité Brand, puis (1690) Marguerite Wurtz – luthériens |
1698 |
v |
Evrard Papelier, docteur en médecine, et (1690) Anne Marie Heuss puis (1704) Anne Marguerite Dreher veuve de Georges Büchel – luthériens |
1705 |
v |
Antoine Bessière, aubergiste, et (1690) Jeanne Paumier – catholiques |
1729 |
v |
Henri Christophe Schrader, marchand et (1712) Marie Agnès Bessière – catholiques |
1737 |
v |
Louis Finance, aubergiste, et (1725) Susanne Marguerite Reichard – catholique et luthérienne convertie |
1763 |
v |
Jean Michel Starck, maître maçon, et (1756) Susanne Marguerite Russ veuve de Jean Zacharie Meyé – luthériens |
1768 |
adj |
Anne Marie Schætzel femme (1740) veuve de Georges Henri Behr, docteur en médecine (1740) – luthériens |
1769 |
v |
Jean André Bruder, marchand, et (1761) Marguerite Salomé Saltzmann puis (1767) Anne Salomé Sandherr – luthériens |
1776 |
v |
Philippe Antoine Ferrier, marchand, et (1767) Anne Catherine Berard – catholiques |
1793 |
v |
Louis Bayard, propriétaire à Paris |
1801 |
v |
Nicolas Doron, greffier du tribunal civil, et (1786) Marie Madeleine Wollbrett – catholiques |
1802 |
v |
Frédéric Cretin, propriétaire, et Frédérique Eléonore Schild |
1808 |
v |
Pierre Louis Riff, propriétaire, et Walburge Hortense zu Rhein, domiciliés à Dornach près de Mulhouse |
1837 |
v |
Charles Geofroi Stromeyer, négociant, et (1830) Caroline Lobstein |
1889* |
|
Laurent Schneider |
1925* |
|
Ernest Schneider et sa femme née Gruber |
(1765, Liste Blondel) IV 218, Jean Michel Starck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ferrier, 8 toises, 2 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 929, Forel, Adolphe – maison, sol – 8,7 ares – puis Stromeyer Charles Geofroi md. de fer / 9,00
Locations
1706, Louis Devaux, sellier
1711, Jean Fleury, perruquier
1715, Claude Duplessis, perruquier
1725, 1730, Louis Finance, cuisinier, et Susanne Marguerite Reichard (futurs propriétaires)
1737, 1743, 1749, François Ignace Finck, marchand
1746, Loup François de Rathsamhausen d’Ehnwihr
1749, Jean Wenck et Marie Elisabeth Müller, manants et loueurs de carrosses
1768, Louis Pierre Robert Le Cousturier de Pithienville, ancien capitaine
1803, Frédéric Staat (boutique)
1803, Marc Benemenil (logement)
1806, Joseph Julien Lajonquiere
1829, 1834 Ecole privée d’enseignement mutuel
1831, Jacques Bentz, restaurateur (cave)
1833, Casino Théologique et Littéraire (deuxième étage)
1833, 1834, Louis Lagache Lecherf, négociant à Lille
1834, Comité central de la société pour l’extinction de la mendicité
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 186
La maison appartient au chanoine de Saint-Pierre-le-Jeune Samson Kieffer ; il règle 15 sols 4 deniers pour sa maison qui comprend un encorbellement (17 pieds ½ de long, dont la saillie fait d’un côté 3 pieds ½ et de l’autre 4 pieds), une plate-forme (16 pieds ½ de long et 5 pieds de saillie), une porte de cave inclinée (5 pieds de large, saillie de 4 pieds ½), deux étaux (10 pieds de long, 3 pieds de saillie)
Oberstraßen
Herr Sambson Küeffer Canonicus Zum Jung. Sanct Peter hatt vor seinem hauß oben ein Vsstoß xvii+ schu lang, Vnd an einem Ende anfangs iii+ schu herauß, Vnd ane dem and.n Ende iiij schu herauß, Vnden ein besezter Tritt xvi+ schu lang vnd v schu herauß, Ein ligende Kellerthüer v schu breit vnd v= schu herauß, Zween Laëden x schu lang vnd iij schu herauß, Soll allmend ein vnd bleÿben, Bessert für das Niessen, xv ß. iiij d.
Livres des loyers communaux
VII 1465 (1673-1741), f° 43-v
Le loyer est inscrit dans le registre après que les Préposés au bâtiment ont autorisé Jean Paul Flach à mettre un auvent à sa maison. Le loyer s’éteint en 1700 quand Jean Evrard Papelier le supprime
Herr Johann Paul Flach, der Handelßmann, Soll von einem Wetterdach an seiner behaußung in der Obern Straßen 25. Schuh und 4. Zoll lang Vnd 5. Schuh breit, Jahrs uff Annunc: Mariæ und anno 1696. I.mo, l. prot: de 1695 fol: 18, 1 lb
Jetzt Herr Dr. Eberhard Papelier
(Quittungen, 1696-1700)
Ist weggemacht worden
f° 783-v
Un nouveau loyer est inscrit au même registre en 1737 après que Jean Pierre Finck a été autorisé à placer un auvent à la maison
H. Johann Peter Finck der Specierer solle Von einem 27. schuhe Lang und 3. sch. tieffen Wetterdach Von diehlen über seinem in dem gewesenen Würths hauß zum grünen dragoner in der straß jahr auf Joh: Baptistæ und A° 1738. I.mo L. Prot. 1737. fol. 143-b, l lb 10 ß
1741
Neuzb fol 207
VII 1470 (1741-1802), f° 207
Le loyer est reporté dans le nouveau registre. Il est acquitté jusqu’à sa suppression en 1763
alzb. 783-b
Joh: Peter Finck ([corrigé en] Johann Finck / Frantz Joseph Finck) der Specirer solle von einem 27. schuh lang und 3 schuh tieffen Wetter dach von diehlen über seinem in dem gewesenen würths hauß zum Grünen Dragoner in der straß, Jahrs auf Joh: Bapt. 1 lb 10 ß
(1741-1763)
Ist d. wetterdach hinweg gemacht werden
Madame Finance
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1695, Préposés au bâtiment (VII 1376)
Le marchand épicier Jean Paul Flach demande à placer à sa maison un auvent de 25 pieds de long sur 5 de large. Les préposés au bâtiment se rendent sur place avant de l’autoriser moyennant un loyer que le pétitionnaire se propose de racheter. Les préposés refusent mais réduisent le loyer (voir l’inscription au livre des loyers).
(f° 17-v) Montags den 28. Februarÿ 1695. Herr Joh: Paul Flach der Specereÿhändler p° eines Wetterdachs – Augenschein eingenommen an Herrn Johann Paul Flach des Specereÿhändlers und Burgers alhier, behausung in der Oberen Straßen gelegen, daran derselbe ein Wetterdach 25. schuhe und 4. Zoll lang und 5. schuhe breit machen zulaßen gesinnet ist, und umb deßen gnd. concession angesucht. Erk. Bedacht
(f° 18) Dienstags den 8. Martÿ 1695. Herr Joh: Paul Flach wegen Wetterdachs – Wegen eingenommenen augenscheins an Herrn Johann Paul Flach des Specereÿhändlers behausung in der Oberen Straßen ist demselben mit Verlangter Verfertigung eines Wetterdachs 25. schuhe und 4. Zoll lang und 5. schuhe breit gegen jährlicher erlag 1. lb. 10. ß d allmend Zinnßes willfahrt worden. Ille bittet solches Ihme Käufflichen Zuüberlaßen, auff beschehene remonstration, daß solches sich nicht thun ließe, bate Er umb moderation des angesetzten Zinnßes. Erk. moderirt à 1. lb d.
1700, Préposés au bâtiment (VII 1379)
Evrard Papelier est autorisé à supprimer son auvent inscrit au folio 43 du Livre des loyers communaux. Il conserve le droit de le remettre en place en acquittant à nouveau le loyer
(f° 62-v) Dienstags den 26. Ejusd. [8.bris 1700] Herr Dr. Eberhard Papelier pt° eines Wetterdachs – Herr Eberhard Papelier, Medicinæ Doctor und burger alhier, berichtet Mghh. daß Er gesinnet seÿe das an seiner in der Obern Straßen gelegenen behaußung befindliche 25. schuhe und 4. Zoll lang und 5. schuhe breite Wetterdach davon Er Vermög Zinnßbuchs fol: 43. jährlichen auff Annunciationis Mariæ 1. lb. d. Zinnß gegeben, hinweg brech. zulaßen, mit angehängter bitt, Ihme seiner habende gerechtigkeit Zu conserviren, und dero Protocollo einverleiben zulaßen, daß Er solches, wann es Ihme belieben würde, ohne ferneren Augenschein, gegen erlag dieses Zinnßes, in Vorerwehner länge und breite wider bawen zulaßen machen haben solte. Erk. Gebettenermaßen willfahrt.
1737, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Jean Pierre Finck est autorisé à poser un auvent pour abriter des marchandises de la pluie (voir l’inscription au livre des loyers)
(f° 143-v) Donnerstags den 18. Julÿ 1737, folgende Augenschein eingenommen worden. H. Joh: Peter Finck – An H. Johann Peter Fincken des Specirers Laden im Würthshauß Zum Grünen Dragoner in der straß, welcher erlaubnus begehret, an dasig befindliche steinerne Kepffer ein 27. schuhe Lang und 3 schuhe breites Wetterdach Von diehlen über den Laden Zumachen, die außstellende Wahren Vor dem Regen Zubeschürmen. Erkant willfahrt, solle aber so lang das Wetterdach Subsistiren wird, jährlich 1 lb 10 ß Zinß davon abrichten.
(Traduction) Visite des lieux. Jean Pierre Finck. – Visite de la boutique de Jean Pierre Finck, Grand rue dans l’auberge au Dragon Vert. Il demande de placer un auvent en planches de 27 pieds de long et 3 pieds de large aux corbeaux de pierre pour protéger de la pluie les marchandises qu’il expose. Décision, accord à condition de régler un loyer annuel de 1 livre 10 sous tant que l’auvent subsistera.
1755, Préposés au bâtiment (VII 1406)
La propriétaire de la maison demande qu’on réduise le loyer que réglait son locataire pour un auvent jusqu’à ce qu’elle ait de nouveau loué la boutique. Les préposés répondent qu’il faut soit régler le loyer soit supprimer l’auvent.
(f° 64-v) Dienstags den 11. Martÿ 1755. Mad. Finance – Madame Finance laßet Mghh. ersuchen, den auf einem Wetterdach an jhrem hauß in der straß stehenden Zinß Von 3. fl. welchen Frantz Joseph Finck der Handelßmann, so Lang er jhren nunmehr lär stehenden laden in Lehnung gehabt, Laut Statt Zinßbuch fol: 207. jährlich auf den Pfenningthurn bezahlt hat, auf 15. ß Zu moderiren, offerit, sobald Sie den Laden wieder wird Verlehnt haben, den Vorigen Zinß wieder Zugeben. Erkannt, solle die 3. fl. Zinß fortgeben oder das Wetterdach Hinwegthun.
1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Nouvelle demande et nouvelle décision de même teneur
(f° 117) Dienstags den 24. 9.bris 1761. Mad. Finance – Mad. Finance ersucht Mghh. den Zinnß von einem wetterdach an jhrem hauß in der Straß laut Stzb. fol: 207 à 3. fl. jährl. pro Annis 1755 biß 1760 nachzulaßen, weilen jhr laden seit dieser Zeit lär gestandten. Erkannt, solle die außstehende Zinnß innerhalb 14. tagen Sub ipsa executione zu bezahlen schuldig seÿen, so bald Sie aber das wetterdach wird hinweg machen laßen, soll der Zinnß abgethan seÿn.
1764, Préposés au bâtiment (VII 1411)
Le propriétaire transforme la façade et y place un balcon
(f° 10) Sambstags den 18. febr. 1764. Johann Michael Starck. Augenschein eingenommen in der Langen Straßen Johann Michael Starck des Steinhauer meisters Hauß Zum grünen Dragoner genannt so einen steinerne Ercker hat, welcher willens eine Neue façade Zu bauen, den Ercker hinweg zu brechen und an deßen Statt vor die dreÿ mittelste Creutz stöck einen Balcon 14 sch. hoch von der gaß Zu machen umb erlaubnus gebetten. Erkannt wird dem Imploranten erlaubt einen 3 sch. breiten Balcon ohne die außladung zu machen wofür er ein für alle mahl 6. lb bezahlen solle.
Samedi 18 février 1764. Visite des lieux Grand rue, dans la maison au Dragon vert qui appartient au maître tailleur de pierres Jean Michel Starck et qui a un oriel en pierre. Le propriétaire a l’intention de construire une nouvelle façade, de détruire l’oriel et d’être autorisé à mettre devant les trois croisées centrales un balcon à 14 pieds au-dessus de la rue. Décision, le pétitionnaire est autorisé à établir un balcon de 3 pieds de large sans le porte-à-faux, il paiera à cet effet en une fois 6 livres.
1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Nouvelles transformations : on ajoute un étage et transforme le balcon
(241-v) Dienstag den 16. Martii 1779. Sr Ferrier, Handelsmann – Mr Andreas Stahl, der Maurer, nôe. Sieur Ferrier, des Handelsmanns, bittet ihme zu erlauben auf deßen ane der Langenstraß gegen dem schwartzen bären über gelegenen behausung ein Stockwerck zu setzen und den Altan zu verschmälern. Erkannt. Willfahrt.
Mardi 16 mars 1779. Le maçon André Stahl demande au nom du marchand Ferrier l’autorisation d’ajouter un étage et de rétrécir la balcon à sa maison sise Grand rue face à l’Ours noir. Décision, accordé.
Protocole des Quinze
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
Antoine Bessière cesse d’exploiter son auberge au Dragon Vert. Il continue de régler le droit d’enseigne pour pouvoir louer la maison à un aubergiste.
(f° 33) Sambstag d. 13. feb. 1723. pt° Erlaubnuß den Schild einzuhencken – Moss. nôe Antoine Bessiere des burgers undt bißherigen Würths au Dragon verd der bitt umb gn. Erlaubnuß den Schild einzuhencken und das Würthßhauß zu quittiren, Verspricht noch ein Jahr die Gebühr Vor den Schild abzustatten. Erk. Ober Ungeltherren
(traduction) Samedi 13 février 1722. – Moss. demande au nom d’Antoine Bessière, bourgeois jusqu’à présent aubergiste au Dragon Vert, la permission de retirer l’enseigne et de fermer son auberge, il promet de régler le droit d’enseigne pendant encore un an. Décision, renvoi aux préposés de l’accise.
1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Même teneur que ci-dessus
(p. 293) Sambstag d. 15. Julÿ 1724. umb permission den Schild einzuhencken – Moss. nôe. Antoine Bessiere des burgers und bißheigen würths au Dragon Verd der bitt Vndtg. umb Gnädige permission den Schild einzuhencken, undt die würtschaft einzustellen, will aber dennoch ein Jahr die gebühr Von dem Schild bezahlen, damit er das hauß etwan an einem andern würth Verlehnen Könne. Erkandt, Willfahrt.
(traduction) Samedi 15 juillet 1724. – Moss. demande humblement au nom d’Antoine Bessière, bourgeois jusqu’à présent aubergiste au Dragon Vert, la permission de retirer l’enseigne et de fermer son auberge, en continuant cependant de régler le droit d’enseigne pendant un an pour pouvoir éventuellement louer la maison à un autre aubergiste. Décision, accord.
1725, Protocole des Quinze (2 R 130)
Louis Finance est autorisé à débiter du vin à l’auberge du Dragon vert (dont il est locataire). On refuse à Antoine Bessière (propriétaire de la maison) le droit d’entreposer du vin dans la cave de l’auberge qu’il n’exploite pas parce que cela s’opposerait aux règlements.
(p. 203) Sambstag d. 7. Julÿ 1725. pt° Weinschancks – Fuchß noe. Louis Finance des burgers und Kochs beÿ Mgr. le Maâl Du Bourg der bitt underth. umb den weinschanck in dem Würths hauß au Dragon Verd. Erk. Ober Vngeltherrn
(p. 217) Sambstags d. 14. Julÿ 1725. Louis Finance pt° Weinschancks – Ober Vmbgelt hrn. laßen durch hrn Secret. Kleinclaus referiren daß Louis Finance der burger und bisherige Koch beÿ Mgr. le Maâl Du Bourg in einem gehaltenen Recess umb den Weinschanck in dem Würths hauß au Dragon Verd in der langen Straaßen gelegen Vdthg. gebetten habe, da er beÿ bewilligt und beseßener Deputation seinen burger Schein Vorgelegt, daraus erhellet daß er den 31. Mai 1714. in das burgerrecht auffgenomen word., wie dann auch Mr Munier Maistre d’hostel beÿ Mgr. le Maâl Du Bourg berichtet, daß Er, der herr Mareschal wohl leÿden möge daß der Implorant sich hier establiren und haußlichen niederlaße, beÿ welcher beschaffenheit man davor gehalten, daß demselben in seinem begehren willfahren seÿe. Erkannt Willfahrt.
(p. 219) Sambstag d. 21. Julÿ 1725. p° Kellers. Moss. noe. Antoine Bessiere burgers und gewes. Wurths au Dragon Verd, bitt Undtg. den mit der Mauer separirten Keller, welcher Keine communication mit ged. Würthshauß hat, brauchen Zu dörffen. Erkannt, Ober Vngelt herren.
(p. 239) Sambstag d. 11. Aug. 1725. Antoine Beziere pt° Nebens Keller – Isdem laßen ferner per Eundem referiren daß Antoine Beziere der burger und geweßener würth au Dragon Verd in einem gahaltenen recess Underthg. gebetten, den mit der Mauer Separirten Keller, welcher Keine Communication mit gedachtem Würths hauß habe gebrauchen zu dörffen. Auff geschehene Remission habe er sich auff den Wurth au Dauphin gegen der Spiegler Zunfft stub hienüber wohnhaft gezogen, mit Vermelden daß derselbe das nehmliche genieße, so er, Implorant, nunmehr begehre. Auff seithen der Hh. Depp. habe man sich erinnert, daß da dießer Würth sein Würths hauß an einem andern Würth Verlehnet, man Ihme aus trucklich beditten, daß, wann er neben dem würth in dem hauß bleiben wolle, er Keinen Wein einlegen dörffe, diesem Zu wieder aber Verlange er nun den Gebrauch eines Zum Würths hauß gehörigen Kellers, und wenn Ihme solches gestattet werden solte, würde er den vor sich benothigten wein daraus in das Würths hauß, allwo er auch wohnet, tragen, Welches aber schnur strecks wieder ordnung dahero man davor gehalten, daß er mit seinem begehren abzuweißen seÿe. Erkannt, abgewießen.
(traduction) Samedi 7 juillet 1725. Débit de vin – Fuchs, au nom de Louis Finance, bourgeois cuisinier chez Monseigneur le maréchal du Bourg, sollicite humblement l’autorisation de débiter du vin à l’auberge du Dragon vert. Décision, renvoi aux préposés de l’accise.
Samedi 14 juillet 1725. Louis Finance, concernant le débit de vin. Les préposés de l’accise ont chargé le secrétaire Kleinclaus d’exposer que Louis Finance, bourgeois, jusqu’à présent cuisinier chez Monseigneur le maréchal du Bourg a humblement sollicité dans un mémoire qu’il a présenté l’autorisation de débiter du vin à l’auberge du Dragon vert dans la Grand rue, qu’il a produit à la commission qui a siégé à cet effet son certificat de bourgeoisie d’où il appert qu’il a été reçu bourgeois le 31 mai 1714, que le sieur Meunier, maître d’hôtel chez le maréchal du Bourg, rapporte en outre que Monseigneur le maréchal accepte volontiers que le pétitionnaire s’établisse dans la ville, qu’il est par conséquent possible d’accueillir favorablement sa demande. Décision, accord
Samedi 21 juillet 1725, concernant une cave – Le même rapporte au nom des mêmes qu’Antoine Beziere, bourgeois et ancien aubergiste au Dragon Vert, a sollicité dans un mémoire qu’il a présenté l’autorisation de se servir de la cave qui est séparée par un mur et n’a pas de communication avec ladite auberge. Comme sa demande a été rejetée, il a argué que l’aubergiste au Dauphin, domicilié face au poêle du Miroir, bénéficie du même droit que lui, pétitionnaire, sollicite maintenant. La commission a fait observer que comme cet aubergiste a loué son auberge à un autre aubergiste, on lui a expressément demandé de ne pas entreposer de vin s’il souhaitait occuper la maison conjointement avec l’aubergiste, alors que lui-même demande au contraire de se servir d’une cave qui dépend d’une auberge et qui si on lui accordait la permission, il devrait chercher à l’auberge qu’il habite le vin dont il a besoin pour lui-même, ce qui serait exactement le contraire du règlement. Il en résulte que sa requête devrait être rejetée. Décision, refus.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Les préposés aux feux donnent en août 1764 leur aval aux transformations que projette Jean Michel Starck : établir une cheminée à la française au rez-de-chaussée à gauche de l’entrée, plusieurs cheminées à la française au premier étage dans une chambre et dans un cabinet, au deuxième étage dans un cabinet et une antichambre, une cuisine pourvue d’un fourneau et d’un âtre au deuxième étage du bâtiment principal et une autre au premier étage du bâtiment latéral.
(p. 44) Freÿtags den 17.ten Augusti 1764. – Meister Johann Michael Starck der Maurermeister will in seiner in der mittlern langenstraß gelegenen behaußung lincker hand der einfahrt ein frantzösisch Camin setzen auf das Keller gewölb, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner im ersten stock lincker hand in einer Cammer gegen der gaß ein frantzösisch Camin setzen, welches auf einem gewölb von der Stuben stehet, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt. Im nemlichen stock ein Cabinet gegen dem hoff mit einem frantzösischen Camin machen mit einem gewölb wohl versehen, das rohr am Kuchen Camin rohr hinauf führen, von allem holtz entfernt. So dann im nemlichen stock lincker hand im nebens gebäu eine Kuchen gegen dem hoff mit herd und Camin schoß, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock lincker hand ein Cabinet gegen dem hoff mit einem frantzösischen Camin machen mit einem gewölb wohl versehen, das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt, ferner im nemlichen stock eine anti chambre gegen der gaß mit einem Camin machen, mit einem gewölb wohl versehen, das Rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock in dem flügell lincker hand eine Kuche gegen dem hoff mit herd und Camin schooß machen, das rohr am Steinern Gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkandt, durchaus willfahrt. Mr Starck selbst
Le marchand Ferrier fait aménager en 1780 un âtre dans le bâtiment à droite de la cour par le maître maçon Müller le jeune (André Müller).
(p. 530) Dienstags den 7. Novembris 1780. – H. Ferrier der handelsmann will in seiner ane der langen straß gelegenen behaußung Rechterhand im Hoff ein vor Camin auf ein gewölb setzen, aus welchen in ein Zimmer des rez de chaussee eingefeurt wird, das Rohr am steinernen gäbel Hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mstr. Müller
Le marchand Ferrier fait aménager en 1786 par le même plusieurs feux dans le bâtiment latéral de gauche et dans le bâtiment arrière. Les préposés approuvent les travaux sauf un fourneau à la russe trop proche d’un toit en lattes.
(p. 614) Dienstags den 25.ten Aprilis 1786
H. Ferrier der handelsmann will in seiner ane der langenstraß gelegenen behaußung im hoff il nebens gebäud Linckerhand eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen, das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt, nebens einen bachofen, hinter der Kuche eine Bauchkuche auf dem grundboden mit Caminschoß wohl versehen das Rohr am steineren gäbel hinauf von allem holtz entfernt, im hintergebäud eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt, neben eine stube mit einem Runden ofen in den in dem Zimmer eingefeürt wird und dessen Rohr in das Kuchen Camin gerichtet.
Im ersten stock ein Zimmer mit einem frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt, nebens ein Zimmer mit einem fourneau à la russe im nebens gebäud ein Zimmer mit einem fourneau à la russe deßen Rohr in das Camin des Zweiten stocks gerichtet.
Erkandt, da das Rohr des fourneau à la russe neben dem frantzösischen Camin Zimmer auserhalb unter einem bretterdach sich befindet, daß solches weg zu schaffen, übrigens willfahrt. Mr Müller.
Protocole de tribus
1785, Tanneurs (XI 359)
Le sieur Ferrier proteste que la tribu des tanneurs a posé des crampons dans son mur pour fixer une cheminée. La tribu ne détient pas d’acte qui l’y autorise mais le maître de tribu estime qu’une telle autorisation n’est pas nécessaire. La décision est remise
Dienstags den 2.ten Augusti 1785. Der Herr Zunftmeister proponirte, daß Herr Ferrier, der Handelsmann und Nachbar dieser E. Zunft an ihne angesucht, da ane dem im Zunft Hof befindliche Nebens Gebäud stehende große Camin von dreÿen Aufsätzen, so ane sein Hern Ferrier Maur mit eisernen Clammeren angemacht ist wegbrechen Zu laßen, indeme er behauptet, daß E: E: Zunft nicht das mindeste Recht solches Camin bis dahin aufzuführen, wo man ihme von Seithen der Zunft allenfalls nicht durch schriftliche Urkunden ein solches erproben könnte, da aber der Herr Zunft meister dießer Meÿnung nicht ist, daß E.E. Zunft solches Zu thun schuldig, als wollte derselbe solches E. Hoh Löblichen Collegio deren Herren Schöffen Zu überlegen gegeben haben.
Facta Deliberatione seÿe dieße Sache durch einen Zu begehrenden Augenschein Zu decidiren.
Description de la maison
L’estimation jointe à l’inventaire de 1766 n’est pas très précise mais correspond bien à la disposition des lieux d’après le plan Blondel.
- 1740 (billet d’estimation traduit) au rez-de-chaussée la maison comprend l’entrée, à main gauche la boutique, à main droite une petite pièce voûtée et la cuisine, une cave voûtée, le bâtiment du milieu par quel on entre dans l’arrière cour, à côté une petite salle, cour, puits, au premier et au deuxième étage poêles, chambres à cheminée, dépenses, greniers dallés et un vieux comble, à gauche de l’arrière cour il y a un bâtiment latéral dans lequel se trouve la buanderie surmontée de deux étages à poêles, chambres, cuisines, le vestibule, escalier en colimaçon, écuries, remises et cour latérale, le tout estimé avec ses appartenances à 10 000 florins
- 1766 (billet d’estimation traduit) la maison comporte un bâtiment avant, deux bâtiments latéraux et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs chambres à cheminées à la française, des dépenses et des cuisines, ils sont surmontés de combles couverts de tuiles plates, il y a aussi trois caves voûtées, une cour, un puits, une remise et des écuries
Erich Frantz : Pierre Michel d’Ixnard, 1723-1795. Leben und Werk (Anton H. Konrad Verlag), 1985
(p. 209-210) 23. Kleinere Aufträge ab 1780.
D’Ixnard hat in seine Plansammlungen einige kleinere Arbeiten mit aufgenommen, die alle nach seiner Entlassung in Koblenz, also ab 1780, entstanden sind ; Bürgerhäuser in Straßburg und Colmar, ein Dachreiter auf einer Kirche, kleinere Gartenanlagen. Im Stuttgarter Sammelband, fol. 77, 85-91, folgen zunächst die Bauten und dann die Gärten aufeinander, und zwar, soweit überprüfbar, jeweils in chronologischer Reihenfolge.
(traduction) 23. Contrats plus modestes à partir de 1780.
D’Ixnard a joint à sa collection de plans ceux de quelques travaux plus modestes réalisés après qu’il a quitté Coblence, donc à partir de 1780 : maisons de bourgeois à Strasbourg et à Colmar, clocheton d’église, petits jardins. Le recueil de Stuttgart (folios 77 et 85 à 91) présente d’abord les bâtiments puis les jardins, en ordre chrolologique pour autant qu’on puisse le vérifier.
4. Straßburg, Haus Ferrier
Pläne
23.4.1. Stg. Slbd. fol. 87 : Aufriß einer Hofwand
23.4.2. Rec. d’arch. pl. 28 : Grund- und Aufriß des Säulenganges im Hof. « Elevation d’un Peristille à colonne dans la maison de Mr. Ferrier à Strasbourg »
Literatur
Haug (1927), S. 154-158
(R 28) Die Pläne zeigen von dem Haus Ferrier, heute Grand’ue 79, nur einen Säulengang des Innenhofes, über dem sich nach Plan 23.4.1 noch ein geschlossenes Geschoß erhob. Die dorische Säulenstellung hat 7 Achsen, die auf Türen und Wandbilde bezogen sind.
Nach der Darstellung von Haug wurde das Haus Ferrier ewa 1760 durch einen Archiktekten namens Starck gebaut. Nach 1785 muß die reich mit Ornamenten und Basreliefs geschmückte Straßenfassade ihre heutige, strengere Formengebung erhalten haben. Haug schreibt den Umbau d’Ixnard zu. Wegen der älteren Fassadenteile ist diese Zuschreibung kaum zu überprüfen ; die rahmenlosen Fenster und das verschränkte Balkongittermuster sprechen eher dagegen.
(Reproduction des planches du Recueil d’architecture) n° 28 et 29
(traduction) 4. Strasbourg, maison Ferrier
Plans – 23.4.1. recueil de Stuttgart, fol. 87 : élévation d’un mur sur cour
23.4.2. Recueil d’architecture, planche 28 : plan et élévation d’un péristyle dans la cour. « Elevation d’un Peristille à colonne dans la maison de Mr. Ferrier à Strasbourg »
Littérature – Haug (1927), pp. 154-158
Les plans ne représentent pas la maison Ferrier sise au 79 Grand-rue en entier mais seulement une colonnade, située dans la cour intérieure et surmontée d’un étage fermé d’après le plan 23.4.1. La colonnade dorique a 7 travées disposées par rapport à des portes et à des peintures murales.
D’après Haug, la maison a été construite vers 1760 par un architecte nommé Starck. C’est après 1785 que la façade sur rue aux nombreux ornements et bas-reliefs a dû prendre son aspect actuel plus austère. Haug attribue la transformation à d’Ixnard. Il est difficile de vérifier cette attribution du fait des éléments antérieurs de la façade ; les fenêtres sans cadre et le motif de la grille du balcon parlent plutôt contre cette hypothèse.
(Reproduction des planches du Recueil d’architecture) n° 28 et 29
Atlas des alignements
2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 74 / 125
Riff
Rez de chaussée et 3 étages en pierre de taille et balcon
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 271 case 2
Stromeyer Charles Geoffroi, md de fer grand’rue N° 125
N 929, maison, sol, grand’rue 125
Contenance : 9,00
Revenu total : 4,68
Folio de destination : 171
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :
N 930, maison, sol, grand’rue 125
Contenance : 2,50
Revenu total : 1081,30 (1080 et 1,30)
Folio de destination : 171
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières : 2 / 2
portes et fenêtres ordinaires : 127 / 102
fenêtres du 3° et au-dessus : 36 / 29
N 929
Contenance : 11,50
Revenu total : 1085,98
Folio de provenance : 171
Année d’entrée : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières : 2 / 2
portes et fenêtres ordinaires : 127 / 102
fenêtres du 3° et au-dessus : 36 / 29
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 883 case 1
Stromeyer Charles Geoffroy, Marchand de fer
1887/88 Stromeyer Karl Gottfried Wittwe & Kinder
1890/91 Schneider Lorenz, Bierbrauer / Rentner
(ancien f° 631)
N 930, maison, sol,
Contenance : 11,50
Revenu total : 1080 (1080 et 5,98)
Folio de provenance : (271)
Folio de destination : Umbau
Année d’entrée :
Année de sortie : 93/94
Ouvertures, portes cochères, charretières : 2
portes et fenêtres ordinaires : 127
fenêtres du 3° et au-dessus : 36
Wohnhaus
Contenance : 11,50
Revenu total : 1786,00 (1791,98)
Folio de provenance : 883-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 93/94
Cadastre allemand, registre 32 p. 368 case 3
Parcelle, section 59, n°68 – autrefois N 929, 930
Canton : Lange Straße Hs N° 79, St. Helenengasse 4 – Grand rue et rue Sainte Hélène
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 11,21
Revenu : 15 000 – 13 500 – 20 000
Remarques : 1910, Berufung
compte 3379
Schneider Lorenz
1925 Schneider Ernest brasseur
1947 Schneider Ernest sa veuve née Gruber à la Petite Pierre
(3707)
Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace
(p. 523) Maison Ferrier : façade y compris le balcon (Inv. MH, 16 octobre 1730) – 79 Grand-Rue
Ici demeurait vers 1580 le fameux syndic Paul Hochfelder dont l’empereur Maximilien II lui-même a vanté las talents diplomatiques.
Sa maison qui comportait un oriel fait l’objet d’une reconstruction totale par un maçon dénommé Starck, en 1766, puis de modifications dès 1790-1791 après rachat par le négociant Ferrier.
Une description de l’édifice en 1785 dénonce sa surcharge ornementale et le dessin tourmenté du portail maintenant réduit à de rares vestiges. En pleine époque de retour à un classicisme ennemi de l’ornement, le nouveau propriétaire s’attache à faire éliminer les traces les plus flagrantes du style rococo, ne conservant que les grandes lignes de la façade d’ailleurs localement assez atypique par son « plissé » baroque. Sur un rez-de-chaussée simplement animé de refends s’élèvent les deux étages principaux aux sept travées séparées par des pilastres d’ordre colossal, à chapiteaux composites : deux paires de pilastres formant un angle obtus isolent les trois travées médianes ; les fenêtres du deuxième étage ont conservé leur linteau en anse de panier, celui du milieu d’une courbure plus prononcée : tous ces mouvements de l’élévation se répercutent dans le tracé de la puissante corniche située sous l’attique. Les deux vases en pierre qui la surmontent, de même que les tables rectangulaires des allèges et les ouvrages en ferronnerie, d’une stricte orthogonalité (balcon central, grilles d’appui), relèvent de l’intervention de l’architecte P. M. d’Ixnard à la fin du XVIII° siècle.
Une plaque rappelle que l’historien Fustel de Coulanges a demeuré ici, de 1860 à 1870.
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades
(maison n°) 125
pr. Ferrier, Phil. Ant., Négt. – Miroir
Registres de population
(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Langstrasse (S. 98)
(Haus Nr.) 79
Böhrer, Pfortner. 0
Acker, Wirt » Brauerei Schneider « . 0
Netter, Reisender. 2
Neter, Rentner. 2
Weill, Kaufmann. 2
Haas, Wwe. 3
Wolff, Rentnerin. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 167)
Grand rue 79 (I, 1884-1981) voir aussi 4 rue Ste. Hélène, cinéma Olympia
Nouveau propriétaire de la maison, le brasseur Laurent Schneider de Kœnigshoffen fait aménager en 1889 le rez-de-chaussée en salle de restaurant et raccorder la maison aux canalisations.
En 1909, la salle du rez-de-chaussée qui sert presque seulement à des projections cinématographiques comprend environ 290 places, dont 190 dans la partie centrale les autres dans les parties latérales. La Police du Bâtiment énonce des règles pour réduire les risques d’incendies liés à la projection de films. L’entrepreneur Charles Nadler aménage des cabinets d’aisance au premier étage. Un débit de boissons est autorisé en 1912. Aloïse Hilbert, directeur du théâtre cinématographique cité pour la première fois sous le nom de cinéma Olympia, augmente le nombre de places assises en 1913 et fait aménager une salle de projection au rez-de-chaussée en 1916. La façade est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 16 octobre 1930.
Le bâtiment subit des dommages lors des bombardements, notamment la toiture et surtout le pignon vers la rue du Savon, remis en état en 1954. Un courrier rédigé à l’occasion d’une pose d’enseigne en 1945 mentionne que la bande de fer qui porte l’inscription L. Schneider sous le balcon a été ajoutée à la fin du XIX° siècle. Un guichet de loterie dans l’entrée du cinéma est supprimé pour des raisons de sécurité en 1950. Une buvette à l’intérieur du cinéma fait l’objet de tractations entre la Ville et la préfecture pour les mêmes raisons (1949-1950). Le cinéma est autorisé à poser une vitrime sur la façade en 1951. La salle réaméanagée en 1953 prend le nom de Caméo. Le dossier comprend différents comptes rendus de visite par la Commission de sécurité à partir de 1974. Le cinéma ferme ses portes fin 1980. La salle de spectacle Studio 80 exploitée par José Sala ouvre ses portes l’année suivante.
Le bâtiment est aussi occupé par l’agent d’assurances Lucien Masson (1891), le dentiste Roth-Armbruster (1898), les costumes Charles Haberkorn (1906-1934), la confection pour hommes Salomon Horn (1936), la manufacture de vêtements Jacques Spiegel (1948, 1952).
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie le marchand de fer Stromeyer de faire ravaler la façade du 79, Grand rue – Travaux terminés, novembre 1884
1884 (juin) – L’entrepreneur Greiner, domicilié 20 rue du Jeu-des-Enfants, demande l’autorisation de réparer, repeindre et recrépir la façade – En marge, la Police du Bâtiment note que la façade a seulement été en partie recrépie, que la maison se trouve dans l’alignement et n’a pas d’avance – Autorisation
- 1887 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le marchand Charles Stromeyer demande l’autorisation de poser des tiges métalliques devant le bâtiment. Il y est autorisé à condition de ne pas gêner la circulation
- 1889 (mai) – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation 1) d’établir une nouvelle fosse d’aisances, 2) de transformer une fenêtre en porte, 3) de modifier les cloisons au rez-de-chaussée – Autorisation – Travaux terminés, mars 1890
1889 (décembre) – On transforme le rez-de-chaussée du 79, Grand rue, propriété de M. Schneider. Le gros œuvre est terminé, janvier 1890. Les travaux sont interrompus à cause du froid (mars). Les plâtriers travaillent, les travaux aux cabinets d’aisance dans la cour du côté de la rue Sainte-Hélène sont en cours (avril). Les travaux dans la salle d’auberge sont terminés (mai). Les travaux intérieurs se poursuivent (juin). Réception du gros œuvre, rien à signaler (juillet 1890). Les travaux intérieurs se poursuivent (peintres, septembre). Tous les travaux sont terminés, rien à signaler (octobre)
- 1891 (mars) – Lucien Masson demande l’autorisation de poser trois enseignes pour trois compagnies d’assurance – Autorisation – Les enseignes sont posées, mai
- 1890 – Le directeur de l’usine à gaz Weill-Gœtz demande au nom du propriétaire Schneider l’autorisation de faire une prise pour environ vingt becs – Autorisation – Travaux terminés, décembre 1891
- 1889 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (39, rue des Bouchers) demandent au nom du propriétaire Schneider l’autorisation de faire deux raccords à la canalisation principale selon le plan joint – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1892
- 1898 – La Police du Bâtiment note que l’aubergiste Schneider a fait poser sans autorisation une lampe électrique – Demande – Autorisation
- 1898 – La Police du Bâtiment note que le dentiste Roth-Armbruster a posé une enseigne sans autorisation sur le balcon – Demande – Autorisation de poser une enseigne plate, une enseigne perpendiculaire et une vitrine au 79, Grand rue. La Police du Bâtiment ne demande pas de modifier la saillie de l’enseigne perpendiculaire parce qu’elle est moindre que celles des lanternes déjà posées et que le trottoir a deux mètres de large
- 1906 – Charles Haberkorn demande l’autorisation de poser une enseigne en biais de chaque côté du balcon (2,00 sur 0,75 mètres, croquis) – Autorisation – Les enseignes sont posées, rien à objecter
- 1906 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le restaurateur Clément Thomas demande l’autorisation de poser un drapeau publicitaire. Comme l’objet n’est pas réglementaire, la Police du Bâtiment demande de le retirer – Il n’y a plus de drapeau, novembre
1907 – Jean Rauh (Wirt zum Thomasbräu) demande l’autorisation de poser un drapeau publicitaire (Thomasbräu München, soit Brasserie Thomas, Munich). Sur le brouillon, la Police du Bâtiment rappelle les dimensions autorisées et la distance minimale par rapport au lampadaire, au sol et aux propriétés voisines. Le courrier effectivement envoyé au pétitionnaire refuse l’autorisation – Dossier classé, septembre 1907
- 1907 – Le commissaire de police autorise le restaurateur Jean Rauh à entreposer deux bouteilles d’acide carbonique liquide
- 1908 – La Ville adresse au restaurateur Auguste Glausinger une notification de paiement pour trois enseignes. Comme il déclare n’être que gérant, le nom est ensuite rectifié en Charles Lazarus (aubergiste, 3 rue de la Chaîne) et Aloïse Hilbert – La redevance a été réglée, janvier 1909
- 1909 – Dossier transmis par la Division II. Auguste Glausinger demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons au 79, Grand rue. Rapport de la Police du Bâtiment – Le local de débit qui se trouve au rez-de-chaussée et au premier étage correspond aux prescriptions ministérielles de mars 1890. La cuisine n’est pas suffisamment aérée, les cabinets pour hommes ne sont pas suffisamment éclairés. La salle du rez-de-chaussée sert presque seulement à des projections cinématographiques, les directeurs Hilber et Latzarus devront produire des dessins
Le maire envoie un courrier au commissaire de police. La salle de spectacle comprend environ 290 places, dont 190 dans la partie centrale, les autres dans les parties latérales. Il y a des couloirs de 1,20 mètres de large entre les rangées de sièges et les murs latéraux. Deux portes mènent à la salle, une de 1,30 mètres de large qui donne dans la cour vers la rue Sainte-Hélène, une autre de 1,48 mètres de large vers le vestibule de la Grand rue. La Police du Bâtiment demande un plan qui représente les rangées de sièges et les portes d’accès (mai 1890) – La Police du Bâtiment constate que les plans correspondent à la réalité
Constat. Les locaux et les cabinets d’aisance du théâtre cinématographique correspondent au règlement. Les portes d’accès à la salle de spectacle devront s’ouvrir vers l’extérieur. Les sièges proches des portes qui donnent dans la cour devront être supprimés pour ne pas gêner la sortie. Les films en réserve devront se trouver dans une boîte fermée en métal, la salle de projection doit être pourvue d’extincteurs (entre autres des seaux d’eau), une personne compétente devra surveiller la projection et fermer les ouvertures de la salle de projection en cas d’urgence, l’opérateur devra être protégé de la chaleur, il ne devra pas y avoir de film sur la table de la salle de projection. Il faudra supprimer le local téléphonique pour que la cuisine soit mieux éclairée, les cabinets d’aisance pour hommes au premier étage devront recevoir la lumière extérieure, les cloisons de bois devront être recouvertes de crépi ou de plâtre.
Les transformations tiennent compte des remarques, sauf pour ce qui est des cabinets d’aisance au premier étage (novembre). La Police du Bâtiment ne poursuit pas l’affaire sur ce point puisque le premier étage ne sert plus de débit de boissons – Plan (annulé) des cabinets d’aisance au premier, signé par l’entrepreneur Charles Nadler
1909 (octobre) Charles Nadler est autorisé au nom de la brasserie Schneider de Kœnigshoffen à aménager des cabinets d’aisance au premier étage. Les travaux sont terminés, la Police du Bâtiment remet le certificat de réception (décembre)
- 1909 – La Police du Bâtiment n’autorise pas Aloïse Hilber à poser les lampes électriques au balcon parce qu’elles dépassent la saillie maximale – Les lampes ont été retirées, novembre – Dossier classé, avril 1910
- 1910 – Le commissaire de police demande de vérifier que les consignes de sécurité dans les théâtres cinématographiques sont bien respectées. Les établissements se trouvent 2 route de Colmar, 29 rue des Serruriers, 14 rue du Jeu-des-Enfants, 2 Grande rue de la Grange, 79 Grand rue et 8 quai Kellermann
Procès verbal dactylographié de visite à la brasserie Thomas, en présence de l’exploitant Hilbert : il manque un plafond ininflammable
- 1911 – Charles Haberkorn (domicilié 79, Grand rue) demande l’autorisation de poser des enseignes provisoires 3, rue Kuhn pour carnaval – Autorisation de poser deux enseignes au 79, Grand rue, janvier 1911
- 1910 (mars) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le théâtre cinématographique (brasserie Thomas) demande réception du bâtiment latéral et l’autorisation que des spectateurs puissent occuper debout les allées latérales. La Police du Bâtiment énonce les conditions que doivent respecter les balustrades en bois dans le bâtiment latéral et renvoie aux prescriptions de mars 1892 pour ce qui est des places debout
La Police du Bâtiment demande que les accès aux portes soient libres, sans tables ni sièges, que la corde qui sépare les places debout des places assises soit supprimée pour faciliter l’évacuation
- 1912 (mai) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. La Société de cinématographie et de location de films demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. Les locaux sont conformes aux prescriptions de mars 1890.
- 1913 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Aloïse Hilbert demande l’autorisation d’augmenter le nombre de places assises dans le théâtre cinématographique en surélevant des sièges
1913 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le même demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. Mêmes remarques que ci-dessus
- 1914 (janvier) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Aloïse Hilbert demande au nom du cinéma Olympia l’autorisation de poser six panneaux publicitaires. La Police du Bâtiment en demande les dimensions – Accord, dossier classé (février)
- 1913 (décembre) – Aloïse Hilbert, domicilié 29, rue des Grandes Arcades, demande l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Autorisation – Les enseignes sont posées – Maquette (Olympia)
- 1916 – Aloïse Hilbert, propriétaire du cinématographe Olympia, demande l’autorisation d’aménager une salle de projection au rez-de-chaussée. L’entrepreneur est A. Bürkmann, 77, avenue de la Forêt-Noire – Autorisation – Descriptif des travaux – Plans – Travaux terminés. La Police du Bâtiment demande de supprimer le seuil de 6 centimètres qui pourrait provoquer des accidents. Le seuil surélevé a été supprimé, novembre
- 1916 – Commission des logements militaires, 79, Grand rue et 4, rue Sainte-Hélène. Propriétaire, brasserie Schneider à Kœnigshoffen. Gérant, Stiegelmann, 1, rue du Bouclier. Rien à signaler
- 1919 (septembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Louis Vincent demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons. La Police du Bâtiment constate qu’il y a trois salles de débit et trois cabinets d’aisance, les locaux sont conformes aux prescriptions de mars 1890.
1920 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que Louis Vincent a fait poser sans autorisation un panneau publicitaire sur la façade et une enseigne lumineuse non conforme au balcon – L’enseigne a été transformée, août 1921
1921 (juillet) – Le directeur du cinéma Olympia a fait poser sans autorisation une enseigne en calicot que la Police du Bâtiment demande de retirer
- 1922 – Le locataire Dradin se plaint du palier au 4, rue Sainte-Hélène. La Police du Bâtiment constate que la cage d’escalier et le palier sont encombrés de crottes de chat – Un contrôle ultérieur montre que les lieux sont en bon état
- 1930 – La Division VI informe la Police du Bâtiment que la façade a été inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 16 octobre 1930
- 1933 – La Police du Bâtiment demande au gérant Stiegelmann de faire ravaler la façade – Travaux terminés, avril 1934
- 1934 – La veuve Haberkorn, costumière, déclare qu’elle retire ses deux enseignes
- 1936 – Rapport d’incendie. Un feu s’est déclaré dans une cuisine à cause d’un tuyau trop chaud – La Police du Bâtiment demande de faire les travaux nécessaires – Travaux terminés, juin
- 1936 – Salomon Horn (confection pour hommes) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation, périmée sans que l’enseigne soit posée
- 1939 – La société Est-Cinéma demande que l’avis de paiement soit établi au nom du cinéma et non de son directeur Régis Jean
- 1942 – Le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) est invité à régler la facture des travaux réalisés pour supprimer les inscriptions en français
- 1945 (novembre) – Régis Jean demande au nom du cinéma Olympia l’autorisation de poser une enseigne en tubes lumineux au balcon du 79, Grand rue. – L’enseigne a été posée, février 1946
La direction des Musées de la Ville de Strasbourg (sous la signature de Hans Haus) évoque l’enseigne dont lui a parlé le directeur du cinéma pour appuyer sa demande auprès de la Police du Bâtiment. La maison comprend un balcon Louis XVI sous lequel a été ajouté à la fin du XIX° siècle une bande de fer forgé portant l’inscription L. Schneider, recouverte avant guerre par l’enseigne du cinéma. L’enseigne est autorisée à condition qu’elle soit couleur pierre. Maquette
- 1947 – L’atelier du menuisier Leprince rue Sainte-Hélène ne soulève pas d’objection concernant la sécurité contre l’incendie, d’autant qu’il se trouve dans un bâtiment latéral en construction massive sans rapport avec le cinéma
- 1948 (septembre) – Rapport d’incendie. Fausse alerte au 79, Grand rue, accumulation de fumée due à la pression atmosphérique et à un conduit fissuré
La manufacture de vêtements Jacques Spiegel (79, Grand rue) demande à la Police du Bâtiment d’intervenir pour qu’il soit possible de chauffer la cheminée défectueuse
L’agent d’affaire Philippe Ulrich répond que le propriétaire a emprunté pour remplacer la couverture endommagée lors des bombardements et que le bâtiment ne procure aucun bénéfice au propriétaire – Le travaux sont terminés, juillet 1948
- 1950 – Le préfet écrit au maire pour faire supprimer un guichet de loterie dans l’entrée du cinéma afin de ne pas empêcher une évacuation en cas d’incendie – Le guichet a été supprimé, mars
- 1949 – Une buvette a été installée dans la salle de cinéma. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler. La commission communale de sécurité émet un avis défavorable. Contre l’avis de la Ville, le préfet prend un arrêté qui autorise la société Est-Cinéma (40, rue Vignon à Paris), représentée par son directeur Régis Jean, et son gérant Jean-Marie Wystraete, à exploiter le débit de boissons dans la salle du cinéma. Le préfet justifie sa décision en se référant à l’avis de l’inspecteur départemental des Services d’incendie.
1950 (juin) – Le préfet interdit l’exploitation de la buvette tant que l’article V (stipulant que la buvette sera reculée pour ne plus faire saillie dans la salle) de l’autorisation ne sera pas exécuté
1950 (août) – Comme les travaux ont été exécutés, le préfet annule l’interdiction précédente
- 1950 (avril) – La société Est-Cinéma demande l’autorisation de poser une vitrine à affiches et à photographies. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
1950 (juin) – Le cinéma soumet un nouveau projet – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous conditions – La vitrine est posée, mars 1951
- 1952 – La manufacture de confection Jacques Spiegel signale que le cinéma Olympia a fait murer sans autorisation du propriétaire les soupiraux, de sorte qu’il règne au sous-sol une humidité qui abîme les marchandises entreposées – La Police du Bâtiment répond qu’il s’agit d’une affaire privée qui échappe à sa compétence
- 1953 – Régis Jean, président directeur de la société Est-Cinéma, demande l’autorisation de réaménager l’intérieur du cinéma Olympia (parcelle 68 de la section 59). Entrepreneur, Th. et Ed. Wagner, 14, rue Adolphe-Seyboth – Autorisation
Les nouveaux supports et les nouvelles sous poutres sont posés (septembre). On remet les fauteuils en place (décembre)
1954 (avril) Le maire rend compte au préfet de l’inspection de différents cinémas, dont le Caméo alias Olympia
- 1954 – La veuve E Schneider, domiciliée à la Petite Pierre n° 111 (immeuble sis 79, Grand rue et 4, rue Sainte-Hélène), dépose une demande de permis de construire au titre des dommages de guerre le mur pignon vers la rue du Savon. La direction des travaux est confiée à l’architecte Charles Heitz (42, route de Wissembourg à Schiltigheim), les travaux à l’entreprise Hoff (22, rue Louis-Apffel) – Plan de situation, élévation et coupe
Le gros œuvre est terminé, la façade recouverte d’un enduit lisse à la taloche (janvier 1955). Les travaux sont terminés, mars
- 1971 – Le préfet demande au maire de procéder à un contrôle de sécurité après que le Directeur général du Centre national de la cinématographie lui a transmis l’autorisation d’exploiter les salles de cinéma Arcades (33, rue des Grandes Arcades) et Caméo (79, Grand rue) dont le gérant est Jeanine Hochwelker, domiciliée à Lingolsheim. Le maire répond que les locaux satisfont aux prescriptions de sécurité.
1972 (février) – Le maire prend un arrêté portant autorisation d’ouverture d’un établissement recevant du public au profit de M. Hochwelker, domicilié 25, rue Oberlin à Strasbourg
1974 (août) – Rapport de la Commission de sécurité
[autres contrôles de sécurité]
1980 (novembre) – La société cesse d’exploiter le cinéma Caméo
1980 (février) – José Sala, domicilié à Bischoffsheim (Bischenberg n° 53) demande au préfet l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Studio 80, anciennement buvette du cinéma Caméo. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux. Le maire répond que José Sala projette d’ouvrir une nouvelle salle de spectacle dans l’ancien cinéma Caméo
1980 (mars) – La société Studio 80 (Sala et Langlois) demande l’autorisation d’utiliser un système d’animation laser dans leur théâtre discothèque qu’ils prévoient d’ouvrir à la fin du mois [suite de l’affaire]
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 939 W 309)
Grand rue n° 79 (dossier II, 1981-1994)
Jacob Dumortier est autorisé en 1984 à exploiter le débit de boissons Studio 80 sous l’enseigne No problem.
La société Est Cinéma demande en 1984 l’autorisation d’aménager le rez-de-chaussée en magasin et les étages en logements par le décorateur Léon Herrmann.
La société Uniblor, de Metz, charge en 1985 l’atelier d’architecture A 5 d’aménager le 79, Grand rue et le 4, rue Sainte-Hélène, soit trois bâtiments anciens B, C, D et un bâtiment neuf A ; le projet n’a pas de suite. L’AFUL Sainte-Hélène charge en 1987 l’architecte Hubert Claudel de réaménager les logements dont les dernières rénovations remontent à plus de trente ans. Les travaux commencés en mars 1988 sont terminés en février 1991.
Sommaire
- 1982 (juin) – Le préfet proroge de six mois l’autorisation accordée à José Sala d’ouvrir le débit de boissons Studio 80 jusqu’à trois heures du matin
- 1984 (août) – Le préfet demande à la Police du Bâtiment une enquête avant d’accorder à Jacob Dumortier l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Studio 80 sous l’enseigne No problem – La commission de sécurité rend son rapport
- 1984 – Le décorateur Léon Herrmann (29, rue de la Nuée-Bleue) demande au nom du propriétaire (société Est Cinéma, rue des Dominicains à Strasbourg) l’autorisation d’aménager le rez-de-chaussée en magasin et les étages en logements. – La Police du Bâtiment relève que la distance entre les bâtiments est inférieure à celle autorisée et qu’il y a seulement 18 places de garage pour 25 logements
- 1985 (juillet) – L’atelier d’architecture A 5 (place des Halles) soumet le projet de la société Uniblor (place Mazelle à Metz) d’aménager le 79, Grand rue et le 4, rue Sainte-Hélène, soit trois bâtiments anciens B, C, D et un bâtiment neuf A : stationnement au sous-sol, commerces au rez-de-chaussée, habitation aux étages
- 1986 – Le notaire Paul Heinrich (place Broglie) demande des renseignements d’urbanisme sur l’immeuble section 59 n° 68, propriété de la société Est Cinéma à Paris
1987 – Le notaire Emanuel Leplat à Grandfresnoy (Oise) demande au nom de James Ravaux des renseignements d’urbanisme
1989 – Nouvelle demande des mêmes
- 1987 – L’architecte Hubert Claudel décrit les travaux à réaliser pour le compte de James Ravaux, représentant l’AFUL Sainte-Hélène à Limas (Rhône). L’escalier en grès à garde-corps en fer forgé (bâtiment avant) et les escaliers en bois sont conservés. Les logements dont les dernières rénovations remontent à plus de trente ans seront réaménagés. L’architecte des Bâtiments de France émet d’abord un avis défavorable (les étages ne peuvent être dissociés du rez-de-chaussée, les deux étant interdépendants) puis un avis favorable sous conditions. – Dessins de l’existant et du projet
1988 (janvier) – Déclaration de travaux. L’échafaudage est posé (mars 1988), les travaux sont terminés en février 1991 conformément aux plans
- 1994 – L’architecte des Bâtiments de France relève, photographies à l’appui, que les affiches de couleur agressive sur les devantures doivent disparaître sous huitaine.
Relevé d’actes
Le chanoine de Saint-Pierre-le-Jeune Samson Kieffer vend la maison au chapelier Nicolas Meyer et à sa femme Apollonie Hug (les acquéreurs vendent en novembre de la même année leur maison rue des Aveugles)
1604 (xiij tag Augusti), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 301-v
(P. fol. 248.) Erschienen der Ehrwürdig h. Sambson Küeffer Canonicus der Stifft Zum Jung. S. Peter Alhie hatt (verkaufft)
Clauß Meÿer dem huttmacher burgern Zu Straßburg vnd Appolonien Hugin seiner ehelich. haußfr.
Hauß, hoffestatt, höfflin, vnd hinderhauß, mit Allen Iren gebeuw & geleg. Inn d. St. Straßburg Ane d. Obern straß, einseit nebent wÿland Caspar Eberhardt des schlossers selig. erb. andersit Bläß Leüttersperger dem Küffer, hind. vff bemelt. Bläß Leüttersperger stoßend für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist disser Khauff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 615 pfund Straßburger
Hiebeÿ sindt gewesen H Adam pfreng. Canonicus Junioris Petri, H. Johannes Axeus procurator zu Molßh. h. Carle Küffer, hannß Adolff Müller vnd Anthoni Rust d. pfiffer Zu Jung. S Peter
Originaire de Tübingen, le chapelier Nicolas Meyer épouse le 27 avril 1584 Apollonie, fille du chapelier Jonas Hug.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2, n° 18)
1584. In Festo Paschalis. Niclas Meÿer Von Tübingen der Huttmacher vnd Apollonia, Jonas Hugen des Hutmachers tochter, eingesegnet 27. Aprilis (i 3)
Nicolas Meyer devient bourgeois par sa femme trois jours plua tard
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 530
Niclaus Meÿer Vonn thübingenn der huottmacher Hatt das burgerrechtt empfangenn Vonn apollonnia Jonas hugen deß bottenn dochtter seiner hausfrauwenn Vnnd will Zuom Spiegell dienen actum denn 30.t aprill 1584
Apollonie Hug veuve de Nicolas Meyer l’aîné et ses enfants (Susanne femme du chapelier Jean Jacques Bechtel, Ursule femme du tourneur Jean Spatz, le fils délaissé par Nicolas Meyer le jeune, Madeleine femme du mégissier Jacques Wœlffle, le chapelier Jean Meyer et Anne Schantzbach) vendent la maison au tonnelier Georges Boch le jeune moyennant 750 livres
1631 (18. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 428
(Protocollat. fol. 105.) Erschienen Clauß Meÿers deß eltern huetmachers see: alhie witib Apollonia hugin vogt Simon Holänder der huetmacher, vnd sein Meÿers Kinder vnd Erben, mit nammen hanß Jacob Bechtel der hutmacher alß Ehevogt Susanna Meÿerin, hanß Spatz der Treher Alß Ehevogt Ursula Meÿerin vnd alß vogt Niclauß Meÿers deß jüngern see: nachgelaßenen Sohns, Niclauß, Jacob Wölffle d. weißgerber alß Ehevogt Magdalenen Meÿerin vnd alß Vogt Barbara Schantzbächin vnd dann Johann Meÿer d. hutmacher für sich selbsten (verkaufft)
Georg Bochen dem Jüngern Küeffer, auch burger alhie, vnd Annä Weberin deß. ehefr.
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hinderhauß, mit allen andern ihren gebäwen & alhie An der obern Straßen nahe beÿ der Glocken, neben bleß Leitersperger see. Erben & neben Adam Schwaben dem Schwartzbecken, hinden vff vorgente. Erben, dauon gehen Jährlich vff Michaelis 20. lb d. geltz Friderich Kährle, in hauptgut mit 400. lb abzulösen sonst eigen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerd., Zugangen per 350. lb.
Le tonnelier Georges Boch épouse en 1621 Anne, fille du commissaire priseur Nicolas Weber. Le marié est fils du tonnelier Jean Boch et de sa femme Ursule, voir l’acte ci-dessous dressé en 1638)
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1399)
1621. Dominica 1. Trinitatis. Geörg Boch der Küeffer Vndt Jungfrau Anna, Niclaus Weber d. Käufflers alhie Eheliche Tochter (i 463)
Anne veuve de Georges Boch se remarie en 1638 avec le marchand de vins Jean Jacques Bürckel, fils du marchand Pierre Bürckel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 224)
1638. Domin : IX. Trinit. 22. Julÿ. Johann Jacob Birckel weinhändler h. Peter Birckels handelßmanns vndt burgers alhie hinderlaß: Sohn Anna, weÿl. Geörg Bocken, Küeffers vnndt weinhändlers Nachgelaßenee wittib. Eingesegnet Montag 30. Iulÿ St. Thoman (i 230)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 42-v) 1638. Herr Johann Jacob Birckel d. Weinhändler Peter Birckel des handelsmanns nachgelaßener Sohn Anna Geörg Bochen deß Weinhändlers nachgelaßener Wittib. 30. Julÿ St. Thoman (i 44)
Accord passé par Ursule, veuve du tonnelier Jean Boch comme héritière de son fils Georges, avec Anne Weber, veuve dudit Georges Boch et remariée avec Jean Jacques Bürckel
1638 (1. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 737
Erschienen Ursula weÿ: hanß Bochen gewesenen Küeffers see. witib alß auch weÿ: ihres sohns Georg Bochen hinderlaßene eintzige Erbin, mit beÿstand Martin Bochen deß Weinhändlers auch ihres sohns,
hatt in gegensein hanß Jacob Bürckels deß Weinhändlers, alß ietzigen Eheuogts Anna Weberin, obgedachten Georg Bochen see. witiben
daß sie Ursula vf abschlag der von mehrgemelten ihrem verstorbenen sohn gebührenden legitimæ (…)
Jean Jacques Bürckel hypothèque le tiers qui lui appartient dans la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Sigel au nom de sa femme Ursule Catherine Bürckel, sœur du débiteur
1644 (9. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 296-v
Erschienen Herr hannß Jacob Bürckel der Weinhändler burger Zu Str.
hatt in gegensein herrn Joh: Jacob Siglers, Medicinæ Doctoris, alß Ehevogts Fr. Ursulæ Catharinæ Bürcklerin, sein H. Bürckhels Schwester – schuldig worden 150. fl.
dafür Vndpfand sein soll Ein dritter theil ihme Debitori für Vnuertheilt gebührend ahne einer Vord. Vnd hind. Behaußung, Vnd allen and.en deren gebäwen, & alhie in d. Obern Straßen, einseit neben Anthoni Bertrams deß Buchführers Wittib and.seit neben Anna Weberin deß Debitoris haußfr. hind. in daß Saÿffengäßlein stoßend gelegen, Welche gantze Behaußung zuvor hafft vmb 900. lb H Melchior Greiner, So dann ist der Verlegte drittel hoff vmb 50. lb Andreß Drenß. Garttner
Loup Thierry de Rathsamhausen fait observer qu’il est amené à poursuivre lui-même ses droits puisque le Magistrat n’intente aucune action contre le criminel Jean Jacques Bürckel qui a quitté la ville.
1657, Conseillers et XXI (1 R 140)
(f° 233) Sambstag d. 5. Decembr. – Wolff Dietrich von Rathsamhaußen, Jacob Bürckel
Wolff Dietrich von Rathsamhaußen weg. Jacob Bürckelß Verbrechen, Habe Verhoff. Mh. werden Ihme d. außgetrettenen thetter abvolgen laßen Dieweilen es aber nicht sein will muß er es an seines orth gestellen sein laß. Vnd sein recht auff andere Zelengliche Weg. Zuvervolgen suchen. Erk. Ist en E. E. Rath gewiß. word.
Anne Weber femme du marchand de vins Jean Jacques Bürckel vend 1 300 livres la maison au docteur en médecine Jean Jacques Sigler
1651 (15. febr.), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 128
(Prot. fol. 26.) Erschienen Fr. Anna Weberin H Hannß Jacob Bürckhelß deß Weinhändlers eheliche haußfr. mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts wie auch H Alexandri Kirchmanns dero recht. Doctorandi et Advocati ihres geschwornen, Curatoris
hatt in gegensein H Johann Jacob Siglers Med. Doct. bekannt
hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie ahne der obern Straß. beÿ dem Bierhauß Zur Glockh. neb. Anthoni Bertram ein: und anderseit neben der Verkäufferin selbsten, hind. vff d. Gerber Zunfftstub geleg. und hatt zwen Außgäng ins Sÿffengäßlin, Welche Behauß. annoch verhafftet ist umb 950. lib Capital und 185. lib. 4 ß 8 d Zinnß und Uncost. und also Zusammen 1135 lb 4 ß 8 d H Melchior Greinern V.I.D. ehevögtlich. weiße – geschehen umb 164 lib
[in margine :] diße 1135 lib 4 ß 8 d Capital Zinnß Vnd Cos. seind durch den H Käuffern zu v.schiedenen mahlen bezahlt word, wie in der Cancelleÿ Gemein Contracten buch de Anno 1592. folio 105. et seqq. mit mehrerm Zu finden ist.
Jean Jacques Sigler, docteur en médecine originaire de Bouxwiller, épouse en 1628 Catherine Ursule Bürckel, fille du marchand Pierre Bürckel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 90)
1628. Dom. XVII. Trinit. 5. 8.br. Herr Johann Jacob Sigler der Artzneÿ Doctor weÿland herrn Johann Siglers Grävlich Hanawischen Burg vogten Zu Buchsweiler selig. nach gelasener Sohn und J. Catharina Ursula weÿland Herrn Peter Burcklen deß handelßmanns seelig nachgelaßene Tochter. Cop. 14: 8.bris Zum J. St. Peter (i 47)
Jean Jacques Sigler devient bourgeois en avril de l’année suivante par sa femme Ursule Catherine Bürckel
1629, 4° Livre de bourgeoisie p. 108
Hr. Johann Jacob Siegler Medicinæ Doctor Von Buchsweÿhler Empfangt d. Burgerrecht Von Ursula Catharina, Weÿland Peter Bürckelß seelig nachgelaßene eheliche dochter Will beÿ d. $ dienen den 30. Aprilis 1629.
La maison est revenue à leur fille Eve Walburge Sigler qui a épousé Jean Raoul Würtz en 1661. Elle meurt veuve en 1685 en délaissant une fille. La maison est estimée au même prix que lors de l’inventaire de son mari, soit 1 700 livres. La conclusion finale de l’inventaire s’élève à 4 916 livres
1685 (26.4.), Me Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 7) n° 5
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung, und Gütter, ligend. v. fahrend. so Weÿl. die Edle Wol Ehren und Tugendreiche Fr: Eva Waldburg Würtzin, gebohrne Sigellin, des auch Weÿl. Edel Ehren Vöst fürs. und Weißen H: Johann Rudolph Würtzen E. E. Kleinen Raths alhier in Straßb. geweßenen alten beÿsitzers und Seel. hinderlaßene fr: Wittib, auch seel. Nach Ihrem den 29. Jan: dießes 1685.sten Jahrs beschehenen tödlich. ableiben Zeitl. Verlaßen, Welche auf ansuch. und begehren deß hoch Edel Vöst fürs: und hochweißen H. Johann Friderich Würtzen gemelter Statt Straßburg hoch verdienten alten Ammeisters v. XIII.ers als geordnet und geschwornen H. Vogts Jungfr. Margarethæ der Seel. Verstorbenen fr. mit Wohlgemeltem Ihrem Eheherrn auch Seel: erzeugter tochter, und ab intestato gelaßener einzig. Erbin, Inventirt und ersucht, dh. diselbe wie auch die hoch Edle Viel Ehren und tugendreiche fr. Margaretha Würtzin gebohrner Reichshofferin hochermelten H. Ammeisters geliebter Ehe Gemahlin und d. Wohl Ehrenvest. H Rechts wohlgelährten und hochachtbahren H Joh: Reinhard Lang berümbten Notarium Publicum v. burger in Straßburg als d. Verstorbenen, fr. Seel. geschwornen H. Curatoren – Actum in d. Königlich. freÿen Statt straßb. Donnerst. d. 26. April dießes 1685.sten Jahrs
Einer in der Statt Straßb. neben der herrberg Zur Glockhen
Eigenthumb Ane Häußern und Einem Gartten. It. ein vorder und ein hinder hauß, hoffstatt, sambt einem gärtlein Zweÿen höffen, bronnen und Stallungen, auch allen andern deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Obern Straßen, ohnfern der geweßenen bier behaußung Zur Glockhen, gegen dem Gehgäßlein, einseit neben weÿl. herrn Anthonÿ Bertrams burgers alhie Seel. Erben, anderseith neben dem alten herren Wenckherischen Erben, hind. auf die Gerber Zunft Stub stoßend gelegen, benebst Zweÿen außgängen in d. Seÿffen Gäßlein, so freÿ ledig und eigen, und hiehero ausgeworfen Inmaß. solche beÿ weÿl. H Johann Rudolph würzten seel.. Verlassenschafft Inventur durch die Geschworne werckhleuth angeschlagen umb 1700. lb. Vermög eines Teutschen Pergamentener Kauff brieffs mit der Statt Straßburg anhengendem Contract Innsigel deßen datum d 15. Februarÿ A° 1651 signirt mit altem N° 2. et Lit. B. ietzt newem N° 10 not. besagend welcher gestalten H. Dr Siegler, seel. solche behaußung von Anna Weberin, Hanns Jacob Buckhels burgers allhier haußfrawen erkauft. Dabeÿ auch ein Ganth Kauffbrieff und sonsten neun Zehn alte Pergamentene Kauffbrieffen und sonsten andere abgelößte brieff, wie auch allerhand Schrifftlicher bericht mit altem N° 203 signirt
It. i. garten auff zweÿ Ackher Groß ungefehrlich sambt einem lähren Platz, darauff ein Gartenhäußlein gestanden, bronnen und allen deßen rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, außerhalb der Statt Straßburg vor St. Elisabethæ thor am heÿritz einseit neben weÿl. hans Voltzen gartners Seel. Erben (…)
Abzug über Fr. Evæ Waldburg würtzin Seel. Verlassenschafft Inv. Sa. haußraths 348, Sa. Lährre Vaß 12, Sa. Silber 281, Sa. Guldengeschmeid 84, Sa. baarschafft 63, Sa. Pfenningzinß haubt Gütter 1739, hauß 1900, Schuld Ins Erb 487, Summa summarum, Conclusio finalis Inventarÿ 4916. lb
Le marchand Raoul Wurtz épouse en 1661 Eve Walgurge Siegler
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 13, XV)
1661. (Dom. 17 Trin. die 6. 8.bris) Zum 2. mahl Hr Rudolph Würtz der handelßmann des Weilandt Ehrenvesten Fürsichtig, und Wohlweisen Hr Felix Würtzen des beständigen Regiments der hr. XV gewesener Beisitzers hinterlaßener ehel. Sohn und Jgf. Eva Waldburga Weilandt Hr Johann Jacob Sieglers gewesenen Med. Doct. und Practici hinterlassene ehel: tochter. Dinstags den 25.t 8.bris. Freiburgerst. (i 14)
Compte que rend le tuteur de la gestion des biens d’Eve Walburge Würtz. Le bâtiment arrière était en construction en 1682 quand il a pris ses fonctions
1685 (24. 8.br), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 13) n° 141
Rechnung Mein Johann Reinhard Langen Notarÿ publici, Inhaltend alles das Jenige, so Ich als geschworner Curator Frawen Evæ Waldburg Würtzin gebohrner Siglerin, weÿl. herrn Rudolph Würtzen E.E. Kleinen Raths gewesenen alten beÿsitzers seel. hind.bliebener Fraw wittib meiner fr. baaß. welche im Januario dießes 1685. Jahres Zeitlich. Todes v.blich., von dem 4. Februarÿ A° 1682. biß den 24.ten Octobris dießes 1685. sten Jahres Eingenommen und hien widerumb außgegeben habe.
Kurtzer Bericht gegenwärtig. Rechnung. Es ist dißorths mit wenigem anzumerckh. nach deme weÿl. herr Rudolph Würtz, geweßener Assessor E.E. Kleinen Rahts alhier zu Straßburg in A° 1681. dießes Zeitliche seelig. geendet, daß darauffhin hoch Edel vest Fürsichtig und hochweißen herr Johann Friderich Würtz der Statt Straßburg hochmeritirter alter Ammeister deßelben hoch geehrter herr bruder die Curatel Frawen Evæ Walburg Würtzin gebohrner Siglerin, ehrengemeldten herrn Rudolph Würtzen seel. hind.laßene Fr. Wittib auß ursach. einig. and.en Verwanthe sonderlich nicht habe, zuübernehmen mich hochgeneig. wiewohlen nun durch mich gerne liberirt gesehen habe, jedannoch auß geziemenden gehorsamen respect geg. vorhochedel gedachtem Herrn Ammeister Würtz. meinen hochgeneigt gebietend. herrn Vettern, bevorab Selbiger mir in allen hülffreiche hand Zubieth. sich wohlmeinend offerirt, solche vogteÿ anzunehmen, mich gebühren ercläret, auch darauff den 4.ten Febr. A° 1682. beÿ E.E. groß. Rath das juramentum abgelegt, und weilen dann als seelig ermeldter Curandæ unveränderten alhie in d. Straß gelegenen behaußung d. hindere stock zwar auffzubawen angefangen gleichwohl dan noch nicht außgeführet, zu deß. vollendung und bezahlung d. handwercks leuth ein Zimbliches stück geldts erfordert word. als hat man dahero vor guth angeseh. ein und anderes stuck silber v. gold zu geldt zumach.
Compte que rend le tuteur de la gestion des biens de Marguerite Würtz qui a épousé le marchand Jean Paul Flach. Le bâtiment du milieu est loué à l’étapier Baron, le bâtiment arrière au menuisier Jean Hauch puis à Jean Jacques Müller, aubergiste à Wolfisheim. Les appartements de la défunte ont été loués à Jean Daniel Zeysolff puis à Jean Christophe Reinhard. Au compte est annexé un extrait de l’inventaire de Raoul Würtz
1691, Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 29) n° 286
Rechnung Unser Weÿland Herrn Johann Friderich Würtzen des ältern, gewesenen Alten Ammaÿsters und dreÿ Zeheners allhier Zu Straßburg seelig. hinderlaßener Erben, inhaltend was derselbe als hiebevorig. geschworner Vogt damahliger Jungfrawen Margarethæ Würtzin weÿl. herrn Rudolph Würtzen, E.E. Kleinen Rahts allhier gewesenen alt. beÿsitzers und auch Weÿl. Frawen Evæ Waldburg Würtzin gebohrner Sigelin beed. Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg seelig. ehelich erziehlt. Tocht. welche sich in A° 1690 ane herrn Johann Paul Flachen dem handelsmann und burgern allhier verheürathet von dem 4.ten Februarÿ A° 1682 als dem antritt diser Vogteÿ an biß nach erst ged. dero verheurathung verhandelt, auch eingenommen und außgegeb. habe – Erste und letzte Rechnung dieser Vogteÿ
Bericht dießer Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, alß weÿl. herr Johann Rudolph Würtz E: E: Kleinen Rahts allhier in Straßburg gewesener alter Assessort nunmehr seliger den 1. Septembris A° 1681. dießes Zeitliche gesegnet, daß darauffhin unßer werthige Ehrter Vatter, herr Johann Friderich Würtz der alter Ammeÿster und XIII. deßelben eheleiblicher bruder seelig. seiner hinderlaßenen einig. Tochter damahlige Jungfrawen Margarethæ Würtzin und ietziger Frauen Flachin Zu einem Curatori erbetten den 4. Febr. A° 1682. E.E. Vogeÿgericht vorgestallt auch eod. die beÿ E: E: Groß. Raht darzu confirmirt word. (…)
Nach dem aber weÿl. Fr. Eva Waldburg Würtzin gebohrne Sigelin dero eheleibliche Mutter selige den 29. Januarÿ A° 1685. auch tödlich. v.blich. ist volgends die völlige administration der gantze, sowohl vätter als mütterlichen Erbschafft unserm lieben Vattern herrn Ammeister Würtzen seelig. Zugewachßen, dahero die mütterlich Verlassenschafft in beÿsein darzu geordneter Personen durch vorhererwehnten herrn Stephanum Cornelium Saltzmann Notarium publicum et Academicum den 26. Aprilis et seqq. A° 1685. de novo inventirt (…)
Eigenthumb ane häußern und einem garth. Vermög Mütterlich. Inventarÿ fol: 67. fac. 2.da ist die allhie in Straßburg ane d. obern Straß ohnfern der gewesene bier behaußung Zur glockhen geg. dem Gähgäßlein ligende vorder und hinder behaußung æstimirt per 1700. lb
hievon hatt nun le Sieur Baron Königlich. Frantzösischer general Estappier den mittlern Stock beneben einigen Gemach des vordern stocks von weÿhenachten A° 1684. angerechnet biß Zu end dieser administration jährlich umb 30. lb und auff weÿhenachten. A° 1685. Zum ersten mahl Zu reich. habend. Zinnßes ingehabt maßen dann auch dieß Zinnß hernach (eingetrag.)
den vordern stock und insonderheit die ienige Gemach so davon le Sieur Baron nicht verlühen betreffend seind selbige weilen unserer baassen Fr. mutter seelige darinnen verstorb. und mann hernach mit der Inventation und abtheilung noch eine Zeitlang Zuthun hatte, nächst dem Johann Adam Sigel dero bruder nun seel. und H Johann Adam Zeÿßolff einige Gemach ingehabt (…) und Zwar im Julio A° 1685 herrn Johann Christoph Reinharden alten dreÿern allhießiger Statt stalls umb 150 lib. jährlich und A° 1686. in ermelten Monat Zum ersten mahl Zu entricht. habenden Zinnßes verlühen (…)
Anlangend aber das hindere hauß, ist davon das undere theil von weÿhenacht. A° 1684. an bißhero quartaliter umb 1 lb 17 ß Zinß ane Meist. Johann Hauch den Schreinern und burgern allhier Verlehnet, das obere theil aber ist ohngleich und Zwar bald umb dieß. bald umb einen and. preiß so guth mann immer gekont lehensweiße weggegeb. auch Zu Zeiten, weilen mann niemand darein haben können, lähr steh. verblieb., also daß man niemahlen deßelb. auff einen gewiß. fueß seine rechnung zu mach. auff einen gewißen fuß seine rechnung mach. gewußt, letztlich aber ist solch. ob. theil auff Annunciationis Mariæ A° 1689. ane hannß Jacob Müllern d. würth Zu Wolffisheim umb 3 lb 15 ß (verlehnet)
Berührend aber den fol: 68. fac: j.ma et 2.da Inventarÿ beschriebenen Garten außerhalb der Statt Straßburg vor dem Elisabethæ thor am heÿeritz geleg. (…)
Summarischer Extract Auß Weÿland Herrn Johann Rudolph Würtzen Eines Ehrsahmen Kleinen Raths alhier geweßenen beÿsitzers seel. verfaßten Inventir Concept gefertigt.
Der Fraw Wittib unverändert Gutt, haußraths 86, Lährer vaß 9, Silbergeschirrs v. Geschmeids 285, Guldiner Ring und Geschmeidts 110, Baarschafft 37, Pfenningzinß hauptgüter 334, Eÿgenthumb ane häußern undt garten 1400, Ergäntzung 1300, Summa 3564 lb
Der Erbin unverändert Vermögen, haußraths 103, Lährer Vaß 3, Silbergeschirrs v. Geschmeids 54, Guldiner Ring und Geschmeidts 9, Baarschafft 37, Pfenningzinß hauptgüter 1499, Summa 1670 lb – Darzu käme zwar die Ergäntzung Ihres unveränderten Guttes welche aber nicht gerechnet werden Kan 1620 lb. Summa 3290 lb
Theilbare Verlassenschafft, haußraths 96, Wein und Lährer vaß 15, Silbergeschirrs und Geschmeids 128, Guldener Ring und Geschmeidts 6, Baarschafft 63, Pfenningzinß hauptgut 25, Beßerung deß haußes 800, Schulden inns Erbe 425, Summa 1562 lb – Schulden 1467 lb, Nach deren Abzug 94 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 5330. lb
Inventaire des biens du marchand Jean Paul Flach qui a quitté la ville. Le prix d’estimation de la maison, 1 700 livres, est repris de l’inventaire après décès d’Eve Walburge Sigler. Les améliorations estimées à une centaine de livres apprennent que Jean Paul Flach a transformé une salle en magasin de vente, qu’il a mis de nouvelles fenêtres au bureau et construit un auvent (voir les Préposés au bâtiment). Il a ajouté une nouvelle galerie au bâtiment arrière à côté du jardin et un balcon en pierre à côté de l’oriel. La maison qui donne dans la rue du Savon a été réparée après un incendie qui a détruit les combles. Les biens de la femme sont estimés 8 035 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 4 214 livres, le passif de 8 021 livres
1697 (4.6.), Me Winckler (Elie, 61 Not 17) n° 1
Inventarium über das jenige Vermögen so Johann Paulus Flachen der Specerirer und handelsmann und burger Zu Straßburg nach seinem genommenen außtritt hinderlaßen und hingegen ane Passiv: Schulden Zubezahlen Verpflichtet aufgerichtet in Anno 1697 – Inventarium und beschehen aller Haab, Nahrung und güttere, keinerleÿ außgenommen, So Johann Paulus Flach der handelsmann und burger alhie nachs einem Sambstags den 29. Decembris deß mit Gott Zurückgelegten 1696.ten Jahrs von hier genommenen außtritt ane Activ: Nahrung hinderlaßen und hiengegen ane Passiv Schulden Zu bezahlen schuldig, Welches alles auf gebührendes erfordern, der Ehren und Tugendsamen Frawen Margarethæ Flachin gebohrner Würtzin der Verlaßenen Ehefrawen, mit assistentz deß Ehrenvest und wohlvorgeachten herrn Johann Ludwig Scheerers Notarÿ und burgers alhier Ihres geordnet und geschwornen Curatoris ersucht, durch Sie Ehefrau, auf zuvor verleßen von unßerm gn. Herrn Räth und XXI. eugens und Zeÿgens wegen ertheÿlten ordnung, darüber beschehene gnügsame erinnerung und erstattete gebühr, geäugt und gezeigt – Actum Straßburg in beÿsein der Edel Ehrenvest fürsichtig wohlweiß und Wohl vornehme Herrn Johann Philipp Heüßen E.E Großen Raths alten beÿsitzern und Straßburg Johann Jacob Herberlings wohlverordneten Schaffnern deß Stiffts der Cartheuß, welche von denen gesampt herrn Creditoren Zu gegenwärtigen Inventation abgeordnet worden. Montags den 14. Monathstag Newen Calenders, Anno 1697
In hernach eingetragen ane der Straßen gelegen, und der Ehefrawen für unverändert gelegenen behaußung befunden worden wie volgt.
Holtz und Schreinerwerckh. In der Wohnstuben, In der andern Stub Cammer, In Haußöhren, Im Fruchtkasten, In der obern Stuben, Stub Cammer, Cammer A, Im obern hauß Pierreohren, Cammer B, In der Kuchen, Im obern stübel, In der mittlern Stuben, stub Cammer, Im hauß öhren, In der diener Cammern uff gang, soldaten stub, Im officier stübel, uffm obern gang
Eÿgenthumb ahne Häußern und einem Gartten, der Ehefrawen unverändert. (Fr.) Item ein vorder und ein hinder hauß, hoffstatt, sambt einem gärtel Zweÿ höffel, bronnen und stallungen, auch allen andern deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, geleg. alhie in der Statt Straßburg ane der Obern Straßen gegen dem Gehgäßel, einseit neben Hs Carl Schneidern dem biersieder Zur glocken, anderseit Johann Börnern* dem Nagelschmid, hinden auf die Gerber Zunft Stub stoßend gelegen, sambt Zweÿ außgängen in das Seÿffengäßel, so freÿ ledig eigen und hiehero gleich wie beÿ Mütterlicher Verlassenschaffts Inventation de Anno 1685. æstimirt auch für dißmahl darbeÿ gelaßen worden 1700. lb. Vermög eines teutschen Perg. Kauffbrieff mit d. S. St anhengenden Contract Insigel verwahrt deß datum d 15. Februarÿ Anno 1651. Ferners noch alt. N. 10. et Lit. B. besagend welcher gestalt H Dr Segler d. Ehefrawen gros Vatter seel. solche behaußung von Anna Weberin, hans Jacob Buckels burgers alhie haußfr. erkauft. Dabeÿ auch ein Ganth Kauffbrieff und sonsten Neun Zehn alte Perg. Kauffbrieffen und sonsten andere abgelößte brieff, wie auch allerhang schrifftlicher bericht gebunden zubefind. mit altem N° 203 signirt
(Fr.) Item ein garten auf zweÿ ackergroß ungefehrlich bronnen und allen deßen rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, außerhalb d. Statt Straßburg vor S Elisabethæ thor am heÿritz einseit neben weÿl. hans Voltzen gartners fr. Zum theil, theÿls neben weÿl. hans Brülingers sel. Erb. (…)
Gartenhaüsel wie auch melioration und beßerung in der Ehefrauen unverändert behaußung so theilbahr
Erstlich daß jenige Gartenhäußel so der Ehemann in der Ehefrauen unveränderten Garten im heÿritz Neü aufbawen laßen (…)
Item die steinerin bögen, sambt dem Wetterdach und übriger Zugehörd, beneben den Newen fenstern im Conthor, so in dem Saal in der Ehefrauen unveränderten behaußung, welcher Zu einem Gewerbs laden gemacht und verändert worden ist vermög gerührter Abschatzung æstimirt worden per 103. lb
Item ein Kleiner hültzerin gang so ane das hinder nebens hauß beÿm gartten, neben dem Altan oder steinerin gang gemacht worden, ist gewürdiget umb 7 lb
Item der underschlag im Stall und Kellern wie auch zweÿ gerüst Zum tabacc im Keller sein taxirt 3 lb 5 ß
Item der aufgeführte Göbel im hinder Nebens hauß im Seÿffengäßel wie auch das durch den brand ruinirte dachwerck und anders so wieder reparirt worden ist vermög erwehnter Abschatzung æstimirt umb 50. lb
Nota. Dieweilen aber wegen hieoben gedachten wetterdachs, der Ehefrauen freÿ leedig und eigen unveränderte behaußung mit 1 lb Almendzinß solchen Jährlich auf der Stadt Straßburg Pfenningthurn zulüffern, beschwehrt worden, als hat Sie ihro den regress alßwegen per expressum reservirt und vorbehalten, alhero Zum bericht.
– Abschatzung Sambstags d. 9.ten feb: 1697. Auff begehren dero beden Von E.E. Kleinen Rath hoch ansehnlichen herrn Depudierten Und auch Von herrn Johann Ludwig Scherer Nottari als geschwohrner Vogt deß Johann paullus flachen hauß fraw ist daß Jenige so gedachter Johann paullus flach in dem wirtzischen hauß in der straß beÿ der glockhen in Zeit seiner Ehe dar in gebawen und Ver Endert hadt wie folget
Erstlich hadt er dreÿ Steinerne fornen auff die straß gantz New auff setzen laßen, Zu Einem Wurtz gaden dienlich seind die selbige sampt Stein Und Macher lohn Kalg Sand Und Stein die schreiner und schloßer arbeit Nicht winiger auch daß wetter for benckh Und die Newen feister im Condor ist alles Zu sahmen angeschlagen Vor 206 R
Item der Kleine hiltzene gang ob dem garten ist angeschlagen Vor 14. fl.
Item ein Underschlag im Stall wie auch im Keller Sampt Zweÿ gerister im Keller Zum Tabackh angeschlagen 6 fl. 5 ß
ferner ist der gebell Sampt dem benettigten tach und beden Im Seiffen gäßlein so durch Dem brand Verderbt wider auff gefürt Worden ist Vor Materiallien Und Verdinst angeschlagen Vor 100 fl.
Item daß Newe Garten häißlein Vor dem spitall tore so gantz New auff gebawen Sampt eine Newen diillen Wand ist Sampt Mateliallien Und Macher lohn angeschlagen Vor 210. fl. Summa 536. fl. 5 ß d
Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Unvergreiffliche Summarischer Extractus aus dem über herrn Johann Paul Flachen deß handelßmanns und frawen Margarethæ Flachin gebohrner Würtzin beede Ehegemächte und burgere Zu Straßburg ietzmahlige Activ Nahrung und Passiv Schulden. Der Ehefrawen unverändert Vermögen, 1) haußrath 100, 2) Lehre Faß 1, 3) Silber geschirr und Geschmeid 115, 4) Guldin Ring und geschmeid 238, 5) Pfenningzinß hauptgüter 929, 6) fruchtgülden Anschlag 81, 7) Ligende Gütter 150, 8) Häuser und garten 1900, 9) Morgengaab 150, 10) Ergäntzung 4467, Summa summarum 8035 lb
deß Ehemanns unverändert und theÿlbahre, 1) Haußraths 535, 2) früchten auf dem Kasten 44, 3) Wein und Faß 46, 4) Gartten gewächße 15, 5) Pferd 80, 6) Schiff und geschirr Zum Specereÿ handel gehörig 85, 7) Schiff und geschirr Zum tabacbereiten gehörig 32, bereit und unbereuten Tabac wie auch Stuff und Rippen 153, 9) Wahren Zum Specereÿhandel gehörig 1314, 10) Silber geschirr und Geschmeid 141, 11) Guldene Ring und Geschmeid 77, 12) Baarschafft 18, 13) Gartenhäußel und beßerung auf den Erben unveränderten behaußung 268, 14) Activ Schulden (1922 darunder aber 522 für verlohren geachtet, restirt noch) 1400, Sa. 4214 lb
Passiv Schulden 8021 lb, Übertreffen also des Ehemanns unverändert und theÿlbahre Passiv Schulden solche Substanz umb 3806 lb
Copia der Eheberedung (…) beschehen dem 2. Tag des Monats Januarÿ 1690 – Johann Reinhard Lang, Notarius
Marguerite Würtz femme du marchand Jean Paul Flach vend 2 250 livres la maison au médecin Jean Evrard Papelier.
1698 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 422-v
Fr. Margaretha geb. Würtzin Johann Paul Flachen deß Handelßmanns haußfrau, mit beÿstand H. Johann Ludwig Scherer Notar. Publ. Ihres Curatoris
in gegensein herrn Eberhard Papeliers Medic. Dorctoris & Practici
Ein Vorder: und hinder hauß, hoff, Stall, sambt einem Gärttlein, zweÿen höffen, bronnen und Stallungen, auch allen anderen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördt und Gerechtigkeit, gelegen allhier ane der Obern Straßen gegen dem Gäh gäßlein über, einseit neben dem würthshauß Zur Cronen, hans Carlen Schneidern gehörig, anderseit neben Johann Michael Schwing dem Nagelschmid, hind. auff die Gerber Zunfft stub stoßend, zweÿ außgäng in das Seÿffengäßlein habend, einseit neben H. Johann Welper den Buchtruckern and. seit neben Johann Kammen dem tuchscherer, so gegen männinglich freÿ ledig und eÿg. außerhalb 1 lb so jährlich weg. eines wetterdächleins auff den Pfenningthurn gereicht werd., darunder auch das im Laden befindliche hültzerne Schiff und geschirr begriffen sein solle – umb 2250 pfund
Evrard Papelier hypothèque la maison au profit de le tribu de la Mauresse
1698 (6. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 770
H. Eberhard Papelier, Med. Doctor
in gegensein Hn Philipp Jacob Erhards, Schaffners alß alt. Zunfftmeisters, und H. Johann Ulrich Frieden XV. Secretarÿ, alß Schöffen, beeder im Nahmen E.E. Zunfft zur Möhrin – schuldig seÿe 450 pfund
unterpfand, Eine vorder: und hind. hauß, hoff, Stall, sambt einem Gärttlein, zweÿen höffen, bronnen, und Stallungen, auch allen andern deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördt. und Gerechtigkeiten, allhier in der Obern Straßen, gegen dem Gähgäßlein, einseit neben dem Würthshauß Zur Cronen, hans Carl Schneidern gehörig, anderseit neben Johann Michael Scheurig dem Nagelschmid, hinten auf die Gerber Zunfftstub stoßend, zween auß gäng in d. Seÿffen gäßlein habend, einseit neben H. Johann Welper dem Buchtruckern and. seit neben Johann Kammen dem tuchscherer, davon gehens jährlich 1 lb weg. eines wetterdächleins gemeiner Statt Pfenningthurn
Evrard Papelier hypothèque la maison au profit de Frédéric Casimir de Rathsamhausen d’Ehnwihr. En marge, quittance délivrée à Antoine Bessière
1699 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 341
herr Eberhard Papelier Med. Doctor et Practicus
in gegensein /:salv. tit:/ hern Friderich Casimirs Von Rathsamhaußen zu Ehenweÿer, Obristen – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, Ein Vorder: Und Hinderhauß, Hoff, Stallungen sambt einem Gärttlein, Bronnen, auch allen anderen deren Gebauen, Zugehördten, /:außer dem Nebenshauß im Seiffen gäßlein, so hierunter nicht begriffen:/ rechten Und Gerechtigkeiten, allhier an der obern Straßen gegen dem Gähgäßlein, einseit neben dem Bierhauß zur Cronen, hans Carl Schneidern gehörig, anderseit neben Johann Michael Scheuring dem Nagelschmid, hind. auff die Gerberzunfft Stub stoßend gelegen, dar Von gehend Jährlich 1 lb wegen eines Wetterdächleins gemeiner Statt Pfenningthurn
[in margine :] Vermög ahm 16. sept: 1705 von hierinnen Edelgedachten H. Creditore überschickten scheins hat Derselbe Antoine Bessiere marchand de vin als nunmahligen possessoris hierinnen versetztes haußes zuem debitore angenommen
[in margine :] der hochwohlgeborne Herr Herr Johann Ludwig albecht Freÿherr Von Wangen pp im Nahmen der Hochwohlgebornen Frauen Frauen Von Rathsamhaußen geb. Freÿin von Wangen, hierinn wohlged. hern Obristen Von Rathsamhaußen des Hn Creditoris Nun seel. hinterlassener Frau Wittib, in gegensein Antoine Bessiere, Gastgebers, als Nunmahligen proprietarÿ hierinn versetzten ane der oberen Straßen liegenden Haußes (Quittung), den 10. sept. 1711
Evrard Papelier et ses enfants du premier lit vendent la maison 3 000 livres au marchand de vin Antoine Bessière et à Jeanne Paumier
1705 (16. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 754-v
(3000) Le Sr Eberhard Papelier Conseiller de Monseigneur Le Comte de Hanau et medecin, Item Le Sr Jean Heckler medecin en qualité de tuteur des enfants du premier lit du dt. Sr Papelier (signé) Eberard Papelier, Jean Heckheler Dr
à Antoine Bessiere marchand de vin et Jeanne Pommier (signé) antine bessiere
une maison etant composée de deux corps de logis l’un sur le devant et l’autre sur le derriere ensemble son ecurie et sa place auec touts droits appartenances et dependances Sçituée icy dans la grande rüe tenant d’un côté à Jean Jacques Schneider Cabaretier de l’autre à Jean Michel Scheuring Cloutier et en partie à Jean Welper l’imprimeur, abou. par derrière au poele des tanneurs – chargée de 1800 et 2000 livres tournois en Capital – pour 8200 livres tournois
Antoine Bessière originaire d’Albi et Jeanne Paumier originaire de Bordeaux viennent de devenir bourgeois. Ils apportent deux enfants et passent en 1708 un contrat de mariage qui apprend qu’ils se sont mariés à Trèves en 1690.
1705, 3° Livre de bourgeoisie p. 1256
Anthoine Bessierre der weinhändler V. Alby en Languedoc weÿl. Jean Bessierre gew. Weinhändler daselbst hint. sohn V. sein Frau Jean Pomiere V. Bourdeau, erkauffen das burgerrecht p. 2. GoldR. V. 16 ß. mit ihren 2. Kindern, ist es beÿ ordnung geblieben, V. wird beÿ E.E. Zunfft der Freÿburger dienen. Jur: d. 14. 7.br 1705
Le contrat de mariage est la première mention de l’enseigne au Dragon vert
1708 (30.1.), Me Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Contrat de mariage – Antoine Bessiere bourgeois de lad. ville et hoste de l’hostellerie ou pend pour enseigne la Dragon vert et Damlle Jeanne Paumier sa femme, que s’estant mariés ensemble sans auoir passé de contrat de mariage nonobstant les apports considérables faits par lad. Damle a sond. Mary (…) celebration fait en la ville de Treues le 14. maÿ 1690 – a apporté 6000 liures, et d’autant qu’il a un enfant sorty de leur mariage qui est une fille nommé Marie Agnés Bessiere agée de 12 ans ou enuiron (signé) Bessiere, +
Antoine Bessière loue une boutique et un logement au sellier Louis Devaux
1706 (21.1.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 58
Antoine Bessiere Cabaretier
bail à Louis devaux sellier
dans sa maison située icy dans la grande rüe qu’il a achetée du Sr. Papelier une boutique et le premier appartement du milieu et une petite Chambre à côté le grenier au dessus et une petite Caue, pour trois ans à commençer au 1. jan. 1706 – moyennant un loyer annuel de 325 livres tournois
Antoine Bessière loue un logement au perruquier Jean Fleury
1711, ut supra (14.4. ), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 206-v
Antoine Bessiere Cabaretier
bail à Jean Fleury perruquier
dans sa maison sçituée icy dans la grande rue ou pend pour enseigne le dragon vert dans le mileu une cuisine, un poelle et une chambre le tout tenant l’un à l’autre un grenier au dessus desdits appartemens une petite cour et la boutique, pour trois ans à commencer à La St Jean 1711 – moyennant un loyer annuel de 300 livres tournois
Antoine Bessière loue un logement au perruquier Claude Duplessis
1715 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 465-v
(Bail) Antoine Bessiere hôte au Dragon verd
à Claude du plessis perruquier (signé) duplessy
dans la d.te maison sçitué icy dans La grande ruë La moitié de La boutique un poele une petite chambre a côté du poele une cuisine attenant et un grenier au dessus pour un an a commençer a La St Jean – moyennant un loyer annuel de 200 livres tournois
Antoine Bessière loue un logement à Louis Finance, cuisinier chez le maréchal du Bourg, et à sa fiancée Susanne Marguerite Reichard
1725 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 373
Antoine Bessiére der gastgeber
in gegensein Louis Finance des burgers und ledigen Kochen beÿ Mgr. le Marechal du Bourg und deßen verlobter Jfr. Susannæ Margarethæ Reichardtin mit beÿstand ihres bruders Johann Georg Reicharden des gastgebers
verlühen, Eine Behausung au Dragon Verd genannt bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten nichts davon als im hinder: oder nebens hauß lincker handt hinden im höfflein über der Bauchküchen eine Stueb und zwo Cammeren oben darüber eine Trückeneÿ, Ferner einen beschloßenen holtzplatz im hoff und den abgesonderten von der gaß aus seinen eingang habenden Keller, als welches alles sich der verlehner zu seinem gebrauch und wohnung vorbehalt ausgenommen, welche behausung allhier in der Obern Straß einseit neben der gastherberg zum Rindtsfueß anderseit neben dem Nagelschmidt hinten auff auff E.E. Zunfft der gerber theils auff kürßner Cantzleÿ Buchdrucker theils auff welper auch Buchdruker – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff allererst verfloßenen Johann Baptistæ (und meubles) – um einen jährlichen Zinß nemlich 125 pfund oder 250 livres Tournoises
Louis Finance, aubergiste au Dragon Vert, est cité à comparaître devant le tribunal des Fribourgeois
1728 (17. 9.br), Fribourgeois (XI 165)
(8.te Gericht) Mittwoch den 17.ten Novembris A° 1728
(f° 79) Louis Finance, der dragonerwürth citieret eandem ob eundem [daß Er beÿ publication deß bescheids das Einlauffen auff dem Marck betreffendt, auff E.E. Zunfft nicht erschienen]. Ille sagt habe eben alß Ihme das Gebott angeleget worden, wegreuten wollen, beziehet sich deßwegen auff den büttel. Nach deß büttels Relation wurde Erkandt, das Citatus dermalen Zu absolviren.
Antoine Bessière, ancien aubergiste au Dragon vert, et Jeanne Paumier lèguent leurs biens à leur fille Marie Agnès Bessière femme du marchand Henri Christophe Schrader contre leur entretien viager
1729 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 116
Antoine Beziére der vormahlige würth au Dragon verd und Jeanne geb. Paulmier beede mit assistentz H. Claude Antoine Guenaudon E.E. großen Raths alter beÿsitzer und H. Nicolas Bruslé des Weinhändlers
ihrer einzigen tochter Fr. Maria Agnes geb. Bessiere H. Heinrich Christoph Cheradre des handelsmanns
ihre sambtliche jetzt besitzend: und künfftighin erlangende liegende und fahrende hier oder anderswo befindliche haab und güther, (mit dem beding) ihrer Eltern biß sie mit todt abgehen werden mit losament, geliegern, Speiß, tranck, wasch, Artzneÿen und auffwartung beÿ sich zu versorgen
Agnès Bessière femme du marchand Henri Christophe Schrader meurt quelques mois plus tard sans enfant en délaissant ses parents pour héritiers universels. L’actif de la succession s’élève à 529 livres, le passif à 756 livres
1729 (15.12.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 60)
Inventarium über und beschreibung aller Haab und Nahrung so weÿland Damlle. Agnes Chratre gebohrne Bessiere Herrn Heinrich Christoph Chratre, burgers und Handelsmanns alhier eheliche Haußfrau nunmehr seel., nach ihrem den 13. 7.bris Jüngsthin aus dießem elenden leben genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf Ansuchen und Begehren des Ehrenvesten Herrn Johann Commlé handelßmanns und burgers alhie, welcher im Nahmen und von wegen Sr. Anthoine Bessiere Gastgebers Zum Grünen dragoner, und Damlle Jeanne Bessiere gebohrner Paumier beeder Eheleüthe und burgere alhie Zu Straßburg der Verstorbenen Frauen seel. Eltern und ab intestato Verlaßene Erben, welche Kranck und ohnpäßlich dahero inn Persohn wie vorgegeben würd nicht erscheinen können dennoch aber durch deren abgeordnet. Assistent. dieße Inventur anderer Gestalten nicht dann cum beneficio legis et Inventarÿ angetretten – So beschehen und angefang. in Straßburg, Donnerstags den 15. Decembris Anno: 1729, außgefertiget aber d. 12.ten Aprilis 1731.
Bericht ane statt der Eheberedung. Deßwegen ist Zu wißen, daß ehe mann Zu der Inventur der verlassenschafft ane sich selbsten geschritten hat mann den wittwer befragt, on zwischen Ihme und deßen Verstorbenen haußfrawen Zur Zeit ihrer Verheürathung Eine Eheberedung auffgerichtet worden od. nicht, damit mann sich darnach in Verfaßung des bevostehenden Inventarÿ reguliren Könne, gab derselbe Zur Antwort ert wiße von Keiner Eheberedung, noch viel weniger von einem Inventario Zugebrachter Nahrung, weilen Ihme Sein Schwiger Elter nichts gegeben, aucht hetten Sie beÿde Eheleuthe wehrend. Ehe und sich selbsten einander nichts vemacht, hätten so simplement dahin gelebt, biß der todt Sie ohnverhoff getrennet (…)
In einer alhie Zu Straßburg in der Schloßergaßen gelegener behaußung darinnen der wittwer lehnungs weuß wohnt, int befunden worden, wie folgt
Auff der bühnen, In der Cammer A, In der hindern Stub, Im haußöhren, In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im Keller
Sa. Silber 15, Schulden 242, Summa summarum 529 lb – Schulden 756 lb, daß selbige die gantze verlassenschafft dem Stalltax nach übertreffen vmb 226 lb
Zweiffelhaffte Schulden 197 lb
Christophe Schrader, originaire de Heidenmund sur la Weser en pays de Hanovre, épouse Agnès Bessière en 1712 : célébration, état de fortune, accession à la bourgeoisie
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 239), Die 6 Mensis Decembris ao. 1712 (…) sacro Matrimonÿ vinculo copulati sunt dnus. Christophorus Schrader, solutus ac oriundus ex heydenmunten ditioni Hanouiensis, nec non Mercator huiatis et domicella Agnes Bessier, ac filia legitima Domini Antonÿ Bessier Cauponis Sub Signo au Dragon verd et Johannæ Pouvier* (signé) Christof Cheradre, agnes Bessiere (i 143)
Etat de fortune
1713 (29.4.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) H. Heinrich Christoph Schrader gebürtig V. Heÿden munt an der Weßer Churfürstl. hanovischer Jurisdiction und fraw Agnes gebohrne Bessier beede Eheleüth und Schirmer alhier, haben eÿgenthümblich in Vermögen darüber Sie mir handtrew abgelegt.
Baarschafft 42, (haußrath) 75, 60, 50, 180
Es befindet sich über dieses eine große quantit allerhand gallanterien, so wegen der weitleuffigkeit nicht angeschlagen worden, so sich auff ein groser Summ Gelds belaufen. Sa. 407 lb.
Sigil. Straßburg den 29.ten Aprilis Anno 1713
[unterzeichnet] Henrÿ Cristof Cheradre
1713, 3° Livre de bourgeoisie, p. 1287
H. Heinrich Christoph Schrader Handelsmann Von Heidenmund H. Heinrich Schrader gew. Schutheisen daselbst sohn Vnd sein Fr: Agnes Bessiere Von hier, erkauffen d. burgerrecht P. 4. goldR. 16. ß wird Zum Spiegel dienen. J. d. 22. Dito [Maÿ 1713]
Antoine Bessière meurt, son inventaire est dressé en 1730 n’est pas conservé mais il figure au livre de la taille
1730, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über Weÿl. H. Antoine Bessier gew. Cabaretier allh. Verl. samt deren revision de A° 1731.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins. L’héritier du défunt est son neveu du même nom, Antoine Bessière, soldat au régiment de Guyenne
1730, VII 1177 – Livres de la Taille
(f° 17) Freÿburger N° 5151. H. Antoine Bessiere geweßenen Cabaretiers und burgers alhie Verlaßenschafft Inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist Fol. 26, 2399 lb 5 ß 7 s, die machen 4800 fl. Verstallte nur 4500 fl. alßo zu wenig 300. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet Wird auff acht jahr in duplo à 18. ß, 7 lb 4 ß
und auf Sechs Jahr in simplo à 9 ß, 2 lt14 ß
Ext. Stallgeltt pro 1730, 8 lb 2 ß
Gebott 2 ß
Abhandlung 2 lb 17 ß 6 d, Summa 20. lb 19. ß 6 d
Abzug. Antoine Bessiere Von Alby en Langedoc gebürtig Soldat in dem Regiment Guyenne des Verstorbenen neveux und ab intestato Verlaßener Erb soll Vo, Finito usufructu anfallenden 1607. lb 3 ß 7 s den Abzug erlegen mit 160 lb 14 ß 4 d
Vermög Erkantnus der obern Stallherrn Vom 5° Aug. 1730. moderirt ad 75 lb – dt. 4° Octobris 1730.
Jeanne Paumier veuve d’Antoine Bessière hypothèque son tiers de maison au profit de Louis Finance et Susanne Marguerite Reinhard
1730 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 431-v
Fr. Jeanne geb. Paumier weÿl. Antoine Bessiére gastgebers hinterlassenen wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand Jean Commelet des schirmers und Caffetier und Michel Provin des gastgebers zum Keÿßer (signé) Jean Comlert
in gegensein Louis Finance des gastgebers und Susannæ Margarethæ geb. Reinhardin – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Einen driten theil für ohnvertheilt ahne der gastherberg au Dragon verd genannt bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der obern straß, einseit neben dem wüthshauß zum Rindtsfueß anderseit neben NN dem Nagelschmidt hinten theils auff Simon Kürßner den Cantzleÿ Buchdrucker theils auff Pauschinger auch Buchdrucker ux. noe. theils auff eine Ehrs. zunfft der Gerber – ihro zu einem dritten theil, ihres verstorbenen ehemanns hinterlassenen bruders sohn und hæredi universali ab intestato Antoine Bessière dem ledigen haußknecht aber zu übrigen zwo terzten
Jeanne Paumier veuve d’Antoine Bessière loue la maison à Louis Finance et de Susanne Marguerite Reinhard
1730 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 432-v
Fr. Jeanne geb. Paumier weÿl. Antoine Bessiére gastgebers hinterlassenen wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand Jean Commelet des schirmers und Caffetier und Michel Provin des gastgebers zum Keÿßer
in gegensein Louis Finance des gastgebers und Susannæ Margarethæ geb. Reinhardin
entlehnt, Eine der verlehnerein zu einer tertz eigenthümlich zuständig und zu übrigen zwo tertzen ihres verstorbenen ehemanns hinterlassenen bruders sohns und hæredi universali ab intestato Antoine Bessière, ihro zu erstgemeltde zween dritten theilen lebtägigen genuß verfangene au Dragon verd genannte allhier in der obern straß, einseit neben dem gasthauß zum Rindtsfueß anderseit neben NN dem Nagelschmidt hinten theils auff Simon Kürßner den Cantzleÿ Buchdrucker theils auff Pauschinger auch Buchdrucker ux. noe. theils auff eine Ehrs. zunfft der Gerber gelegene gastherberg mit allen derselben in Vorder: und hinderhauß bestehende gebäuden hoff bronnen übrigen zugehöden und gerechtigkeiten nichts davon als im hinder: oder nebens: hauß hinden im hoff lincker hand über der Bauchküchen eine stub und zwo Caminkammern nebst einem kleinen kämmerlein oben darüber eine trückneÿ, Ferner einen beschloßenen holtzplatz im hoff und den abgesonderte von der gaß aus seinen eingang habenden keller welches alles sich die verlehnerin zu ihrem gebrauch und wohnung vorbehaltet ausgenommmen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Joh. Baptistæ nächst kommenden, um einen jährlichen Zinß nemlich 150 pfund
Antoine Bessière hypothèque ses deux tiers de la maison au profit de Louis Finance
1732 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 209-v
Antoine Bessiére Employé au gazonage de la ville von St Affrique en rouerque gebürtig
in gegensein Louis Finance des gastgebers – schuldig seÿe 500 pfund, zu fortseztung seines wieder seines oncle weÿl. Antoine Bessiére gewesten gastgebers au dragon verd hinterlassenen wittib führenden processes
unterpfand, zween dritten theil für ohnvertheilt ahne der au Dragon Verd genannten gastherberg bestehend in Vorder: und hinderhauß zween höffen stallung Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der obern straß, einseit neben dem gasthauß zum Rindsfueß anderseit neben Johann Friedrich Rebhaan hinten theils auff Simon Kürßner den Canzleÿ Buchdrucker theils Pauschinger auch Buchdrucker ux. noe. theils auff die gerber zunft stub – außer dem usufructu ad dies vitæ mit welchen selbige ermeldter wittib verfangen sind (Jeanne geb. Pailmier obged. verstorbene Bessiere wittib) # als hæredi universali seines oncle Antoine Bessiére
Jeanne Paumier veuve d’Antoine Bessière meurt à son tour, son inventaire n’est pas non plus conservé
1733 (14.2.), Me Fingado (Jean Christophe 65 Not 7, répert.) n° 90
Inventaire des Effets délaissés par defunte Damoiselle Jeanne Peaumiere veuve d’Antoine Pessiere
Les Quinze évoquent la succession Bessière dont la veuve avait dissimulé une partie pour ne pas en payer les droits
1735, XV (2 R 143)
(Stallgeschäfften – Weÿl. Antoine Bessiere)
(p. 440) Sambstag d. 8. Martÿ 1732. uff den Von seithen der dreÿ dießer Statt Stall beÿ Unseren Zu denen Stall Geschäfften abgeordneten herrn Deputirten übergebenen schrifftlichen bericht, Es Vermöge der Articul des Eydts Eigens und Zaigens, Welcher beÿ Vornehmenden Verlassenschaffts Inventationen denen Interessenten vorgehalten, und darüber die Handtrew ane eÿdes statt von Ihnen abgenommen werde, daß Sie alles das so die Verstorbene persohn in Nahrung Verlaßen, es seÿe liegend oder fahrend, allerdings nichts ausgenommen, fleißig angeben, eigen und Zeigen, davon wißentlich undt Vorsetzlich nichts verschweigen, Verhählen noch underschlagen sollen, beÿ Verlust deßen so also Verschwiegen, Verhält, oder underschlagen worden, und noch mehrerer ernstlichen Straaff, Weilen nun, auff abstrerben Weÿl. Antoine Bessiere gewesenen Würths und burgers allhier, deßen hinderlaßene Wittib Jeanne gebohrne Pomiere dolosé gehandelt, jndeme Sie, Vermög der auß Erkantnuß E.E. Großen Raths auff Underthäniges Ansuchen Antoine Bessiere, alß des abgeleibten hinderlaßenen Erben, durch Notarium Pantrion den 5.ten Julÿ 1731. Vorgenommenen Revision, nicht allen auff Mad. Chateauvieux 200. lt.d fälschlich passivé angegeben, sondern auch ane hauß Rath und Silber geschirr 319. lb 7 ß 6 d Activé ein Zutragen Verschwiegen, mithien die Statt ratione des Abzugs und Nachtrags umb 519 lb 7 ß 6 d erfähret, Alß hätten Sie, die dreÿ der Statt Stall, ein wolches Geziemend hinderbringen, und Wie es mit der Confiscation der also malitiosé theils passivé fälschlich eingetragenen, theils activé underschlagenen 519. lb 7 ß 6 d wie auch deßhalb Verwircktes Straaff Zu halten, hoher Obrigkeit gehorsambst anheim stellen wollen, Zweÿmahlige Verhör Peter Herrmann Kleinen E.E. Großen Raths allhier alten beÿsitzern alß geschwornen Curatoris ged. Bessierischen wittib, welche Leibes: blödigkeit halben persöhnlich sich nicht stellen können, durch Ihne Kleinen nahmen ged. wittib beÿ der Zweÿten Verhör Vorgeschützte Verantwortung und besichtigung des angezogenen Articuls über aigen und Zeigen, Ist, obgemelter Hrn Deputirten abgelegten relation nach mit Urthel zu recht Erkandt, Wird aus besonderem gnaden die confiscation der fälschlich passivé angegebenen 200. lb wie auch der ane Haußrath und silber: geschirr activé einzutragen Verschwiegenen 319 lb 7 ß 6 d in eine Geld: buß Verwandelt, und der Bessierischen wittib Zweÿ hundert pfund d Straaff wegen sothanen dieses Verbrechens ohnachläßig angesetzt.
Zu Mghh. stellend Ob Sie dießen Auffsatz also genehmhalten, und daß selbiger in dießer form expedirt, und dem petenten zugestellet werden soll, erkennen wollen Erkandt, quod sic.
L’héritier Antoine Bessière cède ses droits à Henri Christophe Schrader
1735 (19.12.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 796
Auff ansuchen H. Heinrich Christoph Schrader des handelsmann nachstehende vor H. Humbourg Notario Regio am 5. hujus errichtete Cession und Transaction enregistrirt
Sr Antoine Bessière ci devant Soldat de la Compagnie de Dumesnil au régiment de Guiene Infanterie étant de présent en cette ville neveu et héritier de feu le Sr Antoine Bessière hôte aubergiste au Dragon Vert et bourgeois de ce cette ville d’une part
et Sr Henri Christophe Schrader marchand bourgeois de cette ville héritier de feue Jeanne Paumier a son deces veuve dudit Antoine Bessière d’autre part,
Lesquelles parties pour régler terminer et assoupir le procès pendant entre elles au Conseil souverain d’Alsace pour leurs pretentions respectives et reciproques dans leurs deux successions
Antoine Bessière cede tous ses droits (moyennant) 8000 livres tournois, il a été convenu que le Sr Schrader supportera les frais et depens dus a l’avocat et au procureur du Sr Bessiere, le Sr Schrader demeure seul chargé envers les créanciers (…) et à raison des loyers de l’hostellerie du Dragon vert et d’un jardin situé hors la porte des Juifs au bas de l’Arbre vert et sur le bord de la rivière, lesquels loyers touchés jusqu’à ce jour appartiendront audit cedant qui en outre aura droit d’habitation dans l’appartement qu’il occupe présentement dans lad. Hotellerie du Dragon vert jusqu’à Paques seulement de l’année prochaine 1736
Henri Christophe Schrader hypothèque la maison au profit de la Chartreuse
1736 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 51-v
H. Heinrich Christoph Schrader der handelsmann
in gegensein des stiffts Carthauß allhier Schaffners H. Lt. Johann Jacob Dorßner in fernern gegensein H. Johann Jacob Walter des glaßhänders – schuldig seÿe 1000 und 750 pfund
unterpfand, Eine au Dragon verd genannte gastbehausung bestehend in vorder und hinder hauß, zween höffen, stallung, Bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten in der Obern Straß, einseit neben dem würthshauß zum Rindtsfueß Johann Joseph Krafft dem gastgeber zum wilden Mann gehörig anderseit neben Johann Friedrich Rebhaan hinten theils auff Simon Kürßner dem Cantzleÿ Buchdrucker theils auff Melchior Pauschinger auch budrucker und Welperische Erben theils auff die gerber zunfft stub
Ferner einen ohngefehr anderthalben acker grundts haltenden gartten samt darinn stehenden garttenhäußlein und übrigen deßen zugehör und rechten vor hiesiger statt auff dem Schieß Raÿn hinter denen Schießmauren, einseit neben dem Schieß Raÿn anderseit und hinten auff das waßer oben Ambrosÿ Korn des kieffers bandplatz – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 15 ß ane bodenzinß – ihme theils als erben weÿl. Jeanne geb. Paumier weÿl. Antoine Bessière des gastgebers au Dragon Verd wittib theils als cessionario obged. Bessière Erben Antoine Bessière gewesten soldat au régiment de Guienne eigenthümlich zuständig
hiebeÿ erschien H. Adam Friedrich Oesinger geschwornen courtier (…) verbürgt, verpfändet Einen ohngefähr dritthalben acker grundts haltenden gartten und darinn stehende beede häußer mit allen deßen übrigen gebäuden, zugehörden und rechten in der Vorstatt Steinstraß beÿ der Herrenberger gaß, einseit neben weÿl. H. Ammeister Lempen seel. erben gartten anderseit neben weÿl. H. Not. Johann Heinrich Langen sen: erben vornen auf den Veldentzischen modo Leiningischen gartten über darzwischen ein nicht durchgehendes gäßlein und hinten auff Andreas Kügel den garttenmann
Henri Christophe Schrader loue une partie de la maison au Dragon vert au marchand François Ignace Finck
1737 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 217
H. Heinrich Christoph Schradre handelsmann (signé) cheradret
in gegensein H. Frantz Peter Finck des Specirers beÿständlich seines vatters H. Frantz Ignatii Finck des handelsmanns
In seiner au Dragon verd genannten allhier ahne der Langen straß einseit neben Johann Friedrich Rebhaan anderseit neben Joseph Krafft gastbehausung zum Rindtsfueß gelegenen behausung, Unten auff dem boden auff der seithen des haußes zum Rindtsfueß zweÿ Läden, ein Comtoir, ein gewölb daran eine große stub hinder dem gewölb und küchen sambt dem Bauchkeßel deren sich doch die übrige innwohner des haußes umb ihre waschen allda bauchen zu können bedienen mögen, ferner einen kleinen backoffen in besagter kuchen, weither eine Kammer für die bedienten, einen besondere unterschlagenen Keller unter dem Laden In dem hoff platz zu dem holtz und platz auff der bühn umb das getüch zu tröcknen wie auch den gemeischafftlichen gebrauch des hoffs, welche Lehnung geschloßen für 6 nacheinander kommende jahr die ihren anfang von Johann Baptistæ nächst kommend das end aber auff eben dieße zeit 1743 – um einen jährlichen Zinß nemlich 190 gulden
Henri Christophe Schrader vend la maison 5 200 livres à l’aubergiste Louis Finance et à Susanne Marguerite Reichard
1737 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 353
H. Friedrich Christoph Cheradre der handelsmann
Louis Finance des Gastgebers und Susanna Margaretha geb. Reichardin
Eine au Dragon verd genannte Behausung bestehend in vorder und hinderhauß nebensgebäu, Bronnen, stallung, zween höffen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, einem dem zum Rindtsfueß genannten Johann Joseph Krafft dem wildenmann würth gehörigen gasthauß anderseit neben Johann Friedrich Reebhan hinten theils auff Simon Kürßner Cantzleÿ Buchdtrucker theils Melchior Pauschinger auch Buchdrucker und Welperischen eben theils auff die Gerber zunfft stub, allem so eingemaurt und nagelvest ist derselben Rechten und gerechtigkeiten ahne der Obern straß – um 500, 1000 und 1250 pfund verhafftet – so seÿ auch ein theil derselben Frantz Peter Finck dem Specirer vermög einer am 28. mart. jüngst in hies. C.C. Stueb auffgerichteten Lehnung auff 6 jahr lang verlehnt, ihme als donatorio weÿl. Jeanne geb. Peaulmier auch weÿl. Antoine Bessiere des Gastgebers au Dragon verd wittib zufolg von ihr vor H. Notario regio Lhanneur am 14. Decembris 1730 errichteten Donatio inter vivos, theils als cessionario Antoine Bessiere laut einer vor H. Humbourg am 5. Decembris 1735 passirten Cession – um die angezeigte 2750 pfund capitalien und 2450 pfund
Louis Finance et Susanne Marguerite Reichard empruntent à Claude Briquet, entrepreneur de la fourniture des lits aux troupes d’Alsace, les fonds destinés à acheter la maison
1737 (17 may), Me Humbourg (6 E 41, 57)
Obligation – furent presents le Sieur Louis Finance hôte ou pend pour Enseigne le dragon Verd Bourgeois de cette ville demeurant Grand ruë et Damle. Susanne Marguerite Richard son Epouse de luy authorisée et qu’il authorise, Lad. Dam.le finance, en outre assistée et authorisée pour plus grande validité des Présentes des Sr Daniel Richard son frere germain, Bourgeois Cabaretier au faucon d’or en cette ville et jean George Setzam [sic] son beau frère au Chef de Damle. Sibille Catherine Richard sa femme à defaut d’autres parents plus proches
au Sr Claude Briquet entrepreneur de la fourniture des lits aux troupes d’Alsace demeurant aussi en cette ville rüe des juifs – une somme de 1200 livres tournois,
declarant lesd. Sr et Damle. finance vouloir Employer lad. somme de 1200 livres à l’acquit et payement d’une partie du prix de l’achat et acquisition qu’ils ont fait de lad. hotellerie du dragon verd à Eux vendue par le Sr Schradre et qu’ils consentent qu’elle soit et demeure spécialement affectée et hypothequée aud. Sr Créancier
Louis Finance et Susanne Marguerite Reichard hypothèquent la maison au profit des enfants du maréchal ferrant Jacques Wœrner
1737 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 354-v
Louis Finance der Gastgeber und Susanna Margaretha geb. Reichardin mit beÿstand ihres bruders Daniel Friedrich Reichard des gastgebers zum guldenen Falck und ihres schwagers Johann Georg Seltzam des grempen
in gegensein Johann Adam Gießbecht des Schreiners als vogts Jacob Wörner des huffschmidts dreÿer kinder Samuel, Catharinæ Salome und Mariæ Margarethæ der Wörner – schuldig seÿen 1500 pfund
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß vollkommen bezalte au Dragon verd genannte Behausung bestehend in vorder und hinderhauß nebensgebäu, Bronnen, stallung, zweÿen höffen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden ahne der Obern straß, einseit neben Johann Joseph Krafft des wildenmann würths behausung zum Rindtsfueß anderseit neben Johann Friedrich Reebhan hinten theils auff Simon Kürßner Cantzleÿ Buchdtrucker theils Melchior Pauschinger auch Buchdrucker und Welperischen eben theils auff die Gerber zunfft stub
Louis Finance, cuisinier chez le maréchal du Bourg, gouverneur général des provinces de Haute et Basse Alsace, originaire de Magnières près de Gerbéviller en Lorraine, devient bourgeois en 1724
1724, 3° Livre de bourgeoisie p. 1346
Louis Finance d. leedige Koch chez Monseign. le Marchal du Bourg Von Manier in Lothringen geb. erhalt das b. umb die tertz d. alt. bs. will beÿ E.E. Zunfft der freÿb. dienen. Jur. d 31.t Maÿ 1724.
Louis Finance épouse en 1725 une luthérienne convertie, Susanne Marguerite Reichard : contrat de mariage tel qu’il figure à l’inventaire de 1740, célébration
Copia der Eheberedung. furent presens le Sieur Louis Finance, Bourgeois et Cabaretier ou pend pour enseigne le Dragon verd en cette villen fils de Dominique finance, laboureur demeurant a Magniere en Lorraine en l’Evêché de Toul, et de Marguerithe Benoit ses père et mère d’une part, et Demoiselle Susanne Marguerite Reicharde fille majeure de feu Jean George Reichard vivant bourgeois et Cabaretier au Cabaret ou pend pour Enseigne le Cercle verd en cette même ville et de feuë Sibille Catherine Muller ses père et mère pour elle et en son nom et, d’autre part – fait lû et passé audit Strasbourg le 14 juillet 1725, Jean Christophe Fingado, Not° juré
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 93)
Hodie 17 mensis Julii anni 1725 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Ludovicus Finance oriundus ex Magnieres Tullensis Diœcesis existens in servitiis Illustrissimi Dni Mareschalli Du Bourg a quinque circirer annis in parochia Sti. Petri Junioris et Susanna Margaretha Reichardin defunctorum Joannis Georgii Reichard et Sibillæ Catharinæ müllerin conjugum filia parochiana mea (signé) Loüis Finance, Susanne Richard (i 52)
(Pas de conversion trouvée)
Inventaires de séparation de biens, non conservés
1735 (17. 7.br), Me Fingado (Jean Christophe 65 Not 7, répert.) n° 137
Registre de Partage des biens de la Communauté d’entre le Sr Louis Finance hôte au Dragon verd et la Demoiselle Susanne Margueritte née Richard son Epouse
1733 (5. 9.bre), Me Fingado (Jean Christophe 65 Not 7, répert.) n° 105
Inventaire des Effets du Sr Louis Finance et Damoiselle Susanne Marguerite Richard
Louis Finance meurt en 1740 en laissant sa veuve pour son héritière. Les experts estiment la maison à 5 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 608 livres, le passif à 5 132 livres
1740 (17.3.), Me Koch (Matthias, 6 E 41, 471) n° 153
Inventarium über Weÿl. des Ehren: und vorgeachten herrn Louis Finance geweßenen Traitteur und burgers allhier nunmehr seel. Verlassenschafft – nach seinem den 15.den febr: dieses lauffenden 1740.sten jahrs beschehenen tödtl. Ableiben hie zeitl. verlaßen, welche verlassenschafft auf freundl. Ansuchen und Begehren der Ehren und tugendsamen frau Susannæ Margarethæ gebohrner Reichardin der hinterbliebenen Wittib mit beÿstand des Ehrengeachten H: Johann Georg Seltzam des fastenspeishändlers und burgers alhie zu Straßb. dero geschwornen Curatoris, inventirt – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag den 17.den des monats martii A° 1740.
Der verstorbene seel. hat ab intestato Zu seiner einzigen Erbin hinterlassen Zufolg des hernach copeyelich eingetragenen ehecontracts paragrapho ultimo Eingangs gedachte Ehren und tugendsahme Frau Susannam Margaretham gebohrne Reichardin die hinterbliebene Wittib
In einer allhier zu Straßburg ane der langen Straas gelegenen Zum grünen Dragoner genandten hiehero Eigenthümlich gehörigen deßwegen hernach beschriebenen behaußung ist befunden worden als folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Im Saal
Eigenthum ane einer behaußung. Neml. eine au dragon verd genandte behaußung bestehend in vorder hinder hauß, nebens Gebäu, bronnen, Stallung, 2. höffen v. hoffstatt, mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weiten Zugehörden allhier ane der obern Straas, einseit neben dem Zum Rindsfuß genandten H Joh: Joseph Krafft dem Gastgeber zum wilden mann v. burger allhier gehörigen Gasthauß, anderseit neben Hn Joh: Friderich Rebhan auch burgern allhier hinten th. auff H. Simon Kürschner Cantzleÿ buchtrucker th. auff H. Melchior Pauschinger dem Buchtrucker v. Welperisch Erben, th. a. die Gerber Zunfft stuben stoßend gelegen, so außer denen hernach unter denen passivis sprcificirten darauff hafftenden Capitalien freÿ leedig und Eigen, v. vermög der, von denen Hh. Werckmeistern zu dem Concept gel. schrifftl. Abschatzung de dato 17.den Mart: 1740. angeschlagen worden pro 10 000 fl. oder 5000. Darüber besagt ein teutscher Perg. Kffbr. in allhies. C.C. stb. gefert: m. d. anhangendem Ins. verw. datirt d. 23. Maji 1737. Ferner ein frantz. perg. Kbr. in bes. C.C. Stb. gef. v. m. gemeldt. Ins. verw. de dato 16. 9.br. 1705
– Abschatzung dem: 17. Martzÿ 1740: Auff begeren weilandt deß bescheitenen H Luttwig finans deß geweßenen wierth und Gastgeber Zum grunen tragoner seel. hindter laßenen frau wittib, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straßen gelegen so ein seitß an daß wiertßhauß Zum rindts fuß ander seitz an H frittrich rëbhann hindten auff die gerberstuben stoßendt, welche behaußung und. die ein fahrdt Lincker handt dem Lahten rechter handt ein Klein gewölb und die Kuchen gewölbter Keller daß mitler hauß worinen die Ein fahrdt ihm hindtern hoff Neben dar an ein Kleiner sall der hoff und bronen obe dar über ihm Ersten und 2. t: Stock Stuben Camine Camren nebenß Cammer besetzte bienen und alten tachstull, der hinter hoff worinen ein seiten gebäu linckerhandt dar inen unden die bauch Kuchen, oben dar über 2: Stock über ein andter Stuben Cammer Kuchen und daß hauß Ehrn der steinre schnëcken Stallung römoßen und Nebenß hoff, sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wirdt Vor und Umb Zëhen Tausent Gulten bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 290, Sa. Viehes 86, Sa. Schiff und geschirr Zum Fuhrwerck gehörig 4, Sa.Fuhrwercks 105, Sa. Silbergeschirrs 113, Sa. goldenen Rings und Taback büchs 9, Sa. Eigenthums an einer behaußung 5000 – Summa summarum 5608 lb – Schulden 5132 lb. Nach deren Abzug 475 lb
Copia der Eheberedung. (…) fait lû et passé audit Strasbourg le 14 juillet 1725, Jean Christophe Fingado, Not° juré
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins
1740, VII 1179 – Livres de la Taille
(f° 6) Freÿburger N. 8119. Weÿl. H. Louis Finance geweßenen Traitteur und burgers alhie Verlassenschafft inventirt H. Not. Koch.
Concl. fin. Inv . ist fol. 55, 475. 15. 5, die machen 900. fl. Verstallte nur 800. fl. Zu wenig 100. fl.
Nachtrag acht Jahr in duplo à 6. ß d macht 2. ln 8 ß
Und Sechß Jahr in simplo à 3 ß, 18 ß
Extat das Stallgeltt pro 1740, 2. lb 11 ß
Gebott, 3 ß
Abhandlung, 15 ß 6 d, Summa 6 lb 15 ß 6 d
Nachtrag, 3 lb 6 ß
Stallgeltt 1742 et 1743, 5 lb 2 ß
Gebott, 3 ß
Abhandlung, 15 ß 6 d, Summa 9 lb 11 ß 6 d
dt. 16° Martÿ 1743
Susanne Marguerite Reichard loue une partie de sa maison au marchand épicier François Ignace Finck
1743 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 358
Fr. Susanna Margaretha geb. Reichardin weÿl. Louis Finance gewesten traiteur wittib mit beÿstand ihres schwagers Johann Georg Seltzam des fastenspeishändlers
in gegensein H. Frantz Peter Finck des Specirers
entlehnt, In ihrer au Dragon vert genannten in der langen straß einseit neben Johann Friedrich Rebhan anderseit neben der gastherberg zum rindsfuß gelegenen behausung unten auf dem boden den in zween schwibbög. bestehenden Laden samt dem Comptoir, ferner den gantzen zweÿten stock die mittelste bühn, den unterschlagenen Keller unter dem Laden und den gemeinschaftlich gebrauch der bauchkuchen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff letzt verwichenen Joh. Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 207 gulden
Susanne Marguerite Reichard loue une partie de sa maison à Loup François de Rathsamhausen d’Ehnwihr
1746 (14.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 899-v
Fr. Susanna Margaretha geb. Reichardin weÿl. Louis Finance des traiteur wittib beÿständlich ihres schwagers Johann Georg Seltzam des fastenspeishändlers
in gegensein des wohlgebornen H. Wolffgang Frantz von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr
entlehnt, In einer der verlehnerin eigenthümlich gehörig ane der langen straß und zum grünen dragonen genannten behausung, in des vorderhaußes erstern stock eine stub, kuchen und dreÿ Camin Cammern hinden aus, eine gesind Cammer, einen unterschlagenen keller, eine bühn und holtzhauß – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 140 gulden
Susanne Marguerite Reichard loue une partie de sa maison au marchand épicier François Ignace Finck
1749 (21.4.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 246-v
Fr. Susanna Margaretha geb. Richardin weÿl. Louis Finance traiteur mit beÿstand ihres schwagers Johann Georg Seltzam des fastenspeishändlers
in gegensein H. Frantz Peter Finck des Specirers
verlühen, in ihre au dragon vert genannten ane der langen straß einseit neben der gastbehausung zu den dreÿen möhren, anderseit neben N Schützenberger dem käuffler gelegenen behausung, unten auff dem boden den in zween schwibbögen bestehenden Laden samt dem Comptoir, ferner den gantzen zweiten stock die mittelste bühn den unterschlagenen keller unter dem laden und dem gemeinschaftlichen gebrauch der bauchküchen – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff nächts künfftigen Johannis Baptistæ anfangand, um einen jährlichen Zinß nemlich 207 gulden
Susanne Marguerite Reichard loue une partie de sa maison à Jean Wenck et Marie Elisabeth Müller, manants et loueurs de carrosses
1749 (21.4.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 248-v
Fr. Susanna Margaretha geb. Richardin weÿl. Louis Finance traiteur mit beÿstand ihres schwagers Johann Georg Seltzam des fastenspeishändlers
in gegensein Johannes Wenck des lehnkutschers und schirmers Mariæ Elisabethæ geb. Müllerin
verlühen, in ihrer ane der langen straß einseit neben der gastbehausung zu den dreÿ möhren, anderseit neben N. Schützenberger dem käuffler gelegen, zum grünen dragoner genannten behausung, eine stallung vor vier pferd, eine remise, eine heubühn so dann eine stub und kammer in den hoff sehend, auff 4 nacheinander folgenden jahren auff nächst künffigen Johannis Baptistæ anzurechnen – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 gulden
Résiliation du bail avec Jean Wenck
1752 (5.4.), Me Langheinrich (6 E 41, 743) n° 59
S.T. Frau Susanna Margaretha geb. Reichertin weÿl. H. Louis Finanz geweßenen taitteurs und burgers alhier zu Straßburg Frau Wittib mit beÿstand S.T. H. Joh: Daniel Bauers Statt fourier ane einem
So dann H. Johannes Wing Gutscher und Fr. Mariæ Elisabethægeb. Müllerin beede Eheleuthe und Schirmbs Verwanthen allhier am andern theil
anzeigend, demnach sie Wingischen Eheleuthe laut der den 21. Aprilis 1749 in allhies. C.C. Stub passirten Lehnungs Verschreibung verschiedene Gemach in der Ihre Mad. Finantz gehörigen ane der Langen Straß gelegenen zum grünen Dragoner Genanden behaußung auf vier Jahr lang gelehnt und aber wegen solcher Lehnung verschiedene Mißheligkeiten unter denen Comparenten sich eräugnet, so daß solches würcklichen beÿ allhiesigem E.n Kleinen Rath anhängig, um aber aller verdrießliche folgerungen uned führenden process abzuschneiden und aufzuheben (vergleich über bezahlungen)
Susanne Marguerite Reichard passe un contrat de mariage avec un capitaine originaire de Montpellier, Barthélémy Hébrard. Le mariage ne sera pas célébré, comme le corrobore la mention portée au passif de la défunte à son inventaire en 1763
1758 (11.5.), Me Haering (6 E 41, 1375) n° 141
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen Hr. Bartholomäus Hebrard Capitaine Zu Fueß unter dem Bataillon Montpellier weiland Hn Niclaus Hebrard und auch weiland fr : Margarethä Defouré beeder längst seel. Innwohner der Stadt Montpellier in der Provintz Languedoc gelegen, ehelich erzeugter Volljähriger Sohn, mir Not° unbekanndt, und
frau Susanna Margaretha geb. Richard, weiland H. Ludwig Finance geweßenen bs. alh. Zu straßb. seel. hinterbl. Wittib beist. H Johann Christoph Schöllen Verschiedener hochadel. Familien Schaffners und b. alhie, beede mit Not° wohlbekanndt – Straßburg den 11. Maÿ im Jahr der Ganden 1758 (signé) Barholomé Hebrardn Susane Margueit finance fience
Susanne Marguerite Reichard meurt en 1763 en délaissant ses héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison à 3 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 477 livres, le passif à 3 995 livres
1763 (6.4.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 720) n° 458
Inventarium über Weÿland frauen Susannæ Margarethä Finance geb. Reichartin, längst weÿl. Hn Louis Finance geweßenen Aubergiste und burgers allhier Zu Straßb. seel. nachgelaßener fr. Wittib auch seel. Verlassenschafft – als dieselbe Montags den 21. Martÿ dießes lauffenden 1763. Jahrs dießes Zeitlichen mit dem Ewigen Verwechßelt – So beschehen in Straßb. auf Mittwoch den 6.ten Aprilis Anno 1763.
Die Verstorbene seel. ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie folgt. 1.mo frau Margaretham Dorotheam Haubertin gebohrne Lorentzin, Friderich Christoph Haubert des Gastgebers und burgers allhier Ehefrau, als Weÿl. frauen Mariä Salome Lorentzin geb. Reichertin der Verst. seel. Schwester mit auch weÿl. Joh: Daniel Lorentz dem auch geweßenen Gastgeber und burgern allhier seel. ehelich erzeugter tochter, so beneben dero Ehemann dem geschäfft beÿgewohnt in dem Erste 5.ten Stammtheil, 2.do. fr Mariam Salome Rooßin geb. Seltzamin Hn Joh: Paul Rooß Chirurgi und burgers Zu Lichtenau hochfürstl. heßen hanau Lichtenbergers Jurisdiction, Ehefrau als weÿl. Fraun Sibillä Saltzamin geb. Reichertin der Verstorbenen seel. Schwester, mit auch weÿl. H Joh: Georg Seltazam dem geweßenen fastenspeishändler v. b. allhier ehelich erzeugte nachgelaßene tochter, In deren Nahmen Laut Extractus Es. En. Kleinen Raths memorialis vom 6. Aprilis jüngst. hr. Frantz Paul Acker Es. En. Kleinen Raths dermahliger wohlverdienter beÿsitzer als hierzu in specie ernandter Hr Deputatus hiebeÿ erschienen in den andern fünfften Stammtheil, 3.tio frau Maria Catharina Göbelin geb. Reichartin, Hn Frantz Michael Göbels Musici und burgers allhier Ehefrau so unter assistentz deßelben dem Geschäfft beÿgewohnt in den 3.ten 5.ten Stammtheil, 4.to frau Catharinam Sibillam Duffau geb. Reichertin Hn Thomas Duffau Perruquier und burgers Zu Fort Louis Ehefraun so mit und beneben ob Ehren gedachtem Hn Frantz Paul Acker Es. En. Kleinen Raths dermahligen wohlverdienten beÿsitzern als ernandtem Hn Deputato der Inventur abgewartet in den 4.tn fünfften Stammtheil, so dann 5.to. Jacob Friderich Reichard den Leedigen mehrjährigen Keller und hauß Knecht Ind en 5.ten und Letzten Stammtheil, diese 3. letstere weÿl. Hn Daniel Friderich Reichert geweßenen Gastgebers Zum Falcken und burgers allhier als der Verstorbenen eheleiblichen bruders seel. mit frauen Maria Catharina geb. Kuglerin ehelich erzeugte 3. Kinder, Also alle 5. der Verstorbenen eheleiblicher Schwester und Bruders Kinder als zu 5. gleichlingen portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen straß gelegener Zum grünen Dragoner genandten Gast behaußung, befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung au dragon verd genandt bestehend in Vorder: und hinterhauß, Zweÿen höffen, Stallung, und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen Rechten Zugehörden und gerechtig Keit, gelegen allh. Zu Straßb. ane der Langen straß einseit neben dem ehemahligen würths hauß Zum Rindsfuß Hn Gimpel dem Weinhändler gehörig, 2.s neben N. Fanck dem Kachler hinten theils auf H. Simon Kürßner den Cancelleÿ buchtrucker, theils auf Hn. Joh: Friderich Kast den Goldarbeiter uxorio nomine und theils auf E.E. Zunfft der Gerber stoßend, davon gibt man Jährlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn auf Joh. Bapt: ane bodenzinß 1 lb. 10. ß d sonsten außer hernach eingetragenen darauff hafftenden passiv Capitalien freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 12.ten Aprilis jüngst angeschlagen pro 3000. Abgezogen den darauf hafftenden bodenzinß so zu dopeltem Capital gerechnet antrifft 60. Nach solchem Abzug Verbleibt annoch ane dem Anschlag solcher behaußung per Rest übrig 2940. Über dieße behaußung sagt i. teutsch. pergam: in allh. C.C. Stub gefertigter und mit dero anh. Insiegel Verw. Kauffbrieff datirt den 23. Maÿ A° 1737
Sa. haußraths 261, Sa. Silbers 37, Sa. baarschafft 52, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2940, Sa. Schulden 186, Summa summarum 3477 lb – Schulden (It. fordert ferner noe. Hn Bartholomæi Hebrard Capitaine unter dem Bataillon Montpellier Vor tafflen so er der Verstorbenen abgekaufft so aber ohnwißend im hausrath Verkaufft worden) 3995 lb, In Vergleichung 518 lb
Alldieweilen aber die Verstorbene seel. laut Vorallegirten beÿ H. Not. Humbourg den 4.ten apr. 1746. errichteter Rente Viager Hn François Xavier Verieu Beauvoir damahligen Capitaine des Genadiers du régiment d’Enghien 4000. lb baar geld behändiget (…), 1000. lb – Stall Summ 375 lb
Les héritiers de Susanne Marguerite Reichard veuve de Louis Finance, aubergiste au Dragon Vert, vendent la maison pour 2 975 livres au maître maçon Jean Michel Starck
1763 (8.10.) Chambre des Contrats, vol. 637, f° 513-v
Fr. Margaretha Dorothea geb. Lorentzin Friedrich Christoph Haubert des wirths ehefrau, Fr. Maria Catharina geb. Reichardin H. Frantz Michael Guebel des musici ehefrau, Fr. Catharina Sibilla geb. Reichardin Thomas du Faux des peruckenmachers ehefrau, H. Paul Acker EE kleinen raths beÿsitzer als gerichtlich constituirter negotiorum gestor Fr. Catharina Salome Rooßin H. Leo Monfort gewesten gastgebers als vogt Friedrich Jacob Rooß
in gegensein H. Johann Michael Starck des maurer und steinhauers
eine behausung au dragon vert genannt bestehend in vorder und hinter hauß nebens gebäu, bronnen, stallung, zweÿen höffen mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Obernstraß, einseit neben N. Gimpel dem kieffer anderseit neben Johannes Fanck dem kachler hinten auff E. E. Zunfft der Gerber zum theil zum theil Simon Kürschner den Cantzleÿbuchdrucker und Johann Friedrich Kast den goldarbeiter – um 500, 1000, 500, 650, 100, 25 lt Capitalien verhafftet, geschehen um 205 pfund
Jean Michel Starck hypothèque la maison pour 200 livres à l’imprimeur Jean Steinemann afin de réparer la maison qu’il vient d’acheter
1763 (8.10.) Chambre des Contrats, vol. 637 f° 515-v
H. Johann Michael Starck der maurer und steinhauer
in gegensein Johannes Steinmann des buchdruckers, zur reparation hiernach unterpfändten – schuldig seÿen 200 lt
unterpfand, die au dragon vert genannte behausung cum appertinentis ane der Obernstraß, einseit neben N. Gimpel dem kieffer anderseit neben Johannes Fanck dem kachler hinten auff E. E. Zunfft der Gerber zum theil zum theil Simon Kürschner den Cantzleÿbuchdrucker und Johann Friedrich Kast den goldarbeiter
Jean Michel Starck hypothèque la maison pour 250 livres à Marguerite Salomé Unseld
1766 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 281-v
Johann Michel Starck der maurermeister und Susanna Margaretha geb. Rußin mit beÿstand Johann Georg des goldarbeiters und Johann Christian Meyblum des uhrenmachers
in gegensein Daniel Andreas Unselt des säcklers innahmen seiner schwester Margaretha Salomé Unseld – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langenstraß einseit neben N. Gimpel des weinhändlers anderseit neben N. Fanck des kachler hinten auff die Zunfft der Gerber stoßend gelegen
Jean Michel Starck meurt en 1766 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison dont la construction n’est pas terminée et que les experts estiment 8 000 florins.
Susanne Marguerite Russ, veuve de Jean Michel Starck, hypothèque la maison pour 225 livres au profit du pasteur de Kolbsheim, Jean Frédéric Roser, et sa femme Marie Salomé Grohbecker
1767 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 n° 51
Susanna Margaretha geb. Rußin weyl. Johann Michael Starck gewesten maurers wittib beÿständlich Johann Christian Meyblum des uhrenmachers
in gegensein Christian Daniel Wagner des oberschreibers löbl. Stiffts St. Thomä innahmen H. Johann Friedrich Roßer des pfarrers zu Kolbsheim und Maria Salome geb. Grohbeckerin – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langgaß, einseit neben – Gimpel dem weinhändler anderseit neben N. Fanck dem kachler hinten auff die E.E. Zunfft der gerber
Susanne margenterie Russ loue une partie de la maison à l’ancien capitaine Louis Pierre Robert Le Cousturier de Pithienville
1768 (11.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1026)
Bail de 3 années consecutives qui commenceront a courir du 15. du présent mois – le Sr Jean Melchior Starck tailleur de pierres mandataire de Dlle Susanne Marguerite Rußine veuve du Sr Jean Michel Starck Me maçon de cette ville
à Messyre Louis Pierre Robert Le Cousturier de Pithienville Chevalier de l’ordre Royal et militaire de St Louis, ancien capitaine au régiment de Tourraine présentement adjoint au major de cette ville
L’appartement du premier Etage de la maison appartenante a ladite veuve en cette ville scize grand Rue vis à vis de la rue dite geckgaßel portant cy devant le nom du dragon verd consistant ledit appartement en cinq pièces sur le devant de la maison, en trois pièces Dans la maison du millieu en une cusiine au même Etage (+ et des Lattrines qui appartiennent et dependent dud. appartement) en un poel une chambre et une cuisine au second étage de la maison dans la partie du millieu en trois petites pièces au troisième étage en un grenier au quatrième ayant L’etendue de la Maison du milieu, en une écurie pour deux chevaux (# des latrines communes dans la cour) En un bucher dans la cour et en une cave de la Capacité de 4 à 5 cent mesures avec deux chantiers de la Longueur de la cave, bien entendu que le bucher sera aussy proportionné, que l’écurie sera garnie de L’auge et du ratelier et qu’il y aura place pour du fourage, Plus l’usage commun du puit et de la cour
(charges, clauses et conditions) 2. il promet de faire travailler le plutot possible a La rempt. de L’escalier principal ainsy que La Balustrade du Balcon et au relargissement des degrés de la Cave, 3. Il promet de faire construire et percer une petite fenetre dans le poel des domestiques donnante sur leintre* et au haut de l’escalier
Anne Marie Schætzel, veuve du docteur en médecine Georges Henri Behr, revend 5 400 livres au marchand Jean André Bruder la maison qu’elle a achetée par enchère judiciaire le 29 aout 1768 (actes détruits)
1769 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 399
Fr. Anna Maria geb. Schätzelin weÿl. Georg Heinrich Behr gewesten med. Doctoris wittib beÿständlich H. Johann Friedrich Faust E.E. Großen Raths advocati et procuratoris ordinarii
in gegensein H. Johann Andreas Bruder junioris d. handelsmanns
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäuen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Langenstraß, einseit neben Johann Heinrich Gimpel dem weinhändler anderseit neben Johann Heinrich Fanck dem kachler hinten theils auf die Gerberstub theils auf Simon Kürschners den drucker und Salome Rustin geb. Panschingerin – als ein am 29. Aug. 1768 ane der ganth ersteigertes guth – um 500, 500, 750, 1000, 200, 1149 lb verhafftet, geschehen um 1400 lb
La fille et héritière d’André Bruder ainsi que ses créanciers vendent la maison à Philippe Antoine Ferrier pour 11 010 florins (5 505 livres strasbourgeoises)
1776 (16.8.) Chambre des Contrats, vol. 650 f° 260-v
nahmens weÿl. H. Johann Andreas Bruder des jüngeren gewesten handelsmanns hinterlassene tochter und beneficial erbin Margaretha Salome dero geordneter und geschworener vogt H. Johann Daniel Ensfelder notarius publicus juratus ac practicus, H. Johann Jacob Lung notarius publicus vor und innahmen weÿl. besagten Bruders massa H. creditorum als desselben geordneter syndicus
in gegensein H. Philipp Antoni Ferrier des handelsmanns, als letzt und meistbietenden
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen denen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittel langstraß, einseit neben H. Johann Heinrich Gimpel dem weinhändler anderseit neben Mr Johann Heinrich Fanck dem kachler hinten theils EE zunfft des gerber theils weÿl. H. Simon Kürßner gewesten buchdruckers erben theils Fr. Salome Kastin geb. Pauschingerin – um 11 010 gulden
Le nouveau propriétaire, originaire de Neuf-Brisach, a épousé Anne Catherine Bérard en 1767 ; contrat de mariage, inventaire des apports
1767 (28.4.), Me Zimmer (6 E 41, 1444) n° 66
(Contrat de mariage) le Sr Philippe Antoine Ferrier, bourgeois Negociant de cette dite ville fils de Feu le Sr Pierre Antoine Ferrier vivant Negociant a Neuf Brisack et de De Toinette Boulard ses père et mère d’une part
Et Damlle Anne Catherine Berard fille du Sieur Joseph Berard, Avocat au Conseil souverain d’Alsace et bourgeois de lad. Ville et de feu De Anne Marie Andlauer – aud. Strasbourg ce 28 avril 1767
Inventaire des apports dressé dans la maison Bameyer à côté de la Grande boucherie
1767 (28.4.), Me Zimmer (6 E 41, 1409) n° 159
Inventaire des apports du Sieur Philippe Antoine Ferrier, Negociant, et Dle Anne Catherine née Berard son Epouse, tous deux bourgeois de cette ville de Strasbourg – L’an 1767 le 28° Avril, à la requete du sieur Philippe Antoine Ferrier, Negociant et bourgeois de cette ville de Strasbourg et de et Dle Anne Catherine née Berard, son Epouse assistée du Sieur Joseph Berard, son Pere, Avocat au Conseil souverain d’Alsace et premier Secretaire de la recette de l’hôpital des bourgeois de lad. Ville (…) réservés par l’article trois de leur Contrat de mariage passé devant led. Notaire le 7° Mars de la présente année
Trouvés dans une maison scise près la grande boucherie appartenant au Sieur Bameyer Caffetier et bourgeois de cette ville de Strasbourg
Propriété d’une maison à Neuf Brisac. (Mons.), Savoir une maison, cour, écurie et autres batimens avec ses appartenances et dependances scituée à Neuf Brisac au Canton dit la petite place qui a pour enseigne le pied de bœuf (…)
(f° 8) Etat sommaire du present Inventaire. beins pours dudit Sieur Ferrier. Total des Meubles 2015, Total des Vins et Tonneaux 226, Total de l’argenterie et Or 450, Propriété d’une maison à Neuf Brisac -, Total des Dettes actives 17 420, Total général 20 112 lib
Biens de lad. De Ferrier, Total des meubles 634, Total de l’argenterie et Or 921, Total de l’argent comptant 6256, Portion d’un Banc de boucher -, Rentes en grains -, Total général 12 002 lb
Anne Catherine Berard femme de Philippe Antoine Ferrier meurt en 1713 en délaissant pour héritiers ses petits enfants. L’inventaire est dressé dans l’ancien poêle du Miroir
1813 (4.10.), Strasbourg 11 (17), Me Thurmann n° 2521 – Enregistrement de Strasbourg, acp 123 f° 132 du 14.10. – vacation du 16.4.1815 (enreg. F° 186 du 26.4.)
Inventaire de la succession d’Anne Catherine Berard femme de Philippe Antoine Ferrier, négociant, décédée le 24 septembre courant – à la requête d’Ange Marie François Gaétan Marocco, régisseur de la manufacture impériale de tabac à Strasbourg, tuteur établi aux cinq enfants mineurs de Noel Dupont, chef de service des convois militaires et transports directs de la cinquième division militaire décédé à Strasbourg, appelés Joseph Xavier, Madeleine, Aure, Joséphine, Adèle héritiers pour 1/5 de la défunte, grand mère des mineurs, en présence de Jean Michel Ohlmann rentier subrogé tuteur – testament olographe du 8 décembre 1807
dans la maison du Miroir rue des Serruriers n° 29
mobilier 4271 fr ; 3128 fr, numéraire 1100 fr, déclarations actives 12 000 fr, passif
Philippe Antoine Ferrier et Anne Catherine née Berard vendent la maison au négociant Louis Bayard demeurant à Paris pour 260 000 livres tournois. La clause du cahier des charges mentionne la colonnade (construite par Michel d’Ixnard)
1793 (15. 8.br), Strasbourg 10 (36), Me Zimmer n° 149 – acp 18 f° 177 du 15
sont comparus le citoyen Philippe Antoine Ferrier Negociant demeurant en cette ville et la citoyenne Anne Catherine née Berard son Epouse
au citoyen Louis Bayard Negociant demeurant ordinairement à Paris de présent à Strasbourg
Une maison avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville Grand’rue N° 125, d’un côté le citoyen Gimpel Marchand de vin, de l’autre le citoyen fanck potier, donnant par derrière sur la cidevant tribu des tanneurs, sous les clauses et conditions détaillées ci après, moyennant 260 000 livres tournois
(24. août 1793) – à la requête du citoyen Philippe Antoine Ferrier Negociant demeurant en cette ville, il a été procédé à l’enchère volontaire d’une maison appartenant au requerant sise en cette ville Grand’rue N° 125, d’un côté le citoyen Gimpel Marchand de vin, de l’autre le citoyen fanck potier, donnant par derrière sur la cidevant tribu des tanneurs, avec toutes ses appartenances, droits et dépendances sous les clauses et conditions détaillées ci après (…) S’il y a lieu à adjudication 4. Que le requerant se reserve pendant six mois à compter du jour de l’adjudication le logement qu’il occupe, contenant le rez de chaussée du devant le fond de la cour où est la colonnade et dessus des remises, avec une cave, pour et moyennant un loyer de 200 livres – mise à prix L. 260,000
Louis Bayard loue la maison à Philippe Antoine Ferrier qui vient de la lui vendre. Les parties résilient le bail en l’an IV.
1793 (15. 8.bre), Strasbourg 10 (36), Me Zimmer n° 150 – acp 18 f° 177 du 15
est comparu le citoyen Louis Bayard, Negociant demeurant ordinairement à Paris, présentement en cette ville
Lequel a fait bail et donné à loyer pour Neuf années consécutives qui commenceront de ce jour, au citoyen Philippe Antoine Ferrier, Negociant demeurant en cette ville, et à la citoyenne Anne Catherine née Berard son Epouse, de lui düement autorisée et assistée en outre à l’effet des présentes des citoyens Georges Pick et Chrétien Pick, Orfèvres, demeurant en cette ville, quelle declare ses plus proches parens
Une maison avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville Grand’rue N° 125, d’un côté le citoyen Gimpel Md de vin, de l’autre le citoyen Fanck potier, donnant par derrière sur le cidevant tribu des tanneurs, ainsi que le citoyen Bailleur vient d’en faire l’acquisition – moyennant un loyer annuel de 6000 livres tournois
[in fine :] sont comparus 1. le citoyen Louis Bayard, bailleur, 2. le citoyen Philippe Antoine Ferrier et la citoyenne Catherine née Berard, son Epouse, (…) preneurs denommés au Bail cidessus et des autres parts, lesquels ont declaré résilier conjointement et reciproquement ledit bail passé entr’eux le premier Messidor prochain – le 6 du mois de frimaire l’an quatre de la République (Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 36-v du 9 frim. 4)
Le juge de paix condamne le locataire Bourdon à payer son loyer
1801 (22 therm. 9), U 1851, Second arrondissement, f° 330
Louis Bayard, propriétaire demandeur
contre le Cit. Bourdon entrepreneur des vivres, viandes en la personne du Cit. Mayet marchand de modes son mandataire
que ledit defendeur soit condamné à lui payer la somme de 1000 fr pour le trimestre entre le 1er mess. dern du loyé de la maison sise en cette ville Grand rue n° 125 qu’il lui a donné moyennant loyé annuel de 4000 francs
Louis Bayard vend 50 020 francs la maison à Nicolas Doron, commis greffier au tribunal civil
1801 (4 vend. 10), Strasbourg 6 (25), Me Laquiante n° 1598 du 17.8.1801 Cahier des charges ; adjudication définitive n° 1718 – Enregistrement de Strasbourg, acp 81 F° 25 du 7 vend. 10
Cit. Louis Bayard rentier demeurant à Paris
à Nicolas Doron commis greffier du Tribunal Civil à Strasbourg, sous le cautionnement de Sébastien Antoine Klotz Entrepreneur de Bâtimens
première enchere volontaire d’une maison cour écurie remise appartenances et dépendances scize à Strasbourg grande rue N° 125, d’un côté le cit. Gimpel Marchand de vin, d’autre le cit. fanck potier, par derrière cy devant tribu des thanneurs, devant la rue, se payera au domicile du cit. Bayard rue Dominique au gros cailloux N° 1098 près le champ de Mars, la première mise sera de 55 425 francs
n° 1679 du 23 fructidor – n° 1700 du 29 fruct. Nicolas Doron, 50 020 francs
[procuration], acquise du cit. Philippe Antoine Ferriere négociant & De Anne Catherine Berard par acte Me Zimmer le 15 octobre 1793)
Nicolas Doron, appariteur royal originaire de Lunéville, épouse en 1787 à Saverne Madeleine Wollbrett
Mariage, Saverne (cath. f° 185, n° 24)
Hodie Novembris septimo Anni 1787 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Nicolaus Doron, defunctorum Pauli Doron et Mariæ Pierron, dum viverent in Luneville Dioecesis Nanceijani commoratorum Conjugum Civium filius Orphanus a novem retro annis in prædicti Lützelstein habitans, neo-adparitor Regius, ad parituram suam posthac Argentinæ facturus, Et Domicella Magdalena Wollbrett, Domini Josephi Huberti Wollbrett suprema curiæ alsaticæ nec non Regiminis hujatis Advocatus, Primariique hujus Civitatis Consulis et defunctæ dominæ Mariæ Magdalenæ Bernard, dum viveret hujatum Conjugum filia de jure et facti Parochiana mea ambo soluti majorennes (signé) Doron, wollbrett (i 101)
Nicolas Doron meurt en 1814. L’inventaire est dressé dans sa maison au Faubourg de Saverne
1815 (2.2.), Strasbourg 12 (59), Me Wengler n° 8824 (vacation n° du 9206 du 20.10.1815 enreg. f° 197 du 23.10.) – enreg. manquant f° 52 du 7.2.
Inventaire de la succession de Nicolas Doron commis greffier près le Tribunal de Première Instance décédé le 11 septembre1814 – à la requête de Marie Madeleine Wollbrette le veuve, Jacques Nicolas François Doron commis négociant, Marie Madeleine Sophie Doron épouse de Jean Paul Bernard Christophe Detroyes, avocat avoué, enfants et uniques héritiers pour moitié de la défunte
Contrat de mariage ssp le 4 novembre 1786 déposé Me Laquiante le 18 novembre
dans la maison mortuaire faubourg de Saverne n° 2
dans la cave sous la maison faubourg de Pierre
immeuble, Une maison à deux étages consistant en bâtiments de devant et de derrière, cour, fontaine avec toutes ses appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg faubourg de Saverne n° 2, d’un côté le Sr Kreemer boulanger d’autre Georges Gutermann devant la rue derrière propriété de l’église St Jean – acquis de Jean Léopold de Dettlingen par acte souss. le 8 ventose 12, estimée 16 000 francs
un petit corps de biens à Reschwoog 1880 fr
Récapitulation, meubles 7361 fr, vins et tonneaux 2384 fr, argenterie et or 1356 fr, créances 45 496 fr, numéraire 5308 fr, immeubles 17 880 fr, ensemble 79 787 francs – passif 21 115 fr, reste 58 671 fr, avec abandon à chaque héritier du quart de la maison
Nicolas Doron vend la maison 51 000 francs à Frédéric Crétin et à Eléonore Frédérique Schild qui ont acquis peu de temps auparavant le domaine de la Ménagerie hors la porte des Bouchers
1802 (16 pluv. 10), Strasbourg 9 (anc. cote 27), Me Bossenius n° 971 – Enregistrement de Strasbourg, acp 83 F° 121 du 26 pluv. 10
bürger Nicolas Doron commis Greffier bei dem Tribunal der Zuchtpoliceÿ des Straßburger bezircks
in gegensein Friedrich Cretin Eigenthümers des vor dem Metzger Thor gelegenen Landguts die Menagerie genannt und Fr. Eleonora Friderica geb. Schild
eine behausung bestehend in Vorder hinter und Seiten: Gebäuden hoff höfflein Stallungen Remise und hoffstatt samt aller deren übrigen zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten an der lang. stras N° 125, einseit neben dem bürger gimpel Weinhändler anderseit neben dem bürger Fanck hafner und hinten auf die Gebäude der vormaligen Gerber: Zunftstub [und mobilien] – vor Not. Laquiante am 29. thermidor 6, 21. fructidor 9 wie auch 4. vend. 10. öffentlichen Versteigerungen ermelten gebäude und deren definitiv Adjudication (obligation) – um 51 000 francs
Frédéric Crétin et sa femme apparaissent dans l’état-civil de Strasbourg avec la naissance de leur fils Charles Frédéric en 1802.Ils quittent la ville quelques années plus tard pour Saint-Pétersbourg
Naissance, Strasbourg (n° 976) Du 19 jour du mois de ventise, L’an 10 de la République français, Acte de naissance de Charles Frédéric Crétin, né hier 18 ventose vers minuit, fils de Frédéric Crétin, sculpteur, et de frédérique eléonore schild, mariés et domiciliés en cette ville grand rue N° 125 (i 129)
Frédéric Crétin loue une boutique à Frédéric Staat
1803 (1 vent. 11), Enregistrement de Strasbourg, ssp 14 F° 86-v du 19 vend. 11
Bail de 3 ans – Frédéric Chrétien
à Frédéric Staat
une boutique dans ladite maison [grand rue N° 125] – moyennant un loyer annuel de 288 francs
Frédéric Crétin loue un logement à Marc Benemenil
1803 (24 vent 11), Enregistrement de Strasbourg, ssp 14 F° 77-v du 10 vend. 11
Bail de 3 ans – Frédéric Chrétien
à Marc Benemenil
un logement dans une Maison grand rue N° 125 – moyennant un loyer annuel de 800 francs
Eléonore Schild femme de Frédéric Cretin loue toute la maison à Joseph Julien Lajonquiere
1806 (29.6.), Strasbourg 1 (30), Me Lacombe n° 5634 – Enregistrement de Strasbourg, acp 100 f° 42-v du 4.7.
Bail de 3 ans à commencer à la St Michel prochaine – De Eléonore Schild épouse de Frédéric Cretin Propriétaire
au Sr Joseph Julien Lajonquiere demeurant à Strasbourg
la maison cour écuries et dépendances qui leur appartient en cette ville sise dans la grand rue n° 125 sans exception que deux chambres donnant sur la rue a droit en montant ainsi qu’une décharge obscure donnant sur la cour au troisième étage dont elle se réserve a jouissance – moyennant un loyer annuel de 2400 francs
Frédérique Eleonore Schild femme de Frédéric Cretin vend 57 275 francs la maison à Louis Rieff, propriétaire à Dornach près de Mulhouse
1808 (28.10.), Strasbourg 15 (8), Me Lacombe n° 603 – Enregistrement de Strasbourg, acp 108 F° 82-v du 3.11.
Caétan Stropeno employé des substtances militaires demeurant à Strasbourg mandataire de Frédérique Eleonore Schild femme de Frédéric Cretin propriétaire a Strasbourg demeurant présentement à St Petersbourg en Russie
à Louis Rieff propriétaire à Dornach Département du Haut Rhin
une grande maison construite en pierres consistant en maison de devant et maison de derrière et pavillon des deux côtés cour écuries remises sise en cette ville grand rue n° 125, entre le Sr Gimpel marchand de vin et le Sr Fanck pottier, derrière les bâtiments de la ci devant tribu des tanneurs, avec les meubles évalués à 6072 francs – avenue au Sr Cretin par contrat de vente à leur profit par Nicolas Doron greffier du tribunal de police correctionnelle devant Me Bossenius le 16 pluviose 10, audit Doron par adjudication à la requête de Louis Bayard rentier à Paris par acte Me Laquiante le 29 fructidor 9, Bayard a acquis ledit immeuble de Philippe Antoine Ferrier négociant et Anne Catherine Bérard par acte Me Zimmer le 15 octobre 1793, provenant de la masse de Jean André Bruder négociant sur laquelle il a été vendue a Antoine Ferrier à la Chambre des Contrats le 16 août 1776 – Remis (…) même chambre le 8 juin 1769 – moyennant 57 275 francs faisant 58 000 livres tournois
Etat des meubles – Premier étage sur le devant, première pièce en entrant, sallon a côté, pièce a côté du sallon, pièce donnant sur la cour, salle à manger donnant sur la cour, sallon sur le derrière, cabinet a côté du sallon
deuxième étage sur le devant, sallon de devant, chambre a côté, chambre de l’autre côté du sallon – troisième étage
Louis Rieff et Walburge Hortense de Zurhein exposent leurs maisons attenantes aux enchères
1824 (3.7.), Strasbourg 13 (40), Me Bremsinger n° 3189, Procès verbal d’enchère
Bernard Brassier, médecin en chef de l’hôpital militaire officier de la Légion d’Honneur fondé de pouvoir de Louis Rieff, propriétaire, et Walburge Hortense de Zurhein, procuration à Dornach
Désignation de l’immeuble. 1° lot. Une grande maison construite en pierres consistant en une maison de devant à trois étages élevés sur le rez de chaussée et deux bâtiments latéraux avec cour, puits, aisances, appartenances et dépendances sise en cette ville grand rue n° 125, d’un côté ci devant Sr Gimpel marchand de vin actuellement Michel Trumpf brasseur propriétaire de la maison n° 124, d’autre ci devant le Sr Fanck potier modo le Sr Isaac Koebele peignier propriétaire de la maison n° 126, derrière le second lot dont elle sera séparés par un mur,
2° lot. Une grande maison construite en pierres non entièrement achevée à trois étages élevés sur le rez de chaussée, ayant à droite un autre corps de bâtiment à rez de chaussée et un étage avec grenier, plus une buanderie avec un étage au dessous à gauche une écurie surmontée d’un étage et d’un grenier, trois cours, la plus grande entre la grande maison les deux bâtiments latéraux et la rue Ste Hélène, la seconde entre ladite maison et la cour du premier lot dont elle sera séparée par un mur et la plus petite entre la buanderie et la grande maison avec appartenances, aisances, dépendances, le tout situé rue Ste Hélène en face de la synagogue, d’un côté le Sr Frédéric Emrich modo la succession Louis Stoeber propriétaire de la maison rue des Drapiers n° 22, d’autre en partie Paul Betsch pelletier propriétaire de la maison rue du Savon n° 3, en partie héritiers de Frédérique Beyer née Kast modo Charles Schwind menuisier propriétaire de la maison rue du Savon n° 4, enfin en partie Charles Kretzmann facteur d’instruments propriétaire de la maison rue du Savon n° 5 faisant la coin des deux rues, derrière vers le midi au premier lot et en partie Isaac Koebelé peignier grand rue n° 126 et Daniel Müller fondeur de caractères grande rue n° 127.
Le mur de séparation entre le premier et le second lot sera bati sur l’allignement des secondes retraites des deux pavillons latéraux à 11 m 50 de distance à partir de la façade donnant dans la cour de la maison de la grand rue suivant le trottoir
Etablissement de la propriété, la maison grand rue n° 125, cour, bâtiments latéraux, aisances, dépendances formant le premier lot acquis de Frédéric Crétin, propriétaire, et de Frédérique Eléonore Schildt par acte Me Lacombe le 28 octobre 1808 transcrit au bureau des hypothèques volume 4 n° 38, ledit Cretin l’a acheté de Nicolas Doron, commis greffier près le tribunal de police correctionnelle, par acte Me Bossenius le 16 pluviose 10, adjudication audit Doron par Louis Bayard, rentier à Paris, devant Me Laquiante le 29 thermidor 9. Autres titres, grande rue 125, vente par Philippe Antoine Ferrier et Anne Catherine née Berard à Louis Bayard, négociant, Me Zimmer le 15 octobre 1793 et quatre contrats de vente passés à la Chambre des Contrats le 16 août 1776 par le tuteur et syndic des créanciers de Jean Adam Bruder, le 18 juin 1769 par les veuve de Georges Henri Baehr audit Bruder cafetier et négociant, le 29 août 1768 par décret forcé à la poursuite des créanciers de le veuve Jean Michel Starck, le dernier le 8 octobre 1763 par les héritiers Richard au profit dudit Starck
Le fond sur lequel est construit la maison rue Ste Hélène vis à vis la synagague ainsi que les bâtiments latéraux avec les écuries, aisances et dépendances formant le deux lot que M. Rieff a acquis de 1. Frédéric Emerich menuisier en son nom et se portant fort de Jacques Emrich et Charles Emrich les deux mineurs procréés avec Marie Catherine née Brenner par acte Me Thurmann le 21 août 1810 transcrit au bureau des hypothèques volume 57 n° 3. Cette propriété dont M. Riff a acquis une portion était connue ci devant sous le nom de Tribu des Tanneurs, d’un côté la rue Neuve actuellement appelée rue Ste Hélène, d’autre audit Sr Rieff, derrière le Sr Bayer et consorts, derrière le Sr Kretschmann luthier, devant la rue Drapiers, elle dépend de la communauté Emmrich qui l’a acquis de l’Administration du Département du Bas Rhin par procès verbal du 24 brumaire an 6
de 2. Jean Daniel Bayer fils tondeur de drap, et Elisabeth Frédérique Bayer, majeure, Emmerie, Frédéric Bayer étudiant en droit majeur, Jean Daniel Bayer père ce dernier père et tuteur légal de Viola Immortalité Bayer, Sophie Concorde Bayer, une portion de la maison rue du Savon n° 4 dont les cinq enfants Bayer son propriétaire du chef leur mère par acte Me Thurmann les 23 et 25 mars 1811 transcrit au bureau des hypothèques volume 60 n° 63, la maison rue du Savon n° 4 consistant en une habitation de devant, bâtiment de derrière, cour et dépendances provenait originairement de la succession de Marie Salomé Kast née Pauschinger leur ayeule maternelle, inventaire Me Lung le 13 novembre 1787 et cession de portion par Marguerite Kast sa sœur
criés le lot 1. 30 000 fr, le lot 2. 20 000 fr sans mise
n° 3193 du 13 juillet – le 23 juillet n° 3208 – le 29 juillet 3217 considérés comme nuls et non avenus
Louis Riff loue une partie de la maison au profit de l’Ecole d’enseignement mutuel
1830, Enregistrement de Strasbourg, ssp 60 F° 40-v, ssp du 9.4. dernier
Bail, a commencé au quartier de Paques – Louis Rieff, propriétaire
Sr Boersch et d’autres membres du comité d’une école gratuite d’enseignement mutuelle
un logement dans sa maison n° 125 grande rue à Strasbourg 900 fr/an
Louis Riff loue une cave au restaurateur Jacques Bentz
1831 (7.3.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 59 F° 188 – ssp du 27.2. dernier
Bail pour 6 ou 9 ans à commencer le 25.3. prochain – Louis Riff père, propriétaire domicilié à Dornay
à Jacques Bentz, restaurateur à Strasbourg
une cave sous la maison du Sr Riff sise à Strasbourg Grand rue n° 125 du côté contigu à la propriété du Sr Koeberlé moyennant un loyer annuel de 50 francs
Louis Riff loue une partie de la maison au Casino Théologique et Littéraire
1833 (12.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 62 F° 80 – ssp du 18.1.
Bail – Sr Louis Rieff, propriétaire de la maison grand rue n° 125 à Strasbourg
Charles Frédéric Gerock, Daniel Théophile Berneaud, Jacques Chrétien Roehrich, Philippe Auguste Kroh, Daniel Auguste Ehrenfried Stoeber, Edouard Guillaume Eugène Reuss, Philippe Jacques Schnell, Jean Guillaume Baum, Jean Pierre Bernard Follénius et Charles Zang, agissant en qualité de membre de la commission administrative du Casino théologique et littéraire délégué par les membres du Casino
au Casino Théologique et Littéraire le local ci après désigné et faisant partie du second étage de sa maison sise en cette ville grand’rue n° 125 savoir, trois pièces ayant vue sur la grand rue, lesquelles seront réduites à deux au moyen de la démolition d’une cloison et deux pièces attenantes aux précédentes et donnant sur la cour avec jouissance exclusive des lieux d’aisances y contigus, Plus une cave sous ladite maison et un bucher dans l’avant cour pour l’usage particulier de la société, à commencer le 25 mars prochain durera jusqu’en 1835 – moyennant un loyer annuel de 500 francs
Hortense de Zurhein veuve de Louis Rieff loue une partie de la maison au négociant Louis Lagache Lecherf de Lille
1833 (29.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 62 F° 183-v – ssp du 25.5.
Bail – François Joseph Clavé étudiant en droit à Strasbourg se portant fort de Hortense de Zurhein veuve de Louis Rieff à Dornach – pour trois années à commencer le 24 juin prochain
à M Lagache Lecherf négociant à Lille
les localités ci après spécifiées faisant partie d’une maison sise à Strasbourg Grand rue n° 125 appartenant à Mde Rieff
1. les trois pièces au rez de chaussée dont les coroisées donnent sur la grand rur,
2. une décharge se trouvant à gauche en entrant et près de l’escalier – moyennant un loyer annuel de 350 francs
Les héritiers Riff louent une partie de la maison au négociant Louis Lagache Lecherf de Lille
1834 (26.3.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 28-v – ssp du Bail du 26.3.
Bail pour deux années à commencer le 24 juin prochain – François Joseph Clavé, élève en droit se portant fort de 1. Mde Adèle Riff épouse de M. Antoine Klenck, négociant à Mühlhouse, et 2. Mlle Auguste Rieff demeurant à Dornach
à M Louis Lagache Lecherf, négociant à Lille
les localités ci après spécifiées faisant partie d’une maison située à Strasbourg Grand rue n° 125 appartenant à Mde Klenck et Mlle Riff savoir, 1. trois chambres contiguës au rez de chaussée dans le bâtiment latéral de gauche en entrant par la droite* et prenant jour sur la cour,
2. une cuisine se trouvant derrière la pompe et communiquant avec la première des trois chambres ci dessus désignées,
3. une remise fermée de lattes se trouvant sous le bâtiment du milieu occupé par l’Ecole d’enseignement gratuit en face de la loge du portier,
4. une petite chambre au dessus et un bucher tenant à la pièce désignée sous le n° 3 – moyennant un loyer annuel de 270 francs
Prolongation du bail au profit de l’Ecole d’enseignement mutuel
1834 (7.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 179 – ssp du 1.10.
Prolongation de bail – François Joseph Clavé, éleve en droit en qualité de mandataire de François Antoine Klenck, négociant à Mülhausen et comme se portant fort de M. Forel, capitaine d’infanterie domicilié à Remiremont, MM Klenck & Forel comme propriétaires de la maison ci devant Riff sise à Strasbourg Grand rue n° 125
MM. Charles Reichard, négociant, & Spielmann, pharmacien, en qualité d’adminstrateurs d’une école d’enseignement mutuel privée de la même ville
suivant bail s.s.p. du 22 avril 1829 enreg. le 20 mai F° 31, diverses localités de la maison Riff grand rue n° 125 louées moyennant un loyer annuel de 850 francs
par bail s.s.p. du 9 avril 1830 enreg. 25 juin F° 40 loua au comité d’une école gratuite d’enseignement mutuel d’autres localités dans la même maison grand rue n° 125
prorogation d’une année le bail du 22 avril 1829 à terminer à Pâques 1836
Les héritiers Rieff louent une partie de la maison au Comité central de la société pour l’extinction de la mendicité
1834 (7.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 178 – ssp du 1.10.
Bail de 18 mois à commencer à la St Michel 1834 et finir à Pâques 1836– François Joseph Clavé, éleve en droit en qualité de mandataire de François Antoine Klenck, négociant à Mülhausen et comme se portant fort de M. Forel, capitaine d’infanterie domicilié à Remiremont, MM Klenck & Forel comme propriétaires de la maison ci devant Riff sise à Strasbourg Grand rue n° 125
à MM. Kammerer, libraire, & Charles Lauth, juge de paix, en qualité de président & de vice président du Comité central de la société pour l’extinction de la mendicité
le pavillon particulier situé dans l’enclos de la maison Riff donnant sur la rue Ste Hélène composé d’un rez de chaussée, premier étage & grenier & formant le tout une maison nette & particlulière occupée jusqu’ici par MM. Kolb & Jundt, mécaniciens. Les enfants qui fréquenteront les salles du pavillon n’auront l’entrée que de la rue Ste Hélène mais les surveillants, inspecteurs, inspectrices, instituteurs, institutrices pourront également par la grand rue & le portier aura à leur ouvrir. Les preneurs sont déjà locataires des autres bâtiments donnant sur la rue Ste Hélène auront par conséquence la jouissance exclusive & de la petite cour donnant sur cette rue, des lieux d’aisances & la jouissance commune de la fontaine sauf les droits des autres locataires des autres localités réservées aux propriétaires qui cependant ne pourront pas entraver la jouissance des écoles – avec faculté de proroger pour 3 ou 6 ans, le prix sera porté alors à 400 francs
François Antoine Klenck et Marie Adèle Hortense Rieff vendent leur moitié de la maison au négociant Charles Geoffroi Stromeyer
1837 (31.3.), Strasbourg 12 (143), Me Noetinger n° 9097 – Enregistrement de Strasbourg, acp 249 f° 2 du 3.4.
Jean Frédéric Schmidt, négociant, mandataire de François Antoine Klenck, négociant, et Marie Adèle Hortense Rieff à Mülhausen
à Charles Geoffroi Stromeyer, négociant
la moitié par indivise d’une maison consistant en différents corps de bâtiment et notamment en une grande maison à rez de chaussée et trois étages sur le devant bâtiment latéraux, transversal et de derrière, deux cours, puits, appartenances et dépendances situé à Strasbourg Grand rue n° 125, d’un côté la propriété de M Koebelé, Müller, mercier, Lauth meunier, Stieffel commerçant, Schwind menuisier et Kretschmann luthier, d’autre la propriété de MM Gerard, marchand de vins et Barthel propriétaire, devant la Grand’rue, derrière la rue Ste Hélène où elle a une issue – à Mme Forel propriétaire de l’autre moitié avenu dans le partage anticipé de sa mère Walburge Hortense de Zu Rhein demeurant à Mülhausen, veuve de Pierre Louis Riff, négociant, par devant Me Kanengieser notaire à Dornach le 19 avril 1834, la veuve Riff est devenus propriétaire de la maison dans la succession de son mari à titre d’illations ou remplois, partage précité. Pierre Louis Riff l’a acquis durant le mariage, la majeure partie de la maison acquise de Frédéric Cretin, propriétaire, et de Frédérique Eléonore Schild, par acte Me Lacombe le 28 octobre 1808, les conjoints Cretin ont acquis la partie vendue à M Riff de Nicolas Doron, greffier au Tribunal de Police correctionnelle, par acte Me Bossenius le 16 pluviose 10, au Sr Doron par enchère de Louis Bayard, rentier à Paris, par devant Me Laquiante le 29 fructidor 9, Bayard l’a acquise de Philippe Antoine Ferrier, négociant, et d’Anne Catherine Bérard par acte Me Zimmer le 15 octobre 1793
le Sr Riff a acquis une autre partie de la maison de Jean Daniel Beyer fils, tondeur de draps, Emanuel Frédéric Beyer, étudiant en droit, Elisabeth Frédérique Beyer, majeure, Viola Immortalité et Sophie Concorde Bayer, par acte Me Thurmann le 23 mars 1811 transcrit au bureau des hypothèques volume 60 n° 63, lesdits Beyer l’ont recueilli dans la succession de leur ayeule maternelle Marie Salomé Kost née Pauschinger, inventaire Me Lung le 13 novembre 1787 et hérité l’autre portion de leur mère Frédérique Kast épouse de Jean Daniel Beyer père, tondeur de draps, Me Lung le 2 germinal 9
M. Riff a acquis une dernière partie de la maison de Frédéric Emrich, menuisier, et Jacques et Charles Emrich, par acte Me Thurmann le 21 août 1810 transcrit au bureau des hypothèques volume 57 n° 3, Jacques et Charles Emrich l’a hérité de la succession de leur mère Marie Catherine Brenner épouse de Frédéric, susqualifié, acquis pendant la communauté de l’Administration du Département Bas Rhin le 24 brumaire 6 – Bail au profit de l’Ecole d’enseignement mutuel primée, s.s.p. du 1 octobre 1834 enreg. 7. octobre f° 179 – moyennant 39 000 francs
Charles Geoffroi Stromeyer acquiert l’autre moitié de la maison
1837 (27.4.), Strasbourg 12 (143), Me Noetinger n° 9177 – Enregistrement de Strasbourg, acp 249 f° 66 du 27.4.
Licitation – Louis Lesage, principal clerc de notaire, propriétaire, mandataire de Marie Louise Auguste Rieff épouse de Claude Catherine Michel Adolphe Forel, capitaine en activité demeurant à Rupt [procuration à Remiremont], pour moitié, 2. Charles Geoffroi Stromeyer, négociant propriétaire de l’autre moitié acquis de Me Adèle Hortense Rieff épouse de François Antoine Klenck de Mulhouse par acte Me Noetinger le 31 mars 1837 transcrit au bureau des hypothèques volume 260 n° 338 [sic]
à Charles Geoffroi Stromeyer colicitant
Désignation de la maison à vendre, une maison consistant en différents corps de bâtiment et notamment en une grande maison à rez de chaussée et trois étages sur le devant bâtiment latéraux, transversal et de derrière, deux cours, puits, appartenances et dépendances situé à Strasbourg Grand rue n° 125, d’un côté la propriété de M Koebelé, Müller, mercier, Lauth meunier, Stieffel commerçant, Schwind menuisier et Kretschmann luthier, d’autre la propriété de MM Gerard, marchand de vins et Barthel propriétaire, devant la Grand’rue, derrière la rue Ste Hélène où elle a une issue – à Mme Forel propriétaire de l’autre moitié avenu dans le partage anticipé de sa mère Walburge Hortense de Zu Rhein demeurant à Mülhausen, veuve de Pierre Louis Riff, négociant, par devant Me Kanengieser notaire à Dornach le 19 avril 1834, la veuve Riff est devenus propriétaire de la maison dans la succession de son mari à titre d’illations ou remplois, partage précité. Pierre Louis Riff l’a acquis durant le mariage, la majeure partie de la maison acquise de Frédéric Cretin, propriétaire, et de Frédérique Eléonore Schild, par acte Me Lacombe le 28 octobre 1808, les conjoints Cretin ont acquis la partie vendue à M Riff de Nicolas Doron, greffier au Tribunal de Police correctionnelle, par acte Me Bossenius le 16 pluviose 10, au Sr Doron par enchère de Louis Bayard, rentier à Paris, par devant Me Laquiante le 29 fructidor 9, Bayard l’a acquise de Philippe Antoine Ferrier, négociant, et d’Anne Catherine Bérard par acte Me Zimmer le 15 octobre 1793
le Sr Riff a acquis une autre partie de la maison de Jean Daniel Beyer fils, tondeur de draps, Emanuel Frédéric Beyer, étudiant en droit, Elisabeth Frédérique Beyer, majeure, Viola Immortalité et Sophie Concorde Bayer, par acte Me Thurmann le 23 mars 1811 transcrit au bureau des hypothèques volume 60 n° 63, lesdits Beyer l’ont recueilli dans la succession de leur ayeule maternelle Marie Salomé Kost née Pauschinger, inventaire Me Lung le 13 novembre 1787 et hérité l’autre portion de leur mère Frédérique Kast épouse de Jean Daniel Beyer père, tondeur de draps, Me Lung le 2 germinal 9
M. Riff a acquis une dernière partie de la maison de Frédéric Emrich, menuisier, et Jacques et Charles Emrich, par acte Me Thurmann le 21 août 1810 transcrit au bureau des hypothèques volume 57 n° 3, Jacques et Charles Emrich l’a hérité de la succession de leur mère Marie Catherine Brenner épouse de Frédéric, susqualifié, acquis pendant la communauté de l’Administration du Département Bas Rhin le 24 brumaire 6 – Bail au profit de l’Ecole d’enseignement mutuel primée, s.s.p. du 1 octobre 1834 enreg. 7. octobre f° 179 – mise à prix 76 000 fr – moyennant 78 000 francs
Charles Geoffroi Stromeyer épouse en 1830 Caroline Lobstein
1830 (1.4.), Strasbourg 12 (115), Me Noetinger n° 1938 – Enregistrement de Strasbourg, acp 199 f° 1 du 5.4.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Charles Geoffroy Stromeyer, négociant, fils de feu Jean Geoffroi Stromeyer, négociant, et de Catherine Salomé Schneegans
Caroline Lobstein fille mineure de Jonathan Lobstein, charcutier, et d’Henriette Farny
Rue des Grandes Arcades n° 4 – IV 363 (Blondel), N 884 puis section 60 parcelle 1 (cadastre)
Maison zum Reichenwein, aussi appelée zum Rubenloch (au Trou des navets, voir le manuel de Daniel Martin) puis (1635) auberge zum Weinstock (au Cep de vigne)
Reconstruite entre 1813 et 1817, maître d’ouvrage Jacques Schlagdenhauffen, charpentier
Façade est (Grandes Arcades) , façades nord et est, façades nord et ouest (mars-avril 2014)
L’auberge zum Reichenwein, inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve du fondeur Gaspard Spenner, a un encorbellement à la fois vers la place et vers les Grandes Arcades. Le tonnelier Nicolas Weldt fait remplacer en 1617 des marches en pierre devant sa porte. Le boucher Jean Hammer qui vient d’acheter l’auberge au Cep de vigne, communément dite au Trou des navets, est autorisé en 1636 à remplacer une solive pourrie qui soutient le bas de l’encorbellement pour assurer la stabilité des étages. Devenu aubergiste, il fait agrandir en 1638 le poêle du rez-de-chaussée en construisant un mur à l’aplomb de son encorbellement face aux Grandes Arcades. L’auberge est ensuite exploitée par Jean Fronhœffer puis son fils (1658-1709). Jean Jacques Stempel est autorisé en 1715 à construire à l’aplomb du balcon en bois vers la Tour aux deniers. Il supprime en 1718 l’encorbellement dans la ruelle des Incendiaires et y avance son mur à l’entrée de la ruelle pour le rendre rectiligne. La maison a un rez-de-chaussée et trois étages sur le plan-relief de 1727. L’aubergiste Jean Ehrlenholtz charge en 1763 le maître maçon Jean Frédéric Jæcklin d’aménager une cheminée à la française au deuxième étage vers les Grandes Arcades. Il est autorisé en 1782 à réparer son mur fissuré face aux Grandes Arcades bien que la façade doive reculer d’après les nouveaux alignements. Il fait réparer la corniche du rez-de-chaussée, sauf vers la façade place d’Armes où il est prévu d’avancer la façade occupée par des boutiques. Le charpentier Jacques Schlagdenhauffen achète en 1813 la maison à deux étages et un troisième à galeries. Les experts estiment dans leur rapport que le bâtiment doit être reconstruit, ce que fait l’acquéreur avant de mourir en 1817, comme le mentionne la vente de 1829.
La place des Cordeliers entre les Grandes Arcades à gauche et la rue du Pilot à droite. La maison est la première à gauche (Plan-relief de 1725, Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 1610(Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment neuf à quatre étages. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (d-e) vers les Grandes Arcades comprend cinq arcades au rez-de-chaussée, cinq étages à cinq fenêtres chacun et une toiture à un niveau de lucarnes. La façade (e-f) vers la place a deux arcades au rez-de-chaussée, et deux fenêtres par étage, la façade dans la ruelle quatre fenêtres au rez-de-chaussée et à chacun des niveaux.
La maison porte d’abord le n° 24 du Vieux-Marché-aux-Grains (1784-1857) puis le n° 4 de la rue des Grandes-Arcades.
Parcelle 363 sur le plan Blondel (1765), en jaune les parties à démolir, en rose les parties à construire (AMS, cote 1 PL 675)
Ponts et Chaussées, 1856. La maison n° 24 de Jules Moriceau a 4 étages en pierre, solide, 4 EPS (ADBR, cote 2 SP 52)
La maison appartient au chapelier René Moriceau puis à son fils Jules (1829-1864). Le marchand de rubans Jacques Levy l’achète par adjudication judiciaire. Il fait aménager en 1884 des devantures à volets roulants. Jean Collichan ouvre en 1899 un débit de bière (Wiener Central-Café). Guillaume Stückle exploite à partir de 1903 un café au rez-de-chaussée puis au premier étage (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar, Wiener Café Impérial). Frédéric Sawatzki tient le High Life Bar en 1907. Joseph Fritsch charge en 1909 au nom de la société Kleberplatz Automat (Restaurant en libre service de la place Kleber) l’architecte Gustave Oberthur de transformer le rez-de-chaussée. Hirsch et Laspe tiennent le débit de bière Café Boulevard en 1910, Marthe Gebauer le débit Mascotte, American-Bar au premier étage en 1913), Mathilde Seltzer le café en libre service Princess-Bar (1919) puis Pigalle Bar (1921, 1929).
Edouard Preiser fait aménager en 1925 par les architectes Robert Vœlckel et Charles Wolff un logement au cinquième étage. Il charge en 1928 l’architecte Othon Zacher de transformer les magasins au rez-de-chaussée, les devantures vers la rue Frédéric Piton et le logement au sixième étage.
Plan du rez-de-chaussée (1902, Gustave Oberthur), arcades (AMS dossier 802 W 6)
Frise, corniche du quatrième étage (avril 2024)
Enseigne Café Boulevard, 1910 (dessin aquarellé, dossier de la Police du Bâtiment)
Carte postale, 1935, publiée sur Archi-wiki
avril 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
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Gaspard Spenner, fondeur de pichets, et (1563) Appolonie Keffer – luthériens |
1607 |
h |
Georges Spener, débitant de vin, et (1604) Ursule Stich – luthériens |
1612 |
v |
Raoul Schott, tonnelier, et (1613) Elisabeth Griesbach – luthériens |
1614 |
v |
Nicolas Weldt, tonnelier, et (1611) Marie Silberrad – luthériens |
1635 |
v |
Jean Hammerer, boucher puis aubergiste, et (1624) Marie Kress puis (1640) Barbe Kallhart, remariée (1645) avec Philippe Jacques Zittelin, sellier – luthériens |
1658 |
v |
Jean Fronhœffer, aubergiste, et (1651) Ursule Wunderer – luthériens |
1686 |
h |
Jean Fronhœffer, fondeur, aubergiste, et (1681) Anne Marie Rupp, remariée (1695) avec Tobie Stædel, marchand – luthériens |
1709 |
v |
Jean Jacques Stempel, aubergiste, et (1688) Marie Susanne Kellermann – réformé et luthérienne |
1733 |
h |
Jean Jacques Stempel, aubergiste, et (1711) Marie Barbe Fischer – luthériens |
1746 |
h |
Jean Ehrlenholtz, aubergiste, et (1746) Susanne Jacqueline Stempel – luthériens |
1793 |
h |
Jean Ehrlenholtz, marchand, et (1769) Anne Ursule Dietsch – luthériens |
1813 |
v |
Jacques Schlagdenhauffen, charpentier architecte, et (1800) Marguerite Elisabeth Haas puis (1805) Marguerite Barbe Mühlschlegel, puis (1825) la veuve |
1827 |
h |
Frédéric (Jacques) Schlagdenhauffen, charpentier architecte, et (1827) Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin |
1829 |
v |
René Moriceau, chapelier, et (1811) Madeleine Marie Antoinette Kleybler |
1864 |
h |
(François René) Jules Moriceau, chapelier, et (1841) Marie Ursule Henriette Adèle Debray |
1868 |
adj |
Jacques Levy, négociant, et (1844) Hanna (Henriette) Straus |
1900 |
h |
(indivision) Ernest Paul Levy, négociant, et (1876) Ida Weil
Adolphe Rueff, docteur en médecine, et (1891) Jeanne Caroline Levy
|
1933* |
v |
Eugène Antoine Preiser, négociant, et copropriétaires
|
1937* |
v |
Brasserie du Pêcheur, société anonyme
|
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2200 livres en 1733, 2800 livres en 1743
(1765, Liste Blondel) IV 363, Jean Erlenholtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ehrlenholtz, 17 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 884, Moriceau, René, charpentier – maison, sol – 1 are
Locations
1592, Ulric Schenck, farinier
1598, 1599, Thiébaut Hirsch, mesureur de vin
1613, Abraham Hendlé, revendeur
1645, 1648, Thomas Schwebel, aubergiste
1651, Jean Fronhœffer, aubergiste
1697, 1706, Jean Jacques Stempel, aubergiste
1788, Jean Daniel Busch, aubergiste
1794, Chrétien Laemmermann, aubergiste, et Marguerite Barbe Gerold
1799, Antoine Meixel, de Bühl en Bade
1808, Jean Steinhelber, aubergiste, et Catherine Salomé Strintz
1814, 1825, René Moriceau, chapelier
1834, (magasin) Moïse Bloch et Simon Katz
1867, (magasin) frères Levy
1867, 1879 (magasin) Victor Weiser, horloger
1884, Victor Geyer et Compagnie (mercerie et jouets)
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 142-v
La veuve du fondeur de pichets règle deux livres 9 sols 6 deniers pour sa maison dite zum Reichenwein sur la place près du puits, à savoir en haut du bâtiment une avance (25 pieds de long, saillie de 3 pieds ½) devant laquelle se trouve un auvent (même longueur, saillie de deux pieds),
item, de l’angle vers la maison des subhastations, en haut du bâtiment aussi une avance (39 pieds de long, saillie de 4 pieds ½) devant laquelle se trouve un auvent (même longueur, saillie de 3 pieds ½), trois gradins en pierre (39 pieds de long, saillie de 7 pieds ½) sur lesquels se trouve une porte de cave (5 pieds de large, saillie de 7 pieds ½), item un soupirail horizontal (1 pied ½ de long, 1 pied de large), un étal de revendeur (12 pieds 9 pouces de long, saillie de 7 pieds ½), un étal d’exposition (19 pieds de long en biseau, 20 pouces de large) au-dessus duquel se trouve une boutique (7 pieds ½ de long, 3 pieds 2 pouces de large)
Am Eck ane dem Barfüsser Platz beÿ dem brunnen an, Vnd dem Ganthauß der Zunfft Stuben Zur Lutzernen Zugemessen
Caspar Spenners des Kandtengiessers Wittwe, hatt vor Irem hauß Zum Reichenwein genandt gegen dem Blatz vnd Beÿ Brunnen Oben ein vstoß 25. schu lang vnd 3 ½ schu herauß, daruor ein Wettertach auch so lang vnd 2 schu herauß, Item mehr vornen Von dem Eckh ahn gegen dem Ganthauß Zu, auch oben ein Vsstoß 39 schu lang vnd 4 ½ schu herauß, Daruor ein Wettertach 39 schu lang vnd 3 ½ schu herauß, Dreÿ besetzte Tritt 39 schu lang, vnd 7 ½ schu herauß, Darauff ein Kellerthüer 7 ½ herauß vnd 5 schu breit, Mehr ein ligendt Kellerfenster 1 ½ schu lang, vnd i schu breit, Item ein Grempen Banckh 12 schu 9 Zoll lang vnd 7 ½ schu herauß, Mehr ein Vssatz banckh 18 schu lang In die schrage, vnd 20 Zoll breÿt, Mehr darauff ein Laden 7 ½ schu lang, vndt 2 schu 2 Zoll breit, Bessert & ij lb ix ß vj d
1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 391
Jean Fronhœfer, auparavant Jean Régnard Gress doit au nom de ses pupilles 1 livre pour un terrain communal enclos au Cep de vigne
Johann Frönhöffer Zuuor
Herr Johann Reinhard Greß, Fünf Zehner, Soll gemeiner Statt, alß vogt, Vom eingezeünten Allmend zum Weinstock, Jahrs vf Petri et Pauli, 1 lb d
New fol. 331
(Quittungen 1658-1671)
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 331
Même loyer dans le registre suivant auquel s’ajoute à partir de 1694 un autre pour la clôture d’une venelle communale dans la ruelle du Trou aux navets (dans laquelle donne l’écurie). Le loyer est ensuite dû par Jean Jacques Stempel
Johann Frönhöffer(s W.) Soll vom eingezaünten Allmend zum Weinstockh, vff Petri Pauli, 1 lb
St. Zinßb. p. 391
Jetzt Joh: Jacob Stempel 742
(Quittungen 1676-1694)
Ferner von Verschließung eines allmendgäßleins in dem rubenloch gäßlein, jahrs auff Martini und A° 1695. i° l. Pr. 1694. fol: 89, 2 ß 6 d
(Quittungen 1695-1742)
Neuzb fol 232-b
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 232-b
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant. S’y ajoutent deux nouveaux loyers pour des étaux devant la maison. Le contribuable suivant est Jean Erlenholtz, aubergiste au Trou des navets.
alzb. 231
Johann Jacob Stempel soll vom eingezogenen Allmend Zum Weinstock auf Petri et Pauli, id est 29. Junii,1 lb
Ferner von Verschließung eines Allmend Gäßleins in dem Rubenloch gäßlein, Jahres auf Martini, id est 11. Nov., 2 ß 6 d
alzb. 702
Ferner von einem platz Zu einem platz Zu einem Stand an seinem Haus Jahres auff Adolphi (id est 29. Dec:) Jahrs auf Adolphi, 1 lb 10 ß
Ferner von einem äußeren platz Zu einem standt neben obigen Jars auf ann. Mariæ 1 lb
(Quittungen 1741-an 10)
Johannes Erlenholtz Würth im Rubenloch / Johannes Erlenholtz jun.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1617, Préposés au bâtiment (VII 1332)
Le chef des travaux rapporte que son gendre Nicolas Weldt, au Trou des navets, a devant sa porte de larges marches en pierre difficiles à descendre sous lesquelles se trouve une porte de cave. Il est autorisé (à les remplacer) sans empiéter davantage sur le communal
(f° 168) Sambstag den 18.ten octob. Der Statt lohner gerechtt – Niclaus Weldt
Sagt Niclaus Weldt sein docht.man Im Ruobenloch hab braite stafflen vor seiner haußthier, so mit steinen besetzt seindt seÿen gar böß herab Zugeh, seie ein kellerlein darunder so sein Eigenthumb wolte nit weiter herauß dan albereit Ist, Ist Ime willfahrt.
1636, Préposés au bâtiment (VII 1346)
Le boucher Jean Hammer qui vient d’acheter l’auberge au Cep de vigne communément dite au Trou des navets est autorisé à remplacer une solive pourrie qui soutient le bas de l’encorbellement pour assurer la stabilité des étages.
(f° 13-v) Montags den 4. Aprilis. Augenschein Ingenommen – Umb ein Newen dür Zug Zum Rubenloch Weinstock
Vff Instendig anhalt. Hanß Hammerß deß Metzigers In Seiner Erkaufften herberg Zum Weinstock an Barfüßerplatz gemeiniglich Zum Rubenloch genant, In der Undern Stuben, da der Mittler durch Zug, welcher sich hienauß vberß Allmendt vnder den Vberhang 3 ½ schuh erstreckt, theils verfault, theils gantz entzweÿ geschnitten, vnd Er auß noth, damit* daß gedritt* vnd gantze vbergebeuw desto beßere habung ein gantzen *en Balcken ein Zihen muß, Bitt vmb erlaubnuß.
Erkant, dergestalt bewilligt, daß er beÿ den 3 ½ schuh vberß Allmend bleibe vnd also den Newen durchzug weitter nicht Alß der Alt sowie auch der vberhang sich ietz befund. erstrecke, will Er thun. Fiat.
1638, Préposés au bâtiment (VII 1347)
Jean Hammer, aubergiste au Cep de vigne, est autorisé à agrandir le poêle du rez-de-chaussée en construisant un mur à l’aplomb de son encorbellement du côté qui mène au poêle des Pelletiers, à condition de régler un droit annuel d’une livre. L’empiétement a 37 pieds de long et 4 pieds ½ de large.
(f° 17-v) Freÿtag den 20. April. folgende Augenschein eingenommen word. – Hannß Hammer würth Zum weinstock wegen underfahrung seines überhangs
1. Beÿ Hannß Hammern, würth Zum Rubenloch, welcher eingebracht, were gewillt, die vndere stub in seiner behausung Zu erweitern, wolt Zu dem end vff der seiten gegen dem Kürschner Zu, vnden mit einer Mauren oder gebel, so weit alß der überhang herauß gehet, vff fahren & hatt nach des Werckmeisters, wie auch sein des würths bestellter baw leuth abgemeßen, vnd blayen* sich befunden, das in der länge 37. schuh vnd in der breite 4 vnd ½ schueh herauß gefahren wörde. Erkandt, vff dem pfenningth. nechster tag davon geredt werden.
(f° 19) Zinstag den 24. April. 5. Von denen am verschinen Freÿtag eingenommener, vnd hieob. fol. 177. befindlichen Augenscheinen geredt. – Hannß Hammer würth Zum weinstock
1. wegen Hannß Hammers würths Zum Rubenloch vnd deßen begehren Erkanndt, solle beÿm Zinnßmeister bericht eingezogen werden, ob nicht Er der würth von seinem überhang Zinß gebe, und dahero der platz, den Er vnderfahren wolte, Allmendt, alß dann ferner davon geredt werden.
[in margine :] Ist d. platz eigen, nach des Zinsmeisters bericht.
(f° 29) Freÿtag den 29. Junÿ – Hannß Hammer würth Zum weinstock wegen underfahrung seines überhangs
5. Hannß Hammers, würths Zum weinstock geschefft so hieob fol. 17 et 19. eingebracht, endtlich außgemacht, vnnd Erkandt, das Ihme gegen reichung 1 lb d Jährliches Zinnß, den überhang an seiner behausung vff maß unnd weiß wie dort fol. 17. verzeichnet, Zu vnderfahren erlaubt vnnd Zugelaßen sein solle. Ist der Augenscheins costen vff 30 ß gesetzt. dt.
1671, Préposés au bâtiment (VII 1362)
Jean Fronhoffer loue la maison qui avait appartenu à Philippe Flekchammer derrière le poêle des subhastations à condition de quitter les lieux en cas de vente
(f° 61-v) Dinstags den 11. Eiusdem [Julÿ] – Fronhoffer, Hauß Zinnß
Johann Fronhoffer dem Würth Zum Reebstock würd d. hauß hinder dem Ganthauß bei der Kürschner Zunfftstuben, so Zuvor hanß Phillip Fleckhammer vmb gewissen Zinnß beseßen vff 3. Jahrlang verliehen, vmb 15. lb. d. Jährlich. Zinnßes vff Joh. Bapt: 1675. 1° Zuerlegen mit condition, wann solches verkaufft werden solte, Er schuldig sein solle einer solcher Lehnungs Zeit Zuweichen.
1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Jean Jacques Stempel, aubergiste au Cep de vigne, est autorisé à construire à l’aplomb du balcon en bois vers la Tour aux deniers.
(f° 237) Donnerstags den 28. 9.bris 1715 – Johann Jacob Stempel pt° bawens
Johann Jacob Stempel, der Würth Zum Weinstock berichtet Mghh. daß Er gesinnet seÿe, Seine behausung auf der seithen gegen dem Pfenningthurn wo oben ein höltzerner Gang ist, untermauren Zulaßen, bittet derweg. umb einen Augenschein. Erk. mit gebettenem Aug.schein willfahrt.
1718, Préposés au bâtiment (VII 1388)
Les préposés autorisent Jean Jacques Stempel à supprimer l’encorbellement (32 pieds de long, 2 pieds 9 pouces de large) dans la ruelle des Incendiaires dite Trou des navets et à avancer à l’angle son mur d’un pied 9 pouces pour le rendre rectiligne. La ruelle a 10 pieds à son entrée et treize plus loin.
(f° 54-v) Dienstags den 10. Maÿ 1718. – Herr Joh: Jacob Stempel pt° bawens
Augenschein eingenommen an Herrn Johann Jacob Stempels, des Würths Zum Weinstock in dem Fewergäßlein vulgo Rubenloch gäßlein genannt gelegenen Hinter Hauß, an welchem Er einen Überhang 32 schuhe lang und 2. schuhe 9 zoll breit hatt, welchen Er hinweg brechen und unden auff der erden die er diesem hauß stehende Maur Zehen schuhe in der länge und oben am eck 1. schuhe 9 Zoll in der breite auff das allmend herauß rucken laßen, vmb solche in ein grade lini Zu bringen gesinnet ist, und deßwegen umb erlaubnus angesucht hatt. Erk. Gebettener maßen willfahrt, weilen das gäßlein vornen in dem eingang 10. und an diesem Hauß 13. schuhe breit ist.
1727, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Les préposés délivrent un extrait de leur décision de 1718.
(f° 133-v) 28.1. H. Johann Jacob Stempel wegen Extractus Protocolli
H. Johann Jacob Stempel der Rubenloch Würth ersucht MGHh umb einen Extractum Protocolli, wie er A° 1718. als er sein Hauß in dem feür: od. Rubenloch gäßel Bawen laßen beÿ MGHh sich angemeldet, und mit dero Erlaubnus Gebawen. Erkannt Kan jhme solcher Expediret werden. Vid. Prot: de A° 1718 fol: 54.
1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
L’aubergiste Jean Erlenholtz est autorisé à réparer son mur fissuré près de la boulangerie (rue des Grandes Arcades). Comme le pétitionnaire n’a pas l’intention de reconstruire sa maison, les préposés autorisent les travaux bien que la façade doive reculer d’après les nouveaux alignements.
(f° 147-v) Dienstags den 1. Octobris 1782. – Joh: Erlenholtz, Gastgeber
Idem [Hr Lingenhölin, der Maurer] nôe Johannes Erlenholtz des Gastgebers Zum Reebstöckel am Rubenloch bittet zu erlauben an der vorstehenden Maur neben dem Beckenhaus das Eck unterfangen Zu laßen. Erkannt, Augenschein.
(f° 149) Dienstags den 1. Octobris 1782. Hierauf haben Meine Gnädige Herren geruhet folgende Augenschein ein zu nehmen. – Joh: Erlenholtz, Gastgeber
An Johannes Erlenholtz, des Gastgebers behausung Zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, welcher die auf Seiten des Beckenhaus vorstehende schadhafte Maur möchte unterfangen laßen, wobeÿ sich befunden, daß besagte Maur von oben herab einen starcken Riß hat, und nicht nur diese vorstehende Maur, sondern die behausung selbsten auf dieser vorder Seite dem Alignement nach Zurück gesetzt werden solle, weilen aber der Implorant nicht willens Zu bauen, in Ansehung der Maur aber Unglück Zu beförchten, als wurde Erkannt, Seÿe dem Implorant Zu erlauben besagte Maur soweit dieselbe schadhaft sich befindet abzubrechen, ohne die geringste Ausbeßer: oder Verwerfung sodann bis auff weitere Ordre daran machen Zu maßen.
1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Lingenhœlin demande l’autorisation de réparer le mur vers la boulangerie à l’Ecrevisse. Les préposés le renvoient à leur décision prédécente.
(f° 381) Dienstags den 18. Novembris 1783. – Joh: Ehrlenholtz, Gastgeber
Herr Lingenhölin, der Maurer, nôe Herrn Johannes Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Behausung zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, am Eck gegen dem Krebsbecken ausbeßern Zu laßen. Erkannt, Seie der Implorant mit seinem Begehren ab: und an die Erkanntnus de 1. Octobris 1782. verwiesen.
1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Erlenholtz à réparer et à recrépir le mur vers la boulangerie à l’Ecrevisse.
(f° 107-v) Dienstags den 25. Maji 1784. – Hr Joh. Erlenholtz, Gastgeber
Herr Lingenhölin, der Maurer, nôe Hrn. Johann Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Behausung zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, am Eck gegen dem Krebsbecken haus, die Maur abschroten und als dann wieder ausbeßern und mit Mörtek bestechen Zu laßen. Erkannt, Unter dem Herrn Bau Inspector Boudhors Obsicht Zu machen willfahrt.
1786, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Erlenholtz à réparer le crépi dans la ruelle.
(f° 132-v) Dienstags den 8. Augusti 1784. – Johann Erlenholtz, Gastgeber
Item [Herr Lingenhölin, der Maurer], nôe Johann Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Gast Behausung zum Rubenloch in dem Gäßel untenher den Bestich repariren Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Ehrlenholtz à réparer et à crépir la corniche du rez-de-chaussée, sauf vers la façade place d’Armes où la façade occupée par des boutiques devra être ravancée.
(f° 293-v) Dienstags den 23. Junii 1789. – H. Rathh. Johann Ehrlenholtz pt° Kreuzstöck
H. Lingenhölin der Maurer nahmens H. Rathh. Johann Ehrlenholtz bittet gehorsamst um erlaubnus in deßen auf dem parade platz gelegenen behaußung in der gegen dem pfalgäßlein befindlichen Façade zwei Kreuzstöck einsetzen Zu dörffen. Erkannt, willfahrt
pt° bestich am Rubenloch – Idem nomine Ejusdem bittet gehorsamst um erlaubnus an deßen daselbst gelegenen Zum Rubenloch genannten gast behaußung unten an dem boden das gesims ausbeßern und mit Mörtel bestechen Zu dörffen, da nun bemerckt worden, daß das haus quæstionis von vornen gegen dem parade platz vorrücken muß, dieses theil aber größeste theils mit gädlein verdeckt. Erkannt, auf beÿden seiten gegen der gewerbslaub und Rubenlochgäßlein willfahrt, jedannoch daß das der vorter theil gegen dem place d’armes nicht berührt werde.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon (Jean Frédéric) Jæcklin expose les travaux à faire chez Jean Ehrlenholtz, aubergiste au Trou des navets : aménager une cheminée à la française au deuxième étage vers les Grandes Arcades.
(p. 12) Freÿtags den 8.ten Julii 1763. – Johannes Ehrlenholtz der burger und Gastgeber Zum Rubenloch will in seiner sogenannten Gast behaußung im Zweÿten stock gegen der Gewerbs laub über rechter hans ein frantzösisch Camin setzen, mit einem gewölb wohl versehen, das rohr am steinern Gäbel in ein altes dermalen befindliches Camin Rohr hinein führen von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt. Mstr. Jäcklin.
Protocole des Quinze
1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
Les Quinze autorisent Jean Jacques Stempel à exploiter l’auberge au Cep de vigne qu’il vient de louer, à condition de supprimer la cave accessoire.
(f° 220) Sambstags den 3. Xbris – Hannß Jacob Stempel d. Würth Zum Weinstock, per Künast, berichtet, daß er ohnlängst die Würtheÿ allda angenommen habe, bitt undth. mit aldasigem schanck gn. zu willfahren. Erk. weilen Implorant ein würth ist, Und wied. jnn ein würthshauß Ziehet, auch Versprochen den Nebens Keller abzuschaffen, als soll ihme jnn seinem begehren willfahrt seÿn.
1701, Protocole des Quinze (2 R 105)
Jean Jacques Stempel demande l’autorisation d’avoir une cave accessoire
(f° 379) Sambstags den 5. Novembr. 1701 – K. noîe Johann Jacob Stempffels des würths zum Weinstockh, der bittet vnderth. umb Gnädige erlaubnus einen Nebens Keller zu halten, weilen das Gasthaus eng vndt der vorige Würth allezeit auch einen Gehabt habe. Erkandt, an die Oberen Ungelts Hh. Gewießen
(f° 412) Freÿtags den 9.ten Decembris 1701 – Daniel Schweighaüßern Johann Jacob Stempel und Georg Fischer umb Ein nebens Keller
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
304 Hans Jacob Stempel pt° Nebens Keller
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
176 Joh: Jacob Stempel pt° Nebenskeller
1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
(f° 291-v) Sambstags den 13.ten Decembris 1710. – Kun. noîe Johann Jacob Stempfel, burgers vndt gastgebers zum Weinstock producirt vnderth. Supplication handelt innhalts. Erk. ahne die Obere Ungelts herren gewiesen
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(f° 551) Sambstag d. 20. Novembris 1717 – Goll nôe Johann Jacob Stentzels Gastgebers Zum Weinstock, Weil nun der Wein, umb einen billichen preiß einzukauffen seind, alß seÿe er Willens 100. Ohmen Underländer anzulauffen, bitt Unterthänig solche in seines Sohns hauß einzulegen gnädig zu erlauben undt setzes. Erkandt, Obere Ungelt Herren.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
2289 Johann Jacob Stempel pt° Nebenskeller
1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Jean Jacques Stempel qui tient depuis treize ans l’auberge au Saumon est autorisé à exploiter l’auberge au Cep de vigne
Johann Jacob Stempffel Würths Zum Salmen, Weinschanck Zum Weinstockh
Joh: Carl Stempffel, Weinschanck Zum Salmen
(p. 357) Sambstag d. 16. Sept. 1724. – Moss. nôe Johann Jacob Stempffel des burgers und Würths der bitt umb den Weinschanckh Zum Salmen allhier. Erk. Ober Ungelt Herren
(p. 365) Sambstag d. 23. Sept. 1724. – Johann Jacob Stempffel pt° Weinschancks
Obere Ungelt Herren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß referiren, daß Johann Jacob Stempffel der burger und hiesige Würth Zum Salmen umb den Weinschanckh Zum Weinstock angesuchet und beÿ gebetten und placidirter Deputation beÿgesetzt habe, daß er die Würtheÿ schon dreÿzehen Jahr in ged. Würths hauß Zum Salmen hier getrieben habe, undt daß sein Vatter der bißherige Würth Zum Weinstock gebrechlichkeit und alters halben die Würtheÿ auffheben wolle, Weilen nun dieses ein altes Würths hauß, und der Implorant ein alter würth, alß Vermeine man daß demselben in seinem begehren Zu willfahren sein werde. Erkandt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, la salle de débit, cuisines, vestibule, cave sous solives, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4400 florins
- 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à droite au rez-de-chaussée la salle de débit et le vestibule, à gauche la cuisine et une cave sous solives, au premier étage deux poêles, un bureau à cloisons en lattes et un vestibule, au deuxième étage un poêle, quatre chambres et vestibule, sous les combles cinq vieilles pièces au-dessus desquelles se trouvent deux greniers non dallés et un pignon en bois, item une vieille écurie dans la ruelle (…) le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 5600 florins
- 1813 (rapport d’experts)
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades
nouveau N° / ancien N° : 61 / 24
Moriceau
Rez de chaussée et 4 étages neufs en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 case 2
Moriceau, René à Strasbourg
N 884, maison, sol, vieux marché aux grains 24
Contenance : 1 ;00
Revenu total : 540,52 (540 et 0,52)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 31 / 25
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1020 case 1
Moriceau, René
1866 Moriceau François René Jules, chapelier à Strasbourg
1869 Levu, Jacques, marchand de rubans
1901 Levy Ernst Paul, Kaufmann und Rueff Adolph Ehefrau Jean Karoline geb. Levy in Paris
(ancien f° 868)
N 884, maison, sol, Rue des Grandes arcades 4
Contenance : 1
Revenu total : 540,52 (540 et 0,52)
Folio de provenance : (255)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 31 / 25
Cadastre allemand, registre 32 folio 383 case 1
Parcelle, section 60 n° 1 – autrefois N 884
Canton : An den Gewerbslauben Hs N° 4
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,09
Revenu : 8000 – 13.500
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1937), compte 2799
Levy Ernst Paul u. Rueff Adolf Ehefrau
1933 Preiser Eugène Antoine négociant pour 2/18 et copropriétaires
rayé 1937
(Propriétaire à partir de l’exercice 1937), compte 77
Bierbrauerei zum Fischer A. G. Schiltigheim
1927 Brasserie du Pêcheur J. Ehrhard
1931 Brasserie du Pêcheur société anonyme
(91) corrigé en (115)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 124 près le poële des Pelletiers p. 157
24
Prop. Ehrlenholtz, Jean, Place d’Armes
Loc. Busch, Jean Daniel, aubergiste – Fribourg
Loc. Roethel, Jean, ancien aubergiste – Fribourg
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
An den Gewerbslauben (Seite 47)
(Haus Nr.) 4
Hirsch, Zigarrenhandlg. 0
Stücklen’s Bierquelle. 0
Stücklen’s Wiener Café. 1
Hurst. Zahntechniker. 23
Carrière. Verkäuferin. 4.
Annuaire d’adresses, 1900, p. 53.
Johann Collichan, Wirth, Kaffee- u. Stehbierhalle, Alter Fischmarkt 6 und Gewerbslauben 4, Ecke Kleberplatz
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 6)
Rue des Grandes Arcades n° 4, (volume 1, 1868-1934)
Le propriétaire Levy fait aménager en 1884 des devantures à volets roulants. Le sieur Collischan ouvre en 1899 un débit de bière (Colischan’s Wiener Central-Café) dans les locaux précédemment occupés par le débitant de tabac Henri Hirsch : il charge l’entrepreneur A. Bürkmann d’aménager des lieux d’aisance au rez-de-chaussée et d’ouvrir des fenêtres et une porte dans la ruelle des Incendiaires puis demande en 1901 l’autorisation de mettre en communication le bar et les lieux d’aisances qui dépendent du magasin de cigares Hirsch ruelle des Incendiaires.
Guillaume Stückle est autorisé en 1903 à exploiter un café au rez-de-chaussée puis au premier étage (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar im Parterre, Wiener Café Impérial im 1.ten Stock).
Le marchand de cigares Hirsch fait poser une vitrine en 1907. Frédéric Sawatzki tient le High Life Bar la même année.
Joseph Fritsch charge en 1909 au nom de la société Kleberplatz Automat (Restaurant en libre service de la place Kleber) l’architecte Gustave Oberthur de transformer le rez-de-chaussée. Les solives centrales du rez-de-chaussée ainsi que les piliers en fer et en briques sont remplacées par de nouvelles.
Hirsch et Laspe tiennent le débit de bière Café Boulevard en 1910. Marthe Gebauer reprend en 1913 le débit de boissons (Mascotte, American-Bar au premier étage). Wanda Remus exploite le débit de boissons en 1918, Mathilde Seltzer le café en libre service Princess-Bar (1919) puis Pigalle Bar (1921, 1929)
L’atelier du photographe Guillaume Lipsky exploité par Rose Klein (atelier de photographie Mercure) se trouve au rez-de-chaussée en 1915. Il occupe ensuite les locaux où se trouvaient en 1913 l’Agence du logement (Wohnungs-Zentrale) puis en 1918 coiffeur pour dames Charles Klœpfer (Photos Mercure 1925, 1927).
Edouard Preiser fait aménager en 1925 par les architectes R. Vœlckel et Ch. Wolff un logement au cinquième étage. Il charge en 1928 l’architecte O. Zacher de transformer les magasins au rez-de-chaussée, d’aménager des devantures vers la rue Frédéric Piton et une nouvelle entrée, de modifier le logement au sixième étage bien que le règlement n’admette que cinq étages habitables. La réception finale a lieu en janvier 1930. Les mêmes font poser en 1929 huit socles pour devantures.
La Maison du Café demande en 1934 l’autorisation de poser une enseigne lumineuse sur la marquise de l’établissement Le Zinc.
Sommaire
- 1868 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Levy que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs dans la rue des Incendiaires
- 1884 – Marc Sœhne demande l’autorisation de poser une enseigne au 3, place Kleber – Nouvelle demande sur papier timbré – Le maire délivre l’autorisation que le commissaire de police ratifie (la maison bordant la rue des Grandes Arcades, route nationale)
- 1884 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le sieur Levy demande l’autorisation d’aménager des devantures à volets roulants dont les caissons dépassent de 42 centimètres sur la voie publique alors que la saillie maximale est de 30 centimètres. – Dessin de l’architecte E. Salomon
La devanture et les volets roulants sont posés mais dépassent de 45 centimètres de la façade, mars 1885 – Décompte des droits
NB manque l’autorisation
- 1890 – Le maire notifie la veuve Levy de faire ravaler la façade du 4, rue des Grandes-Arcades – Travaux terminés, octobre 1890.
- 1898 – Le sieur Riedel (demeurant 5, rue de la Toussaint) demande l’autorisation de poser une vitrine pour y présenter des extraits du Journal Bürger Zeitung – Autorisation pour la vitrine déjà posée, soumise à un droit annuel de 1,20 mark.
- 1899 – L’entrepreneur de construction A. Bürkmann (62, route du Polygone au Neudorf) demande au nom du sieur Collichan l’autorisation d’aménager des lieux d’aisance au rez-de-chaussée et d’ouvrir des fenêtres et une porte dans la ruelle des Incendiaires – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1899 – Dessin – Droits réglés pour une porte, une fenêtre et un soupirail
1899 (juin) – Dossier ouvert suite à la demande du sieur Collichan d’aménager un débit de bière – La Police du Bâtiment relate que la hauteur du local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 et que les lieux d’aisances sont en travaux
1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate qu’une lampe électrique a été posée sans autorisation. Courrier au sieur Küntzler (11, place de la Cathédrale) – La lampe du débit de bière a été supprimée, novembre 1899.
- 1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le dentiste Hurst a posé sans autorisation une vitrine – Demande – Autorisation. La vitrine est retirée chaque soir
1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le Journal Bürger Zeitung a posé sans autorisation une lampe électrique – Les frères Riedel, imprimeurs, demandent l’autorisation au nom du Journal de Strasbourg (Strassburger Bürger-Zeitung) – Autorisation
- 1899 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que le débitant de bière Collischan a posé sans autorisation un petit store – L’enquête montre que l’objet a été posé par son prédécesseur, le débitant de tabac Hirsch. Le dossier est classé.
- 1899 (décembre) – Henri Hirsch demande l’autorisation de poser une enseigne à double face contre le mur (croquis). La Police du Bâtiment demande qu’elle soit rehaussée à la hauteur réglementaire de trois mètres – Autorisation
- 1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que la Compagnie d’électricité (Elektricitäts Gesellschaft) a posé sans autorisation une enseigne plate. La société répond qu’elle n’est pas en cause. L’enseigne a été posée par la filiale d’Hélios, société anonyme d’électricité domiciliée à Cologne, dont le gérant est Feller – Demande – Autorisation de poser une enseigne au balcon du deuxième étage
- 1900 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le débitant de bière Collischan a posé sans autorisation une lampe électrique – Demande sur papier à lettre du Café central viennois Collischan (Colischan’s Wiener Central-Café, 6, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons) – Autorisation
- 1901 (novembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le débitant de bière Collischan demande l’autorisation de mettre en communication le bar et les lieux d’aisances qui dépendent du magasin de cigares Hirsch ruelle des Incendiaires pour éviter aux clients de traverser la rue. – Rapport de l’architecte municipal Nebelung
- 1903 – L’entrepreneur E. Matter (Boulevard de Schirmeck à l’angle de la rue de La Broque) demande au nom de la société Hélios l’autorisation d’occuper la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire
- 1903 – Eugène Braun (9, rue du Dôme) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au quatrième étage du débit de bière – Autorisation. Les droits sont à mettre au compte de la société coopérative L. Ungemach, rue Marbach (Elsässische Konsum- und Import gesellschaft L. Ungemach) – L’objet est posé, novembre 1903
- 1903 (mars) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II-a. W. Stückle demande l’autorisation d’exploiter un café – Le local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 mais la hauteur est de 3,20 mètres au lieu de 3,50 mètres. Les lieux d’aisance devront être réaménagés et raccordés aux canalisations municipales.
1903 (décembre) – Idem, le pétitionnaire servira du café, du thé et du chocolat. Les lieux d’aisance correspondent à la description fournie au mois d’avril précédent. – Même réponse au commissaire de police
- 1903 (octobre) – L’entrepreneur de construction Charles Ahrendt demande l’autorisation de supprimer une cloison au premier étage du bâtiment qui appartient au sieur Levy – Autorisation – La cloison est supprimée, les plâtriers et les peintres travaillent, décembre 1903. Travaux terminés, janvier 1904. – Dessin du rez-de-chaussée et du premier étage, coupe
- 1904 (février) – Le maître ferblantier H. Lœb (6, rue Saltzmann) demande l’autorisation d’occuper la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
1904 (avril) – Les frères Levy (peintres, 140, Grand rue) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique le long des trois façades – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
- 1904 (mai) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. W. Stückle demande l’autorisation d’exploiter un café au premier étage. Le commissaire de police demande si les travaux ont été faits. La porte vers la rue des Incendiaires n’est pas encore murée, les lieux d’aisance ne sont pas encore peints.
1904 (juin) – W. C. Stücklen demande sur papier à lettres (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar im Parterre, Ausschank von 7 Sorten bier, Hamburger Büffet – Wiener Café Impérial im 1.ten Stock, Billard, Tag und Nacht geöffnet) demande l’autorisation de poser une lampe électrique et déclare que le grand store a été supprimé – La lampe à 2,80 mètres du sol doit être rehaussée à au moins trois mètres – Autorisation – L’objet est réglementaire
1904 (décembre) – Les peintres sur verre Ott demandent au nom du Café viennois et du débit de bière l’autorisation de poser une lanterne. Croquis et dessin (la lampe se trouve à l’angle de la place et des Grandes Arcades) – Autorisation – La lampe est posée, janvier 1905.
- 1905 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II-a. Guillaume Stückle demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons au premier étage – Le local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 mais la hauteur est de 3,20 mètres au lieu de 3,50 mètres. Les lieux d’aisance se trouvent au rez-de-chaussée
- 1905 (septembre) – Guillaume Stückle demande l’autorisation de poser une double enseigne (libellé, Aufgang zum Wiener Café – Montée du café viennois). Croquis – Autorisation
- 1906 – Auguste Schuler (Strassburger Kunstanstalt – établissement Strasbourg d’art, peinture sur verre, enseignes sur verre, mosaïques, rue du soleil) demande au nom du marchand de cigares Hirsch l’autorisation de peindre une enseigne plate (4,20 sur 0,50 mètres) sur le volet roulant – Autorisation
- 1906 (octobre) – Dossier ouvert suite à une plainte de J. Hurst. Les cabinets d’aisance du débit au rez-de-chaussée et ceux du premier étage servent aussi aux locataires.
- 1907 – Le marchand de cigares Henri Hirsch demande l’autorisation de poser une vitrine (115 sur 50 centimètres, profondeur 10 centimètres) – Autorisation, ratifiée par le directeur de l’octroi.
- 1907 (novembre) – Frédéric Sawatzki qui tient le High Life Bar au premier étage demande l’autorisation de poser deux lampes, l’une au premier étage vers la place et l’autre au-dessus de la porte d’entrée rue des Grandes Arcades. Croquis – Autorisation – Les objets sont posés, décembre
- 1908 (juin) – Auguste Schuler (Strassburger Kunstanstalt – établissement Strasbourg d’art) et Henri Hirsch demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage est retiré, juillet
- 1908 (novembre) – La société Fabrique de conserves et d’importation (Conserven-Fabrik und Import-Gesellschaft, à Schiltigheim) demande au nom d’Eugène Braun l’autorisation de poser une enseigne lumineuse publicitaire (Biscuits Loriot, Bonbons Lakritzia) – Autorisation accordée pour les enseignes déjà posées
- 1909 – L’architecte G. Oberthur (22, rue des Serruriers) demande l’autorisation de transformer le débit en libre-service au rez-de-chaussée. Note de la Police du Bâtiment, les locaux ont 3,55 mètres de haut, ceux de l’étage 3,15 mètres, les toilettes pour dames sont à l’étage. La stabilité du bâtiment n’est pas compromise comme le montre une visite des lieux, ce qui confirme les observations de 1906. Le pilier devra avoir un diamètre de 24 centimètres.
La Police du Bâtiment fait ses remarques sur les travaux prévus au rez-de-chaussée de la maison qui appartient à Joseph Fritsch. L’architecte doit justifier la solidité du pilier, l’urinoir devra être séparé du vestibule par une cloison – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée, 4 mars 1909 – La mise à jour des anciens piliers et des solives montre que les plans ont été dressés d’après des hypothèses inexactes. – Calcul statique – Dessins (arcades, plan du rez-de-chaussée)
1909 (24 mars) – Demande d’avenant. On a constaté en commençant les travaux que certaines poutres en bois de la cave doivent être remplacées et que les piliers en bois de la cave doivent être remplacés par de nouveaux en béton. Les solives centrales du rez-de-chaussée seront remplacées par de nouvelles, de même que les piliers en fer et en briques. Nouveau calcul statique – Avenant au permis de construire, 30 mars 1909 – Dessin de la cave – Les transformations sont terminées, mai – Réception finale, juin
1909 (avril) – Joseph Fritsch demande au nom de la société Kleberplatz Automat l’autorisation de poser un revêtement en imitation de pierre à la place du soubassement qui a été reculé de 12 centimètres. – Accord, Travaux terminés, juin
- 1909 – Dossier. Joseph Fritsch demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. Le rapport sera fait quand les travaux seront terminés. Les toilettes pour hommes se trouvent au rez-de-chaussée, celles pour dames à l’étage. Il y a des toilettes à chacun des autres étages. Les locaux du restaurant en libre service satisfont aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 si les transformations correspondent aux plans approuvés. Ceux du premier étage (café et billard) ont une hauteur de 3,20 au lieu des 3,50 mètres réglementaires
- 1909 (juin) – Courrier du commissaire de police. La société à responsabilité limitée Restaurant en libre service de la place Kleber (Kleberplatz Automat G.m.b.H.) demande à être exemptée d’aménager des toilettes pour dames en arguant que celles des locaux à l’étage font partie du même établissement – Le maire répond que l’exemption peut être accordée, les locaux du rez-de-chaussée étant exigus. Un escalier à vis reliera le restaurant en libre service et l’étage.
- 1911 – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler (Bau- und Dekorationsmalerei) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage est retiré, fin janvier
- 1910 – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler demande l’autorisation de repeindre la façade en gris d’argent et de poser deux enseignes sur verre – Croquis – Dessin aquarellé (Café Boulevard, Kleberplatz) – Le marchand de cigares H. Hirsch (2, place Broglie) et l’entrepreneur Auguste Schuler sont autorisés à poser deux enseignes lumineuses et à repeindre la façade, janvier 1911 – Huit enseignes sur verres sont posées sur les piliers outre les deux enseignes lumineuses.
Auguste Schuler répond qu’il n’a pas posé les enseignes sur verre – L’entreprise Ott Frères (Ott Frères, Elsass-Lothringische Werkstätte für Kunst und Kunstgewerbe – Ott Frères, Ateliers alsaciens-lorrains d’art et de métiers d’art) demande sur papier à lettre illustré demande l’autorisation de poser huit enseignes sur verre pour le compte de Hirsch et Laspe qui tiennent le débit de bière. – Autorisation délivrée à H. Hirsch et aux frères Ott, mai 1911.
- 1912 – Henri Hirsch demande au nom de la maison Hirsch-Laspe l’autorisation de poser deux inscriptions Café Boulevard. – Le sieur Kreutle déclare qu’il s’agit de refaire d’anciennes enseignes. Le Police du Bâtiment observe, que cette déclaration est inexacte, il s’agit de deux nouvelles enseignes doubles qui remplacent une enseigne plate et une lampe – Le cafetier A. Kreutler dépose une demande, décembre 1912 de même que Léopold Schillio (enseignes sur verre, 6, rue du Dragon) – Autorisation de poser deux enseignes doubles, accordée à A. Kreutlé, janvier 1913.
- 1912 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que la société Elsäsische Schirmfabrik (8-d boulevard de Cronenbourg, ensuite boulevard du Président Wilson) a posé deux lampes sans autorisation. – Demande – Autorisation, février 1913
1912 (octobre) – La société Elsäsische Schirmfabrik demande l’autorisation de poser quatre enseignes perpendiculaires et deux enseignes plates – La société retire sa demande de poser cinq lampes à sa filiale rue des Grandes-Arcades – Autorisation de poser 2 enseignes sur verre et quatre enseignes perpendiculaires, novembre 1912.
- 1913 (novembre) Dossier suite à une demande du commissaire de police. Marthe Gebauer demande l’autorisation de reprendre le débit de boissons. La Police du Bâtiment constate que les locaux comprennent une salle de débit, une cuisine, des cabinets d’aisance au premier étage et au rez-de-chaussée. Ils répondent aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, sauf la hauteur (3,15 mètres au lieu de 3,50).
Une cloison été supprimée à l’étage.
- 1913 (juin) – M. Gebauer (tenancière de bar, demeurant 19, allée de la Robertsau) demande l’autorisation de poser une enseigne plate. Dessin (Mascotte, American-Bar, I° Etage) – Autorisation. L’enseigne est posée au-dessus du premier étage vers la place Kleber – Une plaque en saillie de 25 centimètres au-dessus de la porte contrevient au règlement. Elle est retirée.
- 1913 – Le maire notifie Henri Hirsch de supprimer le clignotement de l’enseigne lumineuse qui se trouve au-dessus du quatrième étage, conformément au règlement du 28 mai précédent. – Travaux terminés, novembre 1913
- 1913 (octobre) – L’Agence du logement (Wohnungs-Zentrale, anciennement 6, rue du Fossé-des-Tanneurs) demande l’autorisation de poser deux enseignes en bois au-dessus du premier et du deuxième étage ainsi qu’une enseigne en émail à la porte. – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire contre l’enseigne en émail mais demande une description des deux autres – Courrier du commissaire de police – Autorisation, janvier 1914. L’enseigne plate a 5 mètres sur 78 centimètres. Croquis de l’enseigne plate et de la plaque émaillée
1915 – L’Agence du logement a loué ses locaux. La nouvelle enseigne est Verkauf an Militärbehörden, Kantinen und Marketender (vente aux autorités militaires et aux cantines)
- 1914 – L’Electricité de Strasbourg (Elektricitätswerk Strassburg) demande l’autorisation d’attribuer l’enseigne lumineuse qu’a dénoncée la maison Ungemach à un client (magasins Knopf) qui en donnerait 1000 marks mais qui n’habite pas la maison. – Le maire refuse.
- 1915 (mars) – C. Ferner demande au nom de Watzeck l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire Photographie – Autorisation – L’enseigne est retirée, le magasin ayant changé d’adresse, juin 1915.
1915 (mai) – Rose Klein demande l’autorisation de poser une enseigne à son atelier de photographie (Photographie-Atelier Merkur) – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. L’atelier se trouve au rez-de-chaussée (août 1915)
1915 (mai) – Charles Metzger signale que l’usage des cabinets d’aisance dans l’atelier du photographe Lipsky exploité par Rose Klein est contraire aux règles d’hygiène. – Courrier de Rose Klein – Le service des canalisation visite les lieux – Courrier au photographe Guillaume Lipsky, demeurant à Lautenbach en Bade.
- 1916 – Commission des logements militaires, rien à signaler
- 1916 – J. Kratz (Agence du logement) qui a dû partir à l’armée et se trouve à l’hôpital dénonce son enseigne. – Le maire reporte le paiement des droits échus à a fin de la guerre.
- 1918 – Le coiffeur pour dames Charles Klœpfer demande l’autorisation de remplacer l’enseigne de l’Agence du logement par la sienne – Le fichier est mis à jour.
- 1918 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Wanda Remus demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons. Rapport sur les locaux comme en novembre 1913 (la hauteur mentionnée est ici de 3,20 mètres) – Remarque sur les cabinets d’aisance
- 1919 – La dame Seltzer demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire lumineuse. – Autorisation
1919 (février) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Mathilde Seltzer demande l’autorisation d’exploiter un café en libre service. Rapport sur les locaux comme en 1918. Un autre urinoir devra être aménagé.
René Levy, copropriétaire avec Mathilde Seltzer du Princess-Bar, déclaré que les locaux ne se prêtent pas à l’aménagement d’un urinoir. – La Police du Bâtiment renonce à demander un autre urinoir, eu égard que le bar est un petit établissement.
- 1920 – La société alsacienne d’alimentation Ungemach dénonce son enseigne
- 1919 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Guillaume Lipsky a repris l’enseigne du coiffeur Klopfer
1919 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Guillaume Lipsky a posé une vitrine – Demande (l’ancienne raison American-Photographie-Salon est remplacée par Photo Mercure) – Autorisation de poser une vitrine sur la façade
1920 – Guillaume Lipsky demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
- 1920 – Le maire notifie Paul Levy (maison P. Levy et H. Herzog, 28, rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade – René Levy demande de reporter les travaux d’un an au nom des héritiers de Paul Levy qui envisagent de vendre l’immeuble. – Travaux terminés, septembre 1921.
- 1921 (septembre) – Le Palais des Nouveautés (passage de la Pomme-de-Pin) demande l’autorisation de poser une enseigne temporaire – Le maire répond que l’enseigne ne correspond pas au règlement relatif à l’aspect local. – L’enseigne est tout de même posée – Elle est retirée, octobre 1921
- 1921 (novembre) – La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne verticale (Pigalle Bar) a été posée sans autorisation aux premier, deuxième et troisième étages vers la rue des Incendiaires – Le maire écrit à Mathilde Seltzer qui souhaite conserver l’enseigne, d’autant que son établissement se trouve à l’étage et que son mari est mort. – Le maire accorde un délai. – L’inscription est supprimée, octobre 1922.
- 1925 – Les architectes R. Vœlckel et Ch. Wolff (1, quai au Sable) demandent au nom du propriétaire Preiser l’autorisation de réaménager le logement du cinquième étage. – Autorisation – Plan de l’étage
- 1923 (novembre) – La société La lampe Philips, agissant par son agent général Pierre Kahn (11.a rue Strauss-Durckheim), informe la Police du Bâtiment qu’elle va poser une enseigne lumineuse sur le toit – La commission des Beaux-Arts qui estime que l’enseigne est incompatible avec l’aspect local refuse d’accorder l’autorisation.
1924 (octobre) – Nouvelle demande – La commission des Beaux-Arts oppose un nouveau refus en s’appuyant sur l’arrêté préfectoral du premier octobre 1924 qui interdit les inscriptions sur les façades du périmètre sauvegardé.
- 1925 – Le photographe Guillaume Lipsky (Photos Mercure) demande l’autorisation de remplacer l’enseigne métallique par une enseigne lumineuse (Photos, 60 sur 30 centimètres) – Autorisation – L’enseigne est posée
1926 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Lipsky a fait placer une enseigne lumineuse (Photos) au-dessus de la porte – Demande – Autorisation
1926 – Guillaume Lipsky déclare avoir fait poser une inscription Kodak films. Croquis – Autorisation
- 1925 – La Police du Bâtiment constate que la Banque de Strasbourg (anciennement Ch. Stæhling, L. Valentin et Compagnie) a fait poser sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
- 1927 – Le photographe Guillaume Lipsky demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Lumière & Jougla) au-dessus de la porte d’entrée rue des Grandes Arcades – Autorisation
- 1929 – La Police du Bâtiment constate que la veuve Jules Seltzer (Pigalle Bar) a fait poser une lampe électrique non réglementaire (saillie de 70 centimètres au lieu de 25) rue Frédéric Piton – Demande de laisser la lampe en l’état pendant les travaux que fait faire le propriétaire – Autorisation
- 1929 – Mme Seltzer, gérante du Pigalle-bar, demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (bar) au-dessus de la porte rue Frédéric Piton et une autre (Pigalle-bar) au premier étage vers la place – Croquis – Autorisation
- 1929 – L’architecte O. Zacher (14, rue du Vingt-deux-novembre) demande au nom du propriétaire Preiser l’autorisation de poser huit socles pour devantures – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord – Autorisation – Extrait du plan cadastral, dessin (les socles se trouvent rue des Grandes Arcades et place Kleber)
- 1928 – L’architecte O. Zacher demande au nom du propriétaire Ed. Preiser (54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins et 10, quai de Paris) de faire des travaux (au sous-sol un nouvel escalier et une chaufferie, au rez-de-chaussée un nouvel escalier, de nouvelles devantures, un cabinet d’aisance, modifier la distribution des pièces aux étages, installer un chauffage central) – Autorisation de transformer les magasins au rez-de-chaussée, d’aménager des devantures vers la rue Frédéric Piton et une nouvelle entrée, de modifier le logement au sixième étage bien que le règlement n’admette que cinq étages habitables – Calcul statique – Dessin (sous-sol, coupe, plan des étages)
1929 (janvier) – Les travaux intérieurs continuent – L’architecte demande de déroger au règlement qui exige de plâtrer les plafonds de l’escalier. La Police du Bâtiment prend l’avis du service des incendies. – Réception du gros œuvre
1930 (janvier) – Réception finale. Il reste à peindre les façade.
- 1930 – La Police du Bâtiment constate qu’Edouard Preiser (articles de fantaisie) a posé sans autorisation un volet roulant – Demande de poser un volet roulant (11,50 mètres sur 1,70) et sept vitrines – Autorisation
- 1934 (février) – La Police du Bâtiment constate que l’entreprise Steinbach frères a commencé des travaux non autorisés au sous-sol et aux façade rue des Grandes Arcades et rue Frédéric Piton.
- 1934 (septembre) – La Maison du Café (31, rue Pouchet à Paris XVII°) charge les entrepreneurs Dentzler Gramling & Cie de poser une enseigne lumineuse sur la marquise de l’établissement Le Zinc – La Police du Bâtiment observe que l’enseigne n’est pas réglementaire. La commission municipale des Beaux-Arts interdit toute nouvelle enseigne jusqu’à ce que le tribunal ait statué au sujet des la démolition des façades non réglementaires. – Courrier de Tout électrique (Dentzler Gramling & Cie, 31, place Kléber) relatif à l’enseigne commandée à la maison Claude Paz et Silva à Paris.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 7)
(en préparation)
Relevé d’actes
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve du fondeur Gaspard Spenner. Fils du fondeur Pancrace Spenner, Gaspard Spenner épouse en 1563 Appolonie, fille du tailleur de pierres Pierre Keffer.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97v)
1563. Caspar Spenner von Straßburg, Pancratius Speners des Kantengiesers seliger Son, vnd J. Apolonia Kefferin, Peter Keffers des Steinmetzers selig. Tochter den 20. Aprilis, zum hirsch (i 110)
Gaspard Spenner est nommé secrétaire à l’Accise en 1577. Son fils Melchior est assassiné à Fribourg en 1599.
1575, Protocole des Quinze (2 R 5) Caspar Späner. Visierer, Ungelter 110.
1576, Protocole des Quinze (2 R 6) Caspar Späner Ungelter. 101. 114.
1577, Conseillers et XXI (1 R 47) Caspar Spehner Ungellter. 310. 377.
1577, Protocole des Quinze (2 R 7) Caspar Späner. (Schreyber am Ungelt angenommen) 88. 97. 128. 137.
1578, Conseillers et XXI (1 R 51) Caspar Spenner, Schmachschrift. 429.
1599, Conseillers et XXI (1 R 78) Caspar Speners wittib Apolonia vmb fürschrifft wegen Ires sohns Melchior entleibung (auf der Beckenstub zu Freyburg). 421.
Appolonie Keffer veuve de Gaspard Spener loue une partie de la maison au farinier Ulric Schenck
1592 (vts [x Januarÿ]), Chancellerie, vol. 281 (Registranda Kügler) f° 13-v
(Inchoat fo: 9) Erschienen Ulrich Schenck Melman alhie
Hatt Inn gegensein Apploniæ Käfferin wÿland Caspar Speners Hind.laß. wittib mit beÿstandt vnd bewilligung Hn Andræ Pfützers offnen Notarÿ, Ires geschwornen vogts bekant vnd offentlich verÿehen
d. er Ime vnnd seinen erben dreÿ Jar lang die nechst nach einand. volg.end vnd vff dem Heÿlig. Wÿhenacht tag verschünen angefangen, vonn bemelter Applonÿ
derselben Stub, Kammer, Kuchen, Kellerlein vnd den Halbentheil von der Kornschütten, sampt dem gad. Alles Inn einer behußung Am Barfüeßer blatz, neben der behußung Zum Krebs genant & geleg. welch. vberig. theil gedachter behußung, bemelter Applong Inhatt vnd bewont, Entlehnet für vnd vmb ein Järlich. Zinß Namblich xiiij lib d Straßburg
Appolonie Keffer constitue une rente de deux livres 10 sols sur sa maison au profit des enfants du receveur Jean Hessler et d’Agnès Hatt. La maison est hypothéquée au profit des six enfants d’Appolonie Keffer. En marge, quittance remise en 1636 à Nicolas Weldt, propriétaire de la maison.
1597 (2. Febr.), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 15-v
Zinßbrieue Herrn Johan Heßlers Kinder deren Vogt Philip Hatt vber 2 liv 10 ß d Zins
(Extendirt in Lib. Contractuum de hoc Anno fol. 132.) Erschienen Appolonia Kefferin weiland Caspar Speners selig. wittib mit beÿstandt herrn Andres Pfitzer Ihres geordnet und geschworenen Vogts vnd
Bekhant Inn gegensein Herrn Johann Heßlers deß Schaffners Im Spittal bebkahnt, das sie Apolonia sein Heßlers mit weiland Fr. Agnes Hattin s. erzielt. Kindern deren vogt Philipp Hatt Ferber Zum Roraffen, benantlich Hansen, Hans Jörg vnd Agnes freÿ verkaufft vnd zu gelt geben Jedes Jars
Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning Zins Jars vff Liechtmeß vnd A. 98. Zum erstenmal Von vnd ab der Verkheüfferin behausung, Hoffestatt & ein Eckh an Bahrfußerplatz, neben hanns Kolben deß Schumachers s. erben hind Inn ein Almend geßlin, dauon gehend vier schilling pfenning bodenzinß vff Martini Im Bruderhoff, zuuor Sechs gulden gelts w vff Weÿhenacht. H Paul Öhlingers s: erben mit 150. fl. w. ablösig, weiter Ist diße behausung auch verhafftet Iren sechs Kindern samptlich vmb 642 fl. 9 ß St. w. hauptguts It. 10 fl. w. Euchario Herbsten Zu Bußw. vff Johannis mit 200 fl. St. w. ablösig Sonst ledig vnd eig. vnd der kauff beschehen vmb 50. lb.
[in margine :] Erschienen der Ehrenuest Hochgelehrte Herr Johann Ulrich Fridt Stattschreiber alhie alß Welchen daß hierin vermelte Capital Zustendig, hatt in gegensein Lorentz Rosers, burgers und Kieffers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Niclauß Weldten geweßenen Würths Zum Weinstockh alhie nachgelaßener Kinder alß welchen dißes hierin vermeldte vnderpfand Zustendig gewesen (…) Act. den 14. Novembris Anno & 1636.
Appolonie Keffer hypothèque la maison au profit du fondeur Jonas Isenheim
1598 (xvj Februarÿ), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 62
Erschienen Applong Kefferin wÿland Caspar Spener des kannengiesser selig wittwe hatt sich mit beÿstand Andres pfützers offnen Notarÿ Ires geschwornen Vogts auch hans Adolph Spener goldschmidt Ires Suns verschrib.
gegen h. Jonæ Ißenheymen Kannengießern Jahres 4 lb d loßig mit Lxx lb d
dafür Vnderpfand sein soll huß v hoffestatt mit allen and. Ir gebeu & einsyt Ein eck gegen der Barfüßer blatz and. seyt neb. hanß Kollen den Schuhmacher selig erb. stoßt hind. vff ein Allmend gaß, dauon gnd iiij ß d en thumbherrn hoherstifft S. Mehr vj g. loßig mit j C L g Lorentz Schauwman Stattgerichtschreyber, It. xxv g gls loßig m. vi C gelts SW bmlt. Applong d verkäufer. v. Caspar Spener selig Kindern auch h herrn Jerg Kirchoffer deßelb vogt, Item x gld gelts loßig mit ij C SW Eüchario heussen Schaffner Zu Bußweyler, It. ij lb x ß d glts loßig m L lb d Johann heßler Schaffner Im Spittal, It. ij lb d glts mit xL lb d abzuloßen Rychert Muller Buchfürer V. sind auch noch verhafftet für ij C g SW den herrn des Clynen Raths v wegen entschlagen Erbschafft Caspar Speners Ires Suns, Sunst für ledig eÿg
Appolonie Keffer hypothèque la maison au profit du revendeur Jean Kauffmann. En marge, quittance remise en 1607 à Georges Spener, fils de la débitrice.
1598 (xxvij Februarÿ), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 72-v
(Inchoat. fo: 98.) Erschienen Appolong Käferin, Wÿland Caspar Speners des Kannengießers seligen wittwe Hatt mit beÿstandt vnd bewilligung Herrn Andrea Pfützers Notarÿ ihres geschwornen vogts
In gegensein Hannß Khoufmans Krempens vnd burgers alhie – schuldig seÿ 30 pfund pfenning
dafür Vnd.pfand sein soll huß vnd hoffestatt mit allen and. Iren gebeüwen, einseit ein eck geg. Barfüeßer blatz, and.seit neben Hanns Kalben des Schuhmachers seligen erben stoßend hinden vff ein Allmend gaß, Dauon gondt vier schilling bodenzinß dem Thumbherren hoher stifft Straßburg, Mehr vj guldin gelts, lößig mit j C L gld Lorentz Schauwman Stattgericht schreÿber, Item xxx gld gelts losig mit vj d gls St. Werung bemelter Applong d. Schuldbekennerin vnd Caspars Speners selig. Kind., Ouch h Jerg Kirchhoffern d.selben vogt, Item x gld gelds lößig mit ij C gld St. werung Euchario Herpßen Schafnern Zu Bußwÿler, Item ij x ß d gelts, lößig mit 50 pfund pfenning Johann Heßlern Schaffners Im Spittel, Item ij lb d gelts, mit xl lb d abzulößen, Gÿthard Müllers, Buchfürern, Vnd sindt auch noch v.haft für ij X fl St Werung den herren des cleÿnen raths von wey* endtschlagenen erbschaft Caspar Speners Ires Suns, sunstt ledig eÿgen Wie man sagt
[in margine :] Erschienen hannß Khouffman Hatt Inn gegensein Jörg Spenners obbenanter Apolonien Käferin Sohn (…) Quittiert, Actum den 16. April: 1607.
Appolonie Keffer loue une boutique et une cave au mesureur de vin Thiébaut Hirsch
1598 (xxviij Octobris), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 277-v
(Inchoat. fo: 352.) Erschienen Diebolt Hirsch. der Wynmesser
hatt Inn gegensein Appolonien wÿland Caspar Spenern des Kannengiessers seligen witwe Mit beÿstand Andres pfutzers offnen Notarÿ Ires geschwornen vogts frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnnd seinen erben Ein Jar lang vff Sannt Martins tag Khunfftig abstehen vonn bemelter Appolonien derselben Keller vnder Irer behußug So ein eck ane dem Barfüßer blatz neben der Behußung Zum Krebß & gelegen vnd dann dem Eck gaden oberhalben dem Keller mit nachvolgenden beding Enthlene für ein Jährlichen Zinß Namlich Zwölff pfundt pfenning Straßburger
Nouveau bail entre les mêmes : cave, deuxième boutique, un poêle et deux chambres
1599 (vts [6. tag Augusti]), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 213
(Inchoat fo: 274.) Erschienen Diebolt Hirsch Wÿnschenck burger alhie
Hat in gegensein Frawen Appolonien Käferin, Wÿland Caspar Speners seligen Wittwe mit beÿstand herrn Andreæ Pfützers offnen Notarÿ Ires geschwornen vogts, bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgendt, vff Sanct Martins tag nechstkünfftig anfahen sollen, von gedachter Frauwen Appolonien derselben Keller vnder Irer Behaußung, So ein eck ane dem Barfüßer blatz neben der Behaußung Zum Krebs gelegen vnd dann die vorder Eckstuben mit sampt Zwoen Kammern Inn dem dritten Gaden endtlehnet für vnd vmb ein jährlichen Zins Namblich 12 pfund pf. Straßburger
Appolonie Keffer et ses deux fils Adolphe et Georges Spener hypothèquent la maison au profit du fils du tailleur de pierres André Volck.
1601 (xxi Maÿ), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) (scheda ad [225])
Erschienen Fr. Appolonia Wÿland Caspar Speners kannengiessers selig witwe hatt Mit beÿstand u bewilligung Andres Pfützers offenen Notarÿ Ires geschwornen Vogts, Ouch hanns Adolff vnd Georg Irer Söhn
In gegensein herrn Michel Mebharts beysitzer der hrn des groß. Rhats alls geschw. vogts hanns Jacob Wyland Andres Volck Steinmetzen selig. Zu Zinß ij lb d gelts lösig mit xl lb
dafür vnd.pfd. sein soll huß v hoffestatt mit all Iren gebeu geleg. Inn der S S vff d Barfüsser blatz Sind vff einer seyt ein eck anderseyt neben einer Behußung Zum Krebs genant stoßend hinden vff ein Almend geßlin, Welche verhafftet auch ungeworlich vff 700 guldin bemlt. Appolonien Kinder, So dann Sechs guld. ged. losung m 150 guld. H Lorentz Schouwman Statt ge.chts schreÿber So dann 10 guldin gls loßig mit ij X g SW Eucharius N Kuchin schaffner Zu Bußweÿler Item ij lb x d loßig m L lb d Johann Heßler Schaffner Im Spittel So dann vngevorlich vff 50 pfund pfenning Reychard Muller Buchhandlers sunst ledig eÿg.
Appolonie Keffer et ses deux fils Adolphe Spener, orfèvre, et Balthasar, soldat vendent à leur fils et frère respectif Georges Spener, débitant de vin, la maison dite zum Reichenwein
1607 (xiij Aprilis), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 106
Erschienen Fr. Appolonia Käferin Wÿland Caspar Speners kannengiessers selig witwe hatt für sich Mit beÿstand h. Andres Pfützers offenen Notarÿ Ires geschwornen vogts, Auch hanns Adolff Speners goldschmidts V Balthazar Speners Soldaten Irer beÿd. Sohn Verkaufft
Georg Spenern wynschenck Irem led. Sohn
huß v hoffestatt genannt Zum Rycheweÿn geleg. Inn der S S hie Innwendig dem Pfenningthurn einsyt ein eck gegen dem Barfusser blatz andersyt der Behußung zum Krebs, genant Antoni Röst pfister Zum Jung S. peter Zuständig stoßend hinden vff d. Benngaß davon ged. vnversch. der Khauff vber sich beschwerd für 67 pfund pfenning
V Ist hier. bered das die Kheüfferin neb. Iren Sohn all für sich die verf.ung In obgeschrieb. behausung sonderlich der die Kammer neben die Stuben Zugebrauchen (…)
Hiebeÿ geweß Hans Stich des Kheuffers hieher v h. Jerg Leÿmner offen Notarius
xiij Aprilis
(der khauff für ledig eÿg. vmb 777 lb 15 ß 6 d beschwerd 706. 15 ß 6d)
Scheda. Verzeichnuß der Beschwerden so auff der Spänerischen Behausung diser Zeitt stehen, vnd Georg Spänn. Wann er sie Khauffen will vber sich nehmen muß
Georges Spener épouse en 1604 Ursule, fille de l’armurier Jean Stich
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 175 n° 49)
1604. Doica 10. post Trin. 12. Aug. Jerg Spener d. weinschenck Caspar speners des Kantengiessers hind.lassener Sohn, Ursula Hans stich. des blatners Tochter. eingesegnet Mont. d. 20. Augusti Zu Eckboltzheim (i 92 – pas de reg. à Eckb.)
Georges Spener hypothèque la maison dite Zum Reichenwein au profit du tonnelier Ulric Bosch
1609 (21. Januarÿ), Chancellerie, vol. 380 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 1
Schuldbekantnus Ulrich Boschen deß Kuffers pro 200. lb
Erschienen Georg Späner der Weinschanck vnd
hatt in gegenwertigkeit Ulrich Boschen deß Khüffers – schuldig seÿe 200 Pfund pfenning
Zum vnderpfand ernänt und Ingesetzt Hauß vnd Hoffstatt mit allen andern Iren gebeuwen, begriffen, weÿth vnd Zugehördten, gelegen In der Statt Straßburg genant Zum Reichenwein, so ein Eckhauß ane dem Barenfüsser Blatz, vnd anderseit Anthoni Rösch dem Pfister Zum Jungen St. Peter, dauon gehnd 6. gulden gelts ablößig mit Lxx viij lb. x ß d herr Laurentz Schauman Stattgericht schreiber, Item 4 ß d bodenzinß In Bruderhoff alhie, Item Zehen gulden St: Wehrung ablösig mit 105 pfund Einem schaffner Zu Bußweÿler, Mehr vij fl vff Simon Judæ vnd 2 fl. vff Georgÿ Herr D Theophile Gollen, widerkheüffig mit 73 lb 10 ß d, Mehr j Lib. 5 ß mit 50 gulden abzulösen Reichardt Müllern, ferner 2 lb 10 ß dem Mehrern Spittal alhie ablösig mit 50 pfund pfenning, Item 2 lb d mit 40 lib abzulösen Hanns Flachen dem Steinmetzen vögtlich. weiß, Item so Ist auch dise Behausung noch verhafftet In Müntz vmb 25. lib. vnd den Wexel für 15 lib. d, Wie auch Letstlichen vmb 100 pfund pfenning Herr Christoph Scheurern sonst. ledig vnd eÿgen Wie man sagt
Georges Spener et Ursule Stech hypothèquent la maison dite Zum Reichenwein au profit de leur mère et belle-mère respective Appolonie Keffer pour éteindre des dettes garanties sur la maison
1611 (ut spâ [Andern tag August]), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 272-v
Erschienen Georg Spener wÿnschenck vnd Fr. Ursula Stechin sein eheliche gemahell
haben in gegensein Frauwen Appolonien Käferin Irer lieb Mutter V Schwyger Auch herrn Andres pfützer Schaffners Ires geschw. vogts (…) das sie vmb des willen dann sein die Zinß V beschwerden dißer nachgeschb. behusung hafft V Vnderpfand frey quitt ledig v loß würde
huß V hoffestatt mit all Ir gebeu geleg. Inn d. SS hie Innwendig dem Pfenningthurn genannt Zum Rÿchenwÿn vff einseyt ein Eck gegen dem Barfüßer blatz and.syt einer behaußung Zum Krebß genant Anthoni Roßen pfistern Zum Jung. S Peter zustendig stosst hind. vff die Brenngaß, Davon gnd Sechs guld. glts vff d. heÿlig. wÿhenacht tag abloßig mit j C L guld. SW h. Lorentz Schawman, Item iiij ß d bodenzinß d. Thumbherrn hoher stifft S Inn haupttgutt * gerechnet für 8 pfund pfenning lösig m ij C gl verhafftet für Lxxxx lb xj ß iij d hauptgutt v versess. Zinß Johannis Baptistæ nechstuerschÿnen mit gebürend. Zinß Zubezalen Euchario herpfen Schaffnern Zu Buchßweyler Item Sieben guld glt vff Simonis V Jude v Jeorgÿ herrn Theophili Gollen der Rechten doctor selig witwe wederkheuffug mit Lcciij lb L ß d, Ittem j lb xv ß vff d heÿlig. weÿhenachten abloßig m xxxv lb d Reÿchart Müllern (…)
Appolonie Keffer et son fils Georges Spener vendent la maison au tonnelier Raoul Schott, fils du tanneur Jean Schott, assisté de son beau-père Gaspard Griesbach
1612 (xxvj Octobris), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 287-v
Erschienen die Edle Fr. Appolonia Keferin wÿland Caspar Speners Kannengießer seligen witwe hatt mit beÿstand v bewilligung herrn Andres Pfützer offnen Notarÿ Ires geschwornen vogt vnd Georg Speners Ires Sohns (verkaufft)
Rudolff Schotten Khüffern wyld hans Schott weÿßgerbers seligen Sohn vnd & mit beÿstand v bewilligung herrn Jacob von Friedelßh. gartners seines geschwornen vogts auch herrn Caspar Grießbachs dißer Zÿt beÿsitzer der herren des großen Rath des Kheüffers Schweher v Vatter, Mehr M hannß Brumbart Rohtherber, So dann Philipp Engelhart harpffenschlagers
huß V hoffestatt mit all andern Iren gebeud genant Zum Rÿchenwÿn Inn d.S S. einsyt ein eck gegen dem Barfüßer blatz anderÿt einer Behausung Zue Krebs. genant Antonig Roßer pfistern Zum Jung. S Peter Zustendig stoßend hinden vff der Brenngaß, davon gnd vier schilling gelts Boden Zinß vff Martini den thumbherrn hoher stifft S Evangelischen stondt hieher für viij lb, Mehr 6 guldin glt SW vff d. heÿlig. wÿhnacht. fall. ablosig mit j C l lb bemelt. Wg. Lorentz Schawmann Stattgericht schreÿber, Dauon (…) Mehr volljährig für Lxxxx lb d hauptsumm Vff Weÿhenachten necht khunfftig Zubezalen, Euchario herpffen Schaffnern Zu Bußwyl […]
[in margine :] der Khauff für ledig eÿgen 2500. zu xv batzen – vide 611. d) 26.
Le tonnelier Raoul Schott épouse en 1613 Elisabeth, fille de Gaspard Griesbach
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132, n° 3)
1613. 9. Feb. Zu S. Thoma. Rudolph Schott der Kieffer, J. Elisabeth Caspar griesbachs gerbers Tocht. (i 134)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 246-v n° 1033)
Sonntag den 31. Januarÿ. Rudolph Schott der Kieffer vndt J. Elisabett h. Caspar Griesbachs Alt Raths v.wandten eheliche tochter, Eingesegnet Zinstag den 9. Februarÿ (i 357)
Raoul Schott loue une partie de la maison au revendeur Abraham Hendlé
1613 (ut spâ [vierd. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 4-v
(Inchoat. fol: 3.) Erschienen Abraham Händle Gremp
hatt in gegensein Rudolff Schotten bekhenn das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgend
vnd vff dem Ersten Januarÿ verschÿnen angefangen vonn dem selben Inn seiner Behaußung Inn der S S gegen dem Barfüßer blatz ein eck ane Brenngaß & gelegen Entlene Ein Kammer gegen Jetzbemelter Brenngaßen Mehr ein Stub vornen neben der behaußung Zum Krebs, wyter vnden Im huß ein blatz zu einem grossen Kasten Zustellen, So dann ein Blatz vor der Huß thuren ane bitz ane der Eck gegen dem Barfüßer blatz vnd darzu ein cloac, kellerlin neben dem Krebs Für in Jerlichen zinß Nemlich 55 guldin
Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit du fils de Christophe Schneider, pensionnaire à l’hôpital
1613 (ut spâ [xxvj. Novembris]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 329
(Inchoat. fol: 329.) Erschienen Rudolff Schott der Wÿnschenck
hatt in gegensein Ludwig Schlehenacker alls geschwornen vogts hanßen, wÿland Stofflen Schnÿdern geweßenen Pfrüners Im Spittal seligen Sohnns – schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll huß V hoffestatt mit all andern Iren gebeu genant Zum Rychewÿn geleg. Inn d. S S einseyts ein Eck gegen dem Barfüßer blatz andersyt Antoni Ruscht pfister Zum Jung. S Peter stoßend hinden Vff der Brenngaß, Dauon gendt 4 schilling Bodenzinß den Thumbherren hoher stiffts Evangelischen Standts, Mehr 6 guldin gelts Straßburger abloßig mit 150 gulden bemelter Werung Lorentz Schawman Stattgericht schreÿbern, Item 1 lb 1 ß d gds losig mit xxj lb d herrn Theophili gollen der Rechten doctor seligen Kinder, Item ij lb xi ß v d gld Widerkheuffig mit lij lb x ß d gelts vorgemelt herren doctor Gollen seligen Kinder, Wyther ij lb x ß d glds abloßig mit L lb d dem groß. Spittel, Item ij lb d gelts abloßig mit x l lb d wÿland Andres Volcken des Steinmetzen seligen Sohn
[in margine :] Erschienen Heinrich Engel der küeffer für sich selbsten, vnd Georg Dietrichs der Küeffer alß sein Engels dochter Susannæ Vogt haben in gegensein Lorentz Rosers des Küeffers Niclaus Welten hie obgedacht seel. Kindts Vogts (…) Actum d. 23. Decembris 1634
Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit du tonnelier Jean Rosser.
1614 (6. August), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 190-v
(Inchoat. fo. 189.) Erschienen Rudolff Schott Wynschenck
hatt in gegensein des Ehrenhafften hannß Roßers der Stat Straßburg Kheffers – schuldig sein 550 guldin zu 15 batzen
Dafür Vnderpfand sein soll huß v hoffestatt mit allen andern Iren gebeüwen genannt Zum Rÿchenwyn & vide et perge 614. fol: 110 alls die beschwerden wie sie daselbst vermeldet, So dann wÿther 8 pfund Einen schilling loßig mit 151 pfund
[in margine :] Erschienen herr hannß Roser der Schuldgläubiger hatt in gegensein des Ersammen Niclaus Weldten dem Jetzmals die ver vnderpfande Behaußung zuständig (…) vff den xviij d tag Januarÿ A 615.
Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit de sa sœur Catherine
1614 (xxx. Octobris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 246
(Inchoat. fo. 260.) Erschienen Rudolff Schott burger alhier
hatt in gegensein herrn Jacob von Fridolßheim beÿsitzer der herren des großen Raths alter geschworner Vogt Jungfr. Catharinen Schöttin seiner schwester – schuldig seÿe 161 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein solle huß v hoffestatt mit allen andern Ir gebeud uide supra in protho. fo: 100 dauon Meld.
Raoul Schott vend la maison dite zum Reichenwein au tonnelier Nicolas Weldt, assisté de son beau-père Melchior Silberrad, chef de travaux.
1614 (9. Novembris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 250
Erschienen Rudolff Schott Khuffer hatt mit beÿstand herrn Jacob von Fridolßh. beÿsitzer der herrn des grossen Raths seines hieuor geweßenen aber Jetzmals Quittert geschwornen vogts verkaufft
dem Ehrenhafften Niclaus Welte Khuffer Mit beÿstand herrn hanns Melchior Silberradts des Eltern loners seinem liben schweher
huß v. hoffestatt mit all. Iren gebew. genant Zum Richen wÿn gelegen Inn d. S S vff einer seyt ein Eck gegen d. Barfüsser blatz, andersÿt einer Behaußung Zum Krebs genant Antheng Roßen pfister Zum Jung. S Peter zuständig stoßend hind. vff der Brenngaß, Dauon gend 4 schilling pfenning gelts bodenzinß vff Martin den thumbherren hohen stifft S Evangelischen stands hieher Zum hauptgutt für viij lb. Mehr vj guld glt vff d heÿlig. Wyhnacht tag loßig mit j C l h S W, Item j lb j ß vff St Georgen tag loßig mit xxj lb d S des hochgelert, Theophili Gollen der rcht doctor selig kinder, Item (…)
der Khauff vber diße beschwerd für iij C xvj lb xvii ß
[in margine :] ledig eÿgen für 1250. lb, Beschwerd. 933. lb, Pfundzoll 999 lb
Fils du farinier Balthasar Weldt, Nicolas Weldt épouse en 1611 Marie, fille du chef des travaux Melchior Silberrad : contrat de mariage, célébration
1611 (30.12.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 410
(Eheberedung) Zuwißen daß ein ehelich heürath sich begebenn vnd Zugetrag. Zwüschen dem Ehrenhafften Niclauß Weldtenn, weÿland herrn Balthasar Welttenn geweßenen Meelmans vnd burgers Zu Straßburg seeligem sohne ane einem
Sodann der Ehren: v tugendreich. jungfr. Marien Silberädin deß ehrenvestenn v fürnehmen hern Johann Melchior Silberad Altten grosenn Rathsbewant. vnd * d Statt Straßburg Lohners geliebtenn dochter Am Anderntheil
Montags d. 30. Decembris 1611 (unterzeichnet) Ich Nicolaus Welt als hoch Zeitter bekenne wie vor stehet. Ich Hans wachenheim des hoch Zitters vogt, Ich hans melch. Silber Radt dem ölter bekenn wie ob Stätt
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 244 n° 15)
Dominica 30. 16 Febru. Niclaus Welt, Balthasari Welten des mehlmans hind.lassener sohn, Maria Hans Melchior Silberrahts des Lonherrn Tochter, Eingesegnet Zinst. d. 25. Februarÿ (i 127)
1614 Conseillers et XXI (1 R 95) Niclaus Welt vmb fürschrifft. 50.
Le tonnelier et débitant de vin Nicolas Weldt emprunte 200 livres à la tribu des Charpentiers. Son beau-père Melchior Silberrad se porte garant.
1615 (xxiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 19-v
(Inchoat. fo. 18.) Erschienen der Ersame Niclaus Weld d. Kieffer vnd wÿnschenck
hatt in gegensein des Erenuesten fürsichtig. Wÿßen Ehrenthafften herrn Friedrich Rÿhell beÿsitzer der herren Räth vnd ein vnd Zwantzig. dißer Zeit oberherr Einer Ersammen gesellschafft der Zimmerleuth Zunfft auch hanns obele der herren des grossen Raths beÿsitzer So dann Jacob Proch Zunfftmeÿster *em Ehrengemelten oberherren Scheffen vnd einer gantzen Gesellschafft bemelter Zimmerleuth Zunfftstuben vffrechten vnd redlichen schulden schuldig sein 200 pfund pfund
dessen Zu noch mehrer sicherheit ist erschynen herr hanns Melchior Silberrad der Statt loner des Schuldbekhenners dochtermann hatt sich für sich für sich und sein erben mit sampt dem hauptschuldner vnverscheidentlich dadur Zu Rechten Bürgen mit V selbst schuldner
Nicolas Weldt hypothèque la maison zum Reichenwein au profit de la tribu des Charpentiers
1615 (ut spâ [10. August.]), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 168-v
(Inchoat. fo. 195.) Erschienen M Niclaus Weldt der Wynschenck
hatt in gegensein vorgenannter herren hanns Obele beÿsitzer der herren des grossen Raths vnd Jacob Brechen Zunfftmeÿster auch Steffen Voltzen* Zimmermanns Inn nammen Einer Ersammen Gesellschafft der Zimmerleüth Zunfft – schuldig sein 25 pfund
dafür Vnderpfand sein soll die Eck behaußung mit deren hoffestatt auch allen and: Ir gebeuw genannt Zum Rÿchen wyn geleg. In der S S vff d. Barfüsser blatz einseit neben der Behußung Zum Krebs Antoni Roßen pfister Zum Jung S. Peter Zustendig andersÿt ein eck geg. d. Barfüßer blatz stosst hind. vff die Brenngaß, dauon gend iiij d bod. Zinß d. Schulherrn hoher Stifft Str, Mehr 6 gelt gl S W loßig mit 150 guld. derselb. wrg. h. Lorentz schawman Stattgericht Schreyber, It + Zwen gult g. S h. doctor Theophili gollen d. Recht doctor selig erb: loßig mit 40 guld S W. Item 5 g gls mit 100 guld. s w denselb. d*, Item v lb x ß loßig mit L lb d vf m Spittel, Item ij gl x gls m L lb d abzuloßen Ludwig Schlehenacker vogtlich wÿße, It. vj lb x ß gd Wiederkheuffig m L lb d hannß Roßern Statt Khüffer It viij lb 1 ß loßig m j C Lxj lb h Jacob von Fridelßh. vogtlich wÿß, So dann wyther verhafftet für Lxxxvij lb xv ß Rudolff Schott Sunst eyg.
L’aubergiste au Cep de vigne Jean Jost est cité devant les Quinze pour régler des taxes échues
1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Johann Jost würth Zum Weinstock. (wegen verfallnen Ungelts) 137. 201. 206. 243.
Compte que rend le tonnelier Laurent Roser de la tutelle des biens qui appartiennent aux trois enfants de feu Nicolas Weldt, aubergiste au Cep de vigne, et de Marie Silberrad
1639, Not. Strintz (Daniel, 58 Not 29)
Rechnung Mein Lorentz Roßers Küeffers vnndt Burgers alhie Zue Straßburg als geordneten vnndt geschwornenn Vogts, hannß Niclaußen, Hannß Balthasars vnndt hannß Melchiors, Alle dreÿen Geschwüsterden, Weÿland herrn Nicolaj Weldten geweßenen Gastgebers In der Herberg Zum Weinstockh, mit auch Weÿlandt Frauwen Mariæ Silberrädin seiner haußfrauwen ehelicher erzeugter Vbndt hinderlaßener Söhn, Innhaltendt vndt außweisendt, Alles daß Jenige, waß ich von dem 3.ten Junÿ Anno 1634., Als Ich Zue dieser Vogteÿ geschwohren, bitz den 30.ten Septembris Anno 1639. Innahmen meiner Vogts Persohnen Ingenommen, Dahingegen widerumb Außgeben vndt sonst in andere Weeg verrichtet vndt verhandelt habe
Le tuteur des enfants mineurs de Nicolas Weldt et leur frère Nicolas Weldt, aubergiste à Mulhouse, vendent l’auberge au Cep de vigne au boucher Jean Hammerer
1635 (15. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 84
Wir ut spâ [Hanß Christoff von Traxdorff der M. &] erschienen ist vnser Burger Lorentz Roser der Küeffer, alß von vns geordneter Vogt weÿ: Niclaus Welten gewesenen Würths see: Zum Rebstock nachgelaßener Kindern und hanß Niclaus Welt Gastgeb Zum Treübel in Mühlhausen für sich selbsten und alß befehlhaber seiner geschwisterdten, haben vff vnser Zuuor den 14. diß ertheilt Decretum alienendi mit beÿstand Eberhard Zetzners und Philipps Jacob Reißeisens, beeder Alß Auß vnserem mitel hierzu insonderheit deputirt und verordnet, wie auch hanß Peter Gündels deß Notarÿ alß der Vogts Kinden nechsten v.wanthen (verkaufft)
vnserm Burger Hanß Hammerer dem Metzger
daß Würths hauß Zum Weinstock genannt, mit annen deßen gebäwen & gelegen in vnserer St. St. vnderhalb der Kürschner Zunfftstuben, ist einseit ein Eck gegen dem Barfüesser blatz, anderseit neben Jacob Plapperfussen dem Weißbecken Zum Krebß, hinden vff die Renngassen, alda es auch ein außgang hat, stoßend, dauon gehen Jahrß vff Martini Vier schilling d Bodenzinß den Capitularen hoher Stifft Straßburg, So ist diß hauß auch noch verhafftet vmb 50. Pfund d so Järlich vff Simonis et Judæ mit 2 lb 10 ß Lazaro Wohlfarten, Mehr umb 150 gld vnserer St. w. weÿ: D. Theophili Gollen see: Kindern mit 6 fl. Str. wehrung, Item vb XXI. lb erstbesagten Kindern, vff Georgÿ mit 1 lb 1 ß verzinßt und vff begeren erlegt werden müßen sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff, darinnen auch zweÿ Sechzig öhmige fässer die im Keller ligen begriffen vber die beschwerde so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 25 pfund
Fils du jardinier Thierry Hammerer, Jean Hammerer épouse en 1624 Marie, fille du brasseur David Kress
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 41 n° 100)
1624. Dom: 26. Trinit. 21. Nouemb. Hans Hammerer der Metzger dietrich Hammerer des Garttners hinderlaßener Sohn, J: Maria Dauidt Kreßen des Biersieders hinderlaßene tochter. Eingesegnet Montag 29. Decemb. (i 22)
L’aubergiste Jean Hammerer se remarie en 1640 avec Barbe, fille du batteur d’or Barthelémy Kallhart : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrenhafften vnd Achtbahren Herrn Hannß Hammerern Gastgeb Zum weinstockh v. burgern alhie Zue Straßb. an Einem, vnd dann der Ehren v: tugendreichen Jungfrauwen Barbarä Kalhardin weÿlandt herrn Bartholomæi Kalhardts geweßenen goldtschlagers vnd burgers Zue Straßburg seelig. Eheligen erzeügten dochtern anderntheils (…) Donnerstags den 16. Aprilis Anno 1640. Caspar Medler Nots.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 9-v)
1640. Dominic. Misericordias 19. Aprilis. Hannß Hammer der Würth Zum Weinstock vnd Jungfr. Barbara Bartholomæi Kallhart deß burgers vnnd goldschlagers n. Wittib tochter. Eingesegnet d. 27. Aprilis (i 13)
L’inventaire après la mort de Jean Hammerer est dressé en janvier 1644. Il laisse deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. La succession comprend plusieurs maisons. La masse propre à la veuve est de 617 livres, celle des héritiers est deficitaire de 29 livres. L’actif de la communauté s’élève à 723 livres et le passif à 539 livres.
1644 (31.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 13) n° 3*
Inventarium vndt beschreibung Aller vndt Jeder Ligender vndt vahrender, Verändert vndt unveränderter haab nahrung vndt Güethere, so weÿl. der Ehrenhafft vndt Achtbahre herr Hannß Hammerer, geweßener würth undt Gasthaltter der Herberg Zum Weinstockh, burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem aus dießem tödtlichem Hinscheÿden hinder Ihme verlaßen, welche vff freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Erenuest Fürgeacht vndt weÿßen herrn Johann Reinhardt Kressen E. Ers. Großen Raths alhie beÿsitzers Alß Annæ Margarethæ vndt Elisabethæ des ietz abgeleibten seel. mit auch weÿl. der Ehren: vndt viel tugendtsammen fraun Mariæ Kressin seiner ersten hfren sel. ehelich erzielter hinderlaßener beede döchterlin geschwornen vogts, wie auch deß Ehrenhafften Frantz Graffen weÿßbecken burgers alhie als Johann Jacobs vndt Mariæ Dorotheæ ebenmäßig deß ietz abgeleibten seel. mit der Ehren vnd tugendreichen fraw Barbaræ Kalhardtin seiner ietz hind.laßener Wittwen vnd. erzielter Kind. geschwornen Curatoris vndt also aller 4. deß ietz abgeleibten H. seel: ab intestato hind.laßne nechster Erben, durch erstehrenermeltte sein hinderlaßene wittib mit Rath hülff vnd beÿstandt deß Edlen Ehrenvest vnd hochgelehrten herrn Johann Philipp Schranckenmüllers der Rechten Doctoris vnd Advocaten burgers alhier zu Straßburg Ihres geordneten erbietten vndt H Curatoris vnd vogts geeügt vndt gezeigt – So beschehen vndt angefangen auff Mittwoch den 31.t Januarÿ Anno 1644.
Protestatio vnd Erclärungen dießer verlaßenschafft
Publicatio vnd Resolutio auff des vorgeschriebenen Codicill
Eheberedungs Copeÿ (…) Donnerstags den 16. Aprilis Anno 1640. Caspar Medler Nots.
Copia Codicilli – 1643. (…) vff Montags den 27. Monatstag persönlich erschienen der Ehrenhafft vnd Achtbare Herr Hannß Hammerer Gastgeb Zum Weinstockh vnd burger alhie Zue Straßburg Zwahr weg. hingestandener schwerer vnd gefährlicher leibs kranckheit vff eine bett ligendt, aber von d. gnaden Gottes noch guten verstandts vnd sinnen (…) Caspar Medler Imperiali Auctoritate Nots. ac civis Argebt. mppria.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg auff dem Barfüeßer platz gelegener Eck behaußung In d. Gastherberg Zum Weinstock genandt, so hernach beschrieben vndt in dieße Erbschafft gehörig Ist befund. word. wie volgt
Auff dem obern Kasten, Auff dem Andern Kasten, Inn d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Inn d. Cammer C, Inn d. Cammer D, Auff dem Gang, Inn d. Cammer E, Inn d. Cammer F, Inn d. Cammer G, Inn d. Cammer H, Vor diesen Cammern, Im obern Kleinen stübl. In dieseser stubkammer, Inn d. Cammer im Obern haußören, Inn d. vnd.n Stub. so die Gaststub, Im vndern haußöhren, Im Keller, Und. Im Stall
Eÿgenthumb vndt Besserung ane Häußern. (E.) Item daß Würths Hauß Zum Weinstockh genandt, mit allen seinen gebeuwen begriffenn weithen, Zugehörden, Rechten vndt gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßburg vnd.halb d: Kürschner Zunfftstuben 1s. ein Eckh gegen dem Barfüß. platz, 2.s. neben Jacob Plappenfuß dem weÿßbecken Zum Krebs, hinden vff die Renngaß stoßend, Dauon gehen Jahrs vff Martini 4 ß d bodenzinß den H. Capitularn hoher Stifft Straßb. Mehr 2. lb 12 ß d 6 d Jährlichen vff Simonis et Judæ wid. lößig in hauptgut mit 52 lb 10 ß d H. Lazari Wohlfarths geweßenen Schaffners Zur Rothen Kirchen seel. hinderlaßener Wittib vnd Erben, Weithers 5 fl Str. w. weÿl. Laurentÿ Schauwmanns deß Goldschmidts burgers alhie seel. Erben vogt Laurentio Treutheln dem Not° Jahrs vff weÿhenachten ablößig in hauptgut mit 150 fl. ermeltter wehrung, Item j lb j ß d geltts H Theophilo Gollen Jahrs auff Georgÿ seindt in hauptgut abzulößen mit 21. lb d. Undt dann ist sie noch v.hafft vmb 5540 lb d weÿl. Nicolai Waltten seel. Erben daran man alle Jahr 50. lb d sampt dem Zinß Zuerleg. schuldig, sonsten freÿ leedig vndt eÿgen vnd vber solche beschwerden angeschlagen für vndt vmb 489 lb 15 ß d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangendem Contract Insigel datirt den 15. 9.bris A° 1635. notirt mit N° 1.
(E.) Item j hauß vnd hoffstatt hind. d. Kürschnerstuben (…)
(W.) Item der halbe theil ane einem vordern undt hinderhauß vff dem Barfüeßerplatz (…)
Volgt nun die Beschreibung der Verlaßenschafft ane Ihro selbsten
Der Fraw Wittwen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 65, Sa. Silbers vnd Geschmeids 37, Sa. leerer Vaß 2, Sa. Guldener Ring 20, Sa. Baarschafft 7, Sa. Eÿgenthumbs vnd Beßerung ane einer Behaußung 125, Sa. Ergäntzung 360, Summa summarum 617 lb
Hernach würdt der Erben unverändert Gutt beschrieben, Sa. Haußraths 272, Sa. Leerer Vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 87, Sa. Guldener Ring 13, Sa. heußer 416, Sa. Schulden 7, Summa summarum 809 – Schulden 839, übertreffen also 29 lb
Volgt nun auch die Beschreibung der Theilbahren verlaßenschafft, Sa. haußraths 69, Sa. Früchten auff den Casten 21, Sa. Weins 91, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Guldenen Ring 3, Sa. Baarschafft 409, Sa. Schulden 119, Summa summarum 723 lb – Schulden 539, Nach deren Abzug 183 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1610 lb
Wÿdem So der abgeleibte seel. biß in sein absterben genossen. Item Es hatt der abgeleibte seel. weÿl. frn Mariæ Kressin v.mög auffgerechneten Testaments seiner ersten haußfrn seel. verheurathet mit (…)
Les héritiers louent l’auberge au Cep de vigne à la veuve
1644 (14.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 13) Joint du n° 3 du 31 janv. 1644
Lüfferung und Außweÿßung Frawen Barbaræ Kallhardtin weÿland herrn Hannß Hammerers geweßenen Gastgebers der Herberg Zum Rebstock – So beschehen auff Mittwoch Ipsa Valentins den 14.ten Februarÿ A° 1644
Lehnung der Gastherberg Zum Weinstockh vndt anderen Behaußung hind. der Kürschner Zunfftstuben
Ferners Zuwissen, daß auch auff eingangs gemeltes datum Zwischen Herrn Hannß Hammerers geweßenen Würths vndt Gasthaltters der Herberg Zum Weinstockh, burgers Zu Straßburg seel. in erster vndt anderer Ehe ehelich erzielter Kinder geschwohrnen herren Vögten, benantlichen herrn Johann Reinhardt Kressen, der Zeitt E. Ers. Großen Raths alhie beÿsitzern vndt Frantz Graffen weÿßbecken burgers alhie, ane einem
So dann Ehrengedachts H. Hannß Hammerers seel. hind.laßene Wittwen fraw Barbaræ Kalhardtin mit beÿstand Herrn Johann Philipp Schranckenmüllern, d. Rechten Doctoris vnd Advocaten vndt burgers alhier zu Straßburg, Ihres geschwornen herrn Tutoris vnd vogts, am andern theil ein freundliche Lehnung obangedeüter Gastherberg Zum Weinstockh wie auch der and. hind. der Kürschner Zunfftstuben gelegen vnd in mehrgedachts H hannß Hammerers seel. V.laßenschafft gehöriger Behaußung vff ein Jahr lang abgeredt, vndt Verglichen worden wie Barbarerdtlucgen hernach volgt
Nemblichen So verleÿhen ehrengedacht hern vögt Johann Reinhardt Kress vndt Frantz Graff, im namen vndt von wegen obernanndter Ihrer Vogt p.sohnen berührter frawen Barbaræ Kalhardtin
obbemelt die Gestherberg zum Weinstock allhie in d. Statt Straßburg auff dem Barfüßerplatz, wie auch die Andere hinder d. Kürschner Zunfftstuben gelegen vndt in obgedachts H. Hannß Hammerers seel. V.laßenschafft gehörige Behaußung sampt allen dero Zugehörd. rechten vndt gerechtigkeiten vff ein Jahr lang (…) welche Lehnung vff Mariæ v.kündung dießes xvj C vier vndt viertzigsten Jahrs angehen vnd vff solche Zeitt deß künftigen xvj C fünff vnd. viertzigsten Jahrs sich wid. end. solle – um 112 Gulden -Mittwochß Ipsa Valentini den 14. Febr A° 1644
Les tuteurs des enfants Hammerer louent l’auberge au Cep de vigne à Thomas Schwebel, jusqu’alors aubergiste au Lion rouge
1645 (19. febr.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 117
Erschienen d. Ehrenvest- fürsichtig- vndt Weÿse H Johann Rheinhardt Kreß Ein und Zwantziger dißer statt und Frantz Graff der Weißbeckh, beede alß Vögt Weÿl. H hannß Hammerers Würthß Zum Weinstockh seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kind.
haben in gegensein Thoman Schwebelß bißhero geweßenen Würthß Zum rothen Löwen, mit beÿstand H Johann Kolben E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzers
verlüh. haben gemeldt. Schwebel, Erstlich die Gastherberg Zum Weinstockh, am Parfüßer Platz geleg. und dann die Behaußung hin. der Kürschner Stuben geleg. beeder in sein Hammerers Verlassenschafft gehörig, mit allen deren Gebäwen, vff treÿ Jahr lang von nechts künfftig Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß nemlich 65. lib
[in margine :] (…) diße Verschreibung Zu cassiren befahlen Verspr. Act. den 14. 8.br a° 1648
La veuve Barbe Kallhard se remarie en 1645 avec le sellier Philippe Jacques Zittelin : contrat de mariage, célébration
1645 (6.8.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14), Protocollum (n° 1425) f° 64
Eheberedung zwischen Herrn Philipp Jacob Zittelin dem Sattler vnd Fr. Barbara Kallhardin vffgericht
zwüschen dem Ehrsamen und bescheidenen Philipp Jacob Zittelin, Sattler, vnd burgern Zu Straßburg Ane Einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamen Frawen Barbaræ Kallhardin, weÿl. deß Ehrenhafften vnd vorgeachten herrn Hannß Hammerers geweßenen Würths Zum Weinstockg vnd burgers Zu ermeltem Straßburg seel. hinderlaßener Wittib Am Andern theÿl
Geschehen undt verhandelt In deß Heiligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 6. Augustt Inn dem Jahr deß Herrn Alß mann Zalte 1745. (unterzeichnet) Jacob Geroldt deß Hochzeiters Schwager, Johann Philippus Spach deß hochzeiters Schwager, Mathias Kalhart alß der Hochzeiterin Bruder
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 26)
1645. Dominica X. Trinitatis 5. Augusti. Philippus Jacobus Zittelé der sattler Joachim Zittele des Keufflers v. burgers nachgel. Sohn vnd Barbara Johann Hammerers des Würths Zum Weinstock nachg. wittib. Copulirt zu St. Claus 11. Augusti (i 34 – pas dans les reg. de Saint-Nicolas)
Barbe Kallhard fait dresser l’inventaire de ses apports (1306 livres) dans la maison qui appartient au barbier Paul Kirchmann rue du Bouclier.
1645 (28.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 15) n° 22
Inventarium Über der Ehren : und tugendtsahmen Frawen Barbaræ Kallhardtin, weÿl. deß Erengeachten undt Achtbahren Herrn Hannß Hammerers, geweßenen würths undt Gasthaltters Zum weinstöck, burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßener Wittwen, Zue dem Ehrenhafften Philipp Jacob Zittellin, Sattlern vndt Burgern alhie ihrem Jetzigen lieben Haußwürth in die Ehe Zubringende Nahrung, auffgerichtet 1645. (…) mit beÿstand deß Ehrenhafften Frantz Grossen weißbeckh burgers alhie, Ihrer in vorig. Ehe erzielter Kind. geschwohrnen vogts (…) So beschehen auff Donnerstag den 18.ten August A° 1645.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg in der Schiltzgaßen gelegener behaußung, so H Paul Kirchmann Barbierern burgern alhier eigenthümlich zuständig die Fraw aber bißhero Lehnungsweiße bewohnt
Auff dem obern Boden, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, vor dießen Kammern, Im Obern haußöhren, Inn der Kuchen, Inn der Stuben, Inn der Stubkammer, Unden im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb vndt Besserung ane einer Behaußung. Item der halbe theil ane einem vordern undt hinderhauß vff dem Barfüeßerplatz (…)
Sa. haußraths 675, Sa. Silbers vnd Geschmeids 54, Sa. Guldenen Ring 49, Sa. Baarschafft 234, Sa. Eÿgenthumbs vnd Beßerung ane einer Behaußung 125, Sa. Schulden 226, Summa summarum 1306 lb
Nouveau bail à Thomas Schwebel
1648 (14. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 567-v
Erschienen der Ehrenvest- Fürsichtig und Weÿse H Johann Rheinhart Kreß Ein und Zwantzig dißer Statt und Frantz Graff der Weißbeckh beede alß Vögte weÿl. Hannß hammerers deß würthß Zum Weinstockh nunmehr seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kind. haben
in gegensein Thoman Schwebelß deß Würthß
verlühen, Erstlich die Gastheberg Zum Weinstockh am Barfüßer Platz gelegen, Vnd dan die Behaußung hinder der Kürschner Stuben gelegen beede in sein hammerers Verlassenschafft gehörig, mit allen Gebäwen, vff treÿ Jahr lang von nechst verschienenen Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich Zinnß, nemblich 57. lib 10 ß
[in margine :] (…) cassirt, Act. 31. Maÿ a° 1651
Les enfants Hammerer louent l’auberge au Cep de vigne à l’aubergiste Jean Fronhœffer
1651 (12. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 219-v
Erschienen H Johann Rheinhard Kreß Ein und Zwantziger alß Vogt weÿl. hannß Hammerers geweßenen würths zum Weinstockh nunmehr seel. hinderlaßener Kind. erster Ehe und Frantz Graff d. weißbeckh alß Vogt sein Hammerer Kind. Zweÿter Ehe
haben in gegensein Hannß Fronhöffers deß Würths mit beÿstand H Hannß Wörners deß Würthß Zum Engel
verlühen haben Erstlich die Gastherberg Zum Weinstockh am Parfüßer Platz gelegen, und dann die Behaußung hind. der kürßner stuben gelegen, und beede in gemeldts Hammerers Verlassenschafft gehörig, vff treÿ jahr lang von bevorstehend. Mariæ Verkündigung angerechnet, um einen jährlichen Zinß benantlich 55. lib.
[in margine :] (…) wiederumb uff treÿ jahr lang von nechstverwichenen Mariæ Verkündigung angerechnet – Act. 10. april. a° 1654.
[in margine :] (…) ferners uff treÿ jahr lang, Von nechst künfftif Mariæ Verkündung angerechnet – Actum den 9. Martÿ A° 1657
Barbe Kallhard meurt en 1673 en délaissant deux enfants de son premier mariage avec Jean Hammerer et une fille du deuxième mariage. La masse propre au veuf est de 52 livres, celle propre aux héritiers de 753 livres. L’actif de la communauté s’élève à 945 livres, le passif à 878 livres
1673 (17.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 5) n° 278
Inventarium und Beschreÿbung aller d. Jenig. Haab, Nahrung v. güethere, liegender undt Vahrend. verändert v. vnverändert. keinerleÿ außgenommen, So die Ehren: undt tugentsame Fraw Barbara Kallhardin, deß Ehrenvesten v. wohl vorgeachten herrn Philipp Jacob Zittelins, deß Sattlers v. burgers alhier geweßene eheliche Haußfr. beÿ ihrem deb 17. Aprilis deß Lauffend. jahrs beschehenem seeligen Ableÿben, Zeitlichen verlaßen (…) Actum Dienstags den 17. Junÿ Anno 1673.
Die verstorbene Fraw sellig hat p. Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fraw Mariam Dorotheam Hammerin, anjetzo ahne H. Hannß David Schurer dem gerb. v. Lederbereÿtern burgern alhier verheürathet, So mit v. neben Ihro dem geschäfft beÿgewohnt, 2. Mr Hannß Jacob Hammmern, Satlern, burgern alhier, mit beÿstand deß wohl edelen vesten Fromb Fürsichtig v weiß. herrn Joh: Philipp Zeÿßolff, Welchen Sohn v dochter, Sie die verstorbene Frawn seelig inn Erster Ehe mit weÿland H. Hannß Hammer gewesenen würth Zum Weinstock burgern alhier ehelich gezeügt, nach tod im Leben übrig gelasen
3. Jungfr. Elisabetha Zittelinin mit vorhergedacht hinderpliebenem H wittibern ehelich erziehlte dochter, inn deren nahmen Herr Abraham hannß metzger d. metzger burger alhier, alß geordnetervogt, beÿ dißer Inventation Sich præsentirt, Alle 3. ihr d Abgeleÿbten Frawen seel. per Testamentum hinderlaßene Erben.
So inn einer inn d. vorstatt Straßburg ahne Steinstraßen gelegenen v: inn dieße verlaßenschafft gehörig. Behaußung befund. word. wie volgt
Ane Haußrath, Vff d. obern bühnen, Vff dem and. bod. In d. Cammer A, In d. obern Stuben, Im Nebens Cämmerl., In der Undn Stuben, In der Kuchen, Im haußöhren, Im Gartten, In des Sohns hauß
Eÿgenthumb v. beßerung ane einer Behauß. Nemblich. Hauß inn d. vorstatt Straßb ane d. Steinstraß. (…)
Ergäntzung der Erben unverändert guths, Vermög Inventarÿ über der Verstorbenen fraw seel. in dieße Ehe Zugebrachte Nahrung durch herrn Notarium Ursinum den 28. Augusti Anno 1645. vffgerichtet
Vermög Inventarÿ über deß H. Wittibers in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch H. Notarium Ursinum d. 8.t Decembris 1645. vffgericht were demselb. Zuergäntz. wie volgt.
Abzug in dießes Inventarium. deß H. Wittibers unverändert guett. Sa. Haußrathß 11, Sa. Werckzeugs Zum Sattler handw. gehörig 3, Eÿgenthum einer behaußung 308, Erg. deß wittibers unverändert guett thuett (144 lb, Abgang 7, Pleibt also) 137, Summa summarum 460 lb – Schulden 408 lb, p. rest 52 lb
d. Erben guett, Sa. haußraths 67, Sa. Silb. geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener Ringen 12, Ergäntzung (765, Abgang 98, Pleibt übrig) 666, Summa summarum 753 lb
Theÿlbar guett, Sa. hausraths 100, Wahren 26, Früchten 25, Weinß v Lähren vaß 29, Silbergeschmeids 6, baarschafft 191, theilbare beßer. einer beh. 408, Schulden 146, Summa summarum 945 lb – Schulden 878 lb, pleÿben 66 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 871 lb
N° 279. Zuwißen seÿe hiemit Menniglichen
Les enfants Hammerer vendent l’auberge au Cep de vigne à Jean Fronhœffer
1658 (8. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 50-v
(Protocoll. fol. 7.) Erschienen der Ehrenvest fürsichtig fromm und wohlweiß H Johann Reinhard Kreß deß beständigen Regiments der Herrn fünff Zehen, alß Vogt Jungfr. Elisabethæ, ferners Frantz Graff der weißbeckh alß Vogt hannß Jacobs und Dorothea weÿl. hannß hammerers geweßenen gastgebers Zum Weinstockh nunmehr seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kinder, mit beÿstand der Ehrenvest fürsichtig und weÿßen H Johann Peter Sch(midt) und H Johann Michael Zeÿßolffs beeder alß auß E.E. Großen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein Johann Frönhoffers deß Gastgebers mit beÿstand Martin Woltzen deß küeffers und weinstichers alhie
die Herberg Zum Weinstockh, mit allen deren Gebäwen, begriffen, rechten und Zugehörden, alhie am Baarfüßer Platz, einseit ist ein Eckh an einem allmend Gäßlein, anderseit neben dem Beckhenhauß zum Krebß gelegen, davon Gehnd iahrs 4 ß termino Martini den hochwürdigen Evangelischen Herrn domcapitularen hoher Stifft Straßburg vermög von H Johann Peter Camehlen, alß deroselben Schaffnern heut dato ertheilten und hiebeÿ vorgelegten Scheins, zue bodenzinß, Item 1 lb Allmend Gelts gemeiner Statt
Item hauß, hoffstatt, Stallung, Keller mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten in vorgemeltem Gäßlin, hinder der vorbeschriebenen herberg einseit neben hannß Gaßnern dem Kürschner anderseit neben Simon Mühlich dem Schuhmachern, hinden uff H Johann Conrad dannhawern S.S. Theol. D. et Professorem auch Pfarrherrn im Münster stoßend gelegen (übernohmen) – umb 1576 pfund
[in margine :] Erschienen diebolt Großheinrich der Gastgeb Zum Pflug alß Ehevogt Elisabethæ Hammererin, Ferners Frantz Graff der Weißbeckh alß vogt hannß Jacobs und Dorotheæ der Hammererische Geschwisterd, mit beÿstand Philippß Jacob Zittele deß Sattlers ihres Stieff Vatters (quittung) Actum 20. Jan. a° 1659.
[in margine, f° 51-v] Erschienen Frantz Graff alß noch ohnentledigter Vogt Mariæ Dorotheæ Hammererin, anietzo hannß diebold Rosern deß Gerbers Eheweib (…), Act. 12. Sept : a° 1664
Jean Fronhœffer et sa femme Ursule hypothèquent quelques mois plus tard l’auberge au profit du tuilier Chrétien Klipfel, de la Robertsau
1658 (26. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 216
Erschienen Johann Frönhöffer der Würth Zum Weinstockh und Ursula sein Eheweib Und Sie Ursula insonderheit mit beÿstand Hannß Adam Allheilig. deß Pastetenbeckh. ihres Bruders, und hannß Fölckh deß Mangmaÿsters ihrer Schwestermanns alß deroselben hierzu erbettener nechser Verwanther
in gegensein Christmann Klipffels deß Zieglers in Ruprechtsaw – schuldig seÿen 100 Pfund
Unterpfand sein sollen die herberg Zum Weinstockh mit allen deren gebäwen alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh an einem Allmendgäßlin anderseit neben dem Beckhenhauß Zum Krebß geleg davon gehend iahrs 4 ß termino Martini deß hochwürdig. Evangelisch. H dom Capitularen hoher Stifft Straßburg zu bodenzinß und j. lib. Allmendgelts gemeiner Statt,
So dann hauß, hoffstatt, Stallung mit allen deren Gebäwen in vorgemeltem Gäßlin, hind. der vorbeschriebenen herberg, einseit neben hannß Gaßnern dem kürßnern, anderseit neben Simon Mülich dem Schuhmachern, hinden vff h. Johann Conrad dannhawern S.S. Thol. Doct. Profess. und Pfarrherrn im Münster stoßend geleg., welche beÿde häußer noch umb 576. lib. weÿl. hannß Hammerers deß würths seel. Kinder für kauffschillingß Rests verhafftet
Fils d’Adam Fronhœffer de Schwabach en juridiction d’Ansbach, Jean Fronhœffer épouse en 1651 Ursule, fille du boulanger Jean Wunderer à Offenbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 47)
1651. Dominica Quasimodo geniti. Johannes Fronhoffer, der Würth Zum Rebstock alhie Adam Fronhöffers geweßenen burgers vnd Baurs Mans Zu Schwabach Anspachischer Herrschafft hinderlaßener ehelicher Sohn vnd Jungfr Ursula Johann Wunderers geweßenen burgers und Weißbecken Zu Offenburg hinderbliebener eheliche tochter & Tochter.Copulirt Zum JS Peter Mont. d. 14.t Aprilis (i 58)
Jean Fronhœffer et sa fiancée achètent le droit de bourgeoisie quelques jours avant leur mariage
1651, 3° Livre de bourgeoisie p. 937
Hannß Fronhoffer Von Schwabach Margräffischer Anspacher Herrschafft, Erkhaufft daß burgerrecht für sich vnd sein Vermalte Ursulam Hannß Winders von Offenburg dochter vmb 20 Goldt fl. Würdt Zu den Freÿburgern dienen. Jur. den 10. April 1651.
Jean Fronhœffer hypothèque la maison au profit des enfants en secondes noces de Jean Hammerer
1660 (6. febr.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 147
Erschienen Johann Frohnhöff Gastgeb Zum weinstockh
in gegensein H Frantz Graffen deß weißbeckh alß Vogt hannß Jacobs und Dorotheæ weÿl. hannß Hammerers gewesenen Gastgeben Zum Weinstockh nunmehr seel. in letzter Ehe erzielter Kind. – schuldig seÿe 50 Pfund
Unterpfand sein sollen die herberg Zum Weinstockh mit allen deren Gebäwen alhie am Barfüßer Platz ist einseit ein Eckh am Allmendgäßlin anderseit neben der Beckhen behaußung Zum Krebß geleg. davon gehend iahrs 4 ß in Bruderhoff, Item j lib Allmendzinnß gemeiner Statt
Item hauß, hoffstatt, Stallung, Keller mit allen deren Gebäwen & in vorgementem Gäßlin, hinder der vorbeschriebenen herberg, einseit neben hannß Gaßnern dem Kürßnern, anderseit neben Simon Mulich dem Schuhmachern, hind. vff H Johann Conrad Dannhawern SS Theol. Doct. Profess. seniorem E.E. Kirchen Convents Præsident stoßend gelegen
Ursule Wunder meurt en juillet 1679.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 255 n° 82)
1679. Julius. Fr. Ursula Wunderin, hrn Johann Fronhoffers deß gastgebers Uxor ætat. 58. iahr. Sambst. 12. ad lepr. (i 134)
Jean Fronhœffer l’aîné loue l’auberge au Cep de vigne à son fils fondeur Jean Fronhœffer
1682 (24.3), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 69
Johann Fronhöffer der Älter Würth Zum Rebstock
in gegensein Johann Fronhöffer des Jüngern Kanntengießers, seines eheleiblichen Sohns mit beÿstandt Samuel Ruopen dreÿerknechts auff dem Pfenningthurn seines Schwähervatters
entlehnt, die herberg Zum Rebstock ahne dem baarfüßerplatz und das ohnfern darbeÿ gelegene allte fronhöfferische hauß, uff 9 Jahr lang Von bevorstehend. Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 90 fl. à 60. Xr. gerechnet, beÿ Welcher dann außtruckhlich Verglichen worden ist
Erstlichen, so solle der Sohn ihne den Vatter ahne statt des obbestimten Zinnßes dießer Jahr acht durch, Wann Er der Vatter seliige erlebet, gebührend alimentiren (…)
Hiergegen und in Consideration deßen, so will Sechstens Er der bruder seiner eheleiblichen Schwester Ursulæ Horbin gebohrner Fronhöfferin 15. Rchthr. Verehren
Jean Fronhœffer l’aîné meurt à l’âge de 66 ans en décembre 1686.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 318) n° 78)
1686. Johann Fronhöffer d. Würth Zum Weinstock alhier, ætat. 66 iahr. Sonnt. 1. 10.bris ad lepr. (i 167)
L’auberge revient à son fils Jean Fronhœffer qui épouse en 1681 Anne Marie, fille de Samuel Rupp, employé à la Tour aux deniers
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 190 n° 24)
1681. Junius 24. Johann Fronhöffer lediger Kantengießer H. Johann Fronhöffers burgers vnd gastgebers alhie ehel. Sohn, H. Anna Maria H. Samuel Ruppen dreyer Knecht deß Pfenningthurns ehel. Vogt (i 191)
Jean (ici Jean Jacques) Fronhœffer, aubergiste au Cep de vigne, meurt à l’âge de 27 ans en janvier 1682.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 279, n° 2)
1682. Hr Joh. Jacob Fronhöffer d. Würth Zum Weinßock, ætat. 27 iahr, Muttw. 4. Jan. ad lepr. (i 147)
Anne Marie Rupp se remarie en 1695 avec Tobie Stædel. La maison figure à l’inventaire de ses apports dressé en 1696.
Le curateur des enfants d’Ursule Fronhœffer et du boutonnier Jean Frédéric Dietsch vend la moitié indivise de l’auberge au tuteur du fils de Jean Fronhœffer, en présence de son beau-père Tobie Stædel
1697 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 337
H. Johann Niclaus Wittmar der Paßmentirer und Seÿdenhändler alß Curator weÿl. Ursula geb. Frönhofferin mit Johann Friderich dietschen dem außgetrettenen Knöpffmacher erzeugt und nachgelaßener dreÿ Kinder, mit beÿstand H. Johannis Marbachs E.E. Kleinen Raths Procuratoris & Advocati, ged. Ursula gewesenen und noch Zur Zeit ohnentschlagenen Vogts
Hn Friderich Raübers deß Hoßenstrickers und E. Löbl. Policeÿ gerichts alten beÿsitzers alß Vogts Johannis Fronhöffers weil. Johannis Fronhöffers gewesenen Würths Zum Rebstock sel. nachgelaßenen sohns, mit beÿstand H. Tobiæ Städelß deß handelsmanns seines Stieffvatters
die helffte für ohnvertheilt an der Gastherberg zum weinstock genandt, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, zugehördten, und Gerechtigkeiten gelegen allhier Underhalb dem Kornmarckt gegen dem alßo genandten Überhang über, einseit neben dem Beckenhauß zum Krebs, H. David Stieglern gehörig and. seit mit Zweÿen Ecken geg. dem Baarfüßerplatz hind. auff ein Allmend gäßlein d. Rubenloch gäßlein genand stoßend darein solches auch ein außgang hat, von welcher gantzen behaußung gehen jährlich Termino Martini 4 ß den Evangelischen herrn Capitularen hoher Stifft Straßburg, Item1 lb d Allmendgeld gemeiner Statt Pfenningthurn jährlich auff Petri & Pauli
So dann die helffte eines alten holtzhaußes mit einem Keller, zugehörd. und gerechtigkeit, so vor diesem ein wohn behaußung gewesen, in vorbemeldten Rubenlochgäßlein hind. d. gastherberg, einseit neben Johann Tscherning dem jüngern buchhändler, anderseit neben H. Johann Caspar Eisenschmidt Med. Doct. et Pract. Ehevöglich. weiß hinten auf ged. Eisenschmid stoßend gelegen
Tobie Stædel loue au nom de sa femme Anne Marie Rupp l’auberge à Jean Jacques Stempel. Le curateur du mineur Jean Fronhœffer ratifie le bail.
1697 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 375-v
H. Tobias Städel der Jüngere handelsmann alß Ehevogt Fr. Annæ Mariæ geb. Ruopin
in gegensein hans Jacob Stempel deß Würths
entlehnt, d. würthshauß zum weinstock mit allen dazu gehörig. holtzhauß und allen deren Gebaüen und Zugehört. allhier Und. am Kornmarckt neben dem Beckenhauß zum Krebs anderseit ist Ein eck am Barfüßer Platz, d. hind. hauß aber in dem alßo genandt. Rubenloch gäßlein geleg. auff Sechs jahr lang, von weihnacht. dießes lauffend. jahrs an Zurechnen – umb 110 pfund
[in margine :] H. Friderich Raüber der Hoßenstrickern Und E. Löbl. Policeÿ Gerichts alter Beÿsitzer, alß Curator Johann Fronhoffers hierin ged. Frauen Annæ Mariæ Ruopin in Ihrer ersten Ehe erziehlt Und nachgelaßenen Sohns, hatt in gegensein hierinn ged. Stempels des Entlehners angezeigt und bekandt, demnach hierinn beschriebenes Würths hauß zum Weinstock ged. Johann Fronhöffern nunmehro eÿgenthümlich und allein gehörig (…) die hierinn verschriebene Lehnung ratificirt, den 21. junÿ 1700
Le curateur de Jean Fronhœffer loue une nouvelle fois l’auberge à Jean Jacques Stempel
1706 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 246-v
Hr. Friedrich Reüber Exs: alß vogt Joh. Fronhöffers deß ledigen Handelsmanns
in gegensein Joh. Jacob Stempels würths zuem Weinstock
verliehen, d. Gasthauß zuem weinstock genant allhier einseit neben Joh. Münch Krebsbecker anderseit ist ein eck ahm baarfüßer platz hinten auf (-) gass stoßend gelegen mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten auf ein jahr lang anfangend auf Weÿhn: 1705 um 110 lb
Jean Fronhœffer vend la maison à Jean Jacques Stempel, son locataire
1709 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 190-v
(3750) hr Paul Flach oberschreiber im Spithal nahmens Joh: Fronhöffers handelsmanns
in gegensein Joh: Jacob Stempels gastgebers zuem weinstock
die gastherberg zuem weinstock genant sambt dem nebens gebau so vor dießem eine wohnung geweßen aber anjetzo ein altes holtzhauß ist mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten unterhalb dem kornmarckt einseit neben dem beckenhauß zum krebs anderseit mit zweien ecken gegen dem baarfüßer platz hinten auf ein Allmend gäßlein d. rubenloch gäßlein genant stoßend, darin solches auch einen außgang hat, warvon gehen jährlichen 4 ß denen Capiitularen hoher Stifft Straßburg, Item 1 lb allmend geld unßerm Pfthrn. – um 3750 pfund
Les experts estiment la maison à 2 200 livres lors de l’inventaire dressé en 1733 après la mort de Susanne Marie Kellermann. Lors de la liquidation, l’auberge au Cep de vigne est attribuée au fils aîné Jean Jacques Stempel.
L’aubergiste au Cep de vigne (zum Weinstock) Jean Jacques Stempel épouse en 1711 Marie Barbe Fischer, fille de Sébastien Fischer, aubergiste au Cep de vigne (zum Rebstock) : contrat de mariage, célébration
1711 (30.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 615
Eheberedung Zwischen Herrn Johann Jacob Stempel leedigem gasthalter herrn Johann Jacob Stempel des ältern Würths Zum Weinstock vnd burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als dem herrn Brauthigamb, beÿständlich gedachts seines H. Vatters vndt Herrn Johann Carl Kellermanns vornehmen handelßmanns vnd auch burgers allhier deßen vettern, ane Einem
So dann Jungfrawen Maria Barbara Fischerin, Herr, Sebastian Fischers gastgäbs Zum Rebstock vnd E. E. Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers burgers allhier ehelichen dochter als der Jgft. hochzeiterin, mit assistentz ermelten Ihres H. Vatters vndt Herrn Johann Georg Picken biersieders Zum schwartzen bären gleichfalls burgers allhier dero Schwagers andern theils
Actull Straßburg Sambstags d. 30. Maÿ A° 1711. (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel akß hochzeiter bekenne wie vorstehet, maria Barbar lischerin alß hochzeiterin bekenne wie obstehet
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 26-v)
1711. d. 17. Junÿ sind Ehelich eingesegnet Word. H. Johann Jacob Stempel der ledige Gastgeber Hn Johann Jacob Stempels des Burgers vnd Gastgebers allhier ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Maria Barbara Hn Sebastian Fischers Burgers vnd Gastgebers allhier Eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel alß hochzeiter, Maria Barbara Fischerin alß hochzeiterin (i 29)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge au Saumon (qui appartient aux parents du marié). Ceux du mari s’élèvent à 670 livres, ceux de la femme à 604 livres.
1711 (18. 9.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 29) n° 994
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehren Wolvorgeachte H. Johann Jacob Stempel Gasthalten Zum Salmen und die Ehren und Tugendsahme fraw Maria Barbara gebohrne Fischerin beede Eheleuthe Vnd burgere allhier Zue Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, Vnd Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder ehepersohnen selbsten fleißig inventirt untersucht (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegenseÿn gedachter beeder Eheleute geliebter Eltern, Mittwochs d. 18. 9.br A° 1711.
Inn Einer Allhier Zue Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen und Zum Salmen genannten Gastherberg sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer A, Im vndern Haußöhren, inn der hindern Obern Stub, Im Kinder Stübel, Im obern Haußöhren, Im Mittleren Stock, In der Stub N° 1, In der St. N° 4, In der St. N° 5, In der Gast St. In der Kuchen, Im Keller, Im Hindern Cämmerl. im hoff
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Nahrung betr. Sa. haußraths 282, Sa. Weins vnd Leerer Vaß 281, Sa. hews 22, Sa. Silbers 14, Sa. Goldenen Rings 20, Sa. baarschafft 50, Summa summarum 670 lb
Der Ehefrauen Vermögen betr. Sa. haußraths 279, Sa. Frucht 13, Sa. Silbers 37, Sa. Goldener Ring 40, Sa. Baarschafft 234 lb, Summa summarum 604 lb
Jean Jacques Stempel et Marie Barbe Fischer font donation de leur auberge à leur fils Jean Jacques lors de son contrat de mariage avec Catherine Marguerite Magnus en 1740. La donation deviendra effective après la mort des donateurs.
1740 (23.7.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 75
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, dem leedigen Würth Zum Pflueg und burgern allhier, des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, des Würths Zum Weinstock, und burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Barbara gebohrene Fischerin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hern Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Catharinä Margarethä Magnusin des Ehren vorgeachten Herrn Johann Georg Magnusn des Metzgers und Burgers allhier mit der Ehren und Tugendbegabten Frauen Catharina gebohrenen Dietzin ehelich erzeugten Tochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Sambstags den 23. des Monaths Julii A° 1740 (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel als Hochzeitter, Catharina Margaretha Magnusin als hochzeiterin
Endlichen und zum Achten wollen des Herrn Hochzeitern vielgeliebte Eltern ihrem Sohn als dem Herrn Hochzeither, ihre an dem Baarfüßer Platz gelegene, Zum Weinstock genandte Behausung, mit allen deren rechten und Gerechtigkeiten, vornen und hinten neben dem Beckenhauß Zum Krebs so über 7 fl. 2 ß 6 d so man Jährlich der Statt Pfenningthurn Zugeben schuldig, leedig und eigen, nach ihrem beederseitigem Absterben um den Preiß, wie sie des herrn hochzeiters Herr Vatter von seinen Eltern empfangen, nemlichen vor die Summ von 1150 gulden eigenthümlich überlaßen
(unterzeichnet) Joh: Jacob Stempel als Hochzeiter, Catharina Margaretha Magnusin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 160-v, XIV)
1740. Dom. X et XI Trinitatis proclamati sunt H Johann Jacob Stempel der ledige Gastgeber u. burgers allhier ehel. Sohn u. Jgfr. Catharina Margaretha, Johann Georg Magnus Metzgers und burgers allhier ehel. tochter Copulati Mittw. d. 31. Augusti (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel alß hochzeiter, Catharina Margaretha Magnusin als Hochzeiterin (i 165)
1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Dienstags den 17.ten Dec: A° 1743.
fr. Maria Barbara weÿl. Hn Joh: Jacob Stempels Sen. geweßenen Würths Zum Weinstockh (pt° Conto, f° 190, 191-v, 193)
Jean Jacques Stempel l’aîné meurt en 1743 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 2 800 livres. La masse propre à la veuve est de 1 054 livres, celle des héritiers de 234 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 305 livres et le passif à 2 137 livres.
1743 (17. Xbris), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 474) n° 240
Inventarium über Weÿl. des Ehren Vest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, Sen.ris geweßenen Gastgebers und Burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen Verlaßenschafft
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, Liegend v. fahrender, keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehren Vest und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Stempel, Sen.r geweßener Gastgeber Zum Weinstock v. Burger allhier zu Straßburg, nun seelig, nach seinem den 17.den Maji dieses Lauffenden 1743.sten Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der ane hernach folgendem fol° benandter Erben inventirt v. ersucht, theils durch die Viel Ehren v. Tugendbegabte Frau Mariam Barbaram gebohrener Fischerin, die hinterbliebene Wittib, beÿständlich deß Ehrenvest v. wohlvorgeachten herrn Johannes Huck, des gastgebers Zum blauen Hechten v. burgers allhier, ihres ane Vogtsstatt erbettenen assistenten (geäugt und gezeigt)
Der Verstorbene H. seel. Hat ab Intestato zu Erben verlaßen, als folgt. 1. Hn Johann Jacob Stempel, den Gastgeber Zum Pflug v. Burger allhier, so majorennis, welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet, 2. Hn Johann Carl Stempel, den Gastgeber auff dem Schießrein v. Burger allhier, so auch majorennes v. beÿ dem Geschäfft in Persohn erschienen, 3. H. Johann Christian Stempel, den leedigen bierbrauer so ohngefehr 22 Jahr alt und dermahlen sich in der Fremde auffhält, 4. Weÿl. Hn Johann Georg Stempel, gewesenen leedihen gastgeber, so nach seinem H. Vatter gestorben, v. von der hinterbliebenen Fr. Wittib geerbt Worden und 5. Jungfrau Susanna Jacobea Stempelin, so ohngefehr 16 Jahr alt, Und ist anestatt deren beeden nochlebenden jünsgten Kinder obgedachter H. Joh: Jacob Stempel, als dero Vogt erschienen, v. weilen er hiebeÿ selbst interessirt, als ist ferner zugegen gewesen H Johann Georg Pick der Bierbrauer Zum Schwartzen Bähren v. Burger allhier, als deroselben erbettener Theil Vogt, (…) Alle 5. des Verstorbenen H. seel. mit eingangs gedachter seiner nunmehr hinterlaßenen r. Wittib ehel. erzeugte Kinder v. Erben zugleichen antheilen.
In Einer allhier zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen hieher gehörigen Gast behausung Zum Weinstock, ist befunden worden als volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der gaststub, Auff der obern Bühn, In der Cammer Lit. D
(f° 14) Copia der Eheberedung (…) auff Sambstag d. 30. Maji A° 1711, Daniel Rohr
Ergäntzung der Wittib Wahrender Ehe abgegangenen Unveränderten Guths. Vermög Inventarii über das jenige besagend, was beide nun getrennte Eheleute einander vor unverändert in den Ehestand zugehörd durch weÿl. Hn Daniel Rohr geweßenen Notm publ. et pract. seel. a° 1711. gefertiget
(f° 23) Eigenthum ane Behaußungen und garten (E.) Die Gastherberg Zum Weinstock oder ins gemein d. Rubenloch genandt, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg unterhalb dem Kornmarckt, 1. s. neben weÿl. Joh. München, des gewesenen Weißb. Zum Krebs seel. Erben, 2. s. mit 2. Ecken gegen dem baarfüßer Platz hinden auff ein Allmend gäßl. d. Rubenloch gäßl. genandt, stoßend, darein solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall liegt, davon gehen 3. lb 12 ß 6 d. allmend geld Jährl. in verschiedenen Terminen, dem allhießigen Pfenningthurn. sonsten freÿ ledig v. eigen v. durch (die Werckmeistere) Vermög Zu dem Concept geliefferter schrifftlicher Abschatzung d. d. 12. Xbr: 1743. angeschlagen Worden samt obigem Stall pro 5600. fl. oder 2800. lb. davon abgezogen die darauff hafftende Allmend Zinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 145. lb. So verbleibt an dem anschlag annoch außzuwerffen übrig 2655 lb. Darüber meldet 1. perg. Kbr. in allhies. C.C.st. unter dero anh. Ins. gefert. datirt d. 30. Mart: A° 1709. außweißend, wie solche Behaußung von des Verstorbenenn seel. Eltern erkaufft worden mit altem Lit. C signirt. Ferner 3. dergl. Kbr. deren der eine dat: d. 8. febr: 1658. mit N° 2. Lit.B. et D. not: der andere dat: d. 10 Jul: A° 1697. mit Lit. B. et E sign: der 3.te aber dat. d. 15. 9.br A° 1635. mit alt. N° 1 Lit A. et F. bemerckt. Welche Documents aber dermahlen nicht vorgewießen worden und hat d. verstorbene seel. solche Behaußung von seinen seel. Eltern als ein Legat erhalten
(E.) It. 1. Garten beneben 2. häußern 1.r Scheur hinder dem Zollhauß am Cronenburger Thor (…)
(f° 26) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli, Der Wittib Eigenthümliches Vermögen Sa. haußraths 16, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 16, Sa. Baarschafft 6, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (940, abgehet 1, annoch übrig) 937, Summa summarum 1054 lb
Diesemnach wird auch der Erben Eigenthümliches Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 44, Sa. Lähren Faß 23, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane Häußeren v: einem Garten 2746, Sa. Ergäntzung (518, abzuziehen 3027, compensando 2509, Summa summarum 2818 lb – Schulden 2584 lb, verbleibe, 234 lb
Endlich wird auch das gemein verändert v. theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 179, Sa. Wein v. der Lähren faß 180, Sa. Goldenen Ring 5, Sa. Baarschafft 263, Sa. Schulden 2526, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 95, Summa summarum 3305 lb – Schulden 2137 lb, Nach deren Abzug 1157 lb
Nota. Zufolg obig Copeÿl. eingetragenen Codicilli §° 2.do hat die hinterbliebene Wittib des Verstorbenen seel. völlige Verlaßenschafft dergesalten Lebenslang Zu genießen (…) – Beschluß: v. Verstallungs Summa 2456 lb
Abschatzung dem 12. Decem: 1743. Auf begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Johann Jackob Stempfell dem geweßenen Wirth und gastgebere ihm ruben Loch Seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg an dem Barfüßer blatz gelegen einseitß anß rubenloch gäslein, anderseitß ein Eck gegen der Straß hinden auff dem Krebß becken Stoßent, welche behausung unden ein gangß rechter handt die gaststube und daß hauß Ehren, Linckerhandt die Kuchen ein getrëmbter Keller, oben dar über ihm Ersten Stock Zweÿ Stuben ein Contor mit diellen Zu geschlagen und haus Ehren, ihm 2.t: Stock ein stuben vier Camren und haus Ehren, under dem tach 5. alte Camren warüber ein alter tachstull mit 2. unbesetzten bienen und holtzrer gebell ferner ein alter Stall so Zum holtz gebraucht wierdt ihm ruben Loch geselin gelegen einseitß hinden auff H ritter hindergebäu, anderseitß auff Jackon raß* dem schumacher Stoßent, so unden einen alten baufelligen Stall oben ein alte bienen mit einem halben tach sambt aller gerëchtig Keit wie solches turch dero Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Peÿß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Tausent und sechß hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Wërck Meister [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhof
Marie Barbe Fischer meurt trois ans plus tard. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 3 661 livres, le passif à 122 livres
1746 (12.9.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 341
Inventarium über Weÿl. der viel Ehren v. Tugends. fr. Mariä Barbarä Stempelin geb. Fischerin, auch weÿl. des Ehren und vorgeachten H. Johann Jacob Stempels, gewes. Gastgeb. v. b. allh. Zu Straßb. seel. nachgel. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1746. – nach irem Dienst. d. 2.t des Mon. Aug. dieses lauf. 1746.ten Jahrs beschehenen tödt. Ableiben, hie Zeitl. Verlaßen, (…) So geschehen in d. Königl. St. Straßb. auff Montag d. 12.ten des Monaths Septembris anno 1746.
Die Verstorbene frau seel. Hat ab Intestato zu Erben verlaßen als folgt. 1. den Ehren v vorgeachten H Johann Jacob Stempel Würth b. gastgeb Zum Pflug, auch b. allh. welcher beÿ dem gesch. persönl. erschienen, 2. den auch Ehren v vorgeachten H Johann Carl Stempel dermahligen Würth v. Gastgeb. auff dem Schüßrein, Er auch in Pers. beÿgewohnt, 3. den Ehrengeachten H Joh: Christian Stempel, led. bierbrauer so dermahlen sich in d. fremde auffhält, 4. die Viel Ehren v. tugends. Jgfr. Susannam Jacobe Stempelin, so in Pers. Zugegen war, Welche beede letztere geschworner Vogt obged. H. Johann Jacob Stempel, weilen aber derselbige hiebeÿ selbsten interessiret, so als ist ferner hiebeÿ erschienen d. Ehren v vorgeachte H. Joh: Georg Beck, d. bierbr: v. b. allh. dero geschworner Theilvogt. Alle 4. d. Verst. fr. seel. mit auch weÿl. dem Ehren v. wohl vorgeachten Hn Joh: Jacob Stempel dem gewes0 Gastgeber v. b. allh. seel. ehel. erz. KK. v. Erben Zu gleichen Erbentheilen
In einer allhier Zu Straßb. ane dem Baarfüßerplatz gelegenen, Zum Weinstock genandten behausung so in diese Verl. geh. ist befund. word. als folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer Lit. A, In der Cammer Lit. B, In der Cammer Lit. C, In der Cammer Lit. D, In der Cammer Lit. E, In der Cammer Lit. F, In der obern vordern Stub, Im obern vordern kleinen Cämmerl., In der Cammer Lit. G, In d. Wohnstub, In der Stub Cammer, In d. obern Gaststub, In der Haußehren Cammer, In der unten Gaststub, In der Kuchen, Im Keller
(f° 12) Eigenthum ane Häußern und einem Garten. Erstl die Gastherberg Zum Weinstock od. ins gemeine d. Rubenloch gen. mit allen deren Gebäuen begriffen, Weiten, Rechten Zugehörd. v. Gerechtigkeiten gelegen allh. zu Straßb. unterh. dem alten Kornmarckt, 1.s. neben Weÿl. Joh. München, des gewes. Weißbecks Zum Krebs seel. Erben, 2.s. m. 2. Ecken gegen dem baarfüßerplatz hinden auff ein Allmend gäßlein das Rubenloch gäßlein genandt, stoßend, darin solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall liegt, davon gehen 3. lb 12 ß 6 d. allmend geld Jähr. in verschiedenen Terminen dem allhies. Pfenningthurn. sonsten freÿ leedig v. eigen v. beÿ Weÿl. H. Joh: Jacob Stempels, der Erben Vatter seel. Verl. Inventur dh. (die Werckmeistere) vermög beÿ selbigem Conc. befindlicher schrifftlicher Abschatzung d.d. d. 12.ten Decembris 1743. s. obigem Stall angeschlagen, auch dabeÿ, weilen bißhero keine Reparationen darinnen vorgenommen worden, gelaßen um 5600 fl. od. 2800 lb. Davon abgezogen die darauff hafftende allmend Zinß so Zu dop. Cap. gerechnet antreffen 145. So verbleibt ane dem Anschlag annoch außzuwerffen übrig. 2655. lb. Darüber meldet 1. perg. Kbr. in allh. C.Cst unter dero anh. Inns. gef. dat. d. 30. Martii A° 1709. mit alt. Lit. C sign. Ferner 3. dgl. Kbr. deren d. eine datirt d. 8. Februarÿ 1658 m. N° 2 Lit. B. et D. notirt, der andere datirt d. 10. Julii A° 1697. mit Lit. B. et D signirt, der dritte aber datirt d. 15. Novembris A° 1635. m. a. N° 1 Lit A. et F. bemercket. Welche Documenta aber dermahlen ô vorgewießen worden.
It. 1. Garten beneben 2. Häußern hinter dem Zolhauß am Crohnenburger Thor (…)
(f° 15-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia Dispositionis inter Liberos so die Verstorbene seel. d. 2. Augusti Anno 1746. Vor eingangs ged. Notario v. gezeugen auffgerichtet. Sa. haußraths 289, Sa. Weins und der Lähren faß 314, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 63, ß goldener Ring 23, Sa.& baarschafft 75, Sa. Eigenthums ane Häusßen und Garten 2746, Sa. Schulden 149, Summa summarum 3661 b – Schulden 122, Nach deren Abzug 2939 lb
Dazu gerechnet nachbeschribene Ehesteuren 1150, solchemnach belaufft sich die völlige Verlaßenschafft auff 3389 lb, Prælegata 183, Nach deren Abgang 3206 lb, Beschluß und Verstallungs summa 2939 lb
Comme il est propriétaire de l’auberge à la Charrue au Faubourg de Pierre, Jean Jacques Stempel, donataire de la maison, renonce à acheter la maison et cède ses droits à sa sœur Catherine Jacqueline.
1746 (22.9.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) Joint au n° 341 du 12 sept. 1746
(Inventarium über Weÿl. fr. Mariä Barbarä Stempelin geb. Fischerin, auch weÿl. H. Johann Jacob Stempels, gewes. Gastgeb. v. b. allh. Zu Straßb. seel. nachgel. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft)
Zuwißen seÿe hiemit, daß auff heut zu End gemeltes Datum, vor mir dem unterschriebenen Not° persönlich erschienen seÿe, der Ehren v vorgeachte Herr Johann Jacob Stempel, Würth v gastgeber zum Pflug v. burger allhier zu Straßburg, anzeigend, demnach ihme in seinem, mit Frauen Catharina Margaretha geb. Magnusin, d. 23. Jul: A° 1740. vor mir dem unterschriebenen Not° auffgerichteten Ehe Contract, von nun Weÿl. Hn Joh: Jacob Stempel, dem gewesenen Würth v. gasgteber Zum Weinstock v. burger allhier, v. Fraun Maria Barbara geb. Fischerin seinen gel. Eltern seel. die Gast behaußung zum Weinstock; gelegen allhier Zu Straßburg unterhalb dem alten Kornmarckt, eins. neben Weÿl. Joh. München, des gewes. Weiß. Zum Krebs seel. Erben, 2.s. mit zweÿ Ecken gegen dem baarfüßerplatz, hinten auff ein Allmend gäßl. das Rubenloch gäßl. genandt, stoßend, darein solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall ligt, so außer dreÿ pfund 12 schilling 6 pfenning Allmend geld, so man Jähr. in verschied. Terminen dem allhiesigen Pfenningthurn zu bezahlen schuldig, freÿ leedig v. eigen, um die Summ von 11.150 gulden, dergestalten verschrieben worden, daß er solche summ d. 11.150. fl. nach beed. Eltern Tod in gemeine Erbschafft einschießen, vnd dann wider als ein Mit Erb Theil haben, ihme jedoch freÿstehen solle, solche behaußung als dann um besagten Preiß anzunehmen ader nicht, auch nicht verbunden seÿn, etwas vor reparations Cösten, so biß dahin darinn angewendet seÿn werden, Zu bezahlen, er aber seithero die gastherberg Zum Pflug ane d. Steinstr. allhier gelegen an sich erkaufft, mithin nicht willens seÿe, solche beede häußer beÿsammen Zu behalten, vielmehr gesinnet seiner Schwester Jungfer Susannä Jacobe Stempelin damit behülfflich zu seÿn, als hat d.selbe hiemit v. in Crafft dieses wißent. v. wohlbedächtlich vor sich und seine Erben ertstegedachter seiner Jungfer Schwester Eigenthüml. cedirt v überlaßen, vorhergemelte behaußung Zum Weinstock samt allen ihren Rechten vnd gerechtigkeiten (…) So geschehen in d. König Statt Straßburg d. 22. Sept: A° 1746.
Compte rendu au garçon d’auberge Frédéric Charles Stempel
1739 (10.1.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 508) n° 53
Berechnung deßjenigen was Herr Johann Jacob Stempel, der Würth und Gastgeber zum Weinstock und burger allhier zu Straßburg, vom 31.sten Januarii 1738 biß d. 10. Jan. 1739 vor Friderich Carl Stempel, den leedigen Keller oder Hauß Knecht, seinem Vogts Sohn, eingenommen und außgegeben hat.
Comptes rendus au brasseur Jean Chrétien Stempel, fils de Jean Jacques et de Marie Barbe Fischer
1746, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 348
Rechnung Über diejenige Mobilien, welche Hr Johann Christian Stempel, der leedige bierbrauer Weÿl. Hn Johann Jacob Stempels geweßenen Gastgebers mit auch weÿl. Frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede seel. erzeugter sohn beÿ erstegedachter seiner Mutter seel. Verl. Abtheilung erbl. erhalten v. nachgehends verkaufft worden
1748, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 509) n° 115
Rechnung Mein Johann Jacob Stempel des Gastgebers zum Pflug v. b. allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christian Stempel des leedigen bierbrauers meines bruders weÿl. Johann Jacob Stempel des ältern geweßenen Gastgebers zum Weinstock v. b. allh. mit auch weÿl. frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede nun seel. ehel. erzeugten Sohns, Inhaltend alls dasjenige was Ich vor denselben eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtl. weiß Verrichtet habe vom 12. sept. 1746 biß d. letzten 8.bris A° 1748 – Erste Rechnung dieser Vogteÿ
1752, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 510)
Rechnung Mein Johann Jacob Stempel des Gastgebers zum Pflug v. b. allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Christian Stempel des Gastgebers meines bruders Weÿland Johann Jacob Stempel des ältern geweßenen Gastgebers zum Weinstock v. b. allh. mit auch weÿl. frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede nun seel. ehel. erzeugten Sohns, Inhaltend alles dasjenige was Ich vor denselben eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtlicher weiß Verrichtet habe vom letzten oct. 1748 biß d. letzten X.bris 1752 – Zweÿte und letzte Rechnung dieser Vogteÿ
Susanne Jacqueline Stempel épouse en 1746 l’aubergiste Jean Ehrlenholtz : contrat de mariage, célébration
1746 (22.9.), Not. Koch (6 E 41, 499) n° 142
Eheberedung – zwischen dem Ehren vnd vorgeachten herrn Johann Ehrlenholtz, dem leedigen Würth und gastgeber allhier zu Straßburg, des Ehren vnd Wohlvorgeachten herrn Johann Caspar Ehrlenholtz, Sattlers v. burgers allhier mit der Viel Ehren vnd Tugendbegabten Frauen Aurelia, gebohrener Saumin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigam ane Einem
So dann der Ehren: v. Tugendsahmen Jungfrauen Susannä Jacobe Stempelin, weÿl. des Ehren: v. Wohlvorgeacht, herrn Johann Jacob Stempels gewesenen Würths v. gastgebers Zum Weinstock v. burgers allhier mit auch Weÿl. der Ehren: vnd tugendsamen Frauen Maria Barbara, gebohrener Fischerin, beede nun weiland ehelich erzielter Tochter , als der Jfr. Braut am andern Theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag d. 22. Sept : A° 1746. (unterzeichnet) Johannes Ehrlenholtz als hochzeiter, Susanna Jacobea Stempelin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 61-v n° 331)
Anno 1745. Mitwoch den 9. Novemb. seind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausruffung zu St Thomæ und zu St Nicolai Zu St Thomæ copulirt vnd eingesegnet worden, herr Johannes Ehrlenholtz Lediger Gastgeber Hrn Johann Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhie ehel. Sohn und Jungfr. Susanna Jacobea Stempelin, weÿl. Hn Johann Jacob Stempels gewesenen Gastgebers und burgers allhie hinterlaßene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johannes Ehrlenholtz als hochzeiter, Susanna Jacobea Stempelin als hochzeiterin (i 63)
Jean Ehrlenholtz qui a vingt-et-un ans demande le droit d’exploiter le Cep de vigne. Le conseil de tribu ajourne sa décision comme le pétitionnaire n’a pas l’âge minimal réglementaire de vingt-cinq ans.
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 309-v) Mittwoch den 28. Sept. 1746 – Johannes Ehrlenholtz der ledige Würth gebürthig von hier stehet dato vor, undt remonstriert wie daß Er in dem Würths hauß Zum Weinstock allhier würtschafft Zu treiben gesonnen, bitt dahero Ihme einen Zunfftschein Zu Ertheilen, daß E. E. Zunfft Ihme nach erhaltenem Weinschanck von Gnäd. Hh denen XV.en alß einen würth Leibzünfftig Annehmen wollen, declariret anbeneben daß Er würcklichen 21. Jahr alt, Zumahlen auch schon über 5. Jahr auß der Lehrzeit stehen undt Krafft habender Abschied ehelichen serviret habe. Hierauff ist
Erkandt worden, daß Herr Zunfftmeister allvorderisten mit Herren XV. Secretarius Stædel ob der Implorant, alß welcher noch nicht 25: sondern seiner eÿgenen geständtnus Zufolg nur 21 Jahr alt alß majorennis Zu tractiren, mithin Ihme das Zunfft: Recht conferirt werden Kann, derhalben sprechen wolle, mit dem beysatz, daß Fallß Edel ermeldter Herr XV. Secretarius der Meinung, daß solches geschehen könne, so solle alß dann dem Imploranten, mit dem begehrten Zunfftschein willfahret, wiedrigen Falls aber derselbe Zufolg der Neuen Ordnung vom 17.ten hujus Mensis et Anni §° 6.to ahne Gnäd. Herren die XV. allvorderisten Verwießen seÿn, vmb allda pro dispensat. unterthänig Einzukommen.
Les Quinze accordent dispense à Jean Ehrlenholtz, eu égard qu’il est marié et agira par conséquent en bon père de famille. Le bénéficiaire devra payer un droit revenant pour moitié à la Ville et pour moitié à la tribu. Les Quinze délivrent une expédition de leur sentence.
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Johannes Ehrlenholtz Ca E. E. Zunfft der Freÿburger
(p. 673, suite de la p. 672 manquante) Sambstags d. 12. Novembris – (…) wann aber der Implorant (…) (p. 374) deputirte hatten darfür gehalten, we[-] der Implorant in conformität dero producir[-] ten attestation in allen præsatnda præstirt[-] so daß Ihme nichts i, wehe stehet, als a[-] das vermög der* ordnung erforderliche[-] alter noch nicht habe, aber dießes wurck(lich)[-] verheurathet und alßo zu præsumiren [-] daß er als paterfamilias auch der würth[-] wohl vorstehe, werden daß er Implorant[-] gegen erlag 10. lb pro dispensatione hab[-] Gemeiner Statt und halb E.E. Zunfft der[-] Freÿburger [-] u dem Zunfft[-] dispensando[-] den könne. Erkannt bedacht gefolgt
(p. 686) Montags d. 14. Novembris – Bescheid
In Sachen Johannes Ehrlenholtz, des ledigen Würths und burgers allhier, imploranten, an einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Freÿburger Hn Zunfftmeister, Imploraten, am andern theil, auff producirtes unterth. Memoriale mit beÿl. Sub Nis 1 biß 7 inclusive juncto petito, wir geruhen möchten, den, Imploranten wegen des in der ordnung angsetzten alters gnädig Zu dispensiren, mithin gratiosé Zu verordnen daß er Zu dem Zunfftrecht der Freÿburger gelaßen werde, des Hn Imploranten gethane déclaration, vermög welcher er des Imploranten petitum Zu Unserer Erkanntnuß gesetzet, gebettene, bewilligte und beseßene deputation, auch all übriges derer Parten angehörtes Vor: und anbringen, ist derer Hh. depp.ten abgelegten relation nach Erkanndt, daß der Implorant gegen erlag 10. lb d pro dispensatione halb gemeiner Statt und halb E. E. Zunfft der Freÿburger heimfällig Zu dem Zunfft, und würthß schaffts: Recht dispensando gelaßen weren solle.
Zu MGHhn stellend, ob sie erkennen wollen deß dieße bescheid in forma prælectâ denen Parten communicirt werden sollen. Erkanndt, quod Sic
(p. 689) Faust nôe Johannes Ehrlenholtz Ca E. E. Zunfft der Freÿburger Hn Zunfftmeister, bitt ut modo. Erk. ut modo [bitt communic. sententiæ. Erkannt Willfahrt]
Jean Ehrlenholtz devient tributaire chez les Fribourgeois.
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 316) Donnerstags den 1. Dec : A° 1746 – Neuz..
Johannes Ehrlenholtz der hiesige Burger, so von Gnäd. Herren denen XV.en deß Weinschanckh Zum Weinstockh allhier und Zwar wegen nicht gehabter majorennität oder 25. Jährigem Alter dispensando erhalten, citiret, Solle wegen angeregter erhaltenen Dispensation den behörigen Beweiß dociren und Statt Stall Schein produciren, vndt demnach sich dießorths Leibzünfftig machen.
Ille præsens produciret Extractus Gnäd: Herren der XV. Memoriale de dato 12. Nov. 1746. Krafft deßen er wegen nicht gehabter majorenitæt in 10 lb d pro Dispensat. halb Gemeiner Statt undt halb der Zunfft Zu Erlegen, condemniret worden, Zumahlen die der Statt herren gebührige Helffte mit 5 lb d vermög der solchem Extractus beÿgefügten Quittung den 28. Nov. 1746. allschon bezahlet undt verspricht den Stall Schein ad Protocollum fürdersambst Zu lieffern. Hierauff ist
Erkandt worden, daß dem Citato mit dem begehrten Zunfft: Recht in Conformitæt Extractus Hoch: Edel ermeldter Gnäd. Herren der XV. Memorialis gegen erlag der 6 lb 14 ß d Zu Willfahren. Dedit nebst 5 lb d pro Dispensatione so Er En Zunfft gehörig, et jur: auff d. Ordnung.
(f° 320) den 1.ten Decembris 1746. – Hierauff volgen die Copiæ der unterm heutigen dato alß den 1. Dec. 1746. hie vornen allegirter Productum so ich Zur Künftiger Nachricht hieher zu inseriren vor Nöthig erachtet habe
Als. Johannes Ehrlenholtz betr. Auß Gnädiger Herren Fünff Zehen der Statt Straßburg Memoriali de A° 1746. – Sambstags den 12. Nov. In Sachen (…)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge au Cep de vigne. Ceux du mari s’élèvent à 701 livres, ceux de la femme à 1 902 livres.
1746 (21. 9.br), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 352
Inventarium über des Ehren v. vorgeachten H. Johannes Ehrlenholtz des Würths v. Gastgebers zum Weinstock v. d. viel Ehren v. tugendbegabten fr. Susannä Jacobe Ehrlenholtzin geb. Stempelin, beed. Ehel. b. b. allh. Zu Straßb. einander vor unverändert in den Ehestand Zugebr. Nahr. auffgerichtet Anno 1746. – b. sich vermög ihrer mit einand. auffger. Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben. (…) So geschehen in d. Königl. St. Straßburg In fernerem Gegenseÿn, der Viel Ehren v. Tugendbegabten Fr. Aurelia Ehrlenholtzin geb. Saumin, des Ehren: und vorgeachten H. Johann Caspar Ehrlenholtz, des Vatters v. b. allh. Ehegattin, des Ehem: leibl. Mutter v. des Ehren v. vorgeachten H. Joh: Jacob Stempels, des Würths und Gastgebers Zum Pflug v. b. allh. d. Ehefr. noch ohnentledigten Vogts, auff Montag d. 21. 9.bris A° 1746.
In einer allhier Zu Straßburg dem alten Kornmarckt gegen dem Baarfüßerplatz gelegenen d. Ehefr. gehörig. behausung ist befund. worden als folgt
(F.) Eigenthum ane einer Behaußung. Neml die Gastherberg Zum Weinstock genannt s. einem auff der andern seith befindl. gebäu, so vor diesem eine Wohnung geweßen anjetzo aber ein holtzhauß ist, m. allen deren Gebäuen begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allh. zu Straßb. unterhalb dem alten Kornmarckt, 1.s. neben dem beckenhauß Zum Krebs, 2.s. m. 2. Ecken gegen dem baarfüßerplatz, hinden auff 1. Allmend Gäßl. d. Rubenloch Gäßl. genandt, stoßend, darin solches auch einen Außgang hat, davon gehen Jähr. auff verschied. Termin 3. lb 12 ß 6 d. sonsten freÿ leedig v. eigen v. hiehero angeschlagen doch ohne præjudiz wie solche der Ehefr. s. (-) A° 1746 v. H. Joh: Jacob Stempel dem Gastgeb. v. b. all. ihrem bruder eigenthümlich cedirt word. so sie auch die gemeine Erbschafft einzuschießen schuldig pro 11.150 od. 5575 lb. Dar. bes. 1. perg. Kbr. in allh. C.Cst gef. m. dero anh. Insiegel verwahrt d.d.d 30. Martii A° 1709. mit alt. Lit. C notirt. Darbeÿ noch 3. a. das. gef. teut. Perg. Kfr befindl.
Eigenthum ane einem Garten hinter dem Zolhauß am Crohnenburger Thor (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 79, Sa. Silbers 24, Sa. baarschafft 514, Summa summarum 618 lb – Dazu gerechnet deßen gehörigen Antheil ane denen haussteuren thut 82 lb, Solchemnach belaufft sich des Ehemanns völliges Vermögen dem billig. Werth nach auff 701. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung bschrieben, Sa. haußraths 305, Sa. Wein und lährer Faß 186, Sa. Silber geschirrs v. geschmeids 99, Sa. goldener Ring 81, Sa. baarschafft 36, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 5575, Sa. Eigenthums ane einem Garten 22, Summa summarum 6277 – Schulden 4457, Compensando 1819. Darzugelegt dero gehörig Antheil ane denen hernach beschrieb. haussteuren 82, Dießemnach beträgt sich der Ehefrauen völliges in die Ehe gebrachtes Vermög. dem bill. Werth nach 1902. lb
1754, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 203-v) Johannes Ehrlenholtz der würth Zum Weinstockh pt° Nachtzeduls
L’ancien aubergiste Jean Ehrlenholtz cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre du vin
1772, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 306) Dienstags den 7.ten Julÿ 1772 – N. Geldzünfftiger
Hr Johannes Erlenholtz der Vormahlige Würth allhier, stehet Vor und bittet ihne des Weinhandels halben als einen neuen Geldt Zünfftigen anzunehmen. Erkannt Willfahrt
Jean Ehrlenholtz l’aîné meurt le 21 frimaire II à l’âge de 68 ans.
Décès, Strasbourg (n° 1892)
Cejourdhuy 21 frimaire l’an second de la Republique française (…) Copie du procès verbal de ce jour, dressé par Philippe Jacques Dürr, Commissaire de police du second arrondissement de cette Commune, qui constate que Jean Frédéric Ehrlenholtz âgé de 64 ans, & Jean Ehrlenholtz âgé de 33 ans, les deux selliers, & domiciliés en cette Municipalité, le premier frere & le second neveu du defunt, sont comparus par devant ledit commissaire & lui ont déclaré que Jean Ehrlenholtz, Rentier agé de 68 ans est Mort ce Matin à deux heures en sa demeure rue de l‘loutre No. 10 (i 147)
L’auberge revient à son fils unique (voir les actes ultérieurs) Jean Ehrlenholtz qui épouse en 1769 Anne Ursule Dietsch, fille du drapier Jean Georges Dietsch. Les parents louent l’auberge à leur fils lors du contrat de mariage.
La maison figure à l’inventaire dressé en 1804 après la mort d’Anne Ursule Dietsch et à l’inventaire dressé en 1807 après la mort de Jean Ehrlenholtz.
Jean Ehrlenholtz le jeune devient échevin chez les Fribourgeois en 1785.
1785 Conseillers et XXI (1 R 268)
H. Johann Ehrlenholtz jun. wird Schöff auf E. E. Zunft der Freÿburger. 267.
Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à l’aubergiste célibataire Jean Daniel Busch
1788 (8.11.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 460-v
H. Rathh. Johann Ehrlenholtz der gastgeber zum Weinstock
in gegensein Johann Daniel Busch des ledigen eber großjährigen gastgeber
die zum Weinstock geschildet und unter dem nahmen Rubenloch bekannte gantze wirths behausung nebst dem gegen über im gäßel neben H. Kolb dem caffesieder befindlichen hinter hauß – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff Annunciationis Mariæ 1789 anfangend
(Bedingnußen) 1. der H. verlehner sich den genuß der /: im obersten kleinen bühne nebst:/ der helfte des hinter haußes vorfindigen stalls vorbehaltet den er auff seinen kösten wird unterschlagen laßen [8 puncten] – um einen jährlichen Zinß nemlich 700 gulden
Jean Ehrlenholtz cède des effets mobiliers à Jean Daniel Busch
1789 (23.3.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 640) n° 309
Montag den 23.ten Martii 1789 sind auf Veranstalten und begehren Herrn Exsen: Johannes Ehrlenholz dermaligen Dreÿers auf löbl. Stadt Pfenningthurn bißherigen Gastgebers zum Weinstock welcher aber die Gasthaltung H. Johann Daniel Busch übergeben, hernach beschriebene haußräthliche Mobilien (…) offentlich versteigert und verkaufft
Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à Chrétien Laemmermann et à Marguerite Barbe Gerold
1794 (21 vend. 3),Chambre des Contrats, vol. 672 n° 53
cit. Jean Ehrlenholtz membre du Directoire du District de Strasbourg
au cit. Chrétien Laemmermann aubergiste et Marguerite Barbe Gerold assitée de cit. Jean Michel Kammerer marchand de vin son oncle et Jean Gerold caffetier son frère
bail pour 6 années qui ont commencé au premier de ce mois, une maison ou pend l’enseigne au Sep de vigne située place d’Armes n° (-), ensemble la maison de derrière sise audit lieu rue des Incendiaires actuellement rue des Lauriers n° (-), à côté du C. Kolb brasseur, sans rien en excepter que le grenier et la moitié de l’écurie séparée dans la maison de derrière – moyennant un loyer annuel de 1866 livres
Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à Antoine Meixel, de Bühl en Bade
1799 (5 vend. 9), Enregistrement de Strasbourg, ssp 12 F° 109-v du 4 germ. 11
Bail de 6 ans – Jean Ehrlenholz
à Antoine Meixel de Bühl /:outre Rhin:/
une maison place d’armes n° 34 pour 1382 francs
Les héritiers Ehrlenholtz louent l’auberge à Jean Steinhelber et à Catherine Salomé Strintz
1808 (21.5.), Strasbourg 10 (49), M° Zimmer n° 2474, 3605
Bail de 6 années commençant le 24 juin 1809 – 1. Jean Daniel Stromeyer, propriétaire, tant en qualité de poursuivant les droits et légitime administrateur des biens de Susanne Catherine Ehrlenholtz son épouse que comme tuteur ordinaire de Catherine Marguerite Ehrlenholtz, Charlotte Sophie Ehrlenholtz et Frédérique Charlotte Hoeltzler, les trois filles mineures délaissées par Catherine Marguerite Ehrlenholtz leur mère, les deux premières issues de son mariage avec Jean Ehrlenholtz et la dernière de Jean Chrétien Hoeltzler sellier – 2. Jacques Martin Lutz vitrier subrogé tuteur, lesdites Ehrlenholtz seules et uniques héritières de Jean Ehrlenholtz leur père et ayeul respectif
à Jean Steinhelber aubergiste et Catherine Salomé Strintz
Une Auberge avec appartenances et dépendances ayant pour enseigne le Cep de vigne vulgairement dite Rubenloch sise à Strasbourg vieux marché aux grains N° 24, d’un côté le boulanger à l’Ecrevisse, de l’autre faisant coin de la place d’armes et de la ruelle dite Rubenlochgässel dans laquelle elle a une issue
plus une maison contenant écurie et grenier servant à ladite auberge sise derrière ladite auberge ruelle dite Brennergässel a côté du Sr Kolb brasseur – provenant de de la succession de Jean Ehrlenholtz
(charges, clauses et conditions) 8. dans le présent bail ne sont point compris les boutiques attenant a l’extérieur de l’Auberge louée – moyennant un loyer annuel de 1600 francs
Enregistrement, acp 106 f° 40 du 21.5.
Les héritiers Ehrlenholtz vendent la maison à l’architecte Jacques Schlagdenhauffen. Le rapport d’experts relève que le bâtiment en mauvais état devra être reconstruit. La deuxième adjudication expose les immeubles à un prix inférieur à celui de l’estimation.
1813 (5.4.), Strasbourg 10 (55), M° Zimmer n° 5950
Adjudication définitive – n° 3584, 5748 Cahier des charges du 19 décembre – 1. Susanne Catherine Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Stromeyer propriétaire, 2. ledit Jean Daniel Stromeyer tuteur ordinaire de Charlotte Sophie Ehrlenholtz et Frédérique Charlotte Hoeltzer, les deux filles mineures de Catherine Marguerite Ehrlenholtz issue la première de son mariage avec Jean Ehrlenholtz et l’autre du second lit avec Jean Chrétien Hoeltzer, les deux selliers, 3. Jean Nicolas Dietsch teinturier, subrogé tuteur aux mineures, 4. Catherine Marguerite Ehrlenholtz fille mineure délaissée par lesdits conjoints Ehrlenholtz et émancipée par le mariage qu’elle a contacté avec Jean Louis Steiner, négociant, assitée de Jean Georges Dietsch négociant curateur à l’émancipation, seuls et uniques héritiers Jean Ehrlenholtz propriétaire, la D° Stromeyer pour moitié, les (autres) par représentation de leur mère pour l’autre moitié, suivant inventaire dressé par ledit notaire le 24 février 1807 * jugement du Tribunal civil du 15 octobre dernier, rapport d’experts du 21 novembre (Procuration, Jean Louis Steiner négociant demeurant présentement en cette ville de Mülhausen arrondissement d’Altkirch)
à Jacques Schlagdenhauffen architecte, pour 15.000 francs
Désignation des immeubles à vendre, Premièrement une maison qui a servi jusqu’ici d’Auberge à l’enseigne du Cep de Vigne ayant rez de chaussée, cave, pompe et trois étages sise à Strasbourg au Coin de la place d’armes n° 24, d’un côté ladite place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière rue des incendiaires vulgairement appelé Rubenlochgaessel, estimée par les experts à 18.000 francs
Et un bâtiment servant d’écuries et de grénier à foin ayant rez de chaussée, cave voutée et deux étages dépendant de ladite auberge en cette ville dans le cul de sac de la rue des incendiaires vulgairement appelé Rubenlochgaessel, d’un côté la maison du Sr Kolb brasseur, de l’autre les maisons des Sr Wingert et Schultz estimée 2000 francs
Enonciation des Titres de propriété. Dans la 10° vacation de l’inventaire susdésigné dans laquelle ne sont inventoriés à l’appui de la propriété desdits immeubles que 1. contrat de vente du 15 novembre 1635 par lequel Laurent Roser tonnelier comme tuteur des enfants de Nicolas Welt aubergiste a vendu ladite auberge à Jean Hammerer brasseur, 2. contrat de vente du 8 février 1658 par lequel Jean Fronhöffer aubergiste a acquis ladite auberge des enfants dudit Jean Hammerer, 3. contrat de vente du 10 juillet 1697 par lequel Jean Nicolas Wittmar passementier curateur des enfants de Ursule Fronhöffer femme de Dietsch a vendu la moitié indivise de ladite maison à Jean Fronhöffer qui était déjà propriétaire de l’autre moitié, 4. contrat de vente du 30 mars 1709 qui justifie que Jean Jacques Stempel, aubergiste, a acquis la propriété de ladite auberge dudit Jean Fronhöffer. Nota ladite auberge doit avoir été acquise postérieurement par le père du défunt Sr Ehrlenholtz, etre échue à ce dernier comme seul enfants unique héritier dudit son père Mais il ne s’est trouvé aucun contrat ni Inventaire de la succession (Procuration, Jean Louis Steiner négociant demeurant présentement en cette ville de Mülhausen arrondissement d’Altkirch)
Adjudication préparatoire du 1 février n° 5783 exposés en bloc à 20.000 francs
Adjudication définitive du 22 février n° 5861 sans mise – deuxième adjudication définitive du 5 avril n° 5934
Rapport d’experts n° 225 – Rapport d’expertise Frédéric Arnold, Jacques Stolz et Daniel Kolb les trois architectes – la maison scise en cette ville au coin de la place d’armes marqué du n° 24 ayant façade du côté des grandes arcades et le petit sur la rue des incendiaires contient un rez de chaussée et deux étages, le troisième forme des deux côtés une galérie couverte et se termine par un comble double, au dessous du rez de chaussée se trouve une cave solivée, le rez de chaussée contient corridor, cuisine, une pompe et un sallon, Le premier étage est distribué en deux chambres une chambre de domestiques et des latrines, Le second étage contient cinq chambres pour loger des étrangers, Le troisième étage a cinq chambres pour le même usage et une chambre pour le militaire, une galérie donne des deux côtés sur ces appartements, le comble contient trois greniers. Cet immeuble a pour enseigne le cep de vigne et a jusqu’à ce moment servi d’auberge, le mauvais état dans lequel il se trouve menace sa ruine et exigera reconstruction, estimée à la somme de 18.000 francs
Un bâtiment servant d’écurie et de grenier à foin scis dans un petit cul de sac dans la ruelle des incendiaires il est construit à rez de chaussée en maçonnerie et deux étages en galendure terminé par un mi-toit, Au dessous d’une parte du rez de chaussée se trouve une petite cave voutée, le rez de chaussée forme une écurie, les deux étages supérieurs et le grenier sont destinés aux fourages, nous estimons la valeur de cet immeuble qui se trouve aussi en mauvais état à 2000 fr
Enregistrement, acp 122 f° 37-v du 8.4.
Originaire de Hœnheim, le charpentier Jacques Schlagdenhauffen épouse en 1800 Marguerite Elisabeth Haas, fille du charpentier Jean Valentin Haas
1800 (19 prairial 8), Strasbourg, M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Jacques Schlagdenhauffen
Marguerite Elisabeth Haas
Enregistrement, acp 74 F° 55 du 22 pr. 8
Mariage, Strasbourg (n° 273)
Cejourd’hui 30° Prairial l’an VIII de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jacques Schlagdenhauffen, âgé de 33 ans, Charpentier, domicilié en cette ville depuis huit ans, natif de Hoenheim, Département du Bas Rhin, fils de feu Jean Georges Schlagdenhauffen, Cultivateur audit lieu, et de feüe Ursule Zimmer, d’autre part Marguerite Elisabeth Haas, âgée de 27 ans, née et domiciliée en cette ville, fille de Jean Valentin Haas, charpentier, & de Marie Salomé Grimmer (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 10 juillet 1766 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 23 octobre 1772 (signé) Jacob Schlachtenhauffen, Margaretha Elisabetha Haaß (i 145)
Marguerite Elisabeth Haas meurt en 1804 en délaissant trois enfants
1804 (1 nivose 13), Strasbourg 13 (20), M° Bremsinger n° 2166
Inventaire de la succession de Marguerite Elisabeth Haas épouse de Jacques Schlagdenhaufen, Maître Charpentier, décédée le 17 vendemiaire dernier – à la requête des trois enfants, Jacques Lix conducteur à l’arsenal tuteur subrogé
Dénomination des héritiers, 1. Frédéric Jacques, âge de 2 ans et demi, 2. Théodore, âge de 18 mois, 3. Louis Albert, âge de 2 mois – Contrat de mariage reçu Grimmer notaire à Strasbourg le 19 prairial 8, entre Jacques Schlagdenhauffen, Garçon Charpentier en cette ville fils majeur de feu Georges Schlagdenhauffen laboureur à Bischheim et de feu Ursule née Zimmer, Marguerite Elisabeth Haas fille de Jean Valentin Haas maître charpentier et de Marie Salomé née Grimmer
dans la maison mortuaire au finckwiler n° (-)
Bien grevé d’usufruit appartenant en propre aux héritiers, Un cinquième par indivis des deux tiers de maison cour jardin appartenances aisances et dépendances situé en cette ville au finckweiler N° 42, d’un côté le Sr Loeser d’autre NN, derrière une ruelle communale. Un tiers appartient en propriété à la grand mère des héritiers Marie Salomé Grimmer veuve de Jean Valentin Haas, les deux autres tiers à ses cinq enfants. Titres de propriété de la totalité de la maison, Chambre des Contrats le 1 février 1765, il est fait mention de ladite maison dans l’inventaire de la succession de Jean Valentin Haas dressé par M° Grimmer le 12 brumaire 11
Série des rubriques, propres aux héritiers, meubles 946 fr, argenterie 16 fr, remplacement 600 fr, dettes actives 300 fr, total 1862 fr
propres au veuf, meubles 40 fr, ustensiles de métier (sans estimation), remplacement 2064 fr, total 2164 fr, passif 300 fr, propres du veuf 1804 fr
communauté, meubles 415 fr, bois de charpente 600 fr, dettes actives 5113 fr, total 6128 fr, passif 5495 fr, reste 633 fr
Enregistrement, acp 95 F° 72 du 3 nivose 13
Jacques Schlagdenhauffen se remarie avec Marguerite Barbe Mühlschlegel
1805 (24 therm. 13), Strasbourg 13 (22), M° Bremsinger n° 2693
Contrat de mariage – Jacques Schlagdenhaufen architecte veuf
Marguerite Barbe Mühlschlegel, fille de feu Sr Jean Jacques Mühlschlegel, négociant et de Marguerite Barbe née Müller assitée de Georges Henri Rüsamen négociant
Enregistrement, acp 97 F° 85 du 29 therm. 13
Inventaire des apports
1805 (10 nivôse 14), Strasbourg 13 (23), M° Bremsinger n° 2898
Inventaire des apports Jacques Schlagdenhauffen architecte et D° Marguerite Barbe Mühlschlegel, assitée du Sr Jean Frédéric Müller négociant son oncle, contrat de mariage passé devant moi le 24 thermidor dernier
en la maison sise au Finckweiller n° (-)
le mari, meubles 1292 fr, ustensiles 1800 fr, argenterie 59 fr, numéraire 400 fr, dettes actives 8562 fr, total 12 114 fr, présents de noces 183 fr, total 12.297 fr
passif ses enfants du premier lit avec Marguerite Elisabeth Haas, inventaire de la succession dressé par le soussigné notaire. clos le 1 nivôse 13, 5886 fr, reste 6410 fr, dettes actives douteuses 380 fr
la femme, meubles 584 fr, argenterie 68 fr, numéraire 1200 fr, total 1852 fr, présents de noces 183 fr, total 2035 fr
Enregistrement, acp 98 F° 82 du 9.1.
Jacques Schlagdenhauffen loue une partie de la maison au chapelier René Moriceau
1814 (22.10.), Strasbourg 2 (39), M° Knobloch n° 6769
Bail pour 9 annees à commencer à la St Jean prochaine – Jacques Schlagdenhauffen maître charpentier
à Réné Moriceau chapelier
dans la maison appartenant en propre au premier et située au bas de la place d’Armes n° 24 faisant le coin d’un côté NN boulanger d’autre la rue dite Brennegass ce qui suit savoir, la première boutique et l’arrière boutique au rez de chaussée qui fait le coin sur la place d’Armes, plus le troisième étage complet deux chambres au cinquième étage et deux caves séparées au dessous de ladite maison – moyennant un loyer annuel de 1642 francs
Jacques Schlagdenhauffen meurt en 1817 en délaissant un fils de son premier mariage et une fille du deuxième.
1818 (24.2.), Strasbourg 8 (21), M° Roessel n° 5210
Inventaire de la succession de Jacques Schlagdenhaufen, architecte décédé le 31 octobre dernier – à la requête de 1. Marguerite Barbe Mühlschlegel la veuve, mère et tutrice légale de Sophie Elise, 2. Jean Jacques Lix tuteur de Frédéric Jacques Schlagdenhaufen, enfant mineur issu du premier mariage du défunt avec Marguerite Elisabeth Haas – en présence Jean Daniel Lichtenberger, coutelier, subrogé tuteur de l’enfant du premier lit, Jean Frédéric Boden, orfèvre subrogé tuteur de l’enfant du second lit – Contrat de mariage reçu M° Bremsinger le 24 thermidor 13
immeubles de la communauté. Suivant contrat reçu M° Zimmer le 5 avril 1813, le défunt a acquis pour 15.000 francs des héritiers Jean Ehrlenholtz propriétaire une maison avec cave, pompe; aisances, dépendances située à Strasbourg au coin de la place d’Armes n° 24, d’un côté ladite place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière la rue des Incendiaires – les héritiers Ehrlenholtz en étaient propriétaires suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 24 février 1807, ledit Ehrlenholtz avait recueilli la maison dans la succession de son père dont il était seul et unique héritier, elle appartenait antérieurement à Jean Jacques Stempel, aubergiste, qui l’avait acquis de Jean Fronhoeffer le 30 mars 1709, ledit Fronhoeffer en était propriétaire par deux actes du 8 février 1658 et 10 juillet 1697, elle avait appartenu à Jean Hammerer boucher de qui Jean Fronhoeffer en tenait une partie par contrat du 15 novembre 1635 – occupée par le Sr Moriceau chapelier par bail reçu M° Knobloch le 22 octobre 1814 pour 1642 francs, le Sr Remond marchand parfumeur 200 fr, le Sr Meyer pensionnaire 120 fr, le Sr Loyson plumassier 72 fr, ensemble 2034 fr, en capital 40.680 fr
Suivant adjudication devant M Kern juge au Tribunal de Première Instance le 22 juin 1815 et déclaration de command le 24 juin le défunt a acquis à la barre du Tribunal Civil des héritiers Michel Leininger laitier une maison située à Strasbourg rue St Jean n° 8, d’un côté la veuve Scheerer de l’autre veuve Bietrich, derrière le fossé de la ville – le Sr Leininger l’avait acquise par contrat passé devant le notaire soussigné le 14 décembre 1813, acquis par procès verbal au ci-devant district de Strasbourg le 16 ventôse 2 pour 7000 fr, louée au Sr Decker surveillant à la manufacture des tabacs pour 240 fr estimée 4800 fr
Procès verbal à la barre du Tribunal Civil d’une maison située rue de l’Eveque n° 4, d’un côté Jean Pierre Diller de l’autre Jean Frédéric Knorr par derrière la propriété du Sr Humann, saisie réellement sur Antoine Sultzer, tisserand, suivant adjudication définitive à Laemmermann le 22 mai 1817 et déclaration de command même jour pour 3500 fr – louée au nommé Scherflin pour 150 fr, en capital 3000 fr. Ledit Sultzer l’avait acquis du Sr Schlagdenhaufen même par acte reçu M° Knobloch le 25 avril 1811, ledit Schlagdenhaufen l’avait acquis de Dlle Anne Marguerite Koch par acte reçu M° Bossenius le 3 juillet 1807
Par adjudication dressée le 25 mars 1815 et déclaration de command le surlendemain, le défunt a acquis à la barre du Tribunal Civil dans l’expropriation forcée dirigée contre Jean Nicolas Gingelwein laboureur et Marie Klein au Neuhoff une maison située audit lieu d’un côté et d’autre chemins communaux derrière propriété de Cyprien Heyer – occupée par un nommé Piltz pour 40 fr, en capital 800 fr
Par procès verbal d’adjudication au Tribunal civil de première instance le 20 mai 1813 et déclaration de command le surlendemain transcrit au bureau des hypothèques vol. 72 n° 31,le défunt a acquis avec Georges Michel Gruber architecte à Strasbourg chacun pour moitié de la maison sise en cette ville grand rue n° 55, d’un côté le Sr Schoch graissier, de l’autre le Sr Filter tailleur aboutissant sur le Sr Gruber, provenant de Martin Baerdel boulanger et Marie Salomé Ackerlin suivant acte dressé par M° Stoeber le 27 octobre 1814, la majeure partie louée à Nicolas Boeckel boulanger et Marguerite Dorothée Boeschett pour 520 fr en capital 12.480 francs, faisant la moitié 6240 fr
dans une maison quartier Finckwiller n° 43 – mobilier apporté suivant inventaire des apports dressé par M° Bremsinger le 31 décembre 1805 existant 702 fr, moitié des présents de noces 88 fr, remploi de la veuve 1283, argenterie 21 fr, garde robe 165 fr, remploi 6857 fr, total 7834 fr, du au fils du premier lit 1339 fr, reste 6495 fr
communauté meubles 304 fr, outils 557 fr, créances 13.605 fr, total 14.466 fr ; ensemble 55.520 fr, actif 69.986 fr, passif 36.772 fr, balance 33.213 fr
vacation du 27.3. (acp 138 F° 84 du 28.3.)
Jacques Schladenhauffen meurt le premier novembre (et non le 31 octobre comme le mentionne l’inventaire). Le lieu d’origine est inexact comme le montre l’acte de mariage.
Décès, Strasbourg (n° 1821) Déclaration de décès faite le 2 novembre 1811. Jacques Schladenhauffen âgé de 51 ans, né à Strasbourg, époux en secondes noces de Marguerite Barbe Mühlschlegel, mort en cette mairie le premier du mois courant à huit heures du matin dans la maison N° 43 rue finckwiller, fils de feu Jean George Schladenhauffen, Cultivateur et de feu Ursule Zimmer. Premier déclarant, Jean Daniel Lichtenberger agé de 51 ans, coutelier, beau-frère du décédé [in margine :] Maladie organique (i 105)
Marguerite Mühlschlegel passe un nouveau bail avec le chapelier René Moriceau
1825 (8.2.), Strasbourg 2 (57), M° Weigel n° 3576
Bail de 9 années à commencer le 25.3. prochain – Marguerite Mühlschlegel veuve de Jacques Schlagdenhauffen, charpentier, tant en son nom et pour Frédéric Jacques Schlagdenhauffen charpentier domicilié à Strasbourg demeurant Paris seul et unique héritier
à René Moriceau, marchand chapelier
les localités qui se trouvent dans la maison située à Strasbourg place d’Armes n° 26 faisant le coin de la place d’Armes et de la rue dite Brennergasse savoir
1. le magasin au rez de chaussée éclairé sur la place d’Armes et le cabinet ou l’arrière boutique y attenant,
2. tout le troisième et le quatroime étage sans exception,
3. trois pièces au cinquième étage,
4. les caves affectées aux logements des troisième et quatrième étage,
5. tout le petit grenier formant le 7° ou le comble,
6. la jouissance concuremment avec les autres locataires du grand grenier – moyennant un loyer annuel de 1200 francs
Enregistrement, acp 171 F° 181-v du 11.2.
Lors de la liquidation, la maison au coin de la place d’Armes revient à la veuve, héritière de sa fille.
1827 (15.6.), Strasbourg 8 (44), M° G. Grimmer n° 1695
Liquidation et partage – à la requête de Marguerite Barbe Mühlschlegel, veuve de Jacques Schlagdenhauffen, architecte décédé le 31 octobre 1817 et héritière pour un quart de Sophie Elise Schlagdenhauffen décédée le 28 janvier 1821 – Frédéric Jacques Schlagdenhauffen fils procréé avec Elisabeth Haar première femme du défunt, frère consanguin de Sophie Elise
Première observation. Succession Schlagdenhauffen, Le sieur Jacques Schlagdenhauffen est décédé en laissant deux enfants le Sr Schlagdenhauffen du premier mariage avec Marguerite Elisabeth Haus et Sophie Elise du second mariage avec la veuve, suivant inventaire dressé par M° Roessel le 27 mars 1818, et contrat de mariage reçu M° Bremsinger le 4 thermidor 13
vente de la maison grand rue n° 55 par acte reçu M° Stoeber le 26 février 1818, vente de la maison au Neuhoff M° Roessel le 15 mars 1821
7. immeubles, une maison avec dépendances située à Strasbourg au coin de la place d’Armes n° 24, d’un côté la place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière rue des Incendiaires – acquis par acte reçu M° Zimmer le 5 avril 1813, estimée à 32.000 francs
8. une maison située en cette ville rue St Jean n° 8, d’un côté la veuve Scheerer, de l’autre la veuve Dietrich, derrière le fossé de la ville – acquis par jugement d’adjudication au tribunal civil, M. Kern juge, le 22 juin 1815 et déclaration de command du 24 juin estimée 4000 francs
une maison sise à Strasbourg rue de l’Evêque n° 4, d’un côté Jean Jacques Diller, de l’autre Jean Frédéric Knoerr, derrière la propriété du Sr Humann – acquis à la barre du tribunal civil le 22 mai 1817 et déclaration de command du même jour, estimée 3000 francs
total de l’actif 51 074, total du passif 19 649 fr
à la veuve. 2. une maison place d’Armes n° 24 estimée 32.000 fr
Sr Schlagdenhauffen : 7. une maison à Strasbourg rue St Jean n° 8 estimée 4000
8. une maison rue de l’Evêque estimée 3000 fr
Enregistrement, acp 184 F° 64-v du 15.6.v
Marguerite Mühlschlegel passe un nouveau bail avec René Moriceau. Elle lui loue toute la maison
1827 (17.10.), Strasbourg 2 (63), M° Weigel n° 5009
Bail de 9 années commençant le 11 novembre dernier – Marguerite Mühlschlegel veuve de Jacques Schlagdenhauffen, charpentier
à René Moriceau, marchand chapelier
le reste de la maison qui n’a pas déjà été loué audit Sr Moriceau par acte reçu Weigel notaire en cette ville le 8 février1825 de sorte que ledit Sr Moriceau détient en ce moment à titre de bail la totalité de ladite maison, cette maison est située à Strasbourg place d’Armes n° 24 et fait un des coins de la rue dite Brennergasse – moyennant un loyer annuel de 1300 francs
Enregistrement, acp 186 F° 26-v du 19.10.
Marguerite Barbe Muhlschlegel vend la maison à son beau-fils Frédéric (Jacques) Schlagdenhauffen
1828, Enregistrement de Strasbourg, ssp 56 du 22 janvuer 1828
acte s.s.p du 22 novembre 1827 – Dame Marguerite Barbe Muhlschlegel veuve de feu le Sieur Jaques Schlagdenhaufen architecte à Strasbourg où elle demeure d’une part
et Sieur Frédéric Jaques Schlagdenhaufen architecte demeurant en ladite ville d’autre part
Il a été fait conclu et arrêté la vente conditionnelle qui suit, savoir la veuve Schlagdenhaufen née Muhlschlegel vend et transporte sous les garanties de droit au Sieur Frédéric Jaques Schlagdenhaufen ce comptant, une maison avec droit appartenances et dépendances sise à Strasbourg au coin de la place d’armes au N° 25 d’un côté ladite place de l’autre la maison du sieur Hummel boulanger demeurant par devant sur la rue des grandes arcades et par derrière sur celle des incendiaires, ainsi qu’elle se trouve et se comporte (…). La propriété de la maison a été transmise a la venderesse par l’effet de la liquidation dressée par M° Grimmer notaire en cette ville le 15 Juin 1827 de la succession de feu son dit mari et de la communauté de biens qui avait existé entre elle et ce dernier et durant laquelle communauté ladite maison a été acquise des héritiers de Jean Ehrlenholtz vivant propriétaire à Strasbourg suivant acte passé devant M° Zimmer notaire en cette ville le 5 avril 1813. Cette vente est faite pour le prix de 32.000 francs que l’acquéreur aura à verser dans la masse de la succession de la venderesse sans intérêts (…) il est de convention expresse que la présente vente ne sortira son effet et n’aura son exécution qu’au jour du décès de la venderesse et pour le cas seulement où cette dernière viendrait à décéder avant l’acquéreur
[in margine :] la venderesse est décédée au mois de janvier courant
Marguerite Barbe Mühlschlegel meurt en 1828
1828 (11.7.), Strasbourg 8 (nouv. cote 45), M° G. Grimmer n° 2301
Inventaire de la succession de Marguerite Barbe Mühlschlegel, veuve de Jacques Schlagdenhauffen en son vivant architecte à Strasbourg où elle est décédée le 2 janvier dernier – à la requête de Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte en ladite ville
Testament olographe du 16 janvier dernier enreg. le 24 janvier folio 107
acp 190 (3 Q 29 905) f° 74-v du 15.7. La masse active mobilière se monte à 32.545 francs (garde robe 110 fr, meubles de ménage 433 fr, deniers comptants rien, créance 32.000 fr) le passif à 6850 fr
Frédéric Jacques Schlagdenhauffen vend au marchand chapelier René Moriceau la maison que son père a fait reconstruire à la place de celle qu’il a achetée en 1813.
1829 (21.1.), Strasbourg 8 (46 nouv. cote), M° G. Grimmer n° 2575
Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, et Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin
à René Moriceau, marchand chapelier
Désignation de l’immeuble vendu, une maison avec cave, pompe & tous autres droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg au coin de la Place d’Armes rue des Grandes Arcades n° 24, du côté de ladite place la maison du Sr Hummel boulanger, de l’autre la rue des Incendiaires, l’acquéreur occupant à titre de locataire la maison vendue. Etablissement de la propriété, acquise de Marguerite Barbe Mühlschlegel veuve de Jean Jacques Schlagdenhauffen, architecte à Strasbourg le 22 novembre 1827 par acte sous seing privé enregistré le 22 janvier 1828 f° 105, déposé en l’étude de M° Grimmer soussigné le 25 janvier suivant. Le même immeuble appartenait à la veuve Schlagdenhauffen suivant Liquidation par le soussigné notaire Grimmer le 15 juin 1827, en partie de la communauté et de la succession de Sophie Elise Schlagdenhauffen sa fille décédée sans postérité. Ledit Schlagdenhauffen avait fait la construction de la maison présentement vendue sur le terrain où se trouvait une vieille maison par lui acquise des héritiers Jean Ehrlenholtz, propriétaires, suivant acte reçu M° Zimmer le 5 avril 1813 pour 15.000 francs, les héritiers de Jean Ehrlenholtz en étaient propriétaires suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 24 février 1807. Le sieur Ehrlenholtz avait recueilli le même immeuble dans la succession de son père dont il était seul et unique héritier. Cet immeuble avait appartenu antérieurement à Jean Jacques Stempel, aubergiste, qui l’avait acquis de Jean Fronhoeffer le 30 mars 1709, ledit Fronhoeffer en était propriétaire par deux actes des 8 février 1658 et 10 juillet 1697 – moyennant 32.000 francs
Enregistrement, acp 193 F° 28-v du 23.1.
Originaire de Coulans dans la Sarthe, René Moriceau épouse en 1811 Madeleine Marie Antoinette Kleybler, fille du tailleur militaire Joseph Kleybler : contrat de mariage, célébration
1811 (7.9.), Strasbourg 2 (34), M° Knobloch n° 5285
Contrat de mariage – René Moriceau, marchand chapelier à Strasbourg, fils de François Moriceau et d’Anne Marianneau demeurant au Mans (Sarthe)
Madeleine Marie Antoinette Kleybler, fille majeure de Joseph Kleybler, maître tailleur au 7° régiment de chasseurs à cheval, et Marie Agnese Dupont demeurant à Strasbourg
Enregistrement, acp 118 F° 2-v du 10.9.
Mariage, Strasbourg (n° 348)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 15 octobre 1811. René Moriceau, mineur dans, né le 8 mars 1789 à Coulans, département de la Sarthe, domicilié de droit au Mans, Département susdit, chapelier, fils de François Moriceau, limonadier au mans, et d’Anne Marionneau
Madeleine Marie Antoinette Kleybler, majeure dans, née le 6 août 1790 à Saint Lo Département de la manche, domiciliée de droit à Strasbourg, fille de Joseph Kleybler, chef tailleur du 77° régiment de chasseurs à cheval en garnison en cette ville, et d’Agnès Dupont, ci présente et consentante (i 25)
Moïse Bloch et Simon Katz exploitent un magasin dans la maison de René Moriceau
1834 (30.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 88-v, ssp du 27.5.
Traité de société – Moyse Bloch, commerçant à Strasbourg et Simon Katz aussi commerçant demeurant à Cernay (Haut Rhin) actuellement audit Strasbourg
1. les Sr Bloch et Katz s’associent pour le commerce de marchandises de confectionnage à Strasbourg
2. pour trois années consécutives à dater du 27 mai courant, la société sera gérée sous la raison Bloch et Katz
4. la mise de fonds du Sr Bloch consiste dans la moitié des marchandises existant présentement dans le magasin qu’il a occupé jusqu’ici maison Moriceau Grandes Arcades n° 24
René Moriceau renonce aux avantages assurés par son contrat de mariage
1859 (29.7.), Strasbourg 10 (139), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.176
Renonciation à usufruit et don matutinal – Mr. René Moriceau, rentier, membre du conseil municipal de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, déclare par les présentes renoncer purement et simplement au droit d’usufruit viager qui lui compète en vertu de son contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811 sur la succession de feue dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, son épouse défunte décédée à Strasbourg le 11 février 1859
aux présentes est intervenu Mr François Réné Jules Moriceau fils, marchand chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel, de son côté, déclare renoncer purement et simplement au don matutinal de 1000 francs constitué au profit de sa défunte mère susnommée et réversible du le tête de l’intervenant aux termes de l’article sept du contrat de mariage susallégué
acp 480 (3 Q 30 195) f° 25-v du 29.7.
René Moriceau reçoit en partage la maison lors de la liquidation de la communauté qui a existé entre lui et sa femme
1863 (7.9.), M° Zimmer
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Réné Moriceau, père ancien chapelier à Strasbourg et Madeleine Marie Antoinette Kleybler sa femme et de la succession de ladite D° Moriceau décédée le 11 février 1859
dressé à la requête de 1) du père agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Knobloch le 7 septembre 1811, 2) François Réné Jules Moriceau fils, chapelier à Strasbourg
acp 524 (3 Q 30 239) f° 97-v du 8.9. (succession déclarée le 29 juillet 1589) Communauté. Masse active. Une Maison à Strasbourg place Kleber N° 4 estimée à 60.000, Rapport du fils 15.000, Maison 4000, (total) 79.000
à déduire 1) reprises du veuf 3000, 2) reprises de la défunte 6000, total 9000, reste 70.000, faisant la moitié 35.000
Succession, moitié de la communauté 35.000, Reprises 6000, (total) 41.000
Abandonnements. M. Moriceau père a droit 1) bénéfice de la communauté 35.000, 2) Reprises 3000, total 38.000
Il reçoit la maison, 60.000
René Moriceau hypothèque la maison au profit de la fabrique de l’église protestante du Temple Neuf
1863 (7.9.), Strasbourg 10 (150), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.238
Obligation du 7 septembre 1863 – Monsieur René Moriceau, ancien chapelier, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par les présentes devoir bien et légitimement
1° à la Fabrique de l’Eglise protestante du Temple Neuf à Strasbourg, établie & domiciliée en cette ville, pour laquelle est ci-présent, stipule et accepte Mr Jean Charles Reichard son receveur, ancien négociant, demeurant et domicilié en cette ville, la somme principale de 20.000 francs, pour prêt de pareille somme (…)
Gage hypothécaire. Une maison avec appartenances && dépendances sise à Strasbourg au coin de la place Kleber & de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de M. Hummel & par derrière la rue des incendiaires. Cet immeuble appartient à M. Moriceau débiteur pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2° & de la succession de ladite Dame Moriceau, décédée en cette ville le 11 février 1859, laissant pour seul héritier M. François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier à Strasbourg. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par M° Flach et Zimmer, notaires soussignés & dont la minute est restée à M° Zimmer l’un d’eux, pour être enregistrée avec les présentes. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau fils sur le prix d’abandonnement de la maison affectée ci-dessus. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, & de Mad° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Louis Léopold Guillaume Grimmer, alors notaire en cette ville le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 26 du même mois volume 219 n° 58 avec inscription d’office au volume 185 n° 14. Cette inscription d’office a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant le même M° Grimmer le 27 novembre 1835. M. Moriceau père certifie que le prix de cette acquisition a été intégralement payé, ce dont il s’oblige de justifier à la créancière à leur première demande – Déclaration (…) – Réserve d’un second emprunt avec concurrence
René Moriceau hypothèque la maison au profit de l’église protestante de Saint-Guillaume et de la caisse générale des veuves de pasteurs de l’église de la Confession d’Augsbourg
1863 (13.10.), Strasbourg 10 (150), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.278
Obligation du 13 octobre 1863 – Monsieur René Moriceau, ancien chapelier, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par les présentes devoir bien et légitimement
1° au Conseil presbytéral de l’Eglise protestante de Saint-Guillaume à Strasbourg, séant en cette ville, la somme principale de 10.000 francs
2° à la caisse générale des veuve de Pasteurs de l’Eglise de la Confession d’Augsbourg en France, établie à Strasbourg, aussi la somme principale de 10.000 francs, ensemble la somme principale de 20.000 francs
Garantie hypothécaire. Une maison sise à Strasbourg au coin de la place Kleber & de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel & par derrière la rue des incendiaires. Cet immeuble appartient à M. Moriceau pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2° & de la succession de ladite Dame Moriceau, décédée en cette ville le 11 février 1859, laissant pour seul héritier M. François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier à Strasbourg. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par les notaires soussignés & dont la minute est restée à M° Zimmer l’un d’eux. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau fils sur le prix d’abandonnement de la maison affectée ci-dessus. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, & de Mad° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer, notaire en cette ville le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 26 du même mois volume 219 n° 58 avec inscription d’office au volume 185 n° 14. Cette inscription d’office a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. M. Moriceau père certifie que le prix de cette acquisition a été intégralement payé, ce dont il s’oblige de justifier aux créanciers à leur première demande – Déclaration (…)
René Moriceau meurt en 1864 en délaissant pour unique héritier son fils François René Jules Moriceau
1866 (10.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1402
Notoriété du 10 février 1866 (…) avoir parfaitement connu M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg
Et savoir qu’il est décédé en cette ville ab intestat le 23 mars 1864, Qu’il n’a pas éré fait d’inventaire après son décès, Et qu’il a laissé pour son seul et unique héritier François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier demeurant à Strasbourg
acp 550 (3 Q 30 265) f° 90 du 12.2.
François René Jules Moriceau épouse en 1841 Marie Ursule Henriette Adèle Debray
1841 (31.8.), M° Noetinger
Certificat dépôt contrat de mariage reçu Heberlé notaire à Schlestadt le premier courant entre François René Jules Moriceau et Marie Ursule Henriette Adèle Debray, mineure à Strasbourg
acp 290 (3 Q 30 005) f° 56-v du 1.9.
Mariage, Sélestat (n° 42)
Mairie de Schlestadt, le deuxième jour du mois d’Août 1841 à neuf heures du matin. Acte de mariage de François Réné Jules Moriceau, marchand Chapelier domicilié à Strasbourg, département du Bas-Rhin, âgé de 27 ans né à Strasbourg le 21 janvier 1814, fils légitime majeur de Réné Moriceau, né à Coulans, département de la Sarthe, le 8 mars 1789, marchand Chapelier domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de Marie Madeleine Antoinette Kleybler, sans Etat, née à Saint-Lo, département de la Manche le 6 août 1790, domiciliée audit Strasbourg, consentant par acte authentique ci-joint
Et de Marie Henriette Ursule Adèle Debray, sans etat, domiciliée à Schlestadt, âgée de 20 ans, née à Delle, département du Haut-Rhin, fille légitime mineure de Jean François Debray, receveur principal des Douanes, né à Falvy, département de la Somme le 19 novembre 1779 et de Catherine Ursule Paschali, sans Etat, née à Delle, âgée de 60 ans, Conjoints domiciliés à Schlestadt ci présent, et consentants (signé) Jules Moriceau, Adèle Debraÿ (i 23)
1841 (30.7.), M° Striffler
Consentement par Marie Madeleine Antoinette Kleybler, femme de René Moriceau marchand chapelier à Strasbourg, au mariage de François René Jules Moriceau son fils avec Adèle Debray de Schlestadt
acp 289 (3 Q 30 004) f° 82 du 30.7.
Marie Ursule Henriette Adèle Debray meurt en 1866 en délaissant cinq enfants
1866 (24.1.), Strasbourg 3 (107), M° Weiss (Emile)
Inventaire de la communauté qui avait existé entre François René Jules Moriceau, chapelier, et D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray, son épouse défunte à Strasbourg et de la succession de cette der,ière décédée en cette ville le 3 juin 1863.
L’an 1865 le 24 janvier à neuf heures du matin en la Maison située à Strasbourg rue des Grandes Arcades N° 4 nouveau, N° 24 ancien. A la requête de M. François René Jules Moriceau, chapelier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes I. en qualité de père et tuteur légal de ses cinq enfants mineurs issus de son union avec D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray son épouse défunte, et nommés René Jules Edouard Moriceau, officier de marine âgé de 20 ans, Pierre Jules Léon Moriceau, voyageur âgé de 18 ans, Marie Antoinette Juliette Moriceau, âgée de 15 ans, Renée Marie Antoinette Moriceau âgée de 7 ans, Marie Antoinette Adèle Moriceau âgée de 3 ans, tous domiciliés de droit à Strasbourg, II. à cause de la communauté de biens qui avait existé entre le Sr requérant et son épouse défunte et des reprises et avantages qu’il peut avoir à exercer en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Heberlé notaire à Schlestadt le premier août 1841. Et en présence de M. Amable Joseph Victor Cassanéa de Modonville capitaine d’artillerie en retraite demeurant à Strasbourg quai des pêcheurs n° 22, agissant ès présentes en qualité de subrogé tuteur desdits cinq enfants mineurs Moriceau, lesdits cinq enfants mineurs seuls et uniques héritiers de ladite mère défunte.
Mobilier. Salle à manger, Chambre de la bonne, Chambre à coucher de M. Moriceau, Au deuxième étage Chambre de la cuisinière, Au grenier, Chambre à linge sâle, Chambre de décharge, Cuisine, Cave
Marchandises. M. Moriceau déclare que le fonds de commerce a diminué depuis le décès de son épouse mais sa réalisation a été reportée en partie au fonds de broderie ci après inventorié. Fonds de broderie d’ornements d’église
acp 550 (3 Q 30 265) f° 29 du 25.1. (succession déclarée le 27 9.bre 1863) Communauté. Mobilier estimé 8772, Fonds de commerce 6000, Fonds de broderie 10.000, Extances 6500, total 31.272
Reprises de la défunte 20.000, du trousseau 4000, total 24.000, reste 7272
Reprises du veuf 15.000, il doit récompense 6000, reste 9000 – Déficit 1728
Garde robe 1077
François Réné Jules Moriceau hypothèque la maison au profit de la banque Ed. Klose et Compagnie
1866 (12.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1405
Ouverture de crédit – Ont comparu I. M. Edmond Klose, banquier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de gérant de la maison de Banque Ed. Klose et Cie établie à Strasbourg d’une part
II. M. François Réné Jules Moriceau, chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg
Article premier. M. Klose en la qualité qu’il agit ouvre par les présentes à M. Moriceu qui l’accepte un crédit de 10.000 francs
Affectation hypothécaire. Ville de Strasbourg. Une maison sise au coin de la place Kleber et de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel et par derrière la rue des incendiaires. (…)
Origine de propriété. M. Moriceau déclare être devenu propriétaire de l’immeuble affecté pour l’avoir recueilli dans la succession de son père M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Weiss soussigné le 10 du présent mois. M. Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1. de la communauté de biens qui a existé entre lui et D° Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2. de la succession de ladite D° Moriceau décédée en cette ville le 11 février 1859 laissant pour seul héritier M. Moriceau comparant. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau comparant sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de D° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois vol. 219 n° 58 avec inscription d’office au vol. 185 n° 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Situation hypothécaire (…). Etat civil de M. Moriceau. M. Moriceau déclare qu’il est encore actuellement veuf, qu’il n’est tuteur que de ses enfants mineurs
François Réné Jules Moriceau hypothèque la maison au profit du coutelier Frédéric Eugène Lichtenberger, du capitaine Charles Armand Létang et du professeur Charles Edouard Ferdinand Monoyer
1866 (12.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1403
Obligation – A comparu M. François Réné Jules Moriceau, chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes tant en son nom personnel qu’au nom et comme père et tuteur légal de ses cinq enfants mineurs issus de son union avec D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray son épouse défunte, nommés René Jules Edouard Moriceau, officier de marine âgé de 20 ans, Pierre Jules Léon Moriceau, voyageur âgé de 18 ans, Marie Antoinette Juliette Moriceau, âgée de 15 ans, Renée Marie Antoinette Moriceau âgée de 7 ans, Marie Antoinette Adèle Moriceau âgée de 3 ans, tous domiciliés de droit à Strasbourg (…) Lequel comparant aux noms et qualités qu’il agit déclare et reconnaît par ces présentes devoir bien et légitimement, conjointement et solidairement entre lui et ses enfants mineurs
1) à M. Frédéric Eugène Lichtenberger, coutelier
2) à M. Charles Armand Létang, capitaine major en retraite, Chevalier de la légion d’honneur
3) et à M. Charles Edouard Ferdinand Monoyer, agrégé à la faculé de médecine de Strasbourg, tous trois présents et acceptant, demeurant et domiciliés à Strasbourg , la somme principale de 25.000 francs dont 5000 à M. Lichtenberger, 8000 à M. Létang et 12.000 à M. Monoyer. Pour prêt de pareille somme (…)
Hypothèque. Ville de Strasbourg. Une maison sise au coin de la place Kleber et de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel et par derrière la rue des incendiaires. (…)
Etablissement de propriété. M. Moriceau déclare être devenu propriétaire de l’immeuble affecté pour l’avoir recueilli dans la succession de son père M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Weiss soussigné cejourd’hui qui sera enregistré avant ou en même temps que les présentes. M. Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1. de la communauté de biens qui a existé entre lui et D° Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2. de la succession de ladite D° Moriceau décédée en cette ville le 11 février 1859 laissant pour seul héritier M. Moriceau comparant. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau comparant sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de D° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois vol. 219 n° 58 avec inscription d’office au vol. 185 n° 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Situation hypothécaire (…). Etat civil de M. Moriceau. M. Moriceau déclare qu’il est encore actuellement veuf, qu’il n’est tuteur que de ses enfants mineurs
Jules Moriceau loue un magasin aux frères Levy
1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 146 (3 Q 31 645) f° 88-v du 22.5.
20 mars 1867. Bail ainsi conçu – Entre nous soussignés J. Moriceau d’une part
et Levy freres d’autre part qui acceptent comme locataires, ont été arrêtées et consenties les conventions suivantes
Mr Moriceau donne à loyer pour une durée de cinq à neuf ans le magasin du coin de la maison sise rue des grandes arcades n° 4 faisant le coin de la place Kleber et le premier étage de ladite maison pour un loyer annuel de 3000 francs dont 2000 pour le magasin et 1000 francs pour le premier étage (…) Le présent bail aura son effet et commencera à partir de Pâques 25 mars 1867. (…) Mrs Levy frères ne pourront céder leur bail ni sous louer les locaux qu’ils acceptent ni y exercer d’autre industrie que celle dont ils ont fait déclaration à M. J. Moriceau ou établir d’atelier au premier étage (…)
Jules Moriceau loue un magasin à l’horloger Weiser
1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 145 (3 Q 31 644) f° 92 du 11.1.
21 décembre 1866. Bail entre les soussignés J. Moriceau, d’une part, comme propriétaire
et J. Weiser, horloger de l’autre part, ont été arrêtées et consenties les conventions suivantes
Mr J. Moriceau cède et Mr. J. Weiser, accepte un loyer pour une durée de douze ans consécutifs commençant le 25 mars 1868 pour finir à pareil jour 1880 le magasin du susdit Sr. J. Moriceau situé grandes arcades N° 4 Moyennant un loyer annuel de 1500 francs payables selon l’usage par trimestre. (…) Mr Weiser ne pourra exercer dans le local qu’il loue que son industrie d’horloger bijoutier, il ne pourra ni le louer ni céder (…)
Consentement à mariage
1868 (9.12.), M° Noetinger
Consentement par François René Jules Moriceau négociant à Strasbourg à René Jules Edouard Morieau son fils demeurant à Taiti au mariage qu’il se propose de contracter avec Melle Moetia Selmon fille d’un père anglais et d’une mère keneque remariée à Mr Bruder négociant
acp 578 (3 Q 31869 293) f° 40 du 11.12.
le 9 décembre 1868. Consentement par François René Jules Moriceau, négociant à Strasbourg, au mariage de son fils René Jules Edouard Moriceau, enseigne de vaisseau à Taïti embarqué sur le Chevert avec Moesia Salmon à Taïti
acp 578 (3 Q 31869 293) f° 40-v du 11.12.
François René Jules Moriceau meurt en juillet 1870
1870 (12.7.), M° Noetinger
Inventaire des biens de la succession de François René Jules Moriceau, décédé négociant à Strasbourg le 6 juillet 1870, dressé à la requête d 1. Pierre Jules Edouard Moriceau, enseigne de vaisseau, 2. Pierre Jules Léon Moriceau, employé, 3. Marie Antoinette Juliette Moriceau, majeure, 4. Renée Marie Antoinette Moriceau, mineure, 5. Marie Antoinette Adèle Moriceau, mineure, héritiers chacun pour un 5° de leur père
acp 595 (3 Q 30 310) f° 11-v du 22.7. (décès f° 110, succession déclarée, 3756) Succession, mobilier 6771
acp 600 (3 Q 30 315) f° 112-v n° 2226 du 25.10. (vacation du 14 octobre) Beschreibung des Passif Masse 64.436, Begräbnis Unkosten 281
1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 157 (3 Q 31 656) f° 71 du 26.9.
30. Juni 1872. Beneficiar Inventar des Nachlasses von René Julius Moriceau, errichtet durch Cassania von Mondoville, aus welchem hervorgehet, daß die Activmasse sich auf eine Summe von 5732 beläuft und die noch zu zahlende Passivmasse auf 59.695.
Edmond Klose fait saisir la maison de François René Jules Moriceau. L’adjudication au tribunal civil est prononcée au profit du négociant Jacques Levy
1868 (27 janvier), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1137 (3282) n° 8
La Chambre des Criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas-Rhin séant en la ville du Palais de Justice en son audience publique du 17 janvier 1868 a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit.
Cahier des charges de la vente par expropriation forcée poursuivie à la requête de Monsieur Edmond Klose, banquier domicilié à Strasbourg en qualité de gérant de la maison de Banque Ed. Klose & Compagnie établie à Strasbourg contre le Sieur François René Jules Moriceau, ci devant chapelier à Strasbourg, Mr Jules Doss, licencié en droit, avoué près le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas-Rhin, constitué et chargé d’occuper pour M. Edmond Klose banquier domicilié à Strasbourg (…) déclare que la maison de banque est créancière du Sieur François René Jules Moriceau ci devant chapelier, domicilié à Strasbourg, en vertu d’un acte d’ouverture de crédit passé devant M° Emile Weiss et son collègue notaires à Strasbourg le 12 février 1866, inscrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 14 du même mois volume 915 numéro 57 (…) Faute de paiement le requérant a par procès verbal de l’huissier Koerttgé en date du 6 août 1867 fait saisir sur le Sieur François René Jules Moriceau l’immeuble dont la désignation suit.
Une maison à quatre étages et mansardes, située à Strasbourg au coin de la place Kleber et de la rue des arcades où elle porte le numéro 4 autrefois 24 tenant de ce côté à la propriété de Mr Hummel et donnant par derrière sur la rue des incendiaires. Cette maison avec ses dépendances située ainsi qu’il est établi ci dessus, canton Nord de la Ville de Strasbourg, arrondissement de Strasbourg Département du Bas Rhin est habitée partie par ledit Sieur Moriceau et les siens et en partie par des locataires, le rez-de-chaussée à droite en entrant formant le coin de la place Kleber est loué comme magasin de draperie.
Le procès verbal de saisie immobilière a été dénoncé audit Sieur Moriceau par exploit dudit huissier Koerttgé en date du 7 août 1867. Le procès verbal de saisie et l’exploitation de dénonciation susénoncés ont été transcrits au bureau de la conservation des hypothèques de Strasbourg le 10 août 1869.
Origine de la propriété. Dans l’acte de l’ouverture de crédit susrelaté, le Sieur Moriceau a déclaré être devenu propriétaire de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir recueilli dans la succession de son père le Sieur René Moriceau en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Emile Weiss notaire à Strasbourg le 10 février 1866. Le Sieur Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811, 2° de la succession de la Dame Moriceau décédée à Strasbourg le 11 février 1859 laissant pour seul héritier le Sieur François René Jules Moriceau, ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau partie saisie sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage du sieur Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de Dame Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois volume 219 numéro 58 et inscription d’office au volume 185 numéro 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Pour continuer les poursuites commencées, ledit M° Doss avoué au nom de son client enchérit la propriété dudit immeuble sans en rien excepter, pour être prise par l’acquéreur dans l’état où il se trouvera au moment de l’adjudication et en outre aux charges, clauses et conditions suivantes (…)
Mise à prix. Le poursuivant enchérit la maison susdécrite pour servir de première mise à la somme de 50.000 francs. Fait à Strasbourg le 24 août 1867.
(f° 24) L’an 1867 le 4 octobre (…) l’adjudication dudit immeuble a été fixée au 29 novembre prochain
(f° 24) L’an 1867 le 13 novembre (…) il lui a été donné communication de l’acte dont la teneur suit qu’il porte à la connaissance des amateurs de l’immeuble à exproprier. Pardevant M° Victor Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg soussignés a comparu M. Jules Moriceau négociant domicilié à Strasbourg lequel a cédé et déclaré avec la garantie tant de la légitimité de la créance que de la solvabilité actuelle et future des débiteurs sans discussion préalable à M. Raphael Lippmann, propriétaire Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg ci présent les sommes suivantes à prendre par préférence au cédant par les personnes ci après nommées dans la maison que M. Moriceau possède à Strasbourg rue des grandes arcades numéro 4 savoir (…)
(f° 25 v°) Remise de l’adjudication. L’an 1867 le 29 novembre (…)
Adjudication. L’an 1868 le 17 janvier (…) M° Doss (…) poursuivant l’expropriation forcée de l’immeuble saisi à sa requête sur le Sieur François René Jules Moriceau ci devant chapelier aujourd’hui fabricant d’ornemens d’Eglise, domicilié à Strasbourg, a conclu qu’il plût au tribunal procéder à l’adjudication dudit immeuble (…) enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par u M° Lepescheur avoué pour 106.200 francs
(f° 26 v°) Déclaration d’adjudication. L’an 1868 le 17 janvier est comparu M° Lepescheur avoué et a déclaré qu’à l’audience des criées d’aujourd’hui il s’est, pour en au nom de M. Jacques Levy, négociant domicilié à Strasbourg, rendu adjudicataire de la maison sise à Strasbourg au coin de la Place Kleber et de la rue des arcades où elle porte le numéro 4 autrefois numéro 24 et ce pour un principal de 106.200 francs
Fils du colporteut Baruch Levy, Jacques Levy épouse en 1844 Hanna Straus, native de Gundershoffen
Mariage, Strasbourg (n° 125)
Du 21° jour du mois de Mars 1844 à dix heures du matin. . Acte de mariage de Jacob Levy, majeur dans, né en légitime mariage le 31 décembre1816 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Commis négociant, fils de Baruch Levy, Colporteur domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feue Gertrude Aron, décédée en cette ville le 18 février 1840, et de Hanna Straus, mineure d’ans, née en légitime mariage le 19 juin 1824 à Gundershoffen (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Jacques Straus, commerçant, domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feue Reine Klotz, décédée à Gundershoffen le 3 février 1831 (i 16)
Jacques Levy loue un magasin à l’horloger Victor Weiser
1879, Enregistrement de Strasbourg, ssp 180 (3 Q 31 679) f° 52 n° 6056 du 15.7.
15. April 1879. Miethvertrag wie folgt, zwischen H. Jacob Levy, jetziger Eigenthümer des früher H Moriceau gehörigen bei der Gewerbslauben zu Straßburg gelegenen Hauses und
H Victor Weiser, Uhrenmacher, jetzigem Mieter des der Gewerbslauben gegenüber gelegenen Ladens in gedachtem Hause, folgende Übereinkunft getroffen worden
H. Levy erklärt hiermit H. Weiser, welcher dies annimmt den Laden Zur Miethe übergeben, welchen er jetzt schon in dem der Gewerbslauben gegenüber gelegenen Hause N° 4 inne hat, sowie derselbe sich gegenwärtig befindet und sowie der Miether denselben zur Zeit genießt, laut einer Privaturkunde d.d. 21. Dezember 1866. registrirt zu Straßburg den 11. Januar 1867. folio 92 (…) eine Miethe welche am 25. März 1880 abläuft
Gedachte Vermiethung geschiht auff einer Dauer von 6 ganzen auf einander folgenden Jahren welche am 25. März 1886 beginnet und am gleichem Tage des Jahres 1886 zu Ende zu gehen. (…) um einen jährlichen Mietzins von 2500 Franken (…)
Wolte H Levy für gut finden den zur Zeiten den H. Gebrüdern Marx angenommenen Laden an seine Kinder abzutreten, so werd. er befugt des an H Weiser vernmietheten Local zu nehmen (…)
Testament de Jacques Levy par lequel il fait divers legs à son frère, ses neveux et ses enfants
1882 (6.11.), M° Pierron
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments des zu Straßburg am 29. October 1882 verlebten ehemaligen Kaufmanns Jacob Levy Ehemann von Hanna genannt Henriette Strauss, wonach derselbe vermacht 1. seinem Bruder Alexis Levy in Nantes das Portrait seines Vaters auf M. 190., 2. seiner Nichte Caroline Heymann Ehefrau von Meyer zu Paris M. 400, 3. Caroline Levy zu New York M. 800, 4. seiner Nichte, Schwester der Vorigen, in New York M. 800, 5. seiner Nichte Julie Weill Ehefrau Heinrich Nerson in Paris M. 950, 6. seiner Schwester Babette Wittwe von Jonas Bollack in Weissenburg eine jährliche lebenslängliche Rente von M 200. und M. 80 (…), 7. der Marie Carrière M. 480, 8. der ecole de travail israélite zu Straßburg M. 120, 9. dem Wohlthätigkeit Bureau M. 120, 10 seinem Sohn Leo (…) 11. seiner Tochter Caroline, 12. seinem Neffe Leo Heymann
acp 729 (3 Q 30 444) f° 84-v n° 2802 du 8.11. (Tab Bd 68 Bl. 108 Nr 140, Sterbefall erklärung vom 18.4.83 Bd. 141 Nr 31)
Henriette Straus, veuve de Jacques Levy, et ses enfants louent une partie de la maison à la société Victor Geyer et Compagnie (mercerie et jouets)
1884 (31.3.), Strasbourg 4 (162), M° Charles Lauterbach n° 8880
Vermiethung – Erschienen 1. Frau Henriette Strauss ohne Gewerbe in Straßburg wohnhaft Wittwe des Herrn Jacob Levy, 2. Herr Paul Ernst Levy, Kaufmann in Straßburg wohnhaft und 3) Fräulein Caroline Jeanne Levy volljährig ohne Gewerbe auch in Straßburg wohnhaft, diese Comparenten handelnd sowohl eigenen Namens wie auch Namens und als sich stark tragend für Herrn Leo Bernhard Levy, Rentner in Straßburg wohnhaft, sich momentan in Algier aufhaltet, dieselben vermiethen hierdurch auf die Dauer von drei sechs oder neun Jahren welche mit dem 24. Juni 1884 beginnen und mit demselben Tage des Jahre 1887, 1890 oder 1893 endigen
an die Firma Victor Geyer & Cie Galanterie und Spielwaarengeschäft zu Straßburg, für welche deren Inhaber Herr Moritz Geiger, Kaufmann in Straßburg wohnhaft hier zugegen stipulirt & annimmt
die folgende Räumlichkeiten eines Wohnhaus zu Straßburg an der Gewerbslauben N° 4, welche bisher an die Herrn Marx Taback und Cigarrenfabtikanten gemiethet gewesen, und welchen Herr Geiger sich abgehandet* hat nemlich denn Theil rechts des Erdgeschoßes enthaltend Kaufladen und Ladenstube, ferner den darüber befindlichen Theil des ersten Stockes begreifend Wohnung von zwei Zimmern, Kuche & kleinen Keller, So wie sich alles vorfindet und von Herrn Geiger besichtiget worden ist. Bedingungen (…) 4. Die miethende Firma hat alle größere Reparaturen und Veränderungen namentlich diejenige an der Devanture des Kaufladens zu dulden, ohne hierwegen eine Entschädigung oder Zinsminderung beansprüchen zu können, welches auch die Dauer dieser Arbeiten sein mag. 5. Ausdrucklich vereinbart wurde jedoch zwischen den Parteien, daß die miethende Firma den Vermiethern während der Dauer der Miethe diejenige Summe welche zur Instandstellung des Kaufladens erforderlich sein wird mit fünf Prozent * bei Fälligkeit der Miethziehen zu verzinsen haben wird. Der Registrirung wegen werden die Kosten dieser Arbeiten zur Kapitalsumme von tausend Mark geschätzt, (…) 9. Die Räumlichkeiten im ersten Stock dürfen nicht als Ateliers verwendet und nur als Wohnung benuntzt werden. Miethzins, 4360 Mark wovon 4000 Mark für den Kaufladen und 360 Mark für die Wohnräume
Bürgschaft. Soeben erschien Herr Ephraim Guthmann Kaufmann zu Straßburg wohnhaft (…) erklärte sich als dem Solidarbürge, solidarischerweise mit der Firma Viktor Geiger & Cie zur Bezahlung der Miethzinsen
acp 748 (3 Q 30 463) f° 44-v du 5.4.
Henriette Straus meurt en 1890 en délaissant trois enfants
1890 (29.7.), M° Loew
Offenkunde betreffend das Ableben der Henriette Straus, Wittwe des Kaufmanns Jacques Levy, erfolgt dahier am 21. Januar d. Jahrs. Erben sind ihre beiden Söhne & Tochter 1. Ernst Paul Levy, Kaufmann hier, 2. Leon Bernhard Ley, daselbst, 3. Frl. Johanna Caroline Levy, großjährig, daselbst wohnend
acp 829 (3 Q 30 544) f° 77-v n° 1512 du 30.7.
Lors de la liquidation, la maison reste indivise. L’acte mentionne le contrat de mariage d’Ernest Paul Levy, passé le 30 mai 1876 à Deuil devant le notaire Dollé.
1890 (30.9.), M° Loew
Theilung des Nachlass des dahier am 29. Dezember 1882 verlebten ehemaligen Kaufmanns Jacques Levy & desjenigen an seiner dahier am 31. Jan. 1890 verlebten Ehefrau Henriette Strauss
Erben sind die 3 Kinder, Ernst Paul Levy, Kaufmann, Leo Bernhard Levy, ohne Stand, Johanna Caroline Levy, alle drei großjährig hier. Inventar nicht errichtet. Testament des Ehemanns hinterlegt bey Notar Pierron den 6. Nov. 1882.
Es wird eine einzige Theilungsmasse gebildet. Bis 1. Juli 1890 führte Ernst Paul Levy die Verwaltung beider Nachlässen, er hat noch in Händen 2518, auch haben die 3 Miterben nachbezeichnete Beiträge in die Masse einzuwerfen, welche hier vn den Einnahmen entnommen
acp 834 (3 Q 30 549) f° 9 du 8.10. (St. Erkl. 18. Aprilis 1883 Band 141 N& 31 v. 29. Juli 1890 Bd 172 N° 227) Theilungsmasse 1) Rechnungsrest des Ernst Paul Levy 2518
2) Einwurf der Erben a) Ernst Paul Levy 200, b) Leo Bernard 2177, c) Johanna Karoline 1841
3) Rückbringen ane des Ernst Paul Levy laut Ehevertrag Dollé in Deuil vom 30. V. 1876, 16.000
4) Chirographarforderungen a) Ernst Paul Levy 14.000, b) Leo Bernard Levy 21.205, c) Gustav David in Paris 16.000
5) Hypothekforderungen (a-f), 12.000, 8079, 12.067, 4000, 11.777, 2660
6) Deutsche Inhabertitel (a-r)
7) Ausländische Inhabertitel (a-z) – Summa 370.513, jedem Erben 1/3 123.504
Zutheilungen (…)
Ungetheilt bleibt I) Haus dahier mit Erdgeschoss und 4 Etagen, Ecke Kleberplatz und Gewerbslauben N° 4, erworben laut Versteigerungsurtheil des hiesigen Civiltribunals vom 17.I.1868
II) Synagogenplätze hier Mannsplatz N° 54 und Frauenplatz N° 57
Jeanne Caroline Levy épouse en 1891 le docteur en médecine Adolphe Rueff, originaire de la Chaux-de-Fonds
1891 (6.11.), M° Loew
Ehevertrag zwischen Adolph Rueff, Doktor der Medizin in Paris
und Johanna Karoline Levy, Rentnerin hier, großjährige Tochter des verlebten hiesigen Ehegatten Jakob Levy und Henriette Strauss
acp 849 (3 Q 30 564) f° 82-v n° 3324 du 9.11. Annahme der Errungenschaft Gütergemeinschaft mit Außschluß der Kleider
Einbringen des Bräutigamn. Werthpapieren Forderungen, Liegenschaften u&é Mobilien in Frankreuch 128.428
Einbringen der Braut. 1. Mobilien 16.000
2. Ein Drittel eines Anwesens dahier Ecke des Kleberplatzes mit der Gewerbslauven wo es den N° 4 trägt, geschätzt zu 36.254
3. Ein Drittel von 2. Synagogenplätzen hier
4. Forderungen a) 8000, b) 11.520, c) 888, diese 3 Forderungen wurden der Braut zugeheilt laut Theilung vor dem amt. Notar vom 30. September 1890, d) 2666
5. Inhabertitel 956
Gegenseitge Schenkung zu Gunsten des Üeberlebenden der lebenslänglichen Nutznießung des Nachlasses der Zuerststerbenden, herabzusetzen auf die Hälfte bei Vorhandesein von Kindern
Mariage, Strasbourg (n° 828)
Strassburg am 10. November 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der praktische Arzt Doctor medicinae Adolph Rueff, israelitischer Religion, geboren den 11. Mai des Jahres 1854 zu Chaux de fonds (Schweiz) wohnhaft zu Paris (Frankreich) ehelicher Sohn des verstorbenen Kaufmanns Jacob Rueff wohnhaft zuletzt zu Chaux-de-fonds und der Judith Wolff, Rentnerin wohnhaft zu Paris
2. die Rentnerin Caroline Johanna Levy, israelitischer Religion, geboren den 24. Februarÿ des Jahres 1861 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter der verstorbenen Eheleute Jacob Levy, Rentner und Hanna Straus, zuletzt wohnhaft zu Strassburg (i 20)
1896 (22.7.), M° Lauterbach
n° 19.322. Offenkunde enthaltend Bestätigung, daß vollkommene Personeneinheit bestehet zwischen Caroline Johanna Levy Ehefrau von Dr Adolph Rueff praktischer Arzt, beisammen in Paris wohnend und der in verschiedenen Urkunden und A* als Caroline Reine Levy aufgeführten Persönlichkeit
acp 914 (3 Q 30 629, II) f° 52 n° 1433 du 23.7.
Le rentier célibataire Léon Bernard Levy, demeurant à Nice, cède le tiers de la maison à son frère Ernest Paul Levy
1900 (13.9.), M° Hammann
N° 4272. Licitation – Leo Bernhard Levy, Rentner, ledig, früher dahier nun in Nizza
an Ernst Paul Levy, Kaufmann dahier, Gatte von Ida Weill
das ungeteilte Drittel an nachbeschriebenem Anwesen, wovon dem Käufer ihm ein Drittel gehört und das letzte Drittel er noch zu erwerben gedenkt
Stadt Straßburg. Wohnhaus mit Erdgeschoß, 4 Stockwerken & Mansarden, Ecke Kleberplatz und Gewerbslaubenstraße mit N° 4, katastrirt Flur N n° 884, 1 Ar Nutzungswert M. 1400.
gehörte zue Gütergemeinschaft, welche bestanden hat zwischen den hiesigen Eheleuten Jakob Levy gewesenen Kaufmann gestorben am 29. Oktober 1882 und Henriette Strauss, getorben am 31. Januar 1890. In der Theilung des Nachlasses vor Notar Loew vom 30. September 1890 blieb das Anwesen unter den Kindern und Erben 1) Leo Bernhard Levy, 2) Ernst Paul Levy, 3) Johanna Karoline Levy je zu ? ungeteilt. Genuß und Steuren von Todestag des Verkäufers an, um 60.00 Mark zahlbar am Todestage, keinenfalls aber vor 1. Oktober 1923. Bei Genußantritt vor 1. Oktober 1923 ist Kaufpreis verzinslich zu 4 ½ %
acp 972 (3 Q 30 687. III) f° 92-v n° 1003 du 22.9.
Ernest Paul Lévy épouse en 1876 Ida Weil, demeurant avec son père à Montmorency
Mariage, Montmorency, Seine-et-Oise (n° 16)
L’an 1876 le 31 mai à onze heures du matin (…) ont comparu 1° Le Sieur Ernest Paul Lévy, négociant âgé de 31 ans, né le 29 janvier 1845 à Strasbourg, y demeurant rue des Arcades numéro 4 avec ses père et mère, majeur, fils légitime de Lévy, Jacob et de Straus Hanna, son épouse, rentiers, présents & consentant, 2° et la demoiselle Ida Weil, sans profession âgée de 20 ans née le 22 avril 1856 à Laval (Mayenne), demeurant avec son père à Montmorency, mineure, fille légitime de Weil, Salomon, propriétaire présent et consentant, et de Rottembourg, Adèle, son épouse décédée à Rennes (Ille & Vilaine) le 8 février 1832 (…) nous ont à l’instant représente le certificat délivré à la date du 30 mai courant par M° Dollé, notaire à Deuil (Seine et Oise) constatant que le contrat de mariage des futurs époux a été passé devant lui ledit jour (i 174)
Rue Saint-Louis n° 14 – VIII 134 (Blondel), P 1297 puis section 9 parcelle 23 (cadastre)
Façade reconstruite en 1771, maître d’ouvrage Philippe Gall, serrurier
Démolie en 1968
Le 12, rue Saint-Louis (maison d’angle) et le n° 14 à gauche, à trois fenêtres à chaque étage (1968, AMS cote 1 Fi 152, 277)
La maison dont le sol a en grande partie été réuni à la voie publique lors de la construction du nouveau bâtiment en 1969 se trouvait dans l’alignement du mur au premier plan (n° 16) jusqu’aux arcades (vue vers le nord) – Vue vers le sud
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du tonnelier François Mouy ; seule une marche en pierre empiète sur le communal devant sa porte. La maison appartient ensuite au tonnelier Jean Jorim pendant vingt-cinq ans (1595-1620) avant de revenir à son créancier, puis au tonnelier Sébastien Rinck et à ses ayants droit (1626-1676). Jean Conrad Wittich a déjà aménagé une boutique quand il acquiert en 1686 la maison de ses parents. Le cartier Antoine Joly, manant, est autorisé à acheter en 1695 la maison dont la façade sur rue est en pierre et celle sur cour en bois. Il passe en 1716 un accord avec son voisin Emmanuel Cappler (maison d’angle) pour régler un litige relatif à des fenêtres, une cheminée et l’écoulement des eaux. Le voisin suivant, Jean Christophe Rœmer, achète en 1745 la maison. Ses héritiers la revendent en 1770 au serrurier Philippe Gall qui la fait reconstruire en partie l’année suivante selon le nouvel alignement en acquérant cinq pieds carrés de terrain communal. La maison est estimée en 1774 à 1350 livres, soit le prix d’achat de 1000 livres et les améliorations de 350 livres, ce qui doit correspondre à une nouvelle façade puisque les registres des préposés aux feux ne mentionnent pas de travaux. Le tailleur Jean Jacques Schmidt en devient propriétaire en 1781 par adjudication judiciaire.
Plan-relief de 1727. La maison se trouve juste devant l’église (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve entre les repères (b-c) : deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres régulièrement réparties, toiture à deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 12 (1784-1857) puis le n° 14.
Porte rétrécie (1870, dossier de la Police du Bâtiment 233 MW 2030)
Les propriétaires suivants (Charles Martin Scheer, François Xavier Exel) en font une maison de rapport (voir les registres de population, 600 MW 170 et 171). Le boucher Daniel Grœtzinger déjà propriétaire du 10, place Saint-Louis attenant, l’acquiert en 1864. Il fait rétrécir la porte d’entrée en 1870. Ses héritiers la vendent en 1899 à leur voisin Frédéric Rauscher qui devient ainsi propriétaire de trois maisons contiguës. Voir ensuite le 10, place Saint-Louis.
avril 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
|
|
François Mouy, tonnelier, et (v. 1545) Agathe Schœnenburger – luthériens |
1594 |
h |
Martin Spitz, charpentier, et (1579) Anne Mouy, remariée (1593) avec Jean Jacques Hetzel, charpentier – luthériens |
1595 |
h |
Jean Jorim, tonnelier, et (1585) Marguerite Held – luthériens |
1620* |
adj |
Jean Baur, aubergiste à Lahr, et Barbe Theodor |
1621 |
v |
Wolfgang Botzheim, marchand, et (1605) Agnès Müller puis (1624) Susanne Baumgarter, d’abord (1614) femme de Guillaume Sigbert puis (1619) de Jean Heller, bailli – luthériens |
1626 |
v |
Sébastien Rinck, tonnelier, et (1618) Ursule Notter, d’abord (1607) femme du tonnelier Gui Hoch, puis (1632) Marie Salomé Egenbach – luthériens |
1650* |
v |
Sébastien Rinck, tonnelier, et (1650) Anne Marie Kessler – luthériens |
1676 |
v |
Jean Philippe Greiner, cordonnier, et (1667) Catherine Arbogast |
1678 |
v |
Jean Philippe Wittich, marchand, et (1656) Valérie Hemmerlin (Malleolus) – luthériens |
1686 |
h |
Jean Conrad Wittich, marchand épicier, et (1687) Marie Elisabeth Deibel – luthériens |
1693 |
v |
Michel Fanck, passementier, et (1690) Salomé Groh – luthériens |
1694 |
v |
Jean Jacques Bitsch, marchand épicier, et (1687) Marie Cléophée Wilvesheim – luthériens |
1694 |
v |
Jean Philippe Fleischmann, boucher, et (1651) Marie Catherine Bœhler – luthériens |
1695 |
v |
Antoine Joly, cartier, et (1674) Claudine Tournier – catholiques |
1730* |
h |
Claude Antoine Joly, avocat, et (1722) Madeleine Leclerc – catholiques |
1745 |
v |
Jean Christophe Rœmer, tailleur de limes, et (1725) Anne Marie Grauer – luthériens |
1770 |
v |
Philippe Gall, serrurier, et (1768) Anne Elisabeth Jüllig (Ilg, Gilg) – catholiques |
1781 |
adj |
Jean Jacques Schmidt, tailleur, et (1774) Marie Salomé Blinder – luthériens |
1801 |
h |
Henri Rissler, perruquier, et (1801) Marie Madeleine Schmidt |
1819 |
h |
Thiébaut Litt, cordonnier, et (1799) Marguerite Barbe Andregg, (1814) Marguerite Annecker, d’abord (1803) femme de l’aubergiste Michel Emanuel Sigrist, (1819) Marie Madeleine Schmitt, veuve d’Henri Rissler |
1846 |
v |
Charles Martin Scheer, clerc de notaire, et (1848) Wilhelmine Mühleisen |
1852 |
v |
François Xavier Exel, marchand de soieries, et (1835) Julie Virginie Lerch |
1864 |
v |
Daniel Grœtzinger, boucher, et (1857) Sophie Henriette Müller |
1899 |
v |
Frédéric Rauscher, boucher, et (1886) Marie Louise Wolff |
1921* |
h |
Albert Frédéric Rauscher, boucher |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 575 livres en 1721, 650 livres en 1744, 475 livres en 1761, 600 livres en 1789
(1765, Liste Blondel) VIII 134, à la Ville [mention inexacte]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Gall, 3 toises, 3 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1297, Litt, Thiébaut, porteur de bierre rue des Serruriers 17 – maison, sol – 0,85 are
Locations
1590, Jean Roser, charpentier
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 342-v
Le tonnelier François Moy doit 1 sol pour sa maison, à savoir une marche en pierre devant sa porte (5 pieds de long, saillie d’un pied)
Die Gaß beÿ vnser Frawen Brüdern hindern
Frantz Moÿ Deß Küffers selligen Erben haben Vor Ihren thüeren Ihrer Behausung ein steinen Tritt v schu lang, j schu herauß, Bessert für das Nießen, j ß d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le serrurier Philippe Gall est autorisé à modifier la porte et les fenêtres de sa maison
(f° 48-v) Dienstags den 16. 8.bris 1770 – Philipp Gall
Philipp Gall dem schloßer wird erlaubt thür und fenster in seinem hauß beÿ St. Louis Zu verändern
Les préposés répondent en juillet 1771 à Philippe Gall qui veut reconstruire sa maison sur les anciennes fondations qu’il doit suivre les nouveaux alignements. Il achète le mois suivant 5 pieds carrés qu’il a surbâtis.
(f° 99) Sambstags den 27. Julii 1771, folgende Augenschein eingenommen, als – Philipp Gall
In der St Louis Gaß, beÿ Philipp Gall, der Schloßers behausung, welcher bittet ihme zu erlauben auf das alte fundament eine neue façade zu setzen. Erkannt, Solle nach dem neuen Allignement bauen, wie der Plan weiset.
(f° 100-v) Dienstags den 6. Augusti 1771 – Philipp Gall
Hr. Bau Inspector Werner übergibt den Plan über Philipp Gall des Schloßer Mr. in der St Louis Gaß aufbauenden Hauses, woraus ersichtlich, daß derselbe das Allmend um 5 Quadrat Schuh überbauet, wofür er als in dem 8. Canton liegend à 15. fl. das Quadrat Klafter gerechnet, zu bezalen 12 fl. 5 ß.
Description de la maison
- 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, cave sous solives, puits, boutique, chaudron de buanderie, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 150 florins
- 1744 (billet d’estimation traduit) La maison, très vieille et délabrée, comprend au rez-de-chaussée le vestibule, un puits, un creuset de serrurier, un bûcher, une cave sous solives, au premier étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule, au deuxième étage une chambre à cheminée, dépense, cuisine, vestibule, à l’étage supérieur une chambre pour officier, dépense et vestibule, le comble renferme un grenier non dallé, un pignon en bois et à l’avant un pignon en pierre, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 300 florins
- 1789 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave sous solives, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Louis
nouveau N° / ancien N° : 4 / 12
Roessler
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 p. 364 case 3
Litt, Thiébaut, porteur de bierre
Exel, François Xavier, subst. 1854
P 1297, Maison, sol, rue St Louis 12
Contenance : 0,85
Revenu total : 72,44 (72 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 5
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 741 case 2
Exel François Xavier rue de l’Outre 1, 1865
1865 Gretzinger Daniel boucher
1900 Rauscher Friedrich, Metzger
P 1297, Maison, sol, Rue St Louis 14
Contenance : 0,85
Revenu total : 72,44 (72 et 0,44)
Folio de provenance : (364)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre allemand, registre 29 p. 115 case 2
Parcelle, section 9, n° 23 – autrefois P 1297.p
Canton : St. Ludwigsgasse N° 14
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,79
Revenu : 650 – 900
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1947), compte 962
Rauscher Friedrich (u. Ehefr.)
1921 Rauscher Albert Frédéric maître boucher
(3276)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6216
Rauscher Frédéric Albert, boucher
(3278)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 286 De Saint Louis (p. 439)
12
pr. Schmidt J. Jacques Mr Tailleur – Tailleurs
loc. Lutz, Philippe fileur de laine – Manant
loc. Cleveneau, veuve d’un employé au Mag. à sel
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Ludwigsgasse (Seite 104)
(Haus Nr.) 14
Frey, Schuhmacher. 0
Stieber, Gestütwärter. 1
Diener, Gestütwärter. 3
Dannese, Blechner. 3
Rausehr [sic, Rauscher] Metzgerm. EH 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 mw 2030)
Rue Saint-Louis 14 (1870-1932)
Le propriétaire Grœtzinger charge en 1870 l’entrepreneur Arnold de rétrécir la porte d’entrée (de 1,35 à 0,90 mètre). Le reste du dossier a trait aux affaires courantes (ravalement, réglementation).
Sommaire
- 1870 – L’entrepreneur Arnold demande au nom du propriétaire Groetzinger l’autorisation de rétrécir la porte d’entrée (de 1,35 à 0,90 mètre) d’après le dessin en marge. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et n’a pas d’avance.
- 1885 (septembre) – Le commissaire de police transmet au maire un rapport selon lequel il manque le tuyau d’aération réglementaire à la fosse d’aisances dont l’ouverture est recouverte d’un tas de bois.
Le maire notifie la veuve Groetzinger née Müller de mettre un tuyau d’aération – Travaux terminés, octobre 1885.
- 1895 – Le maire notifie le comptable Groetzinger de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel, 1898 – Travaux terminés, mai 1899
- 1903 – Le maire notifie Frédéric Rauscher (demeurant 10, rue Saint-Louis) de faire ravaler la façade du n° 14. – Le propriétaire qui vient de rénover le n° 10 déclare qu’il a prévu de faire les travaux l’année suivante. – Travaux terminés, juin 1904.
1907 – Nouvelle notification de ravalement. Le propriétaire déclare qu’il a fait faire les travaux en mai 1904 par le peintre Rohfritsch. – La Police du Bâtiment note en marge que la façade n’est pas très sale et surseoit à sa demande
- 1932 – Rapport sur un feu de cheminée qui s’est déclaré au n° 14 appartenant au sieur Rauscher – Les lieux sont remis en état.
Relevé d’actes
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du tonnelier François Mouy qui fait baptiser un enfant en 1558.
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 116 n° 1088)
1558. Dnica 18. Frantz Moÿ pater das Kind (-) die geuatter n paulus schotten fraw Peter weschen fraw (i 121)
Mentions de François Mouy dans les registres du Magistrat
1573, Protocole des Quinze (2 R 3) Sinner Seyger, Michael Feigenlawell, Frantz Mouy, Kueffer Stendlin. 32.
1574, Protocole des Quinze (2 R 4) idem. 42.
Les trois enfants et héritiers de François Mouy figurent à la vente d’une distillerie en 1589 : Dominique Mouy, bourgeois de Metz, les trois enfants du charpentier Martin Spitz et d’Anne Mouy, les deux enfants du serrurier Jean Kegel et de Pétronille Mouy
1589 (vts [Erst. Mart.]), Chancellerie, vol. 264 (Registranda Kügler) f° 114-v
Erschienen Dannecus* Moyhi burger Zu Metz für sich, So dann herr Ambrosius Schmid guttleuth schaffner alls geschworner vogt Michells Ursulen v. Niclausen geschwüsterden Martin Spitzen des Zimmermans Kinder mit Anna Moÿhin seiner Ehegemahlen bemelts Danneci Meyhi schwester ehelichen erzielet Mit beÿstand deßelb Mart. Spitzen Jetzgemelte deren geschwisterden Zum drittentheyl Testaments Erben Wÿland Frantz Mohÿ des Khüffers Ires großvatters selig, V. dan herr Simon Scheÿd alls geschworner theyluogt hanns Jacobs wÿlandt hanns Kegels des Schreÿners selig Sun, mit Petronell seiner hußfr. selig auch bemelt Danneci vnd Annen schwester selig Kinder, haben vnver. verkhaufft
herrn Daniel Schuhen
Ein Brennhutt sampt Zweÿen Keßlin begriffen Zugehörd. v gerechtigkeÿt geleg. vsserhalb der SS vor dem Juden thurn Zwüschen d. byd. wasssern einsyt hans krantz and. syt Peter Ihrantz* d Khüffer von der hoffstatt od. blatz gnd. 12 schilling Alemnd Zinß d. S S. sonst eyg. der Khauff vber solche beschwerd. v 100 guld. Sw
Le charpentier Martin Spitz et Anne Mouy hypothèquent au profit de leurs enfants le tiers de la maison au-delà du pont Saint-Thomas face à l’entrepôt à charbon
1589 (3. Martÿ), Chancellerie, vol. 263-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 48-v
Confessat vber xx lb d. Martin Spitz.
Erschienen Martin Spitz der Zimmerman vnd Anna Mouÿen Weÿland Frantz Mouÿen des Kueffers dahier sein eheliche haußfrauw burgere Zu Straßburg vnd
haben in gegenwertigkeyt Herrn Ambrosÿ Schmid. Schaffners der Gutt. leütt als vogt obbemelter beeder eheleüth Jetzo habend. oder In Künfftigem bekommender Kind. freÿwillig bekand vnd verjehen – schuldig seÿen 25 pfund pfenning
Zum vnderpfand verlegt vnd eingesetzt Ihr Annen Mouÿin gepüren. dritten theil für vngetheilt gepürende von vnd ane einer behausung vnd hoffstatt mit allen derselben begriffen Recht. vnd gerechtigkeit. davon die vberig. Zwen drittheil Frantz Mouÿen Testaments Erb. gebürend vnd Zustendig seindt geleg. alhie In der Statt Straßburg Jenseit Sant Thomans Bruck. gegen der Kolscheüren vber neben Hans Körman dem Schlosser ein vnd anderseit neben Ulrich Spach. wittib hinden vff Michel Schwartz. den kupfferschmidt stoßend, vnd gohn von der gantzen behaußung fünffthalb. guld. gelts mitt 100 guld. wehrung ablösig vf Johannis Baptiste dem Schaffner Zum Jungen Sanct Peter, Mehr dritthalb. guld. gelts widerlosig mit 5 guld. wehrung vff Creütz erfindung herrn Ambrosio Jörgern oberschreibern vf dem Pfenningthurn, sonst d. drittheil eigen
Martin Spitz loue la maison au charpentier Jean Roser
1590 (vts [27. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 26-v
(Inchoat fo: 41) Erschienen Hanns Roser der Küeffer
hatt bekand Inn gegensein Martin Spitzen Zimmermans das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lanng die nechstenn nach einander volgend vnd vff vnnser Fr. v.kündung tag nechstkünfftig annfahenn Sollenn
bemelts Martin Spitzenn Huß, hoffstatt vnnd hefleinn mit allenn Andern gelegenn Jeseit S Tomans brucken einseit neben Hanns Kerman dem Schloßer Annder seit Ulrich Spachenn seligenn witwe, hinden vf ein behußung Zum Vogell genandt enntlenet habe vmb ein Jerlichen Zinnß 20 gld. SW
Anne Mouy, veuve de Martin Spitz, hypothèque le tiers de la maison au profit d’Ambroise Schmidt, receveur de la Léproserie. Les deux autres tiers appartiennent à Dominique Mouy de Metz et à Jean Kegel
1591 (xix Augusti), Chancellerie, vol. 276-I (Registranda Kügler) f° 277-v
(Inchoat. fo. 375.) Erschienen Anna Möÿhin Wÿland Martin Spitz Zimmermans selig Wittwe Mit beÿstand v bewilligung hans Metziger Spittalmüllers Ires geschwornen vogts So dann Jacob Kößler alls geschwornen Vogts bemelter Ehegemechdt Kinder frey guttwillig
Inn gegensein herrn Ambrosÿ Schmiden Schaffners der Armen Sunder siechen bekhant, Nach dem sie Anen Moyhin vonn herrn Reymbolt Meygern 25 pfund pfenning enthlenen vnd vff Zunemmen (…)
Zum vnderpfand ernant v yngesetzt Ein drittheyl an huß v hoffestatt m. all. Iren gebeüwen gelegen Inn bemelt. Statt Straßburg bey Sanct thommans bruck gegen der Koolscheuren hinüber einseyt neben h Ulrich Spachen selig. erben, andersyt neben hanns Kerman den schlosser stossen hind. vff Michell Schwartzen Kupfferschmid, davon gnd sammenthafft fünffthalb guld glt losig mit 100 guldin Straßburger den Stifftherren Zum Jung. S peter, So dann dritthalb guld. glt losig m. 50 guld. h Ambrosio Jörgern Sunst eÿg. Dauon ein drittehyl am Zweÿtheil Iren der Bekheneren Kind Ein dritheyl am Zweÿtheil Domnici Mehy des Khuffers In Metz erben vnd der drey drittheyl am Zweÿtheil hans Kegels des schreyners selig. S Zustendig
Anne Mouy, fille du tonnelier Dominique Mouy de Metz, et Jean Jacques Kegel, fils du serrurier Jean Kegel et de Pétronille Mouy vendent à Anne Mouy veuve de Martin Spitz leur part de maison sise au-delà du pont Saint-Thomas rue Sainte-Elisabeth. L’acquéreuse est propriétaire du restant pour l’avoir hérité partie de sa mère Agathe Schœnenburger et partie d’un de ses enfants
1593 (6. Julÿ), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 162-v
Kauffbrieff Annen Moÿn vber Zwen antheil an einer behausung vf St. Elßbeth gaß
Erschienen Dauid König d. Rothgerber vnd burg. Zu Metz als eheuogt Annen Möÿn w. Dominici Moe des Küeffers vnd gewesenen burg. Zu Metz selig. hinderlaßene tochter mit beÿstandt hans Niclauß. des schneid. vnd burg. alhie, So dann Christman Grüner d. schreiner als geschworner vogt hans Jacob Kegels w. hans Kegels deß schreiners vnd Petrernella Möÿn beed. selig. hinderlaßenen sohns, vnd
haben In gegenwertigkeit Annen Moÿ w. Martin Spitz deß Zimmermanns selig hinderlaßener Wittwe vnd hans Metzg. des Spithal Müllers Ires geordneten vogts offentlkich vnd freÿwillig bekandt
Nach den Ihnen ehe: v. vogtlich weiß ahn einer behausung Jhenseit St Thomas vf St Elßbeth. gaßen geleg. einseith neb. h Niclaus Reich. and.seith hans Kerman dem schloss. hind. vf Michel Schwartz. den Keßler stoßend, dauon gehnd fünff gld. gelts St. w. Jhärlich vf Jois Baptistæ lößig mit 100 guld. gemelter w. dem Stifft Zum Jung. St. Peter, Mehr dritthalb. gld. gelts Jhärlich vf Creutz erfindung lösig mit 25. lb d h Ambrosio Jergen dem Oberschrbr. vfm Pfenningthurn, So dann dridthalb gld. ablösig mit 25. lb d vf Bartholomei fallend den Gutenleüth od. Sondersiech. alhie sonst Zinßfreÿ ledig vnd eig. & Zwen dridtheil von Irem großvatter Frantz Moe dem Küeffer selig erblich Zugefallen vnd gepürten thette, daran gedachter Anne Moÿ Irer baaßen Zuuor von Agatha Schönenburgerin sein Frantz Moe gewesenen haußfrauwen Irer Mutter ein dridter theil vnd Irem Kind. d. vberige dridte theil ahn Ir d. verkheüffer Zweÿte theil eigenthümlich zugehörig (…) Zukauffen geb. obgenannter Annen Moÿn w. Martin Spitz des Zimmermanns s. wittwe die Ihre vnd Ihren erben Kauffte Zween dridttheil für vnd vmb 80 pfund pfenning
Originaire de Pforzheim, Martin Spitz achète le droit de bourgeoisie le 28 mai 1577
1577, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 278
Martin spitz von pfortzheim der Zÿmerman hatt das burgkecht kaufft und dient Zu den Zymmerleütt. den 28.t Maÿ A° & 77
Originaire de Pforzheim, le charpentier Martin Spitz épouse en 1579 Anne, fille du tonnelier François Mouy.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 225 n° 502)
1579. D. Quasimodi geniti. Martin Spitz von pffortzheim der Zimmerman Anna Frantz Moein des kueffers dochter 19. Maÿ (i 230)
Mentions de Martin Spitz dans les registres du Magistrat
1583, Protocole des Quinze (2 R 13) Martin Spitz Zimmerman. 21. (um Fechen blett)
1588, Protocole des Quinze (2 R 18) Martin Spitz. 131. (um Arbeit)
Martin Spitz est mort après avoir été chassé de Brisach en délaissant quatre enfants qui ont chacun une fortune de 25 florins. Jean Metzger, tuteur de la mère, se propose de prendre l’aîné à son service pour l’aider dans son métier de meunier. D’autre se proposent de recueillir les trois autres enfants mais la commission craint que les candidats soient seulement intéressés par l’argent qui leur reviendra. Ils concluent que les trois plus jeunes enfants seront placés à l’orphelinat.
1591, Conseillers et XXI (1 R 68)
Martin Spitzen Kinder. 534. 560.
(f° 534-v) den VIII Novembris – Martin Spitzen Kinder
Jacob Kubler, Martin Spitz. s. hinder Lassener Kinder vogt, vnd hanns Mezig als vogt der wittib, Laß. p. Bittelb. fürbring. wie gemeltter Spitz naher* Preysach ver Jagen wordt vor verscheunung des Jars drab.* thodts verfahren 4. Kinder hinderlaß. die wittib hie vff dem Stall vnd vff der zunfft wider angenommen worden, weil aber sye sunst Kein gutt dan hie vff ein haus Jedes 25. fl. besserung vngevorlich, vnd hans Metzger erbuottig den Eltist. Knab. sampt dem gutt Zu sich Zu nehmen vnd Zum muhl werck Zugebrauch. Sunst auch Zween burger so die Zweÿ mittleren Kinder sampt dem gutt Zu sich nehmen wöllen, Also bitt seÿe d. Jungst sampt seinem armut Lein Jacob weiß. hauß Zu nehmen vnd stellens Ins vbrigen Zu Mh. ob sye gestatten wöllen die dreÿ Eltisten gehartter maß. hien zugeb.
Erkandt hans Metzigern wie begert d. Eltist volgen Laß. das Jüngst Ins weiß. haus nehmen, der Zweÿ mittelst halber Ist solches für Rhatt gewieß. H. Mossing. H. Ulrich.
(f° 560-v) XXII. Novembris. – Martin Spitzen Kinder
H Ulrich H Gestner vnd der H Rhatschr. Referiren u Martin Spitzen des Zimmermans Vier Kinder halb deren halben Jüngst fürgebracht, das sie nach vff ein hundert gulden besserung vff dem hauß alßo d. Jedem vff 25 fl. gebüren mag, Nun begert d. Spittalmüller den ein Knaben sampt seim antheil Zu sich Zunehmen demselb. Zu und.halten deßgleich. seÿen auch andere burg. die die vbrigen dreÿ Kind. gleicher gestalt sampt dem güttlin begeren, da Ihren beuohlen word. erkundigung Zu haben ob die kind. denselb. burgern Zuvertrauwen. Also seÿen sie denselben nach kohmen befinden sie souil, das gliechwol dem Spittalmüller der ein Knab acht Zulassen, die and. burger aber seÿen also geschaff. d. sie d. gelt möchten v.thun, vnd nachgehends die Kinder mangel leid. Demwegen haben sie dahin geschloß. das die dreÿ Kind. sollten Ins Weÿsenhauß genohmen vnd auß dem güttlin daran so die Kind. bishero erhalt. ein willen gemacht werden.
Erkandt der herren bedencken geuolgt, H. Theurer, H Ulrich.
Anne, veuve de Martin Spitz, se remarie avec le charpentier Jean Jacques Hetzel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1-v n° 10)
1593. Dominica 23. Trinitatis – Hans Jacob Hetzel d. Zimmermann vndt Anna, Martin Spitzen deß Zimmermanns hind.lassene Wittib. Eingesegnet 3. Decembris (i 2)
Jean Jacques Hetzel, sa femme Anne Mouy et Michel Spitz, fils de Michel Spitz, vendent la maison, sise au-delà du pont Saint-Thomas près des Carmélites face à l’entrepôt à charbon, au tonnelier Georges Spæth, en service chez le tonnelier Jean Mar
1594 (16. Septembris), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 129
Kauffbrieff Geörg Spätten des Küeffers vber Ein Behausung beÿ der Kolscheuren geleg.
Erschienen Hanns Jacob Hetzel der Zimmerman burger alhie, vnnd Anna Maÿn sein ehelich haußfraw, So dann Jacob Keßler der Zimmermann Als geschworner Vogt Michels wÿland Martin Spitzen des Zimmermanns seligen mitt obgemelter Anna Maÿn Ehelichen erzielten Sons (verkaufft)
Geörg Spätten dem Küeffer Jetz beÿ Hanns Maren dem Küeffer burg. alhie sich dießes weÿß halltendt, der Zugegen Ime vnd Als seine erben mit beÿstandt Meist. Mathis Kößlers vnd Jacob Schnurren beder Zimmermänner burg. alhie vestiglichen kauffe,
Ein Behaußung hoffstatt vnd höfflin, mit allen Iren gebeuwen Zugehörden rechten vnd gerechtigkeitten geleg. allhier zu Straßburg Jenseit S. Thoman Bruch beÿ den frauen Bruedern, gegen der Kulscheüren hienüber, ein seith neben Hanns Kerman dem schloßer anderseit neben dem Schutterhoff, so etwa Claus Reich. Jetzo aber h. Georgio Kolb. Schaffnern Zu S. Thoman gehörig, hinden vff Michel Schwartzen dem Keßler stoßend Dauor gehn Järlich fünff guld. gelts zu 15 batz. gerechnet vff Joh. Bapt: dem Stifft Zum Jung. S Peter mit 100 fl à 15 batz. lösig Mehr dritthalben gld. gelts mit 25 pfund lösig H Ambrosio Geörgern oberschreib. vff den Pfenningthurn, Mehr j lb 5 ß d gelts vff Bartholomei mit 25. lb d Losig den Armen sondersiech. Zur Roth. Kirch. beÿ Straßburg, An welcher behaußung obgemelter Anna Meÿin von wÿland Agathen Schönenburgerin Irer Mutter selig der dritte theil, vnnd Ane Ihres vatters selig. Zweÿtentheil zwen dritte theil so sie von Ihren geschwisterd. v.mög der v.schreibung auch alhie In der Cantzleÿ den 6. Julÿ 93. vffgericht ane sich erkaufft gehabt vnnd dann obgemeltem Irem Son Michel Spitz der vberig dritte theil am zweÿtheil so Ime von obgemelten Iren vat. selig Legiret vnd v.macht word. eigenthümlich zuständig vnd sie zu nüssen hat. (…) der Kauff vber obgemelte beschwerden zugang. vnd bescheh. seÿe für vnd vmb 100 pfund
Les mêmes revendent la maison au tonnelier Jean Jorim (la vente précédente ayant été manifestement résolue)
1595 (1. Martÿ), Chancellerie, vol. 301 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 22
Kauff Hans Jhorim des Kueffers vber ein behausung Jenseit St Thomans bruck.
Erschienen hans Metzg. d. Spithal Müller als noch vnentledigter vogt Annæ Moÿn vnd beneben vnd mit Ihme Jetzernante sein vogtfraw vnd hans Jacob Hetzel deßelb. ehevogt So dann Jacob Kößler d. Zimmerman als verordnet. vnd geschworner vogt Michel w. Martin Spitz deß Zimmermanns selig. hinderlaßenen Kinds so er mit ermelter Anna Moÿn ehelich. erziehlt haben (verkaufft)
hans Jhorim dem Küeffer d. Zugeg. mit beÿstand h hans Mathis Rhot. eltern Rhatsbewandten für sich vestiglich Kauffte
ein behausung geleg. Jenseit St. Thomans bruck. geg. d. Kolscheuren hinüber neben Gregorio Kolb. schaffner Zu St Thoman ein, vnd anderseit hans Korman dem schloß. hind. vf Michel Schwartz. den Keßler stoßend, Davon gehnd 5 gld. gelts Str w Jharlich vf Jois Baptistæ losig mit 100 guld. gemelter w. dem Stifft Zum Jung. S. Peter, Mehr dritthalb. gld. gelts Jhärlich vf Creütz erfindung mit 25. lb. d widerkheuffig h. Ambrosio Jergen dem Oberschbr. vfm Pfenning. Mehr dridt halb. gulden ablosig mit 25. lb. d vf Bartholomei der Gutenleüth. od. Sondersiech. alhie, Sonst ist diße behausung auch noch verhafft. Annen Moÿ d. David Königs deß Rothgerbers vnd burg. Zu Metz haußfrawen für 20 pfund pfenning, Mehr hans Jacob Kegeln, w. hans Kegels deß schreiners vnd Peternella Moyn beed. selig hinderlaßenen sohn deßen vogt Christmann Geüner d. schreiner auch vmb 40 pfund, So dann Michel Spitz, w. Martin Spitz deß Zimmermanns seelig. hinderlaßenen sohn, so er mit Anna Moÿn d. verkheüfferin ehelich erziehlt deßen vogt Jacob Kößler alle vorgenant auch vmb 40 pfund das Alles vf Zeit vnd Ziehl wie d. Confeßat Im Contractbuch de Anno 93. fol: 165. darüber vßweißt sollen erlegt werden, vßgenommen Michel Spitz. 40 pfund pfenning die sollen vf dißer behausung steh. bleib. biß er Zu seinen* tag kompt vnd solche bedürff würd, (…) sonst ledig vnd eig. Vnd darauf alles recht & Vnd bekhandt d. d. Kauff mit obgesagten beschwerd. zugang. vnd beschehen vmb 312. Pfund vnd 10. schilling
Originaire de Calw, Jean Jorim achète le droit de bourgeoisie le 29 janvier 1582
1582, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 379
Hans Jorummen von Kalb der Kieffer Hatt das burgrechtt Kaufft vnd wil Zuo denn Kieffer dienen Acttum denn 29.t Januarÿ 1582.
Originaire de Hengstett (près de Calw) en Wurtemberg, le tonnelier Jean Jorim épouse en 1585 Marguerite, fille du tanneur Jean Held.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 265)
1585. Quasimodo. Hans Jorriem Küfer von Heigstet* aus dem württberger land, J. Margreta Hans Helden Rotgerbers selig. Tochter. Eingesegnet 3. Maÿ (i 142)
Jean Jorim hypothèque au profit du jardinier Adam Herwagen la maison sise rue Sainte-Elisabeth près de l’entrepôt à charbon
1603 (28 Julÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 262
(Inchoat. fo: 322.) Erschienen Hannß Johrwin d. Khüffer burg. alhie
Hatt in gegensein Adam Herrenwagers Gartenmans, bekhant Als sie vff heüt dato von den verordneten Hn des Wechßels 50 pfund Pfenning vffgenommen vnd sich bemelter Adam Herrenwager Zum Bürgen Obligirt vnd verbunden
Zum vnderpfand eingesetzt Hauß hoffstatt vnd höfflin mit Iren gebeuwen gelegen In d. St. St. Inn Sanct Elßbethen gaß beÿ d. Kholscheüren einseit neben Hans Kerman d. Schloßer, and.seit Gregorio Kolben geweßenen Schaffners Zu S Thoma stoßend hinden vff Thobias Schwartzen Kupfferschmid, dauon gendt fünffhalben gld. gelts St. W. den stifft Hn Zum Jung. S Peter ablößig mit j C gld Zu xv batz. Item iij gld. gelts ablößig mit 50 fl. Zu xv batzen Anthoni Rothen, Mehr iiij fl zu xb batz ablößig m Lxxx gld abzulößen Michel Arnoldt Werckmeÿstern vögtlicher weÿß, Mehr xv ß b ablösig mit 15 pfund Pfenning Michel Greÿner auch vögtlicher weÿß
Jean Jorim et Marguerite Held hypothèquent la maison rue Sainte-Elisabeth au profit du meunier Jacques Siebenhorn
1609 (13. feb.), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 83
(Inchoat. fo: 74.) Erschienen M. Hans Johrüm Küffer burger alhie, vnd Margred Heldin sein eheliche Haußfr.
haben in gegensein H Jacob Sübenhorns Müllers alhie – schuldig sein xxv lb St. gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll, Hauß vnd hoffstatt In d. St. St. In der Elßbethen gassen, einseit neben hans Kerman dem Schloßer, Andersit neben Gregorio Kolben stoßend hinden vf Michel Schwartzen den Kupfferschmidt, daion gendt x fl gelts ablößig mit 100 gld. St. wehr. dem Stifft Zum Jung. St. Peter, Item 10. gld. gelts abloßig mit ij C gld. St. werung den Armen sondersichen Zur Rothen Kirchen, Item iij fl. gellts widergiebig mit 50 gld. St. wehr. d. Antonio Rothen
Jean Jorim et Marguerite Held hypothèquent la maison face à l’entrepôt à charbon au profit des enfants de feu Jean Baur, aubergiste à Lahr, et de Barbe Theodor
1613 (xij Martÿ), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 110-v
(Inchoat. fol: 110.) Erschienen M hannß Jarÿemme der Khüffer vnd Magred heldin sein eheliche Haußfr.
haben in gegensein herrn Urban Roßenbergers offenen Notarÿ alls geschwornen vogts hannß Daniels, Annen Marien v Barblen geschwüsterden wÿland hannß Buren geweßenen wurts Zu lahr burger dahie seligen Kinder mit Frauwen Barbaren Theodorin seiner ehegemahlin selige ehelichen erzielet – schuldig seÿen 50 pfund pfenning Straßburger
Zum vnderpfand yngesetzt huß vnd hoffestatt mit all Iren gebewen & geleg. Inn der S S gegen der Koolscheüren hinüber einseÿt neben Gregorio Kolben, andersÿt hanns Kermann selig. erben stoßend hind. vff Michel Schwartzen Kupferschmid dauon gend Fünffhalb guld glt S abloßig mit 100 guld derselb. werung den Stifft herren Zum Jungen S Peter, Mehr 10 gulden glds S mit ij C guld derselb werung abzuloßen den Armen Sondersiechen Zur Rothen Kirchen, Item dritthalb gld.gls abloßig mit 50 guld S Anthoni Rothen selig erben Sunst ledig eÿgen
Jean Baur de Lahr devient bourgeois le 20 juin 1605 en s’inscrivant à la tribu des Fribourgeois
1605, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 697
Johann Baur vonn Lohr Kaufft d. B: mit beÿstand Hanns Debsen Will Zun freÿburgern dienen hat sein Nahrung für 200 fl. angeb. Actum 20. Junÿ 1605.
Le curateur de Barbe Bauer, fille de l’aubergiste Jean Bauer de Lahr et bourgeois de Strasbourg vend la maison au marchand Wolfgang Botzheim (la maison a été attribuée à la venderesse en vertu de l’obligation de 1613)
1621 (ut spâ [xvj. Junÿ]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 338-v
(P. fol. 229.) Erschienen der Fürsichtig vnd Weiß herr Vrban Rosenberger Notarius vnd Jetziger beÿsitzer Eines Ersamen grosen Raths Alhie Als ein geschworner Curator vnd Vogt Barbaræ Bauerin weÿland hanß Bauern gewesenen würths Zu Lahr vnd burgers Zu Straßburg seligen nachgelaßener dochter vögtlicher weiß Inn nammen seiner pfleg dochter für dieselbige vnd Ihre erben (verkaufft)
herrn Wolffgang Botzheim dem handelßmann burgern Zu Straßburg
hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwenn & gelegen Inn der Statt Straßburg gegen der Kolscheüren hinüber, einseit neben herrn Dauid Helden dem eltern, Anderseit neben hannß Kermans des schlossers erben, hinden vff Michels Schwartzen den Kupfferschmid stoßend, dauon gend fünffhalben gulden gelts Ablößig mit 100 gulten Straßburger werung vff Johannis Bptæ den herrn Zum Jungen Sanct Peter, Mehr v lb d gelts widerlößig mit j C lb vff Martini den sondersiechen Zur Rothen Kirchen, So dann dritthalben gulden gelts lößig mit 50 guldten vorgerüertter werung vff Creütz erhöhung wÿland Anthoni Rothen seligen Kinder, deren vogt herr hannß Geörg Marbach pfund Zoller sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Kauff vber obgehörtte beschwerd. so der Keüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 170 pfund
Fils d’Isaac Botzheim, Wolfgang Botzheim épouse en 1605 Agnès, fille de Joachim Müller, triumvir de la Monnaie
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 217 n° 585)
1605. Dominica I p. Trinitat.. 2. Junÿ. Wolfgang Botzheim Vndt Agnes Joachim Müller geweßenen dreÿers ahn d. Müntz Nachgelaß. tocht Eingeseg. Zum Jung. S. Peter (i 221)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 181 n° 24) 1605. Do. I post Trin. 2. Junÿ. H. Wolf Botzheim H. Isaac Botzheims sohn, J Agnes H. Jochum Müllers selig. hind.laßene Tochter. Eingesegnet Mont. den 17. Junÿ (i 95)
Wolfgang Botzheim et Agnès Müller font un codicille en 1606 dans la maison qu’ils louent des héritiers de Balthasar Müeg rue du Dragon.
1606 (14.9.), Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 61, I)
Codicill Herrn Wolffgang Botzheims vnd frauwen Agneß Müllerin beed. Ehegemächt, fol. 126
1606 vff Sonntag den 14. Septembris Zwüschen Zwölff und Ein Uhren nachmittag (…) Persönlich erschÿnen herr Wolffgang Botzheim vnd die ehren: vnnd tugendreiche frauw Agneß Müllerin beede Eheleute vnd burgere Zu Straßburg Vonn denn gnaden Gottes gutter verstendiger sinnen vernunfft gesprächß vnnd wissens, gendes vnnd stendeß leibß
(f° 130-v) beschehen In deß heÿligen Reichß freÿen statt Straßburg Inn einer behausung weÿland herrn Balthasar Mügen seeligen erben Zustendig so sie beede codicillierende ehegemächten Allein lÿhenungs weÿß bewohnen, oben auff gegen dem Trachengäßlein neben gregorÿ Kolben Alten schaffner Zu Sanct Thoman vff einer seÿtten gelegen obenauff In einer Stuben vff die gassen sehendt
Minute signée, Not. Strintz (Daniel, 58 not 59)
Wolfgang Botzheim se remarie en 1624 avec Susanne, veuve de Jean Heller, bailli et conseiller du margrave de Bade
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 5)
1624. Dominica 2. p. Trinit: den 6. Junÿ. H. wolffgang von Botzheim, vnd fraw Susanna weÿland Herrn Johann Hellers gewesenen fürstlichen Margräffischen Badenischen Cammerraths vnd Ampt verweser Zu algraben* hind.laßene wittib, jm Münster (i 5)
Mariage, cathédrale (luth. p. 177)
1624. Dominica 2. Trin: 6. Junÿ. H. wolff von Botzheim vnd fr. Susanna fr. Marggräffischen Kammerraths vnd Ampt v.weser Zu Baden witwe, eingesegnet Zinstag 15. Junÿ (i 93)
Jean Heller, conseiller du margrave de Bade, épouse en 1619 Susanne Baumgarter, veuve de Guillaume Sigbert au service du margrave à Worms
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1317)
1619. Dominica 10. Trinitatis. Herr Johannes Hellern fürstlicher Margrevischer Cammer Rath zu Carlesburg, Vndt fraw Susanna Baumgartterin, Weÿland Herrn Wilhelm Sigberti, gewesenen Fürstlichen Margrefflsch Kellers Zu Wurmbs nachgelaßene Witwen (i 435)
Guillaume Sigbert de Schleiden épouse en 1614 Susanne, fille de l’ancien consul Henri Baumgarter. Le contrat de mariage est passé à Strasbourg mais le mariage n’y est pas célébré.
1614 (28.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) N. 535
(Eheberedung) zwüschen Hrn Wilhelm Sigberten von d. Schleÿden an einem
So dan der Ehren, Züchtig. vnd tugendsamen Jungfrawen Susanna, deß Ehrenuesten, fürsichtigen vnd Weißen herrn Heinrich Baumgartners Alten Ammeisters der Statt Straßburg Ehelichen dochter am adern theil (…)
Beschehen vnd verhandelt In des heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg & Donnerstags den 28. Aprilis Inn dem Jahr des hern als man Zahlte 1614.
Mentions de Wolffgang Botzheim dans les registres du Magistrat.
1622, Protocole des Quinze (2 R 50) Wolffgang von Botzheim. (Wein, Eßig, Senffsahmen) 47. (Beschikung, Wein, Eßig) 48. (Eßig) 114. (et G.sorten, Eßighändler, Wein, Brandwein) 130. (Eßig) 185.
Wolffgang Botzheim vend la maison face à l’entrepôt à charbon au tonnelier Sébastien Rinck moyennant 900 florins
1626 (ut supra [31. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 394
Erschienen H. Wolffgang von Botzheim burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Sebastian Rincken des Küeffers auch burgers alhie (verkaufft)
hauß vnd hoffstatt mit allen Ihren gebäwen gelegen in d. Statt Straßburg gegen der Kohlscheüren hinüber einseit neben herrn dauid helden dem Eltern, anderseit neben hannß Kerman des Schloßers Erben hinden vff Michel Schwartzen dem Kupfferschmid stoßend – Vnd Ist diser Kauff Zugangen vnd beschehen Vmb 900. fl. Zu 15. patz.
Sébastien Rinck hypothèque quelques mois plus tard la maison au profit du tailleur Jean Müller
1626 (12. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 554
Erschienen Sebastian Rinck d. Küeffer burger Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Müller schneÿders burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe L lb
vnderpfand hauß vnd hoffstatt mit allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. St. St. geg. d. Kohlscheuren einseit n. h. dauid held anderseit hanß Körman dem schloßer, hind. vff Michael Schwartz. den Kupfferschmidt. stoßend, So Zuuor noch verhafftet Ist vmb 1. C xiij vmb x ß wolffgang Botzh.
[in margine :] Erschienen deß creditoris s. witib ietziger Ehevogt Andreß Sommer der Schneider vnd Lienhard Braun auch schneid. alß vogt deß creditoris (…) q.tirt Act. 16. Janu. 1640
Originaire de Folgensbourg près de Bâle (en Sundgau), Sébastien Rinck épouse en 1618 Ursule, veuve du tonnelier Gui Hoch
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1270)
1618. Dominica 9. Trinitatis. Sebastian Rinck von Volckelsburg der Kieffer: vndt Ursula Vit Hochen, d. Küffers nachgelaßene witwe (i 422)
Sébastien Rinck devient bourgeois par sa femme le 20 août 1618.
1618, 4° Livre de bourgeoisie p. 2
Sebastian Rinck d. Küeffer Von Volgenspurg beÿ Baßel Empfangt d. Burg.recht Von Ursula Notterin Weil: Veith hohen deß Küeffers sellig. wittib vnd Wull Zu den Küeffern dienen. Actum den 20. August. Aô 1618.
Le tonnelier Gui Hoch épouse en 1607 Ursule, fille de Jean Notter sans doute de Hugelshofen en Thurgovie (proche de Constance, ci-dessous Cotznotz)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 248 n° 692)
1607. Sonntag. 18. Octobris. Vit hoch d. küeff. alhie vndt Ursula, hanß Notters Zu hugelshoff. beÿ Cotznotz tocht. Eingesegnet zu Eckboltzheim (i 254. reg. d’Eckbolsheim manquent)
Sébastien Rinck se remarie en 1632 avec Marie Salomé, fille du commissaire priseur Jean Egenbach
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 123-v)
1632. Dominica 22. Trinit. d. 28. Octob. Sebastian Rinck der Küeffer vnd Burger alhie, Jgfr. Maria Salome, Hans Egenbachs, deß Gant Keüfflers alhie nachgelaßene dochter. Zu S. Thoman (i 130)
Sébastien Rinck et Marie Salomé Egenbach passent un accord avec le commissaire priseur Christophe Goldbach
1639 (ut supra [3. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 692-v
Erschienen Sebastian Rinck der Küeffer burger Zu Straßburg undt Maria Salome Eigenbächin sein eheliche haußfraw, mit beÿstand H Johann Sebastian Lewbranden Substituten am Erß. Statt gericht alhie ihres Vettern
haben in gegenwärtigkeit Christoff Goldtbachen der Statt Str. geschwornen, Käufflers
daß die von demselben die 100. lb so derselben ihro Maria Salomeen, beÿ Weÿ: Martin Reppeln geweßenen Statt Käufflers see: ihr beed. Ehegemechden Schwagers Verlassenschafft abtheilung Anheischig und schuldig worden (…)
La maison revient à son fils Sébastien Rinck qui épouse en 1650 Anne Marie Kessler. Le mariage est célébré dans la prison sur ordre du Magistrat, les jeunes gens ayant eu des relations illicites.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 6)
1650. Donnerst. den 21. Martii, sind auß Erkandnuß E.E. grossen Raths, in dem thurn, als huren und buben eingesegnet worden Sebastian Rinck, der Jünger Kieffer, Sebastian Rincken deß Kieffers vnd Burgers allhie Ehelicher Sohn, vnd Anna Maria Keßlerin, N. Keßlers deß Burgers allhie nachgelaßene tochter (i 7)
Sébastien Rinck rembourse au chapitre Saint-Pierre-le-Vieux un capital assis sur la maison d’après un titre de 1557. En marge, quittance remise en 1694 à Jean Jacques Bitsch
1670 (3. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 127-v
Erschienen Sebastian Rinckh der Küeffer
in gegensein deß Ehrwürdig, wohlgelehrten Hn Henrich von der Borcht Canonici und Scholastici deß Stiffts Zum Jung. St. Peter
bekannt, demnach Er Rinckh, die Jenige 100. fl. straßb. wehr. welche derselbe aus dem am 25.ten 8.br. A° 1557. vor dem Bischoff. hoff vffgrichtete und in deß Stiffts in weiß pergamentinen eingebundenen Documentenbuch fol. 174. fac. 2.d fol. seqq. inserirten Zinnßbrieffs, wie auch denen beÿgefügten resp. Kauff: und Vbergabs Brieffen, von vff und abe seiner alhie Jenseit der St. Thomans bruckh beÿ der Kohl Scheuren, einseit neben etwann der Abbteÿ Zu Schuttern ietzo der Edlen von Bergheim hoff, anderseit neben Hannß Philipß Berus dem Schloßer, hind. vff H Johann Sebastian Gambß der statt Müntzverwalter stoßend geleg. iährlichen term° Joh. Bapt: mit 4. ½ fl. straßb. Wehr. dem Stifft Zum Jung. St. Peter
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Jacob Bitsch deß Specereÿ händlers alß ietzmahlligen Possessoris deß hierinn gemelst. Unterpfands (quittung) Act. d. 9.ten Aug. 1694.
Jean Nicolas Rinck et Jean Frédéric Rinck vendent la maison face à l’entrepôt à charbon au cordonnier Jean Philippe Greiner. En marge, quittance remise en 1685 à Jean Philippe Wittich
1676 (21. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 235
Hannß Niclaus Rinckh, und Hannß Friderich Rinckh beÿde Küeffer, mit beÿstand herrn Joachim Von Botzheim E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers
in gegensein Hannß Philipps Greiners deß Schuhmachers mit assistentz hannß Jacob Stößers deß Schneiders
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten und gerechtigkeiten alhier gegen der Kohlschewr hinüber, einseit neben Jr Frantz Rudolph Von Bergheim anderseit neben Philipp Jacob Berus dem Schloßer, hinden uff Andreß Krähmer den Kupfferschmidt stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 1. lb 2. ß 6. d Zinnß dem Stifft Zum Jungen St: Peter, widerlößig mit 25. lb Nachtrags Capital so seÿe solche behaußung auch noch umb 75. lb haubtgut H. Isaac Bitto dem handelßmann, Item umb 52. lb 10. ß der Pfleg Zur Rothen Kirch Verhafftet – umb 250. fl.
[in margine :] (…) in gegensein hannß Philipp wittichß alß ietzig. innhalbers dießer behaußung (quittung) Actum den 27. 9.br. 1685.
Jean Philippe Greiner et sa femme Catherine hypothèquent la maison quelques jours avant sa vente au profit des enfants de Hermann Daler
1676 (7. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 153-v
Hannß Philipps Greiner der Schuemacher und Catharina sein Eheweib und Zwar Sie Catharina insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest fürsichtig und weÿsen herrn Jonæ Andreßen Von Veßenheim und herrn Paul Reichardts beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein Hannß Samuel Flechners deß Leinenwebers alß Vogts Hermann Dalers deß Leinenwebers Kinder – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier beÿ der Kohlscheur einseit neben dem Bergheimischen hoff, anderseit neben Philipps Berus dem Schloßer hinden uff (-) stoßend gelegen
Fils du cordonnier du même nom, Jean Philippe Greiner épouse en 1667 Catherine, fille du cultivateur Jean Arbogast de Vendenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 139-v)
1667. 18. Eadem [Auff den H Ostertag den 7. Apr:] Domin: Hannß Philips Greiner der ledige Schumacher, Hans Philips Greiner des burgers v. Schumachers allhier ehel: Sohn vnndt J Catharina Johann Arbogasts des Bauren von Fendenheim hinterl. tocht. (i 141)
Jean Philippe Greiner et sa femme Catherine hypothèquent la maison au profit de la veuve du diacre Abraham Fischer
1676 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 702
hannß Philipp Greiner der Schuhmacher undt Catharina sein eheweib, undt Zwar Sie Catharina insonderheit mit beÿstandt H Isaac Habrechts undt H Jacob Dielen beÿder alß auß E.E. großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein H Johann Peter Storckhen wohlgedachten Rhats alten beÿsitzers alß Vogts Annæ Weÿl. H M. Abraham Fischers Diaconi Zum Alten St: Peter nunmehr seel. hinderlaßenen Wittibin – schuldig seÿen 25. lb
unterpfand, hauß hoffstatt, mit allen deren gebäwen und Zugehördten alhier beÿ der Kohlschewr, einseit neben dem bergheimischen hoff, anderseit neben Philipp Berius dem Schloßer hinden uff (-) stoßend gelegen, davon gehend Jährlichen 1. lb 2. ß 6. d Zinnß dem Stifft Jungen St: Peter, So seÿe solche behaußung auch noch umb 75. lb herren Isaac Bitto, Item umb 52. lb 10 ß der Pflegdt zur Rothen Kirch, Item umb 25. lb d Kauffschillingßrest, Hannß Niclaus und Hannß Friderich den Rinckhen beÿden Küffern Verhafftet, sonsten aber gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen
Jean Philippe Greiner vend la maison au fourrier municipal Jean Philippe Wittich
1678 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 483-v
Hannß Philipp Greiner der Schuhmacher
in gegensein Herrn Johann Philipp Wittichs des Statt fouriers
hauß und hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeitn alhier gegen der Kohlschewr hienüber, einseit neben Jckh. Frantz Rudolph Von Bergheim, anderseit neben Philipp Jacob Berus dem Schloßer, hinden uff Andres Krämer den Kupferschmidt stoßend gelegen davon gehendt Jährlichen 1. lb. 2. ß 6. d. Zinnß dem Stifft jungen St Peter, Widerlößig mit 25. lb Nachtrags Capital, so seÿe solche behausung auch noch umb 75. lb Hauptguth H Isaac Bitto E.E. Großen Rhats beÿsitzern, Item umb 52 lb (So dann umb 25 lb Verhafftet) – umb 495. fl.
Fils de Conrad Wittich de Lissberg en Wetterau (Hesse), Jean Philippe Wittich épouse en 1656 Valérie, fille du docteur en médecine Benoît Malleolus (Hemmerlin), au poêle des Gourmets
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 29)
1656. Dn. XIX d. 12. Octobris. H. Johann Philipp Wüttich der Handelsmann, H. Conrad Wüttich Amptschultheißen Zu Lißberg in der Wetterau Ehelicher Sohn, vnd J. Valeria, Weiland H. Benedicti Malleoli, Med. Doctoris allhier hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 20. Octobris auff der Weinsticher Stub Ex p.mission H. Rhat v. XXI. (i 32)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent de célébrer le mariage dans un poêle de tribu à cause des infirmités de la mariée
1656 Conseillers et XXI (1 R 139)
(f° 190) Sambstags den 4. Octobris – Hanß Philipp Wittich prod. per Egen supplicat. vmb erlaubnus, d. Er sich mit Jungfrau Valeria, D. Benedict Hämmerlins Tochter alldieweilen Sie leibsblödigkeit halber nicht Zu Kirchen gehen könne, auff einer Zunfftstuben möge copulirn laßen. Erk. Willfahrt.
Herr XXI. Dietrich, Herr Hünerer
Jean Philippe Wittich devient bourgeois par sa femme Valérie Hæmmerlin en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1656, 4° Livre de bourgeoisie p. 308
Hanß Philipß Wittig d. Handelsmann v. Lißberg auß d. Wetteraw, empfangt d. burgerrecht v. seiner Haußfr. Valeria weÿl. Benedicti Hämmerlins Medicinæ Doctoris burgers alhie dochter vmb 8. Golt fl. welche er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Ledigen stands gewesen, würd Zum Spiegel dienen, Signatum j.n 9.bris. 1656.
Jean Philippe Wittich dans les registres du Magistrat
1665 Conseillers et XXI (1 R 148) Joh: Philipp Wittich. 32. 43. Burger so mit Pferden handeln Ca. die Juden
Jean Philippe Wittich hypothèque la maison au profit du receveur du béguinage Zum Offenburg. En marge, quittance remise en 1745 au tuteur des enfants d’Antoine Joly
1682 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 143-v
Herr Johann Philipp Wittich
in gegensein herrn Philipp Jacob Erhardts Schaffners der rothen Kirchen im nahmen Herrn Johann Schmidts alß Schaffners der Samblung Zum Offenburg – schuldig seÿe 100. lb
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten, alhier gegen der Kohlschewr hinüber, einseit neben dem Bergheimischen hoff, anderseit neben Philipp Jacob Berus dem schloßer, hinden uff H. Johann Pforten E.E. großen Rhats alten beÿsitzern stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Denys Travaux des Cartenmachers als Vogts weÿl. H. Antoine Joly gew. Proprietarÿ hiervor verpfändeter behausung Kinder (quittung), Act. d. 9. 9.bri 1745
Jean Philippe Wittich, percepteur au service des princes de Hesse, et Valérie Hæmmerlin vendent la maison à leur fils Jean Conrad Wittich avec le consentement de leur fille Anne Marguerite. L’acquéreur a aménagé une boutique dans la maison.
1686 (26. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 419-v
Johann Johann Philipp Henrici der handelßmann alß vermög eines von hiernach bemeldten seinen ppalen. eigenhändig underschrieben auch von vnden bemelt. H. Wittichs Siegel bekräfftigt am 1/11.ten huj. In darmbstatt datirt (…) Gewalds constituirter Mandatarius H. Johann Phil. Wittichs, Fürstl. Hessen darmbstatt. Collectoris und Fr. Valeriæ gebohrner Hämmerlerin
in gegensein H. Johann Conrad Wittichs, deß Specirierers deren leiblich. Sohns
hauß, und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Zugehördten und gerechtigkeit, allhier jenseit d. Thomans bruck geg. d. Kohlhscheur über einseit neben Philipp Jacob Böris den Schloßer anderseit H. Johann Philipp Heußen hinden auff weÿl. H. Joh: Pforth sel. Erben, stoßend gelegen, darvon gehen jährlich 1 lb 2 ß 6 d Zinß dem Stifft Zum jung. St Peter, widerlösig mit 25. lb Nachtrags Capital, So seÿe solche behaußung auch noch umb 52 lb (Item umb 20 lb, So dann umb 100 lb verhafftet) – dahingeg. hat Er Wittich d. Sohn nicht allein obegm. auff solchem hauß stehende Capital und widerzinß über sich genommen, sondern auch versprochen auff künfftig begebend. ersten tod fall eines seiner Geliebten Eltern d.selbe durch ehrliche unparthÿische leuthe so d. sach verständig seind, abschätzen und d. alß dann erfolgt. preiß sich an seinen Vätter: oder Mütterlich erbtheil abrechnen und decourtiren zu laß. welchen falls dann auch Ihme was Er seithero biß heut dato gerechnet in bauung eines gadens und sonsten daran meliorirt hat wiederguth gethan, weg. in Zwischen genießend. bewohnung aber nichts gefordert werd. solle
Darbeÿ ist auch gewesen Jfr Anna Margaretha Wittichin, sein Johann Conrads leibl. Schwester, anzeigend d. ihrt wol bewußt d.solches ihrer lieb. eltern will, auch sie für Ihre person damit zu frieden seÿe.
Le marchand épicier Jean Conrad Wittich épouse en 1687 Marie Elisabeth, fille du diacre Albert Deibel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 208-v n° 40)
1687. d. 7. Septembris Herr Joh: Conrad Wittich led. specereÿ händler v. burger H Joh: Philipps Wittich anjetzo hochfürst. Heßen darmstetischen Collectoris in darmstat ehl. Sohn v. Jgfr. Maria Elisabeth H. M. Alberti Deibels gewesenen diaconi zu St Aurelien hinterl. ehel. tochter (i 210, proclamation Saint-Thomas p. 128 i. 66)
Jean Conrad Wittich et Marie Elisabeth Deibel hypothèquent au profit du docteur en théologie Jean Faust et de l’imprimeur Jean Pastorius la maison sise au-delà du pont Saint-Thomas face à l’église Saint-Louis
1690 (12.8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 547
H. Johann Conrad Wittich, der Specereÿ händler, und Fr. Maria Elisabeth gebohrne daübelin deßen Eheliche haußfrau und Zwar dieselbe mit beÿstand H. M. Johannis Felßen pfarrherrs zu St. Aureliä und Hn Johann Philipp Böcklers rentmeisters, Ihrer H. Vettern
in gegensein Hn Johannis Fausten SS. Theol. Doctoris & Professoris und H. Johannis Pastorÿ deß buchdruckers – schuldig seÿen 375 pfund
unterpfand, Erstlich hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, rechten und zugehördt allhier jenseit der thomans Brucken, geg. der Kirch zu St. Louys einseit neben Philipps Jacob Böris, dem Schloßer end. seit Hn. Johann Philipps Heußen, hind. auff Lorentz Vogt* dem Kupfferschmid stoßend geleg. darvon gehen jährlich 1 lb 2 ß 6 d Zinß dem Stifft Zu Jung. St. Peter wid. lösig mit 25 lb. Nachtrags Capital
Ferner Ein hundt. achzig Siebven pfund (…) Capital So die Statt Straßburg (…) schuldig
Jean Conrad Wittich vend la maison au passementier Michel Fanck et à sa femme Salomé Groh
1693 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 20-v
H. Johann Conrad Wittich, der Specereÿhändler
hans Michael Fancken deß Paßmentmachers und Salome gebohrner Grauin mit beÿstand Johannis Graun auch Paßmentmachers, deren respect leiblich. Vatters Und Schwehers
hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen Zugehördt, Recht und Gerechtigkeit, allhier jenseit St. Thomans brucken, geg. der Kirch. zu S. Louys über, einseit neben Philipp Jacob Böris dem Schloßer, and. seit neb. H. Johann Philipp Heußen sen: hind. auff Lorentz Vogten den Kupfferschmid stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 1 lb 2 ß Zinß dem Stifft Zum jung. St. Peter wid. lösig mit 25 lb Nachtrags Capital, so seÿe solche behaußung auch noch umb 52 lb 10 ß der Pflegd Zur Rothen Kirch. Item umb 100 lb Capital d. Samlung Zum Offenburg verhafftet – umb 312 pfund
Fils du passementier Paul Fanck, Jean Michel Fanck épouse en 1690 Salomé, fille du passementier Jean Groh
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24-v)
1690 – Domin. XXIV et XXV. Post Trinit: proclamati sunt Johann Michael Fanck der Paßmentmacher alhier, Weyl: Paulus fancken geweßenen Paßment Machers undt burgers allhier, Nachgel. ehl Sohn Undt Jfr. Salome Johann Grohen deß Paßmentmachers v. burgers alhier ehl. Tochter, copulati sunt Mittwoch d. 15. 9.bris [unterzeichnet] Johan Michael fanck alß hochzeider, Salome Grawin alß hochzeitein, hanß Paullus fanck als der bruter, Johanes grauw der hochzeiteren vatter
Michel Fanck et Salomé Groh vendent la maison au marchand épicier Jean Jacques Bitsch
1694 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 147
Johann Michael Fanck, der Paßmentirer und Salome geb. Grauin, deßen haußfrau
in gegensein H. Johann Jacob Bitschen, deß Specereÿ händlers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, Zugehördt, recht, und gerechtigkeit. allhier jenseit St. Thomas brucken, geg. der Kirch zu St. Louys über, einseit neben Philipp Jacob Böris dem Schloßer anderseit neben H. Johann Philipp Heußen Exsenat. hinten auf Hans Schwartzauer den Sandführer stoßend gelegen, darvon gehend Jährlich Ein pfund 2 ß 6 d Zinß dem Stifft Zum Jung. St. Peter, wid. lösig mit 25 lb Nachtrag Capital, so seÿe solche behaußung nun auch noch umb 52 lb (item umb 100 Pfund Capital, So dann umb 200 lb verhafftet) – umb 100 pfund
Fils de l’avocat Jean Melchior Bitsch, Jean Jacques Bitsch épouse en 1687 Marie Cléophée, fille du docteur en médecine Jean Daniel Wilvesheim
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 129-v n° 7)
1687. Dom: 6 post Epiphanias. Zum 2. mahl hr Johann Jacob Bitsch der handelßmann Weiland hr Johann Melchior Bitschen U. J. D auch gewesenen Advocati & Procuratoris bei EE großen Rath nachgel. ehel. Sohn, Jfr. Maria Cleophe Weiland hr Joh: Daniel Wilveßheim gewesenen Med: D. u Practici alhier nachgelaß: ehel. t. Sonnt. den 19.t Febr: Zun Predigern (i 131 – Proclamation, Saint-Thomas p. 115 n° 684, i 59 Wülffisheim)
Jean Jacques Bitsch hypothèque la maison au profit d’Anne Félicité Gambs, veuve de Léon Varnbühler. En marge, quittance remise en 1700 à Antoine Joly.
1694 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 504-v
H. Johann Jacob Bitsch, der Specereÿ händler
in gegensein H. Johann Schmidt Schaffners zu St Marx, alß von E. E. Großen Rath am 4.t. huj. an Vogts statt hierzu geordnet, Fraun Annæ Felicitas gebohrner Gambßin, weÿl. Hn Leo Varnbühlers sel. hinterlaßenen Wittib, deren Vogt Er Bitsch selber ist, schuldig seÿe 275 pfund
unterpfand, Hauß, und hoffstatt mit allen deren Gebauen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeit allhier jenseit St. Thomas brucken, gegen der Kirch zu St. Louys über, einseit neben Philipp Jacob Böris dem Schloßer, anderseit neben H. Johann Philipp Heußen Exsenator, hinten auff hans Schwartzawer den Sandführer stoßend gelegen
[in margine :] (…), in gegensein Johann Philipps Fleischmanns des Unter Kaüffers beÿ E. E. Zunfft d. blumen und Mariæ Catharinæ gebohrner Böhlerin, als jetzmahligen besitzer hierinn zum unterpfand versetzten behaußung (quittung) den 18. nov. 1694
[in margine :] (…), in gegensein hievor in margine gemeldten Anthoine Joly als ietzig. possessoris des hierinn beschriebenen Haußes (Quittung), den 30. mart. 1700
Vente d’effets mobiliers par les deux plus jeunes enfants de feu Jean Jacques Bitsch
1707 (25.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 18)
Verkauff Register über Weÿland Herrn Johann Jacob Bitschen geweßenen Specierers vnd Burgers alhier seel. hinderlaßener 3. Jüngster Kinder Zugehöriger, von fr. Felicitas Vahrenbüllerin seel. ererbten (…) hausraths, dabeÿ auch einige Posten, so fraun Mariæ Cleophe Bitschin dero Mutter gehörig, mitbegriffen, den 14.t vnd 25.t Februarÿ
Jean Jacques Bitsch vend la maison à Jean Philippe Fleischmann, préposé aux ventes de la tribu à la Fleur, et à sa femme Marie Catherine Bœhler
1694 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 660
Johann Jacob Bitsch, der Specereÿ händler
in gegensein Johann Philips Fleischmanns des Under Kaüffers beÿ E.E. Zunfft zur Blum, und Mariæ Catharinæ gebohrner Böhlerin, deßen Haußfrawen
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier jenseit St. Thomas brucken gegen der Kirch Zu St Louis über, einseit neben Philipp Jacob Böris, dem Schloßer, anderseit neben H. Johann Philipp Heißen E.E. großen Raths alten beÿsitzer, hinden auff Hans Schwartzauer den Sandführer stoßend gelegen, welche behaußung Zuvorhien umb 52. lb 10 ß der Pflegd zur Rothen Kirchen allhier, Mehr umb 100 lb Capital (so dann umb 250 lb Capital verhafftet), umb100 pfund
Fils du boucher Philippe Fleischmann à Wimpfen (près de Heilbronn) Jean Philippe Fleischmann épouse en 1651 Catherine, fille du jardinier Jean Bœhler
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 10-v)
1651. Dn XX. Trinitatis d. 12. 8.bris) Johann Philipp Fleischmann der Metzger, Philip Fleischman Metzgers und Burgers zu Wimpffen nachgelaßener Sohn vnd Maria Catharina Hanß Böhlers des Gartenmanns vnd burgers allhie Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 20. 8.bris in der Ruprechtsaw (im 13 – pas dans le registre de la Robertsau)
Le boucher Jean Philippe Fleischmann devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1653, 4° Livre de bourgeoisie p. 291
Johann Philipp Fleischmann Von Wimpffen, der Metzger, empfangt daß burgerrecht Von seiner haußfr. Maria Catharinan Johann Bölers deß Gartenmanns alhie dochter vmb 4 gold fl. ist ledigen standts geweßen will zu der Blumen dienen. Jur. den 22.ten 9.bris 1653.
Jean Philippe Fleischmann et Marie Catherine Bœhler vendent la maison au cartier Antoine Joly et à sa femme Claudine Tournier
1695 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 232
Johann Philipß Fleischmann E.E. Zunfft der Metzger Under Käuffer, und Maria Catharina geb. Böhlerin
in gegensein Anthoine Joly, deß Cartenmachers, und Claudine Tournie – auff Erlaubnus d. H. Räth und XXI. nach inhalt des underm heutig. dato ertheilt. Extractus protocolli gescheh. (signé) A JOLY
Eine behaußung und hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit. allhier jenseit St. Thomas Brucken, gegen der Kirch Zu St Louys über, einseit neben Philipp Jacob Böris, dem Schloßer, anderseit neben H. Johann Philipp Heußen, E.E. großen Raths alten beÿsitzer, hind. auff hans Schwartzauer den Sandführer stoßend gelegen, welche behaußung zuvorhin umb 52 lb (mehr umb 100 lb, So dann umb 250 lb Capitalien verhafftet) – umb 100 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente au manant Antoine Joly. La visite des lieux établit que la façade avant est en pierre et la façade arrière en bois.
1695 Conseillers et XXI (1 R 178)
(p. 66) Mittwochs den 6. April – Johann Philipp Fleischmann pct° Hauß Verkauffs.
S. er, H. Johann Philipp Fleischmann, burger und Unter büttel beÿ der blumen, dißer ist willens seine beÿ St Louis gelegene behaußung an Anthoni Joli faiseur de cartes umb 1000 fl. Zu verkauffen, b. Unterth. umb deßen gd.ge erlaubnuß
Erk. ein Deputation umb einem augenschein einzunehmen auff Herrn XV. Kellerman und herrn Städel beliebt.
(p. 68) Montags den 11. April. – Relation weg. deß haußes, so Johann Philipp Fleischmann verkauff. will.
H. XV. Kellermann, und H. Rathh. Städel berichten den Zustand deß haußes welches Johann Philipp Fleischmann an Anthoni Joli verkauffen will, mit bedeuten, daß daßelbe ein seith neben Isaac Beres, and. seithes neben dem Bergheimischen hoff geleg. seÿe, und daß es fornen von steinen und hinten von holtz seÿe, die willfahr stünde beÿ Mghh.
Erk. willfahrt, und solten die herren Deputirten Zu dem end der Verschreibung bey wohnen, Darmit sie cum clausulis Consuetis geschehen möge.
Accord passé entre le serrurier Emanuel Cappler et Salomé Bœris d’une part et le cartier Antoine Joly et Claudine Tournier pour terminer le procès porté devant le Conseil souverain à Colmar suite à la décision du Petit Sénat en date du 5 décembre 1715. Les époux Joly s’engagent à faire grillager les fenêtres qui s’ouvent dans la cour de leur voisin, les époux Cappler à ne pas intercepter le jour de ces fenêtres qui sont une simple tolérance. Les parties s’accordent en outre au sujet de la cheminée des époux Cappler qui s’appuie sur le mur pignon Joly. Les époux Joly s’engagent à réparer les poutres de leur voisin qui ont pourri à cause de leur chenal et à supprimer l’écoulement de leur évier vers la propriété de leur voisin.
1716 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 45-v
Emanuel Cappler Schloßer und Salome geb. Börisin einsen Und andern theils Anthoine Joly Cartenmacher und fr. Claudine Tournier seine Haußfr. beÿständlich Claude Anthoine Joly advocat au Conseil souverain d’Alsace anderen theils
die haben sich auffrichtig und redlich folgend. Weise miteinander Verglichen Und Vergleichen sich nochmahlen hiermit, Nemlichen es sollen Sie Jolysche Eheleuthe die in besagter Capplerischer Eheleuthe Höfflein gehendte fenster Vergrembßen und behörig vergittern, 2. sollen Sie Caplerische Eheleüthe vor die in Ihr Höfflein gehendte und von Jolyschen Eheleüthen dahinein gerichtete fenster nichts bauen dadurch denenselben der tag benommen werd. Könnte, 3. Soll ersterwehntes oblatum Von Ihnen Jolyschen Eheleüthen Und deroselben anderst nicht as eine bloße Vergönstigung anzusehen, einfolglich es nur per modum precarÿ Und zwar so lang Ihnen zu genüßen vergönnet seÿn, als mehrberührte Jolysche Eheleüthe Und deroselben Erben od. diejenige welche das quæstionirte hauß vor Ihnen käuflich annehmen wid. sothane transaction Und vergleich nicht handlen zu den Capplerischen Eheleüthen und ihrer gerechtigkeit nachtheil nicht bauen od. sonst in ihrer behaußung chagriniren würd. falls aber sothaner Vergleich dadurch auff gehoben zernichtet, mithin mehrbenannten Capplerischen Eheleuthen freÿ stehen, solle geg. denen fenstern welche Jolysche Eheleuthe in d. Capplerischen Eheleüthe höfflein gerichtet zu bauen und sich ihres sonst erlaubten rechtens zu bedienen wie der den 5. Decembris 1715 beÿ E.E. Kleinen Rath ergangenen bescheid es Ihnen vergönnet, 4. Sollen Jolysche Eheleüthe das ahn ihrer riegelwand stehende Und ihnen Capplerischen Eheleüthen gehörige bauch Camin auff ihren Costen nur vor dieses Mahl allein Und Völlig und auffzuführen schuldig seÿn daß es berührte Capplerische Eheleüth ohne zue geringsten feürs gefahr in d. Künfftig behörig brauchen können /:wozu doch die Caplerische Eheleüthe den gehörigen sand und eisen zu fourniren sich obligiren:/ hingegen obligiren sich 5. sie Caplerische Eheleüthe die in ihrem Höfflein abgebrochene und ihnen Caplerischen Eheleüthen gehörige Maur auch wird. auff ihren Costen zu repariren Wie nicht weniger 6. die durch den Jolyschen Nach ihnen Caplerischen Eheleüthen verfaulte balcken ohne beÿtrag Costens repariren zu lassen und auff den darüber erlittenen schad. verzug zu thun, 7. Sollen Jolysche Eheleüthe obigem bescheid d. gemäß ihren mit Caplerischen Eheleüthen gerichteten wasserstein Nach weg zu thun obligirt Und Verbund. seÿn, 8. sollen Jolysche Eheleüthe ihr zu Collmar weg. obigen bescheids anhängisch gemachte appellation wiederumb schwind. zu laßen Und gäntzlich davon zu desistiren hiemit Eheleüthen dißfalls causirte appellations gerichts Und anderer Costen, sie mögen haben namen wie sie immer wollen, Völlig refundiren ahn denen in ersterer und hiesiger Instantz aber erlittenen expensis denen Caplerische Eheleüthen 7 pfund od. 30 livres tournois beÿtragen
Claude Antoine Joly hypothèque un tiers de la maison au profit du tuteur de Claude Antoine Loyer de l’Etourmiere (son neveu mineur)
1723 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 417-v
H. Claude Antoine Joly Avocat au Conseil souverain d’Alsace
in gegensein H. Henry Fervat EE. kleinen Raths alten beÿsitzers und Peruquenmachers als vogts Claude Antoine Loyer de l’Etourmiere H. Gaspard Claude Loyer de l’Etourmiere Capitaine au régiment d’Angoumois und weÿl. Fr. Johannæ Franciscæ geb. Joly erzeugten einigen söhnleins wegen von ihr beschehener käufflichen übernahm des Curandi mobilien – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, Ein dritter theil für unvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomans: bruck gegen St Louis Kirch über einseit neben Emanuel Cappler dem Schloßer anderseit neben H. gebrüdern Kornmann et Compagnie Banquiers hinten auff Philipp Stoltz den grempen
Claudine Tournier hypothèque son tiers indivis de la maison au profit de son petit-fils Claude Antoine Loyer auquel elle appartient pour un tiers.
1728 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 34-v
Fr. Claudine geb. Tourniers weÿl. Antoine Joly Karttenmachers wittib mit beÿstand ihres Curatoris François L’anglais Sattlers
in gegensein H. Henry Fervat Peruquenmachers und Exsenatoris als vogts weÿl. Johannæ franciscæ geb. Joly mit H. Claude Gaspar Loyer de L’Estournier Capitaine au régiment Angoulmois einigen Kindts ihr Jolÿischer Wittib Enckels Claude Antoine Loyer
demnach sie die Wittib ihres verstorbenen ehemanns seel. völligen verlaßenschafft mithin auch ihres enckels daran participirenden dritten theil in Verwahrung und biß zu deßen majorennitæt zu genißen hat, und aber deßelben vogt deßwegen von ihro hinlängliche Versicherung biß zur concurrentz seines curandi großvätterlichen guths begehret
unterpfand, Ihren dritten theil für ohnvertheilt ane einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, zugehörden und Rechten jenseith St Thomans bruck gegen der Kirch zu St Louis über, einseit neben Kornmännischen Erben anderseit neben Samuel Kappler dem Schloßer hinten auff Stolz den gremp – ihro zu einem, ihrem Sohn Sr Claude Antoine Joly Avocat au Conseil souverain d’Alsace und dem curandi zum dritten theil
Avocat au Conseil souverain d’Alsace, Claude Antoine Joly épouse Madeleine Leclerc, fille de Jean Leclerc, entrepreneur à Nancy : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1722, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Sr Claude Anthoine Joly et Damlle Magdeleine le Clerc (Exped. fol. 271 unter den Frantzösischen eingetragen)
Contrat de mariage français, p. 268 – 1722 du Sr Claude Anthoine Joly et damlle Madeleine le Clerc (Exped. du 10. Xbre 1743)
Copie du Contrat de mariage – furent present le Sieur Claude Antoine Joly fils de deffunt Sr Antoine Joly en son vivant Bourgeois de cette ville Majeur et comme usant de ses droits et de Damlle Claudine Dourné ses Peres et Meres, Et damlle Magdeleine le Clerc, assistée et authorisée du sieur Jean le Clerc son Pere Entrepreneur et Bourgeois de la Ville de Nancy en Lorraine – fait et passé à Strasbourg (…) le 18° octobre 1722
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 62-v)
Hodie 7° mensis Aprilis anni 1723 (…) sacro matrimonii vinculo copulati sunt in facie Ecclesiæ D. Claudius Antonius Joly aduocatus in supremo alsatiä concilio ex parochia ad S. Ludovium et D. Magdalena le Clerc Nancejana Et pro tempore parochiana (signé) C.A. Joly, magdelene Leclere (i 62)
Claude Antoine Joly et Madeleine Leclerc achètent le droit de bourgeoisie le 4 mars 1724.
1724, 3° Livre de bourgeoisie p. 1343
H. Claude Antoine Joly J. ut. Lt. Von hier geb. undt seine ehefr. Magdalena leclerc von Nancy erhalten das burgerrecht, der ehemann gratis, undt die ehefr. umb die tertz d. alt. b. wollen beÿ E: E: Zunfft d: Steltz dienen, Jur. et prom. d: 4.t Martÿ 1724.
Claude Antoine Joly meurt en 1744 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans sa maison près de l’église Saint-Louis. La masse propre à la veuve est de 1 822 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 835 livres, le passif à 2 146 livres.
1744 (9.5.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 475) n° 258
Inventarium über Weÿl. Hn Claude Antoine Joly, gewesenen J.U. Lti und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1744. (…) nach seinem d. 25. Januarii des Zurückgelegten 1743.ten Jahrs Zu Prag beschehenen töd. Ableiben hie Zeitl. verlaßen. Welche Verlaßenschafft auff freundl. Ansuchen v. Begehren der am hernach folgenem folio benandter Kinder v. Erben geschwornen Vogts, inventirt v. ersucht durch Frau Magdalenam Le Clerc, die hinderlaßene Wittib mit beÿstand Hn Dominique Gripport des handels M. v. b. allhier ihres geschwornen Vogts (…) So geschehen in der königl. Statt Straßburg auff Sambstag d. 9.ten deß Monatgs Maji A° 1744.
Der verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, als folgt. 1. Dlle Claudine Françoise Madeleine Joly so ohngefehr 15. Jahr alt und 2. Agnès Pascale Joly, so ohngefeht 6. Jahr alt, Beede des verstorbenen seel. mit eingangs gedachter seiner hinterbl. Wittib Ehel. erzeugt v. hinterlaßene Kinder v. Erben Zu gleichen antheilen Weilen aber dieselben annoch minorennes, so ist in dero Nahmen beÿ dem geschäfft erschienen H. Deny Travaux d. Cartenmacher v burger allhier, welcher aber in Nahmen seiner pupillen die Erbschafft anderst nicht als cum Beneficio Legis et Inventarii angetretten
(f° 4) Eigenthum ane Einer Behaußung (E.) Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren Weiten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane St. Elisabethä Gaß gegen d. Kirch St Ludwig, 1.s. neben S.T. H. XV. Joh: Friderich Kornman, 2.s. neben Christoph Remus dem feÿelhauer, vornen auff gedachte gaß v. hinden auff H. Jacques Isai Bourgeois den Tapezierer allhier stoßend, so außer denen hernach unter denen passivis befindl. darauff hafftenden Capitalien, ledig v eigen v durch (die Werckmeistere) zufolg dero zum Concept geliefferten schrifftlichen Abschatzung d. d. 15. Apr. 1744. hieher angeschlagen worden pro 1300 fl. oder 650 lb. Darüber ist dermahlen nichts schrifftliches vorgewießen worden, es berichtet aber die Wittib daß ihr verstorbener Eheh. seel. solches von seinem vatter seel. ererbt.
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten guths. Die selbige hat ihr Zugebrachtes Vermögen nicht inventiren laßen hat aber beÿ gegebener handtreu ane Eÿdes Statt declarirt, daß sie folgende Posten wahrhafftig in die Ehe gebacht habe
(f° 8) Eigenthum ane Einer Behaußung. Zufolg einer d. 23. Mart:Jüngst von H. Janneney dem Weinhändler Zu Neu Breisach vnd Jean Mercatier dem Chartenmacher gesell beÿ dem Concept getganer Declaration (…) von ihrer Zu Nancy verkaufften ihro eigenthümlich gehörig geweßenen Behaußung, so ihre Vatter Crafft Eheberedung Zu geben Versprochen, empfangen zuhaben
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung, vor Weÿl. H. Jacob Christoph Pantrion Not. pubm. et pract. sel auffgerichtet
De Wittib Eigenthümliches Vermögen, Sa. 250, Ergäntzung 1572, Summa summarum 1822 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert v. d. theilbare gut unter einer massa beschrieben, weilen die Wittib auff die theilbare Nahrung sonder Zweiffel verzug thun v. sich hingegen ihr unverändert guth vorbehalten wird. In Einer allhier zu Straßburg ane St. Elisabethä gaß gegen der Kirch St Louis gelegen v. hiehero gehörigen behaußung befunden worden als folgt. Sa. haußraths 98, Sa. Silbers 87, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 650, Summa summarum 835 – Schulden 2981 lb, Conferendo 2146 lb – Sa. der Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugeltend 1355 lb
Copie du Contrat de mariage – furent present le Sieur Claude Antoine Joly fils de deffunt Sr Antoine Joly en son vivant Bourgeois de cette ville Majeur et comme usant de ses droits et de Damlle Claudine Dourné ses Peres et Meres, Et damlle Magdeleine le Clerc, assistée et authorisée du sieur Jean le Clerc son Pere Entrepreneur et Bourgeois de la Ville de Nancy en Lorraine – fait et passé à Strasbourg (…) le 18° octobre 1722
Abschatzung dem: 15. Aprill: 1744. auff Begehren weillandt deß achtbahren undbescheitenen Meister glott Anton Jollÿ deß geweßenen Carten Machers seel: hinder Laßenen Frau wittib und Erben ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg gegen der st. Luis Kirch über gelegen ein seitß eine behausung so herrn XV. Kormann gehörich, anderseitß Neben Christoff römer dem feillenhauer hinden auff Hn burschwar dem tapecirer Stoßent welche behausung sehr alt und baufellig so unden ein gangß daß hauß Ehren bronen ein schloßer Eß einen under schlag Zum holtz getrembter Keller, oben ihm Ersten Stock eine Stuben Cammer Kuchen haus Ehrenn ihm 2.ten Stock ein Camin Camer Nebenß Camer Kuchen hauß Ehren oben dar über ein Camer Vor dem officier Nebenß Camer und daß hauß Ehren worüber ein alter tach stull mit einer un besetzten bienen und holtzren auch vornen einen steinern gëbell sampt aller gerëchtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen würdt Vor und umb Ein Tausent und treÿ hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs
La tribu des Fribourgeois inflige une amende à la femme Joly pour avoir transmis un certificat d’hébergement non-conforme.
1744, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 203-v) Dienstags den 9. Junji A° 1744 – Mme Joly, beÿ St. Louis wohnhaft citiret wegen eines: Ihro Gnaden dem Regierenden Herrn Ammeisters überschickten sehr straffbahren Nacht Zeduls, Massen sie darinnen nicht nur alleine datum und Jahrzahl außgelaßen, sondern auch nicht gemeldet wer: vnd woher die Persohnen, so selbe logiret.
Illa præsens recognosciert den Nachtzedul Sagt, es wären Ihre befreündte geweßen, so sie logiret.
Erkant Citata wirdt in 15 ß Str. condemniret.
Madeleine Le Clerc passe un contrat de mariage avec le teinturier Jean Goyer. Le mariage n’est cependant pas célébré, Jean Goyer épouse quelques mois plus tard Jeanne Claudine Savary, veuve d’Antoine La Bruyère
1745 (1.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 747
Eheberedung Zwischen H. Jean Goyer Seidenfärber vndt burgern alhier ane einem
andern theilß aber Magdalena Clere, weÿl. Anthoni Joly gewesenen advocat au Conseil souverain Zu Colmar hinderbliebenen wb. auffgerichtet
Actum in fernern beÿseÿn auf seith des H. hochzeiters H. Melchior depord Schuhmachers vnd burg. alhie, auf d. fr. hochzeith: seithen aber Denis traveau Cardenmachers vndt burg. alhie ihre KK vogts, straßb. d. 1. Augusti 1745. (unterzeichnet) Jean goyer, magdelene Leclere Joly
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 280)
Hodie 4 mensis octobris Anni 1745. (…) sacro Matrimonii vinculo conjuncti fuerunt joannes goÿer civis insector viduus claudine prouien in parochia ad stum petrum seniorem commorans et joanna claudia savarré etiam vidua Antonii La Bruiere in hac parochina commorans, adfuerunt testes (…) et joannes goyer sponsi filius (signé) jean goyer jeane Claude goyer (i 144)
Madeleine Leclerc meurt en 1748 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison Grande rue de la Grange. L’actif s’élève à 68 livres, le passif à 435 livres
1748 (5.11.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 481) n° 403
Inventaire des Biens delaissés par feuë Dam.le Magdelaine Joly, née Le Clerc, Veuve de feu Sr Claude Antoine Joly, en son vivant Licentié és Droits et Bourgeois de cette ville, dressé L’An 1748.
Inventaire et Description de tous et chacuns les Biens que feu Dam.le Magdelaine Joly née Le Clerc, Veuve de feu Sr Claude Antoine Joly, viv. Licentié és Droits et Bourgeois de cette ville, a delaissé après sa Mort arrivée Jeudy le 5° du Mois de septembre de la pres.te Année 1748. Lesquels Biens à la Réquisition du Sieur Deny Travaux Maître Cartier et Bourgeois de cette ville en Qualité de curateur des Enfants et Heritieres de la Deffunte cy après nommés (…) Fait et passé audit Strasbourg Mardy le 5° du Mois de novembre l’An 1748.
La Deffunte a delaissé pour héritières ab intestat, sçavoir 1° Damle Claudine Françoise Magdeleine Joly, agée environ de 20 ans, 2° Damlle Agnès Pascale Joly agée environ de 10 ans, Lesdits Enfants procréés avec led. feu Sr Claude Antoine Joly, pour lesquelles a été present led. Sr Deny Travaux leur Curateur
Meubles Trouvés dans une Maison size Rue grande Stadelgass où la Deffunte est décédée
Etat du Present Inventaire, Total des Meubles, 68, Total des Dettes passives 435, Partant les Dettes passives excedent la masse active de 357 livres
Le tuteur des deux filles Joly vend la maison à son voisin Jean Christophe Rœmer, tailleur de limes, et à sa femme Anne Marie Grauer
1745 (9.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 794-v
Denys Travaux der Cartenmacher als vogt weÿl. H. Antoine Joly gewesten J.U.Lti mit deßen hinterbliebenen wittib Fr. Magdalena geb. Le Clerc erzeugte zweÿ kinder Claudine Françoise und Agnès Pascale der Joly
in gegensein Johann Christoph Römer des feÿlhauers und Annæ Mariæ geb. Grauerin, versteigerung
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten gegen der Kirch zu St Louis über einseit neben denen käuffern selbst, anderseit neben S.T. H. XV Kornmann, hinten auff Isaïe Bourgeois den tapezirer – als ein vätterliches erbguth – um 760 pfund
Le greffier du Grand Sénat atteste que la maison a été vendue par enchères publiques à Jean Christophe et Marie Rœmer et que l’acte de vente doit être passé à la Chambre des Contrats
94 Z 81 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkanndtnuß E. E. Großen Raths der Statt Straßburg Vom 30. Octobris 1745. Ist die weÿl. Hn H. Claude Claude François joly hinterlaßenen Erben Zuständige, allhier ane St. Elisabethä gaß gegen der Kirch St. Louis gelegene behaußung sambt allen Ihren Zugehördten Fr: Mariæ Römerin mit assistentz ihres ehemanns Johann Christoph Römers des Burgers und Feyelhauers allhier, alß plus offerente umb 1520. fl. mit übernahmb aller unkosten obrigkeitlich adjudicirt, anbeÿ Verordnet worden, daß der Kauff und Verkauff in acht tagen in der Contract Stub solle Verschrieben werden. Kien, Rathschrrb. – Decretum alienandi ertheilt d. 7. Augusti 1745.
Fils du cloutier Jean Rœmer, le tailleur de limes Jean Christophe Rœmer épouse en 1725 Anne Marie, fille du chapelier Daniel Grauer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (la minute n’étant pas conservée), célébration
1725, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Joh: Christoph Römers feÿelhawers vndt Jgfr. Annæ Mariæ Grawerin (Exp.)
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrsamen und bescheidenen Johann Christoph Römers dem ledigen Feÿelhauer, des Ehren geachten Johann Römers Nagelschmids und burgers allhier ehelich erzeugten Sohn, alß hochzeiter ane einem, so dann Jungfrau Annä Mariæ Grauerin, weÿland Daniel Grauers geweßenen hutmachers und Burgers allhier ehelich erzeugten hinterlaßenen tochter, alß hochzeiterin andern Theilß (…) So beschehen und verhandelt alhier Zu Straßburg den 20. Novembris anno 1725, Expedirt aber den 4. Februarÿ Anno 1747. Johannes Brackenhoffer Notarius jur:
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 201-v n° 18)
1725. Mittwoch den 5. Decembris seind nach Zweÿmaliger offentl. proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus ehel. copuliret u eingesegnet word. Johann Christoph Römer der ledige Feigelhauer u. burg. allhier Joh: Römers deß Nagelschmidts u. Burgs. allhier ehl. Sohn u. Jgfr. Anna Maria Weil. Daniel Grauers geweßten Hutmach.s u. Burg. allhier hinterlaßene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Christoph Römmer als hochzeider, Anna Maria graunin alß hochziterin (i 207)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie au mari rue des Bestiaux (ensuite rue d’Austerlitz). Les apports du mari s’élèvent à 202 livres, ceux de la femme à 106 livres.
1726 (6.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 53) n° 106
Inventarium über Johann Christoph Römers, Feÿelhauers und Frawen Annæ Mariæ gebohrene Grawerin beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Annp 1726. – vnd vemög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung alß ein ohnverändert Guth sich reserviret vndt vorbehalten haben (…) Actum in fernerer gegenw. H. M. Joh: Georg Grawers der Heÿlig. Schrifft befließenen der Ehefr: leiblichen bruders Straßburg d 6. Junÿ Anno 1726.
In einer allhie Zu Straßburg In der Viehegaßen gelegenen vnd Zum theil dem Ehemann Zuständigen behaußung ist befunden word. wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebr. guth, Sa. hausraths 48, Sa. Werckzeugs 48, Sa. Silbers 9, Sa. Activ Schulden 100, Summa summarum 202 lb
Dießemnach Wird auch der Ehefr. in die Ehe gebr. vermögen beschrieben, Sa. haußraths 59, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 34, Summa summarum 106 lb
Jean Christophe Rœmer meurt en 1761 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 475 livres. La masse propre à la veuve est de 107 livres, celle propre aux héritiers est de 158 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 429 livres, le passif à 892 livres
1761 (25.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 798) n° 240
Inventarium über Weiland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Christoph Römer, des geweßenen Feÿelhauers und burgers dahier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1761.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weiland der Ehren: und Wohlvorachtbahre Herr Johann Christoph Römer, der geweßene Feÿelhauer und burger dahier Zu Straßburg nun seeliger, nach seinem Dienstags den 24.ten Martÿ dießes lauffenden 1761.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen Frauen Annæ Mariæ Römerin gebohrener Grauerin, der hinterbliebenen wittib, beiständlich S.T. H. Joh: Jacob Grießbach Notarÿ jurati und publici allhier wie auch des abgeleibten seel. mit vorgemelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlter und nach tod verlaßener 6. KK und ab intestato Erben (…) Actum allhier zu Straßburg auf Dienstag den 25.ten Maÿ Anno 1761.
Benennung des Verstorbenen seeligen ab intestato Verlaßener Erben, solche seind 1.mo Frau Anna Maria Kärcherin geb. Römerin Hn Johann Veit Kärchers des Schreiners und burgers alhier eheliche haußfrau, welche mit Zuziehung dieses Ihres Ehevogt dem Geschäfft abwartete, In den Ersten Sechsten Stammtheil,
2.do Frau Catharina Elisabetha Wittmännin gebohrene Römerin, Hn Johann Michael Wittmann, des Schneiders und burgers dahier Ehefrau, welche mit Zuziehung ihres Mariti dieser Verlaßenschafft Inventur beiwohnete, In den Zweÿten Sechsten Stammtheil,
3.tio Hr H. Georg Römer den feÿelhauer und burger dahier, so gleichfalls in selbst eigener Persohn bei dießem Verlaßenschafft Geschäfft erschienen, in den dritten Sechsten Stammtheil,
4.to Frau Margaretha Salome Hiederin gebohrene Römerin, H Georg Friderich Hieder des Perruquenmachers vnd b. allhier Ehegattin, so mit Zuziehung dießes Ihres Ehemanns bei dießer Verlaßenschafft Inventation Zugegen war, In den vierten Sechsten Stammtheil
5.to Frau Susanna Barbara Ungererin gebohrene Römerin H. Johann Albrecht Ungerer, des Metzgers und burgers allhier eheliche haußfrau, welche unter Assistentz dießes Ihres Ehemann bei dießem Geschäfft sich einfande, In den Fünfften Sechsten Stammtheil
6.to Jungfer Maria Magdalena Römerin so 12 Jahr Zurückgelegt, deren geordnet und geschwohrener Vogt ist Vorgedachter Herr Johann Michael Wittmann, der Schneider und b. dahier der einen Erbin Ehemannn, da aber derselbe selbsten uxorio nomine bei dießem Geschäfft interessirt ist, als wurde ane deßen Stelle bei dießem Geschäfft erbetten hr. Abraham Heller der Schuemacher und burger dahier welcher als theilvogt bei E. E. Großen Rath des gewohnliche juramentum angelegt hat, In den sechsten und letzten Stammtheil. Alßo alle sechß des Verstorbenen seligen mit Frauen Anna Maria Römerin gebohrener Grauerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte KK. und ab intestato nachgelaßene Erben
Vergleich dießer Verlaßenschafft wegen vorgenommen (…)
In einer allhier Zu Straßburg nahe beÿ der St Louis Kirch gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden als volgt
(f° 9) Eigenthumb ane häußeren (T.) Erstl. eine Behaußung, bestehend in 2.n häußern (…)
Item eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier Zu Straßburg gegen der Kirch Zu St Louis über 1.s neben vorher beschriebener behaußung, 2.s neben S.T. H. Joh: Philipp Kornmann, vornehmen Banquier, in Paris, hinten auf Isaac Bourgeois den Tapezierer stoßend, so außer denen darauf haftenden Passivis gegen männigl. freÿ leedig, eigen und durch vorgedachter der Statt Straßburg geschwornen Werckleuten vermög schon allegirten Abschatzung Zeduls angeschlagen pro 475 lb. Außweiß eines in allhies. C. C. Stub ausgefertigten pergamenten Kauffbrieffs vom 9.t Nouembris 1745. mit dero anhangendem Innsiegel verwahret und Jetzigem Nr 2. signirt
Eigenthumb ane einem Gädlein. Näml. i. gaädlein, sambt Zugehörden alhier Zu Straßburg am Bubeneck (…)
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten guths. Außweißlich des über beeder nun ertrennter Ehepersohnen vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch längst weil. Herr Notarium Jacob Christoph Pantrion seel. in Anno 1726. errichteten (…) Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heurats verschreibung
Copia der Verstorbenen vor mir Not. den 13. 7.bris anno 1752. errichteten Codicilli
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 3, Sa. goldener ring 3, Sa. Schulden 30, Sa. Ergäntzungs Rests 71, Summa summarum 107 lb
Dießemnach kommet nun auch die Beschreibung der Erben gesamten ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzungs Rests 176, Summa summarum 188 lb – Schulden 30, Detrahendo verbleibt 158 lb
Endlichen Kommet nun auch die Descriptio des gemein veränderten und theilbaren guths, Sa. haußraths 39, Sa. Wein und lährer Faß 33, Sa. Silbers 11 ß, Sa. Eigenthums ane häußern 1320, Sa. Eigenthums ane einem Gädlein 25, Sa. Schulden 10, Summa summarum 1429 lb – Schulden 892 lb, Nach solchem abzug 536 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt alhier Zu Straßburg den 20. Novembris anno 1729, Expedirt aber den 4. Februarÿ Anno 1747. Johannes Brackenhoffer Notarius jur:
Anne Marie Grauer meurt en 1767. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 396 livres, le passif à 567 livres.
1767 (15.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 809) n° 466
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und tugendsahmen Frn Annä Mariä Römerin geb. Grauerin, auch weil. Hn Johann Christoph Römer, des geweßenen Feÿelhauers und burgers dahier zu Straßburg seeligen nachgelaßenen Wittib nun auch seeligen Verlaßenschafft errichtet in Anno 1767.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weiland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Römerin geb. Grauerin, auch weiland Hn Johann Christoph Römer, des geweßenen Feÿelhauers und burgers dahier zu Straßburg seeligen nachgelaßene Wittib nun auch seelige, nach ihrem Sonntags den 30.ten letztverwichenen Monats Augusti aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen dahier zu Straßburg auf dienstag den 15.ten Septembris Anno 1767.
Die Verstorbene Fr. seeligen ab intestato Verlaßene Erben seind 1.mo Frau Anna Maria Kärcherin geb. Römerin Hn Johann Veit Kärchers, des Schreiners und burgers alhier eheliche haußfrau, welche mit beÿhülff ihres Mariti beÿ dießer Verlaßenschafft Inventur erschienen, In den Ersten Sechsten Stammtheil,
2.do Frau Catharina Elisabetha Wittmännin, geb. Römerin, Hn Johann Michael Wittmann, des Schneiders und burgers dahier Ehefrau, welche mit Zuziehung ihres Ehemanns diesem Verlaßenschafft Geschäfft abwartete, In den Zweÿten Sechsten Stammtheil,
3.tio Hr H. Georg Römer den feÿelhauer und burger dahier, so ebenmäßig in selbst eigener Persohn bei dießer Verlaßenschafft Inventur Zugegen war, in den dritten Sechsten Stammtheil,
4.to Frau Margaretha Salome Hiederin geb. Römerin, H Georg Friderich Hieder des Perruquenmachers vnd b. allhier Ehefrau, welche zufolg einer Von ihrem Ehemann unter dem gestrigen dato ausgestellter Vollmacht, beneben S.T. H. Johann Philipp Graffenauer J.V. Lt° deßen constituirten Hn Mandatario bei dießer Verlaßenschafft Inventatur Zugegen war, In den vierten Sechsten Stammtheil
5.to Frau Susanna Barbara Ungererin geb. Römerin H. Johann Albrecht Ungerer, des Metzgers und burgers allhier eheliche haußfrau, welche beiständ. dießes Ihres Ehemann bei gegenwärtiger Verlaßenschaffts Inventur erschienen, In den Fünfften Sechsten Stammtheil
Und dann 6.to Jgf. Maria Magdalena Römerin so bei 19 Jahr alt, deren geordnet und geschwohrener Vogt ist Vorgedachter Hr Johann Michael Wittmann, der Schneider und burger dahier, deren Schwager, weilen aber derselbe selbsten bei dießem Geschäfft Ehevögt. weise interessirt ist, als wie schon bei vätterl. Verlaßenschafft an deßen Stelle zu einem Theilvogt erbetten hr. Abraham Heller, der Schuemacher und b. dahier (…), In den sechsten und letzten Stammtheil. Alle sechß der Verstorbenen Fr. seel. mit auch weil. H : Johann Christoph Römer, dem geweßenen Feÿelhauers und b. alhier ihem Ehemann seel. ehelich erziehlte Kinder und ab intestato nachgelaßene Erben
Vergleich dießer Verlaßenschafft concernierend (…)
In einer allhier Zu Straßburg nahe beÿ der St Louis Kirch gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden als volgt
(f° 8-v) Eigenthumb ane häußeren (T.) Erstl. eine Behaußung, bestehnd in 2.n häußern (…)
Item eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier Zu Straßburg gegen der Kirch Zu St Louis über 1.s neben vorher beschriebener behaußung, anders. neben H. Joh: Phil. Kornmann, dem Banquier in Paris, hinten auf vorgedachten H. Bourgeois den Tapezierer stoßend, so außer denen darauf haftenden Passiv Capitalien gegen männigl. freÿ leedig, eigen wie gedachtem väterl. Verlaßenschafft Inventario folio 79 fac: 2.da ausgeworfen pro 475 lb. Innhalt eines in allhies. C. C. Stub gefertigten pergament. Kauffbriefs v. 9.t 9.bris 1745. mit dero anhangendem Innsiegel verwahret und altem N° 2. signirt, auch wieder dabeÿ gelaßen
Eigenthumb ane einem Gädlein. Näml. i. gaädlein, sambt Zugehörden alhier Zu Straßburg am Bubeneck (…)
(f° 17-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 37, Sa. lährer Faß 2, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthums ane häußern 1320, Sa. Eigenthums ane einem Gädlein 25, Summa summarum 1396 lb – Schulden 567 lb, Nach solchem abzug 829 lb
Beschluß summa , Stall Summ 829 lb
Les héritiers vendent la maison au serrurier Philippe Gall et à sa femme Anne Elisabeth Gilg moyennant 1 000 livres : vente provisoire devant notaire, acte définif à la Chambre des Contrats
1770 (22. 7.br), Not. Herrenberger (16 Not 1) n° 53
Interim Kauff – persönlich kommen vnd erschienen seÿnd die achtbahre herr Johann Veit Kärcher, schreiner vnd burger allhie vxorio nôe frauen annæ mariæ gebohrener Römerin, H. Johann Michael Wittmann burger vnd Schneidermeister daselbst in nahmen frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrener Römerin, H. Georg Friderich Hitter burger vnd Peruckenmacher nôe frauen Margarethe Salome gebohrener Römerin, H. Johann Albrecht Ungerer burger vnd metzger hieselbsten, nahmens fraun Susannæ Barbaræ gebohrener Römerin, v. H. Joseph schumm burger vnd schneidermeister hieselbsten in nahmen fraun Mariæ Magdalenæ Römerin deßen Ehefrau, samentliche schwäger, alß welche, vnd Zwar Jeder vor seine Ehefrau Zu vesthaltung dießes Interim Kauffs proprio noê Cavirt vnd gutspricht, auch alle fünff ins gemein Erschein thun für vnd in nahmen H Johann Georg Römer Feÿelhauers vnd burgers dahier ihres schwagers (…) als Erben weÿl. H Johann Christoph Römers gewesenen burgers v feÿelhauers seel. allhie Erben (verkauffen)
H. Philipp Gall burgern vnd schloßern allhier, præsenti et acceptanti
benantlichen Eine behaußung vnd hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehördten, recht vnd gerechtigkeiten allhier gegen der Kirch Zu St Louis über, so das feurrecht hat vnd würcklich von seinem schloßermeister bewohnet ist, Einseit neben vorgemeltem H. Johann Georg Römer dem sohn, anderseit neben H.. Rathh. Wilhelm Kornmann, vornen auff der statt Allmend, hinden auf Isaie Bourgeois des Tapezierers wittib stoßend, so freÿ bodenzinßen vnd sonsten ledig vnd eigen – und Ist der Kauff vnd verkauff Zugangen vnd beschehen vor umb 1000 Pfund d. straßburger (…) Straßburg en 22.ten Septembris 1770.
1770 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 559-v
Fr. Anna Maria geb. Römerin H. Johann Veit Kärcher des schneiders ehefrau, Fr. Catharina Elisabetha geb. Römerin H. Johann Michel Wittmann des schneiders ehefrau, Fr. Margaretha Salome geb. Römerin H. Georg Friedrich Hütter des perruckenmachers ehefrau, Susanna Barbara geb. Römerin Johann Albrecht Ungerer des metzgers ehefrau, Maria Magdalena geb. Römerin Joseph Schumm des schneiders ehegattin, Johann Georg Römer der feÿelhauer
in gegensein Philipp Gall des schloßers und Annæ Elisabethæ geb. Gilgin
eine behausung und hoffstatt welche das feurrecht hat samt derselben übrigen zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der St. Louis kirch, einseit neben vorgenanntem Georg Römer, anderseit neben weÿl. H. Lefebvre dem tapezirer uxorio nôe – als ein elterliches erbguth – um 1000 pfund
Philippe Gall hypothèque le même jour la maison au profit du cocher Christophe Marchal
1770 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 562
Philipp Gall der schloßer
in gegensein Christoph Marchal des lehnkutschers – schuldig 150 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis gegen der St. Louis kirch einseit neben Georg Römer, anderseit neben weÿl. H. Lefebvre dem tapezirer uxorio nôe
Fils du manant Laurent Gall, employé à la Grue, Philippe Gall demande en 1757 son inscription aux années d’épreuve. Le conseil de la tribu refuse, sa demande contrevenant au règlement approuvé par les Quinze en 1755.
1757, Protocole de la tribu des Serruriers (XI 149) 1757-1791
(f° 38-v) Mittwochs den 1. Decembris 1762. – Philipp Gall, der ledige Schloßergesell von hier gebürtig, weiland Lorentz Gall des gewesenen Kranknechts und Schirmers dahier seel. nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt man wolle Ihne in die Muthjahr einschreiben.
Erkandt, ist derselben in seinem Begehren ab: und an den von Gnädigen herren denen Herren Fünffzehnern den 19.ten Aprilis 1755 ertheilten ersten Articul verwiesen worden (Aufflaggeld dt 7 ß d)
Philippe Gall s’inscrit aux années d’épreuve en 1764 après avoir obtenu dispense des Quinze.
(f° 43-v) Freÿtag den 30.t Martÿ 1764 – Einschreibung in die Muthjahr
Philipp Gall, der leedige Schloßers Gesell von hier gebürtig, producirt Bescheid von gnädigen herren denen Herren XV. sub dato 18.t Februarÿ 1764 crafft deßen Er ex speciali gratia und gegen Ersetzung der Unkosten dispensando in die Muthjahr einzuschreiben seÿe, bitt solches Bescheid Zu vollziehen und will die Muthjahr beÿ Hn Joseph Kreutzer verarbeiten (dt 1. lb d – Auflaggeld dt 7 ß d)
La période probatoire se termine en février 1768. Philippe Gall demande aussitôt à faire son chef d’œuvre.
(f° 62-v) Montags den 22.ten Februarii Anno 1768 – Ausgethaner aus denen Muthjahren
Philipp Gall, der leedige Schloßers Gesell von hier gebürtig, stehet vor und bittet, man wolle Ihn aus denen Muthjahren austhun, selbige haben sich geendigt d. 18.ten Februarii Hujus anni. Vide die Einschreibung vpù 30.ten Martÿ 1764.
Erkanndt, Willfahrt (dt 1. lb d – Auflaggeld dt 7 ß d)
Eodem die stehet derselbe ferner Vor und bittet, man wolle Ihm den Riß des Meisterstücks aufgeben, will selbiges beÿ Hn Joseph Kreutzer verfertigen (Auflaggeld dt 7 ß d)
Philippe Gall est nommé caissier adjoint en 1770, caissier en chef en 1771.
(f° 77) Donnerstags den 13.ten Decembris 1770. (Mr Philipp Gall wird Unterladenmeister)
(f° 78-v) Mittwochs den 11.t Decembris 1771. (Mr Philipp Gall wird Oberladenmeister)
(f° 82) Dienstags den 1. Junii 1772 – Weilen Mr Gall, als beÿsitz Meister beÿ dießem Handwerck nicht erschienen, auch den Laden Schlüssel nicht geliefert, als soll er beÿ ersterm Handwerck deßfallß vorgestellt werden.
Le serrurier Jean Georges Bauer estime que Philippe Gall l’a injurié devant un de ses compagnons. Philippe Gall répond qu’il n’a fait que des déclarations générales. La tribu inflige une amende à Philippe Gall qui devra en outre présenter ses excuses.
(f° 90-v) Montags den 22.ten Augusti 1774 – Meister Johann Georg Baur, der Schloßer und burger allhier, stehet vor und Klagt wider Mr Philipp Gall seinen Mitmeister, daß dießer Zu sein Klägers Lehrjungen gesagt habe, er Kläger wäre ein broddieb, indem er ihme Gall einen bau in der Kalbsgaß abgespannen, bittet um réparation d’honneur, Abstraff und refundirung der Unkosten.
Ille zugegen sagt, er hätte zu Klagenden Meister Bauren Lehrjungen nur gesagt, er solle seinen Meister fragen, was er von einem solchen Mitmeister halten würde, der ihm einen Kunden abspannen thäte, er hätte Klägern nicht particulariter geschimpft, bittet dahero um absolutionem.
Erkandt, weilen beklagter sich gröblich verfehlt, als solle er das Auflaggeld mit 7 ß d liegen laßen, 5 ß Straff zahlen und Klägern um Verzeihung bitten
Philippe Gall est nommé contrôleur
(f° 93) Montags den 5.ten Decembris 1774 (als Rügeren gewählt Mr Johann Georg Michael, Mr Philipp Gall, Mr Joseph Transperger)
Procédure devant les Quinze pour obtenir son inscription aux années d’épreuve. Philippe Gall introduit une première demande sans suite en décembre 1762 puis une nouvelle en janvier 1764. Les Quinze accordent la dispense eu égard à la mort misérable de son père et à l’état de sa mère le 18 février 1764. Ils délivrent une expédition de leur décision.
1762, Protocole des Quinze (2 R 174) et 1764 (2 R 176)
(p. 622) Sambstags d. 11.ten Decembris 1762. – Gall Ca. Schloßer
Claus nôe Philipp Gall, des ledigen schloßersgesellen weÿl. Lorentz Gall geweßenen schirmers und Craan: Knechts allhier hinterl. eheligen sohns Ca. E. E. Meisterschafft der Schloßer Hn Obermeister prod. unterth Memoriale und bitten samt beÿl. N° 1 puncto der Muthjahr, Frœreisen noe. citati bitt Cop. et T. O., obt.
Protocole des Quinze (2 R 176)
(p. 26) Sambstag d. 28. Januarii 1764. – Gall Ca. Schloßer Mschfft
Claus nôe Philipp Gall des ledigen schloßersgesellen weÿl. Lorentz Gall geweßten Schirmers und Craan: Knechts allhier hinterl. ehelichen sohns Ca. E. E. Meisterschafft der Schloßer Obermeister prod. unterth Memoriale und bitten puncto der Muthjahr, Frœreisen bitt Copiam et T. O., obt.
(p. 63) Sambstags d. 11.ten Februarii 1764.- Gall Ca. Schloßer
Claus nôe Philipp Gall in aîs Ca. E. E. Meisterschafft der Schloßer Obermr. auch in aîs erhalt prod. vom 28.t Jan ; jüngst und bitt Deput : Frœreisen prod. unterth. Exceptiones bitt similiter Deputationem. Erkandt Deputatio.
(p. 94) Sambstags d. 18. Februarii 1764. Gall Ca. Schloßer
Iidem [Ober Handwercks herren] laßen per Eundem [Secetarium] referiren, es habe Philipp Gall, der ledige Schloßers gesell, weÿl. Lorentz Gall, geweßten schirmers und Craan: Knechts allhier hinterl. ehelicher sohn Ca. E. E. Meisterschafft der Schloßer Obermeister d. 28.t Januarii jüngst Mghh ein unterth Memoriale und bitten übergeben, dahin gehend, hochdieselbe gnädig geruhen wolten Zu erkennen, daß er nunmehro dispensando von der Ordnung in die muthjahr einzuschreiben seÿe, Von seiten Imploratischen Obermeisters sind d. 11. hujus schrifftliche Exceptiones prod. worden, juncto petito Mgn gnädig geruhen möchten, in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß gegnerischer Implorant mit seinem wieder dißortigen articulum primum de dato 19.ten aprilis 1755. laufendem petito ab und ane denselben refusis expensis Zu verweißen seÿe.
Auf geschehener Weisung habe der Implorant præsens sein in Memorialei enthaltenes petitum wiederholt, Nôe Imploratischer Meisterschafft seÿen vorgestanden François Lenfant, als obermeister, H Antoine Courtenaire, Johann Niclaus Schmidt und Johann Gottfried Liechtenfeder, welche sich auf ihre Exceptiones bezogen.
Die Hhn Deputirten hätten sowohl in ansehung des erbärmlichen todts des Imploranten Vaters, als auch aus besonders der mitleidens würdigen umbstände seiner Mutter, deren Sie vorgewißert worden, den imploranten Mghh: commiseration würdig erachtet, und deßwegen dafür gehalten, daß der Implorant ex speciali gratiâ und gegen ersetzung der uncosten dispensando in die muthjahr einzuschreiben seÿe, Die Confirmation stehe Zu Mghh. Erkandt, Confirmirt.
(p. 109) Sambstags d. 18.ten Februarii 1764.
Bescheid. – In Sachen Philipp Gall, des ledigen schloßers gesellen Imploranten ane eine, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der schloßer Obermeister, Imploraten am andern theil. Auf producirtes unterthäniges Memoriale juncto petito, Wir geruhen wollen Zu erkennen, daß der Implorant nunmehro dispensando von der Ordnung in die muthjahr einzuschreiben seÿe, übergebene Exceptiones samt beÿgefügtem bitten, in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß der Implorant mit seinem wieder den articulum primum de dato 19.ten aprilis 1755. laufendem petito ab und ane denselben refusis expensis Zu verweißen seÿe.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbgringen, ist der Hhn Depp: Relation nach Erkandt, daß der Implorant ex speciali gratiâ und gegen ersetzung der uncosten dispensando in die muthjahr einzuschreiben seÿe.
VIII 134 Gall
Philippe Gall est admis le 23 février 1768 à faire son chef d’œuvre qu’il présente le 13 juillet. Les examinateurs relèvent huit défauts dont un fondamental pour lequel il doit régler une amende. Il est reçu maître.
1768, Protocole de la tribu des Maréchaux, XI 145 (Serruriers, Protocole des chefs d’œuvre, 1755-1790)
(f° 36-v) Dienstags den 23.ten Februarii Anno 1768 erscheint in præsentia der vier geschwohrnen Meisterstück schauere Philipp Gall, der leedige Schloßers gesell von hier gehörig, welcher gebetten, man wolle Ihne das Meisterstück aufgeben.
Und ist Ihm hierauff aufgegeben worden Ein Kastenschloß mit dreÿen Rieglen, davon der mittlere Hauptriegel mit dreÿen Köpfen und mit Zween fliegenden angriffen, Zwen Zuckriegel mit ihren verzierten umschweiffen, welche unten und oben einschließen, ein Happriegel, welcher auf dem mittlern hauptriegel mit einnem Rohr und Schraub fest gemacht ist und in dem dritten mal Zum Schluß kommet, und das Zuckstängel, welches die beede Zuckriegel in bewegung bringt, aufhebt und aufschließt, einer schließende Fall, samt ihrem Winckelhacken, welche in dem vierten mal aufgeschloßen wird, einer auf: und Zuhaltung, und muß das Schloß in vier unter einem verzierten und Schnirckelweiß gebogenen Umschweiff, aus einem Stück, das hintere blech und Decken muß aufgeschraubt werden, daran geschmidet, die Zweÿ andere Füßlen an der Seiten samt dem Kleinen Gesimß, der umschweiff gantz samt den Füßlen und zween Fisch jeeder 5 Schuh lang und von sieben Theilen halb theils durchgebohrt und soll ein Zapffenloch in das andere gehen, das Eingericht soll bestehen aus einem auf der bruch vierfachen Kruckenreiff, unten daran ein doppelt Creutz mit einem dreÿecketen Kolben, auf der düllen sollen seÿn zween reiff, der eine mit einer Zweÿfachen Kruck, der andere mit dem Creutz auch fünf Vorstrichen, der Schlüssel soll seÿn mit einem runden Rohr, worinnen noch ein Dorn bevestigt ist, die Reithe von Schlüßel sauber durchgebrochen und verschnitten, die decke und den Umschweiff Kan der Stuck Meister mit Eißen oder Mößing Stückweiß verziehren, wie er es am besten befinden wird, das Schloß aber samt den Fischen soll sauber und gantz, alles aufgeschraubt, in Vier Monathen grad auf die Schau gelüffert werden. Derselbe fangt sein Meisterstück an d. 7.ten Martÿ 1768.
(f° 40-v) Eodem die [Mittwochs den 13. Julÿ1768] ist auch erschienen Philipp Gall von hier gebürtig, welcher gleichfalß gebetten man möge das ihme den 23.ten Februarii jüngsthien aufgegebene Meisterstück behörig besichtigen
Wobeÿ derselbe handtreu ane Eÿdestatt abgelegt daß Er dießes sein Meisterstück mit eigener Hand Verfertigt, da sich dann folgende fehler hervorgethan.
1.mo der obere Riegels Kopff ist etwas Kürtzer im ersten Außschluß.
2.do der Schaff am fliegenden angriff ist entzweÿ.
3.tio beÿde fliegende angriff seing Zu schmahl gefeÿelt.
4.to das Zugstängel für die Riegel ist krumm und ungleich.
5.to das Schloßblech ist schifferigt und unrein.
6.to das gantze Eingericht ist sehr unfleißig gearbeitet.
7.mo die Riegel an beeden Zuckschloßen seind eingefeÿlet, es hätte aber ein ansatz daran sollen geschmiedet sein.
8.vo beede Fischbände seind krumm und nicht gleich dick an denen Zapffen löcheren auch der Knopff an einem Fischband völlig schadhafft und ungleich.
Dießemnach seind dem Stuck Meister solche fehler Vorgehalten worden und weilen die Achte fehler ein haubtfehler, dahero soll Er 3 lb d Straff Zahlen, einen anderen Knopff an dem einen Fischband innerhalb 14. tagen Verfertigen und denen geschwohrenen widervorweißen, als dann aber für einen ehrlichen Meister auf: und angenommen und das stuck gezeichnet werden.
Bath umb Gnad, ist die Straff ad 1. lb 10 ß d moderirt worden.
Originaire de Barr, Philippe Gall épouse en juillet 1768 Anne Elisabeth Jüllig (Ilg, Gilg), fille de Jean Jüllig
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 372)
Hodie 26 Julii Anno 1768 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Philippus Gall ex Barr hujus Diœcesis oriundus defuncti Laurentii Gall et Ludovicæ Metzgerin superstitis filius legitimus Et Anna Elisabetha Jülligin Argentinensis filia Legitima defuncti Joannis Jüllig Civis olim et lapatarum* opifici et Catharinæ Friderichin superstitis ambo Parochiani nostri (signé) Gall, Anna Elisabetha Jülligin (i 192)
Originaire de Barr, Philippe Gall devient bourgeois par sa femme Elisabeth Ilg le 10 septembre 1768. Le contrat de mariage mentionné plus loin n’est pas conservé
1768, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 149-v
Philipp Gall, schloßer von Barr gebürtig, erhalt das burgerrecht von seiner Ehefr. anna Elisab. weÿl. Joh: Ilg gewesenen tapez. und burgers alh. ehel. tochter umb den alten burgerschil. will dienen beÿ E. E. Zunfft der Schmidt. Jur. eod. [10. 7.bris 1768]
Il devient tributaire chez les Maréchaux trois mois plus tard
1768, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 204) Mittwochs den 14.ten Decembris Anno 1768 – Catholischer neuer Leibzünfftiger
Philipp Gall, der Schloßer von Barr gebürtig, stehet vor und producirt Cantzleÿ und Stallschein vom 10.ten Septembris 1768. bittend Ihn dißorths als einen Leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkandt, willfahrt. d. 3. lb 16 ß d.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qu’ils louent rue des Serruriers. Les apports du mari s’élèvent à 96 livres, ceux de la femme à 537 livres.
1769 (15.4.), Not. Herrenberger (16 Not 2) n° 149
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Philipp Gall des Schloßermeisters und der Ehr. u. tugendsamen Fraun Annä Elisabethä Gall gebohrener Jullig beeder verburgerter Eheleuthen dahier Zu Straßburg einander Zu: und in den Ehestand gebrachter Nahrungen aufgerichtet Anno 1769. (…) v. sich Vermög ihrer mit einander errichteten Eheberedung sub dato 17.ten Septembris 1767 vor unverändert vorbehalten (…) So geschehen v. vorgenommen in d. königlichen Statt Straßburg unter beÿständiger Gegenwarth und beÿseÿn oberwehnter Gallischer Eheleuten und des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Adolph Dannegger Eines Löblichen Schöffen Collegiium auff allhiesiger Ehrasmen Zunfft d. becker Wohlzugezogenen Mitglieds, angesehenen Burgers und Lebküchlers dahier, d. Ehefraun Stieff Vatters und derselben hierzu erbettenen beÿstandts auf Sambstag den 15. Monatstag Aprilis im Jahr 1769.
In einer allhier Zu Straßburg oberhalb ane d. Schloßer Gaß gegen dem St. Thomas Plan herüber gelegener und von dißorths Eheleuten Lehnungs Weiß inhabenden behaußung befunden worden, wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 2, Sa. Waaren und Werckzeugs Zum Schloßer handwerck gehörig 83, Sa. Silberposten 4, Summa summarum 90 lb – Dazu gelegt die heffte der haussteuren 6, Des Ehemanns Vermögen 96 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 27, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring v geschmeids 7, Sa. baarschafft 382, Sa. Schulden 106, Summa summarum (-), In Hierzu rechnung der Helffte ane denen haussteuren 6 lb, der Ehefrau in die Ehe gebrachtes Guth 537 lb
Im Jahr 1771 den 6. Novembris, erschienen H Philipp Gall, bekannd wie daß Er diejenige 106 pfund pfenning welche hiebevor unter seiner Ehefrauen Nahrung als ein activ Schuld eingetragen, von H. Philipp Jüllig dem Müller Zu Oberfladt beÿ Seckingen im Schwabenland (…) empfangen habe
Philippe Antoine Gall et Anne Elisabeth Jüllig font dresser un inventaire de leurs biens pour demander le bénéfice de cession. La maison est estimée à 1 350 livres, correspondant au prix d’achat de 1 000 livres et aux améliorations de 350 livres. La masse propre à la femme est de 647 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 543 livres, le passif à 2 274 livres
1774 (8.4.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 767) n° 560
Inventarium über Meister Philipp Antonj Gall, des Schloßers und Fraun Annæ Elisabethæ gebohrener Jülligin, beeder Eheleuthe und Burger dahier Zu Straßburg dermalen habend und besitzende Vermögenschaft auch dargegen zu bezalen stehende Passiv: Schulden, aufgerichtet im Jahr 1774. – (…) und Zwar weil die vorhandene Mass in tiefe Verschuldung gerathen, die Ehefrau unter Verbeÿständung Herrn Johann Friderich Hitschler des Handelsmanns und burgers alhier, ihres ane Vogt statt erbettenen asistenten, zu beschütz: und möglicher Überkommung ihres unveränderten Einbringens das Beneficium Cessionis et Jus prælationis der Maritus und mit Requirent aber das Beneficium Cessionis flebile gerichtlich Zu erlangen gemüßiget nach Ordnung ersucht und inventirt worden (…) So beschehen Straßburg den 8.ten Aprilis 1774.
In einer alhier Zu Straßburg hinter St Louis gelegener hieher eigenthümlich gehöriger Behausung sich befunden hat als
Eigenthum an einer Behausung. Nämlich eine behaußung und hoffstatt, welche das Feur Recht hat, samt derselben begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg, gegen der St Louis Kirch Zu hienüber 1. seith neben Meister Johann Georg Römer dem Feilenhauer, 2. seith neben S. T. Herrn Wilhelm Kornmann, dem vornehmen Banquier und Exsenatori alhier, hinten auf herrn Lefebure den Tapezierer uxorio nôe stosend, gelegen, so mit keinem real onere verhaft, sondern außer und über die darauf versichert stehende und hienach passive inventirte Capital Posten, gegen männiglichen freÿ leedig, eigen. Und ist solche behausung dieser Art als freÿ leedig, eigen hier ohnpræjudicirlich anzusetzen um den Preiß und Werth wie solche erkauft, und nachgehends durch das damit angestellte baukosten meliorirt worden, das ist Ankauf 1000. lb und Meliorations Baukösten 350 lb, Mithin zusammen pro 1350. lb. Darüber besagend ist vorhanden eine deutsche pergamentene Expedition der darüber in allhiesiger C. C. Stuben vorgenangene Kauf und Verkaufs Verschreibung datirt den 7. Decembris 1770. mit löblicher Stadt Cantzleÿ Insiegel verwahret.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ee abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung de über beeder Eheleute einander vor unverändert in die Ehe zu und eingebrachte Vermögenschaft durch herrn Notarium Herrenberger sub Dato 15.ten Aprilis 1769. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrau unveränderten Guths, Sa. Haußraths 37, Sa. der Schuld 100, Sa. der Ergäntzung nach Abzug 514, Summa summarum 647 lb
Diesemnach so wird auch des Ehemanns unveränderte und die theilbare Haabschaft unter einer Mass als dem Ehemann gehörig beschrieben, Sa. Haußraths 102, Sa. Waren und des Werckzeugs Zur Schloßer Profession und dem Ehemann gehörig, ist des wahren Werths Abschatzung 87, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1350, Sa. Schulden 7, Summa summarum 1543 lb – Schulden 2274 lb, In Vergleichung 730 lb
Zweiffelhaffte Schuld in des Ehemanns unveränderte und die theilbare Vermögenschaft Zugeltend 2 lb
Marie Elisabeth Gilg demande à être exemptée d’une partie de la taille qu’elle doit régler. Les Quinze accèdent à sa demande en considérant qu’elle a perdu une partie de ses biens propres en acceptant de se charger des biens de son mari.
1778, Protocole des Quinze (2 R 188) et 1779 (2 R 189)
(Table) Stallgeld Maria Elisabetha Gilgin, Joh: Philipp Gall des b. und schloßers ehefrau pt° Nachlaß im Stallgeld. 434.
Protocole des Quinze (2 R 188)
(p. 434) [26.ten 7.bris 1778] Claus nomine Mariä Elisabethä gebohrener Gilgin, Johann Philipp Gall des burgers und schloßers allhier Ehefrau producirt unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlagen sub litt. A. B. C.& D puncto gnädigen Nachlass im stallged. Erkand, Obere Stallherren.
Protocole des Quinze (2 R 189)
(p. 44) Sambstags den 30.ten Januarii 1779 – Obere Stallh. laßen per me referiren es habe Anna Elisabetha gebohrene Jüligin, Johann Philipp Gall des Schloßers Ehefrau unterm 26.ten 7.bris Jüngst ein unterthäniges memoriale mit beÿlagen sub litt. A. B. C. & D übergeben und darinn gebetten MGHh geruheten Zu erkennen, daß sie, unter dem Oblato ane denen rückständigen 14. lb 14 ß Stallgelds 6 lb d Zu bezalen von dem überrest Zu erlaßen seÿe.
Beÿ besessener Deputation hat Implorantin sich auf den innhalt Ihres memorialis bezogen und nochmalig wie darinn gebetten.
die hh. Deputirte haben in erwegung derer von Implorantin angeführter motiven solche also beschaffen gefunden, daß sie dieselbe würcklich einer begünstigung umb so würdiger erachtet, als dieselbe durch verlust eines theils ihres unveränderten Vermögens und Langes Rechtigen an ihre nahrung nachstand leidet und da dieselbe durch Ihr anerbieten Zu erkennen gibt, daß sich nach Vermögen, die Ihro beÿ übernahm dero Ehemanns nahrung vorgeschribene bedingungen Zu erfüllen bereit seÿe, als haben sie die H Deputirte der meinung seÿn wollen, daß Implorantin unter Ihrem anerbieten ane denen Rückständigen 14. lb 14 ß d Stallged 6 lb d Zu bezahlender überrest Zu erlaßen seÿe. Erkandt bedacht Confirmirt.
La maison de Philippe Antoine Gall et d’Anne Elisabeth Gillich est vendue par enchère judiciaire au tailleur Jean Jacques Schmidt moyennant 1 005 livres
1788 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 365-v
Ganthkauff, den 3. Decembris 1781 ist die Philipp Antoni Gall dem schloßer und Anna Elisabetha geb. Gillichin zustädig in der St Louis gaß einseit neben Mr Römer dem feilenhauer, anderseit neben Mr Huber dem kutscher, hinten auff H. Lefebvre den tapezirer gelegene behausung cum appertinentis
Johann Jacob Schmidt des schneiders um 2010 gulden entschlagen worden als meistbietenden
Fils du tailleur Georges Henri Schmidt, Jean Jacques Schmidt épouse en 1774 Marie Salomé Blinder, fille du farinier André Blinder : contrat de mariage, célébration
1774 (16.2.), Not. Griesbach (6 E 41, 1321) n° 398
Eheberedung – erschienen der Ehrengeachte Mstr Johann Jacob Schmid, der leedige schneider und burger allhier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane Einem
So dann die tugendsame Jungfrau Maria Salome Blinderin, Weÿl. H. Andres Blinder des gewesenen Meelmanns und burgers allhier mit Fr. Margaretha Bilgerin seiner gew. Ehefraun ehelich erzeugte tochter als hochzeiterin andern theils
So beschehen (…) auf Mittwoch den 16. Februarÿ Anno 1774 (unterzeichnet) Johann Jacob Schmidt als Hochzeiter, maria Salomea blinder als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 254-v n° 1008)
Im Jahr 1774 den 20. Aprilis sind nach Zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausrufung in der Prediger Kirche und Zu St. Thomæ, in der Stifts Kirche Zu St Thomæ ehelich copuliret und eingesegnet worden Johann Jacob Schmidt der ledige Schneider meister und burger allhier weiland Georg Heinrich Schmidt gewesenen Schneiders und burgers allhier hinderlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Salome Blinderin, weiland Andreæ Blinder, gewesenen Melhändlers und burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Jacob schmidt als Hochzeiter, Maria Salome blindein (i 259, proclamation Temple-Neuf f° 59 i 111
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Saint-Louis. Les apports du mari s’élèvent à 63 livres, ceux de la femme à 234 livres.
1774 (26.4.), Not. Griesbach (6 E 41, 1319) n° 277
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Schmidt des Schneiders und der tugendsamen frauen Mariæ Salome Blinderin beeder Eheleuthen und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1774. – der Ursachen wegen alldieweilen in derer vor Mir Notario den 16. Februarÿ Jüngst auffgerichteten Eheberedung ausdrucklichen Versehen, daß einem Jeden theil und seinen Erben das in den Ehestand bringende Nahrung ein freÿ, eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben soll – Geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg (…) den 26. Aprilis Anno 1774
In einer allhier Zu Straßburg beÿ St Louis gelegenen behaußung folgender masen befunden als
Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 25, Summa summarum 40 lb – und wann hierzu gerechnet wird die helffte ane denen haussteuren 22 lb, des Ehemanns völlig in die Ehe gebrachten Vermögen 63 lb
Dießemnach Wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, In einer allhier In Straßburg ane dem fischmarck gelegenen behaußung folgender masen befunden als, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids, 22, Sa. Goldenen Ring, Sa. baarschafft 87, Summa summarum 211 ln – und wann hierzu gelegen wird die helffte ane den haussteuren 22 lb, So wird der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachte Nahrung beschehen in 234 lb
Marie Salomé Blinder meurt fin décembre 1788 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre au veuf est de 57 livres, celle propre à l’héritière de 174 livres. L’actif de la communauté s’élève à 659 livres, le passif à 744 livres
1789 (25.2.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 611) n° 622
Inventarium über Weiland Fraun Maria Salome Schmidtin geb. Blinderin, des J. Jb. Schmidt, Schneidermeisters u. b. alh. zu Straßburg gew. Ehegattin, Vermögens Nachl., aufgerichtet den (-) a° 1789
Inventarium und Beschreibung alles desjenigen fahrend. und liegend. Vermögens, wei auch Schuld. so Weiland die Tugendsame Frau Maria Salome Schmidtin geb. Blinderin, des Ehrengeachten Meisters Joh: Jacob Schmidt, hies. b. u. Schneiders gew. Ehegattin, nach ihrem den 31. Chistmonat des letztverfloßenen 88. Jahrs aus dieser Welt genommenen seligen Abschied zurückgelassen hat. Welches auff ansuchen sowol des hinterbliebenen Wittwers, als auch der Verstorbenen mit demselben ehelich erzielten Mägdleins u. hinterlaßener einziger Intestat Erbin Maria Magdalena geordneten u. verpflichteten Vogts Johann Andreas Westphal, des hies. b. u. Misikanten freisig inventirt
in Straßburg in hienach inventirter an Sanct Ludwiggaße geleg. Sterbbeh. Mittwochs den 25. Hornungs nachmittag in dem Jahr 1789.
Abschrift der zwischen beder durch den Tod nunmehr getrennten Eheleuten den 16. Februarii 1774 vor weil. H. Not. Grießbach alh. errichteten Eheberedung
Ergäntzung des hinterbliebenen Wittwers manglenden unveränderten Vermögens, Nach Maasgab des dh. vorgem. H. Not. Grießbach d. 26. Aprill 1774 errichteten Inventariums
(f° 5) Eigenthum an einer Behausung. (T.) 8 C. N° 90. Näml. 1. beh: Hofstatt u. Gumpbronn m. all: der: begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten u. Gerechtigk. gelegen in hies. Stadt gegen Sanct Ludwigs Kirch üb: 1. S. neb. Joh. Georg Römer d. hies. b. u. Feilehauer, 2. S. neb. Hieber dem lehnkutscher, hinten auf H. Stephan Lorenz Lefebure, den Tapezierer, stosend, so, auser hiernach inv. darf. haftend. Passiv Kap. frei u. eig. sofort dh. (die Werckmeistere) in dem Zu dies. Conc. gelief. Abschatzung Zedel d. 21. Horn. 1799. der Stallordnung gemäs angeschlagen word. um 600., Wie dies. Hs. aus Phil. Antoni Gall, des Schlossers u. seiner Ehefr. Anna Elis. geb. Gilgin Fallt. ersteigert word. solches belehrt der unter H. Beguin Actuarii EE kl. Rahts Untersch. u. dem Kantzleiins. ausgef. perg. teutsch. Gantkbr. v. 3. Xbr 1781 so in hies. C.C. St. registr. v. J. 1788 fol. 365.b eingetr. Dabei i. perg. m. erwähnt C St. Kbr. v. 9. 9.br. 1745.
Patengeld des d. 13. junÿ 1776 getauften Mägdleins Maria Magdalena
Des hinterbliebenen Wittwers unverändertes Vermögen, Sa. hausraths 7, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzung 47, Summa summarum 57 lb
Nach diesem wird der Tochter und einzigen Erbin unverändert mütterliches Gut verzeichnet. Sa. haußraths 55, Sa. Silbers u. dgl. Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Schuld o, Sa. Ergäntzung 112, Summa summarum 174 lb
Zuletzt wird die Errungenschaft beschrieben, Sa. haußraths 32, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthums an 1. beh. 600, Sa. Schulden 25, Summa summarum 659 lb – Schulden 744 lb, teilbarer Nachstand 84 lb – Stallsumm 146 lb
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung Vom 21.t. Hornung 1789. Auf begehren Herr johann jacob schmitt dem schneuder Meister, ist Eine behausung alher in der statt strasburg beÿ St. Louÿ gelegen Ein seÿts neben Meister Hieber dem Kutscher anderer seÿts neben Meister Römer dem feÿlhauer, und Hienten auf Herr Lefebre dem Tapezirer stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben, Vier Kuchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller und brunen, Von uns unterschriebenenen der statt strasburg geschwohrnen Bau jnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Ein tausend Zweÿ Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner Wkmstr – Obige behausung ist in denen auf Löbl. Stadt Pfeningthurn befindlichen Zinßbüchern nicht eingetagen, bescheint, Pfenningthurn
La maison revient à leur fille unique Marie Madeleine Schmidt qui épouse en 1801 le perruquier Henri Rissler, fils du tisserand Jérémie Rissler de Mulhouse
1801 (13 germinal 9), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 219
Eheberedung – persönlich Erschienen der Bürger Heinrich Rißler, lediger Peruckenmacher alhier Zu Straßburg, weiland Bürgers Jeremias Rießler geweßten Wollenwebers Zu Mühlhausen, mit fraun Anna Maria gebohrener Zürcher ehelich erzeugt hinterlaßener Großjähriger Sohn, als Hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Maria Magdalena Schmidt, weiland bürgers Johann Jacob Schmidt, gewesten Schneiders dahier mit auch weiland Fraun Maria Salome gebohrener Blinder ehelich erzeugt hinterlaßene großjährige Tochter unter assistentz des burgers Emanuel Gerhard, Mahlers hieselbst, als Hochzeiterin andern theils
Zu Straßburg den 13.ten Germinal im Neunten Jahr der Francken Republick (unterzeichnet) Heinrich Rißler, Maria Magdalena Schmidt
Enregistrement, acp 77 F° 168 du 17 ger. 9
Henri Rissler meurt en 1818 en délaissant pour héritière testamentaire sa veuve.
1818 (27.8.), Strasbourg 8 (24), M° Roessel n° 5754
Inventaire de la succession de Henri Riszler, perruquier, décédé le 16 juillet dernier – dressé à la requête de Marie Madeleine Schmidt, la veuve, légataire universelle de son mari par Testament olographe du 12 avril courant enregistré le 21 août déposé au rang des minutes du soussigné notaire – Contrat de mariage reçu M° Zimmer le 13 germinal 9
dans une maison rue du Vent n° 12
mobilier 45 fr
Enregistrement. acp 140 F° 31-v du 28.8.
Marie Madeleine Schmidt se remarie avec le cordonnier Thiébaut Litt ; originaire d’Ittenheim, il épouse en 1799 Marguerite Barbe Andregg, originaire de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration
1799 (25 mess. 7), Strasbourg 10 (31), M° Zimmer n° 171
Eheberedung – persönlich erschienen der Burger Diebold Litt, Schumacher zu Straßburg wohnhaft, des burgers Johannes Litt Schuhmachers zu Ittenheim wohnhaft mit Frauen Anna geb. Hügel seiner Ehefrau ehelich erzeugten volljähriger Sohn, als Hochzeiter ane einem
Sodann Jungfrau Margaretha Barbara Andregg, alhier Zu Straßburg wohnhaft, volljährigen Alters und ihrer Rechten genießend, weiland des burgers Jacob Andregg im Leben gewesenen Steinhauers Zu Buchsweiler mit auch seil. Fraun Dorothea Braunen ehelich erzeugter Tochter, beiständlich des bürgers Ludwig Schäffen Paßmentirers alhier, als Braun ane dem andern theil
den 25. Messidor im Siebenten Jahr der Fränckischen ohntheilbaren Republick (unterzeichnet) Theobald Litt als hochzeiter, margretha Barbara Andreggin als braut
Enregistrement, acp 69 F° 30 du 27 mess. 7
Mariage, Strasbourg (n° 5)
Cejourd’hui 10° Vendemiaire l’an huit de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Thiébaud Litt, âgé de 31 ans, cordonnier domicilié en cette commune depuis cinq ans, natif d’Ittenheim, canton d’Oberhausbergen, Département du Bas-Rhin, fils de Jean Litt, cordonnier audit lieu, et d’Anne Hügel,
d’autre part Marguerite Barbe Andereg, âgée de 30 ans, domiciliée en cette commune depuis huit ans, native de Bouxwiller, Département du Bas-Rhin, fille de feu Jean Jacques Andereg, maçon audit lieu, et de feuë Dorothée Brumm (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 15 décembre 1767 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 4 mars 1769 (signé) Theobalt Litt, barbara Andereggin (i 5)
Thiébaut Litt se remarie en 1814 avec Marguerite Annecker, originaire de Wasselonne, qui a épousé en premières noces l’aubergiste Michel Emanuel Sigrist en 1803.
Mariage, Strasbourg (n° 34) Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 13 avril 1814. Thiébaud Litt, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 décembre 1767 à Ittenheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Cordonnier, veuf de Marguerite Barbe Andereg, décédée en cette ville le 3 juillet dernier, fils de feu Jean Litt, cordonnier à Ittenheim, et de feu Anne Hügel,
Marguerite Annecker, majeure d’ans, née en légitime mariage le 7 juillet 1778 à Wasselonne (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, veuve de Michel Emmanuel Siegrist, cocher décédé en cette ville le 16 novembre 1810, fille de Jean Jacques Annecker, boucher à Wasselonne, et de feu Anne Marguerite Blessig (signé) Theobald Litt, Margaretha Annecker (i 8)
1803 (7 prair. 11), Strasbourg 13 (16), M° Bremsinger n° 1067
Eheberedung – bürger Michael Emanuel Sigrist lediger Wirth dahier des Emanuel Sigrist, Kutschers und fr. Magdalena geb. Wildt Mehrjähriger Sohn
Margaretha Annecker des Johann Jacob Annecker, Metzgers zu Waßlenheim in erster Ehe mit weÿl. Margaretha geb. bleßig großjährige Tochter
Enregistrement, acp 88 F° 3-v du 7 pr. 11
Marguerite Annecker meurt en 1818
1818 (17.11.), Strasbourg 8 (24), M° Roessel n° 5949
Inventaire de la succession de Marguerite Annecker femme de Tibaud Litt, cordonnier, décédée le 31 octobre dernier – dressé à la requête 1. du veuf, 2. de Charles Gottlob Kretschmann, facteur d’instrumens, tuteur de Madeleine Louise Siegrist âgée de 13 ans, procréée de la défunte en son premier lit avec Michel Emanuel Siegrist cocher en cette ville, 2. de Jean Jacques Jean Baptiste Meson mineur, la première fille unique, le second légataire par testament reçu par le notaire soussigné le 12 décembre 1817 – en présence de Jean Frédéric Mangold, cabaretier, subrogé tuteur des deux mineurs (Procuration, Messon lancier au régiment de la garde royale en garnison à Compiègne) – en présence de Charles Godlob Kretschmann tuteur
dans une maison rue des serruriers n° 17
meubles 841 fr, garde robe 221 fr
Titres et papiers, inventaire de Marguerite Barbe Andregg première femme du Sr Litt, dressé par M° Wengler le 11 septembre 1813 délaissant Marguerite Louise Litt, Testament reçu M° Lex par la défunte 4 juillet 1814 et Roessel soussigné le. 12 décembre 1817
total de l’actif 1706 fr, déduire 1247 fr
mobilier 850 fr, garde robe 464 fr, créances 392 fr, ensemble 1706 fr, passif 1247 fr, reste 459 fr
Enregistrement, acp 142 F° 101-v du 24.3. – vacation du 23 mars 1819, acp 142 F° 101-v du 24.3.
Thiébaut Litt se remarie avec Marie Madeleine Schmitt, héritière de la maison : contrat de mariage, célébration. Marie Madeleine Schmitt lègue tous ses biens à son mari en cas de survie (voir les actes suivants)
1819 (27.3.), Strasbourg 8 (26), M° Roessel n° 6326
Contrat de mariage – Tibaud Litt, cordonnier, veuf de Marguerite Annecker
Marie Madeleine Schmidt, veuve de Henri Rissler perruquier
art. 5, le futur époux à la future épouse d’usufruit viager du premier étage de sa maison rue des Serruriers n° 17
Enregistrement, acp 142 F° 115 du 30.3. – communauté d’acquets partageable par moitié
Mariage, Strasbourg (n° 151)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 19 mai 1819. Thiébaut Litt, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 décembre 1767 à Ittenheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Cordonnier, veuf en secondes noces de Marguerite Annecker, décédée en cette ville le 31 octobre dernier, fils de feu Jean Litt, cordonnier à Ittenheim, et de feu Anne Hügel,
Marie Madeleine Schmidt, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 juin 1776 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Henri Rissler, perruquier décédé en cette ville le 16 juillet dernier, fille de feu Jean Jacques Schmidt, tailleur en cette ville et de feu Marie Salomé Blinder (signé) Theobald Litt, Maria Magdalena Schmidt (i 9)
Thiébaut Litt vend la maison au clerc de notaire Charles Martin Scheer
1846 (21.3.), Strasbourg 2 (92), M° Roessel n° 924
du 21 Marx 1846. Vente – A comparu Mr Thiebaut Litt, ancien cordonnier, demeurant et domicilié à Strasbourg, Lequel par ces présentes déclare avoir vendu (…)
à Mr Charles Martin Scheer, clerc de notaire demeurant & domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant
Une maison à rez de chaussée et trois étages, avec caves, puits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue St Louis N° 12, d’un côté le petit séminaire, de l’autre Mr Lutz, par derrière le St Gretzinger, boucher par devant la rue. Tel que cet immeuble se poursuit & se comporte (…)
Etablissement de propriété. Mr Litt est propriétaire de cet Immeuble comme l’ayant recueilli dans la succession de dame Marie Madeleine Schmidt, son épouse en secondes noces, décédée sans enfant à Strasbourg, en sa qualité d’héritier contractuel de cette dernière suivant donation qu’elle lui en a faite pour le cas où elle décéderait avant lui, de la propriété de tous les biens meubles & immeubles qu’elle délaisserait sans aucune exception, aux termes de l’article six de leur Contrat de mariage passé devant M° Roessel père, alors notaire à Strasbourg le 27 mars 1819 enregistré. Mad° Litt est elle même devenue propriétaire dudit Immeuble comme l’ayant recueilli dans la succession de Jean Jacques Schmidt & Salomé Blinder, vivants conjoints à Strasbourg, ses père et mère desquels elle était seule et unique héritière ainsi que le comparant le déclare & en justifiera au besoin. Le sieur Schmidt susdit a acquis le même immeuble de Philippe Antoine Gall, serrurier & Anne Elisabeth Gillich conjoints, demeurant alors à Strasbourg, suivant contrat passé à la cidevant chambre des subhastations de cette ville de Strasbourg le 3 décembre 1781. Son prix était de 4020 francs, payé postérieurelent à la vente. – Entrée en jouissance (à compter de ce jour) – Prix, 7400 francs
Remise des titres, 1) L’expédition sur parchemin du contrat de vente du 3 décembre 1781, susrelaté, 2) l’expédition d’un contrat de vente du 7 décembre 1770, 3) l’expédition sur parchemin d’un contrat de vente du 9 novembre 1745 se rapportant à la même propriété.
acp 346 (3 Q 30 061) f° 50-v
Charles Martin Scheer épouse en 1848 Wilhelmine Mühleisen
Mariage, Strasbourg (n° 228)
Du premier jour du mois de juillet l’an 1848 à dix heures du matin, Acte de mariage de Martin Charles Scheer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 septembre 1818 à Strasbourg, Clerc de notaire, fils de Jean Martin Scheer, afficheur, et de Marie Sophie Beck, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants,
et de Wilhelmine Mühleisen, mineure dans, née en légitime mariage le 3 janvier 1828 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Joseph Mühleisen, Charpentier, décédé en cette ville le 30 juillet 1832 et de Marie Salomé Waner, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (i 1)
Charles Martin Scheer et Wilhelmine Mühleisen hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Stotz
1849 (2.7.), Strasbourg 2 (95), M° Roessel n° 2728
Obligation – Furent présens 1° M. Jean Martin Scheer, afficheur juré et propriétaire, et Dame Marie Sophie Beck sa femme, 2° M. Charles Martin Scheer, clerc de notaire et propriétaire et Dame Wilhelmine Mühleisen sa femme, 3° M. Charles Adolphe Bader, brasseur et marchand de vins, & Dame Caroline Wilhelmine Scheer sa femme, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg
devoir à M. Jean Jacques Stoltz ancien architecte, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme de 3000 francs (…)
hypothèquent les immeubles ci après désignés, savoir
M. Charles Martin Scheer et sa femme 1) Une maison à rez de chaussée et trois étages avec caves, puits, aisances, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du vent ou rue Saint Louis N° 12 (douze), d’un côté au petit séminaire, de l’autre à M Ley pardevant à ladite rue et par derrière à Monsieur M. Groetzinger boucher.
M. Jean Martin Scheer et sa femme
2) une Maison consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée & deux étages, bâtimens latéraux et de derrière, cour, puits, droits, appartenances et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue Sainte-Hélène N° 8, tenant d’un côté à M. Besser autrefois M. Dannbach, de l’autre côté à M. Roth, boulanger, pardevant la rue et par derrière une ruelle communale, avec tous les objets mobiliers qui s’y trouvent & qui ont nature immobilière, notamment tous ustensiles servant à la fabrication de la bière, ladite maison servant en ce moment à l’exploitation d’une brasserie.
3) une maison d’habitation consistant en un corps de logis principal à rez de chaussée et deux étages, bâtimens latéraux et de derrière, cour, droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Savon N° 6, tenant vers le nord en partie à la maison de M Birckicht, débitant de tabac, et en partie à celle de la Dame Bürckel, vers l’Est donnant sur la rue, vers le sud en partie M Fischbach boulanger et en partie M Pougnier.
Et les époux Bader 4) une maison à rez de chaussée et trois étages, droits, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg, quai Saint Nicolas N° 68, entre les propriétés des Dlles Storck et de M. Schaller, par devant le quai St. Nicolas & par les Dlles Storck.
Etablissement de la propriété. (…) La maison susdésignée sous le N° deux a été acquise par M. Jean Martin Scheer de M François Xavier Wagner, directeur d’hôpitaux militaires, André Wagner propriétaire et François Joseph Wagner, menuisier demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Weigel notaire à Strasbourg le 22 juin 1835, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 4 juillet suivant vol. 295 n° 41
Autre hypothèque au profit du marchand de soieries François Xavier Exel
1850 (28.5.), Strasbourg 2 (96), M° Roessel n° 3606
des 28 Mai et 5 Juin 1850. Obligation – Ont comparu 1. M Jean Martin Scheer, afficheur juré et propriétaire et Anne Marie Sophie Beck sa femme, 2. Charles Adolphe Bader, brasseur et marchand de vins et Dame Caroline Wilhelmine Scheer sa femme, 3. Charles Martin Scheer, clerc de notaire, et Dame Wilhelmine Mühleissen sa femme, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, les femmes dûment autorisées chacune de son mari à l’effet de tout ce qui suit, Lequels ont, par les par présentes, reconnu devoir bien & légitimement
à M. François Xavier Exel, marchand de soieries et de nouveautés, demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant, la somme de 8000 francs pour prêt de pareille somme
les débiteurs affectent solidairement entre eux les immeubles ci après désignés savoir
1° Une maison à rez de chaussée et trois étages, avec caves, puits, aisances, droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du vent ou rue St Louis N° 12, d’un côté le petit séminaire, de l’autre M. Ley par devant la dite rue et par derrière M. Graetzinger boucher
2° une maison consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée et deux étages rue Ste Hélène N° 8 (…)
3° Une maison d’habitation consistant en un corps de logis principal à rez de chaussée et deux étages rue du Savon N° 6 (…)
4° une maison sise à Strasbourg quai Saint Nicolas N° 68 (…)
Etablissement de propriété. Déclarent les débiteurs 1) que la première maison a été acquise par M. Charles Martin Scheer, de Thiébaut Litt, propriétaire à Strasbourg, en vertu d’un contrat de vente reçu par ledit M° Roessel le 21 mars 1846 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le premier avril suivant Vol. 449 N° 27 et que sur le prix de vente de cet immeuble il n’est plus dû que la somme de 2700 francs
2) que la seconde maison a été acquise par M. Jean Martin Scheer (…)
Charles Martin Scheer et Wilhelmine Mühleisen exposent la maison aux enchères pour se libérer de leurs créanciers. Les immeubles ne sont pas adjugés.
1852 (20.7.), Strasbourg 10 (122), M° Zimmer n° 9604
Ont comparu Monsieur Jean Martin Scheer, propriétaire, & Dame Marie Sophie Beck son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, Mr Scheer agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de M. Charles Martin Scheer, clerc de notaire & Dame Wilhelmine Mühleisen son épouse (…) lesquels pour se libérer envers leurs créanciers sont intentionnés de vendre aux enchères publiques les maisons qu’eux et leurs mandants possèdent à Strasbourg rue Ste Hélène N° 8, rue du Savon N° 6 et rue St Louis n° 12 plus amplement désignées ci après
Désignation des immeubles à vendre et mise à prix
Maisons appartenant aux conjoints Jean Martin Scheer
1° Une maison brasserie consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée & deux étages, bâtimens latéraux & de derrière, cour, puits, droits, appartenances & dépendances, le tout situé rue Sainte-Hélène N° 8, tenant d’un côté à M. Besson autrefois M. Dannbach, de l’autre côté à M. Roth, boulanger, pardevant à la rue et par derrière à une ruelle communale. Font partie de cette brasserie & sont compris dans la vente un chaudron, un réservoir, une cuve à fermentation, un rafraichissoir avec tuyaux, le tout servant à la fabrication de bière. Cet immeuble avec tout ce qui en dépend sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 25 000 francs.
2° Une maison d’habitation consistant en un principal corps de logis à rez-de-chaussée & deux étages, bâtimens latéraux & de derrière, cour, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue du Savon N° 6, tenant d’un côté à M Birckicht de l’autre à M Fischbach boulanger par devant à la rue & par derrière à M Pougnier. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 15 000 francs.
Maison appartenant aux époux Charles Martin Scheer
Une maison à rez de chaussée & trois étages avec caves, puits, aisances, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du vent ou rue St Louis N° 12 tenant d’un côté au petit séminaire, de l’autre à M Ley pardevant à ladite rue & par derrière à Monsieur Groetzinger boucher. Cette maison sera exposée aux enchères sur la mise à prix de 8000 francs.
Etablissement de la propriété. I. Maison rue Sainte-Hélène N° 8. Cette maison appartenait autrefois à M. Ignace Wagner, vivant propriétaire à Strasbourg pour en avoir fait l’acquisition à la barre du tribunal civil de Strasbourg où elle fut vendue par expropriation forcée sur Marie Anne Kientzler femme Jean Mathias Frédéric Deybler suivant jugement d’adjudication définitive en date du 30 janvier 1817 & déclaration de command faite le même jour au greffe du même tribunal, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 1 mars suivant. (…) M. Wagner est décédé ab intestat à Strasbourg le 21 janvier 1831 en laissant pour seuls héritiers auxquels ladite maison est avenue 1° M. François Xavier Wagner, ancien directeur de l’hopital militaire, 2. M. André Wagner, célibataire majeur, 3. M. François Joseph Wagner, menuisier tous à Strasbourg, 4° Jacques Wagner, boucher à Champlitte (Haute Saône) ces quatre frères du défunt, 5° & Dame Catherine Kirchmann nièce du défunt veuve de M. Jean Daniel Zimber vivant tailleur à Strasbourg, ainsi que ladite qualité d’héritiers résulte de l’inventaire de la succession de Mr Wagner dressé par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 19 janvier 1831.
Suivant acte passé devant le même notaire le 4 octobre 1831 les héritiers de M. Wagner ont procédé entre aux à une première licitation de ladite maison & elle fut adjugée à M. M. François Xavier, André, François Joseph & Jacques Wagner. Les quatre premiers se sont ensuite rendus adjudicataires de la part de ce dernier suivant jugement d’adjudication sur licitation rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 6 février 1835. Cette licitation fut poursuivie par M. Jean Frédéric Zeyssolff marchand de vins à Strasbourg, cessionnaire dudit M. Jacques Wagner aux termes d’un contrat de vente reçu pat ledit Me Noetinger le 10 septembre 1834. M. M. François Xavier Wagner, André Wagner et François Joseph Wagner ont ensuite vendu ledit immeuble aux conjoints Jean Martin Scheer qui en sont actuellement propriétaires en vertu d’un contrat passé devant Me Jean Jacques Weigel alors notaire à Strasbourg le 22 juin 1835, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 4 juillet subséquent vol. 295 N° 41. Cette vente a été faite moyennant le prix de 10 000 francs (…)
II. Maison rue du Savon N° 6 (…)
III. Maison rue St Louis N° 12 (…)
Etat hypothécaire (…) – Charges, clauses et conditions de la vente (…) ; le 20 juillet 1852
L’an 1852 le mardi 3 août (…) après avoir attendu jusqu’à vers midi sans qu’aucun amateur ne se soit présenté, les comparans ont remis l’enchère à un autre jour.
acp 411 (3 Q 30 126) f° 99 du 27.7. – (Retrait) acp 412 (3 Q 30 127) f° 23 du 5.8.
Charles Martin Scheer et Wilhelmine Mühleisen vendent la maison à François Xavier Exel
1852 (28.12.), M° Zimmer
Vente – Charles Martin Scheer, clerc de notaire, et Wilhelmine Mühleissen son épouse à Strasbourg
à François Xavier Exel, propriétaire à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg ue du Vent ou rue Saint Louis N° 12, moyennant 8000 francs dont 5300 francs payés et 2700 francs payables entre les mains de Thiébaut Litt, maître cordonnier à Strasbourg auquel les vendeurs doivent pareille somme, suivant acte reçu Roessel, notaire le 21 mars 1843, titre originaire
acp 416 (3 Q 30 131) f° 21-v du 29 Xbr Zimmer 28 Xbr
François Xavier Exel et Julie Virginie Lerch exposent la maison aux enchères. Le boucher Daniel Grœtzinger, propriétaire de la maison à l’arrière, s’en porte acquéreur pour 12 100 francs.
1864 (22.2.), Strasbourg 6 (93), M° Roessel (Henri Eugène) n° 4489
Cahier des charges du 20 février 1864 – ont comparu M. François Xavier Exel fils, propriétaire & Madame Julie Virginie Lerch son épouse qu’il autorise pour tout ce qui suit, demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg. Lesquels ont déclaré qu’ils sont intentionnés de vendre aux enchères publiques une maison ci après désignée qu’ils posèdent à Strasbourg & que dans ce but ils requièrent M° Roessel (…)
Désignation. Une maison à rez de chaussée & trois étages avec caves, puits, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue St Louis ou rue du vent N° 14, ancien N° 12 d’un côté M. Mattern, ancien Confiseur, de l’autre M Schott, employé à la mairie,, par derrière à M Daniel Groetzinger. Tel que cet immeuble se poursuit et se comporte (…) Sont en outre Compris dans la vente tous les poêles appartenant aux vendeurs, avec leurs tuyaux & pierres, se trouvant dans ladite maison.
Etablissement de la propriété. Déclarent les vendeurs que la maison ci dessus désignée est devenue leur propriété par suite de l’acquisition que M. Exel en a faite du Sr Charles Martin Scheer, alors clerc de notaire, & de D° Wilhelmine Mühleisen son épouse les deux demeurant à Strasbourg, suivant Contrat de vente contenant obligation passé devant M° Zimmer Notaire à Strasbourg le 28 décembre 1852, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 6 janvier suivant vol. 556 N° 63 & inscrit d’office le même jour vol. 576 N° 265. Sur le prix de cette vente l’acquéreur M. Exel a été délégué de payer (…). Le Sr Scheer avait acquis le même immeuble dudit Sr Litt [Thiébaut Litt cordonnier] suivant contrat passé devant M° Roessel ainé alors notaire à Strasbourg le 21 mars 1842, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le premier avril suivant Vol. 449 N° 27 & inscrit d’office le même jour vol. 445 N° 150, ce dernier contrat portant quittance de partie du prix de vente (…). Le Sr Litt était propriétaire de cet immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession de D° Marie Madeleine Schmidt, son épouse en troisièmes noces, demeurant en son vivant à Strasbourg, décédée sans enfants & en sa qualité d’héritier contractuel de cette dernière en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Roessel père, alors notaire à Strasbourg le 27 mars 1819. Mad° Litt avait elle même recueilli ladite maison dans la succession de ses père et mère, M. Jean Jacques Schmitt & dame Salomé Blinder, conjoints demeurant en leur vivant à Strasbourg, dont elle était seule et unique héritière. Le sieur Schmitt avait acquis la même maison du Sr Philippe Antoine Gall, serrurier & d’Anne Elisabeth Gillich conjoints demeurant en leur vivant à Strasbourg, suivant acte passé à la cidevant Chambre des subhastations de Strasbourg le 3 décembre 1781. – Charges, clauses et conditions (…) article vingt. L’immeuble à vendre sera exposé dans l’adjudication sur la mise à prix de 9000 francs
acp 530 (3 Q 30 245) f° 44 du 26.2.
N° 4490. Adjudication – Et l’an 1864 lundi le 22 février (…) il a été fait diverses mises dont la dernière faite par M. Daniel Groetzinger, boucher demeurant à Strasbourg, a porté le prix d’adjudication de la maison à vendre à la somme de 12.100 francs
acp 530 (3 Q 30 245) f° 44 du 26.2.
Daniel Grœtzinger meurt en 1881 en délaissant cinq enfants. L’inventaire relate les titres relatifs aux différentes maisons.
Les enfants Grœtzinger vendent la maison au boucher Frédéric Rauscher et à sa femme Marie Louise Wolff
1899 (5 &10.4.), M° Mossler
Verkauf – 1) Maria Friederike Henriette Groetzinger, Ehefrau des Prokuristen Emil Christian Lemme, 2) Dorothea Maria Groetzinger, Ehefrau des Kaufmanns Jakob Welsch, beisammen hier, 3) Johann Daniel Groetzinger, Handlungsangstellter hier, 4) Margaretha Johanna Groetzinger, Rentnerin hier
an Friderich Rauscher, Metzgermeister, und Maria Luise Wolff Eheleute in Straßburg
Stadt Strassburg. 1) ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken, Keller, Brunnen, Rechten & Zubehör in Straßburg an der St Ludwigsgasse N° 14 früher N° 12, P 1297, 1297 mit 0 Ar 85
2) Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken, Vorder und Hintergebäuden Hof, Brunnen Rechten & Zubehör in Straßburg an der St Ludwigsgasse N° 10 früher N° 2, P 1295, 1295 mit 1 Ar 15
durch Verkäufer ererbt aus den Verlaßenschaften ihrer Eltern Daniel Groetzinger gestorben hier an 12. November 1882 und Sophie Henriette Müller gestorben am 16. Novembris 1889.
Besitz sofort, Genuß & Steuerzahlung vom 25. März 1899 ab. Preis 35.000 Mark, worauf 3000 Mark baar bezahlt
acp 953 (3 Q 30 668) f° 47 n° 346 du 18.4.
Fils du boucher Jean Rauscher d’Auenheim en Bade, le boucher Frédéric Rauscher épouse en 1886 Marie Louise Wolff, fille du coiffeur Théodore Wolff de Strasbourg
Mariage, Strasbourg (n° 796)
Straßburg am 23. December 1886. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Friedrich Rauscher, evangelischer Religion, geboren den 17. Februar des Jahres 1865 zu Auenheim (Baden) wohnhaft zu Auenheim, Sohn des Metzgers Johann Rauscher und dessen Ehefrau Barbara Vogt, beide wohnhaft zu Auenheim
2. die Marie Luise Wolff, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 26. Maertz des Jahres 1865 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des Friseurs Theodor Wolff, wohnhaft zu Straßburg und der verstorbenen Julie Gsell, zuletzt wohnhaft zu Ballbronn (Unter-Elsaß) – (i 122)
Place Kleber n° 27 – IV 450 (Blondel), N 739 puis section 61 parcelle 11 (cadastre)
Maison dite zum Danneck (au coin du sapin)
Maître d’ouvrage, Jean Philippe Fibich, orfèvre – maître maçon Jean Lingenhœlin, 1779
Maison rue du Coin Brûlé démolie en 1942 pour éviter l’écoulement – Maison avant démolie en 1957, sol réuni à la voie publique
Façade du n° 27 à corbeaux sous les fenêtres des deux étages supérieurs, alors que les nouveaux bâtiments sont en construction (AMS cote 1 Fi 16, légende : « démolie en octobre 1957 ») – Face aveugle vers l’est vers 1953 (ADBR, fonds Stoskopf cote 60 J 57, Archi-wiki)
Façade nord (inscription Change, vers 1911, AMS cote 1 Fi 21, 30)
Façades rue du Coin Brûlé vers place Kleber (vers 1911, AMS cote 1 Fi 24 n° 39)
La partie centrale du bâtiment arrondi est construite sur l’arrière de la parcelle de l’ancien n° 27, voir plus loin le plan (mars 2024)
Le vitrier Jacques Hemmerlin achète en 1594 la maison dite zum Danneck (au coin du sapin), à l’angle de la place des Cordeliers et de la rue du Coin Brûlé. Il est autorisé la même année à y placer un auvent pour lequel il paie un loyer communal. La maison appartient ensuite au marchand Samuel Ferber (1623-1646) puis à l’organiste Henri Wid et (1671) au facteur d’instruments Georges Vetter. Dorothée Welper, veuve du juriste Jean Chrétien Geilfuss, l’achète en 1685 après son remariage avec le traiteur catholique Ignace Barbier. Ses héritiers la vendent en 1689 au fabricant de pâtés catholique Jean Streit qui sert du vin à des Français et à des bourgeois sans régler les taxes habituelles d’après la visite générale des auberges en 1696. Jean Streit fait établir en 1715 une porte de cave sur le communal. Le maçon Samuel Zanger est autorisé en 1721 à étayer pendant les travaux le mur de la maison qui appartient alors au marchand Louis Beguin. Le tailleur Pierre Pugein supprime l’auvent en 1757, la porte de cave en 1764, passe en 1769 avec son voisin Michael Gœrgen un accord relatif à l’entretien de leurs latrines communes puis vend la maison à l’orfèvre Jean Philippe Fibich après avoir demandé les alignements à suivre d’après les plans de l’urbaniste Blondel. Comme à l’autre extrémité de la place (voir le 29, rue des Grandes Arcades), le futur bâtiment en saillie créera un étranglement par lequel le voyageur découvrira subitement la place. Jean Philippe Fibich acquiert en novembre 1778 un terrain communal sur lequel il est autorisé à construire un bâtiment suivant les dessins de l’inspecteur du bâtiment Boudhors. Il essaie en vain d’obtenir un subside de la Ville pour construire une façade entièrement en pierre en arguant qu’elle embellira la Ville ; les préposés lui laissent le choix d’édifier les étages en pierre ou en bois. Le maître maçon Jean Lingenhœlin construit le nouveau bâtiment en 1779. Il s’ensuit qu’une partie de l’ancienne maison est démolie, en conservant une partie qui donne dans la rue du Coin Brûlé. Les éléments caractéristiques de l’époque se limitent aux arcades du rez-de-chaussée remaniées par la suite, aux chaînages qui atteignent le deuxième étage, au bandeau qui surmonte le premier étage et aux lucarnes du dernier niveau. Ancien peintre en miniature, le cafetier Jean Jacques Büchel déclare en 1802 que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin sont une pure tolérance depuis que la maison a été reconstruite ; le facteur d’instruments Joseph Dobner fait en 1822 la même déclaration. Adolphe Seyboth (édition en allemand) mentionne le café Büchel en 1795, Lévêque en 1812, Klein en 1814, Hauswald (à la Réunion) en 1819 et Moiret en 1821.
La maison se trouve à l’angle droit de l’alignement, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et premier étage en pierre de taille et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (h-i) vers la place a deux portes centrales flanquées chacune d’une fenêtre en arcade, trois étages à quatre fenêtres chacun, trois fenêtres aux mansardes. La façade (g-h) vers l’est est en grande partie aveugle. La façade (i-j) à trois fenêtres à chacun des niveaux dépasse sur la place vers l’ouest. Le mur après (j) donne dans la cour, la façade en grande partie aveugle forme la partie ouest du bâtiment arrière à droite de (K) qui s’ouvre dans la rue du Coin Brûlé : petite fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres, troisième étage à trois fenêtres et toiture à un niveau de lucarnes. La cour I montre l’arrière (2-3) de la façade vers la place, celle (3-4) au fond de la cour et la façade arrière (4-1) rue du Coin Brûlé.
La maison porte d’abord le n° 31 (1784-1857) puis le n° 27.
Cour I – Plan
Plan Blondel (1765). En rose les aménagements proposés (AMS cote 1 PL 675)
Alignements de 1856 sur un plan de 1838 (dossier de la Police du Bâtiment)
Elévations en 1920 (dessins de l’architecte Emile Wolf, dosser de la Police du Bâtiment)
La plus grande partie du bâtiment dépasse des alignements arrêtés le 6 mai 1856, ce qui interdit les travaux qui auraient pour effet de le consolider. L’entrepreneur Klein est autorisé en 1865 à agrandir la porte d’entrée et percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment rue du Coin Brûlé et à surélever d’un étage le mur de clôture entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière. Fernand Schwartz charge en 1920 l’architecte Emile Wolf de faire des travaux intérieurs, de modifier les portes et les fenêtres extérieures. La porte en façade est déplacée sur la droite. La Police du Bâtiment constate en février 1941 que le bâtiment arrière rue du Coin Brûlé risque de s’écrouler et demande sa démolition immédiate à l’administration du séquestre qui renvoie l’affaire à la Ville de Strasbourg. La démolition a lieu en avril 1942, les étages du bâtiment avant ne sont plus accessibles puisque la cage d’escalier se trouvait dans le bâtiment démoli.
Comme l’immeuble se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile, la Ville convient en 1948 avec le propriétaire de limiter les travaux au strict nécessaire, c’est-à-dire de rendre les locaux habitables. Le bâtiment construit en 1779 est démoli à l’automne 1957.
Plan des bâtiments dus à l’architecte Charles-Gustave Stoskopf, les bâtiments à démolir sont hachurés
Les actuels numéros 22, 26 et 28 (mars 2024)
mars 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
|
|
Loup de Bubenhoffen |
1594 |
v |
Jacques Hemmerlin, vitrier, et (1592) Marguerite Keller – luthériens |
1622 |
v |
Georges Ziegler, marchand de chevaux, et (1609) Susanne Gutbub – luthériens |
1622 |
v |
Jean Jacques Scheer, charretier, et (1610) Anne Redler – luthériens |
1623* |
v |
Samuel Ferber, marchand, et (1616) Esther Schmidt – luthériens |
1646* |
adj |
Henri Wid, organiste, et (1629) Marthe Ulner puis (1634) Marthe Hemmerlin, d’abord (1630) femme de l’apprêteur de chapeaux Eric Buntz – luthériens |
1667 |
v |
Michel Kæs, cordonnier, et (1648) Salomé Seidel – luthériens |
1671 |
v |
Georges Vetter, facteur d’instruments, et (1670) Susanne Marie Lombart, d’abord (1666) femme du pasteur Balthasar Wintergerst, puis (1687) Susanne Kolb – luthériens |
1683 |
v |
Dorothée Welper et (1660) Jean Chrétien Geilfuss, juriste, puis (1682) Ignace Barbier, traiteur – luthérienne convertie |
1689 |
v |
Jean Streit, pâtissier, et (v. 1684) Ursule Scheibel – catholiques |
1720 |
v |
Louis Beguin, marchand, et (1706) Catherine Beurez – catholiques |
1722 |
v |
Jean Philippe Tag, pâtissier, et (1722) Susanne Madeleine Roser – luthériens |
1736 |
v |
Georges Frédéric Tag, pâtissier, et (1736) Anne Marie Müller – luthériens |
1738 |
v |
Jean Daniel Mannberger, fourbisseur, et (1734) Marie Barbe List – luthériens |
1746 |
v |
Jean Régnard Theurer, orfèvre, et (1743) Marie Madeleine Stœsser – luthériens |
1753 |
v |
Pierre Pugens, tailleur, et (1745) Marie Marguerite Bidot – catholiques |
1778 |
v |
Jean Philippe Fibich, orfèvre, et (1749) Catherine Sebisch – luthériens |
1793 |
adj |
Jean Jacques Büchel, peintre en miniature puis cafetier, et (1780) Marie Madeleine Pfæhler puis (1797) Dorothée Freydel – luthériens |
1811 |
v |
Joseph Dobner, marchand, et (1776) Marie Anne Desfontaines, veuve du marchand Jean Michel Dimier, puis (1809) Marie Thérèse Müller |
1823 |
v |
Salomon Schwartz, marchand quincaillier, et (1794) Reiss Levy ensuite Claire Levy (copropriétaire avec le suivant) |
1855 |
h |
Jacques Schwartz, raffineur d’or, et (1818) Jeanne Offenbach |
1863 |
h |
Léon Schwartz, joaillier, et (1848) Babette dite Jeannette Altschul |
1886 |
h |
Oscar Fernand Schwartz, banquier, et (1886) Berthe Weill |
1937* |
h |
Léon Schwartz, F. & P. Schwartz société en nom collectif |
1947* |
h |
Banque Léon Schwartz société anonyme |
1949* |
h |
Banque Schwartz et Cie société en commandite simple |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1350 livres en 1750 (ancienne maison), 4000 livres en 1780 (nouvelle construction)
(1765, Liste Blondel) IV 450, Etienne Pugein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bouchon, 11 toises, 2 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 738, Schwartz Salomon et Schwartz Jacques – maison, sol – 1,2 are
Locations
1688, Etienne de Combe, vivandier, et Marthe Didier
1743, Jean Michel Ohlmann, cordonnier
1755, Frédéric Huder, perruquier
1801, Nicolas Rosenstiehl, de Bouxwiller
1822, Léon Rehns, bijoutier
1859, Léon Schwartz, bijoutier (ensuite propriétaire)
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 145) f° 171-v
La maison à l’angle du Coin Brûlé appartient au fondeur de pichets Jacques Eisenheim qui règle 11 sols, à savoir pour une avance (28 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds 9 pouces), une plate-forme dallée (9 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds), une porte de cave (8 pieds de large, saillie de 4 pieds), une tablette d’exposition (9 pieds de long, saillie de 3 pieds), une marche en pierre (2 pieds ½ de long, 15 pouces de large)
Barfüesser Platz
Jacob Eisenheim der Kandtengiesser beÿ dem gebrandten Ende Vff dem Blatz Am Eckh der Brandten Ende gassen hatt oben ein Vsstoß xxix= schu lang, Vnd ii schu ix Zoll herauß, Ein besetzter Tritt x= schu lang, vnd iiij schu herauß, Item ein offene Kellerthüer viij schu breit vnd iiij schu herauß, Ein Vssatz Laden ix schu lang, vnd iij schu herauß, Mehr ein steinen staffel iii+ schu lang, vnd xv Zoll breÿt, Bessert &, xj ß x d
1562, Livre des loyers communaux VII 1446 (Zinßbuch D) f° 169-v
Le vitrier Jacques Hemmerlin doit 2 sols 6 deniers pour être autorisé à mettre un auvent (22 pieds de long, saillie de 4 pieds) à sa maison à l’angle de la place des Cordeliers et de la rue du Coin Brûlé, le premier loyer écherra à la Saint-Michel 1595. Fait le jeudi 15 août 1594. Le loyer porté à 6 sols est dû par Samuel Ferber en 1627.
Item ij ß vj d gibt Jacob Hemerlin der glaser Ist Ihme bewilligt an seinem eckhauß am Barfüsserplatz beim gebrandten Ende, ein Wetterdächlin Zumachen 22 schuh lang, vnd vier schuh breit herauß, vnd da er oder sein nachkhomen solches wider hinweeg thun, soll er diß Zinß ledig sein, Actum donstag 15.ten Augusti Ao. 94. gefallt der erste Zinß vff Michaelis 1595.
(rub.) Jetz Samuel Ferber 6 ß. 2. Martÿ 1627
Neü 249.
1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 249
Même loyer reporté au Livre des loyers communaux. Les contribuables sont successivement Henri Wid, Michel Kæs et Georges Vetter
jetzt Michael Käeß
Jetzt Geörg Vetter
Heinrich Widt, Soll gemeiner Statt, Vom wetterdach des Eckhaußes ahn dem Brennten endt, Jahrs vf Michaelis 6 ß d
Alt. d. f. 169
New fol. 216
(Quittungen 1653-1664)
1667 von hanß Beüchels alß vogten empf.
1671 Zalt Vetter
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 216
Même loyer reporté au registre suivant. Les contribuables sont ensuite la veuve de Jean Chrétien Geilfuss, Jean Streit, Louis Beguin, Jean Philippe Tag et Daniel Mamberger. Un nouveau loyer s’ajoute en 1716 pour une porte de cave, voir plus loin les Préposés au bâtiment
Michael Käeß und Georg Vetter, sollen vom Wetterdach des Eckhaußes am branden End, vff Michaelis, 6 ß
St. Zinnßb. p. 249
ietz Georg Vetter allein
jetzt Johann Christian Geilfußen W.
jetzt Johann Streit Pastetenbeck
Jetzt Louis Beguin A. 1721. i.mo
Jetzt Joh: Philipp Tag
jetzt Daniel Mamberger
(Quittungen 1673-1715)
Er soll ferner von einer vor dieser behaußung, 7 schuh. 10. Zoll breit und Vier schuh Vom hauß herauß liegenden Kellerthür l. Protocolli de 1716. folio 5. p. Mich: 1716. allein 7 ß 6 d. im übrig. aber Jährlichen 10 ß
(Quittungen 1716-1741)
Neuzb fol 247-b
1741, Livre des loyers communaux VII 1470 (1741-1802) f° 247-b
Mêmes loyers reportés au registre suivant. Les contribuables sont ensuite Jean Régnard Teurer et Pierre Buchin (Pugein). Le loyer pour l’auvent devient caduc en 1757 par la suppression de l’objet, celui pour la porte de cave en 1764.
alzb. 216
Daniel Mamberger soll vom Wetterdach des Eckhaußes am branden End auf Michaelis, 6 ß – ist hinweg
Ferner von einer vor dießer behaußung, 7 schuh 10. Zoll breit und 4 schuh vom hauß herauß liegenden Kellerthür auf Michaelis 10 ß
(quittungen 1740-1756, 16 ß – 1757-1764 10 ß)
Joh: Reinhard Teürer
Peter Buchin
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1598, Préposés au bâtiment (VII 1313)
Jacques Hemmerlin demande le 26 avril 1598 l’autorisation de faire une porte de cave sur le communal. Il est autorisé le 20 mai suivant à monter la charpente de ses combles sur la place des Cordeliers
(f° 103-v) Mittwoch den 26.ten Aprilis 98. – Jacob Hemmerlin wolt gern vffm barfüßerplatz ein Kellerthür vff d. Almend mach. bitt vmb erlaub. Ist vff ein Augenschein
(f° 121) Sambstags 20. Maÿ 98. – Jacob Hemmerlin wegen bittet sein Zimmerman platz vffm Barfüßerplatz Zu eim dachstul vff ij C sl* holtz, Ist Ihm bewilligt solls geschmeidig* zusammen leg.
1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Les préposés autorisent le pâtissier Jean Georges Streit à faire une porte de cave de 7 pieds 10 pouces qui empiète sur le communal de 4 pieds. Le cens sera déterminé une fois les travaux terminés.
(f° 210) Dienstags den 1. 8.bris 1715 – Herr Joh: Georg Streit p° einer Kellerthür
Haben die Obere Bawherren und die Herren dreÿ einen augenschein vor Herrn Johann Georg Streiten des Pastetenbecks auff dem Baarfüßer: platz gegen dem Brendten Endt gelegenen Eckbehausung eingenommen, Vor deren Er eine lehnende Kellerthür 7. schuhe und 10. Zoll breit und 4 schuhe lang auff das allmend bawen Zulaßen gesinnet ist undt umb deßen permission angesuchet hatt. Erk. Bedacht.
(f° 215-v) Dienstags den 22. 8.bris 1715 – Herr Joh: Georg Streit p° Kellerthür
Wegen des am 1. hujus an Herrn Johann Georg Streiten, des Pastetenbeckers, auff dem Baarfüßerplatz am Brendten endt gelegenen Eckbehausung eingenommenen augenschein ist Erk. Würdt demselben erlaubt eine Kellerthür 7. schuhe und 10. Zoll breit und Vier schuhe Vom Haus heraus machen Zulaßen und soll der Zinß wann selbige fertig sein würdt regulirt werden.
1721, Préposés au bâtiment (VII 1389)
Le maçon Samuel Zanger est autorisé à étayer le mur de la maison de Louis Beguin pendant qu’il la répare à condition de remettre le terrain en état.
(f° 190) Dienstags den 15.t Ejusd. [Julÿ] 1721. – An Louis Beguins hauß soll gesprießt werden
Meister Samuel Zanger, der Maurer, sucht beÿ Mghhn umb erlaubnus an, daß Er an Louis Beguins hauß beÿ dem brendenend gelegen umb eine reparation vorzunehmen, sprießen dörffe, welches Ihm mit der Condition erlaubt worden, daß Er die löcher im gepflästerten wieder außbeßern laße.
1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
L’orfèvre Jean Philippe Fibich acquiert un terrain communal (18 toises, 5 pieds et 8 pouces carrés) d’après le nouvel alignement
(f° 177-v) Dienstags den 17. Novembris 1778 – H. Bau Inspector Boudhors referirte, Er habe die in diesem Jahr von verschiedenen Particuliers überbauene Allmend Plätz ausgemeßen und den angesetzten Preißen den Cantons nach ausgerechnet, was jeedes zu bezalen, als :
Hr. Rathh. Johann Philipp Fibich (V. Prot. de 1784, f. 141 b) – Herr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Gold Arbeiter ist mit seiner an dem Place d’Armes gelegenen behausung dem Alignement nach heraus gefahren, und hat das Allmend um 18 Klafter 5 Schuh 8 Zoll Quadrat Maß überbauen, ligt im IV. Canton, davor hat derselbe à 40. livres das Quadrat Klafter zu bezalen 757 lb 15 ß 4 d
1778, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le tailleur Pierre Pugens demande le 7 avril l’alignement à suivre pour savoir si la maison pourra être reconstruite une fois vendue. L’ancien sénateur Fibich demande le 14 juillet l’alignement à suivre pour la maison qu’il a acquise de Pierre Pugens.
Jean Philippe Fibich demande à la Ville de contribuer aux frais du mur coupe-feu avec son voisin Sellier François Ried. Les préposés éconduisent le pétitionnaire et renvoient le voisin le cas échéant au Petit Sénat.
Jean Philippe Fibich qui a reçu de l’inspecteur du bâtiment Boudhors le dessin qu’il devra suivre strictement en construisant la façade fait observer le 17 novembre 1778 que la pierre massive est prévue jusqu’au deuxième étage ainsi que pour la corniche des mansardes et de nombreux ornements. Il a demandé à son maître maçon un devis d’après lequel seules les arcades sont en pierre massive, le reste hormis les croisées étant en maçonnerie, les mansardes et la corniche en bois. Comme les frais outrepassent de beaucoup la somme qu’il prévoyait y mettre et que le bâtiment est destiné à embellir la ville, il demande un subside pour le chenal, les ornements et la corniche en pierre. Les préposés demandent à l’inspecteur Boudhors de chiffrer les frais.
(f° 57) Dienstags den 7. Aprilis 1778. – Mr Pugens Schneider
Idem [Mr Georg Friedrich Walter der Maurer] nôe. Mr Pugens, des Schneiders, bittet um ertheilung des Plans, wie sich deßen an dem barfüßer Platz gelegene Behausung dem Alignement nach befinde, damit solcher vorgewiesen werden könte, wann diese behausung verkauft und gebauen werden solte. Erkannt, Bedacht.
(f° 112-v) Dienstags den 14. Julii 1778 – Hr. Rathh. Fiebig Gold: Arbeiter
Herr Exsenator Fiebig, der Goldarbeiter bittet um Anzeig des Alignements seiner von Mr Pugens dem Schneider erkauffen ane dem Place d’armes gelegenen behausung. Erkannt, Seÿe dem Herrn Imploranten von Herrn Bau Inspector dem anheute approbirten Plan nach anzuzeigen.
(f° 140-v) Donnerstags den 15. Septembris 1778 – Hr Rathh. Joh. Philipp Fibich
Herr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Gold Arbeiter præsentirt unterthäniges Memoriale mit bitten, Weilen Er genöthiget mit seiner an dem Place d’armes gelegenen Behausung dem Alignement nach vorzurucken, sein Nachbar François Ried, der Sattler aber sich weigert die nöthige Feurmaur Zugleich mit aufzuführen dahero Er eine Maur von einem ganzen Stein aufführen muß, welches Ihn in grösere Kösten setzet, Meine Gnädige Herren geruhen möchten die Helfte der Unkösten seiner aufzurichtenden Feuermaur zu übernehmen, und den Betrag deßen an dem von Ihme zu zalen schuldigen Terrain zu verguthen, so als dann François Ried, wann er bauen wird gemeiner Stadt vor die Helfte solcher Feuer Maur wieder zu restituiren haben solle. Erkannt, Seÿe der Herr Implorant ln seinem Begehren an Gemeine Stadt ab: in Ansehung seines Nachbars François Ried aber allenfalls an Einem Ehrsamen Kleinen Rath zu verweisen.
(f° 175-v) Dienstags den 17. Novembris 1778. – Hr Exsenat. Joh. Philipp Fibich
Hr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Goldarbeiter præsentirt unterthäniges Memoriale, vorstellend, wie daß Ihme von Herrn Bau Inspector Boudhors die Zeichnung der façade, wornach Er in Bauung seiner ane dem Place d’armes neu erbauenden Behausung stricté zu richten haben solle, welchen Er auch in allen Stücken nach Geschmack findet vorgeleget und behändiget worden, Weilen aber in diesem Plan die façade bis in den Zweiten stock, ja sogar annoch das Gesimbs der mançard nebst vielen Zieraden massiv von Stein angemerckt, da hingegen des unterthänigen Supplicanten mit seinem Maur Meister accordite Riß nur bis über die Bögen von massiv: Stein, der Rest aber vollends hinauf von Maur Stein bis auf die Kreutzstöck, so dann eine Mançard warunter das Gesimbs von Holtz ist. Da nun diese Zweÿ Articul die destinirt gehabte Kösten weit übertreffen würden solches Gebäu auch mehrentheils ein Zierat der Stadt seÿn und mit dem langen Gebäu eine Ähnlichkeit haben solle, als gehet seine bitt dahin, die Kösten, welche in Bauung des Nachs, der Zieraten und des Gesimbs von Stein müßen verwendet werden, an dem zu bezalenden Allmend Platz abgehen zu laßen. Erkannt, Seÿe anvorderist durch Herrn Bau Inspector zu examiniren, wie hoch diese Kösten zu stehen kommen können.
1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Jean Philippe Fibich présente deux devis pour la corniche, l’un du charpentier Léonard Haas qui demande 19 florins pour la faire en bois, l’autre du maçon Jean Lingenhœl qui demande 466 livres pour la faire en pierre. L’inspecteur du bâtiment estime que ce dernier devis est trop élevé, les frais ne devraient pas dépasser 350 livres. Les préposés décident de laisser au pétitionnaire le choix de faire faire la corniche en pierre comme le prévoit le plan ou en bois mais que la Ville ne contribuera pas aux frais.
(f° 242) Dienstags den 16. Martii 1779. – Hr Rathh. Johann Philipp Fibich
Herrr Exsenator Johann Philipp Fibich, der Goldarbeiter producirt in gefolg Erkanntnus vom 17. Novembris 1778. wegen dem, an seiner ane dem Place d’armes aufbauenden Behausung zu machenden Haupt Gesimbs Zween Überschäg, den Einen von Mr Leonhard Haas, den Zimmermann, welcher vor daselbe von Holtz Zu verfertigen 19. fl 2 ß fordert, den andern von Hrn. Johannes Lingenhölin, den Maurer, so vor daselbe dem vorgewiesenen Plan nach von Stein Zu verfertigen 466 lb 4 s fordert, Mit bitt, Meine Gnädige Herren geruhen möchten Zu erkennen, daß, wann Er gehalten seÿn solle, das Hauptgesimbs dem Ihme gegebenen Plan nach von Stein Zu verfertigen, das jenige so es höher, als von Holtz verfertiget, Zu stehen komme, von seiten Gemeiner Stadt bonificirt werden solle. Herr Bau Inspector trägt vor daß Hrn Lingenhölin Forderung Zu hoch seÿe, indeme das Haupt Gesimbs gar füglich vor 350. livres Von Stein gemacht werden könne. Nach der Sachen reifer Überlegung wurde Erkannt, Seÿe Hrn Rathh. Fibich in seine freÿe Willkuhr Zu stellen das Haupt Gesimbs an besagter seiner neu aufbauenden Behausung von Holtz oder dem Plan nach von Stein verfertigen Zu laßen, ohne einige Vergüthung an Löbl. Stadt fordern Zu Können.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1779. Le maître maçon Jean Lingenhœl expose les travaux à faire dans la maison Fibich place d’Armes : un creuset dans l’atelier au rez-de-chaussée, un chaudron dans la buanderie, un âtre dans la boutique du bâtiment avant, au premier étage du bâtiment avant une cuisine sur la droite et un poêle à l’avant, le deuxième et le troisième étage étant pareils au premier, le tout présentant toutes les granties contre les risques d’incendie.
(p. 510) Dienstags den 23.sten Novembris 1779
H. Fibich will in seiner ane der Place d’armes gelegenen Behaußung Rechter Hand des hoffs auf dem rez de chaussée eine schmeltz Eß und bauch kuchen machen den bauchofen mit Caminschoß wohl versehen gleich der Eß auf den gewölbten Keller setzen das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt, vornen daran gegen der gass im vordergebäud ein vor Camin aus dem in den Laden eingefeurt wird, das Rohr an steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im ersten stock im vordergebäud an der steeg lincker hand des eingangs eine Kuche mit Heerd und Camischoß wohl versehen, das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt vornen daran eine stube in die aus der Kuch eingefeurt wird, der 2.te und 3.te stock so dem ersten gleich. Erkannt Willfahrt – Mstr Linckenhölin
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes
nouveau N° / ancien N° : 59 / 31
Dobner
Rez de chaussée et 1° étage en pierre de taille et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 3
Schwartz Jacques à Strasbourg
N 738 ⅓, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,40
Revenu total : 114,20 (114 et 0,20)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 ⅓
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 ⅓
N 738, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,80
Revenu total : 228,40 (228 et 0,42) , total 342,62
Folio de provenance : 209
Année d’entrée :
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 4
Schwartz, Salomon, ordinaire à Strasbourg
(1855) Schwartz Salomon et Consorts place Kleber N° 31
N 738 2/3, maison, sol, place d’armes 31
Contenance : 0,80
Revenu total : 228,42 (228 et 0,42)
Folio de destination : 209
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 2/3 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 2/3 / 5
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1060 case 2
Schwartz Jacques
1865 Schwartz Léon, bijoutier, changeur, banquier
1887/88 Schwartz Oscar Ferdinand, Banquier
(ancien folio 808)
N 738.p, maison, sol et N 738.p, maison, sol, Place Kleber 27
Contenance : 0,40 et 0,80 total 1,20
Revenu total : 114 et 228 (maisons), 0,20 et 0,42 (sol), total 342,62
Folio de provenance : (209)
Folio de destination : 808, Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1867
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 ⅓, 26 2/3 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 ⅓, 6 2/3 / 8
N 738, maison
Revenu total : 417,62 (417 et 0,62)
Folio de provenance : 808, agrand.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1867
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 43 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 24 / 19
1867, Augmentations – Schwartz Léon f° 808, N 738, maison, revenu 417, addition de construction, achevée en 1864, imposable en 1867, imposée en 1867
Diminutions – Schwartz Léon f° 808, N 738.p, maison, revenu 114, addition de construction de 1864, supp. en 1867, voir les augmentations
id., N 738.p, maison, revenu 228, addition de construction de 1864, supp. en 1867, voir les augmentations
Cadastre allemand, registre 32 p. 417 case 1
Parcelle, section 61, n° 11 – autrefois N 768, 2418
Canton : Kleberplatz Hs. N° 27 / Place Kléber / Karl-Roos-Platz / Place Kléber
Désignation : Hf, Whs u. N.G. / Hf Whs
Contenance : 1,29
Revenu : 4000 / 6000
Remarques
(Propriétaire), compte 3438
Schwartz Oskar Ferdinand
1937 Schwartz Léon propr. F. & P. Schwartz société en nom collectif
1947 Banque Léon Schwartz société anonyme
1949 Banque Schwartz et Cie société en commandite simple
(99)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton Canton IV, Rue 98 Place d’Armes
31
Prop. Fibich, Jouaillier, au bas de la place d’armes
Loc. Revilliod, Catherine veuve – Miroir
Loc. Ott, Joseph, Jouaillier – Echasses
Loc. Pichler, Philippe Jacques – Echasses
Loc. Wittersheim, Seligmann – Juif
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kleberplatz (Seite 80)
(Haus Nr.) 27
Schwartz, Bankier, E 0
Schwartz, L. Bankier, E 1
Moschenrosch, Wwe. Musiklehrerin. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 56)
Place Kléber n° 27 (volume 1, 1865-1947)
L’entrepreneur Klein est autorisé en 1865 à agrandir la porte d’entrée et percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment rue du Coin Brûlé et à surélever d’un étage le mur de clôture entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière. Léon Schwartz n’est pas autorisé en 1885 à crépir le rez-de-chaussée du pignon pour remédier aux infiltrations puisque les travaux seraient faits dans la partie qui dépasse de l’alignement arrêté le 6 mai 1856. Léon Schwartz déclare en 1901 que les travaux de canalisation ont provoqué des fissures dans la maison arrière. Les fissures sont surveillées pendant cinq ans. La Banque Léon Schwartz n’est pas autorisée à agrandir les ouvertures vers l’est dans la partie en avant de l’alignement (1912). Le propriétaire charge en 1920 l’architecte Emile Wolf de faire des travaux intérieurs, de modifier les portes et les fenêtres extérieures et de ravaler les façades à l’arrière de l’alignement légal. Paul Schwartz charge en 1938 au nom de la banque Léon Schwartz l’architecte Emile Wolf d’aménager une chambre ignifuge servant de dépôt d’archives au sous-sol du bâtiment avant après s’être engagé à déduire le montant des travaux du prix d’une éventuelle acquisition par la Ville.
La Société Immobilière de la Place Kleber demande en 1940 de vérifier l’état des étais posés sur le sol des anciens bâtiments n° 23 et 27. La Police du Bâtiment constate en février 1941 que le bâtiment arrière rue du Coin Brûlé risque de s’écrouler, les étais étant pourris. Elle demande la démolition immédiate du bâtiment arrière à l’administration du séquestre (Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire -General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) qui renvoie l’affaire à la Ville de Strasbourg. L’architecte municipal Beblo conclut que le bâtiment arrière peut être démoli sans porter préjudice au bâtiment avant mais que l’escalier qui dessert les étages du bâtiment avant se trouve dans le bâtiment à démolir. La démolition a lieu en avril 1942. Revenu à Strasbourg la guerre terminée, Paul Schwartz demande en 1945 à la Ville de remettre les lieux en état, en particulier un escalier qui desserve les étages. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise les mesures conservatoires au profit de la banque Léon Schwartz, la Police du Bâtiment fait remarquer que les travaux de renforcement sont interdits dans la partie devant l’alignement légal et que les démolitions ne sont pas dues à des faits de guerre. Les travaux n’ont pas lieu.
Salon de coiffure Seiler au premier étage (1911)
Tailleurs Buisson et Delorme (tailleurs, 138, avenue des Champs-Elysées) au deuxième étage (1919)
Guichet de la Loterie nationale (1938)
Sommaire
- 1865 – L’entrepreneur J. Klein demande au nom du propriétaire Schwartz l’autorisation de faire des travaux au 27, place Kléber, bâtiment sans numéro rue du Coin Brûlé (1) agrandir la porte d’entrée, (2) percer deux fenêtres au premier étage du bâtiment arrière, (3) surélever d’un étage le mur de clôture entre les deux bâtiments suivant la coupe en marge – L’agent voyer note que la façade sans avance suit l’alignement, la clôture à simple rez-de-chaussée est en maçonnerie
- 1885 – Les entrepreneurs J. & E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom de Léon Schwartz l’autorisation d’étayer et de crépir le rez-de-chaussée du pignon (7,50 mètres de long, 2 mètres de haut) pour remédier aux infiltrations – L’architecte municipal Nebelung répond que les travaux ne peuvent être autorisés puisqu’ils seraient faits dans la partie qui dépasse de l’alignement arrêté le 6 mai 1856. Réponse correspondante du maire aux entrepreneurs – Nebelung suggère au propriétaire de poser une légère plaque en zinc pour remédier à l’humidité.
- 1886 – Le maire notifie le banquier Léon Schwartz de faire ravaler le 27, place Kleber – Léon Schwartz (papier à lettres Léon Schwartz banquier changeur) demande de reporter les travaux à l’année suivante parce que le voisin démolit sa maison et que lui-même a l’intention de faire des changements dans la maison arrière – Travaux terminés, juin 1887.
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, février 1896
- 1902 – Une visite des lieux à la demande de l’architecte des Postes Bœttcker établit que la voûte qui donnait sur un escalier de cave à l’angle du Coin Brûlé n’est séparée de la voie publique que par des pierres de taille. Le maire demande au propriétaire de faire des travaux pour éviter tout accident. – Travaux terminés, août 1902.
- 1903 – Le maître ramoneur Anselme Geiser (16, rue des Charpentiers) rapporte au commissaire de police qu’une cheminée se détache du mur pignon – Croquis – Le propriétaire a remédié à la situation avant la visite de vérification.
- 1905 – L’entrepreneur E. Klein (5, rue des Bestiaux) demande l’autorisation de poser un échafaudage contre le pignon. – Autorisation – L’entrepreneur ne pose pas d’échafaudage – Dissensions à propos des droits à régler
- 1901 – Léon Schwartz rappelle au maire qu’il a envoyé quelques jours auparavant au maire une lettre par laquelle il l’informait que les travaux de canalisation ont provoqué des fissures dans la maison. – Une visite des lieux constate que la maison arrière, plus ancienne que celle de devant, s’affaisse légèrement suite aux travaux à cause de fondations défectueuses. On pose des témoins sur les fissures. Il n’y a pas risque d’écroulement. – L’affaissement ne continue pas
Dossier à l’intention du maire – Suivi de la situation, croquis – Les fissures ne s’aggravent pas, 1905. L’architecte municipal Nebelung dresse un état des frais – Certains témoins posés quatre mois plus tôt se sont détachés, mars 1906.
1906 – Dossiers sur les dommages de la maison Schwartz – Dossier classé, février 1908.
- 1907 – Le maire notifie L. Schwartz de faire ravaler le 27, place Kleber – Fernand Schwartz demande de reporter les travaux interdits par sa religion pendant l’année de deuil. – Le maire réitère sa demande en arguant que la maison a mauvais aspect. – Travaux terminés, mai 1909.
1909 (avril) – Le peintre A. Bœgelmann (29, rue du Fossé des Treize) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Prorogation – Dossier classé, septembre 1909
- 1911 – La coiffeuse Seiler demande l’autorisation de poser des enseignes (façade latérale entre les n° 27 et 29) – Plan de situation – Inscription Mme A. Seiler I. Etage. Spezial Damen Frisier & Haarpflege Salon. Institut für Moderne Schoenheitspflege, dessin des inscriptions en façade (un mot à chaque fenêtre du premier étage, Ondulation, Manicuren Postiche, Massage) et dans la ruelle – Autorisation
- 1913 – A. Wittersheim demande l’autorisation de refaire les inscriptions sur cinq enseignes – Autorisation
- 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
- 1916 – A. Meyer (deuxième étage) transmet à la Police du Bâtiment l’autorisation accordée par le commissaire de police de poser deux enseignes plates. La Police du Bâtiment note qu’il s’agit de quatre petites inscriptions non saillantes posées dans l’embrasure des fenêtres au deuxième étage.
- 1919 – Le vice-président de l’administration municipale demande à Buisson et Delorme (tailleurs, 138, avenue des Champs-Elysées) de faire une demande à la Police du Bâtiment pour poser une enseigne plate.
Demande de poser une enseigne plate et quatre autres sur les fenêtres du deuxième étage – Autorisation
- 1919 – Note. Le pignon porte une publicité que la maison Lévy Frères (140, Grand rue) vient de peindre en noir sur fond blanc. Le fond blanc devrait être remplacé par une teinte plus adaptée au mur. – Le maire écrit au peintre en fondant sa demande sur le règlement du 23 novembre 1910 relatif à la préservation de l’aspect local. – Remarque, février 1920. Les intempéries ont beaucoup atténué le contraste. L’affaire ne sera pas poursuivie.
- 1921 – L. Schieb (ravalement, travaux en ciment, 11, route d’Altenheim au Neuhof) demande l’autorisation de poser un échafaudage pour ravaler le bâtiment – Le commissaire de police donne son accord – Dessin – Décompte des droits
1920 – L’architecte Emile Wolf transmet le dessin de la façade latérale pour compléter sa demande pour ravaler les façades (parement en plâtre sur le pignon gauche, inscription Banque Léon Schwartz). La porte d’entrée est nouvelle, la fenêtre centrale servait jusqu’à présent d’entrée. – Travaux terminés, juin 1921.
- 1920 – L’architecte Emile Wolf demande l’autorisation de faire des travaux intérieurs (déplacer l’escalier de la cave et des cloisons), de modifier les portes et les fenêtres extérieures et de ravaler les façades. Les travaux sont prévus à l’arrière de l’alignement légal. – Autorisation (avec interdiction de percer la fenêtre de gauche vers la place, en conformité avec l’article 17 du règlement)
- 1922 (mars) – L’entrepreneur L. Schieb demande l’autorisation de poser un échafaudage devant la banque Schwartz pour ravaler la façade – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Décompte des droits
1921 (mai) – Les entrepreneurs de peinture Lévy Frères (1140, Grand rue) demandent l’autorisation de poser un échafaudage devant la banque Schwartz pour repeindre les volets et la façade – Décompte des droits – Travaux terminés, juin
1923 – La Police du Bâtiment ne poursuit pas sa demande de ravalement rue du Coin Brûlé
- 1923 – La maison Meyer et Fichter (3, quai de l’Abattoir) demande l’autorisation de poser une forge sur la voie publique pour modifier le chauffage central. – Le commissaire de police transmet la demande au maire avec avis favorable – Décompte des droits
- 1938 – La banque Léon Schwartz demande l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Autorisation – Les enseignes sont posées – Dessins sur calque (Change – Loterie nationale)
1938 – La banque Schwartz est autorisée à poser du matériel sur la voie publique pour réaliser des travaux intérieurs
1938 – La Police du Bâtiment constate que la banque Schwartz fait des travaux intérieurs sans autorisation dans la partie du bâtiment devant l’alignement légal – La banque Léon Schwartz demande l’autorisation d’aménager une chambre ignifuge (dépôt d’archives) au sous-sol en ajoutant un deuxième plafond.
Rapport de la Police du Bâtiment, illustré d’un croquis. Paul Schwartz s’engage au nom de la banque Schwartz à déduire le montant des travaux (7300 francs d’après le devis de l’architecte Emile Wolf) du prix d’une éventuelle acquisition par la Ville. – Autorisation d’aménager une chambre ignifuge, 6 août 1938. – Plan de situation portant les alignements légaux – Dessin – Travaux terminés, août 1938
1938 (avril) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser un guichet de vente muni d’un store en saillie – Autorisation
- 1940 – La Société Immobilière de la Place Kleber demande de vérifier que les étais posés sur le sol du 23, place Kleber sont solides. – Constat. Les étais aux n° 23 et 27 sont en partie pourris. La clôture vers la rue du Coin Brûlé est endommagée. – La Police du Bâtiment demande à la société de faire faire les travaux nécessaires. – La société immobilière déclare que les travaux sont exécutés, janvier 1941.
- 1941 (février) – Le directeur de la Maison Rouge écrit à la Police du Bâtiment (M. Nester) que les étais posés aux numéros 22 et 27 sont en mauvais état. Les occupants du n° 27 ont entendu la nuit précédente des craquements qui font craindre un écroulement – La Police du Bâtiment se rend sur place et conclut à un risque d’écroulement
La Police du Bâtiment fait un courrier à l’administration du séquestre (Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire – General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) dans lequel elle demande la démolition immédiate du bâtiment arrière
1941 (avril) – Les habitants ont quitté leur logement – L’administration du séquestre renvoie à la Ville de Strasbourg pour ce qui est de la démolition
1941 (août) – Courrier de la Police du Bâtiment au Service d’arpentage – Courrier de l’adjoint au maire à la Police du Bâtiment, demandant une enquête. – Le Service d’arpentage écrit à la Division I que la Police du Bâtiment a demandé d’évacuer les logements.
1941 (octobre) – Le commissaire faisant fonction de maire écrit à l’administration du séquestre que les frais de démolition seront portés au budget de la Ville dès que l’administration aura arrêté le prix d’achat de l’immeuble.
L’architecte municipal Beblo fait un rapport sur l’immeuble. Le bâtiment avant a été construit au XVIII° siècle suivant les alignements de Blondel. Le bâtiment arrière peut être démoli sans porter préjudice au bâtiment avant. L’escalier qui dessert les étages du bâtiment avant se trouve cependant dans le bâtiment à démolir.
1941 (novembre) – Lors d’une descente sur les lieux, il a été convenu 1) de conserver le bâtiment avant qui ne sera pas habité tant qu’il n’y aura pas de nouvel escalier, 2) de conserver le bâtiment intermédiaire en terrasse et d’aménager une terrasse provisoire à la place du bâtiment arrière, 3) de démolir le bâtiment arrière jusqu’à la hauteur de la terrasse, 4) d’éliminer les gravats et de remplacer la clôture en lattes par une nouvelle.
1942 – La Police du Bâtiment déclare ne pas avoir d’objection contre la démolition du bâtiment arrière sis 27, place Kleber
1942 (mars et avril) – La démolition est en cours
1942 (juin) – Le bâtiment est démoli. Des enfants pourraient tomber dans une ouverture qui donne dans la cave.
1942 (juillet) – L’administration du séquestre demande une attestation écrite que le bâtiment démoli ne présente pas de danger et si la Ville a l’intention d’en faire un garage à vélos.
- 1941 (août) – Le peintre en bâtiment Georges Hambach (19, quai des Pêcheurs) est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la façade
- 1942 (novembre) – Henri Greiner (22, rue du Fossé des Tanneurs) demande que le peintre Jean Barthelmé (28, rue du Barrage à Schiltigheim) soit autorisé à faire des inscriptions – Travaux terminés, décembre. – Dessin sur calque
- 1945 (avril) – L’avocat L. Baumann (30, place Kléber) demande au nom de son client Paul Schwartz à la Ville de remettre les lieux en état, en particulier un escalier qui desserve les étages et de lui restituer l’immeuble que la Ville aurait acheté le 12 octobre 1943 sans que la mutation ait été portée au livre foncier.
1945 (mai) – Le maire déclare qu’il n’y a pas eu de vente à la Ville qui a administré l’immeuble en lieu du propriétaire (in eigentumsweise Verwaltung) comme 177 autres rendus en février 1945 à l’administration du séquestre (Office des Biens et Intérêts privés), chargée de les restituer au propriétaire spolié.
1945 (juin) – Compte rendu de l’entrevue avec l’avocat Weiller.
1945 (juillet) – La Police du Bâtiment constitue un dossier sur la démolition du bâtiment arrière par l’entreprise E. Moritz.
- 1946 (décembre) – L’entrepreneur Santesso (430, route de Strasbourg à Illkirch- Graffenstaden) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer le crépi – Prorogation, janvier 1947
- 1946 (avril) – L’architecte Edmond Picard transmet les plans pour construire une cage d’escalier
- 1946 (octobre) – Le délégué départemental du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme demande à la Police du Bâtiment une pièce nécessaire au dossier de sinistré
(sans date) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise les mesures conservatoires au profit de la banque Léon Schwartz (dossier NV 4351 DS) sinistré en août et septembre 1944, boucher les brèches et les fissures, refaire la toiture et l’escalier. – La Police du Bâtiment note (juillet 1946) que les travaux de renforcement sont interdits dans la partie devant l’alignement légal et que les démolitions ne sont pas dues à des faits de guerre. – Pas de travaux. Le dossier est classé, octobre 1947.
Dossier place Kléber n° 26 (cote 727 W 58)
1912 – La Banque Léon Schwartz demande l’autorisation d’agrandir une petite fenêtre au rez-de-chaussée dans le mur du côté de la Maison Rouge – Les travaux sont interdits puisque la fenêtre se trouve en avant de l’alignement légal – croquis – Dossier classén juin 1913
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 57)
Place Kléber n° 27 (volume 2, 1948-1963)
Le délégué du M.R.U. demande en 1948 s’il y a lieu de réparer le bâtiment frappé d’alignement, ce qui procurerait trois logements. Le maire émet un avis défavorable comme le bâtiment se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile. La Ville convient avec le propriétaire Schwartz de limiter les travaux au strict nécessaire, c’est-à-dire de rendre les locaux habitables. L’architecte Edmond Picard fait les dessins. Les travaux sont interrompus en 1949 par le service d’urbanisme de Paris. L’entreprise Ernest Jockers est autorisée en août 1957 à occuper la voie publique pendant la démolition du bâtiment.
Sommaire
- 1948 (janvier) – Compte rendu de l’entrevue entre l’avocat Weiller et le Service du contentieux. L’architecte Wolf a vérifié pendant la guerre la solidité du bâtiment démoli, auparavant étayé par les soins du gestionnaire des terrains voisins. L’avocat déclare que la banque Schwartz renoncerait à poursuivre la Ville si elle obtient satisfaction auprès du M.R.U. – La Division VI-E fait remarquer que le bâtiment qui subsiste se trouve sur le tracé de la voie projetée entre la place de Haguenau et la place de l’Etoile
1948 (février) – Le délégué du M.R.U. demande s’il y a lieu de réparer le bâtiment frappé d’alignement, ce qui procurerait trois logements. – Le maire émet un avis défavorable (mars)
1948 (juillet) – La Division V déclare qu’il a été convenu avec le propriétaire Schwartz de limiter les travaux au strict nécessaire (rendre les locaux habitables).
1948 (novembre) – Paul Schwartz accepte les conditions et renonce à toute indemnité pour plus-value résultant des travaux
1948 (décembre) – L’architecte Edmond Picard transmet les dessins – Plan de situation où figure l’alignement légal – Devis estimatif (terrassement, maçonnerie, charpente, menuiserie, couverture, plâtrerie, installations sanitaires, peinture, vitrerie, serrurerie, installation électrique)
1949 (janvier) – La Police du Bâtiment émet un avis favorable à la reconstruction prévue par le M.R.U.
1949 (juin) – Les travaux interrompus en avril continuent
1949 (juillet) – Le délégué du M.R.U. déclare que les travaux de réfection ne nécessitent pas de permis de construire – Les travaux sont interrompus par le service d’urbanisme de Paris. Le dossier est classé.
- 1948 (décembre) – La banque Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne sous verre (or sur fond noir, Banque Schwartz & Cie) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
- 1953 (juin) – Un bloc de pierre détaché de la corniche tombe sur la voie publique. – La Police du Bâtiment demande à Paul Schwartz de faire vérifier l’état de tout le pignon sud. – Paul Schwartz répond que les travaux sont terminés mais que la chute n’est pas due à la vétusté mais à des faits de guerre.
- 1957 (juin) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sur le balcon du premier étage. – Dessin sur calque -L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
1957 (août) – L’entreprise Ernest Jockers (3, rue des Capucins à Kœnigshoffen) est autorisée à occuper la voie publique pendant la démolition du bâtiment
1957 (novembre) – Paul Schwartz demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sur la façade vers l’Homme de Fer – Dessin sur calque – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
- 1958 (janvier) – L’association syndicale de Reconstruction, propriétaire, est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour poser des seuils de fenêtre.
1963 – La Société d’Achat et de Vente d’Appareils Ménagers (S.A.V.A.M., à Lipsheim) retourne un avis de paiement pour une publicité dénoncée en cours d’année
Relevé d’actes
La veuve et les héritiers de Loup de Bubenhoffen vendent la maison dite zum Danneck au vitrier Jacques Hemmerlin, assisté de son frère docteur en médecine et en chirurgie Abraham Hemmerlin
1594 (30. Martÿ), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 44-v
Kauff Meyster Jacob Hemmerlin des Glasers vber sein behausung auff dem Barfuesser Platz
Erschienen Michael Bering. d. Notarius als befelchhaber weÿland des Edlen & Hanß Wolffen von Bubenhofen selig. hind.laßner wittib vnd Erben Fraw Wandelbar Lemlerin d. wittib vnd N. deßelben Schwag. N desselben Brud. seligen Kind. vnd hat (verkaufft)
Meyster Jacob Hemmerlin dem Glaser vnd burg. alhie d. Ime vnd seinen erben mit beÿstand des hochgelehrten H Abrahami Hammerlins d. Artzeneÿ vnd Chyrurgy doctoris seines fr. lieben Brud., kauffen
hauß hoffstatt mit aller d.selben Zugehördt begriffen recht vnd gerechtigkeit alhie ane dem Baarfüeßer Platz einseÿt neben Peter Ermelhauß dem Kueffer and.seyts ein Eck hauß hinden auf das geprendts end stoßend geleg. vnd Zum Denneck genant, davon gehnd Jarlichs ein pfund vier schilling Zehn Pfenning ewigs erschetzigs gelts auf Johannis vnd weÿhenachten Jedes mal der halbe theyl gefallend dem Edlen vhesten Hanß Christoph von Hagenbach deßen Schaffner Balthasar Junius dem Zinß Jarlichs empfahet, Item 10 guldin Straßb. wehrung auf Mariæ Verkhüdung dem Closter S Margarethen vnd Agnetis gefallend In hauptgut mit 200 g. Wehrung lösig, Item achthalben gld. Jährlichs gelts auf Mariæ Liechtmeß Kreßen von *h. In hauptgut mit 150 g. wehr. wid.kheuffig, It. Siebenthalb guld. gelts auf Adolphi Sÿmon Kellern In hauptgut mit 130. g wehr. loßig, Item fünff guld. glts vff den erst Januarÿ Fr. Abbtissin Zu S Steffan alhie In hauptgut mit 100 g. wid.losig vnd dan ein Pfund d. gelts auff Medardy des Edlen vhest. Adamen von Berstet selig Erben In hauptgut abzulosen mit 20 lib sonst eÿg. Vnd were d. khauff für ledig eig. beschehen für vnd vmb 9 guld. straßb. wher.
Jacques Hemmerlé épouse en 1592 Marguerite, fille du charron municipal Simon Keller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 21 n° 3)
1592. Jacob hemmerle der glaser, vnd Margaretha Simon Kellers des alten Stattwagners hinterlaßene tochter. Eingesegnet Zinstag den 25. Januarÿ Ausgangen in der Mang (i 13)
Jacques Hemmerlin est nommé vitrier municipal en 1610. Il est remplacé dans ses fonctions en 1621 après sa mort.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89)
[Jacob Hemmerlin contra Kappen Lorentz, Gutt Jacob und Georg Lorentz wegen Hauptgutt. 375. Landvogt zu Hagenau schreiben]
1610 VII 1325 Bauherren – Jacob Hemmerlin zum Stattglaser ernannt. 50. (Donnerstag 22.t Martÿ)
1619 VII 1333 Bauherren – Jacob Hemmmerlin Stattglasers rechnung. 120.
1621 VII 1336 Bauherren – Stattglasers Wittib Jacob Hemmerlein (194-v), angenommen Hanß Gastelius
Jacques Hemmerlin hypothèque la maison zum Danneck au profit des créanciers Braun
1599 (ij.t Augusti), Chancellerie, vol. 321 (Registranda Meyger) f° 220
(Inchoat. In Proth. fol. 247.) Erschienen Jacob Hemmerling d. Glasser burger Zu St.
Hatt bekhandt, vnndt Inn gegenwertigkheit herrn Gergen Knörers, Als Schaffner der Braunischen Creditoren – schuldig sige 50 pfund Straßburger
Zum vnderpfand inngesetzt vnd verlegt Hauß vnd hoffestatt, mit Iren gebeu. begriffen, Weithen, Rechten vnnd Zugehörden geleg. alhie Inn der Statt St. vff dem barrfüsser blatz, Zum dann eck genant, Einsit ein Eckhauß, vnnd Andersit nebent Peter Ermellhauß den Küffer, hinden vffs Brendt endt stoßend, dauor ght xxiiij fl.* boden Zinß Balthazar Junio In Schaffners weiß, Item x guldin gets St. w. ablösig mit ij C guldin Straßburg werung sant Margred Closter Alhie, Item v guld. gelts widerkhöuffig mit j C guld. gemelter wehrung dem Closter Zu Sant Stephan, Item Achthalben guldin gelts widerlößig mit Anderthalb hundert guldin St. werung hanns von Auwenheim seligen Erben, It. j lb d gelts Ablößig mit 20 pfund pfenning der Edlen von Bersteth seligen Erbenn, So dann Sübenthalben guldin gelt lösig mit 130 guldin Straßburg. wherung dieboldt Lingolßheim dem Passamentmacher, Sonst eÿg.
Jacques Hemmerlin et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit des enfants de Jean Daniel Jobin et de Marie Brat et de ceux d’Absalon Simon et de Marguerite Brat
1604 (vt spâ [xxviij Julÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 227-v
(Inchoat. fo: 239.) Erschienen Jacob Hemmerlin der glaser vnd Margred sein eheliche haußfr.
haben in gegensein herrn Laurentzen Schauwmans als geschwornen vogts hannß Daniels Jobin und Fr. Marien Bratin seiner ehegamehlen ehelichen erziehlter Kinder V Melchior Engelhart alls Vogt herrn Absalon Simeons des Notarÿ mit Fr. Margreden Bratin seiner hußfrauwen ehelich erzielter Kinder denselben Kindern schuldig 200 pfund pfenning S. gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt mit all Ir gebeu geleg. Inn der SS vff dem Barfüßer blatz einseyt ein eck am Branten end and.seyt neben Peter Ermelhuß dem Khuffer, stosst hinden Inns allmend gaß, davon gnd Zuuor Zehen gold glt losig m ij C guld SW der Closter Fr. Zu S Margred, Mehr fünff guld gelts losig mit i C S Steffans Closter, Item j lb iiij ß ehrschetzigks Zinß Inn S Anthonien hoff, Mehr j lb d bod. Zinß dem Junckherr von Berstett So dann Achthab guld gelts widerkheuffig mit 150 guld. SW H Diebold Lingolßheim dem Jungen
Mehr soll vff sein (…)
Jacques Hemmerlé et sa femme Marguerite Keller hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Marbach, receveur des lods et ventes
1607 (xx tag octobris), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 425-v
(Inchoat. in Proth. fol: 330.) Erschienen Jacob Hämmerle der glaser burger Zu Straßburg vnnd Margred Kellerin sein eheliche haußfraw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn hannß Geörg Marbach Pfund Zollers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen – schuldig sigen 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg, vff dem Barfüsser platz einsit Ist ein eckhauß Am Brendten end vnd And.sit neben Peter Ermellhauß dem Küeffer, hind. Ins Brandendt stoßend, dauon gond j lb iiij ß s d Boden Zinß empfahen h Balthasar Junius Inn schaffners wÿß, Item Zehen guldin gelts Ablösig mit ij C guldin Sant Margred. Closter, Item viij gl gelts Lösig mit j C L gl Geörg Obrecht, Item vj gl v ß gelts wid.khoüffig mit ij C xxx guldin Dieboldt Lingolßh. Item Ein Pfund pfenning gelts stond Inn hauptgutt xx lb d Johann Budler Inn schaffners wÿß, So dann ij lb x ß gelts stond Inn hauptgutt L lb d Geörg Knören Alhie
Jacques Hemmerlein hypothèque la maison au profit des enfants du vitrier Samuel Steg
1612 (xvj Maÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 143
(Inchoat. fo: 158.) Erschienen Jacob Hemerlein der Statt glaßer
hatt in gegensein Michel Scherbaums auch glaßers Allß geschwornen Vogts frÿderich vnd Regÿnen geschwüsterd. wÿland Samuel Stegs des glaßer seeligen kind. – schuldig zusein 50 guldin Zu xv batzen gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd Hoffestatt & geleg. In der St. Straß. vfm Barfüßer blatz einseÿt neben Peter Ermel dem Khüffer anderseit ein eckhauß stost hinden vffs brenden end geßlin, Dauon gonth j lb 4 ß 10 s Bodenzinß Junckher hanß Christoph von hagenbach, Mehr Zehen gld. gelts Straßburg werung Vff Marien verkhündung ablesig mit j C v lb d dem Closter zu Sant Margred. Item viij gld H Georg Obrecht Ablesig mit j C L guld. Straßburg. werung Item vij gls gelts Ablesig mit 130 fl werung diebold Lingelßheims wittwe, Item 5 fl gelts St werung ablesig mit 100 fl bemelter werung der Frauw Aptisin zu Sanct Steffan, Vnd dan j lb gelts Junckher Adam von Berstett seligen erben, widerkheuffig mit xx lb So dan 5 guld. gelts H Georg Knorren Ablesig mit L m Straßburg.
Jacques Hemmerlen hypothèque la maison au profit du vitrier Michel Scherbaum. En marge, quittance remise en 1630 à Samuel Ferber puis en 1641 à l’organiste Henri Wid.
1613 (xxv Octobris), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 294-v
(Inchoat. fol: 301.) Erschienen der Ersam Jacob Hemmerlen der Statt glaßer
hatt In gegensein M Michael Scherbaumen auch glaßers – schuldig sein 50 guldin Zu xv batzen
dafür Vnderpfand sein sollen huß V hoffestatt mit all anderen Iren gebeu gelegen In der S.S. vff dem Barfüsser blatz einseÿt neben Peter Ermelhuß dem Khüffer, anderseÿt ein eck stoßend hinden vff den Brand end gaßlin, Dauon gnd j lb iiij ß x d Bodenzinß Junckher hannß Christophel von Hagenbach, Mehr 10 guldin gelts SW abloßig mit 200 guldin derselben werung S Margred Closer, Item Achthalben guld gelt Straßburger widerkheüffig mit 170 guld derselb werung hn Georg Obrechten, wyther Siebendhalben guldin loßig mit 130 guldin Straßburger h. Diebold lingolßheÿmer selig witwe, Item 5 guldin gelts abloßig mit 100 guldin Straßburger S Steffans Closter, Item j lb d gelt loßig mit xx lb d Junckher Adam Von Berstett seligen erben vnd dann 5 gulden gelts widerkheüffig mit 100 guld SW Georg Küner*
[in margine :] Erschienen Samuel Ferb. alß Inhaber der hierinn specificirten behausung an eim, So dann deß creditoris nunzumahl see: Nachgelaßener Kinder vogt Lorentzen Linck Glaßmaler am 2. theil (nachtrag) Act. den 22. Julÿ 1630.
[in margine :] Erschienen David Scherbaum deß Creditoris Sohn, alß welche seiner Anzeig nach der halbe theil ahne dißem Nachtrag gehörig in gegensein H Heinrich Widen deß Organisten im Münster als ehevögtlich weise Innhalbers deß Vnderpfands (…) act. d. 17. April. a° 1641.
Jacques Hemmerlé hypothèque la maison au profit de Georges Jean Altgeyer, pasteur à Sulz dans le bailliage de Lahr
1616 (ut spâ. [xxix. Junÿ]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 309-v
(Inchoat. in Prot. fol. 339.) Erschienen herr Jacob Hemmerle der Statt glaser burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn M. Geörg Johannis Altgeÿern Pfarrers Zu Sultz Lohrischen hannß – schuldig sige 100 pfund pfenning
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebewen & gelegen, Inn der St. St. vff dem Parfüßer platz, einseit neben Peter Ermelhauß dem Küffer anderseit neben einer Eck behausung hinden vff das brand end genant das taneck, dauon gend j lb 4 ß 10 s bodenzinß Jr. hannß Christoff vonn hagenbach, Mehr x guldin gelts Ablößig mit ij lb guldin wehrung dem Closter Zu Sanct Margreden, Weÿther viij guldin gelts widerkheüffig mit j C L guldin berürter wehrung herrn hansen von Auwenheim, Item vij guldin gelts widerlößig mit j C 30 guldin Sebastian Koler dem Mangmeister, Item v guldin gelts stend Inn hauptgutt j C guldin dem Closter Zu Sanct Steffan Vnd dann j lb gelts Ablößig mit xx lb d Juncker Adam von Bersteths seligen erben
Vnd Zu noch mehrer Assecuration So ist Auch persönlich erschienen hannß haaß der Küffer burger Alhie hat sich für sich & mit sampt Ihme Bekhenner Zu einem rechten bürgen mit Vnd und selbst schuldner und selbst Zahlern vnver: gesetzt vndt gemacht
Le tonnelier Jean Haas, tuteur de Marguerite Keller veuve de Jacques Hemmerlin place un capital à la Tour aux deniers
1623, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1338)
(f° 30-v) Zinstag den 28. Januar. 1623 – Hanß Haaß der Küeffer, als vogt Margret Kellerin weÿland Jacob Hemmerlins des Stattglasers seel: Wittib hat ins vogteÿgelt angelegt 150 h
Haben Ihro darumb Zukauffen geben 7 h 10 ß vff Conversion Puli fallens
La veuve et les enfants de Jacques Hemmerlin vendent la maison zum Danneck au marchand de chevaux Georges Ziegler et à sa femme Susanne Gutbub
1622 (14. Septembris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 105-v
Kauffverschreybung Georg Zieglers Ross thauschers vnd Burgers alhie
(Extendirt wie in dem Contractbuch de hoc Anno folio 176.) NB dises hauß ist anderwehrts verkaufft word.
Erschienen weÿland Jacob Hammerlin gewesenen d. Statt Glasers selig. wittwen vnd Erben vogt h. hanß Haaß d. Kieffer vnd h. Israel Hammerlin der Goldarbeytter vnd
haben in gegensein Georg Ziegler Burg. vnd Roßthausch. vnd Susanna Gutbubin bed. ehegemecht (verkaufft)
Ein Behausung d.selben hoffstatt mit allen Zugehörd. geleg. alhie ane dem Barfüß. Platz, einseyt ein eck ane dem gebranden end, and.seyt neben Peter Ermelhuß dem Kieffer hinden auff ein gaßlin das gebrandte end genant stoßend geleg. vnd Zum Danneck genant, davon gend ein pfund vier schilling zehn pfenning ewigs erschetzig vnd fürbiettig Zinß auff Johannis Baptistæ Jungker Hanß Christoff von Hagenbach deßen Schaffner Peter Knorren, Item 10 g losig auf Mariæ Verkundung dem Closter S Margareth alhie in hauptgut mit 200 gl. Item achthalb. gl wehrung auff Liechtmeß Georg Obrecht. In Hauptgutt mit 150. gl. w. Item Sibenhalben gl. wehr. auff Adolphi H Friderich Rieheln xv. Hn In hauptgut mit 130. gl w. Item 5 gl w. auff den ersten Januarÿ dem Almoß. Zu S Steffan In Hauptgut mit 200 gl. Item 1 lb auff Medardi Junckh. Joachim von Berstett In hauptgut mit 20. lb. It 2 lb 10 ß d auff den 3. Augusti dem Braunischen falliment empfahet Georg Knörer In haupguth mit 50 lb, Item 1 lb 10 ß auff den auffart tag Mathis Scherbaum dem Glaßer In hauptgut mit 25 lb. vnd 2 ß 6 d d. Statt Zinßmeister von dem wetter tächlin sonst eÿg. vnd were dißer Kauff geschehen für vnd vmb 2800 gl. Str.
[in margine :] Erschienen Herr Hans Haaß vnd Israel Hammerlin innamen weÿland Jacob Hammerlin selig witwe vnd kinder haben in gegensein ([biffé] Georg Zieglers des Kieffers) bekant das sie ane dem Kauffschilling von Samuel Ferbern dem Inhaber des hauses empfangen 100 lb sampt deb Zinß 1623 (…) quitirt den 14. 8.br 1624.
[in margine, quittung Berstett, 27. Maÿ 1623]
Originaire de « Schonberg », le marchand de chevaux Georges Ziegler épouse en 1609 Susanne, fille de l’horloger Charles Guttbub.
Mariage, cathédrale (luth. p. 231)
1609. Dominica 11 Trinitatis den 27 Aprilis. Mehr Jorg Ziegler von schonberg der Roß kam, Susanna Caroli Gutbub des vhrmachers dochter (i 119)
Le marchand de chevaux Georges Ziegler achète le 16 septembre 1613 le droit de bourgeoisie, assisté de de son beau-père Charles Guttbub
1613, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 772
Georg Züegler, der Roßtauscher khaufft daß Burgerrecht mit beÿstandt seines Schwehers Carlen Guttbuben wüll Zu den Schmidt. dienen Actum den 16. 7.bris Aô 1613.
Georges Ziegler et Susanne Gutbub revendent deux mois plus tard la maison à Jean Jacques Scheer et à sa femme Anne
1622 (13. Novembris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 138
Kauffverschreybung Hans Jacob Scherern vber sein Behausung
(Extendirt wie in dem Contractbuch de hoc Anno folio 236.) Erschienen Georg Ziegler vnd Susanna Guthbuben beede Ehegemechdt
bekannte in gegensein Hannß Jacob Scherer vnd Annæ seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
Ein behausung sampt deren hofstat vnd Allen Zugehörd. & alhie am Parfüeß. blatz einseit ein Eckh am gebranden End, 2.seyt neben Peter Ermelhausen dem Küeffer gelegen, hinden vf ein gaßlin, das gebrandte Endt gnt. stoßend, vnd Zum Danneck genant, welche behaußung Er Ziegler vnd sein haußfr. erst newlich von weÿl. Jacob Hämmerlings deß Stattglaßers see: witin vnd erben erkaufft hat, wie solcher kauff hievornen fol. 105. fac. 2. Zubefind. Von der ietzberkaufften behaußung Jahrß gehen j lb 4 ß 10 d ewigs, erschätzigs vnd fürbiettigs Zinß auff Joh. Bapt: Jrn. Hannß Christoff von Hagenbach, deß. Schaffner Peter Knörer, Item 10 gld. wehrung vff Mariæ Verkundung dem Closter S Margrethen alhie in hauptgut mit 200 fl. Item achthalben gulden vff Liechtmeß Georg Obrechten, in Hauptg. mit 150. gl. wehrung, Item Sÿbenhalben gld. wer. vff Adolphi H Friderich Rüehlen xv. In hauptg. mit 130. fl wehr. Item 5 gld wehr.vff den ersten Jan. dem Closter Zu S Steffan In hauptg. mit 100 fl. wehr. Item 1 lb vff Medardi Jr. Joachim von Berstet In hauptg. mit 20. lb. Item 2 lb 10 ß d vff den 3. Augusti dem Braunischen falliment empfahet Georg Knörer In haupguth mit 50 lb, Item 1 lb 10 ß auff den Auffahrtstag Mathis Scherbaum dem Glaßer In hauptgut mit 25 lb. So dann 2 ß 6 d. der Statt Zinßmeister vom wetterdächlin, sonst ledig vnd eÿgen, vnd were dißer Kauff für freÿ,ledig vnd eÿgen Zugangen per 1670 pfund
Jean Jacques Scheer et sa femme Anne Redler hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit du constructeur de bateaux Gabriel Meyer
1622 (ut spâ. [xv. Novembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 491
(Inchoat. in Prot. fol. 355.) Erschienen Hannß Jacob Scheer burger Zu Straßburg vnd Anna Redlerin sein haußfr. Vndt
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Gabriel Meÿer Schiff Zimmermann burgers Zue Straßburg – schuldig seÿen 300 pfund pfenning
Zu vnderpfand verlegt Hauß Vndt hoffstatt mit Allen Ihren gebeüwen & gelehen Inn d. St: St: Vff dem parfüesser platz, einseit ein Eck Am brendtenendt ands: Peter Ermelhauß, hinden Vff ein geßlin, Welche Zuuor noch Verhafftet ist vmb j M. lb Weÿland hannß Jacob Hemmerlin stattglaßers s. Erben
Le charretier Jean Jacques Scheer épouse en 1610 Anne, fille de l’arbalétrier Gaspard Redler d’Augsbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 228, n° 90)
1610. Hans Jacob scher der Karcher, Anna, Caspar Redlers des Armbrusters Zu Augspurg tochter, Eingesegnet Zinst. d. 4. Decemb (i 119, im 118)
Samuel Ferber est propriétaire de la maison un an plus tard. Il l’hypothèque en novembre 1623 au profit de Daniel Ringler, assesseur des Quinze
1623 (ut spâ [vj. Novembris]), Chancellerie, vol. 450 (Registranda Meyger) f° 816
(Inchoat. in Prot. fol. 407.) Erschienen H. Samuel Ferber burger Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit des Ehr. fr. Vndt W. Herrn Daniel Ringlers fünff Zeheners deß bestendigen Regiments der Statt Straßburg – schuldig seÿn 500 pfund
zu vnderpfand verlegt, Hauß Vnd Hoffstatt mit Alen Ihren gebeuwen gelegen Inn d. St: St. Vff dem Parfüsser platz, eins. ein eckh Ane dem Brandtenendt, Ands. Peter Emmelheuß dem Küeffern Hinden vff das Brendten endt stoßend, dauon gnd 4 ß 6 d Allmendt gelt d. St. St. So dann Ist sie noch verhafftet vmb iij. C. lb. Weÿlandt Jacob hemmerlin Stattglaßers s: Wittwen, Sonst eÿgen
Zu noch mehrer Assecuration So ist Auch persönlich erschienen h. Bernhard Schmid burger Zue Straßburg sein des Bekenners Schwehr hat sich für sich & mit sampt Ihme Bekhenner seinem dochtermann & Zu einem rechten bürgen mit Vnd und selbst schuldner und selbst Zahler vnverscheidentlich gesagt vndt gemacht
Fils de Samuel Ferber de Kaysersberg, le marchand Samuel Ferber épouse en 1616 Esther, fille de Bernard Schmidt
Mariage, cathédrale (luth. p. 46)
1616. Dominica 20. Trin: d. 13. 8.bris. Samuel Färber der Handelsmann von Keÿsersburgk, H. Samuel Färbers n. sohn, vnd J. Esther H. Bernhard Schmiden Alten grosen raths verwandten tochter. Eingesegnet montag d. 28. 8.bris. (i 28)
Samuel Ferber devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1007
Samuel Ferber, d. handelßman Von Keÿßersburg Empfahet d. Burgrecht von Eten* Bernhardt Schmiden Großen Rhatts beysitzers dochter vnd wüll Zum Spüegel Zünfftig sein den 10. 10.bris Aô 616
1627 Conseillers et XXI (1 R 109) Magnus Rolandi contra Samuel Ferber. 225. (pt° schuld)
Samuel Ferber hypothèque la maison au profit du marchand Daniel Weitz
1626 (ut spâ. [8. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 530-v
Erschienen h Samuel Ferber burg. alhie
hatt in gegensein H Daniel Weitzen deß handelßmanns auch burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 312. Reichßthaler in spê für aberkaufft Zinn (…) und in franckhforth 112. Reichßthaler, vnd dann die vberigen 200 Reichßthaler vff Straßburger Weÿhenachten Meß
vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen Zugehörd. alhie vffm Parfüeßer platz, einseit ein Eck, 2. seit neben Peter Ermelhausen dem Küeffer gelegen, hinden vffs Brandtenend gäßlin stoßend, vnd ist solch hauß zuuor hafft vmb 700. fl. Jacob Hämmerlins deß geweßenen Statglasers s: wittib, Mehr vmb 100. fl. H Daniel Ringlern Jetz regirendem H Ammeister vnd dann vmb 300. fl. Gabriel Meÿer dem schiff zimmermann, Item vmb 65. lb d H Friderich Rüehlen, xv.ers see: vogtlich weiß sonst eÿgen
Samuel Ferber hypothèque la maison au profit de Jacques Kircher. Sa femme Esther Schmidt se porte garante
1626 (xvj. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 702-v
Erschienen h. Samuel Ferber burger Zu Straßburg
hatt in gegensein h. Jacob Kürcher burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 250 Reichs daler
vnderpfand hauß, hoffstatt, mit Allen Ihren geb. geleg. Ann d. St. St. vff den parfüsser platz einseit ein Eck Ane Brandt end gäßlin and.seit n. Peter Ermellhauß dem kieffer hind. vffs gäßlin stoßend, welche behaußung Zuuor noch verhafftet Ist vmb 250. lb gl Jacob Hämmerle des glasers witwe, Mehr vmb 500. lb h Daniel Ringler Jetzo Regrd Ammeister, It. vmb 150. lb Gabriel Meÿer schiff zimmermann
[in margine :] (…) ferner erscheint auch sein Debitoris eheliche haußfr. Ester Schmidin mit beÿstand herrn D. Johann Friderich Schmid., comitis palatini vnd der St. St. Raths vnd Aduocaten, wie auch Johann Rincken deß organisten ihrer beed. nechster verwanthen, die hat in dise nebens stehende obligation dergestalt v.willigt (…) act. 24. Maÿ 1627.
Les administrateurs de l’Orphelinat rapportent aux Conseillers et aux Vingt-et-Un que le fils de Samuel Ferber a été admis trois ans plus tôt à l’Orphelinat par recommandation du docteur en droit (Jean Frédéric) Schmidt qui vient de mourir.
1639, Conseillers et XXI (1 R 122)
(f° 69) Montag den 6. Maÿ – Pfleger des Weisenhaus wegen Samuel Ferbers Söhnlein
die herren Pfleger des Weisenhaus bringen an, daß vor dreÿen Jahren Samuel Ferbers Söhnlein auf ansuchen H Dr Schmiden JL seelig. in d. weisenhaus were aufgenommen worden, vndt habe herr Dr. seel so schrifftl. so mündlich gedachtes Almusen dergestalt in seinem letsten willen Zubedenck. versproch. daß es seiner Kein schaden haben soll, wie solches durch herren Stattschr. herren Frantzen vndt andere auf allen fall genugsam erweisen werden kann. Nur seÿe wie bekant H. Dr Schmidt ohne Testament verstorben, der leib blöd vndt Zu keinem handtwerck tauglich vndt hette mann Ihn nimmermehr in daß weisenhauß genommen, wann nit d. versprech. von herren Dr Schmiden bescheh. were, weilen er damahls seine Eltern noch gehabt, Seÿe deroweg. von den Erben ein Freÿwilliges Zu beßerer unerhalt dises Knabens, Angemuthet worden, welche aber nichts geben wollen, Dannenhero sie veranlaßen worden die sach beÿ Mghh. den XIII. anzubring. und in betrachtung derselben sonderbahren bewandnus Zu bitten, daß sie authorität dem Almusen Zum besten interponiren wolten, darauf wohl ermelte MGh. die XIII herren auß Ihrem mittel deputirt welche den Erben Zegesproch. vnd von denselben 50. frt. früchten begehrt, weilen aber keine frücht. vorhanden gewesen, habe der wittibin vogt 500 fl. darvor angeboten, der Organist Johann Rinck aber sich darwid. gesezt, vndt dem Schaffner vor den Kleinen Rhat Ex lege diffamari gebieten laßen. Welches alles Sie die herrn Pfleger wohlermelten Mghh. den XIII geclagt, vnndt beÿ Ihnen gestrig. tages vmb raht vndt assitentz angesucht, de hetten sich aber vor Mgh. alls die Oberpflegere gewiesen & (…)
La maison revient par vente judiciaire à Henri Wid, gendre de Jacques Hemmerlé. Fils d’Henri Wid, il épouse en 1629 Marthe, fille du maître des rentes Jean Georges Ulner
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 91)
1629. Dom Invocavit 22. Febr. Heinrich Widt Hern Heinrich Widten seelig nachgelaßener Sohn, vnndt Marthan herrn Georg Ulners der Statt Straßburg Rentmeisters eheliche Tochter. Cop. 20. Feb. Zu Illkirch (i 49)
Mariage, Illkirch (luth.) Montag den 2. martÿ 1629. Sind alhie Zu Illkirch eingesegnet worden Herr Heinrich Widt, H. Heinrich Widten seligen nachgelaßener Sohn vnd Martha Herr Georg Ulners des Rentmeisters auff den Pfennig thurn tochter. Als sie Zuuor à R. D. M. Samueli Schallesio pastor ad Juniorem Petrum einen Schein gebracht das sie zum andern mal daselbsten ausgeruffen vnd ohne hindernuß befunden worden (i 14)
Il se remarie en 1634 avec Marthe, veuve de l’apprêteur de chapeaux Eric Buntz
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 168)
1634. Eadem [Dom. Pentecost. 25. Maÿ] H. Heinrich Wid burger alhie und F. Marthan, Erici Buntzen des hutstaffierers vnnd burgers alhie nachgelaßene Wittwe. Cop. 3. Junÿ Zu J. S. Peter (i 86)
Eric Buntz épouse en 1630 Marthe, fille du vitrier municipal Jacques Hemmerlé
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 104)
1630. Dom. Sexages. 31. Jan. Ericus Buntz j. Huttstaffirer vnd burger alhie vnd J. Marthan, Jacob Hemmerlin gewesnen Stattglasers vnd burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 8. Feb. Zu St. Clauß (i 54)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 158 n° 3) 1630. Domin: Sexagesimæ. Ericus Buntz, der Huttstaffirer, vnd Jungfrau Marthan, Weiland Jacob Hemmerlein, des Stattglasers f. hinderl. ehel. tochter (i 171)
Originaire d’Oppenheim, Eric Buntz épouse en 1625 Marthe, fille du marchand Georges Hammerer
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 141-v n° 25)
1625. Dominica Vocem jucunditatis i. Vice. Erich Buntz der Huttstaffirer, Peter Buntzen deß würdts Zu Oppenheim hinderlaßener ehelicher Sohn, vndt Jungfr. Marian Herrn Görg Hammerers deß handelßmanns vnd Burgers alhie hind.lasene eheliche tochter. Zinst. post Exaudi zu S. Claus (i 155)
Mention d’Henri Wid dans les registres du Magistrat
1648 XV (2 R 67) Heinrich Widt. 30. 136. 250. (frücht, wein)
1649 XV (2 R 68) Heinrich Widt. (umb frucht) 35. (umb frucht) 91.
1650 XV (2 R 69) Heinrich Widten 2 Kinder vogt (umb Zinß). 161. Heinrich Widt (frücht, wein). 182.
1652 XV (2 R 70) Heinrich Widt. (umb frucht) 67.
1653 XV (2 R 71) Heinrich Wid. (umb Zinß) 96. der Jung (Pfenningthurn Capital). 148.
1654 XV (2 R 72) Heinrich Widt. 39. (um wein)
1655 XV (2 R 73) Heinrich Widt. 49. (um wein)
etc
1671 Conseillers et XXI (1 R 154)
Heinrich Widen des geweßenen Organisten Zum Jungen St Peter Kinder. 171. 197.
Le musicien Henri Wid et Marthe Hemmerlé hypothèquent la maison zum Danneck au profit de Daniel Wencker. L’acte justifie l’absence de titre parce qu’elle a été vendue par adjudication judiciaire pour défaut de paiement contre Samuel Ferber
1646 (Michaelis), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 470-v
Erschienen Henrich Wid der Instrumentist und Burger Zu Straßburg und Martha Hämmerlerin sein eheliche haußfrau und Sie Fraw Martha insonderheit mit beÿstand Anthoni Walthers deß Glasers und hannß Bräuchelß deß Schneiders beed. alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein H Daniel Wenckhers Burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 350. Pfund pfenning vff den fuß des Reichßthalers Zue 15. ß
dafür in specie Vnderpfand sein soll (…) Item hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie am Parfüßer Platz neben H Johann Kelterern Kleinen Rhats Verwanth. ein: und anderseit ist ein Eckh, hind. vffs brendte End stoßend gelegen, und Zum dann Eckh genannt, davon gehnd iahrs vff Margarethæ 5 fl. wehr. lößig mit 100 fl. wehr dem Stifft St. Margarethæ, 2. fl. 5 ß wehr. vff Michaelis wid.käuffig mit 50. fl. Wehr. dem Stifft St. Stephan, It 6. fl. 8 ß 6 d à 15 batz. vff Adolphi lößig mit 136. fl. 5 ß Jungfrawen Christinæ Lingolßheimin, It. 3. fl. 9. ß 4 d. vff Michaelis lößig mit 78 fl. 7 ß 6 d H. Nicolao Philippo Scheid. Med. Doct., So ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 100. lib. Frawen Mariæ Hämmerlerin obgemeldts Anthoni Walthers ehelich haußfrauwen, und gibt mann iahrs vff ostern von dem dächlin über der thüren alß über daß Allmend gebawen 6 ß gemeiner Statt Allmend Zinnß sonst. ledig eig., Über Welche Behaußung Kein Brieff vorhanden, weilen solche Behaußung hiebevor ahne Samuel Ferbern verkaufft geweßenen, und weg. ermangelter Zahlung wid. erganthet word. ist
Henri Wid, organiste à Saint-Pierre-le-Jeune, fait vendre des effets mobiliers qui appartenaient à feue sa femme Marthe Hemmerlé. L’acte énumère plusieurs actes parmi lesquels la vente par adjudication judiciaire de la maison Place des Cordeliers, l’inventaire dressé en 1632 après la mort d’Eric Buntz, celui de 1622 après la mort de Jacques Hemmerlé et celui de 1634 après la mort de Marguerite Keller.
1666 (15.11.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 2) f° 78
Verkauff: vndt Lohß Register, Innhaltendt alles d. Jenige, waß abe die Jenigen Haußrath, Silber und guldinen Ringen, so herrn Henrich Widten, Organisten Zum Jungen St. Peter alhie vndt seiner verstorbenen ehelichen haußfrauwen Fr. Marthæ Hemmerlerin eÿgenthümblich Zuständig war, erlöst worden
das darauß erlößte gelt Herrn Niclaus Hemmerlin, Procuratorem beÿ Einem Ehrsammen Sübner Gericht alhie, alß der beeden Kinder vndt Erben geschwornen vogt, Zuhanden empfangen
Actum (…) den 15. 16. 22. et 23.ten 9.bris Anno & 1666.
An briefflichen documentis (…) 1. Pergamenten Ganth Kauffbrieff über die behaußung uffm Paarfueßer Platz (…)
Frawen Marthä hemmerlin, H. Heinrich Widden haußfr. seel. Inventarium vnd lohßregister & de A° 1666.
Inventarium über H. Erich Buntzen deß huottaffierers alhie seel. verlaßenschafft in A° 1632. auffgerichtet
Inventarium über Jacob Hemmerlins v.lschafftt de Anno & 1622
Inventarium über Fr. Margaretha Kellerin v.lschafft de A° 1634.
Special Theilregister Fr. Barbaræ Leübrandtin seel. Erbschafftt betr. de A° & 1636.
Inventariumüber Fr Marthæ Hemmerlin Zugebrachten Nahrung in Anno & 1634. et 1653. auffgerichtet
Marie femme du vitrier Antoine Walter et Marthe femme de l’organiste de Sainte-Aurélie Henri Wid se partagent les maisons qu’elles ont hérité de leur père le vitrier municipal Jacques Hemmerlé. Celle au jardin aux Roses revient à la première, celle place des Cordeliers à la deuxième
1666 (10. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 649-v
Erschienen H. Emanuel Waldeckh der Goltarbeiter alß Vogt Fr. Mariä Hämerlein weÿl. H. Antoni Walters gewesenen Glasers nunmehr seel. hinderlaßener wittibin unter assistentz Hannß Jacob Stammen deß Schiffmanns und Johann Heilÿ deß Sigristen zu St Thoman ihrer anweßend dochtermänner an einem,
So dann H. Nicolaus hämmerlin Sibner Gerichts Procurator alß Vogt Henrich wid. deß organisten mit weÿl. Martha Hämmerlerin eingangß genannter Mariæ eheleiblich. Schwester nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. am andern, Und beÿde theil mit beÿstand H. Johann Peter Schmid und H Johann Philipß Zeißolffs beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel Zu beed. Parten gütlich Verheißung insonderheit Deputirter, haben Zuvorderist eunen sub dato Straßburg Mont. den 25. Juni a° 1658. Zwischen obgemelten beed. Schwestern vffgerichteten und von dero Ehevögten eigenhändig unterschriebenenen Abtheilungs, und Vergleichs: schein welch. de verbo ad verbum also lautet.
Zuwißen daß Vff heüt Zu und bemeltem dato, Vor mir unterschriebenen Notario persönlich erschienen seind, fraw Maria Hämmerlin, herrn Anthoni Walters deß Glasers, so dann fraw Martha Hämmerlin herrn Heinrich Weidten deß Organisten Zu St: Aureliæ eheliche haußfrau, beede leibliche Schwesteren, und iede mit beÿstand Ihres Ehevogts bekannten freÿ offentlich, Demnach Sie eine Zeitlang, wegen Zweÿer, Von ihren geliebten Eltern weÿl. H. Jacob Hämmerlin geweßenen Statt glaser alhier und fraw Margaretha Kellerin beeden Eheleüthen seeligen ererbten Behaußungen, deren eine alhie un d. Statt Straßburg Vff dem Barfüßer platz, und ein Eckh hauß Zum danneneckh genannt, die andere aber in dem Rosengarten geleg. und Zur Rosen genannt, wie solche in dem über gedachtem H Jacob Hämmerlins seel. Verlassenschafft in Anno 1622. den 23. Januarÿ vffgerichteten Inventario fol. 54. & seqq. beschrieben, in unvertheilter Gemeinschafft gestanden, daß Sie sich bereits vor etlichen Jahren einer freündschwesterlichen separation und abtheilung, dahien wohlbedächtlich mit einander Vereinbahret und Verglichen hetten, daß nemblichen fr. Mariæ Hämmerlin der Eltern Schwester die im Rosengarten gelegene und Zur Rosen genannte, der Jüngern Schwester fr. Marthæ aber die Zum dann Eckh genannte Vff dem Barfüßer platz gelegene Behaußung mit aller deren gebäwen, weithen, Zugehördten und Gerechtigkeiten eigenthümlich verbleiben, ein iede die darauff hafftende und hernach specificirte beschwärten (…), und weilen die uff dem Barfüßer platz gelegenen tempore separationis umb 400. fl. beßer und höher, alß die im Rosengarten æstimirt, und geschatzt worden, fr. Margaretha ihrer Schwester fr. Mariæ deßwegen 200. fl. für ihre helffte hienauß Zugeben (…)
seind diß die beschwärten, so uff der Behaußung im Rosengarten stehen und Fr. Martha übernohmen Erstlichen 2. lib 10. ß d Jahres vff Joh. Baptä ablößig mit 50. lib weÿl. H Lorentz Weÿer deß weinhändlers seel. Erben allhier, Item 3. lib. Jährliches Vff weÿhenachten Gottfried Hütwohl dem Barbierer ablösig mit 50. lib. (…), Item j. lib 6 ß 3 d Jahrs Vff Mich: der Zunfft Zur Steltzen alhier mit 26. lib. 5. ß d Nachtrags Capital abzulößen, Item j. lib. 13 ß d bodenzinß und Allmend gelt d. Statt Straßburg Jährlich Vff den 24. Aug: fällig
Vff der Behaußung Vff dem Barfüßer Platz aber stehen außerhalb hievorstehender treÿ Posten, so beede Schwesteren Vff den unverhofften fall ins gesampt Zuvertretten nachfolgende beschwärdten so Fr. Martha übernohmen, Erstlichen 5. ß Straßburg. wehrung dem Stifft Margrethen alhier in Straßburg Vff Annunciationis Mariæ mit 100. fl. Straßb. whehr. ablößig,
Item j. lb 19 ß d Vff Mariæ Liechtmeß, weÿl. H Dr. Niclaus Philipß Schedienn wittib und Erben so mit 39. lib. Capital abzulößen
Item 3. lib. 8 ß 3 d. Vff Adolphi Christinæ Lingelsheimerin alhier ablößig mit 68. lib. 5 ß,
Item j: lib 6 ß 3 s Jahrs Vff Mich: dem Closter St. Stephan alhier, mit 26. lib. 5 ß widerkäuffig
Item 12 ß 6 d Jahrs Vff Mich: weÿl. Michael Scherbaums deß Glasers Erben so mit 12. lib 10. ß d abzulösen geweßen (…)
So beschehen in des heÿl. Reichß freÿen Statt Straßburg Montags den 25.ten Jan: Anno 1658., Johann Jacob Redwitz Notarius Cæs. Juratus Civis Argent:
(f° 653 – quittungen) Angefang. den 10. und absolvirt d. 11. Xbr. A° 1666
[in margine, f° 650 :] Erschienen Hannß Jacob Stamm der Schiffmann alß Ehevogt Margarethæ Hockkin und im Nahmen und alß hierzu constituirter Mandatarius Adrian Hockhen deß Trähers zu Heÿdeßheim Würtenb. Herrschafft seines Schwagers, Ferners Johann Knilius der Sigrist zu St. Thoman alß Ehevogt Barbarä Hockhin, So dann Michael Ammel der Wagner alß Vogt Catharinæ, Anthoni, Mariæ Elisabethæ und Emanuels Wolffgang Röslers deß Zimmermanns mit Weÿl. Maria Magdalena Hockhin ehelich erziehlter Kinder und Er der Vogt mit beÿstand sein Röslers ihres Vatters aller hierinn benambster Mariæ Hämmerlerin nunmehr seel. nachgelaßene Kinder und Erben, haben in gegensein Georg Vettern deß Lautenmachers alß ietzigen Possessoris hierinn bedeüteter Behaußung mit assistentz hannß Caspar Wolffen auch Lautenmachers seines geweßenen Curatoris, bekannt, daß Sie Von demselben die in gegenwärtiger Verschreibung benambster und vff der Behausung Zum dann Eckh gestandene 100. lb (quittung) Actum d. 13. Julÿ A° 1671.
Vente de meubles qui appartenaient aux deux enfants de feu Henri Wid qui en avait la jouissance viagère
1669 (14.5.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 3) f° 153
Verkauff vndt Looß Register, Inhaltendt, waß abe dem Jenigen mobilien, welche weÿlandt herrn Heinrich Widten, hiebeuor geweßenem Organisten Zum Jungen St. Peter alhie, von seinen beÿden Kindern, hernach benannt, in A° 1666. Zue seinem gebrauch überlaßen, daran aber das eÿgenthumb Ihnen selbsten verfangen war, ist erlößt worden (…) das darauß erhbene gelt meister hanß Brüechel Schneidern deroselben vogt, Zu handen empfangen (…)
Actum I fernerem beÿsein Jungfr. Susannæ Ester vndt hanß Philippßen beeder geschwüsterdt, oberwehnts H Heinrich Widten seel. mit auch weÿland Fr. Martha Hemmerlerin Ehelich erzeügter Kinder, deßgleichen frawen Mariæ Hemmerlerin, weÿland herrn Anthoni Walthers, deß glaßers seel. Wittiben vndt Frauwen Barbaræ Ihrer dochter, Johann Knilÿ, burg. vnd glaßers alhie ehelicher haußfrauwen beeder Ihrer der Vogts Persohnen baaßen, Donnerstags vndt Freÿtags d. 13. et 14. Maÿ Anno & 1669.
Le tuteur des deux enfants d’Henri Wid vend la maison zum Danneck au cordonnier Michel Kæs le jeune, assisté de son père Michel Kæs le vieux
1667 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 636
(Prot. fol. 44 – 430 lb) Erschienen hannß Brüchel der Schneider alß Vogt Henrich Wÿden deß Organisten Kind. mit assistentz H. Johann Philipß Zeißolffs und H Francisci Reißeißens, beed. alß aus EE groß. Rhats mittel ad contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Michael Käsen deß Jüngern schuhmachers, mit assistentz H Michael Käsen deß ältern wohlgedachten Rhats Beÿsitzern seines eheleiblich. Vatters
Hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhier am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am brannten End, anderseit neben der horbisch. Behaußung, hind. vff ein Gäßlin d. Brand End genannt stoßend geleg. und Zum dann Eckh genannt, davon geht iährlich termino Annunciationis Mariæ 5. fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. besagter wehr. dem Closter St. Margareth. und Agneß. alhier, Item j lib 19. ß 6 d termino Mich: wid.käuffig mit 39. lib. Nachtragß Capital Fr. Susannæ Mariæ Aggerin wittibin, Item 3 lib. 8 ß 3 d termino Adolphi lößig mit 68. lib. 5 ß H Abraham Daulphin dem Golt arbeitern, Item 1 lib 6 ß 3 d termino Mich. wid.käuffig mit 26. lib. 5 ß dem Closter St. Stephan, Item 4 lib. termino Annunciationis Mariæ lößig mit 100. lib. Mariæ Walterin, wittibin, Item 6 ß termino Mich. Allmend gelts vom wetterdächlin gemeiner Statt (übernohmen) – umb 137. lib.
Michel Kæs épouse en 1648 Salomé, fille du garde-bois Georges Seidel
Mariage, cathédrale (luth. p. 517)
1648. domin: 12. Trinitatis. Michael Käß der Jünger vnd Schuhmacher, Herrn Michael Käßen, deß Schuhmachers vndt Burgers allhie Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Salome, Georg Seidels, deß Hagmeistes vndt Burgers alhier eheliche tochter. Im Münster, Zinst. (i 265)
1668, Protocole des Quinze (2 R 85) Michel Käß. 215. [der Jünger Schuemacher, abloßung]
Michel Kæs le jeune hypothèque la maison au profit de Jean Pierre Stock, assesseur au Grand Sénat
1670 (23. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 524-v
Erschienen Michael Käß der Jung. Schuhmach.
in gegensein deß Ehrenvest, Fürsichtig, weise H Johann Peter Storckh E.E. Groß. Rhats Beÿsitzers – schuldig seÿe 12. lib.
Unterpfand sein soll, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am brannten End, anderseit neben hannß Georg Berneggern dem Schuhmachern hind. vff ein Gäßlin, d brannt End genannt, stoßend gelegen, darvon geh. iährlichen. Term° Annunc. Mariæ 5 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. R (…), item 6 ß term° Mich. Allmendgeltd vom wetterdächlin
Michel Kæs vend la maison zum Danneck au facteur d’instruments Georges Vetter
1671 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 439
(Prot. fol. 22.) Erschienen Michael Käß der Schuehmacher
in gegensein Georg Vetters deß Lautenmachers mit beÿstand herrn Mathis Seupels des Kieffers und sÿbener Gerichts beÿsitzers und hannß Caspar Wolffen deß Lautenmachers seines geweßenen vogts
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh am branten End, anderseit neben der Horbischen behaußung, hinden uff ein Gäßlin daß Brand end genannt, stoßend gelegen und Zum Danneckh genannt, davon gehen iährlichen term. Annunciationis Mariæ 5. fl. Straßburger wehrung lößig mit 100. fl. besagter Wehrung dem Closter St. Margarethæ und Agneßen alhie, Item 1. lb. 19. ß, 6. d term. Michael. widerkäuffig mit 39. lb Nachtrags Capital frawen Susannæ Mariæ Aggerin Wittibin, Item 3. lb 8 ß 3. d termino Adolphi lößig mit 68. lb 5 ß Abraham Daulphin dem Goldarbeiter, Item 1. lb. 6. ß 3 d. termino Michael. widerkäuffig mit 26. lb 5. ß dem Closter St. Stephan, Item 4. lb termino Annunciationis Mariæ lößig mit 100. lb Mariæ Walterin wittibin, Item 6. ß termino Michael. Allmendt Gelts Vom Wetter dächlin gemeiner statt, so seÿe soclhe behaußung auch noch umb 50. lb Herren Johann Peter Storckhen E.E. Großen Rhats altem beÿsitzern Verhafftet (übernohmen) – umb 376. fl.
Georges Vetter hypothèque un mois plus tard des parts de maisons qui lui appartiennent au profit des enfants de Paul Wolff. Un avenant de 1678 hypothèque la maison place des Cordeliers. Une quittance est remise en 1699 à Jean Streit.
1671 (12. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 500-v
Erschienen Georg Vetter der Lautenmacher mit beÿstand hannß Caspar Wolffen auch Lautenmachers seines geweßenen Vogts
in gegensein Johann Funckhen deß Schneiders alß Vogts Mariæ Elisabethæ, weÿl. Paul Wolffen deß Schneiders nunmehr seel: nachgelaßener ehelicher dochter mit assistentz Johann Herren schneiders des Schuhmachers ihres Stieff Vatters – schuldig seÿe 100. lb
Unterpfand sein solle, der Vierte theil, Ihme dem Debitori für ohnvertheilt gebührend ahne Zweÿen Häußern einem Vordern und hindern mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie beÿ dem Prediger Closter, neben weÿl. herrn Theophili Gollen Saltzverwalters nunmehr seel. nachgelaßenen Erben gelegen
[in margine :] Erschienen Herr Johann Funckh der Schneider hierinngemelt, alß Vogt hierinn gedachter Mariæ Elisabethæ wolffin der Creditricis, in gegensein deß Edel- fürsichtig und hochweÿsen herrn Johann Philipps Zeißolffs deß geheimen Regiments der Herren dreÿ Zehn alß Curatoris frawen Cleophe, weÿl. herren Johann Christmann Mercklings E.E. großen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin (…) Zu Unterpfand exprimirt sein solle hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier uff dem Barfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am branden End, anderseit neben Hannß Georg Bernegger dem Schuhmacher hinden uff ein Gäßlein stoßend gelegen – Actum 15. Jan: a° 1678
[in margine :] Erschienen H Abraham Büchel der Handelßmann alß Ehevogt Fr. Catharinæ gebohrener Mercklinin, So dann H Johann Carl Kellermann, auch Handelßmann, alß Ehevogt Fr. Barbaræ auch gebohrene Mercklinin, Haben in gegensein hrn Johann Streits, Exsenat. alhie, Besitzer des hievor beschriebenen am Barfüßerplatz gelegenen Haußes (…) Act. d. 28.t Aprilis 1699.
Fils du tailleur Georges Vetter, Georges Vetter épouse en 1670 Susanne, veuve de Balthasar Wintergerst, pasteur à Ingenheim.
Mariage, cathédrale (luth. f° 133-v n° 50)
1670. Dom. XXXI post T. Zul 2. mahl Georg Vetter, der ledige Lautenmacher Weiland Georg Vetters, geweßenen Schneiders v. Burgers alhie nachgelaß: ehel. Sohn, Fr. Susanna Weiland hn. M. Balthasar Wintergersts geweßenen Pfarrers Zu Ingenheim, hoch Gräffl. Hanaw. Herrschafft nachgelaßene Wittib. Donnerstags den 3. 9.br. Münster (i 136)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 212 n° 50) 1670. Eâdem Dominica [xix Trinitatis 23. Octob.]. Georg Vetter der Lautenmacher Weÿl. Geörg Vetter deß Schneÿders Vndt Burgers allhie nachgelas. ehelicher Sohn, Vnd Fr. Susanna Maria, Weÿl. hn. Balthasari Wintergerst, gew. Pfarrer Zu Ingenheim, Hochgräfflich Hanawischer Herrschafft nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Eod. Die im Summo Templo (i 225)
Alors diacre à Brumath, Balthasar Wintergerst épouse en 1666 Susanne Marie, fille du marchand Jacques Lombart
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 165 n° 46)
1666. Eâdem Dominica [xxiv Trinitatis 25. Novemb.] H. M. Balthasar Wintergerst, Helffer Zu Brumath, Hn M. Balthasari Wintergerst wol Verdienten Helffers beÿ diser Kirchen ehl. Sohn, Vnd Jfr. Susanna Maria Weÿl. Hn Jacob Lombart, deß Handelßmanns Vndt Burgers allhie nachgel. ehl. Tochter. Copulavi Donnerst. 6. 10.br. (i 180)
Le facteur d’instruments Georges Vetter est par ailleurs peseur de farine à la Porte des Juifs
1686 Conseillers et XXI (1 R 171) Georg Vetter der Lautenmacher wird Mehlwäger. 104. 106.
1687 XV (2 R 91) Georg Vetter der Meelwäger pt° Holtz Besoldung, 264, 270
1694 XV (2 R 98) Georg Vetter der Meelwäger pt° addition seiner Besoldung, 47, 49
1698 XV (2 R 102) Georg Vetter der Meelwäg. 274. 287. (pt° Pfenningthurns Capital)
1703 XV (2 R 107) Georg Vetter Meelwägers am Judenthor pt° additionis. 164. 214.
Marie, femme de l’orfèvre Abraham Dauphin qui habite maintenant à Weingarten cède à Elie Brackhenhoffer un capital garanti sur la maison. En marge, quittance remise en 1695 à Jean Streit.
1672 (25. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 45
ut supra [fraw Maria, Herrn Abraham Daulphins deß Golt Arbeiters burgers Zu Straßburg anietzo in der Chur Pfaltz Zue Wingarten wohnhaft Eheweib, mit beÿstand erstermelt ihres Ehevogts]
in gegensein deß Edel- from und Wohlweÿsen Herren Eliæ Brackhenhoffers deß beständigen Regiments der Herren Fünff Zehen
cedirt und übergeben habe 130. fl. Capital straßburger wehrung, so uff Georg Vetters deß Lautenmachers alhier am Barfüßerpklatz einseit ist ein Eckh am branten End, anderseit neben (-) Horben gelegenen und Zum Danneckh genannten behaußung nach besag einer deutschen pergamentinen Sub dato 27. Aug. 1578. und 27. Febr: Anno 1579. durch weÿl. herrn Adam Mechlern alß deß bischofflichen Hoffs damahlig geweßenen Contractuum Notarium nun längst seel. uffgerichteten Zinnß Verschreibung hafften
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Streits ged. E.E. großen Raths beÿsitzers als jetzmahligen eÿgenthumbs herren hierinn allegirten am Baarfüßerplatz gelegenen behaußung (quittung) Act. den 14. Februarÿ A° 1695.
Georges Vetter et sa femme Susanne Marie hypothèquent la maison au profit de la veuve Catherine Meyer
1681 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 89-v
Georg Vetter der Lautenmacher undt Susanna Maria, beÿde Eheleuthe, undt zwar dieselbe insonderheit mit beÿstandt herrn Mathis Sippels E.E. großen Rhats alten beÿsitzers, undt Jetzigen Rhein Zollers, undt hannß Jacob Sippels des Goltarbeiters, Ihrer Mutter brüder
in gegensein Herren Abraham kochen deß Specerirers alß Curatoris Frawen Catharinæ Meÿerin, wittibin – schuldig seÿen 25. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen und zugehördten alhier am baarfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am brandten Endt, anderseit neben Johann Georg Berneggern dem Schuhmacher, hinden uff ein gäßlein das brandenendt genannt, stoßend gelegen, undt zum Dann Eckh genannt, Davon gehen Jährlichen 6 ß Allmendgeldt Von seinem Wetterdächlein gemeiner statt, Item term° Annunciat: Mariæ 5. fl. Straßb. Wehr. lößig mit 100. fl. besagter Wehr. dem Closter St: Margarethæ und Agneßen alhier
Georges Vetter se remarie avec Susanne, fille du passementier Lazare Kolb : contrat de mariage, célébration
1687 (30.8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 605
(Eheberedung) H. Georg Vetter, der Lautenmacher alß hochzeiter, mit beÿstand H. Johann Caspar Wolffen deß Lautenmachers und E.E. Kl. Raths alten Beÿsitzers an einem,
So dann Jfr. Susanna weÿl. Lazari Kolben gewesenen Paßmentirers sel. hind.laßene eheliche tochter mit beÿstand H. Abraham Kolben deß Seÿdnhändlers Ihres Vettern und vogts am andern theÿl
Mariage, cathédrale (luth. f° 4)
1687. Eod. die [Dom: 22 post Trinit.] sind Zum ersten mahl ausgeruffen worden herr Georg Vetter Burger und Lautenmacher, Jfr. Susanna Weiland Lazari Kolben gewesenen Burgers u. Paßmentmachers nachgelß. ehel. T. Sollen Copulirt Werden Mittw. den 5.t 9.br. N Kirch. Ist auf fürhergangenen Zweÿmahl. proclamation geschehen (unterzeichnet) Georg Vetter Alß hochzeiter Lautenmacher, + Ist das Zeichen Susanna Koerin Alß Hochzeitterin (i 4 – autre non signé p 154)
Georges Vetter et sa femme Susanne Marie hypothèquent la maison au profit du receveur de l’orphelinat Jean Hartmann Wœrtz. En marge, quittance remise en 1690 à Jean Streit.
1683 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 162
Georg Vetter der Lautenmacher und Susanna Maria sein eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der ehrenvest fürsichtig und weÿsen herrn Mathiæ Seupels und herren Mathæi Schmidts E.E. großen Raths resp. alten und ietzigen Beÿsitzers
in gegensein herren Johann Friderich Sachßen im nahmen herrn Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß waisen hauß
unterpfand, hauß, hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier am Barfüßer platz, einseit neben hannß Georg Bernegger dem Schuhmacher, andeseit ist ein eckh, hinden uff deß branden End stoßend gelegen und zum dannen Eckh genannt
[in margine :] (…) Johann Streiten deß Pastetenbecks alß ietzig possessoris d. zu und.pfand verlegt. beh. (quittung) den 7. 8.br. 1690
Georges Vetter et sa femme Susanne échangent leur maison avec Dorothée, femme d’Ignace Barbier
1683 (11. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 443-v
Dorothea, Ignatÿ Barbieres Eheweib mit beÿstandt erstged. Ihres Ehevogts, mit beÿstandt Herrn Caroli de Longjean Procureur du Roÿ, Herrn Johann Welpers des buchhändlers, Ihrer Kinder Vogts undt Herren Johann Koppen des barbieres Ihres Vetters an einem,
so dann Georg Vetter der Lautenmacher undt Susannæ beÿdte Eheleuthe, mit beÿstand Herrn Johann Caspar Wolffen auch Lautenmachers, undt Herrn Mathis Sippels E.E. großen Rhats beÿsitzers beÿder Ihrer Vettern am andern theÿl,
Nemblichen es habe Sie Dorothea mit consens dero Ehevogts, Ihme Vettern undt deßen Ehweib tauschweiß eÿgenthümblich überlaßen, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten alhier auf dem Roßmarckh, einseit ist ein Eckh an der Schiltsgaßen, anderseit neben Albrecht Gÿßen dem Leinenweber, hinden uff (-) stoßend gelegen, welche ietz beschriebene behausung umb 450 fl. dem großen gemeinen allmosen Zu St Marx verhafftet
hiengegen so haben Sie beÿdte Eheleuth obbemelt Ihro Dorotheæ Barbieres tauschweiß eigenthümlich cedirt undt übergeben, hauß und hoffstatt mit allen deren gebäwen, rechten undt gerechtigkeiten, alhier am baarfüßerplatz, einseit ist ein Eckh am brandenendt, anderseit neben Johann Jacob Bernegger dem schuhmacher, hinden uff ein gäßlein das brandenendt genannt, stoßend gelegen dar von gehendt Jährlichen term° Annunciat: Mariæ 5. fl. Straßb. Wehr. lößig mit 100 fl. besagter Wehr. dem Closter St: Margarethæ und Agneßen, item 1 lb. 10 ß 6. d term° Michael: widerkäuffig mit 39. lb Nachtrags Capital Susannæ Mariæ Ackherin Wittibin, Item 3. lb 8 ß 3 d term° Adolphi lößig mit 68. lb d. 5. ß d Abraham Daulphin dem Goltarbeÿtern, Item 1. lb 6 ß 3 d term° Michael: Widerkäuffig mit 26. lb 5 ß dem Closter St: Stephan, Item 4 lb. d term° Annunctiat: Mar: lößig mit 100 lb frawen Cleophe Merckhlin, Item 1 lb 5 ß lößig mit 25. lb dem Weißenhauß allhier, Item 6. ß term° Michael: Allmendtgeldts von einem Wetterdächlein gemeiner Statt, so seÿe solche behaußung auch umb 50 lb herrn H. Peter Storckhen XV. verhafftet – Sie Barbierin (…) auch annoch 60 Rchtlr. in bahrem gelt nachgeben solle
Fille du professeur de mathématiques Evrard Welper, Dorothée Welper épouse en 1660 le juriste Jean Chrétien Geilfuss, fils de Jean Geilfuss, professeur de philosophie à l’université de Tubingue.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 41)
1660. Dncâ XX. Trinit.d. 4. Novembris. H Johann Christian Geilfuß J U Candidatus, Weiland H Johann Geilfußen Professoris Philosophiæ in d. Vniversität Tübing. hinterlaßener Ehelicher Sohn vnd J. Dorothea H. M. Eberhardi Welperi Mathematic. v. burger alhie Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 13. Zu den Freÿ Predigern (i 44)
La Strasbourgeoise Dorothée, veuve et fille d’Evrard « Wildbrett », épouse en 1682 Ignace Barbier, originaire de La Flèche en Anjou
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 72)
d. 24. 7.bris 1682. Ignatius Barbier de La paroisse de S. Thome (Patria) De La flesche en Enjous, Dorothea Wildbrettin uidua et filia Ebehardi Wildbrett ciuis (Patria) Argentinensis (i 43)
Le préteur royal Güntzer rapporte aux Treize que la veuve de Jean Chrétien Geilfuss qui a épousé le traiteur catholique au Lys d’or est en infraction avec l’arrêt royal qui interdit aux catholiques de se marier avec des réformés.
1682, Protocole des XIII (3 R 39) f° 327
Montags den 7. Septembris 1682. – Johann Christian Geilfußen wittib soll weilen Sie Zur un Ehe sitzet, abgestrafft werden
Herr Syndicus Güntzer sagt, es seÿe jüngsthien ein Arrest vom Königl. Parlament Zu Paris publicirt worden, krafft deßen allen Catholischen verbotten wird, sich an reformirte Zu verheürathen, weilen nun Johann Christian Geilfußen, des verstorbenen Pedellen Wittib sich an einem Cathol. Traitteur Zur Guldenen Gilgen allhier verlobt und sich beÿ Ihme mit großen ärgernuß auffhalte, solches aber wider hiesiger Statt Ordnung, daß mann nicht Zue unnehe sitzen solle, alß stellt Er Zu Mghh., weilen dieser Verlobnuß null und nicht gültig ob Sie diese Wittib deßwegen beÿ E. E. Raht abstraffen und damit mann von des Parlaments je Zu Zeiten publicirenden ordonnances wißenschafft haben möge, herrn Agent Becken die überschickung derselben comittiren laßen wollen. Erk. Fiat.
Dorothée Welper se convertit le 29 septembre 1686.
Conversions par les Jésuites (1 AST 305, p. 360) Dame Dorothée Welper 1686 Septem 29
Les enfants Geilfuss louent la maison au vivandier Etienne de Combe et à sa femme Marthe Didier
1688 (18. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 656-v
Erschienen H. Johann Drillinger, E:E: Kleinen Raths beÿsitzer und auß deßen Mittel an statt Mariæ Salome Geilfußin, Frantz Hochsteins Cammerdieners am Stuttgardisch. hoff haußfrau, Ferner H. Johannes Welper, der Buchtrucker, alß Vogt Justi Christiani Geilfußen, So dann H. Johann Philipp Kugler, Ober Pedell beÿ hiesig löbl. Universitæt, alß Ehevogt Johannæ Christianæ Geilfußin
haben in gegensein Estienne de Combe, deß Marketenders, und Marc Didier deßen Ehelicher haußfrau
entlehnt; Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und Zugehördt, allhier am Baarfüßer platz, einseit ist ein Eck am Brenten End, anderseit neben Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher geleg., auff ein Viertel jahr lang von heut dato anzurechnen, umb 20 guld. Zinß
und ist darbeÿ insond.heit verglich. daß under solcher lehnung auch zweÿ biliard sambt Vier helffenbeinen Kugeln und soviel Stocken, mit begriff. sein soll.
Requête de l’aubergiste manant Ignace Barbier
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
(f° 15-v) Sambstags den 24. Januarÿ 1699. – Ignatius Barbier pt° Ungeltd
Ignatius Barbier der Schirms Verwanthe und Aubergiste p. G. prod. Frantzösische Requeste bittet wie inhalts. Erk. an die Ober Ungelts herren gewießen
Marie Salomé Geilfuss, femme de François Hochstein, vend un tiers de la maison à l’imprimeur Jean Welper (tuteur de Juste Chrétien Geilfuss d’après l’acte précédent)
1689 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 220-v
Maria Salome, gebohrne Geÿlfußin, Frantz Hochstein beÿ Hn General de Montclar in diensten eheliche haußfrau (unterzeichnet) +, Frantz Hochstein
in gegensein H. Johann Welper deß Buchtruckers
Einen dritten theÿl am Hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriff. Rechten und Zugehördten allhier am Baarfüßer Platz, einseit ist ein Eck am Branden end, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher, hind. auff ein Gäßel d. Brenten end genandt, stoßend geleg., welche gantz behaußung 6 ß d Allmend geld weg. eines wetterdächleins gemeiner statt Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch noch umb 100 gul. Straßb. wehr. in Capital und 18 fl. 7 ß 6 s Zinß und Marzal dem Closer St. Margarethen und Agneßen allhier, Ferner umb 39 pfund Nachtrags Capital und 4 pfund 18 ß 9 d Zinß und Marzal (Item umb 68 pfund 5 ß Capital, Mehr umb 26 pfund 5 ß Capital, Item umb 100 Pfund Capital, So dann umb 25 pfund Capital, Mehr 25 Pfund Capital) verhafftet, und ist dießer Verkauff und Kauff /:darund. auch die darinn befindliche zweÿ biliard pro rato mit begriff. sein sollen:/ über die angegebene beschwerde welche d. Kaüffer pro rato vbernomm., umb 12 pfund
Jean Welper, Jeanne Chrétienne Geilfuss femme de Philippe Kugler et Juste Chrétien Geilfuss, étudiant à Paris, vendent la maison au fabricant de patés (pâtissier) Jean Streit et à sa femme Ursule Scheibler
1689 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 353-v
H. Johannes Welper, der Buchtruckern für sich selbsten, Mehr Johanna Christiana gebohrne Geÿlfußin, H. Philipp Kuglers, Ministri Academici beÿ hiesig. Universitæt eheliche haußfrau, auch für sich selbsten, und Sie beede Welper und Kuglerische haußfrau auch im nahmen Justi Christiani Geÿlfußen Studiosi Zu Paris anietzo sich auffhaltend, Ihres respect. Schwagers und leiblich bruders
in gegensein Johannis Streiten deß pastetenbecks, und Ursulæ Scheublerin, deßen eheliche haußfrauen, mit beÿstand H. Caspar Saxen, deß Schuhmachers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Rechten und Zugehördten allhier am Baarfüßer Platz einseit ist ein Eck am Brenten End, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmacher hind. auff ein Gäßel d. brenten End genandt, stoßend gelegen Von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 6 schilling Allmend geld weg. eines wetterdächleins, Gemeiner Statt Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch noch umb 39 Pfund Nachtrags Capital (Item umb 68 pfund Capital, Mehr umb 26 pfund Capital, Item umb 100 pfund Capital, Item um 25 Pfund, So dann umb 50 Pfund Capital verhafftet), geschehen, alßo und dergestalt daß die im hauß befindliche Zweÿ bilard under dem Kauff mit begriffen sein sollen, umb 166 Pfund
Jean Streit et Ursule Scheibler contractent une dette la veille de l’achat ci-dessus. Un avenant ajoute la maison à l’hypothèque quelques jours plus tard
1689 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 348-v
Erschienen Johannes Streit, der Pastetenbeck, und Ursula Scheiblerin, deßen eheliche Haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Michael Gilgen und H. Johann David Traners, beed. E.E. Großen Raths beÿsitzer vnd hierzu insonderheit deputierter
haben in gegensein Hn Johann Friderich Sachßen, Schaffners deß waisenhaußes – schuldig seÿen 150 pfund Ihnen Zu erkauffung einer am baarfüßerplatz gelegenen behaußung, so morgen tags, geliebts Gott ! verschrieben werd. solle
unterpfand, Neun viertel 3 Sester halb Korn und Gersten jährlicher Gült so hans Lerbß Zu Uttenheim Von Eÿgenthümblich. Gütherns alle jahr Zu lüffern schuldig (…) der correæ von weÿl. Frantz Scheübel gewesen. burger zu andlau Ihrem Vatter sel. Vermög deß ao. 1680. beÿ d Stattschreibereÿ daelbst auffgerichte. theil Regiters zugetheilt word. (…)
[in margine :] (…) zu einem fernern special unterpfand verloost haben wolle, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen allhier am baarfüeßer Platz einseit ist ein Eck am brenden End, anderseit neben H. Johann Georg Bernegger dem Schuhmach. hind. auff ein Gäßel stoßend gelegen (den) 7. Julÿ 1689
Jean Streit et Ursule Scheibler font baptiser leur premier enfant à Strasbourg en juin 1686. Le baptême de 1690 mentionne que le mari est originaire de Bergheim (Oberbergheim) et la femme d’Andlau.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 32)
23.a Junÿ 1686. Baptizatus fuit Johannes Wolfgangus Cuius pater Est Joannes Streit et Ursula scheblerin Coponarÿs, patrini fuerunt Joannes wolfgangus Contz syndicus S. Petri Junioris et Anna Catharina Beckein in palatio neovillaria (i 20)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 116)
1690. 20. Januarii Baptizata est Catharina Ursula Joannis Streit ex Oberberken in Superiori Alsatiâ et Ursulæ Scheplerin ex Andlau conjugum hic commorantium filia quam susceperiunt Dominus Wolffgangus Contz Notarius Apostolicus et Regius et Domina Catharina Beckerin (i 66)
Natif de Bergheim et fils du prévôt de Rorschwihr Jacques Streit, Jean Streit et sa femme Ursule Scheibel, fille de François Scheibel d’Andlau, achètent le droit de bourgeoisie en apportant deux enfants qui suivent la coutume (ne deviennent pas bourgeois).
1689, 3° Livre de bourgeoisie p. 1044
Johannes Streit der Pastetenbeck Von Oberbergheim gebürtig weÿl. Jacob Streiten geweßenen Schultheisen Zu Rohrsweÿer hinterlaß. sohn, erkaufft das burgerrecht vor sich und Vrsulam Scheibelin Von Andtlaw gebürtig weÿl. Frantz Scheibell geweßenen Bawmeisters daselbsten Ehel. tochter deßen Haußfraw pro 6. gold fl. und 16 ß so sie bereits uff allhiesigen Pfenningthurn erlegt haben, wegen der beeden Kinder bleibt es beÿ der Ordnung seind Zuuor ledig standes geweßenn vnd werden beÿ E E Zunfft der Becken diennen. Jur. den 9. Julÿ 1689.
Mentions de Jean Streit dans les registres des Quinze
1691 Conseillers et XXI (1 R 174) Hr. Johann Streith wird Schöff. 213.
1693 XV (2 R 97) Johann Streit d. Pastetenbeck pt° Leÿr Verungeltung (Wein von Andlau herein geführt), 32, 35
1697 Conseillers et XXI (1 R 180) H. Johann Streith vmb Recommendation ahne hern Prætorem. 168. (als hoch Meritirten Subdelegué von dem Herrn Intendanten, wegen Befreÿung Von der Impositionen, so die Gemeind Roschweÿer auff sein Reben Zu Legen prætendirt)
Visite des auberges. Le pâtissier Jean Streit sert du vin à des Français et à des bourgeois en ne réglant que 9 sols de taxe. Il devra se conformer à l’avenir aux règles qui s’appliquent aux débitants de vin.
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(f° 83) Mittwochs den 11. Aprilis. Visitation der Würthshäußer
Obere Umgeldts Herren laßen her Herren Schragen referiren, daß es jnn Vorigem jahr die meinung gehabt, daß, weilen jnn den Würthshäußern einige desordre vorgegangen, vnd gemeiner Statt wegen des umbgeldts erführt worden, mann eine visitation vernehmen und sehen sollte, Ob nicht einige davon abzuschaffen weren ? deme Zufolg mann nicht ermangelt, die Häußer Zu durchgehen, sie zu besichtigen, und in Formation ein Zu Ziehen 1) Wegen des Nahmens, 2) Wegen der religion, 3° ob die Leuth verheurathet ? 4) Wegen der Kinder, 5) weg. des gesindts, 6° weg. d. hanthierung, 7) Weg. des Schildts, 8) Wegen d. gelegenheit, 9) Wie Viel Zinß d. Würth geben müße, 10) Wem d. hauß zuständig, 11) Wer mehr jm hauß wohne, 12) Wie Viel wein d. Würth habe, 13) wie er ihn Ver Umgelde ? 14) Ob er den Schild Zahle und 15° Ob er burger und jm Schirm seÿe.
41. Herr Rathh. Johann Streit
der Wohne auff dem Baar Füßerplatz, ist Nicht geld Zünfftig, seiner Profession ein pastetenbeck, setzt burger Und Frantzosen und gibt Nur 9 ß. Umbgeld, allein, weilen es ohnlängsten die meinung gehabt, daß die pastetenbeck, so warein* speißen geben, Und wein außschencken, d. große Umbgeld geben sollen, so stündte Zu Mghhn Ob er nicht dero Erkandtnuß gemäß sich verhalten sollte. Erk. Quod Sic.
Le prévôt de la tribu des Boulangers rapporte aux Quinze que Jean Streit ne participe pas aux réunions ou qu’il contrevient au règlement, notamment en divulguant les décisions.
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
E. E. Zunfft der Becken Ca H Johann Streiten alt. Rathherrn
H. Rath. Streit C. und H Dr Hammerer pt° Vorsitzes
(f° 13) Freÿtags den 23. Januarÿ 1699. – Herren Ober: vndt Rathh. E. E. Zunfft der Becken Ca H Johann Streiten alt. Rathherrn
Herr Secretarius Frid Proponirt, es habe Herr Ammeister Johann Reinbold Friderici Oberherr beÿ E. E. Zunfft der Becken, so wohl vor sich als nahmen der Hh. Rhatherrn vnd übrigen Schöffen ged. Zunfft, ein unterthäniges Memoriale, so derselbe abgelesen, wider H. Johann Streiten E. E. Großen Rhats alten beÿsitzer übergeben, darinnen dießelbe sich höchstens beklagen, welcher gestalten derselbe nicht allein beÿ allen gerichtlichen Zusammenkunfften allerhand Confusiones vnd Zerrüttungen anzuspannen vndt Ihnen Chagrin Zu erwecken gesucht, sondern auch seinen obliegenden Pflichten Zuwider gehandlet habe, allermaßen derselbe (1) dem in Ihrem alten articulbuch fol. 23. der Churen und Wahlen halben, befindlichen articul, welcher vor denen Contravenienten ohnnachläßig 10. lb d str. fordert, sich mit sonderbahrer Gefehrde vmb ein vnd anderen dadurch in Fallstrick Zu bringen, entzogen, alßo daß man in nechst verwichener Churnacht seiner, ohngeachtet Er auff der Stub war, mit der wahl eines Zumans bis gegen 6. uhr wartten müssen (2.) den darauff folgenden Schwörtag als den 13. hujus, ohngeachtet Ihme beÿm Eÿdt vnd 5 ß gebotten war, der, in obangezognem articulbuch fol. 39. enthaltenem §° zuwider gar nicht erschienen, noch sich entschuldihen laßen (3.) des andern tags, alß nach der gewohnlichen Rhats Predigt, beÿ der Zunfft nachmitags das geding gehalten wurde, dem Zunfftschreiber, beÿ ablesung des Schöffen vndt Gerichts büchleins vor der gantzen Gemeind Zu Confundiren gesucht, und prætendirt, daß derselbe die nahmen, nach seiner opiniastren meinung anderst ablesen solte, vmb dadurch Sie in höchste Verachtung zu setzen. Wie Er dann (4.) beÿ der meister bißhero vorgegangenen Churen undt wahlen, die doch /.wann Sie König. Ordonnance Conform.) freÿ seÿn sollen, sich so Meisterloß erwießen, daß Sie sambtlichen schon längstens vnd öffters an Ihme sich Zu ärgern ursach gehabt hetten. (5.) der verschwiegenheit in denen abgehandelten Gerechtlichen Sachen, sich gantz nicht befließen, sondern gleich nach abgefaßten Concluse solches anderwertlichen eröffnet, und Endlichen (6.) im letst verwichenem 1698.sten Jahr, Zu denen meistern Gerichtlichen versamblungen seinem schworen* Eÿd entgegen, nicht gekommen, sondern muthwilliger weiß außgeblieben seÿe, welches deßen tragenden Ambt gäntzlichen Zuwid. lauffe & mit angehengter bitt, daß weilen mehrged. H. Rathh. Streit auff vorerzählte weiß denen ordnungen sich widersetzet, vndt dergestaten unfreudlich mit Ihnen umbgegangen, Mghherren Sie in gnädige Prosection auffnehmen, Ihro Ehre conserviren, undt berührten H. Streit als einen übetretter vnd verächter so vieler heilsamnen Ordnungen andrem Zum Exempel, Züchtigen vnd weilen Sie imploranten alle vor der gantzen Zunfft beschimpfft word; Ihnen billicher Satisfaction gedeÿen laßen Wolten. Erkandt, Soll durch die Herren XV. Meister der beklagte beschickt, vnd Ihme die Klag communcinirt werden.
(f° 24) Freÿtag den 6. Februarÿ 1699. Hh. Ober und Rathh. und Schöffen E E Zunfft der Becken Ca. Herrn Johann Streiten alten Rathh.
Beede Herren Fünff Zehenmeister Laßen p. Herrn Friden das Jenige reassumiren was herrn Ober vnd Rathherren auch Schöffen E E Zunfft der Becken wider H. Johann Streiten E. E. Gr. Raths Alten beÿsitzern den 23. Januarÿ jüngsthin klagendt anbring. laßen, und weilen es damahlen die meinung gehabt daß ermelte Klag demeselben Communicirt vndt Er darüber Klag demselben Communicirt, undt Er darüber gehört werden solten so seÿe es auch gebührendtt geschehen, damit aber deßen verantwortung desto beßer vernommen werden möge, alß werde nöthig seÿn die wider Ihn eingeführte Sechs Puncten Zuvorderist nochmalen Abzulesen (…)
(f° 35-v) Freÿtags den 13. Februarÿ 1699 – H. Rath. streit C. und H Dr Hammerer pt° Vorsitzes
Jean Streit ne règle pas les taxes comme il le devrait à la tribu des Fribourgeois depuis six ou sept ans qu’il sert du vin. Les Quinze lui donnent le choix entre cesser de débiter le vin ou régler son dû à la tribu. Ils n’exigent pas qu’il paie les arriérés en estimant que la tribu aurait dû se manifester plus tôt.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112), 1709 (2 R 113)
E.E. Zunfft der Freÿburger contra Johann Streit
(f° 263-v) Sambstags den 24. Novemb. 1708) – G. noîne E.E. Zunfft der Freÿburger Hn Joh: Friderich Bahlen Gastgebers Zum Thiergartten Cit. per sched. H. Joh. Streiten Exsenatorem prod. unterth. memoriale und bitten wie inhalts. S. Citatus præs. bittet dießer einlag cop. vndt Term. Ord. G. bittet deputationem. Erk. gebettene copia vnd Zeit zugelaßen
(f° 298-v) Sambstags den 22. Decembris 1708) – H. noîne E.E. Zunfft der Freÿburger Herrn Zunfftmeister Johann Friderich Bahlen gtra. Herrn Rhatherrn Johann Streit vom 24.t 9.bris will Erklärung vernehmen. Saltzm. Citatus ist bettlägerig bittet Zu seiner Verantwortung Deputation. Saltzm. mags leiden. Erk. ahne die Ober Ungeltsherren gewießen.
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 35) Sambstags den 23. Febr. 1709 – E.E. Zunfft der Freÿburger C. H. Joh. Streit
Obere Ungelts Herren Laßen per H. Friden proponiren es habe E.E. Zunfft der Freÿburger Ca. H. Rathh. Streiten geklagt daß Er sich der Ordnung wie andere Pastetenbeck nicht Submittiren, vndt wann andere beschickt werd. nicht erscheinen wolle, anbeÿ gebetten, Ihne dazu Obrigkeitl. anzuhalten. Auff beschehene Remission habe man die Parthen angehört, da dann im nahmen der Zunfft erschienen H. Rathh. Vix, Claude Capitaine vndt Joh: Friderich Bahl, welche beditten daß der articul dahin gehe, daß alle Jahr die Pastetenbeckh beschickt vndt gefragt werden sollen, Ob Sie angeloben können, daß Sie keinen wein auff die gaß verkaufft haben, es seÿe auch die meiste erschienen. H. Streit aber nicht vndt wie es verlautet wegen seiner unpäßlichkeit. Bey der 2.ten Conferenz, were H. Bahl allein erschienen vndt habe berichtet das H Streit den Weinschanck schon 6. bis 7. jahr genoßen vndt doch beÿ der Zunfft sich nicht habe Submittiren noch die gebühr davon erlegen wollen, anbeÿ gebetten denselben Zum nachtrag anzuhalten. Worauff H. Streiten hausfr. beditten, daß ihr Mann nicht gewußt warumb er Zu thun geweßen, vndt weilen man nur vom Weinschanck gesagt, so habe Er darvor gehalten, daß es nicht nöthig were, weilen er solche schon lang erhalten anbeÿ gebetten wegen der gebühr solang nach Zu wartten, biß ihr Man wieder gesundt seÿn werde.
Auff seithen der Herren Deputirten habe man darvor gehalten, daß dem hern Streiten die Alternativ gegeben werden könte, entweder den weinschanck Zu quittiren oder sich mit der Zunfft der Freÿburger Zu vergleich. vnd jährlichen die gebühr Zu entrichten, was aber das præteritum belange, halte man darvor daß Er davon Zu absoluiren were, weilen die Zunfft es nicht mit ernst getrieben habe. Erkandt, Bedacht gefolgt.
Jean Streit et Ursule Scheibler hypothèquent la maison au profit de Pierre Albert, employé au Chapitre Saint-Pierre-le-Jeune
1717 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 281
hr Johann Streith Exs: und Ursula geb. Scheibelin beÿständlich Jacob Quelet zollers und François Maisseult marchand de vin
in gegensein Pierre Albert bedienten beÿm Stift jungen St Peter – schuldig seÿen 50 pfund
ihr hauß c. appert: ahm baarfüeser platz, einseit ist ein eck ahm brendten endt anderseit neben Joh: Friedrich Zeÿsolff hinten aufs gäsel
Jean Streit et Ursule Scheibler hypothèquent la maison au profit de leur gendre François Moissemet, marchand de vin
1718 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 407
H. Johann Streitt exsenator und Ursula geb. Scheübelen mit beÿstand H. Johann Georg Daniel Dürrn weinstichers und Jacob Quellet zollers
in gegensein François Moissemet weinhändlers ihres Tochtermanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, rechten und zugehörden ahm baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck anderseit neben Joh: Friedrich Zeÿßolff kupfferschmidt hinten auff das brend. End
Jean Streit demande un subside annuel. La commission rapporte qu’il est pauvre, que la goutte dont il souffre depuis plus de vingt ans lui a fait perdre des clients ; sa femme et ses cinq enfants ne sont pas en mesure de pourvoir à son entretien. Les Conseillers et les Vingt-et-Un estiment que lui attribuer une pension consitituerait un précédent fâcheux et le renvoient à l’aumône Saint-Marc.
1718, Conseillers et XXI (1 R 201)
H. Johannes Streit halt an umb eine iährliche beÿsteür. 89. Relation der Hh. Deputirten. 108. Wird an die Hh. Pflegere Zu St. Marx Verwiesen. 112.
(p. 89) Sambstag d. 30. Julÿ – H. Johannes Streit halt an umb eine iährliche beÿsteür
Lt. Mosseder, Nomine H Johannes Streiten Exsenatoris, producirt unterthänig und flehentliches Memoriale und Bitten umb eine gnädige iährliche Beÿsteür handelt innhalts. ist Erkandt, Werden H. xv. Elwert und H Rathherr Bruder umb die contenta Producti und darinnen allgirte umbständ grundlichen Zu untersuchen, Wie auch den Bescheid anzuzeigen abgeordnet.
(p. 108) Sambstag d. 3.ten Septembris 1718. Relation wegen H. Johann Streiten Exsenatoris – H. Johann Streit Wird an die Herren Pflegere Zu St. Marx Verwiesen, umb in beÿsteur Zu erhalten
H. xv. Elwert und H Rhh. Bruder referiren, daß Sie, zu folg der ihnen d. 30.ten Julÿ iüngst auffgetragene Commission, Wegen H. Johann Streiten Exsenatoris und burgers allhier unpäßlichkeit und Armuth Von unterschiedlichen deßen Mitzünfftigen einen sattsamen bericht eingezogen, und befunden, daß gedachter H. Streit durch unglück und Kranckheiten absonderlich aber das Podagram, damit er schon beÿ Zwantzig iahren behafftet, und aus Welcher ursach er als Pastetenbeck seine meiste Kundten, so ein abscheuen daran gehabt, Verlohren, in einen elenden und sehr dürfftigen Zustand gerathen, auch Keines Von seinen Kindern obschon er deren fünff beneben seiner haußfrauen annoch im leben hat, mit mittlen also Versehen daß Es ihme mit kräfftiger hülff unter die Ärm greifen könte.
Herr Aduocat Scheffmacher opinirte, daß der Implorant abzuweißen seÿe.
Herr Prætor Regius votirte, Es wäre bekandt, daß der Jetzmahlige Implorant durch seine d. 30.ten Julÿ iüngst übergebene Bittschrifft ein iährliches gnadengeld begehrt, Nun könte, seiner meinung nach, derselbe aus Zweÿen ursachen gleich anfangs Simpliciter abgewießen Werden, Erstlichen Wegen der aus der Willfahrt entspringenden bösen Consequentien, Wohl erwogen andere Verbürgerte arme handweercksleüth ein gleiches begehren Würden, so mann ihnen nachgehends abzuschlagen nicht fug hätte, Weilen in pari Causa par Jus Statuendum, dieses aber denen Stifftern, und dem Allmoßen in unerträgliches onus wären und Zweitens des Imploranten merita und Persönliche Qualitäten nicht also beschaffen, daß sie eine sonderbahre Consideration meritirten, Zu geschwigen, daß, Wann Meine Herren auch schon dispensando dem Imploranten iährlichen etwas als eine Pension Wolten Zukommen lassen, die Sambtliche Stiffter und Fundationes sich in einem solches schlechten stand befänden, Wie ratione des Corporis Pensionum aus dem im nahmen der Lutherischen Hh Geistlichen in der Neuen Kirche und Zum Alten St. Peter d. 27.ten Augusti iüngst übergebenen Memoriali mit mehrerem erhellet, nicht Zu sehen, Wo solches könte hergenommen Werden, Jedannoch aber, in ansehung das Stifft Zu St. Marx denen armen burgern mit hülfflicher hand beÿzuspringen gewidmet, und der Implorant sich unter deren Zahl befindet, Wolte Er sein votum dahin gegeben haben, daß er mit seinem gesuch an die wohl verordnete Herren Pflegere erstged. Stiffts Verwießen werden solte ist Erkandt, Wird Herrn Prætoris Regÿ voto gefolgt, mithin d. Implorant mit seinem petito an die Wohlverordnete Herren Pflegere des Stiffts Zu St Marx gewießen.
Les Tonneliers n’accordent pas à Jean Streit la permission de servir de l’eau-de-vie, la requête contrevenant au règlement
1718, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 394) Montags den 7. 9.bris A° 1718
H. Johannes Streitt Pastetenbeck und E. E. großen Raths alten beÿsitzer stehet vor, bittet Wan Er Könnt umb Ein weniges die Erlaubnuß erhalten brandenwein auß Zuschencken in deme Er arm und sonsten nichts Zu verdienen weiß so wolte er es für eine sonderbahren guthat auffnehmen.
Erkandt weilen sein petitum Wieder ordnung und Articul, daß ob man schon gern wolte Ihme nicht favorisiren Könnte.
Jean Streit et Ursule Scheibel vendent la maison au marchand Louis Beguin et à sa femme Catherine Beurez moyennant 1 650 livres
1720 (4.6.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 269-v
(1650) Sr Jean Streit Ancien Senateur d’icy et Delle Ursule Scheibel
à Sr Louis Beguin marchand et Delle Catherine Burez
une maison et place avec tous ses droits appartenances et dépendances scituée icy sur La Grande place faisant d’un côté un coin d’autre Jean frederic Zeilsolph aboutissant derrière à une ruelle – doit 3 livres 4 sols à cause d’un toit qui avance sur le public et de la porte de la cave a notre Pfenningthurn – grevée de 400, 600, 400, 600, 200, 200, 200 et 700 livres de capital, pour 3300 livres
Le marchand Louis Beguin et Catherine Beurez hypothèquent la maison au profit du marchand Daniel Bœhler
1722 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 41
H. Loüis Beguin handelsmann und Catharina geb. Beurez beÿständlich H. höllbeck und H. Klein beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Daniel Böhlers handelsmanns – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, Eine behausung und hoffstatt mit allen derselben zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck anderseit neben Joh: Friedrich Zeißolff hinten auf das Brenden End einen außgang habend, so über 16 ß jährlich allmend zinß geldts freÿ ledig und eigen seÿe
Louis Beguin et Catherine Beurez vendent la maison au pâtissier célibataire Jean Philippe Tag moyennant 1 600 livres
1722 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 280-v
(1600) H. Ludwig Beguin der handelsmann und Catherine geb. Burez
in gegensein Johann Philipp Tagen ledigen Pastetenbecks beÿständlich seines vaters Georg Friedrich Tagen auch Pastetenbecks und in gegenwart Jfr. Susannæ Magdalenæ Roßerin sein Tagen verlobter mit beÿstand ihres vatters Heinrich Roßers des Bierbrauers
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck ahm gebrannten End anderseit neben weÿl. Johann Friedrich Zeÿßolff gewesenen kupfferschmidts wittib und Erben hinten auff gedachtes gebrannte end stoßend und einen außgang in deßelben habend gelegen, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächeleins und einer kellerthür 16 schilling allmendgeld – um 750 pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund
Jean Philippe Tag et sa fiancée Susanne Madeleine Roser, assistée de son père brasseur Henri Roser, hypothèquent le même jour la maison au profit d’Anne Marie Kamm,veuve du maréchal ferrant David Klein
1722 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 282
vorbemeldte käuffere Johann Philipp Tag der ledige Pastetenbeck und deßen verlobte Jfr. Susanna Magdalena Roßerin beÿständlich ihres vatters Heinrich Roßers des Bierbrauers und Johann Reinhard Roßer des Scribenten ihres bruders
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Kammin weÿl. David Kleinen gewesenen huffschmidts und E.E. kleinen Raths beÿsitzers wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Frantz Wolffgang Eberhard E.E. kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿen 500 pfund zu erkauff und bezalung hieunten beschriebener behausung
unterpfand, die aus dießen Vorschuß zum theil bezahlteBehausung und hoffstatt allhier ahm Baarfüßerplatz, einseit ist ein Eck ahm gebrannten End anderseit neben weÿl. Johann Friedrich Zeÿsolff gewesten kupfferschmidts wittib und Erben hinten auff das gebrannte end stoßend – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 schilling ane allmend zinß
Jean Philippe Tag épouse Susanne Madeleine Roser en juin 1722
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 179 n° 1024)
Anno 1722 den 10. Junÿ seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Philipp Tag der ledige Pasteten beck Georg Friderich Tag deß burgers und Pasteten becks alhie ehel. Sohn und Jungfr. Susanna Magdalena Heinrich Roser deß burgers und biersieders alhie ehel. tochter (unterzeichnet) Johann Philipp Tag Alß hochzeiter, susanna magdalena Roserin als hochzeiterin (i 182)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports en partie dans une maison qui appartient au père du marié près des Petites Boucheries en partie dans celle qu’ils viennent d’acheter. Les apports du mari s’élèvent à 443 livres, ceux de la femme à 485 livres.
1722 (7.7.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 31) n° 805
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrenhaffte und achtbare Johann Philipp Tag der Pastetenbecker und die Ehren und tugendhaffte Fraw Susanna Magdalena gebohrene Roßerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst mit einander angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren jeedes nach Innhalts Ihrer mit einander auffgerichteten Heuraths abrede für eigenthümlich unverändert Vorbehalten hat (…) Actum in der Königlichen Stadt Straßburg in fernerem gegen seÿn herrn Geörg Friderich Tagen des Pastetenbecks seines leibl. vatters und Fr. Annæ Salomeæ gebohrener Oberlein seiner Stieffmutter auff sein deß Ehemanns, Sodann auff der Ehefr. seithen Fr. Susannä Magdalenä Roßein gebohrener Beinen Ihrer leibl. Mutter, Mittwochß den 7. Julÿ Anno 1722.
In einer allhier in der Königlichen Stadt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegenen deß dißorths Ehemanns Vattern eigenthümlich zuständigen vnd bewohnenden Behaußung theils aber in einer ane dem Barfüser Platz gelegenen von beeden Jungen Eheleuthen eigenthümlich bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Es haben die beede Jung Eheleuth nach Inhalt Kauffbrieffs in allh. C: C: Stub gefert. sub dato den 2.ten Maÿ Anno 1722. eine behaußung allh. In Straßb. ane dem Barfüßer Platz, so 1. s. ein Eck an dem gebrannden Endt, 2. s. neben Weÿl. Johann Friderich Zeÿßolffs deß gewesenen Kupferschmids hinterlaßene Wittib vnd Erben gelegen, Von Ludwig Becking dem handelßmann v. Fr: Catharina gebohrener Beirez noch Vor der Verehelichung alß beede Ehe Verlobte mit einander auff solche Condition erkaufft, daß dem jetzmahligen Marito darahn zween dritte Theil die übrige tertz der uxori eigenthümlich Zustehen sollen, drauff aber ist nich Zur Zeith anderst nicht auß eigenen mittelen bezahlt worden alß die jenige 200 fl. welche die Ehefr. von Ihren geliebten Eltern, Zur Ehesteur baar erhalten hat, so hiehero Zum bericht dienet.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 259, Sa. Weins 58, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 57, Sa. Goldenen ring 22, Sa. baarschafft 47, Summa summarum des Ehemanns Vermögen 443 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 302, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 39, Sa. Goldenen Ring 19, Sa. baarschafft 123, Summa summarum 485 lb
Jean Philippe Tag devient tributaire chez les Boulangers en septembre 1722 en obtenant le droit que détenait son père
1722, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 383) Dinstags den 15.ten Septembris 1722
Neu Zünfftiger – Johann Philipp Tag der Pastetenbeck undt Burger allhier prod. Stallschein Vom 4.ten Julÿ 1722. bittet Ihne alß Einen Leibzünfftigen anzunehmen undt seines vatters Recht vergönnen, ist Erk. seÿe ihme in seinem petito gegen der gebühr Zuwillfahren (1 lb 5 ß)
Jean Philippe Tag et Susanne Madeleine Roser vendent la maison à leur frère et beau-frère respectif Georges Frédéric Tag moyennant 1 650 livres
1736 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 633
Johann Philipp Tag der Pastetenbeck und Susanna Magdalena geb. Roßerin
in gegensein ihres respective bruders und schwagers Georg Friedrich Tag Pastetenbecks
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit ist ein eck an dem sogenannten Brandt ein End anderseit neben weÿl. Simon Rolle des Altgewanthers Erben hinten auff den Brandt ein End gelegen – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß allmendgeldt – als ein am 2. Maÿ 1722 erkaufftes guth – um 800 Pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund
Fils du pâtissier du même nom, Georges Frédéric Tag épouse en 1736 Anne Marie Müller, fille du tonnelier Emmanuel Müller : contrat de mariage, célébration
1736 (6.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 866
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbaren H. Georg Friderich Tag, dem ledigen Pastetenbeck weÿl. H. Georg Friderich Tags des gewesenen Pastetenbecks und burgers allhier Zu Straßburg verlaßenem ehel. Sohn alß Hochzeiter ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrau Anna Maria Müllerin H. Emanuel Müllers des Kieffers und burgers alhier mit Fr. Anna Maria Müllerin gebohrene Eiggnoßin ehelich erziehlter dochter alß der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
Actum Straßb. Mittwochß den 6.t Junÿ A° 1736. (unterzeichnet) Georg Friderich tag als Hochzeiter, x der hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 138, XXII)
1736. Dominica IX et W Trinitat. proclamati sunt Georg Friederich Taag der ledige Pasteten Beck v. burger alhier, Weÿl. H. Georg Friederich Taag, geweßenen Pasteten Beckers v. burgers alhie hinterlassener ehel. Sohn v. Jungfr. Anna Maria Johann Daniel Müller, des Küeffers v. burgers allhier ehe. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 8. August (unterzeichnet) Georg Friederich Tag als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen (i 142)
Georges Frédéric Tag hypothèque la maison au profit de Marie Dorothée Strohl, veuve du marchand Jean Georges Gimmich
1736 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 713
Georg Friedrich Tag der ledige mehrjährig und ohnbevögtigter Pastetenbeck
in gegensein Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Strohlin weÿl. H. M. Johann Georg Gimmich des handelsmanns ohnbevögtigten wittib mit beÿstand Christoph Christianus des kupfferschmidts – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit ist ein eck an dem sogenannten Brand ein End anderseit neben weÿl. Simon Rolle des Altgewanthers erben hinten auff besagten Brand ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß ane allmend zinß – seith den 30. junÿ jüngst da er selbige käufflich an sich gebracht
Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller font un testament réciproque
1736 (7.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 59) n° 305
Testamentum nuncupativum reciprocum H. Georg Friderich Tagen ledigen Pastetenbecks und Jgfr Annæ Mariæ Müllerin beeder hochzeitelichen Persohnen und burgeren alhier
1736. (…) auff Dienstag den 7. Augusti Nachmittag zwischen fünff und Sechs Uhr in einer alhier Zu Straßburg ane dem altenweinmarckt gegen dem Speÿer über gelegenen von mir dem Notario lehnungsweis bewohnenden behausung meiner ordinarj schreib stuben (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrengeachte Herr Georg Friderich Tag, lediger Pastetenbeck und burger alhier Zu Straßburg und beneben ihme die Ehren und tugendsahme Jungfer Annæ Mariæ Müllerin H Emanuel Müllers des Kieffers und burgers alhier eheliche dochter seine geliebte Jungfer brauth (…)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison zum Tannenbaum. Les apports du mari s’élèvent à 712 livres, ceux de la femme à 114 livres.
1736 (21. 7.bris), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 570
Inventarium über diejenige Nahrung so H: Johann Friderich Tag, der Pastetenbeckh undt Fr. Anna Maria gebohrne Millerin beede Eheleuthe undt burgere allhier Zue Straßburg Einandter für unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgerichtet anno 1736. (…) So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 21.ten 7.bris anno: 1736.
Inn Einer allhier Zue Straßburg auff dem Baarfüeßer Platz geg. den bierhauß Zum weißen bären gelegenen Zum dannen baum genannten Pasteten Behaußung hat sich befund. alß volgt
Eigenthumb ane Einer behausung so des Ehemanns unverändert. (M.) Eine behaußung undt hoffstatt mit aller Zugehört, Rechten undt gerechtig Keit gelegen allhier Zue Straßburg auff dem Baarfüeßer platz 1.s. ein Eckh ane dem sogenantten Bränden Endt, 2. s. neben weÿl. Simon Rollé geweßenen altgewendters Erben, hinden auffs Brendten Endt stoßend, davon gibt mann Jahrs dem allhießig. pfenning von Einem wetter Tächlen undt der Kellerthür ane allmendt Zinß 16. ß. undt hat Er der Ehemann sothane behaußung Käufflich übernommen umb 3300 fl.. Davon gehen ane Capital absowie noch auff berührter Behaußung stehen Erstl. der Schenckbecherischen Stifftung 1600 fl. It. Fr. pfarrer Gimmichin 300 fl. vndt NN 200 fl. abgang ist 2100 fl. Nach abzug deren verbleibt ane dem Kauffschilling annoch übrig und im Vorstand 1200 fl. machen 600 lb. Über sothane Behaußung Meldet i teutsch. perg. Kbr. auß allhies. Cancelleÿ Contractstub vom 30. Junÿ 1736. mit dero anhagendem Innsigell.
Deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 73 Sa. Schiff und geschirrs Zum Pastet. 36, Sa. Silbers 1, Sa. Eÿg. ane Einer behaußung 600, Summa summarum 712. lb
der Fr. Nahr. Sa. haußraths 81, Sa. Silbers 15, Sa. gl. ring 17, Summa summarum 114 lb
Sa. haussteuren 14 – Conclusio finalis Inventarÿ 841 lb
Le conseil des Fribourgeois fait grief à Georges Frédéric Tag de tenir des pensionnaires. Il répond qu’il s’agit d’étudiants immatriculés à l’université
1732, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 134-v) Dienstags den 16.ten Sept: 1732
Joh: Philipp Tag, der Pastetenbeck, hatt dato die Ordnung angehöret und Herrn Zunfftmeister angelobet.
Idem wurde vorgestellet, daß er Kostgänger halte. Ille ist die Anklage geständig sagt wären dere 4. so aber Studiosi so immatriculiret, handelt derwegen nicht wieder Ordnung. Warauffhin derselbe gewarnet worden hierinnen Kein Gefährden Zu gebrauchen, wiedrigenfalls und in Entstehung deßen nach der Schärffe deß Articuls wieder ihne verfahret werden solle.
Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit de François Joseph Nicard, greffier de la maréchaussée d’Alsace et adjoint à la chambre des affaires criminelles.
1737 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 124-v
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand ihres curatoris ad hunc actum H. Adam Friedrich Oesinger des geschwornen courtier mit fernerer assistentz ihres vatters Daniel Müller und ihres bruders Emanuel Müller beeder kieffer als iher nächsten
in gegensein H. Lt. Frantz Joseph Nicard Greffier de la Maréchaussée d’Alsace und vicarÿ beÿ dem vergicht protocollo – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Baarfüplatz, einseit ist ein eck ahne dem so genannten Brandt ein endt, anderseit neben weÿl. Simon Rolle altgewanthers erben, hinten auff besagtes Branndt ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetter dächleins und einer kellerthür 16 ß ahne ane allmend geldt – als ein am 30. Junÿ 1736 erkaufftes guth
Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit du perruquier Jacques Cousin
1737 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 650
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand ihres vatters Daniel Müller des Kieffers und H. Rick E.E. kleinen Raths beÿsitzers und fernerer assistentz ihres ad hunc actum geordneten Curatoris H. Adam Friedrich Oesinger geschwornen Courtier
in gegensein Jacques Cousin des Peruquenmachers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Baarfüßerplatz einseit ist ein Eck ahne dem Brandt ein end, anderseit neben weÿl. Simon Rolle altgewanthers erben, hinten auff besagtes brandt ein End – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und Keller thür 16 ß ahne Allmend geldt – als ein ledigen standts am 30. Junÿ 1736 erkaufftes guth
Georges Frédéric Tag quitte la tribu des Boulangers pour celle de la Mauresse où il obtient le droit de revente
1738, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 376-v) Donnerstags den 24.t Julÿ Anno 1738
Neuer Leibzünfftiger Gremp ER. – Georg Friderich Tag der Pastetenbeck und burger allhier, welcher E. E. Zunfft der Becker quittiret producirt Stallschein, Vom 19. Junÿ 1738. bittet um das Zunfft und Grempenrecht, Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt
Erlegte Vor den Pfenningthurn 13 ß 4 d, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Gempen recht 1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 s, Und Einschreib Geld 2 ß, Also zusammen 2 lb 13 ß 8 d
Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller font dresser l’inventaire de leur fortune dans une maison rue du Pilot derrière le poêle des Pelletiers. L’actif du mari s’élève à 129 livres, le passif à 283 livres. Les biens de la femme s’élèvent à 395 livres.
1739 (24.9.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 571
Inventarium über die Jenige Nahrung so Geörg Friderich Tag dem Ehemaligen Pastetenbeckhen undt Fr. Annæ Mariæ Tagin gebohrner Millerin beeden Eheleuthen undt burgere allhier am active quam passive Zuständig, auffgerichtet anno 1739. (…) welche auf ansuchen und begehren Hn Joh: Paull Funckhen deß Paßmentirers auch burgers dahier, der Ehefr Curatoris ad lites inventirt (…) Actum Straßburg auff Donnerstag den 24.ten Septembris Anno 1739.
Inn Einer allhier Zue Straßburg hinder der Kürßer Zunfft Stub ane der Pfahlgaßen gelehenen Weißbecken behaußung hat sich befundten alß volgt
Des Ehemanns haußrath 129 – Schulden 283 übertreffen also die Schulden aiß deß Ehemanns unveränderte undt der Theilbahren Nahrung zu bezahlent desselben unveränderten undt Theilbahrer Nahrung so unter Einer Massa beschrieben umb 153 lb
Der Frauen Nahrung, haußrath 82, Silber 12, Goldene Ring 17, Schulden 175, Ergäntzung der Ehefrauen Ermanglenden ohnveränderten guths, Vermög Inventarÿ illatorum durch mich Notarium in aô 1736 auffgerichtet 108, Summa summarum 395 lb
Georges Frédéric Tag et Anne Marie Müller vendent la maison au fourbisseur Jean Daniel Mannberger et à sa femme Marie Barbe List
1738 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 285
Georg Friedrich Tag der Pastetenbeck und Anna Maria geb. Müllerin
in gegensein Johann Daniel Mamberger des schwerdtfegers und Maria Barbara geb. Listin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck am sogenannten Brand ein end, anderseit neben weÿl. Simon Rolle des altgewänders erben, hinten auff den Brand ein end – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 sch. ane allmend zinß – den 30. Junÿ 1736 währendes ledigen standt erkaufft hat – um 800, 150 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 550 pfund
Jean Daniel Mannberger devient tributaire chez les Maréchaux le 26 juin 1733
1733, Maréchaux – Protocole du corps des couteliers (XI 154)
(f° 92-v) Freÿtags den 26. Junÿ Anno 1733 – Meisterrecht
Johann Daniel Mannberger der Ledige Lang Meßerschmids gesell, weÿland herrn Johann Nicolai Mannbergers, des ältern E: E: Großen Raths alten beÿsitzers und Lang Meßerschmidts, auch Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt, mann wolle Ihne Zum Meister Recht admittiren, legte auff handwercks gebühr 16 ß (Auflaggeld dt. 16 ß d)
Erkand, gegen erlegung der Gebühr Willfahrt dt. 7. lb 10 ß d
Fils du coutelier Jean Nicolas Mannberger, Jean Daniel Mannberger épouse en 1734 Marie Barbe List, fille du marchand Nicolas List : contrat de mariage, célébration
1734 (1.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 317
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Mannberger dem Ledigen Lang Meßerschmidt, weÿland des Wohl Ehrenvest, Großachtbahr Und Wohlweißen herrn Johann Nicolai Mannbergers des ältern Lang Meßerschmidts auch E: E: Großen Eaths alten wohlverdienten beÿsitzers vnd burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem herrn Bräutigamb, ane einem,
So dann der Viel Ehren Vnd hoch tugendgezierten Jungfrauwen Maria Barbara Listin, weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Nicolai Listen, geweßenen handelßmanns und Burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen nachgelaßener Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen und Verhandelt in Königlicher Statt Straßburg auf Freÿtag den Ersten tag des Monats Octobris im Jahr des herren, als man Zahlte 1734.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 17-v n° 18)
1734. Mittwoch den 13. Octobr: seind nach Zweÿmähl. geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirchen zu St. Niclaus durch priesterliche Copulation in den Ehestand eingesegnet word. Johann Daniel Mannberger der ledige Lang Meßerschmidt und burger allhier weil. herrn Niclaus Mannbergers geweßen. Lang: Meßerschmidts u. E. E. Groß. Raths alt. Beÿsitzers hinterl. ehel. Sohn u. Jgfr Maria Barbara weil. Hn Nicolai Listen geweßten Handelsmanns u. burg. allhier hinterl. ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Daniel Manberger als hochzeiter, Maria Barbara Listin als hochzeiterin (i 19)
Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List hypothèquent la maison au profit de Jean Silberrad, receveur de la fondation Schenckbecher et triumvir de la Tour aux deniers.
1740 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 88
Johann Daniel Mamberger der Langmeßerschmidt und Maria Barbara geb. Listin mit beÿstand ihres schwagers Johann Theobald Meÿer des gastgebers zum Thiergartten und ihres geschwistrig kinds Johann Daniel Würtz des Unter Cranmeisters
in gegensein H. Johannes Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen stifftung und dreÿers hiesigen Pfenning Thurns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand,eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten an dem Baarfüßer: platz – ist einseit ein eck an dem so genannten Brandt: ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögltlichen weiß, hinten auff den Brand ein end- davon gibt man wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth
Daniel Mannberger loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Michel Ohlmann
1743 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 32
Daniel Mamberger der schwerdfeger
in gegensein Johann Michael Ohlmann des schuhmachers
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig auff dem barfüßerplatz einseit ist ein eck anderseit neben Vincent Gayneau dem sattler ux. noe. gelegenen behausung unten auff dem boden einen laden, kammer, kuchen und ein kämmerlein unter der stieg, ferner auff dem dritten stock eine kammer aus welcher dem entlehner auf seinen costen eine stub zu machen erlaubt ist auff dem vierten stock eine Gesind: Kammer samt einem unterschlagenen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden
[in margine :] gebrochen 8. Aprilis 1746
Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Sachs, femme de l’assesseur au Grand Sénat Jean Sébastien Gambs
1745 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 329
Johann Daniel Mamberger und Maria Barbara geb. Listin mit beÿstand H. Johann Philipp Richßhoffer und H. Joseph Büchel beede handelsleuth ihrer vettern
in gegensein H. Lt. Johann Friedrich Sachs Cancellariae Contactuum Substituti als gewalthaber seiner schwester Fr. Mariæ Salome geb. Sachs H. Lt Johann Sebastian Gambs E.E. großen Raths alten beÿsitzers Eheliebstin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis am Baarfüßerplatz einseit ist ein Eck ane dem sogenannten brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau des sattlers Ehefrau, hinten auff besagtes brennt ein end – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth
Jean Daniel Mannberger et Marie Barbe List vendent la maison à l’orfèvre Jean Régnard Theurer moyennant 1 700 livres
1746 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 142
Johann Daniel Mannberger der Lang Meßerschmidt und Maria Barbara geb. Listin
in gegensein H. Johann Reinhard Theurer des goldarbeiters
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und ane dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck ane dem so genanten brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögtl. weiß, hinten auff den brennt ein end – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines wetterdächleins und einer kellerthür 16 ß ane allmend zinß – als ein am 9. Maÿ 1738 erkaufftes guth – um 800 pfund verhafftet, geschehen um 1700 pfund
Jean Régnard Theurer est admis le 21 mai 1743 à faire son chef d’œuvre qu’il présente le 5 septembre. Les examinateurs le reçoivent maître
1742, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 1066) Montag den 21. Maÿ Anno 1742
Johann Reinhard Theurer de ledige Goldarbeiter erscheint und berichtet daß man Ihme erlauben möchte das Meisterstück auffzunehmen und Zu verfertigen. Erkandt, Wird dem Imploranten gegen Erlag der Gebühr Willfahrt und solle es beÿ H. Bernhard als einem der dreÿen Herren Schauern behaußung so der Goldarbeiter Profession Zugethan solches verfertigen.
(p. 1072) Mittwoch den 5.ten Septembris Anno 1742
Johann Reinhard Theurer der Leedige Goldarbeiter von hier erscheint und præsentirt sein verfertigtes Meisterstück in Vier Stücken bestegend, bittet solches Zu besichtigen und darüber Zu erkennen.
Die dreÿ geschwohrene Herren Gold und Silberschauer referiren nach genugsammer besichtigung, daß solche Stuck sehr Wohl und gut gemacht mithin vor ein Meisterstück passable seÿe, wann er Kan Handtreu geben ane Äydes statt daß er solche mit eigener Hand gemacht hat so wolten Sie ihn vor einen Mitmeister erkennen.
E.E. Gericht Erkannt similiter de super dedit fidem et pro Discretione 3. lb d.
Fils de l’orfèvre du même nom, Jean Régnard Theurer épouse en 1743 Marie Madeleine Stœsser, fille du secrétaire de la Taille Jean Raoul Stœsser : contrat de mariage, célébration
1743 (24.7.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenn Herrn Johann Reinhard Theurer, ledigem Gold Arbeitern, weÿland des Wihl Ehrenvest und Kunsterfahrenen Herrn Johann Reinhard Theurers, geweßenen Silber Arbeiters und Burgers allhier Zu Straßburg, mit auch weÿland der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Ursula Elisabetha gebohrner Faustin, beeder seel: ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehr: und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Magdalena Stößerin, des Wohl Edel Vest, Rechtsgelehten und hochachtbaren Herrn Johann Rudolph Stößers, löblichter Statt Straßburg Stalls bestmeritirten Actuarÿ und Vornehmen burgers allhier mit der Edlen, Viel Ehr: und tugendreichen Frauen Susanna Catharina gebohrner Ditoin ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
Geschehen und verhandelt seind dieße ding in der königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 24. Julÿ im Jahr als man nach unser Heÿland Jesu Christi Gnadenreichen Geburth Zahlte 1743. (unterzeichnet) Johann Reinhard Theurer als hochzeiter, Maria Magdalena Stößerin alls hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 220 n° 839)
1743. Mittw. d. 7. Aug. seind nach ordent. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Reinhardt Theurer der led. goldarbeiter u. b. allhier weÿl. H Johann Reinhardt Theurers geweß. silberarbeiters u. b. allhier nachgelaß. Ehl. Sohn u. J. Maria Magdalena H Johann Rudolph Stößers wohlverordneten Actuarii auff dem Herrn Stall u. Vornehmen b. allhier Ehl. erzeugte tochter (unterzeichnet) Johann Reinhard Theurer als hochzeiter, Maria Magdalena Stößerin als hochzeitrin (i 225)
Jean Régnard Theurer et Marie Madeleine Stœsser hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine François Balthasar von Lindern
1749 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 187-v
H. Johann Reinhard Theurer der goldarbeiter und Maria Magdalena geb. Stößerin mit beÿstand ihres schwagers H. Gottlieb Benjamin Löchner goldschlagers und ihres vetters H. Johann Philipp Kolb des handelsmanns
in gegensein H. Frantz Balthasar von Lindern Med. D. und Practici und Jacobe geb. Herrmännin – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem Baarfüßerplatz, einseit ist ein eck am brennt ein end, anderseit neben Vincent Gayneau dem stadt sattler ehevögtl. weiß, hinten auff gedachten brent ein end – als ein am 25. Februarÿ 1746 erkaufftes guth
Marie Madeleine Stœsser meurt en 1749 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1 350 livres. La masse propre au veuf est de 30 livres, celle propre aux héritiers de 723 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 777 livres, le passif à 3 848 livres
1750 (20.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 325) f° 575
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und tugendreichen Frauen Mariæ Magdalenæ Theurerin gebohrener Stößerin des wohl Ehrenvest Großachtbahr: und Kunsterfahrenen Herrn Johann Reinhardt Theurers, Goldarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebste nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1750 – nach ihrem den 17.den octobr: des nächst abgewichenen 1749.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Gottlieb Benjamin Lechner, Goldschlagers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ, so 6 Jahr würcklichen passirt, Dorotheä Elisabethä, so beÿ nahe 2 Jahr alt und Johann Reichards, so beÿnahe 2 Jahr alt, alle sambt der Theurer, der Abgelebten seeligen mit vorgemeltem ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erzeugt und hinterlaßener Kinder und Erben inventirt (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auff Donnerstag d. 20. Augusti A° 1750.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßerplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Nemlichen eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem baafüßer platz, einseit ist ein Eck ane dem so genannten brenden End, 2. seit neben Vincent Gayneau dem Sattler ehevögtlicher Weiß, hinten auff besagtes Branden end stoßend, gelegen, davon gibt man jährlichen hießigem Pfenning Thurn wegen eines Wetterdächleins und einer Kellerthür 26 ß d ane Allmend Zinnß, sonsten ist dieselbe über hernach eingetragene darauff Hafftende psssiv. Capitalia freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad Conceptum geliefferten Schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 17.ten Augusti 1750. angeschlagen pro 1350. lb. Davon ist Abzuziehen obige beschwerde des Allmend Zinnßes der 16 ß d so Zu doppeltem Capital gerechnet anlangt 32 lb. Nach solchem Abgang Verbleibt ane dem Anschlag der behaußung auß Zuwerffen 1318. lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stb. gefertiget mit dero anhangendem Insiegel verwahret de dato 25. Februarii Anno 1746.
Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guts. Solche bestehet einig und allein wie die den 8.ten Aug. 1743 über ihr beeder geweßter Ehepersohnen erhaltene haußsteuren
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Obwohlen Zwar beede nun Zertrennte Ehepesohnen in ihrer vorher Copialiter einverleibten Eheberedung §° 4.to sich ein unverändert guth reservirt und solches beederseits in die Ehe inventiren Zulaßen Stipulirt, so haben Sie dennoch solche Inventur wie der Hr Wittiber hiebeÿ versicherte unterlaßen (…)
Des Herrn Wittibers ohnveränderten Vermögen. Sa. haußraths 26, Sa. Werckzeug Zur Goldarbeiter Profession gehörig 13, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 3, Sa. Ergäntzung 164, Summa summarum 119 lb – Schulden 150 lb, des H Wittibers ohnverändert Passiv onus 30 lb
Solchemnach Wird auch derer Kinder und Erben anerstorbenen Mütterlich ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 8, Sa. goldene Ring, Ketten und dergleichen Geschmeids 88, Sa. Schuld 150,, Sa. der Ergäntzung 414, Summa summarum 723 lb
Endlichen wid auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 15 ß, Werckzeugs Zur goldarbeiter profession gehörig 15 ß, Sa. Silbers 100, Sa. goldener Ring, Jubelen und dergleichen Geschmeids 342, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 1318, Summa summarum 1777 lb – Schulden 3848 lb – Passiv onus 2070 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 723 lb, Endlicher passiv Schulden rest 1377 lb
Copia der Eheberedung (…)
Le syndic des créanciers de Jean Régnard Theurer qui a quitté la Ville vend la maison au tailleur Pierre Pugens
1753 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 299
H. Gottlieb Benjamin Lochner des goldschlagers innahmen Johann Reinhard Theurer des von hier absentirten goldarbeiters creditorum
in gegensein Pierre Pugens des schneiders
eine in Theurerischer credit: mass gehörigen behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane dem Baarfüßer: Platz, einseit ist ein Eck gegen dem bierhauß zum weißen bären, anderseit neben H. Vincent Gayneau dem stadt Sattler und E.E. Großen Raths alte, beÿsitzers, hinten auff den Brenntein end und einen ausgang dahin habend – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einem wetterdächlein 16 ß ane allmend zinß – um 800 und 500 lb verhafftet, geschehen um 712 pfund
Pierre Pugens termine en 1732 son apprentissage chez son père Jean Pugens (ici Buchain)
1732, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 376) Dienstags den 22.ten Apr. 1732 – Jean Buchain der schneider spricht seinen sohn Pierre Buchain der lehr Zeit freÿ (dt. 5 ß)
Pierre Pugens s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en 1742. Il y est admis en janvier 1745. Les examinateurs le reçoivent maître.
1742, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 280) Dienstags den 21. Augusti 1742
Pierre Buchain, weÿl. Jean Buchain des Schneiders und burgers allhier ehel. Sohn, laßet sich Zum Meisterstück einschreiben (dt. 2 lb)
(p. 354) Montags den 18.t Januarÿ 1745 – Zum Meisterstück wurden admittirt, Pierre Pugens
(p. 355) Montags den 18.t Januarÿ 1745
Erscheint unter H. Rathh. Andreas Schaaffen seinem Informatore Pierre Pugens der leedige Schneider weÿl. Andres Pugens des gewesenen Schneiders und burgers alhier ehel. Sohn, bittet Ihme Zu einem completen Manns Kleÿd so er Von droquet Verfertigen wolle, das quantum beneben denen Rißen auffzugeben. Ist Imploranten mit 10 ½ Ehl droquet nebst folgenden Rißen willfahrt worden. N° 5 ein Romerisch Kleÿd, N° 12 ein Sudan. Facta relatione et examinatione der geschworne herren Meisterstück schauern, daß der Implorant sein Meisterstück nach ordnung wie recht verfertiget, als ist derßelbe Zu einem mitmeister auff: und angenommen worden.
Pierre Pugens épouse en 1745 Marie Marguerite Bidot, fille du traiteur Jacques Bidot : contrat de mariage, célébration
1745 (1.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 349) n° 167
Eheberedung – persönlich erschienen, H Pierre Pugens, der ledige Schneider, weÿl. Hn Jean Pugens, gewesenen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg, mit Frauen Barbara gebohrener Voltzin, ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand Hn Francisci Grillot, wohlbestellten Procuratoris fisci und Vornehmen burgers allhier, seines hierzu in specie erbettenem Hn assistenten, als hochzeither ene einem,
So dann Jungfrau Maria Margaretha Bidot, Hn Jacques Bidot, des Traitteur und burgers allhier, mit Frauen Anna Maria Francisca, gebohrener Vogelin, ehelich erzeugte Tochter, mit assistentz erstgedachten Ihres Hn Vatters und Hn Johann Daniel Otten, Silberarbeiters und geschwornen Stattgewichtfächer, So dann Hn Joseph Bronsal, Perruquier, beeder burgere allhier, als hochzeitherin ane dem andern theil
So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Montag den 1.ten Februarÿ Anno 1745. (signé) pierre pugens fiance, + der hochzeitherin handzeichen
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 264)
Hodie primâ mensis martii anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes petrus pugens argentinensis, sartor, filius defuncti joannes pugens et barbaræ Wolzin Conjugum Commorans in Dictâ parochia Sti petri junioris, et maria margarita Bidot, quoque argentinensis, filia Jacobi Bidot, dicti vulgo La Liberté, civis obsenatoris, et annæ mariæ Fauglerin Conjugum ex hac parochia (signé) pierre pugens, + nota sponsæ (i 136)
Pierre Pugens devient bourgeois à titre gratuit le 13 mars 1745.
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 203
Joh: Peter Bugens Von hier gebürtig erhaltet das burgerrecht gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der schneidter Jurav. Eodem [13. Martii 1745]
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient aux parents de l’épouse rue des Serruriers. Les apports du mari s’élèvent à 383 livres, ceux de la femme à 458 livres.
1745 (26.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 316) n° 368
Inventarium über Herrn Pierre Pugens, des Schneiders und Frauen Maria Margaretha gebohrener Bidot, beeder Eheleuthe und Burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1745. (…) und sich deren Jeedes Vermög Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehalten hat (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenwarth der Ehefrauen eheleiblicher Eltern, auf Freÿtag den 26. Martÿ Anno 1745.
In einer allhier Zu Straßburg in der Schlossergaß gelegenen der dißortigen Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 167, Sa. Silbers 29, Sa. baarschafft 150, Summa summarum 346 lb – deme beÿzurechnen die Helffte ane denen hernach beschriebenen Haussteuren 36 lb, Soforth wird des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Völliges Vermögen außmachen 383 lb
Solchemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 136, Sa. Silbers 15, Sa. Goldenen Rings 9, Sa. baarschafft 260, Summa summarum 421 lb – Wann aber hierzu gelegt und gerechnet wird der halbe theil vo hernach beschriebenen Haussteuren (…) außmachend 36 lb, So ist und thut der Ehefrauen gesambte in den Ehestand gebrachte Nahrung benantlichen 458 lb
Pierre Pugens loue une partie de la maison au perruquier Frédéric Huder
1755 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 243-v
H. Pierre Pugens der schneider
in gegensein Friedrich Hüder des perruckenmachers
entlehnt, in des verlehners eigenthümlich gehöriger auf dem Baarfüßerplatz am eck des brandeinends gelegener behausung, unten einen laden auf dem dritten stock eine cammer eine kuche und dann einen keller samt einem beschlüßigen platz zu dem holtz – auff 5 nacheinander folgenden jahren, anfangend auff nächst künfftigen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 56 gulden
Pierre Pugens et son voisin sellier Michael Gœrgen passent un accord relatif à l’entretien de leurs latrines communes
1769 (18.4.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 588) n° 154
erschienen heut dap persönlich Sieur Pierre Pugens der Schneider,
und Hr Michael Görgen der Sattler, beede burgere alhier
declarirende, was massen in ihren ane den Baarfusserplatz neben einander gelegenen eigenthümlichen Häussern, wovon sein H Pugens die Eck behausung am Eingang in das sogenante brand ein End ist, ein unter ihnen beÿderseitigen Parthen gemeinschaftliches s.v. Privet befindlich seÿe, deßen gemäur sie bis daher dergestalten gemeinschaftlich unterhalten, daß jeeder Von ihnen, was auf der Seite seines Hausses zu repariren gewesen, vor sich und auf seine eigene Unkosten ohne des andern Zuthun, machen und arbeiten lassen, auf welche Art und weiß sie auch deßfalls fernerhin Zu continuiren gedencken, damit aber dieser ihr Vorsatz Stable seÿn, der Friede und Einigkeit unter ihnen beeden Nachbaren unterhalten, und Künftighin alle etwa sich eräugnen Könnende verdrießliche Zwistigkeiten ein für alle mal gäntzlch aufgehaben seÿn und bleiben mögen, so wollen Sie Comparenten sich hiemit freÿwillig auch wissend: und wohlbedächtlich für sich, ihre Erben und Nachkommen dahin gegen einander reversiren und verbindlich machen, daß hinfüro wie vorhin jeeder Von ihnen was auf der Seite seines Hausses ane der Gemäur ihres gedachten gemeinschaftlichen s.v. Privats zu repariren und zu bauen nöthig seÿn werde, für sich und auf seine eigene Unkosten allein, ohne des andern Zuthun oder beÿtrag durch jeeden theil anständige Arbeitsleuthe, verfertigen und repariren Zu laßen schuldig und gehalten seÿn solle und wolle. Welche Convention beÿderseitige Parthen vorstehender massen für sich ihre Erben und nachkommen zu allen künfftigen Zeiten wahr, steil und vest zu halten einander mit Mund und gegebener Hand Zugesagt und versprochen (…) So geschehen alhier Zu Straßburg im jahr 1769 auff Dienstag den 18. Aprill
Pierre Pugens et Marie Marguerite Bidot hypothèquent la maison au profit de Philippe Jacques Greiss, notaire et secrétaire à l’audience du consul en exercice
1772 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 154
H. Pierre Pugens des schneidermeister und Anna Maria geb. Bido unter assistentz H. Nicolas Leclerc des pasteten becks und Nicolas Gabory des frantzösischen becken
in gegensein H. Not. Philipp Jacob Greis secretarii beÿ des regierenden H. Ammeisters hans audientz – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane dem Baarfußer platz einseit ist ein eck gegen dem Bierhaus zum weißen Bähren, anderseit neben weÿl. Michel Görger des sattlers wittib, hinten auff das brennt ein end – als eine von Reinhard Theurer dem entflohenen goldarbeiters creditorum den 26. junÿ 1763 vermög kauff brieff erkauffte behausung
Déclaration tenant lieu d’inventaire en 1787 après la mort de Pierre Pugens qui délaisse sept enfants mais aucune fortune
1788 (17.4), Not. Lung (6 E 41, 1527) n° 141
Declaratio loco Inventarii über Weiland Hrn. Peter Pugens, gewesenen Schneidermeisters und Burgers alhier seeligen Verlaßenschafft
Zuwißen seÿe hiemit demnach Herr Peter Pugens, der gewesene Schneidermeister und Burger allhier, den 11. May des verfloßenen 1787. Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt, daß ane Zu End stehendem dato vor mir (Notario) persönlich erschienen deßen hinterbliebenen wittib Frau Margaretha Pugens gebohrene Bito, beiständlich H. Andreas Pugens auch Schneiders und Burgers alhie, ane einem,
und des verstorbenen seeligen alhier anwesende töchter, benandlichen Jgfr Magdalena Pugens, ferner Fr. Theresia Courdot gebohrene Pugens, H. Frantz Xaveri Courdot des Buchhalters u. burgers zu Belfort Ehegattin, so dann Jgfr. Johannna Francisca Pugens, alle dreÿ majorennes und von obgedachten H. Andreas Pugens, ihrem oncle hierzu ebenfalls verbeÿstandet, an dem anderen theil,
anzeigend daß der Verstorbene seel. noch ferner folgende Kinder mit erstgemelter Wittib erzeugt habe, als Fr. Margaretha gebohrene Pugens, H. Philipp Jacob Broma, des Peruckenmachers und Burgers zu Colmar Ehefrau, weiter Ludwig Pugens, den abwesenden Schneidergesellen, ferner Jgfr. Catharina Pugens, Cammerjungfer beÿ einer auswärtigen Dame und dann H. Georg Pugens den ledigen handlungs bedienten, dermalen zu Paris in Condition stehend, welche samtliche sieben Kinder Erben ab intestato wären, aber Sie die Comparentinen auf die väterliche Erbschafft hiemit freÿwillig renunciren, angesehen Er der Vatter kein Vermögen hinterlassen habe, sondern vielmehr die hiesigen töchter ihre Eltern schon seit vielen Jahren her erhalten und verköstiget haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg den 17. Aprilis Anno 1788
Pierre Pugens et Marguerite Bidot vendent la maison au joailler Jean Philippe Fibich
1778 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 316-v
Sr Pierre Pugens der schneider meister und Margaretha geb. Bido
in gegensein H. Exsenatoris Johann Philipp Fibich des juvelirers
eine behausung bestehend in vorder und hinter gebäud, hoffstatt mit allen denen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfußerplatz einseit ist ein eck gegen dem bierhaus zum weißen bären, anderseit neben H. Rieth dem sattler, hinten auf den Brand ein end dahin auch einen außgang dahin habend – als ein unterm 26. Junÿ 1753 von Theuerischen creditores erkaufftes haus
Jean Philippe Fibich hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit de l’orfèvre Jean Philippe Braun pour en régler les frais de construction
1778 (27.10.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 333-v
H. exsenator Johann Philipp Fibich der juvelirer
in gegensein H. Johann Philipp Braun des goldarbeiters, zu bau hienach beschriebener behausung – schuldig seÿe 2500 gulden
unterpfand, vorgedachte behausung ane dem Baarfußerplatz, einseit ist ein eck gegen dem Weißen bären über, anderseit neben H. Reith dem sattler, hinten auff den Brand ein end
Jean Philippe Fibich hypothèque au profit de l’orfèvre Joseph Ott la maison qu’il vient de reconstruire place des Cordeliers ainsi qu’une autre au quartier des Ponts-Couverts.
1780 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 169-v
H. exsenator Johann Philipp Fiebich der juwelirer
in gegensein H. Joseph Ott des ledigen goldarbeiters – schuldig seÿe 500 gulden
unterpfand, die ihme zuständig neu erbaute ane dem Baarfüßerplatz am Brand ein end gelegene behausung ratione der 700 gulden
eine andere ihme gehörig au quartier du Pont Couvert gegen dem zu Dauphin geschildete gast behausung über gelegene behausung
Les experts estiment la maison à 4000 livres lors de l’inventaire dressé en mai 1780 après la mort de Susanne Catherine Sebisch
La maison de Philippe Fibich est vendue par adjudication judiciaire à l’artiste peintre Jean Jacques Büchel
1793 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 130
Declaration – bu. Johann Jacob Bückel der kunstmaler, daß er die dem bu. Philipp Fibich dem jubelirer gehörig geweste behausung ane dem Waffenplatz alhier am eck des Brandeinends gelegen mit N° 31 bezeichnete behausung mit allen rechten und gerechtigkeiten beÿ der laut des hiesigen districtgerichts erkantnus vom 5. Decembris jüngsthin coram comissario den 29. vorigen monats vorgenommenen 4 versteigerung definitive zuerkannt um 30.250 livres
[joint] Pro extractus, Johann Philipp Fibich mass betreffend, den 16. Februar. eine ane der Paradenplatz gelegene behausung
Jean Jacques Büchel hypothèque le même jour la maison au profit du marchand Nicolas Henri Schreider
1793 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 129
bu. Johann Jacob Bückel der maler
in gegensein bu. Nicolaus Heinrich Schreider des handelsmanns – schuldig seÿen 18.000 livres zu zalung eines theils des steigschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, obgemelte behausung ane dem Baarfüserplatz, mit n° 31 bezeichnet, einseit ist ein eck ane dem Brandenend, anderseit neben Frantz Antoni Riett dem sattler
Le peintre en miniature Jean Jacques Büchel devient tributaire à l’Echasse le premier octobre 1785.
1785, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 600) Sambstags d. 1.ten Octobris 1785. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
Hr Johann Jacob Büchel, der Mignature: Mahler Von hier gebürtig stehet Vor und bittet ihn disorts als einen Leibzünftigen auf: und anzunehmen, producirt Stallschein vom 15.ten Octobris 1785.
Erkanndt, Willahrt, dt. 6 fl. für das Zunfftrecht, 2 fl. Zu Unterhaltung der Feurspritz, 1 fl 3 ß 4 d für den Pfenningthurn und 4. ß für das Findling hauß. Jur. eod.
Fils du perruquier Frédéric Balthasar Büchel, Jean Jacques Büchel épouse en 1780 Marie Madeleine Pfæhler, fille du marchand de fruits et légumes Jean Frédéric Pfæhler : contrat de mariage, célébration
1780 (15.11.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 26
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿe Herr Johann Jacob Büchel, der Kunstmahler, Weiland H. Friderich Balthasar Büchel, geweßenen Perruquenmachers und Burgers dahier mit Frau Maria Magdalena gebohrener Eißeenmännin seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugter, wie er declarirt großjähriger und seiner Rechten genißender nach tod verlaßener Sohn, als Hochzeiter ane Einem
So dann Jungfrau Maria Magdalena Pfehlerin, Herrn Johann Friderich Pfehlers, des Fastenspeishändlers und Fraun Annä Judithä gebohrene Ruffin, beeder Eheleuthe und burgere dahier ehelich erzeugte Tochter beÿständlichen Herrn Pfehlers ihres Vatters vorgedacht und Herrn Johann Bernhard Pfehlers des Goldarbeiters und Burgers dahier ihres Bruders als Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 15 Novembris Anno 1780 (unterzeichnet) Joh: Jacob Büchel, Maria Magdalena Pfählerin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 116 n° 18)
In dießem 1780. Jahr sind nach zweÿmal nach einander geschehener proclamation Montag den 26. Novembris morgens um eÿlff uhren Zur Ehe eingesegnet worden Johann Jacob Büchel lediger burger und mahler alhier weÿl. Balthasar Büchel geweß. burgers und peruckenmachers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn mit Jgfr. Maria Magdalena Pfelerin Johann Friderich Pfelers burgers und fastenspeishändlers alhier eheliche dochter (unterzeichnet) Johann Jacob büchel als Hochzeiter, Maria Magdalehna Pfahlerin als Hochzeitern (i 119)
Inventaire des biens que Jean Frédéric Pfæhler et Anne Judith Ruff donnent à leur fille Marie Madeleine lors de son mariage
1780 (25.11.), Not. Lederlin (6 E 41, 902) n° 93
Designatio über Alles dasjenige was Herr Johann Friedrich Pfehler, der Fastenspeißhändlers und Frau Anna Juditha gebohrene Ruffin, beede Eheleuthe und Burgere dahier in Straßburg ihrer Tochter Jungfer Mariæ Magdalenæ Pfehlerin, welche sich nächster tagen mit Herrn Johann Jacob Büchel dem Mahlern Burgern allhier verehelichen werde, ane Ehesteur mit in die Ehe gegeben (…) So geschehen Straßburg d. 25. 9.bris A° 1780
hausrath 94, 27 lb, silber 13 lb, gold 9 lb, eissern geschirr 2 lb
Marie Madeleine Pfæhler meurt en 1794 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison place d’Armes. La masse propre au veuf est de 107 livres tournois, celle propre aux héritiers de 1 902 livres. L’actif de la communauté s’élève à 28 680 livres, le passif à 17 633 livres
1797 (12 prairial 5), Strasbourg 4 (8), Not. Greis n° 1185, altes 655
Inventarium über und Erörterung Weiland der bürgerin Maria Magdalena geb. Pfähler burgers Johann Jacob Büchel dermaligen Caffesieders und Inwoners zu Straßburg am 18. November 1794 alt. Stil, das ist den 28. brumaire 3, verstorbenen Ehefraun hinterlassenen Vermögens, auf Ansuchen des Wittibers wie auch burgers Johann Leonhard Pfähler, Goldarbeiters, als beeidigten Vogts der mit dem Wittiber erzeugten zweÿen Kinder und ab intestato zu zween gleichen theilen hinterlassenen Erben benandlich 1. Maria Magdalena büchel so 15 Jahr alt und 2. Johann Jacob so 12 Jahr auf sich haben mag am 7. Messidor 4 zu inventiren angefangen worden
in hernach beschriebenen Sterbbehausung
des hinterbliebenen Wittibers auser seiner Kleidung und weisen Gezeugs ihme zugehörig unveränderten Guts, Ergäntzung 192 lb, schulden aus der Nahrung zu bezalend so des Wittibers unverändert 300 lb, Nach deren abzug 107 lb
der Kinder und erben unverändert Vermögen, Kleidung 252 lb, Schulden in die nahrung zu geltend 300 lb, Ergäntzung 1350 lb, Summa summarum 1902 lb
das gemein verändert und theibare Gut, hausrath 2514 lb, silbers 80 lb, Gold 304 lb, Wein Faß brandenwein 253 lb, Billiards wie auch Waar zum Caffewesen 2438 lb, baarschafft 3600 lb
Eigenthum ane einer behaußung so theilbar, Nemlich Eine behaußung bestehend in Vorder und hinter hauß hoff hoffstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Waffenplatz mit N° 31 bezeichnet 1.s ist ein Eck gegen dem brand ein End 2.s neben b. Frantz Anton Rieth dem Sattler und hinten auf das brand ein End, 20 jährlich am 20. julÿ alt. stils das ist den 2. Ther. davon alhiesigen Gemeinde zu geben habenden und mit 757 lb 15 s 4 ablösigen bodenzinß, in Gefolg der Gesetze vom 9 pluviose & 14 thermidor 4 nach Masgab der in 1791 davon laut Extractus der Grundsteuer Mutterroll davon mit 128 livres 18 s 9 d abgerichteten Grundsteur (…) in Anschlag gebracht wird mit 19.490 livres., Diese behaußung hat der Wittiber wärend dieser Ehe von weiland br Joh: Philipp Fibich dem Juwelierer Steigerunng weiß an sich gebracht laut abzugs aus den registersn des Straßburgischen ehemaligen district Gerichts vom 6. hornung 1793 gerichtlich zuerkannt auch darüber am 30. ged. Jahrs und Monats die Verschreibung in der Cantzley Contract Stub passirt, und wurde gemelte behaußung durch br Fibich von auch weÿl. b. Peter Pugens dem Schneider in vorged. Contractstub am 8. October 1778 erkaufft. Der Platz aber worauf das Vorder hauß erbaut und welcher 18 Klaffter 5 schuh und 8 Zoll Quadrat Mess alment gros ist wurde vorgesagtem b. Fibich vermög Protocoll der ehemaligen Ober bau herren und drei des Pfenningthurns de dato 20. Julÿ 1784 fol° 141-b käuflich übergeben unter der bedingung dafür die summ von 757 lb zu bezalen
behausung 19.490 lb, Summa summarum 28.680 lb – Schulden aus der Nahrung 17.633 lb, Nach deren Abzug 11.047 lb
Abschrift der Eheberedung de dato 15. Novembris 1780 (…) Joh: Lederlin Notarius
Abschrift der entseelen Codicilli de dato 15. August 1785 so den 6. Messidor 4 enregistrirt worden, Joh. Lederlin – Bericht
Enregistrement, acp 51 F° 36-v du 13 pr 5
Jean Jacques Büchel se remarie en 1797 avec sa servante Dorothée Freydel, fille du tisserand Jean Daniel Freydel
Mariage, Strasbourg (n° 357) Cejourd’hui 20° Germinal l’an IV de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Jacques Büchel, agé de 46 ans, caffetier, né et domicilié en cette commune, fils de feû Balthasar Büchel, perruquier, et de Marie Madeleine Eisenmann, veuf de Madeleine Pfaehler, de l’autre part Dorothée Freydel, agée de 23 ans, fille de charge chez le futur, née et domiciliée en cette commune, fille de Jean Daniel Freydel, tisserand, et de Catherine Elisabeth Herter. Lesquels futurs conjoints étoient accompagnés de George Hübner, agé de 30 ans, boucher, demi-frère du futur (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 25 mars 1750 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 17 décembre 1772 (…) 3° de l’acte de décès de Madeleine Pfaehler, épouse en premières noces du futur, portant qu’elle est morte en cette commune le 28 brumaire troisième année républicaine (signé) Jacob Büchel, Dorothée Freudel (i 186)
Jean Jacques Büchel loue une partie de la maison à Nicolas Rosenstiehl, de Bouxwiller
1801 (23 fructidor 9), Strasbourg 13 (13), M° Bremsinger n° 359
Lehnung – bürger Jacob Büchel der Caffesieder
bürger Nicolaus Rosenstiehl zu Buchsweiller wohnhaft für 3 nacheinander folgenden jahren welche den 5. Nivose 10. Jahrs ihren anfang nehmen,
nemlichen den Rez de chaussée und den ersten Stock sowohl im fordern as im hintern hauß seines ane dem Paraden Platz gelegenen hauss so mit N° 31 bezeichnet, nebst denen dreÿ fordern Kellern einem Zimmer im zweÿten Stock im hintern hauß, einer mansarde im vorderhauß, einer getüch Kammer im 5.t Stock, das in dem untersten Saal befindliche Comptoir, eine Kaffee mühl, ein Kaffee Rost und des in der Küchen zum Kaffeesieden nötige und sich alda befindliche Kupfer und mösingen geschirr – um einen jährlichen Zinß nemlich 1659 francken
Enregistrement, acp 81 F° 5 du 2 compl. 9
Le cafetier Jean Jacques Büchel déclare que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin sellier François Antoine Frédéric Rieth sont une pure tolérance depuis que la maison a été construite.
1802 (19 ventose 10), Strasbourg 11 (4), M° Anrich n° 458
zu weÿl. der bürgerin Marthä geb. Holdermann des bürgers Frantz Antoni Friedrich Rieth Sattlers abgelebter Ehefrau Verlaßenschafft Erörterung, erschienen der bürger Jacob Büchel Caffée sieder als Eigenthümer des neben der besagten Rieth’scher Ehefraun Verlaßenschafft gehörigen behausung gelegenen Caffée haußes, dießer zeigte an und bekannte freÿ offentlich, daß beÿ Erbauung seines Caffée haußes ihme durch die Eigenthümer berührter in gedachte Verlaßenschafft gehörige behausung vergönstiget worden 4 fenster zu errichten welche in besagter Verlaßenschafft gerechtigkeit das liecht nehmen, derowegen wolte Er der comparirende bürger büchel hiemit freÿwillig declariret habe, daß solche nur eine Vergönstigung seÿe und zu keiner zeit als eine gerechtigkeit angesehen und gehalten werden konne, sondern daß denen jeweiligen Eigenthümern Rieth’scher behausung alle ihre Vor Erbauung gemeltdeten Caffée haußes gehabte Eigenthüms rechten und gerechtigkeit hiemit außdrucklich vorbehalten seÿn und bleiben solle, wobeÿ auch noch ferner ermeldeter bürger Büchel bekannt daß er an der Maur welche deßen von Rieth’scher behausung scheidet ihme bürger Büchel zu einer helffte und Rieth’scher Verlaßenschafft zur andern helffte eigenthümlich zuständig
Jean Jacques Büchel et ses enfants en premières noces vendent la maison au négociant Joseph Dobner
1811 (14.1.), Strasbourg 12 (35), M° Wengler n° 5445
Jean Jacques Büchel père peintre et Dorothée Freydel, Jean Jacques Büchel fils commis négociant, Catherine Madeleine Büchel majeure, héritiers chacun pour une moitié de Marie Madeleine Pfaehler leur mère épouse en premières noces du Sr Büchel père
à Joseph Dobner négociant domicilié en cette ville sous les grandes arcades n° 34
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, fontaine avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg place d’armes n° 31, d’un côté faisant le coin de la rue du coin brulé, de l’autre en partie une avance sur ladite place et attenant en partie au Sr Georger sellier carossier, devant à la place d’armes, derrière rue du coin brulé où il y a porte d’issue, trois fourneaux avec tuyaux et pierre l’un dans la salle du devant au premier étage un autre dans la chambre de derrière au même étage et un troisième dans une chambre au troisième étage, grevée envers la ville de Strasbourg d’une rente foncière de 20 fr – vendue judiciairement à Jean Philippe Fibich jouailler et acquis par ledit Sr Büchel père au ci devant tribunal du district de Strasbourg le 6 janvier 1793 enregistré à la Chambre des Contrats le 20 du même mois – que les vendeurs se réservent la jouissance jusqu’à la St Jean prochaine du logement qu’ils occupent présentement et qui consiste dans le rez de chaussée dans une chambre sur le derrière au troisième étage et dans la partie sur le derrière de la cave – moyennant 30.000 francs
Enregistrement, acp 116 f° 71-v du 15.1.
Fils de Jean Matthieu Dobner, meunier à Münichsfeld en Bohême en jurisdiction de Mayerhœfen, Joseph Dobner épouse en 1776 Marie Anne Desfontaines, veuve du marchand Jean Michel Dimier : contrat de mariage, célébration
1776 (14.8.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 138
Contrat de mariage – le Sieur Joseph Dobner, Negociant demeurant en cette dite ville, fils majeur d’ans de defunt le Sieur Jean Matthieu Dobner Marchand de Bleds à Münichsfeld en Bohême, jurisdiction de Mayerhoeffen et de feue D° Marie née Steltznerine ses pere et mere, agissant et stipulant pour luy et en son nom d’une part
Et Damoiselle Marie Anne Dimier née Desfontaines veuve de feu le Sieur Jean Michel Dimier vivant bourgeois de Marchand de cette même ville, agissante pour elle et en son nom sous l’assistance du Sieur Jean François Guilbaux Maître de musique des Dragons à ce present d’autre
Le 14° Août 1776 (signé) Joseph D’obner, Marianne dimieu veuve
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 223)
Hodie 20. augusti anni 1776 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt josephus Dobner, ante hac musicus Legionis Equestris vulgo Dragons Collonel general dictæ, filius majorennis defuncti Joannis Mathæi Dobner, molitoris in Munichfeld Diœcesis Pragensis, ratione domicilii Parochianus noster Et Maria Anna Fontaine vidua Superstis Joannis Michaelis Dimier Civis mercatoris dum viveret hujatis Parochiana nostra, testes aderant Ludovicus Dimier sponsæ filius solutus hujas, Dominicus Barbier, Civis et Mercator Sponsæ Gener (signé) Josephus Dobner, marianne des fontaines (im 117)
La tribu du Miroir remet à Joseph Dobner une promesse d’admission pour qu’il puisse devenir bourgeois : il devient tributaire le 10 juin 1777.
1776, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 159-v) Dienstags, den 17. Decembris 1776 – Vertröstung
der von Münchfeld in Böhmen Kollowratischer Herrschafft gebürtige Hr Joseph Dobner stehet vor, producirt Schein erlernter Handlung von H. Caspar Forscheim in Eisendorf d. 1. Nov. jüngsthin gesiegelt ausgefertiget, bittet um den Zu Erlangung des hiesigen Burgerrechts benötigten Vertröstungschein. Erkannt, Willfahrt.
(f° 171-v) Dienstags, den 10. Junii 1777 – C. Leibzünfftiger
Hr. Joseph Dobner ist nunmehr auf vorgewiesenen Kanzlei- und Stall- schein vom 21. Maji jüngsthin gegen Erlag 3. lb 10 ß vor das Zunfftrecht und 20. lb d wegen nicht in hiesiger Stadt erlernter Handlung diesorts leibzünfftig als Handelsmann aufgenommen worden, promisit. Will mit quincaillerie Waaren handlen.
Joseph Dobner devient bourgeois par sa femme en mai 1777 : inscription et traitement des demandes
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 171-v
Joseph Dobner der handelsmann von Münchsfelden in Böhmen, erhalt das Burgerrecht von seiner Ehefrauen Maria Anna geb. fontaine, weÿl. Johann Michael Dimier gewesenen handelßmanns und burgers hinterl. wittib umb den alten burger schilling, mit dem anhang daß er von Zeit seiner Copulation das stallgeld nachtrage, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel. Jur. eod. [21. May 1777]
(VI 286 bis) p. 488. Spiegel No 26, 21. May 1777
Joseph Dobner der handelsmann Von Münchsfeld in Böhmen gebürtig, weÿl. Joh: Matheus Dobner Gewesenen Müllers daselbst, mit fr. Maria Elisabetha gebohr. Feltnerin Ehelich erzeugter Sohn Verheurathet, nach Vorherig erhaltener erlaubnus Von S. T. dem Regierenden H Ammeister unterm 12. augusti 1776. mit fr. marian gebohr. fontaine weÿl. h Jean Michel Dimier gewesenen b. u. handelsmanns alhier hinterlassener Wittib
Erweiset durch Vorgelegte scheine Seine Ehrliche geburth der Cath. Relig. Zugethan, Seiner Sponsæ Stallgebüht in richtigkeit, Er die erforderliche Statt Stall Caution geleistet und des Zunfftrechts beÿ E: E: Zunfft Zum Spiegel Vertröstet Worden
daß erforderliche Vermögen hatt derselbe baar Vorgewiesen und als sein Wahren Eigenthum handtreu bekräfftiget, auch 100 fl 5 ß beim B. Pro. deponirt. Implorant Bittet E. G. unterthänig, Ihme daß B.recht à Sponsa um den A. B. schilling Zuvertrösten
Receptus a Sponsa um den A. B. schilling jedoch seit eeiner Verheurathung daß Stallgelt nach zu tragen
Joseph Dobner se remarie en 1809 avec Marie Thérèse Müller, originaire de Kehl
Mariage, Strasbourg (n° 294)
L’an 1809, le 26° jour du mois d’août (…) sont comparus Joseph Dobner, âgé de 65 ans, facteur d’instruments, domicilié en cette ville depuis 40 ans, né à Münchsfeld en Bohême le 10 février 1744, fils de feu Jean Mathieu Dobner, meunier, et de feu Marie Steltzner, veuf de Marie Anne Desfontaines, décédée en cette ville le 30 mai 1793, et Marie Thérèse Müller, âgée de 40 ans, domiciliée en cette ville depuis 15 ans, née à Kehl, mairie de Strasbourg le 16 octobre 1768, fille de feu Jean Müller, tonnelier audit lieu, et de feu Marie Anne Higler, y décédés le premier le 9 avril 1786 et le seconde le 27 mars 1770 (signé) Joseph Dobner, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 33)
Registre de population 600 MW 48 (1808 sqq) Place d’Armes n° 31 p. 566 (i 179)
Dobner Joseph, 67, luthier, Frauenberg, (à Str. depuis) 1768, (auparavant) Grandes Arcades 34, E. le 3 mars 1812
id. née Müller, Thérèse, 43, Epouse, Kehl, (à Str. depuis) 1786
Müller, Marie Anne, 50, sœur, Kehl, (à Str. depuis) 1786
Registre de population 600 MW 56 (1808 sqq) Grandes Arcades n° 34 p. 403 (i 96)
Dobner Joseph, 61, luthier, Pfrauenberg, (à Str. depuis) 1768, dél le 3. Mars 1812 Place d’Armes N° 31
Müller, Thérèse, 26 [sic], servante, Kehl, (à Str. depuis) 1787, idem
Le facteur d’instruments Joseph Dobner déclare que les quatre fenêtres qui donnent sur la propriété de son voisin Michel Gœrgen sont une pure tolérance (même teneur que la déclaration de 1802)
1822 (15.4.), Strasbourg 8 (34), M° Roessel n° 8417
Déclaration – Joseph Dobner, facteur d’instruments en qualité de propriétaire de la maison place d’Armes n° 31 qui lui a été vendue par Jacques Büchel cafetier, a déclaré que lors de la construction de ladite maison il avait été accordé au Sr Büchel la faculté de pratiquer quatre fenetres prenant jour sur la propriété des héritiers Rieth mais seulement par pure complaisance de ces derniers et sous la condition expresse que jamais cette faculté ne puisse être envisagée comme un droit, suivant acte reçu M° Anrich le 19 ventôse 10. Qu’en conséquence pour répondre à la demande qui lui en a été faite part Michel Goergen propriétaire actuel de la maison Rieth (…) M Goergen et ses successeurs doivent conserver tous les droits attachés à la maison n° 30 et qui existaient antérieurement à la construction de la maison Büchel et que ce dernier les a reconnus par l’acte du 19 ventose que le comparant entend non seulement confirmer en tout son contenu quant aux fenetres mais encore reconnaitre la mitoyenneté du mur
Enregistrement, acp 157 F° 51 du 16.4.
Joseph Dobner et Thérèse Müller louent une partie de la maison au bijoutier Léon Rehns
1822 (17.5.), Strasbourg 1 (40), M° Rencker n° 2043
Bail de 3 années à commencer le 25 mars dernier – Joseph Dobner, facteur d’instruments, et Thérèse Müller
à Léon Rehns, bijoutier
le rez de chaussée & le premier étage en entier de la maison appartenant aux conjoints Dobner sise à Strasbourg place d’Armes n° 31
plus le troisième étage une chambre aux mansardes donnant sur la Place d’Armes, la jouissance commune des greniers, de la cave, à l’exception de la partie séparée en lattes qui demeure réservée aux bailleurs – moyennant un loyer annuel de 800 francs
Enregistrement, acp 157 f° 148-v du 21.5.
Joseph Dobner meurt en 1822 après avoir institué sa veuve légataire universelle.
1823 (14.6.), Strasbourg 12 (91), M° Wengler n° 13.161
Inventaire de la succession de Joseph Dobner, facteur d’instruments décédé le 25 décembre dernier – à la requête de Marie Thérèse Mülller, la veuve légataire universelle suivant testament public reçu par le soussigné notaire le 30 juin 1820 enregistré le 30 décembre 1822 – dans la maison mortuaire place d’armes n° 31
immeubles, 1. la moitié par indivis dont l’autre moitié appartient à la veuve d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 31 d’un côté la rue du Coin brûlé, de l’autre en partie une avance sur ladite place à côté du communal en partie le Sr Jeorger sellier, devant la place d’Armes, derrière la rue du Coin brûlé où il y a une porte d’issue – la totalité de la maison est grevée envers la ville de Strasbourg d’une rente foncière de 20 fr. Le rez de chaussée et premier étage avec le troisième louées au Sr Léon Rehm, bijoutier par bail reçu M° Rencker le 17 mai 1822, Et le second étage occupé par la succession, 200 fr, estimée 10.000 francs – acquise de Jean Jacques Büchel père et Dorothée Feydel suivant acte reçu par le soussigné notaire le 14 janvier 1811 transcrit
meubles 496 fr, créances 778 fr – vignes à Ergersheim 200 fr, ensemble de l’actif 11 474 fr, passif 14.888 fr
Enregistrement, acp 163 F° 96 du 16.6.
Marie Thérèse Müller vend la maison à Salomon Schwartz pour deux tiers et à son fils Jacques Schwartz pour un tiers
1826 (21.12.), Strasbourg, M° L’Ange, Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 197, n° 57 du 8.1.
Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dobner, facteur d’instruments
à Salomon Schwartz père acquéreur, pour 2/3 et Jacques Schwartz fils pour le 1/3 restant, marchands jouillers
une maison sise à Strasbourg place d’Armes n° 31 consistant en bâtiment de devant & de derrière avec cour, pompe et toutes ses autres appartenances & dépendances. Cette maison forme d’un côté le coin de la rue du Coin brulé de l’autre elle avance sur la place d’Armes, attenante en partie au Sr Joerger sellier devant la place d’Armes, derrière la rue du Coin brûlé où elle a une issue – sont compris trois poeles de fonte avec leurs cors et pierres – recueilli dans la succession de Joseph Dobner son mari dont elle est légataire universelle suivant testament reçu M° Wengler le 30 juin 1820 enregistré le 31 décembre 1822. Le Sr Dobler a acquis ledit immeuble de Jean Jacques Büchel père et Dorothée Freydel, Jean Jacques Büchel fils commis négociant, Catherine Madeleine Büchel héritiers pour moitié de Madeleine Pfaehler leur mère femme en premières noces du Sr Büchel père apr acte reçu Wengler notaire à Strasbourg le 14 janvier 1811 transcrit au bureau des hypothèques volume 58 n° 86 – vendue judiciairement sur Jean Philippe Fibich, joailler, acquis par le Sr Büchel père covendeur au Tribunal du district de Strasbourg le 6 janvier 1793 et contrat de vente à la Chambre des Contrats le 20 du même mois
(les acquéreurs s’egnagent envers la venderesse à) laisser à la disposition jusqu’à la St Jean 24.6 prochain le logement qu’elle occupe dans ce moment avec le Sr Reinhard – chargé d’une rente foncière envers la ville de Strasbourg de 20 fr – moyennant 24.000 fr
Enregistrement, acp 181 F° 187-v du 28.12.
Fils d’Abraham Schwartz de Westhoffen, Salomon Schwartz épouse en 1794 à Bischheim Reiss, fille d’Abraham Levi.
Mariage, Bischheim – Heute den 22. Wind Monat im Zweÿten jahr der Republick sind vor mir der öffentlichen Beamter erschienen Seligmann Schwartz, Abraham Schwartz des burgers in Westhoffen Straßburger Districts und Judith Isaac ehelicher Sohn alt 26 Jahr und Reiß Abraham Levi des burgers allhier und Caja Alexander eheliche Tochter alt 17 jahr, besagte erschienene waren begleitet Von Abraham Levi der Hochzeiterin Vater, Leim* Israel, Jacob Levi und Israel Raphael (signé) Seligman schwartz, Abraham Levi, Haim Isroll, Jacob Levi, Israel Raphael (i 22)
Lors de la déclaration des noms par les Juifs, Salomon Schwartz conserve son nom, Reiss Levy adopte le prénom de Claire. Leurs six enfants conservent leur prénom.
1808. Déclaration des noms par les Juifs, Strasbourg
(f° 41-v) n° 240 Schwartz Salomon – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. lequel nous a déclaré conserver le nom de Schwartz pour nom de famille et prendre celui de Salomon pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Seligman Schwartz Jehd Salomon Schwartz (i 42)
(f° 42) n° 241. Levy Clara Schwartz – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présentée Gress Levy, Epouse de Seligman Schwartz, marchand quincaillier, domiciliée en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. laquelle nous a déclaré conserver le nom de Levy pour nom de famille et prendre celui de Clara pour prénom, et a délaré ne savoir signer le 27 septembre 1808 (i 42)
(f° 42) n° 242. Schwartz Jacob – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Jacob son fils mineur, né à Bischheim au Saum en Floréal an quatre le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Jacob pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 42)
n° 243. Schwartz Esther – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Esther sa fille mineure, née en cette ville le 26 Messidor an neuf le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Esther pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 42)
(f° 42-v) n° 244. Schwartz Isaye – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Isaye son fils mineur, né en cette ville le 3 ventôse an onze le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Isaye pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)
n° 245. Schwartz Joseph – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Joseph son fils mineur, né en cette ville le 9 ventôse an treize le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Joseph pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)
n° 246. Schwartz Rosette – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Esther sa fille mineure, née en cette ville le 5 octobre 1806 le nom de Schwartz pour nom de famille et celui de Rosette pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)
(f° 43) n° 247. Schwartz Alexandre – Par devant nous Adjoint au Maire, officier de l’Etat civil de la ville de Strasbourg, Département du Bas-Rhin, s’est présenté Seligman Schwartz, marchand Quincaillier, domicilié en cette ville Ruë des Chandelles N° 13. qui a pris mes prénom et nom fixes de Salomon Schwartz, lequel nous a déclaré conserver à Isaye son fils mineur, né en cette ville le 27 novembre 1807 le nom de Schwartz pour nom de famille et celui d’Alexandre pour prénom, et a signé avec nous le présent acte le 27 septembre 1808 (signé) Salomon Schwartz (i 43)
Jacques Schwartz épouse en 1818 Jeanne Offenbach, fille du négociant Lœb Offenbach de Mannheim
1818 (3.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 39), M° Hickel n° 76
Contrat de mariage – Jacques Schwartz, raffineur d’or fils majeur de Salomon Schwartz, quincailler, et de Claire Levy
Jeanne Offenbach fille majeure de Löb Offenbach, négociant à Manheim (Grand Duché de Baden) et de feu Jeanne Nass
Enregistrement, acp 139 F° 189 du 7.8. – régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Jeanne Offenbach meurt en 1838 en délaissant cinq enfants
1839 (25.4.), Strasbourg 7 (94), M° Boersch n° 1039
Inventaire de la succession de Jeanne Offenbach, épouse de Jacques Schwartz, décédée le 2 novembre 1838 – à la requête de Jean Jacques Schwartz, raffineur d’or commun en biens avec la défunte, père et tuteur de Rosine âgée de 17 ans, Léon âgé de 16 ans, Justine âgée de 15 ans, Eve Clotilde âgée de 12 ans et Hortense née le 11 mars 1832 les cinq enfants de la défunte – en présence de Moïse Weill, négociant, subrogé tuteur desdits mineurs – dans la maison mortuaire Place d’Armes n° 31
immeuble acquis durant le mariage avec M Salomon Schwartz son père, une une maison sise à Strasbourg Place d’Armes n° 31, d’un côté faisant le coin de la rue du Coin Brûlé, de l’autre en partie Place d’Armes en partie Sr Jerger, derrière la rue du Coin Brûlé où elle a une issue – acquise sur Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dopner, facteur d’insruments, par acte reçu M° L’Ange le 21 décembre 1826, deux tiers appartiennent actuellement à M. Salomon Schwartz père, un tiers à Jacques Schwartz – uniquement occupé par Salomon Schwartz et Jacques Schwartz, revenu de 1200 fr
Enregistrement, acp 268 F° 13-v du 29.4.
Rosine Schwartz et Justine Schwartz vendent leur part de maison à leur père Jacques Schwartz
1844 (7.11.), Strasbourg 7 (101), M° Boersch n° 5076
Vente, 7 novembre 1844. – A comparu Demoiselle Rosine Schwartz, majeure d’ans sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant tant en son propre nom que comme mandataire de Dame Justine Schwartz, sa sœur épouse de Monsieur Nathan Schwartz, bijoutier avec lequel elle demeure et est domiciliée à Mulhouse (haut Rhin) (…) Laquelle ès qualité qu’elle agit a par les présentes vendu (…)
à Monsieur Jacques Schwartz négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, père de la Demoiselle comparante et de sa mandant, acquéreur ci présent et et acceptant
deux 30° indivis d’une maison sise à Strasbourg sue place d’armes N° 31, faisant d’un côté le coin de la rue du coin brulé, de l’autre côté avançant en partie sur la place d’Armes et attenant en partie au sieur Joerger, donnant par derrière sur la rue du coin brûlé où elle a une issue. Ainsi que cet immeuble s’étend, se poursuit et se comporte actuellement (…). Les venderesses étaient propriétaires chacune d’un 30° du dit immeuble pour l’avoir hérité dans la succession de Dame Jeanne Offenbach, épouse du dit Sieur Jacques Schwartz leur mère dont elles sont héritières chacune pour un cinquième ainsi qu’il rédulte de l’inventaire de ladite succession dressé par ledit Boersch et son collègue notaires à Strasbourg le 25 avril 1839 enregistré. Ledit immeuble a été acquis en entier par ledit sieur Jacques Schwartz pour un tiers et par le sieur Salomon Schwartz père de ce dernier & propriétaire, demeurant à Strasbourg pour les deux autres tiers durant la communauté qui a existé entre ledit Sieur Jacques Schwartz et son épouse susnommée de Marie Thérèse Müller veuve de Joseph Dopner facteur d’instruments demeurant à Strasbourg le 21 décembre 1826 enregistré.
Par suite du décès de ladite Dame Schwartz née Offenbach et de la dissolution de la communauté qui a existé entre entre elle et son dit Mari, le tiers dudit Immeuble dépendant de ladite communauté a été partagé entre ledit sieur Jacques Schwartz & ses enfants. Ledit sieur Jacques Schwartz est ainsi devenu propriétaire de la moitié du tiers de la maison, soit d’un 6° indivis et les cinq enfants seuls héritiers de la Dame Schwartz se sont troubés propriétaires de l’autre moitié dudit tiers de maison soit aussi ensemble d’un 6° ou chacun d’eux d’un 30° indivis dudit immeuble.
Ledit Sieur Jacques Schwartz déjà propriétaire d’un 6° ou 5/30 acquérant par ce contrat deux autres 30° se trouve donc actuellement propriétaire de 7/30 dudit immeuble – moyennant 1600 francs
acp 329 (3 Q 30 044) f° 84-v du 15.11.
Trois autres de ses enfants lui vendent leur part de maison
1853, (14.6.), M° Noetinger
Vente – 1. Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2. Eve Clotilde Schwartz épouse de Marc Elie Lantz, Négociant à Mulhouse, 3. Hortense Schwartz, majeure à Strasbourg
à Jacques Schwartz leur père négociant à Strasbourg
des trois huitièmes d’une Maison place Kléber n° 31 moyennant 2400 francs – Origine, héritage de Jeanne Offenbach leur mère épouse de Jacques Schwartz propriétaire à Strasbourg au moyen de laquelle acquisition l’acquéreur est propriétaire actuellement d’un tiers de ladite maison
acp 420 (3 Q 30 135) f° 36-v du 17.6.
Jacques Schwartz acquiert de ses cohéritiers les parts des deux maisons contiguës n° 30 et 31
1855 (15.10.) M° Noetinger
Vente par licitation – 1° Isaïe Schwartz, joailler, 2° Joseph Schwartz, propriétaire, 3° Rosette Schwartz épouse de Léopold Weill, négociant, 4° Fanny Schwartz veuve de Joseph Baumann, propriétaire à Strasbourg, 5° Esther Schwartz épouse d’Aron Blum fabricant de drap à Bischwiller, 6° Nathan Schwartz bijoutier et Justine Schwartz sa femme à Mulhouse, 7) du mandataire de Marx Schwartz bijoutier à Mulhouse,
à Jacques Schwartz, propriétaire à Strasbourg
des 14/24 dans deux maisons contiguës situées à Strasbourg place Kleber N° 30 & 31 moyennant 46.666 francs
Le Sr Jacques Schwartz est propriétaire de la maison pour 10/24 savoir 1/6 de son chef, 1/6 comme étant aux droits de ses enfants du chef de leur mère et de 2/24 du chef de son père
acp 444 (3 Q 30 159) f° 22-v du 22.10.
Jacques Schwartz loue les deux maisons à son fils bijoutier Léon Schwartz
1859 (30.8.), M° Noetinger
Bail – Jacques Schwartz père, propriétaire à Strasbourg, pour neuf ans du 25 mars 1860
à Léon Schwartz fils, bijoutier à Strasbourg
deux maisons contiguës place Kleber N° 26 et 27 moyennant un loyer annuel de 3800 francs
Promesse par le Sr Schwartz père à son fils de lui vendre ladite maison au prix de 70.000 francs
acp 481 (3 Q 30 196) f° 12 du 5. 7.br
Jacques Schwartz meurt en 1863 chez son gendre à Remiremont en délaissant cinq enfants
1863 (24.10.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Jacques Schwartz, ancien négociant à Remiremont où il est décédé le 31 juillet dernier, dressé à la requête de 1) Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2) Justine Schwartz épouse de Nathan Schwartz, bijoutier à Mulhouse, 3) Eve Clotilde Schwartz épouse d’Elie Lanz, négociant à Mulhouse, 4) Rosine Schwartz épouse de Benjamin Kensbourg négociant à Remiremont, 5) Hortense Schwartz épouse de Gobert Dalsace, fabricant de produits chimiques à Paris
acp 526 (3 Q 30 241) f° 40-v du 27.10. (succession déclarée le 9 novembre 1863) Succession, une rente de 100 francs 3% N° 105, Une rente de 94 francs N° 13.133, Une rente de 1100 francs N° 13.132
Mobilier et garde robe 3000, Créances et intérêts 10.027, Argent 50444
Une Maison sise à Strasbourg place Kleber N° 26 et 27
Passif 4000
La maison revient à Léon Schwartz lors du partage
1863 (23.11.), M° Noetinger
Partage de la succession de Jacques Schwartz négociant
entre 1) Léon Schwartz, bijoutier à Strasbourg, 2) Justine Schwartz épouse de Nathan Schwartz, bijoutier à Mulhouse, 3) Eve Clotilde Schwartz épouse d’Elie Lanz, négociant à Mulhouse, 4) Rosine Schwartz épouse de Benjamin Kensbourg négociant à Remiremont, 5) Hortense Schwartz épouse de Gobert Dalsace, fabricant de produits chimiques à Paris
de la succession délaissée par Jacques Schwartz leur père, ancien négociant à Strasbourg décédé à Remiremont le 31 juillet 1863
Masse active, Mobilier estimé 3000, rente de 1300 francs 3% transféré depuis 29.466, créances 10.000, argent 50.444
Une Maison sise à Strasbourg place Kleber N° 27 estimée 70.000
Masse passive 4398, reste 158.512. le 5° 31.702
Attributions. I Léon Schwartz a droit à 31.702. Il reçoit la maison estimée 70.000, en trop 38.297 (…)
acp 527 (3 Q 30 242) f° 60-v du 27.11.
Léon Schwartz épouse en 1848 Jeannette Altschul, originaire d’Ingenheim en Palatinat
1848 (29.4.), Strasbourg 2 (94), M° Roessel n° 1963
Contrat de mariage du 29 avril 1848. – Sont comparus Mr Léon Schwartz, Bijoutier Joailler demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de Mr Jacques ou Jacob Schwartz, Bijoutier Joailler demeurant en la même ville, et de Mad° Hanche Jeannette née Offenbach, son épouse défunte, M. Schwartz fils stipulant en son propre nom à cause du mariage dont il va être question, comme futur époux d’une part
Et Mademoiselle Jeannette Altschul majeure demeurante à Ingenheim, Palatinat du Rhin, Royaume de Bavière, fille de Mr Gabriel Altschul en son vivant Négociant à Ingenheim et de Mad° Sizila ou Sicilia Wolf ou Wolff son épouse défunte, Mlle Altschul stipulant en son propre nom à cause dudit mariage, comme future épouse d’autre part
Enfin Mond. Sr Jacques Schwartz bijoutier demeurant à Strasbourg, intervenant aux présentes à cause de la dot
Et dans le 30° indivis d’une maison sise à Strasbourg place d’armes n° 31 faisant d’un côté le coin de la rue du Coin brûlé, de l’autre côté attenant en partie au communal en partie au Sr Jaeger, donnant par derrière sur la rue du Coin brûlé où elle a une issue, cette portion indivise d’immeuble provenant également de la succession de la mère du fiancé, ci pour mémoire
Sociétés dont fait partie Léon Schwartz
1866 (4.5.), M° Noetinger
Dissolution de la société en nom collectif qui a existé entre Isaïe Schwartz et Léon Schwartz, bijoutiers à Strasbourg sous la raison J. et L. Schwartz de Strasbourg par acte reçu Noetinger le 10 janvier 1855 et actes subséquents. Le Sr Léon Schwartz reste seul chargé de la liquidation
acp 554 (3 Q 30 269) f° 2-v du 5.5.
1866 (4.5.), M° Noetinger
Acte de société entre Léon Schwartz et Nathan Schwartz les deux bijoutiers à Strasbourg. La société sera en nom collectif sous la raison sociale Léon Schwartz et Cie et durera trois ans, à partir du premier mai courant avec faculté de la prolonger encore pour une période triennale à l’expiration de la première période.
Le siège de la société est établi à Strasbourg. M. Léon Schwartz apporte une somme de 140.000 francs, M. Nathan Schwartz celle de 110.000 francs. Les autres dispositions sont purement règlementaires.
acp 554 (3 Q 30 269) f° 2-v du 5.5.
Léon Schwartz et Jeannette Altschul font donation de la maison à leur fils banquier Oscar Fernand Schwartz lors de son mariage avec Berthe Weill, fille du négociant Henri Weill de Haguenau. Ils se réservent le droit d’habitation dans différentes localités.
1886 (18.5.), Haguenau 7 E 20-2 (213) Joseph Kleinclaus
Ehevertrag – Sind erschienen Herr Oscar Fernand Schwartz, Bankier wohnhaft zu Strassburg großjähriger Sohn des Herrn Leon Schwartz, Bankier und der Frau Jeannette Altschul, Eheleute in derselben Stadt wohnhaft, handelnd eigenen Namens wegen der Heirath wovon hernach die Rede sein wird, mit beistand seiner hier anwesenden Eltern, als Bräutigam Einerseits
Und Fräulein Bertha Weill, ohne besonderes Gewerb, wohnhaft zu Hagenau, zwanzigjähtrige Tochter des Herrn Heinrich Weill, Kaufmann und der Frau Julie Kahn dessen Ehefrau zusammen in letztern Stadt wohnhaft, handelnd mit beistand und der Ermächtigung ihrer hier anwesenden Eltern, wegen der fraglichen Heirath, als Braut, Andererseits
Erster Artikel (unter Herrschafft der Gütergemeinschaft)
Zweiter Artickel (auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft)
Dritter Artickel (Kleidungsstücken bei Auflösung der Gütergemeinschaft)
Vierter Artikel. (Angesichts der künftigen Heirath schenken die oben genannten Eheleute Weill ihrer Tochter der Braut 1° eine Summe von 60.000 Mark, 2° eine Aussteur bestehend in Hausgetüch, Bettwerk und Hausmöbel 4000 Mark, zusammen 64.000 Mark)
Fünffter Artikel. Angesichts der künftigen Heirath schenken die oben genannten Eheleute Schwartz, die Ehefrau mit der Ermächtigung ihres Ehemanns, zu vollem Eigenthum zum voraus und außer Theil, ihrem dieses annehmenden Sohn, dem Bräutigam
Ein Wohnhaus bestehend in einem Vorder- und Hinterhaus, gelegen in Straßburg, Kleberplatz N° 27, eingetragen im Kadaster unter section N N° 738.p mit einem Flächeninhalt von ein Ar zwanzig Quadratmeter, begrenzt eineseits und hinten durch das sogenannten Verbrannte End, andererseits durch H. Baum und vornen durch den Kleberplatz. Behufs Registrirung zu einem jährlichen Bruttoertrag von 3200 Mark geschätzt.
Eigenthumsnachweis. Das fragliche Haus ist Sondergut des Vaters des Bräutigams, da es ihm in dem Nachlaß seines zu Remiremont am 31. Juli 1862 verstorbenen Vaters Jacob Schwartz, zugefallen ist, laut einer vom dem damaligen Notar Noetinger zu Straßburg am 23. November 1863 aufgenommenen Theilung. In dieser Theilung wurde das fragliche Wohnhaus zu 70.000 Franken geschätzt worden. Erbrechte des Hn Schwartz abgingen mit 31.702 Franken, der Ueberrest (…). Aus obiger Theilung geht hervor, daß Herr Jacob Schwartz das fragliche Wohnhaus gemeinschaftlich mit seinem Vater Salomon Schwartz, Kaufmann in Straßburg erkauft hatte, laut einem von dem damaligen Notar L’Ange in Strassburg am 21. Dezember 1826 aufgenommenem Kaufvertrag und laut einem vor Notar Noetinger Vater in Straßburg am 15. Oktober 1855 aufgenommenem Lizitationskauf, sowie auch laut einem Privatakt de dato Strassburg den 24. Februar 1840 welcher urschriftlich am 20.darauf folgenden April hinterlegt wurde.
Lasten und Bedingungen. Gegenwärtige Schenkung geschah unterfolgenden Lasten und Bedingungen. 1° Das fragliche Wohnhaus wird dem Bräutigam überlassen so und in dem Zustand in sich dasselbe auf Ort und Stelle vorfindet (…) 2° Die Schenkgeber behalten für sich und das Uebelebende von ihnen die lebenslängliche und unentgeltliche Nutznießung vor des ersten Stockwerks (bel Etage) der beiden Wohngebäude, des hintern Zimmers im zeiten Stock des Hinterhauses, der Küche im Erdgeschoß, eines Diesntbotenzimmers und einer Wäschekammer auf den Speicher, des Weinkellers unter dem Hinterhause und des Holzkellers unter dem Vorderhause. 3° Die Steuern und öffentlichen Auflagen jeder Art zur Last des Schenknehmers (…). Schenkungsperis 60.000 Mark, wovon der Bräutigam 40.000 Mark in die künftigen Nachlässe seiner Eltern zurücktragen wird (…)
Sechstes Artikel. Der Bräutigam erklärt in die Ehe einzutragen (1° sein Guthaben 15.400 2° verschiedene Mobiliareffekten 3200, zusammen 18.600 Mark)
Siebenter Artikel. Der überlebende Ehetheil soll Nutznießen das dem verlebten Ehetheil vorkommenden Hälfte der Gütergemeinschaft (…)
Achter Artikel. Für den Fall eines Vorabsterbens ohne Kinder zu hinterlassen schenckt der Bräutigam zu vollem Eigenthum als Morgengabe seiner Braut eine Summ won 3200 Mark (…)
Neunter Artikel. Hatte keine Kinder aus der künftigen Ehe bei ihrer Auflösung vorhanden sein solten soll der Überlebende Ehetheil (alle Summen) – Im Jahr 1886 den 18. Mai
Registrirt zu Hagenau den 21. Mai 1886 N 255 Bd. 199 Bl. 79
Transcrit aux hypothèques de Strasbourg vol. 2281 n° 44 (4 Q 4426)
Naissance, Haguenau (n° 379)
Le 9 décembre 1865 à onze heures du matin. Acte de naissance de Weill Berthe née à Haguenau le 7 décembre 1865 fille légitime de Weill Henri âgé de 35 ans, négociant né à Haguenau, domicilié à Haguenau, et de Kahn, Julie son épouse légitime âgée de 20 ans, sans état, domiciliée à Haguenau
[in margine :] Décédée le 21 novembre 1950 à Paris 12° arrondissement (Seine) i 203
Décès, Strasbourg (n° 1042)
Le 20 avril 1936 à deux heures est décédé en son domicile, 14-b Quai Koch, Fernand Oscar Schwartz, né à Strasbourg le 5 mai 1856, banquier, fils de Léon Schwartz et de Jeanne Altschul, époux décédés, époux de Berthe Weill, sans profession (im 178)
Rue de l’Ail n° 21 – VII 325 (Blondel), O 21 puis section 13 parcelle 69 (cadastre)
Maison dite à l’Homme de pierre (zum Steinern Mann)
Porche et façade – Étages, le troisième transformé en 1865 (octobre et septembre 2023)
La maison dite à l’Homme de pierre appartient en 1587 (Livre des communaux) à la veuve et aux héritiers de Robert zur Rosen. Le marchand Mathias Grabisdada est autorisé en 1598 à agrandir la porte de sa cave à la même largeur que l’arcade pour faire passer des fûts de trois foudres. La maison appartient au docteur en médecine Nicolas Acker (Nicolas Aggerius, 1608-1621) puis au marchand Jean Christophe Engelhardt qui la cède en paiement en 1653 à Jean Sébastien Zeissolff. Les propriétaires sont des tanneurs de 1664 à la Révolution, à commencer par les réformés Joseph Jenin (Schœni), Jacques Pasquay père et fils, puis le luthérien Jacques Frédéric Hetzel (1780). La description de 1692 mentionne une maison à bâtiment accessoire, bâtiment arrière, boutique et cave, estimée à 1 450 livres. Jacques Pasquay est autorisé en 1707 à poser un nouvel auvent moyennant un cens annuel qui devient caduc en 1768 quand l’auvent est supprimé.
Plan relief, rue de l’Homme de Pierre (est de la rue de l’Ail) entre la rue de l’Épine à gauche et la rue des Tonneliers à droite
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 169, rue de l’Ail entre la rue de l’Epine (a) et la rue des Tonneliers (c), Musée des Plans-relief 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, le portail qui donne dans la cour se trouve à gauche du repère (b) et la maison à droite : arcade puis ouverture en porche au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à étage sous comble et lucarne dans le pignon. La cour A représente le porche (1-4) qui donne dans la rue, le bâtiment voisin (1-2) vers l’ouest, le bâtiment (2-3) au fond de la cour et la façade (3-4) à l’est.
La maison porte d’abord le n° 7 de la rue de l’Homme de Pierre (1784-1845), le n° 28 de la rue de l’Ail (1845-1857) puis le n° 21.
Cour A – Coupe lors de la transformation du troisième étage (1865, dossier de la Police du Bâtiment)
La maison appartient au marchand de bestiaux Jean Frédéric Hammer (1815-1830) puis au fabricant de chandelles Chrétien Krentz (1830-1846). Charles Grün qui l’a achetée par adjudication judiciaire la revend en 1861 au marchand de vin Jonathan Rhein. Le commis négociant Adolphe Hosch fait transformer en 1865 le troisième étage sous comble en pans de bois en étage ordinaire en maçonnerie (hauteur totale de la façade, 12,51 mètres), ce qui porte le revenu de l’immeuble de 108 à 148 francs. Adolphe Hosch et son voisin Charles Bornemann, propriétaire de la maison sise 15, rue des Tonneliers, s’accordent en 1867 le droit de surbâtir leur pignon commun. La maison appartient ensuite aux boulangers Mathias Klein (1875), Georges Kauffmann (1881) puis Théophile Pfrimmer (1911)
La façade se détache de plusieurs centimètres des planchers et des cloisons intérieures (1949). Le boulanger Charles Gerber fait poser en 1949 une nouvelle devanture à cadre métallique puis remplace en 1953 la deuxième devanture en bois par une nouvelle identique à la première. Il modifie en 1965 le deuxième étage pour y établir une salle d’eau. Il fait transformer le magasin et remplacer la devanture en 1975. Le propriétaire fait aménager en 1998 sous la direction de l’architecte Jean-Pierre Ohl un logement sur deux niveaux (combles et troisième étage) en ajoutant des lucarnes.
Ancienne et nouvelle devanture (1948) – Projet remplaçant la porte cochère (1952, non réalisé)
Façade sur rue et façade sur cour (1998, dessins de Jean-Pierre Ohl) – Photographie de la cour (1998), dossier de la Police du Bâtiment
Porche ouvrant sur la cour et façade – Arcades du rez-de-chaussée (octobre et septembre 2023)
octobre 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1592 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
|
|
Robert von der Rosen, et (1562) Ursule Meyer, veuve de Jacques Gerbot – luthériens |
1590* |
v |
Mathias Grabisdada, marchand, et (1591) Barbe Ringler – luthériens |
1604 |
v |
Guillaume Müller, marchand, et (1598) Marie Goll – luthériens |
1608* |
v |
Nicolas Acker (Nicolas Aggerius), docteur en médecine, et (1599) Barbe Kirchhoffer, veuve du greffier Conrad Lichtensteiger – luthériens |
1621 |
v |
Jean Christophe Engelhardt, marchand, et (1622) Gertrude Grassmann – luthériens |
1653 |
v |
Jean Sébastien Zeissolff, assesseur des Quinze, et (1611) Marguerite Heiss – luthériens |
1664 |
v |
Joseph Jenin (Schœni), tanneur, et (1654) Elisabeth Follet – réformés |
1707 |
h |
Jacques Pasquay, tanneur, et (1694) Elisabeth Follet – réformés |
1744 |
h |
Jacques Pasquay, tanneur, et (1736) Marie Esther Voltz – réformés |
1780 |
v |
Jacques Frédéric Hetzel, tanneur, et (1757) Anne Marie Stamm – luthériens |
1800* |
h |
Jean Michel Magnus, marchand, et (1780) Marguerite Madeleine Hetzel, d’abord (1777) femme du marchand Jean Geoffroi Engel – luthériens |
1808 |
h |
Isaac Bernheim puis Ignace Bernheim, marchand, célibataire, († 1811) |
1814 |
h |
Sophie Lazare et Benoît Bernheim, Joseph Lang, marchand à Durmenach puis Aron Feist Salomon, de Scherwiller († 1830) |
1815 |
v |
Jean Frédéric Hammer, marchand de bestiaux, et Anne Marie Melling puis (1813) Marie Marguerite Schützenberger |
1830 |
v |
Chrétien Krentz, fabricant de chandelles, et (1817) Catherine Richert |
1846 |
v |
Charles Grün, négociant, et (1820) Wilhelmine Christmann |
1861 |
v |
(Théophile) Jonathan Rhein, marchand de vins, et (1851) Louise Lœsling |
1864 |
v |
Adolphe Hosch, commis négociant, et (1852) Sophie Caroline Fetter puis (1864) Julie (Lydie) Schmidt |
1875 |
v |
Mathias Klein, boulanger, et (1870) Louise Fuchs |
1881 |
v |
Georges Kauffmann, boulanger, et (1868) Madeleine Würth |
1911* |
v |
(Auguste) Théophile Pfrimmer, boulanger, et (1899) Elisabeth Jund |
1924* |
v |
Paul Bissmann et (1920) Georgette Sophie Kimmerlé |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1450 livres en 1692, 1400 livres en 1732, 1500 livres en 1744, 1000 livres en 1762
(1765, Liste Blondel) VII 325, Jacques Bacquet
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Waquet, 7 toises, 5 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 21, Krentz, Chrétien – maison, sol – 2,15 ares
Locations
1608, Jérôme Fürstenhauer, marchand
1610, André Butzmann (sous-locataire)
1614, 1618, Simon Delamer, marchand
1653, Jean Christophe Engelhardt (ancien propriétaire)
1698, Jean Jacques Mosseder, receveur de Saint-Thomas
1786 (cave), François Louis Dannenreuther, aubergiste
1787 (boutique pendant les foires), Daniel Merian, marchand à Bâle
1787 (boutique pendant les foires), Jean Adler, marchand à Herisau
1821, 1828 (cave), Philippe Huss, brasseur au Canon
1862 (débit de vin), Louise Dorothée Amélie Milius veuve de l’horloger Frédéric Schlund
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 236-v
La veuve et les héritiers de Robert zur Rosen règlent 17 sols 6 deniers pour leur maison dite à l’Homme de pierre rue de l’Ail, à savoir une plate-forme (17 pieds de long, saillie de 3 pieds), une porte de cave inclinée (9 pieds de long, saillie de 4 pieds ½), une plate-forme en pierre (4 pieds 9 pouces de long, saillie de 11 pouces)
Knoblauchs gaß gegen dem Rindtsfuß Gaëßlin vber, nach St: Thoman Zu. die Eine seÿtten diser Gaßen
Rupert Zur Rosen seligen Wittwe vnd Erben, haben vf diser seÿtten In Knoblauchs gassen ein hauß, Zum steinerin Mann genandt, Daruor ein besetzter Tritt xvij schu lang, iij schu herauß, Mehr ein ligende Kellerthüer viij schu lang, v= schu herauß, Ein besetzten Tritt iiij schu ix Zoll lang, Vnd xxj Zoll herauß, Bessert für das Niessen, xvij ß. vj d
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 526
Le marchand de cuir Jacques Paquet paie 5 sols pour sa maison dite à l’Homme de pierre, à savoir un nouvel auvent en bois (21 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds)
Herr Jacob Backet ([corrigé en] Paquai) der Lederhändler, Soll von dem an Seiner behaußung zum Steinern Mann genant newgemachten 21 ½ Schuh lang, und 4. Schuh vom hauß herauß breiten höltzern Wetterdach, Jahrs auf Catharinæ, und l. Prot: de 1707. fol: 249-b A° 1708. I.mo, 5 ß
[in margine :] S. 415
(Quittungen 1708-1741)
Neuzb fol 571
1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 571
Même loyer reporté au registre suivant. Il devient caduc en mars 1768 quand l’objet est supprimé
alzb. 526
Jacques Pacquay der Lederhändler solle von dem an seiner behaußung Zum Steineren Mann genannt neu gemachten 21 ½ sch. Lang, und 4. sch. vom hauß herauß breiten höltzern Wetterdach Jahrs auf Catharinæ, 5 ß
(Quittungen 1741-1767)
Ist in Mense Martio 1768. hinweggemacht worden
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1598, Préposés au bâtiment (VII 1313)
Mathias Grabisdada, propriétaire de la maison à l’Homme de pierre, est autorisé à agrandir la porte de sa cave (saillie de 3 pieds, large de 6 pieds) pour qu’elle ait la même largeur que l’arcade, soit 8 pieds ½ afin de faire passer des fûts de trois foudres.
(f° 185) Zinstags 1. Augusti 98 – Mathis Grabisdada begert Zum Steinern Mann vnd. in Kieffergaß seiner ligend. Kellerthür so Jetzo 3 schuh herauß vnd 6 schuh breit Ist, weiter zu machen so groß als der bog. der oben darüber Ist, das Ist neünthalb schuh breit, damit er ein sechs füederig fass vff vnd abthun mög.
Erkhand, Ist Ihme willfahrt, doch soll es Allmendt sein vnd bleiben, vnd bleibt beÿ d. schwellen die Jetzo ligt, das Ist 3 schuh herauß.
1707, Préposés au bâtiment (VII 1382)
Les préposés autorisent Jacques Paquet, propriétaire de la maison à l’Homme de pierre, à poser un auvent (21 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds). Il ne devait rien du précedent mais réglera chaque année 7 sols 5 deniers, ramenés à 5 sols
(f° 249) Dienstags den 22. 9.bris 1707 – Herr Jacob Backet pt° Wetterdachs
Herr Jacob Backet, der Lederhändler, soll von dem an seiner behausung Zum Steineren Mann genant mit Mghh. erlaubnus gemachtes höltzeres Wetterdach, welches der Werckmeister abmeßung nach 21 ½ schuhe lang und 4. schuhe vom auß heraus breit ist jährlichen auff Catharinæ in ansehung er Zu vor von dem alten nichts bezahlt hatt, 10 ß d und Anno 1708. Zum ersten mahl erlegen, auff beschehenes ansuchen ist der angesetzte Zinnß auff 7. ß 6 d und endlichen auff 5 ß d. moderirt worden
Description de la maison
- 1692 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire et un bâtiment arrière, une boutique et une cave, le tout estimé à la somme de 2900 florins
- 1732 (billet d’estimation traduit) La maison et le bâtiment accessoire comprennent plusieurs poêles, poêle pour officier, chambres, cuisines, vestibule dallé en pierre, cave voûtée, boutique, chambres, puits et boutique, le tout estimé à la somme de 2800 florins
- 1762 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, deux cuisines, plusieurs chambres et une boutique, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé à la somme de 2000 florins
- 1814, description
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue de l’homme de Pierre
nouveau N° / ancien N° : 4 / 7
Bernheimer
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 9 case 1
Krentz Chrétien, rue de l’homme de pierre N° 7 à Strasbourg
O 21, maison, sol, rue de l’homme de pierre 7
Contenance : 2,15
Revenu total : 109,12 (108 et 1,12)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre napoléonien O 21, registre 26 f° 382 case 1
Krentz Chrétien
1863 Rhein Théophile Jonathan md. de vins
1866 Hosch Adolphe
1877 Klein Wilhelm Bäcker
1882/83 Kauffmann Georg, Bäcker
O 21, Maison, sol, Rue de l’ail 21
Contenance : 2,15
Revenu total : 109,12 (108 et 1,12)
Folio de provenance : (9)
Folio de destination : 382 Augm. de Con, (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1868
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22, (1867) 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2, (1867) 15
O 21, Maison
Revenu total : 149,12 (148 et 1,12)
Folio de provenance : 382 Augm. de Con
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 22 – 32 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11 – 15 / 12
1868, Augmentations – Hosch Adolphe f° 382, O 21, Maison, revenu 148, Aug.on de Const.on, achevée en 1865, imposable en 1868, imposée en 1868
Diminutions – Hosch Adolphe f° 382, O 21, Maison, revenu 108, Aug.on de Const.on de 1865, supp. en 1868
Cadastre allemand, registre 29 p.150 case 2
Parcelle, section 13, n° 34 – autrefois O 21
Canton : Knoblochgasse Ns N° 21
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 2,12
Revenu : 1900 – 3400
Remarques
(Propriétaire), compte 631
Kauffmann Georg d. Erben und Ww.
1911 Pfrimmer Theophil u. Ehefrau
1924 Bissmann Paul et son épouse née Kimmerle
1945 Bissmann Paul Julius Wittwe geb. Kimmerle
(857)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VII, Rue 250 Rue de l’homme de Pierre
7
Pr. Hetzel, Jacq. frid. chez mr. Kratz – Tanneurs
loc. Bex, J. Daniel pere, Courtier – Miroir
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Knoblauchgasse (Seite 81)
(Haus Nr.) 21
Pfrimmer, Bäckermeister. 01
Ihli, Friseurmeister. 0
Kaufmann, Wwe. E 1
Pister, Blechner. 2
Barth. Schneider. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 69)
21, rue de l’Ail (1862-1996)
L’entrepreneur en bâtiment Hertz est autorisé en 1865 au nom du propriétaire Hosch à transformer le troisième étage sous comble en pans de bois en étage ordinaire en maçonnerie (hauteur totale de la façade, 12,51 mètres). Le boulanger Georges Kauffmann modifie son four en 1883. Le boulanger Théophile Pfrimmer installe en 1904 un pétrissoir à moteur. Il construit en 1921 une cage à animaux au-dessus d’une remise dans la cour.
La façade se détache de plusieurs centimètres des planchers et des cloisons intérieures en 1949 mais les témoins posés restent intacts. Le boulanger Charles Gerber fait poser en 1949 une nouvelle devanture à cadre métallique. La Division VI fait remarquer que l’immeuble dépasse l’alignement légal de 30 centimètres. Le boulanger Gerber remplace en 1953 la deuxième devanture en bois par une nouvelle identique à la première.
Charles Gerber a l’intention de faire en 1952 des travaux en supprimant la porte cochère dont l’architecte des Bâtiments de France demande le maintien ; les travaux n’ont pas lieu. Il modifie en 1965 le deuxième étage pour y établir une salle d’eau. Il fait transformer le magasin et remplacer la devanture en 1975.
Auguste Schmid, tapissier (1862), Joseph Donat, coiffeur (1896) Hermann Ihli, coiffeur (1904)
Sommaire
- 1862 – Le tapissier Auguste Schmid sollicite auprès du préfet l’autorisation de conserver l’enseigne qu’il a posée – L’agent voyer émet un avis favorable
- 1865 – L’entrepreneur en bâtiment Hertz demande au nom du propriétaire Horsch l’autorisation de transformer le troisième étage sous comble en étage ordinaire – Dessin – L’agent voyer note que la maison dépasse de l’alignement mais qu’elle n’a pas d’avance. La façade comprend un rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie et un troisième étage en pans de bois. Le nouveau piédroit devra être aussi en maçonnerie. La hauteur totale de la façade sera de 12,51 mètres
- 1883 – Frédéric Dachert (fabrique de draps et de bonneterie, 7, rue des Bouchers), propriétaire du n° 19, déclare que son voisin a construit cinq ou six ans auparavant un four de boulanger. La chaleur persistante a fait apparaître des fissures. Frédéric Dachert demande une enquête comme le four doit être refait. Le maire répond que le nouveau four au rez-de-chaussée du bâtiment arrière ne présentera aucun inconvénient pour le n° 19.
1883 – Le boulanger Georges Kauffmann est autorisé à modifier son four.
- 1888 – Locataire du deuxième étage du bâtiment arrière, la dame Ellès se plaint que le tuyau qui conduit la fumée de son voisin dans la cheminée passe dans sa salle de séjour et y dégage des fumées. Croquis – Le maire demande au propriétaire Georges Kauffmann que les fourneaux soient directement raccordés aux cheminées, au besoin en en établissant une nouvelle. Le propriétaire répond que la locataire est mal intentionnée envers ses voisins. Le courrier suivant du maire est biffé. L’affaire n’a pas de suite
- 1894 – La Police du Bâtiment constate que le propriétaire Kauffmann fait faire des travaux non autorisés par le maître maçon Schmidt – G. Kauffmann demande l’autorisation de réparer une partie du mur au-dessus de la porte donnant dans la cour. – Autorisation de réparer le crépi.
- 1896 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Donat l’autorisation de faire une prise pour environ cinq becs. – Autorisation – Travaux terminés, juin 1896.
- 1896 – La Police du Bâtiment constate que le coiffeur Jos. Donat a posé sans autorisation deux enseignes perpendiculaires en forme de plat à barbe – Demande – Autorisation – Le maire rappelle que les enseignes doivent se trouver à au moins trois mètres au-dessus de la voie publique et avoir une saillie de 25 centimètres au plus. Le coiffeur demande l’autorisation de les conserver à une hauteur de 2,20 mètres. Le maire accorde l’autorisation à condition que les enseignes soient retirées chaque soir.
- 1900 – Le maire notifie la veuve Kauffmann de faire ravaler la façade. Il accorde un an de délai. – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler demande en avril 1901 au nom de la propriétaire que le délai soit prolongé jusqu’en octobre – Travaux terminés, octobre 1901.
- 1902 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. La fosse d’aisances est vidée par le fournil du boulanger Pfrimmer. Le maire demande au propriétaire de raccorder les cabinets d’aisance aux canalisations. – Les entrepreneurs veuve Greiner et F. Peter déclarent que les cabinets d’aisance seront raccordés aux canalisation en même temps que toutes les autres eaux. – Le maire envoie plusieurs courriers de rappel – Travaux terminés, octobre 1903.
- 1904 – Le coiffeur Hermann Ihli demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée à trois mètres de hauteur
- 1904 – Le maître boulanger Théophile Pfrimmer demande l’autorisation d’installer un pétrissoir à moteur. – Autorisation – La machine est posée, février 1905. – Croquis
- 1904 – Théophile Pfrimmer demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation
- 1907 – Le préfet constate que l’atelier du boulanger Pfrimmer n’est pas conforme aux prescriptions du 20 août 1906, sa hauteur n’étant que de 2,92 mètres. Les locaux peuvent être conservés tels quels jusqu’à d’eventuelles transformations.
- 1907 – Rapport du service des incendies suite à un feu dans le fournil. – La Police du Bâtiment n’a pas d’observations à faire.
1909 – Nouvelle intervention. Feu dans la cheminée de la boulangerie – La cheminée endommagée doit être réparée – L’ancienne cheminée est remplacée par une nouvelle, janvier 1910.
- Commission contre les logements insalubres. 1900. Le puits de vidange de la fosse d’aisances se trouve dans le fournil.
1903. Travaux à faire dans la chambre des apprentis du coiffeur
1904. Rien à signaler
Dossier pour le coiffeur. L’employé dort chez ses parents.
Dossier pour la boulangerie Pfrimmer (propriétaire, veuve Kaufmann). 1904, rien à signaler. 1906, les travaux demandés sont faits
Commission des logements militaires, 1916. Rien à signaler
1910. Un locataire se plaint que le propriétaire ne fait pas faire de travaux dans son logement
- 1920 – L’entrepreneur H. Mohler (Heyritz n° 9) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique.Le commissaire de police transmet au maire qui donne son accord.
- 1921 – Le boulanger Théophile Pfrimmer demande l’autorisation de construire au-dessus d’une remise dans la cour vers le pignon du voisin une cage dans laquelle les animaux auront assez de place. – La Police du Bâtiment répond que son autorisation n’est pas nécessaire.
- 1921 – Le maire notifie Théophile Pfrimmer de faire ravaler la façade – Le maire accorde un délai – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, avril 1922
- 1936 – L’entrepreneur Attilio Piaia (92, route de Strasbourg à Illkirch) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
- 1948 – Le vitrier Albert Ruch (59, rue de la Gare à Schiltigheim) demande au nom du boulanger Gerber l’autorisation de poser un cadre métallique et une nouvelle devanture – Dessin avant et après transformation
1949 – L’architecte Ernest Andrès (309, route de Colmar à la Meinau) demande au maire de faire inspecter la façade qui s’est détachée de plusieurs centimètres des planchers et des cloisons intérieures. Le rapport établi que l’écroulement est exclu, les témoins posés quelques mois auparavant étant intacts.
1949 (juillet) – Le boulanger Charles Gerber dépose une demande de permis de construire pour transformer la devanture (dépense prévue,188.000 francs) sous la direction de l’architecte Ernest Andrès. Les travaux seront exécutés par la serrurerie Sudermann (rue Sainte-Madeleine) et la vitrerie Ruch (Schiltigheim). – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve de tenir compte des modifications à l’encre rouge sur les dessins. – La Division VI fait remarquer que l’immeuble dépasse l’alignement légal de 30 centimètres – Plan de situation, façade et coupe (ancien et nouvel état) – Autorisation
- 1953 (avril) – L’entreprise J. Gremmel (agencement de magasins, 95, boulevard d’Anvers) demande au nom de M. Gerber l’autorisation de faire une deuxième devanture pareille à la première pour en remplacer une ancienne en bois – Les transformations sont faites sans autorisation préalable.
1953 (juin) – Le boulanger Gerber dépose une demande de permis de construire – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve que les matériaux soient les mêmes que ceux de la première devanture
1953 (juillet) – Autorisation (arrêté portant permis de construire)
- 1952 (juin) – Charles Gerber dépose une demande de permis pour transformer et agrandir le fournil, construire des cabinets d’aisance et un garage sous la direction de l’architecte Ernest Andrès. Une remise et des latrines seront démolies. Les nouveaux bâtiments seront en béton et briques (dépense prévue, 450.000 francs) – La Ville ne demande pas la cession du terrain en avant de l’alignement légal. La division VI désapprouve l’aspect prévu – Dessins
1952 (juillet) – L’inspection du Travail donne son accord
1952 (août) – L’architecte des Bâtiments de France donne un accord de principe mais demande de conserver la porte cochère en la déplaçant et de créer une petite porte pour les piétons.
1953 (juin) – Charles Gerber déclare renoncer à son projet.
- 1956 – M. Gerber est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique. Travaux relevant des dommages de guerre (crépi)
- 1959 – Le boulanger Gerber demande l’autorisation de poser une enseigne (Boulangerie-Pâtisserie) – Autorisation
- 1965 – Charles Gerber, propriétaire, dépose une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Joseph Rech (16, rue des Cottages au Neudorf) en demandant une subvention au Crédit Foncier de France. – Plan cadastral de situation, plan du deuxième étage. Les travaux consistent à modifier le deuxième étage pour y établir une salle d’eau.
1965 (décembre) – Le directeur départemental de la construction émet un avis favorable – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, janvier 1966.
1967 (mars) – Les avocats Roland Vigny et Claude Riegel demandent des pièces à fournir au Crédit Foncier de France
- 1970 – L’entrepreneur Robert Bravin (106, avenue Jean-Jaurès au Neudorf) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
- 1976 – Charles Gerber déclare que l’enseigne a été supprimée suite à la transformation du magasin.
1976 – Pierre Drexler (cabinet d’architecture et de décoration) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation de poser une enseigne lumineuse en lettres détachées.
- 1975 – Le pâtissier Charles Gerber (demeurant 4, rue de la Division-Leclerc) dépose une demande de permis de construire pour transformer le magasin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Les travaux consistent à remplacer les devantures et à réaménager la boutique – Le permis de construire relève de la compétence du préfet, l’immeuble se trouvant dans le secteur sauvegardé approuvé par arrêté interministériel du 17 janvier 1974.
1975 (décembre) – Le maire transmet avec avis favorable le dossier au directeur départemental de l’équipement
1976 (janvier) – Le préfet accorde le permis de construire
Suivi des travaux – L’ancienne devanture est déposée, le nouveau carrelage est en cours, janvier 1976. La nouvelle devanture est en place, mars 1976. Les travaux sont terminés conformément aux plans, avril 1976.
- 1980 – La Police du Bâtiment constate que Charles Gerber a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Le propriétaire déclare qu’il a remplacé une ancienne enseigne autorisée – Demande. Charles Gerber, représentant de l’indivision, autorise le gérant de la S.à.r.l. boulangerie Gerber à poser une enseigne. – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
- 1985 – Le maire délivre à M. Brandner, demeurant 21, rue de l’Ail un certificat d’après lequel la maison a été construite avant 1862.
- 1996 – La Police du Bâtiment constate que la boulangerie pâtisserie Gerber a posé sans autorisation une guirlande provisoire. – La guirlande a été déposée
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1246 W 1283)
21, rue de l’Ail, réaménagement intérieur (1998-1999)
Le propriétaire Gerber fait aménager en 1998 sous la direction de Jean-Pierre Ohl (Atelier d’architecture et d’urbanisme du groupe 5) un logement sur deux niveaux (combles et troisième étage) en ajoutant des lucarnes.
Sommaire
- 1998 – M. Gerber (demeurant 2, rue des Dentelles) dépose une demande de permis de construire sous la direction de Jean-Pierre Ohl (Atelier d’architecture et d’urbanisme du groupe 5, 4, place d’Austerlitz) pour aménager un logement sur deux niveaux (combles et troisième étage) en ajoutant des lucarnes. – Dessins
1998 (juillet) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve de poser des tuiles plates
1998 (août) – Autorisation (arrêté portant permis de construire)
1998 (octobre) – Déclaration d’ouverture de chantier
Les travaux commencés en novembre 1998 sont terminés en mai 1999.
Autre dossier
Peinture de la devanture (2006) cote 1672 W 17
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de la veuve et des héritiers Robert zur Rosen dans le Livre des communaux (1587).
Robert von der Rosen épouse en 1562 Ursule Meyer, veuve de Jacques Gerbot
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 11)
1562. Dnica Trinitatis. Ruprecht von der Rosen vnd Ursula Meÿerin Jacob Gerbots selig nachgelaßene Witfraw. Ingesegnet den i. Junÿ h. 6. Vßgang In schluch gassen In der alt. Rentmeistern hauß (i 8)
Ursule Meyer, veuve de Hubert Bullian von der Rosen, se remarie avec Ulric Dietrich
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 135-v n° 21)
1581. Den 19. Decemb: sind ehelich eingesegnet worden h. Ulrich Dietrich vnd f. Ursula Meÿerin, Weilandt h. Huprecht Bollan von der Rosen selig Hinderlaßener widwe (i 151)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 290 n° 630) 1581. Dominica XXV. Ulrich Dieterich und ursel Meierin Ruprecht pulla von der rosen wittwe, ad D. Nicolaum
Le marchand Mathias Grabisdada est propriétaire de la maison en 1598 (voir les Préposés au bâtiment). Il épouse en 1591 Barbe, fille de Jacques Ringler.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 142-v n° 467)
1591. 25. Trinit. Matthias Grabisdada, der Handelsmann vnd Barbara H. Jacob Ringlers nachgelaßene dochter (i 153)
Les héritiers de Mathias Grabisdada vendent la maison à l’Homme de pierre au marchand Guillaume Müller
1604 (vt spâ [xij.tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 17-v
(P. fol. 16.) Erschienen der fürnemm herr Johann Seüppell handelßmann vnnd Johann Enoch Meÿer schaffner Sant Niclauß In Vndis Closters burger Zu Straßburg, beder Inn nammen Irer selbß vnd von weg. wÿland herrn Mathÿß Grebißdaden selig. erben haben vnuer: für sich selbß vnd Ihren mitterb. Als befelchhaber darzu Insonderheit als gewalthaber hannß Jacob Grabisdaden d. Recht. Licentiat (verkaufft)
Herrn Wilhelm Müller dem handelßmann burgern Zu Straßburg
hauß, hoffestatt, höfflin, hinder hauß, Stall vnd Brunnen genant Zum Steinern Mann, einseit Herr Sebastian Schach. behausung Zum haasen genant, And.seit neben einer behaußung Zum Beern so hannß Beinheim d. Jung. vnd. hind. (-) stoßend, dauon gend 16 guldin gelts ablösig mit 400 guld. werung vff Adolffi fallend, h. Reinboldt Meÿers, Vnd dann xv. guld. gelts, Lößig mit iij. C gl. derselb. werung h. Isaac Botzheim vff den ersten Tag Augusti, Sunst ledig vnd eig. & Vnd Alles Rht & Also das & Vnd Ist disser khauff vber hieuorbestimpte beschwerd. zugeg. vnd bescheh. für vnd vmb 515 pfund vnd 10 schilling
Hiebeÿ vnd mit Ist geweßen h. Philipps Wiluißh. burger Zu hagenouw
Originaire de Francfort, Guillaume Müller épouse en 1598 Marie, fille du marchand Luc Goll
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 92 n° 216)
1598. Dominica 1. post Epiphan. 8. Januarÿ.
Wilhelm Müller von Franckfurt vnd Maria Lux Gollen des handelsmanns tochter, Eingesegnet Montag den 23. Januarÿ (i 94)
Il devient bourgeois par sa femme le 16 janvier 1599
1598, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 763
Wilhelm Müller v. Franckforth, empfangt d. Burg: von Marien, Weÿlandt Lux Gollen selig. dochter, seiner ehelichen, haußfr: vnd will Zun Mörin diehnen, Act. den 16. Jan: Anô & 99.
La maison appartient ensuite au docteur en médecine Nicolas Acker (Nicolas Aggerius) qui épouse en 1599 Barbe, veuve de Conrad Lichtensteiger, greffier à la Tour aux deniers (Éloge funèbre).
Mariage, cathédrale (luth. f° 59)
1599. Dnca 6. Trinitatis den 15 Julÿ. Außgeruffen H Niclauß Aggerius der artzneÿ doctor, Barbara hans Conradt Lichtensteiger gewesener ober schreiber auß dem Pfenningthurn. g. witwe. eingesegnet Zu oßwaldt den 24. Iulij (i 32)
Vente passée par Nicolas Aggerius et sa femme Barbe Kirchhoffer. Voir aussi la notice dans le Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne.
1609 Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 286
Erschienen der Ehrenvest vnnd hochgelerth herr Nicolaus Aggerius Medicinæ doctor vnd Fr. Barbara Kirchhofferin sein eheliche haußfrauw mit beÿstandt & herrn Wilhelm Schmaltzen vnd Sebastian Kirchhoffers burgern Zu Straßburg b |