7, place du Corbeau


Place du Corbeau n° 7 – IX 232 (Blondel), O 743 puis section 18 parcelle 25 (cadastre)

Balcon dû à l’orfèvre Geoffroi Kast (1748) – Détruite par le bombardement du 11 août 1944


Les numéros 7, 8 et 9, place du Corbeau, au premier plan l’enseigne A la Renommée du bon fromage d’Albert Sieffert (vers 1930, Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1955), façade refaite au XVIII° siècle
Photographie, vers 1910, le n° 7 est le bâtiment incurvé avec balcon, enseigne Alphonse Michel Spezereihandlung (dossier de la Police du Bâtiment
)

Le barbier Jean Hornbach doit à partir de 1560 un loyer de 5 sols pour une risberme posée sur le communal et un balcon. Inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du barbier Régnard Dietmar, la maison a un auvent de 21 pieds de long vers la place et un encorbellement de 25 pieds de long vers la rivière. Le cordonnier Laurent Dorsch est autorisé en 1605 à allonger son auvent d’un pied pour éviter que les chaussures ne soient mouillées, mais il y renonce pour ne pas avoir à régler de nouveau loyer communal. La maison appartient jusqu’en 1705 à ses descendants, le cordonnier Frédéric Reuchlin, puis les selliers Jean Henri Kamm et Geoffroi Rœderer. Si la date de 1654 citée en 1917 dans le dossier de la Police du Bâtiment correspond à une reconstruction au moins partielle, les travaux seraient dus à Jean Henri Kamm. La veuve du marchand André Jean Hutschenreuther vend en 1714 la maison au chaudronnier Jean Georges Rieger mais en redevient propriétaire pour défaut de paiement. L’orfèvre Geoffroi Kast est autorisé en 1748 à remplacer son auvent endommagé par un balcon de trois pieds de large. Le cordonnier Frédéric Kuntz remplace en 1777 un pieu pourri par un nouveau. Le juge Jean Michel Osterrieth devient propriétaire de la maison en 1795 et en transmet la propriété à sa fille célibataire Marguerite Salomé Osterrieth qui en fait donation à l’avocat Daniel Mayer avant d’être interdite.



L’îlot en 1727, face vers la place (plan-relief de 1725, Musée historique, image Jonathan Michalon)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, plan et élévations, îlot 195 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à deux étages et balcon en maçonnerie et troisième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la place se trouve de part et d’autre du repère (b) : deux portes et une fenêtre, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La façade vers la rivière se trouve à droite du repère (g), soit quatre niveaux à deux fenêtres chacun et toiture à deux niveaux de lucarnes
La maison porte le n° 93 du quai des Bateliers (1784-1857), le n° 46 puis le n° 7 de la place du Corbeau.


Entrée de la boutique du n° 7 à gauche, entrée de la maison à droite (1920, dossier de la Police du Bâtiment)
Toits des numéros 6 (au premier plan) à 8 (Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1948)

Le confiseur Charles Hartschmidt achète la maison en 1831. La boutique du rez-de-chaussée est louée à des épiciers (Valentin Ziegelé en 1860 et en 1867, Xavier Adam en 1878). Emilie Pauline Hartschmidt charge en 1884 l’entrepreneur Klein (9, rue Fritz) d’aménager les combles, ce qui porte le nombre des fenêtres au troisième étage et au-delà de neuf à treize et le revenu de la maison de 225 à 245 francs. Le maire autorise les travaux bien que la maison comme ses voisines soit promise à la démolition d’après les alignements légaux. Le sous-sol vers la rivière ainsi que les trois étages vers la place sont en maçonnerie, les étages vers la rivière en pans de bois.
L’épicier Alphonse Michel en devient propriétaire au début du XX° siècle. Les démolitions dans la maison voisine (n° 8) en 1913 provoquent des mouvements dans les murs, la poutre sur laquelle repose le mur pignon menace de s’incurver. La maison est entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944. Le sol est ensuite réuni à la voie publique.


Ruines après le bombardement du 11 août 1944 (AMS, cote 1 Fi 113 n° 89)

août 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Hornbach, barbier, et (1554) Marguerite, veuve de Léonard Hammerschmidt – luthériens
Georges Nasshold, barbier, et (1565) Madeleine Widmann puis (1572) Marguerite Berr – luthériens
1582 h Régnard Diethmar, barbier, et (1582) Marguerite Berr, veuve du barbier Georges Nasshold – luthériens
1601 v Laurent Dorsch, cordonnier, et (1597) Marie Fingerlin puis (1610) Barbe Kleindienst, remariée (1627) avec le mégissier Ulrich Bauer – luthériens
1625 h Frédéric Reuchlin, cordonnier, et (1624) Marthe Dorsch – luthériens
1659 h Jean Henri Kamm, sellier, et (1648) Salomé Reuchlin puis (1681) Susanne Schretzenmeyer, d’abord (1647) femme du batelier Michel Freund – luthériens
1698 h Geoffroi Rœderer, sellier, et (1676) Dorothée Kamm puis (1690) Barbe Schubæus, d’abord (1685) femme du cordonnier Jean Born – luthériens
(copropriétaire) Jean Georges Brunn, sachetier, et (1668) Anne Marie Diebold puis (1693) Marie Elisabeth Reinthaler – luthériens
1705 v André Jean Hutschenreuther, marchand, et (1693) Marie Dorothée Wilhelm – luthériens
1714 v Jean Georges Rieger, chaudronnier, et (1714) Anne Marguerite Wagner puis (1721) Marie Salomé Braun – luthériens (vente résolue, 1719)
1738 v Jean Guillaume Fischer, menuisier, et (1708) Marie Salomé Becker – luthériens
1743 v Jean Geoffroi Kast, orfèvre, et (1744) Dorothée Wachter – luthériens
1763 v Philippe Frédéric Kuntz, cordonnier, et (1741) Marguerite Salomé Diemer – luthériens
1795 v Jean Michel Osterrieth, procureur au Grand Sénat puis juge, et (1764) Marie Salomé Reichard – luthériens
1803 h Marguerite Salomé Osterrieth, célibataire, interdite († 1830)
1826 v Daniel Mayer, avocat, et (1829) Jeannette Neustetel
1826 v Philippe Charles Mathæus, tailleur, et (1798) Susanne Madeleine Christmann
1831 h Charles (Erard) Hartschmidt, confiseur, et (1822) Caroline Madeleine Matthæus
1878 h Emilie Pauline Hartschmidt, célibataire († 1889)
(héritier) Adolphe Charles Müller, négociant, et (1872) Camille Catherine Susanne Clausing
1908* v Louis Alphonse Michel, commerçant, et (1888) Marie Roth
1924* v Albert Ohnemus et (1916) Hélène Senger
1933* v Frédéric Sieffert, commerçant, et Albertine Zaber
1942* Alphonse Hægel, commerçant à Geispolsheim

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1250 livres en 1703, 1400 livres en 1718, 1400 livres en 1736, 1250 livres en 1758

(1765, Liste Blondel) IX 232, Philippe Fréderic Kuntz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Kuntz, 3 toises, 1 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 743, Hartschmitt, Charles, confiseur rue du Corbeau 93 – maison, sol – 0,84

Locations

1690, Marc Kærlin, fondeur de pots
1712, Daniel Kast, orfèvre
1714, 1719, Philippe Jacques Kast, orfèvre
1730, Jean Baptiste de Billy, fourbisseur
1794, François Bechon, coutelier
1807, Louis Reichard et Jeanne Gerber
1820, Madeleine Jung, veuve du baquetier Geoffroi Gross
1829, Marie Barbe Schwartz veuve du brasseur Jean Henri Krafft
1860, 1867, Valentin Ziegelé, épicier, et Emma Jundt
1878, Xavier Adam, épicier

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 136
Le barbier Jean Hornbach doit un loyer de 5 sols à partir de 1560 pour une risberme posée sur le communal et un balcon à sa maison au-delà du pont du Corbeau. Les contribuables suivants sont le barbier Georges Mœtschel, Régnard Dietmar puis le cordonnier Laurent Dorst

Item v ß gibt Hanns Hornbach der scherer von Einer Landuesten uff dem Allmend vnnd Einem Gang an sÿnem huß Jenseÿtt An der Schÿndbrucken gelegen, so Im für Ein sollichen Zinns Zubuwen vergönnen, gefallet der Erst Zinns vff Sannt Jacobs tag Anno & xv C Lx.
gibt Jetz Jerg Mötschell scherer
gibt Jetz Reinhart Dietmars, Jetz Lorentz dorst schumach.
(rub.) Bleibt, j. Martÿ 1627.
Neü 117.

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 385-v
L’orfèvre Régnard Dietmar doit 17 sols 4 deniers pour sa maison, à savoir un auvent (21 pieds de long, saillie 1 pied ½), une échoppe (7 pieds ½ de long, saillie de 1 pied ½), à l’arrière vers la rivière une avance (25 pieds de long, saillie de 6 pieds), au-dessous une risberme (même longueur, saillie de 5 pieds).

Gegen dem Scherhauß hinüber Ane dem Andern Eckh beÿ der Schindbruckhen
Reinhard Dietmar der Goldtschmidt hatt oben an seinem Hauß ein Wettertach xxj schu lang iii+ schu herauß, Vndt dann ein Laden vii+ schu lang, i+ schu heraus, Vndt hatt hinden vff dem Wasser ein Vsstoß xxv schu lang, vj schu herauß, Darunder ein Landtuesten In gleicher Lengen v schu herauß, Bessert für diße Nüessung xvij ß iiij d

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 117-v
Frédéric Reuchlin puis Jean Henri Kamm doivent a) 12 sols pour un encorbellement au-dessus de l’eau d’après le folio 136 du registre D, b) 5 sols pour une risberme et un balcon à la même maison près du pont du Corbeau

Jetzt Hanß Heinrich Kamm
Friderich Räuchlin, Soll gemeiner Statt, Von einem Überstoß ahn dem Hauß aufs waßer beÿ der Schindtbrucken, Jahrs vf Valentini, 12 ß d
Man. fol. 148
Ext. 1651 et 52
Alt. d. f. 136
New fol. 101

Idem von der Landvest Undt gang ahn vorgedachtem Hauß, Jahrs vf Jacobi, 5 ß d
Ext. 1651 et 52
New fol. 101

1655 von Hanß Heinrich Kammen empfangen biß 55
1657-1672

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 101-v
Mêmes loyers reportés au registre suivant. Les contribuables ultérieurs sont Geoffroi Rœderer, Anne Dorothée Hutschenreiter née Willhelm, Jean Georges Rüger, la susdite Hutschenreiter et Guillaume Fischer

Friderich Reüchlin, Soll von einem Überstoß an dem hauß vfs Waßer beÿ der Schindbrucken, vf Valentini, 12 ß
Ferners von der Landfest und gang an Vorgedachtem hauß vff Jacobi, 5 ß
St. Zinnßb. p. 117
ietzt Hannß Heinrich Kamm
Jetzt Gottfried Röderer
Jetzt Anna Dorothea Hutschenreiterin geb. Willhelmin
Jetzt Johann Georg Rüger
Jetzt Maria Dorothea Hutsch Reuterin
Jetzt Hr Willhelm Fischer

(Quittungen 1704-1741)
Neuzb fol 728

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 728
Report au registre suivant. Contribuables Jean Geoffroi Kast, Philippe Frédéric Kuntz, Jean Michel Osterrieth

alzb. 101-b
Wilhelm Fischer solle von einem überstoß an dem Hauß auf das Waßer beÿ der Schindbrucken, auf Valentini (id est 14. febr.) 12 ß
Ferner von der Landvest und Gang an vorgedachtem Hauß auf Jacobi (id est 25. Julii), 5 ß
(Quittungen 1741-an 10) [in margine :] 7 fructidor
C 258

jetzt Johann Gottfried Kasten
jetzt Mr Philipp Friderich Kuntz Schumacher
Lt. Joh: Michael Osterrieth

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1602, Préposés au bâtiment (VII 1317)
Le cordonnier Laurent Dorst demande l’autorisation d’allonger son auvent d’un pied pour éviter que les chaussures ne soient mouillées. Il paie un loyer annuel de cinq sols sans savoir s’il est dû pour l’auvent. La maison a 22 pieds de long, l’auvent trois pieds. Les préposés déclarent dix jours plus tard que le loyer n’est pas attaché à l’auvent mais à la risberme et au balcon vers la rivière. Ils l’autorisent à allonger l’auvent moyennant un loyer à déterminer. Laurent Dorst ajourne sa décision.

Lorentz Dorst der schumacher Jhenseit der Schindbrucken. 54. 61.
(f° 54) Freÿtag den 9.ten Aprilis – Lorentz Dorst der schumach. Jhenseit d. schindbrucken begert, ein wetterdächlin eines schuchs weiter herauß Zumachen weil es Ihm vff die schuh Regnet, hab bißh. v ß Almennd Zins geben wiß doch nit, obs vom alten wetterdächel ghe oder nit. Ist das hauß breÿte 22 sch vnd Jetzo 3 sch d. alt wetterdächel.
Erkandt Ihm Zuwillfahren vff iiij schuh wie sein Nachbur, doch werd Ihm Künfftig ein Zinß ernent werd. Soll deßhalb nachgesehen Werd. Der beschwert sich deß., das hauß coste In vorhin vil bitt, Ihm Zuwillfahren, allein so weÿt herauß als Jetzo & das Ist zu bedacht gezogen, soll mann nachsehen, wavon die obgemeltten v ß ghen, Als dann Ihm willfahren.

(f° 61-b) Mittwochs de, 14. Aprilis – – Lorentz Dorsth der schumach. Jhenseit d. schind bruck. geg. dem Rappen haltet abermaln an vmb das wetterdächel, bitt Ihme deßhalb Zu gönnen In der grösse vnd weÿthe wie es Jetzo Ist,
Dem Ist anzeigt, daß die v ß so er gibt, ghen nit vom wett. dächel sonder von d. Landvest geg. dem wasser, vnd vom gang daselbst, derhalb wöll er ein New wettdächel machen, werds Ihm gönt, aber ein Zinß ernennt werd. der will sich darüber bedencken und befrag.

1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
L’orfèvre Geoffroi Kast est autorisé à remplacer son auvent endommagé par un balcon de trois pieds de large contre un versement unique de trois livres.

(f° 33) Sambstags den 11. Ejusdem [Maÿ] seynd folgende Augenschein eingenommen worden – Gottfried Kast
An Hn Gottfried Kasten des goldarbeiters Hauß, jenseiths der Schindbruck gegen dem Raaben über, welcher um erlaubnus Gebetten, an statt seines schadhafften Wetterdachs, einen 3. schuhe tieffen altan machen Zulaßen. Erkannt, Willfahrt,gegen 3. lb. Semel pro Semper. dt. 3. lb d

1777, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le cordonnier Frédéric Kuntz est autorisé à remplacer un pieu pourri par un nouveau.

(f° 261) Montags den 13. Octobris 1777. – Friderich Kuntz Schumacher
Friderich Kuntz, der Schumacher, bittet Zu erlauben an seiner beÿ der Schindbruck gelegenen behaußung an eines abgefaulten Pfahls Stelle einen andern in das Wasser schlagen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, petit poêle attenant, vestibule où se trouvent un fourneau et un évier, au-dessus deux chambres et chambre à soldats séparées par des cloisons en lattes, au rez-de-chaussée un petit poêle, le creuset d’orfèvre, chambre, petite cuisine et vestibule, cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 3 / 93
Kuntz
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage médiocre en bois et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 207 case 3

Hartschmidt, Charles, confiseur, rue du corbeau N° 93

O 743, maison, sol, quai des bateliers 93
Contenance : 0,84
Revenu total : 225,44 (225 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 893 case 1

Hartschmidt, Charles, confiseur
1878, Emilie Pauline Hartschmidt
1891/92 Müller Adolph Karl, Kaufmann

O 743, maison, sol, Quai des bateliers 45 (Rabenplatz 7)
Contenance : 0,84
Revenu total : 225,44 (225 et 0,44)
Folio de provenance : (207)
Folio de destination : 893 vergrößerung – sol Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1887/88
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 9

O 743, maison
Revenu total : 245,44 (245 et 0,44)
Folio de provenance : 893
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1887/88
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10
1887, Augmentations – Hartschmidt f° 893, O 743, maison, Reinertrag 245 Vergrößerung
Diminutions – Hartschmidt f° 893, O 743, maison, Reinertrag 225, Vergrößerung

Cadastre allemand, registre 29 p. 219 case 4

Parcelle, section 18, n° 25 – autrefois O 743
Canton : Rabenplatz Hs Nr 7
Désignation : Hf, Whs e. n. a. T. (Skizze 60)
Contenance : 0,91
Revenu : 1900 – 2500, an Prz 36
Remarques : 1923 Berichtigt

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 881
Müller Karl Adolph
rayé 1924

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1497
Michel Alphons u. Ehefr.
1912 Michel Ludwig Alfons die Erben und Witwe
1915 Michel Joseph Renatus zu 4/24 u. Miteigentümer
rayé 1924

(Propriétaire à partir de l’exercice 1924), compte 4629
Ohnemus Albert négociant et son épouse Hélène née Senger chacun pour moitié / en communauté de biens
1933 Sieffert Frédéric commerçant et son épouse Albertine née Zaber
1942 Haegel Alfons, Kaufmann in Geispolsheim und Ehefrau / in Hötzbach bei Natzweiler
(1776)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Près du Pont Dauphine / Montée du Pont de la Boucherie p . 462

93
Pr. Kuntz, Cordonnier – Cordonniers
loc. Weber, veuve – Moresse
loc. de Hastershan, Baron, officier retiré
loc. Reté, emploïé dans les fourages

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Rabenplatz (Seite 134)

(Haus Nr.) 7
Michel, Spezereihandl. 02
Gangloff, Näherin. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 680 W 168)

Place du Corbeau 7 (1884-1850)

La demoiselle Hartschmidt charge en 1884 l’entrepreneur Klein (9, rue Fritz) de faire des travaux dans les combles. Il y est autorisé bien que la maison comme ses voisines soit promise à la démolition d’après les alignements légaux. Le sous-sol vers la rivière ainsi que les trois étages vers la place sont en maçonnerie, les étages vers la rivière en pans de bois. Le droguiste Charles Müller prolonge en 1892 les tuyaux d’écoulement des eaux usées jusqu’au niveau de la rivière au lieu qu’ils débouchent en hauteur.
Les démolitions dans la maison voisine (n° 8) en 1913 provoquent des mouvements des murs. La poutre sur laquelle repose le mur pignon menace de s’incurver. Le maire demande au propriétaire Michel de démolir la partie droite de l’appentis qui s’est déjà affaissée de 25 centimètres vers la rivière et de s’entendre avec son voisin pour construire un mur solide.
Les héritiers Michel se plaignent en 1917 de fissures qui apparaissent dans la maison datant de 1654 et qui seraient dues aux vibrations du tramway. La Police du Bâtiment s’oppose en 1920 aux changements que projette le Service d’architecture sur le trottoir à l’arrêt du tramway devant le n° 7 et 8.
La maison est entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944.

Commerces
1897, (étage) bureau de placement de l’Association restaurateurs strasbourgeois
1906, Alphonse Michel (articles des colonies, épicerie fine)
1923, Robert Fleig (épicerie)
1934, Albert Sieffert (commerce de beurre et d’œufs)

Sommaire
  • 1884 – Le commissaire de police transmet au maire la demande de l’entrepreneur J. Klein (9, rue Fritz) qui souhaite faire des constructions. L’agent-voyer Deutscher répond le 25 mars à l’ingénieur d’arrondissement Pfersdorff que la maison est destinée comme ses voisines à la démolitions d’après l’alignement légal. Comme elles se trouvent en entier et non en partie en avant de l’alignement légal, les paragraphes 37 à 42 du règlement de voirie ne sont peut-être pas applicables. La décision appartient au Service d’architecture. Dans sa réponse du 27 mars, il rapporte que le sous-sol vers la rivière ainsi que les trois étages vers la place sont en maçonnerie, les étages vers la rivière en pans de bois. Comme les travaux prévus dans les combles ne contribuent pas à la solidité du bâtiment, ils pourraient être autorisés.
    7 mars – Réponse de l’inspecteur municipal Nebelung sur la demande introduite le 29 février 1884 par Klein pour des travaux dans la propriété de la demoiselle Hartschmidt. Comme les travaux prévus conservent les anciens chevrons, la police du bâtiment n’a pas d’objection à faire bien que la maison soit proche d’une route à grande circulation et en-dehors de l’alignement légal.
    L’ingénieur d’arrondissement est chargé de constater les travaux une fois qu’ils sont terminés.
    1884 (avril) – Droits acquittés pour des travaux hors de l’alignement légal.
  • 1888 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le locataire Michel soit autorisé à faire une prise pour environ 3 becs. – Autorisation – Travaux terminés, janvier 1889
  • 1889 – Le maire notifie Emilie Hartschmidt (demeurant sur place) de faire ravaler la façade. Le peintre Charles Mondoré (7, rue des Frères) répond que Pauline Hartschmidt, propriétaire de la maison, vient de mourir et que la propriété n’est pas encore établie. Il demande un délai d’autant que le dernier ravalement remonte à seulement sept ans.
  • 1892. Rapport de l’agent de police Salewsky. Les eaux usées provenant des n° 7 et 8 qui se déversent dans la rivière pourraient tomber sur les personnes voyageant sur les bateaux. Les propriétaires sont respectivement Charles Müller et Rachel Bloch née May.
    La Police du Bâtiment constate qu’il y a deux tuyaux en tôle au n° 8 (au rez-de-chaussée et au premier étage) et trois au n° 7 (au premier, au deuxième étage et au troisième étage). – Le maire demande à Charles Müller (droguerie, produits pharmaceutiques et chimique, 16, rue des Bouchers) de mener les tuyaux jusqu’au niveau de l’eau conformément à l’ordonnance municipale du 8 novembre 1869. Le propriétaire demande un délai jusqu’à la fin des travaux du pont du Corbeau et éventuellement le raccordement du quai des Bateliers au pont. – Travaux terminés, octobre 1892.
  • 1892 – Le maire notifie le droguiste Charles Müller (demeurant 16, rue des Bouchers) de faire ravaler la façade. – Le propriétaire répond que les deux façades ont été repeintes à l’huile en septembre 1890 par le peintre Mondoré et que la partie au-dessus de l’eau le sera incessamment. La poussière due à la démolition du pignon de la Halle a en outre sali les façades. – La façade vers l’Ill a été ravalée, octobre 1892.
    1893 – Nouvelle notification. Le propriétaire fait observer qu’il reçoit souvent des notifications alors que les façades ne sont pas sales. La Police du Bâtiment estime qu’il suffit de les laver. – Travaux terminés, octobre 1893
  • 1896 – Un incendie s’est déclaré dans le magasin et l’entrepôt. – La Police du Bâtiment constate que les appuis des poutres sont endommagés près de la cheminée. Le maire demande au propriétaire de faire les travaux nécessaires – Travaux terminés, novembre 1896
  • 1897 – La Police du Bâtiment constate que le bureau de placement de l’Association restaurateurs strasbourgeois a posé deux enseignes sur le balcon au premier étage en contravention au règlement du 30 novembre 1891. H. Egeling déclare que le bureau a ouvert le premier juillet 1897 – Autorisation de poser trois enseignes, une vers l’Ill et deux vers la place.
  • 1899 – Le maire notifie le droguiste Charles Müller (demeurant 16, rue des Bouchers) de faire ravaler la façade. – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juillet 1900.
  • 1900 – La Police du Bâtiment constate que le bureau de placement de l’Association restaurateurs strasbourgeois a posé sans autorisation une enseigne plate au deuxième étage – Demande – Autorisation
  • 1906 – La Police du Bâtiment constate qu’Alphonse Michel a posé sans autorisation trois enseignes sur le balcon – Demande – Autorisation
  • 1907 – L’entrepreneur en bâtiment Charles Nadler (1, rue des Jardins) demande l’autorisation de poser un échafaudage contre la façade vers l’Ill – Autorisation – Le ravalement est terminé, novembre
  • 1913 – René Michel qui exploite l’enseigne Alphonse Michel (articles des colonies, épicerie fine) demande à la Police du Bâtiment et au commissaire de police l’autorisation de suspendre des pancartes à côté de sa devanture pour ne pas intercepter la lumière – Deux affiches publicitaires, promotion pendant six jours des chocolats Milka.
    1914 – Le peintre Ferner demande au nom de René Michel l’autorisation de peindre en lettres noires sur fond blanc le texte bilingue Niederlage von Italienischer Produkte, Deposito di Prodotti Italiani – Accord
  • 1913 (décembre) – Une visite des lieux en présence de l’architecte Adolphe Molz (voir la maison Bloch, n° 8) constate les mouvements des murs après les démolitions dans la maison voisine. Comme la poutre sur laquelle repose le mur pignon menace de s’incurver, le maire conseille au propriétaire de l’étayer et de la soutenir par une maçonnerie ou un élément en fer ou en béton. – Les poutres sont étayées, janvier 1914.
    1914 (février) – L’architecte E. Zimmerlé (4, nouveau Marché aux Poissons) demande à l’inspecteur Nebelung d’être présent à la visite des lieux. La Police du Bâtiment demande au propriétaire Michel de démolir la partie droite de l’appentis qui s’est déjà affaissée de 25 centimètres vers la rivière et de s’entendre avec son voisin pour construire un mur solide – Croquis – La Police du Bâtiment classe le dossier
  • 1917 – Les héritiers Michel se plaignent des fissures qui apparaissent dans la maison datant de 1654 à cause du tramway et de ses vibrations. – La Police du Bâtiment qui se rend sur place sans que le propriétaire soit présent conclut que les fissures sont fréquentes dans les bâtiments anciens.
  • 1920 – Dossier suite au projet de vente par René Michel à Georges Lapp (demeurant 24, Kibitzenwörth, rue des Vanneaux). La Police du Bâtiment constate que les locaux (commerce et habitation) ne satisfont pas aux prescriptions de la Police du Bâtiment et que les transformations pourraient ne pas être autorisées puisque le bâtiment doit être démoli d’après les alignements légaux.
  • 1920 – Dossier. Le Service d’architecture projette de transformer le trottoir devant le n° 7 et 8 à l’arrêt du tramway (ligne 10), dessin – La Police du Bâtiment répond que les changements à l’entrée des maisons ne sont pas autorisés d’après le règlement de voirie du 8 avril 1910
  • 1915. Commission des logements militaires. Remarques en quatre points. Les travaux sont en partie exécutés et en partie reportés à la fin de la guerre
    1917. L’exploitant du magasin élève des lapins dans un entrepôt. La Police du Bâtiment demande que le sol soit recouvert de tôle – Travaux terminés, mars 1918
    1921. Le locataire Andrès se plaint des cabinets d’aisance. L’office municipal des logements notifie le propriétaire de faire raccorder les cabinets aux canalisations
    1922. Le maire demande au propriétaire de raccorder aux canalisations les autres cabinets et les tuyaux d’eaux usées. Le propriétaire demande un délai. La maison a été vendue à Ohnemus (demeurant 7, rue d’Austerlitz) qui est disposé à faire faire les travaux – 1923. Les travaux sont en cours mais l’épicier Robert Fleig ferait des difficultés, ce qu’il nie en communiquant l’accord entre lui et les conjoints Ohnemus – Travaux terminés, mai 1923
  • 1934 – Albert Sieffert (commerce de beurre et d’œufs) est autorisé à faire poser un store au-dessus de sa devanture par le serrurier Auguste Fauser (4, rue de Pâques)
    1935 – Le même demande l’autorisation de faire poser une enseigne plate au néon (A la Renommée du bon fromage) par l’entreprise Emsa – Dessin sur calque – Autorisation
  • 1940 – Le maître peintre Victor Schwartz (rue d’Eschau au Neudorf) est autorisé à occuper la voie publique pour peindre la façade
  • 1945 – Certificats de sinistré. La maison est entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944. Certificats délivrés à Albert Ernwein, André Linder (demeurant rue de la Massue), Auguste Hettler (premier étage), Mme Massol née Revelat, Madeleine Revelat (deuxième étage), Catherine Fraulob (demeurant fossé des Orphelins), Alphonse Hægel (demeurant 8, rue des Bouchers), Tecla Hægel (demeurant à la Haute-Goutte 152, poste de Natzwiller)
    1950 – Alphonse Hægel demande une attestation de travaux faits dans la maison. La Police du Bâtiment répond qu’elle n’a pas trace de tels travaux

Relevé d’actes

Jean Hornbach est autorisé en 1560 à construire un balcon vers la rivière. Originaire de Guberschwihr en Haute-Alsace, il épouse en 1554 Marguerite, veuve de Léonard Hammerschmidt

Mariage, cathédrale (luth. f° 15-v)
1554. 1. Aprilis Hans Hornbach von Geberschweier vnd Margreta Leonhards Hammerschmidts nachgelaßene witfraw. Eingesegnet den 10. Aprilis (i 19)

Son métier de barbier est cité à la naissance de son fils Jean en 1561
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 103-v n° 49) 1555, den 16. Junÿ ist getaufft worden Margreth Hannßen Hornbachs (i 111)
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 143 n° 9) 1558, den 6. Februarÿ ist auch getaufft worden Barbara Hans Hornbachs (i 154)
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 180 n° 18) 1561, den 16. Martÿ ist auch getaufft worden Johanns Hans Hornbachs des scherers sohn (i 192)

La maison appartient ensuite au barbier Georges Nasshold (sous la forme Georges Mœtschel dans le Livre des loyers communaux D). Originaire de Bach près de Riedlingen, il épouse en 1565 Madeleine, fille de Michel Widmann

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 84 n° 52)
1565. (den 15. octob) Umb 9 Vhren denselbig. tags sind Eingesegnet worden Geörg Nußholtt von Bach beÿ Riedlingen vnd Magdalena Wiedmännin Michel Wiedmann selig. verlaßene tochter von Str. (i 97)

Il devient bourgeois par sa femme un mois et demi après son mariage
1565, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 262
Jerg Noscholt der scherr von Riedling. hatt d. burgkrecht Empfang. von Magdalena Weÿlandt Michael Wÿdmans hÿnd. Laßner dochter seiner Ehelich. haußfraw vnd dient Zu der Lucernen. Act. den 6.ten decembr. 65

Georges Nasshold se remarie en 1572 avec Marguerite Berr, fille du prévôt de Rhinau Michel Berr.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. n° 72)
1572. Jeorg Nasholt Scherer vnd J. Margred Berin Michel Beren des Schultheissen verlaß. Tochter von Reinaw (i 159)

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de l’orfèvre Régnard Diethmar. Originaire de Dithmarse en Schleswig-Holstein, Régnard Diethmar épouse en 1582 Marguerite Berr, veuve du barbier Georges Nasshold.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 139 n° 17)
1582. Den 22 Octobris vmb 9. Uhren sindt ehelich eingesegnet worden Reinhardt Diethmar auß Diettmarsch ein goldtarbeitter Vnnt Margaret Berrin weilandt M. Jörg Naßholdt deß Scherers seligen Hinderlaßene wiwe von Straßburgk (i 155)

Régnard Diethmar devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1582, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 509
Reinhartt Diettmar Von Diettmarsch der Goldttarbeitter Hatt das burg.rechtt empfangenn vonn margretten Berin Jörg nascholttß deß scherers wittwenn vnnd will Zuor steltzenn diennen acttum den 30.ten 8.br. 1582.

Mentions de Régnard Diethmar dans les registres des Conseillers et des Vingt-et-Un
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) Hans Jacob von Karpffen contra Reinhard Dietschmar (Reinhard Dietmar). 156. 187. 218. [Müntz bezahlung]
1607 Conseillers et XXI (1 R 85) Reinhardt Dietmar [Wardein zu Zabern] contra Hans Ruber [den wagner]. 89. 98. [pt° schuld]
1611 Conseillers et XXI (1 R 90) Hans Ruber [Hans Huber der wagner] contra Reinhardt Dietmar. 128.

Le notaire Evrard Beer a provoqué sans succès la vente de la maison de Régnard Diethmar à la chambre des subhastations. Comme il a trouvé un bon acquéreur, il la cède au cordonnier Laurent Dorsch avec l’accord des créanciers.

1601 (24 Novembris), Chancellerie, vol. 336-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 88-v
Khauffverschreibung Lorentz Dorschen des Schumachers vber Ein behausung Jenseit der Schindtbrucken gegen dem Rappen
Erschienen herr Eberhard Beer Notarius vnd Sibenzüchter schreiber, beneben Rheinhardt Dietmarn dem Goldtschmidt alhie vnd hatt sonderlichen ermelter Beer angezeigt vnd vermeldet, das er hiebevorn an d. Statt Gericht sein Dietmars behaußung nach benant vmb gewißer forderung vnd ansprach will ane die Gant und ansich gepracht, auch vmb mehr sicherheit ein Citatio* vor dem Kleinen Rhat an sein Dietmars Creditoren erlangt vnd anschlag. laß. da sich aber sein gericht auch Jüngere Vorhand*. niemands bißhero Vilberürten Rechten vß Zu haben, fund. vnd anmeld. wollen, dieweil aber hin Zwisch. sich gute gelegenheit angeregte behausung Zu verkauffen begeben, So hette er mit gewißen vnd willen der übrig. Creditoren (…)
Lorentz Dorschen dem Schuhmacher
dieselb. Behausung hoffstatt mit allen begriffen weit. Recht. und gerechtigkeit. geleg. alhie Jenseit der Schindtbrucken, gegen d. herberg Zum Rappen hienüber neben Josie Pflug dem Goldtschmidt vnd anderseit Andres Dollenkopff dem Schuhmacher geleg. hind. auff der Preusch stoßend, dauon gonht Jährlich 2 lb 10 ß gelts auff der h. Weÿhnacht. d Allmend herberg sie seÿ ewig ehrschätzig oder nit diß orths angeschlagen für 50 lib d. It. 4 fl. gelts St w. vff St. Catharinen mit geld oder silber müntz ablösig den Edlen von Beerstett angeschlagen für 52 lb 10 ß, ferner15 fl. str. w. vff Michaelis H. Willuißh. Zu Hagenaw, so widerlösig mit 300 fl w. Mehr Ist sie verhafftet bemelt. herrn Beeren vmb 202 lb d. die Zu Dreÿen nachvolgend. Jahren von dato zu rechn. vff weÿhenachten. (…) It. 15 fl. a 15 batz Jährlich vff weÿhenacht. Geörg Leÿttersperger dem khüeff. mit 350 lb d lösig vnd genht von dem gang In die Breüsch 5 ß Almend Zins d. Statt angeschlagen vmb 5 lib, Letzlichen hatt er auch vff sich genommen so vilbemelt. Beeren vnd Bleß Leÿttersperger, vnd andern für hauptgut Zinß vnd vncosten vßstendig samptich 383 lib dieselben nachvnh* wid. gestelt Zubezahlen damit Ihme Kheuffern diiße behaußung mit allen angeben beschwerd. die d Kheuffer auch gutwillig auff sich genommen, freÿ vbergeben

Originaire de Würzbourg, Laurent Dorsch épouse en 1597 Marie, fille du menuisier Jean Fingerlin
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 73 n° 166)
1597. Domin: 2. post Epiphan: 16. Januarÿ. Lorentz Dorsch von Würtzburg d. Schuhmacher vnd Maria Hanß Fingerlin des Schreiners tochter, Eingesegnet Montag den 24. Januarÿ (i 75)

Il devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage.
1597, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 739
Lorentz Dorsch von Würtzburg der Schumach. empfangt d. Burgerrecht von Maria, Hans Fingerlins des Schreiners dochter, seiner ehelichen Haußfr. vnd will zu den Schumach. diehnen. Act. den 1. febr. 97

Laurent Dorsch se remarie en 1610 avec Barbe Kleindienst, fille du tailleur Michel Kleindienst : contrat de mariage, célébration
1610 (8.10.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39)
Eheberedung Zwüschen dem Ehrenhafften Lorentz Dorschenn dem Schuhmacher vnnd Jungfr. Barbaræ Cleindienstin, beeden Verprochenen ehepersonen auffgerichtet
Zwüschen ddem Ehrenhafften Meister Lorentz Dorschenn, schuhmacher vnd burgern Zu Straßburg Ane einem
So dann der ehrn: vnd tugendsamen Jungfrauwen Barbaræ Cleindienstin, deß Auch Ehrenhafften Meÿster Hanß Cleindienst schneiders vnnd burgers Zu Straßburg eheleiblich dochter Ane dem Anderntheÿl
Beschehen Vnd Verhandelt Inn deß heÿligenn Reichß freÿen Statt Straßburg Montagß denn 8. octobris Inn dem Jahr deß herrn Alß man Zaltte 1610.
Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54)

Mariage, cathédrale (luth. p 251)
1610. Dominica 19. Trinitatis. Lorentz Dorsch der schumacher und Barbara Hans Kleindienst deß schneiders tochter (i 129)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 122 n° 100) 1610. 23. Octob. zu S Thoman. Lorentz Dorsch der Schumacher, J. Barbara, Hans Kleindienst Schneids. tochter (i 124)

Jacques Evrard Meyhard d’Illkirch et Barbe Bæhr empruntent 200 florins à Laurent Dorsch et donnent en garantie un titre obligataire de 1574 sur la maison de leur créancier

1619 (ut spâ [iij. Septembris]), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 471-v
(Inchoat in Prot. fol: 334) Erschienen h. Jacob Eberhardt Meÿhardt wonhaft Zu Illkirch vnnd Fr. Barbara Bährin sein eheliche haußfrauw mit beÿstandt herrn Hannß Ulrich Klotter Notarÿ vnd h: hannß Christoff Bähren, Burgern Zu Straßburg gedachter Fr. Barbaræ bruders, vnd beder Als Ihrer nechster verwandten von Ihro hierzu sond.lich erbetten, haben bekandt vnd
Inn gegenwertigkeit Lorentz Dorschen des schumachers burgers Zu Straßburg – schuldig sigen 200 guldin Straßburger werung gelühens gelts
dessen Zu mehrer sicherheit Zum rechten wüßenthafften unterpfand eingesetzt vnd verlegt, Einen Zinßbrieff mit hoffs Zu Straßburg Insigel verwahrt vnd datirt den 9. Julÿ 1574. Inhaltend 15 guldin gelts stand inn hauptgutt mit 300 guldin Straßburger werung abzulößen gibt gemelter Lorentz dorsch selbß Jährlichen vff Michaelis von seiner Jezo bewohnenden behaußung,welcher Zinßbrieff ledig vnd eigen
[in margine :] Erschienen Lorentz hatt in gegensein H Paulus Schell Innamen H Georg Friderich Schellen bekhant das er Ihle diße ij C lb Strßb. w. erlegt vnd bezalt Actum den 7.ten Octobris Anno & 1612.
vide Nachtrag in Regist: 163. fol: 292.

Barbe (Kleindienst) veuve de Laurent Dorsch se remarie en 1627 avec le mégissier Ulrich Bauer (ici sous le nom de Daur)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 180-v)
1627. Ulrich Daur d. Weißgerber allhier, Barbara, Lorentz Dorschen deß Schumach.s selig. nachgelas. Wittib, 9. Apr. (i 186) [Ulrich Baur]

Le tuteur des deux enfants mineurs issus du premier mariage de Laurent Dorsch avec Marie Fingerlin et celui des deux enfants issus de Barbe Kleindienst vendent leurs parts de la maison au cordonnier Frédéric Reuchlin et à sa femme Marthe Dorsch, cohéritière

1625 (ut spâ. [xxxj. Augusti]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 358
(Inchoat. in Prot. fol. 300) Erschienen h. Jacob Schreÿber groß. Raths verwandter Als vogt hannß Geörg, Mariæ Elisabeth, weÿland Lorentz Dorsch des schuomachers selig. Khind. Inn erster ehe von weÿland Maria Fingerlin erzielet, so dann hannß Notter schuomacher burger Zu Straßburg, Als vogt Annæ Margred. vnd Johannæ, vorgemelts Lorentz Dorsch. Khind. von Barbara Cleindienstin Inn disser And. ehe erboren, bede vögtlich. weiß (verkaufft)
Friedrich Reichell dem schuomach. burg. Zu str. vnd Marthä Dorschin, obgemelter vogt Khind. schwester seiner haußwürthin
Fünff Sechstetheil der vogt Khind. für Vngetheilt gebürend Von vnd Ane hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & gld Inn d. St. St. Jenseit d. schind bruckh. geg. d. Herberg Zu Rapp über, einseit n. hannß Frör Isen schuomach. anderseit Geörg Cuntz dem gremp, hind. vff die Breüsch stoßend, dauon gnd. iij. goldgld. Abloß. mit j. C. gl gl vff Catharinæ J. Philipp Dietrich Böckle, Mehr 2. lb 10. ß d gelts ehrschätziges zinß, vff Martini Inn der Ellend herberg, hieher für L. lb d Ang. Item sind sie Verhafftet vmb L. lb d obgedachter Barbaræ Cleindienstin der witwen, So dann seind die verhafftet vmb 420. lb d Zuleg. mit d. Zinß wann mans bedörff. würd Inn vffkhünding eines Viertell Jahre der dreÿ Kinder. Inn erster Ehe, Sonst ledig eÿg. daran d. übrige Sechstetheil Ihro der Kheüfferin Zuuor für vngetheilt zustendig, Vnd ist disser Khauff vber obgehertt. beschwd. so die Kheuffer vff sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb viij C. Lxj. lb xiij ß
[in margine :] Erschienen Barbara Kleindienstin Ulrich Bauren deß Weißgerbers eheliche Haußfrau mit beÿstand H. Johann Georg Dorschen SS. Theol. Doct. et Professoris ihres Sohns Vnd H. Christmann Röderers E. E. großen Rhats Beÿsitzers ihres dochtermsnns, hatt in gegensein Friderich Reüchlins deß Schuhmachers ihres dochtermanns deß hierinn gemelten Käuffers bekannt, daß Sie von demselben umb daßjenige, welches Sie Barbara Von Johanna Dorschin ihrer Verstorbenenn dochter seel. für ihr an dießem Kauffschilling gehabten Antheil geerbt hatt (…) den 13. Februarÿ A° 1649.

Fils du pasteur de Gerstheim, le cordonnier Frédéric Reuchlin épouse en 1624 Marthe, fille de Laurent Dorsch (ici sous le prénom de Marguerite)
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 184)
1624. Dominica 26. Trin: 21. 9.bris. Friderich Reichel der schuhmacher H. M. Lienhard Reichel pfarrers zu geerstein n. sohn vnd J. Margreth Lorentz Dorschen den schurtzenmachers tochter. eingesegnet Montag 29. 9.bris (i 97)

Frédéric Reuchlin et Marthe Dorsch hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs de Laurent Dorsch et Barbe Kleindienst

1625 ‘ut spâ [xi. Novembris]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 474-v
(Inchoat. in Prot. fol. 392) Erschienen Friderich Reichell d. schuomacher burger Zu Straßburg vnd Martha dorschin sein eheliche haußfr.
hatt in gegensein hannß Nodter schuomachers burgers Zu Straßburg Als Vogt Annæ Marg. vnd Johannæ, wÿland Lorentz dorsch. s. Khind. Von Barbaræ Cleindienstin ehelich erzielt – schuldig seÿent 90 pfund
vnderpfand, hauß vnd hoffstatt mit All Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. Jenseit d. schind bruck. einseit neb. hanß Frör Isen schuomach. And.seit Geörg Cuntz dem grempen, hind. vff die Breusch stoßend, Dauon gnd 4. goldgld. loß. mit j. C. gl. gl. vff Catharinæ Jr Philippß Dietrich* Böckle, Mehr 2 lb 10. ß d gls ehrschätzigs In die Ellend herberg, It. sind sie verhafftet vmb L. lb Barbaræ Cleindienstin, It. seind sie Verhafftet vmb iij C. xxx lb Lorentz Dörsch 2. khind. So dann vmb viij C. Lcxv lb xiij ß iiij d auch Lorentz dorsch. 2. Khind. So dann vmb viij C L Lxij lb xiij ß iiij d auch Lorentz dorsch. Jungfr.

Georges Frédéric Schell accorde à Frédéric Reuchlin un complément de remboursement suite à l’obligation passée en 1619

1633 (20. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 292
Erschienen herr Georg Friderich Schell burger Zu St.
hatt in gegensein Friderich Reüchlen deß schuhmachers auch burgers alhie bekannt
demnach weÿl. Lorentz Dorsch gewesener Schuhmacher sein Reüchlins schweher see: den 3. 7.bris Anno 1619. sein H Schellen Vorfahren Jacob Eberhard Meÿhardten see. Vermög der beÿ hilario Meÿgern alß geweßenen Contractuum Noto. vffgerichteten Verschreibung 200. fl. St. wehr. vorgestrecht, darfür Er Meÿhardt ihme Dorschen 300 fl. w. so derselb vff sein hauß, welches Er Reüchle anietzo eÿgenthümblich besitzt Jährlich zuuerzinßen schuldig gewesen, zu underpfand v.legt

Frédéric Reuchlin et Marthe Dorsch hypothèquent la maison au profit de Georges Camehl, docteur en droit et rapporteur au Petit sénat. En marge, quittance remise à Jean Kamm au nom de sa femme Salomé Reuchlin en 1653.

1650 (31. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 724-v
Erschienen Friderich Räuchlin der Schuhmach. und Martha Dorschin sein eheliche haußfrau, und Sie Martha insonderheit mit beÿstand Isaac Bronnen deß Kupfferstechers ihres Schwagers /:dann der Brud. H. Dorsch ietzmahl. im Saurbronnen:/ und hannß Henrich Kammen deß Sattlers ihres dochtermanns, beed. alß dero hierzu erbettener anweßend. nechster Freünd
haben bekannt daß sie beÿde Eheleuth ohnverscheidentlich H Georg Camehlen V.I.D. und E.E. Kl. Rhats Actuario & Referendario, schuldig seÿen 100 lb
Underpfand sein soll ihre Behaußung ienseit der Schindbruckh, einseit neb. hannß Panthel anderseit neb. hannß Jacob Walthern, hind. vffs waßer stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Catharinæ 4. gold fl. lößig mit 100. golt fl. weÿl. Hrn Philipß Dietrich Böckhle seel. Erb. Item 2 lib 10. ß erschätzigs Zinnßes vff Martini in die ellende herberg, so ist solch. hauß auch noch verhafftet umb 275 lb Capital (…) obgemeltem Bronnen ehevögtlich weiße und dann umb 12. lib. 10 ß H Christmann Röderern groß. Rhats Verwanth.
[in margine :] Erschienen H Dominicus Dietrich V.I. Ddus & Advocatus alß deß H Creditoris nunmehr seel. nachgelaßener wittibin Curator, hatt in gegensein hannß Henrich Kammen deß Sattlers alß Ehevogts Salomeen, so dann hannß Sebastian Gerlachß deß Schuhmachers alß Vogts Philipß, Friderichß und Ursulæ, alle vier Geschwisterd. und deß nunmehr auch abgeleibt. Debitoris seel. Kind. und Erben (quittung) Act. 9. martÿ a° 1653.

Le Petit Sénat rend le 8 décembre 1652 une sentence de collocation et d’expulsion contre les héritiers de Frédéric Reuchlin (voir ci-dessous l’acte de 1676). Le pasteur Philippe Reuchlin céde sa part de maison à Jean Henri Kamm en lieu de paiement de 30 livres

1656 (6. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 580
Erschienen H. Philippß Räuchlin Pfarrer Zu Weÿßweil in der Obern Marggraffschafft, mit beÿstand Caspar Dieffenbachs deß Kupfferschmidts Und Frantz Thoman deß bürstenbinders seines resp: Vettern Und Schwagers
in gegensein hannß Heinrich Kammen deß Satlers auch seines Schwagers
ahne stat und für die jenige 30. lb. so Er, demselben, in gehaltener Abrechnung und Verblieben seÿe, vffrecht und redlich cedirt und übergeben haben seinen Viertentheil an einem sechßten theil, oder einen vier und Zwantzigsten theil, Ihme für ohnvertheilt gebührend, an einer alhie, jenseit der Schindbruckhen, einseit neben weÿl. hannß Pantels seel. Erben, anderseit neben weÿl. hannß Fröreißens deß schuhmachers seel. Erben, hinden vff die Preüsch stoßend gelegener Behaußung, Über die, vff der gantzen Behaußung hafftenden Vnd in dem Über weÿl. Friderich Räuchlins deß Schuhmachers seel. Verlassenschafft durch nunmehr auch weÿl. H. Caspar Medler den Notarium seel. in A° 1651. vffgerichtetem Inventario fol. 39. et seqq. specificirte und Hiehero Zum Vier und Zwantzigsten theil gehörige Beschwärd

Ursule Reuchlin femme du brossier François Thomas cède à son beau-frère Jean Henri Kamm sa part de maison (un 18°) et les sommes garanties sur la maison selon l’inventaire dressé par le notaire Gaspard Medler en 1651

1659 (24. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 61
Erschienen Ursula, Frantz Thomæ deß Bürstenbinders Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein hannß Henrich Kammen deß Sattlers ihres Schwagers
einen tritten theil an einem sechßten theil od. einen Achtzehend. theil, Ihro für ohnvertheilt gebührend, an einer alhie Jenseit der Schindbruckh, einseit neben weÿl. H David Güntzers deß handelßmanns seel. wittib und Erben, anderseit neben weÿl. hannß Fröreißen deß Schuhmachers seel. Erben, hind. vff die Preusch stoßend gelegener Behaußung, über die vff der gantz. behaußung hafftende und in dem über weÿl. Friderich Reüschlins deß Schuhmachers seel. Verlassenschafft durch weÿl. H Caspar Medlern Notarium seel. in a° 1651. vffgerichtetem Inventario fol. 39. v. seqq. specificirte und hiehero pro rato gehörige Beschwärdten – umb 30. lb

Fils de l’aubergiste Jean Kamm, le sellier Jean Henri Kamm épouse Salomé Reuchlin en 1648
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 234-v, n° 5)
1648. Eodem Dominica [Reminiscere] Hans Heinrich Kamm der Sattler, Herr Hanß Kammen gewesenen gasthalters vnd wirth Zum hürtzen alhie hinderlaßener ehelicher Sohn vnd Jfr Salome Friderich Reuchlin des Schumachers vnd burgers alhie eheliche tochter. Mont. Claus (i 253)

Les héritiers de Chrétien (Christmann) Rœderer donnent quittance de 300 florins à Jean Henri Kamm d’après la collocation de 1656

1676 (12. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 855
Christmann Röderer der Rothgerber und hannß Georg Röderer der Schuhmacher, Andres Röderer der Gerber und Lederbereiter, alß Vogt Christmann Rügers, mit weÿl. Margaretha Rödererin nunmehr seel. ehelich erziehlten Söhnleins, hannß Martin Schurer der Gerber und Lederbereiter alß Ehevogt Mariæ Rödererin, hannß Jacob Röderer der Geber und Lederbereiter, herr Sebastian Röderer, E.E. Stattgerichts alter Beÿsitzer alß Vogt Johann Röderers, Salome Rödererin, Niclaus Hitschner deß Huetstaffierers und Dorothe Niclaus Hammerers deß handelsmanns Eheweib, iede mit beÿstand ihres Ehevogts, alle weÿl. herrn Christmann Röderers E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßene Kinder 2.ter und 3.ter Ehe resp. Enckel
in gegensein hannß Henrich Kammen deß Sattlers
dreÿ hundert Gulden à 15. batzen bahr erlegten Gelts cedirt und übergeben haben, alle die Jenige Gerechtigkeit, so Ihnen denen Rödererischen Kinder, und Enckheln in Krafft deß Freÿtags den 8. 10.br: a° 1652. Von E.E. Kleinen Rhat ertheilten Collocations beschaÿdts und resp. beschehener Außweißung Friderich Räuchlings deß Schuhmachers Credd. uff einer alhie Jenseit der Schindbruckhen, Zwischen Daniel Ruopen dem Schuhmacher und herrn Johann Fausten SS. Theol. Doct. et Profess. Physices Kinder erster Ehe gelegene behaußung umb 333. fl. dann die übrige 116. fl. Vorhien bezahlt seÿen gebührt haben

Jean Henri Kamm se remarie en 1681 avec Susanne Schretzenmeyer, veuve du batelier Michel Freund : contrat de mariage par lequel le mari assure à sa femme l’habitation viagère dans sa maison, célébration. Susanne Schretzenmeyer est la grand-mère par alliance des héritières à l’inventaire dressé en 1698 (ci-dessous)
1681 (17/27. Oct.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) N° 89
Ehepacta H. Johann Heinrich Kamm vndt Frauen Susannæ Schretzenmeierin weÿland Michel Freündts geweßenen Schiffmanns wittiben
ent zwischen dem Ehren v. wohl vorgeachten herr Johann Heinrich Kammen, Satlern v. burgern alhier, als hochzeitern, ane einem,
So dann d. Ehren v. tugentsamen Frauen Susannæ Schretzenmeierin weÿland Michel Freündts gewesenen Schiffmanns seelig. hind.plibener wittibin, alß d. hochzeiterin, andern theilß
Zum Sechsten v. Letzten, hat d. H. Hochzeiter seiner Frauen hochzeiterin vff sein seeligen Ableÿben Zu einem wÿdelbs Sitz Inn seinem wohnhauß Alle die jenige gemach so ietzig. Zeit sein dochter v. dochter mann innen hat, Zeit lebens Zubewohnen v.ordnet, nemlich. inn dem obern stock, ein stub, stub Cammer, v. den halb.theil d. groß. Cammer, sampt selbigen haußöhrin v. waß dazu gehörig ist, It. ein Cammer uff dem obern bod. beim Zug, mehr soll Sie platz hab. Zu holtz v. wellen, So dann sollen die Zwo obene büehnen, wie auch d. keller Zwisch. ihr d. hochzeiterin v. seiner dochter v. dochtermann künfftig. Zeit nach sein deß hochzeiters todt gemein sein, auch in gutem fried. v. einigkeit mit einand. inß gemein gebraucht v. genoß. werd. Nicht wenig. solle auch Sie die hochzeiterin d. hind. stübel vffs waß. für sich Zubehalt. v. Zubewohnen, Zugleich auch da Sie d. handwerck fortzusetz. belieb. trüge, alß dann d. gerechtigkeit deß außhangs Zum halb. theil Sich Zue bedienen macht hab. ohngehindert menniglichs. (…)
So beschehen in d. Königl. freÿen Statt Straßb. vff Montag den 17/27.ten Octobris Im Jahr nach Jesu Christi vnsers einig. Erlöser v. Seligmaches geburth Zahlt. 1681

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 17 n° 29)
1681. Domin XIX. et XX. Trinit. Hans Heinrich Kamm der Burger und Sattler alhie und Fr. Susanna weÿl. Michael Freundt deß Burgers und Schiffmanns alhie hinderlaßene Wittib. Copul. Donnerst. 30* octobr. Zu St. Niclaus (i 18)

Le garçon batelier Michel Freund épouse en 1647 Susanne, fille du cordonnier Jean Schretzenmeyer ; contrat de mariage, célébration
1647 (10. febr:), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 92
(Eheberedung) Erschienen Michael Freünd der Schiff Knecht und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Stephan Freundts deß Schiffmanns seines Bruders und Paul Voglers deß Schiffmanns seines Schwagers beed. Burger alhie an einem
So dann Jungfrauw Susanna weÿl. hannß Schretzmeÿers deß Schuhmachers und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand hannß Walch. deß Schuhmachers ihres Vogts, und Hannß Bach deß Schuhmachers ihres Vettern, beed. Burg. alhie am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. p. 503)
1647. Domin: Septuages. Michel Freund der Schiffknecht, Michel Freund deß geweßenen Schiffmanns allhie ehelich. Sohn, Vnd J. Susanna Hanß Schetzenmeÿer, Schuhmachers allhie nachgelaßene eheliche tochter. Im Münster Mont. 22. febr. (i 256, procl. Saint-Guillaume i 13 n° 11)

Jean Henri Kamm loue une partie de sa maison au fondeur de pots Marc Kærlin

1690 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 31
hans Henrich Kamm, der Sattler
in gegensein Marx Kärlin deß Kantengießers
verlehnt, In seiner jenseit der Schindbrucken geg. dem Raben über gelegenen Behaußung Erstlich die Und.ste stub, und darbeÿ die halbe Gelegenheit Zum außhäng. auch Küch und haußöhren so darbeÿ, der bauch kößel und Gängel auffs waßer darbeÿ aber soll gemein sein. Ferner die werckstatt auffs waßer und Im Keller Platz Zur Notturff, Mehr die Oberste stub und Cammer daran, doch ohne d. hauß ehren und waßerstein welches d. Verleiher vor sich reserviert, So dann Ein steg beßer hinauff, den Platz beÿm Zug, zu holtz und wellen zu leg., Endlich Platz Zu einer bettlad in d. gesellen Cammer, der große trog aber beÿ d. haußthür und wo mann darüber und darbeÿ vorn sattlerarbeit stell. und hencken bleibt dem Verleiher vorbehalt. alles auff so lang alß der Verleiher d. leben haben wird, Nach seinem ableiben aber auff eine halb jährige auff kündung – umb 75 Pfund

Jean Henri Kamm hypothèque la maison au profit de l’étudiant en droit et en philosophie Jean Gérard von Stœcken

1693 (26. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 153-v
Erschienen H. Hannß Heinrich Kamm, der Sattler
hat in gegensein Hn Johann Gerard von Stöcken Juris et Philos. Stud. alß von /:tit:/ Hn Ulrich Marbachen J.U.D. et P.L. seinem Hn. Curatore hierzu bevollmächtiget – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, der Zweÿte theil an ener behaußung und übrigen deren Gebäuen und Zugehördten allhier jenseit der Schindbrucken einseit neben Hn Johann Fausten SS. Theol. Doct. et Professore anderseit neben Daniel Rueppen dem Schuhmacher hinten auff die brüsch stoßend gelegen, von welch gantz behaußung gehen jährlich 17 ß bodenzinß auff allhiesigen Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch umb 50 lb cap. der Elenden Herberg, umb 80 lb cap. Hn Frantz Königen und umb 272 lb cap. hanß Georg Brunn verhafftet

Jean Georges Kamm meurt en 1698 chez Geoffroi Rœderer en délaissant pour héritiers ses deux petites-filles, issues de Dorothée Kamm et de son mari le sellier Geoffroi Rœderer ; une troisième est morte peu de temps auparavant. La maison est estimée au même prix qu’en 1693, soit à la somme de 712 livres. L’actif de la succession s’élève à 375 livres, le passif à 212 livres.

1698 (13.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) n° 147
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung so weÿl. der Ehren: undt vorgeachte Herr Hanß Heinrich Kamm, geweßener Sattler vndt burger allhier zu Straßburg nunmehr seeligen, nach seinem den 1. Januarÿ dießes allererst new angetrettenen 1698.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Kammen Metzgers vndt burgers allhier als geschwornen vogts Jungfrawen Ursulæ vndt Dorotheæ des Ehren vnd vorachtbahren herrn Gottfriedt Röderers auch Sattlers vnd burgers allhier mit weÿl. frawen Dorotheæ gebohrner Kammin seiner ersten haußfrawen Kindern, vnd dißorths als Enckel per Testamentum instituirten Erben fleißig inventirt, durch erstbemelten H Gottfried Röderern vnd deßen haußfraw als beÿ deme der entseelte seel. im hauß gewohnet (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Montags den 13. Januarÿ Anno 1698.

Eÿgenthumb ane einer Behaußung vndt Hütten. It. hauß vndt hoffstatt mit allen deren gebewen, begriffen, Weithen, rechten, zugehörden vnd gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg, jenseith der Schindbrucken, schregs gegen der gastherberg Zum Raaben über, einseith neben herrn Johann Geörg Freidenbergern dem Silberarbeither vnd jeztigen dreÿer Knecht des allhießigen Pfenningthurns, anderseith herrn Daniel Ruepen dem Schuhmacher, hinden auff die Preusch stosend, ist allererst in Anno 1693. æstimirt worden pro 712. lb 10 ß. Gehen ab Herrn Frantz Königs darauff stehende 80 lb, It. der Elenden herberg 50 lb, So dann hanß Geörg Bronnen des Secklers behöriges ratum 272 lb 10 ß. Summa abgangs ist wie vorstehet 402 lb 10 ß, Restiert also annoch so allhier außzuwerffen 310. Nota, von dießer behaußung gibt mann auch Jahrs 17 lb d bodenzinß der St. St. Pfenningthurn.
Vber vorstehende behaußung waren hiebevor vorhanden i. teutsch. perg. brieff mit der St. St. C. C. Insiegel verwahrt, datirt den 31. Aug. Anno 1625. mit N° 1 notirt. So dann 1. teutsch. perg. brieff, mit des bischofflichen hoffs Insiegel v.warth, datirt den 9. Julÿ 1574. auch mit N° 1 signirt. Vorher gemelte beede brieff seind bereits beÿ des verstorbenen seel. Zugebrachten Nahrungs Inventation nit mehr vorhanden geweßt sondern gegebenem bericht nach verlohren gangen.
Schulden (…) It. ersternantem H Gottfried Röderern soll mann nomine seines verstorbenen jüngsten döchterleins Susannæ demselben von weÿl. frawen Susannæ Schertzenmeÿerin deßen Stieffgroß Mutter v. Göttel (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 7, Sa. Wahren vnd Werckzeigs 12, Sa. pfenningzinß hauptguths 40, Sa. Eÿgenthumbs ane Einer behaußung vnd diehlen hütt 315, Summa summarum 375 lb – Schulden 212 lb, verbleibt 163 lb

Fils du sergent des Trois de la Tour aux deniers, Jean Geoffroi Rœderer, Geoffroi Rœderer épouse Dorothée Kamm en 1676 : contrat de mariage, célébration
1676 (19.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 65
Ehepacta Zwischen Gottfried Röderern vndt Dorotheen Kammin
entzwischen dem Ehrenhafften vndt bescheidenen Gottfriedt Röderern, weÿland H Hanß Gottfriedt Röderers, Dreÿerknechts deß Pfenningth. alhier seel. ehelich gezeugtem hinterlaßenem Sohn, als dem hochzeitern ahne einem,
So dann der Züchtig v. tugendsameen Jungfrauen Dorotheen Kammin, deß Ehren v. vorgeachten H Johann Heinrich Kammen, Satlers v. unds alhier ehelich gezeügten dochtern, alß d. Jungfr. hochzeiterin, Andern theilß
Beschehen inn Straßburg, vff Montag den 19. tag Junÿ A° 1676. [unterzeichnet] Gottfried Röderen Als Hochzeiter, Johann Peter Storck alß deß hochzeitern Fr. Mutter Curator, Sebastian Röderer alß des hochzeiters vogt, Ich Johannes Krraufthal Alls des hochzeiters schwager bekenne wie Vorstehet – hans heinrich kam, der hochzeiterin Vatter

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 297-v, n° 30)
1676. Dom: 7. Trin: Johan: Gottfried Röderer, d. ledige Sattler, weÿl. Johann Gottfried Röderer des gewesenen dreÿer Knechts auf dem Pfenningthurn hind.laßner ehelicher Sohn vnd Jfr Dorothea Johann Heinrich Kammen deß Sattlers vnd Burg. alhie eheliche Tochter, Copul. Nicolaj 20. Julÿ (i 318)

Geoffroi Rœderer se remarie en 1690 avec Barbe Schubæus, veuve du cordonnier Jean Born
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 13-v, n° 13)
1690. Auff heuth Mittwochs den 20. 7.br. St. N. Aô Christi 1690 seind nach Zweÿmahlige proclamation (…) copulirt worden Gottfried Rederer der Burger und Sattler alhie, vnd fr. Barbara, weÿland Johannes Bornen deß Burgers und Schuhmachers alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Gottfrid Röderer Sadler als Hochzeiter, Barbara Schubbin als Hochzeitrin (i 15)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 175) 1690. Dom: 16 post Trin: Zum I. mahl Gottfried Röderer Sattler u. Burger b. fraw Barbara Weiland Johann Bornen gewesenen Schuemachers u. Burgers nachgel: W. Mittw. den 20.t 7.br. St. Niclaus

Geoffroi Rœderer meurt en 1702 dans la maison qui appartient pour partie à ses enfants. Les experts estiment à la somme de 1 250 livres la maison qui appartient pour onze 20° à la succession et pour les neuf 20° restants au sachetier Jean Georges Brunn d’après un état dressé le 16 mai 1703 par le notaire Elie Winckler. La masse propre à la veuve est de 138 livres, l’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 217 livres, le passif à 300 livres.

1702 (24. 8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 8) n° 346, 349
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung vnd Güthere, liegender und fahrender, keinerleÿ davon außgeschloßen, so weÿland der Ehren: und Vorgeachte Meister Gottfried Röderer geweßener Sattler vnd burger allhier zu Straßburg nunmehr seeligen, nach seinem den 4.ten Septembris dießes Zu endt lauffenden 1702.ten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren des Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Kammen Metzgers und Burgers allhier als geschwornen vogts Jungfrauen Ursulæ vndt Dorotheæ des verstorbenen seel. in erster Ehe mit weÿland der Ehren vnd tugendsamen frawen Dorothea gebohrner Kammin seel. erzeigter Zween Töchtere, ferner des Wohl Ehren: vnd vorachtbahren Herrn Joh: Joachim Röcklinger Kachlers vnd auch burgers allhier, als geordnet und geschworenen Curatoris Annæ Barbaræ des abgeleibten seel. in anderer vnd letster Ehe mit nachgemelter seiner hinderbliebenen Wittib erzeügter Töchterleins, Aller dreÿ des nun in Gott seelig ruhenden nachgelaßenen Kinder und ab intestato Erben, fleißig inventirt vnd ersucht, durch die Ehren vnd tugendsahme fraw Barbaram gebohrne Schuppin die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Ehren vnd wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Faudel Sattler vnd burgers allhier Ihres geschwornen vogts (…) So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, dienstags den 24. Octobris Anno 1702.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci

In einer allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbrucken gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörige behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerckh. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Im obern Stübel, Im obern Stub Cämmerlin, Im hindern Kleinen Stübel, Im obern Hauß Öhren, In der vndern Wohn Stub, Im Vndern Kühel, Im vndern hauß Öhren, Im Cämmerlein auffs Waßer
(f° 14-v) Eÿgenthumb ahne Häußern (T.) Erstl. eine behaußung, höfflein v. hoffstatt mit allen andern deren gebewen ane dem Gerbergraben (…)
(den Kindern erster Ehe allein gehörig) It. hauß v. hoffstatt mit allen deren gebewen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. gerechtigkeiten, gelegen in d. St. St. jenseith der Schindbrucken, schregs gegen der gastherberg Zum Raaben über, 1.s. neben Johann Peter Dumbacher dem Schuhmacher, 2.s. neben Daniel Ruopen auch Schuhmacher allhier hinden auff die Preusch stosend. Davon gibt mann Jahrs 17 lb d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, thut ohnvorgreifflich dem Zinnß nach Zu doppelt. Capital gerechnet 17. lb. d. Ferner 2. lb 10 ß Ehrschätzifen Zinnßes, Jährlichen auff Martini der Ehlenden herberg allhier, thut in Capital wie vormahlen angegeben 50 lb, So dann hatte weÿl. herr Hanß Frantz König geweßener burger allhier auf solcher behaußung in Cap. 80 lb. so Jahrs auff Catharinæ tag mit 4. lb d verzinßt word. welches aber der verstorbene seel. abgelößt vnd dahero den gesembten Kindern vndt Erben solch Cap: anjetzo gemeinschaftlich gehörig, so auch hernach fol. vmb guter richtigkeit willen beÿ den Activis eingetragen befindlich. Sonsten gegen männiglichen freÿ, leedig vnd eigen, vnd ist solche behaußung ane vorgemeltem dato durch die allhießig geschworne Werckmeistere æstimirt worden pro 1250. lb d Davon abgezogen vorstehende darauff hafftende onera so sammenthafft ertragen 147 lb, Nach deren abgang würd ane obigem anschlag annoch restieren 1103. lb. Daran gehört hiehero vermög eines durch Herrn Notm. Eliam Wincklern vnderm 18. Maÿ Anno 1703. gefertigten berichts vor Eilff 20. theil 606. 13. Die vbrigen 9/20.ste theil thun 496. lb 7 ß seind Meister Hanß Geörg Brunnern Säckler v. burger, allhier gehörig. Darüber besagt i. teutscher perg. Kbr. mit der St. St. C. C. stuben anhangendem Insiegel verwahrt, datirt den 31. Aug. Anno 1625. mit altem N° 1 notirt. ferner ein teutsch. perg. Kbr. mit des bischofflichen hoffs Zu Straßburg anhangendem Insiegel verwarth, datirt den 9. Julÿ 1574. auch mit altem N° 1 bemerckt. So dann soll ein vom 8. Xbris A° 1652. beÿ E. E. Kleinen Rhat, weÿl. Friderich Reichlins des Schuhmachers Creditorÿ halben beschehene außweißung besagen, Welches ber alles dißmahlen sich nicht beÿ derstelle findet.
(denen 2. Kindern I. Ehe allein gehörig) It. Ein von dielen Vnd Latten Zusammen gemachte vnd außgeschlagene hütt oder Gutschenschopff allhier beÿ dem Metzgerthor, nechst am Wahl stehend, davon gibt mann Jährlichen 1. lb Allmend Zinnß der St. St. Pfth. ist das holtzwerck daran hiehero gewürdiget worden pro 5.
(f° 16) Ergäntzung der Wittib angegangenen unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßener Eheleuthe einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen in Anno 1690. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Wittib Nahrung betr. Sa. haußraths 17, Sa. Silber Geschirrs v. geschmeids 6, Sa. Guldener Ring 8, Sa. baarschafft 15 ß, Sa. Pfenningzinß hauptguths 3, Sa. Schulden 45, Sa. der Ergäntzung 56, Summa summarum 138 lb
Solchemnach volgt auch die Beschreibung sowohl der Erben vor unverändert: als theilbahren Guths vnder einem Titul nemblich als theilbar, angesehen die Wittib, nach inhalt einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen Vergleichs, die theilbahre Nahrung gegen erstattung 20. lb. d baaren gelts tam active quam passive den Erben abgetretten, vnd überlaßen, Sa. haußraths 124, Sa. Wahren v. Werckzeugs 22, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 35, Sa. Guldener ring 33, Sa. Pfenningzinß hauptgütere 110, Sa. Eigenthumbs ane häußern 811, Sa. Schulden in das Erbe 84, Summa summarum 1217 lb – Schulden 300, Nach deren Abzug 916 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1236 lb
Abschatzung den 3. Novembr. 1702. Weilandt der Ehrhafften und bescheidenen Meister Gotfridt Röderer Satler seel. hinter laßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg an der Schindtbruck, einseits Neben herrn Daniel Rubt Schumacher, anderseits Neben Meister hannß Peter Tubacher Schumacher, hinden auff das Waßer Stosendt, welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg Geschworne Werckleüth sich befund. und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen wird vor und umb Zweÿ tausendt und Fünff hundert gulden
Die ander behausung auch alhier in der Statt Straßburg auff dem gerber graben (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
N° 349. Verkauff: und Loos Registerlein, Mittwochs den 10. 9.bris et seqq. Anno. 1702.

Fils du graveur Isaac Brunn, le sachetier Jean Georges Brunn épouse en 1668 Anne Marie Diebold, fille du plumassier Jean Jacques Diebold
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 105, n° 39)
668. Dom: 18. post Trin: Zum 2 mal Hanß Georg Brunn der ledige Seckler Weiland Hr Isaac Brunnen gewesenen Kupfferstechers u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. Sohn, Jfr. Anna Maria Weiland Hr. Hanß Jacob Diebold gewesenen Federhändlers u. Burgers allhier nachgelaßene ehel. T. Sonntags den 1.ten 8.bris im Münster (i107)

Jean Georges Brunn se remarie en 1693 avec Marie Elisabeth, fille du peignier Laurent Reinthaler : contrat de mariage, célébration
1693 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 84
(Eheberedung) Johann Georg Brunn der Säckler und burger allhier alß hochzeiter mit beÿstand Philipp Fimpel deß haußfeurers seines Schwagers an einem
So dann Jgf. Maria Elisabeth Lorentz reinthalers deß Kammachers Ehe leiblich tochter alß hochzeiterin, mit beÿstand ged. Ihres Vatters, und Christian Gebhard deß Säcklers, Ihres Schwagers, am andern theil
Zum fünfften verordnet d. Hochzeiter seiner Hochzeiterin Zu einem widem den Ihme gebührend. Antheil seines haußes jenseit der Schindbrucken, einseit neben Friderich Freudenbergern dem Silberarbeiter, and. seits neben Daniel Rueb dem Schuhmacher, hind. auff das wasser stoßend gelegen, daran d. übrige theil hans Henrich Kammen, dem Sattler zustehet, selbiges Zeit lebens freÿ zu bewohnen

Mariage, cathédrale (luth. f° 34-v, n° 6)
1693. Eodem [Dom: Reminiscere] seÿn Zum I mal außgeruffen worden Meister H. Georg Brunn, Seckler und burger allhier, Jfr Maria Elisabeth, Lorentz Rheinthalers deß Kammachers und burgers allhier el. Tochter, Seÿnd copulirt worden den 25. febr. [unterzeichnet] Hanns georg Brunn als hochzeiter, Maie Elisabet Reintalerin Hoch Zeitterin, Lorentz Reinthaller Alß vatter (i 35)

Les enfants et la veuve de Geoffroi Rœderer d’une part, Jean Georges Brunn d’autre part vendent la maison à Marie Dorothée Hutzenreuther pour une somme de 1 250 livres

1705 (23.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 642
(1250) Joh: frid: Kamm metzger alß vogt Urßulæ u. Dorotheæ geschwisterd der Rödererin, Item Joh: Joachim Röcklinger kachler alß vogt Annæ Barb: Rödererin, Item Barb: geb. Schupperin besagter Annæ Barb: mutter beÿständlich Joh: Jacob Fautels sattlers ihres vogts, Item Joh: Georg Brunn säckler für sich
in gegensein Mariæ Dorotheæ Hutzenreutherin [gestrichen : Hutschereutherin] geb. Willhelmin beÿständlich Cladi Willhelms sattlers ihres vogts [unterzeichnet] Maria dorothea Hützenreiterin gebohre Wilhelmin
Hauß u. Hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier jeneith der schindbruck schrag gegen der Gastherberg zuem raaben über einseit neben Johann Peter Dunnbacher schuem: anderseit neben Hn Daniel Ringen auch schuem: hinten auf die Preusch stoßend gelegen, darvon gibt mann jahrs 17 ß bodenzinß dem Pfthrn – (verhafftet um 50 lb, geschehen um 1200 lb)

Fils du marchand de Nuremberg Jean Valentin Hutschenreuther, le marchand André Jean Hutschenreuther épouse en 1693 Marie Dorothée, fille du marchand Claude Wilhelm
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 37-v)
1693. Dom: 11. post Trinitatem seÿnd Zum I mahl außgeruffen word. Herr Andreas Johannes Huttschenreütter der ledige handelßmann, herren Johann Valentin Huttschenreütters auch Handelßmanns und burgers Zu Nürnberg ehl. Sohn, Jfr. Maria Dorothea Hr Claudii Wilhelms E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers und Handelßmanns allhier ehel. Tochter. Seÿnd copulirt Worden d 10. Junii [unterzeichnet] Andreas Johannes hutschenreuter als hochzeiter, Maria Dorothea Wilhelmin Als hochzeiterin (i 38)

André Jean Hutschenreuther devient bourgeois par sa femme deux semaines après son mariage
1693, 4° Livre de bourgeoisie p. 634
Herr Andreß Johannes Huttschenreiter der handelsmann Von Nürnberg, H. Joh: Valerÿ Huttschenreiters des handelßmanns daselbst Ehl: sohn, empfangt das burgerrecht von Dorothea Wilhelmin seiner jetzlahligen haußfr. p. 2. gold fl. 16 ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, War Zu Vor ledig. standts und Wird Zu E E Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur. d. 27. Junÿ 1693.

Marie Dorothée Hutschenreuther née Wilhelm loue une partie de la maison à l’orfèvre Daniel Kast

1712 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 454
Maria Dorothea Hutzenreiterin geb. Willhelmin beÿständlich Cladi Willhelm sattlers ihres Vogts
in gegensein Daniel Kast goldarbeiters
entlehnt, einen laden Item eine stub 3. Cammeren und eine Kuche sambt platz im Keller in ihrem hauß ahn der schindbruck gegen dem Raben allhier auf 2 Jahr lang anfangend auf Joh: Bapt. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund
[in margine :] Daniel Kast als entlehner, Johann Georg Ißlers des Fastenspeishändlers, sein annoch aus Vorstehenden Lehnungs Contract habend. und restirendes Lehnungs Recht von Weÿhaachten 1712 anfangend überlaßen, den 16. mart. 1713

Marie Dorothée Hutschenreuther vend la maison au chaudronnier Jean Georges Rieger moyennant 2 250 livres

1714 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 719-v
(2250) Maria Dorothea hutzenreuthein beÿständlich Cladi Wilhelm sattlers ihres Vogts, Item alexander Müllers goldarb: [unterzeichnet] huschenreiterin
Joh: Georg Rieger Kupferschmidts beÿständlich Joh: Caspar Grießbach metzgers [unterzeichnet] Rüeger
hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten jenseith der schindbruck schrags gegen der Gastherberg zuem raben über, einseit neben Johann Peter Dumbacher schuemacher, anderseit neben fröreißen dem schuem: hinten auf die Preusch – darvon gibt mann jahrs 17 ß bodenzinß dem Pfthrn (verhafftet um 50, 250 und 200 pfund, geschehen um 1750 pfund)

L’acquéreur hypothèque aussitôt la maison au profit du boucher Gaspard Griesbach

1714 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 721
immediate supra stehende kaüffer [Joh: Georg Rieger Kupferschmidt]
in gegensein Joh. Caspar Grießbach metzgers – schuldig seÿe 300 pfund zu erkauffung immediate infa versetzten behausung
unterpfand, perge immediate supra ibi hauß usq. a Jochischen KK

Jean Georges Rieger loue une partie de la maison à l’orfèvre Philippe Jacques Kast

1714 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 844
Joh: Georg Rüeger Kupferschmidt
in gegensein Philipp Jacob Kast silberarbeiter
entlehnt, in seinem hauß allhier ohnfern dem raben einen laden neben seiner ess und eine bühn zuem holtz und soll in die laden fenster eine thür zuem eingehen vom proprietario gemacht werden, der laden soll nicht kleiner gemacht werden alß biß ahn den steinern pfeiler – auf 9 jahr lang anfangend auf ostern 1715 – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 lb

Fils du tanneur Chrétien Rieger (Rüger), le chaudronnier Jean Georges Rieger épouse en 1714 Anne Marguerite Wagner, fille du tonnelier et marchand de vins Jean Frédéric Wagner
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 140-v, n° 6)
Mittwoch nach Oculi deb 7. Mart. 1714. seind nach Zweÿmahliger Außruffung Zu St. Nicol in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden, Johann Georg Rüger, der ledige Kupfferschmidt, weÿl. H. Christmann Rügers, geweßenen Rothgerbers Vnd Lederbereiters alhier, hinterlaßener Ehel. Sohn, Vnd Jfr. Anna Margaretha Wagnerin, H Johann Friderich Wagners des Kieffers Vnd Weinhändlers auch burgers alhie, Eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Georg Rüeger Als Hochzeiter, Anna Margaretha Wagnerin Als Hochzeiterin (i 145)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bestiaux qui appartient au monteur d’arquebuses Helwig
1714 (16.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 34) n° 1194
Inventarium vnd Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehren: vnd Vorgeachte Herr Johann Georg Rüeger, Kupfferschmidt und burger allhier Zu Straßburg, Zu der viel Ehren und tugendreichen frawen Margaretha gebohrner Wagnerin in den Ehestand zugebracht, vnndt vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegensein H. Friderich Wagnern Kieffer vndt burgers der Ehefrauwen vattern, Sambstag den 16. Junÿ Anno 1714.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Viehegaß gelegenen H. (-) Hölwig geweßenen Büchßenschiffter vnd burgern allhier hinderlaßenen Kindern vnd Erben eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden

Jean Georges Rieger et Anne Marguerite Wagner font dresser un inventaire de leurs biens grevés d’un important passif suite à l’achat de la maison. Les experts estiment la maison à 1 400 livres. La masse propre à la femme est de 621 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 68 livres, le passif à 1 586 livres.

1718 (9.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 41)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so H. Johann Georg Rüegern dem Kupfferschmid und Frauen Annæ Margarethæ Rügerin gebohrner Wagnerin beeden Eheleüthen und burgern allhier zuständig, dargegen auch zu bezahlen schuldig sind, welche auff fleißiges Ansuchen, erfordern vnd begehren ertermelter Ehefrauen, die, auß ursachen weilen der Ehe Mann wegen eines allzustarcken Hauß Kauffes Zimblichen in Schulden last gerathen, also daß er sich weder zu rathen noch zu helffen weiß, vmb das Ihrige zu salviren, sich bevögtigen laßen, und gehöriger orthen das beneficium cessionis Zu suchen gemüßiget ist, inventirt auch durch Sie selbsten, mit beÿstand des wohl Ehren vesten und rechtsgelehrten Herrn Johann Friderich Öhlingers Notarÿ Jurati et Practici ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen und Erhandelt in Straßburg dinstags den 9.ten Augusti Anno 1718.
Eheberedungs Copeÿ

In einer alhie Zu Straßburg beÿ dem Raben gelegener: vnd in dieß Nahrung gehöriger behaußung ist befnd. worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item Hauß vnd hoffstatt, mit allen ihren gebäwen, begriffen, weiten,, rechten zugehörden vnd gerechtigkeit gelegen alhier Zu Straßburg, Gegen dem Raben hinüber, ohnfernn der Viehegaßen, einseit neben Johann Peter Thombacher dem Schuhmacher anderseit neben Abraham Fröreißen dem Schumacher, hinden auff die Preüsch stoßend, gelegen. Davon gehen Jährlichen 17 ß: bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, Zu doppeltem Capital gerechner 34 lb, Item 2 lb 10 ß Zinß à 5. pro Cento der Elend Herberg Jahrs vff Michaelis, abloßig inn Capital 50. lb, Item 10. lb d. Zinnß dem Mehren Hospital alhier Jahrs auff dem 17. Julÿ ablößg in Capital mit 250. lb. Item 8. lb d. gelts à 4. pro Cento Herrn Johann Alexander Müllern dem goldarbeiter vögtlicher weiße wegen H. M. Johann Jochen Pfarrherrs zu Kolbsheim seel: hinderlaßenen Kindern, Jahrs vff Michaelis, ablößig in Capital mit 200. lb d, It. 88. lb d gelts à 4. pro Cento Frauen Mariæ Dorotheæ Hutschenreüterin gebohrner Wilhelmin Jahrs vff weÿhenachten in Capital ablößig mit 1450. lb d. So dann 12 lb d gelts à 4 p. Cento H. Johann Caspar Grießbachen Metzgern vnd burgern alhier, Jahrs augff Michaelis, ablößig in Capital mit 300 lb. Sonsten eigen durch die geschworne Werckmeistere alhier æstimirt vnd angeschlagen, vermög dero selbsteigenhändig unterschriebenen vnd außgestellten Scheins vom 17.ten Augusti 1718. pro 1400 lb d. Ist also dieße behaußung höher onerirt als selbige angeschlagen benantlich 884. lb d, So hernacher fol: (-) denen theilbaren Passiv: Schulden einverleibt Zubefinden. Vnd besagt über vorstehende Behaußung ein teutscher Perg. Kauffbrieff mit der Cancelleÿ Contractstuben anhang: Insigel verwahrt, datirt den 8. 8.bris 1718.
Ergäntzung der Ehefrauen unveränderten Guths, Wie solches auß dem über ihre in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, durch mich und.schribenen Notarium den 23. Aprilis 1714. auffgerichtetem Concepto Inventarÿ bona fide ersucht word.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 82, Sa. Silbers 3, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung 460, Summa summarum 621
Des Ehemanns unverändert vnd Theilbare Guth, Sa. haußraths 30, Sa. Gemacht: vnd ohnaußgemachten Arbeit wie auch werckzeug Zum Kupfferschmid handwerck gehörig ist dem Anschlag nach 33, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 3, Summa summarum 68 lb – Schulden 1586 lb, Übertreffen also dieße Passiva des Manns unverändert vnd theilbahr Guth
Wÿdems So Fraw Anna Catharina Rüegerin gebohrne Siebenhornin des Ehemanns Mutter noch ad dies vitæ Zugenießen hat. Nach Inhalt des über weÿland Herrn Christmann Rüegers geweßenen Rothgerbers vnd burgers alhie des Ehe Manns Vatters seel Verlaßenschafft auffgerichteten Inventarÿ vnd demselben in fine annectirten Kindervertrags vom 15. 10.bris 1696 sovolglich beÿ EE Grosen Rath den 30. 7.bris 1700 confirmirt worden

Jean Georges Rieger se remarie avec Marie Salomé, fille du boulanger Frédéric Braun
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 336, n° 1382)
1721. Eodem [d. 14. Maji] sind nach 2. maliger Proclamation ehel. copulirt v. eingesegnet worden Joh: Geörg Rüger der kupfferschmid b. v. Wittwer alhier b. Jgfr. Maria Salome Friderich Braunen b. v. Weißbecken ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Rüeger Als hochzeiter, Maria Salome Braunun als hochzeiterin (i 315)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bestiaux qui appartient au monteur d’arquebuses Helwig. Ceux du mari s’élèvent à 1171 livres, ceux de la femme à 396 livres.
1721 (21.6.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 5) n° 142
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung so der Ehren undt vorgeachte herr Johann Georg Rüger, Kupfferschmidt undt die Ehren undt tugendsahme Fr. Maria Salome gebohrene Braunin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten (…) So Beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem gegensein herrn Friderich Braunen Weißbecken der Ehefr. Vatter vnd herrn Johann Bauren Biersieders Ihres Vettern Sambstags d. 21. Junÿ Anno 1721.
In einer allhier zu Straßburg ahne der Viehgaß gelegenen denen Hellwischen Erben Eÿgenthümlich zuständigen Behaußung sich volgender maßen befund.
Eigenthumb ahne Einer behaußung (M.) It. d Sechsten theil ane einer behaußung, hoff v. hoffstattn sambt all dero übrig. Rechten v. gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane em Pflantzbad 1.s. am waßer a.s. H. Verÿ Kupfferschmid, hind. vff Fr. Hülffingerin stoßend, so ledig v. Aig. der Mütterl. Testamentlich. æstimation nach th. 116 lb.
Series Rubricarum. Des Manns ohnverändert, Sa. haußraths 286, Waaren und Werckzeug 277, Wein und Vaß 53, Silber geschirr und Geschmeid 48, goldene Ring 9, baarschafft 182, Eÿgenthum ane j. behaußung 116, Schulden in die Nahrung 163, Summa summarum 1138 lb – Adde helffte haußst. 33, 1171 lb
Der Frauen ohnverändert, Sa. haußraths 117, Silbers 22, goldener Ring 11, baarschafft 52, Pfenningzinß hauptgüter 100, Summa summarum 363 lb – helffte haußst. 33, 396 lb

La maison appartient à nouveau à Marie Dorothée Hutzenreuther qui la reloue à l’orfèvre Philippe Jacques Kast

1719 (31.1.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 48
Maria Dorothea hutzenreutherin geb. Willhelmin beÿständlich Joh. Willhelm specerieres weilen ohnbevögtigt [unterzeichnet] hutzenreiterin
in gegensein Philipp Jacob Kast Silberarb:
entlehnt, in ihrem hauß beÿm Raben einen laden unten, Item den größten keller, eine cammer und zweÿ ess, Item eine steeg hoch eine wohnstueb auf die gaß, eine küche, Item ein stübel aufs wasser und ein haußehren
Item, ein nebens Cämmerlein, Item zwo stegen hoch eine Cammer, auf 5 jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ nägst Künftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 38 lb
[in margine :] bemete hutschenreutherischer Wittib so dann H. Philipp Jacob Kast, auff fernrer 5 jahr lang von Annunciationis Mariæ 1724 anfangend, um 38 pfund – den 28. mart. 1724

Marie Dorothée Wilhelm veuve de Jean André Hutschenreuther hypothèque la maison au profit de Susanne Metzger, veuve de l’assesseur des Quinze Philippe Jacques Brackenhoffer

1722 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 654-v
Fr. Maria Dorothea geb. Wilhelmin weÿl. Johann Andreas hutschenreuthers gewesten Eißenhändlers nachgelaßene Wittib so ohnbevögtigt beÿständlich H. Alexander Müllers goldarbeiters ihres Schwagers und Johann Willhelm handelsmanns ihres bruders
in gegensein Fr: Susannæ geb. Metzgerin weÿl. S.T. H.n Fünffzehner Andreæ Brackenhoffers seel. Wittib so ohnbevögtigt beÿständlich ihres sohns H. Philipp Jacob Brackenhoffers apotheckers-schuldig seÿen 125 pfund zu außteurung einer tochter
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs allhier jenseith der Schindbruck, einseit neben dumbacher anderseit neben Fröreißen beeden Schuhmachern hinten auff die Breusch – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß ane allmend zinß

Marie Dorothée Wilhelm veuve d’André Hutschenreuther loue la maison au fourbisseur Jean Baptiste de Billy et à sa femme Marie Anne Bebesiere

1730 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 2
Fr. Maria Dorothea geb. Wilhelmin weÿl. Andreas hutschenreuthers gewesten handelsmanns wittib so ohnbevögtigt zu sein versicherte
in gegensein Jean Baptiste de Billy des Schwerdtfegers und Marie Anne Bebesiere
entlehnt, In ihrer jenseith der Schindbruck ohnfern der gastherberg zum Raaben einseit neben Fröreißen anderseit neben dumbacher denen Schuemachern hinten auff die Breusch gelegenen Behausung, unten auf dem boden den eingang als einen Laden, Ferner dreÿ Stiegen hoch eine Stueb Stuebkammer Kuchen über gedachten Stuebkammern eine Kammer – auff 2 nacheinander folgenden jahren anfangend von Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

Marie Dorothée Hutschenreuther meurt en 1736 en délaissant trois filles. Les experts estiment à la somme de 1400 livres la maison dont la propriété est justifiée par une cession passée le 20 août 1720. L’actif de la succession s’élève à 1414 livres, le passif à 345 livres.

1736 (19. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 8) n° 429
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten fraun Mariæ Dorotheæ Hutschenreutherin gebohrner Willhelmin, weÿl. Hn Johann Andreas Hutschenreuthers gewesenen handelsmanns v. burgers alhier hinterbliebenen frau wittib, nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1736. (…) nach ihrem d. 28. Septembris jüngst aus dießer Zeit v. welt genommenen tödlichen hintritt, hier Zeichnung (…) Actum Straßb. d. 19. Novembr. Anno 1736.
Die Verstorbene Frau Hutschenreutherin seel. hat ab intestato zu ihren Erben verlaßen, als Volgt. 1.mo Mariam Dorotheam Vetterlinin gebohrne Weberin, S. T. H. Joh: Leonhard Vetterlins Pfarrherrens Zu Eggenstein vnd Schreickh Marggraff Bad. Durlachische herrschafft eheliche haußfraw, der abgeleibten seel. Enckelin so mit assistentz v. beÿstand S. T. H. Ulrich Kammerers seilers und E. E. Keinen Rathß alhier beÿsitzers, als auß erwehnten rathß mittlen hierzu abgeordneten Deputati und fernerem beÿstand H. Johann Willhelms, handelsmanns v. burgers alhier dießem geschäfft abwartete
2.do Fraw Mariam Salome Schäfferin gebohrne Hutschenreutherin, H Johann Carl Schäffers Eisenhändlers v. burgers alhier Eheliebstin so mit beÿstand deßelben zugegen vnd dann 3.do Fr. Susannam Margaretham Braunin gebohrne Hutschenreutherin, H Johann Martin Braunen, Paßmentierers und Seidenhändlers auch burgers alhier ehel. haußfraw so mit assistentz deselben Zugegen war, Alle dreÿ des Verstorbenen Seeligen hinterlaßener Leibliche respectivé döchtere und Enckelin und ab intestato zu 3. gleich. antheilen rechtmäßige Erben.

In einer alhier Zu Straßb. ohnfern der Schindbruck gegen dem Metzgergießen über, gelegenen hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden als volgt
Eigenthumb an einer Behaußung. Eine behaußung v. hoffstatt mit all deren gebäu begriffen, weithen, rechten Zugehörd. v. gerechtigkeit geleg. allhier zu Straßb. beÿ der Schindbruck eins. neben Jacob Rheinthaler dem Peruquenmacher anders. neben Dielleman Wack dem Gremp Vornen geg. dem Metzgergiesen v. hinten auf die Breusch stosend davon gibt man jährlich 17 ß bodenzinß der Statt Pfenningthurn. Ferners auf die Ehlenden herberg alhier jährlich auf Johanni ef Nativ. Domini 2 lb 10 ß Zinß, so der mehren hospital, als ein ewiger Erblehen zinß prætendirt. So dann ist solches auch dem mehren hospitahl umb 250. lb so dann H M. Johann Jochen umb 50. lb d Capital verhafftet. Sonsten aber freÿ Ledig v. eig. vnd vermög Scheins von den herrn werck Meistern de dato 13.ten Octob. 1736. æstimirt umb 1400. lb. Hievon abgezogen obige darauff hafftende Boden und Erblehen zinß (maßen die 2. Capitalia hernacher unter denen Passivorum getragen sich befinden anteffend 67. lb, Restirt also noch hiehero in außwurff Zu bringen 1333. lb. Darüber bes. i. teutsch Perg. Kauffbrieff aus allhiesiger C. C. Stub v mit dero anhangenden Innsiegel verw. de dato 23.ten Julÿ 1705. Ferners i. deutsch Perg. Cessions brieff auch auß ged. C. C. Stub verf. v. mit dero anhangend Innsiegel ver. de dato 20.ten Augusti 1720.
Series Rubricarum, Sa. haußraths 72, Sa. Silbers 7, Sa. Goldenen Ringß 2, Sa. Eigenthumbß ane einer behaußung in diese Verlaßenschafft gehörig 1333. Summa summarum 1414 lb – Schulden 345, Nach deren Abzug 1069 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 347 lb
Abschatzung dem 13: oct: 1736. Auff begehren weiland der Ehr und tugendsammen frau Maria Dorothea huchen Reiterin seel. hinderlaßene Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg beÿ der schindbrucken gelegen ein seits neben jackob rëihn thaller dem Barockenmacher, anderseits Neben dielleman wack dem grëmpen hinden auff die breüsch Stoßent welche behaußung Stuben Cammern Kuchen Nebens Cammren und Klein Nebens Stubell hauß Ehren So Zum theill mit herdt und waßer stein, obendar über Zweÿ Cammren und soltaten Cammer so mit tiellen Zu geschlagen seindt und.en auff dem botten ein Stübell die Goltschmidtß Eß Cammer Küchell und hauß Ehren gebelckten Keller sambt aller gerechtig keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird Vor vnd Umb Zweÿ Tausent und acht hundert Gulten Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 400 florins (200 livres) sur un total de 2 000 florins et la fille non bourgeoise doit régler le droit de détraction.
1736, Livres de la Taille (VII 1178) f° Dorotheæ gebohrner Wilhelmin auch Weÿl. H. Andreas Johann Hutschenreüther gewesenen Handelßmann und Burgers alhier wittiben Verlaßenschafft inventirt H. Not. Brackenhoffer.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 29. 1042. 15. 10 ½, die machen 2000 fl. Verstallte nur 1600 fl. also Zu wenig 400 fl.
Nachtrag acht Jahr in duplo à 1 lb 4 ß – 9 lb 12 ß
Sechs Jahr in simplo – 3 lb 12 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 1 lb 7 ß 6 d – Summa 14 lb 13 ß 6 s
Nachgelaßen 3 lb 12 ß, restirt 11 lb 1 ß 6 d
Abzug. Fr. Maria Dorothea geb. Weberin H Johann Bernhard Vetterlin Pfarrers Zu Eggenstein Baaden Durlachischer herrschafft Ehefrau hat von 356 lb 7 ß 9 d Groß Mütterl. Erbe den Abzug Zuerlegen 35 lb 12 ß 9 d
dt. 24. Novembris 1736.

Les filles Hutschenreuther vendent la maison au menuisier municipal Jean Guillaume Fischer et à sa femme Marie Salomé Becker

1738 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 16-v
H. Johann Carl Schäffer der Eißenhändler als gewalthaber Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Werberin H. Johann Bernahrd Vetterlin de Pfarrers zu Eggenstein Mühlburger amts hochfürstlichen Baaden Durlachischer herrschafft und deren Ehevogt, ferner Fr. Maria Salome geb. Hutschenreutherin obged. H. Schäffer eheliebste Fr. Susanna Margaretha geb. Hutschenreutherin Johann Martin Braun des Paßmentirers haußfrau
in gegensein H. Johann Wilhelm Fischer des stattschreiners und Mariæ Salome geb. Beckerin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith der Schindbruck schregs gegen der gastherberg zum Raaben über einseit neben Johann Tillemann Waag dem fastenspeishändler, anderseit neben Johann Friedrich Reinthaler dem Peruquenmacher, hinten auff die Preusch – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß 6 ane bodenzinß (um 50 und 250 pfund verhafftet) als erben Fr. Mariæ Dorothea geb. Willhelmin weÿl. Johann Andreas Hutschenreuther des Eißenhändlers wittib jeder zum dritten theil (um die 300 pfund capitalien und 1575 pfund)

Jean Guillaume Fischer et Marie Salomé Becker revendent la maison à l’orfèvre Jean Geoffroi Kast : vente provisoire devant notaire le 15 novembre, vente définitive à la Chambre des Contrats le 18 novembre 1743

1743 (15. Nov.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 292) n° 61
persönlich erschienen seÿe, Herr Johann Gottfried Kast, der ledige Goldarbeiter und Burger allhier Zu Straßburg, derselbe declarirte
in gegensein Herrn Johann Willhelm Fischers des Stadschreiners und Frauen Mariæ Salome gebohrner Beckerin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg und Zwar herrn Johann Wurtzen des Schuhmachers und burgers allhier ihres Stieffbruders assistirt, daß er von erst bemelten beeder Ehepersonen auffecht Vest und ohnwiderrufflichen gekaufft habe (…)
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg jenseit der Schindbruck schrecks gegen der herrberg zum Raben über, einseit neben herrn Schroppen Seniore Glaßern et Consorten, anderseit neben H Johann Friderich Rheinthalern, dem Perruquenmacher, hinden auff die Preusch stoßend, davon mann jährlichen der Stadt Pfenningthurn 17 ß 6 ß ane bodenzinß zu geben Pflichtig so reicht mann auch der Elenden Herrberg modo dem mehrern teutschen hospital 2 lb 10 ß d ane ewigen Ehrschätzigen Zinß, ferner seÿ die behaußung auch hafft erstwohlgedachtem mehrern teutschen Hospital in Capital umb 250 lb. d ferners frauen Doctoris Flachin in Capital 950 lb d. Mad. Maden N in Capital 250 lb d. Sodann herrn Schaffners Silberrad in Capital 200 lb sonst aber ledig und eigen, wie die Verkuaüffere versicherten und ist dießer Kauff und Verkauff über angeregte passiv Capitalia, welche der Kauffer beneben dem Bodenzinß vorangezeigter Ehrschätzig jedoch gegen nachgesetztem abstand übernimt (…) beschehen und zugangen Vor: und umb 550 pfund (…) wie auß dem in allhießiger Contractstub gefertigten Kauffbrieff und deren angehengten Clausulen respective datirt den 11. Januarÿ et 17. Aprilis A° 1738 erhellet (…) wegen denen hievorbesagten 2. lb 10 ß d ewigen ehrschätzigen Zinß

1743 (18.11.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 456-v
Johann Wilhelm Fischer Stadtschreiner und Maria Salome geb. Beckerin
in gegensein H. Johann Gottfried Kast des goldarbeiters
eine behausung und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, Zugehörden und rechten jenseit der Schindbruck gegen der gastherberg zm Raaben über, einseit neben (-) Schrapp dem glaßer anderseit neben Johann Friedrich Reinthaler dem perruckenmacher, hinten auff die Preusch – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß 6 d ane bodenzinß – als ein am 11. Januarÿ 1738 erkaufftes guth (um 50, 250, 950, 250 und 200 pfund verhafftet, beschehen um 550 pfund)

L’Hôpital bourgeois, aux droits de l’auberge des pauves passants, consent à la vente de la maison dont elle détieint le domaine direct
94 Z 81 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Wir die Pflegere des Mehrern Hospitals allhier geben hiemit und in Krafft dießes unßern in Specie requirirten Consens und Einwilligung, daß diejenige behausung jenseits der Schindbruck gegen dem Raben allhier gelegen, so Johann Willhelm Fischer der Statt schreiner ane H Johann Gottfriedt Kast den Goldarbeiter beede burgere allhier für 4500 gulden Zu Verkaufften willens, welche behaußung dem Stifft Zur Elenden Herberg modo Mehrern Hospithal als Domino Directo vinculo Emphyteuseos Laudemialis in ansehung eines Capitals der Fünffzig Pfund pfenning Verlegen, ane gedachten H. Kasten um obgemelte 4500 fl. Verkaufft und Zugeschrieben werde, doch daß der Ehrschatz von gemelten 50. lb mit Ein Pfund Pfenning wie auch der Jährlich auf Johannis Baptistæ Verfallende Ewige und Ehrschätzige Zinnß mit Zweÿ Pfund Zhen Schilling pfenning bemeltem Stifft in recognitionem Domini Directi ordentlich entrichtet werden. Geben Straßburgden 18. Novembris 1743. [unterzeichnet] Johann Friderich Hammerer, j sainctlo

Fils de l’orfèvre Jean Daniel Kast et assisté de son beau-père Jean Philippe Bernhard, Jean Geoffroi Kast fait son apprentissage auprès de l’orfèvre Jean Nicolas Barbett de 1730 à 1734.
1730, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 517) Freÿtag den 17. Novembris Anno 1730 – Johann Niclauß Barbett nimbt Zum Lehrjungen an Johann Gottfried Kast, weÿland herrn Johann Daniel Kasten des goldarbeiters und burgers alhier hinterlaßenen ehelichen Sohn, beÿständlich herrn Johann Philipp Bernhard des goldarbeiters und burgers alhier, seines Stieffvatters die Profession von heutigen dato in Vier Jahren Zu lehren, und endet sich die lehrzeit niß eodem die Anno 1734 und obligirt sich des Jüngern Stieffvatter dem lehrherrn Zwo Louis d’or einzuhändigen, alles mehren Inhalt oberhandwercks herren Schein dedato 17. Novembris 1730. Erkannt wird demselben in seinem begehren gegen Erlag der gebühr willfahrt.

Acte de fin d’apprentissage
(p. 728) Dienstag den 19. Aprilis Anno 1735 – Johann Niclaus Barbett burger und goldarbeiter stehet vor undt præsentirt seinen geweßener Lehrknaben Johann Gottfried Kast, weÿland herrn Johann Daniel Kasten gewesten goldarbeiters und burgers alhier seel. hinterlaßenen ehelichen Sohn, beÿständlich Philipp Bernhard ebenmäßigen goldarbeiters und burgers alhier, seines Stieffvatters, und berichtet, daß gedachten lehrknaben Vier jährige Lehrzeit, bereits den 17.ten Novembris Anno 1734. passirt, bittet gerichtliche loossprähung. Erkannt, wird denen Parthen weillen sie content undt Zu frieden gegen Erlag der gebühr willfahrt.

Geoffroi Kast s’inscrit le 16 juillet 1743 pour faire son chef d’œuvre qui’il présente le 7 novembre suivant. Les examinateurs relèvent quelques défaut mineurs et reçoivent le candidat au nombre des maîtres
(p 1108) Dienstag den 16.ten Julÿ Anno 1743
Herr Gottfried Kast der Leedige Gold Arbeiter Von hier gebürtig erscheint und bittet ihme Zu erlauben das Meisterstück auffzunehmen und Zu Verfertigen.
Erkandt Wird demselben gegen Erlang der Gebühr Willfahrt und solle es beÿ Hn. Bernhard machen.

(p. 1120) Donnerstag den 7. Novembris Anno 1743
Johann Gottfried Kast der Leedige Goldarbeiter von hier erschienen und præsentirt sein verfertigtes Meisterstück bittet darüber zu erkennen.
Die dreÿ geschworne Hh. Gold und Silberschauer refeiren nach genugsahmer besichtigung daß ane denen Meisterstücken zwar einige geringe doch keine Hauptfehler seÿn, sondern Wohl vor ein Meisterstück pasable Wann Er Kan Handtreu geben ein solches mit eigener hand gemacht zu haben so Wollen Sie Ihne vor einen Mit meister auffnehmen.

Jean Geoffroi Kast épouse en 1744 Dorothée Wachter, fille de banquier : contrat de mariage, célébration
1744 (24.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 85
Eheberedung – Zwischen dem Ehren Vesten und Kunstreichen H. Johann Gottfried Kast Ledigen Goldarbeiter und Burgern alhier weÿland des auch Ehrenvesten und Kunstreichen H Joh: Daniel Kast ebenmäßig gewesten Goldarbeiters und Burgers alhier längst seel. nachgelaßener ehelicher Sohn als Bräutigam an einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendberühmbten Jungfer Dorothea Wachterin des Ehrenvesten und großachtbahren Herrn Thomæ Wachters vornehmen Banquier auch burgers alhier ehelich erzeugter Jungfer tochter alß hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg den 24. Januarÿ Anno 1724.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 62-v, n° 2)
1744. Mittwoch den 5. Febr. seind nach zweÿmahl geschehener proclamationen der Evangelischen Pfarrkirch Zu S. Niclaus in den Ehestand eingesegnet Word. H. Gottfried Kast, der ledige Goldarbeiter und Burger allhier, weil. H, Joh: Daniel Kasten, geweß. Goldarbeiters u. Burgers allhier hinterlaßene ehl. Sohn u. Jungfr Dorothea Hn Thomas Wachters deß Banquiers handelßmanns u. Burgs. allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Kast als hochzeiter, Dorothea Wachterin als hochzeiterin (i 65)

Jean Geoffroi Kast hypothèque la maison au profit du pharmacien Jean Frédéric Strœhlin

1744 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 399-v
H. Johannes Gottfried Kast der goldarbeiter
in gegensein H. Johann Friedrich Ströhlin des Apotheckers – schuldig seÿe 800 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis jenseit der Schindbruck schrecks gegen der gastherberg zum raaben über einseit neben N. Schrapp dem glaßer, anderseit neben Johann Friedrich Reinthaler dem perruckenmacher, hinten auff die Preusch – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß 6 d ane bodenzinß – als ein am 18. Novembris jüngst erkaufftes guth

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari près du pont du Corbeau. Ceux du mari s’élèvent à 54 livres, ceux de la femme à 1 243 livres.

1744 (24.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 54) n° 1827
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrenveste und Kunstreiche Herr Johann Gottfried Kast Goldarbeiter und burger alhier und die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Dorothea Kastin gebohrner Wachterin beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand würcklichen Zu: und eingebracht und Krafft der mit einander auffgerichteter Eheberedung, als ein ohnverändert und Vorbehalten Guth mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse stipulirt und vorbehalten (…) So beschehen in fernern beÿsein S. T. H. Thomä Wachters Vornehmen Banquier ane d. Ehefraun seithen, und auf des Eheherrn seithen frauen Mariæ Salome Bernhardin als deßen Eheleiblichen Mutter Straßburg dienstags den 24.ten Martÿ Anno 1744.

In einer alhier Zu Straßburg jenseit der Schildbruck gelegenen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
Eÿgenthumb ane Einer Behaußung (M.) Ein behaußung und hoffstatt, mit allen derselben begriffen, Zugehörden und rechten, alhier jenseit der Schindbruck schrecks gegen der Gastherberg Zum Raben über, einseit neben (-) Schropp dem Glaßer, anderseith neben Johann Fried. Reinthaler dem Peruquenmacher, hinden auf die Breüsch stoßend gelegen, so über 17 ß 6 d dem alhießigen Pfenningthurn zu reichen habenden Bodenzinß, ferner der Elenden Herberg modo dem mehrern Hospithal um 50. lb ane Ehrschätzigen mit 2 lb 10 ß Ewig verzinnßlichen Capital dem mehren Hospithal 250 lb, weiters H. Dr. Andr. Flachen fr. Wittib umb 950 lb, Item Demoiselle Louyse d. Paquelon um 250. lb und dann H Schaffner Silberrad um 200. ln alles ane Capital, sonsten über hernach beschriebene passiv Capitalia gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und dermahlen anzuschlagen Vor ohnnöthg erachtet worden. Darüber besgt ein teutscher Pergamentener in allhießiger Cantzleÿ Contract gefertigter Kauffbrieff mit deroselben anhangendem Insiegel Verwahrt de dato 18.ten Novembr. Ao. 1743
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Ohnverändert Vermögen,Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs Zur Goldarbeiter profession 20, Sa. Silbers 12, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung, Nihil, Summa summarum 54 lb
Diesemnach wird nun auch der Ehefraun in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 130, Sa. Silbers und dergleichen Gewitibmeids 16, Sa. Guldener Ring, hals Ketten und dergleichen Geschmeids 199, Sa. baarschafft 898, Summa summarum 1243 lb

Jean Geoffroi Kast et Dorothée Wachter hypothèquent la maison au profit de Marguerite Wurtz veuve de l’assesseur au Grand Sénat Jean Philippe Wessner

1752 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 333-v
H. Johann Gottfried Kast der goldarbeiter und Fr. Dorothea geb. Wachterin mit beÿstand ihres bruders H. Thomas Wachter des ledigen handelsmanns und ihres schwagers und H. Johann Jacob des Gochnat des handelsmanns
in gegensein Fr. Margarethæ geb. Wurtzin weÿl. H. Johann Philipp Weßner E.E. Großen Raths beÿsisters Wittib mit beÿstand ST. H. Ammeister Johann Friedrich Faußt – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, hoffstatt jenseits der Schindbruck gegen der Gastherberg zum Raaben über einseit neben N. Schropp dem glaser, anderseit neben Friedrich Reinthaler dem Perruckenmacher, hinten auff die Preusch – davon vibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß 6 ane bodenzinß

Dorothée Wachter meurt en 1755 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre au veuf est de 1 639 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 002 livres, le passif à 4 006 livres

1755 (22.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 710) n° 191
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und hoch tugendgezierten Frauen Dorotheä Kastin geb. Wachterin des Ehrenvest und Kunsterfahrenen Hn Joh: Gottfried Kasten Gold Arbeiters und Burgers allhier Zu Straßburg geweßter hertzgeliebten fraun Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1755. (…) als dieselbe Montags d. 3. febr. dießes Zu End eilenden 1755.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßet, hie Zeitlichen verlaßen. Da nun die Verstorbene Frau seelige mit Vorgedachtem Ihren hinterbliebenen H Wittiber dreÿ noch lebende Liebe Kinder Nahmentlichen Margaretham Dorotheam, Mariam Salome und Sophiam Barbaram erzeuget, wekche Sie auch Zu dreÿen gleichlingen portionen und Stammtheilen Ihrer gegenwärtigen sambtlichen Verlaßenschafft ab intestato Zu Erben Verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Montag d. 22.tn Decembris Anno 1755.

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der sogenanten Schindbruck gegen dem Raaben über gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt
Ergäntzung der Erben Wehrender Ehe abgegangen unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander in die Ehe gebrachter Nahrungen durch weÿl. Hn Christoph Michael Hoffmann Notm publ. et Practicum seel. in A° 1744. E.E. großen Raths alten beÿsitzers
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und Hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbruck schrecks gegen der Gastherberg Zum Raben über, 1.s. neben H. Joh: Friderich Reinthaler dem Peruquier, 2.s. neben Hn Joh: Philipp Schropp dem Glaßer et Consorten hinten auf die Breusch stoßend, davon gibt man Jährl. der Statt Straßburg 17 ß 6 d Bodenzinnß, ferner der Elenden Herberg modo dem löbl. Stifft Hospithal 2 lb 10 ß ane Ewigem Ehrschätzigem Zinß, sonsten über vorgemelten beschwerden außer denen unter denen Passivis eingetragenen Capitalien freÿ ledig eigen und durch der Statt Straßburg geschworne Hh. Bau und Werck Meistere (…) laut Abschatzungs Zeduls vom 20. Xbris æstimirt pro 1250 lb. Davon abgezogen obige beede darauff hafftende beschwährden so zu doppeltem Capital gerechnet antreffend in summa 135. lb. Nach solchem abzug Verbleibt ane dem Anschlag solcher behaußung annoch per rest übrig 1115 lb. Hierüber sagt 1. teutscher perg: Kb. in allh. C. C. Stub aufgerichtet und mit dero anh. Ins. verw. d. d. 18. 9.bris A° 1743. Ferner i. a. teutsch perg. allda gefert. Kb. mit do. anh. Ins. Verw. d. d. 11. Jan. 1738.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli
Der Kinder und Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 81, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Schulden 250, Erg. rest 1306. Summa summarum 1639 lb
Dießemnach Wird nun auch des Hn Wittibs ohnverändert und theilbars Guth unter einem Titul beschrieben Angesehen der Kinder und erben Hr Vogt auf die theilbare Nahrung renunciren und solche dem Hn Wittiber tam active quam passive allein eigenthümbl. überlaßen wird. Sa. Haußraths 218, Sa. Werckzeugs Zur Gold arbeiter Profession gehörig 4, Sa. Silbern Goldener Ring Jubelen und dergleichen Geschmeids 603, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 1115, Sa. Schulden 65, Summa summarum 2002 lb – Schulden 4006, In Vergleichung 2004 lb
Passiv onus dem Stall nach 365 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg den 27. Januarÿ 1744

Dorothée Wachter meurt à l’âge de 32 ans. Son corps est inhumé au cimetière Saint-Urbain
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg. 1730-1758, f° 124 n° 2)
Anno 1755. Montags d. 3. Febr. um halb II uhr starb Fr. Dorothea Kästin Hn Joh: Gottfried Kasten, Goldarbeiters und burgers allhier geweßene Ehefrau wurde begraben Donnerstag d. 6. Febr. nachmittag nach gehaltener Leich-Predigt un der Kirch Zu St. Nicol. auff St Urbani. Alt 32 Jahr 4 Monat weniger 5 tag. Eltern sind S. T. H. Thomas Wachter, Banquier vnd dines Löbl. Corps des Marchands assessor und S. T. Frau Maria Barbara gebohrne Richshofferin [unterzeichnet] Johann Gottfried Kast als Eman (i 124)

Jean Geoffroi Kast meurt en 1761. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 832 livres, le passif à 7 213 livres.

1761 (29. Xbr), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 718) n° 412
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest und Kunsterfahrenen Herrn Johann Gottfried Kast geweßenen Goldarbeiters und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1761. – als derselbe auf Sambstag d. 19. Xbris dießes Zu End lauffeden 1761.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und Begehren, des Ehrenvest Wohlvorgeacht und Kunsterfahrenn Herrn Johann Philipp Bernhard Junioris auch Goldarbeiters und Burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfer Margarethä Dorotheä, Jgfr. Mariä Salome und Jgfr. Sophiæ Barbaræ die Kastin, alle dreÿ des Verstorbenen seeligen mit Weiland Frauen Dorotheä Kastin gebohrner Wachterin ehelich erziehlte Kinder und ab intestato verlaßener Erben (…) So Beschehen in Straßburg auf Dienstag den 29.ten Xbris 1761.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schindbruck gegen dem Raaben über gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden Wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der overn vordern Kammer, In der Gesellen Kammer, In der vordern Stub auf dem dritten Stock, Im Zimmer neben der obern vordern Stub, Im obern Haußehren, Im vordern Zimmer auf del Zweiten Stock, Im Alicoff darneben, In hintern Zimmer auf dem Ersten Stock , In dem vordern Zimmer auf dem Ersten Stock, Im Laden und Nebens Zimmer, Unten im Hauß
Werckzeug zur Gold Arbeiter profession gehörig
Schulden aus der Verlaßenschafft Zubezahlen (…) It. Vermög Summarischen Calculi über Weÿl. Frauen Dorotheä Kastin geb. Wachterlin, des Verstorbenen seel. geweßener frauen Eheliebstin seel. den 6.ten febr. 1760. durch mich unterschriebenen Notarium mit aufgerechneter gewohnlicher beßerung gefertiget und durch den Verstorbenen seel. auch Herrn Joh: Philipp Richshoffer den jüngern Handelsmanns der 3. Kinder und dißortiger Beneficial Erben damahligen geschwornen Vogten und herrn Thoma Wachtern Vornehmen Bancquier und burgern allhier als bürgen unterschrieben belaufft sich der 3. töchtere und Beneficial Erbinnen Zuerfordern habend. Mütterl. Guth so der Verstorbene seel. biß an sein Absterben in handen gehabt und genoßen in Sa. auf 1681.
It. erst hochedelgedachtem Herrn Thoma Wachter solle man Vermög einer unterm 25.ten Maÿ 175. Vor H. Laquiant Königl. Notario errichteter Obligation in Capital so Jährlich auf den 25. Maÿ à 3. pro Cento Verintessirlich 4000 fl. od. 2000.
It. hievon stehet ane Interesse aus und Zwar vom 25. Maÿ 1759. biß den 25.ten Xbris 1761. macht in 2. Jahr und 7 Monathen à 3. p° Ct° 155.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbruck gegen der Gastherberg Zum Raben über, einseith neben H. Joh: Friderich Reinthaler dem Peruquier, anderseith neben Hn Joh: Philipp Schropp, dem Glaßer et Consorten, hinten auf die Preusch stoßend, davon gibt man Jährlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn 17 ß. 6 d. Bodenzinnß, ferner der Elenden Herrberg modo dem Löblichen Hospithal allhier 2. lb 10. ß d ane Ewigem Ehrschätzigem Zinß, sonsten außer denen unter denen Passivis eingetragenen darauf stehenden Capitalien freÿ leedig eigen und ist dieße behaußung beÿ weÿl. frauen Dorothea Kastin geb. Wachterin des verstorbenen seel. geweßener frauen Eheliebstin seel. Verlaßenschafft laut des darüber durch mich unterschriebenen Notarium den 22. Xbris 1755. errichteten Inventarÿ wie fol: 120.b Zu sehen durch der Statt Straßburg geschworne Hn Bau: und Werck Meistere angeschlagen worden, dabeÿ man es auch auf Vorher Von denen wohlverordneten Herren dreÿern Löbl. Statt Stalls erhaltene Erlaubnus gelaßen pro 1250. lb. Davon seind abzuziehen obgemelte darauff hafftende Beschwährden, so zu doppeltem Capital gerechnet antreffend 135. lb. Nach solchem abzug Verbleibt ane dem Anschlag solcher behaußung annoch dißorths außzuwerffen per rest übrig 1115 lb. Hierüber sagt 1. teutscher pergamentener Kauffbrief in allh. Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel verwahret datirt d. 18. 9.bris A° 1743. Ferner i. alter teutsch pergamentener allda gefertigter Kauffbrieff mit dero anhangendem Insiegel verwahret datirt den 11. Januarÿ 1738.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 378, Sa. Werckzeugs Zur Gold arbeiter Profession gehörig 9, Sa. Lährer faß 8, Sa. Silbers goldener Ring und Geschmeids 320, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 1115, Summa summarum 1832 lb – Schulden 7213, Mehr Schulden als Nahrung in vero pretio 5381 lb
Endlicher passiv Schuldenlast 3700 lb

Compte que rend l’orfèvre Jean Philippe Bernhard de la gestion des biens qui appartiennent aux trois filles Kast
1765, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 723) n° 532
Rechnung Mein Joh: Philipp Bernhard Goldarbeiters und b. allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Jungfer Margarethä Dorotheä, Jgfr. Mariä Salome und Jgfr. Sophiä Barbarä der Kastin, weÿl. H. Joh: Gottfried Kast geweßenen Gold Arbeiters mit auch weÿl. fraun Dorothea geb. Wachterin beeder seel. ehelich erzeugt hinterlaßener 3. Jgfr. tochtere, Inhaltend alles dasjenige, was ich gemelter meiner Curandinnen halben Vom Decembris 1761. als da ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß den 1.en febr. 1765. eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

Nouveau compte après la mort de la fille aînée
1768, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 726) n° 672
Rechnung Mein Joh: Philipp Bernhard Gold Arbeiters und burgers alhier als geordnet: und geschworenen Vogts Jgfr. Mariä Salome und Jgfr. Sophiä Barbarä der Kastin, weÿl. H. Joh: Gottfried Kast geweßenen Goldarbeiters mit auch weÿl. fraun Dorothea geb. Wachterin beeder sel. erzeugter noch lebender 2. jüngern töchter, Inhaltend alles dasjenige, was ich gemelter meiner Curandinnen halben Vom 1.en febr. 1765. als dem beschluß meiner erstern Rechnung biß den 1.ten Apr. 1768. eingenommen und außgegeben, auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Zweite Rechnung dießer Vogteÿ.
Anfänglichen aber ist Zu melden, daß Jungfer Vögts töchtere ältere Jgfr. Schwester Weÿland Jgft. Margaretha Dorothea Kastin in gemeltem 1765.ten Jahrs seel. verstorben und neben Ihren bede, Schwester, auch Ihren Ge Ehrtesten Hn Groß Vatter S. T. Herrn Thomann Wachten Vornehmen Bancquier und Es. Löbl. Corps des Marchands Wohlansehnlichen Hn Beÿsitzern Zu Erben Verlaßen

(Créancier du défunt comme le montre l’inventaire ci-dessus, )Thomas Wachter vend la maison au cordonnier Philippe Frédéric Kuntz

1763 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 637 n° 469
H. Thomas Wachter Jun: der banquier als mandatarius seines vatters H. Thomas Wachter sen: auch banquier
in gegensein Philipp Friedrich Kuntz des schuhmachers
eine behausung und hoffstatt mit allen begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseits der schindbruck schrecks gegen der gastbehausung zum Raaben über einseit neben N. Schropp dem glaßer, anderseit neben Johann Friedrich Reinthaler des perruckenmachers wittib und erben, hinten auff die Preusch davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß 6 ane bodenzinß, dem mehrern hospital um 50 lb ane ehrschätzigen Zinß mit 2 lb 10 ß
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langenstraß, einseit neben den Kutterischen erben, anderseit neben N. Schröder dem goldarbeiter, hinten auff N. Horchheimer

Fils du sellier Jean Frédéric, le cordonnier Philippe Frédéric Kuntz épouse en 1741 Marguerite Salomé Diemer, fille du tonnelier Valentin Diemer : contrat de mariage, célébration à la Robertsau
1740 (2.11), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 99
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbaren Philipp Friederich Kuntzen, dem ledigen Schuhmachern, des Ehrenachtbaren Meisters Johann Friderich Kuntzen des Sattlers, und frauen Mariæ Salome gebohrner Vogtin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg ehelichen Sohns, als dem hochzeiter, mit beÿstandr Vorgedachten seines vatters, und herrn Johann Daniel Vogten des Kieffers und weinhändlers allhier seines Vettern, ane einem
So dann Margaretha Salome Diemerin, des Ehrenachtbaren Meister Johann Valentin Diemers des Kieffers und burgers allhier mit weÿland frawen Anna Catharina gebohrner Strohlin seines geweßene, Ehegattin seel. ehelich Erzeugter tochter, als der hochzeiterin, mit assistentz Vorher erwehnten Ihres Vatters, und Herrn Johann Philipp Strohlen, des Kieffers und weinhändlers allhier, ihres Vettern und Vogts, am andern theil
So geschehen allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Mittwoch den 2.ten Novembris Anno 1740. [unterzeichnet] Philipps Friderich Cuntz, Margaretha Salome Diemerin alß hochzeiterin

Mariage, Robertsau (luth. p. 266)
Dienst. den 21. Febr. 1741. seind, auff Obrigkeitl. Erlaubnuß, nach gewohnlicher Außruffung, Ehelich eingesegnet worden, Philipp Friderich Kuntz der Ledige Burger und Schuhmacher Zu Straßburg, Friderich Kuntzen, deß Burgers und Sattlers daselbst Ehelicher Sohn, Vnd Margaretha Salome, Valentin Diemers, deß Burgera und Weinhändlers daselbst Eheliche Tochter [unterzeichnet] Phillip Friderich Cuntz als hozeiter Margareha Salome diemerin hochzeitterin (i 182)

La tribu des Fribourgeois inflige une amende à Philippe Frédéric Kuntz pour avoir transmis un certificat d’hébergement non-conforme, d’autant que le séjour a duré plusieurs jours sans autorisation.
1768, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 343-v) Donnerstag den 22.ten mensis Septembris 1768
Philipp Friderich Kuntz, der hießige Burger undt Schuemacher wohnhaft ahne der Schindbruckh, citiret wegen Einem sub dato 12.ten Julii 1768: Ihro Gnaden dem Regirenden Herrn Ammeister überschickten strafbahren Nachtzedul, Maßen derselbe Herrn Huckhen von Colmar so Er logiert, qualitatis darinnen nicht gemeldet hat.
Citatus Zugegen Sagt Er habe Zwar die persohn quæstionis etliche tage logiret Er hätte aber den Nacht zedul nicht geschrieben.
Hierauff Ist Erkandt, worden, wirdt der beklagte in 1 lb d Straff, umb so mehr condemnirt werden Er dieße Persohn etliche tags behalten, undt keine weithere Erlaubnus hingeholt, noch fernere Nacht zedul überschickt hat.

Philippe Frédéric Kuntz devient échevin à la tribu des Cordonniers en 1779
1779, Conseillers et XXI (1 R 262)
H. Phil. Frid. Kuntz wird schöff beÿ E. E. Zunft der schuemacher. 386.

Philippe Frédéric Kuntz et Marguerite Salomé Diemer hypothèquent la maison au profit de Catherine Salomé Wagner, veuve du diacre Simon Hollænder

1785 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 511
H. exsenator Philipp Friedrich Kuntz des schuhmacher und Margaretha Salome geb. Diemerin unter assistentz Philipp Jacob Diemer des kieffer meisters ihres leiblichen bruders und Johann Georg Lobstein des wirths
in gegensein Fr. Catharinæ Salome geb. Wagnerin weÿl. H. M. Simon Holländer gewesten Diaconi beÿ der neuen oder prediger Kirch wittib nahmens deren H. Philipp Friedrich Heuß notarii publici jurati ac practici – schuldig seÿen 60 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden gegen der wirths behausung zum Raben über nächst der schindbruck, einseit neben H. Zaberer dem glaßer, anderseit neben H. Höger dem meelmann, hinten auff den Preuschfluß

Philippe Frédéric Kuntz hypothèque la maison au profit de Catherine Barbe Kuntz, veuve de Jean Samuel Weber

1792 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 666 n° 286 enreg. 21.4. F°
H. Philipp Friedrich Kuntz der schumacher
in gegensein Fr. Catharinæ Barbaræ geb. Kuntzin H. Johann Samuel Weber wittib – schuldig seÿen 200 gulden
unterpfand, eine gegen dem Raaben, mit N° 93 bezeichnete behausung, einseit neben den Zabernischen erben anderseit neben H. Heger dem meelmann

La veuve et les héritiers de Philippe Frédéric Kuntz louent la maison au coutelier François Bechon

1794 (26 germinal 2), Not. Laquiante
Bail pour 3 ans par Jean Georges Lobstein aubergiste à Strasbourg, au nom des héritiers de Frédéric Kuntz et de Marie Salomée Diemer sa femme dont il se porte fort
à François Bechon Coutelier à Strasbourg
d’une Maison et dépendances à Strasbourg vis à vis l’auberge du Corbeau moyt. 1200 livres par an
acp 22 f° 149 du 2 floreal 2

Les enfants et héritiers de Philippe Frédéric Kuntz et de Marguerite Salomé Diemer vendent par adjudication la maison à Jean Michel Osterrieth, juge au district de Strasbourg

1795 (12 prairial 3), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 254
la Cit. Kunigunde Elisabethe Kuntz femme du Cit. Jean Georges Lobstein aubergiste à l’auberge de la demie Lune, plus la Cit. Marie Barbe Kuntz Veuve de feû le Cit. Samuel Weber vivant Cordier assistée du Jean Henry Rissinger Cordonnier en cette cité, plus la Cit. Anne Marie Kuntz femme du Medecin Vernhagen en l’absence de son mari authorisée à cet effet par justice, et en outre pour et au nom de Reynard Kuntz aubergiste à Kehl le Cit. Jean Martin Diemer cordonnier en qualité de Curateur, authorisé d’adhérer aux Enchères et adjudication du 28 brumaire, 9 frimaire, 9 nivose et 1. pluviose dernières
au Cit Jean Michel Osterrieth Juge suppleant au District de Strasbourg pour 6000 Livres de Capitaux et 19.600 Livres
Une Maison faisante partie de la succession de feû le Cit. Philippe Frederic Kuntz Vivant cordonnier et Marie Salomé Diemert père et mère desd. vendeurs avec toutes ses appartenances et dépendances y compris tous les fourneaux et leurs tuyaux size en cette commune proche du pont des grandes Boucheries dit Schindbruck vis à vis de l’auberge du Corbeau N° 93, d’un côté le Cit. Roederer Vitrier, d’autre le Cit. Hoeger farinier, par devant sur la rûe et par derrière sur la Riviere, dont on paye annuellement une Rente Emphiteotique de 10 livres dit Ehrschätzigen und fürbietigen zinnß au cidevant hopital des Bourgeois de cette commune aujourd’hui à la Republique, en outre 3 Livres 10 sous de rente foncière à lad. commune
Enregistrement, acp 33 F° 178-v du 13 pr. 3
(autre acte) n° 232, le 28 Brumaire 3, à la requête des héritiers de feû le Cit. Philippe Frédéric Kuntz Vivant cordonnier et Marie Salomé Diemert Scavoir 1. Kunigunde Elisabeth Kuntz femme du Cit. Jean Georges Lobstein aubergiste à l’auberge de la demie Lune, 2. Anne Marie Kuntz femme du Medecin Farenhagen absent depuis deux ans, assistée de sond. beau frère Lobstein, 3. Marie Barbe Kuntz Veuve de feû Samuel Weber Cordier aussi assistée de dud Cit. Lobstein son Beau frère, 4. du Cit. Jean Philippe Graffenauer homme de Lettres et president au tribunal du département du bas Rhin residant aud. Strasbourg pour et au nom de Reynard Kuntz aubergiste à Kehl en qualité de commissaire nommé par l’administration d District de Strasbourg, procédé à l’enchere volontaire d’une Maison N° 93 avec toutes les appartenances et dépendances Scise en cette commune proche du pont des grandes Boucheries dit Schindbruck vis à vis de l’auberge du Corbeau d’un côté le Cit. Roederer Vitrier d’autre le Cit. Hoeger farinier par devant sur la Rûe et par derrière sur la Riviere dont on paye annuellement une rente emphyteotique de 10 livres dit Ehrschätzigen und fürbietigen zinnß au cidevant hopital des Bourgeois de cette commune aujourd’hui à la Republique et 3 Livres 10 sous de rente foncière à la commune de Strasbourg, hypothéquée pour 6000 Libvres de Capitaux, IX. Est comparu le Cit. François Bechon coutelier lequel a dit et declaré que quoique la Maison à vendre lui est louée pour trois ans et que suivant le Bail passé par devant notaire Lacquiante le 26 germinal dernier le terme n’est échû qu’au 6 messidor 5 neanmoins il est prêt a renoncer aud. Bail – criée pour la somme de 18.000 Livres, pas de mise – 9 frimaire 3, 18 100 Livres au Cit. François Durand marchand – 9 nivose 3 troisième enchère, 19.100 Livres, Jean Andrés Jung Cordier – 1 pluviose 3. derniere enchère 25.600 livres au Cit Jean Michel Osterrieth homme de Lettres (enregistré le 5 pluviose 3)

Dissertation universitaire que présente Jean Michel Osterrieth en 1758 pour obtenir son diplôme en droit
Dissertatio juridica De culpa in negotiis, in quibus alter alterius fidem sequitur,
præstanda. quam sub auspiciis divinis præside Dn. Joh: Mart. Silberrad. J.U.D. pand. et juris publici prof. publ. ord. et capituli thomani canonico
die xv. junii anno MDCCLVII
solenni eruditorum disquisitioni sistit
Joh. Michael Osterrieth argentinensis. H. L. Q. C.
argentorati, literis Joh. Henrici Heitzii, univers. typogr.

Le licencié en droit Jean Michel Osterrieth est nommé procureur au Grand Sénat
1762 Conseillers et XXI (1 R 245)
H. Lt. Joh: Michael Osterrieth Wird Zum Procuratore ordinario E. E. großen Raths erwehlt. 166. es schwört solcher auff die stät und Vesthaltung derer Procurat. Ordnung. 169.

Fils du maître menuisier Jean Michel Osterrieth, le licencié en droit et procureur au Grand Sénat devient tributaire à la tribu des Maçons
1763, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 148) Donnerstags den 22.ten Septembris 1763. – Neu Zünfftiger
H. Johann Michael Osterried J. V. Ltus Procurator beÿ E. E. großen Rath weÿl. Johann Michael osterrieth gewesenen Zimmermeisters vnd burgers allhier nachgelaßener Ehelicher sohn, stehet Vor und producirt Löbl. stattstall schein vom 19. hujus, mit bitt denselben als Zünfftigen auff und anzunehmen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt

Jean Michel Osterrieth quitte la tribu des Maçons pour celle de la Mauresse en septembre 1768
(f° 228) Mittwochs den 28.ten Septembris 1768 – Resignans
H. Lt. Johann Michael Osterried Procurator beÿ E. E. großen Rath alhier, resignirte gegenwärtige Zunfft vnd will beÿ E. E. Zunff der Mörin dienen. Erkannt Willfarth

Jean Michel Osterrieth épouse en 1764 Marie Salomé Reichard, fille du marchand Alexandre Salomon Reichard : contrat de mariage, célébration
1764 (6.4.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – zwischen dem Hoch Edelgebornen und Hochgelehrten Herrn Johann Michael Osterrieth, J. V. Lto. und E. E. großen Raths auch anderer höherer Gerichts: Stellen hiesiger Löbl. Stadt Straßburg wolmerirtirten Advocato et Procuratori ordinario, weiland S: T: Herrn Johann Michael Osterrieth, des geweßenen Zimmer: und Bau: Meisters, auch burgers alhier, mit auch weiland S. T. Frauen Maria Salome geborner Bindenschuhin ehelich erzeugten: und hinterlaßenen Sohn, alß dem Herrn Bräutigam ane einem,
So dann der Wohl Edlen und Tugendgezirten Jungfrauen Maria Salome Reichardin, S: T: Herrn Alexander Salomon Reichard, vornehmen handelsmanns und E: E: Kleinen Raths alhier dermaligen wohlverdienten Beisitzers, wie auch wohlverordneten Kirchen pfleger beÿ der allhiesig evangelischen Gemeinde zu St Thomæ, mit weiland S. T. Frauen Catharina Dorothea gebohrner Clemenin ehelich erzielter Tochter, alß der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Freitag den 6. Aprilis Anno 1764 [unterzeichnet] Lt. Johann Michael Osterrieth als bräutigam, Maria Salome Reichardin als braut
Daß gegenwärtiger Ehe Contract vorstehender massen abgehandelt und beschloßen worden, bezeugt mit ei,genhändiger Nahmens Unterschrift und fürgetruckten ehwohnlichem Notariat: Insigel Joh: Friderich Lichtenberger Notarius publicus requisitus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 123-v n° 752)
Anno 1764, mitwoch den 2. Maÿ seind nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Ausruffung Zu St. Thomæ und zum Jungen St Peter zu St Thomæ copulirt und eingesegnet worden Herr Johann Michael Osterrieth J.V. Ltus E E Gr. Raths und anderen hohen Gerichten Advocatus und Procuartor ordinarius, weiland herrn Johann Michael Osterrieth gewesenen Zimmer Meisters und burgers allhier hinterlassener ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Salome Reichardtin, Herrn Alexander Salomon Reichardt des burgers und Handelsmanns wie auch der Evangelischen Gemeinde Zu St Thomæ und E. E. Kleinen Raths würcklichen Beÿsitzers eheliche Tochter [unterzeichnet] Lt. Johann Michael Osterrieth bräutigam, Maria Salome Reichardin als braut (i 126)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Bless qu’ils louent en partie rue de l’Homme de Pierre. Ceux du mari s’élèvent à 2 053 livres, ceux de la femme à 809 livres.
1765 (14.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 338) n° 900
Inventarium über des Hoch Edelgebohrnen und Wohlgelehrten Herrn Johann Michael Osterrieth J. V. Lti u. E. E. Großen Raths auch anderer höherer Gerichtsstellen hiesiger löbl. Stadt Straßburg wohlmeritirten Adv. & Proc. ord. und der Wohl Hoch Edlen u. tugendreichen Fraun Mariæ Salome geb. Reichardin, beeder Ehe Persohnen u. br.e hieselbst einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Annis 1765 & 1767. – (…) in ihrer d. 6. apr. erstged. 1764.sten Jahrs auffgerichteter Eheberedung (…) So geschehen und angefanfen alh. in Straßburg den 14. Martÿ 1765. und geendiget den 11. Decembris 1767. in ferneren beÿseÿn S. T. H. Alexander Salomon Reichard, vornehmen hdlsmanns u. E: E: Kleinen Raths alhier wohlverdienten Beisitzers, wie auch wohlverordneten Kirchenpflegers beÿ der allhiesig. evangel. Gemeinde zu St Thomæ, wie auch Hn Joh: Andreas Clemen, ebenfalls vornehmen handelsmanns und burg. hieselbst beeder der Ehefr. respê leibl. H Vaters und H oncle, als beÿständere

Bericht und respe. Vergleich in gegenwärtig Inventarium gehörig
In einer alh. Zu Straßburg ane der Steinernmanns gaß gelegener Bleßischen hinter behaußung, so dißortige beede Ehepersohnen bewohnen ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern (H.) Erstl. 1/6. theil für ohnvertheilt von u. ane einer bhßg. cum appertinentiis et dependentiis gelegen alh. Zu Straßb. in der Vorstadt Steinstras ane der Kraumanns gaß (…)
(H.) It. 1/6. theil von u. ane einer bhßg. an der Waßersupp gaß (…)
Series Rubric. huj. Inv. Des Eheherrn eingebrachtes Guth, Sa. Hßr. 237, Sa. wein u. faß 58, Sa. Silbers 68, Sa. gold. ring 74, Sa. der Bibliothec 238, Sa. Eigenthums ane hßern 250, Sa. Pfgzß hptgüther 750, Sa. der baarschaft 50, Sa. der activ schuld 150, Summa summarum 1876 lb – Addé die ihme ane der hßst. gebührige helfte mit 176 lb, des Eheh: gesamt guth 2053 lb
Sofort wird auch der Ehefr. eingebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. hßr 276, Sa. Silbers 44, Sa. goldenen Ring 294, Sa. baarschafft 17, Summa summarum 632 lb – Hierzu gelegt derselben hälftigen Antheil an denen gleichbalden beschriebenen haussteuren 176, der Ehefr. gesamt Vermögen 809 lb

Jean Michel Osterrieth devient échevin à la Mauresse en 1769, marguiller de l’église Saint-Pierre-le-Jeune en 1773. Il devient juge sous la Révolution
1769 Conseillers et XXI (1 R 252) H. Lt. Joh: Michael Osterrieth Procr. et advocatus ord. beÿ E. E. großen Rath wird Schöff beÿ E. E. Zunfft Zur Möhrin.
1773 Conseillers et XXI (1 R 256) H. Lt. Joh: Michael Osterrieth Procurator ordinarius beÿ E. E. Großen Raths Wird als Schöff Zum Kirchen Pfleger beÿm Jungen St. Peter erwehlt. 179.
1793 (24.1.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 50 – H. Lt. Johann Michael Osterrieth avoué beÿ dem hiesigen district gerichts
1799 (25 ventos 7), Strasbourg 3 (45), Not. Übersaal n° 449 – Johann Michael Osterrieth der Rechtsgelehrte und Richter bei dem tribunal des Niederrheinischen departements

Jean Michel Osterrieth meurt en 1803 en délaissant une fille célibataire. La masse propre à la veuve est de 21 726 francs, celle propre à l’héritière de 7 755 francs. L’actif de la communauté s’élève à 100 774 francs, le passif à 33 302 francs.

1803 (18 prairial 11), Strasbourg 3 (26), Not. Übersaal n° 787, 1955
Inventarium über weÿl. Johann Michael Osterrieth Jurisconsulti und alten Richters des alhiesigen Civil tribunals Vermögen Nachlassenschafft, den 8. pluviose jüngst das zeitliche mit dem ewigen verwechselt, auf ansuchen der Fr. Wittib Maria Salome geb. Reichard, beiständlich ihres bruders des burgers Johann Friedrich Reichard handelsmanns und des defuncti mit der wittib tochter als universal erbin Jfr. Margaretha Salome Osterrieth, beiständlich Johann Christoph Matthaeus Juris-Consulti et Advocati bei dem zu Weißenburg sitzenden Civil Tribunal
Eheberedung, vor Not. Johann Friedrich Lichtenberger den 6. Aprilis 1764 auffgerichtet – Copia codicilli vom 15. martÿ 1765, actus dépositionis Not. Lobstein

in einer an der steinernen Manns gaß gelegen dem gesagten burger Reichard zuständigen behausung N° 6
Eigenthum an häusern so in die theilbare Massam gehörig. Erstlich eine behausung an dem Linsenfelsergäßlein N° 7 einseit neben denen Frick’schen Erben anderseit neben Andreas Kayser dem Scheiber hinten auff die bärschen Erben, verlehnt an N dächner dem holzhauer vor 60 fr, darüber lautet ein Ganthkaufbrief vom 22. Novembris 1784
Item eine behausung samt zugehörden und Rechten ohnweit der Schindbruck gegen dem Raaben über N° 93 einseit neben burger Röderer Glaser anderseit neben dem burger Höger Meelhändler hinten auff die breusch, davon gibt man dem allhiesigen bürger hospital 10 fr an ehrschätzigem und fürbietigem zinnß ane bodenzinß und der Gemeinde Cassam zu entrichen, Welche völlige behausung verlehnt an burger Frantz Bechon Meßerschmidt um 200 fr, in Capital 4000, darüber lautet ein Kauf Contract vor Not. Schweighäuser d. 12. germinal 3 auffgerichtet
der Fr. Wittib ohnverändertes vermögen, activ schulden 800 fr, Ergäntzung Not. Lichtenberger vom 14. martÿ 1765, 20.926 fr, Summa summarum 21.726 fr
der Erbin unveränderte Guth, kleidung 1777 fr, angelegtes Capital 2765 fr, ergäntzung 5613 fr, Summa summarum 8555 fr – Schulden 800 fr, Nach deren Abzug 7755 fr
theilbare massa, hausrath 2363 fr, bibliotheca 400 fr, gold 937 fr, angelegtes capital 88.874 fr, Summa summarum 100.774 fr – Schulden 33.302 fr, deducendo 67.471 fr
Enregistrement, acp 88

Inventaire dressé après la mort du locataire Louis Reichard

1807 (10.9.), Strasbourg 14 (34), Not. Lex n° 1772
Inventaire de la succession de Louis Reichard décédé le 27 mars dernier – à la requête de Jeanne Gerber la veuve, mère et tutrice légale de ses trois enfants Louis âgé de 12 ans, Charles âgé de 4 ans, Frédéric âgé de 1 an – en présence de Philippe Mathaeus tailleur d’habits tuteur subrogé
pas de contrat de mariage ni de testament
dans la maison mortuaire Place du Corbeau n° 93
propres de la veuve, 369 fr
communauté, meubles 73 fr, dettes actives 96 fr, passif 76 fr
Enregistrement, acp 103 F° 130 du 12.9.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Madeleine Jung, veuve du baquetier Geoffroi Gross

1820 (9.3.), Strasbourg 12 (79), Me Wengler n° 11.779
Inventaire de la succession de Madeleine Jung veuve de Geoffroi Gross, baquetier décédée le 14 février dernier – à la requête de Marguerite Jung veuve de Jean Pierre Hess, teinturier, Salomé Koenig épouse de Geoffroi Kraft, orfèvre, héritières pour moitié de leur sœur suivant testament olographe daté du 26 septembre 1811 enregistré le 17 février f° 72 déposé au rang des minutesdu soussigné notaire le 17 février
dans la maison place du Corbeau n° 93 appartenant à Mlle Osterrieth
meubles 143 fr, créances 2439, 118 et 1160 fr
Enregistrement, acp 146 F° 135-v du 14.3.

Héritière de son père, Marguerite Salomé Osterrieth fait donation de certains de ses biens à l’avocat Daniel Mayer, notamment de deux maisons

1826 (27.8.), Strasbourg 7 (73), Me Stoeber n° 9274
Constitution de rente et donation – Marguerite Salomé Osterrieth célibataire majeure assitée de Philippe Jacques Fargès-Méricourt avocat, laquelle en considération de son âge et de ses nombreuses infirmités
à Daniel Mayer avocat, sa fortune mobilière et immobilière
I. mobilier et créances 36.932 fr
Fonds immobilier 1. Section JJ n° 88 une maison, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Lentilles n° 6 d’un côté la maison de Mathieu Jung, d’autre celle de Philippe Hamm, estimée 2200 francs
2. section LL n° 257 une maison avec ses droits, aisances et dépendances sise en la même ville vis à vis le corbeau n° 93, d’un côté la maison de Georges Franck, d’autre celle de Jean Henri Fries, estimée 6000 francs

Originaire d’Oberschæffolsheim, Daniel Mayer épouse en 1829 Jeannette Neustetel, originaire d’Offenbach
Mariage, Strasbourg (n° 72)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à quatre heures du soir le 2 mars 1829. Daniel Mayer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 27 vendémiaire an Six à Oberschaeffolsheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, Avocat, fils de Michel Mayer, propriétaire et d’Adèle Grombach, conjoints domiciliés à Oberschaeffolsheim, et Jeannette Neustetel, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier mai 1805 à Offenbach, Grand Duché de Hesse Darmstadt, domiciliée à Offenbach, fille de Joseph Wolff Neistetel, négociant, et de Henriette Spire, conjoints domiciliés à Offenbach (signé) Daniel Mayer, Johanna Neustetel (i 2)

Daniel Mayer fait donation de ses biens à sa femme pour remplacer ses apports
1849 (15. 9.br), Strasbourg 14 (130), Not. Ritleng n° 1839
a comparu Daniel Meyer, Avocat domicilié & demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré vendre & abandonner en toute propriété à Madame Jeanne née Neustetel son epouse domiciliée avec lui à Strasbourg, ici présente & acceptant sous son autorisation expresse & étant en instance de séparation de biens,
les objets mobiliers ci après détaillés en remplacement & à compte des apports matrimoniaux justifiés par son contrat de mariage passé devant M° Stoeber ci devant notaire à Strasbourg le 27 février 1829 (…) généralement tous les objets garnissant le logement habité par les époux Mayer rue des Serruriers N° 7 à Strasbourg ces objets consistant en (…), total de l’estimation 7215
acp 388 (3 Q 30 103) f° 105-v du 17.11. (imputables sur les apports de 2715 francs)
acp 388 (3 Q 30 103) f° 112-v du 20.11. objets mobiliers provenant de la ferme dit Jungenwald ban de Lampertsloch, 1650 francs

Daniel Mayer meurt en 1880 en délaissant un fils qui meurt peu de temps après lui et une fille célibataire.
1880 (15.9.), M° Ritleng
Erbverzeichnis über dem Nachlass des zu Straßburg am 8. Juli 1880 verlebten Daniel Mayer, ehemaligen Anwalt. Auf Ansuchen von I. Frau Johanna Neustetel, Wittwe des genannten verlebten Daniel Mayer handeld eigenen Namens, 1° wegen der zwischen ihr und ihrem Ehemann bestandenen Gütergemeinschaft laut Ehevertrag vor Notar Stoeber zu Straßburg vom 27. Februar 1829, 2° wegen ihren Ersatzansprüchen, 3° wegen den Vortheilen, die aus besagtem Ehevertrag hervorgehen können, 4° als Erberechtigt für ein Viertel am Nachlass ihres Sohns Alfred Mayer, lebend Advokat verstorben nach seinem Vater am 1. August 1880.
II. Fräulein Octavie Mayer, großjährig ohne Gewerb zu Straßburg erbberechtigt zur Hälfte am Nachlasse ihres Vaters und zu ¾ am Nachlass ihres Bruders
Frau Wittwe Mayer und Fräulein Mayer nehmen die Erbschaft des Daniel Mayers blos unter dem Rechtswohlthat des Inventars an. Laut Art. 7. des Ehevertrags hat die We. Mayer die Nutznießung der Hälfte des Nachlasses ihres Ehemanns
acp 705 (3 Q 30 420) f° 84-v du 22.9. (Sterbefall Erklärung 4.1.1881 Bd 135 N° 493 – Sterb Erk. Bd 61 Bl 124 N° 190) Gütergemeinschaft. Möbel und Getüch geschätzt zu 3083
acp 707 (3 Q 30 422) f° 28-v du 9.10. (vacation du 7 octobre) I. Creditoren 1° ein fünftel einer Summa (…) an Wittwe Nevex von Paris, 2° des Viertel der Forderung Ratisbonne, II Passiva 10.606, III Garderobe geschätzt zu 172

Daniel Meyer revend quelques mois plus tard la maison au tailleur Philippe Charles Mathæus et à sa femme Susanne Madeleine Christmann

1826 (13.12.), Strasbourg 7 (74), Me Stoeber n° 9475
Daniel Meyer, avocat
à Philippe Charles Mathäus, tailleur d’habits, et Susanne Madeleine née Christmann
section LL 257, une maison avec ses droits et dépendances sise en cette ville vis à vis l’auberge du Corbeau n° 93, d’un côté Georges Franck, d’autre Jean Henri Fries, derrière la rivière d’Ill ou de la Bruche – chargée d’une rente perpétuelle et laudémiale de 9 fr 88 à la St Martin, inscription vol. 175/502 le 24 février courant résultant d’un contrat reçu Schweighaeusser notaire à Strasbourg le 12 prairial 3 et titre nouvel du 8 décembre de l’an dernier – acquis de Marguerite Salomé Osterrieth suivant acte de constitution de rente passée devant le soussigné notaire le 27 août courant, transcrit au bureau des hypothèques volume 194 n° 26, échu en partage à la Dlle Osterrieth dans la succession de son père Michel Osterreith juge – droits de propriété constatés par actes passés à la Chambre des contrats le 18 novembre 1743 et me 17 décembre 1763 – moyennant 8000 francs
Enregistrement, acp 181 F° 151-v du 15.12.

Fils du maître de religion Jean Christophe Mathæus, Philippe Charles Mathæus épouse en 1798 Susanne Madeleine Christmann fille du tailleur Jean Martin Christmann
1798 (1 fruct. 6), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 152
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Philipp Carl Mathäus, Schneider alhier zu Straßburg wohnhaft, weiland des bürgers Johann Christoph Mathäus im Leben gewesenen Religions lehrers zu Mittelbergheim beÿ Barr, mit Fraun Maria Magdalena gebohrner Osterrieth, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter volljähriger Sohn, als hochzeiter ane einem
Sodann Jungfrau Susanna Magdalena Christmann, des burgers Johann Martin Christmann Schneiders alhier mit Frau Susanna Magdalena gebohrner Kumpffen seiner Ehegattin ehelich erzeugter majorenne Tochter, unter der Autorisation und dem beistand gemelter ihres vaters, als Braun ane dem andern theil
So geschehen alhier zu Straßburg in beisein der Bürger Johann Michael Osterrieth, Rechtegelehrten und Georg Friderich Dolde des Practici, beder alhier wohnhaft und hiezu beruffener Zeugen (…) den ersten fructidor Vormittags im Sechsten Jahr der Fränckischen ohntheilbaren Republick [unterzeichnet] Philippe Charle Matthæus, Susanna Magdalena Christmann
Enregistrement, acp 62 F° 148 du 2 fruct. 6

Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Barbe Schwartz veuve du brasseur Jean Henri Krafft

1829 (12.9.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2864
Inventaire de la succession de Marie Barbe Schwartz veuve de Jean Henri Krafft, brasseur à Rothau ayant demeuré à Strasbourg oà elle est décédée le 23 août 1829 – à la requête de Jean Frédéric Wieger, receveur de la Fondation de St Thomas exécuteur testamentaire, suivant testament olographe du 26 février 1827 enregistré le 26 août 1829 F° 87, et à la requête de 1. Charles Guillaume Krafft, supérieur de pensionnat théologique attaché au séminaire protestant de St Thomas, 2. Sophie Victoire Krafft, majeure, 3. Jacques Rimbach, tailleur d’habits, mandataire de son neveu Charles Louis Krafft, ouvrier forgeur demeurant à Lyon (Procuration : rue de la Charité n° 19 chez Sr Magnin forgeron), 4. Jean Louis Krafft, cordeur de bois, administrateur légal de ses 6 enfants issus de Charles Louis Krafft et de Marie Salomé Rimbach 1) Louise Salomé née le 21 avril 1810, 2) Amélie née le 27 septembre 1813, 3) Jacques né le 25 juillet 1815, 4) Pauline née le 22 juin 1817, 5) Caroline née le 15 août 1819, 6) Caroline née le 14 mars 1822, 5. Caroline Krafft majeure sans état, 6. Jean Geoffroi Krafft, orfèvre à Bouxwiller en son nom et administrateur légal des biens de 1) Gustave Adolphe né le 23 février 1810, 2) Juilie Salomé née le 4 février 1813, 3) Sophie Wilhelmine née le 12 novembre 1817, 4) Frédéric Guillaume né le 27 janvier 1821, issus de son mariage avec Susanne Salomé Koenig, 7. D° Barbe Littert femme de Jacques Eyrich, cordonnier, 8. Salomé Littert veuve d’André Erckel, serrurier à Wasselonne, institués héritiers les enfants et descendants de ses trois frères Charles Guillaume, Sophie Victoire seuls enfants de Jean Daniel Krafft son frère, Charles Louis, Louise Salomé Amélie (…) les 7 enfants de Jean Louis Krafft, Caroline, Gustave Adolphe (…) enfants de Jean Geoffroi, D° Eyrich pour moitié dans l’autre moitié et la veuve Erckel pour le dernier quart
dans une maison en cette ville vis à vis du Corbeau n° 93 quai des Bateliers appartenant à Philippe Charles Matheus, tailleur, que la défunte occupait
dans la chambre sur la place du Corbeau, dans la chambre à coucher, dans la chambre donnant sur la place du Corbeau, dans la cuisine, au grenier
obligations, passif, pour note, mobilier 1026 fr, créances 27. 900 fr
Enregistrement, acp 196 F° 74 du 15.9.

Inventaire dressé après l’interdiction de Marguerite Salomé Osterrieth par jugement rendu le 22 avril 1829
1829 (21.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 57), Me Hickel n° 3230
Inventaire après l’interdiction de Marguerite Salomé Osterrieth, fille majeure – à la requête de Charles Rau, docteur en droit, avocat son tuteur, Louis Auguste Eissen avoué près le Tribunal civil mandataire de Louis Osterrieth père subrogé tuteur, suivant interdiction prononcée au tribunal civil le 22 avril dernier confirmée par arrêt de la Cour royale de Colmar le 10 juillet suivant
dans une maison sise à Strasbourg rue de l’Homme de pierre n° 6 appartenant à M Ubersaal
mobilier, dans une chambre donnant sur ladite rue ayant deux croisées, dans un salon donnant sur la même rue, dans la chambre à coucher, dans une pièce donnant sur la rue de l’Epine, dans la chambre donnant sur la rue de l’Epine faisant le coin de cette rue et de celle de l’Homme de Pierre, dans une chambre à trois croisées donnant sur la rue de l’Epine, dans une petite pièce à côté donnant avec une croisée sur l’escalier, dans une décharge ayant une croisée sur la rue de l’Epine, dans le corridor, dans la cuisine, dans la chambre au linge sale, au grenier 3135 fr, numéraire 5006 fr, créances 14.006 fr
Enregistrement, acp 196 F° 24 du 25.8.

Marguerite Salomé Osterrieth meurt en 1830 en délaissant des héritiers collatéraux, dont le propriétaire de la maison Philippe Charles Mathæus
1830 (19.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 59), Me Hickel n° 3497
Inventaire de la succession de Marie Salomé Osterrieth, majeure ineterdite, décédée le 14 avril dernier – à la requête de 1. Jean Michel Klein, gainier, mandataire de Marguerite Blessig son épouse, 2. Frédéric Matthaeus, charpentier, 3. Philippe Charles Matthaeus, tailleur d’habits, 4. Jean Matthaeus, huilier, 5. Richarde Elisabeth Matthaeus femme de Jean Samuel Hollerung, tisserand, 6. Louis Osterrieth père ancien architecte, 7. Louis Auguste Eissen, licencié en droit avocat près le Tribunal civil mandataire de Jean Daniel Osterrieth, architecte demeurant à Berne en Suisse, héritiers pour 1/14 de leur cousine germaine, 8. Emile Triponé, notaire, commis pour représenter les héritiers absents suivant jugement du Tribunal civil du 16 du présent, Charles Rau, docteur en droit, avocat, ancien tuteur
dans le logement que cette dernière occupoit rue de l’Homme de Pierre n° 6 appartenant à M. Übersaaal docteur en médecine
dans une chambre donnant dans ladite rue ayant deux croisées dans un salon donnant sur la même rue par trois croisées, dans la chambre à coucher, dans une porte donnant par trois croisées sur le rue de l’Homme de Pierre et par trois croisées sur celle de l’Epine dans une chambre à trois croisées donnant sur la rue de l’Epine, dans une petite pièce à côté donnant avec une croisée sur l’escalier, dans une décharge ayant une croisée sur la rue de l’Epine, dans le corridor, dans la cuisine, au grenier, dans la chambre au linge sale, au grenier, dans une autre chambre au grenier, dans la chambre de domestique, dans la cave, 3000 fr, argent comptant 958 fr
Titres et papiers, reliquat au profit de la succession de 1162 fr s’étant trouvé au décès
acp 200 F° 6-v du 25.6. Les quatre premières vacations
acp 200 (3 Q 29 915) f° 120 du 21.4. – les neuf dernières vacations. La masse active de compose, savoir mobilier 3000, numéraire 7173, créances 50.943 francs

Philippe Charles Mathæus et Susanne Madeleine Christmann vendent la maison au confiseur Charles Erard Hartschmidt et à sa femme Caroline Madeleine Matthæus (fille des vendeurs)

1831 (7.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 61), Me Hickel n° 3773
Philippe Charles Matthaeus, tailleur d’habits, et Susanne Madeleine Christmann
à Charles Ehrhard Hartschmidt, confiseur, et Caroline Madeleine Matthaeus
une maison avec droits, appartenances, dépendances sise à Strasbourg section LL 257 vis à vis l’auberge du Corbeau d’un côté Georges Franck ; d’autre Jean Henri Fries, derrière la rivière de l’Ill, y compris quatre poeles en fayence non murés qui sont placés dans ladite maison – acquis de Daniel Mayer, avocat, suivant contrat reçu par M° Stoeber le 13 décembre 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 197 n° 62. Ledit Mayer l’avait acquis de Marguerite Salomé Osterrieth, fille majeure interdite, par acte comportant consitution de rente viagère et donation devant M° Stoeber le 27 août 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 194 n° 26. L’immeuble était échu à Dlle Osterrieth dans la succession de Michel Osterrieth son père juge à Strasbourg
Charges, clauses et conditions, 2. de laisser jouir gratuitement les Sr et D° Mathaeus vendeurs pendant leur vie jusqu’au décèes du survivant d’entre eux des localités qu’ils occupent présentement dans ladite &mon& et qui consistent dans une grande chambre avec alcove au premier étage donnant sur la rivière et dans une autre chambre au quatrième étage, charge estimée à 60 francs pae an, chargée d’une rente foncière de 3,40 fr envers la ville de Strasbourg et d’une rente laudémiale annuelle de 9,88 fr envers les hospices civils de Strasbourg
Remise des actes passés à la Chambre des contrats le 18 novembre 1743 et 17 septembre 1763 – moyennant 10.000 fr et rente viagère de 300 fr
acp 204 (3 Q 29 919) f° 9 du 11.5.

Fils de confiseur, Charles Erard Hartschmidt épouse Caroline Madeleine Matthæus en 1822
1822 (2.9.), Strasbourg 7 (66), Me Stoeber n° 6678
Contrat de mariage – Charles Erard Hartschmidt, confiseur fils majeur de Jean Geoffroi Hartschmidt, confiseur, et de Marie Hélène Stephan
Caroline Madeleine Matthaeus fille majeure de Philippe Charles Matthaeus, tailleur et de Susanne Madeleine Christmann
Enregistrement, acp 159 F° 14-v du 4.9. – communauté d’acquets partageable par moitié

Charles Hartschmidt loue une partie de la maison (dont la boutique) à Valentin Ziegelé et à sa femme Emma Jundt

1860 (1.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 132 (3 Q 31 631) f° 44-v du 9.10.
Bail – Le soussigné Sr Charles Hartschmidt, propriétaire à Strasbourg, donne à titre de bail pour 6 années à dater du 1. 8.bre 1860 jusqu’au 1. 8.bre 1866.
aux conjoints Valentin Ziegelé et sa femme Emma Jundt, audit lieu
dans sa maison sise à Strasbourg place du Corbeau n° 46
1° le magasin au rez-de-chaussée avec le cabinet y attenant
2° une cuisine au rez-de-chaussée,
3° une chambre au rez-de-chaussée
4° une petite cave
5° une chambre au premier étage, une petite mansarde au quatrième étage et la jouissance du grenier pour y sécher du linge et pour y déposer du bois et des marchandises.
Ce bail est fait pour un loyer annuel de 600 francs payables en quatre termes de trois mois en trois mois

Nouveau bail de Charles Hartschmidt à l’épicier Valentin Ziegelé et à Emma Jundt

1867 (1.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 147 (3 Q 31 646) n° 80-v du 4.11.
Bail – Le soussigné Charles Hartschmidt, propriétaire d’une part
Et Valentin Ziegelé, épicier, et Emma Jundt sa femme à Strasbourg d’autre part sont convenus de ce qui suit
Le sieur Charles Hartschmidt donne à titre de bail auxdits conjoints Ziegelé
dans sa maison place du Corbeau n° 46
I. Le magasin au rez-de-chaussée avec le cabinet y attenant, contenant un poêle en faïence avec tuyaux
II. une cuisine au rez-de-chaussée,
III. une chambre au rez-de-chaussée donnant sur l’eau,
IV. une petite cave donnant sur l’eau,
V. une chambre avec alcôve et poêle en faïence avec tuyaux au premier donnant sur la rue. Le propriétaire consent que cette chambre soit sous-louée comme garnie mais il se réserve le droit de faire dénoncee au locataire, si, par une conduite déréglée ou bruyante il troublait l’ordre de la maison
VI. chambre avec alcôve et poêle en faïence avec tuyaux au troisième et donnant sur la rue
VII. La jouissance du grenier pour y sécher du linge et pour y déposer du bois et des marchandises.
Ce bail est fait pour six années consécutives à partir du premier octobre 1867 jusqu’au premier octobre 1873 à raison de 720 francs par an

Caroline Madeleine Matthæus meurt en 1869 en délaissant une fille célibataire et deux petits-enfants issus de sa fille Julie Caroline et du droguiste Philippe Charles Müller

1869 (25.5.), Strasbourg 10 (162), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1113
Inventaire 1) de la communauté de biens qui a existé entre D° Caroline Madeleine Mattheus, en son vivant épouse de M. Charles Erard Hartschmidt, propriétaire, demeurant à Strasbourg où elle est décédée le 18 mars 1869 2) et de la succession de la D° Hartschmidt
L’an 1869 le 25 mai à une heure de relevée, à la requête de 1° M. Charles Erard Hartschmidt, propriétaire demeurant & domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre entre lui et D° Caroline Madeleine Mattheus aux termes de leur contrat de mariage dressé par M° Stoeber jeune, alors notaire à Strasbourg le 2 septembre 1822, 2) à cause des reprises en deniers qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté et à cause des avantages matrimoniaux résultant à so profit du contrat de mariage sus allégué, 2° Mad. Emilie Pauline Hartschmidt, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, 3° M. Adolphe Charles Müller, pharmacien demeurant et domicilié et la même ville, 4° Et Mlle Claire Pauline Müller en jouissance de des droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg. Lesdits Dlle Hartschmidt, M. Müller et Dlle Müller habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers, la première pour moitié de ladite D° Hartschmidt née Matthaeus, sa mère, et M. et Mlle Müller ensemble pour l’autre moitié de la même défunte leur grand mère, par représentation de Dame Julie Caroline Hartschmidt, fille de la défunte, décédée épouse de M. Philippe Charles Müller, droguiste à Strasbourg leur mère dont ils sont les seules héritiers chacun pour moitié (…) en la maison mortuaire place du Corbeau n° 46
Communauté, Masse active 11) d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg place du corbeau N° 46, tenant d’un côté au sieur hansmetzger de l’autre au Sr Kraem. Cet immeuble est évalué sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 1350 francs, à un capital de 27.000 francs
12) Et d’une autre maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des bouchers N° 6, tenant d’un côté au Sieur Knapp, de l’autre au S. Düringer. Cette maison est aussi évaluée sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 920 francs, à un capital de 18.400 francs
acp 583 (3 Q 30 298) f° 20-v du 26.5. (succession déclarée le 2 juillet 1869) Communauté, Mobilier et créances 73.983
Une maison place du Corbeau N° 46
Une maison rue des bouchers N° 6
Succession, garde robe 500. Le veuf déclare renoncer à l’usufruit

Charles Erard Hartschmidt loue une partie de la maison (dont la boutique) à l’épicier Xavier Adam

1878, Enregistrement de Strasbourg, ssp 177 (3 Q 31 676) f° 62 du 8.10. n° 5288
Miethvertrag, 1. October 1877 – die unterzeichneten Karl Erhard Hartschmidt, Eigenthümer einrseits und
Herr Xavier Adam, Spezereihändler anderseits ist Folgendes übereingekommen
Herr Hartschmidt vermiethet dem oben genannten Herrn Adam folgende Räumlichkeiten seines Hauses Rabenplatz N° 7
1. den Kaufladen im Bodengeschoß mit der daranstehenden Ladenstube, 2. eine Küche im Bodengeschoß, 3. ein Zimmer aufs Wasser hinausgehend, 4. einen Keller, nahe beim Wasser und einen andern unter der Küche, 5. ein großes Zimmer mit Alcove im 1. Stock, 6. zwei Kleinen Zimmer im 1. Stock aufs Wasser hinausgehend, 7. eine Mansarde im 4. Stock und eine Holzkammer im 5. Stock.
Zu diensen Räumlichkeiten gehören 3. Porzelanöfen mit dem darzugehörigen Rohr, sowie ein gußeisener Herd in der Küche, (…) Dieser Pacht ist für die Dauer von sechs Jahren geschlossen, vom 1. October 1877 an (…) Der jährliche Mietzins beträgt die Summe von 700 Mark oder 875 Franken. Straßburg den 1.te, October 1877.

Après la mort de Charles Hartschmidt en 1878, les héritiers se partagent ses biens. Les deux maisons reviennent à Emilie Pauline Hartschmidt

1878 (25.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 176 (3 Q 31 675) f° 67 du 27.6. n° 3195
(Sterbefall erklärt am 27. Juni 1878, Bd. 186 N° 251) Theilung – Die unterschriebene 1. Fräulein Emilie Pauline Hartschmidt ohne Gewerbe im Genusse ihrer Rechte,
2. Adolph Karl Müller, Materialist, 3. Clara Pauline Müller, hierzu ermächtigte Ehegattin des ebenfalls unterschriebenen Carl August Jundt, Professor am protestantischen Gymnasium alle in Strassburg wohnhaft haben bevor sie zur nachfolgenden Theilung schreiten, vorläufig erklärt und auseinander gesetzt wie folgt.
Frau Catharina Magdalena Matthaeus Ehegattin des herrn Eduard Carl Hartschmidt ist gestorben zu Straßburg den 19. März 1869 und Herr Hartschmidt den 16. Aprilis 1878. Sie haben als einzige Erben hinterlassen, für sie eine Hälfte ihre Tochter die genannte Fräulein Hartschmidt
für die andere Hälfte oder ein jedes für ein Quart die Kinder ihrer verstorbenen Tochter Frau Julie Caroline Hartschmidt, Ehegattin des Philipp Carl Müller, Materialist, welche Kinder die unterschriebenen Hr Müller und Frau Jundt geborne Müller seind
Die Verlaßenschafft der Frau Hartschmidt Ehefrau Matthäus ist bestätigt laut einem vor Notar Körttgé den 25. Mai 1869 errichteten Inventarium. Nach dem Tode des H. Hartschmidt ist kein Inventarium gemacht worden und die gegenwärtige Theilung soll deßen Stelle vertreten.
Der Nachlass des Herrn Hartschmidt besteht außer seinen Kleidern, welche bereits vertheilt worden in der ungetheilten Hälfte nachstehender Kapitalien und Liegenschaften, welche von der Gütergemeinschaft herrühren (…)
Die unterschriebenen sind nun übereingekommen aus diesen beiden Hälften eine Masse zu bilden und derselben nach das Einbringen beizufügen, welches Herr Müller und Frau Jundt dieselbe für Ehesteur ihrer verstorbenen Mutter schuldig sind laut Ehevertrag vor Notar Carl Nöttinger den 3. Mai 1863. passirt, um sodann zur Theilung dieser Masse zu schreiten wie folgt
1. Ein Haus am Rabenplatz N° 7 früher N° 46 in Straßburg gelegen, abgeschätzt zu 21.600 M, verfallene Zins bis zum Todestage
2. Ein Haus in Straßburg, Metzgergießen N° 6 gelegen abgeschätzt zu 14.720. Miethzins bis zum Todestage 42
3. Hÿpotheken Kapital schuldig durch Frau Ziegele gebohrne Jundt 12.000 M (…)
4. Hÿpotheken Kapital schuldig durch Herrn Borzer früher durch ie Eheleuth Cornu genannt Carlet 6400 M (…)
5. Das Guthaben auf das Haus Ph. Ch. Müller 13.440
Total der Werthschaften 68.412 M (…)
An Zahlung ihrer Antheile überlassen sich die Parteien gegenseitig in volles Eigenthum nämlich
der Fräulein Hartschmidt 1) des Haus Rabenplatz N° 7
2) das Haus Metzgergießen N° 6
zu Straßburg den 25. Juni 1878.

Pauline Emilie Hartschmidt meurt dans sa maison à l’âge de 75 ans le 2 mai 1889. Son neveu déclarant Adolphe Charles Müller est aussi son héritier.
Décès, Strasbourg (n° 1062) Strassburg am 2. Mai 1889. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Karl Adolf Müller, wohnhaft zu Strassburg Metzgerstraße 16 und zeigte an, daß seine Tante die ledige Rentnerin Pauline Emilie Hartschmidt, 75 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft und geboren zu Strassburg, Tochter der hieselbst verstorbenen Eheleute Erhard Kart Hartschmidt Zuckerbäcker und Karoline Magdalena Matthaeus, zu Strassburg Rabenplatz 7 am 2. Mai des Jahres 1889 Vormittag um sieben Uhr verstorben sei (i 11)

Le pharmacien droguiste Philippe Charles Müller épouse Julie Caroline Hartschmidt, en 1843
1843 (3.5.), Strasbourg 12 (160), Me Noetinger n° 15.859
Contrat de mariage – Ont comparu M. Philippe Charles Müller, Pharmacien droguiste demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Jean Philippe Müller, négociant demeurant à Wissembourg & de Dame Philippine Salomé Schoenlaub, sonn épouse, stipuant pour lui & en son nom comme futur époux de l’agrément de ses père et mère ici présents d’une part
Et Madlle Julie Caroline Hartschmidt, sans profession, demeurant avec ses père et mère ci après nommés, fille mineure de M. Erard Charles Hartschmidt, confiseur demeurant à Strasbourg & de D° Caroline Madeleine Matthaeus son épouse, stipulant, consentant pour elle & en son nom de l’agrément de ses père et mère, d’autre part
acp 309 (3 Q 30 024) f° 79-v – Les apports du futur époux consistent en marchandises & deniers comptants d’une valeur de 57.969 francs, grevérd d’un passif de 41.000 francs. Il lui reste 16.969 francs
Donation par les père et mère de la future épouse à leur fille ce acceptant, d’une somme de 10.000 francs, d’un trousseau évalué 3772 francs, total 13.772 francs
Don matutinal par le futur à la future d’une somme de 3000 francs en cas de survie. Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eaux de l’usufruit viager de toute la succession réductible en cas d’enfants

Julie Caroline Hartschmidt meurt en 1848 en délaissant deux enfants
1849 (10.3.), Strasbourg 2 (95), Not. Roessel n° 2279
inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Monsieur Philippe Charles Müller Pharmacien droguiste et Madame Julie Caroline Hartschmidt, son épouse décédée le 27 novembre 1848.
L’an 1849 Samedi le 10 mars à neuf heures du matin, A la requête & en présence de Mr Philippe Charles Müller, pharmacien droguiste demeurant à Strasbourg, agissant 1. en son nom personnel tant à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre lui et son épouse défunte Mad° Müller née Julie Caroline Hartschmidt aux termes de leur contrat de mariage reçu par M. Noetinger notaire à Strasbourg le 3 mai 1843 qu’en qualité de donataire en vertu du même contrat de l’usufruit de la moitié de la succession de Mad. Mülller, 2° en qualité de tuteur légal de Charles Adolphe Müller né le 29 janvier 1844 & de Pauline Clara ou Claire Müller née le 14 avril 1848, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son épouse défunte. En présence de Mr Jean Henri Siegler, négociant demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur de deux mineurs Müller
dans une maison tenue en location par Mr Müller sise à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 17
acp 380 (3 Q 30 095) f° 70-v (succession déclarée le 26 mai 1849) Communauté, mobilier évalué 749
Reprises de la défunte 2214, garde robe 612, bijoux 35
acp 381 (3 Q 30 096) f° 80-v – Marchandises et matériel d’exploitation 95.981
acp 383 (3 Q 30 098) f° 67 – Masse active de la communauté 138.805, masse passive 99.863
Actif de la succession 32.472

Fils des précédents, le négociant Adolphe Charles Müller épouse Camille Catherine Susanne Clausing en 1872
1872 (20.1.) Strasbourg 6 (103), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 6515
Contrat de mariage – Ont comparu Mr Adolphe Charles Müller, Négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de feu Mr Philippe Charles Müller, en son vivant droguiste et de défunte Caroline Julie Hartschmidt son épouse en leur vivant demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, Mr Müller fils, stipulant en son [nom] personnel comme futur époux d’une part
Et Dlle Camille Catherine Susanne Clausing, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille majeure et légitime de feu Mr Geoffroi Ferdinand Clausing, en son nom docteur en médecine communal du canton ouest de Strasbourg et de feue Dame Salomé Lauth, stipulant également en son personnel comme future épouse d’autre part
acp 602 (3 Q 30 317) f° 77-v du 25.1. – Annahme der Gütergemeinschaft nach den C.C., Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
die Braut bringt 1) Obligationen und andere Werthe vom 45.524, 2) verschiedene Immobilien im Bann von Straßburg, Entzheim und Holtzheim, 3) Hälfte eines Hauses Rabenplatz N° 11
Der Bräuigam bringt in die Ehe einen Werth von 28.386, verschiedene Immobilien
Gegensreitige Schenkung dem überlebenden vo der Nutzniesung des Nachlasses

1872 (18.1.), M° Roessel
Einwilligung von Karl Erard Hartschmitt Zuckebäcker in Straßburg zur vermählung seines Enckels Adolph Karl Müller mit Catharina Susanna Clausing beide in Straßburg
acp 601 (3 Q 30 316) f° 54-v du 18.1.

Louis Alphonse Michel est inscrit comme propriétaire au cadastre à partir de 1903. Originaire de la Wantzenau, il y épouse en 1888 Marie Roth, fille de l’entrepreneur Xavier Roth

Mariage, la Wantzenau (n° 10)
Wanzenau am 30. April 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Ludwig Alphons Michel, katholischer Religion, geboren den 25. März des Jahres 1866 zu Wanzenau, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Bürgermeisters Frantz Anton Michel und dessen Ehefrau Rosalia Weinum zu Wanzenau, 2. die gewerblose Marie Roth, katholischer Religion, geboren den 5. März des Jahres 1865 zu Wanzenau, wohnhaft zu Wanzenau, Tochter des Unternehmers Xaver Roth und dessen Ehefrau Katharina Vierling, wohnhaft zu Wanzenau (i 11)

Louis Alphonse Michel meurt dans sa maison le 7 septembre 1910.
Décès, Strasbourg (n° 2081) Strassburg am 5. September 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute auf Grund des vorgelegten ärzlichen Attestat der Kaufmann Paul Lienhardt, wohnhaft in Strassburg, Alter Fischmarkt 3/5, und zeigte an,
daß der Kaufmann Alphons Ludwig Michel, Ehemann von Marie Michel gebornen Roth, 44 Jahre 5 Monate, katholischer Religion, wohnhaft in Strassburg, geboren zu Wanzenau, Unter-Elsaß, Sohn der verstorbenen Eheleute Frantz Anton Michel, Landwirt und Bürgermeister und Rosalie gebornen Weinum, beide zuletzt in Wanzenau wohnhaft, zu Straßburg, Rabenplatz 7 am vierten September 1910 um ein Uhr verstorben sei (i 149)



1, place du Corbeau


Place du Corbeau n° 1 – IX 101 (Blondel), O 738 puis section 17 parcelle 115 (cadastre)

Linteau millésimé 1693 dans l’impasse, nouvelle façade (1696) par le sellier Jean Jacques Faudel

Avec mes remerciements à F. et B. P.


Vue en août 2021 – Fenêtres à meneaux aux deux premiers étages

La maison entre l’auberge du Corbeau et l’impasse est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Jean Maler (en fait le peintre Michel Buisson qui l’a achetée l’année précédente). Elle a deux auvents superposés et une échoppe vers la ruelle, deux encorbellements et un auvent vers la rue, de 23 pieds de long. Elle appartient ensuite au tailleur Nicolas Repperlé (1604-1617). Les propriétaires suivants sont selliers (Valentin Schneider et Georges Frédéric Scheubler, 1617-1667) puis graveur de cachets (François Frantz, 1667-1690). Le sellier Jean Jacques Faudel achète en 1690 la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière séparés par une petite cour. Il transforme le bâtiment arrière dans l’impasse : le millésime 1693 se trouve sur le linteau de la porte. Les préposés l’autorisent en 1696 à construire en avant de son encorbellement en enclosant un terrain de 85 pieds carrés. Il transforme le pignon qui donnait vers l’ouest, rehausse la façade en créant le nouveau pignon qu’on voit aujourd’hui vers le nord. Ces transformations sont corroborées par les analyses archéologiques (Inrap, Maxime Messner, 2021). Jean Jacques Faudel fait poser en 1697 une dalle sur la rigole qui part du corps de garde pour que le chemin entre le pont et sa maison soit plus commode par mauvais temps. Il fait élargir en 1712 de deux pieds l’auvent devant la maison moyennant un cens annuel, supprimé en 1768 quand le marchand Ange Marie Tagliaschi répare la maison qu’il vient d’acheter. La veuve du sellier Jean Georges Faudel acquiert en 1769 la maison dont elle transmet la propriété à son fils Jean Faudel qui fait faillite en 1776. Le propriétaire suivant, Joachim Frédéric Lorentz, est aussi sellier. Le boulanger Michel Veihl rachète en 1813 la rente communale établie le 30 juillet 1696.



Façade occidentale, ancien pignon transformé en 1696 (juin 2022)
La maison fait l’angle de l’alignement à gauche de l’image (Plan-relief, 1727, Musée historique, cliché Claude Menninger, © Région Grand Est – Inventaire général)
Millésime 1693 sur le linteau de la porte donnant dans l’impasse

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 et cour (P’), îlot 210 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade à pignon vers le quai se trouve entre les repères (m »-n ») : porte et fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun (et non trois comme sur le plan-relief en 1727 et la façade actuelle). Trois façades se succèdent vers la ruelle (à droite de n »), une première devant l’impasse, une deuxième à pignon dont les ouvertures sont disposées de façon irrégulière, une troisième à rez-de-chaussée et deux étages. La cour qui figure sur le cadastre n’est pas représentée sur le plan-relief. L’arrière des bâtiments donne entre (5-6) dans la cour (P’).
La maison porte d’abord le n° 58 du quai des Bateliers (1784-1857) puis le n° 1 de la place du Corbeau.


Dessin suite à la demande du propriétaire d’enclore le terrain (a-b-c) en 1888, marque (x) de l’ancien auvent autorisé en 1696
Elévations de 1902 lors des transformations – Plan du rez-de-chaussée, l’alignement légal figure en rouge (dossier de la Police du Bâtiment) – (plan cadastral de 1896)

La maison appartient à partir de 1802 au boulanger Michel Veihl puis à ses deux gendres perruquiers, Jacques Louis Reichard et Charles Nicolas Reichard. Louis Wurm charge en 1902 les entrepreneurs Kaag et Mohler d’aménager le magasin et de poser une devanture munie de volets roulants. Les bombardements aériens des 11 août et 16 septembre 1944 endommagent le bâtiment. En 1948, Eugène Sexauer fait aménager deux logements, réparer le magasin et les façades endommagées sous la direction de l’architecte Joseph Schwab, les pans de bois sont dégagés.


Elévations et coupe, 1948 – Photographie, 1958, enseigne Comptoir du chauffage (dossier de la Police du Bâtiment)

avril 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1586 v Michel Buisson, peintre, et (v. 1578) Claudine Blanpignon – luthériens
1604 v Nicolas Repperlé, tailleur, et (1600) Charité Feistlinger – luthériens
1617 v Valentin Schneider, sellier, et (1618) Ursule Bliemel puis (1634) Barbe Keller – luthériens
1667 h Georges Frédéric Scheubler, sellier, et (1663) Barbe Keller, veuve de Valentin Schneider – luthériens
1676 v François Frantz, graveur de cachets, célibataire († 1696) – luthérien
1690 v Jean Jacques Faudel, sellier, et (1687) Salomé Feigler, (1690) Susanne Marie Mosseder puis (1711) Anne Marie Frantz – luthériens
1721 h Jean Jacques Sattler, sellier, et (1721) Anne Marie Frantz, d’abord (1711) femme du sellier Jean Jacques Faudel – luthériens
1768 v Ange Marie Tagliasachi, marchand, et (1764) Chrétienne Charlotte Storck, d’abord (1762) femme du marchand Charles Hyachinte Henry – catholiques
1766 v Jean Georges Faudel, sellier, et (1732) Catherine Knoderer – luthériens
1771 v Jean Faudel, sellier, et (1771) Marguerite Dorothée Müller – luthériens
1776 v Joachim Frédéric Lorentz, sellier, et (1775) Marie Dorothée Lichtenberger puis (1792) Marie Salomé Kuhn – luthériens
1802 v Michel Veihl, boulanger, et (1798) Marie Madeleine Fetter
1809 h (½) Jacques Louis Reichard, perruquier, et (1822) Christine Elisabeth Veihl
Louis Charles Alphonse Reichard, coiffeur, et (1850) Catherine Wilhelmine Rieb
(½) Charles Nicolas Reichard, perruquier, et (1827) Marie Madeleine Veihl
Léopold Louis Charles Reichard, confiseur, et (1857) Louise Madeleine Klein
1897* Louis Wurm, serrurier, et (1893) Lucie Eugénie Marie Reichard et
son fils Charles Louis Wurm et (1916) Mathilde Hahn
1933* v Aloïse Scheben, directeur d’école
1938* v (Albert Paul Fernand) Engelmann
1945* Eugène Alfred Sexauer

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1662, 1200 livres en 1708, 1650 livres en 1720, 1000 livres en 1767, 900 livres en 1772

(1765, Liste Blondel) IX 101, Jean Jacques Sattler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lorentz, 6 toises, (-) pied et (-) pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 738, Reichard, Louis, perruquier près du Corbeau 58 – maison, sol – 1,7 are

Locations

1689, Charles Maurice, marchand de vins
1691, André Revel, musicien, et Jeanne Caillot
1692, Jean Baldy, limonadier
1692, Jérôme Forest, perruquier
1734, François Grandpierre, sellier
1803, Antoine Wehrly, maître de la poste aux chevaux, et Hélène Schneider (voisin)
1811, Jean Baptiste Polti, marchand

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 384
Jean Maler règle 17 sols pour sa maison, à savoir dans la ruelle pour deux auvents l’un au-dessus de l’autre (44 pieds de long, 1 ½ pieds de saillie), entre les deux une cheminée (2 pieds ½ de large, 15 pouces de saillie), une échoppe (13 pieds de long, 3 pieds de saillie)
Le même règle en outre 8 sols, à savoir à l’avant quand on sort de l’impasse et qu’on tourne vers l’auberge au Corbeau pour un encorbellement (23 pieds de long, 2 pieds 9 pouces de saillie), un auvent de même longueur et un encorbellement d’une saillie supplémentaire de 4 pieds 3 pouces.
En outre 2 sols pour des pièces de bois et des planches posées sur le communal

Anderseitt desselben Allmendgäßlins hinden vonn Hanß Kipsen selligen Schewren widerumb herfür.
Johann Maler hatt an seinem Hauß oben Zweÿ Wettertach über einander Jedes xliiij schu lang, i+ schu herauß, dar zwischen ein vßgestoßen Kamin ii+ schu breÿt, xv Zoll herauß, vber einem Laden xiij schu lang iij schu herauß, bessert für das Niessen, xvij ß d.

Vornen beÿ der Herberg Zum Rappen.
Derselb Johann Maler hatt auch Vornen vß, wann mann Von dem Ochsengeßlin widerherauß vnd vmb das Eckh Hinumb nach dem Rappen zu gehen will, ane seinem Hauß ein Vsstoß xxiij schu lang, ij schu ix Zoll herauß, daran ein Wettertach In gleicher Lengen, vndt für den Vsstoß noch iiij schu iij Zoll weÿter herauß, bessert für das Niessen, viij ß d.

Er hatt auch das Allmendt vnder demselben Wettertach mit etlich altem holtz werckh vnd Dielen stuckhen verschlagen, darfür bessert Er ij ß d.

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 99
Le sellier Jean Jacques Faudel règle 1 livre 10 sols pour un terrain communal enclos de 85 pieds carrés devant sa maison près de l’auberge au Corbeau, pour la première fois en 1697
De même pour un auvent à la même maison (21 pieds 9 pouces de long, 10 pouces de large) qu’il a élargi de deux pouces, pour la première fois en 1713

Johann Jacob Fautel, der Sattler, Soll vom eingezäunter Allmend Zu Seiner beÿ der Gastherberg zum Raben gelegenen Behausung, 85. quadrat Schuh Groß Jahrs vff Michaelis und anno 1697. i.mo, 1 lb 10 ß
l. Prot. de 1696. fol: 54.b

(Quittungen, 1697-1712)
Ferner von einem 21. schuh 9 Zoll lang und 4. Schuh 10 Zoll breiten Wetterdach an dieser behausung, so Er umb Zween Schuh breiter machen laßen Jahrs vf Michaelis und l. Prot. de 1712. fol: 78. a° 1713. I.mo, 7 ß. 6 d.

(Quittungen, 1713-1741)
Neuzb fol 725-b

1741, Livre des loyers communaux,VII 1472 (1741-1802) f° 725-b
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant. Le deuxième cens devient caduc en 1768 après suppression de l’auvent. Les contribuables suivants sont Ange Marie Tagliaschi et Joachim Frédéric Lorentz

alzb. 99
Joh: Jacob Fautel der Sattler, solle vom eingezogenem Allmend Zu Seiner beÿ der Gastherberg zum Raben gelegenen behausung, auf Michaelis (id est 29. sept.) 1 lb 10 ß [in margine :] 8 vendemiaire
Ferner von einem 21. sch. 9 Zoll lang und 4. Sch. 10 Zoll breiten Wetterdach an dießer behaußung, so Er umb 2. sch. breiter machen laßen auf Michaelis, 7 ß 6 d
[in margine :] ist in mense Apr: 1768 hinweggemacht worden)

(Quittungen, 1741- an 10)
C 353.

jetzt Angelo Maria Tagliaschi
modo Joachim Friderich Lorentz Laut Kauffbrieff aus Löbl. Statt C. S. Stube de ato 10. Februarii 1776.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1696, Préposés au bâtiment (VII 1377)
Le sellier Jean Jacques Faudel demande le 28 mai l’autorisation de construire à l’aplomb du chenal qui borde son encorbellement et d’établir un pignon en pierre d’après l’ordonnance royale. Comme il a constaté lors des mesures qu’une fenêtre dans un mur commun avec l’auberge au Corbeau allait être occultée, il modifie sa requête en demandant de ne construire que jusqu’à cette fenêtre. Comme l’aubergiste perdrait une des deux fenêtres dans le vestibule du haut, les préposés estiment que le sellier doit agrandir à ses frais la fenêtre subsistante pour mieux éclairer le vestibule. Les préposés renvoient le pétitionnaire aux Quinze le 30 mai.
Après que les Quinze l’ont autorisé à enclore un terrain une demi-pierre au-delà de son encorbellement et que les chefs de chantier ont mesuré le terrain qui a une largeur de trois pieds vers l’auberge au Corbeau mais de quatre pieds deux pouces vers l’impasse du Bœuf, une longueur de 23 pieds 1 pouce sous l’encorbellement mais de 22 pieds 9 pouces vers la rue, c’est-à-dire en tout 85 pieds carrés, il a été décidé le 30 juillet que Faudel devra payer chaque année deux livres à la Saint-Michel, pour la première fois en 1697. Faudel demande une réduction et l’autorisation d’élargir l’auvent d’un demi-pied à l’aide d’une planche. La proposition est acceptée, le cens fixé à 1 livre 10 sols.

(f° 41) Montags den 28. Ejusd: [Maÿ] – Johann Jacob Faudel der Sattler, umb einzäunung des allmendts vor seiner behausung
Augenschein eingenommen an Johann Jacob Faudel des Sattlers behausung jenseiths der Schindbrucken neben der Gastherberg Zum Raaben, welcher umb erlaubnus angesucht mit seinem Hauß, welches einen überhang hatt, soweit alß sein tachtrauff gehet, auff das allmend herauß Zufahren, und daßelbe Vornen auff die gaß herauß, Königl. ordonnance nach, mit einem steinern gäbel Zuversehen, Alldieweilen Er aber beÿ dem abmeßen wahrgenommen, daß Er durch diesen baw dem Würth Zum Raaben ein fenster, welches Zwar in einer Zwischen Ihnen beeden gemeinen Mawr sich befindet, Verbawen würde, Hatt Er selbsten sein begehren geändert, und allein biß an daßelbe fenster Zubawen Verlangt, nach deme mann aber befunden, daß Er dem Würth dannach ein fenster von denen 2.en so sich in dem Obern Haußöhren befindet Zumauren Würde, alß hatt mann die gelegenheit des haußöhren besichtiget, da sich dann erbegen, daß es wohl sein könte, wann mann den Sattler obligiren thäte, das jenige fenster so bleiben würde gegen der straßen Zu in seinem Kosten Zu vergrößern und seine behausung umb etwas Zuerhöhen, wardurch dann das hauß öhren mehr liecht, alß es anietzo hatt bekommen würde. Erk. Bedacht.

(f° 43-v) Mittwochs den 30. Ejusd: – Johann Jacob Faudel der Sattler pt° einzäunung allmendts
Johann Jacob Faudel, der Sattler ist mit seinem beÿ jüngst gehaltenen augenschein an seiner behausung neben der Gastherberg Zum Raaben eröffnetem Verlangen an Unsere Herren die XV. gewiesen worden.

(f° 54-v) Montags den 30. Julÿ – Johann Jacob Faudel der Sattler wegen einzäunung des allmendts
Wegen eingenommenen augenscheins an Johann Jacob Faudels, des Sattlers, jenseith der Schindbrucken neben der Gastherberg Zum Raaben gelegenen behausung, ist auff beschehene erlaubnus der herren Fünff Zehen, daß derselbe umb einen halben stein weiter herauß, alß sein Überhang gehet, das allmend Zu seinem hauß einzaünen möge, und der Werckmeister erstattete relation, daß Sie beÿ genommener abmeßung befunden, daß dieses Allmend ane der Gastherberg Zum Raben dreÿ schuhe breit, Vornen an dem Ochßengäßel aber Vier schuhe Zween Zoll breit an Faudels behausung unter dem Überhang 23. schuhe 1 Zoll lang gegen der gaßen zu aber 22. schuhe und 9. Zoll lang, also in allem 85. quadrat schuhe groß seÿe, ist Erk. daß derselbe jährlich auff Michaelis und Anno 1697. Zum ersten mahl 2. lb d bodenzinß darvon bezahlen solle, Faudel bittet umb moderation, und umb erlaubnuß daß Er sein Wetterdach umb einer halben schuhe breiter machen laßen dörffe und Zwar nur mit einem diehlen, Erk. Willfahrt, und ist der jährliche Zinn auff 1. lib. 10. ß d. moderirt worden.

1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
Jean Jacques Faudel porte l’affaire devant les Quinze le 9 juin en demandant une décision rapide puisqu’il doit quitter la maison qu’il habitait à la Saint-Jean. Les préposés déclarent que non seulement deux fenêtres seraient privées de lumière mais que certains voisins protestent.
Les préposés au bâtiment exposent le 14 juillet que le sellier Jean Jacques Faudel a demandé d’agrandir son auvent mais que deux fenêtres de l’auberge au Corbeau seraient privées de lumière. Lors d’une nouvelle visite, on a constaté que la chambre du Prince et un couloir seraient obscurcis, le pétitionnaire a cependant fait remarquer que seule une fenêtre serait supprimée. On lui a proposé de se limiter à la largeur de l’auvent, soit trois pieds. Il a demandé réflexion puis proposé d’avancer d’un demi-pied. On a entendu les voisins, notamment Jean Georges Praunsmantel, en faisant remarquer que si sa proposition avait été telle dès le début, personne n’y aurait vu d’objection. L’affaire est renvoyée aux préposés au bâtiment pour fixer le cens à régler.

(f° 131) Sambstags den 9. Junÿ – Hannß Jacob Fautel pt° heraus Führung des überhangs an seinem hauß neben d. Raben
Hannß Jacob Fautel d. Burger Und Sattler alhier, per Künast, berichtet, daß er beÿ denen Oberen Bauherren Wegen Heraus Führung seines überhangs beÿ dem Raben sich gebührend maßen angemeldt, der augenschein hierüber auch eingezogen worden seÿe, Wohl ermeldte Herrn aber die sach nicht über sich nehmen wollen, sondern ihn Vor Mghh. fürwießen hätten, bitt undth. ihne jnn einem begehren gn. Zu Willfahren, auff dero relation sich mit mehrerm bezielend, Und bittet umb Füerderliche Urthel, Weilen er biß Johannis seine jetzmahlige behaußung quittiren muß.
Obere Bauherren berichten, daß die den augenschein eingenommen hätten, d. hauß neben dem Raben liege, Und Implorant gantz heraus Fahren wolle, darüber nicht nur d. Raben würt dem er 2. Fenster Verbauen würden sond.n auch die andere Nachbaren sich beschwehren.
Erk. Vor die Obere Bauherren, Umb die Nachbaren darüber hören Verwießen.

(f° 148) Sambstags den 14. Julÿ – Hannß Jacob Fautel pt° heraus Führung eines überhangs
Obere Bauherren laßen per Herrn Schragen referiren, daß jüngst Von Ihne proponirt worden, Wie daß Hanns Jacob Fautel, d. Sattler, beÿ Ihnen Umb erlaubnus, den überhang An seinem An dem Würthshauß Zum Raben gelegenen hauß Weiter heraus Zu führen angesucht, Sie es aber vor bedencklich angesehen hätten, Weilen dadurch gedachtem Würthshauß Zum Raben Zweÿ tagliechter weg Kommen weren, Under sich darüber Zu beklagen groß Ursach gehabt hätte, Nach deme er aber de novo vber Sie gemeßen worden, so habe mann den Augenschein Nochmahlen eingenommen, und erfunden, daß auff dieße weiß, Wie Fautel es verlangt, nicht zu gratificiren seÿn würde, Angesehen durch dieße Zweÿ Fenster d. licht jnn die so genandte Fürsten Stub fallet, Und wann sie Verbaut würden, der tag dießer Stuben so wohl, als auch einem Gänglein gäntzlich benommen werden würde, darauff Implorant eine bemerckung gemacht, Krafft welcher Nur ein Fenster weg Käme, Weilen aber solches dem Nachbaahren Nicht wohl Zu Zumuthen, so habe mann ihme Zugesprochen, daß er sich mit deme, soweit sein überhang heraus gehet, Und so dreÿ schuh breit ist, contentiren solte, welches er Zu bedacht gezogen, Und, da er sich nach der hand Wider angemeldt, habe er beditten, daß er dabeÿ laßen wolte, jedoch wann d. Maurer etwann Umb einen halben schuh weiter heraus Führte, solches verhoffentlich Nicht übel wüerde geditten werden. Allein habe man Auch vor Nöthig ermeßen, die Nachbaren, in specie H Johann Georg Praunßmandel, darüber Zu hören, d. Vermeldt, daß wann Fautel anfangs mehr nicht begehrt hätte, die Nachbarschafft sich Nicht opponirt haben würde. Dießem Nach Zu Mghh. stünde, Ob Sie die hienausführung der Überhangs erzehlter maßen genehm halten, Und Wegen reglirung des Zinnßes Von Boden und Wettertächin Auff den Pfenningth: dahin es eigentlich gehört, Verweißen solle. Erk. beliebt.

1697, Préposés au bâtiment (VII 1377)
Jean Jacques Faudel demande l’autorisation de poser une dalle sur la rigole qui part du corps de garde pour qu’il soit plus facile d’arriver à sa maison depuis le pont du Corbeau par mauvais temps. Il y est autorisé après visite des lieux, à condition de rehausser à ses frais le pavé de chaque côté.

(f° 16-v) Donnerstags den 28. Martÿ 1697. – Johann Jacob Faudel der Sattler
Augenschein eingenommen jenseith der Schindbrucken, alwo Johann Jacob Faudel der Sattler einen breiten stein über die Von der alda stehenden Corps de Garde herab fließenden Waßerruntz, damit mann von der Schindtbrucken Zu seinem neben der Gastherberg Zum Raben ligendem Hauß beÿ üblem Wetter desto bequemer gehen könne, legen und an beeden enden das pflaster erhöhen Zulaßen angehalten. Erk. Bedacht.

(f° 18) Montags den 1. Aprilis 1697. – Wegen eingenommenen augenscheins jenseith der Schindbrucken gegen Johann Jacob Faudels, des Sattlers, behausung über ist Erk. Würt demselben einen breiten stein über die Waßerrinne auff seinen Kosten legen Zulaßen, erlaubt, jedoch mit dem bedig, daß Er das pflaster auff beeden seithen erhöhen laßen solle.

1712, Préposés au bâtiment (VII 1385)
Le sellier Jean Jacques Faudel demande l’autorisation d’élargir de deux pieds l’auvent (21 pieds 9 pouces de long, 4 pieds 10 pouces de large) de sa maison entre l’auberge du Corbeau et la ruelle des Bœufs. Il y est autorisé moyennant un cens annuel de 10 sols, ramené à 7 sols 6 deniers.

(f° 78) Dienstags den 6. Ejusd. (7.bris) – Johann Jacob Fautel pt° eines Wetterdachs
Johann Jacob Fautel, der Sattler, hatt ein Wetterdach an seiner am Ochßengäßlein beÿm Würthshauß Zum Raben ligenden Eck behaußung, welches 21. schuhe 9. Zoll lang und Vier schuhe 10. Zoll breit ist, und Er umb 2. schuhe breiter machen Zulaßen willens ist, bittet undth: umb deßen gnd. Willfahrung.
Erk. Willfahrt gegen jährlicher erlag 10. ß d Allmend Zinnßes, mod. à 7 ß 6 d.

1741, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Le sellier Jean Jacques Sattler est autorisé à réparer son auvent endommagé devant sa maison, sans en modifier la largeur ni la longueur.

(f° 155) Dienstags den 24 Ejusdem [Octobris 1741] – Johann Jacob Sattler
Johann Jacob Sattler der sattler neben dem Raaben jenseiths der Schindbruck bittet um erlaubnus sein schadhafftes Wetterdach Vor seinem Hauß allda repariren Zulaßen. Erkant in Nemlicher Länge und Breite Willfahrt deßwegen das Meß durch Herrn Lohner und Werckmeister genommen werden solle.

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, atelier, cave voûtée, bâtiment arrière où se trouvent deux poêles, chambres, écurie, petite cour, puits commun, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3 300 florins
  • 1769 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, une arrière-boutique, plusieurs poêles, chambres et cuisines, les combles sont couverts de tuiles plates, la cave est voûtée, le puits commun, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 7 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 12 / 58
Feyl
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 206 case 2

Reichard Louis perruquier, près du Corbeau N° 58

O 738, maison, sol, quai des bateliers 58
Contenance : 1,70
Revenu total : 126,89 (126 et 0,89)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 37 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 890 case 1

Richard, Louis, Perruquier
1885/86 Reichard Ludwig zu ¾, 2. Leopold Ludwig Karl zu ¼
1889/90 Reichard 1. Ludwig, 2. Leopold Ludwig Karl, 3. Pfender Elisabeth
97/98 Wurm Ludwig Karl, minderjährig

O 738, maison, sol, Place du Corbeau 1
Contenance : 1,70
Revenu total : 126,89 (126 et 0,89)
Folio de provenance : (206)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 28 f° 206 case 9

Parcelle, section 17, n° 115 – autrefois O 738
Canton : Rabenplatz N° 1 / Place du Corbeau
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,58
Revenu : 1500 – 2280 – 3100
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1947), compte 1364
Wurm Ludwig und Wurm Ludw. Karl S. v. Ludw.
1931 Wurm Louis mécanicien pour la moitié et copropriétaires
1933 Scheben Aloise directeur d’école et son épouse née Rietsch
1938 Engelmann Albert Paul Fernand et son épouse
1945 Sexauer Eugène Alfred u. Sexauer Eugen, Ehefrau

(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6294
Sexauer Eugène Alfred commerçant et son épouse

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers p. 506

58
Pr. Lorentz, Joachim Fred. – Tanneurs
loc. Baller, Frédéric Christophe – Miroir
[ajout] loc. Kraft, Daniel, orfèvre
loc. Heckel, Jacques – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Rabenplatz (Seite 134)

(Haus Nr.) 1
Kramer, Chem. Waschanstalt. 0
Wurm, Telegraphist. E 1
Höfling, Kaufmann. 2
Bartels, Reisender. 3
Schramm, Zuschneider. H 1
Marchal, Schriftsetzer. H 2
Herzog, Tagner. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 680 W 160)

Place du Corbeau (dossier I, 1886-1982)

La direction de l’octroi demande en 1888 si le bâtiment devant la maison appartient au propriétaire de la maison n° 1. Le maire répond en transmettant les décisions du conseil municipal (19 septembre 1807) et des préposés au bâtiment (30 juillet 1696). Louis Wurm charge en 1902 les entrepreneurs Kaag et Mohler d’aménager le magasin et de poser une devanture munie de volets roulants. Les bombardements aériens des 11 août et 16 septembre 1944 endommagent le bâtiment. En 1948, Eugène Sexauer fait aménager deux logements, réparer le magasin et les façades endommagées par les bombardements sous la direction de l’architecte Joseph Schwab. La Police du Bâtiment demande que le cintre au-dessus des devantures soit abaissé et que les ouvertures aient un profil qui rappelle les encadrements des fenêtres au premier étage. Les pans de bois sont dégagés. Un riverain fait remarquer que le nouveau revêtement en pierre a été avancé de quinze centimètres, ce qui rend plus difficile l’accès à la ruelle du Corbeau. Le nouvel alignement de l’impasse du Corbeau qui remplace celui de 1854 est approuvé par le préfet le 3 mai 1966.
Commerces. 1895, coiffeur Hopp – 1899, Adolphe Gostl, enseigne du Soldat viennois (zum Wiener Landwehrmann) – 1902, teinturerie Kramer – 1911, frères Müller (magasin de régime la Fontaine de Jouvence) – 1912, horloger Ernest Clad – 1917, café Max Irmscher – 1930, atelier du tailleur A. Rzepkowitz – papiers peints Eugène Hochstetter (1938) puis Charles Gilenmann (1940) – 1949, épicerie Eugène Sexauer – 1951, Comptoir du chauffage (poêles, cuisinières, articles de ménage – 1964-1981, société Maman et Bébé – 1982, débit de boissons Philippe Egensperger (Le Valentino)

Sommaire
  • 1886 (mai) – Le maire demande au rentier Charles Reichart de faire ravaler la façade du 1, place du Corbeau.
    1779 (juillet) – Courrier du commissaire de police. L’entrepreneur E. Widman demande l’autorisation de ravaler la façade – La façade a été en partie crépie et peinte, août 1886
  • 1888 – La direction de l’octroi demande si le bâtiment devant le n° 1 appartient au propriétaire de la maison n° 1. Le maire joint un extrait de la décision du maire en date du 3 juin 1813 qui fait état d’une décision du conseil municipal le 19 septembre 1807 et des préposés au bâtiment le 30 juillet 1696. Il en résulte que le sol devant la maison appartient à la Ville. Le propriétaire a racheté en 1813 la rente communale établie le 30 juillet 1696 au profit de Jean Jacques Händel pour un bâtiment sous l’encorbellement et le droit d’enclore un terrain sur une demi-pierre devant l’avance. L’appui du mur est toujours visible sur la façade.
    Croquis (plan et élévation), surface (a-b-c) que revendique le propriétaire, (x) marque l’appui du mur devant le rez-de-chaussée.
  • 1892 – Le maître maçon Louis Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Mertz l’autorisation de ravaler la façade d’après l’injonction de la Commission d’assainissement – Autorisation
  • 1893 (mai) – Le maire demande au propriétaire Emile Metz (demeurant 2, place du Corbeau) de ravaler la façade du 1, place du Corbeau vers la place et dans la ruelle. L’horloger Emile Metz demande un an de délai
    1894 (avril) – L’entrepreneur demande au commissaire de police l’autorisation de ravaler la façade de feu le sieur Reichard. Au dos, accord de l’ingénieur départemental, à condition que la route nationale N° 2 ne soit pas encombrée – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1894.
  • 1895 – La Police du Bâtiment constate que le coiffeur Hopp a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation. – Demande accompagnée d’un croquis (l’enseigne se trouve à l’angle de la place et de la ruelle) – Autorisation
  • 1898 (mai) – Le maire demande à Louis Wurm et à Emile Metz de ravaler la façade du 1, place du Corbeau vers la place et dans la ruelle. Le maire leur accorde un an de délai en faisant observer que le crépi se détache. – Travaux terminés, juillet 1899.
  • 1899 – Adolphe Gostl, à l’enseigne du Soldat viennois (zum Wiener Landwehrmann) demande l’autorisation de poser une enseigne en toile, une enseigne plate en bois et d’exposer des vêtements – Autorisation de poser deux enseignes plates, en toile et en bois – Les enseignes sont posées, août 1899.
  • 1895 – Le maire notifie le mécanicien Wurm de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, et deux trappes dans la cour. – Rappel, juillet 1898 – Les volets ont été modifies mais pas les trappes, mai 1899. Les trappes sont modifiées, octobre 1900.
  • 1902 (janvier) – Les entrepreneurs Kaag et Mohler demandent au maire l’autorisation de faire des transformations et d’aménager le magasin. La Police du Bâtiment leur communique les conditions à respecter. – Autorisation de poser une devanture à la maison de Louis Wurm, sise 1, place du Corbeau. – Dessins
    Les fondations sont posées (janvier). Les ouvertures pour poser les devantures sont faites (février). Les plâtriers ont terminé leur travail (avril). Les menuisiers travaillent (juin). Travaux terminés (juillet)
    Taxes réglées pour 4 piliers, 5 ouvertures, 1 porte, 1 fermeture de magasin, 2 soupiraux)
    1902 (juillet) – Le maître menuisier E. Hagenstein (8, rue de l’Echasse) demande l’autorisation de poser deux stores (volets roulants) de cinq mètres de long pour la teinturerie Kramer. – Autorisation – Travaux terminés, juillet
  • 1902 (février) – Les entrepreneurs Kaag et Mohler (17, rue des Bouchers) demandent au commissaire de police l’autorisation d’occuper le trottoir devant la maison Wurm selon le croquis joint pour y faire des transformations. Le commissaire transmet au maire – Autorisation – Prolongation – Le communal n’est plus occupé, mars – Dessus (31 décembre 1901)
    1902 (avril) – Les mêmes demandent l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, avril 1902.
  • 1902 (mai) – La fabrique strasbourgeoise de parquets (Straßburger Parquetfabrik, à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant le 1, place du Corbeau – Autorisation de poser le chaudron et d’entreposer des matériaux devant le 1, place du Corbeau.
  • 1902 (mai) – Le peintre Charles Fuchs (1, quai des Bateliers) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage devant le 1, place du Corbeau. Le commissaire de police transmet au maire. – Autorisation – Le communal n’est plus occupé, juin 1902.
  • 1902 – La Police du Bâtiment constate que le teinturier Kramer a posé sans autorisation deux enseignes plates. – Louis Kramer dépose une demande – Autorisation
  • 1908 – C. Fuchs (17, rue des Couples) demande l’autorisation de poser un échafaudage vers la ruelle au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Le communal n’est plus occupé
  • Commission contre les logements insalubres. 1905, remarque sur les latrines et les fourneaux dans le bâtiment arrière
    1907. Louis Wurm fait part que le logement loué trois ans auparavant est devenu trop petit depuis que deux enfants sont nés et que la commission estime qu’une seule personne doit l’occuper.
    1909. Rapport de visite qui constate qu’une partie de la maison est sombre et humide
    1915. Commission des logements militaires. Remarques en 5 points. – Travaux terminés, octobre 1915.
  • 1911 – La Police du Bâtiment constate que les frères Müller (magasin de régime la Fontaine de Jouvence) ont posé sans autorisation deux enseignes plates et deux volets roulants. – Charles Auguste Heynen, propriétaire de l’enseigne, dépose une demande – Autorisation de poser quatre enseignes plates. Les volets roulants ont seulement été modifiés. Droits réglés pour quatre enseignes plates et deux volets roulants. Les droits pour les volets roulants sont annulés en 1912.
  • 1912 – L’horloger Ernest Clad demande l’autorisation de poser deux enseignes plates et une enseigne perpendiculaire (horloge) au-dessus de la porte – Autorisation
  • 1914 – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur H. Mohler (9, Heyritz au Neudorf) a posé un échafaudage sans autorisation. L’entrepreneur répond qu’à sa connaissance c’est Charles Fuchs (rue des Couples) qui fait les travaux. – Le maître peintre Fuchs demande l’autorisation au commissaire de police qui transmet au maire. Accord. Prolongation – Le communal n’est plus occupé, juillet 1914
  • 1913 – La Police du Bâtiment constate que la façade du 1, impasse du Corbeau qui appartient au sieur Schneider est très sale. Après s’être informée sur place, la Police du Bâtiment déclare que la maison forme le bâtiment arrière du 1, place du Corbeau – Croquis – La partie qui appartient au Petit Pêcheur a été ravalée, juillet
    1914 (juillet) – Le maire notifie le propriétaire Wurm de ravaler la façade le long de la ruelle sous peine de poursuites.
  • 1917 – La Division II transmet la demande de Max Irmscher d’exploiter un café au 1, place du Corbeau. Rapport, le local a seulement 3,35 m de haut au lieu de 3,50, conditions à respecter
  • 1923 – Charles Fuchs (17, rue des Couples) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qu transmet au maire. Accord
    535
    1927 – Le commissaire de police informe le maire que l’agent d’affaires Guillaume Penning (1, place du Corbeau) n’a pas fait réparer la cheminée défectueuse au 7, rue du Ziegelfeld malgré les injonctions.
  • 1930 – Le tailleur A. Rzepkowitz informe la Police du Bâtiment qu’il a transféré son atelier et ses deux enseignes du 7, rue de la Grange au 1, place du Corbeau.
  • 1937 – L’entreprise Maulbecker Frères demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour démonter puis remonter une enseigne. – Autorisation
  • 1938 – Suite à la demande du docteur Fernand Engelmann (64, route d’Altenheim) qui a acheté la maison, la Police du Bâtiment répond au service d’arpentage qu’elle ne connaît pas de servitude concernant le 1, place du Corbeau, frappé d’alignement d’après l’arrêté préfectoral du 11 mars 1854.
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate qu’Eugène Hochstetter (papiers peints) a posé une enseigne sans autorisation – Demande – Autorisation de poser une enseigne et un caisson de volet roulant devant l’alignement légal.
  • 1940 – Le peintre Albert Kehr (22, rue de Sélestat au Neudorf) demande l’autorisation de modifier l’inscription sur la devanture de Charles Gilenmann (tapisseries et toilés cirées) – Accord – Travaux terminés, novembre – Dessin
    1942 (août) – Le peintre Albert Kehr demande au nom de la société Eugène Hochstetter (successeur Charles Gilgenmann) l’autorisation de peindre deux encadrements (fenêtre et devanture). Le travail sera fait par Oscar Weber (rue des Lis au Neudorf) – Travaux terminés, novembre 1942
    1942 (septembre) – Charles Gilgenmann informe la Police du Bâtiment qu’il a démonté les deux volets roulants.
  • 1946 – Le bombardement aérien du 11 août 1944 endommage le bâtiment. Certificat de sinistre délivré à Jean Æschelmann, à Emma Bondarballa, en 1948 ) Charles Gilgenmann pour ses locaux commerciaux
  • 1946 – L’entreprise Maechling-Franck (route de la Wantzenau à la Robertsau) est autorisée à déposer des matériaux devant la pharmacie du Corbeau (G. Lutz)
  • 1947 – Jean Æschelmann (Brasserie restaurateur au Canon) demande à être exempté de payer la taxe sur les volets roulants. Le caisson est encore en place, le démontage n’a pas été déclaré à temps.
  • 1948 – Paul Arioli (9, rue de Stosswihr au Neudorf) est autorisé à occuper la voie publique devant le 1, place du Corbeau. Deux prolongations
  • 1948 – Fernand Letz, demeurant 7, rue Klein, se plaint des fumées qui s’échappent de la cheminée des frères Ott (1 [sic], place du Corbeau). Le courrier est signé par plusieurs habitants de la rue – La Police du Bâtiment qui se réfère à des contrôles n’a jamais constaté que les fumées soient gênantes.
  • 1948 (janvier) – Eugène Sexauer (demeurant 11, rue du Maroquin) et le Service municipal d’architecture demandent, avec l’autorisation préalable du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, l’autorisation d’aménager un logement d’une pièce et cuisine au premier étage et un logement de trois pièces et cuisine réparties aux deuxième et troisième étages au 1, place du Corbeau (section 17 parcelle 115) – Autorisation (section 31 n° 25) – Travaux terminés, octobre 1948 – Devis (29 janvier 1948) – Dessins (élévations vers la place, vers la ruelle, plans des étages, coupe) – Certificat de conformité, avril 1949
  • 1946 – Eugène Sexauer (demeurant 4, rue Strauss-Durckheim) demande l’autorisation d’exploiter le restaurant Cigogne d’Alsace au 1, place du Corbeau (transfert du 33-35, rue des Jardins) – La Police du Bâtiment fait remarquer qu’il faut transformer le magasin en salle de débit – Dessin
    1947 (décembre) – Réfection du bâtiment sinistré
    1948 (octobre) – L’aménagement est presque terminé
    1948 (janvier) – Eugène Sexauer demande l’autorisation de réparer le magasin et les façades endommagées par le bombardement du 16 septembre 1944 sous la direction de l’architecte Joseph Schwab (3, rue Saint-Maurice), Entrepreneur, Barthelmebs Frères.
    La Division VI fait remarquer que le bâtiment dépasse de 2,20 m l’alignement légal de l’impasse et qu’il est à trois mètres en arrière de l’alignement légal de la place. Le cintre au-dessus des devantures devra être abaissé, les ouvertures devront avoir un profil qui rappelle les encadrements des fenêtres au premier étage. Les pans de bois ne devront pas être apparents pour des raisons esthétiques.
    L’architecte transmet les plans rectifiés avec l’accord du Service d’Architecture qui approuve la mise à nu du pan de bois.
    1948 (février) – Eugène Sexauer et l’architecte Joseph Schwab sont autorisés à mettre en état et à transformer les façades sinistrées (arrêté portant permis de construire)
    Suivi des travaux. Le rez-de-chaussée est revêtu en pierre de taille, mai 1948. Le gros œuvre du rez-de-chaussée est terminé, les travaux continuent aux étages, juin. Travaux terminés, juillet
    1948 (septembre) – Eugène Sexauer et l’architecte Joseph Schwab sont autorisés, avec l’autorisation préalable du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, à remettre en état le magasin (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, décembre 1948
  • 1948 (août) – Albert Weber, propriétaire de l’immeuble sis 11, rue d’Austerlitz fait remarquer que le nouveau revêtement en pierre au 1, place du Corbeau a été avancé de 15 centimètres, ce qui rend plus difficile l’accès à la ruelle du Corbeau qu’il empruntait pour garer sa remorque et sa moto. – La Division VI déclare que l’entrée de l’impasse est plus étroite de 13 centimètres. – Le maire demande à l’architecte Joseph Schwab de trouver un accord avec Albert Weber.
  • 1949 – Eugène Sexauer demande l’autorisation de mettre des inscriptions sur les devantures (Produits comestibles Sexauer – Poissons, Gibier – Volailles, Conserves) – Autorisation
    1950 – Eugène Sexauer demande l’autorisation de poser une inscription (Comestibles) en lettres métalliques entre le premier et le deuxième étage – Maquette – Autorisation
    1950 (décembre) – Eugène Sexauer demande l’autorisation d’éclairer la façade pour les fêtes en posant des ampoules électriques au-dessus des devantures – Autorisation
  • 1951 (avril) – Le Comptoir du chauffage (poêles, cuisinières, articles de ménage, anciennement 148, Grand rue, baraque commerciale qui sera démolie) demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques et une enseigne perpendiculaire. – Croquis – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour l’enseigne perpendiculaire – Autorisation pour l’enseigne plate
    1951 (juin) – Le Comptoir du chauffage prend à son compte le store qui appartenait à Eugène Sexauer.
    1954 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
    1957 – La Police du Bâtiment constate que la maison Lemorain (Comptoir du chauffage) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – L’enseigne est retirée, janvier 1958
    1958 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation – Photographies
    1958 – La Société d’Achat et de Vente d’Appareils Ménagers (S.A.V.A.M.) et la société Pain demandent l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses (Pain) sur la façade du Comptoir du chauffage – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable en mars puis un avis favorable en avril pour un nouveau projet – Autorisation – Les enseignes sont posées (décembre 1958)
    1959 – Le Comptoir du chauffage demande l’autorisation de déplacer l’enseigne en lettres détachées entre le premier et le deuxième étage au-dessus des devantures – Accord
    1960 – Le Comptoir du chauffage retire le store.
  • 1962 – Rapport d’intervention des pompiers (accumulation de fumée)
  • 1964 – L’ingénieur Francis Reichel demande au nom de la société Maman et Bébé (3, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) l’autorisation de poser deux enseignes au néon en lettres détachées – Autorisation – Les enseignes sont posées, juillet 1965
    1965 – La société Maman et Bébé (Materna) demande l’autorisation de transformer le magasin – Plan cadastral de situation – Francis Reichel expose les travaux à faire – Elévations – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable.
    La Division I souhaite que le propriétaire s’engage à ne pas demander de plus-value qui résulterait des travaux si la Ville réalisait l’alignement de la ruelle selon les plans de 1854. L’avocat Robert Weil demande au nom de la société Maman et Bébé si les projets d’alignement ont été portés à la connaissance des précédents locataires et si la Ville entend empêcher toute remise en état. Le propriétaire F. G. Leininger (23, rue de la Croix à Eckbolsheim) signe l’engagement tout en émettant un avis critique sur l’alignement en question. La Division VI (G. Laforgue, directeur général des Services techniques) propose de modifier l’alignement une fois les travaux terminés. – Les travaux sont terminés, octobre 1965.
    1966 (avril) – Arrêté portant permis de construire, délivré après la fin des travaux, autorisant la société Maman et Bébé à transformer le magasin. Le nouvel alignement de l’impasse du Corbeau est approuvé par le préfet le 3 mai 1966.
  • 1981 – La société Maman et Bébé informe la Police du Bâtiment qu’elle a cédé son bail à compter du premier janvier 1982.
  • 1982 – Le préfet informe le maire que Philippe Egensperger (demeurant 5, rue Neuve à Haguenau) demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de cinquième catégorie Le Valentino au 1, place du Corbeau.
    Philippe Egensperger demande l’autorisation de poser trois enseignes lumineuses – Photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation

Autres dossiers
924 W 644 – volume II, habitation, restaurant (photographies), 1982-1997
1601 W 219 – (ADS-IM-482 97 V 0003), 1997-2004
1331 W 862 – Peinture des menuiseries (dt 482 00 V 0846), 2000-2001
1687 W 233 – (ADS-IM-482 04 V 0032), 2004-2011
1689 W 310 – Remplacement toile de store (ADS-PC-482 12 V 0336), 2012-2013


Relevé d’actes

Le secrétaire Georges Hœfflin vend deux bâtiments séparés par une cour au peintre Michel Buisson, originaire de Troyes, et à sa femme Claudie moyennant 650 livres.

1586 (10. octob), Chancellerie, vol. 242-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 106
Kauff Michel Buisson des Malers von Troy
(Extendirt In vol. Contract Aô 86) Erschienen Georg Höflin der gulden schreiber burg. alhier vnd hatt freÿwillig bekand vnd verjehen daß er (verkauffte)
Michel Buisson dem Maler von Troÿ Jezo einwohner Zu Straßburg der dann Zugeg. solche bekandtnus Annehme Ihme vnd Claudie seiner haußfrawen vnd Ir beeder Erb.
Zwo behausung. vorder und ein hinderhauß sampt einem hoflin darzwisch. mitt aller derselb. weith. Zugehörd. & gelegen alhie In der Statt Straßburg Jhensit der Schindbruck. neben der Herberg Zum Rapp. ein vnd anderseit ein Eckhauß am Trommengäßlin hünden vff Claus Wammeßon des Kuttlers selig. Erben, so allerdings Zinßfreÿ ledig vnd eig. & vnd alles Recht & Bekandt das der Kauff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 1300 guld. Straßburg. wehrung
Act. Montag den 10.t octob. Aô 86.

Originaire de Troyes, Michel Buisson acquiert le droit de bourgeoisie en 1589

1589, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 497
Michel Bÿson von Troÿ der Maler Hatt mit beÿstandt Herrn Johann Zimmeren des Burckrecht Kaufft, vnd will Zum Spiegel vnd Zur Steltz dienen. Actum 30. Decembris A° 88

Il fait baptiser des enfants à Strasbourg depuis 1574.
Baptême, cathédrale (luth. f° 20) 1574 Suntag den 21. Nouembr. P. Michel Brüson der Möeller von Troÿ. M. Claudia, I. (-) Compat. h. Isaac Weicker Rathsg. Zum Spiegel, Jungfr. Sara, Mart. Deublus* Passament docht. Maria Arnoldt Cassan * in Spiesgas fraw (i 22)
Baptême, cathédrale (luth. f° 60-v) 1577. Sontag den 15. Dec. P. Michel Büsson. M. Claudia, I. Sara Compat. Petrus Robertus studiosus Juris, Maria (-) Brandscheit uxor, Susanna Petri Julÿ uxor (i 63)

Claudine Blanpignon (Plantin et formes voisines) est d’après les actes suivants mère de Pierre Buisson, belle-mère de Pierre Dubin, de Paul Guyonet et d’Isaac von Thur et en outre de Joseph Buisson d’après les registres des Quinze
1602 (xiij Januarÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 25
haben in gegensein Frawen Claudina Plantinin wÿland herrn Michel Bÿsons burgers vnd gewerbßmans alhie selig Witwe Mit beÿstand herr Peter Bysons Ihres lieben Sohns Vnd Pauli Gionet burger Zu pfaltzburg des handelßmann Ires dochtermans – schuldig seyen 1000 guldin Zu 15 batzen
[in margine :] Erschienen herr Peter Dubyn vnd herr Paulus Gionet beÿder alls dochtermänner wÿland Frawen Claudia Plantinin der Schuldbekennerin (…) vff den Eilfften Junÿ A 615

1606 (xxv tag Octobris), Chancellerie, vol. 366 (Registranda Meyger) f° 299-v
(P. fol. 209.) Erschienen h Isaac vonn Thur d. handelßmann burger Zu Straßburg vnnd Sara Buisson sein eheliche haußfrauw haben (verkaufft)
Fr. Claudinen Blanpignon weÿland Michel Buisson selig. witwe Ihr d. verkäufferin Mutter, (…)

Claudine Blanpignon veuve de Michel Buisson vend la maison au tailleur Nicolas Repperlé moyennant 770 livres

1604 (1. 7.bris), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 260-v
Erschienen Frauw Claudia Blambengin weÿland Herrn Michell Byson seligen witwe Hatt mit beÿstandt herrn Martin Reinolts gewerbßmans Ires geschwornenn Vogts Verkaufft vnd Zu Kauffen geben
Niclaus Repperle Schneid. burg. alhie Ime allen seinen Erben
Zweÿ heüßer ein Vorders vnd hinders mit Iren hoffstetten vnd hofflin darzwüschen auch allen and. Iren gebeuw geleg. In d. St. St. Jhenseit d. Schindbrucken neben d. herrbergen Zum Rappen Vnd and.seit ein Eck Ane Tromengäßlin, stoßt hind. vff Samuel Gionet fed.bereÿter, dauon gondt 40 guldin St. W. ablosig mit 800 guldin bemelt werung vff s Michels tag fallend, Georg Höfflin Rechen meystern sunst ledig eig. Vnd alles Recht, Vnd beschiht d. Khauff vber die beschwerd. vmb 700 guldin Zu fünffzehen batzen
Herbeÿ geweß herr Peter Byson gewerbßman d. v.keufferin sohn, Lorentz Clein schneid.
(d. khauff für ledig eig. v. 1540. fl. Zu xv batz. beschwer. 800 fl. St. w. besserung 700 fl Zu xv batz)

Originaire de la Petite-Pierre, Nicolas Repperlé épouse en 1600 Charité, fille du tisserand Pierre Feistlinger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 131, n° 338)
1600. Dominic. Reminiscere 14. Feb. Niclauß Repperle von Lützelstein d. schneÿd. vndt Charitas, Peter Feistlinger der sergenwebers alhier tochter. Eingesegnet Montag 15. Februarÿ (i 132)

Nicolas Repperlé devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1600, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 779
Niclauß Repperle, v. Lützelstein d. Schneid., empfangt d. Burg. von Caritas Peter Feütlingers dochter seiner ehelich. Haußfrauwen, vnd will Zu den Schneidern diehnen, Act. den 6. Martÿ 1600.

Sa fille Marguerite épouse en 1627 Jean Kamm le jeune
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 147, n° 2)
1627. Dom. II Epiph. i. vice, Dom: 3 post Epiph. Zu S Claus) Hanß Kamm der Jünger, Herr Hanß Kamm des ältern vnd gastgebern Zum Hirtzen Ehelicher Sohn, Vnd Jnfr. Margred Räpperlin, Weiland Niclaus Räpperlin des schneiders hinderlaßene Eheliche tochter

Marguerite Repperlé et Jean Kamm vendent la maison au sellier Valentin Schneider et à sa femme Ursule Bliemel moyennant 1 250 livres

1627 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 523-v
(P. fol. 150.) Erschienen Margredt Repperlin mit beÿstandt hannß Khammen Ihres Jetzigen haußwirdts Vnd Simon Keller Schneÿders Auch burger Alhie (verkaufft)
Veltin Schneÿder dem Sattler Auch burg. Alhie und Ursula Bliemlin seiner ehewirtin
hauß hoffstatt Vnd höfflin sampt der gerechtigkeit des gemeinen brunnens, Auch Allen Iren gebeüwen geleg. Inn d. St. St. Jenseit der Schindbrucken einseit neben herrberg zum Rappen, And. seit ein eck Am Trummen gäßell hinden vff Paulus Gionet den federschmuck. stoßend für freÿ, ledig, eÿgen, Vnd ist dißer Khauff Zugangen für vnd vmb 1250 Pfund

Originaire de Poppenlauer en Franconie, Valentin Schneider épouse en 1618 Ursule, fille du blanchisseur Barthelémy Blümlin
Mariage, Robertsau (luth. n° 138)
1618. Dom. 7 et 8. Trinit haben sich bei Uns in Rup. aw außruff. laß. mit Namen Valentinus Schneider der Satler, bürtig Von Poppenlawer auß Francken, Vnd Ursula Blümlerin Barthel Blümlins des Bleichers ehlige tochter (i 124)

Valentin Schneider devient bourgeois par sa femme en août 1618.
1618, 4° Livre de bourgeoisie p. 2
Veltin Schneider der Sattler Von Poppenlaur In Franckh. Empfangt d. Burg.recht Von Ursula Barthel Blümle deß Bleichers In Ruprechtsauw Tochter vnd Will Zu den Gerbern dienen Actum den 5. August. Aô 1618.

Valentin Schneider se remarie en 1634 avec Barbe Keller, fille du sellier de l’hôpital Jacques Keller : contrat de mariage, célébration
1634 (17. Julÿ), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14), Protocollum (n° 1425) f° 14-v
Eheberedung Copeÿ Zwischen Veltin Schneidern, dem Sattler vndt Burgern allhier vndt Jungfrawen Barbara Kellerin, Jacob Kellers deß Spithal Sattlers Burgers allhier zu Straßburg ehelich. dochter
Zwischen den Ehrenhafften H. Veltin Schneider, Sattlern v. Burgern allhier zu Straßburg ane einem
v. d. Ehren v. tugendsame Jungfr. Barbara Kellerin, deß auch Ehrenhafften H Jacob Kellers, Spithal Sattlers vndt Burgers allhier zu Straßburg Eheleiblichen dochter, am andern Theil
in beÿsein (…) auff Ihr d. Jungfr Hochzeiterin seithen (…) Samuel Keßelmeÿers Sattlers, Ihres geschwornen Vogts
So beschehen vff Donnerstagß den 17. Julÿ, Anno 1634, Geörg Jeger Nots.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 178, n° 25)
1634. Dominica 8 post Trin. 27. Julÿ I vice, Veltin Schneider der Sattler, Und Jfr. Barbara Jacob Keller des Sattlers Und burgers alhie eheliche Tochter (i 185)

Acte dans lequel le boucher Jean Kamm agit pour sa femme Marguerite Repperlé, héritière de son grand-père Pierre Fischlinger
1631 (6. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 347-v
Erschienen Hanß Kamm d. Metzger burg. Zu Str. Alß Ehevogt Margretha Repperlerin
hatt in gegensein herrn Johann Georg Marbachen Alten groß. Rhats Verwanthen bekannt
daß Er Zur bezahlung der L. lb d so er vff seiner behausung ihme herrn Marbachen schuldig, in solutum cedirt vnd vbergeben zween Sÿbende theil darunder den einen sibenden theil sein cedenten haußfraw von ihrem großvater H Peter Fischlinger see: ererbt, vnd den andern sÿbenden theil Er Kamm von H Georg Bawmeister dem Buchtrucker von Speÿr, Alß deßen haußfraw Catharina Fischlingerin auch von obgenantem H Peter Fischlingern ihrem Vater s: erblich bekommen, crafft einer vnder sein Bawmeisters eigener handt und vffgetruckhtem pitschafft gefertigten Vrkundt datirt den 5. diß. an sich gebracht, An 464. fl. 2 ß 4 d reducirt hauptgut (…) daran die vberigen 5 sÿbendetheil obgenannten H. Peter Fischligers s. andern Erben alß seinen Kindern vnd Enckel, so mehrern theils außländisch, zustendig
(vide etiam Regist. de A° 1632. fol. 402.)

1660, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13)
Protocollum Testamentum nuncupativum 1660 H Valentin Schneider deß Sattlers

Valentin Schneider meurt en 1662 en délaissant deux enfants issus d’Ursule Blümlin et quatre de sa veuve Barbe Keller. Les experts estiment la maison à 700 livres. La masse propre à la veuve est de 612 livres, celle des héritiers de 903 livres. L’actif de la communauté s’élève à 677 livres et le passif à 515 livres.

1662 (25.4.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 1) n° 39 (40, 41)
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeeden Haab Nahrung vndt Güethere, Ligender vndt vahrend, veränderter vndt unveränderter, Keinerleÿ außgenommen, So weÿlandt der Ehrenvest vndt vorgeachte Herr Valentin Schneider, gewesener Sattler vndt Burger alhier Zu Straßburg, beÿ seinem den 16.ten Martÿ dießen 1662. Jahrs beschehenen seel: absterben, verlaßen, welches auf erfordern vndt begehren hernachbemelter deß verstorbenen seeligen hinderlaßener Kinder vndt Erben, Inventirt, durch die vielehren vndt Tugendsame fr. Barbaram Kellerin die hinterbliebene wittib (…) mit beÿstand deß Ehrenvesten vndt vorgeachten Herrn Hannß Jacob Rueffen, E: E: Kleinen Raths beÿsitzers, Zinngießers vndt burgers allhier, deroselben geordneten Curatoris, geeigt vndt gezeÿgt (…) Actum vndt angefang. Dienstags den 29.t. Aprilis: A° 1662.
Der Abgeleibte seeliger hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fr. Mariam Veriußin deß Ehrenhafften vndt Ehrengeachten H Gÿßbrecht Veriußen, Salpetersieders vndt burgers alhier eheliche haußfr. welche mit vndt beneben erst gemeltem ihrem Haußwürth, ingleichem mit beÿstandt deß Ehrenvesten v. wohlgelehrten H Christoph Schüblers Not: Cæs: pbl: beÿ dem geschäfft inn persohn Zugeg. gewesen, 2. Christoph Schneidern, welch. ab. allein in legitimam instituirt, undt wegen deß. abwesenheit inn seinem nahmen der Ehrenueste vndt vorgeachte Herr Hannß Kamm Metzg. von E. E. Kleinen Rath, dießer Inventation beÿ Zuwohnen deputirt word, Welche beede der abgeleibte seeliger mit weil. Fr: Ursulæ Blüemlin seiner ersten haußfr. ehelichen erzühlet.
3. Fr. Barbaram, deß Ehrsamen v. Bescheÿdenen Sebastian Haderers Rothgerbers vndt burgers alhier eheliche haußfr: welche beÿde auch Zugegen gewesen, 4. Valentin, 5. Appoloniam vndt 6. Carolum, deren geschworner Vogt Hannß Heinrich Kamm, Satler v. burg. alhier dem geschäfft beÿgewohnet, Welche letztere vier d. verstorbene seel: mit seiner vorhergemelten hindbliebenen wittib ehelich erzeüget vnd Zu Erb. verlaßen.

So inn iner inn der Statt Straßburg jenseit deß Stadens nahe dem Rappen gelegener, in dieße Verlaßenschafft gehöriger hernach eingetragener Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Haußrath, Vff d. obern Büehnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dieß. Cammern, Inn d. obern stuben, In der Cammer E, Im Obern Haußöhren, Inn d. wahren stueben, Inn d. Kuch. Im Keller
Eÿgenthumb ane Häußern (W.) j. Hauß, Hoffstatt, hofflin hind. der Pfarrkirch Zu S Clauß (…)
(E.) j Vorder v. hind.hauß sampt dem höffel da zwischen mit allen derselb. weithen, rechten v. gerechtigkeiten, geleg. in d. Statt Straßb. jenseith d. Schindbrucken, einseith neben d. Herberg Zum Rappen, 2.s ein Eck am Trommengeßel, hinden vff Hanß Jacob Sÿfferman den Spohrer stoßend æstimirt p. 900. lb. Dauon ab. ist ab Zuzieh. so H. Hannß Kammen dem Metzger wehrend dißer Ehe ane Capital vff dieß behausung angelegt gewesen Zalt nemlich 200. lb (welches hernach fol: f: alß ein theilbar beßerung eingetragen Zubefind.) Pleibt also solchem anschlag v. bring. 700 lb. v. besag üb. dieße Behauß. j.perg. Kauffbrieff mit d. St. Straßb. Contract Insigel datirt den 18. 8.br: Anno 1627. Mehr Zween perg: Kauffbr. deren d. eine datirt den 10. 8.br 1586. d. and. den 1.ten 7.br 1604.
Ergäntzung d. Erben Unverändert guets. Vermög Inventarÿ, üb. weild. Fr: Ursulæ Blüemlin, deß verstorbenen Ersten Haußfr: seel. verlaßenschafft, in A° 1634. den 8. Martÿ durch H: Notarium Geörg Jegern, senoirem, vffgericht, hat mann den Erben Zuergentz. wie volgt.
Abzug in dießes Inventarium. Der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 46, Sa. Werckzeugs Zum Satler handwerckh 1, Sa. anschlags der Behaußung 200, Sa. d. Schuldt 30, Sa. d. Wittib unveränderten gueth u. Erg. (343, davon gehet ab 8, Pleibt) 334, Summa summarum 612 lb
Der Erben unverändertes Vermög. Sa. Haußraths 79, Sa. Werckzeugs Zum Sattler handwerckh gehörig 4, Sa. guldinen eings 7 ß, Sa. Eÿgenthumb ane Einer Behaußung 700, Sa. Ergäntzung (470, dauon gehet ab 320, Pleibt) 150, Summa summarum 933 lb – Schulden 30, Verbleibt 903 lb
Theilbar Guett, Sa. Haußraths 110, Sa. Wahren Zum Sattler Handwerck gehörig 209, Sa. der früchten 38, Sa. Weinß vndt Lährer Vaß 38, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 36, Sa. guldiner Ring 3, Sa. der Baarschafft 10, Sa. beßerung ane d. beh. 200, Sa. Schulden 29, Summa summarum 677 lb – Schulden 515 lb, Verbleibt 146 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1677 lb – Beschluß summa Inventarÿ , Conclusio finalis Inventarÿ 1400 lb
N° 40, den 14. Aprilis A° 1663, Separation und abtheÿlung.
Vffrichtung d. Wittib Wÿdembs. Es hat d. v.storbene seel: v.mög seines Montags den 19. 9.br: A° 1660 vffgerichteten Testament §° 4° Barbaræ Kellerin d. hind.bliebenen wittib seine nahe dem Rapp. gelegene Wohn behaußung 6. jahrlang nach wÿdembsrecht Zu bewohnen v. Zubesitzen bestimpt v. verodnet, dießem Testaments pass die Erben eine guete Zeit lang resistirt (…)
Behaußung der Erben unverändert befteffend. Dieselbige ist inn offtangezogenem Inventario fol: 40. fac: 1.a über abzug 200. lb d theilbarer beßerung æstimirt per 700. lb.

1665 (11.7.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 2) n° 74
Vogteÿ Rechnung Mein Hannß Heinrich Kammen Sattlers vnd Burgers Zu Straßburg alß geschwornen Vogts Valentini vndt Appolonia Weiland H Veltin Schneiders auch gewesenen Sattlers Zu ermeldem Straßburg seeligen hinderlaßener Kinder, Inhaltend alles das jenige So ich vom 19.ten Aprilis Anno 1662 /:alß vff welche Zeit solche vormundschafft mir anbefohlen worden:/ biß d 11. Julÿ Anno 1664. ermelter meiner Vogts Persohnen halb. empfangen v. eingenommen dahiengegen wiederumb bezahlt v. außgegen hab.
N° 78

Barbe, veuve de Valentin Schneider, se remarie en 1663 avec le sellier Georges Frédéric Scheubler, fils du sellier Euchaire Scheubler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 269, n° 16)
1663. Domin: 12 et 13 Trin: außgeruffen Geörg Friderich Scheubler der Sattler Eucharÿ Friderich Scheubler auch Satler ehelicher Sohn Vnd Fr. Barbara, Valentin Schneider Seel. hinderlaßene Wittib. Copulirt Zu St: Claus den 15. 7.bris (i 287)

Les héritiers de Valentin Schneider vendent la maison au selllier Georges Frédéric Scheubler et à sa femme Barbe

1667 (17. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 693
(Prot. fol. 47) Erschienen H Laurentius Treutel Not. alß hannß Christoph Schneiders deß Sattlers Zu Landeckh in Tÿrol, vermög eines sub dato Straßburg d. 13. Junÿ a° 1663. (…) gefertigten Gewaltscheins, Ferners Barbara Schneiderin Sebastian Haderers deß Rothgerbers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Mehr hannß Friderich Scholl der Sattler alß Ehevogt Apoloniæ Schneiderin, So dann hannß Henrich Kamm der Sattler alß Vogt Valentins und Caroli der Schneiderisch. Gebrüd. mit beÿstand der Ehrenvest, Fürsichtig- Weÿsen H Johann Philipß Zeißolffs und H Francisci Reißeißens beed. alß auß EE großen Rhats mittel ad Contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Georg Friderich Scheublers deß Sattlers und Barbaræ seines Eheweibs
ihrer der Verkäuffer Antheil ahne Zweÿen häußern einem vordern und einem hindern auch dero hoffstätten, höfflin dar Zwischen, und allen Gebäwen, Begriffen Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten, Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der Herberg Zum Rappen, anderseit ist ein Eckh am Trommengäßel, hind. vff hannß Jacob Sÿfermann den Sporer stoßend gelegen, daran d. übrige Annæ Mariæ Veriußin der Verkäuffere Schwester gehörig Zumahl. die gantze Behaußung umb 200. lib. der mit Käufferin selbsten auch umb 50. lib. erstermelter Veriußin und umb 50. lib obernanntem hannß Carl Schneidern verhafftet (übernohmen) – umb 636 lib.
[in margine :] Erschienen Anna Maria Gißbrecht Veriußen deß Salpetersieders Eheweib, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, hatt in gegensein Georg Friderich Scheüblers deß Kaüffers, bekannt daß Sie denselben geg. bahrer Erstattung 50. lib: ihre, umb die in gegenwärtige Kauffverschreibung benamßte und vff der darinn bemelten Behaußung gehabte 50. lib gehabte Gerechtigkeit cedirt habe, Jedoch mit außtrucklichem reservat ihres über solche 50. lib ahne der Behaußung selbst. noch habend. antheilß Versproch. – Act. 7. Maÿ a° 1668

Georges Frédéric Scheubler et Barbe, assistée de ses gendres Sébastien Haderer et Jean Frédéric Scholl, hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du tanneur Jean Thiébaut Rohr

1670 (18. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 157
Erschienen Georg Friderich Scheubler d. Sattler und Barbara sein Eheweib, Und Zwar Sie Barbara insonderheit mit assistentz hannß Sebastian Haderers deß Rothgerbers und hannß Friderich Schollen deß Sattlers beed. ihrer dochtermänner
in gegensein hannß Philips Rosa deß Rothgerbers alß Vogts weÿl. hannß Dieboldt Rohren geweßenen Rothgerbers nunmehr seel. hinderlaßene Zweÿer Kind. – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen der beÿd. schuldig. Eheleuth antheil ahne Zweÿen häußer einen vordern und einen hindern auch dero hoffstätten, höfflin darzwisch. und allen Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der herberg Zum Rappen, anderseit ist ein Eckh am Trommengäßlin, hind. vff hannß Jacob Sÿfermann den Spanner stoßend gelegen, daran daß übrige Annæ Mariæ Veriußin gehörig

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de Jean Hartmann Wœrtz, receveur de l’Orphelinat.

1672 (17. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 329
Georg Friderich Scheübler der Sattler undt Barbara sein Eheweib und Zwar dieselbe mit assistentz Sebastian Haderers deß Rothgerbers und hannß Philipp Schollen deß Sattlers beeder ihrer dochtermänner
in gegensein herren Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿsenhaußes – schuldig seÿen 135. lb
Unterpfand, Vier sechste theil denen schuldbekennenden Eheleuthen für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier beÿ der Gastherberg Zum Raaben, einseit ist ein Eckh am drommen Gäßlein, anderseit neben herren hannß Jacob Ruoffen alten Großen Rhats Verwanthen, hinden uff herrn Johann Leonhard Fröreißen fünffzehnern stoßend gelegen

Georges Frédéric Scheubler meurt en 1675 en délaissant pour héritier son père. La masse propre à la veuve est de 546 livres, celle de l’héritier de 141 livres. L’actif de la communauté s’élève à 592 livres et le passif à 463 livres.

1675 (21.4.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 7) n° 341
Inventarium vnd Beschreibung aller der Jenigen haab Nahrung undt Güther, Liegend. v. vahrend. verändert vnd vnveränderten, Keinerleÿ außgenommen, So weÿ. der Ehrenhaffte vnd vorgeachte Geörg Friderich Schübler Satler burg. allhie beÿ seinem den 11. Martÿ diß lauffenden Jahrs beschehenen seel. absterb. Zeitlichen verlaß. so vff erford. vndt begehren deß Ehrenvesten v. wohlvorgeacht, Hn Eucharÿ Friderich Schüblers auch Satlers v. burgers allhie sein deß v.storbenen seel. Vatters, v. ab intestato hind.laßenen Erbens inventirt, durch die viel ehrenn v. tugendsame Fr. Barbaram Kellerin die hind.pliebene Wittib mit beÿstandt deß auch Ehrenhafften v vorgeachten Hanß Sebastian Haderers Rothgerbers burgers allhier ihre geordneten Vogts (…) Actum in beÿsein deren auch Ehren vnd vorgeacht. Samuel Keßelmeÿers Carl Schneÿders obged. Wittiben wi erst. Ehe gezielt. sohns Vogts So dann Samuel Schüblers Sattlers deß v.storbenen seel. bruders

In der Cammer A, Im Nebens Cammerl., In der Cammer B, Vor dieser Cammer, In der Cammer C, Im obern hauß öhren, In der obern Stuben, Im obern Küchel, In d. undern Kuch. In d. undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb einer behaußung (T.) Nemlich. hauß, hoff, hoffstatt, höffel v. einem gemeinen bronnen sampt allen andern gebeüwen, Zugehörd. v. gerechtigkeiten geleg. inn d St. Str. jenseith d. schindtbrucken i.s. neben d. herberg Zum rapp. 2. s. dem trommel Gäßel, hind. vff hanß Jacob Sÿffermann den Spohrer Ziehend, dauon gefallt jahrs 6. lb 15. ß d Zinß, vff weÿhenachten H Augustin Güntzern accis schreib. in Straßb. Zuuor Gÿßbrecht Verÿ hfr. Zustendig, lösig mit 135. lb. It. 6. lb. 15 ß Zinß gefallt jahrs vff den 8. 9.br dem waÿßenhauß Stifft in Straßb. lösig mit 135. lb d welche Zu abstattung Veltin Schneiders deß ältisten Sohns vorig. Ehe, So dann hat die Wittib nach besag Zugebracht. Nahr. Inventarÿ fol: 32.a uff dißem hauß Zurfordern 350. lb, Summa solch. beschwärd. ist 620. lb. Hingeg. Ist diß hauß stehend. diß. Ehe Erkaufft word. p. 1000 lb. Restirt also ane solchem Kauffschilling noch 380. lb. Darüb. besag. 3. perg. alte Kauffbrieff, mit d. St. Str. anhangend Contract Insigeln de datis 18. 8.br. 1586, 18. 8.br 1627. v. 1. 7.br. 1604. So dann ein perg: Kauffbr. v. 17. Xbr. 1667. Krafft deß. obiges hauß d. v.storbene seel: seinen Stieffsöhnen v. Stieffdöchtern p. 2000 fl. aberkaufft
(W.) Es hat die Fr. Wittib beÿ H: Valentin Schneiders ihres v.storbenen vorig. v. Erst. haußwürts seel: v.laßenschafft separation v. Abtheÿlung, in abschlag ihres damahlig. unveränd.ten guths Ergäntzung (…) Gebühret also ihr d. wittib vff angeregtem herban beschriebenem hauß vorstehend. maß. in 3. post. zusammen 350. lb
Erg. d. Fr: wittib unveränd.ten guths, ermög Inv: üb. d. wittib in die Ehe Zugebrachte Nahrung in A° 1663. vffgerichtet
Abzug in dis Inventarium. Erstlich d. wittib Guett, Sa. haußraths 51, Lährer vaß 1, Silbergeschmeÿds 8, guldener Ring. 5, Eÿgenth. ane einer beh. 350, Ergäntzung thut (356, geht ab 6, Rest) 349, Summa summarum 766 lb – Schulden 220, Pleibt 546 lb
deß Erben guett, Sa. haußraths 13, Silbers 1, baarschafft 7 ß, Schuld. ins Erbe Zugeltend 42, Ergäntzung (86, geht ab 2, Pleibt) 84 lb, Summa summarum 141 lb
Theilbar Guett, Sa. haußraths 54, wahren v. werckzeugs 68, Frücht. v. Meels 31, Weins 15, Silbergeschirrs 8, Eÿgenthumb einer behaußung 380, Schuld. ins Erbe Zugeltend 33, Summa summarum 592 lb – Schulden 463, Theilbar gutt 128 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 826 lb
N° 345, Verkauff Register, Actum d. 16. Aug. aô 1675.

La veuve de Georges Frédéric Schübler hypothèque la maison au profit des enfants de l’aubergiste Daniel Nægelin

1675 (30. X.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 820
Barbara, weÿl. Georg Friderich Schüblers gewesenen Statt Sattlers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Sebastian Haderers deß Rothgerbers ihres Vogts
in gegensein herren Philipps Küblers deß Zinngießers im nahmen hannß Friderich Kochen der Statt Huffschmidts alß Vogts Weÿl. Daniel Nägelins deß Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßener Kindern – schuldig seÿe 425 pfund pfenning
unterpfand, Zweÿ Häußer ein Vorders und ein hinders, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier Jenseit der Schindbruckh einseit neben der Herberg Zum Rabben anderseit ist Ein Eckh am Trommen Gäßlein, hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen
[in margine :] in gegensein Francisci Frantzen deß Wappenschneiders alß ietzigen Possessoris hierin gedachter behaußung (quittung) Act. 2.ten Julÿ 1684.

La veuve de Frédéric Schübler assistée des enfants de Valentin Schneider vend la maison au graveur de cachets François Frantz moyennant 1 725 livres. En marge, quittance remise à Jean Jacques Faudel en 1691.

1676 (26. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 876
Barbara Scheublerin, weÿl. Friderich Scheublers deß Sattlers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Sebastian Haderers deß Gerbers ihres dochtermanns und Vogts, hannß Jacob Knoderers deß Sattlers auch Ihres dochtermanns, und Samuel Keßelmeÿers deß Sattlers ihres Vettern, und herr Christian Breuning U.I.Ddus alß Curator Annæ Mariæ Verjusin Gißbrecht Verjus deß Salpetersieders eheweibs
in gegensein Francisci Frantzen deß wappenschneiders mit assistentz herrn Christoph Bleÿfußen E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers und herrn hannß Georg Heckhlers der Fabric deß Münsters Werckmaÿsters
Zweÿ haüser ein Vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin dar zwischen und allen Gebäwen, begriffen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten sambt der gemeinschafft deß bronnens, Jenseits der Schindbruckhen, einseit neben der Herberg Zum Raben, anderseit ist ein Eckh am Tromelgäßlein, hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen, welche Häußer annoch umb 425. lb weÿl. Daniel Nägelins geweßenen Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßenen Kinder, Verhafftet – umb 1300 lb.
[in margine, f° 877 :] Erschienen Herr Johann Carl Schrag E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer im nahmen und von wohlged. K. Rhat ahne statt Johann Valentin Schneiders Hoff Sattlers ahne dem Fürstl. Meckhlenburgischen Hoff zu Güstraw, insonderheit Deputirter, Item Johann Sebastian Haderer der Rothgerber, alß Ehevogt Barbaræ Hadererin gebohrner Schneiderin, so dann Johann Jacob Knoderer der Sattler alß Ehevogt Appoloniæ Knodererin gebohrner Schneiderin, alle Weÿl. hierin bemelter Verkäufferen nunmehr seel. nachgelaßene Kinder, haben in gegensein des Käuffers (quittung), Act. 5. Xbr 1681.
[in margine, f° 877-v :] (…) in gegensein Hannß Jacob Faudels deß Sattlers alß ietzigen possessoris der hierin beschriebenen behaußung (quittung) den 1. Martÿ Anno 1691.

François Frantz hypothèque la maison au profit des enfants de l’aubergiste Daniel Nægelin. En marge, quittance remise à Jean Jacques Faudel (Pfaud) en 1691

1677 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 111-v
Franciscus Frantz der Wappenschneider
in gegensein Hannß Friderich Kochen der Statt Heuffschmidts alß Vogts weÿl. Daniel Nägelins Geweßenen Würths Zum Thiergarten nunmehr seel. nachgelaßener Kinder mit beÿstand herrn Philipp Küblers deß Zinngießenrs – schuldig seÿe 500. pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten und allen übrigen deren Gebäwen und Zugehördten Jenseit der Schindbruckh, einseit neben der Herberg Zum Raben, anderseit ist ein Eckh am Tränckhgäßlein hinden uff hannß Jacob Sÿffermann den Sporer stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Hannß Jacob Pfauden deß Sattlers alß jetzig. possessoris der Zu unterpfand verlegten behaußung (quittung) Act. 19. Julÿ 1691.

Le graveur de cachets François Frantz loue la maison au marchand de vins Charles Maurice, auparavant à Landau

1689 (3.8.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 484-v
François Frantz, Graveur de cachet & bourgeois de cette ville
bail à Charl Maurice marchand de vin cy devant demeurant à Landau
une Maison scituée en cette ville au quay de baitteliers tenant d’un costé à l’hostellerie du corbeau, d’autre Costé faisant le coin d’une petite rue appellée trommelgäßlein avec tous ses appartements & commodité, sans en rien excepter ny reserver, Ce présent bail fait pour deux années consécutives à commancer à la St Michel de l’année courrante – moyennant la somme de 330 liures par chacun an

1697 (10. 7.bre), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 5)
Summarischer Calculus Über Weÿland Francisci Frantzen des geweßenen Pitschier Grabers Und burgers allhier seel. Verlassenschafft

1696 (19. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 4)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Ehrenhafft und Kunstreiche H. Franciscus Frantz gewesener Pitschier Graber und burger alhier nunmehr seel.

Fils du cordonnier Laurent Frantz, François Frantz meurt célibataire à l’âge de 60 ans le 16 septembre 1696
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 73-v, n° 37)
Sonntags den 16. Septemb. st. n. 1696. starb Franciscus Frantz der Kunst, wappen, vnd steingraber vnd burger alhier ledigen standts weÿl. Lorentz Frantzen, gewessenen Schumachers vnd burgers alhier, und seiner ehelichen haußfrauen, weÿl. Ursula geb. Bleyfussin nachgelaßener ehelicher Sohn, seines alters 60. jahr 5. Monath vnd 14 tag und ist d. 18. dito bey gehaltener leichenpredigt auff den Gottesacker der Neuen S. Urbans au begraben worden (i 78)

François Frantz vend la maison au sellier Jean Jacques Faudel moyennant 1 250 livres

1690 (5. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 674-v
H. Frantz Frantz der Pitschier Graber mit beÿstand Philipp Beckers deß Schuemachers [unterzeichnet] Franciscus Frantz
in gegensein hans Jacob Faudel, deß Sattlers mit beÿstand H. Georg Sigmund Braunsmäntels, deß Zinngießers, seines Vettern
Zweÿ häußern ein vorders und ein hinderes mit deren hoffstätten, höfflein dar zwischen und allen Gebäuen, begriffen, zugehördt rechten und Gerechtigkeit. sambt der gemeinschafft deß Bronnens jenseit der Schindbrucken, einseit neben der herberg zum Raben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hind. auff Salomon Funck der Roßartzt stoßend geleg. welche haüßer umb 525 Pfund Capital (Ferner umb 250 lb Kauffschillings rest, So dann umb 400 Pfund Capital verhafftet), geschehen umb 75 pfund

1687, Protocole des Quinze (2 R 91)
E.E. Handwerck der Sattler
294 Johann Jacob Fautel, 301 (302 Sattler Meisterstück)

Fils du garde-forestiier Jacques Faudel de Wasselonne, Jean Jacques Faudel épouse en 1687 Salomé, fille du taillandier Jean Georges Feigler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39 n° 21) 1687. Dominica XXVI et I Advent. Hans Jacob Faudel von Waßlenheim der ledige Sattler weÿland H Jacob Faudels deß oberförsters im Edenwald nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Salome weÿland Hans Georg Feiglers, deß Burgers und Waffenschmidts alhier nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Mittw. zu St. Niclaus 23. 9.br / 3. 10.br (i 40)

Jean Jacques Faudel devient bourgeois par sa femme quelques semaines après son mariage
4° Livre de bourgeoisie, f° 536
hans Jacob Faudel von waßlenheim der Sattler empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Salome Feÿlerin pro 2 gold fl. undt 16 ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt, Jur. 15. Xbr.

1687 (23. Xbr), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6029)
d. 23. Xbr. 1687. Zusammenkunfft von H. Georg Sigmundt Praunnsmäntel Kannengieß. als vogt. weÿl. hannß Georg Feiglers gewes. waffenschmidts seel Kind. betr. waß Salome, hannß Jacob Pfaudels Sattlers u. burgers allhier ehelich haußfr. so sich kurtz. Verheurathet, gelüffert word.
(Jacob Faudel)

1688, Protocole des Quinze (2 R 92)
E.E. Handwerck der Sattler
117 Hannß Jacob Faudel

1688, Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Codicill Fr Salome Faudelin gebohrne Feiglerin H Hannß Jacob Faudels des Sattlers hsfr

Salomé Feigler meurt en 1688 en délaissant deux enfants. La masse propre au veuf est de 155 livres, celle propre aux héritiers de 848 livres. L’actif de la communauté s’élève à 254 livres
1688 (13. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 11) n° 29
Inventarium vnd Beschreibung der Jenigen Haab, Nahrung vnd Gütter, liegender vnd vahrender, verändert und Unveränderter, so weÿl. die Ehren und Tugendsame Fraw Salome Faudelin gebohrne Feiglerin des Ehrengeachten herrn hannß Jacob Faudels Sattlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene geliebte haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem den 24.ten Augusti newen Calenders dieses Zu end lauffend. 1688.gsten Jahrs beschehenem tödlichen ableiben Zeitlich. verlaßen, welche auf erfordern und begehren des wohl Ehrenvesten, vnd großachtbaren herrn Georg Sigmund Braunßmäntels, Zinngießers vnd burgers allhier als geschwornen vogts hannß Georg Feiglers vnd Susannæ Feiglerin weÿl. des Ehrenvesten herrn hannß Georg Feiglers geweßenen Waffenschmidts vnd burgers allhier seel. ehelich erzeügter vnd nachgelaßener Kinder, der verstorbenen frawen seel. geliebter Geschwistrige, vnd ab intestato gelaßener Erben inventirt (…) Actum und angefangen in der Königlichen freÿ. Statt Straßburg, Sambstags den 13. 9.br. A° 1688.

In der Cammer A. Vor dießer Cammer, In der Obern Stub, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, In der St: Cammer, In der Küchen, Im Keller
Abzug in gegenwärtiges Inventarium gehörig. Des Wittibers Guth, Sa. Haußraths vnd vaß 15, Sa. Gemachter Wahren 6, Silbergeschmeids 1, Ergäntz. deß Wittibers unveränderten Guths 33, Summa summarum 155 lb
Der Erben Vermögen, Sa. haußraths 59, Silber geschirr und Geschmeid 18, Guldener Ring 11, Baarschafft 257, Erg. 179, Summa summarum 848 lb
Die Theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 18, Wahren und Werckzeugs 79, Baarschafft 156, Summa summarum 254 lb
Conclusio finalis Inventarÿ

Jean Jacques Faudel se remarie en 1690 avec Susanne Marie Mosseder, fille de l’aubergiste à la Pomme d’or Laurent Mosseder : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung (…) zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Faudtteln Sattler und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigamb ane einem, So dann der viel ehren und Tugendreichen Jungfrauwen Susannæ Mariæ weÿland deß Ehren vesten und wohl vorgeachten herrn Lorentz Moseders deß Ältern gewesenen gastgebers Zum guldenen Affel und burgers allhier Zu Straßburg Seel. hinterlaßener Ehelicher Tochter als der hochzeiterin andern Theils (…) Beschehen vnd Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Novembris Stili novi Anno 1690, Johann Philipp Schübler Not. Publ:

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 14-v, n° 18)
1690. Auff heuth Mittwoch den 13. 10.br St. n. A° Christi seind nach Zweÿmahliger proclamation copulirt worden Hans Jacob Faudel der Burger und Sattler alhier vnd Jungfr. Susanna Maria, weÿland Hr Lorentz Mosedters deß alten Burgers vnd würth Zum guldenen Apffel alhier nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Hanß Jacob Fauttel Als Hochzeiter, Susanna Maria Moßederin Alß hochzeitterin (i 16)

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au musicien André Revel et à sa femme Jeanne Caillot

1691 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 203-v
Jean Jacques Faudel, maistre Sellier et bourgeois de cette ville (signé) hanß Jacob Fauttel)
bail au Sr Andre Revel, Musicien de la grand Eglise et Jeanne Caillot sa femme
dans une maison située au Quay des batteliers tenant d’un coste au Corbeau d’autre faisant le coin d’une petite rue appellée Drommelgasslein, la boutique et cuisine avec une petite chambre d’enbas, pour un an a commancer de la feste de Nostre Dame de l’année courrante, moyennant 40 escus

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au perruquier Jérôme Forest

1692 (27. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 437
Jean Jacques Faudel, maistre Sellier et bourgeois de cette ville
bail à Hierosme Forest, maistre Peruquier (signé) chirome forest
dans une maison située au Quay des batteliers tenant d’un costé au Corbeau d’autre faisant le coin d’une petite rüe appelle Drommelgesslin, la boutique et cuisine avec une petite chambre d’en bas, de trois mois en trois mois, à commencer à la St. Jean de l’année courrante, à raison de dix escus par quartier
Sur tout est comparu Jean deschamps boulanger demeurant à la Citadelle de cette ville, lequel à promis d’estre garant pour le locataire du loyer

Jean Jacques Faudel loue une partie de la maison au limonadier Jean Baldy

1692 (29. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f°
514
H. Johann Jacob Faudel, der Sattler mit beÿstand hans Georg Rothhan deß wollenwebers seines Stieff Bruders
in gegensein Johann Baldÿ, Limonatiers mit beÿstand Hn Johann Georg Krackaun deß Specereÿhändlers
entlehnt, In seiner jenseit der Breusch am Schiffleuth staden, einseit neben dem würthsghauß Zum Rappen, anderseit am drommelgäßlein gelegenen behaußung, In den Vorderhauß den ganzen Keller, den laden und Küch. sambt einer Kleinen Cammer auff den Boden, Ferner eine Stiege hoch, Eine Stub, hauß ohrel und Küchel, So dann Zwo Stieg. hoch Vier Cammeren, Mehr dreÿ Stiegen hoch eine Cammer, Und soll der hoff zwisch. den hinder und vorder hauß gemein sein mit d. Inwohnern deß hind. haußes, Alles auff dreÿ Viertel jahr von Michaelis dießes Jahrs an zu rechnen umb 30 Reichsthaler oder 22 Pfund 10 schilling
[in margine :] (…) auff fernere dreÿ Viertel jahr mit eben den hierinn gemeldt. conditionen continuirt haben wollen – den 15. maÿ 1693

1697, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Mittwochs den 22. Maÿ Anno 1697
Hannß Jacob Faudel ist ebenfalls beclagt

Jean Jacques Faudel hypothèque la maison au profit du Chapitre Saint-Thomas

1701 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 43-v
H. Johann Jacob Faudel der Sattler [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel
in gegensein Herrn Johann Niclaus Harttschmidt Theol. Doctor D et Metaphys. Professoris alß Canonici & p. t. Cistarÿ senioris beneb. H. Johann Joachim Mosedern Schaffnern deß Stiffts zu St Thomæ – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, zweÿ Haüßer Ein vorderes und ein hinderes mit den hoffstätten, Hofflein darzwischen, und allen Gebäuen, begriffen, Recht und Zugehördt. allhier jenseit der Schindbruck einseit neben der Herberg zum Raben and.seit ist ein Eck am Trommelgäßlein hind. auff Philipß Albert den Waffenschmid stoßend geleg., darvon gehend jährlich 1 lb 10 ß allmend zinß Gemeiner Statt Pfenningthurn

Les héritiers Feigler passent un accord avec Jean Jacques Faudel qui renonce à la jouissance des biens appartenant à sa première femme

1701 (28. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 487-v
H. Johann Georg Feigler der Handelßmann Und Fr. Susanna geb. Feiglerin deßen leibliche Schwester H. Julÿ Christoph Keßlers, des Barbierers Und Wundartzts Haußfrau an einem
So dann H. Johann Jacob Faudel der Sattler alß gewesener Ehevogt Weÿland frauen Salome geb. Feiglerin am andern
demnach Er H. Faudel Krafft Codicills auff Mittwoch d. 24. Augusti 1688 von Hn Stephan Cornelio Saltzmann Not. publ. auffgerichtet §. Fünfftens, bemelter Fr. Salome Feiglerin seiner ersten Haußfrauen seel. gantze Verlaßenschafft außer 200 fl. prælegat, So dieselbe ged. Hn Feiglern und Keßlerischer Haußfrauen Ihren geschwistern Verschafft, und Ihnen auch ausgelüffert Word, ad dies vitæ Zu genüßen befugt, welche Verlaßenschafft in dem von ged. H. Notario Saltzmann in ged. 1688.sten Jahr auffgerichteten Inventario beschrieben, Und in liegender Und fahrender Haab bestehet, alß hätten Sich beede Theile dahin mit einander vereinbahret Und verglichen, Nemlich Und zum Ersten so übergeben und überlaßen Sie H. Feigler und Keßlerische Haußfrau, Hn Faudeln Ihrem Schwager die summ von 925 gulden oder 462 pfund (…), dahingegen So renunciret Und thut Er H. Faudel Verzug aff den Genus bemelter seiner ersten Haußfrauen seel. Verlassenschafft (…)

1702, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Montags den 13. Februarÿ Anno 1702
er habe hannß Jacob Faudel wider Articul gehandelt, Arbeith von Monsieur la Batis

1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Hannß Jacob Faudel pt° außgestoßener ehrenrührig. reden wider die oberen bawh. und Hh. dreÿ des Pfthrns

Susanne Marie Mosseder meurt en 1708 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 1 200 livres. La masse propre au veuf est de 1 169 livres, celle propre aux héritiers de 2 133 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 127 livres, le passif à 2 381 livres.

1708 (17. Xbr), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 21) n° 777
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender vnd vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Susanna Maria Faudelin gebohrne Moßederin des Ehren vndt Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Faudel Sattler vnd burgers allhier Zue Straßburg geweßene liebwerthe haußfraw nunmehr seelig, nach Ihrem den 16.ten Aprilis dießen Zue end lauffenden 1708.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Ehren vndt wohlvorgeachten herrn Geörg Samuel Moßeders Gastgeb Zum guldenen Apffel vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Salome, Mariæ Dorotheæ, Susannæ Mariæ vndt Johann Geörgs, der abgeleibten fraw seel. mit vorernantem Ihrem hinterbliebenen Wittibern ehelich erzeigter 5 Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 17. Xbris Anno 1708.

In einer allhier jenseith der Schindbrucken ohnfern der Gastherberg Zum Raaben gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung, sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der obern Stuben, In der Obern Stub Cammer, Vor dießem Gemach, In der Mittlern stub, Im Mittlern Haußöhren, In der Cammer E, In der undern stub, In der undern Kuchen, Im Speiß Cämmerlin, In deß Officiers stub, In des officiers Knecht Cammer, In der Werckstatt, Im Keller
(f° 25) Eÿgenthumb ahne Häußern (W.) Erstlichen 2. Häußer ein vorders v. i. hinders mitt deren hoffstatt, höfflein dar zwischen sambt all vbrigen deren gebewen begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten beneben der gemeinschaft des bronnens gelegen allhier in der St. St. jenseith der Schindbruckh, 1. seith neben der Geastherberg Zum Raaben, 2. seith ist ein Eckh am Trommelgäßlein, hinden auff Philipp Albrecht dem Wafenschmidt stoßend, davon gehen jährlichen 12 lb d. Zinnß dem Stifft Zu St. Thomæ allhier Jährlichen vf den 27. Januarÿ lößig in hauptgut mit 300 lib d. Sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig vnd eigen vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschworne Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 12. Xbris A° 1708. æstimirt worden pro 1200. lb. Abgezogen vorstehend Passiv Capital der 300. lb so verbleibt annoch allhier außzuwerffen im rest 900. Darüber besagt i. newer teutscher perg. Kbrieff mit allhießiger C. C. Stuben anhangendem Cancelleÿ Contract stub Insiegel verwahrt de dato den 5. Xbris Anno 1690. mit altem Lit. A. notirt
(T.) It. Eine behaußung der sogenannte Kleine Kuppelhoff (…)
(T.) It. Hauß, hoff, hoffstatt, Keller, Scheür, Stallung sambt einem darbeÿ befindlichen Gartten (…) gelegen Zu Brechlingen (…) davon ist Herrn Jonas Faudeln hueffschmidt vnd burgern allhier des herrn Wittibers brudern, die helffte, vnd der vbrige halbe theil hiehero gehörig
(f° 28) Ergäntzung des Herrn Wittibers abgangenen: unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßene Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, in Anno 1691. durch Weÿl. herrn Johann Philipp Schüblern Notm. Publ. seel. auffgerichtet
(f° 35) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers Nahrung betr. Sa. haußraths 45, Sa. Leerer Vaß 6, Sa. Silbers 14 ß, Sa. Guldenen Rings 2, Sa. Baarschafft 115, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 900, Sa.& Ergäntzung 599, Summa summarum 1699 lb – Schulden , Nach deren Abzug 1169 lb
Der Erben Vermögen belangend, Sa. haußraths 180, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 7, Sa. Guldener Ring 6, Sa. Pfenningzinß haupt Güthere 125, Sa. Eigenthumbs ane Liegenden Güttern 33, Sa. Ergäntzung 1782, Summa summarum 2133 lb
Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. Haußraths 163 Sa. Gemachte Wahr v Werckzeugs 551, Sa. Früchten 12, Sa. Wein v. Leerer Vaß 624, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 50, Sa. Guldener Ring 28, Sa. baarschafft 256, Sa. Eigenthumns ane Häußern 396, Sa. Eÿgenthumbs ane Liegenden Güttern 53, Sa. Activ Schulden 991, Summa summarum 3127 lb – Schulden 2381 lb, Detrahendo verbleibt 745 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4049 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen vnd Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Novembris Stili novi Anno 1690, Johann Philipp Schübler Not. Publ:
Copia Codicilli Reciproci so beede geweßene Eheleuthe in Anno 1692. vor Weÿl. herrn Johann Philipp Schüblern Noto. Publ: auffgerichtet – auff Montags den 24. Januarÿ Neuen Calenders Zwischen fünff und sechs Uhren nachmittags in (mein Notario Schreibstuben)
Abschatzung den 12. 10.bris. Anno. 1708. Auff begehren herrn Johann Jacob Faudel Sattler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gegen der Schindbruck über gelegen ein Eckh am Tromml gäßlein, ein seiths neben H. N. N. Goll Würth und Gastgeber Zum Raben hinden auff Herrn Philippus Albrecht Waffenschmidt stoßendt, Welche behaußung hinder hauß, Nebens gang höffel undt Gemeiner bronne sambt aller Gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Taußendt Vier hundert Gulden
Die andere behaußung ist auch allhier in der Statt Straßburg am Staaden im Kuppelgäßl. gelegen (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 116
(Gerber, F., N° 284) Weÿl. Frauen Susannæ Mariæ gebohrner Moßederin, Hannß Jacob Faudels des Sattlers und burgers alhier geweßener haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 153.b, 4049. lb, die machen 8100. fl.
(…) Summa 83. lb
Demnach aber der Wittiber supplicando einkommen und remonstrirt daß die Häußer und Wahren sehr hoch angeschlagen, auch an Weinen kurtz vor der Frauen tod der Nahrung ein Zimliches Zugangen, haben die Herren Dreÿ an obigem geforderten Nachtrag Zweÿ jahr duplo und zweÿ jahr in simplo nachgelaßen, thut 20. lb, restiert 63. lb
dt. 14° Decembr. 1709. in abschlag bahr 27 lb
dt. 25° Jun. 1710. den rest pro Pfenningthurn schein mit 35. lb

Jean Jacques Faudel se remarie avec Anne Marie Frantz, fille de l’aubergiste au Cerf Jean Jacques Frantz : contrat de mariage, célébration
1711 (3. febr.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 598
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Faudel Sattlern vndt Jgfrn Annæ Mariæ Frantzin, beeden Eheleuthen vnd Burgere allhier
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Faudel Sattler vnd burgern allhier Zu Straßburg, als dem Hr. Brautigamb beÿständlich herrn Georg Samuel Moßeder goldenen Apffelwürths deßelben Kinder vogten vnd herrn Julÿ Christoph Kößlers berühmter Chirurgi vnd Barbierers seines Vettern, beeder burgere allhier, ane einem
So dann Jgfrn Annæ Mariæ Frantzin, herrn Johann Jacob Frantzen geweßenen gasthalters Zum Hirtzen vnd auch burgers allhier ehelichen tochter als der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz gedachts Ihres Vatters, ferner Herrn Johann Friderich Bahlen Gastgebs Zum Thiergarthen vnd E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers deroselben vnd herrn Christoph Andres Lurtzing Würths Zu obermelten hirtzen Ihres Schwagers auch aller burgere allhier, andern theils
Actum Straßburg Dienstags den 3. febr. Anno 1711 [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel Alß Hoch Zeider beken Wie ob stedt, Anna Mariaa Frantzin alß hoch Zeider

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 123 n° 2)
1711. Mitwoch den 25. febr. 1711. seind nach Zweÿmaliger Außruffung in der Kirch Zu St. Nicol. in Straßburg alhier Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Johann Jacob Faudel, der Sattler vnd burger alhier vnd Jungfr. Anna Maria Frantzin H Johann Jacob Frantzen, Vormalig geweßener wirths vnd Gastgebers Zum Hirtzen, vnd burgers alhier Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Fauttel Als Hochzeiter, Anna Maria Frantzin als hoch Zeitin (i 129)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari, décrite en les mêmes termes qu’à l’inventaire précédent.

1711 (16. 9.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 29) n° 993
Inventarium undt Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender Und Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen so der Ehren und Wohlvorgeachte herr Johann Jacob Faudel, Sattler Vnd die Viel Ehren vnd Tugendreiche fraw Annæ Mariæ gebohrne Frantzin beeder Eheleuthe undt burgere allhier zu Straßb. einander in den Ehestand Zugebracht vnd Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor Unverändert Vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern Vnd begehren, beeder Eheleuthe selbsten fleißig inventirt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegenseÿn Tit. H. Georg Samuel Mosseder Gastgäbers Zum goldenen Apffel vnd burgers allhier des Ehemanns Kinder erster Ehe geschwornen Curatoris auf desselben, So dann S. Tit. H. Johann Friderich Bahlen Würths Zum Thiergartten v. E. E. Kleinen Rhats alten beÿsitzers der Ehefr. annoch ohnentledigten Vogts auff Ihr der Fr. Seithen, Montags den 16. 9.bris A° 1711.

In einer allhier zu Straßburg Jenseith der Schindbrucken ohnfern der Gastherberg Zum Raaben gelegenen vnd in dem Eheherren eigenthümlich gehörigen behaußung, sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießem Gemach, Im obern Stübel, In der Obern Stub Cammer, In der Cammer E, In der Wohnstub, In der Cammer D, In deß Officiers stub, In des officiers Knecht Cammer, Im Mittlern Haußöhren, In der undern Wohnstub, In der undern Kuchen, In der Werckstatt – Im Schopff im Kuppelhoff, Im Schopff des kleinen Kuppelhoffs, Im Goldenen Apffel
(f° 32-v) Eÿgenthumb ahne Häußern (M.) Erstl. 2. Häußer 1. vorders und i. hinders mitt deren hoffstatt, höfflein dar zwischen sambt all übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, beneben der Gemeinschaft des bronnens gelegen allhier in der Statt Strb. jenseith der Schindbruck, 1. s. neben der Geastherberg Zum Raaben, 2. s. ist ein Eckh am Trommelgäßel, hinden auff Philipp Albrecht dem Wafenschmidt stoßend, davon gehen jährlichen 12 lb d. Zinnß dem Stifft Zu St. Thomæ allhier auff den 27. Januarÿ lößig in hptgut mit 300 lib d. Sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig vnd eigen. Darüber besagt i. newer teutscher perg. Kbr. mit allhießiger C. C. Stuben anhangendem Cancelleÿ Contract stub Insiegel de dato den 5. Xbris Anno 1690. mit altem Lit. A. notirt
(M.) It. Eine behaußung der sogenannte Kleine Kuppelhoff (…)
(f° 34) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Nahrung. Sa. haußraths 785, Sa. Wahren und Werckzeugs 1236, Sa. Frucht 120, Sa. Wein und Leere Vaß 120, Sa. Pferd 90, Sa. Häu 12, Sa. Silber Geschirr und Geschmeid 121, Sa. Goldener Ring 48, Sa. baarschafft 975, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 131, Sa. Eigenthumns ane Häußern o, Sa. Activ Schulden 1219 lb

1712 (31.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 95) n° 862
Verkauff und Erlöß Register inhaltend alles das jenige so abe der viel Ehren und tugendsahmen Annæ Mariæ Fautelin gebohrne Frantzin, des Ehrenvest und Vorachtbahrn H. Johann Jacob Fautels des Sattlers und burg. allhier ehelicher Haußfrauen

1719, Protocole des Quinze (2 R 123)
E.E. Handwerck der Biersieder
Joh: Jacob Faudel

Jean Jacques Faudel meurt en 1720 en délaissant trois enfants de sa deuxième femme et trois outre un posthume de la veuve. Les experts estiment la maison à 1 650 livres. La masse propre à la veuve est de 2 123 livres, celle propre aux héritiers de 3 630 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 112 livres, le passif à 4 274 livres.

1720 (10.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 47) n° 1571
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güetere, liegend und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenvest und Wohl Vorgeachte Herr Johann Jacob Faudel, geweßene Sattler und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 8. Junÿ instehenden 1720.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren es Abgeleibten seel. in 2. Ehen ehelich erziehlter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben geschworner herren Vögten alle nach dießen Titulo Inventarÿ ordentlich benahmßet fleißig inventirt und ersucht, durch die Ehren und tugendsame Frau Annam Mariam gebohrene Frantzin, die hinterbliebene Frau Wittib mit Assistentz des Ehrenvesten undt wohlvorgeachten herrn Gottfried Plarren, Kunst und Schönfärbers auch burgers allhier dero geschwornen herrn Vogts (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 10. Junÿ A° 1720.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben hinterlassen wie volgt. 1. Johann Jacob Faudel, Lediger Sattler gesell, 2. Jgfr. Susannam Mariam Faudelin, 3. Johann Georg Faudel, Welche dreÿ Kinder bevögtigt mit herrn Georg Samuel Moßedern, der Zeit Verordneten Guarde undt Burger allhier, welcher auch der Inventation persönlich beÿgewohnt und hat der Verstorbene seel. solche in mittlerer Ehe mit Weÿl. Fr. Susanna Maria gebohrner Moßederin nunmehr seel. ehelich erzeuget
4. Annam Magdalenam Faudelin, 5. Johann Carl Faudel, und 6. Johann Friderich Faudel, Welche 3. letztere Kinder benebens j. Posthumo, so annoch unter Mütterlichen hertzen Verborgen, in letztere Ehe mit Eingangs gedachter Fr. Wittib gezeuget worden, und seind dieselbe bevögtigt mit herrn Jonas Faudeln Huoffschmid und burgern allhier welcher auch beÿ der Inventation Von anfang biß Zu end persönlich erschienen und zugegen geweßenen, Alle Sieben aber des Abgeleibten seel. ehelich erzeugte Kinder und Zu gleichen theilen nachgelaßenee Erben
Copia der Eheberedung
Copia Dispositionis inter Liberos, welche der abgeleibte seel. in Anno 1713. vor mir Noto. auffgerichtet – Copia Nach disposition so allererst in A° 1720. beschehen

In einer allhier Zu Straßburg jenseit der Schindbrucken nechst dem Raaben gelegenen und in dießer Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen Behaußung, volgender maßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, In der Meel Cammer, In der Cammer C, In der Cammer D, In der obern Stub, In der Stub Cammer, Im hauß Öhren, In der Magd Cammer, In des Officiers Knechts Cammer, In Hrn Præceptors Stub, In deß Officiers stub, Auff dem Gang, In der Wohnstub, Im mittlern hauß Öhren, In der Cammer E, In der untern Stuben, In der undern Kuchen, Im hauß Keller
(f° 19) Eigenthumb ane Häußern. (E.) It. 2. Häußer j. Vorders v. j. hinders m. deren Hoffstatt, höffl. darzwischen s. all. vbrigen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, beneben der Gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allh. Zu Straßb. jenseit der Schindbrucken j.s. neben der Gastherberg Zum Raaben, 2. s. ist j Eck am Trummelgäßl. hinden auf Peter Laußer, den Waffenschmid stoßend, davon gehen jährl. 15. lb d Zinnß dem Stifft St. Thomæ allhier jährl. auff den 27. Januarÿ lößig in hbtgth mit 300. lb, sonst gegen männigl. freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung durch der Statt Geschwohr. Werckleuth Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung vom 13. Julÿ A° 1720. hiehero angeschlagen umb 1650. lb. Nach Abzug Vorstehender beschwerd Verbleibt noch p. rest 1350. Darüber sagt 1. teutscher perg. Kffbr. m. allh. C. C. Stub anh. Insiegel Verwahret de dato 5. Xbris A° 1690 m. a. Lit. A. notirt und Vor dißmal dabeÿ gelaßen.
(E.) It. j. Behaußung, der Kleine Couplehoff genandt (…)
(W.) t. i. behaußung hoff hoffstatt b.Gaden in dem sogenannden Seÿlergäßlein (…)
(f° 30) Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über beeder gewesener Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1711 durch eingangs gemelten Not. auffgerichtet
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung betr. Sa. Haußraths 32, Sa. Leerer vaß 9, Sa. Silbers 15, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 24, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1100, Sa. Eigenthumbs ane Liegenden Güthern 50, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzungs rests 781, Summa summarum 2123 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 273, Sa. leerer Faß 38, Sa. Guldener Ring 8, Sa. baarschafft 28, Sa. Eigenthums ane häußern 1950, Sa. Eÿgenthumbs ane liegenden güthern 114, Sa. Activ Schulden 68, Sa. Ergäntzungs rests 2954, Summa summarum 5490 lb – Schulden 1859, Nach deren Abzug 3630 lb
Theilbahr Guth betreffend, Sa. haußraths 50, Sa. Wahren vnd Werckzeugs 422, Sa. Meels 3, Sa. Wein vnd Leerer vaß 301, Sa. Pferd 15, Sa. Hous 2, Sa. Silbers 10, Sa.goldener Ring 16 ß, Sa. baarschafft 33, Sa. Activ Schulden 273 Summa summarum 1112 lb – Schulden 4274, Theilbar Passiv onus 3161 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4352 lb
Abschatzung d. 13.t Jullius: anô: 1720: Weÿlandt deß Ehren Hafften, Vnd bescheidenen H hanß Jacob Faudell Sadtler Seel: hinder Lassenen Fraw Wittib vnd Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, gegen der schinnbruckhen über, Ein Seith Neben dem Rappen Ander Seith Neben dem ohnnen geßell, ist ein Eckh hauß, hinden auff hanß Peter Laußer Waffenschmit stoßendt, Welche behaußung, hoff, statt Stuben, Kammerern, Küchen, Haußehren, Werckhstatt, Ein gewölbter Keller, hinder gebeÿ, Mit Zweÿ Stuben, Kammeren, Stallung, höffell Vnd Ein, gemeiner brunnen, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, Wie solches durch der Statt Straßburg geschwohrnen werckhleüthen In der besichtigung befundten vnd dem Jetzigen preiß Nach, an geschlagen wirt Vor und umb Dreÿ tausendt dreÿ Hundert Gulden
Der Ander begriff (…), Der drite Begriff (…)
Bezeichnüß, durch der Statt Straßburg Geschwohrenen Werckleüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

1720 (18. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 48) n° 1590
Verkauff und Looß Registerlein inhaltend alles dasjenige, so abe weÿl. des Ehrenvest und wohlvorgeachtn Herrn Johann Jacob Faudem geweßenen Sattlers und burgers allhier nunmehr seel.
1602, Abtheilung

Anne Marie Frantz se remarie avec le sellier Jean Jacques Sattler, fils du pasteur de Ringendorf et Buswiller : contrat de mariage, célébration
1721 (10. 8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1045
Eheberedung zwischen Herrn Johann Jacob Sattler dem leedigen Sattler, Weÿl. herrn Johann Jacob Sattler, gewesener Pfarrers Zu Ringendorff vndt Bueßweiler hochgräfflich Hanaw Liechtenbergischer herrschafft seeligen ehelichem Sohn, als dem H Brautigamb beÿständlich herrn Johann Jacob Sauren handelßmanns vndt herrn Christian Sattlers wohlverordneten Schaffners Ihrer hochfürstl. durchlaucht von Bürckenfeldt, seiner beeden vettern ane einem, So dann
Frawen Anna Maria Fautelin gebohrner Frantzin, weÿl. H Johann Georg Faudel geweßenen Sattler vndt burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib als der Fraw Hochzeiterin mit assistentz Herrn Gottfried Plarren Kunst vnd Schönferbern vndt herrn Johann Becken vornehmen Buchhändlers beeder Burgere allhier, deroselben respectivé geordneten vogts vndt Schwagers, andern theils
Actum Straßburg Montags d. 10. 8.bris 1721. [unterzeichnet] Johann Jacob Sattler als Hochzeitter, Anna Maria Fautelin geborne Frantzin alls hoch zeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 177 n° 16)
Mitwoch den 3. Dec. 1721. seind nach Zweÿmaliger offentlichen Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirchen Zu St. Nicol. in Straßburg, Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Johann Jacob Sattler, der ledige Sattler Vnd burger alhier, weÿl. H. M. Johann Jacob Sattlers, geweßenen Evangelischen Pfarrers Zu Rigendorff, hochgräffl. Hanawischer herrschaff. hinterlassener Ehelicher Sohn, Vnd Fr. Anna Maria Faudelin, weÿl. Joh: Jacob Faudels, geweßenen Sattlers vnd burgers alhier nachgelaßene wittib, welches bezeug. Johann Jacob Sattler als Hoch Zeitter, Anna Maria fautlerin als hochzeitrin (i 182)

Jean Jacques Sattler devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1722, 3° Livre de bourgeoisie p. 1318
Johann Jacob Sattler der Sattler von bußweiler geb. weÿl. H. Johann Jacob Sattlers gewesenen Pfarrherren daselbst hinderlaßener ehelicher Sohn erhalt des burgerrecht gratis wird beÿ E.E. Zunfft der gerber dienen, Jur. den 11.t feb: 1722

1722, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Donnerstags den 4.ten Martÿ Anno 1722
Johann Jacob Sattler der Sattler Zunfftrecht

Les héritiers de Jean Jacques Faudel louent la maison à Jean Jacques Sattler et à Anne Marie Frantz

1722 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 317-v
Weÿl. Johann Jacob Faudels gewesten Sattlers nachgelaßene Kinder erster und zweÿter ehe geschwornen Vögte nahmens Jonas Faudel der hueffschmidt Georg Samuel Moßeder Consigne ahm Juden: thor v: Johann Caspar Erlenholtz der Sattler
in gegensein Johann Jacob Sattler, Sattlers und Fr. Annæ Mariæ geb. Frantzin beÿständlich ihres annoch ohnenledigten vogts H. Gottfriedt Plarr Weitt: schwartz und schönfärbers
Entlehnt, Eine Behausung höfflein hinderhauß und hoffstatt cum appertinentis neben der gastherberg zum Raaben, einseit neben dem Ochßengäßel hinten auff Peter Laußer den waffenschmidt, auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Joh. Baptistæ nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund
[in margine :] auff gleich weiß entlehnt zu haben bekanntlich war ihren Curanden eigenthümlich zuständig behausung mit allen dero zugehörden nichts davon als das darinn gelegene und Johann Fischer dem Gastgeber verlehnten Kutschenhauß und die darüber befindliche Obere bühn ausgenommen, welche behausung allhier einseit neben der gastherberg zum Raben anderseit neben der H. Rathh. Richshoffer zuständig großen Kuppelhoff gelegen ist und der klein Kuppelhoff genannt wird, auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend auff jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 61 pfund – den 4. julÿ 1722

1723 (14. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 235
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehrengeachte Johann Jacob Fautel gewesener lediger Sattlergesell, letztmahls aber Grenadier unter dem Löbl. Oberst Baron Bibrissen Regiment zu Fuß Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Fautels geweßenen Sattlers und burgers allhier hinterlassener Sohn

1723 (16.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 228
Rechnung Mein Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob Fautels, frauen Susannæ Mariæ geb. Fautelin welche nunmehro Verheurathet an Herrn Johann Bezeold den Gastgeber zur Linden und burgern allhier und Johann Georg Fautels, aller dreÿen Weÿland Hn Johann Jacob Fautels, gewesenen Sattlers und burgers allhier mit auch Weÿland Frn. Susanna Maria geb. Moßederin seiner zweÿten haußfrauen seeligen erziehlter Kinder, inhaltend und ausweißend alles dasjenige was Ich Vom 5. Martÿ Anno 1721 als da ich dieße Vogteÿ angetretten biß den 16. aug. Anno 1723 ermelter meiner Curanden halben eingenommen und Außgegeben habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

1723 (26.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 12) n° 226
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Sattler und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Sattlerin geb. Frantzin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht

1723, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Dienstag den 11. Maÿ 1723
Johann Jacob Sattler seine Sattelbäum Zum Meisterstück besichtigen laßen
Sambstag den 24.ten Julÿ 1723,
Donnerstag den 17.ten Augusti 1723 Meister sitz

1724, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
Montag den 4.ten Decembris Anno 1724
daß Mr Johann Jacob Sattler der Sattler
Montag den 18. Decembris 1724
Montags den 15. Januarÿ Anno 1725 wegen haltung der frantzöischen Gesellen accomodiren

1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
E.E. Handwerck der Sattler
19 Johann Jacob Sattler

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Jacob Sattler Sattler pt° offener Werckstatt, pt° mulctæ

1727 (1.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 18) n° 388
Rechnung Mein Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Georg Fautels des Ledigen Sattlergesellen, weÿl. Hn Johann Jacob Fautels des gewesenen Sattlers mit auch Weÿland Frauen Susanna Maria geb. Moßederin seiner zweÿten haußfrauen seel. erziehlten Sohns, inhaltend alles dasjenige Was Ich Vom 16. Augustj Anno 1723 als dem beschluß meiner Erstern Rechnung biß dden 1.ten Martÿ Anno 1727 berührten meines Curandj halben Eingenommen und Außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße verrichtet und Verhandelt habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ

Le soldat Jean Georges Faudel loue ses biens au sellier Jean Jacques Sattler

1729 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 603 n° 81-v
Johann Georg Faudel Cavalier unter dem Regiment Bethune Cavallerie so ohnbevögtigt
in gegensein Johann Jacob Sattler des Sattlers
verlühen, seinen antheil von vätterlicher und mütterlicher Verlaßenschafft herrühred ahne Einer Behausung hinderhauß höflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith der Schindtbruck einseit neben der Gastherberg zum Raaben anderseit neben weÿl. Keck des zinngießers Erben darzwischen das Trommelgäßel ist
Ferner sein antheil ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff bestehend in verschiedenen gebäuden barraquen und hoff cum appertinentÿs, einseit neben der gastbehausung zum Raaben anderseit neben H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffer
So dann seine im Scharrachbergheim und Flechspurger bann lieegende ohngef in zween ackern bestehende Reeben – auff 4 nacheinander folgenden jahren oder dafern der verlehner noch länger in Kriegsdiensten verbleibet vom 1. Januarÿ fürwährenden jahr ihren anfang nehmen

Susanne Marie Faudel, femme de l’aubergiste Jean Bezold, vend sa part d’immeubles à ses beaux-parents Jean Jacques Sattler et Anna Maria Frantz

1730 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 429
Fr. Susanna Maria geb. Fautelin Johannes Bezold des Gastgebers zur Linden ehefrau so über 25 jahr alt zu sein versicherte
in gegensein ihrer stieff Eltern Johann Jacob Sattler des Sattlers und Annæ Mariæ geb. Frantzin
erstlich 6/35.te theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten wie auch der gemeinschaft eines bronnens jenseith der Schindbruck einseit neben der gasthergerg zum Raaben anderseit ist ein eck ahm Trummel: gäßel hinten auff Peter Laßer den waffenschmidt – von solchem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 d ane bodenzinß
zweÿtens 38/175.te theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuden, einen neu erbauten höltzernen Kutschen Schopff so auf das hievor allda gewester gärttlein gebauen worden, hoff und bronnen cum appertinentis unterhalb der gastherberg zum Raaben zwischen der Schind: und Neuen bruck in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen H. Johann Friedrich Richshoffer Exsenatori zuständigen Kuppelhoff, anderseit zum theil neben ged. Gastherberg zum Raaben theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, welcher auch dort recht des gebrauchs obged. bronnens und den ein und ausgang durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers wittib
(reebstück Scharrachbergheimer, Fleckspurger und Bergbietener banns) das hauß auff den fueß von 2000 lb, der 38/175 theil ahn dem kleinen Kuppelhoff so umb 1200 æstimirt, über angegebene dienstbarkeit des durchgangs und aquæhaustus

Le sellier célibataire Jean Georges Faudel vend sa part d’immeubles à son beau-père Jean Jacques Sattler

1732 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 6
Johann Georg Faudel ledig mehrjähriger Sattler so ohnbevögtigt zu sein behielte
in gegensein seines stieffvatters Johann Jacob Sattler des Sattlers
Erstlich 6/35 für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen und rechten wie auch der gemeinschafft eines bronnens jenseitth der Schindbruck, einseit neben der Gastbehaußung zum Raaben anderseit ist ein eck amTrommelgäßel hinten auff Peter Laßer den waffenschmidt, von diesem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 ane bodenzinß
Ferner 38/175 t. für ohnvertheilt ahne dem sogenannten kleinen Kuppellhoff bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neuerbauten höltzernen gutschen schopff der auf das hiebevor allda geweste gärttlein gebauen worden, hoff und brunnen samt zugehörden unterhalb der Gastherberg zum Raben zwischen der Schind: und Neuenbrucken und einem Allmend gäßlein das Kuppelgäßlein genannt einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffer seel. erben zuständigen Kuppelhoff anderseit zum theil neben ged. Gastherberg zum Raaben theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler welcher das recht des gebrauchs ged. bronnens und des ein: und ausgangs durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers wittib
so viel die antheiler des haußes am Raaben betrifft auff den fueß von 2000 lb, so viel aber den Kleinen Kuppelhoff concernieret auff dem fueß von 1200 lb, umb 867 pfund
(ferner reeben Scharrachbergheim)

Jean Jacques Sattler et Anne Marie Frantz font dresser un inventaire avant séparation de biens dont la valeur s’élève à 4 739 livres. L’acte mentionne la proportion qui revient à chaque héritier dans la maison

1732 (12.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 41) n° 381
Inventarium über des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Sattlers des Sattlers und der Ehren: und Tugendsamen Frauen Annä Mariä Sattlerin, geb. Frantzn beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg dermahlen eigenthümbl. besitzendes Vermögen, auffgerichtet Anno 1732. – Welche, weilen die Parthen pt° Separationis quoad thoram et mensam beÿ Löbl. Ehegericht erschienen, auch ehistens daselbsten hoc puncto ein Bescheid ergehen wird und die Ehefrau Ihr Guth Zusuchen intentionirt, zufolg E. E. Kleinen Raths Erkantnuß vom 4.ten dießes Monats, auf Ansuchen und begehren Ihro der Ehefrauen selbsten mit beÿstandt Herrn Johann Brackenhoffers, Notarÿ publici et practici allhier, deroselben geschwornen herrn Curatoris ad Lites inventiret (…) So beschehen Zu Straßburg in fernerer gegenwarth des wohl Ehrwürdig großachtbahr und wohlgelehrten Hn Philipp Georg Langen, treueiferigen Diaconi Zu Brumat und Pfarrers Zy Krautweiler, hochgräffl. Hanauischer Herrschafft, wie auch Annä Magdalenä Langin geb. Fautelin der Ehefrauen tochter Erster Ehe und ihres Eheherren, auff Freÿtag den 12.ten Decembris er seqq. Anno 1732.

In einer allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbruck neben der Gastherberg Zum Raaben gelegenen, in dieße Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behausung, befunden worden, wie volgt
Ane Holtz und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, Im Obern Haußöhren, In der Cammer D, In der obersten Stub, In der obern Stub Cammer, In der obern Kuchen, In der Wohnstub, In dem mittlern Haußöhren, In der Magd Cammer, Auff dem Gängel, In dem untern Stübel, In dem obern hindern Stübel, In der Gesellen Caammer, In dem Laden Stübel, In der untern Kuchen, In dem untern Haußöhren, In dem Hoff
Ergäntzung der Ehefrauen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder eingangs gedachter Ehepersohnen in die Ehe gebrachten Nahrung durch herrn Not: Johann Lobstein in Anno 1723. auffgerichtet
Antheil ane Häußern. (F.) Erstl. ein siebender oder 5/35. Theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer Vorders und hinderhaus, m. deßen Hoffstätten v. höfflein. darzwischen auch allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörd. rechten und Gerechtigkeiten, sampt der gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allhier Zu Straßburg jenseith der Schindbrucken, einseith neben der Gastherberg Zum Raaben, anders. ist ein Eck am Trummelgäßel hind. auf Meister Peter Laußer den Waffenschmid stoßend, Von welcher gantzen behaußung und Zwar von einem Wetterdächlein Jährl. auff Mich: gemeiner Statt Pfenningthurn 1. lb 17 ß 6 d ane bodenzinß gefallen, Ferner gehen von der gantzen behaußung 12. lb d Zu 4 peo Ct° gerechn. Zß dem Stifft St. Thomæ allhier, Jährl. auff den 27. Januarÿ ablößig in haubtguth mit 300. lb. Weiter hatte Fr. Susanna Maria Bezoldin, gebohrene Fautelin die dißseitige Stiefftochter auf dißer behaußung, Vor dero Mütter: Vätterliche und brüderl. assignationes, wie hernach fol: (-) fac: (-) erwehnet Zuerfordern, so dieselbe der dißortiger Theilbahren Massæ käufflichen überlaßen 611 lb 11 3/10. d. Deßgleichen ware auch H Joh: Georg Fautel dem Sattlern v. burgern allhier dem noch lebenden Stieffsohn wie dicto fol. fac: berichtet vor Mütterl. Vätterl. und bruderl. Guth die nembliche Summ gehörig, so derselbe ebenmäßig ane H. Sattler, den dißseitigen Ehemann Verkauffet mit 611 lb. 11 3/10. Welche beede letztere Zusammen 1222 lb 1 ß 10 3/5 außmachende Summen hernach fol. (-) fac. (-) denen theilbahren Pfenningzinß hauptgüter behörig inserirt Zuer*, Ferner hat Frau Pfarrerin Anna Magdalena Fautelin geb. Längin die Tochter erster Ehe (…) Und dann ane 468 lb 3 ß 3 d so Joh: Jacob Fautel dem ältisten Sohn erster Ehe (…) für gleiche summ ist auch Johann Carl und Joh: Friderich Fautel der Ehefrauen beed. Söhnen letzter Ehe auf solcher behaußung Vor vätterlich und bruderlich Guth gehörig (…) So dann hat die dißortige Ehefrau selbsten von Maria Sara Fautelin ihrem Töchterl. erster Ehe ererbter maßen (…) Welche auf dießer behaußung hafftende Capitalia und beschehene assignationes Zusammen antreffen 2000 lb d.
Weilen nun solche Behaußung sowohl beÿ Fautelischer Verlaßenschafft abtheilung als auch beÿ beeder Sattl. Ehepersohnen Inventur Zugebrachter Nahrung höher nicht als umb 2000 lb. d. angeschlagen v. in Calculum gebracht worden, alß ist, wann selbige dermahlen beÿ solchem pretio jedoch ohnpræjudicirlich gelaßen wird, vor obbedeuteten der Ehefrauen davon participirenden von ihrem Verstorbenen töchterlin erster Ehe ererbten siebend. theil weg. der daroben hafftenden beschwerd. dißorts in außwurff Zubringen, Nihil
Ane dem überrest dießer behaußung seind in dißeitige Theilbahre Massam Von Fr. Susanna Maria Bezoldin gebohr. Fautelin v. H. Joh: Georg Fautel, denen beed. noch lebenden Stieff Kindern erkauffter maßen 12/35 theil, So dann Fr. Pfarrerin Annæ Magdalenæ Langin gebohrner Fautelin, Joh: Carl und Joh: Frid. Fauteln der Ehefr. 3. noch lebend. Kindern erster Ehe theils vor Vätter und Theils Vor brüderl. Guth, Jedem insonderheit 6/25.te theil so vor alle 3 Zusammen 18/35.te Theil außmacht, gebührig. Über dieße behsg. sagt j. teutscher pergament Kauffbrieff in allhießig. Cancel. Contractstuben gefertiget u. mit deroselben anhang. Ins. corroboriret, dat. den 5. Decembris A° 1690 mit alt. Lit. A. notirt.
(F.) It. 4/35 te oder 60/525. te Theil Vor ohnvertheilt ane einer Behaußung, der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
(T.) It. 12/35.te theil Vor ohnvertheilt von und ane einer neben der Gastherberg Zum Raben allhier einseith der Schindbrucken gelegenen behaußung, höfflein und hoffstätten wie solche mit Ihren übrig. Zugehörd. auch auff und Anstößen hievorn fol. (-) fac. (-) et seqq.umbständlicher beschrieben und über den gemeiner Statt Pfenningthurn davon Zureichen habenden boden Zinnß Vom 1. lb 17 ß 6 d angeschl. pro 2000. lb. Zu deme aber die auff solcher behaußung hafftende Capitalia so alle hievorn benambset seind aber so viel als dießes pretium antreffen, als ist wegen obbedeuteter hiehero gehöriger 12/35.te theil werffen, Nihil.
Dieße portiones und haußantheiler haben beede Sattlerische Ehepersohnen von Fr. Susanna Maria Bezoldin und H Joh: Georg Fautel dem Satter, Ihren beeden Stieff Kindern in wehrender Ehe ane sich erkaufft, als deren Jedem insonderheit Vor Vätterlich Guth 1/7.ter oder 5/35.te theil. Und ane Joh: Jacob Fautels ihres Verstorbenen Vollbändig Bruders Vätterl.siebenden theil wiederumb ein fünfftel macht am gantzen hauß 1/35.ter theil gehörig ware, so beede Geschwisterder Zusammen obbedeutete 12/35.te theil außmachet. Wer sonsten noch mehreres an dießem hauß participirt, ist samt dem darüber besagendem hauptbrieff supra (-) fol. (-) fac. (-) et sqq. angemerckt befindlich.
It. 76/175.te oder 228/525.te theil Von ohnvertheilt ane einer Behaußung der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
Ergäntzung des Ehemanns ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander zugebrachte Nahrung durch H Not. Johann Lobstein in A° 1720 auffgerichtet
Des Manns Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Silbers 44, Sa. Goldener Ring 61, Sa. baarschafft 20, Ergäntzung (513, Abgang 4) 509, Summa summarum 656 lb
Summarischer Calculus über H Johann Jacob Sattlers, des Sattlers und Fr. Annä Mariä Sattlerin geb. Frantzin dermalen besitzende theilbare Nahrung, Sa. haußraths 288, Sa. Silbers 13, Sa. Pferdts 18, Sa. Baarschafft 34, Sa. Liegenden güether 159, Sa. Activorum 242, Sa. der Wein und Vaß 360, Sa. Wahren 1969, Sa. der Capitalien 1734, Summa summarum 4821 lb
Fr. Sattlerin Ergäntzung (3166, Abgang 353, rest) 2812, Mariti Ergäntzung 509, Inventirt theilbare passiva 1363, der beeden Kind. Interesse Vom bruderl. guth 82, Sa. 4739 lb

1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
Sattler Jacob Sattler 218, 221

Jean Jacques Sattler cède sa part d’immeubles à sa femme Anne Marie Frantz

1733 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 142
Johann Jacob Sattler
seiner quo ad thorum et mensam geschiedene haußfrau Annæ Mariæ geb. Frantzin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici, demnach die von seithen Löbl. Ehegerichts allhier am 16. Decembris 1732 erkannte Separation und zuvorhin am 4. ejusdem von E.E. Kleinen Raths verordneter Inventur beeder Ehegattern besitzenden vermögens H. Not. Johann Daniel Lang auffgerichteten Vergleich getroffen
die währender Ehe erkauffte antheiler ahne hernach beschriebenen häußern (…) 1. 12/35 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinder hauß, höfflein gemeinschafft des bronnens und hoffstatt samt zugehördenden jenseith der Schindbruck einseit neben der gastherberg zum Raaben anderseit ist ein eck am Trommel: gäßel hinten auff Peter Laßen den waffenschmidt, von dießen gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb, 17 ß 6 d ane bodenzinß, dem stifft St Thomæ (300, 336, 428 und 49 pfund beladen)
ferner 76/175 theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff, bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neu erbauten höltzernen gutschen Schopff auff des hiebevor allda gew. garttenplätzlein gebauen worden, hoff und Bronnen sambt zugehörden unterhalb der Gastherberg zum Raaben zwischen der schind und Neuenbrucken in einem das Kuppelgäßel genannten Allmendgäßlein, einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffers Erben zuständigen Kuppelhof anderseit neben ged. gastherberg zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, welcher auch das Recht des gebrauchs obged. bronnens in des ein: und ausgang durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers nachgelaßener wittib (um 528, 160 und 300 lb verhafftet) – als ein währender ehestandts den 28. Septembris 1730 und 7. Januarÿ 1732 erkaufft und mithin theilbares guth, dem cedentene zu zwo tertzen und der cessionnaria zum übrigen tertz
seine zween dritte theil ahne denen im Scharrachbergheim und Fleckspurger Bann

Anne Marie Frantz, femme séparée de Jean Jacques Sattler, hypothèque les parts qu’elle vient d’acheter au profit des enfants mineurs du tisserand Jean Henri Lembeck

1733 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 144
Fr Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers geschiedene Ehefrau beÿständlich ihres Curatoris ad lites H. Johannes Brackenhoffen Notarÿ Publici und Practici
in gegensein Johannes Wengenroth des Tuchscherers als Curatoris ordinarÿ und Johann Jacob Clauß des hoßenstrickers und Under: Stallbotten als curatoris ad lites weÿl. Johann Heinrich Lembeck wollenwebers 5 Kinder Annæ Magdalenæ, Catharinæ Dorotheæ, Elisabethæ Gertrudis, Annæ Mariæ und Margarethæ Magdalenæ der Lembeck – schuldig seÿen 250 lb
unterpfand, 13/35 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt sambt zugehörden, jenseith der Schindbruck einseit neben der Gastherberg zum Raaben anderseit ist ein eck am Trummekgaßel hinten auff. Peter Laßer den waffenschmidt
Ferner 76/175 theil und 1/125 theil für ohnvertheilt ahne dem so genannten kleinen Kuppelhoff, bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem neu erbauten höltzernen gutschen Schopff so auff allda gew. gärttlein gebauen worden, hoff und Bronnen sambt zugehördenden unterhalb der Gastherberg zum Raaben zwischen der schind und Neuenbrucken in einem das Kuppelgäßlein genannten gäs&lein einseit neben dem großen weÿl. H. Rathh. Johann Friedrich Richshoffers Erben zuständigen Kuppelhof an ged. gastherberg zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler hinten auff weÿl. Johann Heinrich Lobstein des Jüngern gewesten Metzgers nachgelaßener wittib – vom ersten hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß 6 ane bodenzinß

Anne Marie Frantz hypothèque sa part d’immeubles au profit de la fille mineure du garde Daniel Lentz

1733 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 522-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici
in gegensein H. Johannes Beck des Buchhändlers, als geschwornen vogts Jfr Annæ Mariæ geb. Lentzin weÿl. Daniel Lentz gewesten Garde alleinigen Kindts – schuldig seÿen 1250 pfund
unterpfand, Ihre noch nicht völlig determinirte antheiler ahne zweÿer häußern deren eines jenseith der Schindbruck einseit neben der Gast behausung zum Raaben anderseit neben weÿl. Peter Laußer gewesten waffenschmidts Creditoribus zum theil theils ein eck am Trommelgäßel gelegen, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
das ander aber im Kuppellhoff gäßel einseit neben ged. Gast behausung zum Raaben anderseit neben den großen Kuppelhof so weÿl. H. Johann Friedrich Richshoffer Exsenatoris Kindern zugehörig liegt, und der kleine Kuppelhoff genannt wird, theils ihro theils ihren leiblichen und stieffkindern eigenthümlich zuständig

Anne Marie Frantz loue une partie de la maison, notamment la boutique, au sellier François Grandpierre

1734 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 176-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers qua ad thorum et mensam separirte ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Johannes Brackenhoffer Notarii Publici und Practici
in gegensein François Grandpierre des sattlers beÿständlich François Gilbart des Kunstmahlers
verlühen, In ihr der verlehnerin und ihren Kindern eigenthümlich allhier jenseith der Schindbruck einseit neben der gastherberg zum Raaben, anderseit ist ein eck am Trommel: oder ochßengäßlein hinten auff Peter Laußer des gewesenen waffenschmidts creditores gelegenen behausung, In dem Vorderhauß unten auff dem boden, den neben dem gasthauß zum Raaben befindlichen Laden durch welchen doch die verlehnerin sich den ihrigen und allen denen die beÿ ihr ein: und ausgehen, den freÿen durchgang vorbehaltet, ferner die Stueb und Kuchen auch platz im Keller um etwann 6 ohmen wein dahin legen zu können, Item das gantze hinderhauß, nichts davon als die für den jeweiligen einquartirten officier bestimmte stueb und Kammer ausgenommen, So dann platz zum holtz under dem hiderhauß – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund

Anne Marie Frantz loue une partie de ses immeubles à Jean Jacques Sattler dont elle est séparée

1735 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 819-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des Sattlers quoad thorum et mensam geschiedene Ehefrau mit beÿstand ihres Curatoris ad Lites H. Mr Johann Jacob Römer Procuratoris vicarÿ
sein erstbemeltes Johann Jacob Sattler
In ihrer jenseith der Schindbrück einseit neben der gastbehausung zum Raaben anderseit ein eck ane dem Ochßen: oder Trompeter gäßlein stoßend gelegene Behausung Unden auff dem boden in dem Vorder hauß ein Sattler: Laden und die darinn stehende zwen waaren kästen, die laden stub, Kuchen, Speiß Kammer, das holtzhauß im hoff so weith es mit Bruckhöltzern belegt ist, wie auch in dem Keller platz umb 20 bis 30 Ohmen Faß dahin legen zu können,
die Erste stiege hoch die große wohnstub, das haußöhren, die Kuchen sambt der in den hoff stehenden Kammer, weither dreÿ stiegen hoch zwo in den hof gehende Kammmern und zu oberst in dem hauß den haarschlag,
Mehr in dem kleinen Kuppelhoff stehende an H. Philipp Richshoffers stall stoßende kleine Remise umb Chaisen darin zu stellen – auff 18 nacheinander folgenden jahren anfangend von der zeith an als François Grand Pierre der Sattler der Ein theil obbeschriebener Stück in lehnung hat das hauß raumen wird und sich 18 jahr darauff oder durch das absterben eines der contrahenten endigen – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund

Anne Marie Frantz hypothèque sa part l’immeubles au profit des enfants du boulanger Jean Jacques Debus

1740 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 335-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers quo ad thorum et mensam geschiedene Ehefrau, beÿständlich ihres Curatoris H. Lt. Johann Jacob Römer Procuratoris Vicarÿ
in gegensein weÿl. Johann Jacob Debus des weißbecken hinterlassener zweÿ älterer töchter Margaretha und Dorothea der Debus so ohnbevögtigt zu seÿn versichern und in fernerm gegenwart besagten Debus zweÿen jünger kinder Catharina und Anna Maria* die Debus geordneten vogts Johann Daniel Wehrbeck des schwerdtfegers – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, 3/5 theil für ohnabgetheilt ahne Einer behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, Zugehörden und gerechtigkeiten jenseith der schindbruck ohnfern dem metzger gießen, einseit ist ejn eck am Trommelgäßel, anderseit neben dem gasthauß zum Raaben, hinten auff Diebold N den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt 17 ß ane bodenzinß – ihr Schuldnerin zu besagten 3/5 theilen eigenthümlich zuständig angesehen sie 1/5 theil von ihrer verstorbenen tochter erster ehe Maria Sara Faudelin seel ererbt und 2/5 von ihren stieffkindern Georg Faudel den sattler und Susanna Maria Bezoldin geb. Faudelin erkaufft habe dahingegen die übrige 3/5 übrige Faudelischen kindern zugehörig seÿen

Anne Marie Frantz hypothèque sa part l’immeubles au profit du marchand de vins Jean Saum

1741 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 628
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattlers des Sattlers zu tisch und bett geschiedene ehefrau beÿständlich ihres Curatoris H. Lt. Jacob Römers Proc. vicarÿ
in gegensein H. Johannes Saum des weinhändlers – schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt cum appertinentis jenseit der Schindbruck ohnfern dem Metzgergißen einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben dem Gasthauß zum Raaben, hinten auff Diebold Wöhrle den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
mehr eine behausung, hoff, remise und hoffstatt der kleine kuppelhoff genandt ane dem Kuppelgaßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben besagtem Gasthauß zum Raaben99 hinten auff Schneeganß den metzger

Jean Charles Faudel vend sa part l’immeubles à sa mère Anne Marie Frantz

1742 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 1
Johann Carl Faudel der sattler
seiner mutter Fr. Annæ Mariæ geb. Frantzin Johann Jacob Faudel/Sattlers des sattlers zu tisch und bett geschiedener Ehefrau, mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Johann Jacob Römers procuratoris vicarÿ
6/35 theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wie auch die gemeinschaft eines bronnens jenseit der Schindbruck, einseit neben der Gastbehausung zum raaben, anderseit ist ein eck am trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postillon – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß (um 300 und 1222 pfund dem verkäufer selbst, 142 pf., 285 und 49 pfund verhafftet)
ferner 79/525 theil vor unvertheilt ane dem sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿen unterschiedenen gebäuden, einem kutschen: schopff, hoff und bronnen samt zugehörden in dem Kuppelgäßlein, anderseit neben dem großen kuppelhoff, anderseit neben gedachtem gasthauß zum Raaben zum theil theils neben Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, der auch das recht des gebrauchs obged. bronnens und des ein und ausgangs durch das große thor zu seinem häußlein hat, hinten auff Schneeganß den metzger (um 512, 176, 352 und 160 pfund verhafftet)
das hauß am Raaben um 2000 lb, so viel aber den kleinen kuppelhoff 1200 lb beladen, 318 pfund, davor der verkäufer bereits Innhalt einer zwischen ihme und der käufferin am 28. Januarÿ 1740 vor H. Notario J. Rud. Dinckel gepflogene abrechung

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Agnès Wessner, veuve de l’avocat Jacques Wencker

1744 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 208-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris ad lites H. Lt Johann Friedrich Faust Proc. vicarÿ
in gegensein H. Johann Heinrich Jahreiß Oberschreibers des Frauenhaußes als mandatarius Fr. Agnes geb. Weßnerin weÿl. S.T. H. Jacob Wencker gewesten Jcti. und hiesigen Löbl. stadt Raths und advocati wittib – schuldig seÿe 500 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höffllein und hoffstatt cum appertinentis jenseit des Schindbrucks, einseit neben der gast behausung zu Raben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle Postilion, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß bodenzinß
mehr den so genanndten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unteschiedenen gebäuen einen kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt salt zusammenr in dem Kuppgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben ged. Gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer weinhändler hinten auff. Scheeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Anne Marguerite Krieg, veuve du chirurgien Jean Henri Mosis

1745 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 208
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Friedrich Faust Procur. Vicarÿ
in gegensein Fr. Annæ Margarethæ geb. Kriegin weÿl. Johann Heinrich Mosis des Chirurgi wittib, mit beÿstand Christoph Bogner des kurtzmeßerschmidts ihres vogts – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis jenseit der Schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
ferner den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem Kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben dem gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, hinten auff Schneeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit du docteur en médecine Georges Henri Eisenmann

1747 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 388
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau mit beÿstand ihres curatoris H. Lt. Johann Friedrich Faust advocati und procuratoris ordinarÿ beÿ Löbl. Ammeister audientz
in gegensein H. Georg Heinrich Eißenmann Med. D. et Prof. auch Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der Schindbruck, einseit neben der Gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
ferner den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem Kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff anderseit neben dem gasthauß zum Raaben zum theil theils Friedrich Wagner dem kieffer und weinhändler, hinten auff Schneeganß den metzger

1749, Protocole des Quinze (2 R 159)
E.E. Handwerck der Sattler
335 Jacob Sattler, 351, 367, 527

Jean Jacques Sattler et Anne Marie Frantz hypothèquent les immeubles au profit de Marie Salomé Jund, veuve du marchand Valentin Grauel

1750 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 365-v
Johann Jacob Sattler der sattler und Anna Maria geb. Frantzin mit beÿstand ihres sohns erster ehe Johann Georg Faudel des sattlers und ihres vettern Johann Heinrich Leÿdecker geschwornen courtier
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Jundin weÿl. H. Valentin Grauel des handelsmanns wittib, mit beÿstand ihres sohns H. Johann Philipp Grauel Med. Dis. und Physices Prof. auch capituli Thomani canonici – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der schind bruck, einseit neben der Gastbehausung zum Raaben anderseit ist ein eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle dem postilion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 7 ß ane bodenzinß
ferner hypoteciren sie in specie den sogenannten kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäud, hoff, kutschenschopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben gedcahtem gasthauß zum Raaben theils Friedrich Wagner dem weinhändler und NN Schneganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit d’Anne Marie Herrmann veuve du farinier Martin Albrecht

1751 (25.11.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 566-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers geschiedene ehefrau beÿständlich ihres vettern H. Johann Heinrich Leÿdecker des geschwornen courtie
in gegensein Johann Jacob Albrecht des knopffmachers namens seiner mutter Fr. Annæ Mariæ geb. Herrmännin weÿl. Martin Albrecht des meelmanns wittib – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung besethend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt jenseit der Schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben, anderseit ist ein eck am Trommelgäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle dem Postillion – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß ane bodenzinß
so dann den so genannten Kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem kutschen: schopff, brunnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppel: gäßlein, einseit neben dem großen kuppelhoff, anderseit neben gedachtem gasthauß zum Raben theils Friedrich Wagner dem weinhändler, hinten auff NN Schneeganß den metzger

Anne Marie Frantz hypothèque ses immeubles au profit du marchand Jean Georges Walter

1754 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 368
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Johann Jacob Sattler des sattlers ehefrau beÿständlich ihres vetters H. Johann Riedlin des chirurgi
in gegensein H. Johann Georg Walter des handelsmanns – schuldig seÿe 300 pfund
Unterpfand, erstlich, eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, höfflein und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten ane der schindbruck, einseit neben der gastbehausung zum Raaben,anderseit ist ein eck am Trommengäßlein, hinten auff Diebold Wöhrle den Postilion, (davon gibt mann) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 17 ß
so dann hypothecirt sie ihre specifice der sogenannte kleinen Kuppelhoff bestehend in dreÿ unterschiedenen gebäuen, einem kutschen schopff, bronnen, hoff und hoffstatt in dem Kuppelgäßlein, einseit neben dem großen Kuppelhoff, anderseit neben ged. Gasthauß zum Raaben theils Friedrich Wagner dem weinhändler hinten auff NN Schneegans den metzger

1767 (17.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) n° 631
Inventarium über Weÿland H. Joh: Jacob Sattlers des ältern geweßenen Saltlers nun seel. Verlaßenschafft

Anne Marie Frantz meurt en 1767 en délaissant trois enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment à la somme de 1 000 livres la maison dont les titres d’acquisition sont donnés en détail. L’actif de la succession s’élève à 2 897 livres, le passif à 4 529 livres.

1767 (11. 7.br), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) n° 648
Inventarium über Weÿl. fraun Annæ Mariæ Sattlerin geb. Frantzin, auch weÿl. Hn Joh. Jacob Satlers des ältern geweßenen Sattlers und Burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1767 – als dieselbe Sontags den 29.ten Aug. dießes laufenden 1767.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen seel. Absterben hier zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 11.ten 7.bris A° 1767.
Die Verstorbene seel. hat Zu Ihren Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo Weÿl. Hn Joh: Carl Fautels des geweßenen Sattlers und Burgers in Collmar seel. mit Frauen (-) ehelich erzeugten Sohn Nahmentlichen Herrn Joh: Heinrich Fautel Metzgern und burgern in Collmar, In den ersten fünfften Stammtheil, 2.do Weÿl. fraun Mariæ Magdalenæ Langin geb. Fautelin mit auch weÿl. S. T. Hn Philipp Georg Lang treueifferigen Pfarrern und Special des Ambts Westhoffen seel. ehelich erzeugte Tochter mit Nahmen Frau Maria Magdalena geb. Langin Hn Joh: Michael Turbans Gastgebers in Bischheim Zum hohen steg Ehefrau so in persohn gegenwärtig war, In den 2. fünfften Stammtheil, 3.tio Hn Joh: Friderich Fautel den hdls Mann und burgern Zu Schwobach beÿ Nürnberg in den dritten 5.ten Stammtheil, dieße 3 der Verstorbenen seel. mit weÿl. Hn Joh: Jacob Fautel dem geweßenen Sattler vnd burgern allhier Ihrem Ersten Ehemann seel. ehelich erziehlte Söhne und tochter, auch deroselben nachgelaßene Kinder in deme aber solche allhier ohnverburgert alß ist in deren Nahmen laut Extractus Es En kleinen Raths Memoriali vom 10. 7.bris jüngst S. T. H. Joh: Heinrich Beck Es En Großen Raths alter und Es En Kleinen Raths dermaliger wohlverdienter beÿsitzer als ernandter Hr Deputatus erschienen
4. Weÿl. Fraun Mariä Elisabethä geb. Sattlerin in Zwoen Ehen ehelich erzeugte Kinder benantlich 1. H Joh: Christoph Otto leedig. Hdsmann, 2. H Joh: Christoph Otto auch ledig. hdsmann, 3. Jgfr. Mariam Cleophe Ottoin und 4. Jfr. Magdalenam Christinam Ottoin, dieße 4. in erster Ehe mit auch weÿl. Hn Joh: Christoph Otto dem geweßenen hdsm. v. b. allh. ehelich erzeugte Kinder welche mit und beneben S. T. H. Joh: Daniel Lauth Notariatus Candidato und Burgern allhier als Ihrem geschwornen H Vogts gegenwärtig ware, 5. Mariam Salome Frölichin und 6. Margaretham Elisabetham Frölichin, dieße beede der verstorbenen töchter seel. in Zweiter Ehe mit H Joh: Thomas Frölich dem auch handelsmann und burger, allhier ehel. erzeugte beede Kinder welche mit S. T. H Joh: Georg Himmler wohlbestellten H. Oberschreiber löbl. Stifft St. Marx und burgern allhier bevögtigt, so auch noîne derselben beÿ d. Inventur erschienen, So dann
5.to H Johann Jacob Sattler den Jüngern Sattler und Burgern allhier welcher dem Geschäfft persönlich beÿgewohnet in den letzten 5. Stammtheil, die bede letztere der Verstorbenen seel. in letzter Ehe mit auch weÿl. H Joh: Jacob Sattler Sen: gew. Sattler v. b. allh. ehel. erzeugte fr. tochter und Sohn
Vericht in Gegenwärtiges Inventarium gehörig. Beÿ Inventirung dießer Verlaßenschafft habe ich der Notarius befragt, ob die Verstorbene seel. nicht einige Letzte Willens Verordnung auffgerichtet, worauf der bericht ertheilt auch eine ohnvidimirte Copia einer Verordnung unter Kindern in forma eines Testamenti nuncupativi vorgewießen worden, es enthaltet aber nichts anders als daß Ihr Sohn Erster Ehe Joh: Friderich Fautel in Schwaben vor sein samtlich Künffig Mütterlich erb mit 2000 fl. ausgewießen werden sollen (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vieh Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen eine Vorder und hinter behaußung mit deren Hoffstätten, höfflein Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten beneben der Gemeinschafft eines Bronnens, gelegen allhier Zu Straßburg, jenseit der Schindbrucken einseit neben der Gastherberg Zum Raaben, anderseit ist die Behaußung ein Eck am Trummelgäßel hinten auf gedachte Gastherberg Zum Raaben stoßend, davon gibt man Jährlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn 1. lb 17 ß 6 d ane bodenzinß, sonsten auß hernach eingetragenen darauff hafftenden Capitalien freÿ leedig eigen, und durch H Samuel Werner Bau Inspectorem und H Sebastian Hubert Werckmeistern des Zimmerhoffs laut Abschatzungs Zeduls vom 11. 7.bris 1767 angeschlagen pro 2000 fl. oder 1000. lb. Abgezogen obgemelten darauf hafftenden Bodenzinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 75. lb: Nach solchem Abzug Verbleibt annoch ane dem Anschlag solcher behaußung dißorths außzuwerffen übrig 925 lb. Darüber soll besagen 1. teutsch. pergam. Kffbr. in allh. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret dd. 5. Xbris 1690 m. alt. Lit. A. notirt.
Item eine Behaußung, der Kleine Kuppelhoff genandt (…)
Über obbeschriebene Neben der Gastherberg Zum Raben gelegene Sterb behausung sagen ferner 5. Versch. in allh. C. C. Stub errichtete und mit dero Anh. Ins. Verwahrte Kffbrieff datirt d. 10. 8.bris 1586, d. 1. 7.bris 1604, 18. 8.bris 1627, 17. Xbris 1667. et 26. 8.bris 1676. Weiter 1. teutsch. perg. in allh. C. C. Stub errichteter und mit dero anh. Ins. verwahrter teutscher pergamenter Kffbr. außweisend Wie die Verstorbene seel. und dero Verstorbenene Ehemann und Fr. Susanna Maria Bezoldin geb. Fautelin, des Gastgebers Zur Linden und burgers allhier Ehefrauen, ihro Vor Vätter und Brüderl. Erbguth gebührig gewesene 6/35.ste theil ane der Sterb behaußung neben dem Raaben und Ihre 28/175.ste theil ane dem Kleinen Kuppelhoff erkaufft dd. 28. 7.bris 1730. deme in fine annectirt, daß die verstorbene seel. auch auf Ihren Vätter: und ererbt Brüderliche Antheil derjenigen 1000. fl. so die Verstorbene seel. lebtägig Zu genißen hatte und die Bezoldische Ehefrau Ihro Zu Verzinßen hatte renuncirt. Ferner eine Von erstgemelter Kauffverschreibung in allh C. C. Stub gefertigte papÿr Copia deren in fine eine von H Joh: Georg Fautel Sattlern und eintzigen Erben gedachter fr. Bezoltin annectirte Quittung über 95. lb d und 19. lb 1 ß 4 d besagend d.d .d 19. febr: 1731.
Über 6/35.theil der Behaußung neben dem Raben wie auch über 35/175.te theil der behaußung Zum Kleinen Kuppelhoff welche Hn Joh: Georg Fautel dem Sattler und burgern allhier der Verstorbenen seel. Stieffsohn gehörig waren, ist vorhanden 1. in mehrgemelter C. C. Stub errichteter und mit dero anh. Ins. verwahrter Kauffbrieff Crafft deßen beede Sattlerische Eheleuthe solche haußantheiler Kaufflich an sich gebracht dat: d. 7. Jan: 1732. (…)
Weiter ein pergamenter Kauffbrieff und respectivé Cession in allhiesiger Contract Stub gefertiget und mit dero anh. Insiegel corroborirt, weißend wie der Verstorbene Ehemann Joh: Jacob Sallter der Sattler und burger allh. als sich beede Eheleuthe Zu disch und Zu bett separirten, seiner Ehefrauen die Vorherig. beeden Kauffbrieffe gemelte 12/35.ste theil der behaußung neben dem Raaben und die 75/175.ste theil des Kleinen Kuppelhoffs eigenthümlich cedirt und überlaßen, deßen datum der 17. Martÿ 1733. mit N° 1 bezeichnet
So dann eine pap. auch in all: C. S. Stub gefertigte und mit dero Kleinerem Secret Insigel corrobororte Kauffverschreibung außweißend, wie Joh: Carl Fautel d. Sattler und burger allhier der Verstorbenen seel. eheleibl. Sohn seiner Mutter seine 6/35.ste theil ane der Behaußung neben d. Gastbehaußung Zum Raaben und seine 79/525.te theil ane dem Kleinen Kuppelhoff eigenthümlich Verkaufft und überlaßen d.d. 2.ten Jan: 1742.
Ane der neben dem Raben gelegenen Behaußung war Joh: Jacob Fautel dem Sattler der 7.te theil gehörig welchen aber seine beede Voll: und dreÿ halbbändige geschwüstere auf deßen tödt. Ableiben ererbt. Fraun Susanna Maria Bezoldin geb. Fautel war Vor Vätter: und brüderl. Erbguth gebührig, so laut Kauffbrieffs vom 28. 7.bris 1730. an beede Sattlerische Eheleuthe eigenthümbl. übergeben worden 6/35.
H. Joh: Georg Fautel dem Sattler v. b. allh. war gleichfalls Vor Vätter: und brüderl. Erbguth gebührig so an Sattlerische Eheleuthe lt. Kauffbrieffs vom 7. Jan. 1732. verkaufft worden 6/35
Joh: Carl Fautel dem Sattler und b. allhier gehörte ebenfalls Vor Vätter v. brüderl. Erbschafft so die Verstorbene seel. l. Kauffbrieffs vom 2.ten Jun: 1742. erkaufft 6/35
Weÿl. Frauen Specialin Anna Magdalena Langin geb. Fautelin als der Fr. Turberin Fr. Mutter sel. vor ebenfalls vor Vätter: und brüderl. Erbschafft gebührig, so Ihre beÿ Außlieferunng solcher Erbschafft Vergüthet worden 6/35
Joh: Friderich Fautel dem Schwerdfeger Zu Schwabach war ebenfalls Vätter: und brüderl. Erbschafft zuständig, so Ihme laut seiner handschrifft vom 3. Aug. 1745. der 6.ten Apr: 1743. vergüthet und bezahlt worden 6/35
So dann ist der Verstorbenen seel. wegen Saræ Fautelin Ihres nach dem Vatter Verstorbenen, und von Ihro geerbten Kindts wegen seines vätterl. Guths eigenthümlich Zugefallen 1/7. theil od. 5/35.
Ane der Behaußung Zum Kleinen Kuppelhoff (…)
Wÿdum, Welchen der Verstorbene seel. von Ihrem ersten Ehemann H Joh: Jacob Fautel dem geweßenen Sattler und burger, alhier Zeit Lebens Zu genißen verordnet worden
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft 30, Sa. Eigenthumbs ane häußer 2425, Sa. Gülth von liegenden güthern 240, Summa summarum 2897 lb – Schulden 4529 lb, Mehr Schulden als Nahrung in vero pretio 1651 lb – Endlicher passiv Schulden rest 1480. lb

1768, Protocole des Quinze (2 R 179)
pt° Abzugs
133 weÿl. Fr. Annæ Mariæ Frantzin auch weÿl. Johann Jacob Sattler wittib, 183

Les héritiers vendent la maison au marchand Ange Marie Tagliasachi

1768 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 511
H. Johann Georg Himler der oberschreiber löbl. Stiffts St Marx als mandatarius Johann Heinrich Faudel des metzgers zu Colmar und Johann Michel Durban des wirths zu Bischheim zum Hohen Steeg, ferner H. Johann Christoph Otto und H. Michel Otto, beede handelsleuthe beÿständlich ihres annoch ohnentledigten vogts H. Johann Daniel Lauth Notariatus candidati, dißer zuzüglich als vogt Jfr. Maria Cleophä und Christinä Magdalena der Otto, mehr obgedachter H. Himmler als vogt Mariæ Salome und Margarethæ Salome der Frölichin, so dann Johann Jacob Sattler der sattler
in gegensein H. Angelo Marie Tagliasachi des handelsmanns
eine behausung bestehend in vorder und hinterhaus, hoff, gemeinschaftlichkeit eines bronnens und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein eck ane dem Trometengäßlein, anderseits und hinten die gastherberg zum Raaben – als ein von ihrer mutter und respective großmutter weÿl. Fr. Anna Maria Sattlerin geb. Frantzin ererbtes guth (um 300, 500, 200, 600, 750 pfund verhafftet, geschehen um 105 pfund)

Originaire de Tremezzo sur le lac de Côme en Lombardie, Ange Marie Tagliasachi épouse en 1764 Chrétienne Charlotte Storck, veuve du marchand Charles Hyachinte Henry : contrat de mariage, célébration
1764 (27.2.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 88
Eheberedung – persönlich kommen v. erschienen seÿe der Ehrengeachte Angelus Maria Tagliasachi aus Trametzo in Italien geb. weÿl. Joseph Tagliasachi des b. v. Schneiders allda mit frauen Anna Maria geb. Brentano ehelich erzeugter Sohn, Lediger Handelsbedienter, als Hochzeiter, unter assistentz Hn Johann Joseph Groß des b. und handelsmann alhier ane einem
So dann die Viel Ehr v. Tugendgezierte Fr. Christina Carolina geb. Storckin weÿl. Hn Charles Hyacinth Henry des gewes. Handelsm. v. b. dahier seel. W. unter verbeÿstandung H. Joh: Conrad Scholl des Siegristen beÿ St Louis allhier am andern theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 27. Februarii 1764. [unterzeichnet] Anglo Maria Tagliasachi, Carola Storkin

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 133)
Hodie 28. Februarÿ Anni 1764 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Angelus Maria Tagliasachi Civis et mercator hujas ex Freniezzo Diœcesis Comensis oriundus defuncti Joseph Tagliasachi civis et sartoris dicti loci et Annæ Mariæ Brentano olim conjugum filius legitimus et Majorennis Et Maria Carola Storckin, vidua Caroli Henry dum viveret civis et Mercatoris hujatis, ambo parochiani nostri (signé) angelo Maria Tagliasachi, Carola Storckin (i 70)

Fille d’un tailleur à la cour de Karlsruhe, Chrétienne Charlotte Storck épouse en 1762 le marchand veuf Charles Hyachinte Henry : contrat de mariage, célébration
1762 (23.6.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 63
Eheberedung – persönlich kommen v. erschienen seÿe der Ehren v. wohlvorgeachte Herr Carolus Hyacinthus Henry der Handelsmann v. Br. allhier ane einem,
So dann die Viel Ehren v. tugendgezierte Jgfr. Christina Charlotta Storckin weÿl. Herrn Martin Storck des gewesenen Hoffschneiders v. bs. Zu Carlsruhe seel. mit Frauen Maria Margaretha geb. Gartnerin ehelich erzeugte tochter, unter assistentz Hn Johann Conrad Scholl des Siegristen beÿ der Pfarrkirchen Zu St Louis dah. am andern theil
So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 23. Junii 1762. [unterzeichnet] Charle jasien henry

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 128)
Hodie 25 Junii Anni 1762 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Carolus Henry, Civis et Mercator in hac urbe, viduus Mariæ Salome Ehrhardin ex unâ et Christina Carola Storckin oriunda ex Carlsruhe filia legitima Martini Storck defuncti et Margaritæ gartnerin ex altera partibus, ambo commorantes in hac Parochiâ (signé) Charle Henry (i 66)

Ange Marie Tagliasachi devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1764, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 36-v
Angelo Maria Tagliasachi d. handelsmann von Tremezo am Comer See geb. erhalt das burgerrecht ab uxore Christina Charlotta weÿl. Charles Hyacinthe Henry gew. burgers und handelsmann allhier hinterl. wittib umb den alten burger schilling will dienen beÿ E E Zunfft Zum Spiegel Jur. den 31. Mertz 1764.

1764, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
Donnerstags den 9. Februarÿ 1764
Vertrösteter Leibzünfftiger – Sr Angelo Maria Tagliasachi von Tremezzo am Comer See gebürtig (292 Leibzünfftiger – Dienstags den 3. Aprilis 1764

1766, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
Donnerstags den 13.ten Februarÿ Anno 1766
Neuer Zudiener Fastenspeishändler en gros – Herr Angelo Maria Tagliazachi der Handelsmann

1764, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
Dienstags den 17. Julÿ 1764
Geld zünfftiger Angilo Maria Tagliasachi

1768 (21.12.), Not. Elles (6 E 41, 1336) n° 432
Inventarium über Herrn Angelus Maria Tagliasachj des Handelsmanns u. deßen Fraun Eheliebstin Fraun Christina Carolina Tagliasachi geb. Storck beeder Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen

Ange Marie Tagliasachi hypothèque la maison au profit de Françoise Dorothée Gœbel femme de l’huilier Jean Nicolas Ottmann pour en régler les réparations

1769 (9.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 133)
Sr Ange Marie Tagliasachi Marchand (devoir)
à Françoise Dorothée née Goebel Epouse du Sr Jean Nicolas Ottmann Marchand huilier 1500 lit
qu’il a employé ladite somme de 1500 livres aux reparations et ameliorations qu’il a fait faire a sa Maison scituée en cette ville faisant le coin de la petite ruelle ou cul de sac aupres du cabaret à l’enseigne du corbeau laquelle maison il hypothèque

Ange Marie Tagliasachi et Chrétienne Charlotte Storck font dresser un état de leur biens pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. Les experts évaluent la maison à 3 500 livres. Les biens propres de la femme s’élèvent à 1 259 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 6 471 livres, le passif à 9 264 livres.

1769 (11.1.), Not. Elles (6 E 41, 1337) n° 434
Inventarium über Herrn Angelus Maria Tagliasachi des handelsmanns u. Frauen Christinæ Carolinæ geb. Storck beeder verburgerter Eheleuthen dahier Zu Straßburg würcklich besitzende Activ Passiv Nahrung, aufgerichtet Anno 1769. – (…) welche Nahrungen der Ursachen halben, alldieweilen des Ehemanns seinige mit verschiedenen Passivis onerirt und dahero die Ehefrau ihr unverändert Guth Zusamt dem was ihro sonsten vermög der Eheberedung gebührig Zu Salviren beachtet und zu solchem Ende würcklich beÿ Em En Kl. Rath dah. pro beneficio Cessionis eingekommen inventirt (…) So geschehen in d. Königl. Statt Straßburg auf Mittwoch den 11. Monats tag Januarÿ Im Jahr 1769.

In der Vordern auf dem Zweÿten Stock befindlichen Wohnung und übrigen Gemachen, so Sie Tagliasachische Eheleuthe in hizrnach eingeführter ohnlängst an sich ersteigten dahier Zu Straßburg zwischen d. Viehgaß und dem holtzstadten neben der Gastherberg Zum Raben gelegenen behaußung innhaben, ist befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der handels bedienten Cammer auf dem dritten Stock, In d vordern wohnstub auf den 2.ten Stock, In d. Vordern Stub Cammer, Im Hauß Ehren allda, In der Kindern Stübel neben vorstehendem Stübel In d. duncklen Kuchen, Auswendig im hauß Ehren und Höffel, Im Comptoir
Eigenthum ane einer behaußung. Neml. eine behausung bestende in vord. und Hinter haus, hoff, hoffstatt gewölbtem Keller mit d. Gemeinschaft des bronnens, mit allen derselben Weiten, Zugehörden, Rechten, Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg Zwischen d. Viehgaß u. dem Holtzstaaden gelegen 1.s neben d. Gastherberg Zum Raaben, 2.s ist das Kuttlergäßel u. hinten auf erstged. Gastherberg stosend, so auser hernach eingeführten darauf versichet stehenden Capitalien Freÿ leedig u. eigen. Und ist diese behausung sampt Zugehördten durch (die Werckmeistere) Zufolg dero schriftlichen dem Concept beÿ behaltenemn Abschatzungs Procès verbal æstimirt und angeschlagen worden für und umb 7000 fl. od. 3500. lb. Und hat Er H Tagliasachi sothane behausung von weÿl. Fraun N Sattler geb. N. seel. Erben laut in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub unterm 18. Augusti jüngst Zurückgelegten 1768. Jahrs Käuflich an sich gebracht und ist d. Kauffbrieff darüber von d. noch Zur Zeit nicht gelüffert worden.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrend bisheriger Ehe abgangen unveränderten Guths. Ausweislich über der dießorthigen beeder Eheleuthen einander Zu und in den Ehestand gerbachter Haab und nahrung durch unterschrib. Notarium den 21. Decembris 1768 errichteten Inv.ii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung vor unterschriebenem Notario sub dato 27. Februarii A° 1764. auffgerichtet
Der Ehefrau unverändert eigenthümlich Vermögen, Sa. haußraths 168, Sa. Silber und Geschmeids 54, Sa. Goldenen Rings und Geschmeids 8, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 1043, Summa summarum 1324 lb – Schulden 65 lb, Nach deren Abzug 1259 lb
Solchemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbar Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Schiff und geschirrs Wie auch Waaren Zur Specereÿ Handtlung gehörig 2229, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 3500, Sa. der baarschafft 87, Sa. Schulden 620, Summa summarum 6471 lb – Schulden 9264 lb, Comensando 2793 lb – Endliches passiv onus 333 lb
Wÿdem Welchen dißortige Ehefrau Lebenlängl. Zu genießen. Solcher bestehe nach ausweising über weÿl. H Caroli Hyacinthi Henry abgelebten handelsmanns u. burger alh. Zu Straßburg ihres geweßenen Erstern Ehehern seel.
Sa. Zweiffelhaffte und verlohrener Schulden in der Theilbare Nahrung zugeltend 314 lb
Abschatzung Von 23: Jenner 1769. Auff gegehren Fr. N. Sackÿ beÿstandlich N: N: ist eine behausung alhie in Der Statt Straßburg beÿ dem Raben Gelegen Ein seits Neben dem Kudtler Geslein, ander seits und hienden auff die gastherberg Zum Raben Stosent gelegen, solche behausung bestehet in Einen Laden und Ladenstuben Ferner in Ettliche Stuben Kamern und Kichen Dar jber seind die dach Stühl mit breitziglein belegt, hat auch ein gewölbten Käller, hoff und gemeinschaftlichen brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg geschworne Werckmeister nach vorhergeschehner besichtigung mit aller ihrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Siben Thausent gulden [unterzeichnet] Werner, Huber

1777 (9.7.), Not. Lederlin (6 E 41, 900) n° 32
Inventarium über Angelus Maria Tagliasachi des handelsmanns und Fr. Christina Carolina geb. Storck der zeit besitzende activ nahrung und zu bezalen habende passiv schulden, so Angelus Maria Tagliasachi sich abweßend gemachte handelsmann und Fr Christina Carolina geb. Storck

Ange Marie Tagliasachi et Chrétienne Charlotte Storck vendent la maison à Catherine Knoderer, veuve du sellier Jean Georges Faudel

1771 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 104
Angelo Tagliaschi der handelsmann und Charlotte Christina geb. Storckin
in gegensein Fr. Catharinæ geb. Knodererin weÿl. H. Johann Georg Faudel gewesten sattlers wittib unter assistentz H. Philipp Jacob Faudel des sattlers ihres sohns
eine behausung bestehend in vorder und hinter haus, hoff, gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben der gastherberg zum Raabenn hinten auff H. Schwing dem sporer – davon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn auff Michaelis 1 lb 10 ß im Stadtbuch f° 725.b – als ein von weÿl. Anna Maria Sattlerin erben d. 18. Augusti 1768 erkaufftes guth (um 300, 200, 500, 600, 250 und 375 verhafftet, beschehen um 925 pfund)

Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres à l’inventaire dressé en 1772 après la mort de Catherine Knoderer

Lors de la liquidation, Jean Faudel rachète les parts de ses frères et sœur il devient ainsi seul propriétaire de la maison

1773 (29.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 765) Joint au n° 516 du 19 déc. 1772
(f° 17) in weÿl. Fraun Catharinæ Faudelin gebohrner Knodererin seel. Erbschafft in Persohn gegenwärtig gewesen, Herr Philipp Jacob Faudel, der Sattler und Herr Friderich Carl Faudel, der Caffée Sieder, so dann Frau Friderica Elisabetha Bochin, gebohrene Faudelin, Herrn Johann Gottfried Boch, des Kiefers Weinhändlers und Burgers dahier Eheliebstin, diese dreÿ Geschwister, und Zwar Sie, Fr. Bochin, sowol unter authoritæt und Verbeÿständung ihres erstermelten Ehemanns als auch Herrn Johann Michael Klein, des Sattlers deroselben geordneten und annoch ohnentledigten Curatoris ad actum agirend
haben Herrn Johannes Faudel, des Sattlers und b. alhier ihres leiblichen Bruders (…) cedirt, verkaufflichen übergeben
Anfänglich eine Behaußung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, Hoff, Gemeinschaft eines Bronnens und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg gegen der Schindbruck über, einseit ist Ein Eck am Trommel Gäßel anderseit auf die Gastherberg Zum Raben und hinten auf N. Schwing den Sporer stoßend gelegen, davon ist man löbl. Stadt Pfenningthurn, alljährlichen auf Michaelis 1. lb 10 ß Zu Zahlen pflichtig, auch ist dise Behausung dem löbl. Stifft St Thomä um 300. ln Weiland S. T. Herr Ammester Faust seel. frau Wittib um 200, Weiland Herrn Pfarrer Herrmanns Kindern als Erben Weiland Herren Professoris Eisenmans um 500 lb und dann herrn Rathherrn Johann Philipp Richshoffer um 600 lb und ferner demselben um 250 lb d alles an Capital verpfändet (…) zugangen und beschehen vor und umb 1300 Pfund (…)
So dann ist ihme Jerr Johannes Faudel
eine behausung nebst dagegen über befindl. Gewächß hauß hoff hoffstatt und bronnen, wie auch da zwischen liegenden Garten an der Vorstadt Krautenau in dem sogenannten Schwaben Ländel (…)
Straßburg den 29. Januarii 1773.

1770, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
Donnerstags den 1.ten Maÿ 1770
Johannes Faudel das Meisterstück, 1141 Donnerstags den 19.den Aprilis 1770, 1142 Donnerstags den 10.den May 1770, 1146 Mittwochs den 13. Junii 1770, 1147 Mittwochs den 20. Junii 1770, 1151 Mittwochs den 3. Aprilis 1771

1770, Protocole des Quinze (2 R 181)
Sattler Johannes Faudel 315, R 9

1771, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
Sambstags den 21. Decembris 1771
Johannes Faudel der Sattler meister Leibzünfftig

Le sellier Jean Faudel épouse en 1771 Marguerite Dorothée Müller, fille du tonnelier et marchand de vins Jean Georges Müller : contrat de mariage, célébration
1771 (3. 8.bris), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 204
Eheberedung zwischen dem Ehren und wohlachtbaren Herrn Johannes Faudel, dem ledigen Sattler, Weiland herrn Johann Georg Faudel, gewesenen Sattlers und Burgers alhier, mit Fraun Catharina gebohrner Knodererin, ehelich erzeugt hinterlaßener Sohn,
so dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrau Margaretha Dorothea Müllerin, Herrn Johann Georg Müller des Kiefers Weinhändlers und Burgers alhier mit fraun Dorothea Salome gebohrner Schäferin ehelich erzielter Jungfer tochter
Donnerstag den 3. Octobris anno 1771 [unterzeichnet] Johannes Faudel als bodenzinß, Margaretha Dorothea Mullerin als Zoheiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120-v, n° 24)
Im Jahr 1771 seind Dominica 19 und 20 post trinitatis proclamirt und folgenden 16. Octobris copulirt worden Johannes Faudel lediger Sattler weiland Hrn Johann Georg Fautels geweßenen Sattlers und burgers allhier und Fr. Catharinæ gebohrner Knottererin ehelicher Sohn und Jgfr. Margaretha Dorothea, weil. Johann Georg Müllers Kiefers und burgers allhier und Fr: Dorothea Salome gebohrner Schäfferin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Faudel als hochzeiter, Margaretha Dorothea Müllerin als hochzeiterin (i 124)

1771 (28. 9.bris), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 764) n° 485
Inventarium über des Wohl Ehren und achtbaren Herrn Johannes Faudel des Sattlers und der Viel Ehren und tugendsameen Fraun Margaretha Dorothea geb. Müllerin beeder Eheleuthe einander vor unverändert in die Ehe zu: und eingebrachte Haab: und Vermögenschaft

Jean Faudel le jeune hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de tabac Philippe Jacques Lefevre

1774 (24.1.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 27
H. Johann Faudel der jüngere sattler
in gegensein H. Philipp Jacob Lefevre der tabackhändler – schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden gegen der Schindbruck über einseit ist ein Eck ane dem Trommelgäßlein, anderseit neben der Gastherberg zum Raaben, hinten auff H. Schwing dem sporer – davon gibt man auff Michaelis d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 s, dem Stifft St Thomä 300 gulden verpfändet

Vente de meubles provenant de la faillite du sellier Jean Faudel
1775 (3.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 279) n° 1357-b
Verkauff: und Erlös Registerlein über Johannes Faudels, des burgers und Sattlermeisters dahier zu Straßburg Credit massa so durch Hn Johann Georg Stoltz verkaufft worden, auffgerichtet 1775
Sambstags den 3. Junii Anno 1775 Nachmittag um vier uhren auf Ansuchen Johannes Faudels des hiesigen Burgers und jüngern Sattler Meisters Credit geschäft betreffend, auf Requisition Herrn Lt Johann Jacob Schwings, des Cancellariæ Adjuncti und Procuratoris vicarii auch burgers hieselbst, als zufolg eines unter der Mehrheit des unversicherten Gläubiger am 23.ten Decembris letzt entwichenen 1774.sten Jahrs sub signo privato errichteten den 9.ten Mertz 1775. beÿ E. E. Großen Rath confirmirten und den 11.ten daraufhin gedächten Monaths beÿ unterschriebenem Notario deponirten Actus debilerationis ernandten Syndici Massæ (…)

1782, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
Meister Johann Faudel der Sattl. und burger weilen seine Nahrung Umstände ihme ô haben erlauben wollen sich in hießiger Stadt aufzuhalten

Les créanciers du sellier Jean Faudel vendent la maison au sellier Joachim Frédéric Lorentz

1776 (10.2.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 41-v
H. Lt. Johann Jacob Schwing procurator vicarius und cancellariæ adjunctus alß zu Johann Faudel des sattlers falliments massa H. creditorum in gefolg deliberationis acte unterem 4. Augusti 1775 bestellter syndicus, mehr H. exsenator Gerhard Walter des handelsmanns und H. Karl Friedrich Schweighäußer der handelsmann als Zugegebene erstgedachten H. Syndicus
in gegensein Joachim Friedrich Lorentz des sattlers – gerichtliche versteigerung
die in gemelten Faudels falliment massam gehörige behausung in vorder und hinter haus, hoff, gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der Schindbruck über, einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein, anderseit neben der gastherberg zum Raaben, hinten auff N. Schwing den sporer – davon gibt man auff Michaelis d. löbl: Stadt Pfenning Thurn wie in dasigen buch f° 725 zu sehen, 1 lb 10 ß – (verhafftet um 300, 200 und 850 pfund), beschehen um 5800 gulden

Joachim Frédéric Lorentz et son fils Jean Frédéric Lorentz vendent la maison au boulanger Michel Veyhl et à sa femme Marie Madeleine Fetter

1802 (5 messidor 10), Strasbourg 7 (36), Not. Stoeber n° 3370, 1926
br. Joachim Friedrich Lorenz Sattler allhier und br. Johann Daniel Lichtenberger Meßerschmidt als mandatarius br. Johann Friedrich Lorenz ledigen großjährigen Sattlers (Procuration – Jean François Lorentz sellier demeurant à Paris rue neuve Egalité n° 17 division de Bonne Nouvelle)
in gegensein bs. Michael Weÿl bekkers und Mariæ Magdalenæ geb. Vetter
Eine behausung bestehend in Vorder und hinder haus hof hoffstatt Gemeinschafft eines bronnens mit allen deren Gebäuden und zugehörden gelegen alhier zu Straßburg gegen der Schindbruck über N° 58, 1.s ist ein Eck am Rabengäßl. 2.s der Gastherberg zum Raben hinten auff br. Farny bierbrauer – davon gibt man hiesiger Commune 6 fr ane bodenzinß – um 10.000 francken
Enregistrement, acp 84 F° 180-v du 13 mess. 10

Originaire de Neuhausen sur l’Erms près de Metzingen en Wurtemberg, Michel Veyhl épouse en 1798 Catherine Madeleine Fetter, originaire de Wingen près de Wissembourg
Mariage, Strasbourg (n° 183)
Cejourd’hui 15° Nivôse l’an VI de la République française, une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Michel Veyl, agé de 28 ans, boulanger, domicilié en Cette commune depuis sept ans, natif de Neuhausen sur l’Erms dans le duché de Wurtemberg, fils de feu Bernard Veyl, boucher audit lieu, et de feuë Anne Marguerite Huss, d’autre part Catherine Madeleine Fetter, âgée de 28 ans, native de Wingen, canton de Wissembourg, département du bas-rhin, fille de feu Jean Bernard Fetter, berger audit lieu, et de feuë Catherine Elisabeth Reinbold (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 12 avril 1769 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 27 septembre 1769 (signé) Michael Veÿl, fetteri, (i 96)

Registre de population 600 MW 85 (1808 sqq) f° 119 suite du n° 58 quai des Bateliers (i 91)
Weyhl, Michel, 38, farinier, Metzingen (à Strasbourg depuis) 1790, (auparavant) R du bétail 23, E. le 23 Mes. XII, Décédé le 6 avril 1809
id. née Fetter, Marie Madeleine, 34, Schweigen (à Strasbourg depuis) 1790, Décédée le 10 fév. 1909
id. Christine Elisabeth née le 16 flor. 9
Weyhl Madeleine née le 20 floreal XIII

Michel Veyhl loue une partie de la maison au maître de la poste aux chevaux Antoine Werly (Wehrli) et à sa femme Hélène Schneider (propriétaire de la Cour du Corbeau adjacente)

1803 (3 brumaire 12), Strasbourg 5 (17), Not. F. Grimmer n° 2489
Lehnung – der bürger Michael Feÿl becker
dem bürger Antoni Wehrlÿ, Pferdpostmeister, und Helena geb. Schneider
diejenige in des verlehners hauß an dem fischer staaden neben dem Raaben N° 58 befindliche Wohnung im erstern stockwerck auf die Strasse sehend, bestehend in einer Wohnstube und Alcove vorhauß Kuchen und zweÿen in den hoff aussehenden Kammern, kurz alles was sich auf dem ersten stockwerck befindet, einen Plaz im Keller so unterschlagen ein kleiner plaz im hof für holtz zu legen, Gebrauch der bauchkuchen mit den andern bewohnern des haußes, gemeinschaftlichen gebrauch der bühnen um wasche aufzuhängen samt dem Gebrauch des bronnens – auf 6 nacheinander folgenden jahren den 1. dieses Monaths brumaire ihren anfang nehmen, um einen jährlichen zins von 200 francken
Enregistrement, acp 89 F° 64 du 8 brum. 12

Michel Veyl et Catherine Fetter meurent tous deux en 1809 en délaissant deux filles

1809 (13.4.), Strasbourg 13 (29), Not. Bremsinger n° 4681
Inventaire des successions de Catherine Fetter et de feu Michel Veyl, marchand farinier, dans la maison ci après détaillée, l’épouse décédée le 10 février dernier, l’époux le 6 avril dernier, en délaissant deux enfants 1. Christine Elisabeth âgé de 8 ans et 2. Catherine Madeleine âgée de 4 ans – en présence du tuteur subrogé Daniel Ziks graissier domicilié quartier dit puits des fous sous n° 6 et du tuteur ordinaire Jean Philippe Hey gantier rue des bouchers n° 53

meubles au Raiz de chaussée dans la chambre, dans la cuisine, D’autre troisième étage, meubles, argenterie, créances 8152 fr
Propriété d’une maison et dépendances. Savoir une maison consistante en Bâtiments de devant et derrière avec sa cour, communauté d’un Puits ainsi que toutes ses autres appartenances, droits et dépendances située en cette ville vis à vis le Pont du Corbeau sous n° 58, d’un côté le Coin de la rue du corbeau, d’autre l’Auberge a l’enseigne du Corbeau, derrière Brasserie du Sr Farny – chargé de 6 fr de rente foncière – Titres, actes passés à la Chambre des Contrats les 18 août 1768 et 10 février 1776, devant M° Stoeber le 5 messisor 10 – Louée sans bail aux Particuliers ci après savoir La boulangerie et deux logemens à Jean Heimerdinger boulanger pour 332 fr, Le premier étage à Schwider employé au bureau des Diligences pour 185 fr, Le second étage au Sr Polty pour 172 fr, Le quatrième étage à Ihl jardinier pour 78 fr, la rente de 6 fr, total 773 fr de revenu faisant en capital 15.460 fr
total de la succession 23.612 fr, passif 302 fr, reste 23.310 fr
Enregistrement, acp 111 F° 58-v du 21.4.

Inventaire dressé dans la maison en 1811 après la mort du locataire Jean Baptiste Polti

1811 (1.7.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 236
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Polti marchand décédé le 15 avril dernier – à la requête de 1. Marie Salomé Gilioth la veuve, 2. Jean Baptiste Polti fabricant de bas à Niederbronn, 3. Marie Elisabeth Polti veuve de Charles François Boulanger lieutenant à la 18 ½ brigade d’Infanterie de ligne, 4. Jean Louis Knobloch notaire impérial à la résidence de Strasbourg, commis pour représenter Antoine Polti sergent de chasseurs absent, 5. Mathieu Polti employé au théatre de cette ville, 6. Pierre Adolphe Schroeder tuteur de Marie Louis, Joseph Antoine Polti ces deux jumeaux nés le 8 août 1791, Jacques Pierre né le 21 brumaire 4 et François le 20 germinal 5, les quatre premiers issus de Marie Elisabeth Koenig sa première femme, les quatre derniers de Marguerite Guillaumet sa seconde femme – en présence de François Ignace Walter employé a la poste aux chevaux, subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison sur le quai des bâteliers n° 58 appartenant aux héritiers Feyel
Contrat de mariage reçu Anrich notaire le 23 fructidor 8
meubles apportés par le défunt, garde robe 1132 fr
communauté, meubles 151 fr, passif 2032 fr, déficit 1880 fr
(Liquidation du 13.11. n° 423 et renonciation par la veuve)
Enregistrement, acp 117 F° 110 du 2.7.

La fille aînée Christine Elisabeth Veihl épouse en 1822 le perruquier Jacques Louis Reichard

1822 (9.5.), Strasbourg 8 (34), Me Roessel n° 8456
Contrat de mariage – Jacques Louis Reichard, perruquier, fils majeur de feu Christophe Louis Reichard, perruquier, et de Jeannette Gerber
Christine Elisabeth Veihl, fille de feu Michel Veihl, farinier à Strasbourg, et de Madeleine Fetter
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 157 F° 121 du 10.5.

La fille cadette Marie Madeleine Veihl épouse en 1827 le perruquier Charles Nicolas Reichard, frère du précédent

1827 (10.4.), Strasbourg 8 (43), Me G. Grimmer n° 1613
Contrat de mariage – Charles Nicolas Reichard, garçon majeur perruquier, fils majeur de feu Christophe Louis Reichard, perruquier, et de Jeannette Gerber
Marie Madeleine Veihl, fille majeure de Michel Veihl, farinier, et de feu Madeleine Fetter
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 183 F° 88 du 13.4.

Christine Elisabeth Veihl meurt en 1829 en délaissant deux enfants

1829 (4.5.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2722
Inventaire de la succession de Christine Elisabeth Veihl, épouse de Jacques Louis Reichard, perruquier, décédée le 6 janvier dernier – à la requête de ce dernier tant en son nom qu’en qualité de père et tuteur légal de ses deux enfants 1. Louis Charles Alphonse né le 20 mars 1826 et 2. Amédée Jules Eugène né le 10 septembre 1827, seuls et uniques héritiers de la défunte leur mère – en présence de Charles Nicolas Reichard, perruquier, subrogé tuteur

en la maison quai des Bateliers n° 58
Contrat de mariage reçu Roessel notaire le 9 mai 1822
propre aux héritiers, la moitié indivise dans une maison, bâtiment de devant & de derrière, cour, communauté de puits, avec tous droits & dépendances située en cette ville quai des Bateliers n° 58, d’un côté le coin de la rue du Corbeau, de l’autre l’auberge ayant pour enseigne le Corbeau, derrière la brasserie au Canon – la totalité acquise par Michel Veyhl, boulanger, et Marie Madeleine Vetter père et mère de la défunte par acte reçu Stoeber notaire le 5 messidor 10, avenu à leurs deux filles dont l’une est la défunte, non estimée
mobilier, dans une chambre au rez de chaussée, dans une chambre au troisième étage, 348 fr, garde robe 79 fr, numéraire 175 fr, créance 1150 fr – totalité 1540 fr, passif 169 fr
Enregistrement, acp 194 F° 128 du 9.5.

Registre de population 600 MW 213 (1846 sqq) f° 484, Quai des Bateliers N° 58 (i 174
Reichhard, Jacques Louis, 1795, Strasbourg, Perruquier, propriétaire, veuf, (auparavant) même quai 94, (entré) 11 mai 1822
idem, Louis Charles Alphonse, 1826 (20 mars), son fils, (sorti) 10 juillet 50, rue d’Austerlitz N° 21 marié à Rieb Clementine Louise d’ici le 10 9.bre 1851
Reichhard, Nicolas Charles, 1803, Strasbourg, peintre en portraits, marié, (auparavant) même quai 94, (entré) 11 8.bre 1822, q. Paul Victor Albert d’ici né le 6 juin 1831 engagé volontaire le 4 Xbr 48
Idem née Veyhl, Madeleine, 1804, id., sa femme, 2 Janv. 49., D.C.D.
id. Léopold Louis Charles, 1829 (9 mai), confiseur, fils, 24 Sept. 52, p.p. Orléans
(p. 486)
Reichard, Louis Charles Alphonse, 1826, perruquier, M. (auparavant) rue d’Austerlitz 21, (entré) 23 Juill. 53
id. née Rieb,, Catherine Wilhelmine, son ép.
id. Clementine Louise, 10 9.bre 1851, ses enf.
id. Wilhelmine Louise, 19 8.bre 1850
id. Emma Caroline, 9 juin 1853

Jacques Louis Reichard meurt en 1860 en délaissant pour seul héritier son fils Louis Charles Alphonse Reichart
1861 (26.2.), M° Stromeyer
Notoriété constatant que Jacques Louis Reichard vivant perruquier à Strasbourg est décédé le 14 octobre 1860 laissant pour héritier Louis Charles Alphonse Reichart son fils, perruquier à Strasbourg
acp 496 (3 Q 30 211) f° 42 du 1.3. (succession déclarée le 15 avril 1861)

1868 (27.3.), Strasbourg 10 (160), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 534
Notoriété du 27 mars 1868 – Ont comparu 1° M. Charles Nicolas Reichard, propriétaire, 2° M. Charles Reichard, confiseur les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, déclaré avoir parfaitement connu M. Jacques Louis Reichard, en son vivant propriétaire & ancien coiffeur à Strasbourg où il était domicilié, qu’il est décédé en cette ville le 14 octobre 1860, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire & qu’il a laissé pour seul et unique héritier M. Louis Charles Alphonse Reichard, son fils, coiffeur demeurant à Strasbourg
acp 571 (3 Q 30 286) f° 21-v du 28.3.

La moitié de maison qui appartenait à Christine Elisabeth Weyl revient à son fils Louis Charles Alphonse Reichard qui épouse en 1850 Catherine Wilhelmine Rieb, originaire de Herskirchen

Mariage, Strasbourg (n° 283)
Du 10° du mois de juillet l’an 1850. Acte de mariage de Louis Charles Alphonse Reichard, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 mars 1826 à Strasbourg, Perruquier, fils de Jacques Louis Reichard, perruquier domicilié en cette ville, ci présent et consentant et de feu Christine Elisabeth Veyhl, décédée en cette ville le 6 janvier 1829, et de Catherine Wilhelmine Rieb, mineure d’ans, née en légitime mariage le premier janvier 1831 à Harskirchen (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Louis Rieb, tisserand décédé à Strasbourg le 25. mars 1836, et de Clémentine Maguin domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) L. Reichard, Clementine Rieb (i 13)

Louis Charles Alphonse Reichart meurt en 1868 en délaissant cinq enfants. La succession comprend la moitié de la maison place du Corbeau.

1868 (26.3.), Strasbourg 10 (160), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 526
Inventaire de la succession de M. Louis Charles Alphonse Reichard, coiffeur à Strasbourg où il est décédé le 20 mars 1868.
L’an 1868, le jeudi 26 mars à neuf heures du matin. A la requête de Madame Catherine Wilhelmine Rieb, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Louis Charles Alphonse Reichard, en son vivant coiffeur en cette ville, agissant A. en son nom personnel 1° à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son défunt mari, 2° à cause des reprises en deniers qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens propres encore existans, 3° et comme usufruitière légale des biens de ses enfants mineurs ci après nommés jusqu’à leur 18° année ou leur émancipation, 4° & comme donataire de l’usufruit gratuit et viager de la moitié de tous les biens meubles & immeubles composant la succession de son défunt mari, usufruit qu’elle aura le droit d’exercer préférablement sur les maisons ou portions de maisons que ce dernier possède à Strasbourg place du corbeau N° 1 & rue de l’ancre N° 13 si elle le juge convenable, aux termes d’une donation entre époux, reçue par M° Koerttgé, notaire soussigné, en présence de deux témoins le 19 mars 1868 enregistrée le 21 fu même mois
B. au nom & comme tutrice légale de 1. Wilhelmine Reichard, née le 10 novembre 1850, 2° Louise Reichard, née le 10 novembre 1851, 3° Emma Reichard, née le 9 juin 1853, 4° Alphonse Reichard né le 26 octobre 1854, 5° Léonie Reichard, née le 5 octobre 1856, 6° Marie Reichard, née le 16 octobre 1858, ses six enfants encore mineurs, issus du mariage avec son défunt mari dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers, chacun pour un 6°. En présence de M. Charles Reichard, Confiseur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur de susdits mineurs Reichard

Meubles meublans & objets mobiliers. Magasin. Arrière boutique, cuisine
acp 570 (3 Q 30 285) f° 93 du 28.3. (succession déclarée le 28 mars et 6 mai 1868) Communauté, mobilier 1169 – Succession, garde robe 194
acp 572 (3 Q 30 287) f° 66 du 28.4. (vacation du 24 avril) – Communauté mobilière 31.683, passif 307 -Succession, garde robe 194, moitié de la communauté 15.687, maisons
II. Immeubles. I° La moitié indivise d’une maison avec cour, puits commun, appartenances & dépendances sise à Strasbourg, place du Corbeau N° 1, autrefois N° 58, tenant d’un côté à MM Ott frères, de l’autre à M Metz, horloger, pardevant à ladite place, par derrière à M. Stiffel. Cette portion de maison a été recueillie par le défunt, 12/48 dans la succession de Dame Christine Elisabeth Veyhl, sa mère, décédée épouse de M. Jacques Louis Reichard, coiffeur à Strasbourg, de laquelle défunte il était héritier pour moitié, ainsi qu’il résulte d’un intitulé d’inventaire dressé par M° Guillaume Grimmer, alors notaire à Strasbourg le 4 mai 1829, 9/48° dans la succession de M. Amédée Jules Eugène Reichard, son frère, décédé en minorité à Strasbourg en 1838, lequel possédait aussi 12/48 de ladite maison du chef de la Dame Reichard née Veyhl, sa mère sus-nommée, et 3/48 dans la succession de M. Jacques Louis Reichard, son père dont il était seul héritier ainsi qu’il est établi ci-dessus sous l’article premier des créances, M. Reichard père avait lui-même recueilli cette portion dans (la) succession de son fils mineur, ensemble 24/48.
Cette maison avait été recueillie par la Dame Reichard née Veyhl sus nommée dans les successions de M Michel Veyhl, marchand farinier & de D° Catherine Madeleine Fetter, ses père et mère, conjoints décédés à Strasbourg, desquels défunts elle était héritière pour moitié ainsi qu’il est constaté par l’intitulé de l’inventaire de ces successions, dressé par M° Bremsinger, alors notaire à Strasbourg le 13 avril 1809. A l’appui de la propriété dudit immeuble il existe 1° l’expédition de ce dernier inventaire, 2° une expédition dont l’une sur parchemin d’un contrat de vente passé devant M° Stoeber alors notaire à Strasbourg le 5 Messidor an V (23 juin 1797) 3° et une expédition sur parchemin d’un contrat de vente passé à la ci-devant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg le 10 février 1776.
Pour la perception des droits de mutation par décès, la moitié indivise de la maison désignée ci-dessus est évaluée par les parties à un revenu annuel de 450 francs, sans distraction des charges, représentant au denier vingt un capital de 9000 francs
II. Une maison avec appartenances, droits & dépendances sise à Strasbourg Impasse de l’Ancre N° 13, autrefois rue de l’Ancre N° 7

Charles Nicolas Reichard meurt en 1882 après avoir institué son fils aîné Léopold Louis Charles héritier pour deux tiers et son fils cadet Paul Victor Albert pour un tiers

1882 (6.4.) M° Mossler
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments von Carl Niclaus Reichard
Je soussigné lègue et donne à mon fils aîné Léopold Louis Charles les deux tiers de ma fortune délaissée et un tiers à mon fils cadet Paul Victor Albert. J’ordonne en outre de verser la somme de 50 francs à chacune des deux égliasé savoir à l’église St Nicolas où j’ai reçu le baptême et à l’église Ste Madeleine où j’ai fait ma première communion pour être distribuée aux pauvres de la paroisse, le 12 mars 1878
acp 723 (3 Q 30 438) f° 58 du 6.4.

La succession mobilière est partagée sans inventaire préalable
1882 (19.5.), M° Mossler
Theilung des Nachlasses des am 25. Januar 1882 hieselbst verlebten Rentners Karl Reichard. Erben sind due Söhne, Leopold Ludwig Karl Reichard, Rentner hier du 2/3, Paul Victor Albert Reichard ohne Gewerbe hier zu 1/3 und zwar in Gemäßheit des eigenhändigen Vermächtnisses vom 12. März 1878, bei den handelnden Notar hinterlegt am 6. April 1882
acp 725 (3 Q 30 440) f° 81-v du 21.5. (Sterbfall-Erklärung 6.7.82 B 139 N° 182)
Ein Erbverzeichnis liegt nicht vor. Massenaufstellung 1) Mobilien 430, 2) desgleichen im Besitze des Leopold Ludwig Karl 188, 3) Kleider 80 Obligation der Stadt Hagenau 820, 4) Sparkassenbetrag 741, Zinsen 21, 5-10.bis) Forderungen 160, 140, 160, 800, 1440, 800 und 800, 11) Werthpapiere 808, 800, (1600, 1600), zusammen 9148 (3200)
Zuweisungen (…)

Le serrurier Louis Wurm épouse en 1893 Lucie Eugénie Marie Reichard, fille de Léopold Louis Reichard, qui meurt en 1896 en délaissant un fils, Charles Louis

Mariage, Strasbourg (n° 499) Strassburg am 1. Julÿ 1893. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. Ludwig Wurm der Schlosser, evangelischer Religion, geboren den 31. Januar des Jahres 1867 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des Kupferschmides Anton Carl Wurm, wohnhaft zu Straßburg und dessen verstorbenen Ehefrau Friederike Koch, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, 2. die gewerblose Lucie Eugenie Marie Reichard, katholischer Religion, geboren den 25. Maerz des Jahres 1865 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter der verstorbenen Eheleuthe Leopold Ludwig Carl Reichard, Rentner und Luise Magdalena Klein, zuletzt Wohnhaft zu Straßburg (i 16)

Registre domiciliaire (603 MW 910)
Wurm, Schloßer (603 MW 910)
Ludwig, 31.1.67 Straßburg, (Religion) E († le 5.2.38)
Saarburg
29.6.89 Schiffleutstaden 4, Zechninger
Frau seit Ap. 93, Lucie Eugenie Maria Reichard, 25/3 65, Straßburg, (Religion) K, 2 4 93 († 25/3 96)
Rabenplatz 1 / 10 8 16
1.7.16 Steinring 76, Hausmann
Kinder Karl Ludwig 5 8 94
Frau seit 28 6 16, II (*) 18.4.77,d° (Strassburg)
Kinder, todgeburt 17.4.17 Strassburg
Jeannette Marthe 9.11.19

Charles Louis Wurm épouse en 1916 Mathilde Hahn, de Thionville (25 mai 1916, acte n° 377)

Wurm, Musketier, I R 132, Wirtschafts * 146
Vater Ludwig geb. 31.1.67, Mutter † 25.3.96
Karl Ludwig, 5.8.94 Strassburg (Mann) Rabenplatz 1, b/ eltern
Mann z Zt im Feld, Frau Sch*weg 3 lt. *
Frau 1.7.16 Rabenplatz 1, b. Wurm
Frau seit 25.5.1916 Mathilde Hahn 14.11.95, Diedenhofen, Ehemann v. Felde
wohnt in Suffelweyersheim, Muhlgasse 11.a nach einem Brief dem 17.1.41
18.11.18 Rabenplatz 1, Hahn
15.7.29 rue Baldner 20.a, Wurm*
10.5.35 à Souffelweyersheim
de Souffelweyersheim
8.10.35 rue de Lausanne 2, Ottmann
6.2.36 rue des Veaux 20 Schutz*
8.9.37, (mars) rue des Balayeurs 2
Kinder, Adam Karl, 21.10.1818 Strassburg Lucien 1.9.21
Mathilde Marguerite 11.5.26 Strassburg
Edith 23.12.27 Strassburg
Renaud 24.9.29 Strassburg



2, place de la Grande Boucherie


Place de la Grande Boucherie n° 2 – VI 239 (Blondel), O 131 puis section 19 parcelle 132 (cadastre)

À la botte dorée (zum guldin Stüffel, 1604)


Le n° 2 est le bâtiment qui fait l’angle (mars 2022)
Le n° 2 est la partie droite à encorbellement (avril 2016, face sud)

Située à l’extrémité du fossé dit Ulmergraben, la maison à encorbellement qui fait 13 pieds 9 pouces de long appartient en 1587 à la veuve du barbier Jacques Kessler. Le cordonnier Gabriel Neher qui l’achète en 1597 est autorisé la même année à construire une pièce voûtée en surplomb au-dessus du fossé derrière sa maison. Elle appartient ensuite à son gendre cordonnier Laurent Voltz, au cordonnier Antoine Eisser originaire de Vienne (1647-1670) puis au cordonnier devenu revendeur Jean Philippe Ferber dont les descendants conservent la propriété jusqu’en 1853. Ancien menuisier devenu marchand de fruits et légumes, Jean Jacques Wagner est autorisé en 1710 à conserver six petits étaux sur le communal. Jean Philippe Ferber pose en 1716 un séchoir sur l’encorbellement. La maison à demi-toit comprend d’après l’estimation jointe en 1740 à l’inventaire de la femme du boutonnier Jean Henri Jundt au rez-de-chaussée une boutique, sur le fossé un petit caveau où se trouve un chaudron, un logement à chacun des trois étages.
La situation de la maison à l’extrémité du fossé lui vaut la dénomination « sur le banc de sable » (uffm Grien, 1572), zum grienen Öuel (1618) et zum grünen Wördt (1639, soit à la noue sableuse). Elle porte en outre en 1604 le nom à la botte dorée (zum guldin Stüffel). Comme sa voisine (n° 3), elle se trouve « dans le coin (im Winckel) face à la Grande Boucherie » au milieu du XVIII° siècle.


Plan-relief de 1725. La maison forme la partie droite à demi-toit du bâtiment d’angle au premier plan (Musée historique, cliché JM-JMW)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 175 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et quatre étages en pans de bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (b). Sur la gauche la façade à demi-toit face à la Grande Boucherie à une arcade, cinq fenêtres superposées et une lucarne. Sur la droite vers l’est, trois ouvertures (porte ou arcade) et cinq niveaux à deux fenêtres chacun surmontés d’une toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière de la maison donne entre (26-1) sur le fossé dit Ulmergraben.
La maison porte d’abord le n° 24 (1784-1857) puis le n° 2.


Cour A

Thiébaut Geoffroi Kuhn, propriétaire de la maison voisine, l’achète en 1853. Son fils qui habite Paris la vend en 1870 au boucher Frédéric Bræsch qui en était locataire. Elle appartient ensuite au cordonnier André Fetzer (1876-1880) puis au boucher Gustave Kœnig.
Le cadastre ne signale aucune transformation au XIX° siècle.


Vue vers 1864 (carte postale de la collection Strasbourg disparu) où on voit le haut du demi-toit
Le n° 2 sur la gauche (Jonathan Michalon, janvier 2022)

mars 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Kessler, barbier, et (1572) Susanne Sutter, remariée (1587) avec le boucher Jean Kamm – luthériens
1597 v Gabriel Neher, cordonnier, et (1594) Marie Schweickart veuve de Boucart Haubenstein, (1597) Anne Spetter d’abord (1581) femme de Matthias Treser, puis (1610) Barbe Boss d’abord (1595) femme de Thomas Scheucher – luthériens
1642 h Laurent Voltz, cordonnier, et (1623) Marthe Neher – luthériens
1647 v Jean Jacques Frœreisen, cordonnier, et (1647) Susanne Schœner – luthériens
1647 v Antoine Eisser, cordonnier, et (v. 1644) et Elisabeth (Eitzler) – luthériens
1670 v Jean Conrad Simon, chirurgien, et (1669) Marie Madeleine Pfeffinger – luthériens
1676 v Jacques Frantz, revendeur (vente annulée)
1678 v Jean Philippe Ferber, cordonnier puis revendeur, et (1674) Anne Catherine Eberlé d’abord (1662) femme du revendeur Nicolas Debus, puis (1697) Anne Marie Kirchner, d’abord (1694) femme du marchand de bestiaux Christophe Milling – luthériens
1707 h Jean Jacques Wagner, menuisier puis marchand de fruits et légumes, et (1699) Anne Catherine Ferber – luthériens
1736 h Jean Henri Jund, boutonnier, et (1731) Marie Elisabeth Wagner – luthériens
1769 h Jean Jacques Jund, boutonnier, et (1767) Anne Marie Kolb – luthériens
1830 h Anne Marie Jundt, célibataire († 1847)
1847 h Jean Geoffroi Jund, boutonnier, et (1797) Marie Elisabeth Rudolph
1853 v Thiébaut Geoffroi Kuhn, farinier, et (1848) Caroline Lobstein
1870 v Frédéric Bræsch, boucher, et (v. 1867) Louise Thorwart, remariée (1876) avec le brasseur (Louis) Auguste Stephan
1876 v André Fetzer, cordonnier, et (1835) Elisabeth Sommerer puis (1858) Marie Anstett
1881* v (Frédéric) Gustave Kœnig, boucher, et (1867) Elisabeth Rœdt
1933* h Marguerite Kœnig

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 420 livres en 1696, 750 livres en 1722, 275 livres en 1734, 550 livres en 1740, 450 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) VI 239, Jean Henry Jundt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Junt, 5 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 131, Richshoffer, Jean Daniel, Vieux Marché aux Poissons 89 [mention erronée] – maison, sol – 0,39 / Jund Geoffroi place des Grandes Boucheries 24

Locations

1854, Michel Schneider, maître tailleur et Elisabeth Wizenné
1872, Gérard Keller

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 56
La veuve du barbier Jacques Kessler règle 6 sols 6 deniers pour sa maison face à la nouvelle boucherie faisant 13 pieds 9 pouces de long, à savoir un encorbellement (en saillie de 2 pieds 10 pouces), deux gradins arrondis devant la porte de la boutique (5 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds)

[Von dem Eckh gegen d. Newen Metzig vndt gegen dem Spanbeth zu]
Jacob Keßlers des Scherers Wittibin hatt vor Irem hauß gegen d. Newen Metzig 13 schu 9 Zoll lang, oben der Vsstoß 2 schu 10 Zoll herauß, Vnden Zwen runde Steinerin Tritt vor der Scherstuben Thieren 5 ½ schu lang, Vndt 3 schu herauß Vff der Allmendt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, vj ß vj d

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 274
Le cordonnier Gabriel Neher doit 2 sols à la saint Martin pour une pièce en surplomb au-dessus du fossé dit Ulmergraben derrière sa maison entre la boutique de Marstaller et un tailleur, en saillie de huit pieds de manière que l’eau s’écoule au-dessous, le toit ne devra pas dépasser le surplomb du tailleur [son voisin à l’est], le tout fait de manière que les voisins n’aient pas sujet à se plaindre. Fait le 20 octobre 1597. Le loyer est dû par le même en 1627, d’un montant de 10 sols

Item ij ß d gibt Jars vff Martini Gabriel Neher der Schumacher von einem Vberstossenen Kemmerlin hinden an seinem hauß Zwischen der Marstaller gaden vnd N dem schneider, vber den Vlmergraben Acht schuh lang herauß, das das wasser darunder hinlauffe. Ihme durch Bawherren vnd dreÿ gegönt soll mit seim dach vnder des schneiders vberstoß bleiben, Auch also machen, das die nachbuwer nit Zu clagen haben, Actum den 20.ten Octobris 1597.
(rub.) Jetz Er noch 10 ß vt. [den 10. 8.br. 1627]
New 257.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 257
Le cordonnier Antoine Eisser puis Jean Conrad Simon doit 10 sols pour une pièce en surplomb derrière sa maison face à la grande boucherie

Jetzt Johann Conrad Simon
Anthoni Eiser der Schuhmacher, Soll gemeiner Statt, Von einem Überstoßenen Kämmerlein, hinden ahn dem Hauß, gegen der großen Metzig, Jahrs Vf Martini 10 ß d
Alt. d. f. 274
New fol. 222

(Quittungen, 1653-1670)
1671 Zalt Simon

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 222
Même loyer porté au registre suivant

Johann Conrad Simon, Barbierer, Soll von einem Überstoßenem Kämmerlin hinden am hauß gegen der großen Metzig vff Martini, 10 ß
St. Zinßb. p. 257
ietz Hannß Philipp Ferber 1680. p°
Jetzt Johann Jacob Wagner vid. 266*
Jetzt Johann Heinrich Jund

(Quittungen 1673-1741)
Neuzb fol 451-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 451-b
Nouveau report. Le loyer existe toujours à la clôture du registre en l’an X.

Johann Heinrich Jund solle von einem überstoßenem Kämmerlin Hinden am Hauß gegen der großen Metzig Jahrs auf Martini (id est 11. Nov.), 10 ß
[in margine] vid. 442.b – 21. Brumaire
(Quittungen 1741-an 10)
C. 217

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1597, Préposés au bâtiment (VII 1312)
Le cordonnier Gabriel Neher qui a acheté la maison sise au-dessus du fossé Ulmergraben, à côté de la boutique Marsteller ou de la maison de Mathias Karcher, souhaite construire entre ses voisins Karcher et un cordonnier une petite cave solivée à un seul étage empiétant de huit pieds sur le fossé, le toit restera au-dessous de l’encorbellement du voisin cordonnier de manière à ce qu’il n’ait pas sujet à se plaindre, l’eau devra passer comme par le passé au-dessous de ladite cave, il fera une porte pour pouvoir entrer dans ladite cave, il a obtenu la permission de Matthias Karcher. Les préposés lui accordent la permission moyennant un loyer annuel de deux sols par an, mais les voisins ne devront pas avoir sujet à se plaindre.

(f° 178) Donstag 20.ten Octobris, Augenschein – Gabriel Neher der schuemacher so das hauß neben d. Marstaller gaden oder Mathis Karchers hauß, kaufft, vnd vff dem Ulmergraben steht, der begert dahinden Zwischen den beden Nachburen Nemlich dem Karcher und (-) dem schneider hinauff werths vff oder vber den vlmer graben ein Kellerlein mit dremen Zumach. vnd 8. schuh herauß geg. dem graben hinauff zwischen den nachburen doch nur eins gadens hoch, Zufuhren, vnd mit seinem dach vnder des schneiders vberstoß oder vberhang Zu bleiben, damit derselb nit Zuclagen hab. vnd also Zumachen, das d. wasser vnden durch solch. Kellerlin lüeff wie es vorhin vnder sein hauß hinlauff, vnd vß seinem hauß ein thier In solch Kellerlin & Zu brechen & bittet Ihme solches zugestatten, Habs Ihm Mathis Karcher auch bewilligt, &
Erkand Ist Ihm willfahrt doch daßelb also Zulmach. d. nachburen nit clag. vnd soll davon alle Jar vff Martini 2 ß Zinß geben, bedanckt sich deß. wills gern thun. Solls doch für kein eigenthumb halten, sonde allmend sein vnd pleiben.

1662, Préposés au bâtiment (VII 1357)
Martin Hermann se plaint que son voisin Antoine Eyser qui a démoli le réduit au-dessus du fossé tel qu’il est autorisé par le registre D l’a remplacé par un nouveau de deux pieds plus haut. Les préposés ordonnent à Antoine Eyser de respecter les dimensions initiales.

(f° 188) Mittwochs den 25. Junÿ – Martin Herrmann Ca. Anthoni Eÿßer
Augenschein eingenommen vff begehren Anthoni Eÿßers Ca. Martin Herrmann, in deren heußern beÿ der Metzig, da Anthoni Eÿßer, über dem Ulmergraben ein Kemmerlin in dem alten Zinßbuch D fol. 274. specificirt vnd mit 2 ß allmend zinß belegt, hinweg gebroch. vnd 2. schu höher Bawen laßen, so Martin Herrmann hinder: vnd schädlich. Erk. bedacht.

(f° 192-v) Donnerstags den 10 Eiusdem [Julÿ] – Anthoni Eißer Ca. Martin Herrmann
In sachen Anthoni Eißers Contra Martin Herrmann ist vf eingenommenen augenschein, auch Verleßung deß protocolls vnd alten Zinßbuchs D fol. 274. auch allen vor vnd einbringen nach Zu recht Erkandt, d. Anthoni Eißen nicht gebüret, ohne vorher erhaltene erlaubnus d. allmend mit mehren oder größeren gebewen, alß vorhin darauff gestanden Zu beschweren, sondern darinn Zu viel vnd vnrecht gethan, daher auch schuldig sein solle den gemachten gebäw wider abzuheben, vnd in vorige in den alten Zinßb. D. fol. 274. beschranckte formb vnd höhe Zu reduciren.

1710, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Ancien menuisier devenu marchand de fruits et légumes, Jean Jacques Wagner a mis devant sa maison six petits étaux (17 pieds 4 pouces de long, 1 pied de large) pour y exposer ses marchandises. Il répond que les étaux sont petits et démontables. Les préposés établissent une taxe d’une livre dix sols, ramenée à 15 sols. La taxe est définitivement fixée à cinq sols l’étal en août.

(f° 26) Dienstags den 8 Aprilis 1710. – Johann Jacob Wagner der Kremp macht vorbänck
Johann Jacob Wagner der Kremp und vormahlige Schreiner hat sich vor Seiner beÿ der Großen Metzig liegenden behaußung selbsten Sechs Vorbänckh, welche 17. Schuh und 4. Zoll lang vnd 1 schuh breit sein, wahren darauff Zustellen, ohne erlaubnus Gemacht.
Ille entschuldiget sich damit weilen diese Bänckh Klein und nicht angemacht seÿen, also daß mann selbige alle nacht hinweg thun Könte, so Vermeint Er es würde nichts Zu bedeuten haben.
Erk. soll 1. lb 10. ß d. beßern welche auf 1. lb d. moderirt werden, auff beschehenes demutiges bitten aber bleibe es beÿ 15 ß d. welche Er auch alsobald erlegte.

(f° 70-v) Freÿtags den 19. Augusti 1710 – Johann Jacob Wagner pt° allmend bänck
Ego proponire Es seÿe Johann Jacob Wagner, der Kremp, bereits am 8. Aprilis jüngst beÿ Mhhh. verklagt und abgestrafft worden, daß Er vor seiner gegen der Großen Metzig über gelegenen Eckbehausung sechs bänck, welche Zusammen 17. schuh und Vier Zoll lange, jeder ein schuhe breit seÿen, ohne erlaubnus MGHh. auff das allmend machen laßen es seÿe anietzo der allmendt Zinnß, welchen Er jährlichen davon abzurichten hätte Zu definiren.
Erk. Soll jährlichen auff Ostern undt Anno 1711. Zum erstenmahl, Von jedem banck 1 ß 4 d allmend Zinß davon erlegen, Ille bittet umb moderation, Erk. Würdt derselbe von 8. ß d. auff 6. ß d. und endlichen auff instandiges ansuchen, auff 5 ß d moderirt.

1716, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Jean Philippe Ferber est autorisé à poser un séchoir sur l’encorbellement de sa maison face à la grande boucherie.

(f° 17-v) Dienstags den 10. Martÿ 1716 – Joh: Phi. Ferber umb erhöhung seines Überhangs
Johann Philipp Ferber, der Kremp, bittet MGhh. unterthänig Ihme gn. Zu erlauben, daß Er an seiner gegen der großen Metzig über gelegene Eck behausung, auff den Überhang, welcher 7. schuhe lang und 2 ½ schuhe breit ist, eine trückeneÿ bawen lassen dörffe. Erk. Willfahrt.

1726, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Le saucissier Osraël Ziegel qui a un étal devant la maison de Jean Jacques Wagner devra le déplacer sur le côté pour éviter les accidents.

(f° 111) Donnerstags den 28. 9.br. 1726 – Israel Ziegel wegen Standes
Herr Mollinger, der Statt Lohner, berichtet Mghh. daß er höchst nötig seÿe, daß der jenige bratwürstmacher, welcher vor Jacob Wagners des Krempen behausung gegen der Großen Metzger über feÿl hatt, hinweg vnd an die seithe solcher Behaußung möchte gesetzt werden, masen wegen enge des wegs leicht ein groß unglück entstehen Könte.
Erk. solle Ziegel, der bratwürstmacher beschickt und Ihme die änderung ernstlich anbefohlen werden.

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison à demi-toit comprend plusieurs poêles, chambres, vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, une boutique et un vestibule où se trouve le chaudron à lessive, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison à demi-toit comprend au rez-de-chaussée la boutique, un petit vestibule où se trouve le fourneau, deux chambres, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée la boutique, à côté sur le fossé un petit caveau où se trouve le chaudron, au premier étage un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, au deuxième étage un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau, au-dessus une chambre et un vestibule, le toit est couvert de tuiles plates, la petite cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 100 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Place de la grande boucherie

nouveau N° / ancien N° : 26 / 24
Jundt
Rez de chaussée en maçonnerie et 4 étages en bois mauvais et avance

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 70 case 4

Jund, Geoffroi, place de la gde boucherie N° 24
Kuhn, Geoffroi Thiébaut marchand de farine place de la grande boucherie N° 24, Sub. pour 1855

O 131, maison, sol, place de la grande boucherie 34
Contenance : 0,39
Revenu total : 90,20 (90 et 0,20)
Folio de provenance : (70)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 214 case 1

Kuhn, Geoffroi Thiébaut, Marchand de farine
1878 Fetzern Andreas, Schuhmacher
pro 1881/82 Koenig Gustav, Metzger

O 131, maison, sol, Place de la grande boucherie 1
Contenance : 0,39
Revenu total : 90,20 (90 et 0,20)
Folio de provenance : (70)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

Cadastre allemand, registre 30 f° 233 case 1

Parcelle, section 19, n° 132 – autrefois O 131
Canton : An der großen Metzig Hs. N° 2 – Place de la Grande Boucherie
Désignation : Hf, Whs e.n.a.T. (Skizze 31)
Contenance : 0,39
Revenu : 1400 – 1200
Remarques : 1912 Berufung

(Propriétaire), compte 683
Koenig Gustav
1933 Koenig Marguerite
(2437)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 171 Ferrelmarck, Marché des Cochons de lait p. 305

24
Pr. Jund, Jean Jacques, Boutonnier d’étain – Marechaux

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An der grossen Metzig (Seite 115)

(Haus Nr.) 2
König, Metzgerm.

Dossier de la Police du Bâtiment

Dossiers communs avec le 6, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des loyers communaux (1587) au nom de la veuve de Jacques Kessler. Le barbier Jacques Kessler épouse en 1572 Susanne, fille du farinier Laurent Sutter ; il habite sur le banc de sable (uffm Grien, le fossé sur lequel est construite la maison s’appelle Ulmergrien ou Ulmergraben)

Mariage, cathédrale (luth. p. 235)
1573. Suntag den 24 Maÿ. Jacob Kesler, der Scherer, Susanna Lorentz Sutter deß Melmans hind: docht. wont vffm grien beim Schlachaus. Eingesegnet Montag 15 Junÿ hora 9. (i 120)

Sa veuve Susanne se remarie en 1587 avec le boucher Jean Kamm
Mariage, cathédrale (luth. p. 127)
1587. Dominica Sexagesimæ, 19. Februarÿ. Hans Kamm der Metzger vnd Susanna Jacob Keßler des Schärrs nachg. wittib. Eingesegnet Montags den 27. Februarÿ (i 67)

Gabriel Neher achète la maison en 1597 (voir plus haut sa requête auprès des préposés)
La maison figure à l’inventaire dressé en 1610 après la mort d’Anne Spettel, femme de Gabriel Neher.

Le cordonnier Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de Mathias Wolffer, aubergiste à la Couchette

1610 (xxiiij Decembr.), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 304
(Inchoat. fo: 295.) Erschienen Gabriel Neÿger der Schumacher
hatt in gegensein des Ehrenhafften Mathys Wolffer wurts Zum Spanbeth – schuldig sein 100 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll hus v. hoffstatt mit allen Iren gebeüwen & gelegen In der SS gegen der Neuwen Metzigk einseyt ein Eck neb. dem Almend andersyt Maths Karchern stoßend hinden vff den Schnyder graben oder Vlmer graben davon gndt. 5 pfund pfenning gls ablosig mit 100 pfund pfenning Mathys Treser des schumachers seligen Kinder, Mehr 15 pfund pfenning gelts widerkheuffig mit 100 pfund pfenning Straßburger Martin webers dem buchbinder deren vogt h Mathys Schelen So dann vj ß für almend Zins

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du cordonnier Laurent Dorsch

1613, (ut spâ [iiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 4
(Inchoat. in Prot. fol: 6.) Erschienen Gabriel Näger der schuemach. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Lorentz Dorschenn des schuemachers burgers Allhier offentlich verÿehen – schuldig sige 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwenn & gelegen Inn d. St St gegen der Metzig vber einsit neben Mathÿß Karchern Andersit neben Geörg Pfauwenn dem Schneider, hinden vff den schneider graben stoßend, dauon gendt j lb bodenzinß Zu Sanct Johann, Item Zwen schilling pfenning Allmendt gelt der St. St. So dann Ist die obgeschriebene behaußung noch v.hafftet für ein schuldt 100 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Lorentz Dorsch der glaubiger hatt in gegensein Gabriel Näger des bekhenners (…) Acum den 20. Februarÿ 1615.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du boulanger Georges Winckler

1618 (xxii. Januarÿ), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 16-v
(Inchoat. fol. 14.) Erschÿnen Gabriel Neger Schumacher
hatt in gegensein des Ehrsamen Georg Winckler Brottbecken – schuldig sige 50 pfund
dafür vnderpfand sein soll hauß vnd hoffestatt genant Zum grienen öugel mit allen Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. gegen der Metzigk einseÿt ein Eck anderseyt herr Johann weÿgen stoßend hinden vff den Vlmer graben dauon gnd vier guldin gelt abloßig mit 100 gulden derselben werung wÿland Junckher Christophel Mendten selig. erben, Mehr Ein pfund pfenning gelts bodenzinß den Johannßen herren In d. grienen Werd wÿther 2 schilling Almend gelt der St Straßburg

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du remueur de grains Michel Pfrenger

1618 (vij. Julÿ), Chancellerie, vol. 430 (Registranda Meyger) f° 283-v
(Inchoat. in Prot. fol. 208.) Erschienen Gabriel Näher d. schuemach. burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Michell Pfrenger kornwerffers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe L. lb
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. geg. d. Metzigk vber, einseit ein Eck, And. seit Johann Weÿtz handelsmann, hind. vff d. schneÿd. grab. stoßend, dauon gnd. j lb Bod. Zinß den Johannßer herren Alhie Mehr iiij gl gld loßig mit j C gl den Mundtisch. erben, Item ij ß d Allmend gelt

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du marchand Jean Büchel. En marge, quittance remise en 1670 au barbier Jean Conrad Simon

1625 (ut spâ. [xxiiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 455 (Registranda Meyger) f° 29-v
(Inchoat. in Prot. fol. 20) Erschienen Gabriel Näher schuhmacher burger Zue Straßburg hatt bekhandt
Vnd In gegenwärtigkeit h. hannß Büchell handelßmann burgers Zue Straßburg – schuldig seÿe j. C lb
Zu vnderpfand verlegt hauß Vndt hoffstatt, mit Allen Ihren gebäwen d gelegen Inn der St. St. gegen der Metzigck Über eins. h. Johann Weitzen, And. s. ein eckh hind. vff dem Schneider. graben stoßend, dauon gend. j. lb boden Zinnß Zu St. Johann Mehr ij ß d Allmend gelt der Statt, Item 4. fl. d lößig mit j. C. fl. w. den Mundisch. erben
[in margine :] Erschienen h. Nicolaus Hämmerlin Sibner Gerichts Procurator alß deme diße 100. lb anietzo gehörig seÿen, hatt in gegensein Johann Conrad Simons deß Barbierers alß ietzig. Possessoris Hypothecæ (…) quittirten Act. 3. 8.br a° 1670.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit du corroyeur Jean Büchel. En marge, quittance remise en 1670 au barbier Jean Conrad Simon.

1628 (4. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 59
Erschienen Gabriel Näher der schuhmacher burg. Zu St.
hatt in gegensein H hanß Beüchels deß Lederberaiters auch burgers alhie bekannt – schuldig seÿe 100. Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen Andern & alhie gegen der Metzig vber, neben H Johann Weitzen dem handelßmann vnd 2. seit ist ein Eck behausung hinden vf den Schneidergraben stoßend, dauon gehen j. lb d bod. Zinß dem Johanniter Closter alhie, Item 2. s d Allmend gelt der St. St. Item 4 fla. gelts ablösig mit 100. gld. Capital St. w. den Mundtisch. Erben, So dann ist solch. hauß auch noch Zuuor verhafftet vmb 100. lb ihme dem Glaubigern selbsten
[in margine :] Erschienen h Nicolaus hämerlin Sibener Gerichts Procurator alß dern die hierinn gemelt 100. lib. gehörig seÿen, hatt in gegensein Johann Conrad Simons deß Barbierers alß ietzig Possessoris Hÿpothecæ (…) Act ; 3. 8.br. a° 1670.

Jean Pleickart von Poland vend au notaire Matthieu Bastadius un capital garanti sur la maison de Gabriel Neher d’après une obligation passée en 1530 par Chrétien Niderlænder

1631 (ut spâ. [8. Novembris]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 562
Erschienen Jr. hanß Pleickhardt von Polandt (verkaufft)
H Mattheo Bachstadio Not° auch burgern alhie
100. gld. Capital St. w., wo etwan Christman Niderländer, an ietzo aber Gabriel Neher der Schuhmacher alhie, von seiner beÿ der Metzig gelegenen Eckh behausung Järlich auf Weÿhenachten mit 4 gld. besagter wehrung, nach vßweisung eines vnder eines Ers. kleinen rahts Insigel den 15. Januarÿ Anno 1530. vfgerichteten brieffs Zuuerzinsen schuldig

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de Marguerite, veuve de Jean Büchel, remariée avec le fourbisseur Paul Helwig. Son gendre Laurent Voltz se porte garant. En marge, quittance remise en 1671 au barbier Jean Conrad Simon.

1637 (28. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 694-v
Erschienen Gabriel Neher d. schuhmach. alhie
hatt in gegensein Fr. Magdalenæ weÿ: hanß Büchels alt groß. Rhats v.wanthen see: wittiben Vogts Johann Kolben deß Biersieders mit beÿstand H Paul Hellwickh deß Schwerdtfegers ihr Magdalenen ietzigen Ehevogts – schuldig seÿ 50 lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstatt alhie gegen der Metzig über, neben Johann Weitz. & Martin Dürrenbach dem Meelmann hind. vff den Ulmergrab. stoßend so zuuor v.hafftet vmb 400. fl. sein Bekenners Kindern, so er ad dies vitæ wÿdembs weiß zugenüeß, It. 400 fl. obgenten Büchels s: Erben so gehen auch Jarß dauon 1. lb bod. Zinß dem Closter S. Johann alhie, und X. ß d. Allmend gelts d. St. St., sonst eÿg. Vnd Zu noch mehrer sicherheit ist auch erschienen Lorentz Voltz d. Schuhmacher sein Debitoris tochtermann, der hat für sich vor dise schuld zue einem rechten Bürgen Mit: vnd vnuersch. dargeben
[in margine :] Erschienen Herr Gabriel Haas der Goldarbeiter und E. E. Kleinen Rhats beÿsitzer alß vogt Johann Örtel Med. studiosi, und alß seiner anzeig mündlicher befelchhaber H M. Philipp Ortels Pfarrers zu Goxweÿler, alß welches beÿ dere hierinn bedeutetes Capital gehörig seÿe, hatt, in gegensein Johann Conrad Simons deß barbierers alß ietzig. Possessoris hieringedachter behaußung (…) Act. d. 18. 9.br. A° 1671.

Gabriel Neher hypothèque la maison au profit de son gendre Laurent Voltz.

1639 (15. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 596
Erschienen Gabriel Neher der Schuhmacher burger Zu Straßburg
und hat in gegenwärtigkeit Lorentz Voltzen auch Schuhmachers und burgers alhie seines dochtermanns bekannt, daß Er demselbig. für par, Zu verschiedlichen mahlen de Anno & 1631 hero, vorgestreckt vnd gelühen geld schuldig seÿe 50. Pfund pfenning Str.
dafür in specie Vnderpfand sein soll Ein Behaußung, mit allen andern ihren gebäwen & Zum Grüenen wördt gent. gelegen in der Statt St. gegen der Metzig hinüber, einseit neben Johann Weitzen deß handelßmanns see: Wittib: Vnd Erben anderseit ist Zum theil ein Eckh und theils neben Martin Thierbachs gewesenen Meelmanns Witib und Kinder, hinden vff den Vlmergraben stoßend, so Zuuor Verhafftet vmb 200 lb hanß Carol Büchel dem Lederbereiter, Mehr vmb 50. lb Herrn Mathei Bachstadio dem Noto. alhie, Item vmb 50. lib. H Paul Hellwigen groß. Rhats Verwanthen, Eheuögtlicher weiß, sonst freÿ ledig, eigen

Assisté de son fils Gabriel, Gabriel Neher vend la maison à son gendre Laurent Voltz et à sa fille Marthe Neher

1642 (4. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 463
(Prot. fol. 149 & seqq) Erschienen Gabriel Näher der älter burg. Zu Straßburg mit beÿstand Gabriel Näher deß iüngern, Schuhmachers seines eheleiblich. Sohns und Johann Kolben deß Biersieders
hatt in gegensein Lorentz Voltzen deß Schuhmachers und Marthæ Näherin seiner ehelichen hausfrawen besagts Gabriel Nähers dochter Mann und dochter mit beÿstand H Christoph Kernstockhß deß Notarÿ und Josiæ Mittmanns deß Schindelspalters
hauß und hoffstatt mit allen ihren Gebäwen alhie geg. der alt. Metzig, ohnfern der Schindbruckhen, neben weÿl. Johann Weitzen deß handelßmanns Erben ein: und anderseit neb. Martin hörman dem Meelmann, vornen vffs Allmend, hind. vff den Vlmer Graben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Joh. Bapt: und Weÿhenachten. j. lib. Zu Zinnß denen Johannitern Zum grünen Wörth alhie, Item von einem Gewölblin in den Vlmer graben herauß gehend 10. ß d alle Jahr vff weÿhenachten Allmendgelt gemeiner Statt, Item 4. fl. alle Jahr vff weÿhenachten lößig mit 100. fl. beÿdes Wehrung Mathæo Bachstadio dem Notario, so ist diß hauß auch noch verhafftet umb 3063 guld. fünff pfenning à 15. batz. Felicitatis und Susannæ Träserin, deß Verkäuffers Stieffdöchtern restirend. Mütterlich. Guts, so Er d. Verkäuffer ad dies vitæ widembßweiß Zu geniß. hatt, weiters umb 59. fl. 7. ß 9 d der Käufferin selbst. auch für restiert Mütterlich Gut, Ferners umb 400 Guld. in zweÿen verschiedenen Capitalien, deren eines vff d 24. Januarÿ und daß and. vff d. 4. Februarÿ alle Jahr mit 5. p. Ct° verzinßt (…) hannß Carl Beüchel dem lederhändlern, Mehr umb 100 fl. alle Jahr vff d. 28. augusti Zu verzinnß. und vff begehren wid. Zue bezahlen H Paul Hellwig groß Rhats Verwanth. Vnd dann umb 100. fl. Jme dem Käuffer selbst. – umb 412. guld.

Originaire d’Obenheim, le cordonnier Laurent Voltz épouse Marthe Neher en 1623
Mariage, cathédrale (luth. p. 149)
1623. Dominica Cantate d. 11. Maÿ. Lorentz Voltz von obenheim der schuchmacher, vnd J. Martha Gabriel Näher des Schuchmachers tochter, eingesegnet montag d. 19. Maÿ (i 79)

Laurent Voltz devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1623, 4° Livre de bourgeoisie f° 55
Lorentz Voltz Von obenheim der schuster empfangt d. Burgerrecht Von Martha Gabriel Meyers deß schusters Tochter vnd Ist beÿ den Schumachern Zünfftig Signatum den 27. Maÿ Aô & 1623.

Laurent Voltz est candidat au poste de sergent des Quinze en 1652
1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
(f° 263-v) Sambstag den 20. 9.bris – Lorentz Voltz vmb XV Knecht dienst
Lorentz Voltz der Schuemacher supplication vmb den vacirenden Fünffzehen Knecht dienst. Erkandt, soll sich gehörigen orthen geschrieben geben.

Laurent Voltz et Marthe Neher vendent la maison au cordonnier Jean Jacques Frœreisen qui cède un mois plus tard ses droits au cordonnier Antoine Eisser

1647 (13. sept.), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 538
(Prot. fol. 190) Erschienen Lorentz Voltz der Schuhmacher und Martha Näherin sein eheliche haußfraw, mit beÿstand Gabriel Nähers deß Schuhmachers ihres resp: Schwager und Bruders
haben in gegensein hannß Jacob Fröreißens deß Schuhmachers mit beÿstand hannß Jacob Walters deß Schuhmachers seines Stieffvatters wie auch H Hannß Wörners alten groß. Rhats Verwanthens seines noch ohnentledigten Vogts und H Mathæi Hellbeckhß genannt Behem EE groß. Rhats ietzig. Beÿsitzers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie gegen der alten Metzig hienüber ohnfern der Schindbruckhen neben Weÿl. H. Johann Weitzen deß handelßmanns seel: Erben ein und anderseit neben Martin Hörmann dem Meelmann hind. vff den Vlbergraben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs j. lib. vff Joh: und Weÿhenachten dem Stifft St. Johann, Item 10. ß Allmendgeldt von einem Gewölblin in den Vlbergraben gerauß gebawen gemeiner Statt vff Weÿhenachten, Item 4. fl. Straßb. Wehr. Vff erstgemeldt. Weÿhenachten H Mathæo Bachstadio dem Notario, So ist diße Behaußung auch noch verhafftet umb 263. fl. 5 d. à 15. batzen Felicitati und Susannæ denen Träserischen Schwestern, Item umb 400. fl. à 15. batz. Ursulæ Hämmerlerin weÿl. H Hannß Philipß Breuningß seel. wittibin, Item umb 100. fl. à 15. batz. H. Paul Hellwig. groß. Rhatswerwanth., Item umb 100. fl. à 15. batz. weÿl. Jacob Schlachtmanns deß Schuhmachers seel. Söhnen deren Vogt Alexand. Röhmer der Schuhmacher ist, Vnd dann umb 100. fl. à 15. batz. H Jacob Spielmann dem handelßmann, sonsten ledig und eigen, Vnd were dißer Verkauff und Kauff geschehen umb 1350. fl. ieden deren zu 15. batzen, nach Abzug aber der Beschwährden so da thun (…) 1128. fl.
[in margine :] Erschienen hannß Jacob Fröreiß. der Käuffer, mit beÿstand Hannß Jacob Walters seines Stieff Vatters H hannß Wörners seines noch ohnentledigten Vogts und H Mathæi Hellbeckhß, alle hierinn gemeldt, hatt in gegensein Anthoni Eÿßers deß Schuhmachers, mit beÿstand Tobiæ Kruckhfueß deß Liechtermachers und Alexand. Röhmers deß Schuhmachers bekannt, daß Er demselben habenden hierinn beschriebenen Kauff, umb den hierinn bebembßt Kauffschilling abgetretten (…) Actum d. 30. 8.br. a° 1647.

Fils du cordonnier Jean Frœreisen, Jean Jacques Frœreisen épouse en décembre 1647 Susanne, fille du cordonnier Georges Schœner
Mariage, cathédrale (luth. f° 513)
1647. Domin. 1. Adventus. Hans Jacob Fröreißen der Schuhmacher, Hanß Fröreißen deß gewesenen Schuhmachers vnd burgers allhie ehelich. Sohn, vnd Jfr. Susanna Georg Schöner, des geweßenen Schuhmachers vndt Burgers alhie eheliche tochter. Im Münster, Mont. 6. Decembr (i 261)

Originaire de Vienne, le cordonnier Antoine Eisser achète le 13 juin 1642 le droit de bourgeoisie à l’ancien tarif par faveur particulière
1642, 3° Livre de bourgeoisie p. 893
Antoni Eißer Von Wien der Schumacher erkaufft daß Burgerrecht auß sonderbahre begnadigung vmb den alten Burger schilling der Acht goldgulden, ist ledigen stands gewesen vnd würd zu den Schumachern dienen, J. den 13.ten Junÿ 1642.

Antoine Eisser obtient des Quinze une dispense pour faire son chef d’œuvre bien qu’il manque quinze jours à la durée de son travail au service d’un maître. Il devra en compensation attendre quinze jours avant de pouvoir engager un compagnon ou un apprenti
1642, Protocole des Quinze (2 R 65)
(f° 110) Sambstag den 30. Aprilis. – Anthoni Eißer Ca. Schuemacher
Anthoni Eißer Schueknecht per Eggen Ca. Schuemacher Meisterschafft producirt Unterthänig. Anruffen pro dispensation, daß Meisterstückh vfzunehmen, Dr. Knaff. wegen Meisterschafft sagt Es mangle Supplicanten ii. wochen an der allhier verseßenen Zeit stelt die dispens: Zu Mh. Erkandt Würd Implorant. Willfahret, doch soll Er nach u nach verfertigtem Stuck ii wochen ohne fürderung gesindts vnd Jungen Arbeit.

Antoine Eisser, dit le Viennois en 1653, fait baptiser les enfants issus de sa femme Elisabeth (dite Eitzler en 1653).
Baptême, cathédrale (luth. f° 257-v) 1645. den 20. Eiusdem [Julÿ] Par. Anthonius Eiser d. Schumach. Elisabeth. Inf. Anna Catharina (i 263)
Baptême, cathédrale (luth. f° 467-v) 1653. Dom. XV. Trin. d. 18. 7.br. Anthoni Eiser, der Wiener genandt, d. Schuchmach. beÿ d. Metzig. Elisabetha Eitzlerin. H. M. Wetzel Bicht. – Anna Barbara (i 473
Autres Margaretha (1647, i 307), Anna Maria (1650 i 379), Anna Elisabetha (1651, i 428), (1656 i 22)

Antoine Eisser meurt le 17 avril 1669, sa femme Elisabeth le 26 juillet suivant
Sépulture, cathédrale (luth. f° 42-v)
1669. Aprilis. d. 17. Antonius Eiser, Schuhmacher (i 45)

Sépulture, cathédrale (luth. f° 43-v)
1669. Julius. d. 26. Elisabeth, Antonÿ Eisers, Schuhmachers W. (i 46)

Les créanciers d’Antoine Eisser vendent la maison au barbier Conrad Simon, avec l’autorisation des Conseillers et des Vingt-et-Un puisqu’il n’est pas bourgeois.

1670 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 376
(Prot. fol. 14. fac. 2 – 675 lb.) Erschienen hannß Georg Schrimpff der Schuhmacher ahn Weÿl. Anthoni Eÿsers deß Schuhmachers seel. Creditoren Außschuß mit assistentz d. Ehrenvest- Fürsichtig- weÿsen H Johann Walters E.E. Groß. Rhats alten Beÿsitzers und H Augustin Güntzers beeder alß aus E. E. Kleinen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, wie auch deß Edel- hochgelehrten H Johann Philipß Kasten V.I.D. und wohlgedachts Rhats Actuarÿ & Referentis hat
in gegensein Conrad Simons deß Barbierers Schirms Verwanthens alhie (verkaufft) vff vnserer gnädig Herren Rhät und XXI. heütig. tags ertheilten obrigkeitlich Consens
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie geg. der groß. Metzig hienüber, anderseit neben H Sebastiano Schmid SS. Theol. Doct. & Profess. primario auch EE Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben Martin Hermann dem Meelmann, hinden uff den Vlmergraben stoßend gelegen, davon gehen iährlichen termino Martini 10. ß Allmend zinnß gemeiner Statt, Item j. lib. halb vff Joh. Bapt: halb vff weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann, Item so seÿe solche Behaußung auch noch umb 170. lb Nicolao Hämmerlin, Sibner Gerichts Procuratoris, Item umb 25. lib. Johann Örtel Med. stud. Item umb 25. lib. H Mr. Philipß Örtel Pfarrern Zu Gockhsweÿler, Item umb 25. lib. weÿl. H. Hieronÿmi Kraußen seel. wittibin und Erben hypothecirt, sonsten für geg. männiglich ohnanspruchig vnd were solcher Verkauff und Kauff über dieße Beschwerden, daran der Käuffer gewiß. word. istn welche Er auch übernohmen (…) zugangen umb 400. lib

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les créanciers d’Antoine Eisser à vendre la maison au barbier Conrad Simon
1670, Conseillers et XXI (1 R 153)
(p. 190) Sambst. d. 25.ten Junÿ aô 1670 – Hannß Conrad Simon
Anthoni Eÿser gewesten Schumacher Vndt burgers alhier creditores bitten per Reüßern vmb Obrigkeitlich erlaubnus, deßen beÿ der Großen Metzig Alhier stehende behaußung Ahn Conrad Simon dem balbierer Verkaufft Zu dörffen. Erk. Willfahrt. H XV Ansorg, Et H Rheinthaler.

Le compagnon barbier Jean Conrad Simon engage le 12 février 1670 une procédure contre la maîtrise des barbiers. Les documents qu’il produit attestent qu’il a fait régulièrement son apprentissage et qu’il travaille depuis cinq ans à Strasbourg, soit onze années de pratique au total. La maîtrise des barbiers objecte qu’il aurait dû s’inscrire deux ans plus tôt pour pouvoir présenter son chef d’œuvre, que la ville cherche à diminuer le nombre de barbiers et qu’il peut toujours confectionner des perruques. Quant à sa faute (n’avoir pas ettendu son mariage pour le consommer), il ne peut s’en prendre qu’à lui-même. Jean Conrad Simon objecte notamment qu’il est impossible de gagner sa vie en ne faisant que des perruques. La commission relève les arguments en faveur du requérant (il pratique son métier depuis onze ans, le médecin Sebitius est satisfait de son travail, il a corrigé sa faute en se mariant, il n’est pas possible de gagner sa vie en faisant des perruques, sa femme est souffrante) et en sa défaveur (sa demande est contraire au règlement, les barbiers sont trop nombreux, les dispenses sont de préférence accordées à des fils de bourgeois, la dispense ne serait d’aucun effet s’il ne devient pas bourgeois). Elle propose de renvoyer l’affaire au moment où le requérant aura obtenu le droit de bourgeoisie.
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
(f° 15) Sambstags den 12. Februarÿ – Johann Conrad Simon per Reüßnern, Ca. Barbierer Meisterschafft, producirt vnd.th. Supplication, Dr Bitsch nom. cit. pittet communic. vnd Zeit der Ordn. obtin.

(f° 24) Sambstags den 26. Februarÿ – Barbierer Meisterschafft ca. Joh: Conrad Simon
Barbierer Meisterschafft per Dr.Bitschen Ca. Johann Conrad Simon, restituirt deßen Supplication 12.ten huius, vnd producirt gegen bericht vnd pitten Reußner nom. cit. pittet communication vnd Zeit 14. tag. obt.

(f° 29) Sambstags den 12. Martÿ – Joh: Conrad Simon Babierer Gesell vnd Reüßneren Ca. die Barbierer Meisterschafft, restituiren communic. Barbar produciren Schlußbericht, Dr. Bitschen nom: cit: pittet communication vnd Zeit d. o. obt.

(f° 35-v) Freÿtags den 25. Martÿ – Barbierer Meisterschafft ca. Joh: Conrad Simon
Barbierer Meisterschafft per Dr.Bitschen Ca. Johann Conrad Simon, restituirt Schlußbericht, vnd producirt gegen Schlußbericht, Reußner nom. cit. pittet besichtigung vnd ad prox., obtinuit.

(f° 47) Sambstags den 9. Aprilis – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meister.
Joh: Conrad Simon der Babierer Gesell Ca. Barbierer Meisterschafft, per Reüßneren, deren gegenschlußschrifft widerspricht er per g.lia, bezihet sich, was den letzteren Punct. betrifft, vff einige der Mitmeister, so in gleichen stand gewesen, beschleußt Vnd setzts. Dr. Bitsch, nom: Cit: die haben Vorderist diser allegirten exempel, ein vnd anderen concernirend, mitzuentgelten, pitten nechst erhohlung Ihrer Schrifften, auß Mghh mittel Herren Zu eröffnung dero angelegenheit abzuordnen, setzens gleichergestalt, Reüßner pittet vmb gedeÿlich: vnd fürderlichen außschlag. Erkand, Vor beschloßen angenommen, vnd so nötig anzuhören, verrichtens herr Bernegger vnd H Ansorg.

(f° 49-v) Freÿtags den 15. Aprilis – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meisterschafft
Herr Bernegger vnd Herr Ansorg lassen per herrn Negelin die Sach Conrad Simon des Babierer Gesellens Ca. Barbierer Meisterschafft, nach deme die Herren die schrifften gar nacher haus genommen referiren, beederseits fundamenta darinnen Zu bestehen, wan Clagend Simon einwendt, Haben sein Kunst crafft Lehrbrieff redlich erlernt, darauff gewandert, bereits 5. Jahr alhie servirt, Elff gantze Jahr beÿ dem handwerck gewesen, Könne sih wegen begangenen fehlers nirgend heüßlich niederlaßen dan hie, vnd weil die Meisterschafft mit ihme nicht dispensiren wolle, so pittet er alhier drumb.
Die Meisterschafft berichtet hierauff, Es seÿe des petitum dispensationis wider articul, vermög deßen 29. mues sich einer angeben vnd darauff 2. Jahr gesellen weis serviren Supplicant aber, habe sich allererst vor wenig wochen angeben. Sollen lauth 14. und 18. Articuls nur 20. Barbierstuben sein, vnd so lang kein frembder Zugelaßen werden, bis es vff berierte Summ gebracht, nun seind würcklich noch 32.
Seind Viel Meisters: vnd burgers Söhn in der frembde, welche solchergestaldt außgeschloßen würden, Seÿe einer Namens Paul Georg, der warte vff dießes præjudicum, wolle auch eines hiesigen burgers dochter heürathen, alß dan auch einkommen. Könne Supplicant mit Peruquen machen in einem jahr mehr, dann ein Barbierer In ettliche, Verdienen. Ahn dem begangenen fehler seÿe er selbsten schuldig, deßwegen keines mitleidens würdig. Zu dem will die burger ordtnung de A° 1668. daß die Töchter, welche sich von frembden fällen laßen, das burgerrecht verlieren. Pitten demnach manutenentz vnd Supplicanten das begehren abzuschlagen.
Ille replicirt, der 29.te Articul seÿe niemahlen observirt worden, laße sich auch nicht practiciren, dan die Meister dem Examinando, In der 2. Jährigen Zeit durch allerhand fastidien den lust Zum burgerrecht wohlvertriben werden, vnd wehre auch der Articul Von Anzahl der Barbiererstuben bis [f° 50-v] dato nicht so stricte observirt worden, Verhoff man werde den anfang nicht beÿ Ihme machen, die burgers Söhne In der frembde werden Ihr glück wan sie solang, alß er gewandert, auch finden, der gesell dauon sie oben meldung gethan, seÿe bereits von hier verzogen, das Peruquen machen belangend, seÿe solches ein accidens, vnd nichts beständigs, beruht vff der mode. Ob er fähig Zum burgerrecht, gehe die Meisterschafft nicht ahn, stehe beÿ E. E. Rat, daselbst er sich, soviel dem geburts brieff vnd einbringend vermögen betrifft, genugsambs zu legitimiren getrawet.
E. E. Meisterschafft beziehet sich in Ihrer Gegenschlus schrifft vff den 14. vnd 18.t articul, daß man aber bis dato ahn keinem den anfang mach. wollen, seÿe oben Ihr Clag vnd sein langes wanderen, kein motiv zue dispensation, daß ob dem 29.t articul da ein Examinandus, nach dem Er sich angeben, 2. Jahr hier müese gedient haben, nicht beßer sein gehalten werden, ist wid. Ihren wunsch und willen geschehen, Zu dem hinder Ihne sein fall, weilen keiner In solchem fall begriffen, and.swo und Ehrlichen Meisteren gedultet würd, allegiren Exempla, erhohlen priora, supplicant dergleichen verwundt sich dabeÿ, daß die Meisterschafft [f° 51] Ihme seinen fall verwürfft, da doch vnd. denselben sich auch finden, die in gleichem Spithal Kranck ligen. Quæritur, ob zu dispensiren od. nicht ? Vnd militiren pro affirmativa folgende rationes 1) Weilen der Implorant schon 11 Jahr beÿ den handwerck, daßelbe wohl erkant, In deme er Jüngst beÿ einer Section Im Spithal, Crafft Dr Sebitÿ außsag, wohl bestanden, 2) Ist Ihme sein fall, and.stwoh vnd. zukommen, hinderlich, 3) Hatt er sein begangenen fahler, per subsequens Matrimonium vmb etwas corigirt, 4) Kan er sich mit peruquen machen allein nicht ernehren, darff nur einer auß Franckreich komen, der sie beßer nach der mode vnd wohlfeÿler macht, habe er nichts mehr zuverdienen, 5) Ist sein Frau auch vmb etwas Zu consideriren, welche In einem schlechten stand begriffen.
Pro negativa, daß das petitum der Barbierer Articul 14. 18 vnd 19. schnur strack Zu wid. 2) daß handwerck übersetzt, 3) Burgers Söhn in casu dispensationis Vor frembden, doch cæteris paribus, zu consideriren, 4) Würde die dispensation supplicanten gantz vnnützlich sein, wan er nicht vorher des burgerrechtens Versichert sein könte. Halten derowegen die Herren Deputirte ohnmaßgeblich davor, dem Supplicanten wehre Volgender Vor bescheid Zuertheillen.
(Erkandtnus) In Sachen Johann Conrad Simon des Babierer Gesellens, Imploranten Eines, Entgegen vnd wider E. E. Meisterschafft der Barbierer vnd wundt Ärtzt alhie, Antwortere anderen theils, Ist allem so mündt: so schrifftlich gethanen Vor: vnd anbringen vnd ervolgten beschluß nach, mit Urthel Zu Recht Erkandt, wan Implorant, daß er beÿ E. E. Grosen Rath, vor ein Burger vff vnd angenommen Zuvorderst bescheinen würd, Soll alß dan vff anderwertig. ansuch. pt° dispensationis, ferner ergehen was Recht sein würd, Compensatis expensis.
Erkand, würd der bedacht Zusambt der Vorbescheid gevolgt.

Originaire d’Altdorf près de Nuremberg, Jean Conrad Simon qui est chirurgien à l’hôpital est autorisé à épouser Marie Madeleine Pfeffinger à Ostwald pour cause de consommation prématurée.
1669 Conseillers et XXI (1 R 152)
(f° 409) Montag d. 25. Octobris aô 1669. – Hanß Conrad Simon
Hanß Conrad Simon Von Altorf beÿ Nürnberg, Balbierer im Spithal alhier, bittet per Wilden, Weilen derselbe sich mit Maria Magdalena Pfeffingerin in früzeitigen beÿschlaff begeben daß Sie beede ohne proclamation Zu Illwickersheim sich copuliren laßen möchten. Erk. Willfahrt – H XV Friderici & H. Jfr Würtz

Originaire d’Altorf, le barbier Jean Conrad Simon acquiert le droit de bourgeoise par sa femme Marie Madeleine, fille du receveur de l’hôpital Frédéric Pfeffinger
1670, 4° Livre de bourgeoisie p. 382
H Johann Conrad Simon, der Barbierer Von Alttorff, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Maria Magdalena, H. Friderich Pfeffingers Schaffners inn dem Spittal alhie ehelichen dochter, umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt seindt. ist zuuor ledigen standts geweßen, und Will beÿ E.E. Zunfft Zur Lucernen dienen. Jurav. den 21. 9.bris 1° 1670.

Les Quinze accordent le 3 juin 1670 la dispense à Jean Conrad Simon, notamment à cause de ses compétences reconnues. La maladie d’un des examinateurs retarde l’examen. Le rapport du 5 novembre établit que le candidat a brillamment réussi son examen.
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
(f° 65) Sambstag den 28. Maÿ – Joh: Conrad Simon der Barbierergesell per Reüßneren, Sub paritione Jüngster interlocutori ahm 15.ten Aprilis Jüngsthin, producirt E.E. Rathsbescheid, pt° burger Rechtens, pittet dispensando g. zu willfahren. Erkand, weil die Raths ordnung nit so sehr wider Ihn, er underdeßen die nothwendige requisita hatt, können Vorige Herren deliberiren, wie weit mit Ihme zu dispensiren.

(f° 66-v) Freÿtags den 3. Junÿ – Joh: Conrad Simon Ca. Barbierer Meisterschafft
Herr Ansorg vndt Herr Bernegger lassen In der Sach Joh: Conrad Simon Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer per me referiren, Nach deme beÿ E. E. Rath den 28.ten Maÿ Jüngsthien, P° des burgerrechtens, der bescheid vor dem Imploranten gefallen vnd darahn nicht mehr anzustehen, deßwegen Er auch eben selbigen tags gleich darauff supra fol. 65. beÿ Mghh einkommen, vnd dispensando vmb das Examen gebetten, daß E. E. Meisterschafft alß Sie solches vernomen, sobald mit einem hochgemüeßigten gegen bericht vnd pitten, so mit vorwißen des Juncker XV. Meisters ad Acta registrirt vndt Vornemlichen begehrt worden, den Imploranten, weilen es den hiesigen Meistern Vnd den Ihrigen In dem König Reich grosen nachtheil vnd verschimpffung causiren möchte, ad examen nicht komen Zue laßen, Sintemahl da deßen einiger Zweiffel sein solte, Sie sich erbieten, daßelbe ferner Monatsfrist, glaubwürdig Zubescheinen, damit aber das gantze geschäfft wid. gleichsamb erfrischt, vnd Mgh. repræsentirt werde, Ist supra fol: 49. die Völlige relation abgeleßen, vnd in den herren Deputirten darvor gehalten worden, daß ohngehindert weiteren einstrewens, Simon wohl das Examen Zulaßen wehre, weil er 1° sein Straff außgestand. 2° heürathet eines burgers tochter, 3° bringt seine Mittel In die Ehe, 4° Verstehet er sein handwerck wohl, vnd hat In dem Spithal mehr gethan dan sein Meister, daß 5° die herren Pfleger gern sehen, wan Ihme mit manier kan geholffen werden. In waß Zeit aber, vnd ob Ihme ein werckstatt Zuzulaßen wehre, refusis Expensis, Mghh allein Zu überlaßen, nach Volgender Urthel.
Erkandt, weilen von dem frühen Beÿschlaff kein articul, Sondern dergleichen brüeder nochmehr Vorhanden, die Meisterschafft, ob Sie fundirt, Ihr Vorgeben mit der beschimpfung In dem Reich längsten beÿbringen sollen, alß welche sonsten in passibus utilibus, die Articul selbsten gebrochen, seÿe das Examen durch die Urthel Zu Zulaßen, Vnd der Bedacht gevolgt, doch also, wan beriertes examen Vollendet, das die Meister mit dem sonst gewohnlichen auspruch, wie Sie den Imploranten befunden, einzuhalten, bis Mghh. deßen gehorsambst berichtet werden.
(Erkandtnus) In Sachen Johann Conrad Simon des Babierer gesellens, Imploranten Eines, Entgegen vnd wider E. E. Meisterschafft der Barbierer vnd Wund Ärtzte, Antwortere Anderen theils, Ist auff producirten E. E. Raths bescheid pt° burgerrechtens den 28° Maÿ Jüngsthien ergangen, der Antwortere so genanten hochgemüßigten Gegenberichtts vnd nachgebrachten bittens ohngehindert, endlich bekandt, daß Implorant dispensando ad examen vnd Zu Verfertigung des Meisterstücks nunmehr Zulaßen seÿe, refusis expesis [in margine:] publ. den 4. Junius

(f° 137) Sambstag den 5. 9.bris. – Johann Conrad Simon würd Meister
Herr XV. Ansorg, alß obman beÿ der Barbierer Examinatoren, that bericht, daß sich mit Johann Conrad Simon Meisterstück der Ursachen solang Verzogen, Weil H. Dr Saltzmans Unpaßlichkeit die meiste Ursach wahr, Er seÿe aber dieser tagen beÿ dem Examine durch allerhand vorgelegte fragen, nit allein länger dan andere vffgehalten Worden, Sondern auch mit dem Pflaster Kochen vnd Antworten sehr wohl bestanden, daß Ihme die Herren Doctores deßwegen ein rühmlich guet Zeugnis mitgetheilt, Stünde Jetzmahls allein dahien, waß ihme vor bescheid Zu ertheilen. Erkand, würd Simon vff dieße relation vor einen Meister hiemit declarirt vnd erclärt.

Jean Conrad Simon demande l’autorisation d’acheter une boutique de barbier. Les Conseillers et les Vingt-et-Un lui demandent de prendre patience.
(f° 156) Sambstags den 7. Januarÿ (1671) – Joh: Conrad Simon der Barbierer per Reüßnern, producirt vndh. Supplication, mit beÿl. N° 1, Pittet Ihme dispensando barbier stub Zuerkaufen. Erkand, Zur geduld gewießen.

Jean Conrad Simon et Marie Madeleine Pfeffinger font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les apports du mari s’élèvent à 1042 livres, ceux de la femme à 326 livres.

1671 (4.8.), Not. Reeb (Nicolas, 44 Not 2) n° 251
Inventarium über die Jenige Haab und Nahrung, So der Ehrenvest, vnd Kunsterfahrne Herr Johann Conrad Simon der Barbierer und Wund Artzt, vnd die Ehren: und tugendsame frauw Maria Magdalena Pfeffingerin, beede Eheleuth, und burgere Alhie Zu Straßburg Einander für Unverändert in die Ehe Zugebracht, auffgerichtet in Anno 1671. (…) sie Maria Magdalena Pfeffingerin aber mit hulff vndt Zuthun des Achtbar vndt bescheidenen Herrn Johann Jacob Fröreisen des Krämers oder Schuhmachers vnd burgers alhier ihres Gevattern (…) Angefangen oder beschehen Freÿtags den 4. Augusti Inn des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Anno 1771.

Inn Einer in der Statt Straßburg Gegen der grosen Metzig über gelegenen vnnd hieunden Eingetragenen, deù Mann für unverändert gehörigen behausung befunden worden wie volgt.
Vff der obern Bühn, Vor dieser Cammer, Inn der ober Barracken Stub, Vor dießer Stuben, Inn der Cammer A, In der Cammer B, In der mittlern Wohnstuben, In der mittlern Hauß öhren, Inn der vndern Barbier stuben
Sa. Haußrath M 31, F 124. Silbergeschmeid M 27, F 34, Guldener Ring M 4, F 17, Werckzeug Zum Barbierer Handwerck M 10, Baarschafft M 500, F 150
Eÿgenthumb Ahne Einer Behaußung So der mann für unverändert in die Ehe gebracht. Item hauß, hoff vnnd hoffestatt mit allen andern ihrn gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vnnd gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg, gegen der großen Metzig vber, Einseith neben weÿland herren Adam Spooren geweßenen vornehmen specereÿhändlers, vnd burgers alhie Zu Straßburg seelig hinderpliebener Frauw Wittib und Erben, Anderseiths theÿls ein Eckh, theÿls aber neben Martin Hermann dem Meelman, hinden vff den vlmer graben stoßend, darvon gohnd Jährlichen vff Martini der Statt Zinßmeisters Zehen schilling pfenning Allmend gelt, Item Ein pfund pfenning Jährlichen halb vff Johannis Baptistæ vnnd halb vff Weÿhenachten, Erblehens Zinß den Johanniter herren Zum Grünen wördt, ferner Süben Pfundt Zehen schilling pfenning Herrn Johann Joachim Sartor dem Goldtschmidt Vndt burgers Alhie, Jährlichen vff Michaelis So in restirendem hauptguth Von Vnnd Ahne 170 Pfund pfenning herrührend, welche Zuuorn Herrn Nicolao Hemmerlin verzinßt worden, Abzulößen mit 150 Pfund pfenning, Sonsten freÿ ledig vnd Eÿgen, Vnnd über vorgemelte beschwerden hiehero Angeschlagen für 420. lb Darüber sagt ein teutscher Pergamenin Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg Anhangendem Contract Insigel verwahrt, Datirt den 25.ten Junÿ Anno 1670. und Signirt mit N° 1
Eigenthum ane einer behaußung M 420, Activ Schulden 49, Summa summarum M 1042 lb, F 326 lb

Les Quinze autorisent Jean Conrad Simon à ouvrir une boutique de barbier près du Pont Neuf après la mort du barbier Bernard Georg.
1671, Protocole des Quinze (2 R 88)
(f° 26-v) Sambstag den 18. Februarÿ – Johann Conrad Simon der Barbierer per Reüßnern, producirt nochmahlige unterthänige supplication, weilen Bernhard Georgius Gott ergeben vnd sein barbierstub nechst der Newen bruck Jetzmahls Zuegehet, Ihme g. Zuerlauben, daß er dagegen sein Barbierstub öffnen vnd sich beßer nehren möge. Erkandt, auß Vielen Vrsachen willfahrt.

Jean Conrad Simon vend la maison au revendeur Jacques Frantz moyennant 1000 livres. La vente passée en 1678 prouve qu’elle a été résolue

1676 (25. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 369-v
(prot. fol. 37) Erschienen Johann Conrad Simon der Barbierer
hat in gegensein Jacob Frantzen deß Grempen, mit beÿstand Jacob Bleÿfuß deß Jüngern Spenglers (verkaufft)
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier gegen der großen Metzig hinüber, einseit neben Herrn Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. primario auch E. E. Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben Georg Hermann dem Meelmann hinden uff den Ulmer Graben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmend zinnß gemeiner Statt, Item I. lb. halb uff Joh. Bapt: halb uff weÿhnachten dem Ordens hauß Zu St. Johann alhie – umb 1000 Pfund pfenning

L’inventaire non conservé des biens de Jean Conrad Simon et de sa femme Marie Madeleine Pfeffinger est dressé en 1694 après leur mort
1694, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45) f° 8
Inv. über weÿl. Herrn Joh: Conrad Simons gewesenen Chyrurgi und Fr. Maria Magdalena geb. Pfeffingerin beeder Eheleuth Verlassenschafft samt der Abteilung und Verkauff Reg.

Le chirurgien Jean Conrad Simon meurt en 1694 à l’âge de 53 ans. Son fils Jean Gaspard Simon signe l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 58-v, n° 43)
1694. Sonnt. den 25. Julÿ st. n. 1694 starb H Johann Conrad Simon, wundartzt und Barbierer alhier a. Burger seines alters 53. jahr 4 Monath und 2 woch. und ist Dienst. den 27. dito nach gehaltener leichenpredigt beÿ St. Niclaus auff den Gottesacker St. Galli begraben worden, [unterzeichnet] Johann Caspar Simon alls Sohn, Stephann Amberger ohlman Alß Vogt (i 63)

Jean Conrad Simon vend la maison au revendeur Jean Philippe Ferber moyennant 850 livres

1678 (9. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 703-v
(prot. fol. 70.) Erschienen Johann Conrad Simon der barbierer
hat in gegensein Hannß Philipps Ferbers deß Grempen und Annæ Catharinæ beÿder Eheleuth (verkaufft)
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier gegen der Großen Metzig hinüber, einseit neben herren Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. Primario auch E.E. Kirchen Convents Præsidi, anderseit neben hannß Georg Hermann dem Mehlmann, hinden uff den Vlmer Graben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmend Zinnß gemeiner Statt, Item j. lb habe uff Joh. Bapt: halb uff weÿhenachten dem Ordens hauß Zu St. Johann alhier, sonsten seÿe d erwehnte behaußung gegen männiglichen ohnansprüchig. Vnd were solcher Verkauff vnd Kauff /:über dieße beÿde Zinnß, daran die Kauffende Eheleuth gewießen worden seindt, welche Sie auch übernohmen (…):/ Zugangen umb 850. lb.

Jean Philippe Ferber et sa femme Anne Catherine hypothèquent la maison trois jours plus tard au profit du préteur Henri Balthasar de Kippenheim

1678 (12. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 708
Hannß Philipp Ferber der Gremp und Anna Catharina beÿde Eheleuth, und Zwar Sie Anna Catharina insonderheit mit beÿstand Christoph Eberle deß Schuhmachers und Christoph Müllers deß Schneiders beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein Herrn Johann Jacob Böhlers Notarÿ, im Nahmen deß Freÿ Reichß hochwohlgebornen Herrn Heinrich Balthasar Von Kippenheim dießer Statt alten Stättmaÿsters – schuldig seÿen 400. lb
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen Zugehördten Rechen und Gerechtigkeiten alhier gegen der Großen Metzig hinüber, einseit neben herrn Sebastian Schmidten S.S. Theol. Doct. et Profess. Primario, anderseit neben Hannß Georg Hermann dem Mehlmann hinden uff den Ulmergraben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen term. Martini 10. ß Allmendzinnß der Statt Straßburg, Item 1. lb d halb uff Joh. Bapt: und halb uff weÿhenacht. dem Ordens hauß Zu St. Johann alhier

Fils du mousquetaire Jérémie Ferber, le cordonnier Jean Philippe Ferber épouse en 1674 Anne Catherine, veuve du revendeur Nicolas Debus : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia d. Eheberedung – Zwisch. den Ehrenhafft. Johann Philipps Ferbern, dem Ledig. Schuhmach. des Ehrengeachten undt Mannhafft. Jeremiæ Ferbers, Mußquetierers hißig. Quarnison und. Hn. Capitain Frandi compagnie ehelichen Sohns, als dem Brautigamb an einem, So dann d. Ehrn: undt tugendsahmen frawen Annæ Catharinæ Eberlin, weÿl. des Ehrenhafft. Niclaus Debß. gewes. Gremp. undt burgers Zu Straßburg seelig. hind.laß.er wittwen, als d. hochzeith.in and.n theils (…) Gescheh. undt verhandelt in Straßburg Donnerstag d. 7. des Monats Maÿ Inn dem Jahr des Herrn als man Zahlte 1674, [unterzeichnet] Johann Philippus Ferber bekenne wie obsteht als hochzeither, Im Nahmen Jeremiæ Ferbers des hochzeiters vatters so Schreibens ohnerfahren, Joh: Jacob Schatz Notarius publ. der hochzeiterin vogt, Simon Wilborn barbierer vnd Wundartz d. Kind. vogt

Mariage, cathédrale (luth. f° 78-v, n° 25)
1674. Dom : Jubilate. Zum 2. mahl Johann Philipp Ferber der Schumacher Jeremiæ Ferbers, Muusquetirers unter alhiesiger garnison ehel. Sohn, Anna Catharina Weiland Niclauß Debus geweßenen Grempen u. Burgers alhier nachgelaß: Wittib. Donnerstags den 21.ten Maÿ, Münster (i 181)

Jean Philippe Ferber devient bourgeois par sa femme Anne Catherine quatre semaines après son mariage. Il s’inscrit à la tribu de la Mauresse.
1674, 4° Livre de bourgeoisie p. 413
Hannß Philip Ferber der Gremp empfangt das burger Recht von Anna Catharina weÿl. Niclauß Debes des Grempen seel. wittib pro 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hat, ist Zuvor ledigen standts geweßen, und will auff E. E. Zunfft der Morin dienen Jur. d. 17. Junÿ 1674.

Nicolas Debus épouse en 1662 Anne Catherine, fille du cordonnier Christophe Eberlé
Mariage, cathédrale (luth. f° 17)
1662. Dom: L.ma den 9.ten Febr: Zum 2 mahl Niclaus Debuß der Gremp Weiland Michel Debuß geweßener Würths Zu S* vndt Bürgers alhier hinterlaß. ehel. Sohn, Jfr. Anna Catharina, Christoff Eberles Schumachers vndt Bürgers alhie ehel. Tochter. Montags den 17.ten Febr: Maurst. Münster, hinderschreiberstub (i 18)

Nicolas Debus et Anne Catherine Eberlé font dresser l’inventaire de leurs apports
1662 (9.3.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 1) n° (40)
Beschreibung deß Jenigen so Niclauß Debßen, dem Krempen alhie, und Annæ Catharinæ Eberlin, beeden Ehegemächden eÿgenthümblichen Zuständig, vnd dieselben in den Ehestand also ein unverändert gutt gebracht, welches der Ursachen, weilen in Ihr beeder Ehegemächt auffgerichten Eheberedung expressé Versehen, das die zubringende Nahrung, wafern solche bald nach d. hochzeit beschriben würd, einem Jedem ehegemächt und seinen Erben unverändert vnd vorbehalten sein solle (…) den 9.ten Martÿ 1662.

Anne Catherine Eberlé fait divers legs à ses enfants
1695 (3.5.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Disposition inter liberos Frawen Annæ Catharinæ Eberlin Herrn Philipp Färbers, Grempen ehelicher Haußfrawen
1695. (…) auf dienstag den dritten Maÿ newen Calenders, morgens früh Zwischen sieben undt acht Uhren, in einer am Stephansplan gelegenen, Von Mir Notario bewohnenden dem Stifft frawen haußes zugehörigen behaußung, deroselben hindern: vnd Schreib Stuben in die Oleÿgaß, gegen einer Diaconat behausung nach St. Wilhelm gehörig, außsehendt, vor mir (…) Persönlich erschienen ist, die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, deß Ehrenhafften Herrn H. Philipp Färbers, Grempen, burgers alhier Zu Straßburg eheliche haußfraw, gesundt gehendt: undt stehendten leibs
(…) Weiters, weilen der Stadt an der Großen Metzig gelegen Ihro undt Ihren Kindern Von der Statt Pfenningthurn umb einen Jährlichen Zinß beständig Zugenißen und inn Lehnung Zuhaben verschrieben (…)
(Protholollum secundum, 1 AH 6295)

Elle fait de nouvelles dispositions le 10 mars 1696 alors qu’elle est malade. Elle lègue à son mari la jouissance viagère de la maison rue de l’Hôpital
1696 (13.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296) f° 192
Codicill Frawen Annæ Catharinæ Eberlin Herrn Philipp Färbers, Grempen ehelicher Haußfrawen
1696. (…) auf Sambstags den 10. Martÿ newen Calenders, nach mittag Zwischen Zwölff undt Ein Uhren, inn einer neben herrn Spooren dem Specierer gegen der Großen Metzig über gelegenen eÿgenthümblich gehörigen behaußung deroselben Zweÿten: undt Wohnstuben einer Steegen oder Gaden hoch auf die gaß außsehendt, die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, des Ehrenhafften Herrn H. Philipp Färbers, Grempen, burgers alhier Zu Straßburg eheliche haußfraw, krancken undt schwachen leins und dannenhero in einem beth sich enthaltendt
(…) Dienstags den 13. Martÿ Anno 1696 (…) daß Ihr Ehemann den lebtägigen genuß des Kellers inn der behaußung im Spitalgäßlein haben, undt seine Ihme ein quartirte Soldaten jederzeit so lang Er lebt, in genanter behausung genießen und einlogirt seÿn sollen
(…) Sambstags de, 17. Martÿ Anno 1696 (…) daß das Jenige, waß Ihrem Ehemann wegen genußes des Haußes im Spittelgäßlein (…) cassirt

Anne Catherine Eberlé meurt le 22 mars 1696 en délaissant trois enfants de son premier mariage et trois du second. Les experts estiment la maison à 420 livres. La masse propre au veuf est de 79 livres, celle propre aux héritiers de 234 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1786 livres, le passif à 107 livres.

1696 (4.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6167) n° 482
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jed. verändert undt unveränderter Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren undt tugendsahme fraw Anna Catharina Eberlin, des Ehrenhafft. Herren Johann Philipp Färbers, Grempen burgers alhier Zu Straßburg gewes. eheliche haußfraw nunmehr seelige, nach ihrem d. 22. Martÿ Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hind. Ihro v.laßen (…) welches bescheh. in Straßb. Mittw. d. 4. Aprill aô 1696.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaß. wie volgt. 1. d. Ehrsamen undt bescheid.en Andres Debeßen Schuhmach.n burg. alhier Zu Straßburg, so gegenwärtig, 2. Johann Friderich, so stumm undt taub, deß. geordnet undt geschworer Vogt d. Ehren vest vorgeachte Herr Johannes Dürninger, tuchbereiter undt alter dreÿ.d. Statt Stall, 3. die Ehrn: vndt tug.dtsahme Mariam Elisabetham, des Ehrenhafften Johann Philipp Heÿligs Kammachers burg.s Zu gerührtem Straßb. eheliche haußfraw, mit beÿstandt deßelb. dieße 3. in erst. Ehe mit dem Ehrenhafft. herrn Niclaus Debeß. gewes. Gremp. burg. alhier erzeügt.
4. Johann Philippen, ledigen Knöpffmacher gesellen, so anwesendt, 5. Jungfr. Annam Catharinam so geg.wärtig, 6. Johann Jacoben, dieße 3 letstere mit dem hind.laß.en wittiber in Zweÿter undt letst. Ehe erziehlt. d.en geordnet und geschworener Vogt d. Ehren geachte H Daniel Becker Gremp burg. alhier alle 6. d. verstorb. seel. inn Zwoen Eh. erzeugte hind.laß.er Kind. undt ab intestato erben
Copia der Eheberedung, Copia Dispositionis inter Liberos, Copia Codicilli undt Nach Dispositionis

Inn einer inn d. Statt Straßburg geg. d. groß. Metzig üb. gelegen: in diese Verlaßenschafft gehörig: hernach beschrib.en behaußung hatt sich befund. wie volgt
Hültzen: undt Schreinerwerck. Inn der Cammer A, Inn der Obern Stuben, Vor dießer Stub. Inn der Cammer B. Vor der Cammer B, Inn der Wohnstuben, Inn der Kuchen, Inn der Undern Stuben – Inn dem hauß im Spittalgäßl.
Eÿgenthumb ane Haüßern (E.) Item Hauß und Hoffstatt mit allen deßen gebäwen, begriffen, weiten, rechten Zugehörden und gerechtigkeit gelegen inn der Statt Straßb. ane dem Spittalgäßl. (…)
Item Hauß undt Hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten geleg. in d. Statt Str. geg. der grosen Metzig hinüber eins. neben herrn Sebastian Schmidten Sacro St Theol. Dris et Præsidis hind.las. Fr. Wittib and. s. neben Hanß Georg Hermann dem Meelmann, hinden uf den Ullbert Graben stoßdt geleg. davon gehen Jahrl. termino Martini 10. ß allmendt Zinß Gemeiner Statt Pfenningth. Item 1 lb d auf Joh. Bapt: u. h. auf weÿhenachten dem ordens hauß Zu St Johann alhier undt ist diese behaus. durch die herren Werckmeister æstimirt worden vor 420. lb, thut ab. d. Codicill nach 850 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit d. Statt Strb. Cancelleÿ Contractstub anhanged. Insiegel verwahrt de dato 9. Xbr. aô 1678.. Darüber besagt ferner ein teutsche Pergamentene Kauffverschreibung auch in allhießig. Cancel. Contractstub vfertiget u. mit dero anhangend. Insiegel verwahrt, dedato 25. Junÿ aô 1670.
Norma hujus Inventarÿ. Des wittibers ohnverändert eÿgenthumblich Vermögen, Sa. haußraths 4, Ergäntzung 75, Summa summarum 79 lb
Auff solches volgtt auch d. Erb. ohnverändert eigenthümliche Nahrung, Sa. haußraths 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Gold. Ring 3, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 250, Ergäntzung 31, Summa summarum 351 lb – Schuldt 117, Über abzug dieß. Schuld 234 lb
Endtlich. wirdt nun auch d. gemein v.ändt. undt theilbar guth beschrieb. Sa. haußraths 59, Schiff und geschirr zum Gremp. werck gehörig 12, Sa. d. Gremp wahren 236, Frücht. 4, wein undy lehre vaß 3, Silber geschirr und Geschmeid 31, Guldene Ring 7, baarschafft 534, Eigenthumb ane einer behaußung 850, Schuldt 14, Summa summarum 1786 lb – Schulden 107
Ergäntzung des wittibers abgegang.. ohnverändert. guthsn Auß dem Inventario (…) durch H Joh: Jacob Schatzen Notm publ. d. 5. Aug. 1674. auffgerichtet (…) von seinem Vatter weÿl. Jeremias Färbern gewes. Mußquetierer wehrend. Ehe ererbt
Copia d. Eheberedung (…) Gescheh. undt verhandelt in Straßburg Donnerstag d. 7. des Monats Maÿ Inn dem Jahr des Herrn als man Zahlte 1674,
die letzte wilen Stehen in mein Notarÿ Protocoll
Abschatzung freitags d. 30.ten Martzi 1696. Auff begehrn deß Ehrenhafften vnd beschaidnen herrn Johann phillipp Ferber Burger Vnd Gremppen behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Großen Metzig Ein Eckh, Ein seitzs Neben herr Johann Georg her Man dem Mell Mann, Ander seitzs Neben herrn Adolff sporen dem Wurtz Kremer hinden auff dem vtter graben Stoßent, Welche behaußung, Sampt aller dero begriff recht vnd gerechtigkeit, wie solches durch die geordnete werckh leithe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb, Acht hundert Vnd Viertzig Gulden
die Andere Behaußung auch alhier in der Statt Straßburg in den sp genandten spitall geßlein (…)
Bezeichnis der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.

Jean Philippe Ferber se remarie en 1697 avec Anne Marie, veuve du marchand de bestiaux (ici marchand de vins) Christophe Milling. Un inventaire d’apports est dressé par le notaire André Schmidt (voir le Conseillers et les Vingt-et-Un en 1707).
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 75, n° 404)
1697. Mittw. d. 20. febr. wurd. nach Zweÿmahliger außruffung copulirt Johann Philipp Ferber, d. B. u. gremp allhier v. Fr. Anna Maria weil. Christoph Millings des geweßenen B. u. Weinhändlers allhie nachgelaß. Wittwe [unterzeichnet] Johannes Philipp ferber alß hoch Zeiter, p ist der Fr. Hochzeiterin Zeichen, M. Johann Adolph Färber pfarrer Zu Willstatt, Hans Jacob Schurer alß der Fraun hochzeitterin Vogt (i 74)

Christophe Milling épouse en 1694 Anne Marie Kirchner, fille de Paul Kirchner habitant de Bischoffsheim à la Haute Montée (Rheinbischofsheim en Bade)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 32, n° 16)
Mittwochs den 27. Oct. st. n. 1694 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclauß in Straßb. dahinn in dem hauß auff Erlaubniß gnädig. Hh. Räthe und XXI. copulirt und eingesegnet worden H. Christoph Milling, der Viehändler und Burger alhier, und Jfr. Anna Maria Kirchnerin, Pauli Kirchnerß, deß burgers Zu Bischoffsheim Zum Hohensteg eheliche Tochter, welche auch neben mit und nachgesetzten Zeugen unterschrieben haben [unterzeichnet] Christoph Milling alß hoch Zeiter, o ist das Zeicgen der Jfr Hochzeiterin (i 35)

Fille du laboureur Paul Kirchner de Bischoffsheim à la Haute Montée, Anne Marie Kirchner devient bourgeoise par son mari le jour de son mariage.
1694, 4° Livre de bourgeoisie p. 649
Anna Maria Kirchnerin, Von Bischen Zum Hohensteg, Paul Kirchners Ackersmanns daselbst Ehl. tochter, empfangt das Burgerrecht von Christoph Milling dem Viehhändler, ihrem Ehemann gratis, War zuvor ledig. standts und wird Zu E. E. Zunfft Zur Blumen dienen. Promis: d. 27. Dito [9.br.] 1694

Le cordonnier André Debès et le peignier Jean Philippe Heilig agissant au nom de sa femme Elisabeth Devès vendent leur part de maison à leur beau-père Jean Philippe Ferber

1697 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 34-v
Andres Debes der Schuhmacher für sich selbsten, und Johann Philipp Heÿlig der Strehlmacher alß Ehevogt Elisabethæ geb. Debeßin
in gegensein Johann Philipß Ferbers, deß Krempen respect. Ihres Stieffvatters und Steiff Schwähers, Er Heÿlig aber im Nahmen und mit belieben seiner haußfrau, welche auch selbst erscheinen und diese verschreibung signiren werde ([in margine :] d. 24. Januar. 1697 Erschienen ged. Elisabetha Debußin, hat diese verschreibung freÿ verlesen und ratificirt)
Zween Sechste theil von einem dritten theil für ohnvertheilt ane Hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördt und gerechtigkeiten allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben weil. Hn Sebastian Schneidern SS Theologiæ Doctoris, Profess. und deß Kirchen convents Præsidis sel. nachgelaßene Fr. Wittib, anderseit neben hans Georg Hermann dem Meelmann hinden auff den Ulmergraben stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 10 schilling Allmendgeld der Statt Pfenningthurn, Item Ein pfund pfenning zinß halb auf Johannis Baptistæ halb auff weihnacht. dem Ordenshauß zu St Johann allhier, auch ein völliger dritte theil dieser behaußung Ihme Kaüffern von seil. Fr. Annæ Catharinæ geb. Eberlin seiner haußfr. vermacht, darund. auch die ietz verkauffte antheil gehörig, ein and. Sechsten theil aber Johann Friderich Debes seinem stummen Stieffsohn und die übrige dreÿ Sechste deß 1/3. völlig. theil seinen eÿgenen mit ged. Anna Catharina erzielht. und nachgelaßenen Kind. gehörig – zumahlen die andere Zween dritte theil d. gantzen behaußung Ihnen Kaüffern vorhien eÿgenthümlich zuständig – alßo das dominum cum usufructum consolidirten – 56 Pfund

Jean Frédéric Debès qui est muet vend à son tour sa part à Jean Philippe Ferber

1697 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 275
H. Johann Dürninger, der Tuchscherer, alß Vogt Joh: Friderich Debes so Stumm
in gegensein Johann Philipp Färbers des Krempen, ihme Färbern als ged. Debes Stieffvattern
Einen Sechsten theil Von einem drittel für ohnvertheilt an Hauß und Hoffstatt mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeit, allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmiden SS. Theol. Doct. Profes. Und des Kirchen Convents Præsidis seel. nachgelaßener Fr. Wittib, anderseit neben Hans Georg Herrmann, dem Meelmann, hind. auff den Ulmergraben stoßend gelegen, Von welcher gantzen Behaußung gehen Jährlich 10 ß d Allmend geld der Statt Pfenningthurn, Item 1 lb d Zinnß halb auff Joh. Bapt: halb auff weihnachten dem ordens hauß zu St Johann allhier, so seÿe auch ein Völliger dritte theil dieser behaußung Ihme Kaüffern von weÿl. Anna Catharina geb. Eberlin seiner Haußfr. seel. ad dies vitæ widemsweiß zu genießen Vermacht darunder auch der ietz Verkauffte antheil gehörig – umb, zumahlen die andere zween dritte theil der gantzen behaußung und d. sechste theil an obged. drittel ihme Kaüffern Vorhien eigenthümlich zuständig – umb 28 pfund

Jean Philippe Ferber et Anne Marie Kirchner hypothèquent cinq sixièmes de la maison au profit au docteur en médecine Marc Mappus.

1700 (29.4.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 262
Johann Philipß Färber der Kremp und Anna Maria geb. Kirchnerin mit beÿstand H. M. Johann Michael Rebhans, Und Hn Johann Georg Stechers, beed. E:E: kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein herrn Marci Mappi, Medicinæ Doctoris & Professoris – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, Fünff Sechste theÿl für ohnvertheilt an Einer behaußung, Und hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Recht. und Zugehördt. allhier geg. der großen Metzig über, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmids SS Theol. Doctor. Professoris und des Kirch. Convents Præsidis sel. nachgelaßener Fr. Wittib anderseit neben Hans Georg Herrmann, dem Mehlmann hinden auff den Ulmergraben, stoßend geleg. von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 10 ß d allmend geld der Statt Pfenningthurn, Item 1 lb zinß halb auff Johannis Baptistæ, halb auff weihnacht. dem Ordendshauß zu St Johann allhier – umb 150 Capital verhafftet, der übrige Sechste theÿl aber sein deß debitoris Kind. erster Ehe eÿgenthümlich gehörig

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit du cordonnier Daniel Braun

1701 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 378
Johann Philipß Färber der Kremp
in gegensein Daniel Braun deß Schuhmachers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, Recht. Und Zugehördt. allhier geg. d. großen Metzig, einseit neben weÿl. H. Sebastian Schmiden SS. Theol. Doctor. Profes. et Practic. sel. hind.laßener wittib, and.seit neb. hans Georg Hermann dem Mehlmann, hind. auff d. Ulmergrab. stoßend geleg., darvon gehend jährlich termino Martini 10 ß d Allmend zinß Gemeiner Statt, It. 1 lb d halb auf Johannis Baptistæ halb auff weihnacht. den Ordenshauß zu St Johann allhier
[in margine :] hierinn bemelter Braun der Creditor hat in gegensein Johann Jacob Wagners deß grempen alß nunmahligen proprietarÿ hierinn benambsten Hauses, (Quittung) den 19. Julÿ 1714

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1705 (21.4.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 378-v
Joh: Philipp Ferber gremp [unterzeichnet] Johannes Philippus ferber
in gegensein Daniel Braunen schuem: – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, seine behaußung Cum appertinentiis allhier gegen der Großen metzig einseit neben dem Sporischen Hauß anderseit ist ein Eck hinten auf (-) Herrmann melmann stoßend gelegen

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit de la tribu de la Mauresse. En marge, quittance remise en 1707 à Jean Jacques Wagner

1705 (10. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 966-v
Joh: Philipp Ferber Gremp
in gegensein Hn Joh: Philipp Bernhards Handelsmanns u. H. Joh: Reinhard Langen Not. publ. beede resp: alß Zunft meÿster u. Zunft schreiber E.E. Zunft der Möhrin hierzu ihrer außsag nach mündlich Vom gesambten collegio der Herren Schöffen daßelbst bevollmächtiget – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, seiner behaußung Cum appert: allhier einseit neben H. Joh: Adam Spooren handelsmann anderseit neben Georg Herrmann meelmann hinten auf den Ulmergraben stoßend gelegen
[in margine :] quittung, in gegensein Johann Jacob Wagner Schreiners als ietzmahlig. proprietarÿ hierinn verpfändeten Haußes, den 12. apr. 1707

Jean Philippe Ferber hypothèque la maison au profit de l’aubergiste au Paysan bleu Daniel Schweigheusser

1706 (28.8), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 627
Joh. Philipp ferber Gremp
in gegensein Daniel Schweickhaüßers würths zuem Blauen Bauren – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, seine behaußung cum appert: allhier gegen der Großen metzig, einseit neben dem Sporischen Hauß anderseit neben hanns Georg Herrmann meelhändlers hinten auf den Ulmergraben stoßend
[in margine :] cassirt den 22. mart. 1707

Jean Philippe Ferber sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un que sa femme qui a des accès de démence depuis son accouchement sept ans auparavant soit admise à l’hôpital. Son état s’est amélioré après qu’elle a été enchaînée. Jean Philippe Ferber produit le certificat médical que l’assemblée lui a demandé. Le préteur royal n’est pas favorable à l’admission. La commission rapporte le 7 mars que le mari est disposé à acheter pour sa femme une pension moyenne (mittlere Pfrund) à l’Hôpital, que la maison déjà exiguë pour le commerce est inappropriée pour y trouver une pièce traquille comme le propose le préteur royal. Les voisins déclarent en outre qu’il y a danger d’incendie puisque le femme peut transporter du feu lors de ses accès de démence. Le préteur royal réitère ses objections, il estime que les soins seront meilleurs à domicile et qu’une guérison serait possible. L’assemblée adopte l’avis du préteur royal.
1707, Conseillers et XXI (1 R 190)
(f° 29) Sambstags den 19.ten Februarÿ 1707 – Johann Philipp Ferber pt° receptionis seiner Frawen Annæ Mariæ Kirchnerin in den Spittahl
K. Ersch. Johann Philipp Ferber burger vnd Kremp allhier prod. unterthänig hochagelegenes flehentliches Memo: vndt bitten, daß mghhen geruhen wolten Annam Mariam gebohrne Kirchnerin seine ietzmahlige haußfr. welche vor vngefähr 7 Jahre durch eine gehabte Unglückliche Kindtbett gantz unrichtig worden dergestalt. daß mann Sie eine geraume Zeit anketten habe legen müßen, nachgehents zwar wurdte in etwas zü recht gebracht worden, sich aber anietzo würcklich neuwe Indicia ihre Vorthäten daß es nicht recht vmb Sie stehe, vndt Sie wohl gar noch ein unglück es seÿe beÿ Ihme im hauß oder in der nachbarschafft anstellen möchte:/ zu männiglichs sicherheit in allhiesigen mehrern hospital auff vndt in die mittlere pfrundt so Er Ihne zu kauffen gesinnet anzunehmen.
Erk. würdte Implorant sein Vorgeben per attestatum Medicum bescheinen, solle darauffhien ferner ergehen was recht ist. – H. XV Reineri vndt H. Rathh. Heckher.

(f° 32) Montags den 21.ten Februarÿ 1707 – Johann Philipp Ferber, wegen auffnahm seiner Fr. in den Spittahl
K. Ersch. Johann Philipp Ferber burg. vndt Kremp allhier pt° uxoris Zur Unterthänigen parition des am 19.ten huius ergangenen bescheidts, producirt attestatum Medicum vnd bittet wie damahlen
H. prætor Regius meldet, es hätte Zwar der Implorant durch producirung des abgeleßenen attestati medici parirt, doch findte Er nicht, daß mghhn so leichter dingen Ihme in seinem begehren willfahren könten, Indeme Ein Jeder Ehemann sein weib sowohl in kranckhen als gesundten tagen so viel möglich Zuverpfegen verbunden were, vndt vermeine Er, es werdte vor allen dingen einige auß Mghhen Mittell die commission auff Zu tragen seÿn, Ihme Imploranten Zu Zusprechen seine haußfr. im hauß Zu verpflegen, vndt wann Er sich nicht solte darzu verstehen wolle, Zu unter suchen, ob Er genungsame Mittell habe selbige Zu versorgen wie auch ob Er nicht ein bequemeres Zimmer in seinem hauß habe, worinnen selbige sicher vndt ohne gefahr männiglichen verwahret werden könte, welchesfals Sie beßer verpflegt werden könte, auch weÿllen Sie nur per Intervalla roßendt wird ehenster zu Ihrer geneßung kommen würdte, als wann Sie ins dollhauß solte gebracht werden, solte Er aber kein bequemes Zimmer im hauß vnd nicht genugsame mittell haben, Sie Zuverpflegenn daß als dann auff der Hh Deputirten relation ferner ergehen solle was recht ist. Erk. Hn prætori regio gevolgt, H. XV.er Reineri vndt H. Rathh. Heckher.

(f° 43) Montags den 7.ten Martÿ 1707 – Relation der Herren Deputirten wegen Johann Philipp Ferbers deß Krempen haußfr. pt° receptionis in den Spittahl
H. XV.er Reineri vndt H. Rathh. Heckher referiren, es were Johann Philipp Ferber burger vndt Kremp allhier den 21. Februarÿ jüngst beÿ mghhn supplicando eingekommen, daß denselben belieben möchte, seine haußfr als welche vor verschiedenen Jahren hero gantz blödthäuptig were in allhießiges hospital gegen dem unterthänigen erbiethen die mittlere Pfrundt daselbsten Vor sie zu erkauffen gnädigst auffzunehmen, worauff Mghh. dahien interloquirt hätten daß Sie sich Zuforderist erkundtigen vndt untersuchen solten ob des Imploranten mittel sufficient weren seine haußfrauw Zu verpflegen, vndt ob Er in seiner behaußung nicht ein bequeleres Zimmer habe, worinnen Er selbige sicher vndt ohne gefahr seiner vndt der nachbaren verwahren könte, dießem interlocuto Zu gehorsamer volge hätten Sie sich in gedachten Imploranten behaußung begeben, in welcher sich zwar verschiedene Zimmer befündten, allein es were selbige kaum sufficient Zu deß Imploranten vacation vndt handtierung auch hätte H. Rathh. Spoor als nachbar versichert, daß wann des Imploranten haußfraw weÿllen Sie gar gefahrlich mit dem feuer umbgienge in dem hauß verbleiben solte die Creditores solche angreiffen würdten wo durch nicht nur allein der Fr: sondern auch die Kindter Mghh. erbarmung anheim fallen dörffen, dahien gegen wann Mghh. Sie in den hospital auffnehmen wolten, Er der Implorant bis in 600 fl. Zu erkauffung Ihrer Pfrundt zu handten bringen würde, die mittel betreffent, so weren selbige wie auß dem von Hn Notario Schmidt darüber gezogenen Summarischen Calculo zu sehen sehr gering vndt belauffen sich nicht über 245 lb so mehrentheils der frauwen gehöreten das geschäfft im übrigen Mghhrn überlaßendt.
(Votum H Prætoris Regÿ) H. prætor Regius meldet, es were Ein Jeder Ehemann wie schon Jüngsthien erinnert worden, seine haußfrauw so wohl in kranckhen als gesundten tagen Zu erhalten schuldig, vndt Weÿllen noch darzu kämme, daß des imploranten haußfrauw, wie auß dem attestato Medico zu ersehen:/ nur intervalla dementiæ habe, wovon Sie wann Sie in einem burgerlichen hauß würdte verpflegt werdten annoch Curirt werden könte, dahiengegen wann Sie in allhießiges hospital auffgenommen werdten solte, Sie in das dollhauß als worinnen Sie nimmermehr Zu Ihrer gesundheit gelangen Würde, gebracht werden müste, weÿllen wann Sie die freÿheit in dem hospital herumb Zu gehen haben solte, mann so wohl wegen des feuers als übrigen *heÿlen in beständiger gefahr seÿn würdte, Wes wegen Er darvor gehalten habe, daß der implorant noch Zur Zeit mit seinem begehren abzuweißen vndt anzuhalten were, seine haußfrauw entweders in seinem oder in seinem andern burgerlichen hauß zu verpflegen, vndt damit solches desto beßer geschehen möge, daß derselbe denen Hh. pflegeren Zu St. Marx vmb eine wochentliche beÿsteur recommendirt werdten solte.
Erk. Hrn prætori Regio in allen puncten gevolgt.

Jean Philippe Ferber meurt d’enflure le 21 février 1723 à l’âge de 75 ans. Son fils André et son gendre Jean Jacques Wagner signent l’acte de sépulture.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1716-1731, n° 12)
1723. Sonnt. d. 21. febr. Nachmittags Zwisch. 3. v. 4. Uhr ist an großer geschwulst gestorben u. Dienst. darauff beÿ Gehaltener Leich Pr. auff dem Gottesacker S. Helenen begraben word. Joh: Philipp Färbern gewesener b. v. fastenspeishändler alhier, seines alters 75. Jahr v. 20. Tag [unterzeichnet] Andres Ferber als sohn, Johann Jacob wagner als dochterman (i 81)

Jean Philippe Ferber vend la maison à (son gendre) Jean Jacques Wagner et à Anne Catherine Ferber moyennant 1 300 livres

1707 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 340
(1300) Joh: Philipp Färber Gremp
in gegensein Joh: Jacob Wagers schreiners u. Annæ Cath: geb. Färberin
hauß u. hoffstatt mit allen & allhier gegen der großen Metzig über, einseit neben H Joh: Adam Spoor handelsmann, anderseit neben Joh: Georg Herrmann meelmann hinten auf den Ulmergraben stoßend, darvon gehen jährlichen 10 ß d ane allmend geld dem Pfthr, Item 1 lb zinß halb auf Joh. Bapt: halb auf weÿhn: dem ordenshauß St Johann – (um 175, 300, 150 und 75 pfund verhafftet, geschehen um 600 pfund)

Jean Jacques Wagner s’adresse aux Quinze après que la maîtrise des Menuisiers a refusé de l’inscrire au chef d’œuvre. Fils du pasteur de Waltenheim, il a commencé son apprentissage en 1684, fait son tour de compagnon pendant sept ans puis est revenu à Strasbourg où il a travaillé pendant deux ans chez son ancien maître Jean Georges Hildebrand et un an chez Frédéric Ring, mais a omis de s’inscrire aux années d’épreuve. Il demande aussi dans un premier temps de ne faire que la moitié du bahut pour son chef d’œuvre puisque l’objet passé de mode est invendable. La maîtrise fait ses objections habituelles. Le préteur royal évoque diverses raisons qui empêcheraient les compagnons de s’inscrire aux années d’épreuve. Il relève que le pétitionnaire a travaillé assez longtemps à Strasbourg. La dispense lui est donc accordée. Quant aux meubles que le candidat doit fabriquer, il propose de modifier le sujet de l’examen pour qu’il corresponde à l’usage comme dans d’autres métiers.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
(f° 125-v) Sambstags den 27. Aprilis – Hannß Jacob Wagner Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner
Hannß Jacob Wagner d. ledige Schreiner Von Wildenh. hochgräffl. Hanauisch. herrschafft, per Gollen u. Künast, cit. per sched. E.E. Mstrschfft d. Schreiner, plis. will d. Meisterstück auffnehmen, darzu er aber, weilen er sich hiebevor nicht einschreiben lassen, jedoch d. einschreibgeld würcklich erlegt, ex adverso nicht admittirt werden will, bitt dießes orths gn. dispensation als der sonsten hier erlernt, und die Zeit hier verarbeithet et nemine comparente setzt manns auff den Ladungs Zedul.
Nuntius refert, daß er dem Ober meister inn Mundt verkündt habe, Soll beÿ geld gebotten werden.

(f° 132) Sambstags den 4. Maÿ – Hannß Jacob Wagner Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner
Hannß Jacob Wagner d. ledige Schreiner, per Gollen Jun: u. Künast, cit. E.E. Mstrschfft d. Schreiner Obermeister, Hartwig Grieße, erhohlt recess vnd petitum vom 27. April. jüngst weg. Meisterstück so biß dato inn einem großen Kosten bestanden, solchen gleichfalls auß einem halben Zu setzen, D. Goll weilen es ebenfalls wid. Ordnung, als bitt man Wie Vor [bitt desweg. zu mehrern bericht Deputation], Goll mog Deputation wohl leiden, und setzte. Erl. Wie vor [gebettene Deputation willfahrt, Obere Handwercks herren]

(f° 136) Freÿtags den 10. Maÿ – Johann Schard und Hannß Jacob Wagner die Schreiner gesellen Ca. E. E. Mstrschfft d. Schreiner pt° Meisterstücks
Obere Handwercks herren alssen per Hrn Schragen referiren, daß Zweÿ Ledige Schreiner gesellen geklagt, daß E. E. Meisterschafft d. Schreiner sie Nicht Zu Verfertigung des Meisterstücks lassen wollen, weilen sie die Zeit alhie nicht verarbeitet, anbeÿ gebetten, Nicht nur hierinnen Zu dispensiren, sondern Auch gn. zu vergönnen, daß die ane statt eines gantzen Kastens nur einen halben machen dörffen. Der eine Von den Imploranten heiße Johann Schard, von Baßel gebürtig, da mann angestanden, Ob mann ihn annehmen Könne, Weilen er als ein reformirter Vermuthlich die nöthige Mittel Zu erhaltung des Burgerrechts Nicht haben wird, allein Nachdeme mann gehörd, daß er auff d. Wanderschafft die religion geändert, und die Catholische angenommen habe, so seÿe dießen dubium gefallen, In dem übrigen habe er Schard, berichtet, daß er 3. jahr lang als von A° 1683 biß 1686. alhier beÿ Meister Heinrich Kauffer gelernt, Nachghents sich hinaus begeben, und inn Teutschland, Ungarn, (…)
Hannß Jacob Wagner /:deßen Vatter ein Pfarrh. Zu Waltenheim hanawischer herrschafft ist:/ belangend, so habe er beditten, daß er in a° 1684. Zum handwerck gekommen, 3. jahr gelernt, 7. jahr inn d. Fremden Zugebracht, und, wann gleich er sich Nicht einschreiben laßen, er dennoch seither seiner Zurück kunfft beÿ Hannß Georg Hildebrand, seinem Lehr meister Zweÿ jahr, und beÿ Friderich Ringen ein jahr geschafft habe, über dießes ihme Nicht Wißend, geweßen seÿe, daß mann sich einschreiben laßen müßte, Anbeÿ sich auff erstgedachten Friderich Ringen, so sich auch nicht einschreiben laßen, bezogen, allein habe die Meisterschafft replicirt, daß Ring eines burgers Kind seÿ, und die Unwißenheit ihn nicht entschuldig. können, Weilen die articul alle vier wochen abgeleßen werden, und daß wann dießen beeden supplicanten jnn ihrem begehren gratificirt würden, jnn Kurtzem Noch 3. od. 4. sich anmelden, und gleichförmiges begehren würden, welches ihme, alß geseßenen alten burger, die viel gelitten, Nicht wenig zu schaffen gebe, mit angehenckter bitt, auff die gantze Meisterschafft Zu sehen, Und da Mghh. 1° Zu dispensiren gedachten, ihnen ein solches quantum anzusetzen, daß andere einzukommen sich scheuden, Auff welches hie die bede Imploranten Von der Verfertigung des halben Kastens abstrahirt, bevorab, da sie gehörd, daß derjenigen so jüngst den halben Kasten machen wollen, auch einen gantzen Zu machen sich resoluirt habe, Ob aber MGhh wegen des einschreibens dispensiren, und pro dispensatione einem jeden 4. 5. do 6. Rthrt ansetzen wollen, wolle man Vernehmen.
Herr Prætor Regius sagt, es seÿen so viel Er vernehme, Umb 3.leÿ dispensationen Zu thun, 1. Wegen des einschreibens, 2. wegen d. Zeit, Und 3. Wegen des Meisterstücks. Betreffend d. einschreiben, so wiße er Nicht, ob bißher stricté darob gehalten worden, od. ob es daher komme, daß die gesellen es Nicht wüßten, od. ob es Viel Koste ? jedoch halte Er dafür, daß der Meisterschafft an die hard Zu geben seÿn würde, daß künfftighin sie die gesellen wegen des einschreibens Zu erinnrern, beÿ den jetzigen supplicanten aber sie ihre excusation Anzunehmen hätten, pt° d. Zeit, so habe es beÿ Wagnern Keiner dispensation Nöthig, weilen er etlich jahr seith der Wanderschafft hier gearbeithet, den andern aber könte man dahin anhalten (…)
Belangend d. Meisterstück, so seÿe schohn Vielfältig davon geredt worden, daß die handwercker die Meisterstück auff Nutzlichere stück richten sollen, und, Weilen d. Schreiner gantzer Kasten Nicht mehr abgehet, auch dabeÿ Viel größen Kösten als beÿ einem halben Kasten erfordert werden, so vermeine Er, daß der Schreiner Meisterschafft Zu remosntriren seÿn werd. daß sie Wied. sich selbsten were, Und man dem Meisterstück Keinen abtrag thun wolte, sondern es inn ein mehrers Auffnehmen Zu bring. suchte, Wie beÿ anderen Handwercken, als Uhrenmacher, schuhmacher && auch geschehen, Was die architectur betrifft, so were Zu wünschen, daß diejenigen handwercker, denen solches Zu wißen Nöthig, sich mehr darauff leÿden, der Schreiner architectur bestehe allein darinnen, daß die Seulen recht auff einander gehen, Und, wann sie dießes wissen, so seÿe ihr gantze architectur außstudirt, und müße es ein elender pfuscher seÿn, der ein solches nicht machen Könne. Wegen des nicht geschehener einschreibung stelle Er dahin, obmann pro dispensatione einem jedem 3. lib. d. ansetzen wolle. Erk. gefolgt.

Jean Jacques Wagner épouse Anne Catherine Ferber le 29 juillet 1699
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 100, n° 502)
1699. Mittw. d. 29. Julii seind nach ordentl. pclamat. copulirt word. Johann Jacob Wagner der ledige schreiner H. Joh: Jacob Wagners pfarrers Zu Waldenheim hochgr. Hanauisch. Herrsch. ehel. Sohn, und Jfr. Anna Catharina Johann Philipp Ferbers B. vnd Krempen allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Wagner Als hochzeiter, Anna Cathrina Ferbrin alß hochzeitern (i 99)

Il devient bourgeois par sa femme le 23 novembre suivant.
1697, 3° Livre de bourgeoisie p. 1196
Joh: Jacob Wagner, der ledige schreiner Von waldenheim Gräffl. Hanaw: Herrschafft H: Joh: Jacob Wagners Pfarrers daselbst Ehl. sohn, empfangt das Burgerrecht gratis, ist noch ledigen standts und wird beÿ E: E: Zunfft der Zimmerleuth dienen, d. 23. Dito [9.bris] 1697

Anne Catherine Ferber meurt en 1722 en délaissant cinq enfants de son mari Jean Jacques Wagner devenu marchand de fruits et légumes. Les experts estiment la maison à 375 livres. La masse propre au veuf est de 51 livres, celle propre aux héritiers de 305 livres. L’actif de la communauté s’élève à 265 livres, le passif à 784 livres.

1722 (21. 7.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 14) n° 481
Inventarium über Weÿland der Ehren tugendsahmen Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Färberin Hn Johann Jacob Wagners des fastenspeishändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweste ehel. haußfrau nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1722. – nach ihrem am 12.ten Augusti Jüngsthien genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßb. den 21.ten 7.bris Anno 1722.
Die verstorbene seel. hab ab intestato Zu Kindern u. Erben verlaßen wie folgt. 1. Fr. Annam Mariam Hn Johann Geörg Rauschers des Nestlers u. burgers allhier ehel. haußfrau beÿständl. deßelben, So dann 2. 3. 4. & 5. Jungfer Mariam Salomeam, Mariam Elisabetham, Catharinam Dorotheam, Annam Catharinam, Aller 5. Wagnere so die verstorbene frau seel. mit vorher vermeltem ihrem hinterbliebenem wittwer ehel. erziehlt und ab intestato zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben verlaßen, der 4. Jüngeren töchtere geschworner Vogt ist Hn Johann Philipp Färber der Kremp u. burger allhier welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet
Copia der Eheberedung – Copia Codicill Reciproci

In einer allhier zu Straßburg gegen der großen metzig über, gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und deßwegen hernach fol: (-) beschriebener behaußung folgender maßen befunden
Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Cammer B, In der Wohnstuben, Im Hausöhren
(f° 7) Wahren wie auch schiff und geschirr Zum Fastenspeishandel gehörig
(f° 7-v) Ergäntzung der Erben abgangen ohnveränderter Nahrung, Nach ausweiß droben allegirten Inventarium illatorum de Anno 1699
(f° 9) Eigenthumb ane einer behaußung so Theilbahr. Ein hauß u. hoffstatt mit allen gebäuen begriffen weithen, Zugehördten rechten und gerechtigkeiten allhier gegen der grosen metzig über gelegen 1.s. neben H Johann Michael Wolffen dem handelslann 2.s. neben H Joh: Martin Albrecht dem Meelmann hinten uff den Ulmer graben stoßendt, davon gehen Jährlichen 10 ß allment geld dem Pfenningthurn macht Zu toppeltem Capital 20. lb. Item 1. lb d ohnablösigen Zinnßes dem ortenshauß St Johann gleichfalls Zu doppeltem Capital gerechnet 40 lb. d. Und ist dieße behaußung nich ferner verhafftet Johann Friderich Debus umb 175. lb d. Sonsten freÿ ledig u. eigen und ist dieße behaußung von denen geschwornen Hn Werckmeistern crafft dero Abschatzung vom 29. Aug. 1722. über obige beschwehrden æstimirt u. angeschlagen umb 140. lb. Über dieße behaußung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßb. Cancelleÿ Contract Insigel verwahret u. datirt den 29. Martÿ Anno 1707.
Haußrath W 10, E 63, T 64, Silber E 2, T 14, Goldene Ring E 2, T 7
Des Wittibers ohnverändert Vermögen – Schulden 80 lb, Conferendo 51 lb
Dießmnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Ergäntzung 156, Schuld 80, Summa summarum 305 lb
So wird auch das gemein und Theÿlbahre Guth beschrieben, Wahren 37, Summa summarum 265 lb – Schulden 784 lb Übertreffen die gantze Activ Massam umb 519 lb
(f° 11) Ergäntzung des Wittibers abgangen ohnveränderten Vermögens, Nach ausweis Inventarÿ so weÿl. Hn Andreas Schmid geweßener Nots publ. und burger alhier (…) Zugebrachte Nahrung underm 4. Augusti Anno 1699
Abschatzung d. 29.t Aug: aô 1722: Auff begehren, deß Ehren hafften, vnd bescheÿdenen, H. Joh: Jacob wagnern fastenspeißhändler, ist Eine, behaußung, alhier in der Statt Straßburg, Ein Eckh hauß beÿ der großen Metzig über, gelegen, Ein seÿth, Neben, H: Joh: Michäll Wolff, handells Mann, Ander seith, Neben, Martin Albrecht, Mell Man, Welche behaußung, bestehet, Vnder Einen halben tach, hoff statt, Stuben, Kammern, hauß Ehren, darin Ein Härt, vnd wasserstein, Einem Gädtell, Neben Ein hauß Ehren, darin Ein bauch Gössel, Sampt Aller Ihrern Gerechtig Keÿth wie solches durch der Statt Straßburg, geschwohr werckh Leüthen, in der besichtigung, befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach, angeschlagen wirt, Vor, vndt, umb Süben Hundert vnd Fünffzüg Gulten, Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohrene Werckh Leüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Le menuisier Jean Jacques Wagner devient marchand de fruits et légumes, voir plus haut les Préposés au bâtiment (1710).
Les Quinze autorisent le marchand de fruits et légumes à vendre de la couleur bleue jusqu’à la fin de sa vie en s’appuyant sur la permission accordée en 1711 à Nicolas Ellès. Les Quinze publient une expédition de leur sentence.

1728, Protocole des Quinze (2 R 134)
(p. 250) Sambstag d. 2. Junÿ 1728. – Moss. nôe Joh: Jacob Wagners burgers und Fastenspeishändlers prod. uth. Mem. pt° blawer Farb verkauffs. Erk.(Ob. Kauffh. Hh.)

(p. 272) Sambstag d. 24. Julÿ 1728. – Johann Jacob Wagner Ca. E. E. Zunfft zum Spiegel pt° erlaubnuß blaue Farb zu verkauffen
Obere Kauffhauß herren laßen per me referiren, daß Johann Jacob Wagner der Burger und fastenspeishändler alhier den 3. hujus durch ein übergebenes Unterthäniges Memoriale gehorsambste ansuchung gethan, ihme gnädig Zu erlauben, blawe Farb Zu Verkauffen in ansehung 1. Mgh. in A° 1711 Ellesen dem Fastenspeishändler gleiche permission gegönnet, 2.do Es eine Land[-], 3.tens er solche Farb umb 5. batzen also wohlfeÿler [als] andere geben wolte, und dann 4.to weilen H J[acob] Dürnnger dem Specirer der nahe beÿ Inme w[ohne] gnädig erlaubt worden Liechter Zu machen, dard[urch] er, Implorant großen abgang in seiner Nahrung habe. Mghh hätten Zu untersuchung dießer [Sach] die wohl erordnete Ober Kauffhauß Herren abge[hört], anbeÿ aber auch erkandt, daß E E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister auch hierüber gehöret [werden] solle.
Beÿ beseßener Deputation habe der [-] dieses sehr urgirt, daß er ehedeßen den große[theil] seiner Nahrung beÿ dem Liechtermanchen n[-] gefund. seith deme aber H. Dürninger sein [Nachbar] auch Liechter verkauffe, gehe Ihme ein groß[-] wobeÿ er petitum wiedehohlet, Herr Louis [-] [p. 273] Zunfftmeister beÿ E. E. Zunfft Zu Spiegel habe es Zu Mgh gestelt, undt beÿgesucht derselbe würden nicht wider ordnung sprechen, was nun das allegirte præjudicum anlange, so gebe Mgh Protocoll de A° 1711 maaß deß Elleßen dem damahligen Fastenspeishändler erlaubt worden, nebst anderen auch blaue Farb Zu verkauffen, und war damahl das Motiv, weilen etliche Specirer auch Liechter verkauffen. Es stehe aber Zu Mgh. was sie erkennen wollen. Erkandt wird dem Imploranten ex speciali gratia erlaubt, aber nur für seine persohn, und so lang er lebet blawe Farb zu Verkauffen.

(p. 275) Sambstag den 14. Aug. 1728. – [-]n nôe E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Meister bitt g. Comm. des durch Joh: Jacob Wagner erhaltenen bescheidts. Erk. willfahrt.

(p. 276) Obere Kauffhauß herren laßen per me referiren, Es seÿe Comm. nachgesetzten bescheidts Von E. E. Zunfft Zum Spiegel Zunfftmeister begehrt und willfahrt worden.
(Bescheid). Sambstag d. 24. Julÿ 1728. In Sachen Johann Jacob Wagners des Burgers und Fastenspeishändler alhier, Imploranten, ane einem, entgegen undt wieder E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Meister, Imploraten, am andern theil, Auff eingelegtes Und. Memoriale dahin gehend, Ihme, Imploranten Zu erlauben blawe Farb Zu Verkauffen, gedachten Hr Zunfftmeisters beÿ erkandter vndt beseßener Deput. wieder dieses begehren angehörtes einwenden, undt übriges beederseithiges Vor: und Anbringen Ist Vnseren Deputirten Hren abgelegten Relation nach erkandt, wird dem Imploranten ex speciali gratia erlaubt, für seine persohn allein, und so lang er lebet blawe Farb zu Verkauffen.
Zu Mgh. stellend, Ob Sie dießen Auffsatz genehmigen und daß derselbe in dießer form expedirt undt dem Imploranten Zugestellt werde solle, erkennen wollen, Erk. Quoadsic.

Jean Jacques Wagner hypothèque au profit du diacre Jean Jacques Heus sa part de maison dont le surplus appartient à ses trois enfants survivants.

1730 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 552-v
Johann Jacob Wagner Fastenspeishändler
in gegensein Johann Jacob heuß Diaconi beÿ der Prediger Kirch – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, zwölff 15. theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig über ohnfern dem Ferckelmarckt und dem Spithal: gäßlein, einseit ist ein eck am allmend, anderseit neben weÿl. H. Johann Michael Wolff gewesten banquier Erben und jenseith auch eben Samuel Allbring dem Meelmann hinten auff den Ullwer: graben – ihme zu zwölff 15 theilen v: seinen mit weÿl. Fr Anna Catharina geb. Färberin erzeugte und noch lebende 3 Kindern zu dreÿ 15 theilen eigenthümlich zuständig

Jean Jacques Wagner lègue à sa fille aînée Marie Elisabeth et à son mari Jean Henri Jund le logement qu’il occupe lui-même à charge de loger ses deux autres filles Catherine Dorothée et Anne Catherine.

1731 (7. Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 239
Codicill – persönlich kommen und erschienen ist H. Joh: Jacob Wagner der fastenspeiß händler undt burger alhier, zwar schwach vnd krancken leibß Zu bette liegend, Jedoch darbeÿ von der gnad. gottes guter richtiger Sinn vndt vernunfft (…)
dießemnach vndt vor das andere, ist sein vetterliches willen vndt befelch, daß seine 3. döchter, solang als die beede Jungst annoch ledig bleiben werde, seine behaußung ane der groß. Metzig gelegen gemeinschafftl. vndt ruhiglich mit einander bewohnen sollen, doch mit dem anhang, daß die verheurathete dochter Maria Elisabetha beneben ihrem ehem. Joh: Heinrich Jundten das Jenige thun welches Er der Vatter bißhero innen gehabt Zu besitzen vnd einzunehmen, darneben das lädlein wo Sie beede Eheleuth bißhero feÿl gehabt, ihre Knöpffe vnd wahr verkaufft haben ferners zu gebrauchen, berechtiget, die Zwo ledige döchter hingegen Cathar: Dorothea vndt Anna Catharina das jenige thun so ihre verheurathete schwester dermahlen bewohnet, zu occupiren pflichtig seyn, nebst deme aber ihnen auch der laden unterm hauß so wohl inn alß außerhalb der meß, wie in gleichem das bradwurst macher ständlein Zugenißen überlaßen, eingeraumt werd. darneben aber so sollen Maria Elisabetha v. hannß Heinrich Jund deß. Ehemann obligirt seÿn den Zinß von denen auff dem hauß annoch hafftens 600 fl. capital Jährlich abzurichten (…)
Beschehen in einer alhier Zu Straßb. an der groß. metzig gelegenen dem Disponent. Zuständig. behauß. dero Untern Stuben mit denen fenstern auff die gaß außsehend (…) Freÿtagß d. 7. Xbris 1731. [unterzeichnet] Johann Jacob wagner

Jean Jacques Wagner modifie ses dispositions en faveur de ses enfants
1732 (10.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 249
Dispositio inter liberos – persönlich kommen und erschienen ist Herr Johann Jacob Wagner der fastenspeiß händler und burger alhier,auffrecht gehend und stehenden Leibs
Andern wäre ihme noch wohl wißenst, wie daß er vor ohngefehr 5. Monath, in seiner damahligen Kranckheit eine Letzte Willens Disposition vor mir Notario (…) auffgerichtet (…) gäntzlich cassirt, annullirt und widerruffen haben
Dritten Von neuem anderwärtig zu disponiren so seÿe sein Vätterlicher will, daß auf seinen tod und Absterben seine behausung ohnfern der großen Metzig alhier gelegen so lang als seine mittlere dochter Catharina Dorothea im leedigen Stand sich befunden Wird, ohnverkaufft und ohnvertheilt gelaßen, mithin von seinen döchteren gemeinschaftlich bewohnet werden sollen, dergestalten, wann die beede noch leedige sich würcklich annoch in solchen standen werden befindten, Sie beede diejenige Gemach vorwandt Kasten samt dem Blatz, welchen Johann Heinrich Jund sein dochtermann und deßen ehefrau dermahlen innen haben, und bewohnen mit und beneben dem unter dem hauß sich befindenden Laden, hingegen die älteste dochter Maria Elisabetha und ihr Ehemann alles dasjenige, was der Vatter würcklich darin bewohnt, ausgenommen des unten im hauß befindlichen Ladens, zu bewohnen auch den Stand welchen Sie würcklich besitzen, ferners Zugenießen berechtiget seÿn, doch aber sein dochtermann und deßen haußfrau, weil diese ihre größer und bequemeres, als die andere oder Obere, Sie deßentwegen, die von dem auf dem hauß hafftendem capital jährlich zu geben schuldige 24 fl. Zinnß abzurichten sollen verbunden weÿn (…)
So bald aber alle 3. döchtere werden verheurathet oder aber die mittlere Verstorben seÿn, solle ein Jeedes mit seinem antheil hauß nach seinem Belieben und Wohlgefallen zuschaffen zu schalten und zu walthen ohngebundene Macht und gewalt haben
Dienstags den 10. Junÿ Anno 1732

Jean Jacques Wagner hypothèque au profit du juriste Louis Chrétien Nicolai

1733 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 157
Johann Jacob Wagner der Fastenspeishändler
in gegensein H. Ludwig Christian Nicolaj J.V.Lti, – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig einseit neben Johann Friedrich Wolff anderseit ist ein eck am Allmend, hinten auff. Martin Allbrecht dem Meelmann – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß wie auch der Commenthureÿ zu St Johann 1 lb. ahne ewigen zinß

Jean Jacques Wagner meurt en 1734 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à la somme de 275 livres. L’actif de la succession s’élève à 391 livres, le passif à 590 livres.

1734 (1. Junÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 295
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, und Nahrung, Schulden und Gegen schulden, überall nichts außgenommen, so weÿl. der Ehrenhaffte und vorachtbahre Herr Johann Jacob Wagner geweßener fastenspeishändler, und Burger alhier Zu Straßburg nunmehro seel. nach seinem den 5. Martÿ dießen Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitl. Verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu end stehend, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des verstorbenen seel. ehelich erzeugter nach tod verlaßener Kindere und Erben nahmentl. fr. Mariä Elisabethä Jundin gebohrner Wagnerin, H Johann Heinrich Jund des Knöpffmachers und burgers alhier, ehelicher haußfrauen, so dann Jungfr. Annä Catharinä Wagnerin mit assistentz und beÿstand H Johann Jacob Thorwarths des Stallbotten und burgers hieselbsten ihres geschwornen vogts, ersucht und inventirt (…) Actum Straßburg Dienstags den 1. Junÿ 1734.

In einer alhier zu Straßburg gegen der großen Metzig über am Fischmarckt gelegenen und Hiehero gehörigen Behaußung hat sich befund.
Höltzen und Schreinwerck. Auf der obern Bühn, Auf der untersten bühn, auf den 4.t Stockwerck, auf den 3.t Stockwerck, In der untersten Wohnstuben, Im Laden, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Ein hauß und hoffstatt, mit allen dero begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg gegen der Großen Metzig über 1.s. neben Johann Friderich Wolffen dem banquier, anderseith ist ein Eck nebens an Martin Albrecht den Meelmann stoßend hinten uff d. Ullmer Graben sich ziehend, davon gehen jährl. 10 ß d. allment Geld der Statt Straßb. Pfenningth. macht Zu doppeltem Capit. gerechnet 20. lb. Item 1. lb d ohnablösigen Zinnß soll man alle Jahr halb auf Weÿhenachten dem hießig. ordenshauß St. Johann thut auch Zu 2. fach hauptgut gerechnet 40 lb d, summa 60 lb. d. Sonsten aber außer hernach gemelter unter denen passivis befindliche darauff versicherte capitalien ledig u. eig. und ist von denen geschwornen Hh Werckmeistern laut Scheins vom 9. Maÿ h.a. æstimirt und angeschlagen vor und umb 275. lb, Ist also nach abzug obiger beschwerd. hier annoch auszuwerffen. Über dieße behaußung besagt 1. teutsch pergament Kauffbrieff mit der Statt Straßburg C. C. Stub größern Insigel verwahret datirt d. 29. Martÿ Anno 1707. mit N° 1 notirt, Weiters 1. alt. pergament. Kauffbrieff, aus alhies. C. C. stub und mit dero Insigel bekräfftiget, de dato d. 25.t Junÿ A° 1670. auch mit alten N° 1 notirt, Ferner ein dergl. Kauffbrieff de dato 9. Xbr. 1678. mit N° 2 notirt. Und dann noch Zweÿ Kauffbrieff deren einer vom 10. Junÿ A° 1697. der andere aber vom 22. Januarÿ 1697. beede mit N.is 3. notirt.
Copia dispositionis inter liberos so der Verstorbene sel. auffgerichtet, vide mein deß Notarÿ Extensions prot. Litt. 2. fol. 83.
Series Rubricarum, Sa. haußraths 129, Sa. der Waaran 35, Sa. des Silbers 10, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. Eigenthum an 1. behaußung 215, Summa summarum 391 lb – Summa Passivis 590, Übertreffen also die Vorhandene passiva die activ Nahrung d. Stalltax nach umb 199 lb
Abschatzung dem: 9 Maÿ: 1734. Auff begehren Weilandt deß achtbahren und bescheitenen H: Johann Jackob Wagners deß gewëßenen fastenspeÿß händlerß see: hinder Laßne Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg gegen der großen Metzig über gelegen, ein seits an herrn Johann fritterich wolffen dem panckie, ander seits ein Eck, und Neben an Martin albrecht dem Mehll man Stoßent hinten auf dem ullmer graben welche behaußung auff dem botten den Lahten ein klein hauß Ehren worin der herdt: 2 Camren ein halbtach sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworene werckleüthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Fünff Hundert und Vünfttig Gulden Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Partage de la succession comprenant un compte autographe de Jean Henri Jund
1734 (8. Junÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 296
Abtheilungs Concept über weÿland herrn Joh. Jacob Wagners geweßenen fastenspeishändlers Vndt burgers alhier seel. Verlaßenschafft (…) in fernerem beÿseÿn H. Joh: Reinhard Wagners des Hohltrehers vnd burg. alhie deß verstorb. seel. bruders d. 8. et 10. Junÿ Anno 1734.
Eigenthumb ane einer behaußung in dieße Verlaßenschafft gehörig undt deren abtheil betreff.
Die in dießer Verlaßenschafft gehörige alhier Zu Straßburg ane der großen Metzig gelegene behauß. findet sich in dem Verlaßenschaffts Inventario dahin sich Kürtz halben beziehend, mit mehrem beschrieben und ist durch die Herren Werckmeister angeschlagen worden pro 275 lb
Vertheilung derer Kremppen wahren (f° 13)
– Es beliebe Meinen Hochgerten Herr Vetter Wagner und Herr Dirwart als Fogt über disen Zedul Zu schuschiren ob ich solche Pungten Zu fordern hab oder nicht welche ich solche deils auf meinen schwehrs befehl hab machen laßen und deils er mir hat an gehengt und in der rechnung abgezogen ich aber solches nicht hab brauchen kinen sondern mehr schaden als nutzen daran gehabt wie auch meiner frau und ihrer schwester wol bewust ist so hat mein schwehr mir Versprochen solchen schaden Zu Verbeßen ich aber niemahlen nichts empfangen hab und ihme doch anne Zeit meinen Zins mit 10 gulden alle halb Jahr im geliffert hab wie quittung lauten wirt also brätendire ich erstlich was ich aus dem meinigen bezahlt hab
(passirt) Johann Friderich dirr dem schreiner Vor seinen gesellen das er ein halben dag im gearbeitet an der unteren stuben den boten geflickt, 5 ß
(…)
Sum 47 fl. 5 ß [unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt
Hingegen bin ich meinem schwehr selich Johann Jacob Wagner schuldig Vor ein firdel Jahr Zins Von weinachten biß Frauen dag, 5 fl.
und Von frauen das biß dato ins gemein die Capidal Zu Verzinsen so fil als mein deill betreffen wirdt
Restiert noch 4a2 fl. 5 ß

Le boutonnier Jean Henri Jund et sa femme Marie Elisabeth Wagner rachètent la part qui est revenue à Anne Catherine Wagner suivant un acte du 12 septembre 1736, cité lors de l’inventaire de 1740.
Fils du boulanger Jean Georges Jund, Jean Henri Jund épouse Marie Elisabeth Wagner en 1731 : contrat de mariage, célébration

1731 (3.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) f° 216
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen vndt bescheidenen Johann Heinrich Junden, dem ledigen Knöpffgießer, weÿl. Joh: Georg Junden deß geweßenen weißbecken vndt burgers alhier ehelich erzeugtem hinterlassenen Sohn, alß hochzeitern ane einem
so dann der tugendsahmen Jfr. Maria Elisabetha Wagnerin, H. Joh: Jacob Wagners fastenspeishändlers vndt burgers alhier ehelich erzeugten dochter alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 3. Martÿ 1731. [unterzeichnet] Johann Heinrich Jund als Hoch Ziter, Maria Elisabetha Wagnerin als hochzeiterin, Johann Jacob Thorwarth als vogt

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 90-v, n° 330)
1731. Mittw.d. 18. April. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word: Johann Heinrich Jundt der Ledige Zinn Knöpffmacher v. b. alhier, weÿl. Joh: Geörg Jundten geweß. b. v. weißbecken Nachgel. ehel. Sohn, v. Jgfr. Maria Elisab. H. Joh: Jacob Wagners b. v. fastenspeishändlers ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt als Hochzeiter, maria Elisabeta wagnerin als hozeierin (i 95)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (sans résumé)
1731 (28.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 5) n° 220 (1592)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, überall nichts davon außgenommen, so der Ehrsam und bescheidene Johann Heinrich Jundt, der Zinn Knopfgieser, und die Ehr und tugendsahme frau Maria Elisabetha Jundin gebohrne Wagnerin, beede Eheleuthe und burgere alhier einander in den Ehestand Zugebracht, so aux Ursachen beede Eheleuthe in ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung ein unverändert guth sich Vorbehalten haben (…) Actum Straßburg in præsentia H Johann Jac. Wagners des fastenspeishändlers u. b.. alh. auff d. frauen Seithen und dann Elisabetha Pfeifferin gebohrner Stäblerin sein des Ehemanns Mutter, den 28. Junÿ 1731.
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der großen Metzig gelegenen, der Ehefrauen Vatter Zuständigen Behaußung sich befunden hat alß
Hand werckzeug und waaren (Werckzeugs Zedul)

Ils hypothèquent la maison au profit du tanneur Georges Frédéric Ott

1736 (10.11.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 876-v
Johann Heinrich Jundt versilbert knopffmacher und Maria Elisabetha geb. Wagnerin mit beÿstand ihres vatters bruders Johann Reinhard Wagner des holdrähers und ihres schwagers H. Johann Leonhard Pfäler des perruquenmachers
haben in gegensein Georg Friedrich Ott des Rothgerbers und Lederbereiters – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten gegen der großen Metzig über einseit neben H. Friedrich Wolff EE. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit theils ein eck am Allmend theils neben Martin Allbrecht dem Meelmann hinten auff den Ullwergraben – davon soll man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß von dem überhang, in der Commenthureÿ zu St Johann 1 lb ahne ewigen zinnß – ihro Jundischen ehefrau als ein in der vätterlichen verlassenschafft abtheilung durch das Looß erhaltenes guth

Jean Henri Jund et Marie Elisabeth Wagner font un testament alors que la femme est malade et alitée
1740 (22.2.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 571
Testamentum nuncupativum – Persönlich kommen und erschienen sind der Ehrsame vndt bescheidene Joh: Heinrich Jundt Zinn: Knöpffmacher vndt mit ihme die ehr und tugendsame Fr. Maria Elisabetha gebohrne Wagnerin, beede Eheleuth und burgere alhier, Er der Ehemann aufrecht gesund gehend vnd stehend. Leibß, die ehefrau aber ohnbäßlichen Krancken leibß Zu bette liegend
Zum dritten, dieweilen die Einsatz undt benennung eines Erbs Jeden testaments fürnembstes fundament und grundfest ist (…) als Setzen dieselbe zu ihren Erben ein Ihre beede Mit einander erzeugte Söhnlen Johann Jacob vndt Johann Heinrich, wie auch all diejenige Kinder die Sie nach den willen Gottes etwan ferners noch erziehlen werd. welche auch ab intestato ihre rechtmäsig Erben wären
Beschehen allhier Zu Straßb. vnd einer daselbst ane der Großen Metzig gelegenen, beeden testirend. Eheleuth. Zuständigen behausung, dero underen Stuben mit denen fenstern auff die daß außsehend (…), Montagß den 22. Februarÿ abends Zwischen 7 undt acht Uhren
[unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt, Maria Elisabetha Jundin

Autre testament dressé deux mois plus tard.
1740 (12. Apr.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 91
Testamentum nuncupativum, Joh: Heinrich Junden des Zinn Knöpffmachers und frauen Mariæ Elisabethæ geb. Wagnerin
persönlich erschienen seÿen der Wohl Ehren achtbare Herr Johann Heinrich Jund, der Versilbert Zinn Knöpffmacher, und Frau Maria Elisabetha gebohrne Wagnerin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, Er der Ehemann gesund gehend und stehenden, Sie die Ehefrau aber Krancken und schwachen Leibes, dahero zu bette liegend
Endlichen und Zum Neunden, dieweilen die Erb einsatzung eines jeeden testaments einiges fundament und Grundfest ist (…) als wollen die beede testirende Eheleuthe und zwar ein jeedes insonderheit zu ihren wahren einigen und rechtmäsigen Erben (…) ihre in ihrer Ehe erziehlte oder auch noch künfftig erziehlende Kindere
zugangen und beschehen allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg und einer daselbst ane der Großen Metzig, am Winckel gelegenen der frauen Disponentin Zugehörigen Elterlichen behaußung, deren oberen mittleren Stuben mit denen fenstern auff die Gaß außsehend, auff Dienstag den 12.ten Aprilis anno 1740. Jahrs abends Zwischen 7 und 8. Uhren
[unterzeichnet] Johann Heinrich Jundt, Maria Elisabetha Jundin

Marie Elisabeth Wagner meurt le 3 mai 1740 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre au veuf est de 284 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 615 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 099 livres, le passif à 1 022 livres. Le veuf qui entend mal est assisté de son frère vitrier Jean Georges Jund.

1740 (8.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 237) n° 120-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güethere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Ehren: und tugendsame frau Maria Elisabetha Jundin gebohrne Wagnerin, des Wohl Ehrenachtbaren H. Johann Heinrich Junden, des Versilbert Zinn Knöpffmachers und b. allh. zu Str. geweßene Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 3.ten Maÿ dieses lauffenden 1740.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verl. auf freundl. Ansuchen, Erfordern und Begehren des Wohl Ehrengeachten herrn Johann Leonhard Pfählers des Peruquenmachers und b. allh. als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Jacob und Joh: Heinrich derer Junden, der verstorbenen seel. mit vorgenandtem ihrem hinterbliebenen wittiben ehelich erzeugter 2. Kinder und sowol ab intestato als per Testamentum nach tod verlaßene Erben, annoch minorennes (…) fleißig inventirt und ersucht durch ihne den hinterbliebenen Wittibern und Zwar in betrachtung, daß er eines übeln Gehörs mit assistentz des Ehrenachtbaren Meisters Joh: Heinrich [sic, Georg] Junden des Glaßers und burgers allh. seines leibl. bruders und Evam Barbaram Baderin von Buchsweiler gebürtig sein dienstmagd (…) So geschehen allhier in der Königl. fr. St. Str. auff Mittwoch den 8.ten Junÿ Anno 1740.

In einer allhier Zu Straßb. gegen der Großen Metzig über ane dem Winckel gelegenen in dieße Verl. eigenthümbl. gehörigen Behaußung folgender maßen sich befunden
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der obern Stub, Vor dießer Stub, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller, In der Cammer vor der Obern Stub
Waaren und werckzeug Zum Zinn Knöpffmachen gehörig
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) j. Beh. v. hoffstatt mit allen deren Begriffen, weithen, Rehcten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Str. gegen der Großen metzig über so ein Eck am Winckel, i. s. neben herrn Joh: Frid. Wolffen, dem Banquier anderseit d. Eck, neben an Martin Albrecht, den meelmann, hinden auff den Ullwer graben stoßend, davon gehen jährl. 10. ß d Allmend Geld der Stadt Pfgth. Zu Zinß macht in doppeltem Cap. 20. Und dann I. lb. d. ohnablößigen Zinnßes alle jahr halb Joh. Bapt: v halb weÿhenachten dem hießigen ordens hauß St Johann, auch in doppeltem Cap: antreffend 40. lb und in beeden posten 60. lb. sonsten aber außer denen darauff theils unveränderten und theils theilb. Zu bezahlen habenden Cap. so hernach eingetragen ledig eigen und durch die Hh. Werckmeister in crafft der Zu mein notarii Concept eingeschickten schrifftl. Abschatzung dedato 30. Maÿ 1740. æstimirt und angeschlagen worden pro 550. lb. abgezogen vorige beschwerde so verbleibt ane dem Anschlag annoch im rest 490. lb.
Dieße behaußung rühret von der verstorbenen seel. vätterlicher Verl. her, und ist ihro selbsten, weilen der Erbinnen nur Zweÿ geweßen, die helffte davon eigenth. gebührig geweßen die übrige helffte so Fr. Anna Catharina Pfählerin geb. Wagnerin dero schwester ihro eigenthüumbl. in der verl. abtheil. cedirt und überlaßen, mithin meldet darüber die dh. Not. Joh: Brackenhoffern offtgemelt den Inventirschrb. den 12. 7.br 1736. errichtete Cession so den 3. 9.bris ejusdem a. beÿ E. E. Großen Rath confirmirt worden. Ferner besagt über dieße Beh. j. teut. perg. Kffbr. m. der St. Str. C. C. stub anh. grös. Ins. vw. datirt den 29. Martÿ 1707, weiters j. a. perg. Kffbr. auch allda gef. und besiegelt de dato 25. Juni 1670 beede m. N° 1. notirt, so dabeÿ gelaßen. So dann 3. dgl. Kffbr. dedatis 9. Xbr 1678, 10. Junii et 22. Jan. 1697. mit Altem N° 2. et 3. bemerckt
Ergäntzung des Wittibers ermanglenden unveränderten guths. Vermög des über beederseits einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch H. Joh: Brackenhoffern Notm. publ. jur. et Practicum allh. in A° 1731. errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des W. unverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 8, Sa. waaren und werckzeugs 16, Sa. Silbers 3, Sa. der Baarschafft 10, Sa. der Erg. 319, Summa summarum 359 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 284 lb
Der E: unverändert Vermögen, Sa. haußraths 68, Sa.Silbers 10, Sa. der gold. Ring 10, Sa. der baarschafft 4, Sa. Eigenth. ane j. beh. 490, Sa. der Erg. (230, Abzug 1204, passiv 974), Summa summarum 659 lb – Schulden 1274 lb Compensando, passiv rest 615 lb
das Theilbare Guth, Sa. haußraths 27, Sa. waaren v. werckzeug 48, Sa. Silbers 14, Sa. der baarschafft 15, Sa. der activ schulden 993, Summa summarum 1099 lb – Schulden 1022, Conferendo 76 lb – Concl. Inv. 254 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen Zu Strb. Sambstags den 3. Martÿ A° 1731, Johannes Brackenhoffer, Nots. juratus
Abschatzung dem 30. Maÿ 1740. Auff begeren deß wohll achtbahren und bescheitenen Johann Heinrich Jung deß Knöpfmacherß, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg, gegen der großen Metzig über gelegen ein Seitß ein Eck, andrerseitß an herrn wolffen dem Panckie, hinden auff den ullmer graben Stoßend welche behaußung unden dem Lahten, hinden dar an ein Klein gewölb auff dem Ulmmer worinnen der bauch offen, oben ihm Ersten Stock ein Stuben, und hauß Ehrn darinn der herdt und waßerstein ihm Zweÿten Stock ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt, oben darüber ein Cammer und daß hauß Ehren war auff daß tach mit breidt Ziglen belegt ein Kleiner getrëmbter Këller sambt aller gerechtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausent und Ein Hundert Gulden. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Henri Jund meurt le 14 janvier 1769 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 544 livres, le passif à 336 livres.

1769 (14.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 727) n° 708
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿl. der Ehren vnd Vorachtbahre Herr Joh: Heinrich Jund der geweßene Zinn Versilbert Pferd Zeug und Knöpffmacher auch burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Sambstags den 14.ten Januarÿ dießes lauffenden 1769.st Jahres dieses Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch seinem aus dießer Welt genommenen seel. Absterben hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Verstorbenenn seel. mit auch Weÿl. frauen Maria Elisabetha geb. Wagnerin seiner ehefrauen seel. ehelich erzeugter beeder H Söhne und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 14.den Februarÿ Anno 1769.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1.mo H Joh: Jacob Jund, Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knöpffmachern auch Burgern allhier, so in Persohn dem Geschäfft beÿgewohnt in den Ersten halben Stammtheil So dann 2.do H. Joh: Heinrich Jund frantzösischer Beck und auch burger allhier so ebenfalls beÿ der Inventur Zugegen war in den andern und letzten halben Stamtheil. Also beede des Verstorbenen seel. mit Eingangs gedachter frauen Maria Elisabetha geb. Wagnerin seel. ehelich erzeugte beede Söhn und Zu Zweÿen gleichlingen portionen und Stamtheilen ab intestato Verlaßene Erben und auf begehren noch ferner hierbeÿ erschienen H Joh: Leonhard Pfähler Perruquier und Herr Joh: Georg Roth Weißbeck beede burgere allhier, als dero hierzu erbettene Anverwanthe

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Metzig gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden, Wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weith. Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg. gegen der Großen metzig über einseit neben Hn Joh: Philipp Richshoffer Vornehmen handelsmann und Es En Großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzern, auch burger, allhier, anderseit neben H. Georg Anthoni dem Meelhändler, hinden auff den Ullmer graben stoßend. davon gibt man löblichem Pfenningthurn allhier Jährl. auf Joh. Bapt: 10. ß d ane Allmend Zinß und I. lb. d. auf Joh. Bapt: und Weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann, sonsten freÿ ledig eigen und durch (die Hh. Werckmeister) l. Abschatzungs Zeduls vom 13. Maÿ 1769. angeschlag. pro 450. lb. Abgezogen obgemelte beede darauf hafftende Beschwerden so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 60 lb, Nach solchem abzug verbleibt annoch ane dem Anschlag solcher Behausung per rest übrig 390. lb. Über dieße Behausung sagt j. teutscher pergamentener in allhies. C. C. Stub errichteter und mit dero Anh. Insieg. verwahrten Kauffverschreibung dat. d. 29. Martÿ Anno 1707, mit altem N° 1 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 8, Sa. der Baarschafft 82, Sa. Eigenthumb ane einer Behaußung 390, Summa summarum 544 lb – Schulden 336 lb, Stall Summ 208 lb

Le pasteur fait suivre l’acte de sépulturre d’une courte biographie.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. XIII 1769-1788 f° 1, n° 1)
Im Jahr Christi 1769. Sambstags den 14. Januarÿ, morgens Zwischen Zweÿ und dreÿ Uhr starb ane einer wenige Tag daurenden hitzigen Brust-Fieber Weiland Johann Heinrich Jundt, gewesener Zinn Knopfmacher, Burger und Wittwer allhier, so in ehelichen Band gestanden mit weil. Frau Maria Elisabetha gebohr: Wagnerin. Seines Alters 66 Jahr 10 Monat und 3 Tage. Montags den 16. Januarÿ wurde derselbe nach gehaltener Leichen-Predigt beÿ dieser Prediger Kirch auf dem Gottes-Acker St Helenæ christlich Zur Erden bestattet. Solches bezeugen eigenhändig Johann Jacob Jundt als sohn, Johann Heinrich Jundt als Sohn
Parentes def: weil: Johann Heinrich Jundt, gewesener Weisbeck und burger allh: und weil. Frau Elisabetha gebohr: Röblerin. Copul: 1731. d. 18 April: beÿ dieser Kirch, mit E.E. Jgfr: Maria Elisabetha gebohr: Wagnerin, welche 1740. den 9. Maji verstorben. Dreÿ Kinder wurden in dieser Ehe erzeuget, nemlich Eine tochter so verstorben und 2 Söhn, so h. t. im Leben I. Johann Jacob Zinn Knopfmacher u. b. so in Ehe stehet mit Frau Anna Maria geb. Kolbin, von welchem ein Enckel im Leben nemlich Johann Jacob, II. Johann Heinrich, h. t. Frantzösischer Beck u. burg. allh. so verheirathet ist ane Frau Maria Pigeron von Garni [Cuarny] beÿ Iverdon in der Francös: Schweitz gebürtig, In diser Ehe sind 3 Kinder beÿ Leben 1. Amalia 2 Joh: Heinrich, 3. Johann Peter.
Domicil in seinem eigenen Haus gegen der großen Metzig. (i 3)

Jean Jacques Jund devient seul propriétaire de la maison en rachetant la part de son frère boulanger Jean Henri Jund.

1769 (18.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 727) Joint au n° 708 du 14 févr. 1769
Erschienen vor mir unterschriebenem geschwornem und Zu Weÿl. Herrn Joh: Heinrich Jund. geweßenen Zinn Versilbert Pferd Zeug und Knöpffmachers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaffts Inventation und Abtheilung inspecie requirirtem Notario Herr Johann Heinrich Jund, frantzösischer Beck und Burger allhier der jüngere Sohn, der hat
in Gegenseÿn Herrn Joh: Jacob Jund, Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knöpffmachers auch Burgers allhier seines bruders (…) in ohnvertheiltem Vätterlichem Erb eigenthümlich cedirt, überlaßen und abgetretten
sein Hn Joh: Heinrich Junden Vor unvertheilt gebührige Helffte Von und ane einer Behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuen Begriffen Weithen Rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg gegen der großen Metzig über, einseith neben Herrn Joh: Philipp Richshoffer Vornehmen handelsmann und Es En Großen Raths alten beÿsitzern, anderseith neben Herrn Georg Anthoni dem Meelhändler, hinden auf den Ullmergraben stoßend, Von dießer gantzen behaußung gibt man Jährlichen auf Joh. Bapt: löblicher Statt Pfenningthurn 10. ß d ane Allmend Zinß und Jährl. auf Joh. Bapt: et Weÿhenachten dem Ordens hauß St. Johann 1 lb. d. anz Zinß (…) ist die gantze behaußung über angezeigte Beschwährde und Capitalien zu 3400 gulden gerechnet (…)
Straßb. d 18.ten Martÿ A° 1769.

Jean Jacques Jund épouse en1767 Anne Marie Kolb, fille du boulanger Christophe Frédéric Kolb : contrat de mariage, célébration
1767 (4.9.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 316
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Hn Johann Jacob Jund dem leedigen Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knopffmachern, H. Joh: Heinrich Jjund, ebenmäßig Zinn Versilberten Pferd Zeug und Knopffmachers auch burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem H. Bräutigam ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Anna Maria Kolbin, Weÿl. Hn Christoph Friderich Kolb des gewesenen Weißbecken und burgers alhie seel. nachgelaßener tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil
unterschrieben auff Freÿtag den 4.ten Septembris Anno 1767. [unterzeichnet] Johann Jacob Jund als hoch Zeiter, Anna Maria Kolbin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 95, n° 17)
Anno 1767. (…) und am mittwoch darauff als den 14. Octobris beÿ uns copuliret worden Joh: Jacob Jundt lediger Zinn versilberer Knöpffmacher und burger allhier des H. Joh: Heinrich Jundt Zinn versilberer Knöpffmachers und Burgers allhier ehelicher Sohn, und Jgf. Anna Maria Kolbin des weÿland H Christoph Friderich Kolben gewesenen weißbecken und burgers allhier hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Jundt lals hoch zeiter, Anna Maria Kolbin als hochzeiderin (i 99, procl. Temple-Neuf i 89)

Leur fils Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse communale, meurt célibataire en 1817 en laissant pour héritiers sa mère, sa soeur célibataire et son frère.

1817 (10.5.), Strasbourg 8 (18), Not. Roessel n° 4267
Inventaire de la succession de Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse communale, décédé le 9 avril dernier – à la requête d’Anne Marie Kolb veuve de Jean Jacques Jundt, boutonnier d’étain sa mère, Jean Geoffroi Jundt, boutonnier d’étain, Anne Marie Jundt fille majeure, ses frère et sœur
à l’hôtel du commerce de cette ville où il avait son habitation
mobilier, garde robe, livres 100 fr, numéraire 378 fr, créances, total de l’actif 4421 fr – passif 1690 fr
Immeuble dépendant de la succession, le quart de la maison sise en cette ville près de la la grande boucherie n° 24 d’un côté Mde Richshoffer, d’autre le Sr Kuhn farinier, aboutissant sur le fossé – grevée d’une rente foncière annuelle de 4 fr envers l’état aux droits de la ci devant commanderie St Jean et d’une autre de 2 fr envers la ville de Strasbourg – louée au Sr Jundt cohéritier pour 200 fr, en principal 4000 fr, le quart estimé 1000 francs
Enregistrement, acp 134 F° 28-v du 12.5.

Anne Marie Kolb meurt en novembre 1818

1818 (21.12.), Strasbourg 8 (25), Not. Roessel n° 6056
Inventaire de la succession d’Anne Marie Kolb veuve de Jean Jacques Jundt, boutonnier détain, décédée le 26 novembre dernier — à la requête d’Anne Marie Jundt fille majeure et Jean Geofroi Jundt, boutonnier d’étain ses deux enfants
immeuble, 13/24 de la maison sise en cette ville près de la grande boucherie n° 24, entre Mde Richshoffer et le Sr Kuhn farinier, derrière un fossé – grevée d’une rente foncière annuelle de 4 fr envers l’état aux droits de la ci devant Commanderie de St Jean et d’une autre de 2 fr envers la ville de Strasbourg. Le surplus appartient aux héritier requérants, savoir un tiers du chef de leur père et 3/24 de celui de leur frère Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse commerciale – occupé par Jean Geofroi Jundt pour un loyer de 200 fr par an, en capital 2166 fr
dans une maison près de la grande boucherie n° 24
mobilier 159 fr – passif 733 fr
Enregistrement, acp 141 F° 71 du 23.12.

Le boutonnier Jean Geoffroi Jund vend sa part de maison à sa sœur Anne Marie qui en devient seule propriétaire

1830 (2.6.), Strasbourg 8 (nouv. cote 48), Me G. Grimmer n° 3191
Jean Geofroi Jundt, boutonnier d’étain
à Anne Marie Jundt, majeure
la moitié qui appartient audit Sr Jundt indivisément avec la Dlle Jundt propriétaire de l’autre moitié d’une maison avec appartenances & dépendances sise en cette ville près de la Grande Boucherie n° 24, d’un côté la maison Rishoffer, d’autre le Sr Kuhn farinier, derrière le fossé
que la totalité appartenait à Jean Jacques Jundt, boutonnier d’étain, et Anne Marie Kolb leurs père et mère. Au décès de Jean Jacques Jundt père la moitié avenue aux trois enfants, les deux comparants & Jean Jacques Jundt, inspecteur de la bourse commerciale de ladite ville, celui ci est également décédé sans postérité en laissant pour héritiers ses deux frère et sœur pour ¾ suivant inventaire dressé par M° Roessel le 10 mai 1817, par le décès de la veuve Jundt née Kolb leur mère il leur est avenu 13/24 suivant inventaire dressé par M° Roessel le 21 décembre 1818 – moyennant 1650 für
acp 199 (3 Q 29 914) f° 160 du 5.6.

Jean Geoffroi Jundt et sa femme Marie Elisabeth Rudolph d’une part et Anne Marie Jund d’autre part hypothèquent la maison au profit du ferblantier Philippe Antoine Riebel

1846 (28.8.), Strasbourg 4 (100), Not. Lauth n° 2236
Obligation, 28 août 1846 – Ont comparu le Sr Jean Geoffroi Jundt, boutonnier, & Dame Marie Elisabeth Rudolph, son épouse de lui autorisée, & Delle Anne Marie Jundt, célibataire majeure, sans état, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont déclaré par ces présentes devoir bien & légitimement
à M. Philippe Antoine Riebel, ferblantier demeurant et domicilié en la même ville, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg sur le marché aux porcs, près les grandes boucheries N° 24, d’un côté le Sr Richshoffer, de l’autre le Sr Kuhn. Déclarent les débiteurs que cet immeuble est échu au Sr Jundt & à Dlle Jundt dans la succession du Sr Jean Jacques Jundt, boutonnier à Strasbourg décédé il y a environ 48 ans, leur père, dont ils sont les seuls héritiers.
Ils déclarent encore que ledit immeuble est franc & exempt de toutes dettes à l’exception 1° d’ue rente annuelle de deux francs au profit de la Ville de Strasbourg & pour sûreté de laquelle il a été pris une inscription au bureau des hypothèques de cette ville le 8 novembre 1839 volume 312 N° 148, 2° d’une domme de 800 francs due à M. Jean Frédéric Brandhoffer, commis négociant & à Dlle Sophie Barbe Brandhoffer, mineurs (…) 3° & d’une somme de 790 francs due à Delle Catherine Mühlheim rentière à Strasbourg (…) S’obligent les débiteurs à rembourser la créances de Delle Mühlheim avec partie des fonds présentement empruntés (…)

Anne Marie Jund meurt célibataire en 1847 en laissant son frère Jean Geoffroi Jund pour unique héritier

1853 (24.11.), M° Flach
Notoriété constatant que Anne Marie Jundt, célibataire à Strasbourg est décédée le 30 décembre 1847, laissant pour héritier Jean Geoffroi Jundt, boutonnier à Strasbourg
acp 424 (3 Q 30 139) f° 94 du 26.11.

Décès, Strasbourg (n° 2500)
Acte de décès. Le 30 décembre 1847 (…) ont comparu Geoffroi Jundt âgé de 71 ans, ancien boutonnier, frère de la défunte domicilié à Strasbourg (…) ont déclaré que Anne Marie Jundt, âgée de 74 ans, née à Strasbourg, non mariée, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Jacques Jundt, boutonnier d’Etain, et de feu Anne Marie Kolb, est décédée le 30 décembre 1847 à 10 heures du matin en la maison place des grandes boucheroes N° 24 (i 94)

Le boutonnier Jean Geoffroi Jund épouse en 1797 Marie Elisabeth Rudolph, fille du vitrier Jean Rudolph
1797 (9 vendém. 6), Strasbourg 4 (10), Not. Greis N° 1272, Altes N° 442
Eheberedung – persönlich erschienen der Burger Johann Gottfried Jundt, leediger Versilbert Knopf- und Pferdzeugmacher, des Burgers Johann Jacob Jund, ebenmäßigen Versilbert Knopf- und Pferdzeugmachers und Inwoners allhier, mit der Burgerin Anna Maria gebohrner Kolb ehelich erzeugter Soh, unter autorisation dieses seines Vaters an einem Theil
So dann die Bürgerin Maria Elisabetha Rudolph, des Burgers Johannes Rudolph, Glassers und Inwoners alhie mit der Burgerin Maria Magdalena gebohrner Wolffin ehelich erzeugte tochter, unter autorisation dieses ihres Vaters an dem andern Theil
Geschehen alhier zu Straßburg den 9. Vendemiaire 6. Jahr der frantzösischen Einen und unzertrennlichen Republick [unterzeichnet] Johann Gottfried Jundt, Maria Elisabeta Rudolph
Enregistrement, acp 54 F° 111-v du 11 vend. 6 – revenu industriel 200 livres

Ils consentent au mariage de leur fils militaire Jean Geoffroi en 1832 puis en 1844.
1832 (30.12.), Strasbourg 8 (nouv. cote 52), Me G. Grimmer n° 4236
Consentement – Jean Geofroi Jundt, fabricant de boutons, et Marie Elisabeth Rudolph, au mariage que Jean Geoffroi Jundt, lieutenant en premier au 3° régiment de chasseurs à pied au service du roi des Belges en garnison à Huy, est intentionné de contracter avec Adélaïde Bugnot de Faremont rentière à Tharoul
Enregistrement, acp 214 F° 151-v du 31.12.

1844 (15.7.), M° Zeyssolff
Consentement par Geoffroi Jundt père fabricant de boutons et Marie Elisabeth Rudloff, conjoints à Strasbourg, au mariage de leur fils Jean Geoffroi Jundt, ancien militaire domicilié à Liège, avec Anne Louise Leens audit lieu
acp 325 (3 Q 30 040) f° 76 du 16.7.

Jean Geoffroi Jund et Marie Elisabeth Rudolph hypothèquent la maison au profit de l’horloger Théodore Siegel.

1851 (3.6.), Strasbourg 10 (119), Not. Zimmer substitué par M° Grimmer n° 9034
Obligation, 3 juin 1851 – Ont comparu le sieur Jean Geoffroi Jundt, épingier, & Dame Marie Elisabeth Rudolph, sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien & légitimement
à M. Théodore Siegel, horloger, demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 600 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison & dépendances, sise à Strasbourg sur le marché aux porcs, près les grandes boucheries N° 24, tenant d’un côté à la propriété du sieur Richshoffer, de l’autre à la propriété du sieur Kuhn, aboutissant par derrière sur le fossé dit Ulmergraben. Les débiteurs déclarent que ladite maison dépend de la communauté qui a existé entre entre le sieur Jean Jacques Jundt boutonnier & Dame Anne Marie Kolb son épouse, les deux de Strasbourg, père et mère du sieur Jundt comparant, & est échue à ce dernier conjointement avec le sieur Jean Jacques Jundt vivant inspecteur de la bourse commerce & à Strasbourg & Dlle Anne Marie Jundt majeure sans état et demeurant en la même ville, ses frère et sœur dans la succession de ses parents susnommés. Que M Jean Jacques Jundt fils étant lui-même décédé sans postérité son tiers dans ledit immeuble est échu à M Jundt comparant & à ladite Dlle Jund à chacun pour moitié. Qu’enfin par suite du décès de ladite Dlle Jundt sans postérité, M. Jundt comparant est devenu seul & unique propriétaire de ladite maison. M. Siegel nonobstant l’absence d’actes authentiques établissant les droits de propriété du sieur Jundt sur ladite maison, déclare passer outre & décharger les notaires soussignés de toute responsabilité à cet égard.
Les débiteurs déclarent que ledit immeuble appartient encore en toute propriété au sieur Jundt comparant & qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ou hypothèque à l’exception d’une somme de 10.000 francs due par les dits époux Jundt à M. Philippe Antoine Riebel, ferbantier demeurant à Strasbourg en vertu d’une obligation contenant quittance subrogatoire passée devant M° Lauth notaire à Strasbourg le 28 août 1846

Jean Geoffroi Jundt meurt en 1854 en délaissant pour seul héritier son fils demeurant à Liège
1854 (29.9.), M° Flach
Notoriété constatant que Jean Geoffroi Jundt, vivant boutonnier à Strasbourg est décédé le 24 août dernier, laissant pour héritier Jean Geoffroi Jundt, négociant à Liège
acp 433 (3 Q 30 148) f° 69 du 3.10. (succession déclarée le 23 février 1855)

Jean Geoffroi Jundt et Marie Elisabeth Rudolph vendent la maison à Thiébaut Geoffroi Kuhn (leur voisin, propriétaire du n° 3)

1853 (24.11.), M° Flach (minutes en déficit)
Vente par Jean Geoffroi Jundt, boutonnier d’Etain, et Marie Elisabeth Rudolph, son épouse à Strasbourg
à Thiébaut Geoffroi Kuhn, marchand de farine et Caroline Lobstein, son épouse à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue de la Grande boucherie N° 24, moyennant 8000 francs. Origine, héritage de Jean Jacques Jundt père
acp 424 (3 Q 30 139) f° 94-v du 26.11.

Thiébaut Geoffroi Kuhn loue la maison au tailleur Michel Schneider et à Elisabeth Wizenné

1854 (2.1.), M° Flach (minutes en déficit)
Bail – Thiébaut Geoffroi Kuhn, marchand de farine, et Caroline Lobstein son épouse à Strasbourg
à Michel Schneider, maître tailleur et Elisabeth Wizenné sa femme à Strasbourg, pour trois, six ou neuf ans du 25 mars 1854
une maison sise à Strasbourg rue de la grande boucherie N° 24, moyennant un fernage annuel de 650 francs
acp 426 (3 Q 30 141) f° 13-v du 5.1.

La maison figure à l’inventaire dressé en 1854 après la mort de Thiébaut Geoffroi Kuhn et à celui dressé en 1868 après celle de sa veuve.

Leur fils et unique héritier Adolphe Kuhn vend la maison au boucher Frédéric Bræsch et à sa femme Louise Thorwart

1870 (1.6.), M° Flach (minutes en déficit)
Vente par Adolphe Kuhn commis négociant à Paris
à Frédéric Braesch, boucher et Louise Thorwart sa femme à Strasbourg
d’une maison sise à Strasbourg rue de la grande Boucherie N° 2 moyennant 20.000 francs
Origine, héitage de Thiébaut Geoffroi Kuhn et Caroline Lobstein sa femme à Strasbourg
acp 594 (3 Q 30 309) f° 12-v du 7.6.

Leur fille naît en 1868 dans la maison dont ils sont alors locataires
Naissance, Strasbourg (n° 2218)
Acte de naissance. Le 16 octobre 1868, a comparu Frédéric Braesch âgé de 29 ans, boucher, domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né à Strasbourg le 16 octobre 1868 à l’heure de midi en la maison N° 2 place de la grande boucherie et nommé Barbe Frédérique Louise, fille de lui déclarant et de Louise Thorvarth son épouse âgée de 19 ans (i 93)

Natif de Munster en Haute Alsace, Frédéric Bræsch meurt à l’âge de trente ans en juillet 1870.
Décès, Strasbourg (n° 1673)
Acte de décès. Le deux juillet 1870 (…) lesquels nous ont déclaré que Frédéric Braesch, âgé de 30 ans, né à Münster (Haut-Rhin), boucher, époux de Louise Thorwarth, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jean Braesch, menuisier et de Barbe Mürbach domiciliée à Munster, est décédé le 2 juillet 1870 à deux heures du matin en la maison place de la grande bouchere 2 (i 5)

L’inventaire de ses biens est commencé en juillet 1870 et terminé en février 1871. Le défunt délaisse une fille.

1870 (11.7.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Louise Thorwarth et Frédéric Braesch, boucher à Strasbourg, et de la succession de ce dernier décédé le 2 juillet 1870 – dressé à la requête de la veuve comme commune en biens à défaut de contrat et comme tutrice légale de Louise Frédérique Barbe Braesch mineure seule héritiere de son père
acp 595 (3 Q 30 310) f° 2 du 15.7. (succession déclarée le 1° mai 1871 N° 148) Mobilier de la communauté 2217
acp 597 (3 Q 30 312) f° 36 du 8.2., (vacation du 6 février 1871 – Fortsetzung) Gemeinschaft, Geld 1540, Eingegangene Ausstände 878
Ein Haus in Straßburg Großmetzger Straße N° 2
Hälfte von Zweÿ Metzgere Bänke in der Großen Metzig dem Nachlas gehörend
Passiv der Gemeinschaft 25.772, des Nachlasses 291

Louise Thorwart loue la maison à Gérard Keller

1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 81-v du 23.4.
12 April 1872. Pacht – zwischen Louise Braesch und
Gerhard Keller ist folgenden Miethvertrag gemacht.
Louise Braesch vermiethet an Hrn Keller ein Haus in Straßburg Metzger platz N° 2 für drei, sechs oder neun Jahren vom 28. April 1872 an
der Miether zahlt einen jährlichen Miethzins von 1800 Francken

Louise Thorwart se remarie avec Louis Auguste Stephan, brasseur à Karlsruhe
1876 (23.6.), M° Mossler
Einwilligung der Luise Thorwald Wittwe von Friedrich Braesch, lebend Metzger zu Straßburg, in die Ehe welche sie mit Ludwig August Stephan, Bierbrauer zu Karsruhe, einzugehen beabsichtigt
acp 651 (3 Q 30 366) f° 59-v n° 1961 du 23.6.

Liquidation et partage de la communauté entre Frédéric Bræsch et Louise Thorwart, épouse d’Auguste Stephan, brasseur à Karlsruhe
1878 (8.7.), M° Mossler
Auseinandersetzung der Gemeinschaft bestehend zwischen Luise Thorwarth jetzige Ehefrau von August Stephan, Bierbrauer zu Carlsruhe und ihrem verstorbenenn ersten Ehegatten Friedrich Braesch, Metzgermeister und des Nachlasses dieses Letzteren, Auf Ansuchen 1° der gedachten Frau Stephan handelnd eigenen Namens wegen der zwischen ihr und ihren verlebten Ehemann bestehenden Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags und als Mutter und Vormunderin ihrer in dieser Ehe mit Friderich Braesch erzeugten Kinds Louise Friederike Barbar Braesch noch minderjährig und eintzige Erbin ihres Vaters, 2° Johann Braesch, Schreiner zu Münster handelnd als Nebenvormund der gedachten Minderjährigen

Friderich Braesch starb zu Straßburg am 11. Juli 1870. Ein Erbverziechnis wurde errichtet durch Notar Flach zu Strassburg vom 11. Juli 1870. aus diesem Erbverziechnis bestehet die Gemeinschafft aus
Activa 1° Möbel und Getuch 1774, 2° baares Geld 1232, 3° Forderungen 1449
Ein Wohnhaus mit Zubehör zu Straßburg an der großen Metzig verkauft laut Urkunde vor Notar Mossler zu Strassburg vom 18. Juli 1876, 20.000. Aus dieser Summ wurden Käufer angewiesen zu bezahlen zur Entlastung der Verkäufer 6400, so daß nur noch der Masse zugut kommt 13.600
die Passiva betragen 20.618
Es wurden irrthümlich zugeworfen die Kosten der Beerdigung und der letzten Krankheit welche der We allein zu tragen hat mit 464. Es gehen ferner ab 3280. Augenblicklich geschuldeten Johann und Barbara Braesch und welche die Eheleute Stephan nicht annehmen und die Johann Braesch verrechnet wissen will. Summa 3744 – Bleiben 16.873
Zum Nachlasse des p. Braesch gehört 1° eine Summe von 4000 M. welche die Wittwe von der frantzösischen Gesellschaft La Nationale bezogen hat, 2° Ein Metzgerplatz welchen zu Strassburg an der Großen Metzig und die unvertheilte Hälfte an der großen Metzig (…) angeschlagen 1600
die Passiva des Nachlasses betragen 228
A. Gütergemeinschaft. 1° Mobilien 1774, 2° baares Geld 1232, 3° Ausstände 1449, 4° Forderung von Eheleute Feltzer für Rest Kaufpreis obigen Hauses 13.600, Summa 18.055
Passiv Masse 16.873, davon ab die laut obigem Kauf angewiesene Summ 6400, bleiben 10.473, 2° Kosten des Erbverziechnisses 56, Summa 10.529
Bilanz Activ Überschuß 7525
B. Nachlass. Activ Masse 1° Antheil an der Gemeinschaft 3762, 2°Summ welche die Wittwe Braesch von der Gesellschafft La Nationale für dessen Nachlass erhob 4000, 3° in den beden Metzgerplatzen p. m., Summa 7762
Passiv Masse 368, Activ Überschuss 7394.
Recapitulation (…)
acp 681 (3 Q 30 396) f° 84-v n° 2552 du 18.7.

Louise Thorwarth vend en son nom et en celui de sa fille la maison au cordonnier André Fetzer et à sa femme Marie Anstett

1876 (18.7.), M° Mossler
Verkauf durch Louise Thorwarth, Wittwe des Metzgers Friedrich Braesch zu Straßburg, handelnd eigenen Namens und als gesetzliche Vormünderin ihrer minderjährigen Tochter Louise Friederike Barbara Braesch
an die Eheleute Andreas Fetzer, Schuhmacher & Maria Anstett zu Straßburg
Ein Wohnhaus mit Bodengeschoß & vier* Stockwercken, Speicher & Zugehör zu Straßburg an der großen Metzig N° 2
Erworben durch die Eheleute Braesch-Thorwarth laut Akt vor Notar Flach dahier vom 1. Juni 1870, daher der Wittwe Thorwarth und ihrem minderjährigen Kinde als einzige Erbin seines genannten Vaters zur Hälfte gehörig Zufolge Inventar des Notars Flach vom 11. Juli 1870 – Besitzantritt zugleich – um 20.000 Mark zahlbar (…)
acp 653 (3 Q 30 368) f° 58 n° 2501 du 28.7.

Originaire de Gingen dans le bailliage de Geisslingen en Wurtemberg, André Fetzer épouse Elisabeth Sommerer en 1835 à Sélestat
Mariage, Sélestat (n° 49)
L’an 1835, le 25° Jour du mois de Juillet à huit heures du matin. Acte de mariage d’André Fetzer, âgé de 26 ans, né à Gingen, Grand Baillage de Geisslingen, Royaume de Würtemberg le 21 novembre 1809, cordonnier, domicilié à Schlestadt, fils légitime de Léonard Fetzer, tonnelier âgé de 48 ans, et d’Anne Catherine Scheisel, sans profession, âgée de 48 ans, conjoints domiciliés au dit Gingen, consentant au présent mariage suivant acte reçu par le conseil municipal dudit Gingen (…) Et Dle Elisabeth Sommerer, âgée de 28 ans, née à Schlestadt le 25 mai 1807, sans profession particulière, domiciliée en la même ville, fille légitime de feu Antoine Sommerer, percepteur décédé à Hilsheim le 23 juillet 1827 et de Marie Anne Wagner, âgée de 56 ans, sans profession particulière, domiciliée à Krautergersheim, consentant au présent mariage suivant acte délivré en brevet par Mre Daumont notaire à Obernai le 14 juillet courant (signé) Fetz, Sommerer (i 28)

Elisabeth Sommerer meurt en juillet 1857 après avoir légué ses biens à son mari
1857 (16.9.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Elisabeth Sommerer épouse André Fetzer
acp 463 (3 Q 30 178) f° 26-v du 22. 7.br

1857 Enregistrement de Strasbourg, ssp 125 (3 Q 31 624) f° 94 du 22.9.
2 mai 1857. Testament – Je soussignée Elisabeth Sommerer institue par les présentes mon mari André Fetzer mon unique héritier
déposé en l’étude de M° rimmer not.re le 16 7.bre 1857
(succession non déclarée, décès du 24 juillet 1857)

Décès, Strasbourg (n° 1412)
Acte de décès. Le 25 juillet 1857 (…) que Elisabeth Sommerer, âgée de 48 ans, née à Schlestadt (Bas Rhin), épouse d’André Feltzer, cordonnier, domiciliée à Strasbourg rue des tanneurs 12, fille de feu Antoine Sommerer, percepteur, et de feu Anne Marie Wagner, est décédée le 24 juillet 1857 à onze heures du matin en la maison place de l’hôpital civil n° 14 [in margine :] phthisie (i 35)

1858 (25 octobre), Enregistrement de Strasbourg, ssp 128 (3 Q 31 627) f° 44 du 9.11.
Consentement par Léonard Fetzer maître tonnelier à Gingen (Wurtemberg) au mariage de son fils André Fetzer maître cordonnier à Strasbourg avec Marie Anstett en condition en ladite ville

André Fetzer se remarie en 1858 avec Marie Anstett, originaire de Sand en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 575)
Du 11° jour du mois de novembre l’an 1858. Acte de mariage d’André Fetzer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 novembre 1809 à Gingen (Wurtemberg) domicilié à Strasbourg, cordonnier, veuf d’Elisabeth Sommerer décédée à Strasbourg le 24 juillet 1857, fils de Léonard Fetzer, tonnelier domicilié à Gingen et de feu Catherine Scheifel décédée à Gingen le 9 septembre 1858 et de Marie Anstett, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1830 à Sand (grand duché de Bade) domiciliée à Strasbourg, servante, fille de feu Jacques Anstett, tisserand, décédé à Sand le 31 janvier 1847 et de Barbe Koerckel, sans état, domiciliée à Sand ci présente et consentante – il n’a pas été passé de contrat de mariage (signé) Fetzer, Anstett (i 15)

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1881, le boucher (Frédéric) Gustave Kœnig épouse en 1867 Elisabeth Rœdt, originaire d’Illkirch

Mariage, Strasbourg (n° 287)
Du 11° jour du mois de juin 1867. Acte de mariage de Frédéric Gustave Koenig, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 janvier 1840 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, boucher, fils de Jean Michel Koenig, tonnelier domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feu Anne Marie Sophie Wehrlen, décédée à Strasbourg le 25 octobre 1843, et d’Elisabeth Roedt, majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 novembre 1843 à Illkirch (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Jean Roedt, journalier, et de Marguerite Haegel, conjoints domiciliés à Illkirch, ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 52)



16, Grande rue de la Grange


Grande rue de la Grange n° 16 – IV 258 (Blondel), N 759 puis section 59 parcelle 28 (cadastre)

Le menuisier Sébastien Andris remplace en 1758 deux anciennes maisons par une neuve
Enseigne à l’Etoile d’Or (zum goldenen Stern), 1905 – Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Le numéro 16 de la Grande rue de la Grange à l’enseigne zum goldenen Stern (AMS, 1 Fi 19 n° 24), vue de l’ouest. L’ancienne parcelle IV 258 formait la partie gauche.
Même endroit, rue du Vingt-deux-novembre, vue de l’est (juillet 2011)

Inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve Augustin Heisch, la maison a deux plate-formes qui empiètent sur le communal. Le papetier Wendelin Riehl la vend en 1622 au fripier Chrétien Kautsch qui a occupé de 1605 à 1613 le poste de pileur d’épices dont il a été relevé. La maison revient sans doute par défaut de paiement au marchand Frédéric Riehl, fils de Wendelin Riehl. Le cordonnier Jean Born l’achète en 1676. L’orphelinat où ses enfants sont pensionnaires vend en 1690 la maison au parcheminier Jean Daniel Gilger dont la femme est propriétaire de la voisine à laquelle elle sera réunie en 1745. Le menuisier Hartwig Griesé se réserve divers droits quand il vend en 1706 au marchand de tabac savoyard Claude Audevet la maison à l’est qui est attribuée deux ans plus tard à sa créancière, l’Œuvre Notre Dame. A la mort du cordonnier Martin Quos originaire de Dantzig en 1731, le billet d’estimation cite un bâtiment avant, un passage latéral et un très vieux bâtiment arrière. La description est la même en 1743 à la mort du menuisier Philippe Schreiner : atelier au rez-de-chaussée du bâtiment avant surmonté de deux étages, bâtiment latéral à gauche (une buanderie au rez-de-chaussée, chambres à l’étage), bâtiment arrière (bûcher au rez-de-chaussée, poêle et galeries à l’étage). La veuve de Philippe Schreiner se remarie avec Sébastien Andris qui achète en 1745 la maison voisine à l’ouest. Les Quinze l’autorisent l’année suivante à ouvrir une porte dans le mur qui sépare les deux cours contre une rente annuelle de cinq sols. Les Préposés au bâtiment et les Quinze l’autorisent en 1758 à remplacer les deux anciennes maisons par une nouvelle. Le propriétaire déclare qu’il supprimera les portes de caves qui s’ouvrent sur le communal. Il fait travailler la charpente sur la place des Cordeliers. Sébastien Andris fait réparer en 1767 le pignon qui le sépare de la maison voisine à l’est. Il charge la même année le maître maçon Jean Michel Meyer de travailler dans les différents bâtiments (avant, latéral et arrière). Le maître maçon Michel Müller réaménage en 1777 le bâtiment latéral droit. La maison est estimée en 1781 à une valeur minimale de 2 000 livres (contre 700 livres pour une seule des anciennes maisons, 1742). La veuve du revendeur Guillaume Joseph Sarazin s’en rend adjudicataire en 1791. Elle en transmet la propriété à sa fille Marie Anne Sarazin qui en fait donation à son deuxième mari Claude Gallimard, receveur de l’enregistrement.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 198 (Musée des Plans-relief) 1 : élévation

L’Atlas des alignements (années 1820) cite un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (u) : trois fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (I) représente l’arrière (6-7) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (1-8), le bâtiment à rez-de-chaussée et un étage (7-8) du côté est de la cour. Le côté ouest (1-6) de la cour comprend la clôture (1-2) qui sépare de la cour voisine, le bâtiment (2-3-4-5) puis l’édicule (5-6). La façade du bâtiment arrière qui donne sur l’égout communal est figurée à gauche de (4) à la cour D.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 16.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 198 (Musée des Plans-relief) 1 : plan, cours I et D

L’orfèvre Jean Philippe Beck achète la maison en 1829. Elle revient en 1853 en partie puis en 1859 en entier à sa fille Catherine Dorothée, femme du menuisier Martin Heintz. Ses héritiers domiciliés en France la louent à un aubergiste (enseigne à l’Etoile d’Or, Zum goldenen Stern, 1905). La Ville achète la maison qu’elle fait démolir en 1912 lors de la Grande Percée. Les enquêteurs qui la visitent en 1907 relèvent certains éléments XVIII° siècle (baroques).


Dessins du Service d’architecture (1911, AMS 907 W 161) : élévation, coupe, plan

novembre 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Wendelin Riehl, papetier, et (v. 1592) Brigitte Schottler – luthériens
1622 v Chrétien Kautsch, fripier, et (1597) Anne Wildmann – luthériens
1645* (adj) Frédéric Riehl, marchand, et (1619) Rosine Storck puis (1634) Julienne Schultz – luthériens
1665* h Jean Philippe Ursinus, maître des rentes, et (1665) Sara Riehl puis (1671) Marie Marguerite Strohm – luthériens
1676 v Jean Born, cordonnier, et (1663) Susanne Engelbrecher d’abord (1568) femme du péager Conrad Hosch, (1665) Cléophée Eissen puis (1685) Barbe Schubæus – luthériens
1690 v Jean Daniel Gilger, parcheminier, et (1688) Agnès Fuchs, d’abord (1684) femme du parcheminier Jean Georges Hauff – luthériens
1700 v Hartwig Griesé, menuisier, et (1678) Marie Salomé Fuchs – luthériens
1706 v Augustin Clerc, horloger, et (v. 1693) Elisabeth Marie puis (1694) Elisabeth Barthelemy, veuve du vivandier Jean Longuant dit Montauban – catholiques (indivision avec le suivant, 1706)
1706 v Claude Audevet, fabricant de tabac, et (1701) Geneviève Percelat – catholiques
1708 adj Œuvre Notre Dame
1708 v Martin Quos, cordonnier, et (1703) Anne Catherine Gœring – luthériens
1733 h Catherine Marguerite Quos, célibataire († 1748) – luthérienne
1737 v Philippe Schreiner, menuisier, et (1733) Susanne Zickler, d’abord (1719) femme du musicien Jean Ott – catholiques
1743 h Sébastien Andris, menuisier, et (1743) Susanne Zickler, veuve du musicien Jean Ott et du menuisier Philippe Schreiner, puis (1781) Jeanne Greissing remariée (1791) au batelier Antoine Fessler puis (1794) au négociant André Dron – catholiques
1791 adj Guillaume Joseph Sarazin, revendeur, et (1746) Marie Anne Propre – catholiques
1800 h Marie Anne Sarazin, et (1777) Jean Baptiste Joseph Noël, lieutenant – catholiques
1802 h Claude Gallimard, receveur de l’enregistrement, et (v. 1775) Marie Madeleine Adélaïde Debainse, (1797) Marie Catherine Desuc puis (1802) Marie Anne Sarazin, veuve du Jean Baptiste Joseph Noël
1820 h Philibert Bequet, commissaire des poudres et salpêtres, et (1808) Adélaïde (Gabrielle Emerentienne Hortense) Gallimard, d’abord (1804) femme du commissaire des poudres et salpêtres, Didier Jean Baptiste Campagne, puis (1827) Marina Gigault de Marconnay
1829 v Jean Philippe Beck, orfèvre, et (1803) Catherine Elisabeth Pfeiffer, veuve du brossier Jean Michel Heinrich, puis (1810) Barbe Müller
1853 h Philippe Jacques Beck, cordonnier, et Caroline Dorothée Beck (indivision)
1859 h Martin Heintz, menuisier, et (1853) Caroline Dorothée Beck
1901* h Charles Fromm, commerçant, et Marie Heintz et cohéritiers
1903* h Auguste Heydenreich, pharmacien, et Lina Heintz, à Paris
1909* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 850 livres en 1731, 700 livres en 1742 – nouvelle maison réunissant deux anciennes 2 000 livres en 1781

(1765, Liste Blondel) IV 258, Sébastien André
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bastian Andrich, 4 toises, 5 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 759, Beck, Jean Philippe – maison, sol – 3,5 ares

Locations

1687, Georges Gærtner, cordonnier
1703, 1719, Pierre Duperray, menuisier
1708, 1711, Nicolas Delincourt, tourneur, et Barbe Kopff
1719, Louis Vaudoit, marchand de tabac
1732, état des loyers
1734, Pierre Schreiner, menuisier (ensuite propriétaire)
1773, Daniel Luc Herrman Weinemer, assesseur au Magistrat
1773, François Pierre Brodbecker, avocat
1826, Judas Lœb, relieur et cabaretier, et (1802) Buna Weil

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 164-v
La veuve d’Augustin Heisch doit 2 sols 6 deniers pour une plate-forme en saillie de 5 pieds 21 pouces et une autre de 7 pieds de long en saillie de 9 pouces

[Stadelgasse]
Augustin Heischen Wittwe hatt ein besetzten Tritt v schu xxi Zoll herauß, Item mehr ein Tritt vj schu lang vnd ix Zoll herauß, Bessert &, ij ß vj d

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802), f° 250-b
Le menuisier Sébastien Andres (Andris) doit 5 sols le 7 mai de chaque année pour une ouverture de 12 pieds dans le mur de 6 pieds ½ de haut entre ses deux maisons contiguës Grande rue de la Grange d’après la décision des Quinze en date du 7 mai 1746 et le protocole des Préposés au bâtiment pour l’année 1747 folio 26, à régler pour la première fois en 1747.
Le contribuable suivant est la veuve Sarazin qui ne veut plus régler la somme. L’affaire est réglée par arrêté municipal rendu le 6 floréal V.

Sebastian Andres der schreiner solle Von einem 12. schuhe weiten durchbruch durch eine 6 ½ schuhe Hohe Maur Von einem hoff in den Andern seiner Zweÿ Häußer neben einander an der Großen Stadelgaß, Laut Erkantnus der Herren XV. Vom 7. May 1746. und Prot. der Ober bauherren de A° 1747. fol. 26 jahrs auf den 7. May und A° 1747. I.mo, 5 ß
Modo La Ve. Sarasin
(Quittungen 1747-1792)
ne veut plus paÿer
vid. Arrêté du C.M. du 6. flor. V.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

Le menuisier Sébastien Andris demande le 20 avril aux Quinze l’autorisation d’ouvrir une porte entre ses deux maisons contiguës. Chargés de visiter les lieux, les Préposés au bâtiment constatent le 3 mai que le pétitionnaire qui vient d’acheter une maison de Salomé Jung a l’intention d’ouvrir une porte de 12 pieds de long et 6 pieds ½ de haut dans le mur de la cour  ; il proposent d’accorder l’autorisation contre une rente annuelle de cinq sols. Les Quinze traitent l’affaire le 7 mai. Sébastien Andris ajoute qu’il peut produire des témoins dignes de foi qui assurent que les deux maisons étaient déjà réunies par le passé. Les Quinze accordent l’autorisation à condition de verser le cens annuel et de maintenir deux logements militaires. Ils délivrent une expédition de leur sentence le 14 mai

1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 321) Sambstags d. 20. Aprilis – Fuchs nôe Sebastian Andris des burgers und Schreiners allhier, dießer bitt MGhh. ihme durch seine Zweÿ neben einander gelegene häußer in der großen Stadelgaß eine thür einbrechen laßen Zu dörffen gnädig Zu erlauben. Erkanndt, Oberebau Hh.

1746, Préposés au bâtiment, VII 1402
(f° 26-v) Dienstags den 3. Ejusdem [Maÿ] – Sebastian Andres
Augenschein eigenommen beÿ Sebastian Andres dem schreiner, welcher beÿ Gnädigen Herren den Fünffzehen um erlaubnus eingekommen, Von einer Zwischen dem Hoff an seinem Hauß an der großen Stadelgaß und dem Hoff einer daran gelegenen Behaußung die er Von Weÿl. Salome Jungin der schreineri erkaufft, stehenden Maur, ein 12. schuhe lang, und 6 ½ schuhe Hohes Stuck hinweg Zubrechen, und dadurch die Communication beÿder Höffen Zuhaben.
Nota ist jhme den 17.ten Ejusdem Von Gnädigen Herren den XV. gegen 5 ß jährlichen Zinßes, und Bezahlung des Augenscheins erlaubt worden dt. 2. lb für den augenschein

1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 345) Sambstags d. 7. Maÿ – Sebastian Andris pt° durchbrechung einer thür
Iidem [Obere bauherren] laßen ferner per me Vortragen, Es habe Sebastian Andris der burger und Schreiner allhier d. 30. Aprilis jüngst beÿ MGHh. per recessum geziemend angehalten, Ihme gnädig Zu erlauben durch seine 2 neben einander gelegene häußer in der großen Stadelgaß eine thür einbrechen laßen Zu dörffen. Auff geschehene Weißung hätte man den augenschein eingenommen, da sich dann befunden, daß der Implorant in dem hoff rechter hand des eingangs seine neben der Gnäd. Frau von Berckheim gelegenen behaußung ein stuck Maur von 12. schuh lang und 6 schuh 7 Zoll hoch abbrechen und den durchgang in die darneben befindlichen, von Ihme seith Kurtzem von Salome Jungin, eines weißbecken hinderl. wittib an sich erkauffte und neben David Mottelmeÿer dem Kornwerffer gelegene behaußung offen laßen wolle, der Implorant habe darbeÿ Vorgegeben, er verhoffe daß es umb so weniger einigen anstand haben werde, als er im fall der noth durch ehrliche burger erweißen wolle, daß die quæstionirte beede häußer vor dießem schon Zusammen gehört, beÿ beseßener deputation habe der Implorant sein petitum nochmahlen wiederhohlt, derer Hh deputirten Meinung gehe dahin, daß dem Imploranten gegen reichung 5 ß d jährlichen Zinnßes auff allhießigen Pfenningthurn, jedoch mit expresser Vorbehaltung der bißherigen doppelten einlogirung, in seinem begehren Zu Willfahren seÿe, Zu Mghh. genehmhaltung stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.

(p. 373) Sambstag d. 14. Maÿ – Ego referire, daß nachfolgende bescheid auff gesetzt und Zu Papÿr gebracht worden, wie folgt
Bescheid – Sambstags d. 7. Maÿ. In sachen Sebastian Andris Sebastian Andris, des burgers und Schreiners allhier Imploranten, Auff die d. 30. Aprilis jüngst von dem Imploranten per recessum gethane unterth. bitten, Ihme gnädig Zu erlauben durch seine zweÿ neben einander gelegene häußer in der großen Stadelgaß eine thür einbrechen laßen Zu dörffen. Erkandten und [-] augenschein, Unserer Zu denen baugeschäfft [-] der Hh Deputaten abgelegten relation [-] dem Imploranten gegen reichung 5 ß d jährlichen Zinnßes auff allhießigen Pfenningthurn, jedoch mit expresser Vorbehalt der bißherigen doppelten einlogirung,zwischen bemelten dem Imploranten eigenthümlich gehörigen Zweÿen häußern ein stuck Maur von 12. schuh lang und 6 schuh 7 Zoll hoch abbrechen und den durchgang offen laßen Zu dörffen.

Le menuisier Sébastien Andris demande le 4 mars 1758 aux Quinze l’autorisation de remplacer les deux anciennes maisons par une seule et la supression de la rente établie en 1746. Il déclare en outre le 20 mars aux Préposés au bâtiment chargés de visiter les lieux qu’il supprimera les portes de caves qui s’ouvrent sur le communal. Les Quinze donnent le 25 mars l’autorisation de construire une seule maison moyennant une rente annuelle de dix sols.
Les Préposés au bâtiment autorisent le 25 avril Sébastien Andris à monter la charpente sur la place des Cordeliers pourvu que les troupes n’en soient pas gênées. Il demande en outre de conserver le cens de cinq sols en arguant qu’il supprime les portes de cave.

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
(p. 71) Sambstags den 4. Martii 1758. – Sebastian Andriß pt° auffhebung eines jährlichen Zinnßes Von 5 ß
Claus, Sebastian Andriß des burgers und schreiners allhier pplis. hat vermög mghh. Erkanntnus vom 7.ten Maÿ 1746. die gnädige Erlaubnus erhalten ein stuck maur durch seine Zweÿ häußer durch zubrechen und den durchgang offen laßen Zudörffen, Wann Er aber anheute gesinnet ist, gedachte beede häußer in eines Zu Verbauen, solches aber ohne mghh. Willfahr nicht geschehen mag, als bittet Er unterthänig ihme mit dießem gesuch gnädig zu Willfahren, wie auch ihne Von denen in gedachter Erkantnus angesetzten Fünff schilling Jährlichen Zinnßes gnädig zu entbinden. Erkandt, obere bau Hhn.

1758, Préposés au bâtiment, VII 1408
(f° 12-v) Montags den 20. Martÿ 1758. – Sebastian Andriß
Augenschein eingenommen beÿ Sebastian Andriß dem Stattschreiner, welcher seine neben einander gelegene Zweÿ Häußer an der großen Stadelgaß wovon er bereits Laut Statt zinßbuch fol: 250. wegen einer Zur Communication durchgebrochenen Maur in seinem Hoff 5 ß Zinß gibt, Zusammen Zubrechen nur ein Hauß darauß Zumachen, und Neü auffzubauen willens, darum er beÿ Gnädigen Herren den XV. um erlaubnus eingekommen, auch declarirt, daß er seine Vor denen Häußern Habende Kellerthüren Von dem Allmendt Hinwegthun wolle.

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
(p. 88) Sambstags d. 25. Martii 1758. – Obere Bau Herren laßen per Eundem [Secretarium] referiren es habe Johann Sebastian Andriß der Frantzösische schreiner meister und burger allhier beÿ mghh. per recessum unterthänig gebetten, ihme gnädig Zu erlauben, in seiner ane der großen stadelgaß gelegener behaußung, welche ehemahls aus Zweÿen häußern bestanden die daselbst mitten im hoff annoch zum Theil stehende Separations Maur, in ansehung welcher ihme schon Vor einigen jahren ein durchbruch gegen Erlag jährlicher 5 ß boden Zinnßen gegönnet worden, gäntzlich abbrechen, und also ein hauß machen zu dörffen, mghh. hätten hierauff einen augenschein Zu erkennen beliebet, welcher auch würcklich eingenommen und befunden worden, daß durch des Imploranten Vorhabende Bau niemand einiger schade sonden dem publico Vielmehr nutzen Zu wachßen, mithin Wollten die Hrn Deputirte die Willfahrung, wie auch die regulirung des boden Zinnßes /:welcher schon beÿ letzter session auff dem Pfenningthurn auff Zehen schilling d. projectirt worden:/ Zu mghhen gestellt haben.
Erkandt, Wird dem imploranten erlaubt, die in seiner ane der großen stadelgaß gelegener behaußung mitten im hoff annoch stehende separations: maur gegen Erlag Jährlicher Zehen schilling boden Zinnßes abzubrechen.

1758, Préposés au bâtiment, VII 1408
(f° 15) Dienstags en 4. Aprilis 1758. – Sebastian Andriß
Sebastian Andriß der Stattschreiner bittet um erlaubnus das Holtz Zu seinem Neü bauenden Hauß an der großen Stadelgaß, auf dem Baarfüßer Platz Zu Zimmern. Erkannt, willfahrt, solle aber doch auch mit denen Hh. Majoren reden, damit Sie wegen der Trouppen Keine schwierigkeit machen
Idem. – Idem Bittet Auch um Bescheid wegen seiner Zusammen brechender Zweÿ Häußeren An der großen Stadelgaß, worvon der Augenschein am 20. Januarÿ Letzthin eingenommen worden, weilen Gnädige Herren die Fünffzehen die sach hiehero Verwießen. Erkant, wird dem Imploranten erlaubt, seine Zweÿ Heußer Zusammen Zubrechen, und eines darauß Zubauen mit dem Beding, daß er die wegen durch gebrochenen Maur jhme schon Vorhin angesetzt, Und Laut Statt Ziinßbuch fol: 250.b bißher bezahlte 5. ß Zinß noch fernerhin bezahlen, und seinem Oblato gemäß, die Kellerthüren Von dem Allmendt Hinwegthun solle.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le Petit Sénat charge le 23 mars 1767 les préposés aux feux de visiter la maison que Sébastien Andris va transformer suivant le nouveau règlement sur les feux. Il devra remplacer le pignon encommagé ; son voisin Hebenstreit (futur numéro 18, à l’est) argue qu’on ne peut l’obliger à reconstruire son pan de bois en bon état. Les experts proposent le 3 avril que le rez-de-chaussée soit reconstruit et les frais réglés pour deux tiers par Andris et un tiers par Hebenstreit. Sébastien Andris devra en outre continuer le mur de son côté.
Le maître maçon (Jean Michel) Meyer expose le 20 novembre suivant les travaux qu’il va faire dans la maison de Sébastien Andres Grande rue de la Grange : une chambre à cheminée à la française à droite au rez-de-chaussée, une buanderie pourvue d’un chaudron dans le bâtiment latéral droit, un fourneau au rez-de-chaussée du bâtiment arrière, un poêle et une cuisine au deuxième étage du même bâtiment, une chambre à cheminée à la française au deuxième étage du bâtiment latéral gauche et un poêle dans les mansardes, les tuyaux étant toujours à bonne distance de la menuiserie.

1767, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

(p. 124) Freÿtags d. 3.ten Aprilis 1767 – Andris & Hebenbstreit
Zufolg Erkantnus E. E. Kleinen Raths Vom 23. Martii jüngst haben Hochverordnete Obere Feur Hh einen augenschein eingenommen in Sebastian Andriß des Statt schreiners in der großen Stadelgaß gelegenen behaußung, allwo auf seiten H. Hebenstreit des büttels auf der Schmidt Stub sowohl in seinem als übriger und Zwar minorennen mit interessenten namen Vorgebracht worden, daß weil Andriß Krafft neuerer feuer ordnung seinen schadhafften gäbel neu auffzuführen schuldig man ihn nicht anhalten könne sein auf der gemeinschafftl. maur stehen habende Riegel wandt, so unbeschädigt abzubrechen, und mit Sebastian Andriß den gemeinschaftl. gäbel aufzuführen, mit bitten ihn davon Zu befreÿen, ist nach genauer der Sachen untersuchung und angehörten Parthen, auf die Von denen Hh Experten abgestattete relation auch eingesehene Feur ordnung Erkanndt, Solle der gäbel quæstionis au rez de chaussée abgebrochen und unter den Parth. gemeinschaftlich jedoch alßo aufgeführet werden, daß Sebastian Andriß Zweÿ theil, Hebenbstreit und Consorten aber nur einen theil, bis unter die Riegelwand unter ihrem gang an denen desfalls aufgehenden Kösten Zu Zahlen, Andriß aber seiner seiten auf seine Kösten den gäbem Vollends so hoch er sein gebäu führet, es seÿe mit Pfeiler und bögen oder mit einem halben stein neben obgemelter Riegelwandt aufzubauen schuldig seÿn solle.

(p. 147) Freÿtag d. 20. Novembris 1767. – Mr Sebastian Andris der Statt schreiner will in seiner in der großen Stadelgaß gelegenen behaußung au rez de chaussée lincker hand des eingangs eine Cammer gegen der gaß mit einer Frantzösischen Camin auf dem Keller gewölb stehend setzen, das rohr mitten durchs gebäu Von allem holtz entfernt.
Ferner lincker hand im hof eine Bauch Kuchen mit Bauch keßel und Caminschoß setzen das rohr am steinern gäbel hinauf Von allem holtz entfernt.
Im hindern gebäu im ersten stock ein Vor Camin mit einem ofen, das rohr am steinern gäbel hinauf Von allem holtz entfernt.
Im hindern gebäu im Zweÿten stock gegen der werckstatt eine stube gegen dem hof, dahinden eine Kuchen mit heerd und Camin schoß machen, das rohr mitten durchs gebäu Von allem holtz entfernt.
Im seiten gebäu lincker hand im nemlichen stock eine Cammer mit einem frantzösischen Camin und gewölb wohl versehen setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf Von allem holtz entfernt.
In der mansarde eine stube mit einem Vor Camin und gewölb wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu Von allem holtz entfernt.
Erkanndt, Willfahrt. Mr Meÿer

Le maître maçon (Michel) Müller expose le 11 juin 1777 les travaux qu’il va faire dans la maison du menuisier municipal Sébastien Andres Grande rue de la Grange : une cuisine pourvue d’un fourneau au rez-de-chaussée au bâtiment latéral droit et un atelier au devant, aussi pourvu d’un poêle.

(p. 433) Mittwochs den 11.ten Junii 1777. – Meister Sebastian Andris der Stattschreiner will in seiner in der Großen Stadelgaß gelegenen behaußung in dem nebens gebäu Rechter hand im Hoff auf dem Rez de chaussée eine Kuch mit Herd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr mitten durch das gebäu Von allem holtz entfernt vornen daran eine werckstatt mit einem offen in welchen aus der Kuche eingefeurt wird, der erste stock ist dem rez de chaussée gleich.
Erkanndt, Willfahrt. Mr Müller der jung.

Description de la maison

  • 1731 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, un passage avec des chambres, un très vieux bâtiment arrière où se trouvent un petit poêle, une cuisine, un bûcher, en outre un puits et une cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 700 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée à main gauche l’atelier de menuisier, un étroit vestibule, une cave sous solives, la cour et le puits, au premier et au deuxième étages un poêle et un vestibule où se trouve le fourneau, le bâtiment latéral à gauche comprend au rez-de-chaussée une buanderie et la chambre à soldats, à l’étage deux chambres surmontées d’un demi-toit, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un bûcher, à l’étage un poêle, un vestibule, deux passages en bois, un vieux comble délabré, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 400 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Grande rue de la Grange

nouveau N° / ancien N° : 13 / 7
Sarasin
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 215 case 3

Beck Jean Philippe ; Marché neuf N° 14 à Strasbourg
1855. Beck, Philippe Jacques cordonnier & Beck Caroline Dorothée Gde. rue de la Grange 7

N 759, maison, sol, grande R. de la grange 7
Contenance : 3,50
Revenu total : 361,82 (360 et 1,82)
portes et fenêtres ordinaires : 65 / 52
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 965 case 1

Bock, Philippe Jacques et Caroline Dorothée
1860. Heintz, Martin, Menuisier
1901. Fromm Karl, Kaufmann, Ehefrau Maria geb. Heintz und Miteigenthümer
1903. Heydenreich August Apotheker Ehefr. Lina geb. Heintz, Paris
(ancien folio 713)

N 759, maison, sol, Rue de la grange 16
Contenance : 3,50
Revenu total : 361,82 (360 et 1,82)
Folio de provenance : (215)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 65 / 52
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre allemand, registre 32 p. 360 case 3

Parcelle, section 59, n° 28 – autrefois N 759
Canton : Große Stadelgasse Hs N° 16 – 265/13.236
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 20,50
Revenu : 3400 – 5200
Remarques 1912 Abbruch – 1913 ab D. 362 F. 5.

(Propriétaire, compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 100 Grand’rue de Stadel p. 163

7
Prop. Andres, Sébastien, Menuisier – Charpentiers
lo. Stouhlen, Avocat – Boulangers
lo. Boub, Jean, Orfèvre – Echasses
lo. Michel, Veuve – Pelletiers
lo. Hauer, pensionnaire du Roy
lo. Madelon, Dlle.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Grosse Stadelgasse (Seite 168)

(Haus Nr.) 16
Walter, Wirt Zum goldenen Stern. 01
Bauer, Schlossermstr. 1
Braun, Fuhrmann. 1
Dreyfuss, Metzgerm. 2
Mayer, Ausläufer. 3
Feinrich, Schneiderm. H 1
Ohl, Tagner. H 1
Reiser, Sanit.-Wachtm. H 1
Knittel, Hausknecht. H 2
Marx, Händlerin. H 2
Wendler, Schieferdeck. H 2
Kuhn, Kolporteur. H 3
Reihle, Schneiderm. H 3
Relle, Tagner. H 3
Walter, Strassb-Schaffner. H 3

Grille d’enquête (AMS cote 113 MW 999), n° 60

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Grosse Stadelgasse N° 16 [Maison :] 16, Grand rue de la Grange

a) Geschichtliches : [Historique] (cf. Seyboth)

b) Zeitbestimmung : Barock [Epoque] baroque

c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]

d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Steingebäude, Putzfläche
    [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] Bâtiment en pierre à surfaces crépies
  • 13. Konsolen – 1 einfache im Hof unter der Galerie
    [Corbeaux] Un de simple facture dans la cour sous la galerie
  • 15. Gliederungen – 1 Nische (für Figur) (Straßenseite) mit Muschel
    [Moulures] Une niche (pour une statue) à coquille vers la rue

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – 1 in 2 Geschossen
    [Galerie sur cour] Une, à deux étages
  • 6. Brunnenanlage – 1. mit Bronzeauslauf. Becken aus Gußeisen
    [Puits] un puits à bec en bronze et bassin en fonte
  • 8. Treppengeländer – Baluster aus Bretten geschnitten. Hof* geschnitzelter Antritts pfosten
    [Balustrades d’escalier] Balustrade en lattes. Départ sculpté d’escalier dans la cour
  • 10. Eiserne Gitter – vergl. Bem. 1.
    [Grilles en fer] voir Remarque 1
  • 14. Wandvertäfelung- Einfache Täfelung im Flur (randg*)
    [Lambris] Lambris simple dans le vestibule
  • 25. Türbeschläge – (Hinterh. I. Stock) 2 Bocks bänder
    [Ferrures de porte] Deux (*) au Premier étage du bâtiment arrière)

Bemerkungen : 1) 2 flügel. Eingangs Thür
Holtzthür mit Oberlicht gitter. Massiv*

[Remarques –] Porte d’entrée à deux battants – Porte en bois, grille à l’imposte


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au papetier Wendelin Riehl. Il fait baptiser en 1593 un fils Frédéric issu de sa femme Brigitte (Schottler).

Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 199, n° 1349)
1593. 2. Augusti. Wendlin Rihel der papyrer, Prigida – Friderich – H. Niclaus von Dürckheim, Theobald Böm vnd Margretha Hans Knörrers fraw (i 207)

Brigitte Schottler veuve de Wendelin Riehl, assistée de son fils Frédéric Riehl, vend à l’amidonnier Chrétien Kautsch (ici Kautt) la maison chargée de quatre florins envers le Gurtlerhoff moyennant 400 livres

1622 (29 Julÿ), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 82-v
Kauffverschreybung Christman Kautten Amlungmacher
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1622. folio 143.) Erschienen H. Jacob Schilling Fünffzehner vogt Brigida Schottlerin weÿland H Wendel Ruhels selig. hind.laßene Witwen vnd beneb. Ime h Friderich Ruehl Ir Sohn
haben in gegensein Christman Kautten Amlungmach. burg. alhie (verkaufft)
ein Behausung alhie In groß Stadel Gassen einseyt neben Bernhard Wachtman medicinæ Candidat. and.seit neben N+ (+ Caspar Rulman) Glaser hinden vff ein Almend geßelin wovon gehnd 4 lb Bodenzinß auff Johannis dem Gurtler hoff sonst ledig eig. Ist d. Kauff beschehen für 400 lb

Le fripier Chrétien Kautsch épouse en 1597 Anne Wildmann, fille du pileur d’épices David Widmann
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 73-v, n° 169)
1597. Domn: sexages: 30. Januarÿ. Christman Kutsch Altgewender Vndt Anna David Widman des Wurtzstössers tocht. Eingesegnet Zinstag den 15. Februarÿ. (i 76)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 100-v, n° 8) 1597. Sexagesima. Christman Kautsch ein altgewender vnd Anna David Widemans des wurtzstossers tochter. Eingesegnet Zu St Thoma (i 54)

Ils hypothèquent un mois plus tard la maison au profit du marchand épicier Jean Raoul Stupanus

1622 (xiij. Augusti), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 288-v
(Inchoat. in Prot. fol. 224.) Erschienen Christman Kautsch d. ammlungmacher burger Zu Straßburg vnd Anna Wÿdenmännin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. hannß Rudolff Stupanus wurtz Kremers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿent 800 gulten
vnderpfand hauß, hoffstatt, hoff vnd hind.hauß mit Allen Ihren geb. d. gelg. Inn d. St. St. Inn d. groß. Stadell gassen, einseit neben Bernhard Wachtman, And.seit n. Lorentz Rulman den glaßer, hinden vff ein allmend gäßlin stoßend, dauon gnd. ij. lb Bod. zinß In dem gürtler hoff und Sant Margred clostern Mehr seind sie verhafftet vmb j C L lb Friderich Ruhell dem Jung.

Chrétien Kautsch est candidat au poste de pileur d’épices en 1605. La décision est ajournée parce que l’assemblée ne connaît pas les candidats. Chrétien Kutsch est élu d’après l’acte de 1613.
1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
Wurtzstösser dienst bestellen. 215. 218. 220. 230. 259. 269.
(f° 220-v) Sambstag den XXIV Augusti – Wurtzstösser dienst bestellen
Ulrich Lesch, Heinrich Braun, Christmann Kutsch, Alle treÿ halten vmb den Wurtzstösser dienst an. Erkant, sollen sich geschrieben geben
(f° 269) Montag den XIV Octob.- Wurtzstösser Ampt bestellen
Hr XV. lassen p. Iren secretarium d. Ambtbuchlin weg. Wurtzstossers ablesen vnd dan ausschuß anzeug. Alß aber von etlichen Hn gesprochen, d. sie die personen nit kennen, Ist erkant soll weiter bedacht werd. H. Kolloffel, H. Grienwald, H. Stoffele.

Les pileurs d’épices Jean Kammerer et Chrétien Kautsch demandent à être exemptés de l’amende qui leur a été infligée parce qu’ils ont été emprisonnés six jours. La décision est ajournée parce que le quorum n’est pas atteint.
1609, Protocole des Quinze (2 R 37)
(f° 97) Sambstag den 10.ten Junÿ – Hanns Cammerer, Christman Kutsch, Wurtzstößer
Hanns Cammerer und Christman Kutsch beÿde Wurtzstößer p. Lt. Bittlinger, übergeben ein underthenige entschuldigung, so verlesen, darinn bringen sÿ für, das Inn Ihrer hafft vnd gefencknuß Ihnen fürnemblich Zwöen puncten fürgehalten worden, deren sÿ sich gleichwol nitt allerdings für unschuldig begeren anzugeben, dieweÿl sÿ aber ein Sechßtägige Thurnstraff außgestanden vnd arme gesell, die nicht weitters erschwiegen oder abtragen Können, So bitten sÿ sich der fernern vfferlegten geltstraff (.da Jeder 10. lb erlegen sollte.) gn. Zu erlaßen vnd mitt der Im kalten Winther außgestandener thurn vnd Keffich straff ein g. genügen Zuhaben. Erkandt Jetzo einstellen, geg. Ihnen Zu bedacht Ziehen, dieweil Meine Herren Inn geringer Anzal. V. Mr.

Chrétien Kautsch donne sa démission de son poste de pileur d’épices. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’acceptent comme il a rendu les clés bien que le travail soit important à l’approche des foires.
1613, Conseillers et XXI (1 R 93)
Christmann Kutsch vmb erlassung Wurtzstosser Ampts
(f° 154) Sambstag den XXIII Maÿ – Christmann Kutsch d. mherren Ime vor 7 ½ Jar zum Wurtzstosser angenohmen desen thut er sich bedanck. und bitt nun mehr solchen diensts wid. zuerlassen. H Kopp alß Wurtz Hr meldt d. er sich gar liederlich verhalten wie auch der alte Also wol ursach bede abzuschaffen. d aber gegen d. Mees do man vil Zuthun Kan man Ir nit beder entrichten. Also dissem die schlussel schon genohmen, daher er deßer mehr erlaubnus Zubetten, hetten sehr vbel gehandelt. Erk. Man soll Ine seines diensts erlassen vnd die Rathh. auf Ihren Zunfften verkunden laßen wer sich dazu will geschriben geben. H. Wid H Ker.

Chrétien Kautsch est cité en 1619 parmi les pileurs d’épices relevés de leurs fonctions.
1619, Protocole des Quinze (2 R 47)
(f° 78) Mittwoch den 5. Maÿ – Wurtzordnung – Beurlaubter Wurtzstößer, Hannß Cammerer Christmann Kutsch – vnd Hannß Waltz vnd Friderich Millich die Holtzhawer -Jetzige Wurtzstößer Balthasar Huck, Hannß Waldbaur – und Hannß Koch der Holtzhawer
Von meinen g. Herrn der XV. Zusammenkunfft Ist in p.sentia beider Herren Fünffzehen Meister den beurlaubten Wurtzstößer Vnd Holtzhawern, die, am 24.t Aprilis Jüngsthien ergangene Erkantnus (.vide Bedacht Sextern.) Vorgelesen, alles daß ihenige so sie auff der Wurtzmühlen erlernet, beÿ ihrem burgeraid Zu Verschweiggen, Wie auch den ietzigen Wurtzstößern die damahls erkante articul absonderlich vorgehalten vnd abgelesen worden, mit erinnerung dieselbe gleichfalß fleißig in achtung zu nehmen.

La maison appartient ensuite à Frédéric Riehl d’après les aboutissants (1651), sans doute par annulation de la vente pour défaut de paiement.
Frédéric Riehl le jeune épouse en 1619 Rosine, fille du consul Pierre Storck.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 371-v, n° 1129)
1615. Dominica Jubilate. Fridrich Riehl der Jüngere Vnd Jungfrau Rosina Herrn Petri Storcken alten Ammeisters Eheliche Tochter (i 384)

Le marchand Frédéric Riehl se (re)marie en 1634 avec Julienne, fille de l’aubergiste à l’Ecurie Laurent Schultz
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 160-v)
1634. Dom: j. Aduentus 30. 9.bris. Hr Friderich Riehel der handelsmann v. burg. alhie vnd Jgfr. Juliana, H Laurentÿ Schultz. burgs. v. Gastgebers Zum Stall nachgelaßene dochter. Eingesegnet Zu St. Thomas Montag d. 8. 10.bris (i 167)

La maison revient ensuite à Sara Riehl qui épouse en 1665 le maître des rentes Jean Philippe Ursinus

Secrétaire à la Tour aux deniers, Jean Philippe Ursinus vend la maison au cordonnier Jean Born. En marge, quittance remise en 1704 à Hartwig Griesé par Dorothée Ursinus, femme du marchand verrier Gérard Walter

1676 (27. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 882-v
(prot. fol: 89) Erschienen Herr Johann Philipp Ursinus Vnderschreiber deß Pfenningthurns
hatt in gegensein Johann Buhrnern deß Jüngern Schuhmachers
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders, höfflin darzwischen hoffstätt mit allen deren Gebäen, begriffen, weithen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhier in der Großen Stadelgaßen, einseit neben herrn Andreæ Brackenhoffern, dießer Statt ietz regirenden Ammaÿstern, anderseit neben hannß Georg Hauffen dem Pergamentiner, hinden uff den Gemeinen dohlen beÿ der Tucherstub stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 1. lb 2. ß 4. d Zinnß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen alhier, Item 1 lb iährlichen zinnß dem Gürtler hoff – umb 300 lb
[in margine :] Erschienen fr: Dorothe geb. Urßinußin, mit beÿstand u. consens Hn Gerhard Walters jun. Glaßhändlers ihres mariti, hat in gegensein Hertwig Grieße schreiners alß nunmahligen proprietarÿ hierinn versetzten Haußes (quittung) Actum den 30. Sept. 1704.

Fille du serrurier Jean Engelbrecher, Susanne Engelbrecher épouse en 1568 Conrad Hosch, péager au Wickhæusel, puis en 1663 le cordonnier Jean Born, fils de Jean Born l’aîné
Mariage, Illkirch (luth.)
1658. den 22. Junÿ Sind Von mir Auß Erkandnus uns. Gnäd. Herren Räth vndt XXI. Copulirt Word. H. Conrad Hosch der Zoller am Wickhäußel vndt Susanna Engelbrecherin, hans Engelbrecht des schloßers und Burgers Zu Straßburg Eheliche Tochter (i 64)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 91, n° XL) 1658. Conrad hosch der buchstaben gießer vnd burger alhie, Jungfr. Susanna Hans Engelbrecher schloßers v Burger alhie eheliche Tochter, dinstag den 22. Junÿ Zu Illkirch (i 92)

Contrat de mariage et célébration du mariage de Jean Born
1663 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 411-v
(Prot. fol. 61. – Eheberedung) Erschienen Hannß Burn der Junger, schuhmacher und Burger Zue Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand hannß Bürnen des ältern Burgers alhie seines eheleiblichen Vatters an einem,
So dann Susanna, weÿl. Conrad Hoschen deß Schrifftgießers und Burgers alhie, nunmehr sel. nachgelaßene Wittib alß hochzeiterin mit assistentz hannß Engelbrechers des Schloßers ihres eheleiblich. Vatters und hannß Jacob Engelbrechers des Schloßers ihres eheleiblichen Bruders und curatoris beeder Burger alhier am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 35-v, n° 23)
1663. Dom: 5. post Trin: Zum 2 mal Johann Born der Jüngere Schumacher, Johann Born, des Schumachers undt Burgers alhier ehel: Sohn undt Susanna Weiland Conrad Hoschen geweßenen Schrifftgießers v. Burgers allhier nachgelaßene Wittib. Montags den 27.t Julÿ Freiburgst. Münster, Hhst. (i 38)

Jean Born se remarie en 1665 avec Cléophée, fille du marchand de chevaux Henri Eissen.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 272, n° 5)
1665. Domin: Jubilate et Cant: od. den 16. Vnd 23. April: sind Zum erst. vnd and. mahl außgeruffen word. Johann: Born d. Schumacher vnd Burg. alhie, vnd Jungfr: Cleophe Heinrici Eÿsen deß Roßhändlers vnd Burgers alhier eheliche tochter, Copulirt in D. Nicol: 24. April: post c. matutin: (i 290)

Jean Born se remarie en 1685 avec Barbe, fille du pelletier Nicolas Schubæus (une fois veuve, elle se remarie en 1690 avec Geoffroi Rœderer)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 132-v n° 23)
1685. Dom: Rogationum Zum 2 mahl Johann Born Schumacher u. Burger, Jfr. Barbara Weiland Hanß Niclaus Schubæi gewesenen Kirschners u. Burgers allhier nachgelaß. ehel. T. Mont. den 4.ten Junÿ, Zu, Predigern (i 134)

Les trois enfants de Jean Born sont admis à l’orphelinat, l’aîné qui a vingt ans parce qu’il est infirme, les deux filles parce qu’elles n’ont pas l’âge de s’engager.
1687, Conseillers et XXI (1 R 170)
(p. 167) Mittwochs den 21. May 1687 – Johann Bornen des schumachers KK. vmb Recipirung in das weisenhaus
Saltzm. nôe weil. Johann Bornen des schumachers und burgers alhier 3. Kindern vogts Caspar Philippen auch schumachers, weilen der Knab bey 20 Jahren alt, aber blöd und der bößen augen halben Zu keinem handwerckh nicht Zu gebrauchen, die beede döchterlin aber vom 10. und 8. Jahren, auch Klein, und Zu dienen unvermöglich, alß bittet der vogt unthett. weilen gar Kein lebens mittel vorhanden dieselbe in das allhiesige weisenhauß in g. auffzunehmen. Erkandt werden diese 3. elenden weÿßen den herren pflegern des orths Zur Recipirung bestens recommendirt. Rathh. Kübler und Herren schneider.

Le receveur de l’Orphelinat en sa qualité de tuteur des enfants nés du second mariage de Jean Born loue la maison au cordonnier Georges Gærtner

1687 (1. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 472-v
H. Johann Friderich Sachs, alß Schaffner deß Waisenhaußes, und Caspar Philipß, der Schuhmacher alß Vogt Johann Bornen gewes. Schuhmachers in mitler Ehe erzeugter 2. Kind. nahmentlich Mariæ Salome, und Annæ Catharinæ
in gegensein hans Georg Gärttner deß Schuhmachers
verlühen, Ein Vordere und hinderhauß sambt deren hoff und allen Gebäuen und zugehördt. allhier in der Großen Stadelgaß einseit neben H. Johann Michael Brackenhoffer, Ambtmann, anderseit (-) Haucken, geweßenen hind.laßener Wittib geleg. von heut dato an biß auff Michaelis künfftig 1688.sten jahrs, alßo dergestalt daß der entlehner vor die biß Michaelis dießes 1687.sten jahr noch restirende Zeit Ein pfund d. und dann iedes quartal Und auf weihnachten dießes jahrs Zum erstenmahl dreÿ pfund 15 schilling

Le même vend la maison au parcheminier Jean Daniel Gilger (Gülcher), assisté de son beau-frère Hartwig Griesé

1690 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 57
H. Johann Friderich Sachs, Schaffner deß waisenhaußes, in nahmen ged. Stiffts und Caspar Philips, deß Schuhmachers, alß Vogt weÿl. Johann Bornen auch gewesenen Schuhmachers nachgelaßene 2. ältisten Kind.
in gegensein Johann Daniel Gülchers deß Pergamenters, mit beÿstand Hardwig Grieße deß Schreiners, seines Schwagers, angezeigt und bekandt daß Er H. Schaffner in nahmen deß Waißenhaußes, wegen der Bornischen 3. jüngern in d. weißes haußes gekommenen Kindern [unterzeichnet] Johan daniel gilges, Hartwich Griese
Zweÿ haüßer, ein vorderes und ein hinderes sambt einem höfflein dar zwischen, auch deren hoffstätte mit allen deren Gebaüen, begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeit, allhier in der großen Stadelgaßen einseit neben Hn Johann Michael Brackenhoffern Ambtmann der Pflegd Illkirch, anderseit neben weÿl. hans Georg Hauffen gewesenen Pergamenters nachgelaßenen alß sein Kaüffers stieff Kindern, hinden auff den Gemeinen dohlen bei d. Tucher stub stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 1 lb 2 ß 4 d Zinß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen allhier, Item 1 lb d Jährlich. Zinß dem Gürttlerhoff, So seÿe dießelbe auch noch umb 150 pfund Kauffschillings rest Hn Johann Philipp Ursino Secretario deß Pfenningthurns verhafftet – umb 108 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Hardwig Griese deß Schreiners alß Jetzmahlig. proprietarÿ hierinn beschriebener in der großen Stadelgaßen gelegenen Haüßer (quittung) den 30. 7.br 1704

Originaire de Francfort-sur-le-Main, Jean Daniel Gilger se marie en 1688 avec Agnès Fuchs, fille du boulanger Gaspard Fuchs et veuve du parcheminier Jean Georges Hauff qu’elle a épousé en 1684.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 6-v, n° 29)

Heut dato den 4 Augusti 1688 ist (…) Copulirt word. Johann Daniel Gilger der ledige Pergamenter, weÿl. Johann Gilgers pergamenters zu franckfurt am Maÿn nachgelaßen ehelich. Sohn v. fr. Agneß, weÿlandt Johann Geörg Hauffen gewesen pergamenters undt burgers allhier nachgelaßene wittib gebohrne Fuchsin [unterzeichnet] Johann Daniel gilger hochzeitter, Agnes hauffin Als hochzeitterin, Hanß Michaël Gilg als der hoch Zeiter Vetter, Hanß Georg Weber als der Hochzeiterin Vogt (i 9)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 67-v)
1668 – Dom. XIII. Trin. 16 Aug. Johann Georg Hauff Von Franckfort der Pergamenter, Daniel Hauffen Burger zu Franckfort Ehelicher Sohn, J. Margareta, weiland Peter* Böhm Kuëffer Und Burgers allhier hinderlaßener Eheliche Tochter. Copul. Montag d. 24. August. Zu S. Thomæ (i 72)

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 114, n° 680)
1684 – Dom. XXVI. Trin. I. Advent. d. 26. Novemb. 3. Decemb. Johann Georg Hauff der Pergamenter und Burger, Jgf. Agneß Caspar fuchsin des burgers und Schwartzbecken alhier eheliche tochter. Cop. St. Thomæ (i 59)

Jean Daniel Gilger devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage.
1688, 4° Livre de bourgeoisie p. 545
Johann Daniel Gülcher der pergamenter von ffort, empfangt des burgerrecht von Angnes, weÿl. hans Georg hauffen des Pergamenters wittib seiner haußfr. p. 2. gold fl. vnd 16 ß, so beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist ledien standts gewesen und würdt Zünfftig beÿ den Gerbern. Jur. 16. aug.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 38 livres, ceux de la femme à 298 livres.
1688 (7.8.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 21) n° 705
Inventarium v. beschreibung aller v. Jed. Haab v. Nahrung, so der Ehrsam v. bescheidene Johann Daniel Gilger, Pergamenter, v. die Ehren: v. Tugendsahme fr. Agnesa, gebohrne Füxin, weÿl. mstr. Joh: Georg Hauffen, geweßenen Pergamenters v. burgers alhier hinterbliebene Wittib, beede Eheleüt v. burgere alhier in ihren dieß woch allererst mit einand. angetrettenen Ehestandt für unverändert einand. würcklich Zugebracht haben (…) Actum in d. Königlich. freÿ Statt Straßb. in beÿsein der Ehrenhafften Achtbaren v. bescheidenen Mstr. Hanß Georg Weber Pergamenters d. fr. noch ohnentledigten: v. Mstr: Hartwig Grieße Schreiners v. burgers alhier ihr d. sel. Söhnleins geordneten Vögten, Sambstags den 7. Augusti Anno 1688.

In Einer der Statt Straßburg in der Großen Stadelgaßen Gelegenen hiehero nicht Gehörigen behausung ist befund. worden wie volgt.
Und erstliecn der Haußrath, In d. obern Cammern Vor d. Cammern, In d. Obern Stub, Vor d. Stuben, In d. Cammern am haußöhren, In d. Vordern od: Wohnstub, In d Kuch., Im Keller
Sa. haußraths, M 36, F 114, Mehl F 12 ß
Werckzeug vnd Wahren Zum Pergamenter handwerck Gehörig F 93, Sa. Silbers F 17, Sa. Guldinen Ring 8, baarschafft M 1, F 76, Schulden F 35, Summa summarum M 38, F 348 lb – Schulden F 49, Nach deren Abzug 298 lb
Wÿdemb. Inhalt deren vnd. Not. H. Johann Jacob Böllern den 30. 8.bris A° 1684. Auffgerichtet Eheberedung §° ultimo hatt Sie Fr. Agnesa gebohrne Fuxin Von Ihrem Vorigen Ehemann weÿl. Mstr Hannß Georg Hauffen dem geweßenen p.gamentern und burgern allhier seel. wÿdems weiß Zugenießen benantlich 300 fl.

Agnès Fuchs femme de Jean Daniel Gilger hypothèque la maison au profit de son beau-frère Hartwig Griesé pour régler les travaux qui y sont faits

1696 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 398
ut supra [Agnes geb. Fuchßin, hans Daniel Gilgers deß Pergamenters haußfrau, mit beÿstand Hn Daniel Dietrichs J.U. Ddi und Hn Johann Caspar Francken Notar. Publ. beed. E.E. großen Raths beÿsitzer]
Hartwig Griese deß Schreiners, Ihrem Schwager, 100 pfund, Ihro zu reparation und Verbeßerung hernach beschriebener behaußung
unterpfand, Eine behaußung, hoff, und hind. hauß mit allen Gebaüen, recht. und zugehördt. allhier in d. Großen Stadelgaß, einseit neb. d. schuldnerin hauß dato erkauffte behaußung, anderseit neb. H. Gustavo Philippo Faber JUDdo und Cancelleÿ Verwanth. hind. auff H. Johann Jacob Limburg. d. Courtier stoßend geleg.

Le tuteur des enfants de feu Jean Georges Hauff et celui de la fille de Jean Daniel Gilger qui a quitté Strasbourg vendent deux maisons contiguës comprenant chacune un bâtiment avant et un bâtiment arrière. La première provient du premier mari d’Agnès Fuchs, l’autre de son deuxième mari. L’acquéreur est Hartwig Griesé.

1700 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 281-v
H. Johann Friderich Spoor und H. Johann Martin Schlitzweg, beede E.E. großen Raths beÿsitzer und ad Contractus minorum ins gemein, hierzu aber insonderheit deputiret, im nahmen weÿl. Johann Georg Hauffen gewesenen Pergamenters sel. nachgelaßene Kinder, an stat ihres Vogts, welcher hernach bemelter Kaüffer ist, So dann hans Adam Haaß der Küffer, alß Vogt Daniel Gilgen deß außgetrettenen Pergamenters hier gelaßenen töchterleins
in gegensein Hartwig Griese, deß Schreiners [unterzeichnet] Hartwich Griese
Erstlich zweÿ haüßer, Ein Vorderes und ein hinderes, sambt einen höfflein, dar zwischen, auch deren hoffstätten, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt und Gerechtigkeiten, allhier in der großen Stadelgaßen, einseit neben H. Gustav Philippo Fabern JU Ddo und E. löbl. Policeÿ gerichts Actuario, anderseit neben hernach gemeldter behaußung, hind. auff den gemeinen dolen beÿ der tucherstub stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 1 lb 2 ß 4 d Zinß dem Closter St Margarethæ Und Agnethen allhier, Item 1 lb s jährlichen Zinß dem Gürttlerhoff, (umb 150, 58, 100 capitalien verhafftet)
So dann wider Zweÿ haüßer nemblich ein vorderes und ein hinderhauß, mit allen Ihren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden Und Gerechtigkeit. allhie in ged. Stadelgaßen einseit neben vorbeschriebener behaußung anderseit neben weÿl. H. Johann Niclaus Gambßen Grosen Zollers am rhein sel. Erben, hinden auff des becken hauß zur höllen stoßend geleg. (umb 50), mehr 122 Kauffsch. hans Georg Hauffen deß Kaüffers Vogtssohn, und umb 137 lb in zwen posten Kauffsch.rest Dorotheæ Hauffin, Ferner 37 lb Barbaræ Heuffin, So dann umb 37 lb auch kauffsch.rest erstged. 3. hauffisch. geschwistrig. ins gesambt, so aber benjamin Frantz der Barchetkrämer ad dies vitæ neb. andern zu genießen hat, Ferner umb 100 lb (capitalien verhafftet), geschehen umb 46 pfund

Originaire de Mölln près de Lübeck, Hartwig Griesé (ici Friesé) épouse en 1678 Marie Salomé, fille du boulanger Gaspard Fuchs.
Mariage, cathédrale (luth. f° 53)
1678. Dominica Reminiscere. Zum 2. mal Hartwig Friese der ledige Schreiner (*) Friese des (*)ts u. Burgers (*) ehel: Sohn, Jfr. Maria Salome Caspar Fuchsen, Schwartzbeck b. B. alhier eheliche T. alhier eheliche T., den 7.t. Martÿ Münster (i 54)

1678, 4° Livre de bourgeoisie p. 447
Hartwig Grieße der schreiner von Möllen, beÿ Lübeck, empfangt das burgerrecht von Maria Salome Fuchßin seiner haußfr. p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledig. standts gewesen undt wird Zu den Zimmer leüthen dienen. Jur. 11. martÿ 1678.

Le menuisier Hartwig Griesé loue la maison à Pierre Duperray et à sa femme

1703 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 36-v
Hartwig Griese menusier
bail à Pierre Duperray et à Marie Char- (signé) Pierre Duperray
dans sa maison Sçize icy ruë nomée die große Stadelgaß tenant d’un côté à (-) Gambs veufue de l’autre au Sr Gustav Philippe Faber Secretaire de la Chambre de Police, les commodités suivantes, Sçauoir le corps du logis de deuant tout entier et la place sous la gallerie dans la cour pour la moitié, pour deux années à commencer à la St Jean de cette année – 100 livres tournois faisant 25 lb de Strasbourg

Hartwig Griesé vend moyennant 850 livres la maison sise à l’est au marchand de tabac Claude Audevet qui déclare en avoir acquis la moitié pour l’horloger Augustin Clerc. Le vendeur se réserve le droit de faire s’écouler les eaux par la maison vendue jusque dans l’égout communal et la propriété de la cuisine dans la maison arrière

1706 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 96
(850) Hartwig Grieße schreiner (signé) Hardtwig Griese
in gegensein Claude Audeuet marchand de tabac (signé) C. Audeuet
[in margine :] hierinn besagter Käuffer hat in gegenseÿn Augustin Clerc uhrenmachers angezeigt und bekannt, daß Er die helffte ahn hierinnen verschriebenem Hauß c. appert: mit allen hierinnen gemeldten claußulen u. conditionen für ihn Clerc gekaufft habe, den 29. Januarÿ 1706 (signé) Augustin clerc
zweÿ Haüßer in vorder u. ein hinteres sambt einem höfflein darzwischen auch der Hoffstätten u. übrigen Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten allhier ahn der Großen Stadel gass, einseit neben Hn. Gustav Philipp Faber u. J. Ddo u. Policerschreibern, anderseit neben dem verk: hinten auf den Gemeinen dolen beÿ der Tucher stub stoßend, darvon gehen jährlich 1 lb, 2 ß 4 d dem Closter St.Marg:, Item 1 lb, jährlichen dem Gürtler hoff (-), Ferners ist verglichen daß d. wasser auß des verkäufers nebens hauß durch deß käuffers hauß in den dolen jure seruitutis lauffen solle, Item soll d. Camer samt der Küchen im hinteren Hauß zu sein des verkäufers neben Hauß gehören – um 850 pfund

Né à Collonges dans le pays de Gex de Guillaume Clerc, l’horloger Augustin Clerc acquiert le droit de bourgeoisie en 1692 en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux.
1692, 3° Livre de bourgeoisie p. 1102
Augustinus Clerc, der ledige Klein Uhrenmacher Von Colonge auß dem land Gaix beÿ Genff geleg. Weÿl. Guillaume Clerc geweß. burgers und handelsmanns daselbst nachgel: sohn, erkaufft p. 2 Gold fl. 16 ß. so bereits auf dem Pfenningth: erlegt worden, und Wird beÿ E.E. Zunfft der Schmidt . Jur: d 17. Xbr: 1692

Augustin Clerc épouse en 1694 Elisabeth Barthelemy, veuve de Jean Longan (Longuant dit Montauban)
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 52)
Die 11 octobris anni 1694 tribus factis proclamationibus hic, vero parochia Santi Stephani Augustinus Clerc ciuis argentinensis et elizabeta Barthelemy uidua defuncti Joannis longan (signé) Augustin Clerc, + nota sponsæ (i 27)

Ils passent en 1710 un contrat par lequel Elisabeth Barthelemy nomme pour son héritière Antoinette Clerc, issue du premier mariage d’Augustin Clerc avec Jeanne Marie qui a délaissé des biens à Besançon
1710 (5.8.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 17)
Pactions de mariage 5 aoust 1710. – sont comparus le Sr augustin Clerc officier monnoÿeur à la monnoÿe de lad° ville et Dam.lle Elisabeth Barthelemÿ sa femme qu’il authorise à l’Effet des presentes,
Lesquels ont declaré, Sçavoir lediy Le Clerc que quoy que la d° Dam.lle Barthelemÿ aÿt apporté en mariage pour la valeur au moins de 2500 Liures (…), Il n’auroit point esté Cependant passé contrat de mariage Entr’eux nÿ ledit Sr Le Clerc ne luy auoir donné aucune reconnaissance par acte public de l’apport par Elle fait, et d’autant qu’iceluy Sr Le Clerc estoit veuf en premiere nopce de deffunte Jeanne Marie sa première femme dont est issue anthoinette Clerc fille de lad° deffunte et de luÿ qui est actuellement viuante agée de 22 ans ou Environ et que lors du deceds de sad. premiere femme arrivé pendant ses couches de lad. anthoinette Clerc, led. Clerc estoit absent et que depuis ce temps Il a passé dans les paÿs Estrangers où il a toujours demeuré jusques en l’année 1695 ou 1696, qu’estant venu en cette ville de Strasbourg Il y auroit espousé lad° Barthelemy a pnt. son Espouse qui estoit pareillement veuve de deffunt Jean Longuant dit montauban en son viuant Escuyer de cuisinne et duquel mariage d’Entr’Elle et led. montauban ne seroit Issu aucun Enfant (…)
les biens de la mere de lad° fille estant Encore existant en la ville de Besançon d’où elle estoit native n’ayant rien esté apporté par lad° deffte en commun entre Luÿ et Elle, Et lad° Barthelemy a declaré que Si Dieu veut qu’elle Survive audit Sr Clerc son mary Elle veut bien adopter ainsy qu’elle adopte dès a pnt. par le pnt acte lad.° anthoinette Clerc (signé) Augustin Clerc, +

Claude Audevet hypothèque sa moitié de maison au profit de l’Œuvre Notre Dame

1706 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 311
Claude Audeuet marchand de tabac (devoir)
au Sr Jean Langhans reçeveur de La Fabrique Notre Dame, 600 Livres tournois
hypothèque, La moitié de sa maison sçituée icy perge Reg: fol: 96-b ibi allhier ahn der Großen Stadel gass usq. ad Gürtlerhoff

Le marchand de tabac Claude Audevet et sa femme Geneviève Perselat hypothèquent leur moitié de maison au profit du marchand Jean Nicolas Herff. L’entrepreneur pour le Roi Jean Baptiste Gillet se porte garant.

1706 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 521-v
Claude Audeuet marchand de tabac et Genevieue Borchelat (devoir)
au Sr Jean Nicolas Herff L’ainé marchand de Strasbourg, 1200 Livres tournois
hypothèque, la moitié de leur maison sçituée icy in der Großen Stadelgass d’un côté au Sr Faber d’autre au Griesé menusier par derrière à une fosse commune, de Laquelle maison on paye une rente d’une Livre 2 schillings 4 d au couuent St: Marg:, Item une rente d’une Liure d. au Gürtlerhoff
et est comparu en même tems le Sr Jean Bapt: Gillet entrepreneur des Etappes d’icy, lequel s’est rendu fidejusseur envers ledt. Sr creancier, hypothèque sa maison auec tous ses droits appartenances et dependances scituée icy rue Grosse Stadelgass d’un côté à Haas tonnelier d’autre au Sr Redwitz Not: aboutissant à Edel

Augustin Clerc et Elisabeth Barthelemy cèdent leur moitié de maison à Claude Audevet

1706 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 677
(450) Augustin Clerc horlogeur et Elisabeth Barthelemy
à Claude Audeuet marchand de tabac
La moitié d’une maison icelle etant composé de deux corps de logis l’un sur le deuant et l’autre sur le derriere ensemble la moitié de sa cour de sa plaçe tous ses droits appartenances et dependances sçituée icy rüe Große Stadelgass
d’un côté au Sr Faber Ltié. ès droits de l’autre à Griese menusier par derrière à une fosse commune, aux mêmes clauses et conditions qu’ils ont acheté cette moitié suiuant le Contrat passé à La Chambre des Contrats d’icy le 29. Januier 1706, de laquelle maison on paye une rente d’une Liure 2 ß 4 d au Couuent St. Marguerite par an, Item une rente d’un liure au Gürtlerhoff – chargeé d’un capital de 600 lb, pour 125 lb

Claude Audevet et Clémence (Geneviève) Percelat hypothèquent la maison qu’ils viennent d’acheter au profit de l’Œuvre Notre Dame

1706 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 678-v
immediate supra fol. 677-a erwehnter Claude Audeuet u. Clemence Perçelat und zwar die frau beÿständlich Pierre Perçelat und Antoine folmais* resp: würths u. Kauffmanns
in gegensein H. Joh: Christoph Kellermann XIII.ners alß mitpflegers der fabric deß Münsters u. H. Joh: Langhanß Schaffners daßselbst, 25 pfund zu erkauffung supra fol° 677-a erwehnter helffte geliehen
unterpfand, perge ut supra fol° 677-a ibi l’autre moitié d’une maison usq. sans charge

Claude Audevet et Geneviève Percelat hypothèquent la maison au profit du (marchand de tabac) Arnaut Fournet et Anne Lavigne

1706 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 732
Claude Andeuet marchand de tabac et Geneuieue Perselat
arnould Fournet dt. L’orange, 300 lit. (signé) +, anne Lauigne
hypothèque, leur maison sçituée icy rüe Große Stadelgass tenant d’un côté au Sr Faber Ltié. ès droits d’autre à Grise menusier abou. par derrière à une fosse commune, laquelle est chargée de 2 schillings et 4 d enuers le Couvent St Marguerite, Item d’une liure phenning enuers le Gurtlerhoff

Claude Audevet hypothèque une presse dans la maison au profit du marchand Laurent Grætel

1708 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 399
Claude Audevet marchand de tabac (signé) audeuet
devoir au Sr Laurent Grätel marchand 106 lit
hypothèque une presse à faire du tabac etant dans sa demeure icy ruë nommée Stadelgass

La maison est attribuée en paiement à l’Œuvre Notre Dame le 16 avril 1708 (voir ci-dessous l’inventaire de 1731)
Le receveur de l’Œuvre Notre Dame vend la maison au tailleur Martin Quos moyennant 950 livres

1708 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 540
(950) hr Joh: Langhanß Schaffner der Fabric deß Münsters
in gegensein Martin Qwoß schneiders (signé) Qwoß
eine behaußung hoff hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Großen Stadelgass, einseit neben H. Licentiat Gustav Philipp Fabern & anderseit neben Hartweig Griße schreiners EE hinten auf denßelben stoßend – (um 125 pfund verpfändet) ferners gehen darvon jährlichen 1 lb ß 4 dem Closter St. Margaretha, Item 1 lb jährlich dem Gürtler hoff – geschehen um 825 pfund

Fils du cordonnier Martin Quos de Dantzig et de Marie Spring, Martin Quos épouse en 1703 Anne Catherine, fille du cordonnier Jean Michel Gœring à la Robertsau pour avoir été concubins.

Mariage, Robertsau (luth. f° 115)
Montag den 19. Februarÿ Anno 1703 hab ich Pfarrer in der Ruprechtsaw auf vorgewiesener bescheinung Von Regierendem H Ammeister nach zusammen gezogenen Proclamation ob præmaturum concubitum Ehelich copulirt und eingesegnet Martin Quoß den ledigen schneider auß dantzig weÿl. Martin Quoßen burgers und schuemachers daselbsten und Anna Maria Springin Ehelicher sohn, und Anna Catharina weÿl. Johann Michael Görings gewesenen burgers und Schuemachers Zu Straßburg und Annä Catharinä Sippigin hinterlassen Eheliche tochter [unterzeichnet] Martin Qwoß als Hochzeitern Jungfr. Anna Catharin Giringin die hochzeiterin kan nicht schreiben ihr Zeich. ist folgendes +, Johann Michael Gering in namen der hochzeiterin (i 116)

Martin Quos devient bourgeois par sa femme six mois après son mariage
1703, 4° Livre de bourgeoisie p. 743
Martin Quoß der schneider Von Dantzig, weÿl. Martin Quoß gew: schumachers daselbst sohn, empfangt das Burgerrecht Von seiner Frawen Anna Catharina, Weÿl. Joh: Michael Görings gew: schumachers allhier hinterl. tochter p. 2. gold fl. 16. ß. so bey der Cantzleÿ erlegt weren V. wird beÿ E. E. Zunfft der schneider dienen. Promis. d. 4. Aug. 1703.

Martin Quos s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en mai 1703. Il devient tributaire en août de la même année. Il redemande en juin 1706 à faire son chef d’œuvre qu’il présente un mois et demi plus tard.
1703, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 86) 2. Maÿ 1703 – Johann Martin Quoß läßt sich zum Meisterstück einschreiben (dt. 4 lb 8 5 ß)

(f° 96) 14° Augusti 1703 – Newzünfftig:
Martin Quoß, der Schneider von dantzig gebürtig, weÿland Martin Quoß deß gewesenen Schuhmachers daselbst sohn prod. Cancelleÿ Pfenningthurn und Stallschein sub 4. Aug. Jüngst und empfangt das Zunfftrecht, halt daran 26 ß 3 s, davon angezogen 3. ß vor dem Zunfftschrb. und büt. rest 23 ß 3 d mangelt 24 ß 3 d so er H Zunfftmeister in 4 wochen Zu Zahlen versprochen.

(f° 223-v) 22. Junÿ 1706 – Erscheint Johann Martin Quooß bitt weilen derselbe sich schon vor 4. Jahren zum Meisterstück einschreiben laßen alß bittet derselbe ihme die gewohnliche Stück Zugeben. Erkant, ist demselben sein petitum willfahrt.

(f° 227-v) 9. Aug: 1706 – Martin Quoß erscheint mit und beneben seinem angeordneten Informatori Meister herrn Andreß Nawert, vnd bittet Ihme Zum vorhabenden Meisterstück den gewohnlichen riß auffzugeben, si No. 1. i. weißmantel, No. 9. i Rauchmantel, No. 28. i frantzösisch officier Kleid, besteht in Rock, Camisol et hoß. vor zweÿ stuck, No 21, i weiberschoben, No 17. i thurnhüther rock
waren und weil er darin bestanden, alß ist er Zum mit meister angenommen worden.

Martin Quos loue une partie de sa maison au tourneur Nicolas Delincourt et à Barbe Kopff

1708 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 545
Martin Qwoß schneider
in gegensein Nicolas Delincour drehers u. Barb: geb. Kopffin
entlehnt, in seinem hauß in der Großen Stadelgass so Er von H. Langhanß erkaufet die mittlere Stueb, d. haußehren, 3 Cammeren davon zwo unten beÿm eingang u. eine auf der bühn den gantzen hoff, Item platz im keller u. eine bühn, auf 3 jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ 1709 – um einen jährlichen Zinß nemlich 35 pfund

Nouveau bail à Nicolas Delincourt et Barbe Kopff

1711 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 535
Martin Quos schneider
in gegensein nicolas Delincours drehers und Barbaræ geb. Kopfin
entlehnt, in seinem hauß allhier in der großen Stadelgas, einseit neben neben H. Ddo Faber, anderseit neben denen Grießischen EE gelegen, die unterste und oberste Stueb im vordern stock, Item dreÿ Cammeren im hoff, Item den gantzen hoff und halben Keller, item zweÿ Cammeren auf der erten bühn und die oberste bühn u. die mittelste bühn und den gang im gemeinen gebrauch, auf ein jahr lang anfangend auf Annunciat. Mariæ 1712 – soll die zweÿte Cammer im hoff oben getäffelt werden -um 204 Liures

Martin Quos loue une partie de sa maison au menuisier Pierre Duperray

1719 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 290
Martin Quowsz tailleur (signé) Qvowß
à Pierre Duperray menusier
bail, sa maison scituée icy in der großen stadelgaß Les commodités suivantes sçauoir en bas un poele deux chambres une portion La cave et la boutique de plus au premier étage un poele et un vestibule et deux chambres au dessus – moyennant un loyer annuel de 140 livres tournois

Martin Quos loue une partie de sa maison au marchand de tabac Louis Vaudoit

1719 (21.7.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 377
Martin Quowsz schneider
in gegensein Louis Vaudoit marchand tabaquier
in seinem hauß in der großen Stadel gaß einseit neben H. Ddo faber eine stueb Kuch zwo bühnen besser unten eine Cammer gegen uber einen gang platz im keller, auff 3 jahr lang anfangend auf Mich. um einen jährlichen Zinß nemlich 20 lb

Martin Quos meurt à Dantzig d’après un courrier que son fils Jean Martin envoie de Kœnigsberg en août 1727. Il délaisse cinq enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 850 livres. L’actif de la succession s’élève à 313 livres, le passif à 86 livres.

1731 (12.4.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 5) f° 89 [haut droit abîmé]
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab [Nahrung und] Güthere, Liegendt und [Fahrender] wie auch schulden und G[egenschulden] davon überahl nichts auß[genommen] noch vorbehalten, so Weÿland der Ehrsahme und Bescheidene Meister Johann Martin Quoß, der geweßene Schneider undt Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem Zufolg Vorgelegten von Joh: Martin Quoßen dem ledigen Schneider und dißorts ältern Sohn und Erben, Sub dato Königsberg den 15.ten Aug: 1727 hiehero abgelaßenen missivi, zu Dantzig genommenen tödlichen Hientritt, hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geschehenes dienst freundliches Ansuchen, erfordern undt begehren (der Kinder und Erben inventirt) durch fraw Annam Catharinam [Quoß]in gebohrne Geringin die hinterbliebene wittib beÿständlich H. Joh: Friderich Butzen, deß Mahlers und burgers Zu Straßburg (…) geäiget und gezeiget – Beschehen Straßburg Donnerstags den 12.ten deß Monats Aprilis Anno 1731.
Der Verstorbene hat ab [intestato] Zu Erben verlaßen wie [folgt] 1. Johann Martin den [Schneider] in der frembde such befindet, so ohngefähr 27 Jahr alt, 2. Catharinam so [-] Jahr alt, so [-], 3. Fr: Marg: Barb. Falckin [gebohrne] Quoßin, so verheurathet [mit H.] Joh: Friderich Conrad Falcken [dem Seiffen]sied. und Burger alhier beÿständlich Erstgedacht Ihrem Ehemann gegenwärtig war, 4. Jgfr. Mariam Salomeam, so 19 Jahr alt und verlobet mit Joh: Simon Metzen, dem Ledig. Schuhmachern und burgern allhier und nebst Ihme Zugegen, So dann 5. Joh: Friderich welcher in das 16.ten Jahr seines alters gehet und das Schiffer Handwerck ergreiffen solle, In welcher 4. Lediger Kinder Nahmen aber, der Ehrs: und bescheidene Mr Tobias Reinhardt der schneider und burger Zu Straßburg alß deroselben Zufolg Vorgelegten Curaturÿ (…) geordnet und geschworener Vogt der Inventur Persönlich abgewartet, Aller fünff aber deß seelig verstorbenen mit Eingangs gemeldter wittib ehelich erziehlte Kinder ab intestato Zu gleichen portionen und Antheilen verlaßene rechtmäsig Erben
Copia der Eheberedung (…) pro notâ, ist vor Hn Not: Schatzen seel. auffgerichtet, von mit in A° 1631. protocollirt und expedirt

In einer allhier Zu Straßb. ahne der großen Stadelgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft Gehörigen Behaußung alß volget befunden
Bericht Zu gegenwärtiger [Inventur ge]hörig. Obzwar wohlen in denen Ehe[pactis] und deren §.pho 4.to expresse [bedungen] und verglichen worden, w[ie daß] beederseiths in die Ehe [bringende] undt darinnen ererbt [ein ohn]veränder guth seÿn und [zu solchem] Ende dann auch baldt nach Vollz[iehung der] Hochzeit die Illata inventirt und beschrieben werden sollen, Mich desto weniger hatt die wittib an die gegebene Handtrew die Nachricht erstattet daß in ansehung beeder seiths nichts alß Ihre Kleÿder in Ehestand gebracht worden, So wäre weder ein Inventarium auffgerichtet noch auch wehrender Ehe etwas ererbet worden
Eigenthumb ahne einer Behaußung. Eine Behausung, Hoff, Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten so gelegen allhier ahne der Großen Stadelgaßen 1. Seith lb S. T. Herrn Ammeister Geÿer, 2. seith neben Joh: Jacob Jung, dem weißbeckhen hinden auff die Koobische Erben stoßend, davon gehen Jährlich 1 lb 2 ß 4 d dem Closter St. Magd. und Agnessen und 1. lb d dem Gürtler Hoff allhier So ist auch solch Hauß der Fabric deß Münsters vor 500. lb à 4 pro Cento Jährl. Term. Mich. und dann Hn Joh: Langhannßen, Schaffnern deß frauen haußes vor 100 lb d auch à 4 p Ct° Term: Mich. verz: Cap. verhafftet sonst geg. Männiglich freÿ ledig und eygen Undt Von denen Hh Werckmeistern deß Müsters: Zimmer: und Mauer Hoffs, vermög deß Zu mein Notarÿ Concepti gelüfferten d. 11. Aprilis 1731. datierten Abschatzung schein æstimirt und angeschlagen für und umb 1700 Gulden od. 850. lb. Davon gehen all vorderisten ab die auff dem hauß hafftende 2. ohnablößige Capitalien so zu doppeltem Cap: gerechnet machen *blich 84. lb 13 ß 4 d. Ferner die auff solchem Hauß in 2.en Posten weiter hafftende 600 lb d alßo daß von dem Anschlag deß Haußes ab zu ziehen 684. lb 13 ß 4 d. Detrahendo restiren ahne dem Hauß Anschlag annoch in Außw. Zu bring. mit 165. lb. Über dieße Behaußung aber meldet ein teutscher Perg. Kauffbr. in allhießiger C. C. Stuben gefertiget und mit dero anhangenden Insiegel verwahret deßen datum ist d. 11. Sept A° 1708. so dermahlen mit Lit. A notiret word. Ferner j. P. Ganth Kauffbr. mit E. E. Kl. R. Ins. verwahrt De Dato 16. Apr: 1708. mit Lit. A. marquiret. Weiter zweÿ teutsche Pergam. Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stub gefertiget und mit deroselben anhangenden Innsiegel Verwahrt deßen datum ist d. 19.t Jan: 1708., so gleich fallß mit Lit A. notiret Noch ferner i. frantzösischer Pergam. Kauffbrieff in allhießiger C.C stub gefertiget und mit deroselben anhangendten Innsiegel Verwahrt de dato d. 17. Sept. 1706. und auch mit Lit. A. bemerckt.
Norma hujus inventarii, Sa. Haußraths 45, Sa. Silbers 10 ß, Sa. baarschafft 17, Sa. Eÿgenthumb ahne einer behaußung 165, Sa. Activorum 84, Summa summarum 313 – Schulden (86) – Stall Summ 227 lb
Abschatzung dem 11. Aprill 1731. Auff begehren deß Meisters Martin quosen geweßenen schneiters hinter Laßene wittib und Erben ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der großen Stattel gaßen gelegen ein seit Neben herrn Ameister Geeiger anderseit Neben Johann jackob Jung, hinten aff die Cobischen Erben Stoßendt welche behaußung Stuben, Cammern, Soldaten Kammer einen alten Gang wor under Cammern ein sehr alt hinter gebäu worinn ein Stublein und Kammern Küchell holtz Hauß hoff und bronnen getrembter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschworne werckleuthen sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird vor und umb Ein Tausent und Sieben hundert Gulten. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 300 florins
1731, Livres de la Taille (VII 1177) f° 71-v
Schneider A., N. 5368 – Weÿl. Martin Quoß gewesenen Schneiders und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Philipp Jacob Marbach.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 48.b, 277. 3. 6. Abgezogen die außständige activa fol. 37, 84. 12. 6, rest 142. lb 11 ß
Die machen beÿ 300 fl. Verstallte allein 100 fl. alßo Zu Wenig 200 fl.
Nachtrag Acht Jahr in duplo à 12 ß – 4 lb 16 ß
und Sechs Jahr in simplo à 6 ß – 1 lb 16 ß
Ext. Stallgeltt pro 1731 – 12 ß
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung 7 ß 6 d, – Summa 7 lb 13 ß 10 d
Extantzen 1725 incl. 1 lb 5 ß 4 s
dt. 18° Aprilis 1731, 3 lb 10 ß
dt. 9° Jan. 1732, 1 lb 10 ß
dt. 7° Febr. per rest, 3 lb 19 ß 2 d, zusammen 8. lb 19 ß 2 d

La tribu des Tailleurs propose plusieurs tuteurs pour les enfants de Martin Quos
1731, Protocole de la tribu de Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 322) Sambstags den 3. febr. 1731 – H Zunfftmeister Johann Andreas Schaaf proponieret wie daß Weÿl. Martin Quoßen burgers und schneiders alhie nachgelaßene Zweÿ Jüngste Kinder eines vogts benöthget wäre, und weilen selbige Kinder damit andere ahnverwanthe haben, alß die theils weder schreiben noch lesen können, theils bresthafft und von hohen Jahren mithin Zuer vogteÿ untauglich seind, als bittet er man wolle auß den Mittlen dießer Zunfft dreÿ Meister geschrieben geben, damit einer darauß Zue dießer vogteÿ möchte nominirt, um gehöriger orthen ad confirmandum gegeben werden, darauff mann auß dem Zunfftbüchlein nachfolgende 3. Persohen auß erleßen, und Zue dem Ende geschrieben geben haben will.
Johann Christoph Walckh, Johannes Sontag, Tobias Reinhard

L’inventaire précédent est révisé apràs la mort de la veuve Anne Catherine Gering en avril 1731. Il comprend un état des loyers.

1732 (13.2.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 6) n° 89 [numéro restitué, coin haut droit abîmé par l’humidité]
Zuwißen seÿe hiermit daß [Weÿland] Anna Cathar: Quoßin geb. [Göringin] Mr. Martin quoßen deß g[eweßenen] Schneiders und burgers zu Straß[burg] geweßene eheliche Haußfrau, de[n 7. Decembris] 1731 dießes Zeitliche mit dem ew[igen ver]wechßelt und dann hießige Löbl[l. -]nungen erforderen und Wollen [-] Verlaßenschafft gebührendt ersu[chet] inventiret werden Nichts deßwe[gen] aber, seind wie die Erbß Interess[enten] berichteten, dießelbe in ansehung [der] Verstorbenen fr. seel. geweßenen Ehe[mann] obgedacht. Verlaßenscha[fft] erst den 12. Apr: zurückgelegten 1731. Jahrs inventiret und darüber sothane Verlassenschafft durch mich unterschriebenen Notarium verfertigte Inventarium de 7. febr. 1732 auff löblicher Stadt Stall abgehandelt worden, von auffrichtung eines anderwärtigen Inventarij über dieß Verlaßenschafft entlaßen, sofort nach deme gemeldte Verlaßenschafft auß oballegirtem der Erben Vätterl. Verlaßenschafft Invent: revidiret durch H. Joh. Lucam Schaaff den geschwornen Inventir Käuffler dem vero pretio æstimirt und dann hierauff (…) vertheilt worden. So beschehen Straßburg den 13. gebr. 1732
Denominatio haeredum, 1.mo Johann Martin Quoßen den Ledigen in die frembde sich befindlich. Schneid., 2.do Jgfr. Catharina so ohngefähr 26 Jahr alt, 3. Fr. Margaretham Barb. Falckhin geb. Quoßin Joh. Heinrich Conrad Falckhen deß Seiffensieders und von hier verwießenen burgers Ehefr. in deren Nahmen Meister Joh. Georg Roggenbach der Schneider und burger Zu Straßburg als deroselben (…) Curator, dießer Inventation in Persohn beÿgewohnet, 4.to fr. Mariam Salome Würtzin [corrigé en : Mötzen] gebohrene Quoßin Johann Simon Würtz [corrigé en : Mötzen] deß Schuemachers und burgers allhier eheliche hausfrau, welche mit beÿstand gemeldten ihres Mariti bey der Inventation Zugegen gewesen, So dann 5.to Johann Friedrich Quoßen, so ohngefähr 17 Jahr alt undt das Schiffer Handwerck erlernen solle, In welcher 3. ledigen Nahmen aber der Ehrs. und bescheidene Mr. Johann Tobias Reinhardt der schneider und burger Zu Straßburg, alß deroselben geordnet und geschworener Vogt hiebeÿ Zugegen waren, und deroselben Interesse observirt, Aller 5. der Verstorbenen mit weÿl. Joh. Martin Quoßen, geweßenen Schneider und burger Zu Straßb. längst seel. ehelich erzieht Kinder und zu gleichlingen Portionen und Antheilern ab intestato verlaßener rechtmäsige Erben, Und weilen Joh. Martin der diesorts älteste sohn und Erb, schon Lange zeit in der Frembde sich befindet und man nicht weiß, ob Er annoch im Leben oder nicht oder [-]thig verheurathet (…) Als ist (zum Curatore ver)ordnet worden der Ehren und vorachtbahr Herr Johann E.E. Kleinen Rathß dermahlig[en wohl]verdienter beÿsitzern

Vertheilung sothaner Verlaßenschafft welche sich befunden in der Sterbbehaußung wie volget
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Im Hoff, In der Soldaten Cammer
Pierre Duperé der Verstorbene Schreiner im Hauß solle ahne Haußzinnß wie volget, Von Annunc: Mariæ biß wieder dahin 1733 vor j. Jahr Nemblichen 40 fl.
T*ullion de Schreiner [corigé en : N. der gürtler im Hauß] solle pro Joh. Bapt: 1733 vor einer Kammer 5 fl.
Sr Laver der färber im Hauß solle von vord. Mittl. thun von Mich: 1732 biß Anna Maria 1733 14 fl.
Item Er Laver solle weither ahne hß Z. von fr. tag 1733 vor ¼.tel Jahr 7 fl.
Johannes Weber d. Pergam. solle Haußzinß von fr. tag 1732 biß wied. dahin 1733 19 fl.
Item soll ferner von Fr. tag 1733 biß Joh. Bapt: 1733 vor ¼ Jahr hauß Z. 4 fl.
N. eine Wäscherin im Hauß solle von dem hind. m* deren thun vom 29. aug. 1732 biß Sti Joh. Bapt: 1733 Mithin vor 10. Monat ahne hauß Zinnß 15 fl.
Es ist zwar auch N. eine Leisterschneid. vor hauß Z. 6 fl. schuldig geweß. weilen aber Cathar: Marg. der Tochter erstattetem bericht nach 4 fl. zu bezahlung der Mutter Leich gewendet
– Summarische Berechnung respective Abrechnung Über Weÿland Fraun Annæ Cath[arinæ] geb. Göringin weÿl. [hrn.] Johann Martin Quoßen geweßenen S[chnei]ders Wittib Verlaßenschafft – Hier zu ist ferner zu Legen so dießelbe wegen gemeiner Massæ ane haußzinß Eingenommen theils aber Ihro einzunehmen assigniret worden, alß von Louis Vaudois dem Thabackhändler im Hauß Empfienge 7 lb
It. empfienge dießelbe von Duperé d. Schreiner ahne hauß Zinß von fr. Tag 1732 biß wieder dahin 1733, 37 fl.
Item übernimbt dießelbe ahne Haußzinnß von Kuhn dem gürtler im Hauß biß Sti. Joh. Bapt: 1733 vor ¼ ten Jahr fl. solle pro Joh. Bapt: 1733 vor einer Kammer 5 fl.
It. weither hat dießelbe von Lafer dem färber im Hauß von Mich: 1732 biß Sti. Joh. Bapt: 1733 für hauß Zinnß 21 fl.
It. von Joh. Weber d. Pergam. im Hauß hat Sie von fr. tag 1732 biß Sti Joh. Bapt: 1733 mithin vor 5 frl. Jahr ahne Hauß Zinnß 23 fl.
Item von einer Wäscherin im Hauß hat dießelbe vom 29. aug. 1732 biß Sti Joh. Bapt: 1733 ahne hauß Zinnß empfangen 13 fl.

Catherine Marguerite Quos rachète les parts de ses frères et sœurs et devient seule propriétaire de la maison

1733 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 293
weÿl. Martin Quooß gewesten Schneiders mit auch weÿl. Catharina geb. Göringin erzeugt und hinterlassenen Kinder und Erben Johann Martin Quooß der Schneider, Ferner Margaretha Barbara geb. Quooßin weÿl. Heinrich Conrad Falck gewesenen Seiffensieders wittib beÿständlich ihres Curatoris hannß Georg Roggenbach des Schneiders, weither Abraham Weber der Sippmacher als vogt weÿl. Maria Salome geb. Quooßin mit dem hinterlassenen wittiber Johann Simon Metz dem Schuemacher einigen Kindts Johann Simon Metz erzeugt, so dann Johann Tobias Reinhard der Schneider als vogt Johann Friedrich Quoß des Schneiders Lehrjungen
ihrer resp. schwester und Metzigen Kindts Mutter schwester als iher Miterbin ahne elterlichen verlaßenschafft Jfr Catharinæ Margarethæ Quooßin beÿständlich ihres Curatoris erstgenannten Reinhard mit fernerer assistentz Johannes Weber des Pergameners, als letzt und meistbietenden
vier 5.te theil für ohnvertheilt ane einer Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ahne der großen Stadelgaß, einseit neben ST. H. Frantz Joseph Geiger Regierenden H. Ammeister, anderseit neben Jung dem weißbecken, hinten auff weÿl. N. Kopp des Knopffmachers Erben ; von sothanem gantzen hauß dem Closter zu St Margaretha 1 lb 2 ß 4 d und dem Gürttlerhoff oder denen H. Præbendarÿs hießigen hohen Chors 1 lb – um 500 und 100 pfund capitalien, auff den fueß des steigschillings von 900 lb

Catherine Marguerite Quos hypothèque un mois plus tard la maison au profit du menuisier Henri Bernard Vader

1733 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 352-v
Catharina Margaretha Quooßin so mehrjährig zu sein versicherte beÿständlich ihres Curatoris Johann Tobias Reinhard
in gegensein Heinrich Bernhard Vaders des Schreiners – 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß hoff Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der großen Stadel: gaß, einseit neben S.T. H. Frantz Joseph Geiger Regirendem Ammeister, anderseit neben Jung dem Weißbecken hinten auff weÿl. H. Kopp des Knopff machers erben – dem Closter zu St Margarethæ 1 lb 2 ß 4 und deren herren Præbendarÿs des hohen Chors 1 lb

Catherine Marguerite Quos loue une partie de sa maison au menuisier Pierre Schreiner (qui en deviendra propriétaire)

1734 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 25-v
Jfr. Catharina Margaretha Quoßin so mehrjährig und ohnbevögtigt beÿständlich ihres bruders Johann Martin Quoß des schneiders [unterzeichnet] catharina margaretha quowßin
in gegensein Philipp Schreiner des schreiners
entlehnt, In einer ihr der verlehnerin eigenthümlich zuständig alhier in dem großen Stadelgaß, einseit neben S.T. H. Ammeister Frantz Joseph Geiger anderseit neben Jung dem weißbecken gelegenen behausung Unden auff dem boden Eine stub, Kuchen und Laden, eine Kammer, einen unterschlagenen Keller und platz zum holtz unter dem Schopff wie auch platz im hoff umb dielen zu legen, Ferner dreÿ stiegen hoch auff der Bühn, eine Kammer und den gemeinschaftlichen gebrauch der Bühn umb die wasch dahin zu hencken – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 gulden

Catherine Marguerite Quos meurt en 1748 dans sa maison place des Cordeliers après avoir institué pour héritiers les enfants de son frère Jean Frédéric Quos. L’actif de la succession s’élève à 429 livres, le passif à 272 livres.
1748 (21.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 248) f° 346
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, bewäg: und unbewäglich, keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Ehren und tugendsame Jungfrau Catharina Margaretha Quoßin, die ledige burgerin allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach ihren den 4.t Martÿ Anno 1748. aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehrenvesten und Großachtbaren herrn Johann Philipp Gottsmanns des wohlverordneten Schaffners verschiedener Hochansehnlicher familien und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts weÿl. des Ehrengeachten Mr Johann Friedrich Quoßen des gewesenen Schneiders und burgers allhier seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugt und nach tod Verlaßenen töchterleins Mariæ und des Zu hoffenden Posthumi, derer von der verstorbenen per testamentum eingesetzter Erben fleißig inventirt und ersucht, durch die tugendsame frau Mariam Magdalenam gebohrne Bögnerin sein Mr Quoßen hinderbliebener Wittib (…) geäugt und gezeigt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 21. Martÿ A° 1748.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer platz an der Kleinen Stadelgaß gelegen in dieße succession Zugehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 34, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 425, Summa summarum 429 lb – Schulden 272 lb, Verbleibt 186 lb – Stall summ 186 lb
Legata

Catherine Marguerite Quos vend la maison pour 1 350 livres au menuisier Philippe Schreiner : vente provisoire devant notaire et acte définitif à la Chambre des Contrats. La venderesse se réserve un droit d’habitation dans la maison arrière.

1737 (16.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 60) f° 136
Kauff, 16. apr. 1737 – Erschienen Vor mir Notario Jgfr. Catharina Margaretha Quosin weÿl. Martin Quos gewesenen Schneiders und burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter, welche freÿ offentlich bekanndt, daß Sie Vor sich und ihre Erben ane zu gegenstehendem
Meister Philipp Schreiner, den Schreiner und burgern allhier eines auffrecht, redlichen und unwiderrufflichen Haußes Verkauff und zu kauffen geben
eine vorder und hinderhauß hoffstatt und andere zugehörden in allhiesiger Statt ane der grosen Stadelgaß einseit neben Hrn Ammeister Geiger, anderseit neben (-) Jungen des Weißbecken wittib und Erben gelegen hinden auff (-) Koppen des Knöpffmachers wittib und Erben auch hrn Johann Baptista Huber den Mahler stoßend, davon man Jährlichen dem Kloster St. Margarethen Zweÿ Gulden Zweÿen Schilling und Vier Pfenning und dem Gürtlerhoff Zween Gulden Zinß Zu heben schuldig, sonsten aber außer die darauff hafftende Capitalia freÿ ledig und eigen seÿe, und seÿe diser Kauff und Verkauff zugangen und beschehen vor und um 2700 Gulden
Über das hat der Käufer alle unkosten Zuleiden, auch eine Cammer unden im hoff in dem Nebens gebau verfertigen und täfflen Zulaßen, sofort die Verkäufferin in solcher Cammer lebens lang ohne Zinnß wohnen Zu laßen versprochen (…)

1737 (29.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 295
Catharina Margaretha Quooßin ledigen standts und unbevögtigt zu sein versichert mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Quooß des schneiders
in gegensein Philipp Schreiner des schreiners und Susannæ Mariæ gebohrner Zicklerin
Eine Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der großen stadelgaß, einseit neben S.T. H. Frantz Joseph Geiger alten Ammeister und dreÿzehner anderseit neben weÿl. Jacob Jung des weißbecken wittib und erben hinten auff theils auff H. Johann Baptist Hubert den Mahler theils weÿl. Johann Philipp Kopp des knopffmachers wittib und Erben – dem Closter zu St Margarethæ 1 lb 2 ß 4 d, in dem gürttlerhof oder denen H. Præbendarÿs hiesigen hohen Chors 1 lb beedes ahne bodenzinß – als ein am 26. Junÿ 1733 zu fünff 6. theil erkaufft und zum übrigen 6.t theil von ihren eltern ererbtes guth – (um 700 pfund verhafftet, geschehen um 650 pfund
und sie berechtigt sein In dem hindern hauß zweÿ stiegen hoch die dasige gantze wohnung und die darüber befindliche oberste bühn lebenslang umb einen jährlichen zinß von 10 gulden lehnungsweiße / die verkäuferin ist befuegt sich der ersten bühn über ihr wohnung zum gemeinsamen waschhencken zu bedienen

Philippe Schreiner et sa femme Marie Susanne Zickler hypothèquent un mois plus tard la maison au profit du cordonnier Melchior des Bordes

1737 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 342
Philipp Schreiner der schreinner und Maria Susanna geb. Zicklerin mit beÿstand ihres erstern ehemanns seel. H. bruders Johann Michael Ott des musici und ihres vettern Johann Dietrich Herrmann des Glaßers
in gegensein Melchior des Bordes des Schuemachers ihres schwagers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ahne der großen Stadelgass einseit neben S.T. H. Ammeister Frantz Joseph Geiger, anderseit neben weÿl. Jacob Jung des weißbecken wittib und erben hinten theils auff H. Johann Baptist Huber den Mahler theils weÿl. Johann Philipp Kopp des knopffmachers wittib und erben – davon gibt man dem Closter zu St Margaretha 1 lb 2 ß und denen H. Præbendarÿs des hohens Chors 1 lb beedes ane bodenzinß – (um 500, 100, 100 und 600 pfund verhafftet) – als ein am 29. Aprilis jüngst erkaufftes guth

Fille du maçon Jean Zicklern Susanne Zickler épouse en 1719 Jean Ott, musicien à la cathédrale : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten herrn Johann Otten ledigen Musico und burgern allhier als bräutigam ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfer Susannæ weÿl. Meister Johann Zicklers geweßenen Maurers und burgers allhier nachgelaßener ehelichen tochter alß hochzeiterin am andern theÿl
Straßburg den 19. Decembris Anno 1718. Christoph Michael Hoffmann Notarius

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 53)
Hodie 6. 8.bris 1719 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Adolescens Joannes Oth musicus cathedralis Ecclesiæ parochianus noster, et pudica virgo maria Susana Zicklerin ex parochia Sancti petri senioris (signé) Johannes Ott, + signum sponsæ (i 29)

Marie Susanne Zickler se remarie en 1733 avec Philippe Schreiner, fils du tourneur Bernard Schreiner de Sarreguemines : contrat de mariage, célébration

1733 (24. 8.bris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 719
Eheberedung – Zwischen dem Ehrsahm und Bescheidenen Philipp Schreinern, Leedigen Schreiner, Von Saargemünd gebürtig, weÿland Bernhard Schreiners gewesenen trehers vnd burgers allda, Ehelich erzeugtem nachgelaßenem Sohn, als dem Bräutigamb ane Einem,
So dann fraun Mariæ Susannæ Ottin gebohrne Zignerin weÿl. H. Johannes Otten geweßenen Musici vnd Burgers allhier nachgelaßener Wittib als der hochzeiterin am andern theil, beÿständl. Mstr. Anthoni Erard schreiners vnd burgers allhier Ihres geschwornen Vogts, auf seithen deroselben
Vnd seind dieße ding beschehen vnd Zugangen Straßburg Sambstags den 24.° 8.brris A° 1733
[unterzeichnet] Philip schreiner, + der hochzeiterin handz. Antoine Erhard Comme tuteur et baux Frére

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 285)
Hodie die 27 mensis octobris anni 1733 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Philippus Schreiner oriundus Sargimundia diœcesis Metensis et Maria Susanna Ziglerin vidua defuncto Joannis Ott civis ac Musici (signé) philip schreiner, sponsa Maria susanna Ziglerin signum + eius (i 148)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qu’ils louent Petite rue de la Grange. Ceux du mari s’élèvent à 33 livres, ceux de la femme à 191 livres.
1733 (14. 9.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 22) n° 833 (789)
Inventarium und Beschreibung allerderjenigen Haab und Nahrung so der Ehrsame und bescheidene Philipp Schreiner, Schreiner und fr. Sußanna Maria gebohrne Sidlerin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht und sich deren jeedes Vermög ihrer mit einander auffgerichteten Ehevogt vor ohnverändert vorbahalten (…) Actum Straßburg Sambstags d. 14.ten 9.bris 1733.
In einer allhier zu Straßburg ane der Kleinen Stadelgaß gelegenen von beeden Eheleuthen lehnungsweiß bewohneten behausung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns Nahrung, Sa. Kleÿdung und weißen gezeugs 30, Sa. Silbers 2, Summa summarum 33 lb
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußraths 124, Sa. Silbers 10, Sa. goldener Ring 6, Sa. der baarschafft 50, Summa summarum 191 lb

Philippe Schreiner devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 1003
Philipp schreiner d schreiner Von Sargemünth geb. erhalt d. br. Von seiner ehefr. Susanna Maria weÿl. Johann otten Musicanten alhie Hint. Wtb. umb d. alt. bs. will beÿ E E Zunft der Zimmermuth dienen. Jur. 4.t 9.b 1733.

Philippe Schreiner devient tributaire chez les Charpentiers le 4 novembre 1733
1733, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 178-v) Dienstags den 5. Decembris 1733 – Catholischer Neuz.
Philipp Schreiner, der Schreiner Von Saargemünden prod. Cantzleÿ Stall und Burger Schein Vom 4. 9.bris 1733 bitt ihme das Zunfftrecht angedeÿhen Zulaßen. Erkand, willfarth. dt. 3. lb d.

Le menuisier français Philippe Schreiner obtient des Quinze une dispense pour pouvoir présenter pour chef d’œuvre un meuble facile à vendre. Les menuisiers français devront soumettre aux Quinze un projet pour modifier le chef d’œuvre à présenter
1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
Philipp Schreiner Ca. E E. Meisterschafft der frantzösischen Schreiner
(p. 185) Sambt. den 3. 8.bris – St. nôe Philipp Schreiner Von Sargemündt gebürtig Ca. der frz. schreiner Obst. pplis. ist laut mitkom. Hws bescheids ahn Mgh. gewießen, b. dep. beÿ welcher der ged. Obstr. Zu erschein haben et f. rel. dispensando gn. Zu erlauben w. implorant einen mstr stück Kasten der Verkäufflicher ist, als die bißherige, Verfertigten dörffe. Erk. Obhwks Hh und soll d. Obstr. auch gehört werd.(p. 188) Mont. 5. 8.br – Iid. Hw. [Obere Handwerck Herren] rec. und prod. Vom 3. hujus in s. Philipp Schreiners Ca. die frz. schreiner
Ille gehört, hat petita widerhohlt, nôe der Mst. Zu gegen Honnoré Gagné und Antoine Erhard welche in beeden puncten consentirt. H. Dep. sollen die meistere ein proiect zu einem neuen Mstck auffzusetzen, undt solches MGhh. Zur confirmation Vor Zu legen, angewießen sein, welches Wans approbirt und confirmirt sein wird implorant nachgehendts zu machen ihres ledig sein solle. Erk. in plenum

(p. 343) Sambstag den 24. Octobris 1733 – Iid. [Obere Handwerck Herren] referiren Philipp Schreiner lediger schreiner Von Saargemündt gebürtig habe Ca. E. E. Hwk. der frz. schreiner einen Hwks bescheidt prod. Bittete imb Dep. et f. rel. dispensando gn. Zu erlauben, daß er einen meisterstück Kasten, der Verkäufflicher ist, als die bißherige, Verfertigten dörffe.
B. habe er sein petita widerhohlt, nôe der fr. schreiner haben Honnoré Gagné undt Antoine Erhard in deß imploranten petitum consentirt. die H. Dep. davorgehalten, die Imploranten Weren Vordersambst dahier anzuweisen sein, daß die ein project Zu einem neuen Mstck auffzusetzen, undt solches MG Herren. Zur confirmation Vor Zu legen solten, welches es nachgehends approbirt und confirmirt sein wird der Implorant als ein meisterstück Zumachen schuldig sein solle.

(p. 190) Sambst. den 24. 8.bris – Obere Handwerck Herren referiren in sachen Philipp Schreiners Ca. E. E. Hwk. der frantzös. schreiner. Erk. Bedacht gefolgt

Philippe Schreiner meurt en 1742 après avoir nommé pour héritiers ceux que sa veuve délaissera à sa mort. Les experts estiment la maison 700 livres. La masse propre à la veuve est de 122 livres, celle des héritiers de 3 livres. L’actif de la communauté s’élève à 780 livres et le passif à 1 579 livres.

1742 (23.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 44) n° 1277 (1233)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der Ehrengeachte und bescheidene Meister Philipp Schreiner, gewesene schreiner und burger allhier Zue Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 29.ten Aprilis Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Tugendsahmen frawen Mariæ Susannæ gebohrner Ziglerin der hinterbliebenen wittib, welche, weilen der Abgeleibte seel. Ihre Künfftig Verlaßende Erben auch Vor seine Erben per Testamentum declariret und eingesetzt, dieselbe mittlerer Zeit repræsentirt, fleißig inventirt, undersucht durch dieselbe mit beÿstand H. Johann Michael Otten Musici und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstands (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs den 23.ten Maÿ 1742.
Copia der Eheberedung
Copia des Von dem Verstorbenen seelig den 25. Martÿ 1742. Vor Notario und Gezeugen errichteten Testamenti nuncupativi

In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Stadel gaß gelegenen und Eÿgenthümblich hiehero gehörigen behaußung befunden wie volgt
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. (T.) Nemlich eine Behaußung Hoff und Hoffstatt sampy allen deren gebeüen, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zue Straßburg in der großen Stadel gaß, eins. neben Ihro gnaden herrn Ammeister Geÿer anders. neben Hannß Jacob Jungen seel. wb. modo N. N. dem weißbecken Ehevögtlicher weiß, hinten auf ein gräbel stoßend gelegen, davon gibt man Jährlichen dem Gürtler hoff hohen Chors hoher Stifft Straßburg auf Weÿhenachten Verfällig 1. lb d Thur Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb Und dem Stifft S Margarethen und Agneßen allhier auch Jahrs auf Weÿhenachten verfällig ane boden Zinß 1. lb 2 ß 4 d.trifft auch ane doppeltem Capital ane 44 lb 13 ß 4 d. Sonsten und über die hernach unter den passivis enthaltene Capitalien gegen Jeder männiglichen freÿ ledig und Eigen und ist solche behaußung durch (die Werckmeistere) Vermög einer Zu mein des Notarÿ Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung dedato 19. Junÿ 1742. æstimirt worden pro 700. lb. Abgezogen obige Beschwerden der 84. lb 3 ß 4. d, So verbelibt außzuwerffen im rest 615. 6. 8. Darüber Besagt ein in allhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter Pergamentener Kauffbrieff dedato 29. Aprilis 1737. mit deen anhangendem Kleinern Insiegel verwahrt Innhaltend wie die nun Zertrerennte bede Eheleuth solche behausung Von Jgfr. Catharina Margaretha Quooßin erkaufft haben.
Ergäntzung der Wittib abgegangen Unveränderten guths, Nach besag Inventarium illatorum de anno 1733.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 12, Sa. Schuld 10, Sa. Ergäntzung (102, Abzug 1, rest) 100, Summa summarum 122 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. der Kleÿdung und weißen gezeugs 12, Sa. Silbers 4 ß, Sa. Ergäntzung (1, abzug 13 ß, restiren) 1, Summa summarum 13 lb – Schuld 10, Nach deren Abgang 3
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 25, Sa. Holtz und Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 32, Sa. Silbers 12 ß, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 615 lb, Sa. der Schulden 105 lb, Summa summarum 780 lb – Schulden 1579 lb, Theilbar passiv onus 799 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 673 lb
Abschatzung den 19. Junÿ 1743. Auff begehren Weilland deß Wohll achtbahren und bescheiten Meister Philip schreiner see. hinderlaßenen Fraw wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der großen Stattell gaßen gelegen ein seiths Neben Herrn meister Gaÿger, anderseiths Neben hannß Jackob Jungen seel. wittib, hindt auff getachten herrn ameister Stoßend, welche behausung unden ein gangß rechter handt die schreiner werckstatt ein schmalles hauß Ehren gertämter Keller der hoff und bronnen oben ihm ersten und Zweÿten Stock ein stuben und hauß Ehren darinn der herdt, daß seiten gebau Lincker handt so unden die bauch Kuche, Neben daran die soldaten Cammer, oben darüber Zweÿ Cammern wor auff ein halbes Tach daß hinderhauß so und. das holtz hauß oben ein Stuben, hauß Ehren Zweÿ heltzer gäng, ein alter baufeliger tach stull sampt aller gerechtigkeit, wie solches turch der Statt Straßburg geschworen Werckmeistere sich befundten und Jetzigen Preÿß nach Angeschlagen wirdt Vor und Umb 1400 Gulden. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Copia Testamenti nuncupativi – 1742 (…) auf Sonntag den 25. Martÿ Abends Zwischen sechs und Sieben Uhren beÿ Zweÿ hellbrennnenden liechtern, der Ehrengeachte und bescheidene Meister Johann Philipp Schreiner, schreiner und burger allhier Zue Straßburg mich (…) zu sich in seine ane der Großen Stadel gaß allhier gelegene behaußung hatt beruffen und Kommen laßen, welchen wir auf Unßer erscheinen, in dero gewohnlichen Wohnstuben mit den fenstern auf die gedachte gaß außsehende, auf einem bette kranckh und schwachen leibs, Jedoch aber von der gnade Gottes perfectes guter, richtiger sinnen, vernunfft und verstand (…)
Copia der Eheberedung (…)

Sébastien Andris s’adresse aux Quinze après que le corps des menuisiers français a refusé de l’inscrire aux années d’épreuve. Natif de Fribourg en Brisgau, il expose qu’il est menuisier depuis treize ans dont quatre passés chez un menuisier de Paris et qu’il travaille depuis dix mois à Strasbourg chez Louis Le Cat. Il demande en outre que ses années d’épreuve durent deux ans au lieu des quatre réglementaires. Les menuisiers estiment que la dispense peut être accordée puisque le pétitionnaire originaire d’Allemagne connaît suffisamment le français. Les Quinze accordent la dispense.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
Sebastian Andres Ca. E.E. Handwerck der Schreiner pt° Muthjahrs
(p. 156) Sambstags d. 4. Martÿ 1741 – Moss. nôe Sebastian Andres ledigen Schreiner von Freÿburg im Breißgaw Cit. E. E. Mstrß. der Schreiner Ober M. prod. Appel. Schrifft mit beÿlag lit. A. Fuchß bitt Cop. und Deput. Moss laßt beedes Zu Erk. vnd Cop. und Deput. Zugelaßen

(p. 183) Sambstags d. 11. Martÿ 1741 – Sebastian Andres Ca. der Frantz. Schreiner
Iidem [Obere handwerck herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium] Referiren, daß Sebastian Andres der ledige Schreiner von Freÿburg im Breißgaw gebürtig contra E. E. handwerckh der Frantz. Schreiner Ober Meister den 4. hujus eine Underthg. Appellations Schrifft sambt beÿlag sub lit. A. producirt, darinnen derselbe gehorsambst Vorstellet, es erhelle aus ges. beÿlag /:so ein Extract aus ged. handwercks der Frantz. Schreiner protocoll vom 10 huj.) Welcher gestalten er umb in die Muthjahr eingeschrieben Zu werden geziemend gebetten, aber abgewiesen worden, Nun seÿe er bereiths 13. Jahr beÿ dem handwerckh, wehrender welcher Zeit derselbe 4. Jahr Zu Paris beÿ einem Meister gearbeitet, und seith seiner Zurück Kunfft seÿe er beÿ Louis Le Cas 10. Monath in arbeit gestanden, Seÿe alßo seiner demüthige bitt Mghh. geruhen wolten dispensando Zu erkennen, und außzusprechen, daß Er Implorant in die Muthjahr eingeschrieben werden möge. Ged. L. Meisterschafft habe umb Cop. und Deput. angeruffen, welche auch willfahrt, und beseßen worden, da der Implorant petitum Wiederhohlet, mit dem beÿsatz, daß er nur auff Zweÿ Jahr ane statt der 4 Jahr eingeschrieben werden möchte. Nahmens der Meisterschafft seÿen die in Voriger Sach benambste Zweÿ Meister Vorgestanden [Johann Wolffgang Gleitz Ober Meister und Philipp Schreiner], Welche geantwortet, Sie hatten den Gegner darumb abgewiesen, weilen Er ein teutscher seÿe, jndeme aber derselbe lang Zu Paris und auch schon hier beÿ Ihnen Imploranten gerbeitet, anbeÿ der Frantz. Sprach Kundig seÿe, alß stehe die dispensation Zu Mghh. Sie an Ihren Orth hatten nicht dispensiren Können.
Beÿ diesen Umbständ. Vermeinten die Hh. Deputirten daß dem Imploranten dahien Zu willfahren, daß Ihme sich in die geordnete Vier Muthjahr einschreiben Zulaßen erlaubt, und zugelaßen sein solle. Die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 223) Sambstag d. 18. Martÿ 1741.
Bescheid. Sambstags d. 11. Martÿ 1741. In Sachen Sebastian Andres des ledigen Schreiners von Freÿburg im Breißgaw gebürtig Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. handwerckh der Frantz. Schreiner Appellaten, am andern theil, Auff producirte Vnderthänige Appellations Schrifft sambt beÿlag sub lit. A. und angehenckten bitten dispensando Zu erkennen, und außzusprechen, daß Er, Appellant, in die Muthjahr eingeschrieben werden möge. und all übrige angehörte, Vor: und anbringen, Ist, der Hh. Deputirten abgelegten Relation anch, Erkandt, daß dem Appellanten sich in sie geordnete Vier Muthjahr einschreiben Zulaßen erlaubt, und Zugelaßen sein solle, Alß wir demselben hiemit dispensando ein solches erlauben.

Sébastien Andris demande aux Quinze d’ordonner aux menuisiers français de l’inscrire aux années d’épreuve. Les menuisiers français se rèfèrent à une décision qui leur interdit d’inscrire des menuisiers allemands. Les Quinze renvoient le pétitionnaire aux menuisiers allemands
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
Sebastian Andres Ca. Frantzösische Schreiner Meisterschafft pt° Muthjahr
(p. 93) Montag d. 5. Febr. 1742. [manque p. 92] abgewiesen worden, da [-] vor ungefehr* 2. Monath Sebastian Andres der Schreiner von Freÿburg gebürtig beÿ ged. Meisterschafft Ver[-] der Muthjahr eingeschrieben worden [mit dem] demüthigen bitt Mghh. geruhen möchten zu [erkennen] daß vorgemelte Meisterschafft der Frantz. Schreiner allhier Ihne Zu Verarbeitung der Muthjahr einzuschreiben schuldig seÿe, die Imploraten hätten vmb Deputation gebetten welche auch willfahrt und beseßen worden, da der Implorant petitum Widerholt, Namens deren Imploraten seÿen vorgestanden Johann Wolffgang Gleich und Niclaus Schmid*, Welche geantwortet, daß Sie dengegen [-] bescheid daß Sie Keine teutsche Gesellen [in] denen Muthjahren einschreiben sollen*, [vermög] Mghh. Decret vom 20. Februarÿ 1740 p. 162. nicht annehmen Könnten. [hab]e man dann auch dafür gehalten* daß der Implorant mit seinem begehren ab: [und die] Teutsche Meisterschafft der Schreiner umb sich [in dem] Muthjahr einschreiben Zu laßen Zu Verweisen seÿe, die Genehmhaltung Zu Mghhh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

Fils d’un tailleur de Neukirch en Forêt-Noire, Sébastien Andris épouse en 1743 Susanne Marie Zickler, veuve du menuisier Jean Philippe Schreiner : contrat de mariage, célébration
1743 (17.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1021
Eheberedung – Zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Meister Sebastian Andriß leedigem schreiner von Neukirch aus dem Schwartzwald gebürtig weÿland Jacob Andriß geweßenen glaß schneiders vnd burgers allda Ehelich erzeugtem vnd nach tod verlaßenem Sohn, alß hochzeitern ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamem frauen Susanna Maria Schreinerin gebohrner Zicklerin, weÿl. Joh: Philipp Schreiner geweßenen Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterlaßener Wittib, alß der Hochzeiterin am andern theil
Zum Siebenden, gehet der Frau Hochzeiterin will dahien, im fall Sie vor Ihme dem Hochzeiter dießes Zeitliche geseegnete, daß Er Zweÿ Jahr lang nach solch Ihrem tod Ihre ane der großen Stadelgaß gelegene behaußung cum appertinentiis Zu bewohnen befuegt vnd berechtiget seÿn
Actum Straßburg den 17.ten Aprilis 1743. [unterzeichnet] Sebastian andtris als hocht zeither, A der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 150)
Hodie die 23 mensis aprilis anno 1743 (…) sacro Matrimonio in facie Ecclesiæ coniuncti fuerunt honestus Adolescens Sebastianus antris professione suâ Scriniarius oriundus ex neukirch in sÿlva nigra diœcesis Constantiensis filius defuncti Jacobi antris et Catharinæ lobertin* Coniugum et honesta susanna Zicklerin vidua in secundis nuptiis defuncti philippi schreiner civis et Scriniarii (signé) Sebastian andris, + signum sponsæ (i 80)

Sébastien Andris devient bourgeois quelques jours après son mariage
1743, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 127
Sebastian Andreß der Schreiner Von Neukirch im Schwartzwald gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefrauen Susanna Maria weÿl. Phl. Schreiners gewesenen burgers undr schreiners hinter. Wittib um den alten burgerschilling, und will beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth dienen, juravit d. 8.t Maÿ 1743

Sébastien Andris devient tributaire chez les Charpentiers le 11 juin 1743
1743, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 21) Dienstags den 11. Junÿ 1743 – Catholischer Neuz.
Meister Sebastian Andres von Kirch im Schwartzwald gebürtig producirt Stall und Cantzleÿ Schein vom 8.ten May 1743. bitt Ihme das Zunfftrecht gedeÿen zu laßen. Erkannt Willfahrt, dt. 3. lb. d.

Les Quinze autorisent Sébastien Andris à prendre deux compagnons supplémentaires pour des travaux urgents chez son client Jean Henri Cladin
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 502) Sambstags d. 20. Augusti. – Sebastian Andris Ca. E. E. Handwerck der Frantzösischen Schreiner
Roemer nôe Sebastian Andris, des Frantzösischen Schreiners Ca. E. E. Handwercks der Frantzösischen Schreiner Ober meister, weilen Implorant Zuolg mit kommenden attestat, Hn Joh: Heinrich Cladin bau übernommen, als bitt ihme Zu erlauben, daß er ein oder 2. gesellen über die ordinari Zahl biß auff weÿhenachten annehmen dörffe. Nom: Comp: berufft sich auff den botten. Ille in mund angelegt. Erkannt Willfahrt.

(p. 567-571) Sambstag d. 17. Septembris – (demi pages)

Les Quinze autorisent Sébastien Andris à prendre un compagnon en surnombre pour exécuter des travaux urgents
1751, Protocole des Quinze (2 R 160)
(p. 112) Sambstags d. 18. Martÿ – Sebastian Andriß Ca. Frantzösische Schreiner
Idem [Roemer] nôe Sebastian Andriß, des frantzösischen Schreiner Meister Ca. E. E. Handwerck der Frantzösischen Schreiner Ober meister weilen Zufolg mitkommenden attestats principalis einem bau auff das schleunigste Zu verfertigen übernommen, und darzu einen gesellen über die ordinari Zahl nöthig hat, als bitt er Ihme solang dießer bau wöhret damit gnädig Zu willfahren. Christmann, bitt depp. Roemer setzts Erk. seÿe dem Imploranten in seinem begehren, so lang dießer bau wöhret, willfahrt worden.

Sébastien Andris s’adresse aux Quinze pour obtenir autant de compagnons qu’il en aura besoin d’après une décision du maître des menuisiers français qui n’a pas été suivie d’effet. Il demande en outre que les compagnons dont il a besoin ne soient pas tenus de respecter le règlement et qu’il ait la priorité pour en obtenir. Le corps des menuisiers n’a rien à objecter à la première demande mais déclare que la deuxième les expose à la ruine. La commission estime que les arguments du corps des menuisiers sont dus à des dissensions internes. La commission estime qu’il y a lieu de satisfaire à la demande de Sébastien Andris. Les Quinze entérinent son rapport.
1761, Protocole des Quinze (2 R 173)
Sebastian Andriß Statt schreiner pt° Gesellen
(p. 1.) Sambstags d. 3. Januarÿ 1761. – Claus pro Freund nôe Meister Sebastian Andriß des burgers und Statt schreiners prod. unterth. memor: und bitten pt° Gesellen, facta prælectione ist Erkanndt, Obere Handwercks Herren.

(p. 40) Sambstags d. 31. Januarÿ – Iidem [Ober Handwerck herren] laßen per Eundem [Secretarium] referiren es habe Meister Sebastian Andriß der burger und Statt schreiner d. 5. hujus beÿ MGHh ein unterth. memor: und bitten producirt und darinnen vorgetragen E. G. hätten vor einiger Zeit dem Schreiner Ober meister anbefohlen, dem Imploranten soviel Gesellen Zu kommen Zu laßen, so viel er von nöthen haben würde, da nun diesem befehl bißhero gar nicht nachgelebet worden als gelange an E. G. des Imploranten gehorsamstes bitten zu verordnen, daß derselbe allezeit, wie andere Meister, so ihre Zahl nicht haben in die sogenante bitt eingeschrieben und Ihme in seiner Tour soviel Gesellen als er Zu beförderung der Statt Arbeit vonnöthen haben mögte zugeschickt werden solle, daß auch denen Gesellen erlaubt seÿn solle, Zu Ihm Zu begehren ohne sich an die articul Zu binden, daß auch im Fall der noth und Mangel derer Gesellen H. Bau Inspector einen Schein von sich geben und dieser Schein durch den Obermeister in alleweeg respectirt werden solle. Auff geschehene Weißung habe der Implorant sich auff den Innhalt eines Memorialis bezogen.
Ex officio seÿen von seithen der Frantzösischen Meisterschafft der Schreiner vorcitirt worden Christoph Stencker als Ober meister, Frantz Joseph Höltzel und und Joh: Antoni Charret als Mit meister welche nach dem sie des Imploranten begehren angehöret declariret, daß sie in ansehung des ersten puncten nichts einzuwenden hätten sondern gern Zugeben wollten, daß der Implorant immer derselben eingeschrieben Verbleibe was aber den 2.ten puncten, daß die Gesellen ohne sich an die Artickel Zu binden, Zu allen Zeiten Zu dem Imploranten gehen Könnten, betreffe, so seÿe derselbe vor die Meisterschafft gar Zu hart, und stehe ihr gäntzlicher Ruine darauff indeme auff solche Weiß Keine ordnung mehr unter der Gesellschafft seÿn sondern ein jeder seinen Meister trotzen würde, übrigens und 3.tio consentirten sie, daß wann ein Gesell Von dem Meister Zur statt hinaus begehren, dem Imploranten ohnverwehrt seÿn solle, der gleichen Gesellen in Arbeit zu nehmen.
Nach deme die H. Deputirten den Von MGhh. d. 26. Julÿ Vorigen Jahrs auff Ansuchen des Imploranten ertheilten bescheid eingesehen, und befunden, daß selbiger nicht in gehörige Execution gesetzt worden, sondern ein Handwercks haß mit unterlaufft, als hätten dieselbe nach der sachen reifer überlegung dafür gehalten, daß der Implorant allzeit Wie andere Meister, so Ihre Zahl nicht haben, in die sogenannte bitt eingeschrieben, und Ihme in seiner Tour so viel Gesellen als er Zu beförderung der Statt Arbeit von nöthen haben mögte zugeschickt werden sollen, Ferner daß Ihme ohnverwehrt, die jenige Gesellen, welche Zur statt hinaus begehren wann sie auff sein Ansuchen Zu Ihm gehen wollen, in Arbeit Zunehmen und d. übrigens, daß es in Ansehung außerordentlich pressirter Statt arbeith beÿ dem d. 26. Julÿ vorigens Jahrs ergangenen bescheid sein Verbleibens haben solle, die Confirmat. Zu E. G. stellend. Erk. confirmation.

Le menuisier municipal Sébastien Andris loue un logement à l’assesseur Daniel Luc Herrman Weinemer

1773 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 76
H. Sebastian Andres der statt schreiner
in gegensein H. Rathh. Daniel Lucas Herrmann Weinemer
verlühen, eine wohnung in seiner des verlehners eigenthümlich zuständigen behausung ane der Großen Stadelgaß, einseit neben Georg Friedrich Streubich dem frantzösischen becken, anderseit neben den Toussotischen erben, hinten auff einen gemeinen dohlen, bestehend im ersten stock besagtes haus auff die gaß außsehend eine stub und stubkammer samt einen cabinet und in den hoff außsehend abermahl eine stub samt kuchen und haußehren im nebstgebäu besagten stocks zweÿ kammern, eine stub und eine kleine kuche, ferner außgehet inngleichen zweÿ kleinen holtzhäußer, die benutzung der bauchküchen in wasch zeiten – auff 4 jahren auff Johannis Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 100 gulden

Sébastien Andris loue un logement à l’avocat François Pierre Brodbecker

1773 (21.4.), Not. Lacombe (6 E 41, 150)
Bail – Sébastien Andres mre menusier, bail pour 4 années consécutives qui commenceront à courir à la St Jean prochaine
à M. François Pierre Brodbecker avocat au Conseil et substitut secrétaire de la noblesse de la basse alsace
un appartement dans la maison qui appartient au bailleur en cette ville grosse stadelgasse, d’un côté les héritiers Bessel d’autre un boulanger, consistant led. logement en un poel et chambre à côté, au second étage de ladite maison donnant sur la rue d’une cuisine au même étage, d’un poel de domestique et deux autres petites chambres donnant sur la cour, d’une chambre au grenier pour le linge sale, d’une place dans la cour pour loger les bois fermée de planches, d’une partie de la cave également fermée de lattes dont le soupirail donne dans la cour. Et enfin l’usage commun de la buanderie et des greniers pour la lessive – moyennant un loyer annuel de 70 livres

Susanne Marie Zickler meurt en 1781 en délaissant pour héritiers les enfants issus de sa fille Elisabeth Schreiner et de Jean Christophe Stierlé. L’inventaire est dressé dans sa maison Grande rue de la Grange estimée à la somme de 2 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 102 livres, celle des héritiers à 704 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 596 livres, le passif à 3 191 livres

1781 (24.11.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 867) n° 265
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendbegabten Fraun Susannæ Mariæ Andrißin geborner Zicklerin H. Sebastian Andris des Stadt: Schreiners und burgers alh. gewesener Ehefraun nunmehro seel. Verlaßenschafft aufgericht in Anno 1781 – nach ihrem Montag den 2.ten Octob. gegenwärtigen 1781.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen hintritt nach sich Verlaßen. Welche Vermögens Nachlaßenschafft auf Veranstalten und begehren H. Antoni Gerber des Schneider meisters und burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts hernach gemelter der Fraun Defunctæ per Testamentum Zu Erben Verlaßener Enckele wie auch obgemelten des hinterbliebenen H. Wittibers selbsten ordnugß mäsih ersucht und inventirt worden, Zuvorderist aber hat Er der Hr. Wittiber und die einte Jgfr. Erbin, wie auch Moritz Harat, von Leibzig, Pierre Mouliard aus der Picardie, Joseph Klein, von Wittlich, Fridolin Holin, Von Margingen, Conrad Müller von Münchroth in Schwaben, die Gesellen, und Barbara Helmerin die von Offenbach gebürtige dienstmagd (…) geäugt und gezeigt – So beschehen Straßburg in einer an der grosen Stadelgaß gelegenen hiehero eigenthümbl. gehörigen und hernach mit mehrerem beschriebenen behaußung auf Samstag den 24.ten Novembris A° 1781.
Benennung der Erben. Die Verstorbene hat per Testamentum zu ihren rechtsmäßigen Erben Verlaßen Weil. Fr. Mariæ Elisabethæ Stierlein geb. Schreinerin H. Joh: Christoph Stierle, des beamten im Umgeld und burgers alh. gewesener Ehefrauen, ihrer in erster Ehe mit auch weil. H. Joh: Philipp Schreiner, dem gewesenen Schreiner und burgern hieselbst ehel. erzeugten Tochter seel. hinterlaßene fünff K.K. und dißorts Enckele, nahmens und 1° Herrn Frantz Joseph Stierle, in Deutschland sich aufhaltend, in weßen Namen S. T. Herr Sebastian Tournier J. V. Ltus und Eines löbl. Policeÿ Gerichts alhier actuarii Substitutus, als aus E. .E. Kleinen Raths Mittel zufolg Extractum vom 24. 9.bris 1781. hierzu ernannter Deputatus hiebei Zugegen Ware, 2° Herrn Frantz Paul Stierle, Ober Aufseher über der Metzig Zu Patavia, 3° Herrn Sebastian Stierlé, welcher Zu Wien emploÿirt, 4.to H. Xaverius, so bei einem Herrn Zu Holstein als Secretarius in Condition stehet, diese 4. allen zu 4. gleichlingen Portionen und Antheilern ane der Frauen Def. in die Ehe gebrachte Vermögen per Testamentum verlaßene Erben
So dann und 5.to die Viel Ehr und Tugendbegabte Jungfr. Mariam Elisabetham Stierle, In welcher vier letzteren Namen Hr. Antoni Gerber der Schneider meister und burger alh. als deroselben geordnet und geschworener Vogt

Eigenthum ane einer behaußung. Nämlich eine Vorder: und Hinder behaußung samt Hoff, Hoffstatt und bronnen, auch allen überigen deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der grosen Stadelgaß, eins. neben Weil. Hn Dr Kratzen seel. hinterlaßener Frauen Wittib und erben, anderselt neben Mr N Stierle dem frantzösischen beck und hindten auf den Gräbel stoßend, davon gibt man jährlich dem hohen Chor hoher Stift Straßburg auf Weÿhenachten ane ablösigem bodenzinß 1 lb d und dem Stift St. Margarethen und Agnesen alhier Jahrs auch auf Weÿhenachten ane bodenzinß 1 lb 2 ß 4 s sonsten aber und außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien gegen Männiglich. freÿ leedig eigen und dermahlen durch (die Werckmeistere) Zufolg deroselben schriftlich ausgestelten und beÿ dieses Inventarii Concepto verwahrluch liegenden Abschatzung Scheins vom 15.ten 9.bris 1781. gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 4000 fl. oder 2000 lb. Wird nun davon abgezogen obige Bodenzinßen doppelter Capitals betrag mit 85. So bleibet ane obigem anschlag hier auzuwerfen annoch übrig 1915. Über der Erben unveränderte in wehrender Ehe abgebrochene behaußung besagt und ist vorhanden ein deutscher pergamentener in alhies. C. C Stub gefertigter u. mit deroselben ahangendem kleinern Insiegel verwahrter Kauffbrieff d d 29. Apr. 1737. So dann meldet über die, in stehender Ehe erkaufte u. auch abgebrochene behausung sp /:als aus welchen beiden häußern hie vorbeschriebene neu erbaute theilbare behausung entsprungen:/ ein dergl. pergamentener Kauffbrieff mit der C. C. Stub anhangedem Insiegel versehen, datirt den 11.ten Xbr. 1745.
(f° 10) Ergäntzung des hinterbliebenen Wittibers währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des über beeder nun zertrennten Ehe persohnen in die Ehe gebrachte Vermögenschaften durch H. Not. Joh: Jacob Oelinger am 6. 7.bris 1743. auffgerichteten Inventarii
(f° 14-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copie der Eheberedung, Copia Testamenti nuncupativi, Copia Vergleichs, Copia des über der Fraun Defunctæ seel. unveränderte behaußung getroffenen Vergleichs
Des hinterbliebenen Hn Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Werckzeugs 27, Sa. Silbers 9 ß, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 24, Summa summarum 102 lb
Dießemnach so wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 29, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 1, Sa. goldenen Ring 1, Sa. Ergäntzung 1201, Summa summarum 1254 lb – Schulden 550, Nach deren Abzug 704 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbaren Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 88, Sa. holtzes Zum Schreiner handwerck gehörig 50, Sa. ein und leerer Faß 24, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 8, Sa. goldenen Geschmeids 2, Sa. baarschaft 450, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1915, Sa. Schulden 1057, Summa summarum 3596 lb – Schulden 3191 lb, Nach deren Abzug 405 lb
Beschluß summa 1212 lb Stall Summa 372 lb
Copia der Eheberedung (…) Mittwochs en 17. Aprilis Anno 1743, Johann Jacob Oelinger
Copia Testamenti – Cejourd’hui premier février 1775, fut presente Susanne Zickler femme de Sébastien Andres, Bourgeois Maître Menuisier de cette ville, y demt. saine d’esprit, jugement et entendement, mais malade de corps allant et venant encore (…) – Lacombe Not. royal

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Sébastien Andris à se remarier avant la fin de son deuil. L’avocat général Mogg estime que l’édit royal s’applique surtout aux femmes d’autant que le pétitionnaire a beaucoup de travail et d’employés
1781, Conseillers et XXI (1 R 264)
Sebastian Andris der Stallschreiber erhält dispense a tempore luctus gegen erlag 3. fl. in das findlinghauß. 509.
(p. 509) Claus nê Sebastian Andris des burgers und Stattschreiners Imploranten prod. unterth. Memoriale samt beÿl. sub lit. A puncto dispensat. tempore luctus heurathen Zu können.
Nach angehörtem voto H. Gâl Advocat Mogg, welcher gemeldet, daß das Königl. Edict eigentlich mehr auf die Weibs leüth gerichtet, Implorant mit vieler Arbeit und gesind beladen worauf er Zuwachen hat, so glaube er daß ihme Zu wilfahren wäre, und dovh er* unbekandt ob er beÿ Mittlen oder Von seiner Ehefrau einig. genuß beziehe, so wolle er solches Mghh. überlaßen haben.
Wurde vermittelst Gehaltener umbfrag dem Imploranten mit gebettener dispense tempore luctus gegen erlag dreÿ gulden in das findlinghauß wilfahrt.
Depp. H. Rathh. Leroux, H. Rathh. Straub (empfangen dreÿ gulden, d. 7.ten Januar. 1782. Wieger)

Sébastien Andris se remarie avec Jeanne Greissing, fille de maître charpentier : contrat de mariage, célébration
1781 (15. 9.br), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 188
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Herr Sebastian Andriß der burger Statt schreiner und Wittiber dahier Zu Straßburg als Bräutigam ane einem,
So dann die Ehren: und tugendbegabte Jungfrau Johanna Greißingin, weiland hrn Frantz Augustin Greisings geweßenen burgers und Zimmermeisters allhier mit auch weiland fraun Salome gebohrner Heÿerin ehelich erzeugte und nach tod Verlaßene mehrjährige tochter, beÿständlich S. T. Herrn Frantz Lorentz Gilig des hiesigen burgers und eines löblichen Collegiat Stiffts Zum alten St. Peter wohlverordneten Schaffners als hochzeiterin am andern theil
Straßburg en 15.ten Novembris 1781. [unterzeichnet] Sebastian andris als hochzeiter, Johanna Greißing Hochzeiterin

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 175)
Hodie 15 Januarÿ anni 1782 (…) sacro matrimonÿ vinculo conjuncti Sebastianus andris civis et scrinarius Hujas defunctæ Mariæ Salome Lidler viduus sperstes ad St Petrum Seniorem parochianus et Johanna Griessing argent. Francisci Augustini griessing et Mariæ Salome Heÿerin civium defunctorum filia Majorennis ratione domicilÿ à pluribus annis in monasterio sanctimonialium (signé) Sebastian andris, Johanna grißing (i 91)

Jeanne Greissing se remarie en 1791 avec le batelier Antoine Fessler puis en 1794 avec le négociant André Dron
Quittance suite à la vente de la maison provenant de Sébastien Andris à la veuve Sarrazin suite à l’adjudication judiciaire du 17. mars 1791 (voir plus loin l’inventaire dressé en 1800)

1791 (23.3.), Not. Lacombe (6 E 41, 221) n° 43
Quittance – Jeanne Andris née Gressing veuve de Sébastien Andris menusier assitée du Sr Stouhlen avocat en qualité d’héritière de son mari suivant contrat de mariage reçu Anrich le 15 9.bre 1781, M Philippe Louis Übersal en qualité de mandataire de Jean François Joseph Stierlé maître de langue absent, Antoine Gruber maître tailleur d’habits curateur à Jean François Paul Stierlé absent et en qualité de tuteur de l’enfant délaissé par Jean Sébastien Stierlé décédé, M Georges Frédéric Zimmer notaire en qualité de mandataire de François Xavier Stierlé maître de danse demeurant à Hambourg, Marie Elisabeth Stierlé majeure assitée dudit Sr Ubersaal, les derniers en qualité d’héritiers testamentaires pour un 1/5 chacun de Susanne Marie née Zickler décédée femme dudit Sr Andris suivant testament reçu par le soussigné le 1 février 1775
Mde Sarazin devenue propriétaire d’une maison rue die gros stadelgasse n° 7 [convention sur le paiement d’obligations Andris]
(Joint) Auszug aus den Registern des Straßburger district Gerichts
weÿl. Sebastian Andriß gewesten Stadtschreiners in Straßburg hinterlassene wittib wie auch gedachter andris’scher erster Ehefrauen Testaments erben und deren selben respective Curatoris et mandatariorum – da nach vorgenommener Versteigerung der in weÿl. Fr. Susanna Maria Andrißin geb. Zicklerin nun auch weÿl. Sebastian Andriß Stadtschreiners in Straßburg erster Ehegattin verlassenschafft gehörigenen an der großen Stadelgaß gelegenen behausung
H. de Clermont für und innamen der verwittweten Fr. Sarrazin 9450 gulden den 17. mart. 1791 (enregistré 22 du 18.3.)

Originaire de Sarrebourg, Marie Anne Propre épouse en 1746 Guillaume Joseph Sarazin, originaire de Condé en Hainaut (Condé-sur-l’Escaut)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 328)
Hodie primo Augusti Anni 1746. (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Guillelmus Josephus Sarazin, Condato in hannoniâ oriundus, filius Emanuelis Sarazin et Catharinæ Josephæ Monnin Conjugum defunctorum in Servitio Ill.mi Ddni Marchionis Balincourt a Sex mensibus parochianus noster et Maria Anna propre Sarburgensis filia Joannis propre et beatricis Menusier conjugum defunctorum a novem mensibus quoque parochiana nostra (signé) guillaume sarazain, Marianne propre (i 174)

Ils achètent le droit de bourgeoise le 12 avril 1747 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 280
Guillaume Josephe Sarracin Von Condé auß dem Hennegau geb. u. deßen Ehefrau Maria Anna Propre Von Sarburg erhalten beÿde weg. hoher recommendation das burgerrecht gratis u. wollen dienen beÿ E: E: Zunfft der Möhrin, jur: et prom: eod. [12.t aprilis 1747]

Le revendeur Guillaume Charles Sarrazin est assigné à comparaître devant la tribu des Frbourgeois parce qu’il vend des plats de charcuterie à l’encontre du règlement. Il convient des faits et demande de cotiser chez les Fribourgeois pour continuer son commerce. Le conseil de tribu le reçoit cotisant.
1755, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 239) 1755, Monntags den 13.ten deß Monaths Octobris in Anno 1755
Guillaume Charles Sarrazin, der hiesige Grempp Vnd Burger ex officio citirt, daß derßelbe gekochte Cervelats, Ballerons undt Langues fourrees, vnd dergleichen ohne Erlaubnus verkauffet, so wider Ordnung.
Ille præsens ist der Anklag geständig, sagt er macht es wie andere Gremppen allhier, Vnd in Franckreich, offerirt sich dißorts derhalben Geltzünfftig Zumachen, bittet Receptionem
Hierauff Erkandt worden, daß der Citatus gegen Erlag der 2 lb 4 ß s vndt 6 ß d Stubengelt pro hoc anno alß Geltzünfftig Zu recipiren, Ihme aber Keine andere Speißen alß obige beneben Andouillen auff den Verkauff Zu appretiren, Zu Erlauben, Mithin demeßelbig. alle Überige Speißen ohne einig. Außnahme demeßelben Zu Verkauffen beÿ Straff der Ordnung Zu verbiethen seÿe, So er auch Zu thun, datâ manu versprochen.

Guillaume Joseph Sarazin meurt en 1787 en délaissant sa fille pour unique héritière. La masse propre au défunt s’élève à 16 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 760 livres, le passif à 1 090 livres
1787 (20° juillet), Not. Anrich (6 E 41, 1511) n° 317
Inventaire et Description de Tous et chacuns les Biens meubles et immeubles generalement quelconques que feû le Sieur Guillaume Joseph Sarazin, vivant bourgeois de cette ville de Strasbourg a delaissé après sa mort arrivée le 2° juillet dernier. Lesquels Biens à la Réquisition de la D° Marie Anne Sarazin née Propre veuve du defunt assitée pour L’Effet des presentes par le Sr Urbain Eder bourgeois de cette ditte ville y demeurant et de la Dame Marie Anne Noel née Sarazin Epouse de Monsieur Jean Baptiste Joseph Noël, chevalier de l’ordre roial et militaire de St Louis et Capitaine aide major de la place de cette même ville, fille unique et héritière universelle du dit defunt par lui procréé avec la dite Dame veuve (…) montrés et enseignés par la dite D° Veuve (…) tant par elle que par la dite Dame Marie Anne Noël l’héritière universelle et Marie Gertrude Hertzog la Servante de la maison (…) Fait et passé à Strasbourg en presence du Sieur jule Auguste Marie Tolmer Marchand parfumeur de cette ville curateur établi à la Substitution ordonée par le defunt en vertu de son testament cy après transcrit et revenant aus Enfans de la susdite D° Noël héritière universelle encore à naitre ce 20° juillet 1787.

copie du Testament mystique fait par le Defunt le du 30 août 1779 déposé en l’étude de M° Laquiante Notaire royal aud. Strasbourg le 7 septembre de lad° année et ouvert par icelui le 22. août 1787.
Propriété d’une Maison, Scavoir une maison avec sa Cour ses droits appartenances et dependances scize en cette ville proche la petite Boucherie tenant d’un Cotté au Sieur Joseph Polti negociant et de l’autre au Sr Moppert cordonnier abboutissant par derrière à la fossée des tanneurs (…)
Ordo hujus Inventary. S’ensuit aussi la Description des Biens revenant en propre à la De héritière, habits 63 livres
S’ensuit Enfin la Description des Effets qui composent la Masse de la communauté, Total des meubles 343, Total des tonneaux 15, Total de l’argenterie 96, Total de l’argent comptant 170, Total de l’estimation de la propriété d’une maison 7600, Total des dettes actives 80, Total général 8305 livres – Dettes passives 4360 livres, Bien restant 3945 livres – Somme taillable 6508 livres
Inventaire et Partage. Cejourf’hui 5° novembre 1787 – Au second étage, Au premier étage, Au Mansard, Propriété d’une maison (…) estimée de gré à gré 16 000 lb, les parties intéressées aiant ainsi fixé de gré à gré la valeur de lad maison, la De héritière et le Sr Tolmer curateur à la substitution declarent l’avoir cédé et délaissée pour ladite somme à la D° veuve sauf cependant la propriété aux enfants substitués en cas qu’ils existeront après le décès de la D° héritière

Marie Anne Propre meurt en 1800 en délaissant pour héritière sa fille Marie Anne.

1800 (16 thermidor 8), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 413
Inventaire de la succession de feue la Citoyenne Marie Anne Sarazain née Propre veuve de feu le Cit. Guillaume Joseph Sarazain décédée le 29 pluviose dernier delaissant pour son héritière unique et universelle sa fille Marie Anne Noël née Sarazain épouse du Cit. Jean Baptiste Joseph Noël Ex adjudant Capitaine réformé de la place de cette ville – inventaire de la succession paternelle le 12. nov. 1787 soussigné, l’inventaire maternel fera titre a l’héritière uniquement pour la maison susdite proche la petite boucherie pour la somme de 7053 fr

meubles meublants 2664 fr, argenterie 459 fr, Or bijoux 285 fr
Propriété d’une maison, Scavoir une Maison consistant en Corps de logis de devant et de derrière petite cour avec tous ses droits appartenances et dépendances scize en cette ville rue dite grande Stadelgaß N° 7 d’un côté le boulanger Streibig d’autre le tonnelier Ulrich par derrière un coulant appartenant a la commune, dont on a payé cidevant pour rente fonciere au ci devant Couvent Ste Marguerite 4 fr 47 et aux ci devant prebendiers de la cathedrale 4 fr ensemble 8 fr 47 payables annuellement aux domaines nationaux, 12.000 fr, La propriété de cette maison est constatée par procès verbal d’adjudication du cidevant tribunal du district de Strasbourg en date du 17. mars 1791.
total général 15.409 fr
Enregistrement, acp 74 f° 190 du 19 therm. 8

Marie Anne Sarazin épouse en 1777 le lieutenant Jean Baptiste Joseph Noël originaire de Valenciennes : contrat de mariage, célébration
1777 (14.4.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 147
Mariage – furent presens Monsieur Jean Baptiste Joseph Noël premier lieutenant au Regiment des Dragons jarnac présentement en Garnison en cette ville, fils majeur d’ans usant et jouissant de ses droits de feu Mr Jacques Felix Noël vivant Lieutenant au dt. Regiment et de defunte D° Marie Catherine Angelique Leroy, natifs de Valenciennes ses pere et mere, faisant, stipulant et agissant pour luy et en son nom d’une part
Et le Sieur Guillaume Joseph Sarazin bourgeois de cette même ville de Strasbourg et Damoiselle Marie Anne née Propre son Epouse qu’il authorise à l’Effet de ce qui suit, stipulans et agissans pour et au nom de Demoiselle Marie Anne Sarazin leur fille majeure cy présente de son bon Gré et Consentement d’autre part
(signé) Noël, marianne Sarazin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 251)
Hodie 14 aprilis anni 1777 (…) S. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Baptista Noel Sub Centurio Legionis Equestris Levis armatura Jarnac nuncupata filius majorennis defunctorum Dni Jacobi felicis Noel et Dnæ Mariæ Catharinæ Angelicæ Le Roy invita conjugum ex Parochia ad Stum Nicolaum Civitatis valentinianæ Diœcesis Cameracensis ratione domicilii Parochianus ad Stum Petrum Seniorem Et Della Maria Anna Sarazain filia majorennis Dni guillelmi Josephi Sarazain Civis et mercatoris hujatis et Dnæ Mariæ Annæ Propre conjugum Parochiana nostra (signé) Noël, marianne Sarazain (i 129)

Jean Baptiste Joseph Noël meurt en 1800 en laissant pour héritière sa sœur
1800 (5 nivôse 9), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 417
Inventaire de la succession de feu le Cit. Jean Baptiste Joseph Noël ex adjudant Capitaine reformé de la place de Strasbourg décédé le 1 vend. dernier, à la requête de la Cit. Marie Anne née Sarazin la veuve assistée du Cit. Charles André Gaulthier dit Clermont Contrôleur des postes, à la requisition du Cit. Jacques Louis Albert homme de loi mandataire de la Cit. Marie Joseph Noël veuve de Nicolas François Debaralle demeurant à Valenciennes sœur et héritière unique du défunt

en la maison mortuaire appartenante à la veuve proche la petite boucherie N° 5
propre à l’héritière, habits 443 fr, dettes actives 8 fr, total 451 fr, passif payable par le bien propre et par la communauté 9905 fr, déficit 9453 fr
Déclaration et renonciation faites par la veuve, que feu le Cit. Guillaume Joseph Sarazain son pere etant décédé le 2 juillet 1787 et la Cit. Marie Anne née Propre sa mere le 29 pluviose VIII Elle a en sa qualité d’enfant unique et héritière universelle desdits ses père et mère auroit recueilli leurs successions en vertu des inventaires dressés par le soussigné notaire les 12 novembre 1787 et 16 thermidor VIII, lui sont echûs deux maisons en cette ville l’une proche la petite boucherie N° 5 tenant d’un côté au C. Joseph Polty Negotiant d’autre au C. Moppert cordonnier par derrière la fossée des tanneurs
et l’autre scize rue dite Grande Stadelgass n° 7 d’un côté le boulanger Streibig d’autre le tonnelier Ulrich parderrière un coulant appartenant à la commune, plus les meubles meublants (…)
Contrat de mariage, le 14 avril 1777 (…)
Enregistrement, acp 76 f° 140 du 13 niv. 9

Héritière de la maison, Marie Anne Sarazin se remarie en 1802 avec le receveur de l’enregistrement Claude Gallimard en lui faisant donation de la maison sise Grande rue de la Grange

1802 (18 messidor 10), Strasbourg 1 (23), Not. Lacombe n° 2873
Contrat de mariage – Cit. Claude Gallimard, receveur de l’enregistrement et conservateur des hypothèques veuf en premières noces de Marie Madeleine Adélaïde Debainse et en deuxièmes de Marie Catherine Dessuc
Dame Marie Anne Sarazain, veuve de Jean Baptiste Joseph Noël
art. 4, la future épouse fait en faveur dudit mariage donation entre vifs pure et simple et irrévocable en toute propriété au futur d’une maison a elle appartenante scituée a Strasbourg grande rue de la grange N° 7, d’un côté Strubig boulanger, d’autre Ulric tonelier, derrière un Egout communal, devant ladite rue
Enregistrement, acp 85 f° 6-v du 28 mess 10

Fils du négociant Pierre Gallimard, Claude Gallimard est né à Troyes en 1754. Il épouse en premières noces Marie Madeleine Adélaïde Debainse ; sa fille naît en 1776 à Vouziers où il est receveur des domaines du Roi
Mariage, Strasbourg (n° 518)
Du 2° jour du mois de Fructidor l’an X de la République française. Acte de mariage de Claude Gallimard, âgé de 48 ans, receveur de l’enregistrement et conservateur des hypothèques à Strasbourg, y domicilié depuis onze ans, né à Troyes, Département de l’Aube, le 3 mars 1754, fils légitime de Pierre Gallimard, négociant audit lieu, et de feuë Germaine Barbarat, veuf en secondes noces de Marie Catherine Desuc, morte en cette ville le 30 Germinal de l’an VIII
Et de Dame Marie Anne Sarazain, âgée de 54 ans, née en cette ville le 20 juillet 1748, y domiciliée, fille légitime de feu Guillaume Joseph Sarazain, négociant, et de feuë Marie Anne Brob, veuve de Jean Baptiste Joseph Noël, mort en cette ville le premier vendemiaire de l’an IX (signé) Gallimard, marianne Sarazain (i 267)

Baptême, Vouziers. – L’an 1776 le 19 de juillet est née la fille de Mre claude gallimard contrôlleur et receveur des domaines du Roi et de dlle Marie Madeleine Adelide debainse, mariés ensemble, de cette paroisse, laquelle fut batisée le même jour, on lui a imposé les noms de Adélaide Gabrielle emmerentienne hortense, le parain Mre claude Gabriel daudiere avocat en parlement cons.er du Roi commissaire aux saisies réelles du Baillage de troyes en champagne y demeurant, La marraine dlle Jacqueline chevery pensionnaire du Roi de ette paroisse (i 129)

Marie Madeleine Adélaïde Debainse meurt à Strasbourg le 11 frimaire III en délaissant deux enfants (voir le registre de population)
1797 (6 ventose 5), Strasbourg 1 (12), Not. Lacombe, Fantôme, vide boëte 15
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Adelaide Debainse femme de Claude Gallimard de Strasbourg décédée le 11 frimaire An 3 et de la communauté avec sondit mary, fait à la requête du veuf et du Cit. Nottinger comme subrogé tuteur à Adelaide Gabrielle Emerentienne Hortence Gallimard, a Alphonse Louis Casimir Stanislas Gallimard Enfants de la défunte
La masse active mobiliere monte à 23.891 livres 5 sols
il n’y a point d’immeuble
Enregistrement, acp 46-49 f° 23-v du 26 vent. 5

Décès, Strasbourg (n° 367)
Cejourd’hui 13 Frimaire l’an III (…) que Marie Madeleine Adélaïde Debainse, âgée de 46 ans, Epouse de Claude Gallimard, Receveur des Droits d’Enregistrement, est morte avant-hier à trois heures de relevée en sa demeure grand’rue N° 37 (i 95)

Registre de population 600 MW 9 (1795) Rue des dentelles n° 26 (i 220)
Claude Gallimard, 41, Receveur de l’enreg.
Alphonse, id. 16 fils
Adelaide, id. 18 fille

Claude Gallimard se remarie avec Marie Catherine Desuc en 1797
1797 (7 ventose 5), Strasbourg 1 (12), Not. Lacombe
Contrat de mariage – Claude Gallimard, receveur de l’enregistrement veuf de Marie Madeleine Adélaïde Debainse
Marie Catherine Desuc, fille d’Augustin Desuc natif de lartre demeurant à Strasbourg et de feu Marguerite Christine Dejoosten
Enregistrement, acp 46-49 f° 26-v du 17 vent 5

Mariage, Strasbourg (n° 296)
Du 30° Ventôse l’an V de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Claude Gallimard, âgé de 43 ans, receveur de l’enregistrement de cette commune, y domicilié depuis six ans, natif de Troyes, département de l’Aube, fils légitime de Pierre Gallimard, marchand audit lieu, et de feuë Germaine Barbarat, Veuf de Marie Madeleine Adélaïde Debainse de l’autre Marie Catherine Desuc, âgée de 25 ans, domiciliée en cette commune depuis huit ans, native de Mannheim en Allemagne, fille d’Augustin Desuc, Citoyen de Strasbourg, et de feuë Marguerite Christine Joosten (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 3 mars 1754 (…) 2° l’acte de notoriété de la future portant qu’elle est née le 28 novembre 1771 (…), 3° l’acte de décès de Marie Madeleine Adélaïde Debainse (…) le 11 frimaire trois année (signé) Gallimard, Marie Catherine Desuc (i 152)

Registre de population 600 MW 21 (1798) Rue des Dentelles n° 26
Gallimard, Claude, Receveur de l’enregistrement, 43, Troyes
id. née Desuc, Mar. Cath. son épouse, 25, Mannheim
id. Adélaïde, sa fille, 17
Gallimard, Alphonse, fils du Cn. Gallimard, 22
Desuc, Augustin, pensionnaire de la Rép., 68
id. Charlotte, sa fille, 21

Marie Catherine Desuc meurt en 1800 en délaissant deux enfants (voir l’inventaire d’Augustin Desuc en 1805)
1802 (12 prairial 10), Strasbourg 1 (23), Not. Lacombe, Fantôme, Vide Boete N° 17
Inventaire de Marie Catherine Desuc épouse de Claude Gallimard
Enregistrement, acp 84 f° 135-v du 16 prairial 10

Décès, Strasbourg (n° 1019)
Cejourd’hui premier Floréal l’an VIII de la République française une et indivisible (…) que Marie Catherine Desuc âgée de 28 ans, native de Mannheim en palatinat, fille légitime d’Auguste Desuc, Officier retiré et de feûe Christine Joosten domiciliés à (-), Epouse en légitime mariage en secondes noces de Claude Gallimard, Receveur de l’Enregistrement et Conservateur des hypothèques, est morte hier 30 germinal à sept heures du matin en sa demeure située vieux marché aux Vins N° 87 [in margine :] fievre scarlatine (i 10)

Marie Anne Sarrazin fait dresser l’inventaire des biens qu’elle a apportés lors de son mariage avec Claude Gallimard
1803 (22 pluviose 11), Strasbourg 1 (24), Not. Lacombe n° 3367
Inventaire des apports – à la requête de Marie Anne Sarrazin veuve de Jean Baptiste Noel épouse actuelle du Cit. Claude Gallimard receveur de l’enregistrement a Strasbourg, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 18 messidor 10
dans la Maison rue de la Mesange,
Maison de Neuwiller, chambre à coucher, salle à manger, salon, chambre a côté du salon, sur le corridor, chambre a côté de la cuisine, cuisine, chambre a côté de la sale a manger, chambre derrière celle a coucher
Enregistrement, acp 87 f° 15-v du 2 ventose 11

Registre de population 600 MW 37, IV section Vieux Marché aux Vins N° 87, f° 135
Gallimard née Sarazin, Anne Marie, 50, Epouse – morte 29 Janv. 1815

Rapport d’experts qui estime la maison rue de la Grange à 30 000 francs pour servir de caution à Claude Gallimard pour son emploi de conservateur des hypothèques

1804 (14 pluviôse 12), Strasbourg 1 (26), Not. Lacombe n° 4316
Nous François Antoine Widemann, architecte, et Jean Zigelbach, Maître Charpentier, nommés par le Cit. Claude Gallimard, Receveur de l’enregistrement en son nom et en celui de la Cit. Marie Anne Sarasin son épouse
pour faire l’estimation d’une maison appartenant auxdits conjoints Gallimard située en cette ville grande Rue de la Grange N° 7, d’un côté le Cit. Streibich Boulanger d’autre le Cit. Ulrich tonnelier derrière a un egout communal et devant ladite rue, nous sommes transportés en ladite maison et avons reconnu ce qui suit, Ladite maison est composée d’un rez de chaussée premier et second étage, arrière maison également a deux étages avec Ailles cour puits latrines deux caves &c, (…) 30.000 francs
annexé au n° 4301 du 22 ventose 12
Claude Gallimard a fourni cautionnement voulu par la loi comme conservateur des hypothèques

Inventaire dressé après la mort d’Augustin Desuc, frère de la deuxième femme de Claude Gallimard
1805 (26 prairial 13), Strasbourg 2 (23), Not. Knobloch n° 2558
Inventaire de la succession d’Augustin Desuc, ci devant major des Dragons au service de la France, décédé le 4 floréal 13 – à la requête de Marie Anne Elisabeth née Morel, la veuve assitée du Sr François Charles Brucker, commissaire de police du premier arrondissement de ladite ville
Dénomination des héritiers, 1. Sr Auguste Desuc, Chef d’Escadron au service d’Autriche, représenté par De Charlotte Menissier née Desuc épouse du Sr Menissier, Capitaine de Genie au service de France, suivant procuration passée à Klattau en Bohême le 30 mai 1805, 2. les héritiers de De Marie Catherine Desuc, épouse de Claude Gallimard, Receveur de l’enregistrement a Strasbourg savoir 1. Caroline Henriette Constance Marie Augustine Gallimard, agée de 6 ans, 2. Augustin Paul Jacques Marie Gallimard, agé de 4 ans et 6 mois au nom desquels Sr Gallimard Receveur de l’enregistrement, 3. De Charlotte Menissier née Desuc, épouse dud. Sr Menissier Capitaine de Genie au service de l’Empire français, suivant procuration passée à Bruges, département de la Lys le 24 floréal dernier (M. Pierre Ménissier capitaine du génie au camp de Bruges agé de 31 ans maintenant logé chez le Sr Kenkelenck marchand de draps sur la grande place, Mad. Charlotte Henriette Constance de suc son épouse majeure agée de 24 ans fille de feu M Augustin de Suc ancien militaire et feue Marie de Soosten)
succession, meubles garde robe 353 fr, dettes actives (mémoire), passif 4611 fr
Enregistrement, acp 96 F° 199 du 3 mess. 13

Alors conservateur des hypothèques à Arras, Claude Gallimard vend la maison à son gendre Philibert Bequet et à sa fille Adélaïde Gabrielle Emerentienne Hortense Gallimard

1820 (30.9.), Strasbourg 15 (28), Me Lacombe n° 5753
Claude Gallimard ancien conservateur des hypothèques à Strasbourg ensuite à Arras demeurant à Strasbourg
à Philibert Bequet, commissaire des poudres et salpêtres demeurant à Coudrai Macouard arrondissement de Saumur, Maine et Loire, et Adélaïde Gabrielle Emerentienne Hortense Gallimard, pour lesquels Pierre Pélissier commissaire des poudres à Colmar
1. une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de la Grange n° 7, d’un côté Jean Bruder, d’autre le Sr Ulrich marchand, derrière un égout communal – le vendeur est devenu propriétaire par donation de Marie Anne Sarazin son épouse, suivant contrat de mariage reçu Lacombe notaire à Strasbourg le 18 messidor an 10
2. un corps de biens à Rottelsheim de 6 ha 15 et 4 ha et 4 ha – moyennant 57.500 francs
Enregistrement, acp 149 F° 110-v du 7.10.

Adélaïde (Gabrielle Emerentianne Hortense) Gallimard se marie en 1804 avec Didier Jean Baptiste Campagne, commissaire adjoint des poudres et salpêtres : contrat de mariage, célébration
1804 (6 prairial 12), Strasbourg 1 (27), Not. Lacombe n° 4451
Contrat de mariage – Cit. Didier Jean Baptiste Campagne, commissaire adjoint des poudres et salpêtres demeurant à Colmar, fils majeur de feu Jean Baptiste Campagne, Directeur général des vingtièmes à Clermont ferrand et de feu Charlotte Claudine Campagne, celle ci mariée en secondes noces avec le Cit. Barthelemy Marie Guillaume Desaignes, rentier demeurant a Paris rue meslée N° 35
Demoiselle Adélaïde Gabrielle Emerentianne Hortense Gallimard, fille majeure du Cit. Claude Gallimard, receveur de l’enregistrement et conservateur des hypothèques de Strasbourg et de feue Marie Madeleine Adélaïde Debainse
etat du trousseau 2027 et 343 fr, et épargnes 929 fr
Enregistrement, acp 92 f° 28-v du 15 pr 12

Mariage, Strasbourg (n° 235)
Du 27° jour du mois de Prairial l’an XII de la République française à neuf heures du matin. Acte de mariage de Didier Jean Baptiste Campagne, âgé de 25 ans, Commisaire Adjoint des poudres et Salpêtres, domicilié à Colmar Département du Haut-Rhin, né à Clermont ferrand, Département du Puy-de-Dôme le 16 juillet 1778, fils légitime de feu Jean Baptiste Campagne, Directeur général des vingtièmes à Clermont ferrand, & de feuë Charlotte Claudine née Campagne, épouse en secondes noces de Barthelemy Marie Desaignes, Rentier a Paris, beau-père de l’époux, absent représenté par (…) Et d’Adélaïde Gabrielle Emerentianne Hortense Gallimard, âgée de 27 ans, domiciliée en cette ville depuis 13 ans, née à Vouzieres sur Aisne, Département des Ardennes, le 19 septembre 1776, fille légitime de Claude Gallimard, Receveur de l’Enregistrement et Conservateur des Hypothèques à Strasbourg, ci présent, et de feüe Marie Madeleine Adélaïde Debainse (signé) Campagne, adele gallimard (i 120)

Didier Jean Baptiste Campagne meurt à Turin en 1808. L’inventaire de ses biens est dressé à Strasbourg
1808 (9.8.), Strasbourg 1 (32), Not. Lacombe n° 6494
Déclaration tenant lieu d’inventaire de Didier Jean Baptiste Campagne, commissaire adjoint des poudres et salpetres, cy devant a Colmar département du Haut Rhin ensuite a Turin département du Pô, décédé aud. Turin le 8 août 1807 – à la requête d’Adélaïde Gabrielle Emerentienne Hortense Gallimard la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Lacombe, notaire à Strasbourg le 6 prairial 12
numéraire 1000 fr et 5873 fr, linge mémoire, meubles 600 fr, total 7923 fr
la veuve reprend 6015 fr, reste 1908 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 107 f° 61-v du 12.8.

Veuve, Adélaïde Gallimard se remarie en 1808 avec Philibert Bequet, commissaire en chef des poudres et salpetres a Turin. Le contrat de mariage est passé à Strasbourg mais le mariage n’y est pas célébré.
1808 (11.9.), Strasbourg 1 (32), Not. Lacombe n° 6497
Contrat de mariage – François Antoine Nicolas Sommervogel, ancien capitaine d’infanterie retiré, mandataire de Philibert Bequet, commissaire en Chef des poudres et salpetres a Turin fils de Louis Bequet, commissaire des poudres et salpetres à Chinon, département de l’Indre et Loire, et de feue Anne Marie Moreau décédée le 10 nivose 2
Adélaïde Gabrielle Emerentienne Hortense Gallimard veuve de Didier Jean Baptiste Campagne, commissaire adjoint des poudres et salpetres a Turin, du consentement de Claude Gallimard son père receveur de la régie de l’enregistrement et Conservation des hypothèques de Strasbourg y demeurant
Enregistrement, acp 107 f° 61-v du 12.8.

Inventaire dressé après la mort d’un locataire, le relieur et cabaretier Judas Lœb

1826 (2.5.), Strasbourg 4 (63), Me Hatt n° 2872
Inventaire de la succession de Judas Loeb, relieur et cabaretier, décédé le 19 février dernier – à la requête de Buna Weil la veuve tutrice naturelle de 1) Zephora née le 18 avril 1806, 2) Zaduc né le 13 mai 1808, 3) Jacob né le 1 février 1812, 4) Ephraïm né le 30 janvier 1813, 5) Simon né le 20 juillet 1819, 6) Eve née le 11 novembre 1820
2. Mathis Loeb, étudiant en théologie majeur, 3. Esther Loeb majeure – en présence d’Isaac Loeb, colporteur, subrogé tuteur demeurant à Dettwiller canton de Saverne
dans la maison grande rue de la Grange n° 7
mobilier 4300 fr, passif 4690 fr (meubles 567 fr, effets mobiliaires à la veuve 89 fr, garde robe 29 fr, bibliothèque 942 fr, fermage 24 fr, tonneaux 1588 fr, comtant 100 fr, dettes actives 150 fr, remplois de la veuve 1300 fr, passif 4698 fr – revêtement masse de la veuve 1389 fr, masse du défunt 4300 fr
Eheberedung zwischen Löb Gabriel, buchbinder des Gabriels Löb krämers zu Dettweiler mit weil. Esther Meyer ehelicher Sohn an einem,so dann Buna Weil, Isaac Weil des handelsmann und Gölche Meyer eheliche Tochter, M° Grimmer 16 floreal 10
Enregistrement, acp 178 F° 117-v du 10.5.

La maison est attribuée à Philibert Becquet lors du partage de la communauté avec Adélaïde Gallimard. Remarié avec Marina Gigault de Marconnay, il vend la maison au cafetier Jean Philippe Beck et à sa femme Barbe Müller.

1829 (14.4), Strasbourg 15 (45), M° Lacombe n° 8526
Auguste Heusch, légiste, mandataire de Philibert Becquet, propriétaire demeurant à Coudray Macouard arrondissement du Saumur, et Marina Gigault de Marconnay
à Jean Philippe Beck, cafetier, et Barbe Müller
une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de la Grange n° 7, d’un côté Jean Bruder, d’autre le Sr Ulrich, derrière le communal, ayant une ouverture sur la rue de la Grange – acquise de Claude Gallimard par acte reçu Lacombe notaire à Strasbourg le 30 septembre 1820, liquidation et partage de la communauté avec Adélaïde Gabrielle Emerentienne Hortense Gallimard sa première femme devant Me Challopin à Saumur – moyennant 18.000 francs
Enregistrement, acp 194 F° 81 du 224

Natif de Pirmasens, l’orfèvre Jean Philippe Beck épouse en 1803 Catherine Elisabeth Pfeiffer, originaire de Wissembourg et veuve du brossier Jean Michel Heinrich, qui meurt en 1810. Jean Philippe Beck se remarie à la fin de la même année avec Barbe Müller, fille naturelle native de Kehl.
1810 (2.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 33), Not. Bossenius n° 357, 4719
Jean Philippe Beck orfèvre veuf sans enfant de Catherine Elisabeth née Pfeiffer
Catherine Barbe Müller baptisée à Kehl le 24 mai 1779 domiciliée à Strasbourg
Enregistrement, acp 115 F° 173-v du 4.11.

Mariage, Strasbourg (n° 505)
L’an 1810 le troisième jour du mois de novembre, sont comparus Jean Philippe Beck, agé de 42 ans, orfèvre, domicilié en cette ville depuis douze ans, né à Pirmasens, Département du Mont tonnerre le 12 septembre 1768, fils de feu Guillaume Beck, orfèvre, et de feu Marie Meyer, ledit époux veuf de Catherine Elisabeth Pfeiffer décédée en cette ville le 18 juin dernier, Et de Catherine Barbe Müller, âgée de 31 ans, domiciliée en cette ville depuis son enfance, née à Kehl, grand Duché de Bade le 23 mai 1779 fille née hors le mariage de Frédéric Louis Müller, tailleur, et de feu Catherine Philippine Meyer (signé) Johann Philipp Beck, Chatharina Barbara Miller (i 1)

1803 (17 nivose 11), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 160
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Johann Philipp Beck, Silberarbeiter allhier, weiland des Bürgers Wilhelm Beck, gewesenen Silberarbeiters in Pirmasentz mit Fraun Maria Magdalena geborener Meÿer, deßen nunmaliger Wittib ehelich erzeugt grosjähriger und lediger Sohn, als Bräutigam an einem,
Und Frau Catharina Elisabetha geborene Pfeiffer, weiland des bürgers Michael Heinrich, gewesenen Bürstenbinders allhier hinterlassene Wittib beÿständlich des Bürgers Johann Daniel Bähr Rechtsverständigen allhier als Braut am andern heil
Straßburg am 22. Nivose eilften Jahrs der Francken Republick [unterzeichnet] Johann Philipp Beck, Catharina Elisabetha Pfeiferin
Enregistrement, acp 86 F° 148-v du 27 niv. 11

Mariage, Strasbourg (n° 164)
Du 27° jour du mois de Nivôse l’an onze de la République française. Acte de mariage de Jean Philippe Beck, agé de 34 ans, garçon orfèvre, domicilié en cette ville depuis quatre ans, né à Pirmasens, Département du Mont tonnère le 12 septembre 1768, fils légitime de Guillaume Beck, orfèvre audit lieu, et de feuë Marie Meyer, Et de Catherine Elisabeth Pfeiffer, agée de 45 ans, domiciliée en cette ville depuis huit ans, née à Wissembourg, Département du bas-Rhin, le 9 août 1757, fille légitime de feu Jean Frédéric Pfeiffer, boucher audit lieu, et de feuë Marie Catherine Ochsenbecher, veuve de Jean Michel Heinrich, brossier, mort en cette ville le 29 ventôse an IV (signé) Johann Philipp Beck, Catharina Elisabetha Pfeferin (i 91)

1810 (23.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 18), Not. Bossenius n° 466
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth née Pfeiffer, femme de Jean Philippe Beck, orfèvre, décédée le 18 courant – à la requête du veuf seul et unique héritier de sa femme par testament reçu par le soussigné notaire la 9 juin courant
en la maison marché neuf n° 13 occupée à titre de loyer
propres de la défunte, meubles 236 fr
communauté, meubles 316 fr, numéraire 50 fr, total 366 fr, déduire 80 fr, reste 286 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 20-v du 2.7.

Jean Philippe Beck meurt en 1840 en délaissant cinq enfants. La succession comprend quatre maisons.

1840 (8.9.), Strasbourg 9 (78), Me Becker n° 860
Inventaire de la succession de Jean Philippe Beck, orfèvre en dernier lieu cafetier, décédé le 1 mai 1840 – à la requête de Catherine Barbe Müller la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Bossenius notaire à Strasbourg le 2 novembre 1810, mère et tutrice légale de Louis Beck, grenadier au 28° de ligne en garnison à Lille, 2. Philippe Beck, cordonnier, en son nom et subrogé tuteur de son frère, 3. Frédéric Beck, horloger, 4. Charles Beck, orfèvre, 5. Caroline Beck, majeure

dans une maison au Marché Neuf n° 14 dépendant de la communauté
Titres et Papiers. M° Hickel le 8 février 1823 transcrit au bureau des hypothèques volume 156 n° 109, les héritiers de Marie Rosine Eckhoff, menuisier, ont vendu au défunt une petite maison située au Marché Neuf n° 14 pour 2246 fr, suivant testament reçu M° Grimmer le 30 fructidor 13 enreg. 27 janvier 1807 la veuve Rauchmaul a institué pour légataire universel Jean Pierre Rothacker, faiseur de peignes et tisserand, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 9 avril 1782, vente du même immeuble par la ville de Strasbourg au Sr Rothacker – qu’aucune partie n’était louée à son décès –
Par acte reçu M° Bremsinger le 23 juillet 1824 transcrit au bureau des hypothèques volume 170 n° 17 le défunt et la veuve ont acquis de Pierre Reibel, charpentier, une maison avec puits & dépendances située à Strasbourg au Finckwiller cul de sac de St Marc n° 23 faisant le coin de la rue St Marc et la ruelle dite Kochleoffelgaessel pour 2800 fr – suivant acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg le 30 septembre 1817 le Sr Reibel a acquis d’Arroy Pierre Mayno pour 1000 fr – Mayno a acquis le même immeuble à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 21 mai 1818 transcrit au bureau des hypothèques volume 106 n° 74 par expropriation forcée sur Jean Meyer, charpentier, pour 265 fr
Par acte reçu M° Bremsinger le 14 janvier 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 186 ,&& 75, Ferdinand François Ambroise Bonard, capitaine en retraite, a vendu aux époux Beck une petite maison située à Strasbourg quai Finckwiller rue dite Kochloeffelgaessel n° 32 tenant à la maison précédente, devant M° Stoeber 29 juin 1819 transcrit au bureau des hypothèques volume 120 n° 2 vendu à Bonard par Jean Jacques Koller, vitrier, M° Uebersaal 18 septembre 1810 Jean Henri Meinel, jurisconsulte receveur de la Haute Ecole et Marie Madeleine Moseder veuve de Jacques Reiss ont vendu à 1. la femme Kolla la maison ci dessus pour 987 fr au Sr Bonard par acte séparé 2. aux conjoints Meyer la maison précédente pour 2962 fr
Cote 4, Par acte reçu Lacombe notaire à Strasbourg le 14 avril 1829 transcrit au bureau des hypothèques volume 223 n° 40 la D° Beck a acquis de Philibert Becquet, propriétaire au Coudray Macouard près de Saumur, une maison et dépendances située à Strasbourg Grand rue de la Grange n° 7 pour 18.000 francs
Enregistrement, acp 281 f° 42-v du 11.9

Catherine Barbe Müller fait donation de ses immeubles à ses trois enfants survivants. La maison Grande rue de la grange revient pour moitié au cordonnier Philippe Jacques Beck et à Caroline Dorothée Beck.

1853 (13.9.), Strasbourg 10 (125), Not. Zimmer n° 10.222
Donation – a comparu Dame Catherine Barbe Müller, demeurant & domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Philippe Jacques Beck, en son vivant ancien orfèvre & en dernier lieu cafetier en la même Ville, Laquelle, par ces présentes, fait donation entre vifs par forme de partage anticipé, conformément aux articles 1075 et 1076 du code napoléon, en faveur de ses trois enfants et héritiers présomptifs ci après nommés 1) Mr Philippe Jacques Beck, maître cordonnier, 2) Mr Charles Beck, orfèvre, 3) Et Dlle Caroline Dorothée Beck en jouissance de ses droits, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, ci présens et acceptant, de 71/128° indivis appartenant à la Dame veuve Beck dans les immeubles ci après désignés ainsi que cela sera expliqué à l’établissement de propriété de ces biens, savoir

1) Une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg maison rue St Marc n° 23, faisant d’un côté le coin de cette rue & de la rue de la cuiller à pot, où elle porte le N° 32, tenant de l’autre côté au Sr Diemer & par derrière au Sr Schüssler. Cette maison estimée sans distraction des charges à un capital de 4000 francs
2) une petite maison avec appartenances Dépendances sise en ladite Ville, marché neuf n° 14, tenant d’un côté au Sr Heinrich, de l’autre à la Veuve Imlin & par derrière à ladite D° Imlin. Cet immeuble est aussi estimé sans distraction des charges à un capital de 2000 francs
3) Et une maison avec appartenances & Dépendances sise en la même Ville grand’rue de la grange n° 7, tenant d’un côté au Sr Haeberlé, de l’autre aux héritiers du Sr Bruder & par derrière à la Veuve Schrumpff & aux Sr Roth & Vogelmann. Cet immeuble est pareillement estimé sans distraction des charges à un capital de 22.000 francs
Faisant ensemble 28.000 francs. Les 71/128° de ces 28.000 francs représentent le montant de la présente donation et s’élèvent à 15.531,25 francs (…)
Attributions. I. Mr Philippe Jacques Beck (…) Pour l’en remplir il lui est abandonné en toute propriété 1) La maison & ses dépendances sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 23 & rue de la cuiller à pot N° 32 pour le prix d’estimation de 4000 francs
2) La maison sise en la même Ville, marché neuf N° 14 pour le prix d’estimation de 2000 francs
3) Et la moitié indivise de la maison sus désignée sise à Strasbourg grand’rue de la grange N° 7 pour la moitié de son prix d’estimation faisant 11.000 francs
II. Mad.lle Beck (…) Pour l’en remplir les autres parties lui abandonnent en toute propriété l’autre moitié indivise de ladite maison sus désignée sise à Strasbourg grand’rue de la grange N° 7 pour la moitié de son estimation de 11.000 francs (…)
Etablissement de la propriété des dits immeubles. Les trois immeubles ci dessus désignés dépendaient de la communauté de biens universelle partageable par moitié qui a existé entre entre la Dame veuve Beck & M Beck son mari défunt, ainsi que cela est constaté en l’inventaire de la succession de ce dernier dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg, le premier mai 1840. Lors du décès de Mr Beck père, la moitié indivise de ces immeubles est avenu à sa veuve, comme ayant à participer pour pareille portion à ladite communauté, & l’autre moitié a été recueillie dans la succession du défunt par les sieurs & Dlle Beck susnommés & par Frédéric Beck, horloger à Strasbourg & Louis Beck, alors soldat au 28° de ligne, domicilié en la même ville, ses enfants et seuls héritiers chacun pour un cinquième ainsi que cela est constaté au même inventaire. Le Sr Louis Beck l’un des enfants du défunt est décédé depuis en laissant pour ses seuls héritiers sa mère pour un quart & ses quatre frères & sœur pour les trois quarts restants de sa succession. Le Sr Louis Beck possédait à son décès un 10° desdits immeubles ou 16/160 dont il est avenu à sa mère un quart ou 4/160 et à chacun de ses frères et sœurs 3/160. Le Sr Frédéric Beck qui possédait de son chef & avec ce qu’il a recueilli dans la succession de son frère 19/160 ou 76/640 est aussi décédé en laissant pour ses seuls héritiers sa mère et ses trois frères et sœurs susnommés qui ont chacun recueilli un quart dans sa succession, ce quart faisant 19/640. Les immeubles dont il s’agit appartiennent aujourd’hui par suite de ces différents décès, savoir I) à la Deme veuve Beck (…) 71/128, 2. au Sr Philippe Jacques Beck (…) 19/128, III. au Sr Charles Beck (…) 19/128,, IV. et à la dame Heintz également 19/128.
La maison n° 23 rue St Marc & celle rue de la cuiller à pot N° 32 formaient autrefois deux propriétés que feu M Beck père & sa veuve ont acquis,savoir (…)
Enfin les conjointss Beck ont acquis la maison grand’rue de la grange N° 7 de Mr Philibert Becquet, propriétaire au Coudray Macouart, arrondissement de Saumur, suivant acte passé devant M° Lacombe, alors notaire à Strasbourg, le 14 avril 1829, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 30 du même mois volume 223 N° 40 & inscrit d’office le même jour volume 197 N° 747.Le prix de cette acquisition était de 18.000 francs (…) M Becquet & feue Dame Adélaïde Gabrielle Emérentienne Hortense Gallimard, son épouse en premières noces, en avaient fait l’acquisition de M. Claude Gallimard, ancien conservateur des hypothèques de Strasbourg, suivant contrat passé devant ledit M° Lacombe le 30 septembre 1820 & le même immeuble a été attribué à M° Becquet suivant acte de liquidation & partage de la communauté qui a existé entre entre lui & cette Dame, dressé par M° Challopin, notaire à Saumur le 24 mars 1826.
Etat hypothécaire (…) Charges & Conditions (…) Lesdits M Philippe Jacques Beck, Dlle Beck & Charles Beck s’obligent en outre conjointement & solidairement l’un pour l’autre de servir à Mad° veuve Beck leur mère, ce acceptant, à raison de ladite donation une rente annuelle et viagère de 300 francs.
acp 422 (3 Q 30 137) f° 85-v du 15.9.

Célibataire, Philippe Jacques Beck vend sa moitié de maison à sa sœur Caroline Dorothée Beck, femme du menuisier Martin Heintz

1859 (2.2.), Strasbourg 10 (138), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.893
Licitation, subrogation et obligation, 2 février 1859 – a comparu Mr Philippe Jacques Beck, ancien maître cordonnier, non marié demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes vendu (…)
à dame Caroline Dorothée Beck, sa sœur, épouse dûment assistée et autorisée de M° Martin Heintz, menuisier ébéniste, ci présent demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, acquéreurs ci acceptant
Désignation. La moitié indivise d’une maison avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg, grand’rue de la grange n° 16 autrefois N° 7, tenant d’un côté aux héritiers Bruder, de l’autre à Mr Eugène Haeberlé, parcheminier, pardevant à ladite rue et par derrière à la veuve Schrumpff et aux Sr Roth et Vogelmann, l’autre moitié de cet immeuble appartient déjà à la dame Heintz ainsi qu’il sera expliqué ci après
Etablissement de la propriété. La totalité de l’immeuble sus désigné dépendait de la communauté de biens universelle et partageable par moitié qui a existé entre feu Mr Philippe Jacques Beck, vivant ancien orfèvre et feue Dame Catherine Barbe Müller, père et mère de Mr Heintz et de M° Philippe Jacques Beck comparans, ainsi qu’il est constaté en l’inventaire de la succession dudit M° Beck, père, dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg le premier mai 1840. Lors du décès de Mr Beck père, la moitié indivise de la totalité dudit immeuble est avenu à sa veuve, comme ayant participé pour pareille quotité à ladite communauté, et l’autre moitié a été recueillie dans la succession du défunt par M° Beck et Madame Heintz comparants, Mr Charles Beck orfèvre, Frédéric Beck, vivant horlogere à Strasbourg et Louis Beck alors soldat eu 28° Régiment de ligne, ses enfants et seuls héritiers, chacun de pour un 5° ainsi que cela est constaté au même inventaire. Le Sr Louis Beck l’un des enfants du défunt est décédé depuis en laissant pour ses seuls héritiers sa mère pour un quart et ses quatre frères et sœur pour les trois quarts restants. Le Sr Louis Beck possédait à son décès un 10° desdits immeubles ou 16/160 dont il est avenu à sa mère un quart ou 4/160 et à chacun de ses frères et sœur 3/160. Le Sr Frédéric Beck qui possédait de son chef et avec ce qu’il a recueilli dans la succession de son frère 19/160 ou 76/640 est aussi décédé en laissant pour ses seuls héritiers sa mère et ses trois frères et sœurs susnommés qui ont chacun recueilli un quart dans sa succession, ce quart faisant 19/640. Par suite de ces diverses mutations la totalité de l’immeuble en question appartenait I) à Mme veuve Beck (…) 71/128, II. au Sr Philippe Jacques Beck (…) 19/128, III. au Sr Charles Beck (…) 19/128,, IV. et à la dame Heintz également 19/128.
Suivant acte de donation par forme de partage anticipé dressé par M° Zimmer notaire soussigné le 13 septembre 1863, Mme veuve Beck susnommée a fait donation à ses trois enfants et héritiers présomptifs les Sr Philippe Jacques et Charles Beck et la dame Heintz des 71/128 lui appartenant dans divers immeubles et entre autres dans la maison sus désignée, et par le même acte lesdits enfants ont procédé au partage entre eux des mêmes immeubles, par l’effet duquel Mr Philippe Jacques Beck et Mme Heintz sont devenus propriétaires chacun pour moitié indivise de la maison sus désignée. Ce partage a eu lieu à charge par la dame Heintz de payer à son frère Charles Beck une soulte de 1670 francs qui se trouve quittancée par le même acte et de servir conjointement avec ses deux frères une rente annuelle et viagère de 300 francs à leur mère susnommée, rente qui se trouve aujourd’hui éteinte par suite du décès de cette dernière arrivé en cette ville le 18 novembre 1857. Pour l’établissement de propriété antérieure du même immeuble les parties se réfèrent à l’acte de partage du 13 juillet 1853. – Prix 14.000 francs (…) Mr Jonathan Goetz marchand de bois, demeurant et domicilié à Strasbourg a fait l’avance aux conjoints Heintz de la somme de 14.000 francs
acp 476 (3 Q 30 191) f° 2-v du 3.2.

Natif de Scheibenhard en Palatinat, Martin Heintz épouse en 1853 Caroline Dorothée Beck qui apporte en mariage la moitié de la maison Grande rue de la Grange

1853 (13.9.), Strasbourg 10 (125), Not. Zimmer n° 10.223
Contrat de mariage – Monsieur Martin Heintz, menuisier ébéniste demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Scheibenhard (Bavière Rhénane) le 10 décembre 1823, du légitime mariage de M Jean Joseph Heintz, aubergiste et de feue Dame Marie Claire Foeller, futur époux d’une part
Mademoiselle Caroline Dorothée Beck, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domicilié à Strasbourg, née en cette dernière ville le 26 février 1819 du légitime mariage de feu M Philippe Jacques Beck, orfèvre, et de Dame Catherine Barbe Müller sa veuve survivante, demeurant et domicilié à Strasbourg, future épouse d’autre part

Apports de la future épouse. Immeuble, la moitié indivise d’une maison sise à Strasbourg grand’rue de la grange n° 7, tenant d’un côté aus héritiers Bruder, de l’autre à M. Eugène Haeberlé, parcheminier, mentionné aussi pour mémoire. ladite moitié indivise de maison a été attribuée à Mad. Beck ainsi que cela résultd d’un acte de donation par forme de partage anticipé dressé par M° Zimmer soussigné et M° Roessel jeune con collègue notaires à Strasbourg cejourd’huy et qui sera soumis à la formalité de l’enregistrement avant ou en même temps de le présent acte
acp 422 (3 Q 30 137) f° 86 du 15.9. (stipulation de communauté réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura en outre l’usufruit composant la moitié du prédécédé dans ladite société d’acquets
Les apports du futur époux consistent en une provision de bois, mobilier et ustensiles le tout estimé à 3983
Les apports de la future épouse consistente 1) un mobilier estimé 580, 2) argenterie 256, 3) créances 14.000, 4) une maison rue de la Grange n° 7 estimée 11.000
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager du toute la succession réduite à moitié en cas d’existence d’enfants



7, rue d’Or


Rue d’Or n° 7 – IX 9 (Blondel), P 1386 puis section 15 parcelle 44 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Brey (1607) – Façade déplacée rue du Maroquin (1939)


Le n° 7 surmonté du clocheton (vers 1930, Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1161)
Vue vers 1910 (carte postale, collection
Strasbourg disparu)
Façade en pan de bois remontée au musée de l’Œuvre Notre Dame (décembre 2010)

La maison qui appartient en 1587 à Loup von Molsheim a un encorbellement de 21 pieds ½ de long en saillie de 6 pieds 9 pouces. Le charron Pierre Groshenn alors locataire achète la maison. Sa veuve se remarie avec le charron Jean Brey qui a l’intention de reconstruire entièrement sa maison en 1607 en aménageant deux arcades. Les préposés l’autorisent à refaire un encorbellement pourvu que la saillie ne soit pas supérieure à quatre pieds. L’enquête menée en 1907 dans les maisons sur le tracé de la Grande Percée relève sur un linteau de porte au premier étage la date 16xx dont les deux derniers chiffres seraient 01. Jean Brey cède un bâtiment arrière en 1607 à son gendre Nicolas Anslinger, un autre bâtiment en 1608 à Michel Walter et une écurie en 1610 à son voisin l’aubergiste à la Pomme d’Or. Jean Brey rachète en 1609 la maison cédée à son gendre. Michel Walter se rend propriétaire des trois bâtiments initiaux en 1619 et revend la même année le bâtiment avant au vigneron Jean Siffermann de Mittelbergheim. Les propriétaires suivants sont des cordiers (Michel Gering, Chrétien Kamm, Jean Jacques Kamm) puis des éperonniers (1693-1728, Jean Heisch, Martin Encke) et des tailleurs (Jean Martin Straub en 1728, Jean Michel Wittmann en 1752). D’après les billets d’estimation, le rez-de-chaussée comprend l’atelier de l’artisan, chaque étage un poêle, une chambre, une cuisine et le vestibule où se trouvent un fourneau et un évier, la cave est solivée. Le comble très ancien couvert de tuiles creuses renferme en 1739 la chambre des logements militaires ; le comble qui a une simple couverture de tuiles plates renferme trois chambres cloisonnées en 1750. Il semble donc que le clocheton soit dû au coutelier Jean Daniel Froschhammer.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 250 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie, deux étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères g’’ et h’’ : porte et une arcade, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière (1-2) de la maison donne dans la cour Q.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 7.


Cour Q

La maison appartient de 1809 à 1818 au faiseur de treuils Jean Henri Edler. Il la vend à deux architectes qui en font une maison de rapport. La ville achète la maison (exercice 1909) qui se trouve sur le tracé de la Grande Percée. La Commission des monuments historiques fait observer en 1932 que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé. Comme le tracé de la percée a déjà été modifié pour éviter de démolir des bâtiments quai Saint-Nicolas, la Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés aux bâtiments du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension. La Police du Bâtiment ratifie en 1938 le projet de remonter dans la cour de l’hôtel du Cerf la façade anciennement au 7, rue d’Or et vers la rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.


Etages (vers 1930, Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1160)
Dessin de la façade à remonter rue du Maroquin (1938, dossier de la Police du Bâtiment)


Relevés du Service des monuments historiques en août 1907 (dessins d’Othon Reick, Fonds Denkmalarchiv, DRAC Grand Est, cote DAR 482 B 146)

juin 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1603 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Loup von Molsheim, drapier, et (1572) Catherine Reiff – luthériens
Pierre Groshenn, charron, et (1576) Véronique Schuekür – luthériens
h Jean Brey, charron, et (1594) Véronique Schuekür veuve de Pierre Groshenn – luthériens
1607 h (partie arrière, 1607-1609) Nicolas Anslinger, cocher, et (1597) Madeleine Groshenn, remariée (1609) avec le cocher Georges Barchert – luthériens
1608 v (partie arrière, 1608) Michel Walter, ci-dessous
1619 v Michel Walter, gourmet, et Barbe Gamp, bourgeois depuis 1609 – luthériens
1619 v Jean Siffermann l’aîné, de Mittelbergheim – luthérien
1624 h Michel Gering, cordier, et (1624) Eve Sifermann puis (1638) Apollonie Burckhard – luthériens
1668 v Chrétien Kamm, cordier, et (1648) Anne Thomas – luthériens
1680 h Jean Jacques Kamm, cordier, et (1687) Anne Marie Schuhmacher, remariée (1695) avec le boulanger Jean Thiébaut Ammel, d’abord (1688) mari de Marie Madeleine Nonnenmann – luthériens
1691 v Jean Heisch, éperonnier, et (1687) Marguerite Freytag, remariée (1696) avec l’éperonnier Martin Encke – luthériens
1728 v Jean Martin Straub, tailleur, et (1719) Marie Salomé Appelli puis (1733) Marie Salomé Weber, d’abord (1730) femme du maréchal ferrant Jean Michel Ott de la Robertsau – luthériens
1739 v Jean Daniel Froschhammer, coutelier, et (1717) Catherine Dorothée Schneider – luthériens
1752 v Jean Michel Wittmann, tailleur, et (1750) Catherine Elisabeth Rœmer, remariée (1784) avec le batelier Jean Thiébaut Rimbach – luthériens
1807 v Jean Geoffroi Schæffer, marchand, et (1770) Marie Elisabeth Strohmeyer – luthériens
1809 v Jean Henri Edler, faiseur de treuils, et (1808) Marguerite Salomé Reichard
1818 v Jean Chrétien Arnold, architecte, et (1796) Catherine Dorothée Heitz (indivis avec le suivant)
1838 v Jean Daniel Fritz, charpentier, et (1784) Marie Salomé Heiligenstein
1881 v Gustave Adolphe Kieffer, tailleur puis receveur de l’octroi, et (1857) Barbe Klinger
1909* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1722, 350 livres en 1733, 250 livres en 1739, 250 livres en 1750, 450 livres en 1782

(1765, Liste Blondel) IX 9, Michel Wittmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wittmann, 3 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1386, Arnold, Jean Chrétien, architecte rue du Jeu des Enfants 27 – maison, sol – 0,4 are / Fritz Jean Daniel hér. / 0,25

Locations

1605, Nicolas Anslinger et Madeleine Groshenn (ensuite propriétaires)
1608, Georges Brey, voiturier (frère du propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 365
Loup von Molsheim est propriétaire de la maison qu’il loue au charron Pierre Grosshenn. Il doit 8 sols pour jouir d’un encorbellement (21 pieds ½ de long, 6 pieds 9 pouces de saillie)
Pierre Grosshenn doit en particulier 2 sols pour poser du fumier sur le communal.

Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.

Wolff von Moltzheim der Tuchmann hatt an seinem Hauß, da Peter Großhenn der Wagner Innen sizt, ein Vsstoß xxi+ schu lang, vj schu ix Zoll herauß, Bessert für den Ausstoß, viij ß d.

Peter Großhenn der Wagner hatt auch daß Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für das Nießen, ij ß d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1607, Préposés au bâtiment (VII 1322
Le charron Jean Brey qui habite à côté de la Pomme d’or a un grand encorbellement (6 pieds ½ de saillie, 20 pieds ½ de long) qu’il a l’intention de démolir. Il a l’intention de reconstruire entièrement sa maison et d’aménager deux arcades. Comme les voisins qui ont eux aussi de grands encorbellements devront aussi faire des travaux, les préposés renvoient le pétitionnaire aux Conseillers et aux Vingt-et-Un

(f° 101-v) Freÿtag 17. Julÿ – Hans Breÿ d. wagner im Goldgießen neben dem guldenen Apffel wohnend, hat ein grossen alten Uberhang 6 ½ schuh herauß, vnd 20 ½ sch lang war er willens abzubrechen 2 Newe bögen Zubrech. vnd d. hauß von newem Zubawen. Weil dan bede seine Nachburen Zu beden seiten eben solche vberhang auch haben vnd In Kurtzenn auch bawen müssen, Ist dauon gered, ob man Ihm willfahren, oder etwas abbrech. will, weil man aber sein beg.en ohn d. nit recht verstehen können Ist er für die xxi gewieß. mags daselbst schrifflich für bring.

1607 Conseillers et XXI (1 R 86)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent pouvoir aux préposés au bâtiment de prendre la décision qui leur paraîtra la plus esthétique et la plus appropriée.

(f° 190) Mittwoch den XXII Julÿ – Hans Prey vmb Newen vberhang – Hans Prey der wagner vbergibt supp.tôn dorin er meldt, wie er sein hauß im goldtgiessen bawen muß do er ein vberhang hatt deßwegen die bawhh. den augenschein eingenohmen vnd Zu referiren lassen werden, Wan Ime aber angelegen d er den vberhang behalten mag Bitt Zubewillig. den vberhang also. zuvergohnnen* wie er itzund hatt dan er sonst mehr auß flicken muße. Erk. Hn Bawhh. sollen befelch vnd gewaldt haben Ime wie es gemeiner Statt an Zierlichsten u. nutzesten Zuwillfahren.

1607, Préposés au bâtiment (VII 1322)
Les préposés décident que le nouvel encorbellement ne devra pas avoir une saillie supérieure à quatre pieds et qu’il ne sera pas imposé. Jean Brey déclare qu’il ne peut pas perdre trois pieds sans quoi sa maison sera trop petite. Les préposés maintiennent leur décision.

(f° 123) Zinstag 25. Augusti – Hans Breÿ d. wagner im Goldgießen neben dem guldenen Apffel hat hieuor einen alten vberhang vi+ vnd vij schuh herauß, vffs Almend herauß gebetten, Ihme wider Zuerlauben wie er hieuor gewesen, deßhalber für die xxi gewissen vnd daselbsten B und 3 beuelch und gewalt geben worden Ihme Zu willfahren oder nit Seind B und 3 widerumb vffm augenschein erschinen, der nachnahm sein hieuorig bedencken vnd begeren repetirt. Ist derhalb dauor geredt, das bede seine nachburen Zu beden seiten, eben auch solche grosse vberhengh haben nemlich 7 und 7 sch herauß und das dieselben auch werden bawen müß. es seÿe gleich vber kurtz oder lang, solte man derhalben solche große wüeste, breite vberhang abschaffen, vnd anstatt der siben schuh so er bißher gehabt, nur 4 schuh gestatten und zulaßen, vff die vberige 3 schuh soll er Verzigt thun, vnd solchen 4 schühige vberstoß vergebens haben. Das Ist Ihme angezeigt, der erclärt sich habe sonst wenig platz vnd könne nichts verlüeren od. Verzugk thun, sonder will d. bawen Ehe vnd laß. vnd das hauß verkauff. & bleibt dabeÿ.

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 600 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle, plusieurs chambres, chambre à soldats, vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, une petite cave sous solives, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1739 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée le vestibule, une cave sous solives, au-dessus deux poêles, deux chambres, deux vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, chambre à soldats sous le comble très ancien, toiture couverte de tuiles creuses, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de coutelier, au premier étage un poêle, une chambre, une cuisine et le vestibule, le deuxième étage est entièrement pareil au premier, le comble qui a une simple couverture de tuiles plates renferme trois chambres cloisonnées, la cave est solivée, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique de tailleur, deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 900 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue d’Or

nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
Edler
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 438 case 4

Fritz, Jean Daniel hér.

P 1286, maison, sol, rue d’Or 4
Contenance : 0,25
Revenu total : 50,13 (50 et 0,13)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 805 case 2

Fritz, Jean Daniel héritiers
1881/82 Kieffer Adolph Wwe Barbara Klinger

P 1286, maison, sol, Rue d’Or 7
Contenance : 0,25
Revenu total : 50,13 (50 et 0,13)
Folio de provenance : (438)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 174 case 3

Parcelle, section 15, n° 45 – autrefois P 1386.p
Canton : Goldgießen, Hs N° 7
Désignation : Hf, Whs e. a T. (Skizze 13)
Contenance : 0,25
Revenu : 400 – 500
Remarques : 1937, démolit. – 1950 à p. 173/6

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 642
Kieffer Gustav Adolph Wwe
(gelöscht 1908)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

Cadastre allemand, registre 29 p. 174 case 2

Parcelle, section 15, n° 44 – autrefois P 1386.p
Canton : Goldgießen, zu Hs N° 7
Désignation : Hf, Whs Stockwerk e. a T. (Skizze 13)
Contenance :
Revenu : zu 110
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 642
(supra)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 294 Dite Goldgiessen, Quart. des Charrons

4
Loc. Trapp, Jean Henri – Moresse
Loc. Bohnert, Michel – Tailleur

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Goldgiessen (Seite 50)

(Haus Nr.) 7
Hummel, Schuhmacher. 0
Kieffer, Rentnerin. E 12
Jacquemin, Schreiner. 3

Grille d’enquête

L’enquêteur suppose que la date 16xx qui se trouve sur le linteau sculpté d’une fenêtre du premier étage correspond à 1601 qui donnerait la date à laquelle la maison a été construite. La façade est en pans de bois. Les combles sont particulièrement remarquuables. L’escalier en colimaçon est en bois. Certaines portes sont sculptées – Remarque. Le compte rendu est particulièrement difficile à déchiffrer.

(118)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Goldgiessen N° 7 [Maison :] 7, rue d’Or

a) Geschichtliches : [Historique] : Wolff von Molsheim, Tuchmann, wo Peter Grosheim [sic] der wagner wohnt 1587
Kraus : Sehr altes Haus mit Holzskulptirter Fenstereinfassung [Kraus, Très ancienne maison dont les encadrements de fenêtre sont sculptés]

b) Zeitbestimmung : c. 1600. Datum auf Türfries I. Ob. * erhalten *) [Epoque] environ 1600, date sur la frise d’une porte au premier étage

c) Zeicheriche Aufnahmen : Im Denkmal* – von Tür* im I. Ob. erforderlich [Relevés sous forme de dessin]

d) Photographische Aufnahmen : der Front erforderlich [Relevé photographique] façade

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Holz massiv, Rg Fackwerk [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] en bois massif, pans de bois
  • 2. Anzahl der Geschosse – 2 [Nombre d’étages]
  • 4. Kelleranlage– nicht vorhanden (Goldgiessen !) [Sous-sol] aucun (Rue d’or !)
  • 5. Dachstuhl – eigenartig – Pfetten liegen auf Giebelwänden – aufzi*decke ! [Comble] remarquable. Les pannes reposent sur les murs du pignon
  • 11. Türeinfassungen – *boss Stein mit Kohlprofil *) [Encadrement de porte]
  • 12. Fenstereinfassungen- *ergl. ein od. II. *) [Encadrements de fenêtre]
  • 15. Gliederungen – ornamentiste F*er im I. Obz *) [Moulures]

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 1. Grundrissanlage- * * mit * Holzwendeltreppe, 2. kl. Zimmer vorn, weiten Stube u. Treppe [Disposition générale] escalier en colimaçon en bois, 2 petites chambres, un poêle et un escalier li>
  • 7. Treppenhaus – Holzwendeltreppe [Cage d’escalier] escalier en colimaçon en bois
  • 12. Plafonds – I. Obz. Ge*töbt, Tafelbretter mit Deckprofilen [Plafonds] lambrissé
  • 23. Türbilder (supraporten) – 3 Tür* mit Pilaster und ornamentirten Friesen im I. u II. Obz. *) [Dessus-de-porte] trois portes (…) à frises ornées aux 1° et 2° étages
  • 25. Türbeschläge – i Speicher * und Türfries *) [Ferrures de porte]

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 886 W 73)

7, rue d’Or (1895-1939)

Le propriétaire fait les travaux ordinaires en réaménageant notamment en 1901 la fenêtre qui n’ouvre plus vers la voie publique. La Commission contre les logements insalubres constate que la maison est bien tenue.
La Commission des monuments historiques fait observer en 1932 que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé. Comme le tracé de la percée a déjà été modifié pour éviter de démolir des bâtiments quai Saint-Nicolas, on propose de démonter certains éléments comme la toiture. La Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés aux bâtiments du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension. La Police du Bâtiment ratifie en 1938 le projet de remonter dans la cour de l’hôtel du Cerf la façade anciennement au 7, rue d’Or et vers la rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.

Sommaire
  • 1884 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Kieffer, propriétaire, d’installer un tuyau d’aération à ses latrines – Le tuyau est installé, novembre 1884
  • 1895 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Kieffer, propriétaire, de modifier les volets d’une fenêtre au rez de chaussée pour qu’il ne s’ouvre plus vers la voie publique – Rappel, juillet 1898 – La propriétaire répond que l’agencement de la maison ne le permet pas – Nouveau rappel, mars 1900 – Les volets ont été modifiés mais pas encore la porte à guillotine – Rappel au sujet de la porte, avril 1901 – Travaux terminés, mai 1901
  • 1904 – La Police du Bâtiment constate que la sage-femme Hügel a fait poser sans autorisation une enseigne perpendiculaire – L’enseigne a été enlevée, avril 1904
  • Commission contre les logements insalubres – 1905 Les logements sont en bon état, les latrines sont accessibles de la cuisine, la cage d’escalier est propre
    1912 – Le logement Schellenberg est occupé par trop de personnes
    1915 – Commission des logements militaires. travaux à faire, raccorder les latrines aux canalisations, enlever les cheminées, éclairer la cage d’escalier
  • 1932 – Pièces jointes. Compte rendu de la Commission artistique municipale, Avis de l’Office d’habitations à bon marché, constructeur du bâtiment futur.
    Compte rendu sur le tracé à retenir – La Commission des monuments historiques fait observer que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé.
    Le bâtiment 9 rue d’Or aussi inscrit à l’inventaire supplémentaire sera détruit.
    Annexe au compte rendu de la Commission artistique. La maison ne peut être conservée dans le tracé de la percée, déjà modifié pour éviter que d’autres bâtiments du quai Saint-Nicolas soient détruits. On a proposé de réutiliser certains éléments dont les toitures à un autre endroit.
    1933 – La Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés à ceux du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension.
  • 1938 – Dossier de dix dessins concernant le projet de nouveaux musées municipaux. La façade sur la cour de l’hôtel du Cerf accueillera les éléments de la façade anciennement au 7, rue d’Or, la façade rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.
    La Police du Bâtiment ratifie le projet. Pas de travaux, octobre 1938 – Travaux commencés, février 1939

Relevé d’actes

Pierre Grosshenn est locataire de la maison en 1587 (voir le Livre des communaux).
Originaire d’Altkirch, Pierre Groshenn épouse en 1576 Véronique Schuekür, originaire de Reichshoffen

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 116-v, n° 15)
1576. Den Ersten Octobris sind Ehelich eingesegnet worden Peter Großhenn von Alkirch in Sundgaw vnd frawele Schuekuerin selig. hind.lassene tochter von Richshofen (i 132)

Le charron Pierre Groshenn originaire d’Altkirch achète quelques jours plus tard le droit de bourgeoisie
1576, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 266
Petter großhanne von Alttkirch der Wagner hatt d. burgkrecht kaufft vnd dient Zu den Zimmerleuth den 13.ten 8.bris 76

Véronique veuve de Pierre Groshenn se remarie en 1594 avec Jean Brey, charron originaire de Benningen en Allgäu (voir l’acte de 1608 qui cite son frère originaire de Dettingen près de Memmingen)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 31-v, n° 33)
1594. Den 9. Decemb. sind Ehelich eingesegnet worden Hans Breÿ von Behning. d. Wagner und frawen Peter Großhenn deß wagners seligen nachgelaßene Widtwe (i 37)

Le charron Jean Brey natif de Benningen devient bourgeois par sa femme Véronique veuve de Pierre Groshenn quelques jours après son mariage
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 721
Hannß Breÿ von Beningen ein Wagner, hat daß burgerrecht empf. vonn Veronica w. Peter Großhänn deß Wagners wittibenn s. haußf: vnndt will Zun den Zimmer Leüttenn dienen. Actum den 17. decemb. 94.

Jean Brey et sa femme Véronique veuve de Pierre Groshenn hypothèquent au profit du cocher Nicolas Anslinger au nom de sa femme Madeleine Groshenn, fille en premières noces de la débitrice, la maison comprenant trois bâtiments, deux écuries, un puits et autres dépendances, entre l’auberge à la Pomme d’or et le maréchal ferrant Laurent Baumwoll

1605 (xxix Januarÿ), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 53
(Inchoatum in Prothocoll. fol: 66.) Erschienen Hannß Breÿ der Wagner burger Zu Straßburg, vnd frauwell sein eheliche haußfrauw, Wÿland Peter Großhenn des Wagners seligen witwe
Haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Niclaus Anßlingers des Gutschers, Burgers Zu Straßburg, Als Ehevogts Magdalenen Großhennin seiner hußfraw. obgemelter Ehegemechd frauwell vnd Peter Großhennen dochter – schuldig sigent 400 gulden, Jeden gulden Zu xv batzen gerechnet
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt dreÿ heüser An einander mit Iren Hoffestatten, Zweÿen Stallung Vnd Brunnen, auch allen Andern Iren gebeuwen, begriffen, Weithen, Rechten Vnd Zugehörden, gelegen Inn der Statt Straßburg, Im Goldtgiessen, einsit nebent der Herrberg Zum Guldin Apffell, Niclaus Geude Zuständig, Vnd anderseit neben Lorentz Baumwoll den Huffschmÿtt, hinden auch vff die Herrberg Zum Guldin Apffell stoßend, Davon geth j lb d Boden Zinß den Herren Vicarien Im Gürtler hoff, Item xxx gudin gelts Ablosig mit vj C guldin Wolff Vonn Molßheim, Item Zehen guldin gelts Lösig mit ij C guldin Friderich Scholl dem Metziger, daran aber x guldin gelts Widerkheüffig mit ij C guldin Cunradt Mohr dem Haußbecken, Jährl. wie man sagt

Jean Brey et Véronique louent à leur gendre et fille Nicolas Anslinger et Madeleine Groshenn la maison sauf l’atelier de charron. Les parties résilient le bail le 19 mars 1607.

1605 (vt spâ [xxix tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 54
(Inchoatum in Prothocoll. fol: 66.) Erschienen Niclaus Anßlinger der Gutscher burger Zu St: Vnd Magdalen Großhennin seine eheliche Haußfraw
Haben bekhandt vndt In gegensein Hannß Breÿ des Wagners, burgers Zu St: vnd Frauwell desselbig. Ehegemahell, Ihres Schwähers vnd. Mutter Offentlich verÿehen
Das sie Inen vonn Jetzgemeltem Ihrem Schwäher vnd Mutter, Sechs Jahr lang nach einander Volgend, so albereit vff Johannis Baptistæ nechstkünfftig Anegehen sollen, Entlehnt hetten Bemelter Ehegemechd Hannß Breÿen und Frauwell Ein Behausung, sampt Stallung Vnd Heuwbünen, Mit allen begriff Vnd Zugehörd. Allein die Wagner Werckstatt Vndenher vßgeschlosen, so nit Inn disser Lyhenung begriffenn sein sollen Gelegen alhier Im Goldtgiessen nebent Herrbergen Zum Guldin Apffell ein, Vnd anderseit Lorentz Baumwoll den Huffschmÿtt, Vnd Ist disse Lyhenung beschehen Vnd Zugang. Für Vnd Vmb einen Jährlichen Zinß 20 guldin Zu xv batzen
Hiebeÿ vnd mitt ist gewesen Melchior Kesselmeÿer der Sattler burger Zu St.
[in margine :] Vff 19. tag Martÿ 1607. Ist erschien hannß Breÿ hierin gemelt hatt in gegensein Niclauß Anßlingers befohlen disser Verschreibung Zu cassiren vnd Abzuthun.

Jean Brey et Véronique veuve du charron Pierre Groshenn hypothèquent la maison au profit de Nicolas Anslinger et de Madeleine, leur gendre et fille respectifs. L’acte est annulé par le suivant.

1607 (vt spâ [xix tag Martÿ]), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 126-v
Erschienen hannß Breÿ der Wagner burger Zu Straßburg vnd frauwell sein eheliche haußfrauw, wÿland Peter Großhenn des wagners selig. witwe
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Niclauß Anßlingers des Landtgutschers burgers Zu Straßburg Magdalena seiner haußfr. Ihres dochtermanns vnd dochter offentlich verÿehen – schuldig sigent 300 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt dreÿ heüser Aneinand. geleg. mit Ihren hoffstett. Zweÿ höff. Stallung vnd Brunnen, Auch Allen Ihren gebeüwen & Inn d. St. Straßburg Im goldtgiessen, einseit neben d. herrberg Zu guldin Apffell vnd and.sit neben Lorentz Boumwoll dem huffschmidt hind. vff die herrberg Zum guldin Apffell stoßend, Dauon gond j lb d Boden Zinß den herrn Vicarien Inn Gürtlerin hoff, Item xxx gl geldt Ablösig mit vj C gl Wolff vonn Molßheim, Mehr w gl gelts Lösig mit ij C gl Cunradt Mohren dem haußbeck Alle Jahr Sunst eÿg.
(Vide Cassaturam in Reg. 1605. fol. 53.)
(Disser gegenwärtiger Contract Ist vß geheÿß bed. parth. vnd abgethan weg. eines newen Contract prout infra fol: 300. Act. 6. Julÿ Anno 1607)

Jean Brey et Véronique veuve du charron Pierre Groshenn vendent une maison au profit de Nicolas Anslinger et de Madeleine, leur gendre et fille respectifs. Les vendeurs se réservent le bâtiment avant et prennent à leur charge les capitaux garantis sur la maison, notamment 400 florins dus à Loup von Molsheim (précédent propriétaire). Les parties conviennent de construire un mur dans la première cour et de divers aménagements (escalier, jours)

1607 (vj tag Julÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 300-v
(P. fol. 181.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnd frauwell seiner eheliche haußwürthin wÿland Peter Großhenn des wagners selig. witwe haben (verkaufft)
Niclauß Anßlinger dem Landtgutscher burger Zu Straßburg vnd Magdalenen Großhennin seiner ehelich. haußfrauwen Ihrem dochtermann und dochter, bede Zugeg.
hauß, hoffestatt vnd hinder Stallung sampt dem Stall vnder der behausung deßgleichen ein Vord. vnd hind. höfflin benebent dem vßgang vornen Inn das goldtgiessen Auch mit der gerechtigkeit des halben Brunnens so mit hannß Khammen dem Metziger gemein gelegen Inn der Statt Straßburg Im goldtgiessen, hind. Ihr der verkhöuffern noch vorbehalttenen Behausung einseit nebent demselbig hannß Khammen zum theÿl und Zum theil Mathÿß Schäffer dem Landtgutscher, anderseit nebent der herrberg Zum guldin Apffel vnd stoßt vornen vff der Verkhöuffern vorbehaltene vordere Behausung, da dan der vßgang vnder derselben vorderer Behaußung Inn das goldtgiessen gehet vnnd das vorder höfflin nebent der verkhöüffere nebens beüwlin so sie Inen Auch Vorbehaltten gelegen, Vnnd ob wol Ihr der Verkhoüffere vordere behausung mit sampt dissen erkhaufftenn hauß hoffestatt höfflin vnd Ställen noch verhafftet Ist für ein pfund pfenning gelts Bodenzinses vff Johannis Baptæ fallend Inn gürtlerhoff, Mehr v lb d gelts Ablösig mit j C lb d vff Galli Cunradt Mohren dem Becken, So haben doch die Khöuffere solche bede beschwerd. vff Ihre Behausung Angenommen, dieselbe Jahrs ohne der Verkhöuffere Zuthun, costen vnnd schad. Zu Verzinsen vnd Abzurichten
Weÿther dieweil bede Behausung. das vord. vnd hind. noch verhafftet sind geg. herrn wolff von Molßheim vmb 400 guldin Straßburger wehrung So haben die Verköüffere solche beschwerdt vff ihre noch vorbehalttene vorder Behausung geschlag. dieselbig. Summ Jährlich ermelten herrn Wolff von Molßh. ohne der Khöuffere costen vnd schad. Zu verzinsenn, Dafür dann bede Behausung gegen einander vff den fahl da man einig. Verlust Ane einem oder andern nemmen solte, obligirt vnd verpfandt sein sollen, vnnd Alles Rht, Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen 550 pfund pfenning Straßburger
Vnd Ist hirin Insonderheit Abgeredt, Weil Inn dem Vordern höfflin vonn nebents bouwlin ein scheÿdtwandt bits Ane den vßgang der vordern thüren würdt gemacht werdenn zu vnderscheÿden des wagners werckstatt, So Ist vff Acht Jahr lang gegönnet worden ein thier Inn die scheÿdtwandt Zu machen, damit der wagner die thier Zu seinem handtwerck desto besser gebrauchen möge, Nach vßgang er Acht Jahren solle disse gönnung vffhören vnd die thier wider Zugemacht werden, ferner die steg nebent der erkhaufften Behausung Inn dem nebents buwlin soll den khoüffern Auch gehören vnd vonn den Verkhoüffern vnderschlag werd. dann sie die Verkhöuffere Ihren vßgang Zu dissem nebents buwlin vonn der vordern Behausung suchen vnd disse steg nimmer mehr gebrauch. sollen, Item es sollen Auch Alle der Verkhöuffere taglichter vnnd fenster Vonn Ihrer vorbehalttenen Vndern Behausung vnd dem nebents heüßlin Vergettert sein vnd pleiben, damit nichts unsaubers Inn den Vorder höfflin geschüttet werde, wie nicht weniger khein theil dem Andern Zu ewig. zeiten tagliechter od. fenster Zu Verbauwen macht haben. Souil endlich die tachtrauff belangt, sollen dieselben wie die Jetzundt fallen Auch also verpleiben Getreüwlich vnd Vngeuorlich Verzigt
Hiebeÿ gewesen Wolff von Molßheim, Ruprecht Stollenmeÿer d. Beck, Andreß Schuch Alle burgere Zu Straßburg vnd Friderich Großhenn von Lucern

Originaire de Melzting (sans doute Metzing près de Forbach) en pays welsche, Nicolas Anslinger épouse Madeleine Groshenn en 1597
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 38 n° 10)
1597. den 18. Apr. sind Ehelich eingesegnet word. Niclaus Antzling. von Meltzing. in Westrich vnnd Magdalena Groshennin Peter Großhenn deß Wagners seligen nachgelaßene dochter (i 45)

Le cocher Nicolas Anslinger originaire de Miltzingen acquiert le droit de bourgeoisie en juin 1602.
1602, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 655
Niclaus Anßlinger Vonn Miltzingen der Landgutscher Kaufft mit beÿstandt Hanns Brewen deß wagners das B. will Zur Morin dienen, Vnnd sein Nahrung für 200 fl
angeben. Actum vt Supra [j. Junÿ 1602.]

Jean Brey et Véronique Groshenn hypothèquent la maison qu’ils ont conservée au profit du maçon Sébastien Goldbach

1608 (3. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 56-v
(Inchoatum in Protho. fol: 61.) Erschienen hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnnd frauwell Großhennin sein eheliche haußwürthin
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Bastian Goldtbach des Maurers burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeu. & geleg. In d. Statt Straßburg Im goldtgieß. einsit neb. der herberg Zum guldin Apffell vnd And.sit neben Lorentz Boumwoll dem huffschmÿdt hind. vff Niclauß Aßlinger den Landt gutscher stoßend, Dauon gend. xx guldin gelts Ablösig mit iij C gl h Wolff vonn Molßh. Sunst ledig eÿg.

Jean Brey loue la maison à son frère voiturier Georges Brey

1608 (vt spâ [xxj. Aprilis]), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 144-v
(Inchoat. fo: 146.) Erschienen Georg Breÿ der Furknecht
hatt in gegensein Hanns Breÿen Wagners burgers Zu Straßburg seines lieben bruders
freÿ guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen das er Ime V. seinen erben Zweÿ Jar lang die nechstnach einander volgend Vnd Vff Johannis Baptistæ nechstkhünfftig anestehend vonn gedachtem hanns Breÿen Entlehnet Ein Behaußung hinder sein Georg Breÿen Behausung Inn der S S Im goldt gieß gelegen einseÿt Niclaus Anßinger dem Guttscher gelegen nach der S S bruch V. gewonheÿt für vnd vmb ein Jährlichen Zinß Nemlich 5 guldin SW

Jean Brey hypothèque la maison au profit de son frère Georges Brey, originaire de Dettingen près de Memmingen (en Allgäu)

1608 (xxj Aprilis), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 144-v
(Inchoat. fo: 146.) Erschienen Hanns Breÿ Wagner burger alhie
hatt in gegensein Georg Breÿen des Furknechts von Dettingen bey Memmingen gelegen seines lieben bruders – schuldig sige 100 guldin Zu 15 batzen
dafür Vnderpfand sein huß und hoffestatt mit all Iren gebew gelegen Inn d. St St Im goldtgieß einseÿt Lorentz Brumpt dem huffschmid andersyt Niclaus Anßinger des Guttschers hefflin stoßend hind. vff denselben Anßinger, dauon gend 20 guldin glts SW loßig mit 400 guldin derselb. werung wolff von Molßheim, Mehr ij lb x ß glts loßig m. 50 pfd. pfenning Bastian Goldtbach dem Murer

Jean Brey et Véronique vendent une maison à Michel Walter, de Kork en Bade, et à sa femme Barbe. L’acquéreur promet de devenir bourgeois dans les quatre semaines.

1608 (vt spâ [xxiij. Decembris]), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 376
Erschienen hanns Brey der Wagner v. Frauwel sein eheliche hußfr
haben vnuer. verkaufft Michell Walthern von Korck vnd Barblen seiner huß fr.
Inen huß v hoffstatt mit all Ir gebeu geleg. In der S S Im goldgieß. einseyt Lorentz Boumwol, andersyt Niclaus hanslingers gutschers löffen* stoßend hind. vff denselb. für freÿ ledig eÿgen, alles Rht, der Khauff besch. vmb 462 guld. zu xv batzen
Hiebeÿ gewesen Lorentz Boumwoll huffschmid Andres Schütterlin bed. hierzu erbetten
[in margine :] nota Michel walther erclert sich Inn vier wochen burger zu werden.

Madeleine Groshenn, veuve de Nicolas Anslinger, se remarie en 1609 avec le cocher Georges Barchert, fils du vigneron Marc Barchert de Durlach
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79 n° 6)
1609. denn 1. Maÿ seÿndt ehelich eingesegnett wordenn Jörg Barchertt vonn Durlach der Gutscher, Weÿland Marx Barchertt des Rebmanns vnndt Burgers seligenn daselbsten nachgelaßener Sohn, Vnndt Magdalena Großhennin, Weÿland Niclauß Anslingers gewesenen Gutschers vnndt Burgers seeligen alhie nachgelaßene wittwe

Le cocher Georges Barchert de Durlach achète le droit de bourgeoisie quelques mois plus tard en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 750
Georg Barchet der gautscher Von Durlach Khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Sebastian Goltbachs Kleinen Rahts bewandten vnd wüll Zu den Maurers Zünfftig sein, Actum den 10. 8.bris Ao. 1609.

Tuteur de Marc Anslinger, fils de Nicolas Anslinger, Chrétien Walter cède la maison à ses grands-parents. Les cessionnaires garantissent le paiement de 525 livres non seulement par la maison cédée mais par celle qui leur appartient en propre

1609 (xxvij tag Octobris), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 520
(Inchoat. in Protho. fol: 440.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnd Frawell sein eheliche Haußfr. mit beÿstandt & Andres Schuoh burgers Alhie Ihres dochtermans Ane eim, So dann Christmann Walther der Elter Metzig. burger Zu Straßburg Alß geschworner Vogt Marx Anßlinger, Weÿland Niclauß Aßlingers des Gutschers Alhie selig. Khinden Am Andern theil
Haben gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿehenn, d. sie sich heut dato mit einander hienach geschribener sachen einmütiglich vereinbaret hab. Iren wÿß vnd maß. wie hernach volgt, Benantlich Zum Ersten So hatt Obgedacht Christmann ehgemelten beden ehegemechden obgenandt Vogts Sohns H. Großvattern vnd Großmuttern freÿ eÿgenthümblich cediret Zugestellt vnd Vbergeben die behaußung, Alß hauß, hoffestatt sampt Zweÿen höfflin, Stallung auch Allen Andern & geleg. In d. St: St: Im Goldgieß. einsit nebent Hanß Khammen dem Eltern, Andersit nebent der herberg Zum guldin Apffel, stoßt hinden vff den selbig. Apffell, dauon ein pfund pfenning bodenzinß, Im Gürtler hoff, mehr Zweÿ pfund 10 schilling & gelts lößig mit L lb & Conradt Mehrern den haußbeck. Sonst eÿg. Ferner dreÿ pfert sampt Schiff Vnd geschirr vnd Zween Gutsch., wie dann Auch Allen haußrath (…) für vnd vmb 525 pfund pfenning Straßburg
Dargegen hab. Obgenante Ehegemechd der Groß Vatter vnd Mutter für sich & gelopt v. versproch. Jetzgehörte 525 pfund gedachten Ihren Enckel Zu geben (…) darfür den Obangeregte Vbergebene behaußung, sampt Ihr den Ehegemechd eÿgenen behaußung, In gemelt. Goldgieß. geleg. einsit Auch nebent guldin Apffell, And.sit nebent Lorentz Bauwell dem huffschmidt hinden vff Michell Walther stoßend, davon gondt 20 guldin gelt Lößig mit 400 gultin werung wolff von Moltzheim selig erben, Mehr Zweÿ pfund 10 schilling pfenning gelts Lößig mit L lb Abraham Kellnern den Allmosen Knecht

Le charron Jean Brey hypothèque deux maisons au profit de Michel Meyer

1609 (27. Octobris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 436-v
(Inchoat. fo: 467.) Erschienen Hans Breÿ der Wagner burger alhie
Hatt Inn gegensein des Ersamen Michael Meÿgers auch burgers alhie bekhant demselben schuldig zusein 200 guldin
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüßer sampt Zweÿen höfflin ein vord.s vnd hinds. dar zwischen ein Behausung Michel Waltern Zuständig, sampt deren gebewen geleg. In d. St. St. Im goldtgießen einsit neben d. herberg Zum guldin Apffell, 2.sit neben H. Lorentz Bauel dem huffschmidt Zum theil, vnd zum theil h. Hans Kammen dem Eiltern stoßendt die hind. behaußung auch den gulden Apffell Dauon gend j lb d bodenzinß den Vicarien hohen stifft St. Item 20 gld. gelts Lösig mit iiij C gls St. werung Wolff von Molßheim s. Erben Vnd sindt auch noch v.hafft für 1500 gld zu xv batzen Marx Aßlinger Niclaus Aßlings des Gutschers Sohn zubezahlen, Item v gld ablößig mit j. C gls zu xv batzen Abraham Cölner dem Almusen knecht, Sunst ledig &

Jean Brey et sa femme Véronique hypothèquent la maison au profit du marchand Joseph Abri pour rembourser Georges Brey

1609 (ut spâ [xviij. tag. Novembris]), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 557-v
(Inchoat. in Protho. fol: 463.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burg. Zu Straßburg vnd frauwell sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Joseph Abri des handelßmanns burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts vonn Geörg Breÿen dem Fuhrknecht herrührend
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein Vorder Vnnd hind.hauß mit d. Stallung höfflin vnd Brunnen, Auch Allen Andern Iren gebeüwen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Im goldtgieß. einsit neb. d. herrberg Zum guldin Apffel, vnd and.sit neb. Lorentz Boumwoll, hind. vff h. hannß Khamen scheür vnd Auch vff die herrberg Zum guldin Apffell stoßend, Dauon gond xx gl gelts Lösig mit iiij C gl werung herrn wolff von Molßheim, Mehr x gl gelts Ablösig mit ij C gl Michell Meÿer dem weinsticher, Item j lb d Bod. Zinß Inn gürtler hoff, Item ij lb x ß d wid. khöuffig mit L lb d Conradt Mohren dem haußbeck. Vnd dann sind noch verhafftet für ein schuld v C xxv lb Zu Zÿlen Zuerleg. wÿland Niclauß Anßlingers des gutschers s. Sohn
(vide supra fol: 520)

Jean Brey et sa femme Véronique vendent une écurie à leur voisin Emanuel Golder, aubergiste à la Pomme d’or

1610 (j. Febr.), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 55-v
Erschienen M. Hans Breÿ der Wagner Vnd frauwel sein eheliche gemahell haben (verkaufft)
H Emanuel Golder Gasthalten Zum Guldiin Apffell Alhie
Ein Hindern Stallung hind. des V.kheuffers behaußung Im Goldtgießen, einseit neben H Hans Kammen, 2.sit neben d. Herberg Zum guldin Apfell, stoßend hind. auch vf bemelte herberg sampt deren gebewen &
V Ist harin sonderlich abgeredt, weil diser Stallung 2 thüren In des V.khöüffers höfflin gehndt, So soll der Khöuffer solcher 2 thüren In seinem costen Zumauren, deß gleichen alle läden v.gettern laßen So Inn des v.kheüffers höfflin gehn, Vnd dann wie der Tachtrauff Jetzo felt soll es dabeÿ Jed.zeit v.bleiben, Auch der Khoüffer nicht höher zubawen macht haben, seind dabeÿ v.bleiben laßen für freÿ ledig vnd eÿgen, Vnd wiewol aber Jetzverkauffte Stallung neben des v.kheüffers Behaußung v.hafft Namlich für 1 pfund bodenzinß vff weihenachten den deputaten fallendt, Wÿtter v.hafft für 25. lb wÿland Niclaus Anßlingers s. Sohn Zuerleg. Vnd dann Conradt Mooren dem Brodtbecken für 50 lb hauptsumm, Sollen vnd wöllen doch die V.kheüfferern gedachten Khoüffer diser beschwerd. halbenn Inn alle weg Zuendtheben vnd schadtloß Zuhalten, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer verkhauff Zugangen für vnd vmb 150 guldin
Hiebeÿ gewesen H Johann Tewrer Schaffner, H Andres Schurtz Nota.

Le cocher Georges Barchert cède à Jean Brey les droits qui lui reviennent de sa défunte femme Madeleine Groshenn suivant l’inventaire dressé par le notaire Georges Antz.
1610 (ut spâ [7. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 63
(Inchoat. fo: 59.) Erschienen Jeörg Barchert Landgutscher burger alhie (hatt verkaufft)
Hans Breÿen dem wagner alhie
Ime die 99 Pfund v ß xj d welche er sein lebenlang wÿdems weiß zunießen hatt, Vnd Ime fraw Magdalena Großhännin seiner ehegemahlen seligen In Irem vffgerichten Codicill vff ettlichen stucken vß Irem Unverändertn gutts Zugeordnet, Auch eines besond. vffgerichten Inventarÿ durch Georg Antzen Notm. v.fertigt deßen datum den 21. Octobris 609. fol. 35. zusehen (…) um 124 guldin

Jean Brey hypothèque la maison au profit de son frère Michel Brey, originaire de Bettingen près de Memmingen.

1611 (4 Julÿ), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 238-v
(Inchoat. fo: 224.) Erschienen hanns Breÿ der Wagner
hatt in gegensein Michel Breÿen gutscher Vonn Bettingen beÿ Memmingen seines lieben bruders – schuldig sein 105 guldin zu xv batzen
dafür Vnderpfand huß hoffestatt hefflin v hinderhußlin mit all and. Iren gebeud geleg. Inn d. S S Im goldgieß einsyt d. Wurtzhuß Zum guldin Apffell ansyt Lorentz Bauwol stosst hind. auch vff d. guldin Apffell, dauon gend 22 guld gls loßig mit 400 guld SW H Wolff von Molßheim selig erben, Mehr xxvj lb v ß abloßig mit 100 gulden SW Marx Anßinger deßen vogt Christmann Welcher der Eltere wÿther 10 guld gls loßig mit vj C SW Michel Meÿer Teutschen schulmeyster So dann ij lb x ß loßig mit L lb d Conrad Lorren Brottbeck sunst eÿg.

Le charron Jean Brey hypothèque sa maison au profit de Catherine Kæmmerling, veuve du conseiller Charles Spielmann

1613 (xvj. Martÿ), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 156-v
(Inchoat. in Proth. fol: 155.) Erschienen Christmann Walther der würth Zur Cronnen vnnd hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h hannß Oßwald Falck. burgers Zu Straßburg so zugeg. Inn nammen seiner Fr. schwÿger Catharinen Khämmerlingin wÿland h. Carle Spielmans Alt Raths verwantt selig. witwe offentlich verÿehenn, das sie derselb. Fr. Catharinen Eine Vff. & Vnuer: schuldig sigent 309 guldin
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt hauß, hoffestatt, höfflin vnd Stall sampt einem hind. hauß mit Allen Ihren & geleg. Inn d. St. St. Im goldtgiessen einseit neb. d. herberg Zum guldin Apffell and. sit neb. Lorentz Baumwoll dem schneÿd. hind. Auch vff die herrberg Zum guldin Apffel v h. hannß Khammen scheur stoßend, dauon gend xx gl geld Abloßig mit iiij C gl wolff von Molßh. Item x gl gelts mit ij C gl Abloßig Michell Meÿers des Weinstichers erb. It. ij lb x ß d gelts wid.kheuffig mit L lb d Joseph Abri dem handelsmann weÿther sind sie verhafftet vmb xxxv lb d Michel Breÿn des Bekhenners brud. Zu Morßmünster, Mehr seind sie hafft vmb Llb d Cunradt Mohren dem Beck.

Marc Anslinger fils de Nicolas Anslinger (héritier de ses grands-parents) vend la maison au gourmet Michel Walter et à sa femme Barbe Gamp (qui réunissent ainsi la propriété des trois bâtiments initiaux)

1619 (1. Februarÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 90-v
(P. fol. 67.) Erschienen Marx Anßlinger, Wÿland Niclauß Anßlingers des gutschers burgers Zu Straßburg seligen nachgelaßener Sohn mit beÿstandt herrn Michael Philipß Lungen Notarÿ seines noch unentledigten geschwornen Vogts (verkaufft)
Michell Walther dem Weinsticher burgern Zu Straßburg vnd Barbaræ Grampin seiner ehelichen haußfr.
hauß, hoffestatt, sampt dem order vnd hinder stall deßgleichen ein forder vnd ein hinder höfflin beneben dem vßgang, vornen Im goldt giessen, Auch Allen Andern Ihrenn gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn gemeltem Goldtgiessen, einseit neben hanß Kammen dem metziger, Anderseit neben der herrberg Zum gultin Apffell stoßend vornen vff die Keüffere selbst, vnd hinden vff gemelten guldin Apffell, dauon gend. Jährlichen Ein pfund pfenning bodenzinß vff Weÿhenachten Inn dem Gürttlerhoff, Mehr Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning gelts Ablößig mit 50 pfund pfenning vff Galli herrn hanß Jacob Kügler zuerlegen wann man es fordern würdt sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerden so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 500 pfund pfenning

Cultivateur à Kork, Michel Walter achète le droit de bourgeoisie le 14 février 1609
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 744
Michael Walther der Baurßman von Korck Khaufft d. Burgerrecht mit beÿstandt Hanß Breÿßen deß wagners vnd Lorentz Baumwolls deß huffschmidts, will Zu den Weinstüchern dienen, vnd 300 guld. verstallen. Actum Zinstag den 14. Februarÿ 1609.

Michel Walter revend la maison avant à Jean Siffermann l’aîné, de Mittelbergheim en restant propriétaire de la maison du milieu. Le vendeur se charge seul de la rente foncière.

1619 (xv. Maÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 282
(Inchoat. in Prot. fol. 177.) Erschienen Michell Walther d. Weinstich. burger Zu Straßburg (verkaufft)
hannß Seÿfferman dem eltern Zu Mittelbergkheim, So auch Zugeg. mit beÿstand & hannß Breÿ des wagners burgers Zu Straßburg seines dochtermanns
hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebaüwen & geleg. Inn d. St. St. Im goldt giessen einseit neben der herrberg Zum gultin Apffell, anderseit neben Jacob Geseson dem huffschmÿdt, hind. vff Michell Walther des Verkheüffers höfflin vnd vorbehaltten Mittel hauß stoßend, Vnnd gehörd die Infarth vorn Am Goldtgiessen Zu sein des verkäuffers Mittellhauß Vnd ob wol disse Verkhauffte behaußung mit sampt sein des Verkäuffers behausung verhafftet Ist umb j lb d Bod. zinß Im Gürttlerhoff, So hatt doch der verkäuffer solch. Bod. Zinß vff seine Behausung geschlag. Ouch demselb. ohne des Kheüffers zuthun, cost. vnd schaden, Järlich vß Zurichten versproch. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 350 pfundt pfenning Straßburger
(vide supra fol: 90.)

Michel Walter demande l’autorisation d’exploiter en meublé la maison qui appartenait au charron Jean Brey, Les Quinze refusent
1619, Protocole des Quinze (2 R 47)
(f° 265-v) Zinstag den 21. Decembris – Michael Walter vmb Schlaafhauß
Michael Walter der Weinsticher allhier erscheint, vnnd berichtet, p. Tromern das er ohnlengsten ein behaußung im goldgießen neben Laurentz Baumen gelegen, welche Zuvor hannß Breÿen dem Wagner gehörig gewesen, käufflichen an sich gebracht, dieweÿl dann solche behaußung Zimbliche Stallung darinnen man vor dißem pferd einzustellen gepflegt, Er auch vber rhein Verwandte, so den einkehr beÿ Ime suchen, vnnd er sonsten Kein andere handtierung gelernt, Alß bitt er vnderthänig Ime gnedig Zubewilligen, ein Schalaaffhauß an dißem ort Zuhalten, vnnd erbeüth sich zu aller gebüre. Erkant. Man soll Ime sein begehren abschlagen.

La maison revient au cordier Michel Gering, fils du cordier Jean Gering, qui en 1624 épouse Eve Sifermann, fille du vigneron Jean Siffermann de Mittelbergheim

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 139 n° 33)
1624. dominica XXI. Trin.II. vice. Michael Gerüng der Seiler, Hanß Gerüng des Seÿlers Vndt burgers alhie eheliche Sohn, Vndt Jungfr. Eva Hanß Schiffermann deß Rebmans zu Mittelberckheim eheliche tochter, Mont. post 22. Trin. Zu S Claus (i 152)

Michel Gering se remarie en 1638 avec Apollonie, fille du tonnelier Adam Burckhard
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 1-v)

1638. Domin. Pentecostes d. 13. Maÿ. Michael Gering der Burger Vnd seiler alhie Vndt Apollonia Adam Burckhard deß Küffers allhier Eheliche dochter. Copulatio facta Zu St. Clauß (i 3)

Etat des biens qui reviennent à Anne Madeleine Gering, issue du deuxième mariage de son père, dans la succession de Michel Gering et Eve Seiffermann, morts en délaissant trois enfants.
1652 (26. Apr.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 20) n° 24
Lüffer Register vber Annæ Magdalenæ Geringin noch restirende vätterliche Nahrung auffgerichtet 1652.
Zuwißen, nach dem weÿl. Michael Gerings geweßenen Seÿlers vndt Burgers alhie zu straßb. see. Verlassenschafft, nach deßelben tödtlichen hinscheÿd. den 30. Januarÿ A° 1639. Inventirt, darauff d. haußrath, werckzeug Zum Seÿler handwerck gehörig wie auch wahren deßgleich. d. ohn p.legirt Silbergeschirr v. Geschmeidt, Craft darüber v.fertigten V.kauff v. Erlößregisters distrahirt, vnd Zugeltt gemacht, aber nicht auffgeschrieben waß Anna Magdalena Geringin von solch haußrath vorbehaltten, Ingleich. von den ohnverkaufft vberig v.pliebenen Zugetheilt, die vberige Nahrung durch H Hannß Jacob Füeßingern Seÿlern v. E. Ehrs. Großen Raths alhie Altten Beÿsitzern als hanß Michels, Salomeen vnd Vrsulæ, aller dreÿ geschwüsterdten vnd eingangs ernants Michael Gerings mit auch weÿl. Euæ Seÿffenmännin in erster Ehe ehelich erzeugter Kind. geschwornen vogt biß vff der Jüngst deßelben tödliches hinscheid., ohn separirt administrirt vnd verwalttet word., dannenhero obbemelter Annæ Magdalenæ Geringin Vogt Mr Tobias Burckhardt, Küeffer v. burger alhie nicht wissen können, waß eÿgentilich ietz bemelte seiner Vogts dochter vätterlich Gutt noch seÿe, vnd worinnen solches bestehe, daß derohalben nach auch ietzig. tödlichem hinscheÿden, weÿl. H. Adam Burckhardts, Küeffers v. E. Ehrs. Großen Raths alhier Altten Beÿsitzers Ihr Annæ Magdalenæ Geringin Müetterlich. lieben Großvatters, als derso wohl Ihren Vätterlich. haußrath als auch alle schrfftliche documenta biß vff sein seeligen absterben hind. sich gehabt, vff ietz ernants Tobiä Burckhardts erfordern v. begehren (…), So beschehen In beÿsein H Martin Ebingers Küeffers und burgers alhier, als Annæ Mariæ Goobin, mehrbemelter Annæ Magdalenæ Geringin stieffschwester geschwornen Vogts, vndt H Hannß Meÿers ebenmäßig Küeffers v. burgers alhie, als nechsten v.wanthens, Montags den 26.7en Ap.lis A° 1652.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung hind. d. Herberg Zum Hirtz. vff dem Holtzmarckh (…)
Summarum, haußraths 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 28, Sa. Eigenthumbs einer behaußung o, Sa. Schulden 17, Summa summarum 72 lb

Ursule Gering, Salomé Gering femme du cordier Nicolas Weiss et Anne Madeleine Gering femme de l’orfèvre Jean Thiébaut Olter vendent la maison au cordier Chrétien Kamm et à sa femme Anne.

1668 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 492
(Prot. fol. 29. fac. 2) Erschienen hannß Jacob Füeßinger d. Saÿler alß Curator Ursulæ Göringin, Mehr Salome Göringin hannß Niclaus Weißen deß Seÿlers Eheweib, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Vnd Fr. Anna Magdalena Göringin H Hannß Diebold Olters deß Silberarbeiters eheliche haußfraw mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, alle treÿ sorores consanguineæ
in gegensein Christmann Kammen deß Seÿlers und Annæ seines Eheweibs mit assistentz Frantz Thomaßen deß Bürstenbinders und Jacob Brions deß Seidenferbers alß ihr Annæ hierzu erbettener nechster Verwanth.
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Goltgießen, einseit neben der Herberg Zum guldinen Apffel, anderseit neben H Ulrich Koch alten Kleinen Rhats Verwanthen hinden uff gemelte herberg stoßend geleg. – umb 200 Pfund pfenning

Chrétien Kamm et Anne hypothèquent le même jour la maison au profit de Gérard von Stœcken, professeur à l’Université et chanoine de Saint-Thomas

1668 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 493
Erschienen Christmann Kamm der Seÿler und Anna seine Eheweib, Und Zwar Sie Anna insonderheit mit assistentz Frantz Thomaßen deß Bürstenbinders und Jacob Brions deß Seidenferbers alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
dem Edel hochgelehrten H Gerhardo von Stöckh. U.I.D. V. Profess. auch E.E Collegiat Stiffts Zu St. Thoman Canonico – schuldig seÿen 200. Pfund pfenning
Unterpfand ist hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Goltgießen, einseit neben der Herberg Zum guldinen Apffel, anderseit neben H Ulrich Koch alten Kleinen Rhats Verwanthen, hind. uff gemelte herberg stoßend geleg.

Fils du boucher Jean Kamm, Chrétien Kamm épouse en 1648 Anne, fille du chapelier Jacques Thomas : contrat de mariage, célébration
1648 (23. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 305-v
(Eheberedung) Erschienen Christmann Kamm der Saÿler und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand hannß Kammen deß Metzgers seines Bruders und seines Vogts und H Johann Joachim Frantzen Fünffzehen Secretarÿ seines Vettern an einem,
So dann Jungfr. Anna weÿl. Jacob Thomas deß Huetmachers und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand Caspar Mockh deß Schneiders ihres Vogts wie auch Paul Brions deß Schuhmachers ihres Vettern und dann H Johann Kummerellß deß Handelßmanns hierzu insonderheit erbetten am andern theil

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 235-v, n° 16)
1648.Dominica 3. Trinitatis. Christmann Kamm der Seyler vnd burger allhie, Herr Hanß Kammen gewesenen Metzgers vnd gasthalters Zum hürtzen hinderlaßener Ehelicher Son, Und Jfr. Anna Jacob Thomas des hutmachers vnd burgers allhie hinderlaßene eheliche tochter (i 254)

Chrétien Kamm meurt en octobre 1680 en délaissant un fils, Jean Jacques. La masse propre à la veuve est de 64 livres, celle de l’héritier de 5 livres. L’actif de la communauté est de 115 livres, le passif de 76 livres.

1680 (16. 10.bris), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 4) n° 41
Inventarium undt Beschreibung aller Haab vndt Nahrung, so weÿlandt der Ehrsam vnd bescheÿdene Mr Christmann Kamm, geweßener Seÿler vndt burger alhie Zue Straßburg nunmehr seelig, nach seinem Montags den 25.ten 8.bris Jüngsthin aus dießem Zergänglichen Leben genommenen tödtlichen hintritt hinder Ihme verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß auch Ehrsam vnd bescheÿdenen hannß Jacob Kammen, noch Ledigen Seÿlers, mit assistentz deß Ehrengeacht vndt achtbahren H. Hannß Philipp Kammen, deß ältern Metzgers und burgers alhier seines Geordneten Vogts deß ietz Abgeleibten seel. mit seiner hinderpliebenen wittwen ehelich erzeugten hinderlaßenen Sohns vndt ab intestato nachgelaßenen Einigen Erbens, ersucht durch die Ehren vndt tugendsame fraw Annam Kammin Gebohrne Thomaßin die Wittib beÿständlich deß Ehrsamen vnd bescheÿdenen Mr Hannß Jacob Schwartzen, auch Seÿlers und burgers alhie Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. 10.bris Anno 1680.

Inn einer alhie inn der Statt Straßburg in dem Goldgießen Gelegener behaußung so auch inn dieße Verlaßenschafft gehörig, vnd hernach beschrieben, ist befunden worden wie volgt.
Inn der Cammer An Inn der obern Stuben,, Inn dießer Stub Cammernn, Vor dießer Stueben, Inn der wohnstueben, Inn der Stub Cammer, Im mittlern haußöhren
Eigenthumb vndt besserung ane einer behausung. Item hauß vnd hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in der Statt Straßburg im Goldgießen, einseit neben der herberg Zum Guldenen apffel, 2.s neben hannß Georg Dimpffelmeÿern, Schuemachern vndt Burgern alhie, hinden auff gemelte Herberg stoßendt, davon gehen Jährlichen auff den 24.ten Junÿ 7. lb Zinß E. E. Zunfft Zur Möhrin alhie seind in hptguth abzulößen mit 175. lb d. Ferner j lb d gelts Jährl. auff d. 20.ten Martÿ H. M. Samuel Rothenbachs Cantoris im Münster burgers alhie, mit weÿl. Fr. Magdalena Kammin seiner ersten hfren seel. ehelich erzeugten Kindern in hguth lößig mit 25. lb. s. thun diese 2 posten Zusammen 200. lb. d. sonsten freÿ ledig vnd eigen angeschlagen 15. lb. Darüber sagt i. t. Perg: Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhang. Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, dessen datum den 14. 7.bris A° 1668. Inhaltes welchergestalt der verstorbene seelig vnd sein hinderpliebene wittib dieße behausung von hanß Jacob Füßingern den Seÿlern, alß Ursula Geringin Curatore, ferner hanß Niclaus Weÿßen dem Seÿler alß Salome Geringin Ehevogten, vnd H Hanß Diebold Oltern Silberarbeitern v. burgern alhie alß Fr. Anna Magdalena Geringin Eheh. vmb 200 lb d ane sich erhandelt mit N° 1 signirt, ferner dabeÿ j. Papeÿrin Extract vndt vergleich aß E E. kl. Raths alhie Memorial dedato 8.ten 9.bris A° 1670. mit N° 1 notirt
Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldinen Ring 6, Sa. Ergäntzung 35, Sa. baarschafft 19, Summa summarum 64 lb
Deß Erben unverändert Vermögen, bestehet allein inwenigem haußraths posten, 5 lb
Die Theilbahre verlaßenschafft, Sa. haußraths 25, Sa. werckzeugs und wahren Zum Seÿler handwerckk gehörig 55, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Guldinen Rings 8 ß, Sa. baahrschafft 10, Sa. Eigenthums vnd besserung ane einer behaußung 15, Sa. Schulden 3, Summa summarum 115 lb – Schulden 76 lb, Nach deren Abzug 39 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 109 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum d. 23. Maÿ Anno 1648, Canceley Contractstub der Statt Straßburg

Le cordier Jean Jacques Kamm épouse en 1687 Anne Marie Schuhmacher, fille de Gui Schuhmacher, manant et ancien capitaine
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39, n° 20)
1687. Domin: 25. & 26. Trinit. Hans Jacob Kamm der Burger und lediger Seiler allhier, weÿland Christmann Kammen deß Burgers und Seilers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Anna Maria, Veit Schuhmachers deß Schirmverwanthen vnd gewesenen Musquetirers alhier unter H. Obersten eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus d. Mittw. 26 / 16. 9.bris (i 40)

Marie Schuhmacher devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 536
Maria Schuhmacherin von hier empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann hanns Jacob Kammen dem Seiler gratis. Mörin, promis. 8. Xbr. 1687.

La veuve de Jean Jacques Kamm se remarie en 1695 avec le boulanger Jean Thiébaut Ammel

Le tuteur de la fille délaissée par Jean Jacques Kamm vend la maison à l’éperonnier Jean Heisch, assisté de son beau-père Martin Freytag moyennant 412 livres

1691 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 536-v
Johann Daniel Steinbach der Metzger alß Vogt Mariæ Weÿl. Hanß Jacob Kammen geweßenen Seÿlers allhier Seel. hinderlaßen döchterleins
in gegensein Johann Heÿschen deß Spohrenlmachers, mit beÿstandt hanß Martin Freÿtag deß büchßenmachers, Seines Schwehers
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier im Goldgießen, einseit neben Weÿl. Lorentz Moßeders deß Würths Zum Guldinen Apffel hinderlaßenen Erben anderseit neben hannß Conrad Werner dem Huffschmid, hinden auff erstgeschriebene Herrberg Zum Guldenen Apfel stoßend gelegen, Welche behaußung umb 175 pfund (verhafftet) – umb 237 pfund

L’acquéreur hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit du maréchal ferrant Jean Conrad Werner

1691 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 558-v
Johannes Heisch der Sporenmacher mit beÿstand Hannß Martin Freÿtags deß büxenmachers seines Schwehers
in gegensein H: Hannß Conrad Werners deß hueffschmids, schuldig seÿe 125 pfund
unterpfand, Eine behaußung und hoffstatt allhier im Gold Gießen einseit neben Weÿl. Lorentz Moßeder deß Würt Zum Guldinen Apffel hinderlaßener wittib und Erben, anderseit neben Hannß Conrad werner dem Creditore selbst geleg.

Fils de l’arquebusier Jean Georges Heusch d’Ödenburg (aujourd’hui Soporn) en Hongrie, Jean Heisch épouse en 1687 Marguerite, fille de l’arquebusier Martin Freytag : contrat de mariage, célébration
1687 (21. Mart.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 164-v
(Eheberedung) Johann Heusch, der Sporer, von Oedenburg in Ungarn, alß hochzeiter, an einem,
So dann Jfr. Margaretha, hans Martin Freÿtags, deß büchßenmachers eheliche tochter alß hochzeiterin, mit beÿstand ged. Ihres Leiblich. Vatters am andern theÿl
[unterzeichnet] Johannes Heisch, Marga freitagin, hanß Marthin freÿdag

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 326-v)
1687. In Festo Paschali 30. Martÿ. Johannes Heisch der sporer alhie gebürthig von Öedenburg auß Ungarn weÿl. Joh: Georg Heisch geweßenen buchßen Machers in ermelter statt Öedenburg Nachgel. ehl. Sohn, V. Jfr. Margaretha Johann Martin Freÿtags deß burgers Vndt büchßemachers alhie ehl. tochter, Copul. Mittw. 9. Aprilis (i 341)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 16 livres, ceux de la femme à 107 livres.
1687 (14.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6076) n° 156
Inventarium über die Jenige Haab undt nahrung, so d. Ehrenhaffte Mstr. Joh: Heüsch, Sporer undt die tugendtsahme Margaretha Freÿtagin, beede new angehendte Ehepersohnen einand. inn Ihrem vor wenig tag mit einander angetrettenen Ehestandt für unverändert Zugebracht auffgerichtet Anno 1687. (…) Welches beschehen inn dieser Statt Straßb. Montags den 14. Aprilis 1687.
Werckzeug Zum Spohrer Handwerck gehörig dem Mann zuständig 34 lb, Kleÿder 16 lb
d. frawen, haußrath 65, Silber 6, Guldene Ring 5, baarschafft 24, Schuldt 4, Summa summarum 107 lb
Sa. Haussteuren 23 lb, dem Mann 15 lb, der frawen 7 lb

Jean Heisch meurt en septembre 1694 en délaissant trois enfants. La masse propre à la veuve est de 51 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 76 livres, le passif à 112 livres

1695 (29.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5788) n° 451
Inventarium über weÿl. des Ehrsam undt bescheid.en Meister Johann Heüschen, gewesenen Spoorers, burgers alhier zu Straßburg seeligen verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1695.
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeder Haab undt Nahrung, so weÿl. d. Ehrsame undt bescheidene Meister Johann Heusch, gewesener Spoorer burger allhier Zu Straßb. nach seinem d. 25. 9.bris des abgewich. 1694.sten Jahrs tödtlich genommenen hienscheid. hind. Ihne v.laß. welche v.laß.schafft auf freundliches ansuch. erford.n undt begehren des Ehrsamen undt bescheid.en Meister Hanß dieboldt Heüsch, büchß.machers burgers allda als geordnet undt geschwornen Vogts Johannis, Hanß Martins undt Mariæ Margarethæ des verstorb.en seelig. mit d. nachgelaß.en wittib ehelich erzeugter Kind. undt ab intestato nachgelaß.er Erben, durch die Tugendsahme Margaretham freÿtagin die hinderlaßene wittib, mit Assistentz undt beÿstandt des Ehrenhafft. Hanß Michel Schwingen, Schloßers burgers allda Ihres geordntet: undt geschwornenn Vogts wie auch deß Ehrengeachten Hanß Martin Freÿtags, buchß.mach.s burgers alhier, Ihres leiblichen vatters (…) welches beschehen inn Straßburg Montags den 29. Junÿ Anno 1695.

Inn einer inn d Statt Straßburg im Goltgieß. ahne del Guld.en Apffel geleg.en in dieße v.laß.sch. gehörig. hernach beschrieb.en behaußung ahtt sich befund., wie volgt
Ane Haußrath, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Stub Cammern Im Nebens Cämmerl., Vor dießen gemachen, Inn der undern Stub. Inn der Stub Cammer, Im haußöhrn, Im Keller
Werckzeug Zum Sporer handwerck gehörig
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung undt hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriff. Zugehörd. u. gerechtigkeit. geleg. alhie im Goldgieß. eins. neb. weÿl. H. Lor. Moßeders gewes. würths Zum Guld. Apffel sel. hind.laß. wittib u Erb. ands. neben weÿl. H Hanß Conrad Wörners des Stattschmidts seel. nachgelaß.er wittib u. Erb. hind. auff erst gemelte Gastherberg Zum Guld. apffel stoßd. geleg. davon geh. Jahrs auff d. 28.t Junÿ 7. lb d EE Zunfft Zur Möhrin, lösig mit 175. lib. d undt 5 lib. d weÿl. H Joh: Conradt Wörners vorgemelt des Huffschmidts wittib u. Erb. so d. gelt Zum Kauffschilling hergeschoß. ablösig mit 125. lb. undt werden dieße behaußung eug. und kein sond.lich begriff hatt, Zumahlen auch nicht mehrern werth als ist dauor nichts in außwurff gebracht word. Vermög Pergam. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. fürgetruckt. Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt de dato 28. Junÿ 1691. Ferner ein teutsch Pergam. Kauffbrieff auch inn allhieß. Canc. Contractstub v.fertigt de dato d. 14. 7.br 1668.
Copia des Eheberedung (…) in der C. Stub
Volgt nun hierauff die Inventation undt beschreibung d. verlaßenschafft vnd ahne sich selbst. Der Wittib ohnverändt. eÿg.thümblich Vermög. Sa. haußraths 10, Silb. 4, Guldene Ring 3, Ergäntzung Auß dem Inventario des verstorbenen seelig. und d. hinderlaß. wittib einander in die Ehe gebrachte Nahrung d. 14. April 1687. durch mich Notm. auffgerichtet (34 lb, wied. abzuzieh. 16 ß, verbleibt) 33, Summa summarum 51 lb
Solchem nach undt endlich wirdt sowohl d. Erb. ohnverändert als theilbahr nahrung beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Werckzeugs undt wahren Zum Spoorer handwerck gehörig 41, Silb. 11 ß, Eÿgenthumb ane einer behaußung (-), Summa summarum 76 lb – Schulden 112 lb – Passiv onus 35. lib
Conclusio finalis Inventarÿ 16 lib

Marguerite Freytag se remarie en 1696 avec l’éperonnier Martin Encke, fils du tisserand Michel Encke, de Wernsdorf près de Zwickau en Saxe : contrat de mariage, célébration
1696 (6.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Martin Encke, Ledigem Spoorers, von Wernsdorff auß Sachßen Churfürstl. Herrschafft, des Ehrsamen Michel Encke, Leinenwebers burgers allda ehelich erzeugtem Sohn, als hochzeithern an einem,
So dann der Ehren: undt Tugendsahmen Margarethæ Freÿtagin weÿl. des Ehrsam und bescheidenen Johann Heüschen gewesenen Spoorers burgers alhier Zu Straßburg seeligen nachgelaßenen wittib, der Hochzeiterin am andern theil
welches beschehen in Straßburg Mittwoch den 6. Junÿ anno 1696 [unterzeichnet] Martin Enck alß hochzeiter, Margred fretagin, hanß Marthin freÿtag, Theobalt heÿsch Kinder Vogt
Protholollum secundum, 1 AH 6295

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 42-v, n° 12)
Mittwochs den 20. Juny st. n. 1696. seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Martin Encken, der ledige Sporer von Wernsdorff auß Sachsen, Michael Encken, deß Ackermanß daselbsten ehelicher Sohn und fr. Margretha Heuschin, weÿl. Johanneß Heuschen geweßenen Sporerß und Burgerß alhie nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Martin Encke spore alß hochzeiter, margreda heusin Als hogzeitrin (i 46)

Martin Enckel devient bourgeois en mai 1696 alors qu’il est fiancé.
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 676
Martin Enckel, der ledige sporer, Von Zwickaw, Michel Enckels des leinenwebers daselbst hintl. Ehl. sohn, empfangt das Burg.recht Von Margaretha Heuschin, weÿl. Johann Heuschen des spoorers hint: Wittib seiner Verlobtin gratis, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 28. Dito. [May] 1696

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 4 livres, ceux de la femme à 224 livres.

1697 (9. 7.bris), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6355) n° 521
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder haab undt Nahrung, so d. Ehrsame undt bescheidene Meister Martin Encke, Spoorer undt die Ehren: undt tug.dtsahme Margaretha Feÿtagin, beÿde Eheleüth und burgere alhier Zu Straßburg einand. als ein Eÿgen Guth in den Ehestandt Zu bring., vmb d. ursach beschrieb. wirdt, weilen inn d. Zwisch. beed. gedachten Ehepersohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich verseh. d. eines Jed, inn die ehe zugebracht v.mög einen Jed. ohnveränd.t seÿn (…) Bescheh. inn beÿsein der Ehrenhafft. hanß diebold Heüsch buchß.mach. undt Michel Schwing. Schloß. beed. burg. alhie, als d. Ehefrauen undt Ihrrer Kind. geordnet: undt geschwornnen Vogts Montags d. 9.ten 7.bris aô 1697.

Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung undt hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriff. Zugehörd. Recht. u. gerechtigkeit. geleg. alhie inn d. Statt Straßburg im Goldgieß. eins. neb. weÿl. H. Lor. Moßeders gewesenen würths Zum Guld. Apffel seel. hind.laß.en wittib und Erb. ands. neb. weÿl. H Hanß Conrad Wörners, des Stattschmidts seel. nachgelaß.er wittib u. Erb. hind. auff erst gemelte Gastherberg Zum Guld. apffel stoßdt. geleg. davon geh. Jahrs auf d. 28.t Junÿ 7. lb d EE Zunfft Zur Möhrin, lösig mit 175. lb. d undt 5 lb. d weÿl. H Joh: Conradt Wörners vorgemelts des Huffschmidts wittib u. Erb. so d. gelt Zum Kauffschilling hergeschoß. ablösig mit 125. lb. sonst. ledig undt Eig. Zwar diese behaußung dißmahlen hieh. nicht angeschlag. Vermög Pergamenten. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. fürgetruckten anhang.den Ins. verwahrt, de dato 28. Junÿ aô 1691. Darüb. ist ferner ein teutsch Pergam. Kauffbrieff auch inn allhießig. Cancelleÿ Contractstub verfertiget de dato d. 14. 7.bris 1668.
Werckzeug undt Wahren Zum Sporer handwerck gehörig
Haußrath So die Fraw inn die Ehe g.bracht. Auff der bühn
Volgt nun hierauff die Inventation undt beschreibung d. Zugebracht für undt ahne sich selbst. Der jenigen welches dem Ehemann eÿgenthümblich. gehörig undt inn wenigen Kleÿdungs posten und weißen gezeug bestehet 4 lb
Auff solches undt endtlichen wirdt nun auch d. frawen eÿg.thümblich zugebracht v.mög. beschrieben. Sa. haußraths 156, Werckzeug undt Wahren Zum Sporer handwerck gehörig 62, Silber undt geschmeidt 8, Guldene Ring 12, baarschafft 18 ß, Eÿgenthumb ane einer behaußung (-), Summa summarum 241 lb – Schulden 17, Nach deren Abzug 224 lb

Martin Encke meurt en août 1721 en délaissant pour héritiers les trois enfants issus du premier mariage de sa veuve. Les experts estiment la maison à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 131 livres, la masse propre aux héritiers de 4 livres. L’actif de la communauté s’élève à 96 livres, le passif à 33 livres.

1722 (11.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 9) n° 186*
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohl vorgeachten Meister Martin Encke, des gewesenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab nahrung und Güthere, so Weÿland der Ehren: und Wohl vorgeachte Meister Martin Encke, der Spoorer und burger allhier zu Straßburg nunmehr seelige, nach seinem den 16. August des Zurückgelegten 1721.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des abgeleibten seel. per Testamentum Verlaßener und gleich nach dem Eingang dißes Inventarÿ benahmbste Erben auch der herren Deputati, inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Margaretham Enckein geb. Freÿtagin die hinterbliebene Wittib, mit beÿhülff des Ehren vest, Wohl Vorgeachten und Weißen herrn Johann Wennemar Haÿlen, des Stattschmidts, auch E. E. kleinen Raths jetzigen beÿsitzers, Ihres geschwornen herrn Curatoris (…) So beschehen in Straßburg, auf Dienstag den 11.ten Augusti Anni 1722.
Der abgeleibte seeliger hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1.mo Johann Heüschen, den Spoorer und burger, Zu Dreßden wohnhaft, in deßen Nahmen aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Mittel (…) Herr Johannes Hellbeck d. Kürschner und vorgedachten Kleinen Raths ietzig wohlmeritirter Assessor, 2. Johann Martin Heuschen, den Ledigen Schreiner Gesellen, majorennis vor sich beÿ dem geschäfft in selbst eigene Persohn eingefunden, Und dann 3. Jungfer Maria Margaretha Heuschin, so gleichfals Majorennis, Welche sie ebenmäßig in selbst eigener Persohn eingestelt. Alle 3. weÿl. Mr Johann Heuschen des geweßenen Spoorers und burg. allhie mit Fr. Margaretha geb. Freÿtagin als der hind.bliebenen seel. Stieffkinder und per Testamentum zu gleichlingen antheileren Verlaßene Erben

In einer in der Statt Straßburg ane dem Gold gießen gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
(In der Cammer A) In der soldaten Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Und. haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung. (W.) Eine Behaußung und hoffstatt, mit allen anderen gebäwen, begriffen, weith. recht. Zugehörden und gerechtigkeit. geleg. allhier in der Statt Straßburg, im Goldgießen, einseith neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgebern Zum Guldenen Apffel, and.seit neben Hn Johann wennemar Heÿlen, dem Stattschmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, davon geh. jahrs auf d. 28.t Junÿ 7. lb d Zinnß E. E. Zunfft Zur Mörin, widerlösig in Capital mit 175. lb. d. Sonsten freÿ ledig, eig. und durch (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 10. Aug: 1722. angeschlagen pro 125. lb. Darüber sagt ein teutsch pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Ins. verwahret dat. d. 28. Junÿ Anno 1691. Dabeÿ ferner ein teutsch. perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anh. Cancelleÿ Contract Ins. verwahrt, dat. d. 14. 7.bris 1668. beede mit altem N° 1 notirt und dißmahlen wid. nach beschehener besichtigung dabeÿ gelaß.
Ergäntzung, Crafft Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einand. Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht Nahrungen in Anno 1697. dh. nun auch weÿland Hn Notm. Johann Kitschen auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 52, Sa. Werckzeugs Zum Spoorer handwerck gehörig 12, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 125, Sa. Ergäntzung (67, Abgang 143, mehr bezalt 76) Summa summarum 207 lb – Schulden 76, Detrahendo 131 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Ergäntzung (4 lb 16 ß, Abgang 6 ß, Nach solchem abzug) 4 lb 10 ß
Das Theilbahr Guth, Sa. haußraths 10, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeit Zum Spoorer handwerck gehörig 9, Sa. Silbers 15 ß, Sa. Schuld 76, Summa summarum 96 lb – Schulden 33, Nach deren Abzug 62 lb
Stall Summ 161. lb
Copia Heüraths Verschreibung (…) Straßburg Mittwoch denn 6. Junÿ Anno 1696, Johann Kitsch Nots. publ: Juratus
Copia Testamenti nuncupativi – 1721 (…) auf Donnerstag den 14. tag des monaths Augusti Abends zwischen Acht und Neun uhren beÿ dreÿ hellbrennenden liechtern in einer in der Statt Straßburg ane dem Goldgiessen gelegenen Hernach gemelten Testirers ehelicher Haußfrau eigenthümlich zuständiger Behaußung, deren Undern Stub Cammer, mit den Fenstern in den Gold gießen außsehend vor mir (…) persönlich kommen und erschienen ist der Ehrengeachte Meister Martin Encke, der Spoohrer und burger allhier Zu Straßburg Zwar Krancken und Schwachen Leibes auff einem bette Liegend (…)
Abschatzung d. 10.t Aug : ano: 1722: Weÿ Landt deß Ehrenhafften Vnd bescheÿdenen Martin Encker: Sporrer: Seel: hinder Laßenen: Frau: witib Vnd Erben ist Eine behaußung, Alhier in der Statt Straßburg, in dem Goltgüßen gelegen, Ein seith neben andreß Wolff, wirdt in dem Guldenen Apffell,Ander seith Neben H Wilhelm heÿll Statt schmit, hinden auff Vorgedachten Guldtenen apffell stoßendt, Welche behaußung, hoffstatt, stuben Kammeren, hauß Ehren, darin Ein härtt, vnd wasserstein, Gebälckhder Keller, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith wie solches durch der Statt Straßburg Geschwohrenen Werckh Lëuthen in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirt Vor undt umb Sechs Hundert Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

La veuve hypothèque sa part de maison au profit du fondeur d’étain Léonard Wœhrlé

1723 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 597 n° 465-v
Erschienen Frau Margaretha geb. Freÿtagin weÿl. Martin Encke gewesenen Sporrers wittib beÿständlich ihres Vogts H. Wennemar Heÿl des Stattschmidts und E.E. Kleinen Rats beÿsitzers
in gegensein Leonhard Wöhrle des zinngießers – schuldig seÿe 50 pfund
der debitricis antheiler ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm goldgießen einseit neben der gastherberg zum guldenen Apffel

Marguerite Freytag meurt en 1726 en délaissant trois enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 193 livres, le passif à 68 livres.

1726 (4. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 16) n° 364
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren: und tugendsahme Frau Margaretha Eckein, gebohrne Freÿtagin, Weÿland des Ehrengeachten Meister Martin Encke, des geweßenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. als dieselbe Donnerstags den 29.ten Augusti dieses Lauffenden 1726.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 4.ten Septembris Anno 1726.
Die Verstorbene seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1. Meister Johann Heuschen, den Spoorer und burger, Zu Dreßden wohnhaft, in deßen Nahmen aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Mittel (…) Herr Johann Conrad Simon der Perucquenmacher und Vor Ehrengedachten Kleinen Raths jetziger wohlmeritirter Assessor, 2.do Johann Martin Heuschen, den Ledigen Schreinergesellen, so Majorennis dahero ohnbevögtigt und in selbst eigene Persohn dem geschäfft abgewartete Und dann 3.tio Frauen Mariæ Margarethæ Böhmein geb. Heuschin nun sel. mit Mr Johann Gottlieb Böhme dem Spoorer und burgern allhier Ihre in geweßenen haußwürth ehelich erzeugtes Söhnlein nahmentlichen Johann Gottlieb Böhme, deßen geschworner Vogt Meister Michael Siegel der Schloßer und burger allhier, welcher beneben vorgedachtem seines Curandi Vattern in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden. Alßo alle dreÿ der Abgeleibten seel. mit weÿl. Mr Johann Heuschen dem geweßenen Spoorer und burgern allhier Ihrem Ersten haußwürth seel: ehelich erziehlte Söhn und Enckel auch ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilen Verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane del Gold gießen gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
In der soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Kuchen (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten geleg. allhier in der Statt Straßburg im Goldgießen, eins. neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgeber Zum Guldenen Apffel, anders. neben Hn Joh. Wennemar Haÿlen, dem Statt Schmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, davon gehen Jahrs auf den 28.t Junÿ 7. lb d. Zinnß E. E. Zunfft der Mörin, widerlösig in Capital mit 175. lb. Sonsten freÿ ledig, eigen und über dieße beschwährde, in weÿl. Mr Martin Encke des geweßenen Spoorers der Abgeleibten seel. Zweÿten haußwürth auch seel. dh. mich unterschrib. Notm. in Anno 1722. auffgerichtetem Verlaßenschafft Inventario fol. 40. fac. 2. durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere angeschlagen, dabeÿ mann es auch dißorths gelaßen pro 125. lb. Darüber sagt ein teutsch pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Ins. verwahret datirt den 28. Junÿ Anno 1691. Dabeÿ ferner j teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. corroborirt de dato 14. 7.bris 1668. beede mit a. N° 1 notirt und dißmahlen wid. nach beschehener besichtigung dabeÿ gelaßen.
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte seelige Von auch Weÿl. Mr Johann Heuschen dem geweßenen Spoorer und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem erstern haußwürth seel. Lebtägig genoßen hat
Wÿdemb, Welchen die Verstorbene seel. von auch weÿl. Mr Martin Encke dem ebenmäßigen geweßenen Spoorer und burger allhier zu Straßburg Ihrem Zweÿten haußwürth seel. ad dies vitæ zu usufruiren gehabt hat.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 51, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 125, Summa summarum 193 lb – Schulden 68, Detrahendo 125 lb
Stall Summ 146 lb
Copia Testamenti nuncupativi – 1726 (…) auf Montag den Ersten Julÿ Abends zwischen Fünff und Sechs uhren (…) in einer ane dem Goldgiessen Liegender und hernach gedachter Codicillirerin eigenthümlich zuständiger Behaußung deren undern Stuben mit den fenstern in die Gaß außsehend persönlich kommen und erschienen, die Ehren: und Tugendsahme Frau Margaretha Enckein gebohrne Freÿtagin (…) Johannes Lobstein Notarius juratus

Le fils cadet Jean Martin Heusch rachète les parts de son frère et de sa sœur et devient seul propriétaire de la maison

1726 (15. Oct.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 16) Joint au n° 364 du 4. sept. 1726
Abtheilung auch Respective Verkauff und Erlöß Register über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Margarethæ Eckein, gebohrner Freÿtagin, auch weÿl. des Ehrengeachten Meister Martin Encke, des geweßenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. Verlaßenschafft (…) den 5. Septembris et 15. Octobris Anno 1726.
(f° 5) Vergleich und Überlaßung der behausung. Die in dem Inventario fol: (-) fac. (-) et seqq. eingetragene Behaußung und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg im Goldgießen, eins. neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgeber Zum Guldenen Apffel, anders. neben Hn Johann Wennemar Haÿlen, dem Statt Schmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, ist vor freÿ ledig und eigen
Johann Martin Heuschen dem Ledigen Schreiner gesellen, So Majorennis und ohnbevögtigt, dem Jüngsten Sohn, von gesambten Interessenten und Zwar von seinem bruder, Meister Johann heuschen, dem Spoorer in dreßden, so absens (…) eigenthümlich Käufflichen überlaßen worden, Vor und umb 900 Gulden, th. 450. lb (…)
Zwischen Mr Gottlieb Böhme, deù Spoorer welcher in dem hauß wohnet und dem Übernehmer des haußes wurde ferner abgeredet, daß Wann ein theil die Lehnung zu ändern gesinnet wäre, es dem andern solches ein Vierteljahr zuvor zuverkündigen schuldig sein solle. Alßo Verglichen und übernommen in Straßburg den 15. Octobris Ano 1726.

Jean Martin Heusch revend quelques mois plus tard la maison au tailleur Jean Martin Straub et à sa femme Marie Salomé Appelli moyennant 270 livres

1727 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 328-v
Johann Martin Heusch der ledige Schreiner so über 25 jahr und ohnbevögtigt [unterzeichnet] heisch
in gegensein Johann Martin Straub Schneiders und Mariæ Salome geb. Appellÿn [unterzeichnet] strub
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem goldgießen, einseit neben Andreas Wolff dem gastgeber zum guldenen apffel, anderseit neben H. Johann Wennemar Heÿl Stattschmidt und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer, hinten auff gedachte gastherberg zum guldenen apffel – ihme zufolg eines von H. Not. Johann Lobstein unter dem 11. Februarÿ jüngst ausgestellten attestati als ein in weÿland Fr. Margarethæ Enckein geb. Freÿtagin seiner Mutter seel. Verlaßenschaffts abtheillung von seinen Miterben ihme käufflich überlaßenes guth eigenthümlich zuständig – 270 pfund

Fils du charretier Jean Straub, Jean Martin Straub fait son apprentissage auprès du tailleur Michel Rachel de 1709 à 1712
1709, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 318-v) 26° Februarÿ 1709 – Michel Rachel nimbt Zum Lehrjungen an Hannß Martin, Hanß Struben deß Faßziehers ehelichen Sohn, vff 3. Jahr, anfahend Ann: mar: 1709. und endend vff gleichen Termin 1712. gegen 30. fl. Lehrgelt und 3. fl. der frawen pro discretione und 10. sr. mehl, deshalben und die überige helff der lehrjahr end, war præsens obged. deß Jung. Vatter. (dt. 10. ß)

1712, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 137-v) Donnerstags als den 30.ten Junÿ – Michel Rachel spricht seinen Lehrjungen Hannß Martin Strauben er Lehrjahr quitt.

Jean Martin Straub s’inscrit pour faire son chef d’œuvre
1718, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 130) Dienstag den 15. Februarÿ 1718 – Johann Martin Straub laßet sich Zuer Zeit und Meisterstück Einschreiben

Jean Martin Straub devient tributaire le 5 décembre 1719
1719, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 153) Dienstags den 5.ten Decembris 1719 – Johann Martin Strub Schneider, Hanß Struben deß Vaaß Ziehers und burgers Sohn, haltet umb das Zunfft und Stuben recht an, wird zuerkandt.

Fils du charretier Jean Strub (Straub) et de sa femme Anne Marie Müller, le tailleur Jean Martin Straub épouse en 1719 Marie Salomé Appelli, fille du tailleur Casimir Appelli et de Salomé Stoltz : contrat de mariage, célébration
1719 (2 : Junÿ), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 13)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften vndt bescheidenen Johann Martin Struben ledigen Schneiders, deß auch bescheidenen Johannes Struben deß Vaßziehers vnd weinschröters auch burgers alhier mit Weÿl. Anna Maria gebohrne Müllerin seiner Zweÿten geweßenen haußfrawen längst seel. erzeugten vnd eheleibl. Sohn, alß dem H. hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehr: v. tugendsamen Jungfr. Maria Salomea Appellin deß Ehrs. v. bescheid. Caßimir Appelli deß Schneiders v. burgers alhier, mit Weÿl. Salomea gebohrner Stoltzin seiner geweßenen Ehefr. in längst seel. ehe erzeugter Jungfr. tochter alß der Jungfr. hochzeiterinn andern Theils
Actum Straßburg auff Freÿtags d. 2: Junÿ Anno 1719. [unterzeichnet] h Johann Marthin Straub als hoch zeiter, Maria Salomea Appellin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 319-v, n° 1359)
1719. Mittwoch den 5. Julÿ seind nach Zweÿmahliger Proclamation ehelichen copulirt und eingesegnet worden Johann Martin Straub der ledige Schneider und burger allhie, Johann Strauben, deß burgers und Stattfaßziehers allhier ehelicher Sohn, und Jfr: Maria Salome, Casimir Apelli deß burgers und Schneiders allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Marthin Straub als hochzeiter, Maria Salome Appellin als hochzeiterin (i 319)

Le chef de tribu fait grief à Jean Martin Straub d’avoir un employé comme s’il était maître alors qu’il n’a pas encore fait son chef d’œuvre. Le défendeur qui se montre impertinent répond qu’il n’a eu un aide que peu de temps pour honorer une commande. Le conseil lui inflige une amende, confirmée après que Jean Martin Straub ait demandé une réduction, en recommandant davantage de civilité.
1721, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 182-v) Anno 1721 d. 3.ten Juli – Johann Martin Straub wird durch Herrn Zunfftmeister Kuntzen vorgestellt, wider Ihn Klagendt, Wiedaß er arbeith Vndt gesindt befördert wie ein anderer Meister ohngeachtet Er d Meisterstück noch nicht Verfertiget hat, bitt deßwegen ihn d gebühr Nach abzustraffen Umb so Viel Mehr weil er sich Wan Man solches ihm Verhalt jedzeit mit vngestimm andtwordet Vnd Noch Unhöfflich dabeÿ derentwegen man Ihm die arbeit weg Zunehmen genöthiget geweßen
d. Straub præsens sagte habe Nur einen Kerel auff d. Tag gesprochen, weil er Nöthige arbeith Zu Verfertigen bekommen bitt Ihn Vor d anklag zu absolviren.
Erkandt soll sich Zur anderen Zeit moderater Undt höfflicher aufführen, Vnd weil er Wid. Ordnung gehandelt, 1. lb d Straff zuerlegen schuldig seÿn.
Ille bitt Vmb gnad, erlegt Zugleich 8 ß 9 d auff den tisch. Erkandt soll dabeÿ Verbleiben Zue anderen Zeit aber soll er sich in Zeit wißen höfflicher vnd mannierlicher auffzuführen anbeÿ kan Man ihn auch d. Zeug den die Rüger ihn hinweg genohmen wid..umb abfolgen lassen.

Jean Martin Straub s’adresse aux Quinze pour être autorisé à faire son chef d’œuvre bien qu’il soit marié. Il déclare que son tour de compagnon a duré six ans et qu’il a déjà demandé en 1718 à faire son chef d’œuvre. Les représentants de la tribu ne voeint pas d’objection à ce que le pétitionnaire obtienne une dispense, pourvu que cela ne porte pas préjudice à la tribu. La commission constate que le nombre de candidats au chef d’œuvre a déjà dépassé le nombre maximal pour l’année et demandent à Jean Martin Straub d’attendre l’année suivante pour présenter son travail.
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
Johann Martin Straub c. E. E. Zunfft der Schneider
(p. 339) Sambstag d. 23. Augusti 1721 – Fuchs nôe Johann Martin Straub des burgers und Schneiders prod. Undth. Memoriale handelt jnnhalts. Erk. Soll E. E. Zunfft der Schneider zu diesem begehren Verkündet werd.

(p. 351) Sambstag d. 6. Sept. 1721. – Fuchs nôe Martin Straub des Verheuratheten Schneiders undt burgers allhier Cit. E. E. Zunfft der Schneider H. Zunfft Mstr. Johann Martin Kuntz erholt prod. vom 23. Aug. Gug. weil des gegners petitum wieder ordnung als bitt vmb Deput. eaque facta E. E. Zunfft beÿ Ihren Art. Zu manuteniren. Gug bitt Deput. Erk. Ober Handtwerk Hn.

(p. 367) Sambstag d. 13. Sept. 1721 – Johann Martin Straub c. E. E. Zunfft der Schneider
Iidem [Obere Handwerck Hrn] laßen ferner Eund. [Secretarium Kleinclaus] referiren, Es habe Johann Martin Straub der burger undt Schneider allhier C. E. E. Zunfft der Schneider, ein Mem: producirt, innhalt welches derselbe anregung thut, daß er bereits d.. 15. feb. 1718. er sich ordentlich Zu dem Meisterstück habe laßen einschreiben, Zuvor aber 6 Jahr in der Frembde sich auffgehalten nun aber seye er mit eines Schneider Meisters Tochter Verheurathet, weilen aber Krafft Articuls nicht einem jeden erlaubt, das Meisterstück wehrendem ehestand Zu verfertigen, er aber mit seiner handt allein sich Zu nehren nicht wiße, undt Ihme Kein Gesellen Zu setzen erlaubt, alß bithe Er Ihnen maßen der tour an Ihme seÿe Zu Verfertigung des Meisterstückh gn. Zu admittiren ohngeachtet er Verheurathet, Auff dieses Memoriale habe nomine gn. Zunfft H Gug geantwortet das gegentheilige petitum lauffe wieder ordnung, mit bitt Deputation Zu erkennen, undt facta relatione E. E. Zunft beÿ Ihrem Articul gn. Zu manuteniren.
Beÿ erkandt: undt beseßener Deputation habe der Implorant gebetten, daß er gleich nach dem so jetzundt den Riß Zum Meisterstück habe admittirt werden möchte. Nomine ged Zunfft seÿe erschienen H Andreas Nauert, welcher geantwortet, daß Zwahr nach ordnung ein jeder das Meisterstück Lediger weiß machen solle, Implorant seÿe verheurathet, Weilen er aber eines burgers Sohn, und bereits burger seÿe, wann es ohne præjuditz geschehen Könne, möge er es wohl leÿden. Befragt, Wie Viel dieses Jahr schon das Meisterstück Verfertiget habe. hätte er geantwortet 9 in der Zahl, es seÿe aber beÿ einigen dispensirt worden. Auff seithen der Hh. Depp. halte man davor, daß weilen die Anzahl der Stuckmeister Vor dieses Jahr nicht nur Complet, sondern auch über die ordinari Zahl schon einige dispensando admittirt worden, der Implorant noch Zur Zeit Zur gedult und biß auff das Zunkünfftige Jahr zu Verweißen seÿe. Erk. Bedacht gefolgt.

Jean Martin Straub présente son chef d’œuvre. Les examinateurs en sont satisfaits et le nomment maître.
1722, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 200) Mittwoch den 4.ten Martz 1722 – Ist erschienen Johann Martin Straub Unter seinem Informatore Herrn Johann gräder mit bitt Zu seinem Vorhabenden Meisterstück beliebige Riß auffzugeben, ist der halben demselben mit folgenden stücken placidiret worden
N° 5 Einen Leviten Rock
N° 1 Ein Manns Kleÿdt mit offenen Ermlen
N° 8 Ein Soudan in Tuch
Nach dem nun Hieborstehende Rieß facta Examinatione in allem jn 5.ten Ziemlich Vnd ohne Fehler Erfunden worden als ist d.selbe Zu einem Mitt Meister auff vnd angenohmen worden.

Marie Salomé Appelli meurt en juillet 1732 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 350 livres. La masse propre au veuf est de 334 livres, celle des héritiers de 83 livres. L’actif de la communauté s’élève à 147 livres, le passif à 420 livres.

1733 (9.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 42) n° 389
Inventarium über der Ehr: und tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin, geb. Appellin des Ehren und vorgeachten Mr Johann Martin Strauben, des Schneiders und burgers allhier geweßter Ehel. Haußwürthin seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733 – nach deme dieselbe den 20.ten Julÿ nechstverwichenen 1732.ten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer welt seel. abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Mr Johann Weßels, auch Schneiders und burgers allhier als geordneten Curatoris Mariä Salome und Johannis der Strauben, der abgeleibten seel. mit obgedachtem Ihrem hinderblieben Wittiber ehelich erzeugter und nach Tod verlaßener Kinder und ab intestato Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 9.ten Februarÿ Anno 1733.

In einer allhier Zu Straßburg im Goldgießen neben der Gastherberg Zum goldenen Apffel gelegenen in dieße verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 3, Sa. Vaßes 5 ß, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Guths Ergäntzung 370, Summa summarum 374 lb – Schulden 40, Nach deren Abgang 334 lb
Dießem nach wird auch der Kinder und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 12, Sa.Silbers 7 ß, Sa. goldenen Ring 1, Sa. Schuld 40, Sa. Ergäntzung 28, Summa summarum 83 lb
Hierauff wird nun die gemeine theilbahre Verlaßenschafft gesetztet, Sa. haußraths 16, Sa. lähren Vaß und bütten 7 ß, Sa. Werckzeugs Zim Schneider handwerck gehörig 1, Sa. Silbers 7, Sa. behausung 125, Summa summarum 147 lb – Schulden 420, In Vergleichung 273 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 144 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum Straßburg auff Freÿtag den 2.ten Junÿ Anno 1719, Christoph Eberhardt Bär, Notarius juratus
Abschatzung d. 36. Januarÿ 1733. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Mstr Johann Martin Strub Schneider ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im gold gießen gelegen, einseits neben dem Wirthshauß Zum guldenen Apffel, anderseits Neben Herren Willhelm Heÿl gewesenen Statt Schmidts seel. hin[der]laßnen fraw Wittib, hinten auf schon ermeltes Wirts: hauß stosendt, Welche behausung Stübel, Cammern, Soldaten Kammer, hauß Ehren mit herdt und Waßerstein und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtigkeit Wie solches durch die Statt Straßburg Geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen Wirt Vor und Um Sieben Hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Jean Martin Straub se remarie en mars 1733 avec Marie Salomé Weber, veuve du maréchal ferrant Jean Michel Ott de la Robertsau : contrat de mariage, célébration. Le futur époux assure à la future épouse la jouissance viagère de sa maison.

1733 (10. febr.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 114
Eheberedung – entzwischendem Ehren und Vorgeachte Meister Johann Martin Strauben Schneider, Wittiber und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Salome Ottin gebohrener Weberin, weÿl. des Ehrengeachten Meister Johann Michael Otten, geweßenen huffschmidts und burgers in Ruprechtsau seel. hinderbliebener Wittib als der Hochzeiterin ane dem andern theil
Fünfftens, hat der Bräutigamb seiner gebliebten Braut auf den fall er Zu erst, es seÿe gleich mit oder ohne hinderlaßung ehelicher Kinder und Leibs Erben, dißes Zeitliche gesegnen würde, die Ihme Vor ohnvertheilt gebührige Zwen dritte theil ane der in sein von weÿl. frawen Mariæ Salome gebohrner Appellin nun seel. gemeine theilbare Verlaßenschafft gehöriger behaußung hoffstatt mit aller übrigen dero begriffenn weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen einseith neben der Gastherberg Zum guldenen Apffel anderseith neben weÿl. herrn Johann Winnemar Heÿlen geweßenen Stattschmidts und burgers allhier seel. wittib und Erben hinden auff gedachte Gastherberg stoßend, so über 350 gulden welche man E. E. Zunfft der Mörin allhier ane Capital, wie auch über 100 gudlen so man dem Stifft des Weÿßenhaußes allhier in haubtguth schuldig, eigen ist, Zu einem gemeinen lebtägigen und wiederück fälligen Wÿdemb, bestimmet (…)
So beschehen Zu Straßburg in hievorgedachter des hochzeiters behaußung ane dem Goldgießen gelegen auff Dienstag den 10. febr. A° 1733. [unterzeichnet] Johann Martin strub als hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeitern

Mariage, Robertsau (luth. p. 65)
Dienst. den 3. Marii 1733 sind auff Obrigkeitl. Erlaubnuß nach contrahirter Proclamation, Ehel. eingesegnet worden H. Joh: Martin Straub d. burger und Wittwer auch Schneider Zu Straßburg und Fr. Maria Salome weÿl. Mstr Joh: Michael Otten gewesenen burgers und Huffschmidts allhier nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Johann Marthin strub Als hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeitrin (i 81)

Fille du cultivateur Jean Erard Weber, Marie Salomé Weber épouse le maréchal ferrant veuf Jean Michel Ott en 1730.
Mariage, Robertsau (luth.p. 18)
Zinst. den 5. 7.br. 1730. seind auff Obrigkeitl. Erlaubnus, nach ordentl. Zweÿmaliger Außruffung, Ehlich eingesegnet worden der Ehrsame und bescheidene Mstr Joh: Michael Ott, burger, Huffschmid und Wittwer allhier, und Jgfr. Maria Salome H. Joh: Erhardt Webers, burgers, Ackermans, wue auch Alten Ober Meisters allhier, Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Michael ott als Hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeiterin (i 58)

Le conseil de tribu fait grief à Jean Martin Straub de n’avoir pas assisté à la visite annuelle du consul. Il prétend avoir été présent. L’affaire est remise au conseil suivant. Le registre n’en fait plus mention.
1737, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 87) Freÿtags den 5.ten Apr. 1737 – Johann Martin Straub der schneider wird vorgestellt daß er am Nächst Verwichenen ammeister umbfahrtstag beÿ der Versammlung nicht Erschienen seÿe, und auch auch nicht habe Excusiren laßen, Beklagter sagt er seÿe gegenwärthig gewesen, und wolle es Erweißen. Erk. soll sein vorbringen biß auff nächst künfftiges Gericht Erwißlich Machen.

Marie Salomé Weber fait dresser dans la maison de son mari rue d’Or l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 301 livres.
1738 (11. 8.bris), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 66) n° 585
Inventarium über der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin gebohrner Weberin, zu dem Ehren und vorgeachten Meister Johann Martin Strauben Schneidern und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem Ehemann in die Ehe gebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1738. – welche der ursachen, dieseilen in Ihr beeder Eheleuthe den 10.ten Februarÿ Anno 1733. Vor mir Notario mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 2.do austrucklichen Versehen, daß einem jeede theil seine in die Ehe bringende und währenden Ehestands durch oder ohne testament ererbende, auch Legats: Schanckungs: oder in andere degleichen weiße überkommende Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehalten guth seÿn und bleiben (…) So beschehen Zu Straßburg in gegenwarth obgemeldten Ihres Ehemanns und Hn Joh: Erhard Webers, des ältern alten Obermeisters in Ruprechtsau, Ihres eheleiblichen Vatters, auf Sambstag den 11.te, Octobris Anno 1738.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen in des Ehemanns erster Ehe theilbahre Nahrung gehörigen behaußung gefunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 58, Sa. Silbers 3, Sa. guldener Ring 5, Sa. baarschafft 20, Sa. Schulden 57, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 247, Summa summarum 393 lb – Schulden. 150 lb, Nach solchem abzug 243 lb, Wann nnun hierzu gerechnet wird deroselben von Ihrem ersten Ehemann seel. lebtägig Zu genißen habender Wÿdumb gleich hernach befindl. maßen anlangend 57 lb, So belaufft sich mehrerwehnter Fr. Straubiin Ihrem nunmahligen Ehemann sowohl Eigenthumb als wÿdembs weißen zugebrachte Nahrung dem vero preio nach sammenthafft auff 301 lb
Wÿdemb, welchen die Ehefrau Von weÿl. Mr Joh: Michael Otten dem gewes. hueffschmidt in Rupr: und burgern allhier zu Straßburg Ihrem erstern Ehemann lebtägig Zugenießen

Jean Martin Straub et Marie Salomé Weber hypothèquent la maison au profit du maréchal ferrant Jean Georges Vix

1738 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 378-v
Johann Martin Straub der schneider und Maria Salome geb. Weberin mit beÿstand ihres vatters Johann Erhard Weber des ältern Obermeisters in der Ruprechtsau und ihres bruders Johann Erhard Weber ackersmanns allda
in gegensein Johann Georg Vix des hueffschmidts – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, zwo terzten Einer behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im goldgießen, einseit neben Johann Friedrich Heÿl dem hueffschmitt, anderseit und hinten auff das würths hausß zum goldenen apffel – ihme Straub zu zweÿ dritten, seinen kindern erster Ehe aber zu einem dritten theil als ein in ged. Ehe erkaufftes guth

Jean Martin Straub meurt en novembre 1738 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment la maison 250 livres. La masse propre à la veuve est de 176 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 585 livres, le passif à 1 064 livres. Le tuteur des enfants du premier lit renonce à la succession à cause du passif élevé.

1739 (20.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 67) n° 597
Inventarium über Weÿl. des Ehren: und Vorgeachten H. Joh: Martin Strauben, geweßenen Schneiders und burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1739. – nachdeme derselbe den 33. Nov. verwichenen 1738.ten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer Welt abgefordert worden, Zeitl. hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren v. tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin geb. Weberin, deßelben geweßter Ehewürtin V. nunmahliger Wittib, mit beÿstand des Ehr: vnd Vorgeachten Hn Joh: Christoph Ernsten, auch Schneiders v. burgers allhier, deroselben geschwornenn Vogts, wie auch des Abgeleibten seel. in Zwoen Ehen erzeugter Kinder v. ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen Zu Straßburg auf Mittwoch den 20. Maji 1739.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Jungfrau Mariam Salome Straubin so ohngefehr 19 Jahr alt v. dermahlen beÿ H. Elia Krauchel dem Metzger alhier in diensten stehet, auch dießer Inventur persönlich beÿgewohnt, 2. Johann Strauben, Schneider gesellen so ohngefehr 17 Jahr alt v. beÿ seinem Vatter seel. sich auffgehalten auch die Inventur ebenmäßig persönlich abgewartet, dieße beede in erster Ehe mit weÿl. der Ehren v tugendsamen Fr. Maria Salome Straubin geb. Appellin, deßen ersterer den 20. Julÿ Ao 1732. verstorbenen Ehewürthin seel. erzeugte Kinder, deren geschworner Vogt der Ehren v vorgeachte H Johannes Weßel Schneider v. burger allhier welcher persönlich Zugegen geweßen v. seiner Vogts Persohnen Interesse hiebeÿ observirte
3.tio Mariam Elisabetham Straubin, so ohngefehr 6 Jahr alt Und dann 4.tio Johann Martin Strauben, so ohngefehr 2 Jahr alt, Dieße beede in letzter Ehe mit weÿl. der tugendsamen Fr. Maria Salome gebohrner Weberin deßen nunmahliger Wittib erzeugte Kinder, dern geschworner Vogt der Ehren vnd Vorgeachte herr Johann Georg Busch, ebenmäßiger Schneider V burger allhier, welcher Vor v. im Nahmen seiner Pupillen dem geschäfft in Persohn abwartete. Alßo alle vier des abgeleibten seel. in zwoen Ehen erzeugte Kinder v. ab intestato zu gleichen Antheilen Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen v. hernach beschriebener behaußung, befunden worden wie volgt
(f° 14) Eigenthum ane Häußern und Liegenden gütheren (E. et T.) Erstl. eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem goldgießen eins. neben der Gastherberg Zum guldenen Apffell, weÿl. H. Andreæ Wolffen seel. hinterlassener Fr. Wittib und Erben gehörig, anderseith neben H. Friderich heÿlen, dem hueffschmidt, hinden auf besagte Gastherberh stoßend, so über hernach gemelde unter denen Passivis eingetragene Capitalia eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben übergebener schrifflicher Abschatzung vom 25.ten Maj 1739. angeschlagen Vor und vmb 500 Gulden oder 250. lb. Wie der Verstorbene und Maria Salome gebohrne Appellin seine erstere Ehefrau beede nun seelig dießes hauß von Johann Martin Heuschen, dem Schreiner, ane sich erkauffet haben, weißet ein teutscher pergamenter Kauffbrieff, in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel Verwahret, datirt den 28. Maji Anno 1727. Dabeÿ noch zween alte teutsche pergamentene Kauffbrieff, auch in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insigell bekräfftigt de datis 28.ten Junÿ Anno 1691. und 14. Sept. Anno 1668. alle dreÿ mit altem N° 1 bemercket und dabeÿ gelaßen.
Worbeÿ Zu berichten, daß weilen die Passiva Von des Verstorbenen und seiner ersterer Ehefr. seel. Verlaßenschafft herrührend, deroselben Theilbare Activ Nahrung in welche dießes hauß gehörig ware und damahlen nembl. den 26. Jan: Anno 1733 umb 350. lb d angeschlagen worden annoch umb 273 lb 1 ß 5 d übertroffen, mithin vor die Kinder erster Ehe Ihres Mütterl. Invent. Stalltax nach, kein theilbar Guth Zuhoffen geweßen deroselben vogt eingangs gedachter Herr Johannes Weßel auf die theilbare Massam verzug gethan und solche dem damahligen wittiber und respectivé Vattern tam active quam passive übrerlaßen, dannoch dergestalten, daß im fall künfftighien beÿ Verkauffung dießer nemblichen behaußung die melioration als die besserung und überbesserung so starck ausfallen sollte, daß annoch theilbar Guth heraus kommen könte als dann in solchem fall seiner Curanden Antheil denenselben in alle Weeg bestens reservirt und Vorbehalten seÿn solle.
(E. et T.) Item eine behaußung, Scheur Stallung, hoff, hoffstatt und haußgarten
in der Rupr: und deren Ober au im hindern Orth (…)
(f° 17) Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ deroselben Zu dießem Ihrem Zweÿten Ehemann seel. in die ehe gebrachte Nahrung durch mich Notm. Langen den 11. Octobris Anno 1738. auffgerichtet
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen Ring 2, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane liegende güetheren 198, Sa. Schulden 82, Sa. Ergäntzung 13, Summa summarum 329 lb – Schulden 153, Nach deren Abzug 176 lb
Dießemnach weilen beÿ so Vielen Vorhandenen passivis Keine Errungenschaft außfallen kan, werden die übrige rubricen und Effecten, sie seÿen gleich des Defuncti Erben Vor unverändert gehörig oder aber theilbar, beliebter kürtz halbe, unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Frucht 2, Sa. silbers 5, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumb ane Häußern v. liegenden Güethern 500, Sa. Schulden 37, Summa summarum 585 lb – Schulden 1064 lb, In Vergleichung 479 lb
Endlicher Schulden rest 153. lb
(f° 23) Wÿdemb, Welchen die Wittib von weÿl. Mr Joh. Michael Otten, geweßenem huffschmidt in Ruprechtsau burger allhier zu Straßburg ihrem ersten Ehemann seel; lebtägig Zugenießen hat
Wÿdemb Welchen der Verstorbene wegen seiner Zweÿer Kinder erster Ehe biß anhero genoßen hat
Copie der Eheberedung (…) So beschehen zu Straßburg (…) auff Dienstag den 10. Februarÿ im Jahr 1733, Johann Daniel Lang, Notarius publicus
(Copia, Contract Stub 1739 fo. 61.a
(Joint) Rechnung Innhaltend Alles das jenige was weÿland Johann Martin Straub geweßener Schneider und burger allhier nun selig wegen Johann Georg Wilhelms auch weÿland Johann Jacob Wilhelms geweßten tagners und burgers allhier längst seeligen hinterlasenen ehelichen Sohns, so dermahlen in Königlichen Kriegsdiensten stehet, von anno 1720. biß Anno 1739. Vögtlicher weiß eingenommen und hienwiederumb augegeben hat. Erste und lestet Rechnung diesr Vogteÿ (prod. beÿ löbl. Vogteÿ gericht d. 23. Junÿ 1740.)
Abschatzung den 25. Meÿ 1739. Auff begehren weiland dëß wohll achtbahren und Bescheitenen Meister Martin Straub deß gewëßenen schneiters seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben in eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Gold gießen gelegen, ein seitß Neben dem gasthauß Zum Apffell, ander seitß an Meister frittrich heill dem hoff schmidt, hinden auf gedachten apffell stoßend welche behausung, unden auf dem botten daß hauß Ehren, geträmbten Keller, oben darüber 2: stuben 2: Cammern 2. hauß Ehren worinnen der herdt und waßerstein under dem tach die soldaten Cammer, einen sehr alten tachstull daß tach mit holl Zieglen belëgt sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen Vor und Vmb Vünff Hunderrt Gultin, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meisteren, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les héritiers vendent la maison au coutelier Jean Daniel Froschhammer et à sa femme Catherine Dorothée Schneider moyennant 625 livres

1739 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 561
Erschienen Weÿl. Johann Martin Straub gewesten Schneiders und burgers allhier, in erster ehe mit auch weÿl. Mariä Salome gebohrner Appellin, ehelich erzeugter beeder Kinder, Maria Catharina Straubin, und Johannes Straub Ledigen Schneiders geschworner Vogt Johannes Weßel, der schneider und burger allhier, Ferner ged. Straub in Letzter ehe mit Salome gebohrene Weberin erzielter beeder Kinder Martin und Elisabetha der Strauben Vogt Johann Georg Busch, der hießige Schneider, die haben
in gegensein Johann Daniel Froschhammer, des Meßerschmiedts und burgers allhier und deßen Eheweibs Catharinæ Dorotheæ, gebohrner Schneiderin, angezeigt und bekandt, daß sie benandter Vier Straubischer kinder beede Vögte, nach Zuvor beÿ E. E. großen Rath allhier gesucht: und erhaltenem Decreto alienandi, darauff erkannt offentlich Vorgenommen, und zufolg besagten Raths am 3. hujus ergangen und hiebeÿ producirter Erkanntnus, obrigkeitlich Confirmirter Versteigerung und adjudication, für Straubische Vier Kinder und deren Erben
Eine Behausung und Hoffstatt, mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, allhier ahne dem goldgießen, einseit neben weÿl. Andreas Wolff gewesten gastgebers Wittib und Erben gehörigen zum goldenen Apffel genannter gastherberg, anderseit neben Friedrich Heÿl dem Statt Huffschmidt hinten auff erstged. gastbehausung Stoßend gelegen, So annoch E. E. zunnft Zue Möhrin allhier umb 175 lb hießigen Weüßnehauß umb 50 lb und Johann Georg Vix dem Hueffschmidt umb 50 lb alles ahne hauptguth Versetzt (…) als ein am 12.ten Maÿ 1727. von ihme Straub in erster ehe umb 500 lb. erkaufftes guth, deßen erben Zu Zwo tertzen und seinen beeden kindern besagter ehe zur übrigen dritten theil für eigen gehörig seÿe (…) über angezeigte 275 lb.ausmachende Capitalien, so die Kaüffere über sich Nehmen (…) zugangen und beschehen vor und vmb 335 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison rue d’Or, la moitié d’une maison Grand rue et cinq arpents de terre à la Plaine des Bouchers au profit de la tribu de la Mauresse et de Jean Froschhammer, frère du débiteur

1739 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 562-v
Johann Daniel Froschhammer der Meßerschmied und Catharina Dorothea geb. Schneiderin mit beÿstand ihres vettern Johann Christoph Würtz des Paßmentirers und Johann Gottfried Rauscher des Nestlers
in gegensein Einer Ehrsamen Zunfft zur Möhrin zunfft meister H. Alexandre Le Feuvre EE. kleinen Raths alten beÿsitzers in fernerer gegenwart sein Froschhammers bruders Johannes Froschhammer des schwerdtfegers – schuldig seÿen 175 lb und 100 lb
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß zum theil bezalte Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem goldgießen, einseit neben Friedrich Heÿl dem statt huffschmidt anderseit neben die gastbehausung zum goldenen apffel weÿl. Andreas Wolff des gastgebers wittib und eben gehörig hinten auff dieselbe
ferner die helffte für ohnabgetheilt ahne einer Behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen zugehörden ahne der langen straß gegen der Schildtsgaß über, einseit neben Adolph Dannecker dem lebküchler anderseit neben Johann Jacob Brion dem kübler hinten auff S.T. Fr. Margaretha geb. Reißeißin weÿl. S.T. H. Ammeister Philipp Caspar Leitersperger
weither zweÿ dritte theil für ohnabgetheilt ahne 5 neben einander liegendem einem haag umgebenen ackern vor dem Metzgerthor, einseit ist ein eck ane einer gaß anderseit neben H. Rathh. Diebold von Friedolßheim g.u.w. vornen gegen der Rhein straß und hinden gegen der Citadelle, von diesem gantzen gartten gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 9 ß 2 s ane bodenzinß
die in dem goldgiesen heutigen tags umb 610 lb erkaufft, die helffte der in der Straß liegenden behausung Sie Froschhammer von weÿl. Fr. Anna Catharina geb. Eberhardin weÿl. Johann Michael Hiebmeÿer des goldarbeiters wittib vermög deren v. H. Not. Christoph Michael Hoffmann am 4. Aprilis 1727 errichteten Testamenti nuncupativi § 4 ererbt, ahne denen 5 ackern aber Fr. Froschhammerin einen dritten theil von ihrem vatter weÿl. Johann Jacob Schneider dem Doctor: gärtthner ererbt und einen dritten theil von ihrem bruder Johann David Schneider am 14. sept. 1724 umb 100 erkaufft hat dahingegen die übrige tertz ihrem schwager Heinrich Erhard dem garttenmann und die andere helffte des haußes ahne der langen straß weÿl. Friedrich Grießbach des Büttels E.E. Zunfft der Gerber wittib Lucretia geb. Cuntzin zugehöret

Daniel Froschhammer est admis à faire son chef d’œuvre. Il doit cependant régler une amende de deux livres pour avoir écourté de dix mois son tour de compagnon
1717, Protocole des maîtres couteliers (XI 154)
(f° 8) Montags den 8.ten Martÿ – Meisterrecht
Daniel Froschhammer des Meßerschmidts gesell Herrn Daniel Froschhammers des Fastenspeishändlers und burgers allhier ehelicher Sohn, stehet Vor und bittet, wilen er gesinnet seÿe, Meister Zu werden, mann wolle Ihn annehmen, legte auf 6. ß d. gestehen daß Er Zehen Monat Zuwenig verwandert habe. Erkandt solle weilen Er seine Zeit nicht Verwandert zu einer Straff 2. lb d se dann Vor das Meister Recht und wegen der Uncosten so manns seithero gehabt 4. lb d. erlegen

Fils du marchand de fruits et légumes Daniel Froschhammer, Daniel Froschhammer épouse en 1717 Catherine Dorothée Schneider, fille de l’horticulteur Jean Jacques Schneider : contrat de mariage, célébration
1717 (11. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 25
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Daniel Froschhammer, dem ledigen Meßerschmidt, des Ehren: und Wohl Vorgeachten herrn Daniel Froschhammers, des fastenspeishändlers und burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Catharina Dorothea Schneiderin, des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Schneiders, Vornehmen Kunst und Blumengärthners auch burgers allher Zu Straßburg ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin, am andern theil
So Beschehen und verhandelt in Löblicher Statt Straßburg auff Montag den 11. tag des Monats Octobris im Jahr des Herrn Als mann Zahlte 1717 – daß gegenwärtige pacta dotalia mit allerseithigem beleiben vorstehender maßen abgehandelt, placidirt und Verglichen, wirdt von mit unterschriebenen in specie hierzu requirirtem Notario hiermit beschinnen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 201 n° 27)
Mittwochs den 10. 9.bris 1717. seind nach geschehener 2 maligen außruffung diminica 23. & 24.ta Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Joh: Daniel Froschhammer der ledige Meßerschmidtt v. burger Johann Daniel Froschhammers deß Krämers v. burgers v. weiland Susannæ Weniggutin ehelicher Sohn v. Jfr. Catharina Dorothea Joh: Jacob Schneiders deß Doctor Gärtners v. b. v. wei& Anna Maria Eberhardtin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Daniel froschhammer als hochzeiter, Catharina dorthea Schneiderin als hochzeiterin (i 208)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1717 (27. X.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 61
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren : und Vorgeachte Meister Johann Daniel Froschhammer, der Meßerschmidt und die Ehren und Tugendsahme fraw Catharina Dorothea Froschhammerin, gebohrene Schneiderin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche de ursachen allweilen in der, Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé Versehen, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Montag den 22. Decembris Anno 1717.
In einer in der Statt Straßburg ane dem [-] Staden Liegenden und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 41, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zur Meßerschmid Profession gehörig 97, Sa. Silbers 12 ß, Sa. baarschafft 6, Sa. Schulden 1, Summa summarum 148 lb – Schulden

Daniel Froschhammer et Catherine Dorothée Schneider font un testament réciproque et prévoient l’entretien de leurs deux filles.
1729 (7. Junÿ), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 63)
Codicillus reciprocus respe. Dispositio inter liberos. Johann Daniel Froschhammers des Meßerschmidts und burgers alhier et uxoris. 1729. (Ist zu concipiren prot : und zu mundiren – Ist nicht expedirt worden)
Zuwißen daß auff Dienstag den 7.ten Junÿ 1729. Nachmittags zwischen 4 und 5 Uhren, in einer ane dem Goldgießen alhier zu Straßburg gelegenen, Meister Lorentz Burgern dem Schuhmacher und burgern alhier eÿgenthümblich Zuständigen behaußung im hintern Stockwerck befindlichen Obern Stuben die fenster in den Hoff aussehend, der Ehren undt vorgeachte H. Johann Daniel Froschhammer Meßerschmidt und die Viel Ehren und tugendsahme frau Catharina Dorothea Froschhammerin gebohrne Schneiderin beede Eheleuthe und burgere alhier, Er der Mann gesund gehend und stehenden Sie die frau aber kranck und unpäßlichen Leibs, dannenhero auff einem Bett liegend, dannoch aber durch die Gnade Gottes richtiger Sinnen guter Vernunfft und Verstands
2. Ist beeder Codicillirenden Ehepersohnen ernstlicher will Meinunug und Befelch, wann ihre beede Töchtere beÿ Lebzeiten d. Eltern sich nicht Verheürathen oder in ein Ehe schreitten solten (…)
[unterzeichnet] Johan Daniel froschhammer, Catharina Dorothe froschhammerin

Le coutelier Jean Henri Schneider se plaint que Daniel Froschhammer ne l’a pas averti qu’il ne se rendrait pas au marché de Haguenau. Il est mis à l’amende bien qu’il prétende qu’un de ses enfants était malade.
1728, Protocole des maîtres couteliers (XI 154)
(f° 53-v) Sambstags den 24. Januarÿ 1728 – Meister Johann Heinrich Schneider der Meßerschmidt clagt contra Mr Johann Daniel Froschhammer, daß Er dem Ihme zugefallenen Martini hagenauer Marck nicht bezogen, auch nicht in das Looß gegeben habe.
Beklagter sagt in Anthworth, Er habe Ein Kranckes Kindt gehabt, Er hätte es je Ihme Mr Schneider gesagt, daß Er vor Ihne soll auf den Marck fahren.
Erkand, weilen es beÿ Verloßung der Märck Verglichen worden, daß wann ein Meister einen Marck nicht beziehen will, derselbe schuldig sein soll, 14. tag Zuvor den Marck wider in das Looß zugeben vnd aber solches Von Ihme nicht werckstellig gemacht worden, dahero soll Er der beklagte Zu Straff 7 ß 6 d erlegen.

Daniel Froschhammer s’adresse aux Quinze parce que le conseil de la tribu lui a infligé une amende pour vendre ses marchandises à deux endroits, son atelier et un étal au Vieux-Marché-aux-Poissons. Il déclare avoir installé une vitrine devant son atelier mais que les ventes se font sur son étal. La commission est d’avis de confirmer le jugement du conseil de tribu. Les Quinze ratifient la proposition. Le défendeur est cependant autorisé à poser une enseigne à son atelier. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1740, Protocole des Quinze (2 R 149)
Joh: Daniel Froschhammer C. die Kurtz Meßerschmid
Joh: Daniel Froschhammer Ca. E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmidt
(p. 1) Sambstag den 2. Januarÿ – Römer nôe Joh: Daniel Froschhammer b. und Kurtz Meßerschmid C. E. E. Handwerck der Kurtz Meßerschmid Ober M; prod. Appl. Klag mit beÿlag Lit. A. bitt Verzeichniß, und will ad i.am post Verkünden laßen. Verzeichent

(p. 42) Sambstag d. 23. Januarÿ – Römer nôe Joh: Daniel Froschhammer Cit. E. E. Handwerck der Kurtz Meßerschmid Ober Meister, erhohlt Appl. vom 2. hujus, bitt Deput. Mess. bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt.

(p. 103) Sambstag d. 13. Februarÿ 1740 – Joh: Daniel Froschhammer C. die Kurtz Meßerschmid
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen Weithers per Eundem [Secretarium Kleinclaus] referiren, daß Johann Daniel Froschhammer der Burger und Kurtz Meßerschmid allhier den 29. Xbris jüngst beÿ E. E. Handtwerck der Kurtz Meßerschmid Vorgestellet und angeklagt worden, daß er dem Articul vom 14. 9.bris 1739. §. 3.tio Kein genügen leiste, sintemahlen er an Zweÿen orthen feÿl habe, da auff deßen Verantwortung, daß er in der Werckstatt allwo er arbeithe, ein Zeichen herauß stehen habe, daß er daselbsten arbeite, und negire er an zweÿen orthen feÿl Zu haben, die Erkantnuß dahien ergangen, bleibt beÿ dem Articul, und wann der beklagte morgenden tages das Krämel wieder heraus stellet, so seÿe er in der Straff, Vor dieses mahl aber Von der Straff absolvirt. Worauff er, Froschhammer den 2. Jan. jüngst eine Underth. Appellations Klag mit beÿlag Sub lit. A. contra ged. E. Handwerckhs der Kurtz Meßerschmidt Ober Meister producirt darinnen er gehorsambst Vorstellet daß er nicht an Zweÿen orthen feÿl hatte sondern habe, wie andere professionen auch vor seiner Werckstatt ein Zeichen was er feÿl habe, nemlich ein Kästlein vornen mit einem Glaß in welchem Verschiedene Gattern Meßern Seeren, Scheer Meßer und andere Instrumenta Von seiner profession, Sein stand aber und Laden worinnen er und die seinige feÿl hätten seÿe auff dem Fischmarck & mit demuthiger bitt Mgh geruhen wolten Zu erkennen und außzusprechen daß in erster Instantz sehr übel und wieder die jntention des habenden Articuls gesprochen, folglichen er Underthge Appellant von E .E. Handwercks bescheid Zu absolviren, mithien Ihme nach wie vor erlaubt seÿe das Kästlein seiner Kurtz Meßerschmid Instrumenten an seiner Werckstätt herauß Zu stellen, und dieses mit ersetzung aller Ihme deßwegen muthwillig causirter unkösten. Worauff E. E. Handwerckh Zur mündtlichen Verantwortung umb Deputation gebetten, welche auch willfahrt und beseßen worden, da der Appellant sich auff die Contenta seiner Appellations Klag Bezogen.
Nahmens der Meisterschafft seÿen Vorgestanden Johann Heinrich Schneider alß Ober Meister, Johann Georg Chariere und Johann Jacob Weber welche geantwortet, Gegner habe Zu Hauß ein Krämel ausgestelt, worin er gemachte arbeit heuche und feÿl habe, und dabeÿ noch einen stand auff den Fischmarck, habe also an Zweÿen orthen feÿl so werden der Klahren buchstaben des Articuls, wolten sie alßo gehorsambst gebetten haben den ergangenen Handwercks bescheid gnädig Zu Confirmiren, und den Appellanten in alle unkösten Zu condemniren, Eine taffel oder Schild außzuhencken seÿe Ihme ohnverwehret.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß die Sententia â quâ Zu Confirmiren der Appellant mit seinem begehren abzuweisen und in die unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 141) Sambstag d. 27. Februarÿ 1740 – Bescheid. Sambstag d. 13. Febr 1740. In Sachen Johann Daniel Froschhammers des Burgers undt Kurtz Meßerschmidts allhier, Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Handtwerck der Kurtz Meßerschmid, Appellaten, am andern teil, Auff producirte Underthg. Appellats Klag mit beÿlag Sub lit. A. undt angehencktem Bitten Zu erkennen und außzusprechen, daß in erster Intention des habenden Articuls gesprochen, folglichen er, Appellant von E .E. Handwercks bescheid Zu absolviren, mithien Ihme nach wie vor erlaubt seÿe das Kästlein seiner Kurtz Meßerschmid Instrumenten an seiner Werckstätt herauß Zu stellen, und dieses mit ersetzung aller Ihme deßwegen muthwillig causirter unkösten.
Der Appellaten beÿ gebetten, bewilligt und beseßener Deputation darüber gethane Verantwortung, juncto petito den ergangenen Handwercks bescheid gnädig Zu Confirmiren, und den Appellanten in alle unkösten Zu condemniren, und all übriges Vor und Anbringen, Ist der Hh. Depp. abgelegten Relation nach Erkandt, daß der den 14 . Novembris 1739. dißwegen ergangene Handwercks bescheid Zu Confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweisen, undt in die unkosten Zu condemniren seÿe. Alß wir hiemit respectivé confirmiren, abweisen und condemniren.

Daniel Froschhammer meurt en janvier 1750 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 112 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 412 livres, le passif à 1 316 livres

1750 (21.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 69) n° 1531
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung undt Güethere, so weÿland der Ehren und wohl Vorgeachte Meister Johann Daniel Froschhammer, der geweßene Kurtzmeßerschmid und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe Donnerstags den 22.ten Januarÿ des anfangenden 1750.sten Jahrs dießes zeitliche in das ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seeligen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielter Kinder auch der Hn Beÿstand und geschwornen Curatoris und ab intestato Verlaßener Beneficial Erben, (…) inventirt, durch die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Catharinam Dorotheam Froschhammerin gebohrne Schneiderin die hinterbliebene Wittib beÿständlich Mr Johann Christoph Wurtzen des Paßmentirers und burgers allhier wie auch die Erben selbsten (…) So beschehen in Straßburg, auf Dienstag den 21.ten Aprilis 1750.
Der abgeleibte seelige hat Zu seinen Beneficial Erben ab intestato Verlaßen, wie volgt. 1.mo Jungfer Catharinam Dorotheam Froschhammerin, so Majorennis und ohnbevögtigt, beÿständlich herrn Johann Froschhammers des Lang leßerschmids und burgers allhier, welche mit: und beneben demselben, dem Geschäfft abwartete, in den Ersten dritten Stammtheil. 2.do Frau Mariam Magdalenam Barthelin geb. Froschhammerin, Meister Johann Martin Barthel deß jüngern Schiffmanns und burgers allhier eheliche haußfrau, welcher aber dermahlen zu Franckforth auf der Reÿß begriffen, dahero Vor Ehrengedachter herr Johannes Froschhammer als dero beÿstand mit und beneben deroselben beÿ dem Geschäfft erschinnen, in den Zweÿte dritten Stammtheil, Und dann 3.tio Johann Daniel Froschhammer, der leedige Kurtz Meßerschmidts Jünger, deßen geschworner Vogt offtgemelter herr Johannes Froschhammer, der Lang Meßerschmidt und burger allhier, welcher der Inventation beÿwohnete nomine seines Curanden, in den dritten und Letzten Stammtheil. Also alle des abgeleibten seeligen mit vorgedacht seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben welche aber dieße Verlaßenschafft anderen gestalt nicht als cum Beneficio Legis et Inventarÿ anzutretten sich Hiebeÿ außtrucklichen erclärten.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen Und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane Häußern. (E. T.) Erstlichen eine kleine Behaußung und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier ane dem Goldgießen, einseith neben weÿl. herrn Andeä Wolff, geweßenen Gastgeber und burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Zum goldenen Apffel genander Gastherberg, 2.s. neben Weÿland Meister Friderich heÿl des hueffschmidts hinterlaßenen einigen Erben, hinten auf erstgedachte Gast behaußung stoßend, so über hernach gemelte beschwerden, freÿ leedig eigen undt durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 18.ten Aprilis 1750. æstimirt und angeschlagen pro 350. Darüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Kleinerem secret Insiegel Verwahret, datirt den 17. Septembris A° 1739.
(W.) Item die helffte Vor ohnvertheilt ane einer behaußung
ane der Langenstraß gegen der Schiltzgaß hinüber (…)
Ergäntzung der wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Vermög Inventarÿ über eingang gedachter beeder geweßener Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1717. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 3, Sa. goldene Ring 2, Sa. Schulden 60. Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 500, Erg. Rest 532, Summa summarum 1112 lb
Der Erben ohnverändert und Theilbares Vermögen, Sa. haußraths 44, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeit Zum Kurtz Meßerschmidts handwerck gehörig 12, Sa. Silbers 5, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 350, Summa summarum 412 lb – Schulden 1316, In Vergleichung 903 lb
Stall Summ 209 lb
Copia der Eheberedung (…) auff Montag den 11. tag des Monats Octobris im Jahr 1717
Abschatzung vom 18.ten Aprilis 1750. auff begehren Weÿland Johann Daniel Froschhammers deß geweßenen Meßerschmidts seel. hinderlaßener Wittib ist eine behaußung allhier in der statt Straßburg in dem Goldgießen einseit neben dem Würthshauß Zum Goldenen Apffel anderseit neben Weÿland Friderich Heÿlen Wittib und hinten Wider auff vorgemelten Goldenen Apfel stosend, gelegen, neben dem Eingang hat solche behaußung ein Meßerschmidts Werckstatt, und auff dem Ersten stock eine Stube, ein Kammer, Küchen und haußöhren, der Zweÿte stock ist dem Erstern gantz gleich darüber ist der Tachstuhl so mit breitziegeln Einfach gedeckt, Worunter dreÿ verrigelte Kammern hat auch einen geträhmten Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrenen Werckmeisteren nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Sieben hundert Gulden.
Der Zweÿte begriff (…)
[unterzeichnet] Johan Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister

Les héritiers exposent infructueusement la maison aux enchères (procès verbal d’adjudication joint à l’inventaire précédent)

Haus Versteigerung – Auf Ansuchen Frauen Catharinæ Dorotheæ Froschhammerin gebohrner Schneiderin weÿland Meister Johann Daniel Froschhammers, des geweßenen Kurtz Meßerschmidts und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib und dero beÿstand Mr Johann Christoph Wurtzen des Paßmentirers, Hab ich Notarius Johann Lobstein mich den 7. Augusti Anno 1752. in den Goldgießen in die Gastherberg Zum guldenen apfel Verfügt und der Versteigerung einer Ihro gehörigen Behaußung in dem Goldgießen, einseit neben weÿland herrn Andeä Wolff geweßenen Gastgebers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Frau wittib und Erben gehöriger Zum goldenen Apffel genander Gastherberg, anderseit neben weÿland Meister Friderich Haÿl des Hueffschmidts hinterlaßenen einigen Erben, hinten auf erstgedachte Gast behaußung stoßend gelegen beÿgewohnt (…) so ist die Versteigerung Vorgenommen und angeschlagen worden per 1150 fl. Hat Niemand nichts darauf gebotten

Devenue seule propriétaire pour avoir accepté l’actif et le passif de la succession de son mari, Catherine Dorothée Schneider vend la maison au tailleur Jean Michel Wittmann et à sa femme Catherine Elisabeth Rœmer moyennant 600 livres

1752 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 417-v
Catharina Dorothea geb. Schneiderin weÿl. Johann Daniel Froschhammer des kurtzmeßerschmidts wittib mit beÿstand Johann Christoph Wurtz des Paßmentirers
in gegensein Johann Michael Wittmann des schneiders und Catharinæ Elisabethæ geb. Römerin
eine kleine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane dem Goldgießen einseit neben der Gastbehausung zum goldenen apffel, anderseit neben weÿl. Friedrich Heÿl des huffschmidts erben, hinten auff vorgedachte gastbehausung – um 350 pfund und 50 pfund verhafftet – als ein aus ihres Ehemanns massa, so sie active et passive übernommen – geschehen um 200 pfund

Originaire de Bretten en Palatinat, Jean Michel Wittmann s’inscrit en 1746 pour faire son chef d’œuvre.
1746, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 418) Freÿtag d. 9. 7.bris 1746 – Michael Wittmann Von Bretten aus der Pfaltz gebürtig Laßet sich Zur Zeit und Meister Stückh Ein schreiben.

Jean Michel Wittmann s’adresse aux Quinze pour être autorisé à faire son chef d’œuvre en candidat surnuméraire. Il déclare exercer le métier de tailleur depuis quinze ans, être âgé de trente ans, avoir travaillé à Strasbourg chez un maître depuis six ans et s’être inscrit en 1746. Le représentant de la tribu expose qu’il a bonne réputation et qu’il est l’un des candidats les plus âgés. Les Quinze accordent la dispense moyennant paiement d’un droit.
1750, Protocole des Quinze (2 R 161)
Michael Wittmann Contra E. E. Zunfft der Schneider
(p. 354) Sambstags d. 22. Augusti – Roemer nôe Michael Wittmann, des ledigen schneiders gesellen Von Bretten C. Eundem [E. E. Zunfft der Schneider Hn Zunfftmeister] pt° admission Zum Meisterstück prod. Memor. und bitten, mit beÿl. Lit. A. und bitt deppon. Faust setzts zu Mghh. und bitt ausg deppon. Erk. Deppon.

(p. 382) Sambstags d. 5. Septembris – Iidem [Obere Handwercks Hhn] laßen per Eundem [Secretarium] referiren, es habe Michael Wittmann der ledige Schneider gesell Von Bretten, beÿ Mghh. den 22. Augusti jüngst Ca. E. E. Zunfft der Schneider Hn Zunfftmeister ein unterth. Memoriale mit beÿl. Lit. A übergeben, und darinnen Vorgetragen, wie daß [er] seine profession redlich erlernet, 6 Jahr beÿ einem [Mei]ster allhier gearbeithet und sich d. 9. 7.bris 1746. Zur Z[eit] und Meisterstück einschreiben laßen, mithin solche Ze[it -] ein Jahr darüber Verarbeithet habe. da nun der [Implo]rant schon 15. Jahr beÿ der schneider profession sich bef[indet und] schon 30 Jahr alt seÿe, und dermahlen burger und m[eister] werden mögte, So ergetze an Mghh. deßelben un[terth.] [p. 383] bitten, Sie gnädig geruhen wollen, gratiose Zu erkennen und auszusprechen, daß der Implorant ex speciali gratiâ und dispensando als ein supernumerarius für dieses Jahr Zum Meisterstück Zu laßen seÿe. Nôe Imploratische Zunfft habe man umb deppon. gebetten. Auff geschehenen weißung habe der Implorant sich auf contenta Memorialis et petiti bezogen, Imploratischer H. Zunfftmeister Joh: Martin Gangolff, auch præsens, habe des Imploranten petitum um so mehr Zu Mghh. dijudicatur gestellet, als der Implorant bey der gesambten Meisterschafft wegen seines wohlverhaltens einen guten nahmen habe, auch einer der ältister Candidatorum seÿe. auff seithen derer Hh. deputirten habe man das von seithen des Imploranten vorgekehrte petitum so beschaffen gefunden, daß dieselbe aus der declaration des Imploratischen Hn Zunfftmeisters es Zu der willfahr disponirt erachtet, weßwegen Sie der meinung seÿn sollen, daß der Implorant ex speciali gratiâ, gegen erlag 6 ß [pro] dispensatione, 3. lb. Löbl. Statt, 2. lb Imploratischer [Zunfft] und 1. lb. dem Findlinghauß heimfallen [sollen] vor dießes Jahr zu dem [Meisterstück dispensan]do, ref. exp. zu [Mheren Genehmhaltung] laßend. Erk. [Bedacht gefolgt]

Jean Michel Wittmann présente son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits. Il est reçu maître.
1750, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 594-v) Freÿtags den 25.ten Septembris 1750 – Erscheint unter Hn Johann Martin Gangolff, seinen Informatore, Michael Wittmann, der leedige Schneider Von Bretten gebürtig, welcher Vermög extr. Gn. Hh. der XV.en Memorialis Vom 5.ten 7.bris Jüngst dispensando Zum Meisterstück admittiret worden, bittet Ihme des quantum Zu einem Completen Mannskleÿd, so er Von drap d’Oelbeuff Verfertigen wolle, beneben denen Riß aufzugeben, Ist demselben mit 3 2/3 Stäb drap d’Oelbeuff N° 11, einen glaten Rock N° 19, einen Pantalon N° 3, einen Spannisch Kleÿd N° 18 einen Kurtzen Mantel willfahret worden.
Facta relatione et Examinatione der geschwohrenen Herren Meisterstück schauern, daß der Implorant ein Meisterstück nach ordnung wie recht Verfertiget, als ist derselbe Zu einem Mitmeister auf und angenommen worden.

Jean Michel Wittmann devient tributaire le 9 mars 1751.
1751, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 608-v) Dienstags den 9.te Martÿ 1751 – Johann Michael Wittmannn der Schneider und burger allhier erhaltet auf prod. Stallschein vom 18. Januarÿ Jüngst das Zunfft und Stubenrecht.

Fils du boucher Jacques Wittmann de Bretten en Palatinat (près de Karlsruhe), Jean Michel Wittmann épouse en 1750 Catherine Elisabeth Rœmern fille du tailleur de limes Jean Christophe Rœmer : contrat de mariage, célébration
1750 (28. Sept.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Michael Wittmann, dem leedigen Schneidern Weÿl. Jacob Wittmann, des gewesenen Metzgers Zu Bretten in der Pfaltz ehel. erzeugten Sohn, als hochzeitter ane Einem,
So dann der tugendsamen Jungfrauen Catharinä Elisabethä gebohrner Rehmerin, Hn Johann Christoph Rehmer, des feÿelhauers und burgers allhier mit frauen Anna Maria gebohrner Grauerin ehel. erzeugten tochter als hochzeiterin andern theils
auf Montag den 28. Septembris 1750 [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann als hochzeiter, Catharina Elisabetha Römerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 103-v, n° 20)
Mittw. 11. Novembr. 1750. seÿnd nach Zweÿmahl vorher geschehener Proclamation in der Evangelischen Pfarr: Kirche Zu St. Nicolai in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden Johann Michael Wittmann der ledige Schneider und burger allhie, weÿl. Jacob Wittmann, geweßten Metzgers und burgers Zu Bretten, Chur Pfältzischer Herrschafft hinderlaßener ehel. Sohn, Und Jgfr. Catharina Elisabetha Roemerin Johann Christoph Römer des feilhauers und burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann alls hochzeiter, Catharina Elisabetha Römerin als hochzeirin (i 106)

Jean Michel Wittmann devient bourgeois par sa femme deux mois apràs son mariage
1750, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 437
Johann michael Wittmann der schneider Von Bretten in der Pfaltz erhalt das burgerrecht Vin seiner Ehefrauen Catharina Elisabetha christoph röm des burgers und fegelhauers ehel. tochter umb den alten burger schilling und will dienen beÿ EE Zunft der schneider jur. d. 8. Januar. 1751.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison proche du poêle des Jardiniers de la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 31 livres, ceux de la femme à 224 livres.
1751 (22.3.), Not. Griesbach (6 E 41, 1313) n° 21
Inventarium über des Vorachtbaren Meister Johann Michael Wittmann, des Schneiders, mit Frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner Römerin, beeder Eheleuthe und Bürgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachter Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. – der ursachen wegen, alldieweilen in dero vor mir Notario den 28.ten Septembris Jüngst auffgerichteten Eheberedung §° 4.to austrucklichen Versehen, daß einem Jeedem theil und seinen Erben, das in den Ehestand bringende Nahrungen ein freÿ, eigen, ohnverändert und Vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle (…) So beschehen Straßburg in beÿseÿn Hn Johann Christoph Römer des feÿelhauers und Frauen Annä Mariä gebohrner Grauerin beeder Eheleuth und burgere allhier der Ehefrauen geehrten Eltern auf Montag d. 22. Martÿ 1751.

In einer allhier Zu Straßburg in der Crautenau ohnfern der Gartnerstub gelegenen behaußung folgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Verheurathet mit, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 4, Sa. baarschafft 10, Summa summarum 14 lb – Und wann hierzu gerechnet wird die helffte ane denen haussteuren, so Ihme cafft der Eheberedung §° 6.to gebühren, 15. lb, So wird des Ehemanns sammbtlich in die Ehe gebrachtes Vermögen bestehen in 31 lb
Dießemnach Kommet auch der Ehefrauen vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen, Sa. haußraths 81, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 13, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 212 lb – Und wann die helffte ane denen haussteuren so Ihre der Ehefrauen Vermög der Eheberedung gehören, darzu gelegt wied 15 lb, So thut Ihre sammbtliche Nahrung in allem ausmachen 224 lb

Jean Michel Wittmann et Catherine Elisabeth Rœmer font leur testament
1755 (1. Maÿ), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Testament – 1755 (…) auf Donnerstags den Ersten Monatstag Maÿ abends Zwischen Sieben und Acht Uhren in Mein Notarÿ Wohnbehaußung (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrengeachte Hr Michael Wittmann, Schneider und burger allhier, aufgrecht, gesund gehend und stehenden leibs (…) [unterzeichnet] Johann Michaël Wittmann
Testament – 1755 (…) auf Donnerstags den Ersten Monatstag Maÿ abends Zwischen 8 und 9 Uhren in Mein Notarÿ Wohnbehaußung (…) persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsahme frau Catharina Elisabetha gebohrnee Römerin H. Michael Wittmann des Schneiders und burgers allhier eheliche haußfrau aufgrecht, gesund gehend und stehenden leibs (…) [unterzeichnet] Catharina Elisabetha Wittmännin

Jean Michel Wittmann est élu échevin chez les Tailleurs
1768 Conseillers et XXI (1 R 251)
Schöffen, Schneider, H. Joh: Michael Wittmann. 265.

Jean Michel Wittmann meurt en 1782 en délaissant sa veuve pour unique héritiere. Les experts estiment la maison à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 722 livres, le passif à 58 livres.

1782 (16.2.), Not. Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1308) n° 187
Inventarium über Weiland Herrn Johann Michael Wittmann Burger und Schneider meisters auch E.E. großen Raths wohlmeritirten beÿsitzers nunmehr sel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1782. – nach seinem den (-) dieses laufenden 1782.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen disortiger Wittib Frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner Römerin, als von ihrem nun verstorbenen Ehemann, zufolg hernach inserirten Testamenti clausi eingesetzten universal Erbin (…) So geschehen allhier Zu Straßburg und einer daselbst ane dem Goldgießen gelegenen in diese Verl. gehörigen behaußung in fernerer Gegenwarth Mr Johann Lucas Schaaff brs. und Küblers hieselbst, der Wittib beistand auf Sambstag d. 16. Februarÿ Anno 1782.

Vorbericht. Wie die vorher in Copia einverleibte Eheberedung §° 4.to ausweiset, so haben die diesortige nun durch den Zeitlichen tod Zertrennte Eheleuth ein ohnverändert Guth und Ergäntzung des abgehenden stipulirt auch ihre Illata ordnungsmäßig inventiren laßen. Da aber die hinterbliebene frau wittib die einige Erbin disortiger Verlaßenschaft ist, auch ihres Verstorbenen Ehemanns sel. letzter Willen angenommen (…) daß alles sub una Masa et titulo inventiret und beschrieben werden solle.
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine Behaußung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden und rechten alhier Zu Straßb. ane dem Goldgiesen, einseit neben der Gast behaußung Zum goldenen Apffel, anderseit neben H. Johann Lucas Schaaf dem Kübler, hinten au vorgedachte Gast behaußung Zum Apffell stoßend gelegen, so freÿ, ledig eigen und durch diesig. löbl. Stadt geschwornen hn. Werckmeisterer vermög deroselben as Conceptum hujus Inventarÿ gelieferter schrifftlicher Abschatzung d.d. 8. febr. 1782. æstimirt und angeschlagen worden pro 900 fl. oder 450. Hierüber besagt Kfr u. alh. CCstb errichtet d.d. 17. Aug. 1752. Dabeÿ ferner 3. ältere in gedachter C. C. stub über sothaner behaußung besagend Kfbr. vorhanden de datis 17. Decembris 1739, 12 Maÿ 1727 et (-) 1668.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Testamenti Clausi
Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 8, Sa. gold. Rings 1, Sa. Eigenth. a. I. behßg. 450, Sa. Pzs. Hptg. 200, Summa summarum 722 lb – Schulden 58, Nach deren Abzug, Stall summ 664 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen, auf Montag den 28. Septembris 1750. Johann Jacob Grießbach Notarius juratus
Copia Testamenti Clausi – Ich unterschriebener Johann Michael Wittmann burger und Schneidermeister auch Es. En. Grosen Raths dahier alter beÿsitzer (…) Straßburg den 27. Aprilis Anno 1781 – Copia Indulti Testandi
Abschatzung Vom 8.ten Hornung 1782. Auf begeren Weÿland Herr johann Michael Wittmann dem geweßenen schneuder Meyster ist Eine behausung alhie in der statt strasburg im Goldgießen gelegen Einseÿts neben Meister scheff dem Kibler anderer seÿts und Hinten auf die gast härberg Zum Goldenen apffell stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einer schneuders boutique ferner in Zweÿ stuben Zweÿ Küchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breÿzigel belegt hat auch Ein getremter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworenen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen werden Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Hueberl Götz Wmst, Kaltenr WMstr.

Catherine Elisabeth Rœmer se remarie en 1784 avec Jean Thiébaut Rimbach, marié en premières noces (1746) avec Marie Salomé Wurth puis (1754) avec Susanne Catherine Kopp veuve du batelier Jean Thiébaut Ulrich. La maison rue d’Or figure à l’inventaire de ses apports.

Catherine Elisabeth Rœmer meurt en 1807 en délaissant des héritiers collatéraux.

1807 (12.9.), Strasbourg 3 (31,1), Not. Übersaal n° 1031, 3915
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Rimbach née Roemer veuve de Jean Tibaud Rimbach l’aîné, batelier, décédée le 23 juin 1807 – à la requête des héritiers collatéraux ab intestat ainsi que des représentans des héritiers testamentaires de Jean Michel Wittmann, tailleur d’habits et ancien assesseur au ci devant Grand Sénat de la ville de Strasbourg, premier mari de la défunte
héritiers collatéraux, I. descendans d’Anne Marie Roemer sœur de la défunte procréés avec Jean Vit Karcher menuisier, 1. les trois enfants d’Anne Marie Karcher procréés avec Jean Ehrenfried Hornig menuisier savoir a) Jean Geofroi Hornig menuisier majeur, représenté par Anne Marie Hornig pour 1/30, b) Charles Guillaume Hornig menuisier majeur pour 1/30, c) Anne Marie Hornig majeure pour 1/30, 2. Catherine Elisabeth Karcher femme de Jean Frédéric Bilger menuisier pour 3/30
II. les trois enfants de Jean Georges Roemer, tailleur de limes, frère de la défunte procréés avec feue Marie Dorothée Jung savoir 1) Jean Georges Roemer tailleur de limes pour 2/30, 2) Marie Dorothée Roemer épouse de Jean Georges Dieterich ferblantier pour 2/30, 3) Jean Daniel Roemer facteur de la forge du Bourgraviat de Dohna près de Bantzen dans la haute Lausitz pré Jean Georges Dieterich mandataire de (procuration à Beerwald) pour 2/30,
III. les trois enfants de feue Salomé Marguerite Roemer, sœur de la défunte, procréés avec Georges Frédéric Hüter, Perruquier, 1) Marie Marguerite Hüter fille majeure représentée par Michel Jacques Ungerer, candidat en théologie fondé de pouvoir (procuration à Niederbronn) pour 2/30, 2) Marie Madeleine Hüter femme de Jean François Antoine Oberthür perruquier pour 2/30, 3) Jean Jacques Hüter pasteur de la confession d’Ausgbourg à Niederbronn représenté par Michel Jacques Ungerer son mandataire de pour 2/30
IV. les sept enfants de Susanne Barbe Roemer, sœur de la défunte procréés avec Jean Albrecht Ungerer boucher 1) Jean Albrecht Ungerer fils boucher pour 1/35, 2) Susanne Barbe Ungerer femme de Georges Henri Kappes menuisier pour 1/35, 3) Marie Salomée Ungerer femme de Georges Frédéric Bosé cordier pour 1/35, 4) Marie Madeleine Ungerer femme de Jean Frédéric Schlegel boucher pour 1/35, 5) Jean Chrétien Ungerer boucher, 6) Christine Caroline Ungerer majeure à Neuwied représentée par Jean Albrecht Ungerer son frère pour 1/35, 7) Michel Jacques Ungerer candidat en théologie pour 1/35
V. les trois enfants de feue Marie Madeleine Roemer, sœur de la défunte, procréée avec Joseph Schumm tailleur savoir 1) Joseph Schumm aubergiste à Neuenlengbach dans la basse Autriche pour 2/30, 2) Frédérique Madeleine Schumm fille majeure pour 2/30, 3) Christine Marguerite Schumm majeure pour 2/30 – Observation, feu Jean Michel Wittmann, tailleur d’habits ancien assesseur, premier mari a institué pour son héritière universelle Catherine Elisabeth née Rimbach par son testament mystique déposé M° Fettich, Les héritiers Wittmann étant absens, il a été commis Me Chrétien Goeffroi Bossenius pour leur curateur

meubles 1366 fr, numéraire 63 fr, capitaux portant rente 1777 fr, dettes actives 1975 et 296 fr, total 5479 fr
Propriété d’une maison, Sçavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg au quartier des charrons ou rue d’or n° 4, d’un côté l’auberge a la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff bacquetier, derrière ladite auberge, le petit logement au premier étage etoit occupé par la défunte estimé à 50 fr, La boutique au rez de chaussée et le petit logement au second étage loué à Jean Michel Bohnert tailleur pour 100 fr, total 150 fr de revenu faisant en capital 3000 fr – Propriété constatée par actes passés à la Chambre des contrats les 14 septembre 1668, 12 mai 1727, 17 décembre 1739 et 17 août 1762
(Joints ; copie du Testament de Jean Michel Wittmann – Extrait du registre des décès de Strasbourg n° 2246, 19 pluviose 2, Jean Martin Schumm tailleur 25 ans fils de Joseph Schumm et Marie Madeleine Roemes en sa demeure rue de l’Epine n° 7)
Enregistrement, acp 103 F° 135 du 14.9.

Les héritiers vendent la maison au propriétaire Jean Geoffroi Schæffer

1807 (15.12.), Strasbourg 3 (53), Not. Übersaal n° 2005, 4052
Adjudication – Procès verbal d’enchère du 1 décembre à la requête des héritiers collatéraux de Catherine Elisabeth Rimbach née Roemer, veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier, décédée le 23 juin dernier, inventaire de la succession dressé par M° Übersaal le 12 septembre dernier
(n° 4092 du 29 décembre) sont comparus les héritiers collatéraux ab intestat Catherine Elisabeth Rimbach Roemer, veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier, décédée le 23 juin dernier, savoir Anne Marie Hornig majeure pour 1/30, Anne Marie Hornig procuratrice de Jean Geofroi Hornig menuisier pour 1/30, Charles Guillaume Hornig menuisier majeur pour 1/30, Catherine Elisabeth Karcher femme de Jean Frédéric Bilger menuisier pour 3/30, Jean Georges Roemer tailleur de limes pour 2/30, Marie Dorothée Roemer épouse de Jean Georges Dieterich ferblantier pour 2/30, Jean Georges Dieterich mandataire de Jean Daniel Roemer facteur de la forge du Bourgraviat de Dohna près de Bantzen dans la haute Lausitz (procuration à Beerwald) pour 2/30, Michel Jacques Ungerer, candidat en théologie, fondé de pouvoir de Marie Marguerite Hüter majeure, propriétaire à Niederbronn pour 2/30, Marie Madeleine Hüter femme de Jean François Antoine Oberthür perruquier pour 2/30, Michel Jacques Ungerer, mandataire de Jean Jacques Hüter ci devant pasteur de la confession d’ausgbourg de la commune de Niederbronn actuellement pasteur de la commune de Gries pour 2/30, Jean Albrecht Ungerer fils boucher pour 1/35, Susanne Barbe Ungerer femme de Georges Henri Kappes menuisier pour 1/35, Marie Salomé Ungerer femme de Georges Frédéric Bosé cordier pour 1/35, Marie Madeleine Ungerer femme de Jean Frédéric Schlegel boucher pour 1/35, Jean Albrecht Ungerer fondé de pouvoir de de Christine Caroline Ungerer majeure à Neuwied pour 1/35, Michel Jacques Ungerer candidat en théologie pour 1/35, Frédérique Madeleine Schumm et Christine Marguerite Schumm filles majeures fondées de pouvoir de leur frère Joseph Schumm aubergiste à Neuenlengbach dans la basse Autriche pour 2/30, Frédérique Madeleine Schumm fille majeure pour 2/30, Christine Marguerite Schumm majeure pour 2/30,
par jugement du Tribunal Civil rendu le 3 novembre dernier, M Chrétien Geoffroi Bossenius, curateur établi aux héritiers absens de Jean Michel Wittmann tailleur d’habits, defendeur, le Tribunal sans s’arreter à l’institution fidéicommissaire faite au profit des curands du défunt par Jean Michel Wittmann en son testament mystique déposé M° Fettich le 30 avril 1781 laquelle institution est déclarée abolie et sans effet dit et ordonne que la propriété des biens délaissés par le testateur s’est consolidée au profit de l’autrice défunte des demandeurs)
à Jean Geofroi Schaeffer propriétaire
une maison avec appartenances et dépendances située audit Strasbourg au quartier des charrons rue d’Or n° 4, d’un côté l’auberge a la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite auberge – propriété constatée par actes passés à la Chambre des contrats les 14 septembre 1668, 12 mai 1727, 17 décembre 1739, 17 août 1752
personne ne s’est présenté
n° 4057 du 8 décembre personne ne s’est présenté
le 15 décembre criée 3000 francs – enchérie 3220 francs
Enregistrement, acp 104 F° 71-v du 16.12.

Jean Geoffroi Schæffer revend deux ans plus tard la maison au faiseur de treuils Jean Henri Edler

1809 (27.11.), Strasbourg 3 (56), Not. Übersaal n° 2484, 5131
Jean Geoffoi Schaeffer propriétaire
à Jean Henri Edler faiseur de crics
une maison avec appartenances et dépendances située en cette ville au quartier des Charrons ou rue d’or n° 4 d’un côté l’auberge à la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite auberge – acquis de la succession de Catherine Elisabeth Roemer veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier suivant adjudication reçue par le soussigné notaire le 15 décembre 1807 – moyennant 2000 francs
Enregistrement, acp 113 F° 138-v du 27.11.

Jean Henri Edler épouse en 1808 Marguerite Salomé Reichard
1808 (4.10.), Strasbourg 2 (29), Not. Knobloch n° 3865
Contrat de mariage – Jean Henri Edler, faiseur de crics, fils majeur de Jean Daniel Edler, faiseur de crics, et de feu Marie Dorothée Schuler
Marguerite Salomé Reichard, fille majeure de Jean Daniel Reichard et de Marguerite Salomé Murr
Enregistrement, acp 108 F° 45 du 5.10.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1809 (19.1.), Strasbourg 2 (30), Not. Knobloch n°3997
Inventaire des apports de Jean Henri Edler, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 4 octobre 1808
dans la maison ou demeurent les requérants rue du bétail n° 4
la femme, meubles 952 fr, numéraire 1000 fr, dettes actives, total 1952 fr
le mari, meubles 158 fr, numéraire 1855 fr, total 2018 fr
Enregistrement, acp 110 F° 14-v du 28.1.

Jean Henri Edler et Marguerite Salomé Reichard vendent en octobre 1818 deux maisons sises rue d’Or aux architectes Jean Chrétien Arnold et Daniel Fritz

1831 (13.1.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 59 F° 145, ssp du 3 octobre 1818, vente
Jean Henri Edler, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard
à Jean Chrétien Arnold et Daniel Fritz les deux architectes
1. une maison ayant communauté de cour et de puits avec la maison Miltenberger ci devant Fries et avec celle appartenant à la fabrique de Nicolas affectée au logement du sacrisatin de ladite paroisse, sise à Strasbourg rue d’Or ou quartier des Charrons n° 25 entre Sr Krieg et Sr Wogelin boulanger, donnant par derrière sur ladite cour,
Plus une maison avec appartenances et dépendances sise en cette ville rue d’Or ou quartier des Charrons n° 4 entre l’auberge de la Pomme d’Or et la maison du Sr Jean Frédéric Schaaff baquelier donnant par derrière sur ladite auberge – avec tous droits (…) à la maison du Sr Krieg charron toutes les démolitions qui font suite à la démolition et reconstruction du pignon qui sépare la maison vendue de celle du Sr Krieg conformément au rapport d’experts du 17 août 1812
pour le paiement au Sr Arnold de 6662 francs et intérets de 838 fr, et 3237 fr au Sr Fritz pour solde principal de 6540 fr et intérets de 406 fr, plus 6000 fr audit Arnold et 754 fr d’intérêts plus audit Fritz 3000 fr et 317 fr d’intérêts, total audit Arnold 14.255 fr et Fritz 7021 fr ensemble 21.276 francs

Fils de l’inspecteur des bâtiments Philippe Jacques Paul Arnold, Jean Chrétien Arnold épouse en 1796 Catherine Dorothée Heitz, fille de l’imprimeur Jean Henri Heitz

1796 (6 germinal 4), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 107
Eheberedung – persönlich erschienen, der Burger Johann Christian Arnold, Architecte allhier wohnhaft, des Burgers Philipp Jacob Paul Arnold, hießiger Gemeinde Bau-Inspector, mit Fraun Margaretha Salome gebohrner Zimmer ehelich erzeugter volljähriger Sohn, als Hochzeiter, ane einem
Sodann Jungfrau Catharina Dorothea Heitz, des Burgers Johann Heinrich Heitz, Buchdruckers allhier, mit Fruan Maria Sara gebohrne Weiß, ehelich erzeugte volljährige Tochter, beiständlich gemelten ihres Vaters, als Braut an dem andern Theil
de, 6. Germinal Abends in Vierten Jahr der Fränckischen Republick [unterzeichnet] Johann Christian Arnold, Catharina Dorothea Heitzin
Enregistrement, acp 39 F° 200-v du 11 germ 4 – revenu industriel 112 livres

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 3 202 livres tournois, ceux de la femme à 3 942 livres tournois.
1797 (16 vend. 6), Strasbourg 10 (12), Not. Zimmer, n° 113
Inventarium illatorum – bürger Johann Christian Arnold Architecte und Fr. Catharina Dorote geb. Heitz mit den bürger Johann Heinrich Heitz buchdrucker ihrem leiblichen Vater verbeistandet – vor unterschriebenem Notario den 6. germinal 4 errichteter Eheberedung
dem Ehemann in die Ehe gebrachtes Vermögens, so in einer an der Krautenau N° 102 gelegenen nicht hiehero gehörigen behausung
hausrath L 575, silbers 59, Gold 47, Schiff und Geschirr 120, schulden 2400, summa summarum L 3202
der Frauen in die Ehe gebracht guth, hausrath 1497, silbers 87, gold 357, schulden 2000, summa summarum 3942
Enregistrement, acp 54 f° 142 du 21 vend. 6

Jean Chrétien Arnold et son fils cèdent leur moitié de maison aux enfants du copropriétaire Jean Daniel Fritz

1838 (10.4.), Strasbourg 10 (94), Me Zimmer n° 2829
1. Jean Chrétien Arnold père, architecte, 2. Chrétien Auguste Arnold fils, architecte, et Elise Fleischmann
1. Daniel Frédéric Fritz, architecte, 2. Charles Chrétien Fritz, 3. Jean Guillaume Fritz les trois architectes, 4. Marie Salomé Fritz, 5. Sophie Fritz, 6. Christine Louise Fritz toutes trois rentières
les deux tiers appartenant par indivis auxdits Sr Arnold dans une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 4 entre la veuve Schaaff & auberge à la Pomme d’Or, derrière la même auberge – acquis avec la maison rue d’Or n° 25 conjointement avec M. Arnold père pendant la communauté avec défunte son épouse et de feu Daniel Fritz, pendant le veuvage, de Jean Henry Edlen, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard par acte sous seing privé du 3 octobre 1818 enregistré le 13 janvier 1831 f° 145, ledit Edlen l’avait acquis du Sr Jean Geoffroi Scheffer par devant M° Ubersaal le 27 novembre 1809 – moyennant 2000 fr pour la totalité, soit 1333 francs
Enregistrement, acp 258 f° 86 du 174.

Originaire de Pforzheim, le compagnon charpentier Jean Daniel Fritz s’inscrit pour faire ses années d’épreuve chez Jean Geoffroi Weber et Jacques Paul Arnold.
1774, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 29)
(f° 35-v) Dienstag den 21.den Junii 1774 – Joh: Daniel Fritz der leedige Zimmergesell von Pforzheim gebürtig stehet vor und bittet, weilen Er das Handwerck nach Ordnung gelernet und verschiedene Jahre darauf gewandert, ihne in die gewohnliche Muthjahre einzuschreiben, Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem begehren zu willfahren, hierauf hat derselbe declarirt die verlangte Muthjahr beÿ Mr Joh: Gottfried Weber und M. Jacob Paul Arnold zu Verarbeithen.

Jean Daniel Fritz demande à faire son chef d’œuvre pour pouvoir épouser la fille d’un maître charpentier. Le conseil lui demande d’attester qu’il a passé un contrat de mariage
1779, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 29)
(f° 47-v) Donnerstag den 21.den Januarii 1779 – Erschienen Daniel Fritz der Gesell von Pforzheim gebürtig, stehet vor und bittet, weilen seine Muthjare bereits verfloßen, ihme Zu erlauben nach außgestandenem Examine den Riß Zum Meisterstück aufzunehmen und dieses nun somehr da Er Meister Helgensteins Tochter Zu heÿrathen gesonnen. Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu Willfahren, sobald er einen authentischen Extract aus dem mit gemelten Mr Heilgensteins Tochter getroffenen Ehe Contract denen Herren Schaumeistersn einhändigen werde.

Jean Daniel Fritz souhaite obtenir le sujet de son examen sans fournir le certificat. Le conseil refuse.
(f° 48) Dienstag den 23.ten Februarii 1779 – Joh: Daniel Fritz der leedige Zimmergesell, , von Pforzheim gebürtig, stehet vor und bittet weilen seit del 21.ten Junii 1776 seine Muthjare verfloßen ihm ohne Rücksicht auf eine Verheurathung, davon den 21.ten Januarÿ jüngst Meldung geschehen, Zu Aufnahm des Reißes und Verfertigung des Meisterstücks gelangen Zu laßen, und dieses um so mehr, da dermahlen keiner vorhanden, der das Meisterstück zu verertigen Verlanget. Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe der Comparent mit seinem Gesuch samt Kösten ab: und an die Articul zu verweisen.

Jean Daniel Fritz porte l’affaire devant les Quinze. Les pages qui rendent compte de l’affaire manquent.
1779, Protocole des Quinze (2 R 189)
Johann Daniel Fritz Ca. E. E. Mstrschfft der Zimmerleuth. 118. 148. 169. 177. 188.
(p. 118) Sambstags den 6.ten Martii 1779. – Osterrieth nomine Johann Daniel Fritz des ledigen Zimmer gesellen von Pfortzheim gebürtig, Contra E. E. Meisterschafft der Zimmerleuth Obermeister producirt unterthäniges Memoriale juncto petito samt beÿlag sub Litt. A [puncto] admission Zum Meisterstück. Wilhelm bitt [Deput;] et Terminum ordiniis, Obtinuit.
(p. 148, p. 169, p. 177, p. 188 manquent)

Jean Daniel Fritz devient tributaire le 8 janvier 1783
1783, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 27) Mittwochs den 8. Januarÿ 1783 – Neuzünfftiger ER
Erschienen Mr Daniel Fritz der Zimmermann von Pforzheim producirt Cantzleÿ Stall schein dedato 30.ten Decembris 1783. bittend ihne, in Kraft derselben bei dieser Ehrsamen Zunft aks einen Zünfftigen auf und anzunehmen, sub oblato præstanda Zu præstiren und die Gebühr Zu erlegen. Erkant, Gegen Erlang der Gebühr Willfahrt, Juravit.

Fils du charpentier Daniel Fritz de Pforzheim, Jean Daniel Fritz épouse en 1784 Marie Salomé Heiligenstein, fille du charpentier Jean Heiligenstein : contrat de mariage, célébration. Jean Heiligenstein fait donation à sa fille de sa maison rue des Poules à la Krutenau.
1784 (3.2.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 170
Eheberedung – persönlich erschienen, Herr Daniel Fritz, der Zimmer Meister und Burger alhier, H. Daniel Fritz des Zimmer Meisters und burgers Zu Pfortzheim, mit der Ehr: und Tugendsamen Fraun Barbara gebohrner Siegelin ehelich erzeugter Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als hochzeiter, ane einemn
Sodann die Viel Ehr: und tugendbegabte Jungfrau Maria Salome Helgensteinin, Hn Johannes Helgenstein, des Zimmer Meisters und burgers alhier, mit Weil. Frau Maria Elisabetha gebohrner Hetzelin, ehelich erzeugte Tochter beiständlich erstgemelten ihres Hn Vatersn als die Jungfrau braut ane dem andern theil
Achtens, cedirt und überläßt Hr Johannes Helgenstein, der Zimmer Meister und burger amhier, Jungfrauen Marie Salome Helgensteinin, der Jungfrau braut, seiner Tochter, welche auch beiständl. H. Daniel Fritz des Zimmer Meisters und burgers alhier ihres bräutigams, auf gleiche Weise an: und übernommen zu haben bekante, die von ihme bewohnende gantze behaußung, hoff und hoffstatt samt allen übrigen deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Krautenau ane der Hennen: Gaß, einseit neben Pfählerischen Erben, anderseit neben Hn Lt Ihlen, und hinten Zum theil auf Hn Rathh. Joh: David Zocher den Kunst: gärtner und Zum theil auf H. Lobstein den Handelsmann stoßend, so Herrn N. Fügner dem glaser: Meister u. burger alh. um 600 fl. verhafftet, sonsten aber des H. Cedenten und Vaters Versicherung gemäß gegen Männiglichen freÿ leedig und eigen, Solchemnach ist gegenwärtige Cession und Übernahm ertsbeschriebener behausung über abzug obigen darauf haftenden Capitals der 600 gulden, welche die Jgfr. tochter und braut vermittelts dieses übernimmt, (…) annoch Zugangen und beschehen vor und um die Summam von 1900 Gulden hiesiger Währung
Wohnung (…)
auf Dienstag den 3. Februarÿ anno 1784. [unterzeichnet] Daniel Fritz als hochzeiter, Maria Salome Helgenstein als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 138-v, n° 9)
Im Jahr 1784 Dienstags den 9. Martii (sind) ehelich eingesegnet worden Daniel Fritz lediger Zimmermeister und burger allhier, von Pfortzheim gebürtig, Hn Daniel Fritz, Herrschafftlichen Zimmermeisters und burgers daselbst und Frauen Barbara gebohrner Siegelin ehelicher Sohn, und Jgfr. Maria Salome Heiligensteinin Johannes Heiligensteins, Zimmermeisters und burgers allhier, und weiland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Hetzelin eheliche tochter [unterzeichnet] Daniel Fritz las hochzeiter, Maria Salome Heiligensteinin als Hochzeiterin (i 140)

Jean Daniel Fritz devient bourgeois
1782, VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) – Daniel fritz

Marie Salomé Heiligenstein meurt en 1816 en délaissant six enfants.
1816 (2.4.), Strasbourg 8 (14), Not. Roessel n° 3117
Inventaire de la succession de Marie Salomé Fritz née Heiligenstein décédée le 24 octobre dernier – à la requête de 1. Daniel Fritz maître charpentier le veuf, 2. Daniel Frédéric Fritz tailleur de pierres, 3. Marie Salomé Fritz non mariée, 4. Charles Chrétien Fritz charpentier, 5. Sophie Fritz non mariés ces quatre majeurs, 6. Guillaume Fritz et 7. Christine Louise Fritz les deux mineurs mais émancipés issus du mariage avec le veuf, contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire suivant contrat de mariage reçu Schaeff le 3 février 1784

dans une maison rue des Bestiaux fauxbourg de la Krautenau n° 40
propres aux héritiers apports 14 fr, garde robe 179 fr, mobilier 5000 fr (apports selon l’inventaire des apports 9688 fr) restent à remplacer 1409 fr, total des propres 6602 fr
communauté, mobilier 969 fr, outils bois 400 fr, créances 6400 fr, immeubles 27.200 fr, total de l’actif de la communauté 34.969 fr – passif 9177 francs
immeubles, Héritiers. La maison que le père de la défunte lui a cédé dans le contrat de mariagesituée en cette ville rue des Bestiaux fauxbourg de la Krautenau n° 40, entre les héritiers Pfaehler et le Sr Karcher tonnelier, elle aboutit en partie sur la propriété du Sr Zocher jardinier en partie sur la place dont il va être tantot parlé, Cette maison dans laquelle le veuf déclare n’avoir pas fait de réparations majeures est occupée par lui et les héritiers, estimée à 250 fr de revenu en capital 5000 francs Communuté. Suivant acte passé à la Chambre des contrats le 18 mars 1786 il a acquis de Jean Daniel Baër négociant et de Jean Frédéric Baër orfèvre au nom de leur mère Marie Salomé née Lobstein veuve Baër un jardin avec puits cour petite maison et dépendances située au susdit Faubourg, d’un côté la maison ci après mentionnée et à la propriété Zocher, d’autre à M Wagner négociant et à la veuve Graff derrière maison ci dessus inventoriée à celle de M Karcher et au jardinier Gohri, Duquel bien dont le sol forme aujourd’hui en grande partie un chantier le veuf et les héritiers jouissent eux mêmes, estimée à 300 fr de revenu en capital 6000 francs
Plus le Sr Fritz déclare avoir acquis de Kayser, emballeur à la douane, une maison sise audit fauxbourg rue dite Spiesengass quai des Chevaux n° 138, tenant d’un côté audit chantier, de l’autre au Sr Asal tisserand, derrière les héritiers Lauth, estimée à 60 fr de revenu, en capital 1200 fr
Et une maison sise à Strasbourg place St Etienne n° 18 à l’entrée de la rue de la Croix, d’un côté celle du Sr Glock brasseur, d’autre celle du Sr Kieffer chandelier, derrière la propriété du Sr Fabian – louée au Sr Jaeglé prêtre moyennant un loyer annuel de 1000 fr, revenu faisant en capital 20.000 fr, Sur ces deux acquisitions il ne s’est pas trouvé de titre
enreg. manquant F°

Daniel Fritz meurt en décembre 1822. La maison rue d’Or figure à l’inventaire de ses biens.

1824 (9.8.), Strasbourg 8 (38), Me G. Grimmer n° 167
Inventaire de la succession de Daniel Fritz, charpentier décédé le 12 décembre 1822 – à la requête de 1. Jean Daniel Fritz, tailleur de pierres, 2. Marie Salomé Fritz majeure, 3. Charles Chrétien Fritz, charpentier, 4. Sophie Fritz, majeure, 5. Jean Guillaume Fritz, charpentier, 6. Christine Louise Fritz majeure

Observations préliminaires, l’inventaire de la succession de Marie Salomé Heiligenstein épouse du défunt a été dressé par M° Roessel le 2 avril 1816
immeubles 1. la moitié d’une petite maison avec cour, puits, jardin & autres dépendances sise en cette ville rue des Bestiaux Faubourg de la Krautenau, entre la maison ci après désignée et propriété Zocher, derrière M. Wager négociant et la veuve Graff, estimée 2500 fr, acquise par acte passé à la Chambre des contrats le 18 mars 1786
2. la moitié d’une maison et dépendances sise en cette ville rie appelée Spiesengasse quai des Chevaux n° 138, d’un côté l’immeuble susdésigné, d’autre la Sr Asal tisserand, derrière les hoirs Lauth, évaluée à 500 fr, acquise du Sr Kayser emballeur à la Douane
3. la moitié d’une maison sise à Strasbourg place St Etienne n° 18 à l’entrée de la rue de la Croix, d’un côté celle du Sr Glock brasseur, d’autre celle du Sr Kieffer chandelier, derrière la propriété du Sr Fabian, estimée 8000 fr – la contre moitié des trois articles ci dessus dépend de la succession de Marie Salomé Heiligenstein épouse du Sr Fritz
4. le tiers par indivis à une maison ayant communauté de cour et de puits avec la maison Miltenberger ci devant Fries et avec celle appartenant à la fabrique St Nicolas affecté au logement du sacristain de ladite paroisse sise en cette ville rue d’Or quartier des Charrons n° 25, d’un côté le Sr Kreig charron, d’autre le Sr Waegeli, boulanger, derrière ladite cour, estimée 800 fr
5. le tiers par indivis d’une maison avec appartenances et dépendances en cette ville rue d’Or ou quartier des Charrons n° 4, entre l’auberge à la Pomme d’Or et la maison du Sr Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite maison, estimée 400 fr – les deux autres tiers appartiennent à Jean Chrétien Arnold maçon. Le titres de propriété ne s’est point retrouvé
6. une maison construite en bois à rez de chaussée surmontée de deux étages avec un petit jardin sur le devant, cour, grange, écurie et puits située à Strasbourg Faubourg de la Krautenau rue de l’Abreuvoir n° 37, d’un côté la fabrique de chicorée appartenant au Sr Baumann, d’autre le Sr Kientz jardinier et Karcher propriétaires, devant la rue, derrière le Sr Fritz défunt, estimée 1920 fr, acquise de Chrétien Wick, charpentier, fondé de pouvoir de Marie Salomé née Schultz veuve de Jacques Margraff, maçon, et Marie Salomé Margraff femme de Vendelin Hähnemann, Catherine Marguerite Margraff femme dudit Wick, Marie Madeleine Margraff femme de Louis Danner, charpentier, Marie Anne Margraff et Elisabeth Margraff les deux majeures suivant acte reçu par M° Hatt le 30 novembre 1822
mobilier 859 fr, créances 130.400 fr, ensemble 144.620 fr et meubles ensemble 145.479 fr
Enregistrement, acp 169 F° 115-v du 16.8.

Les consorts Fritz vendent la maison à la veuve d’Adolphe Kieffer au nom de laquelle elle figure au cadastre en 1881.
Le tailleur Adolphe Kieffer épouse en 1857 Barbe Klinger, fille de cordonnier.

Mariage, Strasbourg (n° 118)
Du 2° jour du mois d’avril 1857 à dix heures du matin, Acte de mariage de Gustave Adolphe Kieffer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 décembre 1832, fils de Jean Frédéric Kieffer, tailleur domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feu Wilhelmine Dorothée Maucké décédée à Strasbourg le 25 février 1850, et de Barbe Klinger, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier décembre 1835 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans état, fille de feu Mathias Klinger, cordonnier décédé à Strasbourg le 5 mai 1852 et de Caroline Bachmann, sage-femme domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage. Et aussitôt lesdits époux ont déclaré reconnaîre et légitimer Gustave Adolphe Kieffer né d’eux à Illkirch-Graffenstaden (BasRhin) le 17 septembre 1853 inscit le même jour sur les registres de l’état civil de ladite commune (signé) Kieffer, Klinger (i 18)

1871, (5.7.), M° Stromeyer
Inventar der Gütergemeinschaft die zwischen Gustav Adolph Kieffer Octroi Einnehmer und Barbara Klinger seiner Ehefrau in Straßburg existirt hat und vom dem Nachlass des Hn Kieffer den 20 Mai 1871. gestorben
errichtet von der Wittwe und Theilnehmerin der halben Gemeinschafft und als Mutter von Gustav Adolph Kieffer, ihr Sohn
acp 599 (3 Q 30 314) n° 1371 f° 56-v du 15.7. (Sterbeafall erklärt den 2. November 1871)
Gemeinschafft. Mobilien 636, Schuldschein 1477
Nachlas, Kleidung 46

Le receveur de l’octroi Gustave Adolphe Kieffer meurt en 1871 dans une maison quai des Bateliers après avoir fait un testament par lequel il lègue à sa femme la moitié de ses biens
Décès, Strasbourg (n° 1417)
Acte de décès. Le 21 Mai 1871 (…) Ont comparu Frédéric Kieffer âgé de 50 ans, Employé à la mairie frère du défunt domicilié à Strasbourg et Joseph Klingler, typographe, beau frère du défunt domicilié à Strasbourg lesquels nous ont déclaré que Gustave Adolphe Kieffer, âgé de 38 ans, né à Strasbourg, Receveur central de l’octoi époux de Barbe Klinger, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jean Frédéric Kieffer, tailleur, et de feu Wilhelmine Dorothée Maucké, est décédé le 20 mai 1871 à six heures du soir en la maison Quai des bateliers 25 (i 44)

1871 (19.5.), M° Stromeyer
Testament von Gustav Adolph Kieffer, Octroi Einnehmer in Straßburg, Barbara Klingler seiner Ehefrau von der Nutzniesung seines halben Vermögens – gestorben 20. mai 1971.
acp 598 (3 Q 30 313) f° 77-v n° 938 du 29.5.



59, rue de Zurich (X 170)


Rue de Zurich n° 59 – X 170 (Blondel), O 902 puis section section 34 parcelle 3 (cadastre)

Partie droite de l’actuel 59, rue de Zurich (partie gauche)
Brasserie aux Trois Lis (1746) puis au Télégraphe (1801)


Le bâtiment est le troisième à partir de la gauche (septembre 2016) – le troisième à partir de la droite (mai 2014)

Propriété des bouchers Jérémie Fritsch puis Jean Kamm l’aîné au début du XVII° siècle, la maison appartient ensuite aux bateliers Martin Heinrich qui devient en 1620 péager au Canal des Fleurs puis Jacques Stephan qui la vend en 1634 aux pêcheurs venus de Wittenweier en Bade, Jean Riebel l’aîné et Jean Riebel le jeune, en se réservant des bâtiments au sud. Elle sera transmise par héritage jusqu’en 1754. Le pêcheur Frédéric Weiss devient en 1665 ouvrier garde-bois. Le tonnelier Jean Georges Bürckel qui construit un bâtiment arrière passe en 1715 un accord au sujet du mur commun avec sa voisine (au sud). Il s’agit sans doute du nouveau bâtiment arrière que mentionne l’inventaire dressé en 1734. D’après l’estimation de 1743. il y a un rez-de-chaussée, un étage et des chambres sous combles. Le tonnelier Jean Jacques Bürckel acquiert une maison (B ci-dessous) dans la ruelle des Roses et établit en 1746 l’auberge aux Trois Lis qu’achète en 1755 Marie Sara Blessig, femme du brasseur absent Philippe Jacques Demuth. Elle fait exploiter la brasserie par Jean Henri Peter puis la vend au brasseur Jacques Strohl alors qu’elle est établie avec son mari à Saint-Petersbourg. Jacques Strohl achète successivement la maison voisine au nord et une maisonnette ruelle des Roses.

Première maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Il s’agit sans doute du bâtiment que se réserve Jacques Stephan quand il vend la maison ci-dessus en 1634. Elle revient pas adjudication judiciaire à l’administrateur de la Tour aux deniers Georges Basile Geiger qui en transmet la propriété à son gendre Jean Raimbaud Friderici. Charpentier tyrolien, le manant Georges Kessler l’achète en 1704. Ses petits-enfants la vendent en 1752. Elle est ensuite propriété de Jean Henri Peter qui exploite la brasserie aux Trois Lis puis en 1776 de Chrétien Strohl qui la réunit à sa brasserie.

Deuxième maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Jean Ernest Theurer la détache de son jardin situé à l’arrière en la vendant en 1746 à Jean Jacques Bürckel.
Jean Chrétien Strohl acquiert en outre en 1778 de la veuve Gori un bâtiment construit sur son terrain.
L’histoire ultérieure des bâtiments est relatée à la notice qui traite de l’ancienne parcelle X 169, partie gauche de l’actuel n° 59, rue de Zurich.


Le quai aux Chevaux d’après le plan-relief de 1725 (© Musée historique). La maion est la troisième à droite du pont au Brochet (au milieu de l’image). La ruelle des Roses s’ouvre sous le bâtiment suivant.
235 Elévations c'-g'
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 235 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) décrit le bâtiment de droite (rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (f) : rez-de-chaussée et deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour N’ montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, la remise (1-4) à l’est, le bâtiment (2-3), à l’ouest et celui (3-4) au fond de la cour.
La cour M’ représente l’arrière (15-16 et pignons adjacents) du bâtiment au fond de la cour N’, l’arrière (12-14) du premier bâtiment dans la ruelle des Roses et l‘arrière (10-12) du deuxième bâtiment dans la même ruelle. Les bâtiments (6 à 9) se trouvent au nord-ouest de la cour.
La cour O’ est la ruelle des Roses qui donne sur le quai par un passage voûté. La maison (A) est la deuxième à droite du repère (2), la maison (B) se trouve à gauche du repère (3). Toutes deux ont un rez-de-chaussée et deux étages.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 235 : plan entre l’angle de la rue de l’Abreuvoir en haut à gauche et la ruelle de la Hallebarde (actuelle rue Fritz) en bas à droite – Cour M’, N’ et O’

mai 2021

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1775 (réunion à la voisine). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jérémie Fritsch, boucher, et (1586) Marguerite Fischer – luthériens
1608 v Jean Kamm, boucher, et Catherine Kress, (1587) Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler puis (1609) Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich – luthériens
1612 v Martin Heinrich, batelier, et (1608) Susanne Stahl – luthériens
1634 v Jacques Stephan, batelier, et (1613) Marie Hertrich – luthériens
1634 v Jean Riebel l’aîné, pêcheur († v. 1636), et Eve – luthériens
Jean Riebel le jeune, pêcheur, et Marie Schalck puis (1633) Catherine Herr, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier – luthériens
1641 h (copropriétaires avec les suivants) Jean Lutz, de Wittenweier, et (v. 1625) Eve Riebel – luthériens
1669 h Frédéric Weiss, pêcheur, ouvrier garde-bois, et (1645) Eve Marie Riebel – luthériens
1710 h Philippe Barthel, et (1680) Susanne Weiss puis (1711) Elisabeth Feigler, veuve de Jacques Holtzinger – luthériens
1714* h Jean Georges Bürckel, tonnelier, et (1707) Marie Salomé Barthel puis (1716) Anne Barbe Jung – luthériens
1736* h Jean Jacques Bürckel, tonnelier et brasseur, et (1743) Marguerite Salomé Christianus – luthériens
1754 adj Catherine Marguerite Beyerbach, épouse (1710) du receveur Jean Silberrad – luthériens
1755 v Philippe Jacques Demuth, brasseur, et (1743) Marie Sara Blessig – luthériens
1772 v Jean Chrétien Strohl, marchand de vins, et (1746) Catherine Braun – luthériens

Maison (A) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de l’actuel n° 61

Jacques Stephan (supra)
1652* adj Georges Basile Geiger, triumvir de la Tour aux deniers, et (1645) Elisabeth Schmidt puis (1668) Barbe Erhard veuve de Jean Charles Wesener et de Jean Jacques Wieger – luthériens
1684* h Jean Raimbaud Friderici, consul, et (1684) Marie Marguerite Geiger, d’abord (1662) femme du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer, puis (1693) Susanne Richshoffer – luthériens
1704 v Georges Kessler, charpentier, et (v. 1675) Barbe Kœrner – catholiques, manants
(héritiers) Jean Litzge, charpentier, et (1697) Gertrude Kessler – catholiques
Henri Kessler, charpentier, et (1706) Catherine Schultz – catholiques
1714 h Charles Ringard, soldat puis manœuvre, et (1714) Barbe Kœrner veuve de Georges Kessler – catholiques
1752 v Jean Louis Kneischick, brocanteur, et (1731) Anne Barbe Scheuer, remariée (1760) avec le brocanteur Jean Chrétien Baur – catholiques
1762 v Jean Henri Peter, brasseur, et (1730) Catherine Marguerite Blessig – luthériens
1776 adj Jean Chrétien Strohl (supra)

Maison (B) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de la précédente

1731 v Jean Ernest Theurer, secrétaire de l’hôpital, et (1712) Judith Reine Sachs
1746 v Jean Jacques Bürckel (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1710, 500 livres en 1734 et en 1743

(1765, Liste Blondel) X 170, Marie Sara Démuthine
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Strohl, 8 toises, 0 pied et 4 pouces (avec la voisine)

Locations

1754, Philippe Jacques Demuth, brasseur (futur propriétaire)
1760, Jean Henri Peter, brasseur (propriétaire de la maison A)
(maison A)1662 Jacques Steuss, boucher, et Anne Catherine Kuder

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 510-v

[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]
Melchior Murrlin der Garttner hatt an seinem Hauß vornen gegen dem Giessen über dem Thor ein Wettertach, xxvij schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß iiij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Jean Linckenhœle est autorisé au nom du brasseur Chrétien Strohl à repeindre sa brasserie aux Trois Lis

(f° 81-v) Dienstags den 21. Julii 1772 – Joh. Linckenhöle nôe. Christian Strohl Jun:
Johannes Linckenhöle, der Maurer Meister nôe. Christian Strohl, des Jüngern bierbrauers, bittet zu erlauben deßen bierhaus zu den 3. Lilien beÿ der Hechten Bruck anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre à soldat, bâtiment latéral où se trouvent un petit poêle et une chambre, au rez-de-chaussée une petite cave solivée, bâtiment arrière à demi-toit comprenant une chambre et une cave solivée, le tout estimé avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une cuisine et un vestibule, une petite dépense, une buanderie, une cour, un puits, une cave solivée, à l’étage de nouveau un poêle, chambre, petite cuisine, vestibule, un petit poêle et une dépense, une chambre à vinaigre, passage sous le toit, trois anciennes chambres dont une sert de chambre à soldats, vieux comble, toit couvert en partie de tuiles creuses, deux pignons en bois, un grenier non dallé, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au boucher Jérémie Fritsch. Originaire de Haguenau, il épouse en 1586 Marguerite, fille du batelier Thomas Fischer et devient bourgeois quelques semaines plus tard.

Mariage, cathédrale (luth. p. 124)
1586. Dnica XXII post Trinitatis 30. Octobris. Jeremias Fritsch von Hagenaw der Metzger vnd Margaretha Thoman Fischer des Schifmans tochter eingesegnet Montags den 7.ten Novembris (i 64)

1586, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 572
Jheremias Fritsch Von Hagenauw, ein Metzger, Hat das Burgrecht empfangen, von Margretha, Thomæ Vischers des Schiffmans Tochter, seÿner Ehelichen Haußfrauwen vnd will Zu der Blumen dienen, Act. den 10.t Decembris Anno 86.

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer hypothèquent la maison au profit de Jean Rapp de Sundheim près de Kehl

1606 (9 Augusti), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 215-v
(Inchoat. fo: 266.) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger Vnnd Frauw Margred Vischerin sein eheliche haußfrau
haben in gegensein Hans Rappen von Sunthenheim – schuldig sigen 150 pfund
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt, höfflin mit allen andern Iren gebeuw, gelegen In der Vorstatt Straßburg Inn Crutenaw beÿ der Vndersten gedeckten Brucken j einseit Andreas Schnellen Schiff Zimmermann anderseit Adam Thomman Schiffer stoßend hinden vff denselben verhafftet für 100 guldin Martin Andres Schiffmann

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer vendent la maison au boucher Jean Kamm l’aîné, assesseur au Grand Sénat moyennant 285 livres

1608 (xiij tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 299-v
(Inchoat. in Proth. fol: 250) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger burger Zu Straßburg vnd Margred Fischerin sein Eheliche haußfrauw haben (verkaufft)
herrn Hanß Khammen dem Eltern beÿsitzern des großen Raths Alhie
Hauß houetsatt, höfflin, Mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn d. Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ d. Understen gedeckten Brucken, einseit nebent Andres Schnellen dem Zoller Vff der Rheinbrucken, Andersit neben Adam Thoman Schiffer* Hinden Vff obgedachts Schnellen gartten, stost, für freÿ ledig vnd Eÿgen, Vnnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 285 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Jeremias Fritsch haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Gabriel Khammen Inn Nammen seines Vatters (…) Actum ii Julÿ Anno xvj C Acht

Assesseur au Petit Sénat, le boucher Jean Kamm et sa femme Susanne Suther font leur testament. Le mari institue pour héritiers ses enfants Jean, Catherine femme de Joachim Frantz, Jacques Philippe, Dorothée et Laurent, issus de sa première femme Catherine Kress et Gabriel de son deuxième mariage avec Susanne Sutter. La femme institue pour héritiers sa petite-fille, issue de Susanne Kessler et de Nicolas Frantz, et son fils Gabriel Kamm
1596 (9. 7.bris), Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) N° 352
9. 7.bris 1596. Testamentum nuncupativum (Prothocollirt vnd verfertigt den 31. Martÿ 1609) persönlich erschienen seindt herr Hans Kamm, Metzger vnd dieser Zeit Cleinen Rhats bewandter alhier Zu Straßburg vnd Fr. Susanna Sutherin sein Jetzige geliepte haußfrauen, wie wol dieselb großen leib schwanger gende, vnd wenig ziel Zu Küfftiger glickseliglich hoffender frölichen geburth, mehr vor Ire habende, doch beede Jetzgedachten Ehegemechte gendes standes gesundes wafferndesn Leibs, guter verstendlicher sinne vnd vernunfft
dieweil nihn letstlichen die Insatzung vnd benennung der Erben Institutio hæredum zu latein gt. das fürneimbste und wesentlich hauptstück eines Jeden testaments, (…) so ernennt Instituirt vnd setzt Er Hanß Kamm der testator zu seinen Rechten wahren gewißen vnd vngezweiffelte testaments Erben so ohne das sind* seine söne döchter vnd also ab intestato wahr Erben seindt, Namblichen hannßen, Catharinam Jetz h: Joachim Frantzen oberschreibers Ime Spital alhie Ehefrauwen, Jacob Philips, Dorotheen vnd Lorentzen Kammen von wÿland Catharine Kresin seiner ehrenn haußfrauwen selig ehelich erzielt, deßgleichen Gabriel Kammen In Jetzigen anderer v letzter Ehe ehelichen erzeugt samp denen Posthumis (…)
Sie fraw Susanna Sutherin die testirerein aber benent vnd Instituire Zu Ihren testament erben gleichfalls obernanntem Gabriel Kammer Irem Jüngsten mit mehr ernanntem Ihrem lieben haußwirth ehelichen erbornen sohns vnd all Ire posthumis, darzu auch Jre Ecklelin Susannam Niclaus Frantzen des Metzgers mit weÿland Susanna Ketzlerin seiner haußfrauen selig ehelichen erzeugtet töchterlin

Jean Kamm épouse en 1587 Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 1, n° 5)
1587. den 27. februarÿ sind eingesegnet worden hans Kamm der Metzig. vnn Susanna Suterin weÿland Jacob Keßler des Scherers selig. hinderlaßene widwe (i 3)
Mariage, cathédrale (luth. p. 127) 1587. Dominica Sexagesima. 19. Februarÿ. Hanß Kamm der Metzger, vnd Susanna Jacob Keßler des Schärers nachg. wittib. Eingesegnet Montags den 27. Februarÿ (i 67)

Assesseur au Grand Sénat, Jean Kamm l’aîné épouse en 1609 Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79-v, n° 7)
1609. den 8. Maÿ seind ehelich eingesegnet worden Herr Hannß Kamm der Ellter vnd des großen Rhatts Beÿsitzer allhie, Vnndt Fraw Margaretha Maria Adolphin, Weÿland Herrn Sebastiani Ulrichs gewesenen Burgers vnndt handelsmanns alhie seligen nachgelaßene wittwe (i 89)

L’assesseur au Grand Sénat Jean Kamm l’aîné vend la maison au batelier Martin Heinrich moyennant 300 livres

1612 (ut spâ [x tag Novembris]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 485-v
(Inchoat. in Proth. fol: 488.) Erschienen herr hannß Kahm der elter beÿsitzer des groß. Raths Alhie (verkaufft)
Martin Heinrich dem Schiffmann burger Zu Straßburg
hauß hoffestatt höfflin vnd Stall mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Inn der vorstatt Straßburg Inn Crutenouw Zwüsch. den Zween gedeckten Brucken einsit neben Andres Schnell dem Zoller vff der Reinbrucken Andersit neben Adam Thomann dem schiffmann stost hinden vff ermelten Andres Schnellen Zum theil vnd Zum theil vf Urban Beÿers des schiffmanns selig. erbenn für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburger
[in margine :] Erschienen herr hannß Khamm hatt in gegensein Martin Heinrich des Kheüffers (…) Actum den vj Maÿ 1613.

Fils du batelier Jean Heinrich, Martin Heinrich épouse en 1608 Susanne Stahl, fille du pêcheur Jean David Stahl : contrat de mariage, célébration
1608 (23. Junÿ), Not. Strintz (Daniel, Prothocollum, 1597-1605, 58 Not 53)
Eheberedung Zwüschen Martin Heinrich dem Schiffman vnd Jungfrawen Susannen Stahlin beeden verprochenen Ehepersonen vffgericht
Zwüschen dem Ersamen Martin Heinrich dem schiffman vnnd burgern Zu Straßburg Ane einem,
So dann der Zuchtigenn vnd tugendsamen Jungfrauwen Susannen Stahlin des Ehrenhafften Hannß David Stahlen, vischers vnd burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am Andern theÿl
durch Vnderhandlung der Ehrenhafften fürnehmen, Ersamen vnd bescheidenen Bernhard Neefen, Jacob Heinrich, Paulus Hören schiffleüth vnd H Eucharij schüblers deß Notari vff seiner deß hochzeiterers, So dann vff der Jungfrauwen hochzeiterin seÿten Diebold Stahlen vnd Martin Andreßen Ihres vatters vnd schwagers, Aller burger Zu Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß heiligen reichß freÿen Statt Straßburg Donnerstags denn 23. Junÿ In dem Jar deß Herrn Alß man Zalte 1608
(minute signée, 58 Not 54)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 73 n° 28)
1608. Dominica VII Trinit. 10. Julÿ. Martin Heinrich der Schiffknecht Hanß Heinrichen des Schifmans seligen nachgelaßener Sohn, J. Susanna, Thiebolt Staalen de fischers tochter. Eingesegnet Montag 18. Julÿ hora 10. p. M. (i 75)

Le maître des Quinze rapporte que Martin Heinrich a embarqué 40 quartauts de pois en provenance du Sundgau en n’en déclarant que 24 à l’accise. Une enquête est ouverte sur l’éventuelle fraude. Comme il y aura davantage de pois de la même provenance, il faudra décider s’ils seront autorisés à quitter la ville qui pourrait en manquer.
1612, Protocole des Quinze (2 R 40)
(f° 241-v) Freÿtag den 30. Octobris. – Martin Heinrich. Erbsen. Zollentführen
der H. Fünffzehen meister Zeigt auch ahn Martin Heinrich der Schiffman hab 40. fiertell erbsten beÿm Kauffhauß eingelad. die führe er hienweg, Aber der Ungelter wüßten nur von 24 fiertel so angeben worden, Also mann Inen bevohlen, der 16. fiertell halben besser nachfrag Zuhaben. Solche erbßen kommen auß dem Suntgauw vnd sollen noch mehr hero gepracht werd. Seÿ ein gutt gemüeß, vnd derenwegen die frag, weÿl sie hierumb nicht gerathen ob mann sie alle müeß passiren lassen oder Zum theil hie behalten könne, damit nicht hernach beÿ vnns mangell erscheine. Erkant die Ungeltherren sollen im Ungeldt bevehlen, fleißig nachzuforschen ob mit deßen Erbßen betrug fürgangen vnnd könn man etwann, wann mann inn mehrerer anzahl beÿeinander, wid. davon reden.

Martin Heinrich est élu péager au Canal des Fleurs le 4 décembre. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’autorisent quelques jours plus tard à quitter la Ville pour régler ses affaires notamment à Worms, à Mayence et à Oppenheim où il a des marchandises pour plusieurs centaines de livres en lui demandant cependant de ne pas continuer son commerce.
1620, Conseillers et XXI (1 R 102)
Martin Heinrich, Zoller im Blumengiessen. 339. vmb erlaubnus etlich Reisen. 343.
(f° 339) Montag den IV Decemb. – Zoller dienst im Blumengiessen bestelt
Wegen Zollers im Blumengiessen In d. Amptbuchlin vberlasen vmbgefragt ob Jemandt gebetten, u hernach erkannt Martin Heinrich.

(f° 343) Sambstag den IX Decemb. – Martin Heinrich Zoller im Blumengiessen vmb erlaubnus etlich Reysen
Martin Heinrich der New angenommene Zoller ubergibt supplôn beenckt sich der befurderung. Er konne aber nit leugen d. er etlich hundert gulden an wahren angewandt, die Zu Wormbs Meyntz Oppenheim und andern orten lig. derentwegen er etlich Reisen thun müse, dan sein nahrung vast dorin bestehe, derwegen sein bitten mherren wollen Ime dazu willen* geben will er ein Man stellen dar den Zoll soll einnehmen. Erk. Man soll Ihme 3 Reisen erlauben aber Zeit biß Faßnacht setzen mit der Anzeug der Kauffmanschafft Künfftig enthalten. H Kugler, H Danenmeyer.

Martin Heinrich demande à être dispensé de l’accise et de la taxe sur le jardin que détenait son prédécesseur mais pas lui.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 293-v) Mittwoch den XXI. Novemb. – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen vmb Nachlaß Ungelts und wegen Garttens
Martin Heinrich der Zoller am Blumengießen ubergibt supplôn beclagt sich d. er den garten nit hab den sein vorfahr gehabt, und * haltet, * d. er d groß ungelt geben muß, d. der vorfahr doch befreyet geweßen, do er dich keine soviel vorschanckt alß er in die haushaltung bericht, Bat vmb den garten v befreyung des vngelts. beschieht bericht d. dar vorig den garten umbbruch und ein Almendt Zinß von Almend Hh darauf geschlagen, wurd bi=uch mitbringt.

Les Quinze s’adressent à la veuve après avoir constaté que son mari faisant commerce de grains avec un chaudronnier de Durlach en les faisant entrer en ville sans payer de droits
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Martin Heinrich seÿ untrew geweßen. 196.
(f° 196-v) Donnerst. 25. Augusti – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen
wurde gedacht Martin Heinrich der letzt verstorbene Zoller am Blumengießen, hab mit dem Kupferschmidt von durlach gemeinschafft mit früchten getriben, dahero vil frucht ohnverzollt paßiren laßen. E. Waß fürzunemmen. Erkandt, Ober Ungeltherren, sollen nach der wittib senden vndt deßwegen examiniren

Martin Heinrich meurt en délaissant deux filles. La veuve est remariée avec Martin Klein
1624 Chancellerie, vol. 452 f° 395 [in margine :] Erschienen Andreß Heinrich Als vogt Martin Heinrichs see. Kinder vnd Martin Klein Als Ehevogt Susannam Stahlin bekannte in gegensein Clauß Geÿers (…) Act. den 25.t Januarÿ Anno 1635.
1625 Chambre des Contrats, vol. 455 f° 508-v hatt in gegensein Andreß Heinrich schiffmanns burgers Zu Straßburg Als Vogt weÿland Martin Heinrichs selig. Khind. – schuldig seÿe ij C. L. lb
1626 Chambre des Contrats, vol. 459 f° 668-v hatt in gegensein Andreß Heinrichen deß Schiffmanns alß Vogts weÿ: seines Brud. Martin Heinrich gewesenen Zollers im Blumengüeßen see. Zweÿen töchterlin – schuldig seÿ. 150. Pfund

Susanne veuve de Martin Heinrich dispose en 1651 des 700 florins que lui doit son gendre Gabriel Waldeck sur le prix de sa maison rue Sainte-Madeleine
1651 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 788
Erschienen Susanna weÿl. H Martin Henrichß deß Schiffmanns und Zollers am Blumengieß. alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittib, gesund ahne leib und Gemüth, die verordnete, daß Sie vff ihres dochtermanns H Gabriel Waldeckhß deß Goltarbeiters Behaußung in der Vtengaßen 700. fl. angelegt hatt und nach ihrem Ableiben der dochter Mariæ H Daniel Bergers deß Weinhändlers ehelich haußfr. od. wann sie den Mütterlich. Fall nicht erlebet deroselben Kindern die helffte daran erblich heimfallen wirt (…)

Martin Heinrich vend la maison au batelier Jacques Stephan moyennant 450 livres

1620 (xxv. Aprilis), Chancellerie, vol. 439 f° 235-v
(Inchoat. in Prot. fol. 250.) Erschienen Martin Heinrich der schiffmann burger Zu Straßburg (verkaufft)
Jacob Steffan dem schiffmann burger Zu Straßburg So Auch Zugegen Ihme Vestiglichen Kauffte
hauß hoffstatt höfflin vnd schopff mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenouw beÿ der nidersten gedeckten brucken, einseit neben Marien Wÿland Adam Thoman seligen witwen anderseit neben Jost Zipff dem Kuttler hinden vff Christoff Guckenmuß würth Zum gärttenfisch stoßend freÿ ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 450 pfund Straßburg

Jacques Stephan hypothèque la maison au profit de Valentin Jæger

1629 (5. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 561-v
Erschienen Jacob Steffan d. Schiffman
hatt in gegensein Veltin Jägers – schuldig seÿ 100. lb
und.pfand hauß vnd hoffstatt alhie in Crautenaw beÿ der nidersten gedeckhten Brucken neben Maria Adam Thoman s: witib & neben Jost Zipfen deß eltern see. witib hind. vff Christoff Kuecumuß welche Zuuor v.hafftet vmb 350. fl. Martin Heinrichs see. witib

Jacques Stephan vend la maison moitié à Jean Riebel l’aîné et moitié à Jean Riebel le jeune moyennant 450 livres. Le vendeur reste propriétaire d’un terrain au sud. Les vendeurs s’engagent à conserver un chenal sous la remise.

1634 (20. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 33
(Protocollat. fol. 5.) Erschienen Jacob Steffan d. Schiffmann burg. Zu St.
hatt in gegensein hanß Rübels deß Eltern, vnd hanß Rüebels deß Jüngern, vaters und Sohns, beed. fischern burgern Alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin vnd ein schopff, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie in Krautenaw beÿ der vnd.n Brucken, neben N. N. gartenmann & zum theil dem v.keüffer selbsten, vnd zum theil neben Adolff Weber dem schiffmann, hind. zum theil vff Christoff Kuckumueß Würths Zum Gaul garten vnd Zum theil vff Paul hoschen den schiffmann stoßend, so zuuor noch verhafftet ist vmb 50. lb d. Martin heinrichs s: witib Wiewol nun solch. hauß auch verpfändet vmb 25. lb d erstbesagter wittiben, Item vmb 175. Christoff hessen dem hagknecht, vnd dann vmb 100. lb Veltin Jäger, So hat doch der V.keüffer dise dreÿ letst gemelte posten vff ihme behalten – per 450. lb
Darbeÿ Auch abgeredt, daß die Käuffere einen Naach vnderm Schopff gegen deß Verkäuffers seiten, wie derselb albereit ist, Zuhalten schuldig sein sollen

Le pêcheur Jean Riebel l’aîné est marié à Eve, sa veuve en 1637. Ses enfants sont Jean Riebel le jeune et Eve, femme de Jean Lutz, pêcheur à Wittenweier en Bade
1634 Chambre des Contrats, vol. 473 f° 103-v
Erschienen hanß Rüebel der Alt, fischer Burger Zu Str.
[in margine :] Erschienen Hanß Rüebel der Jünger alß deß Verkäuffers s. Sohn für sich und innamen seiner Schwester Evæ hanß Lutzen deß Fischers Zu Wittenweÿher, ehelichen haußfrawen, So dann Christoph Heß der Hagknecht alß Vogt daß verkäuffers s. wittiben Evä, hab. in gegensein deß Käuffers (…) Act. den 14. febr. 1637.

Les Quinze dispensent Eve Riebel, domiciliée à Wittenweier (avec son mari Jean Lutz, voir ci-dessous l’accession à la bourgeoisie) de régler le droit de détraction après la mort de Jean Riebel (l’aîné)
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
(f° 187) Sambst. den 2. 7.bris – Hanß Riebels Abzugsfreÿ Erbschafft
Hanß Riebels des Fischers Tochter Eva, Jetzo zu Wittenweÿer wohnhaft, welche vf Ihres Vatters seel. Verlaßenschafft beÿ E. E. Kleinen Rath immittirt wegen Abzugs aber herein genießen. Erkandt, Ist als Undthann, meiner Herren deß Abzugsfreÿ gelaßen

Originaire de Wittenweier, Jean Riebel achète le droit de bourgeoisie le 13 février 1623
1623, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 815
Hannß Riebel Von Wÿttenweÿher d. Vischer Khaufft d. Burgerrecht p. 20 goldgulden vnd will Zu den Visch. dienen Actum deb 13. Februarÿ 1623.

Jean Riebel et sa femme Marie font baptiser Eve Marie en 1624
Baptême, Saint-Guillaume (luth. p. 257 n° 94)
1624. Dominica XX. post 10. Octobris. P. Hans Rübell fischer, M. Maria, I. Eva Maria. Comp. Lorentz Cham metzger, Maria David Gisbrechts, fischers uxor, & Maria, Claus Rosers des Jüngern fischers Tochter (i 140)

Jean Riebel le jeune se remarie en 1633 avec Catherine, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 46 n° 47)
1633. Dom. 1 & 2 Adv. Hanß Riebel d. Jung. fisch. v. burg. alhie, v. Catharina, wlld. hanß Küntzels gewesenen Schultheiß. zu wittenweih. hind.laßen witwe. cop. Mont. d. 9. Xbris

Jean Riebel meurt en délaissant deux enfants (Eve Marie et Jean) issus de sa première femme Marie Schalck et sa veuve Catherine Herr. L’inventaire est dressé dans la maison près des ponts couverts d’aval. La succession comprend deux autres maisons à la Krutenau. La masse propre à la veuve est de 139 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 922 livres, le passif à 372 livres

1638 (29.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 7) n° 2
Inventarium undt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿl. der Ehrsame hannß Riebel vischer vnd burger alhie Zue Straßburg, nunmehr seel. nach seinem aus dießer welt tödlichen hinscheiden hind. ihme v.laßen welche durch die erbahre vndt tugendsame fraw Catharin Herrin sein hinderlaßene witt. mit hülff vnd beÿstandt deß Ehrenhafften Hanß Caspar Schmutzen auch vischers, burgers alhie Zue Straßburg ihres geschwornen vogts, vf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Dieboldt Jungen ebenmäßig vischers burgers alhie, alß Evæ Mariæ vndt Johannißen, deß ietz verstorbenen seel. mitt auch weÿl. Mariæ Schalckin seiner vorig. hfren. seel. in erster ehe ehelich erziehlter Kind. vnd ab intestato hind.laßene nechster erben geschwornen Vogts geeügt vndt gezeügt, (…) So beschehen vff Montag den 29. Januarÿ Anno 1638.

Inn hernach geschriebener Zum halbentheill in dieße Erbschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt.
Auff dem obern Kasten, inn der Obern stubkammer, Inn d. Obern stub. Inn der Kuch., Im haußöhren
Eigenthumb ahne heüßern, (Th.) Item hauß hoffstatt vnd höffl. mit allen andern ihren gebeuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in der vorstatt Straßb. in de Crautenaw, beÿ der Vndersten gezeckten Prueck. in einem nicht durchgehenden geßl. 1.s. neben H Martin Andreßen dem Geweßenen haagmeister alhie (…)
(th.) Item hauß hoffstatt vndt hoff. mit allen derselben gebewen, Weithen, Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen in mehrermelter vorstatt Crautenaw im trenck gäßl. (…)
(th.) Item der halbe theil ahne einer Behaußung, daran der vberige halbe theil Weÿl. hannß Rübels deß Eltern, des ietz verstorbenen Vatters seel. hinderlaßenen Wittib vnd Erben Zuständig, mit allen derselben Zugehörd, vndt gerechtigkeiten geleg. in offtgedachter vorstatt Crautenaiw ahne der vndern gedeckten Brucken, j.s. lb hannß Ehrsamb den Gartner, 2.seith neb. hannß Adolph Webern dem Schiffmann, hind. vff herrn hannß Balthaßar Schießen des hutstaffierers garten, theils aber auch vff Paul hoschen den Schiffmann alhie stoßend, so gantz freÿ ledig vnndt eigen hiehero æstimirt für 175. lb Vber dise Behaußung sagt j. t. Perg. Kauffbrieff mit offtgedachter St. St. Cont: anhangendem Insigel verwahrt de dato 20. Jan: Anno 1634. mit Altem N° 3 et Newem N° 4 quotirt. Liegende Güether (im dorff Wittenweÿher gelegen)
Wÿdembs Verfangenschaft. Item es hatt Eva, weÿlandt Hannß Riebels deß Elttern auch Vischers Vndt Burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene wittib deß ietz verstorbenen seel. Mutter v.mög auffgerichteten Codicills die ane d. hieuor fo. 61. beschriebenen behausung 2. dritte theil am halben theil ad dies vitæ Zugenießen, daran nach deselben absterben In dieße Theilbare Verlaßenschafft der halbe theil od. ane solcher halben behaußung ein dritter theil gehörig thutt dem Anschlag nach 58. lb
Der Wittib unverändert Guth, Sa. Haußraths 4, Sa. Liegender güter 22, Summa summarum 26 lb
Summa alles der Erben unveränderten guths, Ist vndt bestehet allein ahn hieuor geschriebener Behaußung, vndt thut dem Anschlag nach Nemblich 175. lib.
Das Gemein verändert vnndt Theilbare guth belangend, Sa. haußraths 48, Sa. früchten 28, Sa. Lehrer vaß 1, Sa. deß Zum vischer handwerckh gehörigen Schiff und geschirrs 20, Sa. Silbers 4, Sa. Bahrschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 328, Sa. Liegenden güter 79, Sa. haüßer 393, Sa. Schulden 9, Summa summarum 922 lb – Schulden 372 lb, Nach deren Abzug 640 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1072 lb
Wÿdem so der ietz verstorbene seeligen biß in sein Absterben genoßen, Item es hatt der ietz verstorbenen seeliger seiner vorigen haußfr. Mariæ Schalckin seeligen gantz verlaßenschafft, Inhaltt deß den 23. 9.bris A° 1633 Ihme vnd seiner Kinder geschwornen vogt auffgerichteten Vertrags dergestalten zu genießen gehabt (…)
Vergleichung d. Heüßer. Die behaußung Im Trenckhessel hatt die wittib Zugenieß. v. v.pleibt d. Eigenthum den Erben für unverändert
die behaußung beÿ der vndn gedeckten brucken in dem nicht durchgehennd. geßlein Ist angeschlagen vmb 200 ln
die andere halbe behaußung ist zwar vmb 250. ln bahrgeltt erkaufft, aber ietzig. Zeitt höher nicht angeschlagen dann auch vmb 200 lb
Theil Register

Eve, veuve de Jean Riebel (l’aîné) fait donation du quart qui lui appartient à la maison à sa fille Eve, femme du pêcheur Jean Lutz.

1641 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 587-v
(Mütterlich. Prælegat) Erschienen Eva Weÿl. hannß Rüebelß deß Fischers sel. wittib, Zwar hoh. alters, iedoch richtig. guter sinn und verstandts, hatt vß wohlbedachtem muth, alß sie sprach,
prælegirt ihrer eheleiblich. dochter Evæ hannß Lutzen deß Fischers und burgers alhie ehelich. haußfrawen,
einen Vierten theil ahne hauß, hoffstatt mit allen & alhie beÿ der gedeckht. bruckh. ohnfern vom Gaul, neben hannß Ehrsambß deß garten Manns Nachkomm. ein: und and.seit (-) Blawel dem schiffmann, hind. vff Jacob Stephan den schiffmann stoßend gelegen, Vnd dann ein außbereitt bett mit aller Zugehördt, so beständig in der Wohnstuben steht, auch einen vierten theil ane dem gartt. Zu wittenweÿhr

Le pêcheur Jean Lutz de Wittenweier, sa femme et leurs trois enfants André, Jean et Eve acquièrent le droit de bourgeoisie le 14 septembre 1637 (quand l’inventaire est dressé après la mort de Jean Riebel l’aîné, voir ci-dessus l’extrait du registre des Quinze)
1637, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 874
Hannß Lutz der Fischer von wittweÿer Erkaufft daß burgerrecht für sich sein haußfr. vnd dreÿ Kinder mit nahmen Andres, Johannes vnd Eua haben noch kein eigen guth vmb den Alten burger Schilling p. 8. gold fl. vnd ist beÿ den Fischern Zünfftig Jur. den 14. 7.bris 1637

Eve Marie Riebel devient seule héritiere de son père Jean Riebel le jeune après la mort de son frère Jean

1642 (13. Martÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 10) n° 30
Theil Registerlin Inhalttendt Waß Evæ Mariæ Riebelin, weÿlandt hannß Riebels deß Jüngern, geweßenen Vischers burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßenem döchterlin, in weÿl. Johann Riebells seines brüderlins seel. verlaßenschafft Abtheilung erblichen Zugefallen, 1640.
Zuwißen, daß vff tödtliches ableiben Weÿlandt Johann Riebels auch weÿl. Hannß Riebels deß Jüngersn geweßenen Vischers, burgers alhier Zue Straßburg vndt frn Mariæ Schalckin beeder Eheleuthe hinderlaßenen söhnleins, aller seel. vff hieunden gemeltes datum, die Ehren: vndt tugendsame fraw Eua, weÿland deß Ehrenhafften Hannß Riebells deß Elttern auch geweßenen vischers burgers alhie seel. hinderlaßene Wittib mit hülff vnd beÿstadts Christoph Heßen, deß Haagknechts burgers alhie ihres geschwornen vogts, ane einem
So dann die auch Ehrenhaffte Dieboldt Jung, gleicher gestaldt visch. burger alhie als Evæ Mariæ Riebelinin obgedachts deß ietz abgeleibten Söhnlins döchterlins geschwornen Vogt, als deßelben ab intestato hinderlaßene nechste Erben (…) so geschehen vff Freÿtag den 13. Martÿ A° 1640.
Beede heüßer, sowohl daß in dem nicht durchgehend. Geßel als auch die halbe Behaußung beÿ d. vndern gedeckten brucken seidt, weilen dießelb nicht wohl füeglich Zuvertheilen noch Zur Zeit für vngetheilt außgesetzt, dergestalt d. der darauß gefallende Zinß Jedes mahls pro rato gebührlich v.theilt vnd Evæ Mariæ antheil durch ihren vogt ordentlich. v.rechnet werden solle.

Jean Lutz de Wittenweier et sa femme Eve hypothèquent trois quarts de la maison au profit de Jean Jacques Scholl, assesseur au Grand Sénat

1651 (19. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 896-v
Erschienen Hannß Lutz Von Wittenweÿher und Eva sein eheliche Haußfr.
hatt in gegensein H Hannß Jacob Schotten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 50 Pfund
Underpfand sein sollen treÿ Vierte theil ahne einer Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw beÿ der gedeckhten Brucken einseit neben Hannß Sturmen dem Schneider anderseit neben H Conrad Meÿern Stifft Schaffnern Zue St. Steffan hienden auff Vorgemelten Schaffnern stoßend gelegen, daran der übrige Vierte theil Friderich Weÿsen dem Fischern und burgers alhie gehört

Les trois enfants Lutz vendent leur part, soit un peu moins de la moitié de la maison, à l’ouvrier garde-bois Frédéric Weiss dont les enfants sont propriétaires du surplus

1669 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 551
Erschienen Andres, hannß, und Eva, die Lutzische Geschwisterde von Witenweÿher
in gegensein Friderich Weißen deß haag Knechts
ihren Antheil, so nicht gar völlig die helffte ist, ahn hauß hoffstatt höfflin, Schopff und allen deren Gebäuen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten in vorstatt Krautenaw beÿ der undern Bruckh, einseit neben Chilian Haslern dem stattschiffer, anderseit neben hannß Jacob Feuchter dem Küeffern, hind, vff H Michael Haanen den handelßmann stoßend gelegen, daran daß übrige deß Käuffers Kindern gehörig seÿe – umb 165. fl.

Fils du pêcheur Henri Weiss, le pêcheur Frédéric Weiss épouse en 1645 Eve Marie Riebel, fille de Jean Riebel le jeune
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5, n° 17)
1645. Dominica Trinitatis 2 & 3. Friderich Weiß der fischer, Heinrich Weiß des fischers und burg. alhie Ehl. Sohn, Vnd Jungfr. Eva Maria, Hans Ruebel des Jung. des fischers, hindl. Ehl. Tochter. Copul. Mont. d. 21. Junÿ Wilh : horâ X.

Frédéric Weiss ci-dessus est ouvrier garde-bois d’après les aboutissants de la maison voisine
anderseit neben Friderich Weißen dem Hagknecht gelegen, 1676, Chambre des Contrats, vol. 545 f° 450-v, maison X 169

Les Quinze nomment Frédéric Weiss ouvrier garde-bois sur proposition des Préposés au bâtiment le 23 décembre 1665.
1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 250-v) 1665. Sambstags den 23. 10.bris – Friedrich Weiß ist Hagknecht worden
Nach deme Obern Bauw Herren wegen vacirender Hagknecht stell Friedrich Weisen, Hans Adam Seÿfert, Melchior und Caspar Meningern In außschutz bracht vnd derentwegen ordentlich Vmbfrag gehalten worden, Ist der erste Friderich weis per majora Zue kommen.

Frédéric Weiss remplace Jean Michel Philips, licencié. Frédéric Weiss se plaint en février 1666 que la veuve de son prédécesseur ne libère pas le logement de fonction en faisant remarquer que Jean Michel Philips a vendu certains éléments qu’il a démontés
1665, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Friderich Weiß der Newe hagknecht – hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht
(f° 126) 1665. Sambstags den 23. Xbris – Friderich Weiß
Jr Stettùstr. Bernoldt bereichet d. Friderich Weiß ahn statt hannß Michael Philipßen so abgeschafft Zu einem Hagknecht von den Herren fünffzehen angenommen word. seÿe.

(f° 143-v) 1666. Sambstags den 10. Febr. – Friderich Weiß der Newe hagknecht, Clagt d. hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht d. losament, darin er alß ein hagknecht gewohnet in deme sehr ruinire d. er eines vnd d. andere so nagelvest abbreche, auch die stützen vnd ander holtz an der rebhelden, so er doch in der Statt wehrten gehawen, außreÿße vnd verkauffe, auch nicht vor ostern d. Losament q.ttiren stoll*e. Erk. soll Ihme ferner außreißens vnd v.kauffes verbott gethan, vnd befohlen werd. d. losament fürerlich zu q.ttiren.

Frédéric Weiss prête serment le 13 janvier 1666
1666, Protocole des Quinze (2 R 83)
(f° 5-v), Sambstag den 13. Januarÿ – Friedrich Weiß der Newe Haagknecht, wird auch das Juramentum Zu præstiren dato vorgestelt.

Les Préposés au bâtiment donnent congé à Frédéric Weiss âgé de 74 ans qui demande une gratification aux Conseillers et aux Vingt-et-Un
1689, Conseillers et XXI (1 R 172)
Hannß Georg Hänßel und Friderich Weiß vmb gnaden gelt
(p. 49) den 21.ten Februarÿ – It. nôe Hannß Georg Hänßel vor sich und Friderich Weißen, geweßener hagknechten, prod. mem. und melden, der letztere habe 24 Jahr über Jener aber 26. solche dienste versehen, seÿe der Erste 66 Jahr und mit Einem schlagfluß getroffen word. dieser gehe in 74.ten Jahr und können nicht mehr fortkommen, deßelben Sie von denen oberen bauherren beurlaubet worden, Sie mögen aber albers halben ihr stücklein brodts nicht mehr vor sich bringen, sondern seÿen gemüßiget Mhh. herren umb hülffreiche hand anzuflehen, und Selbige Zu bitten Eine gnaden steur Ihnen Zukhommen Zulassen.
Erkant, ahne die Obere bauherren gewießen umb die merita causæ beeder Imploranten Zu examiniren und nach dürfftigkeit gegen denen selben Zu verfahren. H. XV. von Fridelsheimb, Rathh. Trahner.

Fille de Frédéric Weiss, Eve Marie Weiss épouse de Mathias Bolentz demande à être exemptée du droit de détraction en arguant qu’ 1) elle est redevenue bourgeoise après avoir perdu son droit de bourgeoisie par mariage, 2) que son mari apprêteur de tabac gagne mal sa vie, 3) qu’elle est chargée de cinq enfants. Les Quinze accordent l’exemption

1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
(f° 92) Mittwoch den 25. Aprilis – Matthiß Bolentzen Frau pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me referiren, daß Eva Maria Weißin, Matthiß Bolentzen, des tabac bereiters hausfrau, jnn einem und.th. Memorial berichtet, Wie daß Nach absterben ihres Vatters Friderich Weißen geweßenen Haag Knechts, sie, als sie Noch im schirm gestanden, etwas weniger Von ihme geerbet habe, und davor ihr 3. lb 11 ß abzug abgefordert werde, mit bitt, weilen sie ihr durch die mit ihrem ehemann gethane heurath verlohrnes burgerrecht Wider gratis erhalten, sie ebenfalls Zu begnadigen, und damit in integrum Zu restituiren, einfolgig sie dießes abzugs Zu befreÿen, jnn ansehung die Erbschafft gering, und der Verdienst ihres Manns beÿm tabac machen schlecht seÿe, Auch d. L. Gott sie bereits mit Fünff Kindern gesegnet habe, Von welchen petito mann geredt, Und dafür gehalten, daß weilen Nicht Nur die allegirte rationes erheblich sondern auch die summ gering seÿe, Auch die gethane erbschafft hier bleibe, Und die Imploranten, Lauth gegenwärtigen Schirms auß d. Cancelleÿ und H. Rentmeisters Würcklich Wied. inn burgerrecht stehe, ihr inn ihrem begehren willfahrt werde könte, allein sie genehmhaltung Zu Mghh. stündte. Erk. beliebt.

La maison revient à Susanne Weiss, fille de Frédéric Weisss, qui épouse en 1680 le tonnelier Philippe Barthel.
Les experts estiment la maison à la somme de 225 livres lors de l’inventaire dressé en 1710 après la mort de Susanne Weiss, somme reprise en 1715 à la mort de Philippe Barthel.
Leur fille et unique héritière Marie Salomé Barthel épouse en 1707 le tonnelier Jean Georges Bürckel, fils de l’aubergiste à l’Aigle Noir Ambroise Bürckel

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 132-v, n° 35)
1707. Mittwoch den 19. Octobris, seind nach ordentlicher zweimahligen außruffung ehelich copulirt worden, Hanns görg Birckel, der ledige Kiefer, H. Ambrosi Birckels deß Würths zum schwartzen Adler, und fr: Margreth Würtzin Ehelicher Sohn, Und Jungfrau Maria Salome H. Philipps Barthels des küeffers und burgers, mit seiner Ehefrauen Susanna geb: Weissin erzeügte Eheliche tochter, Johann Georg Bürckel alls hoch Zeÿter, Maria Salome bartelin als hochzeitrin (i 138)

Jean Georges Bürckel fait dresser dans une maison derrière Saint-Nicolas l’inventaire de ses apports, soit 216 livres
1708 (20. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 25
Inventarium über diejenige Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Meister Hannß Georg Bürckel, Küffer und Burger, Zu Straßburg, zu der Ehren: und tugendsamen Frawen Maria Salome, Gebohrner Barthelin seiner Geliebten haußfrawen, für unverändert in den Ehestand Zugebracht, auffgerichtet Anno 1708. – Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich künfftiger Zeit der in Ihr beeder Eheleuth auffgerichteten Eheberedung verglichenen Ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum in fernerer præsentz H. Ambrosÿ Bürckels, Gastgebers Zum schwartzen Adler, deß Ehemanns v. herrn Philipp Barthels Küffers, der Ehefr. Gebleibten Vatters, Donnerstags den 20. 7.br. A° 1708.
In einer alhier Zu Straßburg Hinder S. Claus Pfarr Kirch Gelegener in dieß Nahrung nicht gehöriger Behaußung Befunden worden wie volgt
Norma hujus inventarÿ, Sa. Haußraths 85, Sa. Werckzeugs Zum Küeffer handwerck gehörig 25, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 216 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit de Susanne Kob née Kast

1714 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 643
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Joh: Gerhardt von Stöck und H. Joh: Michel Schenck in ermanglung verwandten
in gegensein fraun Susannæ Kobin wittib geb. Kastin beÿständlich Joh: Seubel Chirurgi weilen unbevögtigt – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahn der hechtenbruck einseit neben Joh: Jacob haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auf H. Consulent Steinheil stoßend, so mit lebtägigem wÿdem deß debitoris vater verhaftet

Marie Salomé Barthel fait dresser l’inventaire de ses apports (431 livres) dans la maison qui appartient à son beau-père derrière Saint-Nicolas.
1708 (19. 7.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 12) n° 288
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güettere, so die Ehren und tugendsamme fraw Maria Salomea gebohrne Barthelin deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Johann Geörg Bürckels, Kieffers und burgers alhier zu Straßburg eheliche haußfr. Zu erstgedachtem Ihrem Ehewürth in den Ehestand zugebracht und sich Vermög Ihrer mit demselben auffgerichteten Eheberedung für eigenthümlich und ohnverändert vorbehalten hatt (…) Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem beÿsein obgedachten der Ehefrauen haußwürths auch H Ambrosÿ Bürckels deß Würths Zum Schwartzen Adler alhie seines geliebten Vatters, So dann H. Philipp Barthels Kieffers und Fr. Susannæ gebohrner Weißin der Ehefrauwen geliebten Eltern, Mittwochs den 19. 7.bris Ano 1708.
In einer alhier in der Statt Straßb. hinder der Kirchen St. Niclaus gelegenen Herrn Ambrosio Bürckeln deß Ehemanns Vattern eigenthümlich zuständigen von beed. Eheleuthen bewohnend. behaußung befund. Word. Wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 196, Sa. Eßigs vnd Vaß 24, Sa. des Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. der Guldenen Ringen 12, Sa. der Baarschafft 172, Summa summarum 411 lb – Darzu ist Zu legen die helffte der hernach beschriebenen Haussteuren 20 lb. Ist allso der Ehefrauen Jetzmahlige Nahrung 431 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit du fabricant de pâtés Jean Philippe Wolff

1715 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 318
Joh: Georg Bürckel Kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Benedict Villars und H. Friedrich Wolfgang Eberhardt
in gegensein Joh: Philipp Wolff pastenbeckers – 300 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier ahn der hechtenbruck, einseit neben Joh. Jacob Haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel passe un accord avec sa voisine (au sud) Marthe Greiner veuve du batelier Jean Jacques Hassler au sujet du mur commun du bâtiment arrière que Jean Georges Bürckel construit

1715 (12. Aug.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 43)
Zuwißen, daß Zwischen Mstr Johann Geörg Bürckeln dem Kieffer und burgern allhier Ehe Vögtlich Weiß ane Einem
So dann frawen Mathanæ gebohrner Greinerin, weÿl. Johann Jacob Haßlers gewesenen Schiffmannn und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib beÿständlich Herrn Johann Georg Buschen Schneiders v. burgers allhier Ihrer dreÿ noch Ledigen Kinder Vogten, So dann auch Ihr fr. Haßlerin verheuratheten Kindern am andern theil hernach volgenden Vergleich güthlichen eingegangen und getroffen worden
Nemblichen, weilen beede Parthen zwischen Ihren beed. häußern am Gaulstaden geleg. eine gemeinschaffte Maur haben und Zwar ane dem orth wo gedachten Mstr Bürckel seinen Keller und Hinder Hauß Würcklichen auf führen Begriffen, so hatt sich gedachter Mstr. bürckel dahien güethlichen erkläret gedachte gemeinschaftliche Maur in dem sie gantz faul und ohntauglich ist so hoch alß sie Zuvorhien war nemblich ein stockhoch in seinen eigenen Kosten allen /:ab zubrechen und wieder new:/ auffbawen Zu laßen und Ihro Haßlern einen Weeg Wieder die helffte eigenthümlichen Zulaßen /:wie nicht weniger Ihro oben Wieder eine newe Maur bett* auch in seinem Costen Zuleg:/ Waß aber Er Mstr: Bürckel auff seiner seithen auff so bemelter gemeinen Mauren höher fahren Wird, daß soll auch Ihme Bürckeln und seinen Nachkommend allein eigenthümlich Zustehen. Er ist auch Mstr. Bürckel annebst deß güthigen erbiethens, Wann es nöthig seÿn Wieder Ihr fraw Haßler bauch Küchen Kammin höher Zuführen, alß es anjetzo stehet, daß Er es in seinem Kosten erhöhen Laßen wolle.
Uber dißes so haben beede Parthen noch weither eine gemeinschaftliche Maur eines stocks hoch Zwischen Mstr Bürckels Buchkuchen vnd Badstübel /:welches Mstr Bürckel auch new auffbawen und einen Kammin darauff setzen will:/ dero weg. anjetzo Es Mstr Bürckel die gemeinschaffliche Maur so weith in seinem Costen zu erhöhen versprochen biß Er den fall deß Waßers Haben Kahn damit Er den fall deß Waßers Von beeder seiths dachtrauffen durch einen steinern Noch Welchen Er auff seinen Kosten Legen und auch immerhien erhalten aber alle Zeit gemein bleiben solle, in Ihr Fr: Haaßlerin bereits habend. steuren nach Leÿden und also daß Waßer* durch ihren Nach den außlauff auff die gaß haben möge, Welchen Vorstehenden Vergleich beeder seits parthen güetlichen getroffen auch Wol und stäth Zuhalten gegen ein ander gelobt nun Versprochen, maßen davon Zweÿ gleich lautenden Exemplaria gefertigt allerseits vnderscheiben und jedem theil eines davon überlieffert (…)
Geschehen in der Königl. Statt Straßb. Montags den 12. Aug. Anno 1715.

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Pflaum née Quadt

1715 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 649-v
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartelerin beÿständlich H Joh: Friedrich Bahl und H Joh: Linder
in gegensein Annæ Mariæ Pflaumin wittib geb. Quadin beÿständlich H. Joh: Daniel Pflaum Studiosi Theologiæ ihres sohns weilen ohnbevögtigt, – schuldig seÿen 250 pfund
ihr hauß c. appert: in der Krautenau ahm Gaulstaden, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben Martha haßlerin hinten auf H Steinheil

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Lobstein le jeune

1715 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 822-v
Joh: Georg Bürckel kiefer
in gegensein Joh: Friedrich Lobstein jun: – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier ahn der hechten bruck, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben der Haßlerischer wittib hinten auf den Steinheilischen Garten
[in margine :] des schulbekennenden verstorbenen Joh: Georg Bürckel gew. kiefers wittib anna Barbara geb. Jungin beiständlich ihres Curatoris Johann Daniel Stamm (…) den 6. Maÿ 1734

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Catherine Marguerite Wilwisheim

1716 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 302
Johann Georg Bürckel kiefer
in gegensein Cath: Marg: geb. Wilvißheimin beÿständlich Joh: Mathæus Hebenstreith handelsmanns ihres mariti – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Krautenau, einseit neben Joh. Jacob Riebel anderseit neben haßlerin wittib hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel dresse le compte de ce que lui doit la succession de son beau père Philippe Barthel après la mort de sa femme
1717 (7. 8.bris), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 626
Rechnung Innhaltend Was ich Johann Georg Bürckel Kieffer und burger allhier alß Erb Weÿl. Mariæ Salomeæ gebohrner Barthelin meiner Verstorbenen Ehefrauen ahne Weÿl. Mstr Philipp Barthel geweßenen Kieffers und burgers allhier meines verstorbenen Schwieger Vatters Verlassenschafft zu erfordern und hien gegen von solcher theils empfangen habe theils aber darein zu bezahlen schuldig bin den 7.ten octobris 1717.
Erstlichen Vermög einer Summarischer Ersuchung mit Lit. A. bemerckt über meiner Ehefrawen seel. Mütterliches Guth Folio 3.b gebührte meiner Verstorbenen haußfr. für Mütterlich Guth mit zu rechnung de Mütterlichen Ehesteür und der am Gaulstaden gelegenen Unveränderten Mütterlichen behausung in Summa 858 lb
Item Nach außweiß meiner berechnung sub lit. C. über weÿl. Mstr Philipp Barthels meines Schwiger Vatters Verlaßenschafft besagend fol: 4. gebührt mir von dem beÿm Capuciner Closter allhier und dem am Blumengießen allhier gelegenen und Verkaufften beeden theilbaren Häußlein für meiner haußfr. seel. daran Zuständig geweßene eine tertz deductis deducendis 48 lb (…)

Jean Georges Bürckel se remarie en 1716 avec Anne Barbe Jung, fille du tonnelier Jean Jung : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehrengachten und Achtbahren Herrn Johann Georg Burckeln, Kieffern Weinhändlern wittiber und burger allhier, als hochzeiter an einem, So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfraun Annæ Barbaræ gebohrner Jungin herrn Johannes Jungen, Kieffern und weinhändlers allhier mit der Ehren und Tugendbsammen Fraun Anna Barbara gebohrner Schuhmännin ehelich erzeugten tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 153-v, n° 888)
Anno 1716 den 27 Maji seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch zu St Thomas ehelich eingesegnet wordn Johann Georg Bürckel der Kieffer und burger alhier und Jungfr. Anna Barbara, Johannes Jung deß Kieffers und burgers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Bürckel Alls hochzeiter, Anna Barbara Jungin Alls hochzeiterin (i 153)

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de la mineure Catherine Hirth

1725 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 416-v
Johann Georg Bürckel der Kieffer
in gegensein Johann Peter Pfeiffer auch Kieffers als vogts Catharinæ Hürtin, Hannß Georg Hürt des Fuhrmanns mit weÿl. Marthæ geb. Jungin erezeugten einigen Kindts
demnach der hürtischen curandæ mütterliches guth Krafft des ahm 11. Septembris 1709 auffgerichteten Kinder vertrag sich auff 68 pfund belauffet
hypothecirt, Eine Behausung hof hinderhauß und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten ahm Gaulstaden, einseit neben Johann Jacob Rübel dem Schuemacher anderseit neben der Haßlerischen wittib und erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten stoßend ohnfern der hechtenbruck

Jean Georges Bürckel hypothèque deux maisons au profit de Marie Cléophée Klein veuve du boucher Frédéric Egner

1726 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 346
Johann Georg Bürckel Kieffer
in gegensein Fr: Mariæ Cleophé geb. Kleinin weÿl. Friedrich Egner des Metzgers wittib mit beÿstand ihres bruders und Vogts H. Johann Michael Klein Metzgers und Kirchen pflegers zu St Willhelm – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß hoff und hoffstatt cum appertinentÿs in der Vorstatt ahne Krauttenau ahm Gaulstaden ohnfern der Hechtenbruck einseit neben Hannß Jacob Riebel dem Schuemacher anderseit neben weÿl. hannß Jacob Haßler des Schiffmanns wittib und Erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten
Ferner Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne der Gastherberg zum schwartzen adtler allhier in der Langen straß, einseit neben der Kuglerischen Erben anderseit neben Johann Jacob Haußer dem tabackhändler hinten auff H. XV. Ellwert, mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, die übrige zwo tertzen aber des Würthshaußes zum Adlter des schuldners bruders Andreas Bürckel dem würth zugehörig

Jean Georges Bürckel meurt en 1737 dans la maison quai des Chevaux en délaissant trois enfants issus de sa veuve. La masse propre à la veuve est de 573 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 658 livres, le passif à 1966 livres.

1734 (14.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 8) n° 122
Inventarium über Weÿl. H. Johann Georg Bürckels geweßenen weinhändl: Kieffers Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1734 – nach seinem den Dienstags den 2.ten des Monats Martÿ gegenwärtigen 1737.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geschehenes geziemendes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl der hernacher genanten frau wittib alß auch des Ehrenachtbahren Herrn Johann Jacob Röschen deß Küffers undt burgers allhier Zu Straßb. alß geordnet und geschworenen Vogten Johann Jacob, so 14, Annæ Barbaræ welche 12 undt dann Mariæ Magdalenæ so 8. Jahr alt, aller 3. Bürckel deß selig verstorbenen mit hernach bemelter hinderblieben Fr. wittib ehelich erzeugter Kinder undt nach Tode ab intestato verlaßene rechtmäsige Erben (…), durch Frau Annam Barbaram Bürckelin gebohrner Jungin, der hinterbliebenen fr. Wittib mit assistenz deß auch Ehrengeachten Herrn Johann David Stammen, deß Kieffers Weinhändlers und burgers hieselbsten deroßelben geordnet und geschworenen Curatoris – So beschehen undt angefangen allhier in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 22. deß Monats Martÿ et seqq. Anno Domini 1734.
Bericht Wegen Gegenwärtiger Verlaßenschafft. Zuwißen undt Kundt seÿe Hiermit daß nachdeme gegenwärtige Verlaßenschafft tam active quam passive Völlig inventirt gewesen und darauffhin über solche Verlaßenschafft ein Summarischer Calculus Gezogen und denen Interessenten communicirt, So hat die Fraw wittib (…) vernehmen laßen, welcher gestalten Sie ahne dem Theilbahren Zu participiren, nicht Gesonnen, sondern daruff tam active quam passive renunciren und solche denen Erben überlaßen wolle (…) Actum Straßburg den 6. Aprilis 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gaulstaden beÿ der Höchtenbruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig: dahero hi unten beschriebener Behausung alß volget, befunden
Ane Höltzen undt Schreinerwerckh. Auff der ohneins öberten Bühn, Inn der Soldaten Cammer, In der Kammer A, In der Kammer B, In dem neuen Stübel im Hoff, In dem Haußöhren in d. hoff, In der underen oder Wohnstuben, In dem undern Hauß Ehren
Ergäntzung der Frau Wittib in den Ehestandt gebracht aber darinnen abgegangenen ohnveränderten Vermögen.Nach Inhhalt deß über der Fr. wittib in Ehestand gebrachtes Vermögen vor mir dem vor: und hernach benandten Notario den 16. aug. 1729 auffgerichtet
(f° 14-v) Eÿgenthumb ane einer behausung und Garthen der Erben Ohnverändert. Item ein Hauß Hoff, Hoffstatt und Höfflein sambt einem Neu erbauten Hinder Häußlein /:und übrig. deßen zugehörden, weithen, rechten und Gerechtigkeiten:/ so gelegen allhier in der Statt Straßburg vorstatt Krauthenau am Gaulstaaden ohnfern der sogenanndten Höchtenbruckhen I. seith neben Johann Jacob Göppel dem Schiffmann 2. seith neben Johannes Hausser auch Schiffmann, hinden zum theil auf das sogenandte Rooßen gäßlein, Zum theil auch weÿl. H. N.N. Theurers gewesenen Mittel Schreibers in allhiesigem Mehrern Hospithal allhier seel. hinterlaßene Wittib und Erben stoßend, Welche behaußung auff denen hieunden à fol. 97.a biß ad fol. 100.a inclus. passive eingetragennen Capitalien gegen Männiglichen freÿ ledig und eÿgen Zumahlen vermög der durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere (…) beschehener Abschatzung undt deß derhalben außgestellten den 29. Martÿ 1734. datirt und Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten Scheins æstimirt und angeschlagen worden,ist für und umb 1000 gulden so allhier außzuwerffen mit 500 lb. Hierüber besagt und ist vorhanden ein teutscher Pergam: Kauffbrieff auß allhiesiger Contract Stuben gefertiget und mit deroselben aufgetrucktem Insiegel verwahrt so datirt den 20. Jan: 1634. welches mit altem Lit C: wie auch N° 2 et 4 anjetzo aber neuem Lit. A marquirt word. Sonsten hat sich hiehero nichts schrifftliches befunden.
(f° 15) Item ein Garten Häusel so gelegen vor dem Weißenthurnthor hinder St. Gallen (…)
– Abschatzung dem 29: Martÿ 1734. Auff begehren weilandt deß achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jörg Pirckell deß geweßenen Küffers seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg ober halb der hëchten brucken am Gaull Statten gelegen, ein seits Neben hanß Jakob Gëpell schiffmann ander seits Neben Johannes Hußer schiffmann, hinden auff daß roßen gäßlein Stoßent, welche behaußung Stuben, Cammern Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer, nebenhauß worinen ein stübell und Cammer, auff dem botten kleiner getrëmbter Keller, hinder häußlein wor under ein getrëmbter Keller oben darauff ein Cammer und halben tach hoff und bronnen sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent Gulden
Der 2.te begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg Vor dem Weißen thurn in dem Galla brüchell gelegen ein seits Neben Abraham Heitell dem Gartner, ander seits Neben hanß Wurtz und Zum theill auff H. allmendt stoßent, welches in einen Kleinen barëckell bestehet, so mit Abraham Heitell gemeinschafftlich ist, sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wercklleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb, die helffte darvon Eilff Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug wërck Meister des Mauer hoffs
Norma hujus inventarii. Der Fr. Wittib in Ehestand gebracht und annoch in Natura befunden, Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 8, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 25, , ergäntzung (vide f° 8-b 532 lb et 10-b nach abzug bleibt zu ergäntzen), 530, Summa summarum 573 lb,
Dießemnach wird sowohl der Erben ohnverändert alß auch die Theilbare Nahrung /:weilen die Fr. Wit. hievornen gemelt auff die Letztere tam active quam passive renuncirte hievornen aber Ihr Ohnverändert Gut sich resoluirt:/ unter inem Titul der E. ohnv. und Theilbar inventirt beschrieben, Sa. hausraths 102, Sa. Werckzeug Reÿff und bandt zum Kieffer handwerck gehörig 16, Sa. deß verarbeiteten Thabakhß 18, Sa. Silber geschirrs 12, Sa. deß Eÿgenthumbs ahne einer behausung 505, Sa. der beßerung ahne einem Gartten und etliche Ackhern 4, Summa summarum 658 lb – Schulden 1966 lb, Compensando 1307 lb – Mehr schulden alß Nahrung dem Stall tax nach 734 lb
Copia der Vor weÿl. H. Johann Adam Ößinger auffgerichteten Ehepacten, Nota Weilen solche Eheberedung doppelt Nembl. von H. Not. Mader unterm 2. mart. 1729 und dann I.r von H. Not. Joh. Jacob Oelinger unterm 12. aug. dictj Annj Exped: und die Letztere beÿm Concept gelaßen word. deßhalben sur solche hiehero Copialiter zu inseriren vor unnötig Erachtet worden
Copia der Eheberedung (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Veuve, Anne Barbe Jung se remarie en 1737 avec le batelier Jean Hausser. Les experts estiment la maison à la somme de 500 livres lors de l’inventaire dressé en 1743 après la mort d’Anne Barbe Jung veuve de Jean Georges Bürckel.

La maison revient au fils Jean Jacques Bürckel qui fait son apprentissage de tonnelier chez Jean Georges Rœsch de 1734 à 1737

1734, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 338) Dienstags den 26.t 8.bris 1734 – Mstr Joh: Jacob Rösch d. Kieffer nimbt Zum Lehrjungen an Joh: Jacob Birckel weÿl. Joh: Georg Birckels gewesenen burgers und kieffers allhier Ehl. sohn, umb solchen das Kieffer handwerck 3 jahr lang zu lehren geg. 50 fl. Lehrgelt worvon die eine helffte gleich die ander aber Zu end der Lehrzeit Zu bezahlen, die Lehrzeit gehet an auff d. 25. 8.bris 1734. und endiget sich auff solche Zeit 1737. der jung leidet alle unkösten und deßen bürg seÿnd Joh: Fried. Grießbach und H Frantz Joseph werner, dt. 12. ß b. et prot. 2 ß 6 d

(f° 379) Dienstags den 26. Novembris 1737 – Mstr Jacob Rösch der Kieffer stellet vor Joh: Jacob Bürckel weÿl. Hanß Georg Bürckel geweßenen burgers und Kieffer meisters allhier Ehel. sohn, meldet daß schon d. 25.ten 8.bris seine Lehrzeit verfloßen auch beede wohl mit einand. Zufinden, bittet außthuung. Erkandt willfahrt dt. 15. ß p. prot. 2 ß 6 d p. Sig. 2 ß d

Jean Jacques Bürckel s’inscrit au chef d’œuvre qu’il présente en septembre 1743. Il est reçu maître mais doit régler une amende parce que le tonneau a des défauts et qu’il a occupé l’atelier plus longtemps que le temps imparti.
(f° 446-v) Dienstags d. 6. aug. 1743 – Joh: Jacob Birckel der Ledige Kieffer würdt zum mstr stück eingeschrieben, Zahlte werckstatt Zinß 3 ln pro protoc. 3 ß

(f° 449) Dienstags d. 15. 8.bris 1743 – Joh: Jacob Bürckel bittet ihme Zuerlauben, weilen Er sein holtz würcklich auff dem platz hat, und die werckstatt nicht Lähr, die tag aber immer kürtzer und das wetter kälter wird, sein meister stück auff dem tantzplatz Zummachen. Erkandt, wurde un deßen begehren willfahrt.

(f° 450-v) Mittwochs d. 27. 9.br 1743 ist Joh: Jacob Birckels des Ledigen Kieffers meisterstück Zum letzten mahl besichtiget und von den herrn Schauern referirt worden, daß in der erste schau sich verschiedene bickel und täschen befundten auch der bauch riß sehr ungleich waren, in der 2.ten schau ware ein eck umb 8 Zoll Zu kurtz und der hinterboden umb ¼ Zoll Zu wenig gesenckt, in der 3.ten schau waren die Haubtreiff so über angelegt, daß dieselbe herab Zumachen und andere daran Zu legen. Erkandt worden, jedoch wurde es durch Special Gnad des h. Obmanns ihne freÿgestellt solchen daran zu laßen wegen solchen, fehlern wurdte Ihme 2 lb d straff angesetzt, Er aber vor ein meister Erkandt.

(f° 453) Dienstags d. 17. Xbris 1743 – mstr. Joh: Jacob Birckel erlegt vor 2. neue faß 1 lb
Ille weilen est 10 tag über die Zeit am meisterstück gearbeitet werckstatt Zinnß 15 lb

Jean Jacques Bürckel épouse Marguerite Salomé Christianus, file de chaudronnier : contrat de mariage par lequel le futur époux donne à sa future épouse la jouissance viagère de sa maison, célébration

1743 (22. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 142
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H Johann Jacob Birckel, leedigen Kieffer, weÿland H Johann Georg Birckel des geweßenen Kieffers und burgers allhier, mit auch weÿland Frauen Anna Barbara gebohrner Jungin nun beeder seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem H Hochzeiter ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jgfr. Margarethä Salome Christianiin weÿl. H Christoph Christiani des geweßenen Kupferschmidts und burgers allhier, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Susanna Maria gebohrner Schatzin seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erziehlten ältern Jgfr. tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil

Endlichen und Zum Siebenden thut der H Hochzeiter hiermit wißend und wohnbedächtlichen seine allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem Gaustaaden nechst der Hechtenbruck, einseit neben weÿland Johann Hußers des geweßenen Schiffmanns Erben, anderseit neben Jacob Göppels auch geweßenen Schiffers Erben, hinten auf den Theurischen garthen stoßend gelegene Behaußung mit allen dero gebäuen begriffen Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten so annoch in circa umb 900 fl. verhafftet, sonsten aber freÿ, ledig eigen und Ihme Hochzeiter alß ererbt Mütterlich guth zuständig, seiner geehrten Jgfr. brauth zu einem lebtägigen wÿdemb verschrieben
So beschehen, Straßburg Freÿtags de, 22. Novembris Anno 1743 [unterzeichnet] Johann Jacob Bürckel Als hochzeiter, Margretha Salome Christianusin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 46-v, n° 240)
1743. Mitwoch den 4. Decembr. seind nach Zweÿmaliger ordentlicher proclamation und ausruffung in der Neuen Kirch und Zu St Thomæ Zu St Thoma copulirt und eigesegnet worden Johann Jacob Bürckel lediger kieffer, weÿl. Johann Jacob Bürckel geweßenen Kiefers und burgers allhie hinterlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Margaretha Salome Christianussin weÿl. Christoph Christianus geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob bürckel als honzeitter, Margretha Salome Christianusin als Hochzeitterin (i 48)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 359 livres, ceux de la femme à 348 livres. Le titre d’acquisition de la maison est celui de son entrée dans la famille en 1634.

1743 (30.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1134) n° 212
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Johann Jacob Birckel, Kieffers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Margarethä Salome Birckelin gebohrner Christianiin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743.einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in ihrer vor mir Notario den 22. Novembris instehenden 1743.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° IV.to expresse enthalten daß einem jeeden sein in die ehe bringendes Vermögen Vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen on fernerem beÿseÿn Frauen Susannä Mariä Christianiin gebohrner Schachin weÿl. H. Christoph Christianen deß geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier seel. hinderbliebener Wb.

In einer allhier Zu Straßburg dero vorstatt Krautenaui ane dem Gaulstaaden ohnfern der hechtenbruck gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nembl. eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem gaulstaaden ohnfern der Hechtenbruck über, 1.s. neben weÿland Johann Huser des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlaßenen Erben, 2.s. neben Jacob Göppels auch geweßten Schiffmanns Erben hinten Zum theil auf das sogenannde Rooßen gäßel und Zum theil auf weÿland H. Johann Ernst Theurers des geweßenen Mittelschreibers in dem allhießigen mehrern Hospithal seel. hinterbliebene W. und Erben stoßend gelegen, so annoch H. Matthiä Koch Noto: publ. in Capital Jahrs auff Ostern à 4 p. Cto Verzinnßlich umb 150. lb. und dann vorgedachten Johann Hußers seel. Erben in Hauptguth Jahres am 6.ten Maÿ und A° 1744 Zum ersten mahl à 4 p Cto verzinnßlich umb 333. lb d Verpfändet sonsten aber gegen männiglich freÿ ledig eigen. Solche behaußung hat der Ehemann beÿ Vergleich und abtheilung weÿl. Frauen Annä Barbarä Hußerin gebohrner Jungin letztmahl weÿland H Johann Hußers geweßenen Schiffmanns und b. allh. Zu Straßb.seel. nachgelaßener wb. seiner eheleiblichen Mutter in ohnvertheiltem Erb Käufflichen angeonommen, sonsten besagt über die behaußung i teutscher perg. Kauffbr. in allh. C. C. Stub gefertiget mit dero anh. Innsigel Verw. datirt den 20. Januarÿ Anno 1634. mit alt. Lit. E u. N° 2 notirt so aber anjetzi ô in Vorschein gekommen
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns ohnverändert guth, Sa. haußraths 55, Sa. holtz und werckzeugs zum Kieffer handwerck gehörig 17, Sa. Wein Brandenwein und Faß 117, Sa. Silbers 35, Sa. der baarschafft 134, Eigenthums ane j. behaußung (-), Lehengrund so zwischen dem Ehemann und seinen beeden geschwisterden gemeinschaftlich (-), Summa summarum 359 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 33, Sa. goldener Ring 27, Sa. der Baarschafft 94, Summa summarum 348 lb
Haussteuren 125 lb, daran gebühret jeedem Ehegatt die helffte mit 62 lb

Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière au profit de Jean Thomas Frœloch, receveur à Saint-Marc

1745 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 125
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte mit beÿstand ihres vettern und annoch ohnentledigten vogts H. Johann Daniel Fettich senioris handelsmanns und Philipp Ehrmann des perruckenmachers auch ihres vettern
in gegensein des Stiffts St Marx Schaffner H. Lt Johann Thomas Frölich – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben Jacob Göppel schiffmanns, anderseit neben Johann Haußer dem schiffmann, hinten auff die Theurerische wittib – dem Ehemann als ein vätterliches erbguth

La tribu des Boulangers inflige une amende au tonnelier Jean Jacques Bürckel pour avoir vendu du pain à un voisin
1745, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 58-v) Mittwochs den 31.t Martÿ 1745 – Jacob Bürckell der Kieffer beÿ der hechtenbruckh dahier ist angeklagt daß Er brodt wider articul über die gaß verkaufft habe deßen beklagter nicht in abredt, sagt Er habe nicht gewust daß Er verbotten ist, Erkandt soll nebst 5 ß unkösten in 2 lb 10 ß Straff Condemnirt seÿn.

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Silberrad, tant en son nom qu’en celui de receveur de la fondation Schenckbecher

1746 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 298-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und dermalige biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des Perruckenmachers und Balthasar Emanuel Bilet des Unter: Schirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johannes Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen und anderer Stifftungen auch alten dreÿers des pfenningthurns vor sich selbst und als Schaffner der Stifftung Kurtzlieb genannt Hartlieb – schuldig seÿen 500 und 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt benebst der bierbrau gerechtigkeit in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schiffmanns erben hinten auff den schuldner selbst und die Theurerische wittib – ihme Bürckel als ein elterliches erbguth
eine behausung, höfflein und hoffstatt beÿ vorbeschriebenem hauß, einseit neben dem selben anderseit neben dem rooßengäßlein hinten auff vorgemelte Theurerische wittib – als ein am 14. hujus erkaufftes guth

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Sachs, docteur en médecine et chanoine à Saint-Thomas

1746 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 229-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versichert mit beÿstand Philipp Ehrmanns des Peruquenmachers und Balthasar Emanuel Bilet unterschirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johann Jacob Sachs Med. Doctoris et Professoris et Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinterhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib – als ein elterliches erbguth

Jean Jacques Bürckel porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose au corps des tonneliers. Le registre lacunaire doit aussi avoir porté permission de tenir la brasserie aux Trois Lis (voir l’acte suivant)
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 231.) Sambstags d. 26. Martÿ – Idem [Christmann] nôe. Joh: Jacob Bürckel, des burgers und Kieffers allhier Ca. E. E. Meisterschafft der biersieder, prod. unterth. Memoriale und bitten, mit beÿl. Sub Nis 1. 2. und will ad proximam dazu vekünden laßen.

Jean Jacques Bürckel s’inscrit à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à tenir la brasserie aux Trois Lis
1746 (19.7.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 291-v) 3.te Gericht de 1746. Dienstags den 19.ten Julji A° 1746. – Johann Jacob Bürckhel, der heutige biersieder am Gaull Staaden Zu denen 3.n Lilien genandt, so von Gn. Herren denen XV. den Bier: Schanck erhalten, citirt, solle sich Krafft habenden Articuls dießorths als Zudiener Zünfftig machen. Ille præsens, bittet receptionem.
Hierauff ist Erkandt worden, daß derselbe gegen Erlag der 2. ln 4 s und 4 ß d Stuben gelt pro hoc anno amß Zudiener Zu recipiren, ded. et jur. auff den Ihme abgelesenen Articuls die biersieder betreffend.

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Catherine Salomé Andres veuve du marchand Jean Daniel Diebold

1746 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 627-v
Johann Jacob Bürckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand H. Johann Jacob Schatz des Gymnasiarchæ ihres oncle und Philipp Ehrmann Practici ihres vettern
in gegensein Fr. Catharinæ Salome geb. Andreßin weÿl. H. Johann Daniel Diebold des handelsmanns wittib mit beÿstand H. Johann Daniel Städel des banquier – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Raoul Stœsser, receveur à l’Hôpital

1749 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 18
Johann Jacob Birckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des perruckenmachers ihres vettern und ihres bruders Jacob Chistianus des kupfferschmidts – wobeÿ erschienen der schuldner respective schwiger und mutter Fr. Susanna Salome geb. Schatzin weÿl. Christoph Christianus des kupfferschmidts wittib mit beÿstand ihres schwagers Johann Philipp Chrristianus des knopffmachers, verbürgt
in gegensein des mehrern hospitals schaffners H. Lt. Johann Rudolph Stößer – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt deroselben zugehör und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben hinten auff die Theurerische wittib

Le conseil de tribu fait grief à Jean Jacques Bürckel qu’il a livré du vin à son beau frère. Jean Georges Bürckel déclare que le charretier a déclaré par erreur que le vin était pour son beau frère.
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 31) Dienstags d. 12. Decembris 1752 – Mstr Joh: Jacob Bürckel wurde beklagt, daß er seinem Schwager Wein in den Keller gethan.
Ille sagte, daß es sein wein ware, welcher aber durch den Fuhrmann unbedachtsahmer weis an dem Zoll für seinem Schwager angegeben word. welches Er mit handtreu erhärtet. Woraufhien derselbe ref: tamen expensis absolvirt word.

Jean Jacques Bürckel expose infructueusement aux enchères la brasserie aux Trois Lis

1753 (20.12.), Not. Dinckel (6 E 41, 435)
Hausversteigerung – Auf Ansuchen und begehren Hn. Johann Jacob Bürckels dem bierbrauer zu denen dreÿen Lilien
deßen eigenthümlichen bierbehausung bestehend in vorder: mittel: und hinter: auch nebensgebäu sambt zweÿen höffen hoffstatt und bronnen auch allen mit allen übrigen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Vorstatt Krautenau am gaulstaden, einseit neben weÿl. Johann Hußers des schiffmanns seel. erben, anderseit neben neben weÿl. Philipp Jacob göppels des schiffmanns erben, hinten auff weÿl. herrn Johann Ernst Theurers gew. mittelschreiber in allhiesigen mehrern hospithal fr. wittib garthen, sambt der bier gerechtigkeit und allem zum bierbrauer profession gehörigen schiff und geschirr
in der Kieffer zunfft stueb – gebotten, Niemand

La maison est attribuée par enchère judiciaire le 15 juin 1754 à Catherine Marguerite Beyerbach veuve de Jean Silberrad (créancier d’après le titre de 1746 ci-dessus relaté).

Fils du notaire Jean Silberrad, de Heilbronn, Jean Silberrad épouse en 1710 Catherine Barbe Beyerbach
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth.)
1710. d. 17. sept. sind ehel. eingesegnet word. Herr Johann Silberradt der adeliche Schaffner herrn Johannes Silberrads Notarÿ Publici Undt Stattgerichts Actuarÿ Zu Hellbrunn Ehelicher sohn, Und Jungfr. Catharina Margaretha Weiland Hn Johann Görg Beierbachs gewesenen Königl. dähnischen commissarÿ am Obern Rhein nachgelaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Silberrad als hochzeiter, Catharina Margaretha beÿerbachin hochzeiterin

Catherine Marguerite Beyerbach la revend l’année suivante à Sara Blessig, femme du brasseur Philippe Jacques Demuth

1755 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 103
SS. TT. H. Johann Jacob Sachs Med. Doc. et Prof. alhier und Catharina Margaretha geb. Beÿerbachin weÿl. H. Johann Silberrad gewesten Schaffners der Schenckbecherischen und anderen Stifftungen wittwe beÿständlich ihres tochtermanns H. Heinrich Casimir Meinel des adelischen Schaffners
in gegensein Fr. Mariæ Saræ geb. Bleßigin Philipp Jacob Demuth des biersieders Ehefrau, beÿständlich ihres bruders H Johann Heinrich Bleßig des ledigen gastgebers
eine bierbehausung, zweÿ höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, rechten und gerechtigkeiten auch allen zu dem bierbrauen gehörigen schiff und geschirr, welches der käuffer zufolg d. 20. Julÿ jüngst getroffenen lehnung eingehändigt worden alhier ane der vorstatt Krautenau am Gaulstaden, anderseit neben den Göbelischen erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers erben, hinten auff Fr Theurerin garten – als ein den 15. Junÿ verwichenen jahrs ane der ganth ersteigten guth – um 2750 pfund
erschien der käufferin mutter Fr. Sara Bleßigin geb. Graßerin beÿständlich ihres ermelten sohns (die haben sich unverscheidenlich) um 2500 pfund verbürgt

Philippe Jacques Demuth s’incrit au chef d’œuvre qu’il présente en novembre 1742. Les examinateurs relèvent quelques défauts secondaires et nomment le candidat maître. Il devient tributaire en septembre 1743.
1742, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 404) Montags d. 6. aug. 1742 – Philipp Jacob Demuth der Kieffer wurdte auf Ansuchen H. Joh: Jacob Demuths seines vatters Zum Meisterstück eingeschrieben, dt 30 ßd et pro protoc. 2 ß 6 d.

(f° 437) Montags d. 19. 9.bris 1742 ist Philipp Jacob Demuths des ledigen Kieffers mstrstück besichtigt undt von den herrn Schauern referirt worden, daß in der ersten schau sich bückel und däschen befundten, waren aber in d. Zweÿten Verbeßert in der 3.ten schau ware das faß ein wenig unfleißig abgesäubert, also daß Sich noch däschen Zu bauch. befundten, weilen nun solche fehler von keiner sondern Consequentz, so wurdte das faß vor ein meisterstück Erkandt, und auch von H obmann also Confirmirt.

(f° 448-v) Dienstags den 10. 7.bris 1743 – Mstr Philipp Jacob Demuth der biersieder Erhaltet auff producirten Stallschein vom 9. 7.bris das Zunfftrecht, undt Zahlt als eines Zünfftigen Sohn 1. lb 1 ß d pro feüreÿmer 10 ß pro prot. 5 ß.

Les Quinze autorisent Philippe Jacques Demuth à ouvrir une nouvelle brasserie
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
(p. 106) Sambstag d. 9. Martÿ 1743. – Freund nôe Philipp Jacob Demuth des ledigen Burgers und Kieffers allhier beÿständlich seines ohnentledigten Vogts Joh: Saum, weinhändlers prod. Underth. Memoriale umb gn. Erlaubnus ein Newes bierschanck auffzurichten. Erkandt, Soll E. E. Mschft. der Biersieder hierzu Verkündt werd.

Fils du tonnelier et marchand de vins Jean Jacques Demuth, Philippe Jacques Demuth épouse en 1743 Marie Sara Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1743 (27. Martÿ), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbaren Herrn Philipp Jacob Demuth, ledigem Bierbrauer, Küffer und Weinhändler, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Demuths, Kieffers, Weinhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg, mit weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Anna Elisabetha gebohrner Schuhrerin ehelich erzeugtem Sohn als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Sara Bleßigin des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Johann Blessig, Gastgeberen und burgers allhier, mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Sara, gebohrner Graßerin ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 27. Martÿ Anno 1743. [unterzeichnet] Philipp Jacob Demuth als Hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeiterin – bezeugt Johann Friderich& Llichtenberger, Notarius publicus juratus et requisitus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 59, n° 4)
1743. Mittwoch den 24. April. seind nach Zweÿmal geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Philipp Jacob demuth der ledige Kiefer, Weinhändler und Burger allhier, H. Johann Jacob demuths deß Kiefers Weinhändlers u. Burgers allhier ehl. Sohn u.Jgfr. Maria Sara H. Johann Bleßigs deß Gastgebers u. Burgers allhie ehl. Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob demuth als hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeitrin (i 61)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Hache. Ceux du mari s’élèvent à 480 livres, ceux de la femme à 1 382 livres.
1743 (24.Xbris), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 313) n° 312
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohlachtbaren Hn Philipp Jacob Demuths, Kieffers und Bierbrauers, wie auch der Viel Ehr: und Tugendreichen Fr. Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Ehe Persohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1743 (…) welche der Ursachen halben, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander den 27. Martÿ Jüngsthien auffgerichteter Eheberedung §° 4.to ausdruckl. Versehen, daß einem Jeeden derselben und dero Erben seine in die Ehe bringende und wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg, in fernerer Gegenwart des Ehrenvesten und Wohlvorgeachten H. Johann Bleßigs Gastgebers Zur Äxt und burgers allhier der Ehefr. eheleibl. hr. Vatters und hierzu in specie erbettenen Assistenten auff Dienstag den 24. Decembris Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg gegen dem Kauffhauß über gelegenen der Ehefrauen H. Vatters eigenthümlich zuständigen, Zur Äxt genandten Gast behaußung folgendergestalt befunden worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 112, Sa. lähren Faßes 20, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 166, Summa summarum 311 lb (Deme beÿzufügen die haussteuren, dem Ehemann gebührige Helffte 168 lb, Des Ehemanns völlig in den Ehestand gebrachtes eigenthümbl. Vermögen 480 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 672, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 74, Sa. baarschafft 396, Summa summarum 1213 lb – daferne nun hierzugerechnet wird die haussteuren 168 lb, Der Ehefrauen sambtliche in die Ehe gebrachte Nahrung 1382 lb

Marie Sara Blessig fait dresser un inventaire après que son mari a quitté la Ville. Les biens comprennent la brasserie à l’Agneau d’Or rue de l’Abreuvoir. La masse propre à la femme s’élève à 1 500 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 5 513 livres, le passif de 9 858 livres.
1751 (16.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 79
Inventarium über Philipp Jacob Demuths des von hier sich absentirten biersieders und frauen Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzender Activ:und passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. (…) auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgedachter der Ehefrauen so um salvirung ihres ohnveränderten Guths beÿ Em En Kleinen Rath um das Beneficium cessionis unterthänig einzukommen willens ersucht und inventirt durch obgedachte frau Mariam Saram Demuthin die Ehefrau mit beÿstand S. T . Hn Johann Carl Ficke Notarÿ publici jurati und berühmbten practici Ihres geordnet und geschworenen Curatoris ad Lites, wie auch Johann Heinrich Peter den leedigen Bierknecht Vom Mummenheim (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 16.ten Julÿ et Seq. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Trenck Gaß gelegener und in in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden Worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer auf der Bühn, In der Schwartz Getüch Cammer, In der hintern Cammer Lit. B, In der Kindts Stub, In der Wohnstub, In der Stub darneben, In er Kuchen, In dem Untern Haußehren
(f° 15) Ergäntzung der Ehefraun abgegangenen unveränderte, Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander für ohnverändert on den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1743. durch H Johann Friderich Lichtenberger Notarium publicum et practicum auffgerichtet
(f° 18) Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung das Bierhauß Zum goldenen Lamm genandt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frauen unverändert Vermögen, Sa. haußraths 327, Sa. Silbers 34, Sa. Goldener Ring 83, Sa. Schuld 128, Erg. Resr 1336. Summa summarum 1876 lb – Schulden 373 lb, Nach solchem abzug 1500 lb
Dießemnach wird nun auch des Manns unverändert und theilbare Nahrung unter einem titul beschrieben, Sa. haußraths 128, Sa. Biers und Lähren faß 247, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck auch schiff und geschirr Zum bierschanck 19, Sa. Pferds 4, Sa. hopff und Maltzes 9, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 7, Sa. der baarschafft 58, Sa. Eigenthums ane einer Bier behaußung 5000, Summa summarum 5513 lb – Schulden 9858 lb, Compensando 4345 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden 91 lb

Marie Sara Blessig fait vendre des effets mobiliers
1754, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 40
Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßigin Inv: über das in dem 3. Lilien angetrettene Schif und geschirr

Les Quinze autorisent Marie Sara Blessig à exploiter la brasserie aux Trois Lis près du pont au Brochet à condition qu’elle règle les dettes de son mari

1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
(p. 356) Sambstags den 17. Augusti 1754. – Idem [Pastorius] nôe frau Mariæ Saræ gebohrner Bleßigin Philipp Jacob Demuth des ausgetrettenen biersieders Ehefrau Ca. E E Meisterschafft der biersieder obermeister prod. unt. memor. und bitten samt beÿlag Sub litt A handelt und bitt innhalts. Christmann nôe E E Meisterschafft setzt gegentheiliges begehren zu mherren facta prælectione ist Erkandt, daß der Implorantin gegen erlag der unkosten und ihrem gethane oblato E E meisterlad das Jenige was ir ehemann etwa annoch schuldig seÿn möchte nachzutragen, mit dem bierschanck auff der Von ihr entlehnten ane der Krautenau allhier ohnfern der hechten bruck zu denen dreÿen Lilien genannten bier behaußung Zu willfahren seÿe.

Marie Sara Blessig loue la brasserie aux Trois Lis au brasseur Jean Henri Peter

1760 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 190-v
Fr. Sara Demuthin geb. Bleßigin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Not. Johann Carl Ficke
in gegensein Johann Heinrich Peter des biersieders
verlühen, die bier behausung mit allen deren begriffen zu den dreÿ lilien genannt am Gaulstaden nebst verschiedenen mobilien – auff 12 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden 1. Julÿ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 130 pfund

Nouvelle vente d’effets mobiliers. L’acquéreur est le brasseur Jean Henri Peter, locataire de la brasserie aux Trois Lis
1760 (21.7.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 145
Verkauf und Erlöß auch respe. Überlaßungs Register derjenigen Effecten, so Frau Maria Sara Demuthin gebohrne Bleßigin, Herrn Philipp Jacob Demuth, des dermaligen Weinhändlers in Petersburg und burgers dahier zu Straßburg fraun Eheliebstin (…) Zum theil herrn Johann Heinrich Peter den Biersieder käuflichen entschlagen, theils aber demselben Zum Bierhauß der 3. Lilien mit in Lehnung übergeben hat, auffgericht in Anno 1760.

Les Quinze autorisent Jean Henri Peter à exploiter la brasserie aux Trois Lis

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 302. Sambstags d. 2. Augusti – Idem [Froereisen] nôe Joh: Heinrich Peter des Burgers und Biersieders prod. Extractum E.E. Meisterschafft der biersieder dedato i. hujus bitt unterth. dem Imploranten den bierschanck in denen dreÿ Lielien Zu Zuerkennen, facta prælectione ist Erkandt, nach Ordnung Willfahrt.

Le mandataire de Marie Sara Demuth, femme du marchand de vins Philippe Jacques Demuth établi à Saint-Petersbourg, vend la brasserie au marchand de vins Jean Chrétien Strohl et à sa femme Catherine Braun moyennant 4 000 livres

1772 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 200
nahmens Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßingin H. Philipp Jacob Demuth des weinhändlers zu St. Petersburg eheliebstin dero schwiegersohn H. Johann Klein der metzger
in gegensein H. Johann Christian Strohl des weinhändlers auch kieffers und Mariæ Catharinæ Braunin mit assistentz H. Johann Jacob Kopp des nadlers und H. Johann Michael Braun des seidenhändlers ihres bruders und schwäger
die zu den dreÿ lilien geschildete bierbehausung samt brauhaus, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben Jacob Wolff dem schiffmann, anderseit neben Philipp Reich dem schiffbauer, hinten auff der Gorÿischen verlassenen Ehefrau garten, und den zum bier brauen gehörigen schiff und geschirr, bestehend in einem kupffern brau kößel, den kühlschiff, einen maltzfege, ein weich bütt einer hopffen bütt mit außnahm desjenigen platz des weÿl. H. Johann Heinrich Peter gewesenen bierbrauer als entlehner obbeschriebener behausung aus seinen eigenen mittlen erkaufft mit dem oben gedachten hoff vereiniget deßen größe und naturhafft aber durch das ehemalige fundament immer kantbar ist, ane dem Gaulstaden gegen der Hechtenbruck hinüber – als ein vermög kauffcontract de dato 20. mart. 1755 von weÿl. H. Dr. Sachs und Silberradischen Fr. wittib erkauffte behausung – um 2500 und 2500 guld. verhafftet, geschehen um 3000 gulden

Chrétien Strohl s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en mars 1741. Il le présente en juillet 1744. Les examinateurs n’ont aucune remarque à faire et reçoivent le candidat maître
1741, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 421) Dienstags d. 7. Martÿ 1741 – Mstr Joh: Georg Strohl der Kieffer Laßt Christian Strohlen seinen sohn zum meisterstück einschreiben und erlegte werckstatt Zinß pro protoc. 2 ß 6 d

(f° 460-v) Mittwochs d. 22. Julÿ 1744. ist Christian Strohlen des Ledigen Kieffers mstrstück Zum letzen mahl besichtiget nur von den hh. Schaueren referirt worden, daß sich in der Ersten schau etliche außfügen befunden, so aber in der 2. schau verbeßert waren, wid die 3.te ware gar nichts einzuwenden, weßhalben derselbe vor ein mstr. Erkandt undt von H. obmann auch confirmirt wurde.

Chrétien Strohl devient tributaire le 15 juillet 1745
(f° 472) Donnerstags d. 15. Julÿ 1745 – Mstr Joh: Christian Strohl der Kieffer erhalt vermög scheins von d. statt stall das Zunfftrecht und Zahlt als eines Zünfftigen sohn 1 lb 1 ß pro protic. 5. ß & feureÿmer 10 ß d.

Fils du tonnelier Jean Georges Strohl, Chrétien Strohl épouse en 1746 Marie Catherine Braun, fille du passementier Martin Braun : contrat de mariage, célébration
1746 (25. 9.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1125
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafften vnd bescheidenen Herrn Christian Strohl, leediger Kieffer, deß Ehrenachtbaren H. Joh: Geörg Strohl auch Kiefers vnd burgers allhier Zu Straßburg mit weÿland fraun Annæ Mariæ gebohrner Meyerin Ehelich erzeugt vnd nach tod verlaßenem Sohn, als hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren und Tugendreichen Jungfrau Mariæ Catharinæ Braunin deß Ehren vnd Vorachtbahren H. Martin Braun Paßmentirer vnd Seidenhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendbegabten fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Kammerreuterin Ehelich erziehlter dochter alß der Jgfr. hochzeiterin andern theils
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg (…) Freÿtags den 25.ten Novembris A° 1746 [unterzeichnet] Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 84-v n° 5)
1747. Eod. die [Mittw. den 15. Febr.] wurden gleichfalls nach Zweÿmahl Vorher geschehener Proclamation, in den Stand der H. Ehe eingesegnet Johann Christian Strohl, der ledige Kiefer, Weinhändler und burger allhier H Johann Georg Strohl des Kiefers Weinhändlers und burgers allhier ehel. Sohn, und Jungfrau Maria Catharina Braunin H Johann Martin Braun des Posamentirers und burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Joh: Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin Als Hochzeiterin (i 87, procl. Saint-Thomas f° 62 n° 338, i 63)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Eglise. Ceux du mari s’élèvent à 1 056 livres, ceux de la femme à 863 livres.
1747 (6.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 51) n° 1372
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrengeachte vnd Bescheidene Meister Christian Strohl, Kiefer vnd die Ehren vnd tugendsahme frau Anna Catharina gebohrne Braunin beede Eheleuthe vnd Burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht vnd sich deren Jeedes Vermög Ihres mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert Vorbehalten (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegenwarth H Joh: Geörg Strohl Kiefers des Ehemanns Vatter, ferner H Joh: Friderich Käß J.u.Lri und Controlleur beÿ E. Löbl. Ehrsamb gericht der Ehefraun annoch ohnentledigten Vogts, H Joh: Martin Braun Paßmentirers deroselben Eheleib. Vatter vnd Fr. Maria Barbara Kammin deroselben Groß Mutter, Mittwochß d. 6. Aprilis 1747.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß gelegenen und lehnungsweiß bewohnenden behaußung sich befunden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 64, Sa. werckzeugs Zum Kiefer handwerck gehörig, so des Ehemanns unverändert 37, Sa. Brandenwein und Eßig 696, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 24, Sa. der baarschafft 95, Summa summarum 918 lb – Adde die an denen haussteuren Ihme gebührige helffte so macht 138 lb Des Ehemanns Vermögen 1056 l
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußrath 103, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 56, Sa. Goldenen Ring 32, Sa. der baarschafft 533, Summa summarum 725 lb – Darzu gelegt Ihre helffte ane denen gleich hierauf bschriebenen haussteuren 138, der Ehefraun Nahrung 863 lb

Le maître de tribu fait grief à Jean Chrétien Strohl de vendre du bois à tonneaux au-dessus du prix courant et de le revendre. Il est condamné à une amende mais autorisé à écouler la marchandise achetée suivant les contrats qu’il a passés.
Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 266) Dienstags den 18.ten Julÿ 1769 – Klag
Hr Rathh. Breßle als Zunfftmeister Klagt Contra Johann Christian Strohl den Kieffer, daß beklagter taugenholtz auf Mehrschatz gekaufft, und solches wieder Verkauffte, Bittet ihme dem Articul Gemäß abzustraffen, und in die Unkosten Zu Condemniren.
Beklagter Zugegen sagt, der Articul seÿe ihme unbekannt gewesen, über daß handeltten Andere auch sogar ein Meeelmann damit, undt hätte er einen Vorrath welchen ernicht so leicht Looß werden Könnte, bittet absolutionem, Refusis Expensis.
Erkannt, seÿe Beklagter in die Straff des Articuls Von 5 Pfund Pfenning und in die Unkosten Zu Condemniren anbeÿ aber ihme Zuerlauben seinen Vorrath und daßjenige Was er veraccordirt hat Zuverkauffen.

La femme de Chrétien Strohl demande aux Quinze d’être exemptée de payer une amende.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 417) Sambstags den 22. Augusti 1772. – Rang nôe Maria Catharina Strohlin, Johann Christian Strohl des burgers und Kiefers Ehefrau producirt unth. Memoriale samt bitten und anerbieten puncto gnädiger erlaßung der Straf. Erkandt Wird die angesetzte straf von 50. auf 30. lib. moderirt.

Chrétien Strohl meurt en 1793 en délaissant huit enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Faubourg de Pierre. La masse propre à la veuve est de 15 182 livres tournois, la masse propre aux héritiers de 10 677 livres tournois. L’actif de la communauté s’élève à 55 734 livres, le passif à 42 848 livres tournois,
1793 (3.6.à, Strasbourg 3 (1), Not. Schweighaeuser n° 517
Inventarium über Weiland des burgers Johann Christian Strohl, des ältern im Leben gewesenen Weinhändlers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1793. – nach seinem den 8. Februarÿ laufenden 1793.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu End stehend auf Ansuchen Fraun Anna Catharina geb. Braunin der hinterbliebenen Wittib hierzu mit dem Burger Johann Philipp Helk hiesigem bierbrauer verbeistandet (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten in diese Verlaßenschaft gehörigen daher hernach mit mehrerù beschriebenen Behaußung auf Montag den dritten Junii 1793 zweiten Jahr der frantzösischen Republik.
Der Verstorbene Burger Strohl hat in seinem hernach copialiter einverleibten Testament Zu Erben eingezetzt, Seine mit der Eingangs benannten wittib ehelich erzeugte Acht Kinder namentlich 1. den Burger Johann Christian Strohl hiesigen Biersieder, 2. den Burger Johann Friderich Strohl, den Kiefer so seit ungefehr eilf Jahe abwesend auf Reisen sich befindlich, 3. der Burger Johann Georg Strohl, Kiefer und Gastgeber alhier, diese dreÿ nur allein in legitimam. In den überrest der Verlaßenschafft ber zu gleichen theilen 4. Frau Maria Catharina geb. Strohlin des Bürgers und Metzgers allhier Joh: Andreas Klipfels Ehefrau, 5. Frau Susanna Barbara geb. Strohlin, des Burgers und Hoffconditors in Pirmasens Frantz Alexander Victor Otto Ehegattin, 6. den Bürger Johann Philipp Strohl, den Rothgerber dermalen Zu Thiel in Gelderland säßhaft, 7. Frau Maria Magdalena gebohrne Strohl des Lieutenants in Hessen Darmstätdischen Kriegs: diensten Gottlieb Wilhelm Keim Eheliebste in Pirmasens wohnhaft und 8. den hiesigen ledigen Burger und Kiefer Johann Diebold Strohl

Haußrath, Aufm ersten Stock im Hausöhren, Soldaten Kammer, Auf der hintern Bühn, In der Hintern Stub, In der Vordern Stub, In des Sohns Kammer, In der Kuche
Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behaußung bestehend in Vorder, Mittel und Hinter Gebäuen ane der Vorstadt Steinstraß (…)
Item sieben und einem dach stehende kleinen Häußlein vorlängst Zum goldenen faß geschildet, und Von Alters her der Engelmann Hof genant ane der Vorstast Steinstraß (…)
(f° 11) Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Guths, Nach Ausweis Invent. Illat. d. A° 1747. durch weil. Not. Joh: Jacob Oelinger
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, freitags den 25. Novembris Anni 1746. [unterzeichnet] Johann Jacob Oelinger Notarius juratus
Copia Testamenti clausi (…) So Geschehen Straßburg auf Donnerstag den 17. des Montahs Julii im Jahr der Gnaden 1783 – Actus Depositionis, Schweigheuser
(f° 24) Summarische Berechnung über gegenwärtige Erb: und Verlaßenschaft. Der Wittib unverändert guth, Sa. hßraths 120, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 61, Sa. der Schuld 300, Sa. der Ergäntzung 14.670, Summa summarum 15.182 livres
Diesemnach wird auch der Erben unverändert väterl guth beschrieben Sa. Wiesen gezeugs 98, Sa. Ergäntzung 10.879, Summa summarum 10.977 livres – Schulden 300 ; Detrahendo bleibt 10.677. livres
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guts, Sa. haußraths 627, Sa. Brandweins Essig und leerer Vaß 12.269, Sa. Taugenholtzes Reif und Band 5109, Sa. Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck gehörig 451, Sa. Silbers 86, Sa. baarschafft 1414, Sa. häusern 32.000, Sa. Schulden 3774, Summa summarum 55.734 livres – Schulden 42.848 livres, Nach deren Abzug 12.866. livres

La veuve met en vente des effets mobiliers.
1797 (2 floreal 4), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 553
Verkauf Register, den 2. floreal 4. Auf Ansuchen der bürgerin Anna Catharina Strolin geb. Braunin weÿl. des burgers Johann Christian Strohl sen: im Leben geweßenen Weinhändlers hinterbliebenen Wittib sind vor ihrer an der Vorstatt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten behaußung hernach beschriebene Effecten Versteigt
summa looßung 155 lb
enregistré 3 floréal 4

Marie Catherine Braun meurt en 1802 en délaissant six enfants ou leurs représentants.

1802 (20 prairial 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 740, 1405
Inventarium über weÿl. Frau Maria Catharina Strohl geb. Braun auch weÿl. brs Johann Christian Strohl des ältern gewesenen Kiefers Wittib Verlaßenschafft nach ihrem den 18. floreal X erfolgten absterben
die verstorbene hat mit dem wittiber bürger Johann Christian Strohl ältern erzeugt und ab intestato zu ihren Erben hinterlassen 1. des weÿl. brs Johann Christian Strohl jüngern bierbrauers mit Frau Maria Barbara geb. Pick beÿde Kinder a) Fr. Margaretham Salome geb. Strohl des b.rs Nicolas Gardien Capitaine au deuxième Régiment d’Artillerie à cheval Ehegattin, b) den br Johann Georg Strohl ledigen großjährigen bierbrauer, 2. den br Johann Georg Strohl Kiefer, 3. Fr. Mariam Catharinam geb. Strohl des b.rs Claude Gachée Wagners Ehegattin, 4. Frau Susannam Barbaram geb. Strohl herrn Frantz Alexander Victor Otto pensionirten hof: Conditoris zu Darmstadt Ehegattin, 5. den br Johann Philipp Strohl Wirth, 6. Fr. Mariam Magdalenam geb. Strohl des im ersten bataillon des fürtslich: hessen; darmstättischen Regiments Erbprintz stehenden hauptmanns herrn Gottlieb Wilhelm Keim Ehegattin

in einer an der Steinstrase gelegen in diese Verlaßenschafft gelegenen behausung N° 89 – hausrath 133 und 25 fr [sans suite]
n° 2753 du 29. ventose 13 – Répartition et décompte sur le Prix de vente de la maison avec cour écurie jardin appartenances et dépendances située a Strasbourg au Fauxbourg de pierres N° 89 d’un côté le C. Barthelemi Gross Charpentier d’autre le Sr Jean Pierre Clause patissier par derrière sur la rue de la Soupe à l’eau et ayant une issue faisant partie de la succession de feu le C. Jean Chrétien Strohl tonnelier et de feue Marie Catherine Braun, en vertu d’un procès verbal d’enchère définitive reçu M° Bremsinger le 22 floreal 12 au Sr François Antoine Wiedemann pour 9000 francs [Joint extrait Bremsinger]
[Joint] 9. jährige lehnung vom 26. junÿ 1776, vor dem Juden tor unten an der bruck Lincker hand der Landstraß unten am Contades
[Joint] Testament, Johann Christian Strohl Weinhändler den 17. julÿ 1783 enregistré Strasbourg le 1. junÿ 1793 Actus depositionis Not. Schweigäußer 17. julÿ 1783
[Joint] Designation dererjenigen hausräthlichen Mobilien und anderer Effecten welche in Johann Christian Strohl des jüngern abwesenden ehemaligen Bierbrauers falliments: Massam gehörig den 10. Aprilis 1780 Not. Übersaal
[Joint] Summarische berechnung 27. Januarÿ 1780
[Joint] Liasses de quittances XVIII, actes Chambre des Contrats année 1785 f° 210-b et 361a
[Joint] Aus des Friedens gerichts des Ersten Gerichts bezircks der Gemeinde Straßburg Audienz Memorial – Am dritten Jahr des fränckiscen und unzertheilbaren Freÿstaats den 9. thermidor, erschiene die bürgerin Maria Catharina Strohl wittib Klägerin Contra bürger Graß beklagten, Klägerein beÿständlich ihres sohns concludirt beklagten anzuhalten nach aussag Experten den ihro verursachten Schaden an ihrem hauß in der Streinstraß N° 89 gelegen zu bezalen und ernennt bürger Stahl Maurer als ihren Expert
beklagter durch Matias Laugel Glaser seinen bevollmächtigten erscheinend sagt er habe keinen Schaden verursacht und ernenne bürger burger Maurer für seinen Expert (…)
Abschrift der Expertise, Aufs Jahr 1795 heute dato den 12. thermidor im dritten Jahr (…) in die behausung der besagten bürgerin Strohlin Wittib um allda 1. den Schaden abzuschätzen eines halb dächleins warunter mit s:v: Ein Schwienstall auf welches ohngefehr beÿ grosen Wind ein oder zwei ziegel von des burgers Graß seiner dachung konnten herabgestürtzt seÿn und wie wir nach genauer Untersuchung gefunden, daß der Schaden aus 18 breit ziegel bestehe ebenfalls aber auch auf den dach des Wohnhauses der bürgerin Strohlin welcher Schaden aber sich auf die summ von 3 breit ziegel belauft jedoch ist bürger Graß gesinnt diese sogleich zu ersetzen
2. beschwehret sich bürgerin Strohl daß das Gäßlein so das Waßer beÿ den häusern gemeinschafftlich aufnimmt, öfters verstöckt durch verschiedenen Unrath der darein geworfen wird zu sehen so daß dem Waßer der Lauf versperrt wird, so haben unterschriebene Experten für nöthig erachtet, weil bürger Groß seine fenster Lichter vergremset, damt nichts könne in gemeldtes Gäßlein geworfen werden, bürgerin Strohlin möchte die vier Lichter so in dieses Gäßlein gehen, ebenfalls so vergremsen laßen, um allen Streitigkeien vorzukommen,
3. weilen bürgerin Strohl sich beschwehrt daß der Wasserfall des dachs des bürgers Groß dem Gebel des hauses Schaden zufüget, so haben Wir Experten nach genugsamen Untersuchung eingesehen, daß dieser Schaden hauptsächlich daher kommt, weilen des Wasser des dachs des Wohnhauses der bürger Strohl auf das dach des bürgers Groß seines hauses fällt und also an den Gebel Spritzen muß, demnach haben wir erachtet um diesen fernerern Klagen vorzukommen es möchten beide Parteÿen und jede für sich auf die gantze länge ihrer dachungen einen Nach machen lassen, der als dann das Waßer ohne daß dem einen oder dem andern Schaden zufügen könne aufnehmen wurde,
4. begehrt bürgerin Strohl daß b. Groß die diehlen, wandpfösten, so die scheidung ihres gartens macht, acurat senkel recht setzen laßen möchte, weilen diese reparation auf die gantze länge gemeinschaftlich wird so sind sie beÿde gehalten selbige vorzunehmen (unterschrieben)
Und heute den 16. thermidor drites Jahr der republick (…) die zerbrochene ziegel der Klägerin zu ersetzen Verordnet daß beklagter die zerbrochen gefundene ziegel ersetzen und gantze an deren Stelle stecken laßen solle, sofort sind beede angehalten ihre Lichter in das Schlupfgäßlein so zu vergremsen daß kein Unflath mehr hingeworfen werden kann, eine jeede partei an ihre dächer einen Nach zu machen gemeinschafftlich die dielen scheidwand pfösten grad stellen und die kösten zur helfte zu bezalen, Krafft Juge de paix
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 141 du 21 pr 10


Maison (a) donnant dans la ruelle des Roses

La maison doit faire partie de celles que mentionne l’acte suivant par lequel le batelier Jacques Stephan hypothèque deux maisons au profit de Georges Basile Geyer (Geiger).

1649 (4. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 481
Erschienen Jacob Stephan der Schiffmann
hatt in gegensein H Georg Basilÿ Geÿers – schuldig seÿen 100 Pf
dafür in specie Vnderpfand sein sollen Zweÿ häußer geg. einander in der Krautenaw und. halb der herberg Zum Gaul, im Rosengäßlin gelegen, hatt eines Peter Baldnern und hannß Sturmen, daß and. hauß ([biffé] hannß Scheren Eck) den Fischen und hannß Sturmen Zu Nachbauren, so Zuvor verhafftet seind umb 100 lib Agens Schollin

La maison doit ensuite revenir par enchère au créancier Georges Basile Geyer
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Anne Catherine Kuder femme du boucher Jacques Steuss dans la maison qui appartient à Georges Basile Geyer dans la ruelle des Roses

1662 (15.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 17) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeder Haab Und Nahrung, So Weÿl. die Ehren und tugendsahme Anna Catharina Kuoderin deß Erbaren vndt bescheidenen Jacob Steußen burgers und Metzgers Alhie Zu Straßb. haußfrau Seel.
In Einer in der Statt Straßburg in der Crautenaw In dem Roßen gäßlin Vndt H Basilio Geigen Eigenthümlich zuständigen behaußung Ist gefunden Worden wie volgt

La maison revient ensuite à son gendre Jean Raimbaud Friderici qui épouse en 1684 Marie Marguerite, veuve du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124-v, n° 28) 1684. Dom. X post Trin. Zum 2 mahl Hr Johann Reinbold Friderici des Weiland Wohl Ehrn Vest Fromm Fürsichtig u. Wohlweisen Hn Johann Philipp Friderici des bestand. Regiments der Hn XV. gewesenen Beisitzers nachgelaßener ehel. S. Fr. Maria Margaretha Weiland hr Johann Hr Johann Joachim Bockenhofers UJD u.. prof. Eloquentiæ und gewesenen * beÿ dem Collegiat Stifft St Thomas nachgel. W. Donnerst. den 17.t Aug. Zun Predigern (i 126)

Fils du libraire du même nom, Jean Joachim Bockenhoffer épouse en 1662 Marie Marguerite, fille de l’assesseur au Grand Sénat Georges Basile Geyer.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f°100, n° 12) 1682. Zum 2. mahl hr. Johann Joachim Bockenhofer U.J. Drnd. u. Prof. Eloq. Weiland hr. Johann Joachim Bockenhofers geweßenen Buchhändlers u. Burgers ehel. S. Jfr. Maria Margaretha des Weiß Wohl Edlen Fürsichtigen u. Wohl Weisen hr. Georg Basilÿ Geigers des geheimen beständigen Regiments der Hhrn XIII. Beisitzers nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 16.t April. Zun Predigern (i 101)

Jean Raimbaud Friderici se remarie en 1693 avec Susanne Richshoffer, fille de l’ancien consul Daniel Richshoffer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 31) 1693. Dom: VII post Trinit. seÿnd Zum I mahl außgeruffen worden der Wohl Edel Fromm Fürsichtig und Wohlweÿse Herr Johann Reinbold Frideridi, deß beständigen Regiments der Herren XV. beÿsitzer, Jfr. Susanna, deß auch hoch Edel Gestreng, Fürsichtigen und hochweÿsen H Daniel Reichshoffers Alten Ammeisters Ehel. T. Seÿnd copulirt Worden deh 15. Julii [unterzeichnet] Johann Reinbold Frideridi alß hochzeiter, Susanna Richshofferin alß Hochzeiterin (i 39)

L’ancien consul et administrateur de l’université Jean Raimbaud Friderici vend en 1704 la maisonnette au charpentier Georges Kessler et à sa femme Barbe Kœrner moyennant 109 livres

1704 (22.4., Chambre des Contrats, vol. 577 f° 210
(109) S.T. Hr. Joh: Reinbold Friderici alter A.ster u. Scholarcha
in gegensein Georg Kesslers zimmermanns u. Barb: geb. Körnerin
ein kleines Hauß Hoffstatt sambt der gemeinschafft deß Höffleins wie es biß dato geweßen u. allen übrigen dero gebäuen begriffen weithen zugehörden rechten u. Gerechtigkeit allhier im Roßengäßlein ahm Gaulstaden einseit neben Hn. Lti Steinheils Garten anderseit neben Hannß Jacob Bartel kiefers hinten auf (-) Haßlern schiffmann stoßend gelegen – um 109 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Georges Kessler à acheter du consul Friderici une maison près du pont au Brochet moyennant 218 florins

1704, Conseillers et XXI (1 R 187)
(p. 126) Montags den 21.ten Aprilis 1704. – Georg Keßler der Schirmer vmb permission eine ahne der hechtenbruck gelegene kleine behaußung Zukauffen
G. Ersch Geörg Keßler Schirmer alhier der ist willens Von S. T. Hn . Ammeister Friderici eine kleine behaußung ahn der Hechtenbruckh gelegen vmb 218. fl. Zu erkauffen bittet Unterthänigst Vmb Obrigkeitliche permission.
Erk. würdt Zwar mit gebettener Erlaubnus Willfahrt, es solle die Verschreibung aber in gegenseÿn H. XV.er Lempen vndt H. Rathh. Randtenraths in allhiesiger Contract Stuben sub Clausilis assuetis Vorgenommen, Vndt denen Procuratoribus angezeugt werd. ins Künfftigen dergleichen permissiones nahmens des Verkäufers Zu suchen.

Les actes suivants établissent que Georges Kessler est originaire de la juridiction de Landeck en Tyrol et Barbe Kœrner de Villingen en Forêt-Noire. Leur premier enfant qui naît à Strasbourg est porté dans les registres en 1681.
Baptême, Saint-Laurent (cath. f° 9) (-) Maÿ 1682. Sebastianus. Parentes Görg Keßler, Barbara Kirnerin, auß dem Landteckher gericht Tyrolis. Patr. Sebastian Scherber von breÿsach, Matr. Barbara Stentzin vo* boßwill in d. Schweitz (i 7)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 66) 16. 7.bris 84. Thomas, Georgius Keßler Tyrolensis et vnda Kürnerin Von Fillingen am Schwartzwaldt, Patr. Georgius Mutschler Argent: et Maria Elisabetha Kißl[er]in nomine Mariæ (-) Müllerin aus Tiroll (i 40)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 231) 1687. Januarius. 23. fuit baptizatus Henricus Georgÿ Kessler Commiranti in hac civitate Et Barbaræ Kirnerin ex philingen, Ex sacro fonte suscepit Henricus Moser solodoranus, Anna Margaretha Hugin Marchionatus todirsÿ* (i 123)

Georges Kessler et Barbe Kœrner, assistés de leur fis Henri Kœssler et de leur gendre Jean Litgy, hypothèquent la maison au profit de l’avocat Jean Adam Goll

1710 (ut supra [31.7.]), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 39
Joh: Georg Kessler zimmermann und Barb: geb. Körnerin beÿständlich Heinrich Kosslers zimmermann deß. sohns u. Joh: Lißt zimmermann deß tochtermanns
in gegensein H. Joh: Adam Goll U.J. Ddi auch Advocati u. Procuratoris beÿ E.E. G. R.,
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhi im Roßen gässlein, einseit neben H. Lt. Streicher anderseit neben (-) hinten auf hn H. Steinheil stoßend

Georges Kessler et Barbe Kœrner font un codicille par lequel il se lèguent mutuellement la jouissance viagère de leurs biens
1712 (22. 9.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Codicill – persönlich kommen und erschienen Hannß Geörg Kößler, der Zimmermann und beneben Ihme fraw Barbara Kößlerin gebohrne Körnerin, Beede Eheleuthe und hintersassen alhie zu Straßburg, so viel der man betrifft, krancken und schwachen Leibes auf einem bette Ligend, die fr. aber gesund stehend und gehenden Leibs, doch aber von der gnade Gottes guetther richtiger Sinnen Vernunfft Verstandt vnd gesprächs
(dem letztlebenden das völlige usumfructum)
Welches alles beschehen und zugangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in der daselbst ohnfern d. hechtenbruck in dem Rooßengäßel gegenene en und beeden Codicillirende Ehepersonen Zuständigem häußlein und dero stübleiin mit den fenstern in das gäßel und höflein aussehend (…) auff Dienstags abends Zwischen 5. v. 6. uhren d. 22. 9.bris A° 1712
[unterzeichnet] x, +

Jean Henri [sic] Kessler mari de Barbe Kœrner meurt sexagénaire en novembre 1712. Les témoins sont Henri Kessler et Jean Litzg
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 139-v)
Hodie 24 die Novembris Anni 1712 fuit a me infra scripto sepultus Joannes Henricis Kessler Sexaginta et ultra annos natus pridie defunctus circa horam decimam matutinam conjux legitimus Barbaræ Kürnerin provisus Ecclesiæ sacramentis. Testes aderant Henricis Kessler et Joannes Litzg incolæ argentinenses (i 146)

Originaire de Sankt-Marx (Laas) dans le comté du Tyrol et le diocèse de Brixen, Jean Litzge épouse en 1697 Gertrude Kessler
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 81.)
Eodem die 29. Aprilis A° p.fato 1697. Joannes filius Michaelis Litzge defuncti et Mariæ Jenin Coniugum ex loco d. ad Sm Marcum in Tyrolensi Comitatu, Brixiensis Diœcesis, hic autem iam plures annos commoratus ex una parte, et Gertrudes, filia Georgÿ Kessler fabri lignarÿ et Barbaræ Kürnerin Conjugum hic habitantium Parochianorum nostrum ex alterâ parte, in veros ac legitimos Conjuges in facie Sanctæ Matris Ecclesiæ desponsati sunt (signé) Johanneß Litzg, signum sponsæ + (i 44)

Henri Kessler épouse en 1706 Catherine Schultz
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 88)
Die Tertia mensis Maÿ anni 1706 (…) in facie Eâ nuptias celebrarunt solemniter Henricus Kessler et Catharina Schiltzin ambo argentinenses, + signum sponsi + signum sponsæ (i 90)

La veuve Barbe Kirner se remarie en 1714 avec l’ancien soldat Charles Ringard, originaire d’Essuiles dans le diocèse de Beauvais.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 135) Hodie die 28. Maÿ Anno 1714 (…) sacro matrimonÿ vinculo fuerunt copulati Carolus Ringard oriundus es Essuiles diœceseos Bellovacensis miles cohortis de Kiensin* in legione Tormentoriorum et Barbara Kirnerin vidua Joannis Georgÿ Kessler (i 137)

Charles Ringard et Barbe Kirner hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger

1723 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 515
Charles Rayngard der handlanger und Barbara geb. Kiernerin beÿständlich H. Eberhard und Neufviant beeder EE. kleinen Raths beÿsitzers [unterzeichnet] + +
in gegensein H. Johann Adam Ößinger Notarÿ Publici – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, der correæ debendi Behausung, gemeinschafft des höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier ahm Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben H. Consulent Steinheil anderseit neben hannß Georg Bürckel dem kieffer hinten auff weÿl. Hannß Jacob Haßler des Schiffmanns hinterlassene wittib

La maison revient en partie au batelier Jean Georges Kessler, fils de Jean Henri Kessler, qui épouse en 1752 Dorothée Sibylle Pfanzelt, fille de maçon, puis en 1755 Anne Marguerite Schiller, fille d’apprêteur de tabac.

Mariage, Saint-Laurent (cath. p.. 270)
Hodie 26 junii anni 1752 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes georgius Kæssler filius legitimus defuncti Joannis Henrici Kæssler dum viveret civis ac fabri lignarii hujatis et annæ Catharinæ Schultz viduæ ejus superstitis civis ac nauclerus proessione suâ et Dorothea Sibilla Pfalntzelt filia legitima volgangi pfandtzeldt tutelarii ac murarii hujatis et annæ rosinä ellrieder viduæ ejus superstitis ambo parochiani hujus parochiæ (signé) Johann görg Kößler, Dorothea sibila Panzeltin (i 138)

Mariage, Saint-Laurent (cath.)
Hodie 22 Septembris Anni 1755 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Georgius Kessler civis et nauta hujas, viduus Annæ Dorotheæ Pfanzelltin in parochia Sti Stephani hujus urbis Commorans, et Anna Margaritha Schiller argentinensis, Joannis Michaelis Schiller olim vivis et tabaci concinnatoris hujatis et salomeæ Meyerin conjugum defunctorum filia legitima parochiana nostra (signé) Johann görg Kößler, margaretha schöllerin (i 178)

Le mandataire de Jean Georges Kessler et de son frère Chrétien Kessler vend la maison au fabricant de pipes Jean Louis Kneischick et à sa femme Anne Barbe Scheuer

1752 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 276
Johann Georg Zinck der zimmermeister als vogt Johann Georg Keßler des Zimmer gesellen und als mandatarius deßen bruders Christian Keßler des schiffknechts
in gegensein Johann Ludwig Kneischick des tabac: pfeiffmachers und Annæ Barbaræ geb. Scheÿerin – versteigerung
ein häußlein, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten in dem Roosen gäßlein am Gaulstaden einseit neben der Theurerischen wittib, anderseit neben Jacob Göppel dem schiffmann, hinten auff weÿl. H. Johann Georg Birckel des kieffers erben – als ein vätterliches erbguth – um 105 pfund

La veuve de Jean Louis Kneischick se remarie en 1760 avec le brocanteur Jean Chrétien Baur.
Anne Barbe Scheyer femme de Jean Chrétien Baur vend la maison au brasseur Jean Henri Peter

1762 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 238-v
Fr. Anna Barbara geb. Scheÿrin Johann Christian Baur des gimpelkauffers ehefrau
in gegensein Johann Heinrich Peter des bierbrauers
eine behausung, höfflein samt allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben der bier behausung zur dreÿ lilien anderseit neben Johann Philipp Reich dem schiffbauer, hinten wieder auf die bier behausung – als ein theils erkaufftes theils ererbtes guth – um 112 pfund

Fils du boucher Jean Jacques Peter de Mommenheim, le brasseur Jean Henri Peter épouse en 1730 Catherine Marguerite Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1760 (23.6.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 65
Eheberedung – zwischen dem Ehren wohl vorgeachten Herrn Johann Heinrich Peter, dem leedigen Biersieder, Weÿland Hn Johann Jacob Peter, des gewesenen Metzgers und burgers Zu Mommenheim Ritterständischer Jurisdiction ehelich erzeugt hinterlaßenem Sohn eines,
und am andern Theil der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinæ Margarethæ Bleßigin, weÿl. des Wohl Ehren und Großachtbaren herrn Johannes Bleßig des gewesenen Gastgebers Zur Äxt und b. dahier zu Straßburg seel. ehelich erziellt nach tod hinterlaßener Tochter
So beschehen dahier zu Straßburg (…) auf Montag den 23. Junÿ 1760.
[unterzeichnet] Johann Heinrich Peter als hochzeiter, Catharina Margaretha Bloßigin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 160-v, n° 21)
1760. Mittwoch d. 16. Jul. wurde nach Zweÿmahliger außruffung in der Evangelischer Pfarrkirche Zu S. Nicolai ehelich eingesegnet Johann Heinrich Peter, Lediger bierbrauer v. burger allhier H Johann Jacob Peters gew. Metzgers v. Gerichts Verwantdten in Mommenheim Ritterschafftlicher Jurisdiction hinerl. Ehel. Sohn, V. Jfr. Catharina Margaretha Plesigin weÿl. H. Johannes Bleßigs, gew. Gastgebers und burgers allhier Hinterl. Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Henrich Peter Alß Hochzeiter, Catharina Margaretha bleßigin hochzeiterin (i 163, procl. Saint-Pierre-le-Jeune i 225)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie aux Trois Lis dont ils sont locataires. Ceux du mari s’élèvent à 260 livres, ceux de la femme à 1 087 livres.

1760 (19.8.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 146
Inventarium über des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Peter, des biersieders und der Ehren: und Tugendsamen Frauen Catharinæ Margarethæ gebohrner Bleßigin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander vor unverändert einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1760. – in ihrem den 16.ten Julÿ dießs Jahrs angefangenen Ehestand einander zu und eingebracht haben (…) So beschehen in Straßburg in fernerer Gegenwart Hn Johannes Bleßig des Würths und Gastgebers Zum Falckenkeller auch b. alhier der Ehefr. hierzu erbettenen beÿsitzers den 19.ten Augusti 1760.
In einer alhier Zu Straßburg in der Krautenau ohnfern der hechtenbruch gelegenen diesorts Lehnungsweiße bewohnenden bier behaußung Zu den dreÿ Lilien hat sich befunden als
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Haußraths 31, Sa. Holtzes und Werckzeugs Zum Kiefer wesen gehörig 51, Sa. Weins, bier und leerer Faß 112, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 25, Sa. Baarschafft 39, Summa summarum 260 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Haabschafft beschrieben, Sa. haußraths 241, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 75, Sa. goldener Ring 33, Sa. Baarschafft 38, Sa. Schulden 698, Summa summarum 1087 lb
Haussteuren70, Macht deren jeden Ehegatten Zur helffte 35 lb.

Le notaire Charles Fické dresse en 1764 l’inventaire, non conservé, après la mort de Jean Henri Peter. L’inventaire des biens de Jean Chrétien Strohl et Marie Barbe Pick, dressé en 1778, mentionne que la maison a été vendue par adjudication judiciaire le 14 août 1776.

1764, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 257
weil. H: Johann Heinrich Peter d. gew: biersieders zu den 3. Lilien u. b. alh: seel. Verl. Inv:


Maison (b) donnant dans la ruelle des Roses

Le mandataire des créanciers de Georges Albert Steinheil vend une maison et un jardin au secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer

1731 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 74
H. Lt. Johann Wilhelm Chasseur Ritterschafftlicher Ambtmann und Syndicus weÿl. H. Georg Allbrecht Steinheil gewesten Jcti. und Consulenten beÿ dem Löbl. Ritter Diectorio des Undern Elsaßes Creditorum
in gegensein H. Johann Ernst Theurer Mittelschreibers beÿ allhiesigen Mehrern hospital
Eine Behausung garttenhauß kleines Sommerhäußleinn höfflein hoffstatt und gegenüber liegendes holtzhäußlein Baum: und Kuchen: gartten mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau hinder dem zum Gaul genannten hauß oben beÿ dem eingang des haußes und garttens auff das Hechtengäßlein sehend, einseit neben weÿl. H. Johann Friedrich Lobstein handelsmanns Erben, dem Runckelisch: und Ohlischen gartten neben dem sogenannten Spießischen hoff, unten weÿl. hannß Brack Fuhrmanns wittib und Erben – um 800 pfund

Fils du receveur à l’Œuvre Notre Dame Jean Frédéric Theurer, le secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer épouse en 1712 Judith Reine Sachs, fille du pharmacien Jean Conrad Sachs
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 3)
Mitwoch den 6. Aprilis 1712. seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirch Zu St. Nicol. alier in Straßburg Ehelich copulirt Vnd eingesegnet worden H. Johann Ernst Theurerr, der Mittel Schreiber im Mehren Hospithal alhier weÿl. H. Johann Fridrich Schaffners im Frawen Hauß Vnd burgers alhier, Ehelicher Sohn, Vndt Jungfr Judith Regina Sachßin, H Johann Conradt Sachßen des Apotheckers vndt burgers alhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Ernst Theürer als hochzeiter, Juditha Regina Sachßin als hochzeiterin (i 134)

Judith Reine Sachs détache de sa propriété une maison donnant dans la ruelle des Roses pour la vendre au tonnelier Jean Jacques Bürckel moyennant 250 livres

1746 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 277
Fr. Judith Regina geb. Sachsin weÿl. H. Johann Ernst Theurer des Mittelschreibers beÿ dem Mehrern hospital wittib mit beÿstand ihres bruders H. Johann Friedrich Sachs des Apotheckers
in gegensein Johann Jacob Birckel des kieffers
eine behausung, höfflein, bauchküchen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden im rooßengäßlein einseit neben einem Allmendgäßlein, anderseit neben der verkäuferin selbst, hinten auff ihren garten – theils als ein am 15. feb. 1731 erkaufft theils in guths liefferung angewießenes guth – um 250 pfund


Bâtiment (c)

Femme abandonnée du maraîcher Jean Jacques Gori, Marie Diehl céde un bâtiment construit au-dessus d’une cave qui appartient à l’acheteur Jean Chrétien Strohl

1778 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 176-v
Fr. Maria geb. Diehlin Johann Jacob Gorÿ des von hier längst abweßenden gartenmanns verlassene ehefrau unter assistentz H. Joseph Leonhard Haaß des Zimmermeisters
in gegensein H. Johann Christian Strohl des bierbrauers
das über einem Keller in des H. Käuffers eigenthümlichen hoff /:seiner am Gaulstaden zu den dreÿ Lilien geschildete bierbehausung:/ stehende gebäude mit allen deßen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wovon der fundus und mithin der keller deßelben dem H. käuffer vorhin schon eigen war – 120 gulden



5, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons (ancien)


Rue du Vieux-Marché-aux-Poissons n° 5 – VII 441 (Blondel), O 67 puis section 69 parcelle 199 / 134 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Georges Lienhardt, cordonnier, 1900 – Démolie en 1960, le sol rattaché à la voie publique


Elévation des n° 1 à 5 (1899, dossier de la Police du Bâtiment)
L’îlot en 1870, à l’arrière de l’Ancienne douane (Charles Winter, AMS cote 57 Z 80)
Elévation (1899, dossier de la Police du Bâtiment)

Inscrite au nom du tailleur Jacques Müsser au Livre des communaux de 1587, la maison a 20 pieds 9 pouces de long, un encorbellement et une échoppe de tailleur en appentis. Comme les deux autres propriétaires voisins, le coutelier Nicolas Bittnerest est autorisé en 1591 à percer une porte et une ouverture à son échoppe. Arbogast Karth qui achète la maison en 1622 est autorisé à étayer son auvent pour ajouter un troisième niveau en 1633. Le marchand de drap Zacharie Fellinger répare en 1670 l’arcade qui a souffert du tremblement de terre vers le Vieux-Marché-aux-Poissons. et établit un appentis sur trois piliers en chêne vers la Mauresse. Le sellier François Gayneau acquiert en 1709 la maison après avoir obtenu annulation d’une vente consentie en 1706 au chaudronnier Antoine Füssel. Il est autorisé en 1722 comme son voisin le chaudronnier Jean Kugler à construire sous la moitié de son encorbellement. Son fils sellier Vincent Gayneau remplace en 1734 l’auvent sur deux côtés par une galerie. Vincent Gayneau est autorisé en 1749 à construire à l’aplomb de sa galerie qui fait 27 pieds 7 pouces de long en avançant de 7 pieds et demi sur le communal. D’après la description jointe à l’inventaire de Vincent Gayneau dressé en 1752, le rez-de-chaussée comprend une boutique et un bureau, chacun des trois étages un poêle, une cuisine et un vestibule. Le sellier Jean Chrétien Cullmann achète la maison par enchère judiciaire et la loue à son gendre sellier Auguste Chrétien Gintzerot. La gravure ci-dessous qui doit dater du début de la Révolution montre que la maison, le poêle de la Mauresse (bâtiment à grandes fenêtres verticales) et le bâtiment à l’avant de la Mauresse portent chacun l’enseigne du sellier carrossier Gintzroth.


L’îlot des trois maisons est dans le quart en bas à gauche de l’image, sur la droite de l’image se trouve l’auberge à la Couchette (zum Spanbett), à l’arrière le pont du Corbeau, Plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Aquarelle, fin du XVIII° siècle – L’îlot est au milieu de l’image (publiée dans Strasbourg, éd. Contades, 1984)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 160 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, le pignon au nord se trouve entre les repères (c-d) : deux arcades boutiquières au rez-de-chaussée, deux fenêtres aux deux premiers étages, trois au troisième étage. La façade vers le Vieux-Marché-aux-Poissons est à gauche du repère (c), celle vers la rue de l’Etal à droite du repère (d). Elles ont chacune trois fenêtres à chacun des trois étages. La toiture a deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 101 (1784-1857) puis le n° 5 du Vieux-Marché-aux-Poissons et le n° 6 de la rue de l’Etal.


La maison n° 101 (ici n° 102) sur le plan des Ponts-et-Chaussées de 1839 et sur celui de 1856 (ADBR, cote 2 SP 52)

La maison appartient au XIX° siècle au bottier Jean Sontag, au directeur des messageries Philippe Heinrich (1835-1840) puis à la maison de commerce Ottmann et fils jusqu’à sa faillite en 1869. Le jardinier botaniste Martin Müller fait remplacer en 1869 une fenêtre vers la petite place par une porte. Il ajoute en 1884 un quatrième étage en pan de bois à parement de pierre servant d’atelier de photographie. Une terrasse (1,25 mètres de large) se trouve au-dessus du rez-de-chaussée vers le Vieux-Marché-aux-Poissons.
Le marchand de chaussures Georges Lienhard acquiert une petite parcelle de communal, fait démolir l’ancien bâtiment en février 1900 et construire un nouveau qui est terminé en octobre 1900. Il reconstruit ensuite d’un seul tenant avec le n° 5 le bâtiment voisin (n° 3) auquel on se reportera.


Façades rue de l’Etal, le n° 6 à gauche (1897, dossier de la Police du Bâtiment)
L’îlot vers 1910 (carte postale publiée par Patrick Hamm)
Plan du premier étage (1899, dossier de la Police du Bâtiment)
Au premier plan à gauche, la maison dont on voit le rez-de-chaussée en avant de la façade (photographie publiée par P. Feder, Strasbourg Naguère)

décembre 2020

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1606 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Treuchlinger, tailleur, et (1602) Salomé Rothmann – luthériens
1622 v Arbogast Karth, tailleur, et (1615) Catherine Heyd – luthériens
1667 v Zacharie Fellinger, marchand de drap, et (1671) Marie Cléophée Dieffenbecher – luthériens
1704 h Herrmann Lembeck, tisserand en laine, et (1700) Marie Salomé Fellinger – luthériens
1706 v Antoine Füssel, chaudronnier, et (1690) Anne Marie Voltz – luthériens (vente annulée)
1706 v Chrétien Baur, marchand de cuir, et (1707) Marie Félicité Bitsch – luthériens (vente annulée)
1709 v François Gayneau, sellier, et (1696) Jeanne Roy – catholique, luthérienne convertie
1729* h Vincent Gayneau, sellier, et (1738) Marie Rosine Rolle puis (1752) Marie Françoise Scheitel – catholiques
v. 1763 adj Jean Chrétien Cullmann, sellier, et (1738) Anne Marie Weltz – luthériens
1798 h Jean Michel Mannberger, tonnelier, et (1774) Louise Elisabeth Cullmann – luthériens
1810 v Jean Sonntag, marchand bottier, et (1801) Marguerite Vallo
1835 v Philippe Heinrich, directeur des messageries, et (1831) Julie Emilie Haan
1840 v Ottmann et fils, maison de commerce
Henri Ottmann (Rodolphe Henri Edmond Ottmann), négociant, et (1839) Julie Keller
Victor Ottmann (Albert Victor Hugues Ottmann), négociant, et (1842) Célestine Burckhardt
Edouard Ottmann (Adalbert Gédéon Edouard Ottmann), négociant, et (1842) Caroline Kopp
1867 h Ottmann et fils, maison de commerce (Victor Ottmann et son fils Henri Adolphe Ottmann)
1869 v Martin Müller, jardinier botaniste, et (v. 1852) (Marie Louise Adèle) Angélique Keller puis (v. 1876) Marie Catherine Jesslin veuve de l’orfèvre Charles Auguste Mylius
1898* h Marie Jeanne Müller
1899* Jacques Birckel, négociant
1899 v Georges Lienhardt, cordonnier, et (1872) Marie Anne Kraussé
(réunie à la maison voisine n° 3)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1200 livres en 1705, 1000 livres en 1729, 1250 livres en 1752, 1500 livres en 1762.

(1765, Liste Blondel) VII 441 Jean Khulmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Gintzroth, 12 12 toises, 2 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 67, Heinrich, Philippe, Vieux Marché aux Poissons 101 – maison, sol – 0,85 are / Ottmann Henri

Locations

1658, (échoppe) Jean Kürtzel, marchand
1664, (échoppe) Georges Schwing, blanchisseur
1666, (échoppes) Zacharie Fellinger, marchand (futur propriétaire)
1689, (échoppe) Barthelémy Roux, cafetier
1693, Jean Semler, limonadier, et Marie Anne Reler
1694, Jean Baptiste Paulleaux, officier
1696, Charles du Bourcq, tailleur
1698, (foires) Jean Jacques Schuhmacher, marchand à Zofingue en Argovie
1763, Auguste Chrétien Gintzerot, sellier, et (1763) Anne Marie Cullmann
1828, (cave) Schœnbæchler, marchand d’herbes

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 10-v
Le tailleur Jacques Müsser est propriétaire de la maison près de la Mauresse ou face à la Poule grasse près de la Boucherie. La maison a 20 pieds 9 pouces de long, un encorbellement (5 pieds 9 pouces de saillie), une porte de cave inclinée (5 pieds ½ de long et 4 pieds de large), une échoppe de tailleur en appentis (8 pieds de long et 3 pieds de large) et un grande pierre équarrie posée de biais devant la porte (6 pieds de long et 1 pied ½ de large).

Ane dem Vischmarckh Gegen Sanct Martins Blatz, Vnd von Dannen hinab nach der Altten Metzig zugemessen
Jacob Müßer des Schneiders Behausung beÿ der Mörin od. gegen d. feisten Hennen Über, beÿ der Mezig, hatt vor seinem Hauß 20 schu 9 Zoll lang, darüber ein Vßstoß 5 schu 9 Zoll herauß, darunder ein ligende Kellerthüer 5 ½ schu lang vnd 4 schu breÿt, Item mehr ein angehenckhter Schneider Laden 8 schu lang vnd 3 schu breÿtt, Vndt dann beÿ der Haußthüeren ein vberzwercher grosser Quaderstein 6. schu lang vndt 1 ½ schu breÿt, Soll In allweg Allmend sein und bleÿben, Bessert p, xv ß viij d

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 163
Les Préposés au bâtiment autorisent en 1691 le coutelier Nicolas Bitner à percer une porte à sa maison sise face à la Couchette à l’endroit où se trouvait l’ancienne boucherie moyennant un loyer de deux livres. Lors de la mise à jour en 1627, Arbogast Karth règle quatre livres.

Item ij lb. d. gibt Niclaus Bitner der Meßerschmidt von Einem laden sechs schu lang 5 schu hoch vnd Einer hußthüren dreÿ schu weith Im liecht vß seiner behausung gegen dem Spanbeth gelegen vff den platz da die alte Metzig gestand. durch Zubrechen, Alß geg. der Statt Eygenthumb sie erkaufft hat, Ist Im vmb sollichen Zinß bewilligt Zulehen so lang das vnsern herren gelegen sein will Also Zu dulden Ist durch Bawherren vnd dreÿ Zinstag den 18. May Anno Lxxxxj. gefallet der Erst Zinß vff Johannis tag Anno 92.
Jetz Arbogast Karth, 4. lb. 2° Martÿ 627.
Neü 174.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 174-v
Le loyer est porté dans le registre comptable ouvert en 1652, de même que celui de la maison voisine qui appartient aussi à Arbogast Karth de 1634 à 1657 environ.

Arbogast Karth, Soll gemeiner Statt, Von einem halben Hauß, Vf dem Vndern Fischmarck, da die alt Metzig gestanden, Jahrs Vf Johannis Baptistæ 4 lb d
Alt. d. f. 163
pro 1668 et 1669 vid. infra fol. 672

Jetzt Johan Niclaus Kart
Idem, Von einem Hauß, da die alte Metzig gestanden neben Christoph Bleÿfueß, Jahrs Vf Johannis Baptistæ 4 lb d
Alt. d. f. 163
New fol. 155

(Quittungen 1653-1657)
1658 weg. Arbogasts p. Pfgth. N° 31 empf.
1658 weg. Arbogasts p. Pfgth. N° 63 empf.
1660 weg. Hanß Niclaus Karthen p. Pfgth. N° 128 empf.
(Quittungen 1660-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 422-v
Même loyer dans le registre suivant, au nom de Zacharie Fellinger. Les contribuables sont ensuite Hermann Lembeck, François Gayneau puis Vincent Gayneau. Au loyer initial s’ajoutent ceux établis en 1670, en 1722 et en 1740.

Zacharias Fellinger, Soll von einem halben hauß vff dem Undern Fischmarckh, da die alt Metzig gestanden vff Johan: Bapt. 4 lb
Ferner vom Wetterdach und 3. Seülen gedachter behaußung vff Jacobi, 1 lb
St. Zinßb. 672
Jetzt Herman Lembeck, 1706. I.mo
Jetzt François ([corrigé en] Vincent) Gayneau

(Quittungen 1675-1722) 1707 Zalt François Gayneau
Weiter Von Untermauerung Obiger 3. Säulen jahrs auff Joh: Baptæ und A°1723. I.mo L. Prot. de 1722. fol: 26, 10 ß

(Quittungen 1723-1736)
Ferner Von einem 4 ½ schu breit 2. schu 3 Zl. tieff und 9 ½ schu Hohen Kasten an Obigen Hauß jahrs auf Mich: und A° 1741. L. Prot. de 1740. fol. 60, 1 ß
1740, 1741
Neuzb fol 536-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 536-b
Même loyer dans le registre suivant. Le contribuable est ensuite Chrétien Cullmann. Au loyer initial s’ajoute celui établi en 1749. La rente est rachetée le 10 octobre 1843 (voir l’acte de 1869)

alzb. 422-b
Vincent Gayneau, Solle von einem halben Hauß auf dem undern Fischmarck da die alt Metzig gestanden auf Joh: Bapt. (id est 24. Junii – 6. Messidor) 4 lb
Ferner vom Wetterdach und 3. säulen gedachter behaußung auf Jacobi (id est 26. Julii), 1 lb
Ferner von untermauerung obiger 3. säulen auff Joh: Bapt. (id est 24. Junii), 10 ß
Ferner Von einem 4 ½ schuhe breit 2. schuhe 3 Zoll tieff und 9 ½ schuhe Hohen Kasten an Obigem Hauß jahrs auf Mich: und L. Prot. de 1740. fol. 60.b A° 1741. I.mo (id est 29. sept), 1 ß

(Quittungen 1740-1748)
Ferner für die erlaubnus unter seinem 27. schuhe 9. Zoll Langen Altan heraufwerts gegen dem fischmarck 6. schuhe Vorzubauen über Vorigen 1 ß jahrs auf Joh: Baptæ, und Laut Prot. de 1749. fol: 107. A° 1750. I.mo (id est 24. Junii), 4 ß

(Quittungen 1749-An 10
C. 249
[in margine :] vid. [biffés] 242.b, 243.b, 705, 562, 571, 547.b
jetzt Christian Cullmann /wittib / Erben

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1591, Préposés au bâtiment (VII 1307)
Les préposés au bâtiment autorisent le coutelier Nicolas Bittner, le sellier Jacques Eberhard et le tailleur Etienne Keller à percer une porte et une échoppe

1633, Préposés au bâtiment (VII 1345)
Les préposés autorisent en 1633 Arbogast Karth qui a l’intention d’ajouter un troisième niveau à sa maison à poser six poutres et à étayer son auvent pour qu’il supporte des charges plus importantes. Arbogast Karth doit payer les frais de visite, soit deux florins.

(f° 17-v) Mittwoch 15. Maÿ – Zimmer Platz beÿ d. Möhrin
Arbogast Cart d. Schneid. umb Ein Zimmer Platz beÿ der Möhrin p. Martin Motz d. Zimmermann Zu 100 Stuck holtz Zum Stöcklin vffs hauß daselbst vergonnen* in 14 Tag fertig Zu werd. Erkannt, Erlaubt ut moris daß er gesch*endig Zusammen leg. damit b erleg. können.

(f° 20-v) Freÿt. 1. Junÿ, Folgende Augenschein In der Statt Ingenommen – Hauß erhöhung und newen durchzug
Vff Arbogast Karten begehren, beÿ seinem hauß vff den Zu beÿd. seit. freÿ. Platz am undern Fischmarckh vnderhalb der Möhrin Zun Quinto Curtio der wolt zu erlangung mehren Platz, noch ein oder deß dritten Stockwerck daruff setzen vnd Zu dem end noch 6 Palcken durchziehen Auch etlich Büeg vnder den vberhang machen, damit eß sein habung v: Stärcker tragenß hab. mög.
Erkant, Bewilligt, d eß ein Alter vberhang der noch lang bestandt hab. wört, Soll für d. Augenschein 2 fl.

1670, Préposés au bâtiment (VII 1361 Bauherren)
Les préposés autorisent en 1670 Zacharie Fellinger à démonter puis à remonter son auvent pour qu’il puisse réparer son arcade vers le Vieux-Marché-aux-Poissons et à établir un appentis sur trois piliers en chêne vers la Mauresse. Les préposés constatent que la maison a besoin se réparations, le pétitionnaire déclare qu’elle a souffert du tremblement de terre.

(f° 186) Dinstags den 23. Augusti 1670. – Fellinger. Allmend Zinß. Wetterdach
Zacharias Fellinger der Handelßmann bittet erlaubnus an dessen hauß vffm vnderen Fischmarckh d. daran befindliche Wetterdach abzubrechen vnd wider aufzuschlagen, weilen er genötiget die Schwibbögen so gesprungen Zu repariren, so dann vff der seithen gegen dem fischmarck ein New Wetterdach 27. schue lang und 5 ½ schue herauß aufzuführen, vnd endlichen den überstoß vff seithen gegen der Mörin Zunfftstuben, vff 3. Euchene Seulen Zusetzen, Weilen d. gantze hauß von vorgeweßten großen Erdböben sehr erschüttet worden, Vnd er in sorgen d. es gentzlich vber hauffen fallen möchte. Demnach nun in darauff eingenommenen augenschein sich befunden, d. große gefahr, Vndt gesuchte fürderlichst werckstellig sehr notwendig alß ist ihme in allen dreÿen Puncten willfahrt, doch daß er wegen deß New gesuchten wetterdachs vnd der dreÿ euchenen Seulen vnder den vßstoß dem Pfenningthurn Jahrlichen vff Jacobi vnd 1671. primo 1. lb d Zinßen solle.

Le sellier François Gaineau et le chaudronnier Jean Kugler demandent en 1719 l’autorisation de construire à l’aplomb de leur encorbellement respectif et d’y ouvrir des fenêtres. Leur voisin Gerlach s’y oppose. Ils réitèrent leur demande quelques semaines plus tard. Les préposés décident de consulter les archives. Les pétitionnaires réitèrent leur demande en 1720 en arguant de vols. Les préposés ordonnent une visite des lieux. Les préposés les autorisent en 1722, malgré l’opposition de Wolfgang Sébastien Gerlach, à construire sous la moitié de leur encorbellement moyennant un cens annuel d’une livre, ramenée à 10 sols.

1734, Préposés au bâtiment (VII 1396)
Le sellier Vincent Gayneau demande en 1734 l’autorisation de remplacer l’auvent par une galerie. Il est autorisé à établir une galerie de quatre pieds en saillie au lieu de l’auvent qui fait 17 pieds sur 6 vers la maison Wolff et une galerie de cinq pieds au lieu de l’auvent qui fait 25 pieds sur 6 vers le Vieux-Marché-aux-Poissons. Il pose deux mois plus tard sans autorisation un auvent de deux pieds à sa galerie.

(f° 51-v) Mittwochs den 30. Junÿ 1734 – Vincent Gainau
Vincent Gainau der Sattler auf dem Untern Fischmarck ersucht Mghh. umb erlaubnus, anstatt des Wetterdachs Vor seinem Hauß allda ein Gänglein machen Zulaßen. Erkannt Augenschein.

(f° 57) Sambstags den 24. Julÿ 1734, folgende Augenschein eingenommen worden – Vincent Gaineau
An Vincent Gaineau des Sattlers Hauß auf dem Untern fischmarck, welcher umb erlaubnus gebotten, anstatt seiner Zweÿ Wetterdächer, deren eines Gegen dem Fischmarckt Herauff 25. schuhe 6. Zoll, Das andere Aber gegen denen Häußeren auf der seithen wo H. Wolffen Hauß stehet, 17. schuhe Lang, und beede 6. schuhe Vom Hauß Herauß breit seÿndt, Gänglein machen Zulaßen.
Erkannt wird dem Imploranten erlaubt in der Länge seiner Wetterdächer, auf der seithen gegen H. Wolffen ein 4. schuhe, gegen dem Fischmarckt Aber 5. schuhe Vom Hauß Herauß breiten Gang machen zu Laßen.

(f° 70) Dienstags den 14. Septembris 1734, folgende Augenschein eingenommen – Johannes Kugler wegen Wetterdachs
François ([corrigé en] Vincent) Gaineau umb ein gleiches – An François ([corrigé en] Vincent) Gaineau des Sattlers Hauß, welcher bereits Ohne erlaubnus ein 2 ½ schuhe breites Wetterdächlein an seinem Gang machen laßen.

1740, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Les préposés autorisent moyennant un loyer d’un sol Vincent Gayneau à poser une caisse (4 pieds ½ sur 3 pouces et une hauteur de 9 pieds ½) au lieu d’un étal.

(f° 60-v) Sambstags 3. Sept. 1740, seÿend folgende Augenschein eingenommen worden – Vincent Gainau
An Vincent Gainau des sattlers Hauß auf dem Untern fischmarck, welcher umb erlaubnus gebetten anstatt eines daran Habenden Vorbancks, einen 4 ½ schuhe breit, 2. schuhe, 3. Zoll tieff, und 9 ½ schuhe hohen Kasten, wie er an dem Andern eck darneben auch hat, machen Zu Laßen. Erkannt gegen 1 ß. jährlichen Zinß Willfahrt

1749, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Vincent Gayneau est autorisé en 1749 à construire à l’aplomb de sa galerie qui fait 27 pieds 7 pouces de long en avançant de 7 pieds et demi sur le communal. Comme il doit déjà 1 sol pour la caisse, il devra donner en sus 4 sols, soit au total 5 sols.

(f° 105-v) Sambstags den 7. Junÿ, seÿend folgende Augenschein eingenommen worden – Vincent Guainau
An Vincent Guainau des sattlers Hauß auf dem Untern fischmarck, welcher unter seinem 27. schuhe 9 Zoll Langen Altan, um 7 ½ schuhe Herauß Zufahren und Zuverbauen und der Altan wieder darauf Zumachen. Vid. Erkantnus infra fol: 107.

(f° 107) Dienstag, den 12. Junÿ 1749 – Vincent Guainau
So ist auch nochmahliger augenschein eigenommen worden an Hn Vincent Guainau des sattlers Hauß am Untern Fischmarck, welcher sein am 7. huius gethanes Unterthäniges bitten nochmahls wiederhohlet, daß jhme möchte erlaubt werden, seinen 27. schuhe 9 Zoll Langen altan gegen dem Fischmarck Zuunterbauen, und die Begehrte 7 ½ schuhe Von seinem Hauß Herauß Zufahren.
pro Nota Guainau Hat bereits einen 4 ½ schuhe breit und 2. schuhe 3. Zoll tieffen Kasten unter dießem Altan, worvon er Laut Statt Zinßbuch fol: 536. 1. ß Zinß Zahlt. Erkannt wird dem Imploranten erlaubt 6. teutsche schuhe Herauß Zufahren, solle aber über den bereits bezahlten 1. ß Zinß Vom Kasten, noch 4 ß weiter mithin 5 ß geben.

1755, Préposés au bâtiment (VII 1406)
Vincent Gayneau est autorisé à fixer comme son voisin Jean Kugler une planche d’un pied de large à son auvent

(f° 90) Dienstags den 30. Septembris 1755 – Vincent Guaineau
H Vincent Guaineau der sattler Bittet um erlaubnus ein Brett nur eines schuhes breit, an das Wetterdach seines Haußes am Untern fischmarck Zumachen, wie Johannes Kugler dem Kupferschmid auch erlaubt worden. Erkannt, willfahrt.

1766, Préposés au bâtiment (VII 1412)
Les préposés constatent que le sellier Chrétien Güntzroth a fait remplacer sans autorisation le toit en planches sur son auvent. Il est autorisé deux mois plus tard à poser un cadre couvert de toile cirée jusqu’à l’année suivante pour remplacer l’auvent.

(f° 46) Dienstags den 21. 8.bris 1766, augenschein eingenommen – N.N Gännß rath
Auff dem untern Fischmarckt an N. N. Gännßroth des Sattlers hauß, welcher beÿ nächtlicher weile mit selbsteigener hand ohne erlaubnus einen großen theil von seinem alten wetterdach wieder mit neuen brettern belegt. Erkannt, Soll der Statt Zimmer werckmeister alles was neu gemacht worden ist, hinwegreißen laßen.

(f° 49) Dienstag den 18. 9.bris 1766 – Christian Güntzrott
Christian Güntzrott der Sattler bittet unterthänig umb erlaubnus an seinem hauß auff dem untern Fischmarckt eine rahm mit wachs tuch überzogen an statt des wetterdachs so er verlohren zu machen, das regenwaßer dadurch von seinem laden abzuleiten und dießes nur vor gegenwärtigen winter mit dem oblato solches in künfftigem jahr oder auff Mghh. ersterm befehl wieder abzuthun. Erkannt, Auff gemeldte bedingung willfahrt, und hat sich der Implorant im Urkundt deßen hier eingenhändig unterschrieben [unterzeichnet] Gäntzrott

Description de la maison

  • 1729 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambre, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, chambre à soldats, atelier de sellier, petit vestibule, cave sous solives, le tout estimé à la somme de 2000 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée une boutique et un bureau, au premier étage un poêle, une cuisine et un vestibule, le deuxième et le troisième étage sont semblables au premier, le comble qui renferme plusieurs chambres a une double couverture de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé à la somme de 2500 florins
  • 1762 (billet d’estimation traduit) la maison comprend une boutique et une arrière-boutique, plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé à la somme de 3000 florins
  • 1835 rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du vieux marché aux Poissons

nouveau N° / ancien N° : 44 / 101
Sontag
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en bois
(Légende)

Ponts et Chaussées

1839 (ADBR, cote 2 SP 52) N° 102, Heinrich
1851 (ADBR, cote 5 K 123) N° 102, Ottmann 3 E P S (Maison à trois étages, construction en pierre, solide)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 35 case 2

Ottmann Henri vx marché aux poissons N° 101

O 67, maison, sol, vieux marché aux poissons 101
Contenance : 0,85
Revenu total : 270,44 (270 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 308 case 2

Ottmann Henri
1871 Müller Heinrich ([corrigé en] Martin) Blumengärtner
98/99 Müller Maria Johanna
1899 Birckel Jakob, Kaufmann
1901 Lienhardt Georg Schuhmacher ([corrigé en] Schuhwaarenhändler) und Ehefrau Anna Maria gebohrne Kraus in Gütergemeinschaft

O 67, maison, sol, Rue du vieux marché aux poissons 5
Contenance : 0,85
Revenu total : 270,44 (270 et 0,44)
Folio de provenance : (35)
Folio de destination : Vergroesserung
Année d’entrée :
Année de sortie : 1888/89 – (sol) Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 13

O 67, maison,
Revenu total : 292,44 (292 et 0,44)
Folio de provenance : 308 II
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1888/89
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 19 / 15
1888, Zugang – Müller Martin f° 308, O 67, maison, Reinertrag 292, Vergrößerung, vollendet 1885
Abgang – Müller Martin f° 308, O 67, maison, Reinertrag 270, Vergrößert, vollendet 1885

O 1229, Hf, Alter Fischmarkt
Contenance : 0,01
Revenu total : von der Straße
Année d’entrée :
Année de sortie : 97/98, 1902
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 13
Zugang – 1902, Lienhardt Georg Schuhwaarenhändler f° 308-II, O 1229.p, Hf 0,01,d° von der Straße

Cadastre allemand, registre 30 p. 233 case 4

Parcelle, section 19, n° 199 / 134 – autrefois O 67, O 1229
Canton : Alter Fischmackt Hs N° 5 (3 u. 5) – 665 / 15
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,73 (1,26)
Revenu : 7500 – 11.300 – 13.500
Remarques : 1915 Zug. F. 3 [Alter Fischmackt Hs N° 3]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1944), compte 768
Lienhardt Georg u. Ehefr. in GG.
1919 Lienhardt Paul Kaufmann und Ehefr. geb. Michel zu ½ u. Lienhardt Paul Kaufmann
1933 Société anonyme des Chaussures Lienhardt
1937 Fey Jean Jacques Georges
gelöscht 1944

(Propriétaire à partir de l’exercice 1944), compte 4780
Fey Georges négociant
(1405)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 164 Rue du Marché aux Poissons p. 409

101
Pr. Gintzrot, Chrétien, Md. Sellier – Tanneurs
loc. Mannberger, Louise Elisab. aband. de son mari – Tonneliers

Registres de population

(1816 sqq) Registre de population 600 MW 127, Vieux Marché aux Poissons n° 101

p. 450 (i 130)
Sontag, Jean, 28 juillet 1770, Gemünden, bottier, marié, (à Strasbourg depuis) 1798, (auparavant r. halleb. 6., (entré) avril 1811, (sorti) 11 Xbre 31, décédé
id. née Vallot, Marguerithe, 20 mai 1866, Mertzig, épouse, (à Strasbourg depuis) 1798., (entrée) avril 1811, (sortie) 23 mars 1834, décédée – le 19 Juil. 32. Passeport p. Gemünden
p. 452 (i 132)
Heinrich, Philippe, 1794, Strasbourg, Directeur de messageries, marié, (auparavant) place d’armes 49, (entré) 24. août 32, (sorti) 29 mai 39, (délogé) Place des Orphelins 17
id. née Haan, Julie Emilie, 1809, Strasbourg, épouse, décédée 1 avril 1833
id. Philippe Jules, 1832 26 Xbre, Strasbourg, fils, (délogé) Place des Orphelins 17
id Emile Philippe Jules, 1834, Strasbourg, fils, id.
id. Emilie Julie, 1835, Strasbourg, fille, id.
id. Pauline Wilhelmine, 1838, Strasbourg, fille, id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Alter Fischmarkt (Seite 39)

(Haus Nr.) 5
Lienhardt, Schuhhdlg. Schuhmm. E 012
Dr. Schorong, prakt. Arzt. 2
Scheerer, Haushälterin. 3
Scherer, Näherin. 3
Bernauer, Kassenbote. 4
Fischer, Gerichtsvollzieherkandidat. 3.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 232 MW 46)

Vieux-Marché-aux-Poissons n° 3, partie relative au n° 5

Martin Müller fait remplacer en 1869 la fenêtre du milieu vers la petite place par une porte. Il charge en 1884 les architectes entrepreneurs J. et E. Klein de remplacer le toit en bâtière par un quatrième étage en pan de bois à parement de pierre servant d’atelier de photographie. Le photographe Kræmer pose plusieurs vitrines et plusieurs enseignes ; celle vers le Vieux-Marché-aux-Poissons ne dépasse pas de la terrasse (1,25 mètres de large) aménagée au-dessus du rez-de-chaussée.
Le marchand de chaussures Georges Lienhard charge en 1899 l’entrepreneur Th. Wagner de construire un nouveau bâtiment à trois étages d’après un alignement modifié, en déclinant les modifications que propose l’architecte municipal. Le mur entre les n° 3 et 5 n’est pas considéré comme coupe-feu puisque le propriétaire reconstruira le n° 3 d’un seul tenant avec le n° 5 une fois le nouveau bâtiment terminé. L’ancien bâtiment est démoli en février 1900, le nouveau terminé en octobre 1900. La suite est commune au n° 3

Sommaire
  • 1869 – L’entrepreneur Dietz demande au nom du propriétaire Martin Müller (messageries impériales) l’autorisation de remplacer la fenêtre du milieu vers la petite place par une porte et les cadres de fenêtres par des neufs en chêne.
    L’agent-voyer note que la façade suit l’alignement et n’a pas d’avance.
  • 1884 (mai) – Les architectes entrepreneurs J. et E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom du propriétaire Martin Müller de construire un atelier de photographie en pan de bois à parement de pierre.
    L’architecte municipal Nebelung répond que l’arrêté du maire en date du 6 avril 1856 ne permet pas de construire l’atelier sur la maison en partie à deux étages puisque les pans de bois sont autorisés à l’étage supérieur seulement.
    1884 (juin) – Les frères Klein réitèrent leur demande en joignant une coupe.
    Nebelung autorise, en rappelant les termes de l’arrêté de 1856, les pétitionnaires à remplacer le toit en bâtière (Vieux-Marché-aux-Poissons n° 5 et rue de l’Etal n° 6) par un quatrième étage en pan de bois à parement de pierre eu égard que 1) la charge des murs sera allégée, 2) l’atelier présentera de meilleures conditions que le logement mansardé.
    1884 – Autorisation de démonter le toit de 7,20 mètres de haut et d’édifier un étage de 2,90 mètres couvert d’un toit plat en bâtière incliné de 1/12 au bâtiment sis 5, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons et 6, rue de l’Etal, appartenant à Martin Müller, eu égard que 1) la charge vers la rue de l’Etal sera considérablement moindre une fois le toit supprimé, 2) la pièce d’habitation de 2,25 mètres présentera de meilleures conditions après la transformation. – Plan (sur calque) des 3° et 4° étages, coupe
    La visite en octobre 1884 une fois les travaux terminés constate que le mur coupe-feu a été construit en pan de bois puisque l’ancien est aussi en pan de bois à partir du rez-de-chaussée.
  • 1884 (juillet) – Le maire notifie Martin Müller (demeurant Heyritz n° 8) de munir la fosse d’aisances d’un tuyau d’aération – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1893 – Le maire notifie Martin Müller (demeurant au Heyritz) de faire ravaler la façade – La façade a été repeinte à l’huile, octobre 1893.
  • 1893 – La société Weigel, successeur du photographe Feller, demande l’autorisation de poser une enseigne au libellé C. W. Krämer, Photograph et une vitrine à la maison de l’horticulteur Martin Müller.
    Les services municipaux font un croquis. L’enseigne perpendiculaire (saillie de 0,90 mètres) fixée au deuxième étage vers le Vieux-Marché-aux-Poissons ne dépasse pas de la terrasse (1,25 mètres) aménagée au-dessus du rez-de-chaussée. Celle vers la rue de l’Etal dépasse du mur de 75 centimètres. Les trois vitrines font respectivement saillie de 20, 13 et 7 centimètres – Autorisation – Les vitrines sont posées, janvier 1894
  • 1898 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Leterle demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Droits à acquitter
  • 1899 (décembre) – L’entrepreneur Th. Wagner demande au nom de G. Lienhard l’autorisation de poser une grue à moteur électrique sur la voie publique pour construire un nouveau bâtiment.
    1900 (janvier) – Idem, transmis à l’inspection du travail qui énumère les conditions à remplir – Autorisation de poser un moteur électrique. La grue est montée – Autorisation d’occuper la voie publique – Croquis des surfaces occupées – Prolongations, juin 1900, août 1900, septembre 1900
  • 1900 – La Fabrique strasbourgeoise de parquets (Lachappelle et Siegrist à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation
  • 1899 (novembre) – Le marchand de chaussures Georges Lienhardt demande au commissaire de police l’autorisation de démolir le bâtiment sis 5, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons et d’en construire un nouveau à trois étages suivant l’alignement qu’on lui indiquera. – Le service municipal d’architecture énumère les conditions réglementaires à respecter.
    1899 (décembre) – L’entrepreneur Th. Wagner demande l’alignement à suivre pour pouvoir dresser les plans – Calculs statiques)
    1899 (décembre) – Autorisation. Georges Lienhardt est autorisé à construire un bâtiment de trois étages servant de commerce et d’habitation – Dessin (plan de situation, plan des différents niveaux) – Le commissaire de police ne s’oppose pas à ce que l’alignement soit modifié – Accord de l’inspecteur régional
    1899 (16 décembre) – Georges Lienhardt écrit à l’architecte municipal Ott qu’il n’a pas l’intention de modifier la façade – L’architecte convient d’un rendez-vous – (21 décembre) Georges Lienhardt déclare qu’il ne trouve pas belle ni adaptée à son usage la proposition qu’on lui a faite.
    1899 (23 décembre) – L’entrepreneur Wagner expose que le mur entre les n° 3 et 5 ne doit pas être considéré comme coupe-feu puisque le propriétaire reconstruira le n° 3 d’un seul tenant avec le n° 5 une fois le nouveau bâtiment terminé et son commerce transféré.
    Suivi des travaux. L’ancien bâtiment est en cours de démolition, février 1900. L’ancien bâtiment est démoli, les fondations du nouveau creusées, mars 1900. Le sous-sol est terminé, avril 1900. Le troisième étage est en cours, juin 1900. Le comble est monté, juillet 1900. Les plâtriers travaillent, août 1900. Travaux terminés, octobre 1900.
  • 1901 (février) – Georges Lienhardt demande l’autorisation de poser une enseigne (botte) au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – L’enseigne est posée, juin
  • 1901 – La Commission des logements constate que le sous-sol sert de lieu de travail
  • 1903 – Georges Lienhardt demande l’autorisation de poser deux vitrines au n° 5 – Autorisation – Les vitrines sont posées, juillet
  • 1904 – La Police du Bâtiment constate que Georges Lienhardt a fait poser trois lampes électriques sans autorisation – Demande – Autorisation
    1905 – La Police du Bâtiment constate que Georges Lienhardt a fait poser une lampe électrique sans autorisation – Demande – Autorisation
    1905 – La Police du Bâtiment constate que Georges Lienhardt a fait poser une enseigne sur verre sans autorisation – Demande – Autorisation
  • 1909 – Louise Kæthner est autorisée à poser deux enseignes plates en bois au 5, Vieux-Marché-aux-Poissons
  • 1912 – Paul Lienhard demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au n° 5 – Autorisation – L’enseigne est posée, juillet.

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au tailleur Georges Treuchlinger. Originaire de la juridiction de Nördlingen (voir ci-dessous, 1621), Georges Treuchlinger (Treutlinger) épouse en 1602 Salomé, fille du pasteur d’Altwiller Adolphe Rothmann

Mariage, cathédrale (luth. p. 104)
1602. Dominica 5 post Trinitatis. Jorg Treÿchlinger oring vnd schneider vnd Salome Adolff Rottman gewesenen pfarrern zu altweiler n. g. dochter (i 55)

Georges Treuchlinger devient bourgeois le 12 juillet 1602 en déclarant une fortune de 50 florins.
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 812
Georg Treüschlinger der schneider empfahets vonn seiner haußfr. Salome weÿland Adolff Rottmann Pfarhers seligen Zu Adamweiler dochter will Zun schneidern vnnd sein Nahrung für 50 fl. angeben. Act. 12. ditto [Julÿ 1602.]

Le syndic de la masse du failli Joseph Jundt, secrétaire municipal, cède un capital garanti sur la maison qui appartient à Georges Treuchlinger. En marge, quittance remise en 1729 à François Gayneau.
1620 (viij. Martÿ), Chancellerie, vol. 439 f° 145
(P. fol. 160.) Erschienen der fürsichtig Vnd Weÿß herr Heinrich Obrecht 15.er als ein geordneter befelchhaber vonn weg. gemeiner Statt Alhier Zum Joseph Junth Stattschreÿbers selig falliment geordnet (.als er sagt.) hatt Inn befelchhabers Weÿß wie Jetz gehörd Ane statt vnd Zur bezahlung 250. lb hauptgutt, so ermeldt. Stattschreiber s. vermög bestenden obligation Inn d. Cantzeleÿ Alhier 14. Feb. 1614. Angeb (…)
So Georg Treütling. d. schneÿd. Alhie Von seiner Behaußung Ane dem Vnd. fischmarck der Zunfft stub Zur Mörin über geleg. so Ane bed. orth. ein Eckhauß hind. vff Steffan Keller d. schuemach. stoßend, Jahrs uff Mariæ Verkhündung Zugeb. pflichtig
[in margine :] Erschienen im nahmen der Samblung Zum Thurn allhier so nunmehr dem Corpori pensionum einverleibt worden, als creditoris hier cedirter 300 Pfund d. capital h, pfleger S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger Alter Ammeister dreÿ Zehner und Scholarcha und H. Joh: Ernst Beck Schaffner allda, die haben in gegensein François Gayneau des Sattlers und burgers allhier (…) Actum den 7. Februarÿ 1729.

Georges Treuchlinger a institué par testament des legs à ses parents de Nördlingen à condition qu’ils les recueillent en personne. Les héritiers Loup et Léonard Treuchlinger s’étonnent de cette clause et demandent communication du testament. Ils finissent par demander que le testament soit exécuté dans ses termes, les frais à engager étant trop importants.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
Georg Treuchtlingers verwandte vmb communication seines testaments. 167. 225. 336.
(f° 167-v) Mittwoch den XXV Julÿ – Nordling schreiben abgelesen darin sie für Wulff vnd Lienhardt Treuchtlinger von Kochenlingen wittib fürschreiben wegen Ires vettern todtfall Georg Treuchtlingers des Schneiders alhie melden d. sein wittib Innen Zugeschrieben d ein Testamentum nuncupativum vorhanden und darin ein Clausula d. Iren keiner soll alher kommen od sein legat verlohren haben, Welche clausula inen etwas befrembdlich vorkombt, Betten derwegen mherren wollen es dahien dirigiren & sie mog. ein copey des testaments haben, sich darin haben zuersuchen. Ist die suppl.on amgeb* gehort. Erk. Man soll nach d. wittiben vogt schicken vnd Ime befehlen die copey des testaments Zur Cantzleÿ zuluffern Kan ein schrb. dazu gemacht werd. h.. H. I. Ringler, h. H. I. Meyer.

(f° 225) Montag den XXIV. Septemb. – Lienhardt und Wolff Treuchtling. Ca. Georg Treuchtlingers wittib
Nordling schreiben abgelesen darin sie In Hn Irer schrbn wegen Wolff und Leonhardt Treuchtling erinnern, ein Erbfall von Georg Treuchtling. dem Schneider seelig herurend melden & er Wolff von d. wittib den 26. Aug. bescheiden Bitten Ihre in gutter recommendation Zuhaben und Zu dem Jenig. Zuverhelffen, was seiner vogts personen und Inen gepuren mag. J Amr sagt er sey wol 4 woch hie gewessen ietz woll er wid. heim Ziehen sey aber von andern arrestirt bitt umb hulff, dabey es pliben.

(f° 336) Sambstag den XXIX. Decemb. – Wolffgang und (-) Treuchtlinger wg. testaments execution Georg Treuchtling. schneid. alhie
Nordling schreiben abgelesen darin sie für Wolffgang und (-) Treuchtlinger als von Irem vettern Georg Treuchtling. schneiders verordnete testamentarien d. dan der Costen zu groß sein will auch Inen ungelegen vor Irer haushaltung so lang aus Zupleiben Alß hetten sie gebetten Zuverschrbn d. mghh. den vbrig. Executorn befehlen wolten, die execution vermög testaments fürzunehmen.
Erkant Man soll Hn adnen die sich ein testament ersehen war die andere executores seindt Innen die execution befohlen domit den Kindern vermög testaments nichts abgehe. C. E. Ingold, h. Rosenberg

Salomé Rothmann veuve de Georges Treuchlinger ainsi que les héritiers Balthasar Treuchlinger et Cléophée Treuchlinger femme de Jacques Kochenburger, de Nördlingen, vendent la maison au tailleur Arbogast Karth et à sa femme Catherine Heyd. Salomé Rothmann se réserve l’habitation tant qu’elle restera veuve.

1622 (ut spâ [ix. Martÿ]), Chancellerie, vol. 446 f° 82
(P. fol. 64.) Erschienen Salome Rothmännin, Weÿland Georg Treüchlingers des Schneiders burgers Zu Straßburg seligen witwe mit beÿstand d. h. Johann Böhlers burgers Zu Straßburg, Ihres geschwornen, Vogts, So dann Balthasar Treüchling. schneider Vndt Burger Zu Nehinßheim, Vndt Jacob Kochenburger burger Zu Nörlingen, Als Ehevogt Cleoue Treüchlingerin, Weÿlandt Vorgenants Georg Treüchlinger seeligen ab intestato Erben (verkaufft)
Arbogast Karthen dem Schneider burgern Zu St: Vnd Catharinen Heÿdin seines Ehelichen haußfrauwen So bede Zugegen
hauß Und Hoffstatt, mit Allen Ihren gebeüwen, gelegen In der Statt und Ane dem Undern Vischmarckh beed. seits an eckhauß gegen der Zunft Stuben Zur Mörin neben Steffen Keller des schuhmachs. seligen witwe, dauon gend ij lb d Allmendt zinnß vff Johannis Baptistæ der statt Straßburg Zinß Meÿstern hiehero für Lx lb Angeschlagen, Item xv lb d gelts vff Mariæ Verkhündung der Samblung Zum thurn lösig mit iij. C lb d sonsten freÿ Ledig Vnd eigen Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 615 pfund
Hierinn Ist auch sond.lich beredt vnd den Kheüfferen Inn solchem Khauff angedingt worden, daß dieselben des abgestorbenen hinderlaßene witwe so lang sie Im Witwnstandt verpleiben würdt, beÿ Ihnen Inn solcher Behaußung Vergebens und ohne Zinß wohnen Zulassen schuldig sein sollen
[in margine :] Erschienen Jacob Wener Als ehevogt Salome Rothmännin (…) Act. 14. Julÿ 1622
Vide Nachtrag in Regist. 1635 fol. 387.

Arbogast Karth épouse en 1615 Catherine, fille de Jean Heyd d’Eckartsweier (près de Kehl)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 371, n° 1117) 1615. Dominica 4 post Epiphanias. Arbogast Kart der Schneider Vndt Catharina Hans Heÿden von Eckersweÿhr hinderlaßene Tochter (i 383)

Arbogast Karth loue au marchand Jean Kürtzel une échoppe que détenait jusqu’alors le vitrier Jacques Lipp

1658 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 376
Erschienen Arbogast Kart der Schneider, mit beÿstand hannß Niclaus Karten deß Schneiders seines eheleiblich. Sohns und H Theodosÿ Monachi Sibner Gerichts Procuratoris seines Schwagers
in gegensein Johann Kürtzels deß handelßmanns,
verlühen habe den ienig. Gad. in seiner Behaußung beÿ der Mörin, welch. Gaden bißhero Jacob Lipp der Glaßkrämer in bestand gehabt habe, der Glaßgad. genannt, Zusampt einer Stuben und einem Bett Und Zwar den Gad. Fünff Jahr lang Von Mich. nechstkünfftig anzurechnen, iedes Jahrs umb 20. fl. die Stub aber und daß bett vff ein Jahr lang umb 10. fl.

Arbogast Karth hypothèque la maison au profit du marchand épicier Adam Spoor.

1662 (12. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 345-v
Erschienen Arbogast Kart der älter, Schneider
in gegensein H. Adam Sporen deß Specereÿ händlers – schuldig seÿe 25. lb
Unterpfand sein soll, hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen, alhie am Vndern Fischmarckh gegen der Zunfftstub Zur Mörin ist einseit ein Eckhauß, anderseit neben Arbogast Karten dem Jüngern Schneidern deß Debitoris eheleiblichem Sohn, geleg., Davon gehend iährlich. 2. lb Allmend Zinnß uf Joh. Bapt: der Statt Straßburg, so seÿe solche behaußung auch noch umb 300. lb. der Samblung Zum Thurn Verhafftet

Arbogast Karth loue une échoppe au blanchisseur Georges Schwing de la Robertsau

1664 (19. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 113
Erschienen Arbogast Kart der Schneid. mit beÿstand hannß Niclaus Karten deß Schneiders seines eheleiblich. Sohns
in gegensein hannß Georg Schwing deß Blaÿchers im Ruprechtsaw
verlühen habe, Einen Gaden in sein deß Verlühers beÿ der groß. Metzig gelegener Behaußung, vff Neun Jahr lang von Jüngst verwich. weÿhenachten angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 10 Pfund Zehen schilling pfenning

Arbogast Karth passe une obligation avec le même.

1664 (19. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 113-v
Erschienen ut supra [Arbogast Kart der Schneid. mit beÿstand hannß Niclaus Karten deß Schneiders seines eheleiblich. Sohns]
in gegensein ut supra [hannß Georg Schwing deß Blaÿchers im Ruprechtsaw] – schuldig seÿe 50 Pfund
beÿ verhafftung deß Jenig. Gadens in des Debitoris alhie beÿ der groß. Metzig gelegenen Behaußung, so der Creditor, vermög der auch heut dato in der Cancelleÿ Contractstuben vff gerichteter Verschreibung in lehnung hatt
(Quittung, Act. 6. Junÿ a° 1667)

Arbogast Karth hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Marc Mappus

1664 (ult. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 547
Erschienen Arbogast Kart der Schneid.
in gegensein deß Ehrenvest, hochgelehrten H Marci Mappi Med. Doct. – schuldig seÿe 100 Pfund pfenning allberaÿr vff Jüngst verwich. Michaelis
Unterpfand sein soll daß Debitoris Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten alhie am undern Fischmarckh, geg. der Zunftsuben Zur Mörin hienüber, einseit neben hannß Niclaus Karten dem Schneidern deß Schuldners eheleiblich. Sohn, sonsten allenthalben neben der Allmend geleg. davon gehen iährlich. termino Joh. Bapt: 2. lib. Allmendgelts gemeiner Statt, Ite 15. lib lößig mit 300 lib der Samlung Zum thurn
[in margine :] (…) in gegensein Zachariæ Fellingers deß duch händlers als ietzig. Possessoris hierin gedachter behaußung (quittung) Act. 27. 7.br. a° 1675.

Arbogast Karth loue deux échoppes au marchand Zacharie Fellinger

1666 (20. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 117
Erschienen Arbogast Kart d. Schneid., mit beÿstand hannß Niclaus Karten deß Schneiders seines eheleiblich. Sohns
in gegensein H Zachariæ Fellingers deß handelßmanns
verlühen, Zwen Gäden in seiner Behaußung beÿ der Zunffstuben zur Mörin geleg. Zusampt Zwöen Stuben und Zweÿen Betten, fünff Jahr lang von Joh. Bapt: dießes Jahrs angerechnet, umb 33 Pfund pfenning iährlich. Zinnßes

Arbogast Karth hypothèque la maison au profit du marchand de drap Zacharie Fellinger

1666 ‘15. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 672
Erschienen Arbogast Kart der schneider mit beÿstand hannß Niclauß Kasten deß schneiders seines Sohns
in gegensein H Zachariæ Fellingers deß duchhändlers – schuldig 106. lib
Unterpfand sein solle Eine Eckh behaußung sampt der hoffstatt und Gäden mit allen übrigen deren Gebäwen & alhie am Vndern fischmarckh gegen der Zunfftstub Zur Möhrin hienüber, einseit neben obgedachtem hannß Niclauß Karten, anderseit neben H Wolff Lochmann dem duchhändlern gelegen, so Zuvor umb 300 lib (…)

Arbogast Karth meurt en 1667 en délaissant pour seul héritier son fils Jean Nicolas, issu de sa défunte femme Catherine Heyd, qu’il réduit à la légitime en instituant pour héritiers ses petits-enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison dont le créancier Marc Mappus détient les titres. L’actif de la succession s’élève à 1225 livres, le passif à 245 livres.
1667 (23.4.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 39) n° 11
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Arbogast Karth, Schneider vndt Burger alhie Zu Straßburg, nunmehr seel. welcher Freÿtags den 22.ten Martÿ Jüngsthin Zeittlichen todts Verblichen, nach seinem aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hind. Ihme verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß auch Ehrenhafften Johann Nicolai Karthen, ebenmäßig Schneiders vndt Burgers alhie seines mitt weÿl. der Ehren: vnd viel tugendsamen frawen Catharina Heÿdin seiner hfren seel. ehelich erzeugten Sohns vndt ab intestato hind.laßenen eintzigen Erbens (…) So beschehen auff Dienstag den 23. Aplis A° 1667.

Inn einer alhie Inn der Statt Straßburg vnden ane dem Vischmarckh gelegener Behaußung so auch in dieße V.laßenschafft gehörig v. hernach beschriben, Ist befund. word. wie volgt.
Auff dem obern Kasten, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der obern Stuben, vor dießer Stuben, Inn der Cammer D, Inn der Mittlern Stuben, Inn der Wohn Stuben, Inn dem Nebens Stüblein, Im hauß öhren vor dießen Stuben, Im Gaden
Im Nebens hauß, Inn der obern Stuben, Inn der Nebens Cammer
Eÿgenthumb vndt beßerung ane einer Behaußung. Item hauß vnd hoffestatt mit all. derselben gebewen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen inn d. Statt Straßb. vnden ane dem Vischmarckh, ist Zu beed. seiten j. Eckhauß gegen der Zunfftstuben Zur Möhrin neben Johann Niclauß Karthen deß Sohns vnd Erben behaußung. Davon gibt Mann 4 lb d Allmend Zinß d. Statt Straßb. Zinßmeistern Jährlich auff Joh. Bapt: in hguth 120. lb. Mehr 15. lb d Zinß Jährl. auff Mariæ verkündung der Samblung Zum Thurn Schaffnern H Johann Schmiden seind in h.guth abzulößen mit 300. lb d. Ferner 5. lb d Zinß Jährlich auff Michael H Marx Mappus Medicinæ Doctoris vnd burgern alhier in hguth abzulößen mit 100 lb d. Weiters 2. lb 10 ß d Zinß Jährlich auff weÿhenachten Hannß Georg Schwingen Bleichern in d. Ruprechtsaw in hguth lößig mit 50. lb d. Sonsten über dieße beschwerd freÿ Ledig vnd eigen, angeschlagen p. 530. lb. Darüber vorhanden j. t. Perg. Kauffbrieff mit d. St. Straßb. anh. Contr. Ins. deßen datum den 9. Martÿ A° 1622 besagend wie d. verstorbene seel. dieße behaußung von weÿl. Georg Treüchlingers Schneid. v. burgers alhier seel. Wittib vnd Erben an sich erkaufft, darbeÿ noch j. alt. teutsch Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anh. Kleinerern Secret Insigel, deßen datum den 26.ten Julÿ A° 1609. Inhaltend wie gedachter Georg Treüchlinger dieße behaußung an sich erkaufft. Die darüber besagende brieff hat H. Marx Mappus Med. Doctor wegen Ihme schuldiger 100 lb. d. Zu vnd.pfand Inhanden.
Sa. haußraths 64, Sa. deß Vieh anschlags 7, Sa. Silbers 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 561, Sa. Gülth von liegenden güthern 61, Sa. Eigenthums vnd beßerung ane einer Behausung 530, Summa summarum 1225 lb. – Schulden 245 lb, Beschluß summa, Conclusio finalis Inventarÿ 983 lb
Copia Testamenti – persönlich erschienen ist der Ehrenhaffte H. Arbogast Karth, Schneider vndt Burger alhie Zu Straßburg, gesunden gehendt: vndt stehenden leibs auch gutten richtigen Verstandts, Sinnen vnd vernunfft (…) Demnach vndt Zum Andern (…) daß sein Sohn hannß Niclaus Karth, auch Schneider vndt Burger alhier seinen Kindern so gar nichts Zuspahren begehre, Wie er dann daß Jenige Güldguth so er Von seiner Mutter seel. ererbt, Jetz auch erst vmb ein geringes gelt Verkaufft, Alß wolle er Testator denselben seinen Sohn hannß Niclausen allein in legitimam vnd deßelben Kinder, so viel er deren nach todt verlaßen würdt, in sein vberige Nahrung vndt Künfftige Verlaßenschafft hiemit Zu erben instituirt, nennet vndt eingesetzt haben

Arbogast Karth dans les registres des Quinze et ceux des Conseillers et des Vingt-et-Un
1648 XV (2 R 67) Arbogast Karth. 248. [früchten gegen Pfenningthurns Capital]
1650 XV (2 R 69) Arbogast Karth. 183. [Jacob Kremer, den Metzger, compensation]
1652 XV (2 R 70)Arbogast Karth. 121. [schuldigen allmendgeld, compensation]
1653 XV (2 R 71) Arbogast Karth. 59. [wein]
1654 XV (2 R 72) Arbogast Karth. 145. [schuldigen allmenzinß]
1655 XV (2 R 73) Arbogast Karth. 140. [schuldigen allmenzinß]
1656 XV (2 R 74) Arbogast Karth. 121. [compensation]
1657 XV (2 R 75) Arbogast Karth. 115. [schuldigen allmenzinß]
1658 Conseillers et XXI (1 R 141) Arbogast Karth. 258. [pt° intercessionalibus an Rheingraffen Johann Ludwig]
1659 Conseillers et XXI (1 R 142) Arbogast Karth Ca. Philipp Volcken. 2. 7. [idem]
1660 XV (2 R 80) Johann Niclaus Karth. 71 [abloßung].
1662 XV (2 R 79) Arbogast Karth. 106. [Zinß, compensation]
1665 XV (2 R 82) Arbogast Karth. 92. [der Schneider, compensation]

Le fils et héritier Jean Nicolas Karth vend la maison à Zacharie Fellinger moyennant 1 225 livres

1667 (6. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 327
(Prot. fol. 21. fac. 1) Erschienen hannß Niclaus Kart der Schneider mit beÿstand Tobiæ Roth deß Ganth Käufflers
in gegensein H Zachariæ Fellingers deß tuchhändlers, mit beÿstand H Johann Wehrbeckhs deß weilandleinwad händlers
hauß hoffstatt Gaden mit allen deren Gebäwen Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeit. alhie ohnfern der groß. Metzig beÿ d. Zunfftstuben Zur Mörin, einseit neben dem Verkäuffern selbst. sonst. gerings herumb neben dem Allmend geleg. davon gehen iährlich. termino Joh. Bapt: 4. lib Allmendzinnß gemeiner Statt, Item termino Annunciationis Mariæ 15. lib. wid.käuffig mit 300. lib. der Samblung Zum thurn, Item termino Mich: 5. lib lößig mit 100. lib. H Marco Mappo Med. Doct. & Practico (übernohmen) – umb 825. Pfund
[in margine :] (…) in gegensein Zachariæ Fellingers deß handelßmanns alß ietzigen Possessoris hierinn gedachter behaußung (quittung) Act. 3. 8.br 1675

Zacharie Fellinger hypothèque un mois plus tard la maison au profit de la veuve de l’aubergiste André Bilger

1667 (15. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 416-v
Erschienen H. Zacharias Fellinger der duchhändler
in gegensein Susannæ weÿl. H Andres Bilgers geweßenen gastgeber Zum Thiergarthens nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, mit assistentz Samuel Rupen des ammaÿster knechts, ihres Curatoris – schuldig seÿe 300. lb
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt Gaden mit allen deren Gebäwen alhie ohnfern der großen Metzig beÿ der Zunfft stuben Zur Mörin einseit neben hannß Niclaus Karten den Schneider sonsten aber gerings herumb neben dem Allmend gelegen, so zuvor umb 264. lib Kauffschillings rest hannß Niclaus Karten dem schneidern Verhafftet so gehen auch von solcher Behaußung Jahrs termino Joh. Bapt: 4. lib. Allmendt zinnß gemeiner Statt, Idem 15. lib. uff Annunciat. Mariæ wid. käuffig mit 300. lib der Samblung Zum Thurn, Sodann termino Mich: 5 lib d lößig mit 100. lib. H. Marco Mappo Med. Doct. et Practico

Originaire de Reichenbach en Misnie, le marchand de drap Zacharie Fellinger acquiert le droit de bourgeoisie en 1665 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1665, 3° Livre de bourgeoisie p. 971
Zacharias Vellinger der Tuch Händler Von Reichenbach auß Meißen, erkaufft daß burgerrecht vor sich umb 20. Goldt fl. so er auff dem Pfenningthurn erlegt. Ist noch ledigen standts und will beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur. den 17.ten Februarÿ Anno 1666.

Litige entre Zacharie Fellinger et la tribu du Miroir, porté devant les Quinze
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
Zacharias Vellinger Ca. Spigler Zunfft 137, 139
(f° 137) Sambstags den 12. 9.bris – Zacharias Vellinger duchhändler, Jetzmahls verreist, per wildten Ca. E. E. Spigler Zunfft, producirt unterthäniges Ansuchen vnd pitten, dr. Bitsch nom. cit. pittet besichtigung vnd Zeit as prox. Obtin.
(f° 138-v) Sambstags den 19. 9.bris – Spigler Zunfft gericht per Dr. Bitschen Ca. Zacharias Vellinger den duchhändtler restituirt communic. vnd producirt Gegenbericht vndt pitten mit beÿl. 1. 2. 3. wildt nom. cit. pittet vmb communication vnd Zeit ordt. obtin.
1680 Conseillers et XXI (1 R 163) Zacharias Fellinger umb Intercessional. 125. 178. (pt° erhöhten Zolls Zu Benfelden und Ehl)

Fils du drapier Gaspard Fellinger de Reichenbach en Saxe, Zacharie Fellinger épouse en 1671 Marie Cléophée Dieffenbecher, fille de marchand
Mariage, cathédrale (luth. f° 138, n° 11)
1671. Dom: Reminiscere Zum 2 mahl hr Zacharias Vellinger der Handelsmann u. Burger Weiland Hr Caspar Vellingers gewesenen Tuchmachers zu Reichenbach im Churfürstenthumb Sachsen nachgelaßener Sohn, Jfr. Maria Cleophe, Weiland Hr Andreæ Dieffenbächers geweßenen handelßmanns u. E. E. kleinen Raths geweßenen Beisitzers nachgelaßene T. Donnerstags den 30.t Martÿ, Münster (i 140)

Zacharie Fellinger loue une échoppe au cafetier Barthelémy Roux

1689 (7. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 489
H. Zacharias Vellinger, der handelßmann [unterzeichnet] Zacharias fellinger
in gegensein H. Bartholomæi Roux, Vendeur de Caffé [unterzeichnet] BRoux
entlehnt, In seiner Unden am Fischmarck gelegenen behaußung Erstlich den Laden sambt dem contoir, So dann eine Stub Uber den Laden wie auch ein Stüblein oben Vber d. Kuchen, auff ein jahr lang, auff Lucæ diß jahrs, d. ist d. 18. huj. anzurechnen, umb 100 guld. Zu 15. batzen

Zacharie Fellinger loue une échoppe et deux poêles au limonadier Jean Semler et à sa femme Marie Anne Reler.

1693 (17. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 797-v
H. Zacharias Vellinger
in gegensein Jean Semler, Limonadier und Marianne Reler [unterzeichnet] Semler, reller
verlühen, In seiner am undern Fischmarck gelegenen behaußung, den undern laden, und Zweÿ Stuben über einander, alles auff Ein Jahr lang von Weihnachten diß Jahrs anzurechnen – umb einen Zinß nemblich 60 Reichs thaler dieß 45 pfund Straßburg Müntz

Le marchand drapier Zacharie Fellinger loue une partie de la maison à l’officier Jean Baptiste Paulleaux

1694 (20. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 725
Zacharie Fellinger, Marchand Drappier
Sr Jean Baptiste Paulleaux, cy devant officier de Mons. l’intendant icy a Strasbourg
bail, dans sa Maison Scise au marché aux poissons vis à vis de la boutique du Sr Mappus Epicier, les Commodités Suiuantes, Sçavoir une boutique un poele au premier étage auec la cuisine et le lit, tout comme le preneur le veu et trouvé dans ledit poël, Plus un poële dans le second êtage et la moitié de la cave, et dernierement la Chambre des soldats pour s’en servir en cas que le Bailleur n’en aye point, Pour une année a commencer le huictieme du courrant, pour la somme de 240 livres tournois faisant 60 liures de Strasbourg

Zacharie Fellinger loue une partie de sa maison au tailleur Charles du Bourcq

1696 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 385-v
H. Zacharias Vellinger [unterzeichnet] Zacharias fellinger
in gegensein H. Charles du Bourcq, deß Schneiders [unterzeichnet] Dubourcq
enlehnt, In seiner Wohnbehaußung unden am Fischmarck geg. der Zunfftstub Zur Möhrin über, den gantzen Laden, So dann über den laden Stub, haußehren, und Küch., Ferner ein Stübel oben darüber, auff der bühn ein plätzlein zum holtz, und im Keller platz zum wein, alles auff Ein jahr lang von Johannis Baptistæ diß jahrs anzufang. – um einen jährlichen Zinß nemblich 45 pfund

Zacharie Fellinger loue une partie de sa maison pendant les foires à Jean Jacques Schuhmacher, marchand à Zofingue en Argovie

1698 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 456-v
H. Zacharias Vellinger
in gegensein H Johann Jacob Schuhmacher, handelsmanns von Zoffingen
verlühen, den gantzen Kauffmannsladen, sambt dem Stüblein od. Contoir, Under sein des Verleihers wohnbehaußung Und. am Fischmarck geg. d. Zunnftstub Zur Möhrin gelegen, auff Neun jahr lang, doch allein zu Meßzeiten von künnftig weÿnachtsmeß diß jahrs anzurechnen, umb ein richtigen zinß nemblich 10 pfund
darbeÿ verglich. Erstlich, daß im fall /:der Gott vor seÿe:/ weg. einige Contagion od. Kriegs laüff. der H. Entlehner die Meß nicht brauch. könte, d.selb auch den Zinß zu reich. nicht schuldig sein soll

Anne Marie Fellinger ne peut pas obtenir de certificat de la Taille pour pouvoir se marier parce que son père doit des arriérées d’impôts. Elle s’adresse aux Quinze en déclarant que sa mère a perdu la raison depuis vingt-deux ans après avoir perdu une partie de ses biens. La commission constate que la fortune de Zacharie Fellinger a beaucoup diminué. Les Quinze réduisent l’arriéré, accordent un délai et permettent le mariage.
1700, Protocole des Quinze (2 R 104)
(f° 306) Freÿtags den 10 Septembr. 1700 – Zacharias Fellinger pt° Extraordinari Stallgeldts
Obere Stallherren Laßen per me Proponiren, es habe Anna Maria Zachariæ Fellingers des burgers alhier eheliche tochter vorgangenen Sambstag beÿ herrn Rhät und XXI ein demuthiges Memoriale, so Ich abgelesen übergeben und darinnen exponirt, wie daß Sie sich an Herman Lembeck den wolleweber aus Westphalen ehelichen verlobt habe, undt sich mit demselben copuliren Zu laßen willens, die Hochzeit Ordnung aber Ihro darumb denegirt werde, weilen ihr vatter ged. Zacharias Fellinger annoch 30. lb Extraord. Stallgelder, so wegen seiner haußfr. elenden Zustandts, welche, wegen hiebevor abgebranter habermühl, daran Sie eine tertz zu prætendiren gehabt, in Kopff gantz unrichtig worden, vnd Ihr vader schon 22 jahr in einem absonderlichen Gemach angeschlossen Verpflegen, vnd viel an Sie verwenden müßen, aufgeschwollen, annoch schuldig seÿe, mit unterth. bitt, Ihro, in ansehung sothaner ursach. die hochzeit Ordnung geb. Zu willfahrt, Zumahlen ihr vader solche nach möglichkeit nach vnd nach, dannoch abzuführen erbiethig seÿe. Nachdeme um das geschäfft an MGHherren die XV. verwießen worden, habe man nicht ermangelt ged. Zacharias Fellinger darüber Zu vernehmen, welcher beditten, daß er schon eine Lange Zeit 5000 fl. verstallt, vndt mehr nicht alß 2000 fl. in Vermögen habe, anbeÿ sich erklärt, daß wann man Ihne, wegen dießes extraord. Stallgelts, gleichwie mit den Ordinari Stallgelt, so nach dem fuß der 2000 so er nach ohngefehr haben möchte, regulirt worden, tractiren wolte, Er das Jenige, so man ihm ansetzen würde, Zwischen hier und weÿhenachten gleichfalls entrichten wolle.
Auff seithen der Obern Stallherren habe man sich errinnert, daß alß man ohnlängst,occasione deßen schuldig geweßener ordinari Stallgelts seine nahrung examinirt, man gefunden, daß selbige sehr abgenommen, dießer mann, viel unglück vnd schaden erlitten, vnd viel unkosten an seine elende fr. verwendet, und mehr nicht als etwa 2000 fl annoch in Vermögen habe, deßwegen man dermahlen demselben einen nachlaß gethan, vnd wegen obberührter 30. lb extraord. Stallgelts davon gehalten, daß derselbe auff die helffte moderirt, und interim seine tochter die Hochzeit ordnung abgefolgt werden könte, doch daß derselbe angeloben solte, solche 15. lb d seinem erbiethen Gemäß Zwischen hier vnd weÿhenachten ohnfehlbar abzuführen. Erkandt, bedacht geliebt.

Le tuteur de Marie Cléophée Dieffenbecher et Zacharie Fellinger passent avec leur gendre Hermann Lembeck et leur fille Marie Fellinger un contrat alimentaire par lequel ils leur cèdent la maison

1704 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 33
Erschienen Hr. Joh: Christoph Schwartz adelicher Schaffner alß vogt Mariæ Cleophe Fellingerin geb. Dieffenbecherin, ferners Zacharias Fellinger handelsmann, u. Hr. Joh: Daniel Dieffenbecher pulverhändler beede alß resp: maritus u. bruder mentionirter fellingerin einßen, und andern theils Herrmann Lembech wullen weber u. Mariæ Salome geb. Fellingerin, producirten ein zwischen ihnen getroffenes und unterm 10. April jüngst u. ahm 16.ten Ejusdem Confirmirtes leibgeding, mit dem bitt selbiges zu enregistriren, u. lautet es von worth Zu worth wie folget.
Zu wissen Kund u. offenbahr seÿe alles u. jeder männiglichen hiermit u. in Craft gegenwärtigen Vergleichs u. resp: leibgedings, daß auf heut dato zu endgemeldt persönlich beÿ einander erschienen Zacharias Fellinger burger u. handelsmann u. deßelben eheliche Hausfr: Maria Cleophe geb. Dieffenbecherin mit Consens u. beÿstand ihres geschwohrnen Vogts Hn. Joh: Christoph Schwartzen, deß adelichen Schaffners u. Hn. Joh: Daniel Dieffenbechers deß pulverhändlers der frauen bruders beeder burgeren auch dahier ahn einem
so dann Hr. Herrmann Lembech der Wullenweber u. deßen haußfr: Maria Salome geb. Fellingerinbeede Verburgerte Eheleuth hieselbsten, alß obgedachten Fellingers resp: Tochtermanns u. Tochter ahm andern theil, u. haben freÿ offentlich unverscheidenlich (…)
verglichen u. vereinbahret, daß nemlichen besagter hr. Hemann Lembech u. seine haußfr: Sie auch obbenambßte beede Eheleuth Zacharias Fellinger u. Maria Cleophe Dieffenbecherin, unter ihr tach u. Wach auf u. annehmen, Sie die Tag lebens so gensund alß kranckh wie es dem lieben Gott gefallen wird, mit essen u. trincken, wie auf noth durftiger kleÿdungen, unter u. über, kalt u. warm wie Sie es im Vermögen u. selbs genießen, darmit sie zu klagen nicht ursach haben, versorgen, versehen u. unterhalten (…) Umb welcher versprechen gutthaten, Speiß, Tranck u. Kleÿdungen, obernannte Zacharias Fellinger u. seine Haußfr: ihrem resp. Tochtermann u. Tochter nicht allein den genuß wegen der auf den fischmarckt ohnweith dem Spanbett gelegenen u. frn. Maria Cleophe Dieffenbecherin eigenthümlich Zugehörigen behausung überlaßen u. Zukommen laßen, sondern haben auch dahin Consentiret, daß offermelter ihr Tochtermann u. tochter zu beßerer fortsetzung ihrer handtierung mögen u. macht haben sollen 500 gulden baaren gelts auff erwehnte behausung zu entlehnen und aufzunehmen (…) Actum den 10. April 1704

Le tisserand en laine Herrmann Lembeck et Marie Salomé Fellinger hypothèquent la maison de leurs beaux-parents et parents respectifs suite au contrat précédent

1704 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 325
Herrmann Lembech wullenweber u. Maria Salome geb. Fellingerin [Er Curator Hr. Joh: Christoph Schwartz adelicher Schafner] ([unterzeichnet] Johann Christoph Schwartz Mariæ Cleophæ Fellingerin geschwornener Vogt, Johann Daniel Dieffenbacher, Zachariuß Allinger haußfrauen bruder, Zacharias fellinger)
in gegensein Hn Georg Linden Chyrurgi, schuldig 250 pfund zufolg deß mit ihren resp: Schwieger u. rechten Eltern unterm 10. Aprilis. jüngst getroffenen ahm 16.ten Ejusdem beÿ E.E. großen Raths alten beÿsitzers Confrmirten u. ahm 16.ten Junÿ d: Anni in der C. Contract Stuben enregistrirten leibgedings baar geliehenen gelds
Darfür in specie kraft mentionirten leibgedings unterpfand, seÿn solle der debitorum Schwieger mutter behaußung allhier ahm untern fischmarckt gegen der Zunftstueb zuer Möhrin einseit ist ein eck anderseit neben Joh: Christian Kupferschmid hinten aufs allmend stoßend gelegen, darvon gehen jährlichen 5 lb allmend zinß gemeiner Statt

Fils d’un apprêteur de drap de « Hattingen » en Brandebourg, Hermann Lembeck épouse en octobre 1700 Anne Marie Fellinger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 110-v, n° 545)
1700. Mittw. d. 6. 8.br. wurd. nach ordentl. außruff. copulirt Herman Lembeck d. ledig. wollenweber Von Hattingen Chur-Brand.burg. hersch. weil. Herman Lembecks des geweß. tuchbereiters allda nachgelaß. ehl. sohn v. J. Anna Maria, hrn Zachariä Fellingers, des Handelsmanns V. B. allhie eheleibl. tochter [unterzeichnet] hermann lembeck alles hochzeiter, An Maria fellingerin als hoch zeiterin (i 110)

Hermann Lembeck devient bourgeois par sa femme en novembre 1700.
1700, 4° Livre de bourgeoisie p. 723
Hermann Lembeck der Weber Von Herteneck* im brandenburg. Weÿl: Hermann Lembecks auch gew: Webers, sohn, empfangt das burgerreecht Von seiner Frawen Anna Maria, Zachariæ Fellingers tochter p. 2. Gold fl. V. 16. ß. so beÿ der Cantzleÿ erlegt word. Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der Tucher dien. Jur: d 3. Dito [9.bris] 1700.

Hermann Lembeck et sa femme Anne Marie Fellinger font dresser l’inventaire de leurs biens dans la maison des nobles de Schmidbourg rue du Foulon. L’épouse est propriétaire des sommes encore dues sur la maison qui lui est revenue de ses parents et fait l’objet d’un procès avec Antoine Füssel. L’actif du mari s’élève à 273 livres, le passif à 580 livres
1710 (15.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 22)
Inventarium über Herman Lembeck deß Wullenwebers: und frauen Annæ Mariæ Lembeckin gebohrner Fellingerin, beeder Eheleüthe vnd burgere alhier habende Nahrung und schulden auffgerichtet Anno 1710. – Act: Straßb. Dienstags d. 15.ten Junÿ 1710.
Eheberedungs copeÿ. Zwisch. dem Ehrengedacht. Herrn Hermann Lembecken Ledig. wullen webern, Weÿl. deß Ehren: und wohlvorgeachten herrn Hermann Lembecks gewesenen Tuchbereiters und burgers Zu Hattneg. Chur Brandenburgischen gebüeths Seel. hinderlaßenem Sohn, als dem Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ gebohrner Fellingerin deß Ehrenvesten herrn Zachariæ Fellingers handelßmanns und Burgers allhier Zu Straßburg Ehelicher Tochter, als der hochzeiterin, andern theils – Geschehen und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg auff Sontags d. 19. 7.bris 1700. Joh: Phil: Schübler Not: publ. Jur.
In einer allhie Zu Straßburg In dem Stampffgäßel gelegener, Ihro hochadel. Gestr. von Schmidburg Zuständig. behaußung ist befund. worden wie volgt
Ergäntzung der Ehefrauen Unveränderten guths, Solche bestehet allein in dem Kauffschilling der Behaußung Ane dem fischmarck gelegen vnd Zum Marco Hertio genandt, so über abzig darauff hafftend Passivorum annoch Zu der frawen rato, welche Ihro als ein restirend Mütterlich Guth gebührt verkaufft worden ihr gelieffert werden sollen, pro 525 lb. Davon dieselbe aber allein od. vielmehr dero hauß würth wehrend dießer Ehe empfangen 300 lb. Die restirende 225 lb d aber seind annoch Zum theil inn allhießiger Contract stuben: theils beÿ E. E. Großen Rath wegen des mit Anthoni Füeßel dem Kupfferschmid in puncto obgemelter behausung führend. process deponirt, deßen außgang Zuerwarten stehet
Dießem nach würd auch des Ehemanns vnd das theilbahr Guth vnder eine Massa und Titul beschrieb. Sa. Mobilien 16, Sa. gemachten Arbeit, woll vnd werckzeug Zum tuchmacher handwerck gehörig 86, Sa. Guldenen Rings 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 167, Summa summarum 273 lb – Schulden 580 lb. Übertreffen also die vorhandene Passiva des Manns Unverändert vnd das theilbahr Guth vmb 306 lb

Marie Cléophée Dieffenbecher qui meurt en 1705 en délaissant sa fille pour unique héritière est propriétaire des biens à elle attribués en 1703 dans la faillite de son mari Zacharie Fellinger. Les experts estiment la maison 1 200 livres desquelles sont défalquées les obligations. L’actif de la succession s’élève à 478 livres, le passif à 10 livres.

1706 (12.2.), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 1) n° 8
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so weÿl. die Ehrn. vnd tugendsame Fraw Maria Cleophe Fellingerin, gebohrne Tieffenbecherin, deß Ehrengeachten Zachariæ Fellingers, handelßmanns Vnd burgers alhier Zu Straßburg geweßene Eheliche Haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem den 16. Jan. nechst abgelegten 1705. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, vnd derselben beÿ der in A° 1703. beschehenen Außweißung deß Wittibers falliments, assignirt worden, welche auf freündliches ansuchen erfordern vnd begehren der Ehren: und tugendsamen Frawen Annæ Mariæ Lembeckin gebohrner Fellingerin, deß Ehrengeachten Mr Hermani Lembecks, Wollenwebers und burgers alhier Zu Straßburg ehelicher haußfrauwen als deßorths ab intestato nachgelaßener rechtsmäßigener eintziger Erbin (…) Actum Freÿtags den 12. Februarÿ A° 1706.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Stampfgäßel gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft nicht gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Item Hauß Vnd hoffstatt, mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Fischmarck, gegen der Mörin Zunfft stuben über, 2.s. neben Weÿl. H Johann Christian deß Kupfferschmidts seel. Erben, davon gehen Jährlichen auff Joh. Bapt: 4 lb Allmend Zinß Gemeiner Statt Strßb. mehr 1 lb d von einem Wetterdächlein gemelter Statt Straßb. Jährlichen auff Jacobi, Weiter 12 lb d Zinnß dem Corpori Pensionum alhier Jahrs auff Annunc. Mariæ, in hauptgutt widerlößig mit 30 lb. Ferner 12 lb 10 ß Zinß H Johann Daniel Koppen, barbierern Vnd Wundartzten alhier ablößig in hauptgutt mit 250 lb, sonst freÿ, ledig vnd eigen vnd ist dieße behaußung Innhalt auffgerichteten Inventarÿ de A° 1703. über deß Wittibers falliments Nahrung durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere angeschlagen word. 1200. lb. Thut nach abzug vorstehend beschwerden so in Capitalien trag. 750. lb hiehero pro rest 450. lb. Darüber ist vorhanden ein perg. Kbr. mit der St. Straßb. C. C. stub anh. Ins. Verw. deß. datum den 9. Martÿ 1622. notirt mit Lit. A,
Sa. haußraths 18, Sa. der guldenen Ring 9, Sa. Eÿgenthumbs an einer behausung 450, Summa summarum 478 lb – Schuld 10, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 468 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Capital 50 lb

Anne Marie Fellinger femme du drapier Herrmann Lembeck vend la maison au chaudronnier Antoine Füssel moyennant 1 075 livres

1706 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 148
(1075) Anna Maria geb. Fellingerin Herrmann Lembeck tuchmachers Haußfr.
in gegensein Anthoni füßels Kupferschmids [unterzeichnet] füeßel
Hauß Hoffstatt Gaden mit allen deren Gebaüen, begriffen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier ohnfern der großen metzig beÿ der Möhrin, einseit neben weÿl. Johann Christian Kupferschmids EE sonsten rings herum neben dem allmend, darvon gehen jährlichen 5 lb, allmend zinß Gemeiner Statt – um 300, 250 capitalien verhafftet, geschehen um 525 pfund

Antoine Füssel revend trois mois plus tard la maison au marchand de cuir Chrétien Baur moyennant 1 250 livres

1706 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 368-v
(1250) Anthoni Füeßel Kupferschmidt
in gegensein Joh. Daniel Bauers lederhändlers beÿständlich Christian Bauren apotheckers zu Waßlenheim
Hauß, Hoffstatt, Gaden mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten allhier ohnfern der großen metzig beÿ der Mührin, einseit neben weÿl. Joh. Christian Kupferschmidts EE, sonsten rings herum neben dem allmend, darvon gehen jährlichen 5 lb, allmend zinß Gemeiner Statt – um 300, 250, 250 capitalien beladen, geschehen um 250 pfund

Fils du pharmacien de Lahr Chrétien Baur, le marchand de cuir Chrétien Baur acquiert le droit de bourgeoisie le 19 janvier 1704 en s’inscrivant à la tribu du Miroir.
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 748
Joh: Daniel Baur, der Lädhändler V. Lohr durlach: Herrschafft weÿl. Christian Bauren gew. Apotheckers daselbst hinterl. sohn, empfangt d. burgerrecht gratis V/ wird beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur: d. 19. Januarÿ 1704.

Chrétien Baur épouse en 1707 Marie Félicité Bitsch, fille de marchand épicier
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 109-v, n° 620)
Anno 1707 den 16. Mertzen seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet word. H. Johann Daniel Bawer der ledige handelsmann weÿl. J Christian Bawren, gewesenen Apotheckers Zu Lahr hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Maria Felicitas weÿl. H. Joh: Lucas bitschen, deß geweßenen burgers und Specereÿ händlers alhier hinterlaßener Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als hochzeider, Maria Felicitas Bitschin als hochzeiterin (i 112)

Herrmann Lembeck se noie avec l’un de ses enfants près de Geudertheim en 1726. Il délaisse deux enfants et des biens estimés à moins d’une livre. L’inventaire est dressé à la Krutenau dans une maison près du Puits des Fous.
1726 (9.3.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 46) varia
Inventarium über all das Jenige so Weÿl. der Ehrs: Herrmann Lembeckh geweßener Wullenweber undt burger allhier, so d. 7.ten Jan: 1726 nebst einem seiner Kinder, in einem Waßer beÿ Geÿdertheim tod gefund. word. nach sothanen seinem Zeitlichen hienscheiden, hierselbsten in bonis verlaßen, die untersuchung solcher Verlaßensch. aber ist alhie dato Zu Ende bemeldet, auf Ansuch. deß auch Ehrs. und bescheidenen Mr Heinrich Lembecks, ebenmäßigen Wollenwebers und burgers allhier, deß Verstorbenen seel. mit Weÿl. fr. Anna Maria Fellingerin seiner Ehel. fr. seel. Nahmentlich Jgfr. Elisabethan Dorothea undt Herrmanns, ehelich erzielhter Kinder geschworner Vogt /:maßen er wegen deß seel. Verlaßenen gering und armseel. Verlaßensch. beÿ Gnäd. Obrigkeit umn des Jüngsten Kind Nahmens Herrmann so 9 Jahr alt in das allhiesige Weÿßenhauß auffzunehmen unterth. einzukommen gemüßiget (…) Beschehen Straßburg Sambstags den 9. Martÿ 1726.
Solche geringe Verlaßenschafft aber hat sich befunden allhier Zu Straßb. In einer behausung ohnfern dem Narrenbrunnen deß Verstorbenen seel. Eingangs gedachtem bruder gehörigen deßen obern Cammer vndt bestehet solches wie volget
Erstl. j. gar a: Thl. g. Rahmen bethlas ohne strohs. 2 ß 6 d

Acte de sépulture de Herrmann Lembeck et de son fils Jean Daniel à Geudertheim après enquête judiciaire
Sépulture, Geudertheim (luth. n° 90, 91)
1726 d. 12. Jan: – d. 8 Jan: Ist Herrmann Lembeck, ein burger vnd tuchmacher Zu Straßburg, sonsten von Hattnegen in dem Churfürstethum Brandenburg gebürtig, seines alters 51. Jahr 10. Monath sampt seinem Söhnlein Nahmens Johann Daniel von 13. Jahren in denen so genanten Kälber Matten Zu Geüdertheim in den Hecken an der Werb tod gefunden, vnd d. 12. ejusd. nach Christl. gebrauch daselbst begraben worden. Seÿnd nach erlaubnus der vber Sie gehaltener besichtigung von H. Land: physico Dr. Espich vnd geschwornen Barbierern, wegen allzu langwierigen durchwittung deß wassers beÿ damahliger Zimmlichen Kälte erfroren, daß Sie nicht weiter haben kommen und das dorff vollend erreichen können, welches Zur nachricht hiemit habe beysetzen wollen.

Anne Marie Fellinger femme du drapier Herrmann Lembeck vend la maison au sellier François Gayneau moyennant 1 075 livres (voir ci-dessous l’annulation de la vente précédente)

1709 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 93
(1075) Anna Maria geb. Fellingerin Herrmann Lembeck tuchmachers hausfrau beÿständlich und mit consens deßelben
in gegensein François Gayneau sattlers
hauß hoffstatt Gaden mit allen deren Gebäuen, begriffen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ohnfern der großen metzig beÿ der Mührin, einseit neben weÿl. Joh. Christian Kupferschmidts EE anderseit und sonst rings herum aufs allmend stoßend, davon gehen jährlichen 5 ß ane allmend zinß gemeiner Statt – um 300, 250 capitalien verhafftet, geschehen um 525 pfund

Le Grand Sénat a annulé par sa décision du 7 juin 1710 les deux ventes successives de la maison parce que François Gayneau avait un droit de préemption. Antoine Füssel qui a réglé les droits de mutation des deux ventes en demande restitution. Il déclare avoir cédé la maison qu’il venait d’acheter à la requête de Jean Daniel Baur. Herrmann Limbeck qui a fait appel de la décision rendue par le Grand Sénat a obtenu d’être exempté des frais de procédure, de sorte qu’Antoine Füssel devrait régler les droits. Les Quinze décident de restituer au pétitionnaire les droits de mutation.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
Anthoni Füßel pt° Pfundzolls
(f° 186-v) Sambstags den 20. Aug. 1712. G. nôe Anthoni Füßels des burgers vndt Kupfferschmidts alhie prod. Unterth. memoriale undt bitten wie inhalts, Er. mit beylagen sub N.is 1. 2. et 3. Erk. an die Obern Pfund Zollhh. gewießen.

(f° 207-v) Sambstags den 10. Sept. 1712. – Anthoni Füsel pt° Pfundzolls
Iidem [Obere Pfund Zoll herren] per H. Friden, es habe Anthoni Füsel der Kupfferschmidt Gegenwärtiges unterth. Memoriale übergeben, H. Fridt lißt es ab, darinnen derselbe exponirt, welcher Gestalten vermög EE großen Rhats Bescheids, so den 7. Junÿ 1710. publicirt worden, wie beÿlag sub N° 1 außweiße, Zweÿ auff einander erfolgte Käuff, wegen einer behaußung auff den Fischmarck gelegen, weilen François Gayneau dem Frantzösischen Sattler das vorkauffs Recht darauff längst vorhero, krafft einer Contract verschreibung Zuständig geweßen, widerumb annullirt worden seÿen, Er Implorant habe von den ersten Kauff den Pfund Zoll als Käuffer mit 17 lb 18 ß 4 d wie beÿlag sub N° 2 außweiße entrichtet den 2.ten pfundzoll aber habe Er als verkäuffer wegen ebenmäßig Cassirten Zweÿten Contracts, an Johann Daniel Bauren dem Lederhändler mit 20 lb 16 ß 8 d wilder entrichten und restituiren müßen, wie aus der beÿlag sub N° 3 Zu ersehen, Weilen nun wegen dießer beeden vngültig declarirten contracten kein pfundzoll statt finden kan, Ihme auch beÿ dießem Zugestoßenen Unglückh nichts Zu verüblen, das Jenige wid. Zu suchen, ietz* an vnd für sich selbsten der Billigkeit Gemäß seÿe, Alß wolte Er unterth. gebetten, ihme vorbemelte beede Pfundzoll die sich auff 38 lb 15 ß belauffen gn. restituiren Zu Laßen.
Alß man Ihne ferner gehört, habe Er Vermeldet, daß in a° 1706. Er das hauß auffm Fischmarckh Herman Limbeck abgekaufft vndt den Pfundzoll mit 17 lb 18 ß 4 d bezahlt nachgehends were Johann Daniel Baur der Lederhändler Zu ihme kommen vndt hette ihn beredet daß Er, daßelbe, Ihme vmb 2500 fl. wid. Käufflichen überlaßen, nachgehends hette Obged. François Gayneau, deme der vorkauff laut einer Contract verschreibung auff d. hauß gebührt, so ihme auch von EE. Großen Rhat Zuerkant worden, prætendirt, daraus es einen proces gegeben, der 6. jahr gewährt habe, dergestalten daß Limbeck dahin condemnirt worden, daß Er dem Füsel in allen puncten schadloß halten solle, von welchem bescheidt Er Limbeck an d. Cammergericht appellirt allwo den 18. Febr. jüngst Erkandt worden, daß Er appellant von denen, dem Appellaten beÿ E. E. Gr. Rhat Zuerkanten unkosten absolvirt seÿn solle, vndt weilen nachgehends die unkosten beÿ EE gr. Rhat taxirt, vndt der letztere pfund Zoll der 20 lb 16 ß 8 d ihme Füßel Zu bezahlen aufferlegt, Er aber d. Hauß quæstionis nicht bekommen, so fände man unbillich wann Ihne das erlegte Gelt nicht restituirt werden solte, stünde alßo Zu MGHerren, Ob sie ihme bemelte 35 lb 15 ß wid. Bezalhen laßen wollen.
Erk. sollen vom Pfthurn dem Füßel restituirt werden.

Fils de Pierre Gayneau et de Catherine Renaud à Lucs-sur-Boulogne dans le diocèse de Poitiers, François Gayneau épouse en 1696 Jeanne Roy, luthérienne fille de Pierre Roy et de Marie Desjardins à Bethoncourrt près de Montbéliard.
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 65)
Die 30. Januarÿ Anni 1696 (…) honestus adolescens franciscus Gaynau filius Petri Gaynau et Catharinæ Renaud ex Episcopatu lucensi diœcesis pictaviensis oriundus et Joanna Roy filia Petri Roy et Mariæ Desiardins ex betoncourt pago in comitatu oriunda (…) ac legitimos coniuges desponati sunt (signé) f Gayneau, ieanne roy

Conversion de Jeanne Roy dans le registre tenu par les Jésuites
Jésuites (AST 305) Joanna Roy, 1696, Januier, 17

François Gayneau et Jeanne Roy acquièrent le droit de bourgeoisie le 15 mai 1706 en apportant des enfants
1706, 3° Livre de bourgeoisie p. 1259
François Gayneau der Sattler V. Boulogne weÿl. Pierre Gayneau gew: Gartners daselbst sohn V. sein Fr: Johanna Roy V. Monbelliard, weÿl. Pierre Roy gew. sattlers daselbst hintl. tochter erkauffen das burgerrecht p. 2. Gold fl. 16. ß mit ihrenn Kind. ist es beÿ ordnung geblieben, wird beÿ E.E. Zunfft der Gerber dienen. Jur. d. 15. May 1706.

François Gayneau devient tributaire chez les Tanneurs le 27 mai 1706
1706, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 11-v) Donnerstags den 27. Maÿ Anno 1706 – François Gaÿneau der frantzöische Sattler vnd burger allhier, producirt Stallschein vom 15. Maÿ Anno 1706. bat vmb das Zunfftrecht, Erkand Willfahrt, hat zu erlegen vor das Zunfftrecht 1 lb 5 ß d, Wegen der feür Eÿmer 1 lb 5 ß d, vor den Pfenningthurn 1 lb, Spendirte Zur feürspritz 2 ß 9 d, vnd E. E. Gericht 13 ß 9 d.

Acte où François Gayneau est surnommé Poitevin
1709 (7.2.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 17)
Vente – Jacques Rossignol Maistre Chapelier Catherine Rouffine Ve de deffunt Pierre bourgeois dit La sonde en son vivant Habitant de L’ouvrage a corne du fort de Keel et François Gayneau dit poiteuin Me Scellier bourgeois de lad.te ville de Strasbourg tuteur des trois enfants Mineurs dudit deffunt La sonde (…)

François Gayneau meurt en 1729 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 713 livres, le passif à 268 livres.

1729 (1. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 60)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehrenhaffte H. Frantz Gayneau, gewesener Sattler und burger allh. zu Straßburg, nach seinem Montags den 4. Julÿ jüngsthin aus dießem mühsahmen Leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen. Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter und nachgelaßener Söhne und tochter, wie solche ane folgendem folio umständlichen benamset, ersucht durch die Ehren und tugendsahme Frau Johannam Gayneau gebohrne Roy, die gedachte Wittib mit beÿstand Du Sr Claude Dabind, Sattlers und burgers allh. dero geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg Donnerstags den 1. Septembris Anno 1729.
Der abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Johann Peter Gayneau, noch ledigen Sattler Gesellen, seines Alters 32. Jahr, 2. Jungfr. Mariam Margaretham Gayneau ihres alters 29. Jahr, 3. Jungfr. Mariam Johannam Gaÿneau, ihres alters 25. Jahr, 4. Vincentium Gayneau, ebenmäßig. Sattler Gesellen, so 24 Jahr alt, Alle Vier des Verstorbenen seel. mit hievor ernandter seiner hinterbliebenen Wittib erzeügte Söhne und töchtere, welche samtliche Majorennes dahero ohnbevögtigt aber noch ohnverburgert jedoch mit beÿstand des Wohl Edel Vest und Wohlweißen Herrn Joh: Jacob Spielmanns E: E: Kleinen Raths wohlmeritirten beÿsitzers als aus wohlermelten Kleinen Raths Mittel hierzu insonderheit verordneten H. Deputati, so dem Geschäfft in Persohn beÿgewohnt.

Bericht, wegen hievor geschriebener Verlaßenschafft. Deßwegen ist Zuwißen, daß weilen der Verstorbene mit seiner hinderlaßenen wittib Keine Eheberedung auffgerichtet, In deme nach ihr der Wittib einiger bekandnus sie beederseits nicht viel in bonis gehabt, sondern dieße verlaßenschafft, wehrender Ehe meistentheil durch ihren fleiß errungen vnd gewonnen, alß haben Sie sich Nemblichen die wittib und Erben mit einander verglichen, daß erwehnte verlaßenschafft (…) vor theilbahr inventirt vnd besagte verlaßenschafft vff solchen fuß eingerichtet werden solle, Zum bericht
In einer allhier zu Straßburg ane dem Fischmarckt gelegener und in diese Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt
Hausrath. Auff der bühn, In der Soldaten Cammer, In der holtz Cammer, In der obern Vordern stub, In der obern hintern Cammer, In der obern Vordern oder der töchter Cammer, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, Im Hauß Ehren, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behausung. Eine Behaußung und hoffstatt wie auch Gaden mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. zu Straßburg ohnfern der Zunfft stub Zur Möhrin gegen der großen Metzig, einseit neben Joh: Kugler, dem Statt Kupfferschmid anders. Vornen neben und auff allen 3 seithen auff das Allmend stoßend. Darvon gehen Jährl. 5. lb. 10 ß d Allmend Zinß gemeiner Statt allh. sonsten feÿ ledig und eigen, durch der Statt Straßburg geschwornen Werck Meister, vermög überschickten und beÿ mein des Notarÿ Concept befindlichen Schatz zeduls de dato 22. Aug. 1729. annoch über obige beschwerd æstimirt pro 580 lb. Darüber bes. i. teutsch. perg. Kauffbrieff m. d. St. Straßb. C.C. stub anhang. Ins. verw. datirt d. 21. febr. 1709. Inhaltend welcher gestalten Eingangs gemelte beede Eheleuthe Vorstehende behaußung wehrend. Ehe Von Hermann Lembeck dem thuchmacher u. Fr. Anna Maria Fellingerin beeden Eheleuthen ane sich erhandelt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 92, Sa.der Wahren und Werckzeug Zum Satler handwerck gehörig 36, Sa. der Wein 4, Sa. des Eigenthumbs ane einer behaußung 580, Summa summarum 713 lb – Schulden 268 lb, Darvon gehen ferner ab die hievornen fol. beschriebene Kleÿdung so den Erben gebührig thun 8 lb, Item der weiße Zeug 2 lb, Über abzug 15 lb 7 ß so der Wittib zu ihrer Liebthat, 242 lb
– Abschatzung dem 22: Augst. 1729. Auff begehren weiland deß Ehrenvesten und Vorachtbahren herrn Frantz Beno geweßenen Satlers Seel: hinder Laßene frau wittib und Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg auff dem fischmärck gelëgen ein seits Neben Johannes Kugler dem Statt Kupffer schmiedt ander Seits Vorn Neben auff allen treÿ seiten auff H: Almen Welche behaußung Stuben Chammern Hauß Ehren wor inen der herd und waßerstein soltaten Chammer Satler werckstatt ein Klein Hauß Ehren und getrëmbter Keller sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jëtzigem Preÿß nach angeschlagen wierd Vor und umb zweÿ Tausent Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs
Copia Codicilli Reciproci – l’an 1718 le 28 Decembre (…) furent presens le Sr Francois Gayneau, Maistre Sellier, et bourgeois de la dite Ville, et auec luy Dam.lle Jeanne Gayneau Née Roy sa femme, dont le Mary gisant au lit fort malade Mais le femme se trouuant en parfaite santé – Fait et passé a Strasbourg a la maison propre des dits Disposants scise au bas du Marché aux poissons, dans un poil les fenetres regardant sur la rüe – Jacques Christophe Pantrion, Notaire Juré et publique

Les Quinze consentent à réduire de moitié le droit de détraction dû par les enfants non bourgeois.
1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
weÿl. François Gayneau pt° Abzugs
(p. 412) Sambstags d. 25. Junÿ 1729. – Obere Stall Herren laßen per me referiren daß Weÿl. François Gayneau des gewesenen burgers undt Sattlers alhier in das burgerrecht gebrachte Kinder und deren Vogt Claude Dabin der burger undt Sattler allhier den 5. huj. ein Unterthäniges Memoriale samt beÿlag Lit. A. eingelegt, jnhalt welches derselbe Vorstellet wie daß besag Beÿlag Lit. A. an ged. 4. Kinder die summ von 17. lb 4 ß 4 d Vor Abzug wegen Von dero Vatter ererbten 172. lb gefordert werde, dieselbe seÿen aber willens sich in allhießiges burgerrecht Zu begeben gleichwie der Ältiste derselben würcklich seiner Verwittibten Mutter das Handtwerckg forttreiben, und sich dabeÿ establiret, alßo nicht zu besorgen daß Sie dero Guth aus der Statt Ziehen werden, gleich sie auch in Hießiger Statt aufferzogen worden, Mit demuthiger bitt den geforderten Abzug auff ein leidentliches und geringes Zu moderiren.
Auff geschehene remission seÿen nebst ged. vogt die beede Söhne welche das Sattler handwerck erlernet und Majorennis erschienen, welche Contenta Memorialis wiederhohlet, Weilen nun dießes ererbte Guth völlig, auß auff Frembde fallend, aus der Verstallungs-Summ Kommen so hätten die Imploranten sich nicht über sothanen Abzug zu beschwehren, weilen aber dieselbe gleichwohl Königlichen Underthanen und Vermuthich in dem Königreich Verbleiben werden, alß Vermeine man das dieselbe nicht nach dem Rigor Zu tractiren, und sothaner Abzug auff die Helffte moderirt werden Könte.
Erkandt, werden diese 17. lb 4 ß 4 d auf die helffte moderirt.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1729, Livres de la Taille (VII 1176) f° 313
Gerber F. N° 4912 – Weÿl. François Gayneau gewesenen Sattlers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 33.b, 223 lb 17 ß 6 d, die machen 400 fl. Verstallte hiengegen 2100 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 10 ß 6 s, Summa 12 ß 6 d
Abzug. Sambrtiche Vier Kinder alß ohnverburgert haben Von 172 lb 3 ß 6 d Vätterlichem Erbe den Abzug Zu erlegen mit 17 lb 4 ß 4 d
Vermög Erkantnus Gnäd. Herren der XV.en Vom 12. Novembr. 1729. ist Vorstehender Abzug auf die helffte moderirt worden
dt. omnia den 4. Novembr. 1729.

La maison revient à Vincent Gayneau qui l’hypothèque au profit du chirurgien Chrétien Stricker et de son pupille Christophe Seyler.

1749 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 761
H. Vincent Gayneau der stadt:sattler und Fr Rosina geb. Rolle mit beÿstand H. Michael Gilet und Andreas Gilet beede schneider gebrüder ihren vettern
in gegensein H. Christian Strickers des chirurgi proprio et curatorio nomine Christoph Seÿlers – schuldig seÿen 625 und 125 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem untern Fischmarckt, ein und anderseit ist ein eck am Allmend, hinten auff Johannes Kugler den stadt kupffferschmidt – dem ehemann als ein elterliches erbguth

Vincent Gayneau et Marie Françoise Scheidel hypothèquent la maison au profit du banquier Jean Daniel Stædel

1755 (15.12.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 387-v
H. Rathh. Vincent Gayneau der sattler und Maria Francisca geb. Scheidelin mit beÿstand H. Rathh. Immlin und H. Rathh. Hanrart beede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johann Daniel Städel des banquier – schuldig seÿen 600 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem untern Fischmarckt, einseit neben Johannes Kugler dem Stadtkupferschmidt anderseit und hinten auff das Allmend

Les experts estiment la maison à 1 250 livres lors de l’inventaire dressé en 1752 à la mort de Marie Rosine Rolle, première femme de Vincent Gayneau et à 1 500 livres lors de l’inventaire dressé en 1762 à la mort de Vincent Gayneau. La maison est ensuite vendue par adjudication judiciaire au sellier Jean Chrétien Cullmann qui a travaillé chez Vincent Gayneau avant de devenir maître (voir plus bas). Elle apparaît ensuite souvent (1764 et ultérieurement) au nom du sellier Augustin Chrétien Güntzrith, gendre du propriétaire.

Jean Chrétien Cullmann demande dispense pour être admis au chef d’œuvre sans avoir fait ses années d’épreuve. Il produit un certificat qui établit qu’il a été baptisé en 1708 à Weiterswiller et un autre qu’il a fait son apprentissage chez le sellier aulique Jean Georges Grohé à Bouxwiller. Il déclare travailler depuis deux ans chez le sellier français Vincent Gayneau. La commission estime qu’il doit suivre le règlement et s’inscrire aux années d’épreuve. Les Quinze délivrent deux ans plus tard une expédition de leur sentence.
1736, Protocole des Quinze (2 R 145)
Johann Christian Kuhlmann Ca. E.E. Handw. der Sattler
(p. 141) Sambstag d. 21. Aprilis 1736. – Moss nôe Johann Christian Kuhlmanns ledigen Sattlers von Buchsweiler C. E. E. Handw. der Sattler prod. bescheid wovon der Implorant an Mgh. appellirt bitt umb Deput. beÿ welcher der Ober M. erscheinen möge, et Facta Relat. den Imploranten Zum Meisterstück gn. zu admittiren. Erk. Soll die Meisterschafft hierzu Verkundt werden.

(p. 173.b) [den 5. Mai 1736) Johann Christian Kuhlmann Ca. E.E . Handw. der Sattler
Ober Handwerck Herren laßen durch Hrn Secret. Kleinclaus referiren Johann Christian Kuhlmann, der ledige Sattler von Buchsweiler gebürtig, habe den 21. Aprilis jüngst. C. E. E. Handwerckh der Sattler Ober Meister seinen beÿ diesem handwerck d. 19. Ejusdem erhaltenen bescheid /:besag welches auff sein Kuhlmanns begehren Ihme Zu erlauben das Meisterstück verfertigen Zu dörffen, Erkant Weilen nach dem Articul derjenige so das Meisterstück auff zunehmen willens den geburths und Lehrbrieff Vorzuweißen und 3 Jahr beÿ einem oder 2. Meistern allhier gesellenweis gearbeitet haben solte, aber der petent weder Geburths noch Lehbrieffs Vorgelegt, noch beÿ der teutschen Meisterschafftin der Zeit alß er sich hier auffgehalten, gearbeitet, alß Kan Ihme von E. E. Meisterschafft nicht willfahrt werden:/ producirt, wolle er an Mghh appellirt umb Deput. gebetten et Facta Relatione Ihne zu dem Meisterstück dispensando gn. Zu admittiren, darauff er auch seinen Tauffschein, daraus erhellet, daß er Zu Weitersweiler A° 1708. wie die underschrifft Hn Zincken des Pfarrers allda weißet, geboren und dem deßen Lehrbrieff, so Zeiget daß er Sattler Handwerck beÿ Johann Georg Grohe dem Hoff Sattler Zu Buchßweiler vom 31. May 1724 biß den 6. Junÿ 1727. Wie recht erlernet, Vorgelegt, das Citirte E. Handwerck habe auch umb Deput. gebetten et Facta Relatione die sach beÿ ergangenem Bescheid Zu laßen, Ref. Expensis.
Beÿ bewilligte und beseßene Deputation habe der Appellant beÿgesetzt daß er beÿ Vincent Gaynaud dem Frantz. Sattler schon 2. Jahr hier gearbeitet, warauff der Appellatin geantwortet, daß der gegner nach Klahrer Disposition Ihrer Articul beÿ denen Teutschen Meisteren 2. Jahr hette vermuthen sollen, Auch seithen der Hh. Deputirten vermeine man daß der Implorant mit seinem begehren ab: und an die Ordnung verwiesen, Ref. Expensis.
Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt bedacht gefolgt.

1738, Protocole des Quinze (2 R 147)
Johann Christian Kuhlmann Ca. Handwerckh der allhiesigen Sattler
(p. 246) Sambstag d. 26. Aprilis 1738. – Christ. nôe Johann Christian Kullmann C. der Sattler Ober Mr pt° bescheidts vom Aprili 1736. bitt ut ante. Erk. ut ante [um communication bescheids, Willfahrt.]

(p. 255) Sambstag d. 26. Aprilis 1738.
Bescheid. Sambstags den 5. May 1736. In Sachen Joh: Christian Kuhlmann ledigen Sattlers von Buchsweiler gebürtig, Appellanten, an einem, entgegen und wieder E. E. Handwerckh der allhiesigen Sattler, Appellaten, am andern theil, Auff producirten handwerckhs bescheid vom 21. Aprilis jüngsthien, besag welches gedachter Kuhlmann pt° Verertigung des Meisterstücks mit seinem begehren abgewiesen worden, Eingeführte Appellations Klag, juncto petito, Deputation Zu erkennen et Facta relatione den Appellaten darüber gethane Verantwortug mit angehencktem bitten, die sach beÿ ergangenem Bescheid Zu laßen, ref. Expensis. Bewilligte und beseßene Deputation, auch all übriges angehörte Vor und anbrigen, Ist der Hh. Deputirten abgelegten Relation nach Erkandt, Wird es beÿ der Sententiâ à quà gelaßen, mithin der Appellant auch in dieser Instanz mit seinem begehren ab: und an die Ordnung verwiesen, Ref. Expensis.

Fils de maître de rentes, originaire de Weiterswiller en comté de Hanau, Jean Chrétien Cullmann épouse en octobre 1738 Anne Marie Weltz, fille du tanneur Georges Philippe Weltz de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration. Le registre de bourgeoisie manque pour cette période
1738 (26. 7.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 77) n° 950
Eheberedung Zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten H. Johann Christian Cullmann Ledigen Sattlern und burgern alhier Zu Straßburg als hochzeitern ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Jungfer Annæ Mariæ weÿl. Georg Philipp Waltzen geweßenen Rothgerbers und burgers Zu Straßburg alß hochzeiterin am andern theÿl
So Beschehen Straßburg den 26. 7.bris 1738. [unterzeichnet] Johann Christian Culman als Hochzeitter, Anna Maria Weltzin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 41 v°, n° 26)
1738, Mittwoch den 8. Octobr: seind nach Zweÿmal geschehene proclamation, in der Evangelischen Pfarrkirch zu St. Nicl. in den Ehestand eingesegnet word. Johann Christian Kuhlmann der ledige Sattler u. Burger allhier von weiters weiller, Fleckensteinischer Herrschafft, weil. Hn Johann Michael Kuhlmanns geweß. Fleckensteinischer Hersch. Rentmeisters hinterlassener ehl. Sohn, u. Jgfr. Anna Marian Weil. Georg Philipp Weltzen geweßten Rothgerbers zu Bischweiller v. burgers daselbst hinterl. ehl. Tochter (si go. Johann Christian Cullmann als hochzeiter, Anna Maria Weltzin als hochzeiterin)

Jean Chrétien Cullmann se plaint en septembre 1738 qu’il lui soit interdit de tenir boutique. Le Conseil des Tanneurs répond qu’il peut travailer mais qu’il lui faut présenter un certificat de bourgeoisie et un certificat de la Taille pour pouvoir tenir boutique. Il présente les certificats en décembre et devient tributaire.
1738, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 289-v) Donnerstag den 18. Septembris 1738 wurde das dritte Fronfasten Gericht gehalten – Johann Christian Kuhlmann der Sattler stunde vor und brachte vor, wie daß er vernommen, deß man Ihme nicht gestatten wolle, offenen Laden Zu halten, in welchem er nur arbeite, um seinen Laden zu garniren, verhoffe nicht, daß man Ihme solch es verwehren werde.
Erkannt, seÿe Ihme wohl erlaubt, in dem Laden zu arbeiten, hiengegen aber verbotten, so lang biß er den burger und Stall schein überlüffert, Keine wahr auß zu hencken und Zu Verkauffen.

(f° 290) Montag den 15. Decembris Anno 1738 – Johann Christian Kuhlmann der Sattler Von Weitersweiler beÿ Buchßweiler und seine Ehefrau Anna Maria Weltzin von Bischweiler gebürtig, producirt Burger und Stallschein dedato 8.ten Novembr. Anno 1736. mit bitten Sue in das Zunfftrecht auffzunehmen.
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt – 4 lb 1 ß 2 d, 2 ß scribä, 1 ß büttel (summa) 4 lb 4 ß 2 d

Jean Frédéric Kress et Jean Chrétien Cullmann sont mis à l’amende pour avoir accepté un marché de l’armée sans en faire part à tous les selliers et pour s’être fournis chez des maîtres de la campagne au détriment de ceux de Strasbourg.
1758, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
E. E. Meisterschaft wieder Meister Johann Friderich Kreß und Meister Johann Christian Cullmann
(f° 536) Donnerstags den 30.ten Martÿ 1758 – Klag
Dato wurde vom Handwerck meister nomine E. E. Meisterschaft wieder Meister Johann Friderich Kreß und Meister Johann Christian Cullmann geklagt, daß sie Artillerie-Geschirr Zu machen angenommen, und hernach verschiedene dieser Arbeit auserhalb der Stadt beÿ den Landmeistern machen und verfertigen laßen. Weilen nun solches wieder Articul, als concludirt Kläger, daß jeder der beklagten in die Straf des Articuls Zu condemniren die auserhalb gefertigte Waar aber vor confiscirt zu erachten seÿn möchte, ref. exp :
Die Zween beklagte gegenwärtig sagen zu ihrer verantwortung, es wäre Mr Douillard, der frantzösische Sattler, welcher die Arbeit, vermög Accords, angenommen, und sie hernach um ihren hülffe angesprochen habe. Nach diesem hätten sie allen Meistern Part davon ertheilt, und den Mitmeistersn so deren zumachen erbietig, soviel davon zukommen laßen, als sie gewolt. Sie wären also nicht auser Ordnung und bitten um absolutionem der Anklag, ref: exp.
Darauf wurde replicirt, daß sie Zwar von einiger Arbeit verschiedenen, aber nicht allen Meistern, und auch nicht von aller Arbeit part gegeben, des Preises halben aber kein Zuverläßige Erklärung gethan hätten. Es wäre Genug, daß die Kommeter, so sie auserhalb machen lassen, auch hier von den Mitmeistern um einen rechtsmäßigen Preis hätten gemachtt werden können, und dann hätten sie um diese Arbeit E. E. Meisterschafft express zusammen berufen lassen sollen.
Erkannt. Weilen die beede beklagte doppelt gefehlt, so sollen dieselben einmal um des willen, daß sie, um den Austheiler der Arbeit zumachen, E. E. Handwerck nicht zusammen berufen laßen, sondern solche Arbeit nach Wohlgefallen ausgetheilt haben, den Articul mit 5. lb d zu beßern, und dann vor den fehler, daß sie 40. Kommeter beÿ den Landmeistern ohne Noth, weilen die hiesigen Meistern die dergleichen gerne gemacht hätten, gar keine Nachricht davon erhalten, verfertigen laßen, annoch 1. lb d Straf und die heutige Handwercks Kösten Zu erlegen schuldig seÿn, wobeÿ ihnen, wie allen Mitmeistern, einzuschärfen, beÿ allen solchen Gelegenheiten ihre Articul der Ordnung gemäß Zu geleben und also allemal die gäntzliche Meisterschafft zusammen berufen zu laßen, folglich sich nicht ehender der Landmeister zu bedienen, bis sie die quantitæt hier nicht gemacht bekommen könnten.

Le sellier Chrétien Cullmann obtient des Quinze l’autorisation d’employer un compagnon supplémentaire
1758, Protocole des Quinze (2 R 169, rapiarium 170)
(p. 147) Sambstags den 29. Aprilis 1758. – Christian Cullmann pt° vermehrung der gesellen
Idem [Freund] nôe Christian Cullmann des sattlers, der bitt unterthänig wegen pressirter Königlicher arbeit Vor das Regiment Beyerlé Vier monath lang einen gesellen über die ordinari Zahl halten Zu dörfen. Erkant, biß der arbeit verfertiget, Willfahrt.

Le contrôleur reproche à Jean Chrétien Cullmann d’avoir un apprenti en surplus du nombre réglementaire. Le défendeur déclare que les Quinze lui ont accordé une permission.
1758, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
(f° 538) Dienstags den 30.ten Maji 1758 – Klag
Der dißortige Obermeister nomine E. E. Meisterschafft klagt wieder Meister Johann Christian Cullmann, daß er einen Gesellen mehr, als in den Articuln versehen und erlaubt, in Arbeit fördere, bittet Abstrafung, ref: exp :
Der beklagte Meister Cullmann zugege sagt, in Verantwortung der Anklag, daß er zwar einen Gesellen über die gewohnliche Zahl in Arbeit fördere, aber dieses in Kraft des von gnädigen Herren der XV.en beÿ welchen er supplicando eingekommen, erhaltener Erlaubnus wie er dann bescheid vom 29.ten Aprilis 1758. diesfalls producirt. Bitt um absolutionem der Anklag, ref: exp.
Erkannt, Weilen beklagter sich legitimirt daß er in der Ordnung gegangen, so seÿe er von der Anklag zu absolviren ref: Exp.

Jean Chrétien Cullmann est élu échevin chez les Tanneurs
1769 Conseillers et XXI (1 R 252) H. Joh: Christian Cullmann wird schöff beÿ E. E. Zunfft der gerber. 294.

Locataire de la maison bien que les tenants et aboutissants le citent comme propriétaire, le sellier Auguste Chrétien Gintzerot originaire d’Öhringen en Thuringe épouse en 1763 Anne Marie Cullmann : contrat de mariage, célébration

1763 (7. 9.br), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 100
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn August Christian Güntzerot, dem leedigen Sattlermeister, Weÿl. Herrn Caspar Güntzerot, des gewesenen ebenmäßigen Sattlers u. burgers zu großen Ehrig in Thüringen ehelichen erzeugt hinterlaßenen Sohn
So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Annæ Mariæ Cullmännin, des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Christian Cullmanns, des Sattlers und burgers alhier eheliche tochter
auf Montag den 7. Novembris anno 1763. [unterzeichnet] August Christian Güntzrott als Hochzeiter, Anna Maria Cullmännin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 7-v)
1763, Mittwoch den 23. wintermonats wurden nach zweimaligen Aufbieten ehelich getreut August Christian Günzerott der ledige Sattler u. burger allhier weil. H. Caspar Günzerotts gewesenen Sattlers u. burgers in Grossen Ehrich, mit Frau Anna Maria geb. Johnin ehl. erzeugter Sohn, Jungfr. Anna Maria Kullmännin H. Johann Christian Kullmanns des Sattlers und burgers allhier mit fr. Anna Maria geb. Weltzin ehl. erzeugte tochter [unterzeichnet] august Christian Güntzrott als Hochzeiter, Anna Maria Culmännin als hochzeiterin

Les enfants et héritiers de Jean Chrétien Cullmann et de sa femme Anne Marie Weltz morte le 9 nivôse VI se partagent les biens dont ils ont hérité.

1798 (1 ventose 6), Strasbourg 10 (12), Not. Zimmer n° 124
auf Ansuchen 1. Weil. Fraun Anna Maria geb. Cullmann mit burger August Christian Gintzrot ihrem hinterbliebenen Wittwer Sattler hinterlaßenen Kinder benandlich a) des bürgers Johann Christian Gintzrot Sattlers, b) Fraun Louisa Elisabetha geb. Gintzrot des burgers Johannes Kamm Gastgebers zur Blum Ehegattin, 2. Fraun Louisa Elisabetha geb. Cullmann weÿl. burgers Michael Mannberger gew. kiefers hinterlassenen wittib, 3. Fraun Sophia Dorothea geb. Cullmann des burgers Johann Jacob Knoerr Weinhändlers Ehegattin, Alle samt als von weÿl. dem burgers Johann Christian Cullmann Sattler und auch weÿl. Fraun Anna Maria geb. Weltz deßen hinterbliebenen und den 9. nivose jüngst verstorbenen Wittib erzeugter Kinder und respective Enckel
Mobilien Verkauf
den 11. floreal 6, Vorläufiger bericht, solle keine Unterschung und besondern berechnung des Väter: und respe. grosväterl. Vermögens worüber ohnehin kein Inventarium errichtet worden
Fahrende haab unter sich vertheilt
Behausungen, da über beede in die Verlaßenschafft gehörig gewesene und verkaufte behaußungen hinter der Niclaus Kirche N° 16 und am Fischmarckt N° 101 besondere Kauffverschreibung den 4. und 16. vor unterschriebenem Notario errichtet worden worin genau verzeichnet was jeder Erb vor seinen theil empfangen
Ehesteuren Gleichstellung
Samtliche Mobiliar Mass L 5377, abzuziehen 104, restiret 5273 – (Documenta)

Louise Elisabeth Cullmann veuve du tonnelier Jean Michel Mannberger rachète les parts de ses cohéritiers et devient seule propriétaire de la maison

1798 (11 floreal 6), Strasbourg 10 (38), Not. Zimmer n° 521
1. Weÿl. Fraun Anna Maria Gintzrot geb. Cullmann mit dem burger August Christian Gintzrot satler in erster Ehe erzeugt und hinterlassenen zweÿ Kinder benandlich der bürger Johann Christian Gintzrot, Sattler, und Frau Louisa Elisabetha Kamm geb. Gintzrot, des burgers Johannes Kamm Gastgebers zur Blum alhier Ehegattin, 2. Frau Sophia Dorote Knörr geb. Culmann, des burgers Johann Jacob Knörr Weinhändlers Ehegattin als von weÿl. der burgerin Anna Maria Cullmann geb. Weltz mit längst weÿl. dem burger Johann Christian Cullmann Sattler mit und beneben fraun Mannberger der hernachgelemten Käuferin ehelich erzeugte Kinder respective Enckel und zu dreÿ gleichen Stammtheilen hinterlassene Erben
in gegensein Fraun Louisæ Elisabethæ Mannberger geb. Cullmann weÿl. des burgers Michael Mannberger Kiefers Wittib
zween dritte Theil vor unvertheilt von und an der in gemelten Cullmann’sche Verlaßenschafft gehörigen behaußung und zugehörden samt allen derselben gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten an dem Fischmarckt N° 101, einseit neben b. Daniel Müller dem Spengler anderseit vornen und hinten auf die allmend gaß ziehend, welche ganze behaußung außer L 24 hießiger Gemeinde jährlich giebigen bodenzinßes frey ledig und eigen – um 12.000 francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 60 f° 108-v du 12 flo. 6

Jean Michel Mannberger demande une dispense pour faire son chef d’œuvre. Il manque les pages où l’affaire est traitée.
1773, Protocole des Quinze (2 R 184)
(f° 549*) Septembris – Faust nôe Johann Michael Mannberger des ledigen Kiefers von hier cit. E. E. Zunfft der Kieffer H. Zunfftmeister puncto verfertigung des Meisterstücks, prod. Memoriale und bitten mit beÿl. N° 1 und setzt Osterrieth nôe gegen [*]

Fils du tonnelier et marchand de vins Jean Daniel Mannberger, Jean Michel Mannberger épouse en 1774 Louise Elisabeth Cullmann : contrat de mariage par lequel les parents du futur époux lui louent leur maison, célébration
1774 (20.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 609-a
Eheberedung – zwischen dem Wol Ehren und Wol Vorachtbaren Herrn Johann Michael Mannbergern, dem leedigen Kieffer meister, Herrn Johann Daniel Mannbergers des ebenmäßiges Kieffer meisters und vornehmen Weinhändlers und Fraun Annä Margarethä gebohrner Demuthin, beeder Ehepersohnen und Burgere allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren und Tugendbegabten Jungfraun Louisæ Elisabethæ Cullmännin, Herr Johann Christian Cullmanns des Sattlers und Einer Ehrsamen Zunfft der Gerber Wolverdienten Schöffen und Frin Annæ Mariæ gebohrner Weltzin beeder Ehepersohnen und burgere allhier ehelich erzeugter tochter als der Jungfer Hochzeiterin aù andern Theil

Zum Neunden, haben sich des Herrn Hochzeiters geliebte Eltern dahin erklärt, daß Sie dießem ihrem Sohn dem Herrn Hochzeitern Zu sein und seiner Braut künfftigen Bewohnung den völligen untern Stock und Gemach hernach beschrieben, in allen ihren dreÿen Häussern am Metzgergießen, deren das Fordere das Eckhauß an der Dauphine Gaß auf 18 nach einander folgende Jahr welche nächststehend Johannis Baptistæ ihren Anfang nehmen sollen, gegen einem jährlichen richtigen Hauß Zinß von 350 livres tournois Zu nutzen, Zu bewohnen und Zu besitzen in Lehnung übergebren und einraumen wollen (…)
So geschehen allier Zu Straßburg auf Mittwoch den 20. Aprilis Anno 1774. Und sind hievon zweÿ gleichlautende exemplaria verfertiget worden von aller seits Parthen unterschriebenen und beeden verlobten eines davon Zugestelt worden das andere aber als eine Minute beÿ mein Notarii Acten verblieben [unterzeichnet] Jean Michel Mannberger als hochzeiter, Louwisa Elisabetha Cullmännin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 160-v, n° 17)
1774. Dienstag den 31. Maÿ sind nach ordentlich geschehenen ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Michael Mannberger der ledige Kiefer Weinhändler und burger alhier, herrn Johann Daniel Mannberger, des Weinhändlers und burgers alhier mit deßen Ehefrauen, Fraun Anna Margaretha geborner Demuthin, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Ludovica Elisabetha Cullmännin herrn Johann Christian Cullmann, des Sattlers und burgers alhier mit deßen Ehefrauen Fraun Anna Maria, geborner Weltzin ehelich erzeugte tochter, [unterzeichnet] Jean Michel Mannberger als hochzeiter, Loudovica Elisabetha Cullmänin als hohzeiterin (i 164)

Jean Michel Mannberger devient tributaire chez les Tonneliers le 21 septembre 1774.
1774, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 332) Mittwochs den 21. Septembris 1774 – N. Leibzünfftiger
Mstr Johann Michael Mamberger der Kieffer Evangelischer Religion stehet vor, und producirt Sdtallschein Vom 11. Julÿ jüngst, bittet ihne als einen neuen Leibzünfftigen anzunehmen.
Erkannt, Willfahrt. Zahlt pro receptione 1 lb 1 ß, für Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 3 ß

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents du mari. Les apports du mari s’élèvent à 1 436 livres, ceux de la femme à 984 livres.
1774 (4.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 278) n° 1335
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehren und Wol Vorgeachtete Herr Johann Michael Mannberger, der Kieffermeister und Weinhändler und die Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Louisa Elisabetha geborner Cullmännin, beede Eheleuthe und Burgere dahier in Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und in crafft der vor mir unterschriebenem Notario den 20. Aprilis unten bemelten Jahres errichteten Eheberedung §° 4° vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 4.ten Julÿ Anno 1774 In Præsentia H. Johann Daniel Mannbergers des Kieffers und Weinhändlers und Frauen Annä Margarethä gebohrner Demuthin beeder Eheleuthe und burgere dahier des Ehemanns geliebten Eltern, und H Johann Christian Cullmann des Sattlers und Burgers hieselbst der Ehefrauen geliebten Vatters.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzger Gießen gelegenen denen Alt Mannbergerischen Eheleuthen eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich hervorgethan als
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemann in die Ehe gebracht Gut betreffend, Sa. Haußraths 156, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 43, Sa. Eßig, Wein und Brandenwein 946, Sa. Golden geschmeids 93, Sa. baarschafft 62, Summa summarum 1313 lb – Ist zu addiren die Heffte deren Haussteuren 122 lb, Des Ehemanns gesamt in die Ehe Zugebracht Gut 1436 lb
Der Ehefraun in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Haußrath 241, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Ring 72, Sa. baarschafft 520, Summa summarum 862 lb – Darzu gelegt die Helffte der hernah beschriebenen Haussteuren dem 122, Der Ehefraun gesamt Zugehörigen Gut 984 lb
Nota. Nach beschriebene Posten befinden sich in beeder Eheleuthe von ihren Eltern und respectivé Schwiegereltern in Lehn habenden Behausungen, so ihnen Zu ihrem ferneren Gebrauch ohnentgeltlich in Verwaht gelaßen worden sind als

Jean Michel Mannberger et Louise Elisabeth Cullmann font dresser un état de leur fortune. L’inventaire est dressé rue Dauphine (actuelle rue d’Austerlitz) dans la maison qui apppartient à la mère du mari qui a quitté Strasbourg pour cause de dettes. La masse propre à la femme est de 1 125 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 414 livres, le passif à 1 671 livres
1777 (2.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 281) n° 1416
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon ausgenommen, so Meister Johann Michael Mannberger, der Kieffer und weinhändler und Frau Louisa Elisabetha gebohrne Cullmännin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg der Zeit activé besitzen, alß auch hinwieder passivé zu bezahlen schuldig sind, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Ihr der Ehefrauen selbsten und Zwar mit beÿstand Herrn Augustin Christian Güntzerott, des Sattlers und burgers allhier, ihres Schwagers, nach deme sich ihr Ehemann Schulden halben Von hier absentirt und Sie sich dahero genöthiget gesehen, Zu ihrem weiblichen Recht zu greiffen, auch dahero bereits beÿ E. E. Klenen Rhat darum geziemend bittlichen eingekommen und vermög dahero ertheilten bescheids vom 2. Junii 1777 ein monat Zeit quoad mobilia et tmmobilia Zur Inventur angesetzt worden, fleißig inventirt (…) So geschehen allhir Zu Straßburg auff Montag den 2. Junii anno 1777.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dauphine Gaß gelegenen dißortiger Ehemanns leiblicher Frauen Mutter eigenthümlich zuständigen Behaußung folgender maßen sich befunden
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen unveränderten Guths, Vermögen des über bbeder Ehe persohen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch mich Notarium in A° 1774 gefertigten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefr: unverändert Vermögen, Sa. Haußraths 240, Sa. Silbergeschmeids 29, Sa. Goldener Ring 72, Sa. baarschafft 20, Sa. Schulden 200, Sa. Ergäntzung 592, Summa summarum 1125 lb
Des Ehemanns und Theilbar Gut, Sa. Haußraths 260, Sa. leerer faß 4, Sa. brandenweins 9, Sa. Silbergeschmeids 19, Sa. Golden geschmeids 91, Summa summarum 414 lb – Schulden 1671 lb, In Compensatione 1527 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen allier Zu Straßburg auf Mittwoch den 20. Aprilis Anno 1774. Und sind hievon zweÿ gleichlautende exemplaria verfertiget worden von aller seits Parthen unterschriebenen und beeden verlobten eines davon Zugestelt worden das andere aber als eine Minute beÿ mein Notarii Acten verblieben

Le sellier carrossier Auguste Chrétien Güntzrot meurt dans la maison en délaissant trois filles issues de deux mariages

1806 (4.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 15), Not. Bossenius n° 312, 2814
Inventaire de la succession d’Auguste Chrétien Ginzrot, marchand-carrossier décédé en cette ville le 27 juin courant – à la requête de Dorothée Salomé née Burggraff veuve d’Auguste Chrétien Ginzrot Sellier-Corrossier a la Cour de S. M. Le Vice Roi d’Italie résidant à Milan, Louise Elisabeth Ginzrot épouse de Jean Kamm aubergiste a la Fleur, Marguerite Salomé Ginzrot épouse de Georges Frédéric Zimmer, notaire héritieres pour un tiers de leur père, procréée les filles ainées avec Anne Marie née Cullmann et ladite fille cadette avec Marguerite Salomé née Hüttel

dans la demeure du défunt marché aux poissons n° 101
Mobilier au grenier, sur la mansarde chambre des soldats, dans une petite chambre au corridor, au troisième étage dans la chambre de la servante, dans la cuisine dudit étage, dans une chambre audit étage, dans la deuxième chambre audut étage, dans la petite chambre audit étage, dans une chambre au deuxième étage, dans la deuxième chambre audit étage, dans la petite chambre au même étage, au premier étage dans la grande chambre, dans le cabinet a côté du poel, dans la cuisine au même étage, dans la boutique, dans la cave, sur le balcon
Dans la maison dite la Moresse marché aux poissons n° 107 au grénier, dans la chambre des soldats, Au premier étage au salon, dans la cuisine audit étage, dans la boutique, dans les deux caves, au magasin
dans la remise N° 13, derrière l’auberge a la ville de Vienne place des canoniers, bâtiment vis à vis la maison de Birckicht teintuier au premier étage, au deuxième étage, au grenier, dans la buanderie, dans la remise n° 4 vis à vis le quartier des canoniers, dans la cave, dans la mansade donnant sur le devant, dans une chambre donnant sur le derrière, dans la chambre donnant sur le devant
dans la maison rue du Jeu de paume n° 51 dans l’attelier des menuisiers, Au grenier, dans une chambre au grenier, dans la mansarde
(suite) dans une chambre dans la mansarde de ladite maison rue du Jeu de Paume n° 51 dans le cabinet, dans la chambre a coucher, dans une chambre au premier étage, dans la chambre a côté, dans la remise au même étage, dans la chambre du jardinier, dans l’attelier des serruriers, dans la cuisine au premier étage, dans la chambre des soldats, au grenier
(f° 35) Immeubles. Premièrement une maison ayant vastes magasins et autres appartenances dite à la Moresse situé au marché aux poissons n° 107 et entouré de rues communales, estimée 20.000 fr, acquise par adjudication définitive des ci devant administrateurs du Directoire du District de Strasbourg en date du 27 brumaire 2
Plus une maison et magasin avec petite cour puits et buanderie plce des canoniers faisant face à porte cocheres tant vers la caserne sous n° 4 que sur le fossé dit aux orphelins sous N° 13, d’un côté les maisons des De Weyh, Donzé, d’autre côté l’auberge a la ville de Vienne sur toute sa largeur, estimée 12.000 fr. L’acquisition du terrain sur lequel la maison a été construite a neuf par le défunt est constatée par contrat de vente passé à la Chambre des contrats le 29 novembre 1770
Plus une maison ayant porte cochère cour et puits un magasin avec porte cochere et grande cour ainsi qu’un grand jardin y attenant avec puits le tout sis a Strasbourg fauxbourg de la Krautenau au quartier des Suabes derrière la maison dite au jeu de paume n° 51, entre le Sr Eichborn et ladite maison, d’autre entre les propriétés du Sr Fritz charpentier, de la De Breck et le jardin du Sr Erhard jardinier entre lesquelles derniers ledit enclos a la propriété d’un passage et issue vers le rempart, devant la rue du jeu de Paume, derrière le jardin de l’hospice des orphelins, estimée 20.000 fr ; Titres de propriété, jugement la cour de Strasbourg le 12 octobre 1579, acte s.s.p. du 21 février 1586 et trois actes passés à la Chambre des contrats le 26 février 1677, 7 juin 1702 et 12 décembre 1777
Le petit jardin servant de passage et issue vers le rempart a été acquis par actr reçu Zimmer le 27 floréal 10, tv. 29 même mois, La propriété du petit jardin constatée pac acte reçu Dinckel le 7 prairial 5
corps de biens à Kleinfranckenheim 2400 fr, total des immeubles 54.400 fr, dettes actives – passif total de ce qu’il y a a rapporter par les enfants et héritiers Gintzrot 26.080 fr
acp 100 F° 54-v du 10.7. – acp 107 F° 30 du 19.7. (vacation du 18 juillet)

Louise Elisabeth Cullmann veuve du tonnelier Michel Mannberger vend la maison au marchand bottier Jean Sonntag moyennant 22 000 francs

1810 (25.9.), Strasbourg 10 (52), Not. Zimmer n° 3002, 4596
Louise Elisabeth Cullmann veuve de Michel Mannberger tonnelier, assitée de Jean Chrétien Mannberger son fils sellier carossier
à Jean Sonntag marchand Bottier
une maison avec appartenances et dépendances scise à Strasbourg marché aux poissons n° 101, d’un côté le Sr Müller ferblantier, d’autre, devant et derrière la rue communale – acquis deux tiers par indivis devant le soussigné notaire le 11 floreal 6, que l’autre tiers dans ladite maison est échu à la veuve Mannberger dans la succession d’Anne Marie Weltz sa mère veuve de Jean Chrétien Cullmann sellier – chargé d’une rente foncière de 24 fr à la commune de Strasbourg
(charges, clauses et conditions) 3. ladite maison ne puisse jamais etre vendue ni louée à un sellier carossier ni bourrelier – moyennant 22.000 francs
Enregistrement, acp 115 f° 135 du 1.10.

Originaire de Gemünden en Palatinat, le cordonnier Jean Sontag épouse en 1801 Marguerite Vallo, native de Merzig en Sarre
Mariage, Strasbourg (n° 249)
Du 19° jour du mois de Germinal l’an IX de la République française, Acte de mariage de Jean Sontag, agé de 27 ans, cordonnier domicilié en cette ville depuis deux ans, né à Gemünden Département de Rhin-Moselle le 28 juillet 1776, fils légitime de feu Jean Sontag, boulanger audit lieu, et de Christine Ranguth, Et de Marguerite Vallo, agée de 34 ans, domiciliée en cette ville depuis deux ans, née à Mertzig Département de la Sare le 20 mai 1766, fille légitime de feu Nicolas Vallo, militaire, et de feuë Marie Madeleine Peiffer (signé) Jean Sonntag, Marguerite valo (i 128)

Le marchand de vins Jean Sontag loue une cave au marchand d’herbes Schœnbæchler

1828 (12.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 57 F° 2
le 10 juin 1828. Bail pour trois années consécutives à dater d’aujourd’hui – le Sr Sonntag marchand de vin
au Sr Schoenbaechler marchand d’herbes
une cave au dessous de sa maison Vieux Marché aux Poissons n° 101 moyennant un loyer annuel de 15 francs

Donation de Marguerite Vallo et testament de Jean Sontag
1831 (24.9.), M° L’Ange
Donation éventuelle par- Marguerite Vallo femme de Jean Sontag Marchand de vins en gros à Strasbourg
en faveur de son mari pour le cas où il lui survivrait, de la propriété de tous les Biens de nature mobilière ou immobilière qu’elle délaissera à la charge de laisser prélever sur les biens une somme de 1000 francs sont elle se réserve de disposer à son gré
acp 205 (3 Q 29 920) f° 146-v du 26.9.
Dépôt par Jean Sonntag, Marchand de vins en gros à Strasbourg, de son testament olographe en date du 31 septembre courant contenant des legs en propriété et en usufruit en faveur de Marguerite Vallo sa femme demeurante avec lui. Ce testament n’est point enregistré
acp 205 (3 Q 29 920) f° 146-v du 26.9.

Jean Sontag meurt en décembre 1831 en délaissant pour seule héritière sa sœur demeurant à Gemünden

1831 (28 & 29.12.), Strasbourg 11 (28), Me L’Ange n° 1236
Inventaire de la succession de Jean Sonntag, marchand de vin décédé le 11 décembre dernier – à la requête de Marguerite Vallo la veuve, commune en biens selon les anciens statuts de la ville comme s’étant mariée le 19 germinal an 9, légataire en toute propriété des meubles de la succession de son mari & en usufruit viager des autres biens meubles immeubles suivant testament olographe du 21 septembre dernier, François Xavier Doss, huissier, exécuteur testamentaire & à la requête de Susanne Sonntag veuve de Joseph Wagner, cultivateur à Gemünden arrondissement de Coblence, sœur et unique héritière de son frère germain
tant dans la maison rue des Mineurs n° 3 dans l’une des caves de laquelle sont les vins que dans la maison rue du Vieux Marché aux Poissons n° 101 appartenant aux époux Sontag
Pièces relatives aux conquets de la communauté, selon acte reçu Zimmer le 29 septembre 1810 Louise Elisabeth Cullmann veuve Mannberger a vendu au défunt la maison sise Vieux Marché aux Poissons n° 101, la veuve Mannberger a acquis les deux tiers indivis de cette même maison de ses cohéritiers dans la succession de sa mère Anne Marie Weltz veuve de Cullmann
deuxième étage dans le salon, dans la grande cave, dans la petite cave, cabinet à côté du salon, deuxième appartement donnant vers les Grandes Boucheries, troisième étage, cuisine, quatrième étage chambre de garçon, corridor, grenier, Premier étage, grand poele, cuisine, deuxième étage pière principale, au rez de chaussée
vins à l’entrepôt, tonneaux et ustensiles 17 024 fr, argent 1005 fr ; meubles meublants, garde robe 2433 fr ; dettes actives 887 fr ; passif 4372 fr
acp 207 (3 Q 29 922) f° 126-v du 6.1. – acp 207 (3 Q 29 922) f° 160-v du 4.1. (sic)

Lors de la liquidation, les deux tiers de la maison reviennent à l’héritière, la veuve étant propriétaire du tiers restant d’après les anciens statuts de la Ville de Strasbourg

1832 (12.7.), Strasbourg 11 (28), Me L’Ange n° 1305
Liquidation et partage de la succession délaissée par Jean Sontag, marchand de vin en gros décédé le 11 décembre 1831 – à la requête de Marguerite Vallo la veuve, à cause de la communauté d’acquets, usufruitière viager de toute la succession du défunt selon son testament, Suzanne Sontag veuve de Joseph Wagner, cultivateur à Gemünden arrondissement de Coblence sœur germaine et unique héritière du défunt, selon l’inventaire dressé par M° L’ange le 28 décembre 1831
Masse active, immeuble de la communauté, une maison à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 101, estimée à un revenu de 800 fr, faisant en capital 16.000 fr
à Susanne Sontag, les deuxième tiers indivis de la maison, 10.666 fr
à la veuve le dernier tiers de la maison, 5333 fr
Enregistrement, acp 211 f° 90 du 16.7.

Marguerite Vallo laisse des héritiers collatéraux. Le rez-de-chaussée de la maison sert de bureau des messageries royales

1834 (9.4.), Strasbourg 11 (29), Me L’Ange n° 1571
Inventaire de la succession de Marguerite Vallo, veuve de Jean Sonntag, marchand de vins en gros, décédée rue du Vieux Marché aux Poissons n° 101 – à la requête de Christophe Wagner son neveu, bottier à Gemünden, arrondissement de Cobence (Prusse Rhénane) légataire universel des biens meubles
Georges Bechel, drapier à Sarrelouis, père et tuteur légal de Sébastien né le 24 octobre 1816 et Jean Baptiste Bechel né le 8 août 1818, seuls enfants existants issus de Marie Anne Hermann, cousine germaine de ladite Vallo, légataires universels par testament public reçu L’Ange le 14 janvier dernier – en présence de Charles Adolphe Roederer, licencié en droit au nom de [bas de pages rongées d’humidité] à Sarrelouis subrogé tuteur
Titres et papiers, inventaire de Jean Sonntag dressé par M° Lange le 28 décembre 1831, partie d’une maison à Strasbourg Vieux Marché aux Vins n° 101
meubles au quatrième étage, chambre de domestique, au grenier, dans la cave, dans la cuisine, au second étage chambre à coucher et cabinet a côté, dans le salon, au rez de chaussée bureau des messageries royales, numéraire, 4553 fr – déclarations actives 717 fr, passif 823 fr
Enregistrement, acp 224 f° 109 du 18.4.

Le directeur des messageries Philippe Henrich se rend adjudicataire de la maison moyennant 23 700 francs. Un rapport d’experts est joint au cahier des charges

1835 (15.12.), Strasbourg 10 (90), Me Zimmer
Cahier des Charges du 20 octobre n° 2093 – Adjudication définitive. 1. Jean Paul Detroyes, avoué près le tribunal civil de Strasbourg, au nom de Marie Suzanne Wagner épouse de Pierre Casper, cultivateur à Gemünden arrondissement de Coblence (Prusse Rhénane), 2. Jean Théodore Körttgé, clerc de notaire au nom de Christophe Wagner, bottier à Gemünden tant en son nom et qu’administrateur des biens de ses quatre enfants Elisabeth Marguerite, Christophe, et Frédéric, 3. Amboise François Xavier Ackermann, avoué au nom de Georges Bechel, drapier à Roden près Sarrelouis (Prusse Rhénane) usufruitier légal des biens de ses deux enfants mineurs Sébastien et Jean Baptiste, 4. Jean Frédéric Roser, licencié en droit, mandataire de Nicolas Havener à Sarrelouis tuteur des mineurs Bechel – Jugement préparatoire du 10 août dernier entre les conjoints Casper demandeurs (…), rapport d’experts du 19 août dernier et jugement du 31 août
Philippe Henrich, directeur des messageries de Strasbourg, pour 23.700 francs
Désignation de la maison à vendre. une maison consistant en un seul corps de bâtiment à rez de chaussée et trois étages avec caves et combles et toutes appartenances et dépendances sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 101, estimée à 13 000 francs, d’un côté Sr Müller ferblantier des trois autres côtés la rue communale – Etablissement de la propriété, a appartenu à Louise Elisabeth Cullmann veuve de Michel Mannberger, tonnelier, qui en a recueilli un tiers dans la succession de sa mère Anne Marie Weltz veuve de Jean Chrétien Cullmann, sellier, et acquis deux tiers suivant acte reçu Zimmer le 30 avril 1798 (11 floréal an 6), la veuve Mannberger a vendu ledit immeuble à Jean Sonntag, marchand bottier, par acte passé devant Me Zimmer le 29 septembre 1810 pendant le mariage avec Marguerite Vallo avec laquelle il était marié sous le régime de la communauté légale, partageable à deux tiers er un tiers. Les deux tiers sont avenus à sa sœur germaine et unique héritière Marie Susanne Sonntag domiciliée à Gemünden veuve de Joseph Wagner, cultivateur, le dernier tiers à la veuve suivant liquidation dressée par M° L’Ange le 12 juillet 1832. La veuve Wagner est décédée le 5 mai 1833 laissant pour seuls héritiers naturels ses deux enfants Marie Susanne femme de Pierre Casper, cultivateur à Gemünden, et Christophe Wagner, bottier, le tiers indivis à la De Casper le second tiers serait naturellement avenu à Christophe Wagner mais par testament reçu Me Thüring à Simmeren arrondissement de Coblence le 1 mai 1833 elle a légué aux quatre enfants de Christophe Wagner nommés Elisabeth, Marguerite, Christophe et Frédéric la nue propriété de la part qui serait échue à Christophe Wagner, grevé d’usufruit viager au profit de Christophe Wagner. Le tiers ayant appartenu à la veuve Sontag née Vallo actuellement propriété de Sébastien Bechel et Jean Baptiste Bechel deux seuls enfants existants du mariage de Georges Bechel, drapier à Roden près Sarrelouis, et Anne Marie Herrmann légataires universels par testament reçu Me L’Ange le 14 janvier 1834, et inventaire dressé le 9 avril 1834. L’immeuble est chargé d’une rente foncière communale au profit de la ville de Strasbourg de 23,60 francs et ne pourra jamais être vendu ni loué à un sellier carrossier ni bourrelier – Adjudication préparatoire du 3 décembre à Frédéric Flaxland
Rapport d’experts du 19 août. Philippe Jacques Hennenberg, Jean Frédéric Klinck et Chrétien Auguste Arnold tous trois architectes (…) consiste en un seul corps de bâtiment à rez de chaussée et trois étages ayant deux faces en maçonnerie et la troisième en galandure. Dessous se trouvent deux caves sous solives et dessus un comble à trois greniers avec couverture en tuiles doubles. Le rez de chaussée renferme un bureau, un cabinet, un couloir, une cage d’escalier, un cabinet d’aisances et les escaliers des deux caves. Le premier étage contient une cage d’escalier, renferme une pompe deux chambres dont l’une à alcove et une cuisine avec chaudière à lessive. Le long de cet étage et sur la face principale se trouve un balcon. Le second étage est composé d’une cage d’escalier et de trois chambres. Le troisième étage renferme une cage d’escalier, quatre chambres et une cuisine. Dessus comble à trois greniers couverts comme il est dit. Le premier des greniers renferme trois galetas et une cuisine plus la cage d’escalier. Cette dernière se prolonge jusqu’au troisième grenier et est séparé des deux greniers supérieurs par une clôture en planches, estimé à 13.000 francs
Enregistrement, acp 236 f° 76-v du 16.12.

Fils de fripier, Philippe Heinrich épouse en 1831 Julie Emilie Haan, fille de boucher
1831 (2.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 61), Me Hickel n° 3797
Contrat de mariage – Philippe Heinrich, directeur des messageries Notre Dame des Victoires à Paris à Strasbourg fils de feu Philippe Heinrich, fripier, et de Salomé Dorothée Roth
Julie Emilie Haan, fille de Philippe Jacques Haan, boucher, et de Marie Barbe Decker
art. 2, apports du futur, une maison avec appartenances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 18, d’un côté le Sr Letz cordonnier, d’autre le Sr Schenckel relieur, derrière le Sr Schulmeister boulanger – acquise par le futur époux du Sr Schumann, professeur de musique par acte passé hier devant le notaire Noetinger
acp 204 (3 Q 29 919) f° 73-v du 6.6. portant réserve d’apport et des habillements et linges propres à chacun, communauté d’acquêts partageable par moitié, au décès de l’un deux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé, don de survie par le futur à la future d’une somme de 1200 francs
le futur se constitue en propre une valeur mobiliere de 12.481 francs, plus une maison rue des serruriers N° 18
les père et mère de la future épouse lui constituent en dot en meubles et numéraire 3728 francs
dans le cas où le futur viendrait à perdre sa place, les père et mère font donation à leur fille sur sa tête d’une rencte viagère annuelle de 500 francs qui sera servie tant que le futur restera sans place et qui cessera lorsqu’il en obtiendra une nouvelle la future épouse se constitue en propre en bijoux et argenterie

Philippe Heinrich meurt en avril 1840
1840 (21.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer
Inventaire de la succession de Philippe Heinrich, ancien directeur de messageries, décédé le 3 avril dernier – à la requête de Julie Emilie Haan la veuve commune en biens suivant contrat de mariage reçu Hickel notaire à Strasbourg le 2 juin 1831, mère et tutrice légale de ses trois enfants Emile Philippe Jules, Emilie Julie, Wilhelmine Pauline
continuation f° 52 du 6.8. (vacation du 31 juillet) une maison à Strasbourg place des Orphelins n° 17, 18, 19 – une campagne à Osthoffen
Enregistrement, acp 278 F° 61 du 1.6

Julie Emilie Haan meurt en 1861 en délaissant trois enfants
1861 (18.6.) M° Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Julie Emilie Hann, veuve Philippe Heinrich directeur des messageries à Strasbourg, décédée le 26 mars dernier, dressé à la requête de 1) Emile Philippe Jules Heinrich, ingénieur à Strasbourg, 2) Wilhelmine Pauline Heinrich, épouse de Charles Théodore Burckhardt, négociant à Strasbourg, 3) ce dernier comme tuteur d’Emilie Julie Heinrich, interdite
acp 499 (3 Q 30 214) f° 92-v du 24.6. (succession déclarée le 21 août 1861) Il dépend de la succession 1) moitié du mobilier de la communauté, estimée 1018, 2) mobilier pour 507, 3) argent 942, 4) créances 4600
Une maison sise à Strasbourg place des Orphelins N° 17, 18 et 19
Rapport de Mad. Burckhardt 10.000, rapport du fils 11.000, Intérêts et loyers 874 – Passif 4146 francs

Philippe Heinrich et Julie Haan vendent la maison à Albert Victor Hugues Ottmann, Adalbert Gédéon Edouard Ottmann et Rodolphe Henri Edmond Ottmann, négociants sous la raison de commerce Ottmann et fils

1840 (26.3.), Strasbourg 8 (anc. cote 69), Me Zeyssolff n° 293
Philippe Heinrich, ancien directeur de messageries, et Julie Haan
MM Albert Victor Hugues Ottmann, Adalbert Gédéon Edouard Ottmann et Rodolphe Henri Edmond Ottmann, négociants sous la raison de commerce Ottmann et fils
Désignation de l’immeuble, une maison consistant en un seul corps de bâtiment à rez de chaussée et trois étages avec cave et combles et toutes appartenances, dépendances sise à Strasbourg au Vieux Marché aux Poissons n° 101, d’un côté le Sr Müller ferblantier des trois autres côtés la rue communale – Etablissement de la propriété, provenant adjudication sur les héritiers Jean Sontag, marchand bottier ensuite marchand de vins, et Marguerite Vallo, suivant acte reçu Zimmer le 15 décembre 1835 transcrit au bureau des hypothèques volume 301 n° 55, lesdits héritiers nommés 1. Marie Susanne Wagner épouse de Pierre Caspar, cultivateur à Gmünden arrondissement de Coblence (Prusse rhénane), 2. Elisabeth, Marguerite, Christophe et Frédéric Wagner, enfants mineurs de Christophe Wagner, bottier audit lieu, 3. Sébastien Bechel et Jean Baptiste Bechel, enfants mineurs de Georges Bechel, drapier à Rodern près Sarrelouis. Après le décès du Sr Sontag, ses héritiers étaient pour deux tiers sa sœur germaine demeurant à Gmünden veuve de Joseph Wagner, cultivateur, pour un tiers la De Sontag née Vallo suivant liquidation dressée par Me L’Ange le 12 juillet 1832. La veuve Wagner est décédée le 5 mai 1833 laissant pour héritiers naturels ses deux enfants Marie Susanne femme de Pierre Caspar et Christophe Wagner, bottier, la De Caspar venant ab instestat à la succession de sa mère en recueillit la moitié dans laquelle moitié se trouvait celle des biens à la liquidation précitée du 12 juillet 1832, le second tiers appartenant à la De Wagner serait naturellement venu à Christophe Wagner son fils mais par Testament devant Me Thüring à Simmern arrondissement de Coblence du 1 mai 1833 la veuve Wagner a légué aux quatre enfants issus de Christophe Wagner susnommé la nue propriété de toute la part des biens de la veuve Sontag qui seraient échus à Christophe Wagner, le tiers appartenant à la De Sontag née Vallo il était devenu la propriété de Sébastien Bechel et Jean Baptiste Bechel les deux seuls enfants encore existants du mariage de Georges Bechel, drapier à Roden près Sarrelouis, légataires universels par testament public reçu Me L’Ange le 14 janvier 1834 sont entrés en possession par jugement du tribunal civil en date du 12 février 1835. La De Sontag l’a acquis de Louise Elisabeth Cullmann veuve de Michel Mannberger, tonnelier à Strasbourg suivant vente passée devant Me Zimmer le 29 septembre 1810, la veuve Mannberger recueilli un tiers dans la succession de sa mère Anne Marie Waltz veuve de Chrétien Cullmann, sellier, et acquis deux tiers des représentants de la veuve Cullmann suivant acte reçu Zimmer le 30 avril 1798 (11 floreal 6) – moyennant 20.000 francs

Henri Ottmann (Rodolphe Henri Edmond Ottmann) épouse en 1839 Julie Keller
1839 (26.8.), Strasbourg 8 (anc. cote 68), Me Zeyssolff n° 59
Contrat de mariage – Rodolphe Henri Edmond Ottmann, négociant à Strasbourg, fils de Philippe Daniel Ottmann, propriétaire en cette ville, et de Marguerite Barbe Baehr
Julie Keller fille de défunt Jean Jacques Keller, propriétaire et de Marguerite Salomé Seiffert
communauté réduite aux acquets
Enregistrement de Strasbourg, acp 271 F° 16 du 2.9.

Inventaire des apports
1840 (27.2.), Strasbourg 8 (anc. cote 69), Me Zeyssolff n° 251
Inventaire des apports de Rodolphe Henri Edmond Ottmann, négociant, et Julie Keller, contrat de mariage reçu par le notaire rédacteur le 26 août 1839
Enregistrement de Strasbourg, acp 276 F° 26 du 28.2.

Victor Ottmann (Albert Victor Hugues Ottmann) épouse en 1842 Célestine Burckhardt. Le futur époux apporte en mariage le tiers des deux maisons acquises avec ses frères. Son père lui fait donation de la moitié de sa maison rue de la Lie.

1842 (5.5.), Strasbourg 8 (64), Me Zeyssolff n° 1150
Contrat de mariage – Ont comparu I. M. Albert Victor Hugues Ottmann, négociant domicilié et demeurant à Strasbourg, fils majeur et légitime de M. Philippe Daniel Ottmann, ancien négociant, demeurant en la même ville, et de De Marguerite Barbe Baer, son épouse décédée, procédant en son nom, du consentement de son père, comme futur époux d’une part, M. Ottmann père stipulant aux présentes à cause de la constitution de dot qu’il va faire à son fils
II. Dlle Célestine Burckhardt, fille mineure et légitime de M. Jean Léonard Burckhardt, propriétaire et de De Marie Salomé Blessig, son épouse avec lesquels elle demeure et est domiciliée à Strasbourg stipulant en son nom du consentement sous l’assistance et autorisation de ses père et mère présens comme future épouse d’autre part, M. & Mad. Burckhardt comparaissant en outre en leur nom personnel à cause de la constitution de dot qu’ils vont faire à leur fille

Article VII. Les biens que le futur époux déclare apporter en mariage consistent en (…) un tiers par indivis à la maison et dépendances sise en cette ville vieux marché aux poissons N° 101, d’un côté M Müller, des trois autres côtés communal
un tiers par indivis à la maison et dépendances sise en cette ville rue de la Douane N° 18 formeant le coin de la rue du bateau, attenant à la propriété Ottmann
Les deux maisons ont été acquises par M. Ottmann conjointement avec MM. Edouard Ottmann et Henri Ottmann, négociants de Strasbourg, ses frères, chacun de pour un tiers. La première de M. Philippe Heinrich ancien directeur de messageries et de De Julie Hahn époux à Strasbourg suivant contrat passe devant le soussigné notaire Zeyssolff qui en a la minute le 26 mars 1840 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 11 avril suivant volume 359 N° 4 à charge d’une inscription d’office volume 323 N° 259. La seconde de M. Jean Paul Moser, propriétaire à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit notaire le 2 janvier 1841, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 janvier 1841 volume 366 numéro 25 à charge d’une inscription d’office volume 238 numéro 190.
Article VII. En considération du mariage M. Ottmann père fait donation entre vifs irrévocable et constutue en dot en avancement de sa succession à M. Ottmann son fils, futur époux, acceptant, 2° de la moitié indivise d’une maison et dépendances sise à Strasbourg rue de la lie N° 8, attenant à la propriété de M. Ehrenfeuchter d’un côté et par derrière , de l’autre à M. Eberlé, évaluée pour la percepton de droits d’enregistrement à un revenu annuel de 75 francs en capital 1500 francs. Cet immeuble appartient à M. Ottmann pour en avoir hérité se feu son père M. Pierre Daniel Ottmann, vivant ancien négociant en cette ville, ainsi qu’il est à voir par la liquidation dressée de sa succession par M. Zimmer ancien notaire à Strasbourg en date au commencement du 4 juin 1823
acp 298 (3 Q 30 013) f° 25 – communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié. Les apports du futur consistent en meubles & objets mobiliers d’une valeur de 2032, argenterie 609, argent comptant 8100, un tiers d’intérêts dans la maison de commerce de Strasbourg sous la raison Ottmann & fils, un tiers dans une maison et dépendances à Strasbourg vieux marché aux poissons N° 101, un tiers indivis d’une maison à Strasbourg rue de la douane n° 18 et de la part héréditaire ou le 5° dans la succession de sa mère non encore liquidée
Déclaration d’une dettes passives de 4300 francs
Donation en avancement d’hoirie par M. Ottmann père au futur acceptant 1° d’une somme de 3000, de la moitié indivise d’une maison à Strasbourg rue de la Lie N° 8 évaluée à un capital de 1500
Donation par les père et mère de la future épouse à celle-ci acceptant en avancement d’hoirie I. de 5000 francs comptant, II. les meubles, linge, literie et une valeur de 4027 francs
Donation par le futur en cas de survie sans enfant d’une somme de 3000 francs à prélever sur le plus clair de sa succession. Donation mutuelle entre les futurs de la jouissance gratuite et viagère au profit du prémorant d’eux de toute la succession du prémourant à charge de faire dresser inventaire. Cette donation sera réductible en cas d’existence d’enfants de ce mariage.
La donation de la maison au futur époux est faite moyennant 1500 francs dont il fera état à la succession de son père

Edouard Ottmann (Adalbert Gédéon Edouard Ottmann) épouse en 1842 Caroline Kopp. Le futur époux apporte en mariage le tiers des deux maisons acquises avec ses frères. Son père lui fait donation de l’autre moitié de sa maison rue de la Lie.

1842 (5.5.), Strasbourg 8 (64), Me Zeyssolff n° 1151
Contrat de mariage – Ont comparu I. M. Adalbert Gédéon Edouard Ottmann, négociant domicilié et demeurant à Strasbourg, fils majeur et légitime de M. Philippe Daniel Ottmann, ancien négociant, demeurant en la même ville, et de feu De Marguerite Barbe Baer, agissant en son nom, du consentement de son père, comme futur époux d’une part, M. Ottmann père stipulant aux présentes à cause de la constitution de dot qu’il fera ci après à son fils
II. Dlle Caroline Kopp, majeure d’ans, fille légitime de M. Jean Louis Kopp, fabricant de toiles cirées et de De Caroline Trautmann, son épouse avec lesquels elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, procédant en son nom du consentement sous l’assistance et autorisation de ses père et mère, comme future épouse d’autre part, M. & Mad. Kopp comparaissant en outre en leur nom personnel à cause de la constitution de dot qu’ils vont faire à leur fille

Article VII. Les biens que le futur époux déclare apporter en mariage consistent en (…) un tiers par indivis à la maison et dépendances sise en cette ville rue de la Douane N° 18 formeant le coin de la rue du bateau, attenant à la propriété Ottmann
un tiers par indivis à la maison et dépendances sise en cette ville vieux marché aux poissons N° 101, d’un côté M Müller, des trois autres côtés communal
Ces deux maisons ont été acquises par M. Ottmann conjointement avec MM. Victor Ottmann et Henri Ottmann, négociants de Strasbourg, ses frères, chacun de pour un tiers. La première de M. Jean Paul Moser, propriétaire à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant le soussigné notaire Zeyssolff qui en a la minute le 2 janvier 1841, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 janvier 1841 volume 366 numéro 25 à charge d’une inscription d’office volume 238 numéro 190. La seconde de M. Philippe Heinrich, ancien directeur de messageries et de De Julie Hahn, époux à Strasbourg suivant contrat passe devant ledit notaire Zeyssolff le 26 mars 1840 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 11 avril suivant volume 359 N° 4 à charge d’une inscription d’office volume 323 N° 259
Article VII. En considération du mariage M. Ottmann père fait donation entre vifs irrévocable et constutue en dot en avancement de sa succession à M. Ottmann son fils, futur époux, acceptant, 2° de la moitié indivise d’une maison et dépendances sise à Strasbourg rue de la lie N° 8, attenant à la propriété de M. Ehrenfeuchter d’un côté et par derrière , de l’autre à M. Eberlé, évaluée pour la percepton de droits d’enregistrement à un revenu annuel de 75 francs en capital 1500 francs. Cet immeuble appartient à M. Ottmann pour en avoir hérité se feu son père M. Pierre Daniel Ottmann, vivant ancien négociant en cette ville, ainsi qu’il est à voir par la liquidation dressée de sa succession par M. Zimmer ancien notaire à Strasbourg en date au commencement du 4 juin 1823
acp 298 (3 Q 30 013) f° 25-v – communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié. Les apports du futur consistent en meubles & objets mobiliers d’une valeur de 1982, argenterie 358, argent comptant 8100, un tiers d’intérêts dans la maison de commerce de Strasbourg sous la raison Ottmann & fils, un tiers indivis d’une maison à Strasbourg rue de la douane n° 18, un tiers dans une maison et dépendances à Strasbourg vieux marché aux poissons N° 101, et de la part héréditaire ou le 5° dans la succession de sa mère non encore liquidée
Déclaration d’une dettes passives de 4300 francs
Donation par M. Ottmann père au futur acceptant en avancement d’hoirie 1° d’une somme de 3000, de la moitié indivise d’une maison à Strasbourg rue de la Lie N° 8 évaluée à un capital de 1500. Cette donation est faite moyennant 1500 francs dont il fera état à la succession de son père
Donation par les père et mère de la future épouse à celle-ci acceptant en avancement d’hoirie I. d’un trousseau, meubles, linge, literie et une valeur de 3379 francs, II. de 1307 francs comptant, III. et de créances actives dues en vertu de titres authentiques en bonne forme, ensemble 9093, total général 13.779.
Donation 1° par le futur en cas de survie d’une somme de 3000 francs à prélever sur le plus clair de sa succession, 2° entre les futurs par le prémorant au profit du survivant de la jouissance gratuite et viagère de toute la succession du prédécédé. Cette donation sera réductible en cas d’enfants.

Célestine Burckardt et Victor Ottmann font dresser un inventaire de séparation de biens
1869 (28.4.) Strasbourg 6 (99), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5933
Inventaire après la séparation de biens d’entre Madame Célestine Burckardt épouse de M. Albert Victor Hugues Ottmann, négociant demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg et de mondit sieur Ottmann
L’an 1869 le mercredi 28 avril à deux heures de relevée, à Strasbourg en la demeure de Mad° Ottmann, à la requête de Madame Célestine Burckardt épouse séparée quant aux biens de M. Albert Victor Hugues Ottmann, négociant, agissant en conséquence du jugement qui a prononcé leur séparation de biens rendu par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 19 avril présent mois (…) Mad. Ottmann assistée de M. Valentin Ferdinand Schnéegans, avoué près ledit tribunal demeurant à Strasbourg, son conseil
Et en présence de 1. M. Ottmann ci-dessus nommé, 2. Et. M. Léopold Mendel, arbitre de commerce, demeurant à Strasbourg, ce dernier agissant en qualité de syndic définitif de la faillite de la société de commerce ayant existé à Strasbourg sous la raison sociale « Ottmann & Fils » et composée de M. Ottmann susnommé et de M. Henri Ottmann négociant demeurant autrefois à Strasbourg
Le tout trouve dans diverses localités faisant partie d’une grande maison sise à Strasbourg rue de la Douane N° 3 et rue du Bateau N° 4 propre à M Ottmann où M. et Mde Ottmann ont leur habitation.
acp 582 (3 Q 30 297) f° 65 du 1.5. – communauté de biens suivant contrat de mariage reçu Zeyssolff le 5 mai 1842. Il résulte que les reprises qu’elle est en droit d’exercer s’élèvent à 41.350 francs

1868 (10.6.), M° Roessel
Consentement par Albert Victor Hugues Ottmann négociant et Christine Burckhardt sa femme à Strasbourg au mariage de leur fille Anne Louise Ottmann sans état majeure à Strasbourg avec Frédéric Oscar Wolff ingénieur à Leipsick
acp 571 (3 Q 30 286) f° 83 du 11.6.

Victor Ottmann, Edouard Ottmann et Henri Ottmann dissolvent leur société
1867 (26.9.), Strasbourg 8 (79), Not. Gustave Edouard Loew n° 2411
Dissolution de société – Ont comparu 1° Mr Victor Ottmann, d’une part, 2° Mr Edouard Ottmann, de seconde part, 3° Et Mr Henri Ottmann de troisième part, les trois négociants demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels oont pas ces présentes déclaré d’un commun accord consentir à la dissolution pure et simple à compter du 30 septembre courant de la société en nom collectif qui avait été formée entre eux sous la raison « Ottmann et fils » pour l’exploitation à Strasbourg d’une maison de commerce s’occupant des affaires de commission et d’expédition.
Mr Victor Ottmann, l’un des comparans, sera chargé de la liquidation des affaires de la société.
acp 566 (3 Q 30 281) f° 73-v du 28.9.

Victor Ottmann et son fils Henri Adolphe Ottmann constituent une nouvelle société sous la même raison sociale (dont fait partie la maison)

1867 (9.10.), Strasbourg 8 (79), Not. Gustave Edouard Loew n° 2426
Acte de société – Ont comparu 1° Mr Victor Ottmann, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, d’une part, 3° Et Mr Henri Adolphe Ottmann, son fils, majeur, commis-négociant demeurant et domicilié en ladite ville, d’autre part, lesquels, désirant former entre eux une société en nom collectif qui aura pour but l’exploitation d’une maison de commerce s’occupant des affaires de commission & d’expédition, en ont arrêté les conditions ainsi qu’il suit, savoir
Article premier. Il y aura entre MM Victor Ottmann et Henri Adolphe Ottmann société en nom collectif pour l’exploitation d’une maison de commerce s’occupant des affaires de commission et d’expédition.
Article deuxième. Cette société est contractee pour une durée de neuf années & neuf mois qui ont commende le 30 novembre 1867 et finiront le 30 juin 1877. Ette existera sous la raison « Ottmann et fils »
Article troisième.M. Victor Ottmann apporte à la société son avoir social dans l’anciene maison de commerce qui avait existé à Strasbourg entre lui et MM. Edouard Ottmann & Henri Ormann, es deux frères également sous la raison siclaile « Ottmann et fils » et qui été dissoute à partir di 30 septembre 1867 suivant acte passé devant M° Loew, notaire soussigné et un collègue le 26 septembre 1867 enregistré
(…) Fait et passé à Strasbourg au bureau de M. Victor Ottmann rue de Sébastopol N° 8.
acp 566 (3 Q 30 281) f° 94 du 9.10.

Le tribunal de commerce déclare la société en faillite le 22 février 1869. Henri Ottmann se rend adjudicataire de la maison.

1869, Strasbourg 6 (99), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5946
Cahier des charges du 12 mai – Enonciation du jugement ordonnant la vente. Suivant jugement rendu par le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville le 20 avril 1859 enregistré, sur requête à lui présentée par M. Henri Engelhard, avoué près ledit tribunal, demeurant à Strasbourg, sur les poursuites de 1° M. Léopold Mendel, arbitre de commerce, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de syndic définitif de la faillite des Sieurs Albert-Victor-Hugues Ottmann et Henri-Adolphe Ottmann fils, les deux négociants domiciliés à Strasbourg associés sous la raison sociale « Ottmann & Fils », 2°, Albert-Victor-Hugues Ottmann, ci-dessus dénommé, qualifié et domicilié, 3° Adalbert Gédéon Edouard Ottmann négociant, 4° Rodolphe Henri Edmond Ottmann,directeur des messageries impériales à Strasbourg, ces deux derniers demeurant et domiciliés à Strasbourg, il a été ordonné que par M° Roessel, notaire soussigné à ce commis, il sera procédé dans les formes prescrites par la loi à la vente de la première des maisons, ci après décrites et à la vente par licitation des deux maisons ci après désignées sous les articles deux et trois.

Désignation des maisons à vendre. Article premier. Une grande maison (…) rue de la Douane n° 3 ancien n° 19 (…)
Article deux. Une maison rue de la Douane n° 1 autrefois n° 18 (…)
Article trois. Une maison consistant en un seul corps de bâtiment à rez de chaussée et trois étages, mansarde, terrasse, cave, pompe, droits et dépendances, sise à Strasbourg sur la place du vieux-marché-aux-poissons n° 5 autrefois n° 101, de l’autre côté la rue de l’Etal où elle porte le n° 6 du troisième côté ladite place et par derrière M Wittmann.
Etablissement de la propriété. La maison ci-dessus désignée sous l’article premier et le tiers indivis des deux autres maisons décrites sous les articles deux et trois dépendent et font partie de l’actif personnel de M. Albert-Victor-Hugues Ottmann, susnommé, qui était associé avec M. Henri-Adolphe Ottmann son fils, négociant demeurant à Strasbourg sous la raison sociale  » Ottmann et fils « , société qui a été déclarée en état de faillite suivant jugement rendu par le tribunal de commerce de Strasbourg le 22 février 1849, enregistré. Les deux autres tiers indiis desdites maisons décrites sous les articles deux et trois appartiennent à MM. Adalbert Gédéon Edouard Ottmann & Rodolphe Henri Edmond Ottmann, les deux également susnommés. Le tiers appartenant à ce dernier dans lesdites deux maisons fait partie de la communauté de biens qui existe entre lui & Mad. Julie Keller son épouse. Et sur les poursuites de MM. Medel et Ottmann, le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg par jugement du 27 avril dernier précité a ordonné la vente de la première maison susdésignée & la vente par formee de licitation des maisons indvises entre MM. Ottmann décrites ci-dessus sous les articles deux et trois.
Origine de la propriété de l’article premier (…)
Origine de la propriété de l’article deux (…)
Origine de la propriété de l’article trois. Du chef de M. Ottmann. MM. Ottmann ont acquis la maison dérite sous l’article trois de M. Philippe Heinrich, ancien directeur de messageries, et de D° Julie Haan, son épouse, demeurant ensemble à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Zeyssolff, alors notaire à Strasbourg, déjà nommé, le 26 mars 1840, transcrit au bureau des hypothèques le 11 avril 1840 vol. 359 N° 4 et inscrit d’office vol. 323 n° 159.. Cette acquisition a eu lieu pour le prix principal de 20.000 francs (…) Il a été déclaré au notaire soussigné 2° que la rente qui était due à la Ville de Strasbourg a été rachetée le 10 octobre 1843.
Du chef de M. Heinrich. La vente qu’on vient d’analyser du 26 mars 1840 renferme les déclarations suivantes, relatives à l’origine antérieire de ladite maison, savoir M. Heinrich s’en était rendu adjudicataire sur les héritiers de Jean Sontag, marchand bottier ensuite marchand de vins, et Marguerite Vallo, son épouse demeurant en leur vivant à Strasbourg en vertu d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Zimmer, alors notaire à Strasbourg, le 15 décembre 1835, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 janvier 1835 vol. 301 n° 55 et inscrit d’office vol. 247 n° 429 pour la somme de 23.700 francs. Lesdits héritiers nommés Marie Susanne Wagner épouse de Pierre Caspar, cultivateur à Gemünden (Prusse rhénane), Elisabeth, Marguerite, Christophe et Frédéric Wagner, enfants mineurs du Sr Christophe Wagner, bottier audit Gemünden, Sébastien Bechel et Jean Baptiste Bechel, enfants mineurs de Georges Bechel, drapier à Boden près Sarrelouis, venant aux successions des époux Sonntag dans les proportions sui vont être déterminées. Après le décès du Sr Sontag, sa part dans ladite maison égale aux deux tiers est échue à sa sœur germaine et unique héritière Marie Susanne Sonntag domiciliée à Gemünden, veuve de feu Joseph Wagner cultivateur audit lieu, l’autre tiers au même immeuble étant avenue en propriété à la De Sonntag née Vallo demeurant à Strasbourg ainsi qu’il est établi par un acte de liquidation dressé contradictoirement entre lesdites veuve Sonntag & Wagner par Me L’Ange alors notaire à Strasbourg le 12 juillet 1832.
La veuve Wagner étant décédée le 5 mai 1833 laissa pour ses seuls héritiers ses deux enfants légitimes Marie Susanne Wagner femme de Pierre Caspar et Christophe Wagner, bottier déjà nommé. La De Caspar venant ab instestat à la succession de sa mère en a recueilli la moitié dans laquelle moitié s’est trouvée comprise celle des biens qu’aux termes de la liquidation précitée du 12 juillet 1832, la défunte De Wagner a hérité du Sr Sonntag son frère et par conséquent la moitié dans les deux tiers indivis de ladite maisonn ce qui faisait pour la De Caspar un tiers indivis dont elle était propriétaire audit immeuble. Le second tiers qui avait appartenu à la De Wagner dans ladite maison serait naturellement revenu à son fils Christophe Wagner déjà nommé mais par testament public reçu par Me Thüring, notaire à Simmern arrondissement de Coblence (Prusse Rhénane) le premier mai 1833 (…) ladite Dame veuve Wagner a légué aux quatre enfants dudit Christophe Wagner susnommé la nue propriété de toute la part des biens provenant de la succession du Sr Sonntag et qui seraient échus au Sr Christophe Wagner dans la succession de la testatrice et n’a laissé au Sr Wagner que l’usufruit viager de cette même part. en sorte que le seond tiers qui avait appartenu à la femme Wagner dans la maison dont s’agit appartenait aux quatre enfants mineurs Wagner pour la nue propriété et pour la jouissance au profit de leur père. Quant au tiers ayant appartenu à la D° Sontag née Vallo il était devenu la propriété de Sébastien Bechel et Jean Baptiste Bechel, les deux susnommés, seuls enfants encore existant du mariage de Georges Bechel, drapier demeurant à Roden près Sarrelouis, et de la D° Anne Marie Humann, lesdits mineurs en qualité de légataires à titre universel avec droit d’accroissement de tous biens immeubles dépendant de la succession de feu ladite De Sontag ainsi qu’il résulte du testament public de cette Dame reçu par Me L’Ange qui en a la minute et son collègue notaires à Strasbourg le 14 janvier 1834, enregistré, et de l’inventaire dressé après le décès de la même D° Sontag par devant M° Lange le 9 avril 1834. Ledits légataires ont été envoyés en possession des legs à eux fait par cette Dame en vertu d’un jugement du tribunal civil de Strasbourg du 12 février 1835, passé en force de chose jugée.
Du chef de Mad. Sontag. M. Sonntag s’était rendu acquéreur de la maison dont s’agit sur Mad. Louise Elisabeth Cullmann, veuve de feu Michel Mannberger, en son vivant tonnelier à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente reçu par M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 29 septembre 1810. (…)
Du chef de Mad° Mannberger. Cette dernière en avait été propriétaire pour avoir recueilli un tiers dans dans la succession de sa mère D° Anne Marie Waltz, veuve de feu Jean Chrétien Cullmann, en son vivant sellier à Strasbourg, et en avoir acquis les deux autres tiers des autres représentants de ladite défunte veuve Cullmann ainsi que le constate un contrat de vente reçu par M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le 30 avril 1798 (…).
Charges, clauses et conditions. Que dans le logement occupé dans la maison décrite sous l’article premier (…)
Mises à prix. Les maisons à vendre seront exposées aux enchères sur les mises à prix détermines par le jugement, savoir l’article premier sur la mise à prix de 75.000 francs
l’article deux sur la mise à prix de 20.000 francs
l’article trois sur la mise à prix de 20.000 francs
N° 5947, Dépôt du 12 mai 1869. – Etat civil des vendeurs. Et en exécution dudit cahier des charges, les comparants déclarent sous les peines de Strasbourg que M. Albert-Victor-Hugues Ottmann était marié en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts avec Mad. Célestine Burckhardt son épouse demeurant avec lui à Strasbourg aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zeyssolff alors notaire à Strasbourg le 5 mai 1842, enregistré, mais qu’il est séparé de biens d’avec elle suivant jugement rendu par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 19 avril 1869 exécuté par l’inventaire et la liquidation des reprises de Mad. Ottmann dressé par M° Roessel l’un des notaires soussignés à ce commis le 28 du même mois,
que M. & Mad. Edouard Ottmann sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts en vertu de leur contrat de mariage passé devant ledit M° Zeyssolff le 5 mai 1842,
que M. & Mad. Henri Ottmann sont également mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant ledit M° Zeyssolff le 26 août 1839. Que M. Edouard Ottmann était investi de la tutelle de M. Otton Seib, actuellement majeur négociant demeurant à Strasbourg mais qu’il a été déchargé de cette tutelle ainsi qu’il l’a présentement affirmé aux notaires soussignés.
N° 5983. Adjudication du 15 juin 1869. (…) Art. 1° à M. Guillaume Ernest Lauth, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg pour le prix principal de 90.500 francs (signé) Ernest Lauth
Article 2, à M. Guillaume Ernest Lauth, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg pour le prix principal de 31.500 francs
Article 3, à Rodolphe Henri Edmond Ottmann, l’un des colicitants pour le prix principal de 35.200 francs
acp 578 (3 Q 30 293) f° 179-v du 15.5. – Adjudication acp 583 (3 Q 30 298) f° 85 du 23.6.

La maison est inscrite au cadastre sous le nom de Martin Muller à l’exercice 1871.
Native de Colmar, Marie Louise Adèle Angélique Keller femme du jardinier botaniste Martin Müller meurt en 1875 en délaissant cinq enfants. La maison au Vieux-Marché-aux-Poissons figure à l’inventaire de même qu’une propriété au Heyritz. Martin Müller est directeur du jardin botanique à la naissance de son fils en 1853.

1875 (10. u. 12. Juli), M° Holtzapffel
Inventar der Gemeinschaft die zwischen Martin Müller, Kunstgärtner und Maria Louise Adele Angelica Keller seiner Ehefrau zu Straßburg und vom Nachlass dieser letzteren den 15. Januar 1875 gestorben, errichtet 1) durch den Wittwer handelnd als Theilnehmer der halben Gütergemeinschaft ohne Ehevertrag, und als Nutznieser des Nachlasses seiner verstorbenen Ehefraun nach Akt von Notar Noetinger vom 29. März 1867.
und als Vormund von Frantz Joseph Johann August Müller, Maria Frantz Joseph und Maria Johanna Müller, 2) Maria Ludwig August Müller, Kunstgärtner zu Straßburg, 3° Felix Martin Müller Kunstgärtner zu Straßburg
acp 642 (3 Q 30 357) f° 6 du 14.7. n° 2378 (Nachlass erklärt den 14. Juli 1875, Bd. 118 N° 290) Gemeinschaft, Mobilien und Pflantzen 8417, Geld 400, Ausstände 1578
Ein Gut Bann von Straßburg Gewand Heyritz
16 A Feld, nehmlich Gewand
70 a 64 Terrain nehmlich Gewand
Ein Haus zu Straßburg alter Fischmarkt N° 5
Passiv Masse 17.460
Ersatz der Verstorbenen 600, Ersatz des Hn Müller 4524
Nachlaß, Kleidung 240
Ein Haus zu Colmar Johanngaß N° 1

Décès, Strasbourg (n° 145)
Den 16. Januar 1875. Sterbe-Urkunde von Maria Luise Adelheid Angelike Keller, 50 Jahre, gestorben vor dem Spital Thor N° 16 Stadtbann Strassburg den 15. Januar 1875 um 9 Uhr vormittags, geboren zu Colmar (Ober Elsaß) wohnhaft vor dem Spital Thor, Gattin von Martin Müller, 55 Jahr alt, Kunstgärtner vor dem Spitalthor wohnhaft, eheliche Tochter von weiland Johann Baptist Müller [sic] Kunstgärtner und weiland Maria Luise Brendle. Auf die vorstehende Erklärung, welche mir gemacht ist durch August Müller, alt 22 Jahre, Kunstgärtner vor dem Spitalthor, welcher angab, er sei Sohn der Verstorbenen (i 39)

Testament par lequel Angélique Keller assure à son mari la jouissance viagère de ses biens
1875, M° Noetinger
Noetinger 29. Märtz 1867 – Testament von Angelique Keller Ehefrau von Martin Müller Kunstgärtner zu Straßburg, durch welches Sie ihrem Ehemann die Nutzniesung ihres samtlichen Nachlasses vermacht
acp 641 (3 Q 30 356) f° 70-v du 16.6. n° 2172

Seconde femme de Martin Müller, Marie Catherine Jesslin meurt en 1891 à l’âge de 66 ans. Née à Paris, elle avait épousé en premières noces l’orfèvre Charles Auguste Mylius
Décès, Strasbourg (n° 2410)
Strassburg am 12. Oktober 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Handelsgärtner Johann Baptist Müller, wohnhaft Zu Straßburg Heÿritz 8 und zeigte an, daß seine Stiefmutter Ida Maria Katharina Jesslin, 66 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Paris, Frankreich, Wittwe von Karl August Mÿlius, Goldschmied und Ehefrau des Handelsgärtners Martin Müller, Tochter des zu Dinglingen verstorbenen Bäckers Wilhelm Jesslin und dessen zu Paris verstorbenen Ehefrau Karoline Reuter, zu Straßburg in des Anzeigenden Wohnung am 11. Oktober des Jahres 1891 Mittag um zwölf Uhr verstorben sei. (i 183)

Natif de Wintzenheim dans le Kochersberg, Martin Müller meurt en 1897 à l’âge de 77 ans
Décès, Strasbourg
(n° 1714) Strassburg am 13. Juli 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kunstgärtner Martin Müller, wohnhaft Zu Neudorf Lazarethstrasse 10.e und zeigte an, daß der Kunstgärtner Martin Müller 77 Jahre 8 Monathe katholischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Winzenheim, Unter-Elsass, Wittwer erster Ehe von Angelika Keller und zweiter Ehe von Ida Mÿllius, Sohn der verstorbenen Eheleute Joseph Müller, Landwirth und Katharina geborner Buecher, zuletzt in Winzenheim wohnhaft, zu Straßburg Heÿritz 8 am 12. Juli des Jahres 1897 Nachmittag um 7 Uhr verstorben (i 81)



Plan Blondel : Propriétaires VII – VIII


La partie gauche transcrit la liste de propriétaires qui accompagne le plan Blondel (AMS, cote VI 585, sans date [1765]).
La partie droite une autre liste qui indique la surface des terrains en toises, pieds et pouces pour chaque parcelle portée au plan Blondel, en mentionnant le propriétaire (AMS, cote V 61, sans date, vers 1775).

VII 1 au Sr Mans Max 19 0 8
VII 2 Tribû des Cordonniers à la Communauté Tribu des Cordonniers 26 5 3
VII 3 aux héritiers de Walter Götz 29 3 3
VII 4 aux héritiers du Sr Kamm (supra)
VII 5 à M. Kamm marchand de vin (supra)
VII 6 à Mde la veuve Unselt Montsing 3 2 3
VII 7 au Sr Vignerote Klingler 3 1 0
VII 8 au Sr Braun Gamß Wittib 7 2 5
VII 9 au Sr Vignerote Schmitt 2 5 11
VII 10 Jean Egelus Franck 3 1 5
VII 11 Jean Ourlipp Lipp 3 1 9
VII 12 Sr Richer Rische 3 0 6
VII 13 au Sr Zeittel H. Pfarrer Giesing 3 2 5
VII 14 au Sr Schaeffer Schäffer 2 5 10
VII 15 au nommé Stiber Stieber pere 2 4 7
VII 16 au Sr Braun Stieber fils 2 4 7
VII 17 Jean Balthasar Herns Ernst 3 1 6
VII 18 au Sr Fischer Fischer wittib 25 0 9
VII 19 Sr Choisy sellier Choisi 26 0 6
VII 20 Jean Fréderic Zimmer Notaire H. Not. Zimmer 14 1 6
VII 21 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 0 3
VII 22 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 21 3 9
VII 23 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 35 2 6
VII 24 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 6 – –
VII 25 au Sr Ziegenhagen Ziehehan Wittib 11 2 0
VII 26 Jean Philippe Horn Schlag 2 3 6
VII 27 au nommé Spher Transperger 4 3 0
VII 28 Jean Adam Frentz Münch 7 2 6
VII 29 Ignace Götz Götz Chirur. 3 3 9
VII 30 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 0 6
VII 31 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 – –
VII 32 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 2 10
VII 33 M. de Bergan à la ferme 40 1 10
VII 34 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 3 6
VII 35 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 14 3 6
VII 36 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 13 4 6
VII 37 M. Lafermière Dürrenberger 23 5 2
VII 38 M. Ingel ministre Emmerich 11 0 3
VII 39 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 20 3 6
VII 40 M. de Zugmantel Mde de Zugmantel (noblesse) 15 4 8
VII 41 Mde Oberlet Oberler Wittib 16 – –
VII 42 aux héritiers du Sr Helmstetter Froideveau 8 5 6
VII 43 M. Wackerzapff Clauß 7 2 9
VII 44 Henry Ignace Rumpler H. Rumpler
44 ½ Roth
12 0 9
12 1 7
VII 45 aux héritiers de Mde de Lousteau Mr Gelb 5 1 5
VII 46 Mde Lemp H. XV. Lemp 32 3 2
VII 47 la veuve du Sr Bähr Doct. Michel 3 3 9
VII 48 Henry Adam Riehl Reuhl 4 2 3
VII 49 à la Ville à la Ville 36 0 8
VII 50 Jean Kesshammer Kößhammer 3 5 4
VII 51 au nommé Mangin Chenal 5 4 6
VII 52 au Sr Bruder Bruder 11 4 6
VII 53 M. Colbach Goldbach 4 – –
VII 54 Daniel Schaeffer Schlewer Wittib 5 1 1
VII 55 Mlle Baur Rhein 2 5 5
VII 56 Joseph Antoine Hessler Häßler 2 0 4
VII 57 au Sr Herrmann Ministre Stahl 4 3 0
VII 58 Jean George Jundt Junt 19 0 5
VII 59 Antoine Scharet Wittmann 4 3 4
VII 60 Jean George Fischer Fischer Wittib 4 5 0
VII 61 au nommé Eremann Doct. Ehrmann 5 4 3
VII 62 au Sr St Louis tailleur Käßhammer fils 31 1 4
VII 63 Jean Jacques Ott Knotterer 9 2 10
VII 64 Paul Stelin Stähling Wittib 3 0 7
VII 65 Jean Chretien Röderer Reterer 6 4 7
VII 66 Jean Jacques Burchard Bürry 2 4 2
VII 67 Jacques Hetzel Hetzel 3 2 3
VII 68 Godfroy Hardschmitt Vogt 4 0 6
VII 69 Jean Daniel Oberlet Gerold Wittib 3 5 5
VII 70 Jean Fréderic Ott Ott Wittib 4 3 9
VII 71 George Fréderic Ott Jacob Ott 4 3 9
VII 72 Martin Dasauer Tassauer 5 0 9
VII 73 Abraham Buschard Bouchard 10 1 6
VII 74 Jean André Thar Lux 4 5 5
VII 75 Jean Resch Rösch 8 – –
VII 76 au nommé Ottmann Hüttner 15 4 4
VII 77 aux héritiers du Sr Brandhoffer Zaberer 15 4 6
VII 78 Jean George Beck Bick 11 1 10
VII 79 aux héritiers du Sr Brandhoffer Endsfeld 2 5 4
VII 80 Jean Jacques Jundt Koch 2 1 0
VII 81 au Sr Herrmann Christiani 2 2 2
VII 82 Philippe Fréderic Saltzmann Saltzmann 2 1 3
VII 83 Adam Zwicker Zwicker 13 4 9
VII 84 au Sr Saltzmann Saltzmann 4 2 3
VII 85 Jean Borst Schäffer 4 0 3
VII 86 Jean Jacques Trescher Hoffman 4 0 10
VII 87 Jean Gaspard Lois Fritz 3 5 0
VII 88 Jean Jacques Kapp Daniel Kapp 7 3 6
VII 89 Jean George Garr Gerog Haag 4 4 0
VII 90 Tobie Riedel Riedler Wittib 3 2 6
VII 91 Jean Jacques Schleÿ Beÿer 4 4 0
VII 92 M. de Rathsamhausen Peter Martzloff 20 2 10
VII 93 au Sr Flach Gerog Buck 11 4 0
VII 94 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 17 3 0
VII 95 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 12 2 3
VII 96 Corps de garde Corps de garde
VII 97 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 1 5
VII 98 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 4 5
VII 99 hôtel de la monnaye au Roy La Monnoye 50 1 0
VII 100 à la Ville Balance à farine 14 – –
VII 101 au Sr Reüchlin Zind 13 3 6
VII 102 au Sr Acker Pianko 4 3 0
VII 103 au Sr Fischer Brandhoffer Wittib 6 – –
VII 104 aux héritiers du nommé Krafft Peter Palliet 3 1 0
VII 105 Daniel Lipp Daniel Lipp 15 2 6
VII 106 Jacques Formier Bormier 2 5 7
VII 107 Jean Bechtolff Bechtold 3 0 –
VII 108 Emanuel Reffold Huber 3 2 10
VII 109 Jean Schrott Schott 4 0 4
VII 110 les héritiers Getzel Hetzel 9 4 6
VII 111 Jean Philippe Helbeck Helbeck 8 4 6
VII 112 Jean Kietter Joh. Emmerich 7 5 9
VII 113 Philippe Fréderic Kuntz Allheÿl 3 1 9
VII 114 Jean Daniel Schruder Krafft 2 – –
VII 115 Jean Daniel Reitz Reÿth 7 3 6
VII 116 les héritiers du Sr Schreider Krafft 4 2 0
VII 117 au nommé Guntzer Ginder 8 1 7
VII 118 Jean Philippe Wanner Webers Erben 3 0 0
VII 119 George Jacques Knoll Knoll Wittib 3 0 7
VII 120 André Siffert Starck 11 2 8
VII 121 au nommé Betzloff Gottesmann 2 2 5
VII 122 Philippe Jacques Salomon Salomon 11 1 6
VII 123 Conrad Moor Joh. Stamm 5 1 3
VII 124 Simon Kübelé Kübele 4 0 10
VII 125 héritiers du Sr Beckel Beckler 11 4 6
VII 126 Melchior Wurm Wurm 11 4 2
VII 127 Philippe Henry Windenmeÿer Widemeÿ 2 3 4
VII 128 Simon Vörder Heckmann 6 1 5
VII 129 Godfroy Henrÿ Lang Vogt 4 1 10
VII 130 au Sr Dürninger Engel 2 4 5
VII 131 M. Klein Not. Greiß 3 0 0
VII 132 à la veuve Straubhart Nagel 16 3 11
VII 133 Jean George Acker Kleinmann 19 3 4
VII 134 au Sr Bacquet Pacquet 19 5 0
VII 135 David Schaad Schad 5 0 6
VII 136 Jean Paul Blind Schwartz 8 5 5
VII 137 Chrétien Kessner Daniel Butz 3 5 9
VII 138 Jean Louis Ginder 5 0 0
VII 139 Jean George Hildebrandt Hetzel 3 2 10
VII 140 Philippe Jacques Lutz Jacob Lutz 13 2 4
VII 141 Jean Wilhelm Willhelm 3 8 2
VII 142 au nommé Weissenberger Grimiß 2 5 6
VII 143 Jacques Percelat Georg Antoni 3 1 4
VII 144 André Eberhard Eshörner Eberle 1 1 3
VII 145 Geofroÿ Lichtenfelder Lichtenfelder 2 1 9
VII 146 Jean Henry Ober Jacob Bower 6 3 10
VII 147 Jean Freiss Freÿß Wittib 9 3 10
VII 148 la veuve Philippe Wanner Reterer 4 0 10
VII 149 Jean Nicolas Schmitt Schmitt 5 2 0
VII 150 Jean Michel Starck Gruber 17 3 3
VII 151 au Sr Baur Bauer 6 0 8
VII 152 Chretien Rieffer Müller 15 4 9
VII 153 Jean Jacques Stuber Baldner 4 0 8
VII 154 Jean Jacques Bein Bein 5 1 10
VII 155 Daniel Buchard Juré 14 0 4
VII 156 Jean Schätzel Schetzel 5 1 0
VII 157 Fréderic Küttler Burend 10 4 9
VII 158 Jean Michel Stamm Braun 2 5 0
VII 159 Jean George Weissenmantel Joh. Bahl 2 2 5
VII 160 Jean Gaspard Fuchs Imbert 4 0 3
VII 161 au nommé Zigner Zinßler 7 1 0
VII 162 George Abraham Endlich Endlich 13 3 6
VII 163 George Abraham Endlich (supra)
VII 164 Jean George Burger Speichel 2 1 4
VII 165 Baltasar Ehald Besson 3 4 6
VII 166 Jean Michel Kroh Kaÿser 3 3 6
VII 167 Jean Bersch Börsch 2 0 0
VII 168 Jean Jacques Frick Mohr 2 2 3
VII 169 Philippe Kugler Reÿd 3 5 9
VII 170 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 56 4 7
VII 171 au Chapitre de St Pierre le Vieux (supra)
VII 172 Géofroy Wittenberger Schmitt 3 4 0
VII 173 Melchior Burÿ Bürrische Erben 2 0 0
VII 174 au nommé Eissenmann Geÿer 2 0 4
VII 175 Jean Fréderic Barth Büch 1 4 10
VII 176 Fréderic Küttler Hebeÿß 2 3 5
VII 177 au Sr Rohr Kleinische Erben 2 2 6
VII 178 Jean Fréderic Mengess Menges 9 3 6
VII 179 Bernard Wagner Cunrad Felde 1 4 6
VII 180 Jean Philippe Schaecker Bischoff 3 1 7
VII 181 Jean Charles Hirtz Hirtz 2 0 5
VII 182 Jean George Roth Georg Roth 3 1 1
VII 183 la veuve Jean Kopp Kopp 1 4 8
VII 184 au Sr Gess Rischmann 3 1 8
VII 185 Pierre Jansen Franck 4 0 10
VII 186 Fréderic Küttler Gottler 1 4 0
VII 187 à la veuve Baumann Mercklern Wittib 1 4 0
VII 188 aux héritiers de la veuve Ottmann Heinrich 3 2 0
VII 189 la veuve de Jean Erneste Spiellmann Burgraff 3 3 4
VII 190 au Sr Saum Klein 19 0 6
VII 191 Antoine Chappuy Capuy 1 4 0
VII 192 aux héritiers Karcher Löb 3 1 0
VII 193 Michel Fritsch Stern 4 1 0
VII 194 Sr Bourand ministre de St Guillaume Baumgard Wittib 5 0 3
VII 195 à la Fondation de St Marc à St Marc 22 1 5
VII 196 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 197 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 198 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 199 Jean Daniel Müller à St Marc par Müller 3 1 6
VII 200 Leonard Düllinger à St Marc par Dillinger 3 2 7
VII 201 la veuve Jean Gaspard Müeg à St Marc par Joh. Müh 5 0 9
VII 202 aux héritiers du nommé Ottmann à St Marc par Strintz 28 0 0
VII 203 Jean Philippe Roegner à St Marc par Müller 3 1 0
VII 204 à l’ Abbaye d’Altorff à l’Abbaye d’Altorff 37 2 8
VII 205 Nicolas Sieb Süß
205 ½ Lamasse
4 5 0
10 2 1
VII 206 Martin Albrecht Joh. Daß 4 3 0
VII 207 à la Ville à la Ville 5 2 8
VII 208 Jean Jacques Lohmüller Barthel 3 4 6
VII 209 Martin Widemann Hammer 3 4 6
VII 210 Daniel Leither Tubach 3 4 0
VII 211 au Sr Oberlé Schmitt 3 3 8
VII 212 Jean Léonard Kessig Kößig 3 2 8
VII 213 Jean George Rhiel Lausterer 2 1 8
VII 214 Jean Léonard Linder à la Ville 4 0 0
VII 215 Jean Léonard Linder Seiffert 4 0 3
VII 216 à la Fondation de St Marc à St Marc 3 3 4
VII 217 Jean Michel Schilling Wolf 3 1 8
VII 218 la veuve Jacques Schaeffer Guth Wittib 3 1 8
VII 219 Jean Viguand Güet (St Marc) Himmler 5 0 7
VII 220 Jean Philippe Müller (supra)
VII 221 à la Ville à la Ville 1 2 6
VII 222 Bartolomé Haussmann Hanßmann 3 1 9
VII 223 Jean Charles Strintz Strintz 3 1 1
VII 224 Martin Hegler Florer 6 3 7
VII 225 Martin Holnescher Pfiffer 3 1 9
VII 226 Prisons de la Ville Prison de busch 9 0 6
VII 227 Jean Daniel Inckel Schlegelmilch 10 4 0
VII 228 Melchior Burich Stahl 4 0 4
VII 229 Jean Michel Diebolt Mich. Diebolt 4 3 10
VII 230 Jean Jacques Fritsch Jungf. Moßer 2 3 10
VII 231 Jean Michel Speck Speckische Wittib 9 4 6
VII 232 la veuve de Jean George Müeg Funck
232 ½ Dachert
8 4 6
3 2 10
VII 233 au nommé Ziegler Rathh. Ziegler 16 0 0
VII 234 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 3 9
VII 235 Jean George Müller Contre l’eau appartenant au Sr Helck 16 5 8
VII 236 la veuve Christnacht Foltz 10 3 0
VII 237 au nommé Jost Contre l’eau appartenant au Sr Helck (supra)
VII 238 la veuve de Stoulacher Jost 4 2 2
VII 239 à la Ville (supra)
VII 240 au Docteur Eisenmann Lißbett wittib 3 2 8
VII 241 George Hogriedt à la Ville 4 4 0
VII 242 George Hogriedt Hochrieth 6 1 7
VII 243 George Hogriedt Siffert 8 4 0
VII 244 Jean Jost Jost 2 0 0
VII 245 au Sr Schlenacker Menninger 8 4 8
VII 246 au Sr Zaberer Ruelle d’entrée 0 4 9
VII 247 au Sr Strauss (supra)
VII 248 au Sr Brancourt Brancourt 5 2 3
VII 249 aux héritiers du Sr Barth Baldner 4 1 2
VII 250 Chretien Weglesser Wehlinger 3 1 10
VII 251 Jean Martin Neumann ne toisent pas
VII 252 Philippe Martin Zabern ne toisent pas
VII 253 Jean Wagner ne toisent pas
VII 254 Jean Nicolas Meltzheim Milßheim 4 0 6
VII 255 Jean George Wolck Volck Wittib 3 4 10
VII 256 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 4 4 4
VII 257 Jean Pierre Osser Riehling 3 4 4
VII 258 Jean Fréderic Jäcklé Jäckler Wittib 4 0 3
VII 259 Jean Ulrich Schaffitz Schafflitz Wittib 8 0 6
VII 260 André Schurer Fridel 4 0 10
VII 261 Joachim Gerold Federheim 3 0 4
VII 262 Jean Fréderic Griesbach Grießbach 3 3 1
VII 263 Jean Baquet Paquet 5 2 8
VII 264 aux héritiers du Sr Hetzel Gerold 2 1 6
VII 265 Jean Martin Rauch Müller 3 1 5
VII 266 Jean Martin Rauch Rauch 9 2 5
VII 267 Martin Tagsauer Tassauer 9 4 0
VII 268 Jean Pierre Friedel Friedler Wittib 15 0 3
VII 269 Eglise, Batiments dependants de St Thomas Recette de St Thomas
Temple de St Thomas
24 1 0
73 1 9
VII 270 Mde Marbach Füller 11 0 6
VII 271 Laurent Klopffer Klopffer 6 0 8
VII 272 Jean Daniel Würtz Würtz 3 0 5
VII 273 Jean Michel Trawitz Trawitz 3 4 0
VII 274 Jean George Kürschläger Kirsching 10 5 6
VII 275 Jean Daniel Eberlin Eberle 7 1 0
VII 276 au Sr Reüschling Bick Wittib 11 3 8
VII 277 M. Wachter Wachter 26 0 0
VII 278 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 2 2
VII 279 au Sr Wignerote Chour 6 1 6
VII 280 au Sr Braun Kugler 26 4 7
VII 281 M. Brackenhoffer le professeur Brackenhoffer 27 0 5
VII 282 Bernard Wochler Wollers 6 2 10
VII 283 Jean Martin Papelier Papelier 20 2 6
VII 284 Jean Gabriel Held 3 1 9
VII 285 au Docteur Ottmann Doct. Ottmann 21 1 8
VII 286 au Docteur Ottmann (supra)
VII 287 Philippe Jacques Voltz Foltz 5 1 3
VII 288 Laurent Weber Wöhler 12 5 4
VII 289 aux héritiers du Sr Stuber Osterrieth 6 1 3
VII 290 au Chapitre St Thomas à St Thomas 24 4 0
VII 291 au Sr Kleinclaus Spiehlmann 7 1 4
VII 292 M. Wacquier Bourgard 21 2 6
VII 293 au Sr Sahler M. baron de Haindel (noblesse) 8 1 0
VII 294 Simon Soubry Mde Suprie 21 5 0
VII 295 M. Brackenhoffer le XV H XV Brackenhoffer 14 1 4
VII 296 Jean Schouppart Schubarth 7 4 9
VII 297 M. Kornmann Hollefeld 5 4 0
VII 298 Laurent Dietrich Dietsch 2 0 6
VII 299 Jean Daniel Schweigheuser Not. Schweigheißer 4 0 4
VII 300 au Sr Herff Imling 16 2 9
VII 301 au Sr Haan Stamm 17 0 6
VII 302 M. Hammerer Rath. Gibs 12 5 0
VII 303 Jean Léonard Finck Finck 15 2 3
VII 304 George Fréderic Nestling Nestling Wittib 10 5 0
VII 305 la veuve du Sr Haubenstreit Holtzapffel 6 2 0
VII 306 Philippe Jacques Huber Not. Saltzmann 6 4 2
VII 307 Sr Kornmann Doten 6 2 9
VII 308 M. Lemp apoticaire Martin 13 1 9
VII 309 L’ Hôtel de Ville Neubau (Ville) 65 4 3
VII 310 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 17 5 0
VII 311 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 13 1 0
VII 312 Jean Jacques Stamm Stamm Wittib 4 2 4
VII 313 Jean Jacques Stamm (supra)
VII 314 M. D’Angelo Dangelo 5 2 10
VII 315 M. D’Angelo (supra)
VII 316 George Daniel Meinicken Vaillant 3 4 9
VII 317 la veuve Mde Griess Not. Schatz 2 4 9
VII 318 Joseph Müeg Lemmermann 3 2 9
VII 319 Fréderic Charles Spielmann Kau 19 2 8
VII 320 Jean Bernard Schlegel Fix 2 3 8
VII 321 Jean Jacques Dürbach Rothan 3 2 9
VII 322 Jean George Rothan Holterman 3 1 8
VII 323 Jean George Holdermann Starck 8 0 10
VII 324 Jean Saum (supra)
VII 325 Jacques Bacquet Waquet 7 5 1
VII 326 Sr Reichard Richert 22 3 0
VII 327 au nommé Petmesser Bettmesser Wittib 4 3 6
VII 328 Christophe Würtz Wagner 5 3 8
VII 329 Jean Jacques Siffer Siffert Wittib 2 4 8
VII 330 Daniel Meyer Faußer 4 2 6
VII 331 Jean Martin Schöner Günner 4 2 9
VII 332 Jean Michel Retzlob Ritzelhoff 4 0 6
VII 333 Bernard Reÿ Haussé 4 4 0
VII 334 Daniel Heiligenmeÿer Herlenmeÿer 2 0 0
VII 335 Jean Kamm Kamm 11 3 3
VII 336 Charles Verius Graff 12 1 4
VII 337 Samuel Schrag Schrag Wittib 5 0 0
VII 338 Jean Henry Blessy Bleßi 4 3 3
VII 339 Jean Henry Schneider Ruhland 3 0 4
VII 340 Jean Henriy Blessy Bleßi 11 3 6
VII 341 Fréderic Füesinger Fießinger 12 0 10
VII 342 George Fréderic Weisshar Weißhaar Wittib 4 5 0
VII 343 Jean Michel Freÿtag Amler Wittib 4 2 10
VII 344 Jean Daniel Stamm Stamm 5 5 0
VII 345 Jean Daniel Stamm Paquet 16 4 6
VII 346 Jean Daniel Stamm (supra)
VII 347 la veuve Philippe Hammerer Kamm 16 0 7
VII 348 Jean Henry Böckler Barbenesse 7 4 8
VII 349 Sr Ebertz Schwartz 15 5 0
VII 350 la veuve Mad. Vigera Eberts 23 2 7
VII 351 Jean Fréderic Busch Beckert 6 4 1
VII 352 Jean Léonard Metzger Metzger 1 2 9
VII 353 Jean Daniel Krettler Trettler Wittib 16 1 9
VII 354 au Temple neuf à St. Thomas 9 8 10
VII 355 George Adam Petzel Wunschold 7 3 4
VII 356 M. Barth Barth Wittib 26 2 11
VII 357 Tribû des Tonneliers, à la Communauté Tribu des Tonneliers 23 2
VII 358 Sr Kuntz Weiß 23 2 7
VII 359 Jean Sebastien Weiss (supra)
VII 360 Sr Froereisen Freÿreiß 9 1 10
VII 361 George Géofroy Gambs Gamß 19 2 0
VII 362 Jean Bernard Bernhart 30 4 6
VII 363 M. Staedel XV Saum 12 5 5
VII 364 M. de Baÿer Debeÿer 11 2 2
VII 365 les héritiers du Sr Büchel Robert 21 2 6
VII 366 Jean Fettich Not. Endsfelder 13 2 6
VII 367 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 3 6
VII 368 M. Staedel à la fabrique de Notre Dame 12 3 6
VII 369 Jean Certain Rey 4 3 0
VII 370 M. Dietrich le XV Dietrich Wittib 10 3 6
VII 371 au Sr Williame Williaume 2 1 7
VII 372 au Sr Sapé Dürr 2 2 2
VII 373 Fréderic Daniel Fleck Fleck 2 1 10
VII 374 David Eisenheim Isenheim 2 0 0
VII 375 au Sr Hervé Ervé 17 0 6
VII 376 André Cossa Cossar 9 0 7
VII 377 François Antoine Hueter Antoni Arbogast 3 5 6
VII 378 André Cossa André Cossar 12 0 8
VII 379 Jean Léonard Kuff Schneider 4 0 0
VII 380 Joseph Büchel Büchel Wittib 13 0 3
VII 381 David Harnack Harnack wittib 3 4 6
VII 382 Mde Tournay Dangelo 9 1 8
VII 383 André Schneller Staud 3 4 7
VII 384 George Fréderic Hutter Bahn 7 0 8
VII 385 M. Brackenhoffer Mann 23 0 9
VII 386 Jean Daniel Kolb Kolb 9 1 9
VII 387 Philippe Reishoffer Rißhoffer 11 4 9
VII 388 Jacques Dürninger Dürninger 17 1 7
VII 389 M. André Bruder Hoffseß 11 1 8
VII 390 M. Stolff Stoltz 3 0 3
VII 391 Mde Algoy Dietz 8 1 6
VII 392 Jean Michel Männel Teutsch 2 3 6
VII 393 Jean Géofroi Mann Mann 8 4 8
VII 394 Sr Halbeisen (supra)
VII 395 la veuve Jean Martin Stempfel Knoll 10 1 7
VII 396 Jean George Heffner Häffner 9 8 6
VII 397 Tribû de la Moresse Mähre Tribu 41 2 3
VII 398 Jean Pierre Dürr Dürr 12 8 2
VII 399 Jean Jacques Scarr Scaer 4 1 7
VII 400 George Ebersberger Ewersberger 5 3 5
VII 401 aux héritiers de M. Messel Mannberger 3 3 11
VII 402 Jean Philippe Beickert Hetzel 3 0 0
VII 403 Jean Beck Beck 2 3 8
VII 404 Abraham Gross Christman 2 5 6
VII 405 Jean Philippe Burgert Burgard 2 2 4
VII 406 Joachim Gerold Geroldt 3 3 4
VII 407 Michel Riff Rieff 8 3 0
VII 408 Jean Michel Greüner Greiner 12 5 0
VII 408,1 Jean Illinger Illinger Wittib 2 3 11
VII 409 Jean Daniel Riss Waltz 2 2 8
VII 410 Jean Philippe Friess Hertzog 5 1 3
VII 411 Jean Michel Greüner Greiner 13 3 0
VII 412 Jean Jacques Vogt Vogt 9 5 0
VII 413 aux héritiers du Sr Hartschmidt Bomesse 1 2 9
VII 414 au Sr Osterrieth Bernard 1 5 4
VII 415 Jean George Grimm Spiegelberger 4 0 0
VII 416 M. de Flaxlanden Mde de Flaxlanden (Noblesse) 38 1 0
VII 417 Tribû des Maréchaux, à la Communauté Tribu des Marechaux 7 3 9
VII 418 Sr Chalon Karth 6 3 9
VII 419 Sr Oesinger Eßinger Wittib 10 2 9
VII 420 Jean Michel Stahl Tribu des Marchands 35 0 10
VII 421 Tribû des Marchands, au Corps des marchands (supra)
VII 422 Sr Conigliano Silberath 13 0 9
VII 423 Jean Daniel Staedel Stadler wittib 10 5 7
VII 424 Fondation de St Nicolas à St Nicolas 5 1 2
VII 425 Antoine Hetzel Hetzel 3 3 10
VII 426 Mde Miville Miville 4 5 8
VII 427 les héritiers du Sr Martin Martin 3 4 10
VII 428 Sr Mosseder Doct. Moseter 18 2 8
VII 429 au Chapitre de St Nicolas H. XIII. Hennenberger 11 3 4
VII 430 M. Hennenberg XV (supra)
VII 431 Jean Daniel Ehremann Schäffer 10 1 0
VII 432 aux héritiers du Sr Lechner Schwartzische Erben 4 0 4
VII 433 Joseph Straub Straub 2 0 5
VII 434 à la Ville Allmoßen stub (Ville) 47 0 4
VII 435 Jean François Khun Kuhn Wittib 16 0 6
VII 436 Jean Valentin Sommervogel Sommervogel 4 3 10
VII 437 Jean Géofroy Storr Lutz 2 3 11
VII 438 la Douane à la Ville Kauffhauß (Ville) 52 0 0
VII 439 Jean Philippe Schatz Schatz 13 5 0
VII 440 Henry Wildt Witt 5 1 2
VII 441 Jean Khulmann Gintzroth 12 2 5
VII 442 la couchette, à la Fabrique de N. D. à la Fabrique de Notre Dame 31 4 0
VII 443 Jean Fréderic Pfeler Jungf. Seibin 10 1 6
VII 444 Jean Martin Hoch Martin Husch 3 1 3
VII 445 la veuve de Roemer Röhmers Erben (boutiques adossées contre la Douane) 1 2 6
VII 446 la veuve de Romessen Mohr (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 447 la veuve Heyler Heißler Wittib (boutiques adossées contre la Douane) 1 1 0
VII 448 Jacob Würtz Würtz (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 449 la veuve Ling Knotter
449 ½ Haußer (boutiques adossées contre la Douane)
1 0 10
3 0 6
VII 450 à la Ville Boutiques à la Ville 9 3 0
VII 451 à la Ville Zollkeller (Ville) 17 0 0
VII 452 à la veuve Klein Klein Wittib 4 0 6
VII 453 Jean Bruder Saum 5 2 8
VII 454 Pierre Labelly Kieffer 5 2 10
VII 455 Jean Jacques Haug Beschon 3 0 9
VII 456 Péage à la Ville jauges de la Ville 1 3 2
VII 457 à la Ville Boutique à la Ville 4 2 6
VII 458 Léonard Sollinger Dollinger 2 4 0
VII 459 Conrad Halbermeÿer Fettinger 3 0 8
VII 460 Balance où l’on pèse la poix, à la Ville
VIII 1 Jean Fréderic Arnold Reinhard 13 2 5
VIII 2 Jean Retzlob Ritzelhoff 2 3 4
VIII 3 au Sr Diemert Heÿlische rben 3 – –
VIII 4 Jean Jacques Meyer Meÿer 3 2 9
VIII 5 au Sr Schaeffer Schöffler 3 3 10
VIII 6 Conrad Heil Heÿl 8 0 6
VIII 7 au Sr Braun Braun 3 3 7
VIII 8 à Mde Streling Strähling Wittib 7 1 2
VIII 9 au Sr Sehwisch Moll
9 ½ Seebisch
3 4 6
14 1 4
VIII 10 à Mde Werner à St Nicolas 5 3 6
VIII 11 Temple et maison du Me d’Ecole de St Nicolas Temple de St Nicolas
au même
41 5 0
14 4 4
VIII 12 Michel Thomas Thomas 2 0 2
VIII 13 Henry Friess Cul de sac
VIII 14 Jacques Kieg Krieg 6 – –
VIII 15 au Sr Schaetzel Edler 3 1 1
VIII 16 Mde Untzel Schäffer 4 1 11
VIII 17 Jean Philippe Schmitt Schmitt 13 2 10
VIII 18 Jean Rhoterer au n° 20
VIII 19 au Sr Pürgel Bürckel 4 1 8
VIII 20 Jean George Heim et Henry Reinbold Freÿsinger Wittib 8 3 3
VIII 21 Jean Philippe Piton Bidon 3 2 9
VIII 22 Jean George Heim Heim 13 5 0
VIII 23 Jean Hetzel Schäffer 3 5 6
VIII 24 à la veuve Jean Jacques Rech Rösch Wittib 8 5 7
VIII 25 Philippe Schmitt Finck 8 2 0
VIII 26 Jean Daniel Schmittler Schnittzler 8 4 9
VIII 27 Jean Dietrich Falmer Falmers Erben 28 3 6
VIII 28 M. Franck XXI H. Ameister Franck 7 4 3
VIII 29 à M. le baron de Falckenhayn M. de Falckenhayn (Noblesse) 10 1 6
VIII 30 à M. de Wurmser Logement de M. De Wormser
VIII 31 à Mde Sommer Gochnal 5 5 7
VIII 32 Rotha Spillmann Spiehlman 20 0 0
VIII 33 au nommé Streicher Schäffer 9 3 10
VIII 34 David Siegwald Kercker 3 0 10
VIII 35 Jean Simon Bag Gerold Wittib 8 2 3
VIII 36 Jean Porst Post 7 3 2
VIII 37 Jean George Ziguehar Frick 2 5 6
VIII 38 Laurent Zimmer Arnold 20 5 0
VIII 39 Chretien Kulemann Gullmann 5 4 2
VIII 40 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 0 4
VIII 41 Daniel Pfeffinger Pfeffinger 6 4 6
VIII 42 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 6 5 6
VIII 43 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital (supra)
VIII 44 aux Bénedictins d’Ebersheimmünster à l’abbaye d’Ebersheimmünster 3 3 3
VIII 45 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 21 1 10
VIII 46 à l’ hôpital bourgeois et dépendances jardin au même 12 – –
VIII 47 à l’ hôpital bourgeois dans un cul de sac
VIII 48 à M. Bay dans un cul de sac
VIII 49 à la Ville Mr d’Icherzheim (Noblesse)
son jardin
29 – –
VIII 50 Gaspard Weiller Weÿler 4 1 6
VIII 51 Jean Pierre Morhard Unger 12 0 6
VIII 52 à la veuve d’Auguste Mittmann Démoli
VIII 53 au Sr Reishoffer Geÿer Wittib 5 4 6
VIII 54 Jacques Belly Dans un cul de sac
VIII 55 Nicolas Götzinger Dans un cul de sac
VIII 56 à Mde de Mackau Clavé 16 2 2
VIII 57 aux héritiers de M. Gloxing H. Ammeister Franck 16 – –
VIII 58 à M. Weigen Weÿer Wittib 13 3 6
VIII 59 à M. de Kempfer H. Kempffer 2 5 6
VIII 60 à M. Christophe Bernard Dans un cul de sac
VIII 61 au Sr Gasparÿ Moralle 5 4 2
VIII 62 au Sr Reishoffer XV H.Adam 3 3 0
VIII 63 au Chapitre de St Thomas à St Nicolas 3 3 0
VIII 64 au Sr Hitschler Hittschler 55 3 0
VIII 65 Jean Michel Remond Remund
65 ½ Reinhard
65 ¾ Weiß
19 3 0
8 3 2
7 1 9
VIII 66 à la Ville Hittschler (vide supra)
VIII 67 à la Ville Hittschler 4 5 0
VIII 68 à la Ville Winderer 23 3 3
VIII 69 à l’ hôpital bourgeois (supra)
VIII 70 Jean Philippe Lederlé Lederler Wittib 3 4 5
VIII 71 Jean Schaeffer Bauer Wittib 3 4 9
VIII 72 George Eckert Eckert 3 4 6
VIII 73 Alexis Letournée Letourné 11 3 7
VIII 74 au Sr Kammerer Rathh. Kammerer 4 5 6
VIII 75 Jean Daniel Streiter Stein Wittib 4 0 1
VIII 76 Eglise et Couvent de l’ Ordre des Chanoines réguliers Maison et Eglise de St Louis 49 2 0
VIII 77 à la Ville Blancherie à la Ville 39 2 0
VIII 78 à la Ville (supra)
VIII 79 Salle d’anatomie à la Ville Anathomie (à la Ville) 11 3 8
VIII 80 maison à la Ville Balance à farine 11 1 2
VIII 81 à la veuve du nommé Beck Ritter Wittib 9 4 7
VIII 82 Dieudonné Cherrier Cherrier 4 2 2
VIII 83 à la veuve de Jean Müller Not. Nennter 4 3 2
VIII 84 Sr Philippe Jacques Lauth Blind 6 1 3
VIII 85 au Dintzenmüller Rath. Lauth 7 2 8
VIII 86 Philippe Burger Weigel 6 4 6
VIII 87 Philippe Burger Wagner 4 2 9
VIII 88 Jean George Ehalt Baldner 4 2 8
VIII 89 Charles Baldner Schuhler 4 3 2
VIII 90 Daniel Jung Wendler Wittib 6 – –
VIII 91 à M. de Zorn Mr De Zorn (noblesse) 15 0 4
VIII 92 à la Ville Moulin à la Ville, le Logement dud. moulin 11 3 4
VIII 93 à la Ville le moulin d. Dintzenmühl 10 3 6
VIII 94 à la Ville Spitzmühl le tout ensemble 21 2 0
VIII 95 aux héritiers du Docteur Lorentz Julien 13 – –
VIII 96 maison dite Bladerhaus à la Fondation de St Marc son jardin
VIII 97 aux héritiers de la veuve Hetzel Hetzel Wittib 7 1 8
VIII 98 Jean Daniel Friedel Fridel 11 2 7
VIII 99 à la Ville Logement de l’Eclusier de Navigation
VIII 100 Sr Schweighaeuser Schweigheißer 80 – –
VIII 101 à M. Fridt Prof. Fritt 30 1 9
VIII 102 à M. de Waldner H. von Waltner (noblesse) 10 4 6
VIII 103 à M. de Marcklesy Wolff jud 11 3 9
VIII 104 Logement du Lieutenant du Roy, à la Ville Jardin de Mr Delort
son hôtel
5 3 0
36 – –
VIII 105 Jean Philippe Goll Goll 5 1 7
VIII 106 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg à l’abbaye de Neubourg 9 0 4
VIII 107 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg leur jardin 36 – –
VIII 108 Jacques Ulrich Ulrich 3 4 8
VIII 109 au Sr Walter Hieber 3 5 0
VIII 110 à la veuve de Jean Christophe Gambs Gamß 15 1 6
VIII 111 Remises des fiacres à M. Duboc Magasin derrier l’hotel de Mr Delort
VIII 112 hôtel Royal du Haras Haras 28 3 7
VIII 113 Jean Pierre Albrecht Albrecht 5 5 0
VIII 114 au Sr Kratz Gratz 7 2 0
VIII 115 au Collège de St Guillaume au Temple Neuf 4 1 9
VIII 116 Jean Conrad Küffer Kamm Wittib 4 2 11
VIII 117 Jean Freÿ Weber 4 2 3
VIII 118 Jean Michel Endling Beru 4 3 3
VIII 119 au Sr Staedel H. XV. Städel 4 4 0
VIII 119,1 Jean Weber
VIII 120 la veuve de Jean Daniel Gress Weber 7 0 2
VIII 121 Jean Louis Pilon Pilon 7 3 6
VIII 122 Pierre Antoine Carly Groß – 5 4
VIII 123 Jean Daniel Hetzel Schwing 3 5 2
VIII 124 à l’ hôpital Bourgeois Hornick 5 1 2
VIII 125 Jean Weitkarcher (supra)
VIII 126 le nommé Buck Breÿ 5 2 11
VIII 127 le nommé Gümpel Häffner 2 3 0
VIII 128 le nommé Resch Simler 6 1 6
VIII 129 le nommé Butsch Botz 4 0 0
VIII 130 Jean Michel Schneider Hahn Wittib 3 5 2
VIII 131 Pierre Duboc Dubock 9 2 0
VIII 132 Dominique Germain Germain 3 4 0
VIII 133 M. Kornmann Kornman 6 3 9
VIII 134 à la Ville Gall 3 3 2
VIII 135 à la Ville Römer 10 2 9
VIII 136 au Sr Bourgeois Lefevre 2 – –
VIII 137 à la veuve du Sr Eisentraut H. Ammeister Faust 6 4 4
VIII 138 Jacques Dornet Diehlmann 3 0 3
VIII 139 Chretien Dillmann (supra)
VIII 140 à la veuve de Jean Jacques Burget Granvall 17 3 9
VIII 141 aux héritiers du Sr Fischer Fischer 2 2 8
VIII 142 au Sr Wetzel Wetzel 3 5 10
VIII 143 au Duc de Deux Ponts Serf Behr 13 2 4
VIII 144 au Sr Heissmann Prof. Koch 5 5 2
VIII 145 Jean Martin Bischett Beschett 3 3 9
VIII 146 Joseph Colard Kollar 3 3 4
VIII 147 Abraham Jundt Junt Wittib 3 4 9
VIII 148 Philippe Buck Buck 5 – –
VIII 149 Jean Adam Kugler Dürkauff 2 3 3
VIII 150 Wilhelm Salomon Simon Wittib 1 5 5
VIII 151 à la veuve de Henry Merckel Schützenberger Wittib 5 2 6
VIII 152 au Sr Baur Bauer Wittib 1 1 0
VIII 153 Jean Philippe Mosser Braun 3 4 9
VIII 154 Louis Lasser Laser Wittib 8 1 0
VIII 155 Valentin Beaume Schnell 1 2 3
VIII 156 au Sr Le Comte Liechtenauer 1 3 0
VIII 157 David Karcher Heßler Wittib 10 3 3
VIII 158 la veuve Jean Lamp Lamm 3 5 2
VIII 159 Jean Jacques Strohl Seÿler 5 0 9
VIII 160 Nicolas Meyer Schultz 7 2 6
VIII 161 Henri Pfeffinger Pfeffinger
son jardin
28 4 2
14 1 6
VIII 162 à la Ville jardin de l’Ecuÿer de la Ville 9 1 2
VIII 163 à la Fondation de St Marc à St Marc 47 1 8
VIII 164 George Eber Ebel 28 2 3
VIII 165 Jean Weyler Weÿler 6 2 9
VIII 166 Baltasar Mockau 4 0 4
VIII 167 Fréderic Dürr Dürr 16 1 5
VIII 168 Jean George Morger Weÿler 6 5 2
VIII 169 Jean Weyler (supra)
VIII 170 Philippe Schützenberger Hützenberger 5 0 6
VIII 171 au Sr Lemp Hirth 4 4 7
VIII 172 Remises au nommé Schöffer Saum 4 3 8
VIII 173 Jean Haussmann Scholl 4 0 3
VIII 174 Valentin Hass Haaß 16 2 9
VIII 175 à la Ville Ecurie à la Ville 60 – –
VIII 176 Tour à la question à la Ville (supra)
VIII 177 André Schreibmann Gretschmann
177 ½ moulin de Zorn
177 ¾ Meÿling
177 2/5 Stricker
12 0 0
14 3 10
8 4 5
1 1 4
VIII 178 Jean George Schiecker Heichler 6 4 6
VIII 179 Guillaume Gaul (supra)
VIII 180 George Schmitt Caspar Schlatterer
180 ½ à la fondation de la Chartreuse
16 5 6
5 0 8
VIII 181 Jean Jacques Koch Joh: Koch 8 4 0
VIII 182 à M. Schenck le XIII Charpentier veuve 4 5 0
VIII 183 George Peter Joh: Imberger 7 2 6
VIII 184 Jean Geiger Geÿer Wittib 3 4 9
VIII 185 aux heritiers Leydecker Jungf. Kleÿdecker 3 4 6
VIII 186 Fréderic Dürr Folck 4 0 4
VIII 187 Jean Sébastian Heinold Gretzinger 3 5 0
VIII 188 au Sr Silbermann Silbermann 16 4 6
VIII 189 au Sr Silbermann (supra)
VIII 190 M. de Zorn le XV Jardin à M. de Zorn (noblesse) 14 3 10
VIII 191 Jacques Dürr Dürr 3 1 8
VIII 192 Jean Michel Hürschel Hirschel 3 5 0
VIII 193 Jean Jacques Hürschel Jung 3 3 11
VIII 194 la veuve Kraaf Pallier 3 4 6
VIII 195 André Lung Jung Wittib 3 3 8
VIII 196 Godfroy Weber Weber le pere 4 1 4
VIII 197 Jean Laurent Blasy Krieg Wittib 4 4 7
VIII 198 André Weischel Weichel 4 1 8
VIII 199 Jean Sontag Rath. Sonntag 4 3 3
VIII 200 Jean Laurent Blasÿ Blaßÿ 7 4 5
VIII 201 Jean Laurent Espiner Diemert 5 2 4
VIII 202 Prison royal du Pont Couvert, au Roy Prison des Galeriens 42 1 0
VIII 203 à M. de Güntzer Mde de Gintzer (noblesse) 7 1 9
VIII 204 Jean Jacques Reissner Reißner Wittib 3 0 6
VIII 205 Jean Jacques Dürr Dürr 3 5 7
VIII 206 Mathieu Schletz Schletz 6 3 2
VIII 207 Etienne Bonnet Bonnet 4 3 6
VIII 208 aux héritiers Sarger Sarrier 12 3 6
VIII 209 Jacques Meyer Ehrmann 4 – –
VIII 210 au Sr Lemp Zimmermann 2 5 2
VIII 211 Jacques Koch Jacob Koch 11 1 7
VIII 212 Jean Chrétien Riegel Kieffer 7 2 1
VIII 213 Jean Bex Pex 9 1 4
VIII 214 Louis Müller Müllers Erben 20 1 0
VIII 215 Michel Trawitz Müßel 27 1 9
VIII 216 Sr Beringer Beringer 6 4 10
VIII 217 Philippe Jacques Baur Hertz Wittib 2 3 2
VIII 218 Conrad Heyd Heÿt Wittib 2 4 6
VIII 219 Jacques Richter Richter
219 ½ Joh: Hans
9 1 0
1 5 2
VIII 220 à la Fondation de St Marc Michel Schott 10 1 6
VIII 221 au Sr Krettler Dieterle 7 5 10
VIII 222 au nommé Modelmeyer Memminger 3 4 0
VIII 223 Jean Daumer Danner 10 2 6
VIII 224 au Sr Detrille Dieterle 7 5 10
VIII 225 Jean Jacques Dieterling Bieterle
225 ½ Gräff Wittib
3 2 5
3 3 0
VIII 226 Laurent Strahl Stahl 19 3 9
VIII 227 Jean Koch Walter 6 2 3
VIII 228 Jean Philippe Buck Bock 3 1 8
VIII 229 Jean George Helmstetter Helmstetter 29 2 11
VIII 230 George Michel Baurenschmitt Greiter Wittib 4 4 7
VIII 231 Jean Michel Oberdörffer Daniel Greß 2 5 6
VIII 232 Chretien Kulmann Rath. Gullmann 17 5 0
VIII 233 Ursule Ackerin Daniel Greß 3 2 0
VIII 234 au nommé Rebhan Koch 4 0 0
VIII 235 au Sr Albrecht Albrecht 9 1 0
VIII 236 Jean Jacques Acker Desboeufs veuve 4 5 0
VIII 237 Henri Dubœuf Acker Wittib
son jardin
10 4 9
7 4 9
VIII 238 à Mde Nopfling Knopfling Wittib 7 3 0
VIII 239 Jean Schneider Bick
son jardin
30 3 10
15 5 3
VIII 240 Mathieu Weiner Feder 10 0 5
VIII 241 au Sr Bentz Reibel 9 2 10
VIII 242 Jean Haas Fischer 8 1 6
VIII 243 Henry Tournier Blick 4 – –
VIII 244 Sr Labelly Lettig 10 0 4
VIII 245 Jean George Maurer à la Ville 1 5 6
VIII 246 au Sr Genty Zimmermann 14 4 2
VIII 247 Michel Griess Mich. Roth 14 – –
VIII 248 Jean Michel Kötzel Schneider 14 5 0
VIII 249 à la veuve Bernard à la Ville 16 – –
VIII 250 au Sr Sidon Trawitz Wittib 9 5 0
VIII 251 au Sr Guenau à la Ville 7 2 8
VIII 252 au Sr Guenau Schwing Wittib 9 5 0
VIII 253 Tour à la Ville à St. Louis 29 3 9
VIII 254 Jean Dumay Joh: Isemann
254 ½ Dürr son jardin
254 ¾ jardin de Hartmann
254 2/5 Saum
6 0 0
36 0 0
9 0 0
4 0 0
VIII 255 Jean Braun jardin à la Ville
maison au même
10 1 6
10 0 0
VIII 256 Jacques Anrich Andrich 4 2 10
VIII 257 au Sr Genty Grosche Wittib 2 4 4
VIII 258 Laurent Littner Littner Wittib 2 4 4
VIII 259 Jacques Wernÿ à la Ville 4 1 0
VIII 260 au nommé Bechtold Bischon 2 4 2
VIII 261 Jean Jacques Würtz à la Ville 5 – –
VIII 262 Corps de garde à la Ville Corps de garde 5 – –
VIII 263 Marie Salomée Wöhrlerin Joseph Werler 4 – –
VIII 264 Corps de Casernes, à la Ville quartier des Ponts Couverts 120 – –
VIII 265 à la Ville demeure de l’éclusier de prise d’eau
VIII 266 au Sr Saum Les glacières 16 – –
VIII 267 baraque à la veuve Conrad Kieffer dont l’emplacement est à la Ville La tour y comprise
magasin de Froideveaux derrier les glacières
(-)
16 – –
VIII 268 Tour à la Ville jardin à St Louis 133 2 0
VIII 269 Jardin aux Mrs de St Louis
VIII 270 au Sr Hessel
VIII 271 à la Ville
VIII 272 Moulin à la Ville
VIII 273 Moulin à la Monnoye
VIII 274 à la Ville


1, rue de l’Argile (ancien 39)


Rue de l’Argile n° 1 – IV 95 (Blondel), P 677 puis section 58 parcelle 37 (cadastre)


Le 3, rue de la Vignette suivi, à droite, du 39 rue de l’Argile (vers 1912, AMS cote 1 Fi 24 n° 27)
Actuel 3, rue de la Vignette, reculé lors de sa reconstruction, la partie droite est construite sur le sol de l’ancienne maison rue de l’Argile (mars 2018)
Extrait du plan Blondel, entre la rue de l’Argile à gauche et le fossé des Tanneurs à droite (AMS cote 1 PL 675)

Le tanneur Christophe Rœderer est propriétaire au début du XVII° siècle de trois maisons contiguës dont la maison avant s’ouvre sur le fossé des Tanneurs (n° 92 sur le plan Blondel), les deux autres dans la rue de l’Argile (n° 94 et 95). Son fils Jean Léonard vend la maison à l’angle de la rue de l’Argile (IV 94) en 1694. Jean Christophe Rœderer vend en 1720 l’autre maison arrière (IV 95) à Nicolas Ottmann, meunier au moulin dit Spitzmühl, qui en fait une maison de rapport. D’après l’estimation dressée en 1751, le rez-de-chaussée comprend un poêle et une cuisine, il y a un autre appartement au premier étage et des chambres au deuxième étage. Le compagnon maçon Pierre Dober l’acquiert en 1771 puis la revend en 1785 à une manante après avoir acheté une autre maison vis-à-vis. Elle appartient de nouveau à partir de 1787 à un manant, le porteur de chaise Pierre Weber.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 143
L’îlot d’après le plan-relief de 1725

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages dont le premier est en maçonnerie et le deuxième en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (a) : fenêtre, porte et deux autres fenêtres au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à chacun des étages. Le rapport d’experts dressé en 1828 montre que chaque étage correspond à un logement.
La maison porte d’abord le n° 45 (1784-1857) puis le n° 39.


Elévation et plan du rez-de-chaussée lors de l’aménagement du garage (1927, dossier de la Police du Bâtiment)

Frédéric Wagner ajoute des ouvertures au troisième étage après 1857. Suite à la Grande Percée, la maison porte le n° 1. Emile Klein charge en 1927 les architectes Clauss et Frey d’aménager un garage à droite du rez-de-chaussée. Par ailleurs, l’élévation montre que la façade a conservé son aspect de 1830. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison ainsi que les n° 1 et 3 de la rue de la Vignette. Comme la plus grande partie du sol de ces deux dernières a été réuni à la voie publique, le sol de l’ancien 1, rue de l’Argile forme la partie occidentale de l’actuel 3, rue de la Vignette.


Plan cadastral. La parcelle 38 est réunie à la voie publique sauf une partie résiduelle (n° 161), la parcelle 37, sol de l’ancien 1, rue de l’Argile forme la gauche du bâtiment actuel

avril 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1619 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Christophe Rœderer, tanneur, et (1605) Elisabeth Metzger – luthériens
v. 1660 h Léonard Rœderer, tanneur, et (1647) Barbe Beyer – luthériens
1705 h Christophe Rœderer, tanneur, et (1683) Anne Madeleine Westermann puis (1692) Eve Ebel – luthériens
1720 v Nicolas Ottmann, meunier, et (1706) Anne Marie Graff, veuve du meunier Jean Jacques Guthmann – luthériens
1765 v Jean Michel Meyer, maître maçon, et (1747) Marie Salomé Hammerschmid, veuve du maître maçon Jean Kœderer – catholiques
1771 v Pierre Dober, compagnon maçon, et (1761) Marie Madeleine Maus – catholiques
1785 v Barbe Heusler, veuve du tisserand manant Michel Schacru – catholiques
1785 adj André Hilsdorff, tailleur, et (1763) Catherine Wüst – catholiques
1787 v Pierre Weber, manant, porteur de chaises, et (1753) Catherine Biltzer, veuve de Joseph Dilian, puis (1781) Elisabeth Wüst – catholiques
1828 h Jean André Weber, peintre vernisseur, et (1807) Marie Anne Barbe Galler
1841 v Jacques Frédéric Wagner, serrurier, et (1839) Amélie Wachs
1890* h Jean Grais et sa femme née Wagner
1907* Augustine Heydiri, tailleuse
1929* Emile Klein, cultivateur à Kœnigshoffen, et Salomé Caroline Hauptmann
1933* Emile Hassmann, marchand de meubles, et Elisa Toussaint
1952* Fernand Schwartz, boucher

Valeur de la maison selon les billets d’estimation :325 livres en 1751
Valeur vénale, 550 livres en 1720, 450 livres en 1765, 402 livres en 1771, 350 livres puis 480 livres en 1785, 650 livres en 1787

(1765, Liste Blondel) IV 95, Jacques Helmer
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 100, Ott, Frédéric vieux – maison, sol – 0,86 are

Description de la maison

  • 1751 (billet d’estimation traduit). La maison comprend au rez-de-chaussée à côté de l’entrée un poêle et une cuisine, au premier étage un poêle et une cuisine, une chambre et un vestibule, au deuxième plusieurs chambres dont la chambre à soldats, le comble a une double couverture de tuiles plates, le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 650 florins
  • 1828 rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue de l’Argile

nouveau N° / ancien N° : 8 / 45
veuve Weber
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois bon état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 186 case 1

Wagner, Frédéric, serrurier

P 677, maison, sol, rue de l’argile 45
Contenance : 0,56
Revenu total : 99,29 (99 et 0,29)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 1

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 841 case 2

Wagner, Frédéric, serrurier / veuve
1891/91 Grais, Johann, die Frau geb. Wagner
1907 (2771) Heydiri Augustine Schneiderin in Straßburg
(ancien f° 586)

P 677, maison, sol, Rue de l’Argile n° 39
Contenance : 0,56
Revenu total : 99,29 (99 et 0,29)
Folio de provenance : (126)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 31 p. 328 case 2

Parcelle, section 58, n° 37 – autrefois P 677
Canton : Leimengasse Hs. N° 39 – Rue de l’Argile 1
Désignation : Hf, Whs – droit de créance (v. compte 5540)
idem (v. compte 6602)
Contenance : 0,73
Revenu : 800 – 1000
Remarques : 1952 rect.

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1929), compte 2441
Heydiri Augustine
1913, Wendling Jakob Ehefrau geb. Heydiri
1926 Klein Emile, jardinier et son épouse née Hauptmann
(rayé 1929)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1929), compte 4546
Hauptmann, Charles, pensionnaire à Strasbourg Kœnigshoffen
1929 Klein Emile cultivateur à Kœnigshoffen et son épouse Salomé Caroline née Hauptmann en c. de biens
1951 Klein Emile, père, jardinier et les héritiers de son épouse
(2353)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1933), compte 5540
Hassmann, Emile marchand de meubles et son épouse Elisa née Toussaint en com. de biens
1952 Hassmann Louis Emile, sa veuve née Toussaint
1952 Schwartz Fernand, boucher et son épouse pour ½ et copropr.
(3808)

(Propriétaire), compte 6602
Association syndicale de remembrement de Strasbourg-Ville

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 94 Rue de l’Argile (p. 230)

45
Pr. Weber, port. de chaises
loc. Brodrecht, Sébastien, Revendeur – Moresse
loc. Hetzel, Jean, tailleur de pierres – Manant
loc. Weis, J. George, garç. maçon – Manant

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Leimengasse (Seite 102)

(Haus Nr.) 39
Dreyfuss, Schuhm.-Mstr. 0
Ruf, Schriftsetzer. 1
Heydiri, Schriftsetzer. E 2
Huber, Buchdrucker. 3
Jerome, Spengler. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 643 W 18)

1, rue de l’Argile (1886-1945)

L’installateur sanitaire E. Kirmann est autorisé en 1904 à aménager un nouveau cabinet d’aisance au deuxième étage bien qu’il n’ait pas d’ouverture vers l’extérieur. Emile Klein charge en 1927 les architectes Clauss et Frey d’aménager un garage au rez-de-chaussée. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison.

Sommaire
  • 1886 – Le maire notifie Marie Wagner née Kirch de ravaler la façade de sa maison 39, rue de l’Argile
    1886 (septembre) – L’entrepreneur Bischoff (2, rue des Lentilles) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés. 28 septembre
  • 1890 – Les services de la Ville notent que la fosse d’aisance a seulement 3 mètres cubes
  • 1895 – Le maire demande au propriétaire Heydiri de se conformer au nouveau règlement d’après lequel les ouvertures à moins de 2,20 mètres du sol ne doivent pas avoir de volets qui s’ouvrent vers la voie publique, en l’occurrence 2 volets – Rappel, 1898 – Travaux terminés, mai 1899
  • 1903 – Chargé de raccorder les fosses d’aisances aux canalisations, l’installateur sanitaire E. Kirmann (68. Grand-rue) demande conseil aux services de la Ville. Le propriétaire qui a l’intention d’installer un cabinet d’aisance au deuxième étage sollicite l’accord de la Police du Bâtiment – E. Kirmann dépose une demande. Considérant que les trois ménages qui habitent la maison auront désormais deux cabinets d’aisance, la maire autorise les travaux en janvier 1904 bien que le cabinet n’ait pas d’ouverture vers l’extérieur – Travaux terminés, février 1904 – Dessins (plan et coupe, en deux exemplaires)
  • 1904 – Le maître maçon Antoine Daul (20, quai des bateliers) demande au commissaire de police l’autorisation d’entreposer des matériaux de construction sur la voie publique devant le 39, rue de l’Argile. La demande est transmise au maire – Autorisation. La voie publique est à nouveau libre. juin 1904
  • 1912 – Le maire notifie le propriétaire Joseph Wendling (64, rue du rempart de Pierre, ensuite rue Jacques-Kablé) de faire ravaler la façade. Le propriétaire demande de reporter le ravalement à la fin des travaux de la Grande Percée. Le maire accorde un an de délai puis envoie un rappel. Le propriétaire (désormais domicilié 18, rue Sleidan) présente les mêmes arguments. Nouveau délai
    1914 (avril) – L’entrepreneur Rossi et Leja (40, rue Geiler) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les maisons Hahn et Wendling – Accord
  • 1927 – Les architectes Clauss et Frey (12, rue Richard-Brunck) transmettent les plans du garage que le propriétaire Klein souhaite aménager au rez-de-chaussée du 1, rue de l’Argile – Autorisation – La réception finale a lieu en décembre 1927 – Plan, élévation, plan de situation
  • 1945 – Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison. Le maire accorde un certificat de sinistre à Emile Hassmann

Relevé d’actes

Le tanneur Christophe Rœderer qui épouse en 1605 Elisabeth Metzger est propriétaire de trois maisons contiguës, l’une sur le fossé des Tanneurs et les deux autres dans la rue de l’Argile (parcelles n° 92, 95 et 94)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v, n° 2)
1605. Christoffel Rederer, Rottgerber, J. Elisabeth H. Ludwigs Metzger seligen Tochter, 29. Januarÿ (i 97)

Christophe Rœderer hypothèque les trois maisons au profit des enfants mineurs de Jean von der Bruck

1623 (ut spâ [xx. Augusti]), Chambre des Contrats, vol. 450 f° 703
(Inchoat. in Prot. fol. 378.) Erschienen Christoff Röderer Rothgerber burger Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit hn Eliæ Obrechten burgers Zue Straßburg Alß geschwornen Vogts weÿland Johann vonn der Bruckhen seligen hind.laßenen Khindern – schuldig seÿen 500 pfund pfenning
zu vnderpfand verlegt, ein hauß mit Ihren hoffstetten, höfflin Vnd 2. hind. häußern mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn d. St St. vff dem gerber graben, eins. Geörg Schotten dem weißgerber, Ands. Rudolph Schotten dem Weißgerber, hinden hatt sie einen vßgang Inn das Leimengaßlin, dauon gnd xxx fl. geldt lößig mit vj C fl. Str. w. Lorentz Khammüllers witwe, Item vj fl. geltd wid. kheüffig mit j. C. L. fl. berürt. w. H. Johann Caspar köners haußfrawen, So dann 2 lb. ß geltd Steht Zum hauptgut Abzulößen mit L. lb Ulrich Notter dem Schuhmacher
[in margine :] erschienen H Anthoni Serrari* von Franckfort alß Ehevogt Annæ Marien H. hanß Philipps Bschoren von Freÿstet alß ehevogt Elisabethen vnd H. Mathias Grabisdada burger Zu St. alß Ehevogt Susanna, So dann H. Elias Obrecht alß vogt Jgfr. Sara von der Brucken an eim, So dann Christoff Röderer d. Debitor (…) Act. den 6. Aug. 1629.

Christophe Rœderer hypothèque les trois maisons au profit de Daniel Ringler. En marge, quittances remises à Christophe Rœderer et à Jean Léonard Rœderer

1623 (xxvij. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 450 f° 760
(Inchoat. in Prot. fol. 396.) Erschienen Christoph Röderer d. Rothgerber burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein des Fr. v. w. h. Daniel Ringlers – schuldig seÿe 425 pfund
vnderpfand Ein vord. vnd Zweÿ hind. heuser, mit Ihren hoffstett. vnd höfflin geleg. Inn d. St. St. vff dem gerber graben einseit Jörg Schott. Weÿßgerber, Andseit Rudolff Schott. Weißgerber, hind. Im Leÿmengaß stoßend daselbst einseit Jörg Schott. vnd And.s seit ein Eckhauß, Dauon gnd xxx gl glt Ablöß. mit vj C gl werung wÿland Lorentz Khermüllers witwe, Mehr vj gld Ablß. mit j. C. gl. hr hanß Caspar Khener*, Item sind sie verhafftet vmb L lb Ulrich Nodter dem schuomach. So dan sind sie verhafftet Vmb v. C lb wÿland Johann von d. Bruck. selig Khind.
[in margine :] Erschienen der Ehrenvest Fürsichtig vnd wolweiß herr Daniel Ringler Alt ammeister an j. So dann Christoff Röderer der Debitor, mit beÿstand Christman Röderers deß Rhatspoten seines Bruders, am 2. theil Zeigten An vnd bekanten gegen einander (…) Act. den 20. octob. 1630.
[in margine :] Erschienen H. Niclauß Antonius Espich M. Dr alß Ehevogt Fr. Salome gebohrner Spielmännin deren hievorstehendes Capital Zuständig, hat in gegensein hannß Lienhardt Röders deß Rothgerbers hieringed. Christoph Röderers deß debitoris Leibl. Sohns bekandt (…) den 22. febr. A° 91*

Christophe Rœderer et Elisabeth Metzger hypothèquent la maison rue de l’Argile qui forme angle au profit de Marguerite Linder veuve du tonnelier Martin Ebinger

1631 (31. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 203
Erschienen Christoph Röderer d. Rothgerber burger Zu Str. vnd Elisabeth Metzgerin sein eheliche haußfraw
haben in gegensein Margreth Linderin Eheuogts Martin Ebingers deß Küeffers auch burgers alhie bekannt, daß sie besagter Linderin für vor vngefahr 4 Jaren in zeit derselben wittibstants par gelühen gelt schuldig worden L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen andern & alhie in d. Leimengaßen neben den Bekennern selbsten & ist ein Eck, hind. vff Rudolff Schoten stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 600. fl. Lorentz Kehrmüllers s. erben: Item vmb 150. fl. H hanß Caspar Köhner, stattgerichts Referendario, Item vmb 100. R. Ulrich Noter, Item umb 500. fl. herrn Daniel Ringlern Alten ammeister, Item vmb 2000. fl Johann von der Brucken see. wittiben

Christophe Rœderer hypothèque les maisons au profit des enfants mineurs de l’aubergiste Jean Kamm

1631 (29. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 597
Erschienen Christoff Röderer der Rohtgerber burger Zu St. An einem
So dann Martin Wolff der Metzger auch burger alhie, alß vogt weÿ: hanß Kammen deß eltern geweßenen Gastgeben see: zum hirtzen nachgelaßener vnd in erster ehe erzielter vier Kindern, mit namen dauid, hanß Joachim, Lorentz vnd Michel am 2. theil – 143 lb schuldig (…) in beisein H Lienhard Dumblers vnd H Ulrich Bauren so auch beede Zugegen
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstät mit allen andern ihren gebäwen alhie vffm Gerbergraben beÿ vnd an einander gelegen, neben Rudolff Schoten dem weißgerber & neben Georg Schoten, hind. vff die Leimengaß stoßend, zo Zuuor noch v.hafftet vmb 600. fl. St. w. Lorentz Kehrmüllers s Erben, It. vmb 150. fl. w. H Hanß Caspar Köhner statgerichts Actuario, Jt. vmb 50. lb. d. Ulrich Noter dem Schuhmacher, Item vmb 100. lb d Johann von der Brucken witib, It. vmb 250. lb d H Daniel Ringler Alt Ammeister, Jt. vmb 50 lb d Martin Ebinger dem eltern küeffer, sonst eig.
[in margine :] Erschienen hanß vnd hanß Joachim die Kammen, beede gebrüedere, für sich vnd ihre Mit Erben, haben in gegensein Fr. Elisabeth Metzgerin weÿ: Christoff Röderers s. wittib mit beÿstand H Lienhard Metzgers großen Rhats eheleiblich. Brud. und vogts (…) Act. den 27. 9.bris Anno 1637.

Les héritiers Kœhner donnent quittance d’un capital assis sur la maison d’Elisabeth Metzger veuve de Christophe Rœderer

1649 (17. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 358-v
Erschienen H. M. Georg Christoph Algäwer Diaconus Zu St. Thoman alß Vogt Weÿl. H. M. Friderich Schöttelß geweßenen Pfarrers Zu St Thoman nunmehr seel. nachgelaßener Kind. und im nahmen H Wendling Schöttelß Bruders, mit beÿstand H Frantz Christoph Caroli Fünffzehen schreibers alß Vogts Fr Annæ Margarethæ Carolin mehrgedachts H Pfarrers Schöttelß seel. Wittibin an einem, So dann Josua Schertzen der Schuhmacher alß Ehevogt Mariæ Elisabethæ Köhnerin wie auch Jacob Förchländ der Musquetierer alhie und Margreth Köhnerin beÿde Eheleuth, beede Ehevögte und Sie Margareth mit beÿstand H Friderich Sporen deß Buchführers ihr d. beeden Köhnerisch. Schwestern noch ohnentledigt. Vogts und H. Johann Caspar Berneggers dißer Statt gehemien Secretarÿ und Cancelleÿ Commissarÿ beed. ihrer nechst. verwanthen am andern theil
haben bekannt freÿ gutwillig offentlich veriähen, demnach beÿde Parten noch in gemeinschafft Zweÿer Capitalien, deren daß eine 200. fl. a 4 ½ fl p. Cto vff der statt Pfenningthurn und daß andere 157. fl. 5 ß à 4 p. Cto vff weÿl. Christoph Röderers deß Rothgerbers wittibin Elisabetha Metzgerin Behaußung alhie im leimengäßlin gelegen, angelegt, und von Weÿl. Apoloniæ Heuschin ihrer resp. Groß: und Muter seel. herrührend gestand.

Autre quittance par les mêmes héritiers à Elisabeth Metzger. En marge, quittance remise en 1725 à Nicolas Ottmann

1650 (19. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 199-v
Erschienen Maria Elisabetha Könerin Josuæ Schertzen deß schuhmachers eheliche haußfrau mit beÿstand erstgedachts ihres Ehewürthß und dann Margaretha Könerin Jacob Förchländers deß Mußquetierers alhie Ehewürtin mit beÿstand erstbemelts ihres Ehevogts
in gegensein H Johann Caspar Berneggers dißer Statt geheimen Secretarÿ Und Cancelleÿ Commissarÿ
diejenige 157. fl 5 ß Capital so Elisabetha Metzger weÿl. Christoph Röderers deß Rothgerbers seel. nachgelaßene Wittib nach anleitung der in der Cancelleÿ Contractstuben am 17. Maÿ A° 1649. vffgerichteter Beschehen, alle Jahr vff Georgÿ von vff und abe ihrer alhie im Leimengäßlin gelegener und in besagter Verschreibung beschriebener behaußung mit 6 fl Verzinnßet für ohnverhafftet (…) von solchem Capital an Sie die Könerische Schwestern vff ableiben weÿl. Apoloniæ Heüschin ihrer Mutter nunmehr seel. die helffte erblich gelangt und Sie die übrige helffte Von weÿl. H M. Friderich Schöttel geweßenen Pfarrers Zu St: Thoman seel. Erben nach innhalt der auch in der Cancelleÿ Contractstuben vff obberürten 17. Maÿ A° 1649. verfaßter Verschreibung ahne sich getauscht haben – umb 100 fl.
[in margine :] (…) in gegensein H. Niclaus Ottmann Spitzmüllers des hierinn bemeldten haußes jetzmahligen Eigenthumbs besitzers – Actum d. 27. februarÿ 1721

La maison revient à leur fils Léonard Rœderer qui épouse en 1647 Barbe Beyer, fille d’un sénateur de Landau

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 330)
1647. Domin: V. Trinit: 18. Julÿ. Hannß Leonhard Röderer, Rohtgerber, Christoff Röderers Rohtgerbers b. burgers alhie Nachgel. Sohn, Jungf. Barbara Georg Beÿer Rohtgerber vndt Rahtsverwanten Zu Landaw Nachgel. tochter, Eingesegne dinstag 27. Julÿ, St. Thoman (i 336)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 79) 1647. Dnca 5. Trinit: 18. Julÿ. Johann Leonhardt Röderer der Rothgerber Christoph Röderers Burger vndt Rothgerbers hinderlaßener Sohn, J. Barbara H. Jorg Beÿer Rathherr vndt Rothgerber Zu Landaw hinderlaßene tochter, Zinst. 27. Julÿ, St. Thoman (i 80)

Jean Léonard Rœderer hypothèque la maison rue de l’Argile au profit de la fondation Steinbock destinée aux pauvres apprentis

1672 (7. 7.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 463-v
Hannß Lienhard Röderer der Rothgerber
in gegensein Herren Johann Stößers Cancelleÿ Verwanthens alß Administratoris deß Steinbockhischer Legats für die Armen Lehr Knaben und Lehr dochter gestifftet – schuldig seÿe 30 Pfund pfenning
Unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen und Zugehördten alhier in der Laÿmen Gaß neben Ihme dem Schuldner selbsten, hinden uff Georg Schotten den Jüngern, Weißgerbern stoßend gelegen

Léonard Rœderer hypothèque une des maisons rue de l’Argile (celle qui reviendra à Nicolas Ottmann) au profit du receveur du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune Jean Thiébaut Reiser

1673 (6. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 79
Lienhard Röderer der Rothgerber
in gegensein Johann Jacob Bonders im nahmen H Johann Theobald Raÿsers alß Schaffners deß Stiffts Jungen St. Peters – schuldig seÿe 30. lb
Unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier im Laÿmen Gäßlin, einseit neben Iihme dem Debitori selbsten anderseit neben einem Eckh hinden uff Georg Schotten den Weißgerbern stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Niclauß Ottmann, Spitzmüllers nunmehrigen eigenthumbs besitzers hierinn hÿpothecirter behaußung (…), Actum d. 29. Januarÿ 1721.

Les héritiers Kamm cèdent au notaire Jean Tromer un capital assis sur la maison de Jean Léonard Rœderer d’après un titre de 1595

1696 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 383
H. Johann Adam Ösinger, Notarius Publ. alß Ehevogt Annæ Margarethæ Ösingerin geb. Keckin, Frantz Böll der Metzger alß Ehevogt Margarethæ geb. Kammin, wie auch im Nahmen Johann Michael Kammen, deß Krempen, seines Schwehers, H. Sebastian Rieß, Procurator beÿ der Ammeister Audientz, alß noch ohnentledigter Vogt im Nahmen hans Kammen, deß ledig. Schuhmachers so majorennisis und in der Frembde ist, So dann Heinrich Otto, der Metzger, alß Ehevogt Mariæ Barbaræ Kammin
in gegensein Hn Johannis Tromers, Notarÿ Publ., daß Er H. Ösinger Ehevögtlicher weiß für die helffte, und dan der übrigen helffte obged. Kamm für ein dritten theil, deßen dreÿ gemeldte Kind. respect. deren Ehe: und Vögte aber für die übrige Zween dritten theil solcher helffte
300 Gulden Straßburg. wehrung Capital, so weil. Simon Keller der Rothgerber, modo Johann Leonhard Röderer Geber und Lederbereiter, ab seinem am Gerber graben einseit neben hans Philipß Reffold, and. seit Georg Schotten beed. Gerbers gelegen, hind. auff die Groß und Klein Leimengaß stoßend. behaußung jährlich auff Johannis Baptistæ zu verzinßen schuldig, darüber besagt ein durch weil. H. Hilarius Meÿern gewesenen Contract. Notarium vidimirte Copeÿ deß von weÿl. H. Jacob Küglern auch Contractuum Notario vormahls underm 29. May 1595. und. der Statt Straßburg Cancelleÿ Contact Insiegel außgefertigten Zinßbrieff

Jean Léonard Rœderer meurt en décembre 1700 en délaissant six enfants. La propriété au fossé des Tanneurs ne comprend plus que deux maisons sur les trois qui figuraient à l’inventaire de sa femme puisque le défunt a vendu en 1694 la maison à l’angle de la rue de l’Argile (IV 94 sur le plan Blondel). Les experts estiment les deux maisons 800 livres. L’actif de la succession s’élève à 456 livres, le passif à 151 livres

1701 (7.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 6) f° 266
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿland der Ehrengeachte und bescheidene Meister Hannß Lienhardt Röderer der ältere, geweßene Rothgerber undt Lederbereiter burger allhier zu Straßburg nunmehr seeligen, nach seinem den 17. Decembris deß allererst Zurückgelegten 1700.sten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des abgeleibten seel. mit deßen längst verstorbenen haußfrawen ehelich erzeigter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben, alle nach dießem titulo Inventarÿ benahmset, fleißig inventirt vnd ersucht – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Freÿtags den 7. Januarÿ Anno 1701.
Der verstorbene und nun in Gott ruhende seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. der Ehrenachtbahr: vnd bescheidene Hannß Lienhard Röderern Jun: Rothgerber und Lederbereiter burgern allhier, Welcher auch mit assistentz des Wohl Ehren vesten rechts gelehrten und Großachtbahren herrn Johann Heinrich Langen Notÿ Jur: publ: vnd vornehmen practicj allhier dem geschäfft in persohn beÿgewohnt, 2. den Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Christoph Röderern auch Rothgerber vnd Lederbereiter burgern Zu Waßlenheim allhießig. Straßburgischer Jurisdiction in deßen wie auch hanß Geörg Röderers seines bruders hernach bemelt Nahmen, als Welche beede allhier ohnverburgert der Ehrenveste, fürsichtig vnd weiße herr Johann Jacob Rueff E. E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers als auß wohl ermelten rhats mittel hierzu insonderheit deputirter herr, nebst Ihme persönlich zugegen geweßen, 3. den Ehrengeachten Hanß Geörg Röderern gleichfalls Rothgerber und Lederbereitern so nicht mehr alllhier Verburgert, so selbsten nebst dem H. Deputato obermeltem H. Not° Langen als welchen er auch Zugleich vor seinen beÿstand erbetten. 4. den Ehrsam und bescheidenen Hannß Daniel Röderern ebenmäßigen Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, so auch in persohn anweßend geweßen, 5. Elisabetham Rödererin und 6. die Ehren und Tugendsahme Jgfr. Dorotheam Rödererin, so beede annoch leedigen stands Welche mit beÿstand Hn hannß Geörg Beÿers auch Rothgerbers vnd Lederbereiters burgers allhier Als Ihres geschwornen Vogts persönlich beÿ der Inventation erschienen.
Alle Sechs des abgeleibten seel. eheliche erzeugte Kinder Zugleichen portionen vnd antheilen

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerber graben gelegenen: vnd in dieße verlaßenschafft gehörigen: deßhalben hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt.
In der Slodaten Cammern, In der Cammer A, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, Im obern haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. It. Zweÿ häußer, ein Vorder v. ein hinders, so Vormahls beÿ mütterlicher Verlaßenschafft invent: in Treÿ bestanden, Wavon aber ohnlängsten eines der hinderhäußer verkaufft worden, mit all deren gebawen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten vnd gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg ane dem Gerbergraben, ein seith neben weÿl. hanß Philipp Reffoldts geweßenen Rothgerbers und lederbereiters seel. Wittib und Erben, anderseith herrn Geörg Schotten dem Weißgerber hinden auff die Leimengaß Ziehend, davon gehen Jährlichen auff Johannis Baptistæ 7. lb 17 ß 6 d Zinnß herrn Johann Tromers Notario publ. lößig in Wehrungs Capital mit 157. lb 10 ß d. Ferner 7. lb 17 ß 6 d auch auff Johannis Baptistæ fallend E. E. Zunfft Zur Möhrin allhier ist auch in Wehrungs Capital wider Käuffig mit 157. lb 10 ß d. It. 3. lb 18 ß d Straßburger Wehrung Verfallt Jahrs auff Georgÿ herrn D. Johann Saltzmann allhießigem Saltz Verwalther, modo dem Stifft St. Stephan allhier, ablößig mit 78. lb 15. It. 2. lb d Zinnß soll mann herrn Christoph Röderern dem einen Sohn, vnd mit Erben, Jährlichen auff den ersten Maÿ in hauptguth widerlößig mit 50. lb, Weiters 15 ß d Zinnß der rothen Kirch allhier Jahrs auff Mariæ Geburth fallendt thut. 15. lb. It. noch ferner 1 lb 10 ß d Zinnß empfangt Jahrs den 7. Septembris herr Johannes Bechtoldt, als Verwalther des Steinbockischen Legats lößig mit 30. lb. So dann dem Stifft Jungen St. Peter allhier soll mann Jährlichen vf faßnacht 1 lb 10 ß d Zinnß macht das hptgutg 30. lb. Sonsten gegen männiglich freÿ, leedig vnd eigen und seind beede häußer durch die allhießig geschworne Werck Meistere crafft deren außgestelten vnd beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 10. Januarÿ Anno 1701. æstimirt vnd angeschlagen worden pro 800. lb. Abgezogen vorstehende darauff hafftende Passiv Capitalia so sammenthafft ertragen 518. lb 15. ß, Sofort Würdt allein annoch übrig verbleiben vnd allhier in außwurf Zubringen sein, benantlichen 281. 5. Darüber besagt ein alter pergamentene Kauffbrieff in Allhießiger C. C. stub. vnder dero anhangenden Kl. Secret Insiefel gefertiget Sub dato 6. Xbris A° 1604.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 71, Sa. Leders und häuth wie auch Werckzeugs Zum Rothgerber vnd Lederbereiter handwerck gehörig 100, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 281, Sa. Schulden 3, Summa summarum 456 lb – Schulden 151 lb, Nach deren Abzug 304 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 364 lb
Abschatzung Montag d. 10. Jan A. 1701. Weÿlandt deß Ehrenhafften und beschaidnen herrn hanß Leonhardt Röderer, burger und Rodt Gerber Seel: hinderlaßne Erben behaußung alhie in der Statt Straßburg auf dem Gerber Graben, Ein seitz Neben Herrn Hannß jerg Schoth dem Weiß Gerber, Ander seitz Neben Herrn Hanß Jerg Läffoldt, Seel: hinderlaßene Wittib, hinden auff daß Laimen Gäßel stoßendt, Welche behaußung sambt hinder Gebäw Werckstatt höfflein und bronen, auch übrigen begriff Zugehör und Gerechtigkeitn Wie solches durch die Geordnete Werckhleuth in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß anch angeschlagen Vor und umb Ein Taussendt Sechs Hundert Gulden. Bezeügnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 700 florins. Jean Georges Rœderer qui n’est plus bourgeois doit en outre régler le droit de détraction.
1701, Livres de la Taille (VII 1173) f° 106
(Gerber, N° 338) Weÿl: Hanß Lienhard Röderers, Sen: deß geweßenen Rothgerbers Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Rohr.
Concl: fin: Inv: ist fol: 28.b 364. lb 10 ß 1 d, die machen 700. fl. verstallte 600 fl. und also 100. fl zu wenig
Extat Stallhelt 1699. 1700. et 1701 à 2 lb 5 ß, 6 lb 15 ß
Nachtrag von nicht verstallten 100. fl vor fünff Jahr in duplo thut à 6 ß, 1 lb 10 ß
Und in simplo vor dreÿ jahr macht 9 ß,
Gebott, 1 ß 8 d
Abhandlung 12 ß 6 d – Sa. 9 lb. 8. ß 2 d
dt. 13. Julÿ 1701
Abzug. Hanß Georg Röderer so nicht mehr burger alhier, soll ane abzug, von angefallenem Vätterlichem Erb der 50. lb 14 ß 4 ½ d, 5 lb. 1. ß 5 d. – (rub.) Nota. Thut sein burgerrecht cont: ist also deß abzugs befreÿt

Jean Daniel Rœderer et Dorothée Rœderer cèdent leurs parts de maison à leur frère aîné Christophe Rœderer

1705 (18.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 6) f° 267
(n° 267) Ane Zu end stehendem dato Erschiene beÿm Concept hannß Daniel Röderer der eine Sohn, vnd Jgfr Dorothea die Jüngere Tochter beÿständlich Herrn Johann Geörg Langenbach Rothgerber vnd Lederbereiter auch burgers allhier bekanden in gegensein H, Christoph Röderers Ihres ohneins ältesten Bruders, daß Sie beede Geschwistrige mit besagtem Ihrem brudern, volgenden freündlichen vnd gütlichen vergleich wegen Ihr vor angebühren vätterlicher behaußung, mit einander abgeredet vnd beschloßen hätten
1. So überlaßen Sie beede Geschwistrige ins Gesambt vnd ein jedes insonderheit seinen antheil besagter vätterlicher Wohn behaußung vg den gerber graben liegendt, sambt zweÿen eingemaurten vnd Zum haus gehörigen Kößeln Steinern blatten vndt sonst allerhandt steinen wie auch alles andere Was Zur behaußung gehörig, mehr berührtem Christoph Röderen Ihrem brudern (…) um 125 Gulden oder sammenhafft 250 fl. (…) daß ane statt des davon fallenden vnd Zugegen habenden Zinnßes, Sie die beede vberlaßende Geschwistrige im vordern hauß die obere Stub, hauß öhren, Küchen, Cämmerlein neben der Stuben vnd Cämmerlein neben der Küchen, das Leder bühn gängel, die Cammer darin der daniel ligt aiß der lederbühn, sambt der obersten bühn auff dem hindern hauß vnd den ersten Keller gegen der Steegen auch ohne Interesse solche Zweÿ Jahr vner innhaben und bewohnen sollen – So beschehen den 18. Junÿ 1705.

Christophe Rœderer épouse en 1683 Anne Madeleine Westermann, fille du prévôt de Herrlisheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 194 n° 5)
1683, Februarius, d. 21. Christoph Röderer, der ledig. Rothgerber, hans Lienart Röderers des Rothgerbers vnd burgers alhie ehl. Sohns, Jfr Anna Magdalena H. Hans Jacob Westermans Schultheißen Zu Herelsheim in der Graffschafft Hanau hinterl. ehl. tochter (i 195)

L’épouse fait dresser l’inventaire de ses apports qui se montent à 199 livres dans la maison au Lion rouge (à l’extrémité de la Grand rue).
1683 (30.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 3) f° 7
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab vnd Nahrung, so die Ehrn: und tugendsame Fraw Anna Magdalen Rödererin gebohrne Westermännin Zu dem Ehrengeachten Hannß Christoff Röderern Rothgerbern und Lederbereütern, burgern alhier Zu Straßburg Ihrem geliebten haußwürth für unverändert in den Ehestand zugebracht, Welche nach Anleüth und Außweißung der Zwischen Ihnen beeden vffgerichter Eheberedung der Zwischen Ihnen beeden vffgerichter Eheberedung (…) Actum Dienstags den 30.ten Martÿ A° 1683.
In der herberg Zum Rothen Löwen befuden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 99, Sa. Silber gescheids 16, Sa. Guldener Ring 9, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 199 lb

Tanneur à Wasselonne devenu veuf, Jean Christophe Rœderer se remarie avec Eve Ebel, fille de meunier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidene Christoph Röderer dem Geber und burgern allhier Zu Waßlenheim alß Hochzeiter ane einem, So dann der Tugendsamen Jungfrauen Eva Eblerin, des Ehrsamen hannß Ebels burgers und Müllers allhier ehelichen tochter, als hochzeiterin andern theils (…) Welches alles Zugangen in persönlicher gegenwarth der Ehrengeachten Ehrsam und bescheidenen, auff Seithen des Hochzeiters, herrn Hannß Lienhard Röderers seines Vattern, Herrn Matthiß Immlers, beeder burger Zu Straßburg und Thoman Reßlers alß des hochzeiters Kinder erster Ehe Vogten (…) So beschehen Zu Waßlenheim auff Dienstag den 25. Monats tag Martÿ im Jahr alß man nach der gnadenreichen Menschwerdung und geburth Jesu Christi Zahlte 1692

Mariage, Wasselonne (luth. f° 72-v)
1692. Dienstag d. 15. Aprilis wurden nach Zweÿmahliger ordentlicher außruffung ehelich eingesegnet Christoph Röderer der burger und Gärber allhier vnd Jfr. Eva Hanß Ebelen deß burgers u. Müllers allhier u. Weyl. Fr. Maria einer gebohrenen Eichlerin ehl. tochter [unterzeichnet] Christoph Röderer als hoch Zeitter, Eva Ebelin alß Hochzeiterin E (i 39)

Dorothée Rœderer qui a cédé sa part de maison à son frère meurt célibataire en 1706. Sa succession s’élève à 71 livres
1706 (11.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 14) n° 564
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿland die Ehren und tugendtsahme Jungfraw Dorothea Rödererin, auch Weÿland des Ehrengeacht vnd bescheidenen Meister Hannß Lienhardt Röderer Sen: geweßenen Rothgerber vnd Lederbereiter auch burgers allhier zu Straßburg hinderbliebene Jüngere Tochter nunmehr seelig, nach Ihrem den 1.sten Januarÿ des allererst angetrettenen 1706.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren der abgeleibten hinderlaßener Geschwistrige und ab intestato Erben, alle nach dießem titulo Inventarÿ ordentlich benahmset, fleißig inventirt vnd ersucht – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 11. Januarÿ Anno 1706.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. der Ehrenachtbahr: vnd bescheidene Hannß Lienhard Röderern Sen: Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, Welcher auch dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2. den Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Christoph Röderern auch Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier Zu Straßburg, welcher ebenmäßig persönlich zugegen geweßen, 3. den Ehrengeachten Hanß Geörg Röderern, gleichfalls Rothgerber vnd Lederbereitern auch burger allhier Zu Straßburg, so auch selbsten præsens war. 4. den Ehrsam und bescheidenen Hannß Daniel Röderern ebenmäßigen Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, so auch in persohn anweßend geweßen, 5. Fr. Elisabetham gebohrne Rödererin herrn Lienhard Faber geweßenen Schuhl meisters Zu Waßlenheim seelig hinderblieben Wittib auch persönlich beÿ der Inventation erschienen, Alle 5 Zugleichen portionen vnd antheilern
In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gerber graben gelegenen: H. Christoph Röderern Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier als dem ältern Bruder eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 17 ß, Sa. Schuld 50, Summa summarum 71 lb

Acte de partage correspondant
1706, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 15) f° 565
Theilungs Concept über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Dorothea Rödererin, auch weÿland des Ehrengeacht und bescheidenen Meister Hanß Lienhardt Röderer Sen. geweßenen Rothgerber und Lederbereiter auch burgers allhier zu Straßburg hinterbliebenen Jüngern Tochter nunmehr Seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1706

Jean Christophe Rœderer meurt en 1725 en délaissant deux enfants de sa première femme et trois de son deuxième mariage. Comme il a vendu à Nicolas Ottmann la maison arrière qui donnait dans la rue de l’Argile, seule figure à l’inventaire celle qui s’ouvre sur le fossé des Tanneurs et que les experts estiment 600 livres. La masse propre à la veuve est de 54 livres, celle des héritiers de 25 livres. L’actif de la communauté est de 420 livres, le passif de 383 livres. La veuve déclare que son mari était propriétaire d’un sixième de la maison pour en avoir hérité de son père, qu’il a acquis deux sixièmes de son frère Jean Daniel et de sa sœur Dorothée (voir plus haut), enfin qu’il a acquis par un échange passé à Wasselonne trois sixièmes de sa sœur qui les avait préalablement réunis
1725 (29. Xbr), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 1) n° 12-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. der Ehrenachtbare Johann Christoph Röderer, geweßener Rothgerber Lederbereither und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem zu end des Monats Augusti dießes Zu end lauffenden und zu end gemeldten Jahres aus dießer welt genommenen tödtl. Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. respectivé Kinder und Enckel als ab intestato nachgelaßener Erben (…) inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsame frau Evam gebohrne Eblerin die hinterbliebene wittib beÿständlich H. Lorentz Bohner, Schuhmacher und burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 29.ten Decembris Ano 1725.
Der Verstorbene seelig hab ab intestato Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1. Johann Jacob Röderer, Wirth, Rothgerber und burger Zu Waßlenheim, Welcher sich aber, um willen er crafft einer unterm 11. Martÿ 1720. außgestellten eigenhändig geschriebenen Scheins auf sein vätterlich erb freÿwillig renuncirt, beÿ dieser Inventation nicht gefunden.
2. weÿl. Frauen Margarethæ Wolffin gebohrner Rödererin, David Wolffen dem barbierer Zu botersweÿher nachgelaßene 2. Kinder nahmentlich Magdalenam und Salomeam, so nicht zuegegen waren, in dero Nahmen aber der Edle, wohl Ehren vest, Großachtbahr und weiße herr Johann Frantz Schenck J. U. Lt. E. E. großen Raths alter und jetzmahlen E. E Kleinen Raths wohlansehnlicher beÿsitzer, als auß wohlgedachten Rathsmittel in specie deputirter herr, beÿ dem geschäfft erschienen, welche beede Kinder der Verstorbene seel. mit weÿl. fr. Anna Magdalena Westermännin, seiner erstern haußfrauen seel. ehel. erzeugt
3. Fr. Mariam Salomeam Enselin gebohrne Rödererin H. Jacob Enßel Schuhmacher und burgers allhier Haußfrau, so beÿständlich deßelben hiebeÿ eingestellt,
4. Weÿl. Frauen Annæ Barbaræ Rubin gebohrner Rödererin, herrn Johann Friderich Reeben, wollenweber und burgers allhier Geweßener Ehefrauen sel. ehel. erzeügte nach todt verlaßene Kinder mit Nahmen Johann Friderich und Annam Barbaram, so zwahr mit obernandtem Johann Jacob Ensel dem dißortigen tochtermann bevögtiget in dem aber derselbe selbsten uxorio nomine dabeÿ interessirt, so hat der Kinder Vatter dem Geschäfft beÿgewohnt, So dann
5. Hn Johann Röderer, Phil: studiosum, so bevögtiget mit Hn Johann Philipp Schotten, lederhändler und burgern allhier, welcher nebst dem Curando præsens war, dieße 3. Letztere seind mit eingangs ernandter hinterbliebener Wittib ehelich erziehlet worden.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (E.) Nemlichen 1/6. theil für unvertheilt, wavon die übrige 5/6. theil als in wehrender Ehe erkaufft unten fol. (-) beÿ der theilbaren Nahrung Zubefinden, ane Einer Behaußung sambt einem höfflein mit all deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg ane dem Gerbergraben einseit neben Samuel Rincken dem weißgerber anderseit neben einer behaußung dem Stifft weÿßenhauß gehörig, hinten auff das hiebevor Zu dießer behaußung gehörig geweßte, aber durch Niclaus Ottmann den Spitzmüller alhie Von dem verstorbenen seel. erkauffte hinterhauß stoßend, davon gehen Jährl. auff den 24. Januarÿ 6. lb 6 ß Zinß à 4 pro C° E. E. Zunfft Zur Möhrin allhier ist in wehrung Capital widerkäuffig mit 157. lb 10 ß, Und ist gedachte behaußung durch die allhiesig. geschwornen Werckmeistere Vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 5. Xbr. 1725. angeschlagen worden pro 600. lb d. Abgezogen Vorher befindliches darauff hafftendes Passiv capital der 15. lb 10 ß so restirt annoch 442. lb 10 ß d. Macht daran der hiehero gehörige Sechste theil 73 lb.
Diesen Sechste theil hat der Verstorbene von seinem Vatter seel. A° 1701 ererbt, über die gantze behaußung aber besagt ein alter pergamenten Kauffbrieff in allhiesiger C. C. Stuben auffgerichteter und mit dero anhangendem Kl. Secret Insiegel Verwahrt de dato 6. Decembris A° 1604.
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Nemlichen fünff Sechste theil für unvertheilt ane der beÿ der Erben unveränderten Nahrung, alß inw elche der übrihe Schste theil gehörig, umlständlich beschriebener: ane dem Gerbergraben gelegener behaußung, so wie obgemelt um 157. lb 10 ß d Wehrungs Capital EE Zunfft Zur Möhrin verhafftet, welche 5/6. theil über abzug ged. Capitals nach dem obbenamßten Anschlag allhiesig. geschworner Werckmeistere ertragen 368. lb 15 ß. Ane diesen 5/6. theilen hat der Verstorbene nach der Wittib anzeig 3/6 theil Von frauen Elisabetha Faberin gebohrner Rödererin seiner Schwester, nach dem Sie von hanß lienhard und hannß Georg Röderer Ihren brüderen dero antheiler erhandelt gehabt, gegen deßen hauß Zu Waßlenheim vermög der in dasiger Amtschreibereÿ Verschriebenen aber nicht expedirten tausch contracts eingetauscht, nachgehends aber die übrige 2/6 theil von hannß Daniel Röderer und Jgfr. Dorothea Rödererin seinen geschwüstrigen crafft der in dem über dero vatters seel. Verlaßenschafft A° 1701. durch weÿl. Hn Not. Daniel Rohren sel. Vergriffenen Abteilungs Concept enthaltenen und den 18. Junÿ 1705. passirten Veschreibung Käufflichen an sich gebracht.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung betr. Sa. haußraths 18, Sa. Silbers und goldener Ring 5, Sa. der Activ Schuld 30, Summa summarum 54 lb
Der Erben unverändert Vermögen bet. Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Antheils ane j. behaußung 73 lb – Schulden 53 lb, Nach deren Abzug 25 lb
das theilbare Guth betr. Sa. haußraths 28, Sa. Eigenthums ane j. behaußung 368, Sa. der Activ schuld 23, Summa summarum 420 lb – Schulden 383 lb Nach deren Abzug 37 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 266 lb – Stall Summ 97 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Zu Waßlenheim auff Dienstag den 25. Monats tag Martÿ 1692
Erschienen beÿ mein Notarÿ concept weÿl. Frauen Margarethæ Wolffin gebohrner Röderrin mit weÿl. hrn David Wolffen gewesenen barbirer Zu Boderschweÿer ehelich erzeugte und nachgelaßene Zwo töchtere nahmentlich Jgf. Maria Magdalena Wolffin und Frau Maria Salome Merlet gebohrne Wolffin herrn Remont Merlent wirth Zum Rebstock in der Vestung Käÿl Ehegattin (…)
Abschatzung d. 5. Xbris aô 1725. Auff gebehren Weÿland dess Ehren Vesten vnd Vorachtbahren H. Johann Christop Röderer gewesenen Rothgerbere seel: hinterlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auf dem Gerber graben gelegen einseits Neben Samuel Ring Weißgerber, anderseit neben einem stiffts hauß Zum Waisenhauß gehörig, hinden auf Niclaus Othman des Spitz müllers seine behaußung stosend, welche behaußung Zweÿ alte Nebens gebäwlin, Stuben, Kammer, Küchen, hauß Ehren, gewölbte Keller höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werck leuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und Zweÿ Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Christophe Rœderer et Eve Ebel vendent la maison à Nicolas Ottmann, meunier au moulin dit Spitzmühle et à sa femme Anne Marie Graff

1720 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 429
(550) Christoph Röderer gerber und lederb: und Eva geb. Ebwein
in gegensein Niclaus Ottmann Spitzmüllers und Annæ Mariæ geb. Grafin
ein hinterhauß mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im leimengässel einseit neben Paul Reißeißen anderseit neben Philipp Reffelts E.E. hinten auff den verkäufer – um 157, 157, 78, 15 und 30 pfund verhafftet, geschehen um 111 pfund

Le maître du corps des meuniers déclare en septembre 1706 aux Quinze que la veuve de Jean Jacques Guthmann a l’intention de se remarier avec Nicolas Ottmann, meunier à Brumath, dont la formation ne répond pas au règlement
1706, Protocole des Quinze (2 R 110)
(f° 246) Sambstags den 11. Sept. 1706. – Joh. Jacob Guthmanns Wtb. et Niclaus Ottmann
G. nôe E. E. Meisterschafft der Müller erscheint dero Obermr. H. Joh: Spichert berichtet, daß Sie in erfahrung gebracht, ob wolte weÿl. Johann Jacob Guthmann des Spitzenmüllers Wtb. sich mit Niclaus Ottmann der Müllerin Zu Brumbt Sohn Verheurathen, weilen Er aber nicht nach Ordnung den handtwerck gelernt vnd darauff gewandert, als bitten Sie unterth. Sie beÿ den 15. 21. 26. et 36. articul, laut mit kommeden Articulsbuch gnd. Zu manuteniren vnd folglich keinen anzunehmen, der nicht Ordentlich gelernt habe. Erl. Bedacht und in eventum d. geschäfft an die Obern Handtwerckhh. gewießen.

Anne Marie, veuve du meunier Jean Jacques Guthmann demande l’autorisation de se remarier avec Nicolas Ottmann et d’accorder à son nouveau mari le poste de meunier à la Spitzmühl. Nicolas Ottmann présente la même requête corroborée par une recommandation. Les préposés entendent une semaine plus tard le meunier de Geudertheim qui connaît tous les moulins du comté de Hanau et leurs meuniers  il témoigne de la réputation et de la bonne conduite de Nicolas Ottmann. Les préposés accèdent à la demande de la veuve Guthmann et de Nicolas Ottmann à condition qu’il devienne bourgeois et s’inscrive à la tribu de la Lanterne.
1706, Préposés aux affaires foncières (VII 1382)
(Johann Jacob Gutmanns, des Müllers auff der Spitz Mühlen wittib umb erlaubnus Niclaus Ottmann dem Müller zu Bruhmat zu heirathen v. in Ihre Lehnung anzunehmen)
(f° 94) Dienstags den 14. 7.bris 1706. Johann Jacob Gutmanns, des Müllers auff der Spitz Mühlen wittib umb erlaubnus Niclaus Ottmann dem Müller zu Bruhmat zu heirathen v. in Ihre Lehnung anzunehmen
Maria Anna Weÿl. Johann Jacob Gutmanns, des gew. Müllers auff der Spitz Mühlen hinterlaßene wittib, mit beÿstandt herrn Johann Bochen, des Weinhändlers geschwornenn Vogtsn ersucht Mghh. demüthig, Ihro gnädig zu erlauben, daß Sie sich mit Meister Niclaus Ottmann, dem ledigen Müller zu Bruhmat, hochgäffl. hanaw. herrschafft, Verheurathen möchte, mit angehängter bitt denselben an Ihres Verstorbenen Manns stell Zu einem Müller auff die Spitz Mühl anzunehmen, und demselben gnädig Zu erlauben, daß Er die mit Mggh. getroffene Lehnung ane statt Ihres Manns seel. genießen möchte.
(Niclaus Ottmann) Meister Niclaus Ottmann, der ledige Müller zu Brumat, Weÿl. Meister Niclaus Ottmanns, des gewesenen Müllers alda hinterlaßener ehelicher Sohn, mit assistentz herrn Johann Georg Fleischmanns des Amptschreibers des Ampts Willstett hochgräffl. Hanaw. herrschafft ersucht Mgh. umb ein gleichmäßiges, producirt seinen Lehr: Brieff de dato Buchßweiler den 13. 7.bris 1706. herr Fleischman recommendirt Mghh. denselben in nahmen Ihro Hochgrf. Gnaden des herrn Graffen Von Hanaw Lichtenberg bestermaßen, mit beÿgefügter Versicherung, daß dieser junge Meister die Ihme anvertraute Mühl Zu Brumath zu der großen contentement Versehen habe, und angehängter Wunsch daß derselbe Mghh. solche satisfaction wie Ihr geschehen, geben möge. Erk. Soll von deßen thun und los fernere Kundschafft angezogen und in deßen, alß man Ihme in Ihrem begehren willfahren werden Vertröstet werden.

(f° 95-v) Montags den 20. 7.bris 1706. Niclaus Ottmann würdt Zu einem Müller auff der Spitz Mühl angenommen
Meister Lorentz Schäffer, der gewesene Müller Zu Geidertheim, ward geschickt und befragt, ob Ihme die beschaffenheit der Mühlen Zu Brumath und Martin Niclaus Ottmann, des jetzigen Müllers alda qualitäten und conduite bekandt seÿe ? der Antwortete, daß Er 27. jahr lang Zu Geidertheim und der hanaw. Müller Ober Meister gewesen, derowegen Ihme nicht allein alle mühlen in der Graffschafft hanaw undt deren Müller bekandt seÿen, inspecie die Mühl Zu Bruhmath, Welche eine schöne in 5. Gängen bestehende gute Mühl seÿe, dieselbe seÿe anfänglich allein in dreÿ Gäng bestanden, es habe aber der lange Zeit darauff geweßte in seinem handtwerck wohl erfahrene Mühl Artzt nahmens Valentin Büchler, welcher wegen seiner erfahrenheit nachgehendts Zu einem Meister gemacht worden ist, dieselbe mit Zween Gängen Vermehrt, den Jetzigen Müller darauff habe Er Von Jugend auß gekant, derselbe seÿe ein frommer tugendtsamer junger Mensch, habe das Müller handtwerck Von Meister Valentin Büchlern redlich und Zünfftig, nach handtwercks brauch und gewohnheit erlernet, undt deßwegen in beÿsein sechs Straßburger Meistern Müller handtwercks, davon annoch Zween nemblichen meister Johann Michael Gaar, der Müller auff der Eckboltzheimer, und Meister Johann Martin Lauth der Müller auff der Ruprechtsawer Mühlen im leben seindt, seiner lehrzeit halben loßgesprochen und Vor seinen redlichen Mühl Artzten erkandt worden, Verstehe sein Müller Handtwerck sehr wohl, habe die Mühl Zu Brumath bißhero in die 5. jahr lang alß ein meister mit großem ruhm versehen, derowegen Von Ihro hochgräffl: Gnaden dem herrn Graffen Von hanaw Zu einem Mühl Schawer der Mühl auff der Sorn bestellt worden, welcher denselben ohngern auff dieser Mühl mißen, doch aber auch Ihme sein glück nicht mißgönnen würdt.
Ego berichte, daß ich mit Martin Lorentz Karchern, dem Weißbecken und burger alhier, welcher die Mühl Zu Brumath gar viel braucht, geredet und denselben umb die beschaffenheit dieser Mühlen und Niclaus Ottmanns, des jetzigen Müllers alda thun und laßen, befragt, welcher aller das jenige, was Lorentz Schäffer außgesagt hatt, in allen umbständen becräfftiget habe.
Erk. Würd den beeden Implorirenden Personen in Ihrem begehren, wann Zuvorderist Niclauß Ottmann Von E. E. Raht Zu einem Burger und Von E. E. Zunfft Zur Lucern Zu einem Zünfftigen angenommen sein werde, willfahrt.

Nicolas Ottmann, meunier à Brumath, devient bourgeois par Anne Marie Graff et s’inscrit à la tribu de la Lanterne en octobre 1706
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 764
Niclauß Ottmann d. Müller V. Brumbt, empfangt d. burgerrecht V. s. Fr: Anna Maria Gräffin p. 2. gold fl. V. 16 ß, wird zur Lucern dienen, Jur: d. 16. Dito [8.br] 1706

Anne Marie Graff, fille de boulanger, épouse en 1695 le meunier Jean Jacques Guthmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51-v)
den 31. Aug. A° 1695 seind copulirt Worden Hanß Jacob Gutmann Spitzmüller vnd Burger alhie Und Jungfrau Anna Maria Frantz Graffen deß Weißbeck v. burgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Hans Jacob Guttman Als hochzeiter, Anna Maria Graffin Als hochzeiterin i 53)

Elle se remarie en novembre 1706 avec Nicolas Ottmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 118-v) 1706. Heut dato den 3. 9.bris Haben sich Christlich Copuliren Vnd Ehelich Einsegnen laßen Hr. Nicolaus Ottmann der Ledige Müller gebürthig Von Brumat, Hoch Gräfflich Hanawischer Liechtenbergischer Herrschafft Weÿland Herrn Niclaus Ottmans gewesenen burgers vndt Müllers daselbsten Nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vndt Fr. Anna Maria gebohrne Gräffin Weÿland Hr Hannß Jacob Guttmanns gewesenen burgers v. Müller Allhier Nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Niclauß Ottmann als hochzeiter, Anna Maria guttmenin als hochzeiterin (i 127)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans le moulin dit Spitzmühl. Les apports du mari s’élèvent à 1 081 livres, ceux de la femme à 3 677 livres
1706 (8. Xbris), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 3) n° 44
Inventarium und Beschreibung aller haab Nahrung und güthere liegender: und fahrender überall nichts davon außgenommen, so der Ehrengeachte H. Niclaus Ottman burger und spitzmüller allhier und die Viel Ehr und tugendgezierte Frau Anna Maria gebohrne Graffin beede Eheleuthe einander in die Ehe Zugebracht. welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren derselben auff Zuvor hergangenne errinnerung und Vorleßung deß Articuls Eigens und Zeigens (…) geeigt und gezeigt – So geschehen in fernerer beÿseÿn H. Philipp Georg Fleischmanns Hochgräffl. hanawu Lichtenbergischer herrsch. Ambtschaffnern Zu Brumath, H. Johann Bochen burgers und Weinhändlers der Fr. ohnentledigten Vogts wie auch H. Abraham Junden Kinder erster Ehe geschwornen Vogts, So dann hannß Olßen Sebastians Sohns burgers und gerichtsschöffen Zu Brumath deß Manns ohnentledigten Vogts, Straßburg. den 8. Decembris 1706

Deß Manns ohnverändert und In die ehe gebrachtes Vermögen
Ane haußrath, So in einer alhier in Straßburg beÿ den dreÿ brucken gelegenen und gemeiner Statt Zuständigen behausung die Spitzmühl genant sich befunden
Eÿgenthumb Ahne Einer Behaußung. der fünffte theÿl an einem Vierthen theÿll an einem haiß, hoff, Schewer, Stallung und trothauß ; so alles in a° 1694 den 20.7en 7.bris in dem sogenandten Husaren Lärmen in brandt auffgangen und mehres nicht vorhanden, alß der lehre Platz (…)
Conclusio finalis Inventarÿ. Des Manns ohnver. haußrath 76, baarschafft 383, Pferd 22, Eÿgenth. an hoffstatte 9, liegende güther 405, Schulden 161, Silbergeschirr 21, Summa summarum 1081 lb
Der Frauen ohnuer. haußrath 762, wein v. vaß 186, Früchten 223, Schwein 45, Pferd 35, Schiff und geschirr Zum fuhrw. 25, hau v. Stroh 17, Silbergeschiff 140, Goldener Ring 53, baarschafft 2641, Pfenningzinß 2256, Eigenth. an einer behausung 116, Beßerung an Schiff und geschirr zum Mühl handw. 114, Summa summarum 6637 lb – Schulden 2950, Remanet 3677 lb
(Joint) Auf Ansuchen Meister Niclauß Ottmanns, weÿl. auch Mr Clauß ottmanns geweßenen herrschafftl. Müllers alhier Zu Brumath hinterlaßenen Ehelichen Sohns und dermahligen burgers undt Spitz Müllers in der Löbl. Königl. Statt Straßburg (…) Brumath den 8. Januarÿ [1706] Weimer, Notaire

L’inventaire dressé après la mort de Nicolas Ottmann en 1736 est connu par le répertoire. La minute n’en est pas conservée

1736, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, rép. 65 not 21) f° 38-v n° 460
Inventarium über Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auff der Spitzmühl nun seel. Verlassenschafft sambt summarischem Calculo, Cession Vom 11. Julÿ 1750 andere Cession vom 3. Apr. 1737 fernere Cession Vom 9. May 1750 Accord und respectivé Cession vom 25.ten Junÿ 1737

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 100 florins (1 050 livres) sur un total de 31 500 florins. Les préposés ne tiennent pas compte de la déclaration de complaisance que le défunt a faite alors qu’il était déjà malade pour une somme de 6000 florins
1736, Livres de la Taille (VII 1178)
(Lucern F., N. 7294) Weÿl. Niclaus Ottmann gewesenen Müller auff der Spitz Mühl und burgers allhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger sen.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 369., 16.152. 19. 3 d
abgezogen den haußrath 395. 12. 5. Restirt 15.757. 7. 1., die machen 31.500 fl. Verstallte nur 29.400 fl. Zu wenig 2100 fl.
Nachtrag auf Sechs Jahr in duplo à 6 lb 6 ß, 37. lb 16 ß
Und Vier Jahr in simplo à 3 lb 3 ß, 12 lb 12 ß
Ext. kein Stall geltt
Gebott, 3 ß
Abhandlung, 18 lb 17 ß 6 s Summa 69 lb 8 ß 6 d
Es hat Zwahr der Verstorbene den 14. Maÿ sich 6000. fl. Zuschreiben laßen, weilen so aber bereits kranck geweßen alß hat man kein attention darauf gemacht
Auf eingebrachte Motiva nachgelaßen 25 lb 4. 3., restirt 44 lb
dt. 23. Jan. 1737.

Anne Marie Graff meurt en septembre 1751 en délaissant une fille issue de son premier mariage et cinq enfants du second. Les experts estiment la maison rue de l’Argile 325 livres. L’actif de la succession s’élève à 13 527 livres, le passif à 81 livres.

1751 (18.9.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46) n° 982
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrner Gräffin auch Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auf der Spitzmühl und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßener Frau Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1751. – nach ihrem den 8. dieses Monats und Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft (…) durch die noch lebende Frau Tochter und Herren Söhn auch Jgfr. Annam Mariam Rödererin und Jgfr. Mariam Dorotheam Lauthin die beede Enckel, deßgleichen Mariam Dorotheam Goebelin Von hier gebürtig die dienstmagd (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1751.
die Verstorbene Frau seel. hat per Testamentum zu Erben instituirt und nach tod verlaßen wie folgt 1. Frau Catharinam Ottin geb. Guthmännin Herrn Johann Jacob Ott des ältern Rothgerbers und Lederbereiters Ehegattin, welche Tochter die Frau seel. in erster Ehe mit weÿl. Herrn Johann Jacob Guthmann gewesenen Müller auf der sogenannten Spitzmühl und burger allhier erzeugt, nebst deren Eheliebsten sich hiebeÿ eingefunden
2. Herrn Johann Jacob Ottmann den Müller auf der Spitzmühl und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzer auch burger allhier, so præsens war, 3. Herrn Johann Niclaus Ottmann den ohlmann v. burger allhier, so gegenwärtig war, 4. Herrn Isaac Ottmann, berühmten Medicinæ Doctorem und Practicum auch burger allhier, so anwesend war, 5. weÿl. Frauen Mariæ Salome Rödererin gebohrner Ottmännin, herrn Johann Christmann Röderer, Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers allhier gewesener erstern Ehegattin seel. nachgelaßene dreÿ Töchter Jgfr. Annam Mariam, Mariam Salome und Catharinam Margaretham, so zwar mit vorgedachtem herrn Johann Niclaus Ottmann bevögtiget, weilen aber derselbe hiebeÿ selbsten interessirt als ist Ahn vorgemelter Vatter als geordnet und geschworener Theil Vogt hiebeÿ in deren Nahmen erschienen, 6. Weÿl. Frauen Dorotheæ Lauthin gebohrner Ottmännin auch weÿl. Herrn David Lauth dem gewesenen Müller auf der Carthauß und burger allhier ehelich erzeugte und nach todt Verlaßene einige tochter Jgfr. Mariam Dorotheam, deren ordentlicher Vogt ist vorermelter herr Johann Jacob Ottmann, in dem aber derselbe hiebeÿ selbsten interessirt, so hat herr Frantz Heinrich Dautel Notarius publicus und berühmter Practicus auch burger allhier als geordnet und geschworener theilvogt diesem Geschäfft abgewartet, diese fünff letstere sind der Frau seel. mit ihrem zweÿten Ehemann weÿland Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müller auff der Spitzmühl und burger allhier erzeugte Kinder vnd von ihnen herstammende Enckel
Alle sechs aber als der Frau seel. nach abzug ihrer geordneter præ und legaten zu gleichen theilen per Testamentum verlassene Erben
Extractus Testamenti nuncupativi, den 5. Maÿ A° 1736 vor mit Notario
Copia Testamenti nuncupativi den 5. Januarÿ A° 1746 Vor mir Notario aufgerichtet
Copia Dispositionis den 13. Januarÿ Anno 1746 gethan
Copia Nach Verordnung de dato 29. Septembris Anno 1747

In hernach inventirter an der Obern Langen Straß gelegenen behausung befunden
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 356 lb, Sa. Wein und lärer Faß 221 lb, Sa. Silbers 121 lb, Sa. goldener ring 37 lb, Sa. baarschafft 613 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 7805 lb, Sa. Matt Kittelsheimer banns 15 lb, Sa. antheil ane liegende güthern 1210 lb, Sa. Schulden 3147 lb, Summa summarum 13.527 lb – Schulden 81 Nach deren Abzug 13.445 lb,
Summa der Præ und Legaten 563 lb, Über Abzug derer 12.882 lb, So komt heraus daß des völlige Guth, so die Frau seel. theils Eigenthums theils Wÿdums weise beseßen sammenthafft belaufft auf 17.593 lb, Schluß Summ 17.237 lb
(f° 23) Häußer und Matten Brumater banns so in Herrn Niclaus Ottmann seel. unverändert Verlassenschafft gehörig und die Frau seel. Wÿdums weise genoßen
(f° 32) Häußer in Straßburg gelegen, so in Herrn Niclaus Ottmanns seel. theilbare Verlassenschafft gehörig daran deren Wÿdums Erben zweÿ Tertzen und der Frau seel. Erben ein tertz anfällig, Erstl. i. behaußung an der Pflantzbader gaß gelegen, Von alter her der Pflantzhoff Garten, nunmehro aber das Wirthshauß zur Springbrünnel genannt, samt Hoff, Hoffstatt Tantzplatz darüber ein Sall befindlich, Nebens Häußlein mit begriffen, Weithen, zugehörten, rechten und Gerechtigkeiten 1. Seith neben nach beschriebenem Hauß 2. Seith z. th. neben der Pickergaß z. th. auf Herrn Prælaten Von Altdorff z. th. auf etliche Gärtlein u. z. th. auf die Pickergaß stoßend so bis auf die servitutes freÿ ledig u. eigen, (laut) Abschatzung de dato 21. sept. A° 1751 angeschlagen worden vor 1350, darüber besagt i. teutsch. perg. Kauffbrieff m. der St. Str. C.C. Stub anghang. Ins. verw. de dato 26. apr. 1714, Ferner i. dgl. Kauffbrieff de dato 4. julÿ A° 1731, So dann 4. ältern dgl. Kauffbrieff von untersch. datis
It. i. Hauß u. Hoffstatt m. allen ihren gebäuen, begriffen, Weiten, rechten, Zugehörten allhier an der Pflantzbadergaß 1. Seith neben Philipp Rögner dem Amlungmacher 2. Seith neben vorstehendem Hauß gelegen vornen auf die Pflantzbad gaß hinden auf vorbeschriebenes Hauß stosend, in Vorallegirter Abschatzung æstimirt worden vor 225 lb, Hierüber ist vorhanden 1. perg. Kauffbr. m. d. St. Str. C.C. Stub anh. Ins. verwahrt de dato 1. apr. 1715
It. i. Hauß, Hoff, Hoffstatt m. allen deren gebäuen, begriffen, Weiten, zugehörten, rechten u. gerechtigkeiten allhier an der obern langen straß i. Seith neben Herrn Joh: Ernst Spielmann dem Specirer 2. Seit neben Joh: Jacob Baumann des Schuhmachers wittib und Erben gelegen, hinten auf Mr. Fritschmann den Schreinern stosend, davon gibt man 6 ß 9 d ewigen zinses jährlich auf Joh. Bapt: dem Stift Carthauß allhier so zu doppeltem Cap. erträgt 13 lb 10 ß, in vorerwehnter Abschatzung angeschlagen worden Vor 500 lb, hievon abgezgen vorbenamsten darauf haftende Onus der 13. 10. so verbleibt hier an dem Anschlag aus zuwerffen in Rest 486 lb, Darüber meldet i. teusch. perg. Kauffbrieff m. der St. Str. CC. Stub anh. Ins. Verwahrt de dato 9. mart. 1709, Ferner i. dgl. Kauffbrieff so datirt den 2. jan. 1671
It. i. Hauß, Hoffstatt m. allen begriffen, weiten, zugehörden, rechten u. gerechtigkeiten allhie an dem Müllergäßel i. Seith neben (Joh: Jacob Baumann des Schuhmachers Wittib und Erben) as. neben Christian Kästler dem Schreiner gelegen hinten auf i. allmend gäßlein stosend , um vorgemelter Abschatzung æstimirt word. vor 300, Darüber besagt . teustch. perg. Kauffbrieff m. der St Str. C.C. Stub anhang. Ins. Verw. de dato 13. aug. 1720
It. i. behaus. mit allen begriffen, weiten, Zugehörten, rechten u. gerechtigkeiten an dem leimengäßel auf dem Plätzlein i. Seith neben Hrn Paul Reißeißen dem goldarbeiter 2. Seith neben Joh: Samuel Rinck dem Weißgerber gelegen hinten auf Joh: Jacob Däter den rothgerber stosend, in Vorbenamßter Abschatzung angeschlagen worden vor 325 lb, darüber ist vorhand. i. teusch. perg. Kaufbr. m. der St. Straßb. C.C. Stub anhang. Insiegel verwahrt, de dato 10. Septembris1720
Summa Anchlags vorbeschriebener in Straßburg gelegener Häußer 2686 lb
– Abschatzung Vom 21. 7.bris 1751, Auff begehren Weÿland frawen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrene gräffin seel. hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem leimengäßlein auff dem Plätzel hinter dem Rebstöckel einseits neben Herrn Reißeißen anderseits neben Meister Ring dem Weißgerber und hinten auff Meister dätterer dem Gerber stosend gelegen, neben dem Eingang dießer behaußung ist eine Stub und Kuchen, in dem Ersten stock ist eine Stub und Kuchen, Kammer und Haußöhren, In dem zweÿten stock seind etliche Kammeren davon eine die Soldaten Kammer darüber ist der Tachstuhl, so mit breit ziegeln doppelt gedeckt, angeschlagen worden Vor und umb 650 Gulden,
der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Müllergäßlein einseits neben Christian Kästler dem Schreiner anderseits neben Hanß Georg Hildenbrand auch Schreiner und hinten auff N. N. den frippier stosend gelegen, neben dem Eingang dieser behaußung ist der Keller und ein holtz Kammer, In dem Ersten stock ist eine Stub ein Stub Kammer, ein andere Kammer, Kuchen und Haußöhren, darüber ist der Tachstuhl, Welcher mit breit ziegeln einfach gedeckt, Worunter etliche unterschlagene Kammeren, angeschlagen worden Vor und umb 600 Gulden,
der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Pflantz badergaß einseits auff die Erben selbsten anderseits ist ein Eck auff die bücher gaß und hinten auff herrn Kuttler dem Ohlmann stosend gelegen, solcher begriff bestehet in einem Würths hauß zum Springbrünnel genant und hat ein Nebens und hinter gebäw darinnen etliche Stuben, Kammerern und Küchen, die Tachstühl darüber seind mit breit ziegeln doppelt gedeckt, Ferner befindet sich ein tantz Platz, Worüber ein Saal deßen tachstuhl ist auch mit breit ziegeln doppelt gedeckt, In dem Hoff ist ein bronnen und gewölbter Keller, angeschlagen worden Vor und umb 2700 Gulden,
der Vierte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Pflantz badergaß einseits auff die erben selbsten anderseits neben Herrn Rögner dem Paßmentirer und hinten auff die erben selbsten stosend gelegen, Neben dem Eingang dieser behaußung ist eine Stube, eine Kammer und Haußöhren, Worinnen der Herd, In dem Ersten stock ist eine Stube, Kammer und Haußöhren, worinnen auch der Härd, darüber ist der Tachstuhl, so mit hohl und breit ziegeln gedeckt, Worunter die Soldaten Kammer und eine andere Kammer, hat auch ein Kleines geträhmtes Kellerlein, angeschlagen worden Vor und umb 450 Gulden,
der Fünfte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der langen straßen Einseits neben N. Spielmann dem Specirer anderseits neben Fraw Baumannin Wittib und hinten auff Herrn Kuttler den Ohlmann stosend gelegen, neben dem Eingang ist eine Stube und Kuchen, In dem Ersten stock ist eine Stube, zweÿ Kammeren ein Kuchen und Haußöhren, In dem Zweÿten stock seind etliche Kammeren, darüber ist der Tachstuhl so mit breit ziegeln Einfach gedeckt, Worunter zwo bestetze bühnen, hat auch einen gemeinschaftlichen bronnen, Hoff und gewölbten Keller, Ferner befindet sich ein nebens und hinter gebäw, Worinnen deß Officiers losament und etliche Kammeren in dem hintergebäw aber seind zweÿ leere bühnen, die tachstühl darüber seind mit breit ziegeln einfach gedeckt, angeschlagen worden Vor und umb 1000 Gulden, [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohnern, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner Werckmeister

Anne Marie Guthmann et les ayants-droit de Marie Dorothée Ottmann cèdent leurs droits à leurs autres cohéritiers

1751 (25.11.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46), Joint au n° 982 du 18 sept. 1751
(Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrner Gräffin auch Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auf der Spitzmühl und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßener Frau Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft)
Theilregister (f° 17) Abhandlung der in der Frau seel. Verlaßenschafft an unterschiedenen in Straßburg gelegenen Häußern gebühriger Tertz – Demnach an nachgemelten in beeder verstorbenen Ottmännischer Eheleuthe theilbare Nahrung gehöriger in Straßburg gelegenen, in der Frau seel. Verlaßenschafft Inventario à fol. 188 bis 197 beschriebenen Haußern als
1. an einer behausung an der Pflantzbadergaß gelegen, Von alter her der Pflantzhoffgarten, nunmehro aber das Wirthshauß zur Springbrünnel genannt, samt Hoff, Hoffstatt Tantzplatz darüber ein Saal befindlich, so bis auf die servitutes freÿ ledig u. eigen,
2. an einem Hauß und Hoffstatt an der Pflantzbadergaß gelegen neben vorstehendem Hauß,
3. an einem Hauß, Hof und Hofstatt an der obern langen Straß gelegen, so über die davon jährlich auf Joh. Bapt: dem Stift Carthauß allhier zu geben schuldige 6 ß 9 d ewigen zins freÿ ledig u. eig.,
4. an einem Hauß und Hofstatt an dem Müllergäßel gelegen, o dann
5. an einer behaußung an dem Leimengäßel auf dem Plätzel gelegen,
in die mütterliche Verlassenschafft ein dritter theil gehörig, aber diese mütterliche Tertz mit denen dreÿ Ottmännischen Söhnen und Rödererischen Enckel, so das Vätterliche Wÿdumsguth, weilen Sie dem Silberradischen Antheil cedirt bekommen, gemeinschaftlich, also an denen gesamten Häußern Frauen Catharinæ Ottin der Tochter erster Ehe ein 18. Theil und der Lauthischen Tochter ein 18. Theil gebührig, solche gemeinschafft aber wegen denen ungleichen Antheilen, Viele Verdrüßlichkeiten nach sich ziehen würden, so hat man genau untersuchet, was die gesambte Häußer jetziger Zeit bechaffenheit nach werth seÿn möchten, und dan man derentwegen einen genauen Überschlag gemacht gehabt, folgende Cession getroffen,
Nemliches es wird sowohl von Frau Ottin mit genehmhaltung ihres Ehemanns als auch Von Herrn Notario Dautel als Jgfr. Lauthin theil Vogt und zwar jeder theil von ihnen deßen an vorgemelten fünf Häusern ererbte 18.te Antheil ihren mütterlichen Miterben als denen die Vätterliche zwo Tertzen anfällig und zwar jedes 18.der theil über die angemercke beschwerden vor 600 Gulden cedirt und Von denen Cessionariis die Von Vorernanten beeden Mit Erben cedirte zweÿ 18.de theil um 1200 gulden angenommen
Wobeÿ auch verglichen worden, weilen die Frau seel. in ihrem Wittwen stand in das Wirthshauß zum Springbrünnel einen Tantzplatz mit einem Saal von grund auferbauet, also der Ottmännischen Wÿdums Erben Vätterliche zwo Tertzen Verbeßert worden, daß die vätterliche Wÿdums Erben an solchen angewendeten bau Kösten vor zwo Tertzen 450 lb in das mütterliche Erb einschiesen sollen
Actum Straßburg d. 25. Novembr. 1751.


Les héritiers cédent leurs droits sur la maison rue de l’Argile à Anne Marie Rœderer femme du cordier Philippe Jacques Kammerer

1765 (17.1.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46), Joint au n° 982 du 18 sept. 1751
(f° 36) Cession Wegen dem Hauß im Leimengäßlein
Erschienen bei diesem Abtheilungs Concept H. Johann Niclaus Ottmann der hiesige burger und Ohlmann, sowol vor sich selbst als auch vögtlicher weis Jgfr. Catharinä Margarethä Rödererin, Herrn Joh: Daniel Ottmann des Handelsdieners und H. Isaac Ottmann, Med: Cultoris, Ferner H. Johann Jacob Ottmann, der Müller auf der Spitzmühl und burger dahier, so dann H. Johann Christmann Röderer, der Rothgerber und Lederbereiter und E. E. Kleinen Raths allhier alter wohlverdienter beÿsitzer, im Namen seiner mittlern Tochter erster Ehe Frauen Mariæ Salome Holdererin gebohrner Rödererin, H. M. Joh: Georg Holderer des treueiferigen Pfarrers und Seelsorgers Zu Wangen und burgers hieselbst, Eheliebstin, und& vor dieselbe de rato et grato cavirend, (…) überlaßen haben
ihrer Mit: Erbin Frauen Annä Mariä Kammererin gebohrner Rödererin H. Philipp Jacob Kammerer des hiesigen burgers und Seilers Ehegattin, die hiebeÿ Zugegen, beiständlich besagten ihres Ehemanns
Eilf Zwölfte Theil an einer behausung und Hofstatt mit allen übrigen deren begriffen, Gebäuden, Weiten, Zugehörten, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen in allhiesiger Statt an dem Leimen Gäßlein auf dem Plätzlein, ein Seit neben weil. H. Paul Reiseisen des gewesenen Goldarbeiters Erben, ander Seith neben Johann Samuel Rinck dem Weisgerber hinten auf weil. N. Tubach des hannßen Amlungmachers Wittib und Erben stosend, als frei ledig und eigen vor die summ derer 412 Pfund 10 Schilling, das ist die gantze behaußung Zu 450 pfund pfenning gerechnet, der übrige eine Zwölfte Theil ist der Fr. Cessionaria selbsten Erbs weis Zuständig – Straßburg den 17. Jänner im Jahr nach Christi Geburt 1765

L’acquéreuse revend deux semaines plus tard 450 livres la maison au maître maçon Jean Michel Meyer

1765 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 93
Fr Anna Maria geb. Rödererin H. Philipp Jacob Kammerer des seilers ehefrau
in gegensein Michael Meÿer des maurer meisters
eine behausung und hoffstatt mit allen begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßlein auf dem plätzel einseit neben N. Caßel dem schreiner, anderseit neben Samuel Rinck dem weißgerber – als ein theils von Fr. Anna Maria Ottmännin geb. Gräffin ererbt theils von ihrer mutter in unvertheilten erb cedirtes guth – um 450 pfund

Jean Michel Meyer vend la maison 402 livres au compagnon maçon Pierre Dober

1771 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 351-v
H. Michael Meyer der maurermeister
in gegensein Peter Dober des maurer gesellen
eine behausung und hoffstatt mit allen denen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßel auff dem Plätzel einseit neben Peter Rößel dem schreinern anderseit neben Samuel Rinck dem weißgerber, hinten auff die Tubachische erben – als ein von seiner frauen Anna Maria Kammererin geb. Röderein vermög Cantzleÿ contract verschreibung de dato 1. feb. 1765 erkaufftes guth – um 202 und 200 verhafftet – geschehen um 402 pfund

Pierre Dober vend la maison 350 livres à Barbe Heusler, veuve du tisserand manant Michel Schacru

1785 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 198
Peter Dober der maurer gesell
in gegensein Fr. Barbaræ geb. Haußlerin Michael Schacru des schirmers und leinenwebers wittib beÿständlich Antoni Hornstein des maurer gesellen und schirmsverwandten
eine kleine behausung mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßlein auff dem sogenannten plätzel, einseit neben Mr Caßel dem schreiner, anderseit neben Rinckischen erben, hinten auff Mr Dubach den amlungmacher – um 700 gulden

Michel Schacru (Schagru) meurt le 10 août 1782 à l’âge déclaré de 43 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 102) Anno Domino 1782 die 10 mensis augusti mortuus est Michael Schagru annum ætatis 43 agens ss sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus tutelaris hujas Maritus dum viveret superstitis Barbaræ Heissel qui Hodie 12 ejusdem mensis et anni sepultus est in cœmeterio S. Galli (i 55)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la manante Barbe Schachruh, veuve du lisseur de coton Michel Schachruh, à acquérir la maison de Pierre Dober. Ils font remarquer que l’acquéreuse aurait les moyens de devenir bourgeoise puisqu’elle règle comptant 700 florins mais ne peuvent l’exiger d’une veuve.

1785, Conseillers et XXI (1 R 268)
Barbara Schackruh die schirmers Wtb erhalt erlaubnuß ein hauß zu kaufen. 82.
(p. 82) Sambstag den 16. Aprilis 1785. Osterrieth nôe Barbara Schackruh, weiland Michael Schackruh des gewesten baumwomlglatters und Schirmers alhier hinterl. wittib diese ist gesonnen von Peter Dobert dem br. und Maurergesellen ein an dem Leimengäßlein gelegenes hauß um die summ von 1500. f. an sich zu kaufen, worauf 700. f. bezalt werden, bitt gnädig zu erlauben also Kaufen zu dörfen und um dispens vom augenschein.
Rang noê des Verkäufers bitt similiter um dispens und also verkaufen zu dörfen.
nachdem sodan hr. Gal adv. Mogg sein votum dahin gerichtet, daß mghh. Kein anstand nehmen mögen, die angesuchte Erlaubniß und dispens zu bewilligen, angesehen das hauß bekantl. nicht in das allignement fält, und andrer seits, obgleich gesagt werden könte, daß die implorantin, da sie 700. f. baar darauf bezalt, also ein hinänglich Vermögen besitzet, um ins burgerrecht Zu tretten angehalten werd. könne sich auf solche art in ordnung zu begeben, dieses jedoch hier nicht platzgreiflich seÿn möge, da sie eine wittib ist, und also unter Keinem Vorwand eine gewerbs das burgerrecht erlangen könne, jedoch werden Mgh die ordnungsmäßige Verschreibung zu erkennen geruhen.
Und H. Prætor Regius ebenfalls beÿgestimmet
Als ist vermittelst gehaltener Umfrag Erk. daß der implorantin mit gebettenen Erlaubniß und dispens von Peter Dober das befragte hauß zu erkaufen unter der bedingung zu willfahren, daß der Kauf und Verkauf nach ordnung in der C. C. Stub zu verschreiben, damit alda vo denen Hh. deputirten des interesse gemeiner Statt wegen zu stipulirenden Real schirmgeld und anderer abgaben durch uns zustellend Reversalia bestens besorgt werden möge.
Depp. H. Rathh. Ottmann, H. Rathh. Noel.

La maison de Barbe Heusler veuve du laveur de coton Michel Jacquerue est vendue aux enchères 480 livres en juillet 1785 au fripier André Hilsdorff

1785 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 659 n° 329
Ganthkauffbrieff vom 14 julÿ 1785 – ist die Fr. Barbara geb. Häußlerin weÿl. Michael Jacquerüe gewesten schirmers und baumwollwaschers nachgelassene wittib zuständige behausung samt zubehörden ane dem Leimengäßlein, einseit neben N. Rinck dem weißgerber, anderseit neben Mr Cassel dem schreiner, hinten auff N. Dubach den amlungmacher
Andreas Hielsdorff des altgewänders, als letzt und meistbietenden um 960 gulden adjudicirt worden

Originaire de Wallertheim en juridiction de Linange-Guntersblum, le compagnon tailleur André Hilsdorff obtient une promesse de réception à la tribu de la Mauresse après avoir présenté son certificat d’apprentissage établi à Nieder-Saulheim
1762, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
Andreas Hilsdorf der ledige Schneider Gesell
(f° 277) Den 23.ten Decembris Anno 1762 – Vertröstung zum Zunft Recht
Andreas Hilsdorf, der ledige Schneider Gesell von Wallersheim, hochgräflich Leiningischer herrschaft gebürtig producirt Lehrbrief von E. E. Schneider Zunft Zu Nidersaulheim wegen erlernten schneider handwercks de dato 18.ten Februarÿ 1760. bittet um Ertheilung eines Zunft Vertröstungs Schein damit er beÿ alhiesiger gnädiger Obrigkeit um das burger Recht anhalten Könne. Erkandt Willfahrt aber Zu keinem anderen als Zu dem Zunft Recht.
Dedit Protocollum Gebott Geld 2 ß, Findling hauß

André Hilsdorff devient bourgeois le 8 janvier 1760 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 3-v
Andreas Hilßdorff d. ledige Schneidergesell von Waltersheim hochgräffl. Leining gundersblum. herrschafft erhalt das burgerrecht umb den neuen burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin, Jur. den 8. Jan. 1763.

André Hilsdorff devient tributaire à la Mauresse et obtient le droit de fripier
1762, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
(f° 292-v) Donnerstags den 10.ten Martÿ Anno 1763 – Andreas Hilsdorf der ledige Schneider gesell von Wallersheim, hochgräflich Leining: Gundelblumische herrschaft gebürtig producirt Schein von alhiesiger Cantzleÿ und Stall beede vom 8. Januarÿ 1763. bittet um Ertheilung des Zunft: und frippier Rechts.
Auf producirter und vorher abgelesener glaubhaften Lehr brief wurde Erkandt, seÿe dem Imploranten in seinem begehren gegen erlag der Gebühr zu wilfahren.
dt. vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Altgewänder Recht 1 lb 5 ß, Vor die Feur Eimerer 3 ß 4 d Und Einschreib Geld 2 ß (thut) 2 lb 15 ß 4 d

André Hilsdorff épouse en 1763 Catherine Wüst, originaire de Dossenheim près de Dettwiller : contrat de mariage, célébration
1762 (28. 8.bre), Not. Laquiante (6 E 41, 1012)
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – Jean André Hillsdorff, garçon tailleur d’habits demeurant en cette ville, fils majeur de feu Jean Hillsdorff et de Marguerite Kreithin ses père et mère, natif de Wallerstheim dans la comté de Linange et dans la paroisse de Niderweinheim Eveché de Mayance
Catherine Wiesthin demeurant en cette ville fille de feu Leopold Wiesth et d’Elisabeth Scherin, natif de Dossenheim Baillage de Dettwiller paroisse de Neuviller

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 271-v)
Hodie 2. May anni 1763 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Andreas Hilsdorff ex walterthum diœcesis moguntinæ oriundus suæ professione Sartor, filius defuncti Joannis Hilsdorff agricolæ olim et civis in dicto loco et Margarithæ Kreitin superstitis ejus uxoris legitimæ in parochia ad st: petrum juniorem commorans, et anna Catharina wüst in Neuwiller nata, filia defuncti leopoldi wüst cometarii* quondam et civis in dicto loco et Elisabethæ Schwerin civis conjugum in hac parochia commorans (signé) Andreas Hielßdorff, signum sponsæ x (i 277)

Catherine Wüst devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour bon comportement le 18 juin 1763
Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 14-v
fr. Catharina geb. Wüstin von Dosenheim geb. verheurathet ane Andres Hilßdorff den burger vnd Schneider allhier erhalt das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Schneider, prom. den 18. Junÿ 1763

André Hilsdorff meurt en 1816 en laissant pour héritière testamentaire Elisabeth Wüst veuve de Pierre Weber auxquels il a vendu sa maison
1816 (23.2.), Strasbourg 12 (63), Not. Wengler n° 9409
Inventaire de la succession d’André Hilsdorff, frippier, décédé le 28 janvier dernier – à la requête d’Elisabethe Wüst veuve de Pierre Weber tailleur d’habits seule et unique héritière testamentaire d’André Hilsdorff marchand frippier, suivant testament reçu par le soussign notaire le 18 décembre 1811
dans le logement qu’occupait le défunt dans une maison place de la Cathédrale n° (-)
meubles garde robe 179, 415 et 159 fr, créances, total 25.467 fr, moitié de la succession du défunt et la moitié de la succession de Catherine Wüst échue à la requérante seule et unique héritière testament public du 19 décembre 1811, passif 950 fr
enreg. f° 160 du 27.2.

Le fripier André Hilsdorff vend la maison 650 livres au manant porteur de chaises Pierre Weber
1787 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 227-v
H. Andreas Hielsdorff der alt gewänder
in gegensein Peter Weber des chaisen trägers und schirmers
eine behausung samt zugehörden rechten und gerechtigkeit ane dem Leimengäßlein, einseit neben Mr Rinck dem weißgerber, anderseit neben Mr Caßel dem schreiner, hinten auff N. Dubois den amlungmacher – um 1300 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Pierre Weber à acheter la maison en le dispensant de produire un certificat de visite

1787, Conseillers et XXI (1 R 270)
(p. 177) Sambstag den 9. Junius 1787.- Peter Weber pt° H[auskaufs im Leimengäßlein]
Wilhelm nôe Peter Weber des hiesigen Schirmers und Chaisenträgers dieser ist Willens von Andreas Hildsorf dem b. und frippier allhier eine an dem Leimengäßlein gelegene behausung um 1300. fl. nebst Übernahm des kösten und Pfundzolls Zu kaufen, worauf aber nur 400. fl. abschlägig bezahlt werden, b. also Kaufen zu dörfen und um gnädige Dispens vom burgerschein.
Kraus nôe venditoris b. also verkaufen zu dürfen und Dispens vom Augenschein.
Erk. Seÿe den Imploranten in ihrem begehren Zu Willfahren, unter der bedingungen jedoch daß der Kauf und Verkauf in Löbl. C. S. Stube vor Unsern deputirten Ordnungsmäßig verschreiben, und von diesen durch auszustellende reversales in Ansehung des Zu unterstehenden Real schirmgeldes und anderer Abgaben Gemeiner Statt Intereße bestens besorgt werde.
Depp. H. Rathh. Scherer, H. Rathh. Denner.
(Copie, actes annexes à la Chambre des Contrats, cote 94 Z 11)

Originaire de Lockweiler en Sarre dans le diocèse de Trèves, l’ancien soldat Pierre Weber épouse en 1753 Catherine Biltzer, veuve de Joseph Dilian
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 190-v)
Hodie 5. Novembris anno 1753 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Petrus Veber ex Lochweiler diœcesis trevirensis oriundus, miles dimissus ex legione diâ navarre, filius defunctorum Joannis weber /:operarii et civis in dicto loco dum viveret:/ et Catharinæ Gallon conjugum, et Catharina Biltzin vidua defuncti Joseph Dilian in vivis incola hujatis, ambo in hac parochia commorantes (signé) peirre weber, signum sponsæ CB

Originaire de Kematen en Tyrol, Joseph Dilian épouse en 1739 Jeanne Catherine Biltzer originaire de Wœrth sur Sauer
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 142)
Hodie 9 mensis augusti anni Dni 1739 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Josephus Dilian ex Kemeten in comitatu tirolensi Diœcesis Brisiensis oriundus et solutus a triennio in supra nominata Parochia commorans et pudica virgo joanna Catharina Biltzerin ex werth prope surburg huius dioecesis oriunda etiam a pluribus annis Parochiana nostra (signé) Joseph dilian, signum sponsæ x (i 149)

Catherine Biltzer meurt en 1781 après avoir institué son mari légataire universel. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Pierres (actuelle rue de la Courtine). L’actif de la succession s’élève à 541 livres, le passif à 7 livres
1781 (9.4.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1473), n° 720
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Weberin gebohrner Bilzerin, Peter Weber des Waschers und Schirmers alhier zu Straßburg im Leben gewesener Ehefraun Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1781. – nach ihrem den 25.sten Februarii dieses 1781.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat – So geschehen alhier Zu Straßburg in beiseÿn Hn Johann Joseph Bitschnau, J. U. Lti. und Procuratoris vicarii alhier, als geordnet und geschworenen Vogts der durch die Verstorbenen dem hinterbliebenen Wittwer in sich eräugenden Fall per Testamentum substituirte: und abwesender Erben, auf Montag den 9. Aprilis Anno 1781.
Die Verstorbene hat per Testamentum Zum Universal Erben hinterlassen, benantlich Peter Weber, deroselben Ehemann und hinterbliebenen Wittiber unter den Clausuln und bedingung wie in ihr der Verstorbenen vor H. Humbourg ehemaligen Königl. Notario alhier und Zeugen den 20. Hornung 1768. errichten Testamento nuncupativo mit mehrerm erwehnet. Welcher als balden declarirt wie daß er diese Verlaßenschafft schlechterdings anzutretten gedencke.

In einer alhier zu Straßburg ane dem Steingäßlein gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Wie der hinterbliebene Wittwer auf beschehenes Anfragen declarirt so seÿe zwischen ihme und der Verstorbenen Zur Zeit angetretener Ehe weder eine Eheberedung noch ein Inventarium über ihr beeder in den Ehestand gebrachtes Vermögen errichtet worden, der Ursachen man sich bei gegenwärtiger Inventur einig und allein nach dem Inhalt des vorher eingetragenen Testamenti nuncupativi richten, folglich das völlige vorhandene Vermögen anders nicht dann unter einer Massa et Titulo als in der Verstorbenen Verlaßenschafft gehörig beschreiben konte.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 49, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Schulden 91, Summa summarum 541 lb – Schulden 8 lb, Nach deren Abzug 533 lb
(…) Item Kraft des vierten Articuls vermachte die Defuncta, fals ihr gewester Ehemann und dermaliger Wittwer in eine Zweite Ehe schreiben würde, Frantz Biltzer ihres Bruders Kindern und Kindskinder, Stammweis 100 fl. und Catharinæ Elisabethæ Biltzein ihrer Schwester mit N. Schissler ehelich erzielter Kindern und Kinds: Kindern auch Stammweis ebenmäßig 100. fl.
(Copie du testament)

Pierre Weber se remarie en 1781 avec Elisabeth Wüst, native de Dauendorf : contrat de mariage, célébration
1781 (20.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 183) n° 3
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – Pierre Weeber, blanchisseur en cette ville, veuf en premières noces de Catherine Belzer
Elisabeth Wüst, fille majeure de Dauendorf, fille de Georges Wüst au service de l’abbaye de Neubourg et Elisabeth Abel (signé) webber, +

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 511.)
Hodie 28 augusti anni 1781 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Petrus Veber tutelarius hujatis, viduus defunctæ Catharinæ Beltzer, in Parochia ad S. Stephanum commorans, et Maria Elisabetha viest soluta Majorennis ex daugendorff hujus diœcesis filia legitima Joannis Georgii Viest et defunctæ Elisabethæ Abellerin Conjugum de Parochia nostra commornas (signé) petter Webber, signum sponsæ x (i 261)

Le blanchisseur Pierre Weber meurt en 1795 en délaissant trois enfants. La maison qui porte le n° 45 de la rue de l’Argile est estimée 1 920 livres tournois

1795 (30 fruct. 3),Strasbourg 1 (9), Not. Lacombe n° 27
Inventarium über der Verlassenschafft weÿl. des burgers Peter Weeber des wäschers, aufgerichtet den 29. fructidor, auf Ansuchen Elisabetha Wust weÿl. Peter Weber, so den 16. floreal 3 Jahrs gestorben, hinterlassenen Wittwe unter beÿständung des burgers Georg Marck und auf begehren des burgers Andreas Hiltzdorf des altgewänders, Vormunds der minderjährigen Kinderen Nahmens Andreas so 13, Gertrud so 7 Jahr alt und Elisabetha so 6 Jahr alt
Bericht, den 20. Augst 1781 vor unterschriebenen Not. vorgegangenen Eheberedung
Liegende güther. Behaußung. Eine in allhiesiger Gemeinde im leimengäßlein N° 45 einseit neben N. Rinck dem weiß Gerber anderseit neben N. Casel dem schreiner liegende und hinten auf N. Dubois stosende behaußung, von Andreas Hilsdorf gekaufet haben, angeschlagen zu 1920 livres
Mobilien 326 liv, activ schulden 4410 liv, Passiv schulden 1000 liv.
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 32 du 30 fru 3

Elisabeth Wüst meurt en 1827

1828 (14.1.), Strasbourg 12 (106), Me Noetinger n° 492
Inventaire de la succession d’Elisabeth Wüst veuve de Pierre Weber, propriétaire, décédée le 23 novembre 1827 – à la requête des enfants de la défunte 1. Jean André Weber, peintre vernisseur, 2. Catherine Elisabeth Weber épouse de Georges Franck, huissier audiencier près le Tribunal Civil de Strasbourg, 3. mondit Sr Franck tuteur datif de Georges Louis Grimm âgé de 9 ans mineur issu de feus Louis Dominique Grimm, boulanger, et de Gertrude Weber – en présence de Pierre Philippe Keller, greffier au Tribunal Civil subrogé tuteur du mineur Grimm

dans la maison mortuaire rue de l’Argile n° 45
Immeuble. La moitié d’une maison consistant en bâtiment de devant, appartenances droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue de l’Argile n° 45, d’un côté le Sr Streicher, d’autre la veuve Bock, derrière la veuve Tubach – occupé en partie par la succession en partie loué à Léon Schneider – acquis pendant la communauté d’André Hilsdorff, frippier, par acte passé à la Chambre des Contrats le 9 juin 1787, ledit Hilsdorff l’avait acquise de Michel Jacquemin suivant adjudication passée à le Chambre des Contrats le 4 juillet 1773 – estimée 2000 francs
mobilier 440 fr ; créances 13.278 fr ; total 15.719 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 187 f° 151 du 21.1.

Sa fille Gertrude Weber est morte à Paris comme son mari Louis Dominique Grimm en délaissant un fils qui devient propriétaire d’une maison Grand rue et de la part de maison rue de l’Argile

1828 (22.3.), Strasbourg 12 (107), Me Noetinger n° 604
Inventaire de la succession de Louis Dominique Grimm, boulanger à Strasbourg, décédé à Paris le 7 juillet 1827 et de Gertrude Weber en cette dernière décédée en cette ville le 29 juin 1826 – à la requête de Georges Franck, huissier près le tribunal civil de première instance, tuteur de Georges Louis Grimm âgé de 9 ans – en présence de Pierre Philippe Keller greffier du tribunal de police du tribunal civil, subrogé tuteur
dans le logement occupé par Michel Grimm oncle du mineur rue Pierre l’Escaut n° 9, meubles à Strasbourg Grand rue n° 39

une maison et dépendances située à Strasbourg grand rue n° 39, d’un côté fait le coin de la rue des Cheveux, d’autre le Sr Stromeyer, devant la grand rue, derrière le Sr Heinrich – acquise pendant la communauté de Geoffroi Klein, boulanger, suivant adjudication définitive dresée par Me Weigel le 14 octobre 1819 transcrit au bureau des hypothèques volume 122 n° 86, louée à Michel Haussmann, boulanger, et Barbe Augsburger pour 3, 6 ou 9 ans suivant bail passé devant Me Noetinger le 9 mai dernier, estimée 18 000 francs
immeuble propre à la De Grimm née Weber, le 6° par indivis d’une maison, dépendances située à Strasbourg rue de l’Argile n° 45 d’un côté le Sr Streicher, d’autre la veuve Bock, devant la rue, derrière la veuve Tubach – avenu dans la succession de Pierre Weber, propriétaire, dont elle est héritière pour un tiers. Ledit Pierre Weber l’a acquis pendant la communauté avec Elisabeth Wüst d’André Hilsdorff, frippier, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 4 juin 1787 – estimée 300 francs
communauté mobilier 475 fr, passif 25 604 fr, total de l’actif 18 775 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 188 f° 170 du 31.3.

Les enfants et héritiers de Pierre Weber et d’Elisabeth Wüst vendent la maison par licitation au peintre vernisseur Jean André Weber

1828 (6.11.), Strasbourg 12 (109), Me Noetinger n° 969
Adjudication définitive (adjudication préparatoire du 21 octobre n° 942, Cahier des charges n° 863 du 6 septembre) à la requête de 1. Jean André Weber, peintre vernisseur, 2. Catherine Elisabeth Weber épouse de Georges Franck, huissier, 3. mondit Sr Franck tuteur datif de Georges Louis Grimm enfant mineur de feus Louis Dominique Grimm, boulanger, et de Gertrude Weber décédés à Paris, 4. Pierre Philippe Keller, greffier du tribunal de police simple, subrogé tuteur, lesquels sont propriétaires de l’immeuble vendu du chef de Pierre Weber, propriétaire, et Elisabeth Wüst leur père et mère grand père et grand mère, jugement du 12 juin, rapport d’experts du 14 juillet et jugement du 30 juillet ordonnant la vente
à Jean André Weber, coliciant peintre vernisseur pour 3045 francs
Désignation de la maison à vendre, une maison à rez de chaussée et deux étages située à Strasbourg rue de l’Argile n° 45, estimée par les experts à 3000 francs, d’un côté les héritiers Streicher, d’autre et derrière la veuve Durock
Etablissement de la propriété, Les conjoints Weber ont acquis la manière à vendre d’André Hilsdorff, frippier, suivant acte passé à la Chambre des contrats le 9 juin 1787, ledit Hilsdorff l’avait acquis des héritiers de Michel Jacques par adjudication passée à la Chambre des Contrats le 4 juillet 1783
Rapport d’experts du 17 juillet – Philippe Jacques Hennenberg, Jean Jacques Stotz et Jean Chrétien Arnold (avons) reconnu que ladite maison ne forme qu’un seul corps de bâtiment de peu d’étendue et d’une construction qui ne permet aucun partage. Nous avons pris le détail qui consiste en entrant passage à droite, une chambre au fond, cuisine, une chambre et lieux à gauche, une chambre au fond, escalier et bucher. Dessous la cave sous solives, Premier étage, cage d’escalier sur le devant, une chambre à alcove et cuisine au fond deux chambres, Second étage sur le devant cuisine, une chambre au fond, cage d’escalier, une chambre, Dessus comble renfermant deux greniers couverts à tuilles doubles – estimée 3000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 192 f° 9 du 12.11.

Jean André Weber épouse en 1807 Marie Anne Barbe Galler
1807 (10.6.), Strasbourg 13 (26), Not. Bremsinger n° 3834
Contrat de mariage – André Weber, Peintre fils Pierre Weber, porteur de Portechaise, et d’Elisabeth Wüst
Marie Anne Barbe Galler fille de feu Robert Galler et d’Anne Barbe Burghard
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 190 du 12.6.

Jean André Weber et Marie Anne Barbe Galler exposent la maison aux enchères

1841 (10. Xbre), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14 001
10. decembre 1841 – Ont comparu M. Jean André Weber, peintre vernisseur & De Marie Anne Barbe Galler sa femme de lui dûment autorise, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels étant intentionnés de vendre aux enchères publiques la maison ci après désignée ont requis le notaire soussigné de dresser le cahier des charges, clauses & conditions sous lesquelles il sera procédé à ladite adjudication
Désignation de l’immeuble à vendre. Une Maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à M. Schroot, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
Etablissement de la propriété. La maison à vendre dépendait des successions de fue M. Pierre Weber, propriétaire & De Elisabeth Wüst, vivans conjoints à Strasbourg, père et mère du Sr Weber comparant, & dont ce dernier était héritier pour un tiers, & ledit Jean André Weber est devenu propriétaire de la totalité de ladite maison pour l’avoir acquise dans la licitation des biens dépendant des successions des dits conjoints Pierre Weber suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger le 6 novembre 1828 (…). Les conjoints Pierre Weber ont acquis cet immeuble du Sieur André Hilsdorff, frippier à Strasbourg, suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Le Sieur Hildsorff l’avait acquis suivant procès verbal d’adjudication dressé à ladite chambre des contrats le 4 février 1783. – La mise à prix est fixée à 4500 francs
acp 293 (3 Q 30 008) f° 54-v

Jean André Weber et Marie Anne Barbe Galler vendent la maison 6 000 francs au serrurier Jacques Frédéric Wagner

1841 (31. Xbre), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14 045
Ont comparu M. Jean André Weber, peintre vernisseur & De Marie Anne Barbe Galler sa femme de lui dûment autorise, les deux demeurant à Strasbourg (vendu à)
M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, demeurant à Strasbourg acquéreur
Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à M. Schroot, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
M. Weber, covendeur, en est devenu propriétaire pour l’avoir recueillie dans la succession de ses père et mère M. Pierre Weber vivant propriétaire & De Elisabeth Wust, son épouse, les deux demeurans à Strasbourg, dont il était héritier pour un tiers, & il est devenu propriétaire de la totalité de ladite maison par suite de la licitation de biens dépendant de la succession des dits conjoints Pierre Weber ainsi que cela est constaté par un procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger le 6 novembre 1828 (…). Les conjoints Pierre Weber ont acquis cet immeuble du Sr André Hilsdorff, frippier à Strasbourg, suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Le Sieur Hildsorff l’avait acquis suivant procès verbal d’adjudication dressé à ladite chambre des contrats le 4 février 1783 – pour le prix de 6000 francs
acp 294 (3 Q 30 009) f° 5

Fils de cocher, Jacques Frédéric Wagner épouse en 1839 Amélie Wachs, fille de serrurier
Mariage, Strasbourg (n° 112)
du 6° jour du mois d’avril l’an 1839 Acte de mariage de Jacques Frédéric Wagner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 février 1809 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu Chrétien Wagner, cocher décédé en cette ville le 20 mars 1829, et de Marguerite Salomé Metzger domiciliée en cette ville ci présente et consentante, et de Amélie Wachs, majeure d’ans, née en légitime mariage de 6 décembre 1812 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg fille de Philippe Frédéric Wachs, serrurier domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Mühlbacher décédée en cette ville le 14 janvier 1833 (i 18)

Jacques Frédéric Wagner et Amélie Wachs hypothèquent la maison au profit du cordier Jean Daniel Dürr

1843 (24. 8.br), Strasbourg 12 (162), Me Noetinger n° 16 339
Obligation – Ont comparu M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, & Amélie Wachs son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Jean Daniel Dürr, cordier demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 3000 francs
hypothèque, Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, d’un côté Barbe Streicher, de l’autre M. Schroth, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
M. et Mme Wagner sont propriétaires de la dite maison pour en avoir fait l’acquisition de M. Jean André Weber, peintre vernisseur & de De Marie Anne Barbe Galler son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant Me Noetinger (…) le 31 décembre 1841 enregistré & transcrit au bureau des hypothèques le 11 janvier suivant volume 353 n° 33 (…) M et Mde Wagner déclarent qu’ils emploieront partie des fonds présentement empruntés à payer les 1600 francs annuellement aux hospices et les 400 francs encore dus aux Sr et De Weber

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1846 (19.2.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger n° 18 288
Obligation – Ont comparu M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, & Amélie Wachs son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Jean Daniel Dürr, cordier demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 1000 francs
hypothèque, Une Maison avec ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, d’un côté Barbe Streicher, de l’autre M. Schroth, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach. Ils déclarent que cet immeuble leur appartient en toute propriété et qu’il est franc et libre de tous provilèges et hypothèques sauf ce qui va être dit plus bas (…) que d’une créance de 3000 francs appartenant à M. Dürr aux termes d’une obligation reçue par Me Noetinger soussigné le 24 octobre 1843

Jacques Frédéric Wagner et Amélie Wachs hypothèquent la maison au profit du marchand de fer Charles Geofroi Stromeyer

1846 (6.3.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger subst. par M° Burtz n° 18 318
Ont comparu M. Charles Geofroi Stromeyer, marchand de fer demeurant à Strasbourg (…) d’une part
Et M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier et Dme Amélie Wachs son son épouse de lui dûment autorisée demeurant ensemble en la même ville
Lesquels comparans ont déclaré que suivant compte arrêté entre M. Stromeyer et le Sr Wagner le 28 février dernier, le Sr Wagner est resté débiteur de M. Stromeyer d’une somme principale de 2153 francs pour fourniture de différents articles du commerce de ce dernier
hypothèque, Une Maison avec dépendances et appartenances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à la Dame Barbe Streicher, de l’autre à M. Schrott, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach. Les débiteurs déclarent que cette maison leur appartient en pleine propriété et autorisent M. Stromeyer à prendre inscription sur cet immeuble au bureau des hypothèques de Strasbourg. Ils déclarent en outre qu’il est franc et libre de tous privilèges et hypothèques à l’exception d’une somme de 8000 francs qu’ils doievent à M. Dürr suivant une obligation reçue par Me Noetinger

Jacques Frédéric Wagner meurt en 1854 en délaissant cinq enfants dont l’un meurt aussitôt après son père.

1855 (12.2.), Strasbourg 10 (128), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10 898
Inventaire 1) de la succession de Mr Jacques Frédéric Wagner, vivant serrurier décédé à Strasbourg le 19 août 1854, 2) de la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Amélie Wachs sa veuve survivante, 3) de la succession de Salomé Amélie Wagner, fille de ces derniers, décédée en minorité le 23 août 1854.
L’an 1855 le lundi 12 février à deux heures de relevée, à la requête de Dame Amélie Wachs, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Jacques Frédéric Wagner, vivant serrurier en ladite ville, agissant A° en son nom personnel, 1) à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existe entre elle et son défunt époux, 2) à cause des reprises qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté, 3) comme usufruitière légale des biens de ses enfant mineurs ci après nommés, 4) comme habile à se dire et porter héritière pour un quart ou 4/16 de Salomé Amélie Wagner son enfant issu de son mariage avec son défunt mari et décédée à Strasbourg le 23 août 1854 à l’âge de 15 ans
B) et comme mère et tutrice légale de ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec son dit défunt époux et nommés a) Jacques Frédéric Wagner né le 11 février 1841, b) Henri Eugène Wagner né le 29 octobre 1842, c) Madeleine Eugénie Wagner née le 30 avril 1844, d) Frédérique Julie Wagner née le 4 février 1846 (…)
En présence de Mr Geoffroi Vix, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits enfants mineurs (…)
De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg en la maison mortuaire rue de l’argile n° 45

Communauté légale, objets mobiliers qui se sont trouvés dans la maison mortuaire 271, objets se trouvant au mont de piété 141, fonds de serrurerie 352, extances, néant, loyers 120
Immeuble. une mineur avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45 tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à Mr Schroot, par devant la rue et par derrière M Meckert, cet immeuble a été acquis pendant la communauté de M. Jean André Weber, peintre vernisseur, et de dame Marie Anne Barbe Galler sa femme les deux demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente dressé par devant Me Noetinger notaire à Strasbourg le 31 décembre 1841 transcrit au bureau des hypothèques le 11 janvier 1842 volume 379 n° 33 (…) Le Sr Weber est lui-même devenu propriétaire de la même maison pour l’avoir héritée un tiers dans la succession de feu M. Pierre Weber, propriétaire, et Elisabeth Wüst, conjoints à Strasbour, ses père et mère, et pour avoir acquis les deux tiers restants à titre de licitation de dame Catherine Elisabeth Weber épouse de Mr Georges Franck huissier près le tribunal civil de Strasbourg et du mineur Georges Louis Grimm, son neveu issu du mariage de dame Gertrude Weber épouse de Louis Dominique Grimm boulanger décédé conjoints à Paris ainsi qu’il résulte d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger, à ce commis par justice, le 6 novembre 1828 (…). Dans le cahier des charges qui a servi de base à ladite adjudication dressé par le dit Me Noetinger le 6 septembre 1828, il est déclaré que les conjoints Pierre Weber ont acquis ledit immeuble du Sr André Hilsdorff, frippier suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Cet immeuble occupé en partie par la famille du défunt est évalué à un revenu annuel de 500 francs sas distraction des charges, ce qui représent au denier vingt un capital de 10.000 francs
Total de l’actif de la communauté, 10.884 francs
Passif 13.848, Balance déficit de 2964 francs
acp 437 (3 Q 30 152) f° 47 du 14.2. (Succession déclarée le 19 février 1855)
Succession, moitié de la communauté 5442, passif 6924
Succession de ladite mineure 1/8 de la succession mobiliere du père 1088, garde robe 22, passif 1434



7, petite rue d’Austerlitz


Petite rue d’Austerlitz n° 3 – IX 90 (Blondel), O 758 puis section 17 parcelle 83 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jacques Klein, fabricant de cadres (1860)

Austerlitz (Petite rue d’) 3 (février 2015)
Le numéro 3 est la maison à crépi blanc (février 2015)

Proche de l’auberge à l’Ours Noir qui forme le coin de la rue devant la porte des Bouchers, la maison qui comprend un jardin a son entrée face au rempart de la Ville. Sauf entre 1676 et 1686, elle appartient à des bouchers (1654-1745) puis à un farinier qui devient par la suite cocher. D’après sa description en 1767, la maison comprend un bâtiment arrière où se trouve une écurie et une remise. Jean Frédéric Birckicht l’achète en 1770 et y établit sa teinturerie (six chaudrons et une calandre en 1806). Les héritiers cèdent en 1816 un terrain au propriétaire du 15, rue d’Austerlitz puis revendent la maison en 1839 à un tanneur, Charles Guillaume Kœnig.

210 Elevations (a-f)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 210

L’Atlas des alignements signale en 1829 un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie surmonté d’un deuxième étage médiocre en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (b) et se termine au repère (c). La porte cochère signalée par le cadastre s’ouvre sous le bâtiment de gauche, le bâtiment de droite comprend deux portes ordinaires. La cour (U’) montre entre (1) et (16) l’arrière du bâtiment à porte cochère, entre (13) et (14) l’arrière du bâtiment de droite. Les bâtiments de la propriété voisine occupent le côté gauche de la cour (1-3), un mur en forme l’arrière (3-4). Le côté droit est bordé de plusieurs bâtiments qui forment saillie, l’édicule (5-8), la maison (9-12) prolongée par le bâtiment (12-13). La remise (14-16) est adossé contre la maison de droite. Le cadastre signale dès son ouverture (1840) quatre fenêtres au troisième étage.

210 Cour U'
Cour (U’)
Plan des cours (U’) et (T’) – Plan joint à la cession du terrain teinté de rose (1860, dossier de la Police du Bâtiment

210 Plan (cours TU) 1836Plan 1860 (644 W 3)

Jacques Klein qui vient d’acquérir la maison la fait démolir en juin 1860 et en reconstruit une nouvelle après avoir acquis de la Ville une bande de terrain en arrière de l’alignement légal. La parcelle est ensuite modifiée après le percement de la rue Klein qui passe sur une partie du terrain originel.

mars 2015

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1643 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

1654 v Melchior Kamm, boucher, et (1649) Barbe von der Bruck – luthériens
1676 v Jean Jacques Frantz, aubergiste au Cerf, et (1673) Anne Madeleine Kœrner – luthériens
1685 v Michel Fruth, boucher, et (1677) Barbe Hellberger femme (1669) puis veuve de Jean Henri Pfeffinger – luthériens
1710* h Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et (1694) Susanne Fruth – luthériens
1745 v Jean Nonnenmann, farinier puis cocher, et (1743) Anne Marie Prœsamlé, d’abord mari (1730) d’Anne Marguerite Reichard – luthériens
1770 v Jean Frédéric Birckicht et (1767) Marie Salomé Presamlé puis (1806) Madeleine Dillinger – luthériens
1824 h Louis Liernur, coiffeur, et (1796) Marie Marguerite Birckicht
1839 v Charles Guillaume Koenig, mégissier, et (1814) Joséphine Simon
1861* v Jacques Klein, fabricant de cadres
1894* v Société Immobilière de Strasbourg, société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres strasbourgeoises en 1731 et en 1767

(1765, Liste Blondel) IX, 90, Jean Nonnemann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bürkig, 11 toises, 3 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 758, Lierner, Louis, veuve place des Orphelins 14, maison, sol – 6,75 ares (puis Koenig Charles Guillaume)

Locations

1683, Jean Georges Bühl, boucher
1736, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et Susanne Dorothée Beck
1768, Chrétien Gintzroth, sellier
1773, Abraham Mœrdel, chandelier
1781, Jean Christophe Meyer, messager
1785, Jean Frédéric Acker, pasteur luthérien de Bischwiller
1790, (remise) Simon Zollickoffer le jeune, marchand
1806, Jean Charles Birckicht, teinturier
1809, Jean Geoffroi Birckicht, teinturier
Voir aussi l’état des locataires aux inventaire après décès de 1814 et 1820

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Directeurs fonciers (Bauherren)

1691 Directeurs fonciers (VII 1374)
Michel Fruth demande l’autorisation de faire passer sous la rue un égout qui raccorderait sa maison au fossé des Orphelins. Comme les préposés exigent qu’il verse un loyer en compensation, il renonce à son projet.

(f° 36) Mittwoch den 13. Junÿ. Michel Fruth – Ferner auff anhaltten Michel Fruthen des Metzgers augenschein eingenommen hinder den Mauren, Zwischen dem Metzgerthor und dem Uthenthörlein, allwo er auß seinem stall einen tholen under der gassen hinauß wölben laßen, und inn den Alten stattgraben richten woltte, ist 36. schu lang. Erk. bedacht.
(f° 37) Dienstags den 19. ejusdem [Junÿ] Michel Fruth – Inngleichem ist Michel Fruthen mit dem begehrten dohlen Willfahrt worden, soll Jährlich 1 lb d. darvon geben.
(f° 39-v) Dienstags den 3. Julÿ. Michel Fruth -Michel Fruthen dem Metzger, ist die den 19. Junÿ jüngsthin ergangene Erkanntnus angezeigt worden, daß ihme erlaubt seÿe seinen dohlen durch die Stattmaur Zumachen, dauor er Jährlich 1. lb. bodenzinß geben sille. Er aber wollte sich Zu nichts verstehen, und erclärte sich den dohlen lieber nicht Zumachen.

Description de la maison

  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave solivée, un puits et un bâtiment arrière qui comprend une écurie, une remise, un fenil et un comble aussi couvert de tuiles plates. Le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue du fossé des Orphelins

nouveau N° / ancien N° : 1 / 14
Birckigt
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 244 case 3

Koenig Charles Guillaume, place des orphelins N° 14

O 758, maison, sol, place des orphelins 14
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 58 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 982 case 1

Koenig Charles Guillaume
1861 Klein Jacques, Fabricant de Cadres, rue militaire de l’hopital 6
94/95 Strassburger Immobilien Gesellschaft

O 758, maison, sol, Petite rue d’Austerlitz 3
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Folio de provenance : (244)
Folio de destination : Démolition en juin 1860
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

O 758, sol
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Folio de provenance : (244)
Folio de destination : 982-I & z. d. Wegen
Année d’entrée :
Année de sortie : 1882

O 758, maison, Petite rue d’Austerlitz 3
Revenu total : 1074 (841,77)
Folio de provenance : 982 aug. de Con
Folio de destination : 982-I, 983-II
Année d’entrée : 1865
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 100
fenêtres du 3° et au-dessus : 57

Diminutions, 1861 – Koenig Charles f° 982, O 758, Maison, revenu 198, Démolition en Juin 1860, supp.en 1861
Augmentations, 1861 – Klein Jacques f° 982, O 758, Maison, revenu 860, C.on N.lle, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863

O 758.p, maison, Kleine Metzgergasse
Revenu total : 838 (842,39)
Folio de provenance : Rest
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 81 / 65
fenêtres du 3° et au-dessus : 46 / 37

(après détachement du terrain au-delà de la rue Klein)
O 758, sol
Contenance : 6,39
Revenu total : 3,32
Folio de provenance : 982
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1882
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 29 p. 203 case 3

Parcelle, section 17, n° 83 – autrefois O 737.p, O 758.p
Canton : Kleingasse u. Kleine Metzgergasse Hs. N° 8 bz. 3 – Rue Klein 8 et Petite rue d’Austerlitz 3
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
zu Kleingasse N° 6, Skizze 24, Whs e.n.a. T., zu Parz. 82, 81 (498)
Contenance : 7,01
Revenu : 7000 – 8500
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1936), compte 95
Strassburger Immob. Gesellschaft
1927 Société Immobilière société anonyme
1936 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1936), compte 3613
Vincent Adelheid
1920 Ulrich Kurt Rentner Ehefrau geb. Vincent
1922 Société Immobilière de Strasbourg société anonyme
Strassburger Immobiliengesellschaft / Société Immobilière de Strasbourg
(481)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue Derrière le Murs, près la place Dauphine (p. 474)
(maison n°) 14

Pr. Bürckicht, Jean Frédéric, Teinturier – Drapiers
loc. Metz, Michel – Manant
loc. Vouillarmet, Claude André, Bourlier – Tanneurs
loc. Mulse, Odile
loc. Duval, Antoine – Manant
loc. Baltz, veuve 4 enfant – bouchers
loc. Rummel, André, menuisier – Charpentiers
loc. Danner, Jean Michel, bouchers
loc. Judenhutt, Louis – Tailleurs
loc. Klein, Daniel – bouchers
loc. Prosé, Daniel, Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kl. Metzgerstraße (S. 114)

(Haus Nr) 3
Bernhard, Tuchhändler. 0
Kiefer, Metzger. 0
Wilde, Wwe. 0
Bordisser, Kaufmann. 1
Walther, Werkführer. 1
Schnitzler, Rentnerin. 2
Surber, Wwe. 2
Woynke, Lehrerin. 2
Baum, Schutzmann. 3
Grossmann, Laz.-Insp. 3
Anstett, Rentner. 3
Grötz, Steueramts-Assist. 3
Paul, Wwe. 3
Senge, Buchhalter. 3
Dussler, Metzger. H 0

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 3)

Petite rue d’Austerlitz 3 et 8 rue Klein
Le propriétaire renconstruit en 1860 la maison en acquérant de la Ville une bande de terrain en arrière de l’alignement légal. Le dossier ne signale qu’une activité professionnelle, celle du maître tailleur Meier en 1886. Le dossier est par ailleurs constitué des pièces habituelles (demandes de ravalement, rapports de la Commission contre les logements insalubres). Les vingt-et-une familles de locataires, inquiètes des projets d’achat de l’immeuble par un cabinet immobilier en 1986, adressent un courrier au Maire. Le cabinet revend la maison quelques années plus tard.

Sommaire
  • 1860 – Le maître maçon Oberholtz demande au nom du propriétaire, le sieur Klein, l’autorisation de reconstruire le bâtiment dans l’alignement selon le dessin joint [manque], d’établir une clôture provisoire sur la voie publique et de raccorder les canalisations à celles de la Ville.
    Rapport de l’agent-voyer. La demande du Sr Oberholtz est régult. établie. La façade de la maison actuelle est en retrait de l’alignement, celui à suivre pour la reconstruction est indiqué par une ligne rouge AB, approuvé par arrêté préfectoral en date du 26 mai 1860, en suite de la demande de modification d’alignement demandé pour le pétitionnaire.
    Par suite de ce tracé le Sr Klein aurait à acquérir de la Ville le terrain teinté en rose, renfermé entre les lettres BCDE, d’une superficie de 13,10 mètres carrés que j’estime à 12,00 fr. le mètre carré (prix admis jusqu’à ce jour pour terrains acquis ou cédés dans les rues de cette importance), ce qui fait la somme de 157,20 fr. que le Sr Klein aurait à payer à la Ville.
    La largeur de la voie publique vis à vis de cette maison est fixée à 8 m 60.
    Le projet présenté offre les garanties voulues de sûreté et de salubrité et la hauteur totale de la nouvelle façade n’atteint pas celle réglementaire. Il y a un égout communal dans cette rue mais point de trottoirs devant les maisons. En raison de la largeur de la voie publique, il y a lieu de permettre au pétitionnaire d’établir une clôture provisoire, fesant saillie de 1 mètre à partir du nû du mur de la façade. Strasbourg le 9 Juin 1860 (signé) Komler
    Il y a lieu d’arrêter les dispositions suivantes.
    Considérant que par arrêté préfectoral en date du 26 Mai 1860 l’alignement de cette rue a été modifié.
    Qu’en suite de cette modification le Sr Klein aura à acquérir de la Ville une surface de terrain de 13,10 mètres carrés dont l’aliénation a été autorisée par arrêté préfectoral en date du 9 Juin courant au prix de 157,20 fr.
    Arrêté. La demande du Sr Klein est accueillie sous les conditions de l’arrêté N° 1587, avec les modifications suivantes
    § 2. La nouvelle façade sera placée dans l’alignement partant des extrémités des maisons N° 1 et 3. Cet alignement sera tracé sur place par l’Agent voyer de la Ville.
    § 3. La hauteur sera de 15,25 m.
    § 5. Les saillies seront celles fixées pour les rues de plus de 8,00 m de largeur.
    Clôture provisoire. Arrêté N° 504 en fixant la largeur à 1,00 m de la façade & la durée à 3 semaines.
    L’ingénieur municipal ((signé) Lornier
    (Pièce jointe) Plan annexé au rapport de l’Agent-voyer de la Ville sur la pétition du Sieur Oberholtz au nom du Sieur Klein demandant la modification de l’Alignement de la petite rue d’Austerlitz. Strasbourg le 8 Mars 1860.
  • 1886 – La Police du Bâtiment constate que le maître tailleur Meier a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. Demande (libellé, Civiel u. Meliter Schneider) – Autorisation
  • 1894 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, Jacques Klein (domicilié 9, rue Fritz), de faire ravaler la façade. La Ville constate que le propriétaire est la société immobilière Société générale, présidée par Jacques Klein.
    1895 – Autre lettre, adressée à la société immobilière – Travaux terminés, novembre 1895
  • 1909 – Rapport sur un incendie qui s’est déclaré dans une pièce au rez-de-chaussée
  • 1912 – La Police du Bâtiment demande à la Société immobilière de Strasbourg (Strassburger Immobilien-Gesellschaft, 9, rue du Dôme) de faire ravaler la façade. La Société répond que les murs sont en bon état mais qu’elle est disposée à faire repeindre les volets. La Police du Bâtiment demande que le soubassement soit remis en état. – Travaux terminés, octobre 1913
    1913 – Autorisation de réparer le soubassement, accordée à titre de régularisation une fois les travaux terminés
  • Commission contre les logements insalubres – 1905. Les cabinets d’aisance sont en bon état
    Commission des logements militaires, remarques en trois points
    1920. Les orphelins signalés dans une liste ne sont plus en pension chez les personnes indiquées. Une locataire de 30 ans meurt de tuberculose.
  • 1916 – Un locataire (J. Scholving) se plaint de l’obscurité de sa cuisine. Après s’être rendue sur place, la Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée.
  • 1936 – La Police du Bâtiment constate que O. Weiss a posé sans autorisation une antenne radio entre les 2 et 3 petite rue d’Austerlitz. Novembre, l’antenne ne traverse plus la rue mais court le long de la corniche. Dossier classé.
  • 1964 – La Fédération des locataires du Bas-Rhin, agissant au nom du locataire Emile Muller, signale une cheminée fissurée. Le propriétaire est Robert Hærtel, domicilié chez Taglang à Sélestat. La Police du Bâtiment ne constate aucune anomalie apparente mais recommande au propriétaire de faire vérifier la cheminée par une entreprise spécialisée
    1965 – L’entreprise Alchemine certifie avoir chemisé la cheminée
  • 1966 – Robert Hærtel, domicilié à Sélestat, est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique (travaux de crépissage)
  • 1972 – Un locataire se plaint qu’un plafond menace de s’effondrer (propriétaire, Hærtel, 120, rue des Moines à Paris XVII°). La Police du Bâtiment se rend sur place, le locataire se chargera de la réfection
  • 1986 – Le notaire Paul Philippe Heinrich (place Broglie à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme concernant la parcelle 83 de la section 17 (3, petite rue d’Austerlitz et 8, rue Klein) – Extrait du plan cadastral
    1986 – Les 21 familles de locataires, rassemblées dans l’association U.LO.K.AU, qui constituent une sorte de village s’inquiètent des travaux que projette le futur propriétaire, le Cabinet France Immobilier. La Division II fait remarquer que la Ville ne peut plus intervenir puisqu’elle a renoncé à son droit de préemption, elle signale une affaire comparable au 13, rue Sainte-Hélène.
    1987 – Le notaire Paul Philippe Heinrich fait une nouvelle demande, le propriétaire étant le Cabinet France Immobilier
    1990 (février puis avril) – Le notaire Paul Philippe Heinrich fait une nouvelle demande, le propriétaire étant la S.N.C. du Centre
  • 1990 – Le propriétaire d’un appartement demande une visite de sécurité. La visite des lieux constate que les échelles des sapeurs-pompiers ne peuvent pas atteindre certains logements aménagés dans les combles suite à la réhabilitation. Le rapport recommande de faire certains travaux.

Relevé d’actes

Les enfants de Christophe Friess, habitant à Emmerich en Rhénanie, et la femme de Jacques Müller de Kehl vendent 550 livres la maison au boucher Melchior Kamm et à sa femme Barbe von der Bruck

1654 (29. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 457
(Prot. fol. 68.) Erschienen H Hannß Wörner, alß auß E.E. Kleinen Rhats mittel, ahne statt weÿl. Christoph Frießen deß leutenants in Niderland, nunmehr seel. nachgelaßener Zu Emmerich vffhaltende döchter, insonderheit Deputirt, mit beÿstand Georg Seÿlers deß Meelmanns, alß Gewalthabers Sebastian Stigenbockhß Burgers Zu besagtem Emmerich seines Schwagers, alß der auff ihr dero Frießisch. Schwestern Antheil nachgemelter Behaußung angewieß. word. seÿe (…), Ferners Catharina, Jacob Müllers Zu Keel Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, und hannß Christoph Müllers ihres eheleiblich. Sohns
in gegensein Melchior Kammen deß Metzgers und Barbaræ seiner ehelich. haußfr., mit beÿstand hannß Friderichs von der Bruckh deß Thuchscherers ihres eheleiblich. Vatters
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, Gärtlin, Bronnen, mit allen deren Gebäwen & alhie am Metzigthor, hinder der Mauren einseit theilß neben David Kammen theilß neben hannß Kammen beede Metzger, anderseit neben H Caspar Rüsters alten Kleinen Rhats Verwanthen, hind. vff hannß Müllern alten groß. Rhats verwanthenn und theilß vff hannß Pantheln stoßend gelegen, so verhafftet ist umb 125. lib H Joh: Rudolph Saltzmann sem ältern, Med. Doctori & Professori, statt Physico, senioris, und der Stifft St. Thoman Decano (übernohmen) – umb 425. lb
[in margine :] Erschienen H. Johann Wohl, Medicinæ Doctor Zu König. d. Edlen Thumb von Newburg gehörig, alß in Krafft eines sub dato König. am Neckar den 22.tius nechstien mit Ihr der Edlen Thumben, vffgetruckhten adelich. Insigel gefertigten, hiebeÿ producirren, bonâ fide recognoscirten und nachgemeldten beÿd. Eheleuth überlüfferten Gewaltscheins, hierzu gevoallmächtigter Befelchhaber Fr. Ursulæ Rieckherin, wittibin, seiner Fr. Schwig. Vnd Catharina, Jacob Müllers von Keel Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogt, haben in gegensein hierinngemelt. kauffend. Eheleuth bekannt (…) act. 28. maÿ a° 1660.

Melchior Kamm, fils de boucher, épouse en 1649 Barbe von der Bruck, fille de tondeur de drap
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 9)
1649. Dominica XV. post Trinit. Melchior Kamm der Mezger und burger allhie Herrn Peter Kamm des Mezgers ehelicher Son, und Jungfr. Barbara, Johann Friderich von der Bruckh des thuchscherers und burgers allhier eheliche Tochter. Mont. Clauß (i 255)

Melchior Kamm et son cousin et voisin Jean Kamm passent un accord d’après lequel la gouttière de Jean Kamm aura son écoulement sur le terrain de Melchior Kamm tant que celui-ci sera propriétaire de la maison

1656 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 191-v
Erschienen Melchior Kamm der Metzger,
in gegensein H Hannß Kammen deß Metzgers seines Vettern und Nachbahren
bekannt, daß Er Melchior Kamm, ihme H Hannß Kammen vff sein Ansuch. und Begehren, die Gerechtigkeit bewilligt und übergeben habe, den tachtrauff von sein hannß Kammen dach deßelben in der großen Viehegaßen beÿm Metzgerhor gelegener und Zum schwartzen Bären genannter Behaußung, in den hoff sein Melchior Kammen darneben und hinder der Mauren gelegener Behaußung so lang alß Er Melchior Kamm leben und erstermelte Behaußung behalten wird, fallen Zu laßen, Mit dißem satten Anhang und Erläuterung, daß solcher Tachtrauff, Zwar so lang besagter Melchior Kamm leben und erwehnte Behaußung behalten wirt, eine Gerechtigkeit der hannß Kammisch: und eine Dienstbarkeit der Melchior Kammischen Behaußung sein, vnd derowegen gedachter Melchior Kamm dießelbe in mittelst zu leid. schuldig, und vff Zu Künden nicht befugt. So bald Er aber entwed. diße Welt gesegnet, od. noch beÿ lebendigem leib, die offterwehnte Behaußung quittirt haben wirt, alß dann dißer Tachtrauff auß einer Gerechtigkeit in eine bloße nachbarliche Gönnung verwandelt sein, Vnd demnach in des demzumahligen Besitzers und deßelben Nachkommen freÿem belieben wann und Zu welcher Zeit Er solche Gönnung auff: und abkünden wolle, stehen, Auch, strackhß nach beschehener Abkündung, der demzumahlige Innhaber der, ietzo, hannß Kammisch. Behaußung den obgemelten Tachtrauff abschaffen solle

Melchior Kamm hypothèque la maison au profit de son beau père Jean Frédéric von der Bruck

1657 (9. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 180
Erschienen Melchior Kamm der Metzger
in gegensein Hannß Friderich Von der Bruckhen deß Thuchscherers seines Schwäher Vatters – schuldig seÿen 300 Pfund
Unterpfand sein soll eine Behaußung mit allen deren Gebäwen & alhie am Metzgerthor hinder der Mauren, einseit theils neben David Kammen Vnd theils neben Hannß Kammen beeden Metzgern, anderseit neben H Caspar Rießern E.E Großen Rhats Beÿsitzern Undt hinden vff weÿl. H. Hannß Müllers geweßenen großen Rhats Verwanthens Vnd auch Weÿl. Hannß Pantels beeder nunmehr seel: hinderlaßene Erben stoßend gelegen, Welche behaußung Zuvor noch umb 125. lb Weÿl. H Johann Rudolph Saltzmanns M. D. et profess. seel. hinderbliebenen Erben, Und dann Vmb 225. lb Kauffschillings Rest Sebastian Stiegenbockhen Von Elmerich und Consort. Verhafftet
dabeÿ gewesen Barbara deß Schuldners haußfr.

Les enfants et héritiers de Melchior Kamm vendent la maison 550 livres à Jean Jacques Frantz, aubergiste au Cerf

1676 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 740
Anna Margaretha Kammin, Wolffgang Güttermanns deß Carthunenmachers Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts und herrn Philipp Kröner der Metzger, alß vogt hannß Friderich Kammen so selbsten zugegen war, wie auch hannß Jacob Kammen und hannß Peter Kammen, weÿl. Melchior Kammen deß Metzgers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Joh: Jacob Frantzen deß Gastgeben Zum Hirschen
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, gärtlin, bronnen mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier am Metzgerthor hinder der Mauren, einseit neben Lorentz Bilger dem Bähren würth, anderseit neben herrn Caspar Riesers geweßenen Großen Rhats Verwanthens, nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern und Erben hinden Zum theil uff Hannß Adam Gollen den Rabben würth und theils uff Christmann Mercklins deß ferbers nunmehr seel. nachgelaßene Erben, stoßend gelegen, dann obwohlen erwehnte behaußung annoch umb 125. lb Straßburger herrn Johann Rudolph Saltzmann Med. Doct et Phÿsices Profess. Verhafftet, so haben Jedoch die Verkäuffere respe. für sich selbsten und Vögtlicher weiße den Verkäufferen derentwegen ohnansprüchig zumachen und schadloß zuhalten – umb 1100 fl.

Fils du précédent aubergiste au Cerf, Jean Jacques Frantz épouse en 1673 Anne Madeleine Kœrner, fille de l’aubergiste à la Couronne de Kehl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 25)

1673. Dom. 20. Tr: Hanß Jacob Fr: der Ledige Burg. weÿl. hrn Johann Jacobs Frantzen deß gewesenen wirts zum Hirsch. hinterlaß. ehelich. Sohn und Jfr. Anna Mag: weÿl: hrn David Körners deß gewesenen gast halter in Keÿl Zue Chrohn hind.laßene Eheliche Tochter. Cop. ad St. N., 23. Oct: (i 311)

Anne Madeleine Kœrner devient bourgeoise deux mois après son mariage
1673, 4° Livre de bourgeoisie p. 409
Anna Magdalena Körnerin Von Kaÿl empfangt das burgerrecht Von ihrem Ehemann hannß Jacob Frantzen dem würth, pro 8. goltR welche Er bereits beÿ der Cancelleÿ erlebt hatt, ist Zuvor ledigen standts geweßen. Signat. ut supra [den 11. 10.bris 1673]

Jean Jacques Frantz loue la maison au boucher Jean Georges Bühl

1683 (11. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 404-v
Hannß Jacob Frantz der Würth Zum hirsch
in gegensein hannß Georg Bühlen deß Metzgers
entlehnt, Eine behaußung, Garten, Ställ mit allen deren Gebäwen, begriffen, und zugehördten alhier hinder der Statt maur beÿ dem Metzgerthor einseit neben Johann Lobstein dem Metzger, anderseit neben Michael Bilger dem bährenwürth hinden uff daß Merckhlinische Ferbhauß stoßend gelegen uff Nun Jahr lang Von nechstkommend Weÿhenachten angerechnet, umb einen jährlichen Zinß benandtlichen 50 fl.

Jean Jacques Frantz meurt en 1712 en délaissant sept enfants. Certains d’entre eux sont réduits à la part légitime par son testament. Il est propriétaire de l’auberge au Cerf rue des Cordiers. La somme taillable s’élève à 6 419 livres
1712 (9.4.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 92) n° 843
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren Vest und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Frantz der ältere geweßener Gastgeber Zum Kleinen Hirtzen und burg. allhier nunmehr seel., welcher den 5.ten dießes Monats Aprilis tödlich Verblichen, nach solch seinem tödliches hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibt. Herrn seel. eheleiblicher Herren Söhne, Frauen und Jungfrauen Töchtere, auch per Testamentum Verlaßene und gleich nach dem Eingang dießes Inventarÿ benambster Erben Inventirt, durch die Erben selbsten wie auch Annam Ursulam Heÿin von Hatten gebürtig des verstorbenen seel. geweßener Dienstmagd (geäugt und gezeigt) – So beschehen den 9.ten Aprilis Anno 1712.
Der Abgeleibte Hr. Frantz seel. hat Zu seinen per Testamentum Salv. ubiq. Tit. verlaß. wie volgt. 1.mo H Johann David Frantzen, noch ledig. standts, welch. in d. frembde begriff,n, deß. geschworner Hr. Vogt H. Johann Friderich Bahl, Gastgeber Zum Thiergarth. auch E. E. Kleinen Rath allhier alt. beÿsitzer, welch. dem Geschäfft im nahmen dieses seines Curand. in Person abgewartet, und Zwar deißen allein in die Legitimam seines Vätterlich. Erbguths,
In alles übrige aber 2.do Frau Catharinam Lurtzingin geb. Frantzin, Hn Christoph Andres Lurtzings Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen u. burg. alhie Fru Eheliebstin, mit beÿstand deßelb. Zugegen war, in d. ersten sechsten Stammtheil, 3.tio Hn Johann Jacob Frantzen, Gastgebern auf dem Schießen Rhein und burg.n allhier so für ich selbsten in Person erschienen in dem 2. sechsten Stammtheil, 4.to Frau Annam Magdalenam Lentzin gebohrner Frantzin, Hn Daniel Lentzen Gastgebers Zum Grünen Reiff u. burg. alhier Ehegattin, welche beneb. dem selben sich beÿ dem Geschäfft einfande, in d. dritten sechsten Stammtheil, 5.to Frau Annam Mariam Fautelin geb. Frantzin Hn Johann Jacob Fautels des Sattlers und burg. alhier eheliche haußfrau, so nunmehro in d. Kindbett begriffen, dah. in ihrem Nahmen Er H Fautel mit dero belieben dem Geschäfft abwartete, in dem Viert. sechsten Stammtheil, 6. Wegen des fünfften sechsten Stammtheil, aber so H Johann Carl Frantzen dem bierbrauern und burg. in des Heÿlig. Reichs Statt Wormbß zu kommen solte, ist Er H Johann Carl Frantz, in deß. Nahmen H David Stamm, E. E. Kl. Raths beÿsitzer (hier beÿwohnte), allein in Legitimam, das übrige solch. fünfften sechsten Stammtheil, ab. Vorerwehnte fr. Anna Maria Fautelin geb. Frantzin Zu Erbin gesetzt, und dann 7.mo Jungfrau Mariam Salome Frantzin noch ledig. standts den geordneter Vogt obehrenhedachter hr. Johann Friedrich Bahl E. E. Kleinen Raths alter beÿsitzer so deßen Geschäfft mit und beneben seier Jgfr. Vogts Tochter abwartete in d. letzten 6.ten Stammtheil. Alßo alle sieb. des v.storbenen H. seel. mit weÿl. fr. Anna Magdalena Frantzin geb. Körnerin seiner gewesenen Frawen Eheliebst. seel. ehel. erziehlte Hhen Söhne auch Fr. und Jgfr. Töchter u. Vorherwehnter maß. zu ohngleich. antheilern per Testamentum eingesetzte Erb.

In einer in der Statt Straßburg ane der Gastherberg Zum kleinen Hirschen im Saÿlergäßlein Ligenden und in dieße Verlassenschafft gehörig. behaußung befund. word. wie volgt
Ane Höltzen und Scheinwerck. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In des Officiers Stub, In d. Cammer C, In d. Cammer D, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In d. Cammer E, In dem mittleren Haußöhren, Im Laden, Im undn. haußöhren, Im hirtzen Würthshauß, In d. Sauer bronnen Cammer
Eigenthumn ane Häußern. Erstl. die Gastherberg Zum hirsch. geleg. allhier zwisch. dem Seÿlergäßlein und St. Urbans gaß (…)
It. j.r behausung, gath. und hoffstatt im Seÿler Gäßlein (…)
Abzug in gegenwärtiges Inventarium gehörig, Sa. haußraths 671, Sa. Weins und lährer Vaß 352, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 333, Sa. Guldener Ring 82, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 763, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 197, Sa. Eigenthumbs ane häußern 3150, Sa. Schulden 1771, Summa summarum 7323 lb – Schulden 903, Nach deren Abzug 6419 lb
Copia Testamenti solennis in scriptis – Straßburg den 28. Januarÿ Anno 1712. Johann Philipp Braun Nots. jur. (…)
Wÿdemb, Welch. d. Verstorbene herr Seeliger wegen Jn Johann David Frantz eines noch ledig. Sohns und Jungfrawen Mariæ Salome Frantzin seiner noch ledig. Tochter biß an sein seeliges Ende genoß. Vermög des den 9. 7.bris A° 1694. von Weÿland herrn Johann Philipp Schüblern Notario jurato und burgern allhier seelig über des abgeleibt. herrn auch seel. mit weÿland Frauen Annæ Magdalenæ Frantzin gebohrner Körnerin seines geweßenen Frawen Eheliebsten ehelich erziehlter herren Söhne und Jgf. töchter ererbet Mütterliche Nahrung
Puncten Welche wegen d. beeden häußer Ehe mann Zu deren Vertheilung oder überlaßin geschritten Verglich. worden den 25. jn° Anno 1713 (…)

Jean Jacques Frantz vend la maison 675 livres au boucher Michel Fruth er à sa femme Barbe

1685 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 284
Herr Johann Jacob Frantz der Würth Zum Hirsch
in gegensein Michael Fruothen deß Metzgers und Barbaræ, beÿder Eheleuthe
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, Gärtlein, Bronnen mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhie am Metzgerthor, hinder der Mauren, einseit neben Michel Bilger dem Würth zum Bähren, anderseit neben Johann Lobstein dem Metzger, hinden zum theil uff Johann Adam Gollen den Würth im Sauerbronnen und theils uff die Merckhelische farb behaußung stoßend gelegen – darinnen auch die im Keller ligende faß zusammen 230. Ohmen haltend mitgbegriffen:/ – umb 1350. fl.

Michel Fruth se marie en 1677 avec Barbe Hellberger veuve de Jean Henri Pfeffinger qu’elle a épousé en 1669
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 177)

1676. Donnerst. den 7.10.bris Michael Fruth der Metzger, Friderich Fruthen des metzgers Sohn v. Barbara, hans Henrich Pfeffinger des Metzgers nachgel. wittib (i 91)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 49, f° 299) 1676. Eodem Domin: [27. Tr.] Michael Fruht der ledige Metzger weÿl. Friderich Fruht daß gewesen. Metzger Und burger alhie hind.laßener ehelicher soh, und. Frau Barbara weÿl. Johann Heinrich Pfeffinger, deß geweßenen Metzgers und burgers alhie hind. laßene Wittib. cop: ad S. Auerli 7 Decembr. (i 319)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 160)
1669. Donnerst. den 22.t April: St: Aurel: Hannß Henrich Pfeffinger der Metzger. H. hanns Friderich Pfeffingers des Schaffners im mehrern Spitthal Ehel. Sohn, Jfr. Barbara, herrn hanns Helbergers des Schwartzbecken Eheliche Tochter (i 83)

Michel Fruth et Barbe Hellberger hypothèquent la maison au profit de la veuve de Jean Georges de Zedlitz

1687 (8. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 695-v
Michael Fruth, der Metzger, und Barbara, gebohrne Hellbergerin, deßen Eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Hellbergers, deß haußfeurers und E.E. großen Raths beÿsitzers ihres leiblich. Vatters, wie auch Georg Eckard, deß Weißbecken Ihres Schwagers
in gegensein /:salv. tit:/ Hn Philipp Henrich von Wickersheim, alten Stättmeisters und XIII.ers alß Vormunds /:salv. tit:/ Fr. Mariä Ester gebohrner von Müllenheim, weÿl. /:salv. tit:/ Herrn Johann Georg von Zettlitz, auch gewesenen alt. Stättmeisters und XIII.ers sel. hinderlaßener Fr. Wittib, mit beÿstand H. Henrich Amlung stud. Theol. Ihres domestici – schuldig seÿen 400 gute Reichsguldner wie solche nach jüngster devaluation Zu 37 sols gesetzt word.
unterpfand, Eine behaußung, sambt dem hoff, hoffstatt, Stallung, Gärttlein, bronnen, und allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten, allhier am Metzger thor hind. der Mauren, einseit neben Michael Bilg. dem würth Zum Bähren, anderseit neben Johann Lobstein dem Metzger, hinden auff d. würthshauß zum Raben Zum theil, und theilß auff die Mercklinische Farb behaußung stoßend gelegen

Jean Frédéric Pfeffinger hérite de la maison de son demi-frère Jean Michel Fruth. Il épouse en 1694 Susanne Fruth, fille de boucher

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 6, f° 29-v)
Heute Mittwochs den 21. Aprilis st. n. 1694 seind (…) copulirt und eingesegnet word. Johann Friderich Pfeffinger, d. leedige Metzger und burger alhie weyl. H. Heinrich Pfeffingerß geweßenen Metzgerß und burgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfer Susanna, H. Friderich Fruthen deß Metzgers und burgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Pfeffinger Als Hochzeiter, Susanna Fruthin der hoch zeiterin (i 33)

Jean Frédéric Pfeffinger meurt en 1731 dans sa maison derrière Saint-Nicolas en délaissant deux filles et un fils. Les experts estiment 900 livres la maison derrière les Murs. La masse propre à la veuve est de 1 641 livres, celle des héritiers à 2 537 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 312 livres, le passif à 3 089 livres, sommes assez considérables.

1731 (16.7.), Me Courtz (6 E 41, 460)
Inventarium über Weÿland des Edlen Wohl Ehrenvest Großachtbar und Wohlweißen Herrn Johann Friderich Pfeffingers, E. E. großen Raths geweßenen Alten Beÿsitzers, Vornehmen burgers und Metzgers allhier nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet A° 1731. – nach seinem den 23.ten maji dieses lauffenden 1731.ten Jahrs erfolgten seeligen Hienscheiden alß dieser zergänglichen Welt verlaßen, Wie solches auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der viel Ehr: und Tugendreichen Frauen Susannä Pfeffingerin gebohrner Fruthin der hinterbliebenen Wittib, Welche mit Herrn Claudi Hanßmetzger dem burger v. Metzger allhier bevögtiget (…)
Denominatio hæredum. Weÿl. H Rathh. Johann Friderich Pfeffinger hat in seinem Leben mt Frauen Susanna Pfeffingerin, gebohrner Fruthin, als jetzmahliger Fr. Wittib Ehel: erziehler v. zu Erben hinterlaßen 1. Jungfer Mariam Dorotheam Pfeffingerin in Welcher Nahmen H. Joh: Friderich Pfeffinger sen. burger v. Metzger allhier, diesem Inventations geschäfft als geschworner Vogt beÿgewohnet, 2. Herrn Johann Friderich Pfeffinger Jun.em burger v. Metzger allhier, persönlich zugegen, 3. Frau Susannam Barbaram gebohrne Pfeffingerin Herrn Johann Georg Feigler, des burgers v. handelßmanns allhier Frau Eheliebste, welche beede diesem Geschäfft beÿgewohnt, 4. Herrn Johann Daniel Pfeffinger, burger v. Metzgern allhier, als Welcher ebenmäßig dieser Inventation beÿgewohnet.

In einer allhier zu Straßburg Hinder St: Niclaus Kirch gelegenen hiehero Eigenthümlich gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt.
Ane Höltzen v. Schreinwerck. Auf d. Cast, In d. Schwartzgethüch Cammer, In d. Neb. Cammer, im Obern Hauß Ehren, In d. Knecht Cammer, Im Neb. Cämmerlein, In d. Mittlerin Stub, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In der Magd Cammer, In d. obern Kuchen, Auff dem Gang, In des officiers Cammer, In d. wohnstub, Im Comptoir, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In d. Kuchen, Im Untern hauß Ehren, Im Keller – In d. Ruprechtsau
Eigenthum ane Häußern (W. 1/6, T. 3/6) Erstl. eine behaußung hinter St. Niclaus Kirch ohnfern dem Mehrern Hospital (…)
(E.) It. ein Hauß, Hoff, Hoffstatt, Stallung, v. gärtlein mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg am Metzgerthor, hintern deren Mauren, eins. neben denen Lobsteinisch. Erben, 2.s. neben Joh: Georg König dem Metzger hinten auff H. Joh: Wilhelm Reichardt den färber stoßend, so freÿ leedig v. eigen v. laut obged. Abschatzung hiehero angeschlagen umb 1800. fl. oder 900. Diese behaußung hat der verstorbene H Rathh. seel. von Weÿl. H Joh: Michael Fruthen dem Metzger v. burger alllhier seinem halbbändigen bruder erbl. erhalten. Darüber besagt ein teut. perg. Kbr. in allhies. C. C. stuben gefertiget v. m. dem anhangendem Iniegel verwahret de dato 15.ten Maji 1685. mit Lit. A. notirt. Ferner dreÿ daselbst gefertigte Kauffbrieff auch mit Lit. A. v. einer davon auch mit N. 2 bezeichnet, alles mit n. N° 1. not.
(W.) It. ein Sechster Theil Vor unvertheilt von v. ane hauß
in der Vorstatt Crautenau hinter dem Ballhauß, im sogannndten Schwabenländlein (…)
(W. 1/6, T. 5/6) t. die helffte ane einer Wohnung v. Stall auff der Schäffereÿ beÿ f. hohen Warth vor dem Spittalthor an dem Grimmerich (…)
Eigenthum ane Metzigbäncken (…)
(f° 23-v) Eigenthum ane einem Meÿerhoff v. gülthen in der Ruprechtsau (…)
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. (…) Vermög Inventarii über beeder durch den zeit. Tod. getrennter Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch Weÿl. H. Andream Schmidt Notm. publ. in A° 1694. gefertiget
(f° 38) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung. Copia Testamentum nuncupativi Copia des Nach Disposition.
Der Fr. W. Eigenthümlich Guth. Sa. Silbers 20, Sa. Eigenthum ane Häußern 585, Eigenthum ane einem Metzigbanck 180, Eigenthum ane Matten 49, Schulden 146, Ergäntzung (1834, Abzug 175, Rest) 1658., Summa summarum 1641. lb
Der Erben Eigenthümliche Nahrung, Sa. hausraths 60, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 900, Eigenthum ane Metzig bäncken 722, Ergäntzung (1994, Abzug 1070, Rest) 924, Summa summarum 2607 lb – Schuld 70, Detrahendo verbleibt 2537 lb
Das Theilbare Guth, Sa. haußraths 514, Früchten 22, Wein v. Lährer Faß 377, saamen auff dem Feld 61, Vieh 478, dürre häuth 72, Schiff und geschirr zu Ackerbau gehörig 13, häu v. Ohmath 9, Silber 312, Goldene Ring 117, baarschafft 107, Pfenningzinß hauptgüter 775, Eigenthum ane häußern 631, Eigenthum ane Matten 317, Eigenthum ane einem Meÿerhoff 1253, Eigenthum ane Lieg. güthern 100, Activa 1148, Summa summarum 6312 lb – Schulden 3089, Rest theilbaren Guths 3213 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 8402 lb

Jean Frédéric Pfeffinger fils donne pouvoir d’assister à l’inventaire de son père
1731 (13.7.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 120
Eu wißen seÿe hiemit daß auf Ansuchen und begehren weÿl. H. Johann Friderich Pfeffingers, E E. großen Raths gewes. beÿsitzers und Metzgers alhier seel. hinterl. frau wittib und Erben (…) mich Zu deßen ältern Sohns H. Johann Friderich Pfeffinger, den jüngern, auch Metzgern und burgern alhier in deßen behaußung hinter den Mauren, Zwischen der Vieh: und Uttergaß gelegen, Verfüget und demeselben angezeigt, daß sein Vatters seel. Verl. Inventation auf nächst Künftigen Montag d. 16.ten Huj. bereits angestellet seÿe, derenthalben Er sich declariren solle, ob er solches beÿwohnen und dabeÿ auch erschienen wollen, Wann nun derselbe mit hierauf Zur Antwortt ertheilt, daß er nicht wißen Kan, ob er derzeit habe, oder nicht, er hette schon 7. wochen lang auf Sie gewearttet könten sie also nun anhero auch auf ihne wartten, so habe ihme auch diese seine declaration ferners eröffnet, daß man mit E. Inventation geschäfft Jedannoch fortfahren, und vor seine person einen deputirten auf seinen Costen ausbitten

Le fils Jean Frédéric Pfeffinger meurt en 1736 dans la maison qu’il loue de sa mère. Il délaisse quatre enfants. La masse propre à la veuve est de 87 livres, celle des héritiers à 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 654 livres, le passif à 1 001 livres

1736 (13. Xbr), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 60) n° 531
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Friderich Pfeffingers, geweßenen Metzgers und burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1736. – nach seinem den 10.ten Julÿ dießes Zu End gehenden 1736.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Gecklers Metzgers und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs, Mariæ Elisabethæ, Mariæ Salome und Mariæ Magdalenæ der Pfeffinger, aller Vier des abgeleibten seel. mit der Viel Ehr und tugendreichen frauen Susannæ Dorotheæ Pfeffingerin gebohrner Beckin, deßelben gewesener frauen Eheliebstin und nunmahliger Wittib, ehelich erzeugter Kinder und ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch Sie die erstgedachte Frau Wittib mit zuziehung des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Schneeganßen, Metzgers und burgers allhier, deroselben geschwornen Curatoris, wie auch Israel Breuning den Banck knecht, Johann Heinrich Geÿer und Jacob Bernhard Sattler, die beede anderer Dienst Knecht, nicht weniger Agnes Adamin der Dienstmagd im hauß (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Löblicher Statt Straßburg auff Donnerstag den 13.t Xbris et Seqq. Anno 1736.

In einer allhier Zu Straßburg hinter denen Mauren Zwischen dem Metzgerthor v. Uttengaß gelegenen Von dem Verstorbenen seel. Lehnungsweiße bewohnten behaußung befunden worden wie folgt.
Ahn Bett und Federwerck. In der Knechts Cammer, In des Sohns Cammer, In einer Cammer des mittleren Stocks, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im Cabinette (…)
Schulden aus dem Erb zu bezahlend. It. Frau Susanna, weÿl. H. Joh: Friderich Pfeffingers, des ältern geweßenen Metzgers und alten Großen Raths Verwanthen seel. hinderbl. wittib des abgeleibten seel. eheleibliche frau Mutter fordert, Vermög eines Zu dießer Inventation überschickten Von Ihro und H. Cladi Hanßmetzgern, deroselben Vogten unterschriebenen Zeduls de dato 14. Dec: 1736. so mit Lit. G. bezeichnet worden, Hauß und Banck Zinnß für 2. Jahr, nemblich Von Joh. Bapt: 1729. biß wiederumb dahin 1731. 200. fl.
Volgt nun hierauff die beschreibung der gesambten Verlaßenschafft vor und ane sich selbst. Anfänglichen aber der Frau Wittib ohnveränderte Von Ihro angegebenen Naturalposten, Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 24, Sa. baarschafft 6, Summa summarum 87 lb
Dießem nach werden auch der Erben ohnveränderte Natural posten und unter diesen auch die Kleÿdung und weißer gezeug, Sa. hausraths 100, Sa. Silber 3, Sa. Goldenen Rings 1, Summa summarum 105 lb
Endlichen wird auch das Gemein Verändert und theilbar Guth gesetzt, Sa. hausraths 364, Sa. Schiff und geschirrs Zum Metzger handwerck 10, Sa. Pferdt und Rindviehs 465, Sa. Haws Strohe und beßerung 37, Sa. dürren Häut 63, Sa. Weins und Vaß 30, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 21, Sa. baarschafft 801, Sa. Schulden 843, Summa summarum 2654 lb – Schulden 1001 lb, Detrahendo verbleibt 2553 lb
Copia Codicilly reciproci, so der abgeleibte seel. mit und beneben deßen hinderbliebener Frau Wittib den 28.ten Junÿ Anno 1736. vor mir Notario und anweßend. geweßten Gezeugen aufgerichtet. (…) der Ehemann zwar krancken und schwachen leibes auff einem bette liegend, dannoch aber vermittelst Göttlicher Gnaden, guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstandts, Sie die Ehefrau aber auffrechten gesunden gehend und stehenden leibs (…)

Les héritiers de Jean Frédéric Pfeffinger père vendent la maison 950 livres au farinier Jean Nonnenmann et à sa femme Anne Marie Prœsamlé

1745 (3.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 874-v
weÿl. H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers erben Fr. Susanna geb. Pfeffingerin H. Johann Georg Feigler handelsmann eheliebstin, Johann Daniel Pfeffinger der metzger, mehr Johann Friedrich Pfeffinger auch metzger als vogt Jfr. Maria Dorothea Pfeffingerin, so dann Johann Gäckler der metzger als vogt weÿl. H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers mit Fr. Susanna Dorothea geb. Beckin seiner hinterlassenen wittib erzeugter vier kinder Johann Friedrich, Maria Elisabetha, Maria Salome und Anna Maria der Pfeffingerin
in gegensein Johannes Nonnenmann des meelmanns und Annæ Mariæ geb. Brösamle – Versteigerung
eine behausung, hoff, stallung, gärtlein und hoffstatt samt übrigen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten hinder denen Mauren zwischen der Vieh und Uttengaß, einseit neben der gastherberg zum Bären, anderseit neben Valentin Schneeganß dem metzger, hinten auff die gastherberg zum Raaben – als ein respe. groß und vätterliches erbguth – 1905 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Marie Salomé Wagenmann veuve du pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer

1745 (3.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 878
Johannes Nonnenmann der meelmann und Anna Maria geb. Brösamle mit beÿstand ihres vatters Johannes Brösamle des küblers und ihres bruders Johannes Brösamle des ledigen küblers
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Wagenmännin weÿl. H. Rathh. Philipp Jacob Brackenhoffer des Apotheckers – zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 1500 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, gärtlein, stallung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Mauer zwischen der Vieh und Uttengaß, einseit neben der gastherberg zum Bären, anderseit neben Valentin Schneeganß dem metzger, hinten auff die gastherberg zum Raaben

Jean Nonnenmann termine son apprentissage auprès de son père huilier en 1719
1719, Protocole des Boulangers (XI 9)

(f° 301-v) Montags den 10. Julÿ. Siegelgeltt – Hannß Georg Nonnenmann der Ohlmann ist auch erschienen mit seinem Sohn Johannes Nonnenmann welcher Er im Handwerck underwiesen, und deßen Lehrzeit Zu Endt, bittet gleichfalls Leedig sprechung, hierüber ward Erkanth, seÿe wie vorigem gegen Erstattung 8 ß d Zur Gebühr auch willfahrt (Siegelgeltt 5 ß, dt.)

Jean Nonnenmann termine son apprentissage de boulanger auprès de Thiébaut Hummel en 1721
1721, Protocole des Boulangers (XI 9)

(f° 364) Mittwochs den 29. Octobris 1721. Siegelgeltt – Diebold Hummel der Weißbeckh undt burger allhier erscheint mit Johannes Nonnenmann, hannß Georg Nonnenmann des ohlmanns undt burgers alhier Ehelichem Sohn, so auch præsens war, bittet weillen seine Lehrjahr von der Zeit als Er eingestandt. verfloß. Undt sie samtlich mit einand. zu frieden denselben gerichtlich ledig Zu sprechen so ihren auch geg. der gebühr willfahrt worden. (Siegelgeltt 5 ß, dt.)

Jean Nonnenmann épouse en juillet 1730 Anne Marguerite Reichard, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration à Schiltigheim où habite la mère de la mariée
1730 (14.7.), Me Mader (6 E 41, 694)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Nonnenmann dem ledigen Weißbecken und burgern allhier Zu Straßburg, alß dem braütigam ane Einem
So dann der Tugendsamen Jungfer Annä Margarethä Reichartin, Weÿland des Ehrengeachten Johann Heinrich Reichardt gewesenen Schneiders und geschwornen Käufflers auch burgers zu Straßburg seel. nachgelaßener Tochter alß der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 14. Julÿ Anno 1730 [unterzeichnet] Johannes nonnemann alß Hochzeiter, Anna Margaretha Reichardtin als hochzeiterin

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 492)
A° 1730. den 1. Aug. seind auff ertheilte Erlaubnuß des Herren Amtmanns sub dato 21. Jul. und Zweÿmaliger ordentlicher Außruffung ehl. copulirt und eingesegnet worden Johannes Nonnenmann, der ledige bürger und Weißbeck in Straßburg, Joh: Georg Nonnenmanns, bürgers und Weißbecken in Straßburg ehl. Sohn & Jgfrau Anna Margaretha Reichardtin, weil. Herrn Joh: Heinrich Reichardts, gewesenen bürgers und geschwornen Inventir: Käufflers in Strßbrg nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Nonnenmann als hochzeiter, Anna Margaretha Reichardtin; Johann Jacob Nonnenmann des hochzeiters bruder, Johann Philip Kirschläger der hochzeiterin stieff Vatter (i 251)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc qui appartient pour partie au mari
1730 (30.8.), Me Mader (6 E 41, 686) n° 681
Inventarium über des Ehrsam: und bescheidenen Mstr. Johannes Nonnenmann, Weißbecken und der Ehren und tugendsahmen frauen Annæ Margarethä gebohrner Reichardin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1730. – in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestandt zugegracht, und Vermög auffgerichteter Eheberedung vor ohnverändert vorbehlten haben – So beschehen in der Königl. St. Str. In fernerem gegensein H Johann Georg Nonnenmanns Weißbecken des Ehemanns Leiblichen Vatters, So dann H Johann Philipp Kirschlägers Gastgebers zu Schiltigheim und frauen Annä Margarethä gebohrner Sontagin der Ehefrauen Stieffvatter b. Leiblichen mutter auff Mittwoch d. 30.t. Aug. Anno 1730.

In Einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraßen gelegen in diese Nahrung Zum theil gehörigen behausung ist befunden worden wie folget
Eÿgenthumb ane Einer behausung (M.) Die helffte vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane der Weißenthurnstraßen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Eÿgenthümblich Guth, Sa. haußraths 173, Sa. Weins und lährer faßen 39, Sa. Werckzeugs Zum becken handwerck gehörig 41, Sa. Frucht und meels 78, Sa. der Schwein 24, Sa. Silbers 7, Sa. der baarschafft 64, Sa. der Schulden in die nahr. zu bezahlend 75, Summa summarum 504 lb – Sa. der Schulden 487 lb, Nach deren Abzug 15, Hierzu aber ist wiederzulegen die helffte ane denen Haussteuren 37 lb. Des Ehemanns sampt. Eÿgenthümblich Vermögen 52 lb
Des Frauen Eÿgenthümbliches Vermögen, Sa. haußraths 119, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Goldener Ringen 14, Sa. der baarschafft 160, Summa summarum 306 lb – Darzu ist annoch zu gelen die helffte ane denen hernach beschriebenen Haussteuren thut 37 lb, Der Ehefrauen samptlich Eÿgenthümblich Vermögen 344 lb

Jean Nonnenmann obtient le droit de farinier
1730, Protocole des Quinze (2 R 136)
(f° 43x) Decembris. pt° Wannenrecht – Mos. nôe Joh. Nonnenmann burgers und Weißbecken prod. Schein von beed. Z. Zünfften Zur Lucern undt der Beckh. pt° erbettenen Wannenrechts, bitt umb gn. Confirmation. Erkandt, confirmirt.

Anne Marguerite Reichard meurt en 1742 dans une maison de location rue du Fort en délaissant cinq enfants. La masse propre au veuf s’élève à 1 034 livres, celle des héritiers à 280 livres. L’actif de la communauté s’élève à 126 livres, le passif à 1 268 livres
1743 (1.4.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1789
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Margarethæ Nonmännin gebohrner Reichardin des Ehrengeachten Hn Johannis Nonnenmanns des Meelmanns und burgers alhie zu Straßburg geweß. Ehel. Haußfrau nunmehro seel. Verlassenschafft auffgerichtet in Anno 1743. – nach ihrem Freÿtags den 30.ten Novembris des nächst abgelegten 1742.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche verlassenschafft auf freundfleißiges ansuchen Erfordern und begehren Hn Johannis Brsammle, des Küblers und burgers alhier, als geordnet und geschworenen Curatoris Johann Georg, Annæ Margarethæ, Mariæ Barbaræ, Mariæ Dorotheæ u. Mariæ Salome aller fünff gebohrne Nonnenmännin so die abgeleibte seel. mit vorgemelten ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich Erzielt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Zu Erben Verlaßen – So beschehen Straßburg den 1.ten Aprilis Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg ane der burggaß am Thor gelegenen nicht hieher gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ durch weÿland Hn Philipp Jacob Mader geweßenen Notarium publicum juratum und burgern allhier seel. in Anno 1730. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Haußraths 22, Sa. Schiff und geschirrs Zum Meelhandel gehörig 19 ß Sa. Silbers 1, Ergäntzungs rest 1046, Summa summarum 1072 lb – Schuld 37, Nach deren Abzug 1034 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 36, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ringe 2, Sa. Schulden 27, Ergäntzungs rest 200 – Summa summarum 280 lb
Endlichen wird nun auch das Gemein verändert und Theÿlbar Guth beschrieben, Sa. haußrath 40, Sa. Vaß und Wein 20, Sa. Schiff und geschirrs Zum Meelhandel gehörig 28 lb, Sa. Silbers 1, Sa. Baarschafft 36 lb – Summa summarum 126 lb – Schulden 1268 lb, In Vergleichung, theilbares passiv onus 1142 lb – Stall Summ 175 lb
Copia der Heÿraths Verschreibung (…) den 14. Julÿ Anno 1730, Philipp Jacob Mader
Copia Codicilli

Le farinier Jean Nonnenmann se remarie en 1743 avec Marie Prœsamlé : contrat de mariage, célébration à Schiltigheim
1743 (31.5.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 83
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten H. Johann Nonnenmann Meelmann und burgern alhier als Hochzeiter ane einem
so dann der Ehren und tugendsahmen Mariæ Bresamlein des Ehren und Vorgeachte, H. Johann Nonnenmann Küblers und burgers alhie Zu Straßburg eheleiblicher Tochter amß Hochzeiterin anm andern theil – beschehen und verhandelt in dießer Königlichen Statt Straßburg den 31. Maÿ Anno 1743

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 67)
A° 1743. den 5. Junÿ seind auff ertheilte Erlaubnuß Ihro Gnd. des Regirend. Herren Ammeisters sub dato (-) Maji und Zu Straßburg geschehene Außruffung, alhier ehelich copulirt und eingesegnet word. Johannes Nonnenmann, burger und Meelmann in Straßburg Und Anna Maria Brosamle, Mstr. Johannes Brosamle burgers und Küblers in Straßburg eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Nonnenmann als hochzeiter, Anna Maria Brösamle als hochzeiterin (i 327)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1743 (19. 8.bris), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1812-b
Inventarium über des Ehrengeachten Hn. Johann Nonnenmann des Meelmanns und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Nonnenmännin gebohrner Bresamlein, beeder Eheleuthe und bürgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1743. – in ihren vor geraumer Zeit in Gott angetrettenen Ehestand einander für ohnverändert (…) welche Nahrung der Ursachen halben, damit mann sich Künfftiger Zeit der in beeder Eheleuthe vor mir hernach unterschriebenem Notario auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung wegen darnach zu reguliren haben mochte – So beschehen in fernerem beÿseÿn auff seithen des Ehem: frauen Annä Margarethä Kirschlägerin geb. Sontagin H Johann Philipp Kirschlägers des Wirths und burgers Zu Schiltigheim Ehefrauen als ein ihres Ehemanns Ersterer haußfrau seel. leibl. Mutter, Ane der Ehefrauen seithen aber meister Johannes Bresamle deß Küblers und burgers allhier und deßen Ehefrau als ihrer leibl. Eltern Strassburg Sambstags den 19. Octobris Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg, ane der Burggas am Thor gelegenen, nicht hieher gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Ehemanns ohnverändert Guth, Sa. haußraths 308, Sa. Schiff und geschirr auch frucht Meel und Gekorns Zum Meelhandel gehörig 281, Sa. Vaß und Wein 194, Sa. Silbers 29, Sa. baarschafft 282, Sa. Schein und Schaaff 7, Sa. Schulden 528, Summa summarum 1597. lb – Schulden 502, Nach deren Abzug 1095 lb
Demnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Haab und Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 271, Sa. Silbers 34, Sa. Goldener Ring 11, Sa. der baarschafft 202, Summa summarum 520. lb
Der Fünff Kinder Erster Ehe Pfetter, Göttel und Geschenckt geld, Joh: Georg gehörig, Anna Marg: gebührig, Mar: Barb. Zuständig, Maria Doroth. Zuständig, Mar: Salome gebührig
Wÿdemb Welchen der Ehemann ais erster Ehe lebtägig Zu genießen berechtiget ist. Nembl. in das von nun weÿland Frauen Annnæ Margarethæ Nommenmännin Gebohrner Reichardin, des Ehemanns geweßener erseren Ehefrauen seel. Vor mir Notario errichtete Codicill §°. 2.do lehret, hat Sie Ihme Ihre Völlige Verlassenschafft Salva Legitima zu einem lebtägigen Wÿdem Verschrieben

Registre de vente de meubles appartenant à Anne Marguerite Reichard épouse défunte du cocher Jean Nonnenmann
1757 (2.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390) n° 744
Verkauff und Erlöß Register Über Weÿland Frauen Annä Margarethä Nonnenmännin gebohrner Reichardin seeligen hinterlaßener mit herrn Johann Nonnenmann, dem Kutscher und burgern allhier zu Straßburg ehelich erziehlter Vier Kinder Großmütterlich ererbte offentlich versteigerte und verkauffte Mobilia
(…) Nahmentlich Jungfrauen Annä Margarethä, Jungfrauen Mariä Barbarä, Jungfrauen Mariä Dorotheä und Johann Georg denen Nonnenmannen, davon die dreÿ Jungfrauen töchtere mit herrn Johann Philipp Späth dem Gastgeber zu denen dreÿen Caminen und burgern allhier, der Sohn aber mit herrn Sebastian Moderleÿer dem Weißbecken und burger, allhier bevögtiget seind, beÿ Abtheilung Weÿland Frauen Annä Margarethä Kirschlägherin gebohrner Sontagin, auch Weÿland herrn Johann Philipp Kirschlägers geweßenen ehemahligen ochßen Würths und burgers zu Schiltigheim seeligen hinterbliebener Wittib als Ihrer eheleiblichen Groß Mutter

Le cocher Jean Nonnenmann et Anne Marie Prœsamlé hypothèquent la maison au profit des enfants issus du premier mariage du mari

1758 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 54-v
Johann Nonnenmann der lehnkuscher und Anna Maria geb. Brösamle mit beÿstand ihrer brüder Johann und Jacob der Brösamle
in gegensein Johann Philipp Späth des gastgebers als vogt sein Nonnenmann kinder erster ehe Margarethæ, Barbaræ und Dorotheæ der Nonnenmann – schuldig seÿen 445 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am Metzgerthor hinter den mauren, einseit neben H. Rathh. Schneeganß, anderseit neben H. Rathh. Roggenbach dem gastgeber, hinten auff Fr. Lurtzingin

Le cocher Jean Nonnenmann meurt en 1767. Il délaisse cinq enfants de son premier mariage et trois du deuxième. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à la veuve est de 557 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 403 livres, le passif de 3 841 livres

1767 (9.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 409) n° 1143
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Nonnenmann, des geweßenen Kutschers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1767. – nach deme derselbe Freÿtags den 9. Octobris dießes lauffenden 1767. Jahrs dießes Zeilich mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Annä Mariä Nonnenmännin gebohrner Prösamlein der hinterbliebeneer Wittib mit assistentz des Wohl Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Friderich Seilers beÿ Ihro Gnaden des regirednem herrn Ammeisters Audientz wohlbestellten Procuratoris Ordinarÿ Ihres erbettenen herrn beÿstandts – So beschehen in Straßburg auf Montag den 9. Novembris Anno 1767.
Der Abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato verlaßen wie folgt. 1. Johann Georg Nonnenmann, welcher abwesend und seit Anno 1752. keine Nachricht von Ihme ob Er annoch lebend oder todt seÿe, oder wo Er sich auffhalten möchte, eingelauffen, deßen geschworener Vogt ist herr Johann Friderich Modelmeÿer der Frantzösische beck burger allhier, welcher im Nahmen seines Curandi diesem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2. Frau Annam Margaretham Wincklerin gebohrner Nonnenmännin, herrn Johann Conrad Winckler, des hohldrehers und burgers allhie Ehegattin, welche mit beÿhilff deßelben in Persohn zugegen ware, 3° Frau Mariam Barbara Fischerin gebohrne Nonnenmännin, herrn Conrad Fischer Stadt Musici Zu Germersheim Chur Pfältzischer Jurisdiction Ehefrau, welche ebenmäßig mit und beneben demselben beÿ diesem Geschäfft sich eingefunden, dieweilen sie aber allhier ohnverburgert als ist in Ihrem Nahmen aus E. E. Kleinen Raths Mittel krafft Extractus Memorialis vom 5.ten hujus Mensis et Anni in specie hierzu deputiret worden S. T. herr Christian Ludwig Boeckler J. V. Ltis und E. E. großen Rath alter auch vor Ehrengedachten kleinen Raths jetzig. wohlverordneter beÿsitzer, welcher ebenmäßig præsens ware, 4. Frau Mariam Dorotheam Weberin gebohrne Nonnenmännin herrn Johann Jacob Weber des frippiers und burgers allhier Ehefrau welche gleicherweiße mit Zuziehung deßelbe hierzu erschienen.
Vorherbenambßt dreÿ Frauen töchtere haben ferner zu einem Assistenten erbetten S. T. Herrn Johann Daniel Schweigheusser Notarium juratum publicum und berühmbten Practicum welche mit und neben Ihnen zugegen ware. Dieße Vier des seelig. Verstorbenen, in Erster Ehe mit auch Weÿl. Fraun Anna Margaretha gebohrner Reichardin seeligen ehelich erziehlte Sohn und Töchtere.
5° Jungfer Annam Mariam Nonnenmännin welche Majorennis und ohnbevögtiget, dahero miy Beÿhilff herrn Johann Leonhard Hirschel des Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier dießelbe sich in Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, 6° herrn Johannem Nonnenmann Medicinæ Studiosum welcher ebenmäßig Majorennis und ohnbevögtigt mithin in selbst eigener Persohn dem Geschäfft abwartete, So dann 7° Johann Daniel Nonnenmann ledigen Keller, deßen geschworner Vogt ist vorgedachter Herr Johann Leonhard Hitschel des Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier, welcher seines Curandi Interesse hiebeÿ persönlich beobachtet, Dieße letztere dreÿ des Abgeleibten seeligen in Zweÿter Ehe mit Eingangs gedachter Frauen Anna Maria gebohrner Prösamlerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Söhnen und tochter. Alle Sieben des Verstorbenen seeligen ab intestato Zu Sieben gleichen portionen und antheilern Verlaßene Rechtmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg hinter der Stadt Maur Zwischen der Viehegaß und Magdalenengaß gelegenen, in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthumb ane einer behausung (E.) Neml. i. behaußung samt hoff, hoffstatt, Stallung und bronnen mit allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, Weithen Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßb. hinter der inneren Stadtmaur Zwischen der Magdalenen oder Utten und Viehefaß 1.s. neben der Gast behaußung Zum Bären Weÿl. H. Georg Friderich Roggenbach E. E. grißen Raths amten beÿsitzers Erben gehörig 2.s. neben Hn Joh: Valentin Schneeganß dem ältesten Metzgers und E. E. großen Rath altem assessore hinden auf die Gastherberg Zum Raaben stoßend, so er freÿ ledig und eigen dh. die (Werckmeistere) vermög überschickter schrifftlicher Abschatzung vom 23.ten 9.bris Anno 1767. angeschlagen vor 900 lb. Darüber ist vorhanden i. teutscher perg. Kffb. in allhies. C. C. Stub aufgerichtet und mit dero anhang. Isnig. corroborort dedato 3.ten Xbris A. 1745. Dabeÿ 4 alte auch alda gefertigte Kffb. de datis 23. 9.bris 1618., 29. Aug. 1654, 17. Aug. 1676. & 15. Maji 1685.
– Abschatzung Vom 23.t 9.ber 1767. Auff begehren Weil. Johannes Nunenman ist eine behausung alhie in der Statt Strasburg hiender der mauren am Metzer thorr gelegen Einseits Neben Frau Rogebach an der seits Neben H. Rath her Schnegans und hienden auff den raben stosent Gelegen solche behausung besteht in Ettliche Stuben Kamern Und Kichen dar jber ist der dach Stuhl mit breidt ziglein belegt hat auch ein getrembter Keller hoff und brunen Ferner befiendet sich ein hiender Gebeÿ warinnen Stallung remmies und haübinen War jber der dach stuhl Ebenfals mit breit ziglein belegt. Von uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer Gerechtig Keit Dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Umb Ein Thausent Acht hundert gulden. [unterzeichnet] Werner, Hueber
Ergäntzung der Wittib abgeganenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ (…) durch Weÿland herrn Notarium Christoph Michael hoffmann nun seeligen in Anno 1743 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 20, Sa. silbers 10, Sa. Schuld 37, Erg. Rest 588, Summa summarum 657 lb – Schulden 100 lb Nach deren Abzug 557 lb
Dießem nach Wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbar Nahrung und Zwar Weilen Keine Errungenschafft ausfält, unter einer Masse beschrieben. Sa. haußraths 220, Sa. Kutschen 93, Sa. heus und Strohs 6, Sa. Lährer Faß 25, Sa. Silbers 5, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 900, Sa. Erb Lehenguth 15, Sa. Schulden 134, Summa summarum 1403 lb – Schulden 3841, In Vergleichung 2438 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 809 lb
Wÿdemb Welchen der Abgeleibte seelige Von Weÿland Frauen Anna Margaretha Nonnenmännin gebohrner Reichardin seiner geweßenen Erstern Ehegattin seeligen Lebtägin genoßen hat. Inhalyt Summarischen Calculi durch mich Notarium unterm 30. Decembris 1752. gefertiget
Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in das Erbe Zugeltend 543 lb
Copia Codicilli (…)
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 31. Maÿ Anno 1743

Anne Marie Prœsamlé hypothèque la maison au profit de Samuel Silberrad, secrétaire des Treize

1767 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 n° 673
Fr. Anna Maria geb. Breßamle weÿl. Johann Nonnemann gewesten kutschers witib beÿständlich H. Johann Friedrich Seiler des Cantzleÿverwandten
in gegensein H. Lt. Samuel Silberrad XIII. Sercretarÿ – schuldig seÿen 600 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis hinter der inneren stadtmaur zwischen der Magdalenä oder Uttengaß und Viehgaß, einseit neben der gastherherg zum Schwartzen bäaren, anderseit neben H. Rathh. Joh. Valentin Schneeganß, hinten auff die gastherberg zu Raaben

Marie Prœsamlé veuve de Jean Nonnenmann loue une partie de la maison au sellier Chrétien Gintzroth

1768 (14.5.), Me Humbourg (6 E 41, 130)
Bail de 6 années entières et consecutives qui commencent a la S. Jean Baptiste prochaine – Marie Bresamlé veuve de Jean Nonnenmann cocher assistée de Jean Conrad Winckler tourneur
à Chrétien Gintz Rodt Bourgeois Mr Sellier de cette ville
Sçavoir La Remise et les deux Ecuries l’une grande et l’autre petite dans la cour de la maison de la Bailleuse derrière les murs entre les rue Ste Madeleine et des Bestiaux le magazin et le grenier au dessus de ladite remise et un Emplacement Couvert a l’entrée de la Porte cochere pour y placer un carosse et un autre emplacement dans la cour a côté et a gauche en entrant dans la remise aussi pour pouvoir y placer une voiture, lequel emplacement dans la cour le preneur fera couvrir a ses frais et pourra à l’expiration du Bail emporter cette couverture – moyennant un loyer annuel de 120 lit

Anne Marie Prœsamlé vend la maison au teinturier Jean Frédéric Birckicht et à sa femme Marie Salomé Prœsamlé

1770 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 27-v
Anna Maria geb. Bresamle weÿl. Johann Nonnenmann gewesten lehnkutschers wittib beÿständlich H. Johann Daniel Kuf des courtier
Johann Friedrich Birckicht des färbers und Mariæ Salome geb. Bresamle mit beÿstand H. Ludwig Jacob Stromeÿer exsenatoris und Johann Daniel Würtz des goldarbeiters
eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten hiinter denen mauren zwischen der Vieh- und der Uttengaß, einseit neben weÿl. H. Rathh. Roggenbach wittib und erben, anderseit neben H. Rathh. Schneeganß dem metzger, hinten auff Friedrich Teutsch den Postmeister – als ein in ihren gedachten Ehemanns mass entschlagen worden befindlichens guth – um 600 und 600 pfund verhafftet, geschehen um 1900 pfund

Les acquéreurs hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Kuhn, boulanger à la fondation Saint-Marc

1770 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 218-v
Johann Friedrich Birckicht der färber und Maria Salome geb. Brösamle mit beÿstand Johann Brösamle des küblers und Johann Nonnenmann med. studiosi beede ihren nächsten
in gegensein Johann Jacob Kuhn des pfisters löbl. Stiffts St. Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis zwischen der Dauphine und Uttengaß, einseit neben N. Rogenbach dem gastgeber, anderseit neben H. Rathh. Schneegans dem metzger, hinten auff H. Teusch den postmeister

Jean Frédéric Birckicht loue la maison au chandelier Abraham Mœrdel

1773 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 452
H. Johann Friedrich Birckicht der färber
in gegensein Abraham Mördel des lichtermachers
entlehnt, eine behausung zu Straßburg à la place dauphine einseit neben H. Rathh. Schneegannß, anderseit neben H. Roggenbach dem gastgeber zum schwartzen bären, den unteren stock oder rez de chaussée bestehend in einer stub, stubcammer und kuchen samt keller unter sothaner küche wie auch bauchküche wovon der entlehner jedannoch in waschzeit sich den freÿen gebrauch bestens vorbehaltet, ferner im ersten stock zwo kammern so dann im 3t stock annock eine kammer ; auff 6 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden weÿhnachten anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Jean Frédéric Birckicht et Marie Salomé Prœsamlé hypothèquent la maison au profit du maître de poste Jean Frédéric Teutsch

1775 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 264-v
H. Johann Friedrich Birckicht der färber und Maria Salome geb. Bresamle unter assistentz Johann Bresamle des küblers ihres leiblichen bruders und Johann Conrad Winckler des hohldrehers
in gegensein H. Johann Friedrich Teutsch des postmeisters – schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Vieh nunmehro Dauphine gaß, einseit neben H. Rathh. Schneegans, anderseit neben H. Roggenbach dem gastgeber, hinten auff H. Creditor

Jean Frédéric Birckicht loue une partie de sa maison au messager Jean Christophe Meyer

1781 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 242-v
H. Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber
in gegensein H. Johann Christoph Meÿer des Rathsbotten
lehnungsweiß, in des verlehners ane dem Dauphine platz gegen der zur Statt Wien geschildete wirths behausung gelegenen hauß eine vollständige wohnung bestehend in einer großen und einer kleinen stub nebst einer stub kammer und küche im zweÿten stock, ferners einer anderen kammer etwas höher darüber so dann einen unterschlagenen keller nebst platz zum holtz zu legen – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Johannis Baptistæ tag – um einen jährlichen Zinß nemlich 38 gulden

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Frédéric Acker pasteur luthérien de Bischwiller (beau-frère de Jean Frédéric Birckicht par sa première femme)

1785 (26.4.), Me Lederlin (6 E 41, 907) f° 294
Inventarium über weÿl. des wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten H. Johann Friedrich Ackers des treueifrigen Oberpfarrers und Seelsorgers der evangelischen gemeinde in Bischweiler hochfürstl. Zweÿbruckischer Jurisdiction und burger dahier in Straßburg verlassenschafft – nach seinem d. 4. Februarÿ in Bischweiler genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen Jfr. Margaretha Ackerin des defuncti seel. per testamentum inscriptus solemne clausum eingesetzten einigen erbin beÿständlich H. Johann Friedrich Birckig des schwartz: und schönfärbers ihres schwagers
in einer hinter den mauren beÿ der Dauphine gaß gelegen H. Johann Friedrich Birkigt des schwartz und schönfärber zuständigen behausung
hausrath 55 lt, silbers 3 lt, gold 16 lt, baarschafft 250 lt, activ schulden 250 lt, bibliotheca 115 lt, Summa 690 lt – Zweiffelhaffte schulden 1050 lt
Testament, meiner schwester Margaretha Ackerin, meinem neveu Friedrich Birckig d. 1. Februarÿ 1785, Actus depositionis 1. Februarÿ 1785, Elias Stöber greffier adjoint

Jean Frédéric Birckicht loue une remise au marchand Simon Zollickoffer le jeune

1790 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 25
H. Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber
in gegensein H. Simon Zollickoffer des jungen handelsmanns
lehnungsweiße, die dem verlehner eigenthümlich zuständig hinter denen mauren gelegenen behausung die futer remise – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verwichenen weÿhnachten anzufangen 96 lib

Jean Frédéric Birckicht et Marie Salomé Prœsamlé hypothèquent la maison au profit du marchand Georges Frédéric Rosa

1791 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 7
Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber und Maria Salome geb. Bresamle beÿständlich Johann Bresamle des kübler meisters und Johann Christian Storck des schneider meisters
in gegensein H. Georg Friedrich Roßa des handelsmanns – schuldig seÿen 200 R
unterpfand, eine behausung samt zugehörden mit N° 14 bezeichnet ane dem Dauphine platz gelegen

Marie Salomé Prœsamlé meurt en 1796 en délaissant quatre enfants. La masse propre au veuf s’élève à 739 livres, celle des héritiers à 1140 livres tournois. L’actif de la communauté s’élève à 9 305 livres, le passif à 16 914 livres tournois

1797 (11 thermidor 5), Strasbourg 5 (8), Me Grimmer n° 385 – Enregistrement de Strasbourg, acp 53 F° 140-v du 20 ther. 5
Inventarium über Weil der bürgerin Maria Salome Birckicht geb. Prösamle des bürgers Johann Friedrich Birckicht des färbers Ehefrau Verlassenschafft, nach ihrem den 24. fruct. des 4 Jahrs erfolgten Absterben
Benennung der Erben. die Verstorbene hat zu ihren wahren und rechtsmäßigen Erben hinterlassen mit dem Wittiber erzeugte Kinder namentlich 1. Johann Carl lediger färber so großjährig und seine Rechten genießend, 2. Maria Margaretha des bürgers Ludwig August Liernor hiesigen Peruckenmachers Ehefrau, 3. Anna Maria so ebenfals großjährig, beiständlich des burgers Johann Joseph Bitschnau homme de loy, 4. Johann Gottfried so ohngefehr 13 Jahr alt in deßen Namen bürger Bitschnau deßen beeidigten Streitvogt

in der hernach gemelten hiehero gehörigen behaußung
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Neml. eine behaußung hof hoffstatt und Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten hinter der Mauren zwischen der Vieh: und Uttengaß, einseit neben Johann Friedrich Roggenbach anderseit neben Joh: Daniel Weiler mezger und hinten auf Anton Wehrli den Postmeister stoßend, ohnpræjudicirlich angeschlagen worden pro 8000 livres, darüber ist vorhanden eine in der C. C. Stuben aufgerichtete Kauffverschreibung d. d. 1. mart. 1770
liegende güther (2 stück Straßburger banns)
Ergäntzung, Not. Rud. Dinckel in Anno 1767 gefertigten Invii.
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ der Erben ohnverändert, hausrath 293 lb, Silbergeschmeid 5 lb, gold. Rings 9 lb, Ergäntzung 632 lb, schulden 200 lb, summa summarum 1140 lb
des Wittibers ohnverändert Guths, hausrath 79 lb, Schiff und geschirr 127 lb, ergäntzung 733 lb, summa summarum 939 lb, schulden 200 lb, Nach deren Abzug 739 lb
beschreibung des teilbaren Guths, hausrath 577 lb, Schiff und geschirr zur färber profession gehörig 114 lb, verfertigten Waar 111 lb, Ackerbaugeschirr 42 lb, Kuh 60 lb, silbers 48 lb, behaußung 8000 lb, liegende güther 350 lb, summa summarum 9305 lb – Schulden 16 914 lb, In Vergleichung passiv onus 7609 lb
Eheberedung (…), den 13. feb. 1767, Not. Joh. Rud. Dinckel, coll. Grimmer

Jean Frédéric Birckicht loue une partie de la maison à son fils teinturier Jean Charles

1806 (30.8.), Strasbourg 5 (24), Me F. Grimmer n° 4091 – Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 150 du 9.9.
Bail de 9 années qui ont commencé à la St Jean dernier – Sr Jean Frédéric Birckicht teinturier
à son fils Jean Charles Birckicht aussi teinturier
le poel la chambre y attenant Boutique et cuisine se trouvant le tout au Rez de chaussée de la maison sise a Strasbourg place des Canoniers derrière les murs, d’un côté le Sr Roggenbach d’autre Jean Daniel Weiler derrière la propriété du Sr Antoine Werly,
Plus la boutique de teinturier avec six chaudrons de cuivre rouge et tous les ustensiles du metier sans aucune exception,
Plus la Calandre et l’emplacement a ce niveau, deux greniers sur le bâtiment par le devant et un grenier sur icelui dans la cour deux écuries et la fosse du fumier et Jardin se trouvant dans la cour ainsi que ladite boutique le logement – moyennant un loyer annuel de 264 francs

Jean Frédéric Birckicht loue une partie se la maison à son fils teinturier Jean Geoffroi

1809 (22.11.), Strasbourg 7 (48), Me Stoeber n° 817, 9346 – Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 136-v du 24.11.
Bail de 6 années qui commencent a courir le 25 décembre prochain – Jean Frédéric Birckicht teinturier
à Jean Geofroi Birckicht garçon teinturier
Le logement au rez de chaussée de sa maison de devant sise audit lieu derrière les murs n° 14 consistant en un poël, une chambre joignant le poële, chambre servant a la boutique, cuisine, place dans la cave, chambre pour les domestiques dans la cour, conjointement avec le bailleur, la jouissance de la cour et du puits, les emplacements pour sécher le fil, la jouissance des greniers de la maison de derrière de plus les chaudrons et la calande servant a la teinture – moyennant un loyer annuel de 400 francs

Jean Frédéric Birckicht cède sa moitié de maison à ses deux filles, Anne Marie femme de l’aubergiste Pierre Jund et Marguerite veuve du coiffeur Louis Liernur

1813 (3.9.), Strasbourg 7 (50), Me Stoeber jeune n° 194 – Enregistrement de Strasbourg, acp 123 F° 77 du 4.9.
Jean Frédéric Birckicht père ancien teinturier
à Pierre Jund aubergiste et Anne Marie Birkicht, Marguerite Birckicht veuve de Louis Lirnur coeffeur, les conjoints Jund pour moitié, la veuve Linur pour moitié
la moitié par indivis d’une maison située en cette ville derrière les murs n° 14 consistante en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, écurie, jardin, appartenances et dépendances, d’un côté la succession Weyler d’autre le Sr Rockebach propriétaire brasseur, derrière le Sr Maechling sur l’auberge de l’ours et sur celle au corbeau – acquis conjointement avec sa femme Marie Salomé née Broesamlé d’Anne Marie Broesamle veuve de Jean Nonnenmann loueur de carosses par acte passé à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770, l’autre moitié appartient aux De Jund et Linur conjointement avec leurs frères Jean Charles et Jean Geofroi les Birckicht, tous deux teinturiers, échu dans la succession de leur mère, suivant liquidation devant Me Grimmer le 12 thermidor 5 – moyennant 11 839 francs dont pour les objets mobiliers 2639 francs

Originaire d’Annweiler en Palatinat, le perruquier Louis (Louis Frédéric Charles André) Liernur épouse Marie Marguerite Birckicht en 1796
1796 (22 fructidor 4), Strasbourg 5 (7), Me Grimmer n° 331 – Enregistrement de Strasbourg, acp 42 F° 127 du 1 compl. 4
der bürger Ludwig Friedrich Carl Andreas Liernor, der Peruckenmacher, weiland des bürgers Carl Tillemann Liernor des Vogts und Amtmanns von Anweiler mit der bürgerin Louisa geb. Hopfenblatt großjähriger Sohn [unterzeichnet] Louis Liernur
Jungfrau Maria Margaretha Birckicht des bürgers Johann Friedrich Birckicht des Schwartz und schönfärbers mit der burgerin Maria Salome geb. Prosamle ehelich erzeugte tochter
(enregistrement, revenu industriel 300 livres)

Le boulanger Jean Pierre Jund épouse Anne Marie Birckicht en 1798
1798 (6 vend. 7), Strasbourg 9 (26 n.c.), Me Bossenius n° 62 – Enregistrement de Strasbourg, acp 63 F° 93-v du 12 vend. 7
(Eheberedung) sind erschienen bürger Johann Peter Jundt, hiesiger bäcker, weiland bürgers Johann Heinrich Jundt, geweßten bäckers allhier mit bürgerin Anna Maria gebohrnee Bickeron deßen nunmaliger Wittib ehelich erzeugter großjähriger Sohn alß hochzeiter an einem,
Und Jungfer Anna Maria Birckigt, bürgers Johann Friderich Brickigt, färbers allhier, mit weiland bürgerin Maria Salome gebohrner Prösamle ehelich erziehlte tochter als Braut, beiständlich sieses ihres Vaters, am andern theil- Straßburg am 12. Vendemiaire siebenden Jahrs der fränckischen ohntheilbaren Republique [unterzeichnet] Johann Peter Jundt, Anna Maria Birckicht

Anne Marie Birckicht meurt en 1814 dans la maison Derrière les murs dont elle est propriétaire partiaire en délaissant sept enfants
1814 (24.2.), Strasbourg 7 (51), Me Stoeber jeune n° 376, vacation du 10.3. (acp 124 F° 85 du 21.3.) – Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 78-v du 7.3.
Inventaire de la succession d’Anne Marie née Birckicht femme de Jean Pierre Jundt cabaretier décédée le 24 janvier dernier, ce dernier usufruitier par contrat de mariage passé devant Me Bossenius le 12 vendemiaire 7, ensemble 1) Amélie 14 ans, 2) Sophie 12 ans, 3) Geofroi Théodore 10 ans, 4) Henri Gustave 6 ans, 5) Julie 5 ans, 6) Théophile Edouard 2 ans et 7) Caroline 6 mois, en présence de Jean Charles Birckicht teinturier tuteur subrogé

dans la demeure du veuf derrière les murs n° 14
propres, garde robe 157 fr, meubles 265 fr, remploi 348 fr, remploi du au veuf 1209 fr
Partie de maison propre aux héritiers. Le quart par indivis de la moitié indivise d’une maison sise en cette ville derrière les murs n° 14 consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, écurie, jardin, appartenances et dépendances, d’un côté la
succession Weiler, d’autre le Sr Rockenbach propriétaire brasseur, derrière le Sr Maechling sur l’auberge a l’ours et sur celle au corbeau, la totalité acquise par Jean Frédéric Birckicht, teinturier, père de la défunte et Marie Salomé née Proesamlé d’Anne Marie Proesamlé veuve de Jean Nonnenmann, loueur de carosses, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770. Le susdit quart par indivis de la moitié indivise de maison échu au défunt de la succession de sa mère, suivant liquidation reçue Me Grimmer le 12 thermidor 5, en vertu du même titre un autre un 8° appartient à Jean Charles Birckicht tuteur subrogé, un 8° à Geofroi Birckicht soldat, un 8° à Marguerite Birckicht veuve de Louis Liernur coeffeur, la moitié restante acquise conjointement avec la veuve Liernur pour moitié et pour moitié par les conjoints Jundt suivant acte Me Stoeber le 3 septembre 1813
produit locatif, le rez de chaussée de la maison de devant à Charles Birckicht ce rez de chaussée est en même temps occupé par le veuf estimé 200 fr, le premier étage de la maison de devant occupé par le Sr Birckicht père susdit Sr Schultz ouvrier en tabac 154 fr, le second de la maison de devant occupé par le Sr Follherbst cordonnier, la veuve Liernur ci dessus qualifiée et le Sr Jung cordonnier pour 180 francs, le troisième de la maison de devant occupée par la femme Roser laveuse moyennant 50 fr, la maison de derrière occupée savoir le rez de chaussée par le Sr Hammer cordonnier pour 50 fr, le Sr Laederich tisserand pour 72 fr, le premier occupé par le Sr Sturm cordier, Erb cocher, Schuell menuisier pour 184 francs, total 900 fr, de revenu en capital 18 000 fr, la part 2275 fr
ensemble 3045 fr, passif du défunt 2300 fr, reste 745 fr
communauté, mobilier 325 fr, dettes actives 1390 fr, numéraire 48 fr
la moitié par indivis de la moitié indivise de la maison ci dessus désignée Me Stoeber 3.9. dernier 4500 fr, ensemble 6263 fr, passif 6366 fr et remploi 348 et 1309 fr, total des dettes 7923 fr, déficit 1660 francs

Marguerite Birckicht et les héritiers d’Anne Marie Birckicht cèdent en 1816 une partie de leur terrain à leurs voisins Jean Daniel Pfæhler et Charles Auguste Pfæhler, voir 15, rue d’Austerlitz

Jean Pierre Jundt, pour lors journalier, meurt en 1820 dans la maison Derrière les murs

1820 (20.6.), Strasbourg 7 (62), Me Stoeber jeune n° 5409 – enreg. 148 manquant F° 9 du 21.6.
Inventaire de la succession de Jean Pierre Jundt journalier décédé le 11 mars dernier, à la requête de 1. Jean Jacques Fritz, cordonnier hors la porte Dauphine canton dit Musau près la tuilerie du Rhin, comme poursuivant les droits de sa femme Amélie Jundt, 2. Jean Daniel Jundt, boulanger tuteur à (1) Sophie 18 ans, (2) Geofroi Théodore 16 ans, (3) Henri Gustave 12, (4) Julie 11 ans, (5) Théophile Edouard 8 ans, (6) Caroline 6 ans et demi conjointement avec la De Fritz héritiers de Jean Pierre Jundt procréés avec feu Anne Marie Birckicht, en présence de Jean Charles Birckicht tuteur subrogé teinturier

dans la maison mortuaire derrière les murs n° 14
meubles 240 fr
part de maison. Le 8° par indivis d’une maison, cour, petit jardin, teinturerie, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg derrière les murs près la place Dauphine marquée du n° 14, d’un côté la succession Weiler, d’autre le Sr Rockenbach propriétaire, derrière la brasserie du Sr Maechling – acquis de son beau père Jean Frédéric Birckicht, teinturier, par acte devant le soussigné le 3 septembre 1813. C’est en vertu du même acte que feu son épouse a acquis pareille quotité de ladite maison de Marguerite Birckicht veuve de Louis Liernur coëffeur, 2/8 du même immeuble. Ces parts de maison forment ensemble la moitié vendue par ledit Jean Frédéric Birckicht. L’autre moitié dépendant de la femme de ce dernier Marie Salomé Broesamlé est encore indivise entre les héritiers Jundt du chef de leur mère, ladite veuve Liernur, le susdit Charles Birckicht et Jean Geofroi Birckicht teinturier, les héritier Jund 3/8 veuve Liernur 3/8 Charles Birckicht 1/8 Geofroi 1/8. Les conjoints Birckicht ont acquis ledit immeuble d’Anne Marie Broesamlé veuve de Jean Nonnenmann loueur de carosses par acte à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770, liquidation de la succession de M. Birckicht devant Me Grimmer le 12 thermidor 5. L’autre moitié appartenant au père Birckicht a été vendue aux conjoints Jundt et à la veuve Liernur ainsi qu’il est dit ci dessus. La maison est occupée : savoir la maison de devant, au rez de chaussée par le Sr Brandner menuisier pour 100 fr, Charles Birckicht susdit pour 200 fr, au premier étage Schatz journalier pour 72 fr, Jung employé pour 72 fr, Kalbsfuss cordier pour 48 fr, le défunt pour 48 fr, au second étage Goepfer jardinier pour 100 fr, veuve Liernur pour 36 fr, au troisième étage Stahl crocheteur pour 40 fr, veuve Karcher pour 30 francs
la maison de derrière occupée par Ledrich tisserand pour 60 fr, Hammerer cordonnier pour 40 fr, Barthel palfrénier pour 40 fr, total 886 fr capitalisé au denier vingt, 17 720, francs, le huitième 2215 fr
dettes actives 700 fr, passif 2812 fr
Dépouillement garde robe 240 fr, mobilier 2215 fr, créances 700 fr, ensemble 3155 fr, passif 2812 fr, reste 343 francs

Jean Geoffroi Birckicht cède à sa sœur Marguerite la part de maison qui lui provient de sa mère

1823 (31.7.), Strasbourg 14 (76), Me Lex n° 1068 – Enregistrement de Strasbourg, acp 164 F° 49 du 6.8.
Jean Geoffroi Birckicht, débitant de tabacs, et Susanne Madeleine Heimlich
à Marie Marguerite Birckicht veuve de Louis Lierner, coeffeur
un huitième de la maison, cour, écurie, appartenances & dépendances sise en cette ville de Strasbourg derrière les murs n° 14, d’un côté le Sr Rockenbach rentier, de l’autre la veuve Weiler, devant la rue, derrière en partie le Sr Pfaehler en partie l’auberge au Corbeau & en partie auberge à l’Ours noir – échu dans la succession de sa mère Marie Salomé Braesamlé femme de Jean Frédéric Birckicht peintre – moyennant 1375 francs

Marguerite Birckicht veuve de François Lierner acquiert par licitation de ses cohéritiers les parts de la maison

1824 (26.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 168, n° 67
Par devant Louis Joseph Marchal, Chevalier de l’Ordre Royal et militaire de St Louis, Juge du Tribunal Civil de de Première Instance du Bas Rhin, commissaire en cette partie – Adjudication par voie de licitation d’une maison à Strasbourg derrière les murs de la ville près la Place Dauphine marquée n° 14 sur le Cahier des Charges
Cahier des Charges, Me Theis, avoué près le Tribunal Civil occupant pour Amélie Jundt épouse de Jean Jacques Fritz, militaire pensionné à Strasbourg, déclare que sa cliente étant propriétaire par indivis d’une maison et dépendances, elle a formé une demande en partage ou en licitation de l’immeuble dont s’agit contre Dlle Joséphine Jundt, fille majeure, 2. Jean Daniel Jundt, boulanger en qualité de tuteur nommé par la justice à Geoffroi Théodore Jundt, Pierre Gustave Jundt, Julie Jundt, Théophile Jundt, & Catherine Jundt tous lesdits Jundt en qualité d’héritiers de Pierre Jundt, journalier, et Anne Marie Birckicht sa femme leurs père et mère, 3. Marguerite Birckicht veuve de Louis Lerner, cafetier, 4. Jean Geoffroid Birckicht, teinturier, 5. Charles Birckicht, teinturier, tous copropriétaires, pour lesquels occupe M. Valentin avoué près le même Tribunal Civil – Jugement du 5 novembre dernier, expertise du 8 décembre et jugement du 31 décembre 1823
le 23 avril 1824, vendu primitivement le 9 avril à M Dietrich, avoué qui a fait déclaration de command pour Philippe Jacques Herrenberg, architecte à Strasbourg pour 12 410 francs – surenchéri de 1/10 par Marguerite Birckicht veuve de François Lierner, cafetier, assistée de Me Valentin, le 17 avril courant pour 14 500 francs
Désignation de l’immeuble, une maison située à Strasbourg derrière les murs de la ville près la Place Dauphine marquée marquée du n° 14, consistant en un bâtiment principal sur la rue, cour avec pompe, bâtiment en aile, bâtiment de fond, arrière cour avec petit bâtiment en aile d’un côté Weiler, d’autre les Sr Rockenbach et Weber, derrière Jachler et Schuster – Titre de propriété, appartenant aux licitants savoir 1. Amélie Jundt, Sophie Jundt, Geoffroi Théodore, Pierre Gustave, Julie, Théophile & Catherine les Jundt pour avoir hérité les 3/8 leur appartenant de Pierre Jundt et Anne Marie Birckicht leurs père et mère qui avait acquis 2/8 de Jean Frédéric Birckicht, teinturier, par acte Me Stoeber le 3 septembre 1813, l’autre 8è échu à Anne Marie Birckicht dans la succession de Marie Salomé Praesamlé décédée femme Birckicht sa mère, 2. Marguerite Birckicht veuve Lirner 3/8 lui appartenant pour avoir acquis 2/8 de Jean Frédéric Birckicht devant Me Stoeber par acte dont il vient d’être fait mention et héritière pour 1/8 de Marie Salomé Prasamlé sa mère, la veuve Lierner a acquis 1/8 de Jean Geoffroid Birckicht par acte Me Lex le 31 juillet 1823, d’où il résulte que la veuve Lierner est propriétaire pour moitié, 3. Jean Geoffroi Birckicht et Charles Birckicht chacun pour 1/8 héritier dans la succession de la même Marie Salomé Prasamlé décédée femme de Jean Frédéric Birckicht teinturier – mise à prix 9500 fr, fait le 22 janvier 1824

Marguerite Birckicht accorde en 1835 une servitude à son voisin Jean Daniel Pfæhler

Marie Marguerite Birckicht meurt en 1843 dans la maison qu’elle a acquise rue du Renard Prêchant
1843 (6.5.), Strasbourg 10 (101), Me Zimmer n° 4765
Inventaire de la succession de Mme Marie Marguerite Birckigt décédée à Strasbourg le 10 avril 1843 veuve de M. Louis Liernur en son vivant coeffeur – à la requête de Mr Aimé Pierre Lefèvre, conducteur d’omnibus demeurant à Strasbourg, agissant comme père et tuteur légal de sa fille mineure Dlle Madeleine Amélie Lefèvre, née à Strasbourg le 6 avril 1832, 2. comme usufruitier légal des biens de son enfant jusqu’à sa 18° année ou son émncipation. En présence de M. Jean Geoffroi Birckigt propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur de ladite mineure Lefèvre, (…) habile à se porter seule et unique héritière de Mme Marguerite Birckigt décédée veuve de M Louis Liernut en son vivant coeffeur par représentation de sa mère Mme Amélie Liernur décédée épouse dudi St Lefèvre, et fille unique de ladite De veuve Liernur
en la maison mortuaire sise en cette ville rue du renard prechant N° 2
Immeuble. Une maison avec petite cour, maison de derrière sise à Strasbourg rue du renard prechant N° 2 (…)
Total de la masse 6299 francs – Passif 3896 francs, reste un reliquat actif de 2413 francs

Marie Marguerite Birkicht veuve de Louis Liernur vend la maison au mégissier Charles Guillaume Kœnig et à sa femme Joséphine Simon

1839 (9.2.), Strasbourg 2 (82), Me Tinchant n° 980 – Enregistrement de Strasbourg, acp 266 F° 5 du 12.2.
Marie Marguerite Birkicht veuve de Louis Lierner, coiffeur
à Charles Guillaume Koenig, mégissier, et Joséphine Simon
une maison avec cour, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite derrière les murs près la Place des Orphelins marquée du n° 14, d’un côté le Sr Rockenbach rentier, de l’autre la veuve Weiler, devant la rue derrière en partie Sr Pfaehler en partie hôtel au Corbeau en partie hôtel à l’Ours Noir – sont compris 14 fourneaux dont onze en fonte et trois en fayence ainsi qu’autres outils et ustensiles dépendant du métier de teinturier et qui se trouvent dans la maison sus désignée
Origine de la propriété, Jean Frédéric Birkicht, teinturier, et Marie Salomé Bresamlé ont acquis ledit immeuble sur Jean Nonnenmann, loueur de carosse, par acte à la ci devant Chambre des Contrats le 1 mars 1770, par Liquidation et partage après le décès de la De Birkicht devant Me Grimmer le 12 thermidor 5, la moitié de l’immeuble avenu De Lierner à la De Anne Marie Bierkicht épouse de Pierre Jundt, aubergiste et Sr Jean Charles et Jean Geoffroi Birkicht tous pour 1/8, par acte reçu Me Stoeber le 3 septembre 1813 Jean Frédéric Birkicht a vendu la moitié à lui appartenante 1 aux susdits conjoints Jundt, 2 De Lierner, par acte devant Me Lex Jean Geoffroi et De Susanne Madeleine Heimlich ont vendu à la De Lierner le huitième

Charles Guillaume Kœnig épouse Marie Joseph Simon en 1814
1814 (31.12.), Strasbourg 6 (41), Me Meyer n° 948 – enreg. manquant F° 184 du 5.1.
Contrat de mariage – Charles Guillaume Koenig, tanneur fils majeur de Charles Jean Koenig, sellier, et de défunte Madeleine Christ
Marie Joseph Simon, fille majeure de François Xavier Simon, employé dans les domaines, et de Marie Anne née Lottringer
apports de la future épouse 657 francs

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Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.