30, rue de la Soupe-à-l’Eau


Rue de la Soupe-à-l’Eau n° 30 – II 248 (Blondel), N 388 – Nouveaux bâtiments, section 80 parcelle 141 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Adam Karch, 1786, démolie vers 1840
Le sol du 30, rue de la Soupe-à-l’Eau correspond approximativement à l’actuel 26, rue du Fossé-des-Treize
Bâtiments n° 20 à 28, maître d’ouvrage, Habitations populaires (1894) – Architectes, Jules Berninger et Gustave Krafft


Le n° 26 est le bâtiment blanc, suivi du n° 28 (septembre 2015)

Georges von Marlen passe en 1630 un marché de 140 livres avec les frères Louis et Léonard Metzger, marchands de bois, pour construire au Roseneck une nouvelle maison en galandure à deux niveaux de 46 pieds de long sur 12 de large, comprenant au rez-de-chaussée un poêle, une chambre adjacente et un vestibule, à l’étage une chambre, un poêle et un vestibule, puis un grenier couvert de tuiles creuses. Les entrepreneurs deviennent propriétaires de la maison que l’héritière leur cède en paiement. Léonard Metzger propose en 1640 des mesures pour éviter que les maisons adossées au rempart ne soient endommagées par fortes pluies. Les deux moitiés indivises de la maison à demi-toit sont réunies en 1693 par le barbier Jean Adam Knaus qui cède le tout à la Ville en 1705.
Le compagnon maçon Adam Karch devient en 1782 locataire de la maison qu’il achète pour 200 florins en 1786 à l’époque où le voisin a l’intention de reconstruire la sienne. Le nouveau propriétaire est autorisé la même année à construire une nouvelle façade. Les préposés du Vingtième visitent en 1787 la maison à rez-de-chaussée et deux étages qu’a fait reconstruire Adam Karch et l’estiment à un revenu de 30 florins, soit une valeur de 600 florins.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 1 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (b), la seule de l’alignement à avoir deux étages : deux portes suivies de deux fenêtres, trois fenêtres à chacun des deux étages, comme le signale la vente passée en 1812. Le Domaine de l’Etat acquiert la maison qui porte le n° 30 comme les autres du même côté de la rue en 1840 pour réunir le terrain à la caserne de la Finkmatt.


Elévations des n° 20 (E, à droite) à 28 (I, à gauche) lors de la construction en 1894
Plan de situation – Plan du rez-de-chaussée (dossier de la Police du Bâtiment)

Après que la caserne de la Finckmatt est supprimée, la société des Habitations populaires (Volkswohnungen) acquiert plusieurs terrains qui correspondent aux numéros 20 à 28 de la rue du Fossé des Treize. Les architectes Jules Berninger et Gustave Krafft bâtissent en 1894 des maisons à rez-de-chaussée et trois étages sur le modèle de celles construites rue Fritz. Les différents bâtiments forment un tout sans être séparés par des murs pignon. L’épaisseur des murs de séparation est inférieure aux 0,36 mètres réglementaires pour faire des économies d’argent et de place.
L’architecte Jules Berninger ajoute en 1923 un quatrième étage pour le compte du même propriétaire.

août 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1614 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h), par attribution (att) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Georges von Marlen. journalier, et (1627) Barbe Grien – luthériens
1635 att Léonard Metzger, marchand de bois, et (1634) Marthe Fettich, veuve de Frédéric Schütterlin
Jean Louis Metzger, marchand de bois, et (1610) Susanne Scheid – luthériens
h Marie Dorothée Metzger et Jean Werbeck, barbier
Susanne Metzger et (1685) André Brackenhoffer – luthériens
1693 h Jean Georges Knaus, barbier, et (1685) Marie Dorothée Metzger veuve de Jean Werbeck, barbier – catholique et luthérienne convertie
1705 v Ville de Strasbourg
1786 v Adam Karch, garçon maçon, et (1769) Elisabeth Iger – catholiques
1795 v Georges Walter, fabricant d’amadou, (1785) Anne Marie Schlagdenhauffen puis (1794) Marie Elisabeth Pauli – luthériens
1806 adj Œuvre Notre Dame
1808 v Christophe Louis Daudet, receveur, célibataire († 1815)
1812 v Marie Madeleine Hürstel épouse (1792) de Joseph Lancel, faiseur de chaises
1819* h Marie Madeleine Lancel épouse (1819) de Joseph (Casimir) Wetzel, maçon, puis (1842) de Joseph Stupffler, journalier
1840 v Domaine de l’Etat

26, rue du Fossé-des-Treize

1894* v Habitations Populaires, société d’utilité publique à responsabilité limitée

(1765, Liste Blondel) II 248, à la Ville
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) à la Ville, 2 toises, 3 pieds et 1 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 388, Wetzel, Martin Joseph – maison, sol – 0,44 are (puis) Etat

Locations

1772, Adam Karch, ensuite propriétaire
1779, François Utt, contremaître au chantier des Maçons

Livres des communaux

1652, Livre des loyers communaux VII 1461 (1652-1672) f° 198-v
La maison au Fossé des Treize est inscrite pour un loyer communal d’une livre au nom de Jean Georges et Léonard Metzger puis de Jean Georges Metzger et Jean Wehrbeck

Hanß Görg undt lienhardt Metzger, Sollen gemeiner Statt vom Holtzplatz im Kageneckerbruch, Jahrs Johis. Baptistæ, 6 lb d
Alt. d. f. 224
(…) Jetzt Johann Wehrbeck und hanß Georg Metzg. NB
Idem Vom Hauß ahm alten XIII.en graben, Jahrs vf Bartholomæi 1 lb d
Man. fol. 85

Jetzt Johann Wehrbeck und hanß Georg Metzger NB
Idem bodenzinß von häußern ahm alten XIII.en graben, Jahrs vf Math: Apostol. 1 lb d
Man. fol. 104
Nota Hanß Görg Metzger Soll pro Ao. 1651 et 1653 daß halbe Zahlen H. Lienhard Metzger Zahlt p. Pfenningth. den 9. May 1653 seinen halben theil p. Ais. 1649. 1650. 1651. 1652
1653 wegen hanß Görg Metzgers empfangen
1656 von hanß Görg Metzgern empf.
1656 von H. hanß Heinrich Metzgern empf.
1658 weg. hanß Görg Metzgers von vier posten biß 57 empf.
1659 von H. hanß Heinrich Metzgern empfangen
1658 weg. Johann Wehrbeck von den 3 letzten posten für 57. et 58 d. thuen empf.
(…), 1670

1673, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 335
Report du loyer dû par Jean Werbeck dans le registre suivant

Maria Dorothea Metzgerin, Johann Georg Knaußen geschiedene haußfr. Soll beneben hern Hannß Georg Metzgern vom Hauß am alten dreÿzehen graben vf Bartholomæi ane 1 lb d die helffte, 1 lb 10 ß
Ferners beneben jhme herrn Metzgeren von häußern vf ermeltem dreÿzehen Graben vf Matthiæ ane 1 lb 10 ß die helffte 15 ß
Ext. 1701. vide pag: 337
Jetzt Peter Urbanus Ronder 1 lb, frau Maria Dorothea Werckmeisterin geb. Wehrbeckin 15 ß
(Quittungen 1701-1741) 1733 Ronder, Werckmeisterin
Neuzb fol 92-b und 104-b

1673, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 336
Nouvelle page du même registre au nom de Jean Georges Knaus. Une fois qu’il a vendu la maison à la Ville, les locataires figurent dans le registre

Johann Georg Knauß, Soll vom Hauß am alten XIII.r Graben daran fol: pced. Seine geschiedene hfr. die helffte hat, jahrs vf Bartholomæi, 10 ß (s. fol: 335)
Ferner von einem platz darneben zu einem Gärtlein vff Bartholomæi und A° 1694. i.mo, 1 lb 10 ß
Weiter von einem platz grund in dem Alten XIII. graben den Er zu einem garthen gemacht, vf Bartholomæi, und A° 1695. i.mo l. Prot: de a° 1694. pag: 70, 3 lb
Ferner von der pag. pced: stehenden behauß. daran Seine geschiedene hfr. die helffte hat, so Er wie fol: 390 zuseh. von Johann Georg Nageln erkaufft, auf Matthiæ, 15 ß

1701 zalt Anna Maria Müllerin à conto – Zahlt Mechtilda Sÿfertin à conto
1702 Zahlt Friderich Rittel à conto – Zahlt Anna Maria Kiehlinn à conto – Zahlt deß. hfr.
1703 Zahlt h. Peter Müller à conto – Zahlt Knauß p.a. M. Kiehlin à conto
1704 Zalt Knauß p. h. Peter Müllern – Zalt Er p. Claude Buricard hfr. à conto – Zahlt Peter Müllern à conto
1705
P. N. Weilen hievor stehende behaußung den 12. Junÿ 1705. Von herrn Johann Georg Knaußen laut contract v.schreib. de dicta die an Gemeine Statt Verkaufft, das Allmend gärtlein Vormahls 1 lb 10 ß Zinnß getragen, gleichfalls Gemeine Statt wider überlaßen und der große platz allmend Grund in dem alten XIII. Graben im abgang zubringen Erkand worden, alß ist obged. Häußl. sampt dem zu end der Gaßen gelegenen und (-) quadrat Schuh Groß befundenen Gärtlein ane Johann Peter Müllern, dem handlanger, auf der Statt Maurhoff Verlühen worden, also daß Er biß Joh: Baptæ vnd A° 1706. davon Zum ersten mahl zu Zinnß reichen soll 10 ß
Joh: Peter Müller
jetzt Joh: Jacob Osterriets Wittib A° 1722. auf Joh: Baptæ I.mo 10 ß
Jetzt Jacob Thomann der Zimmermann vf Michaelis 1735. à 10 ß
[in margine dextera :] Weilen Joh: Peter Müller nur die helffte dieser Wonung ine hatt, also solle Er künfftig hin vf J.B. 1718. i.mo 5 lb bezahlen
(Quittungen 1706-1741)
Neuzb fol 104

1741, Livre des loyers communaux VII 1470 (1741-1802) f° 104
Adam Karch est locataire en 1773. François Utt occupe en 1779 la maison qu’achète ensuite Adam Karch

alzb. 336
Jacob Thoman der Zimmermann soll von Hauß und Gärtlein am Alten XIII. Graben gelegen auf Michaelis (Joh: Baptæ Ann: Mar:) 6 lb (moderirt l. Prot. 1747 fol. 169 à 10 ß)
am alten XIII. Graben
(Quittungen 1741-1771, 1772 Häußler, 1773 Agatha Meÿerin) Weÿhn. 1773 von dieser Zeit an steht das Häusel leer
dt. durch Nachlaß laut Erk. de 24. Jan. 1776, 3 lb
Laut Prot. de 23. febr. 1779. fol: 219.b bewohnt obiges Häußlein Frantz Utt der balier des Maurhoffs gratis seit A. M. 1779 jedoch ohne Consequenz, dieser ist nicht mehr auf dem Maurhoff
Frantz Utt, der Maurer Gesell soll von obigem Häusel Jahrs auf Michaelis und A° 1780. 1.mo laut Prot. de 1779. fol. 320.b, 6 lb ([in margine :] id est 29. sept.)
von Mich. bis Weihn. 1781 leer gestand.
dt: Karch d. 2. Jan 1783 (Quittungen 1783-1786)

Adam Karch, solle am Kauffschilling Rest obiger behausung laut Erk. Gn. Hh. der 3. geheimen Stuben vom 15. Maji 1786. und Confirmation Gn. Hh. Räth und XXI. vom 17. Junii d. Ai. und Verschreibung in löbl. C. C. Stb. vom 22. Ejusd. Ane 500 Pfund pfenning nach Abzug bezalter 25. pfund d. 73. lb, so Jährlich auf Johannis Baptistæ und A° 1787. erstmals mit 4. p. C° verzinßlich
[in fine :] transportirt ins Tempr. Zßb. fol. 262.b

[in margine :] Caspar Hermann Von Ann: M. 1748. vid. Prot. 1748. fol: 46., jetzt Jacob Ling
Johannes Roßenstiels Wittib Prot. 1749. fol. 107. et 1750. fol. 9. a 6 lb d
Johannes Bitzberger jetz Johann Niclaus Hännßler Pr. 1762. f. 42.b
modo Fr. Agatha Meÿerin auf Michaelis 1773. I.mo 6 lb
modo Adam Karch laut Prot. de 1773. 24. Januar. a° 1776. I.mo fol. 143. geräumt auf A. M. 1779
modo Adam Karch, obged. auf Weihn. 1781. eingezog. also auf Weihnachten 1782. I.mo

Préposés aux affaires foncières (Bauherren) et Vingtième

1705, Préposés aux affaires foncières (VII 1381)
Les préposés visitent la maison que la Ville a acquise de Jean Georges Knaus

(f° 176-v) Mittwochs den 8. Julÿ 1705 – Johann Georg Knauß
darauff die Von Herrn Johann Georg Knaußen, dem Barbierer erhandelte und am 11. Maÿ jüngst in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stuben Verschriebene am alten dreÿzehen Graben gelegene behausung besichtiget

1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Adam Karch demande l’autorisation de construire une nouvelle façade

(f° 157) Dienstags den 26. Septembris 1786. – Adam Karcher Maurer Gesell
Mr Lint, der Zimmermann, noê Adam Karch, des Maurer Gesellen, bittet zu erlauben an seiner behausung in der Wassersupp Gaß gelegen N° 30 eine neue façade machen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

1787, Vingtième (AMS cote V 61, 4)
Les préposés du Vingtième visitent la maison qu’Adam Karch vient de reconstruire

(2 C 403, p. 207) Vérification du 22. Mai 1787.
Adam Karch, Garçon Maçon a acquis de la Ville par Contrat du 22 Juin 1786 une Maison sise rue de la Soupe à l’Eau N° 30 pour une somme de 400. livres.
Le propriétaire actuel a reconstruit cette maison. Elle est composée
Au rez de chaussée d’un poêle avec Alcove, foyer et petite Cave
Au 1.er Et. d’un poêle avec alcove et foyer
Au 2° Et. d’une Chambre & Grenier.
Le tout occupé jusqu’à présent par le Propriétaire et estimé à peu près à un loyer de 60 livres
dont il faut déduire le 12° pour les Réparations annuelles, ci 5, Reste un Produit 55 livres
Dont le premier Vingtieme est 2 livres 15 s Et la taxe de 1787 en resultant monte à 5 livres 10 s
Vû par Nous les Commissaires de l’Imposition des Vingtièmes la présente Vérification (…) Arrêté à Strasbourg à la Ch. des Vingtiemes le 30 Mai 1787.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue de la Soupe à l’Eau

nouveau N° / ancien N° : 64 / 30
Walter
Rez de chaussée et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Parcelle supprimée avant l’ouverture des registres cadastraux

Cadastre allemand, registre 33 p. 773 case 2

Parcelle, section 80, n° 141 – autrefois C 710.p
Canton : Dreizehnergraben Hs n° 26
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,86
Revenu : 1400 – 1500
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1924), compte 74
Volkswohnungen G. m. b. H.
1927 Habitations populaires s.a.r.l.
1944 Volkswohnungen Gemeinnütziger G. m. b. H.
(211) corrigé en (233)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1924), compte 4654
Habitations Populaires, société d’utilité publique à responsabilité limitée
1944 Volkswohnungen Gemeinnütziger G.m.b.H.
gelöscht 1944

(Propriétaire à partir de l’exercice 1944), compte 74
supra

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 47 de la Soupe à Leau p. 87

30
lo. Kochin, Elisabeth, Veuve – Maçons
lo. Willig, Joseph, cordonnier du Rgt d’Alsace

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Dreizehnergraben (Seite 26)

(Haus Nr.) 22
Pick, Einkassierer. 0
Zoerb, Wwe. 0
Deubel, Schriftsetzer. 1
Heimlich, Gasmesserkontrolör. 1
Herrmanns, Schlosser. 2
Kammeer, Bureaudiener. 2
Reeb, Oktroibeamter. 3
Weber, Packer. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 816 W 22)

Rue du Fossé des Treize 20 à 28 (1894-1992)

Les architectes Berninger et Krafft bâtissent en 1894 des maisons à rez-de-chaussée et trois étages pour les Habitations populaires (Volkswohnungen) sur le modèle de celles construites rue Fritz. Les différents bâtiments forment un tout sans être séparés par des murs pignon. L’épaisseur des murs de séparation est inférieure aux 0,36 mètres réglementaires pour faire des économies d’argent et de place.
L’architecte Berninger ajoute un quatrième étage pour le compte du même propriétaire en 1923.

Sommaire
  • 1894 (juin) – Les architectes Berninger et Krafft (4, Faubourg de Pierre) demandent l’autorisation de bâtir des maisons pour les Habitations populaires (Volkswohnungen) sur le modèle de celles construites rue Fritz.
    La Police du Bâtiment fait remarquer que le Fossé des Treize n’est pas pourvu d’égout. Les eaux usées devront s’écouler par la rue des Moineaux (rue Gloxin) ou le boulevard de Pierre si aucun puisard n’est prévu.
    Les architectes répondent aux précisions que leur demande la Police du Bâtiment, Les différents bâtiments forment un tout sans être séparés par des murs pignon. Les architectes demandent que l’épaisseur des murs de séparation soit inférieure aux 0,36 mètres réglementaires pour faire des économies d’argent et de place. Les bâtiments auront un sous-sol, un rez-de-chaussée et trois étages. Les murs du sous-sol seront en pierres de taille, les autres murs en briques et les cloisons en tuf. Le comble en bois sera couvert de tuiles à double encoche, les escaliers seront en ciment.
    1894 (juillet) – La Société des habitations populaires (architectes Berninger et Krafft) est autorisée à construire sur son terrain au Fossé des Treize une maison d’habitation figurée par les lettres E à I sur le plan. Dessins
    Suivi des travaux. Pas de travaux, juillet 1894. Le terrassement a commencé (juillet), Les murs du sous-sol sont en cours (août), le premier étage (septembre), le deuxième étage (octobre), les murs en sont au niveau du toit (décembre). Les travaux sont interrompus (janvier 1895) – Les plâtriers travaillent, mai
    Lors de la réception du gros œuvre en février 1895, la Police du Bâtiment remarque que la corniche principale en bois à l’arrière du bâtiment n’est pas fixée à une saillie maçonnée comme le stipule le règlement. Les architectes font remarquer que la corniche est séparée par le mur coupe-feu, seul le chenal est continu. La Police du Bâtiment présente un croquis selon lequel la corniche est interrompue entre les deux premiers bâtiments (21 mètres) et les trois autres (34 mètres). Comme le bâtiment entier forme une seule propriété la Police du Bâtiment ne demande pas de changement et classe le dossier (novembre 1895).
  • 1895 (juin) – Le directeur de l’usine à gaz demande que E. Frick (Habitations populaires) soit autorisé à faire une prise – Autorisation
  • 1907 – Le peintre en bâtiment Arbogast et Werner (12, quai Saint-Nicolas) demande l’autorisation de poser un échafaudage de 15 mètres de long au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation
  • 1907 – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler (5-7, rue du Soleil) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les n° 24 et 26 au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation.
  • 20, rue du Fossé des Treize
    1916 – Commission des logements militaires. Gouttière à réparer à l’arrière du bâtiment. Striegel fait les réparations
  • 24, rue du Fossé des Treize
    1901 – L’entrepreneur E. Wieger demande l’autorisation d’occuper la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire. – Autorisation
    1907 – Commission contre les logements insalubres – Rien à signaler
    1909. Habitations populaires, Richert. Remarques en deux points
  • 26, rue du Fossé des Treize
    1899 – Louis Betz demande l’autorisation de poser une enseigne au n° 26 – Autorisation. L’enseigne est posée, février
    1916 – Commission des logements militaires, Société des Habitations populaires. Rien à signaler
  • 28, rue du Fossé des Treize
    1899 – Le maire notifie Herrmann Gœhrs (demeurant 4 Faubourg de Pierre) de faire ravaler la façade du 28, rue du Fossé des Treize – Travaux terminés, novembre 1899
    1916 – Commission des logements militaires, Société des Habitations populaires. Rien à signaler
  • 1922 – La Société des Habitations populaires demande l’autorisation de surélever les n° 20 à 28 d’un quatrième étage. J. Berninger transmet les plans – Autorisation. – Dessins – L’Etat accorde un prêt de 106.000 francs. La société Entreprise de constructions Th. et Ed. Wagner a presque terminé les travaux, mai 1923.
    1923 (juin) – Réception du gros œuvre
    1923 (août) – Les plâtriers ont terminé leur travail, les derniers travaux intérieurs sont en cours
    1923 (novembre) – Réception finale. Les logements sont occupés. Les travaux reviennent à 177.000 francs
  • 1932 – Albert Kirchheim (28, rue du Fossé des Treize) demande l’autorisation de poser une antenne de T.S.F. jusqu’au 8, boulevard Clemenceau – Accord
  • 1959 – La Société des Habitations populaires (7, rue de la Division Leclerc) est autorisée à occuper la voie publique devant le 20, rue du Fossé des Treize pour crépir la façade
    Idem devant les 22 et 24, rue du Fossé des Treize
    Idem devant les 26 et 28, rue du Fossé des Treize
  • 1978 – Rapport d’intervention des pompiers au 22, rue du Fossé des Treize. Le conduit de fumée est obstrué entre le rez-de-chaussée et l’étage
    Le maire écrit à l’association Habitat populaire qui répond qu’elle n’est pas propriétaire de l’immeuble
    Nouvelle lettre à la Société Les habitations populaires (rue de la Mésange) qui écrit à l’entreprise de ramonage Rollhaus (13, rue de l’Abattoir)
  • 1989 – Le notaire Martin Diener demande des renseignements d’urbanisme. Propriétaire Les habitations populaires, Section 80 parcelles 138 à 142 et 134 – Plan cadastral de situation
  • 1992 – La société Jaly (gestion immobilière) déclare que les pompiers sont intervenus à cause de fumée dans la cage d’escalier.
    Le ramoneur Rollhaus constate que la cheminée est obstruée mais ne parvient pas à la déboucher. Il conseille au propriétaire de faire ouvrir la cheminée à l’endroit obstrué. La cheminée n’est plus utilisée.

Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1620 au journalier Georges von Marlen. Fils du jardinier Marc von Marlen, il épouse en 1627 Barbe, fille du journalier Jean Jacques Grien

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 66)
1627. Ead. [Dom. LXX. 1. Jan:] Jerg Von Marlen der taglöhner, Marx von Marlen geweßenen gartners V Burgers hinderlaßener Sohn, vnnd Fr. Barbara Hannß Jacob Grienen deß tagners eheliche tochter (i. 35)

Georges von Marlen passe un marché avec les frères marchands de bois Louis et Léonard Metzger pour construire une nouvelle maison à deux niveaux qui devra avoir 46 pieds de long sur 12 de large. La cave aura 16 pieds, le rez-de-chaussée comprendra un poêle, une chambre adjacente et un vestibule, l’étage une chambre, un poêle et un vestibule, par-dessus un grenier et un toit couvert de tuiles creuses. Les murs seront en torchis, le poêle du rez-de-chaussée lambrissé, les portes et les fenêtres pourvis de menuiseries. La maison sera édifiée pour le prix de 140 livres rue des Roses (Roseneck) entre le paveur Arbogast Schmid et le salpêtrier Jacques Roth.
La mention marginale porte que la sœur du maître d’ouvrage Marguerite, femme du soldat à la porte de Pierre Jean Schlechter, a hérité de la maison qu’elle cède aux constructeurs pour se libérer du capital et des intérets en décembre 1635.

1630 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 525
Erschienen Georg von Marleÿ der taglöhner in Steinstraß, vnd burger alhie an j.
So dann Ludwig vnd Lienhard die Metzger gebrüedere, beede holtzhändler auch burgere alhie am 2. theil, Zeigten An,
daß die beede parten sich mit einander eines hauß gebäws also und dergestalt v.glich. daß die die beede metzigere ihme Marleÿ Ein hauß in der Länge 46. in der breite 12. werckh schuh, Zimern Zulaßen, vnder solch hauß einen Keller 16. schuh lang, daß hauß von zweÿen stöcken, vnden ein stub vnd Cammer daran Ein hauß öhr vnd Stall daran, im obern stock Ein Cammer, vnd daß vberig theil Zur stuben gericht, dabeÿ ein haußöhr, darüber ein freÿe Bühn, machen, die Wand mit leimen Kleiben, daß tach mit hohltach decken, die Vnder Stuben von schreiner täfflen, deß gleichen die thür vnd läden auch mit schreiner arbeit Zurichten laßen soll, vnd solch hauß in die Rosengassen an der Steinstraßen neben Arbogast Schmid dem Pflasterer & neben Jacob Rohten Salpeterhüten setzen vnd vffrichten laßen sollen, Für Welches alles Er Marleÿ ihnen den H Metzgern 140 Pfund d. daran innerhalb Michaelis negstkommend XV. lb d. nachgehends alle Jahr vff Michaelis xxv. lb sampt dem Zinß von nechstkommend Michaelis tag anzurechnen Zuerstaten schuldig, darfür dieses hauß vnd.pfand sein soll.
[in margine :] Erschienen hanß Schlechter, Soldat am Steinstraßer thor alhie, vnd Margreth sein haußfrauw haben in gegensein herrn Lienhard Metzgers deß holtzhändlers alhier bekant, demnach Sie Margreth diße hieuor specificirte behaußung von auch obgenantem Geörg Marleÿ als ihrem bruder seel. erblich im looß bekommen vnd aber sie beede Ehegemecht solche Zubehaupten nit getrawen, daß Sie solche ihme Metzger et consorten für daß Jenig, so sie noch an hauptgut vnd Zinß, darauf zuerforderen haben, hiemit lediglichen cedirt abgetreten vnd vberlaßen – Act. den 11. Decembris 1635.

Le marchand de bois Jean Louis Metzger épouse en 1610 Susanne Scheid, fille de menuisier

Léonard Metzger demande aux Quinze que la succession du premier mari de sa fiancée soit réglée avant le mariage

1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Lienhard Metzger umb permision hochzeit Zu halten. 241. 246.
Friderich Schötterlins Inventations geschäfft. 242.
(f° 241-v) Sambstag den 29. Novembr. – Lienhard Metzger, sagt p. M Eggen, habe sich mit Friedrich Schötterlins nachgelaßener wittiben verlobt, vnnd weilen Er seines Inventarÿ halb den stall befridigt, vff Schötterlischer seiten aber, weilen sich allerhand differentzien ereuget, die sach vnerörtert verplieben, alß erbiete er sich innerhalb 2 tagen vnnd also noch vor der hochzeit /:iedoch sonsten der Schötterlischen streittigkeiten ane sich selbst Ihme ohnnachtheilig:/ den stall auch selbigen seiten Zu befridigen, bitt der proclamation Ihren fortgang Zu laßen & herr Wencker alß vogt frider: Schötterlins see: kind. sagt, dieweilen meiner herren Ordnung in befriedigung des Stalls in genügen geschehen, und durch dieß mitel Zahlt werden, was sonsten noch lang anstehen möchte, alß bete er auch für sich persohn dem supplicanten Zu willfahren, das Inventarium (…)

(f° 246-v) Sambstag den 9. Decembris – Lienhard Metzger der holtzhändler
H. Frantz referirt, Lienhard Metzger der holtzhändler, hätte vermög Erkandtnuß vom 29. 9.bris jüngsthin heutigen morgen Ein stall Zedul Zur Cancelleÿ eingelüfert, damit beschienen das Er die vff Friedrich Schötterlins seiten verfallene Stallgelter, nemlich p Anno 1630. 31. 32. 33. et 34. vnnd also zusammen 57. lb. entrichtet habe, wordurch obangezogener Erkandtnuß ein genüg. beschehen.

Marthe Fettich épouse en 1623 Frédéric Schütterlin, fils de l’assesseur des Treize Jean Jacques Schütterlin, puis en 1634 le marchand de bois Léonard Metzger
Mariage, cathédrale (luth. p. 148)
1623. H. Friderich Schötterlin, H. Hans Jacob Schötterlins alt. XXI. sohn und J. Martha Augusti Fettichs e. tochter, Eingesegnet in der Ruprechtsaw Zinstag den 6 Maÿ (i 79)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 160-v)
1634. Eodem [Dom: j. Adventus 30. 9.bris] Hr Leonhard Metzger d. holtzhändler v. burg. alhie v.Fr. Martha, Fr. Friderich Schütterlin, holtzhändlers s v. burgers alhie Nachgelaßene witwe. Eingesegnet word. in d. Ruprechtsau Montag d. 8. 10.bris (i 167)

Léonard Metzger entre au Petit Sénat en 1638 et devient chef des travaux à la cour Saint-Luc en 1641 pour remplacer Jean Erard Mercklin
1638 Conseillers et XXI (1 R 121)
(f° 53) Sambstags den 12. Maÿ – H. Leonhard Metzger schwört auff die Kl: Raths ordnung
1641 Conseillers et XXI (1 R 125)
Lohner dienst. 152. bis. Lienhardt Metziger würdt erwöhlt. Ibidem.
1642 Conseillers et XXI (1 R 125)
Leonhardt Metziger. 18.
1642 VII 1348 Bauherren
H Lienhart Metzger zu einem Lohner am Luxhoff ane hannß Erhard Mercklins statt 83, 88

La moitié de maison revient à sa fille Marie Dorothée Metzger qui épouse le barbier Jean Werbeck.
Un litige entre elle et le menuisier Jean Kleiber est réglé par le Conseil des Charpentiers. Chacun devra remettre à l’autre la facture de son travail, le menuisier devra en outre honorer sa commande. Marie Dorothée Metzger paie un reliquat d’une livre lors du règlement final.

1682, Charpentiers (XI 30)
(f° 10) Dinstags den 6.ten Julÿ 1682 – Frau Maria Dorothea Werbeckin weÿl. Johann Wehrbecks des barbierers wittib erscheint contra Johann Kleÿber den Schreiner, klagt Es habe ihr Mann seel. demselben ein tischfuß, ein bettladt zu verändern vnd ein gieß vaßbrett Anno 1670. Zumachen verdingt, könne aber biß dato die arbeit nicht erhalten, habe vielmahl einen Zedul begehrt aber keinen haben können, habe 3 fl in geltt, vnd ein Mußquet pro 9 fl ane Zahlung gegeben, bette vmb hülff.
Ille er habe beÿ Klägerin vielmahl gleichmäßig einen Zedul gesucht, was er ihro vor barbierlohn schuldig vnd sich erbotten, auch ein Zedul Zumachen were vnnöthig daß sie die Klag beÿ E. E. Gericht führete.
Erkandt, soll beklagter die Arbeit innerhalb vier wochen vollendts verfertigen, vnd bedertheil ihr Zedul verfertigen, vnd herrn Zunfftmeister einliefern, da dann ferner ergehen soll was recht ist.

(f° 15) Montags den 15. Ejusdem 1682 – Erschienen Herrn Johann Wehrbeck des barbierers seel. hinterlaßene Wittib, mit assistentz herrn hanß Wilhelm Weißen, des Goldtschmidts ihres Curatoris, contra Johann Klaÿbern den Schreiner, wegen ihrer gegen einander habenden anforderungen wie den 6.ten Julÿ Jüngsthien beÿ diesem löbl. Gericht Erkandt worden, worauff sie sich endtlich durch Interposition dieses Ehrsamen Gerichts dahien verglichen, daß Wehrbeckin Klägern noch 1 lb herauß geben und demselben solches gleich liefern und beede theil damit entschieden sein sollen.

La maison figure pour moitié à l’inventaire dressé en 1683 après la mort du marchand de bois Jean Georges Metzger. L’acte d’achat cité est le titre de 1630 ci-dessus. La moitié de maison en assez mauvais état (Zimlich schlecht) revient lors du partage joint à l’inventaire à sa fille Susanne qui épousera André Brackenhoffer en 1685. La cession indique que l’autre moitié appartient à Dorothée Werbeck née Metzger

Jungfrawen Susannæ Mitt den Buchstaben F. (…)
Item die helffte ahne einer unvertheilten behaußung in der Statt Straßburg Vorstatt ahne Stein Straßen in der Rooßen Gaßen hinder der Mauren am XIII. Graben gelegen, einseit neben Michel Josten, burgern von dorlißh. 2.s. neben Georg Graßmann dem Pflästerer, hinden vff die Altte Statt Mauwer stoßend, so über j lb jährlichen Allmend Geltts so der Statt Straßburg vff Bartholomæi gereicht wird, sonst ledig vnd eigen, vmb 12. lb 10 ß s. [in margine :] Die übrige helffte Ist fr. Dorotheæ Wehrbeckin gebohrner Metzgerin Wittib zugehörig. Vermög Extract Cancelleÿ Contract Stub d. 13. Julÿ A° 1630. sub N° 47. notirt

Jean Werbeck meurt en mai 1682. Sa veuve se convertit pour épouser Jean Georges Knaus, catholique originaire d’Illfurth en Sundgau, fils du maître d’école et organiste à Saint-Hippolyte, qui devient bourgeois l’année suivante en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne.
Sépulture, Saint–Thomas (luth. p. 786)
1682 – H. Johann Werbeck barbier v. Wundtartzt von 50 Jahr starb donnerstag d 21 Maÿ Horâ 5 matutina vnd war begrab. d 23 Zu St. Helenæ (i 343)

Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire ci-dessous
Eheberedungs Copia – zwischen dem Ehrengeachten vnd Kunstreichen Herrn Johann Georg Knaußen, barbierer gesellen von Jeforth beÿ Mühlhaußen, weÿl. deß Ehrenvest vnd wohlgelehrten Herrn, Hannß Georg Knaußen, geweßenen Organisten vnd Schuhlmeisters Zu St. Bild. Seel. hinterlaßenem Ehelichen Sohn an Einem, vnd der Rhtrn: und tugendreichen frawen Mariæ Dorotheæ Wehrbeckin gebohrner Metzgerin auch weÿl. deß Ehrenvest vnd Kunstreichen Hn H. Wehrbecks gewesenen barbierers vnd blaterartzdes, burgers allhier Zu Straßburg seel. hinderlaßener wittib am andern theil (…) auff Ihr der Frawen hochzeiterin seithen herrn Georg Lundten barbierers vnd wundartztes, Ihres geschwornen vogts, herrn Johann Georg Heckers Stallmeisters vnd E. E. Großen Raths allhier beÿsitzers, dieterich Wehrbecks weißleinwath händlers, der Kinder Vogts vnd H hannß Wilhelm Weÿsens Silberarbeiters Ihres Stieffbruders (…) so beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Montag den 7. Maÿ Anno 1685. Johann Christoph Stöffel Nots. Publ.

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 8)
3.tio die Junÿ 1685. Matrimonialiter intronizati sunt Jo: Georgius Knauß ex Illfurt sontgou. Jo: Georgÿ pm. fil. et Maria Dorothea wehrbeckin nata Metzgerin Joannis wehrbeckh chyrurgi relicta vidua (signé) Johannß görg Knauß, maria dorothea (i 7)

1686, 4° Livre de bourgeoisie f° 518
hanns Georg Knaus der barbierer von St. Pildt, empfangt das burgerrecht ab uxore, Dorothea Metzgerin weÿl. Johann werbecks seel. wittib p. 2. gold. fl. vnd 16 ß. so Er beÿ d. Cancelleÿ erlegt, ist ledig. standts geweßen, Lucern Zünfftig. Jur. 15. dito [maÿ 1686]

L’assesseur des Vingt-et-Un André Brackenhoffer et Susanne Metzger vendent leur moitié de maison à Jean Georges Knaus, barbier, chirurgien et assesseur à la chambre de Police, qui en devient ainsi seul propriétaire avec sa femme

1693 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 531
/:tit:/ H. Andreas Brackenhoffer deß beständigen regiments der XXI. beÿsitzer, als Ehevogt fr. Susannæ gebohrner Metzgerin
in gegensein H. Johann Georg Knausen deß barbierers und wundartzt vnd deß löbl. Policeÿ gerichts alten beÿsitzers
die helffte ahne einer vnvertheilten behaußung allhier in der vorstatt in Steinstraß in der so genanndten roßen gaß, hinder der Mauren am XIII. graben, einseit neben Michael Josten burger zu dorlißheim, anderseit neben Georg Graßmann dem Pflästerer, hinden auff die alte Statt Maur stoßend gelegen, daran die andere helffte dem Kaüffer Ehe vögtlichen weiß zu vorhin gehörig, von welcher gantzen behaußung gehendt jährlich 1 lb d bodenzinß, so der Statt Straßburg vff bartholomæi gereicht wird – geschehen umb 40 lb

Jean Georges Knaus et Marie Dorothée Metzger font dresser un état de leurs biens pour cause de dettes. L’inventaire montre que les dettes sont moins élevées que ce qu’on craignait. L’inventaire est dressé dans la maison Grand rue qui appartient à l’épouse. La maison rue des Roses au Roseneck près du fossé des Treize est estimée 77 livres. Une grosse de l’inventaire des apports est jointe à l’acte.

1698 (9. Xbr), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 25) n° 43
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung, so Herr Johann Georg Knauß barbierer undt Wundtartzt auch E. löbl. Policeÿ gerichts jetzmahliger beÿsitzer undt Fraw Mariæ Dorotheæ Knaußin gebohrne Metzgerin, beede Eheleuth und burgere allhier in Nahrung haben und besitzen, Welche auf erfordern und begehren Vorgemeldter Frauw Knaußin Inventirt und Ersucht durch Wie Selbsten mit beÿstand deß hochgelehrte undt weißen herrn Johann Balthasar Hawen JVLti E: E: Großen Rhats alten beÿsitzers und Accis Verwalters allhier Ihres geschwornen herrn Curatoris ad Litem (…) Actum undt angefangen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Freÿtags den 9. Decembris Anno 1695.

In einer in der Statt Straßburg ahne der Langen Straß gelegenen in diese Nahrung gehörigen behaußung ist befunden Worden vie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Obern Stuben, in der Kunst Cammer, In der Mittlern Stuben, In der Obern Kuchen, Vor dießer Kuchen, In der Undern Kuchen, In der Barbier Stueben
Eigenthum ahne häußern. Erstlichen ein Hauß, Hoffestatt, Höfflein in der St. Str. in der Obern Straßen ohnfern der Schildts gaßen (…)
Item Eine behaußung mit allen Ihren begriffen weithen, Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen in der St. Str. in der Vorstatt Steinstr. in der sogenandten Roßengaßen beÿ dem Roseneck Zu end ahne den Mauren am XIII. graben, neben einer behaußung so auch hiehero gehörig hinden vf den XIII graben stoßend. Davon gibt Mann Jährlichen auf Bartholomæi 13. ß Allmend Zinnß sonsten freÿ ledig undt Eigen undt durch Vorgedachte schätzere nach Abzug d. beschwerd. geschlag. vmb 60.
(½ F, ½ Th) Item der halbe theil i behaußung gelegen allhie in der Statt Str: ane der Vorstat Steinstraß in d. Roßengaßen einseit neben N. N. Graßman dem Tagner anderseit neben Jost von dorlißheim hind. auff den 13. graben stoßend vnd vornen vff das Allmend stoßend. davon gibt mann Jährlichen auff Bartholomæi 1 lb Allmend Zinnß sonsten ledig undt Eigen undt durch der erstged. Schätzere nach abzug obiger beschwerde angeschlagen 95. lb, Vndt zu hiehero gehöriger helffte 47. Der andere halbe theil ist hernach in der theilbaren Nahrung beschrb. zubefinden. Über obspecificire behaußung ist beÿ gegenwärtiger Inventation Kein Documentum befunden worden.
(Th.) It. i. behaußung ahne obbeschriebene behaußung so der frauen allein gehörig, und anderseit neben H. Emanuel fischer (…)
Bericht dießem Inventario Vorzusetzen Vor nötig erachtet word. Zuwißen demnach Vor und nachgemeldte Inventier Nots. uf vielfaltiges Von Fr. Maria Dorothea Knaußin Ane Ihn bescheheres ansuchen, in gegenseines Inventir geschäfft in dem Nahmen Gottes angefangen, und sich deßen underzogen, der getrosten hoffnung Er werde mit Zuziehung der Frauwen H: Curatoris eingangs gedacht H Eliæ Kürschner deroselben Tochter erster Ehe, so auch zugegen geweßen wie nicht wenig. H. Matthiæ Einsidlers Exsenatoris deroselben beÿstandts (…) Wahrgenommen daß deß Ehemanns Nahrung in einem beßern stand alß man anfäglich v.hofft sich befinde (…)
Ergäntzung der Frawen unveränderten Guths. Vemög Inventarÿ Über der frawen Zu dem Herrn in den Ehestand gebrachtes Vermögen, durch Herrn Johann Christoph Stöffel Notarium Publ. in Ano 1685 geferitiget
Eheberedungs Copia (…) Montag den 7. Maÿ Anno 1685. Johann Christoph Stöffel Nots. Publ.
Abschatzung Mittwochs d. 28.ten Xberis 1695. Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheiden herrn Johann Georg Knauß burger Vnd Wundartzt vnd deße hauß fraw seind folgente behaußung. alhier in der Statt Straßburg, durch Vnß Zu Endes bemelte geordnete Werckhleithe angeschlagen vnd abgeschetzt worden wie volgt.
Erstlich daß Barbier hauß oder Wohnhauß in der Straß (…)
(F) die ander behaußung alhier in der Statt Straßburg in der sogenandten Roßengaßen beÿ dem Roßen Eck Zu end ane der Mauren am XIII. graben, vnd Einer behaußung bede Ehleiten gehörig, hinden auff dem XIII.en Graben stoßend, Welche behaußung mit einem halben dach, ist mit aller dero begriffen recht vnd gerechtigkeit dem preiß Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein hundert vnd Vinffzig Vinff Gulden
(½ F, ½ Th) Die Vierte behaußung auch in der Roßen gaßen, Ein seits Neben N. N. Graßman dem tagner, ander seitz Neben Jost Von Dorletzheim hinden uff denn XIII.en Graben Stoßend, Welche behaußung sampt aller dero begriffen recht und gerechtigkeit wie solches in der besichtigung befunden vnd dem preiß Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Zweÿ hundert vnd dreißig Gulden
Zeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.
Theilbare Beßerung Hievorgeschr. Häußer. Vermög der beÿ handen habenden und Von dem Ehemann außgehän. schrifft. bericht beredet word. ist ahne dem Newbewohnten stock in dem barbier hauß wie auch ane den häußen v. gärtlein in der Waßersubgaß alß hauptgebäw theils Erkaufft theils gebeßert word. wie in Mein deß Notarÿ Concept befindlich. Zu deren umbständlicher Richtigkeit und liquidation der Mein nicht Zubring. geweßenen der entweg. allhier jedoch mit Vorbehalt eines jed. beßern recht. V. ohne præjuditz der beede Partheÿen Zu Erg. & facilitirung gegenwärtig. Inventarÿ außgeworffen wird In summa (…)
(Joint) Inventarium über deß Ehrenvest vnd Kunstreichen Herrn Hannß Geörg Knaußen Barbirers Wundt: undt Blatherartzts burgers Zue Straßburg Zue frauwn Mariæ Dorotheæ Knaußin gebohrner Metzgerin, seiner lieben Haußfrawen inn den Ehestandt Zugebrachte Nahrung auff gericht in Anno 1685. – als Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert gut in den Ehestand zugebracht (…) Actum inn der königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 12. Septembris Anno 1685
Summa summarum Lxxxij lib., Schulden ij lib, Nach deren Abzug Lxxix lib – Johann Christoph Stöffel Nots. Publ.

Jean Georges Knaus vend à la Ville la maison rue de la Soupe à l’Eau au Roseneck près du fossé des Treize moyennant 80 livres

1705 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 508
hr. Joh: Georg Knauß barbierer u. wundartz
in gegensein S.T. Hn Niclaus Anthoni Flachen Med. Dris u. Practici auch Dreÿers der statt Pfthrns u. Hn. Joh: Georg Wetzels ober Secretarÿ daßelbst beeder nahmens deß Collegii der obernbauherren u. HH. dreÿers der Statt Pfthrns
eine behaußung zusambt dem Gärtlein daran mit allen Gebäuen, begriffen, rechten zugehörden u. Gerechtigkeiten allhier hinter dem XIII.en graben ahn der so genanten waßersupp gaß ahm Roßen Eck einseit neben Dorothea Wehrbeckin deß verk. geschiedener Haußfr. anderseit neben denen Fischerischen E. E. hinten auf gedachten graben stoßend gelegen, für freÿ ledig u. eÿgen außer 15 ß bodenzinß so gemeiner statt darvon zu reichen – um 80 pfund

Marie Dorothée Metzger veuve de Jean Wehrbeck meurt en 1712 en délaissant une fille mariée au barbier Henri Werckmeister et un fils Amand, barbier à Stuttgart. La succession qui comprend une maison Grand rue s’élève à 938 livres.
1712 (18. 8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 31) n° 1058
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender und vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: und Tugendreiche fraw Maria Dorothea Wehrbeckin gebohrne Metzgerin auch Weÿland des Ehrenvest Kunsterfahrenen herrn Johann Wehrbeckh geweßenen barbierers undt berühmten Chirurgi auch burgers allhier zu Straßburg hinterbliebene fraw Wittib beede nunmehr seel. nach Ihrem den 6.ten Augusti in Vahrenden 1712.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der viel Ehren und tugendreichen frawen Mariæ Magdalenæ Werckmeisterin gebohrner Wehrbeckin beÿständlich des Wohl Ehrenvest und Vorachtbahren herrn Johann Heinrich Werckmeisters vornehmen barbierers und Kunstberühmten Chirurgi burgers allhier Zu Straßburg Ihres geliebten Eheherrens, der abgeleibten fraw mit vorermeltem Ihrem H. Eheliebstinn seel. ehelich erzeigten Fraw Tochter und per Testamentum instituirter Erbin fleißig inventirt und ersucht – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen statt Straßburg auff dienstag d. 18. Octobris Anno 1712.
Nota. Es hat Zwahr die abgeleibte fraw seel. in dero auffgericht: hernach inserirtem Testamento nuncupativo §° 5.to Ihren annoch lebenden Sohn nahmens herrn Amandum Wehrbeckhen, barbierer und Peruquenmacher auch burgern Zu Studtgardt auch einem Erben aber nur in Legitimam eingesetzt, mit dem anhang, daß Ihme alles dasjenige was Er Sohn Sie die fr. Mutter seel. gekostet und Sie vor demselbigen außgelegt, von solch seiner Ihme anfallender Legitimæ abgezogen werd. solle. Weilen nun crafft einer von der abgeleibten fraw seel. underzeichneter Specification, er Sohn ein Weit mehrers bereits empfangen als Ihme anjetzo loco Legitimæ Maternæ Zukommen möchte, als hat mann seiner dißfalls weiter Zugedencken, noch in deßen Nahmen einigen H Deputatum auß E.E. Kleinen Rath Zum Geschäfft abzuordnen, nicht wohl aber gegenwärtigen bericht hierzu annectiren, vor nöthig erachtet.
Copia des von der Verstorbenen fraw seel. on A° 1712. auffgerichteten Testamenti nuncupativi, perge in Prot. fol.

In Einer allhier zu Straßburg ane der Langen Straaßen gelegenen und in dieße Verlassenschafft eÿgenthümblich gehörigen behausung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Obern Cammer, In der Cammer A, Vor der Cammer, Im obern Haußöhren, Im obern Stübel, In der obern Wohnstub, In der barbier stub, Im undern Haußöhren,
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. Item ein hauß, hoffstatt, höfflein, bronnen, sambt hinder hauß und neben gänglein, auch allen anderen gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der St. St. in der Obern straß ohnfern der Schiltzgaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 144, Sa. Silbers 22, Sa. Goldener Ring 12, Sa. Eÿgenthumbs an i. behaußung 600, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 158, Summa summarum, Conclusio finalis Inventarÿ 938 lb,
Nota. Es seind zwahr Georg Heinrich Schmiden sonst bäer genant dem Enckel crafft obeingetragenen Testamenti nuncupativi §° 3.tio 100. lb. d Pfenningthurns Capital Zu einem Legat geordnet, weilen aber das Kind noch Klein und ohnerzogen, also vermuthlich der fr. Mutter solch legat biß zu des Söhnleins Majorennitæt gegen deß. fernern education und alimentation in genuß gelaßen werden würd, als habe weitern abzug hierzu formiren vor ohnnöthig erachtet
Deme Zu end stehendem dato erschienen allhier beÿm Concept herr Johann Heinrich Werckmeister Chirurgus und fraw Maria Magdalena gebohrne Wehrbeckin beede Ehepersohnen und burgere allhier bekanden in gegensein H. Johann Sebastian Kratzen auch Chirurgi als vogts Georg Heinrich Schmidts sonst aber genant vorgedachter beeder Eheleuthe respectivé leiblich. v. Stieff Söhnleins, daß Sie beede Eltern vorstehende 100. lb d Pfenningthurns Capital welche ernanntem Söhnlein von weÿl. frawen Maria Dorothe Wehrbeckin gebohrne Metzgerin deßen großmutter seel. zu einem Legat geordnet worden (…), Straßb. d. 22. Aug. a° 1721.

La Ville loue au compagnon maçon Adam Karch la maison jusqu’à l’époque de sa vente

1772, Préposés aux affaires foncières (VII 1415)
(f° 137) Dienstags den 24. Novembris 1772 – Adam Karch
Adam Karch, dem Maurer Gesell wird ein Löbl. Stadt zugehöriges ane der Waßersupp Gaß gelegenes Häusel bis zu deßen Verkaufung um einen jährlichen Zins von 7. lb 10. ß verlehnet.

Adam Karch demande que le toit et les fenêtres soient réparés. Les préposés conviennent que le toit sera remis en état.

(f° 138-v) Dienstags den 1. Decembris 1772 – Adam Karch pt° Häuslein auf der Waßersupp Gaß
Adam Karch, so von Löbl. Stadt ein Häuslein auf der Waßersupp Gaß entlehnet bittet das Tach und Fenster zu repariren.
Erkannt, Seÿe nur das Tach zu übergehen.

Les préposés louent à Adam Karch la maison portée au folio 104 du Livre des loyers communaux. Le premier loyer est réduit de moitié parce que le bâtiment est en très mauvais état.

1775 (24.1.), Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
(f° 143) Dienstags den 24. Januarii 1775 – Adam Karch
Adam Karch dem Mauer Gesellen, wird das ane der Waßersupp Gaß gelegene Zinsbuch fol. 104-a beschriebene Häusel gegen einem jährlichen Zins von 6. ß d verlehnet und weilen daselbe dermalen sehr baufällig als wird ihme vor die auf seine Kösten zumachende Reparationen ane dem dißjährigen zins die Helfte mit 3. lb nachgelaßen.

Contremaître au chantier des Maçons, François Utt qui doit quitter son logement au chantier des Maçons obtient la jouissance gratuite de la maison qu’occupe Adam Karch rue de la Soupe à l’Eau

1779, Préposés aux affaires foncières, VII 1418
(f° 219-v) Dienstags den 23. Februarÿ 1779. – Frantz Utt, balier des Mauhoffs
Frantz Utt, der balier des Mauhoffs bittet, da er seine von löblicher Stadt beÿ dem Maurhoff gelegen ingehabte Wohnung räumen muß, ihme das ane der Waßersupp Gaß gelegene löblicher Stadt zugehörige häusel, so Adam Karch, der Zimmergesell lehnungsweis bewohnet, zur Wohnung gnädigst angedeien zu laßen.
Erkannt, In betracht der supplicant seinem dienst mit Fleiß und Eifer vorstehet, als seÿe demselben das begehrte Häußlein, doch ohne Consequenz, zur Wohnung gratis an zu weisen und einraumen zu laßen.

Adam Karch demande le 2 mai aux préposés aux affaires foncières à acquérir la maison qu’il occupe depuis douze ans à titre de bail pour la somme de 200 florins. Les préposés accèdent à sa demande d’autant que la maison a été exposée aux enchères à plusieurs reprises pour 150 florins sans trouver preneur et que la ville serait obligée de contribuer à construire le pignon puisque le voisin a l’intention de rebâtir sa maison. Les préposés donnent lecture le 15 mai de la décision des chambres secrètes. Adam Karch demande le 13 juin que le dossier soit transmis aux Conseillers et aux Vingt-et-Un pour confirmation.

1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Adam Karcher Maurer Gesell pt° behausung in der Wassersupp Gaß
(f° 66-v) Dienstags den 2. Maji 1786. – Adam Karcher Maurer Gesell
Adam Karcher, der Maurer Gesell und burger allhier præsentirt unterthäniges Memoriale und bitten, ihme die an der Wassersupp Gaß gelegene, löblicher Statt zugehörige und Von dem Imploranten seit Zwölf Jahren Lehnungsweis besitzende behausung vor die Summ von 200. fl. so als ein verzinsliches Capital darauf stehen bleiben sollen, käuflichen Zu überlaßen. Nachdeme nun Meinen Gnädigen Herren vorgetragen worden, daß solche Behausung vor einigen Jahren Zu verschiedenen malen Zur Versteigerung angesetzt worden, und dieselbe durch Herrn Bau Inspector Boudhots und Herrn Werckmeister Kaltner nur vor 150. fl. angeschlagen, auch von diesen berichtet worden, daß da der Nachbar im begriff ist seine Behausung neu auf zu bauen Löbliche Stadt im Fall wäre mit demselben einen gemeinschaftlichen Giebel aufzuführen, als Wurde Erkannt, Seÿe Gnädigen Herren Räth und XXI. die Sach Zu Hoch dero Weitern Verordnung geziemenst Vorzutragen [unterzeichnet] haffner von Waßlenheim

(f° 77) Dienstags den 16. Maji 1786. – Adam Karcher Maurer Gesell pt° behausung in der Wassersupp Gaß
Lectum Erkanntnus Gnädiger Herren der Drei Geheimen Stuben den Verkauf Einer behausung in der Wassersupp Gaß gelegen, betreffend, folgenden Inhalts,
Zufolg Erkanntnus Gnädiger Herren der Drei Geheimen Stuben vom 15. Maji 1786. auf den Von denen Hoch und Wohlverordneten Ober bauherren eingegebenen Bericht, Werden Hochdieselbe autorisirt das auf der Wassersupp Gaß gelegene, löblicher Stadt zuständige Häuslein, Ein Seit neben N. Ringwiler dem Sänger und hinten auf die Caserne, so Zu 150 Gulden abgeschätzt, und bishero von Adam Karcher, dem Maurer Gesell in Lehnung beowohnt worden, gedachtem Adam Karcher, gegen eine Summ von 200 Gulden, salva Ratificatione Gnädiger Herren Räth und XX. eigenthümlich zu überlaßen und zwar also, daß auf gedachten Kauffschilling wenigstens die Summ von 50 Gulden baar bezalt werden sollen, die übrige Summ aber auf der behausung Zu Vier pro Cento verzinslich verhaften bleiben könne, unterschrieben Mathieu XIII Secretarius mit pphe.
Lectione factâ wurde Erkannt, Verzeichnus, und seÿe Adam Karchen darüber zu vernehmen,

1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
(f° 96-v) Dienstags den 13. Junii 1786. – Adam Karcher Maurer Gesell pt° behausung in der Wassersupp Gaß
Adam Karcher der Maurer Gesell und burger allhier declarirte, daß Er sich der Erkanntnus Meiner Gnädigen Herren der drei Geheimen Stuben vom 15. Maji jüngst unterwerfe, mithin das von Ihme Lehnungs besitzende auf der Wassersupp Gaß gelegene Löblicher Stadt Zugehörige häusel vor 200. fl. käuflichen übernemen in Abschlag des Kauffschillings 50 fl. anzalen, die übrige 150. fl. aber jährlichen Zu vier pro Cento verzinsen wolle. Erkant, Seÿe der Verkauf dieses Häusels gn. Herren Räth und XXI. an confirmandum geziemenst vorzutragen.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la décision des trois chambres secrètes d’aliéner une petite maison rue de la Soupe-à-l’Eau à Adam Karch

1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
(p. 112) Sambstag den 17. Junius 1786. – Löbl. Stadt verkaufft ein auf der Waßersuppgaß gelegenes Häußlein um 200. fl. an Adam Karcher dem burger und Maurergesellen
Lectum folgendes Memoriale der Hoch und Wohlverordneten Ober bau Hh.
Gghh. Es haben Ghh. der dreÿ Geheimen Stuben nach Ausweis beiliegender Erkanntnuß vom 15. Maÿ j. geruhet, ein Löbl. Stadt Zugehöriges auf der Waßersuppgaß gelegenes Häußlein Adam Karcher dem Maurergesellen und burger allhier unter E. G. hoher Confirmation vor 200 Gulden Käuflich zu überlaßen. Weswegen E: G: zu Hochdero Confirmation geziemenst vorgelegt wird. Womit in Unterthänigkeit & Unterschrieben Busch Secretarius.
Erkannt, Wird der vorgeschlagene Verkauf Obrigkeitlich genehmiget, sofort mit dem dazu benöthigten Decreto alienandi willfahrt, anbeÿ die Obere Bauhh. autorisirt den darüber zu errichtenden Contract in Löbl. C. C. Stube ordnungs mäsig verschreiben zu laßen.

Les préposés aux affaires foncières donnent lecture de la décision rendue par les Conseillers et les Vingt-et-Un
1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
(f° 98) Dienstags den 20. Junii 1786. – Adam Karcher Maurer Gesell pt° behausung in der Wassersupp Gaß
Lectum Erkanntnus Gnädiger Herren Räth und XXI. vom 17. hujus ausweis deren, der Verkauf eines Häusels auf der Wassersupp Gaß gelegen an Adam Karcher, den Maurer Gesellen und burger allhier durch Erkanntnus Gnädigen Herren der drei Geheimen Stuben vom 15.ten Maji jüngst, so vorher fol. 77.a verbotenus inserirt, vor 200 fl. beschehen, obrigkeitlich confirmirt wird, wobei Meine Gnädige Herren angesucht werden gedachten Verkauf in Löblicher Canzlei Contract Stub verschreiben zu laßen.
Erkannt,, Seÿe Herr Exsenatoris Heitz Einer der dißortigen Herren drei der Verschreibung Namens löblicher Stadt beizuwohnen bestens zu authorisiren.

La Ville vend la maison à Adam Karch

1786 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 242-v
nahmens hoch und wohlverordnenen Oberbauherrn und H. dreÿ des löbl: Stadt Pfenning Thurns H. exsenator Frantz Xaverius Heitz einer gedachten dreÿ
in gegensein Adam Karch des maurer gesellen – in gefolg erkanntnus der dreÿ geheimen stuben vom 15. Maÿ jüngsthin
eine kleine behausung mit allen deren übrigen begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Waßersuppgaß oder sogenannten Dreÿzehnergraben, einseit neben Johannes Karchers des tagners wittib, anderseit neben Ignatz Ingweiler des sängers, hinten auff die cazern – um 200 gulden

Les héritiers Karch vendent la maison au fabricant d’amadou Georges Walter

1795 (18 messidor 3), Strasbourg 10 (37), Not. Zimmer n° 235
1. Theresia Karch, 2. Salome Karch, 3. Barbara Giffard geb. Karch weiland Ludwig Giffard gewesenen Vergolders hinterbliebenen Wittib, 4. Magdalena Karch, 5. Maria Rosa Karch, vorherige 1. 2. 4. u 5. ledigen Standes und volljährigen Alters, alle fünff aber beÿständlich hernachgemelter Zacharias Gauckler Maurers, 6. Zacharias Gauckler sowohl als geordneter vogt Georg Karch als auch im Namen des abwesenden Bernhard Karch /:dieweil des leztern Curator Georg Walter Zundelmacher hiebei selbst interessiret:/ alle samt von weiland Adam Karch gewesenen Maurers und Fraun Elisabetha geb. Iger deßelben hinterbliebenen nun auch verstorbenen wittib erzeugte Kinder und von beden zu sieben gleichen Theilen hinterlassen Erben, nach vorhergegangeger dreÿmaliger offentliche Steigerung auf welche seither kein Nachgebott erfolgt
Georg Walter dem Zundelmacher als letzt und meistbietendem /:Dieweil aber auf des Käufers und deßelben Ehefraun Maria Elisabetha Pauli als Mitkäuferin Ansuchen, der bürger Johannes Weiß Gartner allhier als geordnet und geschworenen vogts der minderjährigen Catharina Walter sein des Käufers mit weiland Anna Maria geb. Schlagdenhaufin deßen in erster Ehe gewesener Ehefraun erzeugten Tochter und von dieser seiner Curandin ererbten Vermögen (…) die summ von 4000 Livres vorgeschoßen
Eine kleine behaußung und Hoffstatt samt derselben begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen an der Waßersuppgaß N° 30 einseit neben Antoni Schuhmachers Ehefrau anderseit neben Barbara Kiehn hinten auf die Casern stoßend, (um 700 L. Capitalien verhafftet), 8200 Livres
n° 235, 12 floreal 3, auf Ansuchen der bürger Zacharias Gauckler Maurers als geordneter vogt Georg Karch und Georg Walter Zundelmacher als gesezmäßig ernannter Curator des abwesenden bernhard Karch, an weiland Adam Karch gewesenen Maurers und Fraun Elisabetha geb. Iger derselben verstorbenen Eltern Verlassenschafften, zur ersten freiwilligen Versteigerung der in gemelte Verlassenschafften gehörigen behaußung, (…) wurde ausgerufen, Eine kleine behaußung und Hoffstatt samt zugehörden gelegen an der Waßersuppgaß N° 30 I.s neben antoni Schuhmachers Ehefrau 2.s neben Barbara Kiehn hinten auf die Casern stoßend, um L. 4500, kein Gebott
den 19. floreal, kein Gebott – 26. floréal, burger Georg Walter Handelsmann 8200 Livres
[Joint] L’an 3 le 22 Germinal devant nous François Krafft juge de Paix du 1. arrondissement de la Commune de Strasbourg est comparu la Citoyenne Salomé Karg fille majeure disant que son frere Bernard Karg fils des Deffunts Adam Karg maçon et d’Elisabeth Icher ayant aussi apris le metier de maçon est parti de cette commune en l’année 1789 V.S. avec passeport pour voyager Sur son metier et s’y perfectionner, Or leur mere etant mort il y a Cinq Decades et ayant delaissé une maison (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 35 F° 73 du 19 mess. 3

Fils de fabricant d’amadou, le journalier Georges Walter épouse en 1785 Anne Marie Schlagdenhauffen, fille d’un laboureur de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1785 (15.1), Not. Zimmer (6 E 41, 1445) n° 298
Eheberedung – persönlich erschienen Georg Walter, der ledige tagner alhier, weiland Michael Walter, des gewesenen burgers und Zundelmachers alhier mit Fr. Barbara gebohrner Brumterin, deßen hinterbliebener Wittib ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter ene einem,
So dann Jungfrau Anna Maria Schlagdenhaufin, weiland Lorentz Schlagdenhaufen, des Ackersmanns und burgers zu Schiltigheim, mit Fraun Barbara gebohrner Stahlin deßen nachgelaßener Witwe ehelich erzielte tochter beiständlich Meister Lorentz Rosenstiehl, des Ackersmanns und burgers zu Schiltigheim, als brauth an dem andern theil
Sambstag den 15. Januarii 1785 [unterzeichnet] Gerg Walter, x der Hochzeiterin Handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. n° 13)
178. Dienstags den 21. Junÿ nach Mittag um 4 Uhr sind nach zweÿmal geschehener Proclamation, ehelich eingesegnet worden Johann Georg Walther, Schirmer und Zundelmacher, Johann Michael Walther gewesenen Schirmers und Zundelmachers allhie mit Fr. Barbara gebohrne Prumterin ehelich erzeugter nachgelaßener Sohn, und Jfr. Anna Maria Schlagdenhaufen, weÿl. Lorentz Schlagdenhaufen, gewesenen burgers und Ackersmanns Zu Schiltigheim mit Fr. Barbara gebohrner Stahlin ehelich erzeugte nachgelaßene Tochter Solches bezeugen x ist das Zeichen des Bräutigambs, x ist das Zeichen der Braut (i 197)

Anne Marie Schlagdenhauffen meurt en l’an II en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue de la Soupe-à-l’Eau. La masse propre aux héritiers s’élève à 222 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 67 livres, le passif à 190 livres
1795 (30 ventôse 3), Strasbourg 5 (6), Not. Grimmer n° 146
Inventarium über Weil. Anna Maria Schlagdenhaufen des bürgers Georg Walters hiesigen tagners Ehefraun Verlassenschafft, nach ihrem im Monat Germinal vorigen Jahrs erfolgten Absterben verlaßen, den 22. Ventose 3
Benennung der Erbin, die Verstorbene hat ab intestato zur Erbin verlaßen die mit dem hinterbliebenen Wittiber erzeugte Tochter namentlich Catharina so ohngefähr 10. Jar alt, diesem minderjährigen Kind zu einem Vormund ernannt worden der bürger Johannes Weiß gartners tagners allhier

in einer ane der Waßersuppgaß gelegenen dem bürger Schumacher dem Wirth gehörigen und dißorts zum theil Lehnungsweiß bewohnenden behaußung
Eigenthum ane liegende güthern, hat die Verstorbenen in die Ehe gebracht (liegende güther) Schiltigheimer banns
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Erbin ohnverändert Vermögen, hausrath 157 lb, liegende güther pro nota, Erg. 75 lb, Schuld pro nota, Summa summarum 222 lb
des Wittibers und die teilbare masse unter einem titel beschrieben, hausrath 67 lb, Schuld pro nota, Summa summarum 67 lb – Schulden 190 lb, In Vergleichung 122 lb
Bericht, kein Inventarium illatorum
Eheberedung (…) den 15. Januarÿ 1785, Zimmer Not.
Enregistrement de Strasbourg, acp 32 F° 1 du 2 germ. 3

Jean Georges Walter se remarie avec Marie Elisabeth Pauli originaire de Dettwiller
Mariage, Strasbourg (n° 1042)
Cejourd’hui le 5 Messidor de l’an second de la République française une et indivisible (…) sont comparus d’une part Jean Georges Walter, faiseur d’amadou âgé de 38 ans, né et domicilié en cette commune, fils légitime de feû Michel Walter Journalier et de Barbe Roth, veuf d’Anne Marie Schladenhauffen, de l’autre part Marie Elisabeth Pauli âgée de 31 ans née et domiciliée à Dettwiller Département susdit, fille légitime de Jacques Pauli, Journalier, et de feûe Marie Marguerite Gros (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 4 février 1756 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 6 juillet 1762 (signé) l’époux a déclaré ne savoir signer, maria Elisabetha Paulin (i 69)

Le tribunal civil vend par adjudication judiciaire la maison de Jean Georges Walter à l’Œuvre Notre Dame, créancière

1806 (26.12.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 31, n° 40
que le Tribunal de Première Instance a rendu le jugement suivant Audience du 21 octobre 1806 Entre la fondation de notre De. a Strasbourg poursuite et diligence de M Daudet son receveur venderesse en expropriation forcée comparant par M Kern avoué d’une part Et
Georges Walter faist. d’amadou a Strasbourg defendr. en expropriation forcée d’autre part
à la fond. demanderesse
Une maison sise rue de la Soupe à l’eau n° 30 batie en bois a un Rez de chaussée surmonté de deux étages ayant trois croisées avec un petit grenier ses ais. app. et dep. dont l’étendue superficielle est de 60 mètres, d’un côté la Ve de Jean Karcher journalier d’autre Ignace Ingweiler présentement Jean Isaac d’autre David Roth devant rue derrière la caserne évalué à un produit de 70 fr
mise à prix par le poursuivante à 1061 fr – sans mise
Oui le procureur impérial lequel a conclu à ce que la maison dont s’agit soit adjugée à la fond. demanderesse, fait le 21. 8.bre 1806
(Cahier des charges) A vendre par exf, On fait asavoir qu’en vertu de Jugement rendu a la Justice de paix du premier arrondissement de la vill de Strasbourg le 19 floréal 12 (…)

Comme la vente à l’Œuvre Notre Dame n’est pas ratifiée par le ministre, la maison est attribuée le 28 décembre 1808 à son receveur Christophe Louis Daudet (copie jointe à la vente passée en 1812).

(Copie de l’arrêté du maire du 28 décembre 1808) Vu la lettre du Sr Daudet receveur de l’Œuvre Notre Dame du 6 décembre courant par laquelle il rend compte qu’aïant fait son possible pour trouver un acquéreur pour la maison sise rue de la Soupe à l’Eau n° 30 (…) ledit receveur s’est décidé en exécution de la lettre de Son Excellence le Ministre de l’Intérieur du 3 septembre 1807 à prendre ladite maison à sa charge et prie en consequence le Maire de l’autoriser à porter en dépense la somme de 324 francs pour laquelle il est à découvert suivant la liquidation qu’il a dressée à cet effet, Vu aussi cette liquidation dattée du 6 du présent mois, Vu en outre le procès verbal du 29 avril dernier par le Sr Klotz architecte portant le prix d’estimation de ladite maison à 600 francs, Le maire considérant que le Receveur de l’œuvre a pleinemant satisfait a la lettre mentionnée de Son Excellence le Ministre de l’Intérieur approuve la liquidation énoncée, subroge ledit receveur dans les droits de l’œuvre et l’autorise a porter en dépense dans son prochain compte la somme de 324 fr, le maire [signé] Brackenhoffer

Christophe Louis Daudet meurt célibataire à l’âge de 67 ans en 1815 dans la maison de recette de l’Œuvre Notre Dame
1815 (6.3.), Strasbourg 12 (60), Not. Wengler n° 8925
Inventaire de la succession de Christophe Louis Daudet, receveur des domaines et bois, décédé le 15 février 1815 – à la requête de 1. Pierre Antoine Villot, directeur des vivres à Metz, mandataire d’Antoinette Charlotte Claudine Daudet, 2. fondé de pouvoir de Marie Antoinette Daudet épouse de François Joseph Gau des Voves, chevalier de St Louis commandeur de la Légion d’Honneur, Conseiller d’état honoraire demeurant à Paris, 3. Jean Pierre Gau, demeurant en cette ville, mandataire de Marie Elisabeth Charlotte Daudet majeure, héritiers pour un tiers de leur oncle et frère respectif, la De Villot comme nièce par représentation de Marie Joseph Daudet de Jossan, ancien syndic royal de cette ville son père frère du défunt – d’après l’indication d’Elisabeth Dousch veuve de François Heller perruquier ménagère du défunt (signé) dusch

dans la maison où est établie la recette de l’Œuvre de la Cathédrale sise en cette ville place du Palais royal n° 3
dans le petit salon ayant vue sur la place du Palais, dans le salon a côté, dans la chambre à coucher vosiine dud. salon, dans le cabinet à côté, dans une chambre a côté de celle du Sr Brobeque donnant sur la rue du Palais, dans la chambre du Sr Brobeque donnant sur la rue, dans la chambre à côté donnant dans la rue des Cordiers, dans la salle à manger, dans la chambre à coucher de Dlle Daudet, dans la chambre à coucher de la veuve Haller ménagère, dans la cuisine, dans la chambre de la cuisinière, dans la garde à manger à côté, dans différents corridors derrière la cuisine, dans une petite chambre donnant sur le corridor de la cuisine, dans la chambre à lige sale au grenier, dans le bureau de la recette, dans la cave, dans le magasin au rez de chaussée, dans une autre cave sous la maison de devant, dans la chambre des soldats, au bucher, (le 9 trois) dans le bureau, dans la chambre à côté, dans le caveau, dans la cuisine derrière le bureau, (le 11 mars) au rez de chaussée dans le salon tapissé en papier peint, dans la salle à manger, dans le sallon bleu, dans la chambre à côté, au premier étage dans une antichambre, dans les deux petites chambres à côté, dans une antichambre à droite, dans une petite chambre à côté, dans le cabinet à côté, dans la chambre à alcove, dans la chambre à coucher à côté, dans la chambre des domestiques, au grenier, dans la cave
(vacation du 27 juin – enreg. f° 92 du 28 juin) Immeubles, légués à M. Mde Stouhlen, ban d’Oberschaeffolsheim avec une campagne, Wolfisheim
Résumé, meubles 6663 fr, voiture 400 fr, argenterie 3275 fr, créances 7895 fr, créances 18 772 fr, total 37 007 fr, passif 4027 fr, reste 32 977 fr
– Testament du 8 janvier 1815, (legs) à Elisabeth Dusch native d’Ingweiller veuve Heller ma ménagère (pour) l’attachement qu’elle m’a témoigné et prouvé pendant toute la révolution et notamment pendant la terreur et les six mois de mon emprisonnement
(Procuration Marie Antoinette Daudet demeurant à Paris rue neuve du Luxembourg n° 9 – Antoinette Charlotte Claudine Daudet à Metz rue du Haut Ste Croix n° 533)
Enreg. manquant f° 116 du 13.3.

Décès, Strasbourg (n° 281)
Déclaration de décès le 15 février 1815. Christophe Louis Daudet, âgé de 67 ans trois mois quatre jours, né à Strasbourg, Receveur des Domaines et de l’Œuvre Notre Dame, non marié, est mort en cette mairie le 15 du mois Courant à six heures du matin dans la maison située N° 3 Place du Palais, fils de feu Louis Daudet Directeur du Magasin à sel et de feu Françoise Catherine Ursule Le Couvreur (f. adj.)

Christophe Louis Daudet vend la maison à Marie Madeleine Hürstel veuve de Joseph Lancel

1812 (17.10.), Strasbourg 12 (47), Not. Wengler n° 7081
Christophe Louis Daudet receveur de l’Œuvre Notre Dame
à Marie Madeleine Hürstel veuve de Joseph Lancel
une petite maison batie en bois a rez de chaussée et deux étages avec toutes ses appartenances droits et dépendances sise en ladite ville de Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 30, d’un côté Joseph Joanc* d’autre David Roth,par devant la rue, par derrière la caserne. La maison vendue ayant appartenue a Georges Walter fabricant d’amadou d’après contrat de vente reçu Me Zimmer le 18 messisor 3 auroit été vendue par expropriation forcée sur ledit Sr Walter en sa qualité de receveur de l’Œuvre Notre Dame et qu’aucun amateur ni enchérisseur ne s’étant présenté elle fut adjugée à la barre du Tribunal Civil pour sa mise à l’Œuvre Notre Dame par procès verbal du 21 octobre 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 26 n° 12. mais cette acquisition n’ayant pas été agréée par Son Excellence le Ministre de l’Intérieur par sa lettre en datte du 3 septembre 1807 le Sr vendeur fut subrogé dans les droits dudit Œuvre et par conséquent ladite maison abandonnée a sa disposition comme si elle lui avait été adjugée en propre et privé nom, arreté du maire le 28 décembre 1808 – moyennant 800 fr
(copie du jugement) vente Chambre des Contrats 1786 f° 242 b, vente des héritiers Karch à Walter Me Zimmer 18 thermidor 3
(Copie de l’arrêté du maire du 28 décembre 1808)
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 170 du 19.10.

Le fabricant de chaises (Claude) Joseph Lancel épouse en 1792 Madeleine Hurstel, originaire de Kertzfeld. Il est retrouvé mort en 1798 d’une blessure par un instrument tranchant.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 48-v)
Hodie 20 Februarÿ anni 1792 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti sunt Josephus Lancelle, Argentinensis defuncti Claudii Josephi Lancelle et Franciscæ Clatigny, conjugum filius legitimus & Magdalena Hurstel, Kerzfeldensis, defuncti Mathiæ Hurstel et Catharinæ Werni cojugum filia legitima (signé) Joseph Lansel, + (i 60)

Décès, Strasbourg (n° 60)
Aujourd’hui 13° messidor l’an VI de la République française une et indivisible (…) que Joseph Lancel, âgé de 33 ans, faiseur de chaises né et domicilié et cette commune rue des aveugles N° 19, fils légitime de feu Joseph Lancel, faiseur de chaises et de feue Françoise N. époux légitime de Madeleine Hurstel a été trouvé mort au front de la demi lune entre la porte des bouchers et celle de l’hôpital le 11 du courant d’une blessure qu’il a reçu d’un instrument tranchant (i 44)

Sa fille et héritière Marie Madeleine Lancel épouse en 1819 Joseph (Casimir) Wetzel

Mariage, Strasbourg (n° 24)
Acte de mariage célébré le 21 janvier 1819. Joseph Casimir Wetzel, mineur d’ans, né en légitime mariage le 17 brumaire an VI à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Journalier, fils de feu Martin Wetzel, ci devant tricoteur de bas décédé en cette ville le 17 février 1814 et d’Anne Marie Weinnehmer, ci présente et consentante, Marie Marie Madeleine Lansel, majeure d’ans, né en légitime mariage le 17 frimaire an VI à Strasbourg domiciliée à Strasbourg fille de feu Joseph Lansel, faiseur de chaises, trouvé mort en cette mairie le 11 messidor an VI et de feu Madeleine Hirstel décédée en cette ville le 22 février année dernière (signé) l’époux a déclaré ne savoir signer, maria magdalena lasell (i 13)

Le garçon maçon Joseph Casimir Wetzel et Madeleine Lancel hypothèquent la maison au profit du notaire Henri Joseph Wengler

1825 (26.7.), Strasbourg 13 (41), Me Bremsinger n° 3596
Obligation – Joseph Casimir Wetzel, journalier maçon, et Madeleine Lancel
à Henri Joseph Wengler, notaire, 100 francs
hypothèque, une petite maison à rez de chaussée et deux étages, aisances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 30, d’un côté Joseph Isaac, d’autre David Roth, devant la rue, derrière la caserne – avenue à la femme Wetzel née Lancel de la succession de sa mère Marie Madeleine Hürstel veuve de Joseph Lancel faiseur de chaises, suivant acte de notoriété dressé par Me Wengler le 18 juillet 1825

Acte de notoriété qui constate que la maison est un bien propre à Madeleine Lancel
1840 (18 9.bre), Strasbourg 2 (85), Me Tinchant n° 1674
Notoriété (…) avoir parfaitement connu le sieur Joseph Wetzel, vivant maçon à Strasbourg, et savoir qu’il est décédé en cette ville le 22 octobre 1836, époux de la dame Madeleine Lancel, que lesdits conjoints Wetzel s’étaient mariés dans le courant de l’année 1818 sans avoir fait de contrat de mariage, qu’en conséquence leur union était soumise à la communauté légale telle qu’elle est définie par le code civil, d’où il résulte que la maison sise à Strasbourg rue de la soupe à l’eau n° 30, vendue par ladite dame Madeleine Lancel veuve Wetzel au Domaine de l’Etat suivant contrat reçu par M° Tinchant l’un des soussignés notaires (…) les 15 et 17 juin dernier était un bien propre de la dite dame, attendu que celle-ci l’a héritée dans la succession de sa mère la dame Marie Madeleine Hürstel décédée veuve du sieur Joseph Lancel fabricant ed chaises à Strasbourg (…)

Marie Madeleine Lancel se remarie en 1842 avec Joseph Stupffler en légitimant une fille
Mariage, Strasbourg (n° 165)
Du 13° jour du mois d’avril l’an 1842, Acte de mariage de Joseph Stupffler, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 ventôse an XI domicilié à Strasbourg, Journalier, fils de feu Pierre Stupffler Journalier décédé à Rhinau le 24 avril 1806 et de feu Elisabeth Messmer décédée à Strasbourg le 27 septembre 1827, et de Marie Madeleine Lansel, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 frimaire an VI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, veuve de Joseph Casimir Wetzel, Journalier décédé en cette ville le 22 novembre 1836, fille de feu Joseph Lansel, faiseur de chaises, décédé en cette ville le 11 messidor an VI et de feu Madeleine Hirstel décédée en cette ville le 22 février 1818 (…) Et aussitôt lesdits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Joséphine Stupffler né d’eux en cette ville le 23 février 1840 inscrite le 24 du même mois sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Joseph Stupffler, l’épouse a dit ne savoir signer (i 34)

Madeleine Lancel vend 2 800 francs au Domaine de l’Etat (Génie militaire) la maison dont le sol sera réuni à la caserne de la Finckmatt

1840 (17.6.), Strasbourg 2 (84), Me Tinchant n° 1678
Madeleine Lancel veuve de Joseph Wetzel, maçon
au Domaine de l’Etat stipulant M. le Ministre de la Guerre et celui ci représenté par Jean Lazare Collas, lieutenant colonel du Génie en chef, et Gabriel Domergue, adjudicaire de première classe aux sous intendances militaires et chargé du contentieux du génie, suivant autorisation de M. Le Ministre de la Guerre du 4 présent
Désignation, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 30 d’un côté un terrain appartenant à l’Etat, d’autre David Roth, derrière la caserne de la Finckmatt – Origine de la propriété. La venderesse a recueilli l’immeuble dont s’agit dans la succession de sa mère Marie Madeleine Hürstel décédée il y a environ 20 ans veuve de Joseph Lancel, fabricant de chaises, suivant acte de notoriété dressé par Me Tinchant le 11 courant. Le Sr Lancel en était propriétaire d’acquisition durant le mariage de Christophe Louis Daudet, receveur de l’Œuvre Notre Dame suivant acte de vente passé devant Me Wengler le 17 octobre 1812, dans ce dernier acte le Sr Daudet a déclaré qu’en conséquence de poursuite dirigées par lui comme receveur de l’ Œuvre Notre Dame contre Georges Walter, fabricant d’amidon, l’immeuble précédent a été exproprié sur de dernier et faute d’enchérisseur adjugé audit Œuvre par adjudication en date du 21 octobre 1806 mais que cette acquisition n’ayant pas été agréée par M. le Ministre de l’Intérieur la maison avait été abandonnée au Sr Daudet pour son propre compte par arrêt du Maire daté du 28 décembre 1808 – moyennant 2800 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 279 F° 24-v du 18.6.



8, place Saint-Louis


Place Saint-Louis n° 8 – VIII 137 (Blondel), P 1294 puis section 9 parcelle 21 (cadastre)

Maîtres d’ouvrage, Michel Thomas (1746, ancienne maison zur Cappellen) et Claude Bernard Eisentraut (travée de gauche, 1760)


Façade en deux parties correspondant aux deux anciennes maisons
Fenêtres, portes (juillet 2019)

La maison actuelle est la réunion de deux anciennes par l’entrepreneur pour le Roi Claude Bernard Eisentraut en 1750, une petite maison à l’est et une plus grande maison, anciennement appelée zur Cappellen (à la Chapelle), vers l’ouest.
La grande maison, zur Cappellen, acquise en 1617 par l’aubergiste à la Couchette Mathias Wolffer revient ensuite au tonnelier Georges Voltz (1623), au marchand Jean Michel Zeyssolff (1663) puis aux transporteurs de sable Jean Georges Dressler et Jean Frey. Sur le plan-relief de 1727, la maison est celle à pignon en haut au milieu de l’image ; la petite maison se trouve à sa gauche. Frédéric Gerlach, déjà propriétaire de la petite maison ci après, l’acquiert en 1736 puis la revend 800 livres en 1745 au menuisier Michel Thomas, originaire de Niederhausbergen, qui est autorisé l’année suivante à construire à l’aplomb de son encorbellement de 34 pieds de long en saillie de deux pieds en supprimant la porte de cave devant la maison, à condition de couper le coin vers la maison Güntzer. Il revend deux ans plus tard une maison nouvellement construite 3 000 livres à Claude Bernard Eisentraut.
La petite maison appartient au début du XVII° siècle aux tailleurs et maîtres d’école Jacques Ness puis Barthelémy Ness. Elle appartient ensuite aux bateliers et transporteurs de sable Jean Meyer (1675) puis Frédéric Gerlach. Quoiqu’il soit propriétaire des deux maisons, on peut supposer que les poutres qu’il est autorisé en 1741 à remplacer se trouvent sur la petite maison qu’il vend en 1750 à son voisin Claude Bernard Eisentraut.
Propriétaire des deux maisons, Claude Bernard Eisentraut a l’intention de reconstruire la petite à la manière de la grande en 1751 en bâtissant à l’aplomb de l’encorbellement de 10 pieds 7 pouces de long en saillie de 2 pieds 8 pouces d’un côté et 4 pieds 9 pouces de l’autre. La rente foncière qu’exigent les Quinze l’en dissuade. Grâce aux arguments qu’il fait valoir (il cède du terrain à la Ville et contribue à son embellissement), il obtient en 1760 une autorisation gratuite de construire à l’aplomb de l’encorbellement et d’établir un balcon sur la longueur de la petite maison.
Il résulte de ce qui précède que les quatre travées de droite sont dues à Nicolas Thomas (1746) et la travée de gauche à Claude Bernard Eisentraut (1760) qui reprend le modèle de la partie déjà construite. La chaîne à gauche de la porte correspond à l’ancienne limite entre les deux maisons. Les différents niveaux sont séparés par des bandeaux. Seule la clé de la porte d’entrée est sculptée.
La maison appartient ensuite (1771-1781) au consul célibataire Jacques Frédéric Faust, tributaire chez les Maçons. Le tapissier Etienne Lefevre, déjà propriétaire de la maison à l’est, l’achète et 1781 et ouvre une communication entre les deux bâtiments. La fenêtre aménagée dans l’ancienne porte cochère correspond peut-être à celle que le maître maçon Schrœter est autorisé à faire en 1783. Etienne Lefevre la revend en ne conservant que l’ancienne en 1804 à l’officier de santé Philippe Frédéric Clausing qui épouse l’ancienne compagne du chef de brigade Nicolas Houel.



Plan-relief de 1725. La maison Zur Cappellen est la première à pignon en arrière-plan à partir de la gauche (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (f-VII) et (g-VII) : les ouvertures sont distribuées comme on peut le voir actuellement. La toiture comprend trois niveaux de lucarnes. La cour (R’) commune avec la maison voisine montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) à l’est de la cour et la bâtiment arrière (4-5).
La maison porte d’abord le n° 3 du quai Finckwiller (1784-1857) puis le n° 8 de la rue ou de la place Saint-Louis.


Cour (R’), plan

Sophie Albertine Schneegans femme du négociant Jean Baptiste Gaudiot fait en 1863 des transformations qui portent le revenu cadastral de 181 à 273 francs. Le nombre de fenêtres au troisième étage reste le même mais celui des fenêtres ordinaires passe de 36 à 43. Ces travaux portent manifestement sur les bâtiments arrière. La maison ne semble pas subir de transformation notable par la suite. Elle appartient à partir de 1896 au marchand de vins Julien Camille Conrad Jaquemoux avant d’être réunie en début des années 1920 à la propriété voisine (Congrégation hospitalière des petites sœurs des pauvres).


Elévations sur rue et sur cour en 1977 (dessin de Jean-Claude Gaudin, dossier de la Police du Bâtiment)
Départ d’escalier XVIII° siècle (photographie B. T.)

juillet 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Maison vers l’est

Jacques Ness, tailleur et enseignant
1617* h Barthelémy Ness, tailleur et enseignant, et (1618) Anne Marie, veuve du trompette Pierre Weiler – luthériens
1660* Anne Ursule Fæssel
1662 v André Kræmer, chaudronnier, et (1649) Ursule Bernhard – luthériens
1675 v Jean Meyer, transporteur de sable, et (1700) Marie Salomé Weber – luthériens
1714 h Jean Meyer, transporteur de sable, et (1669) Anne Catherine Erhard – luthériens
1721 v Frédéric Gerlach, batelier et transporteur de sable, et (1717) Marie Dorothée Brand – luthériens
1750 v Claude Bernard Eisentraut, infra

Maison dite zur Cappellen, vers l’ouest

Marie Ursule Sundheim et (1605) Martin Heckhirn, baigneur, puis (1616) Georges Baumann, baigneur – luthériens
1617 v Mathias Wolffer, aubergiste, et (1595) Ursule Stœsser – luthériens
1622 v Joachim Kœllé, pasteur, et (1604) Ursule Brunner – luthériens
1623* adj Georges Voltz, tonnelier, et Marguerite Hauss – luthériens
1660* adj Jean Charles Müeg, avocat et procureur au tribunal aulique de Spire
1663 v Jean Michel Zeissolff, marchand, et (1642) Anne Trenss – luthériens
1672 v Jean Georges Dressler, charretier, et (1662) Madeleine Weinmüller, puis (1679) Susanne Inckel – luthériens
1687 h Jean Frey, transporteur de sable, et (1687) Susanne Inckel veuve de Jean Georges Dressler, puis (1706) Catherine Peter veuve du batelier Philippe Sandrock – luthériens
1729 h Jean Adam Petri, cordonnier, et (1718) Susanne Marthe Elles, puis (1723) Marie Barbe Frey – luthériens
1733 adj Susanne Feigler, épouse (1692) de Jean Michel Unger puis (1698) de Jules Christophe Kessler, les deux chirurgiens – luthériens
1736 v Frédéric Gerlach, batelier et transporteur de sable, et (1717) Marie Dorothée Brand – luthériens
1745 v Michel Thomas, menuisier, et (1737) Marie Madeleine Bentz puis (1757) Marie Barbe Pauli veuve de Samuel Bahn – luthériens
1747 v Claude Bernard Eisentraut, infra

Deux anciennes maisons réunies

1750 v Claude Bernard Eisentraut, entrepreneur pour le Roi, et (1732) Reine Rostaing – catholiques
1771 v Jacques Frédéric Faust, juriste, consul, célibataire († 1780) – luthérien
1781 v Jean Frédéric Œsinger, conseiller du margrave de Bade, célibataire († 1781) – luthérien
1781 v Etienne (Laurent) Lefevre, marchand tapissier, et (1765) Marie Gabrielle Payre, fille adoptive de Jacques Isaïe Bourgeois – catholiques
1804 v Philippe Frédéric Clausing, officier de santé, et (1798) Marguerite Salomé Wittmann, auparavant compagne du chef de brigade Nicolas Houel
1845 h Jean Baptiste Gaudiot, commissionnaire de roulage, et (1842) Sophie Albertine Schneegans
1896* v Julien Camille Conrad Jaquemoux, marchand de vins, et Mathilde Graff
1923* v Etablissement de la Congrégation hospitalière des petites sœurs des pauvres

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : (Maison à l’est) 175 livres en 1714
(Deux anciennes maisons réunies) 1 750 livres en 1765, 2 500 livres en 1780

(1765, Liste Blondel) VIII 137, à la veuve du Sr Eisentraut
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) H. Ammeister Faust, 6 toises, 4 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1294, Claussing, Philippe Frédéric, docteur – maison, sol, cour – 2,6 are

Locations

1629, (antichrèse) Jean Bitz

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1741, Préposés aux affaires foncières (VII 1399)
Frédéric Gerlach est autorisé à remplacer une poutre et d’autres pièces en bois à sa maison à encorbellement

(f° 139) Dienstags den 1. Augusti, seynd folgende Augenschein eingenmmen worden – Friderich Gerlach
An Friderich Gerlach des Sandführers Häußlein beÿ St Louis an deme er einen Überhang hat, und um erlaubnus gebetten zu Beeden seithen des sehr schlecht und baufälligen Häußleins neü Holtz, ein Neüe schwöll, ein Balcken und ein Pfett ein Zu Ziehen, Erkannt Willfahrt.

1746, Préposés aux affaires foncières (VII 1402)
Les préposés autorisent le menuisier Michel Thomas à construire à l’aplomb de son encorbellement de 34 pieds de long en saillie de deux pieds en supprimant la porte de cave devant la maison, à condition de couper le coin vers la maison Güntzer et de régler 15 livres

(f° 41-v) Montag den 27. Ejusdem [Junÿ] 1746 – In præsentia der Ober Bauherren /:Exc. Herrn Stättm. Von Hürtigheim:/ und Herren dreÿ augenschein eingenommen – Michel Thomas
An Michel Thomas des schreiners Hauß jenseiths St. Thomans bruck, welcher um erlaubnus gebetten seinen 34. schuhe Lang, und 2. schuhe tieffen Überhang Zuunterbauen mit dem erbieten die Vorliegende Kellerthür Völlig Hinwegzuthun. Erkannt mit dem beding Willfahrt, daß er das Eck gegen dem Güntzerischen Hauß abschrote und für ein und Alle mahl 15. lb bezahle solle, dt. 15. lb.

1751, Préposés aux affaires foncières (VII 1404)
Claude Bernard Eisentraut déclare avoir l’intention de reconstruire la petite maison qu’il a acquise à côté de la sienne. Il demande l’autorisation d’ouvrir une porte entre les deux bâtiments au premier et au deuxième étage et de contruire à l’aplomb de l’encorbellement de 10 pieds 7 pouces de long en saillie de 2 pieds 8 pouces d’un côté et 4 pieds 9 pouces de l’autre. Les préposés le renvoient aux Quinze

(f° 73) Eodem die 18. Martÿ 1751. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – H. Claude Bernard Eißentraut
An H. Claude Bernard Eißentraut Hauß ohnfern St Louis, neben welchem er noch ein Kleines Häußel gekaufft, so er neüzubauen und in dem Ersten Stockwerck eine 7. schuhe 6 Zoll Hohe, und 3. Schuhe 1. Zoll breite Communications thür Von seinem Hauß in das Andere, und ein Gleiches in dem Zweÿten Stock Zumachen willens, da auch das erkauffte Häußel einen Überhang hat, wäre er gesinnet denselben seinem Andern hauß Zugleich Zuunterbauen und Vorzufahren, welches in der Länge 10. schuhe 7. Zoll und in der breite auf der seithen 2. schuhe 8. Zoll und auf der Andern seithen 4. schuhe 9 Zoll außmachet, und deßwegen um erlaubnus Gebetten. Erkannt an Unsere Herren der XV. Verwießen.

1760, Préposés aux affaires foncières (VII 1409)
Claude Bernard Eisentraut réitère sa demande à être exempté de la rente foncière que les Quinze ont décidée le 12 juin 1751 [partie du registre en déficit] et autorisé à établir un balcon de 10 pieds 7 pouces en saille de 3 pieds au premier étage, en arguant 1) que les deux maisons étaient déjà réunies par le passé, 2) qu’il perd environ deux pieds de terrain en supprimant sa porte de cave, 3) que les changements qu’il fera contribuent à embellir la ville. Les Quinze accèdent à sa demande.

(f° 21) Dienstags den 29. Apr: 1760. – H: Claude Bernard Eißentraut
H: Claudius Bernard Eißentraut E: E: Großen Raths dermahliger beÿsitzer berichtet, daß er anjetzo willens seÿe, daßjenige Kleine häußel neben seinem hauß ohnfern St Louis Zu bauen, und weilen jhme Zu folg Erkantnuß Ghh. der XV. vom 12.ten Junÿ 1751. Vergönnt worden, den überhang Zu unterbauen und Zweÿ durchbrüche in sein daran stoßendes hauß Zu machen gegen erlag 10. ß d. jährlichen Zinnßes, als bittet er unterthänig in ansehung, daß I.mo diese Zweÿ häußer schon ehemahlen nur eines außgemacht, und noch dato eine alte Communications thür auff dem dritten stock Zwischen beÿden existiren, 2.do er wegen seiner unter dem Überhang liegenden Kellerthür, die er hinweg Zumachen willens, Von seinem Eigenthumb verliehre und dem Allmend ohngefehr Zweÿ schuh breit cedire, und 3.tio dieße Veränderung Zur Zierde der Statt gereiche, jhn des angesetzten bodenzinßes Zu entschlagen und annoch Zu erlauben einen 10. schuh und 7. Zoll langen und 3. schuh tieffen Balcon auff dem ersten Stockwerck Zu machen.
Erkannt wird dem H. Imploranten in ansehung obenallegirte motiven der Zinnß von 10. ß remittirt und jhme erlaubt den begehrten Balcon Zu bauen.
[pièce jointe] Unßere Gnädige Herren die Fünffzehen haben auf das von H. Claudio Bernhard Eisentraut den 24.ten aprilis jüngst übergebene unterthänige Memoriale und bitten Erkandt, daß der unterm 27.ten Martÿ jüngst dem Hn Imploranten wegen unterbauung eines überhangs und zweÿ durchbrüchen seines haußes in das daran stoßende Von ihme erkauffte Kleinern angesetzten jährliche Zinß à 15. ß oder das doppelte Capital davon nemblich 40. Thaler auf Zehen Schilling mithien das doppelte Capital auf Viertzig Gulden Zu moderiren und zu setzen seÿe. Decretum Sambstags den 12.ten Junÿ 1751. – Friderici.

1781, Protocole des Quinze (2 R 191)
Etienne Laurent Lefevre demande l’autorisation d’ouvrir une porte entre sa maison et la voisine qu’il vient d’acheter des héritiers du conseiller aulique Œsinger. Les préposés qui se rendent sur place constatent que la porte à ouvrir dans les mansardes ne nuira en rien à la Ville. Ils accordent l’autorisation moyennant une rente foncière d’un florin.

Durchbruch, Stephan Lorentz Lefebvre beÿ St Louis behaußung
(p. 330) Sambstags den 1.sten Septembris 1781. Rang nôe H. Stephan Lorentz Lefebvre dieser hat von weÿland H. Hoffrath Ösingers erben die in deßen Verlaßenschafft gehörige beÿ St. Louis gelegener behaußung, so an sie seinige stosset erkaufft bitt Gnädig Zu erlauben beeder häußer durch eine thür Vereinigen zu dörffen und setzt, Erk. Obere Bauh.

(p. 369) Sambstags den 15.sten Septembris 1781. Obere Bauh. lassen durch H. Secretarium Widt referiren es habe Stephan Lorentz Lefebvre den 1.sten dieses per recessum gebetten ihme zu erlauben seine beede beÿ St Louis gelegene behaußungen durch eine thür vereinigen Zu dörfen, die H. deputirte hätten den darauf verordneten augenschein eingenommen und gefunden daß Implorant in der Mansarde ein thür durch Zubrechen gesinnet seÿe, welches weder gemeiner Stadt noch der burgerschafft nachtheilig seÿn kan, dahero sie auch keinen anstandt gefunden demselben in seinem begehren jedoch gegen reichung eines Jährlichen ohnablößigen Zinnßes Von 1 fl. Zu willfahren. Erkandt, bedacht Confirmirt.
(Pas dans Bauherren)

1783, Préposés aux affaires foncières (VII 1420)
Le maître maçon Schrœter est autorisé au nom du tapissier Lefevre à ouvrir une croisée dans la maison qui a appartenu au consul Faust.
(f° 99) Dienstags den 21. Januarii 1783 – Sr Lefevre Tapicier
Mr Schrötter der Maurer, noê Sr Lefevre des Tapicier bittet zu erlauben an deßen behausung bei Sr Louis gelegen, so weiland Herrn Ammeister Faust Zugehörig war, einen Kreutzstock einsetzen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1780 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs chambres à cheminée à la française, une cuisine et plusieurs dépenses, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, toutes appartenances et dépendances à la somme de 5000 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Quai Finckwiller

nouveau N° / ancien N° : 3 / 3
Clausing
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 317 case 2

Claussing Philippe Frédéric docteur
Schnéegans Sophie épouse Gaudiot (subst. pour 1847)

P 1294, maison, sol et cour, Quai finckwiller 3
Contenance : 2,60
Revenu total : 181,35 (180 et 1,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 29
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 10

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 743 case 1

Schnéegans Sophie épouse Gaudiot
1896/97 Jaquemoux Julian Jakob, Kaufmann / Julian Kamill Konrad, Weinhändler und Ehefrau Mathilde geb. Graff in Gütergemeinschaft

P 1294, maison, sol, cour, Rue St Louis n° 8
Contenance : 2,60
Revenu total : 181,35 (180 et 1,35)
Folio de provenance : (317)
Folio de destination : 743, augm. de C.on de 1863 – sol, Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1866
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36
fenêtres du 3° et au-dessus : 12
1866, Schneegans Sophie f° 743, P 1294, Maison, revenu 272, Aug.on de C.on, achevée en 1863, imposable en 1866, imposée en 1866

P 1294, maison, Rue St Louis n° 8
Revenu total : 273,35 (272 et 1,35)
Folio de provenance : 743, augm. de C.on de 1863
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1866
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 43 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 10
Année 1866 – Augmentations, Schneegans Sophie f° 743, P 1294, Maison, revenu 272, Aug.on de C.on, achevée en 1863, imposable en 1866, imposée en 1866

Cadastre allemand, registre 29 p. 114 case 10

Parcelle, section 9, n° 21 – autrefois P 1294
Canton : St. Ludwigs gasse N° 8 / Rue St Louis, Place St Louis 8
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 2,20
Revenu : 2100 – 2800 – 2300
Remarques : 1910, Berufung

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1923), compte 590
Jacquemoux Julius Kamill Konrad u. Ehefrau
gelöscht 1923

(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 59
Kongregation d. Kleinen Schwester
1925 Etablissement de la Congrégation hospitalière petites sœurs des pauvres
(152) corrigé en (173)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 281 Marché aux Choux ou Quai de Finckweiler (f° 440)

2 et 3
prop. Lefèvre, Etienne Laurent, Tapiss. – Miroir
loc. Pleyel, Ignace, Maître de la Chap. de la Cathedr

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Ludwigsgasse (Seite 104)

(Haus Nr.) 8
Schäffer, Reisender, 0.
Wagner, Bauunternehm. 1.2
Sommer, Tuchhändler. 3

Dossier de la Police du Bâtiment

Les dossiers conservés 233 MW 2027 puis 735 W 256) ont trait au n° 6 qui appartient aux Petites Sœurs des Pauvres. Il y est parfois question du n° 8 depuis que la même congrégation l’a acheté (1923). L’ancien dossier du n° 8 n’est pas conservé.
Le deuxième dossier comprend un jeu de dessins de toute la propriété que l’architecte Jean-Claude Gaudin (rue Lamennais à Paris VIII°) a dressés pour le maître d’ouvrage Hervé Picot S.A. en 1977.


Relevé d’actes

Maison vers l’est

D’après les tenants et aboutissants, la Maison vers l’est appartient au début du XVII° sièce au tailleur et enseignant Jacques Ness puis à Barthelémy Ness qui épouse en 1618 Anne Marie, veuve du trompette Pierre Weiler, de Montbéliard

Mariage, cathédrale (luth. p. 70)
1618. M. Bartholomæus Näß vnd Anna Maria, Peter weylers gewesenen fr. Trometer Zu Mompelgart s. Witwe, eingesegnet montag den 10. Augusti (i 40)

Chargée d’un cens de 7 sols 2 deniers et un chapon et demi envers la fondation Saint-Thomas, la maison revient ensuite à Anne Ursule Fæssel qui la vend 130 livres en 1662 au chaudronnier André Kræmer et à sa femme Ursule

1662 (30. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 527 f°
64
(Prot. fol. 5) Erschienen Anna Ursula Fäselin mit beÿstand Niclaus Winters deß Schneiders ihres Curatoris
in gegensein Andres Krämers deß Kupfferschmidts und Ursulæ seines Eheweibs, beÿde Eheleuthe mit assistentz Caspar Dieffenbachs deß Kupfferschmidts ihres resp. Stieffschwähers und Stieff Vatters
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie Jenseit und geg. St. Thomans Bruckh einseit neben H Johann Sebastian Gambß. dem Müntz Verwaltern anderseit neben (-) hind. vff gemelten H Gambß. stoßend gelegen, davon gehend iahrs 7 ß 2 d und 1 ½ Cappen dem Stifft St. Thoman – umb 130. Pfund

Fils d’un chaudronnier de Lahr, André Kræmer épouse en 1649 Ursule Bernhard, fille de feu le chaudronnier Mathias Bernhard et belle-fille de Gaspard Dieffenbach : contrat de mariage, célébration
1649 (29.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55)
(Eheberedung) Zwüschen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Andres Krämern Von Lahr dem ledigen Kupferschmidt gesellen, deß Ehrengeachten hanß Jacob Krämers Kupferschmidts vnd burgers Zu Lahr Im Preißgauw ehelichem Sohn alß dem brautigamb Ane einem
So dann der Züchtigen Ehren vnd tugendsamen Jungfrauen Ursulen Bernhardin, beÿständlich deß Ehrengeachten Mathÿß Bernharden Kupfferschmidts burgers Zu Straßburg nunmehr selig hinderlaßener Eheleiblich. dochter Alß der Hochzeiterin, Am Andern theÿl
So bescheh. Vnd Verhandelt In Straßburg Sontag den 29.ten Aprilis Anno 1649. [unterzeichnet] Ich Andreas Krämer Als hochzeitter bekene wie Vorher stet, Ich Caspar deiffenbach der hochzeitterin Stieffvatter bekenne wie vor her stetts, Ich Geörg Kuchler Als der hochzeiterin Vogt bekene als wie Vor steht

Mariage, cathédrale (luth. f° 520-v)
1649. Festa Pentecost. Andreas Krämer der Kupffer Schmidt, Hannß Jacob Krämer deß Kupfferschmidts vnd Burgers Zu Lohr ehelicher Sohn, J. Ursula, Mathiæ Bernhard des geweßenen Kupfferschmidts vnd Burgers allhier nachgelaßene Eheliche dochter. Im Münster Mont. den (-)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du chaudronnier Georges Kugler Grand rue. Les apports du mari s’élèvent à 1 378 livres, ceux de la femme à 2 810 livres.
1649 (26.5.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 36) n° (636)
Inventarium vndt beschreibung aller vndt jeder Haab vndt Nahrung, So der thugendsamen Ursulen Bernhardin eÿgenthümblichen Zuständig Vndt die selbige Zu dem Ehrsamen vndt bescheidenen Andreß Krämern Kupfferschmidten von Lohr, hannß Jacob Krämers auch Kupfferschmidts vndt burgers daselbsten ehelichem Sohne Ihrem Jetzigen haußwürth in den Ehestandt Zugebracht hatt, Welche Nahrung Zu Verhüttung Künfftiger streitt vndt vngelegenheit & wie Solche durch genante Ursulam Bernhardin mit hülff undt beÿstandt Mstr Georg Kuglers Kupfferschmidts burgers zu Straßburg Ihres geschwornen Vogts selbsten geeigt vndt gezeigt (…) Actum vndt Angefangen Zu Straßburg In fernerem beÿ: vnd gegensein Casparj Dieffenbachs auch Kupfferschmidts mehrgemelter Ursulen Bernhardin Stieffvatter Vndt Fr. Marien Dorschin der rechten Mutter Sambstags den 26.ten Monatstag Maÿ Anno & 1649.

Inn einer Inn der Statt Straßburg ane obern Straßen einseit neben der Gastherberg Zum Schwartzen Adler genant & gelegen vndt durch Georg Kuglern Kupfferschmidt obgenant den Vogt bewohnender behaußung meistentheils befunden Word. alß volget.
Sa. haußraths 40, Sa. So neüe So alt gemacht undt ohngemachter Arbeit vnd Wahren (-)
Verzeichnuß der Jenigen Tag So Ich Endtbenandter als Vogt weÿlandt Matthiß Bernhardts geweßenen Kupfferschmidts burgers Zu Straßburg seelig hind.laßener 3. Kinder beÿ auch weÿl. Herrn Sebastian Bernhardts Statt Kupfferschmidts vndt alten Groß Rathsverwanthen seelig Verlaßenschafft Inventation vndt Abtheÿlung Vögtlicher weiße Zugebracht habe

André Kræmer et se femme deviennent bourgeois le 5 septembre 1653 en apportant deux enfants
1653, 3° Livre de bourgeoisie p. 943
Andres Krämer der Kupfferschmid von Lahr erkaufft für sich und sein haußfr. Ursulam Bernhardin umb 20. gold fl. bringen mit sich 2 Kinder Würd Zu E. E. Zunfft der Schneider dienen Jur. den 5. 7.bris 1653.

André Kræmer vend la maison 137 livres au transporteur de sable Jean Meyer

1675 (30. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 559-v
Andres Krämer der Kupfferschmidt
in gegensein Johann Meÿers deß Sandführers
hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten zugehördten und Gerechtigkeiten alhier Jenseit und Gegen St. Thomans Bruckh, einseit neben dem Verkäufferen selbst. anderseit neben hannß Georg Dreßler dem Sandführer hinden uff Ihne den Verkäufferen stoßend gelegen, davon gehnd iährlichen 6 ß 2. d in gelt und 1 ½ Kappen dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behaußung auch noch umb 125. fl. Capital dem Mehren Hospital alhier Verhafftet – umb 75 pfund pfenning

Fils de garçon batelier, Jean Meyer épouse en 1669 Anne Catherine Erhard, fille du boucher Sebastian Erhard
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 6 n° 19)
1669. Dom XVII ey XVIII. Trin. den 3. v. 10. octobt. Johannes Meÿer der ledige schiff knecht, Weÿlandt Simon Meÿers bürgers v. schiffkechts hinderlassener Sohn, Jfr. Anna Catharina Sebastian Ehrhards burgers vndt Metzgers eheliche tochter. Eingesegnet Montag den 11. octobr. zu St. Thomæ

Jean Meyer hypothèque la maison au profit de Jules Reichert, professeur de mathématiques et chanoine de Saint-Thomas

1675 (25. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 647
Johann Meÿer der Sandführer
in gegensein ut supra [in gegensein deß Edel Hochgelehrten herrn Julÿ Reichelts Mathe: Professoris alß Canonici deß Stiffts St. Thomæ und herrn Johann Jacob Moseders berührten Stiffts Schaffners] – schuldig seÿe 50 Pfund pfenning
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten, alher Jenseit und gegen St. Thomans bruckh, einseit neben Andres Krämers dem Kupfferschmidt anderseit neben hannß Georg Dreßler dem Sandführer, hinden auch uff Ihne Krämer stoßend gelegen, davon gehend iährlichen gd. Stifft 6. ß 2. d in gelt und 1 ½ Kappen,

Jean Meyer et Anne Catherine Erhard hypothèquent la maison au profit de Jean Henri Bœckler, professeur de droit et chanoine de Saint-Thomas

1707 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 123-v
Joh: Meÿer der Sandführer und Anna cath: geb. Ehrhardin beÿständlich Joh: Jacob Fritz schreiners und Georg Friedrich Seÿdenbinders handelsmanns
in gegensein H. Joh: Heinrich Böcklers U.J. Dris u. Professoris Just: Imp: auch Juris publ: u. Canonici Cap: Thom: nôe. erwehnten Capituli in fernerem beÿseÿn H Joh: Joachim Moßeders Schaffners daßelbst – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Hauß hoffstatt c. appert: allhier jens; St Thomas Bruck, einseit neben Joh: Freÿ sand Karchern anderseit neben Philipp Steltz gremp hinten auff (-), darvon gehen jährlichen ged. Stifft 6 ß 2 d in geld und 1 ½ Kappen
Wobeÿ ferners erschienen Simon Weber schippmacher, Item Joh: meÿer sandführer der sohn und Maria Salome geb. Weberin beÿständlich obigen ihres vatters u. Simon Webers deß bruders die haben sich verbürget

Anne Catherine Erhard meurt en décembre 1713 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 175 livres.

1714 (4.4.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 8) n° 426 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿlandt der Ehr: undt Tugendtsahmen Frauen Annæ Catharinæ Meÿerin gebohrner Ehrhardtin, deß Ehrsam: v: bescheidenen Johann Meÿern deß ältern Sandt schiffmanns vnnd burgers alhier Inn Straßburg geweß. ehel: haußfrawen nunmehr seel. verlaßenschafft auffgerichtet, vndt verfertiget in Anno 1714. – nach ihrem auff Sontag den 17. Decembris deß verwichenen 1713: Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen Tödlichen hintridt hinder Ihro verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der verstorbenen seel: auff nachstehendem blatt endtahlene eheleibl. mit gedachtem wittiber erzeugter einigen Sohn Johann Meÿern Jun: burg: v. sandschiffmann alhier alß ab intestato nachgelaßener einiger Erben – Actum Straßburg den 4. Aprilis 1714.

Norma hujus inv. Copia Test. sol. in scriptis clausum
haußrath 20, Silb. gesch. 4: gl. Ring 1, Eigth. ane i. hauß 150, Summa summarum 176 lb – Passiva 245 lb, Schuld. Nachst. 68 lb
In Einer obern Cammer A, In der andern obern Cammer B, In der wohn stub
Eigenthumb ahne Einer behaußung so theilbar. Item eine kleine behaußung, hoffstatt samt aller deren rechten vndt Gerechtigkeiten auch weiten und Zugehördten gelegen alhier In der Statt Straßburg beÿ v: nahe der Thomas brucken ein seith neben Johann Philipp Stoltzen dem Krempen, ander seith Johann Freÿen dem Sand fuhrmann, beeder burgere alhie Inn besagtem Straßburg hinden theils auff gedachten Stoltzen, vnd. anderer benachbarter burgere Stoßend, auff welcher behaußung dem Stifft S. Thomæ alhier ein Ehrschätziges Cap: hafftendt so jahr. mit 6: ß 2 s gelts vndt einem vnd ein halben Capaunen verzinßlich abzurichten welches häußlein durch besichtigung der herren Werckmeister nach Innhalt deren extradirten Schatzung so der æstimation Zetul vom 4. April dießes 1714. Jahrs nach abzug dießer beschwehrt gereichet so hiehero Inn Außwurff gehörig 150. lb. Darüber sagt ein alter pergamentener Kauffbrieff auß alhießiger Cancelleÿ Contract Stuben dedato den 30: Jan: 1662. mit dem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt mit altem N° 1 und neuen N° 2.
Abschatzung: d: 4.ten Aprill: anô 1714. Auff begeren deß Ehrenhafften Vnd bescheiten Johannes Meÿer Ist Eine behaußung alhier in der Statt Straßburg, An der Thomas bruckhen gelegen Ein seitz Neben: H: Johann Philipp Stoltz: Ander seitz, Neben Johannes Freÿ, hinten Auff gedachten: H: Stoltz: Stossent: welche behaußung, hoff, hoffstatt, Gebelckter Keller, Sampt aler, Ihrer Recht Vnd gerechtig Keit, wie solches durch der Statt Straßburg, Geschworen Werckhleüth, sich in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen, Wirdt, Vor, und Vmb, Dreÿ Hundert Vnd Fünffzig Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworen werckh leüth, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff

Jean Meyer vend la maison 287 livres à son fils Jean Meyer et sa belle-fille Marie Salomé Weber

1714 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 322
Joh: Meÿer sandtführer
in gegensein Joh: Meÿer jun: auch sandtführers deß sohns und Mariæ Salome geb. Weberin deßen haußfrauen
sein gantzes hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier über St Thomä bruck, einseit neben Philipp Stoltz dem gremp anderseit neben Joh: Freÿ hinten auff ihn Stoltz, darvon gibt mann anderthalb Capaunen jährlich u. 6 ß in geldt dem Stifft St Thomæ – um 100 und 62 pfund verhafftet, geschehen um 125 pfund

Jean Meyer épouse en 1700 Marie Salomé, fille du tamisier Simon Weber : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwischen dem ehrsahmen undt bescheidenen Johann Meÿern Jun: ledigen Sandt Schiffmanns deß auch Ehrengeachten und bescheidenen H. Johann Meÿer deß ältern Sandt Schiffmanns vnd Burgers alhier Zu Straßburg eheleiblicher Sohn alß dem Hochzeiter ahne Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrauwen Maria Salome Weberin deß Ehrengeachten undt achtbahren H. Simon Webers deß Süppmachers auch burgers alhier Eheliche Jungfraw Tochter als der Jgfr. hochzeiterin andern theils – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstag den 16. tag deß Monats Februarÿ Neuwen Calenders Anno Christi 1700. Christoph Eberhardt Bär Nots. publ. Juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 107-v)
1700. Mittw. d. 12 Maj wurd. nach ordentl. außruff. copulirt Johannes Meier d. ledige Schiff Knecht v. B. allhier, Johann Meiers des schiffmanns v. B. allhier ehl. sohn, V. J. Maria Salome Simon Webers, des Sippmachers v. B. allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes meÿer, + ist der hochzeiterin Zeich. (i 107)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 76 n° 410) den 2. und 9 Maÿ sindt auch Zu S Thomæ außgeruffen, vndt den 12 Maÿ 1700 in der Newen Kirch Copulirt worden Johann Meÿer der ledige schiffknecht, Johann Meÿers des burgers undt schiffmanns ehelicher Sohn, mit Jfr. Maria Salome, Simon Webers burgers undt Sipmachers eheliche Tochter (i 78)

L’épouse fait dresser un inventaire de ses apports qui s’élèvent à 172 livres
1700 (19.6.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 1) n° 186 (numéro XIX° s.)
Inventarium und Beschreibung, aller, undt Jeder Haab, undt Nahrung keinerleÿ außgeschloßen, So die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Salome gebohrne Weberin zu Ihme Johann Meÿern dem Jüngeren burger undt Sandt Schiffmann alhier zu Straßburg alß ihrem Ehe M. in die Ehe gebracht (…) So beschehen Sambstags den 19: Junÿ Anno 1700.
Norma hujus Inventar, Haußrath 98, Silber 6, Guldene ring 7, baarschafft 59, Summa summarum 172 lb

Jean Meyer et Marie Salomé Weber font dresser un inventaire de leurs biens dans une maison qui appartient au serrurier Isaac Kappler près l’église Saint-Louis
1723 (22.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 17) n° 551-b
Inventarium über Johann Meÿern Jun: des Sandführers und Frauen Mariæ Salomeæ gebohrner Weberin beeder Eheleüth und bürgern allhier Zu Straßburg der Zeit besitzende Nahrung auch passiva auffgerichtet Anno 1723. – welches alles auf erfordern und begehren der Ehefrauen geschwornen Curatoris des Ehrenhafften Johann Michael Dürren fastenspeishändlers und burgers allhier vorgenommen (…). Actum Straßburg den 22. Martÿ Anno 1723.

In einer allhier Zu Straßburg jenseith der Thomas Kirch gegen St Ludwig gelegenen lehnungsweis besitzenden behaußung folgender maßen befunden
(f° 5) Schulden auß vorstehender Concurs Nahrung zugeltendt, Item Hn Isaac Kapler dem Schloßer soll man vor ein Jahr verseßenen haußzinnß, 10 lb
Copia Eheberedung (…) So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstag den 16. tag deß Monats Februarÿ Neuwen Calenders Anno Christi 1700. Christoph Eberhardt Bär Nots. publ. Juratus

Jean Meyer et Marie Salomé Weber vendent la maison 350 livres au batelier Frédéric Gerlach et à sa femme Marie Dorothée Brand

1721 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 593-v
(350) Johann Meÿer der Schiffmann und Maria Salome geb. Weberin
in gegensein Friedrich Gerlach auch Schiffmanns und Mariæ Dorotheæ geb. Brandin
Eine behausung und hoffstatt ohnfern der St Thomans: bruck, einseit neben Philipp Stoltzen dem Krempen anderseit neben Johann freÿ dem Fuhrmann hinten auff Hn Friedrich Kornmann Banquier, davon gehen jährlich zwen Cappen ahne zinnß dem Stifft St Thomä – um 100, 62 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 137 pfund

Les acquéreurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit de Jean Georges Goll, receveur du chapitre Saint-Thomas

1721 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 618-v
Friedrich Gerlach Schiffmann und Maria Dorothea geb. Brandin mit beÿstand Christoph Jehert Schneiders ihres Schwagers und Johann Daniel Klingelmeÿers Tabackbereithers ihres Vettern in ansehung ihr einer bruder abweßend der andere aber bettlägerig
in gegensein H. Johann Georg Golen Schaffners des Stiffts St Thomæ – schuldig seÿen 50 pfund zu nöthiger reparation unten beschriebener behausung
unterpfand, Eine behausung und hoffstatt cum appertinentÿs ohnfern St. Thomä Bruck einseit neben Philipp Stoltzen dem krempen anderseit neben Johann Freÿ dem fuhrmann hinten auff H. Friedrich Kornmann banquier, über zween Cappen dem Stifft St Thomä zu reichen

Fils de boucher, Frédéric Gerlach épouse en 1717 Marie Dorothée Brans, fille de tanneur : contrat de mariage, célébration
1717 (2.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 866
Eheberedung zwischen Friderich Gerlach Leedigen Schiff Knecht weÿl. H. Johann Gerlach Metzger und burgers allhier seel. nachgelaßenem Ehelichem Sohn alß dem Brautigamb beÿständlich H Johann Niclaus Kammen Metzger und burgers allhier seines Vetters Ane Einem
So dann Maria Dorothea Brandin, weÿl. Herrn Johann Bernhard Branden geweßenen Weißgerbers und burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßener ehelichen Tochter alß der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz herrn Johann Jacob Branden Weißgerber und burgers allhier Ihres bruders andern theils
Actum Straßburg Montags den 2. Augusti Anno 1717.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 68)
1717. d. 11. Aug. sind Ehelich eingesegnet word. Friderich Gerlach der ledige Burger vnd Schiffknecht allhie Weiland Johannes Gerlachs gewesenen Burgers vndt Metzgers allhie nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Maria Dorothea Weiland Johann Bernhard Branden Gewesenen Burgers und Weißgerbers allhier nachgelaßene Eheliche Tochter [unterzeichnet] + dießes ist des Hochzeiters Zeichen, maria dore brandin als hozenderin (i 70)

Jean Frédéric Gerlach s’adresse aux Quinze pour s’inscrire à la tribu de l’Ancre bien qu’il ne puisse produire de certificat d’apprentissage. La tribu le renvoie au métier de transporteur de sable pour autant que l’autorisent les préposés aux affaires foncières. Le pétitionnaire argue qu’il a été au service du batelier Gottesheim pendant six ans et qu’il a déjà fait le voyage jusqu’à Francfort. Les Quinze estiment que la demande contrevient au règlement. L’assemblée délivre ensuite une expédition de sa décision.
1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134)
Joh: Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunfft der Encker pt° Handwercks
(p. 189) Sambstags d. 29. Maÿ 1728. Joh: Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunfft der Encker
Gug nôe Joh: Friderich Gerlach burgers undt Schiffers prod. Undth. Mem. und bitten sambt beÿlag N° 1. biß 5. bitt Deput. et Facta relatione umb gn. reception in das Handwerck. Erk. Soll dem Zunfftmeister beÿ Zunfft der Encker hierzu Verkündt werden.

(p. 197) Sambstags d. 5. Junÿ 1728. Joh: Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunfft der Encker
Gug nomine Joh: Friderich Gerlach Cit. Ca. E. E. Zunfft der Encker H. Zfft Mr erholt nochmal prod. vom 29. Maÿ undt recess vom 5.t h. Bitt Deput. Moss. prod. Except. juncto petito handelt Inhalts Gug erhl. Contenta producti bitt Deput. Erk. mit gebettener Deput. willfahrt.

(p. 220) Sambstags d. 19. Junÿ 1728. Joh: Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunfft der Encker
Gug nôe Joh: Friderich Gerlach burgers undt Schiffer

(p. 248) Sambstags d. 19. Junÿ 1728. Joh: Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunfft der Encker pt° Handwercks
Obere Kauffhauß Herren laßen per me [Secretarium] referiren, daß Johann [Friderich] Gerlach der burger undt Sandführer allhier schon den 25. Junÿ 1727. beÿ E. E. Zunfft der Encker angesu[chet] Ime das Handwerck gedeÿen Zu laßen, weil er aber nicht nach Ordnung Zur Lehr eingeschrieben, noch auch außgethan worden, alß habe ged. Zunfft erkandt, das derselbe mit seinem begehren abzuweisen, des Sandführens umb so Viel sich bedienen Könne alß Ihme Von denen Hochverordneten Oberbauherren erlaubt, Worauff derselbe sich nach verfließ. 11 Monath Zu Mghh. angewendet und den 29. May jüngst ein Vnderth. Memoriale und bitten contra E. E. Zunfft der Encker mit beÿlag N° 1. biß 5. dieße aber d. 19. juinus dero Exceptiones producirt.
Auff geschehene Remission habe der Implorant sich auff Contenta Memorialis bezogen, und nochmahl gebetten wegen der einschreibung undt außthuung, alß welche beede unterlaßen word. gnädig Zu dispensiren undt Ihme in die Zahl der Handwercks: genoßen anzunehmen, mit dem beÿsatz er habe nach außgestandener Lehr 6. Jahr beÿ Gottesheim alß Knecht gedienet auch einmahl Zu nacher Franckforth gefahren. nahmens der Imploraten seÿen erschienen H. Rathh. Eckert, H. Rathh. Knoll alß jetzmahliger Zunfftmeister undt H. Stamm welche sich auff den 6. undt 7. Ihrer Articul beruffen, welche gantz Klahr mit nochaahligem beÿfug. es seÿe Keine gerige Sach auff dem Rhein Zu fahren, Implorant Kenne den Rhein nicht, undt Könte durch die dispensation die nothige Experienz nicht beÿgelegt werden sich auch auff deren Excepiones beziehend.
Erk. wird der d. 25. Junÿ 1727. ergangene bescheid alß welcher auff 2. Klahre Articul gegründet allerdings confirmirt, mithin Imp. mit seinem begehren abgewießen.

(p. 250) Sambstag d. 3. Julÿ 1728. – Gug nôe Joh: Friderich Gelach bitt gn. Comm. des contra E. E. Zunfft der Encker ergangenen bescheidts. Erk. Willfahrt

(p. 262) Sambstag d. 10. Julÿ 1728.
Bescheid. Sambstags d. 19. Junÿ 1728. In Sachen Johann Friderich Gerlach des burgers undt Sand Schiffers allhier Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Encker H. Zunfft Meister, Imploraten, am andern theil, eingelegtes Memoriale sambt beÿlage, sub Nis 1. biß 5. mit angehencktem Bitten Deputationem Zu ertheilen et facta Relatione, wegen der Einschreibung zu denen Lehrjahren, undt Außthuung, welche beede unterlaßen worden seÿen, gnädig Zu dispensiren undt den Imploranten in die Zahl der Handwercks: genoßen auff: und anzunehmen, Von seithen der Imploraten eingelegte Exceptiones, bewilligt und beseßene Deputation, und dabeÿ ferner angehört beederseitiges Vor: undt anbringen, alles wohl erwogen, Ist der Herren Deputirten abgelegtern Relation nach erkandt, Wird der den 25. Junÿ 1727. auff E. E. Zunfft der Encker ergangene bescheid alß welcher auff zweÿ Klahre Articul gegründet, confirmirt, folglichen der Implorant mit seinem begehren abgewießen.
Zu Mghh stellend, ob sie deßen Auffsatz alßo genehmhalten, und erkennen wollen, daß selbiger in dießer Form expedirt und dem Imploranten Zugestellet werden soll. Erk. quod sic.
(Mentions correspondantes dans les notes du secrétaire, pp. 208, 214, 228 et 238)

Nouvelle demande d’admission présentée aux Quinze. Les lacunes du registre ne permettent pas d’en connaître l’issue (d’autres affaires dans les années suivantes seront présentées ultérieurement)
1730, Protocole des Quinze (2 R 136)
(p. 286) Sambstag d. 19. Aug. 1730. – Johann Friderich Gerlach Ca. E. E. Zunddt der Encker pt° handwerckhs
Gug nôe. Johann Friderich Gerlach burgers und Schiffmanns prod. undth. Memoriale mit bitten Deput. et facta relatione umb gn. reception in das handt werck und Kleinen Umbgang. Erk. soll E. E. Zunfft der Encker zu die(sem) begehren Verkundt werden

Marie Dorothée Brand meurt en 1750 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue de l’Arc-en-Ciel. L’actif de la succession s’élève à 42 livres, le passif à 299 livres.
1750 (13.8.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 373) n° 407
Inventarium über Weÿland der Tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä Gerlachin gebohrner Brandin, des Ehrengeachten Johann Friderich Gerlach, des ältern Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Haußfrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1750. – als dieselbe Sontags den 15.ten Martÿ dießes Lauffenden 1750.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihren aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) durch vorgedachten Johann Friderich Gerlach den ältern, den hinterbliebenen Wittiber wia auch Frau Mariam Dorotheam Kampffin gebohrne Gerlachin die älteste Tochter und Dionysium Kempff den Kutscher und burgern alhier deroselben Ehevogten (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 13.ten Augusti Anno 1750.
Die Abgelebte seelig hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Mariam Dorotheam Kampffin gebohrne Gerlachin, Dionysÿ Kampff des Kutschers und burgers allhier Ehefrau, welche mit assistentz besagten Ihres Ehevogts i Persohn den geschäfft abwartete. 2.do Margaretham Salome Gerlachin, welche Majorennis und ohnbevögtigt dermahlen aber in allhießigem Arbeithaus sich befindet, deßwegen in Ihrem Nahmen herr Johann Carl Oberle, des Schiffmann und burger allhier, als von Ihro Zufolg unterm 11.ten Augusti 1750. eigenhändig ausgestellten Scheins hierzu in specie erbettener beÿstand beÿ dießem geschäfft sich eingefunden. 3.tio Johann Friderich Gerlach den jüngern Schiffmann und burgern allhier welcher in Königlichen Frantzösischen diensten engagirt und dißmahlen abweßend, dahero vorgedachter herr Johann Carl Oberle der Schiffmann und burger allhier seine Stelle hiebeÿ Vertretten, So dann 4.to Johann Daniel Gerlach, deßen geschworner vogt Ezechiel Schlegel der Steuermann und burger allhier welcher nomine seines Curandi in Persohn dem geschäfft beÿgewohnt, Alsoalle vier der seelig Verstorbenen, mit Eingags gedachtem Johann Friderich Gerlach dem ältern Schiffmann und burgern allhier Ihrem hinterbliebenen Wittibers ehelich erzeugte Söhn und tochter und ab intestato zu vier gleichen portionen und Stammtheilen Verlaßene Erben.
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen seÿe hiemit, daß nachdeme mann zu gegenwärtiger Inventation geschritten, Ich der requirirte Notarius gleichbalden den hinterbliebenen Wittiber gefragt, ob Zur Zeit Ihr beeder geweßener Eheleuthe mit einander getroffenen heuraths eine Eheberedung oder aber von der Verstorbenen seeligen einiger Letste Willen auffgerichtet Worden seÿe, worauff derselbe mit Nein geantwortet, anbeÿ den bericht ertheilet, daß sowohl Er als seine Verstorbene Ehefrau nunmehr seelige ane Zeitlicher Nahrung sehr wenig in die Ehe gebracht wovon aber nicht das geringste mehr in natura vorhanden, dieselbe auch wehrender Ehe nichts ererbet haben, derowegen dann die sambtliche Vorhandene Massa hießigem Löblichen Gebrauch nach tam active quam passive vor theilbahr inventirt und eingetragen worden.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Regenbogengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 34, Sa. Schiff und geschirr Zur Schiffarth gehörig 3, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 42 lb – Schulden 299, In Vergleichung, Passiv onus dem Stall tax nach 257 lb

Frédéric Gerlach vend la maison 600 livres à Claude Bernard Eisentraut qui la réunit à la voisine dont il est déjà propriétaire

1750 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 78
Friedrich Gerlach der schiffmann
in gegensein H. Claude Bernard Eisentraut
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehör und rechten ohnfern St Thomas bruck, einseit neben Jacques Isaia Bourgeois dem tapezirer, anderseit neben H. käuffer, hinten auff ST. H. XIII. Friedrich Kornmann – davon gibt man dem stifft St Thomas anderthalben cappen ane zinß – als ein am 13. Decembris 1721 erkaufftes guth, um 600 pfund


Maison dite zur Cappellen, vers l’ouest

Marie Ursule Sundheim qui vend la maison en 1617 épouse en 1605 Martin Heckhirn, propriétaire du bain de Spire au Vieux-Marché-aux-Vins puis en 1616 Georges Baumann, originaire de Dinkelsbühl près de Nuremberg

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 96-v, n° 26)
1605. Martin Heckhirn Speirbader, Ursula H. Jacob von Suntheim fünffzehners tochter. 10. Junÿ (i 99)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 140-v) 1616. 15. April. Jerg Bawman der Bad. von Dinckelspiel. Ursula, Martin Heck Speirbad.s Wittib (i 145)

Baigneur aux bains de Spire, Georges Baumann devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 997
Georg Bauwmann Von Denckelspüel beÿ Nürnberg bürttig, dd. Bader Im Speürbad Alhie, Empfahet d. Burg. recht von Weil. Martin Heckhirne gewesenen bader daselbst hünd. laßene wittib Vrsula von Sundheim vnd Wüll Zu Schmid. dienen. Actum den 7 Aprilis A 1616.

Assistée de son mari Georges Baumann, Ursule von Sundheim vend 325 livres la maison dite zur Cappellen (à la Chapelle) à Mathias Wolffer, aubergiste à la Couchette

1617 (ut spâ [xxvj. Junÿ]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 287-v
(P. fol: 331.) Erschienen Ursula von Sundtheit mit beÿstand Geörg Bauman des baders Im Speÿrbad burgers Zu Straßburg Ihres ehevogts (verkaufft)
herrn Mathÿß Wolffern gasthaltern Zum Spanbeth burgern Zu Straßburg,
hauß, hoffestatt, höfflin vnd schupff sampt dem Stall mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Jenseit Sanct Thomans brucken Zur Cappellen genant, einseit neben dem Keüffer selbst, anderseit neben Jacob Næß des schneÿders seligen erben, hinden vff David helden stoßend, dauon gend Zehen schilling 6 pfenning bodenzinß dem Stifft Zu Sanct Thoman, Mehr Zwen gold guldin gelts Ablößig mit 40 gold guldin vff Michaelis Lorentz Trenßen dem garttner vnder wagnern, Weither 10 guldin gelts Straßburger werung widerkeuffig mit 200 guldin berürter werung vff (-) Einer Ersamen Zunfft der fischer, So dann sindt sie verhafftet vmb100 pfund pfenning h. Geörg Müeg fünff Zehnern sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff vber obbestimpte beschwerden, so die Keüffere vff sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 100 pfund pfenning Straßburger

L’acquéreur hypothèque aussitôt la maison au profit de Jean Georges Müeg, assesseur des Quinze. En marge, quittance délivrée en 1623 au tonnelier Georges Voltz, propriétaire de l’immeuble hypothéqué

1617 (ut spâ [xxvj. 7.bris]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 398
(Inchoat. in Prot. fol: 425.) Erschienen herr Mathÿß Wolffer gasthaltter Zum Spanbeth burger Zu Straßburg,
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Johann Geörg Müegen, so Zugegen, Inn nammen vnd von wegen des Ehrenuesten fürsichtigen vnd weisen herrn Geörg Müegen fünnff zehnern des beständigenen Regiments seines vatters – schuldig sige 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt, höfflin vnd schopff sampt dem Stall mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Jenseit Sanct Thomans brucken Zur Cappellen genant, einseit neben dem bekhenner selbst, anderseit neben Weÿland Jacob Næß des schneÿders seligen erben, hinden vff David helden stoßend, dauon gend x ß vj d boden Zinß dem Stifft Zu Sanct Thoman, Mehr ij gold guldin gelts Ablößig mit xl gold guldin Lorentz Trenßen dem garttner vnder wagnern, Weither x guldin gelts widerkeuffig mit ij C guldin berürter werung Einer Ersamen Zunfft der fischer, So dann sindt sie verhafftet vmb j C pfund pfenning obgedachtem Geörg Bauman vnd Ursulen von Sundtheim sunst ledig vnd eÿgen
[in margine :] Erschienen h. Geörg Müeg XIII.rn In gegensein Geörg Voltzen Küeffer Als besitzer des hierin beschriebenen Vnderpfands (…) den 21.t Aprilis 1623.

Originaire du comté de Veringen sur la Lauchert en Wurtemberg, Mathias Wolffer alors aubergiste à l’Esprit épouse en 1595 Ursule Stœsser, fille de boulanger : célébration le 28 avril, accession à la bourgeoisie le 5 mai suivant
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 72, n° 25)
1595. Mathis Wolffer von Fringen, der Wirtt Zum Geist, vnd Jungfrau Ursula, Lorentz Stössers des haußbecken tochter. Eingesegnet Montag nach Quasimodo geniti den 28. Aprilis (i 40)

1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 725
Matheus Wölffer von Verinngenn an der Loucher, der würdt Zum geist, hat vonn Ursula, Lorenntz Stößers deß Schwartz beckenn dochter seiner haußfrauwen, das burgerrecht empfang. vnd wüll Zun Freÿburgernn dienen. Actum den 6.ten Maÿ 95

Mathias Wolffer et Ursule Stœsser vendent la maison à Joachim Kœllé, pasteur à Altenheim, et à sa femme Ursule Brunner. Une clause mentionne que le mur qui sépare la propriété de celle à l’arrière est commun d’après une décision du Petit Sénat. En marge, quittance délivrée en 1623 au tonnelier Georges Voltz, propriétaire de l’immeuble hypothéqué.

1622 (iij. Julÿ), Chancellerie, vol. 446 f° 219
(Inchoat. in Prot. fol. 172.) Erschienen h. Mathÿß Wolffer gasthalt. Zum Spannbeth burger Zu Straßburg vnd Ursula Stösserin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
herrn M. Joachimo Kölle pfarrer Zu Altenh. vnd Ursulä Brunnerin seiner ehelich. haußfr.
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind.hauß, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Oberhalb Sant Thomans bruck einseit neben der Verkäuffer Speich. And. neben Jacob Neßen des schneÿd. selig. witwen hind. vff David Helden stoßend, dauon gend. 2. goldt guld. geldts hieher mit nachuolgd. bedung. für 150. lb Aÿg* vff Michaelis fallend h. Lantz Trennsen Rathsuerwandt. Mehr vmb d gelts loß. mit j. C. lb vff Urbani Einer Ersamen Zunfft d. Fisch. So dann vj. lb d gelts loß. mit j. C. lb vff Johannis Baptæ h. Geörg Mueg. 13. Sunst ledig vnd eÿg.
Vnd Ist hierin sond.lich Zwisch. bed. parth. Abgered word. dieweil weg. obgehörtter goldtgl. noch Kheine decision Von dem Kleinen Rath ergang., das wouor solche goldg. durch Rechtelicher erkandtnuß solten geringert werd. das die Khouffer Inn der Verkhauffern den nachtrag Zuerstatten, wo sie Aber höher steig. wurden, das die verkäuffern Inen den Kheüffern solches wid gutt Zu thun schuldig vnd verbund. sein sollen,
Ferner noch dann die Maur hind. Ane H. dauid held. stoßend. Vor den Kleinen Rath ventiliert word. So ist daselbst erhaltt daß solcher Maur ein gemeine Maur sein soll Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffer vff sich genommen Zugang. v. besch. für vnd vmb iiij C L. lb
[in margine :] Erschienen Mathÿß Wolffer d. Jüng. Unn nammen seines vatters, hatt in gegensein h Joachim Kolle des Khouffers bekandt, das er Ime die 250 lb (…) quittirt, Act. 10. Julÿ 1622.
[in margine :] Erschienen H. M. Geörg Würmell Als vogt Ursulæ Stösserin vnd h. Niclauß Ferber Als vogt Mathiæ wolffer haben In gegensein Geörg Voltz des Kieffers Als ietzig Inhabers d. Behausung bekhnd (…) q.tirt Act. 15. Maÿ 1623.

Propriétaire de la maison, le tonnelier Georges Voltz l’hypothèque au profit de sa mère Madeleine Erhard, veuve du tonnelier Georges Voltz

1623 (ut spâ [xxvj. Maÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 523
(Inchoat. in Prot. fol. 318.) Erschienen Geörg Voltz d. küff. burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Magdalenæ Erhardin weÿl. Clauß Voltz des Kieffers Alhie selig witwe, seiner mutt. – schuldig seÿe cij c L lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind.h hauß mit Allen Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. oberhalb Sant Thomans bruck. eins. n. Mathÿß wolffen Speich. and. seit Jacob Neßen des Schneÿd. witwen, hind. bg dauid held. stoßend, dauon gnd. ij. goldgld. gld Lorentz Trenßen dem gartner Sunst den* x ß d dem Stifft Zu Sant Thoma
(disse verschreibung Ist vß geheÿß bed. parth. cassirt P. ut in Reg. 1625. fol. 410.)

Nouvelle hypothèque entre les mêmes, en remplacement de la précédente

1625 (vj. Octobr.), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 410-v
(Inchoat. in Prot. fol. 347) Erschienen Geörg Voltz der küeffer burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Magdalenæ Erhardtin weÿland Clauß Voltz des küefers Alhie s. Wen sein mutter mit beÿstand & h. Lienhard Wanners Ihres geschwornen Vogts – schuldig seÿe ij C lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind.hauß, mit All. Ihr. geb. d gnd Inn d. St. St. oberhalb Sant Thomans bruck. einseit n. Mathÿß Wolffers Speich. anderseit Jacob Neßen des schmÿds Witwe, hinden vff dauid helden stoßend, dauon gnd. 2. goldgld. Lorentz Trensen dem gartner Mehr x ß j d dem Stifft Zu Sant Thoman

Georges Voltz hypothèque la maison au profit de Sébastien Leitersperger, docteur en droit et avocat de la Ville de Strasbourg, pour lequel agit son gendre Paul Ansorg

1628 (ut spâ. [15. Septemb.]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 489
Erschienen Geörg Voltz d. Küffer burger Zu Straßburg
hatt in gegensein s. Pauli Ansorg seines dochtermanns des Edlen Ehr. vnd hoch. herrn Sebastian Leüttersperger beed. Recht. Doctoris vnd Aduocat d. St. St. – schuldig seÿe 50 pfund
Vnderpfand hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren geb. & glg. In d. St. St. geg. Sant Thomanns bruck. einseit n. Mathÿß Wolffens erb. anderseit n. Bartholome Nüß, hind. vff h. dauid held. stoßend, Dauon gnd. 2. goldguldn. gld loß. mit 40. goldgl. Lorentz Trennßen erb. Mehr vmb 200. lb. Clauß Voltz witwe d. Berthemeus Mutter, It. i. gl. gnd. Bod. Zinß den Stifft S. Thoman

Georges Voltz engage la maison par antichrèse au profit de Jean Bitz qui jouira de l’écurie

1629 (4. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 150
Erschienen hannß Bitz burg. Zu St. An einem,
So dann Georg Foltz der küeffer auch burger alhie am 2. theil,
Zeigten an, daß sie mit einander einer Antichrisin vnd gegennutzung vff dise Weiß verglich. Nemblich hat er hannß Bitz ihme Foltzen 50. lb in parem gelt vorgestreckht,
hingegen er Foltz ihme Bitzen verlühen Einen Stall in sein Foltzen behausung Jenseit S. Thomas Brucken gelegen der gestalt daß solche gegennutzung von Jetzkomend Mariæ verkündung an, Zweÿ Jar lang nach einander Volgend wehren, vnd in solcher Zeit er foltz ihme Bitzen Jährlich noch Ein pfund d. erstaten (…) darfür dann vnd.pfand sein soll obangeregt hauß Jenseit S. Thomans Bruck neben Mathiß Wolfers s: witib und Erben ein: und anderseit neben Barthel Nesen, umb 40. goldgld. Lorentz Drensen erben, It. vmb 200. lb. d sein Foltz Mueter, Item vmb 50. lb d H D. Sebastian Leitersperger, So dann vmb x. lb d S. Thoman sonst eÿg.

Marguerite Hauss veuve de Georges Voltz meurt en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 304 livres, le passif à 49 livres.

1636 (8. 10.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 6) f° 42
Inventarium vndt beschreibung aller haab vndt Nahrung, so weÿlandt die Ehren: vndt tugendsame fraw Margaretha Haußin weÿl. deß Ehrenhafften Georg Voltzen, Küeffers vndt burgers Zu Straßburg nachgelaßene Wittib nunmehr auch seel. nach ihrem aus dießer weltt tödlichem hinscheÿden hinder ihro v.laßen, welche vf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Mr Hannß Erhardts auch Küeffers burgers alhie Zue Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts hannß Jacoben, hannß Christoffs vndt Margarethæ obgemeltter ehegemächdt seel. ehelich erzielter dreÿer Kind. vndt ab intestato hinderlaßener nechster erben – So beschehen vff Donnerstag den 8. 10.bris Anno 1636.

Inn hernach geschriebener in dieße Erbschafft gehöriger behaußung Ist befund. worden wie volgt.
Auff der Bühnen, Vor dießer Cammer, Inn d. Stub Kammmer daß hind. stöckleins, vor d. hind. Stuben, In der Cammer B, Inn d. vordern Obern Stuben, Inn der Stub Kammern, Inn der And.n Stuben, Inn der Kuchen, Im Haußöhren
Werckzeug vnd Anders Zuem Küeffer handwerckh gehörig. 2. blaß bälckh. 4. fugblocher, 2. m. v. j schenckhaanen, j abloßbohrer, hacken, Zangen vndt sonsten allerhandt werckzeug p 3. lib. 5 ß
3. Zangen seind 30 ohmen den ohmen p. 8 d thutt j lib.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item hauß, hoff, hoffestatt vndt höfflin sampt j. hind. heußlein mit allen andern ihren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten vndt gerechtigkeiten gelegen alhie in d. St. Str. Jenseith d. Thomans Brucken, j s. neben H. M. Bartholme Näßen, dem Guldenschrbr. 2. s. neben hanß N. dem Spohrer hind. vff David Helden, deß altten Schaffners Zu S Thoman erben. Davon gibt man Jährlich 2. goldt fl. vff Michaelis Lorentz Kraußen deß Gartners Erben, ablößig mit 40.goldt fl. Mehr 2 lib.12 ß d lb vff Urbani E. Ehrs. Zunfft d. Fischer Ablößig in hauptgutt mit 52. lib. 10 ß d. Item 2. lib. 10. ß d vff Johs: Baptæ, herrn Amstr. Georg Müegen, ablößig mit 50. lib. hauptgutt, Item 2 lib. 10. ß d Zinnß, hanß Betz dem weinsticher, Jahrs vff Annunc. Mariæ lößig mit 50. lib. d hauptgutt Sonst ledig v,dt eigen vber solche beschwerd hiehero angeschlagen für vndt vmb 250. lib.
Darüber sagt j. t. P. Kauffbr. Inhaltt wie Georg Voltz d. Erben vatter seel. wolche behausung von Jacob Greÿßeln an sich erkaufft habe, mit d. St. Str. anhangendem Contract Insiegel de dato den 25. 8.bris A° 1622. mit N° 1 notirt. Darbeÿ auch ein spruchbrieff vber 3. fenster Einen dachtrauff vndt waßerstein besagendt, mitt d. Statt Straßburg geschworner werckleüthe anhangenden Insiglen, deßen dat. dinstags den 31. Julÿ A° 1632. auch mit N° j signirt vnd noch ein altter Abgelößter Pergamentiner Zinnß mit altem N 2. vnd ebenmäßigem neuwem N° 1 bezeichnet.
Sa. haußraths 50, Sa. Werckzeugs vnd and. so zu dem Küeffer handwerckh gehörig 4, ß Anschlags der behausung 250, Summa summarum 304 lb – Schulden 49 lib, Conclusio finalis Inventarÿ 255 lib

Le tuteur du fils épileptique de Georges Voltz demande son admission à l’hôpital. Les Conseillers et les Vingt-et-Un émettent un avis favorable
1636, Conseillers et XXI (1 R 119)
Georg Voltzen Kinder Vogt. 216.
(f° 216) Montag den 28. 9.bris – Dr. Knaf[elius] es Erschein Hannß Erhard d. Küefer alß vogt Georg Voltz. deß Küefers hinderlaßener Kind. bitt deßelb. Sohn so 13 Jahr alt v. mit dem hienfallend. Suchten behafftet in Spittal aufzunehmen. Erk. H. Zetzner v. H. Metzg. sollens bedancken vnd seiner nahrung selbsten nachfrag.

La tribu de l’Ancre donne quittance à Jean Michel Zeissolff, assesseur des Quinze, d’un capital garanti sur la maison d’après un acte de 1583 et une convention pour complément de paiement de 1629

1663 (14. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 98
Erschienen d. Ehrenvest- und weÿs Franciscus Reißeiß. E.E. Groß. Rhats Beÿsitzer und H Leonhard Baldner der haagmaÿster beede alß resp. Rathherr und Zunfftmaÿster beÿ E.E. Zunfft deren Fischer
in gegensein deß Ehrenvest- Fromm- und wohlweÿsen H Johann Michael Zeißolffs deß beständigen Regiments der Herren Fünffzeh.
Ein hundert Guld. straßb. wehr. Nachtragß Capitals, so deren Edel hochgelehrte H. Johann Caroli Müeg V.I.D. auch deß hochlöbl. Kaÿß: Cammer Gerichts Zu Speÿr Advocatus & Procurator, vermög eines pergamentinen, sub dato 27. maÿ a° 1583 mit deß Bischoff. hoffs anhangenden Contract Insigel durch weÿl. H Jacobum Kuglern alß deßelben hoffs damahlig. Contractuum Notarium nunmehr seel. außgefertigten Zinnßbrieffs und demselben sub dato 14. Aug. a° 1629. überschriebene Nachtrags Vergleichung, von vff und ane einer alhie beÿ St. Thomans Bruckh gelegener Behaußung iährlich termino Vrbani mit 5 fl. besagter Wehr. Zu Verzinnß. schuldig seÿe – umb 55 Pfund pfenning

Jean Charles Müeg, avocat et procureur au tribunal aulique de Spire, vend la maison chargée d’un cens de 7 sols 6 deniers et trois chapons envers la fondation Saint-Thomas, à l’assesseur des Quinze Jean Michel Zeissolff en paiement de capitaux d’après les actes de 1500 et de 1545 (voir l’obligation de 1617 ci-dessus quant aux droits du cessionnaire sur la maison)

1663 (14. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 99
Erschienen der Ehrenvest hochwohlgelehrte H Georg Friderich Müeg der Statt Straßburg Amptmann der Pflegd Illkirch alß deß Edel- hochgelehrten H Johann Carl Müeg V.I. D. auch deß hochlöbl. Kaÿs. Camer Gericht Zu Speÿr Advocati & Procuratoris seines eheleiblich. Bruders, vermög sein H Dr. Müg sub dato 3. Maÿ a° 1662. ahne Ihne H Amptmann Müeg abgeleßenen hiebeÿ vorgewießener, und wied. Zurück empfangener missivs, hierzu gevollmächtigter Befelchhaber
in gegensein deß Ehrenvest- From- und Wohlweÿsen H Johann Michael Zeißolff deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehn dißer Statt, bekannt, daß Er H Amptmann Müeg, befelchhabers weiß, Ihme H Fünffzehn Zeißolffen, für die Jenige 40. gold fl. Capital und acht iährige davon hinderständige Zinnß und Marzahl auch vffgangene Vncosten so ehrengedachter H Fünffzehener Zeißolffen vff nachgeschriebener Behaußung, in krafft Zwener lateinisch. pergamentiner resp. sub datis 4. Id. sept. 15. Calend. 8.br. a° 1500. & 5 Calend. Martÿ a° 1545. mit deß Bischoffl. hoffs anhangendem Insigel gefertigter und durch einander. gezogener Brieff, Zu erfordern gehabt, vffrecht redlich ohnwiderrufflich in solutum cedirt und übergeben (…)
hauß hoffstatt höfflin, hinderhäußlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten Jenseit St. Thomans Bruckh, einseit neben Andres Krämern dem Kupfferschmidten, anderseit neben Michael Braunen dem Weißbeckh, hind. vff Jr. Rheinhard von Bergheim stoßend gelegen und von Alters Zur Capellen genannt, von welcher behaußung gehend iahrs 7 ß 6 d und 3. Cappen ewig. erschätz. fürbietig. Zinnßes dem Stifft St. Thoman – so seÿe solche Behaußung auch noch umb 100. fl. straßb. wehr. Nachtragß Capital und davon außständige Zwölff iährige Zinnß und Marzahl Zuvor der Fischer Zunfft nunmehr obgemeltem H Fünffzehener Zeißolffen alß nach besag der heut dato auch in d. Cancelleÿ contractstuben vffgerichteten Kauffverschreibung, dero Cessionarien, verhafftet

Le tuteur des enfants de Jean Michel Zeissolff vend la maison 206 livres au charretier Jean Georges Dressler. En marge, quittance remise à Susanne Inckel, veuve de Jean Georges Dressler et épouse du charretier Jean Frey

1672 (23. 9.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 607-v
(Prot. fol. 49 – 206. lb) Erschienen Johann Wolffgang Heßler der Nacht Fourir alß Vogt Weÿl. H. Johann Michael Zeißolffs geweßenen XV. nunmehr seel. nachgelaßener Zweÿ Jüngster Kinder,
in gegensein Hannß Georg Dreßlers deß Karchers, mit assistentz herren Johann Spießen Schaffners deß Stiffts St. Stephan und Samuel Deßlers deß Kürschners seines eheleiblichen Bruders
hauß, hoffstatt, Höfflin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten Und Gerechtigkeiten alhier Jenseit St. Thomanns Bruckhen, ohnfern der Kohlschewr, einseit neben Leonhard Peter dem Grempen, anderseit neben Andres Krämer dem Kupfferschmidt hinden Uff H. Frantz Rudolphen von Bergheim stoßend gelegen, davon gehend Jährlichen term° Martini 7 ß 6 d in Gelt und 3. Cappen ewigen erschätzigen fürbietigen Zinnßes dem Stifft St. Thoman – umb 206 lb
[in margine :] (…) in gegensein Susannæ, gebohrner Incklerin, weÿl. Hans Georg Dreßlers des Karchers seel. hinderlaßene wittib, anjetzo Johannes Freÿen, auch Karchers ehelicher Haußfraw alß dero hierinn gemeldte behaußung anjetzo eÿgenthümblich, Und vermög mit obged. dreßlers hinderlaßenen Kindern geschehenen Vergleichs und anderwärtlicher außweisung ihrem bericht nach allein gehörig mit beÿstand obged. Freÿen ihres jetzigen Ehe Manns (quittung) Actum den 24.ten Junÿ A° 1694.

Fils de pelletier, la charretier Jean Georges Dressler épouse en 1662 Madeleine Weinmüller, fille de l’ancien pasteur de Blæsheim, puis en 1679 Susanne Inckel, fille de l’huissier à la tribu des Pêcheurs Nicolas Inckel
Mariage, cathédrale (luth. f° 16-v, n° 3) 1662. Dom. Lx.ma den 2. Febr. Zum 2. mal hanß Georg Dreßler der Fuhrmann, Weil. hanß Georg Dreßler geweßenen Kürschners undt Burgers alhier hinterlaßener ehel: Sohn, und Jfr. Magdalena, Weiland H. M. Johann Weinmüllers geweßenen Pfarrers Zu Bleßheim hinterlaßene ehel: Tochter. Montags den 10.t Febr. Spiegel, Münster, Thierg. (i 18)

Mariage, cathédrale (luth. f° 69)
1679. Zum 2 mahl Johann Georg Dreßler der (-), Jfr. Susanna, Niclauß Inckels des Bittels E. E. Zunfft der Fischer stub Tochter. d[-] den 18. Julÿ, Münster (i 70)

Susanne Inckel se remarie en 1687 avec le transporteur de sable Jean Frey, fils de l’ouvrier au Luxhoff (cour Saint-Luc) Romain Frey

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 127)
1687. Eodem [Dom: 3 et 4 Trin. 15 et 22 Junÿ] Johannes Freÿ der ledige sandführer, weÿl. Romani Freÿen rauhknechts auff dem Luxhoff allhier ehelicher sohn, Fr. Susanna, weÿl. Johann Dreslers gewesenen burgers v. Sandführers Wittib. Cop. den 25. Junÿ Zu St. Thomæ (i 65)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que l’épouse apporte en mariage. Les apports du mari s’élèvent à 21 livres, ceux de la femme à 185 livres.

1687 (25. 9.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 9) n° 30
Inventarium und Beschreibung aller Haab, Nahrung und Güetter, so der Ehrsame und bescheidene Meister Johannes Freÿ, Sandführer und die Ehren und Tugendsahme Fraw Susanna Dreßlerin beede Ehepersohnen und burgere allhier in Straßburg, einander in den Ehestand zugebracht, und vermög der mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten haben (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvest vnd vorgeachten herrn Andreß Widtmanns Kürschners der Frawen geweßenen Vogts wie auch des Ehrenvest herrn Samuel Dreßlers auch Kürschners als der Frawen Kinder Erster Ehe vogt, Dienstags den 25. 9.bris Anno 1687.

In Einer in der Statt Straßburg Nahe St. Thomans bruck beÿ der jetzigen genanten St. Ludwigs Kirchen vormahls der Kohlscheur hinder mein Notarÿ behausung gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Auff d. obersten bühn, In d. obern Stuben
Eigenthumb ane Einer behaußung. It. j. behaußung, hoffstatt, höffl. v. brunnen mit allen andern Ihren Gebeüwen Weiten rechten Zugehördt v. Gerechtigkeit. gelegen allhier in d. St. St. ohnfern St. Thomans brucken beÿ jetzigen genandter St. Ludwigs Kirchen vormahls der Kohlscheüren 1.s neben weÿl. lienhard Peters des Krempen Wittib, 2. s. neben hannß Meÿern dem Schiffknecht vnd Sandführern, hind. vf H Joh: Philipps heüsen alten dreÿern der d.thurn stoßend gelegen, davon gehen Jahrs auf Martini 7 ß 6 d gelts vnd 3. Kappen Ewigen Ehrschätzigen fürbietigen Zinnß dem St. Thoman allhier So dann 15. fl. gelts weÿl. H. Joh: Michel Zeißolffs 15.er seel. wittib Jahrs auf Martini th. in Rest Kauffschillings Capital 150. lb d Sonsten ledig vnd Eigen und über diße beschwerdte angeschlagen 25. lb. Dar. s. j. perg. Kbr. und C. C. St. Ins. verw. deßen datum 23. 9.bris 1672. mit N° 1 notirt darb. gelaßen.
Schulden auß der Frauen Nahrung Zubezahlend. It. auß dieser Nahrung ist zubezahlen, so die Fr. Ihrer Stieff dochter Margareth Dreßlerin wegen der beÿ Väterl. Abteil. Käuflich angenomene behaus. (…)
Abzug in dieses Inventar. des Manns Guth, Sa. Haußraths 21
der Frauen Guth, Sa. haußraths 159, Sa. Pferd, Schiff und geschirr 50, Sa.Silbers 19, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 30, Sa. Eigenth. ane Einer behaußung 25, Summa summarum 297 lb – Schulden 111 bleibt übrig 185 lb

Dressé par Jean Henri Lang l’aîné, l’inventaire après décès de Susanne Inckel n’est aps conservé mais les préposés de la Taille le portent dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 400 florins. Les préposés de la Taille dispensent les héritiers de l’amende qu’ila auraient due pour sous-évaluation trop importante

1704, Livres de la Taille (VII 1173), f° 12-v
(Mörin, A., N° 950) Weÿl: Susannæ Freÿin gebohrner Inckelin, Johann Freÿen deß Sandfuhrmanns und burgers allhier geweßener haußfrauen, Verlaßenes Vermögen, jnventirt Herr Nots. Johann Heinrich Lang Sen.
Die Beschluß Summa deß Inventarÿ ist fol: 58.a – 228. lb 11 ß d, die machen 400. fl. verstallte 100 fl. also 300 fl. Zu wenig.
Wavon nun der Nachtrag, als unverändertem guth gerchnet wird, auf Acht jahr in duplo, macht à 18 ß d – 7 lb 4 ß
Und auch auf Acht jahr in simplo trifft à 9 ß d – 3 lb 12 ß
Extat das Stallgelt 1703. et 1704. – 3 lb
Item so thun die Gebott – 1 ß 8 d
So damit ist vor abhandlung – 7 ß 6 s – Sa. 14. lb.
Straaff. Weilen nun so viel Zu wenig verstallt worden, alß wird rationé der Straaff, daß geschäfft an Unsere Gnd: Herren die Fünffzehen verwiesen.
Auß Erkantnus der Obern Stallherren, ist solcher der Straff gäntzlich erlaßen worden
dt. d 7.Junÿ

Jean Frey se remarie en 1706 avec Catherine Peter veuve du batelier Philippe Sandrock : contrat de mariage, célébration
1706 (29.8.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14) n° 519, 522
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenhafften und bescheidenen Johannes Freÿen Sandführern und burgern alhie dem Hochzeitern ane Einem,
So dann der Ehrn: vnd tugendsamen Fr. Catharina gebohrner Peterin weÿl. H. Philipps Sandrocken geweßenen Schifmans auch burgers alhier seel. hinderblieben Wittib, der Fr. hochzeiterin am andern theil
Actum und Verhandelt in der Königl. freÿ Statt Straßb. auf Sonntag den 29.ten aug. Anno 1706. [unterzeichnet] x dießes ist Johannes Freÿen des hochzeiters eig. handzichen, + ist der hochzeiterin eig. handzeichen

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 107-v n° 607)
Anno 1706 den 23 Octobr. seind nach geschehener ordentlicher Außruffung in der Kirch St. Thomas eingesegnet worden Johannes Freÿ, der burger und fuhrmann alhie, und Fr. Catharina weÿl. Philipp Sandrock deß gewesenen burgers und Schiffmanns alhie hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] x, o (i 110)

Catherine Peter fait dresser l’inventaire de ses apports (103 livres) dans la maison qui appartient pour moitié à son mari
1712 (17.6.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 8) n° 316 (116, sic)
Inventarium und beschreib. aller Haab und Nahrung, so die tugendsame Fr. Catharina gebohrne Petrinin Zu dem Ehrenhafften Johannes Freÿen, Sandführern und burgern alhier ihrem Ehemann in den Ehestand zu gebracht und sich vermög deren Eheberedung als ein unverändert und reservirt guth vorbehalten, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren ihr der frn beÿständlich Hn Johann Ernst Gesensohns des Jüngern Hoßenstrickers auch burgers alhier Zu straßb. (…) Actum in der Königl. freÿ Statt Straßburg in fernerer beÿsein herrn Joh: Jacob Inckels E. E. Zunfft der fischer haupt Kand. des Ehemanns Kinder Erster Ehe geschwornen Vogts, auf Donnerstag den 17. Junÿ Anno 1712.
In einer alhier in der Statt Straßb. ohnfern der St. Thomans brucken gelegenen und dem Ehemann Zur helffte Zuständigen behauß. ist befund. word. wie volgt.
Der Fr. Söhnlein Nahmens hannß Martin Sandrocken gehörigen Pfetter: Götel vnd geschenckt geltt
Norma hujus inventarii, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers 1, Sa. guldenen Ringen 3, Sa. baarschafft 41, Summa summarum 103. lb

La maison qui appartient pour un tiers à Jean Frey figure à l’inventaire de ses apports dressé en 1718.

Propriétaire pour un tiers de la maison, le cordonnier Isaac Osterrieth l’hypothèque au profit de Jean Frey (copropriétaire de la même maison) et de sa femme Anne Marie Bœgner

1721 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 108
Isaac Osterrieth Schuemacher
in gegensein Johann Freÿen des Fuhrmanns und Annæ Barbaræ geb. Bögnerin beÿständlich Joh. Jacob Bögners Packers ihres Vatters und Joh. Jacob Bögners auch Packers ihres bruders – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, die tertz ahne einer behausung über der Thomans bruck nahe St Louis Kirch, einseit neben Johann Meÿer anderseit neben Ottilia weÿl. NN gewesten Sigristen zu St Louis wittib hinten auff Hn Kornmann banquier

Le cordonnier Jean Adam Petri et sa femme Marie Barbe Frey hypothèquent leur tiers de maison au profit de Jean Frédéric Werckmeister

1723 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 239
Johann Adam Petri der Schuemacher und Maria Barbara geb. Freÿin beÿständlich Johannes Freÿ des Sandführers ihres bruders und Ernst gößensohn des hoßenstrickers ihres schwagers
in gegensein H. Johann Friedrich Werckmeister – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Ein dritter theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt cum appertinentis jenseith St. Thomasbruck hinder dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben Friedrich Gerlach dem Schiffmann anderseit neben Utilie N des Sigristen zu St Louis nachgelaßener wittib hinten auff H. Kornmann und Comp. – davon gibt man 3 cappen und 7 ß 6 d ewigen zinnßes dem Stifft St Thomas

Jean Frey et le tuteur des enfants que Susanne Dressler a eus de Jean Ernest Gesensohn cèdent leur parts de maison à leur cohéritière Barbe Frey femme du cordonnier Jean Adam Petri

1729 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 339
Johannes Freÿ der Sandfuhrmann, Ferner Johann Jacob Bollender hoßenstricker als Vogt Johann Ernst Gößensohn des hoßenstrickers in erster ehe mit weÿl. Susanna geb. Dreßlerin erzeugter zweÿer Kinder Susana und Johann Ernst der Gößensohn
ihrer respective schwester auch Miterbin ahne theils mütterlich theils schwesterlicher Verlaßenschafft Fr. Barbaræ geb. Freÿin Johann Adam Petri des Schuemachers – den 9. Februarÿ jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
fünff neunte theil für ohnvertheilt ahne dem Domino utili oder der Erblehnungs gerechtigkeit einer behausung höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomä Bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinter dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben Friedrich Gerlach dem Schiffmann anderseit neben Utilie N. weÿl. N. Schneck Sigristen zu St Louis Wittib und deßen erben hinten auff H. Friedrich Kornmann Banquier und E. E. großen Raths beÿsitzer – von solchem gantzen hauß gibt man dem Stifft zu St Thomä als dominum directum in recognitionem dominÿ directi 3 Cappen in Federn und 7 ß 6 in geldt ahne ewigen ehrschätziig: und fürbietigem Erblehenzinnß – ihme Freÿ als erben zu einem dritten stammtheil seiner mutter seel. weÿl. Susanna geb. Inckelin auch weÿl. Johann Freÿ gew. Sandkarchers Ehefrau zu dreÿ 9. theil und eben demselben als Erben zu ein dritten theil seiner schwester seel. weÿl. Maria Salome Freÿin zu einem 9.t. theil, so dann Gößensohnischen curandis als erben zu einem dritten theil ihrer mutter schwester ged. Maria Salome seel. zu einem 9. theil quo ad dominum utile, die übrige vier 9.te theil aber ihro Petrÿscher ehefrau auff gleicher weiß wie wegen ihres bruders Johannes Freÿ aller ersten gemeldet worden zugehörig – auff den fueß von 1335 fl, 270 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour le droit emphytéotique sur la maison au profit du maître du jeu de paume Jean Philippe von der Mühl

1729 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 340
Johann Adam Petri der Schuemacher und Barbara geb. Freÿin mit beÿstand ihres bruders Johannes Freÿ des Sandfuhrmanns und ihres schwagers Johann Ernst Gößensohn des hoßenstrickers
in gegensein Johann Philipp von der Mühl des Ballenmeisters und schneiders – 400 pfund zu erkauff: und bezalung 5. neunte theil ahne hiernach beschriebener behausung
unterpfand, die Erblehnungs gerechtigkeit oder das Dominum utile einer behausung höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomä Bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinter dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben Friedrich Gerlach dem Schiffmann anderseit neben Utilie N. weÿl. N. Schneck Sigristen zu St Louis Wittib und deßen erben hinten auff H. Rathh. Kornmann Banquier und E. E. großen Raths beÿsitzer – von solchem gantzen hauß gibt man dem Stifft zu St Thomä als dominum directum in recognitionem dominÿ directi 3 Cappen in Federn und 7 ß 6 in geldt

Fils d’un cordonnier d’Idstein en Hesse, Jean Adam Petri épouse en 1718 Susanne Marthe Elles, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration. Il devient bourgeois deux mois plus tard.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 306-v, n° 1312)
1718. Eodem [Mittwoch den 6. Julÿ] seind nach 2.mähl. Proclamation ehel. copulirt worden, Johann Adam Petri, der Ledige Schuhmacher von Idstein, weÿl. Joh: Philipp Petri gew. b. und Schuhmacher daselbst hinterl. ehel. sohn, und J. Susanna Martha, weÿl. Isaac Ellesen ges. b. und Schuhm. Hinterl. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Adampetri Als hochzeder, susana mardann Ellesin (i 306)

1718 (25.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) n° 52
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam: und bescheidenen Mstr. Johann Adam Petri dem Leedigen schumacher und burger allhier, beÿständlich H. Johann Philipp Schropffen auch schumacher und burgers allhier deßelben beÿstandts ane Einem,
So dann die viel Ehr und tugendreiche Jgfr Susannæ Marthæ gebohrner Elleßin weÿl. H. Isaac Elleßen geweßenen Schuemachers allh. seel. Ehelich hinterlaßener tochter mit beÿstand S. T. H. Simon Knollen handelßmanns und E E. Kl. raths allhier alten wohlmeritirten beÿsitzers als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil.
Actum Straßburg, Sambstags den 25. Junÿ 1718 [unterzeichnet] Johann Adam petri als hochzeiter, susanna mardam ellesin hochzeitrin

1718, 4° Livre de bourgeoisie p. 834
Joh: Adam Petri Von Istein, der schumacher, weÿl. Joh: Philipp Petri gew: schumachers daselbst sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr. Susanna Martha Ellißin p. 2. gold fl. 16 ß. wird beÿden schuhmachern dienen J. d. 3. 7.bris 1718.

Susanne Marthe Elles meurt en 1722 en délaissant un fils qui meurt peu de temps après sa mère, de sorte que le veuf est seul héritier. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue du Savon. L’actif s’élève à 144 livres, le passif à 23 livres
1723 (22.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 7) n° 234 (215)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren vndt tugendsahme Frau Susanna Martha Petrÿn gebohrne Elleßin, Mstr. hanß Adam Petri, Schuhmachers und burgers allhier zu Straßburg ehelich geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem vor ohngefähr dreÿ viertel Jahren genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wittibers selbst als eintzigen Erben weilen das Kind Johann Philipp nach der Mutter verstorben, Und er alßo dasselbe ge Erbt (…) Act. Straßb. Freÿtags d. 22.ten Jan. 1723.
In einer allhie Zu Straßburg ane dem Seilergäßel gelegenen vndt lehnungsweiß bewohnend. behaußung befunden wie folgt
Manuductio. Sa. haußraths 47, Sa. werckzeugs 6, Sa. Silbers 15 ß, Sa. liegend. güther 50, Sa. activorum 40, Summa summarum 144 lb – Passiva 23, Remanet 121. lb

Jean Adam Petri se remarie avec Marie Barbe Frey ; contrat de mariage, célébration
1723 (25.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) n° 235
Eheberedung Zwischen H. Hannß Adam Petri, Schuhmachern, wittiber vnd burgern allhier Zu Straßburg beÿständlich Hn. Joh: Philipp Schuestern Schuhmachers und burgers allhier auf seiten deßelben, So dann
der Ehrsamen vnd tugendsamenJgfr Mariæ Barbaræ Freÿin weÿl. H. Johannes Freÿen gewesenen Sandführers vnd burgers allhier seel. nachgelaßener tochter mit assistentz H.. Joh: Jacob Inckel haupt Kandens beÿ E E Zunfft der fischer Ihres geschwornen vogts vnd H. Johannes freÿen Sandführers Ihres Bruders, auf seiten derselben
Actum Straßb. Montag de, 25. Januarÿ 1723. [unterzeichnet] Johann Adam Petrÿ als hözeiter, Mara barra freyin als hotzeiter

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 182 n° 1041)
Anno 1723 den 24 Hornung seind nach gehaltener offentlicher Außruffung, in der Kirch Zu St. Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Adam Petri, der burger und Schuhmacher alhier und Jungfr. Maria Barbara weÿland Johann freÿ deß gewesenen burgers und fuhrmanns alhie hinterlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Adal Petrÿ als Hozeter, Meb bara freÿn hotz Zeit (i 186)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison indivise entre l’épouse et son frère Jean Frey. Les apports du mari s’élèvent à 17 livres, ceux de la femme à 148 livres.

1723 (8.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 7) n° 241 (221)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte vndt bescheidene Mr Hannß Adam Petrj der schumacher vnd burger allhier vnd die Ehren und tugendsahme frau Maria Barbara Petrÿn gebohrne Freÿin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg Einander in die Ehe gebracht, vnd sich deren Jeedes vermög auffgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben (…) Actum in præsentia H. Joh: Jacob Inckels Hauptkanden beÿ E. E. Zunfft der Fischer Ihres geschwornen vndt noch ohnentledigten Vogts So dann des Ehemanns selbst Straßb. den 8. Martÿ 1723.

In einer allhier Zue Straßburg ane der S. Thomans bruckh gelegenen und Zum theil eigenthümlich hiehero gehörigen behaußung sich folgendermaßen befund.
Eigenthumb ahne einer behaußung (F.) Item die helffte ane einer behaußung, hoff und hoffstatt, sampt allen deren begriffen, weiten, Zugehörden vnd Gerechtigkeit. gelegen allhie in der Statt Straßburg ohnfern S. Thomæ Bruckhen beÿ der Kohlscheur I.s. neben Philipp Stoltzen dem Grempen 2.s. neben Fr. Güntzerin hinterl. Wb die vormals sogenante herberg Zum guldenen Lamb davon gehen Jahrs auf Martini 7 ß 6 d gelts Vndt dreÿ Cappen Ehrschätzigen fürbietigen Zinßes dem Stifft S. Thoman allhier, ferner 3. lb d Zinß Isaac Osterried dem schuemacher vf weÿhnachten ablößig in Hauptguth mit 100. lb d, so dießmahlen sine præjudicio ohne anschlag gelaßen worden. Die Uberige helffte gehört H. Johannes freÿen Sandführern der Ehefr. brudern. Darüber besagt ein Pergamentener Kauffbrieff mit der Cancelleÿ Contract Stub Innsiegel verwahrt deßen datum d. 2° 9.br 1672. mit N° 1 notirt und dabeÿ gelaßen.
Wÿdembs Verfangenschaft. Welche Meister Johann Ehrmann der Kübler vnd burger allhier Von seiner haußfrawen frauwen Anna Maria Ehrmännin gebohrner Freÿin nunmehr seel. vermög auffgerichteten Eheberedung §° 2.do ad dies vitæ Zugenießen hat, daran finito usufructu der dritte theil der dißorts Ehefrau vnd Ihren Zweÿen geschwüsterd. ins gemein gehörig Ist. Eine behausung (…) in der Vorstatt steinstraß
$ 9992
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths so dem Ehemann vor unverändert gehörig ist 8, Adde die Ihme ane den hausst. gehörige helffte 9, Des Ehemanns Nahrung 17 lb
Der Ehefr. Vermögen betr., Sa. haußraths 99, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 17, Sa. baarschafft 20, Sa. Eÿgenthumb ane Einer behausung o, Summa summarum 138 lb – Darzu gelegt die Ihro ane die haußt. Gebührige helffte 9 lb, Der Ehefr. gantz Vermögen 148 lb

Jean Adam Petri et Barbe Frey hypothèquent la maison et une autre rue des Cerceaux au profit de Susanne Feigler, veuve du chirurgien Jules Christophe Kessler

1729 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 383
Johann Adam Petrj der Schuemacher und Fr. Barbara geb. Freÿin mit beÿstand ihres bruders Johannes Freÿ des Sandfuhrmanns und ihres schwagers Johann Ernst Gößensohn des hoßenstrikers
in gegensein Fr. Susannæ geb. Feiglerin weÿl. Julius Christoph Keßler Chirurgi mit beÿstand ihres Curatoris H. Johann Sebastian Kratz auch Chirurgi und ihres Sohns H. Johann Jacob Keßler des ledigen Scribenten – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, die Erblehungs gerechtigkeit oder das dominum utile einer Behausung höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomä Bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinder dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben Friedrich Gerlach dem schiffmann anderseit neben weÿl. Schneck hinterlassenen wittib und Erben hinten auff H. Rathh. Johann Friedrich Kormann seel. Stifft zu St Thomä, als domino directo 3 cappen in Feder und 7 ß 6 in geldt ahne ewigen ehrschätzig: und fürbietigen Erblehenizinß
ferner vier 27.t. theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung hoffstatt und höfflein cum appertinentis ahne der Steinstraß vornen ahne der Reiffgaß einseit ist ein Eck an derselben anderseit neben Clemens Reÿff dem holtzhändler hinten auff Georg Andreas Sarger dem huetmacher – von solchem gantzen hauß gibt man in das Lerchefeldische Lehen oder nunmehr in dem Gürttlerhoff auff Martini 4 lb ewigen ehrschätzigen ane bodenzinß – ihren geschwistrigen zu übrigen antheilern zuständig

Marie Barbe Frey meurt vers 1739 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé douze ans plus tard dans une maison de location près l’église Saint-Louis
1751 (14.4.), Not. Fernig (fonds Elles, 6 E 41, 1323) n° 1-a
Inventarium über Weÿl. der Ehren: und tugendsamen frauen Mariä Barbarä geb. Freÿin, des Ehrengeachten Johann Adam Petrj des Schuh Machers v. v. allh. Zu Straßburg geweßener ehelicher Haußfrauen seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1751. – nach ihrem Vor ohngefehr 12 Jahren schon beschehenem tödl. Ableiben hie Zeitl. Verlaßen (…) So geschehen in der Königl. Statt straßb. auff Mittwoch den 14. des Monaths Aprilis A° 1751.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Johann Jacob Petri, den leed. Schuh Knecht so ohngef. 26. Jahr alt v. selbsten in Persohn dem geschäfft abgewathet. 2. Johann Christian Petri, leedigen Schuh Knecht so ohngef. 24. Jahr alt v. dermahlen auff der Wanderschafft. 3. Jungfrau Mariam Elisabetham Petrjin so ohngef. 22 Jahr alt und 4. Johann Georg Petrj den leedigen Schuh Knecht, so ohngef. 16 Jahr alt, Welche samtl. 4. Kinder die Verst. seel. mit Eingangs ged. hinterbl. Wr ehelich erzeugt. In der dreÿ letztern Nahmen ist H. Friderich Meÿrer der Gürtler v. b. allh. derselben geschw. Vogt beÿ dem geschäfft Zugegen gewesen v. dero Interesse beobachtet. Alle 4. Zu gleichen Antheilen.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Ludwigs gaß gelegenen, Von dem hinterbl. W. Lehnungs weiß bewohnenden behaußung ist befunden worden wie folgt
Wÿdumbs Verfangenschaft, Welche Meister Joh: Ehemann d. Kübler v. b. allh. d. defunctæ Vatters Schwester seel. Ehemann von weÿl. Fr. Anna Maria geb. Freÿin seiner Ehefr. als der abgeleibten seel. Vatters Schwester Verl. ad dies vitæ Zu genießen (…) durch weÿl. H. Joh: Adam Ösinger gewes. Notm. publ. & pract allh. in a° 1717. Verl. auffgerichtet Inv. (…)
Sa. Haußraths, worinnen auch der Erben samtl. ohnverändertes Vermögen bestehet, ist dem Stall tax nach 11 lb
Die übrige Verlaßenschafft als in des Wts Nahrung gehörig consignirt, Sa. haußraths 2, Sa. Werckzeugs zum schuhmacher handwerck gehörig 1, Summa summarum 4 lb – Schulden 19, In Compensatione 14 lb – Endlichen Schulden Rest 2 lb

La créancière Susanne Feigler acquiert la maison par adjudication judiciaire le 4 février 1732 (voir l’acte de vente de 1736)

Le barbier Jules Christophe Kessler s’adresse aux Quinze pour pouvoir faire son chef d’œuvre. Les barbiers exposent que la demande contrevient au règlement mais ne voient pas d’inconvénient à ce que les Quinze accordent la dispense.
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
(f° 225-v) Sambstags den 27. Sept. 1698 – H Julius Christoph Keßler Ca. E.E. Meisterschafft der Barbierer pt° Meisterstücks
Kun. noîe H. Julÿ Christoph Keßler des led. barbier gesellens Cit. per Schedam E. E. Meisterschafft Altmr. H. Johann Friderich Megerlin, weilen Prplis an eines Meisters Wtb. sich verheurath. vnd des Meisterstückh machen will, alß bittet Ihme solches auffzugeben.
Saltz. noîe Citati præs. weilen solches petitum wider articul dabeÿ Sie weiters nichts thun Können, alß s. Zu Mghh. bittet aber der laden pro dispensatione eingedenck. Zu sein wie herkommens. K. setzts.
Erkandt, wirdt dem Imploranten in seinem begehren gegen erlag 2. lb d dispensando willfahrt.

Le barbier Jules Christophe Kessler épouse en 1698 Susanne Feigler, veuve du barbier Jean Michel Unger
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 54, n° 18)
1698. Mittwochs den 10. decemb. st. n. 1698. seind nach Zweÿmahlig. außruffung in der Pfarr Kirchen Zu S. Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden H. Julius Christoph Keßler der ledige Barbierer und burger alhier weÿl. Julius Christoph Keßlers geweßenen weinhändlers und burgerß alhier nachgelaßener ehelicher Sohn und fr: Susanna Ungerin, weÿl. H. Johann Michael Unger, geweßenen Barbierers vnd burgerß alhier nachgelass. wittwe, welche auch neben mit und nachgesetzten Zeug unterschrieben haben [unterzeichnet] Ich Julius Christoff alß hoh Zeÿter, Ich Susanna Vngerin als hochterin (i 57)

Natif de Mittelbergheim, Jules Christophe Kessler devient bourgeois quelques jours avant son mariage
1698, 4° Livre de bourgeoisie p. 706
Johann Christoph Keßler, der barbierer Von Mittelbergheim, Weÿl. Julÿ Christophori Keßlers gew: Krempen allhier Ehl. Sohn empfangt das burgerrecht Von Susanna Ungerin, seiner haußfrauen gratis, Vnd wird beÿ E.E. Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. 29. 9.bris 1698.

Fils d’un barbier de Germersheim en Palatinat, Jean Michel Unger épouse en décembre 1692 Susanne Feigler, fille de taillandier, et devient bourgeois trois semaines plus tard
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 24-v, n° 21)
Auff heut Mitwoch den 10. Decembris St. N. A° christi 1692. seint nach Zweÿmahliger Außruffung in der Pfarr Kirche Zu St. Niclaus allhier in Straßburg copulirt worden, H. Johann Michael Unger Von Germersheim, der ledige Barbierer und Burger allhier, H. Johann Jacob Ungers, gewesten Barbierers zu Germersheim nachgelaßener Ehelicher Sohn, und Jungfrau Susanna, Johann Georg Feiglers gewesten Burgers und Waffenschmidts allhier nachgelaßene Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Ungerer alß hogzeter, Susanna Feiglerin als hochtzterin (i 26)

1692, 4° Livre de bourgeoisie p. 625
Joh: Michael Unger, Von Germersheim, der Barbirer Weÿl. Hannß Jacob Ungers des gewesten barbierers daselbst nachgelaßener Sohn, empfangt das burgerrecht Von Susanna Feilerin seiner jetzmaligen haußfrawen p. 2. gold. fl. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts geweß. Vnd wird zu E E Zunfft der Lucernen dienen. Jur: d. 29. Xbr: 1692.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison propre à l’épouse au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 247 livres, ceux de la femme à 693 livres.
1699 (12.2.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 19) n° 4
Inventarium über dasjenige Vermögen, So Herr Jullius Christoph Keßler, Barbierer und Wundartzt und Frau Susanna gebohrne Feÿglerin beede Eheleüthe und Burgere zu Straßburg einander für unverändert in den zum theil Zugebracht, auffgerichtet in Anno 1699. – in Ihren Mittwoch den 10. Decembris deß Zurückgelegten 1698. Jahrs angetrettenen Ehestand, Krafft auffgerichteter heüraths verschreibung einander für unverändert Zugebracht (…) Actum Straßburg in beÿsein Herrn Georg Sigmund Breunsmäntels Zinngießers und E E Kleinen Raths alten beÿsitzers, der Ehefrauen und Herrn Johann Höhris Barbierers und geschwornen wundartzts der Kindt. Erster Ehe geschwornen Vogts, wie auch herrn Johann Georg Feÿglers, Specerirers und handelsmanns deroselben Eheleiblichen Bruder, alle burgere alhier Zu Straßburg, Donnerstags den 12. Monatstag Februarÿ Newen Calenders Anno 1699.

In hernach eigetragen, in der Statt Straßburg ane dem alten Weinmarck gelegenen der Ehefraun für unverändert gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltz: und Schreinerwerck. In der Cammer A, Cammer B, In der Cammer C, In der obern Stuben, In der Stub Cammer, Im obern haußöhren, In der Magd Cammer, In der Wohnstuben, In der Kuchen
Sa. haußraths und Kleÿdung (M 121, F. 231), Sa. Frucht und Meel (F 6) Sa. Weins und Faß (M 18, F 7), Sa. Werckzeugs Instrumenten und dergleichen Zum barbierer und wundartztneÿ gehörig (M 20, F 15), Sa. Silber geschmeids (M 72, F 59), Sa. goldener Ring (M 3, F 41), Sa. Baarschafft (F 2)
Summa summarum des Ehemanns Vermögens 235, Darzu seind zurechnen Zween dritteth. der Haussteuren 12, Des Ehemanns unverändert Vermögen 247 lb
Eÿgenthumb ane Häußern und Gädel so die Ehefrau für unverändert in die Ehe gebracht. Erstlichen ein hauß jenseits der Schidbrucken (…)
Sa. Häußern (F 220), Sa. Schulden (F 52), Summa summarum der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung 687, dazu ist zu rechnen ein drittertheÿl an denen haussteuren thut 6, Der Ehefrauwen in die Ehe gebrachte Nahrung 693 lb
Wÿdemb, daran das Eÿgenthumb der Ehefrauen verfangen, nach besag der Ehefrauen Ersten haußwürths seel. Verlaßenschafft durch herrn Notarium Johann Kitschen in Anno 1698. gefertigt und einer von Herrn Stephan Cornelio Saltzmann Notario Publico et Academico den 28. Julii Anno 1689. verfertigte, auffsatz hatt herr Johann Jacob Fautel Sattler und burger allhie zu Straßburg von weÿl. frawen Salome gebohrner Feiglerin seiner geweßenen Ehewürthin der Ehefrauen verstorbenen Schwester (…)

Jules Christophe Kessler estime que les droits prélevés lors de son admission à la tribu sont trop élevés alors qu’il est fils de bourgeois et qu’il a épousé une veuve. Les Quinze consultent le tarif dans les registres de la Lanterme et estiment que la somme réglée est réglementaire. Ils déboutent le pétitionnaire de sa demande
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
Julius Christoph Keßler Ca. E. E. Zunfft zur Lucern
(f° 222-v) Sambstags den 18.ten Julÿ – Julius Christoph Keßler Ca. E. E. Zunfft zur Lucern
Julius Christoph Keßler Chyrurgus per Hecker Cit. E. E. Zunfft zur Lucern Zunfftmeister H. Johann Moßedern, Pplis klagt daß Citati Ihne als einen gantz Landfremden beÿ Conferirung des Zunfftrechts gehalten und an statt 25. ß 3 lb 7 ß abgefordert haben, da er doch eines Burgers Sohn, deßen vatter hiebevor ein Straßburgischer unterthan gewesen, auch eines burgers Wtb. geheürathet habe, bathe deßwegen moderationem und Restitution des Zu Viel abgeforderten gelts.
Gol. pro Citati bittet Zu Mehrerm bericht deputationem. Hecker consentirt. Erk. deputation auff die obere handwerckhh. willfahrt.

(p. 244) Sambstags den 8. Augusti 1699. Christoph Julius Keßler Ca. E. E. Zunfft zur Lucern
Iidem [Obere handwerckhh.] per Herrn Friden, es habe Julius Christoph Keßler jüngsthin wider E. E. Zunfftgericht Zur Lucern geklagt daß beÿ Conferirung des Zunfftrechts daßelbe ihne als einen gantz Landfremden gehalten, und an statt 25. ß Ihme 3 lb 7 ß abgefordert habe, anbeÿ gebetten daß ermelte Zunfft Zu erstattung des Zuviel abgeforderten gelts angehalten weden möchte.
Alß man darauff Herrn Johann Moßedern den Zunfftmeister angehört habe, derselbe beditten, daß E. E. Zunfft Gericht jährlich auff die Ordnung schwören müßte, und man dem Cläger nichts als was dießelbe mit sich bringe, gefordert habe, wann MGHherren aber etlich anders erkennen wolten, Sie es wohl geschehen maßen müßten.
Hingegen habe Keßler vermeint daß er nicht soviel Zu bezahlen hette (1) weilen er eines burgers undt barbierers Wtb geheürathet, (2) ein Burgers Sohn seÿe deßen vatter vor dießem alhie burger gewesen, undt nachgehends nach Mittelbergheim gezogen undt (3) man H. Stegen Tochtermann welcher gantz frembdt seÿe nicht mehr als 3 lb 7 ß gefordert habe, da es doch mit ihme eine Gantz andere beschaffenheit hette, anbeÿ nochmalen umb moderation Gebetten.
Worauff man sich E. E. Zunfft Zur Lucern Articul buch geben Laßen, worinnen Clärlich enthalten, daß ein ieder Burger Sohn, welcher daselbst Zünfftig werden will, vor die gebühr 3. lb 7 ß erlegen soll, deßwegen man dafür gehalten, daß Implorant beÿ deren bereits Gethanen erlegung gelaßen werden Könte. Erk. Gefolgt.

Le tuteur de Susanne Feigler, démente, assisté de sa fille et de son gendre, vend la maison au transporteur de sable Frédéric Gerlach et Marie Dorothée Brand (propriétaires de la maison voisine, voir ci-dessus)

1736 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 11-v
H. Johann Sebastian Kratz der chirurgus und E. E. großen Raths alter beÿsitzer als vogt Fr Susanna geb. Feiglerin weÿl. Julÿ Christoph Keßler gewesten Chirurgi wahnwitziger wittib mit zu ziehung ihr Keßlerin Tochtermann Johann Jacob Riedle Chirurgi und deren tochter Jfr. Maria Magdalena Keßlerin tutoris Johann Adam Steinbach des gürttlers
in gegensein Friedrich Gerlach des Sandführers und Mariæ Dorotheæ geb. Brandin
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomas Bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinder dem Brauhauß zum Spieß einseit neben dem käuffern selbst anderseit neben Ottilia N weÿl. NN Sigristen zu St Louis wittib hinten auff H. Fünffzehner Friedrich Kornmann – davon gibt man jährlich den Stifft St Thomä auff Johann Baptistæ, Martini und Nativitatis Christi dreÿ Cappen in federn und 7 ß 6 ahne einem ehrschätzig und fürbietigen zinnß – als ein ahne hiesiger Ganth den 4. Februarÿ 1733 erkaufftes guth – um 100 pfund verhafftet, geschehen um 600 pfund

Frédéric Gerlach et Marie Dorothée Brand hypothèquent la maison qu’ils viennent d’acheter au profit du marchand Jean Daniel Stædel

1736 (7.1.), Chambre des Contrats, vol. 610 f°13
Friedrich Gerlach der Sandführer und Maria Dorothea geb. Brandin mit beÿstand H. Rathh. Oesinger und H. Kögelin beede E.E.. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H .Johann Daniel Städel des handelsmanns – schuldig seÿen 600 pfund zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß bezalten Behausung höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomas Bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinder dem Bierhauß zu Spieß, einseit neben denen schuldnern selbst, anderseit neben Ottilia N weÿl. NN Sigristen zu St Louis wittib, hinten auff H. Fünffzehner Friedrich Kornmann – davon gibt man jährlich dem Stifft St Thomæ 7 ß 6 und 3 Cappen in federn ahne ewigen ehrschätzigen und fürbietigen Zinß

Frédéric Gerlach et Marie Dorothée Brand hypothèquent leurs deux maisons voisines au profit du marchand Jean Schœttel

1738 (15.12.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 677-v
Friedrich Gerlach der Sandführer und Schiffmann und Maria Dorothea geb. Brandin mit beÿstand H. Kickh und H. Bourst beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johannes Schöttel des handelsmanns – schuldig seÿen 650 pfund
unterpfand, Erstlich eine am 7. Januarÿ 1736 umb 700 lb erkauffte Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten jenseith St Thomæ bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinder dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben denen schuldnern selbst anderseit neben Ottilia N weÿl. NN des Sigristen zu St Louis wittib und erben hinten auff H. Fünffzehner Friedrich Kornmann – davon gibt man dem Stifft St Thomæ auff Johann Baptistæ und Nativitatis Christi wie auch auff Martini 3 Cappen in Federn und 7 ß 6 ahne ewigen ehrschätzig: und fürbietigem zinß
ferner eine Behausung und hoffstatt cum appertinentis eben daselbst einseit neben vorher beschriebenem denen Schuldnern selbst gehörigen hauß anderseit neben Christian Lauray dem zweÿbruckischen Mund: Koch hinten auff vorged. H. XV Kornmann – davon gibt man besagtem Stifft zu St Thomæ zween cappen ahne ehrschätzigem zinß – als ein am 13. Decembris 1721 erkaufftes guth

Frédéric Gerlach et Marie Dorothée Brand hypothèquent leurs deux maisons voisines au profit du receveur de l’orphelinat Jean Frédéric Heupel

1740 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 409
Johann Friedrich Gerlach der schiffmann und Maria Dorothea geb. Brandin mit beÿstand H. Capler und H. Jung beede EE. kleinen Raths alten beÿsitzers
in gegensein H. Johann Friedrich Heupel des Schaffners allhiesigen Weÿßenhaußes – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, zwo neben einander liegende behausungen samt höfflein und hoffstätten mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseits Thomae Bruck ohnfern die Kirch zu St Louis hinder dem Bierhauß zum Spieß, einseit neben Johann Georg Wiedemann dem Saltzmeßer, anderseit neben Antoni Heldter dem bittel beÿ E.E. Zunfft der Weinsticher, hinten auff H. XV Friedrich Kornmann – von der größeren behausung gibt man dem Stifft zu St Thomä auff Joh. Baptistæ, Martini und Nativitatis Christi 3 Cappen in federn und 7 ß 6 d Ehrschätzigen zinnßes

Frédéric Gerlach et Marie Dorothée Brand vendent la maison 800 livres au menuisier Michel Thomas et à sa femme Marie Madeleine Bentz

1745 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 258-v
Johann Friedrich Gerlach der sandführer und Maria Dorothea geb. Brandin
in gegensein Michael Thomas des schreiners und Mariæ Magdalenæ geb. Bentzin
eine behausung hindergebäu, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten jenseit St Thomä bruck ohnfern der Kirch zu St Louis hinder bierhauß zum Spieß einseit neben den Käuffern, anderseit neben Johann Jacob Tournay dem Sackträger, hinten auff ST H. XV Friedrich Kornmann – davon gibt man dem stifft St Thomä auff Joh. Baptistä, Martini und Nativitatis Christi 3 cappen in federn und 7 ß 6 ewigen ehrschätzigen und fürbitigen zinß – als ein am 7. Januarÿ 1736 erkaufftes guth – um 800 pfund

Le compagnon menuisier Michel Thomas originaire de Niderhausbergen demande l’autorisation (de faire son chef d’œuvre) bien que ses années d’épreuve ne soient pas encore écoulées
1736, Protocole des Quinze (2 R 145)
(p. 16) Sambstag den 21. Januarÿ.
Römer nôe Michael Thomas ledigen Schreiners von Niderhaußbergen [contra E. E.] Meisterschafft der Schreiner altisten geschw. H. Joh: [-] prod. Vnterth. Mem. sambt beÿlagen A et B bitt [-] Fuchs Weil Gegner noch uber 1 Jahr undt 2. Monath an d[en] Muthjahren auszuarbeithen hat, alß bitt abweßung Ref. [Exp.] Römer priora. Erk. Ober handwerkhh.

Fils d’un cultivateur de Niederhausbergen, Michel Thomas épouse en 1737 Marie Madeleine Bentz, fille d’un charpentier de Kehl : contrat de mariage, célébration
1737 (14.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 76) n° 856
(Eheberedung) entzwischen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Michael Tomas leedigen Schreinern von Niederhaußbergen gebürtig, weÿland Diebold Tomas geweßenen Ackersmanns und Innwohners allda seel. Ehelich nachgelaßenem Sohn als dem hochzeitern ane Einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauw Mariæ Magdalenæ Bentzin, weÿland Meister Johann Jacob Bentzen deß geweßenen Zimmermanns und burgers zu Kähl ehelich erzeugten Tochter
So beschehen In der Königlichen Statt Straßburg In beÿsitzer meister Michael Dennichen des Schreiners auf seiten des hochzeiters, So dann auf der Jgfr hochzeiterin seiten S. T. H. Alexander Salomon Reichard Vornehmen handelsmanns aller burgere allhier, Donnerstags den 14. Februarÿ 1737.
[unterzeichnet] Michäl Thommaß alß hoch Zeitter, + der hochzeiterin handzeich.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 172)
Anno 1738. Mittw. d. 7. Maj seind nach ordentl. außruffung Ehl. copuliret u. eingesegnet worden Michael Thomas der led. schreiner Von Niederhaußb. weÿl. Diebold Thomas b. und ackersmanns daselbst hinterlaß. Ehel. Sohn, v. J. Maria Magdal. weÿl. Johann Jacob Bentzen geweß. b. und Zimmermanns in Kähl hinterlaß. Ehl. tochter [unterzeichnet] Michäl Thommaß als hoch Zeitter, + ist der hochzeiterin Zeichen (i 177)

Michel Thomas fait dresser un état de fortune pour accéder à la bourgeoisie (les registres de bourgeoisie manquent entre 1737 et 1740)
1738 (14.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 36) n° 1109 (1063)
Designatio deßjenigen Vermögens, so der Ehrsame vnd bescheidene Mstr. Michel Thomas der leedige Schreiner Von Niederhaußbergen, weÿland diebold Tomas geweßenen Ackersmanns vnd burgers allda seel. Sohn, so sich ane Jgfr. Maria Magdalena Bentzin weÿland Mstr. Johann Jacob Bentzen geweßenen Zimmermanns Vnd burgers zu Kähl Ehelich nachgelaßene dochter zu verheurathen willens ist, dermahlen würcklichen besitzet, welches weilen Er wegen Erlangung des Burgerrechtens beÿ hoher gnädiger Obrigkeit Untg. ansuchung zu thun willens (…) Actum Straßburg den 14. febr. A° 1738.
Sa. haußraths 30, Holz und Werckzeug wie auch gemachte arbeith Zum schreiner handwerck gehörig 167, Baarschafft 27, Schuld 100, Summa summarum 320 lb

Michel Thomas devient tributaire chez les Charpentiers le 22 mai 1738
1738, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 246) Donnerstags den 22. Maÿ 1738. wurde Kauffgericht gehalten
Evangelisch Neuzünfftiger – Mstr Michel Thomas der Schreiner Von niederhaußbergen prod. Cantzleÿ und Stammsch. Vom 19. Maÿ 1738 bitt ihme das Zunfftrecht angedeÿen zu laßen. Erkannt willfarth. dt. 3 lb d

Michel Thomas porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose à la tribu des Charpentiers. Il a été mis à l’amende pour avoir vendu des objets de la succession Jean Philippe Winther bien qu’ils soient usagés et qu’ils ne peuvent passer pour neufs. La commission estime qu’il n’a pas été prouvé que les objets vendus sont neufs mais confirme la validité du jugement rendu par la tribu pour prendre en compte sa crainte de la fraude tout en réduisant l’amende du plaignant.
1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
Michael Thomas Ca Schreiner
(p. 355) Sambstags den 10. Augusti. – Freund nôe meister Michael Thomas des b. und schreiners allhier Ca. E. E. Msterschafft derer teutschen schreiner obermeister, producirt Wiedrigen handtwercks bescheid Vom 30. Julÿ Jüngst Von welchem ppli an mghhrn un unterthänigkeit appellirt, bitt verzeichnus. Erkanndt Verzeichnus.

(p. 358) Sambstags den 17. Augusti. – Idem [Freund] nôe Michael Thomas des schreiners Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen schreiner obermeister, prod. unterth. appellations Klag samt beÿl. sub lit A et B und bitt umb deput.
Christmann bitt gleichfalls um deput. Erkanndt Deputation.

(p. 406) Sambstags den 14. Septembris 1754. Iidem [Ober Handwercks herren] laßen per eundem referiren, es habe meister Michael Thomas der burger und schreiner allhier beÿ mghhrn C. E. E. handwerck der teutschen schreiner obermeister den 10.ten Augusti Jüngst einen Wiedrigen handwercks bescheid producirt, Vermög Welches Er in die straf der 3. lb nebst ersetzung der unkosten condemnirt Worden, Von dießem bescheid habe Er in tempore legale an Mghh appellirt seiner jnterponirten appellation Verzeichnus gebetten und erhalten, auch den 17.ten ejusd. mensis seine unterthänige appellations Clag mit beÿlagen sub litt A et B übergeben und darum Exponirt, er seÿe auß der ursachen in die straff der 3. lb nebst unkösten condemnirt worden, weilen Er einen Nußbaumenen beschlagenen Kasten, dergleichen Commoder und eine Eisene bettlad von den Winterischen haußrath Zu Verkauffen gestellet habe. Wann aber sothane stück nicht new geweßen, indeme auß mitkommendem des schloßers Conto sub litt A ersichtlich daß der Kasten bereits in ano 1748 gemacht und beschlagt Worden, über dießes Könne man nicht Eigentlich sagen daß der appellant die in dem bescheid enthaltene Effecten Verkaufft habe, da außmitkommendem Extract des über weÿl. Joh: Philipp Winthers geweßenen metzgers Verlaßenschafft gefertigten Inventarii Sub litt b erhellet, daß principalis 51. lb 19 ß 6 d welche Er wegen der Einquartierung Vor Baukösten in seinem hauß Verwenden müßen in gedachte Verlaßenschafft schuldig geweßen mithin dieselbe nicht bezahlt bekommen sondern ane bezahlung gegeben habe, Er gehe demnach an mghhrn des appellanten unterthäniges bitten Selbige geruhen deputationen abzuordnen, et facta relatione den appellanten Von der angesetzten Straff und handwercks unkosten wiederum in gnaden Zu entbinden ref: Exp:
Eadem die habe appellatischer (p. 408) ober meister um deput. gebetten et facta relatione die sententiam à quâ gnädig Zu Confirmiren ref. exp: auff geschehene Weißung, habe der appellant præsens Soutenirt, daß die jenige Schreiner Waar welche Er in dem Wintherischen haußrath Verkaufft, alte gebrauchte sachen geweßen welche dem artickel nicht unterworffen und deß wegen seine genommene Conclusiones *tirt.
H Johann Jacob Strohe als obermeister, so dann Johann Jacob Schwing und Johann Friderich Engel, als mit meistere, hätten hingegen versichert, daß insonderheit die zweÿ letztere meistere die Waar in haußrath selbsten besichtiget, und mit gutem gewißen nicht anderst sagen Könnten, als daß es neue Waar geweßen, ob derselbe gleich ettliche jahr Vorher könne gemacht geweßen seÿn, überhaupt seÿe es vor die Meisterschafft von großer Wichtigkeit, daß dergleichen unterschleiff Verbotten Werde, indeme sie sonsten alle Verderben müßen, Wollten also unterthänig gebetten haben, Mghhn geruheten Zu erkennen, daß in erster jnstantz wohl gesprochen, übel appelliret worden, einfolglich die ententia à quâ ref. Exp. Zu confirmiren seÿe.
die Hhn Deputirte hätten Zwar in dießer sach befunden, daß das factum und die quæstio ob der appellant neue schreiner Waaren dem haußrath gestellt, nicht Juridice bewiesen und also dem appellanten das Juramentum suppletorum hätte deferirt Werden Können, Weilen aber dem gantzen handwerck Viel daran gelegen, daß dergleichen unterschleiff gäntzlich auffgehoben und Verwehret Werde, als wäre dererselben meinung dahin gegangen, daß in erste jnstantz zwar wohl gesprochen Worden, die angesetzte straff der 3 lb aber auß bewegenden Ursachen auff 1 lb zu moderien, der appellam auch in die gerichts Kösten fällig zu achten seÿe. Erkanndt, Bedacht gefolgt.

Marie Madeleine Bentz meurt en 1757 en délaissant pour seul héritier testamentaire son mari. L’inventaire est dressé dans leur maison derrière Saint-Nicolas. L’actif de la succession s’élève à 591 livres, le passif à 957 livres.
1757 (19.8.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 67) n° 1609
Inventarium vnd beschreibung alles derjenigen haab und Nahrung Keinerleÿ davon außgenommen so weÿland die Ehren vnd tugendsahme frau Maria Magdalena Tomaßin gebohrne Bentzin des Ehrengeachten vnd ebscheidenen Meister Michael Thomas schreiners vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßene Ehefrau, nach Ihrer den 27.ten Junÿ dieses fortlaufenden 1757.ten Jahrs aus dießer welt genommenem tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sein des Wittibers selbsten, als der Verstorbenen seel. Crafft gnädig erhaltenen Indulti Testandi per Testamentum instutuirten vnd verlaßenen eintzigen universal Erben fleißig inventirt und erzeugt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg den 19.ten Augusti 1757.
Copia Testamenti nuncupativi

In einer allhier Zu Straßburg hinter St Nicolaj gelegener eigenthümlich hiehero gehörigen behausung sich befunden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. eine behausung hinter St Nicolaj Kirch (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 93, Sa. Holtz vnd werckzeugs zum schreiner handwerck gehörig 20, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 476, Summa summarum 591 lb – Schulden 957 lb, In Compensatione Mehr Schulden als Nahrung 365 lb
Stall Summ, nichts

Michel Thomas se remarie en 1757 avec Marie Barbe Pauli veuve de Samuel Bahn : contrat de mariage, célébration
1757 (14. 9.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1325
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeacht vnd bescheidenen H. Johann Michael Thomas Schreiner Wittibern und burger, allhier zu Straßburg und burgern allhier Zu Straßburg als Hochzeiter ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen frauwen Mariæ Barbaræ Bahnin gebohrner Paulin weÿland Hn Samuel Bahn gewesenen allhießig verburgerten Schneiders hinterbliebene wittib als hochzeiterin andern theils
Straßburg den 14.ten Novembris 1757. [unterzeichnet] Johan Michael thomaß als hochzeitter, maria barbara hahin als hochzeiterin*

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 146-v n° 4)
1758. Mittwoch d. 15. febr. Seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirche Zu S. Nicolai Ehelich eigesegnet worden Michael Thomas, Schreiner, burger und Wittwer allh. v. Fr. Maria Barbara geb. weÿl. Samuel Bahnen, gew. Schneiders und burgers allhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Michäl Thomaß als hoch Zeitter, Maria barbra alß hoch zeiterin (i 149)

Jean Michel Thomas meurt en 1768 en délaissant sa veuve pour seule héritière. L’inventaire est dressé dans leur maison derrière Saint-Nicolas. L’actif de la succession s’élève à 1 158 livres, le passif à 865 livres.
1768 (27.10.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 860) n° 43
Inventarium über Weiland des Ehrengeachten Meister Johann Michael Thomas, des gewesenen Schreiners und burgers alhier, nun mehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1768. – nach seinem Montag den 12.ten 7.bris dieses laufenden 1768.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hintritt nach sich Verlaßen. Welche Vermögenschaft auf freundliches Ansuchen und begehren der Ehren und tugendsameen Fraun Mariæ Barbaræ Thomasin gebohrner Pauliin des Defuncti seel. hinterlaßener Wittib und Zufolg des 7.den Punctens ihrer mit einander auffgerichteten und hernach diesem Inventario copialiter einverleibter Eheberedung eingesetzter universal Erbin, beÿständlich des Ehrenachtbaren Meister Peter Caßel des Schreiners und burgers alhier (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer hinter Sti Nicolai ane der Preüsch gelegener, hiehero eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerem beschriebener behaußung, Donnerstag den 27. Octobris Anno 1768.

Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 14. Novembris 1757, Johann Jacob Oelinger
Eigenthum ane einer Behaußung. Nämlich eine behausung, Gemeinschaft eines Höffleins, bronnens und hoffstatt hinter Sti Nicolai ane der Preusch (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 90, Sa. Holtz und Werckzeugs Zum Schreiner Handwerck gehörig 14, Sa. Silbers 8, Sa. goldenen Rings 1, Sa. der baarschafft 50, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 543, Summa summarum 1158 lb – Schulden 865, Nach deren Abzug 292 lb
Beschluß und Stall summa 663 lb
Widem Welchen die hinterbliebene Wittib lebtägig Zu geniesen hat. Nämlich nach Inhalt des von Weil. Mr Samuel Bahn dem gewesenen Schneider und burgern alhier, deroselben erstern Ehemann seel vor H Notario Christoph Michael Hoffmann am 11. Februarii 1743. auffgerichteten Codicilli nuncupativi (…) Finito usufructu aber haben Frau Anna Christina Dietrichin gebohrne Bahnin Mr Johann Paul Dietrich des Schneiders und burgers alhier Ehefrau, Johann Samuel und Johann Philipp Bahn obgemelten Samuel Bahnen hinterlaßenen dreÿ Kinder jedes einen dritten theil daran zu überkommen

Michel Thomas et Marie Madeleine Bentz hypothèquent au profit des enfants mineurs de Jean Bœckler la maison près du pont Saint-Thomas et celle derrière Saint-Nicolas

1747 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 671
Michael Thomas des schreiner und deßen ehefrau Maria Magdalena geb. Bentzin diese mit beÿstand H. Wolff und H. Roggenbach beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein S.T. H. XV Paul Gottfried Gambs als vogts H. Johannes Böckler Med. D. und Prof. dreÿer kinder Johann, Catharinæ Salome und Catharinæ Margarethæ der Böckler – schuldig seÿen 1500 pfund
nach vorhero beÿ dem Stifft St Thomä H. Præpositi erhaltenen consens, unterpfand, eine behausung, hindergebäu, hoff und hoffstatt jenseit St Thomä bruck hinter dem bierhauß zum Spieß, einseit neben Friedrich Gerlach dem Sandführer, anderseit neben Jacob Tournay dem Sackträger, hinten auff S.T. H. XV Friedrich Kornmann – davon gibt man ged. Stifft dreÿ Cappen in federn und 7 ß 6 d ane ewigen ehrschätzigen und fürbietigen zinß
ferner eine behausung, gemeinschafft eines höffleins und bronnens und hoffstatt hinder St Nicolaus kirch, einseit ist ein eck am Grattelgäßlein, anderseit neben Andreas Lurtzing dem haußfeurer hinten auff Johann Jacob Merg den tabacbereiter

Michel Thomas et Marie Madeleine Bentz vendent 1 500 livres la maison qu’ils viennent de reconstruire à Claude Bernard Eisentraut, entrepreneur pour la fourniture de la garnison

1747 (11.12.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 839
Michael Thomas der schreiner und Maria Magdalena geb. Bentzin
in gegensein H. Claude Bernard Eisentraut entrepreneur derer bett: fournitures vor die hiesige garnison
eine behausung, hindergebäu, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten jenseit St Thomä bruck ohnfern der kirch zu St Louis hinder dem bierhauß zum Spieß, einseit neben Johann Friedrich Gerlach dem sandführer, anderseit neben Johann Jacob Tournay dem sackträger, hinten auff H. XV. Friedrich Kornmann – auf Joh. Baptistæ, Martini und Nativitatis Christi gibt man dem Stifft St Thomä 3 cappen in federn und 7 ß 6 d ane ewig ehrschätzig: und fütbietigem zinß – als ein am 22. Aprilis 1745 erkaufftes und seithero neu erbautes guth – um 1500 pfund verhafftet, geschehen um 1500 pfund


Deux anciennes maisons réunies

Originaire de Nancy où son père est interprète, Claude Bernard Eisentraut épouse en 1732 Reine Rostaing, native de Grenoble, fille d’un garde magasin pour le Roi à Strasbourg.

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 3)
Hodie 19 mensis januarii anni 1732 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Claudius Bernardus Eisentraut Lotharingus filius joannis Bernardi Eisentrau in vivis in curia Lotharinga interpretis et Margarethæ birle* conjugum et Regina Rostain gratianopolitana filia joannis Rostain custodis apothecæ frumentorum regis in Alsatiæ et Ludovicæ Allois (signé) Claude Bernard Eisentraut, reine rostaint (i 3)

Leur fille Rosalie Reine Louise naît quelques mois plus tard

Baptême, Saint-Louis (cath. p. 276)
Anno Domini 1732 die 13. julii nata est Rosalia Regina Ludovica filia Domini Claudii Bernardi Einsentrautt et dominæ Reginæ Rostain Conjugum et die sequenti a me infra scripto Baptisata est, patrinum habuit dominum joannem baptistam francé filium joannis baptistæ francés et dominæ Sabinæ Magdalenæ schönher matrinam dominicellam Rosaliam guelb filiam domini Francisci guelb assessoris senatus hujus urbis et dominæ mariæ evæ schneringer (i 145)

Claude Bernard Eisentraut devient bourgeois en 1735 avec sa femme Reine Rostaing native de Grenoble en apportant trois filles et s’inscrit à la tribu des Maréchaux.

1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1027
H. Claudius Bernhardus Eißentraut Von Nancy, undt sein ehefr. Regina Rostain Von Grenoble geb. erhalt. d: b: umb d. alt. b: wollen beÿ E.E. Zunfft d. schmid dienen ihrer Kind: nahmens Rosalie Regina Ludovica, Maria Regina Cecilia und Ludovica Regina werden beÿ ordnung gelasen Jur et prom d 12.ten Xb 1735

Claude Bernard Eisentraut est élu maître des rentes
1736 Conseillers et XXI (1 R 219)
H. Claud. Bernardus Eißentraut Wird Zu einem Zinß meister erwöhlt. 358. schwört auff seine ordnung und resp.vé Bestallungs brieff. 379.

Sa fille Rosalie Reine Louise dont seront issus ses seuls héritiers épouse en 1754 Pierre Bernard Ramond, trésorier aux armées du Roi à Neuf-Brisach
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 21)
Hodie 20 mensis februarii anni 1754 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Dnus Petrus Bernardus Ramond quaestor militiae Regiae in urbe neobrisacensi filius Dni Joannis Jacobi Ramon secretari Regii et Dnæ Rosæ Maret conjugum versalÿ commorantium et Dominicella Rosalia Regina Ludovica Eisentraut filia Dni claudii Bernardi Eisentraut in negotiis Regÿ occupati et Dnæ Reginæ de Rostaing conjugum in hac parochia commorantium (i 21)

Claude Bernard Eisentraut meurt en 1764 en délaissant trois petits-enfants issus de sa fille épouse de Pierre Bernard Ramond. Les experts estiment la maison 1750 livres ; un seul titre d’achat est cité. La rente laudémiale a été rachetée en 1760. La masse propre à la veuve est de 3 220 livres, celle des héritiers de 7 882 livres. L’actif de la succession s’élève 12 481 livres et le passif à 10 114 livres.

1765 (5.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 723) n° 539
Inventaire des Biens delaissés par feu le Sieur Claude Bernard Eisentraut, vivant Conseiller au Magistrat du grand Senat de cette ville de Strasbourg et Receveur general du Clergé de la Province d’Alsace, dressé en 1765. – après son deceds arrivé le 6° Avril de l’année passée 1764. Lesquels Biens à la Requête de De Reine née Rostaing, Veuve dud. feu Sr Eisentraut, assistée de M° Charles François Antoine De Laurier, Licentié és Loix et Greffier au Grand Sénat de lad. Ville, ont été inventoriés, montrés et exhibés par lad. De après que Lecture a été faite de l’article concernant l’enseignement (…) Fait aud. Strasbourg en presence du Sieur Jean Erasme Boecler ancien assesseur du Grand Sénat et présentement assesseur du Petit Sénat à ce député de la part dud. Senat ce 5° May 1765.
Ledit Sieur Eisentraut defunt a delaissé pour ses héritiers ab intestat par egales Portions 3 petits Enfans, Sçavoir 1° Louis François Elisabethe, 2.do Cecile Etienne Bernard et 3.tio Margueritte Josephe Rosalie, Tous les trois Enfants mineurs de feu De Rosalie Reine Eisentraut procréés de son mariage avec Me Pierre Bernard Ramond, Tresorier résidant à Neuf brisac, qui a eté présent à la Confection dud. Inventaire. Aux quels dits trois Enfants mineurs a été nommé pour tuteur le Sr Etienne Laurent Lefebure, Maître tapissier et bourgeois de cette ville
Observations concernant la Succession& dudit feu Sieur Eisentraut. Avant la Confection du present Inventaire la De veuve Eisentraut a declaré qu’il n’y a jamais eu un Contrat de Mariage entre elle et feu led. Sieur Eisentraut son Epoux, que tous les biens apportés reciproquement en mariage n’existoient plus, qu’lle gardera les habits et Linge servant à son Corps en place de ceux apportés en mariage, par contre que les habits et Linge dud. Sieur son Mary doivent demeurer en toute propriété à ses petits Enfants et héritiers dont le sieur Lefebure tuteur desd. Enfants a déclaré être contant. Dans ces Circonstances tous les biens delaissés par feu led. sieur Eisentraut suivant les Reglemens de cette Ville ont été inventoriés comme communs et des biens acquis pendant le Mariage dont le tiers appartiendra à la De Veuve Eisentraut et les deux tiers restants aux héritiers de feu mond. Sieur Eisentraut, le tout Pour mémoire.

Trouvés dans une Maison scise pres l’Eglise de S. Louis faisant partie de la presente succession ainsi qu’il s’ensuit.
Au troisième étage. Dans une Chambre de Domestique N° 30, Dans la Chambre N° 31 aud. Etage, Dans la Chambre N° 32 dud 3° étage, Dans le Vestibule, Dans la Chambre N° 27, Dans la Chambre N° 26, Au garde Meubles – Au Second Etage, Dans un cabinet N° 20, Dans une Chambre N° 24, Dans une Chambre N° 22, Dans la Chambre N° 21, Dans Le Cabinet sans N°, Dans le Vestibule, Dans une autre Chambre N° 18, Dans une Chambre N° 19 – Au premier étage, Dans une Chambre sur le devant N° 12, Dans la Chambre à côté N° 13, Dans la Chambre N° 14, Dans un Cabinet à côté N° 15, Dans une Chambre sur le devant, Dans une Chambre N° 10, Dans une Chambre N° 9 – Au Rez de chaussée, Dans la Salle à Manger, Dans la Cuisine
(f° 12-v) Propriété d’une Maison scituée en cette ville de Strasbourg. Savoir une Maison avec toutes ses appartenances et dépendances Scituée en Cette ville de Strasbourg près l’Eglise de St Louis, d’un côté le Sieur Bourgeois, maître tapissier, de l’autre côté le S. Dillemann, fabricant de Tabac, tous deux bourgeois demeurant en lad. Ville et par derrière aboutissant sur le héritiers Kornmann. Laditte Maison outre 6000. li. de principal dû à Monsieur Jean Becler, Docteuir en Medecine, franche et quitte estimée par le Sr. Werner, Inspecteur des Bâtimens et le Sr Huber Maître charpentier de la Ville, suivant leur Etat d’estimation du 20 avril dernier ci joint à la somme de 7000 livres. La propriété de lad. Maison est constatée par un Contrat de Vente passé à la Chambre des Contrats de cette ville le 11 Xbre 1747.
Nota. Suivant la Teneur dud. contrat, lad. Maison fut chargée ci devant de 3 Chapons et de trente sols de rente foncière dont elle a été déchargée en vertu de l’acte passé au Greffe de Marlenheim le 27° août 1760 contre un sac de froment et un sac d’orge que doit annuellement à la St Martin Joseph Scheeffer bourgeois de Northeim
(f° 13-v) Etat sommaire du present Inventaire. Copie du codicille mystique et olographe déposé à M° Humbourg notaire royal de cette ville le 21° août 1754. ouvert et publié le 14 avril 1765.
Total des habits et Linge qui ont servis au Corps dud. defunt, 774 livres
Suit la Description des Biens appartenant à la Communauté, total des meubles 10.048, Total des Vins et Tonneaux 825, Total de l’argenterie 2400, Total de l’Or et bijoux 350
Total de l’argent comptant 13.954, Total de la propriété d’une Maison 7000, Total des biens 34.578 livres
Et les Meubles, Ustensiles, Vins et Toneaux à Northeim dans le Bailliage de Wasselonne y compris la maison (…) se montent conformément à l’inventaire dressé par M. Schneider greffier dud. Bailliage de Wasselonne le 5° juin 1764 (…) 15.348, Total général 49.926 livres – Dettes passives 40.458, reste 9468 livres
Somme finale et du Stall 3434 livres
Copie du Codicill mystique (…)

Le défunt est inhumé dans la nef de l’église Saint-Louis
Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 117)
Anno Domini 1764 die sexta mensis aprilis mortuus est d. claudii Bernardus eisentraut in provincia alsatiæ ecclesiastici Thesauri quæstor, nec non ex senatus argentinensis assessor ueteranus et die octava ejusdem mensis et anni (…) sepultus est in naui ejusdem ecclesiæ presentibus testibus D. petri Bernardo de ramon Tribuus ærario in urbe dicta neuf Brisac supradicti defuncti Genere et uiduo (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 1 900 florins
1765 (4. Junÿ), Livres de la Taille (VII 1180) f° 7-v
Schuhmacher N° 1441 – Weÿl. H.Claude Bernard Eisentrautt Exsenat. und receveur general du Clergé de la Province d’Alsace auch burgers allhier Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Zimmer.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 83-b 10.242 livres 11 d, adde die Vor jnventir kösten abgezogene 300. lb so thut dieselbe 10.542 lb. Davon gehet aber wieder ab die beßerung so der Verstallung nicht unterworffen 6807 lb 19 s 9 d, Verbleibt 3734. lb 11 s 3 d die machen 1900. fl. Verstallte 1200 fl Zu wenig 700 fl.
Wavon Nachtrag 8. jahr in duplo a 2 lb 2 ß – 16 lb 16 ß
und 6. Jahr in simplo – 6 lb 6 ß
Ext. Stall geb. 1764 – 3 lb 3 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 3 lb 17 ß 6 d (Summa) 30 lb 5 ß
dt. 24. julÿ 1765.

Reine Restaing meurt en 1784 rue Sainte-Elisabeth dans la maison Pillon. L’actif de la succession s’élève à 808 livres, le passif à 188 livres.
1784 (27.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1432) n° 619
Inventaire des Biens delaissés par feue De Reine Restaing a Son deceds Veuve du sieur Claude Bernard Eisentraut, vivant Receveur general du Clergé d’Alsace, bourgeoise de la Ville de Strasbourg, dressé l’an 1784. – apres son deceds arrivé en lad. Ville le 4° avril dernier, Lesquels Biens, à la requête de Mr Jacques François Rondoüin, Entrepreneur des fortifications de cette ville et ancien Senateur du grand Senat, en sa qualité de fondé de procuration des Héritiers de lad. défunte Dame, ont été inventoriés, montrés et enseignés par le St Louis Pillon, bourgeois de cette ville et Dlle Marie Madeleine Salomé Pillon, sa fille (…) Fait et passé aud. Strasbourg le 27 May 1784.
Feu lad. De Veuve Eisentraut a delaissé en vertu de son testament mystique du 30° Aoust 1774. deposé a M°Lacombe Notaire Roïal residant en cette ville de Strasbourg lesd. jour et an, ouvert et publié le 27° May 1784, pour ses seuls et uniques héritiers Sçavoir 1.mo Mr Louis Elisabeth François Ramond, Conseiller de Regence de S. A. Sme et Eminentissime Monseigneur le Cardinal de Rohan, Prince Eveque de Strasbourg, résidanr ordinairement a Paris et presentement en cette ville de Strasbourg, meme présent à la Confection de cet Inventaire, 2.do Mr Cecile Etienne Bernard Ramond du Poujot, demt. a Lille en Flandres et 3.tio Dlle Josephine Reine Margueritte Ramond, fille majeure demeurant à Paris. Au nom de mond. Sieur Ramond du Poujot et de lad. Dlle Ramond est comparu à la Confecton de cet Inventaire Mr Jacques François Rondouin, ancien senateur du grand Senat de cette ville (…). Lesd. Sieur et Demoiselle Ramond, petit fils et fille de feu mad. De Veuve Eisentraut et Ses heritiers Testamentaires par egales portions

Trouvés dans une Maison Scituée en cette ville de Strasbourg Rue Ste Elisabeth appartenante au Sr Pillon bourgeois de cette ville ainsi qu’il suit savoir
Meubles et Effets. Dans la salle à manger, Dans la chambre à coucher, Dans la chambre à cheminée, Dans la chambre à côté, Dans le vestibule, Dans la cuisine, Au second Etage
Etat Sommaire du présent inventaire. Copie du Testament en datte du 30 août 1774 déposé a Me Lacombe Notaire Roïal le même jour et an
Total des meubles 1696, Total de l’argenterie 1295, Total de l’argent comptant 240, Total general 3232 livres – Dettes passives 755 livres, Somme restante 2477 livres
Somme finale et du Stall 2477 livres
Copie du Testament. Je soussignée Reine Rostaing veuve de feu M. Claude Bernard Eisentraut Vivant Receveur général du clergé d’alsace
(Copie de la procuration passée à Lille)

Reine Rostaing et le tuteur de ses petits-enfants vendent la maison 4 000 livres à Jacques Frédéric Faust, assesseur des Quinze

1771 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 78
De Reine geb. Rostaing weÿl. H. Exsenatoris Claude Bernard Eisentraut gewesten receveur du clergé wittib mit assistentz S.T. H. XV Carl Franz Antoni Des Lauriers und Sr Etienne Laurent Lefebvre des tapezirers als geordneter und geschworener vogt H. Eisentraut enckelen nahmentlich Ludwig Franz, Elisabetha, Ceciliä, Stephan Bernard und Margaretha Joseph Rosalie derer Ramond
in gegensein ST. H. XV. Jacob Friedrich Faust
zweÿ dritte theil einer beÿ der Thomasbruck nächst der St. Louis kirch, bestehend in vorder und hinter gebäuden, hoff, bronnen und hoffstatt vorfindige behausung mit allen denen übrigen weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben N. Dillmann dem tabackfabtricanten, anderseit neben gedachten H. Laurent Lefebvre, hinten auff die Kornmannische H. erben – um 1500 lb verhafftet, geschehen um 2500 pfund

Le licencié en droit Jacques Frédéric Faust est autorisé à avoir accès aux archives en 1754. Il est élu la même année échevin à la tribu de la Fleur puis assesseur des Vingt-et-Un en 1763. Il permute en 1765 sa fonction d’échevin à la Fleur contre une autre à la Mauresse
1754 Obere Cancelley Herren, 1749-1758 (4 R 36)
H. Lt Jacob Friderich Faust erhält den Access auff das Archiv. 243. schwört 244.
1754 Conseillers et XXI (1 R 237)
H. Lt Jacob Friderich Faust Wird beÿ E: E: Zunfft Zur Blum Zum schöffen erwehlt. 234.
1763 Conseillers et XXI (1 R 246)
H. Jacob Friderich Faust Wird Zum XXI. erwehlt und schwört auff die Ordnung. 224. ferner Zum Ober Cassa Herren. 231.
1765 Conseillers et XXI (1 R 248)
H. XXI. Jacob Friderich Faust verwechselt seine beÿ E. E. Zunfft Zur Bluhm getragene schöffenstelle gegen der von H. Lt. Joh: Ernst Beck Schaffner des Collegii Wilhelmitani beÿ E. E. Zunfft der Möhrin getragene schöffen stelle. 95. es wird derselbe beÿ E. E. Zunfft Zur Möhrin H XIII. Saintlo dem daßig. Oberherrn adjungirt und Zu deßen successore designato erwehlt. 128.
1772 XV (2 R 183)
37 Herr Jacob Friderich Faust stellet sich nach Ordnung (…)
1762 (licitation) herrn Jacob Friedrich Faust J.V. Lti und E.E. Großen Raths alten Wohlansehnlichen beÿsitzers auch Jetzig Wohlverdienten dreÿers Löbl. Statt Stalls

Jacques Frédéric Faust, ancien consul, assesseur des Treize, administrateur de la paroisse luthérienne de Saint-Pierre-le-Jeune et du Corps des pensions, meurt en 1780 en délaissant pour héritière testamentaine Marguerite Barbe Papelier femme de l’avocat Jean Gaspard Holtzapfel. Les experts estiment la maison 2500 livres. L’actif de la succession s’élève à 4724 livres, le passif à 2155 livres. La maison vendue aux enchères est acquise par le sieur Striedbeck sous réserve de passation à la Chambre des Contrats

1780 (20.9.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 601) n° 378
Inventarium über weÿl. SS. TT. Herrn Jacob Friedrich Faust gewesenen J. Cti hochverdienten alten Ammeisters und XIII.ers hiesiger Stadt Straßburg, der evangelischen Pfarrkirche zum jungen St Peter, des Stifts Frauenhauses und des Corporis pensionum hochverordneten Pflegers, nunmehr seligen, Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1780 – nach seinem den 12. laufenden Monats und Jahrs aus dießer Welt genommenen seligen Abscheid zurückgelaßen hat. Welche Verlaßenschaft auf ansuchen der Hochedlen, hoch Ehren- und tugendgezierten Frau Margareta Barbara Holtzapfel geborner Papelier beiständlich ihres Eheherrn, des hoch Edelvest hochgelehrt und hochachtbarn H. Joh: Caspar Holtzapfel, beder Rechten Licentiaten, hochfürstl. Marggräflich badischen Raths, auch ritterschaftlichen Amtmanns und Advocaten so dann burgers alhier als einziger Testamentserbin (…) So geschehen in Straßburg in hienach inventirter ohnweit Sanct Ludwigs Pfarrkirche gelegener Sterbbehausung auf Mittwoch den 20. Herbstmonats Vormittag in dem Jahr nach Christi Geburt 1780.
Abschrifft des verschloßenen Testaments, hinterlegungs act vom 21. junÿ 1780.

Eigentum an Häusern. (8 C. N° 94 & 95, 27 lb 10 s.) Nämlich eine in Vorder- u. Hinter-Gebäud, Hofstatt, Hof u. Bronn bestehende beh. u. allen deren übrigen Weithen, Zugehörd, Begriffen, Rechten u. Gerechtigk: gelegen in hies. Stadt bei der Thomas-Bruck ohnweit Sanct Ludwigs Kirche, 1.S. neb. H. Stephan Lorentz Lefebvre, dem Tapezierer ehevögtl. weise, 2. S. neben H. Christoph Dillmann, dem Tabackfabr: hinten auf ebendens. u. die Hh. Gebrüder Kornmann Banquiers, stosend, so frei u. eigen, sofort dh. (die Werckmeistere) laut deren zu diesem Concept gelief. Abschatzungzedels d. 19. Sept. 1780 angeschlagen worden um 5000 fl. oder 2500 lb. Darüb. ist i. perg. m. hies. CCSt. aufgetr. Ins. vers. teutsch. Kbr. v. 5. febr. 1771. vorh. Üb. unterschiedl. diesem Haus vorteilhafte dienstbark: ab. der allda d. 20. Julii 1769 pass. u. f. Pap. ausgef. Kaufcontract, So dann 1 unter H. Act. Beguin Unterschr. verf. extractus aus E.E. Kl. Raths Augenschein- memoriali v. 20. sept. 1748.
(1 P. N° 323, 36 lb 2 s 4 d.) It. 1 Gartenhaus, Hoffstatt, Hof, Schopf, Stallung u. bronn mit dessen übrigen Begriffen u. Weiten gelegen auserhalb hiesiger Statt vor dem Hospitalthor jenseit des Wickhäusels (…)
(f° 13) Eroerterung des grosmütterlichen Substitutions-Guts. Nämlich weiland Frau Maria Agata Fritschin geborne Lamprechtin, des auch weiland H Johann Martin Fritsch gewesenen hiesigen burgers und vornehmen Gastgebers Zum Tiefen Keller Frau Witwe, hat in dem 24. Artickel ihres den 22. Octobris anno 1753 gestifteten, den nämlichen Tag bei H Not. Joh: Rudolph Dinckel alhier gesetzmäsig hinterlegten (…) Testaments (…) Welches denen grosmütterlichen Erben und respective Erbens- Erben nunmehr in Vier Stammtheile rückfällig ist (…)
(f° 16) Versteigerung der Behausung. Donnerstags den 11. Jänner nachmittag um 2 Uhr in dem Jahr 1781. auf Ansuchen S. T. Fraun Margareta Barbara geborner Papelier unter der Autorisation ihres Eheherrn S. T. H. Joh: Caspar Holtzapfel, hochfürstl. Marggräfl. badischen Raths, ingleichem ritterschafl. Amtmanns und Advocaten auch burgers alhier, als einziger Testaments erbin Weiland SS. TT. H. Jacob Friedrich Faust, gewesenen hochverdienten alten Ammeisters und XIII.ers hiesiger Stadt Straßburg & nach Zuvor sowol durch die hiesige Wochenblättlein, als auch den Stadt: Ausrufer wirklich geschehener offenlticher Verkündigung, ist die in diese Verlaßenschafft gehörige, in Vorder- und Hinter-Gebäuden, Hofstatt, Hof u. Bronn bestehende, in hiesiger Stadt bei der Thomas-Bruck ohnweit Sanct Ludwigs Kirche, ein Seit neben H. Stephan Lorentz Lefebvre, dem Tapezierer ehevögtl. weise, ander Seit neben H. Christoph Dillmann, dem Tabackfabrikant, gelegen, hinten auf ebendenselben und die Hh. Gebrüder Kornmann Banquiers, stosende behausung mit allen übrigen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörten und Rechten vor frei und eigen unter nachgemelten bedingungen offentlich versteigert und verkauft worden (…) ausgerufen worden um 9000 fl. Weil nun hierauf klein Gebott geschehen so ist diese vorgehabte Versteigerung fruchtlos abgelofen in Straßburg in vorbezeichneter behausung.
Vorgemeldte Behaußung ist heute dato d. herrn Striebeck dem Courtier von hier auf die hierinn gemeldete Conditionen, für die Summa von 20.000 Livres definitive überlaßen und Zuerklannt worden, warüber die Verschreibung von dato in Monathsgs frist in hiesiger Cantzleÿ Contract Stube soll vorgenommen werden (…) Straßburg d. 13. Januarÿ 1781.
(f° 20-v) Eigenthum an einem Garten und einer Matt. Nämlich, ein ohngefehr fünf acker groser Garten, gelegen zwar vor dem Hospitalthor jenseit des Wickhäusels (…)
– Abschatzung vom 19.t Septembre 1780. Auf begeren Weÿland jhro Gnaden S.T. Herren Ameister Faust seel: ist Eine behausung alhier in der statt strasburg beÿ St louÿ gelegen, Ein seÿts neben Herr Dillemann, dem tabacfabricant, anderer seÿts neben Herr Levebre, dem tapezierer und hinten Ebenfals auf Herr Dillemann stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und Hinter gebäu worinen Etliche stuben frantzösisch. Cammin Kammeren Eine Kuche und Etliche haus Kammeren darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller Hoff und brunen, Vor und um fünff tausend gulden /:dieses haus thut keinen andern bodenzinß auf Löbl. Stadt Pfenningthurn:/
Der zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Hueber, Kaltner Wkmr
Folgt nun hierauf die Beschreibung dieser Verlaßenschafft an sich selbst, Sa. Hausraths 472, Sa. Fäßer u. Weins 105, Sa. Silber geschirrs u. dgl. geschmeids 162, Sa. goldener Ringe u. dgl. Geschmeids 90, Sa. Eigentums an I. beh. 2700, Sa. Eigentums an I. Garten u. I. Matt 316, Sa. Pfenningzinß Hauptgüter 827, Sa. baarschafft (-),Sa. Bibliotheck 50, Summa summarum 4724 lb – Schulden an großmütterlichen Substitutions-Gut ist denen Personen zulieffern 2155 lb, nach deren abzug 2568 lb
Hinterlegung. Freitag den 21. Julii (…) Also begehrt, willfahrt und ohne einige Zwischen handlung in vorbezeichneter behausung, in deren auf dem boden sich befindlichen mit den Fenstern auf gedachte gaß aussehendem Saal (Copia Testamenti)
(ad Nm 378.) Liste der Bücher welche sich in der Succession des seeligen Herrn Ammeisters Jacob Friderich Fausts Vorgefunden haben

Né le 31 juillet 1730 du consul Jean Frédéric Faust et de sa femme Marie Catherine Fritsch, le consul Jacques Frédéric Faust meurt d’hydropisie de poitrine le 12 septembre 1780. Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 20 1772-1788 f° 100-v, n° 199)
Im Jahr 1780 den 12. Septembris, Abends um Neun Uhr starb an einer brustwassersucht weiland S.T. Herr Jacob Friedrich Faust, hiesiger Stadt gewesener Ammeister und dreÿzehner, derselbe wurde gebohren den 31. Julii im Jahr 1730 und hat also in dieser Welt gelebt 50 Jahre Einen Monat und Zwölf Tage, Sein Herr Vater war weiland SS. TT. Herr Johann Friderich Faust, hiesiger Stadt gewesener Ammeister und Zehner, die Frau Mutter aber weiland S. T. Frau Maria Catharina gebohrne Fritschin. An dem darauf folgenden Freÿtag als den 15. Septembris wurde deßen entseelten Leichnam nach einer in der Kirche Zu St. Thomä gehaltenen Leichenrede unter einer Hochansehnlichen Leichenbegleitung auf dem Gottesacker Sanctæ Helenæ Zur Erde bestattet wie solches bezeugen [unterzeichnet] Johan Martin Fritsch als oncle, Johan David b. Papelier als Verwanter (i 103)

L’héritiere vend la maison 5 000 livres à Jean Frédéric Œsinger, conseiller du margrave de Bade

1781 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 78-v
Fr. Margaretha Barbara geb. Papelier H. Johann Caspar Holtzapffel des hochfürstlich Margraffl. baadischen rath und ritterschafftlichen Ambtmanns Frau Ehegattin
in gegensein S.S. T.T. H. Johann Friedrich Ößinger des hochfüstlich Margraff. baadischen hoffraths
die ihre von weÿl. S.S. T.T. H. Jacob Friedrich Faust gewesenen alten Ammeister und XIII. laut deßen unterm 21. Julÿ 1780 errichtetem testamento clauso als instutirt einige erbin erblich angefallene behausung, aus vorder und hinter gabäu bestehend, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten beÿ der Thomas brück nächst der St Louis kirch, einseit neben H. Christoph Dillmann des tabackfabricanten, anderseit neben H. Laurent Lefebre dem tapecirer, hinten auff gebrüder Hieber die lehnkutscher – um 10.000 gulden

Jean Frédéric Œsinger meurt célibataire un mois plus tard en délaissant pour seuls héritiers son frère et sa sœur. L’inventaire est dressé dans une maison de location Grand rue. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 39 522 livres, le passif à 5 200 livres.

1781 (26.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 424) n° 1444
Inventarium über Weÿland des Wohlgebohrnen und Hochgelehrten Herrn Johann Friderich Oesingers, geweßenen Juris Consulti, Hochfürstlich Marggraff Baadischen Hochansehnlichen Hoff Raths auch E. E. großen Raths allhier zu Straßburg alten hochverdienten beÿsitzers und hochmeritirten alten dreÿers auf Löbl. Statt Pfenningthurn nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1781. – nachdeme derselbe Mittwochs den 7. dießes Monaths Martÿ dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hochseeligen herrn hofraths eheleiblichn Herrn Bruders und Frau Schwester als deßelben ab intestato nachgelaßenen Rechtsmäßigen Erben (…) ersucht und inventirt durch Sie die Herren und Frau Erbs Interessenten selbsten ingleichem Conrad Geiges, den Bedienten Von Hagenbach gebürtig und Catharinam Beinin die dienstmagd von hier gebürtig (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 26. Martÿ et sequentibus Anno 1781.
Der hochseelige Herr Hofrath hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßn wie folgt. 1. den Hoch Edlen und hochachtbahren Herrn Frantz Daniel Oesinger, den handelsmann und burger allhier welcher von selbst eigener Persohn dem geschäfft abwartete, So dann 2.do die hoch wohl gebohrene Frau Magdalenam Dorotheam von Pistoris gebohrne Oesingerin, des hoch wolgebohren Herrn Moritz Hartmann von Pistoris, Ritters des hohen Königlichen Ordens vom Kriegs Verdienst und Brigadier des Armées du Roy Frau Ehe gemahlin, welche mit beÿhilff hoch Edel besagten Ihren Herrn Ehegemahls in Persohn beÿ dem Geschäfft auch abgefunden. Alßo beede des hochseeligen Herrn hoch Raths eheleiblichen Herrn Bruder und Frau Schwester und ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stammtheilern verlaßene Rechtsmäßigen Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung gefunden worden, wie folgt
(f° 10) In der Behausung gegen der St. Thomæ Bruck über
(f° 26-v) Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, mit allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg beÿ der St. Thomas bruck nächst der St. Louis Kirch, einseit neben H. Christoph Tillmann, dem Tabackfabricanten, anderseit neben Hn Laurent Lefebre dem Tapezierer, hinten auf die Gebrüder Hieber, Lehnkutscher stoßend, so gegen männiglich freÿ leedig und eigen, Welche behaußung in dem über Weiland Ssis Ttis herr Ammeisters und Dreÿzehners Jacob Friderich Faust seel. Verlaßenschafft durch (…) die Werckmeistere gewürdiget, wobeÿ es auch dermalen mit approbation der Herren Dreÿ löbl. Stadt Stalls wieder gelaßen worden ist, pro 2500. lb. Dieße Behaußung hat der selig Verstorbene Herr Hoffrath von hochgedachten Weiland H. Ammeisters Fausten seel. Erben erst kürtzlich erkaufft und ist die Verschreibung darüber in hiesiger C. C. Stub ordnungsmäßig Vorgenommen worden.
(f° 27) Antheil ane Gewerbsläden. Nemlich ein dritter theil an einem Platz ringsum mit Gewerbsläden umgeben an dem alten Kornmarck (…)
(f° 28) Eigenthum ane einem Garten und Gartennhauß außerhalb der Statt Straßburg Vor dem Judenthor (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 887, Sa. Weins und leerer faß 334, Sa. Früchten 80, Sa. Sa. Bibliothec 50, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 410, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 168, Sa. baarschafft 158, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 30.051, Sa. Gülth von liegenden Güthern 244, Sa. Eigenthums an einer behaußung 2500, Sa. antheils ane Gewerbsläden 2500, Sa. einem Garten und Gartenhauß 1187, Sa. Antheils ane Frucht, heu und Weinzehenden 377, Sa. Schulden 571, Summa summarum 39.522 lb – Schulden 5200 lb, Nach solchem abzug 34.321 lb
Beschluß summa 34.321 lb, Stall Summ 28.345 lb – Zweiffelhaffte Schulden in dieße Verlaßenschafft Zugeltend 93

Jean Frédéric Œsinger devient tributaire chez les Tanneurs le 23 avril 1754
1754, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 43) Dienstag den 23. Aprilis A° 1754 – Hr Johann Friderich Ösinger J.U. Ltus und burger allhier, stunde Vor mit Producirung Stallscheins de dato 22. hujus und bitte, denselben in das Zunfftrecht auffzunehmen.
Erkannt, gratis Willfahrt

Licencié en droit, conseiller du margrave de Bade, assesseur du Grand Sénat, Jean Frédéric Œsinger est retrouvé mort dans son lit, sans doute frappé d’apoplexie, célibataire à l’âge de 53 ans 10 mois. Il était fils de Jean Frédéric Œsinger, conseiller de Linange-Hardenbourg, et de Madeleine Dorothée Friderici. Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1777-1785 f° 85-v, n° 8)
Im Jahr Christi 1781 Mittwochs den 7. Martii morgens zwischen Neun und Zehen uhr, wurde allhier nach dem Willen des Herrn, vermuthl. Von einem Schlagfluß gerühret und völlig erblaßt auf seinem Lager gefunden H. Johann Friderich Oesinger, gewesener J. U. Ltus Hochfürtsl. Mergraff: Badischer Hofrath, E. E. großen Raths allhier, weÿl. Hn. Franciscus Oesinger, gewesenen JCti Hochgräfl. Leiningen Hardenburg. Regierungs: Raths, auch vornehmen burgers allhier, und auch weÿl. Frau Magdalena Dorothea, gebohrner Fridericiin nachgelaßener ehel. und noch lediger H. Sohn. Seines Alters 53. Jahr, 10 Monath und 2 Tage.
Freÿtags darauf, als den 9. ejusdem, wurde deßen entseelter Leichnamb, nach mittag umb 3 Uhr, nach gehaltener Leichen: Rede in der Prediger: Kirch, auf den Gottes: Acker St. Helenæ gebracht und daselbst nach Christgeziemender Ordnung in sein Ruhebett zur Erden, biß auf den Tag der Zukünfftigen Auferstehung alles Fleisches befördert. Solches bezeugen [unterzeichnet] Frantz Daniel Oesinger, des Verstorbenen bruder, moritz Hartmann von Pistoris, als Schwager (i 88)

Les héritiers, Madeleine Dorothée Œsinger femme de Maurice Hartmann de Pistoris et François Daniel Œsinger, vendent la maison 4125 livres au marchand tapissier Etienne Lefevre, propriétaire de la maison voisine à l’est

1781 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 343-v
De Madeleine Dorothée de Pistoris née Öesinger épouse de Mess. Maurice Hartmann de Pistoris brigadier des armées du roy, M. François Daniel Öesinger, négociant
au Sr Etienne Laurent Lefebvre, marchand tapissier
une maison, cour, puit avec toutes autres appartenances, droits et dépendances, qu’ils ont hérité de feu M. Jean Frédéric Ösinger conseiller de Son Altesse le margraff de Baaden leur frère en cette ville derrière St Louis près du Pont de St Thomas, d’un côté l’acquéreur, d’autre le Sr Christophe Dillmann fabricant de tabac, derrière les frères Hüeber loueurs de carosse – moyennant 16.500 livres tournois

Etienne Laurent Lefevre vend la maison 17 775 francs au docteur en médecine Philippe Frédéric Clausing et à sa femme Marguerite Salomé Wittmann

1804 (27 prairial 12), Strasbourg 9 (anc. cote 30), Not. Bossenius n° 1680, 2053
Sr Etienne Laurent Lefebvre Maître tapissier
au Sr Philippe Frédéric Clausing Docteur en médecine et Marguerite Salomé née Wittmann
Une maison cour et puits avec toutes ses appartenances droits et dépendances sise a Strasbourg derrière l’eglise de St Louis près du pont de St Thomas N° 3, tenant d’un côté au Sr Martin Dillemann fabricant de tabac derrière le même – acquis de François Daniel Oesinger Négociant et de sa sœur Madeleine Oesinger présentement veuve de Maurice Hartmann Pistoris ancien Brigadier des armées de france, par acte passé à la ci devant Chambre des Contrats le 23 août 1781 – moyennant 17.775 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 92 F° 74-v du 4 mess. 12

Marguerite Salomé Wittmann a eu avec le chef de brigade Nicolas Houel une fille déclarée légitime à la mairie de Saint-Dié. L’inventaire est dressé dans une maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. L’inventaire contient un jugement qui rectifie l’acte de naissance à la demande de la mère du défunt
1796 (10 vend. 5), Strasbourg 3 (19), Not. Übersaal n° 500
Inventaire des meubles et Effets délaissés à Strasbourg par feu le Cit. Nicolas Hoüel vivant Adjudant général, Chef de Brigade et de l’Etat major à l’Armée du Rhin, commencé le 10 vend. V à la requête du Cit. Jean Georges Teutsch Aubergiste à la lanterne tuteur nommé à Sophie Thérèse fille mineure dudit Cit. Hoüel décédé le 8 fructidor dernier dans une action, procréé avec la Cit. Marguerite Salomé Wittmann dudit Strasbourg

Dans une maison N° 58 située Marché aux poissons appartenante au Cit. Antoine Trombert Negociant en cette commune
meubles 280, 150, 251 et 969 li dont 720 en numéraire
Dans une maison N° 8 derrière le Temple Neuf appartenante au Cit. Ignace Joseph Seck Négociant 634 et 191, promesses pour mémoire, habits 320 et 49 li – Chevaux 1512 li, produit de la vente des Chevaux 1938 li
(suite) le 29 frimaire – dépôt en numéraire 12 760 li, berline 150 li
(Documents) Extrait du Registre des causes d’audiance du greffe du Tribunal Civil du département de la Meurthe séant à Nancy, Audiance du 25 messidor 5 Entre Adrienne Faucher veuve de Jean Baptiste Hoüel demeurant à St Lo département de la Manche en qualité de tutrice de ses enfants habiles à se dire héritiers de Nicolas Hoüel leur frere vivant adjudant général à l’armée du Rhin opposante au Jugement rendu contre elle par defaut le 5 prairial dernier au Tribunal Civil du département de la Meurthe (…) appellante d’un jugement rendu par le Tribunal Civil du Bas Rhin le 8 frimaire dernier (…) a ordonné que dans l’acte de naissance rédigé par l’officier public de la commune de Saint Diez le 26 floreal 3 concernant la nommée Sophie Thérèse Houel les expressions « de son épouse » et de « fille légitime » seront rayées, qu’a la place de la derniere expression il sera substitué celle de « fille procréé hors mariage », (…) Contre Marguerite Salomé Wittmann fille majeure et Jean Georges Teutsch en qualité de tuteur de Sophie Thérèse Houel fille mineure – Extrait des Jugements, A L’audiance tenue le 5 thermidor 5
Enregistrement de Strasbourg, acp 43 F° 15-v du 15 vend 5

Fils de chirurgien, l’officier de santé Philippe Frédéric Clausing épouse en 1798 Marguerite Salomé Wittmann, dite veuve de Nicolas Houel au contrat de mariage et fille majeure à l’acte de mariage
1798 (1 fruct. 6), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 60
(Eheberedung) erschienen bürger Philipp Friedrich Clausing, Gesundheitsbeamter allhier als bräutigam an einem,
und der bürgerin Margaretha Salome geborne Wittmann, weiland bürgers Nicolas Huel gewesenen Général adjudanten bei der fränckischen ehemaligen Rhein und Mosel Armee nachgelaßene Wittib, dahier wohnhaft, beiständlich bürgers Johann Georg Teutsch, vormaligen Gastgebers alhier, als Braut andern teils
den Ersten, fructidor VI. Jahrs der francken Republick [unterzeichnet] Ph: Frid.. Clausing, Marguerite Salomé Wittmann veuve Hoüel
Enregistrement de Strasbourg, acp 62 F° 178-v du 9 fruct. 6

Mariage, Strasbourg (n° 596 f° 152)
Cejourd’hui 25° fructidor l’an VI de la République française une et indivisible (…) d’une part Philippe Frédéric Clausing, âgé de 36 ans, médecin né et domicilié en cette Commune, fils de Georges Philippe Gaspard Clausing, chirurgien, et d’Anne Catherine Vogel, d’autre part Marguerite Salomé Wittmann, âgé de 29 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu Jean David Wittmann, en son vivant employé à la Commune, et d’Anne Marguerite Reibel (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 6 juin 1762 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 23 mars 1769 (signé) Phil. Fred. Clausing, Marguerite Salomé Wittmann (i 153)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Dietrich rue du Vent (rue Saint-Louis). Les apports du mari s’élèvent à 7 168 francs, ceux de la femme à 6 901 francs.

1802 (1 brumaire 11), Strasbourg 9 (anc. cote 13), Not. Bossenius n° 177, 1033
Inventarium über über Des Bürgers Philipp Friedrich Clausing, Officier de santé, und Fraun Margaretha Salome geb. Wittmann zugebrachtes Vermögen, die Frau beÿständlich Johann Philipp Wittmann hiesigen Employé, in ihrem am 25. frimair VI. angetrettenen Ehestand zugebrachtes Vermögens, vor mir Notario am 1. fru. VI. passirt heurats Abrede

in einer an der Wind Gaße N° 9 gelegenen der verwittibten Madame Dietrich zuständigen dißorts Lehnungsweiße bewohnenden behausung
hausrath 1527 fr, bücher Vorrath, Vasa und Instrumenta 1200 fr, silber 300 fr, gold 140 fr, baarschafft 4000 fr, summa summarum 7168 francs
der Ehegattin zugebracht, hausrath 1385 fr, silber 134 fr, Gold 280 fr, baarschafft 4000 fr, Pfenningzinß hauptgüter 5000 fr
Sophia Theresia Houel Pathen und anderer Geschenck des Kindts Mutter und dißortige gattin, Läre Fäßer und Bütten 102 fr, summa 6901 fr
Eigenthum an einer Behausung so die Gattin in die Ehe gebracht zu haben versichert Nämlich eine behausung samt zugehörden zu St Diéz in der Stanislaus Gasse
Sophia Theresia Houel der doßortigen Gattin mit weÿl. br. Nicolas Houel Adjudant général Chef de brigade & de l’Etat Major de l’armée du Rhin erzeugten kinds so am 26 floreal dritten Jahr zur welt geboren worden vätterliches Guth betreffend 16 541 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 85 F° 189-v du 5 brum. 11

Philippe Frédéric Clausing meurt en 1843 en délaissant pour seul héritier son frère Jean Geoffroi Clausing

1843 (16.8.), Strasbourg 10 (101), Me Zimmer n° 4880
Inventaire de la succession de M. Philippe Frédéric Clausing, médecin, décédé à Strasbourg le 16 juillet 1843 ainsi que de la communauté de biens qui avait existé entre lui et De Marguerite Salomé Wittmann sa veuve
L’an 1843 le 16 août à neuf heures du matin à Strasbourg quai Finckwiller n° 3, à la requête de Mme Marguerite Salomé Wittmann, veuve de M. Philippe Frédéric Clausing demeurant à Strasbourg, agissant en son nom personnel à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et le défunt son mari aux termes de leur contrat de mariage qui sera ci après énoncé et comme donataire en usufruit des biens composant la succession de ce dernier aux termes du même contrat, communauté et usufruit qu’elle se réserve d’accepter ou de répudier comme elle en avisera
Et de M. Jean Geoffroi Clausing, propriétaire demeurant à Strasbourg agissant en qualité de seul et unique héritier de M. Philippe Frédéric Clausing son frère susdit décédé à Strasbourg le 16 juillet dernier
Contrat de mariage passé devant M° Bossenius alors notaire à Strasbourg le premier fructidor an Six, ère républocaine (18 août 1798). L’inventaire des apports a été dressé le premier Brumaire a, XI

Total de la prisée des objets propres au défunt 1227
Meubles existans propres à la veuve et désignée dans l’inventaire d’apports précité 109
Communauté, meubles 27.643
Dettes passives. La De veuve Clausing déclaré que la communauté ne se trouve grevée d’aucune dette
Immeubles de la Communauté. 1° Une maison d’habitation avec ses droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwiller N° 3 tenant d’un côté au S. Groetzinger boucher, de l’autre et derrière au collège épiscopal de St Louis. Cette maison selon la déclaration de la Dame veuve Clausing a été acquise du Sr Etienne Laurent Lefèbre vivant tapissier à Strasbourg suivant contrat passé devant Me Bossenius alors notaire en cette ville le 14 ventose an XII dont le prix a été intégralement payé selon la déclaration de la veuve
2. La moitié d’un hectare de pré sis au ban de Strasbourg hors la porte nationale près la Blanchisserie au canton dit Brühling section A VII N° 13 (…)
Banlieue d’Ittlenheim canton de Truchtersheim – Banlieue de Haguenau
Autre immeuble situé au ban de Strasbourg. Un petit jardin au quartier des ponts couverts vis à vis les glacières (…)
Ledit jardin et les trois immeubles sis au ban de Haguenau cidessus désignés doivent, suivant le testament ci après énoncé, appartenir à ma Dame veuve Clausig pour revenir après son décès à Mme Sophie Thérèse Houel sa fille issue de son premier mariage épouse de M. Philippe Charles Schnéegans, négociant à Strasbourg et apràs le décès de cette dame à ses enfants
Le défunt S Clausing a fait un testament olographe le 3 mars 1835, ce testament a été présenté à M le Président du tribunal civil séant à Strasbourg, lequel en a ordonné le dépôt entre les mains de M° Zimmer notaire soussigné qui en a dressé acte le 7 octobre dernier
Par ce testament le défunt Sr Clausing a désigné pour son héritier M. Jean Geoffroi Clausing son frère sus nommé et après lui ses neveux et nièces qui sont Mme Sophie Clausing épouse de M Monnier ci devant lieutenant au 42° régiment de ligne présentement adjudant major au 49° régiment de ligne, 2. Mme Louise Clausing épouse de M. Stoltz, 3° Adolphe Clausing, 4° et Ferdinand Geoffroi Clausing les quatre majeurs
Continuation, le 7 novembre 1843
acp 313 (3 Q 30 028) f° 26-v Description du contrat de mariage
Biens propres au défunt 1227. Meubles propres à la veuve 544. Garde robe du défunt 109, Meubles de la communauté 1159

Dépôt du testament olographe
1843 (7.10.), Me Zimmer
Dépôt du testament olographe de Philippe Frédéric Clausing vivant médecin à Strasbourg décédé le 11 juillet 1843,ledit Testament en date du 3 mars 1835 enregistré le 7 janvier 1843, et de l’expédition de l’ordonnance du président du tribunal civil en date du 6 du courant par laquelle le Sr Zimmer a été constitué dépositaire
acp 314 (3 Q 30 029) f° 76 du 9.10.

Les enfants de Jean Geoffroi Clausing renoncent aux legs faits en leur faveur
Me Zimmer les 10, 11 et 12 octobre (acp 314 (3 Q 30 029) f° 96-v du 14.10.)
Renonciation par 1° Louise Clausing femme de Frédéric Stoltz docteur en médecine à Bouxwiller, 2° Gustave Adolphe Clausing, brasseur et aubergiste demeurant à Kœnigshoffen banlieue de Strasbourg, 3° Ferdinand Geoffroy Clausing médecin à Strasbourg, ces deux derniers agissant tant en leur nom personnel que comme se portant fort de leur sœur De Sophie Clausing femme de François Joseph Fortuné Monnier capitaine au 49° de ligne en garnison à Embrun (Hautes Alpes), à toutes les dispositions faites à leur profit par Philippe Frédéric Clausing leur oncle vivant médecin à Strasbourg en vertu de son testament olographe daté de Strasbourg du 3 mars 1835 déposé en l’étude de M° Zimmer Nre le 7 octobre 1843

Liquidation et partage
1844 (22.3.), Me Zimmer
Liquidation et partage tant de la succession du sieur Philippe Frédéric Clausing, médecin décédé à Strasbourg le 16 juillet 1743 que de la communauté qui a existé entre le défunt et Marguerite Salomé Wittmann sa veuve survivante
Entre 1° ladite Marguerite Salomé Wittmann veuve Clausing agissant tant en son nom personnel que comme héritière partiaire soit en nue propriété soit en usufruit, 2° Jean Geoffroy Clausing propriétaire à Strasbourg agissant en qualité d’unique héritier de Philippe Frédéric Clausing son frère décédé. Aux termes de leur contrat de mariage reçu Bossenius Nre à Strasbourg le premier fructidor an VI le défunt et sa veuve survivante adoptèrent le régime de la communauté d’acquêts partageable pour moitié, le futur fit en outre donation à la future de l’usufruit viager de toute sa succession

Suivant testament olographe en date du 3 mars 1835 déposé en l’étude de M° Zimmer Nre, le sieur Clausing a réduit cet usufruit en disposant qu’il ne pouvait être exercé que sur les biens de la communauté seulement. Le testateur a en outre ordonné que les biens de la communauté sis au ban de Haguenau ainsi qu’un immeuble à Strasbourg seraient prélevés avant tout partage par sa veuve, le surplus de sa succession a été légué a son frère préqualifié.
avant tout partage il a été fait délivrance à Mme veuve Clausing des immeubles de la communauté qu’elle a à prélever et consistent en 1° 91 ares 75 de terre ban de Haguenau canton Grundbierenfeld, 2° 3 hectares 20 de terre audit ban canton Jungfrau et Urbansberg, 3° 2 hectares 5 ares 60 ca de terre au même ban et canton
4° Et un petit jardin sis à Strasbourg quartier des ponts couverts vis à vis les glacières.
Inventaire desdits communauté et succession a été dressé par Me Zimmer le 16 août 1843, il constate les valeurs suivantes
Communauté. Masse active. Elle se compose en argent comptant et meubles pour 2659, 2° en diverses créances 25.669, Ensemble 28.328
La masse passive estd e 13.124, partant reste un actif net de 15.206, dont moitié pour la succession fait 7602
Succession. Masse active. Elle se compose 1° de la moitié de la communauté, laquelle moitié est grevée d’usufruit au profit de la veuve 7602, 2° de la bibliothèque, meubles et objets mobiliers 2127, 3° de la garde robe 109, 4° d’une créance 5098, Ensemble 14.936
Masse passive 1891, Reste 13.044
Abonnements (…)
acp 321 (3 Q 30 036) f° 40-v du 25.3.

Sophie Thérèse Houel épouse en 1817 le négociant Charles Philippe Schneegans : contrat de mariage, célébration
1817 (3.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 23), Not. Bossenius n° 446, 6910
Contrat de mariage, communauté avec réserve d’apports – Charles Philippe Schneegans négociant domicilié en cette ville né à Kreuznach en Prusse le 2 mars 1783 issu de Michel Schneegans, maître de la poste aux chevaux, et de feue Charlotte Koob
Sophie Thérèse Houel demeurant à Strasbourg née à St Diez département des Vosges le 26 floréal 3 (15 mars 1795) de feu Nicolas Houel, adjudant général chef de brigade de l’Etat Major de l’Armée du Rhin et de la Moselle, et de Marguerite Salomée née Wittmann
apports de la future épouse, meubles numéraire et dettes actives 15 923 fr, total 21 560 fr
donation par Marguerite Salomé Wittmann veuve Houel mère de la future épouse 8600 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 132 F° 127 du 4.1.

Mariage, Strasbourg (n° 4)
Acte de mariage célébré le 4 janvier 1817. Charles Philippe Schneegans, majeur, né en légitime mariage le 2 mars 1783 à Creuznach en Prusse, domicilié à Strasbourg, Négociant, fils de feu Michel Schneegans, maître de poste aux chevaux décédé à Creutznach le 20 février 1810 et de feue Charlotte Koob décédée au dit lieu le 1 jour complémentaire an X de la République française, Sophie Thérèse Houel, majeure d’ans née en légitime mariage le 26 floréal an III de la République française à Saint-Dié (Voges), fille de feu Nicolas Houel, général, et de Marguerite Salomé Witteman domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) Ch. Ph. Schneegans, Sophie Thérèse Houel (i 3)

Marguerite Salomé Wittmann meurt en 1845 en délaissant quatre petits-enfants issus de sa fille Sophie Thérèse Houel. Elle délaisse notamment la moitié de la maison près l’église Saint-Louis, indivise avec l’héritier de son mari

1845 (6.5.), Strasbourg 10 (104), Me Zimmer n° 5678
Inventaire de la succession de Dame Marguerite Salomé Wittmann veuve de Philippe Frédéric Clausing en son vivant docteur en médecine, décédée à Strasbourg le 20 avril 1845.
L’an 1845 le mardi 6 mai à neuf heures du matin à la requête de 1) M. Charles Frédéric Schneegans, négociant demeurant à Strasbourg, 2) Madame Sophie Albertine Schneegans épouse dûment autorisée de M. Jean Baptiste Gaudiot, négociant ci présent demeurant à Strasbourg, 3) Ernest Louis Schneegans lieutenant au 9° régiment d’artillerie en garnison à Strasbourg, demeurant en cette ville, 3) M. Charles Philippe Schneegans, négociant demeurant en ladite ville agissant en qualité de tuteur légal de M. Alfred Paul Schneegans son enfant mineur issu avec MM. Charles Frédéric & Ernest Louis Schneegans & avec Mad. Gaudiot susnommés de son mariage avec feu De Sophie Thérèse Houël sa défunte épouse. En présence de M. Jean Louis Eugène Lederlin avoué près le tribunal civil de première instance sént à Strasbourg demeurant en cette ville, agissant comme subrogé tuteur du mineur Alfred Paul Schneegans susnommé (…) habiles à se porter 1° seuls et uniques héritiers chacun de pour un quart de la défunte Dame Clausing comme représentant leur mère De Schneegans née Houël susnommée issus du mariage de la défunt avec son époux en premières noces M. Nicolas Houël en son vivant adjudant général à l’armée du Rhin, 2° légataires particuliers de la défunte Dame Clausing aux termes de son testament olographe daté Strasbourg des 14, 17 & 22 janvier et 15 février de la présente année déposé (…) en l’étude de Me Zimmer soussigné le 2 mai courant – en la maison mortuaire au Finckwiller n° 3

Testament de Mad. Clausing. Outre les biens et valeurs sus mentionnés Mad. Clausing possédait enore au moment de son décès. 1° Un corps de biens au ban de Willgottheim (…)
2° la moitié indivise dans une maison avec appartenances sise en cette ville quai finckwiller N° 3 entre M Groetzinger & le collège épiscopal de St Louis. Cet même était indivis entre la Dame Clausing et M. Jean Geoffroi Clausing héritier de son défunt mari
3° (terres au ban d’Ittlenheim (…) Ces différents biens ont été par Mad. veuve Clausing légués à ses quatre héritiers suivant testament olographe daté Strasbourg des 14, 17’et 26 janvier dernier & 15 février suivant. Lesdits héritiers se sont fait respectivement délivrance des biens à eux légués suivant acte reçu par ledit Me Zimmer les 13 et 17 juin 1845
acp 335 (3 Q 30 050) f° 73 du 10.5. – Objets mobiliers dépendant de la succession 1822, Objets mobiliers indivis avec Jean Geoffroi Clausing 159, argent comptant 350, total 2331
acp 339 (3 Q 30 054) f° 71 du 3.9. – (vacation du 2 septembre) continuité 29.899, rentes sur l’état 10.642. Masse passive 12.665

Les héritiers font délivrance de la part de maison près l’église Saint-Louis à Sophie Albertine Schneegans, femme du négociant Jean Baptiste Gaudiot

1845 (13 et 17.6.), Strasbourg 10 (104), Me Zimmer n° 5726
Délivrance de legs – Ont comparu 1) M. Charles Frédéric Schneegans, négociant agissant au nom et comme père et père et tuteur légal de son fils mineur M. Alfred Paul Schneegans sans état duquel il se porte en outre personnellement fort en outre, 2) M. Charles Philippe Schneegans, fils, négociant, 3) Madame Sophie Albertine Schneegans, épouse dûment autorisée à l’effet des présentes de M. Jean Baptiste Gaudiot, négociant ci présent, 4) M. Ernest Louis Schneegans, lieutenant au 9° régiment d’artillerie en garnison à Strasbourg, tous demeurant à Strasbourg, lesdits Charles Frédéric, Ernest Louis et Alfred Paul Schneegans et Mad. Gaudiot habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feue Dame Marguerite Salomé Wittmann décédée veuve de Philippe Frédéric Clausing en son vivant docteur en médecine, leur grand-mère ainsi que cela résulte de l’inventaire de la succession de cette dernière dressé par M° Zimmer père en date en commencement du 6 mai de la présente année.
Lesquels comparans ont exposé que suivant son testament olographe daté de Strasbourg du 14, 17 & 26 janvier et 15 février dernier ladite dame veuve Clausing a fait à ses par petits enfants sus nommés différens legs particuliers à prélever par eux par préciput et hors part sur sa succession, qu’ayant entériné ledit testament dans toutes ses parties ils l’ont reconnu valable et en ont consenti l’exécution

Savoir I.° à Charles Frédéric Schneegans, Un corps de biens d’environ 5 hectares 50 ares 72 de terres prés et vignes ban de Willgottheim (…)
II. à Mdame Gaudiot, 1) la moitié indivise dans une maison avec cour, puits et tous droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwiller N° 3 tenant d’un côté au Sr Groetzinger boucher, de l’autre et par derrière au collège épiscopal de St Louis, 2) Environ 49 ares 90 cent. terres et vignes ban d’Ittlenheim (…)
III. à Ernest Louis Schneegans lieutenant au 9° d’artillerie, un ha de terres ban de Haguenau (…)
IV à Alfred Paul Schneegans (terres) à Willgottheim (…)
Quant à la maison susdésignée elle restera indivise entre Mad. veuve Clausing et l’héritier de son mari
acp 337 (3 Q 30 052) f° 37 du 18.6.

Jean Geofroi Clausing cède sa moitié de maison à Sophie Albertine Schneegans femme de Jean Baptiste Gaudiot aux termes d’une adjudication

1845 (26.7.), Strasbourg 10 (105), Me Zimmer n° 5767
Cahier des charges du 16 juillet 1845 – Ont comparu 1° Mr Jean Geofroi Clausing, propriétaire, demeurant hors la porte nationale de Strasbourg banlieue de cette ville, 2° Dame Sophie Albertine Schnéegans, épouse dûment autorisée de M. Jean Baptiste Gaudiot, Négociant, ci présent demeurant ensemble à Strasbourg
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix. Une Maison avec cour, puits et tous droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwiller& N° 3 tenant d’un côté au sieur Groetzinger, boucher, de l’autre & derrière au collège épiscopal de Saint Louis. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 20.000 francs.
Etablissement de la propriété. Ledit immeuble dépendait de la communauté qui a existé entre feus M. Philippe Frédéric Clausing en son vivant médecin et Mad. Marguerite Salomé Wittmann décédée sa veuve ainsi que cela résulte de l’inventaire de la succession dudit Sr Clausing dressé par M° Zimmer soussigné en date au commencement du 16 août 1843.
Après le décès du dit M. Clausing, la moitié qui lui appartenait dans l’immeuble ci-dessus désigné est échue à M. Clausing, comparant, son frère & unique héritier aux termes dudit inventaire. Quant à l’autre moitié appartenant à Mad. veuve Clausing, cette dernière l’a léguée par préciput à Mad. Gaudiot comparante suivant testament olographe daté de Strasbourg des 14, 17 & 21 janvier et 15 février 1845, déposé après l’accomplissemnt des formalités voulues par la loi en l’étude de M° Zimmer soussigné suivant acte de dépôt dressé par ce notaire le 2 mai dernier. La délivrance de ce legs a été consentie au profit de la Dame comparante qui du reste est héritière pour un quart de la défunte par ses cohéritiers, aux termes d’un acte reçu par Me Zimmer soussigné les 13 et 17 juin dernier.
Les époux Clausing étaient devenus propriétaires de ladite maison pour en avoir fait l’acquisition sur M. Etienne Laurent Lefèbvre, marchand tapissier à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Bossenius alors notaire en cette ville le 27 prairial an XII (7 juin 1804). L (…) Ledit Sr Lefevre avait lui-même acquis ledit immeuble de 1° Dame Madeleine Dorothée Oesinger épouse de M. Maurice Hartmann de Pistoris, brigader des améés du roi, 2 et de M. François Daniel Oesinger, négociant demeurant à Strasbourg aus termes d’un acte passé à la cidevant Chambre des Contrats de ladite ville le 23 août 1781. Dans ce dernier contrat il est déclaré que lesdits vendeurs l’ont hérités de feu leur frère M. Jean Frédéric Oesinger, vivant conseiller de son altesse sérénissime le Margrave de Bade. Ce dernier en avait lui-même fait l’acquisition de dame Marguerite Barbe Papelier épouse de M. Jean Gaspard Holtzapffel, Conseiller du même Margrave et bailli de la noblesse immédiate, suivant contrat passé à la cidevant Chambre des contrats le 15 février 1781 dans lequel il est dit que cet immeuble était échu à de dernier en sa qualité d’unique héritier institué par Mr Jacques Frédéric Faust, en son vivant ammeister et membre du conseil des Treize de la ville de Strasbourg au termes de son testament du 21. juillet 1780. Enfin M Faust l’avait acquis de 1° Dame Reine Restaing veuve de M. Claude Bernard Eisentraut, exsénateur et receveur du clergé ayant agi sous l’assistance de M. Charles François Antoine de Laurier, conseiller intime des vingt un et de M. Etienne Laurent Lefebvre tapissier ayant agi en qualité de tuteur de Louis François Elisabeth, Cécile Etienne Bernard et Marguerite Joseph Rosalie Ramond, petits enfants dudit Sr Eisentraut ainsi que le tout résulte d’un contrat passé à la cidevant Chambre des vontrats de la Ville de Strasbourg le 5 février 1771. – Charges, clauses et conditions (…)
L’an 1845 le samedi 26 juillet – mise à prix de 20.000 francs. Après plusieurs bougies successivement allumées, plusieurs enchères eurent lieu dont la dernière faite par Jean Gaudiot ci présent en a porté le prix à 30.000 francs
Et à l’instant M. Gaudiot a déclaté avoir enchéri pour le compte de sa femme Dame Sophie Albertine Schnéegangs
acp 338 (3 Q 30 053) f° 44-v et acp 338 (3 Q 30 053) f° 87

Liquidation et partage de la succession de Marguerite Salomé Wittmann
1845 (21. 8.br), Strasbourg 10 (105), Me Zimmer n° 5910
Liquidation et partage de la succession de Marguerite Salomé Wittmann veuve de Mr Philippe Frédéric Clausing
Ont comparu I) M. Charles Frédéric Schneegans, négociant, II) Madame Albertine Sophie Schneegans, épouse dûment autorisée à l’effet des présentes de M. Jean Baptiste Gaudiot, négociant ci présent, III) M. Charles Philippe Schneegans, père, négociant, agissant 1° comme père et père et tuteur légal de M. Alfred Paul Schneegans mineur sans état demeurant à Strasbourg, duquel il se porte en outre personnellement fort, 2° comme mandataire de M. Ernest Louis Schneegans, lieutenant au 9° régiment d’artillerie en garnison à Strasbourg mais détaché à Neuf-Brisach (Haut Rhin) où il demeure (…) IV. M. Jean Louis Eugène Lederlin, avoué près le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur du mineur Alfred Paul Schneegans susnommé (…), V. Et M. Jean Geoffroi Clausing propriétaire

Observations préliminaires. 1. Décès de Madame Clausing. Ladite Dame Clausing est décédée à Strasbourgle 20 avril 1845 laissant pour seuls et uniques héritiers les sieurs Charles Frédéric, Ernest Louis & Alfred Paul Schneegans et la Dame Gaudiot susnommée chacun de pour un quart ainsi queil est constaté par l’inventaire ci après relaté.
2. Testament e la défunt. Suivant un testament olographe en date de Strasbourg des 14, 17 et 26 janvier et 15 février de la présente année déposé en l’étude de M° Zimmer soussigné suivant acte de dépôt dressé le 2 mai dernier, la défunte a disposé par préciput et hors part en faveur des susdits héritiers des biens ci après sommairement désignés et dont il se sont respectivement fait délivrance ainsi que des titres y relatifs par acte reçu âr le même notaire les 13 & 17 juin de la présente année (…)
3. Inventaire. La succession ed la défunte a été inventoriée par Me Zimmer le 6 mai 1845
4. Vente des meubless, les 13, 14 & 15 mai dernier
5. Usufruit. Ainsi que cela résulte d’un ate contenant Liquidation et partage de la communauté qui a existé entre la défunte & son mari & de la succession de ce dernier dressé par M° Zimmer soussigné le 22 mars 1844 (…)
6. Jardin aux ponts couverts (…)
acp 341 (3 Q 30 056) f° 43-v du 25.10. (déclaration de succession du 11 septembre 1845)
Masse active 1° le prix de la vente des meubles de la succession 3607, 2° argent comptant 350, 3° créances hypothécaires 12.244, 4° rentes sur l’état 11.060, 5° créances chirographaires 17.127, 6° loyers 471, 7° sommes rentrées 504, total 45.406
Surlequelles valeurs il est dû à Jean Geoffroi Clausing propriétaire hors la porte nationale de Strasbourg pour la part qui lui revient en nue propriété dans la succession de son frère Philippe Jacques Clausing qui était grevée d’usufruit au profit de la défunte 7428 (…)
Masse passive 14.033, reste 31. 373
Droits des parties en abonnements (…)

Sophie Albertine Schneegans expose la maison aux enchères puis l’en retire après que le gérant d’imprimerie Charles Gustave Fischbach a fait une mise de 29 000 francs

1852 (5.8.), Strasbourg 10 (122), Not. Zimmer n° 9641
A comparu Dame Sophie Albertine Schneegans épouse de Jean Baptiste Gaudiot négociant momentanément absent avec qui elle demeure et est domiciliée à Strasbourg (…) Laquelle dame comparante désirant vendre au enchères publiques l’immeuble ci après désigné situé à Strasbourg a requis Me Zimmer soussigné de procéder à cette adjudication (…)
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix. Une Maison avec cour, puits et tous droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwiller N° 3 tenant d’un côté au sieur Groetzinger boucher de l’autre & par derrière au collège épiscopal de Saint Louis. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 20.000 francs.
Etablissement de la propriété. Ledit immeuble dépend de la communauté de biens qui a existé entre feus M. Philippe Frédéric Clausing en son vivant médecin à Strasbourg & Dame Marguerite Salomé Wittmann décédée sa veuve pour avoir été acquis par eux pendant la dite communauté de M. Etienne Laurent Lefèbvre marchand tapissier à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Bossenius alors notaire en cette ville le 27 prairial an XII (7 juin 1804). Ledit contrat porte quittance du prix y stipulé.
Après le décès du dit M. Clausing, la moitié qui lui appartenait dans l’immeuble ci-dessus désigné est échue à M. Jean Geoffroi Clausing, propriétaire demeurant hors la porte nationale de Strasbourg (banlieue de cette ville) son frère et unique héritier aux termes d’un inventaire dressé par M° Zimmer soussigné en date au commencement du 16 août 1843. Quant à l’autre moitié appartenant à Mad. veuve Clausing, cette dernière l’a léguée par préciput à Mad. Gaudiot comparante suivant testament olographe daté de Strasbourg des 14, 17 & 21 janvier et 15 février 1845, déposé après l’accomplissemnt des formalités voulues par la loi en l’étude de M° Zimmer soussigné suivant acte de dépôt dressé par ce notaire le 2 mai 1845. La délivrance de ce legs a été consentie au profit de la Dame comparante qui du reste est héritière pour un quart de la défunte par ses cohéritiers, aux termes d’un acte reçu par Me Zimmer soussigné les 13 & 17 juin de la même année.
Mad. Gaudiot devint enfin seule propriétaire dudit immeuble, ainsi que cela résulte d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Zimmer soussigné le 26 juillet 1845. Cette adjudication eut lieu pour le prix de 30.100 francs dont la moitié revenant à M. Jean Geoffroi Clausing susnommé & s’élèvant à 15.050 francs lui a été payée ainsi que cela résulte de la quittance retenue audit procès verbal d’adjudication.
Pour l’établissement de propriété antérieure du dit immeuble, Mad. Gaudiot s’en réfère au cahier des charges qui a servi de base à l’adjudication du 26 juillet 1845, ce cahier des charges dressé par M° Zimmer soussigné le 16 juillet de la même année.
Charges, clauses et conditions (…), mise à prix de 20.000 francs
Plusieurs bougies ayant été allumés, diveres mises furent faites dont la dernière faite par M. Charles Gustave Fischbach gérant d’imprimerie demeurant à Strasbourg en a porté le prix à la somme de 29.000
acp 412 (3 Q 30 127) f° 31-v du 7.8. Zimmer 5.8.
Retrait d’enchère quai finckwiller N° 3



6, rue de Schiltigheim


Rue de Schiltigheim n° 6 – III 311 (Blondel), N 455 puis section 68 n° parcelle 34 (cadastre)

Démolie en 1971

Schiltigheim 6-4 (1003 W 2, 965)
Au premier plan, une partie du n° 8 puis le n° 6 après lequel s’ouvre le terrain communal, au-delà, le n° 4 (photographie prise vers 1942, AMS cote 1003 W 2 n° 965)
Façade nord vers l’impasse avant démolition (1970, dossier de la Police du Bâtiment)

Propriété de campagnards dans la première moitié du XVII° siècle, la maison appartient ensuite à un vitrier. La veuve du pasteur Bechtold l’acquiert en 1667. Elle revient à son fils qui sollicite en 1719 l’autorisation de poser un auvent, puis à sa petite-fille que son mari quitte pour s’établir à Amsterdam en échappant à ses créanciers. Elle cesse d’être une maison de rapport quand le compagnon maçon Jean Michel Sturm l’achète en 1786. Le plan Blondel représente dans l’angle sud-ouest une petite cour qu’on ne retrouve plus sur le plan de 1830.

58 Elévations h-p

L’Atlas des alignements (années 1820) rapporte que la maison a un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (voir le plan), la façade sur rue se trouve à gauche du repère (h), celle vers l’impasse entre (h) et (i).
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 6.

La maison appartient au menuisier Joseph Stahlerger (1815-1867) puis au menuisier Bernard Riester qui est autorisé en 1885 à gaver des oies au sous-sol. Elle est aménagée en meublés et sert de maison de passe en 1910 et 1912.
Le préfet prononce le 13 mai 1969 l’interdiction définitive d’habiter la maison. La Ville demande en 1970 l’autorisation de démolir dix-huit maisons dont elle est propriétaire rue de Schiltigheim et rue de l’Ecrevisse pour assainir et rénover l’Ilot Broglie. Le 6, rue de Schiltigheim est démoli en mars 1971.

juillet 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

1664 v Jean Louis Prior, vitrier, et (1654) Dorothée Hefflinger veuve du tisserand Jacques Bürcking – luthériens
puis l’héritier Jean Jacques Bürcking, teinturier
1677 v Jean Raoul Bechtold, pasteur à Eckbolsheim, et (1671) Susanne Goll, remariée (1678) au docteur en médecine Frédéric Schilling puis (1680) au juriste Jean Jacques Gambs – luthériens
1700* h Jean Bechtold, receveur, et (1687) Anne Madeleine Saladin – luthériens
1724 h Jean Daniel Bœhm, marchand, et (1730) Eve Barbe Bechtold – luthériens
1770 h Jean Kratz, docteur en médecine, et (1763) Susanne Salomé Bœhm – luthériens
1786 v Jean Michel Sturm, compagnon maçon, et (1774) Marie Cécile Dreher puis (1780) Marguerite Krieger et (1795) Marguerite Wicker veuve du batelier Côme Wicker – catholiques, manants
1806 v Georges Ostermann, chasseur à Karlsruhe
1811 v Jean Burg, serrurier, et (1797) Marie Catherine Sternlein
1815 v Joseph Stahlberger, menuisier, et (1808) Marie Françoise Benedickt, veuve du menuisier Antoine Rapp
1867 v Bernard Riester, menuisier, et (1859) Marie Françoise Wolff
1933* v Joseph Kraul, fabricant, et Ernestine Lorentz
1938* Frédéric Mailænder

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 115 livres en 1720, somme reprise en 1770 et en 1780

(1765, Liste Blondel) III 311, Mde Böhm
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Doctor Gratz (avec III 310), 9 toises, 8 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 455, Stahlberger, Joseph, menuisier – maison, sol – 0,63 are

Locations

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1719, Préposés au bâtiment (VII 1388)
Jean Bechtold, receveur de la Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux-Ondes demande l’autorisation de poser un auvent pour protéger le côté de sa maison rue de Schiltigheim. Les préposés renvoient l’affaire au chef de chantier.

(f° 227-v) Dienstags den 12. Sept. 1719. – Herr Joh: Bechtold pt° Bawens
Herr Johannes Bechtold der schaffner beeder Stiffter der Carthauß und Sti Nicolai in undis, berichtet Mghhn, daß Er gesinnet seÿe auf denseithen an Seiner in der Schiltsgaß liegender behaußung Zu deroselben beschirmung ein wetter dächlein von dielen wollte machen laßen, bittet deßwegen vmb gn. erlaubnus.
Erk. Solle Zuvorderist durch den Werckmeister ein Augenschein eingenommen, vnd deßen beschaffenheit wieder referirt werden, als dann ferner ergehen was Recht ist.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de Schiltigheim

nouveau N° / ancien N° : 23 / 12
Sturm
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 123 case 3

Stahlberger Joseph menuisier à Strasbourg

N 455, maison, sol, Rue Schiltigheim 12
Contenance : 0,63
Revenu total : 65,33 (65 et 0,33)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 661 case 1

Stahlberger Joseph menuisier
1868 Riesser, Bernard, ébéniste
1908 Riester Franziska Maria gewerblos und Riester August Kaufmann in Paris
(ancien f° 409)

N 455, maison, sol, Rue de Schiltigheim 6
Contenance : 0,63
Revenu total : 65,33 (65 et 0,33)
Folio de provenance : (123)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre allemand, registre 32 p. 541 case 2

Parcelle, section 68, n° 34 – autrefois N 455
Canton : Schiltigheimergasse Hs N° 6
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,61
Revenu : 450 – 700
Remarques :

(Propriétaire), compte 3197
Riester Franziska und August
1933 Kraul Joseph fabricant et son épouse Ernestine née Lorentz
1938 Mailänder Frédéric & son épouse
(2780)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 79 de Schillique

12
Pr. Sturn, Michel, garcon Maçon – Maçons
lo. Federspiel, Catherine Blanchisseuse – Manant
lo. Bernard, Marguerithe – Vitrier
lo. Stein, André, Journalier

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 79 de Schillique (p. 101)

12
P. Sturn, Michel, garçon Maçon – Maçons
lo. Federspiel, Catherine, Blanchisseuse – Manant
lo. Bernard, Marguerite, Vitrier
lo. Stein, André, Journalier
[ajout] lo. Dissag, Georges, Journalier – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schiltigheimergasse (Seite 148)

(Haus Nr.) 6
Sidon, Tagner. 0
Rister, Schreinermstr. E 1
Hipp, Tagner. 2
Kolb, Steinhauer. 2
Prediger, Maurer. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2086)

Rue de Schiltigheim 6 (1885-1972)

Le menuisier Bernard Riester, propriétaire de la maison, est autorisé en 1885 à gaver des oies au sous-sol. L’autorisation de ravaler accordée en 1886 fait remarquer que la maison dépasse légèrement de l’alignement légal. La maison est aménagée en meublés qui servent de maison de passe en 1910 et 1912.
Le préfet prononce le 13 mai 1969 l’interdiction définitive d’habiter la maison. La Ville demande en 1970 l’autorisation de démolir dix-huit maisons dont elle est propriétaire rue de Schiltigheim et rue de l’Ecrevisse pour assainir et rénover l’Ilot Broglie. La maison est démolie en mars 1971.

Sommaire
  • 1885 – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. Le menuisier Bernard Riester demande l’autorisation de gaver des oies au sous-sol du 6, rue de Schiltigheim. Les services municipaux constatent que la cave de 7,75 mètres carrés a une hauteur d’environ 1,80 et qu’elle prend jour sur l’impasse par une fenêtre de 0,23 mètre carré. Ils énoncent les conditions dans lesquelles le gavage peut être autorisé.
  • 1886 – L’entrepreneur L. Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande au nom du propriétaire Riester l’autorisation de repeindre la façade et de réparer le crépi du pignon. L’agent voyer note que la maison dépasse légèrement de l’alignement légal. – Autorisation – Travaux terminés, août 1886.
  • 1895 – Le maire notifie le menuisier Bernard Riester de faire ravaler la façade du 6, rue de Schiltigheim – Il demande un délai en arguant de son âge (70 ans) et de sa maladie. – L’agent note que les façades sont très sales et qu’un simple lavage ne suffit pas. Le délai est accordé. Travaux terminés, juillet 1896.
    1896 (mai) – L’entrepreneur Matter (9, rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1896.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les cinq volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique et une trappe dans l’entrée. – Rappel en 1898 – Les volets sont réglementaires mais la trappe est toujours en place, octobre 1898 – Le propriétaire a disposé un garde-corps autour de la trappe qu’il est difficile de supprimer, novembre 1899.
  • 1902 – Le maire notifie le menuisier Bernard Riester de faire ravaler la façade du 6, rue de Schiltigheim – Il accorde un délai au propriétaire âgé de 80 ans qui n’a presque plus aucun revenu – Rappel – Travaux terminés, octobre 1903.
  • 1912 – Le maire notifie le Sieur Schuster (demeurant 3, rue de la Toussaint) de faire ravaler la façade du 6, rue de Schiltigheim – Il accorde un délai au propriétaire qui déclare que la façade n’est pas très sale – Travaux terminés, juillet 1913.
  • 1919 – La dame Wolff, locataire, se plaint que le cabinet d’aisance et le plancher de la cuisine sont en mauvais état. Propriétaire, Sr Braun, 11, quai Kleber. – La Police du Bâtiment estime que la locataire à fait cette déclaration pour se venger qu congé qui lui a été donné.
  • 1902. Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Rister, demeurant sur place. Les chambres d’hôte ne servent pas.
    1906, remarques en trois points, en particulier sur les fourneaux. Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations
    1910, 1912, la maison est aménagée en maison de passe (ist in ein öffentliches Haus eingerichtet)
    1915, Commission des logements militaires. Le logement du rez-de-chaussée devra être évacué à cause de l’humidité. Le locataire est parti mais un nouveau occupe le logement, juin 1917
    1919, les locataires sont obligés de se servir des cabinets d’aisance de la maison voisine. Travaux terminés, 1919
    1922. Le propriétaire (Braun, demeurant 2, quai Kellermann) se plaint de ses locataires du rez-de-chaussée. La maison louée en meublés vient d’être remise en état.
  • 1969 – La maison appartient à la Ville. Le Service d’hygiène informe la Division V que le bâtiment est frappé d’une interdiction définitive d’habiter suivant arrêté préfectoral du 13 mai 1969. Arrêté joint
  • 1970 – Demande d’autorisation de démolir les bâtiments municipaux de l’îlot Broglie
    « Les immeubles portant les numéros 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15 et 22 rue de l’Ecrevisse / 6, impasse de Bischheim, 23, rue de l’Ecrevisse / 24, rue de Schiltigheim ainsi que les immeubles numéros 6, 7, 14, 16, 18, 20, 21, 22 et 23 rue de Schiltigheim, soit au total 18 immeubles, ont été acquis en vue de la réalisation de l’opération d’assainissement et de rénovation urbaine de l’Ilot Broglie.
    Ces immeubles sont dans un état de délabrement tel que leur maintien n’est pas possible. Des arrêtés préfectoraux de déclaration d’insalubrité et portant interdiction d’habiter ont d’ailleurs été établis récemment pour la majorité d’entre eux.
    A ce jour, 12 immeubles ont été évacués totalement. Le relogement des locataires encore en place est assuré par les soins de la Ville. Compte tenu que l’opération contribue largement à la suppression d’îlots insalubres et de taudis en particulier, je me propose de faire procéder dans un avenir rapproché à leur démolition »
    Dossier de démolition accompagné d’une photographie. Bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages. (Observations. Il s’agit d’un très vieil immeuble vétuste et insalubre)
    Liste des locataires. Lucien Decker parti sans laisser d’adresse, André Badiou relogé 36, rue de l’Ail, Luigi Nuvoli relogé 11, rue des Fleurs, Hélène Hurlimann relogée 16, rue Edel, Angelino Doli relogé 14, cité Spach.
    1970 (22 mai) – Le préfet autorise la Ville à démolir les maisons
    6, 7, 14, 16, 18, 20, 21, 22 et 23 rue de Schiltigheim
    3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 22 et 23 rue de l’Ecrevisse
  • 1971 (mars) – Le 6, rue de Schiltigheim est démoli (« voir rapport dans V-06-02-01 »)
  • 1972 (janvier) – Coupure de presse, Le Nouvel Alsacien (Zum Abbruch der unschönen Häuserreihe beim Broglie-Platz. Bereinigung erfolgt erst im Frühjahr – Démolition des rangées de maisons déplaisantes près de la place Broglie. L’opération commencera seulement au printemps). L’article expose que la démolition des maisons que personne ne regrettera est retardée par l’expropriation forcée de quelques-unes d’entre elles.

Relevé d’actes

D’après les aboutissants des immeubles voisins, la maison devait appartenir en 1624 au prévôt de Berstett.
Le vitrier Jean Louis Prior acquiert en deux fois la maison en 1663, d’abord un tiers de Jean Supper, de Flexbourg, Laurent Simbs, de Dahlenheim et Jean Bieth, du même lieu au nom de sa femme Eve Wendling, puis deux tiers de Jean Irrmann, prévôt de Niederhausbergen, de Nicolas Riehl, du même lieu, et de Michel Irrmann, de Wiwersheim.

1664 (15. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 186
(Prot. fol. 12.) Erschienen Hannß Supper Von Flexburg und Lorentz Simbß Von Dalenheim beÿde für sich selbsten, wie auch hannß Biethen alda alß Ehevogt Evæ Wendlingin
in gegensein Johann Ludwig Priors deß Glaßers und Burgers zue Straßburg
Einen tritten theil dennenselben für ohnvertheilt gebührend, ahne Einer Eckh behaußung und allen deren Gebäwen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie an dem Roßmarckh in der Schilts Gaßen, unden am Schöpffbrunnen einseit neben (-) anderseit neben (-) hinden uff die Krebß Gaß stoßend gelegen – umb 10 Pfund

1664 (21. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 523-v
Erschienen Hannß Irrmann der Schultheiß Von Niderhaußberg. und Claus Riehl alda, so dann Michael Irmann Von Wiverßheim
in gegensein Johann Ludwig Priors deß Glasers
Zwen tritte theil, dennenselben für ohnvertheilt gebührend ahne Einer Eckh behaußung und allen deren Gebäwen Zugehördt und Gerechtigkeiten alhie am Roßmarckh in der Schilts Gaßen und am Schöpfbrunnen neben Clauß Schwebels Von Lampartheim seel. Erben, geleg. für freÿ ledig und eÿgen, daran der übrige tritte theil dem Käuffern Vorhien gehörig seÿe – umb 20 Pfund

Fils de marchand, Jean Louis Prior épouse en 1654 Dorothée Hefflinger, fille de fabricant de poudre, qui s’était mariée en premières noces en 1649 avec le tisserand Jacques Bürcken
Mariage, cathédrale (luth. f° 519)
1649. Domi. Quadrag. Jacob Bürchen der wullenweber, Anthoni Bürchen des Wullenwebers vnd burgers allhier nachgelassener Ehelich. sohn, J. Dorothea Jonas Hefflinger, des pulvermachers vnd burgers allhier nachgelaßne Eheliche tochter.Iom Münster Dienst. 20. Febru : (i 267)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 39) 1649. Dom. Quadrages. Jacob Bürchen d. wollenweber Antoni Bürchen deß Wollenwebers alhie nachgel. ehelich. Sohn vnd Jgf. Dorothea Jonæ Hefflingers deß pulvermachers alhie nachgelaßene eheliche tochter Copulirt 20. febr. Münster (i 49)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 66, n° 17)
1654. Eâdem dominicâ [dminicâ Misericordias] Hanß Ludwig Prior der Glaser vnnd Burger alhie, H. Johann Prior gewesenen burgers vndt handelßmanns alhie hinderlaßener ehelicher Sohn, Vndt Dorothea Jacob Bürcking gewesenen burgers vndt Wullenwebers alhie hinderlaßene Wittib. Copulabantur Dienst. d. 18.t Aprilis Zum J.S. Peter (i 77)

Héritier de la maison, le teinturier Jean Jacques Bürcking vend la maison sise en contrebas du puits communal à Susanne Bechtold, veuve, pour laquelle agit l’avocat Jean Adam Goll.

1677 (19. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 541-v
hannß Jacob Bürckhing der ferber
in gegensein herrn Johann Adam Gollen U.I.D. und E.E. Großen Rhats Advocati et Procuratoris alß Curatoris frawen Susannæ Bechtoldin, wittibin seiner eheleiblichen Schwester
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier am Rosmarckh in der Schiltsgaß undten ahm Schöpffbrunnen, einseit neben Claus Schwebels Von Lampartheim Erben, anderseit ist ein Eckh hinden uff die Krebß Gaß stoßend gelegen – geschehen umb 100. lb

Fille de l’administrateur du sel Théophile Goll, Susanne Goll épouse en 1649 Jean Raoul Bechtold, pasteur à Eckbolsheim.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 523)
1649. Dom. 14. Trin. H. M. Johannes Rudolphus Bechtold, Pfarrer zu Eckboltzheim, deß Ehrwürd. Und hochgelehrten Herrn Johannis Bechtoldi, der H. Schrifft Doctoris Und Professoris, auch E.E. Kirchen Convents alhie Præsidis, Nachgelaßener Ehelicher Sohn, J. Susanna Herrn Theophili Gollen deß Saltzverwalters Und Burgers alhier eheliche dochter. Im Münster donnerst. den (i 271)

Etat des biens que Marie Susanne Goll, usufruitière de son mari Jean Raoul Bechtoldt, diacre à Saint-Thomas mort en 1661 en délaissant deux enfants, délivre à sa fille Marie Susanne
1671 (24. 10.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 41) n° 28
Theil Register, Darinnen Waß Frawen Mariæ Susannæ Stößerin gebohrner Bechtoldin, & Herrn Johann Stößers, Cancelleÿ verwanthen Burgers alhie ehelich geliebten Haußfrawen, in weÿl. H. M. Johann Rudolph Bechtoldts, Diaconi Zu St. Thoman, Burgers alhie, Ihres Lieben vatters seel. Verlaßenschafft Abtheilung erblichen Zugefallen Zubefinden. 1671.
Zuwißen, demnach auff tödtliches ableiben weÿlandt deß Ehrwürdig vndt wohlgelehrten Herren M. Johann Rudolph Bechtoldts, geweßenen getrewen Diaconi vndt Helffers der Pfarrkirchen Zu St. Thomæ, Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. welches Freÿtags den 26. Aprilis deß xvj C Ein vndt Sechtzigsten Jahrs Göttlichem willen nach Zeittlichen todts verblichen, deßelben verlaßenschafft In beÿsein darzu gehöriger Persohnen gebührlichen ersucht, æstimirt, Inventirt vnd beschrieben auch Zweÿ gleich lautende Inventaria darüber auffgerichtet vndt v.ferttiget word. Dieweil aber Fraw Maria Susanna, die dochter sich an ietzo verheürathet, dannenhero Fraw Susanna Gölin gebohrne, die Fr. Wittib vndt Mutter derßelben Ihrer dochter nach dem auffgerichteten Codicill, Ihr vätterliche legitimam Zu lüffern schuldig, deroselben Vberig Vätterlich guth aber Crafft erst angeregten reciproce auffgerichteten Codicills ad dies vitæ noch wÿdembs weiß Zugenießen hette, dieselbe aber auß wohlgemeinter Mütterlichen affection sich dahin resoluirt, daß Sie deroßelben Ihrer lieben dochter nicht nur legitimam sondern Ihr gantz vätterlich Guth lüffern, vnd auff Ihren daran gehabten wÿdemb verzugt thun wolle, daß darauff vndt solchem nach die wohl Ehren vndt viel tugendtsame Fraw Susanna gebohrne Golin, die Wittib obbemeltte mit beÿstandt deß Edlen, vest vndt Hochgelehrten Herrn Johann Adam Golen, J. V. Dris Advocaten vndt Burgers alhie, Ihres Bruders vndt geschwornen Vogts, ane einem,
Andern theil aber, die wohl Ehen vndt viel tugendreiche Fraw Maria Susanna Stößerin gebohrne Bechtoldin, deß Wohl Ehren vest vndt fürgeachten herrn Johann Stößers, Cancelleÿ verwanthen vndt Burgers alhie ehelich geliebte haußfraw, mit beÿstandt deßelben Ihren geliebten Eheherrn, Ingleichem deß Eden Vest Vndt Hochgelehrten Herrn Gottfried Stößers J. V. Doctoris, Vndt beÿ alhießiget löbl. Universit: Pandectarum Professoris ordinarÿ deßelben herrn Bruders, wie auch der Edel Vest, Hochgelehrte, Fürsichtig vndt weÿß Herr Johann Bechtolt J. V. Ddus Vndt d Zeitt E. Ehr. Kleinen Raths alhie Beÿsitzers, als Johannißen Ihr fren Mariæ Susannæ bruders geschwornen vogts am dritten theil, beede obehrernants Herrn M. Johann Rudolph Bechtoldts mit mehr ehren ernannter frauen Susannen gebohrner Golin seiner Hind. pliebene, Wittwen ehelich erzeugte dochter Vndt Sohns, Vnd ab intestato hinderlaßener nechster Erben (…) So beschehen auff Donnerstag den 14. 10.bris A° 1671.

Susanne Goll se remarie en 1678 avec le médecin Frédéric Schilling
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 54)

1678. Zum 2. mahl Hr Friderich Schilling Med: [doctor] Weiland hn – Schilling Med: Doct und fürstl. – geweßenen Raths und Medici nachgelaßener Sohn, Fr. Susanna Weiland Hr M. Johann Rudolph Bechtold Gewesenen Diacony Zu st Thomæ W. Donnerstags den 18.ten april Münster (i 55)

A nouveau veuve, elle épouse en 1680 le juriste Jean Jacques Gambs
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 180)

1680. Zum 2. mahl hr Johann Jacob Gambß U. J. Drandus (-ç Rath u. Advocat auch – alhier Archivarÿ u. Referens* Fr Susanna Weiland Hr Friderich Schillings (-) 28.ten 8.br Münster

Etat des revenus immobiliers de Susanne Goll, parmi lesquels la maison rue de Schiltigheim

1684 (19. 8.br), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 11) n° 611 (XIX°, 1209)
Herrn Doctorandi Gambßen ahngebene Gegen Rechnung vff Frauen Susannæ Gambßin gebohrner Gollin, ihrer und die Ehe Zugebrachter abgangenen Nahrung halben vffgesetzte Ergäntzung prætension
Hauszinsse
(N° 3) Verzeichnuß waß Fr: Susannæ Gambßin gebohrne Gollin häußer V. A° 1680 biß 1684 in 3 ½ Jahren Vermög Schuldtbuchs ane Zinnß ertrag. Vndt waß H. Ddus Gambs hingegen eingenommen
Grüenbruch. N° 1. die oberste wohnung ist allein 3 ¼ Jahr bewohnt gewesen, hat 2. Jahr à 6 fl. v. 5/4. Jahr à 5 fl. ertragen, thut 9. lb 2. ß 6 d
N° 2. It. die vnd.ste wohnung hat ½ jahr à 7 fl., 1 ½ jahr à 6 fl. vnd 1 ½ jahr à 5. fl. ertragen, thun 10. lb.
Pflantzhöfflin. N° 3. It. die Eckhbehaußung beim Pflantzhöfflin soll inn 3 ½ Jahren ertrag. 17. lb. 15 ß
Pflantzbad
N° 4. It. die behauß. neb. dem Eckhauß tut in 3 ½ jahren à 8. fl., 14. lb
N° 5, d. Eckhauß die Vnd.ste wohnung, soll jahrs 4 fl. ertrag. souiel ab. auß dem haußzinßbuch. Abzu nemmen ist solche geraume Zeit lähr gestand. dahero nichts auß Zuwerffen.
N° 6 It. die Oberste wohnung, soll in 3 ½ jahren ertrag. haben 22 lb. 10 ß
Grüenbruch.N° 7 (…)
Newgaß N° 12
Wollsgäßel N° 15
Hechtenbruckh N° 19
Kupperschmidtsgaß N° 24. It. die behauß. daselbst hat in 3 ½ jahren à 8 fl. gethan 14. lb.
XIII. Graben Zur Roßen N° 25
N° 27. It. d. hauß alda trug i, 3 ½ jahren Zinß 7. lb 5. ß
Schiltzgaß N° 28. Im. d. hauß alda ane Roßmarck hat inn 3 ½ jahr à 16 ß gezinßet, 28 lb
N° 29. It. d. hauß daselbst am Bronnen, die oberste wohnung trug Zinß n ¾ jahr alß lang Inwohner waren, 8 lb 5 ß
N° 30. It. die Vnd.ste wohnung, alß lang sie bewohnt gewesen ertruge 7 lb 15 ß
Hind. Allheÿligen N° 31
Leÿmengäßel N° 32
Stampffgäßel
N° 34. It. auß d. obersten wohnung deß haußes fürß erste jahr 10. fl. Vnd für die letzte 2 ½ jahr. à 6 fl. thut 12. lb 10 ß
N° 35. It. die mittelste wohnung ertruge fürs erste jahr 10 fl. für folgende 2. jahr nur 16 fl. thut Zusammen 13 lb
N° 36 It. auß der Vnd.sten wohnung, alß lang Se bewohnt gewesen, thut d. Zinß 3. lb 8 ß 6 d

Héritier entre autres de la maison rue de Schiltigheim, Jean Bechtold épouse en 1687 Anne Madeleine Saladin, fille d’un assesseur des Quinze

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 150-v, n° 26)
1687. Dom: 2. post Trinit. Zum 2 mahl Hr Johann Bechtold Weiland H. M. Johann Rudolph Bechtolds gewesenen Diaconi Zt St. Thomæ hint. ehl. Sohn, Jfr. Anna Magdalena, des Weiland Wohledlen Fromm, Fürsicht. u. Wohlweisen Hrn Joh: Carl Saladins des beständigen Regiments der Hhrn XV. Beisitzers nachgel. ehel. T. – Mittw. den 18.ten Junÿ N Kirch.

Jean Bechtold est nommé administrateur du sel en 1688, receveur de la Chartreuse et de Saint-Nicolas-aux- Ondes en 1706
1688, Protocole des Quinze (2 R 92)
254 Saltzverwalters stelle, H Johann Bechtold, 254 Bestallung
1706 Conseillers et XXI (1 R 189)
H. Johann Bechtold würdt Schaffner beÿ der Carthaus vndt St Nicolai in undis. 63. schwört auff die Ordnung. 122.
1706 XV (2 R 110)
Dreÿer im Ungelt zu erwöhlen ane statt H, Johann Bechtolds

Jean Bechtold meurt en 1723 en délaissant cinq enfants. Une des maisons rue de Schiltigheim revient à sa fille Barbe, la voisine à Philippe Jacques. La masse propre à la veuve est de 3 220 livres, celle des héritiers de 7 882 livres. L’actif de la communauté s’élève à 20 282 livres et le passif à 8 854 livres.

1724 (25.4.), Not. Mader (6 E 41, 682) n° 497
Inventarium über Weÿl. deß Edel, wohl Ehren vest, wohlgelehrt v. Großachtbahren Hn. Johann Bechtolds, beeder Stiffter Carthauß v. Sti Nicolai in undis geweßenen wohlmeritirten Schaffners v. Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1724. – nach seinem den 11.ten Aug. deß mit Gott zurückelegten 1723.sten Jahrs beschehenem tödlichen Ableiben zeitlichen verlaßen, Welche Verlaß. dann auf freundliches ansuchen und begehren des auff nachfolgendem folio in specie benembßter Erben, Inventirt und ersucht, durch sie Edle Viel Ehren und tugendreiche Fraw Annam Magdalenam gebohrne Saladinin die hinterbliebene Fr. Wittib mit beÿstandt deß hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Abraham Städeln J V: Ddi. vnd beÿ hießigen Löbl. Cancelleÿ wohlmeritirten Commissarÿ dero geordneten herrn Vogts (…) Actum und angefangen in der Königl. Stadt Straßburg auff dienstag den 25.ten Aprilis Anno 1724.
Der in Gott ruhende Herr Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo die Viel Ehren und tugendreiche Fr. Margaretham Magdalenam Titoin gebohrne Bechtoldin Weÿl. deß Edel Wohl Ehren Vesten und Großachtbahren herrn Josephi Jeremiæ Tito obgedachter beeder Stiffter Carthaus und St. Nicolai in undis geweßenen wohlverdienten Secretarÿ seel. hinderlaßene Fr. Wittib, Welche mit beÿstandt deß Wohl Edel Vesten Weiß und großachtbahren Herrn Johann Strehlin E: E: großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und der Stadt Straßburg Saltzen Cassæ wohlmeritirten Verwalters dero geschwornen Vogts, dießem Geschäfft in Persohn abwartet.
2.do, 3.tio 4.to et 5.to, Jgfr. Susannam Salomeam, H. Philipp Jacob Legum Stusiosum, Jfr Mariam Elisabethem und Evam Barbaram, Weilen aber dieselbe annoch minorennis als ist beneben denen selben hiebeÿ Zugegen geweßen der Edel Wohl Ehren Veste rechtsgelehrte vnd großachtbahre herr Johann Silberrad Hochadelicher Schaffner dero geordnet und geschworner Vogt, Alle fünffe deß Verstorbenen Herren seel. mit vorgedachter seiner hinterbliebenen Fr. Barbe ehelich erzeugt und hinderlaßener Kinder und Erben zu gliechen portionen und Antheilen

In einer allhier in der Königl. Stadt Straßburg ane der Spitzengaßen gelegenen nicht hiehero gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der mittlern Bühn, Auffm Gang, In der Cammer A, Vor diesem Gemach, In der Cammer B, In der Kuchen, Im untern Haußöhren, In der Magd Kammer, In der Stub Kammer, In der Wohnstub, In dem hintern stübel
Eÿgenthumb ane Haüßern. (E.) Ertlichen eine Behaußung undt Hoffstatt
in dem grünen bruch (…)
(E.) It: ein Haüßlein in dem grünen bruch (…)
(E.) It: ein Haüßlein auff dem alten dreÿzehengraben (…)
(E.) It: ein Haüßlein auff dem alten dreÿzehengraben (…)
(E.) It: ein Hauß auff der Burckgaß (…)
(E. Jungf. Barbara geh.) It: ein Hauß Hoffstatt und Hofflin, mit allen darzu gehörigen gebaüen, Begriffen, weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg am Roßmarck in der Schiltzgaß unten am Schöpffbronen, eins. neben den Erben selbsten, anders. neben Matthis dachßen dem leinenweber hinten auff N. Wittich den Courtier stoßend geegen, so freÿ ledig und eigen und durch offtbesagte Werckmeistere taxirt pro 115. Darüber ist vorhanden i. Teutsch perg. ane der Statt Str. C. C. stuben anh. Inns. verw. Dat. d. 19. Julÿ 1677 mit Nis. 45 et 14 bezeichnet
(E. H Philipp Jacob geh.) It: eine behaußung mit allen deren gebaüen, Begriffen, weithen, rechten Zu gehördten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg in der Schiltzgaßen am Roß Marck, eins. neben den erben selbsten anders. neben N. Stierlings Wittib, hinden auff Peter Rauchen den Zimmermann stoßend davon gehen Jährlich 18. ß d bodenzinß der Rothen Kirchen allhier sonsten freÿ ledig und eigen und hiehero durch offtgemelte Werckmeistere angeschlagen um 137. lb 10 ß. Davon aber ist wieder abzuziehen obige beschwerde so in ohnvorgrefflichem Capital tht. 36. lb d Nach deren Abzug und wird dem anschlag nach noch übrig verbleiben nembl. 101. 10. Darüber meldet einer beÿ .E. E. Großen Raht ergangenen Bescheid sub dato 17. Aprilis 1690. Crafft deßen des Verstorbenen Herrn seel: Frau Mutter seel. Vor andern Creditoren dießes Hauß überlaßen worden, und sonsten anderer Schrifftlicher bericht zu befinden, mit N° 15. notirt
(E.) It: eine Behaußung am Fischer Staden am Wolffs gäßlein (…)
Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten Guth. Innhalt Inventarÿ über alles das jenige was beede nu zertrennte Eheleuth einander in den Ehestand Zugebracht, durch weÿl. herrn Stephan Cornelium Saltzmann geweßenen Notm. publ. et Academ. seel. in Anno 1687. gefertiget, hat mann der Fraw Wittib Zu Erg. alß volgt.
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli
Der Fr: Wittib Vermögen, Sa. haußraths 50, Sa. Silbergeschirrs 35, Sa. Goldener Ring 43, Sa. der Baarschafft 16, Sa. deß Pfenningzinß hauptguths 75, Sa. der Schulden in die Nahrung 100, Sa. der Ergäntzung (2910, Sa. Abgangs 10, Rest) 2899, Summa summarum 3220 lb
Der Erben Nahrung, Sa. haußraths 96, Sa. Silbergeschirrs 7, Sa. Goldener Ring v. Kett 36, Sa. der Baarschafft 21, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 1074, Sa. Eigenthums ane Häußern 680, Sa. der Gülthen 112, Sa. der Ergäntzung (5990, Sa. Abzugs 36, Rest) 5954, Summa summarum 7982 lb – Schuld 100, Detrahendo 7882 lb
Das theilbare Guth, Sa. haußraths 254, Sa. der Früchten 1066, Sa. Weins v. Lährer Faß 535, Sa. der Gutsch 3, Sa. Silbergeschirrs 157, Sa. Goldener Ring v. Perlen 31, Sa. der Baarschafft 3377, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 14.385, Sa. der Gülthen 71, Sa. der Schulden in die Nahrung 400, Summa summarum 20.282 lb – Schulden 8854, Solchen beneben 10. lb der Frau Wittib Vor die Liebthat gehörig von der theilbarn Verlaßenschafft abgezogen, so verbleibt 11.418 lb
Conclusio finalis Inventarÿ, Beschluß summa 22.531 lb

Etat des revenus d’Anne Barbe Bechtold, fille du défunt, propriétaire de la maison ultérieurement 6, rue de Schiltigheim
1730 (Joh: Bapt:), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 635
Rechnung Mein Johann Silberrads, Schaffners der Schenckbecherischen und anderer Löblicher Stifftungen, auch E. Löbl. Policeÿgerichts jetzmahligen Assessoris als geordnet und geschworenen Vogts S. T. Jungfrauen Evæ Barbaræ Bechtoldin, Weÿland S. T. Herrn Johann Becholds, der beeden Stifften Carthaus und Sancti Nicolai in Vndis gewesenen Wohlverdienten Schaffners, auch vornehmen burgers allhier, nunmehr seelig hinterlaßenen Jüngster Jungfer Tochter, ausweißend alles dasjenige was Ich von Johannis Baptistæ Anno 1727 als den beschluß meiner Erstern Rechnung biß gemelten Termin Anno 1730 Ehrenbesagter meiner Jungfer Curandin halben ferner Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe – Zweÿte und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ.

Eve Barbe Bechtold épouse en 1730 le marchand Jean Daniel Bœhm, fils du premier diacre au Temple-Neuf : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvest und Großachtbahrem Herrn Johann Daniel Böhm Ledigen handelßmann des hochehrwürdighen und hochgelehrten Herrn Michael Friderich Böhms, wohlmeritirten treueÿferigen ältesten Diaconi beÿ der Prediger Kirchen alhier mit der Edlen Viel Ehr und Tugendbegabten Frauen Jacobea gebohrner Herrmännn ehelich erzeugtem sohn, alß dem herrn Hochzeither ane einem, so dann der Hoch Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Eva Barbara Bechtoldin Weÿland des Wohl Edel Wohl Ehrenvest und Rechtsgelehrten Herrn Johann Bechtolds geweßenen Schaffners des Stiffts Carthauß und vornehmen burgers alhier seeligen mit der Wohl Edlen Viel und Tugendreichen Frauen Anna Magdalena gebohrner Salatinin ehel. erzeugten und nachgelaßenen Tochter, als der Jungfer hochzeiterin am andern Theil – Beschehen und Verhandet allhier zu Straßburg den 8. Aprilis Anno 1730

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 82, n° 297)
1730. Mittw. d. 28. Jun. sind nach Zweÿmaligen Proclamation Ehelich Von mir Copulirt v. eingesegnet Worden, Joh: Daniel Böhm der Ledige handelsmann v. Burger Alhier, mein, Mich. Frid. Boehmen Diac. senioris beÿ diser Kirchen ehelicher Sohn v. Jgfr. Eva Barbara, weÿl. H. Johann Bechtolds gewesenen Schaffners beÿ den stifftern Carthauß v. S. Nicolaj in undis Wie auch Alten dreÿers des alhiesigen Umbgelds Nachgel. eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Boehm Alß hochzeiter. Eva Barbara Bechtoldin Als Hochzeiterin (i 86)

Les nouveaux mariés font dresser dans la maison du cordier municipal Samuel Schrag rue de la Douane l’inventaire de leurs apports où figure la maison rue de Schiltigheim

1731 (7.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 4) n° 186 (1558)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung vnd Güthere, so der Wohl Ehrenveste und Großachtbahre H. Johann Daniel Böhm, vornehmer handelsmann vnd die hoch Ehren und tugendsahme Frau Eva Barbara gebohrne Bechtoldin, beede Eheleuthe und burgere Zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, so auß Vrsachen, sich dieselbe in ihrem mit einander auffgerichteten Ehepactis ein unverändert Guth vorbehalten haben (…) Actum Straßburg in fernern beÿseÿn H. Johann Silberrads, Wohlverordneter Schaffners der löbl. Schenckbecherisch. Stifft. alhie alß der Ehefr. biß dahero gewesten ohnentledigtenn Vogts wie auch beed. Ehel. gel. Eltern auff Freÿtag d. 7. Julÿ 1730.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Cran gelegen, H. Samuel Schrag den Stattseÿler eigenthbl. gehörig. behaußung sich folgender maßen befund.
Eigenthumb ane Häußern so die Ehefrau in die Ehe gebracht (F.) Erstl. It. häußlein
in der Steinstraß am alt. dreÿzehengraben (…)
(F.) It. i. Hauß, hoffstatt vnd höfflein, mit allen darzu gehörig. weit. begriffen, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeit alhie Zu Strb. am Roßmarck in der Schiltzgaß vnten am Schöpffbronnen i.s neb. H. Philipp Jacob Bechtold J. U. Lt vnd Jgfr. Maria Elisab. Bechtoldin der Ehefr. beid. Geschwüsterd. 2.s. neben Mathiß daxen &. Lwbr. hinten auff Schwab, & Schuhmacher stoßend, geleg. so freÿ ledig vnd eig. Darüber ist vorhanden i. teutscher pergam. Kffbr. in d. St. St. anhgd. Innsigel. verw. datirt. d. 19. Julii 1677 mit N° 45 et 14 bemerckt
Und hat man vorbesagte häußer dermahlen ohne Anschlag gelaß. mithin verglich. sofern dieselbe in wehren. Ehe solch. verkaufftalienirt vnd veräüßert wurd. daß das darauß erl. pretium der Ehefr. gebührender maßen wird ergäntzt werd. solle.

Endetté, Jean Daniel Bœhm quitte la ville en 1739. Un inventaire constate que les biens de sa femme s’élèvent à 4 987 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 3 597 livres, le passif de 10 213 livres

1739 (24.9.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 68) n° 603
Inventarium über Johann Daniel Böhmen, des Von hier sich absentirten Handelsmanns und Frauen Evä Barbarä Böhmin, gebohrner Bechtholdin, beeder Eheleuthe und burgere alhier habende activ: und passiv Nahrung auffgerichtet Anno 1739.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Hab, Nahrung und Güthere, so Johann Daniel Böhm, des Handelsmann und deßen Eheliebste, Frau Eva Barbara Böhmin gebohrne Bechtoldin, beede burgere allhier Zu Straßburg dermalen tam active quam passive haben und besitzen, welche der Ursachen, allweilen er der Ehemann sich ohnlängstens von hier absentirt und deßen Nahrung mit passiv schulden beladen ist, die Ehefrau aber ihr zugebrachtes und wehrender Ehe ererbtes in denen Ehepacten sich vor ohnverändert reservirtes guth zu salviren und dahero beÿ .E E. Kleinen Rath umb das Beneficum Cessionis einzukommen gesinnet ist, inventirt, Stephan Sie die Verlaßene Ehefrau selbsten mit assistentz H Johann Rudolph Dünckels Notarÿ publici & practici, ihres constituirten H. Curatoris ad Lites (…) geäugt (…)
So beschehen Zu Straßburg in fernerem beÿseÿn Frauen Jacobe von Lindern gebohrner Herrmännin, H. Johann Balthasar von Lindern Medicinæ hocherfahrnen Doctoris und berühmten practici auch vornehmen burgers allhier Frau Eheliebstin des Ehemanns eheleibl. Fr. Mutter u. H. Philipp Jacob Bechtholds J. U. Lti der Ehefrauen eheleibl. H. Bruders, auf Donnerstag den 24. Septembris et seqq. anno 1739.

In einer allhier zu Straßburg ane dem grahn neben der Gastherberg Zum geist gelegen von beeden Ehepersohnen lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
(f° 21) Eigenthumb ane Häußern. (F.) Erstl. ein häußlein in der Steinstraß am alt. dreÿzehengraben (…)
It. eine behaußung, hoffstatt v. höfflein, mit allen darzu gehörig. Gebäuen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehörd. v. Gerechtigkeiten allhier Zu Straßb. in der Schildtsgaß ane dem Roßmarckt gelegen unten am Schöpffbronnen einseit neben eingangs wohlgedachtem H. Lto. Philipp Jacob Bechtold und Jgfr. Maria Elisabetha Bechtoldin beeden Geschwüsterd. anderseit neben Mathiß daxen dem Leinenweber hinten auff N. Schwaben den Schuhmacher stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig v. eigen, und in Vorallegirtem Vätterl. special theil register de A° 1724. fol. 61. fac. I.a angeschlagen, warbeÿ es auch dißorths ohnverfängl. Zulaßen beliebet worden, nembl. pro 115. lb. Darüber besagt j. teutsch. pergam. Kauffbrieff mit der Statt Stßb. anhang. Ins. verwahret, dat. den 19. Julÿ 1677 mit alten N° 45 et 14 signirt, so sich aer dißorts auch nicht befunden, sondern der Ehefrauen eheleibliche Frau Mutter Zusambt dem über Vorgeriges häußl. besagenden Kauffbrieff Vermuthlich in Verwahrung haben wird.
(f° 22) Wÿdembs Verfangenschaft So Frau Anna Magdalena Bechtoldin gebohrne Saladinin weÿl. herrn Johann Bechtoldts beder Stiffter Carthaus und Sti Nicolai in undis geweßenen wohlmeritirten Schaffners v. Vornehmen burgers allhier längst seel. hinderbliebene Wittib, der Ehefrauen eheleibl. Mutter biß an Ihr Ende Zugenießen hat.
(f° 28) Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen ohnveränderten Guths, Vermög Inventarÿ (…) durch H. Notarium Johann Brackenhoffer den 7. Julÿ 1730. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Ehefrauen in denen Ehepactis sich vor ohnverändert vorbehaltenes Guth, Sa. haußraths 424, Sa.Früchten 22, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 169, Sa. Goldener Ketten, Ring, Perlen und dergl. Geschmeids 359, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 81, Sa. Gülth von liegenden güthern 178, Sa. Eigenthumbs ane Zweÿen Kleinen Häußl. 135, Sa. Activ Schuld 150, Sa. Ergäntzung (3469, Abgang 3, verbleiben) 3466, Summa summarum 4987 lb
Dießem nach werden auch die übrige rubrices und Effecten sie seÿen gleich von dem marito in die Ehe gebracht, darinn ererbt, erkaufft und gemacht, in ansehung nicht nur Keine Errungenschaft ausfallet, sondern auch deßen gantzes Guth zu außweiß und befriedigung der Vorhandenen passivorum beÿ weitem nicht Zulänglich ist, beliebter Kürtze halben unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 452, Sa.der bücher 67, Sa.tafflen und Gemähld 329, Sa.Garthengewächs 11, Sa. Schiff und geschirrs 181, Sa. Wahren 1235, Sa. Pferds 36, Sa. lähren Vaß 7, Sa. Silbers 31, Sa. Goldnen Ring 3, Sa. der baarschafft 70, Sa. Schulden 1171, Summa summarum 3597 lb – Schulden 10.213 lb, Theilbares passiv onus 6616 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und Verhandet allhier zu Straßburg den 8. Aprilis Anno 1730

L’exécuteur testamentaire de Daniel Bœhm mort à Amsterdam demande que sa fille et héritière demeurant à Strasbourg soit exemptée du droit de détraction, ce que la ville d’Amsterdam est prête à accorder si la ville de Strasbourg accorde la réciproque. Les Quinze donnent leur accord
1759, Protocole des Quinze (2 R 171, rapiarium 170)
(p. 142) Sambstags den 7. Aprilis – Schreiben von Amsterdam pt° Abzugs et Böhmen (Johann Daniel Böhm)
Herr Stättmeister von Berckheim ließ einen in Holändischer Sprach von Amsterdam an hießigen löbl. magistrat geschrieben und in das teutsche Von H. Rath. Barth gese[ndeten] brieff sub dato den 27.t martÿ 1759. able[ßen] folgenden Innhalts.
den 27.t martii 1759.
Edlen großachtbahren, Wohlweißen und sch[-] Vorsichtigen Herren
Uns ist par requete zu erkennen gegeben durch Johann Friderich Ernst Kauffmann jnnerhalb dießer Statt als Executor des testaments von H. Daniel Boehm, nach deme derselbe die Verlaßenschafft ermelten Johann Daniel Boehm in behörendt ordnung gebrachrt, für sich einige schwirigkeit machte um den überschuß der gelder an seine tochter und einige Erbin zu Straßburg überzumachen ohne beurlaubt zu seÿn wegen bezahlung des abzugs rechts, dießer Statt ohnwieder Sprech ließen Zu behörende Von allen Vermächtnissen und Erbschafften, welche Von hier anderstwohin, wormit ermeltes recht nicht abgethan, Verführt werden möchte mit ermelter requete hätte Er Supplicam zu gleich übergeben eine Erklärung Von Ewer Edl. Großachtbahrkeit, worinnen Vermeldet wird, daß Zu Straßburg Von Keinem burger Zu Amsterdam das Abzugs recht gefordert werde, und auch ins Künfftige nimmer mehr gefordert werden solle in sofern, wir eine ebendergleiche Erklährung Zum behuff der Innwohneren Von Er. Ed. Großachtbahrkeits Statt Von unß geben Wollten und da Wir allezeit, wann Wir deßfalls ersucht werden, sehhr geneigt sind, ermeltes abzugs recht mit einer Jeden Statt oder platz auffzuheben, So ist es daß Wir aus Krafft der unß sub dato 8.t Septembris von dem gantzen rath dießer Statt Verliehenen authoritæt declariren daß Wie bereit sind sothanige Freÿheit an die burgere und Inwohnere der Statt Straßburg genießen Zu laßen, eben also und auff den Fuß als andre burgere und jnwohene alhießiger Statt von dorten sollten zugeschickt werden, dergestalten daß alle Vermächnüße und Erbschafften so allhier fallen und an burgere oder jnnwohnere der Statt Straßburg Zukommen, der bezahlung ermelten abzugs rechts enthoben [p. 144] seÿn sollen. Wir hof[-] über einkunfft beeder seits b[-]nere ihren Vortheil ziehen mö[chten -] Freÿthun Von unserer seiten [-]men solle mit dem Freÿen ab[- Ver]laßenschafft von obgemelten Jo[hann Daniel] Boehm ane deßen tochter jnn[-] Großachtbahrkeit Statt wohnhaft [-] Er ; Ed. Großachtbahrkeit in die [-] Gottes befehlen und bleiben
Edler großachtbahren Wohlwe[ÿßen] sehr Vorsichtigen Herren [-] Ew Edel großachtbahrkeit gute freund[-] Burger Meistere und regirender der Statt Amsterdam
auff derselben ordre D. Hoost
Von Wort Zu Wort translatirt, Straßburg den 6. Aprilis 1759, unterschrieben Barth.
Erkandt, daß der abgeleßene brieff dem protocollo einzuverleiben und denen dreÿ löbl. Statt Stall zu notificiren seÿe, daß die burgere und jnnwohnere der Statt Amsterdan, welche ins Künftige einige Erbschaften hierzu beziehen haben werden, gegen Verweißung eines glaubwürdigen attestati von ihrer obrihkeit, des gewohnlichen abzugs befreÿt werden sollen.

Inventaire des biens de Jean Daniel Bœhm, mort à Amsterdam le 20 août 1758 en délaissant pour héritiere sa fille Susanne Salomé

1761 (8.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 399) n° 899
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Daniel Böhm, des geweßenen Handelsmanns, so sich zu Amsterdam in Holland aufgehalten und burger allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1761. – nachdeme derselbe Mittwochs den 20. Augusti Anno 1758 in gedachtem Amsterdam durch einen seeligen Todt Von dießer Welt abgefordert worden, Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft nach deßen Absterben durch Herrn Johann Friderich Ernst, den handelsmann daselbst, als den Zufolg Testamenti und Nach Dispositionis ernenten Executorem deßelben administrirt und Zugeld gemacht, auch endlichen nch abzug derer verordneten und Ihme außzuliefferen überlaßenen Legaten, ane die Jungfer Tochter und Erbin anhero gesand mithien ane zuendgemeltem dato auf begehren Jungfrauen Susannä Salome Böhmin, des Verstorbenen mit Frauen Eva Barbara Böhmin gebohrner Bechtoldin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Jungfer tochter und sowohl ab intestato als per Testamentum nachgelaßener Universal Erbin, so Majorennis und ohnbevögtigt (…) inventirt – So beschehen in Straßburg auf Montag den 8. Junÿ Anno 1761.
Copia Testamenti und annectirten Nach Disposition aus der holländischen in die teutsche Sprach vertirt und übersetzt worden

Summa samtlichen des Verstorbenen seeligen Eigenthümlicher Verlaßenschafft 1969 lb
Wÿdembs Verfangenschafft Welche Frau Jacobe gebohrne Herrmännin, Weÿland Herrn Frantz Balthasar von Lindern, geweßenen ältesten Medicinæ Doctoris und berühmten Practici allhier Frau Wittib, des Defuncti eheleibliche Frau Mutter von weÿland Herrn Michael Friderich Böhm, geweßenem Pfarrer und treueiffrigen Seelsorger in der Evangelischen Neuen oder Prediger Kirch Ihrem Estern Ehehern seel. lebtägig zu genießen hat, Inhalt einer durch Hn Not. Joh: Richard Häring unterm 19. sept. Anno 1755 gefertigten berechnung
Ungewiß und zweiffelhaffte Activ: Schulden betreffend
Der hinterbliebenen Frau Wittib eigenthümlich besitzendes Vermögen belangend. Nach deme der seelig verstorbene in Anno 1739. sich von hier absentirt und deßen Nahrung zu einem Concurs ausgebrochen, so wurde beeder Eheleuthe damahlen beseßenes Vermögen den 24. Septembris et sequentibus ejudem Anni ordnungs mäßig inventirt (…)
Belaufft sich alßo der Fr. Wittib besamtes Eigenthümlich besitzendes Vermögen in allem der Stall æstimation nach auf 5001 lb

Eve Barbe Bechtold meurt en 1770 en délaissant pour unique héritière sa fille. L’inventaire est dressé dans une maison place des Moulins. L’actif de la succession s’élève à 10 568 livres, le passif à 300 livres. Le prix de la maison est repris de l’inventaire dressé après la mort de son père

1770 (21.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 412) n° 1211
Inventarium über Weÿland der Wohl Edlen und Viel Tugendbegabten Frauen Evä Barbarä Böhmin gebohrner Bechtoldin, auch Weÿland des Wohl Edlen und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Böhm des geweßenen handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1770. – nach deme dieselbe Freÿtags den 18. Maji dieses lauffenden 1770. Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenem tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Hoch Edlen und hoch tugendbegabten Frauen Susannæ Salome Kratzin gebohrner Böhmin des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Herrn Johann Kratz Medicinæ hocherfahrenen Doctoris und berühmbten Practici auch vornehmen burgers allhier Frauen Eheliebstin der in Gott seelig entschlaffenen mit vorernantem Ihrem geweßenen Eheherrn seelig ehelich erziehlter Frau tochter und ab intestato nachgelaßener Universal Erbin (…) So beschehen in Straßburg angefangen Donnerstags den 21. Junÿ Anno 1770

In einer allhier Zu Straßburg auf dem Plönel beÿ denen Mühlen gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. ein Klein Häußlein im Grünen Bruch (…)
It. ein Klein häußlein sambt deßen hoffestatt und allen übrigen in dem grünen Bruech (…)
It. ein Klein häußlein ane der Vorstatt Steinstraß auf dem alten dreÿ Zehen graben (…)
It. eine behaußung und hoffstatt samt einem höfflein mit allen darzu gehörigen gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in der Schildtsgaß, unten am Schöpffbronnen, einseit neben hernach beschriebener zur helffte hiehero gehöriger behaußung, anderseit neben Mathiß Dachs, dem Leinenweber, hinden auf Littig den Courtier stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und beÿ mehrbesagter Vätterlichen abtheilung angeschlagen für 115. lb. Hierüber ist vorhanden ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget, de dato 19. Julÿ Anno 1677. mit alten N° 45 et 14. bezeichnet. Dabeÿ noch ein alter pergamentener und ein papÿrener Kauffbrieff auß hießiger Contract Stub gefertiget de datis 15. Martÿ et 21. 8.bris 1664.
It. der halbe theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung
ane dem Roßmarckt in der Schildtsgaß (…)
It. der halbe theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane Fischerstaden (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 128, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 102, Sa. Goldener Ring, Ketten und dergleichen Geschmeids 68, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 9544, Sa. Eigenthums ane häußern 435, Sa. Gülth von liegenden güthern 237, Sa. Capital Zinnß 52, Summa summarum 10.568 lb – Schulden 300, detrahendo, Conclusio finalis Inventarÿ 10.268 lb – Stall Summ 8208 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 66, Ungewiß und Zweiffelhaffte verfallenen Capital Zinnß 12 lb

Susanne Salomé Bœhm épouse en 1763 le docteur en médecine Jean Kratz

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 425, n° 1524)
Im Jahr 1763 (…) auf obigkeitliche Erlaubnus in der Jungfer Hochzeiterin hauß ehelich eingesegnet und copulirt worden Herr Johann Kratz Medicinæ Doctor Practicus und burger allhier, weÿland H. Sebastian Kratzen geweßenen Chirurgi und eines Ehrsamen großen Raths allhier geweßenen alten beÿsitzers nachgelaßener Ehelicher Sohn, und Jungfrau Susanna Salome Böhmin weÿland H. Johann Daniel Böhm geweßenen Kaufmanns und burgers allhier nachgelassene eheliche Tochter, welches bezeugen Johannes Kratz Dr. als Hochzeiter, Susanna Salome Böhmin als Hochzeiteren, Georg Gottfried Ehrlen Diaconus als Schwager des brautigams, Johann Michael Boehm Med. D. als oncle der Junger braut (i 430)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Barbe. Les apports du mari s’élèvent à 1 378 livres, ceux de la femme à 2 810 livres, dont la maison rue de Schiltigheim.

1764 (27.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 404) n° 1019
Inventarium über des Hoch Edelvest und Hochgelehrten Herrn Johann Kratz, Medicinæ hocherfahrenen Doctori und berühmten Practici, und der hoch Edlen und tugendbegabten Frauen Susannä Salome Kratzin, gebohrner Böhmin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1764. – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Ehepersohnen mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Wohl Edlen und Viel tugendbegabten Frauen Evä Barbaræ Böhmin gebohrner Bechtoldin, Weÿland des Wol Edlen und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Böhm gewesenen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib, der Frau Doctoris werthgeehrter Frau Muter, auf Freÿtag den 27. Januarÿ anno 1764.

In einer allhier zu Straßburg ane der Barbara gaß gelegenen in diße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer Behaußung (H.) Neml. ein dittertheil für Ohnvertheilt von und ane einer behausung, hoffestatt und höflein, mit allen übrigen dero gebeüen, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Kleinen Schildsgaß am Roßmarck einseit neben Michael Maurer dem Grempen, anderseit neben Frauen Nagelin, hinden auf einer behaußung dem mehren hospital gehörig stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig eigen und ohne anschlag gelaßen
Wÿdem Verfangenschaft Welchen Frau Eva Barbara Böhmen gebohrne Bechtoldin Weÿl. H. Johan Daniel Böhm geweßenen handelsmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Fr. Wittib der Fr. Doctoris werthgeliebte frau Muter Lebtägig Zu genießen hat
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Jacobe gebohrne Herrmännin, Weÿland H. Frantz Balthasar von Lindern, gewesenen ältesten Medicinæ Doctoris und berühmten Practici, auch vornehme burgers allhier seel. hinterlaßene Fr. Wittib, der Fr. Doctorin Fr. Großmutter von Weÿl. H. Michael Friderich Böhm, gewesenem wohlverordnetem Pfarrer und treueiffrigen Seelsorger in der Evangelischen Neuen oder Prediger Kirch und burger allhier, Ihrem Erstern Eheherrn seel. lebtägig zu genießen hat, Inhalt einer durch Hn Not. Joh: Richard Häring unterm 19. sept. Anno 1755 gefertigten berechnung
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe Zugebracht Vermögen, Sa. haußraths 104, Sa. Bibliothec nihil, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 33, Sa. Goldener Ring 395, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 633, Sa. Antheils ane einer behaußung nihil, Sa. Gülth von liegenden güthern nihil, Summa summarum 1166 lb, Darzu komt die Ihme gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 212 lb, Des Eheherrn völliges in die Ehe gebrachte Nahrung 1378 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 586, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 144, Sa. Goldener Ring 537, Sa. der baarschafft 79, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1250, Summa summarum 2598 lb – Hierzu gerechnet der deroselben zuständige halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 212, der Ehefr. gesamte in die Ehe gebracht. Guth 2810 lb

Jean Kratz est élu échevin à la tribu des Fribourgeois
1770 Conseillers et XXI (1 R 253)
H. Dr. Johannes Kratz wird schöff beÿ E. E. Zunfft der freÿburger und schwört. 325.

Jean Kratz meurt en 1780 en délaissant six enfants. La maison rue de Schiltigheim est estimée au prix de 115 livres porté à l’inventaire de la mère de la veuve. L’actif de la succession s’élève à 29 333 livres, le passif à 428 livres

1780 (8.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 424) n° 1429
Inventarium über Weÿland des Hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten auch hochweißen Herrn Johann Kratz, geweßenen hocherfahrenen Doctoris Medicinæ und Practici und berühmten Practici auch E. E. großen Raths allhier zu Straßburg alten hochansehnlichen beÿsitzers nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1780. – nach deme derselbe Sontags den 23. Aprilis dießes Lauffenden 1780. Jahrs durch einen seeligen tod aus dießer Zeitlichkeit in die frohe Ewigkeit versetzet worden, nach solch seinem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der hoch Edlen und hoch tugendbegabten Frauen Susanna Salome Kratzin gebohrner Boehmin der hinterbliebenen Frau Wittib, mit assistentz des hoch Edelgeb. und hochweißen herrn Jeremiæ Eberhard Silberrad E: E: großen raths allhier alen hochansehnlichen beÿsitzers, Ihres hierzu erbettenen herrn Beÿtsandts, wie auch des *Wohl Edllen und Großachtbahren herrn Johann Jacob Treutel, des handelsmanns und Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Susannæ Salome, Jungfrauen Catharinæ Margarethä, Jungfrauen Fridericä Helenä, Johannis quartæ Classis Discipuli, Friderich Carls und Carolinæ der Kratzen, des in Gott seeligen entschlaffenen Herrn Doctoris mit hoch Edelernanter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter 6 Kinder und ab intestato Zu Sechs gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßener Rechtsmäßiger Erben (…)
So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 7. und Donnerstag den 8. Junÿ Anno 1780.

Bericht und Respectivé Vergleich wegen dieser Verlaßenschafft (…)
In einer allhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunten eingetragenen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane häüßern. (E.) Erstl. eine Behaußung ane der großen Stadelgaß (…)
(E.) It. ein Klein häußlein sambt deßen hoffestatt in dem grünen Bruech (…)
It. ein Klein häußlein ane der Vorstatt Steinstraß auf dem alten dreÿ Zehen graben (…)
It. ein Klein häußlein ane der Vorstatt Steinstraß auf dem alten dreÿ Zehen graben (…)
It. eine behaußung und hoffstatt samt einem höfflein mit allen darzu gehörigen gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in der Schildtsgaß, unten am Schöpffbronnen, einseit neben hernach beschriebener auch hiehero gehöriger behaußung, anderseit neben Mathiß Dachs, dem Leinenweber, hinden auf Littig den Courtier stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und in oben allegirtem der Frau Wittib Mütterlichem Verlaßenschafft Inventario angeschlagen pro 115. lb. Hierüber ist vorhanden ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget, de dato 19. Julÿ Anno 1677. mit alten N° 45 et 14. bezeichnet. Dabeÿ noch ein alter pergamentener und ein papÿrener Kauffbrieff auß hießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget de dati 15. Martÿ et 21. 8.bris 1664.
It. eine behaußung ane dem Roßmarckt in der Schildtsgaß (…)
It. ein drittertheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane dem Roßmarckt in der Schildtsgaß (…)
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
Hierauff Folgt nun die beschreibung der Verlaßenschafft in gefolg Vorher eingetragenen Vergleichs unter einer Massa ane und Vor sich selbsten. Sa. haußraths 469, Sa. Bibliothec 25, Sa. Weins und Lährer Faß 45, Sa. Silbers 186, Sa. Goldeer Ring 594, Sa. der baarschafft 75, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 24.075, Sa. Eigenthumbs ane häußern 3270, Sa. Gülth von liegenden güthern 262, Sa. Geld und Cappen Zinnßes 50, Sa. Capital Zinß 278, Summa summarum 29.333 lb – Schulden 428 lb, Detrahendo 28.904 lb
Stall Summa 23.316 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 1322

Susanne Salomé Kratz née Bœhm vend la maison 500 livres au compagnon maçon Jean Michel Sturm et à sa femme Marguerite Krieger

1786 (6.11.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 407-v
Fr. Susanna Salome Kratzin geb. Böhmin beÿständlich H. Lt. Johann Rudolph Dinckel löbl. Cantzleÿ Contract stub substituti ordinarii
in gegensein Johann Michael Sturm des maurer gesellen und schirmers und Margarethæ geb. Kriegerin unter assistentz Johann Krieger des tagners zu Bußweiler ihres leiblichen vatters und Ignatz Rothdecker des bedienten ihres schwagers
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auff dem Roßmarckt ane der kleinen Schildsgaß, einseit neben Mr Rauber dem weber, anders. und hinten (-) – um 1000 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant en dispensant de faire dresser un état des lieux.

1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
Sturm. Joh: Michael Sturm, Schirmer und Maurergesell erhält Erlaubnis ein haus zu Kaufen.
(p. 194) Montag den 6. November 1786. – Claus nôe Johann Michael Sturm des Hiesigen Schirmers und Gesellen dieser ist gesonnen von Frau Susanna Salome geb. Böhmin weil. Hn. Exsenatoris Dr Johannes Kratz Wittib eine behausung so in der Kleinen Schiltzgaß am Roßmarckt stehet umb 1000 fl. an sich Zu bringen, worauf r[] worden, b. demnach also kaufen Zu dörfen, übrigens Dispens vom Augenschein. Ostrerrieth Namens der Frau Verkäuferin bitt also erkaufen zu dörfen und Dispens vom Augenschein.
Nachdem hierauf angeregt worden, daß das Objectum geringfügig und man sehr wohl von augenschein abstrahiren Könne, wurde auf die Ansprache des auf der Obern Banck vorsitzenden Hn Stettmeister von Dietrich Erkannt, Wird implorirendem Johann Michael Sturm erlaubt von weil. Hn Exsenatoris und Doctoris Kratzen Frau Wittib eine in der kleinen Schiltzgaß auf dem Roßmarch gelegene Behausung um die Summa von 1000 gulden an sich kaufen Zu dörfen, mit dispens vom augenschein, unter der Bedingung jedoch, daß der Kauff und Verkauf in Löbl. S. S. Stube vor dem Hh. Deputirten verschrieben werde, damit von denselben in besehung des von solchem Immobile abzurichtenden Real schirmgelds und anderer Abgaben die für Gemeiner Stadt Intereße nöthige Vorfrage durch auszustellende reversales hinlänglich genommen werde.
Depp. H. Rathh: Schott, H. Rathh: Hechler.

Originaire de Tiefenbronn dans le diocèse de Spire, Jean Michel Sturm épouse en 1774 Cécile Marie Dreyer native d’Erstein
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 143)
Hodie 18 Octobris anni 1774 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie ecclesiæ Conjuncti Sunt Joannes Michael Sturm oriundus ex tieffenbrunn diœcesis Spirensis Cæmentarius et lapicida defuncti Gervasii Sturm Civis ibidem et Magdalenæ Honig conjugum dum illa viveret, filius majorennis a tribus annis parochianus noster et Cæcilia Maria Dreyer oriunda ex Ehrstein hujus diœcesis filia majorennis defunctorum Johannis Dreÿer civis et operarÿ ibidem et Evæ Peterin conjugum a tribus annis parochiana nostra (signé) signum sponsi M, signum sponsæ x (i 78)

Jean Michel Sturm et Marie Cécile Dreyer qui habitent à Strasbourg depuis six et sept ans respectivement sont admis à la manance le 3 juillet 1775.
1775, Conseillers et XXI (1 R 258)
Joh: Michael Sturm der Maurer und steinhauer gesell von Tieffenbronn et uxor werden in den schirm recipirt. 179.
(p. 177 sqq.) Montag den 3.ten Julii 1775. Lect. Vier Von seithen löbl. Schimgerichts Zu dißeitigem protocoll geliegerte Memorialia, vermög deren folgede umb gnädige auf den Schirm anflehen.
4° Joh: Michael Sturm der Maurer und steinhauer gesell von Tieffenbronn speÿrer bistumbs et uxor Maria Cæcilia weil. Joh: Dreÿer geweßten burgers Zu Erstein nachgelaßene eheliche tochter, maritus dient über 6 Jahr uxor aber 7 Jahr alhier, prod. erforderliche scheine, besitzen ane baarschafft 560. lb und will Friderich Streibich der burger und weißbeck die verlangte caution leisten.
Nachdeme nun die angegebene bürgen die verlangte bürgschafft versprochen hatten
H. general advocat Holdt auch die gebettene reception samtlicher Imploranten die theils Von hier, theils geraumer Zeith alhier gearbeitet als wohl Zuläßig vorgetragen. Wurde vermittelst gehalteter Umbfrag unanimiter Erkandt, werden samtliche Imploranten unter denen von ihnen angegebenen und genehmigten bürgen als habiles in alhießigen schirm ad recipiendum an die hohansehnliche hh. assessores löbl. Schirm Gerichts gewießen.
Deppi. H. Rath. Schentzlin H. Rathh. Barth.

Jean Michel Sturm est autorisé à héberger des compagnons de passage à condition de ne servir ni vin ni bière
1776, Protocole des Quinze (2 R 187)
(Johann Michael Sturm des Schirmers und Maurer gesellen pt° Kostgänger)
(p. 316) Sambstags den 6.ten Julii 1776.
Idem [Wilhelm] nôe Johann Michael Sturm des Schirmers und Maurer gesellen, dieser bitt unterthänig ihme Zu erlauben acht handwercks gesellen, als Maurer, Steinhauer und Bildhauers gesellen die trockene kost Reichen Zu dörffen.
Erkandt, mit dem Beding willfahrt, daß er denenselben weder wein noch bier außschencke und daß dieselbe würcklich unter hiesigen Meistern stehen.

Cécile Dreher meurt en novembre 1779 en délaissant deux enfants. L’actif de 30 livres est inférieur au passif
1779 (9.12.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1470) n° 613
Vor mir dem unterschriebenen E. E. Kleinen Raths alhie Zu Straßburg Actuario an Zu End gesetztem tag persönlich erschienen Johann Michael Sturm, der Maurer: Gesell und Schirmer alhier, dieser Zeigte in Gegenwart Frantz Antoni Collin, des fripier und burgers dahiern als geordnet und geschworenen Vogts hernach erwehnter 2. Beneficial: Erben an, daß sein des Comparenten im Leben gewesene Ehefrau Cæcilia Sturmin gebohrne Dreherin, den 21.sten Novembris Jüngst das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und 1° Anna Maria so 4 ½ Jahr alt, sodann 2.do Johann Christian so ½ Jahr am Leben, bede ihr der Verstorbenen mit dem comparirenden Wittiber ehelich erzeugte Kindern Zu ihren einigen Beneficial: Erben ab intestato ane Vermögen aber weiter nichts hinterlaßen habe (…) dem wahren Werth nach nich belaufen auf 21 lb
Schulden 30 lb, Compensando erhellet, daß die vorhandene Activ Massa Zu bezahlung der Passiv Schulden nicht hinreichen seÿn um 8 lb
Straßburg den 9. Decembris Anno 1779.
Passiv: schuldten. Erstlich solle Man dem herrn senbach dem schwartzbeckhen Vor hauß Zinß Vor ein halb Jahr 15 fl.

Nouvel inventaire dressé après la mort d’un des enfants.
1782 (27.2.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1475) n° 788
Vor mir dem unterschriebenen E. E. Kleinen Raths alhier Zu Straßburg Actuario ist an Zu End gesetztem tag persönlich erschienen Johann Michael Sturm, der Maurer: Gesell und Schirmer alhier, Anzeigend wie daß weiland Cæcilia Sturmin gebohrne Dreherin, deßen im Laben geweßte Ehefrau bereits den 21.sten Novembris 1779 das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und zu ihren einigen Erben ab intestato 1° Anna Maria so 6 ½ Jahr erlebet habe und 2.do Johann Christian so nur circa ein Jahr alt worden und seithero mit tod abgegangen wäre, ane Vermögen aber weiter nichts hinterlaßen habe (…) 126. lb
davon abzuziehen 10, Nach deren Abzug 115 lb

Jean Michel Sturm se remarie en 1780 avec Marguerite Krieger originaire de Buswiller paroisse d’Ettendorf
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. 307) Hodie 29 martii anni 1780 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Michael Sturm viduus defunctæ Cæciliæ Dreher parochianus noster, et Margaritha Krieger, oriunda ex Bueswiller filia legitima et Majorennis Joannis Krieger civis et agricola dicti loci et ottiliæ Lutzin conjugum a duodecim annis in hac urbe, a quatuor vero ultimis annis in parochiâ nostrâ commorans (signé) signum sponsi x, Margaretha Kriegerin (i 160)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent à la manance Marguerite Krieger dont la fortune s’élève à 250 florins. Ils pardonnent que le mariage ait eu lieu sans leur autorisation.
1780, Conseillers et XXI (1 R 263)
Margretha Kriegerin von Ettendorf beÿ Buchsweiler Joh: Michael Sturmen des schirmers sohn wird in den schirm recipirt. 193.
(p. 192 sqq) Sambstag den 13. Maÿ 1780. – Lect. folgende ad protocollum überschickte Memorialia wordurch nachstehende umb gnädiger aufnahm in den schirm anflehen.
5° Margretha Kriegerin von Ettendorf beÿ Buchsweiler Joh: Michael Sturmen des Maurergesellen und hiesigen schirmers sohns Ehefr. besitzt 250. fl. Vermögen, bittet umb condonation fehler so ihr Mann unwißend der Ordnung von ihrer aufnahmn, producirt erforderliche scheine.
Nach angehörterm voto H. General Advocat Mogg, welcher auf die gebettene annahm samtlicher Imploranten als mit erforderlichen requisitis versehen angetragen
Wurde vermittels gehaltener Umbfrag samtliche Imploranten, nachdeme deir vorgestandene und genehmigte bürgen die bürgschaft in pleno zugesagt als habiles ad recipiendum in Ein löbl. schirmgericht gewießen.
Depp. H. Rathh: Sarés, H. Rathh: Debiés.

Michel Sturm se marie en troisièmes noces avec Marguerite Wicker veuve du batelier Côme Wicker
1795 (13 brumaire 4), Strasbourg 6 (13), Not. Laquiante n° 1
Contrat de mariage (2. 9.br 1795) der burger Michael Sturm der Maurer allhiesiger Gemeind Wittwer Erster Ehe der bürgerin Ceciliä Dreherin und zweÿter Ehe Margaretha Kriegerin
die bürgerin Margaretha Wickerin weÿl. Kosmann Wicker des Schifmanns von Ernolsheim mit Barbara Schwab ehelich erzeugte tochter
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 169 du 13 bru, 4 (revenu industriel 300 livres)

Michel Sturm et son fils mineur vendent la maison aux enchères. L’acquéreur est Georges Ostermann, chasseur à Karlsruhe, pour 1 800 francs

1805 (5 nivose 14), Strasbourg 10 (46), Not. Zimmer néé 1863, 2568 ; 2578, adjudication
Michel Sturm, maçon, tant en son nom et que comme tuteur naturel de son fils mineur Frédéric Ignace Sturm issu de feu Marie Marguerite Krieger sa femme en secondes noces – en présence de Jean Zimmermannn cabaretier subrogé tuteur dudit mineur
que le père et le fils Sturm sont propriétaires, savoir le père pour deux tiers et le fils pour l’autre tiers par indivis d’une maison et dépendances sise a Strasbourg rue dite Schiltigheimergass N° 12, d’un côté celle du Sr Raubert tisserand, d’autre celle du Sr Werckmüller derrière les héritiers Stamm
le 21 frimaire – Cahier des charges, (à charge de payer) somme de 200 fr. due a Anne Marie Sturm, fille majeure dudit Sturm père issue de feue Cecile Dreher par acte par devant Beguin, greffier du Petit Sénat le 27 février 1782 – mise à prix 1975 fr
n° 2573 du 26 frimaire /est aussi intervenue Marguerite Wicker femme actuelle dudit Sturm père, suivant contrat de mariage reçu Laquiante le 13 brumaire 4
à Georges Ostermann Chasseur chés Mad. la Veuve de Venningen a Carlsrouhe au nom duquel Jean Burg serrurier
la maison avec cour, tous droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue dite Schiltigheimergass n° 12, d’un côté celle du Sr Robert tisserand, d’autre celle du Sr Wertheimer farinier, derrière les héritiers Stamm – acquis par acte passé devant le notaire soussigné le 8 juillet 1811 par Georges Ostermann, chasseur autrefois à Carlsrouhe aujourd’hui à Andlau, qui en était propriétaire suivant contrat de vente reçu Me Zimmer le 5 nivose 14 transcrit au bureau des hypothèques volume 26 n° 153 dans lequel il est dit que le vendeur Michel Sturm a acquis cette maison conjointement avec Marie Marguerite Krieger à la ci devant Chambre des Contrats le 6 novembre 1786 – moyennant 1800 francs
enreg. manquant F° 24 du 24.1.

Georges Ostermann revend la maison 3 000 francs au serrurier Jean Burg et à sa femme Marie Catherine Sternlein

1811 (9.7.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 244
Georges Ostermann chasseur de Mde la veuve Venningen à Carlsrouhe
à Jean Burg serrurier et Marie Catherine Sternlein
une maison avec cour, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue dite Schiltigheimer gass n° 12, d’un côté celle de Robert tisserand d’autre celle de Werckmüller derrière les héritiers Stamm – vendu par Jean Michel Sturm maçon et Jean Zimmermann cabaretier en qualité de subrogé tuteur de Frédéric Ignace Sturm par acte reçu Zimmer le 5 nivose 4 transcrit au bureau des hypothèques vol. 26 volume 153 – Michel Sturm l’a acquis avec Marie Marguerite Krieger par acte passé à la Chambre des Contrats le 6 janvier 1786 – Prix 3000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 120 du 9.7.

Originaire de Nordheim, Jean Burg épouse en 1797 Marie Catherine Sternlein, originaire de Romanswiller
Mariage, Strasbourg (n° 168)
Cejourd’hui 21° nivôse l’an V de la République français une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Burck âgé de 48 ans, serrurier domicilié en cette Commune depuis 19 ans, natif de Northeim canton de Wasselonne, département du Bas-rhin, fils de feu Jean Burck, laboureur audit lieu et de feüe Madeleine Adam, de l’autre part Marie Catherine Sternlein, âgée de 38 ans, native de Romansweiler, canton de Wasselonne, département susdit, fille de feu Jean Sternlein, teinturier audit lieu et de feüe Catherine Hoffmann (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le premier août 1748 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 27 juin 1758 (signé) Johannes Burg, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 87)

Extrait du registre de population
600 MW 33, f° 94-E, rue de Schiltigheim n° 12 (i 128)
Burg, Jean, 56, serrurier, de Nordheim, (à Strasbourg depuis) 1793, (auparavant) Coin brûle 23, (entré) le 8 Vend. 14, dél. Rue du Fort n° 15
id. née Sternheim Marie Catherine, 45.
id. Marie Madeleine, 8, fille
id. Sophie, 3, fille

L’architecte municipal permet à Jean Burg de réparer une croisée
1812, AMS cote 283 MW 342
N° 262, Le soussigné Petitionnaire, de batir encore une croisée au sommet de sa maison située dans la petite rue dite Schilligheim au cul de sac N°12 sur led. Broglie, Jean Burg 5 juillet 1812
de faire réparer le pourtour d’une croisée de sa maison, Considérant que la maison dont s’agit n’a point d’avance suis d’avis quoiqu’elle ne soit pas alignée que l’on peut accorder la permission demandée, architecte Villot le 27 juillet 1812 – Ratifié par le Maire le 29 juillet, par le Préfet le 3 août

Jean Burg et Marie Catherine Sternlein vendent le maison 1 800 francs au menuisier Joseph Stahlberger

1815 (21.1.), Strasbourg 8 (10), Not. Roessel n° 2269
Jean Burg ci devant serrurier et Marie Catherine Sternlein
à Joseph Stahlberger menuisier
la maison avec cour, tous droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue dite Schiltigheimergass n° 12, d’un côté celle du Sr Robert tisserand, d’autre celle du Sr Wertheimer farinier, derrière les héritiers Stamm – acquis suivant acte passé devant le notaire soussigné le 8 juillet 1811 par Georges Ostermann chasseur autrefois à Carlsrouhe aujourd’hui à Andlau qui en était propriétaire suivant acte reçu Me Zimmer le 5 nivose 14 transcrit au bureau des hypothèques volume 26 n° 153 dans lequel il est dit que le vendeur Michel Sturm a acquis cette maison conjointement avec Marie Marguerite Krieger à la cidevant Chambre des Contrats le 6 novembre 1786 – moyennant 1800 francs
enreg. manquant F° 24 du 24.1.

Originaire de Rotenfels près de Gaggenau en Bade, Joseph Stahlberger se marie en 1808 avec Marie Françoise Benedickt, native d’Andlau, qui avait épousé en premières noces en 1806 le menuisier Antoine Rapp originaire de Waldulm en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 271)

L’an 1808 le 22° jour du mois d’août sont comparus Joseph Stahlberger, âgé de 32 ans, garçon menuisier, domicilié en cette ville depuis 12 ans, né à Rothenfels, Grand-Duché de Bade, le 21 mars 1776, majeur, fils de feu Antoine Stahlberger, menuisier, et de feu Madeleine Trick, décédés à Rothenfels le premier le 11 décembre 1785 et la seconde le 28 février 1797 (…) et Marie Françoise Benedickt, âgée de 32 ans, domiciliée en cette ville depuis 9 ans, née à Andlau, Département du Bas-rhin le 23 octobre 1775, majeure, fille de Joseph Antoine Benedickt cultivateur audit lieu et de Françoise Masson, veuve d’André Rapp, menuisier décédé en cette ville le 19 octobre dernier (signé) Joseph Stahlberger, Franziska benedig (i 33)

Mariage, Strasbourg (n° 376)
L’an 1806 le 25° jour du mois de septembre sont comparus Antoine Rapp, âge de 26 ans, menuisier, domicilié en cette ville depuis deux ans, né à Waldulm, grand-Duché de Bade, le 11 mars 1780, majeur, fils de feu Mathias Rapp, tisserand à Cappel, Grand Duché de Bade le 11 mars 1792 et de Marie Madeleine Lehmann consentant (…) et Marie Françoise Benedickt, âgée de 30 ans, domiciliée en cette ville depuis 7 ans, née à Andlau, Département du Bas-rhin le 23 octobre 1775, majeure, fille de Joseph Antoine Benedickt cultivateur audit lieu et de Françoise Masson, ci présent et consentant (signé) Andon Rapp, maria franziska benedig (i 191)

Décès, Strasbourg (n° 1817)
L’an 1807 le 20° jour du mois d’octobre (…) qu’Antoine Rapp agé de 27 ans, Menuisier, natif de Waldulm grand duché de Bade, fils légitime de feu Mathias Rapp, tisserand, et de Marie Madeleine Lehmann, Epoux de Marie Françoise Benedickt est décédé hier 19 octobre à sux heures du soir en la maison située Ruë de Schilique N° 8 [in margine :] Flux de poitrine (i 11)

Extrait du registre de population
600 MW 33, f° 94-E, rue de Schiltigheim n° 12 (i 128)
Stahlberger, Joseph, 36, menuisier, de Rothenfeld, (à Strasbourg depuis) 13 Ther IV, (auparavant) rue des Ramoneurs 34, (entré 8 juillet 1813)
id. née Benedick, Françoise, 36, d’Andlau, (à Strasbourg depuis) 1799
id. François Joseph, 29. Janv. 1809.
id. Louise 2 (décédée le 23 7.bre 1816)
(Stahlberger, François Joseph 2 fevr. 1815)

1855 (20.4.), Me Flach (minutes en déficit)
Notoriété constatant que Françoise Benedict épouse de Joseph Stahlberger menuisier à Strasbourg est décédée le 12 juillet 1838, laissant pour héritière Françoise Joséphine Stahlberger sa fille
acp 439 (3 Q 30 154) f° 32 du 23.4.

Seule héritière, Françoise Joséphine Stahlberger vend la maison 6 500 francs à l’ébéniste Bernard Riester et à sa femme Françoise Wolff

1867 (25.3.), Me Noetinger
Françoise Joséphine Stahlberger, rentière à Strasbourg
à Bernard Riester, ébéniste, et Françoise Wolff sa femme à Strasbourg
Une maison sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 6, moyennant 6500 francs
Origine, héritage de ses père et mère, le père décédé en 1863
acp 561 (3 Q 30 276) f° 92 du 25.3.

Originaire de Jungingen principauté de Hohenzollern-Hechingen, l’ouvrier menuisier Bernard Riester épouse en 1859 Marie Françoise Wolff, originaire de Hochfelden
Mariage, Strasbourg (n° 246)

Du 28° jour du mois de mai l’an 1859, Acte de mariage de Bernard Riester, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 janvier 1824 à Jungingen principauté de Hohenzollern-Hechingen domicilié à Strasbourg, ouvrier menuisier, fils de Chrétien Riester, menuisier, et de Eve Diebold sans état conjoints domiciliés à Jungingen, et de Marie Françoise Wolff, majeure d’ans, née hors la mariage le 11 juin 1830 à Hochfelden (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, domestique, fille de feu Marie Anne Wolff décédée épouse de Joseph Grimel à Bouxwiller (Bas Rhin) le 26 mars 1858 (signé) Riester, Wolf (i 32)

1859, Enregistrement de Strasbourg, ssp 129 (3 Q 31 628) f° 69 du 27.5.
le 16 janvier – Consentement par Christian Riester maître menuisier et Eve Diebold sa femme à Jungingen (Prusse) au mariage de leur fils Bernard Riester célibataire avec Françoise Wolff à Hochfelden indigents d’après certificat de la police de Strasbourg où ils demeurent du 21 avril 1859



9, rue du Chaudron


Rue du Chaudron n° 9 – V 166 (Blondel), N 1169 puis section 63 parcelle 36 (cadastre)

Façade vers 1780, maître d’ouvrage Jean Frédéric Ensfelder



Le n° 9 est la première maison à droite (octobre 2012)
Rez-de-chaussée et étages (juin 2019)

Située à côté du bâtiment d’angle zum Kessel qui a donné son nom à la rue du Chaudron, la maison appartient pendant plusieurs décennies au cordonnier François Meyss puis (1656) à son héritier le farinier Nicolas Gass. Le notaire Philippe Henri Theus y a son étude de 1667 à sa mort en 1697. Le boulanger d’origine franconienne Georges Ensfelder acquiert pour 775 livres en 1700 la maison qui restera une boulangerie jusqu’en 1989, exploitée par la famille Ensfelder jusqu’à la fin du XIX° siècle. Il doit y avoir fait des travaux puisqu’elle est estimée en 1735 à une valeur minimale de 900 livres ; la plaque conservée dans la cour (craquelin de boulanger, millésime 1732 et monogramme GE) en témoigne. On trouve en 1760 plusieurs poêles, deux cuisines, un four voûté et une cave voûtée. Son petit-fils Jean Frédéric Ensfelder installe en 1770 un fournil dans la cour d’après le compte rendu qui figure dans le registre des Préposés aux feux. Comme le même registre ne rapporte aucune autre construction, il faut supposer que la façade caractéristique des années 1780 (draperies en feston aux allèges des fenêtres) est un simple habillage d’un bâtiment ancien. Le rez-de-chaussée en pierre de taille à refends est comparable au 8, rue de l’Ecurie (1781). Le cordon entre le premier et le deuxième étages est sculpté d’une alternance d’oves et boudins. Celui entre les deuxième et troisième étage est dans l’alignement des chapiteaux des pilastres crépis qui encadrent la façade. La corniche est soutenue par des modillons en console.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cour E, îlot 185 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (f) : deux fenêtres, une porte et une troisième fenêtre au rez-de-chaussée ; trois étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour E représente l’arrière (6-1) du bâtiment sur rue, le bâtiment (1-2-3) à l’angle sud-ouest de la cour, le bâtiment (3-4) faisant suite, celui (4-5) au fond et (5-6) à l’est de la cour, ce dernier portant des galeries comme le bâtiment sur rue.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 9.


Portrait d’Emile Ensfelder assis dans la cour, plaque sculptée (1732 G. E., repris d’Archi-Wiki)
Plan lors de la construction d’une nouvelle cheminée (1921, dossier de la Police du Bâtiment)

Le maître boulanger Ensfelder fait abaisser en 1887 d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée à son four en 1921. Le boulanger Georges Winckelsass fait poser en 1922 une pétrisseuse électrique. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944.
La boulangerie d’abord exploitée par Emile Ensfelder puis Laurent Schœttel est reprise en 1922 par Georges Winckelsass. Le dernier boulanger est Emile Winckelsass qui meurt en 1989.

juillet 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

François Meiss, cordonnier, et (1601) Sabine Reinthaler, veuve du cordonnier Frédéric Kieffhaber, puis (1635) Marie Engelhard, veuve du tonnelier Gaspard Leher – luthériens
1656* h Nicolas Gass, farinier, et (1655) Anne Speyrer – luthériens
1664 v Jean Frédéric Reinthaler, peignier, et (1629) Susanne Schmierer, (1634) Marguerite Dürrwanger puis (1647) Cléophée Klein – luthériens
1667 v Philippe Henri Theus, notaire, et (1658) Anne Madeleine Geiger puis (1668) Odile Ganther – luthériens
1698 v Jean Adam Führer, tailleur, et (1689) Ursule Diemer, veuve du tailleur Michel Braun, puis (1697) Marie Salomé Gastelius – luthériens
1700 v Georges Ensfelder, fournier, et (1695) Marie Dorothée Hüffel puis (1704) Dorothée Pracht, veuve du tailleur Georges Frédéric Eberlin – luthériens
1735 h Georges (Georges Chrétien) Ensfelder, fournier, et (1726) Anne Marie Schweigheusser – luthériens
1764 h Jean Frédéric Ensfelder, boulanger, et (1763) Catherine Salomé Schall, veuve du batelier Jean Daniel von Zabern – luthériens
1807 h Jean Ensfelder, boulanger, et (1799) Catherine Salomé Zeys
1843 h Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger, et (1830) Chrétienne Madeleine Bochinger
1866 h (Théodore) Emile Ensfelder, boulanger, et (1866) Eugénie Sophie Bochinger
1895* v Laurent Schœttel

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres en 1735 et en 1760

(1765, Liste Blondel) V 166, George Chrétien Ensfelder
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mentzfelder, 4 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1169, Ensfelder, Jean Frédéric – maison, sol – 2,6 ares

Locations

Jean Daniel Graffenauer, orfèvre, et (1728) Marie Dorothée Ensfelder

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1770, Préposés aux feux
Le maître maçon André Stahl rapporte les travaux que le fournier Jean Frédéric Ensfelder l’a chargé de faire au rez-de-chaussée du bâtiment arrière : aménager un fournil voûté et une boulangerie dont la cheminée se trouve à l’angle du bâtiment latéral et du bâtiment arrière.

(p. 218) Freÿtags den 28.ten Septembris 1770. Johann Friderich Ensfelder der haußfeurer will in seiner im Keßelgäßel gelegenen becken behaußung hinden im hoff au rez de chaussée eine Bach Kuchen und Bachstube machen, die Bach Kuchen gewölbt, davon das rohr außerhalb im hof in dem Eck Vom nebens und hinden gebäu an einem liegenden riegelstein über das dach hinaus geführt worden, Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Stahl

Description de la maison

  • 1760 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, deux cuisines et plusieurs cabinets, en outre un fournil et un four voûté, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le puits commun, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue du Chaudron

nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Ensfelder
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 346 case 1

Ensfelder, Jean, propriétaire, rue du chaudron n° 5 à Strasbourg

N 1169, maison, sol, rue du chaudron 5
Contenance : 2,60
Revenu total : 217,35 (216 et 1,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 950 (1202) case 1

Ensfelder Jean, Propriétaire
1868, Ensfelder Théodore Emile, boulanger
1895/96 Schoettel Lorenz, Bäcker
(ancien folio 950)

N 1169, maison, sol, Rue du Chaudron 9
Contenance : 2,60
Revenu total : 217,35 (216 et 1,35)
Folio de provenance : (346)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre allemand, registre 32 p. 464 case 4

Parcelle, section 63, n° 36 – autrefois N 1169.p
Canton : Kesselgäschen Hs Nr 9
Désignation : Hf, Whs u. N.G. (e.n.a. T.)
Contenance : 1,82
Revenu : 1900 – 2500
Remarques :

(Propriétaire), compte 3390
Schoettel Lorenz
(3730)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 136 du Chaudron, p. 255

5
Pr. Ensfelder, Jean Frederic, Boulanger – Boulangers
lo. Duchein, Joseph, Marguillier chez les recollets
lo. Krug, Jacob, tailleur – tailleurs
lo. Düringer, Diebold, farinier – Lanterne
lo. Graffenauer, Dorothe Veuve – Miroir
lo. Pabst, Joseph, journalier

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kesselgässchen (Seite 77)

(Haus Nr.) 9
Schöttel, Bäckerm. E 01
Schmaltz, Korbmacher. 02
Schmitt, Pensionär. 2.
Meier, Schneiderm. 3.
Beck,Tagnerin. H 1
Beyer, Wwe. H 2
Beyer, Tagner. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 676 W 59)

Rue du Chaudron 9 (1866-1990)

Le propriétaire du 5, rue des Orfèvres est autorisé à titre provisoire en 1884 à raccorder sa propriété aux canalisations de la rue du Sanglier en passant par le 9, rue du Chaudron. Le maître boulanger Ensfelder fait abaisser en 1887 d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Suite à une visite des lieux après un feu de cheminée, Emile Ensfelder déclare que la poutre en bois est à distance réglementaire du four depuis les réparations remontant à 1553 ou 1554. Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée à son four en 1921. Le maître boulanger Georges Winckelsass fait poser en 1922 une pétrisseuse électrique. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944.
La boulangerie d’abord exploitée par Emile Ensfelder puis Laurent Schœttel est reprise en 1922 par Georges Winckelsass. Le dernier boulanger est Emile Winckelsass qui meurt en 1989.
Autre dossier coté 1539 W 997, nouvelle devanture (2001-2002)

Sommaire
  • 1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Bedicam fils soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs au nom du propriétaire Ensfelder.
  • 1884 (septembre) – A. Metzner demande l’autorisation de raccorder sa propriété sise le 5, rue des Orfèvres aux canalisations à l’intersection de la rue du Sanglier à travers celle qui appartient au maître boulanger Ensfelder. Le commissaire faisant fonction de maire expose les conditions dans lesquelles le raccordement provisoire est possible – Travaux terminés, novembre 1884. Le commissaire constate qu’A. Metzner n’a déposé aucune demande officielle – Demande – Autorisation – Dessin
    1884 (novembre) – Le maître boulanger Ensfelder a fait raccorder sans autorisation sa propriété aux canalisations. [voir ci-dessus]
  • 1887 – L’entrepreneur Th. Bischoff (2, rue des Lentilles) demande au nom du maître boulanger Ensfelder, propriétaire du 9, rue du Chaudron, l’autorisation d’abaisser d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Travaux terminés, les volets des soupiraux sont supprimés, août 1887.
    1887 (novembre) – Emile Ensfelder demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée, février 1888.
  • 1893 – Visite des lieux après qu’un incendie a eu lieu dans la boulangerie, Croquis – Le maire demande au boulanger Ensfelder de remplacer une poutre en bois par une nouvelle en fer. Récépissé de remise à Schœttel. Emile Ensfelder objecte que la poutre en bois est à distance réglementaire du four depuis les réparations remontant à 1553 ou 1554 et que sa compagnie d’assurance refuse de prendre en charge les frais supplémentaires. Le dossier est classé
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire Schœttel de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896
  • 1897 – Le tailleur Stœckel demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation. L’enseigne a été posée à 2,70 mètres du sol. La Police du Bâtiment demande qu’elle soit rehaussée à la hauteur réglementaire de 3 mètres. Elle est déplacée mais fait une saillie de 40 centimètres au lieu de 25. – L’enseigne est réglementaire, février 1898.
  • 1901 – Le maire notifie le propriétaire Laurent Schœttel, maître boulanger, de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande un délai jusqu’à ce que la ville ait fait poser les canalisations dans la rue – Comme les canalisations ne sont pas encore posées, il demande l’année suivante un nouveau délai qui lui est accordé en égard que la façade est en pierre. Nouveaux délais, 1903, 1904
    1906 (août) – L’entrepreneur Hegenhauser (34, rue Oberlin) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Ravalement terminé, septembre 1906
  • 1906 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police qui demande un rapport sur la boulangerie. L’atelier dans le bâtiment arrière a 2,50 mètres de haut. La cour ne fait cependant que 3,50 au lieu des 5,00 réglementaires. Le préfet autorise en avril 1907 Laurent Schœttel de continuer à exploiter la boulangerie.
  • 1921 – Glasser, propriétaire d’une maison rue des Orfèvres, signale qu’un feu de cheminée s’est déclaré dans la boulangerie Schœttel. – Rapport des pompiers – Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée, autorisation. La nouvelle cheminée est terminée, l’ancienne subsiste, juin 1921. Le ramoneur Wandres délivre un certificat – Dessin
  • 1922 (juillet) – Le préfet autorise Georges Winckelsass à continuer d’exploiter le boulangerie
    Le maître boulanger Georges Winckelsass demande l’autorisation de poser une pétrisseuse électrique. L’inspecteur du travail ne formule pas d’objection – Autorisation. La machine est installée, octobre – Dessin
  • Commission contre les logements insalubres. 1903. Propriétaire, Schœttel, demeurant sur place. La chambre des apprentis est bien tenue.
    1904, plâtre du plafond à refaire
    1902, le locataire Hummel doit quitter son logement. Il en loue un autre en face
    1906, repeindre la cage d’escalier, refaire le plâtre au plafond de la cuisine
    1915, Commission des logements militaires, remarques en 9 points. Mme Schœttel demande d’établir une priorité aux réparations comme son mari qui s’est cassé le bras et la jambe est à l’hôpital.
  • 1935 – La société Dentzler et Gamling demande au nom du boulanger Georges Winckelsass l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne par une enseigne lumineuse – Autorisation.
  • 1937 – Le commerçant Gorena (fleurs en gros) demande l’autorisation de poser une ligne de téléphone entre le n° 9 et son magasin au n° 4 – Accord
  • 1941 – L’entrepreneur Lutz et Schulberg (1, Grande rue de la Course) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer le four de boulanger
  • 1945 – Certificat de sinistré accordé à Georges Winckelsass pour son bâtiment endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944
  • 1951 – Le boulanger Winckelsass demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en reprenant le cadre de celle d‘avant guerre – Croquis
  • 1967 – Rapport des pompiers, accumulation de fumée. Propriétaires, Emile Winckelsass, demeurant sur place, et Liliane Brencklé née Winckelsass à Schiltigheim – Le conduit de fumée est réparé, mai 1968
  • 1968 – Le maire demande au propriétaire de faire ravaler la façade – Le ravalement est terminé, octobre 1968
  • 1977 – Emile Winckelsass demande l’autorisation de poser une enseigne en fer forgé éclairée par deux lampes pour remplacer une enseigne lumineuse – Maquette, élévation – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre 1977
    Emile Winckelsass meurt par accident le 3 avril 1989. Le magasin est ensuite fermé (note sur un bordereau de taxe pour l’enseigne)

Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1610 au cordonnier François Meiss. Originaire de « Hohstett » en Westrich, il épouse en 1601 Sabine Reinthaler, veuve du cordonnier Frédéric Kieffhaber, et devient bourgeois quelques mois plus tard

Mariage, cathédrale (luth. p. 83)
1601. Dominica Septuagesima den 8. Februarii Frantz Meiss der schumacher von Hehstett in Westrich vnd Sabina Friderich Kieffaber deß schuemachers nachgelaßene witwe (i 44)

1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 795
Frantz Meÿß der schumach. von Hochstett Inn dem Westerrich Pürtig empfahet daß burg: Von sabina Reintalerin friderich Küeffhabers deß gewesenen schumachers seligen witwe, will Zun schumachen dienen hatt kein Nahrung angeben. Actum 5. May 1601.

Originaire de Velden près de Nuremberg, Frédéric Kieffhaber épouse en 1599 Sabine, fille du cordonnier Jean Reinthaler, et devient bourgeois quelques jours plus tard.
Mariage, cathédrale (luth. p. 56)
1599. Dominica den 13. Maÿ. Friderich Kieffaber der schuemacher von valn* beÿ Nurnberg, sabina Hans Reinthaler des schumachers dochter (i 31)

1599, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 768
Friderich Küeffhaber, v. Veld. Inn d. Nürenbergschafft, d. Schumach. empfahet d. Burg: Von Sabina, Hannß Rheinthalers deß Streellmachers tochter, gibt sein nahrung vff 100. fl. an, Und will Zu den Schumachern dienen. Act. vts. [den 29. Maÿ 99.]

François Meiss se remarie en 1635 avec Marie Engelhard, veuve du tonnelier Gaspard Leher. Originaire de Grünstatt en Palatinat, il épouse en 1600 Marie, fille du tonnelier Laurent Engelhard, et devient bourgeois quelques jours plus tard

Mariage, cathédrale (luth. p. 361)
1635. Doîca Trin: 24. Maÿ. Frantz Meÿß der schuemacher vnd Maria Caspar Lähern des Küffers n. wittwe. eingesegnet montag j. Junÿ (i 185)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 140-v n° 42)
1600. Caspar Leer von grienstatt ein Kiffer, Maria Lorentz Engelharts d. schumachers Tochter. Zinst. d. 14. Julÿ eingesegnet (i 74)

1600, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 783
Caspar Löhr, von Grünstatt der Küffer empfangt d. Burg. vonn Maria Lorentz Engelhardts des Schumachers dochter, seiner Haußfr. vnd will Zu den Küeffern diehnen gibr sein nahrung vff 40 fl. an Act. den 21. Julÿ 1600.

François Meiss délègue l’acquéreur de régler les sommes qu’il doit à Barbe Reinthaler demeurant en Silésie du chef de sa première femme Sabine Reinthaler

1630 (21. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 589
(Protocollat. fol. 77.) Erschienen Frantz Meiß der Schuhmacher, burg. zu St. (…)
(…) Act. 7. Martÿ 1635. N.B. Rest noch fünffthalben hundert guld. welche er Käuffer zugegen mit bewilligung des Verkäuffers, so auch gegenwärtig H Friderich Reinthaler vnd seiner Schwester Barbara so zum Zilz in der Schlesien seßhaft fünffhalben hundert fl. von sein Käuffers Fr. seeligen Sabina Reinthalerin ererbt Zuerlegen schuldig

Les trois frères de Sabine Reinthaler donnent quittance à Nicolas Gass des sommes dont François Meis avait la jouissance viagère du chef de sa femme Sabine Reinthaler

1658 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 149-v
Erschienen H. Hannß Fridrich Rheinthaler der Streelmacher, H. Andreas Gebhard Rheinthaler der Schuhmacher, Hannß Paulus Rheinthaler der Strählmacher Gebrüder Vnd Susanna Rheinthalerin, ihr Schwester mit beÿstand Hannß Stiglers deß Weißbeckhen, ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Niclaus Gaßen deß Meelmanns als weÿl. Frantz Maÿßen deß Schuhmachers seel. testamentlichen Erbens, mit beÿstand Abraham Öhlingers deß buchbinders
bekannt, daß Sie die Rheinthalerische Vier Geschwisterde, Von Ihme Gaßen, diejenige 22. lb 3. ß 3 d ahne 44. lb. 6 ß 6 d welche 22 lb 2 ß 3 d Weÿl. H Friderich Rheinthaler geweßenen großen Rhats Verwanther, ihr der Rheinthalerischen Vatter seel. von weÿl. Sabina Rheinthalerin seiner Schwester gedachts Frantz Maÿsen ersten Eheweib seel. geerbt, Und Gemelter Frantz Maÿs die tags seines lebens Wÿdems weiß Zu genüßen gehabt, albereit in Februario A° 1657. (…) empfangen haben

Les héritiers Reinthaler cèdent à Nicolas Gass, héritier testamentaire de François Meiss, des sommes dont le défunt avait la jouissance viagère

1658 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 150-v
Erschienen H. Hannß Fridrich Rheinthaler der Strählmacher, H. Andreas Gebhard Rheinthaler der Schuhmacher, Hannß Paulus Rheinthaler der Strählmacher, Susanna Rheinthalerin, Hannß Stiglers deß Weißbeckh. Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogt, Frantz Rheinthaler der Schuhmacher, Lorentz Rheinthaler, der Strählmacher, H. Gabriel Stöber der Kürßner alß Ehevogt Agneßen, Und H. Adam Meÿder Specereÿhändler alß Ehevogt Salomeen Rheinthalerin, alle für sich und selbsten, und im Nahmen Hannß Carl Rheinthalers deß Strählmachers und Burgers Zu Leipzig
in gegensein Hannß Niclauß Gaßen deß Meelmanns als Weÿl. Frantz Maÿsen deß Schuhmachers seel. testamentlichen Erbens, mit beÿstand Abraham Öhlingers deß buchbinders
bekannt, daß Sie, Von demselben, diejenige 22. lb 3. ß 3 d ahne 44. lb. 6 ß 6 d welche 22 lb 2 ß 3 d Weÿl. Barbara Rheinthalerin, Georg hornen deß Kürßners Zum Ziltz in Schleßien an der Polnischen Gräntzen geweßenen Eheweib Von weÿl. Sabina Rheinthalerin ihrer Schwester gedachts Frantz Maÿsen erstern Eheweib seel. geerbt, Und besagter Maÿß die tags seines lebens Wÿdems weiß Zu genüßen gehabt (…) empfangen haben

Originaire de Hettenrodt en Palatinat, cousin et héritier de François Meiss, le farinier Nicolas Gass épouse en 1655 Anne Speyrer, fille de boulanger : contrat de mariage, célébration. Il devient bourgeois quelques jours après son mariage.

1655 (27. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 142
(Eheberedung) Erschienen Hannß Niclaus Gaß Von Hettrodt in Westrich in die Graffschafft Oberstein gehörig, so sich alhier burgerlich nid.zulaß. gewillt, alß hochzeiter, mit beÿstand Andreß Gebhard Rheinthalers deß Schuhmachers alhie im nahmen Frantz Maÿßen deß Schuhmachers seines deß Hochzeiters Vettern alß Welcher Leibßblödigkeit halb. nicht außgeh. Können Und ihre hierzu befelcht hette wie auch Lorentz Löfflers deß Müllers vf der Edlen Zornen Mühlen an einem,
So dann Jungfr. Anna weÿl. hannß Speÿrers geweßenen Schwartzbeckhens alhie nunmehr seel. hinderlaßene eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand Roman Mentzers deß Grempen alhie ihres Vogst, und H. M. Andreæ Bardten Pfarrers Zu Lampertheim wie aucg Mathiß Spechten deß Speÿrbaders alhie am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 71)
1655. Dominica Reminiscere. Johann Niclaus Gaß der Müller Von Hettrott Gräfflicher Obersteinischer Herrschafft, Niclauß Gaßen, gewesenen burgers und Baursmanns daselbsten hinterlaßener ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Anna Hanß Speÿrers geweßenen Burgers Vnd Schwartzbecken alhier hinderlaßene eheliche Tochter. Copulabantur Dienst. 20. Martÿ zum J. St. Peter (i 82)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 23) 1655. Mehr Zum 2. mal Sont. Reminisc. d. ii Martÿ, Johann Niclaus Gaß, der Müller, Von Hettrott, auß der Graffschafft Oberstein im Westrich gelegen, Weilandt Nicolai Gaß, des Burgers und Baursmanns daselbst hinterlaßener ehelich. Sohn, vnd J. Anna, Weilandt Johann Speirer des Burgers vnd Schwartz Becken allhier hinterlaßene eheliche Tochter. Dienst. 20. Mart. Freÿburg. J. St. Peter. Hh. Stub (i 24)

1655, 4° Livre de bourgeoisie p. 299
Hannß Niclaus Gaß der Meelmann Von Hetteratt auß der Graffschafft Oberstein empfangt d burgerrecht von seiner haußfr. Anna Weÿl. Johann Speÿrers deß Schwartzbecken alhie dochter vmb 8 goldt fl. ist ledigen standts gewesen, würd Zur Lucern dienen, jur. den 2. April. 1655.

Le revendeur Nicolas Gass vend la maison 125 livres au peignier Jean Frédéric Reinthaler, assisté de son beau père le boucher Charles Klein.

1664 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 251-v
(Prot. fol. 18.) Erschienen hannß Niclaus Gaß der Kremp, mit assistentz H Georg Weÿbels deß Steinmetz. und alten Kleinen rhats Verwanthens
hatt in gegensein hannß Friderich Rheinthalers deß Strählmachers, mit beÿstand Carl Kleinen deß Metzgers seines Schwähers und H Andres Gebhard Rheinthalers deß Schuemachers seines Bruders
hauß, hoffstatt, Gärtlin mit allen deren Gebäwen, Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Keßelgäßlin, einseit neben hannß Bachen dem Schuhmachern, anderseit neben (-) Stamlerin hind. Zum theil vff die Kräuchelische theilß vff die Gastelische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 100. lib. H. Andreæ Brackhenhoffern ietzt regirenden Ammeistern, Item umb 200. lib. der Samblung zum Innenheim verhafftet (übernohmen) – umb 125. lib

Jean Frédéric Reinthaler et Cléophée vendent la maison 475 livres au notaire Philippe Henri Theus

1667 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 191
(Prot. fol. 10.) Erschienen hannß Friderich Reinthaler der Strählmacher und Cleophe sein eheliche haußfrau und Zwahr Sie Cleophe insonderheit mit assistentz Carl Kleinen, deß Metzgers ihres eheleiblichen Vatters und Andreß Lobsteins deß würths Zum Bockh ihres Schwagers
in gegensein H. Philipß Henrich Thej Notarÿ mit beÿstand dauid Beüters deß Ohlmanns
hauß hoffstatt höfflin gärtlin sampt der Gemeinschafft des bronnens mit allen derem Gebäwen, Begriffen Zugehörten Rechten und Gerechtigkeit, alhie in Keßelgäßlein einseit neben hannß Bachen dem Schuhmachern and.seit neben Annæ Mariæ Stammlerin hinden Zum theil uff die Kraÿchlische theils uff die gastelische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 100. lib H Andreæ Brackhenhoffern dißer Statt alten Ammäystern und Treÿ Zehenern Item umb 200. lib. der Samlung zum Innenheim verhafftet (übernohmen) – umb 175. lib

La maison figure à l’inventaire dressé après la mort de Philippe Henri Theus. Sa veuve et ses filles vendent la maison 750 livres au tailleur Jean Adam Führer

1698 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 347
weÿland Hn Philipp Henrich Theus gewesenen Notarÿ Publicj nun seel. Nachgelaßene Zwo Töchter Und einzige Erben, Nahmentlich Fr. Anna Magdalena weÿland H. Samuel Oelingers des Specirirers seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn Dionysÿ Schöpffen auch Specierers ihres Curatoris, So dann Jfr. Maria Salome so würcklich majorennis mit beÿstand H. Johann Carl Leopard des jüngern Notarÿ Publicj, Ihres Vogts
in gegensein Johann Adam Führers, des Schneiders mit assistentz H. Johann Schüblers, auch Notarÿ Publicj
Hauß, Hoffstatt, Höfflein, Gärttlein sambt der Gemeinschafft des Bronnens, mit allen deren übrigen gebaüen, Begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier im Keßelgäßlein, einseit neben weÿl. Hans Bachen, des Schuhmachers seel. Erben anderseit neben H. Josiæ Bitschen dem Goldarbeiter, hinden auff H. Johann Joachim Storcken den goldarbeiter zum theil, theil auff weÿl. H. Johann Melchior Erhards gewesenen Silberarbeiters nun seel. Wittib und Erben stoßend gelegen
dan obwolen ged. Hauß Fr. Ottilia geb. Gantherin obged. H. Notarÿ Thej hinter laßener wittib mit widem Verfangen, so ist dieselbe hierbeÿ Persönlich erschienen Und Zwar mit H. Johann Ludwig Scherers Not. Publ. ihres Vogts, Und hat hierbeÿ expresse Verzug gethan auff ged. widem Und genuße des Haußes – geschehen Umb 750 pfund

Les acheteurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit du précepteur Israël Dieterlin et du fabricant de pâtés Jean Daniel Boch

1698 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 420
Johann Adam Führer der Schneider und Maria Salome geb. Gasteliußin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johannis Schüblers Notarÿ Publ. und H. Johann Jacob Braunen deß Goldarbeiters Ihrer beeder Vettern
in gegensein H. M. Israël Dieterlin, Præceptoris Classici und H. Johann Daniel Bochen, deß Pastetenbecks – schuldig seÿen, 750 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt höfflein, Gärttlein, sambt allen deren Gebäuen, recht und Zugehördt. allhier im Kößelgäßlein, Einseit neben Weÿl. hanß Bach deß Schuhmachers sel. Erben and. seit neb. H. Josiä Bitsch den Goldarbeiter hind. auff H. Johann Joachim Storcken d. Goldarbeiter zum theÿl theils auff weil. H. Johann Melchior Erhard gewesenen Silberarbeiters sel. Wittib Und Erben stoßend gelegen,
Ferner derjenige widem, so weÿl. H. Marx Philipp Hahnen gewesenen Barbierers und E:E: Kl. Raths beÿsitzer sel. wittib Fr. Anna Valeria geb. Hämmerlin ad dies vitæ nach Inhalt deß von H. Elia Wincklern Notar. außgefertigt. attestati zu genieß. für ihr obbemeldten correæ portion auff 674 lb belauffend

Originaire de Ziegenhain en Hesse, le tailleur Jean Adam Führer épouse en 1689 Ursule Diemer, veuve de Michel Braun, et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 12, n° 57)
Heut den 1 Junÿ 1689 ist (…) copulirt word., Joh: Adam Führer der ledige schneider auß Hoßen, Jost Führers deß schneiders daselbst ehl. Sohn, mit Fr. Ursula, Weÿland Joh: Michael Braunen, deß schneiders v. burgers allhier nachgelaßener wittib [unterzeichnet] Johann adam führer als hochzeiter, Ich Ursula fuhrmann alls hochzeiterin (i 14)

1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 554
Johann Adam Führer, Von Ziegenheim auß Heßen der schneider Jost Führers des schneiders daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von Ursula, Weÿl. Joh: Michael Braunen gewesenen burgers und Schneiders allhier hinterlaß. Wittib, seiner jetzmahlig. Haußfrauen p. 2. gold.R. 16. ß so Er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zuvor ledig. standes geweßen und wird Zu E.E. Zunfft der schneider dienen, Jur. den 11. Junÿ 1689.

Le tailleur Michel Braun épouse Ursule, fille du boulanger Michel Diemer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 12)
1677. zum 2. mahl Johann Michael Braun der Schneider und Burger alhier, Jfr. Ursula, Michel Diemers des S[chwartz]becken und Burgers alhie ehel. T. Donnerstags den 15. Febr: (i 40)

Jean Adam Führer se remarie en 1697 avec Marie Salomé Gastelius, fille de vitrier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 76-v, n° 409)
1697. Mittw. 20. Mart. wurd. nach Zweÿmahl. außruffung copulirt Johann Adam Führer, der B. v. Schneider allhier, V. Maria Salome, Weil. Emanuel Gastelÿ des B. v. Glaßers allhie nachgelaß. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan Adam führer Als hochzeiter, Maria Salame Goßeliuß als hochzeiterin (i 76)

Jean Adam Führer et Marie Salomé Gastelius vendent la maison 775 livres au fournier Georges Ensfelder et à sa femme Marie Dorothée Hüffel

1700 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 110
Johann Adam Führer der Schneider Und Maria Salome geb. Gasteliußin mit beÿstand Hn Johann Schüblers Not. Publicj
in gegensein Georg Endsfelders des Haußfeurers Und Mariæ Dorotheæ geb. Hüffelin mit beÿstand Johann Martin Rügers des Schuhmachers [unterzeichnet] Gorg Ensfelter als Keüffer, Maria dorothea Ensfellrin
Hauß, Hoffstatt, Höfflein gärttlein, sambt der Gemeinschafft des Bronnens mit allen deren übrigen Gebaüen, Begriffen, Zugehörden, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier im Keßelgäßlein, einseit neben Weÿl. Hans Bachen des Schuhmachers seel. Erben anderseit neben Josia Bitschen dem goldarbeiter hind. auff Johann Joachim Storcken d. Goldarbeiter zum theil theils auff Johann Schmid. den Silberarbeiter stoßend gelegen – umb 150 Capital Verhafftet, zugegangen umb 625 pfund

Fils du tailleur Jean Ensfelder de Flachslanden en Franconie, le fournier célibataire Georges Ensfelder devient bourgeois en octobre 1694 puis tributaire chez les Boulangers
1694, 3° Livre de bourgeoisie p. 1137
Georg Enßfelder der haußfeurer von Flachßland Joh. Enßfelders des schneiders daselbß Ehl. sohn empfangt das burgerrecht gratis, ist annoch ledigen standts und Wird Zu E.E. Zunft der becken dienen. Jur. d. 11. 8.bris 1694.

1715, Registres annuels de la Taille (VII 1208) f° 162
Becker – Georg Enßfeldt. Jur. [1]9. 8.br. 94

Georges Ensfelder épouse en 1695 Marie Dorothée Hüffel, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 52-v, n° 310)

1695. Dom: III. post Epiphan. seÿndt außgeruffen worden Georg Enßfelder lediger Haußfeurer, Johannes Enßfelders, Schneiders, und burgers, Zu Flachßlandt Fürstl. Anspachischer herrschafft ehelicher Sohn, Jfr. Maria Dorothea, weiland Georg Hüffelß, gewesenen Weißbecken, und burgers allhier, nachgel. ehel. tochter.Seÿn copulirt Worden den 2. febr. deßen seÿn Zeugen [unterzeichnet] görig Ensfelder as hochzeiter, Maria Dorothe huffein alls hochzeiterin (i 52)

Il se remarie en janvier 1704 avec Dorothée Pracht, veuve du tailleur Georges Frédéric Eberlin qu’elle avait épousé en 1700
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 141, n° 666)

1704. Mittw. d. 16. Jan. wurd. [nach] ordtlichen außruffung copulirt Georg Enßfelder, der Burger v. schwartzbeck allhier Vnd Fr. Dorothea, weil. Georg Friderich Eberlins, des geweß. Schneiders v. Burg. allhier nachgelaß. Wittib, [unterzeichnet] Georg Enßfelter alß hochzeiter, dorotea eberlin als hochzeiterin (i 140)

Fils de tailleur, Georges Frédéric Eberlin épouse en 1700 Dorothée Pracht, fille de cordonnier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 65-v n° 19)

Heute Mittwochs den 20. Octob. 1700 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Georg Friderich Eberlin der ledige Schneider und burger alhier, weÿland Johann Jacob Eberlin, geweßenen Schneiders und burgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jfr. Dorothea Bracht, Johann Martin Bracht deß Schuemachers und burgers allhier eheliche Tochter,[unterzeichnet] Georg Friderich Eberlin schneider als hochzeiter, Dorothea Prachtin als hochzeire (i 69)

Inventaire des apports de Georges Frédéric Eberlin et de Dorothée Pracht
1700 (3. 9.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und Vorgeachte Meister Geörg Friderich Eberlin, der Schneider und die viel Ehren und Tugendsahme fraw Dorothea gebohrne Prachtin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestandt zusammen gebracht (…) in beÿsein d. Ehren und tugendsamen frawen Annä Ursulä gebohrneer Claußin herrn Johann Martin Prachtens deß Schuhmachers und burgers Zu gedachtem Straßburg ehelicher haußfrauen der frawen leiblicher Mutter in Straßburg den 3. Novembris 1700. Summa des Manns gantzen Vermögens, 27 lb
der Frawen Zubringen war an Hausrath 59, Silber geschirr und Geschmeidt 4, Guldene Ring 9, Baarschafft 5, Summarum 79 lb

Georges Ensfelder et Dorothée Pracht font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison rue du Chaudron. Les apports du mari s’élèvent à 235 livres, ceux de la femme à 197 livres.

1704 (3.3.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 2)
Inventarium über Mstr Georg Enßfelders, deß Haußfeürers und Frawen Dorotheæ Eberlin, gebohrner Prachtin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg für ohnverändert Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1704. – einander jnn ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand, vermittelst deren auffgerichteter Heuraths Verschreibung für ohnverändert Zugebracht haben (…) Actum in der Königl. Freÿen Statt Straßburg, jn fernerem beÿweßen H: Gottfried Hempels Specerirers und burgers alhier der frawen annoch ohnentledigten Vogts, Mont. d. 3. Martÿ Anno 1704.

Ahne Haußrath So jnn einer jm Keßelgäßlein gelegenen und hernach beschriebener behausung sich befund.
Haußrath (M 130, F 119), Schiff und geschirr (zum Becken Handwerck gehörig 4), Brennholtz (M 3), Früchten, Meel und Kleÿen (M 20), Wein, Leere Faß und bütten (M 13), Silber (M 5, F 10), Guldene Ring (F 12), baarschafft (M 22, F 5)
Eigenthumb ane einer behausung (M.) Eine behaußung, hoffstatt, höfflein u: Gärthlein, sampt Gemeinsch: des bronnens, mit allen deren übrig. Gebeüen, begriffen, Weith. Zugehörd. Rechten u. Gerechtigkeit alhier in d. St. St. im Kößelgäßl. geleg. 1.s neb h: Joachim Ratzen dem schneid. 2.s. neb. h. Josiæ Bitschen dem Goldarbeiter, hind. Zum theil auff H. Joh: Joachim Storcken den Goldarb. u. Zum theil auff Hn N. Schmitt den Silber arbeit. stoßend, davon gehen jahrs 7 lb 10 ß d Zinnß auff Joh: Baptæ H. M. Joh: Güntzlin præceptori jnferioris Gymnasÿ ist in hptg. Abzulöß 150. lb, Ferner 20. lb. Zinß jahrs auff Annunc: mar: od. 25. lb Martÿ Hn Joh: Phil: Lauthen dem Müller Zu Illkirch, so widerzulöß. mit 500 lb. sonsten freÿ ledig u. eigen, und über Abzug vorstehend. onerum ohnvorgreifflich hiehero angeschlagen umb 75. Darüber besagt j. teutsch perg. Kffbr. mit d. St. St. C. C. stub anhang. Insiegel vwahrt sub dato 15. febr. 1700. mit N° 1 notirt, Ferner i. dgl. Kffr. mit ermelter C. C. stub Ins. becräfftiget, datirt d. 10. Junÿ 1698. Mehr j. Perg. teutsch. Kffbr: m. besagter C C. stub Ins: verwahrt de dato 23. Martÿ 1667. Weiter i. dgl. perg. Kffbr. mit viel bes. Ins. besiegelt, Ingleichen i. perg. Kffbr. m des bischoffl. hoffs Ins : verwahrt, Item i. perg. ablosungs brieff m. des mehren hospitals alhie großem Ins. corroborirt, datirt am 28.ten Martÿ a° 1584. Item 3. perg. spruchbrieff sampt noch 2 alt. perg. brieff. So dann j. Kl. Rhats bescheid über i. gemeinen Gäbel besagend, de dato 29. 7.bris 1627. publicirt d. 1. 8.bris gemelt. Jahrs, alles mit N° 1 notirt und dabeÿ gelaß.
Summa Eigenthumbs ane j. behaußung 75, Schulden (M 7)
Summa summarum aller des Manns für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung 289 lb – Schuld 45, Nach deren Abzug 235 lb
(F.) Wÿdumb. Item hatt Fraw Maria Salome Ernstin weÿl. Mstr Johann Jacob Eberlin des schneiders seel W. ad dies vitæ von Ihme Zugenießen welches nach dero seel. Ableiben hiehero fällig
Summa summarum der Frawen in d. Ehestand Zugebrachter Gantzer Nahrung 197 lb

Georges Ensfelder et Dorothée Pracht hypothèquent la maison au profit de l’armurier manant Michel Lohr et de sa femme Anne Marie Witz

1723 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 597, 334
Georg Enßfeldter der haußfeurer Dorothea geb. Prachtin beÿständlich ihren beeden Schwäger H. Johann dürrbach Schuelmeisters und Cantors zu St Aureliæ und Daniel Meÿer des Schirmbotten
in gegensein Michael Lohr des waffenschmidts und Schirmers und Annæ Mariæ geb. Witzin – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Keßel: gäßel, einseit neben Johann Jacob Ratz dem Schneider anderseit neben N. Becker dem Schuemacher hinten auff joh: Michael Maul den Silberarbeiter zum theil theils aber auff H. Johann Georg Finx den Juwelierer

L’inventaire dressé en 1728 après la mort de Dorothée Pracht n’est pas conservé.

1728, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 638
Inventarium über Frauen Dorothea Ensfelderin geb. Prachtin Georg Enßfelders des Haußfeurers Ehefrau seel. Verlassenschafft

Georges Ensfelder meurt en février 1735 en délaissant trois enfants de ses deux mariages successifs. Les experts estiment la maison 900 livres.

1735 (17.3.), Not. Mader (6 E 41, 689) n° 848
nventarium über Weÿl. des Ehrengeachten H. Georg Enßfelder, geweßenen Haußfeürers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1735. – nach seinem Sontags den 27. Februarÿ des mit Gott angefangenen 1735. Jahrs beschehenen tödtlichem bleiben, Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Donnerstag den 17. Martÿ Anno 1735.
Der Verstorbene Herr seeligen hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. den Ehrengeachten Georg Christian Enßfelder, Haußfeürer und bürger allhier, so dießer Inventation in Persohn abgewartet. 2. die Viel Ehr: und tugendbegabte Frau Mariam Dorotheam Graffenauerin gebohrne Enßfelderin des Wohl Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer, Goldarbeiters und burgers allhier frau Eheliebste, welche mit beÿstand deßelben Hiebeÿ erschienen. 3. Johann Philipp Enßfelder, den ledigen Becken, welcher mit assistentz des Wohl Ehrenvest und Wohlgelehrten herrn Johann Durrbach Ludimoderatoris und Schuhl meisters der Kirchen Zu St: Aureliæ, seines geordnet und geschwornen Vogts Zugegen gewesen, Alle dreÿ deß Verstorbenen Herrn seeligen in Erst und anderer Ehe erzeugt undt Nachgelaßene Kinder und ab intestato Erben, Zugleichen portionen undt antheilen.

In Einer in der königlichen Statt Straßburg ane dem Kößelgäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung und Gädlein. Neml. 5/6.theil Vor ohnvertheilt Von und ane Einer behaußung, Hoff, Hoffstatt m: Allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörd. und Gerechtigkeiten gelegen Allhie Zu Straßburg ane dem Kößelgäßlein, i.s. neben H. Jacob Ratzen dem schneider, 2.s. neben meister Joh: Wolffgang Becker dem Schuemacher hinden auff H. Jacob Maullen den Silberarbeiter stoßendt gelegen, so freÿ, leedig und Eigen und ist die völlige behaußung durch der St. St. geschworne herrn Werckmeistere Vermög einer beÿ mein Notarÿ Concept befindl. Schriftl. Abschatzung Sub dato 15. Martÿ 1735. angeschlagen worden pro 900. lb. Macht hiehero Vor 2/6. theil
Darüber besagt ein teutscher perg: Kbr. in Allh. C. C. St. gefertiget, und m: dero anhangendem Insiegel Verwahretn datirt den 15. Februarÿ 1700. m: a: N° 1 notirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen, darbeÿ ferner i. älterer perg. Kbr. auch ein Allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und m. dero anhangendem Insiegel verwahret datirt den 10.ten Junÿ A° 1698. auch m. N° A notirt.
It. Ein Gädlein ane der Prediger Kirch gelegen (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 700 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 32-v
Becker. F., N. 6583.- Weÿl. Georg Enßfelder geweßenen Haußfeurer und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 31, 837- 8- 8-
darzugelegt die Fol. 27. passivi eingebrachte 30. Summa 867- 8- 8
die machen 1700. fl. Verstallte nur 1600. fl. alßo Zu wenig 100 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff 8 Jahr in duplo à 6 ß d macht – 2 lb 8 ß
Und auff 6 Jahr in simplo à 3 ß – 18 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Anhandlung – 1 lb 2 ß 6 d, Summa 4 lb 10 ß 6 d
dt. 4° May 1735.

Marie Dorothée Ensfelder, femme de l’orfèvre Jean Daniel Graffenauer, et le boulanger Jean Philippe Ensfelder cèdent leurs parts de la maison à leur frère Georges Chrétien Ensfelder moyennant 1 500 florins

1735 (24.3.), Not. Mader (6 E 41, 689) Joint au n° 848 du 17 mars 1735
Kundt und Zuwißen seÿe Jedermänniglichen in Crafft dießer (…) persönlich erschienen und kommen seind die Viel Ehr: und tugendreiche Frau Maria Dorothea Graffenauerin gebohrne Enßfelderin, des Wohl Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer Goldarbeiters und burgers allhier frau Eheliebste, mit beÿstand deßelben, So dann Johann Philipp Enßfelder der ledige Beck, mit assistentz des Wohl Ehrenvesten und Wohlgelehrten herrn Johann Durbach Ludimoderatoris und Schul meisters der Kirchen Zu St: Aureliæ, seines geordnet und geschwornen Vogts,
die haben in gegensein des Ehrengeachten Georg Christian Enßfelders Ihres respectivé bruders und Schwagers (…) Eÿgenthumblichen cedirt und übergeben hätten
Ihre Habende antheiler ane einer behaußung, Hoff, Hoffstatt und bronnen mit allen deren übrigen gebäuen begriffen weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg ane dem Kößelgäßlein gelegen einseit neben H. Johann Jacob Ratzen dem schneider, 2.seit neben Meister Johann Wolffgang Becker dem Schumacher hinden auf Herrn Jacob Maulen den Silberarbeiter stoßendt, so freÿ, ledig undt eigen und ist diese Cessio und übergab der gantzen behaußung geschehen Vor und umb 3000 Gulden
so geschehen in Straßburg den 24. Martÿ 1735

Georges Chrétien Ensfelder termine son apprentissage auprès de son père en mars 1717
1717, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 244-v) Mittwochs den 17. Martÿ – Siegelgeltt, 5. ß d dt.
Georg Ensfelder der Haußfeürer erscheünt mit seinem Sohn Georg Christian Ensfelder, undt bittet selbigen weilen die Lehrzeit Vorbeÿ, Gerichtlich leedig Zue sprechen. Erk: willfahrt auff erlag der Gebühr so 8 ß d vor alles.

Georges Ensfelder termine en juin 1725 son apprentissage d’huilier auprès d’Ulric Gœnner
(f° 437) Mittwochs den 20.ten Junÿ 1725 – Siegelgeltt, 5 ß
Georg Enßfelder von hier, welcher beÿ Hn Ulrich Gönner das ohlweßen Erlernt ist dato der Lehr ledig gesprochen worden.

L’huilier Georges (Georges Chrétien) Ensfelder épouse en 1726 Anne Marie Schweigheusser, fille d’aubergiste : contrat de mariage, célébration. L’acte de mariage porte le métier de fournier.
1726 (21.3.), Not. Mader (6 E 41, 694)
(Eheberedung) Persönlich kommen und erschienen der Ehrsame und bescheidene Georg Christian Enßfelder, der ledige ohlmann des Ehrengeachten Herrn Georg Enßfelder, Haußfeurers und burgers allhier Ehelich erzeugter Sohn, alß dem Bräutigam ane Einem,
So dann der Tugendsamen Jungfer Anna Maria Schweighaüßerin des Ehrengeachten herrn Daniel Schweighaüßers würths und Gastgebers auch burgers allhier Ehelich erzeügter Tochter, alß der Jungfer Hochzeiterin am andern theil
So Geschehen in Straßburg auff Donnerstag d. 21. Martÿ 1726. [unterzeichnet] Georg Christian Ensfelder Als hoch Zeÿter, Anna Maria Schweickheußerin alls hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 80-v n° X)
1726. Dominica I et II Trinitat. proclamati sunt Georg Christian Enßfelder, der ledige Haußfeurer v. burger alhie, Georg Endßfelder, deß Haußfeurers v. burgers alhier ehel. Sohn Vnd Jgfr. Anna Maria, Daniel Schweigheußers deß Gastgebers v. burgers alhie Ehel. Tochter, Copulati sunt Mittw d. 3. Julÿ [unterzeichnet] Georg Christian Esfelder Als hochzeÿter, Anna Maria Schweickheußerin alls hockzeiterin (i85)

L’inventaire des apports n’est pas conservé
1726, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 546
Inventarium illatorum über Georg Christians Enßfelders Ohlmanns und fr. Anna Maria geb. Schweighäußerin

Georges Chrétien Ensfelder devient tributaire chez les boulangers le 4 septembre 1726.
1741, Registres annuels de la Taille (VII 1251) f° 180-v
Becker – Georg Christian Enßfelder, ins. 4. 7.br: 1726 – 4. lb 7 ß

Chrétien Ensfelder est autorisé en 1727 à exploiter la boulangerie établie au Linsenmeyerhoff rue Hannong

Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Riedler

1739 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 341-v
Georg Christian Ennßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweighäußerin mit beÿstand ihres bruders Johann Daniel Schweighäußer des sattlers und ihres schwagers H. Johann Daniel Graffenauer des goldarbeiters
in gegensein Jfr. Annæ Mariæ Riedtlerin so mehrjährig und ohnbevögtigt – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in dem Keßelgaßlein beÿ der gooldschmidtsgaß einseit neben Johann Jacob Ratz dem schneider, anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Johann Michael Maul den silberarbeiter – um 300 pfund versetzt – als ein in seines vatters seel. weÿl. Georg Ennßfelder des haußfeurers verlaßenschafft theilung übernommenes guth

Le fournier Georges Chrétien Ensfelder hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Joachim Kirstenstein

1740 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 405
H. Georg Christian Enßfelder der haußfeurer
in gegensein H. Joachim Kirstenstein des silber arbeiters – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Keßelgäßlein, einseit neben Friedrich Ratz dem schneider, anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter

L’orfèvre Jean Daniel Graffenauer, beau frère du propriétaire, meurt dans la maison en 1743 en délaissant un fils. La masse propre à la veuve est de 721 livres, celle des héritiers de 33 livres. L’actif de la communauté s’élève 876 livres et le passif à 651 livres.

1743 (15.2.), Not. Papelier (41 Not 3) n° 66
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauers geweßenen Goldarbeiters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet anno 1743. – nach seinem den 22.ten Septembris des Zurückgelegten 1742.ten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödl. Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat, welche Nahrungs Verlaßensch. heut dato auf freundlfleißiges ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Niclaus Bastians des Burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Graffenauers des Verstorbenen seel. mit hienach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlt und ab intestato verlaßenen eintzigen Söhnleins und Erbens, Ordnungsmäßig Inventirt und ersucht, durch die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Mariam Dorotheam Graffenauerin gebohrne Enßfelderin die hinterbliebene Wittib beÿständlich herrn Georg Christian Ensfelder des haußfeurers und burgers allhier ihres Bruders – So beschehen Straßburg auff Freÿtag den 15.ten febr. 1743.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Keßelgäßlein gelegenen in diese Verlt. nicht gehörigen behaußung folgender maßen befunden als (…)
Haußrath (W 20, E 14, T 42), Leere Faß (W 2 ß, R 2), Werckzeug zur gold arbeiter profession gehörig (T 11), Silber und dergl. Geschmeids (W 9, T 63), Goldene Ring ( W 6, T 13) Baarschafft (T 17), Pfenningzinß hauptgüter (T 687)
Eigenthumb ane einem Gädlein. (W) Ein gädlein hinter der Prediger Kirch allhier (…)
Schulden (W 112, T 37), Ergäntzung (E 18)
Sa. des Erben ohnveränderten Vermögens 33 lb
Schulden (Item H. Georg Christian Ensfelder dem haußfeurer und burger allhier der Wittib eheleibl. bruder vor 3 Monath biß Annunc: Mariæ Verseßenen hauß Zinnß 4. 10) W 30, E 112, T 650
Der Wittib Ergäntzung 694, Abzug 91, Rest 602 – Summa summarum der Wittib ohnveränderten Nahrung 751 lb – Schuld , Nach solchem abzug 721 lb
Endlichen kommet auch das gemein und theilbahren guth in beschreibung, Summa summarum 876 lb – Schulden, In Vergleichung 225 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 867 lb

Fils d’orfèvre, Jean Daniel Graffenauer épouse Marie Dorothée Ensfelder en 1728 : contrat de mariage, célébration
1728 (10.6.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer dem Ledigen Goldarbeitern und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Brautigamb ane Einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfer Mariä Dorotheä Enßfelderin der Ehrengeachten Georg Enßfelder Haußfeurers und burgers allhier Ehelich erzeugter Tochter alß der Jungfer Hochzeitterin am andern theil
So Geschehen in Straßburg auff Freÿtag den 10. Junÿ Anno 1728. [unterzeichnet] Johann Daniel graffenauer als hochzeiter, Maria dorothea Ensfelderin als hochzeitterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 61, n° 216)
1728. Eod. [Mittw. d. 30. Junÿ] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Joh: Daniel Gravenauer der Ledige Goldarbeiter v. b. alhier, H. Joh: Sigmund Gravenauers b. v. Goldarbeiters ehel. Sohn, v. Jungfr. Maria Dorothea H. Geörg Friderich Enßfelders b. v. haußfeurers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer, Maria Dorothea Ensfelderin als (i 64)

Accord entre Jean Philippe Ensfelder et son frère Georges Chrétien Ensfelder au sujet du prix de la maison

1745 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 200-v
Johann Philipp Enßfelder der ledige und mehrjährige haußfeurer
in gegensein seines bruders Georg Christian Enßfelder des haußfeurers
demnach er Johann Philipp Enßfelder auf seines erstgemelten bruder an dem Keßelgäßlein einseit neben Jacob Ratz dem schneider, anderseit neben Johann Becker dem schuhmacher, hinten auff N. Maul den silberarbeiter gelegenen behausung laut eines vor H. Not. Abraham Kolb ane cessions schilling 300 pfund (schuldig seÿe)

Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Joachim Frédéric Kirstenstein

1748 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 664-v
Georg Christian Enßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweigheußerin mit beÿstand ihres bruders Johann Daniel Schweigheußer des sattlers und ihres vettern Johann Daniel Faurbach
in gegensein H. Joachim Friedrich Kirstenstein des silberarbeiters – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, gemeinschaft des bronnens und hoffstatt im Keßelgäßeln, einseit neben H. Rathh. Immelin dem silberarbeiter anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter

Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Geoffroi Saltzmann

1749 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 673
Georg Christian Enßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweighäußerin mit beÿstand Emanuel Müller des kieffers und Johann Daniel Faurbach des schuhmachers
in gegensein H. Johann Gottfried Saltzmann Med. Dris und Practici – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt im Keßelgäßlein, einseit neben N. Wenger dem silberarbeiter, anderseit neben Carl Schultz dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter

Les contrôleurs de la tribu des Charpentiers font grief à Georges Chrétien Ensfelder de fabriquer des chevilles. Il répond qu’il travaille pour le compte de deux menuisiers, Gui Kærcher et Nicolas Elstett. Le Conseil de trribu ne lui inflige pas d’amende mais le condamne aux dépens
1757, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 213) Freÿtags den 29. Aprilis 1757 – Mstr Joh: Friderich Dürr vnd Mr Sebastian Andriß beede der respê teutschen und frantzösischen Schreinern Ober Meister, Klagen Contra Mr Geörg Christian Endsfelder den Schwartzbecken vnd burgern dahier, daß derselbe dem Schreiner handwerck großen eingrif thue und in groser quantitæt Zelten nægel Verfertige, so wieder Ordnung, bitten abstrafung, ref. Exp.
Beklagter ist Zwahr der anklag geständig, Jedoch habe er dießelbe allerdings nicht auf wucher* gemacht, sondern zween Schreiner selbsten, als Mr Veitt Kärcher vnd Mr Niclaus Elstätt haben beÿ ihme bestellt, so hart* habe er derselbe mehrere verfertigt, allermaßen Er noch da Von auf der bühn Liegen habe, bitt abs. ref. Exp.
Erkandt es seÿe der Beklagte ex speciali gratia der straf * enthalten Jedoch aber in die Gerichts Costen Zu Condemniren, Ueber dem * sich nicht mehr be*en zu laßen.

Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit du notaire Mathias Koch.

1759 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 233-v
Georg Christian Ensfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweigheußerin mit beÿstand Emanuel Müller des kieffers und Johann Daniel Fauerbach des schuhmachers
in gegensein H. Not. Mathias Koch – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Keßelgäßel, einseit neben Carl Schultz dem schuemacher anderseit neben Abraham Wegert dem silberarbeiter hinten auff die Maulische wittib

Georges Chrétien Ensfelder meurt en 1759 en délaissant 4 enfants et des petits-enfants issus de sa fille aînée. Les experts estiment la maison 900 livres. Les héritiers laissant la masse à la veuve, l’actif de la succession s’élève à 986 livres, le passif à 1 220 livres.

1760 (13.3.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 497) f° 621
Inventarium über Weÿland des Ehrenachtbaren H. Georg Christian Ensfelders Geweßenen Haußfeurers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr seelig. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1760. – nach seinem Freÿtags den 31.ten Aug. des ohnlängst zurückgelegten 1759.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. Hintritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen nicht nur allein der Ehren und tugendsamen Frau Annä Mariä Enßfelderin gebohrner Schweighäuserin der dießorts hinterbl. Wb. beiständlich des Ehrengeachten H. Johann Daniel Faurbachs Schuhmacher meisters und burgers alhier sondern auch des Verstorbenen seelig ehelich. erzeugter, theils ohnbevögtigten Söhne, theils seiner minderjährigen Kinder geordnet und geschworenen Vogts (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 13.den Martÿ 1760.
Den Verstorbenenn seelig Zu erben sind fähig Seine mit eingangs ged. deßelben hinterbl. Wb. erzeugte KKr. und ais einer Verstorbenen Tochter entsproßene Enckel benandl. 1. Weil. Fr. Annä Mariä geb. Enßfelderin seel. mit H. Johann Georg Rothen dem Jüngern Weißbecken und Bs. alhier ehelich erzielte 5. KK. Nahmens a) Maria Elisabetha, b) Johann Georg, c) Maria Salome, d) Anna Maria so dann e) Maria Dorothea, Welche mit H. Johann Daniel Schweighäuser Sattler und b. alhier bevögtigt sind, der auch in ihrem Nahmen dießer Inventur beÿgewohnt hat
2.do H. Johann Daniel Enßfelder, ohnbevögtigt, Juris Practicus hierbeÿ selbsten anweßend, 3.tio Johann Friderich Enßfelder lediger Haußfeurer: Voll Jährigen Alters, beÿ dießem Geschäfft zugegen, 4.to Jgfr. Catharina Dorothea, so 20 Jahr alt, 5.to Jgfr Maria Margaretha, in dem 17. Jahr ihres Alters und dann 6.to Georg Christian, welcher 11 Jahr erlebet, dießer dreÿ Enßfelderischen Kinder geordnet und geschworener Vogt ist H. Johann Philipp Enßfelder Haußfeurer und burger alhie, welcher Von Anfang biß Zu End gegenwärtiger Inventation abgewartet hat

In einer alhier Zu Str, ane dem Kößel Gäßlein gelegenen hiehero eigent. gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In d. Hintern Cammer, In d. Wohnstb. Im hßeren, Im Keller
Eigenthum an einer Behaußung. Neml. eine behaußung Hoffstatt, höflein und hintergebäud, samt der gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, ahl. im Kößelgß. i.s neb. H. Schultz dem Schuhemr. 2.s neb. H. Wenger dem Silber Arb. hinten auf die Maulische fr. Wb. stoßend gelegen, so über hernach eingetragene Passiv Capitalien frei leedig eigen u. dergelstalten dh. (die Werckmeistere) Zufolg deren Zu mein Notarÿ Concepto vom 21. febr. jüngst gelieferten schrifftl. Abschatz. angesch. worden 1800. fl, 900. lb. Hierüber meldet ein T. perg. Kfbr. aus alh. C. C. St: gef. m. d. anh. größ. Ins. verw. d. d. 15. febr. 1700 weisend wie Georg Ensfelder d. hßfeurer u. Maria doroth. geb. Huffelin des verst. seel. Eltern ged. behß. erk. aus deren Verl. sie ihm eigenthl. überl. word. seÿ. wie die fr. Wb. d. 3. mindj. Kr. Hr. Vogt hiebej ber:
Ordnung gegenwärtig. Invÿ. Hierauff folget die Beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft Vor v. ane sich selbsten als Welche Zufolg vorhergeschriebener Verzicht der hinterbliebenen Wittib allein gehörig, Sa. Haußraths 62, Sa. Werckzeugs auch Schiff und geschirr Zum Beckenhandw. gehörig 2, Sa. Saur Krauts v. derer Bütten 4, Sa. Silbers 6, Sa. Goldenen Ring 10, Sa. Eigenthum ane I. behaußung 900, Summa summarum 986 lb – Schulden 1220 lb, In Vergleichung 233 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in der königlichen Statt Straßburg auff donnerstag den 21. Martÿ Anno 1726. – Philipp Jacob Mader
Abschatzung, Vom 21.ten Februarÿ 1760. Auff begehren Weÿlandt Herrn Georg Christian Entzfelder deß Geweßenen Hauß: Feurer Seeligen Hinterlaßener Frau Wittib und Erben ist eine Behaußung allhier jn der Statt Straßburg jn dem Kößel Gäßlein Gelegen, ein seÿts Neben Herrn Schültz dem Schuh Macher, ander seÿts Neben Herrn Wenger dem Silber Arbeiter, und Hinten Auff Frau Maullin Wittib stoßend, solche Behaußung bestehet jn Etichen Stuben, Zweÿ Küchen und Etliche Hauß Kammeren, Ferner befindet sich eine Bach: Stub, und Bach Hauß, Welches Gewölbt, dar über ist der dach stuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch ein Gewölbten Käller, Hoff und Gemeinschaftlichen Brunnen. Von Uns der Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meister, Nach Vorher Geschehener Besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und Umb Ein Thausent Acht Hundert Gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Würcklich deß Meinsters, Werner, Huber

La veuve Anne Marie Schweigheusser cède la maison et les outils de boulanger à son fils Jean Frédéric Ensfelder moyennant 2 000 livres en s’y réservant le droit d’habitation

1764 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 638 et n° 606, Not. Joh. Richard Häring, 3.11.1763 (6 E 41, 1379 n° 123)
auff ansuchen Johann Friedrich Ensfelder des schwartzbecken, nachstehener vertrag
Frau. Anna Maria Ensfelder geb. Schweighäußerin weiland herrn Georg Christian Ensfelders geweßenen hausfeurers Wb. beiständl. ihres bruders H. Johann Daniel Schweighäußer Sattlers
ihres sohns H. Johann Friedrich Ensfelder leedigen Schwartzbecken volljährigen alters – auf abschlag künfftigen mütterlichen Erbes zum voraus abtretten
Eine behausung, hoffstatt, höfflein und hinter gebäud, samt der Gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten im Kößelgäßel, einseit neben H. Johann Carl Schultz dem Schuhmacher anderseit neben H. Abraham Wenger dem silberarb.r hinten auf der Maulischen Frau Wb. und E. – um 150, 450, 300, 200, 50 lb verhafftet also sammenthafft um 1150 lb capitalien verpfändet – ihr als ein von deren kindern und Encklen den 1. april. 1760 vor H. Not. Kochen cedirtes eigenthum zuständig ist – 2000 pfund die behausung nebst der überlassung schiff und geschirr zum beckenhandwerck gehörig gerechnet
anbeÿ hat sich die mutter den lebenstägigen freÿen Sitz im hinern Stübel auf dem ersten Stock und zweÿer dabei befindl. Kämmerlein wie nicht weniger platz im großen keller

Jean Frédéric Ensfelder termine son apprentissage auprès de son père le 20 septembre 1753
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 11, 12, 13)
(f° 98-v) Donnerstags den 20. Septembris 1753 – Johann Friderich Enßfelder, der beÿ seinem Vatter Geörg Christian Enßfelder dem Schwartzbecken dahier das handwerck erlernet ist der Lehr ledig gesprochen worden.

Jean Frédéric Ensfelder devient tributaire le 22 décembre 1753
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 192) den 22. Decembris 1763 – Neuzünfftiger Meisters Sohn, dt. 1. lb 15. ß
Joh: Friderich Enßfelder, weÿl. Christian Enßfelder abgel. Haußfeurers v. bs allhier nachgel. ehel. Sohn, prod. Stallschein, will Zünfftig werden v. das Haußfeurer handwerck treiben, bittet um Gerichtl. Reception. Erk. Willfahrt.

Les contrôleurs font grief au fournier Jean Frédéric Ensfelder de cuire du pain blanc. Il répond que la farine lui en a été livrée, les contrôleurs prouvent le contraire. Il est condamné à payer une amende.
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 41) Mittwochs den 14. Augusti – Iidem [die Riegere Klagen] Cra. Friderich Enßfelder den Haußfeurer daß derselbe Wider Ordnung v. Articul Weiß Boll Brod bache v. Verkauffe, worüber er sonderheitl. den 3. hujus betroffen v. gerüget worden requiriren Straff nach dem Articul.
Bekl. zugegen sagt Zur Verantwortung, daß ihme zu sothanen Weißen Leiblen die Er bache das Meel überschickt werde, dahero Er nicht straffbar.
Ist aber durch die Rieger das Gegentheil überwießen.
Erk. seÿe Bekl. in 5. lb. d Straff v. in 2 ß Gerichts Costen Zu Condemniren.
Nach deme Er um Gnad gebetten ist die Straff ad 2 lb 10 ß moderirt worden.

Jean Frédéric Ensfelder épouse Catherine Salomé Schalln veuve de Jean Daniel von Zabern : contrat de mariage, célébration
1763 (8. 9.br), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Heuraths: Verschreibung H. Joh: Friderich Ensfelder ledigen Haußfeurers und
Fr. Catharina Salome von Zabern geb. Schallin Wittib de dato 8. 9.br 1763.
Protocollirt fol. 654.b et seq. und expedirt per me ad 4. fol. compresse sub sigillo und Eingefärbt türkisch. Papier. Marbach Nots.
den 22. Junÿ 1810 obiger Heuraths Verschreibung Minute habe auf begehr. H. Ensfelder Employé à la police H. Not. Übersaal zugestellt, beÿ gelegenheit des absterbens obged.. Fr. Ensfelderin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 263-v, n° 24)
Mittwoch den 23. Novembris 1763 wurden in der Kirche Zu St. Wilhelm ehelich copulirt (…) Johann Friderich Ensfelder, der ledige Schwartzbecker und burger allhier, weiland Christian Ensfelders gewesenen Schwartzbeckers und burgers alhier mit fraw Anna Maria Gebohrne Schweighäuserin ehelich erzeugter und nach tode hinterlassener Sohn, und frau Catharina Salome gebohrne Schallin weiland Johann Daniel von Zabern gewesten Schiffmanns und burgers allhier hinterlassene eheliche Wittib [unterzeichnet] Johann Friderrig Ensfelder als Hochzeitter, Catharina Salome Von Zabern als hochzeiterin (i 267) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 442-v, i 48)

Fille de maroquinier, Catherine Salomé Schall épouse en 1759 le batelier Jean Daniel von Zabern : contrat de mariage, célébration
1759 (17.7), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 315
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel von Zabern, dem Jüngern, Ledigem Schiffmann und burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Andreä von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Margaretha gebohrner Wiedemännin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendbegabten Jungfrauen Catharina Salome Schallin, des Ehren: und Wohlvorachtbaren herrn Johann Heinrich Schall des Carduaners und burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrneer Pfundin ehelich erzielter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 17. Julÿ Anno 1759. [unterzeichnet] Johann Daniel von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 223, n° 23)
Anno 1759. d. 26.t Septembr. Seind in der Kirche Zu S. Wilhelm, nach zweÿmahliger Ausrufung so am XIV. und XV. Sonntag nach Trinitatis daselbsten geschehen, Zur Ehe eingesegnet worden, Johann Daniel Von Zabern, lediger Schiffer und burger allhie Weÿl. Andres Von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhie und Annæ Margarethæ Wiedenmännin nachgelaßener ehel. Sohn und Jungfr. Catharina Salome, Johann Heinrich Schallen vormahliger Carduaners und Burgers allhuer und Annæ Catharinæ Peterin ehelige Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeiterin (i 228)

Le cordonnier Jean Daniel Fauerbach et sa femme Marie Elisabeth Metz font vendre des objets mobiliers devant la maison de Jean Frédéric Ensfelder rue du Chaudron

1772 (13.4.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 627) n° 15
auf Ansuchen herrn Johann Daniel Fauerbachs Schumachers und burgers alhir und deßen Ehefraun Maria Elisabetha geb. Metzin hernachbeschriebene Ihnen eigenthümlich gehörige hausräthliche Mobilien vor einer alhier ane dem Kößelgäßlein gelegenen herrn Joh: Friedrich Ensfelder dem Schwartzbecken zuständigen becken behausung offentlich versteigert

Anne Marie Schweigheusser meurt en 1781 en délaissant quatre enfants et une petite-fille issue de sa fille aînée. L’actif de la succession s’élève à 580 livres, le passif à 250 livres.

1781 (19.9.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 559) n° 345
Inventarium über Weÿland Fraun Annä Mariä Ensfelderin geb. Schweighäußerin, längst weÿl. H. Georg Christian Ensfelders geweßenen Schwartzbecks u. b.s allh: Zu Straßb. nachgelaßener Wb. Verlaßenschafft, auffgerichtet im Jahr 1781 – nach ihrem den 22. Aug. laufenden 1781.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitl. verlaßen, welche Nahrungs: Verlaßenschafft dato zu end stehend auff Ansuchen der Verstorbenen seel. ehelich erzeugter Herren Söhne, Frauen Töchtere und Jgfr: Enckelin als ab intestato hinterlaßener (…) Erben – So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 19.ten Sept: 1781.
Die Verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen Ihre mit eingangs benanntem geweßenen Ehemann erzeugte Herren Söhne, Frauen Töchtere und Aus einer Verstorbenenn Tochter entsproßene Jungfer Enckelin, benantlichen 1° Weÿl. fraun Annæ Mariæ Rothin geb. Ensfelderin mit Herrn Joh: Georg Roth dem Weis: beck u. b. allh. ehelich erziehlte majorenne und unbevögtigte tochter Nahmens Maria Elisabetha Rothin, welche beiständl. ihres Vorbenannten Vaters persohnl. Zugegen, 2.do Herrn Johann Daniel Ensfelder Notarium jur: publ. und Verschiedenen hoch Adelicher Familien wohlbestellten Schaffner auch burgern allh. hiebeÿ anweßend, 3. H. Johann Friedrich Ensfelder Schwartzbeck und burger hieselbsten beÿ dießem Geschäfft zugegen, 4. Frau Catharinam Dorotheam Robertin geb. Ensfelderin Herrn Joh: Friedrich Robert des Kunstdrehers u. b. allh: Fr. Eheliebste unter der Autorisation ihres Ehemanns Zugegen, 5.to Frau Margaretham Salome Schollin geb. Ensfelderin H. Joh: Daniel Scholl Sattlermeisters und burgers allhier Ehefrau, welche beneben solchem ihrem Ehemann beÿ dieser Inventur erschienen ist Und dann 6.to H. Georg Christian Ensfelder, Weißbeck und Burger allhier Zu Straßburg ebenfalls persönlich gegenwärtig
Copia der Defunctæ auffgerichteten Dispositionis inter Liberos
In einer allhier zu Straßburg ane dem Keßelgäßlein gelegenen von der verstorbenen bewohnten behaußung sich befunden hat Wie folgt
hausrath 26 lb, silbers 2 lb, goldene ringe 2 lb, Pfenningzinß hauptgüter 550 lb, Summa summarum 580 lb – Passiva 250 lb, compensando 330 lb – Stall summa 240 lb
Letzten willen in mein des Notary ane der dorns-gaß gelegenen behausung und zwar in deren auf dem boden befindlichen meiner ordinarÿ Schreibstub, Johann Daniel Schweighäußer den 17. Martÿ 1769

Jean Frédéric Ensfelder et Catherine Salomé Schall hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Daniel Ensfelder (leur frère et beau frère respectif)

1784 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 197-v
Johann Friedrich Ensfelder der schwartz beck und Catharina Salome geb. Schallin unter assistentz Johann Schäffer des schwartz becken und Johann Jacob Bäer des schloßermeisters
in gegensein H. Johann Daniel Ensfelder notarii publici jurati ac practici – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane dem Keßelgäßlein, einseit neben H. Wencker, anderseit neben Fr. Schatzen, hinten auff H. Cladÿ und Marchand

Catherine Salomé Schall meurt en 1810 en délaissant une fille de son premier mariage et un fils du veuf

1810 (28.6.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1194, 5444
Inventaire de la succession de Catherine Salomé Schall épouse de Jean Frédéric Ensfelder décédée le 5 du présent mois – à la requête de 1. le veuf, 2. Anne Catherine Zabern épouse de Jean Jacques Baer, serrurier, fille du premier lit de la défunte avec Daniel Zabern batelier et 3. Jean Ensfelder boulanger en second mariage
Contrat de mariage devant Me Marbach le 8 novembre 1763 (joint, inventaire des apports)
dans une maison située en cette ville rue du chaudron n° 5 appartenant au fils
propres du veuf, meubles 106 fr, argenterie 52 fr, créances 592 fr, remploi 750 fr, apports inventaire des apports reçu Marbach le 14 mai 1764, total des biens propres 2442 fr
propres des enfants, meubles apportés 374 fr, argenterie 146 fr, garde robe 135 fr, donation au contrat de mariage 140 fr, contrat de vente de la maison rue du chaudron n° 5, 1185 fr, remploi 759 fr, total des propres 1980 fr, déduire don matutinal 592 et 759 fr, reste 628 fr
communauté, meubles 292 fr, les enfants doivent 759 fr, remploi du veuf 1832 fr, déficit 780 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 15 du 29.6.

Jean Frédéric Ensfelder et Catherine Salomé Schall cèdent la maison à leur fils boulanger Jean Ensfelder et à sa femme Catherine Salomé Zeys moyennant 7900 francs

1807 (28.11.), Strasbourg 3 (52 B), Not. Übersaal n° 2003, 4047
Jean Frédéric Ensfelder ci devant Boulanger et Catherine Salomé Schall
à Jean Ensfelder boulanger et Catherine Salomé Zeys
La maison appartenante au Sr Ensfelder père comme lui étant avenue dans la succession paternelle située en cette ville rue du Chaudron n° 5, d’un côté celle de Jean Weis peignier d’autre celle de Jacques Kirchner serrurier derrière sur la maison du Sr Drens négociant et sur celle du Sr Fritz orfèvre – moyennant 7900 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 47-v du 30.11.

Jean Ensfelder épouse en 1799 Catherine Salomé Zeys, fille d’aubergiste
1799 (24 fructidor 7), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber n° 459 (773)
Eheberedung – erschienen Burger Johannes Ensfelder, lediger Beck alhier, Burgers Johann Friderich Ensfelder, becken alhier mit Burgerin Catharina gebohrner Schallin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter ane eim, unter assistentz dieses seines Vaters
so dann die Burgerin Catharina Salome Zeÿß, die ledige weiland burgers Johann Andreä Zeÿß geweßenen Gastgebers alhier mit auch weiland der burgerin Anna Maria gebohrner Hebenstreitin ehelich erzeugte Tochter beiständlich burgers Johann Daniel Zeÿß, Secretaire en Chef bei hiesiger Municipalitæt ihres bruders als braut am andern theil
Geschehen alhier Zu Straßburg den 24. fructisor im 7. Jahr der Fränckischen einen und unzertrennichen Republick.
Enregistrement de Strasbourg, acp 69 F° 169 du 3 compl. 7

Catherine Salomé Zeys meurt en janvier 1829 en délaissant trois fils. La succession comprend la maison rue du Chaudron et deux autres à la Robertsau

1829 (4.4.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2678
Déclaration tenant lieu d’inventaire des biens délaissés par Catherine Salomé Zeys femme de Jean Ensfelder, boulanger, décédée le 4 janvier dernier – à la requête de Jean Ensfelder le veuf, tuteur naturel de Frédéric Charles 18 ans, Jean Théodore Ensfelder, 24 ans étudiant en théologie, Frédéric Edouard Ensfelder 23 ans boulanger – en présence de Ferdinand Charles Gabriel Mattes, tonnelier et marchand de vins subrogé tuteur
Contrat de mariage reçu Stoeber père le 24 fructidor 7 (7 novembre 1799)

immeubles, 1. une maison située à Strasbourg rue du Chaudron n° 5, d’un côté Jean Weiss peignier, d’autre Jacques Kirchner serrurier, derrière la maison du Sr Drens, négociant et celle du Sr Fritz orfèvre – acquis de Jean Frédéric Ensfelder ancien boulanger et de Catherine Salomé Schall ses père et mère par acte reçu Me Ubersaal le 28 novembre 1807
2. une maison, grange, écurie, cour, jardin et un terrain y attenant, appartenances et dépendances située à la Robertsau canton dit Hinterort n° 63, d’un côté la chaussée, d’autre le jardin Heyd (et terres à la Robertsau), acquis de Conrad Henri Zacharie Molck, officier de santé, et de Marie Sophie Clady suivant acte reçu Me Roessel le 28 mars 1817
5. une maison et dépendances située à la Robertsau canton dir Hinterort ou Beulenwoerth n° 56 consistant en maison de maitre, maison de fermier ou jardinier, cour, grange, écurie et jardin formant un enclos de la contenance superficielle d’environ 60 ares, d’un côté Jean Hagenstein, devant la rue communale, d’autre André Schultz, derrière la veuve et héritiers Jean Jacques Vogt, acquis de Salomé Mathys veuve de Jean Jacques Vogt, cultivateur, par acte reçu Me Lex le 29 janvier 1824
garde robe 120 fr, mobilier 467 fr, créances 6500 fr total de l’actif de la communauté 6967 fr – passif, pour mémoire
Enregistrement de Strasbourg, acp 194 F° 55-v du 11.4.

Jean Ensfelder cède sa part de maison à son fils Frédéric Edouard

1843 (28.6.), Me Zeyssolff (minutes en déficit, acte non transcrit)
Donation entre vifs à titre de partage anticipé par Jean Ensfelder père boulanger à Strasbourg
à ses trois enfants issus de son mariage avec Catherine Salomé Zeyss son épouse décédée et comme tels héritiers chacun pour un tiers dans la succession de leur mère savoir Jean Théodore Ensfelder, ministre du culte protestant à Dossenheim, Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger et Frédéric Charles Ensfelder Marchand de papier les deux à Strasbourg
I. à Frédéric Edouard Ensfelder
les trois 6° indivis avec ses fils d’une maison sise à Strasbourg rue du Chaudron N° 5, ladite moitié évalués à un revenu annuel de 450 francs
Le Sr Ensfelder donataire se réserve la jouissance gratuite sa vie durant de la moitié ed la maison et dépendances qu’il vient de donner à son fils. Cette donation faite à charge par le Sr Edouard Ensfelder de payer à ses deux fères codonataires une somme de 3000 francs au jour du décès de M. Ensfelder père avec intérêts
acp 311 (3 Q 30 026) f° 83-v du 3.7.

Théodore et Frédéric Charles Ensfelder cèdent leurs parts de maison à leur frère Frédéric Edouard Ensfelder qui en devient ainsi seul propriétaire

1843 (29.6.), Me Zeyssolff (minutes en déficit, acte non transcrit)
Vante par 1° le mandataire de Théodore Ensfelder, ministre du culte protestant et Caroline Henriete Oertel conjoints à Dossenheim, 2° Frédéric Charles Ensfelder Marchand de papier et de Marie Elisabeth Goenner son épouse à Strasbourg
à Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger à Strasbourg
des deux 6° indivis avec l’acquéreur propriétaire des quatre autres 6° d’une maison sise à Strasbourg rue du Chaudron N° 5 moyennant la somme de 6000 francs. Le Sr Ensfelder acquéreur propriétaire des quatre autres 6°, savoir d’un 6° pour en avoir fait héritage dans la succession de sa mère décédée, trois 6° en vertu de l’abandonnement à lui fait par son pète en vertu de la donation pré alléguée
acp 311 (3 Q 30 026) f° 84 du 3.7.

Frédéric Edouard Ensfelder épouse en 1830 Chrétienne Madeleine Bochinger, fille de tisserand
1830 (4.6.), Strasbourg 10 (82), Me Zimmer n° 819
Contrat de mariage – Frédéric Edouard Ensfelder, garçon boulanger né le 29 octobre 1805 (7 brumaire 14) fils de Jean Ensfelder, boulanger, et de feu Catherine Salomé née Zeyss
Christine Madeleine Bochinger née le 7 août 1804 (19 thermidor 12) fille de feu Jean Bochinger, tisserand, et Christine Madeleine Lutz actuellement épouse de Jean Daniel Goenner

Partage des biens de Jean Ensfelder après la mort de Jean Ensfelder en août 1849
1849 (29. 7.br), Strasbourg 10 (114), Not. Zimmer subst. par Burtz n° 8034
Partage – Ont comparu 1. M. Jean Théodore Ensfelder, pasteur protestant demeurant et domicilié à Dossenheim, 2. M. Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger, 3. M. Frédéric Charles Ensfelder marchand de papier, ces deux derniers demeurant et domiciliés à Strasbourg, tous trois agissant ès présentes comme seuls enfants & uniques héritiers pour un tiers chacun de leur père feu Mr Jean Ensfelder, en son vivant boulanger à Strasbourg où il est décédé le 12 août dernier. Lesquels voulant sortir de l’indivision qui a existé entre eux relativement aux biens meubles et immeubles qui dépendaient de la succession dudit sieur Jean Ensfelder ont requis M° Burtz substituant M° Zimmer de transcrire ci après les lots tels qu’ils s’en sont fait l’attribution amiable
acp 387 (3 Q 30 102) f° 60 Succession 1) meubles estimés 814, 2) créances 12.079, 3) argent comptant 1000, 4) immeubles une maison à Schiltigheim rue Schlittweg N° 231 estimée 2800, 5°Rapport 1816, total 18.507
Attributions (…)

Christine Madeleine Bochinger meurt en 1866 en délaissant quatre fils

1866 (19.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.652
Inventaire 1) de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Edouard Ensfelder ancien boulanger et feue Dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte et 2) de la succession de cette dernière décédée en son domicile à Strasbourg le 14 mars 1866.
L’an 1866, me Mardi 19 juin à deux heures de relevée à la requête de I) M. Frédéric Edouard Ensfelder, ancien boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre lui et feue dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Zimmer notaire ci après nomme le 4 juin 1830. 2) à cause des avantages matrimoniaux résultant à son profit du contrat de mariage susallégué, 3) et à cause des reprises en deniers qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens propre encore existants.
II) M. Frédéric Edouard Ensfelder, pasteur à Tieffenbach canton de la Petite Pierre, demeurant et domicilié au dit lieu, III) M. Théodore Emile Ensfelder, boulanger, IV) M. Charles Eugène Ensfelder, artiste, V) M. Gustave Ensfelder, épicier, ces trois demeurant et domiciliés à Strasbourg,
M.M. Frédéric Edouard Ensfelder fils, Théodore Emile Ensfelder, Charles Eugène Ensfelder et Gustave Ensfelder agissant en leurs noms personnels comme issus du mariage de M. Frédéric Edouard Ensfelder père requérant avec feue dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un quart

Héritages. La défunte dame Ensfelder a en outre recueilli 1) dans la succession de son père Jean Bochinger vivant tisserand à Strasbourg 32/66 d’une maison située à Strasbourg rue des roses impasse St Thomas N° 4 (…)
Indemnité. Aux termes d’un acte de donation entre vifs à titre de partage anticipé dressé par ledit M. Zeyssolff le 28 juin 1843, M. Jean Ensfelder père du veuf a fait donation à ce dernier des trois 6° indivis d’une maison sise à Strasbourg rue du chaudron N° 5, à charge de payer à ses deux frères Jean Théodore Ensfelder et Frédéric Charles Ensfelder une somme de 6000 francs
Par contrat de vente reçu par ledit M° Zeyssolff le 29 juin 1843 M M Jean Théodore Ensfelder et Frédéric Charles Ensfelder ont vendu à M. Ensfelder veuf les deux 6° leur appartenant dans ladite maison moyennant le prix de 6000 francs payés des deniers de la communauté Ensfelder-Bochinger
M. Ensfelder veuf ayant recueilli le dernier 6° de cette maison dans la succession de sa mère, il s’ensuit qu’il est propriétaire de la totalité de cet immeuble qu’il reprendra
acp 554 (3 Q 30 269) f° 99-v du 20.6. (succession déclarée le 13. 7.bre 1864)
Communauté. maison 1598, créances 31.200, argent 600
Succession, garde robe 254, reprises 20.054, bénéfice de la communauté 11.347

Frédéric Edouard Ensfelder fait donation de la maison à son fils boulanger (Théodore) Emile Ensfelder lors de son mariage avec Eugénie Sophie Bochinger, fille de brasseur

1866 (2.10.), Strasbourg 10 (157), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.786
Contrat de mariage – Ont comparu 1. M. Théodore Emile Ensfelder, boulanger, demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Strasbourg le 28 août 1834 du légitime mariage de M & Mad Ensfelder ses père et mère ci après nommés, stipulant comme futur époux
2. Melle Eugénie Sophie Bochinger, mineure sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 23 février 1846 du légitime mariage de M. & Mad. Bochinger ci après nommée, stipulant comme future épouse
3) M. Frédéric Edouard Ensfelder, père, ancien boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg veuf de Mad. Christine Madeleine Bochinger sa femme défunte, agissant ès présentes à cause de la donation qu’il va faire ci après en faveur du Sr futur son fils
4° et Mad. Sophie Salomé Dietsch demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Frédéric Bochinger, en son vivant brasseur en le même ville agissant ès présentes pour assister et autoriser la Dlle future sa fille à cause de la délivrance d’une partie de sa portion paternelle qu’elle va faire en sa faveur

Article six. En considération du futur mariage, M. Ensfelder père donne et constitue en dot à M. Ensfelder, futur époux, son fils, ci acceptant avec dispense de rapport en nature, Une maison boulangerie avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Chaudron n° 9 entre M. Dipper et la veuve Schott, par derrière les Sr Pierrot & Auffinger. Cette maison appartient à M. Ensfelder père pour avoir recueilli un 6° dans la succession de sa mère De Catherine Salomé Zeyss décédée épouse de M. Jean Ensfelder, alors boulanger à Strasbourg, pour avoir reçu trois 6° de son père ledit Jean Ensfelder en vertu d’un acte contenant donation à titre de partage anticipé, dressé par Me Zeyssolff alors notaire à Strasbourg le 28 juin 1843 et pour avoir acquis les deux 6° restant du même immeuble de ses deux frères M. Jean Théodore Ensfelder, pasteur portestant à Dossenheim et M. Frédéric Charles Ensfelder, propriétaire à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Zeyssolff le 29 juin 1843. Ces deux derniers avaient eux-mêmes recueilli les deux 6° indivis du dit immeuble dans les successions de leur mère sus nommée de laquelle Dame M. Ensfelder père comparant & ses deux frères étaient seuls héritiers chacun pour un tiers ainsi que le tout se trouve constaté dans l’inventaire de la succession de Mde Ensfelder née Ensfelder dressé par Me Zimmer oussigné le 19 juin 1866. (…) Le prix de la maison donnée est fixé définitivement à la somme de 22.000 francs que le futur s’oblige de rapporter à la succession de son père donateur, sauf à y prendre sa part héréditaire lors de la liquidation de cette succession
acp 557 (3 Q 30 272) f° 6-v du 3.10.



98, Grand rue


Grand rue n° 98 – VII 79 (Blondel), P 758 puis section 6 parcelle 22 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Jung, boulanger (1769)


Le n° 98 est la maison au milieu de l’image
Etages des n° 96 (à droite) et 98 (à gauche) – Porte

Le propriétaire de la maison est toujours un boulanger qui exploite lui-même la boulangerie ou la loue à un autre boulanger, par exemple Ulric Greiner qui est aussi propriétaire de l’actuel n° 106. Ulric Greiner achète en 1658 de son voisin à l’est un terrain et une écurie où il construit un bûcher.
Sur le plan-relief de 1727, la maison correspond à la partie gauche du bâtiment central (quatrième) : porte au milieu du rez-de-chaussée et deux étages à deux fenêtres chacun. La maison comprend en 1728 un petit bâtiment arrière et un fournil voûté alors qu’elle appartient au boulanger Jean Erard Metz. Originaire de Schwindratzheim, Jean Jung rachète en 1764 la maison des héritiers de sa première femme veuve de Jean Michel Metz. Il contracte une obligation en décembre 1769 pour régler les frais de construction, Les préposés aux feux enregistrent le même mois le compte rendu, dressé par le maître maçon Jean Lingenhœlin, des transformations que projette le propriétaire au rez-de-chaussée et aux trois étages de sa maison. Jean Jung déclare en 1776 qu’il a fait démolir et reconstruire la maison peu après l’avoir achetée et que les frais de construction se sont montés à 6 000 livres.
Le bâtiment comprend trois travées. Les arcades du rez-de-chaussée sont surmontées de mascarons – voir le Répertoire des mascarons de Brigitte Parent (1). Les linteaux en anse de panier sont ornés de mascarons au premier étage et de simples moulures au deuxième. La décoration est plus simple au troisième, y compris les chaînes. Un ours qui tient un bretzel est sculpté dans l’allège de la fenêtre centrale au premier étage : le bretzel renvoie au métier de boulanger, l’ours au nom de la boulangerie repris de celui de l’auberge à l’Ours noir qui se trouvait à l’actuel n° 100. Après la mort de sa femme, Jean Jung quitte la ville en abandonnant son fils de dix ans. La maison passe ensuite aux boulangers Georges Chrétien Ensfelder (1777-1791) puis Mathias Geyler (1791-1808).



Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 135, entre la rue escarpée (repère b) et la rue des Dentelles (repère c)
Cours O et R (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la cinquième à gauche du repère (c) : une arcade et deux porte cintrées, trois étages à trois fenêtres chacun puis toiture à deux niveaux de fenêtres et deux niveaux de lucarnes. La cour O représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le mur à l’est (2-3), le bâtiment (3-4) entre deux cours et le bâtiment latéral (4-1). La deuxième cour R représente la face sud (1-2) du bâtiment entre deux cours et la remise au fond (3-4) et à l’ouest (4-1) de la cour.
La maison porte d’abord le n° 29 (1784-1857) puis le n° 98.


Ours tenant un bretzel
Façade en 1926 avant et après transformation (nouvelle porte, dossier de la Police du Bâtiment)

Suite à la faillite du boulanger François Joseph Spehner, le propriétaire de la maison par exception n’est pas un boulanger (1836-1848, Méderic Titus Pauliac, facteur des messageries générales). Le boulanger Georges Kammerer devient propriétaire en 1901 et installe en 1914 une pétrisseuse mécanique. Albert Burgard transforme en 1926 la devanture, en convertissant notamment une fenêtre en porte d’accès à la boutique, et en remplaçant le four à bois par un four à vapeur. Le bâtiment est inscrit à l’inventaire des monuments historiques le 25 juin 1929.
La boulangerie est exploitée par Joseph Doebel (1939-1972) puis par Gérard Doebel (boulangerie pâtisserie La Petite France) et Nicolas Carciofi (1981) qui aménage un salon de thé dans l’arrière-boutique. Des toilettes édifiées sans autorisation dans la cour donnent lieu à un litige en 1981. Elles sont ensuite transférées dans le bâtiment arrière en déplaçant le fournil. Les travaux sont terminés en 1987. L’Association Foncière Urbaine Libre du Mouton charge en 1987 l’architecte Henri Kubler de réhabiliter les bâtiments. En façade, le soubassement et les ébrasements sont refaits en grès sur une profondeur de 20 centimètres, la porte remplacée par une nouvelle en chêne à panneaux pourvue des grilles métalliques de l’ancienne.


Elévations du bâtiment avant et du bâtiment arrière (1987, Henri Kubler,
dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Barthelémy Dullenkopff, boulanger, et Marguerite
1614 v Samuel Dittler, boulanger, et (1615) Marguerite Meyer, remariée (1623) avec le marchand Denis Schœpff – luthériens
1619 v Daniel Steinbock, boulanger puis aubergiste, et (1607) Barbe Nartz, veuve du boulanger Jacques Dittler, (1621) Catherine Lentz, veuve de l’aubergiste Gaspard Floss puis (1634) Claire Barbe Brüst, veuve du pasteur Simon Rother – luthériens
1619 v Jean Waltz, boulanger, et (1602) Anne Lacher – luthériens
1653 v Ulric Greiner, boulanger puis huilier, et (1693) Marie Hüffel puis (1698) Madeleine Schweigheusser – luthériens
1675 v Jean Georges Müller, boulanger, et (1675) Marie Bilger, auparavant (1660) femme du boulanger Jean Frédéric Gross, puis (1698) Barbe Senckeissen – luthériens
1700 v Jean Erard Metz, boulanger, et (1696) Anne Marie Gross puis (1720) Anne Catherine Richter, veuve du ceinturier Chrétien Ostertag – luthériens
1748 h Jean Michel Metz, boulanger, et (1732) Marie Salomé Jung, auparavant (1711) femme du boulanger Laurent Karcher, puis (1748) Marie Elisabeth Klein – luthériens
1764 h Jean Jung, boulanger, et (1764) Marie Elisabeth Klein, veuve de Jean Michel Metz, puis (1765) Catherine Simon – luthériens
1777 v Georges Chrétien Ensfelder, boulanger, et (1778) Marie Marguerite Weber, remariée (1796) avec le boulanger Jean Wehrlen – luthériens
1791 v Mathias Geyler, boulanger, et (1775) Sara Schneider – luthériens
1808 v Jean Henri Mæchling, boulanger, et (1791) Marguerite Salomé Lauffenburger puis (1793) Catherine Salomé Lipp – luthériens
1814 v Jean Jacques Gintz, boulanger, et (1802) Marie Madeleine Menner
1836 v François Joseph Spehner, boulanger, et (1823) Madeleine Gintz
1848 adj Méderic Titus Pauliac, facteur des messageries générales, et (1826) Marie Françoise Sophie Weiss
1852 v Michel Bieth, boulanger, et (1843) Sophie Gluntz
1869 v Frédéric Wickersheimer, boulanger, et (1864) Amélie Schwartz
1894* Charles Mætz, boulanger
1901* v Georges Kammerer, boulanger, et Madeleine Weick

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres en 1728, 1 300 livres en 1742, 900 livres en 1763, 4 000 livres en 1776, 1 650 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) VII 79, aux héritiers du Sr Brandhoffer [erreur, identique au VII 77]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Endsfeld, 2 toises, 5 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 758, Spehner, François Joseph, boulanger – maison, sol, cour – 1,86 are

Locations

1639, Samuel Erhardt, boulanger de Hugsweier en Bade
1641, Jérémie Müller, boulanger
1647, Martin Dürrbach, boulanger
1673, Jean Frédéric Gross, boulanger, et (1660) Marie Bilger
1685, Georges Pierre Metz, boulanger
1688, Jean Martin Lauterbach, farinier
1692, Jean Gross, boulanger (beau-fils du propriétaire)
1698, André Kuntz, boulanger
1742, Jean Adam Sebastian, boulanger
1785, Mathias Geiler, boulanger (futur propriétaire)
1800, Joseph Hommell, boulanger, et Marie Anne Kientz, de Gambsheim
1805, Antoine Ertel, tailleur
1809, 1813, Matthias Schirr, boulanger, et (1810) Marie Anne Schmitt
1811, Anne Marie Hussmann veuve de l’instituteur Frédéric Jacques Kræuter
1815, Jean Jacques Leberecht, cordonnier
1834, Jean Debes, boulanger originaire de Mittelschæffolsheim

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1657, Préposés aux affaires foncières (VII 1355)
Les préposés autorisent Ulric Greiner à percer une porte dans le mur autour d’un terrain qu’il a l’intention d’acheter de son voisin et sur lequel il construira un bûcher

(f° 135) Dinstags den 5. Eiusdm. [Januarÿ] Durchbruch – Augenschein eingenommen in Ulrich Greiners deß Becken behausung neben dem Beeren in der obern Straßen, welcher entschloßen von dem Nebenhauß, vnd deßen hindern stöcken ein stück an sich Zu kauffen, vnd mit einer Mauren Zu vnderscheiden, wann ihme erlaubt würde, auß seinem hauß eine thur darein Zubrechen, vnd solchem platz für ein holtzhauß Zugebrauchen. Beÿ eingenommenem augenschein hatt sich befun. d. es ohne einige gefahr v. schaden gar wohl sein könne. Erkandt würdt gebettener maßen willfahrt.

1788, Préposés aux affaires foncières (VII 1423)
La Chambre de police transmet aux préposés un rapport d’après lequel Jean Laurent Wüst et Mathias Greiner placent leur échoppe dans la rue de telle manière qu’ils entravent le passage. Les préposés chargent l’inspecteur Stridbeck d’enquêter.

(f° 82-v) Dienstags den 3. Junii 1788 – Joh: Lorentz Wüst, Mattias Geiler beede Becker
Lectum Erkanntnus Eines Löbl. Polizei Gerichts vom 19. Maji 1788 ausweis deren die Sachen da Johann Lorentz Wüst und Mathias Geiler beide Weißbecken in der Langen stras ihre bud. weit über die Rinne der Straß gerichtet, so das die durchfahrt sehr gehemmet wird, an den hoch und wohlverordnete Herren Oberbauherren Zu gehöriger Verfügung Verwiesen worden.
Erkannt, Seÿe durch Herrn Inspector Striedbeck die Sach besonders in Ansehung der beschaffenheit der Lage der Haußer Zu examiniren, worauf als dann das weitere verordnet werden solle.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Linckenhœlin rapporte les transformations que Jean Jung a l’intention de faire dans sa maison, notamment dans le poêle à droite de l’entrée, au premier, au deuxième et au troisième étages ainsi que dans une cuisine. Il constate que les précautions sont prises pour éviter les incendies.

Sambstags den 2.ten Decembris 1769. Johannes Jung der Weißbeck, will in seiner in der mittlern langenstraß gelegenen behausung in der rez de chaussée lincker hand, wie auch ersten, Zweÿten und dritten stock jedes mal eine Stube gegen der straß, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt. Erkandt. Willfahrt. Hr. Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1728 (billet d’estimation traduit) La maison et le petit bâtiment arrière comprennent plusieurs poêles, chambres, une chambre aux farines, une cuisine, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, un fournil voûté, une cave solivée, estimée avec le puits, la cour et autres appartenances à la somme de 1800 florins
  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée le vestibule, un poêle à côté, une cuisine, au sous-sol une cave voûtée, la cour, le fournil, le four de boulanger, à l’arrière le fenil, au premier étage un poêle, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, passage, chambre aux farines et dépense, au deuxième étage deux poêles, passage, chambre à soldats et dépense, le vieux comble comprend deux greniers dallés, le toit est couvert de tuiles creuses, le tout estimé avec ses appartenances à la somme de 2800 florins
  • 1783 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouve la boutique de boulanger, plusieurs poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres, fournil et boulangerie, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3300 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 55 / 29
Maechling
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Maximilien Pougnet, poursuivant à l’expropriation forcée, a été porté propriétaire au lieu de l’acquéreur Méderic Titus Pauliac

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 146 case 3

Spehner, François Joseph, Boulanger
Pougnet, Maximilien à Strasbourg (Subst.on pr. 1849)
Bieth, Michel, boulanger, Gde rue 29 (1853)

P 758, maison & cour, sol, Grand’rue 29
Contenance : 1,86
Revenu total : 180,97 (180 et 0,97)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 490 case 2

Bieth, Michel, boulanger
1871 Wickersheim, Frédéric, boulanger
94/95 Maetz, Karl, Bäcker
1901 Kammerer Georg, Bäckermeister und Ehefrau Magdalena geborne Weick in Gütergemeinschaft

P 758, maison, sol, Grand’rue 98
Contenance : 1,86
Revenu total : 180,97 (180 et 0,97)
Folio de provenance : (146)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 29 p. 65 case 2

Parcelle, section 6, n° 22 – autrefois P 758
Canton : Langestraße Hs Nr 98
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
Contenance : 1,63
Revenu : 1900 – 2800
Remarques :

(Propriétaire), compte 623
Kammerer Georg
(2240)

Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace p. 524

Inscrit à l’inventaire des monuments historiques le 25 juin 1929

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche (p. 342)

29
loc. Wildt, Jean, Copiste – Fribourg.
loc. Roesler, J. Pierre, peintre
loc. Rauch, Joseph, fabriq. de Coton – Miroir
loc. Hartmann, veuve – Fribourg
loc. Monschein, Louis, garçon maçon – Manant
loc. Westphal, André, Musicien – Lanterne
loc. Gailler, Mathieu – Boulanger
loc. Straub, veuve – Manante
loc. Doldé, fils Copiste – Vignerons

Registres de population

(1795) 9° section, Grand Rue N° 29 (registre 600 MW 9) – légende

Mathieu Geiller, 48, Boulanger, Strasb.
Sara id. 42, epouse, id.
Math. id. 17, fils, id.
elisab. di. 16, fille, id.
Phil. id, 16, fils, id.
Daniel Lang, 19, apprentif, id.
anne m. Vestphal, 62 veuve, id.
Jn Jac. Weber, 32, Mucicien, id.
Anne m. id. 36, epouse, id.
François Gugemus, 40, marguillier, id.
Jn Georges Weiss, 36, chirurgien, id. – Egertheim 1788
Marie id. 25, epouse, id. – Ruffach 1790
Michel Sattler, 42, pelletier
Marie Sal. id, 40, epouse , id.
Marie sal. id, 12, fille, id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 98)

(Haus Nr.) 98
Kammerer, Bäckerm. E 01
Baum, Tagner. 1
Grünbaum, Wwe, Näherin. 2
Wiesen, Tagerin. 2
Blind, Präparator. 3
Fritsch, Wwe. 3
Glasser, Mechaniker. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 191)

Grand rue 98 (dossier I, 1889-1988)

Le boulanger Georges Kammerer installe en 1914 une pétrisseuse mécanique. Albert Burgard transforme en 1926 la devanture, en convertissant notamment une fenêtre en porte d’accès à la boutique. Le four à bois est remplacé par un four à vapeur.
La boulangerie est exploitée par Joseph Doebel (1939-1972) puis par Gérard Doebel (boulangerie pâtisserie La Petite France) et Nicolas Carciofi (1981) qui aménage un salon de thé dans l’arrière-boutique. Des toilettes édifiées sans autorisation dans la cour donnent lieu à un litige en 1981. Elles sont ensuite tranférées dans le bâtiment arrière en déplaçant le fournil. Les travaux sont terminés en 1987. Roland Eberlé reprend la boulangerie en 1987.
On trouve aussi dans le bâtiment la fabrique de corsets Albert (1891), le bureau de placement Guhmann (1892), la sage-femme Buckert-Ritter (1896) et la matelassière Julie Sonnendrucker (1899).
Hans Haug fait remarquer en 1964 que la façade a été repeinte en jaune, y compris les sculptures.

Sommaire
  • 1889 – Le maire notifie le boulanger Wickersheimer de faire ravaler la façade. Le propriétaire obtient un an de délai après avoir argué que sa femme est malade. – Travaux terminés, septembre 1890.
  • 1891 – Le maire notifie la fabricante de corsets Albert de régler les droits de voirie. L’enseigne est retirée, l’intéressée a déménage 12, quai Saint-Nicolas
    1892 – Le maire notifie le bureau de placement Guhmann de régler les droits de voirie pour une double enseigne qui était jusqu’alors considérée comme une enseigne simple. Croquis. Le droit double devra être versé
    1893 – A. Schommer transporte son enseigne de la rue Graumann au 98, Grand rue – Demande – Autorisation
    1896 – La sage-femme Buckert-Ritter transporte son enseigne du 15 Faubourg de Pierre au 98, Grand rue – Demande – Autorisation
  • 1899 – Les pompiers font leur rapport après un feu de cheminée
  • 1899 – La matelassière Julie Sonnendrucker demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
  • 1902 – Le maire notifie le boulanger Georges Kammerer qui vient d’acheter la maison de faire ravaler la façade. Il obtient un an de délai. – Travaux terminés, mai 1903.
  • 1906 – Dossier. Le commissaire de police demande d’inspecter les fenêtres après un accident. La Police du Bâtiment estime qu’on pourrait installer un garde-corps comme à la fenêtre voisine.
  • 1906 – Dossier ouvert après une demande du commissaire de police – Le tuyau d’évacuation peut être raccordé aux canalisations
    1907 – Le préfet demande au boulanger Georges Kammerer que son atelier soit conforme à l’ordonnance du 20 août 1906
  • 1907 – Les pompiers font leur rapport après un feu de cuisine. Georges Kammerer est autorisé à conserver pendant un an une cloison non plâtrée au troisième étage – Travaux terminés, octobre 1907
  • 1907 – Le maire notifie le boulanger Georges Kammerer de faire ravaler la façade. Travaux terminés, novembre 1907
  • Commission contre les logements insalubres. 1902 (propriétaire, Kammerer). Remarques en 5 points – Travaux terminés, juin 1903
    1904, remarques en trois points (la chambre des apprentis ne doit plus servir de chambre à coucher)
    1905. On ne remarque plus d’humidité. Les cabinets d’aisance doivent être raccordés aux canalisations. Les clapiers doivent être supprimés (1905, 1907)
    1905 (novembre), 1910, 1912, rien à signaler
    1914. Visite du logement Dietrich, mal tenu. Remarques en 8 points
    1915. Commission des logements militaires. Remarques en 9 points
    1920. Visite du logement Gruenwald chez qui un enfant de cinq ans est en pension depuis sa naissance.
    1926 – Georges Kammerer demande que la Police du Bâtiment lui vienne en aide pour les travaux que la Commission des logements lui demande de faire dans le logement Weinmann – Georges Weinmann se plaint de son logement – La Police du Bâtiment estime que la plainte est fondée – Le locataire Weinmann a quitté les lieux (novembre 1926)
  • 1914 – Mme L. Benne demande l’autorisation de poser une enseigne plate en émail. accord
  • 1914 – Georges Kammerer demande l’autorisation d’installer une pétrisseuse mécanique. L’inspecteur du travail donne son accord. – Autorisation – Dessin (l’atelier se trouve dans le bâtiment arrière). Il obtient un délai pour faire plâtrer une cloison en bois – Travaux terminés, mai 1916
  • 1926 – Albert Burgard (demeurant 18, rue de Belfort au Neudorf) demande l’autorisation de transformer la devanture, en convertissant notamment une fenêtre en porte d’accès à la boutique – Autorisation – Travaux terminés, mai 1927 – Dessin
    1926 – A. Scheyen (rue de la Course) demande l’autorisation de remplacer le four à bois par un four à vapeur. L’entrepreneur Ch. Meyer (82, route des Romains) transforme le fournil – Autorisation – Dessin
    1928 – La Police du Bâtiment constate qu’Albert Burghard a posé sans autorisation deux enseignes perpendiculaires (Boulangerie pâtisserie alsacienne – Glaces) – Demande – Autorisation
  • 1929 – Le boulanger Burgard demande l’autorisation de poser un drapeau publicitaire pour les fêtes de Noël
    1932 – Le même demande l’autorisation de poser deux vitrines (1,20 mètre de haut sur 0,40 de large) – Autorisation
    1932 – La Coopérative des Boulangers d’Alsace demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1939 – Le boulanger Joseph Doebel demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Boulangerie pâtisserie alsacienne. Jos. Doebel) – Autorisation
    1949 – Même demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – L’enseigne n’est pas posée
  • 1951 – Raoul Burger demande à la Police du Bâtiment de constater que son logement est en mauvais état. La Police du Bâtiment constate que la toiture est défectueuse
    1953 – Idem. La cheminée et la toiture sont en mauvais état. La Fédération des Locataires du Bas-Rhin envoie elle aussi un courrier. Le propriétaire déclare avoir fait réparer la cheminée mais que le locataire Burger a retiré des briques, ce qu’il ne conteste pas
    1954 – Nouvelle plainte du même locataire. La toiture défectueuse a été réparée, février 1955
    1954 – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin se plaint au nom de son sociétaire Schaaff que l’eau s’infiltre dans un logement. La Police du Bâtiment constate les faits – Travaux terminés, juillet
  • 1964 – Hans Haug, président de la section permanente de la conservation des sites, fait remarquer que la façade du n° 98 (n° 36 sur le courrier) et celle de sa voisine viennent d’être repeintes en couleur brillante, y compris les sculptures. Il demande si la peinture a été autorisée et suggère de la faire retirer. – L’architecte Hugues Meyer qui se rend au n° 36 constate qu’il n’y a pas de sculpture d’ours – Nouveau rapport au n° 98. L’architecte désapprouve la teinte jaune indien qu’il suppose être de l’euxanthate de magnésie et demande son enlèvement – Le maire écrit au boulanger Joseph Doebel – Le dossier est classé sans que l’architecte des Bâtiments de France se soit manifesté
  • 1965 – Emma Kammerer, copropriétaire, constate que son mur mitoyen (deuxième étage) avec celui du n° 100 est humide – La Police du Bâtiment estime que l’humidité provient de la cheminée qui appartient exclusivement à la plaignante
  • 1965 – Le maire demande à Jeanne Kammerer (domiciliée à Vendenheim) de faire ravaler la façade. Emile Kammerer, domicilié à Ostwald promet en 1966 de faire faire les travaux. Il déclare en mai 1968 que les travaux n’ont pas eu lieu à défaut de trouver une entreprise en mesure de laver les pierres à la soude caustique diluée.
    1968 (décembre) – Emile Kammerer est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, janvier 1969
  • 1972 – Joseph Doebel a supprimé son enseigne faute d’avoir trouvé à s’entendre avec l’architecte des Bâtiments de France quand il a voulu la faire repeindre
  • 1973 – Gérard Doebel (boulangerie pâtisserie La Petite France) demande l’autorisation de poser une inscription sur la vitrine. Emile Kammerer, propriétaire, donne son accord – Autorisation
  • 1981 – Nicolas Carciofi demande l’autorisation de poser une enseigne (libellé, Boulangerie de la Petite France – confiserie, pâtisserie, glaces) – Dessin du rez-de-chaussée. Le projet est refusé par manque d’unité entre le bandeau en bois et celui destiné à porter l’enseigne – Pas de nouvelle demande
    1981 – Le préfet demande au maire un rapport pour statuer sur la demande d’exploiter la boulangerie déposée par Nicolas Carciofi (demeurant à Wasselonne) – Rapport de la commission de sécurité. Le maire signale que le permis de construire ayant été refusé les travaux exécutés dans la cour sont illicites. Le préfet accorde l’autorisation d’exploiter la boulangerie
  • 1986 – Le notaire Jean Philipps, de Marlenheim, demande des renseignements d’urbanisme. Plan cadastral. L’immeuble est inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis le 25 juin 1929
    1986 – Même demande par le notaire Martin Diener (Strasbourg)
  • 1982 – Nicolas Carciofi demande à régulariser des travaux illicites (enseigne refusée en novembre 1981 et annexe construite dans la cour) dans la propriété d’Emile Kammerer, sous la direction de Daniel Steyer (1, rue des Lentilles). Il demande une autorisation provisoire pour les toilettes construites dans la cour avant de les transférer dans le bâtiment arrière et pour aménager un salon de thé dans l’arrière-boutique. – Dessin (plan, élévation)
    La Police du Bâtiment demande à Daniel Steyer de transmettre avant octobre (le délai d’instruction arrivant à expiration) un projet qui intègre le bloc sanitaire dans le bâtiment. Nicolas Carciofi retire sa demande (octobre)
    1982 (décembre) – Nouvelle demande (façade sur rue, façade sur cour, aménagement intérieur), sous la direction de Charles Simbsler (quai Fustel de Coulanges) – Dessin (élévation sur rue, sur cour, coupe, plan). Les nouvelles toilettes nécessitent de déplacer le fournil – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire transmet avec avis favorable le dossier au directeur départemental de l’Equipement
    1983 (juillet) – Le préfet délivre le permis de construire
    Suivi des travaux. La nouvelle devanture est posée, les travaux dans la cour sont commencés (octobre 1983). Les travaux sont ensuite interrompus.
    1985 (mai) – Nicolas Carciofi demande une prolongation du permis. Le préfet accorde un an de prorogation. L’ancien bloc sanitaire est toujours en place, le nouveau n’est pas terminé (juin 1986), Les travaux sont en cours (décembre 1986)
    1987 (février) – Déclaration d’ouverture de chantier
    1987 (mars) – Déclaration d’achèvement des travaux. La réception finale ne donne lieu à aucune observation – Certificat de conformité (mai 1987)
  • 1987 – Le préfet demande au maire un rapport pour statuer sur la demande d’exploiter la boulangerie déposée par Roland Eberlé (demeurant à Hoenheim) – Rapport de la Commission de sécurité – Le préfet accorde l’autorisation
  • 1988 – La société CETTIM (17, avenue de l’Opéra à Paris), propriétaire, et Henri Kubler (cabinet d’architecture) demandent un certificat d’urbanisme avant de réhabiliter le bâtiment arrière – Photographies (fenêtres XVIII°) – Plan – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1988 – Le boulanger Eberlé se plaint que le tuyau qui évacue les déblais s’est effondré dans la rue (entreprise Zannier et Poncelet à Faulquemont)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 939 W 319)

Grand rue 98 (dossier II, 1987-1996)

L’Association Foncière Urbaine Libre du Mouton charge en 1987 l’architecte Henri Kubler de réhabiliter les bâtiments. En façade, le soubassement et les ébrasements seront refaits en grès sur une profondeur de 20 centimètres, la porte remplacée par une nouvelle en chêne à panneaux pourvue des grilles métalliques de l’ancienne.
Daniel Devillers reprend la boulangerie en 1986.

Sommaire
  • 1987 – André Vincent, président de l’A.F.U.L., Association Foncière Urbaine Libre du Mouton) et l’architecte Henri Kubler (49, rue Erwin) demandent l’autorisation de réhabiliter les bâtiments sis 98, Grand rue
    Dessins des différents niveaux, photocopies de photographies
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable accompagné d’une liste de conditions à respecter
    Henri Kubler rédige une note. Façade sur rue – le soubassement et les ébrasements seront refaits en grès sur une profondeur de 20 centimètres – la porte sera remplacée par une nouvelle en chêne à panneaux pourvue des grilles métalliques de l’ancienne
    Première cour – sera pourvue de dalles en grès – les coursives seront restaurées (plafonds, poutres, planchers, balustres. Les travaux sont répartis en lots, 1° gros œuvre, 2° charpente et couverture, 3° plâtrerie, cloisons, isolation, 4° installations sanitaires ; 5° électricité, chauffage, 6° menuiseries extérieures, 7° menuiseries intérieures, 8° carrelage, 9° revêtement de sols, 10° serrurerie, 11° peinture, 12° ravalement
    Photographies des coursives (photocopies), des pièces à décor XVIII°
    Dessins. Plan des niveaux, élévations du bâtiment avant, du bâtiment arrière
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire autorise l’entreprise Zannier-Poncelet (place Golbéry) à occuper la voie publique (benne) en octobre 1988, l’entreprise G.T.R. (rue de la Lanterne) à poser un échafaudage.
    Les travaux sont terminés, novembre 1993.
  • 1986 – Le préfet demande au maire un rapport pour statuer sur la demande d’exploiter la boulangerie déposée par Daniel Devillers (demeurant à Brumath) – Rapport de la Commission de sécurité – Le préfet accorde l’autorisation
    1996 (juillet) – Le maire autorise les travaux d’aménagement intérieur – La commission de sécurité rend son rapport. Plan par l’entreprise Euro Concept (Thionville), élévation sur rue
    Le même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire, deux enseignes lumineuses simples et trois inscriptions sur vitrine – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Les enseignes sont posées, septembre 1996.

Relevé d’actes

Le boulanger Barthelémy Dullenkopff et sa femme Marguerite vendent 812 livres la maison sise en face de la maison à la Cloche au boulanger Samuel Dittler

1614 (7. Decembris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 274-v
Erschienen Barthel Dullenkopff Brottbeck vnd Margred sein eheliche hußfr. wÿland Vläsen Müllers des Rebmans selige dochter haben unver. verkaufft
Samuel Dydelers Brottbecken Mit beÿstand des Ehrenhafften Leonhard Dümler seines geschwornen vogts
huß hoffestatt v hefflin mit all Iren gebeu. geleg. Inn d. S S ane der obern straß gegen der Glocken hinüber einsÿt Heinrich Veg. Schumach. andersÿt Christmann vonn Mutzig burg. alhie stoßend hind. vff denselben Christmann von Mutzig, dauon gend. ix guld. gd S W vff hilari abloßig mit ij C g derselb. Werung dem groß. gemeÿn Almosen Zu St Marx, Mehr 5 guldin gelts vff S Georgentag loßig mit 100 guld S W hanns Jacob Zeÿßolff Schreÿbern Im Kauffhuß, Item dritthalb guldin geld vff d heylig pfingstag wider kheufig mit L guld S W wÿld Ambrosÿ Gilgen selig. erben, Item 5 guld. geltz vff Johannis Baptistæ ablößig mit j C g SW Fr. Marien grafin bastian olpen* selig. witwe erben Jetz dem Munßen, Item drithalb guld gld vff S Ulrich tag falleng widerloßig mit 50 guld. alle* SW wÿland herr Pauli Crußÿ selig. witwe, Mehr verhafftet für ij C xxij lb xiij wÿland Bastian Haderbecken den Bottbeck Kinder im nammen Hanß Beckeln* v. Bastian* Jerlich vff aller heÿlig tag xj lb ij ß vj d Zuuerzinß, welche auch vnder Inen s* xviiij (…) Vnd Alles Recht & der Khauff vber solche beschwerd. deren den Khauff gewÿß. v vber sich genomm. für 262 gulden
hiebeÿ geweßen h. Andres Dullenkopff Schumach. Michael Reübel v Jacob Nartz beyd. gartner
(der khauff für ledig eÿg. vmb 812 lb)

Samuel Dittler épouse en 1615 Marguerite Meyer. Veuve, Marguerite Meyer se remarie en 1623 avec le marchand Denis Schœpff, fils du greffier de Kaysersberg

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137, n° 7)
1615. Samuel Dittler der Weißbeckh, J. Margreth Michel Mayers Tochter, 27. Feb: Im frühgebett (i 141)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 164-v)
1623. dominica Jubilate. Dionysius Schopff d. Handelsmann Hr: Georg Schöpffen deß Stattschreibers Zue Keisserspurg nachgelaßener Sohn, Margretha Samuel Düttlers deß Weißbecken sel: hind.las. Wittib. 12. Maÿ. (i 169)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 149) 1623. dionysus Schöpff H. Jörg Schöpff der Stattschreiber Zu Keÿßersburg e. sohn, und margretha Samuel Ditler des Weißbeck e. wittwe. Engesegnet Zum Alt. S. Peter montag den 12. maÿ (i 79

Samuel Dittler rembourse au nom de sa mère Barbe Nartz, épouse du boulanger Daniel Steinbock, aux enfants mineurs du boulanger Sébastien Haderbeck un capital garanti sur la maison. En marge, quittance remise au propriétaire suivant, Jean Waltz

1615 (xx. Aprilis), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 197-v
(Inchoat. in Proth. fol. 157.) Erschienen Barbara Nartzin, Daniel Steinbock des Weißbeckers burgers Zu Straßburg haußfr. mit beÿstand & Jetzgemelts Ihres haußwürths Vnd Jacob Nartz gartners vnd. Wagnern Ihres bruders
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Geörg Klein, des Weÿßbecken burgers Zu Straßburg Als vogt, hannß, Barbell, Bastian, geschwisterd. wÿland Bastian Had.beck des Weÿßbeck. Alhie selig. Khind. offentlich verÿehen
Demnach Samuel Dütler der Weÿßbeck burger Zu Straßburg obgedacht Bekhennerin Sohn von, vff und Ane seiner erkaufft. behaußung Ane der obern straß neb. Christmann von Mutzich. gelegen ermelten vogts Khindern 275 pfund pfenning was sich Ane gutte Rechnung befündet schuldig worden (…)
[in margine :] Erschienen Hannß Haderbeckh Als Vogt weÿl. Bastian Had.beckhs seligen Khindern, hatt in gegensein hannß Waltzen Als besitzer der hierinn Behaußung (…) A. den 16. Januarÿ 1623

Samuel Dittler vend la maison à son beau père Daniel Steinbock

1619 (ut spâ [xxvj. Junÿ]), Chancellerie, vol. 436 f° 338-v
(Inchoat. in Prot. fol. 228.) Erschienen Samuel Ditler d. Weÿßbeck burg. Zu Straßburg (verkaufft)
Daniel Steinbock dem weÿßbeck. burger Zu Straßburg seinem stieff uatt.
hauß hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn d. St. St. Ane d. Obern straß. geg. d. Glock über einseit nebent Heinrich vogt des schuomachers witwe, And. seitt n. Christmann von Mutzich dem Weinschenck hind. vff denselb. Christmann von Mutzich stoßend, Dauon gnd ix gl geldt vff hilarÿ losig mit ij C gl werung d. Allmuß. Zu S. Marx Mehr v gl geltd loß. mit j C gl wrg vff Georgÿ hanß Jacob Zeÿsolff schreiber Im Khauffhauß, Item iij. gl gld loß. mit L gl werg. vff Pfingsttag hannß Hetzell zu willstett, It. iij gl. geld lößig mit Lj werg. vff Ulrici Niclauß Tornario in schaffners wÿß, weÿther v gl glts loß. mit j C gl werung vff Johannis Baptistæ demselben Allmußen Zu Sant Marx, It. seind sie verhafftet vmb j C xxv lb d Bastian, wÿland Bastian had. becks des *en s. Sohn deßen vogt hannß had. beck, So dan sie ver und.pfand vmb j C L lb d Mariæ Sutherin wÿland Bläß Kabiß des Müllers Zu Achenh. s. witwe, beder Jetzgenannte Post mit dem Zinß Zuerleg. Nach Gemelter Witwen Absterben Alle 25. lb Sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich nimpt, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 275 pfund
(vide nouum contractum insert* fol. 480)

Daniel Steinbock revend trois mois plus tard la maison au boulanger Jean Waltz et à sa femme Anne Lacher

1619 (ut spâ [viij. Septembris]), Chancellerie, vol. 436 f° 480
(P. fol. 338.) Erschienen Daniel Steinbock d. weÿßbeck burg. Zu Straßburg (verkaufft)
hannß Waltz dem Weÿßbeck. burgern Zu Straßburg vnd Annæ Lacherin seiner ehelich. haußfr.
hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Ihren gebeüwen d. geleg. Inn d. Statt Straßburg Ane d. Obern straß. geg. d. Glock über, einseit nebent Heinrich vogt des schuomachers witwe, Vnd and.seit neben Christmann von Mutzich dem Weinschenck, hind. vff denselben Christmann von Mutzich stoßend, davon gend. ix guldt glt Ablößig mit ij C gl werung vff hilarÿ dem Allmoß. Zu S. Marx, Mehr v gl gelts loßig mit Ein hundert guldin Werung vff Georgÿ hanß Jacob Zeÿsolff schreÿber Im Kauffhauß, Item iij gl gelts loßig mit L guldin werung vff Pfingsttag, hanß hetzell Zu Wildstett, It. iij. gl gelts loßig mit L guldin werung vff Ulrici Niclaus Tornario inn schaffners weÿß, weith. v. gl. gelts loßig mit j C gl werung vff Johis. Baptæ, Auch dem Allmosen Zu Sant Marx, It. seind sie verhafftet vmb j C xxv lb d Bastian wyland Bastian Haderbecks des Becken s. Sohn deßen vogt hanß had. beck, So dan seind sie verhafftet vmb j C L lb Mariæ Sutherin wÿland Bläß Kabiß d. Müllers Zu Achenh. s. witwe bede Jetzgenannte Posten mit dem Zinß Zuerleg. (…) Sunst ledig vnd eigen, Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. vnd besch. für vnd vmb 377 pfund
Hiebeÿ sind gewesen h. Christoff Guckemuß gasthld. Zum gerttenfisch, hannß Schmÿd d. Salpet. sied. vnd Abraham Dattler d. Biersied.
[in margine :] Erschien Philipß Froschhammer Als ehevogt Mariæ Suterin, hatt in gegensein hanß Waltz bekhd. (…) Act. 2. Januarÿ 1624.
[in margine :] Erschienen H. Elias Vogel Alß Ursulæ Flosin H. Daniel Steinbocken Stieff dochter Ehevogt hatt in gegensein hanß Waltzen deß Käuffers (…) q.tirt Act. den 25. Junÿ 1636

Les acquéreurs hypothèquent un mois plus tard la maison au profit d’Abraham Dattler, brasseur à la Cloche

1619 (ut spâ [xiij. Octobris]), Chancellerie, vol. 436 f° 526-v
(Inchoat. in Prot. fol. 375.) Erschienen Hannß Waltz der Weißbeck burger Zu Straßburg vnd Anna Lacherin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Abraham Dattler biersieders Zur glocken, burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg An der Obern strassen gegen der glocken über einseit neben Heinrich Vogt des schumachers seligen Witwen anderseit neben Christmann von Mutzich dem Weinsticher hinden vff denselben Christmann von Mutzich stoßend dauon gnd ix guldin gelts, ablößig mit C guld. werung dem Closter Zu Sanct Marx, Mehr v guldin gelts lößig mit Ein hundert werung hannß Jacob Zeisolff, Item iij guldin gelts stand Inn hauptgutt L guldin werung hannß hetzel Zu Wildtstett Weither iij guldin gelts Keüffig mit L guldin werung obgehörtem Allmusen Zu Sanct Marx, Item sind sie verhafftet vmb j C xxv lb d Bastian wÿland Bastian haderbecks seligen sohn dessen vogt hanß haderbeck, Mehr vmb j c Lb Mariæ Sutherin Wÿland Bläß Kabiß des Müllers Zu Achenheim seligen witwe, So dann vmb ij C xxv lb Daniel Steinbock dem Weißbecken von dem sie erkaufft

Originaire de Schweinfurt en Franconie, le meunier Jean Waltz épouse en 1602 Anne Lacher, fille de boulanger
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 2)
1602. den 15. Febr. sind ehelich eingesegnet word. Hans Waltz von Schweinfurt der Müller vnd Anna Lacherin, Michel lachers deß Weißbecken und Burgers alhie dochter (i 62)

Le farinier Jean Waltz devient bourgeois quelques mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 813
Hanns Waltz der Mehlmann Vonn Schweinfurth empfahet vonn seiner haußfr. Anna Michel Lorcher deß becken dochter das B: Will Zur Lucernen dienen Actum 27. Ditto [Julÿ]

Jean Waltz hypothèque la maison au profit de Laurent Bilger de Vendenheim, assisté de son fils Valentin Bilger, notaire à Strasbourg

1623 (iij. Maÿ), Chancellerie, vol. 449 f° 446
(Inchoat. in Prot. fol. 293.) Erschienen Hannß Waltz, Geörg Metzig. vnd hannß Jacob Engelln Alle Weÿßbeck. burger Zu Straßburg
haben bekhandt vnd in gegenwärtigkheit Lorentz Bilgers von Vendenh. mit beÿstand Valentin Bilgers Notarÿ burgers Zu Straßburg seines Sohns – schuldig seÿen 650 pfund
vnderpfand, obgenant hanß Waltz Angelegt, hauß, hoffstatt höfflin v. hind. hauß mit Allen ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Ane d. Obern straß geg. d. glockh über, einseit Christmann von Mutzichs witwen And.seit Henrich Vogts witwe, hind. vff ermelts Christmanns von Mutzichs witwen stoßend, dauon gnd. xiiij gl geld Abloß. mit iiij. C. gl Zu Sant Marx, mehr ij lb x ß Abloß. mit iij. C. gl. Zu Sant Marx mehr ij. lb x ß gld Ablß mit L. lb hanß Jacob Zeÿsolff , It. j lb v ß d gelts loß mit xxv lb Geörg Hetzell zu Willstett, sodann vmb xxv lb Maria Trettell In schaffners weÿß, It. vmb j. C L lb Philipß Froschhammer vnd vmb j. C. lb Daniel Steinbock
Geörg Metzig. hatt Ang. hauß, hoffstatt, höfflin vnd Gärttlin, mit Allen Ihr. geb. d glg Inn d. St. St. in Crutenauw, nidwendig Am dantz, ein seit Clauß Geÿser d. Weÿßbeck And. seit hanß Hünerer dem streehell mach. hind vff h. Josiæ Glaser stoßend, dauon gnd. 3 lb gl loß mit 60. gld Zu Sant Marx vnd dann vmb Lxx lb Mariæ Hoffmännin Sonst eÿg
hannß Jacob Engell. hatt einges. hauß vnd hoffstatt mit All. Ihr. ged. & geb. & gelg. Inn d. St. St. Ane d. Ober straß. einseit den Zollthor andseit n. Michell Zieglers erb. hind. vff d. statt Innern grab. stoßend, dauon gnd. iij. lb xv ß gld Abloß mit Lxxv lb d. Merhrern Spittal Mehr j lb c ß d geld Abloß mit xxv lb Mehr xv ß gld gelts vnd dann 3 ½ golgdlg abloß mit Lxxx gldg. Hilarium Meÿg. dem Notario, Vnd dann seind sie v.hafft vmb 300. lb d Peter Ammerbach dem Vel. vnd j lb vj ß d. Bodenzinß

Jean Waltz hypothèque la maison au profit de Laurent Bilger de Vendenheim, au nom duquel son fils Valentin Bilger, notaire à Strasbourg

1624 (xvij. Julÿ), Chancellerie, vol. 452 f° 326-v
(Inchoat. in Prot. fol. 189.) Erschienen Hannß Waltz, Georg Metzig. vnd hannß Jacob Engell Alle weÿßbeck. burgere Zu Straßburg
In gegensein h. Valentin Bilgers Notarÿ burgers Zu Straßburg, so Zugeg. Inn nammen seines vatters Lorentz Bilgers von Vendenh. – schuldig seÿent 500 pfundt
In Specie Aber hatt obgemelt hanß Waltz Angeb. hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind.hauß, mit All Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. Ane d. Obern straß geg. d. Glock vber einseit Christian von Mutzichs erb. and.seit Heinrich Vogts witwen, hind vff ermelts Christian von Mutzich stoßend, dauon gnd xiij gl glt Ablosig mit iij. C. gl. zu Sant Marx, Mehr ij lb x ß d gld loß. mit L. lb d hanß Jacob Zeÿsolff, Item i lb ß d gld wildkheufig mit xxv. lb d Geörg Hetzell Zu Wiltstett, Item vmb xxv lb Martin Treittler v. schaffners weÿß, It. vmb j. C. L lb Philipß fröschhammer, So dan dgl* vmb j C. lb Daniel Steinbocken Sunst eÿg.
Item Geörg Metzig. hatt Angeb. hauß, hoffstatt höfflin vnd Gärttlin, mit Ihren gb. & glg In Crtnaw nidwendig d dantz, einseit n. Clauß Geÿser dem Weinschenck. And.seit hannß Hurner dem Strehellmach. hind. vff H. Josia Glasern, dauon gnd iij lb d gld loß. mit lx. lb Zu Sant Marx so dann Ist sie verhafftet vmb Lxxv lb Mariæ Hoffmännin Sunst eÿg.
Item hannß Jacob Engell hat Zu Vnd.pfand bstimpt hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren & gelg. Inn d. St. St. Ane d. Obern straß eins. d. Zollthor, Andseit Michell Zieglers erb. hind. vff d. Statt Innern graben stoßend, davon gnd. iij. lb xv. ß d gs. Alblß. mit Lxxv. vnd d mehren Spittal, vnd dan seind sie verhafftet vm 300 lb d Peter Ammerbach* d. Beck.
[in margine :] Erschienen hanß Bilger von Vendenheim, hatt in gegensein herren Valentin Bilgers Notÿ burgers Zu Str. seines Bruders, bekannt, daß er demselben die 100. lb d. so ihme hanß Bilger nach ihres Vaters see. absterben an obigen 500. lb d erblich Zugefallen (…) Act. den. 27. Junÿ A° 1634.

Marguerite Meyer, veuve de Samuel Dittler et femme actuelle de Denis Schœpff contracte une dette au profit de ses enfants mineurs Barbe et Samuel Dittler
1625 (xxvii. octobris), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 445-v
(Inchoat. in Prot. fol. 377.) Erschienen Margaretha Meÿerin, weÿland Samuel Ditlers des Weißbeck. s. Witwen Jetzo h. Dionisÿ Schöpffen des wurtz kremers haußfr. mit bstd. & Jetzgemelts Ihres ehemanns, Auch hannß Babell Beck. In Spitzen gaß vnd Sebastian Eckell küffers burgers Zu Straßburg, obgenannt Margarethæ nechster Verwandten
hatt in gegensein hannß Planck. des Weißbeckens burgers Zu Straßburg, Als Vogt Barbelln vnd Samuel obgedachts Samuel Ditlers mit ermelt. Margarethen Meÿerin ehelich erzielt Khind. – schuldig seÿe j C. Lxxv lb

Jean Waltz hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock, assesseur au Petit Sénat. En marge, quittance remise au propriétaire suivant, Ulric Greiner

1636 (17. Decemb:), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 990
Erschienen Hanß Waltz der Weißbeck burger alhie
hatt in gegensein H Daniel Steinbocken Kleinen Rhats V.wanthen alhie – schuldig seÿe 150. lb
dafür Vnderpfand sein soll Ein Vorder und hinder hauß, hoffstat und Höfflin, mit Allen anderen ihren gebäwen & alhie An d. obern Straß, gegen der Glocken vber neben Clauß Wittichen dem Metziger & Tobias Rohten dem Schneider hinden vf besagten Wittichen, So Zuuor v.hafftet vmb 300. fl. Wehr. dem Stifft S. Marx, Item vmb 100. fl. wehrung hilario Meÿger dem Noto. und dann umb 50. fl. Paul Messerschmid den Not° Zu Wimpffen
[in margine :] (…) in gegensein Ulrich Greiners deß Weißbeck. alß ietzig. Unterpfandts Innhabers – Act. 28. 9.br. a° 1654

Anne Lacher veuve de Jean Waltz, assistée de son gendre l’aubergiste Georges Mahler, hypothèque la maison au profit de la fille mineure de Michel Reubel

1637 (7. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 900
Erschienen Anna Lacherin, weÿland hannß Waltzen deß Weißbecken vnd burgers Zu Straßburg hinderlaßene Wittib mit beÿstand Philipps Froschhammers deß Weißbecken ihres geordneten Vogts veit Georg Mahlers deß Würths Zum Gertenfisch ihres dochtermanns
hat in gegenwärtigkeit Hanß Hanßlers gartners Vnder wagners alß Vogts Annæ weÿ: Michel Reübels auch gartners s: selbsten nachgelaßenen döchterlins – schuldig seÿe 100 lb
zu Vnderpfand eingesetzt und verlegt Ein Vorder vnd hinder hauß, sampt dem höfflin, hoffstätten, auch allen and.en ihren gebäwen & alhie An der Obern straßen einseit neben Clauß Wittich dem Metzger anderseit neben Tobias Rohten dem Ganthmeister, hinden vff besagten wittichen stoßendt, so zuuor verhafftet vmb 300. fl. herrn Daniel Steinbocken Kleinen Rhats Verwanthen, Item vmb 350. fl. dem Allmosen Zu St. Marx
[in margine :] Erschienen David Rhiel d. iung Gartner und. Wagner alß Ehevogt hierinn gemeldter Annæ Räublerin (…) Act. d. 17. Junÿ a° 1648.

Anne Lacher veuve de Jean Waltz, assistée de son gendre l’aubergiste Jean Israël Faust, hypothèque la maison au profit de la fille mineure de l’aubergiste Abraham Dattler

1639 (12. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 39-v
Erschienen Anna Lacherin, weÿl. hanß Waltzen deß Weißbecken see: hinderlaßene Wittib mit beÿstand Philipp Froschhammers deß Weißbecken ihres geordneten Vogts und hanß Israel Fausten Biersieders Zur Glocken ihres dochtermanns
hat in gegenwärtigkeit Salome, Weÿland Abraham Dattlers Biersieders in ermelter Glocken see: dochter geschwornen Vogts Sebastian Kuglers kupfferschmidts – schuldig seÿe 100. lb
dafür Vnderpfand sein soll der dritetheil ihro Bekennerin für Vngetheilt zugehörd Ane hauß hoff, hoffstatt hind.hauß und allen andern deren gebäwen & alhie an der Obern straß gegen der Glocken hienüber, einseit neben Christmann von Mutzigs Erben and.seit neben Tobias Rothen ietzigen Ganthmeister, hind. vff ernannten Christmann von Mutzigs Erben, daran die Vberige antheil ihr Bekennerin Kindern zuständig, Welche gantze Behaußung Zuuor Verhafftet vmb 300 fl. dem Stifft Zu S. Marx, Item vmb 100. fl. hilario Meÿger dem Noto. dann umb 100. fl. Notario Tornario in Schaffners weiß

Anne Lacher veuve de Jean Waltz loue la maison et la boulangerie au boulanger Samuel Erhardt, de Hugsweier en Bade

1639 (29. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 800-v
Erschienen Samuel Erhardt der Weißbeck Von Hugsweÿher in der Herrschafft Lahr und Mahlburg gelegen mit beÿstand deß Ehrwürdig undt Wohlgelehrten herrn M. Georg Erharden ietziger Zeit Pfarrers Zu Plopßheim seines eheleiblichen Vattern,
hatt in gegensein Fr. Anna Lacherin weÿ: hanß Waltzen geweßenen Becken und burgers alhe nachgelaßener Wittiben, mit beÿstand ihres geordneten Vogts Philipps Froschhammers auch weißbecken und Burgers alhie bekannt
daß Er von derselben vffrecht & Zweÿ Jahr lang von nechstkommend Weÿhenachten nach einand. Volgendt Entlehnet und bestanden Ein Becken behaußung mit ihren gebäwen undt Zugehördten nichts daruon alß im Vordern hauß den halben Keller, dem haußöhren im Mittlern Stock, sampt der Stub und Cammer daran, Item vffm driten stock Ein Cammer in den hoff sehendt, So dann die Bauren Cammer beneben einem holtzplatz im hnd. stock, Welches Sie Verleÿherin ihro hiemit vorbehalten außgeschloßen alhie an der Obern Straßen, gegen der Glocken hinüber gelegen, einseit neben Clauß Wittich dem Metzger Zu Westhoffen, and.seit neben Tobias Rothen dem Ganthmeister, für und umb Einen wochentlichen Zinß Nemblich 16. ß

Anne veuve de Jean Waltz loue la maison et la boulangerie au boulanger Jérémie Müller

1641 (2. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 523
Erschienen Anna Weÿl. Hannß Waltzen des geweßenen Weißbeckhen alhie seel. hinderlaßene Witib mit beÿstand Philipp Froschhammers des Weißbeckhen und burgers alhie ihres Vogts
hatt in gegensein Jeremiæ Müllers auch Weißbeckh: und burgers alhie
entlehnt, Ein Beckhen behaußung mit ihren gebäwen und Zugehördten, nichts daruon alß im Vordern hauß den halben Keller, den hauß öhren im Mitlern stockh sampt der stub und Cammer daran, Item vff den dritten stockh Ein Cammer in den hoff setzend, So dann die Bauwren Cammer beneben einem holtzplatz im hindern stockh, welche Sie v.leiherin ihro hiemit Vorbehalten, außgeschloßen, alhie an der Obernstraß gegen der Glockhen hienüber gelegen neben Clauß Wittib. dem Metzger Zu Westhoff. & Tobia Roth dem Ganthmeister für und vmb einen wochentlich. Zinß nemlich 10 Schilling
darbeÿ geweßen Martin Rost Würth Zum Grünen baum, hannß Ißrael Faust Biersieder Zum Beren

Anne veuve de Jean Waltz loue la maison et la boulangerie au boulanger Martin Dürrbach

1647 (12. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 447
Erschienen Anna Lacherin, Weÿl. hannß Waltzen deß Weißbeckhen seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand H Philipß Froschhammers deß weißbeckh. und Kleinen rhats Verwanthens ihres Vogts
hatt in gegensein Martin Dürrbachß deß Weißbeckh, mit beÿstand Martin Herrmanns deß Meelmanns seines Stieff Vetters und Michael Schranckhenmüllers deß Weißbeckh. seines künfftig. Schwähers
verlühen habe, in ihrer Beckhen behaußung alhier in d. obern Straß. gegen der Glockh hienüber geleg. Zwo Kammern, eine Stub, die Bachstub, Kuch, Bachoffen, haußöhren, holtzhauß, höfflin, und Kellerlin, sampt denen Bühnen vff dem hindern stockh, und wann die bühn vff dem vordern Stockh lähr wirt auch dießelbe vff treÿ Jahr lang von nechst künfftig Michaelis angerechnet, umb einen wochentlich. Zinnß benantlich 8 ß

Anne Lacher meurt en délaissant les représentants de ses deux filles et deux fils dont on n’a plus de nouvelles depuis plus de douze ans. L’inventaire est dressé dans la maison Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 543 livres, le passif à 763 livres.

1648 (2.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 17) n° 4
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab Vndt Nahrung, so weÿland die Ehrn: vndt tugendtsame Fraw Anna Lacherin, weÿl. deß Ehrenhafften vndt Achtbahren H. Hannß Waltzen geweßenen weißbecken, burgers alhie zu Straßburg seel. hinderlaßene wittib, nach Ihrem aus dießer weltt tödtlichem hinscheÿden hinder Ihro verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehren: vnd vorgeachten herrn Johann Israel Fausten, der Zeitt Biersieders Zum Beeren, Burgers alhier, als Hannß Georgen, Jfr. Catharinæ vndt Salberen aller dreÿ geschwüsterdt vnd weÿl. der Ehren: vndt tugendsamen frawen Catharinæ Waltzin, mit auch weÿl. dem Ehrengeachten vndt wohlvorachtbahren herrn Georg Mohlern, geweßenen Würth vndt Gasthaltern der Herberg Zum Rindtsfuß burgere alhier nunmehr seel. ehelich erzielter hinderlaßener Kinder geschwornen Vogts, wie auch deß Ehren: vndt d. Zeitt E. Ers. Kleinen Raths alhier altten beÿsitzers, derselben geschwornen Theilvogts, Ferner deß Ehrengeachten vnd achtbahren Hannß Georg Ammons, Küeffers auch burgers alhier, als Hannß vndt Michael Waltzen geschwornen Vogts, so beede lengsten v. bereits vor 12. v. 18. Jahren von hinnen in d. Krieg verzogen, von denen man lang nichts mehr gehört vnd nicht weiß ob Sie lebendig od. todt, So dann deß Ehrenvest fürsichtig vndt Weiß herrn Jacob Katzensteins, auch weißbeckhen vnd E. Ehrs. Großen Raths alhie altten Beÿsitzers, Als Annæ, Johannßen v. Margrethæ aller dreÿ geschwüsterd, vnd weÿland der Ehren: vndt tugendsammen frawen Annæ Waltzin seligen mit vor ehren ernandtem H. Johann Israel Fausten Ihrem hinderpliebenen wittwer ehelich erzielter Kinder geschwornenn Vogts, Vnd also alle 4. der ietz abgeleibten Frawen mit obehrengenandtem H. Hannß Waltzen Ihrem Haußwürth seel. ehelich erziehlte hinderlaßener Söhn, dochterkinder vndt Enckel, vndt ab intestato hind.laßene nechster Erben – So beschehen auff Mittwoch den 29.t Martÿ A° 1648.

Inn einer alhie in der Statt Straßburg in d. Straßen, beÿ der Bier behausung Zum Beeren gelegener Becken Behausung, so in diße Erbschafft gehörig, Ist befunden worden wie folgt.
Inn der Kammer A, Vor dießer Kammer, Inn der Kammer B, Inn der Kammer C, Vff dem obern Gang, Inn dem obern Haußöhren, Inn d. Stubkammer, Inn der Obern Stuben
Eigenthumb Vndt Beßerung ane Einer Behaußung. Item Eine Behaußung sampt einem hind.n hauß, hoff, hoffstatt vndt einem Brunnen gelegen in d. St. Straßb. ane d. obern Straßen gegen dem Bierhauß Zur Glocken vber, sampt allen andern Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vndt gerechtigkeiten, dauon gehen Jährlichen vff Hilarÿ dem Stifft St. Marx alhier 4 lb 10 ß d Zinß in hauptguth ablößig mit 100. lb d. Mehr 2 lb 10 ß d Zinß erst bemeltem Stifft St. Marx Jahrs vff Johannis Baptistæ stehen Inn hauptguth abzulößen mit 50 lb d. Item 7 lb ß Zinnß H Daniel Steinbockhen, E. Ehrs. Großen Raths alhie Beÿsitzern, Jahrs vff den 15. 8.bris stehen in hauptgutt abzulößen mit 150. lb. Item 2 lb 10 ß d gelts weÿl. H. Hilarÿ Meÿers seel. w. v. Erben Jahrs vff Georgÿ ablößig mit 50 lb. Item 5 lb d gelts Hanß Hanßen, Garthnern vnd. wagnern, als vogten Annæ weÿl. Michael Reübers auch Garthners alhier seel. döchterlins Jahrs vff den 7. 10.bris in hauptguth lößig mit 100. lb d. Sonsten vber die beschwer. für freÿ ledig v. eigen angeschlagen p. 187. lb. Darüber sagt j. t. Perg. B. mit d. St. Straßb. anhengendem Insigell vwahret datirt den 8. 7.bris A° 1619. mit altem n° 1 sign. v. warbeÿ gelaßen.
Sa. Haußraths 245, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 62, Sa. Guldenen Ring 17, Sa. Bahrschafft 10, Sa. Eÿgenthumb vnd Beßerung ane Einer Behaußung 187, Sa. deß Ligenden Guths o, Sa. Schulden 20, Summa summarum 543 lb – Schulden 763 lb, Übertreffen also die Schulden aus dem Erbe Zubezahlend die Verlaßenschafft vmb 219 lb

Les représentants d’Anne et de Catherine Waltz vendent la maison à Ulric Greiner

1653 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 362-v
(Protocoll. fol. 75. et seq.) Erschienen H Jacob Katzenstein E.E. groß. Rhats Beÿsitzer alß Vogt H Hannß Israel Faust. E.E. Statt Gerichts Beÿsitzers mit Weÿl. Fr. Annæ Waltzin nunmehr seel. ehelich erziehlter Kinder, Ferner Er H. Faust alß Vogt Jfr. Salomeen Mahlerin, und H. Adam Müller Wachtschreiber und Cancelleÿ Verwanther alß Ehevogt Fr. Catharinæ Mahlerin, alle mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers und H Johann Peter Schmidts beed. alß auß EE groß. Rhats mittem hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein Ulrich Greiners deß Weißbeckh
Eine Beckhen behaußung mit dero höfflin, hinderhauß und allen übrig. Gebäwen & alhie ahne der Obern Straß. gegen den Bierhauß Zur Glockh. hienüber, einseit neben Tobias Roth dem Ganth Käufflern, anderseit neben hannß Jacob Frölich dem Meßerschmid. hind. auch vff demselb. stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Hÿlarÿ 4 lb 14 ß 6 d lößig mit 105 lib. dem gemeinen groß. Allmosen Zu St Marx, Item vff Simonis & Judæ Apostolorum 2 lib 12 ß 6 d lößig mit 52. lib. 10. ß besagtem Allmosen, Item vff Georgÿ 2 lib 12 ß 6 d lößig mit 52. lib. 10 ß H Daniel Braunen dem handelßmann ehevögtlich. weiße, so ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 150. lib. H Daniel Steinbockken alten groß. Rhats Verwanthen – über die vorgemeldte Beschwärdten gescheh. umb 200. lib
[in margine :] diße 105. lb. d Capital seind dem gemeinen groß. allmoß. Zu St Marx abgelößt word. wie in deß berührts Allmoß. Protocoll de A° 1527. fol. 143. et seq. mit mehrerm Zu find.

Ulric Greiner rachète en 1654 à l’aumône Saint-Marc un capital garanti sur la maison

1654 (28. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 72
Erschienen hannß Georg Rhem, im nahmen H Georg Rhemen alß Schaffners deß groß. gemeinen Allmosens Zu St. Marx seines Vattern,
hatt in gegensein Ulrich Greiners deß Weißbeckh.
bekannt, daß derselbe die ienige 5 fl. straßb. wehr. so Er iährlich vff Simonis & Judæ Apostolorum, vermög eines teutsch. pergamentinen am 28. 8.br. a° 1563. mit deß damahlig. Bischoff: hoffs anhangendem Insigel gefertigt. Zinnßbrieffsn von, vff und abe seiner alhie geg. dem Bierhauß Zur Klockh hienüber gemegener beckhen behaußung Zu Zinnß Zu raich. schuldig geweßenen ist gedachtem allmosen mit 100. fl. besagter Wehr. abgelößt

Ulric Greiner achète de son voisin le coutelier Jean Jacques Frœlich un terrain et une écurie qui se trouvent entre la propriété de l’acquéreur et l’auberge à l’Ours Noir. L’acquéreur s’engage à contruire un mur de séparation qui lui appartiendra. Chaque propriétaire recueillera de son côté les eaux de pluie.

1658 (21. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 20.-v
Erschienen Hanns Jacob Frölich der Meßerschmid und Salome sein Eheweib
in gegensein Ulrich Greiners deß Weißbeckhen
Eine hoffstatt, Stallung und bühn Von und ahne Ihr der Verkäuffer alhier in der Obern Straßen, Zwischen dem Bierhauß Zum Schwartzen Beeren und Ihme dem Käufferen Gelegener Behaußung, für freÿ Ledig und eigen, dann ob wohnen Ihr der verkäuffer Gantze Behaußung umb 78 lb 15 ß dem mehrerm Hospital, Item umb 35. lb Jacob Eckhels deß Würths Zum Hirschen Kindern erster Ehe und dann umb 40. Rthl. H. Männiglich Greiner, U.J.Di. et Advocato verhafftet, So hatt iedoch H Johann Friderich Schiedt alß Schaffner berührten Hospitals hiebeÿ Zu gegen, angezeigt, daß seine vorgesetzte Hh. Pflegere auff die verkauffte parten ædiam verzug gethan, die Unterpfandts Gerechtigkeit aber auff der Zurück verbleibender Behaußung außtruckhlich reserviret haben, Wie wohlen auch Ehrengedachter H Dr Greiner für sich selbsten und Emanuel Gastelius der Glaßmahler undt Glaßer, alß Vogt Gemelter Eckhelischen Kinder hiebeÿ Zuegegen, geweßen, und ieder resp: seiner Vogts Kinder und sein eigen uff der Gantzen Behaußung, und also auch in specie auff den ietzverkaufften haußtheil, in Crafft ihrer Contract verschreibungen, habende unterpfands gerechtigkeit, außtruckhlich und ohne einige schädliche Newerung reservirt und vorbehalten
Dabeÿ Zwischen Verkauff und Kauffenden parteÿen insonderheit bedingt word., daß der Käuffer den erkaufften theil, Von der Verkauffenden Eheleut behausung, mit einer Mawr Zu underscheiden, auch die obere Rigelwandt Zu Zuemawren befuegt, Zumahlen solche Mawr und Rigelwandt des Käuffers seiner Erben und Nachkommen völlig eigenthumb sein, Auch der Naach Zwischen beeden theilen abgeschnitten werden, und ieder theil den dachtrauff von seiner Gerechtigkeit in seine Gerechtigkeit empfangen sollen – umb 37 Pfund

Ulric Greiner hypothèque la maison au profit de Gaspard Kilien Gambs

1670 (22. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 685-v
Erschienen Ulrich Greiner der Meelmann
in gegensein H Hannß Caspar Erharts deß Schulschaffners alß Curatoris Caspar Chilian Gambßen seines Schwagers – schuldig seÿe 50. lb
Unterpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie ahne der Obern Straßen, gegen dem Bierhauß Zur Glockhen hienüber, einseit neben dem Bierhauß Zum Beeren, anderseit neben Simon Hollender dem Huotmachern, hinden uff Isaac dochtermann den Pastetenbeckhen stoßend gelegen

Inventaire après décès du boulanger Jean Frédéric Gross, dans la boulangerie face à l’aubergiste à la Cloche. Jean Frédéric Gross a épousé en 1660 Marie (Anne Marie) Bilger de laquelle sont issus quatre enfants. La masse propre à la veuve est de 246 livres, celle des héritiers de 18 livres, celle de la communauté de 74 livres

1673 (6.8.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 8) n° 206
Inventarium vndt Beschreibung aller Vndt Jeder haab nahrung Vnd güeter, so Weÿland der Ehrengeachte Meister Johann Friderich Groß, geweßener Weißbeck undt burger alhier, nach seinem den 21.ten Martÿ dießes Zue End gemeltten Jahrs aus dießer Zergänglichen Welt genommenen seel. hienscheiden V. begehren des Ehrenvesten Wohlvorgeacht v. rechtsgelehrt Herr, Johann Großen, Wohlmeritirt Bedienten allhießigem Zoll Keller alß geordnet und geschworenen Vogts, Hanß Friderichs, Annæ Mariæ, Johannis V. Hanß Daniels, aller Vieren deß Verstorbenen, seeligen mit hernach gemelter seiner geliebten haußfr. d. nunmaligen hinderbliebenn Wittibin Ehelich erzeugtes Kinder V. ab intestato hinderlaßener Erben, Welcher aber in nahmen seiner Vogts p.sonen die Verlaßenschafft anderst nicht dann cum beneficio legis et Inventarÿ angetretten haben will, durch die Tugendsame Fraw Mariam Bilgerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstand deß Ehrenhafften V. Vorgeachten H. Ulrich Greiners, Meelmanns Undt burgers allhier ihres geordnet und geschworenen Vogts – Actum Straßb. Mittwochs den 6. Augusti A° 1673.
Copia Eheberedung

In einer in der Statt Straßburg in d. Straß. gegen dem bierhauß Zur glocken gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung ist befunden worden, wie Volgt
Ahne Haußrhat. Aufm Kasten, In d. bauren Cammer, In d. Cammern A, In d. Cammern B, Auffm gang, Im vordern Stock In d. obern Stuben, In d. Stub Cammer, Im obern haußöhren In d. Vndern Stuben, In d. Kuchen, Im Keller
Haußrath (W 9, E 18, T 47), Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig (T 2), Ahne Früchten v. Meel (T 19), Silbergeschmeid (W 7), Ahne guldinen Ringen (W 4)
Sa. der Wittib unverändert Vermögen 246 lb, Sa. d. Erben unverändert Vermögen 18 lb, Sa. gantzen theilbaren guts 74 lb
Sa. passiv Schulden (It. H. Ulrich Greinern soll mann Keller Zinß) 268 – Conclusio Finalis, des Wittib restirende unveränderte Nahrung 70 lb
Behausung. Item ist das am Krautmarckt gelegene Bilgerische beckenhauß Anno 1663. d. 11. Aprilis ane Fr. Annam Mestr Philippß Metzgers deß Weißb. Vndt burgers alhiergeiebte haußfraw pro 1232 fl. Verkaufft, und Ihr Mariæ Antheil (…) 154 lb
Ergäntzung d. Erben unverändert guts. Denselben Wehrt mann ebenmäßig crafft Vorhandener document Vnderschiedliches Zuergäntz. schuldig, weilen aber die Wittib beÿ Weittem Ihres alienirt Unverändert guths halber nicht gelieffert werd. kann, als ist solches zubeschreiben erwehnt ursachhalber Und. laß. V. allen dieses Zum bericht eingeführet Word.

Fils de sénateur, Jean Frédéric Gross épouse en 1660 Anne Marie Bilger, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124, n° 54)
1660. Zum 2. mahl hans Friderich Groß der Weißbeck, hr Johann Friderich Großen E E Großen Raths beisitzers ehel: Sohn, undt Jfr. Anna Maria Weiland Wolffgang Bilgers geweßenen Weißbecken Burgers alhie hinderlaßene ehel. Tochter. Dienstags de 23. 8.bris Maurst: Münster, Thierg. (i 127)

Ulric Greiner vend la maison 825 livres au boulanger Jean Georges Müller et à sa femme Marie
1675 (9. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 586.a-v
Ulrich Greiner der Mehlmann
in gegensein Hannß Georg Müllers deß Weißbeckhen und Mariæ beÿder Eheleuth
Eine beckhen behaußung mit dero höfflin, hinderhauß, platz daran, und allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier ahn der Obern Straßen gegeb dem Bierhauß Zur Glockhen hinüber, einseit neben hannß Martin Wetzel dem huetmachern anderseit neben dem Bierhauß Zum Bähren, hinden uff Isaac Dochtermann den Würth stoßend gelegen – umb 825. lb

Originaire de Balingen en Wurtemberg, Jean Georges Müller épouse en 1675 Marie, veuve du boulanger Jean Frédéric Gross (voir ci-dessus)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 3, n° 12)
1675. Zum 2 mahl Hanß Georg Müller der Weißbeck Johann Müllers, Wirth Zu Bahlingen im Hertzogthumb Wirtenberg ehel. Sohn, Fr. Maria, Weiland Hanß Friderich Großen, gewesenen Weißbecken v. Burgers alhier nachgelaßene Wittib. Donnerstags den 6.ten Maji, Münster (i 4)

Jean Georges Müller devient bourgeois quelques jours après son mariage
1675, 4° Livre de bourgeoisie p. 417
Hannß Georg Müller der weißbeck Von Bahlingen empfangt das burger Recht von seiner haußfr. Maria, weÿl. hannß Friderich Großen hinderlaßener wittib pro 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuvor Ledigen standts gewesen vnd wirdt auff E E Zunfft der becker dienen. Jur. 20. maÿ1675.

Jean Georges Müller et sa femme Marie hypothèquent deux maisons au profit de la fondation Schenckbecher, celle sous les Grandes Arcades et celle Grand rue. En marge, quittance remise à son gendre par alliance Jean Erard Metz et à sa femme Anne Marie

1685 (29.5.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 307
hannß Georg Müller der Weißbeckh und Maria Müllerin beÿde Eheleuthe und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand Lorentz Webers und Mathis dürren beeder Schuhmacher
in gegensein deß Edel- und hochgelehrten herren Marci Mappi Med. Doct. und Profess. beÿ hiesiger Löbl. Universitet, herren Philipp Albrecht Weseners fünffzehen Secretarÿ im nahmen der Schenckbecherischen Stifftung wie auch herrn Johann Schragen auch Fünff Zehn Secretarÿ alß Schaffners besagter Stifftung, schuldig seÿen 1000 fl., daß Sie damit Zweÿ erste beschriebene nachgemelte häuser erkauffen und daß Angeld Völlig erlegen können
unterpfand, zweÿ häußer ein Vorderes und ein hinders mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier under der Großen Erbslauben einseit neben weÿl. Herren Daniel Kipsen geweßenen dreÿers der Statt Pfenningthurns nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, anderseit neben herrn David Meÿer dem Specereÿ händler stoßend gelegen
Ferner solle in specie Unterpfand sein, Eine becken behaußung, höfflein, hinderhauß, platz daran, mit allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier ahne der Obern straß einseit neben Daniel Schwebel dem huetmacher, anderseit neben dem bierhauß zum bähren, hinden uff Michel Kleinen den Kieffer stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hierinn gemeldt. debitoris hans Georg Müllers angezeigt und bekandt, demnach Er Müller nechts allein die hierin alß eine vergehnde beschwerde angegebene Catharina Bilgerin Johann Sebastian Otten haußfrauen gehörige 1400 fl. Kauffschillings rest nach und nach bezahlt, wie in d. CContstub Reg. de A° 1685. fol. 306. in marg. Zu befind. abgestattet, sondern auch nunmehr die hiein gemeldte Zweÿte hypothecirte ane der Obern straß gelegene Behaußung an hans Erhard Metzen, dem Weißbeck. und Annam Mariam, gebohrner Großin, deßen Stiefftochtermann und tochter wie underm 4. Martÿ diß jahrs bereits verschrieben ist, käufflich überlaßen und in der der Kauffverschreibung in Reg. de hoc A° fol. 160.b in man.* amortirter Verschreibung dieselbe dahin angewisen die hierin verschriebene 500 lb Capital (…) über sich allein zu übernehmen (…), den 24.ten 7.br. 1700

Jean Georges Müller loue la maison et la boulangerie au boulanger Georges Pierre Metz

1685 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 366-v
Hannß Georg Müller der Weißbeckh
in gegensein Georg Peter Metzen auch Weißbecken
entlehnt, eine Weißbecken behaußung mit allen deren Gebäwen und zugehördten allhier in der Langen straß einseit neben Hannß Georg Bicken dem Bierwürth zum Bähren, anderseit neben Daniel Schwäbel dem huetmacher gelegen auff dreÿ Jahr lang Von Joh: Baptæ: dießes Jahrs angerechnet umb einen Wochentlichen Zinnß benantlichen 16. ß.
dabeÿ ist expresse abgeredt worden, daß der Verleÿher den einen S. V. Schweinstall deß Entlehners ohngehindert die Lehenung über nutzen und gebrauchen möge

Autre location au farinier Jean Martin Lauterbach

1688 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 250-v
hans Georg Müller, der Weißbeck
in gegensein hans Martin Lauterbachs, deß Mehlmanns
verlüh., Eine Becken behaußung sambt einem höfflein, mit allen deren Gebäuen und zugehördten allhier in der straß einseit neben dem Bierhauß zum schwartzen bähren, anderseit neben Balthasar Füßel dem Kantengießen, hind. auff Michael Kleinen den Kieffer stoßend gelegen, auff dreÿ jahr lang von Johannis Bapt. diß jahrs an zu rechnen, umb einen wochentlich. Zinß nemblich 16 schilling

Jean Georges Müller loue la maison à son beau-fils Jean Gross

1692 (12. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 393-v
hans Georg Müller, der Weißbeck
Johannis Großen deß ledigen weißbecken seines Stieff Sohns, mit beÿstand Friderich Kuntzen, deß Küblers seines Vogts
entlehnt, Eine Becken behaußung mit allen deren Gebäuen und zugehördten, allhier an der Obern Straßen einseit neben dem Bierhauß Zum schwartzen Bähren, anderseit neben H. Johann Verschen dem Nagelschmid und EE Großen Raths beÿsitzern, hind. auff Michel Kleinen gewes. Kieffers wittib stoßend gelegen auff Sechs Jahr lang von Michaelis dieß Jahrs an zu rechnen umb einen wochentlich. Zinß nemblich 16 ß für iede woch und alle Vier woch. 3 lb 4 ß richtig abzustatten

Jean Georges Müller hypothèque la maison au profit de son beau-fils Jean Daniel Gross

1698 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 260
ut supra [hans Georg Müller, der Weißbeck]
in gegensein Friderich Kuntzen, des Küblers, alß Vogts Johann Daniel Großen deß ledigen Weißgerbers sein Müllers Stieffsohns, schuldig seÿe 40 pfund
unterpfand, Eine Beckenbehaußung p perge auß immediate vorstehende verschreibung
Ferner Eine becken behaußung mit allen Gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier an der Obern Straßen, einseit neben dem Bierhauß Zum Schwartzen Bähren, anderseit neben H. Johann Carl Hanen Med. Doctori und E.E. großen Raths alten beÿsitzern, hnd. auff weil. Michael Kleinen gewes. Küffers sel. Erb. stoßend geleg.

Jean Georges Müller loue la maison au boulanger André Kuntz

1698 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 332-v
Hans Georg Müller, der Weißbeck
in gegensein Andres Kuntzen, des ledigen Weißbecken Und burgers allhier mit beÿstand Lorentz Karchers auch weißbecken
entlehnt, eine Becken behaußung sambt deren Multen und anderen geschirr, darüber die Parthen eine besondere specification aufsetzen, mit allen übrig. gebaüen, Und zugehördten, gelegen allhier in der obern Straß einseit neben dem Bierhauß zum schwartzen bähren anderseit neben Hn Johann Carl Hammerer, Med. Doct., auff dreÿ jahr lang Von inn stehend Joh: Bapt: angehend, Umb einen wochentlichen zinns, Nemlich Ein Pfund

Jean Georges Müller se remarie avec Barbe Senckeissen, fille de boucher : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Heüraths Verschreibung – Zwischen dem Ehren undt vorgeachten Herrn Johann Georg Müllern, Weißbecken undt Burgern alhier Zu Straßburg als Hochzeiter, an einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Barbaræ Senckeißin, Weÿland Lorentz Senckeißens geweßenen Metzgers und Burgers alhier seeligen nachgelaßener ehelichen dochter als hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen und Verhandelt in der Königl. Freÿen Statt Straßburg, Montags den 1. Septembris Anno 1698.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 65-v)
1698. den 22. Octobris A° 1698. seind copulirt Worden Hanß Georg Müller Weißbeck v. burger alhie V. Jungfrau Barbara Lorentz Senckeisens Metzgers v. burgers alhie hinterlaßene eheliche tochter (signé) H G M dise 3 buchstaben hat Hochzeiter hieher gesetzt, Barbara sekeÿsin als hochzeiterin (i 67)

Jean Georges Müller hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de Jean Philippe Lobstein, sergent du consul

1698 (29. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 804
Johann Georg Müller, der Weißbeck
in gegensein H. Johann Jacob Grünwalds Notar. Publ. alß vermög eines von hernach gemeldt seinen ppalen. eÿgenhändig unterschriebenen auff heut datirt. gewaldts constituirt. Mandatarÿ H. Leopold Meinicken, deß Fastenspeishändlers alß Vogts Hn Johann Philipß Lobsteins gewesenen Ammeister Knechts Kind. Vier, davon die ältiste tochter nahmens Susanna Maria hierbeÿ zugeg. war, schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, eine Becken behaußung, mit dero höfflein, hind. hauß, platz daran, und allen übrig. deren Gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier ane der obern Straß geg. dem bierhauß zur glock, einseit neben H. Johann Carl Hammerer Medicinæ Doctore & Pract. anderseit neben dem bierhauß zum bähren, hind. auff Michael Hatt den Küffer stoßend geleg.

Jean Georges Müller meurt en 1707 en délaissant quatre enfants issus de ses deux mariages. L’inventaire est dressé dans la maison aux Grandes Arcades. La masse propre à la veuve est de 185 livres, celle des héritiers de 1684 livres. L’actif de la communauté s’élève à 410 livres, après déduction du passif à 220 livres
1707 (3.5.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 5)
Inventarium über des Ehrenhafften und Vorgeachten Hn. Johann Georg Müllers, geweßenen Weißbecken und Burgers alhie zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1707. – nach seinem Sambt. d. 9.t Aprilis jüngsthien aus dießer mühesamen Welt genommenen seel. Abschiden, hinterlaßen, Welches auf erfordern und begehren hernachgemelt des seel. Verstorbenen rechtsmäßiger Erben und Theils deroselben Vögte, durch die Ehren: und tugendsame Fraw Barbaram gebohrne Senckeißin die hinterbliebene Wittib, mit assistentz des Ehren: und vorgeachten H: Ludwig Prions des Küblers und Burgers alhie, jhres wohl constituirten und geschwornen Vogts – Actum in der Königl. Freÿen Statt Straßburg Dienst. d. 3. Maÿ A° 1707.
Der abgeleibte Herr seelig hatt ab intestato Zue Erben Verlaßen 1. Isaac Oberlin, Joh: Georg Oberlin und Anna Catharina Oberlin, weÿl. frn: Catharinæ Müllerin der ältisten Tochter seel: mit H. Isaac Oberlin dem Wbecken ehelich erzeugte 3. Kindere, in Ersten Stamm deren geordnet und geschworner Vogt H. Joh: Fried: Groß, auch Weißb: dem Geschäfft beÿgewohnt, 2. Hn Philipp Müllern, Weißbecken und Burgern alhie in Andern Stamm, 3. Jungfr. Margaretham Müllerin, welche beÿständlich Hn Joh: Großen des Weißbecken jhres noch ohnentledigten Vogts, auch dem Geschäfft persönlich assistirt hatt, in dritten Stamm und 4. Johann Georg Müllern, in deßen Nahmen deßelben geschworner Curator H. Joh: Sebastian Gast beÿ dem Inventatons Geschäfft sich eingefunden, im vierten Stammen, Alle 4. Seine in Zwohen Ehen erzeugte eheliche respectivé Kinder und ab intestato rechtsmäßige Erben
Copia der Eheberedung

Haußrath. In einer under der großen Gewerbslauben alhier Zue Straßb. gelegenen denen Erben ohnverändert und hernach beschriebenen Weißbecken Behausung ist befunden
Schrein: und Höltzenwerck, In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stuben, Im Obern Haußöhren, In der Knecht Cammer, In der undern Stub. Im Haußöhren, Im höfflein, In d. Küchen, Im Keller
haußrath (W 15, E 76, T 67), Wein Leere Faß und Bütten (E 5, T 82), Früchten, Mehl und Kleÿen (T 70), Bennholtz (T 2), Schiff und geschirr Zum Weißb. handw. gehörig (E 5), Silber geschirr und Geschmeids (W 4, E 19), Guldene Ring (W 4), Baarschafft (W 8, E 4, T 5)
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Eine Vorder: und Hinder Behaußung mit allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörd. Gebäuen, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier in d. S: St: under der Großen Gewerbslauben gelegen
Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 1980, Schulden (W 75)
Schulden aus dem Erbe zu bezahlend 190
Ergäntzung der Fr. Wittib abgegangenen ohnverändert Guths. Laut des über beed. Ehegemächte Zusammen gebrachte Nahrung durch Hn Joh: Jacob Grünwamd Notm. publ. see. d. 19. 9.bris A° 1698. auffgerichteten Inventarÿ
der Fr. wittib Ergäntzung 76, der Fr. Wittib ohnverändertes Vermögen 185 lb
Hierauff wird auch der Erben ohnverändert Nahrung beschrieben, haussteuren 13.Craft eines Extractus datirt Bahlingen d. 16. Febr: A° 1701 hatt der Verstorbene seel. beÿ weÿl. frn: Annæ Mariæ gebohrner Kochin auch weÿl. Hannß Müllers geweßenen Adlerwirths u. Burgers daselsten hinderlaßene Wittib als seiner Mutter seel. freÿwillig übergab in ohpartheÿischen Looß erhalten, so jetzt zu ergäntzen (…) 1641, davon geht wiederumb ab 1822, Conferendo erhellet daß der Erben Ergäntzungs Abzugs die Ergäntzung übertrifft nähmentl. umb 180. lb, Sa. aller Nahrung 2092, Der Erben ohnveränderter Rest 1684 lb
Summa summarum des völligen theilbarn Vermögens 410 , Theilbarer Rest 220 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2089 lb
Copia der Heüraths Verschreibung (…) Montags den 1. Septembris Anno 1698.
(Grosse) Theil Register, darinnen Waß Isaac, Johann Georgen und Annæ Catharinæ Oberlin, beÿ abtheilung Weÿland Herrn Johann Georg Müllers gewesenen Weißbecken und Burgers Zu Straßburg jhres geliebten Großvatters seeligen Verlaßenschafft vor einen vierten theil erb: und eigenthümlichen Zu: und angefallen begriffen, auffgerichtet 1707

Jean Georges Müller ainsi que le tuteur de ses enfants et celui de ses beaux-enfants vendent la maison 850 livres au boulanger Jean Erard Metz et à sa femme Anne Marie Gross, belle-fille du vendeur

1700 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 159-v
hans Georg Müller, der Weißbeck, mit beÿstand H. Friderich Kuntzen deß Küblers, seiner Stieff Kind. u. H. Wolffgang Friderich Fimpels, deß haußfeurers seiner Kinder erster Ehe Vögte
in gegensein Johann Erhard Metzen, deß Weißbecken, und Annæ Mariæ geb. Großin mit beÿstand Johannes Großen, deß weißbecken, ihres bruders, daß Er Mülller Ihnen beed. Eheleuthen seinen tochtermann und Stiefftochter verkaufft
Eine becken behaußung mit dero höfflein, hinderhauß, Platz daran und allen übrig. deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht Und gerechtigkeit. allhier an der Obern Straßen, geg. dem bierhauß zur Glocken, anietzo den würthshauß zu d. dreÿen Königen, über, einseit neben Hn Johann Carl Hammerer, Med. Doctor. and. seit neben dem bierhauß zum Schwartz. bären, hinten auf Michael hatten, d. Küffer stoßend geleg.
umb 250 Capital verhafftet (…), so haben doch obbemelden Vögte sich erkläret, daß Sie die ietz verkauffte behaußung freÿlaß. und sich damit vergnüg. wollen, daß Er H. Verkäufer Sie deßentweg. auff seine selbst bewohnenden ob. an d. großen Gewerbslauben gelegenen behausung versicheren wolle, geschehen umb 850 pfund

Les acquéreurs hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit du mineur Jean Frédéric Boch

1700 (25. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 494
Johann Erhard Metz, der Weißbeck und Anna Maria geb. Großin, zwar dieselbe mit beÿstand H. Friderich Kuntz, deß Küblers Ihres Vettern Und Johannes Großen deß Weißbecken, Ihres leiblich. Bruders
in gegensein H. Isaac Wagenmann deß Küffers alß Vogt Johann Friderich Bochen – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Eine Becken behaußung, mit dero höfflein, hind.hauß, Platz, daran, und allen übrig. deren gebaüen, Brgriffen, weithen, zugehördt. Rechten Und Gerechtigkeit, allhier an d. obern straß. geg. de bierhauß zur Glocken, anietzo dem würthshauß zu den dreÿen König. über, einseit neben Hn Johann Carl Hammerer Med. Doctor anderseit neben dem bierhauß zum schwartzen bähren, hind. auff Michael Hatt. den Küffer stoßend geleg.

Originaire d’Œhringen en juridiction de Hohenlohe, le boulanger Jean Erard Metz devient bourgeois en juillet 1696 par sa fiancée Anne Marie Gross, fille du boulanger Jean Frédéric Gross. Le mariage a lieu une semaine plus tard.

1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 679
Joh: Erhard Metz der ledige beck, Von Öhringen Hohenloischer Jurisdiction, weÿl. Joh: Erhard Metzen gew. Becken alda, hint. Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Maria, weÿl. Joh: Friderich Großen burgern vnd Becken allhier hint. Ehel. tochter seiner Verlobten gratis ist noch ledig. standts und wird beÿ E. E. Zunfft der Becken dienen. Jur. d. 18. Dito [Julÿ] 1696.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 55-v)
1696. den 25. Julÿ seind copulirt Worden Hanß Erhard Metz lediger Weißbeck von öringen Herrn Hanß Erhard Metz burger meisters daselbsten hinterlaßener ehelicher Sohn Und Jungfraw Anna Maria, Johann Friedrich Großen Weißbecken V burgers alhie hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Erhard Metz alß bräutigam Anna Maria Großin alß bräut (i 57)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au bas des Grandes Arcades près de la Monnaie. Les apports du mari s’élèvent à 55 livres, ceux de la femme à 176 livres.
1696 (30.7.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 28) n° 881
Inventarium vndt beschreibung aller und Jeder haab vnd Nahrung, so der Ehrsam Vnd Bescheidene Meister Hannß Erhard Metz weißb. V. die Ehren und Tugendsame fr. Anna Maria gebohrne Großin, beede Eheleuth Vnd burgere alhier Zue Straßb. einand. in den ohnlängst mitt einander angetrettenen Ehestand für Unverändert Würcklich Zuegebracht haben (…) Actum in d. Königlichen Freÿen Statt Straßb. in beÿsein H. Hanß Georg Mülles weißb. V. unds alhier ihr d. Fr. Stieffvatters v. seiner Ehelich haußfrau Vnd dißorths leiblich. Mutter wie auch H. Friderich Kuntz. Küblers V. auch burgers alhier ihres noch ohnentledigten vogts Montags d. 30. Julÿ Anno 1696.
Inn einer d. Statt Straßb. vnd d. groß. Erbslaub. geg. d. Müntz gelegen vnd dh geliebt. Eingangs ged. Eltern gehörig. behaußung
Sa. Kleydung (M 23, Sa. haußraths (F 109 und 4), Silberr (F 12), Guldinen Ring (F 9), baarschafft (F 40, M 11), Summa summarum dein deß Manns gantzen unverändert in die Ehe gebracht Vermögens 55, Summa summarum Alles deßen So Sie die Fraw für unverändert in die Ehe gebracht hatt 176 lb

Jean Erard Metz se remarie en 1720 avec Anne Catherine Richter, veuve du ceinturier Chrétien Ostertag : contrat de mariage, célébration

1720 (13.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 390
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen Herrn Johann Erhard Metzen, Weißbecken vnd Burgern alhier als hochzeitern An einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Annæ Catharinæ Gebohrner Richterin, Weÿl. H Christian Ostertags geweßenen Gürttlers vnd burgers Alhie nachgelaßenen Wittib Als der Hochzeiterin, am andern theil
Actum Straßb. (…) Dienstags den 13.ten Augusti Anno 1720. [unterzeichnet] Johann Erhard Metz als hochzeiterer, der Hochzeiterin hanzeichen +

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 85-v)
1720.d 11. Sept. seind Ehelich eingesegnet Word. Johann Erhardt Metz der Weißbeck und Burger allhier und Jfr. Anna Catharina weiland Christian Ostertags geweßenen Gerbers Und Burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johan Erhard Metz als hochzeiter, + der hochzeiterin Zeichen (i 88)

Fille d’un chaudronnier de Rostock, Anne Catherine Richter devient bourgeoise en 1793 par son mari Chrétien Ostertag
1693, 4° Livre de bourgeoisie f° 631
Anna Catharina Richerin Von Rostock, Christoph Richters des Kupferschmidts tochter, empfangt das burgerrecht von Christian Ostertag dem Gürtler Vnd burger allhier, Ihrem Ehemann p. 2. Gold fl. Vnd 16. ß, so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt Worden, War Zuvor ledig. standts und Wird Zu E. E. Zunfft der Schmid dienen. Promis. d. 22. Dito. 1693.

Chrétien Ostertag et Anne Catherine Richter font baptiser une fille en 1695.
Baptême, Temple-Neuf (luth. f° 242)
1695. Eodem [Mont. den 14. Martÿ] ist ein Kind zu tauffen. Christian Ostertag b. und Gürttler, Anna Catharina Richterin, Catharina Elisabeth
H. Johann Michael Witter b. und Silberarbeiter, Maria Joh: Conrad Bestorns b. u. Kiefers frau, Susanna, Christian Richters Kuperschmidts auch Zollers m Steinstraßer thor haußfrau (i 249)

Chrétien Ostertag meurt en 1719 dans une maison de location ruelle des Dominicains en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve est de 159 livres, celle des héritiers de 100 livres. L’actif de la communauté s’élève à 115 livres et le passif à 270 livres
1719 (19. 8.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 46) n° 20
Inventarium über Weÿl. des Ehren Vorgeachten Mr. Christian Ostertags, geweßenen Gürttlers und burgers zu Straßb. seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1719 – Nach seinem den 8.ten 7.bris Jüngst hinn aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren 1. der Ehrn: undt tugendsahmen Fr. Mariæ Jacobeæ Schneiderin gebohrner Ostertagin, Weÿl. Mr Simon Schneiders geweßenen Spengler und burgers allhier nachgelaßene Wittib, welche, weil Ihr Vogt hernach gemelter Emanuel Ostertag, beÿ dießem gesch: interessirt, mit beÿstand M Joh: Jacob Spöttnagels bürstenbinders und burgers allhier den gesch. beÿgewohnt, 2. Mehr der Ehrn und tugendsamen Fr. Anna Barbaræ Marckwarthin geb. Ostertagin, Weÿl. Mr hannß Marckwarths geweßenen Gürttlers u. burgers alhie seel. nachgelaßener Wittib, welche mit beÿstand H. Joh: Daniel Kuglers Hohltrehers u. burgers alhier, Ihrer Kinder geschwornen Vogt u. hierzu in specie erbettenen Assisteten Zugegen 3. Ferner deß Ehrenhafften Mr Emanuel Ostertags auch gürttlers u. burgers alhier welcher dem gesch. vor sich selbsten in person gegenwartet, 4. So dann deß auch Ehrenhafft Mr Joh: Georg Ostertags ebenmäßigen Gürttlers u. allhiesigen burgers so in person Zugegen, Alß aller 4, deß abgeleibt. seeligen Geschwüsterd u. Zugleichen portionen und antheilen ab intestato nachgelaßener rechtsmäßigener Erben Vorgenimmenn ersucht und inventirt durch die Ehren und tugendsame Frau Annam Catharinam ostertagin gebohrne Richterin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz Joh: Heinrich Langen deß jüngern Notarÿ publici u. burgers alhier Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßb. Donnerstags d. 19. 8.bris A° 1719
Copia der Eheberedung, pge. in Prot : C fol : 1176.a et seqq
Copia Codicill reciproci, pgne in Prot. C fols. 1178.a et seqq.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Prediger Kirchgäßel gelegener u. in dieße Verlaßensch. nicht gehöriger behauß. befunden worden, wie Volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Nebens Cammer, In der küchen
Schulden, It: H, Joh: Daniel Berg. dem Handelßmann soll man Crafft Conto – It: demselben ferner Von Joh: Baptæ biß Michaelis Vor ¼. Jahr haußzinß
Ergäntzung der Erben unverändert Gutts, Nach besag deß über Weÿl. Frawen Annæ Elisabethæ Ostertagin, gebohrnet Roßauerin Auch Weÿl. Hn Emanuel Ostertags Geweßenen Gürttlers und burgers alhier seel Wittib, als des Jetzt Verstorbenen Geliebten Mutter seel. Verlaßenschafft, durch Johann Heinrich Lang Jun. Notm. in A° 1707 auffgerichteten Abtheilungs Concepti
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 8, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Schulden 25, Sa. Ergäntzung 124, Summa summarum 159
Dießemnach wird auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Erg. Rest. 114, Summa summarum 125 lb – Schuld 25, Nach deren Abzug 100 lb
Endlichen wird auch das Gemein, Verändert und theilbar Gutt beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Werckzeugs Zum Gürttler handwerck gehörig 35, Sa. der wein vnd Leeren Vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Guldener Ring 1, Sa. baarschafft 36, Summa summarum 115 – Schulden 270 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 114 lb

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari, non estimée. Les apports du mari s’élèvent à 585 livres, ceux de la femme à 344 livres.

1720 (26. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 48) n° 28
Inventarium über deß Ehren vorgeachten Herrn Johann Erhard Metzen deß Weißbecken und der Ehren: und tugendsahmen Fr. Annæ Catharinæ Richterin, beeden Eheleuth und burgere allhier Zu Straßb. einander für unverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1720. – der Ursach Halben, damit mann sich Künfftiger Zeitder in Ihrer auffgerichteten Heüraths Verschreib. Verglichenen Erg. wegen, danach Zu reguliren haben möchte – Actum Straßb. Donnerstags d. 26.ten Septembris A° 1720.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegener und Hiehero gehöriger behauß. befunden worden wie volgt. In der obern Stub (…)
Eÿgenthumb an einer Behaußung (M.) Item Eine Becken Behaußung, mit dero höfflein, hinderhauß, Platz daran v. Allen übrigen dero Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten, alhier ane der Obern Straß, Gegen dem Bierhauß Zur Klocken, anjetzo dem Würths hauß Zu den dreÿen Königen hienüber, eins. neben Johann Kräutler dem Krempen, 2.s neben Georg Picken dem Biersieder Zum schwartzen Beeren, hinden auch auff denselben stoßend, davon Gehen Jährlichen 20. lb d à 4. pro Cto Gerechneten Zinß auff Urbani fallend, der Schenckbecherischen Stifftung alhier, ablößig in Cap: mit 500. lb d. Sonst gegen männiglichen freÿ ledig und eigen, Es ist aber dieße behauß. nicht Zu æstimiren sondern wann dieselbe stehender dießer Ehe verkaufft werden solle, waß solche dem Kauffschilling nach ergäntzt werden solle, verglichen. Darüber sagt i. teutsch Perg. Kbr, mit der St. St Anh. C. C. Ins. verw. de dato 4. Martÿ A° 1700. mit Altem N° 1 notirt v. dabeÿ gelaßen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manns unverändert Gutt. Sa. haußraths 470, Sa. Werckzeugs Zum Weißbeck Handwerck gehörig 12, Sa. Frücht v. Meels 116, Sa. Leerer Vaß 184, Sa. Schwein 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Guldener Ring 16, Sa. Baarschafft 119, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 155, Eigenthumb ane einer behaußung o, Summa summarum 1155 lb – Schulden 569 lb, Deß Ehemanns restirende Unveränderte Nahrung 585 lb
Der Frawen unverändert Vermög., Sa. haußraths 156, Sa. Werckzeugs Zum Gürttler handwerck gehörig 38, Sa. Sibergeschmeids 26, Sa. Guldener Ring 21, Sa. Weins v. Leerer Vaß 16, Sa. Baarschafft 51, Sa. Schulden 35, Summa summarum 344 lb

Anne Catherine Richter meurt en 1728 en délaissant pour héritiers testamentaires son mari et les enfants de celui-ci. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 209 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 739 livres, le passif à 650 livres

1728 (15.6.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 16) n° 386
Inventarium über Weÿl. Frawen Annæ Catharinæ geb. Richterin H. Joh: Erhard Metzen Sen.s Wbecken u. b. alh. zu Straßb. geweß. Ehefrawen nun seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet Anno 1728.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Hab und Nahrung wie solche nahmen haben, wo Weÿl. die Ehren und tugendsahme Fr. Anna Catharina geb. Richterin, deß Ehren u. wohlgeachten Hn Joh: Erhard Metzen Sen.s Wbecken u. b. alh. zu Straßb. geweß. Ehel. haußfr. nun seel. nach ihrem d. 16.t Martÿ dießes fortlauffend. 1728.ten jahrs genommenen tödlichen ableib. Zeitlichen verlaß. welche Verlaßensch. auf gebührendes ansuchen erfordern u. begehren deß Ehrengeachten 1. Mr Joh: Erhard Metzen Jun. ebenmäßig. Wbeckens u. b. alh. so Vor sich selbsten Zugeg. So dann deß Ehren vorgeachten Hn Joh: Großen, auch Wb. u. alh. b. als geordnete u. geschwornen Curat.s 2. Joh: Friderichs und. 3. Joh: Michaels, beed. ledig. Wbecken dieß. dreÿ deß hinderbl. Wittibers mit nun auch Weÿl. Frawen Anna Maria geb. Großin längst seel. ehel. erzielt und von f. Verstorb. Fr. seel. crafft hernach eingetrag, Test. nunc: instituirten Erben, Vorgenommen ersucht u. inventirt (…) so geschehen in der St. Straßb. Dienstags d. 15.ten Junÿ A° 1728.
Copia der Zwischen Eingans ged. beÿd. geweß. Ehepersonen auffgerichteten Ehebered., pge. in weÿl. H Joh: Heinrich Lang Sen. Not. seel. Prot. sub Lit. G fol: 383.b et Seq.
Copia Test: Nunc. In dem Vid. in meo Prot: A fol. 531.b

In einer allh. Zu Straßb. ane d. lang. Straß liegend. u. in dieße Verlaßenschafft gehörig. behauß. bef. word. wie volgt.
Eÿgthb. an I.r Behauß. Hauß u. Höfflein, Hind. hauß, platz daran, mit allen deß. gebäuen, weith, recht. Zugehörd. u. Gerechtigkeit., geleg. alh. Zu Straßb. ane d. langen straß, I.s. neb. Joh. Kräuttler dem Krempen, 2.s Georg Picken Biersied. Zum schwartz. Beeren, hind. auch auff denselben stoßend, davon gehen jährl u. auff Urbani anjetzo und 14. lb d à 4. pro Cto gerechnet. gelds, der Schenckbecherisch. Stifftg. in Cap: ablößig mit 350. lb d. sonst seÿe deßelbe freÿ ledig eig. u. Vermög i. ad Conc. gel: d. 4. hujus datirter Von alh. Werckmeistern eigenh. subscrib. absch. æstimirt pro 900. lb, Nach abz. obig. beschwerd. wird annoch auszuwerff. sein 550. Darüber sagt i. teutsch perg. in alh. C. C. stb. gef. u. dero anh. Ins. Verw. V sub dato 4.ten Martÿ A° 1700. mit altem N° 1 notirt.
Ergäntzung, Vermög des üb. beÿd. gewes. Eheleuth einand. für unv: in die Ehe Zugebr. Nahr. durch nun weÿl. Hn Joh: Heinrich Lang sen. Notm. seel d. 26.ten 7.br. A° 1720. auffgericht. Invÿ.
Series rubricarum hujus Invÿ. Der Erben Unw: Nahrung. Sa. haußraths 45, Sa. faß 11 ß, Sa. Silbers 8, Sa. gold. o. 8, Sa. baarsch. 3, Sa. Erg. rests 143, Summa summarum 209 lb
Dießemnach wird auch sowohl des wittibers unv. als auch, weilen die Erben mit hülff ihres Vogts, auff d. theilb. guth renuncirt die theilb. Verlaßenschafft und. I. Massa beschrieben, Sa. haußraths 77, Sa. Wein u. Faß 30, Sa. Schiff und gesch. 5, Sa. Meels 31, Sa. Silbers 13, Sa. geld 7, Sa. Pf Zß hg 25, Sa. Eÿgenth. an i. behaußung 550, Summa summarum 739 lb – Schulden 650 lb, Nach deren Abzug 89 lb
Conclusio 563 lb
Abschatzung d. 4.t Junÿ aô 1728. Auff begehren des Ehrenvest, vnd Vorachtbahren herrn Johann Ehrhardt Metz Weißbeck ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straß gelegen, bestehet in einem beckenhauß, einseits Neben Geörg Bick Biersieder Zum Beeren, anderseit neben Johann Kreidtler Spielmann hinden auf H Johannes groß Weißbeck tochter, welche behausung hindergebäulein Stuben Cammeren, Meel Kammer Kuche, Hauß Ehren, Mit Herd und Waßerstein, back stübel, back offen, back Küche, so gewölbt, gebälckter Keller, höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird vor und umb 1800 gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs.

Jean Erard Metz hypothèque sa part de maison au profit de la fondation Heller

1737 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 434-v
Johann Erhard Metz der weißbeck
in gegensein der Hellerischer Stifftung allhier Pflegermeister Franciscus Oesinger J.V.Lti und C. Contracuum allhier Actuarÿ und H. Johann Silberrad Schffners besagter Stifftung und alten dreÿers hiesigen Pfenningthurns – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, dreÿ quart für ohnvertheilt ahne einer weißbecken behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein, holtzhauß, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Obern straß gegen dem Bierhauß zu der Klock anjetzo dem hauß zu denen dreÿen Königen über, einseit neben Georg Pick dem Bierbrauer zum schwartzen Bären, anderseit neben Johannes Kräuttler dem Musico, hinten auff gedachten Picken – als ein währender ehe am 4. Martÿ 1700 erkaufft mithin theilbares guth, ihme zu acht 12° theiler und als erben seiner nach der mutter verstorbenen tochter Anna Maria weÿl. Johann Hamann weißbecken ehefrau seel. zu 1/12 theil so dann zu übrigen 3/12 theil seinen noch lebenden söhnen Johann Erhard, Johann Friedrich und Johann Michael deren Metzen alle dreÿen weißbecken

Jean Erard Metz l’aîné meurt en 1742 en délaissant trois fils boulangers issus de la première femme. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 380 livres, le passif à 819 livres.

1742 (3.2.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 17) n° 407
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten H. Joh: Erhardt Metz des ältern, geweßten Weißbecken u. burger alhier Zu Straßb: nunmehro seel. Verlaßenschafft – nach seinem den 16.ten Jan: dießes angetrettenen 1742. Jahrs genommenen tödl. ableiben Zeitl. Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren, der auch Ehrengeachten h: Joh: Erhardts, H: Joh: Michaels u. Herrn Joh: Friderichs der Metzen, aller 3. Weißbecken und burgern dahier, des abgelebten seel. mit auch Weÿland fraun Annæ Mariæ geb. Großin in erster Ehe erzeugter u. hinterlaßener 3. Söhnen deßen nach ab intestato Erben, maßen der abgeleibte in 2.ter Ehe mit weÿl. Frauen Catharina Ostertagin gebohrner Richterin Keine Kinder erzeugt, inventirt – So geschehen in Straßb. d. 3.ten febr. 1742.

In einer allhier Zu Straßburg in der langen Straß neben dem bierhauß Zum schwartzen bähren gelegener und hernach beschriebener Weißbecken behausung ist befunden wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung und hoffstatt, höfflein v. hinterhauß, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten u. gerechtigkeiten, gelegen dahier Zu Straßb: ane der mangen Straß, I.s; Neben Johannes Kräutlers dem Krempen, 2.s: H. Joh: Georg Pick dem biersieder, hinden deßgleichen, welche behaußung durch der Statt Straßburg geschw. Werckmeistere Vor freÿ, ledig u. Crafft Ihrer ad Conceptum gelüfferter Abschatzung vom 24.ten Jan: 1742. æstimirt u. angeschlag. worden ad 1300. lb. Welche behaußung der Schenckbecher. Stifftung umb 700 fl. So dann der hellerischen Stifft. umb 500 fl. Cap. verpfändt seÿn solle, so hernacher passive eingetragen befindt. Über sothane behaußung besagt I. teutsch. perg. Kauffbr, m. C. C. St. anh: Ins: dat: d. 4. Martÿ 1700. m. a. N° 1 sign.
Norma hujus invent. Sa. haußraths 64, Sa. Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig 19 ß, Sa. Leerer faß und bütten 6, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ringen 4, Sa. Eigenthumbs ane Einer behaußung 1300, Sa. der Schuldt 1, Summa summarum 1380 lb – Schulden 819 lb, Nach Abzug deren, Stall Summa 560 lb
Abschatzung dem 24. Januarÿ: 1742. Auff begehren weillandt deß wohll Achtbahren und bescheitenen Meister Johann Erhart Mëtz deß gewesenen weißbecken seel. hindter Laßenen Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Langen Straßen gelegen ein seitß Neben Johanneß Chreütler dem Musicanten, ander seitß Neben und hinden auff Meister Johann Jörg Picken dem bier sieter Stoßend welche behausung unden ein gangß daß hauß Ehren Neben daran ein Stuben Kuchen unden darunder ein gewelbter Keller der hoff die bachstuben und bachoffen hinden daran der heyen schoppf oben ihm Ersten Stockh eine Stuben hauß Ehren darinnen der herdt und waßerstein, der gang Mëhll Kamer und Nebenß Cammer, ihm 2.ten Stock Zweÿ Cammer der gang die Soldaten Cammer und nebenß Cammer, oben dar über ein altter tach stüll mit Zweÿ besetzten bienen daß dach mit holl Ziglen belegt, sambt aller gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg gewesenen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jëtzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt vor und umb Zweÿ Tausent und acht hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Frédéric Metz cède sa part de la maison à ses deux frères Jean Erard et Jean Michel Metz

1742 (11.4.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 17) Joint au n° 407 du 3 févr. 1742
(Inventarium über Weÿl. H. Joh: Erhardt Metz des ältern, geweßten Weißbecken u. burger alhier Zu Straßb: Verlaßenschafft)
(f° 18) Cession undt Übergaab deß 3. theills der behaußung. Erschienen beÿ diesem Abtheÿllungs Concept H. Johann Friderich Metz der Weißbeck undt burger dahier, der hat in gegensein H. Johann Erhardt Metz undt H. Johann Michael Metz seiner beeden gebrüderen auch weißbecken undt burgere dahier anwesendt mein unterschriebenenen Notarii undt dißorts Inventir schreiber offentlich angezeigt und bekandt daß Er Hr Joh: Friderich Metz vor sich undt seine Erben
seinen beeden gebrüderen vorgedacht in gemeinem ohnverändert Erb auffrecht vest undt Unwiderrufflich Cedirt, Verkaufftt undt zukauffen gegeben
den dritten theil ahn ihrer Ihnen Comparenten zuständigen ererbten Weißbecken behaußung Neben den bier hauß zu schwartzen bären in der Langen straß dahier gelegen, wie selbe im dem von mir Not° den 3. febr. letzthin auffgerichteten Vätterlichen Verlaßenschaffts Inventario beschrieben befindlich, mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten undt gerechtigkeiten welche gantze behaußung aber der Schenckbecherischen Stifftung dahier annoch umb 700 fl. und der hellerischen Stifftung dahier umb 500 fl. beedes ane Capital verhafftet – umn 700 guldten oder 350 lb. – Actum Straßburg den 11. Aprilis 1742.

Jean Erard et Jean Michel Metz hypothèquent la maison au profit du sénateur et boulanger Jean Jacques Lauth

1742 (21.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 183-v
Johann Erhard und Johann Michael Metz beede gebrüder weißbecken
in gegensein H. Johann Jacob Lauth des weißbecken und E.E. großen Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, zween höfflein und hoffstätt cum appertinentis ane der langen straß einseit neben dem bierhauß zum schwartzen bären, anderseit neben Johannes Kipp dem kutscher, hinten auff ermeldtes bierhauß – theils als ein vätterlichen erb theils als ein von ihrem bruder und miterben im unvertheilt erb angenommenes guth

Jean Erard et Jean Michel Metz louent la maison au boulanger Jean Adam Sebastian

1742 (23.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 n° 539
Johann Erhard und Johann Michael Metz gebrüder weißbecken
in gegensein Johann Adam Sebastian des weißbecken
entlehnt, eine ane der Obern straß einseit neben dem bierhauß zum Schwartzen Bären anderseit neben Johannes Kipp dem kutscher gelegenen weißbecken behausung samt deren zugehördend und gerechtigkeit, nichts davon als den platz zu dreÿ in dasigem keller würcklich liegenden faßen ausgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff letztverwichenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 gulden

Anne Catherine Braun, femme de Jean Erard Metz meurt en 1746. L’inventaire est dressé dans une maison quai au Bois (quai des Bateliers). La moitié de maison Grand rue y est estimée à la valeur portée à l’inventaire de Jean Erard Metz père ; cette même valeur sera ensuite citée dans les inventaires ultérieurs

1746 (9.3.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 17) n° 416
Inventarium über Weÿland der Tugendtsamen fr. Annæ Catharinæ Metzin gebohrner Braunin herrn Johann Erhardt Metz deß weißbecken undt burgers dahier zu Straßburg gewesten 2.ten Ehefrauen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet aô 1746. – nach ihrem den 7.ten Januarÿ dieses angetrettenen 1746.ten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen und begehren Mstr Johann Braunen auch weißbecken undt burgers dahier der abgeleibten Fr. seel. brudter alß verordneten undt geschworenen Vogts dero mit ermeltem ihrem hinterbliebeneen Wittiber ehelich erzielter undt nach todt Verlaßener Zweÿer Kindter Namentlich Anna Catharina undt Johann Erhardt die Metzen, deroselben per Testamentum nuncupativum mit angehenckten fidei Commiss instituirter Erben inventirt (…) Actum Straßburg auff Mittwoch den 9.ten Martÿ In fernerem beÿsein H. Notarÿ Frantz Heinrich Dautels von seith. deß Wittibers, So dann von Seithen der abgeleibten frawen seel. fr. Dorothea Walterin gebohrner Braunin dero Schwester Anno 1746.

Inn Einer dahier Zue Straßburg ane dem holtzstaden ohnfern dem bierhauß Zum Vogelgesang gelegener aber nicht hieheo gehöriger Weißbecken behaußung hat isch befunden wie volgt
Im der Schwartzgetuch Kammer, In der Knecht Cammer, In der Magd Cammer, In der Undern Cammer, in der Obern Stub Cammer, In der Obern Stub, In der untern stub, In der Kuchen
Eigenthumb ane Einer behaußung, so deß Wittibers unverändert. (W.) Die Helffte Von vndt ane einer Weißbecken behaußung undt hoffstatt, hinderhauß undt höfflein, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten undt Gerechtigkeiten, gelegen dahier Zu Straßburg ane der Langen Straß, I.s: Neben Johannes Kräuttlers deß gewesenen Krempen Erben, 2.s. H. Joh: Geörg Pick dem biersieder Zum Schwartzen Bären, hinden deßgleichen, waran die übrige helfte sein deß Wittibers bruder H. Joh: Michael Metz auch Weißbecken dahier zuständig undt were sothane gantze behaußung in anno 1742. beÿ dero Vatters seel. Verlaßenschafft Inventation durch der Statt Straßburg geschw. Hh. Werckmeistere Vor Ledig eigen abgeschätzt undt angeschlagen wordten umb 1300. lb. d beÿ welchem anschlag mann auch dermahlen Es ohnpræjudicirlich gelaßen, Trifft allhero vor die angehörige heffte 650. lb. Undt ist sothane gantze behaußung der Schenckbecherischen Stifftung annoch umb 700 fl. So dann der hellerischen Stifftung annoch umb 500 fl. Capital verhafftet macht beedes Zue sammen 1200 fl. woran die helffte dem Wittiber hiehero fol. (-) passive eingetragen Zu befinden mit 300. lb. Über sothane behaußung besagt I. teutscher perg. Kbr, m. der Cancelleÿ Contr. St. Insigel dat. den 4. Martÿ 1700. m. alt. N° 1 signirt.
(E.) 2/15.te theill Vor Unvertheilt Von und ane Einer behaußung terge hernacher beÿ dem Wittem biß ziù außwurff der 325. lb. d.
(E.) Wÿdemb, Welchen Fr. Anna Catharina Schuhmacherin gebohrne Hohin H. Joh: Geörg Schuhmachers deß Weißbeckh. undt burgers dahier Ehegattin der verstorbenen Fr. seel. leibl. Mutter Zeit lebens Zu genießen. Nambl. Es hat weÿl. Hr Friderich Braun der geweßte Weißbeck undt burger alhier der verstorbenen sel. Eheleiblicher Vatter (…)
Ergäntzung der beeden Kindern und Erben, Vermög deß von mir Notario in anno 1740. auffgerichteten undt verfertigten Inventarÿ illatorum (…)
Norma hujus inventarii. Copia des vor mir d. 22. aug. 1744. mit einander auffgerichteten Codicilli reciproci – Copia Testamenti nuncupativi
Deß Wittibers ohnverändert undt die theilbare Nahrung so weillen der Kindter vogt auff das theilbar guth renuncirt unter Einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 89, Sa. Schiff und geschirr Zum becken handwerck gehörig 11, Sa. brennholtz 4, Sa. Frucht, Meel, Kleÿen und gekörns 119, Sa. faß undt bütten 12, Sa. Silber undt geschmeidts 27, Sa. goldener Ringen 4, Sa. der baarschafft 77, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 650, Sa. Activi 12, Summa summarum 1009 lb – Schulden 862 lb, Conferendo 146 lb
Verstallungs Summa 770 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg auff Dienstag den 8. Novembris anno 174-, Johann Kolb
Copia Testamenti nuncupativi – 1745 (…) dinstag den 13. tag des Monaths Aprilis abends Zwischen Sieben und Acht Uhren beÿ Zweÿen hellbrennenden lichtern in meiner allhier Zu Straßburg ane der Großen Gewerbs laub liegenden, Von mir Notario bewohnenden behaußung dero vordern Zwo Steigen hoch sich befindlichen Stub mit denen Fensfern auf die gaß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen die Viel Ehren und Tugendsamen Frau Anna Catharina Metzig gebohrne Braunin, des Ehren und Wohlvorachtbaren herrn Johann Erhardt Metz des Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg eheliche haußfrau Von der gnade des grundgütigen Gottes aufrechten gesund gehend und stehenden Leibes
behaußung ane der Viehe Gaß (…) Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus

Jean Michel Metz hypothèque sa moitié indivise de maison au profit de sa belle-sœur Anne Ursule Jung femme du farinier Jean Martin Albrecht

1747 (29.8.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 574-v
Johann Michael Metz der weißbeck
in gegensein seine schwägerin Fr. Annæ Ursulæ geb. Jungin Martin Albrecht des Meelmanns Ehefrau mit beÿstand H. Not. Frantz Heinrich Dautel – 500 gulden zu einem lebtägigen wÿdem verschafft
unterpfand, die unvertheilte helffte einer weißbecken behausung samt deren zugehörden und rechten ane der Obern straß, einseit neben Johann Georg Pick dem biersieder zum Bären, anderseit neben René Lanier dem korbmacher, hinten auff gedachten Pick

Jean Erard Metz cède sa moitié de maison à son frère Jean Michel Metz qui en devient ainsi seul propriétaire

1748 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 497-v
Johann Erhard Metz der weißbeck
in gegensein seines bruders Johann Michael Metz des weißbecken
eine weißbeckbehausung bestehend in vorder und hinderhauß, zween höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, weithen, zugehörden und rechten ane der Langen straß, einseit neben dem Bierhauß zum schwartzen Bären, anderseit neben René Lanier dem korbmacher, hinten auff ermeltes bierhauß – die übrige helffte aber seinem bruder gehörig – um 350, 250 und 300 pfund verhafftet welche er pro rata übernimmt, geschehen um 2050 pfund

Jean Michel Metz épouse en 1732 Marie Salomé Jung, veuve du boulanger Laurent Karcher : contrat de mariage, célébration
1732 (17. Xbr), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 25
Eheberedung Zwischen Herrn Johann Michael Metzen, leedigen Weißbecken, des Ehrengeachten herrn Joh: Erhard Metzen, ebenmäßigen Weißbecken und burgern allhier mit Weÿl. der Ehren undt tugendsamen Frauen Anna Maria Metzin gebohrner Großin seiner Ehegattinin seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem braütigamb, mit assistentz seines Vatters vorgedacht und herrn Johann Adam Bußlers des Schuhmachers und b. allhier seines vettern ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Maria Salome Karcherin gebohrner Jungin Weÿl. herrn Lorentz Karchers geweßenen Weißbecken und burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib, beÿständlich herrn Johann Jacob Kiehlen des Zimmermanns und b. allhier ihres geschwornen Vogten und herrn Jacob Jungen ebenmäßigen Weißbecken und burgers allhier ihres leiblichen Vatters als der hochzeiterin am andern theil
So geschehen allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Mittwoch den 17.ten Decembris A° 1732. [unterzeichnet] Johann Michael Metz als hochzeiter, Maria Salome Karchin als wietib als hochzein

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 109, n° 403)
1733. f. 4. febr sind nach 3. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden Joh: Michael Metz der Ledige b. v. Weißbeck alhie, H. Joh: Erhard Metzen b. v. weißbecken ehl. Sohn v. fr. Maria Salome weÿl. H. Lorentz Karchers geweß. b. v. Weißbecken Nachgel. wittib, [unterzeichnet] Johann Michael Metz als hochzeiter, Maria salome Karcherin (i 113)

Fils de boulanger, Laurent Karcher épouse en 1711 Marie Salomé Jung, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 234, n° 1023)
1711. Mittwoch den 9. 10.mbr. seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich copulirt worden Lorentz Karcher der ledige Weißb. h. Lorentz Karchers b. v. Weißb. ehl. Sohn vnd f. Maria Salome Jacob Jungen b. v. Weißb. allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Lorentz Karcher alß Hochzeiter, Maria Salome Jugin als hochzeiterin (i 233)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg de Pierre, provenant de Laurent Karcher. Les apports du mari s’élèvent à 176 livres, ceux de la femme à 1 191 livres.
1733 (23.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 232) n° 23
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrenachtbare Meister Johann Michael Metz der Weißbeck und die Ehren und tugendsame frau Salome gebohrne Jungin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in ihren Ehestand zugebracht haben – So geschehen allhier in der Königlichen Stadt Straßburg auff den 3.ten Monatstag Augusti et sequentibus Anno 1733. In præsentia Herrn Jacob Jungen des Weißbecken und burgers allhier der Ehefrauen geliebten Vatters.

In einer allhier Zu Str. ane der Steinstraß gelegenen, von der Ehefr. in wÿdumbs weiß genießenden weÿl. H. Lorentz Karchers geweß. Weißbecken und b. allh. der Ehefr. Ersten Ehemanns seel. hinderl. Erben eigenthümlich zuständigen beh. folgender maßen befunden worden.
Wÿdumb Welchen nun weÿl. Hr Lorentz Karcher, der gewesen Weißbeck und burger allh. dißorts Ehefrauen als seiner hinterbliebenen Wittib Zeit lebens verordnet
Series rubricarum hujus Invii. Des Ehemanns Guth, Sa. haußraths 74, Sa. Schiff v. geschirrs 4, Sa. Silbers 17, Sa. baarschafft 62, Summa summarum 158 lb – Dazu gelegt desselben haussteuren angebührige Helffte 18 lb, Solchemnach beträgt des Ehemanns in die ehe gebracht sambtlich Guth 176 lb
Der Ehefrauen Nahrung, Sa. haußraths 548, Sa. Schiff und geschirrs zum becker handwerck gehörig 32, Sa. holtz 24, Sa. frucht 67, Sa. Wein v leerer Faß 39, Sa. Silbers 40, Sa. goldener Ring 35, Sa. baarschafft 247, Sa. Schulden 138, Summa summarum 1172 lb – und wann auch noch die Helffte ane nachbeschriebenen haussteuren dazugerechnet wird antreffend 18 lb, So macht der Ehefrauen gesambt in die Ehe gebracht guth dem billigen Werth nach auß 1191 lb

Jean Michel Metz devient tributaire le 20 décembre 1732 (les registres de la tribu manquent à cette date)
1750, Registres annuels de la Taille (VII 1243) f° 188-v
Becker – Johann Michael Metz, ins. 20. Xbr: 1732

Jean Michel Metz s’offre d’acheter le drapeau de la tribu présenté au Roi. Les parties sont en litige sur le prix.
1744, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 41-v) Donnerstags den 29.t Octobris 1744
In Sachen Johann Michael Metz deß weißbecken dahier, so alß Fendrich E. E. Zunfft Wappen, da Ihro Königl. Maÿestäth Ludovicus XV. König in Franckreich Unser Aller Gnädigster König undt herr, dahier zu handen empfangen, den Er aber anjetzo vor Sich Eigenthümlich Zu behalten gesinnet, Vorgebendt herr Rathh. Geiger hätte Ihme Solchen Zuegesagt undt Versprochen.
Erkandt solle beklagter Metz schuldig seÿn den Fahnen innerhalb Vier und Zwantzig stunden E: E: Zunft wider Zu lüffern, dargegen will man Ihme die Stang undt was er daran machen Laßen wider erstatten auch vor seine bemühung sechs gulden Zu kommen laßen. N. Sance der sticker dahier erscheint fordert von obangeregtem der Zunfft fahnen Zu machen 27. livres, Welches E: E: Zunfft Gericht Zu Viel Zue seÿn duncket. Sance schützt Vor Er hätte mit dem herrn Zunfft Meister den accord also getroffen E: E: Gericht offerirt demselben 24 liures undt so Er selbe nicht annehmen will, so wolle man die Sach oder arbeith gehöriger orthen Taxiren laßen, demnach hat Sance die 24 liures sogleich acceptirt undt dafür quittirt.

(f° 45-v) Dinstags den 5. Januarÿ 1745 – In Sachen Johann Michael Metz pt° der Zunfft Fahnen Vom 29.ten 8.bris letsthien, ist auff deßen producirten Conto vom 16. Xbr 1744. der in summa 25. fl. 5 ß antrifft Erkandt daß demselben nach angeregter Gerichtlicher Erkandtnuß vor seine bemühung 6 fl
vndt vor die stang, bleÿ undt machen Lohns deß fahnens 4 fl
Undt also in allem nur 10 fl. und nicht mehrers sollen bezalt werdten.

Marie Salomé Jung meurt en 1747 en délaissant pour unique héritière testamentaire sa sœur. L’inventaire est dressé dans la boulangerie sise au Faubourg de Pierre. La moitié de maison Grand rue est portée à l’inventaire, au prix retenu lors de l’inventaire d’Anne Catherine Braun (voir ci-dessus). La masse propre au veuf s’élève à 413 livres, celle des héritiers à 3 627 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 239 livres, le passif à 3 040 livres

1747 (27.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 366) n° 254
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariä Salome Metzin, geb. Jungin, des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Michael Metz des Weißbecken und burgers allhier zu Straßburg geweßener Haußfrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1747. – als dieselbe Donnerstags den 23.ten Martÿ dieses lauffenden 1747.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sowohl Vorgedachten Herrn Johann Michael Metz des hinterbliebenen Wittibers mit assistentz des Edel, Wohl Ehrenvest Großachtbahr und Rechts gelehrten Herrn Johann Daniel Stöbers, Notarÿ publici und berühmbten Practici seines erbettenen Herrn beÿstandts als auch der Ehren und tugendsamen Frauen Annä Ursulä Albrechtin gebohrner Jungin des Ehren und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Martin Albrecht des Meelhändlers und burgers allhier geschiedener Ehefrauen der Verstorbenen seeligen eheleiblicher Schwester und ab intestato Verlaßener Universal Erbin mit beÿhilff des Edel Wohl Ehrenvest großachtbahr und Rechtsgelehrten herrn Frantz Heinrich Dautels Notarÿ publici und vornehmen Practici, Ihres erbettenen herrn Assistenten, wie auch des Ehren: und wohlvorachtbaren Herrn Andreä Münch des Weißbecken und burgers allhier Ihres geliebten Tochtermanns ersucht (…) So geschehen in Straßburg auf Donnerstag den 27.ten Aprilis et seq. Anno 1747.

In einer allhier Zu Str. ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen, Von der Abgeleibten seeligen aus Erster Ehe theils Lebtägig genoßenen theils in diße theilbare Nahrung gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer, In der Knecht Cammer, Im Oberst hindern Stüblein, Im Keller
Antheil ane häußern. (T.) Ein drittertheil vor ohnvertheilt von und ane einer Weißbecken behaußung ane der Vorstatt Steinstraß (…)
(W.) It. der halbetheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffstatt, hinderhauß und höfflein mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, einseit neben Joh: Kipp dem Gutscher, anderseit neben herrn Johann Georg Pick dem bierbrauer Zum schwartzen Bähren hinden wieder auf denselben stoßend, welche gantze behaußung vor freÿ, Ledig und eigen in dem, über Weÿland Frauen Annæ Catharinæ Metzin gebohrner Braunin herrn Johann Erhart Metz des Weißbecken und burgers allhier, geweßener Zweÿter Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, durch herrn Abraham Kolb, Notarium publicum et Practicum in Anno 1746. auffgerichteten Inventario fol: 79. fac. I.ma durch der Statt Straßburg geschwornen Hern Werckmeistere angeschlagen auch dißmahlen dabeÿ gelaßen pro 1300. lb, Beträgt daran der hiehero gehörig halbetheil 650.
Und ist die übrige helffte vorgedachtem herrn Johann Erhardt Metz des Wittibers eheleiblichem bruder für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig. Über die gantze behaußung besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret de dato 4.ten Martÿ 1700. mit altem N° 1 bezeichnet, welchen besagter Herr Johann Erhard Metz, als mit participant in handen haben solle.
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guts. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter beeder geweßener Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch herrn Frantz Heinrich Dautel Notarium publicum et Practicum in Anno 1733. auffgerichtet
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte seelige Von auch Weÿland herrn Lorentz Karcher, dem geweßenen weißbecken und burgern allhier Ihrem Erstern haußwürth ebenmäßig seel. Lebtägig genoßen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Des Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 3, Sa. goldenen Rings 6 ß, Sa. Antheils ane einer behaußung 650, Sa. Schuld 75, Erg. wird Von dem abgang übertroffen, Summa summarum 733 lb – Schulden 320 lb, Detrahendo Verbleibt 413 lb
Dießemnach wird auch der Erbin ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 139, Sa. Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig 12, Sa. Silber geschmeids 8, Sa. goldener Ring 15, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1225, Sa. Schulden 126, Erg. Rest 2174, Summa summarum 3702 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 3627 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein verändert und Theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 69, Sa. Schiff und geschirr zum Becken handwerck gehörig 2, Sa. Frucht und Meels 32, ß Brennholtzes 6, Sa. Wein und Lährer Vaß 49, Sa. Silber geschmeids 7, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 94, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1525, Sa. Antheils ane einer behaußung 400, Sa. Schulden 47, Summa summarum 2239 lb – Schulden 3040 lb, In Vergleichung 801 lb – Stall Summ 3074 lb
Abschatzung dem 5. Maÿ. 1747. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen Martin Johann Michelm Mëtz deß weilandbecken, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Stein Straß

Jean Michel Metz se remarie en 1748 avec Marie Elisabeth Klein, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration. La mari assure à sa femme la jouissance viagère de sa maison
1748 (14. 8.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 326
Eheberedung Zwischen derm Ehrengeachten Hn Johann Michael Metz, dem Weißbecken Wittiber und burger allhier Zu Straßburg alß dem hochzeiter, mit assistentz Hn Johann Jacob Lauth auch Weißbecken und E. E. großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfr. Mariä Elisabethä Kleinin Weÿl. H. Johann Georg Klein, deß geweßenen Kieffers und b. allhier seel. mit fr. Dorothea Elisabetha geb. Reebhaanin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen Hn Johann Martin Schwind deß Kieffers und Weinhändlers allhier ehelich erzeugter tochter amß der Jgfr. Hochzeiterin mit beÿstand ihres erstged. H. Stieffvatters ane dem andern theil, gepflogen
6.to hat der hochzeiter sich gegen der Jgfr. Brauth wohlmeinend ercläret und Vernehmen laßen, mithin deroselben consentirt und eingewilliget, wann E Vor Ihro dießes Zeitliche gesegnete, daß Sie seine allhier Zu Straßburg ane der Langen straß gelegene Becken behaußung einseit neben dem Bierhauß Zum schwartzen Bähren, anderseit neben einem Korbmacher, hinten auf Voriges Bierhauß stoßend, die tag Ihres lebens wÿdembs weiße Zu besitzen, Zu bewohnen, Zu nutzen und Zugenießen berechtiget, dagegen aber auch schuldig und Verbunden seÿn sollen selbige in gutem bau stand und Ehren Zu erhalten, Wie auch Von denen alß dann darauff hafftenden passiv Capitalinen die jährliche Zinß abzurichten und Zu bezahlen (…)
Actum Straßburg Montags den 14.ten 8.bris A° 1748. [unterzeichnet] Johann Michael Metz als hochzeiter, Maria Elisabetha Kleinin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 294-v, n° 1055)
1748. Mittw. d. 6. Nov. seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Joh: Michael Metz weißbeck b. und Wittiber allhier u. Jfr. Maria Elisabetha Weÿl. H. Joh: Georg Klein des Kiefers und b. alhier hinterl. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Michael Metz als hochzeiter, Maria Elisabetha Kleinin als hochzeiderin (i 300)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 994 livres, ceux de la femme à 704 livres. Le prix d’estimation retenu pour la maison est celui cité à l’inventaire d’Anne Catherine Braun

1748 (25. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1146) n° 581
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Johann Michael Metz des Weißbecken und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariæ Elisabethä Metzin gebohrner Kleinin, beeder Eheleuthe und bürgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, Auffgerichtet Anno 1748. – in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich deren jeedes Vermög Ihrer den 14.ten 8.bris dieses zu end gehenden 1748.sten Jahrs vor mir Notario auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio Vor unverändert reservirt und vorbehalten haben (…) So beschehen in fernerem beÿweßen Hn Johann Martin Schwind des Kieffers und Weinhändlers und Frauen Dorothea Elisabetha gebohrner Reebhahnin, beeder Eheleuthe und bürgeren allhier der Ehefrauen respê. Stieffvatters und eheleiblicher Mutter, Straßburg Montags den 25.ten 9.bris et Sequenti Anno 1748.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen straß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (M.) Nembl. Eine behaußung, hoffstatt, hinderhauß und höfflein, mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Langenstraß, j. s. neben S. Lannier dem Korbmacher, 2. s. neben H. Johann Georg Pick dem bierbrauer Zum schwartzen Bähren, hinden wieder auf denselben stoßend, welche vor freÿ, leedig und eigen in dem, über Weÿl. Fr. Annä Catharinä Metzin gebohrner Braunin, H. Johann Erhart Metz, des Weißbecken und burgers allhier, geweßener Zweÿter Ehefrauen nun mehr seel. Verlaßenschafft, d. H. Notarium Abraham Kolb in A°1746. auffgerichteten Inv° fol: 79. durch der Statt Straßburg geschworne Hern Werckmeistere angeschlagen Vor 1300. lb. Über die gantze behaußung besagt j. teutscher perg. Kffbrf, mit der St. Str. anhangendem C. C. Insigel verwahret de dato 4.ten Martÿ 1700. mit altem N° 1 bezeichnet. Die eine helffte solcher behaußung War letzthin erwehntem Hn Joh: Erhard Metz deß ehemanns eheleibl. Bruder Zuständig, deme sie aber ist abgekaufft und in der C. C. Ctb. Verschrieben worden darüber der Kauffbrieff noch nicht Verfertiget.
(f° 15) Wÿdemb, Welchen der Ehemann aus erster Ehe lebtägig Zu genießen berechtiget ist. In Krafft der zwischen Ihme und seiner den 23. Martÿ A° 1747. verstorbenener ersten Ehefrau an Weÿl. Frauen Mariæ Salome gebohrner Jungin Vor H. Notario Frantz Heinrich Dautel den 17. Xbre A° 1732. auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns in die ehe gebracht Gut, Sa. haußraths 296, Sa. Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig 50, Sa.Curiosa o, Sa. Werckzeugs Zum drehen gehörig 6, Sa. Brennholtzes 6, Sa. Frucht, Meel und Kleien 131, Sa. Wein und leeren Faß 54, Sa. Silbergeschmeids 48, Sa. goldenen Rigs 13 ß, Sa. Baarschafft 494, Sa. Eigenthums ane I.r behaußung 1300, Sa. Schulden in die Nahrung zugeltend 13, Summa summarum 2402 lb – Schulden 1463 lb, Nach deren Abzug 939 lb, Wann aber darzu gerechnet wird die helffte ane denen haussteuren angehörig mit 55 lb, So macht des Ehemanns in die Ehe gebracht gut Zusammen aus 994 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 249, Sa. Silbergeschmeids 18, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 364, Summa summarum 648 lb – Darzu gelegt die ihro gebührige helffte ane denen haussteuren antreffend 55, So begreifft ihr der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen in sich 704. lb

Les contrôleurs de la tribu font grief à Jean Michel Metz de ne pas respecter le prix du pain. Il se justifie en disant qu’il s’agissait d’une aumône
1758, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 84-v) 1758. Donnerstags den 1. Junii – angeklagt
Iidem [Martin Albrecht und Joh: Michael Grieß beede Riegere Klagen] Cra. Michael Metz daß derselbe zu 3 beÿ Ihme angeholten schwartzen Laiben brod vor ½ Sols darin brod geben.
Derselbe sagt Zur Verantwortung daß derjenige Knab so sothane 3. Laib brod abgeholt, Ihme vor seine Krancke Mutter um Gottes willen ein Klein Weiß brödel gefordert, dahero er Ihme solches als ein Allmoßen geben Vermeint dahero nicht straffbar zu seÿn.
Erk. seÿe Bekl. von der Straff zu entladen und nur in daß Uncosten zu condemniren (Rieger 6 ß, Zunnftsch. 1 ß, Büttel 1 ß)

Les contrôleurs font grief à Jean Michel Metz de vendre des brioches fraîches un jour où il est tenu de vendre du pain sec. Il se justifie en disant qu’il avait mis les brioches à refroidir à l’extérieur
(f° 117) 1759. Dienstags den 19. Junÿ
Iidem [Michel Grieß und Georg Schäffer beede Er En Zunfft der Becker geschworne Riegere] Klagen contra Michael Metz den Weißbecken, daß er den 19. Maÿ als an seinem trockenen tag frist gebackene Brioches auf dielen liegend vor dem Hauß exponirt gehabt habe auch sonst allezeit an Seinen trockenen tägen * dem beÿ Ihme, seiner Außsaag nach bestelltem Eÿerbord Zum verkauffen außstelle.
Beklagter Zugegen sagt, Wann Er dergleichen bestellt habe, laße er solches Vor so in Hauß stellen nur daß es Kalt werden solle, nicht aber Zum Verkauffen.
Erk. solle bek. denen Klagenden Riegern 6 ß und 2 ß Gerichts Cösten Zahlen. (Rieger 6 ß, Prot. 1 ß, Büttel 1 ß)

Les contrôleurs reprochent par deux fois à Jean Michel Metz de vendre du pain frais les jours où il est tenu de ne pas le faire
(f° 151) 1761. Dienstags den 17. Februarÿ
Iidem [Stephan Franck, dieser Ehrs. Zunfft geschw. Rieger Klagt] Cra. Michael Metz den Weißbecken, daß derselbe am Neuen Jahrs tag, da sein trockener tag geweßen frisch gebacken Eÿer brod v. Stollen feil gehabt v. verkaufft.
Bekl. Ehefrau zugegen, Kan der Anklag nicht in Abred seÿn.
Erk. seÿe bekl. in 8 ß Straff und 2 ß Gerichts Costen Zu condemniren.

(f° ) 1762. Mittwochs den 6. Januarÿ 1762
Michael Kätzel v. Joh: Georg Schäffer dieser Ehrs. Zunfft geschw. Riegere Klagen Cra. Joh: Michael Metz den Weißbecken, daß derselbe d. 25. xbris Jüngst Von dem Laden hienweg Vor 5 sols Weich eÿerbrod v. den 6. Jan: letzthin abermahl 2. König Kuchen Verkaufft da doch beedes sein trockener tag ware, bitte denselben beÿ dem Articul nach zu bestraffen und
Bekl. Ehefrau Zugegen zur Verantwortung gesagt daß Was das Eÿerbrod beträffe seÿe solches aus der Stuben verkaufft worden, die König Kuchen aber belangend, wären solche trocken geweßene.
Ist aber durch die Riegere anderster überwießen.
Erk. seÿe Bekl. vor dieses mahl die Straff zu entlaßen v. nur in 3 ß vor die Rieger v. 10 ß ß Gerichts Cösten Zu condemniren. (Rieger 6 ß, Scriba. 1 ß, Büttel 1 ß)

Jean Michel Metz meurt en 1763 en délaissant deux filles issues de la veuve. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à la veuve est de 813 livres, celle des héritiers de 290 livres. L’actif de la communauté s’élève 230 livres et le passif à 1 522 livres

1763 (3.8.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1192) n° 1362
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten herrn Johann Michael Metz, geweßenen Weißbecken und bs. allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlt. auffgerichtet Anno 1763. – nach seinem Sambstags den 12.ten Junÿ dieses instehenden 1763.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verl. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und tugendsamen Fraun Mariä Elisabethä Metzin gebohrner Kleinin, der hinterbliebenen Wittib unter assistentz des Ehrenachtbaren herrn Johann Martin Schind, des ältern, Kiefermeisters und Weinhändlers auch bs allhier ihres geehrten Stiefvatters, den sie ane Vogts statt zu ihrem beÿstand hierzu erbetten, wie auch des Ehrenachtbaren Mr Theobald Roser, Weißbeck und bs. allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome, die, den 22.ten Maÿ 1753. und Catharinæ Salome so den 31.ten Maÿ 1755. zur Welt gebohren worden, und der Entseelte seel. mit Ihro seiner hinterbliebenen Fraun Wittib erzeugt, und ab intestato zu zwo gleichen portionen und haupttheilen Zu seinen Erbinen hinterlassen (…) So beschehen Straßburg Mittwochs den 3.en Augusti Anno 1763.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraß neben dem bierhauß zum schwartzen bären gelegenen und in diese Verl. gehörigen dannenhero hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folget
Eigenthum ane Einer behaußung. (E.) Nemblichen I. behaußung, Hoff, Hoffstatt, hinterhauß und Höfflein, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der langen Straß, 1. s. neben H. Johann Georg Pick, dem bierbrauer Zum Schwartzen Bären, 2.s neben Mr Balthasar Koch dem bohrermacher, hinten auf Juncker Rathsamhausen stoßend gelegen, so über hernach folgende passiv Capitalien gegen männiglich leedig und eigen, Es ist aber diese behaußung und dero zugehörd durch (die Werckmeistere) außweißlich deß Zu mein Notarii Concept übergebenen Abschatzung Zeduls vom 19.ten Julÿ jüngst für freÿ leedig und eigen taxirt worden pro 900 lb. Über die gantze behaußung besagt j. teutsch. perg. Kfbrf. mit der Stadt Stßbr. C. C. St. anh. Insigel verwahret de dato 4.ten Martÿ 1700. mit altem N° 1 bezeichnet. Die helffte dieser behaußung und dero Zugehörde hat der abgeleibte seelig von seinen Eltern seel. ererbet, und die übrige helffte in seinem Bruder Joh: Erhart Metz dem weißbecken und br. allhier erkauffet, wie der in allhiesiger C. C. stb den 27.ten Junÿ A° 1748. verfert. Kfbr. weiset
Ergäntzung der Wb. ermanglenden ohnveränderten Guths. Nach anleitung des über beeder geweßter Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch mich Notarius den 25.ten 9.bris et Seq 1748. Verfertigten Inventarÿ befindet sich dermahlen ane ihr der nunmahligen Wb. eingebrachten Vermögen
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Der Wb. ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 25, Sa. Silbern geschmeids 5, Sa. goldener Ring 7, Sa. Baarschafft 9, Sa. activorum 84, Sa. Ergäntzung 681, Summa summarum 813 lb
Solchemnach wird auch der Kinder und Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 63, Sa. Schiff und geschirrs Zum Becken handwerck gehörig 9, Sa. leerer faß 8, Sa. Silbern Geschmeids 15, Sa. goldenen Rings 6 ß, Sa. baarschafft 6, Sa. Eigenthums ane I. behauß. 900. Ergäntzung 818, Summa summarum 1824 lb – Schulden 1534 lb, Nach deren Abzug 290 lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 48, Sa. frucht Meel und holtz Zum becken handwerck gehörig 30, Sa. Weins und leerer faß 31, Sa. Geschmeids 3, Sa. baarschafft 117, Summa summarum 230. lb – Schulden 1522 lb, theilbar passiv onus 1291 lb
Beschluß summa gegenwärtigen Inventarÿ 1063. lb – Stall summ 61 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg Montags den 14. Octobris 1748
Copia Codicilli – der Ehrenachtbare Johann Michael Metz der Weißbeck und burger allhier Zu Straßburg mich Notarium (…) zu sich in seine ane der langenstraß gelegene Behaußung berufen und kommen und erbettenn laßen, welchen wir auf unßer erscheinen in der untern vordern Stub mit denen Fenstern auf die Gaß, des haußehren und die Kuchen außsehende, Krancken und schwachen dannenhero Zu bette liegendem leibs (…) Johann Daniel Stöber Notarius cum paraphe

Compte que rend le tonnelier Jean Martin Schwind de la gestion des biens qui appartiennent à ses petites-filles par alliance
1770 (30.4.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 876) n° 7, 13, 19, 24
Rechnung Mein Johann Martin Schwind des Kiefers Weinhändlers als geordnet und geschworenen Vogts Weil. Joh: Michael Metz des gewesenen Weißbecken seel. hinterlassener zwo töchtere, meiner stief Enckele, Namens Jungfr. Maria Salome und Jgfr. Maria Catharina der Metzen, In sich haltend was ich für dieselbe vom 14. 7.bris 1768 bis den 30. apr. 1770 eingenommen und hingegen wieder ausgegeben habe – Erste Rechnung dieser Vogteÿ

Partage du numéraire provenant de Marie Elisabeth Jung entre Marie Salomé Metz femme du farinier Jean Georges Riedinger et Marie Catherine Metz
1772 (2. Maÿ), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 861) n° 94
Abtheilung Derjenigen Baarschaft, so beÿ Erörterung Weil. Fraun Mariæ Elisabethæ Jungin gebohrner Kleinin Hn Johannes Jung, des Weißbecken und burgers alhier gewesenen Ehefraun seel: hinterlaßenen in erster Ehe mit Weil. Hn. Joh: Michael Metz, dem gewesenen ebenmäßigen Weißbecken und burgern allhier erzeugten Zwo töchteren, Namens Fraun Mariæ Salome Riedingerin gebohrner Metzin, Hn Joh: Georg Riedinger ds Meelhändlers und burgers alhier Ehefraun, und Jungfraun Mariä Catharinæ Metzin erblichen Zugefallen, und unter deneselben bisher ohnvertheilt geblieben
Summa 19. lb

Le tuteur des deux filles de Jean Michel Metz vend la maison au plus offant. Le boulanger Jean Jung s’en rend propriétaire

1764 (13.10.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 681-v
Diebold Roßer der weißbeck als vogt weÿl. Johann Michael Metz des weißbecken 2 töchter Salome und Catharina der Metz
in gegensein Johannes Jung des weißbecken, als letzt und meistbietenden
eine Weißbecken Behausung bestehend in vorder und hinter hauß, zweÿen höffen und hoffstäften mit allen begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Langen straß, einseit neben dem bierhaus zum schwartzen Bären, anderseit neben Johann Walter Koch dem bohenmacher, hinten auff ermeltes bierhaus – als ein elterlich erbguth – um 350 und 250 lb verhafftet, geschehen um 1425 pfund

Originaire de Schwindratzheim, Jean Jung est reçu tributaire chez les Boulangers le 9 août 1764 comme boulanger de pain blanc
1764, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12-13)
(f° 203) Gericht gehalten Donnerstags den 9. Augusti 1764 – Frembder Neuzünfftiger (dt. 4 lb 6 ß)
Johannes Jung von Schwindratzheim gebürtig prod. burger Urkund, will dißorts Leibzünfftig v. Weißbeck werden, bittet um gericgt. reception. Erk. Willfahrt

Le boulanger de pain blanc allemand Jean Jung est autorisé à devenir boulanger de pain blanc français
1770, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 28) 1770. Donnerstags den 27. Septembris – Handwercks änderung
Johannes Jung der bißherige teutsch Weißbeck, Will sein Handwerck in die frantz. Weißbecker Profession verwandlen, bittet Gerichts Permission.
Erk. seÿe Ihme nach Ordnung Zu Willfahren.

Les contrôleurs font grief à Jean Jung de vendre des bretzels. Il répond qu’il s’agit d’une commande destinée à la dégustation, passée par le meunier Walther qui le confirme
(f° 76) 1774. Quartal-Gericht Donnerstags den 22. Septembris – Straf
Die beÿden Rügere dieser Ehrsamen Zunft Klagen wieder Mr Johann Jung den frantzösischen Weis: becken, daß er den 13.ten Februarii h: a: Fasten: Brettstellen auf den Kauf gebachen Habe, bitten dahero zugegen bringt Zu seiner Verantwortung Vor, daß er Zwar Fasten: Brettstellen allein nur für gute Freunde gebachen habe, und unter andern Hn N. Walther dem Mühlen Biersieder etwelche Zum Versuchen als ein Præsent zugeschickt habe, Bitt deswegen absolutionem.Daraufhin wurde Erkandt. Seÿe Herr Walther darüber abzuhören. Herr Walther gegenwärtig sagte aus, daß er einige Fasten: Brettstellen aber nur Zum Versuchen bey ihme Beklagten hat abholen laßen, wie er nun Klägere beÿ ihme zu rügen wahrgenommen hatte, so hat er Beklagt. solche gleich wieder Zurücjg geschickt.
Auf all dieses Vor: und Anbringen, wie auch Verantwortung wurde Erkannd, Seÿe Beklagter vor dieses mal nur in 15. ß Straf und in die Unkosten ad 6 ß liquidirt condemnirt.

Fils du prévôt de Schwindratzheim, Jean Jung épouse en 1764 Marie Elisabeth Klein, veuve de Jean Michel Metz : contrat de mariage, célébration à la Robertsau
1764 (9.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 766
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehren achtbare H. Johannes Jung, der leedige Beck H. Adam Jung, Stabhalters Zu Schwindratzheim mit weÿl. Fr: Margaretha gebohrner Großin seel. ehelich erzeugter Sohn, alß hochzeiter beÿständlich solchen seines Vaters ane einem
So dann der Ehren und tugendsame Fr. Maria Elisabetha Metzin gebohrne Kleinin weÿl. H. Johann Michael Metz Weißbecken und Burgers dahier seel. hinterbliebene Frau Wittib als hochzeiterin unter assistentz H. Johann Martin Schwing des ältern Kiefermeisters undt Weinhändlers auch burgers dahier ihres geliebten Stiefvaters ane dem andern theil
Sambstags den 9. Junÿ Anno 1764, in obigen H. Schwinden behaußung ane der Bloen Wolcken gaß gelegen [unterzeichnet] Johanns Jung Alß höch Zeitter, Maria Eliesabetha Metzin als hochzeiterin

Mariage, Robertsau (luth. p. 411)
Mittwoch den 25. Julii 1764 seind nach zweÿmaliger ausruffung in der Prediger und St. Nicolai Kirch in Straßburg allhier auf Obrigkeitliche Erlaubnis Ehelich copulirt und eingesegnet worden Johannes Jung der ledige beck von Schwindratzheim, H. Adam Jung herrschafftlicher Stabhalter daselbst Ehelicher Sohn, und Frau Maria Elisabetha gebohrne Kleinin, weÿland Johann Michael Metz, gewesenen Weißbeck und burger i Straßburg nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Johannes Jung als hochzeÿtter, Maria Elisabetha Metzih ams hochzeiderin (i 216)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 466-v) Im Jahr Christi 1764 Dom: III und IV post Trinitatis als en 8. und 15. Julÿ, wurden proclamirt Johannes Jung der ledige Weisbeck von Schwindratzheim, weil. Adam Jungen, Frauen haus Meÿers daselbst, mit Margaretha Grosin ehel. erzeugter Sohn, und Frau Elisabetha Kleinin weil. Johann Michael Metzen, gewesenen Weißbecken und burgers allhier nachgelaßener Wittib, Sind den 23. Julÿ in der Ruprechtsau copulirt worden (i 472)

Jean Jung devient bourgeois une quinzaine de jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Boulangers
1764, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 45-v
Johannes Jung der weißbeck von Schwindratzh. erhalt des burgerrecht von seiner Ehefrau Elis. weÿl. Joh: Michel Metzen gewesenen weißbecken und burgers allhier hinterl. Wittib umb den alten burg. schilling will dienen beÿ EE. Zunfft der becker. Jur. eod. [11. aug. 1764]

Marie Elisabeth Jung meurt en août 1764 en délaissant deux filles de son premier mariage. La maison est portée au prix de 900 livres retenu en 1763. La masse propre au veuf s’élève à 347 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 928 livres, le passif à 799 livres

1764 (21.8.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1195) n° 1393
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Fraun Mariä Elisabethä Jungin geb. Kleinin, des Ehrenachtbahren Herrn Johannes Jung des Weißbecken und vertrösteten burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun nunmehr selig Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1764. – nach ihrem Donnerstags den 16.ten dießes Monaths Augusti und instehenden 1764.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehrenachtbahren Herrn Theobald Roßer, Weißbecken und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariä Salome, die den 22.ten Maÿ A. 1753 und Catharinä Salome so den 31.ten Maÿ 1755 Zur Welt gebohren worden und die Entseelte selig in erster Ehe mit weÿland dem Ehrengeachten Herrn Johann Michael Metz, gewesenen Weißbecken und burgern alhier ihrem den 12.ten Junÿ des 1763.sten Jahrs verstorbenen Ehemann selig erzeugt und ab intestato zu zwo gleichen portionen und Hauptteilen Zu Erbinnen verlaßen hat, inventirt (…) So beschehen in fernerem beÿseÿn Herrn Adam Jung des Stabhalters Zu Schwindratzheim des Wittibes eheleiblichen Vaters wie auch Herrn Johann Martin Schwind des ältern Kieffer meisters und Weinhändlers, auch burgers allhier der abgeleibten selig Stiefvaters, Straßburg Dienstags den 21. Augusti A° 1764.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraß neben dem bierhauß zum schwartzen bären gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen dannenhero hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthum ane einer behaußung. Nemblichen I. behaußung, Hoff, Hoffstatt, hinterhauß u. Höfflein, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der langen Straß, 1. s. neben Herrn Johann Georg Pick, dem bierbrauer Zum Schwartzen Bären, 2.s neben Mr Balthasar Koch dem bohrermacher, hinten auf Juncker Rathsamhausen stoßend gelegen, so über hernach folgende passiv Capitalien gegen männiglich ledig und eigen, Es ist aber dießlbe behaußung und dero Zugehörde durch (die Werckmeistere) außweißlich deß Zu mein Notarÿ Concept übergebenen Abschatzung Zeduls Zu der abgeleibten ihres erstern Ehemanns selig Verlaßenschafft begriffenen Inv: vom 19.ten Julÿ 1763. für freÿ ledig und eigen taxirt worden pro 900 lb. Über die g. behaußung bes. j. teutsch. perg. Kfbr. mit der Stadt Stßbr. C. C. St. anh. Insigel verw. de dato 4.ten Martÿ 1700. m. a. N° 1 bezeichnet, die helffte dießer behaußung und dero Zugehörde hat der abgeleibten Fraun selig ihr erster Ehemann selig von seinen Eltern selig ererbet, und die übrige helffte von seinem Bruder Joh: Erhart Metz dem Weißbeck u. br. allhier erkauffet, wie der in allh. C. C. stb den 27.ten Junÿ A° 1748. verfert. teutsche perg. Kfbr. weiset.
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 29, Sa. Silbern geschmeids 10, Sa. activorum 307, Summa summarum 347 lb
Dießemnach wird zufolg obiger berichts alles übrige sowohl activé als passivé den Krn und Erben vor elterl. Guth zugeschrieben, Sa. haußraths 229, Sa. Schiff und geschirrs Zum Becken handwerck gehörig 7, Sa. Meels Kleien und Gekörns 80, Sa. Wein und Faß 94, Sa. Zugschwein 24, Sa. Silber und Geschmeids 23, Sa. goldener Ri,g und geschmeids 27, Sa. baarschafft 527, Sa. Eigenthums ane I. behaußung 900, Sa. Activorum 23, Summa summarum 1928. lb – Schulden 799 lb, Nach solchem abzug 1128 lb

Jean Jung se remarie en 1765 avec Catherine Simon, fille d’un tanneur de Barr : contrat de mariage, célébration. Le mari assure à sa femme la jouissance viagère de la maison Grand rue

1765 (18.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 540) n° 70
Eheberedung – Zwischen dem Wohl vorgeachten Herrn Johannes Jung, Weißbecken Wittibern und burgern allhier zu Straßburg, als hochzeitern an einem,
So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinæ Simonin von Barr gebürtig, Weÿl. H. Adam Simon geweßenen Rothgerbers und burgers zu gedachtem Barr, mit auch Weÿl. frauen Anna Catharina Simonin gebohrner Höffstetterin, seiner geweßenen Ehefrauen ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
Ane dem Sechßten, dafern der hochzeiter vor ihro der hochzeiterin dieses Zeitliche gesegnen sollte, es seÿe auch gleich Kinder vorhanden oder nicht, so verschreibt er ihro Zu einem Lebenslänglichen Wÿdumb und Genuß, deßen alh. Zu Straßburg an der langen Straß gelegene Weißbecken behaußung Zum schwartzen bären genannt, mit allen deroselben begriffen Rechten und Gerechtigkeiten, also und dergestalten daß sie die hochzeiterin, bemeldte behaußung die tage ihres Lebens, und nach der Stadt Straßburg Gebrauch und Gewohnheit Zu nutzen und Zu genüßen berechtiget, hingegen aber auch das hauß in denen nöthigen Baw, Reparationenen Zu erhalten, und die beschwerden auch davon Zu bezahlen schuldig seÿn solle
auf Montag den 18. Februarii A° 1765. [unterzeichnet] Johannes Jung Als hochzeitter, Catharina Simonin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 35-v, n° 9)
1765 Mittwoch den 13. Mertz sind nach ordentlich geschehenen Außruffungen ehelich eingesegnet worden in der Kirch Zu S. Nicolai, Johannes Jung, der wittwer, weißbeck und burger alhiern Adam Jung des Stabhalters Zu Schwindratzheim, und weÿland Margaretha gebohrner Großin ehelicher Sohn, und Jungfer Catharina, weÿland Johann Adam Simon, geweßenen Rothgerbers und burgers Zu Barr, und weÿland Catharina gebohrner Heffstetterin hinterlassene eheliche ledige tochter [unterzeichnet] Johanes Jung als hochzeÿter, Cathrina Simonin hochzerin (i 38)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Grand rue, portée à son prix d’achat, soit 2 025 livres. Les apports du mari s’élèvent à 431 livres, ceux de la femme à 2 482 livres.

1766 (18.4.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 530) n° 220
Inventarium über Herrn Johannes Jung, des Weißbecken, und Frauen Catharinæ Jungin gebohrner Simonin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1766. – der Ursachen, alldieweilen beede Ehepersohnen in der, Vor mir Notario den 18. febr. 1765. auffgerichteten Eheberedung, und dem darinn stipulirten 3.ten articul, solches expresse mit einander abgeredet haben, inventirt (…). Actum Straßburg in fernerem beÿseÿn H. Lorentz Blind des Huffschmidts und burgers allhier der Ehefrauen hierzu erbettenen beÿstands, auff Freÿtag d. 18. Aprilis und folgende täge Anno 1766.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen dem diesortigen Ehemann eigenthümlich zuständigen becken behaußung Zum schwarten Bären genannt, befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane behaußung Zu Barr gelegen (F.) Der Vierte Theil Vor ohnvertheilt Von : und ane einer vordern und hintern behaußung (…) gelegen in dem Flecken Barr in der Wiedengaß (…)
Item der Vierte Theil Vor ohnvertheilt ane einem leeren platz samt darauf befindlichen Gruben und Loh Käß Rahmen auch in bemeltem Flecken Barr in dem bilger: Gäßell gelegen (…)
(f° 15-v) Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Nemblichen eine Weisbecken: Behaußung, bestehend in Vorder: und Hinter hauß, zween höffen und hoffstätten, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, einseit neben dem bierhauß zum schwatzen Bären, anderseit neben Johann Walther Koch dem bohrenmacher, hinten auf ermeltes bierhauß stoßend, gelegen, so über hernach befindliche beÿ des Ehemanns Passiv: schuldig eingetragene Capitalien, freÿ, ledig und eigen, Und ist dieße behaußung um den neml. Preis, wie solche der dießorts Ehemann käuflichen an sich gebracht, auch hier ohnpræjudicirlichen angeschlagen word. Vor 2025. lb. Darüber besagt ein, in alhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertigter pergamentener Kauf: Contract, mit deroselben aufgedrucktem größern Insiegel Verwahret, de dato 13. Octob. 1764. in sich haltend, wie nehmlichen der dießortige Ehemann Vorbeschriebene behaußung Von Johann Michael Metz des geweßenen Weißbecken 2. töchteren, in steigerungs weis ane sich gebracht hat. So dann noch ein anderer in berührter Contract Stub passirter pergamentener Kauffbrief mit deroselben anhangandem größerem Insiegel corroborirt, de dato 27. Junÿ 1748.
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 286, Sa. Wein und leeren Faß 107, Schiff und geschirr Zur Becker: Profession gehörig 110, Sa. Frucht, Meel und dgl. 163, Sa. Silbers u. dgl. Geschmeids 36, Sa. der Baarschafft 55, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2025, Summa summarum 2784. lb – Schulden 2368, Nach deren Abzug 416 lb, Und wann die demselben gehörigen helffte ane denen haussteuren darzu gerechnet wird, 15 lb So belauffet sich des Ehemann völlig in die Ehe gebrachtes Guth dem billigen Werth nach auf 431 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 122, Sa. Wein und leeren Faß 19, Sa. Silbers 19, Sa. Goldenen Ringe 42, Sa. Eigenthumbs ane behaußungen Zu Barr 501, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 353 lb, Sa. angelegter Capitalien 1409, Summa summarum 2467 lb – deme beizusetzen die Ihro gebührige helffte ane denen haussteuren 15, Solchemnach erstrecket sich der Ehefrauen gesambte in die Ehe gebrachte Nahrung dem wahren Werth nach auf 2482 lb

Catherine Simon devient bourgeoise par son mari en juin 1766
1766, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) n° 93-v
Catharina Simonin, von Barr gebürtig, erhalt des burgerecht von ihrem Ehemann Johannes Jung dem weißbeck und burgern allhier umb den alten burger schilling, will dienen beÿ EE Zunfft der Becker, promis. den 12. Junÿ 1766.

Jean Jung hypothèque la maison au profit du boucher Jean Daniel Pfeffinger l’aîné

1769 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 485-v
Johann Jung der weißbeck
in gegensein Johann Daniel Pfeffinger sen. des metzgers – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Obernstraß, einseit neben Johann Georg Pick dem bierbrauer, anderseit neben Johann Walter Koch dem bohrenmacher, hinten auff gedachten H. Pick

Jean Jung et Catherine Simon hypothèquent la maison pour pouvoir la reconstruire au profit des enfants mineurs de François Joseph Thomas Eggs, secrétaire aux affaires criminelles

1769 (9.12.), Chambre des Contrats, vol. 643 n° 834-v
Johann Jung der weißbeck und Catharina geb. Simonin mit beÿstand Johann Georg Seltz des weißbecken und Michel Wick des meelmanns mit ferner beystand H. Johann Philipp Graffenauer des Cantzleÿverwandten als curatoris ad actum
in gegensein S.T. H. SV. Johann Franz Geiger als vogt Franz Joseph Thomas Eggs des verjichts schreibers dreÿ kinder Mariæ Elisabethæ Agnes, Franziscæ Louisæ und Joseph Georg Ignatz der Eggs, zur erbauung hernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der mittlern Langen straß, einseit neben Johann Georg Pick dem biersieder, anderseit neben Johann Walter Koch dem bohrenmacher, hinten auff gedachten H. Pick

Le boulanger français Jean Jung et Catherine Simon font dresser un inventaire de faillite. Les biens de la femme s’élèvent à 3 491 livres. L’actif de la communauté et du mari est de 4 402 livres, le passif de 10 119 livres. Jean Jung déclare qu’il a fait démolir et reconstruire la maison peu après l’avoir achetée et que les frais de construction se sont montés à 6 000 livres

1776 (29.1.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 327
Inventarium über Johannes Jung des frantzößischen Becken und Fraun Catharinæ geb. Simonin, beder Eheleuthe und burgere, alhier Zu Straßburg dermalen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung, auffgerichtet in Anno 1776. – Welches beÿderseithiges Vermögen ad Requisitionem ged. beeder Eheleuth und Herrn Lt. Johann Philipp Graffenauer, Cancellariæ Substituti et Procuratoris Vicarii beÿ Löbl. Magistrat, auch burgers alhier als der dißeithigen Ehefrauen ane Vogts statt angesprochenen beÿsitzers angesehen Sie die Ehefrau sich beÿ E: E: Kleinen Rath, zufolg produciren Extractu Memorialis dedato 24. hujus puncto beneficii Cessionis demüthig angemeldet, auch der Ehemann um das flebile beneficium Cessionis bonorum unterthänig eingekommen, fleißig inventirt (…). So beschehen alhier Zu Straßburg, Montags den 29. Januarii Anno 1776.
Der beeden Jungischen Kinder Pathen: Geschencke betreffend. Friderich Jung dem Söhnlein gebührig, Catharinæ Elisabeth Jungin dem töchterlein Zuständig

(f° 9) Eigenthum ane einer Behaußung (M. & T.) Neml. I. Weisbecken Behßg. bestehd. in Vorder: u. Hinterhß. 2. höfen u. hofstätten, m. allen deren begriffen, Weiten, Zugehörden, Recht. u. Gerechtigkeiten, alh. Zu Straßb. ane d. Lang. Straß, 1.s. neb. dem bierhß. zum schwatzen Bären, 2.s. neb. Joh. Walther Koch dem bohrenmacher, hinten auf ermeldtes bierhauß stoßend, gelegen, so außer denen darauf hafftenden u. hernach passive eingetrag. Capitalien, freÿ, ledig u. eigen. Dieses Immobile ist durch hies. Stadt geschwor. Hh. Werck Mr. Zufolg dero Zur Minutte gegenwärtiger Invent. schrifftlich eingelüferten Abschatzung d. d. 5. februarii 1776. dem heutigen Werth nach gewürdiget worden vor 4000. Über erstged. behßg. besagt 1. deutsch perg. Extr. aus Löbl. C. S. Stb. Prot. gefert. u. m. deren beigedrucktem Ins. versehen, d. d. 13. 8.bris 1764. woraus ersichl. ist, daß der dißeit. Ehemann solche Von weil. Joh. Michael Metz, des gew. Weißbecken 2. hinterl. töchter Vogt, diebold Roser, dem ebenmäs. Wßbeck, durch I. obrigkeitl. Confirmirte Versteigerung eigenthuml. acquirirt habe vor 2025. lb. d.
Es declarirt aber ged. Maritus, daß er bald darauf solche alte behßg. völlig abbrechen, u. vom fundament aus neu auferbauen laßen, so ihn Zusammen gerechneter masen ungefähr zustehen gekommen auf 6000. lb. Auch wird hier annoch berichts weiß angemerckt, daß der dießeit Maritus obbenambßte in die Ehe begr. behßh. seiner Ehefr. in dem 6. §° des auffgerichteten und hieoben copialiter inserirten Ehecontr. Zu I. lebens längl. Wÿdums Genuß dergestalten Zu nutzen verschrieben habe, daß Sie auch bagegen solches hauß in dem nötigen bau: Reparationen Zu erhalten, u die beschwerde davon Zu bezalen schuldig seÿn solle.
(f° 9-v) Eigenthümlicher Antheil ane Immobilibus Zu Barr. (F.) Erstl. 1/6.te Theil Vor ohnvertheilt Von: und ane 1.r Vorder: u. hintern behaußung (…) gelegen in dem Flecken Barr in der Widengaß (…)
It. 1/6.te theil vor unvertheilt von und ane einem Gerbhauß (…) in berührtem Flecken Barr ane der Kirneck (…)
It. 1/6.te theil vor unvertheilt von und ane Vor unvertheilt von u. ane I. leeren Platz samt darauf befindlichen Gruben u. Loh Käß Rahmen auch in bemeltem Flecken Barr am Bilgergäßl. gelegen (…)
(f° 18) Ergäntzung der Ehefrauen ermanglenden unveränderten Guth. Nach Anleitung des über Eingangs benamßer beeder Eheleuth in die Ehe zusammen gebrachte unveränderte Nahrungen durch H. Not. Joh: Euth alh. am 183 april 1766 auffgerichteten Inventarii
(f° 21) Series rubricarum. Copia des Eheberedung
Der Ehefraun vor unverändert stipulirtes eigenthümliches Vermögen. Sa. haußraths 104, Sa. Silbers u. Geschmeids 9, Sa. gold. o. u. Geschmeids 25, Sa. Pfenningzinß hptgths 1000, Sa. Antheis ane Immobilibus zu Barr 100, Sa. Schulden 173, Sa. des Erg. Rests 2079, Summa summarum 3491. lb
Dießemnach folget auch die Annotation des Ehemanns unverändertes und theilbahrer Massæ. Sa. Haußraths 200, Sa. Schiff und geschirr Zur Becker: handwerck gehörig 27, Sa. Frucht und Meel 13, Sa. Chaise und Pferdgeschirrs 30, Sa. des Pferds 24, Sa. leeren Faß 20, Sa. Silbers 34, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 4000, Sa. der vor gut geachteten Schulden 51, Summa summarum 4402 lb – Schulden 10.119 lb, In Compensatione 5717 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns unverändert und theilbahre Nahrung 1279 lb
Copia der Eheberedung – (…) auf Montag den 18. Februarii A° 1765.

Catherine Simon meurt en 1777 en délaissant trois enfants. Une remarque liminaire mentionne que le Grand sénat a attribué à la défunte la masse de son mari le 8 juin 1776. La maison a été vendue peu auparavant. Le mari ne possède plus rien. L’actif de la succession s’élève à 428 livres, le passif à 420 livres.

1777 (18.12.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 877) n° 36
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Jungin, gebohrner Simonin, Johannes Jung, des Becken und Burgers dahier Zu Straßburg geweßener Ehefraun Verlaßenschafft, errichtet Anno 1777. – nach ihrem den 11.ten Decembris dieses zu End gehenden 1777.ten Jahrs erfolgten Absterben an Vermögen hinterlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen erstbenahmßten Johannes Jung, des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Johann Georg Freÿß, des Metzgers und burgers alhier, als geordnet: und geschworenen Vogts der defunctæ mit vorgedachtem dem hinterbliebenen Wittibers ehelich erziehlter dreÿer Kinder und ab intestato verlaßener Erben, nahmens Johann Friedrich Jung, so 9. Jahr und 2. Monath alt, Catharina Elisabetha Jungin, welche beÿ nahem das fünfte Jahr ihres Alters erreicht hat und Margaretha Magdalena Jungin so 4 Monath alt, ersucht und inventirt worden ist (…) ingleichem Anna Maria Karcherin, von hier gebürtig, die disortige dienstmagd (…). Geschehen allhier Zu Straßburg, in der hieher gehörig geweßenen aber vor Kurtzer Zeit verkauften Beckenbehaußung, an der mittlern langen Straß gelegen, in fernerm beÿseÿn Herrn Philipp Jacob Greiß, Notarii jurati und Greffier beÿ löbl. Ammeister Hauß Audientz als welcher zu dießem Verlaßenschafft Geschäfft Von Vorbenahmstem der disortigen Kinder Vogten zu einem beÿstand erbetten Wurde, angefangen Donnerstags den 18. Decembris Anno 1777.
Copia der Verstorbenen seel. den 7. Novembris 1777 errichteten und eodem die beÿ Hn Notario Phil. Jacob Greiß d. 17. Decembris dicti anni eröftnet: und publicirten Codicilli clausi
Bericht in dießes Inventarium gehörig. Es haben Zwar beÿde nun Zertrennte Jungische Eheleuthe Zur Zeit ihrer Verehelichung vor Herrn Notario Johannes Euth einen formlichen Ehe Contract mit einander errichtet und in selbigem Wegen ihrem sowohl in die Ehe bringenden, als Wehrender Ehe ererbenden und eringenden Vermögen die nöthige Puncten vestgesetzt und sich deswegen mit einander verglichen, Nach dem Tenor dieser Eheberedung sollte alßo gegenwärtiges Verlaßenschafft Geschäfft tractirt werden, es ist aber Zu berichten, daß ihr beÿder Zertrennter Eheleuthe Nahrungs Umstände sich Wehrend ihrer Ehe nach und nach so verschlimeert haben, daß die Ehefrau um das Beneficium Cessionis bonorum beÿ E. E. Kleinen Raths den 24.ten Januarii 1776 in Unterthänigkeit einzukommen sich gemüßiget sehen, Gleich darauf und Zwar den 29.ten dicti Mensis et anni Wurde über ihre beÿderseitige Activ: und Passiv Nahrung ein förmliches Inventarium durch Herrn Notarium Phil. Jacob Greiß errichtet und ausgefertiget, Zufolg dessen des Ehemanns unveränderte und theilbare Passiva sothane Activ Massam dem billichen Werth nach um 5717. lb übertroffen haben, Welches Inventarium d. 28. febr. darauffhin beÿ E. E. Kleinen Rath producirt, sofort beÿden Eheleuthen ihre gesuchte Beneficia accordirt und der Punctus Liquidationis, Prælationis et Collocationis ratione Summæ nach Ordnung an E.E. Großen Rath verwießen worden.
(…) Dahero dieselbe d. 18.ten Aprilis dicti anni beÿ E. E. Grossen Rath um Entschlagung ihres Ehemanns gesamter unverändert und theilbarer Activ Massæ in Unterthänigkeit einkame, Womit ihro und. d. 8. Junÿ daraufthin Willfahrt Wurde, jedoch mit dem Anhang die privilegirte und ihro vorgängige Creditores zu befriedigen.
Es hatte also der disseitige Ehemann und heutige Wittiber damalen nicht das mindeste mehr in bonis beseßen, auch hat derselbe in dieser Zwischenzeit von anderthalben Jahren bis Dato nichts erworben, daß der defunctæ obigen Nachstand an ihrer forderung entweder für Voll oder Zum theil hätte abtragen Können, dahero dann diese heutige völlige Massa einig und allein denen disortigen Kinderen und Erben gebührig ist. Man hat also Zu Erspahrung der Kösten und Weitläufigkeit für unnöthig erachtet weder der defunctæ unverändertes und eigenthümliches Vermögen nach Vorallegirtem Activ: und Passiv Nahrungs Inventario de Anno 1776. neuerdingen Zu ersuchen (…)

(f° 8 v) Activ schulden, von der hiehero gehörig geweßenen aber erst kürtzlich verkauften beckenbehausung an der mittlern langen Straß annoch dieselt Michaelis h. et biß nachstehenend Weÿhnacht haußzinnße von folgende Persohnen einzunehmen, als von H. Westphal dem Musico 3 lb 17 und von weÿl. H. Joh: Friedrich Schäffers des Seidenknopfmachers wittib 6 lb 15
(f° 12) Wÿdems: Verfangenschaft, Welche Frau Anna Margaretha, gebohrne Dietzin, Weiland Adam Simon geweßenen Rothgerbers und burgers zu Barr nachgelaßene Wittib des disorts Verstorbenen Jungischen Ehefrauen Stiefmutter von gedachtem ihrem abgelebten Ehemann lebenslänglich zu genießen hat
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. hausraths 166 lb, Sa. leerer Faß 11 lb, Sa. Chaise und Pferds 18 lb, Sa. Silbers 9 lb, Sa. goldenen Rings 4 ß, ß Baarschafft 105 lb, Sa. Schulden 116 lb, Summa summarum 428 lb – Schulden 420 lb, Nach solchem Abzug (Stall Summ) 8 lb
Copia Testamenti clausi (…)

Jean Jung a quitté la ville en abandonnant son fils âgé de dix ans. Le tuteur demande qu’il soit reçu à l’Orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un décident que l’enfant sera pensionnaire de l’hôpital jusqu’au retour de son père et demandent au procureur fiscal d’ouvrir une enquête contre le père fuyard.
1778, Conseillers et XXI (1 R 261)
Johannes Jung des Von hier außgetrettenen burgers und Becken mit Catharina Simonin ehelich erzeugtes söhnlein deßen Mutter gestorben wird usq. ad reditum patris in das Waÿsenhauß recipirt dießer aber dem procurat. fisci geschrieben gegeben. 368.
(p. 367) Sambstags den 5.ten decembris 1778. – Osterieth Nê Joh: Georg Frieß des burgers und Metzgers alhie als Vogts Joh: Jung des Von hier außgetrettenen burgers und Becken mit weil. Catharina geb. Simonin ehelich erzeugten 10. Jahr und ein Monath alten söhnleins nahmens Joh: Friderich, Imploranten, prod. unterth. Memoriale juncto petito sambt beÿl. sub. Nis. 1. 2. 3. et 4. p° aufnahm in das Evangelische Waÿsenhauß.
Nach deme H. gâl Advocat Mogg auf die reception des Imploranten Curandi als eines Elternlosen Kinds usque ad reditum patris angetragen, Zugleich daß darauß getrettene Vatter ob malitiosam desertionem seines Kinds dem procuratori fisci geschrieben zu geben seÿn wird.
Wurde vermittelst gehaltener Umbfrag Erkandt, wird Implorirender Vogt puncto Vorbemelten seines Curandi in allhießiges waÿsenhauß usq. ad reditum patris gegen einbringung seines mütterlichen Vermögen ane die dasige hochverordnete herren Pflegern ad recipiendum gewießen, anbeÿ verordnet, daß des Curandi außgetrettener Vatter dem procuratori fisci ob malitiosam desertionem deßelben umb seine requisitiones gehöriger orhen eingeben Zu können geschrieben gegeben werden solle.
Deppi. H. Rathh. Mathieu, H. Rathh. Schott.

Le tuteur des deux enfants Jung vend 4 300 livres la maison et les outils au boulanger Georges Chrétien Ensfelder

1777 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 651 n° 481
Johann Georg Freÿß der metzger als geordneter und geschworner vogt weÿl. Fr. Catharinæ Jungin geb. Simonin mit Johannes Jung dem frantzösischen becken hinterbliebenen zweÿ kinder benantlichen Johann Friedrich und Carolinä
in gegensein H. Georg Christian Ensfelder des ledigen becken /:erschienen Jgfr. Maria Margaretha Weberin leiblicher Vater Gottfried Weber der zimmermeister u Gustav Brenner des goldarbeiters derselben Oncle von mütterlichen seithen, diese haben sich verbindlich gemacht ihre Tochter und Niece u ermelten Ensfelders verlobte braut sobald dieselbe ihr großjährig alter erreicht haben wird disem Kauff contract beÿtreten zu machen
daß der curanden mutter als die von ihrem ehemann quo ad bona separiret, in deßen mass aber durch bescheid Unsers Raths vom 8. junÿ 1776 immittirt worden, hiernach beschriebenen behausung zwar wie die coram notario Philipp Jacob Greis errichtete steigerungs proces verbaux vom 5., 21. und 28 Novembris jüngsthin und 5. dießes besagten Ensfelder adjudicirt worden, quaestionirte beckenbehausung bestehend in vorder: und hinterhaus zween höffen und hoffstätten mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittlern Langen straß, einseit neben Mr Walter Koch dem bohrenmacher, anderseit neben dem Bierhaus zum schwartzen Bären, hinten auff erwehntes Bierhaus, ingleichem dem im untern haußöhren stehender brodkasten und dem in der back stub befindlichen kupffernen taigkeßel, muhld und würckbanck – meistgebotten 8600 gulden

Adjudication correspondante dressée par le notaire Philippe Jacques Greis. L’objet vendu a été reconstruit de fond en comble peu d’années auparavant

1777 (5. 9.bris), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 589) n° 328
(Versteigerung) erschienen heut dato persönlich, Frau Catharina Jungin geborene Simonin, Johannes Jung des burgers und frantzösischen becken alhier Zufolg E. E. Kleinen Raths bescheids de Dato 4. Martÿ 1776. quoad Bona geschiedene Ehegattin, anzeigende, wie daß ihro Vermög E .E. großen Raths Bescheids vom 8. Juny nemlichen Jahrs, dero Ehemanns gesamte un dem durch mich Notarium am 29. January dicti anni aufgerichteten falliments Inventario beschriebene Activ: Massa auf Abschlag ihres ermanglenden unveränderten Guths Ergäntzung und anderer gehabter Anforderungen in solutum gerichtlich entschlagen worden seÿe,
worunter sich auch befunden die wenige Jahre vorher vom Fundament aus neu auferbaute Becken Behaußung bestehend in Vorder: und Hinterhaus, Zween Höfen und Hofstätten, mit allen übrigen deren Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der mitlern langen Straß, einseit neben dem Bierhaus zum schwatzen Bären, anderseit neben Meister Walther Koch dem bohrenmacher, hinten auf erwehntes bierhaus stoßend, so außer denen darauf haftenden Passiv: Capitalien, freÿ, ledig und eigen. Welches Immobile samt allen was darinnen wand: nied: und nagel: vest ist ingleichem dem im unterm haußöhren stehende Brod Kasten, wie auch dem in die bach stub befindlichen kupferen Teig Kößel, Muhld und Würckbanck, Sie Comparentin unter authorisation ihres obwerwehnten Ehemanns (…) und mit Einwilligung ihrer hernach unterschriebener Schuldglaubigeren, Vermittelst einer Vornehmenden freÿwilligen Versteigerung unter gleich hernach geschriebenen bedingnußen offentlich distrahiren und versteigern zu laßen willens seÿe (…) Actum Straßburg Mittwochs den 5. Novembris 1777.
Freÿtags den 21. ejusdem Mensis et Anni (…) ausgeruffen vor die Summ von 8000 gulden. Darauf ist gebotten worden H. Joh: Andreas Geiger goldarbeiter 8150 fl.
Freÿtags den 28. Novembris ejusdem Anni (…) Joh: Michael Wiederroder, Weißbeck 8210 fl.
Freÿtags den 5. Decembris ejusdem Anni (…) H. Geiger 8600 fl.
Sambstag den 13. Decembris dicti anni (…) zeigte derselbe an, daß er nicht für sich selber, sondern im Nahmen und ex Commissione H Georg Christian Enßfelder des ledig. burgers und becken gesteigt habe

Décompte du prix de vente entre le tuteur de défunte Catherine Simon et Georges Chrétien Ensfelder
1777 (20. Wintermonat), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 589) n° 333
Abrechnung, Welche zwischen Herrn Lt. Johann Philipp Graffenauer, Cancellariæ substituto et Procuratore vicario, als vermög vor mit unterschriebenenen geschwornen Notario am 5. Novembris jüngst passirten actus constitutirten Mandatorio er resp. ane Vogtsstatt erbettenen beÿstand nun weÿland Frau Catharina geborner Simonin, Johannes Jung des becken und burgers alhier zu Straßburg gewesene Ehegattin ane einem
So dann H. Georg Christian Enßfelder, dem ledigen hiesigen burger und Weißbecken am andern theil, vor mir Notario vorgenommen und gepfllogen worden
Namlich laut Versteigerungs Procès verbal dedato 2. hujus und demsemben annectirten Declarationis Vom 13. ejusdem bedes Vor mir unterschriebenen Notario passirt, hat H. Johann Andreas Geiger der hiesige burger und Goldarbeiter, für und im Nahmen sein H. Ensfelders die in gedachter nunmehr verstorbenener Frauen Jungin gebohrner Simonin Massam gehörig gewesene Becken behaußung, bestehend in Vorder: u Hinterhauß (…) vor 8600 fl. oder 4300. lb

Georges Chrétien Ensfelder termine le 16 juin 1763 l’apprentissage chez son père mort depuis lors
1763, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 187) 1763. Donnerstags den 16. Junii – Lehrjung außgethan (dt. 5. ß)
Georg Christian Enßfelder so beÿ seinen nun Verst. Vatter seel. f. Hdw. erlernet, bittet da seine Lehrzeit schon seit dem 19. Junii 1761. Zu End geloffen, ihne der Lehr Gerichtl. Ledig Zu sprechen. Erk. Willfahrt.

Georges Chrétien Ensfelder devient tributaire chez les Boulangers le 18 décembre 1777 en étant dispensé du voyage de compagnon parce qu’il a été pendant plus de dix ans boulanger de la fondation Saint-Guillaume
1777, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 102-v) 1777. Quartal-Gericht Donnerstags den 18. Decembris – Neuzünfftiger Meisters Sohn
Georg Christian Ensfelder, lediger Becker von hier gebürtig, weil. Mr Georg Christian Ensfelders gewesenen Beckers und burgers allhier ehelicher Sohn, producirt Stall: Schein de dato 17.ten d: m: et a: In Gefolg deßen derselbe bittet, ihme gegen Erlag der Gebühr dißorts als leibzünfftigen Weißbecken Meister Zu recipiren. Producirt anbei Attestat von heutigem Dato durch Hn Lt Beck, Schaffnern des Stifts St. Willhelm unterschrieben, besag deßen Er Zehen Jahr als Closter Beck in Diensten gestanden, Bittet um deswillens ihne von den Wanderjahren Zu dispensiren.
Nach genommener Inspection sowohl des Stall: Scheins wie auch attestats wurde nach gehaltener Umfrag Erkannt, seÿe demeselben Implorant gegen Erlag der gewohnlichen und pro Dispensatione verordneten Gebühr, wie auch in die Zunft Nebens: büchs 3 fl. zu geben in seinem begehren Zu Willfahten Nach beschehener Publication erlegte Er seine Gebühren.

Georges Chrétien Ensfelder épouse en 1778 Marie Marguerite Weber, fille de charpentier : contrat de mariage, célébration
1778 (15.1.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 42
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen sins Herr Georg Christian Ensfelder, der leedige majorenne Weißbeck und burger alhier, Weiland H. Georg Christian Ensfelders gewesenen Schwartzbecken und burgers hieselbst mit frauen Anna Maria gebohrneer Schweighäußerin ehelich erzeugter Sohn als hochzeiter ane einem,
So dann die Viel Ehr und tugendgezierte Jungfrau Maria Margaretha Weberin, herrn Johann Gottfried Webers Zimmermeisters und burgers dahier mit weÿl. Frauen Susanna Salome gebohrner Rudolphin seel. ehelich erzeugte Tochter unter berathung und assistentz ihres erstbesagten H. Vaters agirend, als Jungfer hochzeiterin ane dem andern Theil
auf Donnerstag den 15. Januarÿ A° 1778 [unterzeichnet] Georg Christian Ensfelder als Hochzeiter, Maria Margaretha Weberin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 80)
Im Jahr 1778 seind Dominica 5. post Epiphanias und Dominca Septuagesima proclamirt und folgenden 16. Februarii copulirt woede, Georg Christian Ensfelder lediger weißbeck weil. h. Georg Christian Ensfelders gewesenen haußfeurers und burgers dahier und Fr. Annä Mariä gebohrner Schweighäußerin ehelicher Sohn, und Jungfr. Maria Margaretha Hn Johann Gottfried Webers Zimmer meisters und burgers allhier und weil. Fr. Susannä Salome geborner Rudolphin eheliche tochter [unterzeichnet] Georg Cristian Ensfelder als hochzeiter, Maria Margaretha Weberin als hochzeiterin (i 83) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 186)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dont la minute n’est pas terminée

1778 (22.8.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 631) n° 93
Inventarium über Herrn Georg Christian Ensfelder, des Weißbecken und Frauen Maria Margaretha gebohrner Weberin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1778. – in ihrem den 16. Februarÿ jüngst angetrettenen Ehestand einander Zu und eingebracht haben, Welch beederseitige Vermögenschaften /:angesehen beede Ehegatten, in der vor mir notario unterm 15. Januarÿ auch letzthin errichteten heuraths Abrede §° 5.to die Versehung gethan, daß solche in ohnverändert, eigen und vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle:/ (…) So geschehen alhier Zu Straßburg mit Zuziehung herrn Gustav Samuel Bronner Goldarbeiter und burger hieselbst, der Ehefrauen herrn Oncle und beistandt auf Sambstag den 22. Augusti im Jahr 1778.
In einer alhier Zu Straßburg ane der mittlern langen Straß gelegenen zum schwartzen bähren genannten, von beeden Ehegatten vor eintritt in dise Ehe eigenthümlich an sich gebrachten Becken behausung hat sich befunden
Eigenthum ane einer Becken-Behaußung betreffend (-)

Georges Chrétien Ensfelder meurt en 1782 en délaissant trois enfants dont l’un meurt peu après son père. Les experts estiment la maison 1 650 livres. La masse propre à la veuve est de 1 939 livres. celle des héritiers présente un déficit de 1 939 livres. L’actif de la communauté s’élève à 509 livres, le passif à 2 081 livres.

1783 (20.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 635) n° 176
Inventarium über Weiland Herrn Georg Christian Ensfelder im Leben gewesenen Weißbecken und burgers lhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet in Anno 1783 – nach seinem den 15.ten Aprilis 1782. aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf geschehenes Ansuchen Erfordern und begehren sowohl der hinterbliebenen Wittib Frauen Maria Margaretha gebohrner Weberin unter Berathung und Assistentz Herrn Lt. Samuel Reinhard Weber Löbl. Oeconomie Kammer Secretarii, aus auch Hern Johann Friderich Kober, drehers und burgers dahier als geschwornen, Vogts des Defuncti mit erstbesagter Wittib ehelich erzeugt hinterlaßener gleich nach diesem Eingang benannter dreÿer Kinder und ab intestato hinterlassener Erben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Dienstag den 20. May 1783.
Benennung der Erben. Der seelig verstorbene hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben hinterlassen, deßen mit vorbesagter Wittib ehelich erziehlte Kinder als 1° Christian Gottfried so 4 ½ Jahr alt, 2.do Maria Margaretha, so erst vor kurtzem gestorben, dahero von dißortiger Wittib als Mutter einstweilen und bis sie etwa Zur 2.ten Ehe schreiten solte, geerbt worden, 3.tio Catharina Dorothea, so ½ Jahr alt folglich nach des Vaters tod Zur Welt geborden worden, Ih deren Nahmen Zugegen ware, Eingangs gedachter Herr Johann Friderich Kobern dreher meister und b. dahier dererselben geordnet und in pflichten genommenen Vogt

In der alhier Zu Straßburg ane der mittlern langen straß gelegen Zum schwartzen Bähren genannten hieher gehörigen Weißbecken behaußung ist befinden worden als (…)
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangen und unveränderten Guths, Nach Anleitung es über beeder nun Zetrennter Ehegatten einander vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen durch unterschriebenen Notarium den 22. Aug. 1778. errichteten Inventarii
Eigenthum ane einer Behausung (E.) Nämlichen eine Bekcen Behaußung, bestehend in Vorder und Hinter Hauß, Zween Höfen und hoffstätten, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der mittlern langen Straß, eins. neben Walter Koch dem Bohrenmacher, 2.s neben dem Bierhauß zum schwartzen Bähren, hinten auf erwehntes Bierhauß stoßend, so außer darauf haftenden hieunten eingetragenen Passiv Capitalien freÿ ledig und eigen. Diese behaußung ist vor hiesige Stadt geordneten Herren Werckmeistern Kraft ihres gelieferten Abschatzung Scheins ded. 16. Maÿ 1783. dem jetzigen wahren Werth nach æstimirt worden vor 3300. fl. oder 1650. lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentiner in alhiesiger löbl. C C Stub gefertigter Kauffbrieff de dato 30. Dec. 1777. außweisend wie Defunctus solche von weiland Frauen Catharina Jungin gebohrner Simonin mit Johannes Jung dem frantzösischen Becken ehelich erziehlter Kinder Vogt Johann Georg Freÿß dem Metzger alhier käuflich an sich gebracht. Ferner ein dergleichen Kauffbrieff ded. 13. Oct. 1764. und einer vom 27. Junÿ 1748.
Norma & Series rubricarum hujus Inventarii. Der Hinterbliebenen wittib ohnveränderten Vermögen, Sa. haussteuren 6, Sa. haußraths 57, Sa. Silbers 9, Sa. gold. Ringe 11, Sa. Schuld 75, Sa. der Ergäntzung 1786, Summa summarum 1939 lb
Dießemnach wird auch der Benef. Erben ohnver: Guth verzeichnet, Sa. haussteuren 6, Sa. Haußraths 50, Sa. Silbers 8, Sa. leeren Faßen 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1650, Sa. Ergäntzung 24, Summa summarum 1742 lb – Schulden 3625 lb, der Erben Passiv onus c lb
Endlich kommt auch die Verzeichnuß der gemeinen verändert und theilbaren Nahrung, Sa. Haußraths 52, Sa. Frucht, Meel wie auch Schiff und geschirr Zum Becken Handwerck gehörig 60, Sa. Weins und Faß 43, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Ring 3 ß, Sa. Schuld 350, Summa summarum 509 lb – Schulden 2081 lb, Theilbar Passiv onus 1572 lb
Endliches Passiv onus loco der Beschluß und Stall summæ 1515 lb
Abschatzung Vom 16.ten Maÿ 1783. Auf geberen Weÿland Herr Georg Christian Endsfelder dem geweßenen Weißbeck ist Eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der langenstras gelegen, Ein seÿts neben Herr Koch dem bohren macher, anderer seÿts und Hinten auf des bierhaus Zum schwartzen Berren genannt stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und Hinter gebäu, worinnen Ein Becken ladten, ferner in Etlichen stuben Vier Kuchen und Etlichen Kammeren, bachstube und bachkuchen, darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller hoff und brunen, Von uns unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Dreÿ tausend Dreÿ Hundert gulden, [unterzeichnet] Götz Wmstr, Kaltner WMstr.

Marguerite Weber veuve Ensfelder loue une partie de sa maison au boulanger Mathias Geiler moyennant un loyer hebdomadaire en argent et en nature.

1785 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 361-v
Fr. Maria Margaretha Ensfelderin geb. Weberin weÿl. Georg Christian Ensfelder des weißbecken wittib beÿständlich Johann Friedrich Kober des drehers
in gegensein Mathias Geÿler des weißbecken
verlehnt, in der ihro zuständigen in der mitte der Langen straß gelegenen zum schwartzen Bären genannten Weißbecken Behausung eine vollständige wohnung bestehend auff den boden aus den becken laden, der stub, kuch, backhaus, holtzplatz, stallung, ferner im hinter eine stub, stub kämmerlein samt cammer vor die magd, weiter im vordern haus und deßen vierten stock des hinter haußes eine schwartz getüch kammer, so dann das kleine gantze hinter gebäudlein nebst einem unterschlagenen keller im vordern haus, wie auch das zum beckereÿ gehörige schiff und geschirr – auff 9 nacheinander folgenden Jahren auff Michaelis tag anfangend, um einen wochentlichen zinß von 3 gulden, so dann 6 pfund weißbrod

Marie Marguerite Weber se remarie en 1796 avec le boulanger Jean Wehrlen
1796 (30 fructidor 4), Strasbourg 3 (38), Not. Übersaal n° 212
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿe der Bürger Johannes Wehrlen Wittiber und Becker alhier als Bräutigam ane einem Theil,
sodann die Bürgerin Maria Margaretha Weber weiland des burgers Georg Christian Ensfelder, gewesenen ebenmäßigen hiesigen Beckens hinterlassene Wittwe unter Berathung und Assistentz bürgers Johann Friderich Kobert hiesigen Drehers als Frau Braut andern theil
Drittens (behausung am fischerstaden)
Straßburg den 30. fructidor im Vierten Jahr der Einen und Unzertrennlichen Francken Republik [unterzeichnet] Johannes Wehrle, als hochzeiter, Maria Margaretha Ensfelder als hochzeiterin
Enregistrement de Strasbourg, acp 42 F° 127-v du 3 compl. 4
(enregistrement, revenu industriel 60 et 30)

Marie Marguerite Weber meurt en 1820 en délaissant pour héritiers son mari et sa fille issue de son premier mariage
1820 (8.11.), Strasbourg 3 (65), Me Schreider n° 553
Inventaire de la succession de Marie Marguerite Weber épouse de Jean Wehrlen, ci devant boulanger, veuve en premières noces de Georges Chrétien Ensfelder, boulanger, décédée le 11 mai dernier – à la requête de 1. Jean Wehrlen veuf en premières noces de Marie Ursule Dollinger et en secondes de Marie Marguerite Weber, contrat de mariage reçu Me Übersaal le 30 fructidor 4, 2. Catherine Dorothée Ensfelder épouse de Jean Jacques Kieffer tourneur seuls et uniques héritiers de la défunte
domicilié quai des Pêcheurs n° 91
propres. garde robe 185 fr, argenterie 201 fr, meubles 1012 fr, créances 6300 fr, ensemble 7698 fr – remploi 281 fr, présents de noces 104 fr, numéraire 3800 fr, total 4185 fr, total des propres 11.884 fr
propres du veuf 1239 fr, remplois du veuf 4914 fr
communauté, meubles 925 fr, bois 30 fr, vin 820 fr, argenterie 152 fr, numéraire 1600 fr, créances 15.979 fr, indemnité de la communauté 6185 fr, total de la communauté 25.692 fr, passif 9336 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 149 F° 184-v du 10.11.

Marie Marguerite Weber veuve de Georges Chrétien Ensfelder vend la maison au boulanger Mathias Geyler et à sa femme Sara Schneider

1791 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 665 n° 122, enreg. 14.6. F° 26
Fr. Maria Margaretha geb. Weberin weiland H. Georg Christian Ensfelder des weisbecken wittib beiständlich Johann Friedrich Kober des kunstdrähers
in gegensein H. Mathias Geÿler des Weißbecken und Saræ geb. Schneiderin beiständlich Jacob Schneider des gastgebers zu Kehl und H. Johann Jacob Kolb des caffesieders
eine behausung bestehend in vorder: und hinterhaus zween höffen, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittleren Langen straß, einseit neben dem bierhaus zum schwartzen bären, anderseit neben Walter Koch dem bohrenmacher zum theil theils N. Wüst dem becken, hinten auff N. Schäffer den kübler – um 3500 gulden (7100 gulden ausmachende summen)

Originaire de Barr, Mathias Geyler s’inscrit le 17 janvier 1773 aux années d’épreuve qu’il a déjà commencées chez le boulanger Jean Mæhn
1773, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 59-v) 1773. Sonntags den 17.ten Januarii – Muthjahr (dt 3 lb)
Matthias Geÿler der leedige Becker von Barr gebürtig, so nach erlerntem Becker Handwerck auch darauf gewandert, ist nunmehr Willens allhier nach Ordnung zumuthen, bitt dahero seine Zweÿjährige Muthzeit von Johannis Baptistæ 1772 beÿ Mstr. Johannes Mähn dem Weißbecken Zu verarbeiten anzunehmen, indeme er schon seit solcher Zeit beÿ ihme dem Meister in Arbeit stehet, Von denen Quartal: Gerichten aber nicht benachrichtet und daher die Einschreibung bis zu diesem Gericht verschoben wurde.
Erkandt, Seÿe nach schriftlich von Mr Johannes Mähn eingegebener Declaration von heutigem Dato und nach vorgewiesenem Lehrbrief des Imploranten Zweÿjährige Muthzeit ex speciali gratia vom 17.ten Xbris 1772. beÿ erstgedachtem Meister zuverarbeiten anzurechnen.

Mathias Geyler a terminé ses années d’épreuve et a loué une maison pour exercer son métier. Il demande le 14 juin 1775 une promesse d’admission à la tribu pour devenir bourgeois
(f° 83) 1775. Quartal-Gericht Mittwochs den 14. Junii – Vertröstungs-Schein
Matthias Geÿler, der leedige Becker von Barr gebürtig ließ durch H. Johann Philipp Reumanns den Weißbecken und Mitglied dißortigen Löblichen Collegii derer Hh. Schöffen weilen er nicht selbsten Zugegen seÿn konnte, proponiren, wie daß man ged. Mathias Geÿler, weilen desselben zweÿjährige Muthzeit seit dem 18.ten Martii jüngst beÿ dem eingeschriebenen und bißhero verstorbenen Mr Johannes Mähn dem Weißbecken Vorbeÿ wäre, er auch würcklichen ein Beckenhauß in Lehnung genommen habe, einen Vertröstungs: Schein durch dem dieser E. Zunft Notarium möchte Zukommen laßen, daß sobald er wird præstanda præstirt und das burgerrecht erhaten habe, man ihme gegen Producirung der Burger: Urkund und Stall: Schein wie auch gegen Erlag der Gebühr dißorts als Leibzünfftigen Weißbecken: Meister auf und annehmen werde.
Erkandt, Willfahrt.

Mathias Geyler est reçu tributaire le 31 août suivant
(f° 84) 1775. Quartal-Gericht Donnerstags den 31. Augusti – Neuzünfftiger (dt. 4 lb 6 ß)
Matthias Geÿler, der Verheurathete Becker Von Barr gebürtig producirt Burger: Urkund und Stall Schein de dato 3.ten Julii h: a : bittet ihne gegen Erlag der Gebühr als leibzünfftigen Weißbecken Meister auf: und anzunehmen. Erkanndt, Willfahrt

Les contrôleurs de la tribu font grief à Mathias Geyler d’avoir vendu du pain frais un jour où il n’en a pas le droit. Sa femme s’excuse en disant qu’elle ne connaît pas encore bien le règlement
(f° 94-v) 1776. Quartal-Gericht Mittwochs den 26. Septembris
Die beÿden Rügere dieser Ehrsamen zunft Klagen wieder Mr Mathias Geÿler, den Weißbecken, daß er den 29.te Junii als an seinem trockenen Tag weich gehabt und den 12. Julii wich schwartzbrod auf dem trockenen Marckt verkauft hat, bitten dahero denselben denen Articklen nach abzustrafen.
Beklagten Ehefrau zugegen gestehet beÿde Anklagen ein, wäre aber ohne ihr Vorwißen durch ihr Gesind geschehen, wüßte auch noch nicht wie die Verbotte darüber lauten, indem Sie noch nicht lang beÿm Handwerck ist, bitt deßhalben ihren Ehemann Vor dießmal Zu absolviren. Nach angehörter Anklage und Verantwortung wurde Erkandt, Seÿe beklagter vor dieses mal von denen Strafen absolvirt, Hingegen denen Rügern Vor ihre Mühe 12 ß 6 d und 2 ß6 d ane Protocoll Geld zugeben condemnirt seÿn.

La tribu autorise le boulanger de pain blanc Mathias Geyler à devenir boulanger de pain noir
(f° 117) 1779 Quartal-Gericht Donnerstags den 23.ten Septembris – Handwercks Änderung (dt 1 lb)
H. Matthias Geiler der Weißbeck bitt man möchte ihme erlauben sein Handwerck in die Schartzbecken Zu Verändern. Erkandt, Willfahrt

La tribu autorise le boulanger de pain noir Mathias Geyler à devenir boulanger de pain blanc
(f° 122-v) 1780. Quartal-Gericht Donnerstags den 16. Martii – Handwercks Änderung (dt 1 lb)
H. Matthias Geiler der Schartzbeck ist willens sein Handwerck in die Schartzbecken durch Ergreifung der Weißbecken Zu Verändern, bitt demnach ihme gegen Erlag der Gebühr, selbiges zu erlauben.

Fils d’un boulanger de Barr, Mathias Geyler épouse en 1775 Sara Schneider de Westhoffen : contrat de mariage célébration
1775 (20.6.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 15
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen der Ehrsam und bescheidene Mathias Geÿler, leediger Becker von Barr gebürtig, weil. Meister Johannes Geÿler gewesenen Beckers und Burgers daselbsten mit Fr. Catharina gebohrner Schäferin deßen hinterbliebener Wittib ehelich erzeugter Sohn unter verbeÿstandung H. Jacob Kellers des Kornwerfers und burgers allhier Zu Straßburg als deße Schwagers und Hn Johannes Geÿler des Meelhändlers und hiesigen burgers deßen Bruders, als Hochzeiter ane einem
So dann die Viel Ehr: und tugendreiche Jungfrau Sara Schneiderin von Westhoffen gebürtig, weil. Mr Diebold Schneiders gewesenen Metzgers und dasigen burgers mit Fr. Maria Salome gebohrner Heroldin deßen nachgelaßener Wittib ehelich erziehlte Tochter, unter assistentz H. Johann Philipp Grimmeißen des Gastgebers zum Grünen berg dero Vetters und H. Johann Jacob Kolb des Gastgebers und Schultzen Garthen, dero Schwagers beeder burgere dahier als hochzeiterin andern theil
So geschehen Straßburg auf Dienstag den 20. Junÿ Anno 1775 [unterzeichnet] Matthias Geÿler Als hochzeiter, Sara Schneiderin als hotzeitrin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 105-v)
Im Jahr Christi 1775 Dienstags den 25. Julÿ sind nach geschehenen gewöhnlichen proclamationen Dominica V. et VI post Trinitatis hier so wohl als in Westhofen in der Kirchen offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Mathias Geÿler der leedige Weißbeck und burger allhier, weÿland Johannes Geÿlers geweßenen Becken und Burgers allhier und Fr. Catharinä gebohrner Schäferin ehelicher Sohn, und Jungfer Sara Schneiderin von Westhofern, weÿland Diebold Schneiders geweßenen Metzgers und burgers in Westhofen und Fr. Maria Salome gebohrner Heroldin eheliche tochter [unterzeichnet] Matthias Geÿer als hochzeiter, Sara Schneiderin als hochzeiterin (i 158)

Sara Schneider devient bourgeoise quelques mois après son mariage : inscription au livres de bourgeoise, registre de traitement des demandes. Lui-même étranger, Mathias Geyler a épousé une étrangère en contrevenant au règlement. Il obtient le pardon. Sa femme est reçue à l’ancien tarif
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 147
Sara schneiderin von Westhoffen gebürtig erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Mathis Geiler dem becken und burger allhier umb den alten burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft der Becker. prom. den eodem [6 Martÿ 1776]

(p. 322) Becker. N° 23, den 4.ten Martii 1776.
fr. Sara gebohrne schneidern Von westhoffen weÿll. joh. Diebold schneiders gewesenen burgers und Metzgers daselbst eheliche tochter Verheürathet an Mathis geiller der burger und beck allhier
ihrer Vorgelegte attestata erweisen das sie ehelich geboren augs: Conf. zu gethan und des Mariti stall gebühr in richtigkeit gebracht
500 fl. baares geld Hat dieselbe als ihr wahres eÿgenthumb Vorgewiesen und Handtreülich erhärtert auch 100 fl. 5 ß ad Prot. Depon. Da nun aber der ehemann im Heürath, mit einer unverburgerten gegen Euer gnaden Verordnungen sich Verfehlt, als gehet fordersambst an Euer gnaden beede implor. unterthäniges bitten, ihnen dießen fehler in wie weit Nöthig zu Condoniren, so fort Hoch dieselben gnädigst geruheten der ehefrau mit dem burgerrecht um den alten burger schilling zu willfahren.
Recepta à Maritô um den a. b. schill.

1794 (25 floréal 2), Not. Saltzmann
Acte par lequel Sara Schneider femme de Mathias Geyler en son nom et comme fondée de pouvoir de ses cohéritiers de la 1° souche de feue Sara Schneider décédée il y a dix ans
receoit de François Sigismond Waltz de Strasbourg 2385 livres tnos dont il est débiteur par acte en due forme et lui en donne quittance
Marie Marguerite Fuhrenstein femme d’André Ostertag de Strasbourg en son nom et comme fondée de pouvoir des héritiers de la 3° souche dans la succession de ladite feu Sara Schneider reçoit dudit Waltz 3180 livres dont il etoit débiteur par acte en due forme et dont elle lui donne quittance
acp 23 f° 70 du 25 flor. 2

Mathias Geyler et Sara Schneider louent une partie de leur maison au boulanger Joseph Hommell et à sa femme Marie Anne Kientz, de Gambsheim

1800 (3 prairial 8), Strasbourg 4 (31), Not. Roessel n° 321
Lehnung, um 2 nacheinander folgenden jahren anfangend den 5. messidor 8 – b. Matthias Geÿler becker und Sara Schneider
so dann b. Joseph Hommell becker und Maria Anna Kienz inwohner in Gambsheim
in ihrer ane der mittlerin langstras stehenden eigenthümliche becken behausung mit N° 29 bezeichnet, einseit neben dem bierhaus zum schwarzen bären anderseit neben Walter Koch bohenmacher, um in diesem haus die beckereÿ zu treiben, sie auf dem boden des vordern Gebäudes befindliche Wohnung und laden samt der backstub, ferner das ganze dritte hinterhaus, Schweinstall, holzhaus und Keller im zweÿten stockwerck hinten hinaus eine Kammer eine bühn im 5. Stockwerk für kleÿen – um einen jährlichen Zinß nemlich 728 Francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 74 F° 3 pr. 8

Action intentée par Mathias Geÿler à l’encontre de son locataire tailleur Antoine Ertel

1805 (14 ventôse 13), U 1896
Mathias Geyler, boulanger
Antoine Ertel, tailleur, defendeur defaillant
à ce que le defendeur soit condamné à lui payer la somme de 42 fr qu’il lui doit pour loyer arriéré et aux dépens

Mathias Geÿler meurt en 1805 en délaissant cinq enfants

1806 (17.3.), Strasbourg 12 (9), Not. Wengler n° 1755
Inventaire de la succession de Mathias Geyler, boulanger décédé le 28 septembre 1805 – à la requête de Sare Schneider la veuve, Me Stoeber fils Notaire public commissaire nommé par jugement du 20 février dernier pour la représentation de Mathias Geyler, fils absent, militaire dans la 30° demi Brigade des troupes de ligne, le Sr Sigismond Kolb, brasseur, tant comme fondé de pouvoir d’Elisabeth Geyler veuve de Georges Orge, officier d’artillerie demeurant à Nancy que comme subrogé tuteur de Marie Madeleine Geyler mineure de Salomé Geyler épouse de Frédéric Hildenbrand sellier à Strasbourg, enfin Jean Philippe Geyler boulanger, héritiers de leur pere – Contrat de mariage devant Lauth le 20 juin 1775

dans la maison mortuaire grande rue n° 29
meubles 247 fr
Immeuble, Une Maison consistant en bâtiment de devant et du derrière deux petites cours tréfond fontaine avec toutes ses autres appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg grande rue n° 29, d’un côté en partie le Sr Walter Koch en partie le Sr Wüst boulanger, d’autre la brasserie de l’Ours noir, devant la rue, derrière le Sr Schaeffer baquetier* – acquis pendant le mariage de Marie Marguerite Weber veuve de Georges Chrétien Ensfelder, boulanger, à la cidevant Chambre des Contrats le 9 juin 1791
Le premier étage du bâtiment du devant occupé par la veuve Michel moyennant un loyer de 84 fr, Le second étage par Pflieger boucher pour 72 fr, Le troisième étage par Brettinger tailleur pour 60 fr, Le premier étage du bâtiment du derrière habité par Marabail pour 48 fr, Le second étage par la veuve Walter pour 24 fr, Et le troisième étage par la veuve Burger pour 24 fr, ensemble 312 fr de revenu, en capital 6240 fr
total général 6487 fr, passif 9069 fr, déficit 2581 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 99 F° 56-v du 22.3.

Les héritiers Geyler vendent la maison à leur cohéritière Salomé Geyler femme du sellier Frédéric Hildenbrand. Ils suspendent l’adjudication comme ils estiment que la maison n’a pas été portée à sa juste valeur (voir l’acte suivant)

1806 (15.10.), Strasbourg 12 (12), Not. Wengler n° 2153
Cahier des charges – Sara Schneider veuve de Matthias Geyler boulanger, Me Daniel Ehrenfried Stoeber notaire commissaire nommé par la justice pour la représentation de Matthias Geyler, fils absent, militaire dans la 30° demi brigade des troupes de lignes que comme fondé de pouvoir de Jean Philippe Geyler boulanger aussi absent, le Sr Sigismond Kolb brasseur tant en qualité de mandataire d’Elisabeth Geyler demeurant à Nancy veuve de Georges Orge officier d’artillerie, annexée à l’Inventaire de la succession du Sr Geyler père dressé par le soussigné notaire le 17 mars dernier, que comme subrogé tuteur de Marie Madeleine Geyler mineure, enfin Salomé Geyler femme de Frederich Hildenbrand sellier, héritiers sous bénéfice d’inventaire de Matthias Geyler leur père
Une maison de boulanger a trois étages ayant pour enseigne l’ours noir, consistant en bâtiment de devant et de derrière, deux petites cours, tres fond et fontaine avec ses autres appartenances et dépendances, droits actifs et passifs – acquis par le défunt Geyler père de Marie Marguerite Weber veuve de Georges Chrétien Ensfelder boulanger, à la cidevant Chambre des Contrats le 9 juin 1791 – mise à prix 10.000 francs
adjugé pour 10 050 fr à Frédéric Hildebrand sellier carossier du chef de sa femme ; réception de surmises
(Affiche jointe) une maison de boulanger à trois étages et mansardes ayant pour enseigne l’ours noir consistant en bâtiment de devant et de derrière deux petites cours, tres fond et fontaine autres appartenances et dépendances droits actifs et passifs en cette ville grand rue n° 29 aboutissant en partie sur le Sr Koch vrillier et en partie le Sr Wüst boulanger, d’autre à la brasserie a l’ours noir devant la grand rue derrière Sr Schaeffer bacquetier
(Joint) vente de 1791 et Chambre des Contrats 1777 f° 481.a

Nouvelle vente par les héritiers Geyler. Le boulanger Jean Henri Mæchling se porte acquéreur moyennant 17 000 francs

1808 (19.4.), Strasbourg 12 (19), Not. Wengler n° 3144
Me Wengler commissaire nommé par jugement du tribunal Civil rendu le 2 septembre 1806, Sara Schneider veuve de Mathias Geyler père boulanger tant en son nom que comme tutrice naturelle de Marie Marguerite Geyler, Sigismond Kolb brasseur subrogé tuteur du mineur et fondé de pouvoir d’Elisabeth Geyler demeurant à Nancy veuve de Georges Orge, officier d’artillerie (procuration annexée à l’Inventaire de la succession de Mathias Geyler dressé par le notaire soussigné le 17 mars de ladite année) et Salomé Geyler épouse de Frédéric Hildenbrand sellier, Daniel Ehrenfried Stoeber, notaire public, commissaire nommé pour la représentation de Mathias Geyler fils absent militaire dans la 3° demi-brigade des troupes de ligne, ladite veuve Geyler commune et héritière pour un quart de Jean Philippe Geyler boulanger décédé a l’armée après son père, (les autres) héritiers pour un 5° de leur père et trois quarts de leur frère
à Henri Maechling boulanger à Strasbourg rue de la Madeleine n° 13
la maison de boulanger à trois étages et mansardes ayant pour enseigne l’ours noir faisant partie de la communauté qui a existé entre le défunt Geyler et la veuve, consistant le bâtiment de devant et de derrière deux petites cours tréfonds et Pompe sise à Strasbourg grand rue n° 29, d’un côté en partie le Sr Kock Vrillier en partie le Sr Wüst boulanger, d’autre la brasserie a l’ours noir devant la grande rue, derrière le Sr Schaeffer baquetier, avec toutes ses appartenances et dépendances – acquis de Marie Marguerite Weber veuve de Georges Chrétien Ensfelder, boulanger, par acte passé à la Chambre des Contrats le 9 juin 1791 – ont trouvé à propos de suspendre jusqu’à présent l’adjudication définitive attendu que lors de l’adjudication du 15 octobre 1806 le prix n’en a été porté qu’à 10.500 francs – mise à prix 14.500 fr – moyennant 17.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 105 f° 86 du 20.4.

Jean Henri Mæchling loue la maison au boulanger Matthias Schirr

1809 (14.10.), Strasbourg 12 (27), Not. Wengler n° 4322
Bail de trois années à commencer au 29 septembre 1810 – Jean Henri Maechling boulanger domicilié grand rue n° 39 en qualité de propriétaire de la maison sise en cette ville en ladite grand rue n° 29
à Matthias Schirr boulanger demeurant en cette ville grand rue n° 29
savoir tout le rez de chaussée de ladite maison grand rue n° 29 sauf le passage aux locataires, lequel rez de chaussée comprend toutes les localites y situées, une chambre au second étage du bâtiment du milieu, une chambre pour la servante aux mansardes dans le bâtiment de devant – moyennant 13 francs et un boisseau de charbons par semaine
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 f° 93 du 16.10.

Contrat de mariage d’une locataire Anne Marie Hussmann veuve de l’instituteur Frédéric Jacques Kræuter

1811 (2.4.), Strasbourg 12 (37), Not. Wengler n° 5650
Contrat de mariage – François Antoine Pfeiffer, journalier demeurant à Strasbourg, natif de Rhinau, né hors mariage de Marie Anne Pfeiffer
Anne Marie Hussmann veuve de Frédéric Jacques Kraeuter, instituteur
en la demeure de la future grand rue n° 29
Enregistrement de Strasbourg, acp 116 f° 181-v du 3.4.

Marie Anne Schmitt femme du boulanger Mathias Schier, locataire de la maison

1811 (23.7.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 267
Inventaire de la succession de Marie Anne Schier née Schmitt femme de Mathias Schier, boulanger – à la requête 1. du veuf, 2. d’Anne Marie Huter veuve en premières noces de Joseph Schmitt cultivateur à Gertwiller femme actuelle d’Ignace Andres laboureur audit lieu, 3. d’Anne Marie Schmitt femme de Georges Staemmel cultivateur à Gertwiller, 4. d’Ignace Schmitt père père et tuteur légal de Madeleine 14 ans, de Geneviève 7 ans et de Catherine, les cinq sœurs utérines de la défunte, Jean Rohrbach, laboureur à Nidernai subrogé tuteur, la défunte est décédée le 29 juin dernier
dans une maison sise grand rue n° 29 appartenant Sr Maechling boulanger
Contrat de mariage devant Me Rieffel à Barr le 5 novembre 1810
communauté, meubles 327 fr, passif 5994 fr, déficit 5666 fr
succession, garde robe, créances, 3,33 ares de vignes à Gertwiller 240 fr, total 8454 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 141-v du 24.7.

Nouvelle location entre Jean Henri Mæchling et Matthias Schirr

1813 (29.6.), Strasbourg 7 (50), Not. Stoeber jeune n° 84
Bail de 3 années à commencer le 29 septembre prochain – Jean Henri Maechling boulanger demeurant grand rue n° 39
à Mathias Schirr boulanger demeurant dans la maison ci après désignée
tout le rez de chaussée d’une maison sise en cette ville grand rue n° 29 sauf le passage aux autres locataires, lequel rez de chaussée comprend toutes les localités y situées, une chambre au second étage du bâtiment du milieu, une chambre pour la servante aux mansardes dudit bâtiment et la moitié de la cave dessous le bâtiment de devant encore toutes les mansardes de ladite maison, moyennant 14 francs par semaine et 20 litres ou un boisseau de charbon par semaine, soit 780 francs par an
Enregistrement de Strasbourg, acp 122 F° 168 du 30.6.

Jean Henri Mæchling et Marie Salomé Lipp vendent la maison 18 000 francs au boulanger Jacques Gintz

1814 (4.10.), Strasbourg 7 (52), Not. Stoeber jeune n° 700
Jean Henri Maechling propriétaire et Marie Salomé née Lipp
à Jacques Gintz boulanger
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, deux petites cours, pompes, appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 29 ayant pour enseigne l’ours noir, d’un côté en partie le Sr Koch en partie le Sr Wüst, d’autre la brasserie à l’Ours noir, devant la grand rue derrière le Sr Schaeffer – acquis de Sare Schneider veuve de Mathias Geyler, boulanger et des héritiers de ce dernier suivant adjudication définitive reçue Me Wengler le 19 avril 1808, les héritiers Geyler ont acquis ledit immeuble de Marie Marguerite Weber veuve de Georges Chrétien Ensfelder, boulanger, par acte passé à la Chambre des Contrats le 9 juin 1792 – avec trois fourneaux non murés – moyennant 18.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 F° 178 du 10.10.

Originaire de Mittelschæffolsheim, Jean Jacques Gintz épouse en 1802 Marie Madeleine Menner, native d’Ingwiller
Mariage, Strasbourg (n° 259)
Du 9° jour du mois de ventôse l’an X de la République française. Acte de mariage de Jean Jacques Gins, agé de 34 ans, boulanger domicilié en cette ville depuis 5 ans, né à Mittelschaeffolsheim Département du Bas-Rhin le 10 juillet 1767 fils légitime de Michel Gins, cultivateur audit lieu et de feüe Brigitte Rittling Et de Marie Madeleine Menner, agée de 23 ans, domiciliée en cette ville depuis six ans, ne à Ingviller Département susdit, le 15 février 1779 fille légitime de feu Chrétien Menner, huissier audit lieu et de Madeleine Weyrauch (signé) Jacob gins, Magdalena Menner (i 136)

Extrait du registre de population
600 MW 75 f° 960 Grand’rue 29 (i 175)
Gintz, Jacques, 1767 boulanger, né à Mittelschaeffolsheim, à Strasbourg depuis 1796. Auparavant grand rue 101 – Entré 1819, décédé déc. 39
id. née Menner, Madeleine, 1778, Ep. née à Ingweiler à Strasbourg depuis IV – décédée août 40
id. Madeleine, 1801, née à Mittelschaeffolsheim. Dél. r des ptes boucheriers 111
Menner née Weirauch, Madeleine, 1744, veuve, née à Ingweiler à Strasbourg depuis IV
Menner, Michel, 1784, né à Mittelschaeffolsheim à Strasbourg depuis 1815

Inventaire après décès d’un locataire, le cordonnier Jean Jacques Leberecht

1815 (12.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 20), Not. Bossenius n° 627
Inventaire de la succession de Jean Jacques Leberecht, cordonnier décédé le 9 novembre 1814 – à la requête de Marie Madeleine née Knopff la veuve mère et tutrice légale de Marie Madeleine et Amélie Caroline seules et uniques héritières du défunt, en présence de Jean Georges Stampff marchand graissier subrogé tuteur des mineures
dans la maison grand’rue n° 29 occupée en partie à titre de loyer
propres de la veuve, 237 fr, remplacement 24 fr, dettes actives 100 fr, total 361 fr
propres du défunt, 54 fr, remplacement 24 fr, argenterie 10 fr, total 88 fr, passif 100 fr, compensation faite 11 fr
communauté, meubles 102 fr, passif 5200 fr, passif 417 fr
enreg. F° 173 du 18.4.

Jacob Gintz loue la maison au boulanger Jean Debes, originaire de Mittelschæffolsheim

1834 (21.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 129, ssp du 10.3.
Bail – Jacob Gintz, maître boulanger, grande rue n° 29
à Jean Debes, boulanger célibataire demeurant à Mittelschaeffolsheim
sa boulangerie avec ce qui y appartient comme suit sise en sa maison grand rue n° 29, 1. une boulangerie au rez de chaussée avec boutique cuisine à côté de la chambre
2. une chambre de boulanger, boulangerie, un four, bucher, écurie à porcs, chambre de garçons au dessus dudit bucher et une chambre à linge sale au dessus de cette dernière
3. au second étage une chambre sur petite cour de devant ayant deux croisées
4. au quatrième étage une chambre à farines sur le devant et par derrière au même étage la chambre de servante
5. la moitié de la cave que M Gintz cède au locataire – moyennant 14 francs par semaine et une miche de pain blanc de 6 livres

Jacques Gintz et Madeleine Menner vendent la maison au boulanger François Joseph Spehner et à sa femme Madeleine Gintz moyennant 16 350 francs et à charge de les entretenir

1836 (8.4.), Strasbourg 12 (139), Me Noetinger n° 8167
Jacques Gintz, ci devant boulanger, et Madeleine Menner
François Joseph Spehner, boulanger, et Madeleine Gintz
une maison consistant en bâtiment de devant & de derrière, deux petites cours, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand’rue n° 29 ayant pour enseigne l’Ours Noir, d’un côté la propriété du Sr Pick brasseur, d’autre la propriété du Sr Schooff, devant la grand rue, derrière la propriété du Sr Ernst Burg & Pick, avec des objets mobiliers évalués à 400 fr
ledit immeuble provient d’acquet de Jean Henri Maechling, propriétaire, & Marie Salomé Lipp, par acte reçu Me Stoeber le 4 octobre 1814, le Sr Maechling l’avait acquis de Sara Schneider veuve de Mathias Geyler, boulanger, & des héritiers de ce dernier, suivant adjudication devant Me Wengler le 19 avril 1808, à charge de nourrir les vendeurs et les entretenir à leur table de la même manière et avec les mêmes aliments que les acquéreurs eux mêmes et ce à deux repas par jour outre le déjeuner. Ces repas comporteront savoir le diner de soupe bœuf & légumes, le souper de soupe & d’un plat nourrissant & le déjeuner de café & d’un pain d’un sol pour chacun, 6. de leur fournir en outre un demi litre de vin par jour, de leur payer chaque semaine chaque fois le dimanche une somme de 3 francs, de les soigner gratuitement en cas de maladie, de les faire traiter par les médecins & chirurgiens des acquéreurs & de leur fournir les drogues et médicaments prescrits, 7. de laisser jouir les vendeurs leur vie durante mais pour eux seulement d’une chambre d’habitation avec cuisine au premier étage de la maison de derrière, d’une chambre sous le toit pour servir de magasin de meubles et de leur accorder le passage dans ladite maison, ladite jouissance estimée à 300 fr en capital 3000 fr – moyennant 16.350 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 239 f° 100-v du 14.4.

Originaire de Lipsheim, François Joseph Spehner épouse en 1823 Madeleine Gintz, originaire de Mittelschaeffolsheim
1823 (21.1.), Strasbourg 12 (90), Me Wengler n° 12.980
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – François Joseph Spehner, boulanger à Strasbourg, fils de Mathias Spehner, laboureur à Lipsheim, et de Catherine Bodemer
Madeleine Gintz fille majeure à Strasbourg, fille de feu Joseph Gintz, laboureur à Mittelschaeffolsheim et de Catherine Wendling
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 44 du 23.1.

François Joseph Spehner et Madeleine Gintz hypothèquent la maison au profit du négociant Maximilien Pougnet

1846 (3.8.), Strasbourg 12 (169), Me Noetinger n° 18.595
Obligation – Ont comparu le Sr François Joseph Spehner, boulanger et De Madeleine Gintz sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Maximilien Pougnet négociant demeurant à Strasbourg, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille
hypothèque, Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec deux petites cours et dépendances le tout situé à Strasbourg grand’rue n° 29 ayant pour enseigne l’ours noir, tenant d’un côté à M. Pick brasseur, de l’autre à M. Schoff
Déclarent les conjoints débiteurs sous les peines du stellionat, 1° qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté réduite aux acquets, 2° Que la maison par eux hypothéquée laur appartuent en toute propriété en vertu de titres en bonne forme et non prescrits

Nouvelle hypothèque un an plus tard au profit de leur fils François Joseph Spehner

1847 (28.7.), Strasbourg 2 (92), Not. Roessel n° 1449
Obligation – Ont comparu le Sieur François Joseph Spehner, boulanger & Dame Madeleine Gintz sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à leur fils le Sieur François Joseph Spehner,sommelier demeurant à Francfort-sur-le-Mein, domicilié à Strasbourg, la somme de 2000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison consistant en bâtiment de devant & de derrière, deux petites cours, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg grand’rue n° 29 tenant d’un côté à la propriété du Sr Pick brasseur, de l’autre à celle du Sr Schooff, donnant par devant sur la grand’rue et par derrière sur les Sr Ernst, Burg et Pick.
Déclarent les débiteurs qu’ils ont acquis cet immeuble du Sr Jacques Gintz cidevant boulanger et Madeleine Menner sa femme demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Noetinger notaire en cette ville, le 8 avril 1836 transcrit au bureau des hypothèques le 7 mai suivant volume 306 N° 33. (…) Ils observent que ledit contrat contient encore différentes stipulations et charges, droit d’habitation dans ladiye maison et de prétentions au profit des vendeurs qui n’ont plus d’objet par suite du décès de ces derniers (…). Les époux Gintz avaient eux-mêmes acquis ladite maison de Jean Henri Maeckling, propriétaire et Marie Salomé Lipp sa femme selon contrat passé devant Me Stoeber jeune alors Notaire en cette ville le 4 octobre 1814 pour la somme de 18.000 francs

Autre hypothèque au profit du confiseur Charles Wollenweber

1847 (23.8.), Strasbourg 11 (42), Not. Keller n° 3903
Obligation – Ont comparu le Sr François Joseph Spehner, boulanger et Dame Madeleine Gintz sa femme de lui autorisée demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Charles Wollenweber, confiseur demeurant à Strasbourg, une somme de 3000 francs qu’il leur a avancée
hypothèque, Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière deux petites cours, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 29 tenant d’un côté à la propriété du Sr Pick brasseur, de l’autre à la propriété de Mme Schoff donnant par devant sur la grand’rue et par derrière sur la propriété des Sr Pick et Ernst. Cet immeuble appartient aux emprunteurs au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite du Sr Jacques Gintz ci devant boulanger à Strasbourg et dame Madeleine Manner sa femme suivant contrat de vente passé devant Me Noetinger notaire à Strasbourg le 8 avril 1836 transcrit au bureau des hypothèques le 7 mai de la même année volume 306 N° 33. Cette acquisition a eu lieu 1° à la charge par les acquéreurs de nourrir et loger les vendeurs leur vie durant, laquelle charge les époux Spehners’est éteinte par suite du décès de ces derniers, 2° moyennant une somme de 16.350 francs à deux créanciers hypothécaires dénommés audit acte et auxquels la dite somme est encore due. Quant aux époux Gintz ils étaient propriétaires du dit immeuble pour l’avoir acquis du Sr Jean Henri Maeckling propriétaire et de dame Marie Salomé Lipp sa femme selon contrat passé devant Me Stoeber jeune et son collegue notaires à Strasbourg le 4 octobre 1814. Enfin les conjoints Maeckling l’avaient acquis de dame Sara Schneider veuve du Sr Mathias Geyler père boulanger à Strasbourg et des héritiers de ce dernier selon procès verbal d’adjudication dressé par Me Wengler alors notaire à Strasbourg le 19 avril 1808

Consentements de mariage
1861 (16.1.), Me Roessel Aîné
Consentement par François Joseph Spehner boulanger et Madeleine Gintz sa femme à Strasbourg au mariage de leur fils François Joseph Spehner, sommelier à Wiesbaden avec Elise Stoerckel veuve de Henri Dietrich dit lieu
acp 495 (3 Q 30 210) f° 31-v du 16.1.

1870 (21.3.), Me Hoffherr
Consentement par Joseph Spehner boulanger et Madeleine Gins sa femme à Strasbourg au mariage de leur fils Louis Charles Spehner cuisinier à Mayence avec Marie Anne Pfoh
acp 592 (3 Q 30 307) f° 9 du 21.3.

1874 (10.10.), Me Allonas
Einwilligung Seitens Frantz Joseph Spehner Bäckermeister & deßen Ehefrau Magdalena Gintz, beide dahier in Straßburg wohnhaft in die beabseichtigte Ehe ihres Sohns Leon Victor Spehner Fabrik Verwalter hier mit Caroline Zimmer großjährig in Bischheim a. S.
acp 632 (3 Q 30 347) f° 55 du 10.10.

La maison est vendue par adjudication judiciaire contre François Joseph Spehner et Madeleine Gintz. L’acquéreur est Méderic Titus Pauliac, facteur des messageries générales

1848 (17.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 483 (2708) du 17 juin 1848, n° 3 – Tribunal civil
Le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville au palais de Justice a rendu le jugement d’adjudication suivant. Cahier des charges. Mme Theis, avoué exerçant à Strasbourg, chargé d’occuper pour le sieur Maximilien Pougnet négociant est créancier du sieur François Joseph Spehner, boulanger, et Madeleine Gintz sa femme tous demeurant à Strasbourg, d’une somme principale de 1000 francs et intérêts en échus et des frais suivant obligation reçue par Me Noetiger notaire à la résidence de Strasbourg en date du 3 août 1846 enregistrée. Que le sieur Spehner étant tombé en état de faillite le sieur Maximilien Pougnet fit faire aux époux Spehner et au sieur Philippe Hoerter marchand de Bois demeurant également à Strasbourg, syndic nommé par jugement du tribunal de commerce séant à Strasbourg, à la faillite du dit sieur Spehner, commandement de payer ladie somme principale, intérets et frais par exploit de l’huissier Porst résidant à Strasbourg en date du 29 octobre 1847 enregistré le lendemain. Que ce commandement étant resté sans effet il a été procédé à la saisie de l’immeuble ci après désigné par procès verbal dressé par ledit huissier en date du 13 décembre de la même année 1847 (…)
Désignation de l’immeuble saisi. Une maison boulangerie dite de l’Ours noir, consistant en bâtiment de devant et de derrière avec deux petites cours & appartenances et dépendances, située à Strasbourg grand rue n° 29 justice de paix du canton sud, arrondissement de Strasbourg section P numéro 758 tenant d’un côté à la brasserie de l’ours noir propriété du Sr Charles Frédéric Pick, de l’autre à Chrétien Ott, par devant la grand’rue et par derrière les Sr Pick et Ernst.
Conditions de la vente (…) Mise à prix. Le poursuivant enchérit l’immeuble pour servir de première mise à la somme de 1000 francs. Strasbourg le 27 décembre 1847.
Adjudication. L’an 1848 le 31 mars à l’audience publique des criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville (…) Enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par M° Roser avoué pour 22.500 francs
Déclaration de command. L’an 1848 le 31 mars au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg est comparu M° Roser avoué et a dit (avoir enchéri) au profit de Médric Titus Pauliac, facteur des Messageries générales domicilié à Strasbourg

Méderic Titus Pauliac épouse en 1826 Marie Françoise Sophie Weiss, fille de musicien
Mariage, Strasbourg (n° 228)
Acte de mariage célébré le 3 juillet 1826. Jacques Méderic Titus Pauliac, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 fructidor en VI à Château de Loir (Sarte) domicilié à Strasbourg, conducteur de diligences, fils de feu Guillaume Joseph Pauliac, Lieutenant au 5° régiment d’infanterie légère décédé à St Domingue le 30 thermidor X et de Françoise Lott domiciliée en cette ville, ci présente et consentante, et Marie Françoise Sophie Weiss, majeure d’ans, née en légitime mariage le 4 avril 1793 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg fille de Gaspard Weiss, musicien, et de Catherine Genicot ci présente et consentante (signé) Jacque Mederique titus Pauliac, Marie fransois Sophie Weiss (i 3)

Méderic Titus Pauliac et Marie Françoise Sophie Weiss vendent la maison 20 000 francs au boulanger Michel Bieth et à sa femme Sophie Jacobée Gluntz

1852 (20.4.), Me Noetinger
Ont comparu Monsieur Jacques Medric Titus Pauliac, facteur des messageries générales et Madame Marie Françoise Sophie Weis son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (vendent)
à Monsieur Michel Bieth boulanger et à Madame Sophie Jacobée Gluntz sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg
Une maison boulangerie dite de l’ours noir consistant en bâtiments de devant et de derrière avec deux petites cours appartenances et dépendances, sise à Strasbourg Grand’rue n° 29 tenant d’un côté à la brasserie de l’ours noir appartenant à Monsieur Charles Frédéric Pick de l’autre à une propriété du Sieur Chrétien Ott par devant la grand’rue et par derrière deux propriétés des Sr Ernst, Pick et et Burg
Origine de la propriété. Monsieur et Madame Pauliac sont propriétaires de la maison vendue au moyen de l’adjudication qui leur en a été faite sous le nom de M° Roser avoué qui leur en a passé déclaration suivant jugement rendu à l’audience des criées du tribunal civil de Strasbourg le 31 mars 1848 et déclaration de command du même jour, le tout par suite des poursuites en expropriation forcée exercées contre Monsieur François Joseph Spehner boulanger et Madame Madeleine Gintz sa femme demeurant à Strasbourg. Cette adjudication a été prononcée moyennant un prix de 22.500 francs (…) Monsieur Pauliac a payé à compte de son prix 5548 francs (…)
Les sieurs et Dame Spehner étaient propriétaires de la maison vendue au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de Monsieur Jacques Gintz ancien boulanger et de Dame Madeleine Menner sa femme de Strasbourg suivant contrat passé devant Me Noetinger l’un des notaires soussignés qui en a la minute et son collègue le 8 avril 1836 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 7 mai 1836 volume 306 N° 33. (…) Monsieur et Madame Gintz avaient eux-mêmes acquis la maison dont s’agit de Monsieur Jean Henri Maeckling, propriétaire et de Dame Marie Salomé Lipp sa femme aux termes d’un contrat passé devant Me Stoeber le jeune et son collègue notaires en cette ville le 4 octobre 1814 moyennant un prix de 18.000 francs (…) Prix 20.000 francs
acp 409 (3 Q 30 124) f° 29 du 26.4. Noetinger 20.4.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 547 (2768) n° 29 du 1° mai

Originaire de Gimbrett, Michel Bieth épouse en 1843 Sophie Gluntz, fille de farinier
1843 (4.7.), Strasbourg 14 (116), Me Ritleng n° 13.938
Contrat de mariage – Michel Bieth natif de Gimbrett garçon boulanger domicilié & demeurant à Strasbourg fils majeur de feu le S. Jean Bieth en son vivant cultivateur à Gimbrett & de Eve Litt sa veuve domiciliée à Gimbrett agissant sous l’assistance de sa mère d’une part
& Dlle Sophie Gluntz fille majeure du S Jean Jacques Gluntz farinier & de Catherine Dorothée Hoffmann conjoints avec lesquels elle est domiciliée à Strasbourg stipulant sous l’assistance & l’agrément de ses père et mère d’autre part
acp 312 (3 Q 30 027) f° 4-v

Michel Bieth et Sophie Jacobée Gluntz hypothèquent la maison au profit du clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn

1863 (10.10.), Strasbourg 9 (124), Not. Becker n° 9891
Obligation – Ont comparu M. Michel Bieth, boulanger et Mad. Sophie Jacobée Gluntz son épouse qu’il autorise à l’effet de ce qui suit tous deux demeurant à Strasbourg (devoir)
à M. Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, clerc de notaire, licencié en droit, demeurant à Strasbourg à ce présent et acceptant, la somme de 6000 francs pour prêt de pareille somme
Hypothèque, Une maison boulangerie dite de l’Ours noir, consistant en bâtiments de devant et de derrière avec deux petites cours appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, grand’rue grand rue n° 98 autrefois marquée du n° 29, tenant d’un côté à la brasserie de l’Ours noir appartenances à M. Charles Frédéric Pick, de l’autre à M. Chrétien Ott, par devant la grand’rue et par derrière deux propriétés des Sr Ernst, Pick et et Burg.
Etablissement de la propriété. Au sujet de l’origine de la propriété de ladite maison, les débiteurs ont fait les déclarations suivantes. Les époux Bietn sont devenus propriétaires de l’immeuble en question pour l’avoir acquis de M. Jacques Médric Titus Pauliac, facteur des messageries générales et de Mad. Marie Françoise Sophie Weis sa femme demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant Me Noetinger notaire à Strasbourg le 20 avril 1852 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le premier mai suivant volume 547 n° 29. Le prix de cette acquisition était de 20.000 francs (…) due par ledit sieur Pauliac pour partie de prix du dit immeuble aux termes d’un jugement d’adjudication dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 31 mars 1848 et déclaration de command du même jour dressé au greffe dudit siège, le tout transcrit au bureau des hypothèques le 17 juin suivant volume 483 n° 3 (…) Lesdits époux Pauliac étaient devenus propriétaires du dit immeuble par suite de l’expropriation forcée poursuivie contre M. François Joseph Spehner boulanger et Mad. Madeleine Gintz sa femme demeurant ensemble à Strasbourg aux termes de l’adjudication qui en a été prononcée au profit du sieur Pauliac aux termes des jugement d’adjudication et déclaration de command ci-dessus relatés moyennant le prix de 22.500 francs (…) Les époux Spehner susnommés avaiaent acquis l’immeuble susdésigné de M. Jacques Gintz ancien boulanger et de Dame Madeleine Menner demeurant ensemble à Strasbourg aux termes du contrat de vente ci-dessus relaté du 8 avril 1836 (…) Les époux Gintz étaient eux-mêmes devenus propriétaires de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir acquis de M. Jean Henri Maechling, propriétaire et de Dame Marie Salomé Lipp sa femme demeurant ensemble à Strasbourg aux termes du contrat ci-dessus mentionné [Me Stoeber le jeune] du 4 octobre 1814 moyennant un prix de 18.000 francs
Etat civil et situation hypothécaire des débiteurs. Les débiteurs déclarent sous les peines de la loi qu’ils ont dit bien connaître 1) qu’ils sont mariés l’un et l’autre en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Ritleng notaire à Strasbourg le 4 juillet 1843

Sophie Gluntz meurt en 1866 en délaissant sept enfants

1866 (11.6.), Me Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Bieth boulanger et Sophie Gluntz sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 12 mai 1866. A la requête de 1) le veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Ritleng le 4 juillet 1843 et comme père et tuteur de ses enfants mineurs ci après nommés 1) Julie Caroline, 2) Michel, 3) Gustave Adolphe, 4) Wilhelmine, 5) Jules Eugène, 6) Marie Eugénie Bieth, tous à Strasbourg, 2) Sophie Bieth mineure épouse de Georges Lienhard pasteur à Wiberwiller
Communauté 1) meubles et objets mobiliers 1974, 2) créances dues par Georges Fautel 348
Une maison sise à Strasbourg Grand rue N° 98 d’un revenu de 1500 fr en capital 30.000
Succession, garde robe 174
acp 554 (3 Q 30 269) f° 97-v du 19.6. (succession déclarée le 6 9.bre 1866)
(vacation du 6.9.) reprises de la succession 3400. Reprises du veuf 8100
Succession, garde robe 174
acp 556 (3 Q 30 271) f° 65-v du 12.9.

Liquidation correspondante, dressée après la vente de la maison
1869 (30.11.), Me Noetinger
Liquidation et partage communauté de biens qui a existé entre Michel Bieth père, boulanger à Strasbourg, et Sophie Gluntz sa femme et de la succession de la De Bieth décédée à Strasbourg le 12 mai 1866
Entre le veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Ritleng le 4 juillet 1843 et comme père et tuteur de Jules Eugène, Marie Eugénie et Wilhelmine Amélie Bieth, 2) Louis Greiner, commis architecte et Julie Caroline Bieth sa femme à Strasbourg et ledit Sr Greiner agissant comme mandataire de Michel Alphonse Bieth boulanger à Curamine près Besançon, 3) Gustave Adolphe Bieth étudiant en théologie à Strasbourg agissant tant en son nom que comme mandataire de Sophie Bieth épouse de Georges Lienhard ministre du culte protestant à Wiberwiller (Meurthe)
Communauté. Masse active. Mobilier 1974, créances Fautel 348, prix de la maison vendue 45.560, Total 48.822
Mase passive, Reprises du veuf 8100, reprises de la défunte 3400, créances déléguées sur le prix de ente 14.490, Total 25.990 – Reste 22.831, dont moitié 11+415
Succession de la De Bieth. Masse active, moitié de la communauté 11.415, reprises 3400, garde robe 174, total 14.989
Droits des parties et attributions (…)
acp 588 (3 Q 30 303) f° 52 du 2.12.

Michel Bieth et ses enfants vendent la maison 46 600 francs au boulanger Frédéric Wickersheimer et à sa femme Amélie Schwartz

1869 (7.10.), Me Noetinger
1) Michel Bieth père, boulanger à Strasbourg,
2) Georges Lienhard ministre du culte protestant à Wiberwiller, et Sophie Gluntz sa femme, 3) Louis Greiner, commis architecte et Julie Caroline Bieth sa femme à Strasbourg, 4) le mandataire de Michel Alphonse Bieth boulanger à Curamine près Besançon, 5) Gustave Adolphe Bieth étudiant en théologie à Strasbourg agissant tant en son nom que comme se portant fort de Wilhelmine Amélie Bieth, Jules Eugène Bieth et de Marie Eugénie Bieth, ces trois mineurs
à Frédéric Wickersheimer, boulanger, et Amélie Schwartz
une maison sise à Strasbourg Grand rue n° 98, moyennant 46.600 francs
jouissance, impôts et intrêts du 25 mars 1870. Origine, vente Noetinger le 20 avril 1852.
acp 587 (3 Q 30 302) f° 29 du 18.10.

Originaire de Balbronn, Frédéric Wickersheimer épouse en 1864 Amélie Schwartz, fille d’un boulanger de Barr
Mariage, Strasbourg (n° 437)
Du 22° jour du mois de septembre l’an 1864. Acte de mariage de Frédéric Wickersheimer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 décembre 1838 à Ballbronn (Bas Rhin), domicilié à Strasbourg, boulanger, fils de feu Jean Georges Wickersheimer, cultivateur décédé à Ballbronn le 11 janvier 1857 et de Marguerite Salomé Glass, sans profession domiciliée à Ballbronn ci présente et consentante, et de Amélie Schwartz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 mai 1836 à Barr (Bas Rhin) domiciliée à Barr, sans profession, fille de Jean Michel Schwartz, boulanger domicilié à Barr ci présent et consentant et de feu Salomé Jost décédée à Barr le 6 avril 1854 – il a été passé le 14 de ce mois un contrat de mariage devant Me Charles Auguste Schmidt notaire à Barr, (signé) Wickersheimer, Schwartz (i 18)

Note

Aurore et Diane, superposées dans la travée centrale, sont flanquées par les Quatre parties du monde. Au rez-de-chaussée Diane avec le croissant de lune, à gauche l’Afrique à oreilles décollées, couronnée d’une grande tête d’éléphant, à droite l’Amérique à coiffe de plumes et pendants d’oreilles. Au premier étage, au centre Aurore avec l’étoile, à gauche l’Europe casquée et à droite l’Asie à turban et aigrette (B. Parent).



6 (a), quai Finkmatt


Quai Finkmatt n° 6 (ancien n° 7) – II 343 (Blondel), N 304, partie de N 208 (1874) puis section 79 parcelle 10 (cadastre)

Deuxième étage, 1768 (Frédéric Beatschi) – Détruite lors du siège de 1870


L’ancien n° 7 correspond à la partie gauche du bâtiment actuel (mai 2019)

Le précepteur Jean Thierry Albrinck acquiert en 1705 plusieurs maisons contiguës. Il revend l’année suivante 700 livres celle qui forme le coin du Fossé des Treize et de la rue des Cerceaux au fabricant de chausses Jean Thiébaut Bruckert qui revend à son tour 100 livres une petite maison rue des Cerceaux à Marie Catherine Diebold, fille du bailli de Barr. Le bâtiment revient à l’avocat Jean Daniel Frid qui en fait une maison de rapport. Les experts estiment à sa mort en 1764 à 75 livres la maison comprenant un poêle, une cuisine et une chambre, c’est-à-dire un bâtiment à un seul étage. Ses héritiers la vendent en 1765 au compagnon maçon Frédéric Beatschi qui transforme l’année suivante le rez-de-chaussée puis ajoute en 1768 un deuxième étage comme en témoignent les comptes rendus des préposés aux feux.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 6 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à gauche du repère (k) : fenêtre et porte d’entrée au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes.
La maison change à plusieurs reprises de propriétaires parmi lesquels la veuve d’un garde d’artillerie originaire de Styrie.
La maison porte le n° 7 de la rue des Cerceaux qui devient le quai de la Finckmatt. La numérotation ne change pas en 1857 puisqu’il s’agit d’un quai dont les numéros sont continus. Rachetée en 1854 par le voisin le marchand de charbons Jean Hahn, elle est réunie au n° 6 qui devient une auberge (A la Finkmatt, 1905).

juin 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1706 à 1952, voir auparavant rue du Fossé des Treize. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Thierry Albrinck, précepteur, et (1702) Marie Salomé Spach – luthériens
1706 v Jean Thiébaut Bruckert, fabricant de chausses , et (1694) Susanne Reine Kirchner – luthériens
1707 v Marie Catherine Diebold († 1714) – luthérienne
1730* adj Jean Daniel Frid, avocat, et (1715) Elisabeth Schell, veuve du capitaine de batellerie Gaspard Meyer, puis (v. 1726) Anne Catherine Koch – luthériens
1765 v Frédéric Beatschi, compagnon maçon, et (1762) Rosine Hock, auparavant (1755) femme de l’aubergiste Jean Lobstein – luthériens
1794 h André Eichkorn, domestique, et (1794) Barbe Beatschi
1835 v Appoline Schahl (ensuite, 1845, femme de Philippe Bambis)
1840 v Marie Stocker veuve du garde d’artillerie Pierre Bernon
1850 v Antoine Brouillon, garçon tanneur puis aubergiste, et (1846) Elisabeth Haffen
1851 v Philippe Bernhard, boulanger, veuf de Frédérique Oster et (1839) Eve Meylænder
1854 v Jean Hahn, imprimeur en papiers peints puis marchand de charbons, et (1820) Marie Madeleine Kessler puis (1853) Marie Anne Cleman, veuve du compagnon meunier Louis Rung
1864 h François Wurtz, serrurier puis aubergiste, et (1853) Florentine Hahn auparavant (1851) femme de l’imprimeur lithographe Frédéric Martin Oster
1898* v Gustave Wurtz, sellier puis aubergiste, et (1890) Emma Steinmetz puis (1904) Marie Hugo
1940* v Marcel Friedel

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 75 livres en 1759
Valeur vénale : 100 livres en 1707, 137 livres en 1765

(1765, Liste Blondel) II 343, M. Fridt XIII
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bratsche Wittib, 3 toises, 1 pied et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 304, Betsch, Antoine, veuve – maison, sol – 0,95 are (puis Stocker Marie veuve Bernot)

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Michel Hatzung rend compte des transformations que le compagnon maçon Jean Frédéric Beatschi fait faire dans sa maison rue des Cerceaux où il aménage un poêle à droite de l’entrée, un fourneau dont le tuyau donne dans une vieille cheminée, le tout à distance de pièces de bois.

Joh: Friedrich Beatschi 97. 176
(f° 97) Freÿtags d. 4.ten Aprilis 1766 – Johann Friedrich Beatschi der Maurergesell und schirmer will in seiner auf der Reiffgaß gelegenen behaußung gerad gegen dem Eingang rechter hand eine stube gegen der gaß, darneben ein heerdlein mit einem Caminschooß machen, das rohr in ein altes darüber befindliches Caminrohr hinein führen, Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Hatzung.

Le maître maçon André Stahl rend compte des transformations que le compagnon maçon Frédéric Beatschi fait faire dans sa maison où il aménage un poêle au deuxième étage vers la rue, à côté une cuisine comportant un fourneau dont le tuyau longe le mur coupe-feu, le tout à distance de pièces de bois.

(f° 176-v) Mittwoch den 21. Decembris 1768. – Friedrich Beatschi der Maurergesell will in seiner in der Reiffgaß gelegenen behaußung im Zweÿten stock eine Stube gegen der gaß, dabeneben eine Kuchen mit heerd und Caminschoß machen, das rohr der Feurmaur hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Stahl.

Description de la maison

  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine et une chambre, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé à 150 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Cerceaux

nouveau N° / ancien N° : 13 / 7
veuve Brotschin
Rez de chaussée et 2 étages mauvais en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 90 case 2

Stocker Marie veuve Bernon à Strasbourg
Stocker Marie veuve Bernon à Strasbourg (1845)
Bernhard Philippe boulanger à Strasbourg (1852)
(1855) Hahn, Jean, rue de la Soupe à l’eau N° 2 et rue des Cerceaux

N 304, maison, sol, rue des Cerceaux 7
Contenance : 0,95
Revenu total : 27,50 (27 et 0,50)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 347 case 2

Hahn, Jean
1866 Wurtz, François, mécanicien au chemin de fer

N 304, maison, sol, quai de la Finckmatt n° 7
Contenance : 0,95
Revenu total : 27,50 (27 et 0,50)
Folio de provenance : (90)
Folio de destination : zerstört
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871, Diminutions – Maisons détruites pendant le blocus, Wurtz François f° 347, N 304, revenu 21

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 390 case 2

Wurtz, Franz
98/99 Wurtz Gustav, Würth

N 208, Hofraum, Haus, Finkmattstaden 6
Contenance : 2,89
Revenu total : 327,50 (326 et 1,50)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus : 19

Cadastre allemand, registre 33 p. 737 case 1

Parcelle, section 79, n° 10 – autrefois N 208.p
Canton : Dreizehnergraben Hs. N° 1 u. Finkmattstaden Hs. N° 6 / Rue du Fossé des Treize, Quai Finkmatt
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,67
Revenu : 2500 – 4600 – 4000
Remarques : 1910, Minderung

(Propriétaire), compte 3778
Wurtz Gustav
1929 Wurtz Gustave aubergiste veuve Jeanne Caroline née (-)
1940 Friedel Marcel sa veuve
(1489)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 46 des Cerceaux (p. 80)

9
Pro. Bartin, Barbe, Veuve
lo. Strohhauer, Eve, Veuve – Marechaux
lo. Eger, Marie, Cordonniers
lo. Stierling, Barbe

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Finkmattstaden (Seite 34)

(Haus Nr.) 6
Wurtz, Wirt zur Finkmatt. E 01
Bibert, Gerichtsvollziehergehülfe. 1
Klauditz, Modistin. 1
Baer, Damen schneiderin. 2
Bieber, Gerichtsvollzieherkandidat. 2
Mehn, Steurgehülfe. 2
Lengauer, Schieferdecker. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)


Relevé d’actes

Voir auparavant le bâtiment au coin de la rue de ls Soupe-à-l’Eau.
Le précepteur Jean Thierry Albrinck et Marie Salomé Spach vendent 700 livres leur maison à Jean Thiébaut Bruckert et à sa femme Susanne Reine Kirchner

1706 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 673
(700) Joh. Dietrich allbrinck præceptor privatus u. Maria Salome geb. Spachin [unterzeichnet] Johann dietrich Albring
hatt in gegensein Joh. Theobald Bruckerts u. Susannæ Reginæ geb. Kirchnerin
ihre behaußung, Hoff, Hoffstatt u. Garthen daran mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier, einseit ahn der Reiffgass neben Clemens garthen anderseit neben Adam Braun Kübler hinten auf den vixischen Garthen stoßendt – um 400 verhafftet, geschehen um 300 pfund

Le fabricant de chausses Jean Thiébaut Bruckert épouse en 1694 Susanne Reine Kirchner, fille du pasteur de Lichtenau en Bade
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 48-v)
1694. Eodem [Dom. XIII. post Trinit.] seÿns erstlich außgeruffen worden Johann Theobald Bruckker der jüngere lediger Hoßenstricker, Johann Theobald Bruckkers deß ältern, auch Hoßenstrickers und burgers ehelicher Sohn, und Fr. Salome Regina weil M. Adam Kirchners geweßenen Pfarrers Zu Lichtenau Gräffl. Hanauischer Greffschafft nachgel eheliche tochter. Seÿnd copulirt worden den 15. 7.br. [unterzeichnet] Hannß Theobaldus bruckert Hochzeiter, + der Hochzeiterin Zeichen (i 48)

Susanne Reine Kirchner devient bourgeoise en 1699 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1699, 4° Livre de bourgeoisie p. 708
Susanna Regina Kircknerin, Von Lichtenaw, Weÿl. H. Adam Kirchners gew: Pfarrers daselbst hinterl. tochter, empfangt das burgerrecht gratis Von Joh: Diebold Brucker dem Hosenstricker ihrem Ehemann Vnd Wird beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin dienen. Promis. d. 11. Martÿ 1699.

Le revendeur Jean Thiébaut Bruckert fait partie de ceux qui ont vendu de l’eau de vie sans autorisation
1699, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 148-v) Dienstags den 14. Julÿ Anno 1699
Ist Volgende Persohnen Welche, schon Nemlich Vor das gericht gebotten worden wegen deß Ihnen ohnerlaubten Brand Wein auß schenckens der Articul der Ihnen solches beÿ 5 lb Verbiethet Vorgeleßen worden
(Folgende Persohnen haben Vorgegeben, daß Sie von nach gesetzten Jahren das Gremppen werck getrieben)
6. Monath Johann Theobald Brucker Gremp

Jean Thiébaut Bruckert et Susanne Reine Kirchner revendent 100 livres la partie de la maison qui donne dans la rue des Cerceaux à Marie Catherine Diebold – qui achète onze petites maisons entre 1697 et 1701.

1707 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 616-v
(100) Joh. Theobald Bruckert u. Susanna Regina geb. Kürchnerin
in gegensein Jgfren Mariæ Cath: Dieboldin so unbevögtigt beÿständlich H. Joh. Philipp Heckers E.E. G. R. beÿsitzers
eine kleine behaußung hoffstatt mit allen begriffen & allhier auf der Reiffgass, einseit neben denen verk: anderseit neben dem Clemensischen Garten hinten auf Sie verk. stoßend – um 100 pfund

Six de ces maisons sont vendues en 1714 par Marie Dorothée Diebold veuve de Jean Frédéric Fleischmann, héritière de Marie Catherine Diebold, fille du bailli de Barr. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que Marie Dorothée Diebold doit le droit de détraction.
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 75-v
(Blum, F. N° 1244) Weÿl. Jungfr. Mariæ Catharinæ auch Weÿl. H. Anthoni Diebolts geweßten Ambtmann Zu Barr und burgers alhier hinderlaßener dochter Verlaßenschafft inventirt H. Johann Bernhard Hennenberg E. E. Kleinen Rahts Actuarius.
Concl. fin. Inv. ist fol. 82, 3278. lb 12 ß 2 ½ d, die machen 6500 fl., dieselbe verstallte hiengegen 7200 fl.
Extant die Stallgeltter pro 1709 biß 1714. incl. à 10 ß 16 ß, macht 64 lb 16 ß
Gebott, 5 ß 8 d
Abhandlung, 4 lb 2 ß 6 s – Summa 69. lb 4 ß 2 d
Abzug. Frau Maria Dorothea gebohrne Dieboltin Hn Johann Friderich Fleischmanns hochgräffl. Hanauischen Beamptens Zu Honau Ehel. Haußfrau soll von angefallenem Erbe der 3166. lb. 5. ß alß alhier frembd und ohnverburgert den Abzug erlegen mit 316. lb 12 ß 6 d
dt. omnia d. 26. Maÿ 1714.

Le docteur en médecine François Antoine Fleischmann sollicite au nom de sa mère auprès des Quinze d’être exempté des droits de détraction en arguant que les sujets du comte de Hanau en sont exemptés et que Liechtenau est assimilable au comté puisqu’il est gouverné par les comtes et que par ailleurs son père a été employé à Bouxwiller avant d’aller à Lichtenau. Le préteur royal est d’avis de refuser l’assimilation. Les Quinze se rangent à son avis.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
Maria Dorothea Fleischmännin geb. Dieboldin pt° Abzugs Mariæ Catharinæ Dieboldin Verlaßenschafft
(p. 126-v) Sambstags den 5.ten Maÿ 1714. – Kun. noîe Fr. Maria Dorothea Dieboldin weÿl. H Johann Gottfried Fleischmanns hochgräffl. hanauisch. beambten hinderlaßener Wittib, Ersch. derselben Sohn H. Frantz Anthoni Fleischmann Medicinæ Dr. prod. Stalschein à 316. lb 12 ß 6 d sambt dem über Jungfer Mariæ Catharinæ Dieboldin Verlaßenschafft auffgerichteten Inventario underth. bittend, weilen die graffschafft hanaw bißher deß abzugs befreÿt gewesen, ihro solches auch gnädig Zulaßen. Erk. ahne die Obere Stallherren gewießen.

(f° 135) Sambstags den 12.ten Maÿ 1714. – Obere Stallherren laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß noîe Fr. Mariæ Dorotheæ Fleischmännin gebohrner Dieboldin, deren Sohn herr Frantz Anthoni Fleischmann Medicinæ Doctor umb nachlaß deß abgeforderten abzugs der 316. lb 12 ß 6 d angesucht hette, vnd alß mann ihne ferner gehört, dieses beÿgesetzt hette 1) daß in denen Stallbuch stünde, daß die graffschafft hanaw deß abzugs befreÿt were, 2) daß die bede gräffschafften Lichtenberg vndt Müntzenbrg anietzo einem herren gehörte, 3) sein Vatter sel. H.. Johann Friderich Fleischmann allzeit in hanawischen diensten alß secretarius In Buchßweyler biß ad anum 1683 sich gehalten hette, nachgehends aber nach honaw berufen worden were, allwo Er auch alß hanawischer bedienter gestorben, 4. von dießen H. Graff Hannß Sigmundt von Hanaw die beede graffschafften auch beÿsahmen gehabt hette vnd vermuthlich beÿde der Freÿheit des abzugs genoßen hetten, alß man hierauff die ordnung aufgeschlagen, so habe sich hierinn folgends gefunden
1. Von solchem abzug seind befreÿt die hießige burger,
2. die Vereinständ im vndern Elsaß alß nemlich des bistumbs, die graffschafft hanaw, das vnder Elsaßische Ritterstand.
Zu Mghh, was Sie hierauff erkennen wollen.
Herr Prætor Regius sagt, es suche der Implorant wegen seiner Mutter, die abzugs freÿheit, allein gienge die Ordnung klar dahien, daß allein der Vereinständ solches genießen solle, vnd weilen Hanaw Müntzenberg kein Vereinstandt seÿen, so halte Er davor, daß ob die ordnung steiff Zuhalten vnd das begehren abzulehnen sein werden auff des jenige, so Implorant seines Vatters dienst Zu Bußweÿler allegirt, were auch zu reflectiren, in dem es von Keiner erheblichkeit were, Zumahlen Er schon eine geraume Zeit selbige quittirt, vnd sich nach Hanaw begeben hette. Erkannt, herrn Prætori Regio gefolgt.

La maison revient à l’avocat Jean Daniel Fried, après 1725 puisqu’elle ne figure pas à l’inventaire dressé en 1725. Le titre allégué par la suite est celui de 1707.
Fils d’avocat, Jean Daniel Frid épouse en 1715 Elisabeth Schell, veuve du capitaine de batellerie Gaspard Meyer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – zwischen dem Wohl Edlen, Vesten, und hochgelehrten herrn Daniel Frieden J. U. Licentiato deß Hoch Edel Gestreng und hochgelehrten herren Johann Jacob Friden hochberühmbten Juris Consulti und der Statt Straßburg hochansehnlichen Rath und Advocati, auch vornehmen burgers daselbsten mit weÿland der hoh Edlen hoch Ehr: und tugendbegabten frawen Margaretha gebohrner Richshofferin nunmehr seelig Ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der hoch Edelen: hoch Ehr und tugendreichen Frawen Annæ Mariæ Meÿerin gebohrner Schellin, weÿland deß hoch Edel Vest und Mannhafften herrn Johann Caspar Meÿer gewesenen Von Ihro Königlichen Maÿestäth in Franckhreich Wohlverordneten Capitains über einer freÿen Compagnie de Fusiliers Bateliers nunmehr seelig hinterbliebenen Fraw Wittib als der Fraw Hochzeitherin am andern Theil – Geschehen in der Statt Straßburg Dienstags de, 27. Augusti in dem Jahr als mann nach unßers Einigen Erlößers und Allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1715. [unterzeichnet] Daniel Fries, alß hochzeiter, Anna Maria Meÿerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 278, n° 1194)
1715. Donnerstag den 29.ten Aug. seind auff Erlaubnuß Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters im Hauß auff den Abend copulirt worden H. Daniel Fried U. J. Licent. S. T. H. Johann Jacob Friden Reipubl. Advocati und Kirchenpflegers Zu St. Thomæ ehl. Sohn Und Fr. Anna Maria weÿl. Herrn Caspar Meÿers gewesenen Königl. Capitalins, über die freÿe Schiff Compagnie am Rhein hinterl. Wittib [unterzeichnet] Daniel Fried, alß hochzeiter, Anna Maria Meÿerin als hochzeiterin (i 277)

Anne Marie Schell devient bourgeoise l’année suivante en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 822
Fr: Anna Maria Fridin gebohrne Schellin, emp. das burgerrecht Von Ihrem H. Daniel Frid Licent. Jur. gratis, wird beÿ E E Zunfft derer Schumacher dienen. Promis. d. 27. Dito [Junÿ] 1716.

Daniel Frid fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 4 178 livres
1720 (14.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 42)
Inventarium über des Wohl Edel, vest und Hochgelehrten auch Fürsichtig und wohlweißen Herrn Daniel Friden J.U. Ddi und E. E: großen Raths Löbl. Statt Straßburg wohlmeritirten alten Assessoris zu der wohl Edeln viel Ehren und tugendbegabten Frauen Annæ Mariæ gebohrner Schellin Seiner Frawen Eheliebstin in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1720. – crafft der Zwischen ihnen auffgerichteter Pactorum Dotalium als ein unverändert Guth würcklichen in den Ehestandt Zugebracht, welche auff deßen freündliches Ansuchen, erfordern vnd begehren, in beÿsein vnd Persönlicher Gegenwarth Wohl Ehrengedachter Seiner Fraw Ehegemahlin auß denen Jenigen Designationen über die Ihme von Ihro Excellenz herrn Johann Jacob Frieden löbl. Statt Straßburg hochverdientem Advocato deßen hochgeehrten Vattern, wegen restirenden respe. Mütterlichen, Großvätter: vnd großmütterlichen Guths in Außweißung Gegebene Posten, den 2. vnd 30. 9.bris 1715. auffgerichtet, fideliter ersucht (…), So beschehen in Straßburg Mittwochs den 14. Februarÿ 1720.
Series rubricarum, Sa. Silberin und guldenen Geschmeids 129, Sa. baarschafft 548, Sa. Pfenningzinß haubtgüter 2851, Sa. Rind, Viehes, Hew, Strohe und Ruben 250, Summa summarum 4178 lb.

Daniel Frid est nommé échevin en 1717, il est élu au collège des Conseillers et des Vingt-et-Un en 1732, il devient prévôt de la tribu des pelletiers et l’un des Treize en 1736, fabricien en chef de la paroisse Saint-Pierre-le-Vieux en 1737, administrateur de Saint-Guillaume en 1743 et membre de la Chambre des logements militaires en 1744.
1717 Conseillers et XXI (1 R 200)
H. Daniel Frid würdt Schöff. 117.
1732 Conseillers et XXI (1 R 215)
Zu einem Ein und Zwantziger Wird H. Lt. Daniel Frid erwöhlt. 464.
1736 Conseillers et XXI (1 R 219)
H. XXI. Daniel Frid Wird Zu einem Ober Herren beÿ E. E. Zunfft der Kürschner erwöhlt. 50.
H. XV. Daniel Frid Wird zu einem dreÿ Zehner erwöhlt. 683
1736 XV (2 R 145)
introducirt, Herr Daniel Frid XV., 22
1737 Conseillers et XXI (1 R 220)
H. XIII. Daniel Frid Wird Zu einem Ober Kirchenpfleger Zum Alten St. Peter erwöhlt. 391.
H. XIII.r Daniel Frid Wird Zu einem Pfleger des Pensionum Corporis. 523.
1743 Conseillers et XXI (1 R 226)
H. Daniel Frid XIII. Wird Zu einem Pfleger zu St Wilhelm erwöhlt. 250.
1744 Conseillers et XXI (1 R 227)
Zu einem Einquartirungs Herrn Wird H. XIII. Daniel Frid erwöhlt. 317.

Anne Marie Schell meurt en 1725 en délaissant pour héritiers ses cinq petits-enfants issus de sa fille Marie Elisabeth Meyer femme du marchand Jean Jacques Saur. L’inventaire est dressé dans leur maison au Rheineckel (quai Saint-Thomas). La masse propre au veuf s’élève à 5 127 livres, celle des héritiers à 916 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 995 livres, le passif à 3 474 livres
1725 (26. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 51)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, liegend: und fahrender, Verändert und unveränderter, Keinerleÿ ausgenommen, so Weÿland die Wohl Edle Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Anna Maria Fridin gebohrne Schellin, des Wohl Edel Vest, Hochgelehrt, Fürsichtig und Weißen Herrn Daniel Friden J. U. Lti. und E. E. Großen Raths löbl. Statt Straßburg alten Wohlverdienten beÿsitzers, geweßene Frau Eheliebste nunmehr seel. nach ihrem den 31. Augusti jüngsthin aus dießem Mühesahmen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften und Vorachtbahren H. Johann Schellen, Sattlers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, Annæ Mariæ, Johann Daniel, Mariæ Margarethæ und Mariæ Elisabethæ Saurin gebohrner Meÿerin der Verstorbenen Fr. seeligen Frau Tochter mit S. T. Herrn Johann Jacob Sauren Vornehmen handelsmann allhier ehelich erzeugter hinterlaßene Kinder als der abgeleibten Frauen seel. Enckel und sowohlen ab intestato als per Testamentum verlaßene Erben mit assistentz des Wohl Edel Vest Hochgelehrten Herrn Frantz Rudolph Mollingers J. U. Lti und Löbl. Statt Straßburg höchst meritirten Lohnherr als Crafft Testamenti instituirten Inspectoris (…)
So beschehen in der Königl. Statt Straßburg Mittwochs den 26. Septembris Anno 1725.
Eheberedungs Copeÿ – Copia Testamenti Clausi

In einer allhier Zu Straßburg auff dem Rheineckel gelegenes und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befunden worden, Wie folgt.
Höltzen und Schreinwerck. Auff der Obern bühnen, In H. Sauren Schlaff Zimmmer, Im Mittlern hauß Ehren, Vor der Wohnstub, In der Kuchen, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Schlaff Cammer, In der Neüen Cammer, Im Kleinen Stübel, Vor dem hintern Stübel, In der Schwartz tuch Cammer, Im untern Saal, In der untern Saal Cammer, In dem Nebens Cammerlein, Im gartenstübel, Im untern Contoir auff der lincken Seit, Im Contoir rechter Steithen, In der Knechts Cammer, In der Bauch Kuchen
Im Gartenhauß am Neßelsteeg. Im esteten Zimmer auff das Wasser, In dem ersten Camin Cammer gegen dem Thor, Im Vorgemach, In der Kuchen
Im Gartenhauß beÿm Wickhäußel. Unten in des Gartenmanns Gemachen
(f° 30) Eigenthumb ane Häußern und Gärthen. (E.) Erstl. eine behaußung am Rheineckel (…)
(E.) It. I. Garten in gemein Statt burgbann außerhalb des Fischerthors Zwischen den Waßern am Neßelsteeg gegen der Lohmühlen (…)
(E.) It. I. Garten 9. Acker groß so theils mit i. lebendigen haag, theils einer dielen wand umbgeben oberhalb der Auen bruck beÿ der Schiffmann (…)
(W.) It: I Garthen ohngefehr 4. Acker Groß so ein Erblehen gelegen außerhalb der Statt Straßb. Vor dem Spithal thor ohnfern der alten Lazareth beÿ dem Wickhäußel (…)
(W.) It: 5. Acker Matten an einander ohnfern dem Wickhäußel neben und hinten dem Vorgenandten Lazareth und obgeschriebenen Garten gelegen (…)
(W.) It: 12. Acker Felds Vor dem Spithal thor beÿ dem alten Lazareth (…)
(T.) It. i. Gartenhauß außerhalb der Statt Straßb. Vor dem Spithal thor beÿ dem alten Lazareth ohnfern dem Wickhäußel (…)
(f° 32=) (T.) It. I. Vorder u. I. hinterhauß mit dero hoffstätten auff dem gerber graben (…)
Bergwerck, So Theilbar. Item fünff Kuxen oder portionen ane einem bergwerck a la Croix aupres de Ste Marie aux mines en Lorraine
(f° 36) Ergäntzung des Herrn Wittwers unveränderten Guths. Nach Anleitung einer über deßen in dieße Ehe Zugebrachte Nahrung den 14. Februarÿ 1720. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichteten und von der Abgeleibten Frauen seel. in concepto eigenhändig unterschriebenen Designation
Ordo Series rubricarum. Des Herrn Wittwers unverändert Guth. Sa. haußraths 17, Sa. Rindviehes 25, Sa. Gartengewächß 3, Sa. Silbers 18, Sa. Guldenen Ring 216, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 398, Sa. Gülth von liegenden güthern 60, Sa. liegenden Guths 950, Sa. Schulden 2500, Sa. Ergäntzung 937, Summa summarum 5127 lb
Dießemnach würd auch den Erben unverändert Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 1018, Sa. Gutsch und Chaise 16, Sa. Läre vaß 20, Sa. Silbers 588, Sa. Goldenen Ring 312, Sa. Anschlag der häußer und Gärten 4835, Sa. Activ-Schuld 8750, Sa. Ergäntzung 2077, Summa summarum 17.618 lb – Schulden 16.701 lb, Nach deren Abzug 916 lb
Endlichen würd auch das Gemein Verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 152, Sa. Frucht 15, Sa. Wein und Vaß 52, Sa. Schiff und geschirr 2, Sa. Pferd 15, Sa. garten gewächß 15, Sa. Silbers 29, Sa. guldenen Ring 106, Sa. bergwercks 250, Sa. Eigenthumbs ane heüßern 975, Sa. Schulden 382, Summa summarum 1995 lb – Schulden 3474 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die Theilbare Verlaßenschafft vmb 1479 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 18.766 lb
Eheberedung (…) Geschehen in der Statt Straßburg Dienstags de, 27. Augusti in dem Jahr als mann nach unßers Einigen Erlößers und Allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1715.
Testament – Ich Anna Maria Friedin gebohrne Schellin, bekhenne und thue Kund Jedermänniglichen hiemit (…) Beschehen und Verhandelt in Straßburg den 16. Februarÿ Anno 1725. [unterzeichnet] Anna Maria fridtin gebohrne schellin

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 20 800 florins (10 400 livres) sur un total de 45 800 florins. La somme à régler est ramenée de 507 à 333 livres
1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 39
Schuhmacher F., N. 3867 – Fr. Annæ Mariæ gebohrner Schellin H. Daniel Friden J.V. Lti und E. E. Großen Rahts beÿsitzers gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 191, 18.766. lb 6 ß 4 d darzu gelegt umb wie Viel die behaußung an dem Rheineckel und beede Gärten vor dem Fischerthor gelegen Von der Verstorbenen Frauen in anno 1715. beÿ ersuchung der Legitimæ und aufrichtung des Wÿdembs hoher angenommen alß selbige dermahlen æstimirt worden 5332. lb 4 ß 8 d, Summa 24.098 lb 22 ß
Abgezogen der samtliche Hausrat 1188 lb 17 ß 9 d, restirt 22.909 lb 13 ß 3 d
die machen 45.800 fl. Verstallte hingegen 25.000 fl. alßo Zuwenig 20.800. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf 8 Jahr in duplo à 62. lb 8 ß, 499. lb 4 ß
Und auf Sechs Jahr in simplo à 31. lb 4 ß, 187. lb 4 ß
Extat Stallgeltt pro 1723. biß 1726. incl. à 38 lb 17 ß, 155 lb 8 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung, 24 lb 7 ß 6 d – Summa 866 lb 5 ß 10 d
Solte es aber beÿ dem dermahligen anschlag der Werckmeister und Schätzer sein Verbleiben haben, so wäre das Geschäfft folgendergestalt Zu tractiren. Die Beschluß summa Inv. ist nach Abzug des haußraths 17.577 lb 8 ß 7 d
die machen 35.100 fl. Verstallte 25.000 fl. also Zuwenig 10.000. fl.
Nachtrag 8 Jahr in duplo à 30 lb 6 ß, 242 lb 8 ß
6 Jahr in simlo 90 lb 18 ß
Außständig Stallgeltt, 155 lb 8 ß
Gebott 2 ß 4 d
Abhandlung 18 lb 17 ß 6 d – summa 507 lb 13 ß 10 d
Zufolg Erkandnus gn. Herren der XV. vom 30. Martÿ 1726. ist der Nachtrag auf 333. lb 6 ß gesetzt H. Rathh. Frid aber Von Weiterer Straff absolvirt worden.
dt 18. Aug. 1727.

Liquidation provisoire de la succession dressée par deux notaires
1727 (8.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 17) f° 165
Summarischer Calculus Über Weÿland S.T. Frauen Annæ Mariæ Fridin gebohrner Schellin S. T. Herrn Daniel Friden, J.U. Lti und E. E. großen Raths Summarischer Calculus Über Weÿland S. T. Frauen Annä Mariä Friedin geb. Schellin S. T. Herrn Daniel Frieden J. V. Lti und E.E. großen Raths allhier Zu Straßburg, jetzigen Wohlmeritirten Assessoris, geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft, durch uns endes unterschriebene, beede hierzu in specie erbettene Notarios zufolg E. E. großen Raths Erkandnus vom 7. Decembris Anno 1726. nach Vorherabgelegtem Juramento ersucht und gefertigt

Même liquidation dressée par Jean Lobstein
1727 (7.12.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 90)
Summarischer Calculus Über Weÿland S.T. Frauen Annæ Mariæ Fridin gebohrner Schellin S. T. Herrn Daniel Friden, J.U. Lti und E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg jetzigen Wohlmeritirten Assessoris geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft durch uns Endts unterschriebene beede hierzu in specie erbettene Notarios zuvolg E. E. großen Raths Erkandnus vom 7. Decembris Anno 1726. nach Vorherabgelegtem Juramento ersucht und gefertigt

Daniel Frid se remarie avec Anne Catherine Koch qui devient bourgeoise le 20 mars 1727
1727, 3° Livre de bourgeoisie p. 1365
Fr. Anna Catharina Kochin H. Rathh. Daniel Frieden eheliebst erhalt das burger recht gratis, will beÿ E E Zunfft d. schumach. dienen. Prom d. 20.ten Martÿ 1727.

Partage des biens d’Anne Marie Schell
1741 (3.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 12) n° 565
Abtheilungs Register über die in weÿl. Frauen Annä Mariä gebohrner Schellin, S.T. H: Daniel Frieden J: U: Lti und E. E. großen Rathß Löbl. Statt Straßburg wohlmeritirten beÿsitzers gew: fr: Eheliebstin nunmehr seel. Verl. gehörig geweßte, und vermög Verkauffreg. de A° 1726 ohnverkaufft übrig gebliebene auch davon dermahlen noch in natura sich vorhanden befundene hausräthl. posten, auch Silbergeschirr, und geschmeid, wie auch gold: Ring und dergl: geschmeid, auffgerichtet in A° 1741.
seind deßweg. daro Zu end stehend S. T. H. Joh: Jacob Saur J. U. Lt:, Jfr. Anna Maria Saurin mit beÿstand S. T. H. Lt. Jacob Friedrich Mollingers vnd H. Joh: Daniel Saur J: Stud: mit assistentz H. Joh: Heinrich Jahreißen oberschreib. des Stiffts Fr. haußes vor ihne v. übrige seine geschwist: constit: Cur: ad lites vnd dann erstged. H. Jahreiß noch ferners auch benebens H. Joh: Schellen dem Sattler v. b. alhier alß noch ohnentledigten Vogt Jfr. Mar: Elisab. vndt Jfr Mariæ Margarethæ Saurin in der Meÿerisch. oder Großvätterl. behauß. alhier Zue Straßburg auf dem Rein Eckel gelegen
Straßb. d. 3. Martÿ et seqq. Anno 1744.

Daniel Frid meurt en 1763 après avoir institué sa femme pour sa seule et unique héritière. Les experts estiment 75 livres la maison rue des Cerceaux. L’actif de la succession s’élève à 6 605 livres, le passif à 600 livres.

1764 (11.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1405) n° 74
Inventarium über Weÿland des Hoch Edelbegohrnen Gestreng, Fürsichtig, Hochgelehrt Hochweißen H. Daniel Frid, gewesenen vortrefflichen Jure Consulti, des beständigen geheimen Regiments derer Herren dreÿzehen allhießiger Löblicher Stadt Straßburg hochansehlichen Mitglieds, E. E. Zunfft der Kürßner Hochverdienten Oberherrns, wie auch der Evangel. Gemeinde zum alten St. Peter Hochverdienten Oberkirchenpflegers nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1764. – nach seinem d. 13.ten Novembris des letzt abgewichenen 1763. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen Hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Hoch Edel: Hoch tugendgezierten Fr. Annæ Catharinæ Fridin gebohrner Kochin, der dißortigen Fr. Wittib als nach maßgab des hernach copialiter eingetragenen Testamenti nuncupativi §° 5.to von dem H. XIII. seel. eingesetzten Universal Erbin, inventirt (…). Si geschehen alhier Zu Straßburg auf Freÿtag d. 11. Maji Anno 1764. in persönlicher Gegenwart Sis Tis H. Joh: Friedrich Frid, P. P. Ord: u. vornehmen Burgers alhier der Fr. Wittib u. respe. universal Erbin hierzu insonderheit erbettenen H. Assistenten
Bericht und respective Daclaration wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Nemlichen es declarirte Eingangs Hoch Edelgedachte Fr. Wittib und respe. Universal Erbin daß Zur Zeit Ihrer Verheurathung eine Eheberedung mit dem nun seel. H. dreÿ Zehner seÿe errichtet worden, Sie wiße aber nicht wo sich solche dermalen befinde, und seÿe auch Ihro der Inhalt völlig unbekannt, deshalben wurde auf deroselben Begehren dermahlen Sie auch die einige Universal Erbin ist, sowohl Ihr der Frauen dreÿzehnerin als auch des seel. Herrn dreÿzehners Vermögen nicht separatim, sondern ohne Unterschied unter einer Massa beschrieben.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 10-v) Eigenthum ane Häußern. Erst. I. Behaußung ane dem alten Weinmarckt (…)
Item eine kleine behaußung ane dem dreÿ Zehen Graben oder sogenannten Waßersupp gaß (…)
Item eine behaußung am Thomansloch (…)
Item eine Behaußung ane dem Gerbergraben (…)
(f° 11-v) Item eine Behaußung und Hoffstatt, mit alen dero Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Rechten, ebenmäßig alhier Zu Straßburgn ane der Reiffgaß, Ein und anderseit wie auch hinten auf Clementz Reiff stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen auch durch vielberührte H. Werner und Huber abgeschätzet worden vor 150. fl. oder 75 lb. Darüber is vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhießiger C. C. Stub gefertiget d. d. 30. 7.bris 1707. mit deroselben anhangeden größern Insiegel bekräftiget.
(f° 12-v) Eigenthum ane einem Garten, Gartenhauß u liegenden Gütheren vor dem Metzgerthor (…)
(f° 15) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia des seelig. verstorbenen Herrn Dreÿzehner vor weÿland H. Not° Joh: Daniel Lang seelig und sieben Gezeug d. 27. Junii 1753. auffgerichteten Testamenti nuncupativi.
Sa. Haußraths 301, Sa. Bibliotheck 60, Sa. Gartenwaar 6, Sa. Wein und leerer Faß 188, Sa. Silbers 275, Sa. goldener Ring 30, Sa. baarschafft 1650, Sa. Eigenthums ane Häußern 3243, Sa. Eigenthums ane einem Garten 790, Sa. Gülth von liegenden güthern 57, Summa summarum 6605 lb – Schulden 600 lb, Nach deren Abzug 6004 lb
Summa Legata 325 lb – Conclusio finalis Inventarÿ, Stall Summa 6004 lb
(f° 16-v) Copia Testamenti nuncupativi. (…)
Abschatzung Vom 6. aug. 1764. Auff Begehren Weil. S: T: H. Daniel Friett Eines Hoch be*slichen Colegio Der H. XIII. Alter beÿsitzer ist eine behausung (…)
Der Finffte Begriff jst auch alhier in der Statt Strasburg auff der Raiff Gas Gelegen an solcher begriff ist Einseits ander seits und hienden auff Clements Räiff Stosent gelegen solcher begrieff besteht in einer Stuben eine Kichen und eine Kamer Dar Iber ist der dach Stull mit breidt Ziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller Vor und Umb Ein hundert Finffzig gulden
Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt Vnd angeschlagen worden Vor und Umb Finff Hundert Gulden, Werner, Sebastian Huber

L’inventaire est soumis à révision après la mort de sa veuve quelques mois plus tard. L’inventaire précédent a omis de décrire deux immeubles que la veuve n’a pas signalés. L’actif de la succession s’élève à 7 829 livres, le passif à 600 livres.

1764 (16. 9.bris), Not. Zimmer (6 E 41, 1405) n° 89-b
Revisio Inventarii Über Weÿland des Hoch Edelbegohrnen Gestreng, Fürsichtig, Hochgelehrt Hochweißen H. Daniel Frid, gewesenen vortrefflichen Jure Consulti, des beständigen geheimen Regiments derer Hn dreÿzehen allhießiger Löblicher Stadt Straßburg Hochansehlichen Mitglieds, E: E: Zunfft der Kürßner Hochverdienten Oberherrns, wie auch der Evangelischen Gemeinde Zum alten St. Peter Hochverdienten Oberkirchenpflegers seel. Verlaßenschafft, durch Notarium Zimmer in gegenwärtigem 1764.ten Jahr, auf begehren vorgenommen und angefangen d. 16. 9.bris Anno 1764.
Ann 1764, den 16. Novembris erschienen vor mir dem unterschriebenen Notario 1° Herr Daniel Gottlieb Ziegenhagen, der Chirurgus und burger alhier, als Vogt Jungfrauen Charlottæ und Louisæ Kochin, Ferner Herr Carl Christian Koch der ledige Chirurgus alhier, so über 20 Jahr alt, diese dreÿ weÿland H. Johann Peter Koch, gewesenenen Truchseß Zu Enkirchen in der Graffschafft Sponheim, mit Frauen Christiana gebohrner Waltzin ehelich erzeugte Sohn und Töchtere,
2.do H. Philipp Conrad Krufft, Oberweÿßenvogt und Regierungs Advocat zu Trarbach tam uxorio quam mand: noîe und Zwar uxor: noîe Fr. Carolinæ gebohrner Martiußin, mand: noîe aber H. Carl Martius, des Secretarii beÿ der Regierung Zu Trarbach, beede weÿl. Fr. Mariä Margarethä gebohrner Kochin, mit weÿland Herrn Carl Martius, gewesenen Secretario beÿ der Regierung Zu Trarbach hinterlaßener Sohn und Fr. Tochter und Fr. Charlottæ Sophiæ gebohrner Kochin, erstgemelter verstorbenen H. Martius hinterlaßener Fr. Wittib, als hierzu insonderheit beneben hernachgemeltem H. Christian Koch bevollmächtiget,
3.tio Fr. Anna Elisabetha gebohrne Kochin weÿl. H. Joh. Jacob Heißner, gewesenen Rentmeisters zu Bittlingen Zum Hertzogthum *ingen gehörig nachgelaßene Fr. Wittib beÿständlich H. Joh: Heinrich Faust J. U. Lti und E. E. kleinen Raths alhier Procuratoris und Advocati ordinarii,
4.to H. Christian Carl Koch, Kellner beÿ dem Herrschafftlich Sponheimischen Hoff zu gedachtem Enkirchen, Alle samt und sonders anzeigend, daß nach Absterben weÿl. Sis Tis H. XIII. Daniel Frid, durch mich Notarium über deßen Verlaßenschafft ein Inventarium Zwar seÿe errichtet, aber auf Löbl. Statt Stall noch nicht abgehandelt worden, daß der seel. Hr dreÿzehner, Fr. Annam Catharinam gebohrne Kochin, deßen Ehegattin per Testamentum Zur universal Erbin instituirt, daher auch die samtlichen von Ihme dem H. Dreÿzehner seel. hinterlaßene Haab, Nahrung und Güter in berührtem Inventario nur unter einer Maß und ohne Untersuchung woher solche rühren, seÿen beschrieben worden.
Weilen nun erstgedachte des seel. H. dreÿ Zehners hinterbliebene Fr. Wittib und Universal Erbin auch den 22.ten Octobris jüngst das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und vorhergemelte deroselben Geschwüsterde und der beeden verstorbenen Geschwisterden Kinder Zu Erben ab intestato verlaßen, als wurde ich der End unterschriebene Notario durch erwehnte der Fr. Dreÿzehnerin seel. Erben respectivé Herrn Vogt und Mandatarium requirirt, die Revision des erst kürzlich über des seel. H. XIII. Verlaßenschafft errichteten Inventarii vorzunehmen

Recapitulatio. Sa. Haußraths dem wahren werth nach 765, Sa. Wein und leeren Faß 340, Sa. Silbers 695, Sa. goldenen Ring 267, Sa. baarschafft 1098, Sa. Eigenthums ane Häußern 3243, Sa. Eigenthums ane einem Garten 790, Sa. Gülth von liegenden güthern 500, Sa. Schulden 129, Summa summarum 7829 lb – Schulden 600 lb, Nach deren Abzug 7228 lb- Der Fr. Dreÿzehnerin seelig restirend Verlaßenschafft 7008 lb
Eigenthum ane einer kleinen behaußung ane dem dreÿ Zehen Graben oder sogenannten Waßersupp gaß (…)
Eigenthum ane liegendn Güthern. Nemblichen ein acker gebauener Grund in dem Lazarethfeld (…)
(Welche immobilia) in weÿl. Fr. XIII. Annä Catharinä Fridin geb. Kochin seel: Verl. würde gehörig wären, Sie Fr. XIII. Fridin aber Zu der Zeit als sein S. T. H. XIII. Daniel Frid ihres Eheherrn seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium inventirt worden, welches nicht müßen gewußt haben, daher berührte Immobilia in dem über sein H. XIII. seel. Verl. errichteten Inv° sich nich inserirt befindeten (…)
(f° 17) Cessio und Übergab Einer Behausung ane dem alten Weinmarckt, ferner einer behausung am thomanloch, so dann eines Gartens, Gartenhaußen und liegender Güther vor dem Metzgerthor dieser Statt Straßburg gelegen (…)

Les héritiers exposent infructueusement la maison rue des Cerceaux aux enchères

1765 (21.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1449) n° 100
auf Ansuchen herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen des Chirurgi als Von weÿl. herrn Johann Peter Koch gewesenen truchseß zu Enkirchen hinterlassenen dreÿer Kinder und herrn Johannes Sonntag des Practici als Mandatarius Frauen Annä Elisabethä Heußnerin geb. Kochin weÿl. H Johann Jacob Heißner gew. Rentmeisters zu Bittlingen hinterlassener Fr. Wittib und burgerin allhier zu Straßburg
zu einer freiwilligen und offentlichen Versteigerung einer behaußung und hoffstatt samt allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem dreÿzehen: Graben oder sogenannten Waßersuppgaß gelegen, einseit neben Jacob Schott dem Gartner ane Steintraß anderseit neben weÿl. H. N. Osterrieth des gewesenen Zimmermeisters Verlaßenschafft und hinten auf N. Trienbach des Gartners ane Steinstraß Garthen stosend, so außer 14 ß 1 d ehrschätzigen zinnß welche jährlichen auf Martini in das Lerchenfeldische Lehen zu entrichten seÿen, ausgeruffen vor 1000 fl – kein Gebott
den 21. Junÿ – zu einer freiwilligen und offentlichen Versteigerung einer kleinen behaußung und hoffstatt samt allen deroselben Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Rechten an der Reiffgaß ein: und anderseit wie auch hinten auf Clementz Reiff stoßend gelegen, ausgeruffen 200 fl, kein Gebott
den 21. Junÿ, die behausung an der Waßersuppgaß ausgeruffen pro 300 fl, kein Gebott (Affiche)

La cohéritière Anne Elisabeth Koch veuve du trésorier Jean Jacques Heissner acquiert les parts de plusieurs maisons dont celle rue des Cerceaux

1765 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 324-v, Not Zimmer, 26. Febr. 1765
auf ansuchen Fr. Anna Elisabetha Heißerin geb. Kochin, nachstehende Erbscession
Extractus aus dem über weÿl. des hochedel und hoch tugendzierten Fr. Annæ Catharinæ Fridin geb. Kochin auch weÿl. S.T. H. Johann Daniel Frid vortrefflichen juris consulti des bestängigen Regiments des H. dreÿzehen (…) mitglied, E. E. Zunfft der Kürßner hochverdienten Oberherrn wie auch der evangelsichen gemeinde zum Alten St Peter wohlverdienten Oberkirchpfleger seel. Fr. wittib und universal erbin, den 4. Decembris et sequentibus 1764 (errichteten) Vergleich und abtheilung concepto (f° 21 et sequenti)
persönlich erschienen, Primo Herr Philipp Conrad Krufft, wohlbestellter Oberweÿßenvogt und Regierungs: Advocat zu Trarbach in der Graffaschafft Sponheim, und Zwar uxorio nomine Frauen Carolinä gebohrner Martiußin, seiner Frauen Eheliebstin, mandatario nomine aber Herrn Carl Martius, des Secretarii beÿ der Regierung Zu erwehntem Trarbach und Frauen Charlottæ Sophiæ gebohrner Kochin, weÿland Herrn Carl Martius gewesenen Secretarii beÿ schongedachter Regierung zu Trarbach Frauen Wittib, und Secundo Herr Christian Carl Koch, Kellner beÿ dem Herrschafftlich Sponheimischen Hoff zu Enkirchen, alle weÿland Frauen Annä Catharinä Fridin, gebohrner Kochin, auch weÿland Sis Tis Herrn Daniel Frid, gewesenen vorftrefflichen Jure Consulti und des beständigen geheimen Regiments derer Herren Dreÿ Zehen alhier zu Straßburg hochansehnlichen Mitglieds && seeliger nachgelaßener Frauen Wittib, nun auch seeligen ab intestato vor dreÿ Fünffte Stammtheil hinterbliebene Erben und deroselben respective Herr Mandatarius, samt und sonders anzeigend, wie daß Sie in unvertheiltem Erb eigenthümlichen cedirt, abgetretten und überlaßen hätten
Frauen Annä Elisabethæ Heißerin, gebohrner Kochin, weÿland Herrn Johann Jacob Heißner, gewesenen Rentmeisters in Bittlingen hinterlaßener Frauen Wittib und burgerin alhier zu Straßburg, welche auch beÿständlichen Herrn Johann Heinrich Faust J. U. Lti. und E: E: kleinen Raths Advocati und Procuratoris ordinarii für sich und Ihre Erben angenommen Zuhaben bekannte
dreÿ fünfte theil vor unvertheilt von und ane einer kleinen Behausung und Hoffstatt, samt allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg ane dem Dreÿzehen Graben oder sogenannten Waßersuppgaß, einseit neben der Gastbehausung Zum weißen Rößlein, anderseit neben der Cazerne und hinten ebenmäßig auf die Cazerne stoßend, so außer 14 ß 1 d. welche man jährlichen in das Lerchenfeldische Lehen Zu entrichten hat, freÿ, ledig und eigen ([in margine :] Statt der gegenstehenden 14. ß 1 d wird nur 7 ß 6 d jährlichen auf Martini der Statt Straßburg Pfenningthurn ane Bodenzinß gereicht)
Ferners dreÿ Fünffte Theil vor unvertheilt von und ane einer Behausung und Hoffstatt, mit allen dero Gebäuden, Begriffen, Zugehörden und Rechten, allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß, ein: und anderseit wie auch hinten auf Clemens Reiff stoßend, so freÿ, ledig und eigen
So dann dreÿ fünfte theil vor unvertheilt von und ane einer Behausung und Hoffstatt samt allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg ane dem Dreÿzehn Graben oder sogenannten Waßersuppgaß gelegen, einseith neben Jacob Schott, dem gartner ane Steinstraß, anderseit neben Weÿland N. Osterrieth, des gewesenen Zimmermeisters Verlaßenschafft und hinten auf N. Trienbach des Gartners ane Steinstraß garten stoßend ([in margine :] Nota Von dieser gantzen behaußung gibt man jährlichen auf Martini in das Lerchenfeldische Lehen 14 ß 1 s Zu Zinß), so freÿ, ledig und eigen
Ane welchen vorbeschriebenen dreÿen Behausungen Sie die Frau Cessionnaria, als Mit Erbin, einen fünfften theil participiret und der übrige fünffte theil Herrn Carl Christian Koch, dem ledigen Chirurgo alhier, Jungfrauen Charlottæ und Louisæ Kochin, alle dreÿ weÿland Herrn Johann Peter Koch, gewesenen Truchseß zu schogemeltem Enkirchen und Frauen Christiana, gebohrner Waltzin, seiner hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugter Herr Sohn und Jungfrau Töchtere, alß dißeitigen Mit Erben eigenthümlich gehörig ist – umb 366 Pfund Pfenning Straßburger, das ist alle dreÿ behausungen Zusammen Zu 600 Pfund Pfenning Straßburger gerechnet – Straßburg den 26. Februarÿ 1765
Extrait original du notaire Zimmer, cote 94 Z 18

L’acquéreuse et les enfants de Jean Pierre Koch revendent cinq mois plus tard la maison au manant et compagnon maçon Frédéric Beatschi et à sa femme Rosine Hock

1765 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 650-v
H. Johannes Sontag der practicus als mandatarius Fr. Maria Elisabetha geb. Kochin weÿl. H. Johann Jacob Heißner des rentmeisters zu Bittlingen wittib, H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen der chirurgus als vogt weÿl. H. Johann Peter Koch gew: truckseß zu Enkirchen 3 kinder
in gegensein Friedrich Beatschi des schirmers und maurer gesellen und Rosinæ geb. Hockin [unterzeichnet] +
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Reiffgaß, einseit, anderseit und hinten Clemens Reiff des holtzhändlers erben – um 137 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente d’une petite maison au manant Frédéric Beatschi avec dispense de faire dresser un rapport d’experts

1765, Conseillers et XXI (1 R 248)
Friderich Bratschi der schirmer und maurergesell erhält erlaubnus Von Mar. Elisab. Heisnerin geb. Kochin und weil. H. Joh: Peter Kochen Kinder Vogt H. Ziegenhagen einen an der Reiffgaß gelegenes häußlein dispens. vom augenschein umb 275. fl. und übernahm der Kösten Kauffen, jenen aber also Verkauffen Zu dörffen. 243.
(p. 243) Montags den 23.sten Septembris 1765. Osterrieth Nê Fr. Mariæ Elisabeth Heißnerin geb. Kochin der hießigen burgerin mandatarii H. Johann Sonntag Juris practici und burgers allhier und weil. H. Joh: Peter Koch hinterlaßener dreÿer Kinder Vogten H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen des burgers und Chirurgi allhier dieße haben ein Kleines Haüßlein ane der Reiffgaß gelegen, davon jenen 4/5 dießem aber 1/5. dicto quo eigen war an Friderich Beatschi den schirmer und Maurers gesellen allhier umb die summ von 275 fl. nebst übernahm der Kösten Verkauffen Zu dörffen, wie auch ob modicitatem pretii umb gnädige dispensation vom augenschein.
Froereis nê des Kaüffers berichtet daß deme also und bitt unterth. auff Vorstehende arth Kauffen Zu dörfen et ob modicitatem objecti similiter umb gnädige dispensation vom augenschein.
Nach angehörtem voto des H. Syndici Regii in welchem hochderselbe sub clausulis consuetis auff die gebettene wilfahrung angetragen.
Wurde auff hohem anspruch Excellentissimi Domini Prætoris Regii von Gayot das auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters von Gail Vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, wird Implorirenden Parthen mit gebettener erlaubnus ein auff der Reiffgaß gelegenes Hüßlein umb 275. fl. nebst übernahm der Kösten dispensando vom augenschein Kauffen, jedoch mit dem anhang wilfahrt, daß der Kauf und Verkauf in Mgh. Hhren Cantzleÿ Contractstub in gegenwarth H. Rathh. Schäffer und H. Rathh. Oeringers als hiezu insonderheit ernannter Deputatorum ordnungs mäßig verschrieben und dabeÿ Gemeiner Statt versierendes inetresse, besonders wegen abrichtung des réal schirmgelts bestermaßen observirt werden solle.
Deppi. H. Rathh. Schäffer und H. Rathh. Oeringer

Frédéric Beatschi et Rosine Hock hypothèquent le même jour la maison au profit du maître maçon Georges Michel Müller pour en régler le prix d’achat

1765 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 653
Friedrich Bratschi der schirmer und maurer gesell und Rosina geb. Hockin mit beÿstand Johann Georg Pfotzer des schuhmachers und Johann Georg Marckquart des säcklers
in gegensein H. Rathh. Georg Michael Müller des Maurer meisters, zu bezahlung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Reiffgaß einseit anderseit und hinten auf Clemens Reiff des holtzhändlers erben

Rosine Huck est veuve de l’aubergiste Jean Lobstein qui apprend le métier auprès de Jean Rosset, aubergiste à la Carpe bridée. Les parties souhaitent terminer l’apprentissage de trois ans au bout de deux ans mais reviennent sur leur décision quand le Conseil leur réclame un droit de 10 livres 10 sols.
1741, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166, 167)
Fribourgeois (XI 166) Dienstags den 18.ten Apr: A° 1741 – H. Johann Rossett, der Würth undt Gastgeber Zum Gerden fisch, stehet vor undt bittet Johann Friderich Lobstein, den Zu Ihme ad 3 Jahr in die Lehre Eingeschriebenen Lehrjungen, außthun Zu laßen so laße es ahne der stipulirten Lehrzeit würcklichen 2. Jahr vollbracht undt Er Ihme alß seinen Enckhel die restirende Lehr Zeit Nach zu laßen Erbiethg. Warauff ist Erkandt, Weilen ahne der Lehrzeit beÿ einen Jahr Fehlet, daß Zwar gebettener maßen Zu willfahren Jedoch daß pro Dispensatione 1 lb 10 ß d Erleget werden solle.
Alß aber der Bescheid dem Lehrherrn angesaget worden, So hat sich derselbe hierauff vernehmen Laßen, daß Er die angesetzte 10 lb 10 ß d pro dispensat. nicht Erlegen, ehender aber von seinem petito desistiren mithin den Lehrjungen die stipulirte Lehrzeit über, vollendt behalten wollen.

Jean Lobstein produit son certificat de baptême du 6 mars 1725, son certificat d’apprentissage du 28 juin 1741 et son certificat de la Taille du 20 février 1754. Locataire de l’auberge aux Six chevaux noirs, il est reçu à la tribu des Fribourgeois pour exercer le métier d’aubergiste.
1754, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 194-v) Donnerstags den 7.ten deß Monaths Martji in Anno 1754
Neuzünfftiger – Johann Friderich Lobstein, der Ledige Würth Johannes Lobstein, burgers und Metzgers allhier ehelicher Sohn, Erscheinet und prod. Thauffschein vom 6. Martÿ 1725. Lehrbrieff de dato 28. Junÿ 1741. Und Statt Stall Schein unterm 20. febr: 1754. Ertheilet Und bittet weilen Er in dem würthshauß Zu denen 6. Rappen, so er in Lehnung bestandten, würthschafft Zu treiben gesonnen, Ihme das Zunfft: und Würths: Recht diesorths Zu Conferiren, Zu dem Ende den benöthigten Zunfft Schein Ertheilen Zu Laßen, damit Er von Gn. Hhn. denen XV.rn den Weinschanck Erlangen möge.
Hierauff Erkandt Worden, daß dem Imploranten In seinen Petitis weilen Er alle nöthige præstanda præstirt gegen Erlag der ordinarj Gebühr der 6 lb 14 ß vnd 6 ß d Stubengeld pro hoc anno, Zu willfahren, dedit et jur: auff die Ordnung eodem.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Lobstein à se marier à domicile comme l’a autorisé le consul malgré l’opposition d’Anne Marie Bronner de Schiltigheim
1755, Conseillers et XXI (1 R 238)
die Von Anna Maria Bronnerin eingelegten opposition ohngeachtet erhalten Jedoch Joh: Friderich Lobstein und rosina Barbara Hockin deßen Sponsa die erlaubnuß sich mit einander Verehelichen zu dörffen, und dispensation Von Zweÿterer proclamation. 175.
(p. 175) Montag den 11.ten Augusti 1755 – Freund nôe Johann Friderich Lobstein des burgers und sechs rappen Würths alhier et Sponsæ rosinæ Barbaræ Hockin, so des burgerrechts Verröstet worden, producirt unterth. Memoriale und bitten mit beÿlag Sub Lit. A. handelt Innhalts,
Erkandt, wird unterthänig eingegenenes Memoriale Johann Friderich Lobstein des burgers und sechs rappen Würths alhier et Sponsæ rosinæ Barbaræ Hockin /:dahin gehend Mhhen geruheten, gnädig zu erkennen, daß in conformitæt des am 4.ten hujus Von E: E: großen rath ertheilten bescheidts und darauff des regierenden H. Ammeisters erfolgter erlaubnuß, Krafft welcher denen Imploranten im hauß Copulirt Zu werden gestattet worden, mit der Copulation derer Verlobten, ohngeachtet des denenselben auff anlangen annä mariä bronnerin Von Schiltigheim den 9.ten hujus significirten acte d’appel fortgefahren, und, weilen bereits die Einladung der Verwandten und überige nöthige auffwendungen geschehenn solche so gleich nach erhaltenem M.er Hhen bescheidt cum dispensatione fernerer proclamation im hauß vorgenommen werden möchte:/ beeden Implorirenden Verlobten in ihrem petito durchaus willfahrt, mithin verordnet, daß des Von der opponenten unter obgemeldten dato significirten acte ohngeachtet Zur begehrten copulation geschritten werden solle.
Depp.H. Rathh. Ducré, H. Rathh. Kamm.

Fils de boucher, Jean Frédéric Lobstein épouse en 1755 Rosine Barbe Hock, fille d’un meunier à « Burg Oberroth » près de Francfort : contrat de mariage, célébration
1755 (18.4.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 17
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Friderich Lobstein, ledigen gastgebers H. Johann Lobstein des Metzgers und burgers allhier mit weÿl. frauen Annä Mariä gebohrner Brellin seines geweßenen haußfrauen ehelich erzeiehltem Sohn als hochzeiterin beÿständlich H. Johann Erhard Schwing des Sattlers und burgers allhier ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Rosina Barbara Hockin weÿl. H. Johann Adolph Hock geweßenen Müllers zu Burg Oberroth beÿ Franckforth mit auch weÿl. frauen Anna Catharina gebohrner Dählerin nun beeder seeligen ehelich erziehlter tochter alß der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz H. Johann Friderich Fichter des bedienten in allhießigem umbgeld und burgers allhier ae dem andern theil
Straßburg Freÿtags den 18. Aprilis Anno 1755. [unterzeichnet] Joh: fried. Lobstein Als Hochzeiter, x der Hochzeiterin Handzeichen

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 132, n° 11)
1755. Montag den II. Aug. Seind nach einmahliger Außruffung geschehen den IX. Sonntag nach Trinitatis d. 27. Julii mit dispensirung der andern außruffung durch Hohe Erkanntnuß unserer Gnädiger Herren derer Dreÿ Zehen auch Schrifftlicher Erlaubnus von wegen H. Ammeister Zu Hauß in den Stand der Heil. Ehe eingesegnet worden Johann Friderich Lobstein Gastgeber und burger allhier Herrn Johann Lobsteins Metzgers und burgers allhier Ehelicher Sohn, Jf. Anna Rosina Hockin von Berg ober Roth, weÿl. Johann Adolph Hock geweßten Müllers v. burgers daselbst Eheliche tochter, Johann friederich Lobstein als hochzeiter, + der Hochzeiterin Handz. (i 134)

Rosine Barbe Hock fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeoise (le registre de bourgeoisie manque pour cette période)
1755 (3.7.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 747)
Verzeichnus Desjenigen Vermögens so Jgfr. Roßina Barbara Hockin weÿl. H. Johann Adolph Hock geweßenen müllers zu burg oberroth beÿ Franckforth seel. nachgelaßene eheliche tochter, so ane H. Johann Friederich Lobstein den leedigen gastgeber und burgern allhier ehelichen versprochen und umb gnädige auffnahm in das allhießige burgerrecht unterthänig einzukommen Vorhabens, dermahlen eigenthümlich besitzet
Haußraths 234, und Silber 18 (Summa) 252 lb
Sigl. Straßburg den 3.t Julÿ Anno 1755

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dont la minute n’est pas conservée
1755, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 34
H. Johann Friderich Lobstein Gastgebers und Frauen Rosinä Barbaræ gebohrner Hockin, beeder Eheleute und burgere alhier Illata

Jean Frédéric Lobstein et Rosine Barbe Hock font dresser un inventaire de faillite
1756, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 52
H. Johann Friderich Lobstein, Gastgebers und Frauen Rosinä Barbarä gebohrner Hockin beeder Eheleute und burgere alhier Activ et Passiv Nahrungen

Fils d’un maçon de Gundelsheim en margraviat de Bade Durlach, Frédéric Marc Beatschi épouse en 1762 Rosine Barbe Huck veuve de Jean Frédéric Lobstein : contrat de mariage, célébration
1762 (26.2.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 58
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Friderich Marco Blatschig dem seeligen Maurer Von Gundolßheim Marggräfflich Baden durlachischer Herrschafft gebürtig, weÿland Heinrich Bratschig geweßenen Maurers zu gedachtem Gundolßheim mit auch weÿland frauen Susanna gebohrner Gellerichin beeder seelig ehelich erziehltem Sohn alß dem Hochzeither beÿständlichen H Johann Friderich Gesell des Schneiders und burgers allhier ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Rosinä Barbarä Lobsteinin gebohrner Hockin, weÿland H. Johann Friedrich Lobstein geweßenen gastgebers und burgers allhier seelig nachgelaßene Wittib aiß der hochzeiterin unter assistentz H. Johann Georg Marquart des Secklers und burgers dahier ane dem andern theil
Straßburg Freÿtags den 26. Februarÿ Anno 1762. [unterzeichnet] x des hochzeiters selbstgemachtes Handzeichen, x der Hochzeiterin selbstgemachtes Handzeichen

Mariage, Robertsau (luth. p. 329 n° 797)
Dienstag d. 9. Martÿ 1762 sind auf Obrigkeitliche Erlaubnus nach gewohnlicher Außruffung ehelich eingesegnet worden Friederich Beatschich der ledige Maurer von Gundolsheim durlachischer Herrschafft, weÿl. Johann Heinrich Beatschich, gew. Schirmers und Maurers daselbsten nachgelaßener ehelicher Sohn Und Fr. Rosina Barbara geb. Hoppin, weÿl. Joh: Friederich Lobstein gewesenen Würths und Burgers Zu Straßburg nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] + + (i 174)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 9) 1762. Dienstag d. 9. Mart. wurden nach zweÿmahliger Außruffung in der Ruprechtsawer Kirch ehelich eingesegnet Friderich Beatschich Lediger Maurer von Gundelsheim durlachischer Herrschafft, weÿl. Johann Heinrich Beatschich gew. Maurers in gedachtem Gundelsheim v. Schirmers daselbst, hinterl. ehl. Sohn, v. Fr. Anna Barbara geb. Hoppin, weÿl. Johann Friedrich Lobstein gew. Wirths und burgers allhier Hinterlaßene Wittib (i 186)

La tribu des Maçons accorde un subside à Frédéric Beatschi qui s’est cassé deux fois le bras
1769, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 239) Mittwochs den 11. octobris 1769. –
(Allmoßen) – Friderich Beatschi der maurergesell stehet Vor Vnd bittet umb ein allmoßen von E. E. Zunfft gericht, angesehen Ein großes Unglück wegen Zweÿmahlen gebrochenen arm gehabt.
Erkandt, solle H. Zunfftmeister demselben 1. lb 10 ß Zur milden beÿstewr geben, so Ihme als bald gereicht worden.

Frédéric Marc Beatschi meurt en 1774 en délaissant une fille. Le prix d’achat sert de valeur d’estimation de la maison. La masse propre à la veuve est de 122 livres, celle des héritiers de 18 sols. L’actif de la communauté s’élève à 139 livres et le passif à 339 livres

1774 (2.4.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 747) n° 245
Inventarium über Weÿland Friderich Marci Beatschig, geweßenen Maurers gesellen und Schirmers allhier zu Straßburg nunmehr seelig Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1774. – nach seinem Sambstags den 29.ten Januarÿ instehenden 1774.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen, Erfordern und begehren Frauen Rosinæ Barbaræ gebohrner Hockin der hinterbliebenen Wittib beÿständlichen H. Johann Jacob Vix des Schneider Meisters und burgerers allhier de, Sie ane Vogts statt zu ihrem Assistenten hierzu angesprochen, wie auch Johann Jacob Stoltz des taglöhners und schürmers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Barbaræ Beatschigin so 7. Jahr alt des Verstorbenen seelig. mit Vor: und hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib erziehlten töchterlins und ab intestato Verlaßener universal Erbin, inventirt und ersucht durch obige Frau Rosinam Barbaram gebohrner Hockin die hinterbliebene Wittib (…) So beschehen, Straßburg Dienstag den 26.ten Aprilis Anno 1774.

Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Nach deme die Hinterbliebene Wittib gleich anfangs dieser Inventation beÿ gebender Handtreu von mir dem Inventir Schreiber befragt worden, ob Sie und der Verstorbene seelig die einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung ordnungsmäßig inventiren laßen, hat dieselbe zur antwort ertheilet, daß solches zwar nicht geschehen es seÿe aber des abgeleibten seelig eingebrachtes Vermögen in nichts anders als seiner wenigen Kleidung und weißgezeug ihr der wittib zugebrachtes guth hingegen nebst ihrer Kleidung und weißen gezeug in Haußräthlichen Mobilien, so annoch in natura Vorhanden und 12. fl. baar geld bestanden, übrigens habe die wittib währender deßen Ehe auß weÿland H Johann Lobstein des geweßenen metzger und burgers allhier ihres erstern Ehemanns Vaters seelig Verlaßenschafft wegen ihrem ane dero erstern Ehemann seelig Zu erfordern gehabten ohnverändertn guth 211. fl.baar erhalten, dahero man nach Ihr der Wittib eintzig das jenige so annoch in natura vorhanden dann so solches gebührig vermög der Eheberedung dermahlen wieder vor ohnverändert zugeschrieben und was abgegangen in Ergäntzung gebracht, hiehero zum Bericht.
Copia der Eheberedung
In einer allhier zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Nembl. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß beederseiths neben weÿland H Clemens Reiffen geweßenen Holtzhändlers und burgers allhier seelig hinterlaßenen Erben, hinten auch auff gedachte Clemenßische Erben stoßend gelegen, so über hernach eingetragenen passiv: Capitalien gegen männiglichen freÿ leedig eigen und dermahlen umb den preiß wie solche erkaufft worden hier außzuwerffen, nemblichen vor 137. lb 10. ß. Darüber besagt ein teutsche papiere Kauffverschreibung in allhießiger C. C. Stub errichtet und mit dero auffgetrucktem Pittschafft verwahret, datirt den 28.ten Septembris Anno 1765. Dabeÿ ferners ein älterer teutsches pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg C. C. Stub anhangendem Insiegel Versehen, Sub dato 30.ten Septembris 1707.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert guth. Sa. Haußraths 10, Sa. activ schuld 12, Erg. 111, Summa summarum 134 lb – Schulden 12, Nach deren Abzug 122 lb
Dießemnach wied auch der Erbin ohnverändert guth beschrieben, Sa. Kleidung 1, Sa. activ schud 12, Summa summarum 13 lb – Schuld 12, Nach deren Abzug 18 ß
Endlichen folgt auch das gemein Verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 137, Summa summarum 139 lb – Schulden 339 lb, In Vergleichung 199 lb
Mehr Schulden dann guth 76 lb
Copia der Eheberedung (…)

La maison revient à Barbe Beatschi qui épouse en 1794 André Eichkorn originaire de Barr

1794 (19 Thermidor), Strasbourg 3 (11), Not. Ensfelder n° 191
Contrat de mariage – sont comparus le Citoyen Andres Eichkorn natif de Barr département du Bas Rhin garçon majeur et jouissant de ses droits, demeurant audit Strasbourg d’une part
et la Citoyenne Barbe Beatschÿ fille légitime de feû Frédéric Béatschy en son vivant Maçon en cette Commune procréé en légitime mariage avec Rosine née Buck assistée de du Citoyen Jean Daniel Spiegelberg Perruquier en cette Commmune d’autre part
le 19 Thermidor l’an II de la République française une et indivisible (signé) Andreas Eich korn, Anna Barbara Beatschin
(enregistré acp 25 f° 65 du 19 ther. 2 – revenu 60 livres)

Anne Barbe Beatschi veuve du domestique André Eichkorn vend la maison à Appoline Schahl

1835 (11.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), Me Hickel n° 4972
Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn, domestique à Strasbourg
à Appoline Schahl, majeure
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux n° 7, des deux côtés et derrière le Sr Meyer, devant la rue des Cerceaux – la venderesse a recueilli ledit immeuble dans la succession de ses père et mère Frédéric Beatschi, garçon maçon, et Rosine Hock dont elle était seule et unique héritière, les conjoints Beatschi du mandataire de Marie Elisabeth Koch veuve de Jean Jacques Heissner, receveur des finances à Bittlingen tuteur des enfants de Jean Pierre Koch, propriétaire à Enkirchen, par acte passé à la Chambre des Contrats le 28 septembre 1765 – louée par baux verbaux – moyennant 1600 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 230 F° 57 du 17.2.

Appoline Schahl doit être la même que celle qui épouse en 1845 Philippe Bambis
Mariage, Strasbourg (n° 176)
Du 24° jour du mois d’avril 1845. Acte de mariage de Philippe Bambis, majeur d’ans, né en légitime mariage le 8 ventôse an VIII à Wolfisheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, tonnelier, veuf d’Adélaïde Victoire Loriné, décédée en cette ville le 16 octobre 1844, fils de feu Jean Bambis, Menuisier décédé à Wolfisheim le 19 décembre 1825 et de feu Catherine Bartel décédée au même lieu le 28 décembre 1812
et d’Apolline Schahl, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 février 1807 à Marmoutier (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg fille de feu Laurent Schahl, journalier décédé à Strasbourg le 15 mai 1837 et de Catherine Heymann domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) P Bambis, A Schahl (i 51)

Appoline Schahl vend la maison 2 850 francs à Marie Stocker veuve du garde d’artillerie Pierre Bernon

1840 (2.5.), Strasbourg 8 (62), Me Zeyssolff n° 328
Appoline Schahl, majeure
à Marie Stocker veuve de Pierre Bernon, garde d’artillerie, Chevalier de la Légion d’Honneur
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux n° 7 des deux côtés et derrière la propriété Mayer, devant la rue des Cerceaux – acquise d’Anne Barbe Bratschi veuve d’André Eichkorn, domestique, par acte reçu Me Hickel le 11 février 1835 transcrit au bureau des hypothèques volume 291 n° 18, la veuve Eichkorn l’avait recueilli dans la succession de ses père et mère Frédéric Bratschi, garçon maçon, et Rosine Hock dont elle était seule et unique héritière, suivant acte de notoriété de Me Hickel le 16 février même année, les conjoints Bratschi l’avaient acquis sur Marie Elisabeth Koch veuve de Jean Jacques Heismer, receveur des finances à Bertlingen et le tuteur des enfants Jean Pierre Koch, propriétaire à Entkirchen, par acte passé à la Chambre des Contrats le 28 septembre 1765 – moyennant 2850 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 277 F° 88-v du 4.5.

Née en 1787 en Styrie, Marie Stocker habite Strasbourg depuis 1835. Son mari lui a fait donation de ses biens en 1825 à Perpignan (voir l’inventaire)
600 MW 180 (f° 28) Rue des Cerceaux n° 7 (i 25)
Ve Bernon née Stocker, Marie, 3. 7.bre 1787 née à Ponigtt en Styrie, Pre de l’Etat, veuve, (à Strasbourg depuis) 21 juillet 1835, (auparavant) grand rue 111, (entrée) le 10 mars 45, (sortie) le 11 juin 1850, décédée

Décès, Strasbourg (n° 1138)
Acte de décès. Le 12 juin 1850 (…) ont déclaré que Marie Stoker, âgé de 62 ans, née à Graetz, Autriche, pensionnaire de l’Etat, veuve de Pierre Bernon garde d’artillerie retraité, Chevalier de la Légion d’Honneur, domiciliée à Strasbourg, fille de feu N.N. et de feu N.N. est décédée le 11 juin 1850 à une heure de relevée en la maison rue des Cerceaux N° 7 (i 74)

Marie Stocker meurt en 1850 sans délaisser d’héritier connu.

1850 (4. 9.br), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3919
Inventaire de la succession de Madame Marie Stocker, veuve de M. Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg
L’an 1850, Lundi le 4 novembre à deux heures de relevée à la requête de M. Victor Zabern, greffier à la justice de paix du canton Ouest de la Ville de Strasbourg y demeurant, agissant en qualité de curateur à la succession réputée vacante de Madame née Marie Stocker, veuve de Monsieur Pierre Bernon, en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur à Collioure, elle demeurant et domiciliée à Strasbourg
dans une maison dépendant de la présente succession sise en cette ville rue des Cerceaux N° 7 où elle est décédée le 11 juin 1850

Au rez de chaussée, au premier étage, au deuxième étage
Titres et papiers. Cote deux. Maison sise à Strasbourg rue ou quai des Cerceaux N° 7. Pièces qui sont. Ma première. Une pièce d’un Contrat de vente reçue par Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840, dûment enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 mai 1840 volume 358 N° 78 contenant vente par Appolline Schahl majeure demeurante à Strasbourg à Mad. Bernon née Stocker d’une Maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux N° 7 tenant des deux côtés & par derrière à la propriété du sieur Meyer par devant à la rue des Cerceaux. Le prix de cette acquisition était de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance.
La seconde pièce est la grosse d’un contrat passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 contenant vente par Anne Barbe Beatschi veuve du sieur André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg à Appolonie Schahl majeure demeurant à Strasbourg, de la maison en question. Laquelle Maison la venderesse déclare avoir recueilli dans les successions de ses père & mère Frédéric Beatschi, vivant garçon Maçon à Strasbourg & Rosine Hock sa femme défunte, dont elle était seule et unique héritière
La troisième pièce est un acte de notoriété en brevet reçu par le même notaire Hickel constatant cette qualité.
Les quatrième et cinquième pièces sont des Certificats de radiation définitive
La sixième & dernière pièce est une expédition sur papier libre d’un Contrat reçu à la ci devant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765en vertu duquel les époux Beatschi sont devenus propriétaires dudit immeuble.
Cote 4. Pièces de famille. La première est une expédition d’un contrat reçu par Me Boluix notaire à Perpignan le 21 avril 1825 par lequel le Sr Bernon a institué pour sa légataire universelle Mad. Bernon son épouse.
Les huit pièces suivantes sont des expéditions d’actes notariés concernant la famille du Sr Bernon.
acp 396 (3 Q 30 111) f° 28 (succession déclarée le 11 Xbre 1850)
Il dépend de ladite succession un mobilier estimé à 358 francs
(vacation du 5 novembre) Description des papiers
Déclarations passives 415 francs

Le curateur à la succession réputée vacante expose la maison au enchères. L’aubergiste Antoine Brouillon s’en rend propriétaire

1850 (21. 9.br), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3967
Cahier des charges. L’an 1850 le jeudi 21 novembre est comparu Monsieur Victor Zabern, greffier à la justice de paix du canton Ouest de la Ville de Strasbourg y demeurant, agissant en qualité de curateur à la succession réputée vacante de Dame née Marie Stocker, veuve de Monsieur Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur à Collioure, elle demeurant et domiciliée à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850 (…)
Enonciation du jugement qui a ordonné la vente. Par requête présentée au tribunal civil séant à Strasbourg par M. Zabern en qualité qu’il agit ayant pour avoué M. Roser, ledit tribunal par son jugement en date du 19 du courant a ordonné que devant ledit M Roessel l’ainé il serait procédé à la vente judiciaire de la maison plus amplement ci après désignée (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue ou quai des cerceaux N° 7, tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer, pardevant à la rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière le sieur Hahn
Mise à prix. Ledit immeuble a été mis à prix par le jugement précité à la somme de 1000 francs.
Origine de la propriété. La maison avec toutes ses appartenances et dépendances était la propriété de Madame veuve Bernon née Stocker moyennant l’acquisition qu’elle en a faite de Appoline Schahl, majeure, demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 mai 1840 volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance. La demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison prédésignée pour l’avoir acquise de Anne Barbe Beatschi veuve du sieur André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 volume 291 n° 18 (…). Cette vente eut lieu pour le prix de 1600 francs (…). La veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans les successions de ses père et mère Frédéric Beatschi, en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avait son domicile, et dame Rosine Hock sa femme défunte, domiciliée en la même ville, ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765.
Charges, clauses et conditions (…)
N° 3972 du 9 décembre 1850. Adjudication définitive – mise à prix 1000 francs
Une bougie a été allumée d’une durée d’une minute pendant le feu de laquelle une mise a élevé le prix de ladite maison à 2525 francs. Cette mise a été faite par M. Antoine Brouillon aubergiste demeurant à Strasbourg rue de la soupe à l’eau N° 12. Deux nouvelles bougies ayant été allumées de même durée que les précédentes et s’étant éteintes sans qu’il y ait de nouvelle mise, ladite maison a été adjugée définitivement à M. Brouillon
acp 396 (3 Q 30 111) f° 67 – acp 397 (3 Q 30 112) f° 30

Originaire d’Oberhergheim en Haute-Alsace, le garçon tanneur Antoine Brouillon épouse en 1846 Elisabeth Haffen, fille de cordonnier
Mariage, Strasbourg (n° 107)
Du 24° jour du mois de février 1846, Acte de mariage d’Antoine Brouillon, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 décembre 1822 à Oberhergheim (haut Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Jean Baptiste Broullon, Lieutenant des douanes décédé à Ebersheim (Bas-Rhin) le 14 juin 1827 et de Marie Catherine Wichers épouse actuelle de François Desolme, tailleur domicilié en cette ville ci présente et consentante
et de Anne Marie Elisabeth Haffen, majeure d’ans, née en légitime mariage le 13 août 1822 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Chrétien Louis Haffen, Cordonnier, décédé en cette ville le 22 mars 1833 et de Madeleine Reine Schütz, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante (…) Et aussitôt les dits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Elisabeth Antoinette Brouillon née d’eux en cette ville le 13 janvier 1846 (signé) Brouillon, Haffen (i 54)

600 MW 180 (f° 28) Rue des Cerceaux n° 7 (i 25)
Brouillon, Antoine, 6 Xbre 1822 à Oberbergheim, haut Rhin, Cabaretier, mari, (auparavant) r. Soupe à l’eau 12, (entrée) 14 mars 1851, (sortie) 24 8.bre 51, (ensuite) rue derrière les jardins 16
idem née Haffen, Anne Marie Elisabeth, 1 août 1822 à Strasbourg Bas Rhin, épouse
id. Antoine, 18 Xbre 1847 à Strasbourg, fils

Antoine Brouillon et Elisabeth Haffen vendent la maison 2 500 francs au boulanger Philippe Bernhard

1851 (19.6.), Me Roessel ainé
sont comparus le sieur Antoine Brouillon aubergiste et dame née Elisabeth Haffen son épouse qu’il autorise à l’effet de ce qui suit demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (ont vendu)
au sieur Philippe Bernhard boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg
Désignation de l’immeuble vendu. Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue ou quai des cerceaux N° 7 tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer pardevant à la rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière le sieur Hahn
Origine de la propriété. Les conjoints Brouillon sont devenus propriétaires de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’ils en ont faite de la succession vacante de dame Marie Stocker veuve de Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite demeurant et domicilié à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850, aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Roessel ainé l’un des soussignés notaires le 9 décembre 1850 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 décembre même année volume 514 n° 37. Cette acquisition eut lieu pour et moyennant le prix de 2525 francs (…). La veuve Bernon née Stocker était elle-même devenue propriétaire de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’elle en a faite d’Appoline Schahl majeure demeurant à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 du même mois volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance. La demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison vendue pour l’avoir acquise d’Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 vol. 291 n° 18 (…). Cette vente eut lieu pour le prix de 800 francs (…). La veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans les successions de ses père et mère Frédéric Beatschi en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avait son domicile et dame Rosine Hock sa femme défunte domiciliée en la même ville ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont eux mêmes devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765. (…) Prix. 2500 francs
Etat civil des vendeurs. Déclarent les époux Brouillon qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens légale faute d’avoir fait faire de contrat de mariage (…)
acp 401 (3 Q 30 116) f° 30 du 20.6.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 531 (2756) n° 69 le 21 juin 1851

Natif de Breuschwickersheim, Philippe Bernhard veuf de Frédérique Oster épouse en 1839 Eve Meylænder native de Hangenbiethen
Mariage, Strasbourg (n° 79)
Du 5° jour du mois de l’an mars 1839. Acte de mariage de Philippe Jacques Bernhard, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 avril 1813 à Breuschwickersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, boulanger, veuf de Frédérique Oster décédée en cette ville le 16 juillet 1838 fils de feu Michel Bernhard, cultivateur décédé à Breuschwickersheim le 26 mars 1836 et de feu Anne Bilger décédée à Breuschwickersheim le 3 janvier 1819 et de Eve Meylaender, majeure d’ans, née en légitime mariage le 16 novembre 1815 à Hangenbiethen (Bas Rhin) domiciliée à Hangenbiethen, fille de Martin Meylaender, cultivateur et de Christinee Bilger conjoints domiciliés à Hangenbiethen (signé) Bernhard, Meÿländer (i 2)

Philippe Bernhard et Eve Meylænder vendent la maison à leur voisin Jean Hahn et à sa femme Marie Anne Cleman

1854 (13.5.), Me Grimmer
sont comparus le sieur Philippe Bernhard boulanger et dame Eve Maylaender son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (ont vendu)
au sieur Jean Hahn aubergiste et marchand de charbons et Marie Anne Cleman sa femme par lui duement autorisée à l’effet des présentes demeurant ensemble audit Strasbourg acquéreurs
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg autrefois Rue des Cerceaux aujourd’hui quai de la Finckmatt N° 7, tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer pardevant à ladite rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière à l’acquéreur. Les époux Bernhard sont propriétaires de la maison susdésignée pour le Sr Bernhard l’avoir acquise du sieur Antoine Brouillon aubergiste et de dame Elisabeth Haffen son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé le 19 juin 1851 devant Me Roessel ainé et son collegue notaires à Strasbourg pour la somme de 2500 francs quittancés dans ledit acte de vente et dont une expédition fut transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 juin de la même année volume 531 N° 69, audit acte il est dit que les conjoints Brouillon sont eux mêmes devenus propriétaires dit immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’ils en ont faite de la succession vacante de dame Marie Stocker veuve de Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite demeurant et domicilié à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850 aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Roessel ainé le 9 décembre 1850 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 décembre même année volume 514 n° 37, cette acquisition eut lieu pour et moyennant le prix de 2525 francs (…), la veuve Bernon née Stocker était elle-même devenue propriétaire de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’elle en a faite d’Appoline Schahl majeure demeurant à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 du même mois volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance, la demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison vendue pour l’avoir acquise d’Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 vol. 291 n° 18 (…), cette vente eut lieu pour le prix de 800 francs (…), la veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans la succession de ses père et mère Frédéric Beatschi en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avoit son domicile et dame Rosine Hock sa femme défunte domiciliée en la même ville ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont eux mêmes devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765. La présente vente a eu lieu (…) pour la somme de 2000 francs
acp 430 (3 Q 30 145) f° 14 du 20.5.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 588 (2243) n° 38 le 30 mai 1854

Fils de marchand fruitier, Jean Hahn épouse en 1820 Marie Madeleine Kessler
Mariage, Strasbourg (n° 264)
Acte de mariage célébré le 2 octobre 1820. Jean Hahn, mineur d’ans, né en légitime mariage à Strasbourg le 6 Brumaine an VII, domicilié de droit à Strasbourg, imprimeur en papiers peints, fils de feu Jean Hahn, fruitier, décédé en cette ville le 29 décembre 1813 et de feu Marie Klein décédée en cette ville le 16 mars 1818,
et Marie Madeleine Kessler, mineure d’ans, née en légitime mariage le 4 Nivôse an VIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Dominique Kessler, cordonnier en cette ville et de Madeleine Eibel ci présens et consentants (signé) Johannes Han, Kösler (i 31)

Le marchand de charbon Jean Hahn se remarie en 1853 avec Marie Anne Cleman, veuve du compagnon meunier Louis Rung : contrat de mariage, célébration
1853 (6.12.), Not. Grimmer (Georges Louis Frédéric)
Contrat de mariage – Jean Hahn, Md. de Charbon et aubergiste, veuf avec cinq enfants de Marie Madeleine Koessler à Strasbourg
Marie Anne Cleman, veuve sans enfants de Louis Rung, compagnon meunier à Strasbourg
stipulation de communauté réduite aux acquêts, réserve d’apports et héritages
Les apports du futur consistent 1° en la moitié d’une maison sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’eau n° 2
2° d’un mobilier estimé à 1309, 3° argent comptant 100
Les apports de la future consistent 1° en une rente 4 ½ de 29 francs, 2° Une autre 4 ½ de 40 francs, 3° créances 1450, 4° argent comptant 100, 5° meubles 1111, total 2661.
Donation par les futurs en cas de prédécès d’une part d’enfant en toute propriété et par la future au futur de l’usufruit de toute sa succession
acp 425 (3 Q 30 140) f° 25-v du 6.12. (minutes en déficit)

Mariage, Strasbourg (n° 547)
Du 8° jour du mois de décembre 1853. Acte de mariage de Jean Hahn, majeur d’ans, né en légitime mariage à Strasbourg le 6 Brumaire an VII, domicilié à Strasbourg, marchand de charbons, veuf de Marie Madeleine Kessler décédée en cette ville le 12 mars 1852, fils de feu Jean Hahn, fruitier, décédé en cette ville le 29 décembre 1813 et de feu Marie Klein décédée en cette ville le 16 mars 1818,
et de Marie Claire Cléman, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 Pluviôse an XIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg veuve de Louis Rang garçon Meunier décédé en cette ville le 29 décembre 1852 fille de feu François Cléman, Menuisier décédé en cette ville le 7 avril 1832 et de feu Marie Madeleine Fried, décédée en cette ville le 26 décembre 1821 – il a été passé un contrat de mariage devant Me Grimmer notaire en cette ville le 7 décembre (signé) Hahn, Cleman Marie (i 31)

Jean Hahn meurt en 1864 en délaissant cinq enfants

1864 (16.9.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Hahn, marchand de charbons, et Marie Anne Cleman sa veuve en secondes noces et de la succession dudit Sr Hahn, décédé le 6 août 1864, dressé à la requête de 1) la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 6 décembre 1853, 2) Jean Hahn, marchand de charbons, 3) Madeleine Hahn épouse de Geoffroi Fries, batelier à Strasbourg, 4) Florentine Hahn épouse de François Wurtz, mécanicien au chemin de fer de l’Est, 5) Louis Hahn, lithographe, 6) le mandataire d’Adolphe Hahn, caporal au 55° de ligne, tous à Strasbourg

acp 536 (3 Q 30 251) f° 12-v du 19.9. (succession déclarée le 24 Xbr 1864)
Communauté, mobilier 96, argent 160
Succession, maison 48
(vacation du 10 octobre) Communauté, créances 93
Une maison quai de la Finckmatt n° 7
Succession 1) moitié d’une maison quai Finckmatt n° 8
reprises de la veuve 4205, reprises du défunt 1409
dettes de la communauté 2175, dettes de la succession 4140
acp 536 (3 Q 30 251) f° 96 du 18.10.

1864 (28.10.), Me Grimmer
Notoriété constatant que Madeleine Koesler épouse de Jean Hahn marchand de charbons à Strasbourg est décédée le 11 mars 1852, laissant pour héritiers ses six enfants
acp 537 (3 Q 30 252) f° 26 du 2.11.

Les héritiers exposent sans succès les deux maisons aux enchères

1864 (29.10.), Me Me Grimmer
Cahier des charges du 29 octobre – pour parvenir à la vente de deux maisons sises à Strasbourg quai Finckmatt n° 7 et 8, à la requête d’Anne Clement veuve de Jean Hahn à Strasbourg
acp 537 (3 Q 30 252) f° 42 du 3.11.
le 28 novembre – Retrait d’enchère d’une maison sise quai Finckmatt n° 8
acp 538 (3 Q 30 253) f° 44 du 5.12.
le 12 décembre – Retrait d’enchère de deux maisons sises quai Finckmatt n° 7 et 8
acp 538 (3 Q 30 253) f° 72-v du 15.12.

Lors de la liquidation, les deux maisons contiguës reviennent à Florentine Hahn femme du mécanicien François Wurtz

1865 (25.2.), Me Grimmer
Liquidation et partage des successions délaissées par Jean Hahn, marchand de charbons, et Madeleine Koessler, sa femme en premières noces. Le Sr Hahn est décédé le 6 août 1864 et sa femme en premières noces le 11 mars 1852
Entre 1) Jean Hahn, marchand de charbons à Strasbourg, 2) Madeleine Hahn épouse de Geoffroi Fries, batelier à Strasbourg, 3) Florentine Hahn épouse de François Wurtz, mécanicien au chemin de fer de l’Est à Strasbourg, 4) Louis Hahn, imprimeur lithographe à Strasbourg, 5) Louis Koessler, cordonnier à Strasbourg, mandataire d’Adolphe Hahn, caporal au 55° de ligne à Tlemcen, 6) Marie Anne Clémann veuve en secondes noces du Sr Hahn défunt agissant à cause des reprises qu’elle a à exercer contre son mari en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 6 décembre 1853
Suivant déclaration faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 21 8.bre 1864, ladite De Hahn a renoncé à la communauté et aux termes d’un acte reçu Grimmer le 23 décembre 1864 elle a également renoncé à la donation de la part d’enfant en toute propriété lui résultant de son contrat de mariage

Masse active 1) Une maison à Strasbourg quai de la Finckmatt n° 8, Une maison à Strasbourg même rue n° 7, ces deux maisons estimées 17.000
2) Loyers 400, 3) produit de la vente mobilière 189, 4) argent 160, total 17.749
Masse passive 1) 6000 dus à Jean Jacques Stotz, ancien architecte à Strasbourg suivant deux obligations reçues Ritleng le 26 mars 1845 et Rencker le 25 novembre 1845
2) 2000 francs dus à Philippe Bernhard boulanger à Strasbourg suivant acte reçu Grimmer le 13 mai 1855, intérêts 250
Reprises à exercer par la veuve 4205
Passif payé par le De Fries 363
Pension de Louis Hahn du au Sr Koessler susdénommé 960
Contributions et assurance 66, Frais d’actes 602, Total 14.529, Excédent d’actif 3549
Abandonnements. I. Florentine Hahn femme Wurtz reçoit les deux maisons
acp 540 (3 Q 30 255) f° 93 du 1.3.

Florentine Hahn épouse l’imprimeur lithographe Frédéric Martin Oster en 1851
Mariage, Strasbourg (n° 156)
du 21° jour du mois d’avril l’an 1851. Acte de mariage de Frédéric Martin Oster, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 novembre 1826 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, imprimeur lithographe, fils de Jean Oster, boulanger, et de Salomé Baumert, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Florentine Hahn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 avril 1832 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Hahn, Marchand de Charbons, et de Marie Madeleine Koessler, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) Frederic Oser, Florentine Hahn (i 46)

Veuve, elle se remarie en 1853 avec le serrurier François Joseph Wurtz
Mariage, Strasbourg (n° 341)
Du 11° jour du mois d’août l’an 1853. Acte de mariage de François Joseph Wurtz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 mai 1832 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu François Joseph Wurtz, cultivateur décédé en cette ville le 28 août 1851 et de feu Anne Lobstein décédée en cette ville le 5. avril 1842, et de Florentine Hahn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 avril 1832 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg veuve de Frédéric Martin Oster, imprimeur lithographe décédé en cette ville le 31 juillet 1852, fille de Jean Hahn, Marchand de Charbons domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Koessler, décédée en cette ville le 11 mars 1852. (signé) Würtz, Hahn (i 38)

Le sellier catholique Gustave Wurtz épouse la servante luthérienne Emma Barbe Steinmetz en 1890
Mariage, Strasbourg (n° 83)
Strassburg am 11. Februar 1890. (erschienen) der Sattler Gustav Wurtz, katholischer Religion, geboren den 25. Juli des Jahres 1867 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des verstorbenen Wirthes Frantz Joseph Wurtz wohnhaft zuletzt zu Strassburg und der Florentine Hahn, ohne Beruf wohnhaft zu Strassburg, die Putzmacherin Emma Barbara Steinmetz, evangelischer Religion, geboren den 9. Januar des Jahres 1869 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des Friseurs Prosper Steinmetz wohnhaft zu Strassburg und der verstorbenen Marie Magdalena Mittelhoelzer, zuletzt wohnhaft zu Strassburg (i 83)

L’aubergiste Gustave Wurtz se remarie en 1904 avec Marie Hugo fille d’un maître d’école d’Arzheim en Palatinat
Mariage, Strasbourg (n° 1239)
Strassburg am 3. November 1904 (erschienen) der Gastwirt Gustav Wurtz, Witwer von Emma Steinmetz, katholischer Religion, geboren am 25. Juli des Jahres 1867 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg Finkmattstaden 6, Sohn des verstorbenen Gastwirts Franz Joseph Wurtz und seiner verstorbenen Ehefrau Florentine Hahn, beide zuletzt wohnhaft in Strassburg, die Maria Hugo, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 31. Januar des Jahres 1880 zu Arzheim Pfalz, wohnhaft in Strassburg wie oben, Tochter des verstorbenen Lehrers Nikolaus Hugo und seiner verstorbenen Ehefrau Lina Margarita gebornen Breitling zuletzt wohnhaft in Arzheim (i 40)



96, Grand rue


Grand rue n° 96 – VII 80 (Blondel), P 759 puis section 6 parcelle 21 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Gautier Koch, taillandier (1769-1770)


Le n° 96 est la première maison
Etages des n° 96 (à droite) et 98 (à gauche)

Située dans la partie médiane de la Grand rue près de la rue des Dentelles et face à la brasserie à la Cloche, la maison à bâtiment avant et petit bâtiment arrière appartient à des artisans : le cordonnier Henri Vogt au début du XVII° siècle, le tailleur devenu commissaire priseur Tobie Roth, des chapeliers, puis (1703-1742) au musicien Jean Kræutler qui demande en 1703 l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement ; les préposés au bâtiment consultent alors le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description. Le même propriétaire fait surélever en 1711 d’un étage (soit dix pieds) son encorbellement. Sur le plan-relief de 1727, la maison correspond à la partie droite du bâtiment central (quatrième) : porte à gauche du rez-de-chaussée et arcade de boutique, trois étages à deux fenêtres.
Le taillandier Jean Gautier Koch achète la maison 1750 livres en 1752. Les experts l’estiment 400 livres à la mort de sa femme en 1769. Les préposés aux feux enregistrent en décembre 1769 le compte rendu, dressé par le maître maçon Jean Lingenhœlin, des transformations que projette le propriétaire. Les parties estiment le bâtiment 2 500 livres à l’inventaire des apports dressé en 1771, les experts à une valeur minimale de 1 000 livres en 1773. Les parties n’habitent pas le bâtiment estimé 400 livres par les experts. Il est alors en cours de transformation (fin 1769-début 1770) comme le montre le compte rendu dans le registre des Préposés aux feux. Le nouveau bâtiment est estimé à sa valeur réelle (2 400 livres) par les parties, à sa valeur minimale (1 000 livres) par les experts peu après. La nouvelle façade reprend la disposition de l’ancienne : porte d’entrée à gauche, arcade à droite, chacune surmontée d’un mascaron. Deux autres se trouvent au-dessus des fenêtres du premier étage, les linteaux du deuxième étage comprennent de simples moulures. Le rez-de-chaussée est parementé de grès, les étages sont séparés par des cordons (voir le Répertoire des mascarons de Brigitte Parent). La vente aux enchères suite à la faillite de l’héritier Jacques Frédéric Koch décrit en détail les bâtiments tous en pans de bois sauf la façade.



Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 135, entre la rue escarpée (repère b) et la rue des Dentelles (repère c)
Cour N (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (c) : arcade et porte, trois étages puis toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour N montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (2-3) à l’est et le bâtiment arrière (3-4). A l’ouest, le mur 1-4 sépare la cour de celle du voisin à l’ouest.
La maison porte d’abord le n° 30 (1784-1857) puis le n° 96.


Dessins de 1896 (veuve Ott) et de 1955 (Vêtements Serfass, non réalisé), dossier de la Police du Bâtiment)

Le propriétaire fait abaisser en 1884 le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée en y aménageant une devanture. Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997.


Grille avant sa dépose – Aménagements de 1997 (dossier de la Police du Bâtiment)

juin 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier 2Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Henri Vogt, cordonnier, et (1593) Marie Betz – luthériens
1625 v Tobie Roth, tailleur puis commissaire priseur, et (1618) Catherine Kleindienst puis (1651) Ursule Rupp, auparavant (1617) femme de Luc Jelinger, employé à l’accise – luthériens
1667 v Simon Hollænder, chapelier, et (1661) Anne Madeleine Rœderer – luthériens
1871 h Jean Martin Wetzel, chapelier, et (1671) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder – luthériens
1680 h Daniel Schwebel, chapelier, et (1680) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder puis de Jean Martin Wetzel – luthériens
1685 v Jean Füssel, fondeur de pichets, et (1678) Apollonie Maurer – luthériens
1687* adj Léonard Maurer, boulanger, et (1643) Agnès Brantzy – luthériens
1688 v Jean Georges Birckel, tonnelier puis blanchisseur, et (1687) Anne Madeleine Lentz – luthériens
1691 v Jean Versch, cloutier, et Anne Marie Rœmer, relégué
1695 adj Jean Charles Hammerer, docteur en médecine, et (1682) Salomé Greuhm – luthériens
1703 v Jean Kræutler, musicien, et (1698) Marie Salomé Ebinger – luthériens
1742 v Jean Kipp, cocher, et (1737) Anne Marie Strohl – luthériens
1746 v René Lanier, vannier manant, et (1740) Marie Baron, veuve de Jean Louis Fouchet, puis (1758) Anne Marie Germersdorff – catholiques
1752 v Jean Gautier Koch, taillandier, et (1751) Marguerite Salomé Musculus, (1770) Marie Salomé Weiss puis (1774) Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer – luthériens
1809 h Jacques Frédéric Koch, taillandier, et (1786) Marie Salomé Kieffer puis (1791) Marie Dorothée Schaaff – luthériens
1821 adj Jean Frédéric Schaaff, tonnelier, et (1790) Marie Salomé Koch – luthériens
1846 h Chrétien Ott, tanneur, et (1820) Dorothée Schaaff
1900* Eugène Picard
1924* Emile Marie Leibenguth et son épouse née Henler
1937* Chrétien Stoebener

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1725, 400 livres en 1769, 1000 livres en 1773

(1765, Liste Blondel) VII 80, Jean Jacques Jundt [sic]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Koch, 2 toises, 0 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 759, Schaaff, Frédéric, veuve – maison, sol, cour – 1,05 are

Locations

1629 (cave) Jean Régnard Kress, brasseur
1699, André Roland, aubergiste
1729 (cave), Jean Philippe Kips, passementier
1738, Jean Michel Braun, musicien, et (1738) Marie Salomé Kræutler

Livres des communaux

Les préposés au bâtiment consultent en 1703 le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description.

1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 20
Jenseitt dem Steinen Brücklin

Heinrich Reich der Schuster hatt vor seinem Hauß Ein Vsstoß xv schu lang, Vnd ii+ schu herauß, Oben ein Staucher auch so lang, Vnd xv Zoll herauß, Ein lehenete Kellerthüer vii+ schu lang, Vnd v schu herauß, Ein Laden vii+ schu ix Zoll lang, vndt iii+ schu heraußer, Ein steinerin Tritt iii+ schu lang, Vnd xv Zoll herauß, Item ein Bencklin vii+ schu ix Zoll lang, Vnd ix Zoll breit, Bessert für das Niessen, j lb. j ß d.
dieses Bencklin ist hinweggethan

(traduction) Le cordonnier Henri Reich a devant sa maison une avance de 15 pieds de long en saillie de 2 pieds ½, en haut un encorbellement de même longueur en saillie de 15 pouces, une porte de cave inclinée de 7 pieds ½ de long en saillie de 5 pieds, une boutique de 7 pieds ½ 9 pouces de long en saillie de 3 pieds ½, une marche en pierre de 3 pied ½ de long en saillie de 15 pouces, item un étal de 7 pieds 9 pouces de long et 9 pouces de large. Doit pour la jouissance 1 livre 1 sol
L’étal est supprimé

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1703, Préposés au bâtiment (VII 1380)
Jean Kræutler demande l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement. Les préposés consultent le livre des communaux de 1587 et constatent que le propriétaire réglait alors 17 sols 7 deniers. Ils accordent l’autorisation à condition que le pétitionnaire règle la même somme bien que les dimensions soient moindres.

(f° 198-v) Mittwochs den 24. Octobris 1703 – Johannes Kräutler der Musicant pt° reparirung seines hauses überhang
Johannes Kräutler, der Musicant und burger alhier, welcher eine behausung in der obern Straßen, ohnfern der Spitzengaßen neben Johannes Kuglers, des Statt Kupfferschmidts behausung gelegen, Von herrn Johann Carol Hammerers, Med: Dris seel: hinterlaßener fr. Wittiben erkaufft, ersucht MGHh Ihme Zuerlauben, daß Er das über seinem Überhang befindliche dach abbrechen und ein newes dahin machen laßen möchte.
Ego berichte auß dem Allmend: buch fol: 200. de Anno 1587. daß dise behaußung welche damahlen Heinrich Reichen dem Schuster zugehörig war, einen Außstoß so 15. schuhe lang und dreÿ schuhe von hauß Herauß breit, oben darüber ein staucher auch so lang und 15. Zoll heraus, ein lehnende Kellerthür 7 ½ schuhe lang und 4 ½ schuhe herauß, Ein steineren tritt 3 ½ schuhe lang undt 15. Zoll herauß habe und jährlichen 17. ß 6 s allmendt Zinß daran bezahlt werden sollen. Die Werckmeister referiren daß Sie dieses examinirt und in allem, außgenommen den Außstoß so allein 14 schuhe 3. Zoll lang und die Kellerthür so 5 schuhe 1. Zoll lang und 5. schuhe breit ist, also befunden hetten.
Erk. Würd dem Imploranten gegen jährlicher abstattung dieser 17 ß 6 d in seinem begehren willfahrt.

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Jean Kræuter demande l’autorisation de surélever son encorbellement d’un étage (soit dix pieds). Les préposés constatent que les voisins n’ont pas d’objection mais qu’ils souhaitent que Jean Kræuter cesse de poser une planche devant son magasin pour que leur boutique soit plus visible.

(f° 167-v) Sambstags den 11. Julÿ 1711. Johann Kräutler pr° erhöhung seines überhangs
Augenschein eingenommen an Johann Kräutlers des Krempen und Spiehlmanns in der Oberen Straßen, ohnfern der Spitzengaßen liegenden behausung, an deren Er den Überhang umb ein Stockwerck erhöhen Zulaßen gesinnet ist, und umb deßen gnd permission angesucht hatt. Erk. Bedacht.

(f° 172) Montags den 27. Julÿ 1711. Johann Kräutler
Wegen des am 11 huius an Johann Kräutlers des Krempen in der Oberen Straßen gelegenen behausung eingenommenen augenscheins, Welche Er umb Zehen schuhe erhöhen, aber nichts an dem Zweÿ stock hohen überhang ändern Zulaßen gesinnet ist, wurden die beede Nachbaren befragt, ob Sie nichts darwid. einzuwenden hetten. welche als Johannes Kugler der Statt Kupferschmidt und Johann Erhard Metz der Weißbeck sich erkläret, daß Sie nichts darwider Zu Klagen hätten, bäten aber densemben dahin anzuhalten, daß er das brett, welches Er vor seinen Laden außlegte und ein gätter darauff setzte, welches Verursachte, daß mann Ihre läden nicht sehen könte, hinweg laßen möchte. Erk. Wird Johann Kräutlern erlaubt seine behausung Verlangtermaßen erhöhen Zulaßen, und Ihme darbeÿ anbefohlen das brett Vor seinem Laden Hinweg zuthun.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1769. Le maître maçon Linckenhœlin rapporte les transformations que Jean Gautier Koch a l’intention de faire dans sa maison. Il constate que les précautions sont prises pour éviter les incendies. Le bâtiment a trois étages. L’atelier de taillandier se trouve à droite de l’entrée.

Sambstags den 2.ten Decembris 1769. Johann Walther Koch der Bohrenmacher will in seiner in der mittlern langenstraß gelegenen behausung rechter hand am Eingang eine bohrenmachers Weckstatt mit Eß und Caminschoß setzen, das rohr am steinern gäbel hienauf von allem holtz entfernt.
Im ersten, Zweÿten und dritten stock jedes mal eine Stube gegen der straß, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erk. Willfahrt. Hr. Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, un passage latéral, plusieurs poêles et chambres dont l’une est séparée par des planches, une chambre à soldats, deux vestibules dont chacun comprend un fourneau et un évier, une boutique de revendeur, une petite cave voûtée, une petite cour, un fourneau à lessive, un puits et un abreuvoir, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
  • rapport d’experts en 1821

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 57 / 30
Koch
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 146 case 4

Schaf Jean Frédéric Ve
Ott Chrétien (subst. p. 1848)

P 759, maison, sol,
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 491 case 1

Ott Chrétien, rue des Bouchers 13
1900 Picard Eugen, Schlosser

P 759, maison, sol, Grand rue 96
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année d’entrée : Gb
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 30 p. 65 case 1

Parcelle, section 6, n° 21 – autrefois P 759
Canton : Langstraße Hs N° 96 – Grand’rue
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,06
Revenu : 1200 – 1500
Remarques :

(Propriétaire), compte 939
Picard Eugen u. Ehefr.
1924 Leibenguth Emile Marie et son épouse née Henler
1937 Stoebener Chrétien & son épouse
(3993)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche

30
Pr. Koch, Jean Valder, Mre Taillantier – Marechaux
loc. Schaeffer, veuve – Tonneliers
loc. Braun, Salomé, fille couturière
loc. Weyher, veuve – Miroir
loc. Neuville, Catherine, travaille en modes – Tanneurs
loc. Dupré, Jean, Domestique – Lanterne
lo. Klein, Marg. Salomé

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 98)

(Haus Nr.) 96
Laemle, Kurzwhdlg. 01
Laemle, Handelsmann. 1
Staedel, Dienstmann. 2
Fehr, Schreiber. 3
Knol, Schreiner. 3
Schilio, Rentnerin. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 188)

Elise Sohn née Ott fait abaisser en 1884 le plancher de 54 centimètres en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée (devanture et volet roulant).
Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. Un atelier de réparation se trouve dans le bâtiment arrière en 1947. L’agrandissement du magasin que prévoit Alfred Serfass en 1955 n’est pas réalisé.

Sommaire
  • 1884 – Les agents municipaux constatent qu’Elise Sohn née Ott (demeurant 1, rue Thiergarten) fait faire des travaux sans autorisation : abaisser le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation d’abaisser le plancher de 54 centimètres et de transformer la façade au rez-de-chaussée (poser une porte, une devanture et un volet roulant) – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1884 – Dessin (élévation du rez-de-chaussée, coupe, plan)
  • 1886 – Dossier ouvert après que Justine Læmlé a demandé au commissaire de police de suspendre des tabliers et des sous-vêtements. Les objets devront se trouver à au moins deux mètres du sol et ne pas faire saillie de plus de 16 centimètres sur la voie publique – Accord, droits de voirie
  • 1902 – Le maire notifie Eugène Picard (demeurant 17, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 96, Grand-rue – Travaux terminés, octobre 1902
    1908 – Idem – Travaux terminés, novembre 1905
  • Commission contre les logements insalubres
    1915 – Commission des logements militaires. Remarques en six points – Travaux terminés, août 1915
  • 1921 – Le maire notifie Auguste Geldreich (demeurant 15, boulevard de Nancy) de faire ravaler la façade. Il répond qu’il est malade depuis juillet 1919 et que sa situation financière ne lui permet pas de faire faire les travaux
    1923 – Emile Leibenguth (demeurant 100, Grand-rue) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade en gris clair – Accord
  • 1923 – Emile Leibenguth (demeurant 57, rue du Fossé des Tanneurs) a aménagé un logement dans les combles sans respecter le règlement (cloisons en bois non plâtrées) – Les cloisons sont plâtrées, le dossier classé, novembre 1923
  • 1923 (août) – Le marchand de lingerie et de bonneterie Neugewurtz et Bilfeld (anciennement 118, Grand rue) demande l’autorisation de poser une enseigne (libellé : Au Gaspilleur, 96 Lingerie Bonneterie 96, Confection, Gros Articles de travail Demi-gros) – Autorisation (saillie supérieure à 16 centimètres)
  • 1923 – Le locataire Joseph Schnee (4° étage) se plaint que son logement est humide. La Police du Bâtiment estime que la plainte est fondée. – La toiture est réparée, juillet 1923
    Le locataire Læmmel s’oppose à ce que la propriétaire fasse faire des travaux de peur que le loyer augmente. La Commission contre les logements insalubres estime qu’il n’y a pas lieu d’intervenir
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate que Charles Kaufmann a posé sans autorisation une enseigne – L’enseigne est retirée
  • 1942 – La veuve Stœbener (15, rue de Berne) informe la Police du Bâtiment qu’elle a fait retirer la lampe. Les droits sont dus pour l’année 1941.
    1943 – La même se plaint que son locataire du premier étage Camille Fehr tient mal son logement et demande une visite des lieux. Le logement que le locataire occupe depuis 43 ans doit être rénové. Il s’agit d’une affaire locative.
  • 1947 – Emile Tassler qui exploite au fond de la cour un atelier où il répare des machines à coudre demande l’autorisation de poser deux petites vitrines (85 sur 40 centimètres) – Croquis (les vitrines se trouvent de part et d’autre de la porte d’entrée – Accord
  • 1949 – L’entrepreneur de peinture Guillaume Fischer (11, rue Finckwiller) demande l’autorisation de repeindre la devanture du magasin d’Alfred Serfass – L’architecte des Bâtiments de France demande que le revêtement en bois déjà peint et posé sans autorisation soit retiré parce qu’il est « contraire à toute esthétique ». L’entrepreneur répond que la menuiserie était déjà posée quand il l’a peinte. – Les enseignes sont retirées, août 1949
  • 1955 – Alfred Serfass (vêtements pour hommes et enfants, demeurant 7, rue des Bouchers) déclare avoir posé un écriteau pour sa vente avant transformation – Autorisation – L’enseigne est enlevée, mai 1955
    Demande de permis de construire (parcelle 21, section 6 – Dessin établi par Willy Girbig (rue Carré de Malberg au Neuhof). Le cadre de la devanture sera en chêne massif – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Les locataires protestent contre les transformations de l’entrée et la construction projetée dans la cour – Le dossier est classé sans que les travaux aient eu lieu
  • 1959 – Rapport d’incendie dans une mansarde à cause d’une cheminée non conforme. L’aménagement intérieur de deux logements est brûlé ou détérioré – La Police du Bâtiment fait un rapport (croquis) – Le propriétaire Jean Ott, employé chez le notaire Offenstein, déclare que la cheminée a été remise en état par Paul Spindler. La Police du Bâtiment fait remarquer que le logement récemment aménagé et occupé par Guillaume Stahn n’est pas conforme aux prescriptions.
  • 1961 – Rapport d’incendie dans une chambre au premier étage – La Police du Bâtiment fait un rapport – Travaux terminés, avril 1961
  • 1967 – Jean Georges Ott (rue du Canal à Eckbolsheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1974 – Le photographe Marcel Ehrhard (demeurant à Schiltigheim, société Tube jeune, magasin de 30 m²) demande l’autorisation de transformer la devanture – Devis du vitrier Koenig-Reiminger (route de la Wantzenau à la Robertsau), du ferronnier Willy Ehrhard (rue Jean-Jaurès au Neudorff) – Plan cadastral de situation – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire (20 janvier 1975) – Travaux terminés conformément aux plans (avril 1975)
  • 1977 – Michel Rieger (demeurant route de Schirmeck) demande au nom de la boutique Pivoine l’autorisation de poser une enseigne, deux lanternes et un store – Dessin du store, du rez-de-chaussée – Le demandeur a quitté le magasin, juillet 1977
  • 1985 – Le magasin Gemini informatique est autorisé à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1985 (mai) – Des tuiles du 96, Grand rue (propriétaire, Mohamed Chaou) tombent dans la cour du 8, Petite rue des Dentelles – La Police du Bâtiment constate que la maçonnerie est endommagée par la pluie qui s’infiltre. Il est nécessaire de réparer le mur de refend à la limite des propriétés.
    1985 (juillet) – Les travaux n’ont pas été faits mais d’autres briques sont tombées – Travaux terminés, janvier 1986
  • 1992 – La boutique Octobre est autorisée à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1993 – L’entreprise Amel (rue de Mutzig) demande l’autorisation de réparer la toiture et de peindre la façade – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 2977)

Grand’rue 96 (1997)

La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997 lorsqu’une banque fait aménager un guichet.

Sommaire
  • 1997 – L’A.O.C. Alsace (guichet de change), représenté par Alain Poinsignon, demande l’autorisation de modifier la façade (supprimer la grille à l’extérieur de la devanture, peindre le cadre métallique en bleu) sur la propriété de Mohamed Chaou – Photographies – Plan du rez-de-chaussée, dessin du rez-de-chaussée et de l’étage – Dessin du guichet, de la rue
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Le maire donne son accord (non opposition) aux travaux (juillet 1997) – Travaux terminés, octobre 1997

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au cordonnier Henri Vogt qui épouse en 1593 Marie Betz, originaire de Reutlingen

Mariage, Saint-Thomas (luth. reg. C f° 182 n° 539)
1593. Domin. I. Trinitatis. Heinrich Vogt der schuomacher, Vnd Maria Hans Betzen von Reitlingen nachgelaßene dochter, eingesegnet 24. Junÿ (i 196)

Georges Gudelsohn, de Bezau dans le Bregenzerwald postérieur, vend au forgeron Jacques Gesensohn ses droits provenant de Marie Betz d’après l’inventaire dressé l’année précédente par le notaire Jean Frédéric Guldin (acte cité dans le suivant)

1617 (5. Aprilis), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 170
(Inchoat. in Prot. fol: 171.) Erschien Geörg Gudelsohn vonn Betzenauw Inn hind. Bregentzer Waldt Als ein geordneter gewalthaber seiner Khind. vögt vermög desselben gewalts vnder des Landtammans Zu Andelßpurg Insigell de dato 1.ten Aprilis 1617. hatt Inn gewalthabers Als obstet (verkaufft)
Jacob Gesensohn dem schmÿdt burgern Zu Straßburg
die Verfangenschaft So Maria Betzin desselben nachgelaßene witwe Inn crafft vffgerichten codicilli ad dies vitæ Zunutz. vnd zunÿßen, Alles vermög Inventarÿ durch Notarium Johann Friderich Guldin in Anno 1616. vffgericht – für vnd vmb 1300 guldin

Les héritiers du cordonnier Henri Vogt et les ayants droit de sa femme Marie Betz vendent 650 livres la maison face à la Cloche au tailleur Tobie Roth et à sa femme Catherine Kleindienst

1625 (5. febr.), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 8
(P. fol. 35.) Erschienen in namen weÿ: Heinrich Vogten deß schuhmachers see. Alhie Erben Jacob Gößessohn d. hufschmidt alhie vnd Anna Nägelin sein eheliche haußfrawn Alß welche besagte Erben (weil sein vogten nachgelaßene wittib alles ad dies vitæ Zunüeß. gehabt vermög deß getroffenen und beÿ H Hilario Meÿern dem Contract Not° den 5. Aprilis A° 617. vschriebenen Außkauffs) außgekaufft, So dann Maria Betzin anfangs gemelten Heinrich Vogten nachgelaßener wittib anietzo auch seeliger Erben mit namen Maria Kehrerin mit beÿstand ihres hauß würths Bastian hueters schuhmachers alhie vnd Scolastica Betzin mit beÿstand hannsen Jacoben von Mutzig ihres Eheuogts
bekannten in gegensein Tobiä Rohten deß schneiders Alhie (…) vnd Catharina Kleindienstin seiner ehefr.
Eine behausung, sampt deren hoffstat, höflin & alhie in d. Obern Straß geg. der Glocken hinüber, neben hannß Müllers deß schloßers se. Erb. etwan, an ietzo Aber Sebastian Kuglen dem Kupferschmid. 1. vnd . ist hannß waltz. weißbecken, hind. vff hannß Babel den haußbeck stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß 4 fl. St. w. St. Margrethen Closter alhie, in haupg. mit 100. fl. w. ablös. Item j. lb d geltz dem Allmosen S. Marx welches i. lb d geltz der keüffer also und dergestalt, es seÿ gleich Boden, Erblehens, Erschätzig vnd fürbietigs Zinß, oder wie solch 1 lb d Zinß sich Künfftig in brieff befind. würth vnd sich genommen, Vnd were d. Khauff vber solche beschwd. so die Kheuffer über sich genommen, geschehen p. 550 Pfund

Originaire de Grossfahner en Thuringe, Tobie Roth épouse en 1618 Catherine Kleindienst, fille de tailleur
Mariage, cathédrale (luth. p. 65)
1618. Thobias Roth der Schneider von großen Fahnerrn in Thüringen vnd. J. Cätherina, Hans Kleindienst e. dochter Tochter (i 37)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 145) 1618. 2. Februarÿ Im Münster. Tobias Rot d. Schneid. von großen faren in Düring. J. Katharina, Hans Kleindienst Tochter (i 149)

Tobie Roth devient bourgeois un mois après son mariage
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104)
Tobias Roht d schneider Von Großenfaner Im Landt Zu düringen Empfangt d. Burg. recht von Catharina hanß Cleindienst deß schneids. Alhier dochter Vnd will Zu der Schneider Zünfftig sein, den 10. Martÿ Ao 1618.

Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Barbe Kleindienst veuve de Laurent Dorsch

1626 (ut spâ. [xvij. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 291
Erschienen Thobias Roth d. schneÿd. burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Büchners schneÿd. burgers Zu Straßburg alß Vogt Barbaræ Clein dienstin weÿland Lorentz dorsch s. witwen – schuldig seÿen 50 pfundt
vnderpfand, hauß hoffstatt vnd. höfflin mit Allen Ihr. geb. & geg. Inn d. St. St. Ane d. Ober straß. geg. d. glock einseit n. hanß Waltz. dem weÿßb. and.seit n. Bastian N. d. Kupfferschmÿd, hind. vff N. N. stoßend, welche behaußung zuuor noch verhafftet Ist vmb 300. lb Jacob Gösensohn, Mehr i. lb d gelts Zu Sant Marx vnd 2 lb geld Zu Sant* *el

Tobie Roth loue une cave au brasseur Jean Régnard Kress

1629 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 269
Erschienen hanß Reinhard Kreß der Biersieder burger Zu St.
hatt in gegensein Tobiæ Rothen deß Schneiders auch burgers Alhie bekannt,
daß er von demselben sechß Jarlang, die von Jüngst v.schinen Mariæ V.kündigungs tag an, nechst nach einander folgend, entlehnet vnd bestandt (…) Einen Keller vndt sein deß verleÿhers Behausung alhie an der obern Straß neben Bastian Kugler Kupferschmidts & neben hanß Waltzen Weißbecken gelegen für vnd vmb 4. lb d Järlichs Zinses

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant que son père a été péager à la Grünwarth
1632, Protocole des Quinze (2 R 58)
Tobias Roth. 3.
(f° 3-v) Sambst. 14.t Januarÿ – Tobias Roth burg. Vndt Schneider allhier Erschinen, pitt per M. Eggen vmb den Schirmgerichts botten dienst, seÿ sein Vatter lang Zoller vff der grünen warhd gewesen, so Soll sich geschrieben geben

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant qu’il est fils de Charles Roth, ancien péager au service de la ville, qu’il sait lire et écrire et parler français.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un le nomment commissaire priseur après que les Quinze ont constaté que le juge ne pouvait pas faire exécuter les sentences parce que le poste de commissaire priseur est vacant

1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
Tobias Roth vmb Schirmgerichts botten dienst. 10. wird ganthkäuffler. 331.
(f° 10) Mont. den 28. Januarÿ – Tobias Roth der Schneider supplicirt p. M. Eggen vmb Schirmgerichts botten dienst, bitt weilen sein vatter Carl Roth Soldner vnnd Zoller hier gewesen auch der Zeit des handwerck übersetzt, er schreibens vnnd lesens wie nicht weniger der frantzösischen sprach erfahren, ihme vor andern Zu diesem dienst zu befürdern.
Erkanndt, soll sich geschrieben geben.

(p. 331-v) Sambstag den 4. Januarÿ 1634 – Ganthkäufflers stell Zu ersetzen
Herr Stedel proponirt, die herren deputirte In der Contributions Cass hatten gestrigs tags der Stattrichter beschicken lassen, vnd Ihne befragt, warumb Er bißhero wider die Schatzungs seümige mit der Execution nicht, wie Ihme anbefohlen, verfahren ? der hatte under anderen damit sich entschuldigt, das ane des verstorbenen Ganthkäufflers stell noch kein anderer verordnet worden, dahero verabschiedet daß bißnechst künfftig Montag das geschäfft für herrn Rhät vnd XXI Zur wahl gebracht vnd daselbst einer geordnet werden solle, dieweilen nun der Außschutz in dieser stub pfleg gemacht Zu werden, Alß solle er obnicht für dießmal selbig vorzunehmen.
Erkandt, herr Stedel wird herr Schoner geordnet, die sollen ein Aufschutz machen, mögen der Schneider Rhatherren Zu sich Ziehen.
[in margine :] Ersetzt. Mont. den 6. hujus ist beÿ herren rhät und XIII thobias Roth der schneider zu einem ganthkeuffler erkosen worden.

Nomination par les Conseillers et les Vingt-et-Un
1633, Conseillers et XXI (1 R 115)
Ganth Käuffler stell, Heinrich Schmidt und Tobias Roth. 272. Hanß Schleiffenheimer. 274. Tobias Roth erwählt. 297.
(f° 272) Montags d. 25.t Novembris – Heinrich Schmidt und Tobias Roth p.th. melden sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. sollen sich geschrieben geben. H: von Fridoltzh. v. Bätz

(f° 274) Sambstags d. 30.t Novembris – Hanß Schleiffenheimer meldet sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. soll sich geschrieben geben, sollen auch Ober: vnd Rhath: auff d. Zünfft noch ein mahl deßweg. umbkunden laßen. H Grünwaldt Vnd Werner.

(f° 297) Montags d. 6. Januarÿ – Zu einem Ganth Käuffler ist nach gewohnlich. vmbfrag p. majora erwählt worden Tobias Roth

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock, assesseur au Grand Sénat

1651 (12. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 314-v
Erschienen Tobias Roth der Ganth Käuffler alhie
hatt in gegensein H. Daniel Steinbocken E.E. großen Raths Beÿsitzers alhie – schuldig seÿen 17. lib
Underpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie ahne der obern Straßen gegen d. Glocken hienüber, einseit neben H. Bastian Kugler E.E Kleinen Rhats alten Beÿsitzern, and. seit neben hannß Waltz. deß Weißbecken Erben, hinden vff (-) stoßend geleg., so zuuor verhafftet vmb 100. fl. dem mehren Hospithal, Mehr 4. fl. Wehr. lößig mit 100. fl. besagte Wehr. dem Stifft St Margareth. alhie, Item 2 fl. dem Stifft St. Marx ablößig mit (-) Vnd dann Vmb 100. fl. Kauffschillingß Rest weÿl. Jacob Geßesohns seel. Kind. Und Erben

Tobie Roth et ses quatre enfants passent une convention au sujet de l’héritage de leur femme et mère respective

1651 (22. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 644
Erschienen H Tobias Roth der älter Ganthkäuffler an einem,
So dann Tobias Roth d. Schneid. Ferners Catharina Rothin mit beÿstand hannß Jacob Erlen deß Schneiders ihres Ehevogts, Weiters Anna Maria Rothin mit beÿstand Michael Schiffers deß Streelmachers ihres Ehevogts, Mehr H M. Joh: Carl Roth SS Theol. Stud. mit beÿstand hannß Martin Sarburgers deß Schneiders seines Curatoris am andern, Und beede theil mit beÿstand H Johann Christmann Merckhlin und H M. Josephi Scherbaums beed. alß vß EE. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
haben bekannt, waß maß. Sie sich über dem Mütterlich. Guth mit einand. berechnet, und Sie die Kind. sich umb den Rest der gestalt außkauffen laß. daß nemlich. deß sohns Tobiæ (…) Annæ Mariæ 25. lib. aber in den Gemachen der Vätterlich. alhier in der Oberstraß. gelegenen Behaußung biß daß hauß verkaufft wird, welch. fallß der dannzumahlig hinderstand der dochter alßbald; vom Angelt erlegt werd. woll:/
[in margine :] Erschienen Michael Schiffer der Streelmacher alß Ehevogt Annæ Mariæ Rothin hatt in gegensein Tobiæ Rothen seines Schwähers bekannt, demnach Sie die beÿde Eheleuth bißhero die Gemach der hieringedachter behaußung genutzt Undt alß ihres gehabten Außstand der 25. lb ahne der Mütterlichen Verlaßenschafft, wegen berührter Nutzung Verseßen deßwegen keine Ansprach mehr diß orts ihres Mütterlich. guths haben hette (…) Actum d. 21. Aprilis Anno 1655.

Tobie Roth se remarie en 1651 avec Ursule Rupp, veuve de Luc Jelinger, employé à l’accise
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97)
1651. Dnca 26. Trinit. 23. Nou: Tobias Roth der Gandtmeister alhier fr. Ursula Lucæ Jelingers Ungelters hinderlaßene Widtweh, Mont. 1 Decemb. (i 98)

Fils d’interprète à la porte de Cronenbourg, l’imprimeur Luc Jelinger épouse en 1617 Ursule Rupp, fille du fournier Joël Rupp
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 16 f° 115)
1617. den 21. Julÿ seind ehelich eingesegnet worden Lucas Jelinger der Buchtruckher, Lucæ Jelingers des burgers und dolmetschen am Cronenburger thor alhie Sohn, Vnd Jungfraw Ursula Ruobin, Jöel Ruob des haußbeckhen Vnd burgers alhie tochter (i 123)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 143) 1617. 21. Julÿ, n° 35, Zu S Claus. Lucas Jelinger der Buchtruckher, J. Ursula, Jöel Rub des hausbeck. Tochter (i 148)
Fils Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56) 1641 Mariage, cathédrale (luth. f° 509) 1647

Ursule Rupp fait dresser l’inventaire de ses apports. L’actif s’élève à 502 livres, le passif à 114 livres
1651 (9. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 22) n° 13 (1091)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung so die viel Ehren vnd Tugendsame fraw Ursula Ruppin Zu dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Tobia Rothen geschwornen Ganthhauß Käufflers Ihrem Jetzigen haußwürth in den Ehestand gebracht, welche der Ursachen weilen in Ihrer beeder auffgerichteten Eheberedung versehen, daß einem Jeden Ehegenächdt oder seinen Erben ein Unverändert undt vorbehaltenen gutt sein solle, vndt man sich vff alle begebende fall der erg. halben besto beßer werdt Zu reguliren weißen – Actum vnd angefangen Im fernerer gegenwertigkeit Tobiæ Rothen deß Ehevogts selbsten Ludwig Lungen des Schwartzbeckens, als ehevogts Jungfr. Annæ Mariæ Jelin vndt Johannis oswaldt Farrenschon als Ehevogts Ursulæ Jelin beed. d. fr. in erster ehe erzeugter döchtere, den 9.ten Decembris Anni 1651.
Uff der Öbersten Bühnen, Uff der Andern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, vor der Cammer C, In der Wohnstub, Inn der Kuchen
Schulden aus der Nahrung, Item vermög Inventarÿ vber wÿland Lux Jelein der fr. ersten hauswürths seeligen Verlaßenschafft vffgerichtet (…)
Abzug Inn dißes Inventarium, Sa. des haußraths 426, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. frucht Vnd Meels 6, Sa. vyhes 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener ring 21, Sa. d. baarschafft 26, Sa. Schuld. 7, Summa summarum 502 lb – Schulden 114 lb (Nach deren Abzug) 388 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 491 lb

Tobie Roth sollicite auprès des Quinze l’autorisation de vendre des meubles hors des exécutions forcées parce que le revenu de ses fonctions est très faible. Les Quinze refusent après avoir consulté le greffier parce que la requête contrevient au règlement des commissaires priseurs.
Tobie Roth sollicite en novembre le poste de sergent des Quinze.

1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
Tobias Roth [umb Fünff Zehen Knecht dienst]. 254. vid: plura Ganthkäuffler. Ganthkäuffler. 200. 211.
(f° 200) Sambst. den 28. Aug. – Tobias Roth d. Ganth Käuffler, pd. Supplication auch andern Leuth, mobilien feÿl haben vnd verkauffen möge.
Erkandt, H. Kipß vnd H. Pfitzer sollen die Sach bedencken.

(f° 211) Mittw. den 10.t 7.bris – H. Kipß vnd H. Pfitzer laßen per H. Frantzen, referiren, Sie hetten vff MH. Erkandtnuß supra fol: 200 zwar Von deß Ganth Käufflers Tobiæ Roth. petito gered, auch darüber H. Riehlen den Stattgerichts Actuarium Vernehmen, Wiewohlen nun nicht ahn daß deßen Verdienst anietzo sehr gering in dem Wenig executions sachen ane der Ganth verkaufft werd. so seÿe Er aber ane dem, daß d. Eine begehren Clar Wid. die Ganthordnung lauffe, vnd für daß and. Ihme Eine addition Zuschöpffen, wegen d. bößen consequetz gar nicht thunlich. V.meinen dahero Deputirte Herren daß Supplicanten beede begehren abzuleinen seÿen.
Erkandt, Würdt gefolgt, kann hingegen Zu d. ietz vaciren. Portnerstell im Spittal recommendirt werd.
[in margine :] Mont. d. 13. dito Ihme bescheid angezeigt

(f° 254-v) Sambst. den 6. 9.bris – Tobias Roth der Ganth Käuffler p. E. übergibt Supplication bitt gleiches gestalt vmb den vacirenden Fünff Zehen Knecht dienst. Erkandt, Zu bedacht gezogen.

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison sise en face de la brasserie à la Cloche au profit de Jean Léonard Frœreisen, assesseur au Petit Sénat

1659 (23. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 628-v
Erschienen H Tobias Roth d. Ganth Käuffler
in gegensein H Johann Leonhard Fröreisens EE Kleinen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 25 Pfund
Unterpfand sein solle hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen, alhie ahne der Obern Straßen, geg. dem Bierhauß Zur Glockh. hienüber, einseit neben Ulrich Greiners dem weißbeckh, anderseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmid. hind. vff Andres Stigler den weißbeckh. stoßend gelegen davon gehend iahrs 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. berührter Wehr. dem Closter St. Margareth. und Agneß., Item j. lb. dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx, So seÿe solche Behaußung auch noch umb 50 lib. dem mehrern Hospital, Und umb 50. lib. H Hannß Peter Schmid. E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers, verhafftet

Anne Marie Roth femme du peignier Michel Schiffer vend son quart de maison à son frère Tobie Roth (le fils), commissaire priseur

1663 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 421-v
Erschienen Anna Maria, Michael Schüffers des Strählmachers Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Tobiæ Rothen deß Ganth Käufflers ihres eheleiblich. Bruders
ihren Vierten theil deroselben für ohnvertheilt gebühren ahne Hauß höfflin hoffstatt und allen übrig. deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an der Obern Straßen gegen dem Bierhauß zur Klockhen hinden einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt anderseit neben Ulrich Greiners dem Meelmann hinden uff Andres Stiglern den Weißbeckhen stoßend geleg., von welcher gantzen Behaußung gehend iährlich uff Andreæ j. lb ewigß erschätzigß Zinnß dem gemeinen allmusen Zu St Marx, Item 4. fl. straßb. wehrung uff gedachten termin lößig mit 100. fl. besagter Wehrung dem Closter St. Margarethæ und Agneßen, so seÿe solche Behaußung auch noch umb 50. lb dem Mehrern Hospital, Item umb 50. lb d H. Johann Peter Schmidten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers So dann umb 17. lb der Statt Müntzen verhafftet (pro rato übernohmen) – umb 4 lb

Tobie Roth et Catherine Roth femme du tailleur Jacques Ehrlé vendent la maison au chapelier Simon Hollænder

1667 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 189-v
(Prot. fol. 10.) Erschienen Tobias Roth der Ganthmeÿster für sich selbsten, und Catharina Rothin hannß Jacob Ehrle des schneiders eheliche haußfraw, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Simon Holländer des Huotmachers mit beÿstand H Hannß Ludwig Griesbachß des Plaÿchers seines Vettern
hauß hoff hoffstatt bronnen, mit allen deren Gebäwen begriffen Zugehörten Rechten und Gerechtigkeiten alhie ahne der Obern straßen, gegen dem bierhauß Zur Klockhen hienüber, einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greinern dem Meelmann hinden uff Jacob Graffen den weißbeckhen stoßend gelegen, dauon gehen iahrs 4 fl. Straßburg. wehrung termino Andreä lößig mit 100. lb gemelter wehrung dem Closter St. Margarethen und Agneßen allhie 1 lb ewig. und bermög dißer Statt Constitution mit 25. lb ablößigs gelts Jährlich termino Andreæ dem großen gemeinen allmosen Zu St Marx 2 lb 10 ß Jahrs uff Annunciat. Mariæ wid.käuffig mit 50. lb dem Mehren Hospithal, 2 lb 10 ß Jährlichen vff Mariæ Verkündigung lößig mit 50. lb H Hannß Peter Schneidern E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzern und 17 ß termino Martini lößig mit 17. lb der Statt Straßburg und dann j. lb 5 ß Jahrs uff Adolphi H Johann Leonhard Fröreißen E. Ehr. Großen Rhats Verwanthens

Fils de chapelier, Simon Hollænder épouse en 1661 Anne Madeleine Rœderer, fille de tondeur de draps
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125-v, n° 6)
1661. Simon Holänder der hutmacher, hannß Michael Holänders burgers u. hutmachers nachgelaßener sohn, v. J. anna Magdalena H Christoph Röderers tuchscherers ehel. tochter, Copulirt d. 12. Martÿ (i 127)

Anne Madeleine Rœderer se remarie en 1671 avec le chapelier Jean Martin Wetzel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 150-v, n° 44)
1671. Hannß Martin Wetzel der ledige hutmacher Vnndt Anna Magdalena, Simon Holänders des hutmahers hinterl. W., Mont. 6. Nov. (i 152)

Jean Martin Wetzel et Anne Madeleine hypothèquent la maison au profit d’André Brackenhoffer le jeune

1672 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 474
Hannß Martin Wetzel der Huetmacher und Anna Magdalena sein Eheweib, und Zwar dieselbe mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig- Weÿsen herren Clauß Conrad Schachen und Herren Jonæ Andreßen Von Veßenheim beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter
in gegensein Herren Andreæ Brackhenhoffers deß Jüngern – schuldig seÿen 100. Pfund pfenning
Unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier ahn der Obern Straßen Gegen dem Bierhauß Zur Glockhen hinüber, einseit neben Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greiner dem Mehlmann, hinden uff Jacob Graffen den Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Birckels deß Kieffers alß ietzmahlig. besitzers deß hierinn Verpfändeten haußes (quittung) Act. den 14.ten Xbr. 1688

Héritier pour moitié de son père Simon Hollænder, le chapelier Georges Hollænder qui a l’intention de s’établir en Franconie cède ses droits successoraux à Jean Martin Wetzel et à sa femme, veuve dudit Simon Hollænder

1674 (20. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 672
Erschienen hannß Georg Holländer der Huetmacher, so sich Zu Wintzenheim in Franckhen burgerlich niderzulaßen gewillet
hatt in gegensein hannß Martin Wetzels deß huetmachers alß ietzig. Ehevogts Annæ Magdalenæ Rödererin, weÿl. Simon Holländers deß huetmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand andres Dierbachß auch huetmachers ihr Annæ Magdalenæ geweßenen Vogts
bekannt Wiewohlen Er Hannß Georg Holländer alß ex semisse Erb gemelten Simon Holländer seines eheleiblich. bruders Vermög des durch herrn Johann Jacob Stichen dem Notarium uffgerichteten Inventarÿ fol. 39. fac. 2. detractis detrahendis 104. lb 16. ß 1 1/8 d geerbt (Außkauff)

Jean Martin Wetzel et Madeleine Rœderer hypothèquent la maison au profit d’Ulric Greiner. En marge, quittance remise au tonnelier Jean Georges Birckel, propriétaire de la maison en 1689

1677 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 743-v
Martin Wetzel der Huetmacher und Magdalena Rödererin sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Lienhard Röderers deß Rothgerbers und hannß Christoph Dürbachs deß huetmachers, beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein H. Ulrich Greiners – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren gebäwen Rechten und Zugehördten alhier ahne der Obern Straß einseit neben H. Sebastian Kugler der Statt Kupfferschmidt, anderseit neben hannß Georg Müller dem Weißbeckh, hinden uff Jacob Graffen auch Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Bürckel deß Kieffers alß ietzig. possessoris deß zu unterpfand verlegten behaußung (quittung) d. 28. febr: 1689

Madeleine Rœderer veuve de Jean Martin Wetzel se remarie en 1680 avec le chapelier Daniel Schwebel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 17)
1680. Eodem [14. Martÿ] Daniel Schwäbel lediger hutmacher Thomas Schwäbels burgers v. gastgebers hinterl. ehl. Sohn, Fr. Magdalena hans Martin Wetzels hinderlaßen. W. (i 187)

Daniel Schwebel vend la maison au fondeur de pichets Jean Füssel assisté de son beau père fournier Léonard Maurer

1685 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 468-v
Daniel Schwebel der huetmacher
in gegensein Johann Füeßels deß Kandtengiessers mit beÿstand lienhard Maurers deß alten haußfeurers seines Schweher Vatters
eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen andern deren Gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der langen Straßen einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hinden uff lienhard Maurers deß jüngern Weißbeck hinderhauß stoßend gelegen, welche behaußung annoch dem Closter St: Margarethen und Agneßen umb 100 fl. Item (umb 50 fl, Item umb 200. fl, So dann umb 200 fl. verhafftet) – umb 300 fl.

Fils de fondeur en étain, Jean Füssel épouse en 1678 Apollonie Maurer, fille de boulanger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79, n° 465)
1678. Eodem [Dom. 16. et 17. Trin. den 15. v. 22. Sept] Johannes Füeßel d. ledige Zinngieser Hn Anthonÿ Füessels burgers v. Zinngiessers ehelich. Sohn, Jfr. Apollonia H Leonhardt Maurers burgers undt Schwartzbeck. allhier eheliche Tochter. Cop. St. Thomæ d. 26. sept. (i 41)

Jean Füssel hypothèque la maison au profit de son beau père Léonard Maurer

1686 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 105
Johann Füßel burger und Kantengießer
in gegensein Leonhard Maurer deß ältern, burgers und hauß feurers seines Schwehervatters – schuldig seÿe, 320 fl.
unterpfand,eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen andern deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier in der langen Straßen, einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbecken, hinden auff Lienhard Maurers deß jüngern, welche behaußung annoch dem Closter St. Margarethæ und Agneßen umb 100 fl (…) verhafftet

La maison revient ensuite au créancier Léonard Maurer. Fils du prévôt de Meissenheim en Bade, Léonard Maurer épouse en 1643 Agnès Brantzy, fille de secrétaire

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 284-v)
1643 Eadem [Domin. I. Trinit. 4. Jun:] Leonhard Maurer Beck, Paul Maurers, Schultheÿß. Zu Meißenheimb Ehelicher Sohn, Jungfr. Agnes, Johann Oßwald Brantzÿ, Musterschreibers vnndt Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet Montag d. 12. Jun: St. Thoman (i 291)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 466) 1643. Domin. I. Trinitatis. Leonhard Maurer der Beck, Paulus Maurers deß Schultheißen von Meißenheim ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Agneß, Hanß Oßwald Brantzÿ, deß Musterschreibers Vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet zu St. Thomâ Mont. 12. Junÿ (i 238)

Léonard Maurer devient bourgeois quelques jours après son mariage
1643, 4° Livre de bourgeoisie p. 216
Lienhard Maurer Von Maißenheim der Beckh empfahet daß Burgerrecht Von seiner Haußfrawen Agnes Hannß Oßwalds Brantzÿ deß Musterschreibers alhie Tochter vmb 8 Goldt fl. ist ledigen stands geweßen und Würd Zu den Beckhen dienen. Jur. den 17.ten Junÿ 1643.

Léonard Maurer, assisté de son fils Léonard Maurer le jeune, vend la maison au tonnelier Georges Birckel.

1688 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 242
Lienhard Maurer der ältere, haußfeurer mit beÿstand Lienhard Maurer deß jüngern seines leiblichen Sohns
in gegensein hans Georg Birckel deß Kieffers
Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeiten allhier in der langen straßen, anderseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken hind. auff obged. lienhard Maurers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 100 fl. (Ferner umb 50 fl, Mehr umb 200 fl, So dann umb 200 fl. Capital verhafftet), geschehen um 150 Gulden

Fils de blanchisseur, Jean Georges Birckel épouse en 1687 Anne Madeleine Lentz, fille de revendeur
Mariage, Saint-Guillaume (luth. 179, n° 18)
1687. Dom. XIII. et XIV. Tr. Hannß Georg Bürckel der ledige Kieffer, Hn Caspar Bürckels des Bleichers vndt Burgers alhier ehelicher Sohn, vndt J. Anna Magdalena, Wld. Hrn Ludwig Lentzen, deß krempen vnndt B. alhier, nachgelaßene eheliche Tochter. W. d. 3. Sept. (i 110)

Marthe Meyer veuve du garçon batelier Jacques Hassler conclut un contrat alimentaire avec le blanchisseur Jean Georges Birckel. En marge, annulation du contrat après que Jean Georges Birckel a quitté sa femme Anne Madeleine Lentz
1694 (31.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 493
Martha gebohrne Meÿerin weil. Jacob Haßlers gewesenen Schiffknecht sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn David Andres deß Schiffmanns E:E: kleinen Raths alt. beÿsitzers Ihres Vogts, wie auch Philipß Haßlern des Tabacbereiters, Ihres leiblichen Sohns, an einem
So dann hans Georg Birckel, dem bleicher, am andern theil,
haben angezeigt und bekandt, daß Sie folgendes Leibgeding aufrichtig und wolbedächtich mit einander abgeredt und beschloß. haben, Nemblich und für das Ersten So verspricht Er Birckel Sie Haßlerische wittib die noch übrige Zeit Ihres lebens beÿ sich zu behalten (…)
[in margine :] Erschienen hier inn gemelte Haßlerische Wittib, beÿständlich hierinn bemelten Hn Andres ihres Curatoris an einem, So dann Anna Magdalena gebohrne Lentzin hierinn ged. hans Georg Birckels Verlaßene haußfrau, mit beÿstand Johann Bernhard Brand des Weißgerbers, ihres geschwornen Vogts am andern theil, haben angezeigt und bekandt, demnach ged. hans Georg Birckel ausgetretten und Sie Annam Magdalenam seine bemelte haußfrau Verlaßen, auch deßen Nahrung zur Falliment gekommen, alßo das Sie Birckelische frau ihre Haußhaltung selbst quittiren, und sich anderwertlichen in diensten geben müßen und deßweg Ihro das hierinn Verschriebene leibgeding und vergleich wozu sie ohne dem nit Verbinden war, auszuhalten unmöglich gefallen, alß hatten Sie beede theil (ged. Leibgeding cassirt), den 15. Januarÿ 1697

Jean Georges Birckel et Anne Madeleine Lentz vendent la maison au cloutier Jean Versch, assesseur au Grand Sénat, et à sa femme Anne Marie Rœmer

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 348-v
hans Georg Birckel der Kieffer und Anna Magdalena gebohrne Lentzin [unterzeichnet] hanß Goerg bürckel, Anna Magdalena bürcklin
in gegensein Hn. Johannes Verschen, deß Nagelschmids, und E.E. Großen Raths beÿsitzers, und Annæ Mariæ gebohrner Römerin
Eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit. allhier an der lang. Straß einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hind. auff lienhard Mauers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg. welche behaußung umb 100 gulden (Item umb 100 gulden Capital, Ferner umb 50 gulden Capital, Mehr umb 200 gulden, So dann umb 150 gulden Capital verhafftet) – geschehen umb 595 gulden

Jean Versch et Anne Marie Rœmer hypothèquent la maison au profit du marchand Frédéric Spielmann pour régler le prix d’achat et les réparations

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 350
Hn. Johannes Versch, d. Nagelschmidt, und E.E. Großen Raths beÿsitzer, und Anna Maria gebohrne Römerin
Hn Friderich Spielmanns, deß handelßmanns und ged. Ers. Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 350 pfund, Ihnen Zu Erkauffung und reparation hernach bemeldter behausung
unterpfand, Eine behaußung perge uß immediate vorstehend. Verschreibung

Jean Versch et Anne Marie Rœmer se lèguent mutuellement la propriété de leurs biens
1692 (13.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Herr Johann Versch E.E. Großen Raths alter beÿsitzer und Fraw Anna Maria Römerin
persönlich erschienen und kommen seindt der Ehrenvest fürsichtig vndt Weiße, Herr Johann Versch E. E. Großen Raths alter beÿsitzer, undt beneben Ihme die viel Ehren: undt tugendreiche fraw Anna Maria Römerin, beede Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg durch die Gnadt Gottes des Allerhöchsten gesundt, gehendt undt stehender leiber, richtiger sinnen, guten verstandts vndt vernehmlichen Reden (…)
Über dieses vndt drittens weilen die Einsatzung der Erben eines Jeden im Rechten Gültigen Testaments undt Grundveste ist (…) als wolten beede ernants Testirendte Ehegemächt Ihre nach Gottes willen künfftig erziehlendte Kinder hiemit Zu Ihren rechtsmäßigen Erben benannt und eingesetzt, vnd solchen falls das erststerbende dem letslebendten den usumfructum omnium bonorum Zeit lebens Zugenießen verordnet undt verschafft haben, wann aber der Herr Testator vor seiner lieben ehelichen haußfrauwen ohne kinder versterben würde, so will derselbe gedachte seine liebe eheliche haußfrau über abzug gemelten Legats Zu seiner ohnzweiffelichen Erbin hiemit instituiren undt einsetzen, dagegen aber will die fraw Testireren im fall dieselbe Vor angeregten Ihren Lieben Eheherrn ohne hinterlaßung ehelicher Leibs Erben mit todt abgehen würde, daß derselbe Ihr, Ihrer gantzen Verlaßenschafft nichts davon als das gesetzte Legat außgenommen, beliebiger und angenohmer Erb seÿn und Ihme hiemit Zum Eÿgenthumb vermacht seÿn solle.
So beschehen in Straßburg, Sonntags den 13. Aprilis Anno 1693 [unterzeichnet] bekenne ich Johannes Versch Wie oben steht, ana maria römerin
Ist vorgangen nachmittag Zwischen ein undt Zweÿ Uhren in beeder Testirendter Eheleuth eÿgenthümblichen wohnbehaußung in der Mitlern Straßen Zwischen dem Bierhauß Zum Bähren und den Steinern brückel in der vordern Stuben ein gaden hoch, an gedachte Straß außsehendt.
(Protholollum secundum,1 AH 6295)

Jean Versch hypothèque la maison ainsi qu’une autre au profit le la fondation Nicolas Adolphe. Selon la mention marginale, le docteur en médecine Jean Charles Hammerer a acquis l’obligation au profit de la fondation dans la masse du débiteur relégué

1693 (5.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 13
H. Johann Versch der Nagelschmid, und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer
H. Philipß Küblers, und H. Michael Fausten beeder ged. Ers. Raths respect. würcklich und alt. beÿsitzer, alß Testamentariorum der Nicolai Adolphischen Stifftung, mit beÿstand Johannis Kitschen Not. Publ. ged. Stifftung Schaffners, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hind.hauß und den hoffstätten mit allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier in d. Obern Straß. einseit neben weil. H. Sebastian Kuglers, gewesenen Statt Kupfferschmidts sel. Erben, anderseit neben (-) dem weißbeck. hind. auff Lienhard Maurer den weißbeck. stoßend gelegen
So dann eine behaußung, höfflein und dero hoffstätten auch allen übrige deren gebaüen, Recht. und Zugehörd. einseit neb. hans Martin Weißmantel dem Schloßer, anderseit Sebastian Fischer dem würth zum Rebstock, hind. auff Ludwig Kuchel dem Küffer, stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein H. Johann Carl Hammerers, Med. Doctoris, angezeigt und bekandt, demnach der hierin gemeldt. debitor relegirt word. und deßen Nahrung Zum falliment gekomm., alß hätten die HH. Testamentarÿ Ihme H. d. Hammerer all der Nicoli [sic] Adolphischen Stifftung auß vorstehender Verschreibung bißher gehabte jura absq. novatione cediert – umb 25 pfund, den 20. 7.bris 1695

Jean Versch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer. En marge, cautionnement d’Anne Marie Rœmer, femme du débiteur

1693 (24. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 641-v
H. Johannes Versch, der Nagelschmid und E.E. großen Raths alter beÿsitzer
H. Johann Carl Hammerers, Med. Doct. – schuldig seÿe 250 pfund, Ihme Zu erkauffung einer Parteÿ Eisens
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Rexcht. Und Zugehördt, allhier an der langen Straß, einseit neb. Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbeck., hind. auff lienhard Maurers deß jüngern weißbeck. hind. hauß
[in margine :] (…) deßen Zu mehreren Versicherung ist hierbeÿ persönlich Erschienen Fr. Anna Maria gebohrne Römerin, deß H. Debitoris Eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Georg Bembergs und H. Friderich Wilhelm Schmucken bed. E.E. Großen Raths beÿsitzer und an statt nächster Verwanthe hierzu insond.heit deputirter – den 12. 8.bris 1693

Les Quinze refusent d’autoriser le manant André Roland, ancien soldat, à ouvrir une nouvelle auberge dans la maison qui appartenait à Jean Versch et que lui a louée Jean Charles Hammerer pour ne pas multiplier le nombre d’auberges. Le pétitionnaire pourra cependant reprendre une ancienne auberge.

1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
André Roland pt° Weinschancks
(f° 381-v) Sambstags den 5. Decembr. 1699. André Roland pt° Weinschancks
André Roland der Schirmer per G. bittet unterth. ihme den Weinschanck in der straß Zu treiben gn. Zu erlauben. Erk. ut supra [an die Obere Ungeltssh. Gewießen]

(f° 407) Freitags den 18. Decembr. 1699. André Rouland pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltssh.] laßen per Herrn Friden Proponiren daß André Rouland der Schirmer vmb den weinschanck in einem hauß in der straß, so vorhin Johann Verschen den Nagelschmidt zugehört, angehalten undt alß man selbigen Weiters angehört, beditten daß er vormahls ein Soldat geweßen, vor 2. jahren aber congedirt worden, und anietzo im Schirm seÿe, wie deßen vorgewießener Schirm Zedul bezeügte, mit dem beÿsatz, daß H. Dr. Hammerer ihme gedachtes hauß verlehnet, vnd Er denenselben monath. 5. Rthlr Zinß daraus geben müßte, Er habe auch Zu New Breisach ein hauß gebawen, undt sich alda zu ernehren Vermeint aber nicht zu recht gekommen können.
Wobeÿ man sich errinnert, daß es jüngstens die meinung gehabt, daß man kein new würthshauß mehr auffrichten solle, vndt weilen dießes ein newes abgebe, und die gantze straß mit würthhäußern angefüllt, auch die Generalität öffters geklagt daß man iedermann den weinschanck willfahre, So hette man auf seithen der Herren Deputirten dafür Gehalten, daß Implorant mit seinem Begehren abgewießen, wan er aber ein Altes Würthshauß finden würde, alß dann willfahrt werden könte. Erk. Bedacht gefolg.

La maison revient ensuite au créancier Jean Charles Hammerer. La veuve la vend en 1707 au musicien Jean Kræutler et à sa femme Marie Salomé Ebinger

1703 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 489-v
(500) Hr. Joh: Greuhm apothecker alß Curator weÿl. p. Hn. Joh: Carl Hammerers geweßenen Medicinæ Dris u. practici Frn. wittib
hatt in gegensein Joh: Kräuttlers Musicanten u. Mariæ Salome geb. Ebingerin
eine behaußung, Hoff, Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit. allhier in der langen straßen einseit neben Joh: Sebastian Kuglern Statt kupferschmidten anderseit neben Joh: Erhard Metzen weißbecken hinten auf Lienhard Maurers jun: weißbeckers behaußung stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig u. eÿgen, maßen die Fr. verkäufern in specie promittiret sich mit dem Pfthrn wegen ahn solches hauß forderender Zinß abzufinden – um 500 pfund

Fils d’un censier de Duntzenheim, le musicien Jean Kræutler devient bourgeois en 1695 à condition de n’épouser qu’une fille de bourgeois
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1156
Johannes Kreütler, der ledige Spielmann Von Duntzenheim, Weill: Joh: Diebold Kreütlers Gew: Meÿers daselbst hinterl. Ehl: sohn, erkaufft das Burgerrecht p. 2. gold fl. Vnd 16 ß. so bereits Auf dem Pfenningth: erlegt worden, doch mit dieser Condition daß wann Er künfftig sich Verheurathen solte, eine burgers tochter nehmen solle, vnd Wird Zu E E Zunfft der Möhrin dienen, Jur. d. 27. April 1695.

Jean Kræutler épouse en 1698 Marie Salomé Ebinger, fille d’apprêteur de tabac : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachteen Herrn Johann Kreütler dem Musicanten und burgern allhern Weÿl. Dieboldt Kreütlers gewesenen Meÿers Zu Duntzenheim mit Margaretha Sentzin seiner hinderlaßenen wittib Ehelich erziehlten Sohn, alß bräutigamb, So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauwen Maria Salome, deß Gegenwärtigen und Wohlvorgeachten herrn Hannß Michael Ebingers Tabackbereiters vnndt Tugendbegabten frawen Sophia Veronica Moscheroschin seiner Ehelichen Haußfraw ehelich erziehlten Tochter alß Hochzeiterin andern Theils – Zue Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 88,n° 454)
1698. Mittw. d. 6. Aug. wurd. nach 2.mahl. außruffung copulirt Johannes Kräutler d. B. v. Musicant allhiern Weil. dieboldt Kräutlers, des geweß. B. v. Meiers Zu Duntz.heim Gräffl. Hanaw. hschafft nachgelaß. ehl. sohn, v. Jf. Maria Salome, Johann Michael Ebingers des B. v. tabackbereiters ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes kreitler als hochzeiter, Maria Salome Ebingerin als hochzeiterin (i 87)

Le musicien Jean Kræutler sollicite auprès du conseil des Tonneliers le droit de servir de l’eau de vie. Il devient cotisant à cet effet.
1705, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 391) Mittwochs den 23. Decembris Anno 1705 – Johannes Kräutler der Musicant erschien auf Vorgebott, wegen des brandenweins außschenckens, deme wurde beditten, weilen Er Brandenwein außschenckhet, daß Er sich allhier geld zünfftig machen muß, worzu er sich dann Verstanden, Versprach demnach die gebühr, dem H. altschaffner neml. 2 lb 1 ß 6 d und für Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d

Marie Salomé Ebinger meurt en 1725 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre au veuf s’élève à 17 livres, celle des héritiers à 552 livres. L’actif de la communauté s’élève à 786 livres, le passif à 718 livres.

1725 (11.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 92) n° 312
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿl. die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Kräutlerin geb. Ebingerin, des Ehren und Vorgeachtenn Herrn Johann Kräutlers, des Musicanten und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel., als dieselbe Sambstags den 16. Junÿ dießes Lauffenden 1725.sten Jahrs dießer Welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Johann Michael Kräutler, ledigen Kunst: und Silberdrähers, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, ingleichem des Ehren: und vorgeachten herrn Johann Georg Holderers Kiefers und Weinhändlers, auch burgers allhier Zu Straßburg hier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Johannis der Kräutler, alßo aller dreÿen der in Gott ruhenden Frauen seel. mit vorgedachtem Herrn hinderbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zugleichen portionen und antheilern Verlaßener Erben inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 11.ten Augustj Anno 1725.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Auf der Bühn, In der Cammer A, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Untern Stub, Im Keller, In der Soldaten Cammer
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, eins. neben herrn Johann Kugler dem ältern, Statt Kupfferschmid, anderseit neben Mr Johann Erhard Metzen dem weißbecken, hinden auf Hn Johann Daniel Berger den handelsmann stoßend, so freÿ Ledig eigen und dh. (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 2. Augusti 1725. angeschlagen 650. lb. Darüber sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff in allhießig. C Contract Stub gefertiget und mit deroselben anh. Ins. verwahret de dato 17.ten 9.bris 1703. Dabeÿ ferner 2. alte perg. Kauffbrieff auch in ermelter C Contract Stub auffgerichtet und mit dero anh. Ins. corroboriret de datis 13.ten 7.bris 1685. et 14.ten Aprilis 1691.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter Beder geweßener Eheleuth einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch hern Notarium Johann Jacob Grünwald nunmehr seel. in Anno 1698. auffgerichtet.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 3 ß, Sa. Musicalischer Instrumenten 1, Sa. Silber geschmeids 2, Sa. baarschafft 1, Sa. ergäntzung (88, abgangen 1,Rest) 87, Summa summarum 92 lb – Schulden 75, Nach solchem abzug 17 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 48, Sa. Silbegeschmeids 3, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (422, abgang 1, Rest) 420, Summa summarum 552 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 84, Sa. Musicalischen Instrumenti 1, Sa. grempen wahr 5, Sa. Lährer Vaß 6, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 18, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 650, Summa summarum 786 lb – Schulden 718, Nach solchem abzug 68 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 638 lb
Eheberedung (…) Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.
Abschatzung d. 2.t aug. aô 1725. Auff begehren des Ehren Vesten vnd vorachtbahren H. Johannes Kreÿdler Musicantt ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in den langen straß gelegen, einseits Neben hannß Geörg Metz Kremb, anderseits Neben Johannes Kugler statt Kupffeschmid, hinden auf H Berger gartenmann stosend, welche behaußung hindergebäwlein, Nebens gängel, Stuben, Cammern, Wovon eine mit thielen Unterschlagen, Soldaten Kammer, Zweÿ hauß Ehren, jede mit herd und waßerstein, Kremben gädlein, gewölbtes Kellerlein, höffel, bauchoffen, bronnen und trenckstein sambt allen gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Tausend und Dreÿ Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Kræutler hypothèque ses deux tiers de maison au profit de ses deux enfants mineurs

1727 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 302
Johannes Kräuttler der Musicus
in gegensein Johann Georg holder Kieffers sein Kräuttlers mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. Ewingerin erzeugte zweÿ Kinder Maria Salome und Johannes der Kräuttler geschwornen Vogts schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahn der obern straß, einseit neben Kugler dem Stattkupfferschmidt anderseit neben Erhard Metz den weißbecken hinten auff eben denselben – die übrige tertz aber deßelben sambtlichen dreÿ Kindern

Jean Kræutler loue la moitié de la cave au passementier Jean Philippe Kips

1729 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 380
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein Johann Philipp Kipß des Paßmentirers
in seiner in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem Weißbeck anderseit neben Gottfried Kugler dem kupfferschmidt gelegenen behausung, die helffte eines Kellers sambt darinn befindlichen 4 Faßen, darunter dreÿ jedes 40 Ohmen, das vierdte 30 Ohmen hält – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 9 gulden

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit du Corps des pensions

1730 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 33-v
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein des Corporis Pensionum H. Mitpfleger S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger, alten Ammeÿsters, Dreÿzehners und Scholarchæ – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einem Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten an der Obern straß, einseit neben weÿl. Johannes Kugler Statt kupfferschmidts wittib und Erben anderseit neben hannß Erhard Metz dem weißbecken hinten auff eben denselben – ihme zu zwo tertzen, seinen Kindern aber zu einem tertz eigenthümlich zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de Jean Ernest Beck, receveur de l’Université

1732 (12.2), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 65
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein H. Johann Ernst Beck als Schaffners der hohen Schuel – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehen in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Gottfried Kugler dem Kupfferschmidt hinten auff Johannes Groß auch Weißbecken – die übige tertz aber seinen kindern zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de la fondation Mauricienne

1733 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 365-v
Johannes Kräuttler Musicus
ST. H. Johann Michael Lorentz SS Theologiæ D. et Prof. Publ. auch Cap: Thomani Canonici als dermaligen rectoris Magnifici und S.T. H. Johannes Wieger JVD et Philosoph. Mor: Prof. publ: und Cap: Thom; Canonici als dermahligen Decani Facultatis Philosophiæ beeder als vorstehern der Mauritanischen Stifftung so dann in fernerer gegensein H. Philipp Jacob Oesinger des Schaffners ged. Stifftung – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, 2/3 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinder: hauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in der Obern: straß
es. Erhard Metz dem wittiben as. Gottfrid Kugler dem Kupfferschmidt hi. Johannes Groß auch weißbecken
ferner (die zum schwartzen Räppel genennten Gasthbehausung im dorff Schiltigheim)

Sa fille Marie Salomé Kræutler épouse en 1738 le musicien Jean Michel Braun : contrat de mariage, célébration
1738 (2.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 204
Eheberedung zwischen Herrn Johann Michael Braunen dem ledigen Spielmann, weÿl. herrn Johann Michael Braunen, gewesenen Spielmann und burgers allhier seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn, alß dem herrn hochzeitern, beÿständlich Hn Tobiæ Braunen des Musicanten und Hn Joh: Joachim Tornarius des Jüngern Kürßners beeder burgere allhie ane einem,
So dann Jungfr. Maria Salome Kräutlerin, Herrn Johann Kräutler Spielmann und burgers allhier eheleiblichn Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand ihres Vatters Herrn Joh: Georg Holders des ältern Weinhändlers Ihres Vogts und Hn Joh: Michael Kräutler Statt drehers Ihres bruders aller burgern allhier am andern theil
Actum Straßburg auff Mittwoch den 2. Aprilis Anno 1738 [unterzeichnet] Johann Michael Braun als hochzeiter, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 173)
1738. Mittw. den 4.ten Jun. seind nach ordentl außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Michael Braun Led. Musicus u. b. allhier weÿl. H. Johann Michael Braun, geweß Musici u. b. allhier nachgelaßener Ehl. Sohn, v. J. Maria Salome H. Johann Kräuttlers Musici u. b. allhier Ehl. T. [unterzeichnet] Johann Michael Braun, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1738 (13.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 25) n° 530
Inventarium über Herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und Frauen Mariæ Salome gebohrner Kräutlerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1738. – vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder Eheleuthe in deroselben gegenwarth fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehemanns geliebten Mutter und Joh: Joachim Tornarius des jüngen Kürßners dero Vogts und hn Frantz Heinrich Dautel Notarÿ des Ehemanns beÿstandts, ferner Hn Joh: Geörg Holderer, weinhändlers, der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, wie auch H Johann Kräutlers, Musicanten, deroselben Vatters und H. Joh: Michael Kräutlers, Stattdrehers, deroselben bruders, auff Freÿtag den 13. Junÿ A° 1738.

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du musicien Philippe Jahn

1740 (16.9.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 461-v
Johannes Kräuttler der jüngere Musicus so majorennis zu sein versicherte mit zuziehung seines vatters Johannes Kräuttler auch Musicus
in gegensein Philipp Jahn des Musici – schuldig seÿe 100 gulden
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende mütterlliche erbsportion so auff vorbemansten seines vatters behausung stehet, welche behausung alhier ahne der Langen straß einseit neben Hannß Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Johannes Kugler dem kupfferchmidt, hinten auff N. Berger handelsmann

Marie Salomé Kræutler meurt en 1741 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison de son père. La masse propre au veuf présente un déficit de 22 livres, celle des héritiers s’élève à 532 livres. L’actif de la communauté s’élève à 31 livres, le passif à 97 livres.

1741 (22.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 31) n° 631
Inventarium über Weÿl. Frauen Mariæ Salomeæ Braunin gebohrner Kräutlerin, herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1741. – nach ihrem den 11. Martÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren herrn Johann Michael Kräutler, Statt dreher und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Dorotheæ, der Verstorbenen seel. mit ihrem hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugten Töchterleins ab intestato nachgelaßener einiger Erbin, fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 22. Aprilis Anno 1741.
Copia der Eheberedung, perge in dem Prot. Extens. fol. 405.
Copia Codicilli, So die abgeleibte Frau seel. den 6. Martÿ A° 1741. Vor mir Notario auffgerichtet

Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft, wie sich solche in einer ane der Mittelen langen Straaß gelegenen, der Frau seel. Vatter gehörigen behaußung befunden.
Ergäntzung, des Wittibers abgegangen unveränderten Vermögens, Innhalt Concept Inventarÿ über beeder Eheleuthe zusammengebrachte Nahrungen durch mich Eingangs gemelten Notarium in A° 1738. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 13, Sa. Silbers 12, Sa. Ergäntzung 26, Summa summarum 52 lb – Schulden 75 lb, Compensando 22 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 358, Sa. Ergäntzung 27, Sa. Activ Schulden 75, Summa summarum 532 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 3, Sa. Activ Schulden 7, Summa summarum 31 lb – Schulden 97, In Compensatione 65 lb
Schluß Summ 444 lb

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du mineur Jean Daniel Kleinschrot

1741 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 411-v
Johannes Kräutller der jüngere Musicus, so 25 jahr alt zu seÿn declarirte, mit beÿstand seines vatters Johannes Kräutller auch musici
in gegensein H. Peter Hebeißen des barchet krämers als vogts Johann Daniel Kleinschrot des Paßmentirers Lehrjungen – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende Mütterliche erbs portion so auf seiner ermeldten vatters behausung stehet, welche alhier ane der langen straß einseit neben Johann Erhard Metz dem weißbecken anderseit neben Johann Kugler dem kupfferschmied hinten auff H. Berger dem handelsmann

Jean Kræutler hypothèque au nom de son père la maison au profit de Marie Madeleine Wehrbeckin, veuve du chirurgien Jean Henri Werckmeister

1742 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 40-v
Johann Michael Kräutler der stadt: drehers als mandatarius seines vatters Johannes Kräutler des Musicanten
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Wehrbeckin weÿl. H. Johann Heinrich Heinrich Werckmeisters des Chirurgi wittib mit beÿstand Johann Heinrich Heÿders des Kürßners – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langenstraß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben denen Kuglerischen erben, hinten auff Zwicker den weißbecken

Les enfants et héritiers de Jean Kræutler vendent la maison 1300 livres au cocher Jean Kipp et à sa femme Anne Marie Strohl

1742 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 n° 131-v (129-v non signé)
Johann Michael Kräutler der Stadt: dreher und deßen bruder Johannes Kräutler der Musicus [ajout du f° 131] Johann Michael Braun ebenmäßiger musicus
in gegensein Johannes Kipp des kutschers und Annæ Mariæ geb. Strohlin
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des becken erben, anderseit neben Johannes Kuglers des Stadt kiefers erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken – als ein elterliches erbguth – um 100 pfund (verhafftet)
[2è acte] 100 und 50 pfund verhafftet – ihnen Kräutlerischen brüder zu acht 9. theil als ein elterliches erb, ihme Braun aber zum übrigen 9. theil als ein von seinem in erster Ehe mit Fr. Maria Salome geb. Kräutlerin erzielt und nach der mutter tod verstorbenen kind Dorothea ererbtes guth – 1300 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit des enfants mineurs du marchand Paul Petsch

1742 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 132-v
Johannes Kipp der kutscher und Anna Maria geb. Strohlin mit beÿstand Friedrich Butz des schneiders ihres oncle und Conrad Dietrich des schuhmachers ihres schwagers
in gegensein H. Johann Müßel des handelsmanns als vogts weÿl. Paul Petsch des handelsmanns zweÿer kinder Paul und Margarethæ der Petsch in fernerm gegenwart Johannes Kräutlers Musici – schuldig seÿen 1350 pfund, benantlich H. Müßel 1000 pfund und H. Kräutler 350 pfund
unterpfand, einr am heutigen tag erkaufft und aus jetzigem vorschuß bezahlte behausung, bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langen straß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben den Kuglerischen erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken

Cocher au service des comtes de Linange, originaire de Pracht en juridiction de Marbourg, Jean Kipp épouse en 1737 Anne Marie Strohl, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1737 (25.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 41
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Johannes Kipp, lediger Kutscher, Weÿland Caspar Kipp gewesenen Ackersmanns und burgers zu Pracht Marpurger Amts mit Frauwen Anna Margaretha gebohrner Staffelin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Sohn, Mit beÿstand des Hoch Edel Gestreng, Fürsichtig und Hochweißen Herrn Johann Christoph Reichard, des gehemien beständigen Regiments der Herren dreÿehen hiesiger löbl. Statt Straßburg hochansehnlichen beÿsitzers, als Hochzeither, ane einem,
So dann die Ehren: und Tugendsahme Jungfrau Anna Maria Strohlin, Weÿland Johann Georg Strohlen, gewesenen Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg mit Frauen Anna Margaretha gebohrner Kochin seiner hinterlaßenen Wittib ehelich erziehlter Tochter, beÿständlich des Ehrengeachten Meister Johann Friderich Butzen Schneiders und burgers allhier, ihres geschwornen Vogts, als hochzeiterin, am andern Theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg inn obhochgedachten Herr, XIII.r Reichards am Gold Gießen gelegener behaußung Freÿtags den 25. Januarÿ, Anno 1737 [unterzeichnet] Johannes Kipp Als Hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 141-v)
1737. Dominica IV et V Epiphan. proclamationi sunt, Johannes Küpp, der ledige Kutscher Von Bracht in der Land Graffschafft Heßen: Cassel Weÿl. Caspar Küpp, Geweßenen Burgers daselbsten nachgelaßener ehel. Sohn, Jgfr. Anna Maria Weÿl. Johann Georg Strohl geweßenen Metzgers und burgers allhier nachgelaßene Ehel. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. Februar. [unterzeichnet] Johannes Kipp Als hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin (i 146)

Jean Kipp devient bourgeois quelques jours après son mariage
1737, 4° Livre de bourgeoisie n° 1043
Johannes Kipp d: gutscher Von Praag geb. erhalt d. b:gratis will beÿ E. E. Zunfft d. Möhrin dienen, Jur. eodem die 23. feb. 1737.

Il devient tributaire à la Mauresse en mars 1737
1737 (7.3.), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 287) Donnerstags den 7.ten Martÿ A° 1737 – Neuer Leibzünfftiger Gremp ER.
Johannes Kipp, der Kutscher von Praag in Heßen gebürtig, producirt Cantzleÿ Pfenningthurn und Stallschein deren die Zweÿ erstere den 23. Februarÿ 1737. der letztere aber den 25. ejusdem datirt bittet umb ertheilung des Zunfft: und Grempen Rechts. Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte Vor den Pfenningthurn j lb, Vor das Zunfft Recht 5 ß, Vor das Grempen Recht 1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, und Einschreib Gebühr 2 ß, Also zusammen 3 lb d

Le revendeur Jean Kipp demande aux Quinze l’autorisation de servir de l’eau de vie au détail à ses clients venus d’outre-Rhin. L’autorisation lui est refusée parce que le pétitionnaire est cocher chez le Treize Reichard et que le débit d’eau de vie sert de subsistance à de pauvres gens. Les Quinze délivrent à la fin de l’année une expédition de leur sentence.
1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
(p. 355) Sambstag den 14. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Römer nôe Johann Kipp des Burgers und Krempen Cit. E. E. Zunfft der Kieffer Zunfft M. prod. Imploratio et Schrifft mit beÿlag Lit. A. bitt Deput. Fuchs bitt auch Deput. et Facta Realt. abweißung. ref. Exp. Römer priora. E.rk. Deput. Willfahrt

(p. 380) Sambstag d. 28. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Obere Handwerck Herren laßen durch Hrn Secretarium Kleinclaus referiren, daß Johann Kipp der Burger und Kremp allhier contra E. E. Zunfft der Kieffer den 14. hujus eine Underthg. Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A producirt, darinnen Vorstellend, es erhelle aus ged. beÿlag /:so ein Extract aus ged. E. Zunfft der Kieffer protocollum Vom 10. hujus, Wie er, Implorant allda mit seinem Gesuch, nemlichen denen überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ Ihme hohlen, und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von Ihme begehren, Ihnen solchen geben zu dörffen, alß wieder Articul lauffend, abgewiesen worden, mit demüthiger bitt, Weil Er den brandenwein schanck Keines weges Känlein oder Gläßlein weis in seinem Lädlein außzuschencken begehre, damit weder Er, noch seine Fraw umbgehen möchten, MGHh. geruheten so Viel gnad für Ihne Zu haben, und Ihme ex Specialissima gratia gratiose Zu erlauben, daß Er nur denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein, und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, Ein und Ein halb Maaß wein Verkauffen dörffen, Worauff ged. E. Zunfft umb Deput. angesucht und gebetten. Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten.
Beÿ bewilligter und beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum Wiederhohlet, Nomine der Imploranten seÿe vorgestanden Johann Georg Hamerer alß Zunfft Meister, welcher geantwortet, Gegner seÿe noch würcklich Gutscher beÿ H XIII. Reichard und treibe dabeneben das Krempenrecht, dahingegen die arme Zünfftige beÿ Ihnen nur den brandenwein schanck hätten, mit demüthiger bitt hierauff gnädig Zu reflectiren. Auff seithen der Hh. Depp. Vermeine man daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbige in die unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung zu Mgh. stellend. Erkanct, bedacht beliebt.

(p. 522) Montag d. 23. Xbris 1737.
Bescheid. Sambstag d. 28. Sept. 1737. In Sachen Johann Kipp des Burgers undt Krempen allhier Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Kieffer, Imploraten am andern theil, Auff producirte Unterthänige Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A und angehencktem bitten dem Imploranten ex gratia Specialissima Zu erlauben, daß Er denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, ein und ein halb Maaß wein Verkauffen dörffe, der Imploraten darüber gethane Verantwortung juncto petito Deput. Zu erkennen, et Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten. bewilligter und beseßener Deputation all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Hh. Deputirten abgelegter Relation nach mit Urthel Zu Recht Erkandt, daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbiger in die unkosten Zu condemniren seÿe. Alß wir hienmit anschlagen und condemniren.
Zu MGHh. stellend, Ob sie dießen Auffsatz gehmgehmhalten undt dabeÿ erkennen wollen, aß selbiger in dieße Formb expedirt und dem peteten Zugestellt werden soll. Erk. quod sic.

Demande de Jean Kipp au Conseil des Tonneliers dans la même affaire. Le compte rendu cite en marge la décision des Quinze
1737, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 376-v) Dienstags den 10. 7.br 1737 – Johannes Kipp der Burger und Kremp bitt ihme Zu erlauben, den überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ ihm hohlen und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von ihm begehren, ihne solchen geben zu dörffen. Erkandt, wurde der implorant weilen sein begehren wid. articul mit solchem abgewißen, ref. exp
NB. ist auch vin Gn. den XV. abgewißen worden

Les Quinze donnent un avis favorable à la demande du cocher Jean Kipp d’héberger trois ou quatre domestiques au service des comtes de Linange
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
(p. 311) Sambstag d. 12. Maÿ 1742. Riemer nôe Johann Kipp des burgers undt Kutschers beÿ herrn Graffen von Leiningen bitt Underth. Ihne gn. Zu erlauben dreÿ biß 4. bediente hochged. H. Graffens an den tisch nehmen Zu dörffen. Erkandt, Ober Ungelt Herren post hæc nach Ordnung willfahrt [notes du secrétaire p. 117]

Le cocher et revendeur Jean Kipp héberge des gens du recteur. Le Conseil des Fribourgeois l’invite à produire un certificat signé du recteur, ce qu’il fait quelques mois plus tard.
1743 (19.2.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(p. 170) Dienstags den 19. Febr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert Solle Zufolg Gerichts: Erkandtnuß vom 22.ten Nov: 1742. entweder bescheinen, daß seine Kostgänger immmatriculiert, oder aber 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr erlegen.
Ille præsens, Sagt, Er habe sich derhalben beÿ Herrn Professore Schertzen, dem Jetzigen Rectore Magnificus angemeldet, welcher Zwar gesagt, daß seine Kostgänger immatriculiret, aber ihme Keinen Schein geben wollen, sondern gesagt man solle Zu Ihme Kommen, so wolle Er es Zeigen daß deme alßo seÿe.
Erkandt, wirdt dem Citato Zu parition bescheidts annoch Zeit biß auff nächste Gerichtliche Versamblung semel pro semper Zugelaßen.

(p. 171) Dienstags den 7. Apr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert, Solle Zufolg Gerichts: bescheidts vom 19. Febr: Jüngst, den andictirten Schein von dem Herr Rectore Magnifico producirren, oder sie Ihme den 22.ten Nov: 1742. angesetzte 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr Erlegen.
Herr Rathherrr Lurtzing der Alte Zunfftmeister producirt nomine Citati /:alß welcher nothwendiger geschäfften halben nicht Erscheinen können:/ produciret attestatum von Herrn Dr. et Prof. Johann Martin Silberrad, der Zeit Rector Magn. allhier, de dato 2.ten Martji 1743. Warauff solches Abgeleßen undt vor gut befunden, mithin Citatus von der Klage, undt angesetztem Zunfft gebühr dermahlen absolvirt worden.

Jean Kipp et Anne Marie Strohl vendent la maison 1750 livres au vannier manant René Lanier et à sa femme Marie Baron

1746 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 980-v
Johann Kipp dem kutscher und Anna Maria geb. Strohlin
in gegensein René Lanier des schirmers und korbmachers und Marie geb. Baron /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des weißbecken erben, anderseit neben Johann Philipp Füßel dem kupffer schmidt, hinten auff Georg Zwicker den weißbecken – um 100, 50, 1000 und 350 pfund verhafftet, als ein d. 31. Martÿ 1742 erkaufftes guth, geschehen um 250 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant

1746, Conseillers et XXI (1 R 229)
Johann Kipp bitt umb erlaubnuß ein Hauß an René Lannier verkauff. Zu dörffen 283. erhalt solche. 286.
(p. 283) Sambstag d. 27.r Aug. – Lt Fuchß nôe Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, der bitt unterthänig umb gnädige Erlaubnuß, ein Hauß in der langen Straß gelegen an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier pro 3500. fl. sambt übernahm aller Unkosten Verkauffen Zu dörffen.
Lt. Christmann nôe ged. René Lannier der bitt umb gndge. Erlaubnuß gemeldtes Hauß umb besagten Preiß sambt übernahm aller unkosten Kauffen Zu dörffen.
Erkandt, Werden Zu Einnehmung des Augenscheins emeldten Haußes Herr XV. Gerber und H. Rathh. Krieger abgeordnet, damit alßdann auf deren Relation hierinn ergehen möge was Rechtens.

(p. 286) Mittwoch d. 31. Aug. – Auff Anruffen Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, umb gnädige Erlaubnuß, ein in der langen Straß gelegenes Hauß an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier vor 3500. fl. sambt Übernahm aller Unkosten Verkauffen und respectivé Kauffen Zu dörffen, verordnete Deputation Zu einnehmung des Augenscheins von besagter Behaußung, und Unserer Deputirten über deren Zustand abgelegte umbständliche Relation, alles wohl erwogen, Ist Erkandt, Wird denen Imploranten die beederseits gebettene Erlaubnuß mit diesem beding und Anhang Obrigkeitlichen willfahrt, daß der Kauff in allhiesiger Contract Stub in Gegenwart vorged. Unserer Deputirten, ben. H. XV. Gerbers und H. Rathh. Kriegers solle verschrieben, und von denenselben Gem. Statt dißfalls versirendes Interesse, nach Innhalt der getruckten Instruction bestens besorget werden.
Depp. iidem Zu Anzeigung des bescheids.

Ancien soldat originaire de Saint-Saturnin, René Lanier épouse en 1740 Marie Baron, originaire de Metz, veuve de Jean Louis Fouchet
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 155-v)
Anno Dni 1740 die vero 29 augusti (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Juvenis Renatus Lasnier oriundus ex Parochia sti Saturnin Diœcesis pannoleatis miles dimissus a legione Pedestri Brava* Darqui* ex cohortis Dni de saint Michel et fuit etiam licentia munitus a parentibus scripta data supra litteras testimoniales Baptismalis et maria Baron vidua Joannis Ludovici fouchet oriunda metensis a pluribus annis in nostra Parochia commorans (signé) renelanie, +

Marie Lanié meurt en 1758 en délaissant un fils soldat issu de son premier mariage avec Jean Louis Fouchet dit Saint Amour, soldat au régiment de la Vallière, et quatre enfants issus du veuf. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 911 livres strasbourgeoises, le passif à 19 livres
1758 (16.8.), Not. Elles (6 E 41, 1342) f° 84
Inventaire De la Succession de feüe Dlle Marie Lanié née Baron vivante femme du Sr René Lanié faisseur des Panniers et Manant de cette Ville de Strasbourg, dressé l’An 1758. – apres sa mort arrivée le 18. May dernier
Fait et passé en Presence du Sieur Jean Louis Rame Licentié Ez Loix, Ancien Assesseur au Grand Sénat et Assesseur actuel aud. Petit Sénat à ce Specialement Deputé, à Strasbourg Cejourd’huy Mercredy 16° jour du Mois d’Aoust 1758.
La deffunte a delaissé pour ses Heritiers ab intestat Scavoir 1° Nicolas Fouchet agé env. de 27 ans, Soldat au Reg. de la Sarre, presentement en Canada en Amerique, procréé de Son premier Mariage avec feu Jean Louis Fouchet dit St Amour, Soldat au Regt. de la Valliere, pour et au nom duquel fut present le Sr Jean Pierre Clavel, Marchand Graissier et Bourgeois en cette dite ville son tuteur assermenté,
2° Claude Lanié agé environ de 17 ans, 3° Catherine Lanié agée de 14 ans, 4° Marie Anne Lanié agée environ de 11 ans, 5° Marguerithe Lanié agée de 9 ans. Ces 4. Enfans délaissés par la Défunte et procréé en Mariage avec ledit René Lanié le veuf, au nom desquels a été present le Sr Samuel Beaufort faiseur des Panniers et Mannancier en cette dite ville Leur Curateur assermenté. Tous cinq en Portions égales.

Copie du Codicille. Aujourd’hui 20° novembre nov. 1756 (…) est comparu Marie Baron femme de René Lanié faiseur des Panniers demeurant en cette ville, Saine d’esprit, Mémoire, Jugement et entendement, même de Corps (…) 3.tio La codicillante ayant un fils appellé Nicolas Foucher procréé de son premier Mariage (…) ce fils ne pourra pretendre d’abord après le decès de Sa mère que Sa Légitime, attendu que led. René Lanié aura aussy pendant Sa vie durante la Jouissance et l’usufruit du surplus de lad. Légitime – Humbourg notaire royal
Avertissement. Le veuf a declaré que lors de Son Mariage avec la défunte, ils n’auroient pas fait passer Contrat de mariage et que ny l’un ny l’autre possedoit alors quelque chose hormis leurs habits et hardes et que toute la présente succession auroit été gagnée et acquise ensemble pendant Leur Mariage (…)
Trouvé dans une Maison Scize dans la grande Rüe en cette ville de Strasbourg, pas appartenante en cette succession, Scavoir
Dettes passives, Prem. pour loyer de maison, 13
Series rubricarum hujus Inventarii. S’ensuit la Description de la présente succession, habits et linge qui ont servi au corps de la deffunte revenans aux héritiers 152 livres
S’ensuit la Description des Biens appartenans à la Communauté, meubles 337, Marchandises et Outils pour faire les Panniers 77, argenterie 26, bague d’or 3, argent comptant 400, Capitaux 2800, Total de toute la Masse active 3645 livres – Dettes passives 77 livres, Deduction faite 3567 livres – Somme finale 3719 livres

1758, E 5787 (b) [voir aussi Not. Elles n° 84]
Même inventaire dans la collection d’inventaire de manants contresignés par le greffier du Petit Sénat

René Lanier se remarie avec Anne Marie Germersdorff, fille d’un vigneron de Ribeauvillé : contrat de mariage, célébration
1758 (30.8.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 30
Contrat de mariage – furent presens le Sieur René Lanié, faiseur de Panniers et Manant en cette ditte Ville y demeurant Grande Rüe Paroisse St Pierre le Vieu, assisté du Sr Samuel Beaufort aussy faiseur des Panniers, Manancier en cette dite Ville, d’une part
Et Dlle Anne Marie Germersdorff, fille majeure d’ans de Martin Germersdorff Bourgeois Vigneron a Ribauvillé et de feüe Dlle Christine née Roos, ses Père et mère assistée de du Sr Jean Pierre Clavel bourgeois Marchand graisser en cete ditte Ville son Beau frère d’autre part
fait, lû, passé et interpretté et expliqué en Langue allemande audit Strasbourg en l’Etude du dit notaire (…) Cejourd’huy 30° Aoust 1758 (signé) rene lanié, +

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath.)
Hodie 18 Septembris 1758 (…) renatus Lanié ciuis et cophinopæus hujus urbis viduus defunctæ mariæ Baron et anna maria germersdorff ex Rappolsweir filia Legitima martini germersdorff ciuis ibidem et defunctæ christinæ rosin in vita coniugum (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt (signé) lanié, +

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent René Lanier à se remarier avant la fin de son deuil pour que les enfants puissent être soignés.
1758, Conseillers et XXI (1 R 241)
René Lanié der schirmer und Korbmacher alhier erhaltet dispense Von übrigen trauer Zeith. 166.
(p. 166) Montag den 28. Augusti 1758. – Christmann nôe rené Lanié des schirmers und Körbmacher alhier producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub N° 1 et 2 puncto gnädige erlaubnuß sich in tempore Luctus Verheurathen Zu dörffen.
Erkandt, wird dem Imploranten mit gebettener dispensation Von übrigen trauer Zeith, /:deren bereits dreÿ monath und einige täge verfloßen:/ in gnaden willfahrt, soforth demselben erlaubet, pendente tempore Luctus Zu einer anderwärtigen Ehe, welche die von ihme Vorgebrachte umbständte des Kinderlasts /:denen der Implorant, weilen er umb seine nahrung Zu finden, seinem Handwerck abzuwerten gezwungen, die benöthigte aufferziehung ohne eine gehülffin nicht geben kan:/ ihm ohnentbehrlich machen Schreiten zu dörffen.
Depp. H. Rathh. Böhm, H. Ratt Ducré

René Lanier et Marie Baron vendent la maison 1750 livres au taillandier Jean Gautier Koch et à sa femme Marguerite Salomé Musculus.

1752 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 432
René Lanier der korbmacher und Maria geb. Baron
in gegensein Johann Walter Koch der bohrenmacher und Margarethæ Salome geb. Musculuß
eine behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen, begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der obern straß, einseit neben Michael Metz dem weißbeck, anderseit neben Johann Philipp Füsel des kupfferschmidt, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbeck – um 50, 100, 750 und 300 pfund verhafftet – als ein am 13. Decembris 1746 erkaufftes guth – um die 1250 pfund capitalien und 400 pfund

Originaire de la Robertsau, Jean Gautier Koch épouse en 1751 Marguerite Salomé Musculus, fille de vitrier : contrat de mariage, célébration
1751 (28.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 5
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Johann Walther Koch, dem leedigen bohrenmacher des Ehrengeachten Johann Koch mit der tugendsamen frauen Annæ, gebohrner Matthißin, beeder Eheleuthe und burgere in Ruprechtsau ehelich erziehltem Sohn, als dem Brautigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Margaretha Salome Musculusin, weÿl. des Ehrengeachten Mr Johann Musculus des geweßenen Glaßers undt burgers allhier nun seeligen, mit der tugendsamen frauen Maria Margaretha so nunmehro an Mr Johann Friderich Dürrfeld dem borhenmacher und burger allhier verheurathet ehelich erziehlter tochter, als de Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein hernach unterschriebenenen beederseiths hierzu in specie requirirter herren beÿständere und Saalpersohnen wie nicht weniger der Jgfr. hochzeiterin eheleibl. mutter auf Sambstag den 28.ten Augusti 1751. [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Saloma Muscuulußin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 177 n° 27)
Ao. 1751, d. 20.ten octobr. Seindt (…) ehelich eingesegnet und copulirt worden, Meister Johann Walther lediger borenmacher u. burger allhie, Johann Kochen, Metzgers u. ackermanns in der Ruprechtsau auch burgers allhier, und Annæ Mathißin ehl. Sohn, Jungfrau Margaretha Salome, Weÿl. Johann Musculus geweßene Glaßers u. burgera allhier, v. Mariæ Margarethæ geb. Litschin ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Salome Musculußin als hochzeiterin (i 181)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à la Krutenau. Les apports du mari s’élèvent à 207 livres, ceux de la femme à 559 livres.
1752 (16.6.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 15
Inventarium über und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrengeachte Mr Johann Walther Koch, der Bohren Macher und die Viel Ehren und tugendsame Frau Margaretha Salome gebohr. Musculusin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche d. ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth vor mir unterschriebenen Notarium auffgerichteten Heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringenden Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in beÿseÿn Herrn Johann Caspar Musculus des Musici und burgers allhier als der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts, auff Freÿtag den 16. Junÿ 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau gelegenen und die diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einem liegenden Lehenguth Ruprechtsauer banns, rührt von des Ehemanns geliebten Vaters her
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 105, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmacher Profession gehörig 10, Sa. silbers 17, Sa. baarschafft 6, Sa. Eigenthumbs ane liegenden Lehenguth 25, Summa summarum 165 lb – Dießer Summ ist nun ferner zu addiren die (…) haussteuren, thut 41 lb, des Manns in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 207 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 267, Sa. Silbers 23, Sa. goldenen ring 22, Sa. baarschafft 153, Sa. schulden 50, Summa summarum 517 lb – Adde die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 41 lb, der Ehefrauen gesambt in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 559 lb

Marie Salomé Musculus meurt en 1769 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 400 livres (voir plus haut le prix d’achat, 1 750 livres). La masse propre au veuf s’élève à 1602 livres, celle des héritiers à 357 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 2 398 livres

1769 (21.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 811) n° 517
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendsahmen Frauen Salome Kochin, gebohrner Musculußin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers dahier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen, nun seeligen Verlaßenschafftn errichtet in Anno 1769. – nach ihrem Sonntags den 16.ten Aprilis dießes lauffenden 1769.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Mr Johann Jacob Musculus, des Schuhmachers und burgers dahier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Walther, Jacob Friderich, Johann Jacob, Johann Daniel und Margarethä Salome, der Kochen, der Verstorbenen Fr. Seeligen mit erstgedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Fünff Kinder und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg, auf Mittwoch den 21.ten Junÿ Anno 1769.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in diße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt.
(f° 10) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Nembl. eine behaußung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der obern Straß 1s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken 2.s neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid, und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzung Zeduls Vom 5. Junÿ 1769. gewürdiget pro 400. lb. Hierüber meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentener Kauffbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21.ten Augusti 1752. mit jetzigem N° 1 bezeichnet.
Ergäntzung der Erben durante hoc Matrimonio abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög über beeder nun Zetrennten Eheleuth einander Vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1752. errichteten Inventarii
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der d. 28. Augusti A° 1751. vor mir Notario errichteter Heuraths Verschreibung
Copia der verstorbenen seel. vor mir Notario d. 14. april A° 1769. errichteten Codicilli
Des hinterbliebenen Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 9, Sa. Werckzeugs Zur Borhenmacher profession 1, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 21, Sa. Ergäntzungs Rests 1697, Summa summarum 1733 lb – Schulden 131, Nach solchem abzug 1602 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzungs Rests 259, Summa summarum 357 lb
Endlich folgt auch die beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guths, Sa. Haußraths 15, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 20, Sa. Weins und lährer Faß 33, Sa. Silbers und Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 10 ß, Sa. baarschafft 105, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. activ Schulden 16, Summa summarum 597 lb – Schulden 2398 lb, In Vergleichung 1810 lb
Stall summ 289 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 53, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbarer Nahrung Zugeltend 20 lb

Le maître de la tribu des Serruriers fait grief à Jean Gautier Koch de fabriquer des vis et des rouleaux pour les bois de lit, ce que le règlement réserve aux serruriers. Il répond que tous les taillandiers font de même. Le conseil décide de convoquer le maître des taillandiers.
1770, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 229) Dienstags den 18.ten Septembris Anno 1770 – Mr Anthoine Courtener, der Schloßer und Burger allhier und E. E. Meisterschafft der Schloßer dermaliger Ober Meister stehet Vor und Klagt wieder Mr Johann Walther Koch, den Bohrermacher und burger, dahier, daß er Schrauben und Rollen an bettladen verfertige, welches Schloßerarbeit ist, weilen nun solches wieder Ordnung, als bittet er, nomine quo agit, daß Ihm solches in das Künfftige möge verbotten werden.
Ille Zugegen sagt, es seÿn ihm und allen bohrermachern erlaubt, sowohl Rollen als Schrauben an bettladen zu verfertigen, er mache selbige nicht allein sondern alle bohrermacher meister, die Schloßer sollen beweißen daß Ihnen solches verbotten seÿe, bittet dahero um absolutionem.
Erkandt, solle auf Ansuchen des Beklagten E. E. Meisterschafft der Bohrermacher Ober meister beÿ erstem Gericht ad causam citiret werden idque reservatis Expensis.

Jean Gautier Koch se remarie en septembre 1770 avec Marie Salomé Weiss, fille du graveur municipal : contrat de mariage, célébration
1770 (1.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 316
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Wohlvorachtbahre Herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger dahier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem,
So dann die Viel Ehren und Viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Weißin, weiland Herrn Johann Martin Weiß, des geweßenen Stadt Kupferstechers und burgers dahier seeligen nachgelaßene ehelich erzeugte tochter, so majorennis und ohnbevögtigt, unter assistentz herrn Johann Jacob Diemers, des Haußfeurers, wie auch E.E. Großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers und burgers dahier, ihres Hn Stieffvatters, als Hochzeiterin mit consens ihrer eheleiblichen Fraun Mutter und H. Stieffvatters ehelich mit einander Versprochen hätten
Actum allhier Zu Straßburg in mein des Notarii geohnlicher Schreibstube, auf Sambstag den ersten Septembris Anno 1770. [unterzeichnet] Johann Walther Koch als hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeitterin, Joh: Jacob diemer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 212, n° 927)
Im Jahr 1770 Sonntags den 14. Septembris, sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausrufung Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm auf Erlaubnus des regierenden Herrn Ammeisters, ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittwer, bohrenmacher und burger allhier und Jungfrau Maria Salome Weißin weiland Herrn Martin Weiß gewesenen Statt Kupferstechers und burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeiterin (i 214)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari que les parties évaluent 2 400 livres. Les apports du mari s’élèvent à 1 975 livres, ceux de la femme à à 239 livres

1771 (21.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 814) n° 586
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Walther Koch, des bohrenmachers und der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariæ Salome Kochin geb. Weißin, beeder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen aufgerichtet Anno 1771. – welche der Ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth den 1.ten Septembris des letztabgewichenen 1770.sten Jahrs Vor mir Notario errichteten heuraths-Verschreibung pho. 3.tio expresse enthalten, daß einem jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnvertheilt sein und bleiben solle – So beschehen allhier zu Straßburg in ferneren beisein Hn Johann Jacob Diemers des hauß feurers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers der Ehefrauen H. Stieffvaters und assistenten auf Dienstag den 21.ten May 1771.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Langen Straß gelegenen und in des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Nemblichen eine Behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und Hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß einseith neben H. Johann Jung dem Weißbecken, anderseith neben H. Johann Jacob Christiani, dem Schirmbott, und hinten auf H. Joh. Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen, pro 2500. lb. Über dieße behaußung meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21. Aug. 1752. mit altem N° 1 bezeichnet.
(f° 12) Wÿdemb, So der Ehemann Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslängl. Zu geniessen hat
(f° 12-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So Fr. Maria Salome geb. Hoffseßin Hn Joh: Jacob Diemars des Schwartzbecken und E: E: Große Raths alten beisitzers auch b. dahier dermaliger Fr. Ehegattin dißorthig. Ehefrauen geliebter Mutter von weil H. Johann Martin Weißen geweßenen Statt Kupfferstecher und b. dahiner ihrem ersten Ehemann seel. lebenslängl. zugenießen hat
(f° 13) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 209, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 141, Sa. Weins und lährer Faß 60, Sa. Silbers und Geschmeids 32, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2500, Sa. activ Schulden 60, Summa summarum 3014 lb – Schulden 1067 lb, Nach solchem abzug 1946 lb, Wann nun dieser Summ annoch addiret wird die dem Ehemann gebührige helffte ane denen haussteuren 29 lb, So ergiebet sich daß des Ehemanns gesamt für ohnverändert in den Ehestand geracht Vermögen theils dem wahren und theils dem ohnpræjudicirlichen anschlag nach bestehe in 1975 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht guth beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 36, Sa. goldener Ring 24, Sa. baarschafft 102, Summa summarum 210 lb – Dießer Summ ist annoch beÿzusetzen die der Ehefrauen Krafft der Eigenthümlich gehörig §° quarto gebührige helffte ane denen haussteuren in vero pretio antreffend 29 lb, Belauffet sich alßo der Ehefrauen völlig vor ohnverändert in die Ehe gebrach Guth dem wahren werth nach auff 239 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung 76 lb

Jean Gautier Koch hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Knobloch veuve du capitaine Jean Daniel Œlinger

1772 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 189-v
Johann Walter Koch der bohrenmacher
in gegensein H. Johann Martin Weiß des kupfferstecklers vor und innahmen Fr. Mariæ Salome Öhlingerin geb. Knoblochin weÿl. H. Johann Daniel Öhlinger gewesten capitaine unter dem löbl. regiment d’alsace wittib – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis mitten in der Langen straß, einseit neben Johann Jung dem frantzösischen becken, anderseit neben Jacob Christiani dem schirmbotten, hinten auff N. Zwicker den weißbecken

Marie Salomé Weiss meurt en 1773 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 313 livres, celle des héritiers à 885 livres. L’actif de la communauté s’élève à 406 livres, le passif à 682 livres

1773 (5.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 656
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariä Salome Kochin gebohrner Weißin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1773. – nach Ihrem Mittwochs den 14.ten Aprilis dießes lauffenden 1773.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Hn Johann Martin Weiß, des Kupfferstechers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Margarethæ Salome, der Kochin, der Verstorbenen seel: mit Vorgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehter Kinder und ab intestato Verlaßener Zweÿer Erben (…) So beschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 5.ten Julÿ 1773.
Copia der Eheberedung

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in des hinterbliebenen Wittibers ohnveränderte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (W.) Nemb. eine behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß, 1. s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken, 2.s. neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so freÿ, außer hernach eingetragenen darauf hafftenden passiv- Capital der 500. lb sonsten gegen männiglichen leedig, eigen und dh (die Werckmeistere) Vermöh Abschatzung Zeduls vom 15.ten Julii h. A. gewürdiget pro 1000. lb. Dißewegen ist vorhanden ein in allhießiger C. C. stub gefertigter pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel verwahret, datirt d. 21. Augusti 1752. mit altem N° 1 notirt.
(f° 15-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So der Erben ohnverändert. Es hat weil H. Jacob Diemars des haußfeurers und b. allhier von Weil. Fr. Maria Salome Diemerin geb. Hoffseßin seiner geweßenen Ehegattin als der dißorthigen Erben Fr. Groß Mutter seel. Zufolg ihrer mit einander errichteten Eheberedung §° 5.to lebenslängl. zu genießen
(f° 16) Wÿdemb, So der hinterbliebene Wittiber Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslänglich Zu geniessen hat
(f° 16-v) Ergäntzung des Hinterbliebenen Wittibers während dieser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt des über beeder nun zertrennten Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1771 erichteten Inventarium
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Wittibers ohnverändert Guth. Sa. haußraths 72, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmachers profession gehörig 21, Sa. lährer Faß 8, Sa. Silbers und Geschmeids 11, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1000, Sa. Schuld 21, Summa summarum 1136 lb – Schulden 1450 lb, In Vergleichung 313 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 90, Sa. Silbers 19, Sa. goldener Ring 29, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 550, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzungs Rests 132, Summa summarum 902 lb – Schulden 17, Nach solchem abzug 885 lb
Das Theilbare Guth, Sa. Haußraths 11, Sa. gemachter Waar, Eißens u. Kohlen Zur bohrenmachers profession gehörig 5, Sa. Weins 7, Sa. baarschafft 9 ß, Sa. der Schulden 382, Summa summarum 406 lb – Schulden 682 lb, Compensando 276 lb
Stall Summ 719 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 84 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbahre Nahrung 5 lb

Jean Gautier Koch se remarie avec Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer : contrat de mariage, célébration
1774 (1.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 395
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehren: und wohlvorachtbahr herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg, als hochzeiter ane einem
Und die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Maria Salome Meÿerin geb. Hügelin, weil. Hn Johann Daniel Meÿer des gewesenen Schiffmanns und burgers alhier seel. hinterlaßener Wittib, beiständlich H Andreä Meÿers des Schiffmanns und burgers dahier Zu Straßburg, dero Schwagers, als hochzeiterin ane dem andern theil
Donnerstag den 1. Decembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1)
Im Jahr 1774 Mittwoch den 7. Decembris sind nach vorhergegangener erster und andere Ausrufung zugleich auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm in der Stifts Kirche Zu St Thomæ ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittiber, bohrenmacher und burger allhier und Frau Maria Salome Meÿerin weiland Johann Daniel Meÿer, gewesenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlassene Wittibin [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin (i 3)

Marie Salomé Hügel fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 153 livres
1776 (1.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 280) n° 1386
Designatio über Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Hügelin, Meister Johann Walter Kochs, des burgers und bohrenmachers dahier Zu Straßburg Ehefraun in die Ehe gebrachter und respê. dato activé besitzender Nahrung und passivé zu bezahlen habende Passiv schulden, errichtet Anno 1778. – vor einiger Zeit beÿ E. E. Kleinen Rath pro obtinendo flebili Beneficio Cessionis inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 1.ten Aprilis Anno 1776.
In einer allhier Zu Straßburg ane der langenstraß gelegenen in dißorts Ehemann eigenthümlich zuständigen behausung folgender maßen sich befunden
Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 4 ß, Sa. baarschafft 11, Summa summarum 30 lb – Schulden 183, ln Compensando 153 lb

Nouvel inventaire des apports
1807 (28.11.), Strasbourg 7 (24), Not. Stoeber n° 2210, 8159
Inventaire des apports de Marie Salomé Hugelin femme de Jean Walther Koch taillandier, suivant contrat de mariage passé devant Lobstein le 1 décembre 1774
meubles 1261 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 51-v du 2.12.

Jean Gautier Koch meurt en 1809 en délaissant trois fils ou leur représentant issu du premier mariage et une fille du deuxième.

1809 (14.2.), Strasbourg 5 (27), Not. F. Grimmer n° 5442
Inventaire de la succession de Walter Koch taillandier décédé le 20 janvier dernier – à la requête de De Marie Salomé Hügel la veuve
Dénomination des héritiers, les enfants procréés en deux mariages savoir en premier mariage avec Marguerite Salomé Musculus 1. Jacques Frédéric Koch, 2. Jean Jacques Koch les deux taillandiers, Le fils délaissé par Jean Walter Koch nommé 3. Jean Walter Koch menuisier, la fille procréée en second mariage avec Marie Salomé Weis 4. Marie Salomé Koch épouse du Sr Jean Frédéric Schaaf bacquetier

Maison. Une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits aisances et dépendances située en cette ville dans la grande rue n° 30, d’un côté le Sr Mechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé et derrière la maison du Sr Schaefer baquetier – occupée par Jacques Frédéric Koch taillandier pour 160 fr, Griesbach tanneur 120 fr, Florer tailleur 70 fr, appartemens du défunt 150 fr, ensemble 500 fr en revenu soit en capital 10.000 fr – Titres de propriété, acte d’achat à la Chambre des Contrats le 21 août 1752
Série des rubriques, la veuve renonce à la communauté, un enfant du premier lit est décédé en 1775 et un autre du second en 1776
Propres de la veuve, meubles 293 fr, remploy 1067 fr, total 1361 fr
Héritiers et communauté, meubles 854 fr, ustensiles de métier 90 fr, argenterie 14 fr, maison 10.000 fr, total 10.959 fr, passif (bien maternel et grand maternel des enfants du premier lit suivant inventaire dressé par Me Lobstein le 6 septembre 1786, mais le défunt ayant laissé en nature aux enfants la moitié de maison rue des chanvriers estimée 2000 fr et comprise dans la susd. somme et ayant lors de la susd. cession faite de la totalité de cette maison à son fils défunt Walter Koch même notaire le 24 janvier 1787) 699 fr, déduction faite 4459 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 110 F° 51 du 22.2.

Marie Salomé Hügel meurt en délaissant les enfants de son deuxième mari pour héritiers testamentaires

1810 (19.5.), Strasbourg 5 (31), Not. F. Grimmer n° 6294
Inventaire de la succession de Marie Salomé née Hügel veuve de Walter Koch taillandier – à la requête de 1. Jacques Frédéric Koch tailandier, 2. Jacques Koch aussi taillandier, 3. Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf baquetier – testament de la défunte devant led. notaire le 28 avril 1809, décédée le 8 dudit mois
en la ci devant demeure de la défunte rue d’Or n° 6
meubles 184 fr, créances 1000 fr, total 1184 fr, passif 733 fr, reste 450 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 171 du 29.5.


Les enfants Koch vendent leurs part à leur cohéritier, le taillandier Jacques Frédéric Koch

1809 (23.6.), Strasbourg 5 (28), Not. F. Grimmer n° 5686
Jean Jacques Koch taillandier, Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf bacquetier, Jean Jacques Eckel mandataire de Jean Walter Koch garçon meunuisier majeur
à Jacques Frédéric Koch ausi taillandier
trois quarts par indivis /:dont le quatrième quart appartient à l’acquéreur:/ d’une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits et dépendances située en cette ville grand rue n° 30, d’un côté le Sr Maechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé, derrière la maison du Sr Schaeffer – appartient aux parties suivant inventaire de la succession de Walter Koch, taillandier, père et grand père des comparants, dressé par le soussigné notaire le 14 février dernier – moyennant 7710 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 112 F° 70 du 1.7.

Jacques Frédéric Koch épouse en 1786 Marie Salomé Kieffer, fille de remueur de grains : contrat de mariage, célébration
1786 (19.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 567
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorachtbahre Hr Jacob Friderich Koch, der leedige Bohrermacher Hr Jacob Friderich Koch des auch Bohrermachers und burgers allhier ehelicher Sohn beÿständlich dieses seines geliebten Vaters als Hochzeiter ane einem
und die viel Ehren und viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Kieferin, weil. H. Johann Friderich Kiefers des gewesenen Kornwerffers und burgers allhier nachgelaßene tochter unter assistentz und mit Beilhilf ihres geordnet und geschworenen Vogts H. Johann Jacob Kiefers des ebenmäßig, Kornwerffers und burgers allhier als Jgf. Hochzeiterin ane dem adndern theil
Straßburg den 19. Junÿ Anno 1786, Vormittags in mein des Notarii gewohnlicher Schreibstuben [unterzeichnet] Jacob Friedrich Koch als Hochzeiter,Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 160 n° 320)
Im Jahr 1786 sind (…) in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Jacob Friedrich Koch der ledige Bohrenmacher und burger allhier, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier, mit weiland Frau Margaretha Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kieferin, weiland Johann Friderich Kiefer gewesenen Kornwerffers und burgers allhier mit Frau Eva gebohrner Ottin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friedeich Koch als hochzeiter, Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin (i 165)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 518 livres, ceux de la femme à 385 livres.
1788 (21.8.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 655
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch des Bohrermachers und Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Kieferin beeder Eheleuthen u. brn allhier einandner in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1788 – in ihren den 9. Augst A. 1786 angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Welche Inventur auf ihr beeder Ehegatten selbstiges Ansuchen u. begehren deswegen fürgenommen wurde, mit dieselbe in ihrer vor weil. H. Not. Johann Friedrich Lobstein den 19.ten Junÿ A. 1786 aufgerichteten Eheberedung §+ 3.tio ihres Einbringen halben ein unverändert vorbehalten Gut stipulirt haben (…)
So beschehen in einer zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Görges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben zuständigen dißorts zum theil lehnung weise bewohnenden behausung Mittwoch den 21. Augst Anno 1788. in fenerem beÿseÿn weil. H. Joh. Heinrich Kiefer des gew. Kornwerfers u. brs alhier Wb. der Ehefraun elehelibl. Mutter, sodann H Joh: Jacob Kiefer des brs u. Kornwerfers allhier der Ehefrauen erbettenen beÿstands
Werckzeug und Waar Zur bohrermacher Profession gehörig
Norma hujus inventarii. Der Ehemanns Vermögen, Sa. hausraths 54 lb, Sa. Werckzeugs und Waar 81 lb, Sa. Silbers 19 lb, Sa. Baarschafft 300 lb, Summa summarum 455 lb – deme beizufügen die Helfte an hernach fol. (-) beschriebenen Haussteuren mit 62 lb, des Ehemanns ohnverändert Vermögen 518 lb
Der Ehefraun Vermögen, Sa. Hausraths 181 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. goldenen Ring 29 lb, Sa. baarschafft 100 lb – Summa summarum 322 lb -wird nun dazu gerechnet dero helffte an hernach beschriebenen Haussteuren anlangend 62 lb, der Ehefraun unverändert Gut 385 lb

Marie Salomé Kieffer meurt en 1788, suivie par son fils quelques jours plus tard. L’inventaire est dressé dans la maison Jœrges. La masse propre au veuf s’élève à 406 livres, celle des héritiers à 327 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 486 livres
1788 (10. 8.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 661
Inventarium über weÿl. Fraun Mariä Salome Kochin geborner Kieferin Herrn Jacob Friedrich Koch des bohrermachers u. brs. allhier gewesene Ehefrau Verlaßenschafft, Anno 1788. – nach ihrem den 26. Augst diesen Jahrs erfolgten tödlichen ableben hinterlaßen hat. Welche Succession auff gebührendes Ansuchen und begehren des hinterbliebenen Wrs. wie auch Herrn Johann Jacob Kiefer des Kornwerfers u. brs. alhier als geschwornen Vogts der abgeleibten mit ihme dem Wittiber erzeugten noch lebenden Kindts Sophiä Magdalenä Kochin so den 26. May 1787 gebohren worden u. die abgeleibte nebst einem acht tag nach ihro verstorbenen Söhnlein Jacob Friedrich, deßen Stelle der Wr. als Vater so lang er im Wittwenstand verbleiben wird, vertritt, ab intestato Zu erben verlaßen hat, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in einer allhier Zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Jörges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben Zuständigen u. dißorts lehnungs weise bewohnenden behaußung Freÿtags den 10. Octobris Anno 1788.

Werckzeug und Waar Zur Bohrenmacher Profession gehörig. Diese Rubric ist durch Mr Johann Jacob Litsch den Bohrenmacher u. br. allhier nach abgelegter handtreu dem Stalltax nach angeschlagen worden wie folgt
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög des über beeder geweßene Eheleuth einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 22. Augst 1788 aufgerichteten Inventarii
Norma hujus inventarÿ. Des Wittwers unverändert Vermögen. Sa. hausraths 18 lb, Sa. Silbern Geschmeids 5 lb, Erg. Rest 432 lb, Summa summarum 456 lb – Schulden 50 lb, Nach deren abzug 406 lb
Dießemnach wird auch des Erben unverändert Guths beschrieben u. verzeichnet, Sa. hausraths 116, Sa. Silbern Geschmeids 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Activ schuld 50, Erg. Rest 150, Summa summarum 327 lb
Endlichen wird das gemeine veränderte u. theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 11, Sa. Werckzeugs u Waar zur bohrenmacher profession gehörig 99, Summa summarum 111 lb – Schulden 597 lb, Passiv onus 486 lb – Stall summ 247 lb
Copia der Eheberedung (…) den 19. junÿ 1786, Johann Friedrich Lobstein, Nots. juratus

Jacques Frédéric Koch se remarie en 1791 avec Marie Dorothée Schaaff, fille de tourneur
1791 (11.7.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 55, und Enreg. N° 25
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Jacob Friderich Koch, verwittibter burger und Bohrer Macher dahier, als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Dorothea Schaaffin, Mr Johann Friderich Schaaff des abwesenden Hohldrehers und burgers dahier mit weil. Fraun Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugt nachgelaßene ihres Aussag nach dermalen Großjährige Tochter, beiständlich H. Georg Friderich Vierling burgers und Hohldrehers hieselbst ihres annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeiterin am andern Theil
zu Straßburg auf Montag den 11. Julii 1791. [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15, n° 16)
Im Jahr 1791 Montag den 15. Augusti sind (…) copulirt worden Jacob Friderich Koch der Bohrenmacher, Wittwer und burger allhier, 32 Jahr alt, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Dorothea Schaafin, 26 Jahr alt, wei Johann Friderich Schaaf, gewesenen drehers und burgers allhier mit Frau Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges. Les apports du mari s’élèvent à 1 408 livres, ceux de la femme à 460 livres.
1792 (19.3.), Strasbourg 4 (2), Not. Schaaff n° 168 & Enregistrement N° 92
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch bohrenmachers und Frauen Mariæ Dorotheä geb. Schaffin beder Eheleuthen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, in ihrem Montags den 15. aug. 1791 angetrettenen Ehestand und sich vermög der mit einander vor mir Notario am 11. julÿ dicti Anni 1791 errichteten Eheberedung §° 2.do vorbehalten haben

So geschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane dem alten Weinmarckt gelegenen: fr. Geörges Wittib eigenthümlich zuständigen: diesorts zum theil Lehnungsweise bewohnenden behaußung mit N° 99 bezeichnet, in beÿseÿn H. Johann Friedrich Schaaff des Küblers Ihr der Ehefraun Vatters, den 19. mart. 1792
Antheil an einer behaußung (Fr.) Nemlich Ein 6.ter theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Krebs Gaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögens, Sa. hausraths 340, Sa. Waar u. Werckzeug zur bohrenm: Prof. geh. 1558, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 43, Sa. baarschafft 100, Sa. activorum 500, Summa summarum 2541 fl, Schulden 1165 fl, Nach welchem abzug 1375 fl, helffte der haussteuren 32 fl, Summa 1408 fl
der Ehefraun vor ohnverändert in den Ehestand gebracht Guth, Sa. hausraths 231, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 15, Sa. Goldener Ring 34, Antheil an I.r behausung &, Sa. Activorum 272, Summa summarum 553 fl, Schulden 125 fl, Nach deren Abzug 428 fl helffte der Haussteuren 32 fl, Summa 460 fl
(enregistré 19 mai)

La maison de Jacques Frédéric Koch est vendue par adjudication judiciaire au baquetier Jean Frédéric Schaaff. L’acte reprend le procès verbal d’estimation dressé par les experts

1821 (29.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 141, n° 61
par devant le tribunal civil de première instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grande rue n° 30 réellement saisie sur les conjoints Jacques Frédéric Koch tailleur – Cahier des charges, Me Lauth avoué de De Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaff baquetier (…) que lesdits conjoints sont créanciers de Jacques Frédéric Koch, tailleur, et Marie Dorothée née Schaaff en vertu de deux contrats vente reçus Me Grimmer le 23 juin 1809 et obligation même notaire le 19 mai 1810, inventaire partage, cession et obligation devant ledit notaire le 19 mai 1810
à Me Bloechel – déclaration de command du 7 juin, déclare avoir enchéri pour Jean Frédéric Schaaf baquetier
Cette maison est sise à Strasbourg grand rue n° 30, d’un côté celle du Sr Grimm boulanger n° 29, d’autre celle de Valentin Ihlé frippier par devant la grande rue
(description) Elle est construite en pierres sur la façade de devant et couverte en tuiles, elle consiste en rez de chaussée et trois étages, cave et grenier en outre un bâtiment latéral contigu à la maison du devant, ce dernier bâtiment consiste également en rez de chaussée, trois étages et grenier, une petite cour se trouve au milieu et une pompe dans la cour, les bâtiments à l’exception de la façade de devant sont construits en bois de charpente et pierre, le rez de chaussée de devant consiste en une boutique, et un attelier de taillandier. L’attelier est dans la cour. La maison a son entrée dans la grande rue par deux portes, chaque étage consiste en deux pièces, l’une sur le devant et l’autre dans la cour et une cuisine, les pièces sur le devant ont vue dans la grand rue par deux croisées chacune et les autres dans la cour. Le rez de chaussée a vue dans la même rue par une croisés, le rez de chaussée dans la maison latérale forme les parles* ledit nnelaier* un bucher. Chaque étage a vue par deux croisées dans la cour et consiste en deux petites chambres, le tout d’une contenance superficielle d’environ 3 ares – fait le 24 janvier 1820
Adjudication préparatoire le 29 mars criée 10.000 francs, sans mise
Adjudication définitive le 7 juin, pour 10.000 francs

Fils de tonnelier, Jean Frédéric Schaaff épouse en 1790 Marie Salomé Koch, fille de Jean Gautier Koch (sœur du précédent propriétaire) : contrat de mariage, célébration
1790 (18.9.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 44
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Vorachtbare H. Johann Friderich Schaaff, lediger Kübler Meister, weil. des Ehren und Wohlvorgeachten H Lucas Schaaff gewesenen Kübler meisters und burgers dahier mit der Ehren und tugendbegabten Fraun Susanna Dorothea geborner Barbeneßin ehelich erzeugt nachgelaßener Großjähriger Sohn, als Hochzeiter ane Einem,
So dannn die Ehren: und Tugendsame Jungfrau Maria Salome Kochin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Johann Walther Koch, Bohrenmacher Meisters und burgers dahier mit weil. der Ehren und tugendbegabten Fraun Maria Salome geborner Weißin ehelich erziehlt annoch minderjährige Tochter beiständlichen erstgedachten ihres H. Vatters mit beÿstand H. Johann Martin Weiß Kunsterfahrenen Kupferstechers und burgers dahier, Ihres H. Vogts als Junger Hochzeiterin am andern Theil
Fünfftens, so hat des H. Hochzeiters Frau Mutter Anfangs gedachte Frau Susanna Dorothea Schaaffin geborne Barbeneßin Wittib beiständlich sie hernach gemelt Ihme Hochzeiter, dero geliebter Sohn, hiemit als ein wahren Eigenthum verstorbenrieben cedirt und überlaßen Ihre alhier Zu Straßburg ane dem Golsgiesen einseit neben H. Rimbach (…)
Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1790. [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 10)
Im Jahr 1790 Montag den 1. Novembris sind (…) copulirt worden Herr Johann Friedrich Schaaff, der ledige Kübler und Burger allhier,32. Jahr alt weiland Herrn Johann Lucas Schaaff gewesenen Küblers und burgers allhier mit Frau Susanna Dorothea gebohrner Barbeneßin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kochin 19 Jahr alt Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Weisin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin (i 39)

Jean Frédéric Schaaff meurt en 1835

1836 (12.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Schaaf, baquetier, décédé le 17 décembre dernier – à la requête de Marie Salomé Koch, cette dernière donataire, 2. Salomé Schaaf femme de séparée quant aux biens de Charles Stahl, marchand de bois, 3. Dorothée Schaaf épouse de Chrétien Ott, tanneur
maison à Strasbourg et terres à Westhoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 25-v du 22.4.

Lors du partage des biens, la maison Grand rue renvient à Dorothée Schaaff, femme du tanneur Chrétien Ott

1846 (14.2.), Me Grimmer
Partage des successions et communauté de Jean Frédéric Schaaff Marie Salomé Koch – entre 1. Marie Salomé Schaaff femme séparée de biens de Charles Frédéric Stahl, ancien marchand de bois de construction hors la porte de l’hôpital de Strasbourg, le Sr Stahl aujourd’hui interdit suivant jugement en date du 15 juin 1845 et 2. Dorothée Schaaff épouse de Chrétien Ott, marchand tanneur à Strasbourg, les deux seuls héritières pour moitié de Jean Frédéric Schaaff propriétaire et de Marie Salomé Koch vivants conjoints à Strasbourg leurs père et mère, le Sr Schaaff décédé à Strasbourg le 17 décembre 1835 la De Schaaff née Koch le 4 août 1845

Dans la succession de la De Schaaff sont comprises diverses créances et rentes emphytéotiques, lesquelles rentes sont capitalisées au denier vingt
Attribution. Premier lot à la De Stahl – 1) Une maison à Strasbourg rue d’Or estimée 13.000 francs
2) une autre dite rue N° 6 estimée 11.000 francs
3) Une créances de 2000
4) la rente emphytéotique due par Jean Michel Pfister cultivateur à Willgottheim due suivant titre nouvel reçu Stumpff notaire à Willgottheim le 31 octobre 1845 en capital 8023
5) une autre rente due par Laurent Dossmann et Thérèse Huss conjoints à Willgottheim en vertu d’un titre nouvel reçu dudit Nre. le 11 novembre 1823, en capital 1210
6) Une autre rente due par Laurent Velten cultivateur à Schersheim due suivant titre nouvel reçu Wilhelm notaire à Truchtersheim le 23 août 1823, en capital 1210
7) une créance de 3500 francs due par Marguerite Madeleine Dessecker femme de Jean Gaspard Stamm drapier à Strasbourg en vertu d’un titre nouvel reçu Grimmer le 5 août 1841
8) 12 ares 20 ca vignes ban de Westhoffen canton Brent, 600
9) 12 ares 20 ca vignes canton dit Ablech dit ban, 600
10) 74 ares 30 ca verger dit ban canton Vitten, 600
11) 15 ares verger dit ban canton beim Pferch 300
12) 2 ha 25 ares 90 ca broussailles canton Seelenberg 3000
13) 1 ha 14 a 9 ca broussailles dit ban canton Bogelsholtz 1800, Total 47.722
Deuxième lot attribué à la De Ott 1) Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30 évaluée à 18.000 francs
2) Une rente emphytéotique due par Jacques Wurm fils cultivateur et Hélène Wurm conjoints à Griesheim due suivant titre nouvel reçu Ritlen le 5 juillet 1833, en capital 14.444.
3) une créance de 1952 francs due par Jacques Braun cultivateur à Dingsheim suivant obligation reçue Wengler le 2 avril 1809
4) Une créance de 4500 francs due par Jacques Giess ancien maire à Oberschaffolsheim suivant acte de vente reçu Ritleng le 24 août 1837
5) un ha 50 ares de terres ban de Kutzenhausen évalué 7928, Total 46.905 francs
Immeubles restés en indivision 1) un étal de boucher à Strasbourg Grande boucherie
2) Une maison à Westhoffen rue Erhardsgass n° 27 & 28
3) 6 ares 40 ca de vignes bande Westhoffen im Ritz
4) 15 ares terres dit ban canton Wassenloch
5) 15 ares prés ban de Strasbourg im Schlutfeld
6) 7 ha 25 ares terres et prés ban d’Offenheim
7) 6 ha 50 ares de terres et prés ban de Fridolsheim
8) 3 ha 45 ares de terres et prés ban de Kienheim
acp 345 (3 Q 30 060) f° 34-v du 17.2.

Chrétien Ott épouse Dorothée Schaaff en 1820
1820 (20.6.), Strasbourg 8 (30), Me Roessel n° 7228
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Chrétien Ott, marchand de cuirs, fils majeur de Jean Jacques Ott, marchand de cuirs, et de Catherine Marguerite Boesswillwald
Dorothée Schaaff, fille majeure de Jean Frédéric Schaaff, propriétaire, et de Marie Salomé Koch
Enreg. 148 f° 7 du 21.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1820 (29.11.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7519
Inventaire des apports de Chrétien Ott, marchand de cuirs, et de Dorothée Schaff, suivant contrat de mariage reçu Roessel le 20 juin courant
le mari 9508 fr, la femme 8338 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 150 F° 41 du 30.11.

1857 (8.8.), Me Grimmer
Consentement par Dorothée Schaaf épouse Chrétien Ott propriétaire à Strasbourg au mariage de sa fille Elise Ott avec Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg
acp 462 (3 Q 30 177) f° 34-v du 10.8.

Dorothée Schaaff meurt en 1858 en délaissant six enfants

1859 (20.4.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Chrétien Ott, propriétaire à Strasbourg, et Dorothée Schaaf sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 4 novembre 1858, dressé à la requête I. du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Roessel père le 20 juin 1820, 2) comme père et tuteur de Marie et Valérie Ott, II. Gustave Ott, fabricant à Barr, III. Amélie Ott épouse de Charles Théodore Fuchs, pasteur à Strasbourg, IV Eugénie Ott épouse de Charles Auguste Schoop, architecte, V. Elise Ott épouse de Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg

acp 478 (3 Q 30 193) f° 25 du 27.4. (succession déclarée le 3 mai 1859)
Communauté, mobilier 6185, argent 900, créances 66.175
15 ares 30 de vignes à Westhoffen
Succession. Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30
½ d’un étal de boucher Grandes boucheries
deux maisons à Westhoffen
reprises de la défunte 56.605, reprises du veuf 9500



3, rue de la Croix


Rue de la Croix n° 3 – VI 359 (Blondel), partie de O 517 puis de section 24 parcelle 30 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Adam Frantz vers 1751 – Pierre Rielle baron de Schauenburg, vers 1830 – Détruit en 1945


Les bâtiments au crépi jaune et blanc occupent la place des anciens 1, 3 et 5 rue de la Croix
Au milieu de l’image, entrée de la rue de la Croix dans la rue des Veaux
Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)

La maison est la deuxième des trois à border le long de la rue de la Croix les bâtiments de la fondation Hartlieb dite Kurtzlieb donnant rue des Veaux. Elle appartient au début du XVII° siècle au mesureur de grains Thomas Mehl puis revient au chapitre Saint-Etienne sans doute par adjudication judiciaire. Le charretier André Wolff en est propriétaire pendant vingt ans. Elle est acquise à cinq reprises par des manants jusqu’à la Révolution. La commission qui se rend sur place en 1719 pour autoriser la vente au manant François Michot constate que la maison comprend une petite cave, un vestibule, un poêle, deux chambres et un petit grenier. Le billet qui estime en 1746 la maison 400 florins semble décrire le même bâtiment dont les greniers ne sont pas dallés et le pignon de droite est fermé de planches. Le billet d’estimation de 1761 qui évalue la maison 650 florins mentionne deux poêles, deux cuisines, deux chambres, ce qui semble indiquer qu’elle a été transformée par son propriétaire, le cordonnier Jean Adam Frantz, lequel habite non pas sur place mais à la Krutenau.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 205 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois avec deux avances. Déjà propriétaire de la maison Hartlieb dite Kurtzlieb, Pierre Rielle de Schauenburg acquiert en 1830 la voisine rue de la Croix pour la réunir à la sienne. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (plan de l’îlot), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (b) : fenêtre et porte d’entrée, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes, comme les deux maisons voisines. Il s’agit manifestement de bâtiments récents reconstruits après l’achat par le baron de Schauenburg
La maison porte d’abord le n° 2 (1784-1857) puis le n° 3. La maison suit la destinée du 9, rue des Veaux depuis 1830.

juin 2019

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1614 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Thomas Mehl, mesureur de grains, et Ursule – luthériens
v. 1640 adj chapitre Saint-Etienne
1644 v Conrad Meyer, receveur du chapitre Saint-Etienne, et (1614) Salomé Meyer – luthériens
1647 v André Wolff, charretier, et (1632) Marguerite Bürt, auparavant (1623) femme du remueur de grains Christophe Schœffler – luthériens
1667 h Jean Schæffler, tisserand, et (1666) Euphrosine Schiffler – luthériens
1671 v Anne Elisabeth, veuve du maître d’école Sébastien Teutschmann à Bouxwiller (manante)
1672 v Jean Frédéric Weiss, tourneur, et (1668) Elisabeth Hatt – luthériens
v 1687 (adj) Jean Baldner, secrétaire puis receveur, et (1638) Madeleine Gambs, (1646) Anne Marguerite Camel puis (1667) Anne Catherine Orth, veuve du docteur en médecine Paul Sebitzius – luthériens
v 1687 h Daniel Burger, marchand, et (1689) Marguerite Madeleine Baldner – luthériens
1707 v Jean Philippe Giess, marchand de futaine, et (1705) Anne Marie Münchmeyer – luthériens
1719 v François Michot, serrurier, et (1695) Marguerite Gassmann puis (1709) Susanne Weyer – catholiques (manants)
1758 h Jean Adam Frantz, cordonnier, et (1733) Marie Susanne Michot puis (1766) Marie Salomé Riebel, d’abord (v. 1720) femme de Thomas Frédéric Rudolff puis (v. 1725) Thomas Frantz – catholiques
1767 v Jean Pierre Scharp, charpentier, et (1736) Madeleine Mannhard, remariée (1768) avec le charpentier Jean Philippe Schneider, veuf de Marie Madeleine Neuheussler – catholiques
1773 v Jean Dossmann, compagnon tailleur de pierres, et (1772) Catherine Graff remariée (1776) avec Nicolas Chouleur – catholiques (manants)
1773 v François Joseph Reihing, cordonnier, et (1752) Marie Madeleine Carl veuve du cordonnier Joseph Keller – catholiques
1775 v Jean Jacques Sarger, charretier, et (1765) Anne Marie Wurth – catholiques (manants)
1797 adj Antoine Eiter, compagnon maçon, et (1775) Marie Kuntz puis (1796) Marie Agathe Graff – catholiques (manants)
1810 v Georges Henri Lœwenstein, cordonnier puis marchand de sel, et (1804) Marie Barbe Müller puis (1835) Catherine Barbe Eber
1830 v Pierre Rielle baron de Schauenburg, capitaine, député, et (1826) Adèle Dubosque épouse divorcée de Joseph Philippe Elisabeth Louis de Meri (1810)
1903* v Hilaire Benz
1931* Charles Frantz et son épouse née Amrhein
1932* Etienne Vonthron, installateur

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 200 livres en 1746, 325 livres en 1761

(1765, Liste Blondel) VI 359, Sr Frantz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Sarger, 2 toises, 4 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 517, de Schauenbourg, Pierre Rielle, rue des Veaux 5 – maison, sol – 5 ares

Locations

1748, Jean Schimmelpfenning, répétiteur en droit (manant)
1760, Jean Müller, maçon et tailleur de pierres (manant)

1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 86

Anderseit Creützgaß.
Der Große Peter der Kornwerffer hatt vor seinem Hauß 18 ½ schu lang, Oben ein Vsstoß 3 schu herauß, Item mehr über obgemeltem Vsstoß Ein Anderer Vsstoß 2 ½ schu herauß, Und 18 ½ schu lang, Vnden ein steinerin Staffel 8 schu lang und 2 schu 3 Zoll herauß, Soll Allmendt sein und bleiben, Bessert für das Nießen v ß d
[in margine :] Gehördt zum Closter Sanct Steffan

(traduction) Pierre le Grand, remueur de grains, a une maison de 18 ½ pieds de long, en haut un encorbellement en saillie de 3 pieds, item un autre encorbellement au-dessus du précédent en saillie de 2½ pieds et long de 18 ½ pieds, en bas une marche en pierre longue de 8 pieds en saillie de 2 pieds 3 pouces, le tout faisant partie du communal, doit pour la jouissance 5 sols
[in margine :] Appartient au couvent Saint-Etienne

Description de la maison

  • 1746 (billet d’estimation traduit) La maison compend au rez-de-chaussée un vestibule, une petite cave solivée, à l’étage un petit poêle et le vestibule où se trouve le fourneau, le vieux comble où se trouvent des greniers non dallés est couvert de tuiles creuses, il y a deux pignons en bois dont celui de droite est fermé de planches, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 400 florins
  • 1761 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, deux chambres, le comble est couvert en partie de tuiles plates en partie de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 650 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de la Croix

nouveau N° / ancien N° : 14 / 2
Loewenstein
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et 2 avances
(Légende)

Cadastre

Le 3, rue de la Croix fait partie de la même parcelle que le 5 (ensuite 9) rue des Veaux
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 183 case 2

Schauenburg Pierre Rielle propriétaire rue des veaux N° 5

O 517, maison, sol, R. des veaux 5
Contenance : 5,00
Revenu total : 452,60 (452 et 0,60
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 71 / 57
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 23 case 1

Schauenbourg Pierre Rielle, Propriétaire
1900 Bentz Hilarius, Eigenthümer

O 517, maison, sol, Rue des veaux 9
Contenance : 5,00
Revenu total : 452,60 (452 et 0,60
Folio de provenance : (183)
Folio de destination : 23 Vergroeserung
Année d’entrée :
Année de sortie : 1882
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 71
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

O 517, maison
Revenu total : 857,60 (857 et 0,60
Folio de provenance : 23
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1882
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 85 / 68
fenêtres du 3° et au-dessus : 28 / 22

Cadastre allemand, registre 30 p. 315 case 10

Parcelle, section 24, n° 30 – autrefois O 517.p
Canton : Kalbsgase Hs. Nr 9 / Rue des Veaux
Désignation : Hf, Whs e. T. u. NG (Skizze 4, 5), Whs e. a. T (Skizze N°5)
Contenance : 4,99
Revenu : 5500 – 6000
Remarques : 1935, diminut. p. 318. c. 10. c p 319 c 1

(Propriétaire, partie 1), compte 169
Benz Hilarius
1903 Benz Hilarius und Ehefrau i. Gg.
1931 Frantz Charles et son épouse née Amrhein
1932 Vonthron Etienne installateur et son épouse
(4160)

(Propriétaire, partie 2), compte 568
Hotz Karl
1909 Hotz Karl und Ehefrau i. Gg.
1908 Schmitt Joh. Michael u. Ehefrau
1925 Schmitt Ernest épicier
(rayé 1935)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 191 de la Croix (p. 330)

2
Pr. Sarger, Veuve, les Enfans Sous tutelle – Manante
lo. Schaller, Joseph, employé au Directoire – invalide

Registres de population

(1795) 7° section, rue de la Croix N° 2 (registre 600 MW 7) – légende

Denis Boyer, 29, Cordonnier, Broquins, 1794
Susanne Claus, 30, sa femme, Vittenbourg, 1784
Marguerite Claus, 21, Sa sœur, id. 1788
Therese Sargerin, 21, Calendreuse, Strasb.


Relevé d’actes

Le mesureur de grains Thomas Mehl et sa femme Ursule hypothèquent au profit de Wolffgang Harnister la maison chargée d’un capital dû au chapitre Saint-Etienne

1615 (ut spâ [xvij. Augusti]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 378-v
(Inchoat. in Proth. fol. 323.) Erschienen Thomann Mehl der Kornmesser burg. Zu Straßburg vnd Ursula sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn wolffgang harnisters burgers Zu Straßburg – schuldig sigent
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüden gelegen Inn der St. St. Im Creützgäßlin einseit nebent hannß Heinrich dem Nestler vnd andersit nebent Abraham Pfitzer dem Küeffer hinden vff hartlieb kurtzlieb Bapst vonn Bennfelden schaffnern behaußung stoßend, welche behaußung Zuuor noch verhafftet ist für Lxxxx lb d Zue Zielen Zuerlegen, dem Stifft Zu Sant Steffan Zu Straßburg

Le chapitre Saint-Etienne cède en 1644 la même maison en paiement à Conrad Meyer, receveur du même chapitre

1647 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 412
Erschienen d. ehrwürdig- wohlgelehrte H M. Johann Huber Diaconus Zu St. Wilhelm alß Canonicus deß Stiffts St. Stephan alhie, im nahmen der Frawen Äptißin und gantzen Capituli besagt. Stiffts
hatt in gegensein H Conrad Meÿers deß Stifft Schaffners alda
daß Wohlgedachte Fr. Äptißin und Capitul albereit am j. martÿ a° 1644 ihme H Meÿern Zu bezahlung 200. fl. von und ahne 400. fl. Capital wohlermeldts Stifft gedachten H. Meÿern alle Jahr vff den 6. maÿ mit 20. fl. Zu verzinnß. schuldig geweß. ist, vffrecht und redlich cedirt und übergeben habe hauß und hoffstatt im Creützgäßlin neben einer Behaußung damahlß hannß Henrich dem Nestlern ietzt dem Stifft St. Marx gehörig, ein und anderseit damahlß Abraham Pfitzern ietzt hannß Groben dem Küeffern, hind. vff der hartlieb genennt Kurtzlieb Bäpst von Bennfeld. Schaffneÿ stoßend geleg.,
Vnd dann 50. fl. Nachtragß Capital weÿl. Clauß Geÿsers deß Meßer Krämers seel. Behaußung alhie in Krautenaw geleg. und Zum Sternen genannt

Fils du receveur à l’hospice des vérolés, Conrad Meyer épouse en 1614 Salomé Meyer, fille du receveur Jean Enoch Meyer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 12-v, n° 34)
1614. Dominica X. Trinitatis, 28. Augusti. Cunradt Meÿer Capitul Schaffner Zue S. Steffan, weilandt h. Jacob Meÿers seligen Schaffners Im Blotterhauß nachgelaßener Sohn, J Salomé h. Johann Enoch Meÿers Schaffners Zue S Claus in Vndis e. tochter. Eingesegnet vff Zinstag den 20. sep. Zue S. Thomas (i 15. Pas dans le registre de Saint-Thomas)

Les échevins de la Lanterne élisent le receveur Conrad Meyer pour remplacer le défunt Georges Meyer. Le nouvel élu hésite à accepter la fonction. Les Conseillers et les Vingt-et-Un lui demandent de choisir l’une ou l’autre. Il conserve celle de receveur. Les Conseillers et les Vingt-et-Un lui demandent de renoncer aussi au poste à la chambre des Sept.
1644 Conseillers et XXI (1 R 127)
(f° 48-v) Montag d 15. April: – weÿl. Georg Meÿer, Conrad Meÿer, Rathherren stell beÿ der Lucern
d. Oberh. beÿ der Lucern bericht daß die Herren Schöffen beÿ gedachter Zunfft sich hetten heuth diß. morgen beÿsammen gefunden Vnd an deß geweßenen Rathh. weÿl. Georg Meÿer stell einen and. erwöhlet, Vnnd wehre die wahl auff Conradt Meÿer, Schaffnern Zu St Stephan gefallen, der hette sich war anfenglich mitt seinem dienst entschuldiget, Endlich aber d. Rathh. sitz Vbernommen, mit Vermeld daß Er Verhoffe, er werde seine schaffeneÿ neb. dießer Ehrenstell Versh. können.
Erk. Soll per Deputatos Ihme angezeigt werden, daß Er Entwederß seinen dienst oder d. sitz beÿ E. E. Rath quittiren solle.
H XV. Schmidt Vnd H. Kipß

Jetzgedachte H referiren d. sie H. Conradt Meyers Mhh. erkandtnuß angezeiget, der hette nun alsobaldt Vmb erlaßung deß Rathsitzes gebetten. Erk. Ist Ihme wilfarth word. vnd solle Jetzgedacht H. Ihme unterth. d. Er auch deß sitzes beÿ E. E. Sibnergericht erlaß. hiengegen aber soll d. Oberherr ersucht werden die wahl eines and. Rathh. Fürderlich Vorzunemmen.

Accord le chapitre Saint-Etienne cède en 1644 la même maison en paiement à Conrad Meyer entre les mêmes au sujet d’un capital de 200 florins dû à la tribu de la Lanterne

1647 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 413
Erschienen H Conrad Meÿer Stifft Schaffner Zu St Stephan
hatt in gegensein deß Ehrwürdig- wohlgeleht. H. M. Johann Hubers Diaconi Zu St. Wilhelm alß Canonici Zu St Stephan im nahmen der Fr. Äptißin und gantz. Capituli allda
demnach dieselbe ihme ahn dem schuldig geweßenen 400. fl. Capital 200. fl. mit cession einer Behaußung alhier im Creützgäßlin geleg. und 50. fl. Nachtragß Capital vff der Behaußung Zum Sternen in Krautenaw geleg. abgelößt hetten, Vnd aber solche gesampte 400 fl. geg. der Zunfft Zur Lucernen umb 200. fl. verhafftet seÿen, alß gelobte Er H Meÿer innerhalb dem nechsten Monat daß Stifft umb die abgelößte 200. Rfl. allerdingß ohnansprüchig Zu mach. und schadloß Zu halten, und derßelbe beÿ verhafftung seines Gartens alhie in Krautenaw beÿ der herberg Zum Gaul gelegen, so zwar noch umb 100 lib. hannß Georg Schmid. seel. Kindern underpfändet, so aber innerhalb acht tagen auch davon ledig gemacht werden solle
[in margine :] dieweilen E E. Zunfft der Lucern daß hieringemelte Steffansche Capital nunmehr der Vnd.pfands gerechtigkeit entschlagen hatt, so ist auch diße Schadloßhaltung erlöschen und geweste Verschreibung cassirt word. Act. den 27. Octobris A° 1651

Le receveur Conrad Meyer vend la maison 100 livres au charretier André Wolff et à sa femme Marguerite Bürt

1647 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 413-v
Erschienen H Conrad Meÿer Stifft Schaffner Zu St Stephan
hatt in gegensein Andreß Wolffen deß Kärchelziehers und Burgers Zu Straßburg und Margaretha Bürtin, beÿd. Eheleuth mit beÿstand H Samuel Düttlers Specereÿ händlers und Abraham Knoblochß deß Küeffers
hauß und hoffstatt mit allen deren gebäwen alhie im Creützgäßlin neben einer Behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, ein und anderseit neben hannß Groben dem Küeffern, hind. vff de hartlieb genannt Kurtzlieb Bäpst von Bennfeld. Schaffneÿ stoßend geleg. für freÿ ledig und eig. maß ihme selche Behaußung, vermög der auch heut dato in d. Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter Verschreibung, albereit am j. martÿ a° 1644. von Fr. Äptißin und Capitul deß Stiffts St. Stephan eingeraumbt word. ist – umb 100 Pfund

Fille d’un marchand épicier à Bischheim, Marguerite Wurt épouse en 1623 le remueur de grains Christophe Schœffler. Elle se remarie en 1632 avec le garçon batelier André Wolff, originaire de la Wantzenau. Le pasteur mentionne que le catholique André Wolff a été admis à la Sainte-Cène après avoir reçu une instruction religieuse.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 15, n° 68)
1623. Dom. 7. Trinit. 27. Julÿ. Christoff Schöffler d. Kornwerffer Ulrich Schöffler des Kornwerffers Sohn Vndt Margreth Hans Wurten des Wurtz Krämers Zu Bischen dochter. Eingesegnet Mont. 4. Augusti (i 9)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 35)
1632. Dnica. X. et XI. Trinit 5. et 12. Augusti wolffen Andreß (o * Andreß Wolff) d. Schiffknecht, Wolffen Michels auß der Wantzenaw Sohn, Margaretha Christoph Schäfflers deß Kornwerffers seelig hinderlaßene Wittib Conf. fe* Mont. 13. Aug.
NB. Gemelter Wolffen Andreß ist (als auß der Watzenau bürtig) Papistisches glaubens geweßt, nach dem er aber daß Burgerrecht alhier begehrt, ist er Von Uns dreÿen Kirchendienern Zu St. Wilhelm in Unserer Religion informirt, Vnnd d. H. Abendtmal beÿ Uns Zugebrauchen tüchtig erkandt, Vnd zugelaßen Worden, deßen auch Schrifftliche Urkhundt mitgetheilt worden d. 22. Julÿ. (i 260)

André Wolff devient bourgeois par sa femme veuve de Christophe Schæffel
1632, 4° Livre de bourgeoisie p. 126
Andreß Wolff Auß d. Wantzenauw d. Schiffknecht Empfangt d. Burgerrecht Von seiner haußfrawen weil. Christoph Schäffelß geweßenen kornwerffers vnd Burg. alhier hind.laßene wittib Margaretha genandt vnd wull in den Schüffleüth Zünfftig werden 2.ten August. A° 1632.

André Wolff hypothèque la maison au profit de Sara Biccius. En marge sa femme Marguerite assistée de son fils en premières noces Jean Schæffler se porte co-débitrice.

1660 (30. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 777-v
Erschienen Andreß Wolff der Kärchel Zieher
in gegensein H Johann Caspar Berneggers Registratoris Archivi alß Curatoris Fr. Saræ weÿl. H Gregorÿ Biccÿ V.I.D. Cod. & Feud. Professoris nunmehr seel. nachgelaßener Fr. wittibin – schuldig seÿen 25 Pfund
Unterpfand sein soll hauß und hoffstatt mit ellen deren Gebäwen, Begriffen, Recht. und Zugehördten alhie im Creützgäßlin einseit neben einer Behaußung dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx gehörig, anderseit neben hannß Groben dem Küeffern, hinden vff der hartlieb genannt Kurtzlieb Bäpst von Bennfel. Schaffneÿ stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen Andreß Wolff der Kärchelzieher, Und Margaretha sein eheweib, Und Zwar Sie Margaretha insonderheit mit assistentz H hannß Georg Schneiders und Michael Käsen beder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu Deputirter, wie auch Johann Schäfflers ihres eheleiblich. Sohns, Vnd (…) sich mitschuldnerin der darinn beschriebenen schuld ohnverscheidentlich gemacht, Auch über daß beÿde Eheleuth bekannt, daß Sie, der hierinn gedachten Fr. Creditrici noch ferners 25. lib (…) schuldig seÿen – Mont. den 8. 7.br a° 1662

André Wolff meurt en 1666 en délaissant un fils Etienne et son fils adoptif Jean Schæffler

1666 (3.5.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 2) n° 84
Inventarium vndt beschreibung der Jenigen Haab vndt Nahrung, so weÿlandt der Ehrsame Andres Wolff, geweßener Kärchel Zieher, vndt Margretha Burtin, beede Ehegemächte, vndt burgere alhie Zu Straßburg nun mehr seelige, nach Ihrem, vndt Zwar sein deß Manns den 9.ten Aprilis, der frawen aber den 19. ejusdem dießes 1666.gsten beschehenen tödtlichen ableiben verlaßen, welche vff erfordern vndt begehren Meister Hanß Heinrich Willen, burgers vndt Küffers alhier alß geschwornen vogts Johann Schäfflers, weÿlandt Christoph Schäfflers, geweßenen Kornwerffers vndt burgers Zu ermelten Straßburg seeligen hinterlaßenen ehelichen Sohns, alß welcher, vermög hernach Inserirter Eheberedung §° 2° von dem abgeleibten Andres Wolffen, seinem Stieffvatter an Kindtsstatt angenohmen worden, vnd Stephan Wolffen, erstgemelts Andres Wolffen mit oberwehnter Margaretha Burtin in Zweÿter ehe erzeügten Sohns, beede halb Stieffbrüder, vndt deßer verstorbenen beÿden Eheleuthe hinterplibener Kinder vndt ab intestato Erben, ersucht (…) Actum Donnerstags den 3.ten Maÿ A° 1666.
In einer alhie in der Statt Straßburg vnden am Creuützgäßel geegenen in diße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden wie volgt.
[Acte incomplet]
Verkauff Undt Lohß Register – Actum Freÿtags den 25.ten Maÿ 1666.

Jean Schæffler règle le capital Biccius garanti sur la maison avec l’accord du tuteur d’Etienne Wolff

1667 (20. April), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 246-v
Erschienen Johann Schäffler der leinenweber für sich selbsten an einem
So dann hannß henrich Will der Küeffer alß Vogt Stephan Wolffen sein Schäfflers fratris Vterini am andern theil
Zeigten an, daß Sie beede mit einand. ordentlich abgeredet, solche abrechnung (…) Krafft deren Schäfflern Wolffen 9 fl. 9 ß 6 d /:von der Behaußung unden am Creützgäßlin so Schäffler sampt der darauff hafftend. Bieckisch. Capital beschwärd. und davon hinderständig. Zinnß und Marzahl aus der Erbschafft angenohmen habe:/

Jean Schæffler et Euphrosine vendent la maison 83 livres à la veuve de Sébastien Teutschmann, maître d’école à Bouxwiller, et à sa fille Catherine Barbe, manantes

1671 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 762-v
(Prot. fol. 41.) Erschienen Johann Schäffler der Leinenweber und Euphrosina beÿde Eheleuth
in gegensein Annæ Elisabethæ, weÿl. Sebastian Teutschmanns geweßenen Schulmaysters Zu Buchßweÿler nunmehr seel. nachgelaßene wittibin ([biffé] für sich und ihr dochter Catharina Barbara teutschmännin beeder) Schirms Verwanthin allhier mit beÿstand H. Stephan Gretzingers deß Knöpffmachers – und Zwar uff unserer Gnädig. Herren Rhät und XXI. heut dato ertheilt. Consens Obrigkeitlichen festiglichen gekaufft Zu haben
haus, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. rechten und Gerechtigkeit. alhier im Creutz Gäßlin, einseit neben – anderseit neben einer behaußung dem Allmosen Zu St. Marx gehörig, hinden auch uff eine behaußung gedachtem allmoßen zuständig stoßend gelegen, welche Verkauffte behaußung noch umb 75. lb weÿl. herrn Gregorÿ Biccÿ U.I.D. et Pandectar. Profess. Publ. nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin verhafftet (übernohmen) – umb 13. lb

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à une manante. La commission qui visite la maison constate qu’elle est très délabrée.
1671, Conseillers et XXI (1 R 154)
Johann Schäffler will Sebastian Teutschmanns seine behausung im Creutzgäßel verkauffen. 338. 346.
(p. 338) Sambst. d. 11. Novembris a° 1671. – Johann Schäffler der Leinenweber Vndt burger Alhier, Will Sebastian Teutschmanns tochter einer Schirms Verwanthin Vndt Spitzenmacherin Alhier seine behausung im Creutzgäßel verkauffen, bittet deßwegen per Wilden vmb Obrigkeitliche Permission. Erk. Solle deßwegen bericht eingezogen Werden per H. XV. Fröreisen Et H. J. Ph. Schmidt.

(p 346) Sambst. d. 18. Novembris a° 1671. – Herr XV. Fröreisen vnd Herr Joh. Phil. Schmidt referiren wegen Johann Schäfflers, des Leinenweber vnd burgers Alhier, so seine alhier im Kreutzgäßel gelegene behaußung, an Sebastian Teutschmanns tochter eine Schirms Verwanthin alhier Zu verkauffen Vorhabens, vnd deßwegen vmb Obrigkeitliche Permission gebetten hatt, daß die behaußung sehr schecht vnd bawfällig seÿe vnd der Kauff vmb 176. beschehen seÿe, davon [-] Rthlr auf dem hauß stehen bleiben, der Rest aber baar erlegt werde, daß auch sonsten die Käufferin [p. 347 dont maqnue le haut] Hauß Kauff Obrigkeitlich con[firmirt] Vorig e Herren

Catherine Barbe Teutschmann assistée de sa mère vend la maison 110 livres au tourneur Jean Frédéric Weiss et à sa femme Elisabeth

1672 (12. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 520
(Prot. fol. 43. – 110. lb) Catharina Barbara Teutschmännin mit beÿstand Annæ Elisabethæ Teutschmännin ihrer eheleiblichen Mutter und Caspar Hermanns deß Kürschners burgers alhier
in gegensein Johann Friderich Weißen deß Trähers und Elisabethæ beÿder Eheleuth
hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier im Creützgäßlin neben Sebastian Dauben dem Krempen, anderseit neben einer behaußung dem Allmosen Zu St. Marx gehörig, hinden auch uff berührtes Allmosen stoßend gelegen, welche ietzt Verkauffte Behaußung annoch umb 50. lb weÿl. herren Gregorÿ Biccÿ U.I.D. et Pandect. Profess. publ. nunmehr seel. nachgelaßener fraw Wittibin Verhafftet (übernohmen) – umb 60 pfund

Fils d’huissier à l’université, Jean Frédéric Weiss épouse en 1668 Elisabeth Hatt, fille d’apprêteur de chapeaux
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 279 n° 6)
1668. Dominica Reminisc. et Oculi, seu 16 et 23. Johann Friderich Weiß der Hohldräher, weÿl. M. Johanni Jacobo Weisen gewesenen Pedelli beÿ hiesiger Universitæt ehelich. Sohn, V. Jungfr. Elisabetha Weÿl. Philippi Damian Hatten, gewes, huttstaffierer U. Burger alhie hind. laßene Tochter. Copulirt ad S. Nicol. 24. Febr. post preces Matutinas (i 297)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 179, n° 16) 1668. Dominica Reminiscere 16. Februarÿ. Johann Friderich Weiß der Hohltreher Weÿl. Hn M. Johann Jacob Weißen gewesenen Ober: Pedellen beÿ hiesiger Universität nachgelas. Ehelicher Sohn, Vndt Jfr. Elisabetha Weÿl. Philipp Damian Hatten gewesenen Burgern allhie nachgelaßene Eheliche Tochter. Eingesegnet Zu St Niclaus, Mont. 24. Februarÿ (i 193)

Jean Frédéric Weiss hypothèque la maison au profit du receveur Jean Gaspard Erhard

1672 (28. 9.br.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 618
Erschienen Johann Friderich Weiß der träher
in gegensein herrn Johann Caspar Erhardts Schulschaffners für sein eÿgene person – schuldig seÿe 25. lb., daß Er damit gleiche summ ahn 35. lb Kauffschillingß rest Catharinæ Barbaræ Teutschmannin bezahlen könne
Unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier im Creütz Gäßlin, einseit neben Sebastian Dauben dem Gremp, anderseit neben einer behaußung dem Allmosen Zu St Marx gehörig, hinden auch uff obberührtes Allmosen stoßend gelegen
Dabeÿ geweßen Elisabetha deß Schuldners Eheweib.

La maison appartient ensuite au receveur de Saint-Etienne Jean Baldner. Employé à la Chancellerie, il épouse en 1638 Madeleine Gambs, fille d’un employé à la Halle, en 1646 Anne Marguerite Camel, fille du receveur au Bruderhoff. Devenu secrétaire en chef à la Tour aux Deniers, il épouse en troisièmes noces en 1667 Anne Catherine Orth, veuve du docteur en médecine Paul Sebitzius

Mariage, cathédrale (luth. p. 416)
1638 2. 10.bris Dominica I. Adventus, H. Johannes Baldtner Cantzleÿ Verwandter, H. Hans Baldtner des Instrumentisten Vnndt Burgers alhie e. sohn, Vndt J. Magdalena h. Pauli Gambsen des Kaufhauß beampten eheliche tochter. Eingesegnet, Zinst. 11. 10.bris (i 213)

Mariage, cathédrale (luth. p. 502-v)
1646. Domin: 26. Trinitatis. H. Johannes Baldtner der Cancelleÿ Verwandte vnd Burger allhie, Vnd J: Anna Margreth. H. Frantz Camelen Schaffners im Bruderhoff eheliche Tochter. Im Münster, zinst. 1. Dec. (i 317)

Mariage, cathédrale (luth. f° 90-v n° 29)
1667. Dom: post Trin. Zum 2. mahl Hr Johann Baldner, Oberschreiber hiesiger Pfenningthurns, Fr. Anna Catharina h. Paul Sebitzÿ gewesenen Doct: Med: nachgelaß. Witib. Donnerstags den 4. Julÿ. Münster (i 93)

La maison revient à ses deux filles, Marie Elisabeth qui mourra célibataire (voir ci-dessous) et Marguerite Madeleine qui épouse en 1689 le marchand Daniel Burger, originaire de Colmar

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 164-v)
1689. Zum II mahl hr. Daniel Burger, handelßmann, hn Martin Burgers E E Raths u. handelßmanns zu Colmar ehel. S. Jfr. Margaretha Magdalena Weiland h. Johann Baldners geweßenen Oberschreibers gemeiner Stadt Pfenningthurn u. (Burgers) nachfel: T. Mittw. den 20.ten Aprilis N. Kirch (i 179)

Daniel Burger devient bourgeois trois mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 556
H. Daniel Burger der handelsmann Von Colmar gebürtig H: Martin burgers des handelsmanns Vnd E.E. Raths daselbst Ehl: Sohn, empfangt des burgerrecht Von fr: Margaretha Magdalena Baldnerin, deßen haußfraw, p. 2. Gold fl. 16. ß. welche Er bereits beÿ erhebung der hochzeit ordnung erlegt hat, ist Zuvor ledig. standts geweßen Und will beÿ E: E: Zunfft der Spiegler dienen. Jur: den 25. Julÿ 1689

Daniel Burger sollicite le remboursement d’un capital de mille florins qui appartient à sa femme pour financer son commerce.
1690, Conseillers et XXI (1 R 173)
(f° 59) den 4.ten Februarÿ – Daniel Burger handelsmann und burger alhier übergibt Künasten memoriale, undt bittet umb ablößung Eines Saltz cassa capitals von 1000 fl. in aô 1676 von H Johann Philipp Ursino seiner Jetzmahlig. haußfrau vogt angelegt, weilen Er vor dießes mahl Eines stucks gelts Zu seiner handtierung benöthigt seÿe Erkandt, Bedacht.
H. XV Brandt, Rathh. Mollinger

Etat du mobilier qui appartient à Marie Elisabeth Baldner
1698 (10.6.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 43) n° 416
Designatio der Jenig. Mobilien, welche Jfr. Mariæ Elisabethæ Baldnerin gehörig und von herrn Daniel Burgern dem handelsmann und b. allhier, dero geordnetem Vogten, herrn Johann Friderich Zeÿßolffen, auch handelsmann und burgern allhier dero herrn Schwagern nach deme Sie sich Zu demselben in deßen Logiament begeben, in beÿsein herrn Johann Jacob Grienwaldts Notarÿ jurati Zugeschicket werden – den 10. Junÿ A° 1698

Le notaire Elie Winckler dresse l’inventaire après décès de Marie Elisabeth Baldner (non conservé). Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 7 200 florins
1700, Livres de la Taille (VII 1173) f° 100-v
(Spiegel Vogteÿen, Daniel Burger Vogt, N° 336) Weÿl: Jungfr: Mariæ Elisabethæ Baldnerin, auch weÿl. Herrn Johann Baldners deß geweßenen Oberschreibers deß allhiesigen Pfenningthurns, hinterlaßene tochter Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Winckler.
die Beschluß Summa Inventarÿ ist fol: 84.b 3618. lb 19 ß 8 ¼ d, die thun 7200. fl., dieselbe Verstallte 6700 fl. und also 500 fl. Zu Wenig
Extat Kein Stallgelt
Weilen nun die gemelt 500 fl. nicht verstallt worden alß wird davon der Nachtrag gesetzt auf Sieben jahr in duplo à 1 lb 10 ß – 10 lb 10 ß
Item in simplo auf fünff jahren macht à 15 ß – 3 lb 15 ß
Sie dann thun die Gebott und Abhandlung 5 lb 13 ß 10 d, Summa 19 lb 18 ß 10 b
dt. Jan: 1701
[in fine :] Von Obgemelter Verstorbenenn Jungfrauen gehabten Waltherin Verschafftem legat d.a br. D. 10. ß Zahlte dieselbe weilen Sie fremd. ane Abzug 6 lb. 5. ß – dt. 28. febr: 1701

Marguerite Madeleine Burger meurt en 1712 en délaissant quatre filles. L’inventaire dressé dans sa maison rue du Maroquin cite pour mémoire la maison rue de la Croix que la défunte a héritée pour moitié de sa sœur et qu’elle a vendue en 1707 à Jean Philippe Giess. La masse propre aux héritiers s’élève à 7 073 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 236 livres, le passif à 7 124 livres
1713 (20.4.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 36) n° 11
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendreichen frawen Margarethæ Magdalenæ gebohrner Baldnerin, Herrn Daniel Burgers Handelßmanns Und burgers allhier zu Straßburg, geweßener Ehelicher haußfrawen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713. – nach Ihrem den 12. Februarÿ Vorabgewichenen 1712. Jahrs genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern Vnd begehren, deß Hoch Edel Vest fromb fürsichtig vnd Hochweißen herrn Daniel Andreæ Königs, deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehen hochansehnlichen beÿsitzers, als geordnet und geschworenen Curatoris 1. Jgr. Mariæ Margarethæ, 2. Jfr. Annæ Magdalenæ, 3. Mariæ Elisabethæ und 4. Mariæ Salome der Burgerin, aller Vier der abgeleibten frawen seel. mit Vorgemeltem Ihrem Hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeügter Kindern vnd zu vier gleichen portionen Vnd antheilen ab intestato nachgelaßener rechtsmäßigen Erben, Vorgenommen ersucht und inventirt, durch obgedachte Jfr Mariam Margaretham v. Jfr. Annam Magdalenam Burgerin die beede älteste döchter /:weilen sich der Wittiber Kurtz Verrückter Zeit Von hier absentirt:/ (geäugt und gezeigt) – Actum Donnerstags den 20. Aprilis A° 1713.
Copia der Heürtaths Verschreibung, pge. in Prot: C fol. 908-b et seqq.

In einer alhier Zu Straßburg ae St Urbans gaß gelegener Vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie Volgt.
Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießen gemachen, In der Cammer C, In deß officiers Stub, In der Cammer D, In der obern Stuben, In der stub Cammer, Im Haußöhren, Im Hindem Stübel,In der Undern Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im Laden, Im Haußöhren, In der Küchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt v höfflein anne der Kurbengaß (…)
(f° 28) Ergäntzung der Erben unveränderten Gutts, Vermöh einer durch Herrn Johann Reinhard Langen Notm. den 23. Febr. A° 1689. Auffgerichteten Designation des Jenigen Mobilien Silber v. Golds welches der Verstorbenen Frawen seel. von denen Mütterlichen und von Frauwn Jacobe Erhardin ererbten Mittlen Zum halben theil gefallen
(f° 33) Ane Eigenthumb einer Behaußung. Item ist die fol: 66.b et 67. beschriebene alte bawfällige behaußung v. hoffstatt allhier Zu Straßburg in dem Creütz Gäßlein Gelegen, woran die helffte der frawen seel. von dero Geliebten Eltern Gebührig war, die übrige helffte aber dieselbe von Obberührter Jgfr. Maria Elisabetha Baldnerin dero Schwester seel. ererbt, den 3. Maÿ A° 1707. An Johann Philipp Gÿßen den Barchetkrähmer verkaufft worden pro 400 fl. thut so Zuergäntzen 200 lb
(f° 36) Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 85, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Guldenen Ring v. Geschmeids 41, Sa. Frucht Gülten von Ligeden Güttern fallend 215, Sa. Weinzinnßes 100, Sa. Schuld 105, Sa. Ergäntzungs Rest 6520, Summa summarum 7073 lb
Dießem nach wird auch das Gemein Verändert vnd theilbar Gutt beschrieben, Sa. haußraths 231, Sa. Wahren Zur Handlung gehörig 48, Sa. Leeren Vaß 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 156, Sa. guldener Ring 71, Sa. der baarschafft 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 714, Summa summarum 1236 lb – Schulden 7124 lb, Übertreffen (…) umb 6888 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1185 lb – Sa. ungewiß vnd für verlohren geachten Schulden u das Erb Zugeltend 132 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la défunte n’a pas acquitté la taille des trois derniers exercices. Les préposés de la Taille ramènent la somme à payer de 53 à 18 livres
1713, Livres de la Taille (VII 1175) f° 26-v
(Spiegel, F. N° 1047) Weÿl. Frauen Margarethæ Magdalenæ gebohrner Baldnerin, Hn Daniel Burgers, Handelßmanns und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang sen.
Concl. fin. Inv. ist fol. 120-b, 1185. lb 16 ß 6 d, die machen 2300. fl. derselbe verstallte hingegen 10.600 fl.
Extant die Stallgeltter pro 1711, 1712 et 1713 mit 51 lb 15 ß
Gebott, 3 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 7 ß 6 d, Summa 53 lb 5 ß 10 d
Zufolg Erkantnus der Obern Stall Herren vom 23. Novembr 1713. seind dieße Extanzen auff ein Stallgeltt neben erlegung der Gebott und abhandlungs gebühr zu bezahlen, moderirt worden macht 18. lb 15 ß 10 d
dt. 25° Novembr 1713.

Daniel Burger meurt en 1721. La fille aînée renonce à la succession au profit de ses trois sœurs. L’inventaire est dressé rue des Hallebardes dans la maison du consul Kœnig. L’actif s’élève à 101 livres, le passif à 520 livres
1721 (4. 9.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 3) n° 33
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weÿl. Herr Daniel Burger geweßener Handelsmann allhier, letstermahlen in dem hornwerck Kehl sich auffhaltend, nach deme derselbe den 22.ten Septembris dießes lauffenden Jahrs Von dem lieben Gott aus dießer welt seelig abgefordert word. Zeitlichen hinder verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des hoch Edel Gestreng, Fürsichtig und hochweißen herrn Daniel Andreæ Königs höchst Verdienten alten Ammeisters und dreÿ Zehners des beständigen Geheimen Regiments allhier, als hochverordneten herrn Curatoris frauen Mariæ Margarethæ gebohreer Burgerin, herrn M. Johann Philipp Lobsteins, wohlmeritirten Inspectoris undt Pfarrherrn Zu Oberbronn, frauen Eheliebstin, Mehr Jungfrauen Mariæ Elisabethæ und Jungfrauen Mariæ Salome Burgerin, aller dreÿ des Verstorbenen seel. ehelich erziehlter Töchtere, alß welche dreÿ ins gemein, ohne Zuthun frauen Annæ Magdalenæ Lowin gebohrner Burgerin, Herrn Sebastian Lowen Zu Maintz frawen Ehegattin Ihrer Vierten Schwester obgedachter Ihrem Vattern seel. in Anno 1715. auß Ihren eigenen Mittlen 300 Gulden baar vorgestreckt, umb solche, weilen deßen Nahrung annoch mit mehreren passivis beladen, Zu salviren, inventirt (…) So beschehen in Straßburg den 4.ten Novembris Anno 1721.
In hievorn hoch Edelgedachten Herrn Ammeister Königs behaußung ane der Fladergaß allhier gelegen auffgenommen worden wie folgt.
Summa gesambtes Activ Verlaßenschafft 101 lb – Passiv Schulden 520, In Vergleichung 418 lb

Marguerite Baldner femme du marchand Daniel Burger vend la maison 200 livres au marchand de futaine Jean Philippe Giess

1707 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 303-v
(200) fr: Marg: geb. Baldnerin H. Daniel Burgers handelsmanns haußfrau
in gegensein Joh: Philipp Gieß Barchethändlers
hauß u. hoffstatt mit allen & allhier im Creutzgässlein, einseit neben Thomas Weber tabacbereither, anderseit neben Joh: Bohre schneider hinten auf daß Stiffts Hartlieb Kurtzlieb genant Schaffneÿ stoßend – um 200 pfund

Fils de marchand de futaine, Jean Philippe Giess épouse en 1705 Anne Marie Münchmeyer, fille de maçon : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Philipp Gießen dem leedigen Barchet händlern, weÿl. deß wohl Ehren vest und großachtbahren Herrn Joh: Philipp Geißen auch geweßenen barchethändlers und burgers Zu Straßburg nunmehro seeligen Hinderlaßenem Ehelich erzeugtem Sohn, als Hochzeitern an einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jfr. Anna Maria Münchmeÿerin, weÿl. deß Ehren und vorgeachten Hn Johann Ulrich Münchmeÿers, geweßenen Maurers und Steinhauers burgers Zu gedachtem Straßburg nunmehro auh seeligen hinderlaßene ehelich erziehlter tochter als Hochzeiterin am andern theil – So beschehen und verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßb. den 10. Aprilis in dem Jahr als man Zahlte 1705. Johann Friderich Schatz Notarius publicus juratus

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 128)
1705. Dominica Jubilate et Cantate proclamati sunt Johann Philipp Gÿß der Barchetkrämer allhier, weÿl. Johann Philipp Gÿßen deß gewesenen Barchetkrämers und Burgers allhier nachgelaßener Ehl. Sohn, und Anna Maria weÿl. Johann Ulrich Münchmeÿer gewesenen Mawrers und Burgers allhier nachgelaßene Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13.t Maÿ [unterzeichnet] Johann Pillipp Gieß als Hoch Zeiter, x der hochzeiterin beÿ Zeich. [in margine :] † 26. 8.br 1726, † Donnerst. d. 6. Xbr. 1753 (i 134)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 35 livres, ceux de la femme à 416 livres.
1705 (27.7.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 6)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehren und vorgeachte Herr Johann Philipp Gieß, der Barchethändler und die Viel Ehren und Tugendsahme fraw Anna Maria gebohrne Münchmeÿerin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander mit in die Ehe gebracht, welche Crafft Zwischen Ihnen auffgerichteter Eheberedung vor ohnverändert vorbehalten und reservirt gut sein und bleiben solle (…) Geschehen Straßburg den 27.ten Julÿ 1705. in beÿsein H. Joh: Conrad Rauschert deß nestlers, deß Manns annoch ohnentledigten Vogts vnd H Johann Gollen deß Schneiders der frawen leiblich Schwagers alß desselben beÿstand.
Summaria deß Manns, haußrath 34, Silbergeschmeid 1, S. S. 35 lb
der frawen, hausrath 146, Silber 17, Goldring 21, baarschafft 230, S. S. 416 lb

Jean Philippe Giess et Anne Marie Münchmeyer hypothèquent la maison au profit du tanneur Christophe Rœderer

1717 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 189
Joh: Philipp Gieß barchethändler und Anna Maria geb. Mülchmeÿerin beÿständlich Joh: Goll schneiders und Dieboldt von Friedolßheim
in gegensein Christoph Röderer rothgerbers alß vogt Leopardischer KK – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier im creutzgäßel, einseit neben Thomas Weber anderseit neben Joh: Port hinten auff d. Stift hartlieb Kurtzlieb

Les marchands de futaine Benjamin Frantz et Jean Philippe Giess passent une obligation commune au profit du préteur royal Jean Baptiste de Klinglin. Jean Philippe Giess et Marie Münchmeyer hypothèquent leur maison rue de la Croix

1717 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 277-v
Benjamin Frantz barchethändler und Anna Christina geb. Lochmännin beÿständlich Wolfgang Sebastian Gerlach handelsmann und Johann Philipp Bär huetstraffirers, Item Johann Philipp Gieß barchethändler und Anna Maria geb. Milchmeÿerin seine hausfrau und zwar dieß auch beÿständlich Johann Goll schneiders und Johann Wöhrle maurers
in gegensein Sal: Tit: herren Johann Baptistæ von Klinglin Königlichen Raths und Praetoris Regii allhier
demnach die bede Frantzische und Gießische Ehepaar die Mohrische beede häußer allhier ahm untern Fischmarckt einseit ein eck anderseit neben der Zunft stueb zuer Möhrin hinten auf Paul Würtzen schreiners Erben stoßend gelegen ohn längst beÿ der Gant übernommen, welche häußer hoch Edelgeachem herren Praetori vermög zweÿer C. Contract verschreibungen respective vom 17. Aprilis. und 10. Septembris im jahr 1704 in summa umb 750 pfund capital verhafftet seÿen
ferners in specie unterpfandts seÿn solle sein Gießen hauß c. appert: im Creutzgässel einseit neben Thomæ Weber anderseit neben Joh: Port schneider hinten auff ein Stiftshauß

Jean Philippe Giess meurt en 1726 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. La masse propre à la veuve est de 365 livres, celle des héritiers de 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 918 livres et le passif à 2 938 livres
1727 (23.4.), Not. Marbach (Jean, 34 Not 3) n° 109
Inventarium über Weÿl. deß Ehren wohlvorgeachten H. Joh: Philipp Gießen, geweßenen barchethändlers und burgers allhier zu Straßburg nunmehro Seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1727 – nach Seinem den 26° Octobris hiengelegten 1726. Jahrs aus dießem Jammerthal genommenen tödlichen hientritt Hinder Ihme zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehr und Tugendsamen Frauen Annä Mariä gebohrner Münchmeÿerin beÿständlich des Hoch Ehren Vst und rechtsgelehrten Herrn Johann Thomas Römer berühmten Jurium practici, Ihres geordneten Curatoris (…) Actum angefangen Straßburg Dienstags den 22. deß Monaths Aprilis, vollendet aber den 12.ten Maÿ Anno 1727.
Der Abgeleibte Seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen als volgt. 1. die Ehren und tugendsame Frau Annam Mariam gebohrne Gießin deß Ehren wohlvorgeachten Hn Joh: Georg Schuhlmeisters, deß barchethändlern und burgers allhier Eheliche haußfrau so mit beÿstand gedacht dießer Inventur in Persohn abgewartet, 2.do die Ehr und Tugendsame Jfr. Maria Salome. 17 und ein Halb Jahr alt, 3.tio Joh: Philipp den Handelß Jungen beÿ H Georg Gottfriedt Gambßen dem Handelsmann so 16 Jahr alt, 4. Joh: Daniel Septimæ curiæ Discipulum so 11 jahr alt, In welche dreÿ letzter nahmen, der Ehren wohl vorgeachte H. Johannes Goll, der Schneider und burger allhier dero geordnet und geschworner Vogt dießem Geschäfft in Persohn abgewartet, Alle vier deß verstorbenen mit der hinterlassener Wittib ehelich erziehlt und nach tod verlaßene Kinder, und ab intestato Erben zu gleichen portionen und Antheilen.

In einer allhier in der Statt Straßburg ahne dem Fischmarckt am Stand gäßel gelegenen in die Verlaßenschafft Eigenthümlich gehörigen behaußung, als volgt befunden
Ahne Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Im Thürnel, Ins officiers Knechts Cammer, Im Obern stübel, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im obern Hauß Öhren, In der Küchen, Im hindern Stübel, Im unteren Haußöhren
Eÿgenthumb ahne einer Behaußung (T.) Ein hauß sampt Zugehördten gelegen allhier ane dem Fischmarckt so ein Eckhauß ane dem Standtgäßel (…)
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnverändert Vermögens, Vermög eines über beeder Eheleuthe Zubringende Nahrung von H. Notario Joh: Friderich Schatzen in A° 1705 gefertigten Inventarii (…)
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßb. den 10. Aprilis in dem Jahr ams man Zahlte 1705. Johann Friderich Schatz Notarius publicus juratus
Copia deß zwischen beeden Eheleuthen auffgerichteten Testamenti Reciproci. 1706 (…) den 4. tag deß monathß Januarÿ Abendts zwischen Sechß und Sieben Uhren (…) persönlich kommen und erschienen seÿnd, der Ehren und vorgeachte Herr Johann Philipp Gieß der barchethändler und beneben Ihme die viel Ehr und tugendreiche Frau Anna Maria gebohrne Münchmeÿerin beede Eheleuthe und burger alhier Zu Straßburg, vor den Gnaden Gottes annoch vffrecht, gehend und stehender Leiber (…) Johann Friderich Schatz Notarius publicus juratus
Norma hujus inventarii. Der Kinder vnd Erben ohnverändert Eÿgenthümblich Vermögen, Sa. haußraths 31, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 2, Sa. restirender Ergäntzung 230, Summa summarum 265 lb – Schulden 160, Nach deren Abzug 105 lb
Auff Solches volgt nunauch die beschreibung der Wittib ohnveränderten Eÿgenthümblichen Vermögens, Sa. haußraths 27, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 15, Sa. Ergäntzung 259, Sa. Activorum, Summa summarum 365 lb
Endlichen Kompt auch die beschreibung der Gemeinen, verändert vnd theilbaren Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 90, Sa. Weins vnd Lähren Vaß 34, Sa. Waaren zur Barchet Krämens gehörig 1118, Sa. Silbers 9, Sa. eines goldenen Ringleins 1, Sa. baarschafft 54, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 960, Sa. Activorum 649, Summa summarum 2918 lb – Schulden 2938 lb, Theilbar Schulden Nachstandt 69 lb

Anne Marie Münchmeyer meurt en décembre 1753 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans sa maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. L’actif de la succession s’élève à 2 036 livres, le passif à 1 289 livres
1754 (14.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) n° 561
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren : und tugendgezierten Frauen Annä Mariä Giesin gebohrner Münchmeÿerin, Weÿland des Ehrenvest und Wohlvorachtbaren Herrn Johann Philipp Gießen, des geweßenen barchethändlers und burgers allhier Zu Straßburg längst seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Donnerstags den 6.ten Decembris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs dießes Zeitlichen mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) ingleichem Jungfer Mariam Ester Kiehlin die dienst Magd von hier gebürtig – So geschehen in Straßburg auf Montag den 14.te, Januarÿ Anno 1754.
Die Abgeleibte seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Weÿland Frauen Annä Mariä gebohrner Gießin, mit auch Weÿland herrn Johann Schwingen, dem geweßenen barchethändlers und burgers allhier Ihrem Zweÿten Ehemann beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlte hinterlaßene Tochter Jungfer Mariam Magdalenam Schwingin, deren geschworner Vogt herr Johann Andreas Schwebel der barchethändler und burger allhier, welcher im Nahmen seiner Curandin dem geschäfft in Persohn beÿgewohnt.
2.do Weÿland Frauen Mariä Salome gebohrner Gießin, mit auch Weÿland Herrn Johann Kärcher dem gewesenen barchethändler und burgern allhier, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugten hinterlaßenen Sohn, Herrn Johannem Kärcher, den Ledigen handelsmann welcher annoch bevögtiget mit Herrn Johann Ehrmann dem handelßmann und burgern allhier, mit deßen assistentz derselben in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden, So dann
3.tio Weÿland herrn Johann Philipp Gießen des geweßenen barchethändlers und burgers allhier mit auch weÿland Frauen Sophia Elisabetha gebohrner Späthin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlte hinterlaßene Tochter, Jungfer Sophiam Elisabetham Gießin deren geschwornenr Vogt herr Johann Stephan Späth Cantor und Schuhlmeister beÿ der Evangelischen Kirch Zu St: Wilhelm auch burger allhier deren eheleiblicher Großvatter, welcher im Nahmen solch seiner Enckelin und Curandi in Persohn Zugegen ware, Alßo alle dreÿer der seelig Verstorbenenn mit Eingangs genantem Weÿland herrn Johann Philipp Gieß dem ältern geweßenen barchethändler und burgern allhier längst seeligen ehelich erzeihlte Enckel und ab intestato Zu dreÿen gleichen portionen und Stammtheilen Velaßene Rechtsmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Untern Fisch Marckt gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hierunden eingetragenen behaußung befunden Worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt ane dem Undern Fischmarckt, einseit ist ein Eck ane dem Standtgäßel (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia Codicilli, Copia Dispositionis
Sa. haußraths 121, Sa. Wahren zum Barchet handel gehörig 557, Sa. Silbers 21, Sa. goldenen Ring 12, Sa. baarschafft 195, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 930, Sa. Schulden 197, Summa summarum 2036 lb – Schulden 1289 lb, Detrahendo 747 lb

Jean Philippe Giess et Anne Marie Münchmeyer vendent la maison 375 livres au serrurier manant François Michot et à sa femme Susanne Weyer

1719 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 63-v
(375) Joh. Philipp Gieß barchet krämer und Anna Maria geb. Milchmeÿerin
in gegensein Frantz Michod Schlosser und schirmers und Susannæ geb. Weÿelin
hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten unten im Creutzgäßel, einseit neben Joh. Port dem schneider anderseit neben Thomas Weber dem tabacb: vornen auf die gass hinten auff ein Stiftshauß hartlieb Kurtzlieb genant – um 750 capital verhafftet, geschehen um diese 375 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant. La commission qui se rend sur place constate que la maison qui comprend une petite cave, un vestibule, un poêle, deux chambres et un petit grenier est un petit bâtiment.

1719, Conseillers et XXI (1 R 202)
Johann Philipp Gieß halt an umb Erlaubnuß ein häußlein an François Michaud den Schirmer Zu Verkauffen. 23. 25.
(p. 23) Sambstag d. 4.ten Februarÿ – Lt. Mosseder Nôe Johann Philipp Gießen des Barchetkrämers und burgers allhier Weilen derselbe ein häüßlein in dem Creützgäßlein gelegen an François Michaud den schloßer und Schirmer allhier umb 750 fl. Verkauffen Will, alß bitt unterth. umb dessen gnädige Permission Zumahlen der Käüffer sich in Eure Gnaden burgerrecht begeben Will, Lt Gug nôe Frantz Michaut Consentirt und bitt similiter, ist Erkandt, Werden H. XXI. Nauendorff und H. Rth. Reineri umb den augenschein des Verkauffenden häüßleins Zuforderist einzunehmen und über dessen Zustand nachgehends Zu referiren, Wie auch den Bescheid anzuzeigen abgeordnet.

(p. 25) Montag d. 6. februarÿ – Relation der Herren Deputirten das von François Michaut dem Schirmer erkauffende häüßlein betr.
Herr XXI. Nauendorff und H. Rth. Reineri referiren, daß Sie, der Ihnen d. 4.ten huius auffgetragenen Commission Zufolg das Johann Philipp Gießen zugehörige in dem Creützgäßlein gelegen, und an François Michaud den Schirmer und schloßer allhier verkauffende häüßlein besichtiget und befunden, daß Selbiges in einem Kleinen Keller, Haußehren, Stub, Zweÿen Cammern und einem Bühnlein bestehe, folglichen eine geringe Wohnung seÿe, und der Käüffer sich allen in denen ordnungen enthaltenen oneribus Zu submittiren erbietig seÿe.
Erkandt, Wird dem Imploranten das gemelte Häüßlein François Michaud dem hiesigen Schirmer und Schloßer mit diesem anhang Zu Verkauffen Erlaubt, daß der Käuffer sich allen in denen ordnungen enthaltenen Clausulen und Conditionen sich zu Submittiren solle schuldig seÿn, und werden Vorbenambste Herren Deputirte sowohl den Bescheid anzuzeigen, alß der Verschreibung in der Contract: Stub beÿzuwohnen abgeordnet.

Les experts estiment la maison 200 livres lors de l’inventaire dressé en 1746 après la mort de Jean François Michot. Sa fille unique Marie Susanne en laisse la jouissance viagère à sa mère puis recueille la maison.
Marie Susanne Michot épouse en 1733 le cordonnier Jean Adam Frantz, fils de cordonnier : contrat de mariage, célébration

1733 (27.1.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 702) f° 38
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Mr Adam Frantzen, ledigen Schuemacher und burger alhier Zu Straßb. Weÿl. Mr Andres Frantzen, auch geweßenen Schuemachers und burgers alhier nun seel. hinderlaßener ehel. Sohn, als hochzeittern ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfr. Mariæ Susannæ gebohrner Müschottin des Ehrenachtbaren Frantz Müschotts Schloßers und burgers alhie ehel. dochter als hochzeitterin andern theils
Dienstags d. 27.ten Jan A° 1733 [unterzeichnet] Adam frantz als hochzeiter, Maria Susanna Mischotin Als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 61-v)
Hodie 13 die Aprilis Anni 1733 (…) sacro Matrimonii Vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Adamus Frantz sutor filius defuncti Andreæ Frantz et Maria Susanna Michod filia Francisci Michod fabri ferrarii ambo commorantes in hac parochia (signé) Johann Adam Frantz, Maria Susanna Mischotten (i 67)

Née avant que ses parents ne deviennent bourgeois, la manante Marie Susanne Michot devient bourgeoise par son mari deux mois après son mariage
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 999
Maria Susanna Mischotin Von Hier geb. erhalt d. b: Von ihrem ehemann Johann Adam Frantz b: undt schuem: alhier umb d: alt: b. will beÿ E: E: Zunfft d: schuemach: dienen Prom: 15.ten Junÿ 1733.

Jean Adam Frantz loue la maison au manant Jean Schimmelpfenning, répétiteur en droit

1748 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 122
Johann Adam Frantz der schuhmacher
in gegensein H. Johannes Schimmelpfenning repetitoris jurius und schirmsverwandten [unterzeichnet] Schimmelpfenningh
entlehnt, eine behausung samt deren zugehörden und rechten ane der Creutzgäßlein, einseit neben Frantz Quinchamps dem billardirer, anderseit neben Barbara Bordin, davon nichts ausgenommen – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Jean Adam Frantz et Marie Susanne Michot hypothèquent la maison au profit d’Agnès Leiss, assistée de son frère Jean Louis Leiss, secrétaire auprès du consul régent

1759 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 232-v
Johann Adam Frantz der schuhmacher und Maria Susanna geb. Mischottin mit beÿstand Johannes Paulus des nagelschmidts und Johann Adam Hügeling des haffners
in gegensein Jfr. Agnes Leißin beÿständlich deren bruders H. Johann Ludwig Leiß des jeweiligen regierenden H. Ammeisters secretarÿ – schuldig seÿen 110 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Creutzgäßel, einseit neben ST H. XIII. Nicolai, anderseit neben Georg Schmidt dem kübler, hinten auff ein dem Stifft Hartlieb Kurtzlieb gehöriges hauß

Jean Adam Frantz et Marie Susanne Michot louent la maison au manant Jean Müller, maçon et tailleur de pierres

1760 (3.3.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 86
Johann Adam Frantz der schuhmacher als mandatarius seiner Ehefrau Mariæ Susannæ geb. Mischottin
in gegensein Johannes Müller des maurers und steinhauers auch schirmers
entlehnt, ihre ane dem Creutzgäßlein gelegenen behausung nichts davon ausgenommen, auff 5 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Susanne Michot meurt en 1761 en délaissant cinq enfants dont la cadette meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé dans une maison propre au mari à la Krutenau. Les experts estiment la maison 325 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 432 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 465 livres, le passif à 557 livres

1761 (16. Xbris), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 6) n° 134
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsamen Frauen Susannæ Frantzin gebohrner Michot, M. Joh: Adam Frantzen, des Schuhmachers und burgers allh. gewes. nunmehr seel. Ehefr. Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1761. – nach ihrem d. 23.sten jüngst verwichenen Monats Februarÿ aus dießem Jammervollen Leben genommenen tödl. hintritt hier Zeitl. verlaßen (…) So beschehen zu Straßburg den 16. tag des Monats X.bris 1761.
Denominatio hæredum. Die verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben Verlaßen. 1.mo Susannam Rißin geb. Frantzin, Joseph Rißen des b. und Meelmanns allh. Ehefrau welche unter assistentz ged. ihres Ehemanns dieser Inventario beÿwohnte. 2. Annam Mar. Ackerin geb. Frantzin, Antoni Acker des Weißbeckers und b. alh. Ehefrau so ebenfalls unter assistentz erwehnten ihres Ehemanns diesem Geschäfft abwartete, 3.tio Mariam Dorotheam Frantzin, so 16. Jährig. 4.to Mar. Barbaram Frantzin ætatis 12. 5.to Elisabetham Frantzin welche nach der verstorbenen seel im siebenden Monat ihres alters in die Ewigkeit nachgefolget mithin dem hinterbl. Wber ihr Erbs portion hinterlaßen. In der vorgemelten zweÿ minorennen Nahmen aber H. Johann Paulus der nagelschmid und burger allh. als Theilvogt beÿständl. erschienen, weilen mstr. Antoni Acker ihres geschw. Vogts Ehevögtl. selbst eine ged. Erbin, Alle fünff aber der Verstorbenen seel. mit dem hinterbl. Wber ehel. erzeugter hinterl. KK/
Bericht und Vergleich gegenwärtige Verlaßenschafft betr. Obwohlen in vorher einverleibter Eheberedung § 4.t stipulirt worden, daß jedem deren nunmehro zertrennten Ehegattin Zugebrachte Nahrung vor unverändert vorbehalten seÿn und daß beÿ sich eräugnendem fall abgegangene wieder ergäntzt und ersetzt werden solle, so scheint es dannoch der mangelhaften Effecten halben dißfalls unmögl. zu seÿn, weilen keine Inventatio illatorum vorgenommen word. (…)

In einer allhier Zu Straßburg in der Krautenau gelegener dem Hinterbliebenen Wittiber Eigenthümlich gehörigen behaußung Ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (Wbr) Erstl. eine behaußung und hoffstatt nebst einem Kleinen höfflein mit allen dero & ane der Vorstatt Krautenau alh. 1.s. neben H. Obermeÿer dem daschenmacher, 2.s. neben Mstr. Samuel Kämpfer dem Schneider hinden auf frid. Bronner den Paßmentirer stoßend gelegen, so freÿ leedig und eigen und von der Stadt Straßb. geschw. Werckmeistern vermög dem Concept beÿliegender Abschatzungs Schein d. 12.t Xbr 1761 dem jetzigen werth nach angeschlagen worden vor u. um 400 lb. Hierüber ist nichts schrifft. vorhanden, sondern es hat solches H. Wber gegebenem bericht nach von seiner seel. verstorb. Eltern ererbt, producirte doch end. einen in alh. Cantz. Contract Stuben d. 13. Junii 1698 gefertigten Kauffbrieff mit altem N° 1 signirt, vermög deßen des Hn Wbers seel. verstorbenen Eltern ged. behß. kaufl. an sich gebracht. Item einem ibidem d. 26.t Julÿ 1691. gefertigten Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anh. Sig. verw. und mit alt N° 2 not.
(E) It. eine Behauß etc: alh. im Creutz gäßel 1.s neben H Schafner Beck, 2.s. neben Michel Schmidle dem Kübler hinten auff N. N. stoßend gelegen, so auch freÿ leedig und eigen und vermög den angezog. geschw. Werckmeistere unterm 12.ten Wbr 1761. ausgefertigt. Absch. Schein angeschlagen worden vor 325. lb. Hierüber besagt ein teutscher Pergament. Kaufbrieff in allh. C.C. stub geferttiget und mit dero anh. Secret Ins. verwahrt so datirt d. 16. febr. 1719. mit N°1 notirt. Ferner I dito wie oben dedato 3. Maÿ 1707. ebenfalls mit N°1 not.
(f° 8) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unveränderten Guths, Sa. haußraths 16, Sa. Eigenthums an einer behaußung 325, Sa. activi 75, Sa. Ergäntzungs rests 15, Summa summarum 432 lb
Solchemnach folget auch die beschreibung des Wittibers unverändert und theilbare Nahrung, Sa. Haußraths 46, Sa. Werckzeugs, gemachter, etc. 11, Sa. Weins, Lährer faß und bütten 5, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumbs an j. behaußung 400, Summa summarum 465 lb – Schulden 557 lb, Passiv onus 92 lb – Stall Summ 339 lb
Abschatzung dem 12: Dec: 1761. Auff begehren H: Joh: Adam Frantz des Schuhmachers ist eine behausung Allhier in der Statt Strasburg in der Gutenau Gelegen Einseits Neben Herrn Ober Mair Ander seith Meister Samwell Kempffer Des Schneiders Vnd hienden Auff Friedrich Bruner solche behausung bestet in eüner Schuhmacher Werckstatt Ferner in einer Stuben eine Kuchen Vnd Dreÿ haus Kammeren, dar jber ist der dach Stull mit breitziglein begegt, hat auch ein Getrembten Keller vnd Kleinen Höfflein. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meister Nach Vorher Geschehener Besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb Acht hundert gulden.
Der Zweÿte begriff jst Auch allhier in der Statt Strasburg in dem Creitz Gesell Gelegen Ein seits Neben H: Schaffner becker Anderseits Neben Herren Schmiedt Dem Kiebler Vnd hienden Auff N N: solcher begrief bestet in Zwäÿ Stuben Zwäÿ Kichen und Zwäÿ Kamern dar jber ist der dachstull mit breit und holl Ziglein belegt Hat auch ein Getrembten Keller. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werck Meister, Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt Vnd Angeschlagen Worden Vor und Umb Sechs Hundert Fünffzig Gulden [unterzeichnet] Werner, Huber

1761 (3.1.), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) p. 821
Codicillus – Susanna Frantzin gebohrne Michot herrn Johann Adam Frantzen des Schuhmachers

Jean Adam Frantz se remarie en 1766 avec Marie Salomé Riebel, d’abord (v. 1720) femme de Thomas Frédéric Rudolff puis (v. 1725) Thomas Frantz.
Jean Adam Frantz meurt en 1777 en délaissant quatre filles. L’inventaire est dressé dans une maison qui appartient à la Tour aux Deniers rue Sainte-Catherine. L’actif de la succession s’élève à 30 livres, le passif à 19 livres

1777 (22.1.), Not. Lauth (6 E 41, 647) f° 41-b
Inventarium über Weiland Meister Johann Adam Frantz, des gewesenen Schuhmachers und burgers alhier zu Straßburg, nunmehr seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet im Jahr 1777. – nach seinem den 8.t hujus aus der Welt genommenen tödlichen H hientritt zeitlichen verlaßen hat. (…) So geschehen alhier zu Straßburg Mittwochs den 22.ten Jänner im Jahr 1777.
Des Abgelebten mit auch weil. Fr: Susanna gebohrner Michot seiner geweßten Ehegattin seel. ehelich erzeugte töchter und ohne Testament zu 4 gleichen Erb: Teilen hinterlaßene Erbinnen sind mit Namen 1.mo Frau Maria Susanna Rißin gebohrne Frantzin, H. Frantz Joseph Riß, des Pfisters zu St Marx und hiesigen burgers Ehegattin, 2.do Fr. Anna Maria Ackerin geb. Frantzin, H. Antoni Acker, des Meelhändlers und burgers dahier Ehefrau, 3°. Fr. Maria Dorotea Wendling geb. Frantzin, Mr Frantz Joseph Wendling des hiesih. burgers Schuhmachers Ehefrau, so dann 4.to Jgfr. Maria Barbara Frantzin, so den 24.ten dieses Jännermonats das 24.ste Jahr ihres Alters zurückgelegt, und mit vorged. H. Antoni Acker bevögtiget ist.
In einer allhier zu Straßburg an der Catharinæ Bruck zur alten Armen: Schul genannten, Löbl. Stadt Pfenningthurn eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Sa. Hausraths 30 lb, Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezalend 19 lb, Nach deren Abzug, Stall Summ 11 lb

Jean Adam Frantz hypothèque la maison au profit de Cunégonde Hélène Langhans, veuve du secrétaire Jean Népomucène Fischer

1764 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 456-v
Johann Adam Frantz der schuhmacher
in gegensein H. Jacob Frantz Christiani E. Contractuum substituti innamen Fr. Cunigundæ Helenæ geb. Langhanßin weÿl. H. Lt. Johann Nepomuceni Fischer des vergicht schreibers substituti wittib – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Creutzgäßel einseit neben Johann Georg Neumann des schloßers erben, anderseit neben Johannes Schmidt dem kübler, hinten auff N.N.

Les enfants Frantz cèdent leurs parts de maison à leur sœur Anne Marie femme du farinier Antoine Acker moyennant 225 livres

1767 (23.2.), cote 94 Z 18
Vor mir Unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen Notario als zu Weÿland Frauen Susannæ Frantzin gebohrner Michot Herrn Johann Adam Frantzen des Schuhmachers und burgers allhier geweßener nunmehro seeligen Ehefrauen Verlaßenschafft Abtheilung in Anno 1761. adhibirten Inventir schreiber seÿnd ane zu End stehendem Dato Persönlich erschienen gedachter Herr Johann dam Frantz für sich als Erb Elisabethæ Frantzin seiner mit vorgedachter seiner seeligen Frau erzeugter nun auch seelig Verstorbenen Tochter Elisabethæ und im nahmen Mariæ Barbaræ Frantzin seiner noch ledigen minorennen Tochter, Frau Susanna Rißin gebohrne Frantzin, H. Joseph Rißen des Meelhändlers und burgers allhier Ehefrau unter assistentz besagtem ihres Mariti, und Frau Margarethæ Dorotheæ Frantzin Meister Joseph Wendlings des Schuhmachers und burgers alhier Ehefrau ebenfals unter beÿständung deßelben, Dieße haben
in gegensein Frauen Annæ Mariæ Ackerin gebohrner Frantzin Hn Antoni Ackers des Meelmans und auch hießigen burgers Ehefrauen unter assistentz deßelben angezeigt und bekandt wie daß sie deroselben in Unvertheiltem Erb abgetretten und überlaßen haben (…)
benantlich ihr der Cedenten vier fünffte theil an einer allhier zu Straßburg in dem Creutz Gäßel gelegenen Behaußung, einseit neben Michel Schmidle dem Kübler anderseit neben H Schaffner Beck, hinten auf das Zornische hauß stoßend, so ihnen auß gedachter Verlaßenschafft Erblich angefallen, und ist dieße übergab und annahm zugegangen und beschehen Vor und umb 225 Pfund Pfenning, daß gantze hauß und zugehörd gerechnet – So beschehen den 23. Februarÿ 1767. T. Adam Claus Nots.

Anne Marie Frantz femme de François Antoine Acker revend le même jour la maison à Marguerite Mannhard, veuve du revendeur Jean Scharp

1767 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 110-v
Fr. Anna Maria geb. Frantzin Antoni Acker des meelmanns ehefrau
in gegensein Margarethæ geb. Manhardin weÿl. Johann Scharp gewesten krempen wittib
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Creutzgäßlein, einseit neben Michael Schmidler dem kübler, anderseit neben Martin Neumann des schlossers wittib und erben – theils von ihren eltern ererbt theils von ihren geschwisterden in ohnvertheilten erb cedirtes guth

Originaire de Nieder Hadamar dans le diocèse de Trèves, le charpentier Jean Pierre Scharp épouse en 1736 Madeleine Mannhard, fille d’ouvrier
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 101)
Hodie 8. die mensis julÿ anni 1736 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus joannes petrus Scharp carpentarius oriundus ex niederhademer diœcesis trevirensis in parochia sti marci commorans et honesta virgo Magdalena menhardin filia defuncti melchioris menhard operarii et incolæ huius urbis in hac parochia nata et commorans (signé) petter scharb, signum sponsæ x (i 106)

La manante Marie Madeleine Mannhard, femme du compagnon charpentier Jean Pierre Schaab, acquiert le droit de revendeuse à la tribu de la Mauresse après que les Quinze lui ont accordé une dispense.
1736, Protocole des Quinze (2 R 145)
Mörin, Magdalena geb. Manhardin, Joh: Peter Schaab, Schirmers und Zimmergesellen Ehefrau, 436
(p. 436) Montag den 1. Octobris 1736. – Römer nôe Magd. gebohrner Manhardin, Joh: Peter Schaab, Schirmers und Zimmergesellen Ehefrau C. E.E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Mr pt° Frantz. Grempenrechts, prod. Unterth. Mem.
Moss. der H. Zunft Zunfftrecht setzts Zu Mgh Erkantnuß.
Erkandt, wird der Implorantin in Ihrem begehren dispensando willfahrt.

1736, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 257) Mittwochs den 5.ten Decembris 1736 – Neue unverburgerte frantzösische Grempin CR
Magdalena Scharbin gebohrne Manhardin, Johann Peter Scharben, des allhießigen Schirmers und Zimmer Gesellen Ehefrau bitte um das frantzösische Grempen Recht. Erkant auff deroselben Von Gn. Herren den XV.ern Vermög producirten bescheids Vom 1. Octobris 1736. erlangte Dispensation gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Zahlte Vor die Auffnahm 2 lb, Vor Ein Jahr Zum Voraus 1 lb, Und Einschreib Geld 2 ß, Macht

Le revendeur Jean Pierre Scharp et sa femme Marie Madeleine Mannhard deviennent bourgeois en 1751 en apportant une fille
1751, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 460
Johann Peter scharp der schirmer und Kremp von Nieder hadern im Nassauischen und deßen Ehefr. mar. magdalena geb. mannhardtin Von hier erhalten das burgerrecht und Zwar der Ehemann umb den neun burger schilling die Ehefr. aber wohlverhaltes wegen gratis und Ihr töchterlein Catharina wird beÿ ordnung gelaßen, dienen beÿ E: E: Zunfft Zur mörin, jur. et prom. eodem [19 Julÿ 1751]

Marie Madeleine Mannhard se remarie en 1768 avec le charpentier Jean Philippe Schneider. Originaire de Lohr sur le Main, Jean Philippe Schneider épouse en 1745 Marie Madeleine Neuheussler, originaire de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration
1745 (2 Julÿ), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 54) n° 339
Eheberedung – zwischen dem Ehrbaren Johann Philipp Schneider, dem zimmer gesellen, weÿl. Johann Geörg Schneider, gewesenen zimmermann und burgers Zu Lahr am mayn nachgelaßenem ehelichem Sohn, als hochzeiter, ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Neuhäußelin, weÿl. Peter Neuhäußel, gewesenen Seÿler und burgers Zu Buchßweiler nachgelaßenen ehelichen Tochter, als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
Straßburg auf Freÿtag den 2. Julÿ Anno 1745. [unterzeichnet] Johan philib schneidter alls hoch zeitter, + der hochzeiteron handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 205)
Hodie die 5 mensis Julii anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Coniuncti fuerunt Joannes Philippus Schneider oriundus ex parochia lohrisma* diœcesis Moguntinensis professione faber lignarius filius defunctorum Georgii Schneider civis et (-) conjugum et Maria Magdalena neüheislerin oriunda es buswiller diœcesis Argenterie filia defunctorum Joannis petri neüheisel et Saræ Coupdelantin Conjugum (signé) Johan philb schneider, + sponsæ signum (i 106)

Marie Madeleine Mannhard veuve de Pierre Scharp épouse en 1768 Jean Philippe Schneider veuf de Marie Madeleine Neuheussel : contrat de mariage, célébration
1768 (4.7.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 161
Philipp Schneider
Magdalena Scharfin geb. Mannhartin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 58-v)
Hodie 11 julÿ anni 1768 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes Philippus Schneider mercator et civis hujas viduus Mariæ Magdalenæ Neüheüssel et Maria Magdalena Manhart vidua petri Scharb mercatoris dum viveret et civis hujatis ambo in hac parochia commorantes (signé) Johann Philip schneitter, signum sponsæ x (i 63)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1768 (3.8.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 761) n° 373
Inventarium über Herrn Joh: Philipp Schneider des Fastenspeishändlers und Fraun Magdalena geb. Mannhartin beeder Eheleuthe einander vor unverändert in die Ehe zugebrachte Vermögenschaften

Femme séparée de Philippe Schneider et pensionnaire à l’hôpital bourgeois, Marie Madeleine Schneider vend la maison au compagnon tailleur de pierres Jean Dossmann et à sa femme Catherine Graff
1773 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 119
Fr. Maria Magdalena Schneiderin geb. Mannhartin Philipp Schneider des zimmer gesellen quo ad thorum et mensam geschiedene ehefrau und dermahlen pfrunderin des mehrern hospitals beÿständlich H. Lt. Johann Rudolph Dinckel cantzleÿ contract stub substituti
in gegensein Johann Doßmann des maurer und steinhauer gesellen und Catharinæ geb. Graffin unter assistentz Andreas Doßmann des kuhmelckers und Jacob Graff des stallknechts
eine behausung mit allen denen übrigen gebäuden, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Creutzgäßlein, einseit neben N. Schmittle dem kübler, anderseit neben N. Fenderich dem schuhmacher, hinten auff das Zornische haus – 600 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant

1773, Conseillers et XXI (1 R 256)
Johannes Doßmann der Maurer steinhauer und schirmer alhier erhält erlaubnus von Philipp Schneiders geschiedenen Ehefrauen eine am Creutzgäßel gelegene ihr Zuständige behaußung umb 600. fl. dispensando vom augenschein Kaufen Zu können. 41.
(p. 41) Montag den 29.sten Martii 1773. – Osterrieth Nê Johannes Doßmann des Maurer steinhauers und schirmers alhier der ist gesinnet von Philipp Schneiders quoad thorum, mensam et bona geschiedenen Ehefrauen Magdalena geb. Manhardin ein am Creutzgäßel gelegenes hauß so dießer eigenthümlich zuständig umb 600. fl. woran etwa 200 fl. Zahlt werden, Zu kaufen, bitt unterth. also Kaufen Zu dörfen und umb gnädige dispensation vom augenschein.
Claus Nê vorbemelter Verkäuferin bitt unterth. also Verkaufen Zu dörfen und ebenfals umb gnädige dispensation vom augenschein.
Nach angehörtem voto des H Gâl advocat Mogg welcher auf die gebettene Wilfahrung angetragen wurde vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, wird denen Imploranten mt gebettener erlaubnus ein am Creutzgäßel gelegenes hauß umb 600 fl. woran etwa 200 fl. Zahlt werden, dispensando vom augenschein kaufen, und respectivé verkaufen Zu Können, jedoch also wilfahret, daß der Kauf und Verkauf in alhießiger Cantzleÿ Contractstub coram D.is Deputatis ordnungs mäßig verschrieben und dabeÿ gemeiner Statt versirendes interesse besonders wegen abrichtung des real schirmgelts und sonstiger abgaben bestermaßen beobachtet werden möge.
Deppi H Rathh. Sarburger, H. Rthh. Klein

Fils d’un tonnelier de Romanswiller, Jean Dossmann épouse en octobre 1772 Anne Catherine Graff, fille d’un laboureur d’Oberschæffolsheim : contrat de mariage, célébration
1772 (22. 7.bris), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 404
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Joh: Doßmann dem leedigen Maurer und Steinhauer weÿl. Mr Lorentz Doßmanns geweßenen Kieffers und burgers zu Romannsweiller seel. nachgel. Sohn als dem Bräutigam ane einem,
So dann der tugendsamen Jgfr Annæ Catharinæ Graffin, weÿland Georg Graff geweßenen Ackersmanns und burgers zu Schäffoltzheim am Canal seel. nachgelaßener Tochter als der Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
So beschehen in Straßburg in Gegenseÿn H. Jacob Ferdinand Härtelmeÿer Maurers und Steinhauers auch Burgers allhier auf sein des Bräutigambs, So dann auf Ihr der Jgfr. Hochzeiterin Seithen Hr Bastian Meÿ Schultheißen auf dem Neuenhoff und Hr Lorentz Meÿ ackersmanns allda beeder Schirms Verwanthen allhier als erbettener hh. Beiständern (…) auf Dienstag den 22.ten 7.bris Anno 1772

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 341)
Hodie 5. Mensis Octobris Anni 1772 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Dosmann Oriundus ex Romansweiller, Annexâ Parochiæ in Allenwiller hujus Diœcesis, 28 Annos, et menses Circiter octo natus, Filius legitimus defunctorum Laurentii Dosmann, in vivis civis et Doliarii un dicto Loco Romansweiller et Annæ Catharinæ Faller professione suâ Lapicida ab anno et ultra in parochia ad S Laurentiul hic commorans, Et Anna Catharina Graff oriunda ex Oberschæffolsheim hujus Diœcesis, filia legitimâ et Majorennis defuncti Georgi Graff, Civis olim et Agricolæ in eodem Loco Oberschæffolsheim et Catharinæ Mey, Famulans et Commorans in hac parochia pariter ab anno et ultra (signé) nota sponsi x, nota sponsæ x (i 174)

Le tailleur de pierres Jean Dossmann originaire de Romanswiller et sa femme Anne Catherine Graff originaire d’Oberschæffolsheim sont admis à la manance en janvier 1773 sur recommandation des Conseillers et des Vingt-et-Un. L’épouse atteste qu’elle est propriétaire de biens fonciers d’une valeur de 910 livres. Le maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer s’offre caution.
1773, Conseillers et XXI (1 R 256)
Johannes Doßmann der Maurergesell von Romansweiler et uxor werden in den schirm recipirt. 14.
(p. 14) Montag den 25. Januarii 1773. Lect. so dann vier von seithen löbl. Schirmgerichts ad protocollum überliefferte Memorialia vermittelst deren verschiedene particularen umb gnädige aufnahm in den schirm unterth. ansuchen und zwar
3° Johann Doßmann Maurergesell von Romansweiler et uxor Anna Catharina weil. Joh: Georg Graff geweßten Ackersmanns Zu Oberschäffoltzheim hinterl. eheliche tochter, prod. beeder seitige testimonia, besitzet uxor vor eigenthümlichen Güthern ad 910. lb evaluirt und gerichtlich æstimirt und will Jacob Ferdinand Härtelmeÿer der burger und Maurermeister die erforderliche Caution præstiren.
Nach angehörtem voto des H. gâl advocat Mogg in welchem derselbe auf die gebettene reception samtlicher Imploranten, welche theils von hier, theils an hießige sich geheurathet, angetragen
Wurde auf Anspruch des auf dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters Jr Zorn von Plobsheim veremittelst gehaltener Umbfrag Erkandt, werden samtliche Imploranten puncto gebettener aufnahm in alhießigen Schirm unter denen anerbottenen und genehmigten respective Cautionen ane die hohen und wohlverordnete Obere schirm herren ad recipiendum gewießen.
Deppi. H. Rath. Lauth, H. Rathh. Weinemer.

Jean Dossmann meurt quelques jours après avoir acheté la maison en laissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve est de 239 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 319 livres, le passif à 409 livres.

1773 (3.5.), Greffier du Petit Sénat (cote E 5789)
Inventarium über Weÿl. Johannes Doßmann, des gewesene, Steinhauers und Schirmers alhoer nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1773. – nach seinem den 10. Aprilis jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen und begehren Annä Catharinä Graffin, deßen gewesener Ehefrauen und nunmahligen Wittib, unter assistentz Andres Doßmann des burgers und Kühmelckers ordnungs mäsig inventirt und ersucht – So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in einer Gaß am Wahl neben dem Waÿsengarthen gelegenen Weÿl. Hn. Stickert gewesenen Zimmermanns und burgers alhier hinterlaßener Wittib und Erben eigenthümlich zuständigen behaußung, in fernerem beÿseÿn S. T. Herrn Frantz Joseph Tournai, als wegen des unverburgert und abwesenden Erben willen, Von seithen E. E. Kleinen Raths abgeordneten Hn Deputati, Auf Montag den 3.ten Maÿ Anno 1773. Beguin Actuar.
Denominatio haeredum. Der verstorbene hat in Ermanglung ehelicher Leibs Erben ab intestato Zu Erben verlaßen 1.mo Andreas Doßmann, den burger und Kiefer zu Romansweiler, so absens, 2.do Jacobeam gebohrne Dößmännin, Joseph Fischer des Balbierers und Burgers zu Romansweiler Ehefrau, beede auch absens, 3.tio Lorentz Doßmann, so dermahlen beÿ H. Johannes Hammerer dem Handelsmann und burger allhier als Gutscher in diensten, und beÿ diesem Geschäfft gegenwärtig
Samtliche dreÿ des Verstorbenen Geschwistrige und rechtsmäßige Erben Zu dreÿ gleichen Theillen

Ergäntzung, der Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Zufolg theilreg. aus der Amtschreibereÿ Schäffolsheim vom 18. Decembr. 1742 (…) stante matrimonio verkauft
Eigenthum ane einer behausung. (T.) Neml. eine behaußung, mit allen deren Gebäuden, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg ane dem Creutzgäßlein, einseit neben N Schmittle dem Kübler 2.s neben N. Fenderich dem Schuhmacher, hinten auf das Zornische hauß stoßend gelegen, so über nachstehenden darauff hhafftendem Capital freÿ, ledig und eigen. Dieße behaußung ist erst den 29. Martÿ letzthin Von den nun Zertrennten Eheleuthen erkaufft worden pro 300 lb, beÿ welchem Kauf pretio man solche hier auch ohnpræjudicirlich angeschagen gelaßen mit 300 lb. Hierüber besagt ein teutscher Pergamentener Kaufbrief, aus hießiger Cantzleÿ Contract stub verfertiget und mit dero aufgedruckten Insiegel bekräfftiget, de dato 29. Martÿ 1773
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 12 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden Gütheren (Schäffolsheimer banns) 195 lb, Sa. Ergäntzung 56 lb, Sa. activ Schulden 47 lb, Summa summarum 312 lb – Schulden 73 lb, Nach solchem Abzug 239 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert und die theilbahre Nahrung, angesehen die Wittib auf letztere tam active quam passive, Zu renunciren willens, unter einer Massam consignirt und beschrieben, Sa. hausraths 17 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300 lb, Summa summarum 319 lb – Schulden 409 lb, In Compensatione 90 lb
Eheberedung (…) auf Dienstag den 22. Septembris Anno 1772, Langheinrich Notarius juratus

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 328)
Anno 1773 Due 10 Mensis Aprilis mortuus est Joannes Dosmann, 29 annos natus, professione suæ Lapicida, Maritus annæ Catharinæ Graff, Sacramento Pœnitentiæ, Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus, et die 12 ejusdem Mensis et anni (…) sepultus est in cœmeterio parochiæ nostræ Consueto (i 167)

Anne Catherine Graff se remarie en 1776 avec Nicolas Chouleur, originaire de Gondrexange dans les Trois-Evêchés : contrat de mariage, célébration
1776 (22.4.), Not. Lacombe, 6 E 61, 162 n° 38
Mariage – Nicolas Schuler natif de Gonderchange dépendance des trois évéchés fils majeur de Jean Schuler, maître pêcheur, et d’Elisabeth Libard, invalide demeurant à Strasbourg
Catherine Graff veuve de Jean Dosmann garçon maçon (signé) Chouleur, +

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 60)
Hodie 7 Maÿ Anni 1776 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti Nicolaus chouleur ex gondresanche diœcesis Metensis oriundus defunctorum conjugum Joannis Nicolai chouleur Piscatoris et Elisabethæ Libard filius legitimus et Anna Catharina Graff ex oberschäffolsheim diœcesis argentinensis oriunda, Joannis Dosman in vivis Lapicidæ hujatis vidua ambo Majorennis et ratione domicilÿ Parochiani ad St Stephanum huius urbis (signé) Nicolas chouleur, signum sponsæ x (i 34)

Comme la vente n’a pas été réglée, la maison revient à son ancienne propriétaire qui la revend en novembre 1773 275 livres au cordonnier François Joseph Reuhing

1773 (6.11.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 428-v
Fr. Magdalena Schneiderin geb. Mannhartin Philipp Schneider des zimmer gesellen quo ad thorum et mensam geschiedene ehefrau und dermahlige pfrunderin des mehrern hospitals beÿständlich Franz Antoni Gallein des frippier [unterzeichnet] Collein
in gegensein Franz Joseph Reuhing des schuhmachers
eine behausung mit allen denen übrigen gebäuden, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Creutzgäßlein, einseit neben Michael Schmittle dem kübler, anderseit neben N. Fendrich dem schuhmacher, hinten auff das Zornische haus – 550 gulden

Originaire de Horb sur le Neckar dans le diocèse de Constance, François Joseph Reihing épouse en 1752 Marie Madeleine Carl veuve du cordonnier Joseph Keller : contrat de mariage non conservé, célébration
1751, Not. Hess (J. Jacques, répert. 6 E 41, 1267-2) n° 171
Eheberedung – Frantz Joseph Reiching Schuemachers u. Fr. Magdalenæ Kellerin Wittib

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 117)
Anno domini 1752 die 7. Februarii (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt franciscus josephus Reuhing ex Horb diœcesis constantiensis, sutor, filius Legitimis defuncti joannis georgii reuhing et Catharinæ Schleier in vita Conjugum Et Maria Magdalena Carel vidua defuncti Josephi Keller civis olim et Sutoris hic (signé) ioseph reihing, signum sponsæ x (i 67)

Fille d’un meunier de Haguenau, Marie Madeleine Carl épouse en 1747 le cordonnier Joseph Keller, veuf de Susanne Marguerite Brack : contrat de mariage, célébration
1747 (30.3.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1289) n° 105
Eheberedung zwischen dem Ehrsamen Joseph Keller Schuhmacher und burger allhier als hochzeiter en ahne Einem, So dann
der Ehr: und tugendsamen Jungfrawen Mariæ magdalenæ, weÿl. Mathias Carl geweßten Müllers Zu Hagenaw hinterlaßener ehel. tochter als Hochzeiterin andern theÿls
so beschehen Straßburg den 30.sten Martÿ 1747. [unterzeichnet] Joseph keller, + Magdalena Carlerin handzeichen

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 319)
Hodie 2. Mensis Majii anni 1747 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Keller civis et sutor, viduus defunctæ Susannæ Margarethæ Brackin et Magdalena carle Haguenoensis, filia defunctorum Mathiæ carle et Mariæ Catharinæ exerin conjugum (signé) Joseph keller, nota sponsæ x (i 163)

Madeleine Carl meurt en 1793 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans une maison de location place Saint-Etienne. La masse propre aux héritiers s’élève à 340 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 266 livres, le passif à 550 livres

1793 (19.4.), Strasbourg 11 (1), Not. Anrich n° 364
Inventarium und Beschreibung all derjenigen Haab und Nahrung, so weiland frau Magdalena Reichingin geborne Carelin Frantz Joseph Reichings des burgers und Schuhmachers allhier Zu Straßburg gewesene Ehefrau nach ihrem den 13. Januarii jüngst beschehenen Absterben hier zeitlichen verlaßen hat (…)
So geschehen allhier zu Strasburg in einer ane dem Stephans Plan gelegenen mit N° 4 bezeichneten und dißorts zum theil Lehnungs weis inhabenden behausung, auf Montag den 15. Aprilis 1793. im 2.ten Jahr der fr: Republick.
Die abgeleibte seelig hat in ermanglung Leibes Erben ab intestato ihrer verstorbenen Zweÿer Brüder und ihrer auch verstorbenen Schwester nach tod verlaßene Kinder zu erben in die Köpfe hinterlassen als 1. Frau Maria Dorothea Zitterkopfin geborne Carelin, Carl Zitterkopfs des tagners allhier Ehefrau, so von diesem ihrem Ehemann verbeÿstandet Zugegen, 2. Frau Eva Barbara Matzin geborne Careln, Peter Matzn des vormaligen taback Gardens allhier Ehefrau, so dermalen von hier abwesend, beede weiland Frantz Peter Carels des gewesenen Schmids und Schirmers dahier der Defunctæ verstorbenen Bruders mit auch weiland fraun Eva geborner Martzloffin ehelich erzeugt und nach tod verlaßene Kinder,
3. Antoni Carel Maurern zu Hagenau und 4. Anna M: Thiriomin geborne Carelin Joh: Georg Thirioms des Inwohners zu gedachtem Hagenau Ehefrau, diese beede, welche hierbeÿ nicht erschienen, von der Defunctæ Bruder weil. Georg Carl gewesenen Kutscher zu berührtem Hagenau nach tod verlaßene eheliche Kinder,
5. Michael Wagner den Beckn zu Weinburg, so gegenwärtig, um der Defunctæ auch verstorbenen Schwester Catharina Wagnerin geborner Carelin mit auch weiland Michael Wagner gewesenen Weinhändler zu Ingweiler ehelich erzeugter Sohn, 6. Salome Carlin so noch ledigen Standt aber großjährig zu gedachtem Hagenau wohnhaft

Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Frantz Joseph Reiching ledigen Schuhmacher von Horb gebürtig, als Hochzeitern ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Fraun Magdalenä geborner Carelin weiland Joseph Keller gewesenen Schuhmachers und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Wittib als Hochzeiterin andern Theils – den 15. junÿ 1751, Johann Jacob Heß Not.
Bericht und respectivé Vergleich. Da nun nach abgeleßener vorsdtehender Eheberedung worinn beede nur zetrennte Ehepersonen sich ihr zugebracht und stante matrimonio ererbt Vermogeb.en als ohnverändert reserviret haben, der Wittiber sich vernehmen laßesn, daß dessen ohngeachtet weder über sein Zubringen, so allein in seiner Kleÿdung und etwas Werckzeug bestanden noch über der abgeleiten illata ein Inventarium nicht errichtet worden (…)
Copia Codicilli nuncupativi, Frau Magdalena Reichingin geb. Carelin Herrn Frantz Joseph Reichings des hiesigen burgers und Schuhmachers Ehefrau, (…) den 29. Aprilis1778, Not. Johannes Anrich
Der Erben guth, Ergäntzung 400 lb, Schulden aus der Erben Nahrung zu bezahlend 60 lb, Compensando 340 lb
Solchemnach wird auch die Gemein und theilbare Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 493 lb, Silber und Geschmeid 4 lb, Baarschafft 624 lb, Schuld 144 lb, Summa summarum 1266 lb – Schulden 550 lb, In Compensatione 716 lb – Legata 296, Nach deren Abzug 282
Conclusio finalis, Beschluß summa 1116 lb -Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in die theilbare Nahrung zu geltend – den 19. Aprilis 1793
Enregistré 19 avril 1793

François Joseph Reihing (Reiching) vend la maison 275 livres au charretier manant Jean Jacques Sarger

1775 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 65-v
Mr Franz Joseph Reiching der schuhmacher
in gegensein Johann Jacob Sarger des schirmers und klein karchzieher
eine behausung mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Creutzgäßlein, einseit neben Michael Schmittle dem kübler, anderseit neben N. Fendrich dem schuhmacher, hinten auff das Zornisches haus – um 550 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant

1775, Conseillers et XXI (1 R 258)
Joh: Jacob Sarger der hießige Schirmer und Klein Karchzieher erhält erlaubnus von Joseph Reichin dem burger und schuhmacher eine am Creutzgäßel gelegene behaußung umb 550. fl. dispensando vom augenschein et sub clausulis consuetis Kaufen zu dörfen. 47.
(p. 47) Sambstag den 18.ten februarii 1775. Wilhelm Nê Johann Jacob Sarger des hießigen Schirmers und Klein Karchziehers, der ist willens von Joseph Reichin dem burger und schuhmacher alhier eine am Creutzgäßel cum appertinentiis gelegene behaußung sambt übernahm des Pfund Zolls und anderer Kösten umb 550. gulden davon 100 gulden gleich baar das übrige aber termins weiß bezahlt werden soll, an sich Zu kaufen bitt unterthänig ihme gnädig Zuerlauben also Kaufen Zu dörfen und Zugleich umb gnädige dispensation vom augenschein.
Rang nomine des Verkäufers berichtet, daß deme also, bitt ebenfals also Verkaufen Zu dörfen und Zu gleich auch umb gnädige dispensation vom augenschein.
Nach angehörtem voto des H. general Advocat Mogg welcher auf die gebettene wilfahrung Sub clausulus consuetis angetragen, Wurde Vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, wird denen Imploranten mit gebettener erlaubnus eine am Creutzgäßel gelegene behausung cum appertinentiis umb 550 fl. und gegen übernahm des Pfund Zolls und anderer Kösten,worauf 100 gulden baar der rest aber termins weiß zahlt werden soll, und Verkaufen Zu Können, Jedoch also Wilfahrt, daß der Kauf und Verkauf in Mhh. Cantzleÿ Contract stub coram Dominis Deputatis ordnungs mäßig verschrieben und dabeÿ gemeiner Statt versirendes interesse besonders wegen abrichtung des real schirmgelts durch desfals außzustellende reversales bestermaßen beobachtet werde.
Depp. H. Rathh. Rothhan, H. Rathh. Götz.

Fils de charretier, Jean Jacques Sarger épouse en 1765 Anne Marie Wurth, fille du prévôt de Wasselonne : contrat de mariage, célébration
1765 (13.4.), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) f° 890-v
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheÿdenen Joh: Jacob sarger dem Ledigen tabackbereiter, Joh: Jacob sargers des Kärchel Ziehers und hiesigen schirmers Ehel. sohn under beÿsitand H: Joh: webers des leinenweber und burgers alhier, alß Hochzeitern Ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfraw Anna Maria Wurthin Joh: B: wurt des schultheisen zu Waßlenheim Ehl. töchtern under beÿstand H. Wilhelm Leonhard wohllebers deß schiffers Haag Knecht und Ebenfallß hiesigen burgers alß hochzeiterin Ane dem andern theil
so beschehen zu Straßburg den 13. Aprilis 1765. [unterzeichnet] Jacob sarger als hochzeiter, + Annæ Mariæ Würthin handzeichen

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 161)
Hodie 15 Aprilis Anni 1765 (…) sacro matrimonÿ Vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Joannes Jacobus Sarger tabaci opifex, Jacobi Sarger tutelaris hujatis et Catharinæ Herrmann conjugum parochianorum nostrorum filius legitimus, a teneris annis parochianus noster et Anna Maria Wirth ex Waßlenheim huius diœcesis oriunda, Joannis Georgÿ Wirth præpositi in Waßlenheim et Elisabethæ Herold filia prius per novem menses in parochia ad St Petrum Juniorem huius urbis commorata a mense ultimo vero ratione domicilÿ parochiana nostra (signé) Jacob sarger, + sign. sponsæ (i 83)

Jean Jacques Sarger et Anne Marie Wurth font dresser un état de fortune pour accéder à la manance
1765 (24.7.), Not. Zimmer (6 E 41, 1406) n° 108
Designatio desjenigen Vermögens, so Johann Jacob Sarger der tabackbereiter und Fr. Anna Maria gebohrne Wirthin, beede Eheleue alhier würcklichen eigenthümlich besitzen, welche der Ursachen vorgenommen worden, weilen dieselbe beÿ Hoher Obrigkeit Löblicher Stadt Straßburg in das Schirmrecht unterthänig einzukommen gesinnet
Sa. Haußraths, Silbers, Goldenen Rings, baarschafft, 156 lb (…)
Straßburg den 24. Julii 1762. [unterzeichnet] Jacob sarger + Annä Mariä gebohrne Wirthin Handzeichen

Jean Jacques Sarger meurt en 1781 en délaissant cinq enfants. La maison est estimée à son prix d’achat. La masse propre à la veuve est de 84 livres, celle des héritiers de 17 livres. L’actif de la communauté s’élève à 295 livres et le passif à 306 livres

1781 (6.9.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1474) n° 747
Inventarium über Weiland Johann Jacob Sarger, gewesenen Karchziehers und Schirmers alhier zu Straßburg Verlaßenschaft auffgerichtet Anno 1781. – nach seinem den 9.ten Julii 1781. aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hie zeitlichen verlaßen hat.
Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen Fraun Annä Mariä geborner Würthin der hinterbliebenen diesortigen Wittib, beiständlich Johann Michael Grüniß, des tabackbereiters und Schirmers alhier inventirt – So beschehen alhier zu Straßburg auf Donnerstag den 6. Septembris Anno 1781.
Der Verstorbene hat ab intestato Zu deßen einigen Erben hinterlaßen benandlich 1.mo Maria Elisabetha, so 16 Jahr am Leben, 2.do Theresia so 6 Jahr zurückgelegt, 3° Franciscus, so 4 Jahr am Leben, 4° Johann Friedrich, so 2. Jahr alt und 5° Catharina so 9. Monat erlebt, Alle fünff sein des Verstorbenen mit eingangs gedachter desselben nachgelaßener Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichen Antheilen nachgelaßene Erben. Deren geordnet und geschworener Vogt ist Claude Meunier, der geschworne Holtzleger und burger alhier, welcher in dieser Qualitæt solcher Inventur persönlich beigewohnet

In einer alhier zu Straßburg an dem Creuz: Gäßlein gelegenen hieheri gehörigen und hernach beschriebener behausung befunden worden, wie folgt.
(f° 3) Eigenthum ane einer behaußung und Zugehörden (T.) Nemlich eine behausung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Creuzgäßlein, einseit neben N. Hügel, dem Karchzieher und Schirmer alhier anderseit neben N. Fenderich dem Schumacher, hinten auf das von Zornische Haus stosend, so auser hernach eingetragenen darauf haftende Passiv: Capital frei, ledig, eigen und hier ohnpræjudicirlich dem Ankauf nach geworfen wird vor 275. Hierüber besagt ein in alhiesiger C. C. Stub gefertigter Kauffbrieff d. d. 6.ten Novembris 1773. Sodann ein in bemelter C. C. Stub auf Pergament gefertigt: und mit Löbl. Stadt Insiegel corroborirter Kauffbrieff de dato 18. februarii 1775.
(f° 4) Bericht und respe. Vergleich wegen Eingangs gedachter Verlaßenschafft. Wie die hinterbliebene Wittib auf beschehenes Anfragen declarirte, so seÿe ihr und ihres verstorbenen Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen Zur Zeit angetretener Ehe nicht invetirt worden, ob Sie gleich ihre Illata vermög obeingetragener Eheberedung und deren 3.ten paragrapho vor unverändert stipuliret (…)
(f° 5-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Der hinterbliebenen Wittib unverändert Vermögens, Sa. haußraths 9, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 37, Summa summarum 84 lb
Diesemnach wird auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Haußraths 9, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Ergäntzung 45, Summa summarum 54 lb – Schuld 37 lb, Detrahendo 17 lb
Endlich wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 17, Sa. Eigenthums ane einer behausung 275, Sa. Schuld 3, Summa summarum 295 lb – Schulden 306 lb, Compendando 10 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen zu Straßburg den 13. Aprilis Anno 1765, T. Adam Claus, collat. Lederlin

Le tuteur des enfants des défunts Jean Jacques Sarger et Anne Marie Wurth rend un compte de sa tutelle où figurent les différents loyers et la vente de la maison à Antoine Eitel devant le juge de paix

1797 (16 germinal 5), Strasbourg 7 (5), Not. Stoeber n° 1047
Berechnung deßen so br. Claude Munier holzleger alhier als Vogt weil. fr. Anna Maria geb. Wurth auch weil. Joh: Jacob Sarger des gew. Karchziehers allhier Wittib erzeugten vier Kinder 1. Maria Elisabetha Sarger Caspar Arnold des Schreiners zu Heidelberg Ehefrau, 2. Theresia Sarger, 3. Frantz Sarger und 4. Joh: Friderich Sarger eingenommen und ausgegeben hat

Einnahm in Assignaten, It. empfieng er an haußzinnß für das quartal frauentag 1795, 45-
hat Peter Lott eine Wohnung entlühen welche er nicht bezogen und zum voraus bezahlt 20-, It. zahlte br. Leehmann für das Quartal Joh. Bapt: 1795 47-v
Gemeinschaftliche Einnahm in Geld, Erstl. zahlte br. Boyés für das Quartal Weÿhnachten 1765 18-, für das Quartal Ostern 1796, 18-, für das Quartal Joh. Bapt: 1796, 18-, für das Quartal Michaelis 1796 nach Abzug i.n beÿtrag an Brunngeld 17-
It. gieng von der untern Wohnung für das Weyhnachten 1796 17-
Und wurde von der obern Wohnung abermals die tochter Theresia Sarger inne gehabt vom 15. oct. 1796 bis Weyhnachten solchen Jahres zahlt 12-
It. participiren die dißortige Kinder an den bis Frauentag 1797 verfalligen haußzinß für ½ Viertel jahr 15-
So dann erlegte Antoni Eiter der Maurer auf die von dem friedensrichter des 4. Gericht bezirks fürgenommenen dreÿmalige Versteigerung und erfolgte Confirmation des Civil Gerichts vom 9. Pluvios letsthin auf Rechnung An ihme überlaßenen behaußung den Kauffschilling – Straßburg den 16. ger. 5. Jahr
Enregistré 22 ger. 5

Antoine Eiter acquiert la maison par enchère devant le juge de paix du quatrième arrondissement le 1 pluviose 5 (voir ci-dessus et l’acte de vente de 1809).
Le maçon Antoine Eiter et sa femme Agathe Graff hypothèquent la maison au profit du tailleur Mathias Kœssel, de Catherine Buhner et des enfants issus du premier mariage du débiteur avec Marie Kuntz

1797 (20 floreal 5), Strasbourg 7 (40), Not. Stoeber n° 314
brg. Antoni Eiter, Maurer und deßen Ehefrau Maria Agatha Graff, die er der Ehemann hierzu authorisirt (schuldig waren)
br. Mathias Kößell dem Schneider allhier die Summ von 200 Gulden, ferner Catharina Buhner von hier 100 Gulden, so dann sein Antoni Eiters in erster Ehe mit weil. fr. Anna Maria gebohr. Kuntzin erzeugten dreien Söhnen Carl, Jacob und Antoni 150 Gulden in baarem frantzösischem Silber geld
hypothèque, der alhier Zu Straßburg an dem Creutzgäßlein N° 2 gelegenen behaußung und hoffstadt mit allen deren Zugehörden, so auch also and. Zwar vor ime Mathias Kußel selbst nahmens Catharina Buhner so an Claude Munier dem holzleger, so dann nahmens der Eilerischen Kinder stipulirt und acceptirt worden

Ancien soldat au régiment Royal Suède originaire de Bitzental (Pitztal) dans le diocèse de Brixen en Tirol, Antoine Eiter épouse en 1775 Marie Kuntz native d’Achenheim
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 120-v) Anno Domini 1775 die vero 24 aprilis tribus proclamationibus in ecclesiâ nostrâ ac totidem in ecclesiê parochiali ad stum marcum hujatem publice factis (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt Antoni Eitter solutus majorennis ex Biltzenthal Diœcesis Briciensis oriundus Petri Eitter et Mariæ Grossin conjugum ibidem filius legitimus é legione pedestri Royal Suede miles dimissus et Maria Kuntz soluta majorennis ex Achenheim hujus Diœcesis oriunda, defuncti Martini Kuntz civis olim et textoris ibiden et superstitis Catharinæ Bockelin filia legitima ambo in hac parochia commorantes (signé) andonÿ Eitter, maria kunz (i 125)

Anne Marie Kuntz meurt en l’an IV en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de Mathias Beck rue des Veaux
1796 (21 therm. 4), Strasbourg 7 (8 b), Not. Stoeber n° 1261
Inventarium über Weil. Fr Anna Maria Eiter geb. Kunzin bs Antoni Eiter des Maurers gew. Ehefrau, so den 17. floreal letzthin mit tod abgegangen, Verlassenschafft, aufgerichtet den 21 thermidor 4
die Verstorbene hat zu Erben hinterlassen 1. Carl Eiter so 16 Jahr alt, 2. Jacob so 14 Jahr zurückgelegt und 3. Antoni so 3 ½ Jahr auf sich hat, alle dreÿ der Verstorbenen mit dem Wittwer erzeugte Kinder, deren Vormund ist br. Michael Acker Weber alhier
in einer an der Kalbsgaß N° 13 gelegenen und von br Mathiß beck zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behaußung
hausrath 106 livres, abzuziehen 16 livres, verbleibt 90 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 41 F° 195 du 24 ther. 4

Antoine Eiter se remarie avec Marie Agathe Graff d’Ensisheim en Haute-Alsace : contrat de mariage, célébration
1796 (24 thermidor 4), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber n° 635
Eheberedung – br. Antoni Eiter dem Wittiber und Maurer alhier als hochzeiter und burgern
Maria Agatha Graf weil. Joseph Graf gew. Employé in Oberensisheim mit auch weil. Anna Maria geb. Nehring erzeugte tochter als brauth beÿständlich b. Joseph Minnoux handelsmanns allhier
Straßburg den 22. Thermidor im 4. Jahr [unterzeichnet] andoni Eider, + der hochzeiterin handzeichen
Enregistrement de Strasbourg, acp 41 F° 194-v du 24 ther. 4

Mariage, Strasbourg (n° 607)
Cejourd’hui 20° fructidor l’an quatre de la République française une et indivisible (sont comparus) Antoine Eider, âgé de 45 ans, maçon domicilié en cette commune depuis 15 ans, natif de Bitzenthal en Tirol, fils de Pierre Eider, maçon au dit lieu et de Marie Anne Gros, veuf d’Anne Marie Kientz, de l’autre part Agathe Graff, âgée de 43 ans, infirmière, domiciliée en cette commune depuis 18 ans, native d’Ensisheim département du Haur rhin, fille de feu Joseph Graff, journalier audit lieu, et de feüe Anne Marie Jehl (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 23 septembre 1750 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 4 février 1753 (signé) andoni Eider

Le compagnon maçon Antoine Eiter originaire de Bitzental en Titol et sa femme Marie Kuntz fille du tisserand Martin Kuntz d’Achenheim sont reçus à la manance sur recommandation des Conseillers et des Vingt-et-Un. Antoine Eiter a servi quatre ans chez un maître maçon de Strasbourg, un an au chantier des Maçons puis quatre ans dans le régiment Royal Suède. Les biens de la femmes à Achenheim sont évalués à 678 florins. Le maître maçon Jean Ferdinand Hertelmeyer se porte garant
1775, Conseillers et XXI (1 R 258)
Antoni Eÿter der Maurergesell von Bitzenthal in Tÿrol et uxor werden in den schirm recipirt. 162.
(f° 162) Sambstag den 3. Junÿ 1775. – Lect. folgende Zweÿ von seithen löbl. Schirm gerichts ad protocollum übergebene Memorialia
Antoni Eÿter der Maurergesell von Bitzenthal in Tÿrol und deßen Ehefrau Maria, Martin Kuntz des burgers und Leinenwebers Zu Achenheim eheliche tochter maritus hat vier Jahr unter löbl Regiment Royal Suede, vorher vier Jahr beÿ hießigen Maurer Meisters und ein Jahr auf löbl. Statt mauerhoff gedienet, besitzen ane eigenen zu Achenheim liegenden güthern ad 678 fl. evaluirtes Vermögen, und will die bürgschafft Joh: Ferdinand Härtelmeÿer der Burger und Maurermeister Meister allhier auf sich nehmen, produciren anbeÿ beede erforderliche scheine.
Nach angehörtem voto des Hn gâl advocat Holdten, in welchem derselbe auf beeder réception angetragen, wurde vermittels gahaltener umbfrag in ansehung des ersten Imploranten per majora, in ansehung des 2.ten aber unanimiter Erkandt, werden samtliche Imploranten unter angegebener und genehmigter caution pt° gebettener aufnahm im alhießigen schirm ane löbl. Schirmgericht ad recipiendum gewießen.
Depp. H. Rathh. Rothhan, H. Rathh. Lt. Fischer

Antoine Eiter vend la maison 1 400 francs à Catherine Schott veuve du tailleur d’habits Antoine Sellard

1809 (25.5.), Strasbourg 14 (41), Not. Lex n° 3507
Antoine Eider maçon
à Catherine Schott veuve d’Antoine Sellard tailleur d’habits
une maison appartenances droits et dépendances scise en cette ville rue de la Croix n° 2, d’un côté Denis Jacques Roussialle Tessincourt d’autre la veuve de feu Higel journalier, devant la rue, derrière le Sr Duport – acquise par enchère devant M Bernard Michel Jacquot ci devant juge de paix du quatrième arrondissement de cette ville le 1 pluviose 5, confirmé par jugement du 9 pluviose de la même année – réglée par Charles Eider fils du vendeur, maçon, et Agathe Graff femme actuelle du vendeur – avec réserve d’une chambre au troisième étage dans les mansardes laquelle chambre donnant sur la rue de la Croix du côté de M Roussiale Dessancourt, évaluée à 20 fr – Prix, 1400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 112 F° 7-v du 26.5.

André Eiter et Marie Agathe Graff font dresser un inventaire de séparation dans lequel figure la maison
1809 (9.9.), Strasbourg 7 (26), Not. Stoeber père n° 2301, 9235
Inventaire de séparation d’André Eyter maçon et Marie Agathe Graff, suivant jugement rendu au Tribunal Civil le 17 août dernier
la femme réclame 507 fr, le mari 90 fr
la communauté ne consiste que dans une maison située en cette ville rue de la croix n° 2 avec appartenances, d’un côté la veuve Hickel, d’autre Inconnu, aboutissant sur la maison du Sr Dubosq, estimée 3000 fr
déduire remplacement de la veuve 507 fr, capital 600 fr, aux enfants du premier lit Charles Jacques et Antoine 300 fr, intérets 75 fr, apports du veuf 94 fr, frais d’inventaire 25 fr, total 1601 fr, retse 1399 fr
le 27 septembre (…) lui laisser a titre de bail dans la maison cédée au mari le poele a côté de fehndrich de la moitié de la cave, revenu de 72 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 60 du 18.9.

Marie Agathe Graff femme séparée de corps et de biens d’Antoine Eiter vend la maison 2 962 francs au marchand de sel Georges Henri Lœwenstein et à sa femme Marie Barbe née Müller

1810 (13.9.), Strasbourg 2 (33), Not. Knobloch n° 4777
Marie Agathe née Graff femme séparée de corps et de biens d’Antoine Eyter maçon
à Georges Henri Loewenstein marchand de sel et Marie Barbe née Müller
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Croix n° 2, d’un côté la veuve Hickel d’autre le Sr Thessancourt, derrière le Sr Dubosque, devant ladite rue – cédée par son épouse suivant adjudication passée devant Me Stoeber le 7 septembre 1809 – moyennant 2962 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 116 du 15.9.

Originaire de Kutzenhausen près de Reichshoffen, Georges Henri Lœwenstein épouse en 1804 Marie Barbe Müller, fille de journalier
Mariage, Strasbourg (n° 19) Du 16° jour du mois de Vendémiaire l’an XIII de la République française. Acte de mariage de Georges Henri Loewenstein, âgé de 22 ans, garçon cordonnier domicilié en cette ville depuis un an, né à Kutzenhaussen département du Bas-Rhin le 4 janvier 1782, fils légitime et mineur de feu Jean Loewenstein, instituteur audit lieu, et de feue Catherine Tuchscherer, Et de Marie Barbe Müller, âgée de 22 ans, née en cette ville le 12 mars 1782 y domiciliée fille légitime de feu Michel Müller, journalier et de Barbe Rückstuhl sa mère ci présente (signé) Georg Heinrich Löwenstein, Maria Barbara Müller (i 12)

Marie Barbe Müller meurt en 1833 en délaissant six enfants.
1834 (16.1.), Strasbourg 2 (76), Me Weigel n° 8293
Inventaire de la succession de Marie Barbe Müller femme de Georges Henri Loewenstein, marchand de sel, décédée le 5 octobre 1833 – à la requête I. du veuf demeurant rue Bain aux Roses n° 1, père et tuteur légal de Frédéric Guillaume, compagnon ferblantier à Mülhausen né le 4 mars 1815, Sophie et née le 1 janvier 1818, Louise Loewenstein née le 21 juillet 1821
II. 1. Georges Henri, célibataire majeur ouvrier imprimeur à Strasbourg, 2. Caroline Loewenstein épouse de Chrétien Loewenstein, facteur de la poste aux lettres, 3. Jacques Charles Loewenstein, soldat au 19° régiment d’infanterie légère deuxième bataillon troisième compagnie en garnison à Nancy représenté par Chrétien Loewenstein son beau frère, héritiers chacun pour un tiers de de défunte leur mère – en présence de Jean Irrmann, cordonnier demeurant rue St Urbain n° 34, subrogé tuteur
Testament reçu par le soussigné notaire le 8 février 1829 enregistré le 7 octobre 1833 dernier, mariés sans contrat de mariage
rue Bain aux Roses n° 1
garde robe 78 fr, communauté meubles 812 fr, marchandises 560 fr, argent 2179 fr, créances actives néant, immeubles néant, passif de la communauté, mémoire, de la succession de 140 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 222 F° 132-v du 24.1.

Georges Henri Lœwenstein se remarie avec Catherine Barbe Eber, originaire de Niederbronn
1835 (28.5.), Strasbourg 2 (78), Me Weigel n° 8852
Contrat de mariage, communauté légale – Georges Loewenstein, marchand de fer, fils de feu Jean Loewenstein, maître d’école, et Catherine Tuchscherer à Brumath, veuf de Marie Barbe Müller avec laquelle il a procréé 6 enfants vivants
Catherine Barbe Eber, célibataire née à Niederbronn le 24 décembre 1812 fille naturelle d’Eve Catherine Eber
Enregistrement de Strasbourg, acp 231 F° 166 du 29.5.

Georges Henri Lœwenstein meurt en 1862. L’inventaire est dressé dans une maison rue du bain aux roses
1862 (11.6.), Strasbourg 10 (147), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.653
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Mr Georges Henri Loewenstein vivant marchand de sel et Dame Catherine Barbe Eber sa veuve et de la succession du dit Sr Loewenstein décédé à Strasbourg le 28 mai 1862.
L’an 1862 le Mercredi 11 juin à neuf heures du matin, à la requête de I. dame Catherine Barbe Eber demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de Mr Georges Henri Loewenstein vivant marchand de sel en cette ville, agissant A) en son nom personnel 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre elle et son défunt époux aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Weigel alors notaire à Strasbourg le 28 mai 1835, 2) comme créancière de cette communauté et même de la succession de son époux pour raison des reprises qu’elle peut avoir à exercer, résultant de son contrat de mariage, soit de tous autres titres, 3) à cause des avantages matrimoniaux résultant à son profit du contrat de mariage sus relaté, soit de tous autres titres, 4) et comme usufruitière légale des biens de sa fille ci après nommée jusqu’à son âge de 18 ans ou de son émancipation, B) au nom et comme mère et tutrice légale de Catherine Wilhelmine Loewenstein née le 7 décembre 1844, demeurant avec elle
II) Mr Charles Victor Holtzapffel, notaire à la résidence de Strasbourg où il demeure, agissant au nom et comme représentant a) Mr Guillaume Loewenstein, marchand, b) Mr Charles Loewenstein, ferblantier, les deux demeurant aux États-Unis de l’Amérique du Nord (…), III) Mr Georges Henri Loewenstein, journalier, IV) dame Caroline Loewenstein, épouse dûment assistée et autorisée de Mr Chrétien Loewenstein, facteur de la poste aux lettres ci présent, V) dame Sophie Loewenstein épouse dûment assistée et autorisée de Mr Louis Fuchs marchand de crépin ci présent, VI) dame Louise Loewenstein épouse dûment assistée et autorisée de Mr Georges Berg, bottier ci présent,
VII) Mr Emile Loewenstein, tourneur, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, ce dernier agissant tant en son nom personnel que comme subrogé tuteur de la mineure Catherine Wilhelmine Loewenstein sa sœur susnommée (…) habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers du défunt, savoir les six premiers comme étant issus du mariage dudit défunt avec feu dame Barbe Müller son épouse en premières noces et le Sr Emile Loewenstein et sa sœur mineure avec dame Catherine Barbe Eber son épouse en secondes noces
en la maison mortuaire rue du bain aux roses N° 8

Communauté. Objets en évidence. Cuisine, Chambre au second étage
acp 511 (3 Q 30 226) f° 54-v du 14.6. (succession déclarée le 7 9.vre 1862) Communauté, maison estimé 872, agent placé à la bnaque Preiss et Cie 3000, intérêts 54, une inscription de rente 9%, 41 parts
Succession, garde robe 89
(vacation du 14 juillet) Communauté, sommes dues par les cohéritiers 6836, Passif 3710
Succession, Reprises 3316, moitié du bénéfice de la communauté 4292, garde robe 89, rapport de Charles Loewenstein 136, rapport de Caroline Loewenstein 139, rapport de Henri Loewenstein 139, tous ces rapports pour argent prêté, ensemble 8119 francs. Passif 365, Reste 7753
Droits des enfants 1/9, 861 francs (…)
acp 512 (3 Q 30 227) f° 81 du 22.7.

Georges Henri Lœwenstein et Marie Barbe Müller vendent la maison 3 100 francs à leur voisin Pierre Rielle de Schauenbourg, capitaine d’Etat-major

1830 (31.3.),Strasbourg 2 (69), Me Weigel n° 6454
Georges Henry Loewenstein, ou Löwenstein marchand de sel, et Marie Barbe Müller
à Pierre Rielle de Schauenbourg, capitaine d’Etat Major Chevalier de la Légion d’Honneur
une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de la Croix n° 2 d’un côté M Weigel notaire modo l’acquéreur lui-même, d’autre Mde Polti, devant la rue, derrière l’acquéreur – acquis de Marie Agathe Graff femme séparée de corps & de biens d’Antoine Eyler, maçon, suivant acte passé devant Me Knobloch le 16 septembre 1810 – moyennant 3100 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 198 F° 194-v du 1.4.

Pierre Rielle baron de Schauenburg épouse en 1826 Adèle Dubosque épouse divorcée de Joseph Philippe Elisabeth Louis de Meri : contrat de mariage, célébration à Geudertheim où le marié possède un château
1826 (14.3.), Strasbourg 10 (34), Me Zimmer n° 668, 10.173
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Pierre Rielle baron de Schauenburg, propriétaire et Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant et domicilié à Geudertheim fils d’Alexis Balthasar Henri Antoine baron de Schauenbourg, lieutenant général en retraite commandeur de l’Ordre Royal et militaire de St Louis Grand officier de l’Ordre de la Légion d’Honneur demeurant en son château de Geudertheim, et de feu Marie Françoise Louise Sophie née baronne d’Ichtratzheim
Adèle née Dubosque épouse divorcée de Joseph Philippe Elisabeth Louis De Meri, suivant acte de divorce à l’état civil de Strasbourg le 11 avril 1812 fille de Jean Nicolas Dubosque, juge au Tribunal Civil, et de Marie Anne Joséphine Victoire Caroline de Mareschal
Enregistrement de Strasbourg, acp 177 f° 112-v du 14.3.

Mariage, Geudertheim (n° 2)
Acte de mariage célébré le 15 mars 1823. Monsieur le Baron de Schauenburg Pierre Rielle majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 mars 1793 à Sarrelouis domicilié à Geudertheim, Chevalier de l’ordre royal de la Légion d’honneur et propriétaire, fils d’Alexis Balthasard Henri Antoine Baron de Schauenburg Lieutenant Général en retraite, Commandeur de l’ordre royal et militaire de St Louis, grand Officier de l’ordre royal de la Légion d’honneur domicilié en cette mairie ci présent et consentant âgé de 78 ans, et de feu Marie Françoise Sophie Louise d’Ichtersheim Baronne de Schauenburg décédée à Strasbourg le 17 novembre 1815
Madamé Adèle du Bosque, majeure d’ans, née en légitime mariage le 27 frimaire an II à Schlestatt département du Bas Rhin domiciliée à Strasbourg, Divorcée pour cause déterminée de Joseph Philippe Elisabeth Louis de Méric en vertu de l’acte de divorce dressé par l’officier de l’état-civil à Strasbourg le 11 avril 1812 enregistré à Strasbourg le 11 avril de la même année, fille de feu Jean Nicolas du Bosque ancien Juge au Tribunal de Strasbourg y décédé le 9 février 1820 et de Dame Marie Anne Joséphine Victoire Caroline née Maréchal agée de 55 ans domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) P. R. de Schauenburg, Adele du Bosque

Officier de dragons, Joseph Philippe Elisabeth Louis de Meric épouse en 1810 Adèle Dubosque, agée de seize ans, fille de juge
Mariage, Strasbourg (n° 250)
L’an 1810, le 12° jour du mois de juin sont comparus suivant permission de mariage délivrée par Son Excellence le Ministre de la Guerre, Duc de Feltre en date de Paris Département de la Seine 2 mai dernier, Joseph Philippe Elisabeth Louis De Meric, agé de 26 ans, officier au 19° régiment de dragons en garnison en cette ville, né au château de la Tournerie, mairie de Lailly, Département de l’Yonne le 16 juillet 1783, y domicilié de droit, fils de feu Anne Philippe Pierre Demeric vivant chevau léger de la garde ordinaire du Roi, décédé à Paris le 2 mars 1784 comme il est constaté par son acte de décès, et de Marie Louise Marguerite Turpin de Pansay, demeurant à Paris, consentante (…) et Adèle Dubosque, agée de 16 ans, domiciliée en cette ville depuis son enfance, née à Schlestatt Département du Bas Rhin le 27 frimaire an II, fille de Jean Nicolas Dubosque juge au Tribunal civil séant à Strasbourg et de Victoire Marechal conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) Joseph Philippe Elisabeth Louis De Meric, Adele dubosque (i 31)

Divorce, Strasbourg (reg. accessoire f° 26-v, n° 60)
L’an 1812 le 11° jour du mois d’Avril (…) est comparu Adèle Dubosque agée de 18 ans, domiciliée en cette ville, née a Selestadt, Département susdit, Epouse de Joseph Philippe Elisabeth Louis De Meric, agé de 28 ans, officier de Dragons au Service de France, domicilié en cette ville, né au Château de la Tournerie, mairie de Lailly, Département de l’Yonne le 16 juillet 1783, laquelle Nous a déclaré que voulant faire procéder à la dissolution du Mariage qui a eu lieu entre elle et ledit Joseph Philippe Elisabeth Louis De Meric en cette ville le 12 juin 1810, elle a obtenu le 29 novembre dernier un jugement par défaut du tribunal de première instance séant à Strasbourg qui l’autorise à faire prononcer le divorce, Vu l’expédition du dit jugement avec une copie (…)
[in margine :] Enregistré à Strasbourg le 13 avril 1812 fol. 105 (i 29)

Adèle Dubosque meurt en 1839 en délaissant trois enfants. La succession comprend la maison principale rue des Veaux, propre de la défunte, et deux maisons voisines rue de la Croix

1839 (5.12.), Strasbourg 1 (84), Me Rencker n° 14.689
Inventaire de la succession d’Adèle Dubosque décédée le 29 octobre dernier – à la requête de Pierre Rielle baron de Schauenburg, capitaine au Corps Royal d’Etat Major, membre de la Légion d’Honneur, député du Bas Rhin et Membre du Conseil Général du Département demeurant à Strasbourg, père et tuteur légal de 1. Pierre Joseph Balthasar Alexis 11 ans, 2. Ildefonse Henri Odon 9 ans, 3. Marie Joséphine Isaure de Schauenburg 8 ans – en présence d’Ildefonse Abeille, colonel directeur d’Artillerie, membre de la Légion d’Honneur demeurant et domicilié à Strasbourg, subrogé tuteur – Contrat de mariage dressé par Me Zimmer le 14 mars 1826

propre de la défunte, une maison à Strasbourg rue des Veaux
en une maison Place du Broglie n° 13
Communauté, 5. une maison & dépendances sise à Strasbourg rue de la Croix portant n° 3, d’un côté la maison du Sr Georges Loewenstein aujourd’hui M de Schauenburg, d’autre la propriété de François Hartmann, derrière M de Schauenburg – acquis sur Jean Jacques Weigel, notaire, et Thérèse Antoinette Emilie Mathis par acte reçu Me L’Ange le 30 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques volume 234 n° 15
6. une maison avec appartenances & dépendances à Strasbourg rue de la Croix n° 2, d’un côté M. Weigel notaire aujourd’hui M. de Schauenburg, d’autre Mde Polti, derrière M de Schauenburg – acquis sur Henri Loewenstein ou Löwenstein, marchand de sel, et Marie Barbe Müller par acte reçu Me Weigel le 30 mars 1830 transcrit au bureau des hypothèques volume 233 n° 127
Propres de la défunte, maison à Strasbourg – une maison à porte cochère avec cour, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Veaux n° 5 entre la maison Graffenauer & la maison Polti, derrière la maison appartenant ci devant au Sr Hartmann
biens à Geudertheim
Enregistrement de Strasbourg, acp 273 f° 85-v du 13.12.



25, rue du Jeu-des-Enfants


Rue du Jeu-des-Enfants n° 25 – III 41 (Blondel), P 567 puis section 57 parcelle 62 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Ulric Schultheiss, 1587 – Troisième étage, Michel Bertsch, 1857


Le premier et le deuxième étage sont d’époque, le rez-de-chaussée a été refait, le troisième étage ajouté au XIX° siècle (septembre 2017)
Oriel de face et de dessous (mai 2019)

La maison est inscrite au nom de l’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis dans le Livre des loyers communaux de 1587, date qui figure selon Adolphe Seyboth sur l’oriel qui comprend des pilastres d’angle et une voûte à ogives curvilignes sur la partie inférieure. Les fenêtres à meneaux et congés aux étages sont représentatives du style Renaissance. Les héritiers Schultheis cèdent en 1661 la maison au capitaine manant Albert Frédéric Brehmer. Le tonnelier Etienne Geyler achète en 1708 la maison qui revient à son fils pasteur Etienne Geyler puis au fils de celui-ci, le tonnelier Jean Etienne Geyler. Les experts estiment les bâtiments 1 300 livres tout au long du siècle.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 46 – Cour R (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une façade à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie garnis d’une lanterne (oriel). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à droite du repère (m) : fenêtre à gauche, porte de cave sous l’oriel, porte d’entrée à droite. Chacun des deux étages a une double fenêtre à meneaux de part et d’autre de l’oriel à triple fenêtre. La toiture a deux niveaux de lucarnes. La cour R montre l’arrière (1-2) puis (2-3-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment (4-5) à l’ouest de la cour, celui (5-6) au fond de la cour puis le mur (6-1) qui fait partie de la propriété à l’est.
La maison porte d’abord le n° 51 (1784-1857) puis le n° 25.


Plan : cour et bâtiment arrière où se trouve le four
(dossier I de la Police du Bâtiment)

Le cadastre mentionne un agrandissement en 1857 : le revenu passe de 153 à 286 francs, aux 29 fenêtres ordinaires s’ajoutent 6 au troisième étage. Il s’agit sans doute de l’ajout du troisième étage en façade, le couronnement de l’oriel a été remplacé par un balcon. Un nouvel agrandissement a lieu en 1862, le revenu passe à 363 francs, les fenêtres ordinaires à 64 et celles au troisième et au-dessus à 20 ; les modifications doivent porter sur les bâtiments arrière. La maison abrite régulièrement une boulangerie depuis que Jacques Bentz s’en rend propriétaire en 1824. Michel Bertsch fait réparer son four en 1884. Thiébaut North le remplace par un nouveau en 1911 et y installe une machine électrique en 1913. Il remplace en 1942 son four endommagé par faits de guerre.
La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des Monuments historiques par arrêté ministériel du 5 décembre 1984. Le propriétaire Jean-Claude Wodling fait transformer l’intérieur et aménager les combles en 1992 sous la direction de l’architecte Louis Morel de Schiltigheim. Le rez-de-chaussée est occupé depuis 1992 par le débit de boissons Le Bouchon brionnais.



Façade et cour : ancien état – projet
(architecte Louis Morel, dossier II de la Police du Bâtiment)

juin 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Ulric Schultheis, aubergiste à l’Ecurie, et (1590) Jacqueline Kern, veuve de Théophile Beckel – luthériens
v Laurent Schultheis, aubergiste à l’Ecurie, et (1589) Brigitte Stempffer – luthériens
1661 v Albert Frédéric Brehmer, capitaine († 1674), et (b) Eve Félicité Katzendorffer – luthériens
1675 v Philippe Kœrner, aubergiste et (1653) Ursule Lœffler, (1660) Anne Lentz, puis (1669) Susanne Geidel veuve du boulanger Jean Oberlé – luthériens
1690 v Samuel Silberrad, pasteur, et (1685) Einbeth Kolb – luthériens
1698 v Jean Adam Kleinlé, marchand épicier puis employé à l’accise, péager, et (v. 1695) Marie Barbe Brehm, remariée (1710) à Chrétien Schimmer – luthériens
1708 v Etienne Geyler, tonnelier, et (1680) Barbe Hügel, veuve du tonnelier Etienne Geyler – luthériens
1721 h Etienne Geyler, pasteur, et (1721) Anne Madeleine Moscherosch, (1751) Marie Barbe Schneider veuve du boulanger Michel Diemer, Marie Madeleine Trawitz, veuve de Jean Georges Maul puis de Jean Christophe Jost – luthériens
1777 h Jean Etienne Geyler, tonnelier, et (1748) Marie Madeleine Muss puis (1756) Marie Marguerite Rœderer – luthériens
1812 h Jean Georges Müller, fripier puis cabaretier, et (1806) Marguerite Barbe Geyler, (1823) Anne Marie Mæhn
1824 v Jacques Bentz, boulanger, et (1814) Marie Elisabeth Sohn puis (1836) Marguerite Salomé Gross
1848 v Michel Bertsch, boulanger, et (1849) Catherine Weber puis (1863) Marguerite Haber
1892* h Georges Eugène Klein, graveur à Paris, et (1874) Caroline Bertsch
1906 Thiébaut North, boulanger, et Catherine Gangloff
1952- h Frédéric Jacques Vonseel, serrurier, et son épouse à Basse-Yutz

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 400 livres en 1709, 1 300 livres en 1721 et en 1749

(1765, Liste Blondel) III 41, Stephan Geiler tonnelier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Steffan Geÿler, 3 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 567, Bentz, Jacques, boulanger – maison, sol – 1,68 are

Locations

1700 (cave), Jean Georges Krauss, marchand épicier
1803, Marie Salomé Rœderer veuve du coutelier Jean Jacques Weber
1824 (cave), Jean Georges Popp, marchand de vins
1834, Michel Wagner, cocher, et Madeleine Bourt

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, VII 1450, f° 296-v

Uff dem Vordern Weinmarckt Die Eine seitten nach dem Alten Sanct Peter Zu, Oben zu nechst an der Mangen hiernauff gemeßen
Hans Ulrich Schultheiß der Würth Zum Stall hatt gegen d. Herberg Zum Stall über, ein New gebawene Behausung, daran ein steinerin Ercker x schu breit, iiij schu heraus, Ein lehenende Kellerthüer ane dem selben Hauß, viij schu iij Zoll breit, iiij schu herauß, Bessert &, x ß iiij d.

(traduction) L’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheiss a une maison construite depuis peu face à l’auberge à l’Ecurie. Elle a un oriel de 10 pieds de large en saillie de 4 pieds, une porte de cave inclinée de 8 pieds 3 pouces de large en saillie de 4 pieds. Doit pour cette jouissance 10 sols 4 deniers

Description de la maison

  • 1709 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 2 800 florins
  • 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, cave voûtée, bâtiment latéral où se trouvent plusieurs chambres et une cave solivée, un bâtiment arrière où se trouvent un vestibule et une buanderie, le petite cour dallée comprend un abreuvoir et un évier, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Jeu des Enfants

nouveau N° / ancien N° : 30 / 51
Müller
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et lanterne
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 226 case 4

Bentz Jacques boulanger
Bertsch Michel, boulanger, Substitution 1850

P 567, maison, sol, cour, Rue du Jeu des enfants 51
Contenance : 1,68
Revenu total : 153,87 (153 et 0,87)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 797 case 1

Bertsch Michel propriétaire
Subst. 92/93 Klein Georg, Handlungsreisender, Frau geb. Bertsch, in Paris
(1271) North Theobald Bäckermeister und Ehefrau Katharina geb. Gangloff in Gtg.
(ancien f° 545)

P 567, maison, sol, cour, Rue du Jeu des enfants 25
Contenance : 1,68
Revenu total : 153,87 (153 et 0,87)
Folio de provenance : (226)
Folio de destination : 545, Add.on de Construction
Année d’entrée :
Année de sortie : 1860
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 567, maison
Revenu total : 286,87 (286 et 0,87)
Folio de provenance : Add.on de Con
Folio de destination : 545
Année d’entrée : 1860
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 6
1860, Augmentations – Bertsch Michel f° 545, P 567 Maison, revenu 286, addition de construction, achevée en 1857, imposable en 1860, imposée en 1860
Diminutions – Bertsch Michel f° 545, P 567 Maison, revenu 153, addition de construction en 1857, (voir ci-contre), supp. en 1860

P 567, maison
Revenu total : 343,87 (343 et 0,87)
Folio de provenance : 545, Add.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1865
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 64 / 51
fenêtres du 3° et au-dessus : 20 / 16
1865, Augmentations – Bertsch Michel f° 545, P 567, maison, revenu 363, addition de construction, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865
Diminutions – Bertsch Michel f° 545, P 567, maison, revenu 286, addition de construction en 1862, supp. en 1865, voir les augmentations

Cadastre allemand, registre 30 p. 307 case 2

Parcelle, section 57, n° 62 – autrefois P 567
Canton : Kinderspielgasse Hs N° 25
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,93
Revenu : 2800 – 3700
Remarques :

(Propriétaire), compte 3062
North Theobald u. Ehefrau geb. Gangloff
1947 North Thiébaut sa veuve née Gangloff à Basse-Yutz
1952 Vonseel Frédéric Jacques serrurier et son épouse à Basse-Yutz
(4159)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants

51
Pr. Gailer Jean Stephan – tonneliers
lo. Siegel Chrétien – Echasses
lo. Kreuter George – lanterne
lo. Kaisser André – Charpentiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kinderspielgasse (Seite 78)

(Haus Nr.) 25
Fritsch & Rett, Elektrotechn. Install.-Gesch. 0
North, Bäckerm. 01
Fritsch, Elektrotechniker. 1
Bernhard, Schneiderin. 2.
Rolle, Schreibgehülfe. 3.
Wohlhüter, Wwe. 3.
Argogast, Tagner. H 1
Heintzmann, Schreiner. H 2
Boos, Maurer, H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 934 W 208)

Jeu-des-Enfants n° 25 (I, 1867-1993)

L’entrepreneur Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) répare en 1884 le four du boulanger Bertsch. Le marchand de lait A. de Vizcaya (zur Butterblume, au Bouton d’or) pose en 1895 la première enseigne sur la maison. Le propriétaire du 22, rue du Vieux-Marché-aux-Vins se plaint à plusieurs reprises entre 1900 et 1905 des fumées provenant de la cheminée du boulanger. Thiébaut North remplace son ancien four par un nouveau en 1911 puis installe une machine électrique en 1913. Il remplace en 1942 son four endommagé par faits de guerre.
On trouve en outre dans les locaux commerciaux en 1898 l’horloger Schmitt, en 1910 le marchand de papier en gros Emile Jaudel, en 1921 le charcutier Friedmann, en 1933 le cordonnier Alfred Heinrich-Oberhauser, en 1954 l’horloger bijoutier Kuntzel, de 1979-1990 le boulanger Jean-Paul Mourer

Sommaire
  • 1867 – L’entrepreneur Nuss demande au nom du propriétaire Baersch l’autorisation de réparer le crépi et de badigeonner la façade au 25, rue du Jeu-des-Enfants. L’agent voyer fait remarquer que la façade alignée comprend une tourelle en maçonnerie au milieu des deux étages
  • 1884 – L. Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande au nom du propriétaire Bertsch l’autorisation de réparer le four de boulanger – Autorisation – Travaux terminés, avril 1884
  • 1895 – Le marchand de lait A. de Vizcaya (zur Butterblume, au Bouton d’or) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire aux 17, rue du Faubourg National (maison Georg) et 25, rue du Jeu-des-Enfants (maison Schnerb) . L’agent voyer note que la maison n’en a encore aucune – Autorisation – L’enseigne est posée, août 1895
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire la veuve Berst de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence celui d’un soupirail. – Travaux terminés, février 1896.
  • 1898 – La Police du Bâtiment constate que l’horloger Schmitt (domicilié 8, rue des Bouchers) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation (sur deux formulaires différents) – Le maire expédie un avis de paiement. L’horloger retire son enseigne, la ville renonce à recouvrer les droits pour cause de pauvreté.
  • 1900 (mai) – Le maire notifie la veuve Bertsch (domiciliée sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
  • 1900 – L’antiquaire Baruch Netter (22, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) se plaint des fumées qui proviennent de la boulangerie Thiébaut North sise 25, rue du Jeu-des-Enfants. La Police du Bâtiment se rend sur place et conclut que le propriétaire devra hausser la cheminée de trois mètres – Travaux terminés, décembre
    1902 – Le même fait remarquer que la cheminée est construite de telle manière qu’il est difficile voire impossible de la ramoner, à preuve un récent feu de cheminée – Rapport de l’agent de police Frischmeyer, janvier 1902 – Autre plainte par G. Stæhling et L. Valentin (Strassburger Bank) – La Police du Bâtiment constate que le boulanger Thiébaut North fait ramoner la cheminée toutes les quatre semaines. Elle propose un intervalle de trois semaines. Le combustible est exclusivement du bois de sapin. Dossier classé, février 1902.
    1903 – L’antiquaire Baruch Netter fait part de sa crainte d’incendie à cause des cheminées des 25, rue du Jeu-des-Enfants et 20, rue du Vieux-Marché-aux-Vins (Steinthal – courriers Steinthal). La Police du Bâtiment conseille au boulanger North de brûler un combustible qui produit moins de suie – Suite à une nouvelle plainte, la Police du Bâtiment demande au boulanger de construire une nouvelle cheminée de 25 mètres de haut
    1904 – La cheminée n’a pas été réalisée. Le propriétaire Georges Klein habite Paris (17, rue du Louvre), le gérant Charles Koch 7, rue du Bouclier. – Georges Klein commet l’avocat Mühleisen pour défendre ses droits – Comme les poursuites contre un propriétaire qui habite Paris sont incertaines, la Police du Bâtiment demande s’il s’agit d’un voisin incommodé par la fumée ou d’un danger d’incendie.
    1905 – Nouvelle plainte de l’antiquaire. La Police du Bâtiment constate que les cheminées des deux voisins sont réglementaires. Un incendie se déclare au 20, rue du Vieux-Marché-aux-Vins – La Police du Bâtiment demande à nouveau à Georges Klein d’édifier une cheminée – La cheminée a été rehaussée, octobre 1905
  • 1904 – Mme North se plaint que la fosse d’aisance n’est pas étanche et qu’elle fuit dans sa cave – La Police du Bâtiment envoie un courrier au gérant qui fait vider la fosse sans la réparer – Travaux terminés, avril 1904
  • 1907 – Le préfet de Basse-Alsace écrit au boulanger Thiébaut Nort au sujet du nouveau règlement des boulangeries, en date du 20 août 1906, fixant la hauteur des locaux à 2,65 mètres. – Dossier. La Police du Bâtiment constate que les locaux ont la hauteur réglementaire
  • 1907 – Rapport suite à un feu de cheminée
  • 1906 – Le maire notifie Georges Klein et son gérant Koch de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
    1907 – Autre courrier envoyé à Thiébaut North, propriétaire depuis août 1906
  • 1910 – Le marchand de papier en gros Emile Jaudel demande l’autorisation de poser une vitrine – Autorisation
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Georges Klein (17, rue du Louvre à Paris), gérant Koch, rue du Bouclier – 1901, Remarque sur les cabinets d’aisance – Travaux terminés
    1903, rien à signaler. 1904, un boulanger informe que les deux garçons boulangers dorment dans un même lit, ce qu’interdit le règlement. 1905, les cabinets d’aisance devront être raccordés aux canalisations – 1906, Le maître boulanger North achète la maison
    1916, Commission des logements militaires. Remarques en neuf points
  • 1911 – Alexandre Scheyen (1, Grande rue de la Course) demande l’autorisation de poser du sable et des décombres sur la voie publique pour réparer le four du boulanger North. Le commissaire de police transmet au maire. – Autorisation – Travaux terminés, juillet
    Le boulanger Thiébaut Nort demande l’autorisation de remplacer son ancien four par un nouveau – Autorisation – Plan – Travaux terminés, août 1911
  • 1913 – L’entrepreneur H. Mohler (Heiritz n° 9) demande l’autorisation d’installer une machine électrique chez le boulanger North – L’inspecteur du travail donne son accord – Autorisation – Plan – Travaux terminés, mars 1914
  • 1914 – E. Jaudel informe la Police du Bâtiment qu’il a posé une enseigne émaillée Papier, Imprimés (Papier, Drucksachen). La maire informe le pétitionnaire qu’aucune autorisation n’est nécessaire – L’objet est cependant une enseigne perpendiculaire fixée à 20 centimètres de la propriété voisine – Le pétitionnaire objecte que son prédécesseur a posé l’enseigne – L’autorisation est accordée suivant le paragraphe 15 de l’article 4 (c) du règlement de voirie.
  • 1920 – Le Syndicat de la propriété bâtie demande au nom du boulanger North l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord
  • 1921 – Dossier suite à un feu de cheminée – La cheminée est réglementaire sauf au deuxième étage où elle rejoint une autre cheminée. Croquis – Certificat du ramoneur A. Knayer
  • 1921 – Le charcutier Friedmann qui vient d’ouvrir un magasin provisoire au 25, rue du Jeu-des-Enfants demande une assistance après que les agents de police lui ont demandé de fermer son magasin parce que le sol est en plancher et les murs tapissés – Croquis de la façade (Boulangerie Th. North à gauche, Charcuterie-Triperie E. Friedmann à droite) – Mesures à prendre pour rendre le local conforme.
    1922 – Elise Friedmann demande l’autorisation de poser deux enseignes (plaques apposées de part et d’autre de l’oriel) – Autorisation
  • 1922 – Le commandant des pompiers fait état de plusieurs fausses alertes à cause des fumées qui s’échappent du 25, rue du Jeu-des-Enfants – La Police du Bâtiment demande au propriétaire North de surélever la cheminée qui devra dépasser d’au moins 50 centimètres les bâtiments voisins. – Pas de travaux, l’affaire est provisoirement classée en janvier 1924
    1925 – Le locataire Fiedmann (premier étage) est incommodé par la fumée – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de mettre la cheminée en conformité au règlement – Travaux terminés, février 1925
  • 1932 – Le tailleur Alfred Doxie (premier étage) demande l’autorisation de poser une enseigne plate sur verre à la porte d’entrée
  • 1933 – Le cordonnier Alfred Heinrich-Oberhauser demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1934 – La Banque de Strasbourg se plaint d’être incommodée par les fumées provenant du n° 25. Le boulanger fait ramoner la cheminée.
  • 1937 – Le locataire Worth se plaint que les cabinets d’aisance sont mal tenus. Le Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée
  • 1944 – Rapport d’incendie – Rapport sur les causes de l’incendie du 8 avril 1944 qui semble dû à des matériaux inflammables trop proches de la cheminée – Les matériaux inflammables sont supprimés, les travaux n’ont pas encore eu lieu
    1942 – Thiébaut North demande l’autorisation de faire des transformations et de remplacer le four endommagé par faits de guerre – L’inspection du travail donne les conditions à respecter – Les travaux sont autorisés, le fabricant de fours Lutz et Schildberg certifie qu’il détient les matériaux nécessaires – Autorisation, architecte E. Deuchler – Plan
    1943-1944 – Calcul statique pour déterminer la résistance des solives métalliques et du pilier en briques qui soutient les solives (Th. et Ed. Wagner) – Les transformations sont en cours, février 1943
  • 1953 – Rosenfelder informe la Police du Bâtiment que le store n’est plus en place depuis qu’il a fait poser une nouvelle devanture deux mois plus tôt
  • 1954 – Le locataire A. Schurk se plaint que l’eau s’infiltre dans son logement. La Police du Bâtiment constate que la toiture est défectueuse. Gérante de l’immeuble, Mme Doxie, domiciliée sur place, propriétaire M. Vonseel, demeurant à Basse-Yutz – La maire prie le propriétaire de faire les travaux nécessaires – Travaux terminés, février 1955
  • 1954 – L’horloger bijoutier C. Kuntzel, locataire, demande l’autorisation d’aménager une devanture – Plan de situation, photographie – Dessin contresigné par le propriétaire Vonseel – Autorisation, entrepreneur E. Burg et fils (13, rue de Kaysersberg au Neudorf) – Travaux terminés, mai 1955
    1960 — Le même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire publicitaire (Lip) – Arrêté d’autorisation – L’enseigne est posée
  • 1971 – Le maire notifie Frédéric Vonseel, demeurant rue Louise-Michel à Basse-Yutz, de faire ravaler la façade. – Devis de l’entreprise de peinture H. Schmid-France à Lingolsheim – Calcul prévisionnel de subvention – Devis de l’entreprise de zinguerie Eugène Adal (rue des Moulins) – Le ravalement est terminé, janvier 1974 – Facture Schmid (peinture) et Auguste Strub (zinguerie)
  • 1980 – Les établissements Lucien Walter (Mundolsheim) demandent l’autorisation de poser un store en corbeille pour le compte du boulanger Jean-Paul Mourer (propriétaire de l’immeuble, Willy Reeg à Reitwiller) – Photographie (local à gauche de la porte), dessins – Arrêté d’autorisation – Le store est posé, décembre 1980
  • 1981 – Rectification de recette pour le droit de l’enseigne Kuntzel, déposée depuis décembre 1979
  • 1989 – Copie de la résiliation du bail Mourer, convenue le 30 juin 1989 (bail passé le premier août 1979, local commercial et logement) – Le store est déposé, janvier 1990
  • 1990 – Le notaire Martin Diener (place de Bordeaux à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme (section 57 parcelle 62). propriétaire, Willy Reeg – Plan cadastral de situation. La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des Monuments historiques par arrêté ministériel du 5 décembre 1984.
  • 1993 – Certificat de conformité d’une installation intérieure au gaz
    1993 – Rapport de la commission de sécurité, restaurant Le Bouchon brionnais (établissement de catégorie 5)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 934 W 209)

Jeu-des-Enfants n° 25 (II, 1992-1993)

Le propriétaire Jean-Claude Wodling fait transformer l’intérieur et aménager les combles en 1992 sous la direction de l’architecte Louis Morel de Schiltigheim.
Claude Coletta est autorisée à transférer la licence IV du débit de boissons Hôtel de la Couronne (26, rue du Faubourg de Saverne) dans son établissement Le Bouchon brionnais (25, rue du Jeu-des-Enfants).

Sommaire
  • 1992 – Photographies. Dessins de l’existant. Maître d’ouvrage J.-C. Wodling, rue de la Bruche à Bischheim. Architecte, Louis Morel, rue de Seltz à Schiltigheim. Sous-sol, entresol, rez-de-chaussée, 1° étage, 2° étage, 3° étage, combles. Façade rue du Jeu-des-Enfants
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable aux travaux
    Dessin du projet, contresigné par la commission de sécurité (sous-sol, rez-de-chaussée)
    1992 (juillet) – Le maire accorde le permis de construire, le bénéficiaire devra régler la compensation pour une place de stationnement non réalisée
    1992 – Le préfet demande un rapport au maire après que Mme Claude Coletta demeurant à Marcigny (Saône-et-Loire) a demandé l’autorisation de transférer la licence IV du débit de boissons Hôtel de la Couronne (26, rue du Faubourg de Saverne) dans son établissement Le Bouchon brionnais (25, rue du Jeu-des-Enfants). – Le préfet accorde à Claude Coletta l’autorisation d’exploiter l’établissement dans deux salles au rez-de-chaussée (août 1993) puis à Yannick Thevenoux, fondé de pouvoir de Claude Coletta (avril 1994)
    1992 – Jean-Claude Wodling demande l’autorisation d’aménager les combles. Jeu de dessins, état projeté (élévations sur rue, sur cour)
  • 1993 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que Le Bouchon brionnais a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de l’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis dans le Livre des loyers communaux de 1587 (voir plus haut). L’oriel à pilastres d’angle daté de 1587 (voir Seyboth, éd. en allemand p. 290) occupe la travée centrale  ; la partie inférieure comprend une voûte à ogives curvilignes. Les étages de style Renaissance ont des fenêtres à meneaux et congés.
D’après les tenants et aboutissants, la maison appartient à l’aubergiste à l’Ecurie Laurent Schultheis dans les années 1630 puis (1640) à Barbe Schultheis.
L’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis se (re)marie en 1590 avec Jacqueline Kern, veuve de Théophile Beckel d’Obernai. Laurent Schultheis épouse en 1589 Brigitte Stempffer, fille de l’aubergiste de Küttolsheim

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14-v, n° 7)
1590. Hans Ulrich Schultheis Wurt Zum Stall, f. Jacoba Kernin Theophili Beckels hinderlaßene Wittwe Von Ober Ehenheim.10. Februarÿ (i 17)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 12-v, n° 30)
1589. Lorentz Schultheis, J. Brigitta Jacob stempffers des Wurt Zuo Kittelsheim verlasene tochter. 9. Stp. (i15)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 141)
1616. 11. Junÿ. Laurentius Schultheis Würt Zum Stall, J. Margreth, Philipps Frosch. zu Reichweier Tochter (i 145)

Filles de Laurent Schultheis, Brigitte épouse en 1632 le libraire Evrard Zetzner et Julienne le marchand Frédéric Riehl. Leur frère étudaint en droit Jean Jacques épouse en 1731 Madeleine Wolfarth.

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14-v)
1632 Dominica 3. post Trinitatis Hr Eberhardt Zetzner d. buchhändler Kleiner Raths vwander, J. Brigitta hr Lorentz Schultheißen Gastgeber Zum Stahl nachgelaßene tochter, 21. Junÿ im Münster (i 16)

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 26-v)
1634. Dominica Adventus. Hr. Friderich Riehl d. Handelßmann Vnd burg. allhier J. Juliana Hr. Lorentz Schultheißen weiland Gastgebers Zum Stall allhier nachgelaßene tochter, 8. Xbris, St. Thomas (i 28)
P

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 9-v)
1631. Dominca Trinitatis. H. Johann Jacob Schultheiß L L Candidatus weiland Hr Lorentz Schultheiß gewesenen Gastgebers Zum Stall nachgelaßener Sohn J. Magdalena Hr: Caspar Wolffarts burgers allhier eheliche dochter, 14. Junÿ St. Thoma (i 11)

Les héritiers de Barbe Schultheis (Jean Evrard Zetzner, Sara Riel et Jean Georges Barth de Colmar) vendent la maison 425 livres au capitaine Albert Frédéric Brehmer. Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent leur autorisation à la vente puisque l’acquéreur est manant.

1661 (28. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 787
(Prot. fol. 65) Erschienen der Edel- Fürsichtig- hochweÿs- hochgelehrte H. Dominicus Dietrich dißer Statt alter Ammeÿster und Treÿ Zehener alß Curator Johann Eberhard Zetzners, wie auch der Ehrenvest- From- und wohl weÿs H Johann Philippß Mülb dißer Statt Fünffzehener alß Vogt Jungf. Saræ Rhielin, Und der Ehrenvest- Fürsichtig- weÿs H Paul Friderich Marbach E.E. groß. Rhats alter Beÿsitzer alß H Hannß Georg Barth. handelßmann und Burgers Zu Colmar, am 12. 9.br Jüngsthien in der Cancelleÿ Contractstuben mündlich constituirter Befelchhaber
in gegensein deß Vest- und Mannhafften H Albrecht Friderich Bremers, Maior, mit beÿstand deß Ehrenvest- Fürsichtig- Weÿsen H Johann Michael Zeißolffs dißer Statt Ein und Zwantzigers – vff Herrn Rhät und XXI. am 23. eiusdem ertheilt obrigkeitliche Bewilligung
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin, Stallung, und allen übrig. Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am alten Weinmarckh, geg. der herberg Zum Stall hienüber und Zum Alten Stall genannt, einseit neben hannß Adolph Grohbergern dem leinenwebern, anderseit neben H Johann Schäfern accis schreibern Zum theil weÿl. H Balthasar Bischoffs geweßenen Ampt Manns Zu Barr nunmehr seel. hinderlaßener Erben, theilß vff weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen – umb 425 Pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Albert Frédéric Brehmer à acquérir la maison Schultheis (Schultz).
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(p. 207) Sambstag den 23. Nov. 1661 – Maior Albrecht Friderich Bremer umb g.sens
Ersch. Major Maior Albrecht Friderich Bremer, gibt Zu erkennen Wildten, wie wie daß Er vorhabens die Schultzische behaußung, gegen der Wirths hauß Zum Stall über gelegen, käuflich an sich zu nemmen, weilen Er dann ohnverburgert, alß b. Er Zu solchem Contr. Obrigk. consens zu ertheilen. Erkannt Willfahrt
herrn XXI.er Zeÿßolff et H. Schmidt

Le capitaine Albert Frédéric Brehmer meurt à l’âde de 70 ans en 1674.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 53, n° 227)
1674. Donnerstag d. 12. Ejudsem [Novembris] ward begraben Herr Allbrecht Friderich Bremer der Capitain ætat: 70. Annorum (i 8)

Ses héritiers, le capitaine Jean Christophe Brehmer et Elisabeth Barbe Brehmer épouse du mousquetaire Jean Henri Klein, hypothèquent la maison au profit des mineurs Gambs pour régler les créanciers de leur père et les sommes dues à leur belle-mère Eve Félicité Katzendorffer

1674 (4. Xbr:), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 696
hannß Christoph Bremer Corporal under Herrn Capitain Frandi Compagnie und Elisabetha Barbara Bremerin hannß Henrich Kleinen deß Mußquetirers eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein deß Ehrenvest, fürsichtig und weÿsen herren Jacob Wenckhers E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers alß Curatoris herrn Johann Sebastian Gambsen L.L. Stud. hannß Michael Gambsen und Jungfr. Mariæ Otiliæ Gambsin – besagtem H. Johann Sebastian Gambsen 300. fl. gedachtem hannß Michael Gambsen 200 fl. und erwehnter Mariæ Otiliæ Gambsin 100. fl. und also dießer dreÿen Gambsischen Geschwisterden in summa 600. fl. à 15. baatzen bahr gelühenen Gelts daß Sie damit ihre Stieffmutter Fr. Mariam Evam Felicitatem Kaltzendorfferin ihres theils befriedigen und andere Vatterliche passiv-Schulden wie auch auff Inventir und sonsten benöthigte Uncosten richtig machen können, schuldig seÿen
unterpfand, zwen tritte theil denen debitoribus für ohnvertheilt gebührend ahne Zweÿen häußern einem Vordern und hindern, deren hoffstätten und übrig. gebäwen, begriffen, und zugehördten alhier uff dem alten Weinmarckh gegen der Herberg zum stall hinüber und Zum alten Stall genannt, einseit neben hannß Adolph Groberger dem Leinenweber anderseit neben herren Johann Heinrich Bischoffen altem Großen Rhats Verwanthem hinden Zum theil uff denselben und theils uff weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen (…) Item diejenige 900. Thllr. so hannß Ludwig Zeißolffs deß handelsmanns eheliche haußfrau Anna Geneve Storckhin Vermög der am 21. Julÿ Jüngsthien in der Cancelleÿ contractstuben uff gerichteter Expromission von und ahne 5474. fl.

Les héritiers d’Albert Frédéric Brehmer, Jean Christophe, Elisabeth Barbe ci-dessus cités et les enfants d’Anne Brehmer et de Jean Büry de Westhoffen, vendent la maison 750 livres aà marchand de vins Philippe Kœrner et à sa femme Susanne

1675 (1. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 310-v
Hannß Christoph Brehmer Corporal under H. Capitain Frandi Compagnie Elisabetha Barbara Bremmerin, hannß Henrich Kleinen Gefreÿten under H. Obristen Compagnie Eheweib mit assistentz erstermelts Ihres Ehevogts, So dann Wolff Welsch Von Westhoffen, alß Vogt Weÿl. Jean Büry Von Westhoffen mit Weÿl. Anna Bremehrin beeder nunmehr seel. ehelich erzeugter und nachgelaßener Kinder, alle Weÿl. H. Albrecht Friderich Brehmers geweßenen Capitain Lietenants nun auch seel. nachgelaßener Kinder Und Enckhel
in gegensein H. Philipp Körners des Weinhändtlers und Susannæ beÿder Eheleuth
Zweÿ häußer Ein Vorders und Ein hinders, mit deren hoffstätten höfflin Stallung und allen übrigen Ihren Gebäwen, Begriffen Weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier am alten Weinmarckh gegen der herberg Zum Stall hiernüber einseit neben H Johann Henrich Bischoffen E.E. großen Rhats Beÿsitzern anderseit neben hannß Adolph Grohbergern dem Leinenwebern hinden Zum theil Uff Weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen – umb 750. lb

La veuve et les enfants de Philippe Kœrner, auparavant à la Couronne à Kehl, vendent la maison 650 livres au pasteur de Lampertheim Samuel Silberrad

1690 (29. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 741-v
Erschienen Susanna gebohrne Grundelinin, weÿl. Philipß Körners gewesenen würths Zur Cronen in Kaÿl, nachgelaßene Wittib, mit beÿstand H. Johannis Engelhards deß tuchscherers Ihres Vogts, So dann H. Abraham Kreuchel der jüngere alß vogt vorged. Körners nachgelaßener 2. Kind. So dann H. Johann Henrich Lang, Notar. Publ. für sein eÿgene Person
in gegensein H. M. Samuel Silberads Pfarrherrs Zu Lampertheim
Eine behaußung hoff, und hind.hauß, sambt deren hoffstätt. auch allen deren Gebaüen, rechten und zugehördt. allhier am Alten Weinmarckt geg. d. herberg Zum Stall, einseit neb. H. Joh: Henrich Bischoff. Exsenat. and. seit neben Anna Maria Benderin wittib hinden auff Johann Kleiber den Schreiner Zum theil auff weil. H. Sebastian Nägelins XV. sel. wittib theilß auch auff H. Phil. Conrad Rauch. Notar. stoßend geleg. – geschehen umb 650 pfund

Fils du pasteur de Saint-Pierre-le-Vieux, Samuel Silberrad épouse en 1685 Einbeth Kolb, fille de feu le pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 317-v)
1685. Dom. X. post Trint. 2. 7.bris Hr. M. Samuel Silberadt pfarrer Zu Lampertheim hrn Samuel Silberadt pfarrern der Kirch Zuem alt. S. Peter alhier ehl. Sohn, V. Jgf. Einbetha, wÿl. hrn M. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers beÿ dießer Kirchen Zum Jung. S. Peter, Nachgel. ehl. tochter. Cop. Donnerst. 13. 7.bris (i 332)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 311 livres, ceux de la femme à 1 242 livres.
1685 (15. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 6) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güttere, so der Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrte H. M. Samuel Silberad, der Zeit wohlverdienter Pfarrer Zu Lampertheim, Zu der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Einbetha gebohrner Kolbin, seiner hertzgeliebten haußfrawen, vnd dahiengegen Sie Fraw Einbetha Kolbin Zu ihme H. M. Samuel Silberad Ihrem vielgeliebten Ehegattin für unverändert in den Ehestand Zugebracht (…) Actum in beÿsein H. Joh: Saltzmanns Jur: Ddi als d. Fr. Pfarrerin noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Sambstags den 15. 7.bris Anno 1685.

Vnd Zuvorderist deß Herrn Pfarrers unverändert Gutt. In einer alhier Zue Straßburg auff dem alten weinmarckh gelegener hiehero nicht Gehöriger behausung befund. word. wie volgt
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegener vnd in dießer nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß H. Pfarrers unveränderte Nahr. Sa. haußraths 51, Sa. Bibliothecæ 37, Sa. Früchten 19, Sa. Wein 8, Sa. Hew 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 164, Summa summarum 311 lb
Der Fraw Pfarerin unverändert Gutt, Sa. haußraths 154, Sa. Wein v. Lehrer Vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 42, Sa. Guldener Ring 21, Sa. baarschafft 215, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 687, Sa. d. Gülth von liegenden güthern 100, Summa summarum 1242 lb
Wÿdumb Welchen Fr: Agata Ursula Kolbin gebohrne Schönerläckin weÿl. des Wohl Ehrwürdig v. wohlgelehrte herr M. Eliæ Kolben geweßen Pfarherrn Zum jung. St. Peter nunmehr seel. hinterlaßene Wittib, 1000 lb, Waran deß orths der Fraw Pfarrerin vor ein fünfften theil gehörig nemblichen 200 lb

Notice de Bopp dans son répertoire des pasteurs
(Bopp n° 4916) Samuel Silberrad, ° Str. 3 avril 1658 du pasteur Samuel Silberrad et de Susanne Marie Poenius, x Saint-Pierre-le-Jeune 13 septembre 1685 Elisabeth Kolb
imm. à Strasbourg 26 octobre 1671, Mag. 30 janvier 1677, à Giessen 22 septembre 1680
Pasteur à Entzheim (1682-1685) à Lampertheim (1685-1697), diacre à Saint-Guillaume de Str. (1698-1705), pasteur au Temple-Neuf (1705-1718) , † 1 octobre 1718. Eloge funèbre 124

Samuel Silberrad devient tributaire chez les Charpentiers le 15 juillet 1687 et prend le 26 août suivant la place de son père
1687, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 91-v) Dienstags den 15. Julÿ A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr Samuel Silberadt Pfarrer Zue Lamperth. empfangt daß Zunfftrecht und erlegte die gebühr mit 1 lb 13 ß 6 d.
(f° 93-v) Samstags den 26. Augusti A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr M. Samuel Silberadt Pfarrer Zu Lamperth. empfangt seines Herrn Vatters seel. Zunfftrecht und erlegte deßwegen 1 lb 13 ß 6 d.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un statuent sur la candidature de Samuel Silberrad au poste de diacre à Saint-Guillaume en 1697 et au poste de pasteur au Temple-Neuf en 1705
1697, Conseillers et XXI (1 R 180)
Herr M. Samuel Silberrad würd helfer Zu St Wilhelm. 181. 185.

1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
Zu ersetzung deß Pastorats in der Newen Kirchen soll eine denomination gemacht werden. 63. Denomination würdt confirmirt. 67. Deputation 78. das Pastorat würdt durch H. Mag. Samuel Silberradt ersetzt. 84.

L’inventaire (non conservé) de Samuel Silberrad est dressé en 1719
1719, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 318
Inventarium über weÿl. Hn. M. Samuelis Silberrads gewes. Pfarrers in der Prediger Kirch seel. Verlassenschafft

Einbeth Kolb veuve de Samuel Silberrad meurt en 1740 en délaissant six enfants ou leurs représentants. L’actif s’élève à 1874 livres, le passif à 84 livres
1740 (10.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 54) n° 1205
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿland die hoch Ehren und hoch tugendgezierte frau Einbetha Silberradin geb. Kolbin weÿland des Hoch Ehrwürdig, Großachtbahr und hochgelehrten herrn M. Samuel Silberrads geweßenen treueifferigen Pfarrers und seelsorgers in der Neuen: oder Prediger Kirchen nunmehr seel. nachgelaßener frau wittib nun auch seel. nachgelaßene Frau Wittib nun auch seel. als dieselbe Montags den 3.ten Octobris dießes Zuend Lauffenden 1740.sten jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 10.ten Octobris Anno 1740.
Die in Gott ruhende frau Pfarrerin seelige hat zu Ihren Erben Sis ubique Titi ab intestato verlaßen wie volgt. 1.mo Weÿland herrn Eliæ Silberrads der heÿligen Schrifft geweßenen weitberühmbten Doctoris und Professoris Publici ordinarÿ, Capituli Thomani Canonici Convent; Eccels: Præsidis und Pastori Primarÿ auch Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen ehelich erziehlte und nach todt hinterlaßene acht herren Söhne und Jungfer töchtere nahmentlichen 1.mo Herrn Johann Paul Silberrad, ledigen barbierer gesellen, so auf der Reÿß begriffen, 2.do herrn Silberrad Samuel Silberrad, den Ledigen Knöpffmacher, so gleichfalls auf der Reÿß begriffen, 3.tio Jungfer Susannam Salome Silberradin, 4.to Jungfer Einbetham Silberradin, 5.to Jungfrauen Mariam Elisabetham Silberrad, 6.to Jungfer Kinigundam Silberradin, 7.tio Johannem Silberrad in quinta Classe discipulum und dann 8.vo Mariam Magdalenam Silberrad, dießer Acht geschwornener vogt hr. Johann Jacob Moscherosch der Specirer und burger allhier welcher sich nomine seiner Vogts Persohnen beÿ dem geschäfft eingefunden,
2.do Weÿland herrn Johann Samuel Silberrads, gewesenen hocherfahrenen Medicinæ Doctoris und berühmbten Practici, auch wohlmeritirten dreÿers der Statt Straßburg Stall und vornehmen burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßene Söhn und töchtere, benantlichen 1.mo Jungfer Margaretham Salome Silberradin, 2.da Jungfer Einbetham Silberrad, 3.tio Jungfer Mariam Barbaram Silberradin, 4.to herrn H. Samuel Silberrad, Studiosum in Classe selecta, 5.to Johannem Silberrad, welcher die goldarbeiter Kunst ergreifft, 6.to Philipp Jacobum Silberrad, und dann 7.mo Johann Balthasar Silberrad, deren Sechßen geschworner herr Curator herr Johann Thomas Römer Jurium Practicus und E: E: großer Raths wohlbestellter Advocatus et Procurator ordinarius auch burger allhier, welcher sich beÿ dem geschäfft nomine seiner Curanden eingestelt
3.tio Frau Einbetham Karcherin domaine Silberradin, weÿland herrn Johann David Karchers des geweßenen hochverdientenen ältesten Diaconj und treufleißigen Seelsorgers der Evangelischen Gemeind in der Neuen oder Prediger Kirchen auch Vornehmer burgers allhier hinterlaßener frau Wittib, so mit beÿstand herrn Johann Silberrads, wohlmeritirten Schaffners der Schenckbecher und anderer Stifftung auch wohlverdienten dreÿers der Statt Straßburg Pfenningthurn und Vornehmen burgers allhiern dem geschäfft abwartete,
4.to Herr Johann Leopoldum Silberrad, wohlmeritirt substitutum in dem Mehern Hospital allhier, so Majorennis und ohnbevögtigt, Welcher in selbst eigener Persohn dem geschäfft abwartete
5.to Frau Annam Susannaù Dörfferin gebohrne Silberradin weÿland Meister Johann Dörffers des geweßenen Kieffers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, deren geschwornene Vogt ad lites Herr Abraham Kolb, Nots. publs. und berühmbter Practicus, alldieweilen Er aber selbsten Ehevögtlicher weiße interessirt, dahero hat Sie Zu Ihrem herrn Assistenten erbetten herrn Johann Rudolph Dinckel, Not. publ. und Practicum welcher sich auch mit und beneben seiner Frauen Principalin beÿ dem Geschäfft eingestellt,
So dann 6.to Frau Margaretham Barbaram Kolbin gebohrne Silberradin, Vor ehrengedachten Herrn Abraham Kolben Notarÿ jurati und Practicj Frau Ehegattin welcher mit und beneben Ihrem herrn Eheliebsten sich beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo alle Sechs der Verstorbenenn Frauen Pfarrerin seel. mit eingangs gedachten Ihrem geliebten Eheherrn seel. ehelich erziehlte Hr. Sohn, Frau Töchter und Enckel und ab intestato Zu Sechs gleichlingen portionen und antheiler Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß geegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie volgt
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Sa. haußraths 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 129, Sa. goldener Ring 14, Sa. baarschafft 52, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1540, Sa. Gülth von liegenden güthern 84, Sa. Schulden 2, Summa summarum 1874 lb – Schulden 84, Nach deren Abzug 1789 lb – Stall Summ 1789 lb
Copia Dispositionis inter Liberos. 1740 (…) auff Freÿtag den 20. Monattag Maÿ, abends zwischen Sieben und Acht Uhren, in der königlichen freÿen Statt Straßburg und einer ane der großen Kirchgaß gelegenen, Von mir unterschriebenen Notario bewohnenden behausung – Johannes Lobstein Notarius juratus

Alors diacre à Saint-Guillaume, Samuel Silberrad vend la maison à Jean Adam Kleinlé, employé à l’accise, et à sa femme Marie Barbe Brehm

1698 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 159
H. M. Samuel Silberad, diaconus zu St Wilhelm allhier
in gegensein H. Johann Adam Kleinle, deß Umbgelds beambten, Und Fr. Mariæ Barbaræ geb. Brehmin, mit beÿstand Hn Johann Friderich Simon, deß Zinngießers und Johann Adam Meÿers deß Schuemachers, Ihrer Vettern
Eine behaußung, hoff, und hinderhauß, sambt dero hoffstätten, auch allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier am alten weinmarckt geg. der Herberg zum Stall, einseit neben Fr. Annæ Wilhelminæ Victoriä von Zuckmantel anderseit neben hans Joachim Bender, dem Schneider, hinden auff Johann Kleiber den Schreiner zum theil, und zum theÿl auff weil. H. Sebastian Nägelin, gewesenen XV. Secretarÿ sel. Wittib theilß auch auff H. Philipp Conrad Rauchen Notar. Publ. stoßend gelegen, umb 800 pfund

Jean Adam Kleinlé et Marie Barbe Brehm, fille du pasteur Nicolas Jacques Brehm, font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison dont la mère de l’épouse a la jouissance viagère. Les apports du mari s’élèvent à 92 livres, ceux de la femme à 1650 livres.
1686 (12.2.), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 5, N° 6
Inventarium über der Ehren und Tugendsamen frawen Mariæ Barbaræ Kleinlin gebohrner Brehmin Zu dem Ehrenvest vnd vorgeachten H. Johann Adam Kleinle Specereÿ händlern und burgern Zu Straßburg ihrem haußwürth inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1686. – durch Sie fraw Mariam Barbaram selbsten mit assistentz H. Johann Niclaus Karthen Knöpffmachers vndt burgers alhie ihres noch ohnentledigten vogts deßgleichen frawen Annæ Barbaræ Brehmin ihrer Geliebten Mutter beÿständlich Herrn M. Johann Stiglers Pfarrers Zu St: Niclaus ihres Geordneten Vogts, inn gegensein erstgedachtes H. Johann Adam Kleinle ihres Lieben haußwürths Geeügt vnd gezeigt – Actum vnd angefangen auff Dienstag den 12. Februarÿ Anno 1686.

Inn einer allhie inn der Statt Straßburg ane St: Thomanns plan Gelegener Eingangs gemelter Fr. Zum Zweÿten Theil eigenthümlich zugehöriger Behaußung dero Fr. Mutter aber ad dies vitæ Widembs weiß Zugenießen hat ist befunden worden ie Volgt.
(f° 14) Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item hauß hoffstatt, höfflin vnd hind. häußlein inn der Blindengaßen (…)
Sa. haußraths 301, Sa. Bibliothec 128, Sa. der Früchten 36, Sa. Weins vnd vaß 61, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 145, Sa. Guldinen Ring 38, Sa. der baarschafft 147, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 489 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 250, Sa. Schulden 62, Summa summarum 1662 lb – Schulden 11 – Conclusio finalis Inventarÿ 1650 lb
Wÿdemb So Fraw Anna Barbara Brehmin der frawen geliebte Mutter ad dies vitæ Zugenießen. Wie inn dem über weÿland herrn M. Nicolai Jacobi Brehmen Emeritirten Pfarrers beÿ St. Niclaus auch Canonici des Stiffts St: Thomæ burgers Zu Straßburg Eingans gemelter Frauen Herrn vatters seelig Verlaßenschafft in Anno 1683. auffgerichtetem Inventario zubefiden, hat fr Anna Barbara Brehmin der frawen geliebte Mutter allhier gelegener behaußung ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenießen

Inventarium über des Ehrenvest und Vorgeachten Herrn Johann Adam Kleinle Specereÿ händlers vnd burgers Zu Straßburg zu der Ehren: und Tugendsamen frawen Mariæ Barbaræ Kleinin gebohrner Brehmin, seiner haußfrawen inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1686. – alß Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert guth inn dem Ehestand Zugebracht (…) Actum Mittwochs den 13.ten Februarÿ Anno 1686.
Sa. haußraths 78, Sa. Silbers 2, Sa. Guldinen Ring 71, Summa summarum 92 lb

Le premier enfant du marchand d’épices Jean Adam Kleinlé et de Marie Barbe Brehm naît en 1686
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 138 n° 21)
1686. die Sambst. 27. Martÿ / 6. Aprilis. P. Johann Adam Kleÿnle, der Würtz Kremer alhie, M. Maria Barbara Bremmin, K. Maria Barbara (+ 1686 d. Sambs. 22. Maÿ / 1. Junÿ) Pf. Hr. Johannes Hammerer der Kremp alhier, Gött. Fr. Anna Barbara Simonin H. M. Nicolai Jacobi Bremmen Pfarrers Zu St Nicolaus vnd Canonici Thomani nachgelaßene Wittib, der Kindbetterin Fr. Mutter, Fr. Maria Cleophe Schenckin (i 147)
(Jean Adam ° 1687, Jacques Nicolas ° 1689)

Les Quinze sont chargés de nommer un nouveau chef de la balance à la halle. Les préposés à la halle ont sélectionné quatre candidats parmi les six qui se sont inscrits au registre. Jean Adam Kleinlé, recommandé par l’intendant, se présente au dernier moment. Les Quinze nomment Jean Michel Gambs en promettant un emploi à Jean Adam Kleinlé
1694, Protocole des Quinze (2 R 98)
Außschuß Wegen des Waagmeister dienst jm Kauffhauß – Johann Michael Gambß Wird Waagmeister jm Kauffhauß – Johann Adam Kleinle wird eines diensts vertröstet
(f° 218-v) Mittw. den 26. 9.bris – Außschuß Wegen des Waagmeister dienst jm Kauffhauß
Obere Kauffhauß Herren laßen per me den Außschüß Wegen des Wagen meister diensts jm Kauffhauß dahier refeiren, daß Sie Von sieben Subjeci, die sich darumb angemeldet /:ego ließSie ab:/ Folgende vier, als Welche mann darzu am tauglichten gefunden, darein gebracht hätten, als Johann Michael Gambs, Johann Jacob Liechteißen, Johann Eberhard Zetzer, Johann Michael Seitz, Stellen die Wahl Zu MGhh.
Lect. Memoriale so Johann Adam Kleinle an Herren Prætorem Regium abgeben laßen Wie auch eine Requeste die er, Kleinle, dem Herrn Intendanten præsentirt, Und dann ein schreiben Von Hn Intendanten, darinnen Er dem herrn Prætori Regio das Kleinle person recommendirt, deßen ohngeachtet ist
Johann Michael Gambß darzu erwehlt dabeÿ aber auch erkandt worden, daß dem Herrn Intendanten die Vertröstung gegeben solle, daß, sobalden eine gelegenheit Vor Kleinle sich præsentiren würde mann seiner gedencken Wolte, welches Herr Syndicus Güntzer überkommen

Les Quinze nomment le marchand épicier Jean Adam Kleinlé garde à l’accise le 15 janvier 1695. Il demande en juillet une augmentation de salaire qui lui est accordée eu égard à ce qu’il ne remplit pas seulement les fonctions de garde mais aussi de commis aux écritures, du moment que la somme en sus ne fasse pas partie du salaire mais soit considérée comme une gratification.
1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
Johann Adam Kleinle garde jm umbgeld
(f° 3) Sambstags den 15. Januarÿ – Johann Adam Kleinle wird garde jm umbgeld
Obere Umbgeldts Herren laßen per Herrn Schragen proponiren, daß bekandter maaßen La Vigne der geweßene garde jnn dem Umbgeldhauß, vor ein Ammeister Knecht pro ordinario angenommen worden seÿe, Zu welchem Ampt Herr Intendant Zwar Johann Adam Kleinle, der Specirer, recommendirt, allein habe es inn ansehung der alternativ Nicht seÿn Können, Inn Zwischen, Weilen es die meinung gehabt, daß er beÿ anderer gelegenheit considerirt werden solle, so habe man ihme die vacirende garde stelle conferiren wollen, die er Wohl annehmen, des pantelins tragens aber verschohnt seÿn wolte, deßwegen mann darfür gehalten, daß er Zur schreibereÿ /:dero er ohne dem als Kauffmann wohl erfahren:/ jn dem Umbgeld hauß gebraucht werden Könte, allein Zu Mghh. stünde, Ob sie ihn darzu confirmiren wollen. Erk. Confirmirt.

(f° 110) Sambst. den 2. Julÿ – Johann Adam Kleinle pt° addit. Salarÿ
Johann Adam Kleinle, d. Umbgeldts bedienter, pro D Gollen prod. Undthg. Und hoch flehentliches Anbringen, Erk. wie vor [vor Obern Umbgeld Hh. gewießen]

(f° 113-v) Freÿt. den 8. Julÿ – Johann Adam Kleinle pt° addit. Salarÿ
Iidem [Obere Umbgeld Hh.] per Herren Schragen, daß Johann Adam Kleinle, der Umbgeldts bedienter, jnn einem überreichten Memorial umb bestelt, Angesucht, jnn Ansehung die Zeiten so hartt und schwehr weren, daß er damit sich, seine Frau, Und dreÿ Kleine Kinder Nicht mehr Zu ernehren wüßte, dabeneben sich auff Hn Rathh. Dollhopffen den Inpectorem des Umbgelts haußes, bezogen, als der attestiren Könte, mit was Fleiß er seinen dienst /:dabeÿ er Zimlich Viel arbeit und schreibens gebe:/ abwarthe, Welcher als mann ihn gehört, Neben denen Herren dreÿ ihne dießes Zeugnuß mit getheilt, daß er Nicht nur als ein garde den dienst Versehe, sondern auch in schreiben sich wohl brauchen laße, Und, weilen mann sich erinnert, daß Pierre Le Beau der das geld von dem Aubergiste ein Ziehet, die Woch 5 ß mehr haben Und vor dießem 11. gardes gewesenn jetzo aber nun 10. seÿen, Und also dem Pfenningth. nur mehrers Nicht Zugemuthet werden würde, wann supplicant die Woch 5 ß mehr bekäme als stündte Zu Mghh. Ob Sie ihm die 5 ß Wochent. gn. addiren wollen? Erk. Beliebet, jedoch darmit es beÿ andern garde Nicht ein præjuditz Nach sich Ziehe, es Nicht als pars Salarÿ sondern als ein gratiale seÿn solle.

Jean Adam Kleinlé devient péager à la porte de Cronenbourg (les pages correspondantes du registre manquent)
1702 Conseillers et XXI (1 R 185, Table)
Joh: Adam Kleinle würdt Zoller am Cronenburg. Thor. 160.

Jean Adam Kleinlé, employé à l’accise, loue la cave au marchand épicier Jean Georges Krauss

1700 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 436
Johann Adam Kleinle, bedienter Im Umgeld
in gegensein H. Johann Georg Kraußen, deß Specereÿhändlers
verlühen maßen auch dieße bereits auff Annunciationis Mariæ dießjahrs entlehnt zu hab. benantlich war, In seiner auff dem alt. weinmarckt geg. dem würths hauß zum Stall über gelegenen wohnhauß, nachfolgende Gelegenheit, Nemblich Erstlich einen großen gewelbt. Keller sambt d. vier groß. mit deß Verleihers Zeich. gemerckt. Liegerling, Ferner Eine Eßig Cammer, und sonsten auch eine Cammer, alles auff neun jahr lang von Annunciationis Mariæ dieß jahrs anzufang., umb einen jährlich. Zinß nemblch 11 pfund
Darbeÿ ferner verglich. daß der H. Entlehner auch den bauch offen zu gebrauchen freÿ stehen solle, doch soll Er denselben auff seinen Costen Recht mach. laß.

Marie Barbe Brehm hypothèque avec le consentement de son mari Jean Adam Kleinlé la maison au profit du marchand de soie Jean Christophe Goldbach

1702 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 250-v
Maria Barbara geb. Brehmin mit beÿstand u. consens Johann Adam Kleinle Zollers ahm Cronenburg ihres mariti
in gegensein Joh: Christoph Goldbachs seÿdenhändlers – schuldig seÿen 70 pfund
unterpfand, obger Eheleuthe hauß cum appertinentiis allhier am alten Weinmarckt gegen der Herberg Zuem Stall einseit neben p. frn. Anna Wilhelmina Victoria v. Zuckmantel anderseit neben Hanß Joachim Bender dem schneider, hinten auf Joh: Kleiber den schreinern zum theil u. Zum theil auf die Nägelische EE. auch auf Philipp Conrad Rauchen Not: stoßend gelegen

Jean Adam Kleinlé, péager à la porte de Cronenbourg, et Marie Barbe Brehm hypothèquent la maison au profit des échevins des Jardinier aux Charrons

1707 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 477
Joh: Adam Kleinle Zoller ahm Cronenburg und Maria Barbara geb. Bremin beÿständlich H. Frantz Heinrich Städels u. H. Joh: Georg Grießbachs beeder auß mittel E.E. Kl. Raths in ermanglung verwanther deputiret
in gegensein H. Martin Kauffers Zunfftmeÿsters beÿ E.E. Zunfft der G.U. nahmens deß gesambtten Collegii der herren Schöffen daßelbst – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung allhier ahm alten Weinmarckt gegen der herberg zuem Stall, einseit neben der frn v. Zuckmantel anderseit neben Bender dem schneider hinten auff Kleiber den Schneider et Cons. stoßend

Jean Adam Kleinlé meurt le 22 janvier 1710 à l’âge de 59 ans
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg B 1688-1729 n° 3)
Anno 1710. den 22. Januar nachmittag nach 4 Uhren ist allhier in Straßburg Seel. verschieden und den 25. morgends nach gehaltener leichenpredigt Zu Alt t. Peter um 9. Uhren auff dem Gottes Acker St. Galli begraben worden weÿland Herr Johann Adam Kleinle burger und geweßener Zoller ane dem Kronenburger thor allhier, Seines alters 59. Jahr 4. Monath und 3. tag welches bezeugen Johann Adam Kleinle alß Sohn, Niclaus Jacob Kleinle Als Sohn (i 57)

Marie Barbe Brehm se remarie neuf mois plus tard avec l’éudiant en théologie Chrétien Schimmer, originaire d’Eckendorf (Alteckendorf) en seigneurie de Hanau : contrat de mariage, célébration
1710 (24.9.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 293
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen Hn Christian Schimmern, S: S: Theol: studioso von Eckendorff hochgräfflich Hanawischer Herrschafft Gebürttig, des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Johannis Bartholomæi Schimmers, wohlverdienten Pfarrherrn Zu Obermodern Gedachter Herrschafft Ehelichem Sohn, als hochzeitern An einem,
So dann der Ehrn; und Tugendreichen Frauwen Mariæ Barbaræ gebohrner Brehmin Weÿl. H Johann Adam Kleinle, Geweßenen Zollers vnd burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib als der Frauwen hochzeiterin Am Andern theil
Mittwochs den 24.ten Septembris Anno 1710. [unterzeichnet] Christian Schimmer S S Th. Stud als Hochzeiter, maria barbara brämin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 124-v, n° 18)
Donnerstag den 20. Nov: 1710. seind auß erlaubnuß deß Regierenden H. Ammeisters alhier in Straßburg im hauß nachdem Sie Sontags zuvor in der Kirch zu St. Nicol. Zum ersten vnd andern mahl Zugleich proclamirt vnd außgeruffen wurden,Ehelich copulirt und eingeseget worden H. Christian Schimmer, H. Johann Bartholomäi Schimmer, Evangel. Pfarrers Zu Obermodern, Hanawischer Herrschafft Ehel. Sohn, und Fr. Maria Barbara geb. Bremin weÿl. H. Johann Adam Kleinle geweßenen Zollers ann Cronenburgerthor Vnd burgers alhier hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Christian Schiller als hochzeiter, maribarbara Keleneuelen als hochzeiterin (i 129)

Convention entre Marie Barbe Brehm et ses cinq enfants issus de Jean Adam Kleinlé
1713 (28. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 3) n° 97
Fraw Maria Barbara Kleinlein gebohrne Brähmin, Weÿl. H. Johann Adam Kleinle deß geweßenen Zollers am Cronenburger Thor nachgelaßene Wittib, so nunmahlen an H. Christian Schimmer Præceptorem Domesticum Verheürathet, soll Ihren fünff Kindern mit erst ermeltem Herrn Kleinle erzeügt vor ermanglend Paten gelt als Evæ Barbaræ, Niclaus Jacob, Catharinæ Salome, Johann Daniel vnd Johann Friedrich deren geschworner Vogt Johannes Schäffer Schneider vnd burger allhier Vermög auffgerichteten Inventarÿ de aô 1710. über obgedachts Herrn Kleinle seel. Verlaßenschafft besagend (…) Actum den 28. 7.br 1713.

Vente de meubles après la mort de Marie Barbe Brehm
1724 (10.4.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 11) n° 271
Verkauff und Looß Register Über Weÿland Fr. Mariæ Barbaræ Schimmerin gebohrner Brehmin, Christian Schimmers deß Præceptoris und burgers alhier Geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Hinterlaßenen wenige Mobilia, Auffgericht Anno 1724
NB. Fr. Flechnerin Wittib war Käufflerin, und der haußrath war Vor benjamin Formier des Rothgerbers hauß auff dem gerbergraben die 1.er dochter hat das geld in præsta.
Montag den 10.ten Aprilis

Jean Adam Kleinlé et Marie Barbe Brehm vendent le maison 1 550 livres au tonnelier Etienne Geyler

1708 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 182
(1550) Joh: Adam Kleinle Zoller ahm Cronenburg und Maria Barb: geb. Brehmin
in gegensein Stephan Geÿlers Kiefers
eine behaußung hoff u. hinterhauß sambt dero hoffstätten auch allen deren gebäuen, rechten und zugehörden allhier ahm alten weinmarckt gegen der herrberg zuem Stall, einseit neben fraun Anna Wilhelm: Victoria v. Zuckmantel anderseit neben Joh: Joachim Bender schneider hinten auff Joh: Kleiber schreinern theils auf d. Mögelinische hauß theils auf Not: Rauchen stoßend (mit mobilien) – um 75 und 100 pf (verhafftet, geschehen um) 1375 pfund

Etienne Geyler épouse en 1680 à Heiligenstein Barbe (Hügel), veuve du tonnelier Etienne Geyler
Mariage, Heiligenstein (luth.)
1680. die 10. Augusti nach doppelter Außruffung Copulirt Stephan Geÿler leediger Küffer vnd Fr. Barbara, weÿl. Stephan Geÿlers küffers nachgel. Wittib (i 143)

Etienne Geyler, premier mari de Barbe Hügel, a été abattu par des soldats sur le Rhin près de Strasbourg
Sépulture, Heiligenstein (luth.)
1678. Beÿ stürmung Vnnd Vbergehen der Schantz Zu Keÿl, wurde Erschossen vnd folgends an dem vffer deß Rheins begraben von etlichen Straßburger Soldaten dienstlich mit ihm auff einem floß den Rhein hinab saluirt vnnd auch zum theil geschossen worden Stephan Geÿler, küffer Von Heiligenstein ein frommer Ehrlicher Mann. Gott gebe ihme einen fröhlichen auferstehung (i 137)

Fils du tonnelier Etienne Geyler de Heiligenstein, Etienne Geyler acquiert le droit de bourgeoisie avec sa femme Barbe Hügel aussi native de Heiligenstein en apportant deux enfants. Ils s’inscrivent à la tribu des Tonneliers
1694, 3° Livre de bourgeoisie p. 1131
Stephan Geÿler der Küeffer Von Heÿligenstein weÿl. Stephan Geÿlers auch geweßenen Kieffers daselbst hint. sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich unndt Barbaram Hügelin von Heyligenstein seine haußfrauw p. 2. Gold fl. 16. ß so bereits auf dem Pfenningthurn erlegt worden wegen Ihrer beden Kinder aber bleibe es beÿ ordnung, Vnd wird Zu E. E. Zunfft der Küeffer seinen. Jur. d. 16. Dito [Junÿ] 1694.

Etienne Geyler meurt en janvier 1709 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 1 300 livres. La masse propre à la veuve est de 721 livres, celle des héritiers de 125 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 127 livres et le passif à 766 livres

1709 (25.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) n° 299
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung vnnd Güthere, liegender vnnd Vahrender, Veränderter vndt vnveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿlandt der Wohl Ehrenhaffte und Vorachtbare herr Stephan Geÿler, geweßener Kieffer undt Weinhändler burgern allhier zu Straßb: nach seinem den 5. Jan: dießes lauffenden 1709.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen seeligen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern Vnndt begehren der Ehren Vnnd tugendsamen Fr. Annä Barbarä Barbeneßin gebohrnen Geÿerin, deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Friderich Barbenes Kupfferschmidts und burgers allhier Ehefr. mit beÿstandt Erstged. Ihres Ehewürths, so dann auch deß Ehrenvesten und wohlgelehrten herrn M. Stephan Geÿlers Sacro Stæ Theol. Studiosi beÿständlich deß Ehrenvesten und Wohlvorachtbaren herrn Johann Friderich Jägers, handelßmanns und burgers allhier seines erbettenen vnnd geschwornen theil Vogts, alß deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter hinterbliebener Wittib ehelich erzeugter Zweÿ KKer und ab intestato hinterlaßener rechtsmäßigenen nächsten Erben, Inventirt vnnd ersucht durch die Viel Ehren vnd Tugendbegabte Fr. Barbaram gebohrne Hüegelin die dißorts wittib, mit beÿstandt deß Wohl Ehrenhafften vnd vorachtbaren herrn Ambrosi Kornen Kieffers v: b: allhier ihres gewesen Curatoris (…)
Actum in der Königlichen Statt Straßburg In fernerem beÿsein deß Ehrsammen Johannes Geÿlers Schuhmachers u: b: Zu Heÿligenstein deß Verstorbenen seel. Stieff Sohns, Montags den 25. Febr. Anno 1709.

In einer allhier in der Statt Straßb. ohnfern dem alten Weinmarckt gelegenen unnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerckh. In d. obern Stub Cammer, In d. Kammer A, In d. Kammer B, In der mittlern Stub, In d Stubkammer, In d. officier Stub, Im Haußöhren, Im undern Stübel, In d Stubkammer – Zu Heÿligenstein
Eigenthumb ahne Häußern und einem garthen (T.) Ein Vorder und ein hinder hauß sampt dero hoffstätten auch allen anderen deren gebewen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehörten und gerechtigkeiten gelegen allhier in d. Statt Straßb. ahne dem alten Weinmarckh gegen der Gastherberg Zum alten Stall einseith neben Frawen Anna Maria Willhelm Victoria Von Zuckmantel, 2.s. neben Johann Joachim Benter schneidern hind. auf H. Klaiber dem schreiner Zum theil, theis auff die Nägelinische, auch auff Philipps Schätzels des Huthmachers behaußungen stoßendt. Davon gehen Jährlichen 4. lb d Zinnß Jahrs auff den 16.t Junÿ E: E: Zunfft d. Garter undtterwagnern allhier so ablösig in capital mit 100. lb d. Sonsten freÿ leedig vnd eihen und über obige beschwerten durch der Statt Straßburg geschworene Herren Werckmeistere Vermög Ihrer Zu dem Concept gelüfferten Abschatzung dedato 14.ten febr: 1709. annoch æstimirt pro 1300. lb. Darüber meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Canzeleÿ contract stub gefertiget und mit dero anhangend. Kleineren Secret Insiegel verwahrt datirt d. 1. Martÿ Anno 1708. so mit N° 1 notirt.
(W.) Item Hauß, Hoff, Hoffstatt, Trott, Trotthauß, Stallung und Keller sampt einem hinden daran gelegenen Garten (…) in dem dorff Heÿligenstein (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten abgegangenen Guths. Vermög Inventarÿ durch Weÿlandt Herrn Johann Sternen geweßenen Notarium Cæsareum Publicum und Amptschreiber der Herrschafft Barr über Weÿland deß Ehrsammen Vnd bescheidenen Stephan Geÿlers geweßenen Kieffers v: b: Zu Heÿligenstein alß der hinterbliebenen Wittib Ersteren haußwürths seeligen Verlaßenschafft vnderem 23. Julÿ Anno 1680. auffgerichtet
Ergäntzung der Kinder und Erben abgegangenen unveränderten Vätterlichen Guths. Vermög General Theilbuchs so in Anno 1677 durch H. Johann Storren notarium publicum auffgerichtet worden außweißend Waß dem Verstorbenen seel. vnd seinen fünff geschwüstrigen beÿ abtheÿlung Weÿl. Stephan Geÿlers Küffers Vnd burgers Zu Heÿligenstein Verlaßenschafft Erblich Zugefallen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. lähren Vaßen 5, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 200, Sa. liegende gütheren 43, Sa. Schulden 5, Sa. der Ergäntzung (528, gehet ab 43, restiret) 485, Summa summarum 746 lb – Schulden 25 lb, Detrahendo verbleibt 721 lb
Der Erben unverändert Vätterl. Verlaßenschafft, Sa. haußraths 17, Sa. liegenden güther 42, Sa. der Ergäntzung (49, gehet ab 3, restiret) 45, Summa summarum 130 lb – Schulden 5, Compensando 125 lb
Das Gemein Verändert unndt theilbar guth, Sa. haußraths 94, Sa. Werckzeugs holtz und reÿff zum Kieffer handwerckh 13, Sa. Wein vnd lähren Vaß auch brandenwein vnd Eißig 813, Sa. der baarschafft 83 Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1496, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 1300, Sa. der liegenden Gütheren 109, Sa. der Schulden in das Erbe zugeltent 216, Summa summarum 4127 lb – Schulden 766 lb, Nach deren Abzug 3350 lb
Beschluß und Verstallungs summa Inventarÿ 4207 lb
Abschatzung d. 14. febr. aô 1709. Weÿland H Steffan Geiler gewesenen Kieffers seel. hinter laßene Fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg auf dem Alten wein Marckt gelegen, einseits neben der Gnäd. Fraw Zugmantlerin, anderseits neben H hanns Joachim Bendter, hinden auff H. Kleiber schreiner stoßendt Welche behausung, hoff, hinderhauß, und Nebens gang sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ tausendt undt acht Hundert Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 900 florins (950 livres) sur un total de 4 400 florins. Les préposés réduisent le montant de l’amende puis dispensent les deux héritiers qui n’étaient pas bourgeois au moment du décès de régler le droit de détraction.
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 98
(Kieffer, F., N. 226) Weÿl. Stephan Geÿlers geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ösinger.
Concl. fin. Inv. ist fol. 91 – 4207. lb. 5 ß 10 d, die machen 8400. fl. Verstallte nur 650 fl, alßo Zu wenig 1900 fl.
Es hat Zwahr der verstorbene 14 Tag vor seinem absterben sich 1500. fl. zu schreiben auch die gebühr Zugleich darvor erlegen laßen, man hat aber dißorts solchen Zugang wegen Kürtze der Zeit nicht attendirt, sondern nach den völligen ohnverstallte quanto den nachtrag wie folget angesetztet
Benantl. von 1900. fl. theilbahren Guts auf Sechs jahr in duplo macht à 5. lb 14 ß d – 34 lb 4 ß
Und auf vier jahr in simplo th. à 2. lb 17 ß d – 11 lb 8 ß
Extat das Stallgeltt pro 1709. mit – 10 lb 7 ß
So thun die Gebott – 2 ß 5 d
Und dann die Abhandlung – 4 lb 7 ß 6 d , Summa 63 lb 4 ß 2 d
Auf suppliciren Haben die Herren Dreÿ an nachgelaßen Zwahr jahr in duplo und ein jahr in simplo th. 14 lb. 5 ß, restiret 49 lb 4 ß 2 d
dt. 14° X.br 1709 in Crafft Erkantnus der Obern Stallherren auf fernerer von denselben erhaltener moderation mit 32 lb. 17 ß 10 d
Abzug. Weilen die beede Kinder und Erben Zu Zeit des Vatters tod falls so den 5.ten Jan. currentis anni geschehen dißorts annoch frembd und ohnverburgert waren, angesehen Sie beede ererst d. 16. ejusdem das burger Recht erkaufft, als wird von deren anerstorbenen Vätterl. Erbe der 3675. lb 8 ß 4 d der Abzug abgefordert mit 367. lb. 10 ß 10 ß
Vermög Erkanntus der Obern Stall herren ist solcher abzug nachgelaßen word. den 29° Julÿ 1709.

Les Quinze renvoient les héritiers aux préposés de la Taille à chacune de leurs deux requêtes
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
pt° Abzugs, Stephan Geilers Kieffers
(f° 166-v) Sambstags den 27.t Julÿ 1709.
G. noîe weÿl. Stephan Geilers des geweßenen burgers vnd Kieffers alhie Hinterlaßene Erben, Joh: Friderich Barbenes des Kupfferschmidts Uxorio nomine vndt H. M. Geilers, prod. unterth. Memoriale undt bitten mit beÿlag sub Lit. A. bittet wie inhalts pt° geforderten Abzugs.
Erk. an die Oberen Stallherren gewießen

(f° 235-v) Sambstags den 16. Novembr. 1709.
K. noîe Stephan Geilers geweßenen burgers vndt Weinhändlers alhie hinterlaßener Wtb. vndt Kinder, erscheint Ambrosius Korn burger vnd Kieffer alhie als vogt, prod. unterth. memoriale und bitten wie inhalts. Erk. an die Obern Stall hh. gewießen

La fille Anne Barbe Geyler, femme du chaudronnier Jean Frédéric Barbenès, cède ses droits sur la maison à sa mère et à son frère

1709 (15. Martÿ), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) Joint au n° 299 du 25 fév. 1709
(Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung vnnd Güthere, so Weÿlandt herr Stephan Geÿler, geweßener Kieffer undt Weinhändler burgern allhier zu Straßb: Zeitlichen verlaßen)
(f° 21) Vergleichung der behaußung auch noch der restirenden Pfenningzinß hauptgüter hauptgüethern so theilbahr
Die allhier auff dem alten Weinmarckh gegen dem Würthshauß Zum Stall gelegene sterb behaußung welche in dem Inventario umbständlichen beschrieben mit aller Ihren Zugehörten vnd gerechtigkeiten auch denen Vor solcher behaußung stehenden brunnen, schaalen vnnd bronn bütt ist in die Vertheÿlung über abzug der 200. lb capital welche E. E. Zunfft der Garthner Vnder Wagneren darauff stehen hatt anzuschlagen Verglichen worden per 1350 lb (…) Sigil. Straßb 15. Martÿ aô 1709.
Dahingegen bleibt vorgedachte Behaußung sampt dem lauthischen Capital auch die davon Verfallene Marzal der dißorths Wittib Vnnd herrn M. Stephanen Geÿlern dem Sohn wegen Ihrer Zu erforderen habenden zween drittetheil Zu Zweÿen gleichen theilen Eigen, maßen dann solche Ihnen beeden Von Frawen Anna Barbara Barbeneßin gebohrner Geÿlerin Ihrer respective tochter vnd schwester solcher gestalten Cedirt und überlaßen worden seind, Actum ut supra

Anne Barbe Hügel meurt en 1721 en délaissant un fils issu de son premier mariage (Jean Geyler, cordonnier à Heiligenstein) et ses deux enfants du deuxième mariage. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 994 livres.

1721 (30. 8.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 29) n° 769
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Ehren und Tugendbegabte Fraw Anna Barbara Geÿlerin gebohrne Huegelin, Weÿland deß Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Kieffers und Weinhändlers, burgers allhier seeligen hinterlaßene Wittib, nunmehr auch seelig, nach jhrem den 12.t Octobris dießes Zuend lauffenden 1721.ten Jahrs, aus dießer mühesammen und zergänglichen welt genommenen seeligen hientritt, Zeitlichen verlaßen (…) durch dieselbige selbten so dann auch Annam Mariam gebohrne Hügelin die dißorths dienst Magd und baaß (…) geaigt und gezeigt – Actum in der Königlichen Stat Straßburg in auch Gegenwarth deß Ehrenhafften und achtbahren herrn Ambrosÿ Kornen, Kiefers Vnd burgers allhier der Verstorbenen Fr. seel. geweßenen geschwornen Curatoris Donnerstags den 30. Octobris Anno 1721.
Die Verstorbene seel. Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie volgt. 1. den Ehrsammen und bescheidenen Johann Geÿlern Schuhmachern v. burgers Zu Heiligenstein neben Welchem Weilen derselbe frembd und ohnverburgert auß E: E: Kleinen Rathsmittel der Wohl Ehrenvest Weiße und Großachtbahre Herr Johann Nicolaus Hinell Sattler und E: E: Großen Raths v. E: E: Kleinen Raths jetzmaliger beÿsitzer alß Deputatus dem Geschäfft beÿgewohnt, Welhen Sohn die Verstorbene seel. in erster Ehe mit Weÿl. Stephan Geÿlern Kieffern und burgers Zu Heiligenstein ehel. erzeuget.
2.do die Eren und tugendbegabte Fraw Annam Barbaram Barbeneßin gebohrne Geÿlerin, eß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Friderich Barbeneßen deß Kupfferschmidts und burgers allhier ehel. haußfraw welche Zusampt erst gedachtem Ihrem Ehewürth gegenwärtig war. 3.tio den Ehrwürdigen und Wohlgelehrten Herrn Mag: Stephan Geÿlern treufleißigen Pfarrern der Evangelischen lutherischen Gemeindt Zu Scharrachbergheim so beÿ dem geschäfft Persönlich erschienen, dieße Zweÿ letztere Kinder erzeugte die sel. verstorbene in Zweÿter Ehe mit auch weÿl. herrn Stephan Geÿlern geweßenen Kieffern Weinhändlern und burgern allhier Zu Straßburg, Alle dreÿ zu gleichen Portionen und Stammtheilen.

In einer allhier in der Königlichen Stadt Straßburg auf dem alten Weinmarck gegen dem Würths hauß Zum Stall gelegen Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Der halbe theil für ungetheilt ane hauß, hoff, hoffestatt v. bronnen auch einem hinder hauß gelegen allhier in der Stadt Straßb. ane dem alten Weinmarck gegen der gastherberg Zum Stall 1. s. neben Fr. Annä Mariä Willhelmin Victotie von Zuckmandel 2. s. neben Joh: Daniel Barbeneßin dem XV. botten, hinden auff Mstr. Joh: Gleiber den Schreiner Zum theil theils aber auff H. N. Nägelin auch th: auff Philipp Schätzel dem huthmacher stoßend, so gegen jeeder männiglich freÿ Leedig und Eigen und durch der Stadt Straßb. geschwornen Werckmeistere Krafft Ihrer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung Sub dato d. 15.t 9.bris 1721. æstimirt pro 1300. daran Hiehero die Helffte gehörig vnd außzuwerffen mit 650. lb. Über die gtze. behaußung, Warvon die übrige Helffte eingangs erwehntem Herrn Pfarrer Geÿlern dem Sohn gehörig, meldet ein teutsch. Perg: Kauffbr. in allh. C: C: Stub gefert. v. m deroselben anhang. Klein Cantzleÿ Secret. Inns. Verwahrt datirt de 1.ten Martÿ 1708. Notirt m. a. N° 1.
It : eine behaußung hoff hoffstatt trott trotthauß v. Keller s. i. hinten daran gelegenen garten (…) ind em dorff heiligenstein
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 111, Sa. Lährer Vaß 76, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 877, Sa. Eigenthums ane häußern 850, Sa. Eigenthumbs ane Reebgüthern 80, Summa summarum 1994 lb
Dazu ist zu legen Fr. Annæ Barbaræ Barbeneßin gebohrner Geÿlerin der tochter Letster Ehe beÿ Ihrer Verheürathung in baarem Geldt empfangen Mütterlich Ehesteur so ane 150 lb für eine terzt macht 50. lb, Summa der vorher beschrebenen Verlaßenschafft 2049 – Verstallungs Summa Inventarÿ 1932 lb – Beschluß summa Inventarÿ 1932. lb
Abschatzung d. 15. 9.bris: aô 1721. Auff begehren der Ehr Vnd tugendt samen: Fraw: Anna Barbara geillerin ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg Auff dem Alten Wein Marckh gegen dem Stall über gelegen, Ein Seÿth Neben Madam Zuckhmandellerinn, Ander seÿth Neben Joseph wentzinnger, schuh Macher hinden, Auff: Johannes Kleÿber, schreiner stoßendt, Welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammeren, Küchen, hauß Ehren, Gewölbter Keller, Neben gebeÿ, Mit Kammeren und gebälckder Keller, hinder gebeÿ, Mit Stüblen hauß Ehren, bauch Küchen, höffell, Mit Steineren platten belegt, darinn Ein trenckh, Vnd Waßerstein, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeÿt wie solchen durch der Statt Straßburg Geschwornen, Werckh Leüthen in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach, angeschlagen wirt, Vor, vndt, umb, Zweÿ tausendt Sechs Hundert Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworenen Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Geyler et sa demi-sœur Anne Barbe Geyler cèdent leur part de maison au pasteur Etienne Geyler qui en devient ainsi seul propriétaire.

1721 (3. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 29), Joint au n° 769 du 30 oct. 1721
(Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Weÿl. Fraw Anna Barbara Geÿlerin gebohrne Huegelin, Weÿland Herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Kieffers und Weinhändlers, burgers allhier seeligen hinterlaßene Wittib)
Übergaab und übernahm der Helffte der allhier an dem alten weinmarck gelegenen in dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich gehörig behaußung.
Solche Helffte der Behaußung haben Meister Johann Geÿler und Fr Anna Barbara Barbenesin gebohrne Geÿlerin mit Consens H. Johann Friderich Barbeneß Ihres Ehevogts Herren Mag: Stephan Geÿlern jetzmahligen wohlverordneten Pfarrern der Evangelischen lutherischen Gemeindt Zu Scharrachbergheim Ihrem brudern, alß welchem schon Vorher die übrige helffte Eigenthümlich gehörig mit allen appertinentÿs weithen und Gerechtigkeiten für freÿ Leedig und eigen cedirt und überlaßen (…) mit dem Anhang daß Er dargegen In die gemeine mütterliche Verlaßenschaffts Massam einzuscheßen schuldig hiengegen aber daran wieder pro rato zu participiren beechtigt seÿn solle nemblichen 775 lb (…) Geschehen Straßburg den 3. Novembris Anno 1721.

L’étudiant en théologie Etienne Geyler, fils du marchand de vins Etienne Geyler, devient bourgeois en janvier 1709 en s’inscrivant à la tribu des Tonneliers
1708, 3° Livre de bourgeoisie p. 1272
H. Stephan Geÿler Theol: Studiosus V. Heÿligenstein w: Stephan Geÿlers gew: Weinhändlers hint. sohn erkaufft d. burgerrecht pro 2. gold fl. 16 ß wird beÿ E. E. Zunft der Kueffer dienen, Jur. d. 16. Dito [Januarÿ] 1709.

Alors pasteur à Scharrachbergheim, Etienne Geyler épouse en 1721 Anne Madeleine Moscherosch, fille de diacre : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée mais qui est copié à l’inventaire après décès, célébration
1721, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H M. Stephani Geÿlers Pfarr: Zue Scharachbergh: und Jgfr Annæ Margarethæ Moscheroschin
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrwürdigen und wohlgelehrten Herr, M. Stephani Geÿlern, treufleißigen Evangelischen Pfarrern Zu Scharrachbergheim und Irmstätt weÿland des Ehrenhafften und Vorgeachten herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Weinhändlers und burgers alhier seel. hinterlaßenem ehelichem Sohn, alß dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren: und tugendreichen Jungfrauen Anna Magdalenä Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig, Große Achtbahr und Wohl geehrten Herrn M. Johann Jacob Moscheroschen treufleißigen hochmeritirten Diaconi Senioris beÿ der Christlichen Evangelischen Gemeinde Zum Alten St Peter alhier Zu Straßburg ehelich erzeugter tochtern als des Jungfrau H.on Andern theils – Beschehen und verhandelt in Straßburg Donnerstags den 3. Monathstag Junÿ Im Jahr des herrn 1731. Jacob Christoph Pantrion Notarius

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 90-v)
1721. Domin. IV. er V. Trinit: seindt außgeruffen vndt Mittwochs den 16. Julÿ Ehelich eingesegnet worden Herr M. Stephanus Geiler Pfarrer zu Scharrachbergheim undt Irmstett, H. Stephani Geiler geweßenen burgers, Kieffer und Weinhändtlers allhier nachgel. Ehl. Sohn, undt Jungfrau Anna Magdalena mein M. Johann Jacob Moscherosch diaconi senioris Zum Alten St. Peter Ehel. Tochter [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Anna Magdalena Moscheroschin als hochzeiterin (i 93)

Notice de Bopp dans son répertoire des pasteurs
(Bopp n° 1671) Stephan Geyler, Mag. ° Heiligenstein 2.1688 S. v. Stephan Weinhändler und küfer, x I 16.7.1721 Anna Magdalena Moscherosch Pfarrersdochter (3605) * 13.7.1707 + 24.10.1749 ; x II 27.1.1751 Maria Magdalena Wwe des Weißbäckers Michel Diemer ; x III 17.10.1753 Maria Magdalena Rosenzweig [sic] Wwe. v. Johann Christian Jost, Schaffner * 4.6.1699 + 15.4.1776
imm. in Straßburg am 25.3.1704, Cph. am 31.4.1704, Mag. am 9.3.1707, in Jena 1710, kauft das Bürgerrecht am 16.1.1709 – 17[-] bis 1721 Diak. in Bischheim, 1721-1738 Pf. in Scharrachbergheim, 1738-1745 Diak. in Straßburg Alten St Peter III, 1745-1773 ebenda II, Emeritus 1773 – + 7.7.1777

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les apports du mari qui comprennent la maison non évaluée s’élèvent à 759 livres, ceux de la femme à 558 livres.

1721 (21. Julÿ), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 45) n° 69
Inventarium über des Ehrwürdig und wohlgelehrten Hern M. Stephani Geÿlers wohl meritirten Evangelischen Pfarrers zu Scharrachbergheim und Irmstätt, und der viel Ehren: vnd tugendreichen Frauen Annæ Magdalenæ gebohrner Moscheroschin beed. Eheleuthe und burgere zue Straßburg einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1721. – aus Ursachen weilen dieselbe in ihrem mit einander auffgerichteten Ehe pactis solche Zubringende Nahrung sich als unverändert reservirt, auch die Ergäntzung deßen so stante matrimonio davon abgesehen wird stipuliret (…) Actum vnd inventiret Straßburg den 21. Julÿ 1721. expedirt vndt ausgefertiget aber d. 18. aug. 1741. Joh: Brackenhoffer Nots.

In dem Diaconat Hauß Zum alten St Peter hat sich befunden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung, so des H. Pfarrers unverändert. (H.) der halbe theil vor vngetheilt von vnd ae einer behaußung, hoffstatt vnd höfflein, mit allen deren Gebawen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, Geleg. alhie Zue Straßburg auff dem alten Weinmarckh einseit neben der hochadel. frawen von Zuckmantel anders. neben (-) Barbenes dem XV. botten hinden auff Johann Kleibern dem Schreiner stoßend so freÿ ledig vnd eigen. Und Zu Vermeidung Künfftig. præjuditz ohnangeschlag gelaßen word. der übrige halbe theil ist Frauen Barbaræ Geÿlerin gebohrner Hügelin Zuständig, die auch die Documenta über solches hauß In handen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe zugebrachten Vermögens, Sa. Hßraths 28, Sa. der Biliothec o, Sa. der Wein und leeren Vaßen 74, Sa. Silbers 11, Sa. der baarschafft 170, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung o, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Summa summarum 759 lb
Dießemnach wird dann auch der Ehefrauen ohnverändert in die Ehe zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 116, Sa. Silbers 47, Sa. Goldener Ring 55, Sa. der baarschafft 339, Summa summarum 558 lb

Etienne Geyler devient tributaire chez les Tonneliers
1722, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 509-v) Dienstags den 10. Martÿ Anno 1722 – Neuer Leibzünfftiger (dt. 1 lb 6 s)
H. M. Stephanus Geÿler Pfarrer zu Scharrachbergheim stehet vor und bittet Ihme als einen leibzünfftigen und eines Zünfftigen Sohn gedeÿen Zu laßen, prod anneben Schein Vom 29.ten 8.bris 1721. Von der Statt Stall Erkandt willfarth. Zahlt Zfftgebühr 10 ß 6 d und pro die Zu denen Feur Eÿmer geordnete 10. ß auch Vor Zfftschrbr. und büttel 2 ß 6 d.

Etienne Geyler est nommé diacre surnuméraire à Saint-Pierre-le-Vieux
1738, Conseillers et XXI (1 R 221)
H. M. Stephanus Geÿler Wird Zu einem Tertio et Supernumerario Diaconi beÿ der gemeind Zum Alten St Peter cum Expectativa Juris bestellet. 253.

Etienne Geyler hypothèque la maison au profit d’Einbeth Karcher, veuve du conseiller princier Jean Daniel Unselt

1748 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 595
H. M. Stephan Geÿler der Diaconus beÿm alten St Peter
in gegensein Fr. Einbethä geb. Karcherin weÿl. H. Johann Daniel Unselt des königl. Preußischen Churfürstl. Brandenburgischen Kriegs und Justiz Raths wittib mit beÿstand H. Not. Johann Daniel Langheinrich – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt auff dem alten Weinmarckt ane dem Kinderspielgaß, einseit neben einem dem Stifft alten St Peter gehörigen canonicats hauß, anderseit neben Johann Friedrich von Molßheim dem glaßer, hinten auff N. Plittner des maurer meisters

Anne Madeleine Moscherosch meurt en 1749 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 404 livres, le passif à 1 850 livres.

1749 (24. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1150) n° 646
Inventarium über Weÿl. der Wohl Edlen, viel Ehren: und tugend begabten Fr. Annä Magdalenä Geÿlerin gebohrne Moscheroschin des wohl Ehrwürdigen u. wohlgelehrten H. M. Stephan Geÿlers p.t. treueiffrigen diaconi senioris der Evangelischen lutherischen gemeinde zum alten St Peter u. Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg im leben geweßten hertzgeliebten Fr. Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1749. – als dieselbe Freÿtags den 24.ten 8.bris dießes Zu End gehenden 1749.sten jahrs das Zeitliche mit dem ewigen seel. verwechßelt, nach sich Verlaßen (…) So beschehen Straßburg Montags den 24.ten 9.ris et Seq. A° 1749.
Die abgeleibte Fr. Pfarrerin seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo H. Johann Jacob Geÿlern Juris et Mathematum Cultorem, der majorennis, dannenhero ohnbevögtigt, 2.do Fr. Susannam Mariam Schwanfelderin gebohrne Geÿlerin, H. Johann Daniel Schwanfelder des Schwerdfegers u. burgers dahier Ehefr. die in abweßenheit deßelben ihren geehrten H. Oncle H. Johann Jacob Moscherosch den Handelßmann v. vornehmen burger allhier ihro dißfalls Zu assistiren, erbetten hat, 3.tio H. Johann Stephan Geÿler, den Kieffer Mstr u. burgern allhier, Welcher in Ehe lebet mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Mausin, 4.to Jgfr. Annam Magdalenam Geÿlerin, die 21. Jar au sich hat, 5.to Johann Samuel Geÿler den ledigen Sattler welcher bereits 19 Jahr Zurückgelegt, 6.to Johann Christoph Geÿler, Classis Selectæ discipulum, der Würcklichen 15. jahr alt, So dann 7.mo Margaretham Barbaran Geÿlerin, Welche 13 jahr auf sich hat. Dieße 3. jüngere seind bevögtiget mit ihrem bruder vorgemeltem H. Johann Stephan Geÿler in deme Er aber hierbeÿ selbsten interessiret, als ist denenselben Zu einem Theilvogt obrigkeitlich constituiret worden vorwohlgedachter Hr Johann Jacob Moscherosch, welcher Zugleich auch die nach hießigen Stattrechten in großjährigem alter sich befindlichen Jgfr. tochter vorerwehnte Jgf Annam Magdalenam Geÿerin beÿ dießem geschäfft assistirt. Alle sieben der ablgeleibten Fr. Pfarrerin seel. mit eingangs erwehntem dero hinterbliebenen H. Wittiber erzielte Hh. Söhne Fr. u. Jgfr. töchter u. über die gerdnete Præ et legata zu gleichen Portionen u. Haupttheilern ab intestato hinterlassene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen dißorts bewohnenden Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Nembl. i.r behßg. in Vorder u. hintergebäu bestehend, hoffstätt, u. höfflein, m. allen deren Gebäuden, Weithen, Zugehörden, Rechten u. gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel gaß gegen dem würths hauß zum goldenen pferdt über Vormals Zum Stall genandt, 1. s neben i. Canonicat hauß Zum alten St. Peter 2.s. neben H. Kutsche dem Zahnartzt Zum theil theils neben H. Däumel Controlleur des Umbgelds, Hinten auf weÿl. Mr Gottfried Blüthners geweßenen Sthrs. u. Maurers allhier seel. Verlaßenschafft stoßend gelegen, u. durch (die Werckmeistere) ausweißlich des zu mein Notarÿ Concept geliefferten Abschatzung Zeduls vom 21.t hujus vor freÿ ledig und eigen taxirt pro 1300. lb. Solche behßg. hat der hr Wittwer von seinen gel. Eltern seel. ererbet. Wie aber deßen Hr Vater seel. weÿl. hr. Stephan Geÿler geweßter Kieffer u. b. allhier dieselbe erkauffet, meldet I. in allh. C C stub errichteter teutsch. perg. Kffbr. m. dero anhg. Insiegel verwahret de dato 1. Marÿ 1708. m. a. N° A bemercket u. dermalen wieder dabeÿ gelaßen
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 181, Sa. Bibliothecæ 75, Sa. Wein und faß 33, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 59, Sa. goldener Ring und geschmeids 28, Sa. baarschafft 13, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1524, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1300, Sa. Eigenthum ane Reeben und andern liegendne güthern 100, Sa. Gülth von liegenden güthern 6, Sa. Activorum 81, Summa summarum 3404 lb – Schulden 1850, Nach deren Abzug 1553 lb – Stall Summ 1605. lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und verhandelt in Straßburg Donnerstags den 3. Monathstag Junÿ Im Jahr des herrn 1731. Jacob Christoph Pantrion Notarius
Copia Testament – Im jahr 1749 (…) auff Donnerstag den 16. Monaths tag Octobris die Wohl Edle, Viel Ehren: und tugendbegabte Anna Magdalena Geÿlerin gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdigen und Wohlgelehrten herrn M. Stephan Geÿlern (…) Johann Daniel Stöber Notarius

Etienne Geyler se remarie en 1751 avec Marie Barbe Schneider veuve du boulanger Michel Diemer : contrat de mariage, célébration

1751 (23.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 384
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten Herrn M. Stephano Geÿler. p. t. treueÿfferigen Diacono Seniori der Evangelisch. lutherischen Gemeinde zum alten St Peter, Wittiber und Vornehmen burger allhier zu Straßburg, als dem Herrn Bräutigamb ane einem
So dann der viel Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Barbarä Diemerin geb. Schneiderin, weÿland des Ehrenachtbaren Herrn Michael Diemers geweßenen Weißbecken und burgers dahier seel. hinterbliebener Wittib als der Fr: Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg Sambstags den 23.ten Januarÿ Anno 1753. [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler, Maria Barbara diemerin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 70)
Mittwochs d. 27. Januar. 1751. seind nach vorhergeschehener Zweÿmahligen Außrufung Ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr M Stephanus Geyler, wohlmeritirt und treueiferiger Diaconus Senior bey dieser Gemeinde Zum Alten St Peter und Frau Maria Barbara weÿl. H Michael Diemers gewes. weißbecken und burgers allhier, nachgelaßene wittib [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Maria barbara diemerin als hochzeitiren (i 39)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 354 livres, ceux de la femme à 1 576 livres.

1751 (22.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1153) n° 709
Inventarium über des Wohl Ehrwürdigen und Wohlgelehrten Herrn M. Stephani Geÿlers p.t. treueifferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter und der viel Ehr: und Tugendsamen Fr. Mariä Barbarä Geÿlerin geb. Schneiderin beeder Ehegatten und burgeren allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1751. – in Ihren angetrettenen Ehestand einander Zugebracht, Welche der ursachen, alldieweilen in ihrer den 23. Januarÿ jüngst auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio außdrucklichen enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben Vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerer persönlichen gegenwarth H. Johann Paul Busch des Schneiders und burgers dahier der Fr. Pfarrerin Schwagers und hierzu erbettenen Assistenten, Straßburg Montags den 22.sten Febr. et seqq. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen dißorts bewohnenden Diaconat behaußung, befunden worden wie folgt.
Wÿdem Welchen der H Pfarrer aus Voriger Ehe lebtägig Zu genießen hat. Deßelben in Voriger Ehe mit weÿl. S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿlerin gebohrner Moscheroschin sel. erzeugte 7. Kinder participiren annoch vor mütterl. Gut (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Eheherrn eigenthümlich gehörig Guth, Sa. haußraths 336, Sa. der Bibliothec 112, Sa. Weins und Faß 63, Sa. Silber geschirrs und geschmeids 58, Sa. der Baarschafft 80, Sa. der activ schulden 78, Summa summarum 729 lb – Schulden 374 lb, Nach deren Abzug 354 lb
Dießemnach wird auch der Fr. Pfarrerin in die Ehe gebrachtes Gut beschrieben, Sa. haußraths 168, Sa. Silber Geschmeids 18, Sa. goldener Ring und dergl. Geschmeids 67, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 1055, Sa. der activ schulden 135, Summa summarum 1690 lb – Schulden 114, Nach deren Abzug 1576 lb

Accord entre héritiers passé après la mort de Marie Barbe Schneider un an plus tard
1752 (31.7.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1155) n° 761
Vergleich und Abtheilung Weÿland der Viel Ehren: und tugendsamen Frn Mariä Barbarä Geÿlerin gebohrner Schneiderin, des Wohl Ehrwürdigen und wohlgelehrten Hn M. Stephani Geÿlers p.t. treueifferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde Zum alten S. Peter und vornehmen burgers allhier zu Straßburg, geweßter Zweÿten hertzgeliebten Fr. Ehegattin seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1752. – Sonntags den 9.ten dieses Monats und obstehenden 1752. Jahres aus dießer Zeitlichkeit seelig abzufordern, daß daraufhin dero hinterbliebene H. Wr wie auch ihre ab intestato verlaßene und hernachgemelte Erben, beÿ denen Wohlverordneten Hh. dreÿ Löbl. Statt Stalls gehorsambste Ansuchung gethan haben, Sie der Inventur ihr Fr. Pfarrerin seel. Verlaßenschafft großgünstig zu dispeniren und nachdeme das über weÿl. H. Michael Diemers, des gew. Weißbecken und Bs. allhier der Fr. Pfarrerin seel. erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft von H. Notario Frantz Heinrich Dautel den 16. 7.bris 1749. verfertigte Inventarium denenselben den 24. hujus reproducirt worden, wurde ihme nicht allein in deren begehren willfahret, sondern auch ersterwhntes Inventarium (…) ane statt eines neurern angenommen und abgehandelt (…) – So beschehen in einer allhier Zu Straßburg ane der langen straß gelegenen dißorts bewohnenden Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, Montags den 31. Julii Anno 1752.
Die abgeleibte Fr. Pfarrerin seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Fr. Annam Margaretham Dannenbergerin geb. Schneiderin, H Johann Jacob Dannenbergers des Wagners und burgers allhier Ehefrau als Vollbändige Schwester, die unter deßen assitenz sich beÿ diesem geschäfft eingefunden hat. Zweÿtens weÿl. Fr. Annä Mariä Wiedermeÿerin geb. Schneiderin der Verstorbenen vollbändigen Schwester seel. mit gleichfalls weÿl. M. Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, den leedigen Weißbecken, welcher nechstens 28. Jahr alt wird, dannenhero majorennis und ohnbevögtigt, und diesem geschäfft persönlich beÿwohnete. Drittens, weÿl. Frn Mariä Salome Buschin geb. Schneiderin der Verstorbenen halb Schwester seel. mit dero hernach beschriebener behausungen Wr Hn Johann Paul Busch dem Schneider meister und burger dahier ehelicherziehlte 2. döchter benantlichen 1.mo Jgfr m&am Salome dei 17. Jahr auf sich hat, und 2.do Jgfr Mariam Magdalenam Buschin, die 17. Jahr auf sich hat Und 2. Jgfr. Mariam Magdalenam Buschin, welche 15. und ein halb Jahr alt, solche beede Jgf. Buschin seind mit H. Augustin Güntzer dem Sattler und burger, allhier bevögtig, der nebst seiner Jgfr. Vogts töchter eheleibl. H Vatter diesem geschäfft abwartete, So dann Viertens H Philipp Heinrich Schneider, der Sattler und burger allhier als halbbruder, Welcher sich auch hiebeÿ persönlich eingestellet hat. Also alle der abgeleibten Fr. Pfarrerin seel. respectivé noch lebenden Geschwüsterde und Verstorbene geschwüsterd

Etienne Geyler se remarie en troisième noces avec Marie Madeleine Trawitz, veuve du secrétaire Jean Christophe Jost (qu’elle a épousé en 1746) et du boucher Jean Georges Maul (qu’elle a épousé en 1726) : contrat de mariage, célébration
1753 (4. 8.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 464
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten Herrn M. Stephano Geÿler. p. t. treueifferigen Diacono Seniori der Evangelisch. Lutherischen Gemeinde zum alten St Peter, Wittiber und Vornehmen Burger allhier zu Straßburg, als dem Herrn Bräutigam, ane einem
So dann der Wohl Edlen und tugendreichen Frauen Mariä Magdalenä gebohrner Trawitzin, letztmals weÿland S. T. Herrn Johann Christoph Jost gewesten wohlbestellten Oberschreibers beÿ dem löbl. Stifft Zu St. Marx wie auch Kirchenschafners der allhiesigen Kirch St. Aureliæ und vornehmen burgers allhier seel. hinterlaßenen Frauen Wittib als der Frauen Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg Donnerstags den 4.ten Octobris A° 1753. [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler, maria magdalena Jostin gebr. trawitzin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 106, n° 17)
Sonntags d. 7. octobr. 1753. sind nach vorher geschehenen zweÿmahligen Außruffung, auf Erlaubunus Ihro Gnaden des regierenden H Ammeisters in dem Hauß Ehelich copulirt und Eingesegnet worden S. T. Herr M. Stephanus Geÿler treufleißiger Diaconus Senior beÿ der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter und burger allhier, und Frau Maria Magdalena gebohrne Trawitzin weÿl. Herrn Johann Christoph Jost geweßenen Oberschreibers beÿ dem löbl. St. St. Marx und Schaffners beÿ der Fabric St. Aurelien wie auch burgers allhier hinterl. Wittib [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Maria Magdalena Jistin als hoch Zeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les apports du mari s’élèvent à 615 livres, ceux de la femme à 1 253 livres.
1753 (10.Xbr), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1159) n° 830
Inventarium über des Wohl Ehrwürdigen und Hochgelehrten M. Stephanj Geÿlers, treueÿfferigen Diaconi senioris der Evangelischen Gemeinde Zum alten St Peter und der Wohl Edlen und Tugendreichen Fr. Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Trawitzin beede Ehegatten und Burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1753. – in Ihren Sonntags den 7. 8.bris dießes Zuend eilenden 1753.sten jahrs angetrettenen Ehestand einander Zugebracht, Welche der ursachen alldieweilen in ihrer den 4.ten dito auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio expressé stipulirt und bedungen, daß einem jeden sein in die ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerer persönlichen beÿweßen H. Johann Daniel Vogt deß Kieffer Meisters und burgers allhier der Fr. Pfarrerin Schwagers undt beÿstandts wie auch H. Johann Stephan Geÿlers, ebenfalls Kieffer Meisters und burgers dahier deß Eheherrn ältisten Sohns j. Ehe alß seiner jüngern Geschwisterden geschwornen Vogts, Straßburg Montags den 10. Xbris et seqq. A° 1753.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen dißorts bewohnend. Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, befunden worden wie folgt.
Vordersambst aber ist Zuwißen daß nach dem sein des Eheherrn zu nunmehr weÿl. Fr. Maria Barbara gebohrner Schneiderin seiner zweÿten Fr. Eheliebstin in den Ehestand gebrachte Nahrung den 22.ten Februarÿ A° 1751. durch mich Notarium und eingangs gedachten H. Johann Georg Lederlin den inventir Käufler ordnung mäsig inventirt und æstimirt auch ein formlich Inventarium darüber ist verfertiget worden, man anjetzo Zu erspahrung der weitläufigkeit und Kösten den in solchem Inv° à fol: 5.a biß und mit fol: 30.b beschriebenen haußrath wider neuerdingen beschrieben noch taxiren laßen wollen, gleichwohl aber beliebt eine revision darin Vorzunehmen um außfindig zu machen ob sich selbiger annoch in natura Vorhanden befinden oder nicht
Series rubricarum. Des Eheherrn eingebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 408, Sa. Bibliothecæ 112, Sa. Wein u. Faß 122, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 68, Sa. der baarschafft 5, Sa. activorum 121, Summa summarum 838 lb – Schulden 223 lb, Nach deren Abzug 615 lb
Dießemnach wird auch der Fr. Pfarrerin in die Ehe gebrachtes Gut consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 113, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 40, Sa. gold. Ring u. dergl. Geschmeids 57, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüter 1325, Sa. Activorum 17, Summa summarum 1253 lb
(f° 12) Wÿdem Welchen der H Pfarrer aus erster Ehe lebtägig Zu genießen hat. Deßelben in erster Ehe mit weÿl. S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿlerin gebohrner Moscheroschin sel. erzeugte 7. Kinder participiren annoch vor mütterl. Gut (…)

Marie Barbe Trawitz meurt en 1776 après avoir institué son mari légataire universel. La maison rue du Jeu-des-Enfants figure au chapitre des biens dont le veuf a la jouissance dans la succession de sa première femme. La masse propre au veuf s’élève à 304 livres, celle des héritiers à 865 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 006 livres, le passif à 580 livres

1776 (7.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1236) n° 19
Inventarium über Weiland der Wohl Edlen und tugendreichen Fraun Mariä Magdalenä Geÿlerin geb. Trawizin, des Wohl Ehrwürdigen und hochgelehren Herrn M. Stephan Geÿler, treueiferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter gewesener Frau Ehegattin Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1776 – nach ihrem Montags den 15.ten Aprilis dieses innstehenden 1776.gsten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt, Welche Verl. auf ehren freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren erstbesagten hinterbliebenen H. Wrs wie auch der abgeleibten zufolg hernach copeÿlich eingetragenen testaments Verlaßenen Universal Erben benandl. des Ehren und Vorgeachten H. Georg Daniel Trabitz handelßmanns und burgers allhier inventirt und ersucht (…). So beschehen Straßburg Dienstags den 7.ten Maÿ 1776.

In einer alhier zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen Zum Stifft alten St Peter gehörigen Diaconat behaußung, hat sich befunden, wie folgt
(f° 15) Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Nach anleitung des (…) durch weil. H. Notm. Johann Daniel Stöber den 6.ten Xbris et seq. A° 1753. errichteten Inventarii
Wÿdem, welchen der Her Wittiber aus erster Ehe lebtägig zu genießen berechtiget. In krafft des von weiland S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿerin gebohrner Moscheroschin des H. Wers ersten Ehefrauen den 16. 8.bris 1749. vor auch weil. H. Not. Johann Daniel Stöber und Gezeugen geordneten Codicilli (…) (f° 19) Eigenthum ane einer behaußung. Nemlichen eine behausung in vorder und hindergebäu bestehend hoffstatt und höflein mit allen deren Gebäuden, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Kinderspielgaß gegen dem Würthshauß zum goldenen Pferd über vormals zum Stall genannt 1.s. einem Canonicat hauß zum alten St Peter 2.s. H. Kutsche dem zahnarzt zum theil und zum theil neben H Däumel Contrôleur des Umgelds hinten auff weÿl. Mr Gottfried Büttner Steinhauers und Maurers verlassenschafft, auf des Wÿdems stiffterin absterben Inventarii folio 109-a angeschlagen worden wobeÿ man es In Ansehung nicht die minderste reparation darinn vorgenommen worden bewenden läßet per 1300 lb, Hierüber meldet i. in allh. C. C. Stb errichtet deutsch perg. Kfbr. m. dero anhng. Ins. verw. de dato 1. Martÿ 1708. – Reeben Scharrachbergheimer banns (…)
(f° 21-v) Norma hujus inventariÿ. Des Herrn Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 85, Sa. Bibliothecæ 75, Sa. Leerer Faß 3, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 25, Sa. Goldener Ketten 3, Ergäntzungs rest 307, Summa summarum 498 lb – Schuld 194 lb, Nach deren Abzug 304 lb
Dießemnach wird des Herrn Erben ohnverändert Gut beschrieben, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 11, Sa. Goldener Ring 9, Pfenningzinß hauptgüter 775, Erg. rest 17, Summa summarum 865 lb – Zweiffelhaffte und verlohrer Pfenningzinß hauptgüter hauptguths 250
Endlichen wird auch das gemeine, verändert und theilbare Guth verzeichnet, Sa. haußraths 63, Sa. Wein und Faß 84, Sa.Silbers 3, Sa. baarschafft 562, Sa. Pfenningzinß hauptgüter u. deren Hauptgüther 605, Sa. activorum 1686, Summa summarum 3006 lb – Schulden 580 lb, Nach deren abzug 2425 lb
Woran vordersamst dem hinterbliebenen H. Wr. in krafft hies. Municipal statuti zur Liebthat gebührig 10 lb, vermög Eheberedung 1610 lb, unverändert vermögen 304 lb, Wÿdem 1305 und 1070 lb, So ist und thut des Herrn Wittibers ganze Substanz am Eigenthumb und Wydem 4299 lb, darunter Eigenthum 1924 und Wÿdem 2375 – Stall summ 2772 lb
Copia der Eheberedung (…) den 4. Octobris 1753 Johann Daniel Stöber, Notarius
Copia Testamenti clausi (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 12. Martÿ Anno 1774. Actus depositionis Testamenti in scriptis clausi, den 12. Martÿ, Heinrich Dautel Notarius jur.

Vente de mobilier
1776 (28.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 280) n° 1394
Verkauff: und Erlös Registerlein über Weiland Fraun Mariä Magdalenä Geilerin gebohrner Trawitzin Herrn M. Stephan Geilers, treueiffrigen Diaconi senioris der Evangelisch Lutherischen Gemeinde zum alten St. Peter und burgers dahier geweste Frau Eheliebstin nun seel. Verlaßenschafft errichtet 1776.

Le diacre Etienne Geyler meurt en 1777 en délaissant sept enfants issus de sa première femme. L’estimation de la maison est repsise de l’inventaire Moscherosch. L’actif de la succession s’élève à 2 861 livres, le passif à 208 livres.

1777 (23.7.), Not. Stoeber (6 E 41, 1237) n° 73
Inventarium über Weÿl: des Wohl Ehrwürdigen und wohlgelehrten H. M. Stephan Geÿler gewesenen treueÿffrigen Diaconi sen: der Evangelischen Gemeinde zum Alten St: Peter und burgers allhier Verl. aufgerichtet anno 1777 – nach s. Montags d. 7 Julÿ dieses 1777.gst. Jahrs aus dieser welt genommenen seel: hintritt verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes Ansuchen Erfordern und begehren des Abgelebten in 1.st Ehe mit weil. Frn: Anna Magdalena geb. Moscheroschin sr. d. 24. 8br aô 1749 verstorbenen Ehefrn. erzeugter Kinder (…) durch die anwes. Erbs Interess. selbsten wie auch Jgfr Susan: Mar: Widenmeÿerin welche beÿ dem verstorbenen als Enckelin in diensten gestanden (…). So geschehen allhier Zu Straßburg, Mittwochs d. 23. Julÿ aô 1777. in der an der o. Straß gelegenen Diaconat behausung
Der abgestorbene herr diaconus Geÿler hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1) H. Johann Jac: Geÿler Capitaine Ingenieur in diensten vor Ihro Hochmögende die H. General Staaten der vereinigten niederlanden welcher in Mastricht etablirt und (…) H: Joh: Frid. Röderer J. U. L. u. E. E. kl. Raths alten beisitzer zu s. General bevollmächtigter constituirt, welcher auch in solcher Qualitæt diesem Geschäfft beiwohnte, 2) H. Joh: Stephan Geÿler Kiefer Mr: u. b. allhier so in Ehe begr: mit frn. Mar: Margar: geb. Rödererin, 3) Frau Sus: Mariam geb. Geÿlerin dermalen H. Philipp heinr: Wiedenmeÿer des Meelhändlers u. brs. allhier Ehefrau unter deßen Authoris: 4) Frau Annam Magdalenam geb. Geÿlerin so in 2.t Ehe lebet mit H. Mr. Joh: Mich: Krampp 1.st præcept: des allh: Löbl. Gymnasii u. Abd. Prediger zu St Nicolai auch brn allhier von ihme hierzu authorisiret, 5) Weil. H. Joh: Samuel Geÿler gew: Sattler Mrs u. brs: mit auch weil. frn: Johanna Henriette geb. Borschin erzeugte 3. Kinder als dißortige Enckelen Nahmens 1. H. Joh. Samuel Geÿler, Theologiæ Studiosum und Alumnum in allh. Collegio Wilhelmitano æt: 19 Jahr alt, 2. Joh: Mich: Geÿler, so in der Lehr als Paßmentirer begriffen so 17 Jahr auf sich hat, und 3. Jgfr Johanna Henrietta, so nechstens das 16.t Jahr erreichen wird, deren geordnet u. geschw: vogt ist H. M. Joh: Christoph Geÿler, In Ansehung aber derselbe hiebeÿ selbsten interessiret, so ist solcher Enckeln zum geschw. Theilvogt Obrigk. verordnet word. H. Joh: Frid: Schaz not: publ: jur: u. practicus allhier welcher in solcher Qualitæt hiebeÿ zugegen, 6) H. Johann Christoph Geÿler Artium liberalium magistr: u. b. allhier verheurathet an frau Christinam rosinam geb. Grisein, so dann 7) Jungfer Margaretham Barbaram Geÿlerin, so majorennis unter beistand H. Joh: Carl Ficqué notarii publici Jurati et practici allhier, Alle 7 des abgeleibten mit Eingangs besagter 1.sten Ehefrauen erzeugte Kinder u. ab intestato zu gleichen Portionen n. Haubt: und Stamm: Theilen verlaßene Erben
Extractus aus dem von weil. Frauen Annæ Magdalenä geb. Moscheroschin der Erben eheleibl. Mutter u. Großmutter vor weil. Herrn Not. Stöber den 16. 8.br. 1749 gestiffteten Codicill
Copia des von dem H. Not. Langheinrich den 4. Jenner 1765 gestiffteten lezten willens

Eigentum an 1.r behausung. Nehml: eine behausung in vorder u. Hinter gebäud bestehend, hoffstatt u. Höflein mit allen deren Gebäuden, Begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an der Kinderspielgaß gegen dem wirthshß: zum gold: Pferd über vormals zum Stall genannt, ein seit neben einem Canonicat hauß zum A. St Peter anderseit neben weil. H. Fischer des Glasers wittib hinten auf H. Däumel Contrôleur des Umgelds zum Theil u. zum theil auf H. Vogt Secretarium in H. Stett Mstr: v. Dieterich Comtoir stoßend gelegen, so über den vingtieme ledig eigen und auf weil. frn. Annä Magd. Geÿlerin gebohrne Moscheroschin der 1.sten Ehefr. Absterben vermög des: über der Verlaßenschafft errichteten Invent: f° 109-a angeschlagen worden, wobeÿ man es in Ansehung nicht die mindeste haupt reparat: darin vorgenommen wurde, gleichwol auf die von den wohlverordneten H. dreÿ Löbl. Statt Stalls erhaltene Permission bewenden läßet pro 1300 lb, Hierüber meldet I. in allh: C.C. Stb. err. teutsch. pgt. Kfbr. m. dero anhangd. Ins. verw. s.d. 1. Martÿ 1708.m. a. N° 1 bemerckt.
reeben zu Scharrachbergheim
(f° 14) Norma hujus inventarii, Sa. hausraths 246 lb, Sa. Bibliothec 45 lb, Sa. wein u. faß 129 lb, Sa. Silber u. Geschmeid 62 lb, Sa. gold. Kett 22 lb, Sa. baarschafft 205 lb, Sa. Pfenningzinß u. deren Hauptgüter 700 lb, Sa. Eigenthum ane Reeben und anderen Güthern 100 lb, Sa. Eigenthum an j. behausung 1300 lb, Sa. Activorum 50 lb, Summa summarum 2861 lb – Schulden 208 lb, restirt 2652 lb
Theil Register – die behausung in C.C. Stb. den 22.t 9.br 1777 vorgegangenen Kaufverschreibung H. Stephan Geyler und seiner jetzigen Ehefrau Mariä Margarethä geb. Rödererin erkauft

Les héritiers du diacre Etienne Geyler cèdent leurs parts de maison à leur frère tonnelier Jean Etienne Geyler

1777 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 427-v
H. Johann Georg Hebeißen der materialist vor und innahmen H. Johann Jacob Geÿler capitaine ingenieur in diensten beÿ ihrem hochwürdigen denen H. general Staaden der vereinigten Niederlanden dermahlen in Mastricht, Fr. Maria Susanna geb. Geÿlerin H. Philipp Heinrich Wiedermeÿer des meelhändlers Ehefrau, Fr. Anna Magdalena geb. Geÿlerin weÿl. H. M. Johann Michael Kramp ersten lehrers des allhiesigen löbl. gymnasium seel. wittib unter assistentz anfangs gedachten H. Hebeißen, H. Johann Friedrich Schatz notarius publicus ac practicus als gerichtlich bestellter theilvogt weÿl. H. Johann Samuel Geÿler gewesten sattler mit auch weÿl. Fr. Johanna Henrietta geb. Borschin hinterbliebenen dreÿ kinder nahmentlich H. Johann Samuel, Johann Michael und Johanna Henrietta derer Geÿler, mehr H. Johann Christoph Geÿler artium liberarum magister, Jfer Margaretha Barbara Geÿlerin so großjährig dero nahmen H. Johann Carl Ficke notarius publicus ac practicus, samtlich als kinder und enckel und ab intestato hinterbliebenen erben H. Stephan Geÿler gewesten diaconi senioris der evangelischen gemeinde zum Alt St Peter und respective großvatter
in gegensein H. Johann Stephan Geÿler des kieffermeisters ihres bruders und oncle und Mariæ Margarethæ geb. Rödererin
sechs siebende theil vor unvertheilt von und ane einer behausung bestehend in vorder und hinter haus, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kinderspielgaß gegen dem wirthshaus zum goldenen Pferdt über vormahls zum Stoll genannt, anderseit neben einer dem Löbl. Stifft Alt St Peter gehörigen canonicat behausung, anderseit neben H. Fischer dem glaßers wittib, hinten auff H. Vogt – woran der übrige 7.t theil dem kauffendem Mr Geÿler als ererbt – meistgebottenen 3510 gulden worunter des käuffers selbigen ratum begriffen

Jean Etienne Geyler entre en apprentissage chez le tonnelier Jean Jacques Stamm en septembre 1740
1740, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 416) Dienstags d. 4. 8.bris 1740. – Mstr Joh: Jacob Stamm der Kieffer nimbt vermög scheins von den obern handtwercksherren vom 30.t 7.bris 1740. zum Lehrjung. an Joh: Stephan Geÿler H. M. Stephan Geÿlers Diaconi der Evangel. Gemeindt Zum alten St Peter allhier Ehl. Sohn, umb solchen das Kieffer handtweck 3 nach einander folgende jahr Zu lehren und gehet die Lehrzeit an auff Michaelis 1740. und endiget sich auff solche Zeit 1743. vor Lehrgelt ist accordirt 100 fl. und der Meisterin 24. fl. pro discretione, auch solle d. jung alle unkosten leiden, deßen bürgen seÿnd H. Mstr Fischer und Joh: Friderich Keck, dt. 15 ß et pro protoc. 2 ß 6 d.

L’apprentissage de trois ans se termine en 1743
(f° 449) Dienstags d. 15. 8.bris 1743. – Mstr Joh: Jacob Stamm d. Kieffer stellet vor Joh: Stephan Geÿler seinen geweßenen Lehrjungen mit bitt weilen deßen Lehrzeit schon auff Michaelis verfloßen, auch beede wohl mit einander Zufrieden solchen außzuthun. Erk. wie gebetten dt. 1. lb 10 ß pro sigillo 2 ß pro protoc. 5 ß et pro Lehrbrieff 30 ß d

Jean Etienne Geyler présente son chef d’œuvre en 1748. Les examinateurs relèvent des défauts mais reçoivent le candidat maître
(f° 509) Sambstags d. 15. Junÿ 1748 ist Stephan Geÿlers des Ledigen Kieffers meisterstück Zum Letztenmahl besichtiget und von den Hh. Schauern referirt worden, daß in den 1. schau das faß Zu flach gest*fft und voller bückel ware, auch Zwo einfügen gehabt, in der 2.te schau die böden unsauber abgesäubert geweßen und in der 3.ten schau der fordere boden Zu dinn eingeschnitten ware, also daß sich verschiedene wölff erzeigt, darneben die reiff elendiglich gebandtet und das faß sehr usauber abgebunden ware. wegen welcher fehlern undt weilen Er sein auff den platz gebrachtes abgehobeltes holtz wider verbott zu dem meisterstück employirt ihme 8. lb d straff angesetzt und anbeÿ beÿ noch 6. lb d straff das faß weiter nicht als auffs höchste an Er vier orth herumb zu führen verbotten, im übrigen aber ist Er vor ein meister Erkandt worden, welchen H. XV. Schmidt als obmann auch also Confirmirt hat. auff gebettener moderation wurdte ihm endlich erlaubt das faß ane 8 orth zu führen, beÿ dem übrigen aber wurde es gelaßen wie angesetzt.

Jean Etienne Geyler devient tributaire en novembre 1748
(f° 511-v) Dienstags d. 12. 9.bris – Mstr Stephan Geÿler der Kieffer erhaltet auff producirten Stallschein vom 2.ten 8.bris 1748. das Zunfftrecht undt Zahlt als eines hießigen burgers sohn 2 lb 5 ß pro feür Eÿmer 10 ß pro protoc. 5 ß d

Jean Etienne Geyler épouse en 1748 Marie Madeleine Muss, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1748 (6. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 323
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Stephan Geÿler, dem leedigen Kieffer meister, des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn M: Stephan Geÿlers treueifferigen Diaconj senioris beÿ der Evangelischen Lutherischen Gemeinde Zum alten S: Peter mit der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Anna Magdalena gebohrner Moscheroschin ehel. erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Mariä Magdalenä Mussin weÿland des Ehrengeachten herrn Johann Friderich Muß, geweßenen Kieffer meisters und burgers allhier seel. mit der Ehren: und tugendsamen Frauen Annä Margarethä gebohrner Vogtin seiner hinterbliebenen Wb. ehel. erziehlten tochter, als der Jgfr. brauth ane dem andern theil
So beschehen in der Löblichen freÿen Stadt Straßburg auf Freÿtag d. 6.ten Septembris Anno 1748.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 44)
Mittwoch d. 18. Sept. 1748. sind nach vorhergeschehener zweÿmahligen Proclamation Ehelich copuliret u. eingesegnet worden H Johann Stephan Geÿler Kieffer u. burger allhier, S.T . Herrn Stephan Geÿler Diac. Sen. beÿ dieser gemeinde alten St Peter Ehel. Sohn, u. Jungfr. Maria Magdalena weÿl. Joh: Friderich Mauß gewes. Kieffers u. burgers allhier nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Stephan Geyler als hochzeiter, Maria Magdale Mußin als hochzeirin i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Sept-Hommes qui appartient à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 162 livres, ceux de la femme à 298 livres.
1748 (2. 8.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1146) n° 578
Inventarium über des Ehren: und vorgeachten Hn Johann Stephan Geÿlers, deß Kieffermeisters und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Mußin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1748. – und sich deren jeedes vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to vor ohnverändert reservirt und vorbehalten hat – So beschehen in fernerem beÿweßen Frauen Annä Margarethæ Mußin geb. Vogin der Ehefrauen eheleibl. Mutter wie auch Hn Johann Friderich Koch, des Metzgers und burgers allhier deroselben noch ohnentledigten Vogts Straßburg Mittwochs den 2.ten 8.br A° 1748.

In einer allhier zu Straßburg ane der Sieben Manns gaß gelegenen und der Ehefrauen Mutter eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns Vermögen, Sa. Haußraths 20, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. Werckzeugs zum Kieffer Handwerck gehörig 4, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 117 lb – Und wann darzu gelegt wird die ihme gebührige einte Helffte derer Haussteuren antreffende 50 lb, So belaufft sich deßen völlig in den Ehestand gebrachtes Vermögen auff 162 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht guth beschrieben, Sa. haußraths 90, Sa. Silber geschmeids 24, Sa. Goldener Ring 25, Sa. baarschafft 108, Summa summarum 248 lb – Darzu gerechnet deroselben angehörige andere helffte ane denen haussteuren mit 50 lb, So bestehet iht der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachtes Gut in 298 lb

Marie Madeleine Muss meurt en 1755 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans la maison rue du Jeu-des-Enfants qui appartient au veuf et à ses frères et sœurs. La masse propre au veuf s’élève à 408 livres, celle des héritiers à 389 livres. L’actif de la communauté s’élève à 829 livres, le passif à 1 221 livres

1756 (16.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1166) n° 964
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Mußin des Ehren und Vorachtbaren H. Johann Stephan Geÿler, Kieffermeisters und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefrauen nunmehr seeligen verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1756. – nach ihrem Donnerstags den 27.ten Novembris des Zurückgelegten 1755.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hindtritt, Zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sein H. Johann Stephan Geÿlers, des hinterbliebenen Wrs wie auch des Ehren und vorachtbaren H Lorentz Steinbach, Holtzhändlers und bs. allhier als geordnet und geschworenen Vogts Dorotheä Elisabethæ, so 5 ½ jahr alt, Susannä Salome, die 3 ½ jahr zurück gelegt, beeder der entseelten seelig mit Ihme dero Wr ehelich erzeugter töchterlein und ab intestato verlaßener Erbinen, inventirt und ersucht (…) So beschehen in fernerem beÿweßen Frauen Annä Margarethä Mußin geb. Vogtin, weil. H. Johann Friderich Muß, deß gew. Kieffer meisters und brs dahier seelig hinterbliebener Frauen Wb. der abgelebten Frauen seelig eheleibl. Frauen Mutter, Freÿtags den 16.ten Junÿ Anno 1756.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel gaß gelegenen dem Wr und deßen geschwisterden zuständigen behaußung, die derer H. Vatter widems weiß genießet befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, auf der Bühn inn des Knechts Kammer, Auf der Bühn, In der Magd Kammer, Im Kl. stüblein, In der Wohnstub
Ergäntzung des Ws. abgegangen ohnveränderten guths. Nach anleitung der über beeder geweßter Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium in A° 1748. Verfertigten Inventarÿ
(f° 15) Wÿdems Verfangenschaft Welche S. T. H. M. Stephanus Geÿler p t. treueÿferiger Diaconus senior Zum alten St Peter und burger allhier lebtägig Zu genießen berechtiget ist. Und zwar in Krafft des Von Weÿl. Fr. Anna Magdalena Geÿlerin geb. Moscheroschin seiner den 24. 8.bris A° 1749. Verstorbenen hertzgeliebten ersteren Fr. Ehegattinin seel. Vor mir Notario und gezeugen den 16. dito gestifteten Codicilli §° 2.do
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 8, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer Handwerck gehörig 1, Sa. Brandenweins 80, Sa. Silber geschmeids 4, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 30, Sa. Gülth von liegenden güthern fallend 10 ß, Sa. activ-schuld 11 ß, Ergäntzung 482, Summa summarum 608 lb – Schulden 200, Nach deren Abzug 408 lb
Dießemnach wird auch beeder Töchterlein und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 109, Sa. Silbern gschmeids 11, Sa. Goldener Ring 12, Sa. baarschafft 2, Sa. activ schuld 50, Erg. 204, Summa summarum 389 lb
Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 39n Sa. Werckzeugs wie auch holtzen reif v. band Zum Kieffer Hws. gehörig 23, Sa. Wein, brandenwein Eßig und Faß 545, Sa. Silber Geschmeids 6, Sa. baarschafft 131, Sa. Pfenningzinß und deren hauptguths 37, Sa. activorum 44, Summa summarum 829 lb – Schulden 1221, Theilbar passiv onus 392 lb
Stall Summ 406 lb

Jean Etienne Geyler se remarie en décembre 1756 avec Marie Marguerite Rœderer, fille de teinturier : contrat de mariage, célébration
1756 (s.d.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 551
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Stephan Geÿler, Wittiber, Kiefer Meister und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariä Margarethä Rödererin, Weÿl. Hn Johann Dietrich Röderer, des geweßenen Schwartz und Schönfärbers auch bs allhier seel. mit Fr. Anna Maria geb. Heÿdelin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen H. Heinrich Eberhard Liewald des Schwartz und Schönfärbers auch b. allhier Fr. Eheliebstin, ehelich erziehlten Jgft. tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil sich begeben
So beschehen (-)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 149, n° 32)
Mittwoch d. 1. Decembris 1756. sind nach vorhergeschehener zweÿmahligen Außruffung Ehelich copuliret u. eingesegnet worden H Johann Stephan Geÿler Kieffer der wittwer Kieffer und burger allhier,und Jgfr. Maria Margaretha weÿl. H. Johann Dietrrich Röderer gewes. Schönfärbers und burgers allhier nachgel. Ehel. Tochter wie solches bezeugen Johann Stephan Geÿler als Hochzeiter, Maria Margaretha Rödererin als hochzeiterin (i 80)

L’inventaire est dressé dans la maison rue du Jeu-des-Enfants qui appartient au veuf et à ses frères et sœurs. Les apports du mari s’élèvent à 1 459 livres, ceux de la femme à 269 livres.
1757 (26.5.), Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1), coll. part. n° 1032
Inventarium Über des Ehren: und vorachtbahren Johann Stephan Geÿlers Kiefer meisters und der Ehren und tugendsahmen Fraun Mariä Margarethä Geÿlerin gebohrner Roedererin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1757. – in ihren den ersten Decembris des abgewichenen 1756. Jahrs angetrettenen Ehestand zugebracht, welche der Ursachen alldieweilen in ihrer mit einander errichteten Eheberedung vom 12. Novembris solchen Jahrs paragrapho quarto ausdrucklich enthalten, daß einem jeden und seinen Erben das in die Ehe bringende Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen in fernerem beÿsein Fraun Annä Mariä Liewaldin gebohrner Heÿdelin dermalen Herrn Heinrich Eberhard Liewald des Schwartz: und Schönfärbers auch burgers dahier Eheliebsten der Ehefraun eheleiblicher Fraun Mutter wie auch Herrn Johann Jacob Röderer des Schwartz: und Schönfärbers auch burgers allhier deroselben ältern bruders, Straßburg donnerstags den 26. May Anno 1757.

Des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspielgaß gelegenen dem Ehemann und deßen Geschwüsterden zuständigen behaußung, die deren Herr Vater widemsweiße genieset, befunden worden wie folgt.
Haußrath 160, (f° 28-v) Werckzeug, Holtz, Reÿff und band Zum Kieffer handwerck gehörig 11, (f° 36-v) Wein, Brandtwein Eßig und Faß 1622, (f° 49-v) Silbern Geschmeid 34, (f° 55-v) Baarschafft 32, (f° 57) Pfenningzinß und deßen hauptguts 33, (f° 58-v) Gülth von liegenden Güthern gefallend o, (f° 60-v) Schulden 55, (f° 62) Summa summarum 2010 lb – Und wann dazu gerechnet wird deßen helffte ane denen drunten fol. 85. et sequentibus beschriebenen Haussteuren antreffend 25 lb, So machte deßelben ohnverfangenen Activ Mass mit Ausnahm seiner Kleidung und weißen Gezeugs wie auch des Gültguthleins 2036 lb, Davon seind aber abzuziehen 577 lb, Nach deren Abzug verbleibt 1459 lb
(f° 69-v) Dießemnach wird auch der Ehefraun überIhre Kleidung und weißen Gezeug in die Ehe gebrachtes Guth consignirt und beschrieben, In der drobenangezigener Behaußung, Hausrath 87, (f° 74) Silbern Geschmeid 24, (f° 77-v) Goldene Ring 20, (f° 79) Baarschafft 110, (f° 81) Summa summarum 243 lb – dazu gerechnet die übrige Helffe der ingegagenen Haussteuren 25 lb, So begreifft Ihr der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Gut 269 lb
(f° 82) Haussteuren 51 lb, Woran Jedem Ehegemächd in beeder Eheberedung paragrapho 6. die helfte gebührig anlangend 25 lb
(f° 86) Wittums: Verfangenschaft Welche S. T. Herr M. Stephanus Geÿler treueÿferiger Diacono senior der Evangelischen Gemeinde Zum alten St Peter allhier des Ehemanns geliebter Herr Vater zeit Lebens Zu genießen hat. Worin solcher Wittum bestehet und derselbe von weÿland Fraun Anna Magdalena Geÿlerin gebohrneer Moscheroschin der dißortigen Fraun Mutter selig zu geniesen hat
(f° 88) Des Ehemanns beeder Töchterlein voriger Ehe Pfetter, Göttel und Geschencht Geld

Jean Etienne Geyler meurt en 1803 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants du deuxième.

1803 (8 floreal 11), Strasbourg 7 (17), Not. Stoeber n° 4381,1844
Inventarium über weÿl. Johann Stephan Geyler des inwohners und Kiefers Verlassenschafft, ist den 10. ventos lezthin mit todt abgegangen und hat zu Erben hinterlassen 1. Fr. Dorothea Elisabetha Geyler burgers Philipp Jacob Zabern Schneiders Ehefrau, so der verstorbene in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Margaretha geb. Maus erzeugt, 2. burger Johann Jacob Geyler, der ledige Kiefer so großjährig, und 3. Margaretha Barbara die leedige so großjährig, beiständlich ihres bruders, Letztere beede Kinder hat der Erblaßer mit weÿl. Fraun Maria Margaretha geb. Röderer seiner den 28. vendemiaire lezthin verstorbenen zweÿten Ehefrau erzeugt
Weil nun auf Absterben der zwoten Ehefrau Maria Margaretha geb. Röderer kein Inventarium ist errichtet worden (…), Eheberedung den 12. Novembris 1756 vor weÿl. Notario Stöber

in der allhier zu Straßburg in der Kinderspielgaße N° 51 gelegenen behausung
(f° 7-v) Eigenthum an einer behausung. Eine behausung an der Kinderspielgaß gegen dem Wirthshauß zum goldenen Pferd über, in Vorder: hinter: Gebäude und höflein bestehend, Numero 51 einseit neben bürger hodel huissier anderseit neben der Wittib Mathuré hinten auf weÿl. bürger däumler gewesten Contrôleur des Ohmgeldts Erben zum theil und zum theil Madame Aulberer, vermög Kauffverschreibung in hiesiger Cancelleÿ Contract Stub vom 22. Novembris 1777 acquirirt, darüber auch vorhanden ein Kaufbrieff vom 1. Martÿ 1708
Grundstücker – Ergäntzung vor Not. Stöber den 26 maÿ 1757
(n° 4404) Verkauf Register vom 13 floreal 11 – (n° 4546) Summarische berechnung, mobiliar Versteigerung 2899 fr, baarschafft 1200 fr, behausung 7000 fr, Gültgüther 1200 fr, baar* 60, 817 fr, summa 13.176 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 164-v du 17 floreal 11

Inventaire après décès d’une locataire, sœur de la défunte femme de Jean Etienne Geyler, Marie Salomé Rœderer veuve du coutelier Jean Jacques Weber

1803 (19 ventose 11), Strasbourg 7 (17), Not. Stoeber n° 1825, 4208
Inventarium über weÿl. fr. Maria Salome geb. Roederer auch weÿl. Johann Jacob Weber gewesten Messerschmidts Wittib verlassenschafft ist gestorben den 7 ventos lezthin und hat zu erben verlaßen 1. weÿl. bs. Philipp Roederer des ältern gewesten färbers fünff Kinder als a) Anna Maria Roederer bs. Johann Philipp helck bierbrauers Ehegattin, b) b: Johann Philipp Roederer der jüngere färber, c) b: Johann Friedrich Roederer färber, d) Maria Magdalena Roederer bs. Nicolaus Dietsch des färbers Ehegattin, e) Maria Salome Roederer weÿl. bs Johann Daniel Roggenbach des jüngern Schiffmanns wittib der verstorbenen vollbändigen bruders Kinder in den esten stammtheil
2. weÿl. Johann Jacob Roederer färbers kinder, a) burger Johann Philipp Roederer färber zu Brumat, b) weÿl. fraun Maria Dorothea Roederer mit auch weÿl. burger Philipp Jacob Keller Glaser erzeugten Sohn so minderjährig mit burger Johannes feßenmeier Wirth bevögtigt, c) Anna Maria Roederer burgers Johann Philipp Seÿder mezgers Ehefrau, solche sind der verstorbenen vollbändigen bruder Kinder und Enckel
3. weÿl. fraun Maria Margaretha Roederer mit auch weÿl. burger Stephan Geiler gewesten Kieffer erzeuge Kinder a) burger Johann Jacob Geiler lediger Kieffer so großjährig, b) Margaretha Barbara Geiler die leedige so großjährige
in der an der Kinderspielgaß gegen dem goldenen Pferd über gelegenen behausung
Mobilien Verkauf 935 fr, activ mass 984 fr, abzuziehen 101 fr, restiren 882 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 69 du 28 ventose 11

Le tonnelier Jean Jacques Geyler cède son tiers de maison à sa sœur Marguerite Barbe Geyler

1805 (18 floréal 13), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber n° 2600, 6539
Jean Jacques Geyler tonnelier majeur
à Marguerite Barbe Geyler sa sœur majeure assistée de Jean Michel Geyler passementier
Le tiers dans Une Maison située en cette ville rue du Jeu des Enfants n° 51 vis à vis l’auberge au cheval d’or, consistant en deux Corps de logis et une petite cour, d’un côté les héritiers de M. Hoder huissier d’autre la veuve Maturé aboutissant en partie sur les héritiers Daeumler contrôleur et en partie Tauffenberger revendeur – échu au vendeur dans la succession de Jean Etienne Geiler tonnelier son père dont un tiers appartient à la cessionnaire et le dernier tiers à Dorothée Elisabeth Heiler femme de Philippe Jacques Zabern tailleur – moyennant 1800 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 131 du 27 flo. 13

Marguerite Barbe Geyler épouse le fripier Jean Georges Müller
1806 (21.6.), Strasbourg 10 (32) , Not. Zimmer n° 360, 2814
Contrat de mariage – Sr Jean Georges Müller, frippier né à Strasbourg le 31. décembre 1771 fils de Jean David Müller, frippier, et de feue Catherine Salomé Barthel
Dlle Marguerite Barbe Geyler née à Strasbourg le 26 mars 1762, fille de feu Jean Etienne Geyler, tonnelier, et de Marie Marguerite Roederer
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 f° 19 du 23.6.

Dorothée Elisabeth Geyler femme du tailleur Philippe Jacques Zabern cède son tiers de maison à Jean Georges Müller et à sa femme Marguerite Barbe Geyler

1812 (3.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 36), Not. Bossenius n° 3530
Sr Philippe Jacques Zabern tailleur et Dorothée Elisabeth Geyler
au Sr Jean Georges Müller cid.t tailleur d’habits actuellement cabaretier et De Marguerite Barbe Geyler
le tiers indivis dans une maison sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants N° 51 vis à vis l’auberge au cheval d’or consistant en deux corps de logis une petite cour et puits avec toutes d’autres appartenances et dépendances, d’un côté la succession du Sr Hodel huissier, d’autre la veuve Mathuré, aboutissant en partie sur la propriété des Dlles Deimel sœurs et en partie sur celle du Sr Tauffenberger revendeur, comme ladite femme Zabern née Geyler sœur consanguine de ladite de Müller née Geyler est devenue propriétaire dud. tiers comme héritière pour autant dans la succession du Sr Jean Etienne Geyler tonnelier son pere, la Fe Marguerite Barbe Geyler est déjà propriétaire des deux autres tiers – moyennant 2000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 106 du 5.9.

Jean Georges Müller se remarie en 1823 avec Anne Marie Mæhn
1823 (5.3.), Strasbourg 4 (54), Me Hatt n° 872
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Georges Müller, cabaretier
Anne Marie Maehn, fille majeure de feu Frédéric Maehn, boulanger, et de Marie Anne Bohnert
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 189 du 8.3.

Mariage, Strasbourg (n° 120)
Acte de mariage célébré le 12 avril 1823. Jean Georges Müller, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 31 décembre 1771 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Cabaretiers veuf de Marguerite Barbe Geyler morte en cette ville le 16 janvier 1821, fils de feu David Müller, fripier, et de feu Catherine Salomé Barthel, et Anne Marie Maehn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 juin 1785 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de feu Chrétien Frédéric Maehn, Boulanger, mort en cette ville le quatrième jour Complémentaire an X de la République et d’Anne Marie Bohnert, ci présente et consentante (signé) Jean George Müller, Anna Maria Mähn (i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari
1823 (29.11.), Strasbourg 4 (56), Me Hatt n° 1327
Inventaire des apports d’Anne Marie Maehn femme de Jean Georges Müller, cabaretier – Contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 5 mars dernier
dans la demeure des conjoints Müller rue du Jeu des Enfants n° 51
ensemble 2022 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 151 du 2.12.

Jean Georges Müller loue une cave au marchand de vins Jean Georges Popp

1824 (13.7.), Strasbourg 2 (56), Me Weigel n° 3235
Bail pour 6 années – Jean Georges Müller, cabaretier
à Jean Georges Popp, marchand de vin
la cave qui se trouve sous le bâtiment de devant de la maison appartenant au bailleur sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants marquée du n° 51 – moyennant 50 francs par an
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 38 du 15.7.

Jean Georges Müller vend la maison 11 000 francs au boulanger Jacques Bentz

1824 (14.8.), Strasbourg 14 (79), Me Lex n° 2575
Jean Georges Müller, cabaretier
à Jacques Bentz, boulanger 11 000 fr
Désignation de l’immeuble. Une maison à deux étages, deux caves dont l’une voutée, grenier, remise, écurie, cour & puits propre à un établissement tel qu’une boulangerie sise en cette ville rue du Jeu des Enfants n° 51 d’un côté le Sr Brehm tailleur d’habits, d’autre M Valentin juge de paix, derrière le Sr Nicolas revendeur
Etablissement de la propriété. Les vendeurs ont acquis ladite maison par acte reçu Me Bossenius le 3 septembre 1812 conjointement avec Marguerite Barbe Geyler femme de Philippe Jacques Zabern tailleur, de Dorothée Elisabeth Geyler. 2. son épouse en vertu du testament olographe en date du 26 août 1820 enregistré le 22 janvier 1821 f° 140 déposé au rang des minutes de Me Stoeber le 23 janvier 1821 a institué le requérant pour son héritier universel. La De Müler était propriétaire d’un tiers pour mui être échu dans la succession de Jean Chrétien Geyler son père, tonnelier, l’autre tiers légué par son frère Jacques Geyler, tonnelier, suivant testament du 18 floréal 13 déposé au rang des minutes de Me Stoeber le 4 novembre 1817 – le vendeur se réserve la jouissance d’un logement au premier étage dans le bâtiment de derrière jusqu’au 25 mars pour 100 francs par an
Cahier des charges le 12 juillet n° 2453 – Adjudication préparatoire le 28 juillet n° 2526 – Adjudication définitive le 10 août n° 2561 à Jean Gottlob Kretschmann, facteur d’instruments pour 10.300 francs – Surenchère
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 122 du 19.8.

Natif de Pfulgriesheim, Jacques Bentz épouse en 1814 Marie Elisabeth Sohn, fille de tonnelier
1814 (30.7.), Strasbourg 5 (40), Not. F. Grimmer n° 8805
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jacques Bentz, boulanger majeur natif de Pfulgriesheim demeurant en cette ville faubourg de Saverne, fils de Michel Bentz cultivateur et de Catherine née Schott
Marie Elisabeth Sohn, majeure demeurant rue des Cheveux n° 16, fille de Jean Philippe Sohn, tonnelier, et de Marie Madeleine née Gautschi
donation au futur époux par son père de terres à Pfulgriesheim esimés à un revenu de 40 fr/an avec réserve d’usufruit
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 F° 36-v du 5.8.

Inventaire des apports
1819 (9.11.), Strasbourg 8 (28), Not. Roessel n° 6808
Inventaire des apports de Jacques Bentz, boulanger, et de Marie Elisabeth Sohn
mariés suivant contrat de mariage reçu Grimmer le 30 juillet 1814
apports de la femme 1741 fr, du mari 2651 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 145 F° 42 du 10.11.

Marie Elisabeth Sohn meurt en 1833 en délaissant trois enfants

1833 (10.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Sohn femme de Jacques Bentz, boulanger, décédée le 28 janvier dernier – à la requête 1. du veuf, 2. des trois enfants Emile, Charles, Gustave agissant par leur père – en présence de Jean Charles Sohn ministre protestant à Eckbolsheim, subrogé tuteur desdits mineurs
meubles 3270 fr
immeuble, une maison à Strasbourg rue du Jeu des enfants n° 51
garde robe 76 fr – Contrat de mariage reçu F. le Grimmer 30 juillet 1814, apports 1741 fr, ceux de l’épouse 2659 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 218 F° 191 du 17.7.

Inventaire après décès d’un locataire, le cocher Michel Wagner

1834 (3.11.), Strasbourg 14 (96), Me Ritleng n° 4421
Inventaire de la succession de Michel Wagner, cocher à Strasbourg décédé à Framont (Vosges) le 19. 8.br dernier – à la requête de Madeleine Bourt la veuve, 2. Louis Nesberschnée, épicier, tuteur de Michel Charles & Joséphine Wagner, enfants mineurs ; 2. Jacques Bentz, boulanger subrogé tuteur, issus du mariage avec Marie Elisabeth Helfer sa première femme – mariés sans contrat de mariage
en la demeure rue du Jeu des Enfants n° 51
meubles de la communauté 386 fr, garde robe 37 fr, immeuble, argent, créances, néant
reprises enfants du premier lit 508 fr, passif 508 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 228 F° 72 du 7.11.

Jacques Bentz se remarie en 1836 avec Marguerite Salomé Gross, native de Brumath
1836 (13.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jacques Bentz, boulanger, veuf avec trois enfants de Marie Elisabeth Sohn
Marguerite Salomé Gross, majeure
Enregistrement de Strasbourg, acp 242 F° 45 du 14.7.

Mariage, Strasbourg (n° 292)
Du 28° juillet 1836. Acte de mariage de Jacques Bentz, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 octobre 1786 à Pfulgriesheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Boulanger, veuf de Marie Elisabeth Sohn décédée en cette ville le 28 janvier 1833, fils de feu Michel Bentz, Cultivateur décédé à Pfulgriesheim le 24 octobre 1831 et de feu Catherine Schott décédée à Pfulgriesheim le 8 décembre 1824, et de Salomé Gross, majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 octobre 1810 à Brumath (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Georges Gross, Cordier décédé à Brumath le 16 octobre 1832 et de feu Anne Marie Utz décédée à Brumath le 7 septembre 1834 (signé) Jacob Bentz, Salome Groß (i 15)

Jacques Bentz et Salomé Gross hypothèquent la maison au profit du meunier Jean David Lauth

1844 (22.7.), Strasbourg 10 (103), Me Zimmer n° 5297
Obligation – Est comparu le Sr Jacques Bentz, boulanger, et sous son autorisation De Salomé Gross sa femme demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à M. Jean David Lauth père meunier à la Chartreuse, demeurant et domicilié à Strasbourg ici présent et acceptation la somme principale de 1500 francs
hypothèquent spécialement, Une maison-boulangerie avec dépendances située à Strasbourg rue du Jeu des Enfants n° 51, d’un côté le SrBoehm de l’autre le Sr Klein, par devant ladte rue et donnant derrière sur le sieur Derosier et consors (…) M Lauth, Créancière déclaré connaître parfaitement la situation des époux Bentz ainsi que l’origine de l’immeuble hypothéqué

Jacques Bentz et Salomé Gross hypothèquent la maison au profit du meunier Georges Groskost

1845 (18. 9.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 159
Obligation – Ont comparu Mr Jacques Bentz, boulanger, et Dame Salomé Grosz son épouse qu’il autorise demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (devoir)
à Monsieur Georges Groskost ancien meunier aujourd’hui propriétaire demeurant et domicilié en la même ville, la somme principale de 2000 francs
Gage hypothécaire. Une maison d’habitation à deux étages, deux caves dont l’une voûtée, grenier, remise, écurie, cour, puits, droits, aisances, appartenances et dépendances sise en cette ville de Strasbourg rue du jeu des enfants n° 51, d’un côté Georges Boehm tailleur d’habits de l’autre M Klein aubergiste par devant ladte rue par derrière le sieur Terrassier revendeur
Etablissement de la propriété. Le codébiteur est devenu propriétaire du bien par lui hypothéqué de la manière suivante, savoir il a surenchéri ce bien qui avait appartenu au sieur Jean Georges Müller cabaretier demeurant et domicilié à Strasbourg aux termes d’un procès verbal de surenchère dressé par Me Lex alors notaire en cette ville et son collègue le 14 août 1824 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 septembre 1824 volume 171 numéro 20 (pour le prix de 15.000 francs). Le sieur Müller était devenu propriétaire du même immeuble 1° en vertu de contrat d’acquisition passé devant Me Bossenius alors notaire à Strasbourg le 3 septembre 1812 par lequel il en a acquis un tiers conjointement avec Marguerite Barbe Geyler son épouse défunte du sieur Philippe Jacques Zabern tailleur et Dorothée Elisabeth Geyler conjoints demeurant à Strasbourg, 2° en vertu du testament olographe de son épouse défunte d’autre part dénommée en date du 26 août 1820, enregistré à Strasbourg le 22 janvier 1821 f° 140, déposé e l’étude de M° Stoeber l’aîné alors notaire à Strasbourg le 23 janvier 1821. Par ce testament la dame Müller a institué le sieur requérant son mari pour héritier universel. Ladite dame Müller était déjà propriétaire d’un tiers dudit immeuble pour lui être échu de la succession du sieur Etienne Geyler son père vivant tonnelier en cette ville, quant à l’autre tiers il lui a été légué par son frère le sieur Jacques Geyler vivant tonnelier audit Strasbourg suivant testament aux minutes de Me Stoeber sudit aux termes d’acte de dépôt par lui dressé le 4 novembre 1817 et suivant cette ville reçu par le même notaire le 18 floréal an XIII

Marguerite Salomé Gross meurt en 1851 en délaissant deux enfants
1851 (25.8.), Me Grimmer
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Grosz décédée épouse de Jacques Bentz, Md de farine à Strasbourg le 26 février 1851 et de la communauté de biens qui a existé entre la défunte et son mari – dressé à la requête du veuf agissant 1° comme commun en biens 2° comme usufruitier de la moitié des biens de son épouse défunte en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 13 juillet 1836, 3° et comme père et tuteur de Julie Emilie et Caroline Salomé Bentz ses enfants issus dudit mariage
Communauté, mobilier estimé 1683, argent comptant 200, créances 679, garde robe 98
Reprises du veuf 3359, Reprises de la défunts 1400
acp 402 (3 Q 30 117) f° 88 du 25.8. (succession déclarée le 15 août 1851)

Jacques Bentz et Salomé Gross vendent par adjudication la maison 21 600 francs au maître boulanger Michel Bertsch

1848, Me Grimmer
6 octobre – Cahier des charges à la requête de Jacques Bentz, maître boulanger à Strasbourg et Salomé Gross son épouse en secondes noces, le Sr Bentz agissant à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et Marie Elisabeth Sohn son épouse en premières noces de laquelle communauté dépend l’immeuble susdésigné et comme père et tuteur de Charles Bentz et Gustave Bentz mineurs issus du premières noces, 2) Emile Bentz compagnon boulanger à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue du Jeu-des-Enfants n° 51
acp 375 (3 Q 30 090) f° 83-v du 10.10.
acp 376 (3 Q 30 091) f° 68 – Adjudication définitive, 9 novembre
à Michel Bertsch maître boulanger à Strasbourg moyennant 21.600 francs

Originaire d’Ittenheim, Michel Bertsch épouse en 1849 Catherine Weber, aussi originaire d’Ittenheim. La maison figure parmi ses apports

1849 (1. 9.br), Strasbourg 13 (63), Not. Flach n° 326
Mariage – furent presens M. Michel Bertsch, boulanger demeurant à Strasbourg, fils des feu le Sr Michel Bertsch cultivateur et de De Marie Catherine Lobstein épouse actuelle de M. Jean Rohfritsch, cultivateur à Ittenheim où ils demeurent, futur époux assisté des conjoints Rohfritsch ses mère & beau père, d’une part
Et Mlle Catherine Weber, fille majeure du Sr Michel Weber, cultivateur à Ittenheim, et de De Eve Diemer sa veuve survivante avec laquelle elle demeure à Ittenheim, Future épouse assistée de la dite sa mère

Article trois. Le futur époux déclare apporter en mariage. IV. Enfin une Maison avec boulangerie, droits aisances & dépendances située à Strasbourg rue du jeu des enfants N° 51, tenant d’un côté à la propriété du Sr Boehm tailleur d’habits, de l’autre à celle du Sr Metzinger, Marchand de visn & donnant par Derriere Grimmer & Staebler, Acquise par le futur époux des conjoints et héritiers Bentz de Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par Me Grimmer Notaire à Strasbourg le 9 novembre 1848.
acp 388 (3 Q 30 103) f° 58-v – Les apports du futur époux consistent en valeurs mobilieres d’une somme de 16.350 francs, 2° En une maison située à Strasbourg rue du jeu des enfants n° 51 sur laquelle il doit encore une somme de 23.600 francs
La mète du futur lui fait donation d’une rente annuelle de 100 francs payable au 25 décembre jusqu’au jour du partage de ses biens entre ses enfants, capital au denier dix 1000
La femme apporte le lot en immeuble qui lui est échu dans la liquidation reçue Roudolphi le 23 décembre 1844 et une somme fe 1029 francs que sa mère doit lui payer en vertu du dit acte
La mère de la future lui fait donation en avancement d’hoirie 1° d’une somme de 1000 francs, 2° de denrées pour 1450 francs, 3° d’un trousseau d’une valeur de 1500 francs
2° de 20 ares de terre ban d’Ittenheim canton auf der Landstrass beim Strassbaeumel estimés à un revenu annuel de 30 francs
Le futur fait don à la future d’un don matutinal d’une somme de 1000 francs
Les futurs époux se font donation réciproque, le prémourant au profit du survivant, de l’usufruit de tous les biens meubles et immeubles qui composent sa succession.

Catherine Weber meurt en 1851 en délaissant une fille

1851 (1.12.), Me Flach
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Bertsch, boulanger à Strasbourg, et Catherine Weber son épouse à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée à Offenheim le 18 novembre dernier, demeurant à Strasbourg à la requête du veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Flach le premier novembre 1849 et comme donataire en usufruit de la moitié des biens délaissés par son épouse défunte et encore comme père et tuteur de Caroline Bertsch son enfant mineur issu dudit mariage

acp 405 (3 Q 30 120) f° 33-v du 4.12. (succession déclarée le 30 mai 1852)
Communauté, mobilier estimé 2429, argent comptant 100, créances et fermages échus 230
Description du contrat de mariage
acp 405 (3 Q 30 120) 65-v du 18.12. (vacation du 17.12.) Description des titres et papiers
Passif de la communauté 38.795, remplois dus par la communauté 21.329, remplois dus à la communauté par le veuf 7640
Succession, valeurs mobilières 4979, don matutinal 1000, garde robe 538
Immeubles, 1) 1 ha 9 a 75 terres à Ittenheim en 7 parcelles, 2) 63 ares 85 terre et verger à Handschuhheim en 3 parcelles, 3) 7 ares de prén 19 ares 23 verger à Osthoffen, 5) 10 ares de pré à Achenheim, 6) 1 ha de forêt à Ballbronn
Passif 172

Michel Bertsch se remarie en 1863 avec Marguerite Haber originaire de Griesbach

1863 (26.11.), Me Grimmer
Contrat de mariage – Michel Bertsch, propriétaire veuf avec un enfant de Catherine Weber
Marguerite Haber, célibataire à Strasbourg
Stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1° mobilier estimé 2429, une maison rue du jeu des enfant n° 25
Les apports de la future consistent 1° mobilier 376, argent comptant 8000, 2° 13 ares 33 ban de Neuwiller, 11 ares 45 terre ban de Griesbach
Donation par le futur à la future de l’usufruit de tout de dont la loi lui permet de disposer et par la future épouse au futur de toute propriété de sa succession réduite à l’usufruit de moitié en cas d’existence d’enfants
acp 527 (3 Q 30 242) f° 65-v du 28.11.

Mariage, Strasbourg (n° 589)
Du premier décembre 1863, Acte de mariage de Michel Bertsch majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 janvier 1826 à Ittenheim (Bas-Rhin), domicilié à Strasbourg, Propriétaire, veuf de Catherine Weber décédée le Ittenheim le 17 novembre 1851 fils de feui Michel Bertsch, cultivateur, décédé à Ittenheim le 14 mai 1827 et de feue Marie Catherine Lobstein décédée épouse en secondes noces de Jean Rohfritsch à Ittenheim le 26 juin 1856, et de Marguerite Haber, majeure d’ans, née en légitime mariage le 7 août 1828 à Griesbach canton de Bouxwiller (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu Jacques Hubert, journalier décédé à Griesbach le 5 avril 1858 et de feu Marguerite Mehl décédée à Griesbach le 2 mars 1860 (…) qu’il a été passé le 26 novembre dernier un contrat de mariage devant Me Georges Louis Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg (signé) M. Bertsch, M. Haber (i 33)

La maison reviendra ensuite par héritage à Caroline Bertsch qui épouse en 1874 Georges Eugène Klein, graveur à Paris

1874 (19.8.), Me Flach
Ehevertrag – Georg Eugen Klein, Gravirer zu Paris
Caroline Bertsch, volljährig zu Straßburg
Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C. C., Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Der Bräutigam bringt in die Ehe 1) 1500 fr. Italienische Renten, 2) 7 Obligationen des frantzösischen Grund Credits
die Braut bringt in die Ehe 20.000 fr. Schuldschein, 2) 20 Ar Reben, Bann von Handschuhheim im Romlacker, 3) 10 Ar Wiese Bann Achenheim im Niederbann*, 4) ½ von 22 Ar 43 Reben bann von Osthoffen, 5) 8 Ar 21 Reben nehmlicher Bann, 6) 1/6 von 1 ha Wald bann von Ballbronn
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutzniesung des ganzen Nachlasses
acp 631 (3 Q 30 346) f° 4-v du 21.8.

Mariage, Strasbourg (n° 570)
Den 2. September 1875, Heiraths-Urkunde von Georg Friedrich Eugen Klein, geboren zu Neuilly (Frankreich) den 17. October 1852, Graveur wohnhaft in Paris (Frankreich) ehelicher Sohn von weiland Jacob Klein, Rentner zu Alt-Eckendorf (Unter-Elsaß) gestorben den 2. Mai 1862 und von weiland Catharina Grosz zu Paris gesorben den 14. Mai (-) Jahres, und von Caroline Bertsch geboren zu Strassburg den 13. September 1850 ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, volljährige eheliche Tochter von Michael Bertsch, Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend und von weiland Catharina Weber zu Ittenheim (Unter-Elsass) gestorben den 17. November 1851. (…) dass den 19. August dieses Jahrs vor Herrn Flach Notar zu Straßburg wohnhaft ein Ehevertrag geschlossen worden ist [unterzeichnet] Klein, Bertsch (i 5)



9, impasse de l’Enfer


Impasse de l’Enfer n° 9 – X 126 (Blondel), O 973

Démolie en 1863 pour agrandir la manufacture des tabacs


Ilot délimité par la rue de la Krutenau (en bas), la rue des Filets (à gauche) et la rue des Poules (à droite). La ruelle de l’enfer se termine à l’extrémité inférieure droite du premier grand jardin à l’arrière des maisons – Plan-relief de 1727 (© Musée historique)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 227, cour L (© Musée des Plans-relief) 1

La petite maison sans jardin est la dernière sur la gauche de la ruelle de l’Enfer. Elle appartient à de petits artisans (le peignier Jean Krach, 1635-1661), des portefaix (Daniel Hœchstetter) et à des manants comme le mousquetaire Jean Gilg (1668-1681) ou l’apprêteur de tabac Jean Jacques Schlagdenhauffen (1705-1726). D’autres propriétaires en font une maison de rapport comme le boulanger Léonard Maurer (1690-1703) ou les bateliers Eckert (1726-1779). La maison à un étage (1768) a une valeur vénale d’environ 150 livres au XVIII° siècle. L’ouvrier maçon et manant Philippe Jacques Horst l’acquiert en 1779 et la transmet à sa fille, femme du maçon Pierre Walch.

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en bois, ce que contredisent les élévations préparatoires au plan-relief de 1830. L’impasse de l’Enfer à laquelle donne accès un passage sous une maison rue de la Krutenau y forme la cour L. La maison Walch, à gauche du repère (3), comprend trois fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, un étage à trois fenêtres, une toiture à deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 100 de la rue de la Krutenau (1784-1857) puis le n° 9 de l’impasse de l’Enfer.

Elle appartient à divers propriétaires dont les seuls à habiter sur place sont Pierre Walch et Madeleine Heidel qui accorde un droit d’habitation à ses parents. La maison est expropriée et démolie en 1863 pour agrandir la manufacture des tabacs.

mai 2019

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1614 à 1863. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Abraham Denderlé, tailleur, et (1630) Anne Marie Schemmerich – luthériens
1635 v Jean Krach, peignier, et (1634) Catherine Heintz, auparavant femme (1615) du peignier Guillaume Melchior Grimm – luthériens
1661 v Jean Lacher, portefaix, et (1633) Susanne Hollinger, auparavant femme (1619) du portefaix Jean Hochstetter – luthériens
1660* h Daniel Hœchstetter, portefaix, et (1651) Anne Marie Dietsch – luthériens
1668 v Jean Gilg, de Bischwiller, mousquetaire
1681 v Jacques Graff, boulanger, et (1646) Susanne Kittel, auparavant femme (1625) du boulanger André Schneider, puis (1665) Anne Chrétienne Bast – luthériens
1690* h Léonard Maurer, boulanger, et (1680) Anne Bauer puis (1704) Marie Salomé Groberger – luthériens
1703 v Jean Jacques Buchs, boisselier, et (1678) Anne Marie Fürnkorn – luthériens
1705 v Jean Jacques Schlagdenhauffen, apprêteur de tabac, manant, et Marguerite Bassel
1726 v Jean Jacques Eckert, batelier, et (1708) Anne Marguerite Stœrckel, (1728) Marie Cléophée Kuntz puis (1748) Marie Madeleine Kutz veuve de Bernard Bender, sergent municipal – catholiques
1765* h Jean Georges Eckert, batelier, et (1744) Marie Thérèse Waag puis (1754) Marie Barbe Burger veuve du batelier Michel Sarger – catholiques
1771 h Georges Antoine Eckert, batelier, et (1770) Marie Eve Huck – catholiques
1779 v Philippe Jacques Harst, compagnon maçon, manant, et (1768) Marguerite Schneider – luthériens
1810* h Pierre Walch, maçon, et (1808) Marie Marguerite Harst
1818 v Jean Daniel Kœnig, batelier, et (1809) Marguerite Madeleine Frantz
1826 v Joseph Reiner, maçon, et (1802) Marie Elisabeth Morgenthaler, puis (1822) Marie Thérèse Hœrter, veuve du portier François Doré
1828 v Georges Michel Friederich, ouvrier maçon, et (1827) Marie Anne Walter
1830 v Elisabeth Druckwarth auparavant (v. 1797) femme du batelier Jean Vitzikam
1830 v Marie Madeleine Heidel, fille du cordonnier Jean Michel Heidel et de Catherine Geissmann
1836 v Jules (Auguste Jules Adrien) Pozzo, cordonnier, et (1835) Marie Anne Hertly
1845 v Léon Netter, docteur en médecine, et (1854) Mathilde Seligmann
1863 v Manufacture des tabacs

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 137 livres en 1737, 87 livres en 1748, 200 livres en 1760

(1765, Liste Blondel) X 126, Jean Jacques Eckert
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61), Dans un Cul de sac
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 973, Botzem, Jules, rue du Coin brûlé 12 – maison, sol – 0,24 are

Description de la maison

  • 1748 (billet d’estimation traduit) La petite maison comprend un poêle, des chambres, et cuisine, elle est estimée à 175 florins
  • 1768 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et deux chambres, le comble est couvert de tuiles plates, il y a aussi [un puits], le tout estimé à la somme de 400 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de l’Enfer

nouveau N° / ancien N° : 33 / 110
Walch
Rez de chaussée et 3 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 300 case 2

Botzem, Jules, coin brulé N° 12
Netter Léon, docteur en médecine à Hochfelden (5, susbst. 1846)

O 973, maison, sol, Krutenau 112
Contenance : 0,24
Revenu total : 25,12 (25 et 0,12)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6 / 5
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f°1100 case 2

Netter Léon docteur en médecine à Hochfelden, rue du vieux marché aux vins 2

O 973, maison, sol, Impasse de l’enfer 9
Contenance : 0,24
Revenu total : 25,12 (25 et 0,12)
Folio de provenance : (300) Démolie en 1863
Folio de destination : 1073 2° case
Année d’entrée :
Année de sortie : 1864
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f°1073 case 2

Netter Léon docteur en médecine à Hochfelden, rue du vieux marché aux vins 2

O 973, sol, Impasse de l’enfer 9
Contenance : 0,24
Folio de provenance : 1100
Folio de destination :
Année d’entrée : 1864
Année de sortie :
für 1876 als steurpflichtig eingschätzt

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, Rue Crutenau, Höllgässel et rue de la poule

110
Pr. Hasch Jacques, maçon – Manant

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

(maison non répertoriée)


Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1630 au tailleur Abraham Denderlé. Fils de tisserand, il épouse en 1630 Anne Marie Schemmerich, fille de boucher

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 89)
1630. Abraham Denderle der Schneid. Abraham Denderle des Leinenwebers vnd burgers alhie hinderlaßener Sohn, Und J. Anna, Sebastian Schimmerich des Metzigers vnd Burgers alhie hinderlaßene Tochter. Eingesegner Montag den 21. Junÿ (i 95)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 8, n° 23) 1630 Dnicis 2 & 3 p. Trinitatis, 6 et 13 Junÿ. Abraham Denterlin ein Schneider, Abraham Denterlins gewesenen Leinenwebers v. burgers alhie Sohn, Est unus ex gemellis dessen Bruder, J. Anna Maria, Bastian Schämingers gewesenen metzgers v. Burgers alhie Tochter. S. Thoma. Sponsi Vogt, Hans Waldtbawer ein Langer mann s. handwercks, ietze aber ein wurtzstosser, vnsers ietzig Lehrmeisters Stieffgroßvatter, sponsæ vogts Ludwig Eisenhutt notarius, die*e die braut bey Christoph (i 247)

Abraham Denderlé et Anne Marie Schemmerich vendent la maison 60 livres au peignier Jean Krach et à sa femme Catherine Heintz

1635 (30. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 70-v
Wir ut spâ [Clauß Ludwig Wormbser der Meister &] erschienen ist vnser Burger Abraham Denterlin der Schneider vnd Anna Schemmerichin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
auch vnserm Burger Hanß Krachen dem Streelmacher, vnd Catharinæ Heintzin dßen Ehefrawen
hauß vnd hoffstat, mit allen anderen ihren gebäwen & gelegen in vnserer Vorstatt Straßburg die Krautenaw genannt, im Höllgäßlin, einseit neben Josia Glaser der Cron Schweden Rhat Anderseit neben den Käuffer, selbsten hinden auf hanß Winckler den Weißbecken stoßend – umb 60 Pfund pfenning
Darbeÿ ist auch erschienen obgedachten Glasers diener hanß Heinrich Kapß, Zeigte an, daß Er Glaser Zwar An ietzo den Vorkauff, so Er auf dise hauß hetze, nit begere, wolte aber ihme, da diß hauß wider verkaufft würden denselben nach Vorkauffs recht vorbehalten haben

Originaire de « Fürhausen » dans le diocèse de Salzbourg, Jean Krach épouse en 1634 Catherine, veuve du peignier Guillaume Melchior Grimm : contrat de mariage, célébration
1634 (22. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 718
(Protocollat. fol. 211. fac. 2. – Eheberedung) Erschienen Hanß Krach, Streelmacher Von Vierhausen ins Bistumb Saltzburg gehörig, Alß hochzeiter mit beÿstand hanß Caspar Decken, Paßmentirers burgers alhie, An Einem,
So dann Catharina weÿ: Wilhelm Melchior Grimen deß Streelmachers s: alhie witib Alß hochzeiterin mit beÿstand hanß Rings gewandts deß Bürstenbinders ihres Vogts vnd hanß Wimprechts Streelmachers ihres Stieffbrudern Am And. theil ferner und zum 2. hat Sie demselben Zum Wÿdemb 300. fl. a 15. bz. auf ihrem hauß alhie in Crautenaw vnd höllgäßlin gelegen verordnet

Mariage, Saint-Guillaume (luth. 63)
1634. Dominic. 25. & 1. Adventus. Hannß Krach der Strählmach. alhie, Christian Krach des Gartenmanns Zu Fürhauß nahe bei Saltzburg Sohn vnd Katharine weÿl. Wilhelm Melchior Krimmen des Strählmachers alhie nachgel. Witwe. Cop. 1. Decemb. ( 276)

Jean Krach devient bourgeois quelques jours après son mariage
1634, 4° Livre de bourgeoisie, p. 145
Hanß Kracher d Strehlmacher von Vichenhaußen Saltzburgischen Bistumb Empfangt d. Burg. recht von seiner haußfrawen Catharina weÿl. Wilhelm Grimmen deß geweßenen Strehlmachers hind.laßener wittib will Zum Spiegel Zünfftig sein den 11 xbris 1634.

Fils de peignier, Guillaume Melchior Grimm épouse en 1615 Catherine Heintz. Le pasteur note que le batelier Michel Baur a objecté après la première proclamation que le fiancé avair promis le mariage à sa fille. Il fait la deuxième proclamation après que le fiancé lui a remis un certificat de la chambre matrimoniale.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 31-v, n° 30)
1615. II. Eodem die [Dominica XII Trinit. 27. Augusti]. Wilhelm Melchior Grimm derStrehlmacher, Linhart Grimmen des Strelmachers Sohn, J. Catharina, Lorentz Heitzen des blettermachers tochter. Nach dem diße bede personen Zum Erstenmal ausgeruffen hatt bawren Michel der Schifman einen Einspruch gethan wegen seiner tochter deren dieser Wilhelm auch wie er anzeigt die Ehe sol verheissen haben, bracht auch ettliche sachen die er Ir auff die Ehe solt gegeben haben, darauf Ich Ihn Wilhelm beschickt, Inn solchsaugs Zeigt, vnd In fürs Ehegericht gewißen auch die ander außruffung Eingestelt hab biß auf des Eherichters außspruch, darauff bracht Er mir ein Vhrkunt vom Eherichter das er von der aspracht Erledigt, Ist also Zum andern mal ausgeruffen, Vnd Eingesegnet worden auf zinstag den 17 Octobr. hora 10. (i 34)

Unique héritière de son frère, Madeleine Grimm femme du tisserand Léonard Engel cède à la veuve les biens dont elle a la jouissance viagère
1634 (13. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 359-v
Erschienen Catharina Heintzin weÿ: Wilhelm Melchior Grimmen deß Streelmachers und burgers see: Zu St. witib mit beÿstand hanß Ringsgewandts deß Bürstenbinders ihres Vogts An einem, so dann sein Grimmen see: nachgelaßene Schwester vndt eintzige Erbin Magdalena Grimmin weÿ: Leonhard Engels deß Leinenwebers s. wittib, mit beÿstand hanß Brombachs deß webers ihres Vogts, Am 2. teil,
Zeigtan An, demnach sie Catharina Alle und Jede ihrs haußwürths see: verlaßene haab und güeter die sich dem Anschlag nach vnd vber abzug der Schulden Auß dem Erb, vermög deß durch H Notm. Caspar Medler den 21. Aprilis nechsthin vfgerichteten Inventarÿ fol. 33 zusammen beloffen, 206. lb 17. ß 6 d nach außweißung deßelben vfgerichteten Letsten willens ad dies vitæ wÿdembs weiß zunüessen, vnd aber ihr Magdalena der Wÿdembs nüeßerin todt zuerwarten unthunlich fallen wollen, alß heten sie beede parten sich in beÿsein herrn Johann Philipp Schatzen Alten grossen Rhats verwanthen, vnd herrn Friderich Reinthalers kleinen Rhats Verwanthen so auch zugegen, alß von ihnen hierzu insonderheit erbetenen vnderhändler mit einander eines Außkauffs güetlichen dahien verglichen, daß sie die Wÿdembs nüesserin, ihre der Erbin hiemit für alle ihre Erbs gerechtigkeit vnd dahero rürender zu: vnd Ansprachen cedirt abgetretten vnd eingearumbt den für theilbar fol: 28. inventirten dritentheil An dem hauß in Crautenaw am hellfegergäßlin gelegen, So dan den auch fol. 29. für theilbar gesetzten dritentheil am hauß auch in Crautenaw gegen dem Schlüssel über gelegen, daran zuuor der Zweitetheil ihro Erbin zustendig (…) hingegen ihro usufructuariæ alle vbrige ihres haußwürths haab und güeterer (…) thun und laßen

Jean Krach hypothèque la maison au profit du boulanger Louis Lump

1637 (ut supra [23. Jan:]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 68
Erschienen Hannß Krach der Streelmacher alhie
hatt in gegensein Ludwig Lumpen deß Schwartzbecken auch burgers Zu Str. – schuldig seÿe 50. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen ihren gebäwen & in dem Höllgäßlin neben H Josiæ Glaser & Mathiß Knodelß deß schreiners s: wittib, hinden vff hanß Winckler den Weißbecken stoßend So Zuuor verhafftet umb 50. lb N. N. dem handelßmann alhie

Jean Krach a insulté Georges Frœsser, un autre peignier, sans consentir à régler l’affaire à l’amiable mais en évoquant d’anciennes affaires qui remontent à six ans. Les Quinze décident d’infliger au contrevenant une amende qu’il devra régler dans les huit jours
1642, Protocole des Quinze (2 R 65)
(f° 261-v) Sambst. den 1. 8.bris – Hanß Krach Ca. H. Friderich Rheinthaler
Hanß Krach der Strehlmacher Per Eggen Ca. H. Friedrich Rheinthalers prod. Supplication bitt Inhalts, Bullian, Copias vnd Zeit 14. tag erh.

(f° 290) Sambst. den 29. 8.bris – Strehlmacher Ca. Krachen
Strehlmacher Per Bullian Ca Hanß Krachen produciren Gegenbericht, M Eggen Copeÿ vnndt 14. tag erh.

(f° 301-v) Sambst. den 12. 9.bris – Hanß Krach Ca. Strehlmacher
Hanß Krach Per Eggen Ca. Strehlmacher, producirt Nachbericht p. Bullian nôe Citat. Copias Vnd Zeit 14. tag erh.

(f° 327) Sambst. den 3. 10.bris – Hanß Krach Ca. Strehlmacher
Hanß Krach Per Eggen Ca. Strehlmacher, bitt Conclusionem Causæ, Bullian producirt, Schluß schrifft, Ille besichtigung vndt proximam erh.

(f° 332-v) Sambst. den 10. 10.bris – Hanß Krach Ca. Strehlmacher
Hanß Krach Per E. Ca. Strehlmacher, sagt wid. gegenth. Jüngste Schlußschrifft gneralia vnndt concludirt, Bullian quoq. Erkandt Ist die Sach für beschloßen angenohmen, bedencken solche, Vorige Herren v. H. Reißeiß.

(f° 359) Mont. den 2.ten Januarÿ. – Hanß Krach Ca. Strehlmacher
H. Stör, H. Reiseisen vnndt H. Kips laßen per me referiren, daß Sie die Acta In beschloßener Sach Hanß Krachen deß Strehlmachers Contra die Meisterschafft ermelten handtwerckhs höhren v.leßen, befunden daß Krach unlengsten von Georg Frößern seinem mitmeister (s.v.) Ein Schelm gescholten word. dahero dann die Meisterschafft Ihne Krach. für unredlich gehalten, bevor ab weil Er die sach nit * beÿ geschenckt handtwercken Herkommens, vor dem handtwerckh vnd beÿ offener Laden außtragen laßen will, sondern Frößern beÿ E. E. Sübnergericht v.klagt, allwo Er auch umb 30. ß gestrafft word. Wann aber Mhh. bekandt, daß Ein gescholtener Meister oder gesell vf geschenckten handwerckern, sich nothwendig vor dem handwerckh v. der Laden widerumb redlich machen laßen muß, Krach auch hierzu nit allein von seinen mit meistern sondern auch von den verordneten Obern Handwerckhs herren trewlich ermahnt worden, Er aber trotziglich sich nit accomodiren wollen, auch in seinem Schrifften Mghh. mit unnöttiger weitlauffigkeit v. Sach. die bereits vor 6. vndt mehr Jahren beÿ dem handwerckh Verglich. gehälliget, als vermeinen die Herren Deputirten, es solte In den Sachen nachfolgend bescheidt ertheilt vndt gegeben w.den.
In Sachen hanß Krachen deß Strehlmachers vnd burgers allhier, Implorant eins, Entgegen vnd wider die Meisterschafft besagten Handwercks, Antworttend andern theils, Ist nach anhörung bederseits einkommenen handlung, vnndt darauf beschehener submission Erkandt, daß die In actis benahmste Zwischen Imploranten vnd Georg Frößern seinem mit meister ohnlängst Vorgeloffene Injurihändel, widerumn für E. E. Handwercks Gericht hiemit gewießen sein, Vnd alda In beÿsein der verordneten Obern Handwercks Herren beÿ offener Laden, nach handwercks brauch vnd gewohnheit auß getragen Vndt verglichen, Von Implorirendem Krachen aber wegen der, wider trewlich beschehenes verwarnen Vorsetzlich verursachten bemühung, vnd ohnen nöttig eingeführter weitläuffigkeit, 3. lb d Zu wohlverdienten Straff neben refundir: vnd wid. erstattung der von Antwortten der Meisterschafft in dießer Sach außgelegten Cösten, In Zeit 8 tagen ohnfehlbar erlegt v. abgerichtet werden sollen, Deputirte herren gehört bekennen sich Zur relation. Erkandt, Würdt der Bedacht durchaus placidirt.
(Straff 3. lb Erlegt v. per XV. Knecht vf d. d.th. gelüffert d. 18. feb. 1643.. Publ. d. 7. dito)

(f° 363) Freÿt. den 7. Januarÿ – Strehlmacher Ca Krachen
Strehlmacher per Eggen Ca. Handelsmann Krachen bitten publication bescheidts, Bull. will anhören & Ward ex fol. 359. publicirt

Les Quinze concluent dans l’affaire qui oppose Jean Krach et le corps des peigniers que Jean Krach sera exclu du corps de métier pendant quinze jours à cause de son mauvais comportement et sa désobéissance
1660, Protocole des Quinze (2 R 78)
(f° 11) Sambst. den 21.ten Jan: – Hans Krach Ca. Rheinthalern
Hans Krach per Reichßnern Contra Hanß Friderich Rheinthalern et cons. prod. Supplicat. Wildt pro Citat. copias vndt Zeit d. ordnung gehalten

(f° 21) Sambst. den 4. Febr. – Strehlmacher Ca. Krachen
Strehlmacher Per Wild. Contra Hanß Ca. Hanß Krachen sagen Wid. gegth. Jüngste suppl. gen: prod: dargegen 4. Extractus auß d. Spiegler Zunfftgerichs Protocoll vnd referirt sich vff H. XV. Erhard. vnd H. Franckenberg.

(f° 23-v) Mont. den 10. Februarÿ – Krach Ca. Strehlmacher
H. Erhard vnd H. Franckenberg. Laßen per H. Frantzen referiren, daß Sie vf Erkannuß supra fol. 21. Hanß Krachen Sach wid. die Strehlmacher examinirt, aber befunden daß solche beÿ dem handwerckh in beÿsein d. Obern Handwercks herren Zu geringen außgemacht vnd weilen sein Krachen bößheit, ungehorsamb vnd Wider setzlicheskeit Zu genügen bekandt, Er auch schon hiebevor, wie in Mghh Memorial de A° 1643 fol. 185. vnd der Bedachtsextern n° 27 fol : 45. Zuersehen, schlime händel angestellet, alß vernemmen Deputirte Herren, es solte Ihme für dißmahl volgende Vrtel ertheil wd.
Erkandnus. Unsere Herren die Fünffzehen haben vf Hanß Krachen deß Strehlmachers allhier, wider E E Meisterschafft besagten Handwercks übergebene Unterthänige Supplication, vnd erwehnter Meisterschafft dargegen producirte Underschiedliche Extractus auß deren, handwercks Protocoll auch ervolgten submission Erkand, Wann Supplicant Zeit 14. Tagen, Welche Ihme hiemit dazu angesagt worden, dem Handwerck nit pariren, vnd daßelben In nachst verwichenem Jahr in gegenwartt d. Obern Handwercks herren allemahl abgefaßten und ihme ertheilten Bescheiden nachsetzen würd, Er alß dann mit Widerhohlung alles deß Jenigen was Er hiebevor peccirt, vnd mißhandel E E. Rath zu fernerer abstraffung geschrieben gegeben, daß handwerckh auch biß zu obangedeütter völliger parition, mit Wid. anfgethan w. solle. stellend. Erkand würd d. herren bedencken gefolgt.

Jean Krach hypothèque la maison au profit de Jean Stahl

1659 (10. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 717
Erschienen hannß Krach der Strählmacher mit beÿstand hannß Henrich Zielhardts deß Leinenwebers
in gegensein Hannß Stahlen burgers alhie – schuldig seÿen 25. lib
Unterpfand sein soll Eine behaußung mit allen deren begriffen recht. und Zugehördten gelegen im häll Gäßlein in d. Krautenaw, einseit neben dem Schuldnern selbsten anderseit neben Nicolao Hämerlin, hinden uff hannß Wincklers deß Weißbeckh. seel. wittib stoßend gelegen, so freÿ ledig und eÿgen seÿe

Jean Stahl qui vient d’acquérir quelques jours plus tôt la maison de la masse appartenant au peignier Jean Krach, banni de la Ville, la revend 35 livres à Susanne, veuve du portefaix Jean Lacher

1661 (21. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 610-v
Erschienen Hannß Stähle der Tagner, Burg. alhie
in gegensein Susannæ, weÿl. hannß Lachers deß Faß Ziehers und burgers alhie nunmehr seel. hinderlaßener wittibin, mit beÿstand Jacob Kauten deß Krempen
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten in der Vorstatt Krautenaw beÿ der herberg Zum Engel, einseit neben Jacob Bruckhern dem leinenwebern anderseit neben H. Nicolao Hämmerlin hind. vffs Allmend stoßend geleg. für freÿ ledig und eig., welche Behaußung vermög EE. Kleinen Rhats memorialis vom 9. und 17. hus. Jüngsthien auß hannß Krach. deß relegirten Strählmachers Substantz Ihme hannß Stähle Zugeeignet word. – umb 35 Pfund pfenning

Le portefaix Jean Lacher épouse en 1633 Susanne, veuve du portefaix Jean Hochstetter
Proclamation, cathédrale (luth. p. 327)
1633. Dom. XVI. Hans Lacher der vaßzieher vnd Susanna hans höchstetter deß vaßziehers e. wittwe. Eingesegnet Zu S Claus Zinstag 15. 8.bris (i 168 – pas d’acte à St Nicolas)

Originaire de Grossaitingen près d’Augsbourg, Jean Lacher devient bourgeois en août 1627 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
3° Livre de bourgeoisie (4 R 105), p. 869
Hannß Lacher der Tagner Von Groß Eÿdingen beÿ Augspurg, Erkhaufft d. Burger Recht vmb 20 Goldt gulden will Zur Möhrin Zünfftig werden, den 14. Augusti âo. 1627.

Fille de pasteur, Susanne Hollinger épouse en 1619 Jean von Hœchstett (Hœchstetter)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 21)
1619. den 6. Septembris seind ehelich eingesegnet worden Hannß von Höchstett, der Kieffer, weÿland hanß von Höchstett, des faßziehers vnd Burgers seliger alhier nachgelaßener Sohn, Vnd Jungfraw Susanna, Herrn L. Joh: Jacobi Hollingers, gewesenen Pfarrers seeligen Zu Illkirch nachgelaßenee dochter (i 130)

La maison revient au fils de Catherine Hollinger, le portefaix Daniel Hœchstetter qui épouse en 1651 Anne Marie Dietsch, fille de journalier : contrat de mariage, célébration

1651 (26. febr.), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 162-v
(Eheberedung) Erschienen Daniel Höchstetter der Faß Zieher burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand hannß Georg Wullenwebers deß hoßenmachers und Burgers alhier seines noch ohnentledigten Vogts an einem
So dann Jungfr. Anna Maria weÿl. Jacob Dietschen deß Tagners und Burgers alhie seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand Niclauß Claußen deß Saÿlers auch Burgers alhie Ihres Vogts, am andern theil

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 8)
1651. Eadem dominica [Paschatos] Daniel höchstatter der Faß Ziher, Hannß Hochstatters des Kieffers u. Faß Ziehers hinderlaßener Ehelicher Sohn und Jungfr. Anna Maria Jacob Dietschen des tagners und burgers allhier hinderlaßene eheliche tochter. Clauß + 1662. 29. Ma[-] hinterlaßend 5. Kinder (i 258)

Les quatre plus jeunes enfants de Daniel Hochstetter sont admis à l’orphelinat tandis que l’aîné loge chez sa grand-mère
1662, Conseillers et XXI (1 R 145)
(f° 154) Sambstag d. 30. August: – Daniel Hochstetterß Kinder Vm auffnahm in d. Weÿßenhauß
Weÿl. Daniel Hochstetterß Kinder vogt Hanß Jacob Hochstetter producirte vndge. supplication Bericht d. d. Kind. Fünff daß die großmutter d. Eltester Zu sich nemmen will, dieweylen aber die vbrige vier annoch Jung vnd nicht könen vndergebracht werd. Alß bitt Er Inh wollen sie gegen Ihrer nahrung in d. Weÿßenhauß erkennen.
Erk. Ist an die H. Pfleger gewieß. word.

Le receveur de l’Orphelinat au nom des pupilles Hœchstetter et leurs cohéritiers vendent la maison 42 livres à Jean Gilg, bourgeois de Bischwiller, avec l’autorisation des Conseillers et des Vingt-et-Un

1668 (25. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 450-v
(Prot. fol. 27. fac. 2.) Erschienen H Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß waÿsenhaußes ahn statt Daniels und Mariæ Magdalenæ der höchstetterisch. Geschwisterd. so ins Waÿsenhauß vffgenohmen word. seÿen, Ferners hannß Jacob Höchstetter der Faß Zieher für sich selbsten und alß vogt Susannæ Höchstetterin, So dann Susanna Andres Schneiders deß Würths zum roth. Löwen Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein hannß Jacob Gilg. Burgers Zu Bischweÿler, und Zwar mit obrigkeitlich. am 17. h.us Jüngsthien ertheilter Bewilligung unserer gnädig. Heren Rhät und XXI.
Hauß, Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in Vorstatt Krautenau im hällengäßlin, einseit neben (-) anderseit neben H Niclaus Hämerlin Sibner Gerichts Procuratoris, hind. vffs Allmend stoßend geleg. – umb 42. Pfund

Autorisation consignée dans le registre des Conseillers et des Vingt-et-Un
1668, Conseillers et XXI (1 R 151)
(f° 117) Montags den 17.ten Augusti – Schaffner im Weÿßenhaus. Hans Jacob Höchstetter, Andreas Schneider
Schaffner im Weÿßenhaus für sich et Cons. überreichen Underth. Bitten, wolten gern Ein häußel so im hellen gäßel gelegen, vmb 85 fl. an hanß Jacob Gilgen Von Bischweiler verkauffen, suchen Dispensation. Erk. willfahrt.
Herr XV.er Hauß et H. Reißeißen.

Mousquetaire dans la compagnie du capitaine Ziegler, Jean Jacques Gilg hypothèque la maison au profit du boulanger Jacques Graff

1676 (19. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 750
Hannß Jacob Gilg der Mußquetirer under herrn Haubtmann Zieglers Compagnie beÿ hießiger quarnison
in gegensein Jacob Graffen deß Weißbeckhen burgers alhier – schuldig seÿe 25. pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in Vorstatt Krautenau, im höllen gäßlein einseit neben weÿl. herrn Mathis Hellbeckhs genannt Behem geweßenen Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben herrn Niclaus Caroli wohlgedachten Rhats alten beÿsitzern, hinden uff daß Allmend stoßend gelegen

Le manant Jean Jacques Gilg cède la maison en paiement du capital ci-dessus à Anne Chrétienne Graff.

1681 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 309-v
(prot: fol: 33) Erschienen Johann Jacob Gilg Schirms Verwanther alhier
hatt in gegensein Annæ Christinæ Gräffin Wittibin, mit beÿstandt Ulrich Greiners deß Melmanns Ihres Vogts
Eine kleine behausung mit allen deren gebawen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten undt Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenaw im Hellengäßlein, einseit neben der Böhmischen wittibin, anderseit neben weÿl. Niclaus Hemmmerlins geweßenen Sÿbnergerichts Procuratoris nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uffs allmendt stoßend gelegen – umb 56. fl. daran 50. fl. mit denjenigen 50. fl so derselbe Kraft einer sub dato d. 19. Aug: 1676 in der Cancelleÿ Contract stuben uffgerichter Obligation Zu thun, compensirt

Originaire de Kolbsheim, le boulanger Jacques Graff épouse en 1646 Susanne, veuve du boulanger André Schneider, et devient bourgeois trois semaines plus tard
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 30-v) 1646. Dominica XX. Trinitatis. 18. octob. Jacob Graff der Weißbeck von Kolbsheim Jacob Graff deß burgers daselbsten nachg. Sohn, Und Susanna, Andreas Schneiders deß Weißbecken allhier nachg. Wittib. Copulirt 19. octobris JSPeter (i 40)

1646, 4° Livre de bourgeoisie p. 238
Jacob Graff der Weißbeckh Von Kolbsheim empfangt d. burgerrecht von seiner haußfr. Susanna Weÿl. Andreas Schneiders deß Weißbechen vndt burgers alhie seel. Wittib vmb 8 Gold fl. ist ledigen standts geweßen v. würd Zu den Beckhen dienen. Jur den 8. 9.bris 1646.

Fille de boulanger, Susanne Kittel épouse en 1725 le boulanger André Schneider, originaire de Schleusingen en Franconie, qui devient bourgeois quelques mois plus tard
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 121, n° 9)
1625. Dnicis ijsdem. Andres Schneider ein Beck, Hans Schneiders eines Wirths v. Burgers Zu Schleusingen in Franckenlandt Sohn, 14. Febr: hora confirmaô facta ptt M pfleg*, J. Susanna, Görge Kittels des Schwartzbecken v. burgers alhie Tochter Aderat sponsæ pater & tutor Michel * Maurer der Hochzeiterin mutter Bruder d. 14. Febr: (i 332)

1625, 4° Livre de bourgeoisie p. 76
Andreas Schneid. Von Schlesing In turing. geburth d. Beckh empfangt d. Burg. recht Von Susanna Jörg Kintelß deß Schwartzbeck. tochter vnd will beÿ d. Beckh. dienen 30. Martÿ 1625.

Jacques Graff se remarie en 1665 avec Anne Chrétienne Bast, fille d’un charpentier de Sarrebruck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 57)
1665. Eâdem [Dn. 1. Epiphan. 8. Jan.] Jacob Graff der Weißbeck vnd burger allhie, J. Anna Christina, Weiland Johann Basten, Zimmermann v. Burger Zu Sarbrücken hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt Donnerst. 19. Jan zu St Thoman (i 61)

Les Quinze accordent le droit de vannage aux boulangers Jacques Graff et Jean Louis Schneider
1654, Protocole des Quinze (2 R 72)
(f° 236-v) Sambstag den 18. 9.bris – Jacob Graff der Weißbeck, Vnd auch Hans Ludwig Schneid. p. E. bittenn beede umb die ihnen Von d. Lucernen Zunfft conferirte Wannenrecht.
Erkandt, Würdt beeden Willfahrt

La maison revient à Anne Baur, héritière d’Anne Chrétienne Bast veuve de Jacques Graff, qui épouse en 1680 Léonard Maurer

Anne Baur vend la maison 125 livres à Anne Marie Fürnkorn veuve du boisselier Jean Jacques Buchs

1703 (5. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 473-v
(125) Erschienen Anna gebohrne Bauerin, Lienhard Maurers des Jüngeren Weißbecken ehenliche Haußfrau mit beÿstand deßelben
hatt in gegensein Annæ Mariæ, gebohrner Fürkornin, Weÿl. Hanns Jacob Buxen gewesenen Wannenmachers seel. nachgelaßener Wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand Andres Güthels des Schuhmachers Ihrer Kinder Vogts
eine kleine behaußung mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeitenen, allhier in der Vorstatt Krautenau, im Höllen Gäßlein, einseit neben denen Würtzischen Kinderen anderseit neben Andres Widmann, Schneideren, hinten auffs Allmend stoßend gelegen – geschehen umb 125 pfund

Fils de boisselier, Jean Jacques Buchs épouse en 1678 Anne Marie Fürnkorn, fille de cordonnier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 179-v n° 26)
1678. 6. Junÿ copulirt Worden Hanß Jacob Buchß lediger Wannenmacher hans Carlen Buchßen Wannenmachers alhier ehelicher Sohn J. Anna Maria Georg Fürnkorns deß Schuhmachers alhier eheliche tochter (i 181)

Anne Marie Fürnkorn meurt en 1729 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dresé dans sa maison Grand rue près le petit pont de pierre. L’actif de la succession s’élève à 397 livres, le passif à 7 livres.
1729 (24.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 31) n° 948
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Annæ Mariæ Buxin gebohrnen Fürnkornin auch weÿl. Mstr Johann Jacob Buxen gewesten Wannenmachers und burgers allhier nachgelaßener wittib nunmehro seel. verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1729. – nach Ihrem am 3.ten Januarÿ Jüngsthien genommenen tödlichen hiendritt hie Zeitlichen verlaßen (…) so beschehen Straßburg den 24.ten Januarÿ Anno 1729.
Die verstorbene seel. hatt ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie folgt. 1. Frau Annam Mariam weÿl. Marx Aurthè geweßenen Sergenten unter dem Löbl. Regiment roÿal Marine nachgelaßene Wittib und Weÿlen dieselbe frembd und ohnverburgert, als ist beÿ E E Kleinen rath in dero Nahmen unterthänig erbetten und gnädig Deputirt worden S: T: H. Joh: Jacob Spielmann wolhlgedachten E: E: Kleinen Raths jetzmahliger beÿsitzer welcher dem geschäfft in persohn abgewardet. 2. Frau Susannam Elisabetham, Mstr Johann Heinrich Sommer des Schuhmachers und burgers alhier ehel. Hausfrau, mit beÿstand deßelben, 3. Frau Mariam Catharinam Hn Johann Jacob Baumann des fastenspeishändlers und burgers alier Liebe Ehegattin, mit assistentz deßelben und dann 4. Frau Mariam Dorotheam Hn Zachariæ Krafften des fastenspeishändlers und burgers allhier ehem. haußfr. beÿständlich deßelben, so Alle Vier gebohrne Buxin, so die Verstorbene seel. mit eingangs gemelten Ihrem Verstorbenen Mann auch seel. ehelich erziehlt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Stras Ohnfern der Steinernen Brucken gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und deswegen hernacher fol: (-) beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
(f° 6) Eÿgenthum ane einer behausung. Eine behausung bestehend in einem Vorder und hinterhauß, mit allen ihren Gebauen, begriffen, weithen, Zugehörten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier in der Obern Lange Straß beÿ der steinern brucken (…)
Sa. Haußraths 36, Sa. Silbers 1, Sa. Eÿgenthumbbs ane einer behaußung 360, Summa summarum 397 lb – Schulden 7, Conclusio finalis Inventarÿ 390

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la fille aînée non bourgeoise doit régler le droit de détraction.
1729, Livres de la Taille (VII 1176), 256
Möhrin F., N. 4711 – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Fürnkornin auch weÿl. Johann Jacob Buxen gewesenen Wannenmachers und und burgers alhie hinderbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist fol. 16.b – 390 lb 4 ß 4 d, die machen beÿ 800. fl, Verstallte nur hiengegen 1000.
Extat kein Stall geltt
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 12 ß 6 s, Summa 14 lb 1 ß 6 d
Abzug. Fr. Anna Maria Aurthé gebohrne Buxin die ohnverburgerte Tochter soll Von angefallenen 97. lb 11 ß 1 d den Abzug entrichte mit 9 lb 15 ß 2 s
dt. 31. Januarÿ 1729.

Anne Marie Fürnkorn vend la maison 150 livres à l’apprêteur de tabac Jean Jacques Schlagdenhauffen

1705 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 566-v
(150) Anna Maria Buxin wittib geb. fürnkornin mit beÿstand andres Güthels schuemachers ihres vogts
in gegensein Joh: Jacob Schlaginhuffens tabacmachers
eine kleine behaußung mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der vorstatt Krautenau im höllengässlein einseit neben denen Würtzischen KK anderseit neben andres Widmann schneidern hinten aufs allmend stoßend gelegen – umb 150 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente au manant Jean Jacques Schlagdenhauffen
1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
(f° 147) Sambstags den 4.ten Julÿ 1705 – Anna Maria Buchßin pt° hauß Verkauffs.
S. Ersch: Anna Maria weÿl. Jacob Buchßen des geweßenen burgers vndt Wannenmachers allhier nachgelaßene wittib die will ein häuslein in der Krautenaw im hellengäßlein gelegen ahn Johann Jacob Schlagdenhauffen den schreiner Vndt Tabackmacher Vmb 300 fl. Verkauffen bittet Vmb obrigkeitliche erlaubnus.
Erk. wird Zwar mit gebettener Erlaubnus Willfahrt es solle der Kauff Vndt Verkauff quæstionirten häußleins aber in gegenseÿn H. XV.er Rauchen Vndt Hhn Rathh. Wurtzen als Depp. sub Clausulis et Conditionibus assuetis in allhießiher Cancelleÿ Contractstuben Verschreiben werden.

Jean Jacques Schlagdenhauffen hypothèque le même jour la maison au profit des enfants mineurs du batelier Jean Jacques Hetzel

1705 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 567-v
Joh: Jacob Schlaginhuffen tabacmacher
in gegensein Hn Simon Knollen handelsmanns alß vogts Joh: Jacob Hetzel schiffmanns 4 KK, 125 lb zu erkaufung infra versetzten haußes
unterpfand, eine kleine behaußung perge ut immediate supra ibi mit allen usq. ad eÿgen
[in margine :] quittung, Joh: Jacob Schlaginhauffen des debitoris und deßen Ehefrauen Margaretha geb. Bäßlerin, den 11. Martÿ 1723

Jean Jacques Schlagdenhauffen et sa femme Marguerite Bassel vendent la maison au batelier Jean Jacques Eckert et à sa femme Anne Marguerite Stœrckel

1726 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 378
Johann Ludwig Leiß der strumpffstricker als mandatarius Johann Jacob Schlaginhuffen des tabackbereithers und Schirmers wie auch deßen ehefrau Margarethæ geb. Baßelin
in gegensein Johann Jacob Eckert des Schiffmanns und Annæ Margarethæ geb. Störckelin
Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs ahne der vorstatt Krauttenau im höllgäßlein, einseit neben denen Würtzischen Kindtern anderseit neben Andreas widtmann dem Schneider hinten auff das Allmend

Fils de batelier, Jean Jacques Eckert épouse en 1708 Anne Marguerite Stœrckel native de Ribeauvillé : contrat de mariage passé à Ribeauillé et transcrit à l’inventaire après décès, célébration à Strasbourg
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrbahr undt Zuchtigen Jüngling Johann Jacob Eckert, des auch ehrbahr undt bescheidtenen Johann Jacob Eckerts burgers Undt schiffmanns Zue Straßburg ehelichem sohn als hochzeiteren ahn einem, so dann der ehr und tugendsamben Jungfraw Margarethe Stöcklerin weÿl. des ehrbahr undt bescheidtenen Simon Störckels geweßenenen burgers undt seÿlers allhier seel. hinderlaßener ehelicher tochter alß hochzeiterin andern theils (…) auff seithen der Jungfer hochzeiterin Johann Georg Eberhard wißers burgers undt pastetenbeckhen allhier ihres Stieffvatters, Johann undt Michel Störckels ihrer brüedteren – Beschehen Zu Rappoltzweiler im 13. Februarÿ 1708. F. J. Gerber, Stattschreiber mit paraphe

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 249)
Die 16° mensis aprilis anni 1708 (…) copulati sunt Honesti Juvenis Joannes Jacobus Eckert filius Joan: Jacobi Eckert ciuis argti. Et Margaretha Stecklerin oriunda ex Rapswir Defuncti Simonis Stockel Ciuis jbidem relicta filia factis prius de more tum in hanc parochia tum Rappollsvillæ (signé) hanß Jacob Eckert, + signum sponsæ, H E signum Joan. jac. Eckert, pater sponsi (i 126)

Anne Marguerite Stœrckel devient bourgeoise deux mois après son mariage
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Anna Margaretha Stöcklerin V. Rappolßweÿer, empfangt d. burgerrecht V. ihrem Mann Joh: Jacob Eckert p. 2. gold fl. 16 ß Wird Zum Encker dienen. P. d. 9. Junÿ 1708.

Jean Jacques Eckert et Anne Marguerite Stœrckel se lèguent mutuellement la jouissance de leurs biens alors que la femme malade est alitée
1717 (15.4.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 6)
Codicill – persönlich kommen und erschienen Herr Johann Jacob Eckert Schiffmann vnd Anna Margaretha gebohrne Störcklerin beede Eheleuth undt burgere allhier Er der Mann Von Verliehung Göttlicher gnaden gesundt gehendt undt stehenden, Sie die Fraw aber sehr Kranck undt ohnpäßlichen leibs dahero auff einem bett liegendt Jedoch guter richtiger Sinnen vndt Verstandts
2. So verschafft Je eines dem andern wegen biß anhero ehelich erzeigter lieben trew und freundschafft willen den Völligen usumfructum aller Ihrer haab vndt Nahrung (…)
Welches alles zugangen undt beschehen in einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth Staden gelegenen beeden Eheleuth Eÿgenthümblich stendigen behaußung dero Wohnstuben mit den fenstern theils in den hoff theils in ein Cammer außsehendt auff Sambstag den 15. Aprilis 1717 Nachmittags zwischen 12. vndt Ein Uhren

Anne Marguerite Stœrckel meurt en 1728 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison au quai des Bateliers. La maison ruelle de l’Enfer est estimée 137 livres. L’actif de la succession s’élève à 982 livres, le passif à 448 livres.

1728 (12.4.), Not. Rith (6 E 41, 947)
Inventarium über Weÿl. der Viel ehren Vndt tugendsamben frawen Annæ Margarethæ gebohrner Störckelin H. Johann Jacob Eckerts des burgers undt schiffmanns allhier ehelich gewester Haußfrawen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet jn Anno 1728. – nach ihrem vor ungefehr Zweÿen monaten aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitlich. Verlaßen, welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des auch ehrengeachten H. Johann Martin pfundsteins des burgers Maurers und Steinhawers Hierselbsten als geordnet und geschworenen Vogts der Verstorbenen seel. mit ihme dem hinterbliebenen witiber ehelich erzeigter Kindter undt ab intestato nachgelaßener sechs Kinder und erben, nahmens Willhelm, Johann Jacob, Margaretha, Cleova, Maria Helena, hannß Geörg und Salomea Eckertin genant ersucht, jnventirt und beschrieben (…) So beschehen Straßburg den 12.ten monats tag Aprilis 1728.

Copia der Eheberedung (…) Beschehen Zu Rappoltzweiler im 13. Februarÿ 1708. F. J. Gerber, Stattschreiber mit paraphe
Copia Codicilli reciproci – Dienstags den 17. monatstag Februarÿ nach mittag Zwischen fünff undt sechs uhr (…) der Ehrengeachte Herr Johann Jacob Eckert burger undt schiffmann allhier und mit mit ihme frau Anna Margaretha gebohrne Stöcklerin sein eheliche haußfrau (…) zu sich in ihre allhier ahm schiffleüt staden gelegenen wohn behaußung erfordern undt Kommen laßen allwo ich selbige in der wohnstuben unten beÿm eingang ins hauß, deren fenster in den hoff auß sehend undt Zwahr ihnen den ehemann gesunt, gehendt undt stehenden sie die ehefrau aber Kranckh undt schwachen Leibes auff einem bett Ligendt – Geörg Philipp Rith Not.
Bericht gegenwärtig. Inventarÿ. Gleich anfangs dießer Inventation hat der wittiber zwar auf befragen bediten wie daß mit der Verstorbenen fraw seel. Zwahr einige ehepacta auffgerichtet, daß Zugebrachte aber nicht ordtnunsmäßig inventiren laßen hätten (…)
Eigenthumb ane Häußern. Eine Behaußung allhier in der Statt Straßb. ahm schiffleuth staden gelegen (…)
Item ein gar Kleines Haußlein samt all deßen begriffen, weithen, zugehördten, recht und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Krautenaw im höll gäßl. gelegen 1.s. neben Martin Hosch dem nagelschmitt, 2.s. neben H paul flach dem oberschreiber im hospital, hinden auff Joh: Jacob Küffels erben stoßendt, so freÿ ledtig eig. und in Crafft ersterehnter Abschatzung hiehero æst. pro 137 lb 10. Hierüber ist vorhanden ein in allhies. C. Contract stuben gefertigter K: b: mit deßen großerem Secret Insiegel verwahret sub dato d. 30.ten julÿ Anno 1726. besagendt wie ermeltes häußlein von Johann Jacob schaginhauffen dem tabachber. und seiner ehefraw erkaufft wordten mit N° 2 bezeichnet.
Item ein Kleines Häußlein allhier Zu Straßburg ahm schiffleut staden geleg. im schlupff samt allen deßen Zugehördten weithen, recht undt gerechtigkeiten, i.s neben E. E. Zunfft der äncker 2.s neben dem bierhauß Zum Vogelgesang und hinten auff gedachte schiffleuthstuben stoßend so freÿ ledig eigen undt in Crafft mehr begehrter Abschatzung hiehero æstimirt worden pro 125. lb. Darüber vorhanden einen in allhießiger C. Contract stuben gefertigte Contract verschreibung mit deßen größern Secret Insigel verwahrt sub dato den 20. Julÿ 1726. besagendt wie ermeltes häußelin von frau agnes Gebohrner de Billy weÿl. h. Jacques le Grand herrn Dufay hinterlassener witib et Consorten erkaufft worden mit N° 3 notirt. Die ferners hierüber besagede alte Kauffbrieff sagend Zusammen in einem fasciculum gebund. wordten
Summa summarum 982 lb – Summa passivorum 448 lb, restirende nahrung 523 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 533 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 000 florins
1728, Livres de la Taille (VII 1176), f° 206-v
Ancker F. N. 4451 – Weÿl. Fr. Annæ Margarethæ Stöcklerin, Johann Jacob Eckert des Schiffmanns und burgers alhie geweßener Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Rith.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 67 – 533 lb 11 ß 8 d, die machen 1000. fl, Verstallte nur 800. fl. also Zu wenig 200. fl.
War Von der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo à 12. ß macht – 4 lb 16 ß
Und auch auff Sechs Jahr in simplo à 6 ß – 1 lb 16 ß
Extat das Stall geltt pro 1728. – 2 lb 11 ß
Gebott – 3 ß
Abhandlung – 15 ß 6 s, Summa 10 lb 1 ß 6 d
dt. 5. Maÿ 1728.

Jean Jacques Eckert passe un contrat de mariage avec Marie Marguerite Gayneau, fille de sellier. Le mariage ne sera pas célébré
1728 (25.5.), Not. Rith (6 E 41, 947)
Contrat de mariage – sont comparus en personnes Me Jean Jacques Eckert Bourgeois Battelier en Cette dite ville assisté du Sieur André Eckert assesseur au Grand Senat son frere aussy Bourgeois Battelier d’une part
et Damlle Marie Marguerithe Gayneau fille légitime du Sieur François Gayneau bourgeois sellier de cette ville assistée dudit son pere et du sieur Jean Ulrich Cammerer pour a present assesseur au petit senat d’autre part
à Strasbourg Ce 25 Maÿ 1728 (signé) hanß Jacob Eckert, Marie Marguerite gayneau

Jean Jacques Eckert épouse en secondes noces Marie Cléophée Kuntz, fille d’un assesseur au Petit Sénat : contrat de mariage, célébration
1728 (30.6.), Not. Rith (6 E 41, 947)
Eheberedung – Erschienen herr Johann Jacob Eckert der burger und Landschiffmann allhier alß hochzeiter ahne einem mit beÿstandt H. Andreas Eckert E. E. großen Raths dermahligen beÿsitzers seines leibl. bruders, wie auch H. Johann Martin Pfundsteins des burgers und Steinmetzen hierselbst als sein des hochzeiters j.tern ehe erziehlten Kindteren geordneten Vogts
so dann die Viel ehr und tugendsambe Jungfer Maria Cleovea Kuentzin H. Johann Martin Kuntzen E: E: Kleinen Raths dermahligen beÿsitzers mit auch weÿl. frawen Catharina gebohrner Haßin seiner ehelich gewesten haußfrawen seel. ehelich erziehlte Jungfer tochter als hochzeiterin andtern theils
Straßburg den 30.ten Junÿ 1728. [unterzeichnet] hanß Jacob Eckardt, maria Cleophe Cunzin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 3)
Hodie 19 Julÿ Anni 1728 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Eckert viduus Annæ Mariæ Störckel civis et nauta argentinensis commorans in dicta parochia as Stum Laurentium et Maria Cleophea Cuntz filia Joannis Martini Cuntz civis et sartoris argentinensis parochiana nostra (signé) hans Jacob Eckert, maria Cleophe cuntzin (i 5)

Jean Jacques Eckert l’aîné hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du tailleur Sébastien Kuntz

1732 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 516
hannß Jacob Eckard der ältere schiffer
in gegensein seines schwagers Andreas Kuntz als vogts weÿl. Sebastian Kuntz gewesten Schneiders seines bruders seel. hinterlassenen dreÿen Kinder Mariæ Sophiæ, Mariæ Susannæ und Johann Stephan der Kuntzen – schuldig seÿen 45 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Krauttenau im hollfeger: gäßlein einseit neben deren würtzischen Kindern anderseit neben Andreas Wittmann dem Schneider hinten auff das Allmend

Révision de l’inventaire dressé après la mort d’Anne Marguerite Stœrckel
1737 (5.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 358-1) n° 15
Revisio und Ersuchung Über Weÿland Frauen Annä Margarethä Eckertin gebohrner Störcklerin, Herrn Johann Jacob Eckerts des ältern Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Erstern haußfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft.
Nach dem darüber durch H. Notarium Georg Philipp Rith in Anno 1728 aufgerichteten Inventario und dem darauffhin beÿ E: Löbl. Vogteÿgericht am 11.ten Maji ejusdem Anni auffgerichteten uch den 22. Junÿ dicti Anni beÿ E: E: gro&sen Rath confirmirten Kindervertrag.

Marie Cléophée Kuntz fait dresser l’inventaire de ses apports qui se montent à 270 livres
1738 (15.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 358-1) n° 39
Inventarium über der Viel Ehren und Tugendgezierten Frauen Mariä Cleophe Eckertin gebohrner Kuntzin, des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Eckerts, des ältern, Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg ehelicher haußfrauen zu gedachtem Ihrem geliebten Ehegatten sowohl für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte als auch in wehrender Ehe ererbte Vätterl: Nahrung, auffgerichtet Anno 1738. – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 15.ten Martÿ Anno 1738.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen und dem Eheherrn Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 193, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 11, Summa summarum 270 lb

Marie Cléophée Kuntz meurt en 1748 en délaissant pour héritiers testamentaires les enfants issus du premier mariage de son mari. Les experts estiment la maison ruelle de l’Enfer 87 livres. La masse propre au veuf s’élève à 965 livres, celle des héritiers à 171 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 988 livres, le passif à 774 livres

1748 (8.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368) n° 289
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und tugendgezierten Frauen Mariä Cleophe Eckertin, gebohrner Kuntzin, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren auch Wohlweißen herrn Johann Jacob Eckert des ältern, Schiffmanns und E: E: großen Raths allhier zu Straßburg jetzig wohlverdienten beÿsitzers geweßener hertzgeliebter Frau Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anni 1748.- als dieselbe Dienstags den 20.ten Februarÿ dießen lauffenden 1748.sten Jahrs dießes Zeitlichen mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich Verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 8.ten Aprilis Anno 1748.
Die Abgeleibte Frau seelige hat zu Ihren Erben per Testamentum verlaßen wie folgt. 1.mo Herrn Johann Wilhelm Eckert, den Schiffmann und burgern allhier, Welcher abweßend, in deßen Nahmen aber seine Ehefrau Frau Maria Barbara Eckertin gebohrne Leclerc, dem geschäfft persönlich abwartete, 2.do Frau Mariam Cleophe Garnier, gebohrne Eckertin Herrn Johann Sebastian Garnier des Perucquenmachers und burgers allhier Ehegattin welche mit assistentz gedachten Ihres Ehevogts in Persohn beÿ dießem Geschäfft erschienen. 3.tio Frau Mariam Helenam Schweigheußerin gebohrne Eckertin herrn Johann Frantz Schweigheußers, des Fischkäuffers und burgers allhier Eheliebstin, welche mit beÿhülff deßelben in Persohn zugegen ware, So dann 4.to Herrn Johann Georg Eckert den Schiffmann und burgern allhier, Welcher in selbst eigener Persohn dem geschäfft beÿgewohnt. Alßo alle vier des hinterbliebenen herrn Wittibers in Erster Ehe mit weÿl. Frauen Anna Margaretha gebohrner Störcklerin seel ehelich erzeugte Söhne und töchter und des seel. verstorbenen Fr. Rathherrin per Testamentum Zu vier gleichen portionen und antheilern verlaßene Erben.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hievornen eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Eine Behaußung allhier zu Straßburg jenseit des Stadens (…)
(W.) It. ein gar Klein Haußlein, samt hoffstatt mit allen deßen Zugehördten, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau im höllgäßlein, einseit neben Herrn Johann Jacob Ulrich dem ältern schiffmann, anderseit neben Weÿl. Andreä Widtmans des Schneiders seel Wittib und Erben, hinden auf das Allmend stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch Vorgedachte der Statt Straßburg herrn Lohner und Werckmeistere inhalt Vorangeregter Abschatzung vom 27.ten Martÿ 1748. æstimirt vor 87. 10. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub gefertigtet und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt datirt den 30.ten Julÿ Anno 1726. mit altem N° 2. notirt und dabeÿ gelaßen.
Vorher beschriebene beede häußer hat der Herr Wittiber in seiner Erstern Ehe erkaufft und seind daran deßen in solcher Ehe erzielten Kindern beÿ außliefferung Ihres Mütterl. Guth Ihre portiones daran gegen Einschießung des davor empfangenen außwurffs in natura reserviret worden
(T.) It. ein behaußung ane der Vorstatt Krautenau gegen dem hauß Zum Engel hinüber (…)
Ergäntzung der Erben abgegagenen ohnveränderten Guths, Inhalts Inventarÿ (…) durch mich Notarium in Anno 1738. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthumbs ane häußern 637, Sa. Gülth von liegenden güthern 123, Summa summarum 764 lb – Schulden 1730, In Vergleichung 965 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 46, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Schulden 75, Erg. rest 35, Summa summarum 171 lb
Endlichen wird nun auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 121, Sa. Schiff und geschirrs Zur schiffarth gehörig 222, Sa. Wein und Lährer Vaß 49, Sa. Silbers 6, Sa. Goldenen Rings 5, Sa. baarschafft 328, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 600, Sa. Schulden 1655, Summa summarum 2988 lb – Schulden 774 lb, Nach deren Abzug 2214 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1420 lb
Abschatzung vom 27. Martÿ. 1748. Auf begehren deß Wohl weißen herrn Johann Jacob Eckert Eines Ehrsamen Großen Raths dermahligen beÿsitzers, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, am untern Schiffleuth Staden (…)
Ferner befindet sich ein Kleines nebens häußlein hat auch Stuben Kammern und Küchen, und ist auch von uns unterschriebenenen Werckleuthen dem Jetzigen Preiß nach vorhergegangener besichtigung anzuschlagen erachtet worden Vor und umb Ein hundert Siebenzig und fünff Gulden
Der dritte begriff it auch allhier in der Statt Straßburg in der Krautenaw, einseit neben Caspar Bammes, anderseit neben capori dem Weißbecken Hinten auff N. Ulrich den Schiffmann stosend, gelegen, solches hauß hat unten ein gewölbtes hauß öhren, darneben eine Stube, gewölbte bachküchen und bachstuben, in dem Ersten stock eine Stube und haußöhren, darinnen ein Herd und Waßerstein, darüber ein Alter Tachstuhl mit breit Zieglen gedeckt, der boden inwendig ist halber besetzt, hat auch Kammeren mit dielen unterschlagen, Ein höfflein und gemeinschafftlichen bronnen, wie auch einen geträmten Keller Ist auch Von uns unterschriebenenen der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthen, nach vorhergegangener besichtigung Mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen worden, Vor und umb Zwölff Hundert Gulden [unterzeichnet] Biermeÿer stat Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Samuel Werner Werckmeister des Maurhoff

Jean Jacques Eckert se marie en troisièmes noces avec Marie Madeleine Kutz veuve de Bernard Bender, sergent à la Tour aux deniers : contrat de mariage, célébration
1748 (18.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 141
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und Wohlvorachtbahren auch weißen herrn Johann Jacob Eckert dem ältern Schiffmann und E: E: großen Raths Jetzig wohlverdienten beÿsitzer, Wittibern, als dem herrn bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und Tugendsamen Frauen Maria Magdalena Benderin gebohrner Kutzin, weÿland des Ehren: und vorachtbahren herrn Bernhard Benders, des geweßenen dreÿer Knechts auf Löbl. Statt Pfenningthurn und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen und verhandelt in Straßburg auf Donnerstag den 18. Aprilis Anno 1748 [unterzeichnet] Johann Jacob Eckert alß hohzeitheten, Maria Magdalehne bedterin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Laurent (cath. 155)
Hodie 14. Maÿ Anni 1748 (…) Sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ (…) conjuncti sunt Dominus Joannes Jacobus Eckert Civis Nauta ac assessor Senatûs majoris hujus civitatis, viduus defunctæ Mariæ Cleophé Kuntzin, Parochianus noster, et Maria Magdalena Kutzin vidua defuncti Bernardui Bender civis hujatis dum viveret (signé) Johann Jacob Eckert, Maria Magdlenha Kusin (i 79)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 3557 livres, ceux de la femme à 620 livres.

1748 (21.8.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 369) n° 308
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren auch Weißen herrn Johann Jacob Eckert, des ältern, Schiffmanns und E: E: großen Raths jetzig wohlverdienten beÿsitzers und der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä Eckertin gebohrner Kutzin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1748. – So beschehen in Straßburg, auff Mittwoch den 21. Augusti Anno 1748.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen, dem Eheherrn eigenthümlich gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung, befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern. (H.) Eine Behaußung allhier zu Straßburg jenseit des Stadens (…)
(H.) It. ein gar Klein Haußlein, samt hoffstatt mit allen deßen Zugehördten, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau im höllgäßlein, einseit neben Herrn Johann Jacob Ulrich dem ältern Schiffmann, anderseit neben Weÿl. Andreä Widtmans des Schneiders seel. Wittib und Erben, hinden auf das Allmend stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig und eigen. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub gefertigtet und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt datirt den 30.ten Julÿ Anno 1726. mit altem N° 2. notirt und dabeÿ gelaßen.
Vorher beschriebene beede häußer hat der Eheherr in seiner Erstern Ehe erkaufft und seind daran deßen in solcher Ehe erzielten Kindern beÿ außlieffrung Ihres Mütterl. Guth Ihre portiones daran gegen Einschießung des davor empfangenen außwurffs in natura reserviret und damahlen ohnvergreifflich æstimirt worden Vor 1050
(T.) It. ein behaußung ane der Vorstatt Krautenau gegen dem hauß Zum Engel hinüber (…)
Wÿdemb Welchen der Eheherrn von Weÿl. Frn Maria Cleophe Eckertin geb. Kuntzin seines Zweÿten Ehefrauen seel. Zeit Lebens zu usufhuiren hat. Es hat vorernante Weÿl. i, Ihrem vor mir Not° und Sieben Gezeugen den 19.ten Februarÿ A° 1748. auffgerichteten Testamento nuncupativo §° 3.tio den generam usumfructum Ihrer sambtlicher Verlaßenschafft Zeit lben bestimmet (…) Legaten Erstl. Fr. Mariæ Richardis gebohrner Kuntzin Johann Baß des Grempen und burgers allhier Ehefrauen derrt Defunctæ noch lebender Schwester, Item deren Tochter Frauen Mariæ Sophiæ gebohrner Kuntzin, Anthoni Engaßer des Kutschers beÿ dem Stifft Frauenhauß und burgers allhier Ehefrauen,, It. Mariæ Catharinæ Ludovicæ Decret weÿl. Fr. Annæ Catharinä Decret geb. Kuntzin der Defunctæ Verstorbenenr Schwester seel. hinterlaßener mit auch weÿl. Herrn Louis Decret dem geweßenen Fastenspeishändler und burgern allhier ebenmäßig seel.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 418, Sa. Schiff und geschirrs Zur Schiffarth gehörig 552, Sa. Wein und Lährer Vaß 110, Sa. Silbers 52, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarschafft 440, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Eigenthum ane Häußern 2250, Sa. Schulden 203, Summa summarum 5382 lb – Schulden 1828 lb, Nach deren Abzug 3557 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 238, Sa. Silber geschmeids 24, Sa. Goldener Ring, Sa. baarschafft 64, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 200, Sa. Schulden 46, Summa summarum 620 lb

La maison revient ensuite à son fils Jean Georges Eckert qui épouse en 1744 Marie Thérèse Waag, native d’Andlau : contrat de mariage, célébration

1744 (12.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 60
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Georg Eckert dem ledigen Schiffmann und burgern in Straßburg des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Eckerts, des ältern auch Schiffmanns und burgers allda, mit weÿland der Ehren: und tugendsamen Frauen Anna Margaretha gebohrner Störcklerin seiner Erstern Ehegattin seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Maria Theresia Wagin, des Ehrenvest u. Wohlvorgeachtn herrn Johann Heinrich Wag des Gastgebers Zum Adler, Rathherr und heimburgers zu Andlau, mit der viel Ehren: und tugendsamen Frauen Johanna Clara gebohrner Karcherin ehelich erziehlter Jungfer tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Andlau Mittwochs den 12. Februarÿ Anno 1744 [unterzeichnet] Johann Georg Eckert Als Hochzeuter, Maria theresa Waagin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 45)
Hodie 13. Aprilis Anni 1744 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Georgius Eckert, nauta professione suâ, filius legitimus Joannis Jacobi Eckert, Civis ac nautæ hujatis et defunctæ Margarethæ Störcklerin parochianus noster et Maria theresia Waagin, filia legitima Joannis Henrici Waag Civis ac Magistratûs Andlaviensis assessoris Consiliarÿ et Mariæ Claræ Karcher, ex parochiâ SS. fabiani et Sebastiani in Andlau (signé) Johann georg Eckert, Maria theresia Wagin (i 24)

Marie Thérèse Waag devient bourgeoise quelques mois plus tard
1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) n° 182
Frau Maria theresia Waagin Von Andlau gebürtig verheurathet an Joh: Georg Eckart den burger u. schiffmann Von hier erhalt das burgerrecht von Ihrem Ehemann um den alten burger schilling u. will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Encker, jur. eod. [12.d 7.bris 1744].

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qu’ils ont acquise depuis leur mariage. Les apports du mari s’élèvent à 960 livres, ceux de la femme à 623 livres.
1745 (21.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 364) n° 174
Inventarium über des Ehren: und Vorgeachten Herrn Johann Georg Eckerts, des Schiffmanns und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Theresiæ Eckertin gebohrner Waagin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1743. – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe brigende Nahrung reservirt ohnverändert und Vorbehalten seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehrenvest Wohlvorgeacht und Weißen H. Antoine Ducre des Metzgers und E: E: Kleinen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers der Ehefrauen halbbruders als deroselben erbettenen beÿstands, auf Donnerstag den 2. Januarÿ A° 1745.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen Von beeden Eheleuthen währender Ehe erkaufften behaußung, befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 167, Sa. Schiff und geschirrs Zum Schiff fahren gehörig 215, Sa. Weins und Lähren Vaß 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 500, Summa summarum 920 lb – Dazu kommen ferner die Ihme gehörige zween drittetheil ane denen Verehrten Haussteuren 40, Des Manns völligen in die Ehe gebracht Guth 960 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 153, Sa. Weins und Lährer Vaß 22, Sa.Silber geschmeids 1, Sa. goldener Rings 13, Sa. baarschafft 400, Summa summarum 603 lb – Darzu gelegt ein drittertheil ane denen haussteuren, 20 lb, Der Ehefrauen völlig in die Ehe bebracht Vermögen 623 lb

Marie Thérèse Waag meurt en décembre 1753 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison quai des Batelier qui fait partie de la succession du père du veuf. La masse propre au veuf s’élève à 727 livres, celle des héritiers à 738 livres. L’actif de la communauté s’élève à 896 livres, le passif à 2 214 livres
1754 (26.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) n° 563
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariä Theresiæ Eckertin, gebohrner Wagin, des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Georg Eckert, des Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehegattin nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Mittwochs den 19.ten Decembris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren vorgedachten herrn Johann Georg Eckers des hinterbliebenen Wittibers, wie auch des Ehrenvest, Wohlvorachtbahr und weißen herrn Joseph Anthoni Ducré, E: E: großen Raths jetzig Wohlverdienten beÿsitzers, als geordnet und geschworenen Vogts Georg Anthoni, Mariä Salome, Francisci und Sebastian Andreä der Eckert, der seelig verstorbenen mit ermeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Vier Kinder und ab intestato verlaßener rechtsmäßiger Erben (…). So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 26.ten Januarÿ Anno 1754.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen in des Wittibers Verstorbenen herrn Vatters seeligen annoch ohnvertheilte Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine behaußung u. hoffstatt ane dem Schiffleutstaden im Hanffgäßlein (…)
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ (…) durch mich Notarium in Anno 1745. aufgerichtet
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Herr Heinrich Waag, der Gastgeber, Rathherr und Heimburger Zu Andlau, der Verstorbenen seeligen eheleiblicher Vatter wegen gedachter seiner tochter nunmehr seeligen lebtägig zu genißen hat
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche nunmehr Weÿland Herr Johann Jacob Eckert der ältere geweßener Schiffmann und E. E. großen Raths alhier zu Straßburg alter beÿsitzer nunmehr seeliger Wegen der Verstorbenen seeligen ad dies vitæ genoßen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heuraths Verschreibung
Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers 5, Erg. 795, Summa summarum 802 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 727 lb
Dießem nach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 77, Sa. Lähren Faßes 15 ß, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Schulden 75, Erg. Rest 576, Summa summarum 738 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein Verändert und theilbare Guth beschrieben, Sa. haußraths 48, Sa. Schiff und geschirr Zur Schiffarth gehörig 167, Sa. Weins und Lährer Faß 13, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 650, Sa. Schulden 17, Summa summarum 896 lb – Schulden 2214 lb, Theilbares Passiv onus dem Stalltax nach 1317 lb – Stall Summ 148 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe Zugeltend 449 lb

Jean Georges Eckert se remarie en 1754 avec Marie Barbe Burger veuve du batelier Michel Sarger

Jean Georges Eckert et Marie Barbe Burger font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari. Les apports du mari s’élèvent à 3 659 livres, ceux de la femme à 560 livres.
1754 (13. 8.bris), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 10) n° 82
Inventarium über des Ehrbaren und vorgeachten Herrn Joh: Georg Eckerts des Schiffmanns und der Viel Ehr undt tugendtsamen frauen Mariæ Barbaræ gebohrner Burgerin beeder Eheleuthen undt burgern allhier Zu Straßburg zugebrachte Nahrungen auffgerichtet im jahr 1754. – um sich künfftiger Zeit der in jhren Ehe pactis stipulirten ergäntzung halben darnach reguliren Zu können – So beschehen in fernerem beÿseÿn H. Anthoni Ducré E. E. großen raths allhier würcklichen assessoris als des Ehemanns in 1.ter Ehe erzeugter 2. Kindern geschwornen Curatoris, undt H. Joseph Bruland des frantz. thurnhüter als assistenten der Ehefrauen, Zu Straßburg den 13.ten 9.bris 1754.

In einer allhier Zu Straßburg am Schiffleuth Staaden gelegener dem Ehemann eigenthümlich zuständiger behaußung ist befunden worden wie folget.
Eigenthumb ane Häusern. Erstl. i. häuslin, hoffstatt und scheur s. angelegenen Gärtlein in dem Dorff Dangolßh. (…)
Item eine behausung ane dem schiffleuth staaden (…)
Item eine behausung ane dem schiffleuth staaden im Hanff gäßlein (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebrachten Vermögens. Sa. haußraths 576, Sa. Schiff und geschirrs 646, Sa. des weins u. Lährer Faßen. 464, Sa. Silbers 73, Sa. der baarschafft. 1640, Sa. Eigenthumbs ane Häußern. 2830, Sa. Eigenthums ane einem Gült Guth 110, Sa. der Schulden 258, Summa summarum 6600 lb – Schulden 2941 lb, Nach solchem abzug 3659 lb
Solchemnach Folget nun auch die beschreibung der Frauen Für unverändert in die Ehe gebrachter nahrung, Sa. haußraths 172, Sa. Silbers 30, Sa. Goldener o 27, Sa. der baarschafft 330, Summa summarum 560 lb

Jean Georges Eckert meurt en 1764 en délaissant trois enfants de son premier mariage et un du deuxième. Les experts estiment 200 livres la maison ruelle de l’Enfer. La masse propre à la veuve s’élève à 431 livres, celle des héritiers à 2 033 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 657 livres et le passif à 9 888 livres

1765 (14.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 406) n° 1055
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Georg Eckert, des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1765. – nachdeme derselbe Freÿtags den 21. Decembris des Zu end gelegten 1764. Jahrs durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Barbaræ Eckertin gebohrner Burgerin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz S. T. Herrn Tobiæ Romers des Löbl. Stiffts Frauenhaußes wohlbestellten underschreibers Ihres erbettenen beÿstandts (…) inventirt durch vorgedachte Frau Mariam Barbaram Erberlin (…) und Franciscam Schweighäußerin Von Ensißheim gebürtig die dienstmagd (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 14. Januarÿ et sequentibus Anno 1765.
Der seelig Verstorbene hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen als folgt. 1.mo Georg Anthoni Eckert, den ledigen Fischer, 2.do Jungfer Mariam Salome Eckertin, 3.tio Franciscum Eckert, dieße dreÿ des abgelebten seeligen in erster Ehe mit Weÿland Frauen Mariæ Theseria Eckertin gebohrner Wagin ebenmäßig seeligen ehelich erziehlte Kinder deren geschworner Vogt ist S. T. H. Joseph Antoni Ducré E. E. großen Raths alter Wohlverdienter beÿsitzerer, welcher mit Zuziehung S. T. Herrn Johann Carl Ficke Notarÿ publici und berühmbten Practici seines hierzu erbettenen beÿsitzers in Persohn dem Geschäfft abwartete
So dann 4.to Joseph Eckert, des in Gott seelig entschlaffenen inn Zweÿter Ehe mit Eingangs gedachter Frauen Maria Barbara Eckertin gebohrner Burgerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzirhltes Söhnlein, deßen geschworner Vogt H. Johann Michael Huck der Schiffmann und burger allhier in Persohn beÿ em Geschäfft sich eingefunden. Alßo alle Vier des seelig Verstorbenen ab intestato Zu vier gleichen Portionen und Stammtheilerrn verlaßene rechtsmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleutstaden gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthumb ane häußern. (E.) Erstl. eine Behaußung, hoff und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörd, Rechten und Gerechtigkeit gelegen alhier Zu Straßburg jenseit am Schiffleutstaden ohnfern dem goldenen Thurn (…)
(E.) It. ein klein haüßlein samt hoffstatt mit allen deßen Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau im höllgäßlein, einseit neben H. Johann Jacob Ulrich dem ältern Schiffmann, 2.seit neben Weÿland Andreä Wittmann des Schneiders seel. Wittib und Erben, hinden auf das Allmend stoßend, vor freÿ ledig eigen durch vorgedachte der Stadt Straßburg H. Wkm&ée laut vorallegirten Abschatzungs Zeduls vom 12.ten Januarÿ 1765. æstimirt umb 200. Hierüber sagt i. teutsch pergamentener Kauffbrieff mit allhießiger CC Stub auffgerichtet und mit dero anhangedem Insiegel corroborirt datirt den 30.ten Julÿ Anno 1726. mit altem N° 2 signirt. Dabeÿ 1. ältere und allda gefertigter Kauffbrieff de dato 6. Julÿ A° 1705.
(E.) It. Zwo behaußungen unter einem dach samt dero hoffstätten und allen übrigen deroselben Gebäuden ane dem Schiffleutstaden im Bronngäßlein (…)
(E.) It. ein Klein Häußlein samt hoffstatt und Scheür auch einem dabeÿ gelegenen gärtlein in dem Dorff Dangolßheim ohneit er Kirch (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnverändert Guths, Inhalt Inventarÿ über beeder Eingangs gedachter geweßener Eheleuth Zugebrachte Nahrungen durch H Notarium Adam Claußen in Anno 1734. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 4, Erg. Rest 402, Summa summarum 431 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 76, Sa. Silbers 5, Sa. Eigenthums ane häußern 1560, Erg. Rest 2612, Summa summarum 4284 lb – Schulden 3251 lb, Detrahendo 2033 lb
Endlichen Wird nun auch das gemein Verändert und theilbare Guth beschrieben, Sa. haußraths 154, Sa. Schiff und geschirr Zur Schiffarth gehörig 290, Sa. Brennholtzes 1168, Sa. Chaise 12, Sa. Wein und Lährer Faß 192, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 54, Sa. Golden geschmeids 18, Sa. baarschafft 817, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 850, Sa. Schulden 4099, Summa summarum 7657 lb – Schulden 9888 lb, In Vergleichung 2231 lb
Hingegen hat der älteste Sohn Erster Ehe Herr Georg Anthoni Eckert Lediger Schiffer, der Theilbaren Nahrung zu conferiren 172 lb, Nach Abzug dießes Einschußes verbleibt ane dem theilbaren Passiv: Schulden Rest 2058 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 993 lb – Stall Summ 918 lb
Wÿdemb Welche der selig Verstorbene von auch weÿland Frauen Maria Theresia Eckertin gebohrner Waagin seiner geweßenen Erstern Ehegattin seeligen Lebtägig genoßen hat. (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Catharina Eckertin gebohrne Freny Weÿland herrn Johann Jacob Eckert des ältern geweßenen Schiffmanns und E. E. großen Raths alten beÿsitzers nunmehr seeligen hinterlaßene wittib von gedachtem Ihren Ehemann seeligen Lebtägig Zu genießen hat
Leibgeding, Welches Sieur Antoine Morel der ehemalige frippier und Schirmer auß dießortig theilbarer Nahrung ad dies vitæ zugenießen hat, Inhalt des Vor Herrn Humbourg Königlichen Notario allhier den 25.ten Maji 1756 verschriebenen (…) Leibgedings
Aufrichtung des der hinterbliebeneen Frau Wittib von dem seeligen verstorbenen in auffgerichteter Eheberedung verordneten lebtägigen Wÿdembs
Abschatzung Vom 12.t Jenner 1760. Auff Begehren Weil. H. Georg Eckart seil. hiender Lasener Fr: Witib Vnd Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg ane dem Schieffleuth Staden Gelegen (…)
Der Drite Begriff ist Auch alhier in der Statt Strasburg in Der Gudtenau in dem Häll Gesel Gelegen Ein seits. Neben Ullrich Ander seits Neben N: N: Vnd hienden auff Caporÿ dem Frantzösischen Becken Stoßend Gelegen, solcher begrieff besteht in Zweÿ Stuben, Zweÿ Kuchen Vnd Zweÿ Kammern Dar jber ist der dach Stuhl mit breit Zieglein belegt hat Auch ein – Vonn vns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werck Meister Nach Vorhero Geschehener Besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen wahren Werth Nach æstimirt Vnd Angeschlagen worden Vor und Vmb Vier Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Specivication Von maurer und Zimmer mans arbeit in des herrn johan jörg Eckards selige seiner behaußung
Copia der Eheberedung (…)

Les héritiers cèdent les deux maisons au fils Jean Georges Eckert (Georges Antoine Eckert)

1771 (28.1.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 65
H. Exsenator Jacob Eckert der schiffmann als geordnet und geschworener vogt weÿl. Johann Georg Eckert gewesten schiffmanns mit auch weÿl. Maria Theresia Wagin in erster ehe erzeugte dreÿ kinder deren zweÿ dato majorennis, der dritte annoch minderjährig, nahmens Franz, deßen Streitvogt H. Johann Nicolaus Wilhelm procurator vicarius erschien, H. Johann Michel Huck der schiffmann als geordnet und geschworener vogt weÿl. Georg Eckert mit Fr. Maria Barbara geb. Burgerin der jetzmahligen wittib in zweÿter Ehe erzeugten Kinds nahmens Joseph
in gegensein H. Johann Georg Eckert des schiffmanns
1. eine ane dem Schiffleuthstaden ohnfern dem goldenen thurn gelegene behausung, hoff und hoffstatt, bronnen, stallung mit allen deren übrigen gebäuden, weithen, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben H. Exsenator Jacob Ulrich dem schiffmann, anders. neben H. Not. Marbach, hinten d. Baadischen hoff
Secundo eine behausung so gelegen ane der Vorstadt Krautenau in dem sogenannten Höllengäßlein mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben H. Johann Jacob Ulrich dem älteren, anders. neben N.N. dem karchzieher, hinten auf N. Gaborÿ dem frantzös. becken
auff obengenannten am Schiffleuthstaden gelegenen behausung zweÿ wÿdums stehend verhafftet, davon der einte Fr. Anna Catharina Eckertin geb. Freny dißortigen großmutter zu genießen hat zeit lebens weßwegen derßelben außer den in sothanen haus habender wohnsitz bestehend in einem nebens gebäu und deßen falls stub und stubkammer, kuche und kellerlein annoch wochentlich 15 s gereichet werden sollen, (um) 750 pfund, den anderen wÿdum genießet lebenlänglich Maria Barbara geb. Burgerin dißortige mutter und respective stieffmutter und besteht dißer wÿdum in der nutznießung lebenlänglich wie gedacht eine stub, stubkammer, kuchen und keller in gedachtem haus den hoff stoßend – das haus am Schiffleuthstaden um 1755 pfund, dießer stamm 438 pfund, das; haus im Höllengäßlein 105 pfund jedem stamm 26 pfund

Le constructeur de bateaux Jean Georges Eckert vend la maison 162 livres à l’ouvrier maçon manant Philippe Jacques Harst en se réservant les poêles

1779 (22.5.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 199
H. Johann Georg Eckert der schiffmacher
in gegensein Philipp Jacob Harst des maurer gesellen und schirmers
eine kleine behausung und hoffstatt samt all denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krautenau in dem sogenannten Höllgäßlein, einseit neben H. Arnold dem zimmermeister, anderseit neben Mr Fuchs dem schwartzbecken, hinten auff H. Gaborÿ den frantzösischen becken – mit den vorfindigen gegoßenen offen samt den rohren welche die verkäuffere sich reservirt haben – um 324 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Philippe Jacques Harst à acquérir la maison qui est un immeuble très modeste non soumis à l’alignement
1779, Conseillers et XXI (1 R 262)
(p. 207) – Sambstag den 22.sten Maÿ 1779 – Jacob Harst erhält erlaubnus von Georg Eckert ein haüßlein pro 300. fl. disp. vom augenschein Kaufen Zu dörfen.
Osterrieth nê Jacob Harst des schirmers und steinhauer gesellen und deßen Ehefr. Margarethæ Schneiderin, diese sind gesinnet von Georg Eckert dem burger und schiffmann alhier ein an dem hohlgäßlein in der Krautenau gelegenes haüßlein sambt zugehörden umb 300. fl. Kaufen Zu dörfen und auf gnädige dispensation vom augenschein.
Wilhelm nê des Verkäufers berichtet, daß deme also, bitt unterth. also erkaufen Zu dörfen und ebenfals umb gnädige dispensation also Verkaufen zu dörfen.
Nachdeme H. General advocat Mogg auf die wilfahrung des gebettenen Kaufs und respectivé Verkaufs umbsomehr angetragen, als es umb ein gerings objectum Zu thun und das quæstionirte häußlein dem Allignement nicht unterworffen doch observatis observandis und sub clausulis consuetis.
Wurde vermittelts gehaltener Umbfrag Erkandt, wird denen Imploranten mit gebettener erlaubnus ein an dem hohlgäßlien in der Krautenau gelegenes Häußlein samt Zugehörd umb dreÿ hundert gulden dispensando vom augenschein kaufen und verkaufen zu dörfen, jedoch so wilfahrt, daß der Kauf und Verkauf in Mhh. Cantzleÿ Contractstub coram Deputatis ordnungs mäßig verschrieben und dabeÿ gemeiner Statt versirendes interesse, besonders wegen abführung des real schirmgelts und sonstiger gewohnlicher beschwärden durch sie bestermaßen besorgt werden möge. Deppi. H. Rathh. (-)

Originaire de Gemmingen en Palatinat, Philippe Jacques Harst épouse en 1768 Marguerite Schneider, fille d’un employé de la Taille
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 110, n° 156)
Im Jahr 1768, Mittwoch den 7. Septembris wurden nach vorhergegangenen proclamationen auff Dom. XIII. und XIV. post Trinitatis, in offentlicher Gemeinde ehelich copuliert und eingesegnet, Philipp Jacob Harst, lediger Steinhauers: gesell, von Gemmingen, in der Pfaltz gebürtig, David Harsten Steinhauers und burgers daselbst, und deßen gewesener Ehefrau Johanna gb. Stöserin ehl. erzeugter Sohn, und Jgf. Margaretha Schneiderin, weÿl. Michael Schneiders, gewesenen Stallknechts und Schirmers allhier, mit Margaretha gb. Holderin ehl. erzeugte hinterlaßene Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Harst als Hochzeiter, + Margaretha Schneiderin Handzeichen (i 117) (i
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 62) Im Jahr 1768 seind Dominica 13. et 14 post Trinitatis prooclamirt und den 7. Septembris in der Prediger Kirche copulirt worden Philipp Jacob Harst lediger Steinhauer, Johann David Harst Maurers in Gemmingen und Johanna gebohrner Stößerin ehelicher Sohn und Jgf. Anna Margaretha weiland Michael Schneiders geweßenen schürmers und taglöhners dahier und Annä Margarethä gebohrner Holderin eheliche Tochter (i 64)

La maison revient à sa fille Marie Marguerite qui épouse en 1808 le maçon Pierre Walch, originaire de Merxheim en pays de Nassau-Usingen

Mariage, Strasbourg (n° 262)
L’an 1806 le 9° jour du mois de Juin, sont comparus Pierre Walch, âgé de 25 ans, maçon, domicilié en cette ville depuis un an, né à Merxheim païs de Nassau-Usingen le 22 juin 1780, majeur, fils de Joseph Walch, maçon audit lieu et d’Elisabeth Diemer, consentant (…) et Marie Marguerite Harst âgée de 18 ans, née en cette ville le 14 septembre 1787 y domiciliée, fille mineure, assistée de de Philippe Jacques Harst, tailleur de pierres et d’Anne Marguerite Schneider ses père et mère (signé) Peter Walch, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 134)

Extraits du registre de population où figurent les propriétaires Walch et Heidel
600 MW 92 (p. 85) Rue de l’Enfer n° 10 (i 109)
Hasch, Jacques, 64, Garçon maçon, Gemmingen en Suabe (à Strasbourg) dep. 25 ans
Hasch née Schneider, Marguerite, 52, sa femme, Strasbourg – Décédée le 16. Jllet 1807
Hasch, Marguerite Salomé, 9, fille, Strasbourg, dél en Niv. XIII à la Krutenau 14
Walch, Pierre, 34, Maçon
id. née Harst, Margte
id. Etienne 7 fev. 1815
(Walch, Dorothée, née le 23 8.bre 1806)
Walch, Pierre, né le 22 mai 1811

600 MW 92 (p. 129) Rue de l’Enfer n° 10
Walch Mathieu 9 mars 1813

600 MW 97 (p. 234) Rue de l’Enfer n° 10 (i 4)
Walch, Pierre, 1777, Prop. Maçon, Mayence (à Str.) 30 ans – del. même quartier Krutenau 46
id. née Harst, Margte, 1787, Ep. Strasbourg
id. Jean Pierre 1807
id. Marguerite 1809
id. Pierre 1811
id. Mathieu 1813
id. Etienne, 1814
(p. 235.B) Heidel, Jn Michel, 1783, Cordonnier, Strasbourg – auparavant rue Neuve 75, Entré Janv. 1831.
id. née Geismann, Catherine, 1789, Ep. Mutzig (à Str.) enfance
id. Madeleine, 1807. Strasbourg

Pierre Walch et Marguerite Harst vendent la maison 1 000 francs au batelier Jean Daniel Kœnig et à Marie Madeleine Frantz

1818 (17.1.), Strasbourg 15 (23), Not. Lacombe n° 4842
Pierre Walch, garçon maçon, et Marguerite née Harst
à Jean Daniel Koenig, batelier, et Marie Madeleine née Frantz
une maison avec appartenances et dépendances située en cette ville Fauxbourg Krautenau rue de l’enfer n° 110, d’un côté le Sr Renck, d’autre le Sr Arnold, derrière de même – avec trois fourneaux de fonte – avenue à la femme Walch de la succession de Philippe Jacques Harst, garçon maçon, et Marguerite Schneider ses père et mère dont elle se dit seule enfant unique héritière – moyennant 1000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 137 F° 91-v du 19.1.

Fils de garçon batelier, Jean Daniel Kœnig épouse en 1809 Marguerite Madeleine Frantz originaire d’Offenheim en Palatinat
Mariage, Strasbourg (n° 11)
L’an 1809 le 11° jour du mois de janvier, sont comparus Jean Daniel Koenig, âgé de 25 ans, garçon-batelier, né en cette ville le 16 octobre 1783, y domicilié, majeur, fils de Jean Koenig, garçon batelier, et de Marie Salomé Vogt ci présents et consentants veuf de Marguerite Elisabeth Trawolt décédée à l’hospice civil de cette ville le 7 février dernier, comme il est constaté par son acte de décès, et Marguerite Madeleine Franz, âgée de 29 ans, domiciliée en cette ville depuis 4 ans, née à Offenheim Département du Mont-Tonnerre le 15 avril 1779, majeure, fille de feu Georges Daniel Franz, arpenteur-géomètre audit lieu, et de feu Albertine Louise Herman, y décédée le premier le 15 septembre 1792 et le seconde le 22 juin 1795 (signé) Johann Daniel König, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 7)

Jean Daniel Kœnig et Marie Madeleine Frantz vendent la maison 800 francs au maçon Joseph Reiner et à sa femme Madeleine Hœrter

1826 (24.5.), Strasbourg 4 (63), Me Hatt n° 2902
Jean Daniel Koenig, cabaretier, et Marie Madeleine née Frantz
à Joseph Reiner, maçon, et Madeleine Hoerter
une maison avec appartenances et dépendances située en cette ville Faubourg Krutenau rue d’Enfer n° 110, d’un côté la veuve Renck, d’autre le Sr Arnold, derrière de même – acquis de Pierre Walch, garçon maçon, et de Marguerite Hatt par vente reçue Lacombe le 17 janvier 1818 transcrit au bureau des hypothèques volume 102 n° 84 – moyennant 800 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 178 F° 188-v du 2.6.

Fils de boulanger, Joseph Reiner épouse en 1802 Marie Elisabeth Morgenthaler, fille d’un tailleur de pierres, puis en 1822 Marie Thérèse Hœrter, veuve du portier François Doré
Mariage, Strasbourg (n° 8)
Du 6° jour du mois de Vendémiaire l’an XI de la République française. Acte de mariage de Joseph Reiner, âgé de 24 ans, maçon domicilié en cette ville depuis son enfance né à Colmar, Département du haut-rhin, le 3 avril 1778, fils légitime de feu Joseph Reiner, boulanger audit lieu et d’Anne Ursule Seiler, et de Marie Elisabeth Morgenthaler, âgée de 30 ans, née en cette ville le 15 août 1772, y domiciliée, fille légitime de feu Laurent Morgenthaler, tailleur de pierres, et de feu Marie Sara Eylé – les épouse ont déclaré ne savoir signer (i 7)

Mariage, Strasbourg (n° 227)
Acte de mariage célébré le premier juillet 1822. Joseph Reiner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 avril 1778 à Colmar (Haut-Rhin) domicilié à Strasbourg, maçon, veuf de Marie Elisabeth Morgenthaler décédée en cette ville le 13 mai année dernière, fils de feu Joseph Reiner, boulanger à la Citadelle de cette ville et de feu Anne Ursule Seiler, et Marie Thérèse Hoerter, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 août 1778 à Epfig (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg veuve de François Doré, portier décédé en cette ville le 21 juin année dernière, fille de feu François Antoine Hoerter, barbier à Epfig, et de feu Anne Marie Müller (signé) Reiner, Horrer (i 1)

Joseph Reiner et Madeleine Hœrter vendent la maison 1 200 francs au maçon Georges Michel Friederich

1828 (14.3.), Strasbourg 12 (106), Me Noetinger n° 587
Joseph Reiner, maçon, et Marie Anne Hoerter
à Georges Michel Friederich, maçon
une maison à rez de chaussée et trois étages avec appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg Faubourg de la Krutenau rue de l’Enfer n° 110, d’un côté le Sr Renck, d’autre et derrière le Sr Arnold, devant la rue – acquis de Jean Daniel Koenig, cabaretier, et de Marie Madeleine Frantz suivant acte reçu Hatt le 24 mai 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 191 n° 30 – moyennant 1200 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 188 f° 130 du 18.3.

Georges Michel Friederich et Anne Marie Walter vendent la maison 1 000 francs à Elisabeth Druckwarth veuve du batelier Jean Vitzikam

1830 (15.7.), Strasbourg 8 (nouv. cote 48), Me G. Grimmer n° 3231
Georges Michel Friederich, maçon, et Anne Marie Walter
à Elisabeth Druckwarth veuve de Jean Witzikam battelier
une maison à rez de chaussée et trois étages avec autres droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Faubourg de la Krutenau rue de l’Enfer n° 110, d’un côté le Sr Renck, d’autre et derrière Sr Arnold, devant la rue – acquis de Joseph Reiner, maçon, et de Madeleine Hoerter suivant acte reçu Noetinger le 14 mars 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 n° 129, les conjoints Reiner ont acquis ledit immeuble de Daniel König et de Marie Madeleine Frantz par devant Me Hatt le 24 mai 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 191 n° 30 – moyennant 1000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 200 F° 59 du 16.7.

Extrait du registre de population
600 MW 63, Registre de population. Quai des Pêcheurs N° 72 (p. 658) i 187
Vitzikam, Jean Baptiste, 1765, Battelier, Drusenheim, (à Str.) depuis 6 ans, (auparavant) bains aux Plantes 20, Entré Xbre 1816.
id. née Druckwarth, Marie Elisabeth, 1779, Ep. Kreutznach
id. Marie Anne, 1811, Mayence
id. Georges Jacques, 1813, Strasbourg
id. Philippe, 1798, Kreutznach

Jean Witzikam meurt en 1828 dans sa maison quai des Pêcheurs
1828 (29.12.), Strasbourg 8 (46 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2533
Inventaire de la succession de Jean Witzikam, batelier décédé le 2 août dernier – à la requête d’Elisabeth Druckwarth la veuve, mère et tutrice légale de Marie Anne âgée de 19 ans et Jean âgé de 12 ans – en présence de Georges Frédéric Grunder père propriétaire en la Citadelle subrogé tuteur desdits mineurs
dans la maison sise rue Neuve quai des Pêcheurs n° 72
mobilier 224 fr, garde robe 25 fr, passif 946 fr
Titres et papiers, testament reçu Grimmer soussigné le 1 avril 1826 (…) 2) Procès verbal au tribunal civil d’une licitation par les héritiers Bernard Margraff de la maison rue Neuve sur le quai des Pêcheurs n° 72 adjudication et déclaration de command le 3 août 1815
Enregistrement de Strasbourg, acp 192 F° 169 du 1.1.

Elisabeth Druckwarth vend la maison 1200 francs à Marie Madeleine Heidel qui cède à ses parents Jean Michel Heidel et Catherine Geissmann un droit d’habitation

1830 (3.8.), Strasbourg 8 (nouv. cote 48), Me G. Grimmer n° 3249
Elisabeth Druckwarth veuve de Jean Witzikam, batelier
à Marie Madeleine Heidel, fille majeure
une maison à rez de chaussée et trois étages avec autres droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Faubourg de la Krutenau rue de l’Enfer n° 110, d’un côté le Sr Renck, d’autre et derrière le Sr Arnold, devant la rue – acquis de Georges Michel Friederich, maçon, et d’Anne Marie Walter suivant acte reçu par le soussigné notaire le 15 juillet dernier transcrit au bureau des hypothèques volume 237 n° 92, ledit Friederich a acquis ledit immeuble de Joseph Reiner, maçon, et de Madeleine Hoerter devant Me Noetinger le 14 mars 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 209 n° 129, les conjoints Reiner l’ont acquis de Daniel König et de Marie Madeleine Frantz suivant acte reçu Hatt le 24 mai 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 191 n° 30
l’acquéreuse accorde à son père Jean Michel Heidel et à Catherine Geissmann sa femme un droit d’habitation dans la maison ci dessus désignée composé de deux chambres, d’une cuisine, d’une place à la cave pour légumes et autres articles, un droit au grenier pour sécher le ligne, droit évalué 20 francs – Prix, 1200 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 200 F° 98 du 7.8.

Marie Madeleine Heidel vend la maison 500 francs au cordonnier Auguste Jules Adrien Pozzo et à sa femme Marie Anne Hertlé

1836 (3.2.), Strasbourg 8 (64), Me G. Grimmer n° 5520
Marie Madeleine Heidel, majeure sans état
à Auguste Jules Adrien Pozzo, cordonnier, et Marie Anne Hertlé
une maison à rez de chaussée & trois étages avec ses autres droits & dépendances sise Strasbourg Fauxbourg de la Krutenau rue d’Enfer n° 110, d’un côté la femme Delacour née Renck, d’autre côté et derrière le Sr Arnold, devant la rue – avec trois fourneaux en fer de fonte – La venderesse a acquis cet immeuble d’Elisabeth Druckwarth veuve de Jean Witzikam vivant batelier demeurante à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit M° Grimmer le 3 août 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 du même mois Vol. 238 N° 55
La Dlle Heidel a accordé à son père Jean Michel Heidel, cordonnier, un droit d’habitation dans la maison susdite composée de deux chambres, d’une cuisine, d’une place à la cave pour légumes & autres objets & droit au grenier pour sécher le linge, estimé à un revenu de 20 francs, pour sa vie durante. La veuve Witzikam était elle-même propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise de Georges Michel Friederich maçon et Marie Anne Walter conjoints demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit M° Grimmer le 15 juillet 1830, enregistré et transcrit. Les époux Friederich avaient acquis ladite maison de Joseph Reiner, maçon, et de Madeleine Hoerter sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Noetinger, Notaire à Strasbourg le 14 mars 1828, enregistré et transcrit. Les époux Reiner en étaient devenus propriétaires pour l’avoir acquise de Jean Daniel Koenig cabaretier & Marie Madeleine Frantz sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant ledit M° Hatt le 24 mai 1826 transcrit – Prix, 500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 238 f° 8-v du 4.2.

Auguste Jules Adrien Pozzo épouse en 1835 Marie Anne Hertly, native de Saverne
Mariage, Strasbourg (n° 61)
Du 6° jour du mois de février 1835. Acte de mariage d’Auguste Jules Adrien Pozzo, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 mars 1806 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, cordonnier, fils de feu Mathieu Simon Pozzo passementier décédé en cette ville le 22 décembre 1813, et de feu Marie Susanne Madeleine Müller, décédée en cette ville le 3 octobre 1833, et Marie Anne Hertly, majeure d’ans, née en légitime mariage le 16 février 1813 à Saverne (Bas Rhin) domiciliée à Saverne, fille de feu Florent Martin Hertly, Cordonnier décédé à Saverne le 13 avril 1814, et de feu Barbe Eckert,décédée à Saverne le 9 décembre 1813. (signé) augouste Jules aderien Pozzo. L’épouse a dit ne savoir signer (i 33)

Auguste Jules Adrien Pozzo et Marie Anne Hertlé vendent la maison à Léon Netter, docteur en médecine à Hochfelden

1845 (26. 7.br), Strasbourg 2 (91), Me Roessel n° 762
Ont comparu M. Auguste Jules Adrien Pozzo, cordonnier, et dame Marie Anne Hertlé ou Haertlé, sa femme qu’il autorise pour tout ce qui suit, demeurant et domiciliés à Strasbourg (ont vendu)
à M. Leon Netter, Docteur en médecine, demeurant à Hochfelden et y domicilié, acquéreur pour lequel est ici présent,
stipule et accepte son frère M. Adolphe Netter, gradué en droit demeurant et domicilié à Strasbourg
Une petite maison à rez de chaussée et trois étages, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, quartier de la Krutenau rue de l’enfer N° 110, d’un côté le Sr Delacour, de l’autre M. Arnold, par devant la ruelle de l’enfer et par derrière M. Arnold (…). Etablissement de la propriété. Les vendeurs sont devenus propriétaires de cet immeuble pour l’avoir acquis de Dlle Marie Madeleine Heidel majeure célibataire, sans état, demeurante à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Guillaume Grimmer alors Notaire à Strasbourg le 3 février 1836 transcrit au bureau des hypothèques le 5 février suivant Vol. 33 n° 7 et inscrit d’office le même jour Vol. 248. N° 237. Cette vente a eu lieu pour le prix de 500 francs (…) Cette vente a eu lieu en outre à la charge par les époux Pozzo de laisser exercer le Sr Jean Michel Heydel et Catherine Geismann sa femme demeurant à Strasbourg leur vie durant le droit d’habitation dans ladite maison qui leur fut accordé et concédé par ladite Dlle Heidel leur fille aux termes d’un contrat de vente reçue par ledit M° Grimmer le 3 août 1830 ci-après relaté, ce droit d’habitation comprenant la jouissance de deux chambres, d’une cuisine, d’une place à la cave pour légumes & autres objets et du droit de faire sécher le linge au grenier de ladite maison. Et attendu que ces droits ne sont pas encore éteints le Sr Netter sera tenu de laisser exercer les époux Heidel leur vie durant ces mêmes droits.
La Dle Heidel avait acquis le même immeuble d’Elisabeth Druckwarth veuve de Jean Witzikam vivant batelier demeurante à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit M° Grimmer le 3 août 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 du même mois Vol. 238 N° 55 et inscrit d’office le même jour Vol. 206. N° 694. La veuve Witzikam était elle-même propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise de Georges Michel Friederich maçon et Marie Anne Walter conjoints demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit M° Grimmer le 15 juillet 1830, enregistré et transcrit. Les époux Friederich avaient acquis ladite maison de Joseph Reiner, maçon, et de Madeleine Hoerter sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Noetinger, Notaire à Strasbourg le 14 mars 1828, enregistré et transcrit. Les époux Reiner en étaient devenus propriétaires pour l’avoir acquise de Jean Daniel Koenig cabaretier & Marie Madeleine Frantz sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant ledit M° Hatt le 24 mai 1826 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 juin suivant Vol. 191. N° 30 et inscrit d’office le même jour Vol. 177 N° 673 – Prix, 1500 francs
acp 340 (3 Q 30 055) f° 52-v

Jean Michel Heydel cordonnier et Catherine Geismann renoncent à leur droit d’habitation contre un logement au troisième étage dans la même maison

1849 (21.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 106 (3 Q 31 605) f° 30
ssp du 26 mars 1836 – Cession immobiliere. Entre les soussignés Jean Michel Heydel cordonnier et Catherine Geismann conjoints elle cy présent et diement autorisée par son mari tous deux en cette ville rue de l’Enfer N° 105 Krutenau d’une part
et le Sr Jules Potzo cordonnier demeurant à Strasbourg d’autre part
fut arrêté et concédé ce qui suit savoir les deux conjoints Heydel ayant vie durante siège dans la dite maison acquise par Mr Potzo et porté dans l’acte passé en l’Etude Grimmer Nre en cette ville occupant le second étage dans la dite maison sise rue de l’Enfer d’un côté Mr Delacour et de l’autre Mr Arnold consentent moyennant une somme de 55 francs d’occuper le troisième étage consistant en une chambre cuisine et petit grenier sans avoir droit a la cave ou aucune autre emplacement quelconque de la dite maison promettent en outre de ne mettre aucun empechement soit aux locataires et propriétaire s’il y venoit à demeurer, certifient avoir touché comptant et en présence du sieur Georges Mahcinet pensionnaire de l’Etat et Ignace Bosch aubergiste les 55 francs stipulés

Les parties rectifient l’acte précédent puisque les conjoints Heydel ont cédé leur droit d’habitation par un acte sous seing privé daté de 1836

1850 (25.1.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 108 (3 Q 31 607)
Déclaration – Entre Mr Auguste Jules Adrien Pozzo, cordonnier et dame Anne Marie Hertlé femme de ce dernier de son mari dûment autorisée à l’effet des présentes les deux demeurant ensemble à Strasbourg d’une part
et M. Léon Netter, docteur en médecine demeurant à Hochfelden, d’autre part
a été convenu et arrêté ce qui suit. Les conjoints Pozzo ayant conjointement et solidairement et par acte reçu le 28 7.bre 1845 par Me Roessel Nre à Strasbourg vendu au Sr Netter une petite maison a Rez-de-chaussée et trois étages appartenances et dépendances sise à Strasbourg, quartier de la Krutenau, Rue de l’Enfer n° 110 d’un côté le Sr Delacour, de l’autre M Arnold, par devant la rue de l’enfer et par derrière Me Arnold pour et moyennant le prix de 1500 francs que le Sr Netter leur a payés et entre autres conditions retenues audit acte de laisser exercer le Sr Jean Michel Heydel et Catherine Geissmann sa femme demeurant à Strasbourg leur vie durant le droit d’habitation dans la dite maison qui leur fut concédé et accordé par la Dlle Heydel leur fille aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Grimmer Not. à Strasbourg le 3 août 1830, ce droit d’habitation comprenant la jouissance de deux chambres, d’une cuisine, d’une place à la cave pour légumes et autres objets et du droit de faire sécher le linge au grenier de ladite maison. Lesdits conjoints Pozzo déclarent et reconnaissent que c’est par une erreur commise par le Nre rédacteur que l’on a imposé au dit Sr Netter le maintien du droit d’usage et d’habitationn ainsi qu’il est établi ci-dessus attendu que par acte sous seing privé en date du 26 mars 1836 enregistré à Strasbourg le 21 juin 1849 fol. 30. C. 8 (…) les conjoints Jean Michel Heydel ont renoncé au susdit droit d’usage et d’habitation moyennant une somme de 55 f. qu’eux conjoints Pozzo ont payé comptant et moyennant qu’eux conjoints Heydel occuperaient par la suite dans la susdite maison le 3° étage consistant en une chambre, cuisine et petit grenier sur la rue. En conséquence les conjoints Pozzo rectifient les conditions de la vente sus énoncée qu’ils ont consentie au au profit du Sr Netter déclarent subroger avec toutes espèces de garanties le Sr Netter dans tous les droits qui leur résultent de l’acte s. s. p. susdaté et à l’encontre des dits conjoints Heydel l’exécution de l’obligation qu’ils ont contractée par l’acte s. s. p. susrelaté et dans le cas ou ces derniers refuseraient cette exécution ils s’obligent solidairement à fournir au Sr Netter tous moyens valables pour contraindre les époux Heydel à exécuter la dite obligation s.s.p.
f° 30-v du 5.2. ssp du 25.1.

Médecin à Strasbourg, Léon Netter épouse en 1854 Mathilde Seligmann originaire de Karlsruhe
1854 (21.10.), Me Noetinger
Contrat de mariage – Léon Netter, médecin à Strasbourg, fils de Moïse Netter, propriétaire à Strasbourg, et Marie Woerner feu sa mère d’une part
Mathilde Seligmann, célibataire à Carlsruhe, fille de feu Aron Seligmann, négociant à Carlsruhe et de Léa Worms sa veuve d’autre part
stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une valeur de 57.590 francs constaté par un état estimatif enregistré ce jourd’hui
Donation par la veuve Seligmann à la future épouse leur fille, ce acceptant, en avancement d’hoirie, d’une somme de 25.000 fr
La future épouse déclare apporter en mariage 1) une somme de 25.000 fr, 2) un mobilier estimé 4000 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
[in margine :] Vu la minute (…) cette convention constitue un cautionnement par Mad. Seligmann au profit de sa fille et de son futur
acp 434 (3 Q 30 149) f° 59-v du 2.11.

Mariage, Strasbourg (n° 415)
Du 26° jour du mois d’octobre 1854. Acte de mariage de Léon Netter, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 janvier 1816 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, docteur en médecine, fils de Moyse Netter, propriétaire domicilié en cette ville ci présent et consentant et de feu Marie Wurmser décédée en cette ville le 30 janvier 1839, et de Mathilde Seligmann, majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 novembre 1827 à Carlsruhe, grand Duché de Bade, domiciliée à Carlsruhe, fille de feu Aaron Seligmann, négociant décédé à Carslruhe le 18 juillet 1854 et de Léa Worms domiciliée à Carsruhe ci présente et consentante
qu’il a été passé un contrat de mariage devant Me Noetinger le 25 octobre courant (signé) Léon Netter, Mathilde Seligmann

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Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.