96, Grand rue


Grand rue n° 96 – VII 80 (Blondel), P 759 puis section 6 parcelle 21 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Gautier Koch, taillandier (1769-1770)


Le n° 96 est la première maison
Etages des n° 96 (à droite) et 98 (à gauche)

Située dans la partie médiane de la Grand rue près de la rue des Dentelles et face à la brasserie à la Cloche, la maison à bâtiment avant et petit bâtiment arrière appartient à des artisans : le cordonnier Henri Vogt au début du XVII° siècle, le tailleur devenu commissaire priseur Tobie Roth, des chapeliers, puis (1703-1742) au musicien Jean Kræutler qui demande en 1703 l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement ; les préposés au bâtiment consultent alors le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description. Le même propriétaire fait surélever en 1711 d’un étage (soit dix pieds) son encorbellement. Sur le plan-relief de 1727, la maison correspond à la partie droite du bâtiment central (quatrième) : porte à gauche du rez-de-chaussée et arcade de boutique, trois étages à deux fenêtres.
Le taillandier Jean Gautier Koch achète la maison 1750 livres en 1752. Les experts l’estiment 400 livres à la mort de sa femme en 1769. Les préposés aux feux enregistrent en décembre 1769 le compte rendu, dressé par le maître maçon Jean Lingenhœlin, des transformations que projette le propriétaire. Les parties estiment le bâtiment 2 500 livres à l’inventaire des apports dressé en 1771, les experts à une valeur minimale de 1 000 livres en 1773. Les parties n’habitent pas le bâtiment estimé 400 livres par les experts. Il est alors en cours de transformation (fin 1769-début 1770) comme le montre le compte rendu dans le registre des Préposés aux feux. Le nouveau bâtiment est estimé à sa valeur réelle (2 400 livres) par les parties, à sa valeur minimale (1 000 livres) par les experts peu après. La nouvelle façade reprend la disposition de l’ancienne : porte d’entrée à gauche, arcade à droite, chacune surmontée d’un mascaron. Deux autres se trouvent au-dessus des fenêtres du premier étage, les linteaux du deuxième étage comprennent de simples moulures. Le rez-de-chaussée est parementé de grès, les étages sont séparés par des cordons (voir le Répertoire des mascarons de Brigitte Parent). La vente aux enchères suite à la faillite de l’héritier Jacques Frédéric Koch décrit en détail les bâtiments tous en pans de bois sauf la façade.



Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 135, entre la rue escarpée (repère b) et la rue des Dentelles (repère c)
Cour N (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (c) : arcade et porte, trois étages puis toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour N montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (2-3) à l’est et le bâtiment arrière (3-4). A l’ouest, le mur 1-4 sépare la cour de celle du voisin à l’ouest.
La maison porte d’abord le n° 30 (1784-1857) puis le n° 96.


Dessins de 1896 (veuve Ott) et de 1955 (Vêtements Serfass, non réalisé), dossier de la Police du Bâtiment)

Le propriétaire fait abaisser en 1884 le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée en y aménageant une devanture. Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997.


Grille avant sa dépose – Aménagements de 1997 (dossier de la Police du Bâtiment)

juin 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier 2Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Henri Vogt, cordonnier, et (1593) Marie Betz – luthériens
1625 v Tobie Roth, tailleur puis commissaire priseur, et (1618) Catherine Kleindienst puis (1651) Ursule Rupp, auparavant (1617) femme de Luc Jelinger, employé à l’accise – luthériens
1667 v Simon Hollænder, chapelier, et (1661) Anne Madeleine Rœderer – luthériens
1871 h Jean Martin Wetzel, chapelier, et (1671) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder – luthériens
1680 h Daniel Schwebel, chapelier, et (1680) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder puis de Jean Martin Wetzel – luthériens
1685 v Jean Füssel, fondeur de pichets, et (1678) Apollonie Maurer – luthériens
1687* adj Léonard Maurer, boulanger, et (1643) Agnès Brantzy – luthériens
1688 v Jean Georges Birckel, tonnelier puis blanchisseur, et (1687) Anne Madeleine Lentz – luthériens
1691 v Jean Versch, cloutier, et Anne Marie Rœmer, relégué
1695 adj Jean Charles Hammerer, docteur en médecine, et (1682) Salomé Greuhm – luthériens
1703 v Jean Kræutler, musicien, et (1698) Marie Salomé Ebinger – luthériens
1742 v Jean Kipp, cocher, et (1737) Anne Marie Strohl – luthériens
1746 v René Lanier, vannier manant, et (1740) Marie Baron, veuve de Jean Louis Fouchet, puis (1758) Anne Marie Germersdorff – catholiques
1752 v Jean Gautier Koch, taillandier, et (1751) Marguerite Salomé Musculus, (1770) Marie Salomé Weiss puis (1774) Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer – luthériens
1809 h Jacques Frédéric Koch, taillandier, et (1786) Marie Salomé Kieffer puis (1791) Marie Dorothée Schaaff – luthériens
1821 adj Jean Frédéric Schaaff, tonnelier, et (1790) Marie Salomé Koch – luthériens
1846 h Chrétien Ott, tanneur, et (1820) Dorothée Schaaff
1900* Eugène Picard
1924* Emile Marie Leibenguth et son épouse née Henler
1937* Chrétien Stoebener

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1725, 400 livres en 1769, 1000 livres en 1773

(1765, Liste Blondel) VII 80, Jean Jacques Jundt [sic]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Koch, 2 toises, 0 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 759, Schaaff, Frédéric, veuve – maison, sol, cour – 1,05 are

Locations

1629 (cave) Jean Régnard Kress, brasseur
1699, André Roland, aubergiste
1729 (cave), Jean Philippe Kips, passementier
1738, Jean Michel Braun, musicien, et (1738) Marie Salomé Kræutler

Livres des communaux

Les préposés au bâtiment consultent en 1703 le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description.

1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 20
Jenseitt dem Steinen Brücklin

Heinrich Reich der Schuster hatt vor seinem Hauß Ein Vsstoß xv schu lang, Vnd ii+ schu herauß, Oben ein Staucher auch so lang, Vnd xv Zoll herauß, Ein lehenete Kellerthüer vii+ schu lang, Vnd v schu herauß, Ein Laden vii+ schu ix Zoll lang, vndt iii+ schu heraußer, Ein steinerin Tritt iii+ schu lang, Vnd xv Zoll herauß, Item ein Bencklin vii+ schu ix Zoll lang, Vnd ix Zoll breit, Bessert für das Niessen, j lb. j ß d.
dieses Bencklin ist hinweggethan

(traduction) Le cordonnier Henri Reich a devant sa maison une avance de 15 pieds de long en saillie de 2 pieds ½, en haut un encorbellement de même longueur en saillie de 15 pouces, une porte de cave inclinée de 7 pieds ½ de long en saillie de 5 pieds, une boutique de 7 pieds ½ 9 pouces de long en saillie de 3 pieds ½, une marche en pierre de 3 pied ½ de long en saillie de 15 pouces, item un étal de 7 pieds 9 pouces de long et 9 pouces de large. Doit pour la jouissance 1 livre 1 sol
L’étal est supprimé

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1703, Préposés au bâtiment (VII 1380)
Jean Kræutler demande l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement. Les préposés consultent le livre des communaux de 1587 et constatent que le propriétaire réglait alors 17 sols 7 deniers. Ils accordent l’autorisation à condition que le pétitionnaire règle la même somme bien que les dimensions soient moindres.

(f° 198-v) Mittwochs den 24. Octobris 1703 – Johannes Kräutler der Musicant pt° reparirung seines hauses überhang
Johannes Kräutler, der Musicant und burger alhier, welcher eine behausung in der obern Straßen, ohnfern der Spitzengaßen neben Johannes Kuglers, des Statt Kupfferschmidts behausung gelegen, Von herrn Johann Carol Hammerers, Med: Dris seel: hinterlaßener fr. Wittiben erkaufft, ersucht MGHh Ihme Zuerlauben, daß Er das über seinem Überhang befindliche dach abbrechen und ein newes dahin machen laßen möchte.
Ego berichte auß dem Allmend: buch fol: 200. de Anno 1587. daß dise behaußung welche damahlen Heinrich Reichen dem Schuster zugehörig war, einen Außstoß so 15. schuhe lang und dreÿ schuhe von hauß Herauß breit, oben darüber ein staucher auch so lang und 15. Zoll heraus, ein lehnende Kellerthür 7 ½ schuhe lang und 4 ½ schuhe herauß, Ein steineren tritt 3 ½ schuhe lang undt 15. Zoll herauß habe und jährlichen 17. ß 6 s allmendt Zinß daran bezahlt werden sollen. Die Werckmeister referiren daß Sie dieses examinirt und in allem, außgenommen den Außstoß so allein 14 schuhe 3. Zoll lang und die Kellerthür so 5 schuhe 1. Zoll lang und 5. schuhe breit ist, also befunden hetten.
Erk. Würd dem Imploranten gegen jährlicher abstattung dieser 17 ß 6 d in seinem begehren willfahrt.

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Jean Kræuter demande l’autorisation de surélever son encorbellement d’un étage (soit dix pieds). Les préposés constatent que les voisins n’ont pas d’objection mais qu’ils souhaitent que Jean Kræuter cesse de poser une planche devant son magasin pour que leur boutique soit plus visible.

(f° 167-v) Sambstags den 11. Julÿ 1711. Johann Kräutler pr° erhöhung seines überhangs
Augenschein eingenommen an Johann Kräutlers des Krempen und Spiehlmanns in der Oberen Straßen, ohnfern der Spitzengaßen liegenden behausung, an deren Er den Überhang umb ein Stockwerck erhöhen Zulaßen gesinnet ist, und umb deßen gnd permission angesucht hatt. Erk. Bedacht.

(f° 172) Montags den 27. Julÿ 1711. Johann Kräutler
Wegen des am 11 huius an Johann Kräutlers des Krempen in der Oberen Straßen gelegenen behausung eingenommenen augenscheins, Welche Er umb Zehen schuhe erhöhen, aber nichts an dem Zweÿ stock hohen überhang ändern Zulaßen gesinnet ist, wurden die beede Nachbaren befragt, ob Sie nichts darwid. einzuwenden hetten. welche als Johannes Kugler der Statt Kupferschmidt und Johann Erhard Metz der Weißbeck sich erkläret, daß Sie nichts darwider Zu Klagen hätten, bäten aber densemben dahin anzuhalten, daß er das brett, welches Er vor seinen Laden außlegte und ein gätter darauff setzte, welches Verursachte, daß mann Ihre läden nicht sehen könte, hinweg laßen möchte. Erk. Wird Johann Kräutlern erlaubt seine behausung Verlangtermaßen erhöhen Zulaßen, und Ihme darbeÿ anbefohlen das brett Vor seinem Laden Hinweg zuthun.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1769. Le maître maçon Linckenhœlin rapporte les transformations que Jean Gautier Koch a l’intention de faire dans sa maison. Il constate que les précautions sont prises pour éviter les incendies. Le bâtiment a trois étages. L’atelier de taillandier se trouve à droite de l’entrée.

Sambstags den 2.ten Decembris 1769. Johann Walther Koch der Bohrenmacher will in seiner in der mittlern langenstraß gelegenen behausung rechter hand am Eingang eine bohrenmachers Weckstatt mit Eß und Caminschoß setzen, das rohr am steinern gäbel hienauf von allem holtz entfernt.
Im ersten, Zweÿten und dritten stock jedes mal eine Stube gegen der straß, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erk. Willfahrt. Hr. Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, un passage latéral, plusieurs poêles et chambres dont l’une est séparée par des planches, une chambre à soldats, deux vestibules dont chacun comprend un fourneau et un évier, une boutique de revendeur, une petite cave voûtée, une petite cour, un fourneau à lessive, un puits et un abreuvoir, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
  • rapport d’experts en 1821

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 57 / 30
Koch
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 146 case 4

Schaf Jean Frédéric Ve
Ott Chrétien (subst. p. 1848)

P 759, maison, sol,
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 491 case 1

Ott Chrétien, rue des Bouchers 13
1900 Picard Eugen, Schlosser

P 759, maison, sol, Grand rue 96
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année d’entrée : Gb
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 30 p. 65 case 1

Parcelle, section 6, n° 21 – autrefois P 759
Canton : Langstraße Hs N° 96 – Grand’rue
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,06
Revenu : 1200 – 1500
Remarques :

(Propriétaire), compte 939
Picard Eugen u. Ehefr.
1924 Leibenguth Emile Marie et son épouse née Henler
1937 Stoebener Chrétien & son épouse
(3993)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche

30
Pr. Koch, Jean Valder, Mre Taillantier – Marechaux
loc. Schaeffer, veuve – Tonneliers
loc. Braun, Salomé, fille couturière
loc. Weyher, veuve – Miroir
loc. Neuville, Catherine, travaille en modes – Tanneurs
loc. Dupré, Jean, Domestique – Lanterne
lo. Klein, Marg. Salomé

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 98)

(Haus Nr.) 96
Laemle, Kurzwhdlg. 01
Laemle, Handelsmann. 1
Staedel, Dienstmann. 2
Fehr, Schreiber. 3
Knol, Schreiner. 3
Schilio, Rentnerin. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 188)

Elise Sohn née Ott fait abaisser en 1884 le plancher de 54 centimètres en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée (devanture et volet roulant).
Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. Un atelier de réparation se trouve dans le bâtiment arrière en 1947. L’agrandissement du magasin que prévoit Alfred Serfass en 1955 n’est pas réalisé.

Sommaire
  • 1884 – Les agents municipaux constatent qu’Elise Sohn née Ott (demeurant 1, rue Thiergarten) fait faire des travaux sans autorisation : abaisser le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation d’abaisser le plancher de 54 centimètres et de transformer la façade au rez-de-chaussée (poser une porte, une devanture et un volet roulant) – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1884 – Dessin (élévation du rez-de-chaussée, coupe, plan)
  • 1886 – Dossier ouvert après que Justine Læmlé a demandé au commissaire de police de suspendre des tabliers et des sous-vêtements. Les objets devront se trouver à au moins deux mètres du sol et ne pas faire saillie de plus de 16 centimètres sur la voie publique – Accord, droits de voirie
  • 1902 – Le maire notifie Eugène Picard (demeurant 17, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 96, Grand-rue – Travaux terminés, octobre 1902
    1908 – Idem – Travaux terminés, novembre 1905
  • Commission contre les logements insalubres
    1915 – Commission des logements militaires. Remarques en six points – Travaux terminés, août 1915
  • 1921 – Le maire notifie Auguste Geldreich (demeurant 15, boulevard de Nancy) de faire ravaler la façade. Il répond qu’il est malade depuis juillet 1919 et que sa situation financière ne lui permet pas de faire faire les travaux
    1923 – Emile Leibenguth (demeurant 100, Grand-rue) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade en gris clair – Accord
  • 1923 – Emile Leibenguth (demeurant 57, rue du Fossé des Tanneurs) a aménagé un logement dans les combles sans respecter le règlement (cloisons en bois non plâtrées) – Les cloisons sont plâtrées, le dossier classé, novembre 1923
  • 1923 (août) – Le marchand de lingerie et de bonneterie Neugewurtz et Bilfeld (anciennement 118, Grand rue) demande l’autorisation de poser une enseigne (libellé : Au Gaspilleur, 96 Lingerie Bonneterie 96, Confection, Gros Articles de travail Demi-gros) – Autorisation (saillie supérieure à 16 centimètres)
  • 1923 – Le locataire Joseph Schnee (4° étage) se plaint que son logement est humide. La Police du Bâtiment estime que la plainte est fondée. – La toiture est réparée, juillet 1923
    Le locataire Læmmel s’oppose à ce que la propriétaire fasse faire des travaux de peur que le loyer augmente. La Commission contre les logements insalubres estime qu’il n’y a pas lieu d’intervenir
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate que Charles Kaufmann a posé sans autorisation une enseigne – L’enseigne est retirée
  • 1942 – La veuve Stœbener (15, rue de Berne) informe la Police du Bâtiment qu’elle a fait retirer la lampe. Les droits sont dus pour l’année 1941.
    1943 – La même se plaint que son locataire du premier étage Camille Fehr tient mal son logement et demande une visite des lieux. Le logement que le locataire occupe depuis 43 ans doit être rénové. Il s’agit d’une affaire locative.
  • 1947 – Emile Tassler qui exploite au fond de la cour un atelier où il répare des machines à coudre demande l’autorisation de poser deux petites vitrines (85 sur 40 centimètres) – Croquis (les vitrines se trouvent de part et d’autre de la porte d’entrée – Accord
  • 1949 – L’entrepreneur de peinture Guillaume Fischer (11, rue Finckwiller) demande l’autorisation de repeindre la devanture du magasin d’Alfred Serfass – L’architecte des Bâtiments de France demande que le revêtement en bois déjà peint et posé sans autorisation soit retiré parce qu’il est « contraire à toute esthétique ». L’entrepreneur répond que la menuiserie était déjà posée quand il l’a peinte. – Les enseignes sont retirées, août 1949
  • 1955 – Alfred Serfass (vêtements pour hommes et enfants, demeurant 7, rue des Bouchers) déclare avoir posé un écriteau pour sa vente avant transformation – Autorisation – L’enseigne est enlevée, mai 1955
    Demande de permis de construire (parcelle 21, section 6 – Dessin établi par Willy Girbig (rue Carré de Malberg au Neuhof). Le cadre de la devanture sera en chêne massif – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Les locataires protestent contre les transformations de l’entrée et la construction projetée dans la cour – Le dossier est classé sans que les travaux aient eu lieu
  • 1959 – Rapport d’incendie dans une mansarde à cause d’une cheminée non conforme. L’aménagement intérieur de deux logements est brûlé ou détérioré – La Police du Bâtiment fait un rapport (croquis) – Le propriétaire Jean Ott, employé chez le notaire Offenstein, déclare que la cheminée a été remise en état par Paul Spindler. La Police du Bâtiment fait remarquer que le logement récemment aménagé et occupé par Guillaume Stahn n’est pas conforme aux prescriptions.
  • 1961 – Rapport d’incendie dans une chambre au premier étage – La Police du Bâtiment fait un rapport – Travaux terminés, avril 1961
  • 1967 – Jean Georges Ott (rue du Canal à Eckbolsheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1974 – Le photographe Marcel Ehrhard (demeurant à Schiltigheim, société Tube jeune, magasin de 30 m²) demande l’autorisation de transformer la devanture – Devis du vitrier Koenig-Reiminger (route de la Wantzenau à la Robertsau), du ferronnier Willy Ehrhard (rue Jean-Jaurès au Neudorff) – Plan cadastral de situation – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire (20 janvier 1975) – Travaux terminés conformément aux plans (avril 1975)
  • 1977 – Michel Rieger (demeurant route de Schirmeck) demande au nom de la boutique Pivoine l’autorisation de poser une enseigne, deux lanternes et un store – Dessin du store, du rez-de-chaussée – Le demandeur a quitté le magasin, juillet 1977
  • 1985 – Le magasin Gemini informatique est autorisé à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1985 (mai) – Des tuiles du 96, Grand rue (propriétaire, Mohamed Chaou) tombent dans la cour du 8, Petite rue des Dentelles – La Police du Bâtiment constate que la maçonnerie est endommagée par la pluie qui s’infiltre. Il est nécessaire de réparer le mur de refend à la limite des propriétés.
    1985 (juillet) – Les travaux n’ont pas été faits mais d’autres briques sont tombées – Travaux terminés, janvier 1986
  • 1992 – La boutique Octobre est autorisée à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1993 – L’entreprise Amel (rue de Mutzig) demande l’autorisation de réparer la toiture et de peindre la façade – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 2977)

Grand’rue 96 (1997)

La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997 lorsqu’une banque fait aménager un guichet.

Sommaire
  • 1997 – L’A.O.C. Alsace (guichet de change), représenté par Alain Poinsignon, demande l’autorisation de modifier la façade (supprimer la grille à l’extérieur de la devanture, peindre le cadre métallique en bleu) sur la propriété de Mohamed Chaou – Photographies – Plan du rez-de-chaussée, dessin du rez-de-chaussée et de l’étage – Dessin du guichet, de la rue
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Le maire donne son accord (non opposition) aux travaux (juillet 1997) – Travaux terminés, octobre 1997

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au cordonnier Henri Vogt qui épouse en 1593 Marie Betz, originaire de Reutlingen

Mariage, Saint-Thomas (luth. reg. C f° 182 n° 539)
1593. Domin. I. Trinitatis. Heinrich Vogt der schuomacher, Vnd Maria Hans Betzen von Reitlingen nachgelaßene dochter, eingesegnet 24. Junÿ (i 196)

Georges Gudelsohn, de Bezau dans le Bregenzerwald postérieur, vend au forgeron Jacques Gesensohn ses droits provenant de Marie Betz d’après l’inventaire dressé l’année précédente par le notaire Jean Frédéric Guldin (acte cité dans le suivant)

1617 (5. Aprilis), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 170
(Inchoat. in Prot. fol: 171.) Erschien Geörg Gudelsohn vonn Betzenauw Inn hind. Bregentzer Waldt Als ein geordneter gewalthaber seiner Khind. vögt vermög desselben gewalts vnder des Landtammans Zu Andelßpurg Insigell de dato 1.ten Aprilis 1617. hatt Inn gewalthabers Als obstet (verkaufft)
Jacob Gesensohn dem schmÿdt burgern Zu Straßburg
die Verfangenschaft So Maria Betzin desselben nachgelaßene witwe Inn crafft vffgerichten codicilli ad dies vitæ Zunutz. vnd zunÿßen, Alles vermög Inventarÿ durch Notarium Johann Friderich Guldin in Anno 1616. vffgericht – für vnd vmb 1300 guldin

Les héritiers du cordonnier Henri Vogt et les ayants droit de sa femme Marie Betz vendent 650 livres la maison face à la Cloche au tailleur Tobie Roth et à sa femme Catherine Kleindienst

1625 (5. febr.), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 8
(P. fol. 35.) Erschienen in namen weÿ: Heinrich Vogten deß schuhmachers see. Alhie Erben Jacob Gößessohn d. hufschmidt alhie vnd Anna Nägelin sein eheliche haußfrawn Alß welche besagte Erben (weil sein vogten nachgelaßene wittib alles ad dies vitæ Zunüeß. gehabt vermög deß getroffenen und beÿ H Hilario Meÿern dem Contract Not° den 5. Aprilis A° 617. vschriebenen Außkauffs) außgekaufft, So dann Maria Betzin anfangs gemelten Heinrich Vogten nachgelaßener wittib anietzo auch seeliger Erben mit namen Maria Kehrerin mit beÿstand ihres hauß würths Bastian hueters schuhmachers alhie vnd Scolastica Betzin mit beÿstand hannsen Jacoben von Mutzig ihres Eheuogts
bekannten in gegensein Tobiä Rohten deß schneiders Alhie (…) vnd Catharina Kleindienstin seiner ehefr.
Eine behausung, sampt deren hoffstat, höflin & alhie in d. Obern Straß geg. der Glocken hinüber, neben hannß Müllers deß schloßers se. Erb. etwan, an ietzo Aber Sebastian Kuglen dem Kupferschmid. 1. vnd . ist hannß waltz. weißbecken, hind. vff hannß Babel den haußbeck stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß 4 fl. St. w. St. Margrethen Closter alhie, in haupg. mit 100. fl. w. ablös. Item j. lb d geltz dem Allmosen S. Marx welches i. lb d geltz der keüffer also und dergestalt, es seÿ gleich Boden, Erblehens, Erschätzig vnd fürbietigs Zinß, oder wie solch 1 lb d Zinß sich Künfftig in brieff befind. würth vnd sich genommen, Vnd were d. Khauff vber solche beschwd. so die Kheuffer über sich genommen, geschehen p. 550 Pfund

Originaire de Grossfahner en Thuringe, Tobie Roth épouse en 1618 Catherine Kleindienst, fille de tailleur
Mariage, cathédrale (luth. p. 65)
1618. Thobias Roth der Schneider von großen Fahnerrn in Thüringen vnd. J. Cätherina, Hans Kleindienst e. dochter Tochter (i 37)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 145) 1618. 2. Februarÿ Im Münster. Tobias Rot d. Schneid. von großen faren in Düring. J. Katharina, Hans Kleindienst Tochter (i 149)

Tobie Roth devient bourgeois un mois après son mariage
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104)
Tobias Roht d schneider Von Großenfaner Im Landt Zu düringen Empfangt d. Burg. recht von Catharina hanß Cleindienst deß schneids. Alhier dochter Vnd will Zu der Schneider Zünfftig sein, den 10. Martÿ Ao 1618.

Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Barbe Kleindienst veuve de Laurent Dorsch

1626 (ut spâ. [xvij. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 291
Erschienen Thobias Roth d. schneÿd. burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Büchners schneÿd. burgers Zu Straßburg alß Vogt Barbaræ Clein dienstin weÿland Lorentz dorsch s. witwen – schuldig seÿen 50 pfundt
vnderpfand, hauß hoffstatt vnd. höfflin mit Allen Ihr. geb. & geg. Inn d. St. St. Ane d. Ober straß. geg. d. glock einseit n. hanß Waltz. dem weÿßb. and.seit n. Bastian N. d. Kupfferschmÿd, hind. vff N. N. stoßend, welche behaußung zuuor noch verhafftet Ist vmb 300. lb Jacob Gösensohn, Mehr i. lb d gelts Zu Sant Marx vnd 2 lb geld Zu Sant* *el

Tobie Roth loue une cave au brasseur Jean Régnard Kress

1629 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 269
Erschienen hanß Reinhard Kreß der Biersieder burger Zu St.
hatt in gegensein Tobiæ Rothen deß Schneiders auch burgers Alhie bekannt,
daß er von demselben sechß Jarlang, die von Jüngst v.schinen Mariæ V.kündigungs tag an, nechst nach einander folgend, entlehnet vnd bestandt (…) Einen Keller vndt sein deß verleÿhers Behausung alhie an der obern Straß neben Bastian Kugler Kupferschmidts & neben hanß Waltzen Weißbecken gelegen für vnd vmb 4. lb d Järlichs Zinses

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant que son père a été péager à la Grünwarth
1632, Protocole des Quinze (2 R 58)
Tobias Roth. 3.
(f° 3-v) Sambst. 14.t Januarÿ – Tobias Roth burg. Vndt Schneider allhier Erschinen, pitt per M. Eggen vmb den Schirmgerichts botten dienst, seÿ sein Vatter lang Zoller vff der grünen warhd gewesen, so Soll sich geschrieben geben

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant qu’il est fils de Charles Roth, ancien péager au service de la ville, qu’il sait lire et écrire et parler français.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un le nomment commissaire priseur après que les Quinze ont constaté que le juge ne pouvait pas faire exécuter les sentences parce que le poste de commissaire priseur est vacant

1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
Tobias Roth vmb Schirmgerichts botten dienst. 10. wird ganthkäuffler. 331.
(f° 10) Mont. den 28. Januarÿ – Tobias Roth der Schneider supplicirt p. M. Eggen vmb Schirmgerichts botten dienst, bitt weilen sein vatter Carl Roth Soldner vnnd Zoller hier gewesen auch der Zeit des handwerck übersetzt, er schreibens vnnd lesens wie nicht weniger der frantzösischen sprach erfahren, ihme vor andern Zu diesem dienst zu befürdern.
Erkanndt, soll sich geschrieben geben.

(p. 331-v) Sambstag den 4. Januarÿ 1634 – Ganthkäufflers stell Zu ersetzen
Herr Stedel proponirt, die herren deputirte In der Contributions Cass hatten gestrigs tags der Stattrichter beschicken lassen, vnd Ihne befragt, warumb Er bißhero wider die Schatzungs seümige mit der Execution nicht, wie Ihme anbefohlen, verfahren ? der hatte under anderen damit sich entschuldigt, das ane des verstorbenen Ganthkäufflers stell noch kein anderer verordnet worden, dahero verabschiedet daß bißnechst künfftig Montag das geschäfft für herrn Rhät vnd XXI Zur wahl gebracht vnd daselbst einer geordnet werden solle, dieweilen nun der Außschutz in dieser stub pfleg gemacht Zu werden, Alß solle er obnicht für dießmal selbig vorzunehmen.
Erkandt, herr Stedel wird herr Schoner geordnet, die sollen ein Aufschutz machen, mögen der Schneider Rhatherren Zu sich Ziehen.
[in margine :] Ersetzt. Mont. den 6. hujus ist beÿ herren rhät und XIII thobias Roth der schneider zu einem ganthkeuffler erkosen worden.

Nomination par les Conseillers et les Vingt-et-Un
1633, Conseillers et XXI (1 R 115)
Ganth Käuffler stell, Heinrich Schmidt und Tobias Roth. 272. Hanß Schleiffenheimer. 274. Tobias Roth erwählt. 297.
(f° 272) Montags d. 25.t Novembris – Heinrich Schmidt und Tobias Roth p.th. melden sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. sollen sich geschrieben geben. H: von Fridoltzh. v. Bätz

(f° 274) Sambstags d. 30.t Novembris – Hanß Schleiffenheimer meldet sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. soll sich geschrieben geben, sollen auch Ober: vnd Rhath: auff d. Zünfft noch ein mahl deßweg. umbkunden laßen. H Grünwaldt Vnd Werner.

(f° 297) Montags d. 6. Januarÿ – Zu einem Ganth Käuffler ist nach gewohnlich. vmbfrag p. majora erwählt worden Tobias Roth

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock, assesseur au Grand Sénat

1651 (12. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 314-v
Erschienen Tobias Roth der Ganth Käuffler alhie
hatt in gegensein H. Daniel Steinbocken E.E. großen Raths Beÿsitzers alhie – schuldig seÿen 17. lib
Underpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie ahne der obern Straßen gegen d. Glocken hienüber, einseit neben H. Bastian Kugler E.E Kleinen Rhats alten Beÿsitzern, and. seit neben hannß Waltz. deß Weißbecken Erben, hinden vff (-) stoßend geleg., so zuuor verhafftet vmb 100. fl. dem mehren Hospithal, Mehr 4. fl. Wehr. lößig mit 100. fl. besagte Wehr. dem Stifft St Margareth. alhie, Item 2 fl. dem Stifft St. Marx ablößig mit (-) Vnd dann Vmb 100. fl. Kauffschillingß Rest weÿl. Jacob Geßesohns seel. Kind. Und Erben

Tobie Roth et ses quatre enfants passent une convention au sujet de l’héritage de leur femme et mère respective

1651 (22. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 644
Erschienen H Tobias Roth der älter Ganthkäuffler an einem,
So dann Tobias Roth d. Schneid. Ferners Catharina Rothin mit beÿstand hannß Jacob Erlen deß Schneiders ihres Ehevogts, Weiters Anna Maria Rothin mit beÿstand Michael Schiffers deß Streelmachers ihres Ehevogts, Mehr H M. Joh: Carl Roth SS Theol. Stud. mit beÿstand hannß Martin Sarburgers deß Schneiders seines Curatoris am andern, Und beede theil mit beÿstand H Johann Christmann Merckhlin und H M. Josephi Scherbaums beed. alß vß EE. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
haben bekannt, waß maß. Sie sich über dem Mütterlich. Guth mit einand. berechnet, und Sie die Kind. sich umb den Rest der gestalt außkauffen laß. daß nemlich. deß sohns Tobiæ (…) Annæ Mariæ 25. lib. aber in den Gemachen der Vätterlich. alhier in der Oberstraß. gelegenen Behaußung biß daß hauß verkaufft wird, welch. fallß der dannzumahlig hinderstand der dochter alßbald; vom Angelt erlegt werd. woll:/
[in margine :] Erschienen Michael Schiffer der Streelmacher alß Ehevogt Annæ Mariæ Rothin hatt in gegensein Tobiæ Rothen seines Schwähers bekannt, demnach Sie die beÿde Eheleuth bißhero die Gemach der hieringedachter behaußung genutzt Undt alß ihres gehabten Außstand der 25. lb ahne der Mütterlichen Verlaßenschafft, wegen berührter Nutzung Verseßen deßwegen keine Ansprach mehr diß orts ihres Mütterlich. guths haben hette (…) Actum d. 21. Aprilis Anno 1655.

Tobie Roth se remarie en 1651 avec Ursule Rupp, veuve de Luc Jelinger, employé à l’accise
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97)
1651. Dnca 26. Trinit. 23. Nou: Tobias Roth der Gandtmeister alhier fr. Ursula Lucæ Jelingers Ungelters hinderlaßene Widtweh, Mont. 1 Decemb. (i 98)

Fils d’interprète à la porte de Cronenbourg, l’imprimeur Luc Jelinger épouse en 1617 Ursule Rupp, fille du fournier Joël Rupp
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 16 f° 115)
1617. den 21. Julÿ seind ehelich eingesegnet worden Lucas Jelinger der Buchtruckher, Lucæ Jelingers des burgers und dolmetschen am Cronenburger thor alhie Sohn, Vnd Jungfraw Ursula Ruobin, Jöel Ruob des haußbeckhen Vnd burgers alhie tochter (i 123)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 143) 1617. 21. Julÿ, n° 35, Zu S Claus. Lucas Jelinger der Buchtruckher, J. Ursula, Jöel Rub des hausbeck. Tochter (i 148)
Fils Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56) 1641 Mariage, cathédrale (luth. f° 509) 1647

Ursule Rupp fait dresser l’inventaire de ses apports. L’actif s’élève à 502 livres, le passif à 114 livres
1651 (9. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 22) n° 13 (1091)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung so die viel Ehren vnd Tugendsame fraw Ursula Ruppin Zu dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Tobia Rothen geschwornen Ganthhauß Käufflers Ihrem Jetzigen haußwürth in den Ehestand gebracht, welche der Ursachen weilen in Ihrer beeder auffgerichteten Eheberedung versehen, daß einem Jeden Ehegenächdt oder seinen Erben ein Unverändert undt vorbehaltenen gutt sein solle, vndt man sich vff alle begebende fall der erg. halben besto beßer werdt Zu reguliren weißen – Actum vnd angefangen Im fernerer gegenwertigkeit Tobiæ Rothen deß Ehevogts selbsten Ludwig Lungen des Schwartzbeckens, als ehevogts Jungfr. Annæ Mariæ Jelin vndt Johannis oswaldt Farrenschon als Ehevogts Ursulæ Jelin beed. d. fr. in erster ehe erzeugter döchtere, den 9.ten Decembris Anni 1651.
Uff der Öbersten Bühnen, Uff der Andern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, vor der Cammer C, In der Wohnstub, Inn der Kuchen
Schulden aus der Nahrung, Item vermög Inventarÿ vber wÿland Lux Jelein der fr. ersten hauswürths seeligen Verlaßenschafft vffgerichtet (…)
Abzug Inn dißes Inventarium, Sa. des haußraths 426, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. frucht Vnd Meels 6, Sa. vyhes 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener ring 21, Sa. d. baarschafft 26, Sa. Schuld. 7, Summa summarum 502 lb – Schulden 114 lb (Nach deren Abzug) 388 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 491 lb

Tobie Roth sollicite auprès des Quinze l’autorisation de vendre des meubles hors des exécutions forcées parce que le revenu de ses fonctions est très faible. Les Quinze refusent après avoir consulté le greffier parce que la requête contrevient au règlement des commissaires priseurs.
Tobie Roth sollicite en novembre le poste de sergent des Quinze.

1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
Tobias Roth [umb Fünff Zehen Knecht dienst]. 254. vid: plura Ganthkäuffler. Ganthkäuffler. 200. 211.
(f° 200) Sambst. den 28. Aug. – Tobias Roth d. Ganth Käuffler, pd. Supplication auch andern Leuth, mobilien feÿl haben vnd verkauffen möge.
Erkandt, H. Kipß vnd H. Pfitzer sollen die Sach bedencken.

(f° 211) Mittw. den 10.t 7.bris – H. Kipß vnd H. Pfitzer laßen per H. Frantzen, referiren, Sie hetten vff MH. Erkandtnuß supra fol: 200 zwar Von deß Ganth Käufflers Tobiæ Roth. petito gered, auch darüber H. Riehlen den Stattgerichts Actuarium Vernehmen, Wiewohlen nun nicht ahn daß deßen Verdienst anietzo sehr gering in dem Wenig executions sachen ane der Ganth verkaufft werd. so seÿe Er aber ane dem, daß d. Eine begehren Clar Wid. die Ganthordnung lauffe, vnd für daß and. Ihme Eine addition Zuschöpffen, wegen d. bößen consequetz gar nicht thunlich. V.meinen dahero Deputirte Herren daß Supplicanten beede begehren abzuleinen seÿen.
Erkandt, Würdt gefolgt, kann hingegen Zu d. ietz vaciren. Portnerstell im Spittal recommendirt werd.
[in margine :] Mont. d. 13. dito Ihme bescheid angezeigt

(f° 254-v) Sambst. den 6. 9.bris – Tobias Roth der Ganth Käuffler p. E. übergibt Supplication bitt gleiches gestalt vmb den vacirenden Fünff Zehen Knecht dienst. Erkandt, Zu bedacht gezogen.

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison sise en face de la brasserie à la Cloche au profit de Jean Léonard Frœreisen, assesseur au Petit Sénat

1659 (23. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 628-v
Erschienen H Tobias Roth d. Ganth Käuffler
in gegensein H Johann Leonhard Fröreisens EE Kleinen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 25 Pfund
Unterpfand sein solle hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen, alhie ahne der Obern Straßen, geg. dem Bierhauß Zur Glockh. hienüber, einseit neben Ulrich Greiners dem weißbeckh, anderseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmid. hind. vff Andres Stigler den weißbeckh. stoßend gelegen davon gehend iahrs 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. berührter Wehr. dem Closter St. Margareth. und Agneß., Item j. lb. dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx, So seÿe solche Behaußung auch noch umb 50 lib. dem mehrern Hospital, Und umb 50. lib. H Hannß Peter Schmid. E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers, verhafftet

Anne Marie Roth femme du peignier Michel Schiffer vend son quart de maison à son frère Tobie Roth (le fils), commissaire priseur

1663 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 421-v
Erschienen Anna Maria, Michael Schüffers des Strählmachers Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Tobiæ Rothen deß Ganth Käufflers ihres eheleiblich. Bruders
ihren Vierten theil deroselben für ohnvertheilt gebühren ahne Hauß höfflin hoffstatt und allen übrig. deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an der Obern Straßen gegen dem Bierhauß zur Klockhen hinden einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt anderseit neben Ulrich Greiners dem Meelmann hinden uff Andres Stiglern den Weißbeckhen stoßend geleg., von welcher gantzen Behaußung gehend iährlich uff Andreæ j. lb ewigß erschätzigß Zinnß dem gemeinen allmusen Zu St Marx, Item 4. fl. straßb. wehrung uff gedachten termin lößig mit 100. fl. besagter Wehrung dem Closter St. Margarethæ und Agneßen, so seÿe solche Behaußung auch noch umb 50. lb dem Mehrern Hospital, Item umb 50. lb d H. Johann Peter Schmidten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers So dann umb 17. lb der Statt Müntzen verhafftet (pro rato übernohmen) – umb 4 lb

Tobie Roth et Catherine Roth femme du tailleur Jacques Ehrlé vendent la maison au chapelier Simon Hollænder

1667 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 189-v
(Prot. fol. 10.) Erschienen Tobias Roth der Ganthmeÿster für sich selbsten, und Catharina Rothin hannß Jacob Ehrle des schneiders eheliche haußfraw, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Simon Holländer des Huotmachers mit beÿstand H Hannß Ludwig Griesbachß des Plaÿchers seines Vettern
hauß hoff hoffstatt bronnen, mit allen deren Gebäwen begriffen Zugehörten Rechten und Gerechtigkeiten alhie ahne der Obern straßen, gegen dem bierhauß Zur Klockhen hienüber, einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greinern dem Meelmann hinden uff Jacob Graffen den weißbeckhen stoßend gelegen, dauon gehen iahrs 4 fl. Straßburg. wehrung termino Andreä lößig mit 100. lb gemelter wehrung dem Closter St. Margarethen und Agneßen allhie 1 lb ewig. und bermög dißer Statt Constitution mit 25. lb ablößigs gelts Jährlich termino Andreæ dem großen gemeinen allmosen Zu St Marx 2 lb 10 ß Jahrs uff Annunciat. Mariæ wid.käuffig mit 50. lb dem Mehren Hospithal, 2 lb 10 ß Jährlichen vff Mariæ Verkündigung lößig mit 50. lb H Hannß Peter Schneidern E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzern und 17 ß termino Martini lößig mit 17. lb der Statt Straßburg und dann j. lb 5 ß Jahrs uff Adolphi H Johann Leonhard Fröreißen E. Ehr. Großen Rhats Verwanthens

Fils de chapelier, Simon Hollænder épouse en 1661 Anne Madeleine Rœderer, fille de tondeur de draps
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125-v, n° 6)
1661. Simon Holänder der hutmacher, hannß Michael Holänders burgers u. hutmachers nachgelaßener sohn, v. J. anna Magdalena H Christoph Röderers tuchscherers ehel. tochter, Copulirt d. 12. Martÿ (i 127)

Anne Madeleine Rœderer se remarie en 1671 avec le chapelier Jean Martin Wetzel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 150-v, n° 44)
1671. Hannß Martin Wetzel der ledige hutmacher Vnndt Anna Magdalena, Simon Holänders des hutmahers hinterl. W., Mont. 6. Nov. (i 152)

Jean Martin Wetzel et Anne Madeleine hypothèquent la maison au profit d’André Brackenhoffer le jeune

1672 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 474
Hannß Martin Wetzel der Huetmacher und Anna Magdalena sein Eheweib, und Zwar dieselbe mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig- Weÿsen herren Clauß Conrad Schachen und Herren Jonæ Andreßen Von Veßenheim beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter
in gegensein Herren Andreæ Brackhenhoffers deß Jüngern – schuldig seÿen 100. Pfund pfenning
Unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier ahn der Obern Straßen Gegen dem Bierhauß Zur Glockhen hinüber, einseit neben Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greiner dem Mehlmann, hinden uff Jacob Graffen den Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Birckels deß Kieffers alß ietzmahlig. besitzers deß hierinn Verpfändeten haußes (quittung) Act. den 14.ten Xbr. 1688

Héritier pour moitié de son père Simon Hollænder, le chapelier Georges Hollænder qui a l’intention de s’établir en Franconie cède ses droits successoraux à Jean Martin Wetzel et à sa femme, veuve dudit Simon Hollænder

1674 (20. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 672
Erschienen hannß Georg Holländer der Huetmacher, so sich Zu Wintzenheim in Franckhen burgerlich niderzulaßen gewillet
hatt in gegensein hannß Martin Wetzels deß huetmachers alß ietzig. Ehevogts Annæ Magdalenæ Rödererin, weÿl. Simon Holländers deß huetmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand andres Dierbachß auch huetmachers ihr Annæ Magdalenæ geweßenen Vogts
bekannt Wiewohlen Er Hannß Georg Holländer alß ex semisse Erb gemelten Simon Holländer seines eheleiblich. bruders Vermög des durch herrn Johann Jacob Stichen dem Notarium uffgerichteten Inventarÿ fol. 39. fac. 2. detractis detrahendis 104. lb 16. ß 1 1/8 d geerbt (Außkauff)

Jean Martin Wetzel et Madeleine Rœderer hypothèquent la maison au profit d’Ulric Greiner. En marge, quittance remise au tonnelier Jean Georges Birckel, propriétaire de la maison en 1689

1677 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 743-v
Martin Wetzel der Huetmacher und Magdalena Rödererin sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Lienhard Röderers deß Rothgerbers und hannß Christoph Dürbachs deß huetmachers, beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein H. Ulrich Greiners – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren gebäwen Rechten und Zugehördten alhier ahne der Obern Straß einseit neben H. Sebastian Kugler der Statt Kupfferschmidt, anderseit neben hannß Georg Müller dem Weißbeckh, hinden uff Jacob Graffen auch Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Bürckel deß Kieffers alß ietzig. possessoris deß zu unterpfand verlegten behaußung (quittung) d. 28. febr: 1689

Madeleine Rœderer veuve de Jean Martin Wetzel se remarie en 1680 avec le chapelier Daniel Schwebel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 17)
1680. Eodem [14. Martÿ] Daniel Schwäbel lediger hutmacher Thomas Schwäbels burgers v. gastgebers hinterl. ehl. Sohn, Fr. Magdalena hans Martin Wetzels hinderlaßen. W. (i 187)

Daniel Schwebel vend la maison au fondeur de pichets Jean Füssel assisté de son beau père fournier Léonard Maurer

1685 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 468-v
Daniel Schwebel der huetmacher
in gegensein Johann Füeßels deß Kandtengiessers mit beÿstand lienhard Maurers deß alten haußfeurers seines Schweher Vatters
eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen andern deren Gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der langen Straßen einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hinden uff lienhard Maurers deß jüngern Weißbeck hinderhauß stoßend gelegen, welche behaußung annoch dem Closter St: Margarethen und Agneßen umb 100 fl. Item (umb 50 fl, Item umb 200. fl, So dann umb 200 fl. verhafftet) – umb 300 fl.

Fils de fondeur en étain, Jean Füssel épouse en 1678 Apollonie Maurer, fille de boulanger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79, n° 465)
1678. Eodem [Dom. 16. et 17. Trin. den 15. v. 22. Sept] Johannes Füeßel d. ledige Zinngieser Hn Anthonÿ Füessels burgers v. Zinngiessers ehelich. Sohn, Jfr. Apollonia H Leonhardt Maurers burgers undt Schwartzbeck. allhier eheliche Tochter. Cop. St. Thomæ d. 26. sept. (i 41)

Jean Füssel hypothèque la maison au profit de son beau père Léonard Maurer

1686 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 105
Johann Füßel burger und Kantengießer
in gegensein Leonhard Maurer deß ältern, burgers und hauß feurers seines Schwehervatters – schuldig seÿe, 320 fl.
unterpfand,eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen andern deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier in der langen Straßen, einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbecken, hinden auff Lienhard Maurers deß jüngern, welche behaußung annoch dem Closter St. Margarethæ und Agneßen umb 100 fl (…) verhafftet

La maison revient ensuite au créancier Léonard Maurer. Fils du prévôt de Meissenheim en Bade, Léonard Maurer épouse en 1643 Agnès Brantzy, fille de secrétaire

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 284-v)
1643 Eadem [Domin. I. Trinit. 4. Jun:] Leonhard Maurer Beck, Paul Maurers, Schultheÿß. Zu Meißenheimb Ehelicher Sohn, Jungfr. Agnes, Johann Oßwald Brantzÿ, Musterschreibers vnndt Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet Montag d. 12. Jun: St. Thoman (i 291)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 466) 1643. Domin. I. Trinitatis. Leonhard Maurer der Beck, Paulus Maurers deß Schultheißen von Meißenheim ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Agneß, Hanß Oßwald Brantzÿ, deß Musterschreibers Vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet zu St. Thomâ Mont. 12. Junÿ (i 238)

Léonard Maurer devient bourgeois quelques jours après son mariage
1643, 4° Livre de bourgeoisie p. 216
Lienhard Maurer Von Maißenheim der Beckh empfahet daß Burgerrecht Von seiner Haußfrawen Agnes Hannß Oßwalds Brantzÿ deß Musterschreibers alhie Tochter vmb 8 Goldt fl. ist ledigen stands geweßen und Würd Zu den Beckhen dienen. Jur. den 17.ten Junÿ 1643.

Léonard Maurer, assisté de son fils Léonard Maurer le jeune, vend la maison au tonnelier Georges Birckel.

1688 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 242
Lienhard Maurer der ältere, haußfeurer mit beÿstand Lienhard Maurer deß jüngern seines leiblichen Sohns
in gegensein hans Georg Birckel deß Kieffers
Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeiten allhier in der langen straßen, anderseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken hind. auff obged. lienhard Maurers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 100 fl. (Ferner umb 50 fl, Mehr umb 200 fl, So dann umb 200 fl. Capital verhafftet), geschehen um 150 Gulden

Fils de blanchisseur, Jean Georges Birckel épouse en 1687 Anne Madeleine Lentz, fille de revendeur
Mariage, Saint-Guillaume (luth. 179, n° 18)
1687. Dom. XIII. et XIV. Tr. Hannß Georg Bürckel der ledige Kieffer, Hn Caspar Bürckels des Bleichers vndt Burgers alhier ehelicher Sohn, vndt J. Anna Magdalena, Wld. Hrn Ludwig Lentzen, deß krempen vnndt B. alhier, nachgelaßene eheliche Tochter. W. d. 3. Sept. (i 110)

Marthe Meyer veuve du garçon batelier Jacques Hassler conclut un contrat alimentaire avec le blanchisseur Jean Georges Birckel. En marge, annulation du contrat après que Jean Georges Birckel a quitté sa femme Anne Madeleine Lentz
1694 (31.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 493
Martha gebohrne Meÿerin weil. Jacob Haßlers gewesenen Schiffknecht sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn David Andres deß Schiffmanns E:E: kleinen Raths alt. beÿsitzers Ihres Vogts, wie auch Philipß Haßlern des Tabacbereiters, Ihres leiblichen Sohns, an einem
So dann hans Georg Birckel, dem bleicher, am andern theil,
haben angezeigt und bekandt, daß Sie folgendes Leibgeding aufrichtig und wolbedächtich mit einander abgeredt und beschloß. haben, Nemblich und für das Ersten So verspricht Er Birckel Sie Haßlerische wittib die noch übrige Zeit Ihres lebens beÿ sich zu behalten (…)
[in margine :] Erschienen hier inn gemelte Haßlerische Wittib, beÿständlich hierinn bemelten Hn Andres ihres Curatoris an einem, So dann Anna Magdalena gebohrne Lentzin hierinn ged. hans Georg Birckels Verlaßene haußfrau, mit beÿstand Johann Bernhard Brand des Weißgerbers, ihres geschwornen Vogts am andern theil, haben angezeigt und bekandt, demnach ged. hans Georg Birckel ausgetretten und Sie Annam Magdalenam seine bemelte haußfrau Verlaßen, auch deßen Nahrung zur Falliment gekommen, alßo das Sie Birckelische frau ihre Haußhaltung selbst quittiren, und sich anderwertlichen in diensten geben müßen und deßweg Ihro das hierinn Verschriebene leibgeding und vergleich wozu sie ohne dem nit Verbinden war, auszuhalten unmöglich gefallen, alß hatten Sie beede theil (ged. Leibgeding cassirt), den 15. Januarÿ 1697

Jean Georges Birckel et Anne Madeleine Lentz vendent la maison au cloutier Jean Versch, assesseur au Grand Sénat, et à sa femme Anne Marie Rœmer

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 348-v
hans Georg Birckel der Kieffer und Anna Magdalena gebohrne Lentzin [unterzeichnet] hanß Goerg bürckel, Anna Magdalena bürcklin
in gegensein Hn. Johannes Verschen, deß Nagelschmids, und E.E. Großen Raths beÿsitzers, und Annæ Mariæ gebohrner Römerin
Eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit. allhier an der lang. Straß einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hind. auff lienhard Mauers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg. welche behaußung umb 100 gulden (Item umb 100 gulden Capital, Ferner umb 50 gulden Capital, Mehr umb 200 gulden, So dann umb 150 gulden Capital verhafftet) – geschehen umb 595 gulden

Jean Versch et Anne Marie Rœmer hypothèquent la maison au profit du marchand Frédéric Spielmann pour régler le prix d’achat et les réparations

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 350
Hn. Johannes Versch, d. Nagelschmidt, und E.E. Großen Raths beÿsitzer, und Anna Maria gebohrne Römerin
Hn Friderich Spielmanns, deß handelßmanns und ged. Ers. Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 350 pfund, Ihnen Zu Erkauffung und reparation hernach bemeldter behausung
unterpfand, Eine behaußung perge uß immediate vorstehend. Verschreibung

Jean Versch et Anne Marie Rœmer se lèguent mutuellement la propriété de leurs biens
1692 (13.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Herr Johann Versch E.E. Großen Raths alter beÿsitzer und Fraw Anna Maria Römerin
persönlich erschienen und kommen seindt der Ehrenvest fürsichtig vndt Weiße, Herr Johann Versch E. E. Großen Raths alter beÿsitzer, undt beneben Ihme die viel Ehren: undt tugendreiche fraw Anna Maria Römerin, beede Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg durch die Gnadt Gottes des Allerhöchsten gesundt, gehendt undt stehender leiber, richtiger sinnen, guten verstandts vndt vernehmlichen Reden (…)
Über dieses vndt drittens weilen die Einsatzung der Erben eines Jeden im Rechten Gültigen Testaments undt Grundveste ist (…) als wolten beede ernants Testirendte Ehegemächt Ihre nach Gottes willen künfftig erziehlendte Kinder hiemit Zu Ihren rechtsmäßigen Erben benannt und eingesetzt, vnd solchen falls das erststerbende dem letslebendten den usumfructum omnium bonorum Zeit lebens Zugenießen verordnet undt verschafft haben, wann aber der Herr Testator vor seiner lieben ehelichen haußfrauwen ohne kinder versterben würde, so will derselbe gedachte seine liebe eheliche haußfrau über abzug gemelten Legats Zu seiner ohnzweiffelichen Erbin hiemit instituiren undt einsetzen, dagegen aber will die fraw Testireren im fall dieselbe Vor angeregten Ihren Lieben Eheherrn ohne hinterlaßung ehelicher Leibs Erben mit todt abgehen würde, daß derselbe Ihr, Ihrer gantzen Verlaßenschafft nichts davon als das gesetzte Legat außgenommen, beliebiger und angenohmer Erb seÿn und Ihme hiemit Zum Eÿgenthumb vermacht seÿn solle.
So beschehen in Straßburg, Sonntags den 13. Aprilis Anno 1693 [unterzeichnet] bekenne ich Johannes Versch Wie oben steht, ana maria römerin
Ist vorgangen nachmittag Zwischen ein undt Zweÿ Uhren in beeder Testirendter Eheleuth eÿgenthümblichen wohnbehaußung in der Mitlern Straßen Zwischen dem Bierhauß Zum Bähren und den Steinern brückel in der vordern Stuben ein gaden hoch, an gedachte Straß außsehendt.
(Protholollum secundum,1 AH 6295)

Jean Versch hypothèque la maison ainsi qu’une autre au profit le la fondation Nicolas Adolphe. Selon la mention marginale, le docteur en médecine Jean Charles Hammerer a acquis l’obligation au profit de la fondation dans la masse du débiteur relégué

1693 (5.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 13
H. Johann Versch der Nagelschmid, und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer
H. Philipß Küblers, und H. Michael Fausten beeder ged. Ers. Raths respect. würcklich und alt. beÿsitzer, alß Testamentariorum der Nicolai Adolphischen Stifftung, mit beÿstand Johannis Kitschen Not. Publ. ged. Stifftung Schaffners, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hind.hauß und den hoffstätten mit allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier in d. Obern Straß. einseit neben weil. H. Sebastian Kuglers, gewesenen Statt Kupfferschmidts sel. Erben, anderseit neben (-) dem weißbeck. hind. auff Lienhard Maurer den weißbeck. stoßend gelegen
So dann eine behaußung, höfflein und dero hoffstätten auch allen übrige deren gebaüen, Recht. und Zugehörd. einseit neb. hans Martin Weißmantel dem Schloßer, anderseit Sebastian Fischer dem würth zum Rebstock, hind. auff Ludwig Kuchel dem Küffer, stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein H. Johann Carl Hammerers, Med. Doctoris, angezeigt und bekandt, demnach der hierin gemeldt. debitor relegirt word. und deßen Nahrung Zum falliment gekomm., alß hätten die HH. Testamentarÿ Ihme H. d. Hammerer all der Nicoli [sic] Adolphischen Stifftung auß vorstehender Verschreibung bißher gehabte jura absq. novatione cediert – umb 25 pfund, den 20. 7.bris 1695

Jean Versch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer. En marge, cautionnement d’Anne Marie Rœmer, femme du débiteur

1693 (24. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 641-v
H. Johannes Versch, der Nagelschmid und E.E. großen Raths alter beÿsitzer
H. Johann Carl Hammerers, Med. Doct. – schuldig seÿe 250 pfund, Ihme Zu erkauffung einer Parteÿ Eisens
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Rexcht. Und Zugehördt, allhier an der langen Straß, einseit neb. Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbeck., hind. auff lienhard Maurers deß jüngern weißbeck. hind. hauß
[in margine :] (…) deßen Zu mehreren Versicherung ist hierbeÿ persönlich Erschienen Fr. Anna Maria gebohrne Römerin, deß H. Debitoris Eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Georg Bembergs und H. Friderich Wilhelm Schmucken bed. E.E. Großen Raths beÿsitzer und an statt nächster Verwanthe hierzu insond.heit deputirter – den 12. 8.bris 1693

Les Quinze refusent d’autoriser le manant André Roland, ancien soldat, à ouvrir une nouvelle auberge dans la maison qui appartenait à Jean Versch et que lui a louée Jean Charles Hammerer pour ne pas multiplier le nombre d’auberges. Le pétitionnaire pourra cependant reprendre une ancienne auberge.

1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
André Roland pt° Weinschancks
(f° 381-v) Sambstags den 5. Decembr. 1699. André Roland pt° Weinschancks
André Roland der Schirmer per G. bittet unterth. ihme den Weinschanck in der straß Zu treiben gn. Zu erlauben. Erk. ut supra [an die Obere Ungeltssh. Gewießen]

(f° 407) Freitags den 18. Decembr. 1699. André Rouland pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltssh.] laßen per Herrn Friden Proponiren daß André Rouland der Schirmer vmb den weinschanck in einem hauß in der straß, so vorhin Johann Verschen den Nagelschmidt zugehört, angehalten undt alß man selbigen Weiters angehört, beditten daß er vormahls ein Soldat geweßen, vor 2. jahren aber congedirt worden, und anietzo im Schirm seÿe, wie deßen vorgewießener Schirm Zedul bezeügte, mit dem beÿsatz, daß H. Dr. Hammerer ihme gedachtes hauß verlehnet, vnd Er denenselben monath. 5. Rthlr Zinß daraus geben müßte, Er habe auch Zu New Breisach ein hauß gebawen, undt sich alda zu ernehren Vermeint aber nicht zu recht gekommen können.
Wobeÿ man sich errinnert, daß es jüngstens die meinung gehabt, daß man kein new würthshauß mehr auffrichten solle, vndt weilen dießes ein newes abgebe, und die gantze straß mit würthhäußern angefüllt, auch die Generalität öffters geklagt daß man iedermann den weinschanck willfahre, So hette man auf seithen der Herren Deputirten dafür Gehalten, daß Implorant mit seinem Begehren abgewießen, wan er aber ein Altes Würthshauß finden würde, alß dann willfahrt werden könte. Erk. Bedacht gefolg.

La maison revient ensuite au créancier Jean Charles Hammerer. La veuve la vend en 1707 au musicien Jean Kræutler et à sa femme Marie Salomé Ebinger

1703 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 489-v
(500) Hr. Joh: Greuhm apothecker alß Curator weÿl. p. Hn. Joh: Carl Hammerers geweßenen Medicinæ Dris u. practici Frn. wittib
hatt in gegensein Joh: Kräuttlers Musicanten u. Mariæ Salome geb. Ebingerin
eine behaußung, Hoff, Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit. allhier in der langen straßen einseit neben Joh: Sebastian Kuglern Statt kupferschmidten anderseit neben Joh: Erhard Metzen weißbecken hinten auf Lienhard Maurers jun: weißbeckers behaußung stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig u. eÿgen, maßen die Fr. verkäufern in specie promittiret sich mit dem Pfthrn wegen ahn solches hauß forderender Zinß abzufinden – um 500 pfund

Fils d’un censier de Duntzenheim, le musicien Jean Kræutler devient bourgeois en 1695 à condition de n’épouser qu’une fille de bourgeois
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1156
Johannes Kreütler, der ledige Spielmann Von Duntzenheim, Weill: Joh: Diebold Kreütlers Gew: Meÿers daselbst hinterl. Ehl: sohn, erkaufft das Burgerrecht p. 2. gold fl. Vnd 16 ß. so bereits Auf dem Pfenningth: erlegt worden, doch mit dieser Condition daß wann Er künfftig sich Verheurathen solte, eine burgers tochter nehmen solle, vnd Wird Zu E E Zunfft der Möhrin dienen, Jur. d. 27. April 1695.

Jean Kræutler épouse en 1698 Marie Salomé Ebinger, fille d’apprêteur de tabac : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachteen Herrn Johann Kreütler dem Musicanten und burgern allhern Weÿl. Dieboldt Kreütlers gewesenen Meÿers Zu Duntzenheim mit Margaretha Sentzin seiner hinderlaßenen wittib Ehelich erziehlten Sohn, alß bräutigamb, So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauwen Maria Salome, deß Gegenwärtigen und Wohlvorgeachten herrn Hannß Michael Ebingers Tabackbereiters vnndt Tugendbegabten frawen Sophia Veronica Moscheroschin seiner Ehelichen Haußfraw ehelich erziehlten Tochter alß Hochzeiterin andern Theils – Zue Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 88,n° 454)
1698. Mittw. d. 6. Aug. wurd. nach 2.mahl. außruffung copulirt Johannes Kräutler d. B. v. Musicant allhiern Weil. dieboldt Kräutlers, des geweß. B. v. Meiers Zu Duntz.heim Gräffl. Hanaw. hschafft nachgelaß. ehl. sohn, v. Jf. Maria Salome, Johann Michael Ebingers des B. v. tabackbereiters ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes kreitler als hochzeiter, Maria Salome Ebingerin als hochzeiterin (i 87)

Le musicien Jean Kræutler sollicite auprès du conseil des Tonneliers le droit de servir de l’eau de vie. Il devient cotisant à cet effet.
1705, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 391) Mittwochs den 23. Decembris Anno 1705 – Johannes Kräutler der Musicant erschien auf Vorgebott, wegen des brandenweins außschenckens, deme wurde beditten, weilen Er Brandenwein außschenckhet, daß Er sich allhier geld zünfftig machen muß, worzu er sich dann Verstanden, Versprach demnach die gebühr, dem H. altschaffner neml. 2 lb 1 ß 6 d und für Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d

Marie Salomé Ebinger meurt en 1725 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre au veuf s’élève à 17 livres, celle des héritiers à 552 livres. L’actif de la communauté s’élève à 786 livres, le passif à 718 livres.

1725 (11.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 92) n° 312
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿl. die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Kräutlerin geb. Ebingerin, des Ehren und Vorgeachtenn Herrn Johann Kräutlers, des Musicanten und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel., als dieselbe Sambstags den 16. Junÿ dießes Lauffenden 1725.sten Jahrs dießer Welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Johann Michael Kräutler, ledigen Kunst: und Silberdrähers, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, ingleichem des Ehren: und vorgeachten herrn Johann Georg Holderers Kiefers und Weinhändlers, auch burgers allhier Zu Straßburg hier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Johannis der Kräutler, alßo aller dreÿen der in Gott ruhenden Frauen seel. mit vorgedachtem Herrn hinderbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zugleichen portionen und antheilern Verlaßener Erben inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 11.ten Augustj Anno 1725.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Auf der Bühn, In der Cammer A, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Untern Stub, Im Keller, In der Soldaten Cammer
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, eins. neben herrn Johann Kugler dem ältern, Statt Kupfferschmid, anderseit neben Mr Johann Erhard Metzen dem weißbecken, hinden auf Hn Johann Daniel Berger den handelsmann stoßend, so freÿ Ledig eigen und dh. (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 2. Augusti 1725. angeschlagen 650. lb. Darüber sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff in allhießig. C Contract Stub gefertiget und mit deroselben anh. Ins. verwahret de dato 17.ten 9.bris 1703. Dabeÿ ferner 2. alte perg. Kauffbrieff auch in ermelter C Contract Stub auffgerichtet und mit dero anh. Ins. corroboriret de datis 13.ten 7.bris 1685. et 14.ten Aprilis 1691.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter Beder geweßener Eheleuth einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch hern Notarium Johann Jacob Grünwald nunmehr seel. in Anno 1698. auffgerichtet.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 3 ß, Sa. Musicalischer Instrumenten 1, Sa. Silber geschmeids 2, Sa. baarschafft 1, Sa. ergäntzung (88, abgangen 1,Rest) 87, Summa summarum 92 lb – Schulden 75, Nach solchem abzug 17 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 48, Sa. Silbegeschmeids 3, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (422, abgang 1, Rest) 420, Summa summarum 552 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 84, Sa. Musicalischen Instrumenti 1, Sa. grempen wahr 5, Sa. Lährer Vaß 6, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 18, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 650, Summa summarum 786 lb – Schulden 718, Nach solchem abzug 68 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 638 lb
Eheberedung (…) Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.
Abschatzung d. 2.t aug. aô 1725. Auff begehren des Ehren Vesten vnd vorachtbahren H. Johannes Kreÿdler Musicantt ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in den langen straß gelegen, einseits Neben hannß Geörg Metz Kremb, anderseits Neben Johannes Kugler statt Kupffeschmid, hinden auf H Berger gartenmann stosend, welche behaußung hindergebäwlein, Nebens gängel, Stuben, Cammern, Wovon eine mit thielen Unterschlagen, Soldaten Kammer, Zweÿ hauß Ehren, jede mit herd und waßerstein, Kremben gädlein, gewölbtes Kellerlein, höffel, bauchoffen, bronnen und trenckstein sambt allen gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Tausend und Dreÿ Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Kræutler hypothèque ses deux tiers de maison au profit de ses deux enfants mineurs

1727 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 302
Johannes Kräuttler der Musicus
in gegensein Johann Georg holder Kieffers sein Kräuttlers mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. Ewingerin erzeugte zweÿ Kinder Maria Salome und Johannes der Kräuttler geschwornen Vogts schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahn der obern straß, einseit neben Kugler dem Stattkupfferschmidt anderseit neben Erhard Metz den weißbecken hinten auff eben denselben – die übrige tertz aber deßelben sambtlichen dreÿ Kindern

Jean Kræutler loue la moitié de la cave au passementier Jean Philippe Kips

1729 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 380
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein Johann Philipp Kipß des Paßmentirers
in seiner in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem Weißbeck anderseit neben Gottfried Kugler dem kupfferschmidt gelegenen behausung, die helffte eines Kellers sambt darinn befindlichen 4 Faßen, darunter dreÿ jedes 40 Ohmen, das vierdte 30 Ohmen hält – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 9 gulden

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit du Corps des pensions

1730 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 33-v
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein des Corporis Pensionum H. Mitpfleger S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger, alten Ammeÿsters, Dreÿzehners und Scholarchæ – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einem Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten an der Obern straß, einseit neben weÿl. Johannes Kugler Statt kupfferschmidts wittib und Erben anderseit neben hannß Erhard Metz dem weißbecken hinten auff eben denselben – ihme zu zwo tertzen, seinen Kindern aber zu einem tertz eigenthümlich zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de Jean Ernest Beck, receveur de l’Université

1732 (12.2), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 65
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein H. Johann Ernst Beck als Schaffners der hohen Schuel – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehen in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Gottfried Kugler dem Kupfferschmidt hinten auff Johannes Groß auch Weißbecken – die übige tertz aber seinen kindern zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de la fondation Mauricienne

1733 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 365-v
Johannes Kräuttler Musicus
ST. H. Johann Michael Lorentz SS Theologiæ D. et Prof. Publ. auch Cap: Thomani Canonici als dermaligen rectoris Magnifici und S.T. H. Johannes Wieger JVD et Philosoph. Mor: Prof. publ: und Cap: Thom; Canonici als dermahligen Decani Facultatis Philosophiæ beeder als vorstehern der Mauritanischen Stifftung so dann in fernerer gegensein H. Philipp Jacob Oesinger des Schaffners ged. Stifftung – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, 2/3 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinder: hauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in der Obern: straß
es. Erhard Metz dem wittiben as. Gottfrid Kugler dem Kupfferschmidt hi. Johannes Groß auch weißbecken
ferner (die zum schwartzen Räppel genennten Gasthbehausung im dorff Schiltigheim)

Sa fille Marie Salomé Kræutler épouse en 1738 le musicien Jean Michel Braun : contrat de mariage, célébration
1738 (2.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 204
Eheberedung zwischen Herrn Johann Michael Braunen dem ledigen Spielmann, weÿl. herrn Johann Michael Braunen, gewesenen Spielmann und burgers allhier seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn, alß dem herrn hochzeitern, beÿständlich Hn Tobiæ Braunen des Musicanten und Hn Joh: Joachim Tornarius des Jüngern Kürßners beeder burgere allhie ane einem,
So dann Jungfr. Maria Salome Kräutlerin, Herrn Johann Kräutler Spielmann und burgers allhier eheleiblichn Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand ihres Vatters Herrn Joh: Georg Holders des ältern Weinhändlers Ihres Vogts und Hn Joh: Michael Kräutler Statt drehers Ihres bruders aller burgern allhier am andern theil
Actum Straßburg auff Mittwoch den 2. Aprilis Anno 1738 [unterzeichnet] Johann Michael Braun als hochzeiter, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 173)
1738. Mittw. den 4.ten Jun. seind nach ordentl außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Michael Braun Led. Musicus u. b. allhier weÿl. H. Johann Michael Braun, geweß Musici u. b. allhier nachgelaßener Ehl. Sohn, v. J. Maria Salome H. Johann Kräuttlers Musici u. b. allhier Ehl. T. [unterzeichnet] Johann Michael Braun, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1738 (13.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 25) n° 530
Inventarium über Herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und Frauen Mariæ Salome gebohrner Kräutlerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1738. – vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder Eheleuthe in deroselben gegenwarth fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehemanns geliebten Mutter und Joh: Joachim Tornarius des jüngen Kürßners dero Vogts und hn Frantz Heinrich Dautel Notarÿ des Ehemanns beÿstandts, ferner Hn Joh: Geörg Holderer, weinhändlers, der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, wie auch H Johann Kräutlers, Musicanten, deroselben Vatters und H. Joh: Michael Kräutlers, Stattdrehers, deroselben bruders, auff Freÿtag den 13. Junÿ A° 1738.

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du musicien Philippe Jahn

1740 (16.9.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 461-v
Johannes Kräuttler der jüngere Musicus so majorennis zu sein versicherte mit zuziehung seines vatters Johannes Kräuttler auch Musicus
in gegensein Philipp Jahn des Musici – schuldig seÿe 100 gulden
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende mütterlliche erbsportion so auff vorbemansten seines vatters behausung stehet, welche behausung alhier ahne der Langen straß einseit neben Hannß Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Johannes Kugler dem kupfferchmidt, hinten auff N. Berger handelsmann

Marie Salomé Kræutler meurt en 1741 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison de son père. La masse propre au veuf présente un déficit de 22 livres, celle des héritiers s’élève à 532 livres. L’actif de la communauté s’élève à 31 livres, le passif à 97 livres.

1741 (22.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 31) n° 631
Inventarium über Weÿl. Frauen Mariæ Salomeæ Braunin gebohrner Kräutlerin, herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1741. – nach ihrem den 11. Martÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren herrn Johann Michael Kräutler, Statt dreher und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Dorotheæ, der Verstorbenen seel. mit ihrem hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugten Töchterleins ab intestato nachgelaßener einiger Erbin, fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 22. Aprilis Anno 1741.
Copia der Eheberedung, perge in dem Prot. Extens. fol. 405.
Copia Codicilli, So die abgeleibte Frau seel. den 6. Martÿ A° 1741. Vor mir Notario auffgerichtet

Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft, wie sich solche in einer ane der Mittelen langen Straaß gelegenen, der Frau seel. Vatter gehörigen behaußung befunden.
Ergäntzung, des Wittibers abgegangen unveränderten Vermögens, Innhalt Concept Inventarÿ über beeder Eheleuthe zusammengebrachte Nahrungen durch mich Eingangs gemelten Notarium in A° 1738. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 13, Sa. Silbers 12, Sa. Ergäntzung 26, Summa summarum 52 lb – Schulden 75 lb, Compensando 22 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 358, Sa. Ergäntzung 27, Sa. Activ Schulden 75, Summa summarum 532 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 3, Sa. Activ Schulden 7, Summa summarum 31 lb – Schulden 97, In Compensatione 65 lb
Schluß Summ 444 lb

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du mineur Jean Daniel Kleinschrot

1741 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 411-v
Johannes Kräutller der jüngere Musicus, so 25 jahr alt zu seÿn declarirte, mit beÿstand seines vatters Johannes Kräutller auch musici
in gegensein H. Peter Hebeißen des barchet krämers als vogts Johann Daniel Kleinschrot des Paßmentirers Lehrjungen – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende Mütterliche erbs portion so auf seiner ermeldten vatters behausung stehet, welche alhier ane der langen straß einseit neben Johann Erhard Metz dem weißbecken anderseit neben Johann Kugler dem kupfferschmied hinten auff H. Berger dem handelsmann

Jean Kræutler hypothèque au nom de son père la maison au profit de Marie Madeleine Wehrbeckin, veuve du chirurgien Jean Henri Werckmeister

1742 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 40-v
Johann Michael Kräutler der stadt: drehers als mandatarius seines vatters Johannes Kräutler des Musicanten
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Wehrbeckin weÿl. H. Johann Heinrich Heinrich Werckmeisters des Chirurgi wittib mit beÿstand Johann Heinrich Heÿders des Kürßners – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langenstraß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben denen Kuglerischen erben, hinten auff Zwicker den weißbecken

Les enfants et héritiers de Jean Kræutler vendent la maison 1300 livres au cocher Jean Kipp et à sa femme Anne Marie Strohl

1742 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 n° 131-v (129-v non signé)
Johann Michael Kräutler der Stadt: dreher und deßen bruder Johannes Kräutler der Musicus [ajout du f° 131] Johann Michael Braun ebenmäßiger musicus
in gegensein Johannes Kipp des kutschers und Annæ Mariæ geb. Strohlin
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des becken erben, anderseit neben Johannes Kuglers des Stadt kiefers erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken – als ein elterliches erbguth – um 100 pfund (verhafftet)
[2è acte] 100 und 50 pfund verhafftet – ihnen Kräutlerischen brüder zu acht 9. theil als ein elterliches erb, ihme Braun aber zum übrigen 9. theil als ein von seinem in erster Ehe mit Fr. Maria Salome geb. Kräutlerin erzielt und nach der mutter tod verstorbenen kind Dorothea ererbtes guth – 1300 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit des enfants mineurs du marchand Paul Petsch

1742 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 132-v
Johannes Kipp der kutscher und Anna Maria geb. Strohlin mit beÿstand Friedrich Butz des schneiders ihres oncle und Conrad Dietrich des schuhmachers ihres schwagers
in gegensein H. Johann Müßel des handelsmanns als vogts weÿl. Paul Petsch des handelsmanns zweÿer kinder Paul und Margarethæ der Petsch in fernerm gegenwart Johannes Kräutlers Musici – schuldig seÿen 1350 pfund, benantlich H. Müßel 1000 pfund und H. Kräutler 350 pfund
unterpfand, einr am heutigen tag erkaufft und aus jetzigem vorschuß bezahlte behausung, bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langen straß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben den Kuglerischen erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken

Cocher au service des comtes de Linange, originaire de Pracht en juridiction de Marbourg, Jean Kipp épouse en 1737 Anne Marie Strohl, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1737 (25.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 41
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Johannes Kipp, lediger Kutscher, Weÿland Caspar Kipp gewesenen Ackersmanns und burgers zu Pracht Marpurger Amts mit Frauwen Anna Margaretha gebohrner Staffelin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Sohn, Mit beÿstand des Hoch Edel Gestreng, Fürsichtig und Hochweißen Herrn Johann Christoph Reichard, des gehemien beständigen Regiments der Herren dreÿehen hiesiger löbl. Statt Straßburg hochansehnlichen beÿsitzers, als Hochzeither, ane einem,
So dann die Ehren: und Tugendsahme Jungfrau Anna Maria Strohlin, Weÿland Johann Georg Strohlen, gewesenen Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg mit Frauen Anna Margaretha gebohrner Kochin seiner hinterlaßenen Wittib ehelich erziehlter Tochter, beÿständlich des Ehrengeachten Meister Johann Friderich Butzen Schneiders und burgers allhier, ihres geschwornen Vogts, als hochzeiterin, am andern Theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg inn obhochgedachten Herr, XIII.r Reichards am Gold Gießen gelegener behaußung Freÿtags den 25. Januarÿ, Anno 1737 [unterzeichnet] Johannes Kipp Als Hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 141-v)
1737. Dominica IV et V Epiphan. proclamationi sunt, Johannes Küpp, der ledige Kutscher Von Bracht in der Land Graffschafft Heßen: Cassel Weÿl. Caspar Küpp, Geweßenen Burgers daselbsten nachgelaßener ehel. Sohn, Jgfr. Anna Maria Weÿl. Johann Georg Strohl geweßenen Metzgers und burgers allhier nachgelaßene Ehel. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. Februar. [unterzeichnet] Johannes Kipp Als hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin (i 146)

Jean Kipp devient bourgeois quelques jours après son mariage
1737, 4° Livre de bourgeoisie n° 1043
Johannes Kipp d: gutscher Von Praag geb. erhalt d. b:gratis will beÿ E. E. Zunfft d. Möhrin dienen, Jur. eodem die 23. feb. 1737.

Il devient tributaire à la Mauresse en mars 1737
1737 (7.3.), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 287) Donnerstags den 7.ten Martÿ A° 1737 – Neuer Leibzünfftiger Gremp ER.
Johannes Kipp, der Kutscher von Praag in Heßen gebürtig, producirt Cantzleÿ Pfenningthurn und Stallschein deren die Zweÿ erstere den 23. Februarÿ 1737. der letztere aber den 25. ejusdem datirt bittet umb ertheilung des Zunfft: und Grempen Rechts. Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte Vor den Pfenningthurn j lb, Vor das Zunfft Recht 5 ß, Vor das Grempen Recht 1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, und Einschreib Gebühr 2 ß, Also zusammen 3 lb d

Le revendeur Jean Kipp demande aux Quinze l’autorisation de servir de l’eau de vie au détail à ses clients venus d’outre-Rhin. L’autorisation lui est refusée parce que le pétitionnaire est cocher chez le Treize Reichard et que le débit d’eau de vie sert de subsistance à de pauvres gens. Les Quinze délivrent à la fin de l’année une expédition de leur sentence.
1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
(p. 355) Sambstag den 14. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Römer nôe Johann Kipp des Burgers und Krempen Cit. E. E. Zunfft der Kieffer Zunfft M. prod. Imploratio et Schrifft mit beÿlag Lit. A. bitt Deput. Fuchs bitt auch Deput. et Facta Realt. abweißung. ref. Exp. Römer priora. E.rk. Deput. Willfahrt

(p. 380) Sambstag d. 28. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Obere Handwerck Herren laßen durch Hrn Secretarium Kleinclaus referiren, daß Johann Kipp der Burger und Kremp allhier contra E. E. Zunfft der Kieffer den 14. hujus eine Underthg. Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A producirt, darinnen Vorstellend, es erhelle aus ged. beÿlag /:so ein Extract aus ged. E. Zunfft der Kieffer protocollum Vom 10. hujus, Wie er, Implorant allda mit seinem Gesuch, nemlichen denen überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ Ihme hohlen, und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von Ihme begehren, Ihnen solchen geben zu dörffen, alß wieder Articul lauffend, abgewiesen worden, mit demüthiger bitt, Weil Er den brandenwein schanck Keines weges Känlein oder Gläßlein weis in seinem Lädlein außzuschencken begehre, damit weder Er, noch seine Fraw umbgehen möchten, MGHh. geruheten so Viel gnad für Ihne Zu haben, und Ihme ex Specialissima gratia gratiose Zu erlauben, daß Er nur denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein, und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, Ein und Ein halb Maaß wein Verkauffen dörffen, Worauff ged. E. Zunfft umb Deput. angesucht und gebetten. Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten.
Beÿ bewilligter und beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum Wiederhohlet, Nomine der Imploranten seÿe vorgestanden Johann Georg Hamerer alß Zunfft Meister, welcher geantwortet, Gegner seÿe noch würcklich Gutscher beÿ H XIII. Reichard und treibe dabeneben das Krempenrecht, dahingegen die arme Zünfftige beÿ Ihnen nur den brandenwein schanck hätten, mit demüthiger bitt hierauff gnädig Zu reflectiren. Auff seithen der Hh. Depp. Vermeine man daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbige in die unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung zu Mgh. stellend. Erkanct, bedacht beliebt.

(p. 522) Montag d. 23. Xbris 1737.
Bescheid. Sambstag d. 28. Sept. 1737. In Sachen Johann Kipp des Burgers undt Krempen allhier Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Kieffer, Imploraten am andern theil, Auff producirte Unterthänige Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A und angehencktem bitten dem Imploranten ex gratia Specialissima Zu erlauben, daß Er denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, ein und ein halb Maaß wein Verkauffen dörffe, der Imploraten darüber gethane Verantwortung juncto petito Deput. Zu erkennen, et Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten. bewilligter und beseßener Deputation all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Hh. Deputirten abgelegter Relation nach mit Urthel Zu Recht Erkandt, daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbiger in die unkosten Zu condemniren seÿe. Alß wir hienmit anschlagen und condemniren.
Zu MGHh. stellend, Ob sie dießen Auffsatz gehmgehmhalten undt dabeÿ erkennen wollen, aß selbiger in dieße Formb expedirt und dem peteten Zugestellt werden soll. Erk. quod sic.

Demande de Jean Kipp au Conseil des Tonneliers dans la même affaire. Le compte rendu cite en marge la décision des Quinze
1737, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 376-v) Dienstags den 10. 7.br 1737 – Johannes Kipp der Burger und Kremp bitt ihme Zu erlauben, den überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ ihm hohlen und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von ihm begehren, ihne solchen geben zu dörffen. Erkandt, wurde der implorant weilen sein begehren wid. articul mit solchem abgewißen, ref. exp
NB. ist auch vin Gn. den XV. abgewißen worden

Les Quinze donnent un avis favorable à la demande du cocher Jean Kipp d’héberger trois ou quatre domestiques au service des comtes de Linange
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
(p. 311) Sambstag d. 12. Maÿ 1742. Riemer nôe Johann Kipp des burgers undt Kutschers beÿ herrn Graffen von Leiningen bitt Underth. Ihne gn. Zu erlauben dreÿ biß 4. bediente hochged. H. Graffens an den tisch nehmen Zu dörffen. Erkandt, Ober Ungelt Herren post hæc nach Ordnung willfahrt [notes du secrétaire p. 117]

Le cocher et revendeur Jean Kipp héberge des gens du recteur. Le Conseil des Fribourgeois l’invite à produire un certificat signé du recteur, ce qu’il fait quelques mois plus tard.
1743 (19.2.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(p. 170) Dienstags den 19. Febr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert Solle Zufolg Gerichts: Erkandtnuß vom 22.ten Nov: 1742. entweder bescheinen, daß seine Kostgänger immmatriculiert, oder aber 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr erlegen.
Ille præsens, Sagt, Er habe sich derhalben beÿ Herrn Professore Schertzen, dem Jetzigen Rectore Magnificus angemeldet, welcher Zwar gesagt, daß seine Kostgänger immatriculiret, aber ihme Keinen Schein geben wollen, sondern gesagt man solle Zu Ihme Kommen, so wolle Er es Zeigen daß deme alßo seÿe.
Erkandt, wirdt dem Citato Zu parition bescheidts annoch Zeit biß auff nächste Gerichtliche Versamblung semel pro semper Zugelaßen.

(p. 171) Dienstags den 7. Apr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert, Solle Zufolg Gerichts: bescheidts vom 19. Febr: Jüngst, den andictirten Schein von dem Herr Rectore Magnifico producirren, oder sie Ihme den 22.ten Nov: 1742. angesetzte 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr Erlegen.
Herr Rathherrr Lurtzing der Alte Zunfftmeister producirt nomine Citati /:alß welcher nothwendiger geschäfften halben nicht Erscheinen können:/ produciret attestatum von Herrn Dr. et Prof. Johann Martin Silberrad, der Zeit Rector Magn. allhier, de dato 2.ten Martji 1743. Warauff solches Abgeleßen undt vor gut befunden, mithin Citatus von der Klage, undt angesetztem Zunfft gebühr dermahlen absolvirt worden.

Jean Kipp et Anne Marie Strohl vendent la maison 1750 livres au vannier manant René Lanier et à sa femme Marie Baron

1746 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 980-v
Johann Kipp dem kutscher und Anna Maria geb. Strohlin
in gegensein René Lanier des schirmers und korbmachers und Marie geb. Baron /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des weißbecken erben, anderseit neben Johann Philipp Füßel dem kupffer schmidt, hinten auff Georg Zwicker den weißbecken – um 100, 50, 1000 und 350 pfund verhafftet, als ein d. 31. Martÿ 1742 erkaufftes guth, geschehen um 250 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant

1746, Conseillers et XXI (1 R 229)
Johann Kipp bitt umb erlaubnuß ein Hauß an René Lannier verkauff. Zu dörffen 283. erhalt solche. 286.
(p. 283) Sambstag d. 27.r Aug. – Lt Fuchß nôe Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, der bitt unterthänig umb gnädige Erlaubnuß, ein Hauß in der langen Straß gelegen an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier pro 3500. fl. sambt übernahm aller Unkosten Verkauffen Zu dörffen.
Lt. Christmann nôe ged. René Lannier der bitt umb gndge. Erlaubnuß gemeldtes Hauß umb besagten Preiß sambt übernahm aller unkosten Kauffen Zu dörffen.
Erkandt, Werden Zu Einnehmung des Augenscheins emeldten Haußes Herr XV. Gerber und H. Rathh. Krieger abgeordnet, damit alßdann auf deren Relation hierinn ergehen möge was Rechtens.

(p. 286) Mittwoch d. 31. Aug. – Auff Anruffen Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, umb gnädige Erlaubnuß, ein in der langen Straß gelegenes Hauß an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier vor 3500. fl. sambt Übernahm aller Unkosten Verkauffen und respectivé Kauffen Zu dörffen, verordnete Deputation Zu einnehmung des Augenscheins von besagter Behaußung, und Unserer Deputirten über deren Zustand abgelegte umbständliche Relation, alles wohl erwogen, Ist Erkandt, Wird denen Imploranten die beederseits gebettene Erlaubnuß mit diesem beding und Anhang Obrigkeitlichen willfahrt, daß der Kauff in allhiesiger Contract Stub in Gegenwart vorged. Unserer Deputirten, ben. H. XV. Gerbers und H. Rathh. Kriegers solle verschrieben, und von denenselben Gem. Statt dißfalls versirendes Interesse, nach Innhalt der getruckten Instruction bestens besorget werden.
Depp. iidem Zu Anzeigung des bescheids.

Ancien soldat originaire de Saint-Saturnin, René Lanier épouse en 1740 Marie Baron, originaire de Metz, veuve de Jean Louis Fouchet
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 155-v)
Anno Dni 1740 die vero 29 augusti (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Juvenis Renatus Lasnier oriundus ex Parochia sti Saturnin Diœcesis pannoleatis miles dimissus a legione Pedestri Brava* Darqui* ex cohortis Dni de saint Michel et fuit etiam licentia munitus a parentibus scripta data supra litteras testimoniales Baptismalis et maria Baron vidua Joannis Ludovici fouchet oriunda metensis a pluribus annis in nostra Parochia commorans (signé) renelanie, +

Marie Lanié meurt en 1758 en délaissant un fils soldat issu de son premier mariage avec Jean Louis Fouchet dit Saint Amour, soldat au régiment de la Vallière, et quatre enfants issus du veuf. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 911 livres strasbourgeoises, le passif à 19 livres
1758 (16.8.), Not. Elles (6 E 41, 1342) f° 84
Inventaire De la Succession de feüe Dlle Marie Lanié née Baron vivante femme du Sr René Lanié faisseur des Panniers et Manant de cette Ville de Strasbourg, dressé l’An 1758. – apres sa mort arrivée le 18. May dernier
Fait et passé en Presence du Sieur Jean Louis Rame Licentié Ez Loix, Ancien Assesseur au Grand Sénat et Assesseur actuel aud. Petit Sénat à ce Specialement Deputé, à Strasbourg Cejourd’huy Mercredy 16° jour du Mois d’Aoust 1758.
La deffunte a delaissé pour ses Heritiers ab intestat Scavoir 1° Nicolas Fouchet agé env. de 27 ans, Soldat au Reg. de la Sarre, presentement en Canada en Amerique, procréé de Son premier Mariage avec feu Jean Louis Fouchet dit St Amour, Soldat au Regt. de la Valliere, pour et au nom duquel fut present le Sr Jean Pierre Clavel, Marchand Graissier et Bourgeois en cette dite ville son tuteur assermenté,
2° Claude Lanié agé environ de 17 ans, 3° Catherine Lanié agée de 14 ans, 4° Marie Anne Lanié agée environ de 11 ans, 5° Marguerithe Lanié agée de 9 ans. Ces 4. Enfans délaissés par la Défunte et procréé en Mariage avec ledit René Lanié le veuf, au nom desquels a été present le Sr Samuel Beaufort faiseur des Panniers et Mannancier en cette dite ville Leur Curateur assermenté. Tous cinq en Portions égales.

Copie du Codicille. Aujourd’hui 20° novembre nov. 1756 (…) est comparu Marie Baron femme de René Lanié faiseur des Panniers demeurant en cette ville, Saine d’esprit, Mémoire, Jugement et entendement, même de Corps (…) 3.tio La codicillante ayant un fils appellé Nicolas Foucher procréé de son premier Mariage (…) ce fils ne pourra pretendre d’abord après le decès de Sa mère que Sa Légitime, attendu que led. René Lanié aura aussy pendant Sa vie durante la Jouissance et l’usufruit du surplus de lad. Légitime – Humbourg notaire royal
Avertissement. Le veuf a declaré que lors de Son Mariage avec la défunte, ils n’auroient pas fait passer Contrat de mariage et que ny l’un ny l’autre possedoit alors quelque chose hormis leurs habits et hardes et que toute la présente succession auroit été gagnée et acquise ensemble pendant Leur Mariage (…)
Trouvé dans une Maison Scize dans la grande Rüe en cette ville de Strasbourg, pas appartenante en cette succession, Scavoir
Dettes passives, Prem. pour loyer de maison, 13
Series rubricarum hujus Inventarii. S’ensuit la Description de la présente succession, habits et linge qui ont servi au corps de la deffunte revenans aux héritiers 152 livres
S’ensuit la Description des Biens appartenans à la Communauté, meubles 337, Marchandises et Outils pour faire les Panniers 77, argenterie 26, bague d’or 3, argent comptant 400, Capitaux 2800, Total de toute la Masse active 3645 livres – Dettes passives 77 livres, Deduction faite 3567 livres – Somme finale 3719 livres

1758, E 5787 (b) [voir aussi Not. Elles n° 84]
Même inventaire dans la collection d’inventaire de manants contresignés par le greffier du Petit Sénat

René Lanier se remarie avec Anne Marie Germersdorff, fille d’un vigneron de Ribeauvillé : contrat de mariage, célébration
1758 (30.8.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 30
Contrat de mariage – furent presens le Sieur René Lanié, faiseur de Panniers et Manant en cette ditte Ville y demeurant Grande Rüe Paroisse St Pierre le Vieu, assisté du Sr Samuel Beaufort aussy faiseur des Panniers, Manancier en cette dite Ville, d’une part
Et Dlle Anne Marie Germersdorff, fille majeure d’ans de Martin Germersdorff Bourgeois Vigneron a Ribauvillé et de feüe Dlle Christine née Roos, ses Père et mère assistée de du Sr Jean Pierre Clavel bourgeois Marchand graisser en cete ditte Ville son Beau frère d’autre part
fait, lû, passé et interpretté et expliqué en Langue allemande audit Strasbourg en l’Etude du dit notaire (…) Cejourd’huy 30° Aoust 1758 (signé) rene lanié, +

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath.)
Hodie 18 Septembris 1758 (…) renatus Lanié ciuis et cophinopæus hujus urbis viduus defunctæ mariæ Baron et anna maria germersdorff ex Rappolsweir filia Legitima martini germersdorff ciuis ibidem et defunctæ christinæ rosin in vita coniugum (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt (signé) lanié, +

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent René Lanier à se remarier avant la fin de son deuil pour que les enfants puissent être soignés.
1758, Conseillers et XXI (1 R 241)
René Lanié der schirmer und Korbmacher alhier erhaltet dispense Von übrigen trauer Zeith. 166.
(p. 166) Montag den 28. Augusti 1758. – Christmann nôe rené Lanié des schirmers und Körbmacher alhier producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub N° 1 et 2 puncto gnädige erlaubnuß sich in tempore Luctus Verheurathen Zu dörffen.
Erkandt, wird dem Imploranten mit gebettener dispensation Von übrigen trauer Zeith, /:deren bereits dreÿ monath und einige täge verfloßen:/ in gnaden willfahrt, soforth demselben erlaubet, pendente tempore Luctus Zu einer anderwärtigen Ehe, welche die von ihme Vorgebrachte umbständte des Kinderlasts /:denen der Implorant, weilen er umb seine nahrung Zu finden, seinem Handwerck abzuwerten gezwungen, die benöthigte aufferziehung ohne eine gehülffin nicht geben kan:/ ihm ohnentbehrlich machen Schreiten zu dörffen.
Depp. H. Rathh. Böhm, H. Ratt Ducré

René Lanier et Marie Baron vendent la maison 1750 livres au taillandier Jean Gautier Koch et à sa femme Marguerite Salomé Musculus.

1752 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 432
René Lanier der korbmacher und Maria geb. Baron
in gegensein Johann Walter Koch der bohrenmacher und Margarethæ Salome geb. Musculuß
eine behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen, begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der obern straß, einseit neben Michael Metz dem weißbeck, anderseit neben Johann Philipp Füsel des kupfferschmidt, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbeck – um 50, 100, 750 und 300 pfund verhafftet – als ein am 13. Decembris 1746 erkaufftes guth – um die 1250 pfund capitalien und 400 pfund

Originaire de la Robertsau, Jean Gautier Koch épouse en 1751 Marguerite Salomé Musculus, fille de vitrier : contrat de mariage, célébration
1751 (28.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 5
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Johann Walther Koch, dem leedigen bohrenmacher des Ehrengeachten Johann Koch mit der tugendsamen frauen Annæ, gebohrner Matthißin, beeder Eheleuthe und burgere in Ruprechtsau ehelich erziehltem Sohn, als dem Brautigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Margaretha Salome Musculusin, weÿl. des Ehrengeachten Mr Johann Musculus des geweßenen Glaßers undt burgers allhier nun seeligen, mit der tugendsamen frauen Maria Margaretha so nunmehro an Mr Johann Friderich Dürrfeld dem borhenmacher und burger allhier verheurathet ehelich erziehlter tochter, als de Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein hernach unterschriebenenen beederseiths hierzu in specie requirirter herren beÿständere und Saalpersohnen wie nicht weniger der Jgfr. hochzeiterin eheleibl. mutter auf Sambstag den 28.ten Augusti 1751. [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Saloma Muscuulußin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 177 n° 27)
Ao. 1751, d. 20.ten octobr. Seindt (…) ehelich eingesegnet und copulirt worden, Meister Johann Walther lediger borenmacher u. burger allhie, Johann Kochen, Metzgers u. ackermanns in der Ruprechtsau auch burgers allhier, und Annæ Mathißin ehl. Sohn, Jungfrau Margaretha Salome, Weÿl. Johann Musculus geweßene Glaßers u. burgera allhier, v. Mariæ Margarethæ geb. Litschin ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Salome Musculußin als hochzeiterin (i 181)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à la Krutenau. Les apports du mari s’élèvent à 207 livres, ceux de la femme à 559 livres.
1752 (16.6.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 15
Inventarium über und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrengeachte Mr Johann Walther Koch, der Bohren Macher und die Viel Ehren und tugendsame Frau Margaretha Salome gebohr. Musculusin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche d. ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth vor mir unterschriebenen Notarium auffgerichteten Heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringenden Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in beÿseÿn Herrn Johann Caspar Musculus des Musici und burgers allhier als der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts, auff Freÿtag den 16. Junÿ 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau gelegenen und die diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einem liegenden Lehenguth Ruprechtsauer banns, rührt von des Ehemanns geliebten Vaters her
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 105, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmacher Profession gehörig 10, Sa. silbers 17, Sa. baarschafft 6, Sa. Eigenthumbs ane liegenden Lehenguth 25, Summa summarum 165 lb – Dießer Summ ist nun ferner zu addiren die (…) haussteuren, thut 41 lb, des Manns in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 207 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 267, Sa. Silbers 23, Sa. goldenen ring 22, Sa. baarschafft 153, Sa. schulden 50, Summa summarum 517 lb – Adde die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 41 lb, der Ehefrauen gesambt in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 559 lb

Marie Salomé Musculus meurt en 1769 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 400 livres (voir plus haut le prix d’achat, 1 750 livres). La masse propre au veuf s’élève à 1602 livres, celle des héritiers à 357 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 2 398 livres

1769 (21.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 811) n° 517
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendsahmen Frauen Salome Kochin, gebohrner Musculußin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers dahier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen, nun seeligen Verlaßenschafftn errichtet in Anno 1769. – nach ihrem Sonntags den 16.ten Aprilis dießes lauffenden 1769.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Mr Johann Jacob Musculus, des Schuhmachers und burgers dahier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Walther, Jacob Friderich, Johann Jacob, Johann Daniel und Margarethä Salome, der Kochen, der Verstorbenen Fr. Seeligen mit erstgedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Fünff Kinder und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg, auf Mittwoch den 21.ten Junÿ Anno 1769.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in diße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt.
(f° 10) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Nembl. eine behaußung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der obern Straß 1s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken 2.s neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid, und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzung Zeduls Vom 5. Junÿ 1769. gewürdiget pro 400. lb. Hierüber meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentener Kauffbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21.ten Augusti 1752. mit jetzigem N° 1 bezeichnet.
Ergäntzung der Erben durante hoc Matrimonio abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög über beeder nun Zetrennten Eheleuth einander Vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1752. errichteten Inventarii
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der d. 28. Augusti A° 1751. vor mir Notario errichteter Heuraths Verschreibung
Copia der verstorbenen seel. vor mir Notario d. 14. april A° 1769. errichteten Codicilli
Des hinterbliebenen Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 9, Sa. Werckzeugs Zur Borhenmacher profession 1, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 21, Sa. Ergäntzungs Rests 1697, Summa summarum 1733 lb – Schulden 131, Nach solchem abzug 1602 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzungs Rests 259, Summa summarum 357 lb
Endlich folgt auch die beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guths, Sa. Haußraths 15, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 20, Sa. Weins und lährer Faß 33, Sa. Silbers und Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 10 ß, Sa. baarschafft 105, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. activ Schulden 16, Summa summarum 597 lb – Schulden 2398 lb, In Vergleichung 1810 lb
Stall summ 289 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 53, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbarer Nahrung Zugeltend 20 lb

Le maître de la tribu des Serruriers fait grief à Jean Gautier Koch de fabriquer des vis et des rouleaux pour les bois de lit, ce que le règlement réserve aux serruriers. Il répond que tous les taillandiers font de même. Le conseil décide de convoquer le maître des taillandiers.
1770, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 229) Dienstags den 18.ten Septembris Anno 1770 – Mr Anthoine Courtener, der Schloßer und Burger allhier und E. E. Meisterschafft der Schloßer dermaliger Ober Meister stehet Vor und Klagt wieder Mr Johann Walther Koch, den Bohrermacher und burger, dahier, daß er Schrauben und Rollen an bettladen verfertige, welches Schloßerarbeit ist, weilen nun solches wieder Ordnung, als bittet er, nomine quo agit, daß Ihm solches in das Künfftige möge verbotten werden.
Ille Zugegen sagt, es seÿn ihm und allen bohrermachern erlaubt, sowohl Rollen als Schrauben an bettladen zu verfertigen, er mache selbige nicht allein sondern alle bohrermacher meister, die Schloßer sollen beweißen daß Ihnen solches verbotten seÿe, bittet dahero um absolutionem.
Erkandt, solle auf Ansuchen des Beklagten E. E. Meisterschafft der Bohrermacher Ober meister beÿ erstem Gericht ad causam citiret werden idque reservatis Expensis.

Jean Gautier Koch se remarie en septembre 1770 avec Marie Salomé Weiss, fille du graveur municipal : contrat de mariage, célébration
1770 (1.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 316
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Wohlvorachtbahre Herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger dahier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem,
So dann die Viel Ehren und Viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Weißin, weiland Herrn Johann Martin Weiß, des geweßenen Stadt Kupferstechers und burgers dahier seeligen nachgelaßene ehelich erzeugte tochter, so majorennis und ohnbevögtigt, unter assistentz herrn Johann Jacob Diemers, des Haußfeurers, wie auch E.E. Großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers und burgers dahier, ihres Hn Stieffvatters, als Hochzeiterin mit consens ihrer eheleiblichen Fraun Mutter und H. Stieffvatters ehelich mit einander Versprochen hätten
Actum allhier Zu Straßburg in mein des Notarii geohnlicher Schreibstube, auf Sambstag den ersten Septembris Anno 1770. [unterzeichnet] Johann Walther Koch als hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeitterin, Joh: Jacob diemer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 212, n° 927)
Im Jahr 1770 Sonntags den 14. Septembris, sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausrufung Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm auf Erlaubnus des regierenden Herrn Ammeisters, ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittwer, bohrenmacher und burger allhier und Jungfrau Maria Salome Weißin weiland Herrn Martin Weiß gewesenen Statt Kupferstechers und burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeiterin (i 214)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari que les parties évaluent 2 400 livres. Les apports du mari s’élèvent à 1 975 livres, ceux de la femme à à 239 livres

1771 (21.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 814) n° 586
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Walther Koch, des bohrenmachers und der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariæ Salome Kochin geb. Weißin, beeder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen aufgerichtet Anno 1771. – welche der Ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth den 1.ten Septembris des letztabgewichenen 1770.sten Jahrs Vor mir Notario errichteten heuraths-Verschreibung pho. 3.tio expresse enthalten, daß einem jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnvertheilt sein und bleiben solle – So beschehen allhier zu Straßburg in ferneren beisein Hn Johann Jacob Diemers des hauß feurers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers der Ehefrauen H. Stieffvaters und assistenten auf Dienstag den 21.ten May 1771.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Langen Straß gelegenen und in des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Nemblichen eine Behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und Hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß einseith neben H. Johann Jung dem Weißbecken, anderseith neben H. Johann Jacob Christiani, dem Schirmbott, und hinten auf H. Joh. Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen, pro 2500. lb. Über dieße behaußung meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21. Aug. 1752. mit altem N° 1 bezeichnet.
(f° 12) Wÿdemb, So der Ehemann Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslängl. Zu geniessen hat
(f° 12-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So Fr. Maria Salome geb. Hoffseßin Hn Joh: Jacob Diemars des Schwartzbecken und E: E: Große Raths alten beisitzers auch b. dahier dermaliger Fr. Ehegattin dißorthig. Ehefrauen geliebter Mutter von weil H. Johann Martin Weißen geweßenen Statt Kupfferstecher und b. dahiner ihrem ersten Ehemann seel. lebenslängl. zugenießen hat
(f° 13) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 209, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 141, Sa. Weins und lährer Faß 60, Sa. Silbers und Geschmeids 32, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2500, Sa. activ Schulden 60, Summa summarum 3014 lb – Schulden 1067 lb, Nach solchem abzug 1946 lb, Wann nun dieser Summ annoch addiret wird die dem Ehemann gebührige helffte ane denen haussteuren 29 lb, So ergiebet sich daß des Ehemanns gesamt für ohnverändert in den Ehestand geracht Vermögen theils dem wahren und theils dem ohnpræjudicirlichen anschlag nach bestehe in 1975 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht guth beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 36, Sa. goldener Ring 24, Sa. baarschafft 102, Summa summarum 210 lb – Dießer Summ ist annoch beÿzusetzen die der Ehefrauen Krafft der Eigenthümlich gehörig §° quarto gebührige helffte ane denen haussteuren in vero pretio antreffend 29 lb, Belauffet sich alßo der Ehefrauen völlig vor ohnverändert in die Ehe gebrach Guth dem wahren werth nach auff 239 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung 76 lb

Jean Gautier Koch hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Knobloch veuve du capitaine Jean Daniel Œlinger

1772 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 189-v
Johann Walter Koch der bohrenmacher
in gegensein H. Johann Martin Weiß des kupfferstecklers vor und innahmen Fr. Mariæ Salome Öhlingerin geb. Knoblochin weÿl. H. Johann Daniel Öhlinger gewesten capitaine unter dem löbl. regiment d’alsace wittib – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis mitten in der Langen straß, einseit neben Johann Jung dem frantzösischen becken, anderseit neben Jacob Christiani dem schirmbotten, hinten auff N. Zwicker den weißbecken

Marie Salomé Weiss meurt en 1773 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 313 livres, celle des héritiers à 885 livres. L’actif de la communauté s’élève à 406 livres, le passif à 682 livres

1773 (5.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 656
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariä Salome Kochin gebohrner Weißin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1773. – nach Ihrem Mittwochs den 14.ten Aprilis dießes lauffenden 1773.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Hn Johann Martin Weiß, des Kupfferstechers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Margarethæ Salome, der Kochin, der Verstorbenen seel: mit Vorgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehter Kinder und ab intestato Verlaßener Zweÿer Erben (…) So beschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 5.ten Julÿ 1773.
Copia der Eheberedung

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in des hinterbliebenen Wittibers ohnveränderte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (W.) Nemb. eine behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß, 1. s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken, 2.s. neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so freÿ, außer hernach eingetragenen darauf hafftenden passiv- Capital der 500. lb sonsten gegen männiglichen leedig, eigen und dh (die Werckmeistere) Vermöh Abschatzung Zeduls vom 15.ten Julii h. A. gewürdiget pro 1000. lb. Dißewegen ist vorhanden ein in allhießiger C. C. stub gefertigter pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel verwahret, datirt d. 21. Augusti 1752. mit altem N° 1 notirt.
(f° 15-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So der Erben ohnverändert. Es hat weil H. Jacob Diemars des haußfeurers und b. allhier von Weil. Fr. Maria Salome Diemerin geb. Hoffseßin seiner geweßenen Ehegattin als der dißorthigen Erben Fr. Groß Mutter seel. Zufolg ihrer mit einander errichteten Eheberedung §° 5.to lebenslängl. zu genießen
(f° 16) Wÿdemb, So der hinterbliebene Wittiber Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslänglich Zu geniessen hat
(f° 16-v) Ergäntzung des Hinterbliebenen Wittibers während dieser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt des über beeder nun zertrennten Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1771 erichteten Inventarium
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Wittibers ohnverändert Guth. Sa. haußraths 72, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmachers profession gehörig 21, Sa. lährer Faß 8, Sa. Silbers und Geschmeids 11, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1000, Sa. Schuld 21, Summa summarum 1136 lb – Schulden 1450 lb, In Vergleichung 313 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 90, Sa. Silbers 19, Sa. goldener Ring 29, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 550, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzungs Rests 132, Summa summarum 902 lb – Schulden 17, Nach solchem abzug 885 lb
Das Theilbare Guth, Sa. Haußraths 11, Sa. gemachter Waar, Eißens u. Kohlen Zur bohrenmachers profession gehörig 5, Sa. Weins 7, Sa. baarschafft 9 ß, Sa. der Schulden 382, Summa summarum 406 lb – Schulden 682 lb, Compensando 276 lb
Stall Summ 719 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 84 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbahre Nahrung 5 lb

Jean Gautier Koch se remarie avec Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer : contrat de mariage, célébration
1774 (1.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 395
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehren: und wohlvorachtbahr herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg, als hochzeiter ane einem
Und die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Maria Salome Meÿerin geb. Hügelin, weil. Hn Johann Daniel Meÿer des gewesenen Schiffmanns und burgers alhier seel. hinterlaßener Wittib, beiständlich H Andreä Meÿers des Schiffmanns und burgers dahier Zu Straßburg, dero Schwagers, als hochzeiterin ane dem andern theil
Donnerstag den 1. Decembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1)
Im Jahr 1774 Mittwoch den 7. Decembris sind nach vorhergegangener erster und andere Ausrufung zugleich auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm in der Stifts Kirche Zu St Thomæ ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittiber, bohrenmacher und burger allhier und Frau Maria Salome Meÿerin weiland Johann Daniel Meÿer, gewesenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlassene Wittibin [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin (i 3)

Marie Salomé Hügel fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 153 livres
1776 (1.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 280) n° 1386
Designatio über Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Hügelin, Meister Johann Walter Kochs, des burgers und bohrenmachers dahier Zu Straßburg Ehefraun in die Ehe gebrachter und respê. dato activé besitzender Nahrung und passivé zu bezahlen habende Passiv schulden, errichtet Anno 1778. – vor einiger Zeit beÿ E. E. Kleinen Rath pro obtinendo flebili Beneficio Cessionis inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 1.ten Aprilis Anno 1776.
In einer allhier Zu Straßburg ane der langenstraß gelegenen in dißorts Ehemann eigenthümlich zuständigen behausung folgender maßen sich befunden
Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 4 ß, Sa. baarschafft 11, Summa summarum 30 lb – Schulden 183, ln Compensando 153 lb

Nouvel inventaire des apports
1807 (28.11.), Strasbourg 7 (24), Not. Stoeber n° 2210, 8159
Inventaire des apports de Marie Salomé Hugelin femme de Jean Walther Koch taillandier, suivant contrat de mariage passé devant Lobstein le 1 décembre 1774
meubles 1261 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 51-v du 2.12.

Jean Gautier Koch meurt en 1809 en délaissant trois fils ou leur représentant issu du premier mariage et une fille du deuxième.

1809 (14.2.), Strasbourg 5 (27), Not. F. Grimmer n° 5442
Inventaire de la succession de Walter Koch taillandier décédé le 20 janvier dernier – à la requête de De Marie Salomé Hügel la veuve
Dénomination des héritiers, les enfants procréés en deux mariages savoir en premier mariage avec Marguerite Salomé Musculus 1. Jacques Frédéric Koch, 2. Jean Jacques Koch les deux taillandiers, Le fils délaissé par Jean Walter Koch nommé 3. Jean Walter Koch menuisier, la fille procréée en second mariage avec Marie Salomé Weis 4. Marie Salomé Koch épouse du Sr Jean Frédéric Schaaf bacquetier

Maison. Une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits aisances et dépendances située en cette ville dans la grande rue n° 30, d’un côté le Sr Mechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé et derrière la maison du Sr Schaefer baquetier – occupée par Jacques Frédéric Koch taillandier pour 160 fr, Griesbach tanneur 120 fr, Florer tailleur 70 fr, appartemens du défunt 150 fr, ensemble 500 fr en revenu soit en capital 10.000 fr – Titres de propriété, acte d’achat à la Chambre des Contrats le 21 août 1752
Série des rubriques, la veuve renonce à la communauté, un enfant du premier lit est décédé en 1775 et un autre du second en 1776
Propres de la veuve, meubles 293 fr, remploy 1067 fr, total 1361 fr
Héritiers et communauté, meubles 854 fr, ustensiles de métier 90 fr, argenterie 14 fr, maison 10.000 fr, total 10.959 fr, passif (bien maternel et grand maternel des enfants du premier lit suivant inventaire dressé par Me Lobstein le 6 septembre 1786, mais le défunt ayant laissé en nature aux enfants la moitié de maison rue des chanvriers estimée 2000 fr et comprise dans la susd. somme et ayant lors de la susd. cession faite de la totalité de cette maison à son fils défunt Walter Koch même notaire le 24 janvier 1787) 699 fr, déduction faite 4459 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 110 F° 51 du 22.2.

Marie Salomé Hügel meurt en délaissant les enfants de son deuxième mari pour héritiers testamentaires

1810 (19.5.), Strasbourg 5 (31), Not. F. Grimmer n° 6294
Inventaire de la succession de Marie Salomé née Hügel veuve de Walter Koch taillandier – à la requête de 1. Jacques Frédéric Koch tailandier, 2. Jacques Koch aussi taillandier, 3. Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf baquetier – testament de la défunte devant led. notaire le 28 avril 1809, décédée le 8 dudit mois
en la ci devant demeure de la défunte rue d’Or n° 6
meubles 184 fr, créances 1000 fr, total 1184 fr, passif 733 fr, reste 450 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 171 du 29.5.


Les enfants Koch vendent leurs part à leur cohéritier, le taillandier Jacques Frédéric Koch

1809 (23.6.), Strasbourg 5 (28), Not. F. Grimmer n° 5686
Jean Jacques Koch taillandier, Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf bacquetier, Jean Jacques Eckel mandataire de Jean Walter Koch garçon meunuisier majeur
à Jacques Frédéric Koch ausi taillandier
trois quarts par indivis /:dont le quatrième quart appartient à l’acquéreur:/ d’une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits et dépendances située en cette ville grand rue n° 30, d’un côté le Sr Maechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé, derrière la maison du Sr Schaeffer – appartient aux parties suivant inventaire de la succession de Walter Koch, taillandier, père et grand père des comparants, dressé par le soussigné notaire le 14 février dernier – moyennant 7710 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 112 F° 70 du 1.7.

Jacques Frédéric Koch épouse en 1786 Marie Salomé Kieffer, fille de remueur de grains : contrat de mariage, célébration
1786 (19.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 567
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorachtbahre Hr Jacob Friderich Koch, der leedige Bohrermacher Hr Jacob Friderich Koch des auch Bohrermachers und burgers allhier ehelicher Sohn beÿständlich dieses seines geliebten Vaters als Hochzeiter ane einem
und die viel Ehren und viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Kieferin, weil. H. Johann Friderich Kiefers des gewesenen Kornwerffers und burgers allhier nachgelaßene tochter unter assistentz und mit Beilhilf ihres geordnet und geschworenen Vogts H. Johann Jacob Kiefers des ebenmäßig, Kornwerffers und burgers allhier als Jgf. Hochzeiterin ane dem adndern theil
Straßburg den 19. Junÿ Anno 1786, Vormittags in mein des Notarii gewohnlicher Schreibstuben [unterzeichnet] Jacob Friedrich Koch als Hochzeiter,Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 160 n° 320)
Im Jahr 1786 sind (…) in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Jacob Friedrich Koch der ledige Bohrenmacher und burger allhier, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier, mit weiland Frau Margaretha Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kieferin, weiland Johann Friderich Kiefer gewesenen Kornwerffers und burgers allhier mit Frau Eva gebohrner Ottin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friedeich Koch als hochzeiter, Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin (i 165)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 518 livres, ceux de la femme à 385 livres.
1788 (21.8.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 655
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch des Bohrermachers und Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Kieferin beeder Eheleuthen u. brn allhier einandner in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1788 – in ihren den 9. Augst A. 1786 angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Welche Inventur auf ihr beeder Ehegatten selbstiges Ansuchen u. begehren deswegen fürgenommen wurde, mit dieselbe in ihrer vor weil. H. Not. Johann Friedrich Lobstein den 19.ten Junÿ A. 1786 aufgerichteten Eheberedung §+ 3.tio ihres Einbringen halben ein unverändert vorbehalten Gut stipulirt haben (…)
So beschehen in einer zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Görges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben zuständigen dißorts zum theil lehnung weise bewohnenden behausung Mittwoch den 21. Augst Anno 1788. in fenerem beÿseÿn weil. H. Joh. Heinrich Kiefer des gew. Kornwerfers u. brs alhier Wb. der Ehefraun elehelibl. Mutter, sodann H Joh: Jacob Kiefer des brs u. Kornwerfers allhier der Ehefrauen erbettenen beÿstands
Werckzeug und Waar Zur bohrermacher Profession gehörig
Norma hujus inventarii. Der Ehemanns Vermögen, Sa. hausraths 54 lb, Sa. Werckzeugs und Waar 81 lb, Sa. Silbers 19 lb, Sa. Baarschafft 300 lb, Summa summarum 455 lb – deme beizufügen die Helfte an hernach fol. (-) beschriebenen Haussteuren mit 62 lb, des Ehemanns ohnverändert Vermögen 518 lb
Der Ehefraun Vermögen, Sa. Hausraths 181 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. goldenen Ring 29 lb, Sa. baarschafft 100 lb – Summa summarum 322 lb -wird nun dazu gerechnet dero helffte an hernach beschriebenen Haussteuren anlangend 62 lb, der Ehefraun unverändert Gut 385 lb

Marie Salomé Kieffer meurt en 1788, suivie par son fils quelques jours plus tard. L’inventaire est dressé dans la maison Jœrges. La masse propre au veuf s’élève à 406 livres, celle des héritiers à 327 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 486 livres
1788 (10. 8.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 661
Inventarium über weÿl. Fraun Mariä Salome Kochin geborner Kieferin Herrn Jacob Friedrich Koch des bohrermachers u. brs. allhier gewesene Ehefrau Verlaßenschafft, Anno 1788. – nach ihrem den 26. Augst diesen Jahrs erfolgten tödlichen ableben hinterlaßen hat. Welche Succession auff gebührendes Ansuchen und begehren des hinterbliebenen Wrs. wie auch Herrn Johann Jacob Kiefer des Kornwerfers u. brs. alhier als geschwornen Vogts der abgeleibten mit ihme dem Wittiber erzeugten noch lebenden Kindts Sophiä Magdalenä Kochin so den 26. May 1787 gebohren worden u. die abgeleibte nebst einem acht tag nach ihro verstorbenen Söhnlein Jacob Friedrich, deßen Stelle der Wr. als Vater so lang er im Wittwenstand verbleiben wird, vertritt, ab intestato Zu erben verlaßen hat, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in einer allhier Zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Jörges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben Zuständigen u. dißorts lehnungs weise bewohnenden behaußung Freÿtags den 10. Octobris Anno 1788.

Werckzeug und Waar Zur Bohrenmacher Profession gehörig. Diese Rubric ist durch Mr Johann Jacob Litsch den Bohrenmacher u. br. allhier nach abgelegter handtreu dem Stalltax nach angeschlagen worden wie folgt
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög des über beeder geweßene Eheleuth einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 22. Augst 1788 aufgerichteten Inventarii
Norma hujus inventarÿ. Des Wittwers unverändert Vermögen. Sa. hausraths 18 lb, Sa. Silbern Geschmeids 5 lb, Erg. Rest 432 lb, Summa summarum 456 lb – Schulden 50 lb, Nach deren abzug 406 lb
Dießemnach wird auch des Erben unverändert Guths beschrieben u. verzeichnet, Sa. hausraths 116, Sa. Silbern Geschmeids 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Activ schuld 50, Erg. Rest 150, Summa summarum 327 lb
Endlichen wird das gemeine veränderte u. theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 11, Sa. Werckzeugs u Waar zur bohrenmacher profession gehörig 99, Summa summarum 111 lb – Schulden 597 lb, Passiv onus 486 lb – Stall summ 247 lb
Copia der Eheberedung (…) den 19. junÿ 1786, Johann Friedrich Lobstein, Nots. juratus

Jacques Frédéric Koch se remarie en 1791 avec Marie Dorothée Schaaff, fille de tourneur
1791 (11.7.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 55, und Enreg. N° 25
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Jacob Friderich Koch, verwittibter burger und Bohrer Macher dahier, als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Dorothea Schaaffin, Mr Johann Friderich Schaaff des abwesenden Hohldrehers und burgers dahier mit weil. Fraun Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugt nachgelaßene ihres Aussag nach dermalen Großjährige Tochter, beiständlich H. Georg Friderich Vierling burgers und Hohldrehers hieselbst ihres annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeiterin am andern Theil
zu Straßburg auf Montag den 11. Julii 1791. [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15, n° 16)
Im Jahr 1791 Montag den 15. Augusti sind (…) copulirt worden Jacob Friderich Koch der Bohrenmacher, Wittwer und burger allhier, 32 Jahr alt, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Dorothea Schaafin, 26 Jahr alt, wei Johann Friderich Schaaf, gewesenen drehers und burgers allhier mit Frau Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges. Les apports du mari s’élèvent à 1 408 livres, ceux de la femme à 460 livres.
1792 (19.3.), Strasbourg 4 (2), Not. Schaaff n° 168 & Enregistrement N° 92
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch bohrenmachers und Frauen Mariæ Dorotheä geb. Schaffin beder Eheleuthen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, in ihrem Montags den 15. aug. 1791 angetrettenen Ehestand und sich vermög der mit einander vor mir Notario am 11. julÿ dicti Anni 1791 errichteten Eheberedung §° 2.do vorbehalten haben

So geschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane dem alten Weinmarckt gelegenen: fr. Geörges Wittib eigenthümlich zuständigen: diesorts zum theil Lehnungsweise bewohnenden behaußung mit N° 99 bezeichnet, in beÿseÿn H. Johann Friedrich Schaaff des Küblers Ihr der Ehefraun Vatters, den 19. mart. 1792
Antheil an einer behaußung (Fr.) Nemlich Ein 6.ter theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Krebs Gaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögens, Sa. hausraths 340, Sa. Waar u. Werckzeug zur bohrenm: Prof. geh. 1558, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 43, Sa. baarschafft 100, Sa. activorum 500, Summa summarum 2541 fl, Schulden 1165 fl, Nach welchem abzug 1375 fl, helffte der haussteuren 32 fl, Summa 1408 fl
der Ehefraun vor ohnverändert in den Ehestand gebracht Guth, Sa. hausraths 231, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 15, Sa. Goldener Ring 34, Antheil an I.r behausung &, Sa. Activorum 272, Summa summarum 553 fl, Schulden 125 fl, Nach deren Abzug 428 fl helffte der Haussteuren 32 fl, Summa 460 fl
(enregistré 19 mai)

La maison de Jacques Frédéric Koch est vendue par adjudication judiciaire au baquetier Jean Frédéric Schaaff. L’acte reprend le procès verbal d’estimation dressé par les experts

1821 (29.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 141, n° 61
par devant le tribunal civil de première instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grande rue n° 30 réellement saisie sur les conjoints Jacques Frédéric Koch tailleur – Cahier des charges, Me Lauth avoué de De Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaff baquetier (…) que lesdits conjoints sont créanciers de Jacques Frédéric Koch, tailleur, et Marie Dorothée née Schaaff en vertu de deux contrats vente reçus Me Grimmer le 23 juin 1809 et obligation même notaire le 19 mai 1810, inventaire partage, cession et obligation devant ledit notaire le 19 mai 1810
à Me Bloechel – déclaration de command du 7 juin, déclare avoir enchéri pour Jean Frédéric Schaaf baquetier
Cette maison est sise à Strasbourg grand rue n° 30, d’un côté celle du Sr Grimm boulanger n° 29, d’autre celle de Valentin Ihlé frippier par devant la grande rue
(description) Elle est construite en pierres sur la façade de devant et couverte en tuiles, elle consiste en rez de chaussée et trois étages, cave et grenier en outre un bâtiment latéral contigu à la maison du devant, ce dernier bâtiment consiste également en rez de chaussée, trois étages et grenier, une petite cour se trouve au milieu et une pompe dans la cour, les bâtiments à l’exception de la façade de devant sont construits en bois de charpente et pierre, le rez de chaussée de devant consiste en une boutique, et un attelier de taillandier. L’attelier est dans la cour. La maison a son entrée dans la grande rue par deux portes, chaque étage consiste en deux pièces, l’une sur le devant et l’autre dans la cour et une cuisine, les pièces sur le devant ont vue dans la grand rue par deux croisées chacune et les autres dans la cour. Le rez de chaussée a vue dans la même rue par une croisés, le rez de chaussée dans la maison latérale forme les parles* ledit nnelaier* un bucher. Chaque étage a vue par deux croisées dans la cour et consiste en deux petites chambres, le tout d’une contenance superficielle d’environ 3 ares – fait le 24 janvier 1820
Adjudication préparatoire le 29 mars criée 10.000 francs, sans mise
Adjudication définitive le 7 juin, pour 10.000 francs

Fils de tonnelier, Jean Frédéric Schaaff épouse en 1790 Marie Salomé Koch, fille de Jean Gautier Koch (sœur du précédent propriétaire) : contrat de mariage, célébration
1790 (18.9.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 44
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Vorachtbare H. Johann Friderich Schaaff, lediger Kübler Meister, weil. des Ehren und Wohlvorgeachten H Lucas Schaaff gewesenen Kübler meisters und burgers dahier mit der Ehren und tugendbegabten Fraun Susanna Dorothea geborner Barbeneßin ehelich erzeugt nachgelaßener Großjähriger Sohn, als Hochzeiter ane Einem,
So dannn die Ehren: und Tugendsame Jungfrau Maria Salome Kochin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Johann Walther Koch, Bohrenmacher Meisters und burgers dahier mit weil. der Ehren und tugendbegabten Fraun Maria Salome geborner Weißin ehelich erziehlt annoch minderjährige Tochter beiständlichen erstgedachten ihres H. Vatters mit beÿstand H. Johann Martin Weiß Kunsterfahrenen Kupferstechers und burgers dahier, Ihres H. Vogts als Junger Hochzeiterin am andern Theil
Fünfftens, so hat des H. Hochzeiters Frau Mutter Anfangs gedachte Frau Susanna Dorothea Schaaffin geborne Barbeneßin Wittib beiständlich sie hernach gemelt Ihme Hochzeiter, dero geliebter Sohn, hiemit als ein wahren Eigenthum verstorbenrieben cedirt und überlaßen Ihre alhier Zu Straßburg ane dem Golsgiesen einseit neben H. Rimbach (…)
Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1790. [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 10)
Im Jahr 1790 Montag den 1. Novembris sind (…) copulirt worden Herr Johann Friedrich Schaaff, der ledige Kübler und Burger allhier,32. Jahr alt weiland Herrn Johann Lucas Schaaff gewesenen Küblers und burgers allhier mit Frau Susanna Dorothea gebohrner Barbeneßin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kochin 19 Jahr alt Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Weisin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin (i 39)

Jean Frédéric Schaaff meurt en 1835

1836 (12.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Schaaf, baquetier, décédé le 17 décembre dernier – à la requête de Marie Salomé Koch, cette dernière donataire, 2. Salomé Schaaf femme de séparée quant aux biens de Charles Stahl, marchand de bois, 3. Dorothée Schaaf épouse de Chrétien Ott, tanneur
maison à Strasbourg et terres à Westhoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 25-v du 22.4.

Lors du partage des biens, la maison Grand rue renvient à Dorothée Schaaff, femme du tanneur Chrétien Ott

1846 (14.2.), Me Grimmer
Partage des successions et communauté de Jean Frédéric Schaaff Marie Salomé Koch – entre 1. Marie Salomé Schaaff femme séparée de biens de Charles Frédéric Stahl, ancien marchand de bois de construction hors la porte de l’hôpital de Strasbourg, le Sr Stahl aujourd’hui interdit suivant jugement en date du 15 juin 1845 et 2. Dorothée Schaaff épouse de Chrétien Ott, marchand tanneur à Strasbourg, les deux seuls héritières pour moitié de Jean Frédéric Schaaff propriétaire et de Marie Salomé Koch vivants conjoints à Strasbourg leurs père et mère, le Sr Schaaff décédé à Strasbourg le 17 décembre 1835 la De Schaaff née Koch le 4 août 1845

Dans la succession de la De Schaaff sont comprises diverses créances et rentes emphytéotiques, lesquelles rentes sont capitalisées au denier vingt
Attribution. Premier lot à la De Stahl – 1) Une maison à Strasbourg rue d’Or estimée 13.000 francs
2) une autre dite rue N° 6 estimée 11.000 francs
3) Une créances de 2000
4) la rente emphytéotique due par Jean Michel Pfister cultivateur à Willgottheim due suivant titre nouvel reçu Stumpff notaire à Willgottheim le 31 octobre 1845 en capital 8023
5) une autre rente due par Laurent Dossmann et Thérèse Huss conjoints à Willgottheim en vertu d’un titre nouvel reçu dudit Nre. le 11 novembre 1823, en capital 1210
6) Une autre rente due par Laurent Velten cultivateur à Schersheim due suivant titre nouvel reçu Wilhelm notaire à Truchtersheim le 23 août 1823, en capital 1210
7) une créance de 3500 francs due par Marguerite Madeleine Dessecker femme de Jean Gaspard Stamm drapier à Strasbourg en vertu d’un titre nouvel reçu Grimmer le 5 août 1841
8) 12 ares 20 ca vignes ban de Westhoffen canton Brent, 600
9) 12 ares 20 ca vignes canton dit Ablech dit ban, 600
10) 74 ares 30 ca verger dit ban canton Vitten, 600
11) 15 ares verger dit ban canton beim Pferch 300
12) 2 ha 25 ares 90 ca broussailles canton Seelenberg 3000
13) 1 ha 14 a 9 ca broussailles dit ban canton Bogelsholtz 1800, Total 47.722
Deuxième lot attribué à la De Ott 1) Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30 évaluée à 18.000 francs
2) Une rente emphytéotique due par Jacques Wurm fils cultivateur et Hélène Wurm conjoints à Griesheim due suivant titre nouvel reçu Ritlen le 5 juillet 1833, en capital 14.444.
3) une créance de 1952 francs due par Jacques Braun cultivateur à Dingsheim suivant obligation reçue Wengler le 2 avril 1809
4) Une créance de 4500 francs due par Jacques Giess ancien maire à Oberschaffolsheim suivant acte de vente reçu Ritleng le 24 août 1837
5) un ha 50 ares de terres ban de Kutzenhausen évalué 7928, Total 46.905 francs
Immeubles restés en indivision 1) un étal de boucher à Strasbourg Grande boucherie
2) Une maison à Westhoffen rue Erhardsgass n° 27 & 28
3) 6 ares 40 ca de vignes bande Westhoffen im Ritz
4) 15 ares terres dit ban canton Wassenloch
5) 15 ares prés ban de Strasbourg im Schlutfeld
6) 7 ha 25 ares terres et prés ban d’Offenheim
7) 6 ha 50 ares de terres et prés ban de Fridolsheim
8) 3 ha 45 ares de terres et prés ban de Kienheim
acp 345 (3 Q 30 060) f° 34-v du 17.2.

Chrétien Ott épouse Dorothée Schaaff en 1820
1820 (20.6.), Strasbourg 8 (30), Me Roessel n° 7228
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Chrétien Ott, marchand de cuirs, fils majeur de Jean Jacques Ott, marchand de cuirs, et de Catherine Marguerite Boesswillwald
Dorothée Schaaff, fille majeure de Jean Frédéric Schaaff, propriétaire, et de Marie Salomé Koch
Enreg. 148 f° 7 du 21.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1820 (29.11.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7519
Inventaire des apports de Chrétien Ott, marchand de cuirs, et de Dorothée Schaff, suivant contrat de mariage reçu Roessel le 20 juin courant
le mari 9508 fr, la femme 8338 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 150 F° 41 du 30.11.

1857 (8.8.), Me Grimmer
Consentement par Dorothée Schaaf épouse Chrétien Ott propriétaire à Strasbourg au mariage de sa fille Elise Ott avec Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg
acp 462 (3 Q 30 177) f° 34-v du 10.8.

Dorothée Schaaff meurt en 1858 en délaissant six enfants

1859 (20.4.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Chrétien Ott, propriétaire à Strasbourg, et Dorothée Schaaf sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 4 novembre 1858, dressé à la requête I. du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Roessel père le 20 juin 1820, 2) comme père et tuteur de Marie et Valérie Ott, II. Gustave Ott, fabricant à Barr, III. Amélie Ott épouse de Charles Théodore Fuchs, pasteur à Strasbourg, IV Eugénie Ott épouse de Charles Auguste Schoop, architecte, V. Elise Ott épouse de Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg

acp 478 (3 Q 30 193) f° 25 du 27.4. (succession déclarée le 3 mai 1859)
Communauté, mobilier 6185, argent 900, créances 66.175
15 ares 30 de vignes à Westhoffen
Succession. Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30
½ d’un étal de boucher Grandes boucheries
deux maisons à Westhoffen
reprises de la défunte 56.605, reprises du veuf 9500



4, rue des Aveugles (ancien n° 11)


Rue des Aveugles n° 4 – IV 88 (Blondel), P 693 puis section 58 parcelle 104 (cadastre)

Maîtres d’ouvrage (anciens n° 8 et 11), Charles Edmond et Joseph Ernest Mœbs – architectes Edmond et Camille Rudloff, 1911


Le n° 4 en juin 2018. L’ancien n° 9 se trouvait à l’avant, l’ancien n° 11 à l’arrière de l’image
Elévations des 4 et 6 rue des Aveugles lors de la réhabilitation de 1984,
(dossier de la Police du Bâtiment)

La petite maison, située à l’arrière de celle qui forme l’angle oriental de la Grand rue et de la rue des Aveugles, appartient au XVII° siècle à des artisans, le tailleur Jean Büchner, le vitrier Gabriel Waldmann puis le tailleur Jean Jacques Herberling qui devient en 1642 messager municipal. La veuve de Matthieu Baumann acquiert le domaine direct du chapitre Saint-Thomas ; la maison reste grevée à son profit d’un chapon et d’un florin de rente foncière. Le charretier Daniel Hœltzel réunit un temps (1697-1701) la maison à celle qui forme l’angle de la Grand rue. Le paveur Jean Siegfried acquiert l’immeuble dans la faillite du pelletier David Dambach. Sa veuve transforme la maison en 1746 en la réparant et en y ajoutant un nouveau logement. Les bâtiments sont estimés à environ 200 livres tout au long du XVIII° siècle.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cours A’ et C’, îlot 146 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment dont le rez-de-chaussée et le premier étage sont en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à droite du repère (z) : deux portes séparées par une fenêtre, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (A’) représente l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (2-3) dont le côté sud (1-2) donne dans la cour (C’).
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 11. Suite à la Grande percée, elle porte ensuite le n° 4 après avoir été réunie au n° 9.


1911. Façade sur rue et façade sur cour (l’étage un moment supprimé est barré)
Plan des propriétés Mœbs rue des Aveugles et Grand rue (dossier de la Police du Bâtiment)

On constate début 1903 que le mur présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Les entrepreneurs Mœbs font démolir en 1911 la maison voisine (n° 9) pour la faire reconstruire sous la direction des architectes Edmond et Camille Rudloff. Comme la partie inférieure du pignon du n° 11 dégagé présente des pans de bois pourris, ils achètent la maison et modifient leur projet pour construire un nouveau bâtiment à la place des anciens 9 et 11. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant. Un avenant accordé en octobre 1911 permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis.

décembre 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1615 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Büchner, tailleur, et (1604) Susanne Kleindienst – luthériens
1622 v Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et (1612) Ursule Bader – luthériens
1625 h Martin Rapp, charretier, et (1625) Ursule Bader veuve de Barthélemy Ostermeyer – luthériens
1631* adj Jean Büchner, supra
1632 v Gabriel Waldmann, vitrier, et (1621) Félicité Sultzer – luthériens
1644 v Jean Georges Weiss, trompette, et Anne Madeleine Wild – luthériens
1649 v Jean Jacques Herberling, tailleur puis messager, et (1629) Rosine Trenner puis (1658) Marie Uffhauser – luthériens
1675 h Matthieu Baumann, tisserand, et (1666) Marie Uffhauser veuve de Jean Jacques Herberling puis (1676) Anne Marie Haag – luthériens
1697 v Daniel Hœltzel, charretier, et (1676) Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter, puis (1689) Anne Scheer, veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck – luthériens
1701 v David Dannbach, pelletier, et (1697) Madeleine Spangenberg puis (1709) Marie Elisabeth Wagenmann – luthériens
1731 adj Jean Siegfried, paveur, et (1714) Anne Susanne Lemorm – luthériens
1744 h Jean Jacques Braun, boulanger, et (1724) Anne Barbe Vogel puis (1744) Anne Susanne Lemorm veuve de Jean Siegfried – luthériens
1761 h Jean Chrétien Eger, ferblantier, et (1754) Catherine Salomé Siegfried puis (1778) Anne Elisabeth Scharbach, veuve du tisserand André Grohberger – luthériens
1802 h Frédérique Salomé, femme (1789) du tailleur de limes Jean Georges Rœmer, (1812) du capitaine Jacques Bosshart puis (1821) du tricoteur de bas Henri Klein
1843 v André Ebel, limonadier, et (1845) Anne Marie Waag
1863 v Georges Mœbs, cordeur de bois, et (1836) Christine Grusenmeyer
Samuel Levy, négociant
1899* v Jean Joseph, peintre, et Maria Grépin
1909* v Eugénie Gauly, modiste
1911* Charles Edouard Mœbs et copropriétaires
1951* Roger Mœbs, installeur à Neudorf et son épouse et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1708, 200 livres en 1760 et en 1777

(1765, Liste Blondel) IV 88, Jean Chretien Eger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Höcher, 3 toises, 4 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 693, Sieffert, Henri, veuve du tourneur – maison, sol – 0,63 are / Ebel / Klein Henri propriétaire

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles

nouveau N° / ancien N° : 4 / 22
Egerd
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 173 case 4

Ebel, André

P 693, maison, sol, rue des aveugles 22
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 856 case 2

Ebel, André
1864, Moebs Georges
Levy, Samuel, Handelsmann
1899/1900 Joseph, Johann Malermeister u. Ehefr. Maria geb. Grépin in GG
1909 Gauly Eugenie, Modistin
(ancien f° 604)

P 693, maison, sol, Rue des Aveugles 11
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Folio de provenance : (173)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 4
Case biffée, report à la case 3 – Les surfaces détachées au folio 342 case 1 sont réunies du 43, Grand rue

Parcelle, section 58, n° 104 – autrefois P 693
Canton : Blindengasse Hs N° 11 – 191/02, 204/12
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,59 – 0,97 – 0,99
Revenu : 600 – 800 – 1100
Remarques : 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Ab. F 3

(Propriétaire), compte 2225
Gauly Eugenie
1921 Kuhn Louis Fahrradhändler Ehefr. geb. Gauly
1926 Gauly Eugénie épouse de Louis Kuhn
1936 Gester Martine Joséphine épouse divorcée de Jean Louis Munchinger
(1598)

Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 3

Parcelle, section 58, n° 103 – autrefois P 692
Canton : Blindengasse Hs N° 6 / Nr 4 – 204/12
Désignation : Hf, Whs, N.G. – Whs u. N.G.
Contenance : 1,24 / 3,11
Revenu : 1000 – 1300 – 4300
Remarques : 1910 Berufung – 1912 Zug. F 4 u. S. 243 F 1, 2 – 1923 modifié – 1913 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 2973
Moebs Karl Edmund und Josef Ernst
(rayé 1932)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 2633
Kieffer Georges, la veuve
1929 Moebs Charles Edouard et son épouse et copropriétaires
1951 Moebs Roger, installeur à Neudorf et son épouse pour ½ et copro.
(2994)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 234)
22
loc. Beyer, Wunibald, fais. de peignes – Miroir
loc. Bolette, Phil., tanneur – Manant
loc.Bürckel, Jean, journalier – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Blindengasse (Seite 14)

(Haus Nr.) 11
Leibbrand, Wwe. 0
Kuhn, Hutmacher. 1
Gaulÿ, Modistin. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 65)

4, rue des Aveugles (1873-1986)

La Police du Bâtiment constate en janvier 1903 que le mur du 11, rue des Aveugles présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Le marchand de cycles Louis Kuhn pose une enseigne en 1908.
Les entrepreneurs Ch. et E. Mœbs chargent début 1911 les architectes Edmond et Camille Rudloff de transformer le 7, rue des Aveugles et de reconstruire le n° 9 en supposant que la rue sera élargie à 9 mètres. Comme la Police du Bâtiment s’oppose à anticiper l’élargissement de la rue, les architectes suppriment un étage. La Commission des Beaux-Arts approuve le projet. Lors du terrassement, on constate que les pans de bois du mur pignon voisin (n° 11) sont pourris dans la partie inférieure. Les entrepreneurs Mœbs acquièrent le n° 11 et font modifier le projet pour reconstruire ensemble les n° 9 et 11. Le préfet approuve en octobre 1911 le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles d’après lequel le sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres à l’extrémité nord. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires). Le maire accorde en octobre 1911 un avenant qui permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis. Les travaux sont terminés en novembre. Le maire demande l’année suivante de démolir les constructions illicites élevées dans la cour.

Sommaire
  • 1873-1910, Partie propre à l’ancien n° 9
  • 1911 (octobre) – Dossier ouvert suit au courrier du Service d’architecture. Le préfet approuve le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles. Plan (le nord du sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres), propriétaire C. et E. Mœbs, installateur sanitaire
  • 1911 (février) – Les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) demandent l’alignement à suivre pour le bâtiment à reconstruire aux 7-9, rue des Aveugles, propriété de Ch. et E. Mœbs. Le service d’architecture répond que le projet d’alignement prévoit que la rue des Aveugles ait 9 mètres de large
    1911 (mars) – La division III déclare que le nouvel alignement n’a pas été arrêté. Dans l’état des choses, (rue de moins de 7 mètres de large), le nouveau bâtiment ne doit pas dépasser 10 mètres de haut.
    1911 (avril) – Les architectes transmettent les plans du nouveau bâtiment. La Commission des Beaux-Arts (composée du conservateur des monuments historiques Knauth, de l’architecte Berst, du conseiller municipal Hurst ainsi que des architectes municipaux Nebelung et Bebo) n’émet pas d’objections. Le conservateur Knauth confirme en mai qui’il n’y a aucune objection d’ordre esthétique.
    1911 (mai) – L’entreprise Ch. et E. Mœbs (pose de canalisations, fondée en 1868) d’une part et les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) d’autre part sont autorisés à construire un nouveau bâtiment au 9, rue des Aveugles et à transformer le n° 7. Plan de situation, plan portant les dimensions de la parcelle et de la cour, dessin (élévation, coupes, structure métallique), calculs statiques
    Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Le mur pignon du n° 11 (propriété d’Eugénie Gauly) est étayé, Une visite des lieux établit que le pignon dégagé du n° 11 est constitué de pans de bois qui sont pourris dans la partie inférieure. Les travaux sont interrompus jusqu’à ce que la propriétaire du numéro 11 ait consolidé le pignon.
    1911 (juin) – Les architectes Rudloff transmettent au nom des consorts Mœbs un projet pour reconstruire les 9-11, rue des Aveugles en supposant que la rue aura 10 mètres de large. La Police du Bâtiment fait six remarques. La hauteur du bâtiment doit prendre en compte la largeur effective de la rue (4,60 à 3,30 mètres), de sorte que le bâtiment devra avoir au plus 10 mètres jusqu’au début de la toiture dont l’inclinaison aura au moins 45 degrés. L’architecte modifie le projet en supprimant l’étage mansardé tout en conservant l’épaisseur des murs pour pouvoir ajouter ultérieurement l’étage supprimé.
    1911 (juillet) – Autorisation de construire du nouveau bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce sur le sol des 9 et 11, rue des Aveugles. Le bâtiment arrière pourra se trouver par dérogation à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires) – Dessins – Calculs statiques – Description. Les fondations sont en béton, les murs en briques, les escaliers en béton revêtu de granito, les encadrements des fenêtres sur rue et des devantures sont en grès des Vosges, le crépi gris clair, les piliers de pierre de taille, la corniche en bois, la toiture couverte de tuiles plates – Droits réglés pour un bâtiment principal de 15,80 mètres de long et un bâtiment accessoire de 13,80 mètres.
    1911 (24 juillet) – Les architectes déclarent l’ouverture du chantier et demandent à suivre le nouvel alignement qui est confirmé début septembre.
    1911 (septembre) – Les architectes et les propriétaires adressent au maire une demande pour pouvoir construire l’étage mansardé. Les consorts Mœbs construisent le nouveau bâtiment pour remplacer leurs locaux sis 12-14, rue des Aveugles sis sur le tracé de la Grande percée. Le projet initial consistait à reconstruire seulement le 9, rue des Aveugles. Les difficultés survenues ont amené à acquérir le 11, rue des Aveugles et le 43, Grand-rue voisins. Comme la rue sera élargie, le nouveau bâtiment pourra avoir la hauteur initialement prévue, d’autant que dans les premiers temps il servira de débit à la brasserie Freysz. – Le maire répond que la rue sera portée à 9,50, ce qui permet de construire l’étage mansardé à condition qu’aucun logement indépendant n’y soit aménagé et que la façade du n° 7 forme une unité avec le bâtiment à construire.
    1911 (octobre) – Avenant au permis de construire autorisant l’étage mansardé – Dessins – Calculs statiques. Droit réglés pour un bâtiment à quatre niveaux
    Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Les murs de séparation sont repris en sous-œuvre (juillet). L’entreprise Urban (au Neudorf) construit les murs du sous-sol (août), du premier étage (septembre), le troisième étage (octobre). L’aménagement intérieur est en cours (janvier 1912)
    1911 (novembre) – Les architectes demandent le réception du gros œuvre. La visite établit notamment qu’il manque les barres de contreventement. Nouveau projet pour les têtes des piliers – Les architectes sont autorisés à commencer le crépi trois semaines après la réception du gros œuvre.
    1911 (décembre) – Les architectes prient le maire de reconsidérer l’interdiction d’habiter dans l’étage mansardé avant que la rue ne soit élargie. Le maire accorde l’autorisation suite aux arguments présentés.
    1912 (mars) – Les architectes demandent la réception finale. Le ramoneur Ph. Vogt atteste que les cheminées sont conformes. La Police du Bâtiment remet de certificat de réception.
  • 1912 (mars) – L’entreprise Rossi et Leja (40, rue Geiler) demande l’autorisation de poser à échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Accord
  • Partie propre au n° 11
    1871 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du plombier Mœbs l’autorisation de faire une prise pour environ trois becs au 11, rue des Aveugles.
  • 1885 – Le maire notifie la veuve Mœbs (domiciliée sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, novembre 1885
  • 1891 – Quittance de droits réglés par l’entrepreneur Matter (9, rue des Lentilles) pour avoir fait un branchement de canalisation pour le sieur Hittler au 11, rue des Aveugles
  • 1895 – Le cordonnier Al. Dresch (demeurant 51, fossé des Tanneurs) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Le pétitionnaire renonce à poser l’enseigne, août 1896.
  • 1903 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que la stabilité du 11, rue des Aveugles n’est pas altérée. Les fissures ne sont pas devenues plus importantes. Dossier classé après plusieurs visites en août 1903.
  • 1905 – Le maire notifie J. Joseph (demeurant 1, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905
  • 1908 – Louis Kuhn (cycles et réparations) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – La double enseigne en fer-blanc est posée.
  • 1906 – Le maire notifie Louis Gauly (demeurant sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905 – Eugénie Gauly répond qu’elle n’est que principale locataire et que la façade a été lavée l’année précédente – La Police du Bâtiment note que la maison appartient à Jean Joseph, demeurant 6, rue Sainte-Barbe – Le maire envoie une nouvelle notification au propriétaire en novembre 1907. La maison a été vendue en mai 1908 à Eugénie Gauly qui obtient un délai – Travaux terminés, novembre 1908
  • Commission contre les logements insalubres demande en 1902 au propriétaire Jean Joseph de faire installer un deuxième cabinet d’aisance – Les cabinets d’aisance ont été raccordés aux canalisations, mai 1904.
    Commission des logements militaires, 1915. Rue des Aveugles –11. Rien à signaler
  • Nouveau bâtiment, n° 4
    1934 – La Police du Bâtiment constate que le négociant Albert Schlüsselblum a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande par Edmond Hirtz (Palais des laines, 4, rue des Aveugles) – Autorisation
  • 1963 – Le locataire Schmitt (deuxième étage, immeuble appartenant à l’indivision Mœbs, géré par René Hug) se plaint que la pluie pénètre dans son logement. Le Police du Bâtiment observe des taches d’humidité. Elle demande au gérant de faire faire les travaux et de vérifier que les cheminées sont en bon état. René Hug déclare être seulement chargé d’encaisser les loyers et renvoie aux copropriétaires, les veuves Jeanne Mœbs et Adèle Mœbs – René Hug fournit un certificat du ramoneur Henri Reppert (4, rue du Fort) – Travaux terminés, octobre 1964
  • 1983 – Roger Mœbs, domicilié à la Wantzenau, offre à la Ville d’acheter les 4 et 6 rue des Aveugles. Le n° 4 (section 58 parcelle 102) fait partie du secteur sauvegardé – La Division II estime que la Ville n’a pas intérêt à acquérir les immeubles.
  • 1984 – François Trau (demeurant à Illkirch-Graffenstaden) demande l’autorisation de transformer des fenêtres (bâtiment non protégé située dans le secteur sauvegardé) sous la direction de G. Ecklé (Arical architecture) – Plan cadastral de situation, élévations
    Description du projet de réhabilitation (4, rue des Aveugles). Les locaux professionnels du rez-de-chaussée restent tels quels. Les appartements des trois étages gardent leur distribution mais seront isolés et revêtus à neuf. Le quatrième étage sera transformé en deux appartements dont les jours seront agrandis. Dessins (deux projets d’élévation, dessins)
    Un avis défavorable, non expédié, portait de conserver les pignon en l’état. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (juillet 1984). La façade devra être aménagée pour poser l’éclairage public. Le maire transmet le dossier au préfet qui accorde le permis de construire en septembre 1984.
    1984 (novembre) – Le maire signale au propriétaire que le panneau de chantier n’est pas affiché
    1984 (novembre) – Déclaration d’achèvement des travaux. la réception finale qui a lieu en janvier 1985 ne donne lieu à aucune objection. Le préfet délivre le certificat de conformité en février 1985.
  • 1985 (octobre) – La Police du Bâtiment qui est entrée dans la cour avec l’architecte des Bâtiments de France a pu constater que le cour est surbâtie depuis peu. Les travaux non régularisables ne doivent pas constituer de précédent. Le maire demande au propriétaire de démolir les constructions illicites. Ce dernier déclare que des constructions précaires existaient avant la réhabilitation, l’agent de la Police du Bâtiment que la cour était dégagée lors de ses visites. Le conseiller général Hervé Busse intercède en mars 1986 en faveur du propriétaire François Trau, gérant de la s.à.r.l. Mœbs.

Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1610 au tailleur Jean Büchner.
Originaire d’Ermershausen en Franconie, Jean Büchner épouse en 1604 Susanne Kleindienst, fille de tailleur, et devient bourgeois quelques jours plus tard

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 92-v, n° 50)
1604. Hans Büchner von Ermeltshaußen im franckenlandt der schneider vnd J. Susanna Hans Kleindienst des schneiders Eheliche tochter, 27. Augusti. (i 95)

2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 846
Hanns Beüchner der Schneider vonn Ermelßhaußen, empfahet das Burg: Vonn seiner Haußfr. Susanna Hanns Kleindiensts dochter, Will Zun Schneidern dienen. Act. vt supra [1. Septemb: 604

Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison à Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et à sa femme Ursule Bader

1622 (vij. Aprilis), Chancellerie, vol. 446 f° 125
(Inchoat. in Prot. fol. 93.) Erschienen hannß Büchener d. schneÿd. burg. Zu Straßburg und Susanna Klein dienstin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Barthell ostermeÿer dem treÿber vff d. Blumen Müelen burg. Zu Straßburg vnd Ursulæ Baderin seiner ehelich. haußwürthin So bede Zugeg.
hauß vnd hoffstatt samt dem schöpffell od. gang Zu dem profeÿ, durch die gerechtigkeit desselb. Profeÿgs, darzu mit Allen Ihren gebewen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß, einseit n. hanß Waltman des schreÿners erb. And. s. h. M. Adami Voltzÿ p.ceptoris classici s. erb. hind. vff Heinrich Mornhinweg des schmÿdts Zu Schaffoltzh. selig erben stoßend. Dauon gnd. x ß d vnd j Kapp. sie seint gleich ewig In Müntz od. gold Ablösig wie d. Brieff d* seÿ solches vßweÿß, Also haben es die Kheuffer vff sich genommen, vffv* sollend den stifft Zu St. Thoman, Mehr j lb d gelts loß mit xx lb d vff Mariä Verkndg soll dem mehren Spittal, Sunst ledig eig. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb 260 pfund
[in margine :] Erschienen hanß büchner der Verkäuffer, hatt in gegensein Georg Rauschenmeÿers alß der hierinn gemeldten Käuffern s. Kindts Ursulæ vogt, bekant, demnach vermög der den 25. Augusti negsthin vor den zu den Nachträgen insonderheit deputirten herren getroffenen v.gleichung, Er büchner dise behausung wider angenommen und dem Vogts döchterlin 45 fl. (…) zu eben schuldig – den 26. octob. 631.
[in margine :] Erschienen hanß Büchner hatt in gegensein Ursulæ Baderin vnd ihres ietzigen Ehevogts Martin Rappen deß holtz karchers (…) q.tirt den 19. Jan. 1627.

Originaire de Merching en Bavière, le meunier Barthélemy Ostermeyer épouse Ursule Bader en 1612. Il devient bourgeois deux mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, cathédrale (luth. p. 2)
1612. Barthol Ostermeyer der Müller von Mörgingen aus dem beyerlandt vnd Ursula Stephan Baders tochter, eingesegnet den 9. Novembris (i 317)

1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 956
Barthel Ostermeÿer von Merching Auß dem Beÿerlandt Empfahet d. Burgerrecht von Ursula Stephan Bader deß holtzhauers dochter wull Zu Mörin dienen, Actum den 21. Januarÿ A° 1613.

Devenue veuve de Barthélemy Ostermeyer alors charretier, Ursule Bader se remarie avec le charretier Martin Rapp originaire d’Eckartsweier (près de Kork) qui devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 179)
1625. Martin Rapp d. Holtzkarcher Geörg Rappen deß bawrsmanns Zu Eckersweier nachgelaßener Sohn, Ursula Barthel Ostermeÿers des holtzkarchers allhier nachgelaßene Wittib, 9. 8.bris (i 182

1626, 4° Livre de bourgeoisie p. 91
Martin Rapp d. holtzkarcher Von Elchardtsweÿer Empfangt d. Burg. recht von Ursula, weÿlandt Barthel ostermeÿers deß holtzkarch. wittiben, wüll Zu Mohrin Zünfftig sein, den 14. Xbris 1626.

Martin Rapp et Ursule Bader hypothèquent la maison au profit de la fille du brodeur en soie Jean Charles Schaumann, pour laquelle agit Jean Büchner. L’acte renvoie à celui passé en 1622 pour l’origine de la dette

1627 (18. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 38
Erschienen Martin Rapp der holtzkarcher burger Zu St. vnd Ursula Baderin sein ehefr.
haben in gegensein Hanß Büchners deß Schneiders alß vogts Maria Magdalenen, hanß Carol Schawmanns deß seidenstickers ehelichen dochter – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand, hauß vnd hoffstat sampt einem schöpffell od. gang, und allen Anderen Zugehörd. alhie in der Blindengaß neben hanß Waldtmanns deß schreiners erben i. vnd 2. seit neben weÿ: H. M Adami Folsÿ gewesenen præceptoris Classici see: erben, hind. vff Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts Zu Schöffholtzh. erben stoßend, dauon gehen x ß d vnd Ein Kapp Järlich Bodenzinß dem Stifft S. Thoma, Item j. lb d gelts dem mehren Spitahl lößig mit 20. lb d, So dann ist d hauß hoff vmb 100. lb ihme hannß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zu nüeßen hat, Item vmb 25. lb d restirend Kauffschillings
Nota. Es hat Büchner, wie in Notÿ Meÿgers Regist. de Anno 1622. fol: 125. zusehen bekannt, alß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v.kaufften hauses Im Kauffschilling 50 lb d empfangen hete, dahero Rapp disse obligation weil er Büchner nichts empfang. vffrichten laß. dieweil aber Er Büchner sein Angeregt. Hauß, v.mög der beÿ den verordnet. Nachtrags herren den 25. Aug. nechsthin getroffenen v.gleich wider an sich genommen, Alß ist hiemit auch dies obligation gefallen vnd solche vß beeder parten geheiß wider cassiert worden Act. 26. Octobris 1631.

Le tuteur de la fille de Barthélemy Ostermeyer hypothèque la maison au profit des enfants de Christophe Rüder dont Jean Büchner est tuteur. L’acte renvoie aussi à celui passé en 1622

1629 (7. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 9-v
Erschienen Georg Rauschenmeÿer d. Holtz Karcher burger alhie alß vogt Ursulæ Barthel Ostermeÿers deß Karchers see. döchterlins
hatt in gegensein Christoff Rüedtern deß schneiders auch burgs s: alhie 2. ehe dreÿer Kindern vogts hanß Büchners deß Käufflers – schuldig seÿe xxv. lb
vnderpfand hauß, hoffstat vnd alle andern deren Zugehörd. alhie in der Blindengassen neben hanß Waldtmans des schreiners s: Erben & neben H. M. Adami Folsÿ gewesenen præceptoris classici see. erben, hind. vf Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts see: zu Schäffholtzh. erben, dauon gehen Jahrß 10. ßd. j. Kapp. bodenzinß dem Stifft S. Thoman It. 1. lb. d gelts dem Mehren Spithal alhie losig mit 20. lb d. Item vmb 100. lb. d ihme hanß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zunüeß hat, So dan vmb 50. lb d Maria Magdalenen Schawmännin
[in margine :] Nota. Es hatt Büchner, wie in Not: Maÿgs. reg. de a° 622 zusehen bekandt, daß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v. kaufften hauses, Am kauffschilling 25. Pfund empfangen (…) Actum 26. 8.bris Anno 1631.

Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison au vitrier Gabriel Waldmann et à sa femme Félicité. L’acte fait seulement état des dettes sans citer l’origine de la propriété (la maison doit avoir été attribuée aux vendeurs pour défaut de paiement)

1632 (XIII. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 466 (expéditions) f° 26-v
(Gabriel Waldtman dem Glaser) Wir ut spâ [Joachim von Berstett der M. &] erschienen vnser Burger vnd geschworner Keüffler hanß Büchner vnd Susanna Kleindienstin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
auch Vnserm burger Gabriel Waldtman dem Glaser vnd Fœlictæ deßen Ehefrawen
hauß, hoffstat, höfflin und ein schöpfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in unserer St. St. in der Blindengaß neben hanß Spitzen dem Amblungmacher ein: und anderseit neben hörman Adam Folsen, hinden vff Mathiß Mornhinwegs s: zu Schaffholtzheim nachgelaßene wittib stoßend, darvon gehen Jährlich auff Weÿhenachten Zehen schilling vnd ein Kapp dem Stifft S. Thoman alhie, sie seÿen ewig, ehrschätzig, fürbietig. bodenzinß (…), Item Ein pfund & gelts verkäuffer Mariæ Verkündigung dem Mehrern Spitahl alhie, in hauptgut mit 20. Pfund d. Item Zweÿ pfund Zehen schilling d. Zinß vff den Neünzehend. Januarÿ, Maria Magdalenæ Schawmännin, mit 50 pfund d., Item Ein pfund fünff schilling gelts vff den 6. Jenner, Christoff Rüeden deß Schneiders see: Zweÿen Kindern, mit 25. pfund & hauptgut abzulösen, vnd solche beede letstere posten vff begehren zuerlegen, So dann ist dise behausung auch noch verhafftet vmb 100. pfund d. ihnen den Verkäuffern selbsten, so Susanna Matheußin hr leben lang wÿdembs weiß Zunüeßen, vnd deren Jährlich vff Pauli bekerung mit fünff pfund d. verzinßt, nach ihrem absterben aber ihnen den Verkäuffern auff ein vorgehende Viertel Järige auffkündigung erlebt werden solle, sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerde, so die Käuffere auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 40 Pfund pfenning

Gabriel Waldmann épouse en 1621 Félicité Sultzer, fille d’oculiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 155)
1621. Gabriel Waltmann d, Glaßer, Fœlicitas Heinrich Sultzers deß gewesenen Oculisten v. Schnittartzt nachgelaßene Tochter. St. Thomas den 30. Aprilis (i 159, pas dans le registre de Saint-Thomas)

Félicité Sultzer veuve de Gabriel Waldmann et le tuteur de son fils vendent le domaine utile de la maison au trompette Jean Georges Weiss, originaire de Dresde, pour le compte de sa femme Anne Madeleine Wild

1644 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 31-v
(Prot. fol. 9 & seq.) Erschienen Felicitas Sultzerin, weÿl. Gabriel Waldmanns deß Glaßers nunmehr seel: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Mosen deß Schneiders ihres Vogts, Wie auch hannß Mockh der Mahler alß Vogt hannß Michaelß, ihr Felicitatis mit Ihme Gabriel ehelich erziehlt. Sohn,
haben in gegensein hannß Georg Weiß. deß Trompeters von dreßden alß Ehevogts Annæ Magdalenæ Wildin mit beÿstand Tobiæ Roth deß Ganth Käufflers – und Zwar mit vßtruckhlich. Consens H Probsts Dechants und Capitulß der Stifft: St: Thoman, denen daß Dominium directum vff nachgemeldter Behaußung gebührt, vffrecht verkäufflich cedirt und übergeben, gedachter Annæ Magdalenæ Wildin, Welche dann vff E. E. groß. Rhats Sambst. d. 16. Xbr. nechsthien, mit dem anhang daß gemeiner Statt Stall davon die iährlich Gebühr abgestattet werde, und Sie sich ihrem Erbiet. gemäß förderlich verburgere, ertheilte obrigkeitliche Bewilligung Käufflich angenohmen habe
das Dominium utile, die Beßerung und Erb lehnungs Gerechtigkeit, vff hauß, Hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen, & alhie in d. Blind.Gaßen: neben Michael Vettern dem Amlungmachern ein: und anderseit neben neben Weÿl. Ulrich Retzlobß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris sel. Erb. hind. vff hannß Wurtzen den Würth Zu Schaffoltzheim stoßend gelegen, Welche Behaußung obgemeldtem Stifft St. Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch iahrs vff Martini ein Cappen und vff weÿhenachten ein guld. gelts Zu 15. batzen Zu ewigem erbschätzig. fürbietigen Erblehenzinnß Zu raich. schuldig, So weit die Beßerung verhafftet dem mehrern Hospital umb 20. lib iährlich vff Mariæ Verkündigung mit j. lib. biß Zur Ablößung Zu verzinnß. (übernohmen) – umb 155 Pfund

Anne Madeleine Wild femme du trompette Jean Georges Weiss vend le domaine utile de la maison à Jean Jacques Herberling, messager au tribunal

1649 (25. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 665
Erschienen Anna Magdalena Wildin Hannß Georg Weisen deß Trompeters eheliche Haußfraw, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts wie auch Tobiæ Roth. deß Ganth Käufflers ihres Vetters,
hatt in gegensein Hannß Jacob Herberling deß Statt Gerichts botten, mit beÿstand Jonas Trenners deß Schuhmachers seines Schwagers – Zwar mit vßtruckhlichem Consens herrn probsts, dechants und Capituls, deß Stiffts Zu St: Thoman denen daß Dominium directum vff nachgeschriebener Behaußung zustehet Verkäufflich. cedirt und übergeben hatt,
daß Dominium utile die Beßerung Und Erblehnungß Gerechtigkeit Vff hauß, hoffstatt, Höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Blinden Gaß. neben Michael Vettern dem ammlungmachern ein: und anderseit neb. weÿl. Ulrich Retzlobß deß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris seel. nachgelaßenen Erben, hinden vff Hannß Wurtzen den Würth zu Schaffoltzheim stoßend gelegen: Welche Behaußung obgedachtem Stifft St: Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch Jahrs Vff Martini einen Cappen Vnd Vff Weÿhenachten einen Gulden gelts Zue 15 batzen Zu ewigen erschätzigen fürbietigem Erblehens Zinnß zuraich. schuldig ist, so ist die Beßerung dem mehrern Hospital annoch Verhafftet umb 20. lib. Jährlichen vff Mariæ Verkünduing mit 1. lb. biß Zu Abloßung Zu Verzinnßen (übernohmen) – umb 75. lib

Tailleur originaire de Seltz, Jean Jacques Herberling, épouse en 1629 Rosine Trenner, fille de cordonnier, et devient bourgeois moins d’un mois plus tard
Mariage, cathédrale (luth. f° 171)
1629. Hans Jacob Herberlin der Schneider Von Seltz, Hans Herberlin des schneiders daselbsten e. sohn, vnd J. Rosina Elias Drenner des schuhmachers tochter eingesegnet montag 29. Junÿ (i 140)

1629, 4° Livre de bourgeoisie p. 110
Hannß Jacob Häeberlin Schneid. Empfangt d. Burg. recht Von Rosina Elias Treners deß Schumach. tochter Wull Zu den Schneid.n dienen, Actum den 20. Augusti 1629.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Jacques Herberling messager de la chambre des Sept en mai 1642. Il est le seul candidat, ce que l’assemblée explique par la rétribution modique. Il sollicite à la fin de l’année le poste de messager au tribunal de la Ville qu’il obtient sur recommandation du greffier. Il prête serment fin janvier 1643
1642, Conseillers et XXI (1 R 125) et 1643 (1 R 126)
1642 – Hanß Jacob Herberlin wird Siebnergerichts bott. 29. 52. 153.
(f° 29-v) Sambstag d. 19. Martÿ
Hanß Jacob Herberlin der Schneider suppl. p. Knaf. Undt d. Siebnergerichts botten dienst. Erk. Soll sich gescheid. geb. die H. XV aber die Besoldung bedenck. – H. Mieg v. H. Gasner

(f° 52) Montag d. 9. Maÿ
H. Frantz Carol berichtet d. sich vmb d. Sibnergerichtß bott dienst nur einer geschrieben geb. nammenß Hanß Jacob Herberling, Zweiffels ohn weg. deß gering. Verdiensts so er demselbig. orth, Dann er nur 2 lb d wan die rechnung abgelegt werdt Vnd 4 d Von dem gebott. Stellt Zu Mh. ob sie dießem d. dienst anvertrawen v. Conferiren wollen. Sonst errinnert er daß der Actuarius bericht, d. nechst alle sach. Vor einem Ehrsamen policeÿ gericht Jetzmahlß außgemacht werd. hetten Vast an den Ihrig. gericht nichts Zu thun.
Beÿ dießer occasion ist Von Vnderschiedlich. H. errinnert worden, daß man Solte die visitationes beÿ d. Untern gerichten reassumiren. Erk; ist angenommen word. Jurat.

(f° 153) Montag d. 19. Decembr. Hanß Jacob Herberlin Supplicirt die Vacirende Statt gerichts botten s[t]ell. Erk. soll sich geschrieben gebeb.

1643 Conseillers et XXI (1 R 126)
1643 – Hanß Jacob Herberling würdt Stattgerichtß bott. 11. 12.
(f° 11-v) Sambstag d. 28. Januar:
H. XV. Reichßeÿß. Und H. Hellbeck laßen per H. Stattschreiber referiren, d. sie einen außschutz gemacht der Jenig. persohnen so sich Vmb die Vacirende Stattgerichts bott stell geschrieben geb. hab. Vnd d. die Treÿ in den selbigen gebracht, Vnder welch. Hanß Jacob Herberling Ihnen Insonderheit von dem Actuario gelobet word.
Erk. Ist der Herberling Zu einem Stattgerichts bott erkandt word.

(f° 12) Montag d. 30. Januar: – Hanß Jacob Herberlin der Stattgerichts bott schwöret uff seine Ordnung.

Le messager du tribunal Jean Jacques Herberling hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Hagenstein, huissier au poêle des Tailleurs

1655 (2 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 4
Erschienen Hans Jacob Härberling der Stattgerichts bott
in gegensein Michael Hagensteins deß Büttels vff der Schneiderstuben – schuldig seÿen 50 Pfund pfenning
Unterpfand sein solle Eine Behaußung alhie in der Blindengaß. einseit neben Michael Vettern dem Karchern, anderseit neben Johann Friderich Retzloben dem wollenwebern gelegen, so Zuvor noch umb 20. lib dem mehren hospital und 10 lib. dem stifft St Thoman verhafftet

Jean Jacques Herberling se remarie avec Marie Uffhauser, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration
1658, Protocolle (64 not 5) f° 374
Eheberedungs Copia – Hannß Jacob Herberling Stattgerichtsbotten und Jungfrawen Mariæ Uffhaußerin
(…) ein ehelicher Heürath undt freündtliche Vermählung Zwischen dem Ehrengeachten Herrn Hannß Jacob Herberling, burgern und E. E. Stattgerichts allhie beampten alß Bräutigam an Einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jungfrawen Mariæ, wÿland Bernhardt Uffhaußers geweßenen Schneiders undt burgers allhier Seeligen nachgelaßenen dochter, alß Hochzeiterin, Andern theils
deßen zu wahren Urbundt undt gezeügnuß haben beede obgemelte Ehe Persohnen mich Davidt Ösinger den Eltern geschwornen Offenbahren Kaÿßerlichen Notarium undt Burgern Zu Straßburg Insonderheit begetten und erfordert, alle vndt iede hievorstehende Puncte gebührlich ad notam Zu nehmen – den 10. 7.bris 1658

Mariage, cathédrale (luth. f° 94, n° LVI)
1658. Joh: Jacob Herberlin Statt gerichtbott Und Jungfr. Maria weÿl. Bernhard Vffhaußer, schneid.s hind.laßene eheliche Tochtern Dienstag d. 21.t 9.bris im Münster (i 95)

Les messagers Jean Jacques Herberling et Jean Schweitzer demandent à être dispensés du service de garde. Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent.
1659, Conseillers et XXI (1 R 142)
(p. 57) Mittwoch d. 30. Martÿ – Hanß Jacob Herberlin vnd Johannes Schweitzer beÿde Stattgerichts bott. vberzeichten per Wild. Undgr. Supplication, Bitt gleichfalls vm erlaßung d. aufferlegten Georg Wachten.
Erk. Soll ihnen d. begehren abgelehnet Werden

Jean Jacques Herberling fait son testament. Il lègue à sa femme la jouissance viagère de sa maison rue des Chandelles, qu’elle se remarie ou non.
1661, Protocolle (64 not 5), Jean Jacques Bœller
(f° 377-382) Testamentum nuncupativum. Herrn Hannß Jacob Herberlings Stattgerichtsbotten Im Jahr 1661
Im Jahr 1661 auff Donnerstag den 31. Octobris alten Calenders abends zwischen Sechs undt Siben uhren (…) der Ehrengeachte Hannß Jacob Herberlings, Stattgerichts bott vnd burger allhier (…) entzwischen seinen inn Zweÿen Ehen erzeugten Kinder, /:deren die Vier in Erster Ehe erzeüget, bereits beÿ ihren Jahren, Verstandt und inn denn Alter begriffen, daß Sie Sich schon selbsten wohl werden ernehren vndt außbringen mögen, das in Zweÿter Ehe gezeügtes Söhnlein hanß Friderich aber noch gar jung undt vnerzogen vndt Zu besorgen, daß wegen Ihme den Vatter obligenden Alters vnd blödigkeit halben ermeltes Kindt beÿ Künffiger Vfferziehung der Vätterlichen hülff nicht als lang vnd viel, wie gemelte seine Vier Geschwüsterdt empfangen, würdt genieß Können (…)
Zum Andern, hat Er Testirer Hanß Friderich Herberling, seinem Jüngsten mit Maria Uffhaußerin ehelich erzeugtem Söhnlein, als welcher vorgedachtermaßen, noch Jung undt unterzogen (…)
Drittens bericht Er der Testator, Er hab Zwar Mariæ Uffhauserin seiner haußfrauen, inn vffgerichteten Ehe pactis, Verschiedene gemach, in seiner behaußung ane d. Liechtergaßen in Straßburg gelegen, alleinst lang Selbige nach seinem Absterben im wittibstandt Verbleibt zu bewohnen verschrieben laßen (…) deßen aber oherachtet (…) ist sein des Testierers will und meinung daß nach seinem tödlichen hintritt gemelte Seine haußfrau, wie inn der Eheberedung Zum wÿdemb verschriebene gemach inn obbesagter behaußung, nicht nur allein so lang Sie ein wittib ist, sondern so lang Sie lebet, besitzen und bewohnen (…)
Fünfftens, dieweilen die institutio Hæredum oder Einsatzung der Erben eines iedwedern Testaments fundament und grundveste ist ohne welvhe auch kein Testament bestehen vnd Krafft haben mag, derowegen hat Er der Testator seine in beeden Ehen erzeügte liebe Kindern nahmentlichen Hanß Paulum, Mariam Salome, Hanß Jacoben, Hanß Carle vnd Hanß Friedriche,n und die Er noch etwan ferner erziehlen möchte, welche ohne das ab intestato seine wahre und ohngezweiffete Erben weren, himit Zu Erben ernennet vndt eingesetzt (…)
Welches alles dann beschehen undt Zugangen inn einer in der Statt Straßburg ane Jungfrauen gaßen gelegenen Zum Junckhern genanten behausung, dero Undern in den hoff außsehenden wohnstuben
Johann Jacob Böller Notarius
Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13), Protocollum Testamentum nuncupativum (f° 12-v) – Hannß Jacob Herberling (début de l’acte)

L’inventaire de ses biens est dressé en 1662 après sa mort. Il délaisse quatre enfants de son premier mariage avec Rosine Trenner et un fils du deuxième avec la veuve. L’inventaire cite deux titres datés de 1644 et 1556 concernant la maison rue des Aveugles, par ailleurs chargée d’un chapon et d’un florin de rente au profit de la fondation Saint-Thomas. La masse propre à la veuve s’élève à 10 livres, celle des héritiers à 133 livres. L’actif de la communauté s’élève à 145 livres, le passif à 73 livres

1662 (6.5.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 4) f° 13 (366)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung undt güttere so Weÿl. der Ehrenthaffte Hannß Jacob Herberling geweßener Schneider undt Statt Gerichtsbott, welcher den Andern Aprilis Innstehenden Jahrs todtlichen Verblichen hinderlaßen, so vff erfordern undt begehren deß Abgeleibten seel. p. Testamentum nominirter undt ane nachgemeltem filio benambster Erben, durch die Ehren und Tugendreiche Frau Maria Auffhaußerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Ehrenthafften Herrn Alexander Kornnecker Schneiders Ihres geordneten Vogts mit Zuziehung deß Ehrenvesten Herrn Johann Christoph Ordtners Notÿ Jurati geeÿgt und gezeigt – Actum und Angefangen Dienstags den 6. Maÿ 1662.
Der Verstorbene seel. hat Zu Erben verlaßen wie Volgt 1. Mariam Salome deß Ehrenhafften Hannß Thomæ Kammen, Metzgers und burgers alhie haußfrawen mit beÿstand deßelben, 2. H. Johann Paulum, Ledigen scribenten, 3. H. Johann Jacobum, Ledigen scribenten, 4. H. Johann Carolum Theologiæ studiosum, dero geordneter undt geschworener Vogt der Ehrenhaffte undt bescheidene hannß Jacob Stahl Schneider undt burger alhie welche dem Geschäfft beneben den Vogt Söhnen in Persohn beÿgewohnt, Alle Vier des verstorbenen seeligen Inn erster Ehe mit weÿlandt Roßina Trennerin Ehelich erzeugte dochter und Söhn,
5. Hannß Friderichen, deß in Gott ruhenden seel. mit Vorgedachter seiner hinderlaßenen Wittib Ehelich erzeigten Söhnleins, deßen geordtneter undt geschworner Vogt der Ehrsamen undt bescheiden Hannß Georg Jung Kieffer undt burger alhie welcher den Geschäfft beÿgewohnt, Alle fünff deß Abgeleibten seel. Test. nominirter Erben.

Auff der Andern bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn der hindern Cammern Inn der hindern stuben, In der Wohnstuben, Im obern haußöhren, Im Vndern haußöhren, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) It: j hauß, hoffstatt undt höfflin sampt j. hinderhauß mit allen deren gebauen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten Inn der Statt Str: Inn der Heiligen Liecht gaßen, ein seith neben einer behaußung der samlung Zur dritten regul gehörig, anderseith neben weÿl. hannß Siebenhorn geweßenen Müllers hinderlaßene Wittib Zum theil, neben H. Dr Nicolao Aggerio hinten uff herrn Friderich Riehel Papÿrhauß, so weÿl. hern Daniel widern XV.ers seel. hinderlaßenen Wittib seel. Erben gehörig, davon geben Jahrs auff Michaelis 8 fl. Straß: wehrung lößig Inn hguet mir 200 fl. bemelter wehrung fr. Mariæ H. N. Herdenstein geweßenen Amptmanns Zu Marlenheim haußfrauen, So dann 1 lb 5 ß Jahrs auf Annunciationis Mariæ abzulößen mit 25. lb d dem großen Almoßen Zu S Marx sonsten allerdings ledig undt eigen undt hihero über bemelte beschwerden angeschlagen p. 130. lb
[[biffé] daran dem Verstorbenen seel. allein Zween drittetheil Zu eigen gehörig, so thun 56. lb, Davon der übrige dritte theil den Kindern Erster Ehe Vor Mütterlich gutt gehörig, vndt hernacher beÿ der Wÿdembs Verfangenschaft eingetr. Zubefinden]
darüber sagt ein Pergam. Kauffbr. mit der Statt Str. Contract Inns. sub dato 22. Junÿ 1654. Dabeÿ ferner ein Perga: Ganthkauffbr. mit deß Stattgerichts Anhangenden Innsigel deßen datum den 1. Junÿ 1652. mit Altem N° 1 notirt undt dabeÿ gelaßen.
(E.) Item j. Hauß, Hoffstatt, undt höfflein mit allen deren gebäu: weithen, rechten, Zugehörden undt gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Str: in der blinden gaßen einseit weÿl. Michael Vettern deß Amlungmachers hinderlaßene Wittib undt Erben, Anderseit neben weÿl. (-) hinden uff hannß Wurtzen gewesen würths Zum tieffen Keller hinderlaßenen Erben, daran gehent dem Stifft Zu Sanct Thoman alle Jahr auff Martini einen Cappen undt auff weÿhenachten 1 fl. gelts Ewigen Erbschätzigen undt fürbietigen Erblehen Zinnßes, So dann 1 lb d gelts Jährlichen auff Annunc. Mariæ widerkäuffig mit 20. lb d sonsten ledig undt eigen undt über obgemelte beschwerden æstimirt p. 50. lb. Darüber sagt 1. Perga: Cession mit der Statt Str. Contr. Inns. verwahret deren datum den 15.ten Januarÿ 1644. darbeÿ ferner j. alter Perga: Kauffbr: mit der Statt Str: Kleinen Secret Inns. deßen datum den andern tag Julÿ 1556. beeder mit alten N° 2 und dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Erben Unverändert Gutts. Vermög Inventarÿ über Weÿland Rosinæ Trennerin deß Abgeleibten Ersyen haußfrawen seel. Verlaßenschafft in Anno 1658. durch herrn David Ößingern Notarium auffgerichtetet
Abzug Inn dißes Inventarium. Der Wittib unverändert guet, Sa. haußraths 15, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Goldener Ring 2, Summa summarum 10 lb
der Erben verändert guet, Sa. haußraths 56, Sa. Leeren Vaß 3, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 3, Sa. Eÿgenthumb Ane heißern 180, Sa. ergäntzung (125, zalt 210), Summa summarum 243 lb – Schulden 109, Nach deren Abzug 133 lb
Theilbar Guet, Sa. haußraths 9, Sa. Weins vndt Leeren Vaß 27, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. der baarschafft 5, Sa. Schulden 99, Summa summarum 145 lb – Schulden 73, Nach deren Abzug 72 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 238 lb

Marie Uffhauser se remarie en 1666 avec le tisserand célibataire Matthieu Baumann : contrat de mariage, célébration

1666 (9.7.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13) N° 19
Eheberedung Entzwischen Mathæo Baumann leinenwebern v. Maria Uffhauserin hannß Jacob Herberlins wittibin auffgerichtet
entzwischen dem Ehrsamen und bescheÿdenen Mathæo Baumann dem ledigen leinenweb. deß Ehrenhafft vndt vorgeachten Mathæi Bawmanns auch Leinenwebers vnd burgers Zu Straßburg ehelich erzeügtem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem,
So dann der tugendsamen Mariæ weÿland Hannß Jacob Herberlings gewesenen Stattgerichts botten vnd burgers Zu Straßburg hinterbliebene wittibin alß der hochzeiterin andern theils
Welche Ehepacta denn Beschehen vndt Zugangen in Straßb. den 9.ten Julÿ A° 1666 [unterzeichnet] Mattes bauman hochzeiter be ken wie ob stet, Joh: Alexander horneckel der hochzeiterin vogt bekenne wie obstett

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137, n° XXV)
1666. Dom. IX. post Trin. Matheus Baumann d. Leinenweber, Matthei Baumanns deß Leinenwebers Ehl. sohn v. Maria Joh. Iacob Herberlings Statt gerichts botten Wittib, Montag (i 138)

Les enfants Herberling vendent les trois quarts qui leur reviennent de la maison à leur beau père Matthieu Baumann

1675 (6. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 775
Maria Salome Herberlinin, hannß Thoman Kammen deß Metzgers Ehewib, mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, ferners H. Johann Jacob Herberling Schaffner der Carthaus, so dann Johann Carl Herberling SS Theol. stud. mit beÿstand erstgedachts herrn Johann Jacob Herberlingß seines noch ohnentledigtenn Vogts
in gegensein Mathis Baumanns deß Leinenwebers
dreÿ Vierte theil, ihnen denen Herberlinischen Geschwisterd. für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß hoffstatt, höfflin und allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit. alhier in der Blinden Gaßen einseit neben weÿl. Michael Vetters deß Amlungmachers, wittibin und Erben, anderseit neben Johann Jacob Redwitzen Not. Erben, hinden uff hannß Wurtzen Erben, daran der übrige ¼.te theil dem Käuffern Vorhien gehörig seÿe, und gehend Von der gantzen behausung iährlichen 10. ß und j. Cappen den Stifft St. Thomä, so seÿe solche behausung auch noch umb 20. lb dem Hospital Verhafftet – umb 150. fl

Matthieu Baumann se remarie en 1676 avec Anne Marie Haag, fille de cordonnier ; contrat de mariage, célébration
1676, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 61
Ehepacta Zwischen Mathæo Baumann, Leinenwebern v. Jfr. Annæ Mariæ Haagin
entzwischen dem Ehrsam v. bescheÿdenen Mathæo Baumann, leinenwebern burgern alhier
v. der tugendsamen Jfr. Annæ Mariæ weÿl. Hannß Caspar Haagen gewesenen Schuomachers, burgers alhier hind.lasenen dochter
So beschehen inn Straßburg utt Sontag den 12. Martÿ A° 1676.
[unterzeichnet] Mattes bauman alß hochzeiter, Johannes Böller, Pfundt Zoller vnd schimrgericht Schreiber

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v, n° 22)
1676. Eodem [29. Martÿ] Matthiaß Baumann leinen weber, Jungfr. Anna Maria Joh: Caspar Hagen des Schuhmachers vnd burgers hinterlassene Wittib (i 171)

Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit du vitrier Jean Georges Brand

1676 (17. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 478
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein hannß Georg Brandten deß Glasers – schuldig seÿe 150. fl.
unterpfand, hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der blindengaß, einseit neben weÿl. Michel Vetters deß Amlungmachers wittibin, anderseit neben H. Johann Friderich Redwitzen Notario, hinden uff hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behaußung auch noch umb 20. lb dem mehren Hospital alhier Verhafftet

Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit de la veuve Agathe Ursule Kolb

1680 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 595-v
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein Herrn M. Dominici Ringen Pfarrers Zu Bärstätt und Olvißheim, alß Curatoris frawen Agathæ Ursulæ Kolbin Wittibin – schuldig seÿe 50 fl
unterpfand, Hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der blindengaß, einseit neben Michael Vetters deß ammlungmachers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben herren Andres Mergilet Schaffners Zu den Rewerin, hinden uff Hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10 ß in geld und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin deß hierinn gemeldten debitoris nachgelaßene wittib, mit beÿstand hans Michael Braunwald deß Leinenwebers Ihres Vogts, angezeigt und bekandt, Nach dem deß debitoris hind.laßene Nahrung Zum falliment gekommen, und sich hervor gethan d. d.selbe an d. hierin verpfändeten behaußung nur dreÿ quart eÿgenthümblich gehabt, auch seiner Kind. darauff habend. prætension verschwigen, alß haben Er sich mit Ihro deß. wittib verglich., ane statt der hierinn verschriebenen 50 fl. Capital (…) Act. d. 22.ten 7.br 1690

Les syndics de la faillite de Matthieu Baumann vendent la maison à sa veuve Anne Marie Haag

1690 (5. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 529-v
H. Carl Obrecht, und H. Johann Caspar Böringer beede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer und auß deßen Mittel Zu Außweißung weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. Falliment insonderhait Deputirte
in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin ged. Baumanns hind. laßener Wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwald, auch Leinenwebers deren Vogts
Krafft der beÿ vorged. E. Ers. Kleinen Rath am 30.ten 7.br. jüngst beschehenen Außweißung Ihro Baumännischer wittib, alß jüngster Creditrici mit consens Übriger darauff versicherte gewesener Creditorum eÿgenthümblich cedirt und Uberlaß. haben, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. recht. Und Gerechtigkeit. allhier in d. Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, and. seit neben H. Johann Andres Mergilet, Schaffnern Zu S. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtzen Erben, auff welche dreÿ vierdte theÿl /:daran der übrige Vierdte theÿl Ihr Annæ Mariæ mit obged. Baumann ehelich erzeugten 2. Kindern gehörig:/ nachfolgender darauff versichert gewesene Creditores krafft vorgemeldter außweißung gewiesen worden, Nemblich das Stifft St. Thomæ allhier umb 10. jährig außstend. ewigen Ehrschätzich. Erblehen Zinß nemblich 5 lb 11 ß 4 d Jährlich à 10 ß, und dann weg. eines jährlich dahin schuldig Cappen, Item dem Mehrern Hospital allhier an 20 lb Capital vmb 15 lb daran die übrige 5 lb ged. Kind. zu leid. Item von 10 jährig verfallenen zinß. 10 lb Item (6 lb, 2 lb, 16 lb, 75 lb, 3 lb, 10 lb, 25 lb)

Anne Marie Haag hypothèque deux jours plus tard les trois quarts de la maison dont le dernier quart appartient à ses enfants au profit de son curateur le tisserand Jean Michel Braunwald

1690 (7. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 534-v
Anna Maria gebohrne Hagin, weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Carl Obrechts und Hn Johann Caspar Böringers beeder E:E: Kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Michael Braunwalds, deß Leinenwebers Ihres Vogts – schuldig seÿe 75 Pfund, daß Sie dreÿ Vierdte theÿl an nachbeschriebener behaußung beÿ außweißung obg. Ihres Verstorbenen Manns Falliment hat übernommen und die angewiesene Creditores damit außweißen können
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen anderen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten Und Gerechtigkeit. allhier in der Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, anderseit neben Hn Johann Andrea Mergileto, Schaffnern Zu St. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtz. Erben, daran d. übrige Vierdte theÿl Ihro der debitricis leiblich. Kindern i. Ehe gehörig, und seÿe gebe mann von d. gantz. behausung jährlich 10 ß und einen Kappen Ewigen Erschätzig. Erblehen zinß

Anne Marie Haag hypothèque la maison au profit des enfants du boucher André Ott

1691 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 33-v
Anna Maria gebohrne Hagin weÿl. Mathæi Baumanns gewesenen Leinenweber, nachgelaßene wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwalds auch Leinenwebers Ihres Vogts
hans Georg Magnus deß Metzgers alß Vogts weil. Andres Otten gewesenen Metzgers nachgelaßene 3. Kind. – schuldig seÿe 100 pfund Ihro Zu erkauffung nach beschriebenen unterpfands
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheilt an hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen den gebäuen, recht und Zugehördt. allhier in d. blindengaß einseit neb. weil. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers wittib und Erben and. seit neben H. Johann Andres Mergilet Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier, hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend, von welcher gantzen behaußung geh. jahr alt 10 ß Erschätzig. Erblehen Zinß, d. übrige Vierdte theil aber d. Debitricis leiblich. Kind. gehörig

Le chapitre Saint-Thomas vend 15 livres le domaine direct à Anne Marie Haag et à sa fille mineure

1696 (27. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 655
H. Johann Heinrich Feltz, J.U. Doctor et Professor, alß Canonicus E. wol Ehrw. Capituli deß Stiffts zu St. Thomæ und am 22.t huj. zu diesem geschäfft deputiret, beneben H. Johann Joachim Moseder dem Scribenten, im Nahmen H. Johann Jacob Moseders Schaffners zu St Thomä seines leibl. Vatters
Annæ Mariæ geb. Hagin, weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E.E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers Ihres Curatoris und Johannis Graffen deß Leinenwebers alß vogts Ihro Annæ Mariæ mit ged. Baumann erziehlt töchterleins Mariæ
d. dominum directum oder die Oberherrschafft eines haußes, hoffstatt eines haußes, hoffstatt und Höfflein, mit allen deren Gebaüen, recht. und zugehördt allhier in der blindengaß, einseit neben Daniel Höltzel dem holtzkarcher anderseit neben H. Johann Andreä Mergilet Schaffnern zu St Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend geleg. von welcher behaußung d. dominum utile oder die Erblehen gerechtigkeit Ihnen denen Kaüffern zu vorhin, und zwar der Mutter zu Sieben achten theilen, der tochter aber zum übrig. achten theil gehörig – das verkauffende Stifft (…) einen jährlich ewig. ehrschätzig. und fürbietig. zinß, nemblich 10 Schilling in geld und einen Kappen, jährlich auff weihnacht. soviel d. geld betrifft, den Kappen aber auff Martini zu lüffern – umb 15 pfund

Anne Marie Haag et sa fille Anne Marie Baumann vendent la maison au charretier Daniel Hœltzel et à sa femme Anne Scheer, déjà propriétaires de la maison voisine à l’angle de la rue des Aveugles et de la Grand rue

1697 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 2
Anna Maria geb. Haagin weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers seel. Nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers ihres Curatoris und Johann Graff auch Leinenweber alß Vogt Ihro Annæ Mariæ, mit ged. Baumann erzielten und Nachgelaßenen Töchlerleins Mariæ Salome
Daniel Höltzels, des Holzkarchers und Annæ geb. Scheerin
hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen übrig. deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten daran Ihro ged. Baumännischen wittib Sieben achte dem Töchterlein aber der übrige achte theil zuständig, und gelegen allhier in d. blind.gaßen, einseit neben denen Kauffenden Eheleuthen, anderseit neben H. Johann Andrea Mergilet, Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ Und Statt Richtern allhier hinten auf hans Würtzen Erben stoßend, davon gehend Jährlich 10 ß d in geld auff weihnachten und ein Kappen auff Martinj ewig Ehrschätzig und fürbietigen zinnßes dem Stifft St. Thomæ allhier, gegen Männiglichen freÿ leid und eÿgen, Inn maßen d. Verkäufer das dominum directum od. oberherrschafft, so ged. Stifft St. Thomæ auff jetzt verkaufftem hauß gehabt vermög CContract verschreibung Unterm 27. Xbr. 1696 an sich erhandelt – umb 175 pfund

Daniel Hœltzel épouse en premières noces en 1676 Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 171-v, n° 41)
1676, Augusti. Eodem [24.] Daniel Heltzel, Daniel Heltzels des Schirms Verwandten hinterl. ehl. Sohn v. Fr. Margaretha Michel Vetters des Burgers v. Holtzkarchers Alhier hinterl. Wittib (i 173)

Le charretier Michel Vetter épouse en 1654 Marguerite Mussler
Mariage, cathédrale (luth. f° 559, n° VI)
1654. Eodem [Dom. 29. Jan.] Michael Vetter der burger vnndt Holtzkarcher alhier, Vnndt J. Margaretha, weilandt Johann Mußlers des burgers vnndt holtzkarchers alhier, hinderlaßene Eheliche Tochter. Mont. 6. Feb. Münster, Spiegell, H. stub (i 307)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105-v, n° 5) 1654. Eod. [Dnca. 60. 29. Jan.] Michael Vetter der holtzkarcher vnd burger J. Margreth Johann Mußlers des holtzkarchers nachgelaßene eheliche Tochter, 6. Feb. im Münster (i 107)

Daniel Hœltzel se remarie en 1689 avec Anne Scheer, successivement veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 18)
den 24. Aug. A. 1689 seindt von mir Copulirt Worden Daniel Höltzel burger Vnd Holtzkarcher alhie Vnd Fraw Anna, Paul Weinschencken deß Weißbecken v. burgers allhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] daniel höltzell als hoch Zeter, dieses hat hiehergesetzt die hochzeiterin (i 19)

Jean Oswald Farrenschon épouse en 1664 Catherine Klettle originaire du canton de Zurich puis en 1676 Anne Scheer, originaire de Mittelbergheim qui devient bourgeoise quelques jours après son mariage
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132, n° XXI)
1664. Domi. Trin. Johannes Oßwald Varrenschon Kemmetfeger v. J. Catharina Joh: Jacob Klettlen bauren von Bonstetten Ziercher gebiets ehl. tochter (i 133)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v)
1676. 16. Eodem [Martÿ] Hanß Oßwalt Varrenschon des Caminfegers vnd burgers allhier v. Jungfr. Anna Scherin von Mittelbercken in d. Herrschafft Parr Caspar Scheren des Reebmanns daselbst Ehl: tochter (i 171)

1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 427
Anna Scherin Von Mittelbergheim, empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann Hanß Oßwald Farenschon dem Caminfeger p. 8. golt fl, welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist zuuor ledigen standts,gewesen, Jur. et promis. d. 20. martÿ 1676.

La veuve de Jean Oswald Farrenschon épouse en 1686 le boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203-v, n° 11)
1686. [1. Maÿ] Zu hauß copulirt worden, Paulus Weinschenck burger v: Weißbeck Fr. Anna Johann ostwald Farrenschons deß Kaminfegers alhie hinterlassene Wittib (i 216)

Fils de manant, Daniel Hœltzel devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
4° Livre de bourgeoisie p. 433
Daniel Höltzel der Holtzkarcher, weÿl. Daniel Höltzels des tagners vnd Schirms verwanthens seel: sohn, empfangt das burgerrecht von Margaretha, weÿl. Michael Vetters des Holtzkarchers seel. wittibin, seines haußfr. p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt ist zuvor ledigen standts gewesen vnd wird Zum spiegel dienen. Jur. 7. 7. br 1676.

Daniel Hœltzel meurt en 1705 dans sa maison Grand rue en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve s’élève à 1 136 livres, celle des héritiers à 445 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 419 livres, le passif à 1 586 livres.
1705 (22.6.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 26) n° 15
Inventarium über weÿland des Ehrenachtbarn und wohl vorgeachten Weißen Daniel Höltzels, geweßenen holtz Karchers und burgers zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1705. – nach seinem Mitwochs den 30. Monathstag Maÿ Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen. Welches alles auf gebührendes erfordern deßen per Testamentum instituirter Erben an nächstfolgendem blath benambßet und beschrieben, ersucht durch die Viel Ehr und tugendsame fraw Annam Höltzelin gebohrne Scheerin die wittib beÿständlich deß Ehren vorgeachten herrn Joachim Gerold, Caminfegers und burgers Zu Straßburg, Ihres geordnet und geschwornen Vogts, auf Zuvor erlaßen von unßern gn. Herren Räthen und XXI. eügens und Zeÿgens wegen ertheÿlte Ordnung, darüber besehen – Actum Straßburg, Montags den 22. Monats tag Junÿ Anno 1705.
Der abgeleibte seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Johann Friedrich Höltzeln; Schneidern und burgers alhier, welcher in Persohn zugegen geweßen, 2. und Johann Höltzeln ledigen Schloßern, welcher beneben Herrn Johann Göbeln Schloßern und burgern alhier deßen geordnet und geschworenen Vogten der Inventation in Persohn abgewartet.
Der verstorbene seel. hat Zwar auch Susannam gebohrne Höltzelin seines bruders dochter, und Mariam von Awenheim seine halb Schwester Zu Erben instituirt, die weilen solche bede aber vor dem abgeleibten seel. Verstorben ist solche Erbsatzung erloschen.
Deßgleichen hat er auch seinen halb bruder Johann Jacob von Auenheim instituirt, dieweilen man aber bereits beÿ Zwantzig Jahren nichts von Ihme vernommen württ derselbe für tod vermuhtet. Dieweilen aber der Wittib das usufructum omnium banorum verschafft, und die Erben ietzmahlen der Erbschafft hebhafft werden können, als würd dießes Zur Nachricht alhier vermeldet, darmit wann derselb wider Vermuhten annoch beÿ Leben sein solte, Ihme nichts præjudicirt, sondern seine Erbsgebühr ihme allenfalls nach geendigtem Wÿdemb gedeÿen möchte.

In hernach eingetragenen ae der langen straßen gelegenen behaußung, befunden worden wie folgt
Höltz: und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stuben, Im Obern haußöhren. In der Soldaten Cammern Auff dem gang, In der Cammer C, In der undern Stuben, In der Kuchen, Im Stall
Eÿgenthumb ane häußern (T.) Item ein vorder: und hinderhauß, sambt dem höffel, hoffstatt und Brunnen, sambt allen übrigen deren gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechten ane der Obern Straßen einseith ein Eck ane der Blindengaß (…)
(T.) Item hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten guths. Auß dem, über der Wittib und deß verstorbenen seel. in die Ehe gebracht Vermögen durch mich Notarium den 8. Septembris Anno 1689. auffgerichteten Inventario
Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 24, Sa. faß 5, Sa. Silber geschemeids 2, Sa. guldiner Ring 10, Sa. Eigenthumbs ane einem liegenden guth 6, Sa. Schulden 15, Sa. Ergäntzung (1167, Abgang 218 verbleibt) 948, Summa summarum 1146 lb – Schulden 10, Nach deren Abzug 1136 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 40, Sa. faß 15 ß, Sa. Schiff und geschirrs Zum Amlungmachen gehörig 1, Sa. Ergäntzung 478, Summa summarum 520 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 445 lb
Theÿlbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 41, Sa. Amlung, Schiff und geschirr dazu gehörig 12, Sa. Weins und Faß 78, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Eigenthum ane häußern 1212, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 66, Sa. Schuld 5, Summa summarum 1419, Schulden 1586 lb, Theilbahre passiv Schulden übertreffen Solch guth umb 167 lb
Stall Summ 278 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1425 lb

Sa veuve meurt en 1709 en délaissant pour unique héritière sa fille Anne Marguerite Farrenschon femme du boulanger Jean Bernard Stieffel. L’actif de la succession s’élève à 1381 livres, le passif à 295 livres.

1709 (24.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 18-a
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Annæ Höltzelin Gebohrner Scheerin Auch Weÿl. Herrn Daniel Höltzels, Geweßenen Holtzkarchers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr beeder seeligen, nachgelaßener wittib Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1709. – nach Ihrem den 12.ten Maÿ Jüngsthien, aus dießer welt Genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsame frawen Annæ Margarethæ Gebohrner Farrenschonin deß Ehrengeachten Johann Bernhard Stüffels, Weißbecken und burgers allhier ehelicher haußfrawen, als der Jetzt abgeleibten frawen seel. in Erster Ehe mit Weÿl. dem Ehrengeachten Johann Oßwald Farrenschon Geweßenen Caminfegern und Alhiesigen burgern auch seel. erzeugter dochter und ab intestato nachgelaßener Eintziger Erbin – Actum Montags den 24.ten Junÿ Anno 1709.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Straaß neben dem Blindengäßlein Gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Gehöriger Behaußung Befunden Worden wie volgt.
In der obern Vordern Cammer,
Eÿgenthumb ane häußern. Item 2/3 theil für ungetheilt Von und ane einerm Vorder und hinder hauß, s. dero höffl. hoffstatt u. Bronnen, auch übrig. gebäuen, begriffen, weithen, Rechten ane der obern straß, i. s. ein Eck ane der Blindengaß (…)
Item ferner 2/3 theil für ungetheilt Von und ane hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Wÿdumb, Welchen die Verstorbene seel. Von Weÿl. H. Daniel Höltzel geweßenen Holtzkarchern und burgers allhier Ihrem Verstorbenen letzten haußwürth seel. ad dies vitæ genoßen, davon das Eigenthum nunmehro auf Mr Johann Friedrich Höltzeln Schneidern und burgern allhier rückfällig erwachßen
Und bestehet dieser Wÿdumb in Volgend. beeden posten (…)
Rubricæ hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 58, Sa. Weins und Faß 36, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 10, Sa. Eigenthum ane häußern 808, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 105, Sa. Schulden 358, Summa summarum 1381, Schulden 295 lb, Nach deren Abzug 1086 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1325 lb

Daniel Hœltzel et Anne Scheer revendent 200 livres la maison qu’ils ont acquise en 1697 au pelletier David Dannbach et à sa femme Madeleine Spangenberg

1701 (14.4), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 200
Daniel Höltzel, der Holtzkarcher und Anna geb. Scheerin [unterzeichnet] daniel heltzell
in gegensein David Dambachs deß Kirschners und Magdalenæ geb. Spangenbergin mit beÿstand H. Georg Friderich Spangenbergs deß buchbinders ihres leiblich. Bruders [unterzeichnet] dauid dambach
Hauß, Hoffstatt und Höfflein mit allen übrigen deren Gebaüen, Begriffen, weithen, Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit allhier in der Blindengaß einseit neben den Verkauffenden Eheleuthen anderseit neben Hn. Johann Andrea Mergiloth Schaffnern zu S. Maria Magdalena und Stattrichtern allhier, hinten auf Hans Wurtz Erben stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 10 ß d in geld auff weÿhnacht. und Einen Kappen auff Martini Ewig, Ehrschätzig und fürbietig. zinßes dem Stifft St. Thomæ allhier – um 200 pfund

Fils du pelletier David Dannbach, David Dannbach épouse en 1697 Madeleine Spangenberg, fille de relieur, après avoir passé un contrat de mariage cité dans l’inventaire de 1708
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 79-v, n° 421)
1697. Mittw. d. 28. Aug. wurd. nach Zweÿmahliger Außruffung copulirt, David Dannbach, der lediger Kürßner v. B. allhier weil. Daniel Dannbachs des geweßenen Kürßners v. B. allhier nachgelaßener ehl. sohn, vnd J. Anna Magdalena, weil. Wohlfarth Spangenbergs geweßenen B. v. Buchbinders allhier nachgelaß. ehl. T. [unterzeichnet] dauid dannbach als hoch Zeiter, + ist der J. hochzeiterin Zeichen (i 79)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Chandelles. Ceux du mari s’élèvent à 143 livres, ceux de la femme à 237 livres.
1697 (3. 8.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 28) n° 31
Inventarium undt Beschreibung Aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheidene Meister David Dambach Kürßner und die Ehren und Tugendbegabte fraw Anna Magdalena Dambachin gebohrne Spangenbergerin, beede Eheleuthe und burgere zu Straßburg einander In den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen halben, weilen in den Zwischen Ihnen beeden auffgerichteten Ehepacten expresse Versehen, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung erservirt und unverändert seÿn und bleiben solle – Actum in der königlich. freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 3.ten Monatstag Octobris anno 1697.

In Einer In der Statt Straßburg In der heiligen Liechten Gaß gegen der becken herberg über gelegenen undt hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Des Manns in die Ehe gebrachte Eigenthümb. Mobilien, Sa. haußraths 53, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 143 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Eigenth. Vermögen, Sa. haußraths 108, Sa. Silbers 9, Sa. gld. Ring 6, Sa. baarschafft 15, Sa. Pfgzß hptguths 76, Summa summarum 237 lb
haussteuren 40 lb

Madeleine Spangenberg meurt sans postérité en 1708 après avoir nommé ses héritiers par testament. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 95 livres, celle des héritiers à 169 livres. L’actif de la communauté s’élève à 111 livres, le passif à 296 livres

1708 (3. 9.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 29
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendreichen Frawen Annæ Magdalenæ Dannbachin, Gebohrner Spangenbergerin, deß Ehrenhafften Mr David Dannbachs, Kürßners und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehelicher haußfrawen seel. Verlaßensch. auffgerichtet Anno 1708. – nach ihrem den 22. 7.br dießes Zuend lauffenden 1708. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der jetzt abgeleibten frawen seeligen per Testamentum instituirter Erben – Act. Sambstags d 3. 9.bris Anno 1708.
Die Abgeleibte Fraw seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Hn Georg Friderich Spangenbergern buchbinder, und burgern alhier, welcher Vor sich selbsten dem geschäfft in persohn abgewartet, für einen, 2. H. Johann Christoph Spangenbergern, auch buchbindern und alhießigen burgern, so ebenmäßig persönlich zugangen, Zum andern, 3. et 4.diejenige welche Eingangs gedachten Mr David Dannbach, deß Wittibers Künfftiger Zeit sive ab intestato sive per Testamentum instituite Erben sein werden, weilen dann Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin weÿl. Hn Johann Daniel Dannbachs geweßenen Kürßners und burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib als des Wittibers Liebe Mutter, und für dieses mahl ab intestato nechste und einzige Erben in persohn Zugegen, so hat dieselbe auch solche Erbschafft sofern sich angenmaßt, für den dritten und Vierten Theil.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Soldaten Cammer In der Wohnstub, In der Stubcammer, In der Küchen, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt und höfflein mit allen übrig dero gebäuwen, begriffen, weith. Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Stb. ane d. Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener W. 2.s. neben hß Martin Steinen dem blinden Mann würth hind. auff H. Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlich auff weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Cap: H. Georg Friderich Spangenbergers der Verstorbenen brud. sonsten ledig und eigen und über obangeregte beschwerden durch d. St. Stb. geschworne Würcklich, Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung Vom 28. 7.br Jüngst hiehero æstimirt per 72. Darüber Vorhanden i. perg. Kb. auß allhies Canc. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. und. schiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren d. 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, d 2. d. 27. Xbr A° 1696, der 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690.
Abschatzung d. 28. 7.bris aô 1708. Auf begehren herrn Davidt danbach Kirsner ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der blindten gaßen gelegen einseits neben Daniel höltzels Wittib, anderseits neben hern Martin Stein Wirt und gastgeber Zum blindtenmann, hienden auf hanns Geörg haubenstricker stosendt Welche behausung undt höffl. sambt aller gerechtigkeit wie solches durch dier statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Vier hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Ergäntzung der Erben abgegangenen unveränderten gutts. Vermög deß über beeder geweßener Eheleüth einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H. Stephan Cornelius Saltzmann den Notm. den 3. 8.br A° 1697. auffgerichteten Inventarÿ
Norma hujus Inventarÿ – Heüraths Verschreibung, perge in Prot: C fol. 734.b, Copia Testamenti nuncupativi, perge in Protocollo F. fol: 224. et seqq.
des Wittibers unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 2, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 4, Sa. Ergäntzung 85, Summa summarum 95 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeid 2 ß, Sa. Guld. Ring 3, Sa. Ergäntzungs Rest 142, Sa. 169 lb
Endlichen wird auch das Gemein verändert und Theilbar Gut beschrieben, Sa. Haußraths 16, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 23, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung 72, Summa summarum 111 lb – Schulden 296, Übertreffen also die Theilbare passiv Schulden der Vorhergeschriebene Gantze theilbar Verlaßenschafft dem Stall tax nach umb 185 lb
Summa finalis Inventarÿ 84 lb
Wÿdumb Welchen Herr Johann Jacob Heinrich der Geweßene Schreiner und burger alhier von Weÿl. Frawen Martha Gebohrner dannbachin seiner Verstorbenen haußfr. seel. ad dies vitæ Zugenießen hat, Wavon das Eigenthumb dem Wittiber pro rato verfangen. Vermög eines den 9. Martÿ 1689. (…) Getroffenen Vergleichs und respê Wÿdumbs auffrichtung

David Dannbach se remarie avec Marie Elisabeth Wagenmann, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1709 (18.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 270
Verglichene Heüraths: Puncten Zwischen dem Ehrenhafften Mr David Dannbach Kürßnern vnd burgers Zu Straßburg Als Hochzeitern an einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Jungfr. Mariæ Elisabethæ Wagenmännin, Weÿl. Mr Hannß Michel Wagenmanns, geweßenen Küeffers vnd burgers alhier seeligen hinderlaßenen Ehelichen dochter alß der Hochzeiterin am andern theil
Montags den 18. Februarÿ Anno 1779 [unterzeichnet] dauid dannbach Als hochithze

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 201-v, n° 894)
1709. Mittwoch den 10.ten apr. seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich copulirt worden, David danbach der ledige Kürschner, weÿland Daniel danbach, gew. Kürschners und burgers allhier nachgel. ehel. Sohn, und J. Maria Elisabetha weÿland Joh: Michel Wagenmanns, b. und Kieffers allhier nachgel. ehel. tochter, unter assistentz david dannbach Als hochzeiter, + (i 201)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari dont les apports présentent un déficit passif de 5 livres, ceux de la femme s’élèvent à 116 livres.

1709 (14. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 24
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Mr David Dannbach der Kürßner und die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Elisabetha gebohrne Wagenmännin beede Eheleuth und burgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung Wegen darnach Zu reguliren haben möchte – Actum Straßburg in fernerer p.senz Hn Johann Knoblochs Küeffers und Weinhändlers der Frawen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts und Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin deß Ehemanns geliebter Mutter Sambstags den 14. 7.br A° 1709

In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und dem Ehemann für unverändert Zuständiger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Eÿgenthumb an einer Behaußung. (M.) Item hauß, hoffstatt u. höfflein mit allen übrigen dero gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Stb. ane der Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener Wb. modo Bernhard Wb. modo Bernhard Stiffel dem Weißbecken ux: nôe. 2.s. neben hß Martin Steinen dem Blinden Mann würth hind. auf Hß Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlichen auff Weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig, Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Capital H. Georg Friderich Spangenberg. dem buchbindern als deß Ehemanns Schwagern sonst ledig eigen. Es ist aber dieselbe deß Orths ô Zu æstimiren, sondern wann Sie stehend. Ehe erkaufft werden solte dem erlößten pretio nach Zuergäntzen, Verglich. worden. Darüber Vorhand. i. perg. Kb. auß allhies. C. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. underschiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren der 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, der 2. d. 27. Xbr A° 1696, d. 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690. Wie auch eine Cessio dominj Utilis meliorationis et Juris Emphytteuitci m. wohlgemeltem C. C. Inns. Verw. und Datirt d. 15. Januarÿ A° 1644.
Norma hujus Inventarÿ – Eheberedung den 18. febr: Anno 1709. vor mir Notario verschrieben Zu befinden
Des Ehemanns unverändert Guth, Sa. haußraths 65, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 2, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. baarschafft 5, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung (-), Sa. Schulden 2, Summa summarum 82 lb – Schulden 87, die passiva übertreffen des Ehemanns unveränderte Nahrung umb 5 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 42, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. Guldiner Ring 5, Sa. baarschafft 5, Sa. der Schulden 59, Summa summarum 116 lb – Haussteuren 12 lb

David Dannbach demande son admission à l’hôpital, que refusent les Conseillers et les Vingt-et-Un parce qu’il a des enfants. Il est renvoyé à l’aumône Saint-Marc
1730, Conseillers et XXI (1 R 213)
David Danbach Wird an St. Marx Verwießen. 171.
(p. 171) Montag d. 19.ten Junÿ. Mosseder Nomine gegenwärtigen David Danbach des hiesigen burgers und Kürßners producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿlagen Sub Num. 1. 2. 3. et 4. umb gnädiger Auffnahm in den Hoßpital handelt innhalts.
Ist Erkandt, wird das begehren abgelehnt, in ansehung der Implorant noch seine frau So eine Wascherin, und dabeneben Kinder hat, welche ihm beÿspringen können, Jedoch derselbe Wegen seiner dürfftigkeit Zu erhaltung eines Wochentlichen Allmoßens an St. Marx Verwießen. Deputati H. Rht. Garand und H. Rht. Brew.

David Dannbach meurt à l’âge de 66 ans en 1734
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1719-1755 f° 51)
1734. Mitwochs d. 3.t Febr. morgens Früh ist in in s. Erlößer J. Xt sanfft u. seelg eingeschlaffen David Dambach b. und Kürschner allhier, wurde Donnerstags darauff ehr. Zur erden bestattet auff d. gottes acker St. Helen. s. alters 66 jahr 8 monath und 6 tag deßen seind Zeugen Johann Daniel Männel als schwager, Johann Niclaus wagenmann (i 55)

La maison est vendue par adjudication judiciaire le 18 juin 1731 (référence à l’inventaire des apports dressé en 1744, infra) au paveur Jean Sigfrid et à sa femme Anne Susanne Lemorm.
Jean Sigfrid fait son apprentissage chez son oncle Jean Frédéric Sigfrid de 1709 à 1712. Il est reçu tributaire chez les Maçons le 27 août 1714.

1710, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
Johann Sÿfrid, Pflästerer
(f° 90-v) Mittwochs den 5.ten Martÿ A° 1710 – Inscription I.s Pflästerer Jungens – Joh: Friedrich Sÿfrid, der Pflästerer stellt vor Johann Sÿfrid, Seines bruders seel. Sohn , bittet Inscription maßen er Ihne auf dreÿ Jahr lang das Pflästerer handwerck Zulernen auf und angenommen, und solle die Lehrzeit den 5.ten 7.br. 1709. Ihren Anfang und auf gemelten termin 1712. Ihre endschafft nehmen, v. verspricht der Mstr. den Jungen Wochentlich 15. ß d. Costgelt, er arbeite ou. nicht.
Erk. gegen erlag der gebühr willfahrt (dt. 13. ß d – außgethan d. 12.ten 7.br. 1712)

(f° 136) Montags den 12.ten Septembr: A° 1712 – Außgethaner Pflästerer Jung
Mstr. Joh: Frid. Sifrid, der Pflästerer erscheind mit Johann Sÿfrid seinem geweßenen Jungen, und bitt, weilen desen Lehrzeit Vorbeÿ, Ihne ledig Zu sprechen.
Erk. und gegen erlag der gebühr Willfarth.

(f° 168) Montags den 27.to Augusti A° 1714 – Neu Zünfftiger
Johannes Sÿfrid, der Pflästerer, Weÿl. Joh: Sÿfrid hinterlaßener Ehel. Sohn prod. Stall schein vom 18.ten Julÿ A° 1714. und bitt umb seines Vatters recht. Erk. und Willfarth (Zunfft 5 ß, Zsch u. b. 4 ß, Summa 9 ß)

Fils du paveur Jean Sigfrid, Jean Sigfrid épouse en 1714 Anne Susanne Lemorm, fille de l’éclusier Pierre Lemorm et de sa femme Anne Marie Schrœderin (filiation donnée par l’inventaire après décès des parents). La minute du contrat de mariage n’est pas conservée. Le mariage est célébré le 26 avril 1714 par le pasteur de Kehl (Jean Siffert, fils de Jean Siffert, et Anne Susanne, fille de Pierre Lemorm, voir BCGA n° 104)
1714, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) N° 74
Eheberedung – Johann Siegfrid, ledigen Pflästerers
und Jungfrauen Annnä Susannä le Morm

Jean Sigfrid et Anne Susanne Lemorm hypothèquent la maison au profit de la mineure Madeleine Brohm

1733 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 607 n° 9
Johannes Siffrid der Pflästerer und Anna Susanna geb. Le Mormin beÿständlich ihres schwagers Alexander Kretzmeÿer des Metzgers und ihres bruders sohns Samuel Le Morme des Porcelan: Mahlers
in gegensein Johann Georg Ernst Nagel als vogts weÿl. Jacob Brohm des Nagelschmidts einigen töchterleins letster ehe Magdalenæ geb. Bromin – 25 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Blindengaß, einseit neben H. Johann Valentin Juncker E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer anderseit neben hannß Martin Stein dem würth zum Blinden Mann hinten auff NN den Kieffer – davon gibt man dem Stifft zu St Thomä 10 ß und einen Capaunen in Federn ahne ehrschätzigen zinnß

Jean Sigfrid meurt en 1742 à l’âge de 51 ans. La minute de son inventaire n’est pas conservée

1742, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1745
Inventarium über Weÿland Meister Johannis Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers alhier zu Straßburg seel. Verlassenschafft

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1714-1780 f° 81-v)
1742. Donnerst. d. 17 Maji 8.. matut. starb Johannes Siegfridt Stadtpflästerer und b. h. l. natus 1690. d. 29. (-) alt 51. j. 7. M. 2. W. 4. tag deme ich M. J. J. Graff diac. Freÿt. seq. Zu St. Helenæ parentirt [unterzeichnet] Johann PeterSiegfriedt als Sohn (i 83)

Anne Susanne Lemorm hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Faust, receveur de l’hôpital

1742 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 489-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme weÿl. Johann Siefferts des Pflästerers wittib mit beÿstand ihres vogts Philipp Albrecht Marzolff des leinenwebers
in gegensein des Mehrern Hospitals schaffners H. Johann Friedrich Faust J.U.L. – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der Blindengaß einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N. N. hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – davon gibt man dem Stifft St Thomä 10 ß in geld und einen Cappen ane bodenzinß

Anne Susanne Lemorm se remarie en 1744 avec le boulanger Jean Jacques Braun.
Boulanger et fils de boulanger, Jean Jacques Braun se marie en 1724 avec Anne Barbe Vogel, fille de barbier : contrat de mariage, célébration
1724, Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 17
Eheberedung – Zwischen dem bescheidenen Mstr Johann Jacob Braun dem ledigen Weißbecken undt burgern allhier hochzeitern ane Einem, So dann der Ehr: undt Tugendsamem Jungfr. Annæ Barbaræ Voglerin herrn Johann Friderich Vogells deß Chirurgi undt Wundartzten auch Burgers allhier Ehelicher dochter der Jfr Hochzeiterin andern theills
actum Straßburg auff Mittwoch den 1. Martÿ a° 1724 [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, Anna Barbara Vogelin als hoch Zeiterin
(grosse, Not. Abraham Kolb, 22 Not 29)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 102-v, n° 11)
1724. Mittw. d. 26. April: wurden nach Zweÿ: mal. proclamation Ehel. copuliret v. Eingesegnet Johann Jacob Braun, lediger burger v. Weißbeck alhien H. Joh: Friderich Braun, burgers v. Weißbecken alh. Ehel. Sohn, vnd Jgfr. Anna Barbara H. Joh: Friderich Vogels, burgers vnd Barbierers alhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, Anna Barbara Vogelin Als hochzeitterin (i 104)

Fils du maître de tribu en fonction, Jean Jacques Braun est reçu tributaire chez les Boulangers en février 1723
1723 (16. Xbr), Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 404) Donnerstags den 16. Xbris 1723 – Neuzünfftiger
Johann Jacob Braun, H. Friderich Braunen deß Nunmahligen Zunfft Meisters Ehelicher Sohn stehet vor undt producirt Stallschein Vom 13. Febr. 1723. mit Ersuchen alß Einen Zünfftigen anzunehmen, undt seines Vatters recht gedeÿen Zulaßen, so ihme uach gegen der gebühr willfahrt worden (4 lb 5 ß)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison près de l’église Saint-Pierre-le-Vieux. Ceux du mari s’élèvent à 404 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1729 (2.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 24) n° 555
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Herr Johann Jacob Braun der Weißbeck und die Ehren: und tugendsahme frau Anna Barbara gebohrne Vogelin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der vrsachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und vorbehalten seÿn solle – So beschehen in Straßb. in præsentia H. Johann Friderich Vogels, barbierers und wundartztens v. burgers allhier Zu Straßburg der Ehefr. eheleibl. Vatters, auf Donnerstag den 2.ten Junÿ 1729.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß nahe beÿ der Kirchen zum alten St Peter gelegener und in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden Word. wie volgt
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Frau Anna Catharina Braunin gebohrne Hohin, Weÿland herrn Friderich Braunen geweßenen Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib des Ehemanns Stieff Mutter Wegen gedachtes Ihres Stieff sohns ad dies vitæ usufruiren hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium illatorum gehörig. Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußrath 85, Sa. weins und lähren Vaßes 2, Sa. Silbers 9, Sa. baarschafft 253, Summa summarum 351 lb – Dazu ist ferner zurechnen die helffte an denen Verehrten haussteuren 53, Des Manns in die Ehe gebracht Guth dem billichen Werth nach 404 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 168, Sa. Silbers 13, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 301 lb – Dazu kombt ferner d. halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 53, Der Frauen in die ehe gebracht Vermögen in vero pretio 354 lb

Jean Jacques Braun obtient le droit de vannage que détenait Thiébaut Hummel en 1741
1741 (17.5.), Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 147-v) den 17. Maÿ 1741 – Johann Jacob Braun meelmann dahier bittet Ihme wegen des gekörns das Wannenrecht zu accordiren.
Erkandt seÿe Ihme Diebold Hummels recht zugestatten, hingegen Er dessen Extantzen mit 6 ß nebst anderer gebühr Zu Entrichten so Er auch gleich Erlangt hatt.

La tribu des Boulangers autorise le farinier Jean Jacques Braun à devenir boulanger
1742, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 12-v) Mittwochs den 5. Decembris 1742 – Handwercks veränderung
Johann Jacob Braun der bißherige Meelmann undt becker will sein Meelweßen in das Schwartzbecken verändern, bittet umb gerichtliche permission, Erkandt, Kan ihme gegen der gebühr nach ordnung willfahrt seÿn (1 lb.)

Anne Barbe Braun meurt en 1742 en délaissant sept enfants dont le plus jeune meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé dans une maison de location à la Krutenau. La masse propre aux héritiers s’élève à 735 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 58 livres, le passif à 791 livres.
1743 (24.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 57) n° 1305
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Ehren und tugendsahme frau Anna Barbara Braunin gebohrne Vogelin, des Ehren und wohl vorgeachten Mr Johann Jacob Braunen des Schwartzbecken und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau, nunmehr seelige, als dieselbe Dienstags den 4. Monatgstag Decembris des Zurückgelegten 1742.sten Jahres dießes Zeitlichein das Ewige Verwechselt nach solch Ihrem aus dießer welth genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Meister Georg Eckel haußfeurers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs, Johann Daniels, Susannæ Barbarä, Mariä Catharinæ, Johann Georgs, Mariä Elisabethä und Johannis der Braunen, alle Sieben der Verstorbenen frauen seligen mit vorgedachtem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßner Erben, davon aber Johannes des jüngste gleich* solch seiner Mutter seel. Ableiben auch seelig verschieden und von seinem vatter als dem hinterbliebenen Wittiber geerbet worden – Geschehen in Straßburg auf Freÿtag den 24. Maÿ Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg ane d. Vorstatt Krautenau gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnveränderten guts. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1729. durch mich unterschriebenenen Notm. auffgerichtet
Abzug In Gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 685, Summa summarum 735 lb
Des Wittibers ohnverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 55, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Summa summarum 58 lb – Schulden 791 lb, In Vergleichung 732 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 630 lb. Wann aber des wittibers Passiv: Schulden Rest hievon abgezogen wird, 627 lb, So wird endlichen an dießes Inventarÿ gantzer Verlaßenschafft in allem annoch per rest übrig verbleiben, welches die Stall Summam deßelbig. außmacht 2 lb

Le boulanger Jean Jacques Braun épouse Susanne Lemorm veuve du paveur Jean Sygfrid : contrat de mariage, célébration
1744 (30.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 39
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Mstr Johann Jacob Braun dem Schwartzbecken burgern undt wittibern dahier Zu Straßburg, alß hochzeiter ane Einem,
So dann der Tugendsamen Fr. Susanna Sÿffertin gebohrne Lemormin weÿl. Johannes Sÿfferts des geweßten Pflästerers auch burgers dahier hinderlaßener Wittib d. hochzeiterin andern theills
Actum Straßburg auff Donnerstag d. 30.ten Julÿ 1744. [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, + der hochzeiterin gemachtes Zeich.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 173-v)
1744. Dom. VIII et IX post Trinit. proclamati sunt Joh: Jacob Braun, Hausfeurer u. burger h. l. u. Fr. Anna Susanna geb. Lemorm, weÿl. Johannrs Siefert, gew. pflästerers u. b. h. l. copulati Mittw. d. 5. Augusti [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, x hiemit Zeügt Fr. hochzeiterin [in margine :] † hæc Sambst. 3. 9.br 1759, † illa Sambst. 29. Mertz 1760. (i 178)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’épouse rue des Aveugles. Ceux du mari s’élèvent à 66 livres, ceux de la femme à 384 livres.

1744 (7.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 4) n° 83
Inventarium über die Jenige Nahrung so Mstr. Johann Jacob Braun der Schwartzbeckh undt Fr. Susanna Sÿffertin gebohrner Mormin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zue Straßburg Einander für Unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgericht a° 1744. (…) und Zwar die Ehefrau mit beÿstand Philipp Albrecht Martzolff deß Leinenwebers und burgers dahier ihres noch ohnveränderten vogts – Actum Straßburg auff Freÿtag den 7. Augusti an: 1744.

In einer allhier Zu Straßb. ane der Blindengaß gelegene der frau Wittib zuständig. behaußung hat sich befunden wie folgt. des Ehemanns Nahrung in deß. wohnbehaußung am gaulstad. in der Crautenaw
Eigenthumb ane einer behaußung, so der Fraw zueständig. Eine behaußung Hoff, Hoffstatt undt höfflein, m. alleen derenselben rechten, undt gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Blindengaß eins. Neben Abraham Schätzell dem würth Zum Blindenmann, 2.s neben Philipp Cortier dem Krempen, hinten auff Johann hardschmidt den Kieffer stoßend davon gibt mann jährlichen 10 ß in geltt undt einen Cappen bodenzinß dem löbl. Stifft St. Thomä, maht Zu doppeltem Capital gerechnet 60. lb
Undt ist sothane behaußung dermahlen allhier ohnpræjudicirlich angeschlagen worden umb 1200. fl. th. 600 lb. Darüber besagt ein perg. ganth Kauffbrieff m. E. E. Kl. Raths anhangendem Insiegell verwahrt datirt den 18.ten Junÿ 1731. mit Lit. A. signirt
deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 57, Sa. Werckzeug Zum beckh. handwerck 6, Sa. Früchten Meeel u. Kleÿen 14, ß Schwein 4, Sa. Silbers 1, Summa summarum 84 – Schulden 18 lb, Compensando 66 lb
Was nun Er der Ehemann seinen Kindteren voriger Ehe ane Mütterlichem guth undt vor paten geltt schuldig so sit deßen annoch zu erkündigen, maßen mir Notario davon nichts ad conceptum angeben worden
der Ehefr. Nahr. Sa. haußraths 92, Sa. Silbers 1, Sa. gold. Ring 10, Sa. behaußung 600, Summa summarum 703 lb – Schulden 319, Verbleiben 384 lb
Was nun ihro der Ehefrau von ihres vorig. Ehemanns seel. Verlaßenschafft wÿdumbs weiß alß auch dero beed. töchteren prælegats undt deß. ab intestato Erben Erbßweiß Zu kommen trag. so berufft sich hr. Nots. Hoffmann welcher deßen Verlaßenschafft in anno 1742. fol. 55.a auff eine anderwärtige berechnung, so zum bericht
haussteuren 2 lb

Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun hypothèque la maison au profit de Jacques Minck pour pouvoir construire un nouveau logement

1746 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 33
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des Haußfeurers ehefrau
in gegensein Jacob Minck des kräutlers – zu bauung einer neuen wohnung in hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihr vor unverändert gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane der behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N. Hartmann den kieffer

Elle hypothèque à nouveau la maison quelques mois plus tard au profit des mineurs Hæss pour pouvoir réparer la maison

1746 (18.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 914
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns ehefrau [unterzeichnet] +
in gegensein Johann Christoph Rooß des huthmachers als vogts Caspar Häß des schiffmanns zweÿer kinder Dorotheæ und Salome der Häß – zur reparation hiernach beschriebener behausung, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihro vor unvertheilt gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N Hartmann kieffer

Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun et sa fille en premières noces hypothèquent les deux tiers indivis de la maison au profit du tailleur Jean Christophe Walch

1747 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 47-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns und dero in erster ehe mit weÿl. Johann Sigfrid des Pflästerers erzeugte tochter Jgfr. Susanna Margaretha Sigfrid mit beÿstand Johann Philipp Martzloff des leinenwebers
in gegensein Johann Christoph Walch des schneider – theils ane repararation hiernach beschriebener behausung theils zu ihrem anderwärtigen gebrauch, schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N dem krempel, hinten auff N. Hartmann den kieffer

L’appariteur Jean Jacques Braun produit un certificat qui atteste qu’il quitte la tribu des boulangers pour pouvoir s’inscrire à celle de la Mauresse en qualité de marchand de fruits et légumes
1756 (20.7.) Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 344) Dienstags den 20.ten Julÿ Anno 1756 – Neuer Leibzünfftiger Gümpel Käuffler
Johann Jacob Braun, der Fausthammer und burger alhier welcher weiland Johann Seÿfridt gewesenen Pflästerers und burgers alhier hinterlaßene Wittib der dißorts leibzünfftig gewesene Gümpel Käuflerin geheurathet, producirt Stallschein vom heütigen dato, vermög deßen er E. E. Zunft der Becker quittiret, bittet ihme das Zunfftrecht Gümpelkäufler Recht Zukommen Zu laßen.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt, dedit.

Susanne Lemorm meurt en 1759 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 200 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 218 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 102 livres, le passif à 942 livres.

1760 (5.2.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 90
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Susannä Braunin gebohrner Lemorm, Johann Jacob Braun des Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1760. – nach ihrem Sambstags den 3. Novembris des Zurückgelegten 1759.ten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern und begehren erstgemelten Johann Jacob Braun des Wittibers wie auch der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit auch weÿland meister Johann Sigfrid dem geweßenen Pflästerer und burgern allhier ehelich erzeihlter noch lebender tochter und Verstorbenen Sohns und töchter seel. hinterlaßenen Kinder alß dißortiger Enckel und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen Straßburg Dienstags den 5.ten Februarÿ Anno 1760.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen weÿland Johann Peter Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers allhier in Zwoen Ehen erziehlte und nach tod verlaßene Zweÿ Kinder alß Enckel 1. Susannam Margaretham Sigfridin welche derselbe in erster Ehe mit auch weÿland frauen Susanna Margaretha gebohrner Häffelin ehelichen erziehler, so sich in allhießigem Evangel. Waÿßenhauß befindet, in deren Nahmen H. Frantz Ludwig Etter des Evangelischen Waÿßen Vatter beÿ dießem geschäfft erschienen und 2. Jgfr. Magdalenam Sigfridin, so ohnefähr 8 Jahr alt dießer Sohn seel. in zweÿter Ehe mit Frauen Anna Maria gebohrner Meÿerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelicher erziehlet davon geordnet und geschworener Vogts ist H. Samuel Lemorm des mahlers und burgers allhier so dießer Inventur beÿwohnete.
Zweÿtens wÿland Frauen Susannä Margarethä gebohrne Sigfridin die ältere Tochter seel. in erster Ehe mit auch weÿland Niclaus Lang dem geweßenen amlungmacher und burgern alhier erziehltes Söhnlein Nahmens Niclaus so sich in allhießigem Evangelischen Weÿßenhauß befindet in deßen Nahmen vorgemelter H. Etter der Evangelische Waÿßenvatter erschienen
So dann drittens Frau Catharinam Salome Eggerin gebohrne Sigfridin mstr. Christian Eggers des Spenglers und burgers allhier eheliche haußfr. beede dießem geschäfft beÿwohnende, Alßo alle der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit eingangs gemeltem Johann Sigfrid ihrem ersten Ehemann seel. erziehlte noch lebende tochter (…) zu gleichen portionen haupt: und Stammtheilen verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Blinden gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 5-v) Eigenthumb ane einer Behaußung. (E.) Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung höfflin und hoffstatt mit allen deren gebeüen begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß einseith neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blinden Mann anderseit neben H. Bortmann dem fastenspeishändler hinten auf H. Johann Hartmann den Kieffer stoßend gelegen, von welcher völligen behaußung man Jährlichen 10. ß in geld und einem Kappen bodenzinß Löbl. Collegiat Stifft St. Thomä allhier zu lieffern schuldig, sonsten ist dießelbe über hernach eingetragene passiv: Capitalia gegen männiglichen freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) außweißlich des zu mein Notarÿ Concept geliefferten schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 18. Januarÿ 1760. angeschlagen worden vor 400. lb. Woran dißortiger dritte theil antrifft so hier außzu werffen, 133. 6. 8. Die übrige zween dritte theil seind denen Erben Vor anerstorbenen vätter: und respe. großvätterlich guth zuständig, so hernacher ins besondere beschrieben werden. Über die Völlige Behaußung besagt ein teutscher perg: ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insiegel verwahrt, datirt den 18.t Junÿ Anno 1731.
(f° 6) Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag der über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch nunmehro weÿland Hn Notarium Abraham Kolb seel. in Anno 1744. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 12) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Derer Erben ohnverändert guth, Sa. Haußraths 18, Sa. goldenen rings 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 133, Ergäntzung witd passive übertroffen (97), Summa summarum 153 lb – Schulden 372 b, In Vergleichung, passiv onus 218 lb
Dießemnach wird auch des Wittibers ohnverändert und zugleich das gemein Verändert und theilbar guth weilen die Erben beÿ so übel bestanden umbständern auf das letztere tam active quam passive renunciren werden unter einem titul als deßelben Nahrung gehörig beschrieben, Sa. haußraths 5, Sa. activ Schulden 97, Summa summarum 102 lb – Schulden 942 lb, In Vergleichung 840 lb
Mehr Schulden dann guth 778 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers Nahrung zugeltend 73 lb
Copia der Eheberedung (…) den 30. Julÿ Anno 1744, Abraham Kolb

Vente de meubles quelques mois plus tard après la mort de Jean Jacques Braun
1760 (2.10.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 92
Verkauf und Erlös Register über Weÿland Johann Jacob Braun des geweßenen Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßener Mobilien und Effecten, welche den 21. Octobris Anno 1769 (…) verkaufft worden

Tuteur de la fille issue du deuxième mariage de Jean Pierre Siegfried, Jean Samuel Lemorme vend sa part de maison au ferblantier Jean Chrétien Eger (mari de la fille cadette d’Anne Susanne Lemorm

1761 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 204-v
Johann Samuel Lemorme der mahler als vogt weÿl. Johann Peter Siffert des pflästerers tochter Magdalena Siffert
in gegensein Johann Christian Eger des spenglers
ein 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten ane der Blindengaß, einseit neben N. Portmann dem fastenspeishändler, anderseit neben Abraham Schätzel, hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – um 30 pfund

Chrétien Eger et Catherine Salomé Siegfried hypothèquent la maison au profit du marchand de farine Georges Bubenhoffer

1767 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 258
Johann Christian Eger der spengler und Catharina Salome geb. Siegfriedin mit beÿstand H. Johann Jacob Conrad des fastenspeishändlers und Johann Jacob Conrad des frippier beede ihren nächsten
in gegensein H. Georg Bubenhoffer des meelhändlers – 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Blindengaß, einseit neben N. Portman dem fastenspeishändler, anderseit neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blindenmann, hinten auff Johann Hartmann den kieffer

Les experts estiment la maison 200 livres à l’inventaire dressé en 1776 après la mort Catherine Salomé Siegfried femme du ferblantier Jean Chrétien Eger
Jean Chrétien Eger meurt en 1803 en laissant pour seule héritière sa fille Frédérique Salomé, femme du tailleur de limes Jean Georges Rœmer.

1802 (8 germinal 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 730, 1304
Inventarium über des weÿl. Bürgers Johann Christian Egger gewesenen ehemaligen Spengler Vermögens Nachlassenschafft, nach seinem den 28. nivos X erfolgten Absterben, auf ansuchen deßen Wittib der bürgerin Anna Elisabetha geb. Scharbach beiständlich des brs Johann Wilhelm Rautenstrauch Greffier bei dem Friedens Gericht des ersten Gerichts: bezircks und der bürgerin Friderica Salome geb. Egger des bürgers Johann Georg Roemer Feilhauers Ehegattin des Verstorbenen einiger tochter und Universal Erbin in seiner ersten Ehe mit weÿl. Frau Catharina Salome geb. Siegfried erzeuget hat

der Wittib unveränderten vermögen, hausrath 192 fr, silber 13 fr, goldene ringe 12 fr, angelegtes Capital 978 fr, Ergäntzung Not. Saltzmann 25. maÿ 1781, 134 fr, abzuziehen 114 fr, per rest 20 fr, summa summarum 1217 fr
der Tochter und Universal-Erbin unverändertes Gut, hausrath 335 fr, Werckzeug 42 fr, silber 29 fr
Eigenthum an häusern so der Erbin unverändert. Erstlich zween dritte theile für ohnvertheilt von und ane einer einstöckigten kleinen behausung mit N° 2 bezeichnet samt hoffstatt höfflein Gemeinschafft des bronnens der bauchküche und des s.v. Privets mit allen zugehörden und Rechten an dem Jung St Peter Kirchgäßlein einseit neben des brs Johann Georg Schmid Meelhändler Ehefrau Erben anderseit neben des brs Christian Friedrich Klüpfel Säcklers Wittib und Sohn hinten auf den b. Johann Heinrich Conrad tabakhändler, verlehnt an den br. Wittersom Wurstmacher 168 fr, in capital 3360 fr, für zwo terzten 2240 fr
Item zwo terzten für ohnvertheilt an einer zweÿstöckigten behausung ohne Nummer nebst Seiten: und hinte: Gebäuden hoffstatt höflein Gemeinschafft des bronnens und der bauch küche zugehörden und Rechten gelegen an erstberührtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben dem br. Klüpfel anderseit neben dem hiernach beschriebenen häußlein hinten auff den br Conrad
Item zween dritte theil für ohnvertheilt von und ane einer zweÿstöckigten behausung mit N° 4 bemerckt samt der hoffstatt auch übrigen zugehörden und Rechten an gesagtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben nächst vorstehendem haus anderseit neben br Johann Michael Jost Eisenhändler hinten auf eben denselben, die beÿde letztere häuser sind verlehnet und ertragen jährlich an zinns br. Freÿdinger der Wirth 272 fr, br. Weil der Colporteur 240 fr, br Rother Gremp 100 fr zusammen 612 fr. in Capital 12 240 fr, die zween dritte theil 8160 fr, Über obige 3 häuser lauten 5 Kaufbrieff in der C.C.Stub de dais 28. Aprilis 1695, 8. Aprilis 1774, 10. Decembris 1778 und 12. Martÿ 1779, Mehrer bericht darüber der Eggerischen Eheleute Inventarium illatorum durch Notarium Saltzmann den 25. Maÿ 1781
So dann zwo tertzen für ohnvertheilt von und ahne einer behausung mit N° 22 notirt samt der hoffstatt einem höflein auch allen übrigen zugehörden und Rechten an der Blindengaße einseit neben br Johann Georg Blöchel hauslehrer anderseit neben br. Schäffer Schuemacher hinten auff br. Johann Adam Knab hutmacher, Von der gantzen behausung auf den 6. nivose der hiesigen verwaltung St Thomä 2 fr in geld und einen Cappaun in Federn an ewigem ehrschätzigem und fürbietigem zinnß, ertragt an zinns br. Näß der buchdrucker 60 fr, br. Spinner Schuemacher 60 fr, br. bollet der Gerber: taglöhner 48 fr, br. Spielmann der Schneider 40 fr, summa 208 fr in Capital 4160 fr, für zwo tertzen 2773 fr, darüber vorhanden Ganth Kaufbrieff vom 16. junÿ 1761
die übrige tertz an allen vorbeschriebenen häusern ist der diesortigen tochter als universal Erbin als ererbtes mütterliches Gut gehörig
Summa häusern 13 173 fr, Ergäntzung 7752 fr, abzuziehen 2222 fr, Nach deren Abzug 5529 fr, summa summarum 19 108 fr
Theilbare Masse, hausrath 206 fr, Wein 240 fr, silber 4 lb, Weißblechner waare 98 fr, baarschafft 1341 fr
Eigenthum an einer behausung so in die theilbare Massam gehörig
Nämlich eine behausung mit N° 18 bemercket samt hof hoffstatt bronnen auch allen mit allen deren übrigen zugehörden und Rechten zu Straßburg an der Pergamentergaße ohnfen dem bierhaus zum Rosenkrantz einseit neben br. Johann Daniel busch Gastgeber anderseit neben Johann Jacob Aÿle des beckers Ehefrau Catharina Salome geb. Imber hinten auff gedachten br. busch, an jährlichem zinns erträgt br. Wendling Schuhmacher zahlt 60 fr, Meyer buchdrucher 60 fr, Lux buchhändler 60 fr, Abend Schuhmacher 48 fr, Paulus Schuhmacher 48 fr, Stangel Schreiner 48 fr, Kößler bedienter 48 fr, Waßermann Mahler 40 fr, blind buchdrucker 40 fr, Spahn Maurer 40 fr, summa 492 fr in Capital 9840 fr, über diese behausung Kauf Contract under C. C.Stube de datis 17. Augusti 1602, 1. Martÿ 1654, 28. Julÿ 1687, 17. Sept. 1711, 20. Januarÿ 1780, Mehrere bericht aber ist in der Wittib verstorbenen erstern Ehemann des weÿl. brs Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Verlassenschafft Invetar. durch Notarium Saltzmann im Jahr 1777 aufgerichtet zu finden
summa summarum 11.730 fr, passiv schulden 11.671 fr, Nach deren Abzug 58 fr
(n° 2205) Liquidatio Eroerter: und General Abrechnung – Eigenthum an einer behausung so in die teilbare Massam gehörig alhier in der Pergamenter gaße gelegen mit N° 18 bezeichnet wie der tochter und der wittib abgeredet und verglichen, daß die Wittib für und anstatt des ihr in dem 5.t Punct der Eheberedung von dem Verstorbenen zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spengler Werckzeug auf deßen Genuß die Wittib verzichtet gethan hat, in dieser behausung lebtägig zinnsfrei zu besitzen zu bewohnen und zu geniesen berechtiget seÿn solle auf dem ersten Stock eine Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, diese Wohnung gewürdiget für eine jährlichen zinns von 60 francs, 20 fri 12
Letzten willen, Ich unterschriebener Johann Christian Egger will hiemit daß meine Ehefrau Anna Elisabet geb. Scharbach insofern sie mich überleben wird anstatt meines ihr in unserer Eheberedung zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spenglerwerckzeug bis an ihres lebens Ende in meinem an der Pergamenergaß gelegenen behausung N° 18 auf dem ersten Stockwerk neben dem bäcker zinsfrei bewohnen darf: Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, den 3. ni. 10
(Contestation sur les réparations majeures qu’il a fait faire dans la maison appartenant à sa succession sise Petite rue de l’eglise N° 4 pendant son mariage, 1350 fr)
Copia der Eheberedung vor Notario Saltzmann den 21. sept. 1778, der Ehrengeachte Johann Christian Egger verwittbter Spenglermeister So dann die tugendsame Fr. Anna Elisabetha Grohbergerin geb. Spenglerin des weÿl. Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Wittwe
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 10-v du 9 ger 10

Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger meurt en 1810
1810 (23.6.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1073
Inventaire de la succession d’Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger ferblantier décédée le 9 cinq. dernier – à la requête de 1. Catherine Barbe Groberger femme de Jean Henri Naeff Imprimeur, 2. Marguerite Salomé Groberger femme de Jean Chrétien Gammig Imprimeur, 3. Jean André Groberger ancien ferblanter les trois enfants, suivant testament nuncupatif du 3 février 1808
mobilier 305 fr, déclarations actives 8115 fr, total de la masse 8420 fr, passif 619 fr, reste 7801 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 19 du 2.7.

La maison revient à sa fille unique Frédérique Salomé Eger qui épouse en 1789 le tailleur de limes Jean Chrétien Rœmes : contrat de mariage, célébration. Le père fait donation à son fils de sa maison près de l’église Saint-Louis

1788 (1.7.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 300
Eheberedung – der Ehrengeachte Mr Johann Georg Römer der jüngere hiesige Burger und ledige Feielhauer des Hn Joh: Georg Römer ältern ebenmäßigen Feilhauers und burgers alhier in erster Ehe mit weil. Fr. Maria Dorotea geb. Jungin ehelich erzeugte ältere, anjetzt großjährige Sohn, als Hochzeiter an einem Teil
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Friderika Salome Eggerin, Mstr Johann Christian Egger des Spieglers und Burgers hieselbst mit seiner verstorbenen erstern Ehefrau Katharinaa Salome geb. Siegfriedin erzielte einzige nach hiesiger Stadt rechten majorenne Tochter als Hochzeiterin

Sechstens, gibt Hr. Römer der Vater dem Hochzeiter hiemit das Recht und die Wahl sein in hiesiger Stadt gegen St. Ludwigs Kirche über, eisneit neben H. Stephan Lorentz Lefebvre dem Tapezierer, ander Seit neben Johann Jacob Schmidt dem Schneider gelegene, hinten auf gedachten H. Lefebvre stosende in Vorder- und Nebens-Hauß, Hoffstatt, Höfelin und bronn bestehende eigenthümliche Eckbehausung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allem was darin Badn- Wand- Maur- Nied- und Nagel- vest ist, Vorfenster und Faßliegerlingen, allen eingemaurten und nicht eingemaurten Öfen und dem Bauch kesseln nach seinem dereinstigen Absterben in dem Stand wie solches alles sich als dann befinden wird um 4000 Gulden nebst Uebernahm deren davon Joh. Bapt: al 24. Junÿ und 19 Septembris auf den hiesigen Pfenningthurn zu entrichten habenden drei Gulden vier Schilling Allmendzinses und Zween Schilling jeweilen auf Weihnachten dem Stift St. Thomä schuldigen ewigen Zinses, käuflich anzunehmen
(Werckstatt)
Straßburg den 1. Junius in dem Jahr 1788 [unterzeichnet] Johann Georg Römer der jüngere als hochzeiter, Friederika Salome Eggerin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 10, n° 13)
Im Jahr 1789, Dienstags den 18. Augusti (wurden) ehelich eingesegnet Johann Georg Römer, lediger burger und Feielhauer allhier, weÿl. Johann Georg Römer, gewesener burgers und Feielhauers allhier mit weÿl. Frau Maria Dorothea gebohrner Jungin, ehelich erzeugter nachgelaßener Sohn, 28 Jahr alt, und Jgf. Friderika Salome Eggerin Johann Christian Egger, burgers und Spenglers allhier mit weÿl. Frau Maria Salome gebohrne Siefertin, ehelich erzeugte Tochter, 25 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Georg Römer als Hochzeiter, Friederika Salomé Eggerin als Braut (i 11) – Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 8-v, n° 16) 1789

Jean Georges Rœmer meurt en 1811
1811 (2.8.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1246, 5879
Inventaire de la succession de Jean Georges Roemer, tailleur de limes décédé le 8 juin dernier – à la requête de Frédérique Salomé Egger héritière universelle par testament nuncupatif dressé devant le soussigné notaire le 27 frimaire an 12 (19 décembre 1803) enregistré le 10.6. dernier
propriété d’une maison apportée en mariage, Sçavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Vent ci devant St Louis n° 13, d’un côté le Sr Lefevre tapissier d’autre le Sr Rissler perruquier derrière les même voisins – évaluée 400 fr de revenu en capital 8000 fr
meubles, argenterie 366 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 151-v du 3.8.

Frédérique Salomé Egger se remarie en 1812 avec le capitaine Jacques Bosshart
1812 (6.1.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 635, 5898
Contrat de mariage – Mr Jacques Bosshart, Adjudant Major Capitaine rétiré à Strasbourg membre de la Légion d’Honneur, natif de Berentzweil District d’Uster au Canton de Zuric en Suisse
De Frédérique Salomé Egger veuve du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 157-v du 7.1.

Jacques Bosshart meurt en 1821 en délaissant sa veuve pour unique héritière

1821 (17.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 956
Inventaire de la succession de Jacques Bosshart, adjutant major capitaine retiré décédé le 31 octobre dernier – à la requête de Frédérique Salomé née Egger la veuve héritière universelle testament, contrat de mariage Me Übersaal le 6 janvier 1812, Testament olographe du 25 octobre 1813 déposé au rang des minutes de Me Schreider le 2 novembre
immeubles propre à la veuve non vendus, une maison rue des Parchemins n° 19
une maison rue des Aveugles n° 22
une maison rue du Vent n° 13
dressé au domicile rue du Vent n° 13 – garde robe 645 fr, apports 4205 fr
propres à la veuve 114 fr, vendus pendant le mariage 300 fr, don matutinal 4000 fr ;
communauté meubles 150 fr, total 5000 fr – passif 1460 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 101 du 26.12.

Frédérique Salomé Egger se remarie avec le tricoteur de bas Henri Klein

1821 (27.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 969
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Klein, tricotteur de bas demeurant rue des Bouchers n° 42 veuf d’Elisabeth née Burger
Frédérique Salomé née Egger veuve en secondes noces de Jacques Bossart, adjudant major demeurant à rue du Vent n° 13
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 115 du 2.1.

Frédérique Salomé Egger meurt en 1843 après avoir institué pour seul héritier son mari qui meurt quelques jours plus tard sans postérité.

1843 (8.3.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 237
Inventaire des succession de Henri Klein et De Frédérique Salomé Egger
L’an 1843, le Mercredi 8 mars à neuf heures du matin. A la requête et en présence 1. de De Amélie Martin, femme du Sr Joseph Mosbach, tailleur à ce présent qui l’autorise, demeurant ensemble à Strasbourg, 2. de Dlle Louise Martin, ouvrière passementière, demeurant en la même ville, 3. et de Dlle Madeleine Martin, aussi ouvrière passementière, à Paris et domiciliée à Strasbourg, toutes trois comme habiles à se porter légataires universelles de feu le Sr Henri Klein leur oncle maternel, ancien tricotteur de bas domicilié à Strasbourg, en vertu de son testament reçu par Me Burtz notaire soussigné le 20 février dernier, lequel défunt était lui-même légataire universel de feu De Frédérique Salomé Egger sa femme suivant le testament de cette dame reçu par Me Schreider notaire à Strasbourg le 14 juin 1830. enregistré.
Il va être procédé à l’inventaire fidèle et exact de tous les biens et documents dépendant de la succession desd. Sr et De Klein, décédés tous deux à Strasbourg en leur maison située Quai St Nicolas N° 72 sans laisser d’héritier à réserve, le mari le 23 février dernier et la femme le 20 du même mois. Sur la représentation et la déclaration qui seront faites tant par le Dlle Christine Poetel domestique des défunts habitant de la maison mortuaire et à ce présente que par le Sr Pierre Antoine Zottner, marchand demeurant à Strasbourg gardien des scellés

Les meubles et objets mobiliers évaluée 1080 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 83 du 13.3.
23 mars 1846 n° 242 – Titres et papiers. Cote 1. Première pièce, expédition du contrat de mariage des défunts passé devant Me Schreider le 27 décembre 1821, le Sr Klein était alors veuf en premières noces de feu De Elisabeth Buttler et le De Klein l’était en premières noces du Sr. Jean Georges Roemer tailleur de limes et en secondes du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine en retraite
Seconde pièce, expédition du testament de la De Klein fait devant Me Schreider le 14 juin 1830 (…)
La deuxième est une expédition du testament du Sr Klein reçu par Me Burtz notaire soussigné (…)
Cote 2. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg rue du parchemin n° 18 (…)
La 4° pièce est une expédition d’un testament reçu Me Übersaal le 27 frimaire an XIII par lequel led. Sr Roemer a institué sa femme son héritière universelle en pleine propriété (…)
Cote 3. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg au quai St Nicolas n° 72 (…)
numéraire 10, description des titres et papiers – Passif 16.202 francs
acp 308 (3 Q 30 023) f° 31-v du 29.3.

1843, Me Schreider
le 14 juin 1830 – Testament par lequel Frédérique Salomé Egger veuve en 2° noces de Jacques Bosshart et épouse actuelle de Henri Klein ci devant tricotteur de bas les deux domiciliés à Strasbourg, institue son dit mari comme légataire universel
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27 du 22.2.1843

Frédérique Salomé Egger vend peu de temps avant sa mort la maison au limonadier André Ebel

1843 (18.2.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 230
Ont comparu le Sr Henri Klein, ancien tricotteur de bas demeurant à Strasbourg et le Sr Laurent Peter, propriétaire demeurant en la même ville, ce dernier agissant mandataire de De Frédérique Salomé Egger, épouse autorisée de mond. S. Klein (…)
au Sr André Ebel garçon limonadier au Café Baur demeurant à Strasbourg à ce présent et acceptant
Une maison avec une petite cour, droits et dépendances située à Strasbourg rue des aveugles N° 22 et tenant d’un côté à M. Stuber maître charpentier de l’autre à M. Bader de Haguenau, devant à la rue des aveugles derrière à M. Denni surveillant à la manufacture des tabas.
Etablissement de la propriété. Les comparans déclarent que cette maison est la propriété incommutable et irrésoluble des conjoints Klein mariés ensemble sous le régime de la communauté de biens en vertu de leur contrat de mariage passé devant Me Schreider notaire à Strasbourg le 27 décembre 1829 et qu’elle l’est devenue de la manière suivante, savoir, la De Klein qui, avant son mariage actuel, était veuve en secondes noces du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine retraité et en premières du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes de Strasbourg, a recueilli deux tiers de lad. maison dans la succession du Sr Jean Chrétien Egger ferblantier son père et un tiers dans celle de De Catherine Salomé Sigfried sa mère femme en premières noces dud. Sr Egger desquels défunts la De Klein était seule et unique héritière ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé après le décès de la mère par Me Lobstein notaire à Strasbourg le 15 février 1777, d’un inventaire dressé après le décès du père, dernier décédé, par Me Übersaal notaire à Strasbourg le 9 germinal et 11 messidor an X. Et feu les conjoints Egger l’avaient acquise pendant leur mariage aux enchères publiques de la masse des successions du Sr Jean Jacques Braun garde police et de De Susanne Lemorme décédés avec l’accomplissement des formalités judiciaires à la Cidevant chambre des contrats de Strasbourg le 10 mars, 5, 13 et 20 mai et 16 juin 1761. D’après les actes précités, la maison était anciennement grevée d’une petite rente au profit de la fondation de St Thomas de Strasbourg, cette rente paraît avoir été rachetée depuis fort longtemps et supprimée comme entachée de féodalité car M. Klein déclaré n’avoir jamais eu à la payer pendant son mariage. Et suivant un état d’inscription (…) – Prix, 6000 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27

Originaire de Rumersheim, André Ebel épouse en 1845 Anne Marie Waag, originaire d’Epfig
Mariage, Strasbourg (n° 112) Du 27° jour du mois de mars 1845, acte de mariage d’André Ebel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 novembre 1813 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, limonadier, fils de Joseph Ebel, cultivateur et de Catherine Weil conjoints domiciliés à Rumersheim ci présents et consentants, et d’Anne Marie Waag, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1812 à Epfig (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de François Joseph Waag, charpentier, et d’Elisabeth Legel, conjoints domiciliés à Schweighausen (BasRhin) ci présents et consentants (signé) André Ebel, A M Waag (i 15)

Inventaire dressé après la mort d’André Ebel
1870 (4.6.), Me Becker
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre André Ebel, farinier, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg et de la succession du Sr Ebel décédé le 15 mai 1870, à la requête de la veuve comme commune en biens à défaut de contrat de mariage, 2) Marie Julie Ebel, majeure, 3) Marie Anne Elise Ebel, 4) Marie Joséphine Ebel, majeure, 5) Marie Philippine Ebel, majeure, tous à Strasbourg
Communauté, mobilier estimé 2648
acp 594 (3 Q 30 309) f° 13-v du 8.6. (succession déclarée le 13 août 1870)
(vacation du 15 juillet)
une obligation du chemin de fer Villa Emanuel
37 ares de terre ban de Stützheim
créances 200 francs
acp 595 (3 Q 30 310) f° 6-v du 18.7.

André Ebel et Anne Marie Waag vendent la maison au cordeur de bois Georges Mœbs et à sa femme Christine Grussenmeyer

1863 (9.4.), Me Grimmer
André Ebel, garçon limonadier aujourd’hui marchand de farines, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg
à Georges Moebs, cordeur de bois, et Christine Grussenmeyer sa femme
une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 11 moyennant 7000 francs dont mille francs payés comptant – origine vente Burtz le 18 février 1843
acp 520 (3 Q 30 235) f° 90 du 11.4.

Originaire de Rumersheim, Georges Mœbs épouse en 1836 Christine Grusenmeyer originaire de Surbourg
Mariage, Strasbourg (n° 155) Du 20° jour du mois de avril 1836, acte de mariage de George Möbs, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 avril 1815 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, cultivateur, fils de Florent Möbs, cultivateur domicilié à Rumersheim ci présent et consentant, et de Brigitte Runtz décédée à Rumersheim le 24 mars 1829, et de Christine Grusenmeyer majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 avril 1815 à Sourbourg (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Grusenmeyer et de Marie Anne Sugg, conjoints domiciliés à Sourbourg ci présent et consentants. (signé) Georg Möbs, Christina Grüsenmeier (i 43)

Registre de population (600 MW 300) i 256
Moebs, Georges, Rumersheim 15, homme marié, Journalier, catholique, français (séjour dans la commune) 32
id. née Grussenmeyer, Christine, Surbourg 15, femme mariée, sa femme, catholique, française, 32
id. Victor, Strasbourg 40, garçon, son fils, d. s. n.
id. Charles, Strasbourg 12 mai 1844, id. fondeur, d. s. n.
(demeure) Quai de la Bruch 5 (puis) 1864 rue des Aveugles 11



13, Grand rue


Grand rue n° 13 – IV 7 (Blondel), P 705 puis section 56 parcelle 51 (cadastre)

Maître d’ouvrage du bâtiment avant, Georges Heitz (1825)
Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Le bâtiment à cinq arcades est construit à la place des anciens n° 17 et précédents
Vue de la cour (vers 1908, AMS cote 118 MW)

La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière. Christophe Friedel en cède en 1630 ses parts à son frère Gabriel Fridel qui y établit son atelier de potier. Son fils Jean Georges Fridel vend la maison avant en ne conservant que la maison arrière. Le menuisier Jean Adam Boll acquiert les deux bâtiments qui ne forment plus qu’une seule propriété à partir de 1680. Après avoir appartenu un temps au propriétaire de la maison voisine, elle revient aux potiers Jean Sperer (1692) puis André Schulmeister (1721). La maison est le septième bâtiment à partir de la gauche sur l’image du plan-relief de 1727. Le chirurgien Jean Meyer l’acquiert en 1737 et son fils Frédéric y établit sa boutique de barbier. Les héritiers de sa femme morte sans enfant obtiennent la cassation du testament qu’elle a fait en sa faveur ; le chirurgien disparaît sans laisser de nouvelles après avoir été employé comme compagnon chez un barbier de la campagne. D’après la description de 1750 la maison comprend une cave voûtée, un rez-de-chaussée à deux poêles surmonté de deux étages dont la distribution est identique  un passage mène au bâtiment arrière à un étage. La maison appartient ensuite au tonnelier François Antoine Gilloth (1767) puis (1772) à Jean Ehrlenholtz, propriétaire de l’auberge au Cep de vigne sur la place d’Armes. Ses héritiers la vendent en 1824 au chaudronnier Georges Heitz qui fait reconstruire le bâtiment avant et revend la propriété en 1826 avant que les travaux ne soient achevés.



Plan-relief de 1725 (© Claude Menninger, Inventaire de la région)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 147 et cour J

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie, ce qui correspond à l’état avant travaux, voir le rapport d’experts de 1814 qui mentionne un pavillon à droite de la cour et un bâtiment arrière à un étage. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1) qui représentent le nouveau bâtiment, la façade sur rue est la sixième après l’église : rez-de-chaussée à deux ouvertures en forme de porte, trois étages à deux fenêtres chacun. La cour J montre l’arrière (3-4) du bâtiment sur rue, le pavillon (2-3) renfermant la buanderie, le bâtiment arrière (1-2) en bois à rez-de-chaussée en forme de remise surmonté de trois étages d’après les dessins et de deux étages d’après le rapport.
La maison porte d’abord le n° 90 (1784-1857) puis le n° 13.


Elévation, coupe et plan de situation (Relevés du service d’architecture vers 1912, AMS cote 907 MW)

Comme le cadastre ne signale aucun changement de valeur, les transformations ultérieures doivent dater des années 1830 ; le pavillon à droite de la cour est alors surmonté des galeries que représentent les dessins de 1912 et la photographie prise avant les démolitions pour la Grande percée. Les enquêteurs qui visitent les maisons à détruire relèvent une porte Louis XVI dans le bâtiment arrière et un encadrement de fenêtre qu’ils datent de 1500 environ dans le bâtiment avant.
La maison appartient au boucher Jean Frédéric Kautz puis (1869) au maréchal ferrant Georges Riehm. La Ville de Strasbourg l’achète au début du XX° siècle et la fait démolir en 1912.

septembre 2018

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1617 à 1912. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Christophe Fridel, sellier, et (1600) Marguerite Negelé, remariée (1636) au sergent Gaspard Fischer – luthériens
1630 v Gabriel Fridel, potier, et (1616) Marguerite Ittel puis (1638) Madeleine Stampff – luthériens
1650 h Georges Fridel, potier, et (1650) Anne Marie Mahler – luthériens
1651 v Jean Boll, menuisier, et (1631) Susanne Œlkrug – luthériens
1666 h Jean Adam Boll, menuisier, et (1678) Catherine Schneider – luthériens
1685* v Susanne Lacher épouse (1655) du boulanger André Schneider puis (1681 ) du tonnelier Tobie Gundelwein – luthériens
1692 v Jean Sperer, potier, et (1691) Anne Farni puis (1712) Anne Marie Müller – luthériens
1721 v André Schulmeister, potier, et (1699) et Catherine Kayser – luthériens
1728 v Jacques Brohm, cloutier, et (1696) Anne Elisabeth Andres puis (1730) Marie Marguerite Gahr – luthériens
1737 v Jean Meyer, chirurgien, et (1697) Susanne Steg – luthériens
1742 h Frédéric Meyer, chirurgien, et (1743) Anne Marie Helmstætter – luthériens
1757* h Jean Daniel Würtz, orfèvre, et (1751) Marguerite Barbe Vogt – luthériens
1767 v François Antoine Gilloth, tonnelier, et (1766) Marie Salomé Nessmann puis (1781) Anne Marie Meyer, veuve du tailleur Ferdinand Schnee – catholiques
1772 v Jean Ehrlenholtz, marchand, et (1769) Anne Ursule Dietsch – luthériens
1815 h Jean Louis Steiner, négociant puis agent d’assurances, et (1809) Catherine Marguerite Ehrlenholtz
1824 v Georges Heitz, fondeur chaudronnier
1826 adj Jean Louis Steiner (supra)
1829 v Louis Neubert, musicien, et (1822 ) Sophie Krehmer
1840 v Jean David Schultz, fabricant d’huile, et (1803) Marie Madeleine Dugard
1844 h Jean Frédéric Kautz, boucher, et (1826) Marguerite Madeleine Schultz
1869 v Georges Riehm, maréchal ferrant, et 1848) Madeleine Etlensperger
1901* h Georges Frédéric Henri Adolphe Riehm, vérificateur à l’octroi
1908* v Ville de Strasbourg

Bâtiment arrière (1651-1680)

Jean Georges Fridel, supra
1668 h Orphelinat
1676 v Michel Huck, potier, et (1674) Marguerite Meyer – luthériens
1680 v Jean Adam Boll (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1712, 500 livres en 1728, 850 livres en 1738, 800 livres en 1750

(1765, Liste Blondel) IV 7, Jean Daniel Würtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61), Ehrlenholtz, 2 toises, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 705, Neubert, Louis, épicier – maison, sol, cour – 1,76 are / Schultz veuve Faubourg National

Locations

1689, Michel Giss, tisserand
1721, Jean Bernard Brand, potier
1732, Jean Michel Goppert, potier
1820, Jean Zahn, ciseleur, et Marie Catherine Faeller

Description de la maison

  • 1712 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral, un bâtiment arrière, une cave voûtée, un puits, estimée avec la cour, toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins
  • 1728 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment arrière, un passage, plusieurs poêles, chambres, vestibule dans lequel se trouve le fourneau, four de potier, atelier où se trouve un four, un puits, estimée avec la cour, toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1738 (billet d’estimation traduit) la maison comprend en entrant au rez-de-chaussée à droite une petite boutique de barbier, étroit vestibule, petite cuisine, chambre, cave voûtée, puits, au premier et au deuxième étages un poêle, chambre, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, deux vieilles galeries en bois, un petit bâtiment arrière au rez de chaussée duquel se trouve un ancien atelier de potier et un four, dépense, à l’étage un poêle, chambres, petite cuisine et vestibule, vieux comble, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 700 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) la maison comprend à côté de l’entrée deux poêles, une cuisine, au premier étage un poêle, une chambre et un vestibule, le deuxième étage est pareil que le premier, le comble à double couverture de tuiles plates renferme la chambre à soldats dallée, la cave est voûtée, une cour, un puits, il y a en outre un bâtiment arrière et un passage latéral où se trouvent un poêle, une cuisine, le bûcher et plusieurs chambres, le comble a une simple couverture de tuiles plates, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins
  • 1814 Rapport d’experts
  • 1825 Rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 142 / 90
Ehrlenholtz
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 161 case 2

Schultz, veuve, faub. national

P 705, maison et cour, sol, grand’rue 90
Contenance : 1,76
Revenu total : 117,92 (117 et 0,92)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 867 case 2

Schultz, veuve, faubourg national
1870 Riehm, Georges, Maréchal ferrant
1901 Riehm Georg Friedrich Heinrich Adolph, Oktroiverifikator
1908 (3010) Straßburg die Gemeinde
(ancien f° 615)

P 705, maison, sol, Grande rue 13
Contenance : 1,76
Revenu total : 117,92 (117 et 0,92)
Folio de provenance : (161)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre allemand, registre 31 p. 285 case 1

Parcelle, section 56, n° 51 – autrefois P 705
Canton : Langestraße Hs. N° 13 – 429/14 – 236
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,75
Revenu : 1300 – 2100
Remarques : ab. S. 281 F. 5
1912 Abbruch
1914 ab. S. 281 F. 5

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grand Rue, p. 207

90
lo: Lez, Marie Elisabethe Veuve – Tailleurs
lo: Freis, Jean, tailleur – Tailleurs
lo: Jost, Ignace, Musicien – Privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 95)

(Haus Nr.) 13
Ruggaber, Milchhändler. 0
Schäfer, Rentnerin. 1
Demand, Schneider. 2
Fender, Eisendreher. 3
Eck, Schreinermstr. H 0
Warle, Modistin. H 1
Bauer, Schneidermstr. H 3
Strohmenger, Ofensetz. H 3

Grille d’enquête, n° 13

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Langestrasse N° 13 [Maison : 13, Grand rue]

a) Geschichtliches : Zum grünen Fässel, Wirthsaus 1736, 1769, Neubau 1825 [Historique] au Tonnelet vert, auberge 1736, 1736 [sic, voir n° 15], nouvelle construction 1825

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 11. Türeinfassungen – Hinterhaus, I. Stock, Gang, eine Louis XVI Thüre
    [Encadrement de porte] bâtiment arrière, 1° étage, couloir, une porte Louis XVI
  • 12. Fenstereinfassungen – gotische, ein Stein, um 1500, 1. Stock, Vorderhaus – auf Farbspuren auf* beim Abbruch
    [Encadrement de fenêtre] gothique, une pierre vers 1500, 1° étage du bâtiment avant – traces colorées (-) lors de la démolition

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – 2 frühgotische, ein 17.ten Jahrh. neu umgestattet mit schönen Balustern in der I. Etage
    [Galerie sur cour] 2 gothique ancien, une du XVIII° siècle transformée, à belles ballustres au premier étage
  • 25. Türbeschläge – 1) Vorderhaus, II. Stock, gegen Strasse, Binder und 1. Knopff, 2) Hinterhaus, II. Stock, Binder
    [Ferrures de porte] 1) Bâtiment avant, 2° étage vers la rue, boutisse et un bouton, 2) bâtiment arrière, 2° étage, boutisse

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au sellier Christophe Fridel qui épouse en 1600 Marguerite, fille du pasteur Mathias Negelé.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 69-v, n° 35)
1600. Christoffel Fridel Satler, J. Margareta H. Mathis Negelein seligen gewesten Pfarrers zu dem Wilhelmen, 15. Julÿ (i 72)

Une fois veuve, Marguerite Negelé se remarie en 1636 avec le sergent Gaspard Fischer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 33)
1636. Festo Paschatos. Caspar Fisch. d. Feldweibel, Margaretha Christoff Fridel deß Sattlers allhier nachgelaßene Wittib. 25. Apr. (i 34)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc. Ceux du mari s’élèvent à 212 livres.
1636 (16.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 4) n° 6
Inventarium darinnen Waß Herr Caspar Vischer, Sergeant under Herrn Majorn von Müllenheim, vndt fraw Margaretha Negellin, weÿlandt Christoph Friedells deß Sattlers, burgers alhie Zu Straßburg seel. hinderlaßene wittib einander in den Ehestandt Zubringen, zubefind. 1636 – vnder anderen vrsachen vndt Clärlichen abgeredt, vndt vglichen worden, daß beiderseiths in die Ehe Zusammen bringende nahrungan einem Jeden vndt ihnen beiden deßelbig. Erben unverändert sein und pleiben solle – Beschehen in beÿsein Peter Schnellers Huttmachers hannß Friedels der hochzeiterin in voriger ehe erzeugten Sohns, so ietzmahlen vff der wand. schafft geschwornen Vogts, Vff Jahr vnd tag wie obgemeltt.

Inn einer Behaußung der Statt Straßburg vor dem Zollthor vnder wagnern gelegen, Inn dieße Nahrung gehörig Ist befunden worden wie hernach volgt
Inn d. Cammern A, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammern B, Inn d. Cammern C, Vor dieß. Cammern, Im obern haußöhren, Im vndern hauß öhren, Inn der Wohnstuben
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item 2 heüßer ein vord.s vnd ein hind.s mit Ihren hoffstatten höfflein
Inn d. Statt Straßburg vorstatt vor dem Zollthor vnder wagnern gegen der Gastherberg Zur Linden vber (…)
Sa. Anschlags des H. Hochzeiters Zubringender Frucht, 5, Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Guldener Ring 17, Sa. Bahrschafft 110, Sa. Schulden 59, Summa summarum 212 lb

Christophe Friedel vend la moitié de la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à son frère potier Gabriel Fridel et à sa femme Marguerite Ittel. En marge, quittance (1648) de la venderesse Marguerite Negelé alors femme de Gaspard Fischer à Madeleine Stampff, deuxième femme de l’acquéreur, et au fils Jean Georges Friedel

1630 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 284-v
(Protocollat. fol. 34.) Erschienen Christoff Friedel der Satler burg. Zu St. vnd Margreth Neglerin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
Gabriel Fridel dem haffner auch burger alhie, vnd Margreth Eütlerin deßen ehelichen haußfr. ihrem respectiué Bruder, schwager vnd Geschweÿern, so beede Zugegen
den halbentheil ihnen den V.keüffern für vngetheilt gebürend an Einem vordern vnd hinderhauß, deren hoff, hoffstäten, vnd allen andern ihren gebäwen, gelegen alhie an der obern straßen, nicht weit von der Pfarrkürchen Zum Alten S. Peter, neben hanß Schötel von holtzheim & neben Hanß Rüebel dem Weinhändler hinden vff ein Stiffts hauß Zum Alt. S. Peter gehörig stoßend, daran der Andere halbtheil ihnen Käuffern Zuuor Zustendig, vnd gehen von den beed. häusern Jährlich vff Marci 4 fl. St. dem Stifft S. Marx in hauptgut mit 100. fl.
[in margine :] Erschienen Margreth Neglerin vnd Barbara, hanß Adam Fechters deß Gartenmanns alhie haußfr. ihr Margreth dochter bekannt in gegensein der Käuffern (…) Act. 19. Maÿ 1635
Erschienen hieringemelte Margaretha Neglerin die Verkäufferin mit beÿstand H Caspar Fischers Sergeanten alhier vnder H major von Müllenheim ihres ietzigen Ehevogts, So dann Peter Schnell der huetmacher alhie, alß Vogt Hannß Friedelß deß huetmachers hieringemelts Verkäuffers nachgelaßenen Sohns so hiebeÿ auch zugegen war, haben in gegensein deß Käuffers vndt Magdalenæ Stampfin seiner ietzigen hausfrauen mit beÿstand hannß Georg Fridels sein deß Käuffers eheleiblichen Sohns vnd Hannß Peter Breitlers deß Kachlers sein hannß Georgen Vogts (quittirt) 80 Januarÿ A° 1648.

Le potier Gabriel Fridel épouse en 1616 Marguerite Ittel, fille du soldat Jean Schwickart Ittel. Il se remarie en 1638 avec Madeleine, fille du charpentier Jacques Stampff
Mariage, cathédrale (luth. f° 39)
1616. In die paschalis den 31. Martÿ. Gabriel Fridel der Kachler, Christoph Fridels des Stattkachlers e. sohn, und J. Margreth Hans Schwickart Ittels des Soldners e. tochter, eigesegnet Zistag den 9. Aprilis (i 24)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 42) 1638. Dominica XXI. post Trin. Gabriel Friedel d. Kachler B. Burger allhier J. Magdalena Jacob Stampfen deß Zimmermanns allhie nachgelaßene Tochter, 13. Augusti (i 44)

Gabriel Fridel hypothèque la maison au profit de l’adjudant Gaspard Fischer. Sont témoins Pierre Breitler, tuteur du fils en premières noces du débiteur, et le culottier Balthasar Fischer, frère du créancier

1638 (7. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 750-v
Erschienen Gabriel Fridel der Kachler burger Zu Straßburg, undt beneben ihme Magdalena Stampffin sein eheliche haußfraw mit beÿstandt hanß Großmans Zimmermanns alhie ihres noch ohnentledigtenn Vogts
haben in gegensein Caspar Vischers Feldweibels under herrn Maior Müllnheim und burger alhie – schuldig seÿen 25. lb
dafür in specie Vnderpfand sein solle Ein Vorder vnd Hinderhauß, hoffstat vnd höfflein mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in der Statt Straßburg an der Obern Strassen beÿ dem Stifft Alten Sanct Peter, einseit neben dem Grünen fässel, anderseit neben hanß Linßer von Holßheim et consorten, hinden vffs Stiffts Alten S. Peters Schaffneÿ stoßend gelegen, So Zuuor verhafftet vmb 100. fl. Straßburg. Wehrung den Armen Sond.siechen Zur Rohten Kürchen, Item vmb 100. fl. wehrung dem Stifft Sanct Marx alhie, Mehr vmb 25. lb d hanß Fridel deß Creditoris Stieffsohn, So dann vmb 113. lb sein deß Bekenners Söhnlein hanß Georgen Müeterlich guth, vnd dann vmb 35. lb ihr der Schuldtbekennerin für versprochenen Morgengaab
Dabeÿ geweßen hanß Peter Breitler der Kachler alß sein Gabriel Fridels in voriger Ehe erzeugten Sohns Vogt, obgedachten und Balthasar Vischer Hoßenstricker, deß Schuldglaubigen bruders

Gabriel Fridel vend la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à son fils potier Georges Fridel

1650 (11. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1105
(Protocoll. fol. 268. et seqq.) Erschienen Gabriel Fridel der Kachler
hatt in gegensein Georg Fridelß deß Kachlers seines Sohns
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoff, hoffstätten und allen deren Gebäwen, alhie in der obern Straß. beÿ der Kirch Zum alt. St Peter, einseit neben hannß Schöttel von holtzheim, anderseit neben H Michael Rüebel LL Stud. hind. vff eine Behaußung dem Stifft alten St. Peter gehörig, davon gehnd iahrs vff Marci 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. ermelter wehr. dem Stifft St Marx, Item 3 lib vff Marci lößig mit 60. lib dem stifft zur Roth. Kirch. So seind solche häußer auch noch verhafftet umb 25. lib. vorig. kauffschillingß rests weÿl. H Hannß Grünen groß. Rhats Verwanthens seel: Wittib, Item umb 50. lib H Hannß Jacob Ansorg dem handelßmann und altem groß. Rhats Verwanth alß Vogt hannß Daniel Würtz, Item umb 63. lib ihme dem Käuffern selbsten beed. Post. von seinem Müterlich. Gut herrührend, Item umb 16. lib hannß Samuel Nageln dem küffern, Item umb 25. lib Morgengaab und 10. lib. für die hochzeiter Kleidung Magdalenæ deß Verkäuffers ehelich. haußfr. sein deß Käuffers Stieff Mutter (…), und umb 25 lib Caspar Fischern dem Sergent. Und were dißer Verkauff und Kauff, ulmb so viel alß dieße ietzt ernanndte Post. sich in Capitalien und davon hindeständig. Zinnß und Marzahl belauffen Zugang.

Georges Fridel épouse en 1650 Anne Marie, fille d’Adam Mahler bourgeois à Oberlauterbach en seigneurie de Fleckenstein
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 90-v)
1650. Donâ Quinquag. 24. Febr. Johann Geörg Fridel der Kachler Gabriel Fridel Burgers vnd Kachlers alhie Ehelicher Sohn, J. Anna Maria Adam Mahler Burg. Zu Oberlauterbach der Graffschafft Fleckenstein hind.laßene tochter. Mont. 4.ten Martÿ. (i 92)

Georges Fridel revend l’année suivante la maison avant au menuisier Jean Boll en se réservant la maison-arrière . La partie vendue comprend une cour de cinq pieds sur quatre, une porcherie. Les parties indivisent comprennent le puits, le four, les cabinets d’aisance et le droit de passage

1651 (30. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 665
(Prot. fol. 87.) Erschienen hannß Georg Fridel der Kachler
in gegensein hannß Bollen deß Schreiners mit beÿstand diebolt Nägelins deß ohlmanns
ein vorderhauß sampt d. hoffstatt wie auch im hoff 5. schuh lang und 4. schuh breit im liecht Zu einem Schweinstall ferners die gemeinschafft deß Bronnens deß Backhoffens deß Cloacs deß gangß darzu und deß übrigen hoffs, alhie in der obern Straß. beÿ der Kirch Zum alt. St. Peter einseit neben hannß Schöttel von holtzheim & Cons. anderseit neben H Michael Rüebeln LL. Stud. hind. vff den Verkäuffern stoßend geleg. für und umb 213. lib (…) umb 35. lib. Magdalenæ deß Verkäuffers Stieff Mutter (…)
iedoch mit der Erläuterung, Erstlich daß der Bronnen d. Bauchoffen daß Cloac und d. Gang darzu in gemeinen Costen erhalt. auff der Bronnen daß Camin und Cloac in gemeinen Cost. resp. gesaubert und außgeführt, Fürs Ander durch den Käuffern seine Erb. und Nachkommen in dem übrig gemeinen hoff überal nichts gebawen werd. Trittens dem Verkäuffern seinen Erb. und Nachkommen für und für die Gerechtigkeit beÿ tag und nacht durch die ietzverkauffte vordere Behaußung auß der hindern Behaußung und widerumn darein Zu gehen und den Stand vor der vordern Behaußung zu behalt. verbleib. solle

Originaire d’« Ernteregg » en Wurtemberg, Jean Boll épouse en 1631 Susanne, fille du salpêtrier Jérémie Œlkrug
Mariage, cathédrale (luth. f° 305) 1631. Montag den 25. Julÿ. Hanß Boll der Schreiner auß dem Württenberger Land vnd Susanna Jeremias Oelkrug des Salpetersieders n. tochter eingesgner montag den 19. 7.bris (i 157)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 11) 1631. Hanß Boll d. Schreiner Thomæ Bollen deß Rebmanns Zu Entseuhing. im Würtenberg. land ehelicher Sohn J. Susanna Jeremiæ Oelkrug deß Salpetersieders allhie nachgelaßene tochter. 19. 7.bris im Münster (i 12)

Il devient bourgeois trois mois plus tard en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1631, 4° Livre de bourgeoisie p. 122
Hannß Boll Von Ernteregg Auß dem Württenberg landt der schreiner Empfangt d. Burg.recht Von Susanna Jeremie ohlkrugs geweßenen Salpetersieders vnd burger Alhie eheliche tochter wüll Zu den Zimmerleuth dienen den 25. 8.bris 1631

Susanne Œlkrug meurt en 1666 en délaissant un fils. Le titre le plus ancien de la maison date du 7 novembre 1594. Les biens propres de la femme se réduisent à peu de chose à cause du procès contre son père assez fortuné Jérémie Œlkrug. La masse propre aux héritiers s’élève à 15 livres, l’actif de la communauté à 126 livres, le passif à 19 livres

1666 (22.5.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 14) n° 19
Inventarium vnd beschreibung aller und Jeder Haab Nahrung v. Güetter, Lig.der v. vahrend., Veränd.ter v. Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hind.gesetzt, So weil. die tugendsame Susanna Ölkrugin, deß Ehrsamen Hannß Bollen Schreiners v. burgers Zu Str. geweßene Eheliche hfr., beÿ Ihrem d. 26. Monats tag Februarÿ deß 1666.sten Jahrs beschehenen seel. ableiben Verlaß. Solches vf erfordern vnd gegehren Ihrer d. Verstorbenen frawen seel. mit obgedachten hanß Bollen dem hind.bliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kind. v. ab intestato nachgelaßener Erben, wie auch deroselben respectivé Ehe v. geschw. vogt – Actum v. angefang. In Str. Dienstags d. 22. Monats Maÿ A° 1666.
Die Abgeleibte fr. seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1. Susannam, Michael Kelterers des Kieffers v. burgers alhier eheliche hfr. geg. wertig, 2. Annam Jacobo Edraßen deß Hoßenstrickers auch burgers alhie hfr. quæ præsens. 3. 4. Elisabetham v. Hanß Adam beed. nich ledig. Standts den geschw. Vogt d. Ehrsame Mr Hanß Leonhard Sippel hohltreger v. burg. Zu Str. sambtliche gegenwertig, Alle vier Geschwistrig. von bed. Band. Zu gleich portionen v. antheilen.

In d. Cammer A, In d. Cammer B
Eÿgenthumb ane Einer behaußung. Ein vord. hauß sambt d. Hoffstatt, wie auch ein Hoff fünff schuhe lang vnd vier schuh breit im liecht Zu einem s. h. Schweinstall, sambt d. Gemeinschaft des Cloacs, deß Gangs darzu, vnd des vbrig Hoffs, alhie Zu Straßburg in dero obern Straßen beÿ d. Kirch Zum alten St. Peter, Einseit neben Hanß Schötteln von Holtzheim et Consorten, 2.s. neben H. Michael Riebeln, Hinden vff Hannß Georg Fridels des Kachlers Wittib vnd Erben stoßend gelegenn dauon gend Jahrs vff Hannß Georg Fridels des Kachlers wittib vnd Erben stoßend geleg. dauon gend Jahrs vff S. Marx tag 3. lb 3 ß dem Stift d. Rothen Kirchen steth in Capital 63. lb. Item j lb 5 ß vff gemeltem tag etwan weÿland H. Hannß Grünen des Fischers und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers seel. Erben modo H. Paulo Reinhtaler dem Strehlmachern Vögtlicher weiß, ablößig mit 20. lb ferner 15. ß aberwehntem Stifft d. Roth. Kirchen, Jährlich vf Michaelis steht in gutt abzulöß. mit 15. lb vnd dann 15. ß s. Zuuorhin j lb 5 ß gewesen vf Martini Caspar Fischern dem Sergeanten steth in restirenden ablößigen Capital mit 15. lb Sonsten über ietz gemelte beschwerden freÿ ledig vndt eig. vnd angeschlagen pro 95 lb
Darüber besagt ein teutsch. Pergmtner Khaufbrief in d. allhießig. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt, vndt mit deroselben fürhangenden Insigel verwart, daß Inhalts, d. d. Wittiber berührte behaußung von weiland hannß Georg Frideln dem geweßenen Kachlern in aô 1651. mit samt denen darauf gestandenen beschwerd. umb 213. lb erkauft, de dato den 30. Aug. 1651. mit N° 1 notirt. Dareÿ ein alter Perg. Khaufbrieff mit d. St. St. Kleinen Insigel v.wahrt datirt den 7. 9.bris 1594. mit altem N° 2 ietz auch mit newem N° 1 bemerckt.
Ergäntzung. Es berichtet d Wittiber, d. Sie seine haußfrau seel. Zur Zeit angetrettener Ehe ihme ein mehrers nicht als ein betthlad (…). NB Im übrig. Ob Zwar dero vatter seel. Jeremias Öhlkrug geweßener Saalpeter Sied. v. burger alhier ein Mann beÿ guten Mittlen geweßen, So habe Sie iedoch weg. geführten schwerer Process vnd Rechtshändel von demselben allerdings gar nichts ererbt, dahero auch weiters nichts zu ergentzen geweß.
Rubricen, der Erben unverändt. gutt, Ergäntzung 15 lb
Theilbar gutt, haußrath 28, Werckzeug Zum Schreiner handwerckh gehörig 3, Eigenthumb ane Einer behaußung 65, Summa 126 lb – Schulden 19 lb, Nach deren Abzug 10 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 121 lb

La maison revient ensuite à son fils Jean Adam Boll qui épouse en 1678 Anne Catherine Schneider, fille de l’aubergiste André Schneider

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 178, n° 10)
1678 Eodem [27. Febr.] Hanß Adam Boll lediger schreiner Joh: Bollen burgers vnd schreiners ehelicher Sohn, J. Anna Catharina H. Andreas schneiders deß Wurths V. Gastgebers eheliche tochter (i 179)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison voisine au Tonnelet vert
qui appartient à la mère de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 170 livres.

1678 (9.3.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 1) n° (13)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, So der Ehrsam und bescheidene Meister Hans Adam Boll der Schreiner und Fr. Anna Catharina Schneiderin, beede Ehegemächd und Burgere alhie Zu Straßburg, einander in Ihren den 21. Februarÿ Jüngst angetrettenen Ehestand, für unverändert zugebracht – Actum Straßburg in gegensein fr. Susannæ Lacherin d. fraun liebe Mutter den 9. Marty Anno 1678.
[In einer in der Statt Straßburg gelegenen] ane der Straßen zum grünen faß [ge]nanten und d. Frau lieben Mutter gehörigen behausung befunden worden wie volgt
Sa. haußraths 80, Sa. Silber geschmeids 12, Sa. guldenen Ring 10, Sa. baarschafft 66, der Frawen unverändert Nahrung 170 lb
Sa. Hausraths So der Mann für unverändert in die Ehe gebracht 49 lb

Jean Adam Boll acquiert la maison-arrière et hypothèque les deux bâtiments au profit des enfants du pasteur Elie Kolb

1680 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 362
Johann Adam Boll der Schreiner
in gegensein Johann Saltzmanns V. J. Ddj unt Cancelleÿ Secretarÿ alß Vogts Weÿl. H. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers Zum Jungen St. Peter nunmehr seel. nachgelaßener Kinder Zweÿter Ehe – schuldig seÿe 100 lb
unterpfand, Ein Vorder: undt hinder: behaußung mit allen deren gebäwen undt zugehördten alhier ahne der obern Straßen nechst der Pfarrkirchen zum Alten St. Peter, einseit neben (-) anderseit neben Susannæ Schneiderin, hinden uff eine behaußung dem Alten St Peter Zuständig stoßend gelegen

Anne Catherine Schneider meurt en 1680 en délaissant une fille. Le père du mari qui a cédé sa maison à son fils lors du contrat de mariage s’en est réservé la jouissance viagère ; comme le veuf n’est pas entré en possession du bâtiment, l’inventaire ne le décompte pas.

1680 (11.12.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 2) n° 21
Inventarium über Weÿland Frawen Annæ Catharinæ Schneiderin Meister Hans Adam Bollen, Schreiners und burgers alhie Zu Straßburg haußfrawen seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1680. – nach Ihren Donnerstags den 13. Maÿ dießes Zu end eilenden Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen hintritt, hinderlaßen. Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsam und bescheidenen Meister Hans Georg Rosa Küffer und burgers alhie Zu gerührtem Straßburg als geordnet und geschwohrnen Tutoris und vogts Annæ Catharinæ, der abgeleibten Frawen seel. mit erstermelten Ihrem hinderblieben wüttwer ehelich erzeugtel döchterlins und so wohl ab intestato als per Testamentum instituirter und nach Tod verlaßene einiger Erbin Ersucht – Actum Straßburg Sambstags den 11 Decembris Anno 1680.

[In einer allhier zu Straßburg ane] d Obern S[traßen gelegenen] Zum alten S Peter [-]walderin gehörig und von Ihme Wittwern bewohnender behaußung befunden worden wie volgt.
(T.) It[em eine behaußung hoff un]d hoffstatt sampt [allen] gebäuden, [begri]ffen Zugehörd und Gerechtigkeiten in hiesiger Statt Straßburg ane d. Obern Straßen einseit (-) anders. Fr. Susannaæ Schneiderin gebohrne Lacherin d. fr. seel. lieben Mutter, hind. auf einer dem Stifft Alten St. Peter gehörigen vornen aber auf deß wuttwers vatters behaußung, behausung stoßend, darvon gend Jährlich vier guldin Straßburger wehrung Jährlich auf (-) dem Großen gemeinen Allmosen S. Marx alhier Zu Straßburg in haubtgutt wider lößig mit 100 gulden ermelter wehr. So dann ist diße behaußung noch verhafftet umb 100. lb welche h herr Johann Saltzmann j. v. Ddus und Secretarius beÿ hiesiger Cancelleÿ, Zu erlegung deß Kauffschillings dergleichen, sonsten ledig und eig. und Weilen dieße behaußung (nur dreÿ tag vor d. abgeleibten fr. seel. tod erkaufft) umb den gantzen Kauffschilling verhafftet als ist auch Nichts deßeg. alhier auß zu werffen. Darüber sagt ein pergamin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangenden Contract Insigel verwahret datirt den 11. Maÿ Anno 1680.
N.B. Obwohlen Zwar in hieoben inserirter Eheberedung §° Ferner und Zum fünfften der wittwer vader sein behaußung den wuttwer und d. abgeleibten frauen seel. mit gewißer Condition Cedirt, Weilen aber ermelter deß wittwers vader annoch beÿ leben einvolgig die bedingung annoch in seinem ungeänderten stand beruhet und nicht erloschen Als hat Zur Zeit deßentwegen beÿ gegenwärtiger Inventation nichts eingebracht werden können.
[Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwers Nahrung] Sa. [haußraths 6] Sa. Schulden 8, Sa. Ergäntzung 1, Summa summarum 16 lb
Summa der Erben unveränderte haußraths 29, Sa. Silbers 7, Sa. Guldiner Ring 5, Sa. Ergäntzung (73, Sa. angangs 2, verbleibt) 69, Summa summarum 112 lb
Sa. Anschlag Theilbahrn haußraths 17, Sa. Werckzeugs und holtz Zum Schreiner handwerck gehörig 9,Sa. Eigenthum ane einer behausung, nulla, Sa. Schulden 6, Summa summarum 33 – Schulden 70 lb, Theÿlb. Passiv Schulden übertreffen solch gut umb 37 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 91 lb
Wÿdems Verfangenschaft daran daß Eÿgenthumb dem Wittwer für unverändert gehörig. Vermög hieoben fol (-) vermelten Inventarÿ über weÿl. Frawen Susannæ Öhlkrugin deß wittwers Mutter seel. Verlaßenschafft d. 22. Maÿ Anno 1666 auffgerichtet (…)
Copia Testamenti nuncupativi – 1680 (…) auf Donnerstag den 29. Monats tag Aprilis Alten Calenders Zwischen Sechs und Süben Uhren vormittag die Ehren und tugendsahme Fraw Anna Catharina Schneiderin, des Ersam: und bescheidenen Meister Hans Adam Bollen, Schreiners und Burgers alhier Zu Straßburg geliebte Ehewürthin (…) zu sich erfordern laßen, da Ich selbige dann in einer in gedachter deß heÿligen Reichs Freÿer Statt Straßburg ohnfern der Kirchen Zum Alten St. Peter ane der Straßen gelegenen Meister hannß Bollen dem Schreiner gehörigen behaußung, oben in der wohnstuben, mit dem fenster auf die gaß oder erwehnte Straß außsehend, auf einem Bette ligend: schwach und Krancken leibs, von der gnade Gottes aber guter gebrechlicher Sinnen und richtiger vernunfft (…) Sie in gegenwärtiger Ihrer Kindbett, mit Leibes kranckheit Zwar beschwehrlich: aber gantz Vätterlich heimgesucht und angegriffen – Elias Winckler Nots. Cæs. Publ.

Jean Boll meurt en 1681. Son fils entre alors en jouissance de la maison avant.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 95, n° 103)
1681. December. d (-) starb hans Boll schreiner æt. 82 jahr

La maison revient à Susanne Lacher, veuve en premières noces d’André Schneider (père de la femme d’Adam Boll) et femme en secondes noces de Tobie Gundelwein, propriétaire de la maison voisine au Tonnelet vert
Tobie Gundelwein loue au nom de sa femme la maison au tisserand Michel Giss

1689 (8. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 443-v
Tobias Gundelwein, der Ältere Kieffer alß Ehevogt Susannæ gebohrner Lacherin
in gegensein hans Michael Gÿßen, deß Leinenwebers
entlehnt, eine behaußung mit allen deren Gebäuen und zugehördten, allhier in der Obern straß, einseit neben dem hauß zum Grünen Fäßel dem Verleÿher auch gehörig, anderseit neben einer behaußung verschiedenen bauren von Eckbolßh. und Lingolßh. gehörig, auff ein jahr lang von insteh. Michaelis an zurechnen, umb 25 pfund zinß

Susanne Lacher vend la maison au potier Jean Sperer

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 284
Susanna gebohrne Lacherin, Tobiæ Gundelweins deß ältern Kieffers ehl. Haußfrau, mit beÿstand Ihres Ehevogts, wie auch Andres Gunelweins auch Kieffers Ihres leiblich. Sohns
in gegensein Johannis Spörers deß Kachlers
Zweÿ Haüßer, Nemblich ein vorders und ein hinders, dar zwischen ein hoff, sambt dero hoffstätten, Bronnen und allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Rechten und zugehördt, allhier an der Obern straß nächst der Kirchen Zum Alten St. Peter, einseit neben einer andern Behaußung der Verkaüfferin auch gehörig Zum grünen Fäßel genandt, anderseit neben (-) von wolffsheim, hind. auff einer Behaußung dem Stifft Zum alten St. Peter gehörig, darvon gehen jährlich 4 gulden Straßb. wehr, ablösig mit 100 fl. Capital, ged. Wehr. dem Allmosen zu St. Marx, so seÿe dieselbe auch umb 63 lb Capital (Item umb 15 lb Capital, Ferner umb 84 lb verhafftet) umb 435 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du potier Tobie Garing

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 285
Johannes Spörer der Kachler
H. Tobiæ Garings, auch Kachlers – schuldig seÿe 150 pfund Zuerkauffng hernach beschriebener behaußung
unterpfand, Zweÿ Haüßer & perge auß imediate vorstehende Verschr.

Autre hypothèque le même jour au profit de Jean Christophe Wagner, aubergiste à l’Ancre

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 285
ut supra [Johannes Spörer der Kachler]
in gegensein Johann Christoph Wagners deß Würths zum Ancker – schuldig seÿe 100 pfund Zuerkauffung hernach beschriebener behaußung
unterpfand, Zweÿ Haüßer Nemblich ein vorders und ein hind.s mit allen deren gebäuen, Rechten und zugehördt, allhier an der Obern Straß einseit neben der behaußung Zum grünen Fäßel, and.seit neben (-), hind. auff eine Behaußung dem Stifft Zum alten St. Peter gehörig

Jean Sperer originaire de Waldenburg est inscrit en 1685 quand il est compagnon chez le potier Jean Bronner
1685, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
f° 41 (Frembde Gesellen Legen das Jurament ab) Kachler
Johann Spirer Von Waltenburg, beÿ Mr Johann Bronnern

Le potier Jean Sperer originaire de Waldenburg devient bourgeois le 18 juin 1691 alors qu’il est célibataire
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1072
Johann Spörer der haffner Von Waltenburg auß Francken, weÿl. Joh: Spörer auch geweßenen haffners daselbst hinterl: sohn, erkaufft das burgerrecht vor sich p. 2 gold fl. 16 ß. ist annoch ledig. standes Vnd will Zu E.E. Zunfft der Maurer dienen. Jur: d 18. Junÿ 1691

Originaire de Waldenburg en comté de Hohenlohe, Jean Sperer épouse en 1691 Anne Farni originaire de Schangnau dans le canton de Berne.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 25, n° 147)
1691. Eod. [Dom. 2. post Trinit.] Seind Zum I. mal außgeruffen worden, Johann Spörer der Kachler Weiland Johann Spörrers auch Kachlers Zu Waldenburg Gräffl. hohenleÿher herrschafft nachgel: S. Jfr. Anna Weil. Christian Farnis Müllers* Zu Schangnau* Berner Gebiets nachg. ehel. T., Seind d. 2.. Julÿ Copulirt worden [unterzeichnet] Johaness spörer hochzeiter + der hochzeiterin handzeichen (i 25)

Jean Zittelin porte plainte contre Jean Sperer devant le conseil des Maçons. Les plaques du fourneau que Jean Sperer lui a installées se sont écartées de sorte que le feu est visible de la pièce, les carreaux sont en outre mal alignés. Jean Sperer répond qu’il a vérifié le fourneau et que le plaignant a payé la facture sans faire d’observation. Le conseil décide da faire vérifier les carreaux par deux potiers et demande au plaignant de prouver que les plaques sont fendues.
1708, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
(f° 72) Freÿtags den 14.ten 7.bris
(Erk. Kfgrcht) Hr Johannes Zittelin Cl.t wid. Mstr. Joh: Sperrer, daß Er Ihme Vor einen Jahr einen eißeren offen Zu kauffen gegeben, den Er Ihme Vor guth verkaufft, nach deme aber in denselben eingefeurt worden, seÿen Zwo blatten daran gespalten geweßt, so daß man das feur in der Stuben siehet, üb. dießes were das Kachelwaren darauf gantz Krumm gesetzt, Verlange derowegen satisfaction.
Ille sagt nehme Ihn sehr Wunder, daß Er Anjetzo Klagen da Er doch Ihme Cl. die blatten ehe er Sie gekaufft in sein Bekl. hauß aufgesetzt und sie spalten gewießen, nach deme seÿe er ô. allein ein mahl wid. ein seinen hauß geweßt und Sie besehen, sondern seÿen auch 3. Wochen in des bek. hauß gestanden Ehe er aufgesetzt worden, habe Ihme auch den Zedul ohne einigen anspruch bezahlet, was endlichen d. Kachelw. anlangt gebe er wohl Zu d. etwas daran möchte sein.
Erkand, was das Kachelw. anbelangt, soll daßelbe durch H. Heÿer v. H. Röcklinger besichtiget, die blatten aber d. bekl. Ihn in solches gewießen d. sie gespalten, beweißen werden.

Anne Farni meurt en 1712 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 800 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 80 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 377 livres, le passif à 281 livres

1712 (31.5.), Not. Goldtbach (6 E 41, 230) n° 96
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Spehrerin gebohrener Farnein, deß Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Spehrers, deß hafners gewesener haußfrawen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1712. – nach Ihren den 1. Febr. A° 1712. aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten herrn Paul Heischmanns deß haußfeurers und burgers alhie, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Spehrers, der abgeleibten seel. mit obgemeltem herrn Johann Speheres dero Ehemann und hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeugten Sohns und ab intestato Verlaßenen Eintzigen Erben – Actum Straßburg den 31.ten Maÿ A° 1717.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und hernach beschriebener behausung, befunden worden wie folget
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. Zweÿ häußern, nembl. i. vorders v. i. hinders, dar zwischen ein höfl. s. dero hoffstätten, bronnen und allen deren übrige, gebäuwen, begrifen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg an der obern Straß, nächst der Kirchen Zum alten S. Peter, j. s neben herrn Diebold Hügel dem Garttner, 2.s. neben j. behausung etlichen Bauren gehörig, hinden auf eine behaußung dem Stifft alten St. Peter Zuständig, stoßend, darvon gehen Jährlichen 4 gulden Kraß w. Nahrung ablösig mit 100 gulden gedachter Wehrung, dem allmosen Zu St. Marx, Ferner seÿe dieselbe dem Corporj Pensionum vmb 15. lb. Weiter dem Mehren Hospithal allhier wegen der Rothen Kirchen vmb 63 lb, Item Weÿl. S: T Herrn Ds. Balthasar Friderich Saltzmanns seel. hinterlaßener Fraw Wittib umb 200. lb, So dann der Laden der herren barbierer gesellen vmb 75. lb Capital verhafftet, sonsten Freÿ Ledig v. eigen und über hievor geschriebener beschwerden durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister Crafft der, beÿ mein deß Notarÿ Concept befindlichen Abschatzung, Sub dato 4.to Aprilis A° 1712. æstimirt und angeschlagen worden pro 347. lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret, datirt den 7.ten 9.br. A° 1594. Ferner j. teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret datirt den 30.t Augusti A° 1651. Mehr j. teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßb anhagandem Innsigel der Cancelleÿ Contract Stuben verwahret, datirt d. 11. Maÿ A° 1680. Und dann ein dergleichen teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, datirt den 17. Aprilis A° 1697. alles mit altem N° 1 und Jetzigem N° 2 notirt.
Norma hujus inventarÿ. Bericht.Zuwißen daß Zwar Zwischen der Verstorbenen seel. und dero hinterlaßenem Wittiber, Zur Zeit dero Verheurathung, Wie hernacher Zusehen eine Eheberedung auffgerichtet und auch darinnen einem Jeeden sein Zubringend: und Ererbenden Vermögen hiesiger gewohnheit nach vor unverändert vorbehalten worden Allein es habe dieselbe folglich die Inventation dero zubringenden Nahrungen underlaßen (…)
Deß Erben unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 15, Sa. Ergäntzung 65, Summa summarum 80 lb
Dießemnach Wird auch die übrige Nahrung und Zwar Vor Theilbar beschrieben, Sa. haußraths 20, Sa. Werckzeugs wie auch Erden Kachelwaren Vnd gebrand Geschirr 6, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 347, Summa summarum 377 lb – Schulden 281 lb (verbleibt) 95 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 175 lb
Abschatzung den 4. Aprilis 1712. Auff begehren deß Ehrenhafften undt bescheidenen herrn Johann Spährer Kachler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Straßen gelegen einseith neben H. Diebold Hügel dem Gertner, Anderseith neben einem Baurenhauß, hinden Zum Alten St Peter stoßend, Welche behaußung, Neben Hauß, Hinderhauß, gewölbter Keller, Hoff: hoffstatt undt brunnen, sambt aller Ihrer Recht: undt Gerechtigkeit Durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckmeister Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb Eintaußendt und Sechs hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.

Jean Sperer hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Rebhan, substitut à la Chambre des Contrats

1712 (ut ante [8. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 491
Joh: Sperrer hafner
in gegensein H Joh: Friedrich Rebhans subst: C. Contractuum – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert. allhier in der straß, einseit neben Martin burger anderseit neben H. Hügel hinten auf ein Stiffthauß nach alten St Peter gehörig

Le corps des potiers a infligé une amende à Jean Sperer qui porte l’affaire devant les Quinze. Jean Sperer a demandé au vitrier Eckel qui n’a pas réglé les sommes qu’il devait au potier Jean Dieuloué Nœdel de lui faire des fenêtres contre un autre travail, mais rien n’a encore été fait. La commission estime que l’amende n’a pas lieu d’être puisque le travail promis n’a pas été réalisé.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
(p. 537) Sambstag d. 13. Novembr. 1717 – Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
Saltz. nôe Joh. Spöhrer des Kachlers Ca E. E. Meisterschafft der Kachler allhier Under Meister Melchior Schrödter, Citati haben Ppalen laut hiebeÿ gehend. Extractus in 1. lb d mulctirt, die Er gar nicht Verwirckht hat, bitt Deput. und Facta relatione Ihne so wohl der angesetzten Straff als auch denen 8. ß unkosten gnädig zu absolviren. Schb. bitt Deput. und es beÿ dem bescheid Zu laßen. Erkandt Ober Handwerck Hh.

(p. 572) Sambstag d. 27. 9.br. 1717 – Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
Iidem [Obere Handwerck Hh] laßen ferner per Eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Spöhrer der Kachler undt burger allhier C. E. E. Meisterschafft der Kachler geklagt, daß sie Ihne in Ein pfundt laut producirten handwerckh bescheids vom 29. 8.bris jüngst wie auch in 8 ß unkosten condemnirt hatten, Welche er gar nicht Verwirckt habe, anbeÿ gebetten, Ihne davon gnädig Zu absolviren. Alß man Ihne ferner hierüber gehört, habe er beÿgefügt daß er deßwegen seÿ gestrafft worden, Weilen er einen andern Meister nahmens Johann Gottlob Nödel einen Kunden abgespannet haben solle, nemlichen einen Glaßer nahmens Eckel, diesem habe er einige Fenster Zu machen gegeben mit dem beding daß Er Ihme Eckel ane statt bahrer bezahlung einige arbeith Verfertigen solle, habe aber noch Zur Zeit beÿ ihme Keinen streich gearbeitet.
Nomine E E Meisterschafft seÿe Vorgestand. Joh: Melchior Schröther, Welcher sich auff einen Articul de A° 1603. bezoge dahin gehend daß Keiner einen newen Kund. genehmen solle, es seÿe dann der Vorige Meister von Ihme Völlig bezahlt, weil aber Kläger noch Zur Zeit Keine arbeith beÿ Meister Eckel (nach deßen außsag, und der beklagten gestandnuß) verfertiget, alß vermeine man auff seithen Mghh. Depp. daß der handwerck bescheid allzufrühzeitig, dahero Kläger von der Forderung Zu absolviren seÿe, mit dem anhang daß Er Meister Eckel die Fenster bezahlen hiengegen diesem freÿ stehen solle einen Kachler nach seinem belieben anzunehmen, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt bedacht beliebt.

Jean Sperer se remarie en 1712 avec Anne Marie Müller, fille de cordonnier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 242, n° 1054
1712 Mitwoch den 3.ten Aug. Seind nach 2. mahl Proclamation ehelich copuliret worden Johann Spörer der b. und Kachler auch witwer allhier vnd J. Anna Maria, Hanß Georg Müllers gew. b. und Schuhm. allhier hinterl. ehel. Tochtern [unterzeichnet] Johanneß Spörer Als hoch Zeidter, o Anna Margar. der Hochzeiterin handzeichen (i 241)

Jean Sperer et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit du même Jean Frédéric Rebhan

1718 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 581
Joh: Sperrer sen: hafner und Anna Maria geb. Müllerin beÿständlich Joh: Müller seÿlers und Joh: Paul Müllers huefschmidts [unterzeichnet] Spörer
in gegensein H. Joh: Friedrich Rebhan Subst: C.Contractuum – schuldig seÿen 50 pfund
sein hafners hauß c. appert: allhier in der Straß ohnfern der alten St Peter Kirch, einseit neben Philipp Wammer et Cons: anderseit neben den Hügelischen E. E. hinten auff ein Canonicat hauß

Un inventaire non conservé des biens de Jean Sperer est dressé en 1721

1721, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 13
Inventarium über Meister Johannes Spooren des Haffners revidirte Nahrung

Jean Sperer et Anne Marie Müller vendent la maison 1150 livres au potier André Schulmeister

1721 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 289
(1150) Johann Spörer Kachler und Anna Maria geb. Müllerin
in gegensein Andreas Schulmeister Leinenwebers und Annæ Catharinæ geb. Kaÿßerin
Eine Behausung bestehend in vorder und hinder hauß hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der langen straßen, einseit neben denen Hügelischen erben anderseit neben Bauren von Schäffolzheim, Breuschwickersheim und andern orthen hinten auff das Catholische Pfarrhauß zum Alten St Peter – anbeÿ ist verglichen daß die verkäufer in der verkauften behausung und zwar in denen von ihnen würcklich bewohnenden gemächern 2 nacheinander folgenden jahren von dato ahn zu rechnen freÿ und ohne haußzinß zu wohnen und zu verbleiben berechtiget sein sollen – um 355 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 794 pfund

André Schulmeister loue une partie de sa maison au potier Jean Bernard Brand

1721 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 321-v
Andreas Schulmeister Leinenweber
in gegensein Johann Bernhard Brandten haffners
in seiner in der Langen Straßen einseit neben denen Hügelischen erben anderseit neben unterschiedlichen Bauren von Schäffolzheim, Breuschwickersheim und andern orthen gelegenen behausung, in dem hinder hauß die werckstub, Brennoffen zweÿ Cammern, zwo buhnen, ein plaz oder Schopff im hoff zum holtz, auff 5 jahr lang anfangend auff Joh. Bapt. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

André Schulmeister et Catherine Kayser vendent la maison 1100 livres au cloutier Jacques Brohm et à sa femme Anne Elisabeth Andres

1728 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 353-v
Andreas Schuelmeister Leinenweber und Catharina geb. Kaÿßerin
in gegensein Jacob Brom des Nagelschmieds und Annæ Elisabethæ geb. Andreßin
Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der langen straß, einseit neben Anna Salome geb. Fußingerin H. Johann Heinrich Lang Not. Publ. separirter Ehefrauen anderseit neben Bauren von Schäffoltzheim Breuschwischersheim und andern orthen hinten auff das Catholische Pfarrhaus zum Alten St Peter – um 466 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 633 pfund

Fils d’un tonnelier de Mittelbergheim, Jacques Brohm épouse en 1696 Anne Elisabeth Andres, fille de cloutier après avoir passé un contrat de mariage cité dans l’inventaire dressé en 1728
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 66)
1696. Domin: Quadrages. et Reminisc. proclamati sunt Jacob Brehm er Nagelschmidt alhier, gebürthig von Mittelbergheim Bartholonei Brohm, deß Kieffers u. Burgers Zu Mittelbergheim ehl. Sohn, V. Jfr. Anna Elisabetha weÿl. Johann Andreßen geweßenen Nagelschmidts Vndt burgers alhier nachgel. Tochter, copulati sunt Mittw. d. 21. Martÿ [unterzeichnet] Jacob brom als hochzeiter, a signum Jfr. Anna Elisabeth Andreßin (i 68)

Jacques Brohm devient bourgeois quelques jours plus tard en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 673
Jacob Brohm der Nagelschmid, Von Mittelbergheim Bartholme Brommen Kieffers daselbst Ehl. sohn, empfangt das burg. recht Von Anna Elisabetha, weÿl. Johann Andreßen gewes. burgers V. Nagelschmidts allhier hint. tochter,seine jetzige haußfr. p. 2. gold fl. vnd 16 ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 28. Martÿ 1696.

Anne Elisabeth Andres meurt en 1728 dans sa maison rue des Bouchers en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre au veuf s’élève à 139 livres, celle des héritiers s’élève à 448 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 803 livres, le passif à 630 livres

1728 (17. 9.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 22) f° 512
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Elisabetha Brohmin geb. Andreßin, des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Jacob Brhomen des nagelschmidts Und burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche haußfrau nunmehr seelige, nach Ihrem den 16. Augusti dießes Zuend eilenden 1728.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg Mittwoch den 17.ten Novembris Anno 1728.
Die Abgeleibte frau seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1.mo Frau Annam Catharinam Dißin gebohrne Brohmin Mr Lorentz dißen des huthmachers und burgers allhie ehel. haußfrau so mit beÿstand deßelben beÿ dem geschäfft erschienen. 2. Jungfer Annam Mariam Brohmin, noch ledigen Standts, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, 3.tio Jungfer Mariam Elisabetham Brohmin ebenfalls noch ledigen Standts, so gleicher weiße Majorennis dahero ohnbevögtigt, dieße beede letztere Jungfer töchtere seind mit beÿstand Mr Johann Jacob Heischmannn deß haußfeurers und burgers allhier beÿ dem geschäfft præsentes geweßen, 1. Johann Jacoben, 5. Margaretham Salome die Brohmen, deren beeden jüngern Kinder geordnet und geschworenen Vogts ist H. Peter Gaglang der nagelschmid und burger allhier welcher nôe seiner beeden Curanden dem geschäfft abwartete. Alßo alle fünff der Abgeleibten Frauen seeligen mit obgedachtem Ihrem hinterbliebenen wittiber ehelich erziehlte und ab intestato Zu gleichlingen Antheiltern verlaßene Erben
Copia der Heuraths Verschreibung

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Ion der Gesellen Cammer, In der Soldaten Cammer, In der Meel Cammer, In der Nägel Cammer, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cämmerlin, Im hintern Stübel, In der hintern Cammer, Vor dießer Cammer, Im haußöhren oder Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Haüßern (T.) Ertsl. Ein vorder: und ein hinderhäusel allhier im metzgergießen (…)
Item ein Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, 1. seit neben Fr. Anna Salome Langin geb. Füßingerin, H Joh: Heinrich Langen Notarÿ publici separirter Ehefrauen, 2. seit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, breüschwickersheim und andern orthen, hinden auff das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allhier stoßend, gelegen, von dießer behaußung gibt mann Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier, ablößig in Capital mit 75. lb. Weiter dem Stifft St. Marx allhier reicht man davon Jährl. auff Marci tag 2. lb 2. ß d Zu Zinnß, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann Zahlt mann ferner auff Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis von Zweÿen untersch. Capitalien der Rothen Kirchen allhier 3. lb 3 ß Zu Zinnß, wieder Käuffig in Capital mit 63. lb, Sonsten gegen Männigl. und über dieße Beschwährden freÿ leedig Eigen und durch Vorgedachte herrn Werckmeistere crafft überreichten Abschatzung Zeduls vom 11. Septembris 1728. æstimirt pro 309. lb 10. ß. Darüber meldet j. teutscher pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhängendem Cancelleÿ Contract Insiegel corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ A° 1728. mit N° 2. bezeichnet
Ergäntzung deß Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths, Nach besag Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1696 durch Herrn Notarium Johann Friderich Redwitzen nun seel. auffgerichtet
Abschatzung d. 11. 7.bris a° 1728. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Jacob Brom Nagelschmidt ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im Metzger gießen (…)
Der 2.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß geleg. einseit neben Jacob Schäffer Küffer anderseits Neben H. Heinrich Lang Notario, hinden auf ein Stifft hauß Zum alten St. Peter gehörig stoßend welche behaußung hinder gebäu, Nebens gang, Stuben, Kammer, hauß Ehren ein Mit i. herd, Kachler bren offen, Werckstatt worin ein offen, höffell undt bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preis nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Ergäntzung (165, abgang 12 ß, verbleibt) 164 lb – Schulden 25, Nach solchem abzug 139 lb
Der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 45, Sa. goldenen Rings 10 ß, Sa. Ergäntzung (37, Abgang 2, remanet) 377 lb, Summa summarum 448 lb
Theibahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 88, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 78, Sa. Meels 3, Sa. Weins und lährer Vaß 29, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eigenthum ane häußern 586, Sa. Schulden 10, Summa summarum 803 lb – Schulden 630, Nach deren Abzug 173 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 761. lb

Jean Jacques Brohm se remarie en 1730 avec Marie Marguerite, fille du meunier Jean Michel Gahr
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 220, n° 1)
1730. Mittwoch den 1. Mertz seind nach Zweÿmal geschehener offentlicher proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicolai durch priestlicher copulation in den Ehestand eingesegnet word. Jacob Brohm der Nagelschmidt und burger allhie, Wittwe, und Jgfr. Maria Magdalena, Weÿl. Joh: Michael Garen geweßten burgers allhier und Müller Zu Eckboltzheim hinterlaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Jacob brom als hochzeiter, Maria Magdalena Garin as hochzeiterin i 225)

Contrat de mariage non conservé
1730, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Jacob Brohmen Nagelschmidt und Mariæ Magdalenæ Gahrin

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1646 livres, ceux de la femme à 402 livres. Les maisons sont décrites comme à l’inventaire dressé après la mort d’Anne Elisabeth Andres

1730 (25.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 629
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren : und Wohlvorgeacht Hr. Jacob Brohm der Nagelschmid und die Ehren: und tugendsahme frau Maria Magdalena Brohmin gebohrene Gahrin beede Eheleuthe und burgere allhier einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der ursachen alldieweilen inIhr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen Zu Straßburg in fernerem beÿsein Fr. Evæ Meÿerin gebohrner Bierlebachin desfr. eheleibl. Mutter vnd Mr Gottfried Webers des Zimmermanns und burgers allhier dero erbettenen beÿstands auf Donnerstag den 25.ten Maÿ Anno 1730

In Einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und dem Ehemann Vor ohnverändert gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Eigenthumb ane Haüßern (M.) Erstl. Ein vorder: und ein hinderhauß allhier im metzgergießen (…)
(M.) Item ein Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen Not. publ. seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allh. stoßend, von dießer behaußung gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner 2. lb 2. ß d Zinnß dem Stifft St. Marx allhier auff Marci tag, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann3. lb 3 ß Zinnß der Rothen Kirchen allhier auch Jahrs auf Marcj Evangelistæ oder den 25. Aprilis wider Käuffig in Zweÿen Capitalien mit 63. lb, Sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und über angeregte Beschwährde in Vorgedachtem des Ehemanns Ersterer haußfrauen seel. Verlaßenschafft Inventario taxirt, dabeÿ es auch dißorths Jedoch allerseiths ohne præjuditz gelaßen wird pro 308. lb 10 ß. Hierüber meldet ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhäng. Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt und dabeÿ gelaßen.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Eva Meÿerin gebohrne Bierlebachin der Ehefrauen eheleibliche Mutter Von Weÿland herrn Joh: Michael Gaaren, dem geweßenen Müller Zu Eckboltzheim und burgern allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Zeit lebens Zu usufruiren hat, das Eigenthum aber dißorts der Ehefrauen affectirt und Verfangen ist (…)
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe grebracht Vermögen, Sa. haußraths 412, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 332, Sa. Frucht und Meels 15, Sa. Weins und lährer Vaß 71, Sa. Silber geschmeids 15, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 189, Sa. Eigenthum ane häußern 586, Sa. Schulden 44, Summa summarum 1671 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 1646 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 182, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 197, Summa summarum 402 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in die Nahrung Zugelten so der Mann in die Ehe gebracht 30 lb – Haussteuren

Jacques Brohm meurt en 1731 en délaissant cinq enfants de son premier mariage et une fille du deuxième. Les maisons appartiennent pour deux tiers au veuf et pour un tiers aux enfants du premier lit. La masse propre à la veuve s’élève à 268 livres, celle des héritiers à 696 livres. L’actif de la communauté s’élève à 208 livres, le passif à 588 livres.

1731 (11.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 30) n° 697
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte Meister Jacob Brohm, der geweßene Nagelschmid und burger allhier nunmehr seel.n als derselbe Mittwochs den 11.ten Aprilis dießes lauffenden 1731.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. in Zwoen Ehen ehelich erzielter Kinder und sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßener rechtsmäßiger Erben, auch respectivé dero Ehe: und geschwornen Vögte (…) ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Mariam Magdalenam Brohmin gebohrne Gahrin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Joh: Philipp Lauthen des Spithal Müllers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 11.ten Maÿ Anno 1731.
Der Abgeleibte seelige hat Zu seinen Erben sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßen, Wie volgt. 1.mo Frau Annam Catharinam Straußin gebohrner Brohmin, Meister Johann Friderich Straußen, des Meßerschmids und burgers allhier Zu Straßburg eheliche Haußfrau welche mit assistentz gedachtes Ihres haußwürths dem geschäfft in Persohn abwartete, 2.do Jungfer Annam Mariam Brohmin, 3.tio Jungfer Mariam Elisabetham Brohmin dieße bede Majorennes und ohnbevögtigt, Welche Zu ihrem Assistenten erbetten herrn Johann Anderam Käufflin Jurium Practicum der auch mit und beneben seinem Principalen sich in Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden. 4. Johann Jacob Brohmen Ledigen Nagelschmidt gesellen, 5.to Jungfer Margaretham Salome Brohmin, dießer beeden geschworner Vogt Meister Peter Gacklang der Nagelschmid und burger allhier, Welcher nomine seiner Curanden, dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, Vorherige Fünff des Verstorbenen seel. in Erster Ehe mit auch weÿl. Frauen Anna Elisabetha Brohmin geb. Andreßin seel. ehelich erziehlte Kinder
So dann 6.to Mariam Magdalenam Brohmin des Abgeleibten seel. in Letzter Ehe mit eingangs gedachter Frauen Maria Magdalena Brohmin geb. Gahrin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugtes töchterlein, deßen geschwohrner Curator Meister Johann Georg Ernst der Nagelschmid und burger allhier welcher im Nahmen seines Pfleg Kindes in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingestelt. Alßo alle Sechs des seelig Verstorbenen in Zwoen Ehen ehelich erziehle Kinder und so wohl per Testamentum als auch ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörigen behaußung befunden Worden Wie folgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der Gesellen Cammer, In derr Soldaten Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Auf der Bühn, In der Cammer A, Im hindern Stübel, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub Cammer, Im Keller
Antheil ane Häußern. (E.) Erstl. Zween drittetheil Vor ohnvertheilt von und ane einem Vorder: und einem hinderhauß im Metzgergießen (…)
(E.) It. zween drittetheil Vor ohnvertheilt von und ane einem Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen anderen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen geweßenen Notarÿ publici seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allh. stoßend, gelegen von dießer gantzen behaußung gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner dem Stifft St. Marx allhier reicht man davon Jährl. auff Marci tag 2. lb 2. ß d Zu Zinnß, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann Zahlt mann ferner auf Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis von Zweÿen unterschiedlichen Capitalien, der Rothen Kirchen allhier 3. lb 3 ß Zu Zinnß, wider Käuffig in Capital mit 63. lb sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und über angeregte Beschwährden in Vorgedachtem des Abgeleibten seel. geweßener Ersten haußfrauen auch seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1728. fol. 28. fac: 2.da æstimirt vor 309. lb 10. ß. Betragen die hiehero gehörige Zween dritte theil 206. lb 6 ß 8 s. Über die Völlige behaußung meldet ein teutscher pergament. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhäng. Cancelleÿ Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt. Und ist der übrige eine dritte theil ane vorbeschriebenen beeden häußern in des Abgeleibten seel. Lebtägig genoßen Wÿdemb Von Erster Ehe wie hernacher fol: fac: Zu sehen, gehörig.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Eva Meÿerin gebohrne Bierlebachin der Wittib eheleibliche Mutter von Weÿl. Hn Joh: Michael Garren dem geweßenen Müller Zu Eckboltzheim und burgern allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Zeit leben Zu usufruiren hat das Eigenthum aber dißorths der hinterbliebenen Wittib affectirt nun Verfangen ist. Inhalt des über vorgedachten Weÿl. herrn Johann Michael Gaaren der Wittib eheleiblichen Vatters seel. Verlaßenschafft in Anno 1711 durch H. Not. Johann Martin Brieffen auffgerichteten Inventarÿ (…)
Wÿdem, Welchen der Abgeleibte seeliger Von auch Weÿland Frauen Anna Elisabetha Brohmin geb. Andreßin seiner Erstern haußfrau seel. biß an sein tödliches Ableiben genoßen hat.
Erst. ein drittertheil Vor ohnvertheilt Von und ane dem hieoben fol: fac: et seqq. eingetragenen Vordern und hinderhauß cum appertinentÿs allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegen, so über 11 ß 5 s dem weÿhbischoff in Straßburg Jährlich abzurichten habenden Zinß freÿ Ledig eigen und der æstimation nach ane 277. lb 3 ß 4 d hieheri prorato antrifft, 92 lb 7 ß 9 1/3.d
It. ein drittertheil Vor ohnvertheilt Von und ane dem hievornen fol: fac: et seqq, specificirten Vorder: und hinderhauß, mit allen dero Zugehörden allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegen, so über 190. lb 10 ß in dreÿen posten darauff hafftenden Capitalien freÿ Leedig eigen und der Abschatzung nach ane 309. lb 10 ß d hiehero pro tertia parte ausmacht 103. lb 3 ß 4 d
Ergäntzung der Erben mangalenden ohnveränderten guths. Vermög hieoben geregten über beede geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung in Anno 1730. durch mich Not. auffgerichteten Inventarÿ
Abzug gegenwärtig Inventarium. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 26, Sa. Silber geschmeids 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. baarschafft 194, Sa. Schuld 37, Summa summarum 268 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 124, Sa. Werckzeugs zum Nagelschmid handwerck gehörig 17, Sa. Wein und Lahrer Vaß 37, Sa. Silber geschmeids 6, Sa. goldener Ring 1, Sa. der baarschafft 1, Sa. antheils ane häußern 391, Erg. Rest 476, Summa summarum 1057 lb – Schulden 360, Detrahendo 696 lb
Theibahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 5, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 162, Sa. Frucht 3, Sa. baarschafft 9, Sa. Schulden 27, Summa summarum 208 lb – Schulden 588, Theilbares Passiv onus 380 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1075.
Copia der Heuraths Verschreibung
Copia Testamenti nuncupativi. 1730. (…) auf Montag den 8. Aprilis der Ehrenachtbare Meister Jacob Brohm der Nagelschmidt und burger allhier zu Straßburg (…) Zu sich in sein eigenthümliches in dem Metzgergießen ane dem Ochsengaßel gelegenes Wohnhauß erfordern laßen, und als Wir vormittag zwischen zehen und Eilff Uhren daselbsten in dem uff dem ersten Stockwerck befindlichen hintern stüblen mit denen Fenstern in ein Klein Höfflein und das Ochßengäßel außsehend eingefunden (…) Zum andern, meldet der Testirer in gegenarth seiner dreÿ ältern Töchtern so er Vor sein Kranckenbett kommen laßen, daß sein Will und Meinung wäre, daß dessen Wohn behaußung ane dem Ochsengäßel gelegen cum appertinentÿs sampt seinem Verlaßenden Werckzeug seinem einigen Sohn eigenthümlichen überlaßen werden solle, obschon solche bede rubricen laut seiner Frau seel. Verlaßenschafft Inventarÿ theilbar alßo er über die Mütterliche Tertz nicht Zu disponiren berechtiget Wäre, dahero wolle er Testirer auf die von denen dreÿen ältersten Töchtern gegen Ihme dem Vatter gethane declaration daß Sie solche deren bruder hertzlich gern gönnen gedachte behaußung ane dem Ochsengäßel gelegen mit allen deren Recht und Gerechtigkeiten wie auch dem Vorhandenen sambtlichen Werckzeug um den mit seinen dreÿ älteren Töchtern in mein Notarÿ gegenwarth abgeredeten Preiß nemlichen umb 1500 Guden Johann Jacob Brohmen seinem einigen Sohn dergestalten prælegirt haben, daß der Sohn auch den auff dem Hauß hafftenden dem Weÿbischoff allhier Jährlich auff Martini abzurichten habenden Zinß 11 ß 5 d ertragend übernehmen – Johann Philipp Lichtenberger, Notarius ad hunc actum in specie requisitus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (500 livres) sur un total de 2 500 florins
1731, Livres de la Taille (cote VII 1177) f° 86
Schmidt F. N. 5414 – Weÿl. Jacob Brohm geweßenen Nagelschmidt und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lobstein.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 163.b, 1075 lb 15 ß 6 d, deme beÿzufügen umb Wieviel die behaußung Von dem Verstorbenen seinem Sohn höher prælegirt als selbige Von denen Werckmeistern angeschlagen worden 445 lb 9 ß 8 d, Summa 1521 lb 5 ß 2 s
Hiengegen ist Wieder abzuziehen der Wittib ohnverändert Guht, alß welches dem Mann noch nicht zugeschrieben Worden und in der ihrer Mutter Verstallung annoch enthalten thut fol. 164.b, 230 lb 14 ß 7 d
Und dann die Theilbare activa welche der abgeleibte nicht genoßen 27 lb 19 ß 5 d, Summa Abgangs ist 258 lb 14 ß, restirt 1262 lb 11 ß 2 d
die machen 2500. fl. Verstallte allein 1500. fl. alßo Zu wenig 1000. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf acht Jahr in duplo à 3 lb, 24 lb
Und auf Sechs Jahr in simplo à 1 lb 10 ß, 9 lb
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung 1 lb 12 ß 6 d – Summa 34 lb 14 ß 6 d
Auff eingebrachte motiven, Zumahlen da des Sohns Vogt sich declarit daß Er die prælegirte behausung in dem angesetzten nicht annehmen könne, sodern sich mit denen Erbs Interessenten Zu vegleichen trachten werden haben die herren dreÿ nachgelaßen 16 lb 10 ß, Rest 18 lb 11 ß 6 d
dt. 18. Junÿ 1731.

Les héritiers Brohm louent la maison au potier Jean Michel Goppert

1732 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 74
weÿl. Johann Jacob Brom Nagelschmidts ältesten Tochter Anna Catharina geb. Brohmin Ehevogtl. Friedrich Krauß Meßerschmidts, ferner deßen zweÿte tochter Anna Maria Bromin beÿständlich Johannes Schwartz Nagelschmidts, weither erstbenannter Schwartz als mandatarius Maria Elisabetha Brohmin Mehrjährig, Peter Gaglang nagelschmidts als vogt ged. Brohmen zweÿer jüngern Kinder erster ehe Johann Jacob und Margaretha Salome der Brohmin, So dann mehrerwehnten Brohmen in letster ehe erzeugten einigen Kindts Maria Magdalena Brohmin geordneter vogt Johann Georg Ernst des nagelschmidts
in gegensein Johann Michael Goppert des haffners
entIehnt, einer in der Obern straß ohnfern der Kirch zum alten St Peter, einseit neben Fr. Salome Langin der Wittib geb. Füßingerin anderseit neben Johann Michael Wanner dem Lebküchler gelegenen behausung, Unten auff dem boden die werckstatt samt dem Brennhauß geschirr gädel platz im Keller und eine kleine Kuchen samt einem unterschlagenen holtzplatz Eine stiege hoch den gemeinschaftlichen gebrauch des gangs umb das haffner gechirr dahin stellen zu können zwo stiegen hoch zwo kammern auff dem hindern stock, zwo übereinander liegende Bühnen gemeinschafft des hoffs – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von von nachstkommenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 28 gulden

Le coutelier Jean Frédéric Strauss et sa femme Anne Catherine Brohm hypothèquent leur part de la maison au profit du paveur Jean Georges Pressel et de Marie Madeleine Bœgner

1732 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 487
Johann Friedrich Strauß Meßerschmidt und Fr. Anna Catharina geb. Brohmin mit beÿstand ihrer Mutter seel. Schwagers Johann Georg Geÿler des Nagelschmidts und ihres Schwagers Christoph Fruth des Metzgers
in gegensein Johann Georg Preßel des Pflästerers und Mariæ Magdalenæ geb. Bögnerin – schuldig 300 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein gemeinschaft des Bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Metzger: gießen einseit ist ein eck ahne dem Kleinen Vieh: gäßel anderseit neben Johann Michael Demuth dem weinhändler hinten auff weÿl. Johann Jacob Schwab gewesten meelmanns wittib – davon gibt man auff Martini dem jeweiligen H. weÿ Bischoff allhier 11 ß 5 d ane bodenzinß
Ferner hypotheciren sie 2/9 theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung hindergebäu hoff Bronnen und hoffstatt cum appertinentis in der Obern straß, einseit neben Fr. Maria Salome geb. Füßingerin weÿl. Not. Johann Heinrich Lang Jun: seel. hinterlaßener wittib, anderseit neben einem dem Stifft zum alten St: Peter gehörigen hauß hinten auff auff eine erstged. Stifft gleichfalls zuständige behausung, ihro Kraußischen ehefrau zu ged. antheilen eigenthümlich zuständig und die übrige 7/9 theil ihren geschwisterden und Miterben ahne vätterlichen und mütterlichen Verlaßenschafft gehörig, die zu erste beschriebene behausung aber ged. Brohmischer ehefrau als ein von ihrem bruder seel. weÿl. Johann Jacob Brohm ledigen Nagelschmidt gesellen erhaltenes prælegat

Le fils Jean Jacques Brohm meurt célibataire en 1732. L’actif de la succession qui comprend sa part de la maison Grand rue s’élève à 881 livres, le passif à 641 livres.

1732 (1.12.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 35) f° 777
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehrengeachte Johann Jacob Brohm, der Ledige Nagelschmid gesell, auch weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Meister Jacob Brohmen des gewesenen Nagelschmids und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßener erziehlten Sohn nun ebenmäßig seel. als derselbe Sontags den 9.ten Novembris dießes Zu end eilenden 1732.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des seelig. Verstorbenen eheleibliche geschwüsterde und per Testamentum verlaßener rechtsmäßiger Erben (…) ersucht und inventirt durch die Erben selbsten wie auh den Ehren und vorgeachte Meister Peter Gacklang den Nagelschmid und burgern allhier des Abgeleibten seel. geweßenen gewesten Curatorem – So beschehen in Straßburg auf Montag den 1.ten Decembris Anno 1732.

Eigenthumb ane Häußern. Erstl. ein Vorder: und einem hinderhauß im Metzgergießen (…)
It. 16/45.ste theil Vor ohnvertheilt Von und ane einem Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen geweßenen Notarÿ publici seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allhier stoßend, gelegen, davon gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d Zinnß E: E: Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner 2. lb 2. ß d Zinnß Jährl. auff Marci dem Stifft St. Marx allhier redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann3. lb 3 ß Zinnß Jahrs auf Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis dem Mehrern Hospital wegen der Rothen Kirchen allhier, wider Käuffig in Zweÿen unterschiedenen Capitalien mit 63. lb, Sonsten dißorths freÿ ledig eigen und über vorstehende Beschwährde in Vorgedachtem Weÿl. Mr Jacob Brohmen des abgeleibten seel. eheleibl. Vatters auch seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1731. fol. 105. fac: 1.ma æstimirt per 309. lb 10. ß. Betragen die hiehero gehörige 8/45 theil 55. lb. und seind die übrige antheiler des Verstorbenen seel. eheleiblichen und halb geschwüsterden für ohnvertheilt, jedoch zu ohngleichen ratio eigenthümlich zuständig. Über die Völlige behaußung meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhängendem Cancelleÿ Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Maria Magdalena Brohmin gebohrne Gahrin Weÿl. Meister Jacob Brohmen des geweßenen Nagelschmidts und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Stieff Mutter von gedachtem Ihrem haußwürth Zeit Lebens zu genießen
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 9, Sa. Werckzeugs zum Nagelschmid handwerck gehörig 13, Sa. Wein und Lährer Vaß 15 ß, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthum ane häußern 855, Summa summarum 881 lb – Schulden 641, Detrahendo 240 lb – Stall Summ 240 lb
Vergleich und Abhandlung der Frauen Annæ Catharinæ Straußin geb. Brohmin prælegirten Behaußung (…)
Copia Testamenti nuncupativi. 1732. (…) auf Sontag den 13. Septembris zwischen Zehen und Erilff Uhren der Ehrengeachte Jüngling Johann Jacob Brohm, Lediger Nagelschmid Gesell, weÿland des Ehren und Vorgeachten Meister Jacob Brohmen geweßenen Nagelschmidts und burgers allhier mit auch weÿland der ehren und tugendsamen frauen Anna Magdalena gebohrnen Andresin deßen geweßener erstern Ehefrauen seel. ehelich erzeugter und nach tod hinderlaßener Sohn (…) Zu sich in hernach gemeldte behaußung berufen und Kommen laßen, woselbsten wir denselben Zwar ohnpäßlichen und Krancken leibes auff einem Seßel sitzend (…) Dießem nach und Vor das Zweÿte will der Testirer die beÿ Vätterlicher Verheurathet mit abtheilung Ihme zugekommene und prælegirte Vorder und hinder behaußung (…) – Johann Daniel Lang, Notarius publicus

Le cloutier Pierre Gachlang rend compte de la gestion des biens qui appartiennent à ses pupilles les enfant Brohm. Le compte relate les loyers de la maison rue des Bouchers
1732 (20. 9.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 35) n° 775
Rechnung Mein Peter Gachlangs, Nagelschmids und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Ledigen Nagelschmid gesellen nunmehr seel. und Jungfrauen Margarethä Salome der Brohmen, Weÿl. Mr Jacob Brohmen, geweßenen Nagelschmids und burgers allhier seel. mit auch Weÿl. Frauen Anna Elisabetha geb. Andreßin seiner Erstern haußfrauen ebenmäßig seel. ehelich erziehlter Zweÿer Kinder, Inhaltend alles dasjenige, was Ich vom 8. Novembris Anno 1728. als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 20.ten Novembris Anno 1732. berührten meiner Curanden halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Haußzinß – ane dem Metzgergießen allhier gelegener behaußung (…)

Le boucher Christophe Fruth et Marie Elisabeth Brohm hypothèquent leur part de maison au profit de Jean Christophe Diebold, secrétaire en chef de la Tour aux Deniers

1733 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 31
Christoph Fruth der metzger und Maria Elisabetha geb. Brohmin mit beÿstand ihres schwagers Johann Friedrich Strauß des meßerschmidts und ihres mutter schwagers Johann Schwartz des Nagelschmidts
in gegensein H. Johann Daniel Diebold hiesigen handelsmann als mandatarÿ seines H. vatters H. Johann Christoph Diebold Ober Secretarÿ allhiesigen Pfenningthurns – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 2/9 theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Langen straß, einseit neben weÿl. H. Not. Johann Heinrich Lang Junioris wittib anderseit neben einigen ackersleuthen von Schäffoltzheim, Preuschwickersheim und andern Orthen hinten auff das Catholische Pfarrhauß zu Alten St Peter – lauth eines von H. Not: Johannes Lobstein am 20. hujus attestati

Héritier de Marie Madeleine Gahr, Samuel Koch fait vendre ses meubles
1738 (29.5.), Not. Fingado (Jean Christophe 10 Not 4) n° 166
Looß Register über Weÿl. der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ geb. Gahrin, Weÿl. Meister Jacob Bronnen gewesenen Nagen Schmidts und burgers in Straßburg, auf requisition H. Samuel Kochen des burgers und Mehlmanns allhier als der Erben Vogt

L’inventaire de la succession de Marie Madeleine Gahr, dressé par Jean Christophe Fingado, nest pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 400 florins
1738, Livres de la Taille (cote VII 1178) f° 303-v
Schmidt F. N° 7368 – Weÿl. Mariæ Magdalenæ gebohrner Gahrin auch weÿl. Jacob Brohm gewesenen Nagelschmidt und burger alhier Wittiber Verlaßenschafft inventirt H. Not. Fingado.
Concl. Fin Inv. ist fol. 32.b, 734. 18. 9., die machen 1400 fl. Verstalte nur 1200 fl, Zu wenig 200 fl.
Nachtrag auff Sechs Jahr in duplo à 12 ß, 3 lb 12 ß
Und Vier Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 4 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 17 ß 6 d, Summa 5 lb 15 ß 6 d
Auff bitten des Vogts haben die Herren dreÿ nachgelaßen 1 lb 4 ß, restirt 4 lb 11 ß 6 d
dt. 10. Maÿ 1738.

Les héritiers Brohm vendent la maison 1040 livres au chirurgien Jean Meyer et à sa femme Susanne Steeg

1737 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 2
Georg Jacob Strauß der Buchbinder und Anna Maria geb. Brohmin Johann Georg Metzgers des metzgers ehefrau, Mehr Maria Elisabetha geb. Brohmin Johann Christoph Fruth des Metzgers eheweib, weither Peter Gacklang der nagelschmidt als vogt Jfr. Margaretha Salome Brohmin und dann Johann Georg Ernst der Nagelschmidt als vogt Maria Magdalena Brohmin
in gegensein Johann Meÿer des Chirurgi Barbierers und Susannæ geb. Steegin – d. 13. Decembris jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen jeden derselben übrigen gebäuden, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der obern straß, einseit neben Fr. Anna Salome geb. Füßingerin weÿl. H. Johann Heinrich Lang Jun: gewesten Notarÿ Publici wittib, anderseit neben verschiedene ackersleuthen und burger zu Schäffoltzheim Preuschwickersheim und andern orthen hinten auff das Catholisches Pfarhauß zum Alten St Peter – um 75, 52, 63, 250 und 100 pfund capitalien verhafftet, um angezeigte 290 pfund und wÿdumb von 250 pfund – geschehen um 454 pfund

Fils d’un administrateur de Güstrow en Mecklembourg, le chirurgien Jean Meyer devient bourgeois en 9 novembre 1696
1696, 3° Livre de bourgeoisie p. 1182
Johannes Maÿer Von Güstrow, der ledige barbierer Johannes Maÿers geweßenen Fürstl. Verwalthers auf der schönen Insel nachgel. sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. gold. fl. 16. ß bereits auf dem Pfenningth. erlegt worden und wird beÿ E E Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. d. 9. 9.br. 1696.

Jean Meyer épouse le 17 avril 1697 Susanne Steg, fille de barbier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem wohl Ehrenvesten v. wohlvorgeacht, H. Johann Meÿern, berühmten Chirurgo v. wundartzten auch b. Zu Str. Als dem H. Hochzeitern an einem, So dann d. Viel Ehren v. tugendreichen Jungfr. Susanna Steegin des wohl Ehr. v. wohlvorgeachten H. Rudolph Steegen berühmten Chirurgi v. wundartzens auch E. E. Kleinen Raths in Straßburg wohlverordneten alten beÿsitzers ehel. Jungfr. tochter, als der Jungfr. hochzeiterin am andern theil – So geschehen in d. Königl. St. Str. Donnerstag den 28.ten Martÿ A° 1697.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 76)
1697. Feso Pasch: et Domin. Quasimod. proclamati sunt hr. Johannes Meÿer d. Barbierer v. Wundtartzt allhier gebürtig auß d. Statt Gusterow in dem Mecklenburger landt Weÿl. Hrn Johann Meÿer geweßenen Verwalters in dem Mecklenburger landt nachgel. ehl. Sohn, v. Jfr. Susanna hr. Rudolph Steg deß barbierers v. Wundartzts v. beÿ E. E. Kleinen rath alhier alten beÿsitzer ehl. tochter, Copulati sunt Mittw. d. 17. April. [unterzeichnet] Johann Meÿer Als hochzeiter, Susanna Steegin als hoch Zeitterin (i 79)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 220 livres, ceux de la femme à 397 livres.
1697 (13.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 3) n° 132
Inventarium undt Beschreibung aller derjenigen Haab vndt Nahrung, so der Ehrenveste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer berühmter Chirurgus und Wundartzt, vndt die Viel Ehren vndt Tugendreiche Frau Susanna gebohrne Steegin, beede Eheleuth vndt burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebracht, und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des wohl Ehrenvesten Kunstreichen fürsichtig vnd weißen herrn Rudolph Steegen berühmten Chirurgi und wundtatztes der Ehefrauen geehrten Vatters auff deroselben, So dann des auch wohl Ehrenvest vndt Kunsterfahren herrn Johann Friderich Meÿerlins gleichmäßigen Chirurgi vnd barbierers allhier auff des Eheherrn Seithen erbettenen beÿstandts, Donnerstags den 13. Junÿ Anno 1697.

Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Guth betr. Sa. haußraths 70, Sa. Olitaten, unguenten 43, Sa. Frucht 7, Sa. Silbers 40, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Baarschafft 15, Sa. Activorum 15, Summa summarum 194 lb – Dazu ist ferner Zu legen diejenige Zween dritte theil so dem herrn ane den haussteuren gebührig thun 25 lb, ist also des Herrn gesambten unverändert eÿgenthümbliches Guth 220 lb
Der Frawen Nahrung betr. Sa. Haußraths 130, Sa. Silbers 23, Sa. Guldener Ring 28, Sa. Baarschafft 148, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 55, Summa summarum 384 lb – Darzu gelegt die Tertz so der fraw ane den haussteuren gebührig so ist 12 lb, Wirdt sofort der Frawen gantzes eÿgenthümblich in dieße Ehe gebrachtes Vermögen sich belauffen auff 397 lb

Susanne Steeg meurt en 1738 en délaissant une petit-fille issue de sa fille et deux fils. Les experts estiment la maison Grand rue 850 livres. La masse propre au veuf s’élève à 116 livres, celle des héritiers s’élève à 760 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 018 livres, le passif à 1 547 livres

1739 (1.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 236) n° 95
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung v. Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren v. tugendbegabte Fr. Susanna Meÿerin geb. Stegin des wohl Ehrenvesten v. Kunstberühmten H. Johannis Meÿers des geschwornen Chirurgi v. Wundartzten, auch b. allh. zu Str: gewes. Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 9.ten Novembris des Letzt abgewichenen 1738.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödltl. ableiben, Zeitl. verlaßen – So beschehen allh. Zu Str. auff Montag den j. Junii A° 1739.
Die Verstorbene Frau seel. hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben Verlaßen und instituirt wie folgt. 1. Weÿl. der Ehren v. tugendbegabten Fr. Mariæ Barbaræ Vogtin geb. Meÿerin, nunmehr seel. mit dem Ehrenachtbaren H. Johann Diebold Vogten, dem Holtzhändler v. b. allhier, ihrem hinderblieben Wittiber ehl. erzeugtes Töchterlein Nahmens Margaretham Barbaram, so annoch minderjährig, dahero bevögtigt mit eingangs gemeldeten H. W. vnd großvat. dieweilen er aber hiebeÿ selbsten interessirt war, als ist Zu j.m theilvogt ernannt worden der wohl Ehrenachtbare v. wohlvorgeacht, H. Johann Daniel Vogt der Holtzhändler v. b. allh., welcher mit assistentz Tit: H. Johann Daniel Stöbers Not. jur. v. Practici auch b. allh. beÿ dießer Inventur anweßend gewesen in den Ersten,
2. Carl Philipp Meÿern, den leedigen Chirurgum, so majorennis v. dermahlen in der Frembde sich auffhaltend, dahero in deßen Nahmen persönl. Zugegen gewesen der Wohl Ehrenveste v. Kunst Erfahrene h. Georg Gulden, der Barbierer v. gewesene wundartzt, auch b. allh. deßen nannoch ohnentledigter geschwohr. Vogt, in den Zweÿten, So dann 3. den wohl Ehrenachtbarn v. Kunsterfahrenen Herrn Friderich Meÿern, den ledigen Chirurgum v. Wundartzt auch b. allh., in dem dritten Stammtheil. Alle der Verstorbenen Frauen seel. respectivé ehel. erzeugte Söhne v. Töchter Kind und zu gleichlingen Stammtheilen Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im Obern Häöhren, In d. obern Vordern Cammer, Im obern Haußöhren, In der Obern Stub, In der Obern Stub Cammer, In der Obern Kuchen, Im Kämmerl. an der Kuchen, In der Barbier Stub, In des officiers Gemach, In des offociers Knechts Cammer, Im Hoff, In der untern stub Cammer
Eigenthum ane Häußern (T.) Eine Beh. hoff und hoffstatt v. Nebens, hinder gebäudlein in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
Item j. beh. v. hoffstatt im Grünen bruch (…)
(T.) It: eine beh. hoff, hoffstadt v. hind. hauß, sambt deren Gebäuden begriffen Weithen Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allh. ane der Langen Obern Straß, 1.s. neben nunmehro Weÿl. Fr. Annæ Salome geb. Füßingerin, weÿl. H. Joh: Heinrich Langen Jun: gewes. Not. publ. allh. seel. Wittib nun auch seel. hind. laßenen Erben, 2. s. neben weÿl. Mr Joh: Melchior Wanners gewes. Lebküchlers v. b. allh. Erben, hinden auff j. Canonicat hauß dem Stifft Alten St. Peter zugehörig stoßend, so außer denen darauf hafftenden v. hernach specifice eingetragenen passiv Capitalien, freÿ ledig eigen. gleicher weiß von offtgesagen Hh. Werckmeistern laut ihrer Abschatzung gewürdiget pro 850. lb. Hierüber ist vorhanden 1. teutscher pergam. Kffbrieff in allh. C. C. gefertiget v. m. dn. anhangende, Ins. bekräfftigt datirt d. 3. Januarii 1737. v. bezeichnet mit N° 2.
Ergäntzung, Vermög des über beeder nun zertrennten Ehe personen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in anno 1697. durch nun weÿl. H. Daniel Rohren gewes. Notarium publ. jur: und Practicum allh. seel. errichteten Inv. hat mann dem H. W. als abgegangen Zu ergänzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittibers Vermögen Sa. silbers 3, Sa. gold. Rings 14 ß, Sa. Erg. Rests 162, Summa summarum 166 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 116 lb
der E: unveränderte Nahr. Sa. Silbers 6, Sa. gold. fl. 13. Sa. der activ schuld 50, Sa. der Erg. Rests 690., Summa summarum 760 lb
Das theilbare Guth, Sa. haußraths 103, Sa. der Unguenten 23, Sa. des weins v. leerer faß 34, Sa. Silbers 7, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 1820. Summa summarum 2018 lb – Schulden 1547 lb, Nach deren Abzug 470 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1347 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in d. Königl. St. Str. Donnerstag den 28.ten Martÿ A° 1697.
Copia Testamenti nuncupativi – 1698. (…) auff Montags den 16.Junii St. N. abends Zwischen 8 v. 9. uhren in j. allh. Zu Str: ane d. höllen faß gelegenen mit Notario eigenthümlich zuständigen wohnbeh. dero mittlern vordern stuben mit den fenstern in ein Klein höfflein v. auf die Gaß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen seind d. wohl Ehrenveste v. Kunstberühmte H. Johannes Meÿer, Vernehme Chirurgus v. barbierer, Sodann die viel Ehren v. tugendreiche frau Susanna geb. Steegin beede Ehel. v. b. alhier – Daniel Rohr, Nots.
Copia Testamentum nuncupativum solennis inscriptis clausi – Ich Johannes Meÿer Chirurgus v. ich Susanna gebohrne Stegin beede Ehel. v. b. allh. Zu Str. – So geschehen allh. in d. Königl fr. St. Str. auff Mittwoch den 11.ten Aprilis in Jahr Christi 1736.
Abschatzung dem: 12. Decem: 1738. Auff begehren deß wohll achtbaren und bescheiten herrn Johannes Meÿer dëß baliberers, ist eine Behaußung alhie in der Statt Straßburg in cer Cronenburger Straß gelëgen (…)
Der 2.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg ihm Grunen bruch gelëgen (…)
Der 3.te begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straßen gelëgen, Ein seits Neben der frau Langin seel. Erben anderseitys Neben Meister hannß Melchior wanner, hinden auff ein Cannonicat haus Zum alten st. Peter gehörig Stoßend wëlche behausung unden ihm eingang rechter handt ein Kleine balbier stuben, schmahleß hauß ehrn Küchell und Cammer gewölbter Keller hoff und bronen, oben dar auff ihm Ersten und Zweÿten Stock ein stuben Cammer hauß Ehren worinen der hërd und waßerstein 2: alte höltzre gäng ein hind.er haußell worinen unden auff dem botten ihm hoff ein alte Kagler wërckstatt und bren offen nebenß Cammer, oben dar auff ein stuben Cammren Kuchell und hauß Ehren, alter dach stull sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausent und Sieben hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Liquidation de la succession
1739 (10. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1233)
Summarischer Calculus Über Weÿland Fr. Susannæ Meÿerin gebohrener Stegin, H. Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und wundartzts auch burgers allhier gewesener Ehegattin nunmehr seel. Verlassenschafft nach anleÿtung des darüber in A° 1739. durch Hn Notarium Frantz Heinrich Dautel auffgerichteten Inventarÿ gefertigt

Jean Meyer meurt en 1752 en délaissant les mêmes héritiers que ceux cités à l’inventaire de sa femme. L’inventaire est dressé dans la maison Grand rue dont le défunt a fait donation à son fils lors de son contrat de mariage ; cette donation se limitait à la part disponible, c’est-à-dire deux tiers, le défunt étant usufruitier du troisième tiers qui appartenait à sa femme. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 461 livres, le passif à 1 449 livres.

1752 (19.12.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) n° 529
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Ehren Veste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer, der geweßene geschwohrene Chirurgus und Wundartzt wie auch burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem den 10. Xbris dießes Zu end lauffenden 1752.sten Jahrs beschehenen tödl. Hienscheiden, nach sich Verlaßen – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 19.ten Decembris Anno 1752.
Der Verstorbene Herr seelig hat ab intestato Zu erben verlaßen Wie folgt. 1° die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Margaretham Barbaram gebohrne Vogtin, Herrn Johann Daniel Würtzen des Goldarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg Frau Eheliebstin Weÿl. Fr. Mariæ Barbaræ geb. Meÿerin, H. Johann Diebold Vogten des Holtzhändlers und burgers allhier, längst abweßend geweßener Ehegattin, dißorts fr. tochter ehelich erzeugte Fr. Enckelin, welche mit und neben Ihrem H. Eheliebsten, dießer Inventur in Persohn abgewartet, 2° den Ehrenvesten und Kunsterfahren Herrn Carl Philipp Meÿern, den leedigen Chirurgum und Wundartzt auch burgern allhier, welcher weilen er majorennis dießem geschäfft in selbstiger Persohn beÿgewohnt, So dann 3° den Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Friderich Meÿern, den Chirurgum und ebenmäßigen Wundartzt auch burgern allhier, so gleicherweiß beÿ dießer Inventur præsens war. beede vorgemeltete Herren Söhne und Fr. Enckelin des verstorbenen H. seel. mit Weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Susanna gebohrner Stegin seiner Ehegattin längst seel. ehelich erzeugte Kinder und Enckelin und Zu gleichlingen Theilen ab intestato nach todt Verlaßene Erben
Copia letzten Willens Disposition

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Obern straß ohnfern der Alten St. Peter Kirch gelegenen, und zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung sich folgender laßen befunden
Eigenthum ane einer Behaußung. Nehml. 2/3. theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung und hoffestatt mit denen Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, nebst einem darzu gehörigen Kleinen Gärtlein, daran der überige 1/3. theil in hernach gemeldtem Wÿdum begriffen, gelegen allh. ane der Vorstadt Cronenburg und deren sogenandten Grünen bruch (…)
Wÿdum, Welchen der Abgeleibte Herr Meÿer seelig Zeitt lebens genoßen. Nehml. es hat Weÿl. fr. Susanna Meÿerin gebohrne Stegin dißorts Ehegattin seel. Vorgemeldetem ihrem hinterbiebenen H. Wittibern nunmehr auch seel. in ihrem vor nun Weÿl. H. Daniel Rohren gew. Notario jurato und Practico allhier und gezeugen in Anno 1698. den 16. Junÿ errichteten Testamento nuncupativo, welche sie in ihrem den 11. Aprilis Anno 1736 errichteten Testamento solenne in scriptis clauso wiederholet
Darunter ane Immobilien enthalten, Erstl. der dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane der Cronenburger straaß (…)
It: ein ohnvertheilter dritter theil von und ane einer behaußung, Hoff, Hoffstatt und hindergebäud, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten daran die übrige 2. Vätterliche dritte theil H. Friderich Meÿern, dißorts Jüngern H. Sohn, in seiner mit nun Weÿl. Fr. Anna Maria gebohrner Helmstätterin seiner geweßenen Ehegattin nun seel. errichteten und deen 18. Julÿ A° 1742. datirten Eheberedung §° 7° um einem gewißen Preiß eigenthümlich Zugedacht worden, gelegen allhier ane der Obern langen Straß, ohnfern der alten St. Peter Kirchen, 1.s. neben nun Weÿl. H. Joh: Georg Walters geweßenen handelsmanns allhier seel. hinterbliebene, Fr. Wb. und Erben, 2.s. neben Mst. Daniel Grießingern, dem Schuemacher allh. hinden auf eine behaußung löbl. Stifft Alten St. Peter gehörig stoßend, so außer denen darauf hafftenden passiv Capitalien, sonst leedig eigen und Zufolg deren geschwornen Hh. Werckmeistern beÿ vorgenemdeter Fr. Annä Mariä Meÿerin geb. Helmstätterin seel. Verlaßenschafft Inventur sub dato 29. 8.bris A° 1750. eingeschickter schrifftlicher Abschatzung æstimirt und angeschlagen, wabeÿ man es mit Genehmhaltung der Hh. 3. des Stadt Stalls dermalen gelaßen 800. lb. Daran also der 3.te theil außwirfft 266. lb Über die völlige behaußung ist vorhanden 1. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. stb gefertiget und mit deren anhangendem Insiegel bekräfftiget datirt d. 3. Jan. A° 1737. so er hr. Friderich Meÿer beÿ seinen handen hat.
Abzug dießes Inventarÿ. Sa. haußraths 46, Sa. leerer Faß 25, Sa. Weins 9, Sa. Silber geschirrs und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldener Ring 6, Sa. Eigenthums ane 2. behaußungen 646, Sa. Schulden 718, Summa summarum 1461 lb – Schulden 1449, In Compensatione 12 lb – Stall Summa 665 lb

Fils du précédent, Frédéric Meyer épouse en 1743 Anne Marie Helmstætter, fille d’aubergiste. Le père fait donation à son fils et à sa bru des deux tiers qui lui appartiennent dans la maison Grand rue.

1742 (18 .7), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 114 b (grosse)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Friederich Meÿer, dem ledigen Chirurgo und barbierer allhier des Wohl Ehren Vesten und Kunstberühmten herrn Johann Meÿers, ebenmäßigen und geschwornen Chirurgi und Barbierers auch burgers allhier Zu Straßburg mit nun weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Susanna gebohrner Regin seiner geweßten Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendreichen Jungfrauen Anna Maria Helmstätterin, weÿland des Wohl Ehren und Wohlvorachtbaren herrn Johann Adam Helmstetters gewesenen Gastgebers Zum blauen Hechten und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen mit der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrner Fischerin seiner hinderbliebenen Frauen Wittib, so aber nunmehr wieder an den wohl Ehrenvesten und wohlvorgeachten Herrn Johann Hucken den ebenmäßigen Gastgebers daselbst und burger allier Verheurathet, ehelich erzeugter Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern Theil

Ane dem Siebenden will des herrn Hochzeiters geehrten herr Vatter Zu beßeren behuff ihnen beeden Verlobten Persohnen und deroselben Erben hiemit wißend und wohlbedächtlichen in bester Rechtsform eigenthümlich cedirt, abgetretten und überlaßen haben seine Zwo unvertheilte tertzen ane der Vorder: und hinder Behausung, hof, hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Obern langen Straß ohnweit der alten St. Peter Kirch, einseit neben weÿl. Frauen Annä Salome Langin gebohrner Füßingerin seeligen Erben anderseit neben weÿland Meister Johann Melchior Wanners geweßenen Leb Küchlers Erben, hinden auf ein Canonicat hauß dem Stift alten St. Peter Zugehörig stosend, so außer einigen darauff hafftenden passiv Capitalien sonst ledig eigen davon bereits Ihme herrn hochzeitern Von Mütterlich anerstorbenen Verlaßenschafft her ein Neunter Theil vorhin gebühriig und die übrige Zween Neünte Theil seinem herrn Brudrern und Schwester Kind auch solcher maßen Zuständig seind, umb den preis die gantze behaußung auf den fuß von 3000 gulden gerechnet – Geschehen und verhandelt seind dieße ding allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Mittwoch den 18. tag des Monats Julÿ Im Jahr Christi 1742. [unterzeichnet] Friderich Meÿer alß hochzeiter, Anna Maria helmstätterin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 23)
1742. Mitwoch den 8. Aug: sind nach ordentlicher zweÿmahliger Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden, H. Friderich Meÿer der Ledige Chirurgus burger allhier H. Joh: Meÿer Chirurgi und burgers allhier ehel. Sohn und Jfr. Anna Maria weÿl. H. Adam Helmstetters gewesenen burgers und Gastgebers alhie hinterl. ehel. Tochter. [unterzeichnet] Friderich Meÿer als hochzeiter, Anna Maria helmsteterin hoch Zeiterin (i 188)

Jean Frédéric Meyer s’adresse aux Quinze pour obtenir le droit d’ouvrir une échoppe de barbier. Il expose qu’il pratique le métier depuis 10 ans, qu’il a fait son tour de compagnon et qu’il souhaite s’établir en ouvrant une nouvelle échoppe puisque son père chirurgien est encore en vie, bien que la tribu de la Lanterne a rendu une décision contraire. La commission constate que des trois pièces produites par le corps des chirurgiens deux n’ont pas de rapport avec l’affaire et que la troisième est en faveur du pétitionnaire. Les Quinze infirment la décision des chirurgiens en les condamnant aux dépens. Ils délivrent une expédition de leur jugement à la demande des parties
1736, Protocole des Quinze (2 R 145)
Joh: Friderich Meÿer Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
(p. 197) Sambstag d. 19. May 1736. Moss. nôe. Johann Friderich Meÿer ledigen burgers und Chirurgi Cit. derer Herrn Chirurg. Alt Meister prod. Appellations Schrifft mit beÿlag Lit. A. Christ. bitt Cop. et T. ord. Moss. laßt Copeÿ Zu bitt aber Deput. Erk. Copeÿ und T. Ord. Willfahrt.

(p. 232) Sambstag d. 9. Junÿ 1736. – Joh: Friderich Meÿer Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
Iidem [Ober Handwercks herren] laßen ferner per eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Friderich Meÿer der [burger] und Chirurgus allhier Johann Meÿer des geschwornen [Chirurgi] dahier ehelicher Sohn, Contra E. E. Meisterschafft [der allhie]ßigen Chirurgorum den 19. Maÿ jüngst mit [einem] Appellations: Schrifft mit beÿlag sub Lit. A. producirt, darinnen er gehorsambst Vorträgt, es weiße ged. beÿlag Lit. A /:so ein Extractus aus ged. E Meisterschafft der Chirurgorum Protocollo de dato 7. Maÿ 1736./ wie er mit seinem bitten Ihme Zu dem Examine Chirurgico, und zu der Verfertigung des Meisterstücks, wie auch Zur auffrichtung einer Barbierstube Zu admittiren, abgewießen worden. Er, Implorant, seÿe aber schon 10 Jahr beÿ dießer profession, und wolle auch der 16. Articul aus derer Wundärtzten allhier Articul buch daß ein allhießiger Meisters Sohn, der nach Verricheter Wanderschafft seinen Vatter annoch im Leben antreffe nach Völlig außgestandener Handwercks Zeit, und Examine, und Recht Verfertigem Meisterstück eine newe Werckstatt anrichte, und sein erlerntes Handwerck wie recht ist darinn treiben möge, seÿe alßo sein demüthige bitten appellando Mghh. geruhen gnädig den bescheid lit. A. dahin [gnä]dig Zu reformiren, daß er Supplicant Zu dem Examine Chirurgico und Zum Meisterstück, folgendts auch præstitis præsandis Zu Auffrichtung einer Barbierstub, gratiose admittirt werden möge.
Worauff die Meisterschafft umb Deput. und Manutenenz des bescheids refusis Expensis gebetten habe.
Beÿ bewilligt und beseßener Deputation habe der Appellant beÿständlich seines Vatters sein petitum wiederhohlet. Nomine der Appellanten seÿen Vorgestanden Andres Schneller, Georg Friedrich Linck und Daniel Gottlieb Ziegenhagen, welche dem Articul Vorgelegt, und sich auff den 14. 15. und 16. bezogen.
Man habe aber gefunden daß die zweÿe erstere gar nicht auff den heutigen Causum Zu appliciren, der letztere aber die Sach Völlig in favor des appellanten decidirt, maßen die formalia allda also lauten,
XVI. Gleichförmige Meinung hat es auch mit einem solches Meisters Sohn der nach Verrichteten Wanderschafft seinem Vatter noch im Leben antrifft, dann der mag nach Völlig Zugebrachte handwercks Zeit, außgesatandenem Examine, und Recht Verfertigtem Meisterstück wohl eine newe Werckstatt anrichten, und sein erlerntes handwerck wie recht darinnen treiben,
habe man alßo davor gehalten, daß an 1.a jnstantia übel gesprochen, hiengegen wohl appellirt worden, mithien die sententia â quâ Zu reformiren, dem Appellanten in seinem begehren Zu willfahren, und die Appellaten in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren seÿen. Die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkant bedacht gefolgt.

(p. 238) Sambstag d. 16. Junÿ 1736. Moss. nôe Friderich Meÿer bitt Comm. bescheids W. Barbierer Meisterschafft. Erk. Willfahrt noê M. Christ bitt auch Comm. Erk. Willfahrt.

(p. 258) Sambstag d. 23. Junÿ 1736.
Bescheid. Sambstag d. 9. Junÿ 1736. In Sachen Johann Friderich Meÿer des ledigen burgers und Chirurgi allhier Johann Meÿer des geschwornen Chirurgi dahier ehelicher Sohns, Appellanten, ane einem, entgegen und wider E. E. Meisterschafft der allhießigen Chirurgorum, Appellaten, am andern theil. Auff producirte Unterthänige Appellations: Schrifft mit beÿlag Sub Lit. A. und angehencktem bitten den bescheid Lit A. dahien Zu reformiren, daß er Appellant, Zu dem Examine Chirurgico und Zum Meisterstück, folglich auch præstitis præsandis Zu auffrichtung einer Barbierstub, gratiose admittirt werden möge. Der Appellaten darüber gethane Verantwortung juncto petito Deputationem Zu erkennen, und sie beÿ dem ergangenen bescheid gnädig zu manuteniren refusis Expensis.
Bewilligte und beseßene Deputation, auch all übriges angehörte beeder seithige Vor: und Anbringen, Ist der Herrn Depp. abgelegten Relation nach, mit Urthel Zu Recht Erkandt, daß an prima jnstantia übel gesprochen, hiengegen wohl appellirt worden, mithien die Sententia â quâ Zu reformiren, dem Appellanten in seinem begehren Zu willfahren, undt die Appellaten in die auffgeloffene unkosten, Salva taxâ Zu condemniren seÿen. Als Wie hiemit reformiren, Willfahren und condemnirt [worden].

Frédéric Meyer est reçu tributaire à la Lanterne le 6 novembre 1736
1736, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 102-v) Dienstag den 6. 9.bris 1736 – Herr Friderich Meÿer Chirurgus dahier prod. Statt Stall schein Crafft deßen Er beÿ E.E. Zunfft Zur Lucern will Zünfftig werden. In deme Er burger recipirt it bittet Ihme in solcher qualitæt Vndter denen Chirurgis ahnzunehmen. Erkannt Willfahrt

Frédéric Meyer et Anne Marie Helmstetter font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui leur ppartient en partie Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 125 livres, ceux de la femme à 342 livres.

1743 (30.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 240) n° 190-a
Inventarium v. beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrenveste v. Kunsterfahrene Hr Friderich Meÿer der Chirurgus v. barbirer und die Ehren und tugendsame fr. Anna Maria geb. Helmstätterin beede Ehe personen v. b. allh. Zu Straßb. einander in den Ehestand zugebracht, und sich in Crafft der mit einander in den Ehestand Zugebracht, und sich in Crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to Vor unverändert Vorbehalten hat – So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg auff dienstag den 30.ten Aprilis Anno 1743. In præsentia Frauen Annæ Catharinæ Huckin geb. Fischerin, der Ehefr. Leibl. Mutter.

In einer allh. Zu Straßburg ane der langen Straß ohnfern dem alten St Peter gelegenen denen beeden Ehepersohnen Zum theil eigenthümlich zuständigen barbier beh. folgend. masen sich befunden.
Wÿdumbs Verfangenschaft. Welche Fr: Anna Catharina Huckin, gebohrne Fischerin H. Johann Hucken des Gastgebers Zum blauen Hechten v. b. allh. fr. Eheliebstin Von Weÿl. H. Joh: Adam Helmstätterin auch geweßenen Gastgebern Zum bl. hechten v b. allhier ihrem erstern Eheliebsten seel. her Zeit Lebens geneüßt
Wÿdumbs Verfangenschaft Welche Herr Johannes Meÿer der Barbierer und Wundartzt, des Eheh. geliebten Vatter, auch b. allh. von weÿl. Fr. Susanna geb. Stegin seiner gewesenen Ehegattin, des Eheh. leibl. Mutter seel. Verl. Zeit lebens Zugenißen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn gutt, Sa. haußraths 47, Sa. Vasorum zue barbierer Kunst gehörig 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Summa summarum 75 lb – darzugelegt die helffte ane denen haussteuren so ist 49, Welchem nach des Eheherrn gesambt in de Ehestand gebracht Vermögen dem billigen Werth nach antrifft 125. lb
Der Ehefrauen Nahrung, Sa. haußraths 79, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. goldener Ring 28, Sa. baarschafft 160, Summa summarum 293 lb – darzu gelegt die helffte ane nach beschriebenen haussteuren antrifft 49 lb, Dießemnach macht der Ehefrauen gesambte in dieEhe gebrachte Nahrung dem billigen werth nach 342 lb
Nota, Wie in der zwischen beeden eingangs gedachten Ehepersohnen auffgerichteten Eheberedung ersehentlich, so hat des Eherrn herr Vatter herr Johannes Meÿer der barbierer und wundartzt auch b. allhier sowol §° 7° ihnen beeden Ehepersonen seine Zwo eigenthümliche und unvertheilte tertzen ane der Vorder: und hinder behaußung, hof, hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. ane der Langen Straß ohnweit der alten St. Peter Kirchen, i. s. neben weÿl. H. N. Bauren des gewes. beamtbten in dem allhies. umbgeld v. b. allh. seel. wittib und Erben, 2. s. neben weÿl. Melchior Wanners des gewes. Leb Küchlers Erben, hinden auf ein Canonicat hauß dem Stift alten St. Peter gehörig stosend, so außer einigen darauff hafftenden passiv Capitalien sonst ledig eigen, ane deren 3. tertz 1/3 so ein 9.t theil dem Eheherren von seiner Mutter seel. Verl. her ererbt zuständig seÿe umb den preis die gantze beh. auf den fuß von 1500 lb gulden gerechnet

Jean Meyer rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à sa nièce Marguerite Barbe Vogt, fille du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt et de Marie Barbe Meyer
1746 (30.6.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 509) n° 104, 108, 118, 125
Rechnung Mein Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und wundartzts auch burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin, weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin gebohrener Meÿerin mit Herrn Johann Diebold Vogt Juniore dem holtzhändler und burger allhier erzeugten nochlebenden eintzigen töchterleins /:Maßen Susanna Catharina das andere töchterlein bald nach der Mutter verstorben:/ Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. februarii Anno 1736. als dem anfang meiner Vogteÿ biß den 30.ten Junii 1746 vor dieselbe eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiß verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

(108) fernere Rechnung Mein Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin geb. Meÿerin mit Herrn Johann diebold Vogt Juniore dem holtzhändler erz. noch lebende einzig. töchterl., Inhaltend alles dasjenige was ich vom 30. junÿ 1746 biß d. 18. feb. 1747 vor dieselbe eingenommen v. außgegeben
– (118) Rechnung Mein Johann Meÿers, geschwornen Chirurgi v. b. allh. als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿl. Fr. Mariä Barb. Vogtin geb. Meÿerin mit H. Joh. diebold Vogt Jun.e dem holtzh. erzeugter Tochter, Inhaltend alles dasjenige, was ich vom 30. junÿ 1746 biß d. 30. sept. 1749 vor sie eingenommen v. außgegeben auch sonst Vögtl. weiß verrichtet habe – Zweÿte Rechnung dieser Vogteÿ
– (125) Rechnung Mein Johann Meÿers, geschwornen Chirurgi und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin geb. Meÿerin mit Johann diebold Vogt dem Jüngern holtzhändler erzeugter Tochter, Inhaltend alles dasjenige, was ich vom 30. 7.bris 1749 biß den 31. julÿ A° 1750 vor sie eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtlicher weiß verrichtet habe – Dritte Rechnung dieser Vogteÿ

Anne Marie Helmstetter meurt en 1750 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. Les experts estiment la maison 800 livres. L’inventaire est suspendu comme les frères et sœurs de la défunte se pourvoient en cassation du testament en nommant un commissaire séquestre

1750 (19.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 253) n° 458
Inventarium v. beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: v. tugendbegabte Fr. Anna Maria geb. Helmstätterin, des Ehren Vest und Kunsterfahrenen Hn Friderich Meÿers, des Chirurgi und barbierers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Fr. Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 16.ten tag des Verwichenen Monats Septembris dießes Zu end lauffenden 1750. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorwohl ermeldeten H. Wittibers, als des von der Abgeleibten Fr. seel. in ihrem hernach copialiter eingetragenen Testamento nuncupativo §° 4° instuirten eingen Erbens fleißig inventirt und ersucht – So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg auff Donnerstag den 19.ten Novembris Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden.
Ane Höltzen: v. Schreinwerck. In der Soldaten Cammer, In der gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Barbierstub, In der obern Wohnstub, Im obern hßöhren, Im obern hindern Zimmer, Im Keller
Eigenthumb ane einer behauß. Nehml. Zwo unvertheilte tertzen ane einer Vord. v. hinderbeh. hoff v. hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtig Keiten, gelegen allh. ane d. obern langen Straß, ohnweit d. alten St. Peter Kirchen, i. s. neben (-) Waltern dem handelßmann, 2. s. neben Mr Daniel Grießingern dem Schuhmachern, hinden auf ein Canonicat beh. dem stosend, so außer denen darauff hafftenden passiv Capitalien ledig eigen, v. ist die gantze beh. durch der St. Str. geschw. Hh. Werckmeistere Zufolg d. zu mein Not. Concept eingeschickten schrifftl. abschatz. datirt den 29. 8.br 1750. æstimirt v. angeschlagen worden vor 800 lb. daran vor die daran hiehero gehörig.ohne fangene tertz außzuwerffen 533. Ane der übrigen tertz, welche H. Joh: Meÿer d. geschw. Chir. barbierer v. Wundartzt, auch b. allh. des H. W. laibl. Vatter Zeit lebens zu usufruiren berechtiget, v. deßwegen hernach unter der Wÿd. Verfangenschaft eingetragen befindl. d. h. W. einen 3.t theil H. Carl Phil. Meÿer der Chir: auch ein 3. theil und weÿl. Fr. Mariæ Barb: geb. Meÿerin, mit Joh: Diebold Vogten dem abweßenden holtzhändlern v. b. allh. ehel. erzeugten töchter Mar. Barb. Würtzin geb. Vogtin auch ein 3.theil zugehörig.
Abschatzung Vom 29. 8.bris 1750. Auff begehren Herren Friderig Meÿer ist eine behaußung alher in der Statt Straßburg in der langen Straß Gelegen ein seÿts näben Johan Georg Waldern anderseÿts näben Danniel Grießinger und hinden auff ein Canonicad hauß Zum Stifft Alten St Peter Gehörig Stoßend, dieße behaußung hatt näben dem Eingang Zweÿ Stuben und Ein Küchen, in dem Ersten Stock I. Stube, I. Kammer und I haußöhren der 2.te Stock ist dem Erst bemeldem Gleich darüber ist der tagstull mit breidt Zieglen doppelt Gedeckt warunder die soldatten Kammer, welche besetz hatt auch ein Gewölbten Keller, hoff und brunnen, ferner befindet sich ein hinder Gebau und näbens Gang, darinnen Ein stube Ein Küchen das holtz hauß und etliche Kammeren die tachstüll darüber seÿndt mit breit Zieglen Einfag Gedeckt, ist Von den under schriebenen der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere, nach vorher Geschehener besigdigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen werdt nach æstimirt und angeschlagen wordten Vor und um Ein Taussendt und Sechs Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister
– Ane dato zu end gemeld sind vor mir offenbarem geschwornen und zu weÿl. Fr. Annä Mariä Meÿerin gebohrner Helmstätterin, H. Friedrich Meÿers des Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier geweßener Fr. Eheliebstin seel. Verlaßenschafft Inventur adhibirtem Notario persönlich erschienen 1° vorwohlermelter Hr Friedrich Meÿer, 2° Herr Joh: Sebastian Helmstätter, der nunmahlige Gastgeber Zum blohen Hechten und burger allhier 3° Frau Margaretha Barbara gebohrrne Helmstätterin Hn Joh: Friedrich Hollen ebenmäßign Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier Eheliebstin unter assistentz deßelben, So dann hr. Johannes Schuler, der Gastgeber und burger allhier als annoch ohnentledigter Vogt Herrn Andreæ undt Georg Friedrich, dießer beeden Zeÿßen, alle vier aber er Verstorbenen Fr Meÿerin seel. Leibl. Ein und Vollbändige Geschwüstrige auch durch die Cassation ihr Fr. Meÿerin letztern vor H. Not° Matthæ Kochen und Gezeugen errichteten Testamentum nuncupativum ab intestato nach Todt Verlaßene Erben, dieselbe sambtl. haben theils proprio nomine theils in dicto qualitatibus und unter assistentz wie gemeld, in gegensein Hn Joh: Jacob Sauren des bierbrauers und burgers allhier, welcher von denen parthen Vorgemeld in Streitsache, und zwar in puncto impugnirten vorangeregten vor H. Not° Kochen errichteten Testamenti, die Verlaßenschaffts Massam betreffend, zu einem Commissaire sequestre vorgeschlagen undt crafft arrêt du Conseil souverain d’Alsace vom 31.ten aug. A° 1752. Obrigkeitlichen constituirt worden, declarirt (…)
So geschehen allhier zu Straßburg auff Donnerstag den 28.ten Aug. A° 1755

Les héritiers de Jean Meyer vendent les parts de maison qui leur reviennent dans la succession de leur mère à Frédéric Meyer qui devient ainsi seul propriétaire de la maison, sauf les prétentions des héritiers naturels de sa femme défunte

1753 (12.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) Joint au n° 529 du 19 déc. 1752
[Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿl. der Wohl Ehren Veste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer, der geweßene geschwohrene Chirurgus und Wundartzt]
Erschienen ane dato Zu end gemeld vor mit zu dießen Geschäfft in specie adhibirtem Inventir Notario Frau Margaretha Barbara Würtzin gebohrne Vogtin, Herrn Johann Daniel Würtzen des Goldarbeiters und burgers allhier Fr. Eheliebstin und Carl Philipp Meÿer, der leedige Chirurgus und burger allhier, beede mit Erbs Interessenten, dieße haben
in gegensein Herrn Friderich Meÿers, auch Chirurgi und burgers allhier, ihres herrn Vettern und bruders, freÿ offntlich dcelarirt, wie daß sie vor sich und ihre Erben, Ihme herrn Friderich Meÿern und seinen Erben (…) eigenthümlichen cedirt und überlaßen hätten in ohnvertheiltem Elter: und Groß Elterlichem Erbe
ihre ohnvertheilte zween dritte Theil ane einer Tertz der behaußung, Hoff, Hoffstatt und hindergebäud, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der langen obern Straaß, ohnfern der alten St: Peter Kirch, 1.s. der Walterischen fr. Wittib und Erben & wie solche in dem Vätterlichen Verlaßenschafft Inventario mit mehrerm beschrieben zu befinden, woran die überige Zwo Tertzen Ihme Friderich Meÿern und deßen Verstorbenener Fr. Eheliebstin, Weÿl. Fr. Annä Mariä gebohrner Helmstätterin seel. in ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 7° von dem H. Vattern seel. um 3000. fl. die gantz behausung gerechnet, eigenthümlichen verschrieben worden, und dieße Tertz der Herr Vatter seel. alß Mütterlich guth in lebenslänglichem Wÿdum genoßen gehabt, mithin auch daran Ihren G. Friderich Meÿern ein dritter Theil, das ist zusammen 7/9. Theil angebührig – um den Preiß der obbesagten 3000 Gulden die gantz behaußung gerechnet mithin also zu dem mütterlichen dritten Theil 1000 gulden antrifft – So geschehen auf Freÿtag den 12. Januarÿ Anno 1753.

Révision, non conservée, de l’inventaire des biens appartenant à Anne Marie Helmstætter

1753, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 862
Revision in Sachen weÿl. Fr. Anna Maria Meÿerin geb. Helmstätterin H. Friderich Meÿer des Chirurgi Ehefr. Erben contra ihne H. Friderich Meÿer den Wittiber

Nouvel inventaire des biens appartenant à Anne Marie Helmstætter après que ses frères et sœurs ont obtenu cassation du testament ; l’annulation par le Grand Sénat le 9 décembre 1751 a été confirmée par arrêt rendu au Conseil souverain d’Alsace le 17 juillet 1755. Le veuf demande que soient appliquées les dispositions précédentes de la défunte, d’après lesquelle il a l’usufruit viager de ses biens. Le notaire relève que la donation à la défunte et à son mari faite lors du contrat de mariage aurait dû être transcrite à la Chambre des Contrats, ce qui n’a pas eu lieu. Les héritiers Helmstætter ont aussi des prétentions sur la part de maison que Frédéric Meyer a héritée de son père au faubourg de Cronenbourg. La masse propre aux héritiers est de 1 694 livres. L’actif du veuf s’élève à 844 livres, le passif à 2 213 livres.

1755 (14.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 259) n° 616
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren und Tugendsame Frau Anna Maria gebohrene Helmstätterin, des Ehrenvest und Kunsterfahrenen herrn Friedrich Meÿers, des Chirurgi und Wundartzts, auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Eheliebstin seel. nach ihrem den 16.ten Septembris des längst abgewichenen 1750.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft nunmehro auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, derer gleich nach dem Eingang dießes Inventarii ordentlich benahmster und zufolg bescheid E. E. Großen Rhats vom 9. Xbr A° 1751. und auff beschehenes appel von seithen des Conseil souverain d’Alsace sub dato 17.ten Junÿ h: a: erfolgten arrest ab intestato erkander Erben fleißig inventirt und ersucht, und Zwar weilen in deßen herr Johann Jacob Saur, der biersieder Zum goldenen Löwen und burger allhier als Commissaire sequestre über diese sambtliche Verlaßenschafft durch besonder arrest vom 31. Aug. 1752. constituirt und dahero demeselben theils durch die Ganth in Executionis, und theils sonsten per publica acta die sambtliche effecten eingreiffert worden, theils durch ihne Herrn Sauren nach deme hierüber auffgerichteten Designationen beÿ deren er sich jeeden mal unterschrieben, und theils durch obgemelten H. Wittibern und anch Eingang dießes Inventarÿ benannte anweßende Erben (…) geäugt und gezaigt – So geschehen allhier Zu Straßburg auff montag den 14. Julÿ anno 1755.
Der Verstorbenen Frauen seel. nach außweiß hievor im Eingang allegirten E. Großen Rhats bescheid und Arrêt ab intestato erkandte Erben. 1. he Johann Sebastian Helmstätter der gastgeber Zum blohen Hechten burger allhier, der den einen Vierden Stammtheil welcher dem Geschäfft in person abgewartet, 2. Frau Margaretha Barbara gebohrne Helmstätterin, herrn Johann Friderich Hollen, des Chirurgi und wund artzts auch burgers allhier, Eheliebstin, welche beÿ dießes Inventur Zugegen geweßen, in den andern Völligen Vierdten Stammtheil, 3. H. Johann Andreas Zeÿß, der ledige Gastgeber und burger allhier majorennis und abweßend in den 3.ten Völligen vierdten Stammtheil, So dann 4. H. Georg Friderich Zeÿß, auch leediger Gastgeber und burger allhier, ebenfalls Großjährig und außwärts in condition, in den letzten Vierten Völligen Stammtheil, deren beeder Zeÿßischer öhne annoch ohnentledigter Vogt herr Johann Schuler, der Gastgeber und burger allhier, in deren Nahmen Zumalen sie Curanden abweßend, derselbe auch dießer Inventur von Anfang biß zu end beÿgewohnt, Alle Vier der Verstorbenen frauen Meÿerin seel. Zweÿ und Einbändigen Geschwüstrig undt nach cassation deroselben durch H. Notm Mathiam Kochen auffgerichteteten Testamenti nuncupativi zugleichen portionen ab intestato Erben.
Bericht in gegenwärtig Inventarium nöthig. Es will sonders nothwendig fallen, mit bericht vor anzugehen, was maßen die Defuncta eine testamentliche letzte willens Disposition Vor H. Notario Mathia Kochen und denen adhibirten Gezeugen den 10.ten 7.br. A° 1750. alßo Kurtz Vor ihrem tödlichen hinscheiden errichtet, und darinnen außer einigen Legaten mit hülff erhaltenen Indulti testandi eingangs gemeldeten herrn Friderich Meÿern, den hinderblieben Wittibern Zu ihrem Erben ex asse ernennet habe. Wie nun solche Verordnung demselben, nach Testamento anleitung gegeben, sich vor den universal Erben gegen præstirenden Außliefferung derer Legaten Zuerkennen, alßo Vermeinte er auch macht zu haben, die Inventur der Verlaßenschafft ohne weitere und nöthige Zuziehung der Verstorbenen Fr. Eheliebstin seel. ein: und Vollbändiger Geschwistrigen, welche sonst ab intestato ihre Erben gewesenen wären auch seinem gefallen anzustellen und Zubestimmen, um deß willen er auch solche den 19.t 9.br. A° 1750. durch mich Notm. und herrn Johann Georg Lederlin den geschwornen Käufflern in behöriger Ordnung Vornehmen maßen, solcher gestalten daß ane dem geweßen, daß darüber das Inventarium expedirt worden wäre, Allem es entstunde hieruaff über oben angezogenen Testaments Validität Von seithen der defunctæ Voll: und Einbändigen Geschwistrigen, in Zweiffel und haben dahero die selbige solches ex cupite suggestionis obrigkeitlichen impugnirt, wie nun solches in erfahrung gebracht habe ich Notarius, weilen dießes letzte Willen, die richtschnur seÿn solte, die Expedition unterlaßen und biß zu dießer Erörterung außgesetzt Nach beschehener der sachen hetten* inventirung ist endlichen E. E. Großen Rath den 9. Xbr ° 1751. die Sententia dahin außgefallen, daß das quæstionus Testamentum als denen Gemeinen rechten Zu wieder annullirt worden. Es appellirte Zwar der Hr Wittiber Von dießem Spruch au Conseil souverain d’Alsace, allein er mußte durch arrêt vom 17. Julÿ A° 1755 gleiches schicksal erfahren, in deme die erstere Sentence dardurch confirmirt worden. In Zwischen auff ansuchen derer prætendirenden Erben über die gantze succession herr Johann Jacob Saur, der biersieder Zum goldenen Löwen und burger allhier craft arrêt Vom 31. Aug. A° 1752. als Commissaire sequestre gesetztet und demselben theils durch Huissier royal par acte und theils durch die ganth per Executionem die mehreste effecten in seine verwahr Zuhanden gegeben weden, weßentwegen dann und dieweilen sich der Zustand der damalig vorgegangenen Inventur theils in ansehung Testaments Erben selbsten, alß deßen Platz der Defunctæ ein: und vollbändige Geschwistrige, als ab intestato Erben nunmehro eingenommen und theils die effecten und mobilien da und dorthin Verzogen worden, auch wol gar abgangen, deßgleichen des Wittibers Vatter herr Joh: Meÿer geweßener geschworner Chirurgus v. b. allh. seel. den 10.ten Decembris A° 1752. dießes Zeitliche gesegnet und von dießer Succession die Erbs portion hiehero zugefloßen, Völlig Verändert, so hat man gegenwärtiges Inventarium neurdingen und Zwar denen jetzigen umbständen nach alßo mit einbringung deßen so von Vätterl. Erbschafft angewachßen, obschon solches eigentlich nicht hiehero gehörig, eingerichtet und verfaßet. Hiernechst ist zu melden, daß, nach deme nun sein H. Notÿ Kochen Testamentum Zernichtet und in dem selben Von keiner cassatione der frn. Defunctæ vorhergehenden Letzten Willens gedacht, hingegen aber sie vor mir Notario und gezeugen den 19.ten Aprilis A° 1743. eine testamentliche Verordnung auffgerichtet, und darinnen nebst deme, daß sie dieße ihro Vorgemeldete Voll und einbändige Geschwüstrige welche nunmehro auch diejenige sind, Zu ihren Erben instituirt ihrem Ehegatten und nunmahligen hinderbliebenen herrn Wittiber den lebenslänglichen Wÿdumbs Genuß Zugedacht habe, sich der hinderblieben Hr. Wittiber dießer Erstern Letzten Willens Disposition bedienen und dahero den usumfructum generalem prætendiren will, worüber noch Zur Zeit sie Erben Keine antwort ertheilt,sondern sich deßen beÿ ihrem H. Procuratore Zu Collmar, ob sie deme* nach zu geleben hätte, beßer erkundigen wollen. In deßen jedoch aller seits ohnpræjudicirlichen, Extractus solchen testaments allein dießen Wÿdumb betreffend, dießem Inv° wie folgt einverleibt worden.
Extractus Auß dem der Defunctæ vor mit Notario und gezeugen debn 19. Aprilis A° 1743. erricheten Testamento nuncupativo (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleut Staden gelegenen Bierhauß Zum goldenen Löwen genandt folgender maßen sich befunden.
Eigenthumb ane einer behaußung (W. et T.) Nehmlichen eine forder: und hinder behausung, Hoff und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier ane der obern Langen Straß, ohnweit der alten St. Peter Kirchen, einseit neben der behaußung zum grünen Fäßlein genant, modo herrn Joh: Georg Waltern dem handelßmann alllhier Zuständig, 2. s. neben Meister Daniel Grießingern dem schuhmachern, hinden auff eine dem Stifft Zum Alten St. Peter Zugehörige Canonicat behausung stoßendt, so außer denen darauff hafftenden passiv Capitalien hernach beschrieben ledig eigen und Zu mein Notarii schon beÿ erster Inventur eingeschickten schrifftlichen Abschatzung dahero datirt den 29. 8.br 1750. angeschlagen umb 800 lb. Hierüber bes.j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. st. gef. v. m. deren anhang. Ins. bekräfftiget datirt den 3.ten Januarÿ A° 1737.
Nota. Ane dießer beh. hat weÿl. Hr Joh: Meÿer der älter Geschwohr. Chirurgus und Wundartzt auch burger allh. des hinderbliebenen Wittibers Leibl. hr. Vatter seel. in der hievor in copia eingetragenen Eheberedung §° 7° ihnen beeden nun zertrenneten Ehe Persohen seine Vätterl. 2/3. theil auff den fuß der 3000. fl. alßo daran zu 2000. fl cedirt und abgetretten, mithin wäre solcher gestalten denen Erben ein dritter theil oder die helffte solcher 2/3. Vor eigenthümlich zu zu schreiben, hingegen aber 1/3. theil ane dem damals darauff hafftenden passiv Cap. Zu assigniren und da dießer dritte theil ane solchen passiv Cap. gegen denen 1000 fl. nicht zureichte, sofort der rest ane derenselben Erg. ermanglenden unveränderten Guths in Abzug Zubringen, Allein in betrachtung auch in gedachtem articulo 7° der Eheberedung expresse Versehen, daß dieße übergaab respectu der Verstorbenen Ehefrauen seel. in allhießiger Cancelleÿ contract stub Verschreiben werden sollen, solches aber biß an deren Absterben nicht geschehen, und dahero die Erbs Interessenten deren in Vollkommennheit soutenirt, demnach dieße tertz ane dießer behaußung, zumalen beÿ jetziger Zeitläuffen die häußer in solchen niedrigen preiß abgekommen, um dieße 1000. fl. anzunehmen refusirt, weßwegen auch solches hier nicht geschehen, sondern Zur Künfftigen decision außgesetzt werden.
(W. et T.) Anbeÿ solle annoch ½. viertel Grunds im mittelhaußbergheim bann (…)
(W. et T.) Nicht weniger prætendiren die Erben, daß der Hr Wittiber seinen ererbten ohnvertheilten 3. theil ane der beÿ weÿl. H. Joh: Meÿers gewes geschwornen Chirurgi v. Wundartzt auch burgers allhier seines Vatters seel. Verl. Abtheilung außgesetzten beh. hoff,statt und Kleinen gärtl.
ane der Vorstadt Cronenburg, und deren Grünen bruch (…)
Ergäntzung der Erben ermanglenden unveränderten Guths. Vermög des über beider nun zetrennter Ehepersonen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium in A° 1743. gefertigten Invm. hat man denen Erben als mangend zu ergäntzen
Wÿdumbs Verfangenschaft. Nehml. es hat Weÿl. Fr. Anna Catharina Huckin gebohrne Fischerin dißorts leibliche mutter herrn Johann Hucken den nunmahligen Weinhändlern v. b. allh. ihrem hinterbliebenen Wittibern in der mit einander auffgerichteten Eheberedung und deren 7.den §° j.m lebenslänglichen Vor Wÿdumb Verordnet. Eine Erblehens Gerechtigkeit oder das dominium utile auff der Würths behaußung bestanden
auff dem alten Weinmarckt ane der Kinder spielgaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 81, Sa. leerer vaß 11, Sa. Silber geschmeids 9, Sa. gold. Ring 16, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 333, Sa. Schulden 4, Sa. Ergäntzung (1383, davon gehet ab 31, restirt) 1351, Summa summarum 1807 – Schulden 113, Detrahendo verbleibt 1694 lb
Des Wittibers unverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 43, Sa. leere Faß 2 ß, Sa. Silber Geschmeids 13 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 800, Summa summarum 844 lb – Schulden 2213, In Compensatione 1368 lb – Stall Summa 326 lb
Zweiffelhaffte Schulden in den Erben unverändert 17, Zweiffelhaffte activa so des h, W. unverändert und theilbar 99 lb
Copia der Eheberedung (…)

Etat des biens qui appartiennent à Frédéric Meyer, chirurgien qui était employé comme compagnon par Adam Schwartz de Dossenheim et qui a disparu depuis dix jours sans qu’on ait de ses nouvelles. Les meubles inventoriés se trouvent dans la maison Grand rue qui appartient désormais à Jean Daniel Würtz (mari de sa nièce)

1757 (14. Christmo.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 579) n° 19
Designatio Alles desjenigen was Hr. Friderich Meÿer, der hiesige burger und Chirurgus, deßen Person schon seit dem 4. hujus alhier mangelt, und von deßen jetzigem aufenthalt, ingleichem ob er annoch im Leben oder wie und auf was Ortes etwa verunglücket seÿn, oder sonsten sein Leben eingebußt haben möchte, man bißher nichts gewißes in Erfahrung bringen können, ane Zeitlicher Haab und Nahrung Zurückgelaßen, welches auf seines bruders H. Carl Philipp Meÿers, des ebenmäßigen Chirurgi und H. Johann Daniel Wurtz, des Goldarbeiters beeder burgern allhier gethanen requisition, auf zuvorhin ane dieselb, wie auch Johann Adam Schwartz von Doosenheim, so beÿ dem mangelnden H. Meÿer als barbier gesell in Condition und Ursulam Jonerin von Schlettstatt, so beÿ demselben als Magd in diensten gestanden, (geäugt und gezeigt)

in einer alhier Zu Straßburg ane der obern langen straß gelegenen oberwehntem H Würtz eigenthümlich zuständigen behaußung
In der barbierstub, Auff dem obern Gang, In der Kuchen, In des Gesellen Cammer, In dem Stüblein hinter der barbierstub, Im Keller, Summa 69. lb
Schulden in diese Nahrung Zugeltend 112 lb, Summa summarum 182 lb
Schulden aus der Nahrung zu bezahlend 57 lb, Nach deren Abzug 124 lb

Fils du préposé adjoint à la Grue, l’orfèvre Jean Daniel Würtz épouse en 1751 Marguerite Barbe Vogt, petit-fille de Jean Meyer par sa fille Marie Barbe : contrat de mariage, célébration à Wasselonne
1750 (23. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 265
Eheberedung – zwischen dem Wohlvorachtbaren und Kunsterfahrenen Herrn Johann Daniel Wiertzen, dem ledigen Goldarbeiter, weÿl. herrn Johann Daniel Wiertzen geweßenen unter Cran meisters und auch weÿl. Frauen Mariæ Salome gebohrner Flachin beeder Ehepersonen und burgere allhier seel. ehelich erzeugten Sohns, dem herrn Hochzeiter, ane Einem,
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Margarethæ Barbaræ Vogtin, her, Johann Diebold Vogten, des abweßenden holtzhändlers und burgers allhier mit weÿl. frauen Maria Barbara gebohrner Meÿerin seiner Eheliebstin seel. ehelich erzeugter tochter, als der Jungfer Hochzeiterin ane andern theil
So beschehen allhier zu Straßburg auff Montag den 23. Novembris Anno 1750. In præsentia herrn Johann Christoph Flachen des Kieffers undt Weinhändlers und burgers allhier seines herrn Oncle auff sein des herrn Hochzeiters, So dann herrn Johannes Meÿer des geschwornen Chirurgi und Wundartzts, des hern Groß Vatter und herrn Friderich Meÿers ebenmäßigen Chirurgi und Würtzartzts des Oncle und geschwornen Vogts, beeder burgere allhier auff seith der Jungfer Braut [unterzeichnet] Johann Daniel Würtz als Hochzeuther, margaretha barbara Vögtin als hochzeitherin

Mariage, Wasselonne (luth. f° 144-v) A. 1751. Januarius. Dienst. d. 12. dieses seind nach zweÿmaliger Proclamation in den H. Ehestand eingesegnet worden H. Johann Daniel Würtz burger und Goldarbeiter in Straßburg Weil. H. Johann Daniel Würtz gew. Krahn Meister und burgers Zu Straßburg und auchweil. Fr. Maria Salome geb. Flachin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Margaretha Barbara weÿl. H. Theobald Vogt gew. burgers und Holtzhändlers in Straßburg mit auch Weÿl. fr: Mariæ Barbaræ geb. Meÿerin hinderlaßene Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Würtz als hochzeither, Margaretha Barbara Vögtin als hochzeiterin (i 145)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 111) Anno 1751. wurden in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicolai Dom. post Nov. Annum Zum ersten und Dom I. post Epiph. Zum andern mahl proclamirt, und hernach Zu Waßlenheim copulirt Herr Johann Daniel Wurtz der ledige Goldarbeiter und burger allhier, Weÿl. h. Johann Daniel Wurtz geweßten Cranmeisters vnd burgers allhier hinterlaßener ehel. Sohn, Und Jungfr. Margaretha Barbara Vogtin H. Johann Diebold Vogt des holtzhändlers und burgers allhier ehl. Tochter (i 113)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Serruriers qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1868 livres, ceux de la femme à 1 791 livres.
1751 (18.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1154) n° 744
Inventarium über des Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Johann Daniel Würtz, des Goldarbeiters und der Viel Ehren und tugendsamen Fr. Margarethä Barbarä Würtzin, gebohrner Vogtin beeder Eheleuthe und burgereren allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1751. – in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, Welche der Ursachen, alldieweilen in ihrer vor H. Notario Frantz Heinrich Dautel den 23.ten Novembris des abgewichenen 1750.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 5° expresse abgeredet und Verglichen, daß einem jeden sein on die Ehe bringende Vermögen ihme und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿwesen S. T. H. Friderich Meÿes, Chirurgi und burgers allhier der Ehefrauen noch ohnentledigten Curatoris Straßburg Donnerstags den 18.ten Martÿ Anno 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß gelegene dem Eheherrn zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumn ane einer behaußung (H.) Nembl. j. behaußung und hoffestatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung und Holtzplätzen. (F.) Nembl. j. behaußung, gemeinschafft js. ohnvertheilten Hoff ane dem grünen bruch hinter dem bierhauß Zum Sternenberg (…)
Item die abgetheilte helffte 2.r Holtzplätz (…)
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Fr. Anna Margaretha Vogtin gebohrne Engelhardin, Weÿland H. Daniel Vogts geweßenen Holtzhändlers und Kirchenpflegers Zum alten St. Peter seel. hinterbliebenen Fr. Wb. lebtägig Zu genießen hat
Die helffte des 12.ten theil vor ohnvertheilt (…)
(f° 13) Antheil ane einer Behaußung (F.) Nembl. ein 12.ter Theil Vor ohnvertheilt Von und ane jr. behaußung, Hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung auch allen deren Gebäuen außerhalb des Speÿrthors (…)
Abzug gegenwärtig Inventarium. Des Eheherrn eigenthümlich Vermögen, Sa. haußraths 98, Sa. Werckzeugs Zur goldarbeiter profession gehörig 40, Sa. Silber Geschmeids 13, Sa. Goldener Ring, Jubelen und übrige gemachte Arbeit wie auch Silber und Gold Zur Goldarbeiter profession gehörig 1208, Sa. der baarschafft 20, Sa. Eigenthums ane jr. behausung 2000, Summa summarum 3375 lb – Schulden 1507, Nach deren Abzug 1868 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes gut beschrieben, Sa. hausraths 111, Sa. Silber geschmeids 60, Sa. Goldener Ring 90, Sa. der baarschafft 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und deren hauptgüther 600, Sa. Eigenthum ane häußern 1062, Sa. activ Schulden 35, Summa summarum 1961 lb – Schulden 170, Nach deren Abzug 1791 lb

Vente de meubles qui avaient appartenu à feu Frédéric Meyer, à la requête des héritiers Helmstætter
1758 (25.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 262) n° 719
Distractio derer von seithen E. E. Kl. Rhats durch bescheid vom 22. Maÿ A° 1759 weÿl. Frn. Annæ Mariæ Meÿerin geb. Helmstätterin seel. Erben entschlagen und in weÿl. H. Fried. Meÿern geweßenen Chirurgi Verl. gehörig geweßener Effecten

L’orfèvre Jean Daniel Würtz vend la maison au tonnelier François Antoine Gilloth et à sa femme Marie Salomé Nessmann

1767 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 129-v
Johann Daniel Würtz der goldarbeiter
in gegensein Franz Antoni Gilloth des kieffers und Maria Salome geb. Neßmännin [unterzeichnet] Giloth
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der obern Langenstraß ohnweit der Alten St. Peter Kirch, einseit neben Jacob Stöß dem hoßenstricker, anderseit neben Johann Grießinger dem schumacher, hinten auff Stifft Alt St. Peter gehörigen haus – um 150 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 975 pfund

Fils de tonnelier, François Antoine Gilloth épouse en 1766 Marie Salomé Nessmann, originaire d’Oberschæffolsheim : contrat de mariage auquel est joint un état des apports, célébration
1766 (10.5.), Not. Humbourg (6 E 41, 122)
Mariage – Sr François Antoine Giloth Mr Tonnelier Marchand de Vins Bourgeois de cette ville fils majeur du Sr Jean Adam Giloth, aussi Tonnelier marchand de Vin et De Marie Elisabeth née Moritz
Marie Salomé Nessmann fille majeure de feu Laurent Nessmann, bourgeois Laboureur de Schaeffolsheim dépendance de la Noblesse de la Basse alsace et de défunte Anne Kolapp
Inventarium derjenige Mobilien so Frau Maria Salomé Gilothin des jüngern geb. Neßmännin von Schäffelsheim mit in die ehe gebracht, hausrath 46, 81, 43 und 4, goldene ringe 1, silber 1, baar empfangen 370, antheil behausung 65, summa 613, silber dem ehemann gehörig 24, baarschafft 250, den 5. jan. 1767

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 211)
Anno domini 1766. (…) joannem franciscum Antonium Giloth vietorem filium Legitimum joannis adami giloth civis et vietoris hujus urbis et mariæ Elisabeth moritz conjugum parochianum meum dimisi ad R. D. Walter parochum in ober Schæffolsheim quatenus per eum matrinomio jungat Elisabethum Maria Salomea nessmann filia Legitima Laurentii nessmann et Annæ Kolap defunctorum conjugum ciuium olim Dicti loci parochiana Sua
quæ partes supraditcæ *lata Sententia factis tribus proclamationibus in schaeffolsheim Et (…) a me Subscripto Sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt die 26. currentis mensis et anni (signé) Giloth, Neßman (i 108)

Marie Salomé Nessmann meurt en 1780 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison faubourg de Cronenbourg. La masse propre aux héritiers s’élève à 1 190 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 828 livres, le passif à 2 246 livres.

1780 (22.4.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 879) n° 81
Inventarium über Weÿland Fraun Mariæ Salome gebohrner Neßmännin, Herrn Johann Frantz Anthoni Giloth, des Kiefermeisters und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seelig Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1780 – nach ihrem den 22. Novembris leztverfloßenen 1779.ten Jahrs erfolgten Absterben hinterlaßen hat, welche Verlaßenschafft ad Requisitionem erstgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch auf fernerers Ansuchen Herrn Frantz Bronners, des Kiefermeisters und burgers allhier, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Frantz Joseph, Mariä Salome, Annä Mariä und Mariä Magdalenä, der Gilothen, aller Vier der Defunctæ mit vorbenahmßten dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato zu gleichlingen Antheilen verlaßene Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an der Cronenburger Straß gelegen hiehero gehörigen und hernach inventirten behaußung, Sambstags den 22. Aprilis Anno 1780.
Bericht in dießes Inventarium gehörig. Es ist aus erst vorher eingetragener Eheberedung §° 3.tio zu ersehen, daß beder dißortige nub Zetrennte Eheleuth ihr in die Ehe gebrachtes und Wehrend derselben ererbtes Vermögen sich vor unverändert vorbehalten und wegen dem davon abgegangenen die Ergäntzung stipulirt haben diesem Zufolg hätten deri beÿderseitige Illata ordnungsmäßig inventirt werden sollen, welches aber nicht geschehen (…)

(f° 6 v) Eigenthum ane einer behaußung. (W.T.) Nemlich eine Behaußung, Hoff und Hoffstatt mit allen und deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhuer Zu Straßburg ane der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
(f° 7) Ergäntzung der Kinder und Erben wegen der verstorbenen seel. Wehrend dieser Ehe angegangenen ohnveränderten Guths. (…) So dann hat die Verstorbene wehrender Ehe von ihrer geweßenen Tante Barbara Kolappin Von Schäffolsheim geerbet
(f° 8-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 42 lb, Sa. Silbers 7 ß, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. Schulden 75 lb, Sa. der Ergäntzung 1071 lb, Summa summarum 1190 lb
Des Wittibers ohnverändertes und das theilbahre Guth, Sa.hausraths 50 lb, Sa. Werckzeugs zur Kiefer Profession gehörig 11 lb, Sa. lähren Faß 5 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750 lb, Sa. Schulden 9 lb, Summa summarum 828 lb – Schulden 2246 lb, Compensando 1418 lb – Mehr schulden als Nahrung dem Stall tax nach 228 lb
Contrat de mariage (…) le 10. maÿ 1766 Not. royal Humbourg

Jean François Antoine Gilloth se remarie en 1781 avec Anne Marie Meyer, veuve du tailleur Ferdinand Schnee : contrat de mariage, célébration
1781 (15.2), Not. Roessel (6 E 41, 936) n° 58
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Johann Franz Anton Giloth, Wittiber, Kiefermeister, Weinhändler auch burger alhier Zu Straßburg als Hochzeiter, ane einem
so dann Frau Anna Maria geborene Meÿerin Weiland Meister Ferdinand Schnee des geweßenen Schneiders und burgers allhier hinterlaßene Wittib beiständlich Herrn Frantz Bernhard Meÿer Jur. Pract. und hiesigen burgers als Hochzeiterin ane dem andern theil
Straßburg den 16. Februarÿ Anno 1781 [unterzeichnet] Johann frantz Antoni Giloth Als Hochzeiter, x handzeichen fr. Annæ Mariæ Schnee gebohrne Meÿerin der Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 330)
Hodie die 26 Februarii anni 1781 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Franciscus Antonius Giloth civus hujas viduus Salomeæ Nessmann parochianus ad S. Marcum hujus Civitatis et Anna Maria Meÿer vidua Ferdinand Schne parochiana nostra (signé) Johann Giloth, sponsæ x (i 172)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1782 (20.2.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 934) n° 33
Inventarium über H. Frantz Anton Giloth des Kiefermeisters und frauen Annæ Mariæ gebohrner Meÿerin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in die Ehe gebrachter Nahrungen, auffgerichtet Anno 1782 – welche der ursahen, alweilen in ihrer vor mir Notario unterm 16. febr. 1781. mit einander auffgerichteten Eheberedung expresse enthalten, daß eines jeder Einbringen ohnverändert und reservirt seÿn solle (…) So geschehen in Straßburg, und einer daselbst ane der Vorstadt Cronenburger Straß gelegener dem disortig. Ehemann Zuständiger behaußung auf Mittwoch den 20. Februarÿ Anno 1782., in fernerer Gegenwarth H. Jacob Wilhelm Doldé Jur. Pract. und burgers hieselbst, der Ehefrauen bestands.
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Neml. I. behaußung, höflein und hoffstatt
in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)

François Antoine Gilloth et Anne Marie Meyer font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif. La masse propre à la femme s’élève à 403 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 2 568 livres, le passif à 2 677 livres
1782 (23. 9.br), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 923) n° 44
Inventarium über Frantz Anthon Giloth, Kiefer Meisters und Annæ Mariæ gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burg. alh. zu Straßburg dermalen besizender Activ Nahrungen und hingegen wieder zu bezahlen habender Passiv Schulden, aufgerichtet Anno 1782 – der ursach halben, aldieweile sich ein Schulden last hervorgethan und die Ehefrau um d. Benef. Cessionis der Ehemann aber pro Benef. fleb. Cession. unterthänig einzukommen und beÿ E. E. Kl. Rath zu imploriren willens sind, inventirt – So geschehen alh. Zu Straßb. und einer daselbst an der Cronenburg. Stras gelegenen hernach beschriebenen behausung in fernerer Gegenwarth M. Philipp Jacob Steinbach Sattlers und hießig. bs. der Ehefr. beistands, Auf Sambstag d. 23. Novembris Anno 1782.

Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Neml. I. behaußung, höflein und hoffstatt in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
Series rubricarum hujus Invent. – Copia der Ehebered.
Der Ehefraun ohnveränderte, Nahrung, Sa. haußraths 200, Sa. versetzter Kleÿdungs Posten 22, Sa. Silbers 2, Sa. versetzter Silber Posten 16, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzung 59, Summa summarum 403 fl.
Diesemnach wird auch das übrig vorhandene Sub una massa & Titulo als des mariti ohnverändert und theilb. beschrieben, Sa. haußraths 150, Sa. Werckzeugs Zur Kiefer Profession gehörig 58, Sa. leerer Faß 53, Sa. Silber Posten 6 ß, Sa. Versetzten Silber Posten 2, Sa. Activ Schulden 103, Ergäntzung 2200, Summa summarum 2568 fl – Schulden 2677 fl, Compensando 109 fl
Copia der Eheberedung (…)

Jean François Antoine Gilloth meurt en 1790 en délaissant trois enfants issus de son premier mariage. La masse propre à la veuve s’élève à 277 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 3 386 livres, le passif à 5 407 livres.
1790 (1.12.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 893) n° 511.a
Inventarium über Weiland Johann Frantz Anton Giloth gewesenen Kiefermeisters und burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschaft errichtet Anno 1790. – nach seinem den 26. Novembris jüngst erfolgten an Vermögen hinterlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Fraun Mariæ Annæ Gilothin gebohrner Meÿerin, der hinterbliebenen Wittib, beiständlich H. Notario Johann Georg Rößels, wie auch auf requisitionem H. Blaise Rondot, des Concierge au Departement alhier, als geordneter und geschworener Vogts des Defuncti mit weiland Fraun Maria Salome gebohrner Neßmännin seiner gewesenen erstern Ehefraun ehelich erzeugten noch lebender dreier kinder namentlich Johann Frantz Joseph, ledigen kiefers, Jungfer Mariæ Salome und Jungfer Annæ Mariæ der Giloth, als sein des defuncti ab intestato zu gleichlingen Antheilern verlassener Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter ane der Cronenburger Stras gelegenen behausung, angefangen Mittwoch den 1. Decembris im Jahr 1790.

Werckzeug Zum Liefer handwerck gehörig (…)
Eigentum ane einer behausung. (E.T.) Nemlich eine Behausung, Höflein und Hoffstatt samt allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane der Vorstadt Kronenbugerstraß (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unverändert vermögen,Sa. hausraths 68, Sa. Silber geschmeids 9, Sa. goldene Rings 2, Sa. Activ schuld 100, Sa. der Ergäntzung 96, Summa summarum 277 fl.
Diesemnach wird auch der Erben unverändert und das theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 269, Sa. der Wein und leerer faß 28, Sa. Werckzeug zum Kiefer handwerck gehörig 32, Sa. des Eigentuls en einer behausung 3000, Sa. Schulden 56, Summa summarum 3386 fl – Schulden 5407 fl, compensando 2021 fl
Endlicher Passiv recess 1743 fl.
Copia der Eheberedung (…) den 16. Februarÿ 1781, Roessel, Notarius

Jean François Antoine Gilloth expose la maison aux enchères. Le dernier enchérisseur est le maître maçon Bernard Rottler

1771 (1 et 8.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1519) n° 89
Versteigerung der hrn Johann Franz Antoni Giloth dem kieffer und Weinhändler
nach besag einers in allhiesigen Cantzleÿ Contract stub gefertigten Kaufbrieffs de dato 5. martÿ 1767 eigenthümlich zuständigen ane der obern langen straß ohnweit der alten St Peter kirch gelegenen behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben Johann Michael Mähnen des meelmann zum grünen fäßlein genannter behaußung anderseit neben Johannes Grießinger dem schuhmacher hinten auf ein dem Stift alten St. Peter gehöriges hauß, 1450 fl, in deßen hrn Vatters hrn Johann Adam Giloth auch ane der obern straß gegen der hahnen gaß hinüber gelegenen behausung, ausgeruffen 2600 fl.
den 8. Julÿ durch hrn Frantz Bernhard einen dießer Statt geschwornen Kauffler um den Von hrn bernhard Rottler dem Maurermeister 2620 gulden. den 15 hujus weiter hinausgesetzet

Jean François Antoine Gilloth et Marie Salomé Nessmann vendent la maison 1300 livres au marchand de vins Jean Ehrenholtz

1772 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 646 n° 342
Johann Franz Antoni Giloth der kieffer und Maria Salome geb. Neßmännin
in gegensein H. Johann Erlenholtz des weinhändlers
eine behausung, hoff, gompbronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem obern Langen straß ohnweit der Alten St Peter kirch, einseit neben Michel Möhr dem meelmann, anderseit neben Johann Grißinger dem schuhmacher, hinten auff besagten Stifft Jungen St. Peter zuständigen behausung – alß eine von weÿl. H. Johann Daniel Würtz dem goldarbeiter vermög kaufcontract de dato 5. Martÿ 1767 erkauffte behausung – um 2600 gulden

Fils d’aubergiste, l’aubergiste Jean Ehrlenholtz épouse en 1769 Anne Ursule Dietsch, fille d’un drapier de Barr : contrat de mariage, célébration. Le père cède à son fils l’auberge à l’enseigne du Cep de Vigne lors du contrat de mariage
1769 (16.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 553
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehrenachtbaren herrn Johannes Erlenholtz dem ledigen Gastgeber, herrn Johannes Erlenholtz des Gastgebers und frauen Jacobeæ gebohrner Stempelin burgere in Straßburg ehelich erzeugtem Sohn
so dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Annæ Ursulæ Dietschin, weÿl. herrn Johann Georg Dietschen, geweßenen Thuchmachers und burgers in barr, Straßburgischer herrschafft seeligen mit frauen Catharina gebohrner Kleinmännin so nunmehr an herrn Niclaus Dietschen, dem Schwartz und Schönfärbers auch burgern zu gedachtem barr Verheurathet, ehelich erzeugter tochter in Barr

Sechstens, erklären sich des herrn Hochzeiters geliebten Eltern und sonderlich die frau mutter ihre eigenthümliche Gast behaußung mit allen deren zugehörden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane dem baarfüßer platz und dem sogenanden rubenloch gäßlein, zum Weinstock genand, wavon man biß her 3 pfund 12 schilling der Stadt Straßburg Pfenningthurn gegeben harn und zum theil nich giebet, beneben dem in gedachtem rubenloch gäßlein ohnfern gegen über liegenden hinder hauß, dero herrn Sohn als Hochzeitern und der Junfer braut als lang Sie beede Eltern im leben seÿn werden oder da dero herrn Sohn vor seiner Jungfer braut, es seÿe mit oder ohne Verlaßung Kinder Vor ihnen Eltern verstürben, Ihro der Jungfer braut und als dennigen wittib nun einen jährlichen zinß von 300 Gulden hießig current hiemit dergestalten im Lehnung verschrieben zu haben und so gleich nach beschehener Copulation abzutretten

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 206 n° 915)
Im Jahr 1770, dienstag den 13. Februarÿ sind nach zweÿmahliger ordentlicher Proclamation und Außruffung (…) ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Johannes Ehrlenholtz, der ledige gastgeber und burger allhier, Herrn Johannes Ehrlenholtz, des gastgebers und burgers allhier ehelicher sohn, und Jungfrau Anna Ursula Dietschin, weiland Johann Georg Dietsch gewesenen wollenwebers und burgers in Barr hinterlassene eheliche Tochter

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 996 livres, ceux de la femme à 442 livres.
1770 (12.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 274) n° 1188
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehrenachtbare herr Johannes Ehrlenholtz, der Gastgeber zum Weinstock und die Ehren und tugend same Frau Anna Ursula gebohrne Dietschin, beede Ehepersohnen und burgere allhier einander in den Ehestand zugebracht und sich crafft der mit einander aufgerichteten Eheberedung §° 4° vor unverändert vorbehalten haben – die Ehefrau mit assistentz des Ehrengeachten herrn Niclaus Dietsch des Schwartz und Schönfärbers und burgers in Barr der Ehefrauen Stieffvatters – So geschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 12.ten Martÿ 1770.

In einer allhier zu Straßburg ane dem baarfüßer platz gelegenen Zum Weinstock genandten Gast behaußung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehehern unveränderte Nahrung betreffend, Sa. hausraths 205, Sa. silber geschirr und geschmeids 26, Sa. Goldener Ring 40, Sa. baarschafft 1524, Summa summarum 1797 lb, haussteuren 198 lb, (Summa) 1996 lb
der Ehefrauen ihr Zugebracht Vermögen, Sa. hausraths 147, Sa. silber geschirr und Geschmeids 26, Sa. Goldener Ring 70, Summa summarum 243 lb, Haussteuren 198 (Summa) 442 lb
beeder Ehel. einander Zugebracht guth 2438 lb

Jean Ehrlenholtz qui a appris le métier d’aubergiste auprès de son père devient tributaire chez les Fribourgeois. Le conseil le renvoie aux Quinze pour obtenir le droit d’auberge au Cep de Vigne
1770, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 390-v) 2.te Gericht de 1770. Donnerstag den 5. mensis Aprilis in Anno 1770 – Neuzünfftiger
Hr Johannes Ehrlenholtz Junior, der Künfftige Würth undt Gastgeber Zum Weinstockh vnd burger Zu Straßburg, Herrn Johannes Ehrlenholtz Senioris auch geweßenen Würths vndt Gastgebers allda ehelich erzeugten Sohns, Ist dato wegen producirten den 15. deß Monaths Januarÿ datirten Statt Stall Schein wie auch Extractu Gerichts Protocolli wegen nach Ordnung Krafft Articul vom 17. Septembris 1746. Paragrapho 4.to beÿ vorgemeldtem Seinem Vatter Erlerter profession der Würtschafft Undt weilen Er auch nachgehendts der Würthschafft auch Zum theil ausserhalb vnd in der Frembde der profession deß Kochens obgelernt auff deßelben geschehenes Ansuchen alß ein Würth Leibzünfftig angenommen Mithin Ihme das völlige Zunfft: undt würths Recht Und Zwar alß einer, so derhalben alle Nöthige præsandi præstiret gehabt, gegen Erlag der 7. lb d mit Einbegriff deß protocoll: vndt Stubengeldts pro hoc anno wie auch 1 lb 15 ß d vor den Lehr Brieff sambt der Zunfft gebühr hiervon conferiret Jedoch aber auch wegen Erlangung deß Weinschancks inn dem Vor: ermeldten Würths hauß Zum Weinstockh ahne S.T. Unßere Gnädige Herren Verwießen worden. dedit et juravit eodem auff die ordnung

Ursule Dietsch devient bourgeoise par son mari : inscription au registre, traitement de la demande
1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 19
Mar. Ursula Dietschin von barr geb. erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johannes Ehrlenholtz gastgeber und burgern allhier um den alten burger schilling, Will dienen beÿ E.E. Zunfft d. freÿburger, prom. eod.

(VI 286 bis, p. 74) N° 11 den 27.ten aug. 1770. Freÿburger
Jgfr. Anna Ursula Joh: Georg Dietsch deß burgers und wollenwebers zu barr eheliche tochter Verlobt an Johannes Ehrlenholtz den burger und gastgeber alhier, Erweißet durch scheine ihro eheliche geburt, Augsb. Conf. und deß Sponsi stall gebühr richtigkeit.
500 fl. baar geld hat Implorantin Vorgewießen und den aÿd deß Eigenthumbs abgelegt auch 100 fl. nach ordnung beÿ dem burger prothololl deponirt
Bittet a Sponso umb den alten burger schilling die auffnahm in das hießige burgerrecht
A. b. sch.

Anne Ursule Dietsch meurt en 1803 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison place d’armes

1804 (26 germinal 12), Strasbourg 3 (27), Not. Übersaal n° 822, 2417
Inventarium über Fr. Anna Ursula Ehrlenholtz geb. Dietsch des burgers Johannes Ehrlenholtz Güterbesitzers Fr. Eheliebste vermögens Nachlassenschaft, nach ihrem den 3. frimaire 12 erfolgten absterben
die Verstorbene Fr. Ehrlenholtz hat ab intestato zu ihren Erben hinterlassen die mit dem Wittwer erzeugte beÿde töchter mit der wittib Fr. Catharina Margaretha geb. Ehrlenholtz erstmals des weÿl. Johann Ehrlenholtz Sattlers Ehegattin und nachmals des weÿl. burgers Johann Christian Höltzler ebenmäßigen Sattlers hinterbliebenen Wittib welche den 24. thermidor 11 gestorben 1) Catharina Margaretha Ehrlenholtz so ohngefähr 12 Jahr alt, 2) Charlottam Sophiam ohngefähr 8 Jahr alt, 3) Fridericam Charlottam Höltzler ihres Alters 3 Jahr.
Nota In zwoter Ehe hat dieselbe ein Söhlein Namens Christian Höltzler erzeuget welches aber den 14. brumaire 12 mithin nach der Mutter aber vor seiner großmutter gestorben ist, dieser Enckel natürlicher Vogt ist Johannes Ehrlenholtz deroselben großvater ihr subrogirtes Vogt aber Jakob Martin Lutz Glaser
II. Fr. Susannam Catharinam geb. Ehrlenholtz des burgers Johann Daniel Stromeyer handelsmanns Eheliebste
III. Jfr. Catharinam Louisam Ehrlenholtz so geb. den 25. Augusti 1785 dermalen in das 19 jahr ihres Alters gehet

in einer an dem Waffenplatz gelegenen von dem Wittwer bewohnenden behausung N° 12
Ergäntzung, (lauth) Inventarium illatorum Not. Dautel am 12 martÿ 1770
Ergäntzung des Wittwers 9260 fr, passiva 600 fr, Nach deren Abzug 8660 fr
der Erben unveränderte Gut, Kleidung 644 fr, Activ schulden 600 fr, Ergäntzung 12 267 fr, abzuziehen 802 fr, Nach deren Abzug 11.465 fr, summa summarum 12.709 fr
Theilbare Massa oder Errungenschafft, hausrath 4371 fr, Früchte 672 fr, Wein und Faesser 5461 fr, Silber 2447 fr, baarschafft 3061 fr, Angelegte Capitalien 103.041 fr
Eigenthum an häusern so theilbar. Erstlichen eine behausung samt allen Gebäuden, Zugehörden und Rechten an dem Waffenplatz N° 12 einseit neben bu. Bößwillwald Knopffmacher anderseit formiert dieselbe das Eck des Pfahlgäßleins hinten auf die Gastbehausung zum Einhorn so dem bürger Kiefer Gastgeber gehörig, 18.000 francken
Und eine behausung samt zugehörden und Rechten gelegen zu Barr, 8000 francken
summa häusern 26.000 fr
Liegende güther Barrer banns, Mittelbergheimer Banns, Heiligensteiner banns, Wanzenauer banns, In dem bann Bossendorf, Eschau, Morschweiler, Hiltzheim, Niederschäffolsheim, Minversheim, Straßburg, Gimbrett, Geispolsheim, Hindisheim, Wittisheim 58.128 fr, Summa summarum 203.182 fr, passiva 26.726 fr, Nach deren abzug 176 456 fr
Eheberedung Not. Dautel am 16. aug. 1769 (…) Copia des fernern Ehe: Contracts vor unterschr. Notario den 22. nivos 10
Enregistrement de Strasbourg, acp 91 F° 34-v du 27 ger 12

Jean Ehrenholtz meurt en 1807 en délaissant pour seuls héritiers ses deux filles ou leurs représentants

1807 (24.2.), Strasbourg 10 (19), Not. Zimmer n° 348, 3066 (6340)
Inventaire de la succession de Jean Ehrenholtz décédé le 27 octobre dernier – à la requête de Catherine Susanne Ehrenholtz épouse de M Jean Daniel Stromeyer Propriétaire héritière pour moitié
les seuls et uniques héritiers 1. les trois enfants et héritières mineures délaissées par Catherine Marguerite née Ehrenholtz fille du défunt veuve en premières noces de Jean Ehrenholtz et en dernier lieu épouse de Jean Chrétien Hoeltzer les deux selliers a) Catherine Marguerite Ehrenholtz, b) Charlotte Sophie Ehrenholtz, c) Frédérique Charlotte – tuteur ordinaire Jean Daniel Ehrenholtz négociant, subrogé tuteur Jean Martin Lutz vitrier – Codicille, Me Übersaal 16 prairial 13

dans la maison mortuaire place d’armes N° 12
propres du défunt, garde robe 886 fr, meubles 6166 fr, argenterie 4661 fr, vins 9185 fr, grains numéraire 56.107 fr, déduire sommes placées 19.700 fr, reste 36.407 fr, créances hypothécaires bonnes 69.925 fr, douteuses 16.615 fr, créances chirographaires bonnes 6274 fr, douteuses 6889 fr
Maisons a Strasbourg – Premièrement une maison avec cour puits appartenances et dépendances sise a Strasbourg rue de l’outre N° 10, d’un côté celle du Sr Heckel tailleur, d’autre celle du Sr Saltzmann cordonnier, derrière M Storck Luthier – louée jusqu’au 25 mars 1808 au Sr Jean Baptiste Bontems menuisier pour 400 fr, A l’appuy de la propriété a) contrat de vente signé par Beguin greffier du petit sénat, que ladite maison a été expropriée devant la Chambre des Subhastations sur Jean Jacques Larouette tailleur et Eve Dorothée Knoderer et que dans cette expropriation le pere du défunt est devenu propriétaire, b) bail ssp audit Bontems 10 pluviose 13
Plus une auberge et dépendances ayant pour enseigne le Cep de vigne sise a Strasbourg vieux marché aux grains n° 24 a côté de la boulangerie a l’Ecrevisse faisant le coin de la place d’armes et de la ruelle dite Rubenlochgässelin dans laquelle elle a une issue – louée à Jean Michel Müntzer aubergiste et Catherine Madeleine Bédicam pour 6 années qui finiront le 24 juin 1809 pour 1382 francs suivant bail reçu Me Übersaal le 15 germinal 11, A l’appuy de la propriété a) contrat de vente du 15 nov. 1635 par lequel Laurent Roser tonnelier comme tuteur des enfants de Nicolas Welt aubergiste a vendu la maison à Jean Hammerer boucher, b) contrat de vente du 8 février 1658 par lequel Jean Fronhöffer aubergiste a acquis la maison des enfants du Sr Hammerer, c) contrat de vente 10 juillet 1697 par lequel Jean Wittmar passementier curateur aux enfants d’Ursule Fronhöffer femme Dietsch a vendu la moitié par indivis de ladite auberge à Jean Fronhöffer déjà propriétaire de l’autre moitié, d) contrat de vente du 30 mars 1709 que Jean Jacques Stempel aubergiste a acquis la propriété dudit Jean Fronhöffer – Nota. Ladite maison doit avoir été acquise par le père du défunt et être échue du défunt comme son seul et unique héritier, Mais il ne s’est trouvé ni contrat ni Inventaire de la succession
Plus une maison et dépendances sise a Strasbourg rue de la Soupe a l’eau N° 51, d’un côté celle de la veuve Hess, d’autre le Sr Duclot maçon, derrière la caserne – occupée par le Sr Stemmer cordier pour 72 francs et la veuve Michel pour 60 francs, ensemble 132 francs – Contrat de vente à la Chambre des Contrats le 5 oct. 1734 par lequel ladite maison a été vendue à Jean Geofroi Stahl tailleur d’habits à Marie Ursule Klencker sa femme, le 27 octobre 1740 les conjoints Stahl ont transmis la propriété à Anne Marie Roos veuve Kilian – Nota. ladite maison doit aussi avoir été acquise par le pere du défunt et être échue a ce dernier comme son seul et unique héritier
Plus une maison et dépendances sise à Strasbourg grand rue N° 90, d’un côté celle du Sr Galomme rentier, d’autre celle du Sr Nortz propriétaire, derrière une maison dépendante de la paroisse de St Pierre le Vieux, de laquelle maison les parties déclarent être occupées par 1. le Sr Trenner fourbisseur pour 168 francs, 2. le Sr Sollinger cordonnier pour 136 francs, 3. le Sr Zahn fondeur pour 120 francs, 4. le Sr Hoffmann cordonnier pour 96 francs, ensemble 520 francs, A l’appuy de la propriété a) Contrats de vente de mai 1584, juillet 1532, aout 1533, mars 1580 et aout 1547, b) Chambre des Contrats 5 mars 1767 Jean François Antoine Gillioth tonnelier et Marie Salomé Nessmann sont devenus propriétaire de ladite maison, c) contrat de vente du 6 juil. 1772 les conjoints Gillioth ont transporté la propriété au père du défunt
Plus 13/24 ou 26/48 par indivis dans une maison et dépendances sise à Strasbourg place d’armes n° 12, d’un côté du Sr Boeswillwald fabricant de boutons, d’autre faisant le coin de la ruelle du poteau, derrière l’auberge a la licorne, occupée par M. Vivet pour 400 francs, Loeb Weil pour 300 francs, le défunt pour 300 francs, total 1000 francs, la portion 541 francs – acquis de Jean André Zeyss Aubergiste et Anne Marie Hebenstreit pendant le mariage de feue son épouse Anne Ursule Dietsch Chambre des Contrats le 6 mai 1788 – la moitié ou 20/48 appartenant au défunt comme ayant été commun en biens avec la défunte et 1/24 ou 2/48 héritier pour un quart de la succession de Catherine Louise Ehrenholtz sa fille, 26/48, Quant aux 11/24, 8/24 échus à la De Stromeyer faisant son tiers dans la succession maternelle et 3/48 de la succession de sa sœur et auxdites héritieres mineures par représentation de leur mère (idem)
Biens fonds au ban de Strasbourg 13/24 dans un jardin de la contenance d’environ 10 ares ou un demi arpent hors la porte des Bouchers dite d’Austerlitz sur la gauche de la chaussée du Rhin N° 26 cultivent les héritiers Helmstetter d’autre communal donnant devant sur la chaussée derrière le communal, lequel jardin dont le domaine direct appartient a la ville de Strasbourg, grevé d’une rente emphythéotique de 4 francs par an, jouissance évaluée à 48 francs par an faisant pour les 13/24 26 francs, les 11/24 dévolus auxdites héritières, À lappui de la propriété dudit jardin a) contrat de vente reçu Me Dinckel le 21 frimaire 6 suivant lequel Georges Frédéric Fettich secrétaire en chef de l’hospice de cette ville a vendu le domaine util dudit jardin à Jean Michel Zeitler marchand et Anne Marie Huntzinger, Me Übersaal 11 frimaire 7, les conjoints Ehrlenholtz ont acquis des conjoints Zeitler
corps de biens à Altenheim, Wantzenau, Minversheim, Wittisheim, Niederschaeffolsheim, Bosendorf, Hilsenheim, Eschau, Morschwiller
rentes emphythéotiques et censitiques à Geispolsheim et Blaesheim, Hindisheim, Gimbrett
créances hypothécaires bonnes 72.703 fr, grains, numéraire 36.407 fr, remboursements 71.642 fr, créances hypothécaires 36.829 fr
masse à Barr, inventaire Me Schwind du 8 décembre 1806 – mobilier 3995 fr, Immeubles à Barr, Mittelbergheim, Heiligenstein, Gertweiler
passif 66.560 fr
succession de Catherine Louise Ehrlenholtz 19.777 fr, garde robe bijoux 2536 fr
Récapitulation, total général de la succession paternelle 102.550 fr (registre de vente) – annexé acte du 28 avril 1814 Compte de gestion
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 f° 32 du 5.3.

Les héritiers Ehrlenholtz vendent différents immeubles. Le rapport des experts est annexé au cahier des charges. La maison Grand rue revient à la cohéritière Catherine Marguerite Ehrenholtz femme de Jean Louis Steiner

1815 (20.1.), Strasbourg 10 (59), Not. Zimmer
N° 4128 Cahier des charges (eneg. f° 81 du 22 février 1815) 1. Susanne Catherine née Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Stromeyer, 2. ledit Jean Daniel Stromeyer tuteur ordinaire de Frédérique Charlotte Hoeltzler fille mineure de Catherine Marguerite née Ehrlenholtz sa mère issue du mariage en secondes noces de Jean Chrétien Holtzler sellier, 3. Nicolas Dietsch subrogé tuteur de ladite mineure Hoeltzler, 4. Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner commissionnaire de roulage, 5. Charlotte Sophie Ehrlenholtz fille mineure de la De Ehrlenholtz en premières noces de Jean Ehrlenholtz sellier épouse mineure émancipée par le mariage avec Chrétien Charles Steiner négociant, 6. Jean Louis Steiner curateur établi à l’émancipation de la De Charles Steiner, seuls et uniques héritiers de Jean Ehrlenholtz leur père et ayeul respectif, la De Stromeyer pour moitié, les De Steiner et Hoeltzler par représentation de leur mère pour l’autre moitié. inventaire dressé par Me Zimmer le 24 février 1807, jugement de tribunal de première instance du 7 avril 1814, rapport d’experts du 14 juin et jugement du 21 juin
Déclaration de command, la maison rue de l’Outre pour 10.100 fr à Georges Kieffer marchand d’eaux minérales, le 2 mai n° 6841 (f° 193 du 2.5.)
Déclaration de command, la maison Grand Rue pour 8500 fr à Catherine Marguerite Ehrenholtz femme de Jean Louis Steiner du 2 mai n° 6842 (f° 194 du 2.5.)
Désignation sommaire des immeubles à vendre. 1. une maison avec cour, pompe, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Haas farinier, d’autre celle du Sr Nortz propriétaire, derrière une maison dépendant de la paroisse de St Pierre le Vieux, estimée 6000 francs
2. une maison avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 51, entre la maison du Sr Haas et celle du Sr Duclos, derrière la Caserne de la Finckmatt, estimée 1500 francs
3. une maison avec cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise rue de l’Outre n° 10, d’un côté la maison de la veuve Heckel, d’autre Sr Saltzmann, derrière propriété du Sr Storck luthier, estimée 6200 francs
4. et un jardin avec petite gloriette de la contenance de 1113 mètres carrés plantés d’arbres fruitiers entourée d’une haie vive hors la porte des bouchers dite d’Austerlitz sur la gauche de la chaussée du Rhin n° 32, d’un côté n° 26 cultivent les héritiers Helmstetter d’autre communal devant la chaussée derrière le communal estimée 550 fr
Titres de propriété, la maison grand rue est échue aux vendeurs dans la succession du Sr Ehrlenholtz leur père auquel elle est avenue dans la succession de feu son père du même nom, suivant inventaire dans lequel sont relatés à l’appui de la propriété de ladite maison a) cinq contrats de vente de mai 1524, juillet 1532, août 1533, mars 1580, et août 1547, b) Chambre des Contrats le 5 mars 1777 par lequel François Antoine Gilloth tonnelier et Marie Salomé Nessmann sont devenus propriétaires de cette maison, c) Chambre des Contrats le 6 juillrt 1772 les conjoints Gilloth ont cédé la maison au père du défunt Ehrlenholtz
La maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51 échue dans la succession du Sr Ehrlenholtz leur père qui le tenait du chef de son père, 1. vente à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1734 vendu à Jean Geofroi Stahl tailleur et Marie Ursule Klenckner, 2. le 27 octobre 1740 le Sr Stahl a transmis ledit immeuble à Anne Marie Roos veuve Kilian, Il était affecté sur ladite maison une rente foncière de 4 francs dont les héritieres Ehrlenholtz ont été déchargées suivant déclaration de M le maire de cette ville le 24 décembre 1814
La maison rue de l’Outre n° 10 est avenue aux vendeurs dans la succession de son père, à l’appui, expropriation à la Chambre des Subhastations sur Jean Jacques Larouette tailleur et Eve Dorothée Knoderer le 6 juin 1775
Le jardin, 13/24 appartiennent aux héritiers du chef de leur père et ayeul respectif et 11/24 chef de feue Anne Ursule Dietsch épouse Ehrlenholtz leur mère et ayeule et Catherine Louise Ehrlenholtz leur sœur suivant inventaire susallégue et celui de la succession d’Anne Ursule Dietsch reçu Me Ubersaal le 26 germinal 12. Il existe encore à l’appui de la propriété 1. Me Dinckel 21 frimaire 6, Georges Frédéric Fettich secrétaire en chef de l’hospice de cette ville a vendu le domaine utile dudit jardin à Jean Michel Zeitler marchand et Anne Marie Huntzinger, 2. Suivant contrat reçu Me Übersaal le 11 frimaire 7 Ehrlenholtz acquis des conjoints Zeitler, 3. plan levé par M Petin inspecteur des Ponts et Chaussées d’Alsace le 29 avril 1789 enreg. 9 fev. 1815, 4. rachat de rente emphythéotique délivré par M le maire le 24 dec. dernier
adjudication préparatoire n° 6802 du 10 avril – adjudication du 28 avril n° 6835 la maison rue de la Soupe à l’Eau et jardin sans amateur (enreg. f° 193 du 2.5.)
Adjudication définitive du 1 mai n° 6840 des maisons grand rue et rue de l’outre
la maison grand rue De Stromeyer 8500 fr
rue de l’Outre, De Stromeyer 10.100 fr (enreg. f° 193 du 2.5.)
Rapport d’experts du 14. juin 1814, Frédéric Arnold, Michel Gruber, Jacques Stotz les trois architectes – la maison sise grand’rue n° 90, 1. cet immeuble consiste en un bâtiment donnant sur la rue à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie avec cave voutée le tout terminé d’un comble uni, D’un pavillon situé a droite dans une petite cour à rez de chaussée et deux étages en galendures terminé par un mi toit, Et d’un bâtiment de fond à rez de chaussée et deux étages terminé par un comble uni. La facade de ce bâtiment est en galendure le pignon du fond donne contre une ruelle, La maison de devant contient au rez de chaussée un vestibule, deux chambres et une cuisine au premier et second étage se trouve dans chacun deux chambres et une petite cuisine. Le Pavillon contient au rez de chaussée une petite chambre et une buanderie le premier et le second étage forme cage d’escalier et galerie couverte. La maison de fond est distribuée au rez de chaussée en bûcher, latrines et petite chambre. Le premier étage contient une chambre avec une cuisine le second étage ne contient qu’une chambre, estimée 6000 francs, les tenants et les aboutissants sont la maison du Sr Haas d’autre celle du Sr Nortz au fond un egoût entre une maison appartenant à la paroisse St Pierre le vieux
2. maison sise rue de la Soupe à l’Eau n° 51. Cet immeuble situé d’un côté la maison de le veuve Hess d’autre le Sr Duclos et au fond sur la caserne de la Finckmatt est construit à rez de chaussée et premier étage en galendure terminé par un comble uni. Le rez de chaussée contient vestibule et cuisine avec deux chambres. Le premier étage a la même distribution 1500 francs
3. maison sise rue de l’Outre n° 10. Cet immeuble est contigu d’un côté à la veuve Heckel d’autre celle du Sr Saltzmann au fond celle du Sr Storck luthier, la maison donnant sur la rue est construite a rez de chaussée et premier étage en maçonnerie avec cave voutée et comble uni. D’une petite cour avec un Pavillon a gauche a rez de chaussée et premier étage en galendure terminé d’un mi toit, D’une maison du fond à rez de chaussée et un étage en maçonnerie couvert d’un mitoit. Le rez de chaussée de la maison principale contient vestibule et deux chambres. Et au grenier une chambre militaire. Le pavillon construit en galendure contient au rez de chaussée cage d’escalier cuisine et buanderie au premier étage cage d’escalier cuisine et chambre. La maison du fond contient au rez de chaussée bucher et latrines et au premier étage une chambre, estimée 6200 francs
N° 4, maison sise place d’armes n° 12, Cet immeuble est contigû d’un côté à la maison de feu Sr Boeswilwald d’autre ruelle du poteau et au fond sur la cour du cabaret à la licorne. Il consiste en une maison donnant sur le place d’armes à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie avec cave solivée le tout terminé d’un comble uni, D’un pavillon à droite dans la petite cour à rez de chaussée et deux étages en galendure terminé par une mansarde et mi toit et D’une maison de fond à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie terminée d’une mansarde et comble uni cette maison prend la communication de la maison de devant par le moyen d’une galerie en dalles avec grillage en fer. La maison de devant est distribuée au rez de chaussée en trois chambres avec vestibule. Au premier étage trois chambres avec vestibule et cuisine. Au second étage la même distribution. Le premier grenier est distribué en trois chambres. Le pavillon contient au rez de chaussée une chambre et l’escalier. Au premier et second étage la cage d’escalier. La maison de fond contient au rez de chaussée buanderie, magasin aux bois et Latrines. Au premier étage trois chambres et latrines. Au second étage deux chambres et latrines. Et aux mansardes trois chambres, estimée 28 000 francs
5. Jardin sis hors la porte des Bouchers. Ce jardin est enclavé de biens communaux est est entouré d’une haie vive avec une petite gloriette de la longueur de 3 m 34 cm 4 mm sur 2 m 34 cm 4 mm de largeur. Le terrain total de contient 1113 m quarrés il est planté d’arbres fruitiers, estimé 550 francs

Originaire de Ribeauvillé, le négociant Jean Louis Steiner épouse Catherine Marguerite Ehrlenholtz en 1809
1809 (18.11.), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 429, 4210
Contrat de mariage – Mr Jean Louis Steiner Négociant demeurant à Strasbourg né à Ribeauvillé département du Haut Rhin le 27. juil. 1785 du Sr Jean Louis Steiner propriétaire et de De Caroline Finck
Mademoseille Catherine Marguerite Ehrlenholtz née à Strasbourg le 27. jan. 1792 de feu Jean Ehrlenholtz, sellier et de feue De Catherine Marguerite née Ehrlenholtz
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 f° 130-v du 20.11.

Les locataires Jean Zahn et Marie Catherine Fæller consentent au mariage de leur fils

1820 (8.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 41), Me Hickel n° 410
Consentement par Jean Zahn, ciseleur, et Marie Catherine Faeller au mariage que leur fils Jean Zahn ciseleur est intentionné de contracter avec Frédérique Hoffmann fille de feu Geoffoi Hoffmann, imprimeur, et Catherine Nobis, dans la demeure des comparants grand rue n° 90
Enregistrement de Strasbourg, acp 146 F° 52-v du 9.2.

La maison est citée à l’inventaire dressé après la mort de Susanne Catherine Ehrlenholtz femme du négociant Jean Daniel Strohmeyer

1823 (2.1.), Strasbourg 2 (53), Me Weigel sans n°
Inventaire de la succession de Susanne Catherine Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Strohmeyer, négociant, décédée le 26 décembre 1822 – à la requête de I. Bernard Wartmann, négociant, tuteur principal Jean Daniel Strohmeyer, ci devant négociant, privé de ses droits par jugement du Tribunal Civil du 13 avril 1818, II. a) Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner, négociant, b) Charlotte Sophie Ehrlenholtz épouse de Chrétien Charles Steiner, négociant à Ribeauvillé, c) Frédéric Schreider, notaire à la résidence de Strasbourg, au nom de son fils mineur Frédéric, seul et unique héritier de Charlotte Frédérique Hoeltzler – les De Strohmeyer, Schreider par représentation de leur mère Catherine Marguerite Ehrlenholtz veuve en premières noces de Jean Ehrlenholtz et en secondes noces de Chrétien Hoeltzler les deux selliers, en présence de Philippe Frédéric Leiter ci devant agent de change tuteur subrogé
Contrat de mariage reçu Übersaal le 4 fructidor 4, testament olographe du 20 septembre 1822 déposé au rang des minutes de Me Weigel le 30 décembre

dans la maison mortuaire grand rue n° 38, dans un appartement au second étage éclairée sur la rue
Meubles. dans une chambre au 1er étage éclairée sur la rue, dans la chambre à côté, dans la cuisine, dans la chambre de derrière au second étage, dans une chambre éclairée sur la rue, dans une chambre au second étage éclairée sur la rue, dans la chambre à côté éclairée sur la rue, dans la chambre de la domestique, dans une chambre au 1er étage donnant sur une ruelle, dans la chambre au troisième étage éclairée sur la, dans un chambre donnant sur le derrière, dans la petite cuisine au troisième étage, au grenier, dans la chambre au linge sale, (nouvelle vacation, au troisième) dans la chambre à côté, au grenier, dans la cave, dans la cave grand rue n° 70 (f° 22 et suiv., dans la campagne de Plobsheim)
Titres et papiers, 9) vente de 4/9 par indivis d’une maison n° 90 Vieux Marché aux Poissons à Jean Daniel Strohmeyer par acte reçu Me Zimmer le 17 brumaire 10 transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n° 37, 10) vente des quatre autres 9° de ladite maison devant Me Zimmer le 17 brumaire 10
13) acte passé à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1734 relatif à la maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51, 14) à la Chambre des Contrats le 27 octobre 1840, rue de la Soupe à l’Eau n° 51
54) acte reçu Dinckel le 20 frimaire 6 (11 décembre 1797) un jardin hors la porte des Bouchers à Jean Michel Zeitler marchand et Marie Huntzinger cette vente ne porte que sur le domaine utile, le domaine direct appartient à la ville de Strasbourg, 55) Me Ubersaal le 11 frimaire 7 les conjoints Zeitler ont vendu le domaine utile du jardin à M Ehrlenholtz, 56) plan dudit jardin dressé par M Petin ingénieur, enreg. le 9 février 1815, 57) quittance par le maire de 91 fr le 24 décembre 1814 d’une rente affectée sur ledit jardin hors la porte des Bouchers enreg. 27 décembre 1814
92) par acte reçu Me Bossenius le 8 novembre 1813 transcrit au bureau des hypothèques volume 94 n° 228 Jean Philippe Rauschenbach marchand de fer et Marie Salomé Weber ont vendu à Jean Daniel Strohmeyer la maison sise à Strasbourg grand rue n° 38, 93) Chambre des Contrats le 22 mai 1786 Marie Madeleine Sommer veuve en secondes noces de Pierre Baillet graissier a vendu à Jean Georges Kamm et Salomé Foettinger la maison désignéd au contrat suscoté, 94) Me Bossenius le 14 floréal 10 (3 mai 1802) Jean Geoffroi Stahl orfèvre ensemble la masse des créanciers de Jean Georges Kamm et son épouse née Foettinger ont vendu à Louis Ignace Chayron officier de santé ladite maison, 95) Me Bossenius le 22 novembre 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 31 n° 1 le Sr Chayron et Marie Marguerite Hausser ont vendu à Jean Philippe Rauschenbach et son épouse née Weber ladite maison et dépendances
immeubles de la communauté à Willgottheim, Donnenheim et Bilwisheim, Plobsheim, Bosselshausen
6. une maison sise à Strasbourg grand rue n° 38, d’un côté M. Lipp boulanger, d’autre M. Endlich, acquise de Jean Philippe Rauschenbach, marchand de fer et Marie Salomé Weber par acte reçu Me Bossenius le 8 novembre 1816 cote 92 pour 12.000 francs
total des immeubles 60.850 fr, total des dettes actives 158.687 fr, passif de la communauté, remploi du à M Strohmeyer 32.735 fr remploi du à la défunte 20.789 fr, passif de la communauté 327.863 fr
propres (f° 112) à Willgottheim, Cosswiller, Souffelweyersheim, Plobsheim, Schlestadt
propre à la défunte, Bossendorf, Mutzenhausen, Schwindratzheim, Morschwiller, Niederschaeffolsheim, Wittisheim, la moitié par indivis d’un petit jardin sur la chaussée du Rhin, la moitié d’une rente à Gimbett, pré à la Wantzenau
VIII. 1) la moitié par indivis d’une maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51, d’un côté la veuve Gass d’autre le Sr Duclos, cet immeuble provient de la succession de paternelle et maternelle
2) la moitié par indivis d’une maison grand rue n° 90, d’un côté le Sr Gatomme rentier, d’autre le Sr Nortz, derrière une maison appartenant à la fabrique St Pierre le Vieux, cet immeuble provient des mêmes sources
immeubles de la succession de Ferdinand Strohmeyer son fils, à Willgottheim, Cosswiller, Plobsheim, Soufflenheim, Schlestadt
passif personnel de M Strohmeyer 450 fr
Récapitulation, communauté mobilier 7243 fr, or et argenterie 3986 fr, argent comptant 8065 fr, créances 138.680 fr, créances douteuses 20.006 fr, immeubles de la communauté 60.850 fr, total 238.832 fr, prélèvements 237.863 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 19 du 13.1.- vacation du 3.1., acp 166 F° 50-v du 8.1.

Les copropriétaires vendent la maison 7 500 francs au fondeur chaudronnier Georges Heitz

1824 (14.7.), Strasbourg 12 (94), Me Wengler n° 13.560
1. Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de de Louis Steiner, négociant, 2. Jean Louis Steiner en son nom et lui même mandataire de Chrétien Charles Steiner son frère propriétaire à Ribeauvillé et Charlotte Sophie Ehrlenholtz, 3. Frédéric Schreider, notaire, père et tuteur légal de Frédéric Schreider son fils procréé de Frédérique Charlotte Holtzler
à Georges Heitz, fondeur chaudronnier
une maison à rez de chaussée et deux étages sur le devant, bâtiment de derrière et latéral, petite cour, pompe, caves, grenier, appartenances et dépendances, droits, aisances le tout situé à Strasbourg grand rue n° 90, d’un côté le Sr Nortz tonnelier, d’autre Henri Hass farinier, devant la rue, derrière une maison appartenant à la fabrique de St Pierre le Vieux, plus la chaudière dans la buanderie et les chantiers dans la cave.
La De Steiner et le mineur Schreider ont recueilli la moitié indivise de la succession de Susanne Catherine Ehrlenholtz leur tante et grand tante, femme de Jean Daniel Stromeyer ancien négociant, suivant acte reçu Me Weigel le 2 janvier 1823, La De Steiner et le mineur Schreider avaient recueilli deux tiers de l’autre moitié dans la succession de Jean Ehrlenholtz, propriétaire, leur grand père, suivant inventaire dressé par Me Zimmer le 4 février 1807, enfin le Sr Steiner a acquis le dernier tiers de la moitié par licitation dressée par Me Zimmer le 1 mars 1815, Ledit immeuble appartenait au Sr Ehrlenholtz leur aïeul et bisaïeul de la succession de son père qui l’avait acquise de François Antoine Gilloth, tonnelier, et Marie Salomé Nessmann par vente à la Chambre des Contrats le 6 juillet 1772 – pour 7500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 51-v du 20.7.

Georges Heitz n’est pas mentionné dans le registre de population (cote 600 MW 121, f° 251 sqq, Grande Rue N° 90)
Georges Heitz reconstruit la maison avant qui n’est pas encore terminée lors de l’adjudication par expropriation forcée en 1826. Jean Louis Steiner, précédent propriétaire, se rend adjudicataire

1826 (25.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 190, n° 67
Tribunal Civil de Première Instance – vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grand rue réellement saisie sur Georges Heitz, fondeur chaudronnier. Cahier des charges. Me Gebhard, avoué près le tribunal civil de première instance, déclare que Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner, négociant, et Charlotte Sophie Ehrlenholtz épouse de Chrétien Charles Steiner propriétaire à Ribeauvillé, Frédéric Schreider notaire royal père et tuteur légal de Frédéric Schreider son fils mineur procéee avec Frédérique Charlotte Hoeltzel son épouse en premières noces, sont créanciers de Georges Heitz de 175 francs formant les intérêts d’une somme principale de 7000 francs en vertu d’une vente passée devant Me Wengler le 14 juillet 1824
Me Klauhold
Déclaration de command du 5.5. pour Jean Louis Steiner, négociant 5350 fr
Désignation de l’immeuble, une maison sise à Strasbourg grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Henri Haas farinier n° 89, d’autre celle de David Nortz tonnelier n° 91
La maison de devant est nouvellement construite non achevée et hors d’état d’être habitée, elle consiste en rez de chaussée, trois étages couverts de tuiles construite en pierres, elle prend jour du devant par six croisées sans vitres et sans volets, et dans la cour par trois croisées vitrées. Elle a son entrée de la grande rue par une porte ordinaire et à côté de cette porte elle a une entrée dans la boutique, à droite en entrant dans la cour se trouve l’entrée dans une cave voutée qui est au dessous de la maison de devant, à côté de cette entrée le puits, plus loin la buanderie et en face le bâtiment de derrière à rez de chaussée & deux étages prenant jour par deux croisées vitrées à chaque étage et au rez de chaussée par une croisée sans vitres, ce bâtiment est construit en bois et en pierres et couvert de tuiles, le second étage est occupé par Jean Bruner, charpentier, et sa femme à titre de locataire, le reste de ces bâtiments n’est pas en état d’être habité – mise à prix 600 fr, élection de domicile Me Gebhard grand rue n° 146, fait le 17 décembre 1825
Adjudication préparatoire le 3 mars – Adjudication définitive le 5 mai

Ancien directeur d’assurances, Jean Louis Steiner meurt en 1862 en délaissant trois enfants
1862 (18.12.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Louis Steiner, ancien directeur d’assurances à Strasbourg, et Catherine Marguerite Erlenholtz sa veuve et de la succession du dit Sr Steiner décédé le 10 décembre 1862
dressé à la requête de 1) la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Zimmer le 8 novembre 1809, 2) le mandataire d’Edouard Louis Steiner demeurant à l’île de la Réunion, 3) Caroline Constance Steiner épouse d’Emile Constant Schreider, agronome à la Wantzenau, 4) Louise Emma Fanny Steiner, célibataire à Strasbourg

Communauté, mobilier estimé 3807, argent comptant 37
Succession, garde robe 244
acp 517 (3 Q 30 232) f° 30-v du 20.12. (succession déclarée le 27 février 1863)
(vacation du 23 février) Commerc, mobilier 3805, argent comptant 437, créances 40.998
Succession, garde robe 244, reprises de la veuve 96.855
acp 5189 (3 Q 30 234) f° 53 du 26.2.

Testament de Marguerite Elisabeth Ehrlenholtz veuve de Louis Steiner
1863 (15.3.), Me Grimmer

Testament de Marguerite Elisabeth Ehrlenholtz veuve de Louis Steiner, propriétaire à Strasbourg, par lequel elle lègue à Constance Steiner femme Schreider et à sa petite fille Marguerite Steiner les deux à Strasbourg tout ce dont la loi lui permet de disposer – 15 mars 1863
acp 520 (3 Q 30 235) f° 19-v du 17.3. (succession déclarée le 13 juin 1863)

Catherine Marguerite Ehrlenholtz meurt en 1863 en délaissant trois enfants
1863 (20.4.), Me Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Catherine Marguerite Ehrlenholtz veuve Jean Louis Steiner rentier à Strasbourg, décédée le 15 mars 1863
dressé à la respect de 1) Ferdinand Steiner, agent d’assurances à Strasbourg comme mandataire d’Edouard Louis Steiner, domicilié à l’île de la Réunion & encore comme tuteur de Marguerite Steiner fille du dit Sr Steiner issus du mariage avec Herminie Braun, 2) Emile Constant Schreider, agronome à la Wantzenau comme poursuivant les droits de Caroline Constance Steiner sa femme, 3) Louise Emma Fanny Steiner, célibataire à Strasbourg
Mobilier de la communauté, estimé 3807, créances 38.733
garde robe 794, argent 1687, créances propres 59.000, deux rentes de 16 litres de méteil dues par Valentin Litt de Gimbrett – Passif 1338
acp 521 (3 Q 30 236) f° 48-v du 25.4. (succession déclarée le 13 juin 1863)

Jean Louis Steiner et Catherine Marguerite Ehrlenholtz vendent la maison 7 000 francs au musicien Louis Neubert et à sa femme Sophie Krehmer

1829 (17.10.), Strasbourg, Me F. Grimmer – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 228, n° 64 du 29.10.
Jean Louis Steiner, directeur général pour le département du Bas Rhin pour l’assurance royale contre l’incendie, et Catherine Marguerite Ehrlenholtz
à Louis Neubert, musicien, et Sophie Krehmer
une maison à rez de chaussée et trois étages sise à Strasbourg Grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Heinrich Haas, d’autre celle de David Nortz, tonnelier, avec toutes aisances, appartenances et dépendances, plus cinq fourneaux en fer de fonte avec tuyaux et pierre – adjugée à la barre du Tribunal Civil expropriation contre Georges Heitz, fondeur chaudronnier, adjudication définitive et déclaration de command le 5 mai 1826 – moyennant 7000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 196 F° 155-v du 19.10.

Originaire de Langenfeld outre Rhin, Auguste Louis Neubert épouse en 1822 Elisabeth Sophie Kremern fille d’orfèvre
1822 (29.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Auguste Louis Neuberth, muscien, fils de feu Gottlob Frédéric Neuberth et de Sophie Caroline Bezult demeurant à Langenfeld outre Rhin
Elisabeth Sophie Kremer fille majeure de feu Chrétien Kremer, orfèvre et de Marie Elisabeth Kieffer
Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 157 F° 173-v du 1.6.

Louis Neubert et Sophie Krehmer vendent la maison 10 000 francs à Marie Catherine Tuchart veuve du fabricant d’huile Jean David Schultz

1840 (4.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 356, n° 105 – Strasbourg, Me F. Grimmer du 19.3.
Louis Neubert, professeur de musique, et Sophie Krehmer
à Marie Catherine Tuchart veuve de Jean David Schultz, fabricant d’huile
une maison à rez de chaussée et trois étages ayant bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, droits et dépendances située à Strasbourg Grand rue n° 90 à côté de celle de la femme Kientzel, sont compris quatre fourneaux en fer de fonte avec tuyaux et pierres et les rayons qui se trouvent dans la boutique d’épicerie et dans le magasin – acquis de Jean Louis Steiner, négociant, et de Catherine Marguerite Ehrlenholtz, par acte reçu par le soussigné Me Grimmer le 17 octobre [sic] transcrit au bureau des hypothèques volume 228 n° 64, les époux Steiner en étaient propriétaire suivant adjudication à la barre du tribunal civil dans l’expropriation poursuivie contre Georges Heitz, chaudronnier, adjudication définitive et déclaration de command le 5 mai 1826 – pour 10.000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 276 f° 88 du 23.3.

Fils d’apprêteur de tabac, Jean David Schultz épouse en 1803 Marie Madeleine Dugard originaire de Romanswiller
Mariage, Strasbourg (n° 435)
Du 5° jour complémentaire l’an XI de la République française. Acte de mariage de Jean David Schultz agé de 26 ans, apprêteur de tabac né en cette ville le 5 décembre 1776, y domicilié, fils légitime de feu Michel Schultz, apprêteur de tabac, et de Marguerite Weiss, Et de Marie Madeleine Dugard, âgé de 26 ans, domiciliée en cette ville depuis son enfance, née à Romanswiller département du Bas Rhin fille née hors le mariage de feu Guillaume Dugard tailleur audit lieu et de Barbe Froelich (…) en présence de mesure Richshoffer, agé de 44 ans, consigne adjoint, beau père de l’épouse, de Jean Georges Nicklaus, agé de 37 ans, tisserand, oncle de l’épouse (signé) Johann David Schultz, maria Catrina duchgardin (i 78)

Testament de Marie Catherine Tuchard
1844 (6.7.), Me Grimmer
Testament par lequel Marie Catherine Tuchard veuve Jean David Schultz vivant huilier à Strasbourg légue à ses deux petits enfants Frédéric et Frédérique, issus du mariage de sa fille Marguerite Madeleine Schultz avec Jean Frédéric Kautz, boucher à Strasbourg, chacun d’eux la somme de 4000 francs, avec accroissement de 4000 francs, Desquels legs ils jouiront au décès de sa fille sus dénommée à laquelle est léguée la jouissance et usufruit de la dite somme – le 6 juillet 1844
acp 325 (3 Q 30 040) f° 40 du 10.7.

Marie Catherine Tuchard meurt en 1844 en délaissant pour seule héritière sa fille Madeleine Schultz femme du boucher Jean Frédéric Kautz et leurs enfants

1844 (13.8.), Me Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Marie Catherine Tuchard veuve Jean David Schultz, vivant huilier à Strasbourg décédée audit lieu le 25 juin dernier, à la requête de Madeleine Schultz épouse de Jean Frédéric Kautz, boucher à Strasbourg, 2° du Sr Kautz susnommé, agissant en qualité d’administrateur de ses enfants mineurs Emile Frédéric Kautz et Madeleine Frédérique Kautz, la dame Kautz agissant comme légataire universelle et les mineurs Kautz comme légataires particuliers de la Dame Schultz suivant testament reçu Grimmer le 6 juillet 1843
Il dépend de ladite succession. Un mobilier évalué 1284 francs
Des créances 1189
Une maison sise à Strasbourg grand’rue n° 90
Passif évalué 18.100 francs
acp 326 (3 Q 30 041) f° 79 du 17.8.

Fils de boucher, Jean Frédéric Kautz épouse en 1826 Marguerite Madeleine Schultz
1826 (18.10.), Strasbourg 3 (75), Me Schreider n° 3056
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Frédéric Kautz, garçon saucissier, fils de feu Philippe Jacques Kautz, boucher, et d’Anne Marie Glock
Marguerite Madeleine Schultz, fille majeure de Jean David Schultz, fabricant d’huile, et de Marie Catherine Duchardt
Enregistrement de Strasbourg, acp 180 F° 182-v du 21.10.

Les héritiers Kautz vendent la maison au maréchal ferrant Georges Riehm et à sa femme Madeleine Etlensperger

1869 (2.3.), Me Flach
Frédéric Kautz, pâtissier, Madeleine Frédérique Kautz épouse d’André Schott, brasseur à Strasbourg
à Georges Riehm, maréchal ferrant, et Madeleine Allensperger sa femme
une Maison sise à Strasbourg grand rue n° 13, moyennant 20.000 francs, jouissance date du 25 mars 1769
acp 581 (3 Q 31869 296) f° 29-v du 3.3.

Originaire de Bouxwiller, Georges Riehm épouse en 1848 Madeleine Etlensperger native d’Achenheim
Mariage, Strasbourg (n° 29)
Du 23° janvier l’an 1849. Acte de mariage de Georges Frédéric Riehm, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 mars 1817 à Bouxwiller (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, maréchal ferrant, fils de feu Georges Riehm, brasseur décédé à Bouxwiller le 4 juillet 1833 et de feu Elisabeth Dorothée Heber décédée au même lieu le 17 avril 1833, et de Madeleine Etlensperger, mineure d’ans, née en légitime mariage le 4 juillet 1829 à Achenheim (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Joseph Etlensperger, journalier domicilié à Strasbourg et de Marie Thiboust domiciliée en cette ville ci présente et consentante (signé) Riehm, Ellensperger (i 17)

Maison arrière (1651-1680)

Après la mort de Jean Georges Fridel qui s’est réservé la maison arrière, deux de ses enfants sont placés à l’hôpital

1668, Conseillers et XXI (1 R 151)
Hanß Georg Fridels KK. 54.
(f° 54) Sambstag d. 11.ten Aprilis – Nôe Weÿl. Hanß Georg Fridels Haffners vndt burgers alhier hinderlaßener K.K. erscheint deren Vogt Leonhardt Sippel der hohltreher überreicht p. Reußnern unterth. supplication mit beÿlag N° 1 hette selbiger 3. KK hinderlaßen, darunder daß Mittlere Zuvor in diensten Kommen, die 2 Andere Aber alß daß ältere von 17 vndt dann daß jüngere von 13. Jahren wegen leibes gebrechlichkeit nicht wohl vntergebracht Werden könten, Alß bitte Er Weilen nuhnmehr die Mutter auch Gestorben vnd dero nahrung vermög beÿkommenden Inventarÿ sich Gleichwohlen Annoch auff 117. lb 18 ß 4 d erstreckt, Ged. Armselige Kinder nebens derselben in daß Waisenhauß Auff vndt Anzunehmen. Erk. Ahn die Hh. Pfleger deß Mehrern Spithals Gewiesen.
H. XV. Riehl, H. Andreas Fischer

L’administrateur de l’orphelinat vend la maison arrière au potier Michel Huck. Le vendeur déclare ignorer ce qu’est devenu le troisième enfant qui n’a pas été pensionnaire à l’orphelinat

1676 (3 Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 4
Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes
in gegensein Michael Huckhen deß Kachlers
ein hinder hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, zugehördten und Gerechtigkeiten sambt der gemeinschafft deß bronnens und bauchoffens, wie auch Zugangß und Gebrauchß deß Cloacs alhier ahn der Obern straßen nechst beÿ der Pfarrkirch zum alten St Peter einseit neben – anderseit neben (-) hinden uff eine behaußung dem alten St Peter Zuständig stoßend gelegen, und gehört die vordere behausung hannß Bollen dem Schreiner eÿgenthümblich zur, Von welcher ietz erkaufften behaußung gehend iährlichen 4. fl. straßb. wehrung widerlößig mit 100. fl. erwehnter wehrung dem großen Gmeinen Allmosen Zu St. Marx – umb 100 lb
[in margine :] Erschienen hierinn gemelter herr Wörtz in schaffners weiß, hatt bekannt und offentlich angezeigt, Es seÿen Von weÿl. hannß Georg Fridels deß Kachlers nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern, zweÿ, in daß waÿsenhauß uff: und eingenommen worden, Vom dritten aber, habe Er der Schaffner nichts gewußt, und die behaußung im nahmen deß waÿsenhaußes allein Verkaufft, gleich wie nun Ihme ietzt Kundbahr, daß 3. Kinder Vorhanden, und daß eine außer dem Waÿenhauß sich uffhalte Susanna heiße /:und mit David Meÿern dem hohlträhern p.sente bevögtiget seÿe:/ also habe Er deßen Vogt Von denen Jenigen 50. lb so der Käuffer hiebeÿ Zugegen erlegt, 33. lb Zugestellt (…) Act. 14. 8.br: a° 1676.

Michel Huck vend le bâtiment au menuisier Jean Adam Boll qui est déjà propriétaire du bâtiment avant

1680 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 343
Michael Huckh der Kachler
in gegensein Johann Adam Bollen des Schreiners
Ein hinderhauß hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten alhier ahne der obern Straßen nechst der Pfarrkirchen Zum Alten St. Peter einseit neben (-) anderseit neben Susannæ Schneiderin, hinden uff eine behausung dem Stifft alten St. Peter Zuständig stoßend gelegen, und gehört die Vordere behausung Ihme dem Käuffern Zue, Von welcher jetzt Verkaufften behausung gehend Jährlichen 4 fl. Straßb. Wehr. widerlößig mit 100. fl. erwehnter Wehr. dem großen gemeinen allmoßen Zu St. Marx – umb 100 lb



106, Grand rue


Grand rue n° 106 – VII 57 (Blondel), P 754 puis section 6 parcelle 37 (cadastre)

Maître d’ouvrage du bâtiment 6, rue Escarpée, André Stahl, maître maçon (1775)


La maison en juin 2018 – Porte d’entrée (1899)
Bâtiment arrière 6, rue Escarpée (1775, détaché en 1795) – Porte cochère

La maison comprend un bâtiment avant sur la Grand rue et un bâtiment arrière qui s’ouvre dans la rue Escarpée. Elle appartient au début du XVII° siècle au tailleur Jean Wagner puis à ses héritiers. Le farinier Ulric Greiner l’acquiert en 1665 et la lègue à son cousin huilier, aussi nommé Ulric Greiner, Les enfants de sa petite-fille la vendent en 1774 au maître maçon André Stahl qui reconstruit l’année suivante le bâtiment médian et le bâtiment arrière donnant dans la rue Escarpée en transformant sans doute aussi le bâtiment avant (voir les encadrements de fenêtre). Sa veuve vend en 1791 la maison avant au boucher Philippe Jacques Streichenberger en se réservant la maison rue Escarpée qu’elle vend en 1795 au maître de langue Joseph Lemaire. Ce bâtiment arrière est réuni à l’actuel 112, Grand rue en 1814.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 134

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (c) : porte d’entrée au milieu du rez-de-chaussée et une grande fenêtre de chaque côté, quatre fenêtres à chacun des deux étages, trois lucarnes au niveau inférieur des greniers. La cour L représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (4-1, ancien bâtiment médian), la remise (3-4) à l’ouest et le mur (2-3) du voisin à l’ouest.
Le bâtiment reconstruit en 1775 rue Escarpée est le deuxième à droite du repère (c) : porte à l’extrémité nord, deux fenêtres et portail à l’extrémité sud. Chacun des deux étages comprend sept fenêtres réunies en groupes de trois et quatre. On constate que les ouvertures au rez-de-chaussée ont été modifiées depuis lors puisqu’il y a aujourd’hui quatre fenêtres au lieu de deux petites.
La maison Grand rue porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 106.


Cour L – Devanture posée en 1876 (dossier de la Police du Bâtiment)

La veuve du médecin Louis Schæffer agrandit en 1877 la maison dont le revenu passe de 144 à 200 francs, sans doute en réaménageant les étages sous combles. Elle fait poser en 1876 et 1877 de part et d’autre de la porte centrale une devanture que le maître boucher Georges Weil fait transformer en 1899 quand il refait le rez-de-chaussée en agrandissant la cour. Le vestibule de la maison qui se trouvait au milieu de la façade est déplacé à l’extrémité droite pour laisser place au magasin. La devanture est à nouveau transformée en 1925 et la cour entièrement couverte d’un toit vitré l’année suivante. La devanture est refaite en 1953. Le nouvel aménagement du magasin maintient la porte de droite à la demande de l’architecte des Bâtiments de France en 1975.


Plan avant travaux (1898) – Façade et coupe (1899)

Façade en 1925 et en 2006

Vue prise en 1975 (dossiers de la Police du Bâtiment)

juillet 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1618 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Wagner, sellier
1620 (v) h Conrad Dittler, aubergiste, et (1614) Marie Wagner – luthériens
1629 h Etienne Gassner, aubergiste, et (1629) Marie Wagner veuve de Conrad Dittler – luthériens
1634 h Georges Fennier, aubergiste, et (1634) Marie Wagner veuve de Conrad Dittler et d’Etienne Gassner – luthériens
1650 adj Barbe Klug et consorts
1665 v Ulric Greiner, boulanger et farinier, et (1644) Catherine Gasser puis (1675) Marie Egen, veuve du fourbisseur Paul Schwanfelder – luthériens
1697 h Ulric Greiner, boulanger puis huilier, et (1693) Marie Hüffel puis (1698) Madeleine Schweigheusser – luthériens
Anne Catherine Greiner et (1717) Jean Albert Eissenmann, pharmacien – luthériens
1742 h Marie Madeleine Eissenmann, et (1737) Jean Herrmann, pasteur – luthériens
1774 v André Stahl, maître maçon, et (1762) Catherine Barbe Greiner – luthériens
1791 v Philippe Jacques Streichenberger, charcutier, et (1787) Marie Barbe Blessig – luthériens
1799 h Jean Michel Kæssbohrer, boucher, et (1799) Marie Barbe Blessig veuve de Philippe Jacques Streichenberger
Louis Chrétien Gonthier Schæfer, docteur en médecine, et (1826) Sophie Caroline Kæssbohrer
1897 Georges Weil, maître boucher
1918 Alexandre Asch, marchand de cuirs

Maison rue Escarpée n° 6, ensuite réunie à l’actuel 112, Grand rue

1795 v Joseph Lemaire, maître de langues, et (1775) Marie Marguerite Four – catholiques
1815 v Jean Michel Schwartz, brasseur au grenadier (voisin)

Valeur de la maison selon le billet d’estimation : 500 livres en 1770

(1765, Liste Blondel) VII 57, au Sr Herrmann Ministre
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stahl, 4 toises, 3 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 754, Schaeffer, Louis Chrétien Gauthier, docteur – maison, sol, cour – 1,46 are

Locations

1698, Daniel Maag, imprimeur
1700, Adam Neulinger, huilier
1738, 1747, Jean Christophe Pfaud, huilier
1774, fondeur d’étain Spæth, charcutier Streichenberger, femme du pasteur Moser, musicien Dorn, maître maçon Stahl
1822, Jean Jacques Irrmann, commis aux expéditions, et Marie Madeleine Hoh
1825, David Hoh, boucher,et Barbe Hoenig
1839, Jean Baptiste Pfeiffer, tailleur d’habits, et Jacqueline Schmitt

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon demande qu’on lui indique l’alignement à suivre dans la rue Escarpée. L’inspecteur déclare que l’alignement n’a pas changé.

(f° 138) Dienstags den 17. Januarii 1775. – Mr Andreas Stahl, Maurer
Mr. Andreas Stahl, der Maurer bittet um Anzeigung des Allignements seiner in dem Gähgäßel ane der Langenstraas gelegenen behausung. Erkannt, Ist das Allignement dem alten fundament nach durch Herrn Bau: Inspectorem anzuweisen.

Description de la maison

  • 1770 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment médian et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le toit est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, il y a deux cours et un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 47 / 25
Kaesbohrer
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 145 case 3

Schaeffer Louis Chrétien Gauthier, docteur

P 754, maison & cour, sol, Grand’rue 25
Contenance : 1,46
Revenu total : 144,76 (144 et 0,76)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 488 case 2

Schaeffer Louis Chrétien docteur
1897/98, Weil Georg, Metzgermeister

P 754, maison, sol, Grand’rue 160
Contenance : 1,46
Revenu total : 144,76 (144 et 0,76)
Folio de provenance : (145)
Folio de destination : vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1880
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

P 754, maison
Revenu total : 200,76 (200 et 0,76)
Folio de provenance : vergr.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1880
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
1880/81, Zugang – Schaeffer Ludwig f° 488, P 754, maison, revenu 200, Vergroesserung, achevée en 1877, imposable en 1880/81, imposée en 1880/81
Abgang – Schaeffer Ludwig f° 488, P 754, maison, revenu 144, Vergrösserung

Cadastre allemand, registre 29 p. 66 case 6

Parcelle, section 6, n° 37 – autrefois P 754
Canton : Langstraße Hs N° 106
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,44
Revenu : 3100 – 3700
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1918), compte 1307
Weil Georg u. Ehefrau geb. Lobstein
1926 Schmitt Jean et son épouse chacun pour moitié
(3665)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1918), compte 4209
Asch Alexander, Lederhändler
(622)

[biffé] (Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche (p. 341)

25
loc. Streichenberger, Phil. Jacq. saucissier – Bouchers
loc. Streichenberger, Marie Salomé, fille – Miroir
loc. Gruber, veuve garde malade – Moresse
loc. Schöttel, Jean Adam – Tailleurs
loc. Döbericht, Aug:, veuve – Tailleurs
loc. Reinhardt, Phil: Jacq: frippier – Moresse
loc. Moser, veuve – Tailleurs

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 232 Rue Escarpée dte. Gaehgaessel (p. 379)

5
Pr. Stahl, André, Mre maçon – Maçons
loc. Schænckbecher, Louis, Ltié – Moresse
loc. Hochbein, Louis, Savetier, invalide
loc. de Thone*, Martin, portier ch. le Pr. de Hohenloe – Privilégié
loc. Spraudler, Jean Simon, Cocher
loc. Chartel, veuve – Manante
loc. Schneider, Elisab. fille couturière
loc. Grua, Susanne

Registres de population

(1795) 9° section, Grand Rue N° 25 (registre 600 MW 9) – légende

Ph: Jq: Streichenberger, 39, Boucher – Strasb.
M. Barbe, id. 30, epouse – id.
Marg: Sal: Bauer, 24, Servante – id.
J. Frédéric Faus, 34, Boucher – id.
Anne Cath: id. 38 Epouse – id.
George Reuter, 16, Pensionnaire – id.
Cunégonde Mosser, 80, Veuve – id.
Sus. id. 50, fille – id.
Christ: Sop: Hebenstreit, 19, Petite fille – id.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 106
Lorenz, Konfektionär. 02
Loeb, Kaufmann. 1
Loeb, Referendar. 1
Müller, Schreiner. 1
Walter, Näherin. 2
Baldauf, Strssb. Schaffn. 3
Wetzel, Tagner. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 202)

Grand rue 106 (1876-1995)

La veuve Schæffer fait poser en 1876 une devanture de magasin à gauche puis en 1877 à droite de la porte d’entrée. Le maître boucher Georges Weil fait transformer en 1899 la devanture et réaménage le rez-de-chaussée en agrandissant la cour. Le locataire David Levy transforme la devanture en 1925 et Maurice Jahns (Confection Maurice) couvre la cour d’un toit vitré l’année suivante. Le commerçant Jacques Fuks (magasin de confection Régine Couture, 1950-1975) remplace la devanture en 1953. L’enseigne posée en 1958 donne lieu à un différend entre la Police du Bâtiment et l’architecte des Bâtiments de France. Mme Closset réaménage le magasin (enseigne Phildar) en 1975 ; un premier projet qui remplace la porte d’entrée aux appartements est refusé. La boutique Marie Louise (société Fil Tric) pose en 1995 trois stores en corbeille.
Le local commercial est occupé par les coiffeurs Herr puis (1897) Diebold. Le marchand de vêtements pour hommes Edouard Lorenz y transfère en 1899 son magasin du 27, rue de la Haute-Montée.

Sommaire
  • 1876 – L’entrepreneur Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande au nom de la veuve Schæffer, propriétaire, l’autorisation de transformer en devanture de magasin trois fenêtres à gauche de la porte d’entrée selon le dessin joint. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement, que la largeur de la rue est fixée à 8 ou 10 mètres et qu’un trottoir longe la maison.
  • 1877 – L’entrepreneur Greiner demande l’autorisation de faire une devanture identique à droite de la porte d’entrée. L’agent voyer fait le même rapport que ci-dessus
  • 1884 – L’agent de police Kieger fait remarquer au nom de la commission contre le choléra que la fosse d’aisance dans la propriété de Caroline Kæsbohrer veuve Schæfer (demeurant 1, place du Dôme) n’est pas voûtée et qu’il s’en dégage de mauvaises odeurs. – Le maire écrit au propriétaire – Travaux terminés, octobre 1884.
  • 1885 – Le directeur de l’usine à gaz demande que l’installateur Bedicam soit autorisé à faire une prise pour environ trois becs au nom du locataire Benschel – Autorisation – Travaux terminés, novembre
  • 1887 (mars) – Le maire notifie le propriétaire Jules Beck de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1887.
  • 1896 – Le maître forgeron Jean Pfister (demeurant 10, rue des Dentelles) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. La Police du Bâtiment note qu’il n’y en a encore aucune – Autorisation. L’enseigne (à 3,70 mètres de hauteur, en saillie de 85 centimètres) est posée.
  • 1896 – Le locataire Weber déclare que l’eau s’accumule dans le sous-sol. La Police du Bâtiment remarque que les eaux de pluie et les eaux de ménage s’écoulent par une rigole ouverte au rez-de-chaussée. Le propriétaire fait réparer la rigole qui n’est plus étanche. Dossier classé, octobre
  • 1897 – Le coiffeur Diebold a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. L’intéressé déclare que l’enseigne était déjà en place à son entrée. La Police du Bâtiment établit que le coiffeur Herr a occupé le local qui était un magasin de légumes d’octobre 1896 à mars 1897 et qu’il a cédé son fond à Diebold. Le coiffeur Diebold est invité à faire une demande puisque l’enseigne n’a jamais été autorisée – Autorisation
  • 1898 – La Police du Bâtiment fait remarquer que la dame Mœszner (bureau de placement) a transféré sans autorisation une enseigne perpendiculaire du 26 au 106, Grand rue – Demande – Autorisation
  • 1899 – L’entrepreneur Greiner (veuve Greiner et Peter, boulevard de la Tour Blanche) demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison – Autorisation – Dossier classé, septembre 1899.
  • 1899 – Le marchand de vêtements pour hommes Edouard Lorenz demande l’autorisation de transférer du 27, rue de la Haute-Montée une enseigne perpendiculaire au commissaire de police qui transmet au maire. – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre
  • 1898 (décembre) – Le maître boucher Georges Weil (demeurant 94, Grand rue) demande l’autorisation de transformer la devanture et de réaménager le rez-de-chaussée – Autorisation (provisoire), eu égard à ce que la cour sera agrandie de 1,35 mètres sans cependant atteindre un cinquième de la surface comme l’exigent les nouveaux règlements – Dessin (élévation, coupe, plans du rez-de-chaussée et du premier étage) – Courrier de l’architecte Ch. Stieffel qui déclare que le propriétaire a supprimé une remise, ce qui agrandit la cour – La Police du Bâtiment répond que la cour doit avoir en l’occurrence 30 mètres carrés pour pouvoir organiser les secours en cas de sinistre – Autorisation accordée le 9 février 1899 après que la surface de la cour a été portée à 30,06 m². – Dessins définitifs sur calque
    La devanture est posée en novembre 1899, les travaux sont terminés et les locaux utilisés en février 1900
  • Commission contre les logements insalubres – 1905, Propriétaire, Weill, demeurant 94, Grand rue. Les logements sont bien tenus, les cabinets d’aisance raccordés aux canalisations
    Commission des logements militaires, remarques en trois points – Travaux terminés, octobre 1915
  • 1904 – Edouard Lorenz demande l’autorisation de poser deux lampes électriques – Autorisation – Les lampes sont posées – Edouard Loenz (Herren- und Knaben-Garderobe-Fabrik, Confection de vêtements pour hommes et garçonnets) informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré les lampes
  • 1905 – Le maire notifie Georges Weil de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1905
  • 1911 – Edouard Lorenz demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1913 – Le maire notifie le maître boucher Georges Weil de faire ravaler la façade – Les travaux ont lieu au printemps suivant
  • 1923 – Le marchand de confection Schierer fait ravaler la façade
  • 1923 – Ernest Hampelé (demeurant 6-a quai Kellermann) informe la Police du Bâtiment que la cheminée du bâtiment voisin n° 106 qui appartient à Alexandre Asch (demeurant 5, rue Marbach) n’est pas assez haute et que par conséquent la fumée se répand dans la partie supérieure de sa propriété. Le voisin a en outre recouvert de goudron les parties en bois de son grenier pour éviter que l’humidité n’y pénètre. – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de transformer la cheminée pour qu’elle dépasse de 50 centimètre la toiture des bâtiments voisins.
    Le fumiste Henri Brunck (3, rue des Bateliers) répond que la cheminée, distante de plus de 1,50 mètre des voisins, ne constitue pas de danger – La Police du Bâtiment organise une inspection en présence des différentes parties. Hampelé déclare n’avoir plus de griefs contre son voisin. Le dossier est classé.
  • 1925 – Locataire du magasin, David Levy demande l’autorisation de transformer la devanture sous la direction de l’architecte D. Falk (12, rue Kuhn) – Autorisation – Dessins (élévation, plan), enseigne A. Daub)
    1925 – Les mêmes demandent l’autorisation de couvrir la cour d’un toit vitré – Dessin – La Police du Bâtiment refuse d’accorder l’autorisation contraire au règlement – Les travaux sont néanmoins exécutés – La réception finale a lieu début septembre – La Police du Bâtiment note fin septembre que les travaux sont contraires à la décision du mois de juin précédent
    1926 – Maurice Jahns (Confection Maurice) qui a sous-loué le magasin de David Levy demande que le toit vitré soit temporairement autorisé eu égard à ce qu’il a eu des frais importants – La Police du Bâtiment le renvoie à l’architecte Falk qui demande l’autorisation correspondante – Maurice Jahns déclare que la moitié de la cour était déjà couverte d‘un toit. – Autorisation de couvrir la cour du toit vitré – Dessin
    La réception finale a lieu le 13 octobre 1927
  • 1928 – Courriers internes concernant des banderoles que la Division II a autorisées mais que la Division C / P a ensuite soumises à des restrictions – Le magasin de confection Maurice est autorisé à suspendre provisoirement un drapeau pour annoncer la liquidation de ses marchandises après cession de son fonds
  • 1933 – Le maire notifie Alexandre Asch (3-bis rue Marbach, Commissions, cuirs et peaux) de faire ravaler la façade – Le propriétaire obtient un délai – Travaux terminés, mai 1934
  • 1949 – Rapport de feu de cheminée, dû à un conduit non réglementaire. Les réparations sont terminées.
  • 1950 – Le magasin de confection Régine demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques sans éclairage – Maquette – Autorisation. L’enseigne est posée
    1951 – Le maître peintre A. Lienhardt (10, rue du Tournant à Kœnigshoffen) demande l’autorisation de poser une enseigne (première face Régine Couture, deuxième face Régine Tout pour l’homme) – Autorisation accordée à J. Fuks, vêtements Régine
    1951 – L’entrepreneur Frédéric Andlauer (140, Grand rue) demande l’autorisation de poser deux enseignes en plexiglas éclairées au néon aux magasins de M. Fuks, Pauline au 93, Grand rue et Régine au 106, Grand rue – Autorisation – Les enseignes sont posées.
    1952 – M. Fuks déclare avoir posé au deuxième étage l’ancienne enseigne
  • 1952 – Le locataire du magasin demande l’autorisation de supprimer dans son magasin une cheminée provisoire qui ne sert plus puisqu’une nouvelle cheminée est installée pour le chauffage au gaz. La Police du Bâtiment fait un rapport d’inspection et recommande au locataire de se mettre en relation avec le propriétaire Alexandre Asch (57, rue du Fossé des Tanneurs) – Le locataire exécute les travaux malgré l’interdiction de la Police du Bâtiment
  • 1953 – M. Fuks (magasin Régine Couture, vêtements pour hommes, dames et enfants) demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
  • 1953 – Le commerçant Jacques Fuks dépose une demande de permis pour transformer la devanture du magasin sous la direction de l’ingénieur René Westermann (20, rue des Pontonniers). La Police du Bâtiment demande que la marquise soit moins grande – Plan de situation, dessins (élévation, devanture)
    1953 – L’entrepreneur Mario Brentel (15, rue des Jardins à Bischheim) demande l’autorisation d’occuper la voie publique
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable mais les enseignes ne devront plus être remises en place – Arrêté portant permis de construire, août 1953 – Les travaux sont terminés, ils ne donnent lieu à aucune objection, septembre 1953
    1953 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France désapprouve l’enseigne peinte sur le pilier gauche de l’entrée et celle posée entre le premier et le deuxième étage – L’enseigne est retirée, juin 1954
  • 1954 – Jacques Fuks demande l’autorisation de poser une enseigne à double face (libellé Régine) au néon – Maquette signée Ott Frères – Autorisation
    1954 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire – Autorisation
    1955, 1956, 1957, idem
  • 1958 – Alexandre Asch autorise le locataire Jacques Fuks à poser une nouvelle enseigne
    Jacques Fuks (Régine Couture) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Croquis
    La manufacture Albert Gerrer (rue des Verriers à Mulhouse) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au néon
    1959 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France écrit au maire que le 106, Grand rue qui se trouve en face du n° 79 protégé au titre des monuments historiques est inscrit à l’inventaire des sites. Il désapprouve la nouvelle enseigne. Le Police du Bâtiment qui a vérifié que le magasin ne figurait pas sur l’état transmis par le service des Monuments historiques estime qu’il n’y a pas lieu de revenir sur l’autorisation.
    Le préfet demande que l’enseigne soit retirée. Le maire répond en sollicitant une liste des sites à jour. Le préfet fournit les références. Le Service des monuments historiques s’engage à ne pas faire d’objection contre l’enseigne qui par ailleurs ne relève pas de la même réglementation que les panneaux publicitaires
    1959 (février) – La manufacture Albert Gerrer demande une nouvelle autorisation comme le propriétaire du magasin souhaite augmenter la saillie de l’enseigne – Le maire refuse la saillie supplémentaire, étant donné que l’enseigne dépasse déjà de 10 centimètres la saillie réglementaire de 80 centimètres sans avoir obtenu d’autorisation
  • 1969 – La maison Régine demande l’autorisation de poser un panneau provisoire pour liquider son stock – Autorisation
  • 1974 – Le maire autorise la maison Régine à vendre par liquidation pour cessation de commerce
    La maison Régine est autorisée à poser une enseigne provisoire
    1975 – Félix Gradowicz informe le maire qu’il n’exploite plus le magasin Régine. Mme Closset (54, route des Romains à Kœnigshoffen) a repris le fonds. L’enseigne en place en avril a été enlevée en mai 1975.
  • 1975 – Mme Closset demande l’autorisation de poser une enseigne Phildar. Dessins (devanture, plan) photographie (magasin Régine) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (arrêté du maire) – L’enseigne est posée, juin 1975
    1974 – Dossier, transformation du magasin. Plan cadastral de situation. Dessin (la porte d’entrée sur la droite est transformée) – La société Bernard (de Morteau) fournit un devis pour agencer le magasin – Le permis de construire est de la compétence du préfet puisque le bâtiment se trouve dans le secteur sauvegardé. – La Police du Bâtiment émet un avis défavorable en novembre 1974, le rez-de-chaussée devant respecter le style des étages. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable.
    1975 (janvier) – La conférence du permis de construire maintient son avis défavorable une fois le projet modifié. Dessin (la porte d’entrée sur la droite n’est pas transformée). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. La conférence du permis de construire émet un avis favorable le 25 janvier – Le maire sollicite auprès de l’architecte des Bâtiments de France un nouvel avis après que le propriétaire du magasin a présenté de nouveaux dessins – La Direction du travail émet un avis favorable. Le préfet délivre le permis de construire en mars.
    L’ancienne devanture est déposée (avril 1975), la nouvelle est en place (juin)
  • 1977 – L’entrepreneur André Nonnenmacher (route de Strasbourg à Brumath) demande l’autorisation de ravaler la façade. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation d’occuper la voie publique. Le ravalement est terminé, mai 1977.Les encadrements sont peints en grès brillant et non en grès mat comme l’indiquait l’architecte des Bâtiments de France.
  • 1979 – L’entrepreneur André Nonnenmacher demande l’autorisation de poser un échafaudage pour remplacer des tuiles – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Travaux terminés, juillet 1980
    1981 – Même demande – Travaux terminés, mars 1981
  • 1987 – Le notaire Gilles Collet de La Petite Pierre demande des renseignements d’urbanisme sur le 106, Grand rue, canton 6 n° 27 appartenant à Chantal Nonnenmacher
  • 1995 – La société Walter demande au nom de la boutique Marie Louise (société Fil Tric) l’autorisation de poser un store – Dessins (maquette à un store, maquette à trois stores en corbeille) – Photographie de la devanture Phildar – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Arrêté du maire – Les trois stores sont posés, mars 1995

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1671 W 402)

L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable au projet de la réhabilitation présenté par la société civile immobilière Harmoglyn.

Sommaire
  • 2005 – La société civile immobilière Harmoglyn, représentée par Chantal Oberlé demande l’autorisation de réhabiliter le bâtiment : remplacer la couverture, ravaler les façades, remplacer les menuiseries extérieures, réaménager les trois logements (trois pièces) du bâtiment avant et les trois logements du bâtiment arrière (une pièce) – Plan de situation, plans de chaque niveau (ancien et nouvel état), élévation et coupe, par la Société d’Assurance Technique Immobilière (SATIM), 4, rue Silbermann à Strasbourg
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable parce que le projet ne respecte pas les articles correspondants du code de l’urbanisme. Le maire ne donne pas son autorisation à la déclaration de travaux

Relevé d’actes

D’après les aboutissants des propriétés voisines, la maison appartient en 1621 à la veuve Jean Wagner puis en 1635 à Georges Fennier.
Fille du sellier Jean Wagner, Marie Wagner épouse en 1614 Conrad Dittler, fils de l’aubergiste au Glaive

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 107 n° 8)
1614. den 28. Martÿ seind ehelich eingesegnet worden Cunrad Ditler vonn Straßburg weÿlandt Cunradt Ditlers gewesenen Würths Zum Schwerdt alhier nachgelaßener Sohn, Unnd Jungfr. Maria Wagnerin, Weÿland Hans Wagners des Sattlers vnnd Burgers seligen alhie nachgelaßene dochter (i 112)

Veuve, Marie Wagner se remarie en 1629 avec Etienne Gassner le jeune
Mariage, cathédrale (luth. f° 270)
1629. Doîca Exaudi 17. Maÿ. Stephan Gasner der jünger, H. Daniel Gasners sohn, vnd Maria Conrad Dütlers n. witwe, eingesegnet Zinstags 25. maÿ (i 140)

Etienne Gassner le jeune et sa femme Marie hypothèquent la maison au profit du fils de Jean Decker. En marge, quittance remise en 1638 à Georges Fennier, aubergiste au Glaive

1629 (6. octobr.), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 617
Erschienen Steffan Gaßner der jünger burger Zu St. und Maria sein eheliche haußfr. mit beÿstand Heinrich Pleichers deß Kürschners und Lienhard Ditlers deß Weißbecken beeder anstat ihr Mariæ nechster verwanthen hierzu insond.heit erbeten
haben in gegensein hanßen weÿ: hanß Deckers deß hutmachers und burgers s: alhie nachgelaßenen sohns Vogts Paul Deckers vnd Jacob Meÿers des hutmachers – schuldig seÿ. 100 Pfund
dafür Vnd.pfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen s alhie an der obern Straß. neben Niclauß Weber dem Käuffler & neben N. N. hinden vffs gehegäßlin stoßend gelegen
[in margine :] Hanß Deckers ietziger Vogt Andreß Graff gartner Vnderwagner, hatt in gegensein Mariæ weÿl. Steffen Gaßners deß Jüng. s. wittiben und ihres ietzigen Ehevogt H Georg Fenniers Gastgeb. Zum Schwerdt (…) q.tirt den 18. Aprilis Anno 1638.
[in margine :] Erschienen Hannß Decker der Musquetierer und. dem H Maior alß Creditor hatt in gegensein Georg Veniers obgemelt (…) Act. d. 7. Decemb a° 1652

Etienne Gassner le jeune, alors aubergiste à la Ménagerie, et Marie Wagner hypothèquent la maison au profit du boulanger Jean Georges Dambach. En marge, quittance remise en 1638 à Georges Fennier, aubergiste au Glaive

1631 (ut spâ. [9. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 311
Erschienen Stephan Gaßner der Jünger, ietzig. Würth Zum Thiergarten vnd Maria Wagnerin sein eheliche haußfraw mit beÿstand Heinrich Bleichers vnd hanß Heinrich Römers beeder Kürschner alß ihrer hierzu insonderheit erpetener nechsten verwanthen,
haben in gegensein hanß Georg Dambachen deß Weißbecken auch burgers alhie – schuldig seÿen 100. lb St.
dafür Vnderpfandt sein soll Ein Vorder: vnd hinderhauß, sampt deren hoff, hoffstat vnd allen andern gebäwen alhie An der Obern Straßen neben (-) ein: und and.seit (-), hinden auff daß Gehgäßlin stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen hanß Georg Dambach der Creditor hatt in gegensein der hierin gemelten Schuldbekennerin, mit beÿstand ihres ietzigen Ehevogts Georg Feniers Würths Zum Schwerdt (q.tirt) Act. den 9. Octobris 1637.

A nouveau veuve, Marie Wagner épouse en 1634 Georges Fennier, originaire de Carinthie (localité citée sous le nom de Tervis ou Zerffes), anciennement au service de la tribu à la Fleur
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 173-v n° 34)
1634. Geörg Vennier von Tervis aus Kärndten gewesener Haus Knecht Zur Blumen, Wolff Venniers hinderlaßener Ehelicher Sohn, und Maria Stephan Gaßners gewesenen Würths Zum Thiergarten hinderlaßene Wittib (i 187)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 347) 1634. Geörg Vennier von Treuis aus Kärndten Haus Knecht Zur Blummen, wolff venniers des Krämers daselbsten n. sohn, und Maria Stephan Gasners wirths Zum thiergarten n. witwe, eingesegnet Zu S. Claus Zinstags 26. aug. (i 178)

Georges Fenninger, aubergiste à la Ménagerie, devient bourgeois par sa femme la veuve d’Etienne Gassner, trois semaines après son mariage
1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 142
Georg Fenninger Von Zerffes auß Kernden der würth Zum Tiergarthenn hatt Burgerrecht von seiner frauwen Marien Weÿl. Stephans Gaßners deß geweßenen Würths Zum Türgartt. hind. laßene wittib Will Zu den Freüburg. Zünfftig sein den 18. 7.bris 1634

Selon l’inventaire dressé en 1697 (voir plus bas), la maison a été vendue par enchère judiciaire le 15 janvier 1650. Barbe Klug et consorts qui vendront aussi l’auberge au Glaive en 1672 cèdent au farinier Ulric Greiner la maison grevée d’usufruit au profit de Georges Fennier

1665 (28. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 35-v
(Prot. fol. 3) Erschienen der Ehrenvest und Weÿs herr Mathäus Hellbeckh genannt Behem E. E. Großen Rhats Beÿsitzer alß Vogt frawen Barbaræ Klugin, Wittibin, Ferners Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes ahne statt hannß Georg Römers so in besagtes Waÿsenhauß uff: und eingenohmen worden seÿe, Mehr hannß Jacob Schwainle der kübler alß seiner Anzeig nach mündlicher befelchhaber Elisabethæ Kleinin seiner Schwigermutter /:dero Vogt vor wenig. tagen Verschieden seÿe:/, Weiters hannß Henrich Römer der Kürßner für sich selbsten und alß Vogt Paul Römers, Item Herr hannß Philipß Reinbold der Kürßner alß Vogt Ursulæ Veronicæ Raffin, Item hannß Michael Oberhaußer der Schuhmacher alß Ehevogt Veronicæ Knauffin, So dann Hannß Carl Marquart der Schneider alß Ehevogt Annæ Catharinæ Knauffin und alß Curator ad Lites Thomæ Spengels und Zwar obgedachten hannß Henrich Römer, hannß Philipß Reinbold und hannß Carl Marquard, so Viel ihre Minderjährige Vogts persohnen betrifft mit assistentz der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herren Johann Peter Schmidts und Herrn Johann Leonhard Fröreisens beÿder alß auß E. E. Großen Rhats mittell ad Contractus Minorum insonderheit Deputirter
in gegensein Ulrich Greiners des Meelmanns
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders: mit ihren höffstätten, höfflin, und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie ahn der Obern straßen einseit neben Daniel Rosten dem Kandten Gießern, anderseit neben herrn hannß Caspar Wolffen alten Großen Rhats Verwanthen, hinden uff daß Gähe Gäßlin stoßend geleg., welche behaußung umb 100. lb weÿl. herrn Jacobi Bærtschen Contractuum Notarÿ nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Item umb 100 lb Daniel Füeßeln dem Schuhmachers, Item umb 50. lb Georg Veniern dem geweßenen würth Verhafftet, so habe auch ietzt Ernannter Venier /:der gesambten Verkäuffer hiebeÿ erstattetem bericht nach:/ die ietzt Verkauffte Behaußung ad dies vitæ Usufructuarie Zugenieß. welcher usufructus auch Ihme Von den Verkäuffer reservirt und Von dem käuffern gelaß. (übernohmen) – umb 300. lb

Originaire de Hundholz (aujourd’hui Adelberg) en juridiction d’Adelberg près de Schorndorf en Wurtemberg, le boulanger Ulric Greiner épouse en 1644 Catherine, fille du tisserand et teinturier Frédéric Gasser
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24-v)
1644. Dominica XXII Trinit. 24. 8.bris. Ulrich Greiner der Weißbeck von Hundholtz Adelberger Ampts beÿ Schorndorff, Georg Greiner des Weißbecken daselbsten nachg. Sohn Vnnd Jfr. Catharina Friderich Gassers des sergenwebers V. ferbers nachg. stoßend. Copulavi Montag 2. Decembris J S Peter (i 32)

Ulric Greiner devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1644, 4° Livre de bourgeoisie, p. 223
Ulrich Greiner Von Hundtsholtz der Beckh empfahet d. burgerrecht von seiner haußfr. Catharina, Friderich Gaßner deß Ferbers alhie dochter vmb 8 Gold fl. seind bede ledigen standts geweßen vndt Würdt Er Zu den Beckhen dienen. Jur. den 9. 10.bris 1644.

Ulric Greiner se remarie en 1675 avec Marie, veuve du fourbisseur Paul Schwanfelder
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 254, n° 27)
1675, Eâd. [Dom. III. Trinitatis 20. Junÿ] Dom.câ. Ulrich Greiner der Meehlmann Vndt Burgern allhier Vndt Fr. Maria Hn Paul Schwanfelder deß Schwerdtfegers v. Burgers allhie nachgel. Wittib. Copulavi Eod. die [I. Julÿ] (i 267)

Proclamation, cathédrale (luth. f° 5-v, n° V) 1675. Zum 2 mahl Ulrich Greiner der Meehlman undt Burger alhier, fr. Maria Weiland Hr Paul Schwanfelders gewesenen Schwerdfegers u. Burger nachgelaß. W., Donnerstag den 1.t Julÿ J. St Peter (i 7)

Originaire de Köndringen en margraviat de Bade, juridiction de Hochburg, Marie Egen épouse en 1671 Paul Schwanfelder
Mariage, cathédrale (luth. f° 141, n° 24)
1671. Dom Exaudi. Zum 2. mahl hr. Paul Schwanfelder der Schwerdfeger Burger alhier, Jfr. Maria Weiland Michael Egen gewesenen Landmann Zu Ginderingen in der Oberen Marggsch. und Herrschafft Hochburg. Sonntags den 15.ten Junÿ, Münster (i 143)

Marie Egen devient bourgeoise par son mari
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 387
Maria Egin, Von Kindringen, auß der Obern Marg Graffschafft, empfangt daß burger recht von Paul Schwanfeldern, dem Schwerdtfeger und burgern alhie, umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt den 23.ten Maÿ A° 1671.

Marie Egen veuve d’Ulric Greiner meurt en octobre 1701 en délaissant pour héritiers testamentaires le licencié Philippe Louis Künast et sa femme Salomé Saltzmann. L’actif de la succession s’élève à 156 livres, le passif à 27 livres.

1701 (31. 8.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung allerder Jenigen haab und nahrung, so weÿland die Viel Ehren und tugendsahme fraw Maria gebohrne Ehin, auch weÿland deß Ehrengeachten herrn Ulrich Greiners gewes. meelmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene wittib nun auch seelige, nach Ihrem den 28.ten dießes Monats aus dießem müheseeligen leben genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche vff ansuchen erfordern und begehren deß hoch Ehrenvest Großachtbar und hochgelehrten herrn Philipp Ludwig Künasten J U. Di und Eines Ehrsamen Groß. Raths wohlbestellten Procuratori und Advocati ord. vnd die Edel hoch Ehr: und tugendbegabten frawen Salome gebohrner Saltzmännin, beeden Eheleuth und per testament eingesetzten Erben auff vorhergegangener Ableßung und erklärung deß eÿdts eÿgens und zeÿgens (…) wie auch Meister Friderich Cammüllern den Schneidern sem. Magdalenen deßen Haußfrauw und fraw Anna Maria weÿl. Sebastian Schranckenmüllers gewes. Pastetenbecks und burgers allhier hinderlaßene Wittib geäugt und gezeugt – Actum Straßb. in Gegensein aller Interessenten den 31.ten Octobr. 1701.

In einer in der Statt Straßburg, an d. höllengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behausung befunden worden
In d. Wohnstuben
Erster Wÿdumb, Wo die verstorbene fraw seel. von weÿland herrn Ulrich Greinern seniore geweßenen Meelmann und burgern allhier Zu Straßburg seel. ad dies vitæ genoßen und nun mehro gefallen – über erstged. H. Greinern seel. Verlaßenschafft vfgerichteten Inventarÿ vom 6. Junÿ aô 1697. hat die seelige fraw nach lauth der Ehepacten §° 5.to Zeit lebens Zu genießen gehabt auch wÿdemns weiß genoßen, so nunmehro deßelben eintzigen Erben Meister Ulrich Greinern dem Weißbecken und burgern heimbgefallen
Zweÿte Wÿdemb, So die seelige fraw von weÿland Herrn Paul Schwangfeldern, dem Geschwornen meßerschmid und burgers allhier, Ihrem erstern Mann seel. ad dies vitæ Genoßen, das eÿgenthumb aber davon nunmehro deßelben Erben Zugefallen. Derselbe ist anfangs in dem im Kleinen Kuppelgäßel allhier gelegenen Schwanfelderischen hauß und dem an der Schindbruck gelegenen Gaden bestanden
Calculus, haußrath 46, Silber 2, Guldenen ring 11, Pfz. haubtgt. 100 (Summa summarum) 156 lb – Passiv schuld 27, Rest 132 lb
Darzu kommen die wÿdemb so nunmehr gefallen, 1. von herrn Ulrich Greinern herrühren 520, 2. von herrn Paul Schwanfeldern 88 – Stall Summ 721. lb
Außlüfferung der Legaten, M. Friedrich Cammüllers haußfrauen, M. Friderich Cammüller

Le farinier Ulric Greiner l’aîné assisté de son cousin le boulanger Ulric Greiner le jeune vendent une maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à l’huilier Jean Frédéric Cottler en février 1697. Ulric Greiner le jeune, seul héritier d’Ulric Greiner l’aîné annule le contrat selon le vœu du vendeur. Ulric Greiner devient ainsi seul propriétaire de la maison

1697 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 105-v
H. Ulrich Greiner, der ältere Mehlmann mit beÿstand Ulrich Greiners deß jüngern deß weißbecken seines Vettern
Johann Friderich Cottlers, deß Ohlmanns
Zweÿ häußer, nemblich Ein Vorderes und Ein hinderes, mit Ihren hoffstätten, höfflein, und allen andern deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehördt. und gerechtigkeit. allhier an der Obern Straßen einseit neben Johann Peter Reußnern dem Spillendreher anderseit neben Hn David Stamler dem Specereÿhändler, hind. umb die Stamlerische behausung sich herumb Ziehend in d. Gäh gäßlein darin vier auß gänge gehen – umb 1500 pfund
darbeÿ ist insond.heit verglich. daß d. verkaüffer, so lang Er d. leb. hab. wird, die ietz bewohnte Stub, und zwo stub Cammern, Küch, und haußehren, auff den ersten vord. stock, So dann im Mittlern Stock eine Cammer und ein Klein Cämmerlin, wie dem Kleinste Keller Unden vordern Stock, auch platz zum holtz, ohne zinß genüßen solle
[in margine :] Erschienen Ulrich Greiner der jüngere hierin gemeldt, alß einiger Erb des nunmehr verstorbenen Ulrich Greiners deß ältern, an einem, So dann Johann Friderich Cottler der Ohlman, am andern theil, haben angezeigt vnd bekandt, daß gleich etliche tag nach der hievor stehend. verschreibung in dem sich die intention deß Käuffers nicht hat erreich. laß. woll., sie solch. Contract wid. auffgehob. alßo daß d. selbe alß nicht zu geschehen Zu acht sein solle, Seÿen auch die empfangene 500. lb wid. Zurückgegeb. word. darüber quittirend. Act. d. 13.ten Jul. 1697.

Le boulanger Ulric Greiner hypothèque la maison au profit de Georges Pick, brasseur à l’Ours noir, le jour même où il déclare l’annulation de la vente passée en février 1697

1697 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 344
Ulrich Greiner der Weißbeck
in gegensein H. Georg Picken, deß Bier Sieders Zum schwartzen Bähren, schuldig seÿe 350 pfund
unterpfand, Zweÿ haüßer, Nemblich ein vorders und ein hinders, mit Ihren hoffstätten, höfflein und allen anderen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. und Gerechtigkeit, allhier an der obern Straßen, einseit neben Johann Peter Reißner dem Spillendreher, anderseit neben H. David Stammler Specereÿ händler, hind. umb die Stammlerische behaußung sich herumb ziehend in das Gahgäßlein darein Vier außgänge gehen

Originaire de Plüdershausen en duché de Wurtemberg près de Schorndorf, le boulanger Ulric Greiner fils du meunier Georges Greiner, devient bourgeois sous le nom de Ulric Kleiner en octobre 1691. La filiation est aussi donnée aux actes de mariage et de sépulture, voir plus loin
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1082
Ulrich Kleiner, der beck Von Blödershausen in dem Hertzogthumb Würtenberg gelegen gebürtig Weÿland Georg Kleiners geweßenen Müllers daselbst sel. Sohn, erkaufft das burgerrecht Vor p. 6 gold fl. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt, ist annoch ledigen standes Vnd wird Zu E. E. Zunfft der becker dienen. Jur: d 1. 8.bris 1691.
[in margine :] d. 28. Martÿ seind ihme 4. gold fl. Wider geben worden L. Erkandtnuß E. E. Großen Raths

Ulric Greiner qui demande au Quinze le droit de débiter le vin est renvoyé aux préposés de l’accise.
1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
f° 79-v) Sambstags den 29. Martÿ – Hannß Ulrich Greuner pt° Weinschancks
Hannß Ulrich Greuner, so den Weinschanck Verlangt, per Künast, bitt undt. th. ihme solchen gn. Zu Willfahren, mit erbiethen die gebühr wegen des Schilds gleich andern quartaliter jm Umbgeld abzurichten.
Erk. Vor Obere Umbgeld herren gewießen

Ancien boulanger de l’hôpital, Ulric Greiner, fils du meunier de Plüderhausen en juridiction de Schorndorf, épouse en avril 1693 Marie, fille du boulanger Georges Hüffel
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 35 n° 222)
1693. Festo Paschatis seÿn Zum 1. mahl außgeruffen worden Ulrich Greuner der Weißbeck und geweßener Pfister im Hospithal allhier, weÿl. Georg Greuners, geweßenen Müllers Zu Bletterhaußen im Schorndorffischen Ampt, Fürstl Wirtenbergischer Herrschafft nachgel. S. Jfr. Maria Georg Hüffels Weißbeckens und burgers allhier Eheliche Tochter. Seÿndt copulirt Worden Mittw. den 1. April. [unterzeichnet] Ullrich Greiner alls hochzeiter, Maria Ursul hüffelin alls hoch Zeitern (i 35)

Ulric Greiner obtient des Quinze début mai le droit de vannage et de farinier de son beau père
1693, Protocole des Quinze (2 R 97)
(f° 76-v) Sambstags den 2. Maÿ – Ullrich Greuner pt° Wannenrechts
Ullrich Greuner, d. burger und Weißbeck alhier, per Saltzmann, prod. beede Extractus von E. E. Zunfft der Lucern und Becker, Umb seines Schwährs Wannen Und Meelrecht, bitt dieselbe obrigktl. Zu confirmiren, Erk. Confirmirt.

Marie Ursule Hüffel meurt en août 1697. Le veuf est seul héritier de sa fille. La succession comprend la boulangerie à l’angle de la rue des Cheveux et la maison proche la rue Escarpée. L’actif de la succession s’élève à 1590 livres, le passif à 800 livres.

1697 (3. 8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 5) n° 1
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender und Farhrender, so weÿl. die Viel Ehren: und tugendsame Fraw Maria Ursula Greinerin gebohrne Hüffelin, des Ehrenhafften Meister Ulrich Greiners des Weißbecken undt burgers alhier Zue Straßburg geweßene eheliche Haußfraw seel. nach Ihrem den 8. Augusti jüngsthien aus dießer mühseeligen Welt genommenen seeligen Ableiben, Zeitlichen hinder ihr verlaßen, Welches alles auf erfordern und begehren gedachten Ulrich Greiners des hinderbliebenen Wittibers, als nach Absterben weÿl. Mariæ Ursulæ der seel. abgeleibten mit Ihme Wittibern ehelichen erzeugten döchterleins, so nach Ihro der Mutter seel. dießes Zeitliches gesegnet hinderlaßenen einigen Erbens – Actum Straßburg den 3. Octobris st. n. Anno 1697.
Copia der Eheberedung

Inn einer inn der Statt Straßburg in d. Lang. straß ane dem Haargäßlein ohnfern d. Gastherberg Zum Rebstock gelegenen undt in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Hültzin undt Schreinwerck. Auff dem Obern bühnel, Inn der Meel Cammer, In der obern Stuben, Im obern Haußöhren, Inn der Kuchen, Inn d. Soldaten Cammer, Im hindern Stübel
Eigenthumb ane behaußungen. Item eine Behaußung, Hoffstatt, Höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier inn Straßburg, inn der Obernstraßen, einseits ists ein Eck, oben am Haargäßlein, ander seits neben Johann Christian Pauli dem Schuhmachern stoßt hinden auff Hannß Heinrich Reffolds des Rothgerbers Wittib. Davon gehen jährlichen 13. ß 4 d in Geltt undt 3. Cappen dem mehren Hospital alhier Zur Bodenzinns sonst über theils Nachgemelter Passiv Schulden, freÿ, leedig und eigen. Und ist dieße Behausung d. 15. aug. 1691. von d. St: St: geschwornen Weckmstr. mit aller obig. beschwerd æstimirt word. umb 425. lb. d. dißmals ab th. 450. lb d, davon abgezog. vorgesetzte beschwerdt so à 5. p. C° Zu Cap. gerechnet macht 28. lb d. Verbleib demnach Von Vorgemelt. Anschlag annoch p. rest übrig 422. lb d
Darüb. besagt i. perg. Kffbr. mit d. St. St. C. C. Ins: verwahrt und. 15. Maÿ A° & 1693. datirt, auß deme Zuerseh. d. d. hind.bliebene Wb in die v.storbene Frau seel. solche über Abzug eines 6.ten theils, welcher d. seel. v.storbenen alß Mütterl. Guth gebührte, von weÿl. Georg Hüffeln d° respê Vatter und Schwähern u. dann Maria Dorothea Hüffelin d. abgeleibten seel: schwester mit beÿstand Mstr: Philipp Fautels des Pastet. becken u. Burgs. alhier jhres geordnet u. geschwornen curatoris, ane sich erhandelt. A tergô dießes brieffs stehet, welchermaß. beede Eheleuthe dem mehrern hospital in Abschlag des Ihme anestatt Pfrund. geltts in Solutum cedirt. Cap. d. 450. lb. d. bezalt haben 200. lb d, d. also demselb. annoch restirt 250. lb. d. Ferner d. obged. Mariæ Dorotheæ hüfflin d. schwester die Ihro schuldig gewesene 200. lb d sampt noch 43. lb 18 ß 9 d welche d. Vatt: seel. Ihro weg. Mütterl. Guts Ergäntz. schuldig word. u. Ihnen beed. Eheleuth. auch abgestattet, und Zu abstoßung deßen von H Paul Flachen, Oberschreib. des mehren Hospitals alhier 150. lb d auffgenommen word. Sodann d. Fr: Brigittæ Bantzin, obig. Georg Hüffels hind.laßener W. in abschlag Ihrer Zu prætendiren habend. 150. lb d bereits 100. lb d bezahlt u. d.selb. also annoch außständig seÿe 50. lb d. Signirt mit Lit: A. Ferner weißt j. perg. Kffb. auch mit d. St: St: Insigel in allhiesig. C. C. stub v.fertiget wie weÿl. Georg hüffel d. seel: Verschiedenen Fr: Vatter und Anna Maria Dolpin beede Eheleuthe nunmehr seel. erwehnte behauß: v. weÿl. H. Georg Wagnern dem Öhlmann u. Maria Wagnerin, Niclaus Carlen des Schuhmachers haußfr: mit Consens ged: Ihres Ehem. erkaufft und wie solche nach u. nach bezahlt wird. Lit. A. It. j. alt perg: Kffbr: mit vorberührtem anhangendem Insigel becräfftiget, sub dato d. 28. Martÿ 1631. von welchem Zuerseh. welch. gestalt. vorberührter Georg Wagner d. Öhlmann solche behaußung von Georg Lochbühler dem Schneid. u. burger alhie u. Susanna Kauffmännin deß. Haußfrauen kaufflich. an sich gebracht, mit alt. N° 1 u. jetzt Lit. A. Signirt.
Weiter j. abgelößter Zinßbr: über 150. fl. so weÿl. Georg Hüffel d. frawen seel. Vatter schon d. 22.t 8.bris 1678. ane Hn Sebast: Schranckenmüller d. Weißbecken bezahlt, dat: d. 22.t 9.bris aô & 1641. mit a. N° 10 jetzt neu: Lit: A. notirt, Mehr ein pap: v:schribung dicto Loco gefertigt, sub dato 3.ten Jan: 1657 üb. abgelöstes 150. fl. besagend, mit altem N° 25. jetzt m. Lit: A. bezeichnet. It. Copia j. teutsch. Kffbr. mit des Bischoffl. hoffs Innsiegel v. Hn Not: Heinrich Meÿern v.fertigt: u. vidimirt, des brieffs datum ist d. 2.t Jan: 1541. mit altem N° 10. jetzt mit n. Lit: A. notirt, So dann noch i. alt abgelöster Zinnßbriefff mit des bisch: hoffs Zu Straßb. Insiegel v.wahrt, sub dato d. 6.ten 8.bris 1678. bezahlt word. mit a. N° 10. jetzt ab. neuem Lit: A. bemerckt.
It: ein Vord. u. hind. hauß mit Ihren hoffstätten, höfflein u. allen übrig. Gebäuwen, begriff. Weith. Zugehörd. u. Gerechtigkeit. geleg. alhier in d. St: St: in d. obern Straß 1.s neben Joh: Pet: Reüßner dem Spillenträh. 2. s. neb. H. Joh: David Stamlern dem specierer hind. auff das Gähgäßlein stoßend, so über theils nachgemelt passiv-Schuld. und 500. lb. d. Wÿdumb, welch. weÿl. H. Ulrich Greiner seel. d. 28.sten Junÿ aô & 1675. fr. Mariæ gebohrner Egin seiner hind.bliebenen W. darauff Verschafft, freÿ ledig u. eig. u. durch die hießige geschwornen Hh. Werckmeistere d. 17.ten Junÿ hujus aî p. 1600. fl. æstimirt word. th. 800. lb. Davon ab abgezog. nächst vorgemelt Wÿdumb, so fr Maria Greinerin gebohrne Egin ad dies vitæ Zu genißen u. Sie auch würcklich. Zu Verstallen schuldig thut 500. lb. Demnach restirt noch, so hier außzuwerffen 300. lb. Über jetzt beschriebenes Vorder: u. hinder hauß besagt i. teutsch. perg. Kffbrieff mit d. St. St: anhang. Contr. Insiegel Verwahrt, de dato d. 28. Jan: 1665. mit a. N° 1 et 18. jetzt aber mit Lit. B. bezeichnet. Dabeÿ ferner i. perg. Ganth Kffbr. mit des Statt gerichts anhangnedem Innsiegel v. wahrt, deßen datum d. 15. Jan: aô 1650. mit a. N° A & 18. u. n. Lit. B. notirt
Norma hujus inventariÿ. der Haußrath thut 108, Vieh 6, Schiff und geschirr 40, Wein und Leere Faß 7, Silber Geschirr und Geschmeidt 18, Guldene Ring 5, Baarschafft 48, Pfenningzinß hauptgüter 589, Eigenthumb ane Häußern 722, Schulden ins Erbe Zugeltend 44, Summa summarum 1590. lb – davon gehen ab, Schulden 800, Nach abzug der passivorum restirt 790. lb, conclusio

Ulric Greiner se remarie avec Madeleine Schweigheusser, fille d’aubergiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 82)
1698. Domin: I. et II. post Epithan: proclamati sunt Ulrich greiner der Weißbeck v. burger alhier V. Jfer Magdalena Hrn. Daniel Schweigheüßern deß gastgebers Vndt burgers alhier nachgl. tochter Copulati sunt Mittw. d. 22. Januarÿ [unterzeichnet] Ullrich Greiner alls hochzeiter, Magdalena schweigheüßerin alß hochzeiterin (i 84)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 1 605 livres, ceux de la femme à 488 livres.

1698 (17.2.), Not. Scherer (Jean Louis, 52 not 1)
Inventarium undt Beschreibung aller undt jeder Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrenhaffte Meister Ulrich Greiner der Weißbeck Wie auch die Viel Ehren und tugendsame Fraw Maria Magdalena Schweighaüßerin, beede Eheleuth undt burgere alhier einander, crafft auffgerichteter Eheberedung inn jhren ohnlängst angetrettenen Ehestand für ohnverändert Zugebracht haben – Actum in der Königl. Statt Straßburg in beÿweßen Hn Daniel Schweighaüßers der frawen leibl. Vatters, d. 17.ten febr: 1698.

Inn einer hernach beschriebenem dem Ehemann eigenthümlich zugehörigen und inn der obern Straaß ohnfern dem Wirthshauß Zum Reebstöckel gelegenen von beeden Ehegemächten bewohenden becken behaußung sich befunden
Hültzin: undt Schreinwerck. Auff dem Obern bühnel, Vor der Meel Cammer, In der obern Stub., Im obern Haußöhren, Inn der Kuchen, Inn d. Soldaten Cammer, Im hindern Stübel
Eigenthumb ane häußern. (M.) Item eine Becken behaußung, Hoffstatt, Höfflin in der Obern Straaßen, ohnfern dem Wirths hauß Zum reebstöckel (…)
(M.) It: ein Vorder u. hind. hauß mit Ihren hoffstätten, höfflein und allen übrig. begriffen. Weith. Zugehörd. recht. u. Gerechtigkeit. geleg. alhier in d. St: St: in d. ob. Straßen 1.s neb. Joh: Pet: Reüßner dem Spillen träher, die 2. s. neb. H. Joh: David Stamlern dem Specierer, hind. auff das Gähgäßlein stoßend, So theils über hernachgemelte passiv-Schuld. freÿ, ledig und eig. u. durch die Hh. Werckm. aô 1697 æstimirt worden p. 800. lb. Darüber besagt ein perg. teutsch..Kffbrieff mit d. C C stub Insiegel Verwarth, dat: d. 28. Jan: 1665. mit a. N° 1 et 18. u. letztlich mit Lit. B. bezeichnet.
Nota. Auff jetzt geschriebener and. behaus: ist fr. Maria Egin, weÿl. Hn Ulrich Greiners gewes Meelmanns u. burgers alhier seel: hind. laß: Wittib umb 500. lb Wÿdumb wechen Sie ad dies vitæ Zugenießen, von ermeltem Ihrem Ehewirth seel. v.wieß. worden, Nach d° tödl. ableiben aber bleibt das Eigenth: eingangs ermelte, Ehemann, Zum bericht
(des Ehemanns Vermögen) Sa. hausraths 292, Sa. Schiff und geschirrs auch Mehl, frucht u. Gekörns Zum becken hand: und Mehlwerck gehörig 73, Sa. Vieh 6, ß Weins, Leerer Faß und bütten 19, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 37, Sa. Guldener Rings 6, Sa. baarschafft 17, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 632, Sa. Eigenthums ane behaußungen 1222, Sa. Schulden 114, Summa summarum 2422 lb – Schulden 817, Nach deren Abzug 1605 lb – Sa. Zweiffelhafften Schulden 51 lb
(der Ehefrauen Nahrung) Sa. hausraths 260, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Rings 37, Sa. baarschafft 171, Summa summarum 488 lb
Haussteuren 59 lb
Zuwißen seÿe hiemit und in Crafft dieses (…) persönlich kommen und erschienen istn Catharina gebohrne Böhlerin, Noël Glech des Soldaten under Monsr. Langrene Compagnie du Regt. Baillot eheliche haußfraw, die bekante freÿ offentlichen, welcher maßen Ihro wohl wißend, daß weÿl. Hr. Ulrich Greiner der ältere geweßener Meelmann undt burger alhier dero geliebter Vetter seel. bereits vor 9. oder 10. Jahren N. N. einem Gürttler seinem Vettern auß dem Würtenberger Landt etwas ahne geltt gegeben (…) Mittwochs d. 2. Aprilis A° 1698

Ulric Greiner loue la maison à l’imprimeur Daniel Maag

1698 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 426
Ulrich Greiner, der Weißbeck
in gegensein H Daniel Maag, deß buchtruckers
entlehnt, In seiner an der Obern Straß zwischen David Stammler, den Specereÿhändler und hans Peter Rößner den Spillentreher gelegenen behaußung, hernach folgende gemach, nemblich die vordere Obere Stub, mit den Zweÿ Nebens Cammern, Küch. und haußöhren, auch den obern fruchtkasten, sambt noch einer Cammer, Ferner der hinderen stub, mit samt den zweÿ darzu gehörigen Kämmerlein, Endlich einem absonderlich. Keller, und einem holtzhauß, alles auff dreÿ jahr lang von Michaelis künfftighin diß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich zinß nemblich 25 pfund

Ulric Greiner loue la maison à l’huilier Adam Neulinger pour neuf ans

1700 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 444
Ulrich Greiner der weißbeck
in gegensein Adam Neulingers, deß Ohlmanns
entlehnt, Eine hinder behaußung hinden an seiner an der obern straß am Gäh gäßlein gelegenen behaußung sambt allen zu solchem hind. hauß gehörig. gebaüen und begriffen, Ferner im Vorderhauß eine Cammer unden auff die Gaß d. straß gehend, umb sein Öhl zu verwahren, und feil zu hab. Mehr stallung für ein pferd, und platz ein paar wägen mit heü zu leg., der hoff, bronnen, und Einfarth im gäßlein soll beed. theÿlen gemein sein, darbeÿ insond. heit verglichen, daß dem Entlehner erleubt sein solle under dem bemeldt. hind.hauß, Eine Öhltrott auf seinen Cost. mach. zu laß., welcher auch sein verbleiben, und beÿ den abzug ihm mit zu nehmen erlaubt sein solle, Und ist dieser lehnung gescheh. auff Neun jahr lang, von Michaelis diß jahrs anzufang. nahme, und sich enden auff Michaelis 1709 – umb einen jährlich. Zinß nemblich 24 pfund

Ulric Greiner sollicite auprès des Quinze le droit de fabriquer de l’huile en novembre 1707. Il expose dans son mémoire qu’il a cessé d’être boulanger à cause de la maladie de sa femme. Comme il a vendu sa boulangerie et qu’il tient à exercer un métier, il sollicite le droit de fabriquer de l’huile bien qu’aucun huilier n’ait accepté de lui apprendre le métier. Il argue que les boulangers peuvent changer de métier moyennant paiement d’un droit, que les garçons huiliers et les garçons boulangers ont le même statut. Les huiliers répondent que le pétitionnaire n’a pas fait son apprentissage et que c’est un homme qui a les moyens de ne pas exercer de métier. Son locataire Adam Neulinger a bien le droit de fabriquer de l’huile sans qu’on sache si ce droit est attaché à la maison ou à sa personne. Il s’établirait ailleurs s’il quittait la maison du pétitionnaire, ce qui augmenterait le nombre des huileries et ruinerait la profession en son entier. Ulric Greiner cite plusieurs huiliers qui n’ont pas suivi d’apprentissage. Sur proposition du préteur royal, Ulric Greiner bénéficie d’une dispensse moyennant paiement de 10 livres. Les Quinze lui remettent à sa demande une expédition de leur décision en avril 1708.
1707, Protocole des Quinze (2 R 111) et 1708 (2 R 112)
Ulrich Greiner pt° Öhlrechts
(f° 347-v) Sambstags den 19. Novembr. 1707. S. noîe Ulrich Greiners des geweßenen Weißbeckhen prod. unterth. Memoriale vnd bitten wie inhalts pt° Öhlrechts. Erk. an die Obern Vngelts Hhn gewießen

(f° 379-v) Sambstags den 17. Decembr.
G. nôe Ulrich Greiner burgers undt geweßenen Weißbecken prod. Extractum aus E. E. Zunfft Gerichts der Becken Protocollo, crafft deßen Er, wegen suchendes Ohl gerechtigkeit an MGHherren verwießen worden, Referirt sich anbeÿ auff d. jüngst übergenene productum vndt bittet Ihne damit gn. Zu Willfahren. S. Citatus præs. bittet deputationem. Erl. an die Obern Vngelts Hh. gewießen.

(f° 394-v) Freÿtags den 23.ten Decembris 1707. – Ulrich Greiner pt° Öhl: Rechts
Iiden [Obere Vngelts Hh.] per Herrn Friden es habe Ulrich Greiner der geweßene Weißbeck, den 19.t Novembris jüngst seun unterth. Memoriale übergeben H. Sr Fridt lißt daßelbe ab, darin gedn. H.. Greiner, vorgetragen, welcher gestalten Er wegen seiner haußfrawen bekanten blödigkeit, das weißbecken handwerck auffgeben undt dahero sein beckenhauß neben dem haargäßlein verkauffen, vnndt sich in sein ander hauß in der Straß so die Ohl gerechtigkeit habe, retiriren müßen, Wann Ihme aber ohnmöglich falle, ohne handtwerck Zu seÿn, undt sein mittel sich nicht erstrecken, sich ohne gewerb mit weib vndt kindt zu ernehren, dannenhero Er sich entschloßen d. Ohlweßen Zu treiben, vndt sich schon vmb Joh. Bapt: d. umb ein lehr mstr umb geschawt, dem Er aber, weilen die Ohlleüth niemand lehren wollen, bißhero ô haben finden können, Alß wolte Er unterth. gebetten haben, Ihme damit gn. Zu willfahren, in erwegung daß 1° beÿ E E Zunfft der Becker die mutirung der handwercker gegen erlag eines gewißen Stuckgelts in usu, 2° der alhießigen Ohlleuth Knechte ins Gemein beckenknecht seÿen, die vorhin das handwerckh so wenig gelernt als wenig es an andern Orthen vor ein handwerck æstimirt auch niemahlen darauff gewandert werde, dannenhero 3° weniger Kunst bedörffe, wie dann 4° H. Rathh. Jacob Teutsch beÿ .E.E. Zunfft der Freÿburger vndt H. Rath. Johann Schell beÿ E. E. Zunfft der Gartner auch Öhlmänner geweßen seÿen, Worauff MGHheren die sach an E E Zunfft der Becken gewießen, von welcher der Implorant den 17.ten hujus einen Extractum Protocolli vom 14. Ejusd. producirt, daraus Zu ersehen, daß derselbe wider an Mghherren remittirt worden weilen man alda nicht wiße, ob die, in deßen hauß befindliche Öhl Gerechtigkeit personal oder real seÿe.
Alß man hierauff die Parthen darüber angehört habe Greiner sich auff die contenta seines Memorialis und gef. Extractum bezogen. Noîne der Zunfft habe Sebastian Gaß der Zunfft meister gesagt, daß Sie die sach Mghheren überlaßen wolten, im nahmen der Ohlleüth aber, seÿen erscheinen Joh: Georg Decker undt Johann Friderich Kuttler welche berichrtet aß Vermög articul einer 2. jahr lernen undt tag und nacht beÿ dem Mehr meister im hauß seÿn solle, vndt wann Gegner solches thäte, Sie Ihme nichts im weeg Zu legen hette, (2) Er die Ohlleüth ruiniren würde, auff befragen wann Er die 2. Jahr lang gelernt, Ob er Sie auch ruiniren würde? hetten Sie nichts darauff Zu antwortten gewußt, (3) gegner gute mittel habe, vnd aus seinen mittlen leben könte, (4) Er seinen haußmann Adam Newlinger aus dem hauß treiben der ein ander hauß lehnen und dadurch die anzahl der ohlhäußer vergrößern würde. Worauff der Implorant verschiedene præjudicia Vorgelegt daß andere, d. Ohlweßen nicht gelernt, vndt doch daßelbe getrieben haben alß Samuel von Thur, Leonhard Pfäler sen. Hanß Schneider, Dieboldt Nägelin, Lorentz Günther, Hanß Frieß, Michael Steitz, Davidt Beuther, Georg Geüdelin, hannß Martin Dautel, hannß Decker, Georg Wagner, Hanß Baß, H. Jacob Teutsch, H. Rathh. Schell, H. Rathh. Wörner vndt Philipp Waldtman der Peruckenmacher, denen das Ohlreht willfahrt worden, mit fernerem beÿfügen, daß d. Ohlhauß, worein er Ziehen wolle, sein eigen seÿe, Er schon 16. jahr beÿ EE. Zunfft der Becken Zünfftig, dabeneben Alt seÿe, vnd eine blöde fraw habe, Er sich auch beÿ dem Newlinger in die lehr habe einschreiben laßen, derselbe aber aus verstriffen der Meisterschafft ihne nicht annehmen wollen. Dagegen Jene umb manutenentz der articul gebetten stünde denach Zu MHHerren, ob sie obalegirte præjudicia in Consideration Ziehen, vndt dem Imploranten in seinem begehren gegen erlag 10. lb dispensando willfahren wollen.
Herr Prætor Regius hielte davor, daß dem Imploranten gegen erlag der 10. lb dispensando willfahrt werden könte. Erk. Gefolgt.

(f° 71) Sambstags den 17.t Martÿ 1708
G. noîe Ulrich Greiner deß burgers vnd ohlmanns, der bittet unterthänig vmb schrifftliche communication deß In Sach gtra. E E Zunfft der Becker jüngst ergangenen bescheids. Erkannt Willfahrt.

(f° 107-v) Freÿtags den 20. Aprilis 1708. – Ulrich Greiner Ca. die Ohlleüth
Iidem laßen durch H. Friden proponire daß Ulrich Greiner des geweßte Weißbeck vmb schrifftliche communication deßen causa gtra der ohlleuth ergangenen bescheids angehalten, so ihme auch willfahrt worden. H. Frid liß denselben ab. Erk. beliebt.
Bescheidt. Freÿtags den 23.ten Decembris 1707. In Sachen Ulrich Greiner des burgers vndt geweßten Weißbecken, Kläger, ahne Einem, entgegen und wider E. E. Zunfft der Becker in Specie E. E. Meisterschafft der ohlleüth beklagte am andern theil, ist pt° Öhlrechts Erkandt, Wirdt Klägern deßelbigen in seinem eigenthümlichen ohlhauß Zu treiben gegen erlag 10. lb d halb der Statt halb der Zunfft willfahrt.

La tribu des boulangers renvoie Ulric Greiner aux Quinze pour l’affaire précédente
1707, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 34-v) Mittwochs den 14.ten Decembris – Ulrich Greiner, der gewesene Weißbeck, bringt vor, daß bereits Vor einem halben Jahr nach dem Er Wegen seiner Haußfrauen bekanten Leibs blödigkeit, sein beckenwerck quittirt und das Haus Verkaufft, und darauff Zu erlernen sich etliche mahl angemeldet, der es Ihnen aber rund abgeschlagen undt Ihne nicht recipiren Wollen, bittet deßwegen Ihme diß orths Gerichtlichen Dispensationem, fürohien Öhl Zumachen und Zu verkauffen, Wie Verschiedenen andern, doch diß seits Frembden und nicht Zünfftigen gegen Erlag eines Stück geltts, davon die häffte dem Pfenningthurn und die überige hälffte E. E. Zunfft Zugefloßen Von Vnßern Gnädigen Herren XV. hiebevor gnädig gedeÿen umb ebenmäßig Gebühr großgünstig Wiederfahren Zulaßen.
H. Daniel Günther nomine der Ohlleüthe replicirte, Greiner seÿe ein begütherter Mann, undt hätte dießes nicht Von nöthen, Greiner aber repetirt sein petitum und bitten die angeogene præjudicia undt motiven in Consideration Zu Ziehen.
Erkant, Weilen Greiners suchen einig die Dispensation umb Völliges Meister Recht betrifft und dißorths nicht wissend, ob die in des Imploranten Hauß bereits befindliche Ohl gerechtigkeit, so Von Neülingern daselbst auffgerichtet Worden, personal oder real seÿe, Greiner mit seinem Gesuch an Unßere gnädige Herren XV. Zu Verweißen

L’huilier Jean Ulric Greiner loue une partie de sa maison dont la boutique d’huilier à l’huilier Jean Christophe Pfaud

1738 (22.5.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 294,
H. Johann Ulrich Greiner E. E. großen Raths alter beÿsitzer und ohlmann
in gegensein Johann Christoph Pfaudt ledigen mehrjährigen Ohlmanns beÿständlich seines vatters Johann Reinhard Pfaudt des Stattglaßers
entlehnt, In einer ahne der Obern straß einseit neben Fr. Werckmeisterin der wittib anderseit neben Johann Georg Jundt glaßer gelegenen behausung Im vordern stock unten auf dem boden stub, Kuchen, dem Ohlladen, eine daran liegende Kammer, die Ohl kammer in dem hoff unter dem Mittlern gebäu samt dem gantzen Mittlern gebäu, im hoff die trott und ohlmühl wie auch das gantze hinderhauß, den Keller im hinder hauß wie auch die haubühn und Pferdtstall, das holtzhauß im eck ahne der hindern thür und den im vordern keller zu rechter handt ahne der stieg unterschlagenen platz – auff 9 nacheinander kommende jahr um einen jährlichen Zinß nemlich 66 pfund

Ulric Greiner meurt le 17 novembre 1742. La minute de l’inventaire dressé par Abraham Kolb n’est pas conservée

1743, Not. Kolb (Abraham, répert. 65 Not 45) n° 206
Inventarium – Greiner, weÿl. H. Ulrich, geweßenen Ohlmanns und E.E. Großen Raths allhier alten beÿsitzers seel. Verl.

Le pasteur mentionne dans l’acte les parents et les deux épouses successives du défunt. Un des témoins est le mari de sa petite-fille, le pasteur Jean Herrmann de Barr
Sépulture, Saint-Thomas (luth. Past. C, 1741-1771, f° 8 n° 43)
Anno 1742. den 17. Novembr. vormittag ein viertel nach 9. uhr ist gestorben und Mont. den 19. ejusd. zu St. Helenæ begraben worden Herr Ulrich Greiner Öhlhändlern burger u. E. E. Gr. Raths allhier alter beÿsitzer, Seine Eltern waren weÿl. Hr Georg Greiner geweßenen Burger meister und Müller Zu Schorndorff Würtenbergischer Herrschafft und Margaretha gebohrne Kuntzin, ward verheurathet Zum ersten mahl mit Jfr. Maria Ursula Hüffelin, Georg Hülffels geweßenen Weißbecken u. burgers allhier ehel. tochter, Zum andern mahl aber mit Jfr. Maria Magdalena gebohrner Schweigheußerin, weÿl. Hn Daniel Schweigheußer geweßenen Gastgebers Zum Pflug und hernach Zum blauen bauren und burgers allhier ehel. tochtern die er auch alß Wittib hinterlaßen, Seines alters 75. Jahr 10. monath und 6. Tag, die Leichen Sermon hielte zu St. Nicolai H. Johann Georg Schweigheußer Diac. Thom. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Evangel. Pfarrer in Barr als Enckelmann, Johann Michael Schweigheußers als Schwager (i 9)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de12 700 florins
1743, Livres de la Taille (VII 1179, f° 196-v
Becker F. N° 8779 – Weÿl. Ulrich Greiner Ohlmann und Ex Senatoris Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 211.b, 6564 lb 15 ß 7 d, gehet ab der Hausraht so dißorts der Verstallung befreÿet 189. 18. 10, restirt 6374. 16. 9
die machen 12.700 fl. Verstallte 12.600 fl, Zu wenig 100 fl.
Nachtrag auff acht Jahr in duplo à 6 ß, 2 lb 8 ß
und auff Sechs Jahr in simplo à 3 ß, 18 ß
Extat kein Stallgl.
Gebott, 2 ß
Abhandlung 7 lb 7 ß 6 s, Summa 10 lb 18 ß 6 d
dt. 2° Martÿ 1743.

Marie Madeleine Schweigheusser meurt à l’âge de 70 ans le 19 octobre 1746
Sépulture, Saint-Thomas (luth. Past. C, 1741-1771, f° 38 n° 221)
Anno1746. Mittwoch den 19. octobr. Abends umb 6 uhr ist gestorben und Freÿt. den 21. ejusd. zu St. Helenæ begraben worden fr. Maria Magdalena Greinerin, gebohrne Schweigheußerin, ihres alters 70. Jahr 9. Monath, 13 tag, Ihre eltern waren weÿl. Herr Daniel Schweigheußer geweßener Gastgeber und burger allhier und Fr. Anna Catharina gebohrne Güntzerin seine Haußfrn Sie ward verheurathet mit weÿl. Hrn Ulrich Greiner gewesenen Öhlhändlern u. burgern allhier wie auch E. E. Gr. Raths alten beÿsitzer, die Leichen Sermon hielte zu St. Thomæ M. Johann Georg Schweigheußer Diac. Thom. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Evangel. Pfarrer in Barr als Enckelmann, Johann Michael Schweigheußers als Bruder (i 40)

La maison revient à leur petite-fille Marie Madeleine Eissenmann, épouse du pasteur Jean Herrmann.
Leur fille Anne Catherine Greiner épouse en 1717 le pharmacien Jean Albert Eissenmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren Vest und Kunsterfahren Herrn Johann Albrecht Eißenmann Leedigen apotheckher, weÿland deß wohl Ehren Vest Großachtbahr, fürsichtig und Großachtbahr. Johann Friderich Eißenmann auch geweßenen Vornehmen Apothecker und E. E. Kleinen Raths allhier Zu Straßburg alten beÿsitzers, burgers daselbsten, mit auch weÿland der Edlen, Viel Ehr: und tugendbegabten frawen Catharina Margaretha gebohrner Sebitziußin seeligen, erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfrawen Anna Catharina Greunerin, deß Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Ulrich Greuner Ohlmann und burgers Zu gedachtem Straßburg mit der Viel Ehr: und tugendreichen frawen Maria Magdalena gebohrner Schweickhäußerin Ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen und Verhandelt in Löblicher Statt Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris im Jahr, als man nach Christi unßers Einigen heÿlandts undt Seeligmachers geburth Zahlte 1717. [unterzeichnet] Johann Albrecht Eisenmann als brautigamb, Anna Catharina Greinerin Als hochzeiterin – Daniel Roth, Nots. Jur: Publ. Requisit.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 34, XVII)
1717. dominica XX & XXI post Trinitatis proclamati sunt Herr Johann Albrecht Eisenmann Wohlverordneter Apotecker und burgere Allhier Weÿl. H. Johann Friderich Eisenmanns burgers Apoteckers auch E. E. Kleinen Raths Wohlmeritirten beÿsitzers Hinterlaßener ehel. Sohn und Jfr. Anna Catharina herrn Ulrich Greiners burgers und Ohlmanns allhie ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. den 20. 8.bris [unterzeichnet] Johann Albrecht Eißenmann als hochzeiter, Anna Catharina Greinerin als hochzeiterin (i 38)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 112 livres, ceux de la femme à 1 916 livres. Le mari est propriétaire pour moitié de la pharmacie Scheid, sise rue des Hallebardes
1718 (31.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1430
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrene herr Johann Albrecht Eißenmann Apothecker und die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Catharina gebohrne Greunerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 31.ten Maÿ Anno 1718. in fernerem gegenseÿn h. Tit. H. Philipp Caspar Leiterspergers deß beständigen Regiments der Herren XV. hochansehnlichen beÿsitzer, vornehmen burgers allhier, des Eheherrn annoch ohnentledigten Herrn Curatoris.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Strasen gelegenen der Ehefrauwen Eltern Eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich volgender massen befunden.
Eÿgenthumb ane einem Gärtlein (M.) It. j. gärthel Vor dem Fischerthor unterhalb dem Neßelsteg (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gerachtes Guth betr. Sa. haußraths 81, Sa. Wein und Leerer Vaß 20, Sa. Silbers 32, Sa. Goldener Ring 58, Sa. baarschafft 53, Sa. Pfenningzinß hauptgüter haupt Güther 149, Sa. Eÿgenthumbs ane I Gärthlein o, Sa. Eigenthumbs ane I. Apothecker behaußung 4750, Sa. Eÿgenthumbs ane Gültt und liegende güthern o, Summa summarum 5144 lb – Schulden 4031, Nach deren Abzug 1112 lb
der Frauen Nahrung concernirend, Sa. haußraths 180, Sa. Silers 58, Sa. Goldener Ring 134, Sa. baarschafft 1543, Summa summarum 1916 lb
Wÿdumbs Verfangenschaften. Benantlichen der Edle, wohl Ehrenvest, hochachtbahre und Kunstberühmte herr Johann Heinrich Copp vornehme Apothecker und burger allhier Zu Straßburg von weÿl. der Edlen viel Ehren und tugendbegabten frauen Catharina Margaretha Cappin gebohrne Sebitziußin seiner geweßenen Fr. Eheliebstinin alß dißorts Eheherrn frau Mutter (…)
Item S. T. Herr Heinrich Nicolaj hocherfahrener Medic: Doctor und berühmter Practicus ist gleichfalls von weÿl. S. T. Frauen (-) gebohrner Kiehlin seiner erstern Fr. Eheliebstin als des dißortigen Eheherrn fr. Großmutter Schwester (…)
So dann hat auch S. T. Fr. Judith Sebitziußin gebohrne Deckerin des Eheherrn werthgeehrte Fr. Stieff Großmutter crafft der mit seinem in gott ruhenden H. Großvatter als Ihrem geweßenen Ehegatten auffgerichteten heuraths verschreibung §° 2.do (…)
(M.) Eigenthumb ane einer Apothecker behausung und dem darzu gehörig. Corpori der Apothecker Wahren, sambt denen Vasis auch Schiff und geschirr Zur Apotheck gehörig (…)
Specificatio, dessen so noch nicht meinem Inventario Zugebrachter Ehe einverleibt ist. Erstl. die helffte der sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung in der Spießgaß (…)

Anne Catherine Greiner meurt en 1727 en délaissant trois filles. La masse propre aux héritiers s’élève à 2 071 livres. L’actif du veuf et de la communauté est de 3 064 livres, le passif de 4 136 livres.
1727 (12.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 142
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung undt Güttere so weÿl. die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Anna Catharina gebohrne Greinerin deß Wohl Ehrenvest undt Kunst Erfahrenen herrn Johann Albrecht Eißenmanns vornehmen Apotheckers und burgers allhier Zu Straßburg geweste Eheliebste nach ihrem den 21. Aprilis dieses lauffenden 1727.ten Jahrs genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf Ansuchen und begehren herrn Ulrich Greüners ohlmans undt burgers allhier der verstorbenen seel. leiblich. Vatters alß geschwornen vogts derselben mit ermeltem ihrem hinterbliebenen herrn Wittibern Ehelich erzielter und hinderlaßener dreÿer Kindter und ab intestato Erben, Nahmentlich. Mariæ Magdalenæ, Mariæ Salome undt Catharinæ Dorotheæ Eißenmännin, inventirt – So beschehen Straßburg in fernerem beÿsein fr. Mariæ Magdalenæ Greinerin gebohrner Schweighäußerin der Kindter und Erben Großmutter, So dann Mariæ Elisabethæ Geißelin gebohrne Eisenmännin des H. Wittibers fr. Schwester auff dinstag den 12. aug. a° 1727.

Hültzen und (Schreinwerck). In der gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der großen Stub, In deß Herren Stub, Vor dießer Stub, Im Hauß öhren, In der Küchen
(f° 14-b) Eigenthumb ane Einer gemeinschafftlichen Apothecker Behaußung, so deß H: Wittibers unverändert. Die helffte ane der sogenannten Scheidischen apothecker behaußung (…)
Ergäntzung der Kinder und Erben Ermanglenden ohnveränderten Gueths. Vermög deß über hievorberührter beeder geweßter Ehegatten durch nunmehr weÿl. H. Notm. Daniel Rohren sel. in A° 1718. auffgerichteten, erst letstthin aber verfertigten undt von H. Not° Joh: Philipp Lichtenberg d. 4. Junÿ 1727. vidimirten undt zu Endt unterschriebenen Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
Norma hujus inventarii. Copia der Eheberedung
Der Kindter undt Erben ohnverändertes Vermögen. Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß undt hernach fol: (-) beschriebener Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt, Sa. haußraths 180, Sa. Silber undt geschmeids 32, Sa. goldenen Ringen 45, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1665, Summa summarum 2071 lb
Wirdt auch, weilen die KK. Vogt auf das theilbahre renuncirt deß H. Wittibers undt die Theilbahre Nahrung unter Einer massa beschreiben, Sa. haußraths 95, Sa.Wein u. leeren faß 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. baarschafft 60, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, Sa. deß zu vorberührten apothecker behaußung gehörig. Corporis 771, Sa. der Vasorum auch Schiff und geschirrs 61, Sa. der Schulden 250, Summa summarum 3064 lb – Schulden 4136 lb, (passiv onus) 1072 lb
Verstallungs Summa 998 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris 1717

Jean Albert Eissenmann meurt en 1730 en délaissant deux filles. L’inventaire de sa succession consiste à revoir celui de sa femme
1730 (13.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 143
Revisions Inventarium über Weÿl. deß wohl Ehrenvest und Kunst Erfahrnen herrn Johann Albrecht Eißenmanns geweßenen vornehmen Apotheckers und burgers alhier Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1730. – nach seinem den 22. Aprilis dieses Lauffenden 1730.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf erfordern und begehren deß Ehrenvest und Vorgeachten Hn Ulrich Greüners Ohlmans undt burgers allhier deß ab resp. Schwäher vatters, alß geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ undt Mariæ Salome Eißenmännin, sein deß Jetzt Verstorbenen seel. mit auch weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin ehelich erzielter undt annoch Verlaßenter zweÿer Kindter und ab intestato hinterlassene Erben, auß dem über erstgemelter Fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin alß deß jetz abgeleibten geweßener Eheliebsten seel. Verlaßenschaffts Inventario Vom 12. aug: 1727. allein revidirt – Actum Straßburg undt Sambstag den 13.ten maÿ Anno 1730.

Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß gelegener undt hernach bemerckter Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt,
Krafft Eingangs gedachten Inventarÿ über der Frawen seel. Verlaßenschafft Auffgerichtet thut der Kindter undt Erben ohnveränderter haußrath fol. 41.a dem Stall Tax nach 180. lb, Sa. Abgangs 15, im Rest 165 lb
Silber undt geschmeids 60, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1698, Summa summarum 2106 lb
Des Verstorbenenn haußraths 15, Sa.Wein u. leeren faß 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Goldene Ring 140, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, das Corpus der zue hiehero bemerckter apothecker behaußung gehörig. 771, Vasa 61, Schulden 310, Summa summarum 3222 lb – Schulden 5699 lb – Endlicher Schulden Nachstandt 369 lb

Marie Madeleine Eissenmann épouse en 1737 Jean Herrmann, pasteur veuf de Barr : contrat de mariage, célébration
1737 (7.11.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 125
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Hermann Treu Eiffrigen Evangelischen Pfarrherrn zu Barr Straßburger herrschafft, Wittiber und burgern zu Straßburg hochzeitern an Einem
So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfr. Mariæ Magdalenæ Eißenmännin weÿl. des Ehren Vest, Wohlvorgeachten undt Kunst Erfahrnen Herrn Johann Albrecht Eißenmanns gewesten vornehmen Apotheckers auch burgers allhier mit auch weÿl. Fr. Annæ Catharinæ gebohrner Grünerin seel. Ehelich erzielter undt nach Todt verlaßener Ehelicher Tochter der Jfr. Hochzeiterin andern Theills
So beschehen undt Zugegangen in der Königlichen Statt Straßburg auff Donnerstag den 7. Monats tag Novembris anno 1737.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 147)
1737. dominica XXII. et XXIII. Trinit.. proclamati sunt Herr M. Johannes Herrmann treueifferiger Pfarrer beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu Barr v. burger allhier V. Jgfr. Maria Magdalena weÿl. herrn Johann Albrecht Eisen Mann, Gewesenen Apoteckers v. burgers allhier nachgelaßene ehel. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 27 Novembr. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Pfarrer in Barr als bräutigam, Maria Magdalena Eißenmännin als braut, Johannes Fridericus Kobert pfarrer in Auenheim als Schwager, Ulrich greiner gros Vatter (i 151)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison d’Ulric Greiner, grand-père de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 1 522 livres, ceux de la femme qui comprend une part de la pharmacie paternelle à 1 522 livres.
1738 (9.1.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 11) n° 257
Inventarium über die Jenige Nahrungen so der wohl Ehrwürdig undt wohl gelehrten herrn M. Johannes Herrmann dermahlen trew Eifferiger Evangelischer Pfarrer in Barr Straßb. herrsch. undt die viel Ehren undt tugendt Reichen fr. Maria Magdalena gebohrne Eißenmännin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zu Straßburg Einandter für unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgerichtet aô 1738. – theils Zu Barr den 15. dito auffgenommen, theils aber nach seiner vorigen Eheliebstin fr. (-) gebohrner (-) seel. Zugebrachten Nahrung Inventario durch H. Notaroium Joh: Brucken den 4. et 30. Mertz 1737. auffgerichtet undt Verfertiget d. 20.ten ejusdem allhier revidirt
So beschehen Straßburg in fernerem beÿsein herrn Johann Ulrich Greiners des ohlmanns undt E: E: Großen Raths alten beÿsitzers undt deßen Ehegattin alß der fr Pfarrerin geliebter Mütterl; Groß Elternn wie auch H. Johannes Becken deß buchhändlers und deßen Eheliebstin dahier auff Seith. deß herrn Pfarrers

Inn Einer allhier Zue Straßburg in der langen Straß gegen der gastherberg Zum grünen Dragoner über gelegener H. Rathh. Greiner dem Hn Großvatter Eigenthümlich zuständiger Behaußung hat sich befunden alß volgt
Eigenthumb ane Einer Apothecher behaußung undt darzu gehörigem Corpori so der fr. Pfarrerin ohnverändert. den halben theill von der helffte vor ohnvertheilt der sogenannten Scheidischen Vulgo aber die Spieß Apothecker behaußung und übrigen darzu gehörigen Corpori in der Spießgaß (…)
Norma hujus inventarii,. Des Eheherrn zue gebrachter haußraths 431, Sa. Bibliothec 190, Sa. Wein faß undt bitten 386, Sa. Silber undt Geschmeids 174, Sa. goldener Ringen 28, Sa. der baarschafft 510, Summa summarum 1722 lb – Schuld 200, Nach deren Abzug 1522 lb
Demnach Wirdt auch der Fr. Pfarrerin Zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 133, Sa. Silber undt Geschmeids 56, Sa. golden Ringen 173, Sa. baarschafft 260, Sa. Einer Apothecker behaußung 897, Summa summarum 1522 lb
Haussteuren 116 lb, Waran nach auffgerichteter Eheberedung Jeedem die helffte gebührig macht 58 lb
Wÿdemb Alß den herrn Pfarrers Zugebrachter nahrung, ane herrn Philipp Jacob Lang Pfarrherrn Zu Eckendorfff heßen hanaw lichtenbergischer jurisdiction

Jean Herrmann loue au nom de sa femme Marie Madeleine Eissenmann une partie de la maison à l’huilier Jean Christophe Pfaud

1747 (12.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 16-v
H. M. Johann Herrmann der Pfarrer zu Barr uxorio nomine Fr. Maria Magdalena geb. Eißenmännin
in gegensein Johann Christoph Pfaud des ohlmanns
verlühen, in einer alhier ane der Obern Straß einseit neben Fr. Werckmeisterin der wittib, anderseit neben Johann Georg Jund dem glaßer gelegenen ohlbehausung, im vorderhauß unten auff dem boden alles was so von der gaß an biß an das mit steinernen blatten belegten höffel befindet, das Ohlkämmerlein in dem höffel, den Pferdstall, heubühn und kuhstall statt des holtzhaußes das ohlhauß samt dem darinnen sich befindlichen kellerlein, das wellen bühnlein vom stall ab biß über die s.v. mistgrub, die hintere bühnen im hintersten gebäu des haußes zwo kammern, eine wo dermalen der knecht schlafft und die neben der soldaten kammer, die kammer wo man auff dem mittleren gänge hinein gehet samt der bühn darüber, das s.v. Schweinstall neben dem thor einen dritten theil des geträmten kellers, die wohnung vor die hintersten hausleuthe, welche der entlehner an ehrlichen leuthe zu verlehnen befugt ist, In der mittleren wohnung der [sic] vorderhaußes was auff diese im boden ist biß an die stiegen samt dem aschkasten auf dem obersten boden, die zweÿ obersten bühnen im vorderhauß, das holtzhauß im hoff neben dem s.v. mist Kasten und einen dritten theil des geträmten kellers, so dann wird der entlehner vergönnet die mit latten zugemachte kammer neben der bühn steeg auff der untersten vordersten bühn zu genießen solang biß einmal die oberste vordere wohnung auch verlehnt oder selbst gebaucht würde – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 156 gulden

Femme du premier diacre du Temple Neuf, Marie Madeleine Eissenmann meurt en 1770 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans le presbytère du Temple-Neuf. Les experts estiment la maison Grand rue 500 livres. L’actif de la succession qui comprend une part de la pharmacie paternelle s’élève à 4 670 livres, le passif à 3 722 livres.

1770 (5.11.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 554) n° 207
Inventarium über Weÿland der hoch-Edlen: Viel-Ehren: und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmännin geb. Eißenmännin, S.T. H. M. Johannes Herrmann treueiffrigen Diaconi Sen: beÿ der Prediger gemeinde und angesehenen burgers allh. Zu Straßburg geweßene Fr. Eheliebste, nunmehr seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet in anno 1770 – nach ihrem den 15. Junÿ lauffenden 1770.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Nahrungs Verlaßenschafft heut dato zu end stehend; auff ansuchen erstgedachten herrn Wittibers (…) beneben Jgfr. Catharinæ Bauerin der Haußhälterin – So geschehen allh. Zu Straßb. auf Montag den 5.ten Novembris & seq. Anno 1770.
Die Verstorbene Frau Pfarrerin seelige hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1° S.T. Herrn Johannes Herrmann, Med. Doct. & Prof: publ. extraord. Wie auch angesehener b. allhr. Zu Straßb. 2° Herrn Gottfried Herrmann, Apothecker und auch burger allh: 3° Herrn Johann Friedrich Herrmann J.V. Ltum welche dreÿ Majorennis, und diesem Geschäfft persönlich abwarteten
4° herrn Ludwig Herrmann, ledigen Handels Mann so letzt verfloßenen 17. Junÿ 21 Jahr alt war, 5° Jgfr Mariam Magdalenam Herrmännin, welche 19 Jahr alt, 6° Johann Daniel so 16 ½ Jahr alt Und 7° Margaretham Salome, welche seit dem 23.ten Junÿ letzthin 11 Jahr alt ist. Über diese vorher beschriebene 7. Erben hat die Defuncta auch noch ein töchterlein nahmens Cleophe Elisabetha hinterlaßen, welches seither auch verstorben und von dem H. Wbr. als Vater geerbt worden ist, dieweilen derselbe aber zufolg hernach befindlichen Vergleichs auf dieße Erbschafft renuncirt solche denen Übrigen Kindern ebenfalls abgetretten, so wird solches hier nur Zur Nachricht angemerckt. Und ist in Vorbenannter der 4 jüngern annoch minorennen Kkr. nahmen, welche mit ihrem Ältern H. Bruder H. Doct. Herrmann bevögtigt wind, weilen derselbe beÿ diser Succession selbsten interessirt ist, anbeÿ erschienen herr Joh: Friderich Teutsch der Post: Meister und b: allh: (…) ihr interesse bestens besorgt hat, Alle Sieben der Fr. Pfarrerin seel. mit aingangs benanntem ihem hinterbliebenen H. Wber ehelich erzielte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilern nachgelaßene Erben.
Vergleich wegen gegenwärtiger Erb: und Verlaßenschafft (…)

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der Neuen Kirch gelegenen von dem Herrn Wittiber bewohnenden Pfarr-Behausung befunden orden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. Erstl: eine Vorder: und hinter-behausung mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb: in der langen Straaß, oberhalb der Schiltz-gaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund dem glaßer, modo deßen Erben und Nachkommen, 2. s. neben N. Häßler hinten zum theil auf Mr de Hautewald und zum theil auf das bier-hauß zum Grenadierer stoßend, so freÿ, leedig und Eigen, und Zufolg einer beÿ diesem Concept befindlichen Abschatzung vom 9. Nov. 1770 durch (die Werckmeistere) abgeschätzt und angeschlagen worden pro 500. lb. Dieße behausung hat die Defuncta von ihrem Groß-Vater H. Rathh. Greiner seel. ererbt. Und ist hierüber besagend Vorhanden 1. teutscher pergam. Kauf-brieff mit allhiesiger C. C. Stub anhandendem Innsiegel Verwahrt datirt den 28.ten Januarÿ 1665.
Item die helffte für ohnvertheilt ane der apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen-Apotheck genannt (…)
Corpus der zu hievor beschriebener Apothecker: behaußung gehöriger Materialien, Apothecker Waaren, Compositorum & Simplicium wie auch Schiff und geschirrs
– Abschatzung vom 9.ten 9. bris 1770, Auff begehren S. T. H. Pfarrer Herrman ist eine behausung allhier In der Statt Strasburg in der Spiesgaß gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist Auch alhir in der Statt Strasburg in der Langen Straß gelegen Ein Seites neben dem H Jundt dem glaser ander seites neben H. Heßler und hienden auff eine behausung Löbl. Statt geherig, solche behausung besteht in Ferder Mitler und hiender gebeÿ warinnen Ettliche Stuben Kammern und Kichen dar jber seindt die Dach Stühl mit breitzieglein belegt hat auch ein Gewelbten Keller zweÿ häiff und einen brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister nach Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren wert nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein Thausent Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Hueber
Wÿdem, So die verstorbene seel. aus weÿl. S.T. H. Doct: & Prof: Georg Heinrich Eißenmann ihres H. Oncle seel. Verlaßenschafft lebtägig zu genießen hatte, nunmehr aber ihrer dermahlen annoch lebenden 4. jüngen Kkn als instutuirt und resp° Substituirten Erben anheil fällig ist. Es hat nemlich vorbenannter H. Dr Eißenmann seel. in den den 9. Aug. 1768. auffgerichteten beÿ H. Not° Joh: Jacob Grießbach deponirt befindl. Testament geordnet (…)
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung Copia Codicilli
Sa. hausraths 427 lb, Sa. der Bibliothec 50 lb, Sa. Weins und lehrer Faß 54 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeidt 200 lb, Sa. goldener Ringe 46 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 375 lb, Sa. des Eigenthums ane Häußern 1350 lb, Sa. des Apothecker Corporis 888 lb, Sa. der Schulden 1278 lb, Summa summarum 4670 lb – Passivorum 3722 lb, Nach deren Abzug 948 lb
Hierzu Kommen des Zween älteren verheuratheten Herrn Söhne erhaltene Ehesteuren 1490 lb – Stall summa 5974 lb
Eheberedung (…) den 7. Novembris 1737, Abraham Kolb Nots.

Registre de partage non conservé.
1772, Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, Répertoire 449.3) n° 228
Abths: Concept und respe. Erlöß-Register über weÿl. H. M Joh. Herrmann gew. Diaconi beÿ der Prediger Gemeind und deßen seel. Fr. Eheliebste fr. Maria Magdalena geb. Eißenmännin

Le marchand Louis Herrmann hypothèque sa part d’immeubles au profit de ses frères et sœurs

1773 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 52
H. Ludwig Herrmann der handelsmann beÿständlich seines curatoris ad actum H. Gottfried Herrmann des apotheckers
in gegensein S.T. H. Professoris Johann Herrmann alß geordneter vogt weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmannin geb. Eißenmännin hinterlassenen 4 jüngeren kinder – schuldig seÿe 2400 gulden
unterpfand, 1.mo den ihme eigenthümlich zuständigen 7.ten theil ane der helffte der annoch unvertheilten Spieß apotheck ane der Spießgaß, eins. theils neben H. Hirn dem handelsmann theils neben dem Ulmergraben, anders. ist ein Eck ane dem schneidergraben, hinten auf H. Maison den schneider – von der gantzen behausung gibt mann löbl: Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ 16 s allmend zinß
item ein 7. theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane der Langen straß, einseit neben N. Haßler dem perruquenmacher, anders. neben N. Jund dem glaßer, hinten theils auf H. d’Hauteval theils auf die bierbehausung zum Granadier
H. Johann Friedrich Herrmann, vor H. Debitorem seinen bruder, alß bürg

La maison figure à l’inventaire des apports du marchand droguiste Georges Jérôme Kob et de Marie Madeleine Herrmann. Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 62 livres, ceux de la femme à 3 033 livres.

1773 (30.10.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 555) n° 244
Inventarium über des Wohl-Edlen: und großachtbahren Herrn Georg Hieronimus Kob, Material-handels-Manns und der Viel-Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Herrmännin, beeder Ehe-Persohnen und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnveränderte in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1773 – und sich in dem den 1. Februarÿ laufenden 1773.sten Jahrs vor unterschriebenen Notario errichteten Ehe Contract für unverändert vorbehalten haben
So beschehen in fernerm beÿseÿn S° T° herrn Doctoris et Professoris Johannes Herrmann, der Ehefrauen leibl. herrn bruders und geschwornenn Vogts als hierzu erbettenen beistands, Straßburg auf Sambstag den 30. Octobris Anno 1773

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegen dem Eheherrn Zur Hälfte gehörigen und hernach beschriebenen behausung befuden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. (F.) Erstl. Ein Siebender theil für ohnvertheilt von und ane Einer Vorder: und hinter: behaußung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb. in der Langen Straaß oberhalb der großen Schiltzgaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund des glaßers Erben 2. s. neben N Häßlern hinten z. th. auf Mr de Hautewald u. z. thl. af. das bierhaus zum Grenadier: stoßend, so freÿ, leedig u. Eigen und hieher ohn præjudicirlich æstimirt pro 2500 lb, thut zu dißortiger Ehefr. deren participîrendem Siebenden theil 357 lb, Welchen Antheil dieselbe von ihrer fr. Mutter weÿl. fr: Pfr: Mariæ Magdalena Herrmännin geb. Eißenmännin seel. ererbt, und sind die übrige 6/7.te theil ihren Sechß Geschwüsteren und Mit-Erben eigenthüml. zuständig. Hierüber ist vorhanden i. teutsch. pergam. Kfbrief in der St. Straßb. anh. C. C. Inns. Verwahrt, de dato 28.ten Januarÿ 1665, welchen hr: Prof. Joh: Herrmann der ältere bruder in gemeinschaftl. Verwahrung hat.
(F.) Item Ein 14.der theil für ohnvertheilt von und ane der Apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen Apotheck genannt (…)
(M.) Erstl. die helfte für unabgetheilt von und ane Einer behausung, hoff, Gemeinschafft des bronnens und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allh. Zu Straßb. ane der Fladergaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Eherrn zugebrachtes Guths, hausrath 2 lb, Silber 23 lb, baarschafft 36 lb, behausung 4000 lb, summa summarum 4062 lb, schulden 4000 lb, Nach deren abzug 62 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn zugebrachten Guths, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 23, Sa. der baarschaft 36, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 4000, Summa summarum 4062 lb – Schulden 4000 lb, Nach deren Abzug 62 lb
Dießemnach wied auch der Ehefrauen für unverändert in die Ehe zugebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 385 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 54 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 121 lb, Sa. baarschafft 32 lb, Sa. des Eigenthums ane häußern 1247 lb, Sa. Schulden 1577 lb, Summa summarum 3417 lb – Schulden 384 lb, Nach deren abzug 3033 lb – haussteuren 167 lb

Le compte que rend le docteur en médecine Jean Herrmann de la tutelle des biens qui appartiennent à ses frères et sœurs comprend un état des loyers. La maison Grand rue est louée au fondeur d’étain Spæth, au charcutier Streichenberger, à la femme du pasteur Moser, au musicien Dorn et au maître maçon Stahl.

1774 (ult: Maÿ), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 576) n° 71
Rechnung Mein Johannes Herrmann Med: Doct: & Prof: allh. auch burgers allh: zu Straßb: als geordnet u. geschworenen Vogts Meiner 4. jüngern Geschwüsterde, Nahmentlichen herrn Ludwig Herrmann des leedigen handels-Manns und burgers hieselbsten, frauen Mariæ Magdalenæ Kobin geb. Herrmännin, herrn Georg Hieronÿmus Kob ebenfalls handels-Manns und burgers dahier Ehefrauen, wie auch Johann Daniel und Margarethæ Salome derer Herrmänner, aller Vier weÿl. Hn M. Joh: Herrmann geweßenen Diaconi senioris beÿ hiesiger Prediger-Gemeiner mit auch weÿl. fr: Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin ehelich erziehl und nach tod hinterlaßener jüngerer Kinder, Innhaltend was ich ihrentwegen seit dem 3.ten Augisti 1772 als dem Tag der angetrettenen Verwaltung bis Ultimo Maÿ 1774 sowohl eingenommen und außgegeben, als sonsten verhandelt habe. Erstere Rechnung dießer Vogteÿ.

Bericht. das Vermögen meines hierüber benahmbßter 4. jüngern Geschwüster, so mir als Vogt Zur Verwaltung anvertrauet wurde bestehet, theils in der ihnen Von ihrem Groß-Oncle weÿl. Hn Doct. & Prof Georg Heinrich Eißenmann per Testamentum angefallene Erbschaft und theils in ihrem Elterlichen Erbguth
Corpus Jährl. fallen habender Hauß Zinnße so unter allen Sieben hermännischen Erben annoch gemeinschaftlich
die helfte ane der Zur Sonnen-Apotheck genannten ane der Spießgaß gelegenen behaußung, samt darzu gehörigen Apothecker-Corpore und übrigen Schiff und geschirr
(…)
Behaußung ane der Mittlerlang-straaß gelegen
Erstere Wohnung, hievon Zahlt Mr Späth der Zinngießer allhier jährlichen 35
Von Zweÿter Wohnung, Zahlt Mr Streichenberger der Wurstmacher alhier jährlichen 13, Von dritter Wohnung, Frau Pfar: Moserin jährlichen 20
Von Vierter Wohnung, hr. Dorn der Musicus jährlich ebenfalls 20
Und Von fünffter Wohnung, H Stahl der Maurer-Meister jährl. 18

Nouvel état des loyers après la vente au locataire Stahl

(N° 76) Rechnung Mein Johannes Herrmann Med: Doct: & Prof: allh. auch burgers allh: zu Straßb: als gewesenen und Zum theil annoch ohnentledigten Vogts meiner 4. jüngern Geschwüsterde, Nahmentlichen H. Ludwig Herrmann, leedigen handels-Manns, Fr. Mariæ Magdalenæ Kobin geb. Herrmännin, des Verstorbenen Johann Daniel Herrmanns und dann Jungfrauen Margarethæ Salome Herrmännin, Innhaltend was ich ihrentwegen seit dem letztern Maÿ 1774 als dem beschluß meiner erstern Rechnung bis 1. febr: 1776 ferner eingenommen und außgegeben, auch sonsten verhandelt habe. Zweÿte und für H. Ludwig, Fr. Kobin und Joh: Daniel die letztere Rechnung.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. (…) und deßen auch mei jüngere bruder Daniel, den 4.ten 9.bris 1774. mit tod abgegangen
Einnahm so unter allen Sieben Erben annoch gemeinschaftlich. Ane Hauß Zinnß
Erstl. thut der Zinß von der behaußung ane der Spießgaß und darzu gehörigen Apothecker-Corpore (…)
Von der den 10.ten Sept: 1774. verkaufften Behaußung ane der lang Straaß entrichteten Mr Späth der Zinngießer allhier von ersterer Wohnung (…)
It. Mr Streichenberger der Wurstmacher Von Zweÿter Wohnung (…)
It. Frau Pfarrer Moserin Von dritter Wohnung (…)
It. hr. Dorn der Musicus Von Vierter Wohnung (…)
It. Mr. Stahl der Maurer Und Von fünffter Wohnung (…) Und von Joh. Bapt: 1774. bis Zur Zeit da er das hauß gekauft u. 900. lb d auf abschlag des Kauffschillings bezahlt habe

Les héritiers Herrmann vendent la maison par enchère 2 250 livres au maçon André Stahl. L’acquéreur consent à la location au profit de Gustave Samuel Brenner

1774 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 365-v
S. T.H. Johann Herrmann, medicinæ doctor und professor historiæ naturalis tam proprio quam tutorio nomine Fr. Maria Magdalena Kobin geb. Herrmännin, H. Georg Hieronimus Kob des materalisten Ehegattin, Johann Daniel und Margaretha Salome derer Herrmann seinen geschwistrigen, H. Gottfried Herrmann der apothecker vor sich und innahmen H. Johann Friedrich Herrmann J. U. licentiati und H. Ludwig Herrmann des materalisten
in gegensein H. Andreas Stahl des maurers, als letzt und meistbietenden
eine behausung bestehend in vorder, mittel gebäud und hinterhaus, zweÿ höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittlerern Langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund dem glaßer, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten zum theil H. d’Hauteval zum theil auff die zum Grenadirer geschildete bierbehausung
[f° 367] declarirt der käuffer d. H. Stahl, H. Gustav Samuel Brenner eine wohnung in erst erkaufften behausung so letzterer so lang es ihme gefallet zu benutzen und zu bewohnen (…) bestehet im gantzen ersten stock des vorderen gebäudes und haltet in sich eine stub kammer nebst einer nebens kammer, kuchen und haußehren den großen gewölbten vorderen keller, mehr einen von den oberen großen kammer welche er H. Brenner außleßen wird, so dann platz zum holtz im hoff, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden – um 4500 gulden

André Stahl et Catherine Barbe Greiner hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Gustave Samuel Brenner

1775 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 73-v
H. Andreas Stahl der maurermeister und Maria Barbara geb. Greinerin unter assistentz H. Jacob Greiner des schneider meisters ihres leiblichen vatters und Mr Jacob Greiner des ebenmäßigen schneiders ihres leiblichen bruders
in gegensein H. Gustav Samuel Brenner des goldarbeiters – schuldig seÿen 1700 gulden
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder, mittel gebäuden und hinter haus mit denen übrigen begriffen ane der mittleren Langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund des glaßers erben, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten zum theil auff H. d’Hauteval zum theil auff dem zum Grenadirer geschildete bierbehausung – als ein von den Hermänischen geschwistigen und Erben unterm 10. Septembris jüngsthin erkaufftes haus – diese 1700 gulden zum bau der ane dem mittler und hinterhaus angefangene arbeit, da er der debitor eine vollständige behausung auff solchem platz mit einem gewölbten keller ansetzen im begriff stehet

André Stahl et Catherine Barbe Greiner hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Chrétien Pick

1776 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 217
H. Andreas Stahl der maurer meister und Fr. Catharina Barbara geb. Greinerin unter assistentz H. Johann Jacob Greiner des schneider meisters ihres leiblichen vatters und Michael Greiner ebenmäßigen schneiders ihres bruders
in gegensein H. Johann Christian Pick des bierbrauers – schuldig seÿen 800 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Mittleren langen straß oberhalb der Schildsgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Jund des glaßers erben, anderseit neben N. Häßler dem perruquenmacher, hinten auff zum theil H. Hauteval theils die zum grenadier geschildete bierbehausung

André Stahl et Catherine Barbe Greiner vendent la maison avant au boucher Philippe Jacques Streichenberger et à sa femme Marie Barbe Blessig en se réservant la maison arrière qui donne dans la rue Escarpée

1791 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 665 n° 141
H. Andreas Stahl der maurer meister und Catharina Barbara geb. Greinerin beiständlich H. Johann Michael Greiner des schneider meisters und Johann Jacob Stahl des maurer meisters ihres sohns
in gegensein H. Philipp Jacob Streichenberger des metzgers und Mariæ Barbaræ Bleßigin unter assistentz H. Johann Lorentz Bleßig Sacro Sancto theologiæ doctoris et professoris ihres bruders und H. Johann Mathias Pommer des baliers auf dem hiesigen Maurhoff
eine behausung, hof, bronnen und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der mittleren langen straß, einseit neben H. Jund dem glaser, anderseit neben H. Heßler dem peruckenmacher, hinten auff den käuffer zum theil und theils H. Lauth den bierbrauer – um 4100 gulden
enreg. 22.6. F° 35

Fils de charcutier, le charcutier Philippe Jacques Streichenberger épouse en 1787 Marie Barbe Blessig, fille d’un marchand de poissons : contrat de mariage, célébration
1786 (6.12.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 152
Eheberedung – persönlich erschienen Philipp Jacob Streichenberger, lediger Bratwürstmacher, Weiland Johann Jacob Streichenbergers gewesenen Bratwürstmachers und Burgers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn, beÿständlich Herrn Johannes Breßlers des Seidenhändlers und Burgers alhier als Bräutigam an einem,
So dann Jungfer Maria Barbara Blessigin, Weiland Johann Lorentz Bleßigs, gewesenen Fischkäufers und burgers alhier hinterlaßene eheliche Tochter unter assistentz S. T. H. Lt. Johann Siegfried Breu Hochadelichen Schaffners wie auch E. E. Grosen Raths alten beÿsitzers und burgers alhier ihres geordneten Herrn Vogts und S. T. Herrn Johann Lorentz Blessigs Professoris beÿ hiesiger Universitæt und Amtspredigers beÿ der neuen oder Prediger Kirch alhier ihres Herrn Bruders als Braut – Actum alhier Zu Straßburg Mittwochs den 6. Decembris Anno 186. [unterzeichnet] Philipp Jacob Streichenberger, Maria barbar bleßigin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 230, n° 2)
Im Jahr Christi 1787. Montags den 15. Jänner Abends um Vier Uhr sind nach Vorhergeschehenen Proclamationen Dominica Prima et secunda post Epiphanias in unserer Kirche öffentlich copulirt und Ehelich eingesegnet worden Philipp Jacob Streichenberger lediger bratwürstmacher und burger alhier, weÿland Johann Jacob Streichenbergers gewesenen bratwürstmachers und burgers alhier mit weÿl. Fraun Maria Salome eine gebohrne Volkin nachgelaßener ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Barbara Blessigin weÿland Johann Lorentz Blessigs geweßenen Fischhändlers und burgers alhier mit weÿland Fraun Maria Susanna ein gebohrne Siegwaldin nachgelaßener ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Streichenberger als bräutigam, Maria Barbara Bleßigin als braut (i 231)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 871 livres, ceux de la femme à 196 livres
1787 (12.2.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 888) n° 344
Inventarium über Philipp Jacob Streichenbergers, des Bratwurstmachers und Fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Blessigin, beÿde Eheleuthe und Bürgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1787 – in ihrem vor mir unterschriebenem Notario den 6. Decembris 1786. mit einander errichteten Ehe Contract §° 3° stipulirt haben, daß einem jeden von ihnen sein in die Ehe bringenes Vermögen vor eigen und ohnverändert Vorbehalten seÿn solle
Geschehen alhier Zu Straßburg in einer an der mittlern langen Straß gelegenen hiehero nicht gehörigen behausung, in fernerem beÿseÿn Herrn Johann Siegfried Neru Hochadelichen Schaffners wie auch E. E. Grosen Raths alten beÿsitzers und burgers alhier der Ehefraun Herrn Vogts und dißorts Beÿstands, Montags den 12. Februarii Anno 1787
Series Rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 133 lb, Sa. Silbers 15 lb, Sa. baarschafft 618 lb, Sa. Lichter Unschlitt und därm 54 lb, Summa summarum 821 lb – haussteuren 50 lb, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 871 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 63 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. der goldenen Ring 17 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 108 lb, Summa summarum 193 lb – Schulden 47 lb, Nach solchem Abzug 146 lb, haussteuren 50 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth 196 lb

Marie Barbe Blessig se remarie en 1799 avec Jean Michel Kæssbohrer, boucher originaire de Schiltigheim
1799 (3 prairial 7), Strasbourg 7 (28), Me Stoeber n° 753 (262)
Eheberedung – erschienen br. Joh. Michael Kässbohrer, lediger Metzger, so großjährigen Alters, weiland bs Jacob Kässbohrer gewesenen Metzgers aus Schiltigheim mit auch weil. Frn Eva geb. Debus erzeugter Sohn als hochzeiter
und brin Maria Barbara Blessig, weil. bs Phil. Jacob Streichenbergers gewes. Metzgers alhier Wittib, beiständl. ihres geliebten bruders br. Joh: Lorentz Bleßig Religion lehrer beÿ der Protestanischen Gemeinde der Prediger Kirch als Braut – Straßburg den 9. Prairial Sieben [unterzeichnet] Johann Michael Käßbohrer hochzeiter, Maria Barbara Streichenbergerin als braut
Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 138 du 19 prai. 7

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à l’épouse Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 9 428 francs, ceux de la femme à 7 491 francs
1799 (24 therm. 7), Strasbourg 7 (11), Me Stoeber n° 1477
Inventarium über bürgers Johann Michael Käßbohrer Mezgers und burgerin Mariæ Barbaræ geb. Bleßig beede Ehegatten in ihrem den 30. prairial lezthin angetrettenen Ehestand zugebrachte Nahrungen (vermög der) vor mir den 9 prairial lezthin passirten Eheberedung
in einer an der langenstraß N° 25 gelegen und in die Ehefraun Mass gehörigen behausung
Eigenthum an einer behausung, so die Ehefrau in die Ehe gebracht, Nemblichen eine behaußung höflein hoffstatt und Gumpbronnen mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten deren Gebäuden, begriffen, und zugehörden gelegen alhier zu Straßburg an der mittlern langstraß N° 25, einseit neben b. Johann Georg Jund Glaser, 2. s neben henßler Peruquenmacher hinten auff Lemaire Sprachmeister, hier unpræjudicirlich geachet wird vor 10 000 fr, Worüber dermalen sich nichts schiftlich gewiesen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns vermögen hausrath 352 fr, silbers 76 fr, baarschafft 9000 fr, feldstück & Summa summarum 9428 fr
der Ehefraun vermögen, hausrath 1946 fr, silbers 145 fr, behaußung 10 000 fr, Summa summarum 12 091 fr – Schulden 4600 fr, Nach deren Abzug 7491 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 69 F° 118 du 3 fruct. 7

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Jacques Irrmann
1822 (12.6.), Strasbourg 4 (52), Me Hatt n° 415
Inventaire de la succession de Jean Jacques Irrmann, commis aux expéditions du directoire du consistoire général décédé le 12 avril dernier – à la requête de Marie Madeleine née Hoh, commune en biens suivant contrat de mariage dressé par Stoeber le 17 mai 1814, mère et tutrice légale de Jacques Edouard âgé de 6 ans 10 mois – en présence de Jean Michel Kaesbohrer boucher, grand oncle du mineur subrogé tuteur
dans une maison en cette ville grand rue n° 25
meubles 137 fr, garde robe 106 fr, reprises 3333 fr, total 3577 fr – passif propre 600 fr
communauté mobilier 143 fr, dettes actives 3090 fr, total 3233 fr – passif 4238 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 F° 11 du 15.6.

Jean Michel Kæssbohrer meurt en 1825 en délaissant une fille
1825 (28.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 50), Me Hickel n° 2028
Inventaire de la succession de Jean Michel Kässbohrer, boucher, décédé le 5 décembre dernier – à la requête de 1. Marie Barbe Blessig la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Me Stoeber le 9 prairial 7, 2. Sophie Caroline Kässbohrer, majeure seule et unique héritière de son père

en la demeure grand rue n° 25 appartenant à la De Kässbohrer
mobilier 5041 fr, numéraire 5128 fr, dettes dues par la veuve 4600 fr, créances 52 280 fr, total 67.050 fr, propre garde robe 203, terres à Schiltigheim
Titres et papiers. Par contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats le 21 juin 1791 Philippe Jacques Streichenberger et son épouse actuelle la veuve Kässbohrer ont acquis d’André Stahl, maçon, et de Catherine Barbe Greiner une maison sise en cette ville grand rue n° 25 qui par testament reçu Me Greiss le 16 germinal 6 est avenue à la De Kässbohrer & a été par elle apporté en son second mariage, pour 4100 florins ou 8200 livres tournois
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 78-v du 3.1.
vacation du 9.1. (acp 176 F° 126-v du 14.1.

Sophie Caroline Kæssbohrer épouse en 1826 Louis Chrétien Gonthier Schæfer

1826 (12.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 50), Me Hickel n° 2042
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Louis Chrétien Gonthier Schaefer, docteur en médecine, fils majeur d’Adolphe Michel Schaefer et de Jeanne Christine Wilhelmine Kneif décédés
Sophie Caroline Kässbohrer, fille majeure de feu Jean Michel Kässbohrer, boucher, et de Marie Barbe Blessig
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 126 du 14.1.

Inventaire après décès d’un locataire, le boucher David Hoh
1825 (5.8.), Strasbourg 4 (61), Me Hatt n° 2439
Inventaire de la succession de David Hoh, boucher, décédé le 21 avril dernier – à la requête de Barbe Hoenig la veuve mère et tutrice légale de David Gustave âgé de 4 ans et Frédéric Charles âgé de 1 an – en présence de Michel Fleischmann, boucher, subrogé tuteur des enfants mineurs
dans une maison grand rue n° 25
garde robe 102 fr, mobilier communauté 444 fr – passif 1100 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 174 F° 93 du 11.8.

Inventaire après décès d’un locataire,, le tailleur d’habits Jean Baptiste Pfeiffer
1839 (24.9.), Strasbourg 14 (108), Me Ritleng n° 9481
Inventaire dans une maison grand rue n° 25 où est décédé le 31 mai dernier Jean Baptiste Pfeiffer, tailleur d’habits – à la requête de Jacobée Schmitt la veuve, 2. Madeleine Louise Pfeiffer épouse de Nicolas Louveaux, employé à l’administration des douanes, 3. Marie Guillaume François Rencker, notaire à la résidence de Strasbourg pour représenter Jean Baptiste Pfeiffer, marchand tailleur à Paris, tous enfants et héritiers du défunt leur père – Contrat de mariage reçu Meyer le 11 décembre 1800
dans une maison grand rue n° 25
Enregistrement de Strasbourg, acp 271 F° 69 du 28.9.


Maison 6, rue Escarpée (1794-1812)

Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl hypothèque sa maison rue Escarpée au profit du négociant Jean Daniel Richshoffer

1794 (2 floréal 2), Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1563
cit. Catherine Barbe Greiner veuve de cit. Jean André Stahl maçon assitée de cit. Jean Haeckel et cit. Johann Stahl maçon son fils (devoir)
à cit. Jean Daniel Richshoffer négociant, 3400 livres
hypothèque, une maison rue dite Gaehgaesslein marquée du N° 5, d’un côté le cit. Jund vitrier, d’autre le cit. Lauth brasseur
enreg. 6 floréal

Catherine Barbe Greiner vend la maison rue Escarpée au maître de langues Joseph Lemaire et à sa femme Marie Marguerite Four

1795 (8 floréal 3), Strasbourg 1 (8), Not. Lacombe n° 8
Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl maçon et Jacob Stahl maçon son fils
au Cit. Joseph Lemaire Maître de langues a Strasbourg et Marie Madeleine four
La maison qui appartient aux vendeurs en cette ville rue dite Gaehgessel N° 5 aboutissant a droite a la Brasserie du Cit. Lauth, a gauche a la maison du vitrier Jund et du Cit. Streichenberger, derrière lad. brasserie et pardevant lad. rue avec Cour écurie buanderie avec chauderon, appartenances et dépendances – se soumettant les vendeurs a Blanchir les 8 appartements de la maison d’icy la St Jean prochaine
[in margine :] 6 mess. an 3 – Jointes, obligations Stahl pour 30.000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 33 f° 18 du 11 flor. 3

Originaire de Neubois dans la val de Villé, le maître de langue et de calcul Joseph Lemaire qui habite Strasbourg depuis trois ans épouse Marie Madeleine Four originaire de Dieffenbach au val de Villé : contrat de mariage, célébration
1775 (28.4.), Not. Laquiante (6 E 41, 1055) n° 59
Contrat de mariage partageable par moitié – Sr Joseph Lemaire Mre de langue demeurant à Strasbourg, fils majeur de Joseph Lemaire laboureur au Comte ban Baillage de Chatenois et de deffunte Catherine Marger
Dlle Marie Madeleine Four fille mineure de Jean Baptiste Four, Cabaretier de Dieffenbach, et Thérèse Zaepffel de l’avis de M François Antoine Zaepffel Greffier des terres de la noblesse son cousin communauté
(Joint) Verzeichnis der liegende güther so Maria Magdalena Four von ihren eltern zur Ehesteur bekommen (zu Scherwiller)

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 39)
1775. Hodie 15 Maÿ Anni 1775 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Josephus Lemaire ex Krith prope Neükirch oriundus defunctorum Conjugum Josephi Lemaire in vivis civis ibidem et Catharinæ Marcot filius Legitimus, Linguarum et artis arithmetica insctructor, a triennio ultimo ratione domicilÿ Parochianus noster et Maria Magdalena Four ex Dieffenbach oriunda, Joannis Baptistæ Four et Theresiæ Zæpffel conjugum et Civium ibidem filia Legitima ratione juris et Facti in Dieffenbach Parochiana, ambo soluti et diœcesis argentinensis (signé) Joseph Lemaire, Marie Madeleine Four (i 23)

Joseph Lemaire et Marie Madeleine Four vendent la maison à leur voisin Jean Michel Schwartz, brasseur au grenadier

1812 (26.8.), Strasbourg 10 (55), Not. Zimmer n° 3496, 5596
Joseph Lemaire maître de langue et Marie Madeleine Four
à Jean Michel Schwartz brasseur au grenadier
une maison avec cour, puits, buanderie avec chaudron, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite Gaehgaessel n° 5, à droite la brasserie de l’acquéreur, a gauche de la maison des Sr Schaefer cordonnier et Kaesbohrer, devant la rue, derrière ladite brasserie – acquis de Catherine Barbe Greiner veuve d’André Stahl maçon et Jacques Stahl son fils maçon par acte passé devant Me Lacombe le 8 floréal 3 – moyennant 14.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 95 du 27.8.

Joseph Lemaire meurt en 1816 en délaissant six enfants, Marie Madeleine Four en 1827 en délaissant cinq enfants
1827 (17.8.), Strasbourg 15 (42), Me Lacombe n° 7904
Liquidation et partage – I. Marie Georges Ignace Lemaire, secrétaire de la mairie de Bischwiller, II. Marie Madeleine Claire Lemaire, majeure, III. Marie Thérèse Sophie Lemaire, majeure, IV. Auguste Heusch, légiste à Strasbourg mandataire de Caroline Emilie Victoire Lemaire, majeure à Paris (François Joseph Marcelin Lemaire, négociant à Paris et Marie Thérèse Louise Lemaire épouse de Jean Marie Palluy ancien magistrat demeurant à Paris ayant renoncé aux succession par déclaration au Greffe de Strasbourg le 21 juin 1827), de la succession tant de Joseph Lemaire, professeur de langues leur père décédé le 4 mai 1816 en laissant ses six enfants dénommés ci dessus et Xavier Lemaire décédé sans postérité le 2 mai 1826 que Marie Salomé Four décédée le 12 avril dernier, déclaration tenant lieu d’inventaire
enfants
meubles 4026 fr, du 3440 fr, totalité de la masse 7466 fr
il existe deux maisons à Strasbourg l’une située dans la rue des Sœurs n° 5, d’un côté le Sr Jung, d’autre la De Lattignant successeur de Didier, donnant dans la rue de la Croix n° 7, acquise suivant acte reçu Stoeber le 1 messidor 3, estimée 12.000 francs
l’autre située dans la rue du Tonnelet Rouge n° 6, d’un côté le Sr Kant, d’autre le Sr Exel – acquise par acte reçu Lacombe le 9 floréal 3, estimée 6000 fr
total de l’actif 25.466 fr, passif 6913 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 185 F° 46 du 22.8.



46, Grand rue


Grand Rue n° 46 – VII 144 (Blondel), P 784 puis section 1 parcelle 75 (cadastre)


Le n° 46 est le bâtiment de gauche à deux travées de fenêtres. A droite, le n° 44 (juin 2018)

La petite maison à deux travées de fenêtres proche de l’auberge au Coq rouge appartient la plupart du temps à des potiers entre 1620 et 1810 : Philippe Elbert puis son fils Jean Georges Elbert, tous deux potiers municipaux, Laurent Steiger au XVII° siècle, Melchior Schrœder, Sébastien Seiler, Jean André Gerner, Jean Daniel Hæberlin et Jean Philippe Petri au XVIII° siècle. Le charpentier Michel Hartmann qui vient d’acheter la maison est autorisé en 1747 à remplacer un montant abîmé de son encorbellement qui a 9 pieds de long et 2 pied 9 pouces de large, à refaire les fenêtres et les murs au premier et au troisième étage, à condition de supprimer l’encorbellement quand ses deux voisins le feront. Charles Kauffer agrandit le terrain en achetant de son voisin vers l’est en 1823 un terrain qui prolonge la propriété jusqu’à celle du 6, rue du Coq puis en 1826 un autre terrain vers l’est.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 124

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée et maçonnerie et deux étages neufs en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la quatrième à droite du repère (d) : porte au rez-de-chaussée, deux fenêtres à chacun des deux étages, une fenêtre au troisième. La cour O représente l’arrière (1-2) de la façade sur rue, et le bâtiment (3-4) entre deux cours. La deuxième cour (I) montre l’autre face (2-3) du bâtiment entre deux cours et la remise (3-4) au fond de la cour.
La maison porte d’abord le n° 56 (1784-1857) puis le n° 46.


Cours O et I

André Keck est autorisé en 1906 à conserver le toit vitré puisque les transformations apportent davantage de lumière à la maison. Il fait ouvrir en 1913 une fenêtre au deuxième étage vers la propriété de son voisin en la fermant d’une plaque de verre. Le rez-de-chaussée sert de restaurant et les étages sont loués en chambres meublées de la fin du XIX° siècle jusqu’à la guerre de 1939-1945. Marie Kœhly fait poser en 1935 une nouvelle devanture. Henri Winter entreprend en 1941 de réaménager la maison en supprimant entre autres l’entresol. Les Galeries du Vêtement transforment la devanture en 1947. Les Vêtements Jean occupent les n° 44 et 46. Les fenêtres du premier étage sont transformées en 1960.



Plan de la cour, la salle de débit à gauche, la cuisine à droite (1916, lors de l’aménagement des urinoirs)
Façades en 1941 (ancien et nouvel état), en 1947 et en 1960
(dossier de la Police du Bâtiment)

juin 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1618 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Philippe Elbert, potier, et (1614) Anne Haderer, (1635) Jeanne Frœlich, veuve du potier Gaspard Schweickardt et (1650) Chrétienne Chrétienne Veitinger, veuve des potiers Mathias Kleinmann et Nicolas Kantengiesser – luthériens
1660* v Jean Georges Elbert, potier, et (1654) Anne Marie Boch – luthériens
1676* v Laurent Steiger, potier, et (1676) Marie Madeleine Elbert – luthériens
1697 v Jean Schieb, remueur de grains, et (1672) Susanne Schiessler, (1684) Anne Marguerite Rinck et (1698) Elisabeth Maurer – réformé et luthériennes
1705 h Jean Schieb, potier, et (1696) Marie Salomé Hæberlin – luthériens
1709 v Jean Brunner, potier, et (1679) Anne Marie Guthmann – luthériens
1712 v Melchior Schrœder, potier, et (1704) Anne Catherine Schad puis (1733) Elisabeth Becker – catholiques
1740 v Jean Gauthier Walther, cordier, et (1721) Anne Catherine Katzenberger puis (1737) Marie Sophie Gerber, veuve du maître d’école François Joseph Mette et du tisserand Balthasar Jund – catholiques
1742 v Jean Pfister, revendeur manant, et (1720) Marie Ursule Grohberger – luthériens
1747 v Jean Michel Hartmann, charpentier, et (1721) Marie Salomé Knissling – luthériens
1748 v Sébastien Seiler, potier, et (1747) Marie Sophie Hetz – catholiques
1758 adj Guillaume Joseph Ducarne, maréchal ferrant, et (1753) Marie Louise Coupau – catholiques
1759 v Jean André Gerner, potier, et (1759) Marie Chrétienne Nœdel, (1762) Marie Salomé Hæberlin puis (1784) Marie Elisabeth Meyel – luthériens
1771 v Jean Daniel Hæberlin, potier, et (1756) et Marguerite Salomé Œrtel veuve du potier Jean Georges Oppitz, puis (1794) Marie Sophie Altherr – luthériens
1778 v Susanne Barbe Schützenberger, femme (1761) du tailleur de pierres Jean Henri Fetsch, (1767) du tisserand Léonard Breuninger puis (1788) de l’aubergiste Jean Daniel Rœgner – luthériens
1784 v Jean Philippe Petri, potier, et (1786) Catherine Barbe Claus – catholiques
1812 v Jean Jacques Filter, tailleur d’habits, et (1811) Marie Salomé Müller
1819 v François Rustenmeyer, serrurier, et (1804) Marie Madeleine Kammentz
1822 v François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises, et (1801) Marie Françoise Hansmann puis (1827) Elisabeth Hervi
1823 v Charles Kauffer, tanneur, et (1822) Louise Caroline Sohn
1869 v Jean Meyer, tanneur, et (1869) Barbe Kætzel
1876* Charles Brodkorb, serrurier
1892* Guillaume Brodkorb, charcutier
1899* Eugène Jacob, cordonnier
1904* André Keck, restaurateur, et Louise Seeger
1920* Martin Wœhl, maçon
1933* v Georges Weil, rentier, et Christine Lobstein
1942* v Henri Winter, commerçant

Valeur de la maison selon les billets d’estimation :

(1765, Liste Blondel) VII 144, André Eberhard Eshörner
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61), Eberle – 1 toise, 1 pied et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 784, Kauffer, Charles, marchand de cuir – maison, sol, cour – 1,32 are

Locations

1741, André Reibel, apprêteur de tabac

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1747, Préposés aux affaires foncières (VII 1402)
Michel Hartmann est autorisé à remplacer un montant abîmé de son encorbellement qui a 9 pieds de long et 2 pied 9 pouces de large, à refaire les fenêtres et les murs au premier et au troisième étage, à condition de supprimer son encorbellement si ses deux voisins le font.

(f° 116) Mittwoch den 12. Aprilis 1747. seÿnd folgende augenschein eingenommen werden – Michael Hartmann
An Michael Hartmann des Zimmermanns Hauß in der straß beÿm Würths Hauß Zum Rothen Hahnen, welches einen 9. schuhen Lang und 2. schuhe 9 Soll tieffen Überhang hat, woran ein Eck Pfosten entzweÿ, weßwegen Hartmann um erlaubnus Gebetten einen Neuen einzuziehen, Andere Fenster und ein Andere Wand in das Erstere und Zweÿte Stockwerck Zumachen. Erkannt mit dem beding Willfahrt, daß wann die Zweÿ Überhänge Oben und Unten neben jhme solten abgethan werden er gehalten seÿn solle, seinen Auch Abzuschneiden, solle den Augenschein bezahlen, dt. 2. lb.

Description de la maison

  • 1732 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle, des chambres, la chambre à soldats, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, un atelier et un four de potier, une remise et une petite cave solivée, le tout estimé avec la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 750 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 107 / 56
Filter
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois neufs
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 153 case 1

Kauffer, Charles, M. de cuirs

P 784, maison, sol, Grand’rue 56
Contenance : 1,32
Revenu total : 108,69 (108 et 0,69)
Folio de provenance : (153)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 503 case 2

Kauffer, Charles, Marchand de cuirs
1870 Meyer Jean tanneur
1876 Brodkorb Karl Schloßer
1892/93 Brodkorb Wilhelm, Würstler
1899 Jacob, Eugen, Schuster

P 784, maison, sol, Grand rue 46
Contenance : 1,32
Revenu total : 108,69 (108 et 0,69)
Folio de provenance : (153)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 p. 8 case 3

Parcelle, section, n° – autrefois P 784.p
Canton : Langstraße Hs N° 46
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,80
Revenu : 700 – 1000
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1942), compte 587
Jacob, Eugen
1904 Keck Andreas
1920 Woehl Martin, Maurer in Weissenburg
1933 Weil Georges rentier et son épouse Christine née Lobstein en comm. de biens
1941 Weil Georg – 1943 Fischer Robert u. Ehefr. ½, Gresick Robert u. Miteigent. ½
(1429)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1942), compte 6103
Winter Heinrich Kaufmann und Ehefrau
(4385)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche (p. 347)

56
Pr. Petri, J. Phil. potier – Maçons
loc. Blas, Marie Elis. veuve – Tailleurs

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 97)

(Haus Nr.) 46
Keck, Speisewirtschaft. 0
Keck, Eisb.-Heizer. 12

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 128)

Grand rue 46 (1876-1962, 1983)

Guillaume Brodkorb aménage en 1891 un chaudron et une cheminée. Georges Brenner est autorisé en 1898 à servir du café et des repas bien que les locaux ne correspondent pas aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890. André Keck est autorisé en 1906 à conserver le toit vitré qu’il a transformé puisque les transformations apportent davantage de lumière à la maison. Il est autorisé en 1913 à ouvrir une fenêtre au deuxième étage vers la propriété de son voisin Bernauer à condition de la fermer d’une plaque de verre. Le rez-de-chaussée sert de restaurant et les étages sont loués en chambres meublées de la fin du XIX° siècle jusqu’à la guerre de 1939-1945. Marie Kœhly fait poser en 1935 une nouvelle devanture. Henri Winter entreprend en 1941 de réaménager la maison en supprimant entre autres l’entresol. Les Galeries du Vêtement (Galvet) transforment la devanture en 1947. Elles sont remplacées en 1960 par une succursale des Vêtements Jean (118, Grand rue) qui occupent les n° 44 et 46. Les fenêtres du premier étage sont transformées en 1960.

Sommaire
  • 1876 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Hommaire soit autorisé au nom du sieur Brodkorb de faire une prise pour environ trois becs au 46, Grand rue
  • 1891 – Guillaume Brodkorb demande l’autorisation d’établir un chaudron et une cheminée – La cheminée dépasse d’environ 60 centimètres le pignon voisin qui est de 4 mètres plus haut que les bâtiments voisins – Autorisation, dessin – Les travaux sont terminés en juin 1891, la cheminée ne dépasse le pignon que de 50 centimètres (croquis)
  • 1892 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de lait Bernard Wach a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée de façon réglementaire
  • 1895 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. La dame Goldenstein demande l’autorisation de loger des pensionnaires. La pétitionnaire n’habite plus la maison quand le service d’architecture se rend sur place.
  • 1896 (avril) – Le maire notifie Charles Brodbeck (domicilié 42, Grand rue) de faire ravaler la façade du n° 46
    1896 (juillet) – Le maître maçon Ludæscher (demeurant rue du Coq) demande l’autorisation de réparer la façade – Autorisation
  • 1896 – Les locataires Wiegenda, Klauss et Gross se plaignent que les cabinets d’aisance sont inutilisables et d’être incommodés par la fumée et la suie. Le commissaire de police transmet le dossier au maire – La Police du Bâtiment constate les faits et demande au propriétaire de prendre les mesures nécessaires – Les travaux sont en cours, mars 1897, la Police du Bâtiment constate que toutes les réparations ne sont pas faites. Les cheminées sont réparées, juin 1897. – Le maire menace le propriétaire de poursuites judiciaires (août 1897) – L’escalier a été réparé, le logement du troisième étage est vide et ne sera plus occupé, septembre 1897
  • 1898 (août) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Georges Brenner demande l’autorisation de servir des repas sans boissons alcoolisées – La Police du Bâtiment constate dans son rapport du 19 août que le rez-de-chaussée a été rénové, les cabinets d’aisance se trouvent à l’étage. Le terrain a 2,60 mètres de large et 25,50 mètres de profondeur. Il n’y a pas de cour au rez-de-chaussée. Les étages ont une hauteur de 1,85 et de 2,15, le rez-de-chaussée de 2,80 ou 2,75 mètres. Les cabinets d’aisance se trouvent dans le passage qui relie le bâtiment avant au bâtiment arrière. Les locaux ne correspondent pas aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890. Comme le pétitionnaire ne servira que du café et des repas, l’autorisation pourrait être accordée en respectant six conditions.
    1898 (octobre) – Dossier suite au courrier du maire. La décision revient au commissaire de police
    1898 (novembre) – Nouveau dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Les mesures à prendre sont les suivantes : démonter le toit vitré, modifier les tuyaux des poêles, poser une rampe à l’escalier qui mène aux combles.
    1899 (janvier) – Georges Brenner demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (café et restauration – Kaffee-Ausschanck und Speise Wirtschaft von Georg Brenner) – Autorisation – L’enseigne est posée, février 1899
  • 1906 – La Police du Bâtiment constate qu’André Keck a couvert la cour d’un toit vitré. Il répond qu’il a rehaussé au printemps au niveau du premier étage le toit vitré qui se trouve au-dessus du rez-de-chaussée – Le maire écrit que le règlement ne permet pas de couvrir la cour – Le propriétaire répond qu’il a agrandi la cour qui est maintenant presque deux fois plus grande avant de rehausser le toit vitré.
    La Police du Bâtiment constate que la cour a 1,30 sur 4,50 mètres. Elle est séparée par un mur de 2,50 de haut vers la propriété voisine. Deux panneaux ouvrants sont aménagés dans le toit. Croquis. La Police du Bâtiment constate dans son rapport que les transformations apportent davantage de lumière à la maison
    1906 (novembre) – Le conducteur de locomotive André Keck est autorisé à transformer le toit vitré.
  • 1907 (mai) – Le maire notifie André Keck de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1907
    1907 (juillet) – Le maire notifie André Keck de faire ravaler la façade
    Rappels, 1912, 1913, 1914. Les droits sont réglés, mai 1914
  • 1913 (mai) – Le restaurateur André Keck demande l’autorisation d’ouvrir une fenêtre au deuxième étage vers la propriété de son voisin Bernauer – Autorisation d’ouvrir une fenêtre fermée d’une plaque de verre – La fenêtre est percée puis pourvue de la plaque.
  • 1915 (mai) – Dossier suite au courrier de la Division II. Caroline Hilberer souhaite exploiter un restaurant – Rapport, la salle de débit a 2,75 mètres de haut et la cuisine 2,40 mètres au lieu des 3,50 mètres réglementaires. Les cabinets d’aisance ne correspondent en aucune manière au règlement
    Le propriétaire André Keck demande dans quelles conditions l’autorisation pourrait être accordée. Comme il faudrait un certain temps pour aménager les cabinets d’aisance, le propriétaire obtient un délai de six mois
    1916 (mai) – Le propriétaire demande l’autorisation d’aménager les cabinets d’aisance (urinoirs) – La Police du Bâtiment demande des plans
    1916 (juin) – André Keck est autorisé à transformer les urinoirs – Dessin
    1918 (mars) – Rappel – Le restaurant est fermé, mai
  • 1923 – Le peintre en bâtiment Auguste Burg (5, rue de l’Aimant) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les n° 46 et 48, propriétés de MM. Wœhl et Lutz – Le préfet transmet au maire qui donne son accord
  • Commission contre les logements insalubres – 1905. Le local du rez-de-chaussée sert de restaurant. Les étages sont loués en chambres meublées. Les cabinets d’aisance dans l’escalier n’ont pas d’aération – Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations, 1905
    1912. Rien à signaler
    1913. Les chambres meublées qui sont bien tenues ne correspondent pas au règlement (nombre de lits par chambre, hauteur, accès aux toilettes, etc.)
    1914 – Le commissaire de police écrit au maire que les travaux ont eu lieu. Louise Keck née Seeger a été autorisée en juin 1905 à continuer de servir midi et soir des repas à ses pensionnaires, comme auparavant Martin Wœhl
    1915. Commission des logements militaires, rapport en quatre points – Travaux terminés.
  • 1935 (mars) – Le préfet autorise Marie Kœhly née Groshenny à exploiter le débit de boissons alcooliques après avoir transféré la licence auparavant attachée au débit rue du Travail
    1935 (avril) – La Police du Bâtiment fait observer que les locaux ne correspondent pas aux prescriptions du premier décembre 1931
    1935 – Marie Kœhly (restauration et pension) dépose une demande de permis pour refaire la devanture pourvue d’une fenêtre à guillotine, transformer les escaliers et améliorer les cabinets d’aisance – Autorisation (architecte, Mewes, 6, rue des Veaux) – Dessin
    La nouvelle devanture est posée (octobre 1935). Le reste des travaux est ajourné, la maison est en vente, juin 1936. Le permis est périmé sans que les cabinets d’aisance ni l’escalier soient transformés
  • 1938 – La veuve Kongel (20, rue des Poules, propriétaire du n° 44)) a accordé verbalement à son voisin Weil-Lobstein la permission de poser une paroi vitrée dans une ouverture qui donne vers sa propriété. Elle proteste que cette fenêtre est toujours ouverte. – La Police du Bâtiment déclare qu’elle se refuse à intervenir dans une affaire privée.
  • 1941 – Il est impossible de visiter la pension de Léon Stœhrmann dont l’adresse est inconnue
    1941 – Henri Winter (demeurant à Cronenbourg) transmet à la Police du Bâtiment les plans pour améliorer l’éclairage et l’aération dans le commerce sis 46, Grand rue : transformer la façade, supprimer l’entresol et abaisser le plancher du rez-de-chaussée – Autorisation, le propriétaire se charge lui-même des travaux
    Accord préalable (nombre d’ouvriers, les matériaux sont fournis sans que l’administration intervienne) – Dessins (ancienne et nouvelle façade)
    Les travaux commencent en octobre 1941. Le crépi est posé en janvier 1942. La maison est fermée, avril 1942
  • 1947 – Paul Blatt, gérant des Galeries du Vêtement (Galvet) demande l’autorisation de transformer la devanture au 46, Grand rue – Autorisation – Dessin
    La réception finale a lieu en septembre 1947
    1947 (avril) – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Maquette – Autorisation
    1947 (octobre) – Le même est autorisé à poser deux autres enseignes
  • 1947 – La Division I demande des renseignements à la Division V qui répond qu’avant guerre le rez-de-chaussée servait de restaurant et les étages de chambres meublées, sans être appelé hôtel puisque le bâtiment était vétuste et que les locataires étaient des « personnages obscurs ». Comme il n’était pas possible d’aménager des logements, l’occupant avait autorisé Henri Winter à transformer le rez-de-chaussée en magasin sans que ces travaux soient terminés. Les étages supérieurs sont dans leur état antérieur.
  • 1949 (juillet) – Les Galeries du Vêtement demandent sur papier à lettres illustré l’autorisation de poser un drapeau publicitaire à l’occasion de son anniversaire – Autorisation – Autres demandes en août et en décembre
    1951 – Idem (autres demandes ultérieures)
    1960 (avril) – Les Galeries du Vêtement qui cessent leur activité retirent les enseignes
  • 1960 (juillet) – (Fiche de contrôle) Léon Dobetzky (53, rue Condosset à Paris XVIII°) demande l’autorisation de transformer le magasin au rez-de-chaussée des 44 et 46 Grand rue (parcelles 74 et 75)
    1960 (avril) – L’entreprise de crépissage Henri Pinos (27, rue de Hausbergen à Schiltigheim) est autorisée à occuper la voie publique devant les 44 et 46 Grand rue pour transformer les devantures et les entrées
    1960 (mai) – Les Vêtements Jean (118, Grand rue) demandent l’autorisation de poser un drapeau publicitaire au 44 et 46 Grand rue – Autorisation
    1960 (novembre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour transformer les fenêtres du premier étage au 46 Grand rue
    1960 (novembre) – Locataire du 46 Grand rue, Jean Joseph Dobet (demeurant 7, rue Thiergarten) dépose une demande de permis de construire (propriétaire Weber-Winter, 9, rue de Dalheim à Cronenbourg) pour agrandir les fenêtres au 46 Grand rue – Dessin avant et après transformation (enseigne Nous Deux) – La Division VI relève que le bâtiment dépasse d’environ 60 centimètres de l’alignement légal. Comme la parcelle est surbâtie en avant de l’alignement, la Ville renonce à la cession du terrain – Autorisation de transformer les baies aux premier et deuxième étages
    Les fenêtres du premier étage sont transformées. Le permis est périmé sans que celles du deuxième étage aient été transformées
  • 1962 – R. Weber (69, route des Romains à Kœnigshoffen) est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la façade
    1962 – Les Vêtements Jean (enseigne Nous Deux) demandent l’autorisation de poser une enseigne provisoire au 44-46, Grand rue – Autorisation
  • 1983 – Lettre d’un groupe de touristes qui a garé sa voiture devant le 46, Grand rue où est tombée une brique détachée par une rafale de vent – Après enquête, la Police du Bâtiment estime qu’il s’agit du 23-27 mais aucune brique ni aucune tuile ne semble manquer.

Relevé d’actes

D’après ses tenants et aboutissants, la maison appartient dans les années 1620 au potier Philippe Elbert. Originaire de Haguenau, il se marie en 1614 avec Anne Haderer, fille de tanneur. Il devient bourgeois peu après en s’inscrivant à la tribu des Maçons

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 361, n° 1089)
1614. Eodem die [Dominica 4. Trinitatis] Philipp Elwart von Hagenaw der Haffner vnd J. Anna, Heinrich Haderer Rothgerber Eheliche Tochter (i 372)

1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 978
Phillips Ellwart der Kachler von hagenauw Empfahet d. Burgerrecht von Anna Heinrich hadern deß Rhottgerbers Tochter vnd Wull beÿ den Maurern Zünfftig sein. Actum den 18 Augusti A° 1614

Philippe Elbert se remarie en 1635 avec Jeanne Frœlich, fille de messager, qui avait épousé en 1622 le potier Gaspard Schweickardt
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 171)
1635. Dom. 3. Trinit. d. 14. Junÿ. Philips Elbert der Kachler und Burger alhie vnd Johannna Caspar Schweickarts burg. vnd Kachlers alhie Nachgelassene witwe. Eingesegnet Montag d. 22. Junÿ Zu St. Thomä (i 177)

Assesseur au Grand Sénat, Philippe Elbert se remarie en 1650 avec Chrétienne Chrétienne Veitinger, successivement veuve des potiers Mathias Kleinmann et Nicolas Kantengiesser
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 3-v)
1650. Dominicâ XIV. post Trinit. 26. Augusti, H. Philipp Elbert E. E. Groß. Raths alter Beÿsitzer, Fr. Christina h. Niclaus Kandt.gießers Stattkachlers allhie nachgelaßener Wittib. Eigesegnet Dienst. 4. Septembris Zu St. Thoman.

La maison revient à son fils Jean Georges Elbert qui épouse en 1654 Anne Marie Boch, fille de tonnelier

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 20)
1654. Dncâ Sexagesima d. 29. Jan. Johann Geörg Elbert der Kachler H. Philipp Elbert E. E. Groß Rahts Alten beÿsitzer v. Stat Kachler alhier Ehelicher Sohn, vnd J. Anna Maria, Jacob Bochen des Kieffers v. burgers alhier Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 6. Febr. Zu St Thoman (i 23)

Jean Georges Elbert est élu quelques mois plus tard potier municipal en remplacement de son père
1654, Préposés aux affaires foncières (VII 1353)
(f° 128-v) Dienstags den 25. Julÿ
Hannß Georg Elbert würdt ahne statt Phillip Elberts seines Vattern Zu einem Statt Kachler erwöhlet vnd angenommen.

Anne Marie Steiger femme de Jacques Reinhold, contremaître au chantier des Charpentiers et le tuteur de Marguerite Steiger, héritiers de leur père Jean Georges Elbert, vendent leurs parts de maison au potier Laurent Steiger et à sa femme Marie Madeleine

1680 (2. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 557
Anna Maria, Jacob Reinholdts des Balliers auff dem Zimmerhoff eheweib, mit beÿstand erstermelts Ihres Ehevogts, so dann Johann Georg Rüeger der Ältere, Rothgerber, alß vogt Margarethæ, weÿl. hannß Georg Ellwerts geweßenen stattkachlers nunmehr seel. nachgelaßene tochter
in gegensein Lorentz Steÿers des Kachlers undt Mariæ Magdalenæ beÿdter Eheleuth
Ein halben theÿl Ihnen den Verkäuffern für ohnvertheÿlt gebührendt, ahne einer behaußung, hoffstatt und allen deren gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und gerechtigkeiten alhier ahne der obern Straßen, beÿm rothen hahnen: einseit neben Weÿl. herrn Johann Jacob Ansorgs geweßenen Fünffzehners nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben andres Paulen dem Seÿffensieder, hinden uff besagte Ansorgische Erben stoßend gelegen, Und gebe mann Jahrs Von d. gantz. behausung 6. fl. Straßb. wehrung uff Michael, lößig mit 150. fl. dem blatterhauß allhier, so seÿe solche behausung auch noch umb 75. fl. weÿl. H. Georg Basilÿ Geÿers geweßenen dreÿ Zehners nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern Verhafftet – umb 50 fl

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit d’Anne Ursule Kolb

1680 (2. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 558-v
Lorentz Steÿer der Kachler undt Maria Magdalena beÿdte Eheleuth, undt Zwar Sie Maria Magdalena insonderheit mit beÿstand Jacob Rheinholdts des balliers auff dem Zimmerhoff undt hannß Engels des Rothgerbers Ihres resp. Schwagers und Vettern
in gegensein Herrn dominici Rinckhen, Pfarrers Zur Berstätt alß Vogts Frawen Agathæ Ursulæ Kolbin – schuldig seÿen 25. lb
unterpfand, Hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen und Zugehördten alhier ahne der obern straßen, beÿ dem Rothen hahnen, einseit neben Weÿl. herrn Johann Jacob Ansorgs geweßenen XV:ers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben Andres Paulen dem Seÿffensieder, hinden uff besagte Ansorgische Erben stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hans Schiepen deß Kornwerffers alß ietzmahlig. besitzers deß und.pfands (quittung), Act. d. 3.ten May 1701

Marie Madeleine Elbert épouse en 1676 Laurent Steiger, potier originaire de Haguenau

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 170-v, n° 27)
1676. d. 25. [Maÿ] Lorentz Steiger der ledige Kachler Lorentz Steigers gewesenen burgers Zu Hagenaw Ehl: Sohn, vnd Jungfr. Maria Magdalena Hanß Elberts gewesenen Kachlers alhie hinterl. tochter (i 172)

Laurent Steiger devient bourgeois quelques semaines après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 430
Lorentz Steiger der haffner von hagenaw, empfangt das burgerrecht von seiner hausfr. Maria Magdalena weÿl. hans hilpert des Kachlers seel. tochter, p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuvor ledigen standts gewesen vnd wird Zu den Maurern dienen. Jur. eod. [15. Junÿ 1676]

Inscription à la tribu
1676, Protocole de la tribu des Maçons (XI 230)
(f° 161-v) Mittwoch den 2.ten Augusti Anno 1676
Lorentz Steiger, der Haffner vonn Hagenau producirt Stall Zedel sub dato den 15.ten Junÿ 1676 begehrt beÿ dießer Zunfft Zünfftig Zuwerden

Le conseil de tribu inflige une amende à Laurent Steiger pour ne pas avoir déclaré les compagnons qu’il emploie
1684, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
(f° 110-v) Mittw. d. 13. Decembris 1684. – Lorentz Staigern, haffner wurde vorgehalten, daß Er schon eine geraume Zeit gesellen gehabt, die Er nicht angemeldet, noch schwöhren lassen, der sagte, were ihme vom Büttel Kein Gericht angezeigt worden, der büttel aber Contradicirt solches, beharrete darauff, daß Er es seinen leüthen Zu Hauß vermeldet hette, wie ihme auch von den Meistern des Gerichts d. Zeügnus gegeben, daß Er Jedesmal fleißig wann ein Gericht seÿe, solches Anzeigete. Weilen nuhn Staiger mit seiner excusation nicht bestehen mögen, ist ihme den articul mit 5 ß zu bessern, angesetzt worden.

1685, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
(f° 50-v) Mittw. 12. Xbris 685. Mr Lorentz Steiger d. Kachler hat dato auch seine Gerichts gebühr mit 3 fl. erlegt.

Le tuteur des deux enfants de Laurent Steiger vend la maison au remueur de grains Jean Schieb

1697 (25.3.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 176-v
Conrad Nagel, der Kachler, alß Vogt Weÿl. Lorentz Steigers gewesenen Kachlers sel. nachgelaßene 2 Kinder
in gegensein hans Schiepen deß Kornwerffers [unterzeichnet] Johannes schieb
Eine behaußung, hoffstatt und höfflein, mit sambt dero begriffen, zugehördten und gerechtigkeit. in der Obern Straßen, beÿm rothen hahnen, einseit neben Andres Paulus den Seiffensieder, anderseit neben weil. hans Jacob Liechtenfelders gewesenen Schloßers sel. nachgelaßenen wittib und Erben, hinten auch auff dieselbe stoßend geleg., darvon gibt man jahrs 3 b auff Michaelis ablösig mit 75 lb ged. wehr. dem blaterhauß allhier, Ferner 1 lb 17 ß (ablösig mit 37 lb, Mehr 1 lb 5 ß ablösig mit 25 lb) – umb 220 pfund

Originaire de Dozwil en Thurgovie, Jean Schieb devient bourgeois par sa femme Anne Marguerite Rinck en février 1698 en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1151
Johannes Schieb, der Kornwerffer Von Dütweil im Turgaw Von Frawenfelder Land Vogteÿ, Weÿl. hannß Schieben des gewes. hirten daselbst hinterl. sohn, empfangt das burgerrecht Vor sich und Annam Margaretham Rinckin weÿl. hannß Rincken des Gewes: taglöhners allhier hinterlaßene tochter seine haußfr. gratis bringen 4. Kinder mit wegen welchen es beÿ ordnung gelaßen Werden vnd werden Zu E. E. Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. d. 26. febr. 1698

Le remueur de grains Jean Steiger figure sur la liste des réformés qui sont devenus récemment bourgeois. Aucun d’eux n’a déclaré une fortune supérieure à 1 000 florins
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(f° 129) Freÿtag den 8. Junÿ – Calvinische Burger pt° Verstallung
Obere Stallherren laßen per me proponiren, daß derjenige Calvinist, so jüngst beÿ Hh. Räth U. XXI. Umb d burgerrecht sich Angemeldt, anlaß gegeben, Auff der Statt stall sich zu informiren, Ob diejenige personen, so der Calvinischen religion Zugethan, Und eine Zeit hero jnn d. burgerrecht getretten und 1000 fl. Angegeben, Auch so viel Verstallen? Welcher darauffhin einen schrifftlichen bericht überschickt und darinnen Zwar daran 8. benahmßt, allein Finde sich keinen, so 1000 fl. Verstalle maaßen
Matthis Keller, d. Maurer, nur vor 500 fl
Theobald Paul Müller, d. Kieffer, nur vor 200 fl
Hannß Caspar Sarburger d. schneid, nur vor 500 fl
Gerhard Sommer d. Kiefer, nur vor 100 fl
Jasques pasquay, d. gerber, nur vor 800 fl
Maria de Beÿerin, Eliæ Städels Wittib, nur vor 500 fl
Hanß Schieb d. Kornwerffer, nur vor 300 fl und
Gottfried Bernhard Agricola d. Silberarbeither, nur vor 500 fl
die Stallgebühr Zahlt, darüber mann sich Nicht wenig befremdet, Zumahlen nur jed. beÿ Annehmung jnn d. burgerrecht dargethan, daß er 1000 fl. jnn Vermögen habe, Und, weilen sie solcher gestalten, beßerer condition als andere burger seÿn würden, Und nicht nur d. ordinari sondern auch d extraordinarj Stallgeld dabeÿ leidet, so stündte Zu Mghh. Ob sie zu bezahlung der Stallgebühr von 1000. fl. angehalten, Und künfftighin alle Calvinische burger von dem Raths protocoll auß gleich den H. Stallschreibern Zu seiner Nachricht geschrieben gegeben werden solte? Erk. Soll mit Herrn prætore regio daraus geredt werden.

Le journalier Jean Schieb, originaire de Thurgovie, épouse en 1672 Susanne Schiessler, fille d’un charpentier manant de Strasbourg puis en 1684 Marguerite, veuve du journalier Jean Stadler
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151-v, n° 2)
1672. Hannß Schieb der Tagner Von (Thur)gaw auß dem Schweitzerland, Hans Schieben des Tagners daselbst Vndt J. Susanna Schißlerin, Hanß Schißlers des gewesenen Schirms Verwandten V. Zimmermanns allhier hinterlaßene ehel. Tochter. Mont. 22. Jan: (i 153)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 199, n° 8)
1685. Eodem [5. Martius] Hans Schieb d. schirmverw. vnd Margaretha, hanß Stadler des burgers vnd taglöhners alhie hinterl. Wittib (i 200)

Le remueur de grains Jean Schieb épouse en 1698 Elisabeth Maurer, fille de menuisier originaire du canton de Berne : contrat de mariage, célébration
1698 (20.1.), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 16, Prothocollum)
Eheberedung – Hannß Schieben Kornwerffers vnd Jungfr. Elisabetha Maurerin
zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Hannß Schieben burgern und Kornwerffern alhier Zue Straßburg als Hochzeitern an Einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Elisabetha, weÿland Peter Maurers auß dem Berner Gebiets Eheliche dochter Als der hochzeiterin Andern theis
So beschehen und verhandelt In der Königlichen Statt Straßburg den 20. Januarÿ 1698.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 61-v)
den 29. Jenner A. 1698 sind Copulirt Worden Hanß Schieb der Kornwerffer und burger alhier, Jungfrau Elisabeth, Peter Maurers geweßenen schreiners alhier Eheliche tochter [unterzeichnet] H dieses hat d. Hochzeiter hieher gesetzt, H dieses hat Jungfrau Hochzeiterin hieher gesetzt (i 63)

Jean Schieb meurt à l’âge de 65 ans en 1710
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1698-1713, f° 121)
1710. d. 26. Maÿ ist nachts Zwischen 11 vnd 12 vhr gestorben Johannes Schieb Kornwerffer vnd burger allhier s. alters 65 jahr vnd eltiche Monath und ist folgend. 28. vmb 2 vhr nachmitag Zu S. Gallen xstl. begraben Worden [unterzeichnet] x dieses Zeichen hat der ältere Sohn gesetzt, Niclaus schieb als sohn (i 122)

Sa veuve se remarie en 1711 avec le journalier Jean Geyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 27)
1711. Eodem [8. Julÿ] sind Christlich eingesegnet Worden Johannes Geier der Burger Undt Taglöhner allhier Vnd Elisabetha Maurerin Weiland Johannes Schieben gewesenen Burgers Vnd Kornwerffers allhier nachgelaßene Witwe [unterzeichnet] o Ist des Hochzeiters Zeÿchen, + dieses ist der hochzeiterin Zeÿchen (i 29)

Le remueur de grains Jean Schieb vend la maison 350 livres à son fils potier Jean Schieb

1705 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 386-v
(350) Hanß Schiep Kornwerffer [unterzeichnet] HS
in gegensein Joh: Schiepen Hafners seines sohns [unterzeichnet] Johannes schieb
Hauß, Hoffstatt u. Höfflein mit allen derenr begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der obernstraß beÿm rothen Hahnen, einseit neben andres Paulÿ seiffensieder anderseit neben weÿl. Joh:Jacob Lichtenfelders schlossers EE. hinten auf eosdem stoßend gelegen – um 75 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 225 pfund

Le potier Jean Schieb devient tributaire chez les Maçons en juillet 1696
1696, Protocole de la tribu des Maçons (XI 233)

(f° 95) Dienstag den 3. Julÿ Anno 1696. – Neu Zünfftiger
Meister Johannes Schieb, der haffner und burger allhier, producirt burger Schein Vom Pfenningthurn crafft deßen Er Ihne alß ein Zünfftigen auffzunehmen bittet, deme sein petitum gegen erlag der gebühr, nemblich 1. lb auf den Pfenningthurn, 1. lb 5 ß d der Zunfft und Zunfftschreiber, und bittel 4 ß alßo Zusammen 2 lb 9 ß Willfahrt Erlegte nebst 4 ß d dem Zunfftschreib. und bittel ane der Zunfftgebühr 14 ß 9 d ist alles bezalt.

Jean Schieb épouse en août 1696 Marie Salomé Hæberlin, fille de pelletier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56)
den 1. Aug. A. 1696 seind copulirt worden Hanß Schieb der ledige Kachler, Hanß Schiebs deß Kornwerffers v. burgers alhie ehelicher Sohn, v. Jungfr. Maria Salome, Hanß Daniel Heberlins burgers b. Kirßners alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes schieb als hochzeiter, Maria Salome heberlin als hochzeiterin (i 57)

Fils du jardinier Jean Schieb, le potier Jean Schieb devient bourgeois par sa fiancée en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 678
Johannes Schieb, der haffner Von hier, Johann Schieben gartners allhier Ehl: sohn, empfangt das burg. recht Von Maria Salome Daniel Heberlins burgers und Kürßners allhier Ehl. tochter seiner Verlobtin gratis, ist ochledig. standts und wird beÿ E. E. Zunfft der Maurer dienen. Jur. d. 30. Dito [Junÿ] 1696.

Le potier Jean Schieb hypothèque en 1705 sa maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger. Son père Jean Schieb se porte caution

1705 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 393
Joh: Schiep Hafner [unterzeichnet] Johannes schieb
in gegensein Hn Joh: Adam Ößingers Not. publ. – schuldig seÿe 175 pfund
unterpfand, Hauß, Hoffstatt und höfflein mit allen derer begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der obernstraß beÿm rothen hahnen, einseit neben andres Pauly seiffensieder anderseit neben& denen Liechtenfelderischen EE. hinten auf Sie stoßend gelegen
Worbeÿ ferners erschienen obiger Hanß Schiep deß debtoris vatter der hat sich (…) wegen sothanen Capitals verbürget

Nouvelle hypothèque entre les même parties

1706 (12.8), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 586
Johann Schiep (corrigé en : Schieb) Haffner [unterzeichnet] Johannes schieb
in gegensein H. Joh. Adam Ößingers Not: publ: – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Hauß Hoffstatt cum appert: allhier ahn der obernstraß beÿm rothen Hahnen, einseit neben andres Paulus seiffensiedern anderseit neben denen Liechtenfelderischen EE hinten auch auf Sie

Le potier Jean Schieb meurt à l’âge de 36 ans le 9 mars 1709
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 112)
1709. d. 9. Martÿ abends Zwischen 6 v. 7 Uhr Gestorben Johannes Schieb der Kachler seines alters 36 Jahr 5 Monath vnd ist folgend. 12. Martÿ vormittag vmb 9 Uhr Zu den Gutten leut. Christlich begraben Worden [unterzeichnet] Hanß Danel Heberlin Als schwehr Vatter (i 113)

Sa veuve obtient un certificat pour bénéficier de l’aumône Saint-Marc
1709, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
(f° 84) Dienstags den 13.ten 7.br: 1709 – (Allmosen Schein)
Weÿl. Mstr: Johann Schieben geweßenen Haffners v. b. alhier hinterlassene Wb. erscheind vnd bittet Ihro einen schein mit zu theilen, daß dieselbe eines Allmosens würdig seÿe umb Ihr elendes Kind beßer Zu alimentiren.
Erk. und Willfarth.

Principal créancier du potier Jean Schieb, le remueur de grains Jean Schieb vend la maison 500 livres au potier Jean Josias Brunner pour lequel agit son père Jean Brunner (voir sa maison)

1709 (9.Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 681
(500) Joh: Schieb Kornwerffer alß jüngster versicherter Creditor auf weÿl. Joh: Schieben Kachlers beÿständlich H. David Stamm und H. Joh: Georg Holdermanns hierzu auß mittel E. E. Kleinen Raths besag bescheids von 9 hus. deputiret
in gegensein Joh: Josiä Bronners haffners beÿständlich Joh: Bronners deß vatters
hauß hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten in den Langenstraß, einseit neben Kunigunda Wagnerin anderseit neben Marg: Liechtenfelderin hinten auf dero Gärterin stoßend – um 75, 175 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 150 pfund

Jean Brunner vend la maison 450 livres au potier Melchior Schrœder et à sa femme Catherine Schad.

1712 (ut ante [28. Jan.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 65
(450) Joh: Brunner hafner
Melchior Schöders hafners und Cath; geb. Schadin (go. melgior schröter) (si +)
hauß hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier in der langen Straß, einseit neben Kunigunda Wagnern anderseit neben Marg: Liechtenfelderin hinten auff dero Gärtlein – um 75, 175 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 100 pfund

Les experts estiment la maison 350 livres lors de l’inventaire dressé en 1732 après la mort de Catherine Schad dont les deux filles cèdent à leur père les droits qu’elles ont sur la maison

1738 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 20
weÿl. Anna Catharina geb. Schadin mit ihrem hinterlaßenen wittiber Johann Melchior Schröder dem haffner erzeugte beede kinder Maria Magdalena geb. Schröderin Jacob Seemann des Maurermeister Jfr Catharina Jacobea Schröderin so mehrjährig und ohnbevögtigt zu seÿn versichert mit beÿstand H. Rathh. Johann Adam Acker des statt haffners u. EE. kleinen Raths beÿsitzers
ihres ermelten vatters Johann Melchior Schröder
Einen dritten theil für ohnabgetheilt ahne einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, brennoffen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der Obern straß nahe beÿ der hahnen gaß, einseit neben Michael Diemer des weißbecken, anderseit neben Johann Georg Lichtenberger schloßer vornen auf gedachte straß, hinten auff bemelten Liechtenfelder – als ein am 28. jan. 1712 während sein Schröder ersterer ehe erkaufftes guth ihnen zu einem und ihrem kauffenden vatter zu übrigen zween dritten theilen eigenthümlich zuständig – um 75, 225 und 50 pfund verhafftet, so der käuffer zum dritten 117 lb übernimmt, geschehen um 48 pfund

Jean Melchior Schrœder et (sa deuxième femme) Elisabeth Becker hypothèquent la maison au profit du mineur Jean Philippe Brandhoffer et de Catherine Jacqueline Schrœder

1738 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 25
Johann Melchior Schröder der haffner und Elisabetha geb. Beckerin mit beÿstand H. Le Febvre und H. Rauch beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johann Adam Brandhoffer des Bierbauers zum guldenen Löwen als vogts Johann Philipp Brandhoffer weÿl. Johannes Brandhoffer des Bierbrauers einigen kinds und in fernerer gegensein sein Schröder jüngster tochter erster ehe Catharina Jacobea Schröderin so mehrjährig und ohnbevögtigt zu seÿn versichert beÿständlich H. Rathh. Johann Adam Acker Exsenatoris Statthaffners EE. kleinen Raths alten beÿsitzers, 187 und 25 pfund schuldig
unterpfand, Eine Behausung, hindergebäuden, Höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Obern straß nahe beÿ der Hahnen gaß, einseit neben Michael Diemer dem weißbeck, anderseit neben Hannß Georg Lichtenberger dem schloßer, hinten auff denselben – als ein theils am 28. Januarÿ 1712 theils am heutigen tag erkaufftes guth

Jean Melchior Schrœder et Elisabeth Becker vendent la maison 600 livres au cordier Jean Gauthier Walther et à sa femme Marie Sophie Gerber

1740 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 470-v
Johann Melchior Schröder der haffner und Elisabetha geb. Beckerin
in gegensein Johann Walterus Walther des Seÿlers und Mariæ Sophiæ geb. Gerberin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der obern Straß, einseit neben Johann Georg Liechtenfelder dem Schloßer, anderseit neben Michael Diemer dem weißbecke, hinten auff gedachten Liechtenfelders gartten – um 75, 78, 50 und 147 pfund verhafftet, als ein theils am 28. Januarÿ 1712 theils am 13. Januarÿ 1738 erkaufftes guth – um 541 pfund ausmachende capitalien und 58 lb

Fils de cordier, Jean Gauthier Walther épouse en 1721 Anne Catherine Katzenberger, fille d’aubergiste : contrat de mariage, célébration
1721, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
(Eheberedung) Joh: Walther Wachters Seÿlers vnd Jfr Annæ Catharinæ Katzenbergerin

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 41)
Anno Christi 1721 Die vero 5. Octobris (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus adolescens Joannes Waltherus Wachter Argentinensis Francisci wachter civis et restionis hic argentinæ in hac parochia Commorantis et Catharina Grasmännin Conjugum legitimi Thori filius et restio ex unâ et Anna Catharina Katzenbergerin pudica virgo et filia legitima Joannes Wolffgangi Katzenbergers in vivis Civis et hospitis ad Ancoram, ut vocant, hic Argentinæ et Annæ Catharinæ (-) conjugum Argentina (signé) Johann Walther Wachter, Anna Catharina Katzenbergerin (i 24)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qu’ils louent au Faubourg de Pierre. Les apports du mari s’élèvent à 47 livres, ceux de la femme à 339 livres
1721 (15. Xbr), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 46)
Inventarium über des Ehrenhafften Johann Walther Wachters, Seÿlers: und der Ehren: undt Tugendsamen Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Katzenbergerin beed. Eheleuthe und burgere zu Straßburg einand. In den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1721. – Krafft ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung alß ein unverändert guth in den Ehestand Zugebracht – So beschehen in Straßburg den 15. Decembris Anno: 1721.
In einer alhier Zue Straßburg in der Steinstraßen gelegener behaußung, So bede Eheleuth Lehnungsweiße bewohnt ist befunden worden wie Volgt
Series rubricarum Des Manns Zugebrachtes Guth betr. Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 1, Sa. der baarschafft 3, Summa summarum 47. lb
Der Frawen Zugebrachte Unveränderte Nahr. Sa. Haußraths 127, Sa. Silbers 8, Sa. guldenen Ring 3, Sa. der baarschafft 200, Summa summarum 339 lb

Anne Catherine Katzenberger meurt en 1736 en délaissant trois fils dont l’un meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé au Faubourg de Pierre dans une maison qui appartient à la fondation de la Toussaint. La masse propre au veuf s’élève à 15 sols, celle des héritiers à 288 livres. L’actif de la communauté s’élève à 178 livres, le passif à 253 livres
1737 (24.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 301) n° 81
Inventarium über Weiland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Catharinæ Wachterin gebohrner Katzenbergerin, des Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Walter Wachter, des Seilers und burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1737 – nach ihrem Sambstags d. 15.ten 7.bris des nechst abgelegten 1736.sten Jahrs aus dießem mühesahmen leben genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obernandten ihres hinterbliebenen Wittibers nomine Johann Georg Wachters seines, mit gedachter seiner Ehefrauen seel. ehelich erzeugten, aber nach ihr der Mutter ableiben verstorbenen und also von ihme geerbten Söhnleins, wie auch des Ehrsam und bescheidenen Johann Georg Winthers, Hänffers und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Frantz Anthon und Johann Joseph Wachter beeder der Verstorbenen Fr: seel. mit mehr gemeltem ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder, alle 3 der Verstorbenen Fr. seel. – So beschehen Straßburg Donnerstags den 24.ten Januarÿ Anno 1737.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegener dem Stifft aller heÿligen Zuständiger und Von dem hinterbliebenen Wittiber lehnungs weiße bewohnenden behaußung ist befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der obern Cammer, In der Seÿl Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Laden, Im Keller
Ergäntzung des Wittibers Wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über sein des Wittibers und seiner verstorbenen Ehefrauen seel. einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch Herrn Not. Jacob Christoph Pantrion A° 1721. Zuergäntzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung, auffgerichtet per Pantrion not° en 14. 7.br. 1721.
Copia Codicilli reciproci, Vor mir Not°
Des Wittibers Eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 13 ß, Sa. goldenen rings 1, ß baarschafft 2, Sa. Ergäntzung (45, Abgang 1, restirt) 43, Summa summarum 50 lb – Schulden 50 lb, Compensando 15 ß
Doesem nach wird auch der Erben Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 22, Sa. silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 3, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung (210, abgang 1, rest) 209, Summa summarum 288 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschriben, Sa. haußraths 15, Sa. Wahr und Werckzeugs Zum seÿler Handwerck gehörig 126, Sa. silers 1, Sa. baarschafft 35, Summa summarum 178 lb – Schulden 253 lb, In Compensatione 74 lb
Beschluß und Verstallungs Summa 214 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 400 florins
1737, Livres de la Taille (VII 1178) f° 225
(Möhrin F. N. 7373) Weÿl. Fr. Annæ Catharinæ gebohrner Katzenbergerin Johann Walther Wachter Seÿler und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger jun.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 81. 214 lb 14 ß 10 d, die machen 400. fl. Verstallte nur 300 fl. Zu wenig 100 fl.
Nachtrag acht Jahr in duplo à 6 ß, macht 2 lb 8 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 3 ß d, 18 ß
Extat das Stallgeltt pro 1737. mit 1 lb 16 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung, 7 ß 6 d
Summa 5 lb 11 ß 10 d
Auff bitten haben die heren dreÿ nachgelaßen 18. ß, restirt 4 lb 13 ß 10 d
dt. 4° maÿ 1737

Jean Gauthier Walther se remarie en septembre 1737 avec Marie Sophie Gerber, veuve du tisserand Balthasar Jund d’Andlau : contrat de mariage, célébration
1737 (16.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 45
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Walter Wachter Seÿlern und burgern allhier Zu Straßburg als bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Sophiä Jundin gebohrne Gerberin Weÿland Meister Balthasar Junden, gewesenen Leinenwebers und burgers Zu Andlau hinterlaßener Wittib als hochzeiterin andern theils
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in beÿseÿn und Persöhnlicher Gegenwarth der Ehrenhafften und bescheidenen Johann Georg Winthers, hanffers und burgers allhier, des Hochzeiters Kinder erster Ehe geschwornen Vogts, auf sein des bräutigamns, so dann auff der hochzeiterin seithen Johann Metzen Kieffers und Weinhändler zu Kogenheim ihres Vettern, beeder hierzu erbettener beÿständere, Freÿtags den 16. Augusti Anno 1737.
[unterzeichnet] Johann Walter Wachter alß hoch Zeitter, Maria Sophia Gerberin als hoch Zeitdein

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 176)
Hodie 15. die mensis Septembris Anni 1737 in hâ Eccelsiâ publice factis et totidem in Ecclesiâ Parochiali ad St. Fabianum et Sebastianum in Andlau (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Joannes Waltherus Wachter, pie defunctæ Annæ Catharinæ Katzenbergerin viduus superstes civis Argt. et Restio ex hac parochia et Honesta Maria Sophia Gerberin pie defuncti Joannis Balthasari Junden civis andlaviensis vidua superstes (signé) Johann Walther Wachter, maria sophia Gerberin (i 93)

Marie Sophie Gerber épouse en 1734 le maître d’école François Joseph Mette puis en 1735 Jean Balthasar Jundt
Mariage, Andlau Saint-André (cath. p. 118)
Hodie 16 Februarÿ 1734 (…) sacro matrimonÿ vinculo conjuncti fuerunt in facie ecclesiæ Franciscus Josephus Mette Josephi Mette civis et tornatoris hujatis filius et Maria Sophia Gerberin Virgo dfcti Dni Joannis Michaelis Gerber Ludimoderatoris quondam hujatis filia Ambo nunc commorans in hac parochia (signé) Frantz Joseph Metter, Maria sobhia Gerberin (i 65) – proclamation Saints-Fabien-et-Sébastien (cath. p. 103, 13 février 1734)

Mariage, Andlau Saints-Fabien-et-Sébastien (cath. p. 108)
Hodie die 7. mensis 9.bris anni 1735 (…) in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Balthasar Jundt, Bartholomæi Jundt p. m. civis et textoris filius superstes et Maria Sophia Gerberin franc. Jos. Mette p. m. civis et tornatoris vidua (signé) Johann baltzer Jundt, Maria sobhia Metterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports non chiffrés au Faubourg de Pierre dans une maison qui appartient à la fondation de la Toussaint.
1738 (23.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 302) n° 106
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Walther Wachters Seÿlers und der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Sophiæ Wachterin geb. Gerberin beeder Eheleute und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1738. – vermög ihrer Vor mir unterschriebenem Notario d. 16. Augusti Anno 1737. als ein reservirt unverändert Guth in den Ehestand Zugebracht – So beschehen in der königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenwarth, des Ehrs. und bescheidenen Joh: Carl de Hacqueville hänffers und burgers allhier Nomine Johann Georg Winthers auch hänffers und burgers allhier des Ehemanns Kindts Erster ehe Geschwornen Vogts, so dermahlen abweßend, Donnerstags den 23. Januarÿ Anno 1738.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegener dem Stifft aller Heiligen zuständiger und Vo beeden Eheleuthen Lehnungsweiße bewohnenter behausung ist befunden worden wie folgt.

Jean Gauthier Walther loue la maison à l’apprêteur de tabac André Reibel

1741 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 184
Johann Waltherus Wachter der seÿler
in gegensein Andreæ Reÿbels des tabacbereiters
entlehnt, eine behausung samt allen derselben zugehörden und gerechtigkeit in der Langen straß ohnfern der hahnengaß einseit neben Lichtenfelder dem schloßer, anderseit neben NN dem weißbecken, hinten auff Meÿe den Maurer – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst kommenden Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 52 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Gauthier Walther à vendre la maison 650 livres au manant Jean Pfister. Il est dispensé de produire une estimation du bien qui a peu de valeur. Les mêmes autorisent Jean Pfister à acheter la maison

1742, Conseillers et XXI (1 R 225)
Johann Walter Wachter erhalt erlaubnuß ein häüßlein an Johann Pfister Zu Verkauffen. 348.
(p. 348) Montag d. 11.ten Junÿ 1742. – Lt. Cristmann Nomine Johann Walter Wachter des hiesigen burgers und seilers, der bitt unterthänig umb gnädige erlaubnuß ein in der Langen Straß gelegenes häüßlein umb 1300. gulden an Johann Pfister den grempen und Schirmer allhier Verkauffen Zu dörffen.
Lt. Mosseder nomine erstbesagten Pfisters bitt gehorsambst umb Permission gedachts häüßlein vor gemelten preiß kauffen Zu dörffen, und umb hochegeneigte Dispensation Vom augenschein.
Ist Erkandt, Wird dem Imploranten /:Dispendanso Von dem sonst gewohnlichen augenschein in ansehung der geringigkeit des obiecto:/ die beederseiths gebettener Erlaubnuß mit diesem beding und anhang Obrigkeitlichen ertheilt, daß der Kauff in hiesiger Contract: stub in gegenwart H. Rathh. Haxo und H. Rht. Kornmanns alß hierzu abgeordneter Commissariorum solle verschrieben und durch deren besorgung Johann Pfister der Käüffer sich allen in deren ordnungen deßfalls enthaltenen oneribus und beschwerden Zu unterwerffen, daselbst angehalten Werden.
Deputati ijdem Zu anzeigung des Bescheids.

Jean Gauthier Walther vend la maison au revendeur manant Jean Pfister et à sa femme Marie Ursule Grohberger

1742 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 281
Johann Walther Wachter der seÿler und Maria Sophia geb. Gerberin
in gegensein Johannes Pfisters des grempen und schirmers und Mariæ Ursulæ geb. Grohbergerin mit beÿstand ihres schwagers Jacob Barve des tabacbereiters und ihres vettern Johann Michael Wächters – zufolg erkanntnus H. Räth und XXI vom 11 hujus [unterzeichnet] barfeh
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten ane dem Obern straß, einseit neben Johann Georg Lichtenfelder dem schloßer, anderseit neben Michael Diemer dem weißbecken, hinten auff gedachten Lichtenfelders garten – als ein am 22. 7.bris 1740 erkaufftes guth – um 75, 225 und 187 pfund verhafftet, geschehen um 108 pfund

Fils du tisserand Valentin Pfister, l’apprêteur de tabac Jean Pfister épouse Marie Ursule Groberger, fille de tisserand, à Illkirch avec la permission du consul régent
Mariage, Illkirch (luth.) 1720, d. 21. Jan. sind Zum I. vnd II. mal auß Erlaubnus Ihro Gnaden Regierend. H. Ammeisters in Straßburg, laut beiliegenden Scheins, außgeruffen vnd d. 23. Ejusd. copulirt worden, Johannes Pfister, der ledige Tabackmacher, Valentini Pfisters burg. vnd leinenweber in Straßburg, vnd Maria Diemerin sein ehl. haußfr. ehl. Sohn, Und Jfr. Maria Ursula Grobergerin Heinrich Grobergern Gewesenen Leinenweber vnd burg. in Straßburg, vnd Maria seiner ehl haußfr. hindl. ehel. Tochtern beide Lutherischer Religion, wohnhaft in Straßburg [unterzeichnet] x diß Zeichen hat der Hochzeiter gemacht, x diß Zeichen hat die Hochzeiterin gemacht (i 48

Jean Pfister s’adresse aux Quinze pour obtenir un droit de revendeur alors que la tribu de la Mauresse déclare que le nombre maximal est déjà atteint. Jean Pfister argue qu’il ne sait pas combien de temps il pourra encore être journalier et qu’il cherche des moyens de subsistance. Les Quinze lui accordent le droit demandé et délivrent quelque temps plus tard une expédition de leur décision
1735, Protocole des Quinze (2 R 143)
Johann Pfister schirmer und Taglohner Ctra E. E. Zunfft der Mörin
(p. 15) Sambstag den 22. Januarÿ 1735. Moss. noê Johann Pfister schirmers und Taglehners bitt Underthg. Ihme das Frantz. Krempen Recht dispensando g. gedeÿen Zu laßen.
Christ. weil der Numerus bereits vbersetzt alß bitt abweisung, ref. Exp.
Moss. bitt Deput. und Wie allererst. Erk. Deputation willfahrt

(p. 38) Sambstag den 29. Januarÿ 1735 – Johann Pfister Ctra E. E. Zunfft der Mörin
Iidem laßen ferner per me referiren, daß Johann Pfister der Schirmer und taglehner in einem Contra E. E. Zunfft Zur Mörin gehaltenen Recess umb das Frantz. Krempenrecht Underth. angesucht, die Zunfft habe geantwortet, das der Numerus seÿe bereiths übersetzt, dahero gebetten den gegner mit seinem begehren abzuweißen, Ref. Expensis. Auff beschehene Remission habe der Implorant beÿgesetzt, er Wiße nicht Wie lang er am taglohn schaffen Könne, müße also sehen wie sonsten was bekommen um weither sich ernähren Können. H. Zunfft Meister Frantz Anthoni [-] habe geantwortet, die Zahl der Krempen so in dem Schirm seÿe Complet, wolte die Sach Mghh. überlaßen haben.
Auff seithen der Hh. Depp. Verneme [man könte] dem Imploranten in seinem begehren Zu Willfahren. Erkannt Willfahrt.

(p. 59) Sambstags d. 5. Februarÿ 1735. – Moss. nôe Joh: Pfisters pt° Krempen rechts bitt ut mod.[comm. bescheids] Erkandt ut ante [willfahrt]

(p. 73) Sambstag den 12. Februarÿ 1735.. Obere Handwerck herren laßen durch hren Secret. Kleinclaus referiren daß Comm. nachfolgender bescheid seÿe begehrt, willfahrt und dieselbe sofort wie hernach befindlich Zu papÿr gebracht worden.
Bescheid. Sambstag den 29. Januarÿ 1735. In Sachen Johann Pfisters des Schirmers und taglöhners Imploranten ane einem, entgege und wieder E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Metzger, Imploraten am andern theil, auff des Imploranten gethanes Ansuchen und bitten, Ihme das Frantzösische Krempen Recht gnädig angedeÿen Zu laßen, des Imploraten darüber gethane Verantwortung, juncto petito den Gegner mit seinem begehren abzuweißen, Ref. Expensis. Gebettene bewilligte und beseßene Depp. Ist der Hh. Deputirten angelegten relation nach erkandt, Wird dem Imploranten in seinem begehren dispensando Willfahrt.

Le manant Jean Pfister est inscrit comme revendeur français dans les registres de la tribu de la Mauresse
1735, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 120) Dienstags den 15.ten Februarÿ 1735 – Neuer unverburgerter frantzösischer Gremp
Johann Pfister der Schirmer allhier, bittet um das frantzösische Grempen Recht. Erkandt demselben auf erlangte Dispensation Von Gn. Herren den Fünffzehen, Vermög producirten bescheids vom 29. Januarÿ 1735. gegen erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte vor die Auffnahm 2 lb, Item das Stuben Geld Vor in Jahr Zum Voraus 1 lb Und Einschreib Geld 2 ß

Jean Pfister renonce en novembre 1755 à son droit de revendre des comestibles
1755, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 280) Donnerstags den 13.ten Novembris Anno 1755 – Resignirtes Fastenspeishandel Recht
Johannes Pfister, der Fastenspeishändler und Schirmer allhier, resignirt sein dißorts habendes Fastenspeishändel Recht und bittet solches Zu Verzeichnen.
Erkandt, gegen Erlag der pro Annis 1751. 52. 53.et 1754. rückständigen 4. ln d Stuben Gelts & Gebüren und 2 ß Protocoll und Getott geld, willfahrt
dedit 4 lb 2 ß d. – Pro Nota, für das jahr 1755 ist derselbe des Stubengelds freÿ, weilen beÿ der Aufnahm für ein Jahr Zum Voraus Zalt worden.

Le revendeur Jean Pfister et Marie Ursule Grohberger vendent la maison 780 livres au charpentier Jean Michel Hartmann et à sa femme Marie Salomé Knissling

1747 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 123
Johannes Pfister der gremp und schirmer und Maria Ursula geb. Grohbergerin
in gegensein Johann Michael Hartmann des zimmermanns und Mariæ Salome geb. Knißlingin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Obern Straß einseit neben Michael Diemer dem weißbeck, anderseit neben Johann Georg Lichtenfelder dem schloßer, hinten auff deßelben – als ein am 12. junÿ 1742 erkaufftes guth – um 75, 78, 225, 50 und 187 pfund verhafftet, geschehen um 208 pfund

Fils de boulanger, le charpentier Michel Hartmann épouse en 1721 Marie Salomé Knissling, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration (un curriculum vitæ plus complet sera présenté à la notice de la maison qu’ils possédaient au péage de la Bruche de 1739 à 1747)
1721 (30.11.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1054
Eheberedung Zwischen Michael Hartmann, dem ledigen Zimmermann und burgern alhier Zu Straßburg als dem hochzeitern mit beÿstand Hn Johann Jacob Otris, Schirmbotten, und H. Johann Theobald Fichten, Præcept. Domestici, beeder burgere alhier, ane einem
So dann Jgfr. Mariæ Salomeæ Knießlingin, weÿl. Eliæ Knießling geweßenen Schneiders und burgers alhier hinterlassenen ehl. tochter, als hochzeiterin, beÿständlich H. Joh: Ludwig Wölffels, Sprachmeisters und Johann Friderich Höchstetters Tabackbereiters aller burgere allhier, dero erbettenen beÿständern, andern Theils
Actum Straßburg Sonntag d. 30. 9.bris A° 1721 und Johann Michael hart mann, + der Jungfer hochzeiterin hdzeichen

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 345-v, n° 1438)
1722. Eod. [27. Maÿ] sind nach Zweÿmaliger proclamation ehelich eingesegnet word. Joh: Michael Hartmann, d. ledige Zimmermann burger allhier weil. Joh: Georg Hartmanns gew. b. v. weißbeckens allhier nachgel. ehel. Sohn, v. Jgfr. Maria Salome weÿl. Elias Knäußlings ges. burg. v. schneid.s nachgel. ehel. tochter [unterzeichnet] Johan Michael hartmann als hochzeitter, + hochzeiterin zeichen (i 345)

Jean Michel Hartmann et Marie Salomé Knissling revendent l’année suivante la maison 900 livres au potier Sébastien Seiler

1748 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 502
Johann Michael Hartmann der zimmermann und Maria Salome geb. Knißlingin
Sebastian Seÿler des haffners
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Obern Straß, einseit neben Michael Diemer dem weißbecken, anderseit neben Johann Georg Lichtenfelder dem schloßer, hinten auff denselben garten – als ein am 23. Februarÿ 1747 erkaufftes guth – um 15 pfund Straßburger wehrung oder 78 hiesiger current, 225, 50 und 187 pfund verhafftet, geschehen um 358 pfund

Sébastien Seiler et sa femme Sophie Hetz hypothèquent le même jour la maison au profit de Georges Louis Geiger, chanoine à Saint-Pierre-le-Vieux

1748 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 506
Sebastian Seÿler der haffner und Sophia geb. Hetzin mit beÿstand Frantz Erhard des schneiders und deßen sohns Frantz Joseph Erhard des altgewänders beede ihrer vettern
in gegensein Antoni Weinemmer des kieffers als gewalthabers H. Georg Ludwig Geiger Canonici des hochlöbl. Collegi des Stiffts zum alten St Peter – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der obern straß, einseit neben Michael Diemer dem weißbecken, anderseit neben Johann Georg Lichtenfelder dem schloßer

Fils d’un charron d’Altkirch en Sundgau, Sébastien Seiler épouse en 1747 Marie Sophie Hetz, fille de maçon (et belle-fille du potier Jean Chrétien Vœlcker, voir sa maison) : contrat de mariage, célébration
1747 (10.6.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 235
(Eheberedung) entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Meister Sebastian Seÿler, ledigen haffner von Alt Kirch gebürtig, Weÿland des Ehren und Wohlachtbaren Meister Sebastian Seÿlers, geweßten burgers und Wagners zu gedachten Altkirch mit auch weÿland der Ehren und Tugendsamen Frauen Anna Maria gebohrner Hügelin seiner gewesenen Ehegattin beede seeligen ehelich erzeugtem und nach tod hinderlaßenem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Sophiæ Hetzin, Weÿland des Ehren und Vorgeachten Martin Johann Michael Hetzen geweßenne Steinmetzen Maurers und burgers allhier längst seeligen mit Frauen Maria Dorothea Eva Schmidtin ehelich erzeugte tochter als hochzeiterin am andern theil
auff Sambstag den 10. Junÿ Anno 1747. [unterzeichnet] Sebastian Seiller alß hochzeiter, Maria sofia Hetzin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 275)
Hodie die 3. mensis Julii anni 1747 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ coniuncti fuerunt Sebastianus Seiller professione figulus oriundus altkirchis dioecesis basiliensis filius defunctorum Sebastiani Seiller civis et * vectoris et Annæ Mariæ Higelin Conjugum et Maria Sophia Hetzin Argentinensis filia defuncti Michaelis Hetz Civis Cæmentarii et lapicidæ et Dorotheæ Schmidin Conjugum (signé) Sebastian Seiller, maria sofia hetzin (i 144)

Sébastien Seiler devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Maçons.
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 300
Sebastian Seiler der Haffner Von Alt Kirch erhaltet das burgerrecht ab uxore Maria Sophia weÿl. Michael Hetzen geweß. beÿsitzers u. Maurers allhier hinterl. ehel. tochter umb den alten burger schilling u. will beÿ E. E. Zunfft der Maurer dienen, jur. d. 5. aug. 1747.

Sébastien Seiler devient tributaire chez les Maçons le 5 septembre 1747
1747, Protocole de la tribu des Maçons (XI 238)
(f° 13) Dientags den 5. Septembris 1747 – C. Neuzünfftiger
Sebastian Seÿler Haffner Meister Von Altkirch, producirte Cancelleÿ: Pfenningthurn vnd Stall: schein Vom 5. Augusti, Krafft deßen er das burgerrecht ab uxore Maria Sophia weÿlland Michael Hetzen, gewesenen burger Vnd Maurers alhier hinderlaßener ehelicher tochter umb den alten burger schilling erhalten, vnd den feur Eÿmer Zahlt, auch auff der Statt stall sich angewendet habe mit bitt Ihne vor einen Zünfftigen anzunehmen.
Erkandt Willfahrt. dt. weilen er einer Zünfftigen tochter geheurathet vor die Zunfft vnd Einschreib gebühr umb 9 ß, so dann vor Pfenningthurn 1 lb, zusammen 1 lb 9 ß

Sébastien Seiler et Sophie Hetz hypothèquent la maison au profit de Jean Joachim Carol, ancien secrétaire des Treize

1749 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 473-v
Sebastian Seÿler der haffner und Sophia geb. Hetzin mit beÿstand H. Johann Jacob Streubhar des Uhrenmachers und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers und Adolph Dannecker des lebküchlers beede ihrer vettern
in gegensein H. Johann Joachim Carol des alten XIII secretarÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der Obern straß einseit neben Michael Diemer dem weißbecken, anderseit neben Georg Lichtenfelder dem schloßer, hinten auff deßelben garten – als ein am 4. Julÿ 1748 erkauftes guth

Les Quinze traitent la suite d’une affaire de l’années précédente, portée dans une partie manquante du registre. La partie adverse récuse les témoins de Sébastien Seiler qui demande leur maintien.
1749, Protocole des Quinze (2 R 159)
E E Handwercks der Kachler Ca. Sebastian Seÿler
[Le protocole de l’année précédente est fragmentaire]
(p. 64) Sambstags d. 15. Februarÿ – Roemer nôe E E Handwercks der Kachler Obermeister in actis Ca. Sebastian Seÿler, auch in actis, weilen citatus Mghh. bescheid vom 27. Aprilis jüngst Krafft welchem er sein vorgeben erweißen soll, Keine parition geleistet, als bitt denselben mit seiner Klag, ref. exp. abzuweißen
Fuchs, Zufolg erstgedachten bescheids nominirt pplis Zu seinen Zeugen Johann Betz, dem Kübler, und Elisabetham Vonatzigen, die dienstmagd, bitt solche über den Innhalt des Klaglibells eÿdlichen Vernehmen Zu laßen. Roemer, bitt Zeith ad proximam ad referendum. Obhh.
(p. 109) Sambstagsd. 15. Martÿ. – Roemer nôe E E Handwercks der Kachler Obermeister in actis Ca. Sebastian Seÿler, auch in actis, weilen der von ggth. denominirte Zeug Johannes Betz sublestæ fidei und die benahmßte Magd gar nicht zu erfahren, anbeÿ ohnmöglich, daß dieße beede denominirte Zeugen dasjenige, was gegner wieder E. gantzes handwerck Klagend Vorgetragen bezeugen können, als bitt dieße Zeugen als inhabiles Zu verwerffen, und dem citato T O. sub ipsa præclusione zu benahmßung anderer gültigerer Zeugen anzusetzen.
Fuchs, dier Innhalt dießes recesses weißet an sich selbsten, wie richtig der Vortrag seÿe, und weilen die prætendirte recusation dißseithiger Zeugen weder in jure noch facto gegründet, als bitt den ggthh. mit seinem heutigen begehren abzuweißen, und die denominirte Zeugen Zu admittiren.
Roemer bitt Wie vor und setzts.
Erk. solle dießes gantz geschäfft ad examinandum an die hochverodnette Ober handwercksherren verwießen werden.

Sophie Hetz veuve de Sébastien Seiler meurt en 1758 en délaissant deux enfants. La maison est estimée à son prix d’achat, soit 900 livres, pour éviter les frais d’estimation. L’actif de la succession s’élève à 1 001 livres et le passif à 1 284 livres.

1758 (17.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 793) n° 152
Inventarium über Weÿland Sophiæ Seÿlerin geb. Hetzin, Weiland Mr Sebastian Seÿlers des geweßenen haffners und burgers allhier Zu Straßburg seeligen nachgelaßener wittib nun auch seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet in Anno 1758. – nach Jhrem Dienstags den 4.ten Martÿ dießes lauffenden 1758.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohl ehrenachtbahren herrn Martin Jund, des frantzösischen becken und burgers allhier als geordnet und geschworenen vogts Clarä und Ludwig der Seÿler beede der abgeleibten mit ihrem Ehemann erziehlte Kinder und ab intestato Zu 2 gleichlinge portionen und Antheilen Verlaßene Beneficial Erben (…) durch den Vogt wie auch Morand Biegler den Kachlers gesellen von Allkirch aus dem Obern Elsaß gebürtig so beÿ der defunctæ in Arbeit gestanden – So geschehen ellhier zu Straßburg auf Freÿtag d. 17.ten Martÿ 1758.

In einer allhier zu Straßburg ane der Langen straß gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen Behausung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußeren. Erstl. eine behauß. Höffl. u. Hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden u. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. ane der obern langen Straß 1. s. neben H. N. Wolff dem Weißbecken, 2. s. neben Joh. Gottfried Lichtenfelder dem Schloßer hinten auf eben deßelben Garthen stoßd., so außer hernach beschriebener darauf haften. passiv Capitalien freÿ, ledig, eigen und dißorths um Erspahr. der Cösten angeschlagen wie selbige von beed. verstorbenen Seÿlerischen Eheleuthen d. 4.ten Julii A° 1748 von Joh. Mich. Hartmann dem Zimmermann u. burg. allhier erkaufft word. p. 900, Dießerwegen ist Vorhanden ein in allhießiger Löbl. C. C. stub gefertigter pergament Kffbrieff mit dero anhang. Insiegel corroborirt d.d. 4. Julÿ 1748.
It. die helffte für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, Höfflein und hinter Gebäu mit Ihren Hoffstätten und übrigen Zugehörden, Weithen, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßburg ane dem Leimengäßel 1.s neben Joh. Jacob fröreißen dem Schuhmacher 2.s neben Zacharia Pfaltzer dem Spanner im Kauffhauß, Vornen auf die Gaß und hinten auf d. Würtshauß zum Stall stoßend, Wovon man jährlichen auf Martini 15 ß bodenzinß, dem Stifft Allerheÿligen zu reichen schuldig, sonsten eb. außer einigen darauff lastenden hernach beschriebenen Passiv 2 Capitalien gegen männigl. freÿ, leedig eigen. So besagt und ist die Völlige behaußung in weiland fr. Mariä Dorotheä Evä Völckerin geb. Schmidin nun auch weÿl. H. Joh. Christian Völckers des haffners Ehefrau der defunctæ Mutter sel. Verlaßenschafft Inv: aller abzug dh. mich unterschriebenen Not. in A° 1757 errichtet durch (die Werckleuthe) taxirt worden dabeÿ man es auch dißmahlen wieder gelaßen pro 170 lb. th. die hieran participirende helffte 85, Und ist der übrige halbe theil H. Johann Michael Hetz dem Porcellan Manufacturier ohnweit Grenoble der Verstorbenen seel. bruder Vor ohnvertheilt zuständig, Dieße behaußung rühret Von der Verstorbenen Elteren seel. her, so aber crafft des beÿm Müttel. Verlassenschafft Inv: Concepto befindl. Vergleichs weiland hr Joh. Christian Völcker, dem Kachler der Verstorb. Stieffvatter seel. biß an sein seel. Ableiben, so den 13. Februarÿ h. A. geschehen, genoßen hat. Über diese behaußung meldet ein teutscher pergamnt. Kauffbr. mit allhies. Statt anh. C.C. Insiegel verwahret d.d. 3. Xbris 1716. mit alt. N° 1 bemerckt.
Werckzeug und gemachte Waar Zur Kachler Profession gehörig. Solches alles ist durch Meister Georg Wolffgang Scheid den Kachler vnd burgern allhier dem stall Tax nach angeschlagen worden wie folgt.
Unterschied. glaçure, 5 ß
Allerhand gebrannt Geschirr, 1 lb 5
Mancher ohngebrannt Geschirr, 15 ß
2. Scheiben so ohng. 1 lb 5.
30 Haffenbretter, 5 ß
Allerhd Werckzeug und Kalckwerck 1 lb
die wenige Vorhandene Erd u. Leimen 8 ß
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 11 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar zur haffner Profession gehörig 5 lb, Sa. Eigenthums ane häußeren 985 lb, Summa summarum 1001 lb – Schulden 1284 lb, In Compensatione 283 lb

Les deux enfants Seiler sont admis à l’orphelinat par décision des Conseillers et des Vingt-et-Un
1758, Conseillers et XXI (1 R 241)
weÿl. Sebastian Seÿlers des gewesten Haffners hinterl. Zweÿ hinterlaßene und mutterloße Kindter werden in das Waÿßenhauß recipirt. 44.
(p. 44) Montag den 20.ten Marty 1748. Christman nôe weÿl. Sebastian Seÿlers gewesten burgers und Haffners hinterl. Zweÿer Kindter /:nahmens Maria Clara,und Ludwig Sebastian:/ Vogts Martin Jund des burgers und frantzösischen Becken alhier producirt unterth. Memoriale und bitten, mit beÿl. Sub Nis 1 biß 5 incl. pt° auffnahm dießen Vatter und mutterloßen Zweÿer Kindter in das Waÿßenhauß. Erkandt, Wird Implorirender Vogt nomine seiner Zweÿen pupillen ane die hochansehnliche Herren pflegere des Waÿsenhaußes, umb allda auffgenommen und Verpflegt Zu werden, verwießen.
Depp. H. Rathh. Sultzer, H. Rathh. Von Fridolßheim.

Exposée aux enchères publiques le 4 septembre 1758, la maison est acquise par Guillaume Joseph Ducarne, maréchal ferrant originaire de Hirson en Thiérache qui épouse en 1753 Marie Louise Coupau de Strasbourg : contrat de mariage, célébration

1753 (24.2.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 540) n° 29
(Eheberedung) Le huit fevrier de l’année 1753, le Sieur Guillaume Joseph Ducarne natif de Hirzon en thierache Bourgeois et maistre marechal de cette ville d’une part
et Anne Marie Louise coupau fille orpheline de feu pierre coupau vivant chantre de St. pierre le vieux et de feu Catherine Heri assistée de Monsieur jean jaque Cappler Conseilier et assesseur actuel au grand Senat de cette ville d’autre part
promettent de se prendre l’un l’autre En foy et Loy de mariage et de faire celebrer et solemniser iceluy En face de notre mere la Sainte Eglise catholique
(signé) guillaume joseph Ducarne, anne Marie Louise Coupau
déposé le 24. fev. 1753

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. i 86)
Hodie 12 februarÿ anni 1753 (…) Sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Guilhelmus josephus ducarne oriundus es parochia hirson diocesis lingonensis faber ferrarius et civis hic filius legitimus guilhelmi Josephi ducarne civis in dicto loco et defunctæ Franciscæ docquiere in vita conjugum et Anna Maria ludovica couppau argentinensis filia legitima petri couppau olim cantoris Ecclesiæ nostræ collegiatæ et Catharinæ Herÿ defunctorum conjugum (signé) joseph guillaume Ducarne, Marie Louise Coupau

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 96)
Hodie 16 Februarÿ anni 1778 (…) Sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Josephus Wilhelmus Ducarne civis et faber ferrarius hujas, defuncta Annæ Mariæ Ludovicæ Coupeau viduus superstes, Parochianus ad St. Ludovicum huius urbis et Elisabetha Chauve et anthion in Provincia Nivernensi oriunda, Petri chauve et Mariæ Michel filia orphana, soluta et Majorennis ratione domicilÿ ultimi Parochiana Nostra (signé) josepgh Ducarne, + signum sponsæ

Guillaume Joseph Ducarne revend un an plus tard la maison 600 livres au potier Jean André Gerner (André Evrard Gerner)

1759 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 290
Joseph Wilhelm Ducarne der huffschmidt
in gegensein Andreas Eberhard Gerner des kachlers
eine behausung, höfflein, hoffstatt mit allen anderen gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der obern langen Straß, einseit neben (-) Adolff dem weißbeck, anderseit neben Johann Gottfried Lichtenfelder dem schloßer, hinten auff
eben denselben – als ein d. 4. Septembris 1758 ane der ganth ersteigtes guth – umb 600 pfund

Jean André Gerner hypothèque la maison au profit du potier Jean André Lux

1769 (23.10.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 735-v
Johann Andres Eberhard Gerner der hafner
in gegensein Johann Andres Lux auch hafners – schuldig seÿe 350 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Obern Langenstraß, einseit neben N. Lichtenfelder dem schloßer, anderseit neben N. Anthoni dem haußfeurer, hinten auff ged. Lichtenberger

Jean André Gerner vend la maison 700 livres au potier Jean Daniel Hæberlin et à sa femme Marguerite Salomé Œrtel

1771 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 303
Andreas Gerner der kachler meister
in gegensein Johann Daniel Häberlin des kachler meisters und Margarethæ Salome geb. Örtlerin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Oberen Langen straß, einseit neben N. Antoni dem schwartzbecken, anderseit neben Johann Gottfried Liechtenfelder dem schloßer, hinten auff den letzteren garten – als ein in Anno 1759 d. 30. Augusti von Joseph Wilhelm Ducarne d. huffschmidt erkaufftes haus – um 350 pfund verhafftet, geschehen um 350 pfund

Jean Daniel Hæberlin vend la maison 682 livres à Susanne Barbe Schützenberger, veuve du revendeur Léonard Breuninger

1778 (19.11.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 356
Mr Johann Daniel Häberlin der kachler und Margaretha Salome geb. Örterin
in gegensein Fr. Susannæ Barbaræ Breiningerin geb. Schützenbergerin Georg Lienhard Breininger des gimplers zu guth und bett geschiedene Ehefrau, unter assistentz H. Michel Nagel des maurer meisters
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der obern Langen straß, einseit neben Mr Antoni dem schwartzbecken, anderseit neben Johann Gottfried Lichtenfelder dem schloßer, hinten auff besagten Mr Lichtenfelder – um 450 lb verhafftet, geschehen um 1364 gulden worunter die capital summen begriffen

Fille de fripier, Susanne Barbe Schützenberger épouse en 1761 le tailleur de pierres Jean Henri Fetsch, originaire de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration à domicile parce que le marié est malade
1761 (9.10), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 565) n° 71
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Johann Heinrich Fetsch leediger Stein-Metz weÿl. Joh: Georg Fetsch geweßenen Maurers und Steinhauers auch burgers Zu Bußweÿler hinterlaßener ehelicher sohn, so seiner außsaag nach majorennis und hierzu mit Herrn Johann Samuel Geÿler dem Sattler und burger allh. Verbeÿstandet als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendsahme Jgfr. Susanna Barbara Schützenbergerin, herrn Johann Niclauß Schützenbergers des Altgewänders und burgers allhier eheliche tochter, mit beÿstand dießes ihres Vatters, wie auch herrn Johann Jacob von Zabern des Zinn: Knöpffmachers und ebenfals burgers allhier ihres hierzu erbettenen assistenten als hochzeiterin am andern theil
Actum Straßburg auf Freÿtag den 9.ten Octobris Anno 1761. [unterzeichnet] Johann Heinrich Fetsch als Hochzeidter, susanna barbara schützenbergerin Als hochzeiterihn

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 167-v, n° 28)
1761. Auff Gnädige Erlaubnus Regirenden Herrn Ammeisters wurden d. XXI. Sonntag nach Trinit. als den 11. Octobr. Zum ersten und Andern mal Zugleich ausgeruffen und dienstag d. 13. Octob. Zu Hauß wegen Kranckheit des Sponsi ehelich eingesegnet Joh: Henrich Fetsch der ledige Steinmetz burger allhier weÿl. Joh: Georg Fetschen d. Maurers v. Steinhauers Ehel. Sohn, v. Jungfr. Susanna Barbara Schützenbergerin Joh: Niclaus Schützenbergers Altgewänder vnd burgers allhie eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Fetsch als Hochzeitter, susanna barbara schützenbergerin Als hochzeiterin (i 170 – Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux, f° 219, i 115)

Jean Henri Fetsch devient bourgeois à titre gratuit sur recommandation
1763, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 24
Johann Heinrich Fetsch der Steinmetz von hier geb. verheurathet an Susanna Barbara Niclaus Schützenbergers des altgewenders und burgers allhier ehel. tochter, erhalt das burgerrecht aus hoher recommendation gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Maurer. Jur. den 28. 9.br. 1763.

Susanne Barbe Schützenberger se remarie en 1767 avec le tisserand Georges Léonard Breuninger, originaire de Haag près de Künzelsau en juridiction de Hohenlohe : contrat de mariage, célébration
1767 (7.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 250
(Eheberedung) persönlich erschienen H. Georg Leonhard Bräuninger, der ledige Leinenweber v. Zeugmacher, Weil. Christoph Bräuninger, des geweßenen Leinenwebers in Haag hochgräfflich hohenlohischer herrschafft nachgelaßener Sohn, so majorennis und ohnbevögtigt, als hochzeiter ane einem
Und Frau Susanna Barbara Fetschin geb. Schützenbergerin, weil Hn Johann Heinrich Fetsch des geweßenen Steinmetzen und Gümplers auch burgers dahier seeliger nachgelaßene Wittib, als Hochzeiterin ane dem andern theil
auf Dienstag den 7. Aprilis Anno 1767. [unterzeichnet] Georg lenhard bräuninger, susanna barbara fetschin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 27-v)
Im Jahr 1767 seind den 2. und 3. Sontag nach Ostern proclamirt und folgenden 13. Maÿ copuirt worden, Georg Leonhard Breunuinger lediger Leinenweber weiland Christoph Breuningers geweßenen hoheloischen Soldners in Haag und auch weiland Annä Catharinä gebohrner Steinbrennerin hinderlaßener ehelicher Sohn und Fr. Susanna Barbara gebohrne Schützenbergerin weiland Johann Heinrich Fätsch geweßenen Steinmetzen allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Georg leonhard bräuninger als Hochzeitder, susanna barabra fetschin Als braut (i 30)

Georges Léonard Breuninger fait dresser un état de sa fortune pour accéder à la bourgeoisie
1767 (10.6.), Not. Lobstein (6 E 41, 840)
Designatio Inhaltend Alles dasjenige was Georg Leonhard Bräuninger der Leinenweber und Zeugmacher von Haag hochgräfl. Hohenlohischer herrschafft gebürtig, welcher beÿ Einem allhießigen hochl.n Magistrat umb das burgerrecht in unterthänigkeit einzukommen willens ist, dermalen eigenthümlich besitzet und in Vermögen hat
Summarischer Calculus, hausrath 228 lb, silbers 21 lb, baarschafft 42 lb

Il est inscrit au livre de bourgeoisie le 24 décembre 1767
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 133-v
Georg Leonhard Bräuninger, gümpel Käuffler, von hag aus dem hohen lohischen, erhalt das burger recht von seiner Ehefrauen Susanna Barbara, weÿl. Heinrich fetsch, gewesenen Steinmetz, und burger allhier um den alten burger schilling will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin. Jur. eod. [24. Xbre 1767.]

Georges Léonard Breuninger et Susanne Barbe Schüzenberger font dresser un état de leur actif et de leur passif
1774 (4.8., Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 863) n° 138
Inventarium über Georg Leonhard Brauninger, des Gimplers, und Fraun Susannæ Barbaræ gebohrner Schüzenbergerin beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg dermalen besizende Vermögenschaft auffgerichtet in Anno 1774. – dermalen activé besitzen und hingegen daraus passive zu bezahlen haben. Welche Vermögenschaft heutigem zu End gesetztem Dato, auf geziemender Ansuchen und begehren obgedachter der Ehefrauen selbsten, als welche beÿständl. Hn Isaac Kübler des Goldarbeiters und burgers alhier die Separationem bonorum beÿ einem Löbl. Ehegericht zu suchen willen, nach ordnung ersucht und Inventirt worden – So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der heiligen Liechter Gaß gelegenen dißorts Zum theil lehnungsweiß bewohnenden behausung auf Donnerstag den 4.te, Augusti Anno 1774.

Inventaire de séparation de biens, dressé dans une maison rue des Chandelles appartenant au vitrier Kieffer. L’actif s’élève à 148 livres, le passif à 100 livres
1775 (10.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 819) n° 714
Inventarium über Georg Leonhard Bräuningers, des Gümplers und Frn Susannä Barbarä geb. Schützenbergerin, beeder nunmehro separirter Eheleuthe und burgers allhier Zu Straßburg besitzende Activ: et Passiv Nahrung, auffgerichtet in Anno 1775. – damit man wider die Ehefrau Vermög Es. löbl. Ehr. Gerichts Erkantnus Vom 21.ten Februarÿ jüngsthien burger Zur anderwärtigen Christlichen Außöhnung Von Ihrem Ehemann Zu tisch und Zu bett geschieden werden wißen Könne worinnen eines jeeden dermaliges Vermögen, nach dem tenor bald herach eingelegtener Eheberedung bestehe, inventirt – so beschehen allhier Zu Straßburg, auf Montag den 13.ten Martÿ 1775.
Copia beder Eheleuth Vor mir Notario d. 7. Aprilis 1767. mit einander errichteter Eheberedung
In einer alhier Zu Straßburg ane der heiligen Liechter Gaß gelegenen und in diese Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden als folgt
Schulden aus diesser Nahrung zu bezahlend. It. H. Kiefer dem Glaser u. b. allh. solle man für I. Viertel Jahr hßzß bis Annunciationis Mariæ h. A. gerechnet, 4. 5.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 70, Sa. Schulden 78, Summa summarum 148 lb – Schulden 100 lb, Nach solchem abzug 47 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden 33 lb

Susanne Barbe Schüzenberger se remarie en 1788 avec l’aubergiste Jean Daniel Rœgner : contrat de mariage, proclamation
1788 (20.5.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 190
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Johann Daniel Rögner der Gastgeber Wittiber und burger alhier als Bräutigam an einem,
So dann Frau Susanna Barbara gebohrene Schützenbergerin, weiland Georg Leonhard Bräuningers, gewesenen Gimpelkäuflers und burgers alhier hinterbliebener Wittib beÿständlich Herrn Heinrich August Stritters des Schneiders und burgers alhier als Braut an dem andern Theil
Actum alhier Zu Straßburg Dienstag den 20. May anno 1788 [unterzeichnet] Johann Daniel Rögner als bredigam, susanna barbara breiningercher als braut

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 139-v)
1788. sind Dominica prima post Trinitatis mit Obrigkeitl. Erlaubnus Zum ersten und Zweÿten mal Zugleich proclamirt worden H. Joh: Daniel Rögner, Verwittibter Gastgeber und burger alhier, Und Fr. Susanna Barbara geb. Schützenbergerin weil. Georg Leonhard Breuninger des gew. Gimpel Käuflers und burgers alhier nachgel. Wittwe (i 147)

Susanne Barbe Schüzenberger, femme séparée quant aux biens de Georges Breuninger expose la maison aux enchères devant notaire. Après une première enchère infructueuse en février 1784, Le tailleur de pierres Jean Linckenhœlin fait une mise en août

1784 (25.2.), Not. Lederlin (6 E 41, 913) n° 69
Frau Sußanna Breuningerin geb. Schützenbergerin Georg Breuninger des gimpelkäuflers geschiedene Ehefrau beÿständlich H Heinrich August Stritters des Schneidermeisters
wie daß sie gesonnen seÿe ihre eigenthümliche Kachler: behausung mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen ane der obern langen Straß, einseit neben Herrn Lichtenfelder dem Schloßer anderseit neben Herrn Anton dem becker hinten auf H Lichtenfelder, um 1000 gulden capital (verpfändet), durch offentliche Versteigerung versteigern
(bedingnusse) 10. ohne ihre Wohnung so in zweÿen Stuben dreÿ Kammern zweÿen bühnen und zweÿen Kellern bestehet um 54 gulden haußzins gehen
ausgeruffen um 1600 fl, kein gebott

1784 (13.8.), Not. Lederlin (6 E 41, 913) n° 53
Frau Sußanna Breuningerin geb. Schützenbergerin Georg Breuninger des gimpelkäuflers geschiedene Ehefrau beÿständlich H Johann Daniel Vogts des zimmermanns
wie daß sie gesonnen seÿe ihre eigenthümliche Kachler: behausung, gelegen ane der Obern Langenstraß, einseit neben Herrn Lichtenfelder dem Schloßer anderseit neben Herrn Anton dem becker hinten auf H Lichtenfelder, um 1000 gulden capital (verpfändet) durch offentliche Versteigerung versteigern (…)
ausgruffen um 1800 fl, vor die Würcklichen Versteigerung offerirt die Verkäuferin dem Steigerer daß insofern derselbe sie in ihrer dato in der zu versteigernden behaußung inhabenden Wohnung bestehend in der Stub im ersten Stock, der Küchen, haußöhren und im zweÿten stock das Stüblein hinter dem haußöhren und Keller benutzen und wohnen laßen wolte sie ihme von Michaelis bis Ostern nächst instehenden 1783. Jahrs als bis dahin sie darinnen verbleiben möchte für einen haußzinß 20 gulden
den 20. Augusti, 1860 gulden, H. Rathh Johann Linckenhölin dem Steinhauer

Susanne Barbe Schüzenberger vend la maison 750 livres au potier Jean Philippe Petri et à sa fiancée Catherine Barbe Claus

1784 (21.12.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 467
Fr. Susanna Barbara Breuningerin geb. Schützenbergerin Georg Leonhard Breuninger des gimplers quo ad thorum et mensam ac bona geschiedene ehefrau beÿständlich Heinrich August Stritter des schneidermeisters
in gegensein Johann Philipp Petri des haffners und Jfer Catharinæ Barbaræ Claußin der ledigen großjährigen unter assistentz Johann Daniel Haug des buchbinders
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Obern langen straß, einseit neben Mr Antoni dem schwartzbecken, anderseit neben Johann Gottfried Lichtenfelder dem schloßers wittib und erben, hinten auff eben dießelben – als ein unter den 19. 9.br. 1778 von Häberleinischen Eheleuthen erkaufftes haus
dabeÿ expresse bedungen worden, daß die verkäufferin in verkauffttem haus die bereits inhabenden wohnung des vordern haußs aus dreÿ stüblein und dreÿ cammer nebst einem kleinen kellerlein bestehend unentgeltlich bis 14 täg nach Ostern 1785 zu nutzen und zu nießen berechtiget seÿn solle – um 1500 gulden

Fils de cordonnier, Jean Philippe Petri commence son apprentissage de trois ans à la Noël 1764 chez le potier Jean André Lux
1765, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 168-v) Dienstags den 8. Januarÿ 1765. – Eingeschriebener Haffner Jung
derselbe [Mr. Johann Andreas Lux der haffner] stellet Ferner Vor Johann Philipp Petri weÿlland Johann Adam Petri geweßenen schuhmachers vnd burgers allhier hinterlaßenen Ehelichen sohn, mit bitt denselben Zu ihm in die Lehr auff dreÿ Jahr einzuschreiben, die Lehr Zeit ist angegangen auff verfloßene Weÿhenachten Vnd Endet sich auff gedacht Zeit anno 1767. des Jungen mutter nahmens Maria Elisabethe gebohrne Binderin verspricht denselben 24. fl Lehr geld nach dero belieben Zu bezahlen und bezahlt die mutter die Einschreib: vnd außthuungs gebühr.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr willfahrt (dt. 1 lb d)

Jean Philippe Petri épouse en 1785 Catherine Barbe Claus, fille d’un cultivateur de Bischwiller : contrat de mariage, célébration
1785 (11.1.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 117
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Philipp Petri der hafner meister und burger allhier weiland Johann Adam Petri geweßenen Schuhmachers und burgers allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, so majorennis und ohnbevögtigt zu seÿn declarirte als bräutigam an einem
So dann Jungfer Catharina Barbara Claußin, weiland Johann Carl Claus geweßenen Ackersmanns und burgers Zu Bischweiler hinterlaßene eheliche Tochter, beistädlich Herrn Johann Daniel Haug des buchbinders und burgers allhier als braut an dem andern Theil
Actum allhier Zu Straßburg in mein des Notarii gewohnliche Schreibstube Dienstag den 11. Januarii Anno 1785. [unterzeichnet] Johann Philipp Petri als bräutigam, Catharin bara Claußin als braut

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 170-v)
Im Jahr Christi 1786, Montags den 24. Januarii abends umb vier Uhr (…) offentlich copulirt und eingesegnet worden Johann Philipp Petri lediger Haffner Mstr. und burger allhier, weÿl. Johann Adam Petri, gewesenen Schuhmachers und burgers allhier, und Frau Maria Elisabetha gebohrner Binderin nachgelaßener ehl. Sohn, und Jgfr. Catharina Barbara Claußin von Bischweiler gebürtig, weÿl. Johann Carl Clauß gewesenen Ackermanns und burgers daselbst und auch weÿl. Frau Catharina Barbara gebohrner Bierle nachgelaßene ehl tochter [unterzeichnet] Johann Peter Petri als Hochzeitter, Catharina bara Claußin hochzeiterin (i 172)

Catherine Barbe Claus devient bourgeoise avant de se marier, à titre gratuit pour avoir servi fidèlement le droguiste Jean Georges Hebeissen pendant treize ans
1785, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 68-v
Catharina Barbara Claußin weÿl. Johann Carl Clauß des gewesten burgers vnd ackermans Zue bischweiller hinterlaß. tochter, Verheurathet mit Joh: Philipp Petri dem Kachlers gesellen, weÿland Adam Petri geweßene, burgers vnd schumachers allhier erziehlt zurückgelasener sohn, erhaltet das burgerrecht weg. beÿ H. Joh: geörg hebeißen dem Materialisten vnd burgern allhier Zue gebrachten 13. Jährigen dienst Zeit gratis will dienen Zu der E. E. Zunfft der Maurer, promisit den 14. jenner 1785.

Sœur utérine de Jean Philippe Petri, Marie Elisabeth Baltz meurt dans la maison de son frère

1807 (8.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 15), Not. Bossenius n° 341, 3199
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Baltz fille majeure de Jean Jacques Baltz, vivant tailleur, décédée le 22 février courant – à la requête de Jean Philippe Petri potier de terre tant en son nom et qu’en celui de Jean Jacques Baltz dit Baltzer potier de terre demeurant à Finsterwalden canton de Meisen, ledit Sr Petri frère utérin et led. Baltz frère consanguin de la défunte
en la maison grand’rue n° 56 appartenant audit Petri
meubles 110 fr, passif 108 fr, reste 1 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 91-v du 11.4.

Jean Philippe Petri et Catherine Barbe Claus meurent tous deux à un mois d’intervalle en 1815 en délaissant des héritiers collatéraux.

1815 (8.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 20), Not. Bossenius n° 629
Inventaire de la succession de Jean Philippe Petri, potier de terre, et de Catherine Barbe Clauss, décédés le mari le 13 mars 1815 et la femme le 20 avril de la même année – à la requête de Jean Georges Petri tailleur d’habits et Anne Marguerite Müller veuve de Jean Georges Petri l’ainé cordonnier, tutrice naturelle de Jean Jacques Petri, Jean Georges et Jean Jacques Petri, seuls et uniques héritiers du défunt leur oncle par représentation de Jean Georges Petri cordonnier leur père
Charles Clauss le jeune, fileur de laine à Bischwiller, fondé de pouvoir d’Isaac Clauss son frère, garçon drapier, Jacques Clauss drapier, Abraham Pausser, cordonnier, et Charles Clauss l’ainé, drapier, tous domiciliés à Bischwiller, Anne Marie née Clauss et Jacques Draier journalier à Bischwiller enfin Philippe Louis Übersaal, licencié en droit notaire, aux fins de réprésenter Erneste Clauss, ci devant garçon maçon domicilié à Pirmasens présentement à l’armée, héritiers pour le premier cinquième de la défunte femme Petri leur tante par représentation de Philippe Clauss cordier à Bischwiller frère de la défunte, Abraham Pausser enfant de feu Salomé Clauss femme d’Abraham Pausser cordonnier, ladite femme Pausser héritière pour le deuxième cinquième, Charles Clauss l’ainé pour le troisième, la femme Dräier pour le quatrième et Ernest pour le dernier cinquième par représentation de Michel Clauss cultivateur à Pirmasens son père – en présence de Jean Georges Graff ci devant boulanger subrogé tuteur Jean Jacques Petri
dans la maison grand rue n° 56
meubles 767 fr, argenterie 63 fr, numéraire 3052 fr, total 3883 fr, frais d’inventaire 283 fr, reste 3600 fr
enreg.F° 8 du 27.5.

Jean Philippe Petri et Catherine Barbe Claus vendent la maison 3 000 francs au tailleur d’habits Jean Jacques Filter et à sa femme Marie Salomé Müller

1811 (9.5.), Strasbourg 7 (40), Not. Stoeber n° 3180, 10 340
le Sr Jean Philippe Petri potier en cette ville et Catherine Barbe née Clauss sa femme de lui autorisée
au Sr Jean Jacques Filter tailleur d’habits et Marie Salomé Müller son Epouse qu’il autorise à l’effet des présentes
une Maison avec une petite cour, consistant en deux Corps de logis, située dans la grand rue n° 56 d’un côté le Sr Martin Roethel boulanger, de l’autre Sr Meyer Chapelier, aboutissant sur le jardin du Sr Meyer, fanc et quitte de toutes charges et rentes foncières que les vendeurs ont acquis suivant contrat de vente passé à la cidevant Chambre des Contrats le 21 décembre 1784 – moyennant 3000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 39-v du 11.5.

Jean Jacques Filter passe en mai 1810 un contrat de mariage non célébré avec Marie Madeleine Kutsch originaire de Westhoffen
1810 (21.5.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2055, 9718
Contrat de mariage – le Sr Jean Jacques Filder tailleur d’habits en cette ville fils de feu le Sr Jean Jacques Filder, vivant tanneur en cette ville et de feue De Anne Marie Schaeffer comme futur époux d’une part
Et Dlle Marie Madeleine Kutschin, fille majeure d’ans du Sr George Frédéric Kutsch tailleur d’habits à Westhoffen et de feu De Marie Madeleine Hamm agissant sous l’autorité dud. son pere comme future épouse de l’autre part
(signé) Johann Jacob Filter, Maria Magdalena Kutsch
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 172-v du 30.5.

Jean Jacques Filter épouse en 1811 Marie Salomé Müller, fille de ferblantier
1810 (31.12.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2068, 10.091
Contrat de mariage – le Sr Jean Jacques Filder tailleur d’habits en lad° ville fils de feu le Sr Jean Jacques Filder, vivant tanneur aud. lieu et de défunte Anne Marie Schaeffer comme futur époux d’une part
Et Dlle Salomé Müller fille majeure du Sr Frederic Jacque Müller, ferblantier à Strasbourg, et de feue De Marguerite Elisabethe Hebenstreit icelle domiciliée en lad. ville, comme future épouse d’autre part agissant sous l’autorisation dud. son pere
(signé) Johann Jacob Filter, Maria Magdalena Kutsch
Enregistrement de Strasbourg, acp 116 F° 60 du 5.1.

Jean Jacques Filter et Marie Salomé Müller vendent la maison pour 2 400 francs à François Rustenmeyer, serrurier à Sainte-Marie-aux-Mines

1819 (16.3.), Strasbourg 5 (46), Not. F. Grimmer n° 10.688
Jean Jacques Filder, tailleur d’habits, et Marie Salomé Müller
à François Rustenmeyer, maître serrurier domicilié à Ste Marie aux Mines
une maison avec une petite cour consistante en deux corps de logis, appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue n° 56, d’un côté le Sr Gruber maçon, d’autre le jardin du Sr Meyer – acquis par acte reçu Stoeber le 5 mai 1811 – moyennant 2400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 142 F° 95-v du 22.3.

Originaire du Wurtemberg, François Rustenmeyer qui a épousé en 1804 à Sainte-Marie-aux-Mines Marie Madeleine Kammentz de Strasbourg meurt en 1832 en délaissant trois enfants.L’inventaire est dressé dans une maison de location rue d’Or
1833 (14.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 66), Me Hickel n° 4651
Inventaire de la succession de François Rustenmeyer, serrurier décédé le 17 novembre dernier, à la requête de 1. Marie Madeleine Kammentz la veuve, mariés à Ste Marie aux Mines (Haut Rhin) peu de temps après la promulgation du 5° titre 3° livre du Code Civil, tutrice légale de Charles Joseph, 2. Marie Louise Rustenmeyer épouse de Jean Pierre Bonifay, chef de musique au 6° régiment d’artillerie en garnison à Strasbourg, 3. Marie Madeleine Rustenmeyer, majeure, en présence de Georges Henri Scholl, aubergiste, subrogé tuteur, héritiers pour un tiers de leur père

dans le logement que les conjoints Rustenmeyer occupaient à titre de locataires dans une maison sise à Strasbourg rue d’Or n° 23
garde robe 45 fr, celle de la veuve 15 fr, meubles 75 fr, outils de serrurier 463 fr, ou mon 598
inventaire de son père Jean Georges Kammentz, marchand de cuir, dressé par le notaire rédacteur le 21 novembre 1821 pour un quart 5150 fr, une maison à Strasbourg quartier des Souabes n° 22 estimée 3000 francs,
2/3 d’une maison rue du Vent n° 5 estimée 6000 francs
passif 1758 fr
succession de la mère de la veuve Marie Elisabeth Streng dressé par le même notaire. le 3 9.br. 1832, actif 3291 fr, passif 124 fr
remploi 1537 fr, créances actives 573 fr, passives 2365 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 221 F° 200 du 1412.

Décès, Strasbourg (n° 2055)
Déclaration le 18 novembre 1833 du décès de François Antoine Rustenmeyer, âgé de 55 ans, né à Disbourg (Würtemberg), serrurier, époux de Marie Madeleine Kamentz, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 17 du mos courant à 5 heures du soir dans la maison située N° 18, rue d’Or, fils de feu N. Rustenmeyer et de feu N. N. Premier déclarant, Jean Pierre Bonifay, agé de 33 ans, Chef de musique au 6° régiment d’Artillerie, gendre du défunt – f. nerveuse (i 24)

François Rustenmeyer et Madeleine Kammentz vendent la maison 2 600 francs au tourneur en chaises François Benjamin Albonesi

1822 (29.4.), Strasbourg 2 (51), Me Weigel n° 1715
François Rustenmeyer, mre serrurier, et Madeleine Kammentz
à François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises
une maison consistant en deux corps de logis, ensemble une petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 56, d’un côté le Sr Gruber maçon, d’autre le Sr Meyer chapelier, derrière jardin du Sr Meyer – acquis de Jean Jacques Filter et Marie Salomé Müller par acte reçu Grimmer le 16 mars 1819 transcrit au bureau des hypothèques volume 116 n° 48 – moyennant 2600 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 157 F° 91 du 30.4.

François Benjamin Albonesi épouse en 1801 Marie Françoise Hansmann native d’Offenbourg outre Rhin
Mariage, Strasbourg (n° 152)
L’an treize de la République le 9° jour du lois de Ventôse, François Benjamin Albonesy, âgé de 24 ans, faiseur de chaises, né en cette ville le 14 octobre 1780, y domicilié, mineur fils de feu Louis Albonesy, éclusier, et de feu Marguerite Elisabeth Lehmann, décédés en cette ville, le premier le 15 Nivôse an XI et la seconde le 10 frimaire an V, et Marie Françoise Hansmann, agée de 29 ans, domiciliée en cette ville depuis 5 ans, née à Offenbourg outre Rhin le 6 février 1776, majeure, fille de Michel Hansmann, vigneron audit lieu, consentant (…) et d’Anne Marie Mayin ci présent et consentant (signé) Frantz Albonesie, l’épouse déclare ne savoir signer (i 81)

Marie Françoise Hansmann meurt en 1827 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Jeu-des-Enfants
1827 (4.7.), Strasbourg 2 (62), Me Weigel n° 4838
Inventaire de la succession de Françoise Hansmann épouse de François Benjamin Albonesi, faiseur de chaises, mariés sans contrat le 9 ventose 13, testament Me Weigel le 11 novembre 1820 enreg. 30 avril 1827 – à la requête du veuf père et tuteur de Charles et de Louise, en présence de Nicolas Geringer, frippier, subrogé tuteur
dans une maison rue du Jeu des Enfants n° 56
garde robe 110 fr, mobilier de la communauté, dans une chambre au troisième étage éclairé sur la rue, dans la cuisine, dans une chambre éclairé sur la cour, dans la cave, dans la boutique au rez de chaussée 554 fr, créances 3300 fr, numéraire 166 fr, ensemble 4020 fr – passif 166 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 184 F° 123 du 5.7.

François Benjamin Albonesi se remarie en 1827 avec Elisabeth Hervi
1827 (24.9.), Strasbourg 2 (62), Me Weigel n° 4969
Contrat de mariage communauté d’acquets partageable par moitié – François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises, fils de Louis Albonesi, éclusier, et d’Elisabeth Lehmann
Elisabeth Hervi fille majeure de Georges Hervi, cultivateur, et d’Anne Marie Pfetzer à Barr
Enregistrement de Strasbourg, acp 185 F° 150-v du 25.7b

François Benjamin Albonesi meurt en 1849 en délaissant pour seul héritier son fils
1844 (4.10.), Strasbourg 9 (91), Me Becker n° 2457
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. François Benjamin Albonesi, fabriquant de chaises, et Dame Françoise Hansmann son épouse et Delle Louise Albonesi leur fille domiciliés à Strasbourg, et savoir qu’ils sont décédés à Strasbourg, savoir
1) Mad. Albonesi née Hansmann au mois d’avril de l’année 1827,
2) Dlle Albonesi à la fin de l’année 1827,
3) Et M. Albonesi père en l’année 1849,
Que leurs successions n’ont pas été constatées par inventaire. Que Mad. Albonesi a laissé pour seuls héritiers chacun pour moitié ses deux enfants ladite Dlle Albonesi et la Sr Charles Albonesi aussi fabricant de chaises demeurant à Strasbourg. Que la Dlle Albonesi a laissé pour seuls héritiers savoir feu le St Albonesi son père pour un quart et ledit Sr Albonesi fils son frère pour les trois quarts. Que ledit S. Albonesi père a laissé pour seul et unique héritier ledit Sr Charles Albonesi son fis. Et que par conséquent ledit sieur Charles Albonesi fils est aujourd’hui seul héritier et représentant desdits époux Albonesi.
acp 327 (3 Q 30 042) f° 59-v

François Benjamin Albonesi et Françoise Hansmann vendent la maison 4000 francs au tanneur Charles Kauffer

1823 (10.1.), Strasbourg 2 (53), Me Weigel n° 2129
François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises, et Françoise Hansmann
à Charles Kauffer, tanneur
une maison consistant en deux corps de logis, ensemble une petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand rue 56, d’un côté M Gruber maçon, d’autre le Sr Meyer chapelier, derrière le Sr Meyer – acquis de François Rustenmeyer, mre serrurier, et de Marie Anne Kammentz par acte reçu Me Weigel le 29 avril 1822 – moyennant 4000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 16-v du 11.1.

Charles Kauffer acquiert de son voisin Philippe Henri Meyer (propriétaire de l’actuel n° 44) un terrain à l’arrière de sa maison

1823 (26.4.), Strasbourg 14 (75), Me Lex n° 606
Philippe Henri Mayer, chapelier, et Salomé née Münch
à Charles Kauffer, majeur d’ans célibataire tanneur
un terrain sis derrière la maison dudit Sr Kauffer dans la grand’rue n° 56 à prendre sur le jardin attenant à la maison des conjoints vendeurs sise dans la même rue n° 57 lequel terrain aura une longueur de 7 mètres 4 dm 7 cm (23 pieds de roi) à partir du mur de la maison du Sr Kauffer jusqu’à celui de la maison du Sr Gruber vers l’arrière & une largeur de 3 mètres 2 dm 4 cm à partir du mur du bucher & des bâtiments de derrière de la maison de devant dudit Sr Gruber vers le jardin des conjoints vendeurs
le Sr Mayer déclare avoir fait acquisition de la maison et du jardin sur lequels est pris le terrain présentement vendu de feu Marie Salomé née Menges sa femme en premières noces avec laquelle il était commun en biens
1. le Sr Kauffer devra établir dans un délai moral mais sur son terrain & à ses frais une cloture en planches ou même une simple cloture mais suffisante pour empecher le passage de sa nouvelle propriété à celle des conjoints vendeurs consistant en étagères à sécher les gateaux de tan, 2. Dans le cas où il conviendrait davantage au Sr Kauffer d’établir une cloture en maçonnerie mais toujours sur son terrain & dans l’alignement de sa maison susdésignée il pourra le faire mais entièrement à ses frais quoiqu’il ait expressément convenu que les conjoints vendeurs ou leurs ayants droit auront la mitoyenneté dans cette cloture, 3. Si par contre les conjoints vendeurs ou l’un d’eux jugeoit ce mur de cloture nécesaire il a été pareillement convenu que la construction en seroit faite sur le terrain du Sr Kauffer dans l’alignement indiqué ci dessus & qu’il devra supporter la moitié des frais de ladite costruction avec la même réserve de mitoyenneté, 4. Dans le cas de construction dudit mur de cloture le Sr Kauffer ne pourra lui donner une élévation moindre de 1 mètre 9 dm 4 cm (6 pieds) ni au dessous de 2 mètres 5 dm 9 cm (8 pieds) & sur aucun point du terrain présentement cédé le Sr Kauffer ne pourra faire de construction excédant cette dernière hauteur sous quelque prétexte que ce soit, 5. Néanmoins nonobstant cette dernière clause les conjoints vendeurs se réservent la faculté de faire toutes les constructions à telle hauteur que bon leur semblera sur le terrain vendu mais c’est seulement jusqu’à la hauteur de 2 mètres 5 dm 9 cm que ledit Sr Kauffer pourra etre astreint de supporter la moitié des frais de construction du mur de cloture susmentionné – Sr Mayer déclare avoir acquis ce terrain par acte reçu Ubersaal le 30 frimaire 12 – moyennant 500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 162 F° 168 du 2.5.

Fils du maire de Rosheim, Charles Kauffer épouse en 1822 Louise Caroline Sohn, fille de tanneur
1822 (18.11.), Strasbourg 8 (35), Me Roessel n° 8764
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Charles Kauffer, garçon tanneur, fils majeur de feu Etienne Kauffer, juge de paix et maire à Rosheim, et de Sophie Reiset
Louise Caroline Sohn fille majeure de Jean Philippe Sohn, tanneur, et de Marie Madeleine Gautsch
Enregistrement de Strasbourg, acp 160 F° 41 du 19.11.

Charles Kauffer acquiert un autre terrain du même Philippe Henri Meyer

1826 (5.6.), Strasbourg 2 (60), Me Weigel n° 4246
Philippe Henri Meyer, chapelier, et Salomé née Münch
à Charles Kauffer, fabricant de cuirs
la partie du jardin qui sera délimitée par après attenant à la maison des vendeurs sise en cette ville dans la Grand rue marqué du n° 57, d’un côté la propriété de l’acquéreur, de l’autre celle du Sr Ober, derrière celle du Sr Gruber. La partie du jardin vendu comprend le côté de la largeur de ce jardin, elle contient en longueur à calculer depuis le mur qui le sépare du Sr Gruber une superficie de 7 m 52 cm ou 23 pieds 2 pouces le mur d’entre les Sr Gruber et le jardin est mitoyen et ceux* mitoyenneté* est également l’entrée, il en est de même à l’égard du mur qui sépare ce jardin de la propriété du Sr Ober. La partie vendue forme un carré long sa largeur est suffisament déterminée puisqu’elle comprend tout l’espace de ce jardin qui se trouve entre la propriété de l’acquéreur et celle du Sr Ober, il n’en est pas de même quant à la longueur, cette longueur se détermine par une ligne de 23 pieds 2 pouces à tirer depuis le mur mitoyen du Sr Gruber vers le restant de la propriété du vendeur. L’acquéreur est intentionné de poser sur la ligne de démarcation qui sera tracée entre la partie qui il vient d’acquérir et celle restant au vendeur des rayons ne pouvant pas être plus hauts que ceux qui sont en ce moment portés dans la cour. Il sera loisible à l’un ou l’autre des contractants de se clore quant à ce jardin mais alors celui qui veut se clore établira cette cloture sur la ligne séparative mais en supportera les frais /:cette cloture quoique faite par un des contractants sera cependant mitoyenne et appartiendre pour moitié à l’autre contractant:/ jamais cette cloture ne s’élèvera au delà de 2 m 6 dm ou 8 pieds et aucune construction ne pourra être faite de part et d’autre part de cette ligne au dessus de cette élévation afin de ne pas se servir respectivement de l’air et de la lumière – moyennant 450 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 179 F° 13-v du 12.6.

Charles Kauffer et Louise Caroline Sohn hypothèquent la maison au profit de l’interdit Frédéric Schneiter

1844 (4.10.), Strasbourg 9 (91), Me Becker n° 2458
Obligation – furent présens M. Charles Kauffer tanneur, et Dame Louise Caroline Sohn, son épouse agissant sous l’autorisation de son mari, demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
au sieur Frédéric Schneiter, majeur interdit demeurant à Strasbourg, pour lequel stipule et accepte M. Charles Frédéric Storck marchand de musique demeurant en cette ville son tuteur, la somme de 2000 francs
hypothèquent, Une maison consistant en bâtiment de devant, petite cour avec bâtiment de milieu et une autre cour avec bâtiment de derrière servant d’atelier d tanneur et autres appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg grand rue N° 56, tenant d’un côté au Sr Philippe Meyer et Ammel, de l’autre aux héritiers de M. Redslob, devant la grand’rue et par derrière à la propriété du Sr Louis Gall Fritsch. Le S. Kauffer a acquis le bâtiment de devant, la petite cour et le bâtiment du milieu de la maison sus désignée du Sr François Benjamin Albonesi fabricant de chaises à Strasbourg et de Dame Françoise Hansmann sa femme suivant contrat de vente passé devant M. Weigel notaire à Strasbourg le 10 janvier 1823 dûment enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 25 du même mois volume 156 N° 40 (…) le prix de cette acquisition était de 4000 francs (…)
Le surplus de la maison cidessus désignées se composant de la petite cour et du bâtiment de derrière servant d’atelier de tanneur est devenu la propriété dudit S. Kauffer pour en avoir fait construire le bâtiment en question et pour en avoir acquis le terrain sur lequel se trouve cette construction du Sr Philippe Henri Meyer chapelier et de Dame Salomé Münch sa femme demeurant à Strasbourg suivant deux contrats passés l’un devant M Lex notaire à Strasbourg le 26 avril 1823 pour le prix de 500 francs (…) et l’autre devant ledit M. Weigel le 5 juin 1826 pour le prix de 450 francs

Charles Kauffer et Louise Caroline Sohn hypothèquent la maison au profit de la fondation de Saint-Guillaume

1857 (10. Xbr) Strasbourg 10 (135), Not. Zimmer (Louis Frédéric)
Obligation – M. Charles Kauffer, fabricant de cuirs, et dame Louise Caroline Sohn son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
au Séminaire de la confession d’Augsbourg à Strasbourg administrant la fondation de St Guillaume en la même ville pour lequel est ici présent et accepte M. Charles Frédéric Kammerer, receveur du dit Séminaire demeurant et domicilié à Strasbourg – la somme principale de 3000 francs
hypothèque, une maison composée de trois corps de bâtimens avec ateliers de tanneur, deux cours, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue N° 46 ancien N° 56, tenant d’un côté à Philippe Meyer, de l’autre à Jacques Redslob, par devant à la grand’rue et par derrière à la propriété du Sr Louis Gall Fritsch. Cet immeuble appartient à M. Kauffer comparant partie pour l’avoir acquis du Sr François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises et de Dame Françoise Hansmann son épouse demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M. Weigel alors notaire à Strasbourg le 10 janvier 1823 et le surplus pour l’avoir fait construire sur l’emplacement d’un terrain qu’il a acquis de M. Philippe Henri Meyer chapelier et de Dame Salomé Münch conjoints demeurant à Strasbourg aux termes de deux contrats de vente reçus l’un par devant ledit M. Weigel le 5 juin 1826 et l’autre par M Lex alors notaire à Strasbourg le 26 avril 1823.

Charles Kauffer et Louise Caroline Sohn hypothèquent la maison au profit du Séminaire de la confession d’Augsbourg

1863 (2.2.), Strasbourg 10 (148), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.974
Obligation – Ont comparu M. Charles Kauffer, fabricant de cuirs, et d. Louise Caroline Sohn son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
au Séminaire de la confession d’Augsbourg à Strasbourg administrant la caisse des retenues opérées sur les traitements des professeurs du Gymnase de ladite ville, pour lequel est ici présent stipule et accepte M. Charles Frédéric Kammerer, receveur du dit Séminaire demeurant et domicilié à Strasbourg – la somme principale de 1000 francs
hypothèque. Une Maison composée de trois corps de bâtimens avec ateliers de tanneur, deux cours, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue N° 46 ancien N° 56, tenant d’un côté à Philippe Meyer, de l’autre à Jacques Redslob, par devant à la grand’rue et par derrière à la propriété de Louis Gall Fritsch. Cet immeuble appartient à Mr Kauffer comparant partie pour l’avoir acquis du Sr François Benjamin Albonesi, tourneur en chaises et de Dame Françoise Hansmann son épouse demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 10 janvier 1823 et le surplus pour l’avoir fait construire sur l’emplacement d’un terrain qu’il a acquis de Mr Philippe Henri Mayer chapelier et d. Salomé Münch conjoints demeurant à Strasbourg aux termes de deux contrats de vente reçus l’un par devant ledit M° Weigel le 5 juin 1826 et l’autre par M° Lex alors notaire à Strasbourg le 26 avril 1823.

Louise Caroline Sohn meurt en 1865 en délaissant deux enfants

1865 (7.7.), Me Zimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Charles Kauffer fabricant de cuirs Louise Caroline Sohn sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 23 janvier 1865, dressé à la requête
1) du veuf comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Roessel notaire le 18 novembre 1822,
2) Charles Kauffer fils, corroyeur à Strasbourg, 3) Caroline Emma Kauffer épouse de Charles Arsène Bauduin lieutenant au 31° de ligne à Noisy le sec
Communauté, mobilier 2397, garde robe 82, indemnités sues à la communauté 2788, passif de la communauté 5378
acp 544 (3 Q 30 259) f° 65 du 10.7. (succession déclarée le 11 juillet 1865)

Charles Kauffer vend la maison 9 000 francs au tanneur Jean Meyer et à sa femme Barbe Kætzel

1869 (5.1.), Me Koerttgé
Charles Kauffer, fabricant de cuirs à Strasbourg
à Jean Meyer tanneur et Barbe Kaetzel sa femme à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg grand rue n° 46. Cette vente faite 1° moyennant la jouissance gratuite et viagère au profit du vendeur du deuxième étage de la maison vendue. Il est en outre convenu que si M. Kauffer vendeur venoit à décéder avant le délai de quatre ans, le droit de jouissance gratuit devra profiter à sa fille Caroline Emma Kauffer épouse de Charles Arsène Bauduin capitaine au 31° de ligne et ce jusqu’au 25 décembre 1872. Ladite jouissance évaluée à un revenu annuel de 150 francs en capital 1500 francs – moyennant le prix de 9000 francs – Origine vente reçue Weigel le 10 janvier 1823
acp 579 (3 Q 31868 294) f° 85 du 6.1.

Originaire de Vendenheim, Jean Meyer épouse en 1869 Barbe Kætzel native de Westhoffen : contrat de mariage, célébration
1869 (5.1.), Me Koerttgé
Contrat de mariage – Jean Meyer, tanneur à Strasbourg
Barbe Kaetzel, célibataire à Wangen
stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une somme de 20.000 francs
ceux de la future en un mobilier estimé 1000, argent 2000
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession réductible en cas d’enfant et de l’usufruit des biens de communauté
acp 579 (3 Q 31868 294) f° 85-v du 6.1.

Mariage, Wangen (n° 1)
Le 14 janvier 1869 – Meyer, Jean, célibataire, âgé de 23 ans né à Vendenheim département du Bas Rhin le 14 mai 1845 (…) tanneur domicilié à Vendenheim résidant à Strasbourg, fils légitime et majeur de feu Meyer, André, laboureur en son vivant à Vendenheim, y décédé le 10 septembre 1846 et de feue Brandt, Christine, vivant à Vendenheim y décédée le 17 mai 1846 et Kaetzel, Barbe, célibataire âgée de 21 ans, née à Wangen le 16 novembre 1847 (…) domiciliée à Wangen fille légitime et majeure de Kaetzel, David, âgé de 51 ans, boulanger domicilié à Wangen ci présent et consentant, et de feue Ostermann, Susanne Barbe, domiciliée à Wangen y décédée le 11 janvier 1858 (…) il y a un contrat passé devant Me Jean Théodore Koerttgé notaire à la résidence de Strasbourg le 5 janvier 1869 (signé) Meyer, Kaetzel Barbe (i 2)



1, rue de l’Argile (ancien 39)


Rue de l’Argile n° 1 – IV 95 (Blondel), P 677 puis section 58 parcelle 37 (cadastre)


Le 3, rue de la Vignette suivi, à droite, du 39 rue de l’Argile (vers 1912, AMS cote 1 Fi 24 n° 27)
Actuel 3, rue de la Vignette, reculé lors de sa reconstruction, la partie droite est construite sur le sol de l’ancienne maison rue de l’Argile (mars 2018)
Extrait du plan Blondel, entre la rue de l’Argile à gauche et le fossé des Tanneurs à droite (AMS cote 1 PL 675)

Le tanneur Christophe Rœderer est propriétaire au début du XVII° siècle de trois maisons contiguës dont la maison avant s’ouvre sur le fossé des Tanneurs (n° 92 sur le plan Blondel), les deux autres dans la rue de l’Argile (n° 94 et 95). Son fils Jean Léonard vend la maison à l’angle de la rue de l’Argile (IV 94) en 1694. Jean Christophe Rœderer vend en 1720 l’autre maison arrière (IV 95) à Nicolas Ottmann, meunier au moulin dit Spitzmühl, qui en fait une maison de rapport. D’après l’estimation dressée en 1751, le rez-de-chaussée comprend un poêle et une cuisine, il y a un autre appartement au premier étage et des chambres au deuxième étage. Le compagnon maçon Pierre Dober l’acquiert en 1771 puis la revend en 1785 à une manante après avoir acheté une autre maison vis-à-vis. Elle appartient de nouveau à partir de 1787 à un manant, le porteur de chaise Pierre Weber.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 143
L’îlot d’après le plan-relief de 1725

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages dont le premier est en maçonnerie et le deuxième en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (a) : fenêtre, porte et deux autres fenêtres au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à chacun des étages. Le rapport d’experts dressé en 1828 montre que chaque étage correspond à un logement.
La maison porte d’abord le n° 45 (1784-1857) puis le n° 39.


Elévation et plan du rez-de-chaussée lors de l’aménagement du garage (1927, dossier de la Police du Bâtiment)

Frédéric Wagner ajoute des ouvertures au troisième étage après 1857. Suite à la Grande Percée, la maison porte le n° 1. Emile Klein charge en 1927 les architectes Clauss et Frey d’aménager un garage à droite du rez-de-chaussée. Par ailleurs, l’élévation montre que la façade a conservé son aspect de 1830. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison ainsi que les n° 1 et 3 de la rue de la Vignette. Comme la plus grande partie du sol de ces deux dernières a été réuni à la voie publique, le sol de l’ancien 1, rue de l’Argile forme la partie occidentale de l’actuel 3, rue de la Vignette.


Plan cadastral. La parcelle 38 est réunie à la voie publique sauf une partie résiduelle (n° 161), la parcelle 37, sol de l’ancien 1, rue de l’Argile forme la gauche du bâtiment actuel

avril 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1619 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Christophe Rœderer, tanneur, et (1605) Elisabeth Metzger – luthériens
v. 1660 h Léonard Rœderer, tanneur, et (1647) Barbe Beyer – luthériens
1705 h Christophe Rœderer, tanneur, et (1683) Anne Madeleine Westermann puis (1692) Eve Ebel – luthériens
1720 v Nicolas Ottmann, meunier, et (1706) Anne Marie Graff, veuve du meunier Jean Jacques Guthmann – luthériens
1765 v Jean Michel Meyer, maître maçon, et (1747) Marie Salomé Hammerschmid, veuve du maître maçon Jean Kœderer – catholiques
1771 v Pierre Dober, compagnon maçon, et (1761) Marie Madeleine Maus – catholiques
1785 v Barbe Heusler, veuve du tisserand manant Michel Schacru – catholiques
1785 adj André Hilsdorff, tailleur, et (1763) Catherine Wüst – catholiques
1787 v Pierre Weber, manant, porteur de chaises, et (1753) Catherine Biltzer, veuve de Joseph Dilian, puis (1781) Elisabeth Wüst – catholiques
1828 h Jean André Weber, peintre vernisseur, et (1807) Marie Anne Barbe Galler
1841 v Jacques Frédéric Wagner, serrurier, et (1839) Amélie Wachs
1890* h Jean Grais et sa femme née Wagner
1907* Augustine Heydiri, tailleuse
1929* Emile Klein, cultivateur à Kœnigshoffen, et Salomé Caroline Hauptmann
1933* Emile Hassmann, marchand de meubles, et Elisa Toussaint
1952* Fernand Schwartz, boucher

Valeur de la maison selon les billets d’estimation :325 livres en 1751
Valeur vénale, 550 livres en 1720, 450 livres en 1765, 402 livres en 1771, 350 livres puis 480 livres en 1785, 650 livres en 1787

(1765, Liste Blondel) IV 95, Jacques Helmer
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 100, Ott, Frédéric vieux – maison, sol – 0,86 are

Description de la maison

  • 1751 (billet d’estimation traduit). La maison comprend au rez-de-chaussée à côté de l’entrée un poêle et une cuisine, au premier étage un poêle et une cuisine, une chambre et un vestibule, au deuxième plusieurs chambres dont la chambre à soldats, le comble a une double couverture de tuiles plates, le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 650 florins
  • 1828 rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue de l’Argile

nouveau N° / ancien N° : 8 / 45
veuve Weber
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois bon état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 186 case 1

Wagner, Frédéric, serrurier

P 677, maison, sol, rue de l’argile 45
Contenance : 0,56
Revenu total : 99,29 (99 et 0,29)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 1

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 841 case 2

Wagner, Frédéric, serrurier / veuve
1891/91 Grais, Johann, die Frau geb. Wagner
1907 (2771) Heydiri Augustine Schneiderin in Straßburg
(ancien f° 586)

P 677, maison, sol, Rue de l’Argile n° 39
Contenance : 0,56
Revenu total : 99,29 (99 et 0,29)
Folio de provenance : (126)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 31 p. 328 case 2

Parcelle, section 58, n° 37 – autrefois P 677
Canton : Leimengasse Hs. N° 39 – Rue de l’Argile 1
Désignation : Hf, Whs – droit de créance (v. compte 5540)
idem (v. compte 6602)
Contenance : 0,73
Revenu : 800 – 1000
Remarques : 1952 rect.

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1929), compte 2441
Heydiri Augustine
1913, Wendling Jakob Ehefrau geb. Heydiri
1926 Klein Emile, jardinier et son épouse née Hauptmann
(rayé 1929)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1929), compte 4546
Hauptmann, Charles, pensionnaire à Strasbourg Kœnigshoffen
1929 Klein Emile cultivateur à Kœnigshoffen et son épouse Salomé Caroline née Hauptmann en c. de biens
1951 Klein Emile, père, jardinier et les héritiers de son épouse
(2353)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1933), compte 5540
Hassmann, Emile marchand de meubles et son épouse Elisa née Toussaint en com. de biens
1952 Hassmann Louis Emile, sa veuve née Toussaint
1952 Schwartz Fernand, boucher et son épouse pour ½ et copropr.
(3808)

(Propriétaire), compte 6602
Association syndicale de remembrement de Strasbourg-Ville

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 94 Rue de l’Argile (p. 230)

45
Pr. Weber, port. de chaises
loc. Brodrecht, Sébastien, Revendeur – Moresse
loc. Hetzel, Jean, tailleur de pierres – Manant
loc. Weis, J. George, garç. maçon – Manant

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Leimengasse (Seite 102)

(Haus Nr.) 39
Dreyfuss, Schuhm.-Mstr. 0
Ruf, Schriftsetzer. 1
Heydiri, Schriftsetzer. E 2
Huber, Buchdrucker. 3
Jerome, Spengler. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 643 W 18)

1, rue de l’Argile (1886-1945)

L’installateur sanitaire E. Kirmann est autorisé en 1904 à aménager un nouveau cabinet d’aisance au deuxième étage bien qu’il n’ait pas d’ouverture vers l’extérieur. Emile Klein charge en 1927 les architectes Clauss et Frey d’aménager un garage au rez-de-chaussée. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison.

Sommaire
  • 1886 – Le maire notifie Marie Wagner née Kirch de ravaler la façade de sa maison 39, rue de l’Argile
    1886 (septembre) – L’entrepreneur Bischoff (2, rue des Lentilles) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés. 28 septembre
  • 1890 – Les services de la Ville notent que la fosse d’aisance a seulement 3 mètres cubes
  • 1895 – Le maire demande au propriétaire Heydiri de se conformer au nouveau règlement d’après lequel les ouvertures à moins de 2,20 mètres du sol ne doivent pas avoir de volets qui s’ouvrent vers la voie publique, en l’occurrence 2 volets – Rappel, 1898 – Travaux terminés, mai 1899
  • 1903 – Chargé de raccorder les fosses d’aisances aux canalisations, l’installateur sanitaire E. Kirmann (68. Grand-rue) demande conseil aux services de la Ville. Le propriétaire qui a l’intention d’installer un cabinet d’aisance au deuxième étage sollicite l’accord de la Police du Bâtiment – E. Kirmann dépose une demande. Considérant que les trois ménages qui habitent la maison auront désormais deux cabinets d’aisance, la maire autorise les travaux en janvier 1904 bien que le cabinet n’ait pas d’ouverture vers l’extérieur – Travaux terminés, février 1904 – Dessins (plan et coupe, en deux exemplaires)
  • 1904 – Le maître maçon Antoine Daul (20, quai des bateliers) demande au commissaire de police l’autorisation d’entreposer des matériaux de construction sur la voie publique devant le 39, rue de l’Argile. La demande est transmise au maire – Autorisation. La voie publique est à nouveau libre. juin 1904
  • 1912 – Le maire notifie le propriétaire Joseph Wendling (64, rue du rempart de Pierre, ensuite rue Jacques-Kablé) de faire ravaler la façade. Le propriétaire demande de reporter le ravalement à la fin des travaux de la Grande Percée. Le maire accorde un an de délai puis envoie un rappel. Le propriétaire (désormais domicilié 18, rue Sleidan) présente les mêmes arguments. Nouveau délai
    1914 (avril) – L’entrepreneur Rossi et Leja (40, rue Geiler) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les maisons Hahn et Wendling – Accord
  • 1927 – Les architectes Clauss et Frey (12, rue Richard-Brunck) transmettent les plans du garage que le propriétaire Klein souhaite aménager au rez-de-chaussée du 1, rue de l’Argile – Autorisation – La réception finale a lieu en décembre 1927 – Plan, élévation, plan de situation
  • 1945 – Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 détruit la maison. Le maire accorde un certificat de sinistre à Emile Hassmann

Relevé d’actes

Le tanneur Christophe Rœderer qui épouse en 1605 Elisabeth Metzger est propriétaire de trois maisons contiguës, l’une sur le fossé des Tanneurs et les deux autres dans la rue de l’Argile (parcelles n° 92, 95 et 94)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v, n° 2)
1605. Christoffel Rederer, Rottgerber, J. Elisabeth H. Ludwigs Metzger seligen Tochter, 29. Januarÿ (i 97)

Christophe Rœderer hypothèque les trois maisons au profit des enfants mineurs de Jean von der Bruck

1623 (ut spâ [xx. Augusti]), Chambre des Contrats, vol. 450 f° 703
(Inchoat. in Prot. fol. 378.) Erschienen Christoff Röderer Rothgerber burger Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit hn Eliæ Obrechten burgers Zue Straßburg Alß geschwornen Vogts weÿland Johann vonn der Bruckhen seligen hind.laßenen Khindern – schuldig seÿen 500 pfund pfenning
zu vnderpfand verlegt, ein hauß mit Ihren hoffstetten, höfflin Vnd 2. hind. häußern mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn d. St St. vff dem gerber graben, eins. Geörg Schotten dem weißgerber, Ands. Rudolph Schotten dem Weißgerber, hinden hatt sie einen vßgang Inn das Leimengaßlin, dauon gnd xxx fl. geldt lößig mit vj C fl. Str. w. Lorentz Khammüllers witwe, Item vj fl. geltd wid. kheüffig mit j. C. L. fl. berürt. w. H. Johann Caspar köners haußfrawen, So dann 2 lb. ß geltd Steht Zum hauptgut Abzulößen mit L. lb Ulrich Notter dem Schuhmacher
[in margine :] erschienen H Anthoni Serrari* von Franckfort alß Ehevogt Annæ Marien H. hanß Philipps Bschoren von Freÿstet alß ehevogt Elisabethen vnd H. Mathias Grabisdada burger Zu St. alß Ehevogt Susanna, So dann H. Elias Obrecht alß vogt Jgfr. Sara von der Brucken an eim, So dann Christoff Röderer d. Debitor (…) Act. den 6. Aug. 1629.

Christophe Rœderer hypothèque les trois maisons au profit de Daniel Ringler. En marge, quittances remises à Christophe Rœderer et à Jean Léonard Rœderer

1623 (xxvij. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 450 f° 760
(Inchoat. in Prot. fol. 396.) Erschienen Christoph Röderer d. Rothgerber burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein des Fr. v. w. h. Daniel Ringlers – schuldig seÿe 425 pfund
vnderpfand Ein vord. vnd Zweÿ hind. heuser, mit Ihren hoffstett. vnd höfflin geleg. Inn d. St. St. vff dem gerber graben einseit Jörg Schott. Weÿßgerber, Andseit Rudolff Schott. Weißgerber, hind. Im Leÿmengaß stoßend daselbst einseit Jörg Schott. vnd And.s seit ein Eckhauß, Dauon gnd xxx gl glt Ablöß. mit vj C gl werung wÿland Lorentz Khermüllers witwe, Mehr vj gld Ablß. mit j. C. gl. hr hanß Caspar Khener*, Item sind sie verhafftet vmb L lb Ulrich Nodter dem schuomach. So dan sind sie verhafftet Vmb v. C lb wÿland Johann von d. Bruck. selig Khind.
[in margine :] Erschienen der Ehrenvest Fürsichtig vnd wolweiß herr Daniel Ringler Alt ammeister an j. So dann Christoff Röderer der Debitor, mit beÿstand Christman Röderers deß Rhatspoten seines Bruders, am 2. theil Zeigten An vnd bekanten gegen einander (…) Act. den 20. octob. 1630.
[in margine :] Erschienen H. Niclauß Antonius Espich M. Dr alß Ehevogt Fr. Salome gebohrner Spielmännin deren hievorstehendes Capital Zuständig, hat in gegensein hannß Lienhardt Röders deß Rothgerbers hieringed. Christoph Röderers deß debitoris Leibl. Sohns bekandt (…) den 22. febr. A° 91*

Christophe Rœderer et Elisabeth Metzger hypothèquent la maison rue de l’Argile qui forme angle au profit de Marguerite Linder veuve du tonnelier Martin Ebinger

1631 (31. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 203
Erschienen Christoph Röderer d. Rothgerber burger Zu Str. vnd Elisabeth Metzgerin sein eheliche haußfraw
haben in gegensein Margreth Linderin Eheuogts Martin Ebingers deß Küeffers auch burgers alhie bekannt, daß sie besagter Linderin für vor vngefahr 4 Jaren in zeit derselben wittibstants par gelühen gelt schuldig worden L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen andern & alhie in d. Leimengaßen neben den Bekennern selbsten & ist ein Eck, hind. vff Rudolff Schoten stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 600. fl. Lorentz Kehrmüllers s. erben: Item vmb 150. fl. H hanß Caspar Köhner, stattgerichts Referendario, Item vmb 100. R. Ulrich Noter, Item umb 500. fl. herrn Daniel Ringlern Alten ammeister, Item vmb 2000. fl Johann von der Brucken see. wittiben

Christophe Rœderer hypothèque les maisons au profit des enfants mineurs de l’aubergiste Jean Kamm

1631 (29. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 597
Erschienen Christoff Röderer der Rohtgerber burger Zu St. An einem
So dann Martin Wolff der Metzger auch burger alhie, alß vogt weÿ: hanß Kammen deß eltern geweßenen Gastgeben see: zum hirtzen nachgelaßener vnd in erster ehe erzielter vier Kindern, mit namen dauid, hanß Joachim, Lorentz vnd Michel am 2. theil – 143 lb schuldig (…) in beisein H Lienhard Dumblers vnd H Ulrich Bauren so auch beede Zugegen
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstät mit allen andern ihren gebäwen alhie vffm Gerbergraben beÿ vnd an einander gelegen, neben Rudolff Schoten dem weißgerber & neben Georg Schoten, hind. vff die Leimengaß stoßend, zo Zuuor noch v.hafftet vmb 600. fl. St. w. Lorentz Kehrmüllers s Erben, It. vmb 150. fl. w. H Hanß Caspar Köhner statgerichts Actuario, Jt. vmb 50. lb. d. Ulrich Noter dem Schuhmacher, Item vmb 100. lb d Johann von der Brucken witib, It. vmb 250. lb d H Daniel Ringler Alt Ammeister, Jt. vmb 50 lb d Martin Ebinger dem eltern küeffer, sonst eig.
[in margine :] Erschienen hanß vnd hanß Joachim die Kammen, beede gebrüedere, für sich vnd ihre Mit Erben, haben in gegensein Fr. Elisabeth Metzgerin weÿ: Christoff Röderers s. wittib mit beÿstand H Lienhard Metzgers großen Rhats eheleiblich. Brud. und vogts (…) Act. den 27. 9.bris Anno 1637.

Les héritiers Kœhner donnent quittance d’un capital assis sur la maison d’Elisabeth Metzger veuve de Christophe Rœderer

1649 (17. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 358-v
Erschienen H. M. Georg Christoph Algäwer Diaconus Zu St. Thoman alß Vogt Weÿl. H. M. Friderich Schöttelß geweßenen Pfarrers Zu St Thoman nunmehr seel. nachgelaßener Kind. und im nahmen H Wendling Schöttelß Bruders, mit beÿstand H Frantz Christoph Caroli Fünffzehen schreibers alß Vogts Fr Annæ Margarethæ Carolin mehrgedachts H Pfarrers Schöttelß seel. Wittibin an einem, So dann Josua Schertzen der Schuhmacher alß Ehevogt Mariæ Elisabethæ Köhnerin wie auch Jacob Förchländ der Musquetierer alhie und Margreth Köhnerin beÿde Eheleuth, beede Ehevögte und Sie Margareth mit beÿstand H Friderich Sporen deß Buchführers ihr d. beeden Köhnerisch. Schwestern noch ohnentledigt. Vogts und H. Johann Caspar Berneggers dißer Statt gehemien Secretarÿ und Cancelleÿ Commissarÿ beed. ihrer nechst. verwanthen am andern theil
haben bekannt freÿ gutwillig offentlich veriähen, demnach beÿde Parten noch in gemeinschafft Zweÿer Capitalien, deren daß eine 200. fl. a 4 ½ fl p. Cto vff der statt Pfenningthurn und daß andere 157. fl. 5 ß à 4 p. Cto vff weÿl. Christoph Röderers deß Rothgerbers wittibin Elisabetha Metzgerin Behaußung alhie im leimengäßlin gelegen, angelegt, und von Weÿl. Apoloniæ Heuschin ihrer resp. Groß: und Muter seel. herrührend gestand.

Autre quittance par les mêmes héritiers à Elisabeth Metzger. En marge, quittance remise en 1725 à Nicolas Ottmann

1650 (19. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 199-v
Erschienen Maria Elisabetha Könerin Josuæ Schertzen deß schuhmachers eheliche haußfrau mit beÿstand erstgedachts ihres Ehewürthß und dann Margaretha Könerin Jacob Förchländers deß Mußquetierers alhie Ehewürtin mit beÿstand erstbemelts ihres Ehevogts
in gegensein H Johann Caspar Berneggers dißer Statt geheimen Secretarÿ Und Cancelleÿ Commissarÿ
diejenige 157. fl 5 ß Capital so Elisabetha Metzger weÿl. Christoph Röderers deß Rothgerbers seel. nachgelaßene Wittib nach anleitung der in der Cancelleÿ Contractstuben am 17. Maÿ A° 1649. vffgerichteter Beschehen, alle Jahr vff Georgÿ von vff und abe ihrer alhie im Leimengäßlin gelegener und in besagter Verschreibung beschriebener behaußung mit 6 fl Verzinnßet für ohnverhafftet (…) von solchem Capital an Sie die Könerische Schwestern vff ableiben weÿl. Apoloniæ Heüschin ihrer Mutter nunmehr seel. die helffte erblich gelangt und Sie die übrige helffte Von weÿl. H M. Friderich Schöttel geweßenen Pfarrers Zu St: Thoman seel. Erben nach innhalt der auch in der Cancelleÿ Contractstuben vff obberürten 17. Maÿ A° 1649. verfaßter Verschreibung ahne sich getauscht haben – umb 100 fl.
[in margine :] (…) in gegensein H. Niclaus Ottmann Spitzmüllers des hierinn bemeldten haußes jetzmahligen Eigenthumbs besitzers – Actum d. 27. februarÿ 1721

La maison revient à leur fils Léonard Rœderer qui épouse en 1647 Barbe Beyer, fille d’un sénateur de Landau

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 330)
1647. Domin: V. Trinit: 18. Julÿ. Hannß Leonhard Röderer, Rohtgerber, Christoff Röderers Rohtgerbers b. burgers alhie Nachgel. Sohn, Jungf. Barbara Georg Beÿer Rohtgerber vndt Rahtsverwanten Zu Landaw Nachgel. tochter, Eingesegne dinstag 27. Julÿ, St. Thoman (i 336)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 79) 1647. Dnca 5. Trinit: 18. Julÿ. Johann Leonhardt Röderer der Rothgerber Christoph Röderers Burger vndt Rothgerbers hinderlaßener Sohn, J. Barbara H. Jorg Beÿer Rathherr vndt Rothgerber Zu Landaw hinderlaßene tochter, Zinst. 27. Julÿ, St. Thoman (i 80)

Jean Léonard Rœderer hypothèque la maison rue de l’Argile au profit de la fondation Steinbock destinée aux pauvres apprentis

1672 (7. 7.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 463-v
Hannß Lienhard Röderer der Rothgerber
in gegensein Herren Johann Stößers Cancelleÿ Verwanthens alß Administratoris deß Steinbockhischer Legats für die Armen Lehr Knaben und Lehr dochter gestifftet – schuldig seÿe 30 Pfund pfenning
Unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen und Zugehördten alhier in der Laÿmen Gaß neben Ihme dem Schuldner selbsten, hinden uff Georg Schotten den Jüngern, Weißgerbern stoßend gelegen

Léonard Rœderer hypothèque une des maisons rue de l’Argile (celle qui reviendra à Nicolas Ottmann) au profit du receveur du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune Jean Thiébaut Reiser

1673 (6. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 79
Lienhard Röderer der Rothgerber
in gegensein Johann Jacob Bonders im nahmen H Johann Theobald Raÿsers alß Schaffners deß Stiffts Jungen St. Peters – schuldig seÿe 30. lb
Unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier im Laÿmen Gäßlin, einseit neben Iihme dem Debitori selbsten anderseit neben einem Eckh hinden uff Georg Schotten den Weißgerbern stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Niclauß Ottmann, Spitzmüllers nunmehrigen eigenthumbs besitzers hierinn hÿpothecirter behaußung (…), Actum d. 29. Januarÿ 1721.

Les héritiers Kamm cèdent au notaire Jean Tromer un capital assis sur la maison de Jean Léonard Rœderer d’après un titre de 1595

1696 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 383
H. Johann Adam Ösinger, Notarius Publ. alß Ehevogt Annæ Margarethæ Ösingerin geb. Keckin, Frantz Böll der Metzger alß Ehevogt Margarethæ geb. Kammin, wie auch im Nahmen Johann Michael Kammen, deß Krempen, seines Schwehers, H. Sebastian Rieß, Procurator beÿ der Ammeister Audientz, alß noch ohnentledigter Vogt im Nahmen hans Kammen, deß ledig. Schuhmachers so majorennisis und in der Frembde ist, So dann Heinrich Otto, der Metzger, alß Ehevogt Mariæ Barbaræ Kammin
in gegensein Hn Johannis Tromers, Notarÿ Publ., daß Er H. Ösinger Ehevögtlicher weiß für die helffte, und dan der übrigen helffte obged. Kamm für ein dritten theil, deßen dreÿ gemeldte Kind. respect. deren Ehe: und Vögte aber für die übrige Zween dritten theil solcher helffte
300 Gulden Straßburg. wehrung Capital, so weil. Simon Keller der Rothgerber, modo Johann Leonhard Röderer Geber und Lederbereiter, ab seinem am Gerber graben einseit neben hans Philipß Reffold, and. seit Georg Schotten beed. Gerbers gelegen, hind. auff die Groß und Klein Leimengaß stoßend. behaußung jährlich auff Johannis Baptistæ zu verzinßen schuldig, darüber besagt ein durch weil. H. Hilarius Meÿern gewesenen Contract. Notarium vidimirte Copeÿ deß von weÿl. H. Jacob Küglern auch Contractuum Notario vormahls underm 29. May 1595. und. der Statt Straßburg Cancelleÿ Contact Insiegel außgefertigten Zinßbrieff

Jean Léonard Rœderer meurt en décembre 1700 en délaissant six enfants. La propriété au fossé des Tanneurs ne comprend plus que deux maisons sur les trois qui figuraient à l’inventaire de sa femme puisque le défunt a vendu en 1694 la maison à l’angle de la rue de l’Argile (IV 94 sur le plan Blondel). Les experts estiment les deux maisons 800 livres. L’actif de la succession s’élève à 456 livres, le passif à 151 livres

1701 (7.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 6) f° 266
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿland der Ehrengeachte und bescheidene Meister Hannß Lienhardt Röderer der ältere, geweßene Rothgerber undt Lederbereiter burger allhier zu Straßburg nunmehr seeligen, nach seinem den 17. Decembris deß allererst Zurückgelegten 1700.sten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des abgeleibten seel. mit deßen längst verstorbenen haußfrawen ehelich erzeigter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben, alle nach dießem titulo Inventarÿ benahmset, fleißig inventirt vnd ersucht – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Freÿtags den 7. Januarÿ Anno 1701.
Der verstorbene und nun in Gott ruhende seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. der Ehrenachtbahr: vnd bescheidene Hannß Lienhard Röderern Jun: Rothgerber und Lederbereiter burgern allhier, Welcher auch mit assistentz des Wohl Ehren vesten rechts gelehrten und Großachtbahren herrn Johann Heinrich Langen Notÿ Jur: publ: vnd vornehmen practicj allhier dem geschäfft in persohn beÿgewohnt, 2. den Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Christoph Röderern auch Rothgerber vnd Lederbereiter burgern Zu Waßlenheim allhießig. Straßburgischer Jurisdiction in deßen wie auch hanß Geörg Röderers seines bruders hernach bemelt Nahmen, als Welche beede allhier ohnverburgert der Ehrenveste, fürsichtig vnd weiße herr Johann Jacob Rueff E. E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers als auß wohl ermelten rhats mittel hierzu insonderheit deputirter herr, nebst Ihme persönlich zugegen geweßen, 3. den Ehrengeachten Hanß Geörg Röderern gleichfalls Rothgerber und Lederbereitern so nicht mehr alllhier Verburgert, so selbsten nebst dem H. Deputato obermeltem H. Not° Langen als welchen er auch Zugleich vor seinen beÿstand erbetten. 4. den Ehrsam und bescheidenen Hannß Daniel Röderern ebenmäßigen Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, so auch in persohn anweßend geweßen, 5. Elisabetham Rödererin und 6. die Ehren und Tugendsahme Jgfr. Dorotheam Rödererin, so beede annoch leedigen stands Welche mit beÿstand Hn hannß Geörg Beÿers auch Rothgerbers vnd Lederbereiters burgers allhier Als Ihres geschwornen Vogts persönlich beÿ der Inventation erschienen.
Alle Sechs des abgeleibten seel. eheliche erzeugte Kinder Zugleichen portionen vnd antheilen

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerber graben gelegenen: vnd in dieße verlaßenschafft gehörigen: deßhalben hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt.
In der Slodaten Cammern, In der Cammer A, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, Im obern haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. It. Zweÿ häußer, ein Vorder v. ein hinders, so Vormahls beÿ mütterlicher Verlaßenschafft invent: in Treÿ bestanden, Wavon aber ohnlängsten eines der hinderhäußer verkaufft worden, mit all deren gebawen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten vnd gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg ane dem Gerbergraben, ein seith neben weÿl. hanß Philipp Reffoldts geweßenen Rothgerbers und lederbereiters seel. Wittib und Erben, anderseith herrn Geörg Schotten dem Weißgerber hinden auff die Leimengaß Ziehend, davon gehen Jährlichen auff Johannis Baptistæ 7. lb 17 ß 6 d Zinnß herrn Johann Tromers Notario publ. lößig in Wehrungs Capital mit 157. lb 10 ß d. Ferner 7. lb 17 ß 6 d auch auff Johannis Baptistæ fallend E. E. Zunfft Zur Möhrin allhier ist auch in Wehrungs Capital wider Käuffig mit 157. lb 10 ß d. It. 3. lb 18 ß d Straßburger Wehrung Verfallt Jahrs auff Georgÿ herrn D. Johann Saltzmann allhießigem Saltz Verwalther, modo dem Stifft St. Stephan allhier, ablößig mit 78. lb 15. It. 2. lb d Zinnß soll mann herrn Christoph Röderern dem einen Sohn, vnd mit Erben, Jährlichen auff den ersten Maÿ in hauptguth widerlößig mit 50. lb, Weiters 15 ß d Zinnß der rothen Kirch allhier Jahrs auff Mariæ Geburth fallendt thut. 15. lb. It. noch ferner 1 lb 10 ß d Zinnß empfangt Jahrs den 7. Septembris herr Johannes Bechtoldt, als Verwalther des Steinbockischen Legats lößig mit 30. lb. So dann dem Stifft Jungen St. Peter allhier soll mann Jährlichen vf faßnacht 1 lb 10 ß d Zinnß macht das hptgutg 30. lb. Sonsten gegen männiglich freÿ, leedig vnd eigen und seind beede häußer durch die allhießig geschworne Werck Meistere crafft deren außgestelten vnd beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 10. Januarÿ Anno 1701. æstimirt vnd angeschlagen worden pro 800. lb. Abgezogen vorstehende darauff hafftende Passiv Capitalia so sammenthafft ertragen 518. lb 15. ß, Sofort Würdt allein annoch übrig verbleiben vnd allhier in außwurf Zubringen sein, benantlichen 281. 5. Darüber besagt ein alter pergamentene Kauffbrieff in Allhießiger C. C. stub. vnder dero anhangenden Kl. Secret Insiefel gefertiget Sub dato 6. Xbris A° 1604.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 71, Sa. Leders und häuth wie auch Werckzeugs Zum Rothgerber vnd Lederbereiter handwerck gehörig 100, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 281, Sa. Schulden 3, Summa summarum 456 lb – Schulden 151 lb, Nach deren Abzug 304 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 364 lb
Abschatzung Montag d. 10. Jan A. 1701. Weÿlandt deß Ehrenhafften und beschaidnen herrn hanß Leonhardt Röderer, burger und Rodt Gerber Seel: hinderlaßne Erben behaußung alhie in der Statt Straßburg auf dem Gerber Graben, Ein seitz Neben Herrn Hannß jerg Schoth dem Weiß Gerber, Ander seitz Neben Herrn Hanß Jerg Läffoldt, Seel: hinderlaßene Wittib, hinden auff daß Laimen Gäßel stoßendt, Welche behaußung sambt hinder Gebäw Werckstatt höfflein und bronen, auch übrigen begriff Zugehör und Gerechtigkeitn Wie solches durch die Geordnete Werckhleuth in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß anch angeschlagen Vor und umb Ein Taussendt Sechs Hundert Gulden. Bezeügnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 700 florins. Jean Georges Rœderer qui n’est plus bourgeois doit en outre régler le droit de détraction.
1701, Livres de la Taille (VII 1173) f° 106
(Gerber, N° 338) Weÿl: Hanß Lienhard Röderers, Sen: deß geweßenen Rothgerbers Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Rohr.
Concl: fin: Inv: ist fol: 28.b 364. lb 10 ß 1 d, die machen 700. fl. verstallte 600 fl. und also 100. fl zu wenig
Extat Stallhelt 1699. 1700. et 1701 à 2 lb 5 ß, 6 lb 15 ß
Nachtrag von nicht verstallten 100. fl vor fünff Jahr in duplo thut à 6 ß, 1 lb 10 ß
Und in simplo vor dreÿ jahr macht 9 ß,
Gebott, 1 ß 8 d
Abhandlung 12 ß 6 d – Sa. 9 lb. 8. ß 2 d
dt. 13. Julÿ 1701
Abzug. Hanß Georg Röderer so nicht mehr burger alhier, soll ane abzug, von angefallenem Vätterlichem Erb der 50. lb 14 ß 4 ½ d, 5 lb. 1. ß 5 d. – (rub.) Nota. Thut sein burgerrecht cont: ist also deß abzugs befreÿt

Jean Daniel Rœderer et Dorothée Rœderer cèdent leurs parts de maison à leur frère aîné Christophe Rœderer

1705 (18.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 6) f° 267
(n° 267) Ane Zu end stehendem dato Erschiene beÿm Concept hannß Daniel Röderer der eine Sohn, vnd Jgfr Dorothea die Jüngere Tochter beÿständlich Herrn Johann Geörg Langenbach Rothgerber vnd Lederbereiter auch burgers allhier bekanden in gegensein H, Christoph Röderers Ihres ohneins ältesten Bruders, daß Sie beede Geschwistrige mit besagtem Ihrem brudern, volgenden freündlichen vnd gütlichen vergleich wegen Ihr vor angebühren vätterlicher behaußung, mit einander abgeredet vnd beschloßen hätten
1. So überlaßen Sie beede Geschwistrige ins Gesambt vnd ein jedes insonderheit seinen antheil besagter vätterlicher Wohn behaußung vg den gerber graben liegendt, sambt zweÿen eingemaurten vnd Zum haus gehörigen Kößeln Steinern blatten vndt sonst allerhandt steinen wie auch alles andere Was Zur behaußung gehörig, mehr berührtem Christoph Röderen Ihrem brudern (…) um 125 Gulden oder sammenhafft 250 fl. (…) daß ane statt des davon fallenden vnd Zugegen habenden Zinnßes, Sie die beede vberlaßende Geschwistrige im vordern hauß die obere Stub, hauß öhren, Küchen, Cämmerlein neben der Stuben vnd Cämmerlein neben der Küchen, das Leder bühn gängel, die Cammer darin der daniel ligt aiß der lederbühn, sambt der obersten bühn auff dem hindern hauß vnd den ersten Keller gegen der Steegen auch ohne Interesse solche Zweÿ Jahr vner innhaben und bewohnen sollen – So beschehen den 18. Junÿ 1705.

Christophe Rœderer épouse en 1683 Anne Madeleine Westermann, fille du prévôt de Herrlisheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 194 n° 5)
1683, Februarius, d. 21. Christoph Röderer, der ledig. Rothgerber, hans Lienart Röderers des Rothgerbers vnd burgers alhie ehl. Sohns, Jfr Anna Magdalena H. Hans Jacob Westermans Schultheißen Zu Herelsheim in der Graffschafft Hanau hinterl. ehl. tochter (i 195)

L’épouse fait dresser l’inventaire de ses apports qui se montent à 199 livres dans la maison au Lion rouge (à l’extrémité de la Grand rue).
1683 (30.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 3) f° 7
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab vnd Nahrung, so die Ehrn: und tugendsame Fraw Anna Magdalen Rödererin gebohrne Westermännin Zu dem Ehrengeachten Hannß Christoff Röderern Rothgerbern und Lederbereütern, burgern alhier Zu Straßburg Ihrem geliebten haußwürth für unverändert in den Ehestand zugebracht, Welche nach Anleüth und Außweißung der Zwischen Ihnen beeden vffgerichter Eheberedung der Zwischen Ihnen beeden vffgerichter Eheberedung (…) Actum Dienstags den 30.ten Martÿ A° 1683.
In der herberg Zum Rothen Löwen befuden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 99, Sa. Silber gescheids 16, Sa. Guldener Ring 9, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 199 lb

Tanneur à Wasselonne devenu veuf, Jean Christophe Rœderer se remarie avec Eve Ebel, fille de meunier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidene Christoph Röderer dem Geber und burgern allhier Zu Waßlenheim alß Hochzeiter ane einem, So dann der Tugendsamen Jungfrauen Eva Eblerin, des Ehrsamen hannß Ebels burgers und Müllers allhier ehelichen tochter, als hochzeiterin andern theils (…) Welches alles Zugangen in persönlicher gegenwarth der Ehrengeachten Ehrsam und bescheidenen, auff Seithen des Hochzeiters, herrn Hannß Lienhard Röderers seines Vattern, Herrn Matthiß Immlers, beeder burger Zu Straßburg und Thoman Reßlers alß des hochzeiters Kinder erster Ehe Vogten (…) So beschehen Zu Waßlenheim auff Dienstag den 25. Monats tag Martÿ im Jahr alß man nach der gnadenreichen Menschwerdung und geburth Jesu Christi Zahlte 1692

Mariage, Wasselonne (luth. f° 72-v)
1692. Dienstag d. 15. Aprilis wurden nach Zweÿmahliger ordentlicher außruffung ehelich eingesegnet Christoph Röderer der burger und Gärber allhier vnd Jfr. Eva Hanß Ebelen deß burgers u. Müllers allhier u. Weyl. Fr. Maria einer gebohrenen Eichlerin ehl. tochter [unterzeichnet] Christoph Röderer als hoch Zeitter, Eva Ebelin alß Hochzeiterin E (i 39)

Dorothée Rœderer qui a cédé sa part de maison à son frère meurt célibataire en 1706. Sa succession s’élève à 71 livres
1706 (11.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 14) n° 564
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿland die Ehren und tugendtsahme Jungfraw Dorothea Rödererin, auch Weÿland des Ehrengeacht vnd bescheidenen Meister Hannß Lienhardt Röderer Sen: geweßenen Rothgerber vnd Lederbereiter auch burgers allhier zu Straßburg hinderbliebene Jüngere Tochter nunmehr seelig, nach Ihrem den 1.sten Januarÿ des allererst angetrettenen 1706.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren der abgeleibten hinderlaßener Geschwistrige und ab intestato Erben, alle nach dießem titulo Inventarÿ ordentlich benahmset, fleißig inventirt vnd ersucht – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 11. Januarÿ Anno 1706.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. der Ehrenachtbahr: vnd bescheidene Hannß Lienhard Röderern Sen: Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, Welcher auch dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2. den Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Christoph Röderern auch Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier Zu Straßburg, welcher ebenmäßig persönlich zugegen geweßen, 3. den Ehrengeachten Hanß Geörg Röderern, gleichfalls Rothgerber vnd Lederbereitern auch burger allhier Zu Straßburg, so auch selbsten præsens war. 4. den Ehrsam und bescheidenen Hannß Daniel Röderern ebenmäßigen Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier, so auch in persohn anweßend geweßen, 5. Fr. Elisabetham gebohrne Rödererin herrn Lienhard Faber geweßenen Schuhl meisters Zu Waßlenheim seelig hinderblieben Wittib auch persönlich beÿ der Inventation erschienen, Alle 5 Zugleichen portionen vnd antheilern
In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gerber graben gelegenen: H. Christoph Röderern Rothgerber vnd Lederbereiter burgern allhier als dem ältern Bruder eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 17 ß, Sa. Schuld 50, Summa summarum 71 lb

Acte de partage correspondant
1706, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 15) f° 565
Theilungs Concept über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Dorothea Rödererin, auch weÿland des Ehrengeacht und bescheidenen Meister Hanß Lienhardt Röderer Sen. geweßenen Rothgerber und Lederbereiter auch burgers allhier zu Straßburg hinterbliebenen Jüngern Tochter nunmehr Seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1706

Jean Christophe Rœderer meurt en 1725 en délaissant deux enfants de sa première femme et trois de son deuxième mariage. Comme il a vendu à Nicolas Ottmann la maison arrière qui donnait dans la rue de l’Argile, seule figure à l’inventaire celle qui s’ouvre sur le fossé des Tanneurs et que les experts estiment 600 livres. La masse propre à la veuve est de 54 livres, celle des héritiers de 25 livres. L’actif de la communauté est de 420 livres, le passif de 383 livres. La veuve déclare que son mari était propriétaire d’un sixième de la maison pour en avoir hérité de son père, qu’il a acquis deux sixièmes de son frère Jean Daniel et de sa sœur Dorothée (voir plus haut), enfin qu’il a acquis par un échange passé à Wasselonne trois sixièmes de sa sœur qui les avait préalablement réunis
1725 (29. Xbr), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 1) n° 12-a
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. der Ehrenachtbare Johann Christoph Röderer, geweßener Rothgerber Lederbereither und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem zu end des Monats Augusti dießes Zu end lauffenden und zu end gemeldten Jahres aus dießer welt genommenen tödtl. Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. respectivé Kinder und Enckel als ab intestato nachgelaßener Erben (…) inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsame frau Evam gebohrne Eblerin die hinterbliebene wittib beÿständlich H. Lorentz Bohner, Schuhmacher und burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 29.ten Decembris Ano 1725.
Der Verstorbene seelig hab ab intestato Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1. Johann Jacob Röderer, Wirth, Rothgerber und burger Zu Waßlenheim, Welcher sich aber, um willen er crafft einer unterm 11. Martÿ 1720. außgestellten eigenhändig geschriebenen Scheins auf sein vätterlich erb freÿwillig renuncirt, beÿ dieser Inventation nicht gefunden.
2. weÿl. Frauen Margarethæ Wolffin gebohrner Rödererin, David Wolffen dem barbierer Zu botersweÿher nachgelaßene 2. Kinder nahmentlich Magdalenam und Salomeam, so nicht zuegegen waren, in dero Nahmen aber der Edle, wohl Ehren vest, Großachtbahr und weiße herr Johann Frantz Schenck J. U. Lt. E. E. großen Raths alter und jetzmahlen E. E Kleinen Raths wohlansehnlicher beÿsitzer, als auß wohlgedachten Rathsmittel in specie deputirter herr, beÿ dem geschäfft erschienen, welche beede Kinder der Verstorbene seel. mit weÿl. fr. Anna Magdalena Westermännin, seiner erstern haußfrauen seel. ehel. erzeugt
3. Fr. Mariam Salomeam Enselin gebohrne Rödererin H. Jacob Enßel Schuhmacher und burgers allhier Haußfrau, so beÿständlich deßelben hiebeÿ eingestellt,
4. Weÿl. Frauen Annæ Barbaræ Rubin gebohrner Rödererin, herrn Johann Friderich Reeben, wollenweber und burgers allhier Geweßener Ehefrauen sel. ehel. erzeügte nach todt verlaßene Kinder mit Nahmen Johann Friderich und Annam Barbaram, so zwahr mit obernandtem Johann Jacob Ensel dem dißortigen tochtermann bevögtiget in dem aber derselbe selbsten uxorio nomine dabeÿ interessirt, so hat der Kinder Vatter dem Geschäfft beÿgewohnt, So dann
5. Hn Johann Röderer, Phil: studiosum, so bevögtiget mit Hn Johann Philipp Schotten, lederhändler und burgern allhier, welcher nebst dem Curando præsens war, dieße 3. Letztere seind mit eingangs ernandter hinterbliebener Wittib ehelich erziehlet worden.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (E.) Nemlichen 1/6. theil für unvertheilt, wavon die übrige 5/6. theil als in wehrender Ehe erkaufft unten fol. (-) beÿ der theilbaren Nahrung Zubefinden, ane Einer Behaußung sambt einem höfflein mit all deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg ane dem Gerbergraben einseit neben Samuel Rincken dem weißgerber anderseit neben einer behaußung dem Stifft weÿßenhauß gehörig, hinten auff das hiebevor Zu dießer behaußung gehörig geweßte, aber durch Niclaus Ottmann den Spitzmüller alhie Von dem verstorbenen seel. erkauffte hinterhauß stoßend, davon gehen Jährl. auff den 24. Januarÿ 6. lb 6 ß Zinß à 4 pro C° E. E. Zunfft Zur Möhrin allhier ist in wehrung Capital widerkäuffig mit 157. lb 10 ß, Und ist gedachte behaußung durch die allhiesig. geschwornen Werckmeistere Vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 5. Xbr. 1725. angeschlagen worden pro 600. lb d. Abgezogen Vorher befindliches darauff hafftendes Passiv capital der 15. lb 10 ß so restirt annoch 442. lb 10 ß d. Macht daran der hiehero gehörige Sechste theil 73 lb.
Diesen Sechste theil hat der Verstorbene von seinem Vatter seel. A° 1701 ererbt, über die gantze behaußung aber besagt ein alter pergamenten Kauffbrieff in allhiesiger C. C. Stuben auffgerichteter und mit dero anhangendem Kl. Secret Insiegel Verwahrt de dato 6. Decembris A° 1604.
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Nemlichen fünff Sechste theil für unvertheilt ane der beÿ der Erben unveränderten Nahrung, alß inw elche der übrihe Schste theil gehörig, umlständlich beschriebener: ane dem Gerbergraben gelegener behaußung, so wie obgemelt um 157. lb 10 ß d Wehrungs Capital EE Zunfft Zur Möhrin verhafftet, welche 5/6. theil über abzug ged. Capitals nach dem obbenamßten Anschlag allhiesig. geschworner Werckmeistere ertragen 368. lb 15 ß. Ane diesen 5/6. theilen hat der Verstorbene nach der Wittib anzeig 3/6 theil Von frauen Elisabetha Faberin gebohrner Rödererin seiner Schwester, nach dem Sie von hanß lienhard und hannß Georg Röderer Ihren brüderen dero antheiler erhandelt gehabt, gegen deßen hauß Zu Waßlenheim vermög der in dasiger Amtschreibereÿ Verschriebenen aber nicht expedirten tausch contracts eingetauscht, nachgehends aber die übrige 2/6 theil von hannß Daniel Röderer und Jgfr. Dorothea Rödererin seinen geschwüstrigen crafft der in dem über dero vatters seel. Verlaßenschafft A° 1701. durch weÿl. Hn Not. Daniel Rohren sel. Vergriffenen Abteilungs Concept enthaltenen und den 18. Junÿ 1705. passirten Veschreibung Käufflichen an sich gebracht.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung betr. Sa. haußraths 18, Sa. Silbers und goldener Ring 5, Sa. der Activ Schuld 30, Summa summarum 54 lb
Der Erben unverändert Vermögen bet. Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Antheils ane j. behaußung 73 lb – Schulden 53 lb, Nach deren Abzug 25 lb
das theilbare Guth betr. Sa. haußraths 28, Sa. Eigenthums ane j. behaußung 368, Sa. der Activ schuld 23, Summa summarum 420 lb – Schulden 383 lb Nach deren Abzug 37 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 266 lb – Stall Summ 97 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Zu Waßlenheim auff Dienstag den 25. Monats tag Martÿ 1692
Erschienen beÿ mein Notarÿ concept weÿl. Frauen Margarethæ Wolffin gebohrner Röderrin mit weÿl. hrn David Wolffen gewesenen barbirer Zu Boderschweÿer ehelich erzeugte und nachgelaßene Zwo töchtere nahmentlich Jgf. Maria Magdalena Wolffin und Frau Maria Salome Merlet gebohrne Wolffin herrn Remont Merlent wirth Zum Rebstock in der Vestung Käÿl Ehegattin (…)
Abschatzung d. 5. Xbris aô 1725. Auff gebehren Weÿland dess Ehren Vesten vnd Vorachtbahren H. Johann Christop Röderer gewesenen Rothgerbere seel: hinterlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auf dem Gerber graben gelegen einseits Neben Samuel Ring Weißgerber, anderseit neben einem stiffts hauß Zum Waisenhauß gehörig, hinden auf Niclaus Othman des Spitz müllers seine behaußung stosend, welche behaußung Zweÿ alte Nebens gebäwlin, Stuben, Kammer, Küchen, hauß Ehren, gewölbte Keller höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werck leuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und Zweÿ Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Christophe Rœderer et Eve Ebel vendent la maison à Nicolas Ottmann, meunier au moulin dit Spitzmühle et à sa femme Anne Marie Graff

1720 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 429
(550) Christoph Röderer gerber und lederb: und Eva geb. Ebwein
in gegensein Niclaus Ottmann Spitzmüllers und Annæ Mariæ geb. Grafin
ein hinterhauß mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im leimengässel einseit neben Paul Reißeißen anderseit neben Philipp Reffelts E.E. hinten auff den verkäufer – um 157, 157, 78, 15 und 30 pfund verhafftet, geschehen um 111 pfund

Le maître du corps des meuniers déclare en septembre 1706 aux Quinze que la veuve de Jean Jacques Guthmann a l’intention de se remarier avec Nicolas Ottmann, meunier à Brumath, dont la formation ne répond pas au règlement
1706, Protocole des Quinze (2 R 110)
(f° 246) Sambstags den 11. Sept. 1706. – Joh. Jacob Guthmanns Wtb. et Niclaus Ottmann
G. nôe E. E. Meisterschafft der Müller erscheint dero Obermr. H. Joh: Spichert berichtet, daß Sie in erfahrung gebracht, ob wolte weÿl. Johann Jacob Guthmann des Spitzenmüllers Wtb. sich mit Niclaus Ottmann der Müllerin Zu Brumbt Sohn Verheurathen, weilen Er aber nicht nach Ordnung den handtwerck gelernt vnd darauff gewandert, als bitten Sie unterth. Sie beÿ den 15. 21. 26. et 36. articul, laut mit kommeden Articulsbuch gnd. Zu manuteniren vnd folglich keinen anzunehmen, der nicht Ordentlich gelernt habe. Erl. Bedacht und in eventum d. geschäfft an die Obern Handtwerckhh. gewießen.

Anne Marie, veuve du meunier Jean Jacques Guthmann demande l’autorisation de se remarier avec Nicolas Ottmann et d’accorder à son nouveau mari le poste de meunier à la Spitzmühl. Nicolas Ottmann présente la même requête corroborée par une recommandation. Les préposés entendent une semaine plus tard le meunier de Geudertheim qui connaît tous les moulins du comté de Hanau et leurs meuniers  il témoigne de la réputation et de la bonne conduite de Nicolas Ottmann. Les préposés accèdent à la demande de la veuve Guthmann et de Nicolas Ottmann à condition qu’il devienne bourgeois et s’inscrive à la tribu de la Lanterne.
1706, Préposés aux affaires foncières (VII 1382)
(Johann Jacob Gutmanns, des Müllers auff der Spitz Mühlen wittib umb erlaubnus Niclaus Ottmann dem Müller zu Bruhmat zu heirathen v. in Ihre Lehnung anzunehmen)
(f° 94) Dienstags den 14. 7.bris 1706. Johann Jacob Gutmanns, des Müllers auff der Spitz Mühlen wittib umb erlaubnus Niclaus Ottmann dem Müller zu Bruhmat zu heirathen v. in Ihre Lehnung anzunehmen
Maria Anna Weÿl. Johann Jacob Gutmanns, des gew. Müllers auff der Spitz Mühlen hinterlaßene wittib, mit beÿstandt herrn Johann Bochen, des Weinhändlers geschwornenn Vogtsn ersucht Mghh. demüthig, Ihro gnädig zu erlauben, daß Sie sich mit Meister Niclaus Ottmann, dem ledigen Müller zu Bruhmat, hochgäffl. hanaw. herrschafft, Verheurathen möchte, mit angehängter bitt denselben an Ihres Verstorbenen Manns stell Zu einem Müller auff die Spitz Mühl anzunehmen, und demselben gnädig Zu erlauben, daß Er die mit Mggh. getroffene Lehnung ane statt Ihres Manns seel. genießen möchte.
(Niclaus Ottmann) Meister Niclaus Ottmann, der ledige Müller zu Brumat, Weÿl. Meister Niclaus Ottmanns, des gewesenen Müllers alda hinterlaßener ehelicher Sohn, mit assistentz herrn Johann Georg Fleischmanns des Amptschreibers des Ampts Willstett hochgräffl. Hanaw. herrschafft ersucht Mgh. umb ein gleichmäßiges, producirt seinen Lehr: Brieff de dato Buchßweiler den 13. 7.bris 1706. herr Fleischman recommendirt Mghh. denselben in nahmen Ihro Hochgrf. Gnaden des herrn Graffen Von Hanaw Lichtenberg bestermaßen, mit beÿgefügter Versicherung, daß dieser junge Meister die Ihme anvertraute Mühl Zu Brumath zu der großen contentement Versehen habe, und angehängter Wunsch daß derselbe Mghh. solche satisfaction wie Ihr geschehen, geben möge. Erk. Soll von deßen thun und los fernere Kundschafft angezogen und in deßen, alß man Ihme in Ihrem begehren willfahren werden Vertröstet werden.

(f° 95-v) Montags den 20. 7.bris 1706. Niclaus Ottmann würdt Zu einem Müller auff der Spitz Mühl angenommen
Meister Lorentz Schäffer, der gewesene Müller Zu Geidertheim, ward geschickt und befragt, ob Ihme die beschaffenheit der Mühlen Zu Brumath und Martin Niclaus Ottmann, des jetzigen Müllers alda qualitäten und conduite bekandt seÿe ? der Antwortete, daß Er 27. jahr lang Zu Geidertheim und der hanaw. Müller Ober Meister gewesen, derowegen Ihme nicht allein alle mühlen in der Graffschafft hanaw undt deren Müller bekandt seÿen, inspecie die Mühl Zu Bruhmath, Welche eine schöne in 5. Gängen bestehende gute Mühl seÿe, dieselbe seÿe anfänglich allein in dreÿ Gäng bestanden, es habe aber der lange Zeit darauff geweßte in seinem handtwerck wohl erfahrene Mühl Artzt nahmens Valentin Büchler, welcher wegen seiner erfahrenheit nachgehendts Zu einem Meister gemacht worden ist, dieselbe mit Zween Gängen Vermehrt, den Jetzigen Müller darauff habe Er Von Jugend auß gekant, derselbe seÿe ein frommer tugendtsamer junger Mensch, habe das Müller handtwerck Von Meister Valentin Büchlern redlich und Zünfftig, nach handtwercks brauch und gewohnheit erlernet, undt deßwegen in beÿsein sechs Straßburger Meistern Müller handtwercks, davon annoch Zween nemblichen meister Johann Michael Gaar, der Müller auff der Eckboltzheimer, und Meister Johann Martin Lauth der Müller auff der Ruprechtsawer Mühlen im leben seindt, seiner lehrzeit halben loßgesprochen und Vor seinen redlichen Mühl Artzten erkandt worden, Verstehe sein Müller Handtwerck sehr wohl, habe die Mühl Zu Brumath bißhero in die 5. jahr lang alß ein meister mit großem ruhm versehen, derowegen Von Ihro hochgräffl: Gnaden dem herrn Graffen Von hanaw Zu einem Mühl Schawer der Mühl auff der Sorn bestellt worden, welcher denselben ohngern auff dieser Mühl mißen, doch aber auch Ihme sein glück nicht mißgönnen würdt.
Ego berichte, daß ich mit Martin Lorentz Karchern, dem Weißbecken und burger alhier, welcher die Mühl Zu Brumath gar viel braucht, geredet und denselben umb die beschaffenheit dieser Mühlen und Niclaus Ottmanns, des jetzigen Müllers alda thun und laßen, befragt, welcher aller das jenige, was Lorentz Schäffer außgesagt hatt, in allen umbständen becräfftiget habe.
Erk. Würd den beeden Implorirenden Personen in Ihrem begehren, wann Zuvorderist Niclauß Ottmann Von E. E. Raht Zu einem Burger und Von E. E. Zunfft Zur Lucern Zu einem Zünfftigen angenommen sein werde, willfahrt.

Nicolas Ottmann, meunier à Brumath, devient bourgeois par Anne Marie Graff et s’inscrit à la tribu de la Lanterne en octobre 1706
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 764
Niclauß Ottmann d. Müller V. Brumbt, empfangt d. burgerrecht V. s. Fr: Anna Maria Gräffin p. 2. gold fl. V. 16 ß, wird zur Lucern dienen, Jur: d. 16. Dito [8.br] 1706

Anne Marie Graff, fille de boulanger, épouse en 1695 le meunier Jean Jacques Guthmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51-v)
den 31. Aug. A° 1695 seind copulirt Worden Hanß Jacob Gutmann Spitzmüller vnd Burger alhie Und Jungfrau Anna Maria Frantz Graffen deß Weißbeck v. burgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Hans Jacob Guttman Als hochzeiter, Anna Maria Graffin Als hochzeiterin i 53)

Elle se remarie en novembre 1706 avec Nicolas Ottmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 118-v) 1706. Heut dato den 3. 9.bris Haben sich Christlich Copuliren Vnd Ehelich Einsegnen laßen Hr. Nicolaus Ottmann der Ledige Müller gebürthig Von Brumat, Hoch Gräfflich Hanawischer Liechtenbergischer Herrschafft Weÿland Herrn Niclaus Ottmans gewesenen burgers vndt Müllers daselbsten Nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vndt Fr. Anna Maria gebohrne Gräffin Weÿland Hr Hannß Jacob Guttmanns gewesenen burgers v. Müller Allhier Nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Niclauß Ottmann als hochzeiter, Anna Maria guttmenin als hochzeiterin (i 127)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans le moulin dit Spitzmühl. Les apports du mari s’élèvent à 1 081 livres, ceux de la femme à 3 677 livres
1706 (8. Xbris), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 3) n° 44
Inventarium und Beschreibung aller haab Nahrung und güthere liegender: und fahrender überall nichts davon außgenommen, so der Ehrengeachte H. Niclaus Ottman burger und spitzmüller allhier und die Viel Ehr und tugendgezierte Frau Anna Maria gebohrne Graffin beede Eheleuthe einander in die Ehe Zugebracht. welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren derselben auff Zuvor hergangenne errinnerung und Vorleßung deß Articuls Eigens und Zeigens (…) geeigt und gezeigt – So geschehen in fernerer beÿseÿn H. Philipp Georg Fleischmanns Hochgräffl. hanawu Lichtenbergischer herrsch. Ambtschaffnern Zu Brumath, H. Johann Bochen burgers und Weinhändlers der Fr. ohnentledigten Vogts wie auch H. Abraham Junden Kinder erster Ehe geschwornen Vogts, So dann hannß Olßen Sebastians Sohns burgers und gerichtsschöffen Zu Brumath deß Manns ohnentledigten Vogts, Straßburg. den 8. Decembris 1706

Deß Manns ohnverändert und In die ehe gebrachtes Vermögen
Ane haußrath, So in einer alhier in Straßburg beÿ den dreÿ brucken gelegenen und gemeiner Statt Zuständigen behausung die Spitzmühl genant sich befunden
Eÿgenthumb Ahne Einer Behaußung. der fünffte theÿl an einem Vierthen theÿll an einem haiß, hoff, Schewer, Stallung und trothauß ; so alles in a° 1694 den 20.7en 7.bris in dem sogenandten Husaren Lärmen in brandt auffgangen und mehres nicht vorhanden, alß der lehre Platz (…)
Conclusio finalis Inventarÿ. Des Manns ohnver. haußrath 76, baarschafft 383, Pferd 22, Eÿgenth. an hoffstatte 9, liegende güther 405, Schulden 161, Silbergeschirr 21, Summa summarum 1081 lb
Der Frauen ohnuer. haußrath 762, wein v. vaß 186, Früchten 223, Schwein 45, Pferd 35, Schiff und geschirr Zum fuhrw. 25, hau v. Stroh 17, Silbergeschiff 140, Goldener Ring 53, baarschafft 2641, Pfenningzinß 2256, Eigenth. an einer behausung 116, Beßerung an Schiff und geschirr zum Mühl handw. 114, Summa summarum 6637 lb – Schulden 2950, Remanet 3677 lb
(Joint) Auf Ansuchen Meister Niclauß Ottmanns, weÿl. auch Mr Clauß ottmanns geweßenen herrschafftl. Müllers alhier Zu Brumath hinterlaßenen Ehelichen Sohns und dermahligen burgers undt Spitz Müllers in der Löbl. Königl. Statt Straßburg (…) Brumath den 8. Januarÿ [1706] Weimer, Notaire

L’inventaire dressé après la mort de Nicolas Ottmann en 1736 est connu par le répertoire. La minute n’en est pas conservée

1736, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, rép. 65 not 21) f° 38-v n° 460
Inventarium über Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auff der Spitzmühl nun seel. Verlassenschafft sambt summarischem Calculo, Cession Vom 11. Julÿ 1750 andere Cession vom 3. Apr. 1737 fernere Cession Vom 9. May 1750 Accord und respectivé Cession vom 25.ten Junÿ 1737

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 100 florins (1 050 livres) sur un total de 31 500 florins. Les préposés ne tiennent pas compte de la déclaration de complaisance que le défunt a faite alors qu’il était déjà malade pour une somme de 6000 florins
1736, Livres de la Taille (VII 1178)
(Lucern F., N. 7294) Weÿl. Niclaus Ottmann gewesenen Müller auff der Spitz Mühl und burgers allhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger sen.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 369., 16.152. 19. 3 d
abgezogen den haußrath 395. 12. 5. Restirt 15.757. 7. 1., die machen 31.500 fl. Verstallte nur 29.400 fl. Zu wenig 2100 fl.
Nachtrag auf Sechs Jahr in duplo à 6 lb 6 ß, 37. lb 16 ß
Und Vier Jahr in simplo à 3 lb 3 ß, 12 lb 12 ß
Ext. kein Stall geltt
Gebott, 3 ß
Abhandlung, 18 lb 17 ß 6 s Summa 69 lb 8 ß 6 d
Es hat Zwahr der Verstorbene den 14. Maÿ sich 6000. fl. Zuschreiben laßen, weilen so aber bereits kranck geweßen alß hat man kein attention darauf gemacht
Auf eingebrachte Motiva nachgelaßen 25 lb 4. 3., restirt 44 lb
dt. 23. Jan. 1737.

Anne Marie Graff meurt en septembre 1751 en délaissant une fille issue de son premier mariage et cinq enfants du second. Les experts estiment la maison rue de l’Argile 325 livres. L’actif de la succession s’élève à 13 527 livres, le passif à 81 livres.

1751 (18.9.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46) n° 982
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrner Gräffin auch Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auf der Spitzmühl und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßener Frau Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1751. – nach ihrem den 8. dieses Monats und Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft (…) durch die noch lebende Frau Tochter und Herren Söhn auch Jgfr. Annam Mariam Rödererin und Jgfr. Mariam Dorotheam Lauthin die beede Enckel, deßgleichen Mariam Dorotheam Goebelin Von hier gebürtig die dienstmagd (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1751.
die Verstorbene Frau seel. hat per Testamentum zu Erben instituirt und nach tod verlaßen wie folgt 1. Frau Catharinam Ottin geb. Guthmännin Herrn Johann Jacob Ott des ältern Rothgerbers und Lederbereiters Ehegattin, welche Tochter die Frau seel. in erster Ehe mit weÿl. Herrn Johann Jacob Guthmann gewesenen Müller auf der sogenannten Spitzmühl und burger allhier erzeugt, nebst deren Eheliebsten sich hiebeÿ eingefunden
2. Herrn Johann Jacob Ottmann den Müller auf der Spitzmühl und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzer auch burger allhier, so præsens war, 3. Herrn Johann Niclaus Ottmann den ohlmann v. burger allhier, so gegenwärtig war, 4. Herrn Isaac Ottmann, berühmten Medicinæ Doctorem und Practicum auch burger allhier, so anwesend war, 5. weÿl. Frauen Mariæ Salome Rödererin gebohrner Ottmännin, herrn Johann Christmann Röderer, Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers allhier gewesener erstern Ehegattin seel. nachgelaßene dreÿ Töchter Jgfr. Annam Mariam, Mariam Salome und Catharinam Margaretham, so zwar mit vorgedachtem herrn Johann Niclaus Ottmann bevögtiget, weilen aber derselbe hiebeÿ selbsten interessirt als ist Ahn vorgemelter Vatter als geordnet und geschworener Theil Vogt hiebeÿ in deren Nahmen erschienen, 6. Weÿl. Frauen Dorotheæ Lauthin gebohrner Ottmännin auch weÿl. Herrn David Lauth dem gewesenen Müller auf der Carthauß und burger allhier ehelich erzeugte und nach todt Verlaßene einige tochter Jgfr. Mariam Dorotheam, deren ordentlicher Vogt ist vorermelter herr Johann Jacob Ottmann, in dem aber derselbe hiebeÿ selbsten interessirt, so hat herr Frantz Heinrich Dautel Notarius publicus und berühmter Practicus auch burger allhier als geordnet und geschworener theilvogt diesem Geschäfft abgewartet, diese fünff letstere sind der Frau seel. mit ihrem zweÿten Ehemann weÿland Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müller auff der Spitzmühl und burger allhier erzeugte Kinder vnd von ihnen herstammende Enckel
Alle sechs aber als der Frau seel. nach abzug ihrer geordneter præ und legaten zu gleichen theilen per Testamentum verlassene Erben
Extractus Testamenti nuncupativi, den 5. Maÿ A° 1736 vor mit Notario
Copia Testamenti nuncupativi den 5. Januarÿ A° 1746 Vor mir Notario aufgerichtet
Copia Dispositionis den 13. Januarÿ Anno 1746 gethan
Copia Nach Verordnung de dato 29. Septembris Anno 1747

In hernach inventirter an der Obern Langen Straß gelegenen behausung befunden
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 356 lb, Sa. Wein und lärer Faß 221 lb, Sa. Silbers 121 lb, Sa. goldener ring 37 lb, Sa. baarschafft 613 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 7805 lb, Sa. Matt Kittelsheimer banns 15 lb, Sa. antheil ane liegende güthern 1210 lb, Sa. Schulden 3147 lb, Summa summarum 13.527 lb – Schulden 81 Nach deren Abzug 13.445 lb,
Summa der Præ und Legaten 563 lb, Über Abzug derer 12.882 lb, So komt heraus daß des völlige Guth, so die Frau seel. theils Eigenthums theils Wÿdums weise beseßen sammenthafft belaufft auf 17.593 lb, Schluß Summ 17.237 lb
(f° 23) Häußer und Matten Brumater banns so in Herrn Niclaus Ottmann seel. unverändert Verlassenschafft gehörig und die Frau seel. Wÿdums weise genoßen
(f° 32) Häußer in Straßburg gelegen, so in Herrn Niclaus Ottmanns seel. theilbare Verlassenschafft gehörig daran deren Wÿdums Erben zweÿ Tertzen und der Frau seel. Erben ein tertz anfällig, Erstl. i. behaußung an der Pflantzbader gaß gelegen, Von alter her der Pflantzhoff Garten, nunmehro aber das Wirthshauß zur Springbrünnel genannt, samt Hoff, Hoffstatt Tantzplatz darüber ein Sall befindlich, Nebens Häußlein mit begriffen, Weithen, zugehörten, rechten und Gerechtigkeiten 1. Seith neben nach beschriebenem Hauß 2. Seith z. th. neben der Pickergaß z. th. auf Herrn Prælaten Von Altdorff z. th. auf etliche Gärtlein u. z. th. auf die Pickergaß stoßend so bis auf die servitutes freÿ ledig u. eigen, (laut) Abschatzung de dato 21. sept. A° 1751 angeschlagen worden vor 1350, darüber besagt i. teutsch. perg. Kauffbrieff m. der St. Str. C.C. Stub anghang. Ins. verw. de dato 26. apr. 1714, Ferner i. dgl. Kauffbrieff de dato 4. julÿ A° 1731, So dann 4. ältern dgl. Kauffbrieff von untersch. datis
It. i. Hauß u. Hoffstatt m. allen ihren gebäuen, begriffen, Weiten, rechten, Zugehörten allhier an der Pflantzbadergaß 1. Seith neben Philipp Rögner dem Amlungmacher 2. Seith neben vorstehendem Hauß gelegen vornen auf die Pflantzbad gaß hinden auf vorbeschriebenes Hauß stosend, in Vorallegirter Abschatzung æstimirt worden vor 225 lb, Hierüber ist vorhanden 1. perg. Kauffbr. m. d. St. Str. C.C. Stub anh. Ins. verwahrt de dato 1. apr. 1715
It. i. Hauß, Hoff, Hoffstatt m. allen deren gebäuen, begriffen, Weiten, zugehörten, rechten u. gerechtigkeiten allhier an der obern langen straß i. Seith neben Herrn Joh: Ernst Spielmann dem Specirer 2. Seit neben Joh: Jacob Baumann des Schuhmachers wittib und Erben gelegen, hinten auf Mr. Fritschmann den Schreinern stosend, davon gibt man 6 ß 9 d ewigen zinses jährlich auf Joh. Bapt: dem Stift Carthauß allhier so zu doppeltem Cap. erträgt 13 lb 10 ß, in vorerwehnter Abschatzung angeschlagen worden Vor 500 lb, hievon abgezgen vorbenamsten darauf haftende Onus der 13. 10. so verbleibt hier an dem Anschlag aus zuwerffen in Rest 486 lb, Darüber meldet i. teusch. perg. Kauffbrieff m. der St. Str. CC. Stub anh. Ins. Verwahrt de dato 9. mart. 1709, Ferner i. dgl. Kauffbrieff so datirt den 2. jan. 1671
It. i. Hauß, Hoffstatt m. allen begriffen, weiten, zugehörden, rechten u. gerechtigkeiten allhie an dem Müllergäßel i. Seith neben (Joh: Jacob Baumann des Schuhmachers Wittib und Erben) as. neben Christian Kästler dem Schreiner gelegen hinten auf i. allmend gäßlein stosend , um vorgemelter Abschatzung æstimirt word. vor 300, Darüber besagt . teustch. perg. Kauffbrieff m. der St Str. C.C. Stub anhang. Ins. Verw. de dato 13. aug. 1720
It. i. behaus. mit allen begriffen, weiten, Zugehörten, rechten u. gerechtigkeiten an dem leimengäßel auf dem Plätzlein i. Seith neben Hrn Paul Reißeißen dem goldarbeiter 2. Seith neben Joh: Samuel Rinck dem Weißgerber gelegen hinten auf Joh: Jacob Däter den rothgerber stosend, in Vorbenamßter Abschatzung angeschlagen worden vor 325 lb, darüber ist vorhand. i. teusch. perg. Kaufbr. m. der St. Straßb. C.C. Stub anhang. Insiegel verwahrt, de dato 10. Septembris1720
Summa Anchlags vorbeschriebener in Straßburg gelegener Häußer 2686 lb
– Abschatzung Vom 21. 7.bris 1751, Auff begehren Weÿland frawen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrene gräffin seel. hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem leimengäßlein auff dem Plätzel hinter dem Rebstöckel einseits neben Herrn Reißeißen anderseits neben Meister Ring dem Weißgerber und hinten auff Meister dätterer dem Gerber stosend gelegen, neben dem Eingang dießer behaußung ist eine Stub und Kuchen, in dem Ersten stock ist eine Stub und Kuchen, Kammer und Haußöhren, In dem zweÿten stock seind etliche Kammeren davon eine die Soldaten Kammer darüber ist der Tachstuhl, so mit breit ziegeln doppelt gedeckt, angeschlagen worden Vor und umb 650 Gulden,
der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Müllergäßlein einseits neben Christian Kästler dem Schreiner anderseits neben Hanß Georg Hildenbrand auch Schreiner und hinten auff N. N. den frippier stosend gelegen, neben dem Eingang dieser behaußung ist der Keller und ein holtz Kammer, In dem Ersten stock ist eine Stub ein Stub Kammer, ein andere Kammer, Kuchen und Haußöhren, darüber ist der Tachstuhl, Welcher mit breit ziegeln einfach gedeckt, Worunter etliche unterschlagene Kammeren, angeschlagen worden Vor und umb 600 Gulden,
der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Pflantz badergaß einseits auff die Erben selbsten anderseits ist ein Eck auff die bücher gaß und hinten auff herrn Kuttler dem Ohlmann stosend gelegen, solcher begriff bestehet in einem Würths hauß zum Springbrünnel genant und hat ein Nebens und hinter gebäw darinnen etliche Stuben, Kammerern und Küchen, die Tachstühl darüber seind mit breit ziegeln doppelt gedeckt, Ferner befindet sich ein tantz Platz, Worüber ein Saal deßen tachstuhl ist auch mit breit ziegeln doppelt gedeckt, In dem Hoff ist ein bronnen und gewölbter Keller, angeschlagen worden Vor und umb 2700 Gulden,
der Vierte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Pflantz badergaß einseits auff die erben selbsten anderseits neben Herrn Rögner dem Paßmentirer und hinten auff die erben selbsten stosend gelegen, Neben dem Eingang dieser behaußung ist eine Stube, eine Kammer und Haußöhren, Worinnen der Herd, In dem Ersten stock ist eine Stube, Kammer und Haußöhren, worinnen auch der Härd, darüber ist der Tachstuhl, so mit hohl und breit ziegeln gedeckt, Worunter die Soldaten Kammer und eine andere Kammer, hat auch ein Kleines geträhmtes Kellerlein, angeschlagen worden Vor und umb 450 Gulden,
der Fünfte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der langen straßen Einseits neben N. Spielmann dem Specirer anderseits neben Fraw Baumannin Wittib und hinten auff Herrn Kuttler den Ohlmann stosend gelegen, neben dem Eingang ist eine Stube und Kuchen, In dem Ersten stock ist eine Stube, zweÿ Kammeren ein Kuchen und Haußöhren, In dem Zweÿten stock seind etliche Kammeren, darüber ist der Tachstuhl so mit breit ziegeln Einfach gedeckt, Worunter zwo bestetze bühnen, hat auch einen gemeinschaftlichen bronnen, Hoff und gewölbten Keller, Ferner befindet sich ein nebens und hinter gebäw, Worinnen deß Officiers losament und etliche Kammeren in dem hintergebäw aber seind zweÿ leere bühnen, die tachstühl darüber seind mit breit ziegeln einfach gedeckt, angeschlagen worden Vor und umb 1000 Gulden, [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohnern, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner Werckmeister

Anne Marie Guthmann et les ayants-droit de Marie Dorothée Ottmann cèdent leurs droits à leurs autres cohéritiers

1751 (25.11.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46), Joint au n° 982 du 18 sept. 1751
(Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Mariæ Ottmännin gebohrner Gräffin auch Weÿl. Herrn Niclaus Ottmann gewesenen Müllers auf der Spitzmühl und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßener Frau Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft)
Theilregister (f° 17) Abhandlung der in der Frau seel. Verlaßenschafft an unterschiedenen in Straßburg gelegenen Häußern gebühriger Tertz – Demnach an nachgemelten in beeder verstorbenen Ottmännischer Eheleuthe theilbare Nahrung gehöriger in Straßburg gelegenen, in der Frau seel. Verlaßenschafft Inventario à fol. 188 bis 197 beschriebenen Haußern als
1. an einer behausung an der Pflantzbadergaß gelegen, Von alter her der Pflantzhoffgarten, nunmehro aber das Wirthshauß zur Springbrünnel genannt, samt Hoff, Hoffstatt Tantzplatz darüber ein Saal befindlich, so bis auf die servitutes freÿ ledig u. eigen,
2. an einem Hauß und Hoffstatt an der Pflantzbadergaß gelegen neben vorstehendem Hauß,
3. an einem Hauß, Hof und Hofstatt an der obern langen Straß gelegen, so über die davon jährlich auf Joh. Bapt: dem Stift Carthauß allhier zu geben schuldige 6 ß 9 d ewigen zins freÿ ledig u. eig.,
4. an einem Hauß und Hofstatt an dem Müllergäßel gelegen, o dann
5. an einer behaußung an dem Leimengäßel auf dem Plätzel gelegen,
in die mütterliche Verlassenschafft ein dritter theil gehörig, aber diese mütterliche Tertz mit denen dreÿ Ottmännischen Söhnen und Rödererischen Enckel, so das Vätterliche Wÿdumsguth, weilen Sie dem Silberradischen Antheil cedirt bekommen, gemeinschaftlich, also an denen gesamten Häußern Frauen Catharinæ Ottin der Tochter erster Ehe ein 18. Theil und der Lauthischen Tochter ein 18. Theil gebührig, solche gemeinschafft aber wegen denen ungleichen Antheilen, Viele Verdrüßlichkeiten nach sich ziehen würden, so hat man genau untersuchet, was die gesambte Häußer jetziger Zeit bechaffenheit nach werth seÿn möchten, und dan man derentwegen einen genauen Überschlag gemacht gehabt, folgende Cession getroffen,
Nemliches es wird sowohl von Frau Ottin mit genehmhaltung ihres Ehemanns als auch Von Herrn Notario Dautel als Jgfr. Lauthin theil Vogt und zwar jeder theil von ihnen deßen an vorgemelten fünf Häusern ererbte 18.te Antheil ihren mütterlichen Miterben als denen die Vätterliche zwo Tertzen anfällig und zwar jedes 18.der theil über die angemercke beschwerden vor 600 Gulden cedirt und Von denen Cessionariis die Von Vorernanten beeden Mit Erben cedirte zweÿ 18.de theil um 1200 gulden angenommen
Wobeÿ auch verglichen worden, weilen die Frau seel. in ihrem Wittwen stand in das Wirthshauß zum Springbrünnel einen Tantzplatz mit einem Saal von grund auferbauet, also der Ottmännischen Wÿdums Erben Vätterliche zwo Tertzen Verbeßert worden, daß die vätterliche Wÿdums Erben an solchen angewendeten bau Kösten vor zwo Tertzen 450 lb in das mütterliche Erb einschiesen sollen
Actum Straßburg d. 25. Novembr. 1751.


Les héritiers cédent leurs droits sur la maison rue de l’Argile à Anne Marie Rœderer femme du cordier Philippe Jacques Kammerer

1765 (17.1.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 46), Joint au n° 982 du 18 sept. 1751
(f° 36) Cession Wegen dem Hauß im Leimengäßlein
Erschienen bei diesem Abtheilungs Concept H. Johann Niclaus Ottmann der hiesige burger und Ohlmann, sowol vor sich selbst als auch vögtlicher weis Jgfr. Catharinä Margarethä Rödererin, Herrn Joh: Daniel Ottmann des Handelsdieners und H. Isaac Ottmann, Med: Cultoris, Ferner H. Johann Jacob Ottmann, der Müller auf der Spitzmühl und burger dahier, so dann H. Johann Christmann Röderer, der Rothgerber und Lederbereiter und E. E. Kleinen Raths allhier alter wohlverdienter beÿsitzer, im Namen seiner mittlern Tochter erster Ehe Frauen Mariæ Salome Holdererin gebohrner Rödererin, H. M. Joh: Georg Holderer des treueiferigen Pfarrers und Seelsorgers Zu Wangen und burgers hieselbst, Eheliebstin, und& vor dieselbe de rato et grato cavirend, (…) überlaßen haben
ihrer Mit: Erbin Frauen Annä Mariä Kammererin gebohrner Rödererin H. Philipp Jacob Kammerer des hiesigen burgers und Seilers Ehegattin, die hiebeÿ Zugegen, beiständlich besagten ihres Ehemanns
Eilf Zwölfte Theil an einer behausung und Hofstatt mit allen übrigen deren begriffen, Gebäuden, Weiten, Zugehörten, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen in allhiesiger Statt an dem Leimen Gäßlein auf dem Plätzlein, ein Seit neben weil. H. Paul Reiseisen des gewesenen Goldarbeiters Erben, ander Seith neben Johann Samuel Rinck dem Weisgerber hinten auf weil. N. Tubach des hannßen Amlungmachers Wittib und Erben stosend, als frei ledig und eigen vor die summ derer 412 Pfund 10 Schilling, das ist die gantze behaußung Zu 450 pfund pfenning gerechnet, der übrige eine Zwölfte Theil ist der Fr. Cessionaria selbsten Erbs weis Zuständig – Straßburg den 17. Jänner im Jahr nach Christi Geburt 1765

L’acquéreuse revend deux semaines plus tard 450 livres la maison au maître maçon Jean Michel Meyer

1765 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 93
Fr Anna Maria geb. Rödererin H. Philipp Jacob Kammerer des seilers ehefrau
in gegensein Michael Meÿer des maurer meisters
eine behausung und hoffstatt mit allen begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßlein auf dem plätzel einseit neben N. Caßel dem schreiner, anderseit neben Samuel Rinck dem weißgerber – als ein theils von Fr. Anna Maria Ottmännin geb. Gräffin ererbt theils von ihrer mutter in unvertheilten erb cedirtes guth – um 450 pfund

Jean Michel Meyer vend la maison 402 livres au compagnon maçon Pierre Dober

1771 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 351-v
H. Michael Meyer der maurermeister
in gegensein Peter Dober des maurer gesellen
eine behausung und hoffstatt mit allen denen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßel auff dem Plätzel einseit neben Peter Rößel dem schreinern anderseit neben Samuel Rinck dem weißgerber, hinten auff die Tubachische erben – als ein von seiner frauen Anna Maria Kammererin geb. Röderein vermög Cantzleÿ contract verschreibung de dato 1. feb. 1765 erkaufftes guth – um 202 und 200 verhafftet – geschehen um 402 pfund

Pierre Dober vend la maison 350 livres à Barbe Heusler, veuve du tisserand manant Michel Schacru

1785 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 198
Peter Dober der maurer gesell
in gegensein Fr. Barbaræ geb. Haußlerin Michael Schacru des schirmers und leinenwebers wittib beÿständlich Antoni Hornstein des maurer gesellen und schirmsverwandten
eine kleine behausung mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßlein auff dem sogenannten plätzel, einseit neben Mr Caßel dem schreiner, anderseit neben Rinckischen erben, hinten auff Mr Dubach den amlungmacher – um 700 gulden

Michel Schacru (Schagru) meurt le 10 août 1782 à l’âge déclaré de 43 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 102) Anno Domino 1782 die 10 mensis augusti mortuus est Michael Schagru annum ætatis 43 agens ss sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus tutelaris hujas Maritus dum viveret superstitis Barbaræ Heissel qui Hodie 12 ejusdem mensis et anni sepultus est in cœmeterio S. Galli (i 55)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la manante Barbe Schachruh, veuve du lisseur de coton Michel Schachruh, à acquérir la maison de Pierre Dober. Ils font remarquer que l’acquéreuse aurait les moyens de devenir bourgeoise puisqu’elle règle comptant 700 florins mais ne peuvent l’exiger d’une veuve.

1785, Conseillers et XXI (1 R 268)
Barbara Schackruh die schirmers Wtb erhalt erlaubnuß ein hauß zu kaufen. 82.
(p. 82) Sambstag den 16. Aprilis 1785. Osterrieth nôe Barbara Schackruh, weiland Michael Schackruh des gewesten baumwomlglatters und Schirmers alhier hinterl. wittib diese ist gesonnen von Peter Dobert dem br. und Maurergesellen ein an dem Leimengäßlein gelegenes hauß um die summ von 1500. f. an sich zu kaufen, worauf 700. f. bezalt werden, bitt gnädig zu erlauben also Kaufen zu dörfen und um dispens vom augenschein.
Rang noê des Verkäufers bitt similiter um dispens und also verkaufen zu dörfen.
nachdem sodan hr. Gal adv. Mogg sein votum dahin gerichtet, daß mghh. Kein anstand nehmen mögen, die angesuchte Erlaubniß und dispens zu bewilligen, angesehen das hauß bekantl. nicht in das allignement fält, und andrer seits, obgleich gesagt werden könte, daß die implorantin, da sie 700. f. baar darauf bezalt, also ein hinänglich Vermögen besitzet, um ins burgerrecht Zu tretten angehalten werd. könne sich auf solche art in ordnung zu begeben, dieses jedoch hier nicht platzgreiflich seÿn möge, da sie eine wittib ist, und also unter Keinem Vorwand eine gewerbs das burgerrecht erlangen könne, jedoch werden Mgh die ordnungsmäßige Verschreibung zu erkennen geruhen.
Und H. Prætor Regius ebenfalls beÿgestimmet
Als ist vermittelst gehaltener Umfrag Erk. daß der implorantin mit gebettenen Erlaubniß und dispens von Peter Dober das befragte hauß zu erkaufen unter der bedingung zu willfahren, daß der Kauf und Verkauf nach ordnung in der C. C. Stub zu verschreiben, damit alda vo denen Hh. deputirten des interesse gemeiner Statt wegen zu stipulirenden Real schirmgeld und anderer abgaben durch uns zustellend Reversalia bestens besorgt werden möge.
Depp. H. Rathh. Ottmann, H. Rathh. Noel.

La maison de Barbe Heusler veuve du laveur de coton Michel Jacquerue est vendue aux enchères 480 livres en juillet 1785 au fripier André Hilsdorff

1785 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 659 n° 329
Ganthkauffbrieff vom 14 julÿ 1785 – ist die Fr. Barbara geb. Häußlerin weÿl. Michael Jacquerüe gewesten schirmers und baumwollwaschers nachgelassene wittib zuständige behausung samt zubehörden ane dem Leimengäßlein, einseit neben N. Rinck dem weißgerber, anderseit neben Mr Cassel dem schreiner, hinten auff N. Dubach den amlungmacher
Andreas Hielsdorff des altgewänders, als letzt und meistbietenden um 960 gulden adjudicirt worden

Originaire de Wallertheim en juridiction de Linange-Guntersblum, le compagnon tailleur André Hilsdorff obtient une promesse de réception à la tribu de la Mauresse après avoir présenté son certificat d’apprentissage établi à Nieder-Saulheim
1762, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
Andreas Hilsdorf der ledige Schneider Gesell
(f° 277) Den 23.ten Decembris Anno 1762 – Vertröstung zum Zunft Recht
Andreas Hilsdorf, der ledige Schneider Gesell von Wallersheim, hochgräflich Leiningischer herrschaft gebürtig producirt Lehrbrief von E. E. Schneider Zunft Zu Nidersaulheim wegen erlernten schneider handwercks de dato 18.ten Februarÿ 1760. bittet um Ertheilung eines Zunft Vertröstungs Schein damit er beÿ alhiesiger gnädiger Obrigkeit um das burger Recht anhalten Könne. Erkandt Willfahrt aber Zu keinem anderen als Zu dem Zunft Recht.
Dedit Protocollum Gebott Geld 2 ß, Findling hauß

André Hilsdorff devient bourgeois le 8 janvier 1760 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 3-v
Andreas Hilßdorff d. ledige Schneidergesell von Waltersheim hochgräffl. Leining gundersblum. herrschafft erhalt das burgerrecht umb den neuen burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin, Jur. den 8. Jan. 1763.

André Hilsdorff devient tributaire à la Mauresse et obtient le droit de fripier
1762, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
(f° 292-v) Donnerstags den 10.ten Martÿ Anno 1763 – Andreas Hilsdorf der ledige Schneider gesell von Wallersheim, hochgräflich Leining: Gundelblumische herrschaft gebürtig producirt Schein von alhiesiger Cantzleÿ und Stall beede vom 8. Januarÿ 1763. bittet um Ertheilung des Zunft: und frippier Rechts.
Auf producirter und vorher abgelesener glaubhaften Lehr brief wurde Erkandt, seÿe dem Imploranten in seinem begehren gegen erlag der Gebühr zu wilfahren.
dt. vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Altgewänder Recht 1 lb 5 ß, Vor die Feur Eimerer 3 ß 4 d Und Einschreib Geld 2 ß (thut) 2 lb 15 ß 4 d

André Hilsdorff épouse en 1763 Catherine Wüst, originaire de Dossenheim près de Dettwiller : contrat de mariage, célébration
1762 (28. 8.bre), Not. Laquiante (6 E 41, 1012)
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – Jean André Hillsdorff, garçon tailleur d’habits demeurant en cette ville, fils majeur de feu Jean Hillsdorff et de Marguerite Kreithin ses père et mère, natif de Wallerstheim dans la comté de Linange et dans la paroisse de Niderweinheim Eveché de Mayance
Catherine Wiesthin demeurant en cette ville fille de feu Leopold Wiesth et d’Elisabeth Scherin, natif de Dossenheim Baillage de Dettwiller paroisse de Neuviller

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 271-v)
Hodie 2. May anni 1763 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Andreas Hilsdorff ex walterthum diœcesis moguntinæ oriundus suæ professione Sartor, filius defuncti Joannis Hilsdorff agricolæ olim et civis in dicto loco et Margarithæ Kreitin superstitis ejus uxoris legitimæ in parochia ad st: petrum juniorem commorans, et anna Catharina wüst in Neuwiller nata, filia defuncti leopoldi wüst cometarii* quondam et civis in dicto loco et Elisabethæ Schwerin civis conjugum in hac parochia commorans (signé) Andreas Hielßdorff, signum sponsæ x (i 277)

Catherine Wüst devient bourgeoise par son mari à titre gratuit pour bon comportement le 18 juin 1763
Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 14-v
fr. Catharina geb. Wüstin von Dosenheim geb. verheurathet ane Andres Hilßdorff den burger vnd Schneider allhier erhalt das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Schneider, prom. den 18. Junÿ 1763

André Hilsdorff meurt en 1816 en laissant pour héritière testamentaire Elisabeth Wüst veuve de Pierre Weber auxquels il a vendu sa maison
1816 (23.2.), Strasbourg 12 (63), Not. Wengler n° 9409
Inventaire de la succession d’André Hilsdorff, frippier, décédé le 28 janvier dernier – à la requête d’Elisabethe Wüst veuve de Pierre Weber tailleur d’habits seule et unique héritière testamentaire d’André Hilsdorff marchand frippier, suivant testament reçu par le soussign notaire le 18 décembre 1811
dans le logement qu’occupait le défunt dans une maison place de la Cathédrale n° (-)
meubles garde robe 179, 415 et 159 fr, créances, total 25.467 fr, moitié de la succession du défunt et la moitié de la succession de Catherine Wüst échue à la requérante seule et unique héritière testament public du 19 décembre 1811, passif 950 fr
enreg. f° 160 du 27.2.

Le fripier André Hilsdorff vend la maison 650 livres au manant porteur de chaises Pierre Weber
1787 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 227-v
H. Andreas Hielsdorff der alt gewänder
in gegensein Peter Weber des chaisen trägers und schirmers
eine behausung samt zugehörden rechten und gerechtigkeit ane dem Leimengäßlein, einseit neben Mr Rinck dem weißgerber, anderseit neben Mr Caßel dem schreiner, hinten auff N. Dubois den amlungmacher – um 1300 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Pierre Weber à acheter la maison en le dispensant de produire un certificat de visite

1787, Conseillers et XXI (1 R 270)
(p. 177) Sambstag den 9. Junius 1787.- Peter Weber pt° H[auskaufs im Leimengäßlein]
Wilhelm nôe Peter Weber des hiesigen Schirmers und Chaisenträgers dieser ist Willens von Andreas Hildsorf dem b. und frippier allhier eine an dem Leimengäßlein gelegene behausung um 1300. fl. nebst Übernahm des kösten und Pfundzolls Zu kaufen, worauf aber nur 400. fl. abschlägig bezahlt werden, b. also Kaufen zu dörfen und um gnädige Dispens vom burgerschein.
Kraus nôe venditoris b. also verkaufen zu dürfen und Dispens vom Augenschein.
Erk. Seÿe den Imploranten in ihrem begehren Zu Willfahren, unter der bedingungen jedoch daß der Kauf und Verkauf in Löbl. C. S. Stube vor Unsern deputirten Ordnungsmäßig verschreiben, und von diesen durch auszustellende reversales in Ansehung des Zu unterstehenden Real schirmgeldes und anderer Abgaben Gemeiner Statt Intereße bestens besorgt werde.
Depp. H. Rathh. Scherer, H. Rathh. Denner.
(Copie, actes annexes à la Chambre des Contrats, cote 94 Z 11)

Originaire de Lockweiler en Sarre dans le diocèse de Trèves, l’ancien soldat Pierre Weber épouse en 1753 Catherine Biltzer, veuve de Joseph Dilian
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 190-v)
Hodie 5. Novembris anno 1753 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Petrus Veber ex Lochweiler diœcesis trevirensis oriundus, miles dimissus ex legione diâ navarre, filius defunctorum Joannis weber /:operarii et civis in dicto loco dum viveret:/ et Catharinæ Gallon conjugum, et Catharina Biltzin vidua defuncti Joseph Dilian in vivis incola hujatis, ambo in hac parochia commorantes (signé) peirre weber, signum sponsæ CB

Originaire de Kematen en Tyrol, Joseph Dilian épouse en 1739 Jeanne Catherine Biltzer originaire de Wœrth sur Sauer
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 142)
Hodie 9 mensis augusti anni Dni 1739 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Josephus Dilian ex Kemeten in comitatu tirolensi Diœcesis Brisiensis oriundus et solutus a triennio in supra nominata Parochia commorans et pudica virgo joanna Catharina Biltzerin ex werth prope surburg huius dioecesis oriunda etiam a pluribus annis Parochiana nostra (signé) Joseph dilian, signum sponsæ x (i 149)

Catherine Biltzer meurt en 1781 après avoir institué son mari légataire universel. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Pierres (actuelle rue de la Courtine). L’actif de la succession s’élève à 541 livres, le passif à 7 livres
1781 (9.4.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1473), n° 720
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Weberin gebohrner Bilzerin, Peter Weber des Waschers und Schirmers alhier zu Straßburg im Leben gewesener Ehefraun Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1781. – nach ihrem den 25.sten Februarii dieses 1781.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat – So geschehen alhier Zu Straßburg in beiseÿn Hn Johann Joseph Bitschnau, J. U. Lti. und Procuratoris vicarii alhier, als geordnet und geschworenen Vogts der durch die Verstorbenen dem hinterbliebenen Wittwer in sich eräugenden Fall per Testamentum substituirte: und abwesender Erben, auf Montag den 9. Aprilis Anno 1781.
Die Verstorbene hat per Testamentum Zum Universal Erben hinterlassen, benantlich Peter Weber, deroselben Ehemann und hinterbliebenen Wittiber unter den Clausuln und bedingung wie in ihr der Verstorbenen vor H. Humbourg ehemaligen Königl. Notario alhier und Zeugen den 20. Hornung 1768. errichten Testamento nuncupativo mit mehrerm erwehnet. Welcher als balden declarirt wie daß er diese Verlaßenschafft schlechterdings anzutretten gedencke.

In einer alhier zu Straßburg ane dem Steingäßlein gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Wie der hinterbliebene Wittwer auf beschehenes Anfragen declarirt so seÿe zwischen ihme und der Verstorbenen Zur Zeit angetretener Ehe weder eine Eheberedung noch ein Inventarium über ihr beeder in den Ehestand gebrachtes Vermögen errichtet worden, der Ursachen man sich bei gegenwärtiger Inventur einig und allein nach dem Inhalt des vorher eingetragenen Testamenti nuncupativi richten, folglich das völlige vorhandene Vermögen anders nicht dann unter einer Massa et Titulo als in der Verstorbenen Verlaßenschafft gehörig beschreiben konte.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 49, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Schulden 91, Summa summarum 541 lb – Schulden 8 lb, Nach deren Abzug 533 lb
(…) Item Kraft des vierten Articuls vermachte die Defuncta, fals ihr gewester Ehemann und dermaliger Wittwer in eine Zweite Ehe schreiben würde, Frantz Biltzer ihres Bruders Kindern und Kindskinder, Stammweis 100 fl. und Catharinæ Elisabethæ Biltzein ihrer Schwester mit N. Schissler ehelich erzielter Kindern und Kinds: Kindern auch Stammweis ebenmäßig 100. fl.
(Copie du testament)

Pierre Weber se remarie en 1781 avec Elisabeth Wüst, native de Dauendorf : contrat de mariage, célébration
1781 (20.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 183) n° 3
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – Pierre Weeber, blanchisseur en cette ville, veuf en premières noces de Catherine Belzer
Elisabeth Wüst, fille majeure de Dauendorf, fille de Georges Wüst au service de l’abbaye de Neubourg et Elisabeth Abel (signé) webber, +

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 511.)
Hodie 28 augusti anni 1781 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Petrus Veber tutelarius hujatis, viduus defunctæ Catharinæ Beltzer, in Parochia ad S. Stephanum commorans, et Maria Elisabetha viest soluta Majorennis ex daugendorff hujus diœcesis filia legitima Joannis Georgii Viest et defunctæ Elisabethæ Abellerin Conjugum de Parochia nostra commornas (signé) petter Webber, signum sponsæ x (i 261)

Le blanchisseur Pierre Weber meurt en 1795 en délaissant trois enfants. La maison qui porte le n° 45 de la rue de l’Argile est estimée 1 920 livres tournois

1795 (30 fruct. 3),Strasbourg 1 (9), Not. Lacombe n° 27
Inventarium über der Verlassenschafft weÿl. des burgers Peter Weeber des wäschers, aufgerichtet den 29. fructidor, auf Ansuchen Elisabetha Wust weÿl. Peter Weber, so den 16. floreal 3 Jahrs gestorben, hinterlassenen Wittwe unter beÿständung des burgers Georg Marck und auf begehren des burgers Andreas Hiltzdorf des altgewänders, Vormunds der minderjährigen Kinderen Nahmens Andreas so 13, Gertrud so 7 Jahr alt und Elisabetha so 6 Jahr alt
Bericht, den 20. Augst 1781 vor unterschriebenen Not. vorgegangenen Eheberedung
Liegende güther. Behaußung. Eine in allhiesiger Gemeinde im leimengäßlein N° 45 einseit neben N. Rinck dem weiß Gerber anderseit neben N. Casel dem schreiner liegende und hinten auf N. Dubois stosende behaußung, von Andreas Hilsdorf gekaufet haben, angeschlagen zu 1920 livres
Mobilien 326 liv, activ schulden 4410 liv, Passiv schulden 1000 liv.
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 32 du 30 fru 3

Elisabeth Wüst meurt en 1827

1828 (14.1.), Strasbourg 12 (106), Me Noetinger n° 492
Inventaire de la succession d’Elisabeth Wüst veuve de Pierre Weber, propriétaire, décédée le 23 novembre 1827 – à la requête des enfants de la défunte 1. Jean André Weber, peintre vernisseur, 2. Catherine Elisabeth Weber épouse de Georges Franck, huissier audiencier près le Tribunal Civil de Strasbourg, 3. mondit Sr Franck tuteur datif de Georges Louis Grimm âgé de 9 ans mineur issu de feus Louis Dominique Grimm, boulanger, et de Gertrude Weber – en présence de Pierre Philippe Keller, greffier au Tribunal Civil subrogé tuteur du mineur Grimm

dans la maison mortuaire rue de l’Argile n° 45
Immeuble. La moitié d’une maison consistant en bâtiment de devant, appartenances droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue de l’Argile n° 45, d’un côté le Sr Streicher, d’autre la veuve Bock, derrière la veuve Tubach – occupé en partie par la succession en partie loué à Léon Schneider – acquis pendant la communauté d’André Hilsdorff, frippier, par acte passé à la Chambre des Contrats le 9 juin 1787, ledit Hilsdorff l’avait acquise de Michel Jacquemin suivant adjudication passée à le Chambre des Contrats le 4 juillet 1773 – estimée 2000 francs
mobilier 440 fr ; créances 13.278 fr ; total 15.719 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 187 f° 151 du 21.1.

Sa fille Gertrude Weber est morte à Paris comme son mari Louis Dominique Grimm en délaissant un fils qui devient propriétaire d’une maison Grand rue et de la part de maison rue de l’Argile

1828 (22.3.), Strasbourg 12 (107), Me Noetinger n° 604
Inventaire de la succession de Louis Dominique Grimm, boulanger à Strasbourg, décédé à Paris le 7 juillet 1827 et de Gertrude Weber en cette dernière décédée en cette ville le 29 juin 1826 – à la requête de Georges Franck, huissier près le tribunal civil de première instance, tuteur de Georges Louis Grimm âgé de 9 ans – en présence de Pierre Philippe Keller greffier du tribunal de police du tribunal civil, subrogé tuteur
dans le logement occupé par Michel Grimm oncle du mineur rue Pierre l’Escaut n° 9, meubles à Strasbourg Grand rue n° 39

une maison et dépendances située à Strasbourg grand rue n° 39, d’un côté fait le coin de la rue des Cheveux, d’autre le Sr Stromeyer, devant la grand rue, derrière le Sr Heinrich – acquise pendant la communauté de Geoffroi Klein, boulanger, suivant adjudication définitive dresée par Me Weigel le 14 octobre 1819 transcrit au bureau des hypothèques volume 122 n° 86, louée à Michel Haussmann, boulanger, et Barbe Augsburger pour 3, 6 ou 9 ans suivant bail passé devant Me Noetinger le 9 mai dernier, estimée 18 000 francs
immeuble propre à la De Grimm née Weber, le 6° par indivis d’une maison, dépendances située à Strasbourg rue de l’Argile n° 45 d’un côté le Sr Streicher, d’autre la veuve Bock, devant la rue, derrière la veuve Tubach – avenu dans la succession de Pierre Weber, propriétaire, dont elle est héritière pour un tiers. Ledit Pierre Weber l’a acquis pendant la communauté avec Elisabeth Wüst d’André Hilsdorff, frippier, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 4 juin 1787 – estimée 300 francs
communauté mobilier 475 fr, passif 25 604 fr, total de l’actif 18 775 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 188 f° 170 du 31.3.

Les enfants et héritiers de Pierre Weber et d’Elisabeth Wüst vendent la maison par licitation au peintre vernisseur Jean André Weber

1828 (6.11.), Strasbourg 12 (109), Me Noetinger n° 969
Adjudication définitive (adjudication préparatoire du 21 octobre n° 942, Cahier des charges n° 863 du 6 septembre) à la requête de 1. Jean André Weber, peintre vernisseur, 2. Catherine Elisabeth Weber épouse de Georges Franck, huissier, 3. mondit Sr Franck tuteur datif de Georges Louis Grimm enfant mineur de feus Louis Dominique Grimm, boulanger, et de Gertrude Weber décédés à Paris, 4. Pierre Philippe Keller, greffier du tribunal de police simple, subrogé tuteur, lesquels sont propriétaires de l’immeuble vendu du chef de Pierre Weber, propriétaire, et Elisabeth Wüst leur père et mère grand père et grand mère, jugement du 12 juin, rapport d’experts du 14 juillet et jugement du 30 juillet ordonnant la vente
à Jean André Weber, coliciant peintre vernisseur pour 3045 francs
Désignation de la maison à vendre, une maison à rez de chaussée et deux étages située à Strasbourg rue de l’Argile n° 45, estimée par les experts à 3000 francs, d’un côté les héritiers Streicher, d’autre et derrière la veuve Durock
Etablissement de la propriété, Les conjoints Weber ont acquis la manière à vendre d’André Hilsdorff, frippier, suivant acte passé à la Chambre des contrats le 9 juin 1787, ledit Hilsdorff l’avait acquis des héritiers de Michel Jacques par adjudication passée à la Chambre des Contrats le 4 juillet 1783
Rapport d’experts du 17 juillet – Philippe Jacques Hennenberg, Jean Jacques Stotz et Jean Chrétien Arnold (avons) reconnu que ladite maison ne forme qu’un seul corps de bâtiment de peu d’étendue et d’une construction qui ne permet aucun partage. Nous avons pris le détail qui consiste en entrant passage à droite, une chambre au fond, cuisine, une chambre et lieux à gauche, une chambre au fond, escalier et bucher. Dessous la cave sous solives, Premier étage, cage d’escalier sur le devant, une chambre à alcove et cuisine au fond deux chambres, Second étage sur le devant cuisine, une chambre au fond, cage d’escalier, une chambre, Dessus comble renfermant deux greniers couverts à tuilles doubles – estimée 3000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 192 f° 9 du 12.11.

Jean André Weber épouse en 1807 Marie Anne Barbe Galler
1807 (10.6.), Strasbourg 13 (26), Not. Bremsinger n° 3834
Contrat de mariage – André Weber, Peintre fils Pierre Weber, porteur de Portechaise, et d’Elisabeth Wüst
Marie Anne Barbe Galler fille de feu Robert Galler et d’Anne Barbe Burghard
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 190 du 12.6.

Jean André Weber et Marie Anne Barbe Galler exposent la maison aux enchères

1841 (10. Xbre), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14 001
10. decembre 1841 – Ont comparu M. Jean André Weber, peintre vernisseur & De Marie Anne Barbe Galler sa femme de lui dûment autorise, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels étant intentionnés de vendre aux enchères publiques la maison ci après désignée ont requis le notaire soussigné de dresser le cahier des charges, clauses & conditions sous lesquelles il sera procédé à ladite adjudication
Désignation de l’immeuble à vendre. Une Maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à M. Schroot, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
Etablissement de la propriété. La maison à vendre dépendait des successions de fue M. Pierre Weber, propriétaire & De Elisabeth Wüst, vivans conjoints à Strasbourg, père et mère du Sr Weber comparant, & dont ce dernier était héritier pour un tiers, & ledit Jean André Weber est devenu propriétaire de la totalité de ladite maison pour l’avoir acquise dans la licitation des biens dépendant des successions des dits conjoints Pierre Weber suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger le 6 novembre 1828 (…). Les conjoints Pierre Weber ont acquis cet immeuble du Sieur André Hilsdorff, frippier à Strasbourg, suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Le Sieur Hildsorff l’avait acquis suivant procès verbal d’adjudication dressé à ladite chambre des contrats le 4 février 1783. – La mise à prix est fixée à 4500 francs
acp 293 (3 Q 30 008) f° 54-v

Jean André Weber et Marie Anne Barbe Galler vendent la maison 6 000 francs au serrurier Jacques Frédéric Wagner

1841 (31. Xbre), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14 045
Ont comparu M. Jean André Weber, peintre vernisseur & De Marie Anne Barbe Galler sa femme de lui dûment autorise, les deux demeurant à Strasbourg (vendu à)
M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, demeurant à Strasbourg acquéreur
Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à M. Schroot, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
M. Weber, covendeur, en est devenu propriétaire pour l’avoir recueillie dans la succession de ses père et mère M. Pierre Weber vivant propriétaire & De Elisabeth Wust, son épouse, les deux demeurans à Strasbourg, dont il était héritier pour un tiers, & il est devenu propriétaire de la totalité de ladite maison par suite de la licitation de biens dépendant de la succession des dits conjoints Pierre Weber ainsi que cela est constaté par un procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger le 6 novembre 1828 (…). Les conjoints Pierre Weber ont acquis cet immeuble du Sr André Hilsdorff, frippier à Strasbourg, suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Le Sieur Hildsorff l’avait acquis suivant procès verbal d’adjudication dressé à ladite chambre des contrats le 4 février 1783 – pour le prix de 6000 francs
acp 294 (3 Q 30 009) f° 5

Fils de cocher, Jacques Frédéric Wagner épouse en 1839 Amélie Wachs, fille de serrurier
Mariage, Strasbourg (n° 112)
du 6° jour du mois d’avril l’an 1839 Acte de mariage de Jacques Frédéric Wagner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 février 1809 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu Chrétien Wagner, cocher décédé en cette ville le 20 mars 1829, et de Marguerite Salomé Metzger domiciliée en cette ville ci présente et consentante, et de Amélie Wachs, majeure d’ans, née en légitime mariage de 6 décembre 1812 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg fille de Philippe Frédéric Wachs, serrurier domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Mühlbacher décédée en cette ville le 14 janvier 1833 (i 18)

Jacques Frédéric Wagner et Amélie Wachs hypothèquent la maison au profit du cordier Jean Daniel Dürr

1843 (24. 8.br), Strasbourg 12 (162), Me Noetinger n° 16 339
Obligation – Ont comparu M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, & Amélie Wachs son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Jean Daniel Dürr, cordier demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 3000 francs
hypothèque, Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, d’un côté Barbe Streicher, de l’autre M. Schroth, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach
M. et Mme Wagner sont propriétaires de la dite maison pour en avoir fait l’acquisition de M. Jean André Weber, peintre vernisseur & de De Marie Anne Barbe Galler son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant Me Noetinger (…) le 31 décembre 1841 enregistré & transcrit au bureau des hypothèques le 11 janvier suivant volume 353 n° 33 (…) M et Mde Wagner déclarent qu’ils emploieront partie des fonds présentement empruntés à payer les 1600 francs annuellement aux hospices et les 400 francs encore dus aux Sr et De Weber

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1846 (19.2.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger n° 18 288
Obligation – Ont comparu M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier, & Amélie Wachs son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Jean Daniel Dürr, cordier demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 1000 francs
hypothèque, Une Maison avec ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, d’un côté Barbe Streicher, de l’autre M. Schroth, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach. Ils déclarent que cet immeuble leur appartient en toute propriété et qu’il est franc et libre de tous provilèges et hypothèques sauf ce qui va être dit plus bas (…) que d’une créance de 3000 francs appartenant à M. Dürr aux termes d’une obligation reçue par Me Noetinger soussigné le 24 octobre 1843

Jacques Frédéric Wagner et Amélie Wachs hypothèquent la maison au profit du marchand de fer Charles Geofroi Stromeyer

1846 (6.3.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger subst. par M° Burtz n° 18 318
Ont comparu M. Charles Geofroi Stromeyer, marchand de fer demeurant à Strasbourg (…) d’une part
Et M. Jacques Frédéric Wagner, serrurier et Dme Amélie Wachs son son épouse de lui dûment autorisée demeurant ensemble en la même ville
Lesquels comparans ont déclaré que suivant compte arrêté entre M. Stromeyer et le Sr Wagner le 28 février dernier, le Sr Wagner est resté débiteur de M. Stromeyer d’une somme principale de 2153 francs pour fourniture de différents articles du commerce de ce dernier
hypothèque, Une Maison avec dépendances et appartenances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45, tenant d’un côté à la Dame Barbe Streicher, de l’autre à M. Schrott, par devant la rue & par derrière la veuve Tubach. Les débiteurs déclarent que cette maison leur appartient en pleine propriété et autorisent M. Stromeyer à prendre inscription sur cet immeuble au bureau des hypothèques de Strasbourg. Ils déclarent en outre qu’il est franc et libre de tous privilèges et hypothèques à l’exception d’une somme de 8000 francs qu’ils doievent à M. Dürr suivant une obligation reçue par Me Noetinger

Jacques Frédéric Wagner meurt en 1854 en délaissant cinq enfants dont l’un meurt aussitôt après son père.

1855 (12.2.), Strasbourg 10 (128), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10 898
Inventaire 1) de la succession de Mr Jacques Frédéric Wagner, vivant serrurier décédé à Strasbourg le 19 août 1854, 2) de la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Amélie Wachs sa veuve survivante, 3) de la succession de Salomé Amélie Wagner, fille de ces derniers, décédée en minorité le 23 août 1854.
L’an 1855 le lundi 12 février à deux heures de relevée, à la requête de Dame Amélie Wachs, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Jacques Frédéric Wagner, vivant serrurier en ladite ville, agissant A° en son nom personnel, 1) à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existe entre elle et son défunt époux, 2) à cause des reprises qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté, 3) comme usufruitière légale des biens de ses enfant mineurs ci après nommés, 4) comme habile à se dire et porter héritière pour un quart ou 4/16 de Salomé Amélie Wagner son enfant issu de son mariage avec son défunt mari et décédée à Strasbourg le 23 août 1854 à l’âge de 15 ans
B) et comme mère et tutrice légale de ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec son dit défunt époux et nommés a) Jacques Frédéric Wagner né le 11 février 1841, b) Henri Eugène Wagner né le 29 octobre 1842, c) Madeleine Eugénie Wagner née le 30 avril 1844, d) Frédérique Julie Wagner née le 4 février 1846 (…)
En présence de Mr Geoffroi Vix, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits enfants mineurs (…)
De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg en la maison mortuaire rue de l’argile n° 45

Communauté légale, objets mobiliers qui se sont trouvés dans la maison mortuaire 271, objets se trouvant au mont de piété 141, fonds de serrurerie 352, extances, néant, loyers 120
Immeuble. une mineur avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’argile N° 45 tenant d’un côté à Barbe Streicher, de l’autre à Mr Schroot, par devant la rue et par derrière M Meckert, cet immeuble a été acquis pendant la communauté de M. Jean André Weber, peintre vernisseur, et de dame Marie Anne Barbe Galler sa femme les deux demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente dressé par devant Me Noetinger notaire à Strasbourg le 31 décembre 1841 transcrit au bureau des hypothèques le 11 janvier 1842 volume 379 n° 33 (…) Le Sr Weber est lui-même devenu propriétaire de la même maison pour l’avoir héritée un tiers dans la succession de feu M. Pierre Weber, propriétaire, et Elisabeth Wüst, conjoints à Strasbour, ses père et mère, et pour avoir acquis les deux tiers restants à titre de licitation de dame Catherine Elisabeth Weber épouse de Mr Georges Franck huissier près le tribunal civil de Strasbourg et du mineur Georges Louis Grimm, son neveu issu du mariage de dame Gertrude Weber épouse de Louis Dominique Grimm boulanger décédé conjoints à Paris ainsi qu’il résulte d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par ledit notaire Noetinger, à ce commis par justice, le 6 novembre 1828 (…). Dans le cahier des charges qui a servi de base à ladite adjudication dressé par le dit Me Noetinger le 6 septembre 1828, il est déclaré que les conjoints Pierre Weber ont acquis ledit immeuble du Sr André Hilsdorff, frippier suivant acte passé à la ci devant Chambre des contrats de cette ville le 9 juin 1787. Cet immeuble occupé en partie par la famille du défunt est évalué à un revenu annuel de 500 francs sas distraction des charges, ce qui représent au denier vingt un capital de 10.000 francs
Total de l’actif de la communauté, 10.884 francs
Passif 13.848, Balance déficit de 2964 francs
acp 437 (3 Q 30 152) f° 47 du 14.2. (Succession déclarée le 19 février 1855)
Succession, moitié de la communauté 5442, passif 6924
Succession de ladite mineure 1/8 de la succession mobiliere du père 1088, garde robe 22, passif 1434



5, rue du Bouclier


Rue du Bouclier n° 5 – VII 48 (Blondel), P 987 puis section 6 parcelle 45 (cadastre)

Reconstruction au XVIII° siècle, sans doute vers 1762, le maître d’ouvrage serait Jean Adam Reul


La maison en avril 2017. Le troisième étage date de 1856, la porte de droite est une réfection de 1889, la porte de gauche est une ancienne fenêtre transformée en 1981
Ancienne porte surmontée d’un dessus de porte XVIII° siècle et nouvelle porte (1889, dossier de la Police du Bâtiment
)

Composée d’un bâtiment avant et d’un petit bâtiment arrière, la maison revient au milieu du XVII° siècle par cession au Chapitre Saint-Thomas qui la vend en 1658 au notaire Jean Georges Jæger. Elle appartient ensuite au comptable Jean Henri Henrici, au notaire Loup Régnard von Auenheim (1688-1701) puis au fabricant de pâtés Jean Philippe Boch qui devient aussi confiseur (1701-1754). Il fait construire en 1709 un bâtiment qui fait l’objet d’un litige avec le maître maçon Clément Schrepffer. En 1746, la porte d’entrée est sur la droite de la façade, la maison comprend un rez-de-chaussée où se trouve le four de pâtissier et deux étages, le bâtiment accessoire renferme une buanderie, un bûcher et le logement militaire. Les héritiers Boch la vendent en 1762 à l’arquebusier Henri Adam Reul qui doit l’avoir fait reconstruire. Les préposés aux feux donnent en 1773 leur aval aux transformations de l’atelier d’arquebusier dans le bâtiment à gauche de la cour. Le rapport d’experts de 1779 fait état d’une distribution différente qu’en 1754, les sept poêles sont réduits à trois, la valeur des bâtiments est passée de 1 400 à 750 livres. La maison revient à son gendre Jean Guillaume Ruppersburg, lui aussi arquebusier. La nouvelle façade comprend une porte d’entrée à dessus de porte, les fenêtres ont des angles arrondis, des linteaux droits, une fasce et des appuis galbés.


Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 134
face occidentale de la rue du Bouclier, de la rue des Dentelles (a) à la Grand rue (b)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la troisième à partir de la gauche : porte d’entrée à droite de la façade et trois fenêtres, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour C représente l’arrière (5-6) de la façade sur rue, une avance (2-3-4-5) en forme de tour (escalier à vis d’après le rapport d’experts contemporain dressé en 1826), la remise (6-7) du côté sud et le bâtiment (71) au fond de la cour, le mur (1-2) faisant la séparation du voisin au nord. D’après le rapport d’experts, une cave solivée se trouve sous le bâtiment avant, une cave voûtée sous le bâtiment latéral et sous le bâtiment arrière qui renferme la buanderie, le bûcher et les lieux d’aisances
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 5.


Cour C

Daniel Herrmann acquiert en 1843 la mitoyenneté du mur pignon qui le sépare de la maison voisine vers le nord (actuel n° 7). Le tailleur Simon Simon ajoute en 1857 un troisième étage. Le tapissier Jean Charles Mæhn charge en 1889 le maître maçon Ludæscher de transformer la porte d’entrée pour qu’elle soit plus haute et plus étroite en supprimant le fronton XVIII° siècle. Le maçon Joseph Maisello achète la maison en 1980 et aménage l’année suivante un restaurant au rez-de-chaussée, en transformant notamment une fenêtre en porte. La pizzeria Via Reggio ouvre en mars 1982, remplacée en 1990 par l’enseigne S’Thomas Stuebel.


Elévation avant et après travaux
Façade sur cour et bâtiment latéral, avant travaux
(dossier de la Police du Bâtiment)

octobre 2017

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1623 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Daniel Müller, farinier, et (1611) Dorothée Dessinger – luthériens
v.1655 v Chapitre Saint-Thomas
1658 v Jean Georges Jæger, notaire, et (1655) Anne Marie Würtz – luthériens
1675 v Lucrèce Herbst, femme (1633) du mégissier Jean Charles Griesbach, assesseur au Grand Sénat – luthériens
1676 v Jean Henri Henrici, comptable, et (1673) Salomé Gœringer puis (1687) Elisabeth Grünelius – luthériens
1688 v Loup Régnard von Auenheim, notaire, et (1668) Salomé Schranckenmüller – luthériens
1701 v Jean Philippe Boch, pâtissier, et (1701) Susanne Alber – luthériens
puis les enfants de Jean Werner, maréchal ferrant, et (1736) Anne Marie Boch, remarié (1746) avec Anne Marguerite Kammerer – luthériens
1762 v Henri Adam Reul, arquebusier, et (1732) Marie Madeleine Kast – luthériens
1784 h Jean Guillaume Ruppersburg, arquebusier, et (1773) Marie Madeleine Reul veuve de Georges Frédéric Salomon, enseignant au Gymnase, puis (1800) Frédérique Louise Stephan – luthériens
1827 v Simon Charles Villaume, bijoutier, et (v. 1805) Anne Marguerite Cherrier, remariée (1847) avec Joseph Marie Charpentier
1838 v Jean Daniel Hermann, garde du génie, et (1818) Marie Madeleine Burand
1851 v Simon Simon, tailleur, et (1843) Madeleine Lauck
1871* Jean Charles Mæhn, tapissier, et Salomé Lix
1891* Charles Vogt, ramoneur
1933* Alfred Muller

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 600 livres en 1746, 1 400 livres en 1754, 750 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) VII 48, Henry Adam Riehl
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Reuhl, 4 toises, 2 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 987, Willaume, Simon Charles, ex orfèvre – maison, sol, cour – 1,58 are (puis) Herrmann Jean Daniel

Locations

1666, Lucrèce Herbst, veuve du mégissier Jean Charles Griesbach, assesseur au Grand Sénat (future propriétaire)
1717, Jean Cartau, brodeur, et Geneviève Cheron
1718 (cave), Zacharie Krafft, revendeur
1718 (cave), Jacques Bœhm et Jean Schwartz, cloutiers
1722 (cave), Jean Mathieu Knauer
1724 (cave), Georges Geoffroi Gambs, marchand
1811, Frédéric Charles Zeyss, aubergiste, et Madeleine Greiner
1816, François Louis Joseph Fiquet, homme de lettres, et Henriette Bourquin

Protocole de tribus

1707, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
Le fabricant de pâtés Philippe Boch se plaint en septembre 1709 devant le conseil des Maçons du travail de Clément Schrepffer auquel il a demandé de creuser une cave. Comme les fondations ne sont pas assez profondes, elles ne peuvent pas supporter le bâtiment qu’il va falloir détruire. Le maître maçon déclare que le maître d’ouvrage l’a empêché de creuser des fondations profondes. Le conseil commet deux maîtres maçons qui inspecteront les lieux pour que les deux parties puissent s’accorder.

(f° 58-v) Dienstags den 27.ten Septembris 1707 – Philipp Boch der Pastetenbeck Clt. Ca. Mr Clementz Schrepfern, daß Er demselben in seinem hauß einen Keller gemacht, und das fundament darinnen ô genugsam Vntergraben, daß alßo der baw so darauf, anjetzo noth leidet, und dahero das fundament weiters unterfahren, und dargegen oben wid. abgebrochen werden muß, welches Ihme großen Vncosten Verursachet, in deme es in dem taglohn gemacht wird.
Ille sagt es seÿe seiner schuld ô, massen der bawherr es ô gestalten da allein das Sie tiefer graben, sondern jed. zeit getriben, daß (-) einmahl Maurern sollen, auch* solches auf seine gefahr, welches er mit seinen gesellen Bezeugen will.
Hierauff wurden die gesellen abgehört, welche handtrewlichen bezeuget, das der Bawherr ô Leiden wollen, daß Sie diefer graben.
Erk. daß Zween Mstr. abgeordnet werden sollen, die d. Werck nochmahlen recht examiniren und alß dann dahin trachten daß sich der bawherr Vnd Mstr. mit einand. Vergleichen wafern es aber ô sein Könnte, so solle es wied. Vor d. erste gericht Kommen, da dann ferner gesprochen werden soll waß recht ist.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jean Christophe Schneider expose en septembre 1773 aux préposés aux feux les transformations qu’il va faire dans l’atelier situé dans la cour du maître arquebusier Reule

(p. 292) Donnerstags den 9.ten Septembris 1773.
Meister Reule der Büchsen schiffter will in seiner in der schidtsgaß gelegenen behausung, lincker hand im hof eine büchsen schiffter Eße mit einem Caminschoß machen, solche an ein altes darüber befindliches Caminrohr anwölben am steinern gäbel hinauf, Von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt. [unterzeichnet] Mr. Schneider.

Description de la maison

  • 1746 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à gauche en entrant un poêle, par derrière la cuisine où se trouve le four de pâtissier et le vestibule, au premier étage trois petits poêles et un vestibule, au deuxième étage deux poêles, chambre, cuisine et vestibule, le bâtiment arrière comprend une buanderie, un bûcher, au premier le poêle et la chambre du logement militaire pour l’officier et son domestique, cave voûtée et cave solivée, puits, la maison avant a un vieux comble, couvert moitié de tuiles plates et moitié de tuiles creuses, qui renferme deux greniers dallés, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 3 200 florins
  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend sept poêles, trois cuisines et deux chambres, elle est couverte d’un comble à double couverture de tuiles plates et creuses, la cave est en partie solivée et en partie voûtée, il y a aussi un four à cuire et un puits, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 2 800 florins
  • 1779 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est en partie solivée et en partie voûtée, il y a aussi un puits, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1826, Rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Bouclier

nouveau N° / ancien N° : 8 / 8
Rubasbourg
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 279 case 2

Herrmann Jean Daniel
Simon Simon, tailleur, rue du Bouclier n° 8 (1853)

P 987, maison et cour, sol, rue du bouclier 8
Contenance : 1,58
Revenu total : 144,82 (144 et 0,82)
Folio de provenance :
Folio de destination : 279
Année d’entrée :
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 3

P 987, maison
Contenance : 1,58
Revenu total : 155,82 (155 et 0,82)
Folio de provenance : 279, Aug
Folio de destination :
Année d’entrée : 1858
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 35 / 28 en 1856
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6
1858 Simon Simon f° 279, P 987, maison, revenu 11, augmentation de construction, achevée en 1858, imposable en 1858, imposée en 1858

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 453 case 1

Simon Simon, tailleur
1871, Maehn Johann Karl, Tapezierer
1878, id. Wittwe Salome Lix
1891/92 Vogt Karl, Kaminfeger

P 987, maison, sol, rue du bouclier 5
Contenance : 1,58
Revenu total : 155,82 (155 et 0,82)
Folio de provenance : (279)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 29 p. 10 case 2

Parcelle, section 6, n° 45 – autrefois P 987
Canton : Schildsgasse Hs N° 5 / rue du Bouclier
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 1,72
Revenu : 1500 – 1900
Remarques :

(Propriétaire), compte 1266
Vogt Karl
1933 Muller Alfred sa veuve & copropriétaires
(3032)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 233 Rue du Bouclier p. 380

8
loc. Ungerer, Henri – Tailleurs
loc. de Lalongrais, André Antoine, Conseiller du Roi – Privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schildgasse (Seite 146)

(Haus Nr.) 5
Bernard, Schreiner. 0
Müller, Katasterhilfsarb. 1
Vogt, Schornsteinfegermeister. E 1
Bohn, Pensionär. 2
Dennz, Schneiderin. 2
Timreck, Eisenb-Sekr. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 899 W 413)

Rue du Bouclier 5 (1889-1996)

Le maître maçon Ludæscher remplace en juin 1889 des poutres brisées dans la cave par des poutres en fer. Il transforme la même année la porte d’entrée pour qu’elle soit plus haute et plus étroite en supprimant le fronton. Le propriétaire Alfred Muller fait refaire la cheminée en 1958. Le maçon Joseph Maisello achète la maison en 1980 et y fait aménager l’année suivante un restaurant au rez-de-chaussée, en transformant notamment une fenêtre en porte, sous la direction de l’architecte Roland Hemmerlé. Les travaux sont terminés en avril 1982. La pizzeria Via Reggio ouvre en mars 1982, remplacée en 1990 par l’enseigne S’Thomas Stuebel.

Sommaire
  • 1889 (15 juin) – Le maître maçon Ludæscher (domicilié 11, place des Orphelins) demande l’autorisation de remplacer des poutres brisées dans la cave par des poutres en fer – Autorisation – Dessin, projet de poser des poutres en fer dans la cave de la veuve Mæhn
  • 1889 (26 juin) – Le maître maçon Ludæscher demande l’autorisation de transformer une porte d’entrée selon le dessin joint pour qu’elle soit plus haute et plus étroite – Autorisation – Travaux terminés, la Ville recommande de remployer l’ancienne porte – Dessin de l’ancienne et de la nouvelle porte
  • 1898 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Vogt l’autorisation de poser une dérivation pour environ dix becs – Autorisation – Travaux terminés, avril 1898
  • 1902 – Le maire notifie le ramoneur Philippe Vogt de faire ravaler la façade – Charles Vogt demande de reporter le ravalement jusqu’à ce que les canalisations soient posées. La Police du Bâtiment accorde un an de délai. Rappel, juillet 1903. Le crépi a été réparé mais la façade n’est pas encore repeinte, début septembre 1903. Le ravalement est terminé, fin septembre
    1903 – Le maître maçon A. Metzger (3, rue des Pics) est autorisé à réparer le crépi
  • 1895 – Le maire demande au propriétaire Vogt de se conformer au nouveau règlement en supprimant les trois volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée – Rappels, 1898, 1900, 1902. Le propriétaire déclare qu’il attend que les canalisations soient posées pour faire les travaux. Le maire accorde un délai jusqu’en 1903 puis menace d’engager des poursuites judiciaires. – Travaux terminés. octobre 1903
  • Commission contre les logements insalubres. 1905, les logements et les cabinets d’aisance sont en bon état
    Commission des logements militaires. 1915, rien à signaler
  • 1930 Le locataire Nollé se plaint que les cabinets d’aisance sont défectueux. Propriétaire, Vogt chez Muller à Oberbronn. Gérant, Maurer demeurant 120, Grand-rue – Réparations terminées, juin 1930
  • 1959 – Le propriétaire Alfred Muller (28, allée de la Robertsau) a fait réparer la cheminée l’année précédente mais les locataires se plaignent du tirage. L’entrepreneur Louis Stoll a contrôlé les travaux. Le propriétaire demande à la Police du Bâtiment de contrôler les fourneaux du rez-de-chaussée occupé par des locataires qui doivent quitter leur logement par décision judiciaire. La Police du Bâtiment se rend sur place après que le locataire du rez-de-chaussée a quitté les lieux. L’affaire, due à un combustible de mauvaise qualité, est considérée comme close.
    1859 – Rapport des pompiers après une accumulation de fumée au deuxième étage. Le contrôleur estime qu’un trop grand nombre de foyers sont raccordés à la cheminée – Le propriétaire rapporte les modifications qu’il a apportées à la cheminée
  • 1980 – Le notaire Jean-Jacques Hotz (place Kléber) demande des renseignements d’urbanisme sur l’immeuble sis 5, rue du Bouclier (section 6, n° 45) qui appartient à Alfred Muller et Berthe Wolff
  • 1981 – Joseph Maisano, propriétaire de l’immeuble, demande l’autorisation de convertir le logement de trois pièces au rez-de-chaussée en local commercial pour y établir un restaurant. Le maçon Joseph Maisano dépose un permis de construire sous la direction de l’architecte Roland Hemmerlé (4, rue de Coussac à la Wantzenau)
    Description des travaux projetés : transformer une fenêtre en porte en posant une marche, transformer l’intérieur au rez-de-chaussée, ajouter un sas vers la cour pour la cage d’escalier. Estimation – Plan cadastral de situation
    Le maire transmet le dossier à la Direction départementale du travail et de l’emploi et à l’architecte des Bâtiments de France qui émettent un avis favorable
    Joseph Maisano obtient une dérogation concernant la hauteur des locaux qui ont seulement 2,85 mètres. Le Directeur départemental de l’équipement émet un avis favorable
    Le préfet délivre le permis de construire en juin 1981
    Suivi. Les travaux sont en cours (octobre 1981), ils sont presque terminés (janvier 1982). Ils sont terminés et conformes aux plans (avril 1982)
    1982 (mars) – Déclaration d’ouverture de la pizzeria Via Reggio, exploitée par Domenica Maisano
    1982 (avril) Récépissé de déclaration d’ouverture d’un établissement recevant du public (5° catégorie), pizzeria Via Reggio (surfaces 61 m² au rez-de-chaussée et 12,80 à l’entresol). Rapport de la Commission de sécurité
  • 1981 (décembre) – Joseph Maisano demande l’autorisation de poser une enseigne. Un premier projet est refusé parce que la description et la maquette ne correspondent pas – Demande, maquette (Pizeria Via Reggio, Pâtes fraîches, au-dessus des baies du rez-de-chaussée). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Arrêté portant autorisation de poser des enseignes en saillie sur le domaine public, mars 1982. Les enseignes sont posées, mai
  • 1981 – Rapport sur la détection d’oxyde de carbone dans un bâtiment d’habitation. La Police du Bâtiment constate en outre que la gaine de ventilation provenant de la pizzeria s’arrête au troisième étage. La locataire à l’origine de la plainte refuse l’accès à son logement, 1982
    1983 – Joseph Maisano est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour faire réparer et rehausser la cheminée
  • 1984 (juillet) – Joseph Maisano demande l’autorisation de poser une enseigne (caisson lumineux à double face). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable, l’objet déparerait la façade XVIII° siècle – Maquette, photographie
    1984 (novembre) – Nouveau projet qui soulève de nouvelles objections
  • 1979 – Le maire notifie Alfred Muller de faire ravaler la façade. Il prend en 1982 un arrêté portant injonction de ravalement. Alfred Muller répond qu’il n’est plus propriétaire de l’immeuble depuis le 18 mars 1980
    1983 – Le maire notifie Joseph Maisano de faire ravaler la façade en février 1983. Il prend en septembre de la même année un arrêté portant injonction de ravalement.
    1983 (septembre) – L’entreprise Spinella (à Geispolsheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade. L’architecte des Bâtiments de France donne son accord assorti de recommandations – Travaux terminés, janvier 1984. Les menuiseries n’ont pas été repeintes.
  • 1986 – Rapport de la commission de sécurité. Exploitant, M. Stivaletta
  • 1990 – La Police du Bâtiment fait remarquer que la guirlande en façade n’a pas été autorisée et invite le propriétaire à la retirer
  • 1991 – L’entreprise Litewka demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées S’Thomas Stuebel et un drapeau – Photographie de l’ancienne enseigne Via Reggio – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour l’enseigne en lettres boîtier, défavorable pour le drapeau – Arrêté du maire portant autorisation de pose d’enseigne – L’enseigne est posée, mai
    1991 (mars) La société AFP (Atelier de Fabrication Plastique à Bischheim) soumet son projet d’enseigne verticale Winstub – Photographie

Relevé d’actes

L’acte de vente passé en 1658 stipule que la maison provient de Dorothée Dessinger. Fille de tailleur, Dorothée Dessinger épouse en 1611 le farinier Daniel Müller

Mariage, cathédrale (luth. p. 261)
1611. zu mercken auf Reminiscere. Daniel Müller der melman und J. Dorothea, Melchior Desinger des schneiders nachgelaßene dochter (i 134)

Daniel Müller lègue à sa femme Dorothée Dessinger sa maison sise Marché aux fruits, près de la cathédrale

1633 (ut spâ. [5. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 410
Erschienen Daniel Müller d. Meelmann burger Zu St. gesund. leibs & guter & sinnen & wie solches auß seinen red. genugsamb war abzunemmen, Zeigte an, demnach sein vilgeliebte haußfr. Dorothea Dossingerin ihme in ihrem nunmehr 22. Järigen Ehestand alle eheliche lieb s erwÿsen, alß wölte Er Zu danckhbarer widergegeltung solcher erzeigten und noch verhoffenden ehelichen liebe dieselbe mit fernerem wÿdem bedencken, v.ordnete auch hiemit alßbalden, daß nach seinem absterben mehrbesagte sein liebe haußfraw Dorothea dessing.in ihren Leben lang Wÿdembs weÿß, vnd nach Wÿdembs recht auch d. St. St. brauch reüwiglich ohne menniglichs hindernuß inhaben, besitzern gebrauchen nutzen und nüessen, soll
die behausung, mit allen ihren gebäwen alhie vffm Obßmarckht einseit neben Lorentz Ballen dem Küefer 2.seit neben sen Müllers Eckhauß gelegen Mit Vorbehalt Zuänd.en

Marie Gœtz veuve de Régnard von Auenheim, secrétaire de la communauté de Dettwiller, hypothèque le quart de la maison au profit des enfants de sa sœur Jacqueline Gœtz, femme de Jean Neudœrffer, marchand à Nuremberg

1649 (4. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 877
Erschienen Fraw Maria Götzin Weÿl. Reinhard Von Avenheim geweßenen Gerichtschreibers Zu Dettweiler seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand Daniel Hasen deß Küeffers ihres Vogts wie auch Gottfried Von Avenheim deß wullenwebers ihres Sohns
hatt in gegensein H Johann Jacob Redwitzen deß Notarÿ Und Burgers alhie im nahmen weÿl. Hannß Newdörffers deß handelßmanns Zu Nürnberg mit auch weÿl. Jacobea Götzin ihr Mariæ Götzin eheleibliche Schwester nunmehr seel. ehelich. erziehlter Vier Kinder – schuldig seÿen die jenige 200. lb so weÿl. fraw Salome Götzin auch weÿl. H Johann Caspar Köners deßen Statt Gerichts Actuarÿ et referendarÿ seel. eheliche haußfrau seel. ihnen denen Newendörfferisch. nach innhalt deß durch weÿl. H Peter Gündeln den Notarium und Kleinen Rhats Verwanth. in A° 1639. instrumentirten Testaments verschafft hatt (…)
91. lib Welche Sie Fr. Maria Götzin nach innhalt der in der Cancellleÿ Contractstuben am 21. Julÿ A° 1646. vffgerichteter Verschreibung so lang hinderlegt Vnd von denen alhie in der Faßant Gaßen ahne H. Johann Jacob Dalen der Königl. Meÿt. Zu Franckhreich höchst bestellten Commissario Vnd Berg Vogten Zu Delsperg im Basell Verlauffen Häußern erlößt hatt, biß die Enderlische, Butzmännische Vnd Saltzmännische Vff erstgerührter Behaußung angemäßte prætensiones werd. erörtet sein
Mehr vff Ihr Mariæ Vierten theil ahne einer alhier in der Schiltzgaß. neben H Obrist Mosern Commendanten Zu Benfelden neben H. Joh: Theodosio Monacho E.E. Sÿbner Gerichts Procuratori gelegener Behaußung, welche gantze Behaußung noch Verhafftet Vmb 300. lib. dem stifft Zu St Thoman

Le Chapitre Saint-Thomas vend 400 livres au notaire Jean Georges Jæger une maison qui lui a été cédée en paiement par les héritiers de Dorothée Dessinger

1658 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 319
(Protocoll. fol. 55.) Erschienen der Wohl Ehrwürdig hochgelehrte H Balthasar Scheid S.S. Theol. Doctor & linguarum orientalium in Vniversitate patriæ Professor, und Canonicus Zu St. Thoman, alß, seiner Anzeig nach, von H Probst dechan und Capituls E. Ehrw. Collegiat Stiffts gedachter Kirch Zu St. Thoman hierzu insonderheit Deputirt mit beÿstand H Johann Jacob Mosetters alß berührts Stiffts bestellten Schaffners
in gegensein H Johann Georg Jägers Notarÿ
hauß, hoffstatt, höfflin, Bronnen, hinderstöckhlin mit allen deren Gebäwen, alhie in der Schiltzgaß. einseit neben dem Moserisch. hoff, anderseit neben H Theodosio Monacho Sibner Gerichts Procuratori hind. Zum theil vff bemelt. Moserisch. hoff, theilß vff gedacht. Monachum stoßend geleg. welche Behaußung weÿl. Dorotheæ Doßingerin seel. Erben eigenthümlich zugestand. und von denenselben, dem Stifft St. Thoman in solutum ihres darauff gehabt. Außstandts eigenthümlich übergeb. word. seÿe – umb 400. lb

Le notaire Jean Georges Jæger et sa femme Anne Marie Würtz hypothèquent le même jour la maison au profit du médecin Melchior Sebitzius

1658 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 320-v
Erschienen H Johann Georg Jäger Notarius und Anna Maria sein ehelich haußfrau und Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand Paul Würtzen deß Schreiners ihres eheleiblich. Bruders und H Johann Caspar Erhardts deß Schulschaffners ihres Vettern, alß wie Sie, vff Ernstlich Befrag, sagte, alß deroselben hierzu erbettene nechster Verwanther
in gegensein deß Edel Vest hochgelehrt. H. Melchioris Sebitzÿ Med. Doctor Professoris senioris, Comitis Palatini cæsarei, Statt Phÿsici, und E. Ehrw. Collegiat Stiffts Zu St Thoman Decani – schuldig seÿen 250 pfund, daß Sie damit nach beschriebene Behaußung erkauffen
Unterpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin, hinderstöckhlin, mit allen deren Gebäwen & alhie in der Schiltsgaß. einseit neben dem Moserisch. hoff, anderseit neben H Theodosio Monacho Sibner Gerichts Procuratori, hind. Zum theil vff vorgemelten Moserisch. hoff, theilß vff gedacht. Monachum stoßend geleg.

Fils de notaire, Jean Georges Jæger épouse en 1655 Anne Marie Würtz, fille de tailleur
Mariage, cathédrale (luth. f° 34, n° LXI)
1655. mehr zum 2 mal Sonnt 9. Trinit 12. Aug. herr Johann Geörg Jäger Notarius Cæsareus Publicus allhier, Herrn Georgÿ Jägers Eines Ehrsamen Gerichts Actuarÿ allhier Ehel. Sohn, vnd J. Anna Maria Weiland Matthiæ Würtzen des burgers vnd Schneiders alhier hinterlaßene eheliche tochter – Spiegeln Münster Ss. Phil. Mont. 20. Aug. (i 35, procl. St Thomas i 28)

Jean Georges Jæger loue la maison à Lucrèce, veuve de Jean Charles Griesbach, assesseur au Grand Sénat

1666 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 414
Erschienen H Johann Georg Jäger Notarius
in gegensein Fr. Lucretiæ weÿl. H Hannß Carl Grießbachs geweßenen alten groß. Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, mit assistentz H Johann Herbsten deß Silberarbeiters ihres eheleiblich. Bruders und vogts
Verlühen, Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen Begriffen und zugehördten alhie ahne der Obern straß. in der schiltsgaß. neben der Masonisch. hoff geleg. Zweÿ Jahr lang von Mich. nechstkünfftig angerechnet, um einen jährlich. Zinß benantlich. 18. Pfund pfenning

Notaire et receveur du margrave de Durlach à Strasbourg, Jean Georges Jæger et sa femme Anne Marie prorogent le bail consenti à Lucrèce, veuve de Jean Charles Griesbach

1668 (28. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 47-v
Erschienen H Johann Georg Jäger Notarius und Schaffner im Marggräffl. Hoff und Fr. Anna Maria sein eheliche haußfraw Und Zwar Sie Fr. Anna Maria mit assistentz Paul Würtzen deß Schreiners und H Johann Caspar Erhardt Schulschaffners alß deroselben hierzu erbettener nechtser Verwanth.
in gegensein Fr. Lucretiæ weÿl. H Hannß Carl Grießbachs geweßenen groß. Rhats Verwanthens nunmehr seel. hinderlaßener wittibin mit beÿstand H. Johann Herbst. deß Silberarbeiters ihres Bruders und Vogts
verlühen haben, ihre Behaußung alhie in der Schiltsgaßen neben dem adelich. Moserisch. hoff gelegen, Vier Jahr lang von Weÿhenacht. a° 1667. angerechnet, um einen jährlich. Zinß benantlich. 17. Pfund Zehn schilling pfenning
wann auch die Entlehnerin ein Badstüblin in der entlehnten Behaußung bawen würde, soll es Zwar un ihrem Costen gescheh., sie mag es aber auch nach geendeter lehnung wid. hienweg. nehmen, Es were dann, d. die Verleÿher, Ihro den baw Costen erstatten wollten, welchen fallß sie geg. empfang solch. baw Costens. d. Badstüblin stehen laß. solle.

Les mêmes vendent la maison à leur locataire Lucrèce, veuve de Jean Charles Griesbach

1675 (15. April), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 184
Herr Johann Georg Jäger Notarius und Schaffner im fürstl. Marggäfflichen durlachischer hoff und frau Anna Maria beÿde Eheleuth
in gegensein frawen Lucretiæ weÿl. herrn hannß Carl Grießbachß geweßenen alten Großen Raths Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin mit beÿstand herrn Johann Herbsten deß Silberarbeiters ihres Vogts und eheleiblichen bruders wie auch Johann Hammerers deß Glasers und hannß Jacob Grießbachs deß Gerbers und lederbereiters beÿder ihrer Vetters
Hauß, hoffstatt, höfflin, bronnen, hinderstöckhlin mit allen deren Gebäwen begriffen weithen Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Schiltsgaßen, einseit neben dem Wormbserischen hoff, anderseit neben Sigmund Thumers Notario ehevögtlicher weiße, hinden Zum theil uff bemelten Wormserischen hoff, theils uff gedachten Thumers stoßend gelegen, welche behaußung annoch der Käufferin, Vermög der am 11. Junÿ a° 1662. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter obligation und dabeÿ befindlicher Cession Vom 28. Januar. a° 1668. umb 250. lb d Verhafftet

Le mégissier Jean Charles Griesbach épouse en 1633 Lucrèce, fille de l’orfèvre Isaac Herbst
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 139)
1633. Dominica Quadragesimæ d. 10.Martÿ. Hans Carlen Grießbach der weÿßgerber und burger alhier, Herrn Caspar Grießbachs deß weÿßgerbers vnd beÿsitzers eines Ehrsamen großen raths alhie nachgelaßener Sohn und Jgfr. Lucretia Herrn Isaac Herbsten deß Goldschmidts und auch Alten Beÿsitzers eines Ehrsamen Großen Raths alhie eheliche dochter. Zu S. Thoman (i 145)

Les héritiers collatéraux de Lucrèce Herbst vendent la maison 600 livres au comptable Jean Henri Henrici. Le notaire Jean Georges Jæger renonce au droit de préemption qu’il s’était réservé.

1676 (20. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 70-v
H. Johann Herbst der Silber Arbeiter, Veronica, Hannß Jacob Grießbachs deß Gerbers und Lederbereiters, und Dorothea, herrn Hannß Jacob Windisch deß haußfeurers Eheweib, Jede mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, und dann Johann Hammerer der Glaßer alß Curator eingangsgemelts Herbsten dreÿ lediger noch ohnverheüratheter Kinder, und alle weÿl. frauen Lucretiæ Grießbachin gebohrner Herbstin nunmehr seel. nachgelaßene Erben
in gegensein H. Johann Henrich Henrici deß Rechenmaÿsters
hauß, hoffstatt, höfflin Bronnen mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Schiltz Gaßen, einseit neben dem Wormbserischen Hoff, anderseit neben Sigmund Thumers Notarÿ wittib hinden Zum theil uff die Thunerische Wittib, undt theils uff bemelten Wormbserischen Hoff stoßend gelegen – umb 600 pfund
Hiebeÿ ist auch erschienen Herr Johann Georg Jäger Notarius für sich selbsten und alß Ehevogt Annæ Mariæ Jägerin und hatt angezeigt, wiewohlen Sie beÿde Eheleuth beÿ Verkauffung obbeschriebener behausung Ihren den Vorkauff expresse reservirt, solchen auch der Kauffverschreibung inseriren laßen, so hetten Sie Jedoch uff selbig. gäntzlichen Verzüg gethan

Originaire de Francfort, le comptable Jean Henri Henrici devient bourgeois en 1671 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 389
Johann Heinrich Henrici, der Rechenmeister Von Franckfurt, empfangt das burgerrecht Von E. Ehrs. Rath gratis, Ist ledigen standts, und Will Zum Spiegel dienen. Jurav. den 23. 7.bris A° 1671

Fils du marchand épicier Wendelin Henrici de Francfort, Jean Henri Henrici épouse en 1673 Salomé, fille du cordier André Gœringer
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 29)
1673. Domin. 24. Tr: herr Johann Heinrich Heinrici der rechenmeister und burger alhier, weÿl. herrn Wendelini Heinrici gewesenen Specereÿ händlers und Burger in Franckfurt hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jfr. Salome, weÿl. hern Andreæ Göringern gewesenen alten burgers Es. En.. Gr. Rahts vnd Seÿlers allhier hind. Cop., ad S. Th. (i 311 – procl.. Saint-Thomas, zu St Clauß den 20. Nov)

Jean Henri Henrici se remarie en 1687 avec Elisabeth, fille du pasteur de Willstett Jean Grünelius
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 126, n° 740)
1687. Dom. Quasimodo et Misericord. den 6. undt 13 Aprilis. H. Johann Heinrich Henrici burger undt Rech. meister allhier, Fr. Elisabetha, weÿl. H Johann Grünelÿ gewesenen pfarrers zu Willstätt hinterlassene wittib. Cop. mittwoch den 16. April. Zu St Thomæ (i 65)

Jean Henri Henrici hypothèque la maison au profit du chapitre Saint-Thomas pour pouvoir en régler le prix d’achat

1676 (10. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 169-v
herr Johann Henrich Henrici der Rechenmeister
in gegensein deß Edel- hochgelehrten herrn Marci Mappus Med. Pract. et Profess. publ. beÿ hießiger Universität alß Canonici deß Stiffts St. Thomæ, und herrn Johann Jacob Moseders alß Schaffners daselbst – schuldig seÿe 200. Pfund pfenning Straßburger, daß Er damit nach beschriebene behaußung erkauffen und völlig bezahlen können
unterpfand, hauß, hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen begriffen weithen und Zugehördten alhier in der Schildsgaßen einseit neben dem Wormbßerischen hoff, anderseit neben Sigmund Thuners Notarÿ Wittibin hinden Zum theil uff die Thumerische Wittib und theils uff bemelten Wormbßerischen hoff, stoßend gelegen

Jean Henri Henrici hypothèque la maison au profit de Jacques et Jean Philippe Gering. En marge, quittance remise en 1689 à Wolfgang Régnard von Auenheim, propriétaire de la maison

1676 (17. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 213
Herr Johann Henrich Henrici der Rechemaÿster
in gegensein herrn Niclaus Claußen deß handelßmanns und E. E. Kleinen Rhats beÿsitzers alß vogts Jacob und hannß Philipps der Gering, Gebrüder – schuldig seÿe 200 Pfund
unterpfand, hauß hoffstatt höfflein mit allen deren Gebäwen begriffen und Zugehördten alhier in der Schilts Gaßen einseit neben dem Wormbserischen hoff, anderseit neben Sigmung Thumers Notar. seel. wittibin hinden Zum theil uff die Thumerische wittib und theils uff bemelten Wormbserischen hoff stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein H. Wolffgang Reichards von Avenh. alß ietzmahlig. possessoris deß hierin versetzten Und.pfands (quittung) Act. d. 9. Mart. 1689

Jean Henri Henrici hypothèque la maison au profit de la fondation Schenckbecher. En marge, quittance remise en 1720 à Jean Philippe Boch

1683 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 278
Herr Johann Henrich Henricj der Rechenmeÿster
in gegensein Herrn Johann Schragen XV. Secretarÿ alß Administratoris der Schenckbecherischen Stifftung – schuldig seÿe 200. lb
unterpfand, Hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier in der Schiltsgaßen, einseit neben dem Wormßerischen hoff jetzt Roßischen hoff, anderseit neben Sigmundt Tumerin Nor. nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Hinden Zum theÿl uff erstermelte Tumerische Erben undt Zum theÿl uff erstbesagten Rosißen hoff stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Joh: Philipp Bochen Pastetenbeck alß nunmahligen proprietarÿ hierinn hypothecirter behaußung (Quittung), Actum d. 19. 10.bris 1720

Jean Henri Henrici et les deux enfants issus de son premier mariage vendent la maison 450 livres à Loup Régnard von Auenheim, notaire et procureur à l’audience du consul régent

1688 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 153-v
H. Johann Henrich Henrici, der Rechen meister und H. Jacob Gering, der Handelßmann, sein Henrici Kind. I. Eh vogt
in gegensein H. Wolffgang Reinhard von Avenheim, Notarii Immatriculati und Procuratoris beÿ der Ammeister Audienz, mit beÿstand H. Johann Marbachs EE. Kleinen Raths Procuratoris und Actuarÿ beÿ ged. Audientz
hauß, hoffstatt, höfflein bronnen mit allen deren Gebäuen, begriff., weith., Zugehörden, Recht., und Gerechtigkeit, allhier in der Schiltsgaß, einseit neben dem Rosisch. hoff, anderseit neben weÿl. H. Sigmund Thumers gewesen Notar. sel. hind.laßene Erb. hind. theilß auff ged. Rosischen hoff, theilß auff ged. Erb. stoßend geleg., welche behaußung umb 50 lb (so dann umb 200 lb verhafftet), geschehen umb 200 pfund

Loup Régnard von Auenheim vend la maison 1 000 livres à Jean Philippe Boch, fabricant de pâtés célibataire, assisté de son curateur Jean Régnard Precht

1701 (20. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 320
(prot. fol. 35.) Erschienen H. Wolffgang Reinhard Von Auenheim, Notarius immatriculatus
hatt in gegensein Johann Philipp Bochen, des ledigen Pastetenbecks, mit beÿstand H. M. Johann Reinhard Prechten, Præceptoris Classicj vnd Ecclesiastis, seines noch ohnentledigten Curator (verkaufft)
Hauß, Hoffstatt, Höfflein, Bronnen, mit allen deren Gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten vnd Gerechtigkeiten, allhier in der Schiltsgaß, einseit neben dem Moserisch. modo Rößischen Hoff, anderseit neben Hn Philipp Villecker, Posthaltern Zu Lichtenau Ehevögtlicher weiß, hind. auff ged. beede Nachbaren stoßend, gelegen, Welches Hauß auch vmb 200 lb Capital, der Schenckbecherischen Stifftung, So dann vmb 350. lb. Capital rest Hn Johann Reichhoffern Rittmeistern Verhafftet, sonsten gegen Männiglich freÿ ledig vnd eÿg. seÿe (…) zugangen vnd geschehen für und umb 450 Pfund

Jean Philippe Boch hypothèque la maison au profit des enfants Fettich

1710 (ut supra [11. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 502
Philipp Boch pastetenbecker
in gegensein ut immediate supra usq. ad bekannt [H. Paul Flach oberschreibers im Spithal und dreÿers der statt stalls alß vogt fetticher KK 2.ter ehe] 100 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Schildsgass, einseit neben dem Moßerischen hoff anderseit neben Damien hinten auff eben sie

Jean Philippe Boch hypothèque la maison au profit de Paul Flach, l’un des trois préposés de la Taille et secrétaire général de l’Hôpital

1714 (6.11.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 797-v
Joh. Philipp Boch Pastetenbecker
in gegensein H. Paul Flach Dreÿers des statt stalls u. oberschreibers im Spithal – schuldig seÿe, 300 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert. allhier in der Schildtgass, einseit neben dem Moßerischen hoff anderseit neben (-), hinten auff besagten hoff

Jean Philippe Boch loue une partie de sa maison au brodeur Jean Cartau et à sa femme Geneviève Cheron

1717 (31.5.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 319
Jean Philippe Boch patissier
à Jean Cartau brodeur et Chenevieue Cheron
dans sa maison sçituée icy in der schildtsgass d’un côté L’hotel nommé Roscherischen hoff les commodités suivantes, sçavoir un poele deux chambres cuisine et la separation d’une cave, Item un grenier, pour un an à commencer a la St Jean de cette année – moyennant un loyer annuel de 150 livres tournois

Jean Philippe Boch loue une cave voûtée au revendeur Zacharie Krafft

1718 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 362
Joh: Philipp Boch pastetenbecker
in gegensein Zacharias Kraft gremp
entlehnt, einen gewölbten keller in seinem hauß allhier in der Schildtsgass einseit neben dem Roßischen hoff anderseit neben Lambrecht hinten auff H. v. Rathsamhaußen sambt 400 ohmen vaß – auf 4 jahr anfangend von dato ahn, um einen jährlichen Zinß nemlich 27 fl.

Jean Philippe Boch loue une cave aux cloutiers Jacques Bœhm et Jean Schwartz

1718 (10.10.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 504-v
Joh: Philipp Boch pastetenbecker
in gegensein Jacob Boehm und Joh. Schwartz beder nagelschmidt
entlehnt, in seinem hauß allhier in der Schildtsgass den vördesten Keller mit 330 ohmen vass, auf 4 jahr lang anfangend von dato – um einen jährlichen Zinß nemlich 52 lb
[in margine :] auffhoben den 10. Julÿ 1724

Jean Philippe Boch hypothèque la maison au profit des juristes Jean Frédéric et François Œsinger

1720 (19.12.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 573
Johann Philipp Boch der Pastenencker
in gegensein hern Johann Friedrich Ößingers U. J. Lti und E. E. kleinen Raths Referendarÿ und herrn Francisci Ößinger U. J. Ddi et Contractus Actuarÿ, ihme Referendarÿ Ößinger 350 pfund und ihme hrn Actuarÿ Ößinger aber 200 pfund
unterpfand, eine Pastetenbecken behausung mit allen zugehörden, begriffen, gebäuden und gerechtigkeiten in der großen Schildts gaßen, einseit neben dem alt Moßerischen hoff anderseit neben Niclaus Lambrechts scheur hinten auff ged. hoff

Jean Philippe Boch loue une cave à Jean Mathieu Knauer

1722 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 595-v
Johann Philipp Boch Pastettenbeck
in gegensein Johann Mathäus Knauer
In seiner in der großen Schildts: gaß neben dem Roßaischen hoff gelegenen wohnbehausung den Mittlern gewölbten Keller sambt denen 8 großen und einen kleinen darinnen befindlichen 370 ohmen ohngefehr haltenden Vaß – auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend von heutigem tag – um einen jährlichen Zinß nemlich 22 gulden

Jean Philippe Boch loue une cave au marchand Georges Geoffroi Gambs

1724 (7. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 556-v
Johann Philipp Boch Pastettenbeck
in gegensein H. Georg Gottfried Gambß ledigen handelsmanns
In seiner allhier ahne der Schildts gaß einseit neben dem Roßaischen hoff anderseit neben Nicolauß Lamprecht dem Schuemacher gelegenen behausung, den vordern auff die gaß sehenden gebtrömten Keller, beneben denen darinn befindliche ohnfefähr 350 Ohmen haltenden faßen sambt Liegerlingen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Martini – um einen jährlichen Zinß nemlich 16 gulden

Les experts estiment la maison 1 600 livres dans l’inventaire dressé en 1746 après la mort de Jean Philippe Boch et 1 400 livres dans celui dressé en 1754 après la mort de Susanne Alber. Les loyers réglés en 1754 et en 1755 figurent dans un état joint à l’inventaire de 1754.
La maison revient aux deux petits-enfants de Jean Philippe Boch, issus de sa fille Anne Marie qui épouse en 1736 le maréchal ferrant Jean Werner : contrat de mariage dans lequel les parents Werner louent à leur fils l’atelier de maréchal ferrant, célébration

Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten Meister Johann Wörner dem jüngern, leedigen Huffschmidt und burgern allhier zu Straßburg, des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Werner des auch Huffschmidts und burgers allhier ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb, ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Anna Maria Bochin, des Ehrem und Wohlvorgeacht, Herrn Johann Philipp Bochen, des Pastetenbecken und burgers allhier ehelich erziehler Tochter als des Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern Theil
Sechstens haben des bräutigambs Vielgeliebte Eltern Meister Johannes Wörner der ältere Eingangs gedacht und Frau Maria Elisabetha gebohrne Heimin beede Eheleuthe denen Neuverlobten hochzeiterlichen Persohnen das Hueffschmid handwerck auff Zwölff Jahr lang von Johannis Baptistæ dießes 1736. Jahs an: biß auff gleichem Termin Anno 1748. Wieder außgehend übergeben, Zu dem Ende Verlehnen Sie Ihnen in Ihrer eigenthümlichen ane dem Metzgergiesen allhier gelegener behaußung die Werckstatt sambt einer Wohnung Zwo Steegen hoch, Vornen auf die Gaß herauß, bestehend in Stub, Stub Cammer und Küchen, ferner der Schmid knecht Cammer und noch eine andere Cammer, ingleichem Platz Zum holtz und im Keller ohngefähr 50 Ohmen Wein Zulegen, für welches alles Sie beede Neuangehende Eheleuth ane sein des hochzeiteren geliebte Eltern ale Jahr 60 Guden Zinß abzurichten – auf Freÿtag den 16. Monathstag Novembris im Jahr des Herrn mann Zahlt 1736. – Johannes Lobstein, Notarius juratus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 13-v)
1736 Mittwoch d. 28. 9.br sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation vnd außruffung so Zu St Thomæ und Zu St. Nicolai geschehen, Zu St Thomæ ehelich copulirt und eingesegnet Worden Johannes Werner der ledige huffschmidt vnd burger alhier Hn Johann Werner des huffschmidts und burgers alhie ehelicher sohn vnd Jungfr. Anna Maria H. Johann Philipp Bochen s. Zucker und pastetenbecken Wie auch burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Werner alß hochzeiter, Anna Maria bochin als hochzeiterin (i 15)

Anne Marie Boch meurt en 1746 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Bouchers. La masse propre au veuf s’élève à 358 livres, celle des héritiers à 411 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 474 livres, le passif à 5 419 livres
1746 (20.1.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 60) n° 1398
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Viel Ehren und tugendreiche Frau Anna Maria Wernerin, gebohrne Bochin, des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Johann Werners, des Jüngern Hueffschmidts und burgers allhier Zu Straßburg geweßene ehel. Haußfrau nun seel., nach Ihrem den Mittwochs d. 15.ten Decembris des Zuend gelegten 1745. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Daniel Bochen, Caffetier und burger allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johannis, Annæ Mariæ, Margarethæ der Werner, der Verstorbenen, Frau en seligen mit Vorgedachten ihrem hinterbliebenen H. Wittiber erziehter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auff Donnerstag d. 20.ten Januarÿ Anno 1746.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. In der Meel Cammern Inm Kinde Stübel, In der Magd Cammer, In der obern vordern Stub, In der obern vordern stub Cammer, In der Obern Kuchen, In der untern Kuchen, In der untern wohnstub, In der Soldaten Cammern Im Keller
Eigenthumb ane Häußern (T.) Eine behaußung und hoffstatt im Metzgergießen (…)
(T.) Item eine behaußung im Metzgergießen (…)
(f° 20) Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeder Eingangs gedachter geweßener Eheleuth einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1738 durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Abzug In gegenwärtig Verlaßenschaffts Inventarium. Des herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeug Zum hueffschmid handwerck gehörig 38, Sa. Silbers 14, Erg. Rest 393, Summa summarum 458 lb – Schulden 100 lb, Nach deren Abzug 358 lb
Der Erben ohnverändert gutt, Sa. haußraths 95, Sa. Silbers 15, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 17, Sa. Schulden 100, Erg. Rest 171, Summa summarum 411 lb
Theilbares Vermögen, Sa. haußraths 79, Sa. Werckzeug und gemachte arbeit zum huffschmid handwerck gehörig 151, Sa. Viehe 1, Sa. Meels 10, Sa. Haberns 107, Sa. häu und Strohs 26, Sa. Weins und Lähre Vaß 28, Sa. Schiff und geschirr Zum fuhrwerck gehörig 6, Sa. Berlinen, Chaise und Gutschen 301, Sa. Pferd 116, Sa. baarschafft 152, Sa. Silbers 1, Sa. Geschmeids 2, Sa. Eigenthumns ane häußern 3162, Sa. Schulden 1326, Summa summarum 5474 lb – Schulden 5419 lb, Nach solchem Rabbat 55 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 825 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schuld in das Erbe Zugeltend 385 lb
Copia der Eheberedung – (…) auf Freÿtag den 16. Monathstag Novembris im Jahr des Herrn mann Zahlt 1736. – Johannes Lobstein, Notarius juratus

Jean Werner se remarie en 1746 avec Anne Marguerite Kammerer, fille de cordier : contrat de mariage, célébration
1746 (21.2.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 80) n° 502
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Werner, dem jüngern Huffschmid, Wittiber und burgern allhier Zu Straßburg, als dem herrn bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrau Anna Margaretha Kammererin, des Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Kammerers, Seÿlers mit der hoch Ehren und tugendreichen frauen Anna Margaretha Kammererin gebohrner Saumin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter tochtern alß der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem anden theil
Ane dem Achten, hat der herr Bräutigamb seiner Vielgeliebten Jungfrauen hochzeiterin (…) seinen zween drittetheil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung und hoffstatt in dem Metzgergießen (…)
So beschehen und Verhandelt in Löblicher Statt Straßburg, auf Montag den 21. tag des Monaths Februarÿ im Jahr 1746.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 16)
1746. Mittw. den 11. Maji seind nach zweÿmahl Vorhergeschehene Proclamation in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Herr Johannes Werner jun. Hufschmid und burger allhier Wittwer und Jungfr. Anna Margaretha herrn Johann Jacob Kammerer des Seilers u. Burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Werner alß hochzeiter, Anna Margaretha Kammererin als hochzeiterin (i 81)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 985 livres, ceux de la femme à 1 052 livres
1746 (25.5.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 61) n° 1408
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Wohl vorgeachte herr Johannes Werner, der jüngere hueffschmid und die Viel Ehren und Tugendreiche frau Anna Margaretha Wernerin gebohrne. Cammererin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines jedem in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 25.ten Maÿ et seq. Anno 1746.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und dem Ehemann Vor ohnverändert zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern (H.) Eine behaußung und hoffstatt im Metzgergießen (…)
(H.) Item eine behaußung im Metzgergießen (…)
Abzug inn gegenwärtig Zugebracht Nahrung Inventarium gehörig. Des Herrn ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 346, Sa. Werckzeugs auch gemachter arbeit Zum hueffschmid handwerck gehörig 1049, Sa. bachmeels 9, Sa. haberns 204, Sa. Viehes 2, Sa. Pferd 486, Sa. häw und Strohs 79, Sa. Schiff und geschirr Zum fuhrwerck gehörig 29, Sa. Weins und Lährer Vaß 133, Sa. Berlinen, Chaise auch Gutschen Geschirr 759, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 77, Sa. Goldenen Rings 32, Sa. baarschafft 117, Sa. Eigenthums ane häußern Nihil, Sa. Schulden 2046, Summa summarum 5373 lb – Schulden 4456 lb, Nach solchem abzug verbleibt ane des herrn in die Ehe gebrachter Nahrung dem billichen wehrt nach annoch per rest und in Vostandt ahne die häußer, als welche ohnangeschlagen gelaßen worden 908 lb – Haussteuren 76, des Hn in die Ehe gebracht guth 985 lb
der Frauen in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 180, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 84, Sa. goldener Ring 83, Sa. baarschafft 626, Summa summarum 975 lb – Haussteuren 76, der Fraun in die Ehe gebracht guth 1052 lb

Jean Werner meurt en 1756 en délaissant deux enfants issus de son premier mariage et cinq du deuxième. La masse propre à la veuve s’élève à 1 576 livres. Comme la veuve renonce à la communauté, les biens des héritiers et de la communauté sont décrits en une seule masse dont l’actif s’élève à 5 485 livres et le passif à 7 728 livres. Les biens qui appartiennent aux enfants du premier mariage du chef de leur grand-père sont cités pour mémoire parce que la succession n’est pas liquidée

1756 (6.12.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 790) n° 107
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest: und großachtbahren Herrn Johann Werners geweßenen Hueffschmids und Wohlangesehenen burgers allhier seel. Verlassenschafft, als derselbe Sontags d. 17. oct. dießes lauffenden 1756.sen Jahrs dießes zeitliche mit den ewigen verwechselt, auf Ansuchen der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Annä Margarethä geb. Kammererin der hinterbliebenen Fraun Wittib beiständlich S.T. Herrn Frantz Heinrich Dautel Notarii publici und berühmten practici, durch die Wittib Wie auch ane Susannam Rißin H. Johann Georg Riß des handelsmanns verlaßene Ehefrau, die durch Dorotheam Schweitzerin vom Gumbertshoffen gebürtig die beede dienstmägd
der abgeleibte herr seeliger hat ab intestato zu Erben verlaßen als folgt, 1. Johann Wörner den ledigen Huffschmid, 2. Anna Maria Wörnerin dieße beede des Verstorbenen mit auch weÿl. Fr. Anna Maria geb. Bochin seiner erstern Ehefraun erzeugte Kinder, deren geordnet und geschworenen vogts Herr Johann Daniel Boch den Caffésieder, 3. Johann Jacob, 4. Margaretham Barbaram, 5. Johann Gottfried, 6. Johann Heinrich Und dann 7. Catharinam Salome die Wörner, dieße 5 in zweÿter Ehe mit deßen Wittib erziehlte Kinder

In einer ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung
(f° 21) Eigenthum ane Häußern, (E.) Erstl. eine Remise s. darauf gebauene bühn so ehedießem eine völlige behausung geweßen in A° 1753 aber unglücklicher weiß abgebrant gelegen allhier ane dem Metzgergiesen einseit neben der seith dießem erkaufften und in dieße theilbare Verlaßenschafft gehörigen behaußung anderseit ist ein Eck ane der kleinen Viehgaß hinten auf Georg Breßler dem Pflästerer stoßend gelegen, davon gibt man jährlich denen bilonischen Erben 6 ß 8 d ane bodenzinß, (laut) Abschatzung zeduls vom 31. Xbris 1756 gewürdiget für 256 lb, Darüber soll besagen ein Kauffbrieff d.d.to 13. 9.bris 1742 so sich dermahl nicht mehr befunden sondern verbrannt ist
It. eine behaußung bestehend in Vorder und hinter Hauß, Hoff, Stallung und Hoffstatt mit allen übrigen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Metzgergießen allerhinterst im kleinen Viehgäßlein 1.s neben H. Carl Gäckler dem Metzger 2.s neben balthasar Scheerer dem Metzger hi. theils auf das bierhauß zu denen 3.en Königen und theils auf H. Cornelius Jacob Weÿher den handelsmann stoßend gelegen, davon gibt man jährlichen denen bilohnischen Erben 7 ß ewigen Gelds, (laut) Abschatzung zeduls gewüdiget für 836 lb, Ghierüber soll besagen ein Kauffbrieff mit C.C. Insigel de dato. 20. 7.bris 1745 sich aber dermahl nicht befunden sondern auch verbrannt,
An dießen beeden Posten seÿend dem H. seeligen 2/3.ter oder 10/15.te theil als ein in erster Ehe mit weÿl. Fraun Anna Maria Wernerin geb. Bochin seiner erstern Ehefraun seel. erkaufft theilbahre Guth gehörigen, sodann hat derselbe von dem übrigen dritten Theil oder dene 5/15.te theil 3/15.te theil von 3.en verstorbenen Kinderen i.ter ehe geerbet, man hat ab. jedannoch dieße beede Posten für voll hier eingebracht, die Ursach hievon ist beÿ dem Wÿdumb hieunter umständl. gemerckt, die übrige 2/5.te theil seÿn denen beeden noch lebenden Kinderen erster Ehe vor mütterl. Guth gehörig und sollen hieunten dem Wÿdumb inserirt werd.
(E. T.) It: eine behaußung Hoff und Hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen ane dem Metzgergießen 1.s neben Vorherbeschriebener behaußung zum theil und zum theil neben Joh. Georg Breßler dem Pflästerer 2.s neben diebold Willig dem Wagner hinten auf weÿl. Joh. Martin Albrecht des Mehlmanns hinterlassen Erben stoßend gelegen, davon gibt man jährl. denen bilonischen Erben 12 ß an bodenzinß, so dann reicht man d. Statt Straßburg Pfenningthurn nun mehro von einem Wetterdach und den Nothstall 1 lb 10 ß allmend zinß, (laut) Abschatzung Zeduls gewürdiget für 1916 lb, dießerwegen ist vorhanden eine in C.C. Stub gefertigte Kauffverschreibung mit C.C. Insiegel coroborirte d.d. 8. mart. 1753
Ergäntzung, den 25. maÿ seq. 1746 durch Not. Johann Lobstein Inventarÿ
Wÿdems Welcher der verstorbene seeliger Von weÿland Fraun Anna Maria Wernerin geb. Bochin seiner Erstern Ehefraun seel. wegen denen mit Ihro erziehlten und nach tod verlaßenen Kindern biß an sein seel. Absterben genoßen hat, Vermög des über weÿl. Fraun Anna Maria Wernerin des defuncti gewes. haußfrauen seel. durch Not. Johann Lobstein d. 20. Januarÿ 1746 Verlassenschafft Inventarÿ und daraufhin beÿ En. Löbl. Vogteÿ Gericht gezogenen summarischen Calculj und verrichteten Vertrags so den 5. Augusti 1748 beÿ E. E. Großen Rathh confirmirtet worden (…), haben dieße beede Kinder 1.ster Ehe 2/15.te theil ane einer Remise und darauf gebauenen bühn (…) wie auch 2/15.te theil ane einer behaußung auch ane dem Metzgergießen allerhinterst im kleinen Viehgäßlein gelegen gegen einschießung des in vorbemeldetem Kinder vertrag hin solche 2. häußer zu 5/15.te theil einzuschießendem pretÿ für ererbt mütterlich guth zu erfordern umb über dießen Wÿdemb hier nicht weitläuffig zu machen, hat man denen beeden Kindern erster ehe Ihre 2/15.te theil solcher Gebäude dißorths jedoch ohne einige præjudiz nicht in natura zugeschrieben sondern solche beede Posten Vorher* für Voll der Erben ohnveränderten und theilbahren Vermögen beÿgesetzt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, silbers 2 lb, goldenen ring u dergl. Geschmeidt 25 lb, baarschafft 27 lb, Schulden 150 lb, Ergäntzungs Rest 1371 lb, Summa summarum 1576 lb,
der Erben ohnverändert und theilbahr Guth, hausrath 194, Werckzeug und gemachte Arbeit 345 lb, Pferd 44 lb, Weitzen 63 lb, heus und strohs 15 lb, Wein und lehrer Faß 170 lb, Schiff und geschirr 10 lb, Berliner, Chaise auch Kutschen 376 lb, silbers 33 lb, goldener ring 4 lb, baarschafft 187 lb, Pfenningzinß hauptgüter 100 lb, häußern 12 988 lb, Schulden 950 lb, Summa summarum 5485 lb, Schulden 7728 lb, Passiv onus 2242 lb, mher Schulden als Nahrung 62 lb
Pro Nota – (f° 27-b) ferner ist zu berichten, daß unter dießer Massa nicht begriffen dasjenige was die 2 Wernerische Kinder Erster Ehe von weÿl. H. Johann Philipp Boch dem geweßenen Pastetenbeck ihren GroßVatter längst seel. geerbet haben, dem nun auch weÿl. Frau Susanna bochin geb. Alberin deßen wittib als den 5. Wernerischen KK. i.ster fr. Großmutter seel. solches alles biß an Ihr seel. absterben wÿdembsweiß genoßen hat nun ist Vor ohngefehr 2. Jahren die Fr. Susanna Bochin geb. Alberin die Großmutter auch seel. verschieden als daher hatte sogleich sothane Verlaßenschafft debattirt und einem jeedem des jenigen zugetheilt werden sollen und auf solche weiße hätte der defunctus seel. Von seinen 5. Kindern i.ster Ehe als Erb dreÿen nach dem Großvatter seel. Verstorbenen Kinder 3/5.te theil bezogen, angesehen aber die Völlige Groß Elterl. Massa meistens in der ane der Schiltzgaß gelegenen behaußung si 1.s neben Löbl. Statt gehörigen behaußung und 2.s neben S.T. H. Georg Heinrich Bähr Med. Dr. allhier und dann m. i. taback Mühl sambt nebens haußlein und Karchschopff mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, vor dem Judenthor unten an dem Spithalfeld gegen der Ruprechtsauer waßerzoll über i.s neben H. Lungen dem handelsmann zu Collmar 2.s neben H. rathh. diebold Von Fridolsheim G.V.W. Vornen auf die Preusch stoßend gelegen Von welcher gantzen Mühl man Jährl. gemeiner Statt Pfenningthurn wegen dem Waßerfall 7 lb 10 ß zu lieffern schuldig bestehet (…) als ist biß dahero des Großelterl. Geschäfft ohnerörtert geblieben
Wÿdembs: Verfangenschafft So Frau Anna Margaretha Kammererin geb. Saumin weÿl. herrn Johann Jacob Kammerers geweßenen Seÿlers Wittib von Ihrem Eheherrn seel. die tage Ihres lebens zu genießen hat, Inventarium Not. Lobstein 1755 errichtet
Copia der Eheberedung (…) den 21. feb. 1746, Not. Johann Lobstein
Vergleich und überlaßung (…)

Jean Daniel Boch vend au nom de ses neveu et nièce Jean et Anne Marie Werner la maison 1 500 livres à l’arquebusier Henri Adam Reul

1762 (24.12.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 437-v
Johann Daniel Boch der caffesieder als vogt weÿl. Johann Werner des huffschmidts 2 kinder 1. ehe Johann und Anna Maria der Werner
in gegensein H. Heinrich Adam Reuhl des büchßenmachers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Schildsgaß, einseit neben weÿl. H. Dr. Behr wittib und erben, anderseit neben einem löbl. Stadt gehörigen hauß, hinten auff H. von Rathsamhausen – um 1500 pfund

Originaire de Cronberg (Kronberg im Taunus), Henri Adam Reul épouse en 1732 Marie Madeleine Kast, fille d’un marchand de cuir : contrat de mariage, célébration
1732 (3. 9.br), Me Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 280
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Vorgeachten herrn Heinrich Adam Reuhl, dem Ledigen büchßenmacher von Cronberg gebürtig, weÿland des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Reuls, des geweßenen Metzgers und burgers daselbsten, nunmehr seeligen nachgelaßene em Sohn, als dem bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehren vnd tugendsamen Jungfrauen Maria Magdalena Kastin weÿland herrn Johann Friderich Kasten geweßenen Exsenatoris und Lederhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen nachgelaßener tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auff Montag den 3.ten Novembris Anno 1732. [unterzeichnet] Heinrich adam Reuhl Als hoch Zeiter, Maria Magdalena Kastin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 225-v n° 1286)
Anno 1732 den 19 Novembr. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Heinrich Adam Reÿl der ledige buchsenmacher von Cronenberg Chur Maÿntzischer Herrschafft weÿland Johann Reÿl deß gewesenen burgers und metzgers daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Maria Magdalena weÿl. Joh: Friderich Kast deß gewesenen burgers und handelsmanns alhier hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Heinrich Adam Reuhl als hoch Zeiter, Maria Magdalena Kastin alls hochzerin (i 230)

Henri Adam Reul devient bourgeois en 1779 en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 992
Heinrich Adam Rüehl d. buchßenmacher Von Cronberg geb. erhalt d. b. Von sein ehe fr. Maria Magd. H. Kasten tochter umb d alten b. will beÿ E E Zunfft d. schmitt dienen Jur d 10.ten Decemb. 1732

Marie Madeleine Kast meurt en 1779 en délaissant sa fille Marie Madeleine, alors mariée à l’arquebusier Jean Guillaume Ruppersburg. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 750 livres, le passif à 16 livres.

1779 (15.4.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 825) n° 850
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und Viel Tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenä Reulin geb. Kastin Hn Heinrich Adam Reul, des büchßenmachers und b. alhier Zu Straßburg geweßener Ehegattin nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1779. – nach Ihrem Montagß den 18.ten Januarÿ dießes laufenden 1779.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft inventirt worden, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren erstgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Fr. Mariä Magdalenä Ruppersburgerin geb. Reulin, Hn Johann Wilhelm Ruppersburg des büchßenmachers und burgers allhier Ehegattin beiständlich deßelben, dieße ist der Verstorbenen Fr. seel. mit Ihme dem hinterbliebenen Wittibers ehelich erziehlte tochter und ab intestato Verlaßenen Universal Erbin – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 15.ten aprilis 1779
Copia beder Zertrennten Eheleuth den 3. 9.bris 1732. Vor Weil. H. Not° Johann Lobstein seel. mit einander errichteter heuraths: Verschreibung
Copia der Verstorbenen Fr. seel. Vor mir Notario und fünff Gezeugen den 14. Maÿ 1767. errichteten Codicilli
Bericht und respectvé Vergleich dießer Verlaßenschafft betreffend (…) daß die völlige Vorhandene Massa unter einem titul beschrieben und ohne weitere untersuchung dem H. Wittiber in hiender* und Genuß gelaßen sein solle

In einer allhier Zu Straßburg in der großen Schild Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befund. worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Nehmlichen eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen Gebäuden, begriffen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Schilds Gaß 1. seit neben Herrn licent. Michels, anderseit neben einem gemeiner Statt gehörigem Hauß, hinten auf H. Martzloff den Tabachändler stoßend gelegen, so gegen männiglich frei ledig eigen und durch löblicher Statt geschwornen Werckeute Vermög Abschatzung Zettels Vom 29.ten Aprilis hujus anni gewürdiget pro 750. lb. Dießer wegen ist vorganden ein in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertigter Pergamenter Kauffbrieff mit dero anhangendem Insigel sub dato 24. Xbris 1762. Dabei ein ältere auch in allhiesiger Cantzleÿ Contract Stub gefertigter teutsche Pergamenter Kauffbrieff vom 20.ten Junÿ 1701. mit dero abhangenden Insiegel Versehen.
– Abschatzung Vom 29.ten apprill 1779. Auf begeren Herr Heinrich Rühl dem büchsenmacher ist Eine behausung alhier in der statt Straßburg in der groß schiltz gaß gelegen Ein seÿts neben Herr procurator Michel, ander seÿts und hinden auf Eine behausung löbl. statt gehörig stoßend gelegen, solche behausung bestehet in ferder und hinter gebäu worinnen dreÿ stuben, dreÿ Kuchen und Etlichen Kammern darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter und Ein getrempter Keller hoff und bronnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschworenen Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend fünff Hundert gulden. [unterzeichnet] Hueber, Götz Wmstr, Kaltner Wmstr.
Werckzeug Zur büchßenmacher Profession gehörig
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 67, Sa. Werckzeug Zur büchßenmacher Profession gehörig 6, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 8 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750 lb, Summa summarum 828 lb – Schulden 16, Nach deren Abzug, Stallsumm 812 lb

Henri Adam Reul meurt en janvier 1784. Sa fille devient alors propriétaire de la maison en totalité

Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1768-1788, f° 173 n° 43) Freÿtag den 2. des Jenners 1784. starb weiland Herr Heinrich Adam Reuhl, geweßener Bürger und Büchsenmacher allhier im Augst des Jahres 1706 geborene Nächstfolgenden Montag wurde Zu St. Helenä unter Amtsführung des unterschriebenen Diaconi, die Leiche christlich beerdiget [unterzeichnet] Johann Wilhelm Ruppersburg als tochtermann (i 177)

Marie Madeleine Reul épouse en 1753 Georges Frédéric Salomon, enseignant au Gymnase : contrat de mariage, célébration
1753 (9.4.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 80) n° 566
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehrenvest, Großachtbahr und Wohlgelehrten Herrn M. Georg Friderich Salomon, Sextæ Curiæ Gymnasÿ wohlbestelltem Præceptori ordinario, weÿland des Ehrenvest und hochachtbahren herrn Johann Salomon des geweßenen Weißgerbers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenen herrn Sohn, alß dem herr en Bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfraun Maria Magdalena Reulin, des Ehrenvest und hochachtbaren herrn Heinrich Adam Reulen Kunsterfahrenen büchßenmachers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugter Jungfer tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
Beschehen und Verhandelt seind diße ding in Straßburg auff Montag den 9. tag des Monats Aprilis in dem Jahr des Herrn als mann Zahlte 1753 – [unterzeichnet] M. Georg Friderich Salomon alß Hochzeiter, Maria Magdalena Reuhlin als Hochzeiterin
daß gegenwärtige pacta dotalis mit alleseithigem belieben alß tractirt und placidirt worden, solches wird von mir unterschriebenem Notario Crafft diße meinem eigenhändigen unterschrifft beschienen, Johann Lobstein Notarius juratus

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 83-v, n° 492)
Anno 1753 Mittwoch den 2. Maÿ seind nach vorhergegangenen ordentlicher proclamation und Außruffung zu St Thomæ und Zu St. Nicolai geschehen, Zu St Thomæ ehelich copulirt und eingesegnet Worden Herr M. Georg Friderich Salomon Gymnasÿ Præceptor weÿl. Hn Johannes Salomon gewesenen Weisgerbers und burgers alhier H.en ehel. Sohn und Jungfr. Maria Magdalena Reuhlin Hen Heinrich Adam Reuhl Büchsenmachers und burgers allhier ehel. tochter [unterzeichnet] M. Georg Friderich Salomon als Hochzeiter, Maria Magdalena Reuhlin als Hochzeiterin (i 86)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison sise Petite rue de l’Eglise. Ceux du mari s’élèvent à 219 livres, ceux de la femme à 643 livres
1753 (9.7.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 73) n° 1587
Inventarium und beschreibung der jenigen Haab, Nahrung und güethere, so der wohl ehrenvest Großachtbahre und wohlgelehrte M. Georg Friderich Salomon, Sextæ Curiæ Gymnasÿ wohlbestellter Præceptor ordinarius und die Viel Ehren und tugendreiche frau Maria Magdalena Salomonin gebohrne Reuelin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand zugebracht, welche der Ursachen all dieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung expressé reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben wolle – So beschehen in Straßburg auf Montag den 9.ten Julÿ Anno 1753.

In einer allhier zu Straßburg beÿ dem Kleinen Kirchgäßel gegen der Kleinen Metzig über gelegener und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden wordne wie volgt
Abzug. Des Hern M. in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 57, Sa. Bibliothec 50, Sa. Silbers 14, Sa. goldenen ring 8, Summa summarum 130 lb – dießer Summ ist ferner (…) beÿzusetzen der halbe theil ane denen haussteuren 88 lb – des Herrn M. Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 219 lb
der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 158, Sa. silber geschirr und Geschmeids 19, Sa. goldener Ring 50, Sa. baarschafft 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Summa summarum 555 lb – Hierzu ist nun ferner beÿzusetzen die helffte ane denen verehrten haußsteuren 88, der Frauen Magisterin gantz in die Ehe gebracht guth 643 lb
Copia der Eheberedung (…)

Georges Frédéric Salomon meurt en 1761 après avoir institué sa femme pour sa légataire universelle. L’inventaire est dressé dans une maison place du Temple-Neuf. L’actif de la succession s’élève à 839 livres, le passif à 37 livres.
1761 (28.12.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 799) n° 261
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn M. Georg Friderich Salomons Sextæ Curiæ Gymnasÿ Wohlbestellt geweßenen Præceptoris ordinarÿ und wohlangesehenen burgers allhier Zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft arrichtet in Anno 1761. – nach seinem Donnerstags d. 19.ten Novembris dießes Zu End lauffenden 1761. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Edeln Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä Salomonin gebohrner Reuhlin, der hinterbliebenen Frau Wittib als deßelben vermög gleich hernach inserirten Testamenti nuncupativi und Von Es. En Großen Rath erhaltenen Indulti testandi Verlaßener universal Erbin, beÿständlich S. T. Hn Johannes Striedbecks Kunstberühmten Kupfferstechers und wohlangesehenen burgers allhier – So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerm beÿseÿn herrn Heinrich Adam Reul de büchßenmachers und burgers allhier, der Frau Wittib geehrten Hn Vatters auff Montag d. 28. Decembris Anno 1761.
Copia des verstorbenen herrn seel. Vor mir Notario und Sieben Gezeugen d. 16. Novembris 1761. errichteten Testamenti nuncupativi
Bericht in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig

In einer alhier Zu Straßburg gegen der neuen Kirch über gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 76, Sa. Bibliothec 15, Sa. Weins und lährer faß 47, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 19, Sa. goldener Ring 31, Sa. der baarschafft 100, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 550, Summa summarum 839 lb – Schulden 37 lb, Nach solchem abzug 802 lb
Sa. Zweiffelhaffte und Verlohrene Schuld 108 lb
Hiervon aber ist annoch um die Stall summam zu formiren von 550. lb vorher eingetragenen Capitalien so Zu 4. pro Cento verzinßt worden, ein Fünffte theil abzuziehen mit 110. lb, Erträgt demnach die Stamm Summa dießes Inventarÿ in allem, benantlich 692 lb

Marie Madeleine Reul se remarie en 1773 avec Guillaume Ruppersburg, arquebusier originaire de Giessen en Hesse : contrat de mariage, célébration
1773 (14.4.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 357
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Hr Wilhelm Ruppersburg, der leedige büchßenmacher von Gießen gebürtig, weiland H. Alexander Ruppersburg, des geweßenen Schreiners und burgers in gedachtem Gießen seel. nachgelaßener majorenner Sohn,als hochzeiter ane einem,
So dann die Viel Ehren: und tugendsahmen Frau Maria Magdalena geb. Reulin, weiland Hn. M. Georg Friderich Salomon, geweßenen Sextæ Curiæ gymnasii Præceptoris und burgers allhier seeligen nachgelaßener Fr. Wittib beiständlich Hn Heinrich Adam Reul, des büchßenmachers und burgers allhier dero geliebten Vatters als Fr. hochzeiterin ane dem andern theil – auf Mittwoch den 14. Aprilis Anno 1773, [unterzeichnet] Johann Wilhelm Ruppersburg, Maria Magdalena Salomonin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 242-v n° 984)
Im Jahr 1773 Mittwoch den 14. Junÿ sind nach zweÿmahliger ordentlicher Proclamation vnd Ausruffung so Zu St Thomæ in eben dieser Kirche ehelich copulirt und eingesegnet Worden Johann Wilhelm Ruppersburg, der ledige büchsenmacher von Gießen gebürtig weiland Alexander Ruppersburg gewesenen herrschafftlichen Schreiners und burgers in Gießen Hinderlaßener ehelicher Sohn, und Frau Maria Magdalena gebohrner Reuhelin, weiland Hern M. Johann Georg Salomon hinterlassene Wittib [unterzeichnet] Johann Wilhelm Ruppersburg als Hochzeiter, Maria Magdalena Salomonin als hochzeiterin (i 247)

Guillaume Ruppersburg devient bourgeois deux mois après son mariage : inscription au libre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1773; Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 88
Johann Wilhelm Rupperburg, der büchsenmacher von gisen gebürtig erhalt das burger recht von seiner Ehefrauen Maria Magdalena weÿl. H. M. Joh: Georg Salomon hinterl. wittib und burgerin allhier umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Schmidt, Jur. den 8. Aug. 1773.

(VI 286 bis, p. 501) Schmid. N. 29. d. 21. jun. 1773
Joh: Wilhelm ruppertsburg der leedige büchßenmacher Von Gießen geb.
Verlobt mit fr. Maria Magdalena weil. H. Magister Joh: Georg Salomon hinterl. wittib.
seine schein gelg. an die Ehrlich geburt augs. conf. Zugethan geleistet, stadt stall caution wie nicht weniger ihres sponsæ gebühr in richtigkeit,
500 fl. baar gelds hat er dargezahlt, deßen Eigenthumb er mit Einer handtreuw gehärtet auch 100 fl beÿm b. prot. deponirt
Implorant bittet E G unterthänig ihn a sponsa um d. a. b. ß das b. recht genadisgst auff und anzunehmen – a. b. ß

Marie Madeleine Reul meurt sans enfant en 1799 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. L’inventaire est dressé dans la maison place d’Armes acquise pendant la communauté

1799 (1 floreal 7), Strasbourg 3 (21), Me Übersaal n° 591
Inventarium über der weÿl. bürgerin Maria Magdalena Ruppersburg geb. Reul des bürgers Johann Wilhelm Ruppersburg büchsenmachers Ehegattin Verlassenschafft, nach ihrem den 28. Pluviose jüngst erfolgten Absterben hinterlassen hat – auf Ansuchen des Wittwers als nach Ausweis des von der Verstorbenen den 26. Pluviose VIII vor mir ausgesprochenen Testaments eingesetzt und hinterlassenen Universal Erbs [unterzeichnet] Ruppersburg

in einer an dem Waffenplatz gelegenen in der Succession gehörigen behaußung N° 20
hausrath, silbers und gold 23 fr, summa 1095 fr
Eigenthum an häusern. Erstlich eine behaußung und hoffstatt mit N° 20 bezeichnet gelegen an dem Waffenplaz einseit neben br Kreß des Schneiders Wittib anderseit neben dem br Schmitt Schneider hinten auf br. Grimmeisen den Caffesieder, so von dem br. Ruppersburg Wittwer selbst bewohnet wird das jährliche hauszinns evaluirt ad 120 francken thun in Capital mit 20 multiplicirt 2400 fr
Und eine behaußung höflein und hoffstatt mit N° 8 bemercket gelegen an der grosen Schildsgaß einseit neben br Mannberger dem handelsmann anderseit neben des bs. Michels Rechtsgelehrten Wb. hinten auff gedachten br. Mannberger, an den br. Donauer Gelehrten um 400 francken verlehnet macht in capital mit 20 multiplicirt 8000 fr – summa summarum 10 400 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 15 du 2 flor. 7

Guillaume Ruppersburg se remarie en 1800 avec Frédérique Louise Stephan, fille du pasteur de Langensoultzbach : célébration, contrat de mariage passé par après d’après lequel le mari lègue à sa femme la jouissance viagère de sa maison sise place d’Armes
Mariage, Strasbourg (n° 366)
Cejourd’hui le 20 thermidor l’an VII de la République française une et indivisible (…) Guillaume Ruppersberger, agé de 52 ans, armurier, domicilié en cette commune depuis 27 ans, natif de Giessen en Allemagne, fils de feu Alexandre Ruppersberger, menuisier audit lieu, et de feu Marie Marguerite N. veuf de Marie Madeleine Reilé, d’autre part Frédérique Louise Stephan, agée de 37 ans, domiciliée en cette commune depuis 18 mois, native de Langensultzbach canton de Niederbronn département du Bas Rhin, fille de feu Erard Stephan, ministre du culte au dit lieu et de feu Eve Marguerite Esser (…) de l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 22 octobre 1746 (…) de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 25 janvier 1762 (signé) Jean Guillom Ruppersburg, frideric Louise Stephan (i 192)

1800 (13 messidor 8), Strasbourg 3 (39), Me Übersaal n° 333 (486)
Eheberedung – sind erschienen der bürger Johann Wilhelm Ruppersberg, büchsenmacher allhier wohnhaft und deßen Ehegattin Frau
Friderica Louisa geborene Stephan, von demselben hierzu genugsam autorisirt und verbeistandet
daß Sie sich den 20. Thermidor VIII gesetzmäsig geheürathet, weshalben Sie dermalen nachstehenden Ehe Contract in der besten From der Gesetze mit einander geschloßen, getrofffen und auffgerichtet (…)
betreffend aber der Ehepersohnen in die Ehe gebrachtes Vermögen, so ist solches bereits durch das darüber durch mich den unterschriebenenen Notarium den 1. Messidor VIII. auffgerichtete (…) Inventarium constatirt worden (…)
Viertens, im Fall der Ehemann zuerst versterben würde, verspricht derselbe seiner Ehegattin und alsdannigen Wittib Zu einem lebtägigen Widumbs Genuß die Ihme eigenthümlich zuständige behausung mit N° 20 bezeichnet, gelegen alhier Zu Straßburg an dem Waffenplatz, einseit neben des Bs. Kreß, Schneiders Wittib, anderseit neben dem Br. Schmitt Schneider hinten auff den Br. Grimmeisen Cafeesieder stoßend
So geschehen (…) den 13. Messidor Nachmittag in dem 8. Jahre der einen und unzertrennlichen Francken Republick [unterzeichnet] Ruppersburg, frideric Louise Ruppersbourg,
Enregistrement de Strasbourg, acp 74 F° 111 du 14 mess. 8

Inventaire après décès d’un locataire, l’aubergiste Frédéric Charles Zeyss marié à Madeleine Greiner

1811 (16.7.), Strasbourg 7 (27), Me Stoeber n° 2388, 10 484
Inventaire de la succession de Frédéric Charles Zeyss ci devant aubergiste décédé le 11 mai dernier – à la requête de Madeleine Greiner la veuve mère et tutrice légale de Caroline 9 ans, Charles 6 ans – en présence de Jean Daniel Zeyss commissaire de police du canton Nord oncle paternel des mineurs leur subrogé tuteur
en la demeure du défunt au second étage de la maison sise rue du bouclier n° 8
garde robe 171 fr, meubles 1420 fr, argenterie 76 fr, déclarations actives 7308 fr, total 7377 fr, passif, remplacement des propres du défunt 14 982 fr, remplacement des propres de la veuve 3000 fr, passif 21 482 fr, déficit 14 105
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 138-v du 23.7.

Inventaire après décès d’une locataire, Henriette Bourquin femme de l’homme de lettres François Louis Joseph Fiquet

1816 (19.1.), Strasbourg 8 (13), Me Roessel n° 2944
Inventaire de la succession de Henriette Bourquin veuve de François Louis Joseph Fiquet homme de lettres, commun en biens suivant contrat de mariage passé devant Me Roessel le 13 février dernier, à la requête de Marie Madeleine Sophie Gradwohl épouse en premières noces du défunt divorcée et remariée à M Henri Chaloupin, Professeur au collège royal mère et tutrice légale des 5 enfants issus du défunt Louise, Prosper, Anne, Séraphine et Fortuné Fiquet, en présence d’Alexandre Hypolite Vacant employé à la mairie subrogé tuteur
dans une maison en cette ville rue du Bouclier n° 8
meubles apportés par la veuve 146 fr
meubles du défunt 285 fr, passif 1571 fr
enreg. manquant F° 102 du 22.1.

Frédérique Louise Stephan meurt en 1825 en délaissant des héritiers collatéraux

1825 (26.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 49), Me Hickel n° 2007
Inventaire de la succession de Frédérique Louise Stephan femme de Guillaume Ruppersberg, serrurier, décédée le 13 courant – à la requête de 1. Philippe Jacques Bloechel professeur à la faculté de droit à l’académie de Strasbourg exécuteur testamentaire de Frédérique Louise Stephan suivant son testament mystique du 28 avril 1825 déposé au rang des minutes de Me Hickel, 2. Jean Martin François Théodore Lobstein, avocat, mandataire de Jean Guillaume Ruppersberg, commun en biens avec la défunte
3. Caroline Madeleine Stephan veuve de Georges Frédéric Goetz, pasteur protestant à Innenheim, 4. François Charles Stephan, ancien négociant en son nom, 5. Charles Erhard Hartschmidt confiseur à Strasbourg, 6. Hélène Sophie Hartschmidt épouse de Jean Théophile Heyd, serrurier, 7. Caroline Louise Hartschmidt épouse de Jean Jacques Dieterlin caffetier, 8. Marie Hélène Stephan épouse de Jean Geoffroi Hartschmidt, confiseur demeurant actuellement à Obernai, séparée de biens par jugement du 6 janvier 1824, lesdits Sr Stephan, De Goetz pour un tiers les trois derniers pour le tiers restant en nue propriété l’usufruit viager ayant été légué à la De Hartschmidt
dans la maison place d’Armes n° 20 faisant partie des biens propres de M. Ruppersberg
garde robe 633 fr, mobilier de la communauté 3111 fr, compte 3818 fr
Titres et papiers, contrat de mariage reçu Me Übersaal le 13 messidor 8, inventaire des apports du 1 messidor 8, le mari 41 568 fr, l’épouse 2975 francs, mariage à la mairie de Strasbourg le 20 thermidor 7
créances
Enregistrement de Strasbourg, acp 175 F° 165 du 28.11. (vacations enreg. 3.2.1826 f° 180 et 26.12. f° 51)

Jean Guillaume Ruppersberg meurt en 1826 en délaissant des héritiers collatéraux

1826 (29.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), Me Hickel n° 2190
Inventaire de la succession de Jean Guillaume Ruppersberg, armurier décédé dans la maison place d’Armes n° 20 le 27 février dernier – à la requête de Jean Martin François Théodore Lobstein, avocat demeurant rue du Dôme 23, mandataire de 1. Marie Sophie Jeannette Dillmann épouse de Jean Zimmer, choriste du théâtre grand ducal de Darmstadt, 2. Jeannette Elisabeth Dillmann, majeure domiciliée à Giessen, toutes deux filles de Marie Elisabeth Françoise Ruppersberg épouse de Jean Dillmann menuisier à Giessen & qui était fille de feu Eberhard Ruppersberg, meunuisier à Giessen frère du Sr Jean Guillaume Ruppersberg ci après nommé, 3. Jeannette Elisabeth Ruppersberg veuve de Jean Christophe Spengel, menuisier domicilié à Giessen, autre fille dudit Eberhard Ruppersberg,
4. Jean Balthasar Wittemann, armurier à la cour de Darmstatt, 5. Christine Marie Wittemann épouse d’André Lampus, ci devant aubergiste à Giessen, Sr Wittemann et De Lampus enfants de Sophie Ruppersberg, armurier à Giessen sœur de Jean Guillaume Ruppersberg,
6. Jean André Loos, tuteur de Chrétienne Catherine Willé épouse de Henri Schmitz, propriétaire à Bauerscheid sur Grönscheid, Charles Frédéric Gerhard Willé pasteur à Ohlé, De Caroline Willé veuve d’Auguste Soldan, maréchal des logis d’état major domicilié à Darmstatt, Marie Lisette Willé épouse de Jean Daniel Schriver, secrétaire & régistrateur de la saline de Koenigsborn près d’Unna, Marie Amélie Willé épouse de Henri Gerhards, voiturier domicilié à Hilgen, lesdites pupilles enfants de Catherine Eléonore Wittemann qui était fille de ladite Sophie Ruppersberg épouse de Frédéric Willé pasteur à Leichtlingen,
7. Guillaume Felsing, horloger de la cour demeurant à Giessen, en qualité de tuteur de Guillaume Léonard Bachert et de Marie Catherine Best, le premier fils unique mineur de Jeannette Louise Best décédée épouse de Jean Philippe Bachert, tonnelier à Giessen qui était sœur de Dlle Best mineure & ainsi que celle ci fille d’Eléonore Ruppersberg décédée épouse de Jean Daniel Best, cordonnier à Giessen laquelle était fille de Jean Philippe Ruppersberg autre frère de Jean Guillaume Ruppersberg, 8. Eléonore Wilhelmine Schneider épouse de Georges Juncker, cordonnier à Giessen, fille de Marguerite Ruppersberg décédée épouse de Jacques Schneider, menuisier à Giessen elle même fille de Jean Philippe Ruppersberg, 9. Charles Frantz, cordonnier à Giessen, fils de Juste Melchior Frantz cordonnier à Giessen et petit fils de De Jeannette Ruppersberg décédée épouse de Juste Melchior Frantz, cordonnier
testament mystique du 12 juillet 1824 déposé au rang des minutes de Me Hickel le 28 février 1826, à la requête de 1. Philippe Jacques Bloechel, professeur à la faculté de droit de l’Académie royale de Strasbourg exécuteur testamentaire, 2. François Charles Stephan, ancien négociant en son nom et mandataire de Caroline Madeleine Stephan veuve de Georges Frédéric Goetz, pasteur protestant à Innenheim, 3. Hélène Sophie Hartschmidt épouse de Jean Théophile Heyd, serrurier, 4. Caroline Louise Hartschmidt épouse de Jean Jacques Dieterlin caffetier, 5. Marie Hélène Stephan épouse de Jean Geoffroi Hartschmidt, confiseur demeurant actuellement à Obernai séparée de biens, lesdits Sr Stephan, De Goetz pour un tiers les trois derniers pour le tiers restant en nue propriété l’usufruit viager ayant été légué à la De Hartschmidt
garde robe 337 fr, dans une caissette numéraire 11 723 fr, mobilier 2489 fr, numéraire 5948 fr, comptes 3984 fr, recettes 4628 fr, créances 27 635 fr, total 44 686 fr (dernière vacation 27.7., acp 179 F° 174 du 4.8.)
Enregistrement de Strasbourg, acp 178 F° 190-v du 30.6.

Les héritiers Ruppersberg vendent la maison 11 200 francs au bijoutier Simon Charles Villaume et à sa femme Anne Marguerite Cherrier

1827 (27.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 52), Me Hickel
Cahier des Charges n° 2390 du 30 décembre, adjudication préparatoire du 10 février n° 2423, Adjudication définitive de la maison place d’armes n° 2437 du 24 février, de la maison rue du Bouclier n° 2439 du 27 février – Jean Martin François Théodore Lobstein, avocat, mandataire de 1. Marie Sophie Jeannette Dillmann épouse de Jean Zimmer, choriste du théâtre grand ducal de Darmstadt, 2. Jeannette Elisabeth Dillmann, majeure domiciliée à Giessen, 3. Jeannette Elisabeth Ruppersberg veuve de Jean Christophe Spengel, menuisier domicilié à Giessen, 4. Jean Balthasar Wittemann, armurier à la cour de Darmstatt, 5. Christine Marie Wittemann épouse d’André Lampus, ci devant aubergiste à Giessen, 6. Jeannette Christine Catherine Willé épouse de Henri Schmitz, cultivateur à Grönscheid commune de Bauerscheid, 7. Marie Amélie Willé épouse de Henri Gerhard, voiturier domicilié à Hilgen, 8. Caroline Willé veuve d’Auguste Soldan, maréchal des logis à l’état major domicilié à Darmstatt, 9. Jean Charles Frédéric Gérard Willé, pasteur à Ohlé, 10. Marie Lisette Willé épouse de Jean Daniel Schriver, secrétaire & régistrateur de la saline de Koenigsborn près d’Unna, 11. Eléonore Wilhelmine Schneider épouse de Georges Juncker, cordonnier à Giessen, 12. Charles Frantz, cordonnier à Giessen, 13. Guillaume Felsing, horloger de la cour demeurant à Giessen, en qualité de tuteur de 1. Guillaume Léonard Bachert fils mineur de Jeannette Louise Best décédée épouse de Jean Philippe Bachert, tonnelier à Giessen, 14. Marie Catherine Best fille mineure d’Eléonore Ruppersberg décédée épouse de Jean Daniel Best, cordonnier à Giessen, tous les susnommés en qualité d’héritiers testamentaires et naturels de Jean Guillaume Ruppersburg, armurier, testament mystique du 12 juillet 1824 déposé au rang des minutes de Me Hickel le 28 février 1826, inventaire dressé le 29 mai 1826. Jugement qui a ordonné la vente sur la demande en licitation fomée par les héritiers majeurs du Sr Ruppersberg par M Ackermann avoué Tribunal Civil contre le Sr Felsing tuteur des deux héritiers mineurs, rapport d’experts et jugement du 27 novembre
à Simon Charles Willaume, bijoutier, et Anne Marguerite Cherrier, la maison rue du Bouclier moyennant 11 200 francs
Désignation des maisons à vendre 1. une maison à rez de chaussée & trois étages située à Strasbourg Place d’Armes n° 20, d’un côté la propriété de Frédéric Guillaume Brey passementier, d’autre celle de Charles Schultz, propriétaire, derrière celle de la succession du Sr Daffler boulanger
2. une maison à rez de chaussée & deux étages située à Strasbourg rue du Bouclier n° 8 avec petite cour, pompe & autres dépendances le tout d’un côté le Sr Petin ancien ingénieur géographe, d’autre et derrière le Sr Daniel Deprat
Etablissement de la propriété, immeubles échus au Sr Ruppersberg dans la succession de Marie Madeleine Reul son épouse en premières noces dont il était légataire universel suivant testament reçu Me Ubersaal le 26 pluviose 7 enreg. 13 ventose suivant. Il existe à l’appui de la propriété 4 contrats passés à la Chambre des Contrats, deux relatifs à la maison place d’Armes les 16 février 1737, 22 novembre 1734 & deux à celle de la rue du Bouclier les 24 décembre 1762 et 21 juin 1701. Enonciation des baux. La maison place d’Armes n’est point louée, il n’existe pour celle rue du Bouclier que des baux verbaux – estimées par Rapport d’experts à 3500 et 7000 francs
Rapport d’experts du 15. 9.br. Nous nous sommes rendus d’abord dans la maison sise place d’armes (…) avons reconnu qu’elle consiste au rez de chaussée en un atelier servant d’entére dessous une cave voutée et par derrière l’escalier un bucher et les lieux d’aisances, au premier étage une chambre, une cuisine, un cabinet et escalier au deuxième étage une chambre l’escalier et un bucher au troisième étage deux chambres et l’escalier au dessus comble à deux greniers avec une chambre pour le linge sale. La couverture est double en tuiles.
Ensuite nous nous sommes rendus dans une autre maison rue du Bouclier, (…) avons reconnu qu’elle consiste dans une entrée passage à gauche une chambre et une cuisine au fond un escalier à vis au dessous cave sous solives au premier étage trois chambres cuisine, passage, escalier et une galerie vers la cour au second étage la distribution est absolument la même au dessus comble avec trois greniers sur le premier se trouvent trois chambres pour le linge sale. Derrière ladite maison une cour avec puits et pompe à droite une galerie à l’étage et comble a demi toit à gauche une chambre et un bucher au dessous une cave voutée, au premier étage deux chambres au dessus comble à demi toit au fond de la cour la buanderie, bucher et lieux d’aisances, dessous cave voutée à l’étage une chambre, une cuisine et l’escalier au dessous comble à demi toit avec deux greniers, toutes les couvertures sont doubles en tuiles, estimées la première à 3500 francs, la deuxième à 7000 francs – experts Arnold, Henneberg et Vogt architectes
Enregistrement de Strasbourg, acp 182 F° 153 du 28.2.

Simon Charles Villaume et Anne Marguerite Cherrier vendent la maison 11 000 francs au garde du génie Jean Daniel Hermann et à Marie Madeleine Burand

1838 (21.4.), Strasbourg 4 (86), Me Hatt n° 10 549
Simon Charles Villaume, ancien bijoutier, et Anne Marguerite Cherrier
à Jean Daniel Hermann, garde du génie, et Marie Madeleine Burand
une maison à rez de chaussée et deux étages avec petite cour, pompe et autres dépendances située à Strasbourg rue du Bouclier n° 8, d’un côté la propriété du Sr Petin, d’autre et derrière celle de Daniel Duprat négociant – provient d’acquisition des héritiers Jean Guillaume Ruppersburg, armurier, suivant adjudication définitive devant Me Hickel le 27 février 1827 transcrit au bureau des hypothèques volume 200 n° 26. Le Sr Ruppersburg l’a recueillie dans la dans la succession de sa femme Marie Madeleine Reul dont il a été institué légataire universel par testament reçu Me Ubersaal le 26 pluviose 7 enreg. le 3 ventose même année. La De Ruppersburg héritière de ses père et mère, l’origine de la propriété en sa faveur dépasse de beaucoup la prescription – 11 000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 259 F° 18 du 28.4.

Daniel Herrmann épouse Marie Madeleine Burand en 1818
1818 (11.6.), Strasbourg 5 (45), Me F. Grimmer n° 10 445
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Daniel Herrmann, garde du génie, fils de Jean Daniel Herrmann, boucher, et de Marie Madeleine Wissant
Marie Madeleine Burand, fille de Jean Philippe Burand, tourneur, et de Marie Madeleine Hirtz
père et mère donnent 12 000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 139 F° 69 du 12.5.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports en 1822
1822 (5.2.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire des apports de Jean Daniel Herrmann, garde du génie, et Madeleine Burand, contrat de mariage passé le 12 juin 1818
apports du mari 2008 fr, de la femme 2520 fr
Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 156 F° 24 du 6.2.

Daniel Herrmann acquiert la mitoyenneté du mur pignon qui le sépare de la maison voisine vers le nord (actuel n° 7)

1843 (28.4.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 85 (1874) f° 54-v, ssp du 1.2.1843
Cession de droits immobiliers – L’an 1843 le premier février Nous soussignés Auguste Arnold, Henri Perrin et Jean André Weyer, tous trois architectes à Strasbourg, experts commis, le premier par le Sr Herrmann, propriétaire de la Maison sise rue du Bouclier N° 8, le second par le Sr Pichard, propriétaire de la maison sise même Rue N° 9, et le dernier par ces deux comme tiers expert, à l’effet de procéder au mètre et à l’estimation des pignons séparant les deux propriétés et appartenant alternativement par parties aux deux propriétaires, desquelles parties ils demandent à acquérir réciproquement la mitoyenneté.
Nous avons commencé notre opération en mesurant le pignon qui sépare les deux Maisons principales vers la rue et appartenant seul à M. Richard à partir du solivage de premier étage de la Maison de M. Herrmann, sa longueur est de 7 m 83, la hauteur jusqu’au premier grenier de la Maison Herrmann (à partir du solivage ce dernier a un pignon à pans de bois) 5 m 99, Et son épaisseur 0,36, m. c. 16,88
Le pignon de la Maison de derrière du Sr Hermann à partir du second étage jusque sur le faite, exclusivement à lui et duquel il cède la mitoyenneté au Sr Pichard cette partie est à déduire de celle achetée, la différence du prix du mètre cube étant la même. La longueur est de 5 m 17, sa hauteur jusqu’au dessus du solivage du grenier est de 2,48, Et son épaisseur 0,18 (total 2,31). Le triangle formé par le rempart du toit longueur 5,17, demi hauteur 2,13, Épaisseur 0,18 (total 1,98), total général 4,29
Reste pour le cube effectif 12,59. Les 12 m 59 c cubes qui nous estimons à raison de 25 francs le mètre cube 314,75
Pignon à partir de 0,60 au-dessus du solivage du grenier de l’aile droite et y compris la cage d’escalier de la propriété du Sr Herrmann que ce dernier demande à acheter du Sr Pichard jusqu’à la ligne d’intersection de la surface du demi toit de cette aile et de celle du pignon longueur 7,80, hauteur 2,00, épaisseur 0,36, soit 5,62
Les 5,62 cubes que nous estimons à raison de 22 francs le mètre cube 123,64, total 438,39
Dont la moitié 219 francs 20 centimes a été payée comptant.

Daniel Herrmann et Marie Madeleine Burand vendent la maison 13 000 francs au tailleur Simon Simon et à sa femme Madeleine Lauck

1851 (18.12.), Strasbourg 3 (97), Me Burtz n° 2536
Ont comparu M. Jean Daniel Herrmann, garde du génie en retraite, propriétaire, Chevalier de la Légion d’Honneur et De Marie Madeleine Burand son épouse qu’il autorise, demeurant ensemble à Strasbourg (vendent)
au Sr Simon Simon, tailleur d’habits, et à De Madeleine Lauck sa femme qu’il autorise, demeurant ensemble en la même ville
Une Maison d’habitation à rez de chaussée et deux étages avec petite cour, pompe, droits et dépendances Située à Strasbourg rue du bouclier N° 8 tenant d’un côté à M. Dürr, de l’autre à M. Pichard, derrière aux mêmes voisins et devant à la rue du bouclier. Sont compris dans la vente sept fourneaux en fayence avec tuyaux et pierre, une chaudière ne cuivre et les chantiers qui se trouvent dans la cave.
Etablissement de la propriété. M. et Mad. Herrmann déclarent que cette maison qui leur appartient en pleine en entière propriété a été acquise par eux de M. Simon Charles Villaume ancien bijoutier et de De Anne mariage Cherrier conjoints à Strasbourg pour le prix de 10 000 francs suivant Contrat passé devant Me Hatt notaire à Strasbourg le 21 avril 1838 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 14 mai de la même année vol. 333 n°& 72. (…) Plus tard M. Herrmann a encore acquis la mitoyenneté du pignon séparant sa propriété de celle de M. Pichard et cette acquisition a eu lieu pour le prix de 219 francs que M. Herrmann a payé comptant à ce dernier aux termes d’un procès verbal d’expertise qui en a été donné sous seing privé le premier février 1843, enregistré à Strasbourg le 28 avril suivant f° 54. (…) M. et Mad. Willaume étaient devenus propriétaires de l’immeuble au moyen de l’adjudication qui leur en a été faite par les héritiers de feu le ST Jean Guillaume Ruppersburg, armurier à Strasbourg pour le prix de 11 200 francs suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par M. Hickel notaire à Strasbourg le 27 février 1827 transcrit le 13 mars suivant Vol. 200 n° 26 (…) M. Ruppersberg est décédé à Strasbourg laissant pour ses seuls héritiers tant légitimes qu’institués par son testament mystique en date du 12 juillet 1824 suivant un acte de souscription du même jour ouvert par M. le président du tribunal civil de Strasbourg au contenu d’un procès verbal dressé au greffe le 28 février 1822 savoir (…)
Feu le Sr Rupperberg avait recueilli la maison dans la succession de De Marie Madeleine Ruppersberg née Reul son épouse qui l’avait institué pour son légataire universel aux termes de son testament reçu par Me Ubersaal notaire à Strasbourg le 26 pluviose an Sept. Le contrat du 21 avril 1808 porte que le De Ruppersberg l’avait héritée de ses père et mère et l’origine de la propriété antérieure est constatée par deux contrats passés à la ci devant Chambre des contrats de Strasbourg l’un le 24 décembre 1762 et l’autre le 20 juin 1701. – Prix 13 000 francs
acp 405 (3 Q 30 120) f° 74 du 22.12.

Les parents de la sage-femme Madeleine Lauck consentent à son mariage avec Simon Simon, tailleur d’habits à Paris
1843 (21.3.), Me Arbogast
Consentement par Jean Georges Lauck bûcheron et Barbe Baumann conjoints à Strasbourg au mariage de leur fille Madeleine Lauck sage femme à Strasbourg avec Simon Simon tailleur d’habits à Paris
acp 308 (3 Q 30 023) f° 5-v du 21.3.

Simon Simon et Madeleine Lauck hypothèquent la maison au profit de l’ancien propriétaire Jean Daniel Herrmann après lui avoir ajouté un troisième étage

1857 (29.1.), Strasbourg 3 (100), Me Burtz n° 4258
Obligation – Ont comparu le Sr Simon Simon, tailleur d’habits, et à De Madeleine Lauck sa femme qu’il autorise, demeurant ensemble à Strasbourg (devoir)
à M. Jean Daniel Herrmann, garde du génie en retraite, propriétaire, Chevalier de la Légion d’Honneur (…) la somme de 3000 francs
(hypothèque) Une Maison d’habitation à rez de chaussée et deux étages avec petite cour, pompe, droits et dépendances Située à Strasbourg rue du bouclier N° 8 tenant d’un côté à M. Dürr, de l’autre à M. Pichard, derrière aux mêmes voisins et devant à la rue du bouclier. Les parties se réfèrent pour l’établissement de la propriété de cette maison à un contrat passé devant Me Burtz notaire soussigné le 18 décembre 1851 et contenant vente de l’immeuble par M. Herrmann lui-même au profit des époux Simon. Elles déclarent que le prix de cette vente, s’élevant à 13 000 francs est encore dû en totallité mais que la maison a depuis augmenté de valeur par le troisième étage que les emprunteurs ont fait ajouter et que le prêt faisant l’objet des présentes est du reste un service personnel que M. Herrmann rend aux emprunteurs sur leurs vives sollicitations. (…)
Pour plus de sûreté les emprunteurs s’obligent à faire assurer la maison et la tenir constamment assurée contre les dangers du feu jusqu’à leur entière libération et comme ils l’ont déjà fait dans le contrat de vente du 24 septembre 1859 ils cedent et déleguent dès à présent en paiement à M Herrmann (…)



15, Grand rue


Grand rue n° 15 – IV 8 (Blondel), P 706 puis section 56 parcelle 50 (cadastre)

au Tonneau vert (zum grünen Fass) ou au Tonnelet vert (zum grünen Vässel)– démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Le bâtiment à cinq arcades est construit à la place des anciens n° 17 et précédents
Vue de la cour (vers 1908, AMS cote 118 MW)

Anciennement appelée au Tonneau vert (zum grünen Fass) ou au Tonnelet vert (zum grünen Vässel), la maison à façade étroite sur rue comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière. Elle appartient au début du XVII° siècle au pasteur de Dorlisheim puis à un gourmet et à ses descendants qui en font une maison de rapport tout comme Susanne Lacher, propriétaire de 1670 à 1694. Le marchand de vins Jean Kærcher (1694-1720) finit par faire faillite. Le futur notaire François Henri Dautel l’acquiert en 1724 pour la céder quelques années plus tard à son beau frère notaire Jean Henri Lang. La maison est le huitième bâtiment à partir de la gauche sur l’image du plan-relief de 1727. Jean Baur puis le deuxième mari de sa veuve Jean Thiébaut Blümel y exploitent une auberge puis un café. Comme Jean Thiébaut Blümel quitte Strasbourg pour Francfort, sa femme pour la Pennsylvanie, la maison est une nouvelle fois vendue aux enchères. Les rapports d’experts (1736 et 1745) mentionnent un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages. Les propriétaires suivants sont des artisans, le culottier Jacques Stœss (1766), le boulanger Jean Michel Mæhn (1769) puis le tonnelier David Nortz (1798-1829).


Plan-relief de 1725 (© Claude Menninger, Inventaire de la région)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 147 et cour K

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la septième après l’église : fenêtre en arcade suivie de la porte d’entrée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour K représente l’arrière (3-4) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (1-2). La remise (4-1) occupe la gauche de la cour (à l’ouest), le mur de séparation (2-3) la droite.
La maison porte d’abord le n° 91 (1784-1857) puis le n° 15.


Elévation, coupe et plan de situation (Relevés du service d’architecture vers 1912, AMS cote 907 MW)

Jean Kientzel agrandit la maison en 1874, ce qui permet de dater le troisième étage représenté en 1912 (ci-dessous). La Ville l’acquiert (1908) et la fait démolir en 1912. Le terrain réuni à plusieurs autres sert à construire un bâtiment neuf lors de la Grande Percée. L’enquêteur de 1907 estimait que les bâtiments exceptionnellement bien conservés qui comportaient trois panneaux en cul-de-bouteille étaient représentatifs d’une maison bourgeoise simple du XVI° siècle.

septembre 2017

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1618 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Georges Nagel, pasteur de Dorlisheim, et (1595) Ursule Œsinger – luthériens
1617 v Georges Kelterer, tonnelier
1618 v Georges Riebel, gourmet
1635* h Jean Riebel, tonnelier, et (1620) Anne Hügel – luthériens
1670 v Susanne Lacher épouse (1655) du boulanger André Schneider puis (1681 ) du tonnelier Tobie Gundelwein – luthériens
1695 v Jean Kærcher, marchand de vins, et (1695) Marie Marthe Edel – luthériens
1720 adj Thiébaut Hügel, jardinier, et (1679) Anne Voltz veuve d’André Lix puis (1703) Marguerite Wunderer, veuve de Jean Mathæus puis d’Abraham Heydel – luthériens
1724 v François Henri Dautel, notaire, et (1723) Marie Madeleine Lang – luthériens
1728 v Jean Henri Lang, notaire, et (1695) Anne Salomé Füssinger – luthériens
1744 v Jean Baur, aubergiste puis secrétaire à l’Accise, et (1732) Marie Salomé Schmidmeyer puis (1735) Catherine Hornus – luthériens
1746 h Jean Thiébaut Blümel, aubergiste, et (1746) Anne Catherine Hornus veuve de Jean Baur – luthériens
1764 adj Jean Georges Walter le jeune, marchand
1765 v Jean Jacques Borneck, garde-magasin, et (1766) Jeanne Barbe Lautour – catholiques (vente non confirmée)
1766 v Jacques Stœss. culottier, et (1723) Anne Elisabeth Fehlmann – catholiques
1769 v Jean Michel Mæhn, boulanger, et (1746) Anne Chrétienne Michel, veuve du boulanger Jean Lentz, puis (1759) Marie Salomé Dachert veuve du fabricant de pain d’épice Geoffroi Heinrich – luthériens
1798 v David Nortz, tonnelier, et (1779) Marie Barbe Lix
1837 h Jean Thiébaut Kientzel, menuisier, et (1812) Salomé Rasp
1896* Charles Fritz, employé aux chemins de fer
1908* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 750 livres en 1736, 1 500 livres en 1745, 900 livres en 1787

(1765, Liste Blondel) IV 8, veuve Mde Walter
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 706, Kientzel, Jean, menuisier – maison, sol, cour – 1,5 are

Locations

1638, Tobie Burckhard, tonnelier
1670, Jean Louis Griesbach
1691, Jean Gerster, manant
1746, (cave), Jean Charles Verius, brasseur

Protocole de tribus et des Quinze

1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Jean Thiébaut Blümel demande aux Fribourgeois de le recevoir aubergiste et de lui remettre un certificat pour qu’il puisse obtenir des Quinze le droit de débiter le vin

(f° 280) 1.te Gericht de 1746. Donnerstags den 17.ten Febr. A° 1746.
Johann Theobald Blümel der Ledige Würth von hier, stehet Vor, und bittet weilen er in dem vormahls zum grünen Fäßlein genandten ahne der Langen Straß allhier gelegenen würths hauß, eine würthschafft dermahlen anzufangen gesonnen, Ihme das Zunfft: Recht als einem Würth Zu Conferiren, Zu dem Endte Ihme den behörigen Zunfft schein Ertheilen Zu laßen damit er von Gnäd. Herren den XV.ern den Wein Schanck erhalten Könne, producirt Zu dem Endte Statt Stall Schein de dato 16. Febr: 1746.

1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Jean Thiébaut Blümel remet son mémoire aux Quinze le 25 février. Les Fribourgeois l’ayant reçu aubergiste, il demande le droit de débiter le vin et de vendre du vin étranger en bouteilles dans la maison au Tonneau vert. Les préposés en chef de l’accise exposent leurs conclusions le 5 mars. Jean Thiébaut Blümel déclare que la Chambre de police lui a depuis lors attribué le droit de tenir café, de sorte qu’il se limite à solliciter le droit de vendre le vin en bouteilles. La commission estime que l’attribution ne présente aucune difficulté. Les Quinze lui attribuent le droit sur l’avis du préteur royal.

Joh: Theobald Blümel pt° erlaubnuß frembde wein bouteillen weiß Verkauffen Zu dörffen
(p. 126) Sambstags d. 26. Februarÿ. Mosseder nôe Joh: Theobald Blümel, des gastgebers und burgers prof. memoriale und bitten mit beÿl. Sub Litt A et B mit gnädiger erlaubnuß frembde wein bouteillen weiß Verkauffen Zu dörffen. Erkanndt, Obere Umbgelts Hh.
(p 154) Sambstags d. 5. Martÿ. Obere Umbgelts Hh. laßen per me referiren, es habe Johann Theobald Blümel, der ledige burger und Gastgeber allhier in seinem d. 26. Februarÿ jüngst übergebenen unterthänigen Memoriali, mit beÿl. Sub litt. A. et B. geziemend angebracht, Was maßen er, wie erstbemerckte beede beÿlagen ausweißen als ein leibzünfftiger beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger angenommen worden seÿe, wie auch da er sich vermög der ordnung angemeldet, und beÿ .E E. Zunfft der Freÿburger dienen wolle, Wann aber Zu vorderist beÿ Mghh. der weinschanck, so dann auch die erlaubnuß frembde wein bouteillen weiß Verkauffen Zu dörffen, solle erbetten seÿn, als gelange der unterth. imploranten demüthiges bitten an Mghh. Ihme mit dem gedachten weinschanck und gnädiger erlaubnuß frembde wein in dem hauß Zum grünen faß allhier, so in voriger Zeith auch ein würthßhaus geweßen, bouteillen weiß Verkauffen Zu dörffen, dispensando Obrigkeitlich Zu willfahren.
Auff geschehene Weißung und beÿ gehaltener deputation habe Zwar der Implorant contenta memorialis wiederhohlet, Zugleich aber declarirt, weilen er seithero Von E. Löbl. Policeÿ gericht die erlaubnuß erhalten, ein Cafféehauß auffrichten Zu dörffen, er den weinschanck nicht mehr, sondern nur die erlaubnuß begehre, frembde wein bouteillen weiß Zu Verkauffen, und eine taffel an seinem hauß anzumachen
Die Hh. deputirte halthen dafür, daß dem Imploranten ohne anstand ins einem begehren gegen entrichtung des verordneten Umbgeldts zu willfahren seÿe. H. Prætor Regius stimmle dem bedacht beÿ. Erkannt bedacht gefolgt.

Description de la maison

  • 1736 (billet d’estimation traduit) La maison à façade très étroite n’est pas entièrement construite. Elle comprend au rez-de-chaussée une salle d’auberge, un vestibule où se trouve l’escalier, une cuisine et une petite chambre, au premier étage un étroit vestibule et une chambre à cheminée, au deuxième étage un petit vestibule et une chambre, dans les combles deux chambres, la cave est solivée, le tout estimé à la somme de 3 500 florins
  • 1744 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une chambre, une cuisine et un cabinet, une cave voûtée, la maison arrière comprend au rez-de-chaussée un étroit vestibule et une chambre, une cave solivée, au premier étage un poêle à alcôve, une cuisine et un vestibule qui donnent dans la cour, un passage et un petit poêle dans la maison arrière, le deuxième étage comprend un poêle, une chambre, une petite cuisine et le vestibule, un passage et un petit poêle dans la maison arrière, en haut la chambre à soldats sous un demi-toit, un vieux comble sous lequel trois chambres sont séparées de cloisons en planches, pignon en pierre, le tout estimé à la somme de 3 000 florins
  • 1828 (rapport d’experts)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 140 / 91
Nortz
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 161 case 3

Kientzel, Jean, menuisier

P 706, maison et cour, sol, grand’rue 91
Contenance : 1,50
Revenu total : 117,86 (117 et 0,86) puis 117,78 (117 et 0,78)
Folio de provenance :
Folio de destination : rectification du 27 juin
Année d’entrée :
Année de sortie : 1846
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
1848, Diminutions – Kientzel f° 161, P 706, Maison, revenu 117, idem [rectification]

P 706, maison,
Revenu total : 100 (100,78)
Folio de provenance : 161
Année d’entrée : 1846

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 868 case 1

Kientzel Jean Menuisier
1896/97 Fritz Karl pens. Eisenbahnbeamter, Langstraße 15
1908 (2950) Fritz Karl technischer Eisenbahnbureauassisteten und Miterben
1908 Strassburg die Gemeinde
(ancien f° 616)
[parcelle notée par erreur P 704]

P 706, maison, sol, Grande Rue 15
Contenance : 1,50
Revenu total : 117,85 (117 et 0,85)
Folio de provenance : (161)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1877
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

P 706, maison, Grande Rue 15
Revenu total : 130,85 (130 et 0,85)
Folio de provenance : 865 Vergrößerung
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1877
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Jahrgang 1876, Zugang – Kientzel Johann f° 868, P 704, Haus, Reinertrag 130, Vergrößerung, vollendet 1874, Abgang – Kientzel Johann f° 868, P 704, Haus, Reinertrag 117, Vergrößerung, 1874, Zeit 1877

Cadastre allemand, registre 31 p. 284 case 5

Parcelle, section 56, n° 50 – autrefois P 706
Canton : Lange Straße, Hs N° 15 (429/14 – 236)
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 7,05
Revenu : 875 – 1300
Remarques : 1912 Abbruch – 1914 Ab. 281 F. 5.

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grand Rue (p. 207)

91
Pr. Mehn, Marie Salomé Veuve – Boulangers
loc. Boudier, Jean Baptiste, employé à la finance – Manant
lo. Wild, Jean Michel, Secrétaire – Moresse
loc. Heinrich, Marie Madeleine, Bourgeoise

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 95)

(Haus Nr.) 15
Lang, Eisenb.-Arbeiter. 1
Fritz, Pensionär. E 2
Hertel, Tagner. 3
Wendling, Tagner. H 1
Wilhelm, Tagner. H 2
Zehnter, Gerber. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Pas de dossier

Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999)

(14)

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Langestrasse N° 15 [Maison :] 15, Grand rue

a) Geschichtliches : Geschichtliches : Bertholt der Metzger 1466, Lienhard Stöffer des Küffers Wittib 1587 [Historique]

b) Zeitbestimmung : [Epoque]

c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]

d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Ende XVI. Jhdt
    [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] Fin XVI° siècle

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – Gallerie durch 2. Geschosse mit Balluster, Erdgeschoss Holzpfosten
    [Galerie sur cour] Galerie sur deux étages, à garde-corps
  • 8. Treppengeländer [Balustrades d’escalier]
  • 9. Fenstergitter – Holzgitter im Treppenhaus
    [Grilles de fenêtre] Grille en bois dans la cage d’escalier
  • 13. Holzdecken – I. Stock, Renaissance decke, desgl. Straßenwärts unter deckentapete desgl.
    [Plafonds en bois] Plafond Renaissance au premier étage, un autre ver s la rue recouvert de papier peint
  • 18. Butzenscheiben – Speicher, 2 Felder mit Butzen (Sofort zu entfernen) – I. Stock hofseite, 1 Feld Mondglases
    [Vitrage en cul-de-bouteille] au grenier, deux panneaux en cul-de-bouteille (à prendre immédiatement), premier étage vers la cour, un panneau en verre soufflé
  • 25. Türbeschläge – Tür Zum I. Stock vorn, desgl. zum II. Stock
    [Ferrures de porte] Porte donnant sur le premier étage à l’avant, idem sur le deuxième étage

Bemerkungen :

Erhaltung des ganzen Hauses zu empfehlen.
dasselbe ist, wann auch relativ einfach, im Äussern sowohl wie auch im Innern außergewöhnlich gut erhalten, sodaß seine Instandsetzung keine besonderen Schwierigkeiten bereiten würde, das Haus ist typisch als einfaches bürgerhaus des XVI. Jahrhundertes
Zeichnerische Aufnahme wünschenswert.
[Remarques –] Recommander de conserver la maison dans sa totalité.
Même si elle est assez simple, la maison est exceptionnellement bien conservée tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, une remise en état ne présenterait donc aucune difficulté. Elle est représentative d’une maison bourgeoise simple du XVI° siècle.


Relevé d’actes

Le pasteur de Dorlisheim Georges Nagel qui vend la maison en 1617 se marie en 1595 avec Ursule Œsinger, fille du commissaire priseur Daniel Œsinger. Le répertoire de Bopp signale qu’il est vicaire à l’hôpital de Strasbourg de 1591 à 1594 puis pasteur à Dorlisheim jusqu’à sa mort en 1624.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 38, n° 98)
1595. Dominica 5. post pasch. 25. Maÿ. M. Georg Nagel pfarrer Zu Dorlescheim vndt Ursula Daniel Esinger des gantkeüfflers tochter. Eingesegnet Montag den 4. Junÿ (i 40)

Georges Nagel vend la maison dite au Tonneau vert, comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière, au tonnelier Georges Kelterer pour une somme totale de 575 livres

1617 (ut spâ [xviiij. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 426 f° 193-v
(Inchoat. in Prot. fol. 188 – Postea pthm fol. 299.) Erschienen h. M. Geörg Nagell pfarrer Zu dorotzh. (verkaufft)
Geörg Kelterer dem Küffer burger Zu Straßburg
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. häußlin, mit Allen Ihren gebeuwen & geleg. Inn d. St. St. Ane der obern straß. Zum grünen Vaß genannt, einseit n. d. Stifft hauß Zum Alt. S. Peter, And.seit n. Martin N. dem Kachler, hind. vff ein Stifft hauß Zum Alt. S. Peter gehörig stoßend, dauon gnd. iiij gl. gltd Ablößig mit j. C. vff Georgÿ fallend weÿland Sigißmund flach. s. Khind. Mehr vj gl gld Ablosig mit j. C. L gl. werung vff Adolffi Peter Kamehl, Sunst eÿg. & Vnd Alles Recht & Also & Vnnd ist disser Khauff vber obgehörtt beschwerd. Zugang. v. besch. für v. vmb 375 pfund

Georges Kelterer la revend quelques mois plus tard au gourmet Georges Riebel

1618 (xviij. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 430 f° 37-v
(P. fol. 27.) Erschienen Geörg Kelterer d. Küffer burg. Zu Straßburg (verkaufft)
Geörg Riebell den Weinstich. burg. Zu Straßburg
hauß, hoffstatt, höffell vnd hind. häußlin, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Ane d. Obern straß. einseit n. d. Stifft Zum Alt. S. Peter behaußung, And.seit n. Martin N. dem Kachler, hind. vff ein Stifft hauß Zum Alt. S. Peter gehörig stoßend, dauon gnd. iiij gl. gltd Ablößig mit j. C. vff Georgÿ Sigißmund Flach. Mehr vj gl gld Ablosig mit j. C. L gl. werung vff Adolffi Peter Kamehl Sunst eÿg. So dann x lb wid. kheuffig lit ij C lb vff Johis Bptstæ M. Georg Nagell pfarrer zu deroltzheim, Sonst eÿg. vnd ist disser Khauff vber obgehörtt beschwerd. Zugang. v. besch. für v. vmb iij C xxv lb
(vid. Actum* in Reg. 1617. fol. 193)
[in margine :] Flachische 100. fl. wehr. seint abgelößt, wie in H. Cornelÿ Kegels Bischoffs hoffs Contractuum Notarÿ Protocollo de a° 1558. fol. 14. & seq. befindlich Kamehlische 150. fl. wehr. seind abgelößt wie in d. Cancelleÿ Contractstuben sub dato 19. Julÿ 1638. Zu erseh. Nagelische 200. lb seind abgelößt wie in H Hÿlarÿ Meÿers Protocollo extensivo de a° 1617. fac. 2. Zu befinden

La maison revient à son fils tonnelier Jean Riebel qui épouse en 1620 Anne, fille du jardinier Georges Hügel. Veuve, Anne Hügel re remarie en 1635 avec le marchand Jacques Zorn

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 45)
1620. den 9. Maÿ ist nachzweÿ mahlig außruffung eingeseiget worden Hans Riebel d. Kieffer Jerg Rübell des weinstichers sohn Vnd J. Anna Martin Hügelin selige hinderlaßene tochter (i 23)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 151) 1620. Dominica Misericordias den 9. Maÿ Zinst. Zu St Aurelien Hans Riebel d. Kieffer V. Jungf. Anna Michael Hügel deß gartners tochter (i 155)

Jean Régnard Kress rembourse au nom de son pupille Michel, fils du tonnelier Jean Riebel et petit-fils de Georges Riebel, un capital assis sur la maison

1638 (19. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 536-v
Erschienen der Ehrenvest Hochgelehrt Herr Georg Camel der Rechten Doctor für sich selbsten und innamen weÿland herrn Peter Camels seines Vatern see. vbriger Erben
hat in gegenwärtigkeit herrn Johann Reinhardt Kressen Kleinen Rhats Verwanthen alhie, alß geordneten Vogts Michels weÿ: hanß Rüebels deß Küeffers burgers Zue Straßburg hinderlaßenen Sohns bekannt,
demnach gedachten hanß Rüebels Vater Georg Rüebel der Weinsticher alhier see: obgedachtem herrn Peter Camelen die 300 gulden zu 15 bz. so vff der Behaußung Zum Grüenen Faß gent. an der Obern Straßen einseit neben einer Behaußung dem Stifft Alten Sanct Peter Zuständig anderseit neben Gabriel Fridel dem Kachler gelegen gestanden, in Anno 1623. mit damahls leichtem, dem Reichsthlr. nach Zu 6. R. gerechneten geld abgelößt, deßwegen dann Sie beederseith Vor die, Zu den Nachtrags Deputirte gerathen, dahero auch erst wohlgedachte Deputirte herrn den 27. 8.bris 1637. erkannt, daß ihnen Camelischen 75. R. Capital sampt den de Anno 1629. von Michaelis davon Verfallenen Zinß entricht.

Jean Régnard Kress loue au nom de son pupille la maison dite au Tonnelet vert au tonnelier Tobie Burckhard

1638 (15. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 696-v
Erschienen Tobias Burckhardt der Küeffer burger Zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit herren Johann Reinhardt Kressen Kleinen Rhats Verwanthen alhie, alß geordneten Vogts Michels, weÿ: hannß Rüebels auch Küeffers und burgers Zu Straßburg hinderlaßenen Sohns bekannt
daß Er von demselben vffrecht & Sechß Jahr lang von Jüngst v.schinen Michaelis nechst nach einander volgendt entlehnet vnd bestanden, Eine Behaußung alhie an der Obern Straßen, Zum Grünen fäßlin genannt neben einem hauß dem Stifft Alten S. Peter Zustendig & Gabriel Fidel dem Kachler gelegen, sampt den faßen so anietzo in gerüerter Behaußung vnnd dem Keller Zu befinden seind – vmb einen jährlichen Zinß Nemblichen 30. Pfund

Jean Régnard Kress remet à son successeur Gall Hügel différents titres concernant les biens de Michel Riebel, dont des inventaires

1643 (1. 10.bris), Me Ursinus (Jérémie, 60 Not 12) n° 16
Lüffer Register Inhaltendt Welcher gestaldt Michael Riebel, weÿl. H Hannß Riebels geweßenen Küeffers und weinhändlers burgers alhie Zue Straßburg seeligen hinderlaßenen Sohns ietziger Vogt, herr Gall Hügel von deßelben vorig. geweßenen Vogt H Johann Reinhardt Kreßen gelüffert worden den 1643.
Zuwißen, daß Johann Reinhard Kress, Eines Ehrsamen Großen Raths alhie altter beÿsitzer Alß Michael Riebels, weÿl. H. Hannß Riebels geweßenen Küeffers vnd Weinhändlers, burgers alhie Zu Straßburg, mit auch weÿl. frn Annæ Hügellin seiner haußfrn nun beeder seel. ehelich erziehlten hinterlaßenen Sohns bißhero geweßene Vogt Eins, Anderntheils aber H. Gall Hügell d. Garttner vndt E. Ehrs. Kleinen Raths alhie beÿsitzer als ersternannts Michaels Riebels ietzig geschwornen vogt, In beÿsein des vogts sohns selbsten, wie auch H. Pauli Seeligs Notarÿ Publici vnd iezigen vogteÿgerichts schreibers – So beschehen auff Freÿtag Dienstag und Sambstag den 1. 5. 11. vndt 16. 10.bris A° 1643.

Lüfferung der briefflichen Documenten
Item die brieffliche Documenta vber die Behausung Zum Gruenen vaß wie dieselbe in obangerengtem Inventario f° 56. et 57. registrirt mit Nis 5 et 1 sign.
Item j. Lateinisch. Kauffbrieff vber die behaußung in d. Rhenngaßen darbeÿ auch ein altter Perg. abgelößter Zinnßbrieff, mit N° 1 et 2. sign. (…)
Extract auß d. St. St. Cancelleÿ Contractstuben Inhalts d. Tobias Burckhardt d. Küeffer die Behausung Zum Grünen fäßel 6. Jahr lang von Michaelis A° 1638. anfahend, Jahrs vmb 30. lb entlehnt datirt den 15. 8.bris A° 1638.
Inventarium vber weÿl. H. Michael Hügells E. Ehrs. Großen Raths alhier beÿsitzers seel. Verlaßenschafft A° 1620 auffgerichtet
Rechnung David Hügells deß Garttners vnd. wagnern als geordnet und geschworenen Vogts Agneßen v. Catharinæ leed. Schwester v. Martin Hügels deß garttners mit Barbaræ Burgerin erziehlter döchter. er derentwegen vom 10. Junÿ A° 1620. biß den 10. Jan. A° 1625. als in 3. Rechn. eingenommen v. außgeben
Inventarium vber weÿl. fraun Barbaræ Seltzerin, Georg Rüebels weinstichers burgers alhie hsfr.seel. Verlaßenschafft A° 1631. auffgerichtet
Inventarium vber weÿl. Rosinæ hüglerin Jacob von Fridolßh. sel. wittwen Verlaßenschafft A° 1633. v.fertiget
Inventarium vber frau Annæ Hüglerin, Claus Juf deß Garttners vnder wagnern hfren seel. Verlaßenschafft A° 1634. auffgerichtet
Theilregister vber weÿl. Hanß Riebels Küeffers burgers Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft A° 1635. vffgericht.
Theilregister vber solche Verlaßenschafft
Inventarium vber frn Annæ Hügellin Hanß Riebels seel. wittwen Zu H. Jacob Zornen in die Zugebrachte nahrung A° 1635. auffgerichtet
Inventarium vber frn Annæ Hügellin H Jacob Zornen Ehegattin seel. Verlaßenschafft A° 1634. vffgericht.
Inventarium vber Claus Jud. deß Garttners burgers Zu Straßb. seel. Verlaßenschafft A° 1639.

L’étudiant Michel Riebel hypothèque la maison au profit de Marie Félicité et de Jeanne Elisabeth Wormser de Vendenheim

1657 (23. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 325-v
Erschienen H Michael Rüebel L.L. Stud.
in gegensein der Wohl Edelgebohren- Gestreng H Philipß Jacob Wormser von Vendenheim dißer Statt alten Stättmaÿsters, alß Vatters und H Wilhelm Sebastian Müeg von Boffßheim dißer statt ietzregirend. Stättmaÿsters, alß Vormundts der wohl Edelgebohrnen Jungf. Mariæ Felicitatis und Jungfr. Johannæ Elisabethæ der wormserisch. Schwestern von Vendenheim – schuldig seÿe 275 Pfund
Unterpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin, hinderhäußlin mit allen deren Gebäwen & alhie ahne der obern Straß. einseit neben einem Stiffthauß Zur Kirch. Zum alten St. Peter gehörig, anderseit neb. Gabriel Friedeln dem Kachlern, hind. auch vff ein Stiffthauß der Kirch zum alten St. Peter Zuständig, stoßend gelegen, so ganz freÿ ledig und eig. seÿe. Darüber sagt ein pergamentiner den 17. Jan: a° 1618. durch weÿl. H Hÿlarium Meÿern alß der statt Straßburg damahlig. Contractum Not. nunmehr seel. mit besagter Statt anhangendem Contract Insigel edelgedachter H Stättmaÿster Wormsern gefertigten Kauffbrieff, Item 530 Pfund treÿ schilling Zwen pfenning Capitalrest so die Statt Straßburg vermög eines pergamentinen den 7.ten maÿ 1620 (…) Zinnßbrieff (…) Zuverzinß. schuldig

Michel Riebel loue la maison à Jean Louis Griesbach. Le bail est ensuite confirmé par la nouvelle propriétaire.

1670 (3. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 548
Erschienen H. Michael Rüebel
in gegensein H Hannß Ludwig Grießbachs
verlühen habe, Eine Behaußung mit allen deren Gebäuen nichts davon /:alß die oberste Kammer über der Stuben im vordern stockh, und den gantzen hindern Stockh biß vff ein Stub:/ außgenohmen, alhie ahne der Obern Straß geleg. und Zum grünen Faß genannt, treÿ Jahr lang von Weÿhenachten dießes Jahrs angerechnet, umb einen iährlichen Zinnß benantlich. 15. Pfund pfenning
[in margine :] Erschienen hierinngemelter H Michael Rüebel an einem, hr hannß Ludwig Grießbach am andern, So dann Susanna weÿl. Andres Schneiders geweßenen würths Zum roth. Löwen nunmehr seel. hinderlaßene Wittib mit assistentz hannß Jacob Rothbachs deß haußfewrers ihres Curatoris am tritten theil, Zeigten an und bekannten, wiewohlen in Krafft der am 13. hus. Jünsthien in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter Kauff Verschreibung Er H Rüebel die hierinn beschriebene häußer ahne Sie Susannam verkaufft hett und Jedoch alle treÿ Parten sich mit einander dahien gütlich verglich. daß es nichts desto wenig. beÿ gegenwärtig. lehnungß Verschreibung allerdingß verbleiben, und nur ahne statt H Rüebels, Sie die Kaufferin Zue Verleÿhen eingeschrieben sein solle – Act. 17. 8.br a° 1670.

Le patricien Michel Riebel vend la maison 650 livres à Susanne, veuve de l’aubergiste au Lion rouge André Schneider. Le vendeur se réserve un droit d’habitation dans la maison pendant deux ans

1670 (13. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 561
(Prot. fol. 22 – 650. lib) Erschienen H Michael Rüebel Connestable alhie
in gegensein Susannæ, weÿl. Andres Schneiders geweßenen Würthß zum rothen Löwen nunmehr seel. hinderlaßener wittibin mit assistentz hannß Jacob Rothbachß deß haußfewers ihres und Daniel Gleÿchen deß würths Zum Mohrenkopff ihrer Kind. Vogt
Zweÿ häußer, ein vorders und ein hinders, mit allen deren Gebäwen, Begriffen,Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier ahne der Obern Straßen, einseit neben einer Zur Kirch Zum alten St. Peter gehörig. Behaußung, anderseit neben hannß Bollen dem Schreinern, hind. auch vff ein alt. St. Peter stiffthauß stoßend gelegen und zum grünen Faß genannt, so umb 500. lb H. Johann Ulrich Fried Jure Consulto Reipubl. Consiliario verhafftet sonst. ledig. und eig. seÿe – umb 150. lb
Beÿ welchem Verkauff insonderheit angedingt word. ist, daß der Verkäuffer die oberste Kammer über der Stuben im vordern stockh, und den gantzen hindern stockh biß vff in Stub noch biß Mich : a° 1671. ohne hauß Zinnß zu bewohnen befugt sein solle
[in margine :] Erschienen hierin gemelte beede Parten Zeigten an, daß der Verkäuffer die hieringedachte Gemach nicht nur biß Mich. a° 1671. Zinnßfreÿ Zu bewohnen befugt sondern auch noch Zweÿ Jahr hernach nemlich. biß Mich. A° 1673. umb 5. lib. iährlich. hauß Zinnßes entwed. selbsten od. durch einen andern zu bewohnen respe berechtigt und verbunden sein solle – Act. 17. 8.br a° 1670.

Susanne Lacher épouse le boulanger André Schneider en 1655. Elle se remarie en 1681 avec le tonnelier Tobie Gundelwein. Susanne Lacher fait dresser l’inventaire des biens qu’elle apporte en mariage, pour une valeur de 1068 livres, dont deux maisons

1682 (16.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 4) n° 1 [restitué]
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und Güttere, so die viel [Ehren: und Tugend]reiche Fraw Susanna Lacherin H. [Tobiæ] Gundelweins Küeffern und burgers [Zu Straß]burg Eheliche haußfrau, Zu demselben [Ihrem Gelieb]ten Haußwürth Vor Unverändert [in den Ehestand ge]bracht – Actum in fernerer præsentz Mr hannß Adam Bollen des Schreiners und burger alhier der Frawen Tochtermann erbettenen Assistenten, Montag den 16. Januarÿ Anno 1682.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckh Gelegener, dem Mann vor unverändert zuständigen behaußung befunden worden wie volgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung wie auch einem Gärttlein. Item Zweÿ heüßer ein Vorders vnd ein hinders, mit allen deren Gebäwen, hoffstatt vndt höfflein, auch Andern begriffen zugehörden, Rechten vnd gerechtigkeiten alhier in der Statt Straßburg ane der Obern Straß einseit neben einer der Kirchen Zum Alten St Peter Gehörigen behaußung, aderseith neben hannß Adam Bollen dem Schreiner, als der Frawen dochtermann, hinden Auch auff ein Alt. St. Peter Stiffthauß stoßend gelegen, Vndt Zum Grünen Fäßlein Genanndt, Welche behaußung annoch vmb 250. lb Weÿl. H. Johann Ulrich Friden, der Statt Straßburg Sÿndici seel. fraw Wittib vnd Erben Verhafftet, sonsten Aber gegen männiglich ohnansprüchig freÿ ledig vnd eÿgen, vnd vber erstgeldte beschwerdt hiehero wie solche erkaufft worden, angeschlagen pro 400. lb. Darüber meldet ein in alhiesiger Cancelleÿ Contract stub gefertigtet, vnd mit dero anhangendem Contract Insiegel verwahrter Pergamentiner Kauffbrieff sub dato 13. 8.bris Anno 1670. mit N° 1 signirt.
Item ein Kleines Garttlein in St. Johannis Gaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 300, Sa. Wein, Eßigs vnd lehren Vaß 245, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 60, Sa. Guldener Ring 23, Sa. Baarschafft 34, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 405, Summa summarum 1068 lb
Schuldt auß dießer Nahrung Zugelttend. Item Vermög deß über weÿl. Hn Andreæ Schneiders geweßenen Gastgebers Zum Rothen Löwen vnd burgers alhier Zu Straßburg als d. Frawen Erstern haußwürths seel. Verlaßenschafft in aô 1669. auffgerichteten vnd deß demselben zu end inserirten Vertrags, solle mann Jungfrawen Annæ Mariæ Schneiderin dero Jüngern dochter vor außgeworffen Vätterlich guth, so aber Sie die Mutter, biß Zu dero achtzehen Jährligem alter wÿdembs weiß Zu genießen hat, 51 lb – Nach deren Abzug 1016 lb

Tobie Gundelwein cède en 1687 ses droits de propriété sur la maison au Tonnelet rouge en se réservant le droit de réclamer les 100 florins de frais de réparation.

1687 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 426-v
Tobias Gundelwein, der Kieffer an einem
So dann Susanna gebohrne Lacherin deßen eheliche haußfrau mit beÿstand des Ehrenvest Fürsichtig und weißen herrn Jonæ Stören und H. Matthäi Schmids beeder auß E.E. Großen Raths Mittel hier zu in sonderheit deputiert am andern theÿl
demnach sie beede eheleuthe in der am 23. augusti 1681. mit einander aufgerichteter und durch weÿl. H. Johann Georg Langen gewes. Notar. Publ. zu papier gebrachten Eheberedung §° was aber zum dritten sich weg. deß mit einander erwerbenden theilbaren wuthes dergestalt, d. darvon der Mann zween der frauen aber ein dritter theÿl gebühren solle (…) mit einander verglichen
Nemblich und zum ersten so soll und will Sie Susanna Lacherin auff alle ietz od. Künfftige theilbare Nahrung active & passive allerdings verzug thun dahingegen soll Er Gundelwein an die von gemeldter seiner hausfrauen eÿgenthümblich beeder in der langen Straß allhier ohnfern der Kirch Zum alten St. Peter Gelegenen Haüßer deren d. eine zum Grünen Fäßel genandt, d. andere oben daran geled. jährlichen verfallende Zinße von Michaelis 1686. angerechnet keinen anspruch in keinerleÿ weiß haben (…)
dahingegen Er der Ehemann 100 gulden vor bau Costen wegen vorbenandt. haußes zum grünen Fäßel, Zu erfordern

Tobie Gundelwein et Susanne Lacher louent la maison au manant Jean Gerster

1691 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 284-v
Tobias Gundelwein, der ältere Küffer alß ehevogt Susannæ gebohrne Lacherin
in gegensein Johannis Gerstern deß Schirms Verwanthen [unterzeichnet] +
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren Gebaüen und Zugehördt, allhier in d. Obern straß einseit neb. der Kirch Zum alt. St. Peter Diaconat hauß bewohnt ietzo H. M. Johann Friderich Caroli alß Diaconus, and.seit neben einer and behaußung, deß Verleihers haußfr. auch gehörig, und ist die verlehnte behausung zum grünen Fäßel genandt, auff dreÿ Jahr lang von Johannis Baptistä dieß jahrs an zurechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 22 Pfund

Susanne Lacher autorisée de son mari hypothèque la maison qu’elle vient d’acquérir et celle au Tonneau vert au profit de Marguerite Wetzel veuve de Georges Christophe Lautensack

1692 (20. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 612-v
Fr. Susanna gebohrne Lacherin, Hn Tobiæ Gundelweins des ältern Kieffers ehel: Haußfrau mit beÿstand ged. ihres ehevogts wie auch Andres Gundelweins des Kieffers Ihres respect. leibl. Sohns und Tochtermanns
in gegensein Fr. Margarethæ gebohrne Wezelin, weÿl. Hn Georg Christoph Lautensacks gewesenen Organisten zur neüen Kirchen allhier nachgel. wittib mit beÿstand Hn Johann Friderich Theürers Schaffers des Frauenhaußes ihres Curatoris wie auch alß zum theil selbst Creditoris für seine eÿgene Person – schuldig Ihro Lautensackischer Fr. wittib 500 pfund und Ihme Hn Theürers 200 Pfund, daß Sie hernach zuerst hypothecirte behaußung erkauffen und völlig bezahlen können
unterpfand, Erstlich die jenige fol. 608. von H. Michael de Roffé D’hangest heüt dato erkauffte und daselbst ausführlich beschriebene behaußung perg. usq. eÿgen,
Ferner Eine behaußung mit allen deren Gebaüen und zugehördten allhier in der langen Straß ohnfern dem alten St. Peter, einseit neben einem stifftshauß ged. alten St. Peter gehörig, anderseit neben Johannes Spörer dem Kachler, hinten auff (-) stoßend gelegen und Zum grünen Faß genandt
[in margine :] (…) in gegensein Fr: Annæ Mariæ gebohrner Schneiderin obged. debitoris Hn: Andreas Gundelweins seel. nachgelaßener wittib und wie Sie berichtete proprietariæ obbeschriebenen und Verpfändeter behaußung, so ohnbevögtiget, mit assistentz ihres tochtermanns Joh: Martin Bahn Kieffers (quittung) den * junÿ 1725

Tobie Gundelwein meurt en 1693 à l’âge de 74 ans. L’inventaire dressé après sa mort décrit la maison

Susanne Lacher vend la maison 750 livres au marchand de vins Jean Kærcher

1695 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 178-v
Susanna geb. Lacherin weil. Tobiæ Gundelwein, gewesenen Kieffers sel. hinterlaßener wittib, so ohnbevögtigt, mit beÿstand Andres Gundelweins, deß Küffers ihres Stieffsohns und tochter manns
in gegensein Johannis Kärchers, deß Weinhändlers mit beÿstand Hn Johann Peter Edels, des Stuck: und Glockengießers
Zweÿ haüßer, ein Vorderes und ein hinderes, sambt dero höfflein, und hoffstätten, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier an der obern Straß, einseit neben einer Zur Kirchen zum alten St. Peter gehörig. Behaußung, anderseit neben Johann Spörer dem Kachler, hinten auf ein Stiffthauß zum alten St. Peter gehörig, stoßend gelegen und zum grünen Faß genandt – umb 750 pfund

Jean Kærcher (Kercker) épouse en 1695 Marie Marthe, fille du fondeur de cloches Jean Pierre Edel
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 28-v, n° 8) 1695. Vff heut Mittwoch den 27. Aprilis 1695 seind nach zweÿmahlig. Außruffung Zu St. Aurelien eingesegnet worden Herr Johann Kercker Weinhändler burg. allhier weÿland Johann Kercker geweßenen handelsmanns b. burg. alhie hinterlaßene ehelich. Son, V. Jungfr. Maria Martha, H. Joh: Peter Edels des Stuck v. Glockengießers auch burgers alhoer ehelich tochter [unterzeichnet] Johannes Kärchel als hochzeiter, Maria Martha Edelin als hochzeiterin (i 30)

L’épouse fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 617 livres, dans une maison rue Saint-Barbe, sans doute la maison Edel.
1695 (17.5.), Me Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 24) n° 14
Inventarium und Beschreibung, aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güther, so die Viel Ehren und Tugendreiche fraw Martha Kärcherin gebohrne Edelin Zu dem Ehrenvesten und Vorachtbahren H. Johann Kärcher, Weinhändler v. burger alhier, Ihrem geliebten Ehegatten in den Ehestand Zugebracht und Vermög auffgerichteter Eheberedung sich für Ohnverändert vorbehalten haben – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Wohl Ehrenvesten, Kunstreichen vnd Großachtbahr herrn Johann Peter Edem Stuck vnd Glockengießers v. E. E. Kleinen Raths jetzmaligen beÿsitzers, als der frauen geliebten herrn Vatters, Dienstags den 17. Maÿ Anno 1695.
In Einer in der Statt Straßburg in der sogenandten St. Barbara gaß gelegenen behaußung befunden worden, wie Volgt
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ, Sa. haußraths 197, Sa. Silber Geschirrs 21, Sa. Guldener Ring 105, Sa. Baarschafft 292, Summa summarum 617 lb

Jean Kærcher hypothèque la maison composée de deux bâtiments au profit des enfants mineurs du tonnelier Jean Beck

1698 (29.3), Chambre des Contrats, vol. 570 n° 195-v
H. Johannes Kärcher der weinhändler
in gegensein Hn Michael Becken, des Küffers Und E. E. großen Raths alten Beÿsitzers alß Vogts weÿl. Hn Johann Becken gewesenen Küffers Und E. löbl. Policeÿ Gerichts beÿsitzes seel. Nachgelaßene noch lediger zweÿ Kinder, schuldig seÿe 350 pfund
unterpfand, Zweÿ Haüßern ein Vorder: und ein Hinderes sambt dero Höfflein Und hoffstätten, und übrigen deren Gebaüen, Begriffen, Zugehördten Und Gerechtigkeiten allhier an der obern Straßen, einseit neben einer zur Kirchen zum alten St. Peter gehörigen Behaußung, anderseit neben Johann Spöerer dem Kachler, hind. auff in Stiffts hauß zum alten St. Peter gehörig stoßend gelegen, und Zum grünen Faß genandt

Jean Kærcher hypothèque la maison au profit de la fondation Nicolas Adolphe

1699 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 334-v
H. Johannes Kärcher, der Weinhändler
in gegensein H. Philipps Küblers, Vnd H. Michael Fausten, beeder E.E. großen Raths alter beÿsitzern, alß Testamentariorum, wie auch H. Johann Kitschen Not. Publ. als Schaffners der Nicolaj Adolphischen Stifftung – schuldig seÿe 125 pfund
unterpfand, zweÿ Haüßer, Ein Vorder: Und ein Hinderes, sambt dero Höfflein Und Hoffstätten, Und übrigen deren Gebauen, begriffen, Zugehördten Und gerechtigkeiten allhier an der obern Straßen einseit neben einer zur Kirchen zum alten St. Peter gehörig. behausung, anderseit neben Johann Spöerer dem Kachler, hinden auff ein Stifts Hauß zum alten St. Peter gehörig stoßend gelegen, Und zum grünen Faß genandt, welche Häußer vorhien umb 350 lb Capital verhafftet

Jean Kærcher hypothèque la maison au profit de Philippe Kübler, assesseur au Grand Sénat

1705 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 415
Joh: Kärcher weinhändler
in gegensein Hn Philipp Küblers E.E. großen Raths beÿsitzers – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, seine behaußung cum appertinentiis allhier ahn der Straß zum grünen Vass, einseit neben Joh: Sperrer hafners, anderseit neben dem Diaconat hauß alten St Peter, hinten auf ein Canonicat hauß stoßend gelegen

Jean Kærcher hypothèque la maison au profit du jardinier Thiébaut Hügel

1706 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 344-v
Johann Kärcher weinhändler
in gegensein Diebold Hügels G.U.W. – schuldig seÿe 150 lb
unterpfand, deß debitoris behaußung cum appert: allhier ahn der untern Straß zuem grünen Vässel genannt, einseit neben dem diaconat hauß alten St Peters neben Sporers haffnern hinten auf d. Canonicat hauß

Jean Kærcher et Marie Marthe Edel hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Nicolas Herff

1706 (23.7.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 541-v
Joh. Kärcher weinhändler und Maria Martha geb. Edelin beÿständlich H. M. Joh. Reinhard Brechten Præcept: Sup: Gymn: u. Tobiæ Stephan Sattlers
in gegensein H. Joh. Niclaus Herffen sen: handelsmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, der debitorum behaußung cum appert: allhier in der Straß, einseit neben einem diaconat Hauß alten St. Peters anderseit neben neben Joh. Sperrer haffnern hinten auf ein Canonicat Hauß stoßendt

Marthe Edel veuve de Jean Kærcher meurt en 1731 en délaissant deux fils. L’inventaire qui se monte à 869 livres est dressé dans une maison rue Sainte-Barbe.
1731 (14.6.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 31) n° 706
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Martha Kärcherin gebohrne Edelin auch Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Kärchers des geweßenen Weinhändlers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. als dieselbe Freÿtags den 1.ten dießes Monats Junÿ dießes Zeitliche in das Ewige Verwechselt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Kärchers, des Barchethändlers und burgers allhier Zu Straßburg, und Johann Daniel Kärcher, Ledigen Schneiders, so Majorennis und ohnbevögtigt, beeder des verstorbenen Fraun seel. mit vorgedachtem Ihrem geliebten Haußwürth seel. ehelich erzielhter Söhne auch ab intestato zu zweÿen gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener Rechtsmäßiger Erben, ersucht – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag de 14. Junÿ Anno 1731.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Barbaragaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befinden worden wie Volgt.
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. haußraths 131, Sa. Wein und Lährer Vaß 27, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 38, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 354, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Summa summarum 869 lb
Dießer Summ ist nun zu addiren, was die beede Söhn und Erben bereits Zur Ehesteur und sonsten empfangen und dahero dißorts zu conferiren haben, 1292 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 869 lb

D’après les références ultérieures, la maison revient par enchère judiciaire le 23 janvier 1720 aux héritiers de Thiébaut Hügel.
Fils de jardinier, Thiébaut Hügel se marie en 1679 avec Anne Voltz veuve d’André Lix qu’elle a épousé en 1671. Il se remarie en 1703 avec Marguerite Wunderer, veuve en premières noces de Jean Mathæus (mariage en 1686) et en secondes noces d’Abraham Heydel (mariage en 1692) tous deux jardiniers

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 185)
1679. Mittw. den 8.ten 7.bris Zu St: Aurelien Dieboldt Hügel der Gartner Hanß Hügel des Gatners Sohn vndt Anna, Andres Lixen des Gartners nachlaß. Wittib (i 95)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 85-v)
Heut dato den 1. Januarÿ Anno 1703. Seindt Christlich Copiulirt vnd Ehelichen Eingesegnet Worden, Herr Thiebold Huegel der burger Vndt Gardtner allhier, vndt Fr. Margaretha weÿland Herren Abraham Heÿdels des burgers vnd Gardtners Nachgelaßener Witwe [unterzeichnet] DG, on (i 88 – proclamation Ste Auréile)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 39-v)
1692. die 5. Novembris seind Copulirt Worden Abraham Heidel der gartner Carl Heidels gartners v. burgers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn v. Margaretha Johannis Mattæi gartners v. burgers hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] A, + (i 41)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203)
1686. Majus, d. 1. Johannes Matheus der led: Gartner Johann Mathei gartners und burgers allhier ehl. Sohn, Jungfr. Margaretha Lorentz Wunderers gart,ners allhier hinderl. ehel. tochter (i 204)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p 165)
1671 Andreas Lix jun. Andres Lix, des Gartners Ehel. Sohn Vnd Jf. Anna, Michael Voltzen des Gartners Ehel. Tochter (i 85)

L’inventaire après décès de Thiébaut Hügel est dressé par le notaire Jean Frédéric Marbach. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 600 florins (800 livres) sur un total de 8 300 florins
1713, Livres de la Taille (VII 1175) f° 8
(GUW, F. N° 960) Weÿl. Diebolt Hügels geweßenen Gartners und burgers allhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Marbach.
Concl. fin. Inv. ist fol. 167, 4164. lb. 14 ß 10 d, die machen 8300. fl. Verstallte nur 6700 fl, also Zu wenig 1600. fl
worunder 1300 fl. ohnverändert und 300 fl. Theilbar guht.
Von welchen 1300. fl. ohnveränderten Guht der Nachtrag gerechnet wird auf acht jahr in duplo macht à 3. lb 18 ß, 31. lb 4 ß
Und auff Sechs jahr in simplo th. à 1 lb. 19 ß d, 11 lb 14 ß
Ferner Von 300 fl. theilbarem Guht auff sechs Jahr in duplo th. à 18 ß, 5 lb 8 ß
Und auff Vier Jahr in simplo macht à 9 ß d, 1 lb. 16 ß
Extat d. Stallgeltt pro 1712. 11 lb 8 ß
Gebott, 1 ß 4
Abhandlung, 4 lb 7 ß 6 d, Summa 65. lb 18 ß 10 d
Aus trifftigen eingebrachte Motiven haben die Herren Dreÿ nachgelaßen 23. lb., rest. 42. lb
dt. 27° Martÿ 1713.

Marguerite Wunderer veuve de Thiébaut Hügel vend la maison 1 400 livres au secrétaire François Henri Dautel et à sa femme Marie Madeleine Lang

1724 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 174-v
Fr. Margaretha geb. Wundererin weÿl. Diebold Hügel geweßenen G. U. W. Wittib beÿständlich H. Johannes Neßmann auch guw und EE. kleinen Raths beÿsitzers, Ferner Margaretha Schottin geb. Hügelin Andreß Schott auch garttner daselbst Ehefrau
in gegensein H. Frantz Heinrich Dautel des Scribenten und Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Langin
Eine Behausung höfflein und hinderhauß Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Obern straß, einseit neben einer behaußung dem Pfarrhauß zum alten St Peter gehörig, anderseit neben Brandt dem haffner, hinten auff eine dem Stifft zum alten St Peter gehörigen behausung, und zum grünen Faß genannt – der Wittib zu einem der Schottischen Ehefrauen aber nach deme Sie von ihren dreÿ geschwisterden und Miterben in Vätterlichen ohnvertheilten Erb dreÿ vierdte theil ahne zwo terzten käufflich übernommen und bezahlt – 1400 pfund

François Henri Dautel et Marie Madeleine Lang hypothèquent la maison au profit du couvent Saintes Marguerite-et-Agnès

1725 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 227
H. Frantz Heinrich D’autel der scribent und Fr. Maria Magdalena geb. Langin mit beÿstand ihres bruders H. Johann Heinrich Lang Notarÿ Publici und ihres schwagers Johann David Kuntz des gürttlers
in gegensein H. Johannes Franciscus Antonius Bourts Schaffners des Closters zu St Margarethen und Agneßen, als mandatarÿ der Ehrwürdigen Fr. Mariæ Ottiliæ Bodemerin Conventualis und dermahliger Schaffnerin ged. Closters – schuldig seÿen 34 pfund
hypothecirt, Eine Behausung höfflein hinderhauß Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Obern straß, einseit neben dem Pfarrhauß zum Alten St Peter anderseit neben Brandt dem haffner, hinten auff eine dem Stifft zum Alten St Peter gehörigen behausung, und zum grünen Faß genannt, welche behausung annoch der mitschuldnerin Mutter und unterschiedlichen dero geschwisterden und Miterben zu ungleichen antheilen umb 650 pfund verhafftet

Les mêmes hypothèquent la maison au profit du pelletier célibataire Jean Henri Goldbach

1725 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 235-v
H. Frantz Heinrich D’autel der scribent und Fr. Maria Magdalena geb. Langin mit beÿstand ihres bruders H. Johann Heinrich Lang Notarÿ Publici und ihres schwagers Johann david Kuntz des gürttlers
in gegensein Christian Schurr des Schreiners als geordnet und geschworenen vogts Johann Heinrich Goldbach ledigen Kürßners – schuldig seÿen 25 pfund
hypothecirt, nach deme die Ehefrau zuvorhin zu dem end das benöthigte Decretum oppignorandi beÿ E.E. großen Rath allhier gesucht und unter dem 19. Martÿ und 14. Aprilis jüngst erhalten, Eine Behausung höfflein hinderhauß Bronnen und hoffstatt cum omnibus appertinentÿs ahne der Obern straß, einseit neben dem Pfarrhauß zum Alten St Peter, anderseit neben Brandt dem haffner hinten auff eine dem Stifft zum Alten St Peter gehörigen behausung, und zum grünen Faß genannt

François Henri Dautel et Marie Madeleine Lang font dresser en 1727 un état de leur fortune dans lequel est portée la maison.
François Henri Dautel vend la maison 1 040 livres à Anne Salomé Füssinger, femme séparée quant aux biens du notaire Jean Henri Lang (l’acquéreuse est la belle-sœur du vendeur)

1728 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 306-v
H. Frantz Heinrich D’autel Notarius Publicus
in gegensein Fr. Annæ Salome geb. Füßingerin H. Not. Johann Heinrich Lang separirte Ehefraun beÿständlich ihres Curatoris H. Lt. Johann Jacob Schübler practici beÿ löbl. Ammeister audientz und ihres Stieffbruders Christoph Saum des Seÿlers
Eine Behausung bestehend in Vorder und hinder hauß hoff Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten wie auch denen Liegerlingen im Keller in der Obern Straß, einseit neben der zur Kirch zu Alten St Peter gehörigen Diaconat behausung anderseit neben Schulmeister dem Leinenweber hinten auff eine dem Stifft zum alten St Peter zuständiges Canonicat: hauß, zum grünen: faß genannt – um 708 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 341 pfund

Anne Salomé Füssinger hypothèque la maison au profit de la Haute Ecole

1735 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 462-v
Fr. Anna Salome geb. Fußingerin weÿl. H. Johann Heinrich Lang Jun: Notarii Publici und Practici seel. hinterlassene ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ihres sohns Johann Daniel Lang des ledigen mehrjährigen Knopffmachers
in gegensein hiesiger hoher schuel Schaffners H. Philipp Jacob Oesinger von dasigen H. Pflegern bevollmächtigt – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit neben einer zur Kirch zum alten St Peter gehörigen Diaconat: behausung, anderseit neben weÿl. Jacob Bronn des Nagelschmidts Erben hinten auff verschiedene dem Stifft zum Alten St Peter gehörigen hauß gärtten – als ein während ihrem wittwen stand erkaufftes guth

La maison figure à l’inventaire dressé en 1738 après la mort d’Anne Salomé Füssinger.
Ses deux enfants et héritiers la vendent en 1744 à Jean Bauer, secrétaire de l’accise, et à sa femme Anne Marie Hornus

1744 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 443-v
Johann Daniel Lang der knopff macher und deßen schwester Fr. Catharina Elisabetha geb. Langin Johann Daniel Bär des Paßmentirers ehefrau
in gegensein H. Johannes Baur des Schreibers in dem Umgeldhauß und Annæ Mariæ geb. Harnußin
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der obern straß ohnweit der kirchen zum alten St Peter, einseit neben einem an erstgemeldter Kirch gehörigen Diaconat hauß, anderseit neben Johann Meyer dem Chirurgo, hinten auff eine dem Stifft alten St Peter gehörigen Canonicat behausung – und denen liegerlingen im keller – als ein mütterlichen erbguth – um 1600 pfund

Fils d’aubergiste, Jean Baur alors aubergiste à la Charrue épouse en 1732 Marie Salomé Schmidmeyer : contrat de mariage, célébration
1732 (21.5.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 40)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Hn Johann Bauren dem ledigen Gastgebern Zum Pflug und burgern allhier alß Hochzeitern ahne Einem,
und dann der Viel Ehr undt tugendbegabte, Jungfr. Mariæ Salome Schmidmeÿerin weÿl. H. Johann Matthiæ Schmidmeÿer, geweßenen Föchhändlers und burgers Zu Straßburg seelig nachgelaßeneer ehelich. Tochtern alß der Jungfr. Hochzeiterin ahne dem andern theil
Straßburg den 21. Maÿ 1732. [unterzeichnet] Johannes baur Als hochzeiter, Maria Salome schmidtmeÿerin Alß hochzerin (i 117)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 113-v, n° X)
1732. Dominica Trinitatis et I. Trinit. proclamati sunt Johannes Baur, der ledige Würth v. burger alhier Johann Friderich Baur deß Würths v. burgers alhier ehel. Sohn, v. Jngfr. Maria Salome, Weÿl. H. Johann Matthias Schmidtmeÿer geweßenen Rauch: Waarhändlers v. E. E Kleinen Rahs Alten beÿsitzers nachgelaßene ehel. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 18. Junÿ

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Charrue qui appartient au marchand Jean Michel Schweigheusser. Ceux du mari s’élèvent à 717 livres, ceux de la femme à 869 livres
1732 (2.7.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 7) n° 101
Inventarium über H. Johann Bauren des Gastgebers zum Pflueg und Fraun Mariæ Salome geb. Schmidtmeÿerin burgere zu Straßburg in den Ehestand vor ohnverändert einander zugebrachte Nahrungen – in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand und in denen vor mir Notario auffgerichteten Ehe Pactis sich reserviret und vorbehalten haben
In fernerem Gegensein Fr. Annæ Catharinæ Baurin geb. Schweigheußerin deß Ehemanns eheleiblicher Mutter
Inn einer ahne der Steinstraß gelegenen das Würth und Gast Hauß zum Pflueg genanndt in dieße Nahrungen Nicht sondern H. Johann Michael Schweigheußer dem Handelßmann eÿgenthümlich zuständigen behaußung
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 302 lb, Sa. Weins und Faß 269 lb, Sa. Pferds 7 lb, Sa. Silbers 7 lb, Sa. baarschafft 48 lb, Sa. Schulden 20 lb, Summa summarum 661 lb – haussteuren 56 lb, des Ehemanns völliges guth 717 lb
der Ehefr: in Ehest. gebracht Guth, Sa. hausraths 230 lb, Sa. Silbergesch. 62 lb, Sa. goldenen Ringe 40 lb, Sa. baarschafft 476 lb, Sa. Schuld 3 lb, Summa summarum 812 lb – haussteur 56 lb, der Ehefrau völliges Guth summa 869 lb – Conclusio finalis 1586 lb

Marie Salomé Schmidmeyer meurt en 1736 dans sa maison, l’auberge au Palais Royal rue des Lods-et-Ventes. La masse propre au veuf s’élève à 351 livres, celle des héritiers à 888 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 063 livres, le passif à 1 512 livres
1736 (12.3.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 11) n° 165
Inventarium über Weÿl. Fr. Maria Salome Bauerin geb. Schmidtmeÿerin H. Johann Bauren des wûrths und Gastgebers au Palais Royal Haußfr: Verlaßenschafft – welche Freÿtags den 13. zurückgelegten Monats Januarÿ 1736 dieses zeitlichen mit dem Ewigen verwechßelt hinter Ihro zeichlichen verlaßen, durch den Wittiber wie auch Margaretham Singerin die dienst Magd im Hauß (geäugt und gezeigt)
Denominatio haeredum, die Frau hat ab intestato zu Erben verlaßen wie volget 1. Johannem Ohngefähr 3 Jahr alt Undt dann 2. Maria Salome so ohngefehr 1 Jahr alt mit dem Wittiber erzeute Kinder, in derem Nahmen herr Johann Georg Strohl der Kieffer Weinhändler alß Curatoris geordnet

In einer oben ahne der Pfundzoller gaß gelegen das würth: und Gasthauß au Palais Royal genanndten in die Verlaßenschafft gehörigen behaußung
Ane Höltzen und Schreinwerck, Oben In der Cammer A, In der Cammer B oder in d. Magd Cammer, Inn der obern Gastcammer C, In der hind. Camin Cammer, In der Mittlern Camin Cammer, In d. Obern vord. Cam: Cam:, Vor der Obern Vord: Cam: Cam:, In der Obern Gast stuben, In dem Kindts Stübel, Inn der hindersten Cammer, In d. unteren Stübel beÿ d. Küchen
(f° 18) Eÿgenthumb ahne einer behaußung. Nemblichen Eine behaußung bestehend in Vorder und Hinter Hauß das würthshauß au Palais Royal oder zum königlich Palast genandt so gelegen allhier ahne der blau wolcken gaß so ein Eckh oben ahne der Pfundzollergaß einseit und vornen neben H. Johannes Boch dem Kieffer weinhändler 2.s neben Andreas Völckhin dem Maurer und Schirmsverwanth. allhier hinten sowohlen auff obermeldten H. Bochen alß auch erst genandten Völckhen stoßendt, von welcher behaußung solle mann der Stadt Straßburg Pfenningthurn jährlich 5 ß d ahne bodenzinß und dann denen adel. Büttlingischen Erben Jährlichen ebenfalls ahne bodenzinß 10 schilling reichen, (laut) Abschatzung vom 17. Februarÿ 1736 æstimirt und angeschlagen für und umb 3500 R oder 1750 lb, von welchem haußanschlag in Abgang zu bringen 1205, Nach abzug derer 545. Über welche behaußung vormals das wüthshauß zum willkomm ware besagt ein teutscher Kaufbrieff in der C. C. Stuben gefertiget datiret den 19. Junÿ 1685 Wie und auff was Arth aber der hinterlassene Wittiber solches hauß von weÿl. Andreas Rothen wittib der willkomm würthin allhier stehender Ehe ahne sich erkaufft, Solches ist auß dem Neuen in d C. C. Stuben gefertigten dermahlen aber beÿ E.E. Kl: R: prod. Kaufbrieff mit mehreren zu Ersehen
– Abschatzung Vom 17 februarÿ 1736, Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen Herrn Johannes Bauer deß wierth und Gastgeberß zum Königlichen Palast gelegen, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg welches ein Eck in die Pfund Zoller gaß, ein seits Neben H Johannes Bochen dem Küffer anderseits und auch hinden zum theill auff Johannes Völckin dem maurer Stoßendt, welche behausung sehr schmall auf auß wëntig noch nit völlig auß gebauen, worinnen unden auff dem botten die Gast stube hauß Ehren darinnen die stëge neben dar an die Küchen und Kleines Kammerlein, oben dar über eine Stuben schmales haus Ehren und Camin Cammer, ihm obern stock eine Camin Cammer haus Ehrelein und nebenstuben, under dem tach zweÿ Cammern getrembten Keller sambt aller gerechtig Keidt, vor und umb 3500 Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmer hofs, Johann Peter Pflug wërck Meister deß Mauer hoffs
Deß H. Wbers. ohnverändert Nahrung, Sa. hausraths 53 lb, Sa. lären Faß 12 lb, Sa. silbers 8 ß, Sa. Ergäntzung 459 lb, Summa summarum 526 lb – Schulden 175 lb, verbleiben 351 lb
der Kinder und Erben ohnv: Nahrung, Sa. hausraths 88 lb, Sa. Silbers 19 lb, Sa. Goldene ringe 12 lb, Sa. baarschafft 3 lb, Sa. schulden 175 lb, Ergäntzung 590 lb, Summa summarum 888 lb
Folgt nun die beschreibung der verändert und T. Verlassenschafft, Sa. hausraths 147 lb, Sa. Weins 207 lb, Sa. Gutschen 72 lb, Sa. silbers 35 lb, Sa. baarschafft 28 lb, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 545 lb, Sa. schulden 27 lb, Summa summarum 1063 lb – Schulden 1512 lb, passiv onus 449 lb – Conclusio finalis und Stall summ 790 lb
Copia der vor mir aufgerichteten Heuraths Verschreibung unterm 21. maÿ 1732
Copia Codicilli reciproci unterschriebenen Notario den 27. aug. 1732

Jean Baur se remarie en 1735 : contrat de mariage passé à Colmar (copié à l’inventaire après décès), célébration. Catherine Hornus devient bourgeoise en janvier 1737.
Copia Heuraths Contract – zwischen dem Ehrengeachen Herrn Johann Baur, Vornehmen burger und Gastgeber au Palais Royal Löbl. Statt Straßburg Herrn Hochzeiter Eines, So dann der Viel Ehren undt tugendt: begabten Jungfrauen Annâ Catharinâ deß auch Ehrengeachten Herrn Johann Peter Hornus, burgers undt Weißgerbers in Colmar Ehelich erzeugter Tochter Jungfer Hochzeiterin andern theils – So beschehen Colmar den 10. Octobris des 1736. Jahrs – Unterschrieben Jäger Gerichtschreiber

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 139-v)
1736. Dominica XXII et XXIII Trinit. proclamati sunt Herr Johannes Baur der Gastgeber und Burger viduus alhier V. Jgfr. Catharina Herrn Johann Peter Hornüß des Weißgerbers v. burgers in Colmar elehl tochter copulati sunt Mittw. d. 7. Novembr. [unterzeichnet] Johannes baur als hochzeiter, Catharina Hornußin alß hochzeiterin (i 144)

1737, 4° Livre de bourgeoisie, p. 1042
Catharina Hornußin Von Colmar geb. erhalt d. br. Von ihrem ehemann Johann Baur b. und gastgeber au Palais Royal alhier umb d. alt. b. will beÿ E: E: Zunfft d. freÿb. dienen. Prom. Eodem [5.ten Jan. 1737]

Les préposés en chef de l’accise ont nommé Jean Baur pour tenir le registre des vins français et étrangers. Les Quinze confirment le 3 mars le règlement qu’ils ont rédigé avec l’approbation de la chambre d’économie. Jean Baur prête serment le 10 mars.
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
Projectirte Ordnung für Johann Baur den Schreiber im Umbgeldt
(p. 171) Sambstag d. 3. Martÿ 1742. Johann Baur Schreiber in dem Umbgeld Ordnung
Ober Umgelt herren laßen durch Herrn Secretarius Kleinclaus proponiren, Es seÿe bekant daß Johannes Baur bestellet worden jn dem Ungelt bureau das jenige buch zu halten in welches die Frantzösische und andere Fremde Wein eingetragen, Wegen dieses officianten functionen hätten Sie, Obere Ungelt Herren eine Verhaltungs-Ordnung projectirt, welche das Oeconomie bedacht in præsentia des herrn Prætoris Regÿ Excellenz abgeleßen worden, und laute solches wie folgt. Ille ließt solches ab, und setzt hernach beÿ Es stehe Zu Mghh ob Sie an dero hohen orth dießes project approbiren und erkennen wollen, daß solches gemeltem Baur zugestellt, Von Ihme in duplo abgeschrieben, und er hernach darauff in dießer stub beeidiget werden solle. Erkandt also beleibt.
Vid. dieße ordnung Zu end gegenwärtigen protocolls angehefft.

L’orfèvre Tobie Louis Krug rend compte de sa tutelle des biens qui appartiennent aux enfants de Jean Baur et d’Anne Catherine Hornus
1764 (27.8.), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 575) n° 29
Rechnung Mein Tobias Ludwig Krug des Silberarbeiters und burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts weÿl. H. Johannes Bauren gewesenen Controlleurs in hießigem Umgeld u. b. hieselbsten in 2.ter Ehe mit fr. Anna Catharina geb. Hornußin erziehlter 3.er Kinder, Namens Anna Catharina, Maria Margaretha und Johann Daniel derer Bauern, Innhaltend was ich dießer meiner dreÿen Curanden halben seith angetrettener Vogteÿ und der in Anno 1752 überkommener Verwaltung bis dato 27. aug. 1764 eingenommen und außgegeben auch sonsten verhandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

(p. 200) Sambstag d. 10. Martÿ 1742. Johann Baur pt° Jurame,y
Johann Baur der Schreiber in dem Umbgeld deme seije Newe Ordnung durch die Wohlverordnetee Ober Ungelt Herren abgeleßen worden, stellt sich ad Juramentum. juravit.
(Rapiarium f° 61, 66)

Le secrétaire de l’accise Jean Baur meurt en 1745 en délaissant deux enfants de son premier mariage et trois du deuxième. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 413 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2003 livres, le passif à 2751 livres.

1745 (19.5.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 19) n° 279
Inventarium über Weÿland Herrn Johannes Baueren, deß geweßenen Schreibers in dem Umbgedt undt burgers Zu Straßb. seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet in Anno 1745. – welcher Mittwochs den 21.sten deß Monaths Aprilis fürwährenden 1745.ten Jahrs die Schuldt der Natur bezahlet hat, hinter Ihme Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auff geschehenes geziemendes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl der hinterbliebenen heranacher gemeldten Frau Wittib als auch deß seelig Verstorbenen Verlaßener ehelicher Kindter geordnet und geschworenen Vögten (…) durch die Viel Ehren und Tugendt: reiche Frau Annam Catharinam Bauerin gebohrne Hornußin die hinterbliebene Frau Wittib beÿständlichen deß Wohl Ehrenvesten weißen undt Großachtbahren Herrn Frantz Heinrich Staedel, Eines Ehrsamen Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und dermahligen Hoch: verordneten Inspectoris in allhiesigem Umbgeldt Hauß, Ihro der Frauen Wittib ahne Vogt Statt hierzu Erbettenen und zugegen geweßenen Hochansehnlichen Herren Assistenten – So beschehen allhier in der Koenigl. Freÿen Statt Straßburg, Mittwoch den 19. deß Monaths Maji A° Dni 1745.
Denominatio hæredum. Der Verstorbene herr Johannes Bauer, Eingangs gedacht seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, Nahmentlichen vnd 1. Johannes Bauer so in circa 12 Jahr alt, Ferner 2. Mariam Salome, welche ohngefehr 10 alt, Welche beede Kindtere der abgeleibte Herr mit weÿland Frauen Maria Salome gebohrner Schmidtmeÿerin seiner Ersteren Ehefrauen Längst seeligen Ehelichen erzeuget. In dererßelben Nahmen der auch wohl Ehrenachtbare herr Johann Georg Strohl, der Kieffer, Weinhändler und burger allhier Zu Straßburg, alß dereselben (…) geordnet und geschworenen Vogts dem Geschäfft in Persohn beÿgewohnet und derer Interese observiret hat.
Weither 3.tio Catharinam Salomeam, so in circa 7 Jahr alt und 4. Margaretham Barbaram welches das 4. Jahr des alters Erreichet, so dann 5.to Johann Daniel, so ohngefähr 3. Jahr alt. Vorher gemelte 3. Letzere Kindter aber hat der seelig verstorbene mit der hinterlaßenen in dem Eingang benandten fr. Wittib in deßen 2.er undt Letzter Ehe erziehlet. Und ist in solchen 3. Kindter 2.ter oder Letzten Ehe persönlich zugegen gewesen der Wohl Ehrengeachte undt Kunsterfahrene Herr Tobias Ludwig Krug der hiesige Silber: arbeiter und burger alß ermeldter 3.r Kinder (…) geordnet und geschworener Vogt

Inn einer allhier Zu Straßburg ahne der langen Straaß gelegenen zum grünen Faß genandten in der Theilbahre Verlaßenschafft gehörigen dahero hernach inventirten behaußung ist befunden worden, wie volget
Ane Höltzen undt Schreinwerck. Auff der ohneins öbersten Bühne, Inn der oberen Cammer A, In dem oberen Cämmerl. B, Inn der Soldaten Cammer, Inn dem hinteren Stübel, Inn der Küchen, Inn dem hauß Ehren, Inn dem Keller
Eÿgenthumb ahne einer behaußung so in d. Benef. Nahr. gehg. (T.) Nemlichen eine behaußung bestehendte in Vorder: und hinder hauß, Hoff, bronnen undt hoffstatt, sambt allen überigen deroßelben begriffen, weithen Zugehörden undt Rechten allhier Zu Straßburg in der Obern Straß ohnweit der Kirchen Zum Alten St Peter, einseit neben I.r erst ermelter Kirch gehörigen Diaconat behaußung, Anderseith neben einem Hn Johannes Meÿer sen. Chirurgo und Burgern allhier zuständigen behaußung, hinten auch auff eine dem Stifft Alten St. Peter gehörige Canonicat: behaußung stoßendt, gelegen, Welche behaußung cum appertinentÿs durch (die Werckmeistere) Zufolg dererselben vorgenommener Abschatzung undt deß wegen unterm 17. Maji dießes 1745. Jahrs außgestellten dahero Zu mein deß Notarii Concept gelüfferten Abschatzung Scheins für Freÿ Leedig undt Eÿgen æstimirt worden für und umb 3000 gulden, welche allhier in Außwurff antreffen 1500 lb. Pro Nota. Die auff Solcher behaußung Verzinßlich Hafftende in 2.en Posten zu 620. lb. d außmachtend Capitalien Seind wie fol. 116.b et seq. Ersichtlich passive Eingetragen Zu befinden, Hiehero Zum bericht. Über solche behaußung aber ist vorhandten ein teutscher Pergamenter auß allhies: C. Contract Stuben gefertigt und mit deroselben anhangenden Insiegel bekräfftigtet und. d. 17. Aug. 1744 datirten Kaufbrieff, so beÿ gegenw. Verl. Inventur mit Lit. A. marquirt worden, worauß zu Ersehen wie und auff waß arth der Abgeleibte seelig, undt deßen hinterbliebene wittib Solche behaußung von Mr Johann Daniel Bauer dem Knöpfm. und burgern allhier et Cons. ahne sich erkauft. Meldet über solche behaußung ferner ein älterer Pergam. d° aus dito und mit dito so datirt den 1. Julÿ 1728. Welcher mit altem Lit. D notiret und dermahlen darbeÿ gelaßen Worden. Sonsten hat sich beÿ gegenw. Verl. Inventation über vorher beschriebene behaußung nichs weitheres schrifftlichen her vor gethan.
– Abschatzung dem 17. Maÿ: 1745. Auff begeren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johanneß Bauer deß gewëßenen scribent ihm ungeld seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in der Langen Straßen gelegen ein Seitß Neben einen Stiffts hauß Zum alten St: Peter gëhorich ander Seitß an H Dobiaß Meÿer dem balbirer hinten auch auff ein Stifftß hauß Zum alten St. Peter gehörich Stoßent, welche behausung unden ein gangß, ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren und Nëbenß Cammer, gewölbter Keller, der hoff und bronen ihm hinter hauß unden ein schmaller gang und Cammer, getrëmbter Keller, oben dar über ihm Ersten Stock, eine Stuben mit einen Allkoff hinten dar an gëgen dem hoff die Kuchen und daß hauß Ehren, der gang und daß Stübell ihm hinderhauß, ihm 2.ten Stock eine Stuben Cammer Küchell haußehren, der gang und Stübell ihm hinderhaus oben die soldaten Cammer mit einen halben tach, ein alter tach Stull under dem tach 3: Cammern mit diellen zu geschlagen, steinerer gëbell Sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor vnd Umb Dreÿ Tausent Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, Pflug Statt Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmerhof
Eÿgenthum ahne einem Liegende, Grund oder Garthen wie auch Garthen häußl. so in der Benef. E. Nahrung gehörig, Benandlichen ein Garthen so ohngefähr ein zweÿtel Grundt seÿn solle, sambt einem darinn befindl. Garthen Häußlein (…)
und Schopff samt übrig deßen zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten so gelegen ahne der vorstatt Steinstraß und dem so genandten Gutleuthgäßlein es. neben Lt Johann Georg Marbach dem Färber as. neben weÿl. H. Ulrich Greiners gew. E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. Nachgelaßener wittib und Erben hi. auff einen H. Joh: balthaßar bischoff holtzhändlers und der Stadt Straßburg Pfenningthurn altem dreÿern zuständigen Garthen stoßend, von welchem garthen ist man dem Mehrern hospithal Jährlich 12 ß 6 d ahne bodenzinß zu reichen den 26. maÿ 1745 angeschlagen worden um 550 gulden oder 275 lb, hier von aber ist dißorts in abzug zu bringen vor erwehnter 12 ß außmachenden bodenzinß zu doppeltem capital gerechent 25, bleiben 250, und ist die vorhandene Neuen bronn hütt æstimirt word. pro 5, Wie und auf Was arth aber der verstorbene solchen Garthen ahne sich eÿgenthümbl. gebracht meldet C.C. Stube, den 10. mart. 1744, ferner C. S. Stuben den 9. aug. 1675 sonsten aber hat sich nichts schiffl. befunden
Ergäntzung der Frau Wittib inn der Ehestand vor ohnverändert Gebracht, aber währender Ehe Verändert und Abgeg. Vermögens. nach Anleithung deß Über beeder ges. Ehl in den Zum theil zu einander für ohnverändert gebrachte Nahrung durch mich Notarium unterm 14. Sept. in A° 1737. et seq. auffgerichteten Inventarii
Wÿdumb, So der Verstorbene seel: auß deßen Voriger Ehefrauen biß ahne seinen Todt genoßen hat (…)
Norma hujus inventarii. Der frau Wittib Ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 2 lb, Sa. Silbergeschmeids 2 lb, Sa. Goldenen Ring 10 lb, Sa. der baarschafft 75 lb, Sa. der Schulden 75 lb, Ergäntzung 247 lb, Summa summarum 413 lb
Solchemnach wird auch deß seelig verstorbenen sowohlen Ohnverändert Theilbahre Verlaßenschafft /:Undt Zwar weilen die fr. Wittib auff die letztere tam active quam passive renunciret:/ unter einem Titul Nemlichen der Beneficial Erbenn Ohnverändert und Theilbar tractirt – Sa. hausraths 14 lb, Sa. Wein und Lährer Faß 50 lb, Sa. Viehes 2 lb, Sa. Handgeschirrs zum Garthenwerck gehörig 15 ß, Sa. Thabacks 4 lb, Sa. Silbers geschirr und Geschmeids 22 lb, Sa. Gold Ringleins 10 ß, der baarschafft 12 lb, Sa. behaußung 150 lb, Sa. Garthens 254 lb, Sa. Activ schulden 10 lb, Summa summarum 2003 lb – Schulden 2751 lb, Detrahendo 747 lb – Schluß oder Stall Summma 871 lb
Copia Heuraths Contract (…) So beschehen Colmar den 10. Octobris des 1736. Jahrs – Unterschrieben Jäger Gerichtschreiber
Copia unterem 27. des Monats Marti in A° 1745 auffgerichteter Codicillarischer Verordnung – (…) in einen ahne der obern Langen Straß ohfern der Alten St Peter Kirch gelegen Zum grünen Fäßlein genandte beeden Disponirenden Ehe Persohnen eÿgenthümlich zuständige behaußung deren Mittlern Stocks bewohnende Stub mit denen Fenstern auff die gaß aussehend (…) Zwar der Ehemann Kräncklichen und schwachen Leibs Sie die Ehefrau aber gesundt gehendt: undt stehenden Leibes Frantz Heinrich Dautel, Notarius publ: jur:

Anne Catherine Hornus à laquelle le Petit Sénat a attribué la succession de son mari hypothèque la maison au profit des enfants issus du premier mariage de son mari

1745 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 551
Fr. Anna Catharina geb. Hornußin weÿl. H. Johann Baur des schreibers im Umbgeld wittib mit beÿstand H. Frantz Heinrich Städel exsenatoris und Inspectoris gedachten Umbgelds
in gegensein Johann Georg Strohl der weinhändler als vogts gemelten Bauren in erster Ehe mit weÿl. Mariæ Salome geb. Schmidtmeÿerin erzeugte zweÿ kinder demnach sie Baurische wittib zufolg E. E. Kleines Raths bescheids vom 19. Junÿ jüngst ihres Ehemanns massa active et passive übernommen – schuldig seÿe 800 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff, hoffstatt cum appertinentis ane der Obern straß ohnfern der Kirchen zum alten St Peter, einseit neben einem zu solcher Kirch gehörigen Diaconats hauß, anderseit neben Johann Meÿer Jun: dem Chirurgum, hinten auff eine zu dem Stifft alten St Peter gehörigen Canonicat behausung

Anne Catherine Hornus hypothèque la maison au profit du passementier Jean Daniel Bær

1746 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 116
Fr. Catharina geb. Hornußin weÿl. H. Johannes Baur des schreibers im Umgelds hauß wittib mit beÿstand H. Frantz Heinrich Städel exsen. und Inspectoris im Umgeld
in gegensein Johann Daniel Bär des Paßmentirers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine zum grünen faß genante behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt ane der Obern straß ohnfern der Kirche zum alten St Peter, einseit neben einem zur solcher Kirchen gehörigen Diaconat hauß, anderseit neben Johannes Meÿer Jun. Chirurgo, hinten auff des Stiffts alten St Peter gehörigen Canonicat hauß

Anne Catherine Hornus se remarie avec l’aubergiste Jean Thiébaut Blümel : contrat de mariage, célébration. La maison figure à l’inventaire de leurs apports

1746 (29.1.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Heuraths Abrede So Zwischen Hr Johann Theobaldt Blümel, dem Ledigen Glas: Schneider, Hn Joh: Friderich Blümel auch Glas Schneiders und burgers Zu Straßburg ehel. Sohn, beÿst. deßelben, mit auch Hn Johannes Blümel ebenmäßigen Glas Schneiders und Schreibers auff dem Mauerhoff seines Vatters brud. beede burger Zu Straßburg alß Hochzeiter ahne Einem
Undt dann Fr. Annæ Catharinæ geb. Hornußin, weÿl. Hn Johannes Baueren des gewesenen beampten in allhießigen Vmbgelts und burgers allhier see. hinderbliebener Fr. Wittib mit assistentz S. T. Herrn Frantz Heinrich Stadels Exsenatoris u. wohlmeritirten Inspectoris in vorged. Löb. Umbg. dero ahne Vogt Statt erbettenen Assitenten wie auch H. Tobias Ludwig Kruegen des Silberarbeiters dero 3. Kk. voriger Ehe geordnet und geschworenen Vogten
So beschehen und Verhandelt allhier in der Königl. Freÿen Statt Straßburg Sambstags den 29. des Monaths Januarÿ A° Domini 1746 [unterzeichnet] Johann theobald blümel als hochzeiter, Annna Catharina baurin witib alß Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. 179-v, n° 3)
1746. Mittw. d. 2. Martÿ wurd. nach 2. mahl. ordentl. Proclamation ehelich copulirt H. Joh: Theobald Blümel lediger Gastgeber und burger alllhier H. Joh: Friderich Blümel des Mechanici u. b. h. l. ehel. sohn, u. Fr. Anna Catharina geb. Hornußin weÿl. Hn Johann Baur gew schreibers im Umgeld u. burgers allhier nachgel. wittib [unterzeichnet] Johann Jacob blümel als hochzeiter, Anna Catharina Baurin als hochzeiterin (i 184)

1746 (21.5.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 22) f° 307 b
Inventarium über H. Johann Theobaldt Blümel, des Caffetier, undt Fr. Annæ Catharinæ gebohrner Hornußin, beeder Eheleuthen undt burgere Zu Straßburg vor Ohnverändert in den Ehestand einander Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1746. – in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand ein ander Zugebracht, und in denen vor mir dem unterschriebenen Notario sub dato 29. Januarij in dießem 1746. Jahre Aufgerichteten Ehe: Pactis vor ohnverändert sich außdrucklichen reserviret undt vorbehalten haben
So beschehen allhier in der Koeniglichen Freÿen Statt Straßburg In fernerem Persönlichen beÿweßen H. Joh. Friedrich Blümel Rubin: Schneiders, des Ehemanns Vatters (…) Wie auch H. Tobiæ Ludwig Krueg des Silber: arbeiters der Ehefraun 3.r KK voriger Ehe geschwornen Vogten (…) Straßburg den 21.ten des Monats Maji A° Dni 1746

Inn einer allhier Zu Straßburg in der Obern Langen Straß ohnweit der Kirchen zum Alten St: Peter gelegenen der Ehefraun vor Ohnverändert gehörigen, dahero hieunten inventirten Zum grünen Faß genandten behaußung, ist befunden Worden wie volget
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der billiard oder großen Obern Stuben, Inn der Soldaten Cammer, In dem hintern Stübel, Auff der Bühnen, In dem Hauß: Ehren beÿ der Obern od: Billiard: Stub, In der Cammer dabeÿ, Im obern hintern Gemach auf dem gang so vorhin ein stübel war, Inn dem haußehren, beÿ der obern od: Billiard stub, Inn der Küche beÿ der Billiard stub, Inn dem Keller
(F.) Eÿgenthum ahne einer behaußung. Nemblichen eine behaußung bestehendt in Vorder: undt hinder Hauß, Hoff, Hoffstatt und Bronnen sambt allen Überigen deroselben Weithen, Rechten, Zugehördten undt Gerechtigkeiten, welche dermahlen auß hohen obrig: Erlaubnus zu einem Caffee Hauß gemacht worden, undt gelegen allhier ahne der oberen Langen Straß ohnweit der Kirchen Zum Alten St Peter einseit neben einer erst: ermeldter gehörigen Diaconat Behausung, 2. seith einem Hn Joh. Meÿer Sen: Chirurgi u. burger Zu Straßb. Zuständigen hauß, hinten auff eine dem Stifft A: St. Peter gehörige Canonicat behausung stoßendt, Welche behaußung jedoch ohnpræjudicirlich Für Freÿ Leedig und Eÿgen alhier in außwurf gebracht wirdt, Für und umb 1800 lb. Pro Nota. Die auff Solcher behaußung Hafftende Capitalien und beschwährdten, welche die Ehe fr. Vor dießen abgetrettenen Ehestandt schuldig gewesen, sind hieunten passive Eingetragen Zu Ersehen.
Wie und welchergestalten die Vorher: inventirte Auß der Ehefr. Vorigen Ehe herrührige T: Behaußung, ane dießelbe eÿgenthümblichen Kommen undt gelanget, ein solches ist auß einem auß E. E. Kl. Raths Mem. gefert. extractu de dato 19. Junÿ de Anno 1745 mit mehrem Zu Ersehen
Hierüber meldet ferner j. teutscher Perg. auß allhies: C. C. Stuben gefertigt und mit deroselben anhang. Ins. verw. Kaufbrieff, so datirt d. 16. Martÿ 1744 welcher mit altem Lit. B. marquiret. Worüber weiter besagt ein ältere teutscher Pergam. auß allhies. C. C. Stuben gefert. u. mit deroselb. anhang. Insiegel Corroboriret Kaufbrieff, welcher mit alten Lit.A. und B notirt. Sonsten aber solle Über Vorher beschriebene behaußung nichts schrifftl. Vorhanden seÿe, Hiehero Zum bericht.
der Ehefr 3.er Kindter voriger Ehe Göttel Geldt betr. Catharinæ Salome – Margarethæ Barbaræ – Johann Daniel
Norma Hujus inventarii. Deß Manns in den Ehestand gebrachtes Vermögen Und Zwar Weilen solches Leedig allein in deßelben ahne seinem Leib gehörig Kleÿdung und weißen Gezeug Vnd denen hernach inventirt wenige Posten ahne Silber, so dann deßen Antheil der Haussteuren bestehet, alß wird Männiglichen ahne statt der beschreibung (…) den 21. Maji 1746. getroffenen (…) Vergleich (…),Sa. Silbers 17, haussteuren 34, summa 51. lb
Solchemnach wird auch der Ehefrau für Ohnverändert in den Ehest. gebrachte Nahrung inventirt und beschrieben, Sa. haußraths 229, Sa. Lährer faß 43, Sa. Silbers 54, Sa. Gold. Ring 33, Sa. baarschafft 100, Sa. Eÿgenthumb ahne jr. behausung 180, Sa. schulden 49, Summa summarum 2311 lb – Haussteuren 34, der Ehefrau in den Ehestand gebrachte Nahrung 2344 lb

Anne Catherine Hornus femme de l’aubergiste Jean Thiébaut Blümel loue une cave au brasseur Jean Charles Verius

1746 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 240
Fr. Anna Catharina geb. Hornußin H. Johann Theobald Blümel des wirths eheliebstin
in gegensein H. Johann Carl Verius des biersieders
entlehnt, in einer der verlehnerin eigenthümlich gehörig ohnfern der Kirche zum alten St Peter ane der Langen straß, einseit neben einem zu besagter Kirchen gehörigen Diaconat hauß, anderseit neben Johann Friedrich Meÿer dem Chirurgo, gelegenen behausung den vordern keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von letzt abgewichenen weÿhachten, um einen jährlichen Zinß nemlich 25 gulden

Catherine Hornus femme de Jean Thiébaut Blümel hypothèque la maison au profit du marchand Jean Georges Walter le jeune pour pouvoir la réparer

1746 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 312
Fr. Catharina geb. Hornußin Johann Theobald Blümel des wirths ehefrau
H. Johann Georg Walther des jüngern burgers und handelsmanns, zur reparation ihrer hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine zum grünen Faß genanndte behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt ane der Obern Straß ohnfern der kirch zum alten St Peter, einseit neben einem zur solcher Kirchen gehörigen Diaconat hauß, anderseit neben Johann Meÿer Junioris Chirurgo, hinten auff ein dem stifft alten St Peter gen canonicat hauß

Comptes de tutelle que le tonnelier Jean Georges Strohl rend aux enfant issus du premier mariage de Jean Baur
1747 (Weÿhn.), Comptes, (6 E 41, 447) [Dautel]
Rechnung mein Johann Georg Strohlen, des Kieffers und weinhändlers auch burgers allhier zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Johannis und Mariæ Salome weÿl. herrn Johann Bauren, des geweßenen ehemaligen Gastgebers und nachmaligen Schreibers in allhies. Umbgeld v. b. allhier mit auch weÿl. frauen Maria Salome geb. Schmidmeÿerin seiner erstern Ehefr. seel. ehelich erziehlten und nach tod verlaßener 2. KK., Inhaltend alles desjenige, was ich in ihrem Nahmen von A° 1736. da ich diese Vogteÿ auffgeschwohren biß dato weÿh. 1747 eingenommen und außgegeben auch sonsten gehandelt habe. – Erste Rechnung dieser Vogteÿ.

Rechnung mein Joh. Georg Strohlen, des Kieffers und Weinhändlers auch b. allh. als geordnet: v. geschworenen Vogts Joh. v. Mariæ Salome, weÿl. H. Joh. Bauren des gew. Gastgebers v. nachmaligen Schreibers in allhies. Umbgeld v. b. allhier mit auch weÿl. fr. Mariæ Salome geb. Schmidmeÿerin, seiner Erstern Ehefr. seel. ehelich erziehlter v. nach tod verlaßener 2. KK., Inhaltend alles desjenige, was ich d. Vogt in ihrenthalben von weÿh. 1747. biß dato weÿh. 1749. eingenommen und außgegeben auch sonsten gehandelt habe. – Zweÿte Rechnung dieser Vogteÿ.

Les sœurs Sohns déclarent que Jean Thiébaut Blümel, ancien cafetier, a quitté Strasbourg pour Francfort et que sa femme Catherine Hornus s’est rendue aux colonies anglaises des Amériques où elle a épousé le frère des déclarantes, Jean Georges Sohns, établi à New York en Pennsylvanie. Les faits leur ont été rapportés par leur neveu nommé Jean Georges Sohns comme son père.

1759 (4.10.), Me Elles (6 E 41, 1352) n° 18 b
Declaration – die Ehr und tugendsame Fr. Anna Barbara Hußin geb. Sohnsin weÿl. H. Joh: Jacob Huß des Waffenschmidts Wb. v. Jgfr. Anna Margaretha Sohnin dero großjährige Schwester, beede unter beÿständung H. anthonj fidelis Hürstel Practici alhier, anzeigende wie daß Sie von Seiten weÿl. H. Joh: Friedrich Blümel des vormahligen bs. und Caffésieders allhier so dermalen sich zu franckfurt am Maÿn auffhalten soll, ersucht v. gebetten worden, der Wahrheit zur Steur glaubhafft zu bescheinigen, wie deß ermel. Theobald Blümel vorrmahlige Ehefr. Nahmens Catharina geb. Hornusin so sich nach jeedermans Wißen heiml. Weiß von hier hienweg v. nacher Americam in eine Engl. Colonnie begeben, alldorten an ihr der beeden Comparentinnen Leibl. bruder Johann Georg Sohns den becken zu Neu York in der Provintz Pensilvanien, wieder verheÿrathet (…), Neml. es seÿe vor etlichen Jahren Georg Jacob Sohns seiner Profession ein Metzger ermel. ihres zu Neu York sich häußlich niedergelaßenen bruders ehel. Sohn welcher im 9.t Jahr seines alters aus hiesigem Land mit seinem Vatter vorgedacht nacher Americam gezogen anhero zu ihren Comparentinnen als seinen Tanten gekommen v. ihnen klagend erzählt, wie daß Er auß großen Verdruß Neu York wo er établirt war verlaßen, weilen sein Vatter sich allda mit einer allhiesig. Straßburger frauen sich mit noch etl. Vorheriger hiesiger Einwohner dahien gekommen, verheÿrathet v. durch einen Engl. reformirten Priester trauen v. copuliren laßen, v. Weilen er von einer mit dahien gekommen Nagelschmidts frauen versichert worden, daß ihr Mann zu Stb. noch beÿ leben, hätte er sich mit aller Macht sothaner unbillig v. unchrist. heÿrath widersetzt solche aber dannoch nicht hintertreiben Können, Sie beede Comparentinnen hätten ihren bruder von hier aus benachrichtiget, wie daß seine geehrlichte Frau ihren Mann Nahmens Theobald Blümel noch beÿ leben allhier habe v. daß Sie sich muthwilligen weiß von ihme getrennet allein er habe ihnen durch ein Schreiben wird. zur antwort, daß seiner frauen vorherige heÿrath v. noch lebender erster Ehemann seiner ehe alldorten nicht den geringsten Eintrag thun wurde

Le marchand Jean Georges Walter le jeune a acquis la maison l’année précédente par adjudication faite à la poursuite des créanciers de Jean Thiébaut Blümel. Il revend la maison 1 500 livres au garde magasin Jean Jacques Borneck devant un notaire royal. La vente n’est cependant pas confirmée à la Chambre des Contrats

1765 (15. 8.br), Me Humbourg (6 E 41, 120)
Sr Jean Georges Walter Lejeune
au Sr Jean Jacques Borneck garde Magasin des fourages de Cette ville
la Maison appele Le tonnelet Verd situé en Cette ville dans La grand Rue Le Chapitre de l’Eglise Lutherienne de St Pierre le Vieux d’une part Le Sr Wurtz orphevre par derrière La Recette du Chapitre de L’Insigne eglise collegiale de St Pierre le vieux par devant La grand Rue vis à vis le Sr Braun passementier, Laquelle maison appartient au vendeur comme l’ayant acquise par adjudication faite à la poursuite des créanciers du nommé Blümel Caffetier – moyennant 6000 livres tournois

Jean Georges Walter vend la maison 1 200 livres au culottier Jacques Stœss. Le notaire Jean Elles passe une vente provisoire le 3 mai confirmée par un nouvel acte

1766 (3.5.), Me Elles (6 E 41, 1352) n° 11
H. Johann Georg Walther d. Jg. handelsmann
in gegensein H. Jacob Stöß ebenfalß burger hiesebst
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ane d. obern Langen straas, 1.s neben ein Löbl. Collegiat Stift zum alten St Peter gehörigem Evangel. Diaconat hauß, 2.s neben H. N Wurtz dem Goldarbeiter und hinten auf vorgemel. Stifts häußer und von ihme Verkäufer ungefehr vor 2. Jahren auf allhießiger Ganth erkauft worden – um 2400 gulden

1766 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 304
Johann Georg Walther der jüngere der handelsmann
in gegensein Johann Stöß dem hoßenstricker
eine behausung, hoff und hoffstatt zum Grünen Faß genannt mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Oberenstraß, einseit neben einem dem Stifft Alt St Peter gehörigen haus, anderseit neben N. Würtz dem goldarbeiter hinten auff ged. Stifft Alt St Peter und Joh. Daniel Bähr dem passmentirer – um x capital verhafftet, geschehen um 550 pfund

Originaire de Soultz en Haute-Alsace, le tisserand en laine Jean Jacques Stœss épouse Anne Elisabeth Fehlmann de Strasbourg en 1723
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 97)
Hodie die 19 Mensis Aprilis anni 1723 (…) sacro matrimonii vinculo jn facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Stös lanarum textoris oriundus es obersultz dioecesis basiliensis, Valentini Stös et Mariæ Agathæ Largerin filius legitimus et Elisabetha fellmännin filia legitima defuncti Jacobi fellmann et annæ Bohrerin (signé) Johann Jacob Stöß, signum sponsæ x (i 54)

Jean Jacques Stœss et sa femme Anne Elisabeth Fehlmann font dresser un état de leur fortune pour accéder à la bourgeoisie
1729 (9.8.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 91
Designatio deß Jenigen Vermögens so hans Jacob Stößen dem hoßenstricker, und fr. Annæ Elisabethæ gebohrner Fehlmännin beeden Eheleuth allhier Zu Straßb. Crafft ihrer deßhaben abgelegten handtrew eigenth. gebührig ist
Erstlich so belauffet des ehemanns vätterliches Vermögen ane liegenden güttern Antheil ane einer behaußung (…) vermög scheins v. attestati H. Remy Not: vnd Stattschreiber Zu Sultz oberhalb Colmar verfertiget, datirt d. 18. Maÿ 1729., auff 1200 livres tournois oder 600. fl.
Item (…) liegende gütther 235 R, Baarem geld (37, 18, 9, 96, 54, 55 fl), Summa 1104 fl.
Straßburg d. 19. Augusti 1729

Ils deviennent bourgeois quelques semaines plus tard en s’inscrivant à la tribu des Drapiers
1729, 3° Livre de bourgeoisie p. 1372
Johann Jacob Stös der Hoßenstricker Von Sultz und sein ehefr. Anna Elisabeth Fellmännin von hier Von hier erhalt. d. b: umb die tertz des neuen b. Wollen beÿ E E Zunfft d. Tucher dienen. Jur et prom. d. 22. Sept 1729.

Jean Jacques Stœss meurt en 1771 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans leur ancienne maison dans laquelle ils se sont réservé la jouissance viagère. La masse propre à la veuve est de 82 livres. L’actif des héritiers et de la succession s’élève à 6 livres, le passif à 77 livres.
1771 (23. Xbris), Me Elles (6 E 41, 1339) n° 515
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Johann Jacob Stöß des Vormahligen Strumpffstrickers v. bs. dahier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1771 – nac seinem den 14. dieses Monath v. Jahrs beschehenen tödl. Ableiben hie Zeitl. verlaßen (…) durch die tugends. Fr. Annam Elisabetham Stößin geb. Fehlmännin die hinterbl. Wb. (geäugt und gezeigt) – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Montag den 23. Xbris 1771.
Des Verst. seel. ab intestato hinterlaßene Erben seind Seine mit Eingangs ged. seiner hinterbl. Wb. ehel. erzeugt vnd nach toft hinterl. Kinder mit Nahmen 1° Johann Peter Stöß Garde des Domaines v. b. allhier in Persohn zugegen. 2. Fr. Maria Elisabetha Chapuy geb. Stößin Hn Frantz Lorentz Chapuy des allhiesigen bs. v. taback fabricanten Zu Durlach ehel. Haußfrau, so unter verbeÿstandet erstged. ihres Mariti dem Geschäfft abgewartet, Zu gleichen antheilen

In einer allhier zu Straßburg ane der Obern Langenstraas gelegenen v. anhero nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Codicilli so der Verstorbene seel. vor mir Nots: v. Gezeugen den 16. Aprilis lauffenden Jahrs auffgerichtet
Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 5, Sa. Ergäntzung 77, Summa summarum 82 lb
Solchemnach wird auch der Beneficial Erben unverändert v. die theilbare Nahrung allein in Haußraths bestehend, unter einer Massa beschrieben, 6 lb – Schulden 77 lb, In Compensatione 71 lb
Beschluß vnd Verstallungs summa 11 lb

Jean Jacques Stœss passe une vente provisoire devant notaire au profit du farinier Jean Michel Mæhn. Le vendeur s’y réserve la jouissance viagère d’un logement

1769 (24.4.), Me Hüttel (6 E 41, 859) n° 4
Interims-Kauffverschreibung – H. Johann Jacob Stöß der hoßenstricker
in gegensein H. Johann Michael Mähn des Meelhändlers
die ihme Verkäufer eigenthümlich zuständige behaußung hof und hoffstatt zum grünen faß genandt, mit allen begriffen, rechten und Gerechtigkeiten ane der obern langenstras, einseit neben einem dem löbl. Stift alten St Peter gehörigen und dermahlen v. H. Pfarrer Geiler bewohenenden haus, anderseit neben Mr Frantz Güllot dem Kiefer hinten auff einen gedachtem Stift alten St Peter gehörigen garten – als ein den 17. maÿ 1766 von H. Joh: Georg Walter dem jugern handelsmann erkauftes Guth eigenthümlich gehörig
(…) 6. daß der Verkäufer so lang er beÿ leben seÿn wird gegen Entrichtung 30 gulden jährlichen hauszinses die nemliche Wohnung so er in der verkauften behaußung im zweÿten stock würcklich bewohnte und aus einer Stub und Stubkammer Kuchen einer andern Kammer auf dem nemlichen boden einer bühnen Kammer platz im Keller und zum holtz bestehet, fernerhien ohnvertrieben bewohnen könne – um 1250 capital verhafftet, geschehen um 325 pfund

Vente définitive à la Chambre des Contrats

1769 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 275-v
Johann Jacob Stöß der hosenstricker und Anna Elisabetha geb. Fehlmännin
in gegensein Johann Michel Mähn des meelmanns und Mariæ Salome geb. Dachertin
eine behausung und hoffstatt zum Grünen faß genandt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der oberen Langenstraß, einseit neben einem löbl. Stifft Alt St. Peter gehörig und von H. Pfarrer Gailer dermahlen bewohnten haus, anderseit neben Franz Gilliot dem Kieffer, hinten auff ged. Stifft gehörigen garten – als ein d. 17. Maÿ 1766 erkaufftes guth – die verkeuffer (…), die käuffer hingegen obligiren sich N. Ehrlenholtz dem gastgeber die lehnung und dem keller gegen erhebung des zinnßes aus zuhalten (…) die verkäuffer hat sich auch diejenige wohnung auf d. zweÿten stock so er würcklich innen hat in der verkaufften behausung so besteht in stub, stubkammer, kuche und einer anderen kammer auf dem nemlichen boden auf der bühn eine cammer, im keller ein plätzel um wein zu legen so lang las er im leben seyn wird, um einem jährlichen zinß von 15 pfund – um 1575 pfund

Originaire de Breuschwickersheim, Jean Michel Mæhn demande aux Boulangers un certificat d’admission. Une fois bourgeois, il devient tributaire le 8 septembre 1746
1746, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 101) Montags den 13. junÿ 1746
Michael Mehn der ledige beckh von brischwickersheim so allhier das handwerckh erlernet producirt seinen lehrbrieff, will dahier Zünfftig und burger werden, bittet umb Einen gerichtilichen Zunfftschein, daß wann Er Verburgert, mann ihne als Einen mit zünfftigen annehmen wolle. Erkandt, seÿe dem Implorant mit gebettenem Schein Zu willfahren.

(f° 105-v) Montags den 8. Septembris 1746 – Frembder Neuzünfftiger, dt. 4. lb 6 ß
Johann Michael Mehn Von Brüschwickersh. producirt idem [burger Urkundt undt Stallschein, will Zünfftig werden] will den meelhandel Treiben, bittet [umb gerichtliche reception] undt Erkandt ut supra [seÿe demselben gegen der gebühr nach ordnung zu willfahren].

Jean Michel Mæhn épouse en 1746 Anne Chrétienne Michel, veuve du boulanger Jean Lentz : contrat de mariage, célébration
1746 (26.6.), Me Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 213
Eheberedung zwischen Michael Mehn Brischwickersheim dem ledigen becken Georg Mehn deß ackersmann alda ehelichem Sohn Hochzeiter ane Einem
So dann Fr. Annæ Christinæ gebohrner Michlerin, weÿl. Johannes Lentzen deß geweßten weißbecken undt burgers dahier Zu Straßburg hinderlaßener wittib der Fr. hochzeiterin andern theils
Actum Straßburg auff Sambstag d. 26. junii 1746. [unterzeichnet] Michael mehn als hochzeitern der hochzeiterin selbstgemachtes Zeichen +

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 180-v, n° 6)
1746, Freit. F. Petri et Pauli d. 29. Junii sind nach 2.mahl, Proclamation ehelich copulirt worden Johann Michael Mähn ledige Weißbeck u. burger h. l. von breuschwickersheim gebürtig, Joh: Georg Mähn des ackermanns u. burgers daselbst ehel. Sohn und Fr. Anna Christina geb. Michelin weÿl. Johannes Lentz gew. Weißbeck und b. h. l. hinderl. witwe [unterzeichnet] Michael mehn als hochzeiter, x der hochzeiterin eingenhändiger Zeichen (i 185)

Originaire de Franconie, Jean Lentz épouse Anne Chrétienne Michel en 1725
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 109-v, n° 14)
1725. Fest. Pentec. et dom: Trinit: seind außgeruffen vnd Mittwochs darauff als den 30. maj. ehel. eingesegnet worden Johann Lentz lediger Beck Von Großelßheim im franckenland, Johannes Lentzen des Ackersmanns daselbsen ehel. Sohn, v. Jungfer Anna Christina Michelin willhelm Michells gewesenen burgers vndt Schloßers allhier Nachgel. Ehel. tochter [unterzeichnet] Johannes Lentz alß Hochzeiter, x Zeÿchen d. hochzeiterin (i 112)

Jean Michel Mæhn devient bourgeois par sa femme le 13 août 1746.
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 263
Johann Michael Mähn der Mehlmann breuschwickersh. gebürtig erhalt das burger recht Von seiner Ehefr. weÿl. Joh: Lentz geweßenen burgers und weißbecken alhier hinterl. wittib um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft der Becken. Jur. d. 13.ten aug. 1746.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 61 livres, ceux de la femme à 132 livres
1746 (20. 7.br), Me Kolb (Abraham, 22 Not 17) n° 414
Inventarium über die Jenige Nahrung so der Ehrengeachte Michael Mehn der Meelhändtler undt die tugendbegabte Fr. Annam Christinam gebohrne Michelin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Su Straßburg Einander Inn den Ehestandt gebracht, auffgerichtet Anno 1746. – und Crafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert reservirt undt Vorbehalten – So beschehen Straßburg in beÿsein Ursi Stubers der Ehefrauen Schwagers auff Montag den 26. 7.bris 1746.
Inn Einer dahier Zue Straßburg in der Langenstraß beÿ der alten St. Peter Kirch gelegenen und nicht gehöriger behaußung hat Sich befunden wie Volgt
Des Manns Vermögen, haußrath o, Sa. der Früchten 20, Sa. Weins 10, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 10, Sa. activ schuld 16, Summa summarum 61. lb
der Ehefr. Nahrung, Sa. haußraths 162, Sa. Faß und bitten 2, Sa. früchten, Meel, Kleÿen v. gekörns 117, Sa. Silbers 4, Sa. gold. Ring 9, Sa. baarschafft 55, Sa. activ Schulden 17, Summa summarum 374 lb – Passiv Schulden 242, Rest 132 lb

La tribu de la Lanterne attribue à Jean Michel Mæhn le droit de farinier que détenait le premier mari de sa femme
1746, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 194-v) den 11. Aug. 1746 – Michael Mähn der beck gebürtig Zu Preüschwickerßh. bittet Ihme seines Vorfahrs Johannes Lentz seel. wannenrecht Zukommen zulaßen. Erkandt willfahr.

Anne Chrétienne Michel meurt en 1758 en délaissant trois enfants issus de son premier mariage. L’inventaire est dressé Grand rue dans une maison qui appartient à la fabrique de Saint-Pierre-le-Vieux. La masse propre au veuf s’élève à 195 livres, celle des héritiers à 46 livres. L’actif de la communauté s’élève à 265 livres, le passif à 247 livres
1758 (21.11.), Me J. Henri Thenn (6 E 41, 744) n° 75
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Christinä Mehnin gebohrner Michelin H. Michael Mehn des Meelhändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßenen ehelicher hausfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet, in Anno 1758. – nach ihrem Sonntags den 12. Novembris instehenden 1758.ten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt, zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg Dienstags den 21. Novembris Anno 1758.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1.mo H. Johann Daniel Lentz den Meelhändler und burger allhier, so verheurathet an fraun Mariam Margaretham gebohrner Lixin, dießem geschäfft beÿwohnende, 2.do H. Johann Lentz auch meelhändler und burger allhier, welcher in Ehe lebet mit Frauen Susanna Margaretha gebohrner Müllerin, so dießen geschäfft abgewartet, So dann 3.tio Jgfr. Mariam Salome Lentzin, deren geordnet und geschworener Vogt ist H. Jacob Ludwig der meelhänlder und burger allhier, welcher dieser Inventation Von anfang biß zu end beÿgewohnt und seiner Curandæ Interesse observirt hat. Alßo alle dreÿ der abgeleibten seel. in erster ehe mit auch weÿland Hn Johann Lentz dem geweßten Weißbecken und burgern allhier ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen portionen und antheileren Verlaßenen Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß beÿ dem alten St. Peter Kirch gelegenen der Kirchen fabric gedachter alten St. Peter Zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt
(f° 11.) Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Nach besag des über beeder geweßenen Eheleuthen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch nunmehr weÿland H. Notarium Abraham Kolb seel. in Anno 1746. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 15) Abzug in gegenwärtig Inventarium. Des Wittibers ohnverändert guth. Sa. Haußraths 1, Sa. antheils ene 1. lähren faß 15 ß, Sa. Silbers 1, Sa. activ schulden 37, Ergäntzung 153, Summa summarum 195 lb
Dießem nach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 64, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 1, Sa. Erg. 64, Summa summarum 154 – Schulden 107, Nach solchem abzug 46 lb
Endlichen folgt aucg das gemein, Verändert und Theilbar guth, Sa. haußraths 48, Sa. früchte, meel und gekörns 117, Sa. Brennholtz 4, Sa. wein und faß 2, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 28, Sa. der activ schulden 62, Summa summarum 265 – Schulden 247 lb, Nach deren Abzug 17 lb
Summan Wÿdembs wie auch prælegaten 151 lb – Stall summ 298 lb
Copia der Eheberedung (…)
Extractus Aus der von der Verstorbenen seel. mit und beneben ihrem erstern Ehemann weÿld Joh: Lentz dem gewesten weißbecken und burgern allhier seel. vor gleichfalls weÿl. Not. Johann Philipp Lichtenberger seel und gezeigen den 23.ten Augusti 1744. auffgerichteten dispositione inter Liberos.
Copia Nach disposition – Frau Anna Christina gebohrne Michelin Michael Mehn des nunmahligen meelmanns und burgers dahier jetzige Ehefrau mich (…) zu sich in dero wohn behaußung in der Langenstraß beÿ der Kirch zum alten St. Peter gelegen beruffen laßen, allwo wir dieselbe zwar unpäßlichkeith halben in Einem bette liegend dannoch aber dabeÿ durch die gnade Gottes guther richtigen Sinnen, vernunfft und Verstandt angetroffen (…) Actum Straßburg auff Sambstag den 18. Novembris Nachmittag Zwischen 4 und 5 Uhr Anno 1753, Abraham Kolb Notarius juratus

Jean Michel Mæhn se remarie en 1759 avec Marie Salomé Dachert veuve du fabricant de pain d’épice Geoffroi Heinrich : contrat de mariage, célébration
1759 (4. 7.bris), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 640
Eheberedung zwischen dem Ehrenachtbaren Hn Michael Mähn dem Meelhändler Wr. und Burgern allhier alß hochzeiter ane einem beÿständl. H. Lorentz Scheer des Kieffers und burgers allhier auch H. Joh: Daniel Lentz Meelhändlers und b. dahier
und der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Salome Heinrichin gebohrner Dachertin, weÿl. H. Gottfried Heinrich, gewesten Lepp Küchlers und burgers allhier seel. hinterbliebenen Wittib, alß der hochzeiterin, unter assistentz Johann Schäfers Zinngießers und burgers dahier, ane dem andern theil gepflogen.
So beschehen Straßburg Dienstags den 4.ten 7.bris A° 1759. inn der Fr. Hochzeiterin behaußung an der Langen Straß gelegen [unterzeichnet] Michael mehn als hochzeiter, Maria Salomeh Heinrichin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 108, n° 24)
1759. Mittwoch den 26. Sept. sind nach Zweÿlahliger Dom: XIV. et XV. Trin. gewesener proclamation in den Stand heil. Ehe eingesegnet Worden Joh: Michael Mähn der wittwer Meelmann und burger allhier und Frau Maria Salome weÿl. Gottfried Heinrich geweßenen Lebküchlers und burgers allhie hinderlaßene Wittib [unterzeichnet] Michael mehn als hochzeitter, Maria Salomeh Heinrichin als hoch zeitterin (i 100)

Fille de jardinier, Marie Salomé Dachert épouse en 1745 Geoffroi Heinrich, fils de menuisier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 10-v, n° 11)
1745. Mittwoch den 28. April. seind nach ordentlich geschehener proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Gottfriedt Heinrich Lediger Lebküchler und burger allhier weÿl. Elias Heinrich gewesenen burgers und Schreiners allhier hinterl. ehel. Sohn und Jfr. Maria Salome weÿl. Joh: Jacob Dachert gewesenen burgers und Gartenmanns allhier hinterl. ehel. tochter [unterzeichnet] Gottfried Heinrich als Hochzeitter, Maria salome dachertin als hochzeiterin (i 9)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 309 livres, ceux de la femme à 907 livres
1759 (17.11.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1179) n° 1164
Inventarium über des Ehrenachtbaren Michael Mehn, Meelhändler, und der Ehren und tugendsamen Fr. Mariä Salome Mehnin geb. Dachertin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1759. – in ihren den 27.ten Septembris jüngst angetrettenen Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in ihrer vor mit Notario den 4.ten dito auffgerichteten Eheberedung §. 2.do wohlbedächtlich geordnet und verglichen, daß alles dasjenige, so sie ane Zeitl. haab, Nahrung und güther einander in den Ehestand Zubringen werden, einem jeeden und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿseÿn des Ehren und Vorachtbaren Herrn Johannes Schäffer Zinngiesers und burgers allhier, der Ehefr. erbettenen beÿstands, Straßburg Sambstags den 17.ten Novembris Anni 1759.

In einem allhier Zu Straßburg ane der Langen straß gelegenen der Kirchen fabric Zum Alten St Peter zuständigen diesorts lehnungsweiße bewohnenden häußlein befunden worden wie folgt.
Antheil ane einer Behaußung. (F.) Neml. die helfte vor ohnvertheilt von und ane einer behausung ane der obern Langenstraß gegen der Alten St. Peter Kirch über (…)
Widem, Welchen die Ehefrau aus Erster Ehe von Weil. Gottfried Heinrich dem gew: lebküchlers und br. allhier Zu Straßburg seel. lebtägig Zu genießen berechtiget ist
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns Guth. Sa. haußraths 121, Sa. Frucht Gekörns und Meels 228, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. Activorum 47, Summa summarum 409 lb – Schulden 100, Nach deren Abzug 309 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr.in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben. Sa. haußraths 142, Sa. Weins und Fäßlein 8, Sa. Silbergeschmeids 27, Sa. Goldener Ring 23, Sa. baarschafft 755, Antheil ane einer behaußung o, Summa summarum 957 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 907 lb

Jean Michel Mæhn meurt en 1787 après avoir institué pour légataire universel Martin Mæhn, meunier à Breuschwickersheim. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à la veuve est de 1664 livres, celle des héritiers de 339 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3482 livres, le passif à 1834 livres.

1787 (3.8.), Me Stoeber (6 E 41, 1253) n° 596
Inventarium über weÿl. des Ehrengeachten herrn Johann Michael Mähn des gewesten Meelhändlers und burgers zu Straßburg Verlassenschaft – nach seinem dienstags den 10. Julÿ jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Welche Verlaßenschafft auff ansuchen der hinterbliebenen Wittib Fr. Mariæ Salome Mähnin geb. Dachertin beÿständlich ihres schwagers H. Johann Philipp Lauth des Sandführers, so dann des abgeleibten vollbändigen geliebten bruders und zufolg hernach copeÿlich einverleibten testaments ernannten und instituirten Universal Erbs Martin Mehn des Müllers zu Breuschwickersheim

in einer allhier zu Straßburg an der langenstraß gelegen der fabric der Evangelischen Pfarrkirche zum alten St Peter zuständig und dißorts lehnungsweiße bewohnenden behausung
(f° 8) Eigenthum an einer behausung. Nemlichen 1. behausung hof und hoffstatt zum grünen Faß genannt mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Obern Langen straß, 1. s. neben einem dem löbl. Stifft zum alten St Peter gehörig dermahlen von H. Pfr. Jost bewohenden behausung, 2 s. neben H. Ehrlenholz dem Gastgeber zum Rubenloch hinten auf einen gedachten Stifft gehörigen Garten, (lautt) abschatzung vom 13. Augusti 1787 taxirt per 900, hierüber bes. ein Kfbrf. in allhießiger C.C. Stb gefertiget sub dato 27. Aprilis 1769
Ergäntzung, vor H. Not. Stöber d. 17. Novembris 1759 aufgerichteten Inventarii
Norma hujus inventarii, der Wittib ohnveränderte Vermögen, Sa. hausrath (89 lb), Sa. Silbers 10 lb, Sa. goldene ringe 10 lb, Sa. baarschafft 5 lb, Sa. Activ schulden 25 lb, Sa. Ergäntzung 1522 lb, Summa summarum 1664 lb
der Erben ohnveränderte Guth, Sa. hausraths 79 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. Ergäntzung 273 lb, Summa summarum 364 lb – Schulden 25 lb, Nach deren Abzug 339 lb
das gemein verändert und theilbare Guth, Sa. haußraths 96 lb, Sa. Frucht und meel 111 lb, Sa. wein und Faß 181 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. baarschafft 100 lb, Sa. Eigenthum an einer behausung 900 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2075 lb, Summa summarum 3482 lb – Schulden 1834 lb, Nach deren Abzug 1648 lb, Stall summ 3119 lb
Wittum, welchen die Wittib aus erster ehe von weÿl. H. Gottfried Heinrich dem Leppkiechler lebenslänglich zu genießen berechtigt ist, krafft einer in C.C. Stb. den 16. mart. 1772 passierten Verschreibung
Eheberedung (…) den 4. sept. 1759, Not. Johann Daniel Stöber
Copia Testamenti clausi, (vermacht) 2. Georg Mehn dem Ackersmann in Preuschwichersheim, 3. Barbara Mehnin so an Sebastian Kiefer den Müller zu Preuschwichersheim, 4. Johann Mehn dem ledigen, 5. Michael Mehn dem ledigen, 6. Catharina Mehnin der ledigen, 7. Jacob Mehn dem ledigen, vorstehende 6 sind weÿl. Georg Mehn des ackersmanns und burgers in Brischwickersheim meines bruders Kinder, 8. weÿl. Jacob Mehn des Wirths und Weinstichers in Schwägen bei Weisenburg meines bruders nachgelassenen Sohn Jacob Diebold Mehn dem ledigen Chirurgum so sich dermalen in königl. Preußischen diensten befindet, 9. weÿl. Johann Mehn des burgers und ackersmanns in Kolbsheim meines bruders nachgelßene Tochter Barbara Mehnin der ledigen, 10. dero schwester Margaretha Mehnin die ledige, 11. weÿl. Hans Antoni des Ackersmanns in brischwieckersheim mit auch weÿl. Fr. Catharina geb. Mehnin meiner schwester sohn Johann Antoni, 13. zu meinem universal Erben Martin Mehn den Müller in brischwieckersheim meinem lieben bruder, den 22. sept. 1777 – Nachverordnung 25. junÿ 1783

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 500 florins (1 250 livres) sur un total de 6 500 florins. L’arriéré à verser est ramené de 95 à 50 livres
1787 (1. Sept.), Livres de la Taille (VII 1181, f° 50
(Becker N° 1076) Weÿland Johann Michael Mähn, des gewesenen Meelhändlers und Burgers alhier Verlaßenschaft inventirt Hr Not. Stöber.
Concl. fin: Invent: ist fol: 130.b deductis deducendis 3119. lb 18 ß. 7 d., hierzu gelegt das fol. 131. als Zweiffelhaft eingetragene Capital der 150. lb d. welches für gut Zu achten, thut Zusammen 3269. lb 18 ß 7 d, diese machen 6500. fl verstallte 4000. fl. also Zu wenig 2500. fl
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 7 lb 10 ß, 60 lb
und Sechs Jahr in simplo à 3. lb 15 ß, 22 lb 10 d
Ext. Stallgelt pro 1787. 7.
Gebott 2 ß
Abhandlung 5 lb. 16 ß 6 d lb (summa) 95 lb 15 ß 6 d
Auf fürgebrachte wichtige motiva ist der gesamte Nachtrag auf 37. lb 5 ß moderirt und also nachgelaßen worden 45. lb 5 ß. Restiren 50 lb 10 ß 6 d
dt. 1. Sept. 1787.

Le partage des biens qui ont appartenu à Marie Salomé Dachert en 1798 mentionne la vente de la maison à David Nortz devant le juge de paix, confimée par un jugement du tribunal en date du 2 thermidor 6

1798 (4 pluviose 6), Strasbourg 7 (9), Me Stoeber n° 1340
Verkauf Register der in weÿl. fr Maria Salome geb. Dachert auch weil. Joh: Michael Mehn gew. Meelhändlers Wittib verl. gehörig gewes. Mobilien, auf Ansuchen dero verl. Erben benand. 1. Joh: Georg Dachert tagners, 2. weÿl. Joh: Jacob Dachert gew. seilers mit fr. Katharina Salome Walterin erzeugter dreÿer Kinder Joh: Jacob Dachert Seiler alhier, Maria Salome Dachert bs Andreas Imberger schreiners Ehefr:, Susanna Dorotea Dachert bs Ludwig Emmerich Officier unter der 3. brigade 8. Reg. Infanterie legere Ehefr., 3. weÿl. Joh: Daniel Dachert gewes. Meelhändlers mit fr Maria Magdalena geb. Bechtoldin erzeugter dreÿer Kinder Margaretha Salome Dachert bs Joh: Daniel Marzolf Webers alhier Ehefrau, Katharina Elisabetha Dachert so majorennis, Louise Friedrica Dachert so annoch minderjährig deren beeidigter Vormund ist b. Joh: Phil. Lauth Sandführer allhier und 4. fr. Anna Maria Mauthin geb. Dachert erstbenanten b. Joh: Phil. Lauth Sandfuhrmanns Ehegattin

erste Loosung 1455 livres, zweite Loßung 1089 li, den 4 pluviose 6
Ausliefferung desjenigen Wittums so weÿl. fr. Maria Salome geb. Dachert von ihrem verstorbenen Ehemann auch weÿl. Joh: Michael Mähn gewes. Meelhändlers allhier lebenslänglich genoßen, Vermög des über des Wittumstifters Verlassenschafft durch mich den 5. 7.br 1787 errichteten Erörterung, summa ausgelieferten Legaten 5800 livres, den 15. germinal 6
– erschienen brin Anna geb. Mehn bs Joh: Kuß Ackersmanns zu Wolfisheim ehefrau
br David Norz Kiefers, daß sie von demselben als erbin ihres verstorbenen oncle weil. Joh: Michael Mehn gew. Meelhändler alhier so dann als Cessionaria deßen Wittib Maria Salome geb. Dachert hinterlassenen erben den 15. Germinal lezthin und dato diejenige 10 400 francs Kauffschilling capital bezogen habe, welche er br Norz als Käufer der an der obern langen Straß N° 91 bezeichneten behaußung kraft der vor dem friedens richter des i. Gerichts bezicks fürgenommenen mehrmahligen Versteigerungen so den 16. Germinal diesen Jahrs beÿ hiesigem Tribunal bestätiget worden, den 2 thermidor 6

Fils de jardinier, le tonnelier David Nortz épouse en 1779 Marie Barbe Lix, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration
1779 (-.1.), Me Schatz (6 E 41, 1302) n° 59
(Eheberedung) persönlich erschienen seÿen, Meister David Nortz, der ledige Kiefer, Weÿland Jacob Nortz, geweßenen Gartners Unterwagnern, mit auch Weÿland Fraun Salome gebohrner von Fridolsheim ehelich erzeugter Sohn, als bräutigamb ane einem,
So dann Jungfer Maria Barbara Lixin, Meister Johann Friderich Lix, Schuhmachers und burgers allhier, mit Fraun Anna Maria gebohrner Voltzin ehelich erzielte tochter als braut ane dem andern Theil
[unterzeichnet] David Nortz, Maria Barbara Lixin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 202)
Anno 1779 den 20. Januarÿ seind nach Dominica prima et secunda post Epiphan. geschehenen Proclamationen in den Heil. Ehestand eingesegnet worden David Nortz der leedige Kiefer Meister allhie Weÿl. Johann Jacob Nortz geweßenen Gartner unterw. und burgers allhier hinterl. ehel. Sohn und Jgfr. Maria Barbars Lixin Johann Friderich Lix schuhmachers und burgers allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] David Nortz alls hochzeiter, Maria Barbara Lixin als Hochzeiterin (i 210)

David Nortz est admis à faire son chef d’œuvre le 17 septembre 1778. Il devient tributaire le 9 février 1779
Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 382) Donnerstags den 17. Septembris 1778 – Meisterstück
David Nortz der leedige Kiefer stehet vor und bittet Ihn Zum Meisterstück einzuschreiben. Erkannt, wann derselbe in Zeit 4. Wochen seinen formlichen Lehrbrief dem Herrn Zunft Meister produciren wird, so seÿe er hiemit einzuschreiben.
dt. Werckstatt zinß 3 lb ; prot. 3 ß, Findl. 1. ß 6 d

(f° 388-v) Dienstags den 9.ten Februarii 1779 – N Leibzünfftiger
Mr David Nortz der Kiefer Ev. R. prod. Stallschein vom I. huj. bittet ihne als einen Leibzünffigen annehmen. ErK. willfahrt
dt. pro receptione 2 lb 5 ß, Feuereimer 10 ß, prot. 3 ß, findl. 1 ß

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 755 livres, ceux de la femme à 480 livres
1781 (15.2.), Me Schatz (6 E 41, 1301) n° 144
Inventarium über H. David Nortz des Kieffermrs und Fr. Mariæ Barbaræ geb. Lixin beede burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugabrachte Nahrungen – in ihrem vor geraumer Zeit angetrettenen Ehe vor mir Notario d. 2. Januarÿ 1779 auffgerichteten Ehe Contract
in der ane der Weißen Thurn Straß gelegenen, beede eheleuthe eigenthümlich zuständigen behausung, befunden wie folgt
(M.) Antheil ane einer behausung, so der Ehemann in die Ehe gebracht. Nemlichen die helffte vor ohnverändert von und ane einer behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Weißenthurnstraß 1.s neben dem gemeiner Stadt Zollhaus, 2.s neben der Gastherberg zum Lamm, hinten auff den Wall – von der gantzen behausung gibt mann in das Sturmische Lehen 4 ß ane bodenzinß, 500 lb — Wie diesortigen eheleuthe die gantze behausung ane sich gebracht besagt ein Kauffbrieff in der C.C. St. vom 22. sept. 1778
(F.) Antheil ane einer behausung, so die Ehefrau in die Ehe zugebracht. Nemblich die übrige helffte ane der oben fol: beschriebenen behausung, 500 lb
Des ehemanns eingebrachte vermögen, hausrath 31 lb, werckzeug 86 lb, wein brandenwein eßig und. Faß 373 lb, silbers 8 lb, goldene Uhr 22 lb, behausung 500 lb, haussteur die helffte 34 lb, Summa summarum 1055 lb – Schulden 200 lb, nach solchem Abzug 755 lb, zweiffelhaffte schulden 315 lb
der Ehefrau einbegrachte guth, hausrath 113 lb, silbers 17 lb, goldene ringe 9 lb, baarschafft 6 lb, behausung 500 lb, schulden 50 lb, helffte der haussteur 34 lb, Summa summarum 730 lb – Schulden 250 lb, nach abzug 480 lb – beede Eheleuthen vermögen 1236 lb

David Nortz meurt en 1829 dans sa maison place de la Cathédrale après avoir disposé de ses biens par testament

1829 (10.2.), Strasbourg 7 (78), Me Stoeber n° 11 380
Inventaire de la succession de David Nortz, propriétaire décédé le 11 janvier 1829 – à la requête de I. Marie Barbe Lix la veuve assistée de François Jacques Zimmer, ciseleur fondeur. Le défunt a disposé par testament reçu Me Stoeber le 20 décembre 1828. II. Salomé Geyer épouse de Christophe Mitzel, tailleur demeurant grand rue n° 91, III. Daniel Geyer, aubergiste, tant en qualité de père de Théophile 12 ans procréé avec Madeleine Hetzel, qu’en qualité d’usufruitier de la fortune de son fils mineur, IV. Daniel Geyer, tonnelier demeurant rue des Lentilles n° 11 fils du susdit Daniel Geyer procréé avec feu sa première femme Salomé Pfitzer, V. Jean Frédéric Haan, boucher, mandataire de Jean Jacques Nortz, tonnelier marchand de vin à Francfort sur le Mein, dans cette procuration le Sr Nortz a agi comme mandataire de 1) Marguerite Nortz épouse de Georges Léonard Stilgenbauer, tonnelier, 2) Madeleine Nortz épouse de Jean Daniel Sauerlaender, libraire à Francfort sur le Mein, ledit Haan se portant fort de 1) Marie Barbe Lehmann épouse d’Aloyse Mertlé, employé à Saverne, 2) Françoise Madeleine Lehmann veuve de Pierre Joannin, marchand chapelier à Strasbourg, 3) Julie Sauer fille de feu Jean Conrad Sauer, facteur d’orgues et de la veuve Marie Salomé Kühl, 4) Marguerite Barbe Kühl son épouse, VI. Daniel Baer, jardinier au Faubourg de Pierre n° 59 se portant fort pour sa belle mère Anne Marie Nortz veuve d’André Renchert, les héritiers du Sr Nortz institués par testament 1. la De Mitzel pour 1/8, 2. Théophile Geyer 1/16, 3. Daniel Geyer 1/16, 4. la De Stilgenbauer 1/9, 5. Jacques Nortz 1/16, 6. la De Sauerlaender 1/16, 7. De Mertlé 1/24, 8. la De Joannin 1/24, 9. la De Sauer 1/12, 10. la De Haan 1/12, 11. la De Renchert 1/16

dans la demeure mortuaire Place de la Cathédrale n° 31
mobilier dans la pièce principale au premier étage de la susdite maison mortuaire donnant sur la rue, dans la chambre à coucher, dans la chambre, derrière la chambre à coucher, dans la chambre donnant sur la cour derrière la dernière, dans la mansarde, chambre de la servante, au grenier, cuisine, dans un petit cabinet donnant dans la rue des Juifs, dans la cave, 1898 francs
Immeubles. 1. la moitié par indivis d’une maison, cour, corps de logis de derrière, aisances, appartenances et dépendances située à Strasbourg place de la Cathédrale n° 31, d’un côté M Mertian, d’autre M Guillemin, derrière la propriété de la succession Roessel – acquis sur Jean Michel Boell, aubergiste, et Marie Salomé Schwing par acte reçu Me Stoeber le 29 août 1806. Il est occupé savoir le rez de chaussée par M. Rabausch confiseur pour un loyer annuel de 800 francs, le premier étage occupé par les époux Nortz estimé 4000 fr, le second étage loué à M Melord pour 300 fr, total 1500 fr de revenu ou 15 000 de capital à porter dans la succession
2. la moitié par indivis d’une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue n° 91, d’un côté M. Jaeger pasteur, d’autre le Sr Eschkorn, derrière aboutissant sur des jardins – acquis des héritiers de Marie Salomé Dachert veuve de Michel Maehn, farinier, par adjudication homologuée par le tribunal civil de première instance le 16 germinal 6 – occupée par la cohéritière De Mitzel, estimée 12 000 fr la moitié 6000 francs
une maison à Hoenheim 1000 fr, céances 1901 fr – passif 4300 fr, total de l’actif 25 794 fr

Sa veuve Marie Barbe Lix meurt l’année suivante en instituant ses deux nièces comme légataires universellles

1829 (5.8.), Strasbourg 7 (80), Me Stoeber n° 11 924
Inventaire de la succession de Marie Barbe Lix veuve de Daniel Nortz, propriétaire décédée le 6 avril dernier – à la requête de Marie Rasp veuve de Jean Mühlbacher, charron sa nièce, 2 Salomé Rasp femme abandonnée de Jean Kientzel, menuisier, héritières de leur tante suivant testament passé le 20 décembre 1828
dans la maison mortuaire place de la Cathédrale n° 31
la moitié indivise de la maison place de la Cathédrale n° 31 estimée 15 000 fr
la moitié par indivis de la maison située Grande rue n° 91 estimée 6000 fr
la moitié d’immeubles à Hoenheim estimés 1000 fr, garde robe 200 fr, mobilier de la communauté universelle testamentaire 1545 fr, créances 1901 fr
totalité 25 646 fr, passif 4900 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 195 F° 179-v du 10.8.

Les héritiers exposent les deux maisons aux enchères. Celle grand rue n’est pas adjugée mais elle figure dans le rapport d’experts

1830 (14.1.), Strasbourg 7 (80), Me Stoeber n° 12 356
Adjudication définitive – Cahier des Charges du 14. 9.br. n° 12 171 – I. Salomé Geyer épouse de Christophe Mitzel, tailleur d’habits, II. Daniel Geyer, aubergiste père et administrateur de la fortune de son fils Théophile procréé avec Madeleine Hetzel, III. Daniel Geyer fils du précédent, tonnelier, IV. Jean Frédéric Haan, boucher, mandataire de 1) Jean Jacques Nortz, tonnelier et marchand de vin tant en son nom et mandataire de Georges Léonard Stilgenbauer, tonnelier, et Madeleine Nortz épouse de Jean David Sauerlaender, libraire ces trois demeurant à Francfort sur Mein, procuration dans l’Inventaire de David Nortz, Me Stoeber 10 &.2.& courant, 2) Françoise Madeleine Lehmann veuve de Pierre Joannin, marchand chapellier, V. Jean Lambert Goulbier, fabricant lampiste cessionnaire des droits successifs mobiliers et immobiliers du susdit David North à Marie Barbe Lehmann épouse d’Aloyse Maestlé, employé à Saverne (Me Hickel 20 décembre1828 trans. vol. 221 n° 20), VI. Julie Sauer, fille majeure de Jean Conrad, facteur d’orgues, et Marie Salomé Kühl, VII. Marguerite Barbe Kühl épouse du Sr Haan, VIII. Anne Marie Nortz veuve d’André Renchert, jardinier assisté de son gendre Daniel Baer, jardinier, De Mitzel 1/8, Theophile Geyer 1/16, Daniel Geyer 1/16, De Stilgenbauer 1/18, Jacques Nortz 1/16, De Sauerlaender 1/16, Sr Goulbier 1/24, veuve Joannin 1/24, Dlle Sauer 12/6, De Haan 1/12, De Renchert 4/16, IX. Marie Rasp veuve de Jean Mühlbacher, charron, X. Salomé Rasp femme abandonnée de Jean Kientzel, menuisier, Marie et Salomé Rasp seules et uniques héritières leur tante De Nortz née Lix suivant inventaire dressé par Stoeber le 5 août courant, XI. André Rapp, brasseur tuteur ad hoc de Théophile Geyer
à Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine domicilié rue du Dôme n° 8 au nom de Charles Frédéric Schneegans, confiseur, pour 45 300 francs
Désignation des immeubles à vendre. 1. une maison, cour, pompe, caves voutées, droits, appartenances et dépendances se composant de trois corps de logis de devant, du milieu et de derrière le tout situé à Strasbourg Place de la Cathédrale n° 31 ci devant tribu des Boulangers (Bäckerstub), d’un côté M Mertian, d’autre M Guillemain, derrière la propriété de la succession Roessel, ensemble le chaudron à lessive et jalousies, acquis de Jean Michel Boell, aubergiste, et Marie Salomé Schwing par acte reçu Me Stoeber le 29 août 1810. Les conjoints Boell ont acquis ledit immeuble des domaines nationaux suivant procès verbal d’enchère passé au district de Strasbourg le 22 floréal 2.
Observation finale quant à la propriété, les conjoints Nortz ont disposé le mari par testament reçu Me Stoeber le 20 décembre 1828 et la femme le même jour (les biens formeront) une seule et même masse avenant pour moitié aux héritiers du Sr Nortz et moitié aux héritiers de la De Nortz, (ledit immeuble) estimé 26 000 francs, acquis par adjudication préparatoire le 12 mars 1808, transcrit au bureau des hypothèques volume 28 n° 12
Rapport d’experts du 22. 7.bre, Jean Daniel Vogt, architecte charpentier, Jean Jacques Stotz fils architecte maçon, André Schott jardinier, une maison place de la Cathédrale n° 31 ayant une issue dans la rue des Juifs. Cet immeuble consiste en quatre corps de bâtiment entourant une première cour avec puits, puis une seconde cour qui communique à la rue des Juifs par une entrée couverte. La maison de devant vers la place de la Cathédrale est élevée de deux étages en maçonnerie au dessus du rez de chaussée terminé par un comble uni couvert en tuiles. Il y a deux caves l’une voutée l’autre est sous solives. Le rez de chaussée contient un grand vestibule, une grande boutique avec arrière boutique plus deux petites boutiques avec arrière boutique et une petits cuisine, le premier étage un corridor, deux cuisines et cinq chambres dont trois vers la rue. Le second étage un corridor, un escalier conduisant au grenier, une cuisine et quatre chambres dont deux vers la rue, dans le comble se trouvent trois greniers dont le premier est divisé en cinq pièces par des séparations en planches. L’aile droite est élevée d’un étage en galandures terminé d’un toit couvert en tuiles, il contient un rez de chaussée, trois buchers et le puits, au premier deux chambres et les lieux d’aisances, le comble renferme un petit grenier. L’aile gauche est élevée de deux étages en galandure au dessus du rez de chaussée terminé d’un mi toit couvert en tuiles. Le rez de chaussée contient l’escalier, deux chambres et une petite cuisine, le premier étage l’escalier et deux chambres, le second le corridor et trois chambres, au comble se trouve un petit grenier. Le bâtiment du fond est élevé d’un premier étage en galandure, au dessus du rez de chaussée terminé d’un comble uni couvert en tuiles. Le rez de chaussée contient un magasin, un laboratoire d’un confiseur, une buanderie, une petite chambre, un escalier et les lieux d’aisances, le premier étage deux chambres, une cuisine dans le comble se trouvent trois chambres – estimée 26 000 francs
Nous nous sommes rendus dans la seconde maison sise Grand rue n° 91 d’un côté le Sr Etzkorn, de l’autre une maison appartenant à la fabrique de St Pierre le Vieux aboutissant au fond sur des jardins. Cet immeuble consiste en trois corps de bâtiment, cour et puits. Celui de devant est élevé de deux étages en maçonnerie au dessus du rez de chaussée terminé d’un comble uni couvert en tuiles. La cave regne sur toute la profondeur du bâtiment, elle est voutée. Le rez de chaussée contient une allée, une boutique, une petite cuisine et une petite chambre vers la cour. Le premier étage une grande chambre vers la rue avec alcove, un corridor, deux petites chambres et une cuisine. Le second étage un escalier conduisant au grenier, un grand corridor, une grande chambre avec une alcove et une cuisine. Le comble renferme trois greniers dont le premier est divisé en trois pièces. Le bâtiment en aile renfermant la cage d’escalier est élevé de deux étages en galendures terminé d’un mi toit couvert en tuiles. Le rez de chaussée contient l’escalier et deux buchers. Le premier et le second étage chacun une chambre et l’escalier, au comble se trouve un petit grenier. La maison de derrière est élevée de deux étages en galendures terminée d’un mi toit couvert en tuiles. Le rez de chaussée contient une cuisine et une chambre. Le premier étage est distribué de même. Le second étage deux chambres et une cuisine, au comble se trouvent deux greniers, le premier forme une chambre – estimé 8000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 197 F° 200 du 19.1.

Marie Rasp veuve du charron Jean Mühlbacher céde sa moitié de la maison à Salomé Rasp femme de Jean Kientzel qui en devient seule propriétaire

1837 (28.1.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Marie Rasp veuve de Jean Mühlbacher charron
Salomé Rasp femme de Jean Kientzel
la moitié indivise d’une maison située à Strasbourg Grand Rue n° 91, l’autre moitié appartenant déjà à l’acquéreuse moyennant 5000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 247 F° 67 du 2.2.

Le menuisier Jean Thiébaut Kientzel épouse Salomé Rasp en 1812
1812 (30.5.), Strasbourg 12 (45), Me Wengler n° 6732
Contrat de mariage – Jean Thiébaut Kientzel cadet, menuisier, fils majeur de Thiébaut Kientzel, employé à la recette générale des hospices civils, et de Salomé Gebhard
Salomé Rasp fille majeure d’André Rasp, charron et, d’Anne Marie Lix
Enregistrement de Strasbourg, acp 119 f° 174 du 1.6.



125, Grand rue


Grand rue n° 125 – IV 300 (Blondel) N 953 puis section 60 parcelle 101 (cadastre)

Démolie en 1914-1915

Grand-rue 125 (1 Fi 26 n° 16)Grand rue 136 (112 Z 8)Gutenberg-Francs-Bourgeois (août 2016)
La maison vers 1910 (AMS, cote 1 Fi 26, n° 16). La maison se prolonge au-delà de la gouttière dans la rue des Fribourgeois
Vue sur le 136, Grand rue dans les années 1920. A droite au premier plan, emplacement du 125 Grand rue démoli en 1914-1915 (AMS, cote 112 Z 8)
Plan correspondant
Angle de la rue Gutenberg et de la rue des Francs-Bourgeois, été 2016. Le bâtiment de droite correspond à celui de droite sur la photographie de 1910

La maison forme l’angle occidental de la Grand rue et de la rue des Fribourgeois. Elle est appelée en 1630 zum kleinen Freiburger (au petit Fribourgeois) d’après le poêle voisin des Fribourgeois (aubergistes). Elle appartient successivement aux barbiers Paul Becker et Jean Frédéric Mægerlin (1615-1676), aux tourneurs Jean Georges Kœnlin et Jean Martin Haffner (1678-1724) puis aux vitriers Benoît Storr, Jean Jacques Schrapp et Jean Chrétien Storr (1724-1759). Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent en 1615 le barbier Paul Becker à la garnir d’un balcon en pierre. La maison a deux étages en 1744. Son propriétaire passe en 1751 un accord avec la tribu voisine des Fribourgeois qui l’autorise à percer un jour dans le mur de son écurie pour éclairer le cabinet d’aisance. Le notaire François Henri Dautel y établit en 1759 son étude qu’il transmet à son fils du même nom jusqu’à ce qu’il quitte Strasbourg en 1786. Le fabricant de parapluies François Berrat acquiert la maison en 1787, y ouvre aussitôt une arcade au rez-de-chaussée. Il supprime l’année suivante son auvent et ajoute un étage. L’autorisation de 1787 ne fait pas allusion au maintien ou à la transformation du balcon.

150 Elévations b-c
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 150

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (b). L’arcade et la porte d’entrée s’ouvrent sur la Grand rue où chacun des trois étages comprend trois fenêtres. La toiture a un étage de lucarnes. La façade sur la rue des Fribourgeois a trois travées à trois fenêtres. Elle a subi des transformations par la suite puisque son aspect est différent vers 1910. Comme le cadastre ne signale pas de changement de revenu, ces transformations pourraient dater des années 1830.
La maison porte d’abord le n° 148 (1784-1857) puis le n° 125. Elle appartient aux ferblantiers Henri Chrétien Rhein (1807-1843) et Jean Chrétien Weimer (1859-1876). Le dernier propriétaire est le commerçant Hermann Morgen qui la vend à la Ville. La maison est démolie en 1915 d’après le cadastre. Le sol forme actuellement une partie de la rue des Francs-Bourgeois.

août 2016

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1629 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Paul Becker, barbier, et (1615) Sara Walter – luthériens
1666 v Jean Frédéric Mægerlin, barbier, et (1666) Anne Marguerite Hugo puis (1687) Abigaïl von Molsheim, successivement veuve de Jean Régnard Widt et de Loup Daniel Engel – luthériens
1676 v Anne Marguerite Wolff, femme (1677) du notaire Jean André Schneider – luthériens puis de Jean Adam Clerc – catholiques
1678 v Jean Georges Kœnlin, tourneur, et (1675) Elisabeth Schott puis (1694) Marguerite Græff – luthériens
(1707) h Jean Martin Haffner, tourneur, et (1707) Marguerite Græff veuve de Jean Georges Kœnlin, puis (1727) Marie Salomé Berger veuve du relieur Jean Georges Spach – luthériens (jouissance au mari)
1724 v Benoît Storr, vitrier, et (1701) Chrétienne Wanner puis (1714) Anne Marguerite Kamm – luthérien
(1731) h Jean Jacques Schrapp, vitrier, et (1731) Anne Marguerite Kamm, veuve de Benoît Storr – luthériens (jouissance au mari)
1745 h Jean Chrétien Storr, vitrier, et (1741) Marthe Hansmetzger – luthériens
(1759) h François Henri Dautel, notaire, et (1723) Marie Madeleine Lang puis (1759) Marthe Hansmetzger veuve du tanneur Jean Chrétien Storr – luthériens (jouissance au mari)
1787 v François Berrat, fabricant de parapluies, et Marie Seux puis (1781) Marguerite Latzer – catholiques
1795 v Philippe Hermann Reinhard et Edouard Bruno Mertian, négociants
1796 h Philippe Hermann Reinhard négociant, et (1799) Marie Antoinette Julie Deheille
1800 h Phillipe Hermann Reinhard († 1814), négociant, et Françoise Brendlé († 1824)
1800 v Antoine Loir, négociant, employé chez le payeur militaire et (1783) Constance Hubertine Kuppelmeyer
1807 v Henri Chrétien Rhein, ferblantier, et (1800) Anne Madeleine Ziegenhagen
1843 v André Hausmann, boucher, et (1810) Elisabeth Salomé Nagel
1859 v Jean Chrétien Weimer, ferblantier, et (1839) Julie Christmann
1877* Théophile Maisenbacher, charcutier
1881* Joseph, Marie et Annelise Drach
1898* Georges Ribs, pâtissier
1902* Hermann Morgen, commerçant
1910* v Ville de Strasbourg

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1706, 1 150 livres en 1723, 900 livres en 1744, 1 250 livres en 1757

(1765, Liste Blondel) IV 300, au Sr Dautel Notaire
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 953, Rhein, Henri Chrétien, maison, sol – 1,25 are, puis Hausmann boucher

Locations

1659, Simon Wilborn, barbier
1661, Frédéric Schell, orfèvre
1675, Nicolas Hitschler, apprêteur de chapeaux
1718, (cave) Philippe Schatz, marchand
1719, Jean Philippe Kugler, tourneur
1786, Ignace Bootz, huissier royal, et Marie Anne Steckinger
1809, Jacques Louis Goetz, employé de loterie, et Marie Eve Decker

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Livres des communaux

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent en 1615 le barbier Paul Becker à établir un balcon à sa maison à l’angle de la Grand rue et de celle des Fribourgeois. L’acte ci-dessous daté de 1752 établit qu’il s’agit d’un balcon en pierre (wegen eines steinernen auff das Allmend überhangenden gangs). Le même loyer est reporté dans les registres ultérieurs jusqu’à sa suppression par décision du 25 septembre 1792. La rente en question figure toujours dans les actes ultérieurs
1562, Livre des loyers communaux VII 1446 (Zinßbuch D) f° 194

Item Vj. ß d. soll geben Paul Becker d. barbierer von einem new bewiligten gang an seiner eck behausung an der Freÿburg. gaßen vff Jacobi 1616. Zum erstenmal, Ihme a° 1615. von Rhet xxi bewilligt
(rub.) Jetz Er 8 ß d, 8° Martÿ 1627
Neü 185.

1652-1672, Livre des loyers communaux VII 1461 (1652-1672) f° 185-v

Jetzt Hanß Friderich Mäÿerle
Herr Paul Beckherr Barbirer, Soll gemeiner Statt, Von einem steinern gang seiner eckbehaußung ahne der Freÿburgergaß, Jahrs vf Jacobi 8 ß d
Alt. d. f. 194
New fol. 164

1673-1741, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 164-v

Hannß Friderich Maÿerle, soll von einem steineren gang seiner Eckbehaußung an der Freÿburger gaßen vff Jacobi, 8 ß
St. Zinnßb. p. 185
ietz Hannß Georg Köhnlin
Jetzt Johann Martin Haffner
Jetzt Benedict Storren Erben
Neuzb fol 208-b

1741-1802, Livre des loyers communaux VII 1470, f° 208-b

alzb. 164-b
Benedict Storren Erben sollen von einem steinern gang seines Eck behaußung an der Freÿburger gaßen auf Jacobi, id est 25. Junii, 8 ß
(Quittungen, 1741-1792)
Suivt. Deliberation du Directoire du Departement du 25. septembre 1792. les redevances des balcons sont supprimées.

jetzt H. Not. Frantz Heinrich Dautel / Erben
modo Frantz Berrat, parapluye macher laut C. C. Verschbg. vom 27. 8.bris 1787.

Directeurs fonciers (Bauherren)

1668, Directeurs fonciers, VII 1360
Les loyers en souffrance sont répartis entre l’ancien et le nouveau propriétaire

(f° 144). Mittwoch den 5. Febr. Meÿgerlin. Beckers Erben
Johann Friderich Meÿerlin soll weg. Paul Beckers Erben von deßen Hauß in der straßen bei Schmid stuben à 8 ß p. 1663. 64. 65. 66. et 67. 2. lb waran Beckerische Erben 1. lb. 12. ß beizutrag.

1753, Directeurs fonciers, VII 1405
Chrétien Storr obtient qu’une femme de soldat retire l’étal de reprisage qu’elle a dressé devant sa maison en arguant qu’il empêche l’accès à la fontaine

(f° 94-v) Dienstags den 27. Februarÿ 1753. Christian Storr
Christian Storr der glaser bittet das ständtlein beÿ seinem Hauß an der straß gegen Herrn Von Flachßland Hauß über welches ein Invalide für seine Frau Zum strumpff flicken dahin gestellt, hinweg Zuerkennen, weilen solches wegen daßigen brunnens sehr hinderlich. Erkannt solle Hinweg gethan werden.

1779, Directeurs fonciers, VII 1418
Le maître maçon Müller est autorisé au nom du notaire Dautel à réparer le crépi du rez-de-chaussée

(f° 314-v) Montags den 27. Septembris 1779. H. Nots. Dautel
Mr Meÿer, der Maurer, nôe. Herrn Notarii Dautel bittet zu erlauben an deßen behausung am Eck der Langen Straas und Freÿburger Gaß gelegen auf dem boden den betrich ausbeßern zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

1787, Directeurs fonciers, VII 1422
Le fabricant de parapluies François Berrat est autorisé à ouvrir une arcade au rez-de-chaussée et à ajouter l’année suivante un étage à sa maison

(f° 368) Mittwochs den 17. Octobris 1787. Frantz Berrard Parapluie Macher
Herr Müller, der Maurer, nôe Frantz Berrard, des Parapluie Machers, bittet zu erlauben an deßen behausung in der langen Straß am Eck, der Freiburger Gaß gelegen auf dem Rez de chaussée ein bogen machen, und künftiges Früh Jahr ein Stockwerck darauf setzen zu laßen. Erkannt Willfahrt.

1788, Directeurs fonciers, VII 1423
François Berrat est autorisé à supprimer son auvent, à ajouter un étage à sa maison et à la repeindre

(f° 33-v) Dienstags den 4. Martii 1789. Frantz Berrad, Parapluie Macher
Herr Müller, der Maurer, nôe Frantz Berrad, des Parapluie Machers, bittet zu erlauben an deßen behausung in der Langenstraß am Eck der Freiburger Gaß gelegen den Überhang in der Freiburger Gaß weg Zu machen und auf die behausung ein Stockwerck zu setzen, sofort dieselbe anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Protocole de tribus

Jean Chrétien Storr passe un accord avec la tribu des Fribourgeois dont le poêle touche à sa maison. Il est autorisé à percer un jour dans le mur du Poêle pour faire entrer le jour dans son cabinet d’aisance en s’engageant à y poser un grillage et à le supprimer à première réquisition
1751, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)

(f° 122-v) 2.te Gericht pro 1751. Donnerstags den 29. Julji A° 1751
Mr Johann Christian Storr der Glaßer vndt burger Zu Straßburg hat S. T. dem Hochgebietenden Herrn XV. Oberherrn Vnd Sitzendten Rathherrn den 31.t Julii 1751: eine Supplic. So ane das gantz Collegium derer Hh Schöffen gestellet, dahero dann ad Prothocollum zu Nemen præsentiret und volgenten Innhalts Ist
Hoch und Wohl Edel Gestreng, Fromm, Fürsichtig, Hochgelehrt, Hoch undt Wohlweiße Insonders Hochgeehrte Herren Oberherren Rathherren, auch Hhn Schöffen Er. En. Zunfft der Freÿburger in allhiesiger Königlichen Statt Straßburg.
Ihro Weißheit Hochgebiethendten Herrn Oberherrn, Herren Rathherrn, wie auch überigen Herren eines Hochansehnlichen Collegii derer Herren Schöffen Er. En. Zunfft der Freÿburger, habe ich endts unterschriebenen Supplicant, alß der nächster Nachbar erstgedachter löblichen Zunfft unterthänig gehorsambst hiermit bitten und Ersuchen wollen, Weillen der Orth meiner heimlichen Commoditæt auf En. En. Zunfft stoßet, undt neben der Stallung über welchen beeden dann Er. Ehrs. Zunfft Heubühne befindlich, stehet, Ich aber nicht die geringste Helle oder tag darinnen habe auch solches auff keine Arth auß meinen Hauß hinein gebracht werden Kan, alß bitt mir durch eine Vergönstigung Zu erlauben einen Riegel durchbrechen vmb dadurch die Helle auß Er Ehrsamen Zunfft Hinteren Höfflein Zu Erlangen, Verhoffe anbeneben Solches vmb so da mehr Zu Erhalten, weilen Solches nirgendt füglicher alß über derer S: v: Mist: Hauffen von Einer Ehrs: Zunfft Stallung, Kan gemacht und verfertiget werden.
M**esten ich mich verobligire, Solches Alles auff meine Costen Machen und vergrembßen zu maßen damit zu keiner Zeit Einer Ehr: Zunfft die geringste Verdrießlichkeit dadurch verursachet werde.
Welche mit Verhoffentlich Erzeigendte Gnädige Willfahrt, ich nicht nur jeeder Zeith mit allen mir ersinnlichen danckh Erkennen, sondern auch in allen Fürthallendten Gelegenheiten, mit* meinen Zwar geringen gegen diensten so viel mir jmmer möglich, solches zu vergelten eifferigst befließen seÿen werdte, der ich mit aller unterthäniger Veneration vnd Hochachtung die Ehren habe Lebenslang Zu Verharren.
Ihro Weißheit des Hochgebietendten Herrn Ober: und Rathherrn wie auch überiger Herren Schöffen.
Unterthänig gehorsambster diener. Unterschrieben Johann Christian Storr Glaßer

Copia deßeben außgestellten Revers. – Ich endes unterschriebener bekenne hiemit, daß mir Er. En. Zunfft der Freÿbruger in allhießiger Stat Straßb. alß eine vergönstigung Zu gelaßen, ein Loch wodurch ich deßwegen mein heimlich demnach bekommen, durch zu brechen, welches ich auch, so baldt es Er. Ehrsame Zunfft an mich begehren wirdt, wieder Zu Zumachen, Versprechen alßo daß deßwegen Eine Ehrs. Zunfft nicht von Ihrer gerechtigkeiten Verhalten haben solle, Urkundtlich meiner eÿgenhändigen Unterschrifft, Straßburg den 31. Julÿ 1751. Unterschrieben Johann Christian Storr Glaßer
Auch Versprechte ich sothanes Loch auff Meinen Costen durch zu brechen und Zu Vergrembßen. Unterschr. Johann Christian Storr Glaßer

Description de la maison

  • 1723 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs chambres, poêle, cuisine, vestibule, atelier, chaudron à lessive et cave sous solives, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2300 florins (Haffner)
  • 1744 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée sur la droite un poêle, un vestibule et cabinet, à l’arrière la cuisine, la petite cour et la cave sous solives, les deux étages comprennent un poêle, un vestibule et plusieurs cabinets, au-dessus comble ancien à greniers non dallés, pignon ancien en bois, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins (Schrapp)
  • 1757 (billet d’estimation traduit) la maison comprend six poêles, trois cuisines, trois alcôves et plusieurs cabinets, cave solivée, comble couvert de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins (Storr)
  • 1781 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêle, trois cuisines, plusieurs chambres, cave solivée, comble couvert de tuiles plates, une cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins (Dautel)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 28 / 148
Rhin
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 277 case 2

Hansmann boucher à Strasbourg

N 953, maison, sol, grand’rue 148
Contenance : 1,25
Revenu total : 216,65 (216 et 0,65)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 894 case 2

Hansmann André, place d’Austerlitz 23
1860 Weimer Jean Théodore, Ferblantier
1877 Maisenbacher, Gottlieb, Wurstler
1881 Drach, Joseph, Maria & Annalise
98/99 Ribs Georg, Pastetenbäcker
1902 Morgen Hermann, Kaufmann
(ancien f° 642)

N 953, maison, sol, Grande rue 125
Contenance : 1,25
Revenu total : 216,65 (216 et 0,65)
Folio de provenance : (277)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10

Cadastre allemand, registre 30 p. 402 case 5

Parcelle, section 60, n° 101 – autrefois N 953
Canton : Langstraße Hs N° 125
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,17
Revenu : 2500 – 3400
Remarques : 1915 Abbruch
B.v. 1907. 169
1927 porté p. 387 c. 3

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 2980
Morgen Hermann
gelöscht 1910

(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades (p. 204)

148
pr. Berrat, François, Fabriq. de Parapluye – Pelletiers
loc. Voltz, huissier royal, François Michel – Privilégié
loc. Velti, huissier – Privilégié
loc. de haag, Baron, de Manheim – Noblesse
loc. Vogt, Commis chez M. de Dietrich

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 125
Morgen, Hutmanufakt. E 0
Wolff, Architekt, 1
Gerlach, Näherin. 2
Rech, Näherin. 2
Eyer, Oberkellner. 3
Jäck, Mechaniker, 3
Pirot, Büglerin. 4
Schamber, Schneidermr. 4
Schmitt, Küfermeister. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Aucun dossier conservé

Grille d’enquête

Fragebogen zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Aucune fiche sur la maison


Relevé d’actes

La maison appartient au barbier Paul Becker qui épouse en 1615 Sara Walter, fille de pasteur

Mariage, cathédrale (luth. f° 28)
1615. Doîca vocem jucundutatis den 14. Maÿ. Paulus Becker der palbierer, Jacob Becker dess tuchscherers e. sohn und Jfr Sara H. M. Niclaus Walthers pfarrers zu Obenheim e. tochter (eingesegnet Zinstag den 30. Maÿ) i 19.

Paul Becker hypothèque la maison appelée zum kleinen Freiburger (au petit Fribourgeois) au profit du précepteur Paul Gnilius

1630 (9. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 221
Erschienen H Paulus Becker Wundtartzet und Burger Zu St.
hatt in gegensein herren M. Pauli Gnilÿ præceptoris classici auch burgers Zu St. – schuldig seÿ 150 gld.
v.leg hauß vnd hfs mit allen & alhie an d. Obern straßen Zum kleinen freÿburger gnt. 1.seit ist ein Eck am freÿburger gäßlin, 2.seit neben weÿ: herrn Augustin Falcken gewesenen Cantzleÿ Commissarÿ s. wittib hind. vff die Freÿburger Zunfftstuben stoßend, welche behausung zuuor noch v.hafftet ist vmb 100. lb. d H Georg Knörer, Item vmb 100. Reichßthaler a 3. fl. gerechnet herren Daniel Ringler Alt Ammeistern So gehen Jährlich auch vom Gang an dieser behausung 6 ß Allmend gelt d. St. St.
[in margine :] Erschienen fr. Anna Maria hierin gemelts H Creditoris nunmehr seel. nachgelaßener wittib anietzo H Florentz Schillingß med. Doct. eheliche haußfraw, alß usufructuaria gedachts H. Knilÿ verlaßenschafft, mit beÿstand Johann Knilÿ ihres eheleiblichen Sohns, hatt in gegensein H Johann Friderich Mägerlins des barbierers als ietzigen possessoris hierin hypothecirter behaußung (quittung) Act. d. 12. 8.br 1666.

Paul Becker et sa femme Sara accompagnés de leurs fils le barbier Jean Paul et le médecin Jacques hypothèquent la maison au profit de l’avocat Marc Ott

1652 (24. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 574
Erschienen H. Paulus Becker Barbierer und E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzer undt Fraw Sara sein eheliche Haußfraw undt sie Fraw Sara insonderheit mit beÿstandt Johann Pauli Beckers deß Barbierers und H. Jacob Beckers Med: Doct: ihrer eheleiblichen Söhn,
dem Edel Vest Und hochgelehrten H Marx Otten V.I. D. undt dißer Statt Consiliario et Advocato uffrecht und redtlich schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
Underpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, & alhie ahne der obern Straßen, einseit ist ein Eckh, anderseit neben H Mathiæ Strohmen, hinden vff die Freÿburg. Zunfftstub stoßend gelegen, so Zuvor noch umb 200. fl. H. M. Nägelin Pfarrern Zu Ichenheim ehevögtlicher weiße, Item umb 140. fl. weÿl. H Ammaÿsters Daniel Ringlers seel. Wittibin, Item umb 150. fl. H. Florian Schilling Med: Doct. ehevögtlicher weiße verhafftet

Paul Becker loue la maison au barbier Simon Wilborn

1659 (11. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 205
Erschienen H. Paul Beckher alter Kleinen Rhats Verwanther, mit beÿstand Bernhard Georgÿ deß Barbierers
in gegensein Simon Wilborn deß Barbierers alhier mit beÿstand Johann Wernhard Schmitz. Kauff hauß Küeffers seines Schwagers
verlühen habe eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, alhie ahne der Obern straß. ist einseit ein Eckh an der freÿburger gaßen, anderseit neben H Mathiæ Stromen, hinden Vff die freÿburger Zunfft Stub stoßend gelegen Vff Zweÿ Jahr lang Von Johannis Baptistæ dießes Jahrs angerechnet für und umb einen Jährlich. Zinnß benantlich daß Erste Jahr Umb 25. lb. das ander Jahr aber umb 24. lb.

Les héritiers Becker louent la maison à l’orfèvre Frédéric Schell

1661 (30. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 228
Erschienen H Joachim von Botzheim E.E. Statt Gerichts Beÿsitzer alß Curator Fr. Saræ Wilvisheimin H Hannß Bernhard Gorius der Barbierer alß Vogt hannß Michael Beckhers, Vnd Zugleich Sie beede im nahmen Fr. Mariæ Ursulæ Hugorin, derentwegen Fr. de ratihabitione cavirten
haben in gegensein H Friderich Schellen deß Silberarbeiters
verlühen haben Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten, ist einseit ein Eckh an der Freÿburg. Gaß, anderseit neben H. Marthæ Stromen, hind. vff die Freÿburger Zunfftstub stoßend geleg. vff vier Jahr lang von nechstkünfftig Joh. Bapt: angerechnet, um einen iährlich. Zinß benantlich 20. Pfund
dabeÿ insonderheit bedingt word. ist, daß weilen der entlehner die entlehnte Behaußung zur übung seiner Kunst Zu accomodiren gewillt, daß Er, nach Außgang der bestimpten vier Jahr, daß gebawene wied. hinweg Zu nehmen und die entlehnte Behausung in den Stand, wie Er sie empfang., ohne der Verleÿher Entgelt, Zu stellen befugt und schuldig

Les héritiers Becker vendent pour l’équivalent de 500 livres la maison située face à la maison de poste au barbier Jean Frédéric Mægerlin

1666 (16. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 349-v
(Prot. fol. 31. fac. 1.) Erschienen fr. Sara H Wolff Engels eheliche haußfraw mit assistentz erstemelts ihres Ehe Vogts, so dann Fr. Maria Ursula H Michael Hugo Amptmann Zu Roth Under Rittberg fürstl. Marggräffl. Badenl. Durlachischer herrschafft eheliche haußfrau (…) mit beÿstand des Ehrenvesten fürsichtig weÿsen H Hannß Philipß Zeißolffs E.E. Großen Rhats beÿsitzers,
in gegensein H Johann Friderich Mägerlin des Barbierers
die Vätterliche Beckherische Barbier behaußung mit dero hoffstatt und allen übrigen gebäwen, begriffen, Zugehörten und Gerechtigkeiten alhie ahne der obern Straßen gegen dem Posthaus hienüber, einseit ist ein Eckh ane der freÿburger Gaß, einseit neben H. Mathiæ Strohmen König. Friderichen Landvogteÿ Rhat Zue Hagenaw hinden uff der freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehen iahrs termino Jacobo Apostoli 8 ß Allmendt gelts von dem steineren gang gemeiner Statt, Item 5. lb termino Joh. Bapt: lößig mit 100. lib H M. Johann Matthæo Nägelin ehevögtlicher weise, ferner 4. lb 10 ß d Jährlichen uff den (-) lößig mit 75. lib H Florian Schilling Med. Doct. auch ehevögtlicher weiß Item 3. lb 10. ß termino Mich. lösig mit 70. lb. weÿl. H. Jacob Spielmanns gewesenen handelßmanns nunmehr seel. nachgelaßener wittib, so dann 5 lb d Jahrs Vff Mich: lößig mit 100. lb dem Edel Vest hochgelehrten H Marx Otten U.I.D. Reipubl. Consiliario & Advocato Seniori (übernohmen) – umb 155 Pfundt

Fils de diacre, Jean Frédéric Mægerlin épouse en 1666 Anne Marguerite Hugo, fille de maître d’école
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 60)
1666. Dncâ 11. Epiph. d. 14. Jan. H. Johan Friderich Mägerlin der Barbierer, weiland H. M. Johann Mägerlin, Diaconi dießer Kirchen hinterlaßener Ehelicher Sohn, J. Anna Margaretha H. Georgii Hugo, Schulmeister beÿ vnßerer Kirchen Eheliche Tochter. Copulirt Donnerst. d. 25. Zu S. Thomæ (i 64)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1666 (11.1.), Me Ursinus (Jérémie, 60 Not 37) n° 2
Inventarium über Deß Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Johann Friderich Megerlins, Barbierers vndt Wundartzts, Zu der Ehrn: undt viel tugendsammen Jungfrau Annæ Margarethæ Hugonin seiner Liebsten in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1666. – als Crafft Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert guth, in den Ehestandt Zugebracht, welche theils durch die wohl Ehren undt viel tugendsame Fraw Annam Lehrmännin sein beliebte fr. Mutter theils Ihne herrn Johann Friderichen – So beschehen auff Freÿtag den 11.t Januarÿ A° 1666.
Inventarium über Der Ehrn: undt viel tugendsammen Jungfrawen Annæ Margarethæ Hugonin zu dem Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Johann Friderich Megerlins, Barbierers vndt Wundartzts, Ihrem Liebsten in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1666. -So beschehen auff Freÿtag den 11.t Januarÿ A° 1666.

Designatio vndt Verzeichnus deß Jenigen haußraths so H Georg Hugo, Cantor vndt Lehrmstr. Zu St Thoman, Burger Zu Straßburg seiner dochter Dorotheæ wegen Ihres Mütterlich. guths gelüffert – So beschehen auff Freÿtag den 11. Januarÿ A° 1666.
Deß Herrn Nahrung. Sa. Haußraths 171, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldinen Ring 8, Sa.Bahrschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 187, Summa summarum 409 lib
Der Jfren Hochzeiterin Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 11, Sa. Guldinen Ring 15, Sa. der Baarschafft 5, Summa summarum 123. lib

Jean Frédéric Mægerlin hypothèque la maison peu de temps après l’avoir achetée au profit du docteur en théologie Sébastien Schneider

1666 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 531-v
Erschienen H. Johann Friderich Mägerlin der Barbierer
in gegensein H Johann Philipß Zeißolffs E.E. großen Rhats beÿsitzers im nahmen des hoch ehrwürdig hochgelehrten H. Sebastian Schneider S.S. Theol. Doct. et Professoris auch Predigers im Münster – schuldig seÿen 500 lb, daß Er damit nach beschriebene Behaußung erkauffen bahr bezahlen
Unterpfand, Eie Barbier Behaußung mit allen deren gebäwen & alhie ahne der obern straßen gegen dem posthauß hienüber, einseit ist ein Eckh an der freÿburg. gaß, anderseit neben H Mathiß Strohmen Königl. frantzösischen Landvogteÿ Rath Zu hagenaw, hinden uff der freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, so über 8 ß d allmendgelts
so dann 350. lb d Kauffschillingß rest so h hannß Michael Moßeder der biersieder von seiner alhier ahne der obern straßen gegen der Kirchen zum alten St. Peter hienüber gelegenen Behaußung, vermög der den 14. Maÿ 1657. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteten Kauffverschreibung Zu thun
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Känlins des Trähers alß jetzigen Possessoris hierin beschriebener behaußung (quittung) Act. den 11. 8.bris 1678.

Jean Frédéric Mægerlin loue la maison à l’apprêteur de chapeaux Nicolas Hitschler

1675 (19. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 479
Herr Johann Friderich Mägerlin der Barbierer
in gegensein herren Niclaus Hitschlers deß huetstaffierers
verlühen, seine behaußung alhier an der Obern Straßen gegen dem Posthauß hinüber, einseit ist Ein Eckh anderseit neben herrn Mathiæ strohmen gelegen, Von vorstehend Mich: angerechnet um Einen jährlichen Zinß benantlich 30. lb

Jean Frédéric Mægerlin se remarie en 1687 avec Abigaïl von Molsheim, succession veuve de Jean Régnard Widt et de Loup Daniel Engel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire après décès, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest, vorgeachten undt Kunstreichen hern Johann Friderich Mägerlin, barbierern vnd Wundartzt, burgern zu Straßburg alß bräutigamb, ane einem, So dann der viel Ehren vnd tugendreichen Frawen Abigail Engellin gebohrne Molßheimerin, Weÿland deß Wohl Ehrenvest und Wohlachtbahren herrn Wolffgang Daniel Engels der Statt Straßburg wohlbestellten Kornmeisters vndt burgers daselbeten seel. hinderpliebene Wittwen, der fraw hochzeiterin am andern theil -So beschehen und verhandelt in der königl. freÿen Statt Straßburg auff freÿtag den 15. Augusti im Jahr deß Herrn alß mann Zahlte 1687 [unterzeichnet] Jch Johann Friderich Mägerlin als Hochzeiter bekenne Wie Obstehet, Hanß Wolff Von Molßheim der hochzeÿterin Vatter

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 128)
1687. Dom. 13. et 14 Trinit. 24 et 31 Aug. H. Johann Friderich Mägerlin, Barbierer undt burger allhier, Fr. Abigail weÿl. Wolffgang Daniel Engel der Statt Kornmeist. undt burgers allhier. Cop. Mittwoch den 3. Sept. Zu St. Thoman (i 66)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 152-v, n° XIII) 1687. Dom. 13. post Trinit. Zum 2. mahl hr Joh: Friderich Mägerlin Barbierer Wundarzt u. Burger allhier, Fr. Abigail Weiland Wolffgang Daniel Engel gewesenen Kornmeisters u. Burgers allhier nachgel. W., Mittw. den 3. 7.br St. Thoman (i 154)

Intitulé de l’inventaire dressé après la mort d’Abigaïl von Molsheim
1699 (30. 9.br), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 46) n° 449
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Güthere, so weÿlandt die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Abigael Mägerlinin gebohrne von Molßheim des Wohl Ehrenvest, Vorgeachte und Kunsterfahrenn Herrn Johann Friderich Mägerlins barbierers und geschwornenn Wundartzts auch burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche haußfrau

Jean Frédéric Mægerlin vend la maison à Anne Marguerite Wolff, fille du luthier Jean Gaspard Wolff. En marge, quittance remise en 1678 au propriétaire Jean Georges Kœnlin

1676 (15. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 735
Herr Johann Friderich Mägerlin der barbierer
in gegensein Jungfrawen Annæ Margarethæ Wolffin, mit beÿstand H Johann Wilhelm Weÿßen deß Silberarbeiters Ihres Curatoris undt H Hannß Caspar Wolffen des Lautenmachers Ihres eheleiblichen Vatters
hauß, höfflein mit allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier an der Obern Straßen gegen dem Posthauß hienüber, ist einseit ein eckh an der Freÿburgergaß, anderseit neben H. Mathiä Strohmen hinden Uff die Freÿburger Zunfft stub stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen term° Jacobi Apostoli 8 ß d Allmendgeldts Von dem steinern gang gemeiner Statt, so seÿe solche behaußung auch noch Verhafftet umb 850 fl. H Sebastian Schmidten SS Th. D. undt E.E. Kirchen Convents Præsidi – umb 475. lb
[in margine :] Erschienen der Verkäuffer, hat in gegensein hannß Georg Känlins des Trähers alß jetzigen Possessoren hierin verschriebener behaußung (quittung) den 15. 4. A° 1678.

Anne Marguerite Wolff épouse deux ans plus tard le notaire Jean André Schneider

Mariage, cathédrale (luth. f° 48, n° 58)
1677 Zum 2. mahl H Johann Andreas Schneider Notarius Weiland hr. Johann Georg Schneiders gewesenen Schloßers und burgers allhier ehel. Sohn, Jfr. Anna Margaretha Wolffin hr. Johann Caspar Wolffen Lautenmachers u. Burgers alhier ehel. Tochter. Dienstags den 20.t 7.bris Münster (i 49)

Jean André Schneider meurt en 1680 dans la maison rue des Juifs qui appaartient au notaire Georgius. La masse propre à la veuve est de 790 livres, celle des héritiers de 30 livres. L’actif de la communauté est de 21 livres, le passif de 337 livres.
1681 (7.4.), Me Oesinger (David le jeune, 38 Not 15) n° 10
Inventarium und Beschreibung Aller: undt Jeder Haab, Nahrung, vndt Güethere, Ligender vndt Vahrender Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. der Ehrenveste, vndt Rechtsgelehrte Herr Johann Andreas Schneider geweßene Notarius Cæs: publ: vndt Burger alhie Zue Straßburg, alß derselbe den 6.ten Septembris des letst Zurück gelegten 1680.ten Jahrs dieser Eÿtel Keit entzogen worden, Verlaßen, Welche auff gebührliches ansuchen ansuchen erfordern und begehren der Ehren: vndt Tugendtsamen Frawen Annæ Margarethæ Schneiderin gebohrner Wölffin, obgedachten verschiedenen herren seel. hinderlaßener wittiben Zugleich auch ahne statt Johann Andreæ Schneiders seines hinderlaßenen Vndt den 18.ten Januarÿ dießes fortlauffend. 1681.ten Jahrs nach dem Vatter seel. entschlaffenden Söhnlins, Jedoch aber anderer gestalt nicht alß cum beneficio legis et Inventarÿ angegebener Erbin mit beÿstand des auch Ehrenvesten vndt rechtsgelehrten Herrn Johann Reinhardt Lang Notarÿ Cæsarei Publici Vndt auch Burgers alhie ihres geordneten Vogts – So beschehen In fernerem beÿsein Fr. Annæ Mariæ weÿl. herrn Hanß Georg Schneid.s geweßenen Schloßers vnd burgers allhie seel. nachgelaßener wittiben mit beÿstand des auch Ehrenvesten Vndt Rechtsgelehrten Herrn Johann Peter Reeben auch Notarÿ Cæsarei und burgers alhie, Donnerstags den 7.ten April A° 1681.

In Einer In d. St. St. In d. Jungfr. gaßen gelegenen und H. Not. Georgÿ Wachtschreibern alhie Eigenthümlich Zugehörigen beh: hat sich befunden
Schreiner. In der Stub Kammer, Im Hauß Ehren, In d. Wohnstub
Der Fraw Wittiben H Vogts Gethane Protetstation. Zuwißen demnach mann zu dieser Vorhabenden Inventation Geschritten So hatt Eingangs gedachter Herr Notarius Johann Reinhardt Lang der fraw Wittiben geordneter Vogt in nahmen ihrer proponirt ob wohlen seine Curandin Johann Andreæ Schneiders ihres nach dem Vetter seel. Verstorbenen Söhnlins Einige ab intestato außtruckhenlich resolvirt, Vndt erclärt, daß Er für sich vndt in nahmen frawen Annæ Margarethæ Schneiderin seiner Vogts frawen Vor Ihres Söhnlin see. Verlaßenschafft gäntzlichen abstehen, vnd sich deren tam active quam passive begeben. Hingegen aer Ihnen waß ihro Vermög auffgerichteter Eheberedung gehörig, Vndt ihro darinnen verschrieben worden, bestermaßen hiemit reservirt, vnd vorbehalten haben wolle
Eigenthum ane einer behaußung (E.) Item ahne einem 2. theil ein 6. theil einer Vorder und hind. behaußung ahne der Langen Straßen gegen dem Stifft Zur Rothen Kürchen über, einseith ein Eck ahne der St. Barbara gaßen (…)
Ergäntzung der Fr. Wittiben Vnveränderten Guths. Inhalts des über Weÿl. H Joh: Andreæ Schneiders geweßenen Not. undt Fr. Annæ Margarethæ Wölffin beed. Ehepersohnen vnd burgern alhier Zu Straßb. In den Ehestandt Zugebrachten Nahrung den 11. 8.br A° 1677. auffgerichteten Inventarÿ Concept hatt mann der Wittiben Weg. Ermanglung Ihrer unveränderten Guths Zuergäntzen
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Erstlichen der Fraw Wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 18, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. Guldener Ringen 12, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß Capitalien 438, Sa. Guths ergäntzung 297 Summa summarum 792 lb – Passiv schulden 1 lb, Verbleiben 790 lb
Diesemnach und hierauff Volgt nun auch der Erben ohnveränderte Verlaßenschafft, Sa. haußraths 27, Sa. Schlitten und Geschirr wie auch Zeüg undt schlag uhr 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 10, Sa. Guldener Ringen 2, Sa. Eigenthumbs ahne Einer behaußung 26., Sa. Schulden 63, Summa summarum 133 lb – Schulden 163 lb, Nach Vergleichung 30 lb
Endlichen würd auch die Theilbar und Veränderte Verlaßenschafft beschrieben, Sa. Haußraths 14, Sa. Silbergeschirrs 3, Sa. baarschafft 2, Sa. Schulden 1, Summa summarum 21 lb – Passiv Schulden 337 lb, die Theilbare Passiva übertreffen solche Verlaßenschafft 315. lb
Summa finalis 647 lb

Anne Marguerite Wolff se remarie avec le catholique Adam Clerc qui devient bourgeois en 1695. Devenu veuf, il se remarie en 1697 avec Anne Marguerite Brion
1695, 4° Livre de bourgeoisie p. 664
H. Adam Clerc Von Befort so beÿ hiesig. fortification employirt weÿl. H Nicolas Clerc gewes. Rathh. alda hint. Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Margaretha Wolffin weil. Andreas schneiders gewes: Notarÿ und burgers allhier hint. Wittib seiner gew. haußfrawen p. 2. goldR. 16. ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, und wird beÿ E.E. Zunfft der Kürßner dienen. Jur. d. 17. Dito 1690.

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 37-v)
Die 8. Julÿ anni 1697 Sacro Matrimonii vinculo copulati sunt Dnus Joannes Adamus Clere viduus Civis argentinensis et Anna Margaretha Brionin filia legitima defuncti Petri Brion et Barbaræ Cuntzin Coniugum et civium argentinensium (i 39)

Anne Marguerite Wolff femme du notaire Jean André Schneider vend 750 livres la maison au tourneur Jean Georges Kœnlin

1678 (7.3.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 187-v
Fraw Anna Margaretha H Johann Andreæ Schneiders Notarÿ Eheweib, mit beÿstandt erstged. Ihres Ehevogts und Johann Caspar Wolffen des Lautenmachers ihres eheleiblichen Vatters
in gegensein Hannß Georg Känlins des Trähers undt Elisabethæ beÿder Eheleuth mit beÿstand H Daniel Lienhardts E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers, undt H. Johann Adolph Offenbechers des handelßmanns Ihrer Vettern
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen übrigen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten Rechten undt gerechtigkeiten alhier ahn der obern Straßen gegen dem Posthauß hinüber, ist einseit Ein Eckh an der Freÿburger gaß, anderseit neben neben H Mathiæ Strohmen hinden uff die Freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen term° Jacobi Apost. 8. ß d Allmendgeldts Von dem Steinern gang gemeiner Statt, so seÿe solche behausung auch noch umb 850 fl. H. Sebastian Schmidten S.S. Theol. D. et Profess. undt E.E. Kirchen Convents Præsidj, und dann umb 650. fl. Kauffschillingß Rest Johann Friderich Meÿerle dem barbierer Verhafftet – zugegangen umb 325. fl.

L’acheteur hypothèque aussitôt la maison au profit des enfants du tourneur Georges Herrmann

1678 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 319
Hannß Geörg Känlin der Träher
in gegensein Herrn Philipp Jacob Erhardts Schaffners der Rothen Kirch alß vogts weÿl. Georg Hermanns deß trähers nunmehr seel. nachgelaßener Zweÿer Kinder, daß Er Känlin, besagten Hermännischen Geschwisterden seinen Stieff: und Elisabethæ Schottin seiner haußfrawen mit gedachtem Hermann ihrem Vorigen ehemann eheleiblich: erziehlten Kinder, schuldig seÿe 150. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen und Zugehördten alhier ahne der Obern Straß gegen dem Posthauß hinüber, ist einseit ein Eckh ahn der freÿburger Straß, anderseit neben Herren Mathiæ Strohmen, hinden uff die freÿburger Zunfftstub stoßend gelegen, davon gehendt iährlichen term. Jacobi Apostoli 8. ß Allmend Geldts Von dem Steinern gang gemeiner Statt
[in margine :] Erschienen Elisabetha, deß hierin gemelten Debitoris eheweib mit beÿstand herren Daniel Lienhardts und Herren Johann Adolph Offenbachers beÿder handelßmänner, alß derselben hierzu insonderheit erbettener nechster Verwanther, die hatt in gegensein hierinn gedachte herren Philipp Jacob Erhardts alß der Hermännisch. Kinder Vogts, vorstehende Verschreibung hören Verleßen und darauff sich für die darinn enthaltene Schuldt und biß dießelbe völlig wird bezahlt sein, ohnverschaidentlich verbürgt – Act. 23. Aug. a° 1678.

Jean Georges Kœnlin hypothèque la maison au profit du docteur en droit Jean Raoul Saltzmann

1693 (15. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 796-v
Hannß Georg Köhnlin, burger und Träher allhier
Hn Johann Rudolph Saltzmanns J.U. Ddi und E.E. großen Raths Advocat et Procuratoris – schuldig seÿe 175 pfund, daß Er ein Stück damit wegen derjenigen forderung so H. Johann Friderich von Carben der Goldarbeiter als Erb ged. Kähnleins Stieff Enckels an Ihne zu thun gehabt
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, Höfflein, sambt allen deren gebaüen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier ahne der Obern Straßen gegen weil. H. XV. Balthasar Krauten behaußung über, einseit ist ein Eckh ahne der Freÿburger gaß, anderseit neben weÿl. Hn Mathiæ Strohmen gewesenen Hochfürstl. Würtenbergischen Raths hinterlassenen Wittib und Erben hinden auff die Freÿburger Zunfft Stub stoßend gelegen, darvon gehend jährlich term. Jacobi Apostoli 8 ß d. Allmend gelds Gemeiner Statt von dem Steinern gang

Jean Georges Kœnlin hypothèque quelques jours plus tard au profit de Balthasar Frédéric Saltzmann ses deux maisons, celle grand rue et celle rue des Echasses qu’il vend en 1696

Accord que passent Jean Georges Kœnlin et son beau père Jean Frédéric von Carben au sujet de leur emprunt
1693 (19. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 802-v
H. Johann Friderich von Carben der Goldarbeiter an einem,
So dann H. Johann Georg Köhnlin, der Hohltreher, Sein StIeffschweher am andern theil
haben angezeigt und bekandt, demanach Sie beede weegen derjenigen forderung und respect. gegen forderung , welcher Er H. Carben wegen weil. Fr. Elisabethæ Schottin Sein H. Köhlins haußfrau und sein H. Carbens Schwieger sel. Verlassenschafft, und Er Köhnlin vice versa gegen einander. schrifftlich formiert hatt. (verglichen) daß ErstlIch Er Könlin Ihme H. Carben auff weihnahten dießes Jahrs die summ von 1000 gulden erleg. und baar bezahlen solle (…) dann 4. Er H. Carb. Ihme H. Könlin d. beÿ Erkauffung seines haußes vor Ihme geleistet. burgschafft er befreÿen solle (…)

Jean Georges Kœnlin hypothèque la maison au profit de Philippe Jacques Erhard, receveur de Sainte-Marguerite et Saine-Agnès

1694 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 22
Hanß Georg Köhnlin der Hohltreher
hatt in gegensein H. Philipp Jacob Erhard, Schaffners zu St Margarethæ und Agneßen für sein eÿgene Person – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, hauß, höfflein und dero hoffatätte, mit allen deßen Gebäuen, recht. und Zugehördt, allhier an der Obern Straß einseit ist ein Eck an der Freÿ burgergaß, anderseit neben der Strohmischen behaußung, hind. auff die freÿburger zunfft stub stoßend gelegen, von welcher behaußung gehen jährlich 8 ß Allmendzinß weg. eines gangs gemeiner Statt Pfenningthurn

Jean Georges Kœnlin meurt en 1705 en délaissant cinq enfants de son dernier mariage. Les experts estiment la maison 800 livres. La masse propre à la veuve est de 1 540 livres, celle des héritiers de 574 livres. L’actif de la communauté est de 425 livres, le passif de 721 livres.

1706 (28.4.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 15) n° 588
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, liegender vnd Vahrender, Keinerleÿ davon außnommen, so weÿland der Ehrengeachte Herr Johann Georg Köhnlin geweßene Hohltreher und burger allhier nunmehr Seel. nach Seinem den 16.ten Augusti deß ohnlängst zurückgelegten 1705. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren deß Ehren und vorgeachten Herrn Johann Adam Steinbach Gürtler und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Susannæ Elisabethæ, Margarethæ, Mariæ Salome, Johann Georgen und Johann Christophs der Köhnlin aller fünff deß abgeleibten Seel. mit hernach benanter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben, von welchen aber das Jüngste Johann Christoph genant seithero nach dem vatter auch Seel. Verstorben und also von deßen Mutter repræsentirt wird, fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme Fraw Margaretham gebohrner Gräffin die hinterbliebene Wittib beÿständlich deß Ehren und vorachtbahren herrn Johann Adam Vierling hohlträher und burgers allhier Ihres geordnet und geschworenen Vogts – So geschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 28. Aprilis anno 1706

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden, als volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff der Obern bühn, Auff der andern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Soldaten Cammer, Im hauß Öhren, In der Wohn Stuben, Im hauß Öhren, In der Küchen, In der Werckstatt, Im Keller, Im undern hauß Öhren
(f° 13.) Eÿgenthumb ane einer behaußung. (E.) Item hauß, hoffstatt und höffl. mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg ane der obern Straß, ist einseit ein Eck ane der Freÿburger Gaß, anderseit neben einer behaußung hern Johann Friderich Würtzen vornehmen handelßmann und E. E. großen Raths alten beÿsitzern uxorio nôie gehörig, hinden auff die freÿbueger Zunfft stub stoßend, davon gehen Jährlichen termino Jacobi apostoli 8 ß d Allmend gelt von dem steinern Gang gemeiner Statt, sonsten gegen männiglich freÿ leedig und Eigen vnd ist solche behausung durch die allhießig geschwornen Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung sub dato 24. 7.bris 1705. angeschlagen worden vmb 800. lb. Hierüber besagt ein perg. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stub gefertiget und anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt datirt d. 4. martÿ 1678. Ferner ein dergleichen Kauffbrieff datirt den 16. Junÿ A° 1666. So dann i. alter pergamentener Kauff mit E.E. Kleinen Raths Insigel verwahrt über ein Propheÿ dießer behaußung besagend datirt den 16. Xbris A° 1624. Weiter ein dergleichen Kauffbrieff datirt den 15. Augusti Anno 1676.
– Abschatzung den 24. 7.bris aô 1705. Weÿlandt der Ehrenhafften und bescheidenen herrn hanß geörg Kleinling gewesenen Trehers seel. hinder laßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der Straß gelegen ein Eck an der Freÿburger gaß, einseits neben H Doctor Braunen anderseits neben der Freÿburger Stub stosend, Welche behausung und höfflein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworner Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb. Ein tausendt und Sechß hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens, Inhalt Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander zugebrachte Nahrungen durch Herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notarium publicum et Acadam. in Anno 1694. gefertigt
Inhalt Special Theil Registers über das Jenige so der Wittib beÿ weÿl. Hrn Valentin Gräben des ältern geweßenen bürstenbinders und auch weÿl. frawen Susannæ Gräbin gebohrner Holtzingerin, beeder Eheleuth und burgere allhier, ihrer Lieben Eltern seel. Verlassenschafft abtheilung pro rato zugefallen durch herrn Johann Reinhard Langen Not. Publ. in Anno 1703. gefertiget ist deroselben zuergäntzen wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Nahrung betr. Sa. hausraths 21, Sa. Wahren v. gemachter arbeit zum bürstenbinder handwerck gehörig 2, Sa. Wein und Leerer Vaß 89, Sa. silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Guldener Ring 13, Sa. de baarschafft 24, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 350, Sa. Ergäntzung Rest 666, Sa. Schulden in die Nahrung zugeltend 362, Summa summarum 1540 lb
Der Erben Vermögen betr. Sa. haußraths 65, Sa. Werckzeugs Zum treher handwerck gehörig 19, Sa. Leerer vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 19, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 800, Sa. Ergäntzung Rest 18, Summa summarum 936 lb – Schulden 362, Nach deren Abzug 574 lb
Theilbar Gutt belangend, Sa. hausraths 37, Sa. Wahren wie auch holtz zum Treher handwerck gehörig 26, Sa. Frucht und meels 14, Sa. Wein und Vaß 39, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. Guldenen Rings 12 ß, Sa. baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Summa summarum 425 lb – Schulden 721 lb, In Compensatione, Theilbar Passiv onus 296 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1818 lb
Wÿdumb Welchen der abgeleibte Seelig biß in seinen tod genoßen. Es hat der nun in Gott ruhende und fraw Elisabetha gebohrner Schottin deßen erstere Ehegattin Seel. in einem underm 18. 9.bris Anno 1692. vor H. Notario Stephan Cornelio Saltzmanns auffgerichteten Testamentum nuncupativo §° 3.tio geordnet (…), Wavon das Eÿgenthumb denen Kindern und Erben dißorths Künfftig heim fällig, Herr Johannes Flach der Kieffer und burger allhier hat von seiner erstern haußwürthin daß abgeleibten Steiffdochter Seeligen vermög auffgerichteten letzten Willens und nochmahls beschehenen vergleichs ad dies vitæ Wÿdums zugenießen
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Geörg Köhnlin hohlträhern und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigamn ane Einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrawen Margaretha Gräffin des Ehrenvesten Herrn Valentin Gräffen des ältern bürstenbinders und burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendsamen Frawen Susannæ Gräffin gebohrner Holtzingerin ehelich erziehler Jungfraw tochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil – So Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Montags den andern Augusti St. N° als mann Zahlte 1694, Stephan Cornelius Saltzmann Notarius publ. Acad.
Copia Testamenti – Im Jahr 1692 (…) der 18. tags deß Monats Novembris Stÿli novi Abends, Zwischen fünff und Sechß Uhren, in einer in der Statt Straßburg in der Langenstraßen ahne der Freÿburger gaßen gelegenen hernach gemelten beeden Testirenden Eheleuthen Eigenthümlich gehörigen und bewohnenden behaußung dero hindern undern stüblein mit dreÿ Fenstern in gemelte Freÿburger gaß Außsehend (…) Herr Hannß Georg Kohnlin hohltreger und beneben Ihme die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Elisabethæ Köhnlin gebohrne Schottin beede Eheleuth und burgere allhier, Er der Mann durch Gottes güthe aufrecht, gesunden gehenden und stehenden Leibsn Sie die Fraw aber von dem Lieben Gott also heimbgesucht, daß Sie keines weegs fort Kommen gehen noch stehen konte (…) welchergestalten beede Eheleuth, welche bereits in das Sieben Zehende Jahr so wohl in gesund als Krancken Tagen ehelich beÿsammen gewohnet (…) Stephan Cornelius Saltzmann Notarius publ. Acad.

La veuve Marguerite Græff se remarie avec le tourneur Jean Martin Haffner. La maison figure à l’inventaire de leurs apports
Jean Martin Haffner et Marguerite Græff hypothèquent la maison au profit de Pierre Pernet, cuisinier chez le comte du Bourg

1717 (21.10.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 574
Joh: Martin Hafner hohldreher und Marg: geb. Gräfin beÿständlich Valentin Gräf bürstenbinders Mathaeus Gräf schuemachers
hatt in gegensein H Pierre Pernet Cuisinier de Mgr le Compte du Bourg und Anna La Lor – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: alhier in der Straß einseit ist en eck anderseit neben Würtzen hinten auff die freÿburger stueb

Jean Martin Haffner loue une cave au marchand Philippe Schatz

1718 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 462-v
Joh: Martin Hafner hohldreher
hatt in gegensein Philipp Schatz handelsmanns
entlehnt, in seinem hauß allhier ahn der Freÿburger gass, den vordern unterschlagenen Keller sambt 6 fünfzig öhmigen vassen, auf 5 jahr lang anfangend auf Mich: nächst künftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Jean Martin Haffner loue une partie de la maison au tourneur Jean Philippe Kugler

1719 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 568-v
Joh: Martin hafner hohldreher
hatt in gegensein Joh: Philipp Kugler auch hohldrehers
in seinem hauß allhier ahn der Freÿburgergass, einseit ist ein eck anderseit neben dem Würtzischen hauß, hinten auf der freiburgerstube, die untere vordere stueb, Item im zweÿten stock kuchen und kammer darneben sambt platz zu einem Kasten im haußehren, Item im 4.ten stock eine Cammer und bühn auch platz zuem holtz, Item d. höffel platz im hinterm keller, auff 4 jahr lang anfangend auf weÿhnachten nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 24 lb

Marguerite Græff meurt en 1722. Les experts estiment la maison 1 150 livres lors de son inventaire après décès

Le cordonnier Jean Daniel Meyer et sa femme Susanne Elisabeth Kœnlin (issue du premier mariage de Marguerite Græff) hypothèquent leur part de maison au profit de Catherine Dorothée Emmerich

1723 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 320
Johann Daniel Meÿer der Schuemacher und Susanna Elisabetha geb. Kühnlinin beÿständlich ihres schwagers Johann Adam Steinbach des Gürttlers und Mathäus Gräff des Schuemachers
hatt in gegensein H. Daniel Rohr Notarÿ publici als vogts Jfr Catharinæ Dorotheæ Emmerichin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, der coreæ debendi 5.t theil für ohnvertheilt ahne ihrer Mütterlichen allhier ahne der straß einseit ist ein eck ahn der Freÿburger gaß anderseit neben H. Würtzen dem handelsmann hinten auff die Freÿburger zunfft stueb darzwischen ein höflein stoßend, gelegenen behausung so über 8 ß jährlich hiesiger Stadt Pfenning Thurn giebigen allmend zinß

Les héritiers de Marguerite Græff vendent la maison 1 740 livres au vitrier Benoît Storr

1724 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 358-v
weÿl. Johann Georg Köhlin gewesten hohldrähers nachgelaßene Kinder und Erben nahmens Susanna Elisabetha geb. Köhnlinin Johann Daniel Meÿer des Schuemachers Ehefrau, Ferner Johann Adam Steinbach der gürttler als vogt Margarethæ Salome und Johann Georg der Köhlin, so dann obged. Köhnlin hinterl. Wittib Margaretha geb. Gräffin Johann Martin Haffner des holdrähers Ehefrauen seel. hinterlassen mit gedachtem Haffner erzeugten dreÿ Kinder Johann Martin, Johann Melchior und Johann Gottfried der Haffner geschworner vogt Johann Mathiß Arnold der Kieffer
hatt in gegensein Benedict Storr des Glaßers – den 17. hujus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Obern Straß, einseit ist ein eck ahne der Freÿburger gaß anderseit neben H. Daniel Würtz handelsmann hinten auff die Freÿburger zunfft stub, darzwischen ein höfflein – davon gibt mann auff Jacobi Apostoli 8 ß Ane allmend geldt hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines steinern gangs – denen Köhnlischen vier Kindern zu 4/5 und zu 4/7 ahn einem fünfften theil denen haffnerischen dreÿ Kindern aber zu 3/7 ahne einem fünfften theil – um 1740 pfund

Benoît Storr hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit du cordonnier Jean Daniel Meyer

1724 (31.7.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 369-v
Benedict Storr der glaßer
hatt in gegensein Johann Daniel Meÿer des Schuemachers
Eine gantze behausung nichts davon ausgenommen höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit ist ein eck ahne der Freÿburger gaß anderseit neben H. Würtz handelsmanns hinten auff der Freiburger: zunfft – auff anderthalben jahr anfangend von auff nächst kommend Michaelis um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund

Fils de boucher, Benoît Storr épouse en 1701 Chrétienne Wanner, fille de coutelier : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1701, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
(Eheberedung) Benedict Storren Glaßers vnd Jfr Christinæ Wannerin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 84-v, n° 458)
den 7. Sept. 1701 sind nach ordentl. außruffung eingesegnet word. Benedict Storr, der ledige glaser weÿ: Christoph Storren gewesenen burgers undt Metzgers allhier nachgelaßenerehelicher Sohn undt Jgfr Christina H Christoph Wanners burgers undt Meßerschmidts allhie eheliche Tochter [unterzeichnet] Benedict Storr Alß hochzeiter, Christina Wannerin als hochzeitterin (i 87)

L’inventaire après décès de Chrétienne Wanner dressé en 1713 figure au répertoire du notaire mais sa minute n’est pas conservée
1713, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) p. 76
Inventarium über weÿland frauen Christinæ gebohrner Wannerin H. Benedict Storrn des Glasers haußfr. seel. Verlassenschafft

Benoît Storr se remarie en 1714 avec Anne Marguerite Kamm, fille de boucher : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1714, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) p. 75
Eheberedung – Benedict Storren, Glaßers
und Jungfrauen Annä Margarethä Kammin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 143, n° 827)
Anno 1714 den 16. Maÿ seind nach geschehener ordentl. Außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelichen eingesegnet word. Benedict Storr der glaser und burger alhue und Jungfr. Anna Margaretha Friderich Kamm, deß burgers und Metzgers alhie ehel. tochter, [unterzeichnet] Benedict Storr Alß hochzeiter, Anna Margaretha Kammin als hochrinzrin (i 145)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1714 (22.6.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 1) n° 97
Inventarium über Herrn Benedict Storren des Glaßers undt frauen Annæ Margarethæ gebohrner Kammin, beeder Eheleuthe und burgers alhier Zu Straßburg einander in die Ehe Zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1714. – in Ihren neülicher Zeit mit Gott angetrettenen Ehestand würcklich Zusammen gebracht und Crafft deren mit einander auffgerichteten heüraths Verschreibung Ihnen und Ihren Erben alß ein unverändert und Vorbehalten Guth mithin die Ergäntzung deß Künfftigen abgangs expresse conditionirt reservirt und bedungen – So beschehen in fernerem beÿseÿn, auff seithen der frauen H Johann Friderich Kammen des Metzgers und burgers allhier Zu Str. Ihres Leiblichen Vatters, in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 22. Junÿ Anno 1714.
Sa. haußraths so der Ehemann in die Ehe gebracht 210, Silber 16, Glas und Werckzeug 405, baarschafft 214, Schulden 327, Summa summarum 1175 lb
Der Frauen, Kleÿdung und Mobilien 44, Silber 6, Guldene Ring 9, baarschafft 125 lb, Summa summarum 213 lb

Benoît Storr meurt en 1731. L’inventaire signalé au répertoire du notaire n’est pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 500 florins

1731, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1109
Inventarium über weÿl. Benedict Storren des geweßenen Glaßers und burgers alhier seel. Verlassenschafft

1731, cote VII 1177 – Livres de la Taille f° 113
(Steltz F. N° 5427) Weÿl. Benedict Storren gewesenen Glaßers und burgers allhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann.
Concl. fin. Inv: ist fol. 88.b 754. lb 12 ß 7 d, die machen 1500. fl. verstallte nur 1300. fl. alßo Zu wenig 200. fl.
Warvon der Nachtrag alß Von ohnverändertm Guht gerechnet wird auf acht Jahr in duplo à 12. ß t. 4 lb 16 ß
Und auf Sechs Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 16 ß
Extat kein Stallgelt
Gebott 2 ß
Abhandlung 1 lb 2 ß 6 s. Summ 7 lb 16 ß 6 d
Auf bitten habe die Herren dreÿ an dem Nachtrag erlaßen 2 lb 14 ß. Rest 5 lb 2 ß 6 d
dt. 21° Aug. 1731.

Sa veuve Anne Marguerite Kamm se remarie avec le vitrier Jean Jacques Schrapp : contrat de mariage (sa minute n’est pas conservée mais une copie est jointe à l’inventaire de 1744), célébration

1731, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 707
Eheberedung – Johann Jacob Schrapp, des jüngern Glasers
und Frauen Annä Margarethä Storrin gebohrner Kammin

Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Hn Joh: Jacob Schrappen Jun. ledigen Glaßern v. b. allh. alß bräutigamb ane j.m, So dann d. Ehren und tugendsamen Anna Margaretha geb. Kammin, weÿ: deß Ehrengeachten Mr Benedict Storren, gewesten glaßers v. b. allh. nunmehr seel. nachgelaßenen W. als hochzeiterin am and.n theÿl – So beschehen In d. Königl. St. St. den 8. 8.br. A° 1731. Christoph Michael Hoffmann, Notarius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 222, n° 1264)
Anno 1731. den 14. Novembr. seind nach geschehener ordentlicher Außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelichen eingesegnet worden Johann Jacob Schropp der jüngere lediger glaser Jacob Schropp deß burgers und glasers alhie ehel. Sohn und Fr. Anna Margaretha weil. benedict Storren deß gewesenen burgers und glasers alhie hinderlaßener wittib geb. Kammin [unterzeichnet] Johann Jacob schropp alß Hoch Zeiter, Anna Margreth Storrin alsh Zeirinen (i 227)

Jean Jacques Schrapp termine en janvier 1720 son apprentissage de trois ans auprès de son père lui aussi nommé Jean Jacques Schrapp
1720, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103) (p. 158) Anno 1720 Donnerstag den 29. Februarÿ Anno 1720
H. Johann Jacob Schrapp der Glaßer stellt vor, Johann Jacob Schrappen seinen leiblichen Sohn, und berichtet daß seines Sohns dreÿ Jähriges Lehr Zeit am 23. Januarÿ jüngst bereits verfloßen, bittet deßwegen Gerichtliche Looßsprechug.
Erkannt, wird demselben gegen Erlag der Gebühr willfahrt.

Jean Jacques Schrapp devient tributaire à la tribu de l’Echasse en décembre 1731
(p. 571) Dienstag den 18. Decembris Anno 1731 wurde das vierte undt letzte quartal gericht gehalten
Meister Johann Jacob Schrapp Jun: glaßer von hier erscheint und producirt Stallschein vom 26.ten octobris Anno 1730. Krafft deßen Er umb das Zunfft und Stuben recht bittet.
Erkannt, wird demselben gegen Erlag der gebühr wilfahrt. Juravit

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison Grand rue. Le mari apporte des biens d’une valeur de 158 livres, la femme de 267 livres.

1732 (24.3.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 38) n° 1155
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Jacob Schrappen Jun: Glaßers und d. Ehren und tugendsahmen frauen Annæ Margarethæ Schrappin gebohrner Kammin, beed. Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1732. – und Krafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung, ihnen und ihren Erben als ein ohnverändert und Vorbehalten guth, mithin die Ergäntzung deß Künffigen abgangs derselben expresse reservirt conditionirt und bedungen – So beschehen in fernerem beÿseÿn H. Valentin Kammen des glaßers als d. Ehefrauen geweßenen Vogts, H Johann Jacob Webers deß Meßerschmidts, H Johann Jacob Schrappen auch glaßers deß Ehemanns leibl. Vatters, Straßburg d. 24.ten Martÿ Anno 1732.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen straß gelegenen und der Ehefrauen Zum theil eÿgenthümblich zuständigen behaußung befunden worden wie volgt.
Haußrath. Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obersten bühn, In der Gesell Cammer, Neben obiger Kammer, In d. Kinder Cammer, In der Glaß Kammer, Im Kl. Hintern Stübel. Vor dießem Stübel, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im obern haußehren
Eÿgenthumb ane Häußern. (F.) Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheiltn Von und ane einer behaußung höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier zu Straßburg ane der obern Straß, j. s. ist ein eck ane der Freÿburger gaß, 2. s. neben weÿl. S. T. H. Johann Philipp Leitersperger deß beständigen Regiments derer Hh. XV.en geweßten hochansehnlichen Mitglieds seel. Gedächtnuß Verl. Frau Wittib, hinten auff E. E. Zfft der Freÿburger Zfft Stub, dar zwischen ein höfflein, stoßend, gelegen, wavon mann jährl. auff Jacobi Apostoli dem allhießigen Pfenningthurn 8 ß d allmend zinnß zu reichen Verpflichtet ist, sonsten über 300. lb d restirendes passiv Capital so mann Jfr. Mariä Salome Köhnlin, schuldig und 350. lb hptg. Welches Ihrem Martin Haffers des Haupt Kanden beÿ E. E. Zunfft Zur Steltzen KKr. erster Ehe zuerfordrn haben, gegen männiglich freÿ, leedig und eigen. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der St. St. anhangendem Insiegel verwahrt und datirt 27.ten Julÿ 1724. mit Lit. A. notirt.
(F.) Item ein dritter theil vor ohnvertheilt Von und ane j.m hauß und deßen Zugehörden ane der graumanns gaß (…)
(F.) So dann ein dritter theil vor ohnvertheilt Von und ane einem häußlein im dreÿ Zehen graben (…)
Abzug Gegenwärtigen Inventarÿ. Des Manns Nahrung betr. Sa. haußraths 76, Sa. werckzeugs zum glaßer handwerck gehörig 9, Sa. baarschafft 35, Sa. Silbers 9, Summa summarum 130 lb, Dazu gelegt die ihme ane denen haussteuren gebührige helffte antreffend 28 lb, So bestehet des Ehemanns Völligen eÿgenthümblich Guth 158. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebracht Haab und Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 261, Sa. werckzeugs zum glaßer handwerck gehörig 269, Sa. frucht 15, Sa. Weins und vaß 61, Sa. Silbers 32, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 26, Sa. Eÿgenthumb ane häußern, nihil, Sa. Schulden 157, Summa summarum 860. lb. – Schulden 590. lb, Nach deren Abzug 239 lb, Dazu kommt dero helffte ane denen haussteuren 28 lb, Solchemnach der Frauen völlig ohnverändert Vermögen 267. lb
Wÿdemb, Welchen die Ehefrau von Weÿl. H Benedict Storren dem geweßen Glaßer und burger allhier ihrem ersten Ehemann ad dies vitæ Zu genießen hat. Crafft des von Ihme Hn Benedict stotten als vor mir Notario gestiffteten Codicillj (…) Erstlich in zween dritten theilen von undt ahne denen oben fol. (-) et seqq. beschriebenen der Ehefrauen und wÿdembs nießerin zu der übrigen tertz eÿgenthümblich zuständigen behausung und einem häußlein cum appertinentiis (…)

Jean Jacques Schrapp et Anne Marguerite Kamm meurent tous deux en août 1744. Le mari laisse pour héritiers ses père et mère, la femme les cinq enfants issus de son premier mariage avec Benoît Storr. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre au mari s’élève à 102 livres. L’actif de l’épouse s’élève à 1 586 livres, le passif à 1 095 livres.

1744 (9.9.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 241) n° 223
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so sowol Weÿl. der Ehrenachtbare Herr Johann Jacob Schrapp der Jüngere geweßene Glaßer, als auch weÿl. die Ehren und tugendbegabte frau Anna Margaretha Schrappin geb. Kammin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg nunmehr seel. und zwar er der Ehemann nachs einem den 6.ten und sie die Ehefrau nach ihrem den 20.ten des Monats Augusti dießes lauffenden 1744.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen – ersucht zum theil durch die Kindern erster Ehe selbsten und theils durch Johann Dietrich Von Reichenweÿer gebürtig, den Glaßer gesellen – So beschehen allh. Zu Straßburg, auf Mittwoch den 9.ten Septembris Anno 1744.
Der Verstorbenen Ehemann seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt, Nehmlichen den Wohl Ehrenachtbaren Herrn Johann Jacob Schrappen, den ältern Glaßern und die Ehren und tugendbegabte Frau Mariam Margaretham gebohrne Feßenmeÿerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg und Zwar sie die Ehefrau beÿständlich erstgedachts ihres Mariti. Beede des Verstorbenen seel. leibliche Eltern und ab intestato zu gleichlingen portionen nach tod Verlaßene Erben, welche auch der Inventur beÿgewohnt
Die abgeleibte Ehefrau seel. hingegen hat Zu ihren Erben Verlaßen 1. Frau Margaretham Barbaram gebohrne Storrin, herrn Heinrich Schuhmanns, des Glaßers undt burgers allhier Ehegattin, beÿständlich deßelben welche beede auch beÿ dießer Inventur gegenwärtig gewesen, 2. Jungfrau Mariam Salome Storrin, so Zwar Majorennis, aber dannoch mit nachgenandtem herrn Webern bevögtigt, beÿ dießer Inventur auch anweßend. 3. Herrn Johann Christian Storren, den Glaßern und burgern allhier beÿ dießem Geschäfft gleicherweiß præsens, 4. Johann Friderich Storren den ledigen glasern, in die 20. Jahr alt und der zeit auff der Wanderschafft, So dann 5. Johann Gottfried Storren so in die 15. Jahr alt, dieße Zweÿ letztete und die ledige tochter bevögtiget mit H Johann Jacob Webern Sen: Meßerschmidt v. b. allh. welcher im Nahmen seiner Curanden dießer Inventur beÿgewohnt. Alle der Verstorbenen Ehefraun seel. mit Weÿl. herrn Johann Benedict Storren dem geweßenen Glaßern und burgern allhuen ihrem erstern Ehemann längst seel. ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichlingen Portionen Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß, ohnweit der Schmid Zunfft stub hinüber gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behausung folgendermaßen sich befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der obern Cammer, In des Gesellen Cammer, Im Mittlerin Hauß Ehren, Im Kleinen Stüblein, In der Kuchen, In der Wohnstub, Im Keller, Im höfflein, Im untern Hauß Ehren
Eigenthumb ane Häußern. (der Ehefr. seel. E.) Eine behaußung, höfflein und Hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier an der obern Straß, ohnweit E. E. Zunfft der Schmid hinüber, einseit ist ein Eck ane der freÿburger Gaß, anderseit neben Sr Dimeny dem Directeur de Vivres, hinden auff die Freÿburger Zunfft stub, dar Zwischen ein höfflein, stoßend, davon gibt mann jährlichen auff Jacobi apostoli 8 ß d ane Allmend geld allhießigem Pfenningthurn, wegen eines steinern Gangs, sonsten außer dem darauff hafftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien ledig eigen und zufolg der mein Notarii Concept unterm 26. Aug. A° 1744. eingeschickten Abschatzung, durch der Statt Straßburg geschwornenn herrn Werckmeistere æstimirt worden pro 900 lb. Davon abgezogen obige beschwerd der 8 ß d so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 16. lb Mithin Verbleibt ane dem Anschlag in außwurff 884. lb. Darüber bes. j. teutsch perg. Kffbr. in allhieß. C. C. stub gef. v. den 27. Julÿ A° 1724. datirt, auch mit den anh. Ins. Verwahrt, m d. Lit A. notirt, v. dabeÿ gelaßen. Debeÿ gerner j. dg. Kffbr. in allhieß. C.C. stb gef: dat. den 7. Martii A° 1678 auch mit Lit A. bezeichnet. Weiter j. a. perg. Kffbr de dato 16. Junii A° 1666. m. Lit. A signirt
It. j. beh. s. Zugehörden ane der Vorstadt Steinstraß an der Graumanns gaß (…)
It. j. häußlein allhier ane dem XIII. Graben (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia des Verstorbenen Ehemanns seel auffgerichteten Codicillo – Copia des zwischen beedeseits Erbn dießer Verl. wegen getroffenen vergleichs
Des Ehemanns seel. unverändert Verlaßenschafft, Sa. haußraths 27 Sa. Werckzeug Zum Glaßer handwerck gehörig 2, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 5, Sa. d. Erg. 64, Summa summarum 102 lb
Der Ehefrauen seel. Erben zugehörig Guth, Sa. haußraths 77, Sa. Waar vndWerckzeug Zum Galßer handwerck gehörig 163, Sa. Weins v. Leerer Faß 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. gold. Ring 2, Sa. baarschafft 85, Sa. Eigenthums ane häußern 1199, Sa. Eigenthumbs ane j. Reebst.5, Sa. Schulden 23, Summa summarum 1586 lb – Schulden 1095, In Compensatione 493 lb
Stall Sa. 1085. lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Verl. Zugeltend 56 lb
Copia der Eheberedung (…) den 8. 8.br. A° 1731. Christoph Michael Hoffmann, Notarius
Copia des Zwischen beederseits Erben dießer Verl. wegen getroffenen Vergleichs. (…) So geschehen Straßb. auff Mont. d. 24.ten Aug. A° 1744.
– Abschatzung den: 26. Augst: 1744. Auff begehren weillandt deß wolhll achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jackob schrab deß gewëßenen glaßer sel. hinder Laßenen Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in dero Langen Straßen gelegen, Ein seitß Neben dem herrn Domini anderseitß ein Eck in die freÿburger gaßen hinden auff die freÿburger Stuben Stoßend welche behausung unden ein gangß rechter handt ein Stuben daß hauß Ehren und Nebenß Stübell hinden daran die Küchell hoffell und getrëmbter Keller, oben Zweÿ Stock über ein ander ein Stuben Cammer hauß Ehren und Nebenß Stuben, worüber ein alter tach Stull mit unbesetzten bienen holtzere alte gëbell sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornenn Werck Meister sich in dero besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt vor vnd Umb Ein tausent und acht hundert Gulden bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere
Der 2.ten begrieff (…), Der 3.te begrieff (…)
[unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 2 100 florins
1744, cote VII 1179 – Livres de la Taille f° 302
(Steltz F. N° 9269) Weÿl. Johann Jacob Schrapp jun. Glaßer und Fr. Annæ Margarethæ gebohrner Kammin beeder Eheleuthe und burgere alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Dautel.
Cobcl. Fin. Inv: ist Fol. 153, 1085. 14. 10, die machen 2100. fl. Verstallte 1600. fl. Zu wenig 500. fl.
Nachtrag Acht Jahr in duplo à 1 lb 10 ß, 12 lb
Und Sechs Jahr in sipmlo à 15 ß, 4 lb 10 ß
Ext. Stallgeltt 1744. 3 lb 15 ß
Gebott, 2 ß 6 d
Abhandlung 2 lb 7 ß 6 ß, Summa 22 lb 15 ß
von denen Herren XV nachgelaßen 4 lb, 10 ß. Rest 18 lb 5 ß
dt. 31. Octobris 1744.

Comptes rendus par le tuteur des enfants Storr
1746 (febr.), Comptes Dautel, (6 E 41, 447 première page, 446 suite)
Rechnung Weÿl. herrn Johann Jacob Webers des ältern, geweßenen Meßerschmids und burgers allhier nunmehr seel. als geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried Storren, weÿl. herrn Johann Benedict Storren, des gewesenen Glaßers und nun auch weÿl. Frauen Annæ Margarethæ geb. Kammin, beeder Ehel. und burgere allhie nunmehr seel. erzeugten Sohns, Inhaltend was derselbe vom februario 1731 da Er der Vogt dieße Vogteÿ angetretten, biß A° 1746. da derselbe dieses zeiliche geseegnet, vor den Curanden eingenommen und wieder außgegeben habe. Erste und letzte Rechn. dießer Vogteÿ.

Bericht in gegenwärtige Rechn. gehörig. Als in Anno 1731. den 11. febr. Weÿl. Hr Joh: Benedict Storr der Glaßer und b. allhier dießes Zeitliche gesegnet hinderließ derselbe 5. Kinder mit nun auch Weÿl. Fr. Anna Marg. geb. Kammin seiner gewes. Ehegattin ehelich erzeugt nach tod zu seinen Erben, weilen nun derselbe alle Zur Zeit minderjährig, mithin eines Vogts benöthigt waren wurde auff den titul bemeldeter nun auch weÿl. Hr Joh: Jacob Weber sen. ihnen in solcher qualitæt Zugeordnet
[suite] Abrechnung vom 3. feb. A° 1745, wegen dem Kauffschilling von der Sterb beh: in der langen straß vom 3. feb. A° 1745
Corpus des Curandi jährlich fallen habender Hauß und Güther Zß – Nehml. 3 lb 2 ß 6 d das ist ¼. theil von und ane 14 lb ohngefähr nach abzug 1 lb 10 ß d bodenzß. restirenden 12 lb 10 ß d, darvon die ¾ Frn marg. barb. Schuhmännin, H. Joh: Christian Storren, und Frn. Maria Salome Edelmännin des Curandi geschwüstrigen zuständige gefallen jährl. und zwar quartaliter ane haußzinnß auß der kleinen beh. ane der waßer supp Gaß, thut zu Cap. à 4 pro Ct° gerechnet 78

Acte de cession joint à l’inventaire précédent. Les héritiers cèdent leur part de maison à Jean Chrétien Storr

1745 (4.1.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 241) Joint au n° 223 du 9 Sept. 1744
(Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so sowol Weÿl. der Ehrenachtbare Herr Johann Jacob Schrapp der Jüngere geweßene Glaßer, als auch weÿl. frau Anna Margaretha Schrappin geb. Kammin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg)
(f° 23) Abhandlung derer Häußere. Wegen der in die Elterliche Massam gehöriger behausung, höfflein und hoffstatt gelegen allhier an der langen Straß, ohnweit E. E. Zunfft der Schmid hinüber, einseit ein Eck ane der Freÿburger Gaß, anderseit neben Sr Dimeny Directeur des Vivres, hinden auff die Freÿburger Zunfft stub, dar Zwischen ein höfflein, stoßend, davon gibt mann jährlichen allhießigem Pfenningthurn, wegen des vor dem mittlern Stoch steinern Gangs 8 ß d auff Jacobi apostoli ane Allmend Zinnß, auch ist solche behaußung herrn Dd Francisco Ösinger allhier umb 200. lb. in Capital jahrs auff den 26. Aprilis mit vier pro Ct° Verzinßlich hafftend sonsten aber ledig und eigen, sind ane zu end gemeldtem dato vor mit Notario und Zu dießem Abtheilungs geschäfft in specie adhibirtem Inventirschreibern persönlich erschienen 1. Frau Margaretha Barbara gebohrne Storrin, herrn Heinrich Schuhmanns, des Glaßers und burgers allhier Ehegattin, beÿständlich deßelben, So dann herr Johann Jacob Webern Senior, der Meßerschmidt und burger allhier als geordnet: und geschwohrener Vogt Jungfrauen Mariæ Salome, Johann Friderich und Johann Gottfried derer Storren, eingangs gemelder dreÿ Jüngerer Kinder und Erben,
die haben in gegensein Herrn Johann Christian Storren, des Glaßers und burgers allhier ihres leiblichen bruders und Mit Erbens
ihre ohnvertheilte Vier fünffte Theile ane obbeschriebener behaußung sambt deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, dergestalten Vest und ohnwiederrrufflichen eÿgenthumblichen cedirt und überlaßen (…) auff den fuß der 5000 gulden – Geschehen Straßburg auff Montag den 4.ten Januarii Anno 1745.

Jean Chrétien Storr fait son apprentissage de vitrier de 1733 à 1736 auprès de son beau père Jean Jacques Schrapp
1733, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p 643) Donnerstag den 17. Decembris Anno 1733
Meister Johann Jacob Schrapp der jüngere glaßer und burger alhier, erscheint und præsentirt seinen Stieffsohn Johann Christian Storren, ihne das handwerckh von nechst Künfftige Weÿhenachten in dreÿ Jahren gratis getreulich Zu lehren.

(p. 812) Donnerstag den 20.ten Decembris Anno 1736
Meister Johann Jacob Schrapp der jüngere Glaßer, erscheint beneben Johann Christian Storren seinem Stieffsohn und bißherigen Lehrjungen, bitt weilen deßen lehrzeit auff nechstkünfftige weÿhenachten Verfließet, denselben der lehr zeith loos und leedig Zu Sprechen, besonders Weillen Sie mit einander Zufrieden.
Erkant gegen Erlang der gebühr Willfarth.

Jean Chrétien Storr s’inscrit pour faire son chef d’œuvre
(p. 1035) 1741. Freÿtag den 14. Aprilis kauffte hernach gemelter Glaßen Meisterstücker ein Gericht. Dabeÿ dann folgendes verhandelt Wurde.
Johann Christian Storr der leedige Glaßer, Weÿl. Benedict Storren geweßenen Glaßers und burgers alhier seel. nachgelaßener ehelicher Sohn erscheint und berichtet, daß er seine Zeit Zu Auffnahm des Meisterstücks Genugsam passirt, als bittet Er um Würcklichen Auffnahm deßelben.
Erkandt Wird demselben gegen Erleg der gebühr Willfahrt, und solle es beÿ Meister Johann Daniel Inckel als jetzmahliger beÿsitzer des Gerichts verfertigen.

Jean Chrétien Storr devient tributaire à l’Echasse en septembre 1741
(p. 1043) Donnerstag den 21.ten Septembris Anno 1741 wurde das dritte Quartal Gericht gehalten
Neuzünfftiger – Joh: Christian Storr der Glaßer, Weÿland Hn Benedict Storren geweßenen Glaßers und burgers alhier hinterlaßener ehelicher Sohn erscheint und producirt Stallschen vom 29. Julÿ jüngst bittel nun seines Vatters seel. Zunfft und Stuben recht.
Erkand seÿe demselben geben Erlag der Gebühr in seinem begehren Willfahrt. Juravit.

Jean Chrétien Storr épouse en 1741 Marthe Hansmetzger, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1741 (9.6), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 105
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten herrn Johann Christian Storr, dem ledigen Gleßern und burger, allhier, weÿl. herrn Benedict Storren geweßenen ebenmäßigen Glaßers und burgers allhier seel. mit frauen Anna Margaretha gebohrner Kammin, seiner Ehegattin ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb, mit assistentz herrn Johann Jacob Schrappen des glaßers und burgers allhier seines Stiefvatters, und herrn Johann Jacob Webers des älten Meßerschmidts und burgers allhier seines annoch ohnentledigten Vogten, ane einem,
So dann der Ehren: und tugendgezierten Jungfrauen Martha Hanßmetzgerin, weÿl. herrn Friderich Hansmetzgers des metzgers und frauen Annæ Mariæ gebohrner Gäcklein beeder Eheleuthe und burgere allhier seel. nachgelaßeneer ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfer hochzeiterin, mit beÿstand herrn Niclaus Bellen des Leinenwebers und burgers allhier ihre geschwornen Vogten und herrn Niclaus Bolgau des Zinngießers und burgers allhier ihres geehrten herrn Vetters

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 36, n° 180)
1741. Mittwoch den 30 Augusti seind nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Außruffung Zu St Thomæ und in der Neuen Kirch zu St Thomæ copuliret und eingesegnet worden Johann Christian Storr der ledige Glaßer, weÿ: Benedicks Storr gewesenen Glaßers und burgers allhier hinterlaßener ehel. Sohn, und Jungfr. Martha Hanßmetzgerin weÿl. Friderich Hanßmetzger gewesenen Metzgers und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Christian Storr als hochzeiter, Martha hanßmetzgerin als hochzeiterin (i 37)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Barbe qui appartient à l’huilier Jean Adam Neulinger. L’épouse apporte sa part à deux étaux de boucher
1741 (26. 7.br), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 238) n° 149-a
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrengeachte Meister Johann Christian Storr, der Glaßer und die Ehren und tugendsame frau Martha gebohrne Hanßmetzgerin, beede Ehepersonen und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, auch darinnen sich in crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen allh. Zu St. auff Dienstag den 26. 7.bris anno 1741. In gegenwart herrn Niclaus Wellern* des metzgers und b. allh. der Ehefr. annoch ohnentledigten geschwornen Vogten.

In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Barbaræ gaß gelegenen H. Joh: Adam Neulingern dem Ohlmann eigenthümlich gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthumb ane Metzigbäncken (F.) Nehml. ein sechßter theil vor unvertheilt
ane einem Metzigbanck gelegen allh. Zu Str. unter der Großen Metzig ane dem eingang gegen dem Spital Gäßl. (…)
It. 1/6.ane der helffte oder 1/12. theil vor unvertheilt ane einem gantzen Metzigbanck gelegen allh. Zu Str. unter der Großen Metzig (…)

Jean Chrétien Storr devient courtier en remplacement de François Tobie Romer, démissionnaire, en septembre 1752. Il est seul candidat au poste à pourvoir. Les préposés notent sa probité et ses compétences
1752, Protocole des Quinze (2 R 162)
demission des Courtier diensts Frantz Tobias Romer, electus Johann Christian Storr
(p. 640) Sambstag den 2. Septembris. Romer pt° demission des Courtier diensts.
H XV. Schmidt referirt was maßen Frantz Tobias Romer, der burger, und bißherige Courtier allhier ein unterthäniges memoriale beÿ denen oberen Kauffherren übergeben und darinn um demission dießes diensts gebetten. Welches hochgedachter H Schmidt mghhen hiemit hinterbringet, stehe also Zu hoch denenselben, ob sie die beschehene desmisson Zu Verzeichnen und eine anderwärtige rubric zu erkennen belieben wollen. Erkannt solle die geschehene demission Verzeichnet, und eine gewohnliche rubric Erkandt werden.
(p. 648) Sambstag den 9. Septembris. Romer pt° demission des Courtier diensts. Storr wird erwöhlt.
Obere Kauffhauß Hhrn laßen per me referiren daß nachdeme mghhen auff die den 2.ten Hujus Von seithen Frantz Tobias Romer des geweßenen Courtier allhier greichtlich geschehene demission seines diensts eine rubric Erkannt, seÿe solche biß anhero offen gestandten und habe sich niemand als Joh: Christian [Storr] der burger allhier geschrieben gegeben. Weilen nun derselbe für einen Ehrlichen mann passirt, elcher schon hiebevor die mäcklereÿ in ansehung der häußer getrieben, als hätten die Hrn deputirte Keinen anstand genommen ihn mghh. Vorzuschlagen. stehe demnach zu noch denenselben ob sie demselben die vacirende stelle eines Courtier gedeÿen zu laßen belieben wollen. Nach geschehener umbfrag, Electus Johann Christian Storr.
(p. 657) Sambstag den 16.t Septembris. pt° des neu erwöhlten Courtier.
Freund nôe der sechs geschwornen Courtiers prod. unterth. memor. und bitten handent Innhalts. Erkannt, Obere Kauffhauß Herrn

Règlement suite à la cession de 1745, entre Henri Schumann au nom de sa femme Marguerite Barbe Storr et Jean Chrétien Storr

1752 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 315-v
Heinrich Schumann der glaser als ehevogt und mandatarius Fr. Margaretha Barbara geb. Storrin
in gegensein seiner Ehefrau bruders Johann Christian Storr des glasers
4/5 theil ane elterlichen ane der Langen straß einseit ist ein eck ane der Freÿburger gaß, anderseit neben François Favier dem traiteur, hinten auff die Freÿburger zunfft stub gelegenen behausung samt deren zugehörden – davon gibt man auff Jacobi apostoli wegen eines steinernen auff das Allmend überhangenden gangs hiesiger Stadt Pfenning Thurn 8 ß allmend – um 200 pfund verhafftet – vermög cession vor H. Frantz Heinrich Dautel den 4. Januarÿ 1745 – um 350 pfund

Jean Chrétien Storr déclare devoir à son frère vitrier Jean Geoffroi Storr le prix qui lui revient sur la maison

1757 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 12
Johann Gottfried Storr der glaßer
in gegensein seines bruders H. Johann Christian Storr des geschwornen courtier
demnach H. Christian Storr zufolg eines von H. Not. Frantz Heinrich Dautel errichtet und hiebeÿ producirten attestati von seinen geschwisterden die behausung ane der langen straß einseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben N. Favier dit St Paul, hinten auff die Freiburgerstub, im unvertheilten erb angenommen aber er H. Storr 550 pfund (schuldig)

Jean Chrétien Storr meurt en 1757 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 250 livres. La masse propre à la veuve est de 598 livres. L’actif de la succession et de la communauté s’élève à 2 959 livres, le passif à 5 760 livres.

1757 (26.3.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 261) n° 668
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen so Weÿland der Wohl Ehrenachtbare Herr Johann Christian Storr, der geweßene geschworene Courtier Glaßer meister und burger allhier Zu Straßburg nunmehro seel. nach seinem den 4. Martii aus dießer Welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Viel Ehren und tugendbegabten frau Martha gebohrnen Hannßmetzgerin der hinterbliebenen Wittib, beÿständlichen s. T. Herrn Johann Ludwig Dautel, V. V. berümten Licentiati wie auch beÿ Einem Hochlöbl. Ritter Directorio des unter Elsaßes bestmeritirtem advocato hierzu erbetten, herrn Caspar Samuel Edelmanns des Schreiners v. burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen, Margarethæ Salome in die 15, Johann Christian in die 13, Johann Ludwig in die 10. Johann Daniel in die 7. und Mariä Magdalenä in die 4. Jahr alt, dero Storren, des verstorbenen seel. mit mehrgemelder seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nach tod berlaßener Erben fleißig inventirt und ersucht durch die hinterbliebene wittib wie auch August Gottliceb Wilhelm den Glaßergesellen Von Budisin in Chur Sachßen und Jungfrau Kunigundam Catharinam Dorotheam Schletzein Von Satteldorff auß dem Anspachischen, und Catharinam Holtzapfelin, Von Kirn die beede dienstmädg – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 26. Martii Anno 1757.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen untern Straß gelegenen in dieße succession gehörigen behaußung folgender maßen befunden worden
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Nemblichen j.e behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtig Keiten allhier zu Str. ane der Langen Straß ohnfern der Schmid Zunfft stub hinüber, eins. ist j. eck ane der Freÿburger gaß, 2. s. neben der auberge au Luxembourg Sr Fabier dt. St. Paul dem aubergist zugehörig, hinden auff ein höfflein, E. E. Zunfft der Freÿburger zuständig, davon gibt man jährl. Löbl. St. Pfgth. auff Jacobi Apostoli 8 ß d ane Allmend geld wegen dem Vor dem hauß befindlichen steinern Gang, sonst aber außer denen darauff hafftenden hernach eingetragenen passiv Cap. ledig eigen. und Zufolg der schrifftl. eingeschickten Abschatzung Vom 23. april. 1757. durch der St. Str. geschwornen Hh. Werckmeistern über obige beschwerde der 8. ß æstimirt und angeschlagen um 1250. lb. Darüber bes. j. a. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. St. gef. v. mit deren anh. Ins. vw. datirt den 27.ten Julÿ A° 1724. mit Lit. A., dabeÿ noch 2. ander ältere Kffbr. respe. datirt Vom 7. martÿ 1678. v. 16. Junÿ 1666.
Wie aber solche beh. welche in deß Verstorbenen seel. erltern Verl. gemein gewesen, auf ihne eigenthümbl. gelanget, das weißer eine beÿ der Elterl. Verl. Erörterung den 4.ten Jan: 1745. Vor mir Noto. als adhibirten Inventirschreiber Vorgegangene Cession, crafft welcher ihme als deme selbst 1/5. th. erbl. Zuständig war, die übrige 4/5. theil Von seinen übrigen 4. Geschwistrigen in gemeine Erbe überlaßen worden.
– Abschatzung vom 23.ten April 1757. Auff begehren weill. H Joh. Christian Storr des Gewesenen Glaßers und Courtier Seel.. hinterlaßener frau wittib ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der langen starß gelegen einseits neben der freÿburger gaß anderseits neben der auberge au Luxembourg und hinten an E. E. Zunfft der freÿburger höflein stoßend, Solche behausung bestehet in 6 stuben 3 Kuchen und 3 stub Kammerern und etliche hauß Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch einen getremten Keller und höfflein Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister nach vorher geschehene besichtigung mit aller ihrer gerechtigkeit dem jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen vor und umb Zweÿ tausend fünff hundert gulden [unterzeichnet] Erlacher Werck Meister des Münster, Werner, Hueber
Ergäntzung der wittib ermanglenden unveränderten Guths. Vermög des über beeder nun zertrennter Eheleuthe einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen, durch mich Notm. in A° 1741. vergriffenen Inv. Concepti
Series rubricarum hujus Inventarii. Der wittib unverändert Vermögen. Sa. haußraths 87, Sa. Silber 7, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Schuld 100, Sa. Ergäntzungs rest 402, Summa summarum Sa. 598 lb
der Erben ohnverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 168, Sa. Waaren und Werckzeug Zur Glaßer Profession gehörig 75, Sa. Weins v. leerer faßen 11, Sa. Silber geschirr v. gesch. 30, Sa. Goldener Ringen 13, Sa. baarschafft 238, Sa. Eigenthums ane j.m reebstück 2, Sa. Eigenthums ene j.r behaußung 1250, Sa. Schulden 1169, Summa summarum 2959 lb – Schulden 5760 lb, Compensando 2800 lb – Final Summa 2201. lb
Sa. Zweiffelhaffte Schulden in die Verlaßenschafft zugeltend 117

La veuve hypothèque la maison au profit du notaire François Henri Dautel qu’elle épouse en 1759

1757 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 292
Fr. Martha geb. Hanßmetzgerin weÿl. H. Johann Christian Storr des courtier wittib beÿständlich Caspar Samuel Edelmann des schreiners
hatt in gegensein H. Not. Frantz Heinrich Dautel – schuldig seÿe 900 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dee Langen straß, einseit neben François Favier dit St Paul aubergisten, anderseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, hinten auff die Freÿburger zunfft

Compte que rend Henri Schumann à son pupille Jean Geoffroi Storr
1757 (3.12.), Comptes Dautel, (6 E 41, 447)
Rechnung weÿl. Mr Heinrich Schumanns, des geweßenen Glaßers und b. allh. Zu Sr. nunmehr seel. nachgelaßener Wb. v. Erben, inhaltend v. außweißend alles dasjenige was gedachter ihr Ehemann und Vatter seel. als Vogt Johann Gottfried Storren des ledigen Glaßers, weÿl. h. Joh: Benedict Storren gewes. Glaßers v. auch weÿl. frn. Annæ Marg. geb. Kammin, beed. Ehel. v. b. allh. seel. ehel. erzeugten jüngsten Sohns vom 3. Xbr A° 1746 als d. zeit auffgeschwohrener vogteÿ biß dato 20. febr. A° 1750 des Curandi halben eingenommen v. außgegeben, auch sonst verhandelt hat – Erste und letzte Rechn. dießer Vogteÿ.
Bericht (…)

François Henri Dautel établit son étude dans la maison que sa femme a apportée en mariage. La maison figure à l’inventaire dressé après la mort de sa femme puis à son propre inventaire. Une note rectificative établit que la maison n’est pas sa propriété mais celle des enfants de sa femme. François Henri Dautel fils y a son étude après la mort de son père jusqu’à ce qu’il quitte la Ville en 1786

Inventaire dressé en 1786 dans la maison du notaire Dautel après que l’huissier royal Ignace Bootz a quitté la ville en abandonnant sa femme Marie Anne Steckinger. L’inventaire comprend un extrait du protocole de l’ammestre régent qui autorise le notaire Jean Georges Roessel, en qualité de curateur aux biens du déserteur François Henri Dautel fils, est autorisé à faire ouvrir par un serrurier le logement Bootz pour que le ramoneur puisse avoir accès à la cheminée

1786 (12.10.), Me Lederlin (6 E 41, 907) n° 346
Inventarium über Ignatius Bootz, des geweßenen königlichen huissier und Fraun Mariæ Annæ gebohrner Steckinger, beeder Eheleuth und Inwohnere dahier in Straßburg der Zeit besitzende Activ Nahrungen und zu bezalende Passiv schulden errichtet Anno 1786. – auf Requisition ihr der Ehefrauen unter assistentz Herrn Lt Johann Joseph Bitschnau, Procuratoris vicarii und burgers dahier, nun weillen dieselbe wegen obwaltenden dringenden Passiv schulden pro obtinendo Beneficio Cessionis coram competente in Unterthänigkeit gekiommen, ist inventirt – Geschehen allhier zu Straßburg auf Donnerstag den 20.ten Octobris et seqq. Anno 1786.
Bericht In Gegenwärtig Inventarium. Gleich anfangs der Inventur declarirte die Ehefrau daß sie außer ihrer Kleidung und weisem Gezeug nichts in die Ehe gebracht habe (…) daß übrige aber und besonders die hernach eingetragene behausung aber rühre Von demjenigen Guth her, so Frau Catharina Steckinger gebohrner Sommer ihri und ihrem Ehemann vermög der hievor in copia eingetragenen Eheberedung deren Zeiten abschnit unter denen in solcher Eheberedung bestimmten Conditionen cedirt abandonirt und übergeben hat (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraß gelegenen in Weiland H. Notarii Dautels seel. Verlassenschafft gehörigen behausung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inv.ÿ. Der Ehefrau kleidung und Weiß Gezeug 28 lb
Solchem nach wird auch das gemein und theilbarn Guth beschrieben. Sa. hausraths 100, Sa. Eigenthums ane einer behaußung (zu Schlettstadt) 1000, Sa. kaufschillings von der Huissier charge 2625, Summa summarum 3725 lb – Schulden 3960 lb, Mehr schulden als vermögen 244 lb
Zweiffelhaffter Schulden in die theilbare Nahrung zugeltend 372 lb
Copia der Eheberedung – Vor dem königlichen Notario der Stadt Schlettstatt, erschienen persönlich Herr Frantz Ignati Bootz, Herrn Frantz Joseph Bootz und Frau Francisca Bessing von Rappolsweiler, ehelich erbohrenem Sohn, Controlleur ambulant de L’hôpital de l’armée des unterern Rheins, so mehrjährigen Standt und von obgemelt seinen Eltern vermög producirter Missive schreiben datirt Ingweiler unterm 6. dießes hierzu genugsam Gewalt zu haben declariret hochzeiter an einem, So dann die tugendsame Jungfrau Maria Anna Steckinger, weiland Herrn Johannes Steckinger gewesten Rathsverwandten dahier zu Schlettstadt seeligen mit Fraun Catharina Sommerin ehelich erborhne tochter so mehrjährigen Standts und mit Ignatz Steckinger burger dahier ihrem Vogt hierzu verbeÿstandet, hochzeiterin am andern Theils – Schlettstadt den 13. Martii 1759, Not. Payerinhoff Königl. Notarius
– Aus Löbl. Ameister Haus-Audientz der Stadt Straßburg memoriali de Anno 1787. Dienstag den 25. Januarÿ. Erschienen H Joh: Georg Roessel, Notarius als Curator Frantz Heinrich Dautels, des von hier sich absentirten ehemaligen Notarÿ Massæ, anzeigend daß ihme so eben von meister Goucheron dem Schneider hinterbracht worden, es käme ihme aus dem ersten Stock seiner bewohnenden dautel’schen behausung in deßen auf den boden befindlichen Stuben, Ruß herunter geloffen, wodurch zu muthmaßen, daß solches aus der Kuchen des ersten Stocks, herrühren möge. Da nun Ignatz Bootz des ausgetrettenen huissier Ehefrau ebenfalls von hier abgereist, und dem Venehmen nach, den Schlüßen zu gedachter Kuchen mit genommen haben solle, Michael Gerold der Caminfeger ihm Comparenten auch angesagt, es möge die Sache Gefahr haben, Wir gnädig geruheten Zu verordnen, daß gedachte Kuche in beÿseÿn des Einspännigers und Gezeugen, durch einen Schloßer möge eröfnet, sofort durch den Greffier Übernohmenerer Audien,tz ein Processus verbalis darüber errichtet werden (…), Roederer mit handzug Greffier

Les héritiers de Marthe Hansmetzger et de Jean Chrétien Storr vendent 3 690 livres la maison au fabricant de parapluies et de parasols François Berrat et à sa femme Marguerite Latzer

1787 (27.10.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 421
H. Lt. Johann Joseph Solff procurator vicarius als geordneter Streit vogt weÿl. Margaretha Salome Horning geb. Storrin zweÿer kinder nahmens Friedrich Nathanael und Jacob, ferner derselbe auch als Steit vogt Johann Ludwig Storr des abweßenden Knopffmachers einigen kinds nahmens Elias, Johann Christian Storr der glaßermacher,H. Lt. Rudolph Friedrich Farber, löbl. Stadt Pfenning Thurn secretarius, als wittiber und Erben weÿl. Maria Magdalena geb. Storrin seiner Eheliebstin, H. Lt. Johann Daniel Storr der ambtmann zu Schmergenheim jenseits Rheins, Fr. Barbara Storrin geb. Gollin als übernehmerin Johann Ludwig Storr des Knopffmachers ihres ehemanns mass, Jacob Friedrich Dautel der ledige aber großjährige dreher, H. Not. Johann Georg Rößel als curator Frantz Heinrich Dautel gewesenen notarii massæ, H. Johann Friedrich Greiß notarius publicus juratus ac practicus weÿl. H. Not. Frantz Heinrich Dautel gewesenen notarii substitutus guth curator, alle als kinder und erben weÿl. Fr. Martha geb. Hanßmetzgerin letztmahls nur auch weÿl. H. Not. Frantz Heinrich Dautel gewesenen Ehegattin zum theil aber als erbs represententen
hatt in gegensein Frantz Berat, des parapluie machers, und Margarethæ geb. Latzer beÿständlich Ignatz Scaramuzza des handelsmanns und Frantz Joseph Latzer des zimmermanns
in der mütterlichen nachlassenschafft gehörig gewesten behausung, höffliein, hoffstatt samt bronnen mit allen deßen übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der obern langen straß gegen, E. E. Zunfft der Schmidt über ane der Freÿburgergaß, einseit ist ein eck ane sothaner gaß, anderseit neben weÿl. H. Dominic Longho des handelsmanns wittib, hinten auff ein höfflein E. E. Zunfft der freÿburger zuständig – davon gibt man wegen den vor dem hauß befindlich steineren gang auff Jacobi apostoli löbl: Stadt Pfenning Thurn 8 ß ane allmend zinß – geschehen um 7380 gulden meistgebotten

François Berrat et Marguerite Latzer hypothèquent la maison au profit du chamoiseur Jacques Bernard

1794 (9 vend. 3), Chambre des Contrats, vol. 672 n° 26 enreg. 17 vend.
cit. François Berrat et Marguerite Latzer assitée de Blaise Rondot concierge au département du Bas Rhin et Antoine Antoine employé à la douane
(devoir) au cit. Jacques Bernard Riefel chamoiseur, 30 000 livres, employées 5245 livres dues à la succession de François Henri Dautel notaire en vertu d’un contrat de vente du 27 octobre 1787
hypothèque la maison à eux appartenante rue des Jacobins N° 148, d’un côté formant un coin, d’autre le cit. Pezzi

François Berrat et Marguerite Latzer vendent 20 000 livres tournois la maison aux négociants Philippe Hermann Reinhard et Edouard Bruno Mertian

1795 (8 prairial 3), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 4), Me Dinckel n° 566 – Enregistrement de Strasbourg, acp 33 F° 167-v du 9 pr. 3
Cit. François Berrat faiseur de parapluies et la Cit. Marguerite Latzer assistée du C. Jean Blaise Roudot Concierge au Département du Bas Rhin et Antoine Monnet jardinier qu’elle a dit ses plus proches parens
au Cit. Philippe Hermann Reinhard negociant et Edouard Bruno Mertian aussi negociant
une maison avec toutes ses appartenances droits et dépendances située audit Strasbourg dans la grande rue N° 148, d’un côté faisant le coin de la rue des francbourgeois d’autre le Cit. Pezzi Negociant parderrière le Cit. Lutz menusier, dont on paye annuellement notamment du balcon de ladite maison une rente foncière de 32 sols – dans ladite vente sont compris tous les fourneaux a l’exception de deux fourneaux au rez de chaussée un au premier étage dans le poële et un dans la petite chambre du troisième etage donnant dans la rue des francbourgeois, Le C. Mertian s’engage ne point revendre sa moitié de lad. maison cidessus détaillée à d’autres pendant l’espace de 10 années consecutives qu’a son associé qui jouira pendant ce tems du rez de chaussée et du second etage et le Cit. Mertian du premier et du troisième Etage le reste sera en commun – moyennant 20 000 livres

Edouard Bruno Mertian vend l’année suivante sa part au copropriétaire Philippe Hermann Reinhard

1796 (19 messidor 4), Strasbourg 9 (anc. cote 3), Me Dinckel n° 1150 – Enregistrement de Strasbourg, acp 41 F° 76 du 28 mess. 4
Cit. Edouard Bruno Mertian negociant en cette comm
au Cit. Philippe Hermann Reinhard aussi Négociant
la moitié par indivis d’une maison avec toutes ses appartenances droits et dépendances située audit Strasbourg dans la grande rue N° 148, d’un côté faisant le coin de la rue des francs bourgeois d’autre le cit. Pezzi negociant parderrière au cessionaire – acquis souss. le 8 prairial de l’année derniere – moyennant 10.000 francs

Natif de Huningue en Haute Alsace, Philippe Herrmann Reinhard épouse en 1799 à Saverne Marie Antoinete Julie Deheille
1799 (25 ventose 7), Strasbourg 6 (20), Me Laquiante n° 17 – Enregistrement de Strasbourg, acp 66 F° 79 du 28 vt 7
Contrat de mariage – Cit. Philippe Herrmann Reinhard, negotiant en cette commune, fils majeur du C. Philippe Herrmann Reinhard, négociant, et de la Cit. Françoise Brendlé
Cit. Marie Antoinete Julie Deheille, fille mineure du Cit. Nicolas Deheille, demeurant a Saverne, et de la C. Louise Charlotte Schoen sous l’assistance du cit. Bernard Ristenhuber preposé des douanes Nationales a Strasbourg son oncle maternel

Mariage, Saverne (f° 75)
Cejourd’hui 30 Ventose an Septieme republicain (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part le Citoyen Philippe Herrmann Reinhard Négociant domicilié à Strasbourg agé de 32 ans fils légitime de Philippe Herrmann Reinhard aussi négociant et Françoise Brendlé conjoints du dt Strasbourg
d’autre part Marie Antoinette Julie Deheille agée de 15 ans, domiciliée en dette commune de Saverne fille légitime de Nicolas Deheille et de la Citoyenne Louise Caroline Schoen Epouse divorcée du dt. Nicolas Deheille domiciliée dans Cette même commune de Saverne (…) l’acte de naissance du futur époux portant en date du 1 janvier 1767 (…), l’acte de naissance de la future épouse du 9 mars 1784 (i 77)

Il meurt en 1848 en délaissant des héritiers collatéraux
1848 (30.3.), Strasbourg 9 (96), Me Becker n° 3782
Inventaire après le décès de M. Philippe Hermann Reinhard en son vivant ancien négociant à Strasbourg où il est décédé le 24 mars courant
L’an 1848 le jeudi 30 mars à dix heures du matin. A la requête 1° de Mad. Ursule Marie Thérèse Célestine Reinhard veuve de M Daniel Frédéric Zeys, en son vivant juge au tribunal de Belfort demeurant à Colmar, 2. Et de M Charles César Frédéric Bergeret, chef de bataillon en retraite, officier de la légion d’honneur demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme mandataire de 1) de Mad. Marie Anne Rosalie Reinhard veuve de M Charles Marie Dagobert Pougnet en son vivant conseiller à la cour d’appel séant à Colmar demeurant à Wyhr, canton d’Andolsheim (…) 2° et de M. Jean Marie Lambert, chef d’escadron d’artillerie en retraite demeurant à Strasbourg ayant agi lui-même pour et comme père et tuteur légal de Marie Françoise Célestine Pauline Lambert et François Bernard Edmond Lambert des deux enfants mineurs issus de son mariage avec feu Mad. Marie Françoise Pauline Reinhard (…)
Lesdites De Zeyss, Pougnet et ledits mineurs Lambert habites à se dire et porter héritiers (…) de M. Philippe Herrmann Reinhard leur oncle et grand oncle respectif
trouvés dans une maison rue des Fribourgeois n° 1 où il était en loyer et où il est décédé le 24 mars courant

Décès, Strasbourg (n° 665) Acte de décès. Le 24 mars 1848 (…) que Philippe Herrmann Reinhard agé de 81 ans né à Hüningen (Haut-Rhin), rentier, divorcé de Marie Antoinette Julie Deheille, domicilié à Strasbourg, fils de feu Philippe Herrmann Reinhard, négociant, et de feu Françoise Brendlé, est décédé le 24 mars 1848 à six heures du matin en la maison rue des fribourgeois N° 3 [in margine :] marasme

Philippe Herrmann Reinhard cède la maison à son père du même nom

1800 (14 ventose 8), Strasbourg 6 (22), Me Laquiante n° 631 – Enregistrement de Strasbourg, acp 72 F° 62 du 14 vent. 8
Cit. Philippe herrmann Reinhard fils négociant
au Cit. Phillipe Hermann Reinhard Pere
une Maison appartenances et dépendances scize Grand rue N° 148, d’un côté faisant le coin de la rue des francs bourgeois, d’autre le cit. Canna, derrière la ci devant tribu des Francs bourgeois appartenant actuellement au cit. Lutz menuisier, devant lesdites rues – acquis par moitié avec le cit. Edouard Bruno Martian négociant a Strasbourg du Cit. Berra fabricquant de parapluie par acte reçu Me Dinckel le 8 prairial 3 et dont l’autre moitié a été vendue au cit. Reinhard fils par ledit C. Martian même étude 19. messidor 4 – moyennant 14 500 francs

Originaire de Sobernheim en Palatinat, Philippe Hermann Reinhard meurt à l’âge de 72 ans en 1814. Sa veuve Françoise Pierrette Brendlé, native de Huningue, en 1824 à l’âge de 84 ans
Décès, Strasbourg (n° 1833) Déclaration de décès faite le 10 juillet 1814. Philippe Hermann Reinhard, âgé de 72 ans 9 mois 18 jours né à Sobernheim (Rhin et Moselle), ancien magistrat, Epoux de Françoise Pierrette Brendlé, mort en cette mairie le 10 courant à 6 heures su matin dans la maison située N° 4 Petites Arcades, fils de feu Jean Martin Reinhard, Ministre du culte, et de feu Charlotte Louise Catherine Müller. Premier déclarant, François Reinhard, âgé de 45 ans, homme de letttres [in margine :] flux de poitrine (i 10)

Décès, Strasbourg (n° 241) Déclaration de décès faite le 13 février 1824. Françoise Pierrette Brendlé, âgée de 84 ans 7 mois 15 jours, née à Huningue (haut Rhin), veuve de Philippe Reinhard, ancien magistrat, domiciliée à Strasbourg, morte en cette mairie le 12 du mois courant à cinq heures du soir, dans la maison située N° 3, rüe de la demi Lune, fille de feu Joseph Brendlé, rentier, et de feu Marie Barbe Tissot. Premier déclarant, Philipp Herrmann Reinhard, âgé de 54 ans, ci-devant fabricant de Tabac, fils de la défunte [in margine :] Marasme sénile (i 61)

Registre de population 600 MW 49 (1808 sqq) Quay finckwiller N° 1, p. 347 i 72)
Reinhard, Philippe Herrmann, 63, Sobernheim en Palatinat (auparavant) finckwiller 1 – Entré le 1 8.bre 1806, Dél. petites arcades N° 4, (à Strasbourg depuis) vendémiaire 6
Brendlé, Françoise, 55, Epouse, Huningue
Reinhard, François, fils, 34, marchand de papier, Huningue, (à Strasbourg depuis) vendemiaire 5 – dél. le 22 prair. XIII à la place pierre le jeune 7

Registre de population 600 MW 49 (1808 sqq) Quay finckwiller N° 8 (p. 354)
Reinhard, Philip Herrmann, 69, (auparavant) finckwiller 1 – Entré le 1 8.bre 1806, Dél. petites aarcades N° 40
id. née Brendlé, Françoise, 60, Epouse

Registre de population 600 MW 80 (1808 sqq) Petites Arcades N° 4 (p. 63)
Reinhard, Philippe Herrmann, 70, ancien Magistrat, Sobernheim, (à Strasbourg depuis) l’an 6, (auparavant) finckwiller 8 – Entré le 24 Jllet 1811. mort le 10 Juil. 1814
id. née Brendlé, Françoise, 68, Epouse

Phillipe Hermann Reinhard et Françoise Brendlé vendent quelques mois plus tard la maison au négociant Antoine Loir et à sa femme Constance Hubertine Kuppelmayer

1800 (24 fructidor 8), Strasbourg 6 (23), Me Laquiante n° 987 – Enregistrement de Strasbourg, acp 75 F° 82 du 25 fruct. 8
Cit. Phillipe Hermann Reinhard Pere et la cit. Françoise Brendlé
au Cit. Antoine Loir négociant et la Cit. Constance Hubertine Kuppelmayer
une Maison appartenances et dépendances sans en rien réserver ni excepter scize en cette ville au coin de la grande rue et de celle des francs bourgeois N° 148, aboutissant du côté de la grande rue le Cit. Pezzi négociant, occupée par le C. Canna d’autre du côté de la rue des Francs bourgeois la ci devant tribu des Francs bourgeois appartenant actuellement au cit. Lutz menuisier devant lesdites rues – acquise du Cit. Philippe herrmann Reinhard son fils ainé négociant par acte reçu souss. le 14 ventose. dernier – moyennant 18 000 francs

Employé chez le payeur de la division militaire, Antoine Loir meurt en 1814 dans la maison rue des Dentelles qu’il occupe depuis qu’il a vendu celle Grand rue. Il a passé avec la couche un contrat de mariage à Kaysersberg en 1783
1814 (21.3.), Strasbourg 14 (52), Me Lex n° 7711 – Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 89 du 29.3.
Inventaire de la succession d’Antoine Loir employé chez M le payeur de la cinquième division militaire décédé le 8 janvier dernier – à la requête d’Antoine Loir, dessinateur, Jean Schott marchand de vin, le premier héritier, le second tuteur des enfants nommés Constant âgé de 19 ans 6 mois, Caroline Joséphine Jeanne Eléonore 18 ans, Adélaïde 13 ans
Me Knobloch et Lacombe fils, notaires, représentant Hubertine Constance Kuppelmeyer la veuve absente, Caroline et Louise Loir ses filles
dans la maison qu’il occupait rue des Dentelles
meubles 318 fr, passif 994 fr
Titres et papiers, Contrat de mariage devant Me Peyerimhoff greffier à Kaysersberg le 11 avril 1783

L’acte de dècès mentionne qu’Antoine Loir est né à Paris. Sa veuve habite à Moscou en 1827 d’après l’inventaire dressé après la mort de Charles Gapard Kuppelmeyer
Décès, Strasbourg (n° 120)
Déclaration de décès le 9 janvier 1814. Antoine Loir, âgé de 58 ans, né à Paris (Seine) Employé Chez le Payeur de la cinquième division militaire, époux de Hubertine Constance Kuppelmeyer, mort en cette mairie le 8 du mois courant à 6 heures du soir en la maison située n° 26 rue des Dentelles, fils de feu Antoine Loir, architecte, et de feu N N. Premier déclarant, Antoine Loir, agé de 21 ans, employé chez le Receveur des Domaines (i 31)

600 MW 69 (f° 219-220) rue des Dentelles n° 26 (i 7)
Loir Antoine, 52 ans, Empl. à la Trésorerie, né à Paris, à Strasbourg depuis 1788, auparavant grand rue 148, E 25 8.br 1808, mort le 8 Janvier 1814
Loir née Kuppelmeyer, Constance, 40 ans épouse, délogés Marché aux poissons n° 69
Loir, Caroline, 19 ans, enfant
Loir Antoine, 15 ans, enfant
Loir Constant, 14 ans, enfant
Loir Eléonore 13 ans, enfant
Loir Hubertine Louise 7 ans, enfant

Antoine Loir et Constance Kuppelmeyer vendent la maison au ferblantier Henri Chrétien Rhein et à sa femme Anne Madeleine Ziegenhagen

1807 (26.11.), Strasbourg 4 (36), Me Stoeber n° 479, Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 44 du 27.11.
Antoine Loir employé en cette ville et Constance Kuppelmeyer
à Henri Chrétien Rhein, ferblantier, et Anne Madeleine Ziegenhagen
une maison avec petite cour puits appartenances et dépendances sise en cette ville au coin de la grande rue et de celle des francs bourgeois n° 148, du côté de la grande rue Sr Pezzi négociant, d’autre du côté de la rue des francs bourgeois la ci devant Tribu des francs bourgeois, devant lesdites rues – grévée d’une rente foncière de 1,60 francs pour le balcon ainsi que d’une servitude consistante dans un coulant dérivant de la maison dudit Sr Pezzi et traversant l’allée du Rez de chaussée de la maison vendue
(charges, clauses et conditions) 2. avec toutes les doubles fenêtres existantes pour les trois étages & les fourneaux savoir ensemble trois dans les chambres donnant dans la grand rue un autre dans le cabinet au troisième étage et le cinquième au premier étage dans la chambre de derrière – moyennant 15 000 francs

Fils de ferblantier, Henri Chrétien Rhein épouse en 1800 Anne Madeleine Ziegenhagen fille de chirurgien
1800 (18 messidor 8), Strasbourg, Me Stoeber*, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 74 F° 134 du 26 mess. 8
Contrat de mariage – Heinrich Christian Rhein
Anna Magdalena Ziegenhagen

Mariage, Strasbourg (n° 307)
Cejourd’hui 20° Messidor l’an huit de la République française, une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Henry Chrétien Reyn, âgé de 29 ans, ferblantier, né et domicilié en cette ville fils de feu Philippe Jacques Reyn, ferblantier, et de feue Marie Salomé Storck, d’autre part Anne Madeleine Ziegenhagen, année de 36 ans, née et domiciliés en cette ville fille de feu Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, et de Marie Marguerite Schwartz (…) l’acte de naissance du futur époux portant qu’il est né en cette ville le 26 décembre 1770 (…), l’acte de naissance de la future épouse portant qu’elle est née en cette ville le 28 janvier 1764 (signé) Johann Christian Rhein, Anna Magdalena Ziegenhagen (i 162)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1801 (4 fructidor 9), Strasbourg 7 (15), Me Stoeber – Enregistrement de Strasbourg, acp 80 F° 41 du 14 fruct. 9
1682, 2470
Inventarium über b.s Heinrich Christian Rhein Weißblechners und bin. Anna Magdalena Ziegenhagen einander in ihrem den (-) angetrettenen Ehestand
in einer an der langenstraß N° 8 gelegen und zum theil lehnungsweiße bewohenden behausung
hausrath M 137 und 97, F 73 und 448 fr, Werckzeug M 1221 fr, Silber M 63 fr, schulden in der Ehefrau eingebrachte Nahrung 2700 fr

Inventaire après décès d’un locataire, Jacques Louis Goetz, employé de loterie, mari de Marie Eve Decker

1809 (11.7.), Strasbourg 2 (31), Me Knobloch n° 4211 – Enregistrement de Strasbourg, acp 112 F° 95-v du 17.7.
Inventaire de la succession de Jacques Louis Goetz, Employé de la Loterie chez le Sr Bodemer receveur, décédé le 9 mars 1809 – à la requête de Marie Eve Decker la veuve, Elisabeth Frédérique Goetz femme de M Jacques Schweitzer aubergiste au Soleil à Burckote, canton de Basle en Suisse, sœur germaine du défunt en qualité d’héritière partiiare et de donataire, Louise Goetz veuve de Philippe Hertzog musicien de la ville de Laufen sur le Neckar, royaume de Wurtemberg, sa cohéritière par donation au grand Baillage de Bietigheim le 18 juin 1809 (joint, Oberamt zu Bietigheim) – Avis pas de contrat de mariage ni de testament, marié en 1792 à Waldenburg pays de Hohenlohe
dans la maison mortuaire grand rue n° 148 dans un appartement au troisième étage ayant vue sur la rue
meubles, dans la chambre donnant sur la rue, dans la chambre a côté, dans la cuisine, total 174 fr, dettes actives 2749 fr, total 2924 fr, passif 268 fr
meubles propres 676 fr, vendu depuis le decès 66 fr, reste 113 fr

Henri Chrétien Rhein que sa femme morte sans descendance a institué pour son légataire universel vend la maison au tripier André Haussmann et à sa femme Salomé Nagel

1843 (13.4.), Strasbourg 9 (89), Me Becker n° 1908
furent présents Le Sr Henri Chrétien Rhein, ancien ferblantier demeurant à Strasbourg (vend)
au Sieur André Haussmann, tripier, et à Dame Salomé Nagel, sa femme
Désignation. Une Maison avec petite cour, puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, grand’rue N° 148, formant d’un côté le coin de cette rue et de la rue des Fribourgeois et tenant de l’autre côté à la propriété de Mr Kugler par derrière à celle de Mme Zabern. Sont compris dans la vente quatre fourneaux en fonte et quatre poëles en fayence avec leurs tuyaux et pierres et un chaudron a lessive en cuivre rouge
Etablissement de la propriété. Mr Rhein et Dame Anne Madeleine Ziegenhagen son épouse défunte ont acquis ledit immeuble durant la communauté de biens qui a existé entre eux du Sr Antoine Loir, employé et ancien Négociant, et de Dame Constance Hubertine Kuppelmeyer son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, suivant contrat passé devant Me Daniel Ehrenfried Stoeber Notaire en cette ville le 26 novembre 1807 dument enregistré, le prix de cette acquisition était de 15 000 francs (…). Le vendeur est devenu seul propriétaire dudit immeuble comme ayant été institué légataire universel de ladite De Rhein née Ziegehagen sa femme aux termes de son testament mystique en date à Strasbourg du 26 octobre 1838, enregistré en cette ville le 3 décembre 1840 folio 37 verso (…) déposé en l’étude dudit Me Becker suivant acte de suscription dressé par lui le 6 octobre 1838 (…). M. Rhein fait observer que sa femme est décédée sans descendants ni ascendans et qu’il a été envoyé en possession de sa succession par ordonnance rendue par le président dudit tribunal le 26 du même mois dument enregistré. Les époux Loir ont acquis ladite maison du Sr Philippe Hermann Reinhardt père négociant et de Françoise Brendlé sa femme suivant contrat de vente passé devant Me Laquiante, notaire à Strasbourg le 24 fructidor de l’an VIII, (…). ledit Sr Reinhard avait acquis ledit immeuble du Sr Philippe Herrmann Reinhard, fils, négociant demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant Me Laquiante le 14 ventose l’an VIII. moyennant le prix de 14 500 francs dont le contrat contient quittance. Ledit Sr Reinhard fils avait acquis ladite maison de compte à demi avec le Sr Edouard Bruno Mertian, négociant demeurant à Strasbourg, du Sr François Berrat, fabricant de parapluies et de De Marguerite Latzen sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant Me Dinckel le 8 prairial an III. Ledit Sr Mertian fils a vendu depuis la moitié indivise de ladite maison audit Sr Reinhard, fils, qui de cette manière est devenu propriétaire de la totalité suivant contrat de vente passé devant Me Dinckel le 19 Messidor de l’an IV. Enfin les époux Berrat ont acquie ledit immeuble du Sr Jean Chrétien Storr, vitrier demeurant à Strasbourg et consorts suivant contrat de vente passé à la ci devant Chambre des Contrats de cette ville le 27 octobre 1787 – Prix 20 000 francs

Natif d’Oberbeyingen en Wurtemberg, le boucher André Hausmann épouse en 1810 Elisabeth Salomé Nagel, fille de charretier
1810 (16.7.), Strasbourg 12 (32), Me Wengler n° 4959 – Enregistrement de Strasbourg, acp 115 f° 42 du 17.7.
Contrat de mariage – André Hausmann, boucher natif d’Oberbeyingen en Royaume de Würtemberg, fils de Michel Hausmann, tisserand, et de feue Rosine Wolff
Elisabeth Salomé Nagel, fille de Jean Leonard Nagel, charetier, et d’Eve Zimmer

Les conjoints Haussmann font dresser l’inventaire de leurs apports en 1845
1845 (21.7.), Strasbourg 9 (93), Me Becker n° 2763
Inventaire des apports – sont comparus M André Haussmann, boucher et Madame Elisabeth Salomé Nagelson épouse, qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg.
Lesquels comparants ont déclaré qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts ainsi que cela résulte de leur contrat de mariage passé devant Me Wengler, notaire à Strasbourg le 16 juillet 1810, que mes apports qu’ils possédaient lors de leur union ne se trouvent pas constatés dans ledit contrat (…)
Apports de M. Haussmann, outre ses habits, hardes et linge, uniquement en une somme de 2000 francs en deniers comptans
Apports de Mad. Haussmann, 1) d’un lit complet (…) 798 francs, de la somme de 200 francs, total 998 francs
Enfin les comparans déclarent que depuis leur mariage la Dame Haussmann a recueilli dans les successions de ses père et mère Sieur Jean Léonard Nagel, vivant charretier à Strasbourg, et Dame Eve Zimmer sa femme défunte (…)

André Haussmann meurt en 1847 en délaissant un fils et deux filles. La succession comprend plusieurs maisons. L’inventaire est dressé dans celle place d’Austerlitz

1847 (28. 7.br), Strasbourg 9 (96), Me Becker n° 3646
Inventaire après le décès de Mr André Haussmann, en son vivant boucher domicilié à Strasbourg où il est décédé le 5 juin 1847.
L’an 1847 le mardi 28 septembre à quatre heures de relevée. A la requête 1° de Dame Elisabeth Salomé Nagel veuve de M. André Haussmann, en son vivant boucher à Strasbourg où elle demeure, agissant tant en son nom personnel 1) à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et ledit Sr Haussmann son mari défunt, aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Wengler notaire à Strasbourg le 16 juillet 1810. 2° et comme donataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession du dit défunt en vertu du même contrat et en vertu du testament olographe de feu le Sr Haussmann en date à Strasbourg di 21 juillet 1845. déposé pour minute en l’étude de Me Becker le 23 septembre courant (…)
2° De Mr Jean Frédéric Haussmann, fils, demeurant à Strasbourg, 3. De Mad. Caroline Haussmann épouse de M Israël Frick, ferblantier, qui à ce présent autorise ladite De son épouse à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Strasbourg, 4° Et de Mad. Sophie Haussmann épouse de M. Albert Bürck, aubergiste, à ce présent et autorisant ladite De son épouse à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Kehl, grand Duché de Bade, Les dusdite Sr Haussmann filsn De Frick et De Bürck habiles à se dire et porter seul et unique héritiers chacun pour un tiers dudit Sr André Haussmann leur père défunt (…)
Trouvés dans une maison faisant partie de ladite communauté, située à Strasbourg place d’Austerlitz n° 23 où M Haussmann est décédé le 5 juin dernier

habillement et linge de corps du défunt 190 francs
objets mobiliers de la communauté 1097
n° 3685, 9 novembre 1847. Deniers comptants (aucun),
Titres et papiers, Cote 1. Contrat de mariage (…)
Immeubles dépendances de la communauté qui a exist entre les époux Haussmann
Cote 2. Maison sise à Strasbourg rue Saint Marc N° 9 (…)
Cote 3. Maison sise à Strasbourg place d’Austerlitz N° 23 (…)
Cote 4. Boutique sise à Strasbourg place des grandes boucheries N° 16 (…)
Cote 5. Maison sise à Strasbourg grand’rue N° 148. Vingt trois pièces sont la première est un expédition d’un contrat passé devant ledit Me Becker le 13 avril 1848 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques le 21 du même mois vol. 401 n° 18 par lequel les époux Haussmann ont acquis du Sr Chrétien Rhein ancien ferblantier demeurant à Strasbourg une maison avec appartenances et dépendances sise en cette ville grand’rue N° 148 moyennant le prix de 20 000 für, à compte duquel les époux Haussmann ont payé (…), Les seize dernières pièces sont différens anciens titres de propriété et billets de primes y relatifs

1847, Enregistrement de Strasbourg, ssp 100 (1879) f° 59-r
le 27 7.br. ssp du 21 juillet 1845
Testament – André Haussmann boucher

Elisabeth Salomé Nagel veuve d’André Haussmann et ses enfants hypothèquent la maison au profit de l’officier Auguste Oppermann

1848 (1.3.), Strasbourg 9 (96), Me Becker n° 3760
Obligation – furent présens 1° Elisabeth Salomé Nagel veuve de M. André Haussmann en son vivant tripier à Strasbourg demeurant en cette ville, 2. Mr Jean Frédéric Haussmann fils tripier et Dame Marie Barbe Meyer son épouse qu’il autorise, demeurant ensemble à Strasbourg, 3. Mr Israël Frick, ferblantier, et Dame Caroline Haussmann son épouse de lui dûment autorisée à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Strasbourg, 4. Et M. Albert Bürck, aubergiste, et Dame Sophie Haussmann son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant ensemble à Kehl, grand Duché de Bade
(devoir) à M Auguste Oppermann, capitaine adjudant major au premier Régiment de lanciers en garnison à Tours domicilié à Strasbourg, la somme de 4600 francs
(hypothèquent) Une maison avec cour, puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, grand’rue N° 148, formant d’un côté le coin de cette rue et de la rue des Fribourgeois et tenant de l’autre côté à la propriété de Mr Kugler par derrière à celle de Mde Zabern. Les débiteurs déclarent que ladite maison dépendant de la communauté de biens qui a existé entre Mad. Haussmann née Nagel et M André Haussmann son mari défunt et qu’elle appartient actuellement savoir la moitié et l’usufruit viager d’un quart à ladite veuve Haussmann et la nue propriété de ce quart ainsi que la pleine propriété de tout le surplus auxdits Sr Haussmann fils, De Frick et De Bürck comme seuls héritiers chacun pour un tiers dudit Sr André Haussmann leur père ainsi que le tout se trouve constaté en l’inventaire après le décès de M Haussmann dressé par ledit Me Becker en date au commencement du 28 septembre 1847.
Et que ladite communauté était propriétaire du même immeuble au moyen de l’acquisition que les conjoints Haussmann père et mère en avaient faite du Sr Henri Chrétien Rhein ancien ferblantier à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant ledit Me Becker le 13 avril 1843. enregistré et transcrit au bureau des hypothèques volume le 21 du même mois vol. 401. n° 18

Les ayants-droit Haussmann vendent la maison au ferblantier Jean Chrétien Weimer et à sa femme Julie Christmann

1859 (26.3.), Strasbourg 10 (138), Me Zimmer (Louis Frédéric) n° 12 997
ont comparu I. dame Elisabeth Salomé Nagel, veuve de M. André Haussmann, vivant tripier
II. Dame Caroline Haussmann épouse dûment assistée et autorisée de Mr Israel Frick, ferblantier, présent, III. Dame Sophie Haussmann veuve avec une fille encore mineure de M. Albert Bürck, vivant cafetier, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, les dames veuves Haussmann et Bürck et Mme Frick agissant tant en leurs noms personnels que comme se portant solidairement forts de Jean Frédéric Haussmann mineur, né le 27 mai 1849 issu du mariage de feu M Jean Frédéric Hausssmann, vivant tripier, et de Dame Marie Barbe Meyer sa veuve survivante (vendent)
à Mr Jean Chrétien Weimer, ferblantier, et à dame Julie Christmann son épouse qu’il autorisé à l’effet des présentes les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg
une maison avec cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, grand’rue N° 125 autrefois N° 148, formant d’un côté le coin de cette rue et de la rue des Fribourgeois, et tenant de l’autre côté à la propriété de Mr Kugler par derrière à celle de M. Zabern. Cet immeuble est vendu tel et en l’état où il se trouve actuellement (…) avec les latrines qui se trouvent construites et enclavées dans a propriété Zabern et y compris quatre fourneaux en fonte et quatre poêles en fayence avec leur tuyaux et pierres et un chaudron à lessive.
Etablissement de la propriété. Cet immeuble dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre entre feu Mr André Haussmann et dame Salomé née Nagel sa veuve comparante, pour avoir été acquis par eux de Mr Henri Chrétien Rhein ancien ferblantier demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Becker le 13 avril 1843 transcrit au bureau des hypothèques volume le 21 avril même mois vol. 401. n° 180 Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 20 000 francs (…)
[in margine :] Transcrit au bureau des hypothèques le 15 avril 1859 vol. 165 n° 161 Après le décès du Sr André Haussmann arrivé en cette ville le 5 juin 1847, cet immeuble est échu pour moitié à dame Salomé née Nagel sa veuve comparante comme ayant participé pour pareille quotité à la communauté de biens qui a existé entre eux aux termes de leur contrat de mariage passé contrat de vente Me Wengler le 16 juillet 1806 et l’autre moitié du même immeuble est échu aux trois enfants et seuls héritiers les dame Frick, veuve Bürck et Sr Jean Frédéric Haussmann vivant tripier, ainsi qu’il est constaté dans un intitulé d’inventaire dressé après le décès dudit M Haussmann père le 28 septembre 1847. Le Sr Jean Frédéric Haussmann est lui-même décédé en cette ville le 6 juillet 1857 en laissant pour seul et unique héritier son fils Jean Frédéric Haussmann issu de son mariage avec dame Barbe née Meyer aujourd’hui sa veuve ainsi qu’il est constaté dans l’intitulé de l’inventaire de sa succession dressé par M Grimmer notaire en cette ville le 9 septembre 1857. Par suite de ces diverses mutations l’immeuble présentement vendu appartient aujourd’hui pour moitié ou 3/6 à Mme veuve Haussmann et pour l’autre moitié ou chacun pour 1/6 aux De Bürck, Frick et au mineur Jean Frédéric Haussmann.
Mr Rhein a lui-même fait l’acquisition de ladite maison durant la communauté de biens qui a existé entre lui et dame Anne Madeleine Ziegenhagen sa défunte épouse du Sr Antoine Loir, ancien négociant, et dame Constance Hubertine Kuppelmeyer, conjoints demeurant à Strasbourg, suivant contrat passé devant Me Daniel Ehrenfried Stoeber, alors notaire à Strasbourg le 26 novembre 1807. Et M. Rhein est devenu seul propriétaire dudit immeuble comme ayant été institué légataire universel de ladite deme Rhein née Ziegehagen, décédés snas laisser d’héritiers à réserve, aux termes de son testament mystique en date à Strasbourg du 6 octobre 1838 dépose en l’étude dudit Me Becker suivant acte de suscription dressé par lui le même jour ouvert par M le Président du tribunal civil de Strasbourg (…) Par ordonnance rendue par Mr le président dudit tribunal le 26 décembre 1840, Mr Rhein a été envoyé en possession de tous les biens meubles et immeubles dépendant de la succession de sa défunte épouse. L’établissement de la propriété du même immeuble se trouve encore consigné dans 1) un contrat de vente passé devant Me Laquiante, notaire à Strasbourg le 24 fructidor de l’an VIII, 2) un contrat de vente passé devant le même notaire le 14 ventose l’an VIII, 3) un contrat de vente passé devant Me Dinckel le 8 prairial an III, 4) un contrat de vente passé devant le même notaire le 19 Messidor de l’an IV, 5) un contrat de vente passé à la ci devant chambre des contrats de cette ville le 27 octobre 1787 – Prix 22 000 francs
(…) Affectation hypothécaire. A la garantie de tout recours que les époux Weimer auraient à exercer contre les vendeurs (…) lesdites dames veuve Hausmann née Nagel, Bürck et Frick affectent et constituent en hypothèque spéciale au profit des époux Weimer ce acceptant
les 5/6. leur appartenant dans une maison avec cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Austerlitz n° 26 autrefois N° 23 tenant d’un côté à la brasserie de la ville de Vienne, de l’autre formant le coin de la rue des jardins par devant la place et par derrière la rue des jardins. (…) Cet immeuble dépendant également de la communauté de biens qui avait existé entre feu M André Haussmann et dame Salomé Nagel (…)
acp 477 (3 Q 30 192) f° 44 du 28.3.

Fils de boucher, Jean Chrétien Weimer épouse en 1839 Julie Christmann, fille de tonnelier
Mariage, Strasbourg (n° 395)
Du 12° jour du mois d’octobre 1839, Acte de mariage de Jean Chrétien Weimer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 1 novembre 1811 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, ferblantier, fils de feu Georges André Weimer, boucher décédé en cette ville le 17 novembre 1820 et d’Anne Barbe Kern domiciliée ne cette ville ci présente en consentante, et de Julie Christmann, majeure, née en légitime mariage le 20 avril 1817 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu Jean Philippe Christmann, tonnelier décédé en cette ville le 7 avril 1832 et de feu Madeleine Dorothée Dürr décédée en cette ville le 21 mars 1832 (signé) Weimer, Christmann ( i 26)



107, Grand rue


Grand rue n° 107 – IV 281 (Blondel), N 944 puis section 59 parcelle 90 (cadastre)

Maison Rhein (1867)

Grand rue 107 (juillet 2016)
Aspect en juillet 2016. Les trois étages datent de 1867, le rez-de-chaussée a été transformé en 1922

Située dans la partie basse de la Grand rue près de l’auberge à l’Aigle noir, la maison appartient à des artisans, un huilier puis des tonneliers, Jean Schœttel de 1641 à 1671, Jean Lobstein et son fils de 1671 à 1748. Elle comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière reliés par un passage, sans doute une galerie, au-dessus duquel se trouve le logement militaire. Le propriétaire est autorisé en 1715 à surélever de deux pieds son encorbellement qui a 31 pieds de long et 2 pieds 11 pouces de large. La maison appartient ensuite au boutonnier Joseph Bonnard natif du Dauphiné (1753-1788) puis au tailleur Louis Goucheron qui fait repeindre en 1788 son encorbellement en contravention aux règlements en vigueur.

149 Elévations a-b
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 149
partie entre la rue du Savon (a) et la rue Sainte-Barbe (b)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois à encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la cinquième à gauche du repère (b) : le rez-de-chaussée comprend deux arcades, une de part et d’autre de la porte d’entrée, quatre fenêtres s’ouvrent à chacun des deux étages, la toiture a trois niveaux de combles. Dans la cour R, (5-6) représente l’arrière du bâtiment sur rue, (1-2) le bâtiment au fond de la cour. Le hangar (6-1) se trouve sur la gauche de la cour, le bâtiment en L (2-3-4-5) sur la droite.
La maison porte d’abord le n° 139 (1784-1857) puis le n° 107.

149 Cour RGrand rue 107 (1889)
Cour R
Bâtiment à gauche de la cour (1889, dossier de la Police du Bâtiment)

Le plombier Auguste Rhein fait démolir en 1867 les deux étages en encorbellement et les remplace par trois nouveaux étages. Joseph Stürmer fait construire en 1889 sur la gauche de la cour un bâtiment latéral servant de cuisine et de bûcher. Les deux anciens magasins de part et d’autre de l’entrée principale sont réunis en 1922, l’entrée déplacée sur le côté droit. Le local agrandi est une fromagerie (Bernhard, 1922-1962) puis un magasin de confection pour hommes (Henri Meria, 1964-1992).

Grand rue 107 (1922)Grand rue 107 (1941)
Rez-de-chaussée avant et après les transformations de 1922
Photographie de 1941 (dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2016

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1630 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Georges Fritsch, huilier, et (1627) Susanne Eberlin – luthériens
1638 h Martin Füssinger, cordier, et (1638) Susanne Eberlin veuve de Georges Fritsch – luthériens
1641 v Jean Schœttel, tonnelier, et (1627) Sybille Schrag – luthériens
1671 v Jean Lobstein, tonnelier, et (1671) Marie Salomé Bær – luthériens
1700 h Jean Lobstein, tonnelier, et (1700) Anne Marie Klein puis (1727) Susanne Salomé Müller, veuve du tonnelier François Guthmann – luthériens
(1744, donation à) Jean Lobstein, tonnelier, et (1744) Marie Salomé Affel
1748 v Jean Raoul Dinckel, notaire, et (1736) Marie Madeleine Braun – luthériens
1749 v Pierre Gayneau, sellier, et (1733) Marie Madeleine Hammer – catholiques
1753 adj Joseph Bonnard, boutonnier, et (1741) Anne Marie Hammerer – catholiques
1788 v François Louis Goucheron, tailleur, et (1786) Marie Dorothée Roth – catholiques
1868* Auguste Rhein, plombier
1890* Joseph Stürmer, commerçant, et Jeanne Klee
1921* Joseph Edouard Bernhard, commerçant, et Emilie Feurstein

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 025 livres en 1700, 1 400 livres en 1727, 1 200 livres en 1743 et 1 250 livres en 1785

(1765, Liste Blondel) IV 281, Joseph Bonard
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 944, Goucheron, François Louis, les hér. – maison, sol – 3,2 ares (3,00)

Locations

1727, Jean Georges Flach, étudiant en droit
1730, Benoît Pernin, employé dans les magasins des grains du Roi
1747, Michel Martin, maître d’armes
1754, Pierre Joseph Noël, doreur
1804, François Cherrier, blanchisseur, et Elisabeth Herzog
1804, François Antoine Willig, employé des chantiers municipaux
1807, Catherine Deckert veuve de Jean Weber, cuisinière de l’évêque
1808, Michel Daniel Zig, garçon pelletier
1840, François Xavier Zimmermann, ferblantier

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Directeurs fonciers (Bauherren)

1715, Directeurs fonciers (VII 1386)
Le tonnelier Jean Lobstein est autorisé à surélever de deux pieds son encorbellement qui a 31 pieds de long et 2 pieds 11 pouces de large

(f° 139-v) Montags den 18. Februarÿ 1715. Johannes Lobstein pt° erhöhung seines Überhangs
Johannes Lobstein, der Küeffer, haltet umb erlaubnus an, den an seiner neben dem Würthshauß Zum schwartzen Adler in der Straßen gelegenen behausung habenden Überhang, der 2. schuhe 11. Zoll breit und 32. schuhe lang ist, umb 2. schuhe erhöhen Zulaßen. Weilen mann nun beÿ gestrigen tags alda eingenommenen augenschein befunden, daß ich solches gar wohl thun laße, alß ist demselben in seinem begehren willfahrt worden.

1788, Directeurs fonciers (VII 1423)
Le tailleur Louis Goucheron et le maître maçon Müller comparaissent devant les directeurs fonciers pour avoir fait repeindre la façade en encorbellement. Le maître maçon déclare avoir averti le propriétaire qu’il est interdit de repeindre une telle façade sous peine d’amende. Le propriétaire déclare qu’un soldat qui a repeint son poêle a aussi repeint pendant son absence la façade en couleur claire, ce qui lui donne un meilleur aspect, d’autant qu’il est jeune et n’a pas les moyens de faire des travaux. Les préposés infligent une amende au propriétaire et exigent qu’il fasse repeindre l’encorbellement en une couleur sombre.

(f° 87) Dienstags den 10. Junii 1788. Sr Louis Goucheron Schneider.
Sr Louis Goucheron, der Schneider, und Herr Rathherr Müller, deßen Maurer, wurden vorbeschieden Weilen die Kreutz stöck an dem Überhang seiner in der langen Straß N° 139. nach besag des von Alexandre Colin dem Commis den 7. huius reparirt und angestrichen worden. Beede Citati Zugegen, sagt Herr Rathherr Müller, Er habe an dem Überhang nicht nur nichts gemacht sondern annoch Sr Goucheron beditten, daß es bei Straf verbotten seÿe, etwas daran machen zu laßen. Sr Goucheron sagt zu seiner Verantwortung, daß durch den Soldaten, so die Stub angestrichen, auf Ansuchen seiner Ehefrauen, wehrend seiner Abwesenheit die Kreutz stöck angestrichen worden, um der behausung beßer Ansehen Zu machen, weilen sich dermalen als ein junger Mann noch nicht im Stand befinde eine façade aufzuführen. Erkannt Seÿe Herr Rathherr Müller von gegebener Assignation Zu absolviren. Beklagter Sr Goucheron aber in drei Gulden Straff zu condemniren anbei anzuhalten die angestrichenen Kreutzstöck an dem Überhang miteiner duncklen alten (*) gleichenden Farb überstreichen zu lassen.

Description de la maison

  • 1700 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, une chambre à vinaigre, un atelier, une cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 500 florins
  • 1737 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, une chambre d’officier, plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, atelier, cave en partie voûtée en partie solivée, un four et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 800 florins
  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un poêle vers la cour, une cuisine, un cabinet, une cave voûtée, à l’étage un poêle, une chambre, cuisine, cabinet et vestibule, deux chambres dans le comble, il y a en outre une cour, un puits, une chambre à vinaigre, un chaudron à lessive, un bûcher, au-dessus de la galerie deux chambres pour l’officier et son domestique, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 400 florins
  • 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux boutiques, plusieurs poêles, cuisines et chambres, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave voûtée, une cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 46 / 139
Goucheron
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 274 case 4

Goucheron, héritiers de François Louis à Strasbourg

N 944, maison, sol, grand’rue 139
Contenance : 3,00
Revenu total : 181,56 (180 et 1,56)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 890 case 1

Goucheron François Louis les héritiers
1868 Rhein Auguste plombier
1890/91 Stürmer Joseph, Kaufmann
(ancien f° 638)

N 944, maison, sol, Grande-rue 107
Contenance : 3,00
Revenu total : 181,56 (180 et 1,56)
Folio de provenance : (274)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1868
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33
fenêtres du 3° et au-dessus :

N 944, maison
Revenu total : 492,56 (491 et 1,56)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 22 / 18
1868, Diminutions – Goucheron F.çois Louis héritiers f° 638, N 944, maison, revenu 180, démolie en 1866, supp. en 1868
1870, Augmentations – Rhein Auguste f° 638, N 944, maison, revenu 491, nouvelle construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870

Cadastre allemand, registre 32 p. 375 case 5

Parcelle, section 59, n° 90 – autrefois N 944
Canton : Lang Straße Hs N° 107
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
Contenance : 2,29
Revenu : 3800 – 5200 – 4900
Remarques : 1910 – Berufung

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 3552
Stürmer Josef
1920 Stürmer Joseph Kaufmann & Ehefrau Johanna geb. Klee
1921 Bernhard Joseph Edouard commerçant et son épouse née Feurstein
gelöscht 1921)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 160
Becker Peter
1920 Bernhard Joseph Eduard Kaufmann zu ½ & Ehefrau Emilie geb. Feurstein zu ½
1921 Bernhard Joseph Edouard commerçant et son épouse Emilie née Feurstein
(776)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades (p. 203)

n° 139
pr. Coucheron, Tailleur – Tailleurs
loc. Reeb, Jean, Graissier – Moresse
loc. Holdermann, Joseph, Peruquier – Vignerons
loc. Schwing, Lt. ez Loix – (-)
loc. Rieger, Veteran – Manant
loc. Kaeshammer – Echasses

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 99)

(Haus Nr.) 107
Stürmer, Lotterie-General-Agent, Zigarren- und Tabakhandlg. E 01
Lambert, Friseurm. 0
Feuerstein, Wärterin. 2
Feuerstein, Näherin. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 203)

Grand rue n° 107 (I, 1863-1992)

Le propriétaire fait démolir en 1867 ses deux étages en encorbellement et les remplace par trois nouveaux étages. Joseph Stürmer charge en 1889 l’entrepreneur Greiner de construire un bâtiment latéral servant de cuisine et de bûcher sur la gauche de la cour, entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière. Les deux anciens magasins de part et d’autre de l’entrée principale sont réunis en 1922, l’entrée déplacée sur le côté droit.
L’horloger bijoutier Weiser transfère en 1892 sa boutique du 4, rue des Grandes Arcades au 107, Grand rue. Le propriétaire Stürmer y exploite son commerce de tabac et loteries. Un coiffeur y a son salon (Georges Messner en 1893, Alfred Geckler en 1902). On trouve aussi l’agent de santé Victor Brückmann (1893), le tailleur pour dames Henri Brendel (1901), le bureau de placement Charles Guhmann (1905). La boutique agrandie en 1912 est occupée par le marchand de fromages Bernhard (1922-1962). Le transfert d’un débit de boissons reçoit un avis défavorable en 1962. On trouve ensuite un supermarché puis le magasin de confection Henri Meria (1964-1992).

Sommaire
  • 1863 – Le ferblantier Zimmermann demande l’autorisation de poser un store (1,50 sur 2,30 mètres)
  • 1867 – J. Klein demande l’autorisation de démolir les deux étages en encorbellement et de reconstruire trois étages sur le rez-de-chaussée en maçonnerie selon de croquis joint – Rapport de l’agent voyer, accord
  • 1867 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ cinq becs à la maison dont il est propriétaire
    1872 – Même demande au nom de Loeb, pour environ deux becs
  • 1884 – Les agents de la ville constatent que J. Stürmer a posé sans autorisation une enseigne et un store. Il répond qu’il n’a jamais eu de store – La Ville classe l’affaire
  • 1886 – Dossier transmis par la préfecture. Mme Müller demande l’autorisation d’exposer des casquettes. Accord
  • 1889 – L’entrepreneur Greiner (8, boulevard de la Porte-Blanche) demande au nom du propriétaire Stürmer l’autorisation de construire dans la cour un bâtiment latéral servant de cuisine et de bûcher – Rapport et croquis de l’agent Illinger : le bâtiment se trouve à gauche de la cour entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière – Autorisation de construire un bâtiment latéral à un étage – Travaux terminés, avril 1889 – Dessins sur calque
  • 1892 – Joseph Franchello demande à la préfecture l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire après avoir déménagé du 46 rue du Vieux-Marché-aux-Poissons au 107, Grand rue – La préfecture transmet le dossier à la Police du Bâtiment – Autorisation pour une enseigne déjà posée
  • 1892 – L’horloger bijoutier V. Weiser, anciennement 4, rue des Grandes Arcades, demande l’autorisation de poser une enseigne au 107, Grand rue – Autorisation. L’enseigne en forme de montre fait une saillie de 90 centimètres
  • 1892 (mai) – Le propriétaire Stürmer demande l’autorisation de poser une enseigne en caisson entre le premier et le deuxième étage. Autorisation
    1892 (juin) – Autre demande pour une double enseigne. L’autorisation est accordée après que le pétitionnaire a réduit la saillie à 90 centimètres. L’objet posé avance de 95 centimètres. La Ville classe l’affaire en prenant en compte sa hauteur (7 mètres)
  • 1893 – Dossier suite à un courrier de la préfecture. L’horloger Weiser remplace son store
  • 1893 – Le coiffeur Georges Messner demande l’autorisation de transférer ses trois enseignes du 93 au 107, Grand rue (en forme de plat à barbe) et de poser un store. La Police du Bâtiment demande des modifications (une des enseignes se trouve à moins de 25 centimètres du bâtiment voisin, le store fait une saillie trop importante). Georges Messner fait des objections que l’agent de la ville estime pertinentes à propos de l’enseigne. Le store a été modifié, décembre 1893
  • 1893 – La Police du Bâtiment constate que l’agent de santé Victor Brückmann a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Demande de poser une enseigne de 80 centimètres de saillie à 5 mètres de hauteur – Autorisation. La Police du Bâtiment demande de déplacer l’enseigne trop proche du bâtiment voisin. Brückmann argue que son voisin (Kieffer, 105, Grand rue) a donné son accord. La Police du Bâtiment estime que les objections sont recevables, la façade de la maison Stürmer (débit de tabac) comportant un grand nombre d’enseignes jusqu’au deuxième étage – Accord écrit de Frédéric Kieffer
  • 1901 – Le tailleur pour dames Henri Brendel demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée, janvier 1902
  • 1902 – Dossier suite à la demande du coiffeur Alfred Geckler, successeur de Mallo. Les enseignes sont mises à son nom
  • 1902 – Dossier suite à la demande du coiffeur J. Lambert de placer des inscriptions sur le mur et sur la devanture. Accord
  • 1904 – Le peintre Charles Dick (9, Grande rue de la Course) demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. La préfecture transmet le dossier à la Police du Bâtiment – Autorisation – L’échafaudage a été retiré, juillet 1904
  • 1905 – La Police du Bâtiment constate que Charles Guhmann (bureau de placement) a posé une enseigne sans autorisation – Demande de poser une enseigne ronde en tôle – Autorisation
  • 1908 – Le peintre Charles Dick (16, rue de Molsheim) demande au commissariat l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. La demande est transmise à la Police du Bâtiment – Autorisation
  • 1908 – La Police du Bâtiment constate que J. Stürmer (loteries) a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Autorisation
    1910 – J. Stürmer a accroché une deuxième enseigne à la précédente, croquis – L’agent de placement Guhmann se plaint que Stürmer a posé une enseigne devant sa fenêtre – Stürmer répond qu’il a chargé les serruriers Kapp et Kœhli de poser les enseignes et qu’il a déplacé l’enseigne litigieuse – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire
  • 1912 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de tabac Joseph Stürmer a posé sans autorisation une enseigne plate. Il répond avoir obtenu une autorisation. La Police du Bâtiment ne la trouve pas dans le dossier – Autorisation
  • 1914 – Joseph Stürmer (loterie) demande l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne plate par une enseigne plate sur verre à lettres dorées sur fond noir
  • Commission contre les logements insalubres. 1903, les apprentis du coiffeur ne dorment pas sur place
    1907, les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations
    Commission des logements militaires, 1916, rien à signaler
  • 1923 – Un locataire du troisième étage se plaint des odeurs d’ammoniac – La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée mais que l’odeur devrait disparaître une fois que la nouvelle machine frigorifique sera installée – L’odeur a disparu, septembre 1923
  • 1922 – Le Syndicat de la propriété bâtie de Strasbourg (6, rue Saint-Léon) transmet à la Police du Bâtiment le projet de transformer la devanture du marchand de fromages Bernhard. Les deux anciennes boutiques seront réunies en une seule, la cloison de 15 centimètres sera abattue et l’entrée de la maison déplacée– Autorisation – Travaux terminés, décembre 1922 – Plan (état avant et après travaux)
    1922 – L’entreprise Koch et fils (25, route de Bischwiller à Schiltigheim) demande au commissariat l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant la propriété Bernhard – La Police du Bâtiment donne son accord
    1922 – Le peintre en bâtiment Levy (140, Grand rue) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade– La Police du Bâtiment donne son accord
    1923 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que le marchand de fromages en gros a posé sans autorisation une enseigne plate, une enseigne perpendiculaire et un store – Demande, accord du voisin Frédéric Kieffer (105, Grand rue) – Autorisation
  • 1923 – Le marchand de fromages E. Bernhard demande l’autorisation d’installer une machine frigorifique – L’inspection du travail renvoie le pétitionnaire à la préfecture étant donné qu‘il s’agit d’un établissement de troisième classe – Le préfet remet un récépissé de déclaration en mars 1924 – Plan du local
  • 1927 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de fromages Bernhard a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation
  • 1932 – Le marchand Bernhard demande l’autorisation de suspendre une antenne de T.S.F. entre le 107 et le 124, Grand rue – Accord
  • 1934 – J. E. Bernhard et fils demandent de régulariser une enseigne à double face à poser pendant la journée – Autorisation – Maquette de Camille Kuhn
  • 1934 – La Police du Bâtiment constate que le fourreur André Schott a posé sans autorisation une enseigne de jour – Demande – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire
  • 1938 – J. E. Bernhard et fils demandent l’autorisation de placer une inscription sur le coffre de leur store – Autorisation
  • 1941 (février) – La Police du Bâtiment notifie J. E. Bernhard de supprimer une enseigne sur verre – L’enseigne est supprimée en mars
    1941 (juin) – Le propriétaire Bernhard (domicilié à Bergbiethen) demande l’autorisation que le peintre Guckert (1, rue du parchemin) repeigne la devanture et y appose une inscription – Dessin, photographie – Accord – Travaux terminés
    1942 – Le marchand Bernhard (papier à lettres A la belle fermière, Fromages, beurres, œufs, conserves, J. E. Bernhard et Fils) se plaint que le peintre Gœller (4, rue du Bilstein à Neudorf) ne l’a pas payé – La Police du Bâtiment demande que le marchand Bernhard règle les frais liés à la suppression des anciennes enseignes et inscriptions. Le paiement a eu lieu
  • 1949 – Ch. Gottsmann (12, rue Fritz) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer la toiture
  • 1950 – L’entrepreneur Kleinmann (13, place du Marché à Brumath) est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la façade
    1950 – L’entrepreneur Peter et fils (31, rue Wimpfeling) est autorisé à occuper la voie publique
  • 1950 (novembre) – J. E. Bernhard informe la Police du Bâtiment qu’il a supprimé l’inscription sur le coffre du volet roulant
  • 1954 – Emma Derendinger, gérante du magasin Bernhard, demande l’autorisation de poser une enseigne sur lambrequin – Autorisation
    1955 – L’enseigne en question est supprimée
  • 1959 – La société S.A.D.I.S. demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face sur la façade de l’épicerie Bernhard (Kiravi, votre vin favori), maquette – René Bernhard donne son accord – Autorisation
  • 1960 – R. E. Bernhard et fils informent la Police du Bâtiment qu’ils ont supprimé l’enseigne sur lambrequin
    1962 – René Bernhard informe la Police du Bâtiment qu’il n’est plus locataire du magasin, le droit du store n’est donc plus à sa charge, il ne reste redevable que de l’enseigne perpendiculaire
  • 1962 – L’entreprise de constructions métalliques Joseph Gremmel et Compagnie (239, route se Schirmeck) dépose au nom du propriétaire René Bernhard une demande de permis de construire (section 59 n° 90) – Plan de situation – Transformation du magasin en snack-bar Chez Freddy
    Liste des transformations à faire pour que le local soit conforme aux prescriptions concernant les débits de boissons
    1961 – Le préfet transmet au maire une demande de transfert de licence. La brasserie Schützenberger demande de transférer la licence attachée au débit de boissons Au Bœuf Rouge (12, rue Sainte-Marguerite, démolie) au 107, Grand rue – Le maire émet un avis défavorable en arguant qu’il y a déjà beaucoup d’établissements du même genre dans les environs
    1962 (février) – L’entrepreneur Joseph Gremmel déclare que son client renonce aux transformations prévues
    1962 – La Société des Vins de France renonce à son enseigne sur lambrequin Kiravi
  • 1963 – L’exploitant de la supérette demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées et une inscription sur la devanture – Accord
    1963 – Note. L’immeuble est géré par la société Steiner et Martin
  • 1964 – Le magasin de confection pour hommes Henri Meria demande l’autorisation de poser une enseigne au 107, Grand rue. Dessin (l’enseigne surmonte la devanture)
    1964 – L’entrepreneur Louis d’Andrea (106, rue Parallèle au Neuhof) demande l’autorisation de poser un échafaudage pour recrépir et repeindre la façade
    1967 – Henri Meria est autorisé à poser un store
    1979 – Henri Meria demande une copie de l’autorisation à fournir à son assureur. Il demande la même année l’autorisation de remplacer la toile du store. L’architecte des bâtiments de France émet un avis favorable – Photographie – Autorisation
  • 1979 – Le maire prend un arrêté portant injonction de ravalement
    La société de gérance Steiner et Martin, agissant pour le compte du propriétaire Frédéric Ungerer demeurant 12, rue du Chanoine Grunenwald au Neuhof, demande à bénéficier d’une subvention – Devis de l’entreprise Kratzeisen de Brumath – L’architecte des bâtiments de France émet un avis favorable en donnant des prescriptions
    1980 – L’entreprise Kratzeisen est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
    1981 – La subvention est versée après vérification des travaux et de la facture
  • 1986 – Le magasin Au 107 [Henri Meria] est autorisé à remplacer la toile de son store – Photographie – L’architecte des bâtiments de France émet un avis favorable en donnant des prescriptions – Accord – Travaux terminés, juin
  • 1992 – Henri Meria informe la Police du Bâtiment qu’il a vendu son fonds à compter de juin 1992

Relevé d’actes

L’huilier Georges Fritsch hypothèque sa maison au profit du marchand Georges Sandrat. En marge, quittance donnée à Jean Schœttel en 1645

1630 (5. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 430-v
Erschienen Georg Fritsch der ohlmann, burger Zu St.
hatt in gegensein herrn Georg Sandtraten deß handelßmanns auch burgers alhie alß vogts weÿ: herrn hanß Conrad Kecken geweßenen handellsmanns see. vnd deß Rahts zu heÿdelberg nachgelaßenen Kindern, so anietzo alhie v.burgert – 200 Reichßthaler schuldig seÿ
zu vnderpfand verlegt sein Ohl hauß sampt deßen hoffstat, höfflin vnd hinderhauß, auch Trott vndt allen andern ihren gebäwen, begriffen, weiten, zugehörden, recht, vnd gerechtigkeiten gelegen alhie an der Obern straß, nicht weit von der Herberg Zum Schwartzen Adler, neben den Sturmen hoff, ein: vnd anderseit neben Georg Kuglers deß Kupferschmidts see. witib vnd Erben, hind. vff besagten Sturmen hoff stoßend, welche zuuor noch v.hafftet seind vmb 100. R. St. w. dem Stifft zum Jung. S. Peter, Item vmb 500. lb. weÿ: H Georg Nagels geweßenen Pfarrers zu Dorolßheim Erben
(vide cassaturam in Reg. 1628 fol. 82.)
[in margine :] Erschienen herr Christoph Abri der handelßmann, alß Ehevogt Mariæ Margarethæ Keckhin, V H. Jacob Sandtrath auch handelßmann alß geweßener Vogt vnd ietziger Befelchhab. Hannß Philippß Keckhen, beede H Hannß Conrad Keckhen see. nachgelaßener Kinder vnd Erben hierinngemelt haben in gegensein Hannß Schöttels deß Küeffers alhie, alß ietzigen Innhabers hierinn gedachter Behaußung (quittirten) Actum den 18. Julÿ Anno 1645.

L’huilier Georges Fritsch épouse en 1627 Susanne Eberlin, fille de cordier
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 68)
1627. Den 1. Octobr. Seind nach ordentlicher ausruffung ehelichen Eingesegnet worden Georgius Fritsch der Ohlman vnd Burger alhie Vndt J Susanna h. Johann Peter Eberlins des gewesenen Seÿlers S. hinderlaßene eheliche tochter (i 36)

Devenue veuve, Susanne Eberlin se remarie en 1638 avec le cordier Martin Füessinger, originaire de Durchhausen dans la seigneurie de Konzenberg, près de Tuttlingen, de l’autre côté de la Forêt Noire en Wurtemberg
Mariage, Saint-Nicolas (luth. 201-v, n° 17)
1638. Dom. I. Trinit: 27 Maÿ 1.a vice, Dom 2. Trinit. 3. Junÿ 2.a vice, Martin Füeßinger Von durchhaußen in der Cuntzenberger Herrschafft, der Seÿler, Stephan Füeßinger gewesenen Burgers daselbst hinderlaßener Sohn, Und Susanna Eberlin Georg Fritschen des Ohlmanns vnd Burgers alhie hinderlaßene Wittib. – Mont. 4. Junÿ Zu S. Claus (i 215)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 223) 1638. Domin: I. Trin. 27. Maÿ. Martin Füeßinger, Seÿlern Weÿl. Steffan Füeßingers Burgers vnd Meÿers Zu durchhaußen, Contzenberger herrschafft, hinderlaßener Sohn, Susanna weÿl. Georg Fritschen, Ohlmanns vndt burgers alhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Montag 4. Junÿ St. Niclaus (i 229)

Susanne Eberlin femme de Martin Füessinger et son fils du premier mariage Georges Fritsch vendent la maison au tonnelier Jean Schœttel et à sa femme Sybille Schrag

1641, ut supra [20. Aprilis], Chambre des Contrats, vol. 486 f° 308
(Prot. fol. 29 – Emptio-Venditio) Erschienen Susanna Eberlin, Martin Füesingers des Seÿlers haußfrauw mit beÿstand ietzernants ihres Eheuogts, hannß Peter Eberlins Seilers ihres bruders Und hannß Michel Leichingers des Münsterbeckh alß ihres mit ihrem Vorigen haußwürths Georg Fritschen seel. erzeügten Söhnlin Vogts (v.kaufft)
Hannß Schötteln dem Kieffern Und Sÿbillæ Schragin deßen haußfr welche zugegen mit beÿstand hannß Adolff Schragen des Rathsbotten
hauß, hoffstatt, höfflin sampt dem Stall Und allen andern deren gebäwen gelegen alhie an der Oberstraßen neben dem Sturmischen hoff && hannß Simon Kupffernageln dem Kupfferschmidt hinden Vff die herberg Zum schwartzen Adler stoßend, davon gehnd Jahrs 4. R. gelts Str. Wehr. Vff dem Stifft Zu Jungen St. Peter alhie lößig mit 100. R. ermelter wehr. So dann ist diße Behaußung auch noch Verhafftet Vmb 200. Rthaler in specie Weÿl. hannß Conrad Keckhen seel. Kindern, Item umb 50. Lib. H Adam Schaffners seel. Erben, Item Vmb 45. Lib. Peter Ammerbachs des Meelmanns seel. Erben, Item Vmb 30. Lib. Caspar Mößnern Kürschnern Und dann Vmb 100. lib. Str. hannß Samuel Nageln dem Kieffern – umb 322 Pfund

Le tonnelier Jean Schœttel épouse en 1627 Sybille Schrag, fille de cordonnier
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 46)
1627. den 21. octobr. Hans Schöttel der Kieffer vnd burger alhie vnd J. Sÿbilla hans Schragen des Schumachers und burgers alhie hind. tochter. Eingesegnet den 29. octobr. (i 52)

C’est sans doute le même Jean Schœttel, originaire de Vendenheim, qui devient bourgeois en 1626 après avoir épousé Anne Marie Müller, fille de tonnelier
1626, 4° Livre de bourgeoisie, p. 86
Hannß Schettel Von Vendenheim d. Kueffer empfangt d. Burgrecht Von Anna Maria Petter Mullers deß Kueffers Tochter, Will beÿ den Kueffern Zünfftig sein den 23. Martÿ 1626

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 32)
1626. Hans Schöttel von Fendenheim der Küffer Vnd J. Anna Maria Peter Müller des Küffers und burgers alhie tochter. Eingesegnet Montag d. 13. Martÿ (i 35)

Le tuteur des enfants de Jean Daniel Schœttel, organiste à Lahr, vend la maison 575 livres au tonnelier Jean Lobstein, assisté de son père André Lobstein, aubergiste au Bouc

1671 (11. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 363-v
(Prot. fol. 18. fac. 2.) Erschienen Herr Johann Rheinhard Mader Vergichtschreiber alß Vogt Hannß Daniel Schöttels geweßenen Organisten Zu Lahr nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Johann Lobsteins deß Kieffers, mit assistentz Andres Lobsteins deß Würths Zum Bocks seines eheleiblichen Vatters und Herrn Josiæ Gerners deß handelßmanns
Hauß, hoffstatt höfflin sambt dem Stall mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an der Obern Straßen, einseit neben dem Sturmischen Hoff, anderseit neben Hn Hannß Simon Kupffernaglern Alten Großen Rhats verwanth. hinden uff die Herberg Zum Schwartzen Adler stoßend gelegen – umb 575 Pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Zacharias Hauff burger Zu Lahr alß Ehevogt Mariæ Margarethæ Schöttelin und Johann Daniel Schöttels Huetmachers für sich selsbten, haben in gegensein hierin hemelts Käuffers (quittung) Actum den 20. Aug. 1686

Jean Lobstein se marie quelques jours plus tard avec Marie Salomé Bær, fille de marchand
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 139-v, n° 19)
1671. Domin: Misericordias. Zum 2. mahl Johann Lobstein der Kiefer H Andreß Lobsteins des Würths Zum Böck und Burgers alhier ehel. Sohn, Jfr. Maria Salome, hr Johann Matthiß Bähren des geweßenen handelßmanns u. Burgers alhiie nachgelaßene ehel T. Montags den 15.t May. Münster (i 142)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari mais n’est pas décrite dans l’acte

1671 (23. 8.bris), Me Oesinger (David, 37 Not 22) n° 17
Inventarium und Beschreibung Aller vnd Jeder Haab vnd Nahrung, So der Ehrenhaffte Hannß Lobstein burger vnd Kieffer alhie Zue Straßburg, vnd Fr. Maria Salome Behrin einander inn d. Ehestand gebracht (…) In beÿsein herrn Andres Lobsteins, deß Gastgebers Zue dem bockh alhie, ihres respectivé Vatters vndt Schwähers wie auch Mattis Behren Alß Nächsten Verwanthen, vnd der Frawen noch ohnentledigten Vogts, fleißig Errichtet – so beschehen den 23. 8.bris Anno 1671.
In Einer In derStatt Straßburg in der Straß gelegenen behaußung, so dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständig hatt sich befunden alß Volgt
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 63, Sa. baarschafft 108, Sa. Schuld 3, Summa summarum deß Mannß unveränderten gäntzen guths 174 lb
Sa. der Fr. unverändert. haußraths 70, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. goldener Ring 8, Sa. d. Baarschafft 15 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 332, Sa. der Schuld 6, Summa summarum 443 lb

Jean Lobstein et sa femme Marie Salomé hypothèquent la maison au profit du professeur de droit Gérard von Stœcken

1672 (4. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 302-v
Johann Lobstein der Küeffer und Maria Salome seine eheweib, Und Zwar dieselbe mit assistentz H David Beüters deß ohlmanns und Mathiß Beren des Küeffers ihres noch ohnentledigten Vogts
in gegensein Christmann Kammen deß Seÿlers im nahmen des Edel Hochgelehrten H. Gerhardt Von Stöckhen V.J.D. et Instit. Imperial. Profess. publici – schuldig seÿen 125. lb
Unterpfand, hauß, hoffstatt höfflin, sampt dem Stall mit allen deren Gebäwen & alhier ahne der obern Straßen einseit neben dem Sturmischen hoff, anderseit neben Weÿl. Samuel Kupffernagels geweßenen alten großen Rhatsverwanthens nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff die Herberg Zum Schwartzen Adler stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 475. lb. Kauffschillings rest den Schötterlischen Kindern verhafftet

Jean Lobstein règle un capital assis sur sa maison d’après un acte passé en 1537 devant l’autorité épiscopale

1677 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 676
Herr Johann Jacob Gräff alß Canonicus deß Stiffts Jungen St. Peter und H. Johann Theobald Raÿß der Jünger alß Schaffner gemelten Stiffts und Zue dießer quietanz hierzu insonderheit befelcht
haben in gegensein Johann Lobsteins deß Kieffers
bekannt, daß derselbe, wohlgedachtem Stifft, 100 R. Straßburger wehrung in bahrem Gelt erlegt, und dardurch die iährlichen term. Joh. Bapt. Zu Zinnß Verfallenen 4. R. gedachter wehrung so Er Lobstein Von seiner alhier ahne der Obern Straßen Zwischen dem Sturmischen hoff und Anthoni Ruffier dem Tabackbereiter gelegener behausung Vermög Einer Latinischen pergamentinen sub dato 5. Idus Octobris A° 1537. mit deß bischofflichen hoffs anhangendem Insigel uffgerichteten Zinnßbrieffs schuldig geweßen, abgelöst habe (…) die in deß Stiffts Reg. fol. 125.b befindliche Zinnß Verschreibung zu Cassiren batten und gelobten, wann sich der hieüber außgefertigte Zinnßbrieff im Gewölb befinden wirdt selbigen mit abschneidung des Insigels alß cassirt Zu extradiren

Jean Lobstein est autorisé à continuer à débiter du vin de Moselle. Il est connu pour ne pas frelater sa marchandise, contrairement à la pratique courante. Il demande à être imposé au tarif des cabaretiers, inférieur à celui qu’on lui propose. Quelques mois plus tard, les préposés interdisent à Jean Lobstein et à la veuve Braun de vendre au détail le vin de Moselle aux cabaretiers pour éviter à la Ville un manque à gagner
1689, Protocole des Quinze (2 R 93)
Johann Lobstein pt° Außzäpffung Moßelweins
Weÿl. Herrn XV. Johann Daniel Braunen Frau W. Und Johannes Lobstein, der Kieffer, sollen den Würthen Keinen Moßelwein Maaß oder bouteille weiß verkauffen
(f° 135) Mittw. den 15. Junÿ – Johann Lobstein pt° Außzäpffung Moßelweins
Johann Lobstein, der Burger und Kieffer alhier, per Künast, prod. Undth. Memorial und Bitten, Erk. Vor Obere Umbgeldts Hhn gewießen
pt° Außzäpffung Moßelweins
(f° 143-v) Mittw. den 24. Junÿ – Johann Lobstein pt° Außzäpffung Moßelweins
Herr XV.er Krauth, alß Ober Umbgelds H: laßt jn absen. Herrn XV.er Johann Richshoffers per Hn Schragen referiren, daß Nach deme Johannes Lobstein, der Kieffer, umb continuation des Moßelweinschancks, Und leidentliches Umbgeld gebetten, auch anbeÿ, daß die geweßene Hn Fermiers mit ihme deßwegen tractirt hätten, berichtet, Mann nicht ermangelt habe, Hn Flachen darüber Zu hören, der beditten, daß er deme also, Und ja bekandt were, was Vor Moßelwein die Würth hätten, dießer Implorant aber sich immer auff gute Und pure wahr gelegt, Und ratione pretÿ die leuth Zimlich leidenlich /:jedeme er die große Maaß Umb 6. batzen gegeben:/ gehalten hätte. Sie ihres Orts hätten den ohmen Vor die entrée Und Verumbgeldung auff 15. ß gesetzt. Als mann solches gehört, so habe mann da Für gehalten daß Supplicanten der Fernere schanck also wohl zu gönnen were, Nicht nur wegen seiner person, sondern auch wegen d. Fürnehmen Lauth, so den Moßelwein suchen. Damit aber Kein Unterschleiff damit Vorgehe, so habe mann Vor Nöthig erachtet, ihme Folgende conditiones Vorzuschlagen, 1. daß er die große Maaß außschencken, 2. den Moßelwein pur laßen, 3. selbigen Maaßen, Und nicht ohmen weiß weggeben, 4. wann er wein bekompt, ihn allzeit ordentlich auffnehmen Und taxiren, auch 5. alle quartal die visitation fürnehmen laßen, Und den ohm Zu 15. ß Verumgelden solte, Er habe sich aber über dieße 15. ß geschwehrt, und nur 9. ß, Wie die cabaretiers, Zu geben Vermeint, jedoch darauffhin bedenckzeit begehrt, auch etlich tag also Vorbeÿ gehen laßen, weilen er Aber Nach der hand jm Umbgeld daß er auff dieße Weiß den schanck Nicht mehr Verlange, beditten, so seÿe die sach also Zu nichts worden, Es werde aber Zu bedencken seÿn, Wie Fürterhin deme Zusteuren seÿn werde, daß ein Und and. Burger Nicht heimlich den Moßler wein Maaßen Weiß weggebe, Und daß die Würth dergl. wein allzeit pur haben. Zu Mghh. stellend. Erk. Wird Johannes Lobstein beÿ Seiner erklärung gelaßen, Und fernerer bedacht an die Ob. Umbgeld Hh. gewießen.
(f° 291-v) Mittw. den 23. Xbris – Weÿl. Herrn XV. Johann Daniel Braunen Frau W. Und Johannes Lobstein, der Kieffer, sollen den Würthen Keinen Moßelwein Maaß oder bouteille weiß verkauffen
Obere Umbgelds Herren laßen per herren Schragen reassumiren daß wie Supra fol. 286. wegen des Taxs der Wein, in specie des Moßelweins gehandelt worden, Und anbeÿ berichten, daß als Hn Spielmann der dreÿ des Umbgeldts, Und Hn Flachen der bescheid intimirt worden, sie beditten, daß Weÿl. Hn XV.er Johann Daniel Braunen Frau Wittib und Johannes Lobstein, auff die, Von Mghhn erhaltenen erlaubnuß Moßel Wein außzäpffen, allein auch geschehen were, daß die Würth selbigen beÿ ihnen hohlten, Und Vor die Maaß mehr nicht als 5. batzen, bezahlten, dahingegen, Krafft angeregten Taxs, ihren selbige à resp: 4. 5. und 6. ß zu verkauffen erlaubt were, Wodurch sie ein großes profitirten, die Statt aber an dem Umbgeld Viel leidete, Welche erinnerung Man Vor guth angesehen, dahero ohnmaßgeblich dafür gehalten, daß gedachte Braunischer Frau Wittib, und Johann Lobstein angezeigt werden Könte, daß Sie Fürterhin den Würthen Nicht bouteille, oder Maaß Weiß, sondern Ohmen Weiß Verkauffen sollten, So aber Zu MGhh. ratification gestellt würde. Erk. Beliebt.

Comme Jean Lobstein rechigne à régler l’impôt sur le vin, les préposés lui interdisent de vendre le vin de Moselle
1691, Protocole des Quinze (2 R 95)
(f° 122-v) mittw. den 13. Julÿ – Johann Lobstein Wird der Verkauff des Meßelweins nid.gelegt
Iidem per Hn Schragen daß, Wie Hn Rath. Flachen beditten, es mit Johann Lobsteins, des Kieffers, Verumbgeldung des Moßelweins nicht recht hergehen, jedman er ein gantzes jahr her nicht über 3. lb d Umbgeld gelüffert, da hinhegen die Frau XV. Braunin ein großes abgestattet habe, Und Weilen er während gantzen Ferme nur 14. ohm. angegeben, Und also er sehr schlüpfferig, so habe man mit Mghh. ratificaton dafür gehalten, daß ihme d. Verkauff des Meßelweins maaßen Weiß gäntzllich Nidergelegt werden Könte. Erk. Beliebt.

Les préposés refusent de lui accorder à nouveau le droit de débiter le vin de Moselle bien qu’il se soit inscrit comme cotisant à la tribu des Fribourgeois
1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
(f° 12) Sambstags den 26. Jan. 1692. Johann Lobstein, d. Kieffer Umb erlaubnuß den Moßelwein maaßen weiß außzuzäpffen
Johann Lobstein, d. Kieffer, per Künast, prd. Und.th. Memoriale und Bitten w. j. Umb erlaubnuß den Moßelwein Vornehmen Und Krancken personen Wider maaßen weiß außzuzäpffen, zumahlen er beÿ E. E. Zunfft d. Freÿburger sich geld zünfftig gemacht, Und der Vertrieb Nicht groß seÿe, offerirt vor jedem ohmen einen thaler Umbgels zu zahlen. Begehren abgeleint.

Jean Lobstein est élu assesseur au Conseil de police en remplacement de Jean Keck
1694, Protocole des Quinze (2 R 98)
(f° 95-v) Montags den 7. Junÿ – Polizeÿ gerichts ersetzung. Herr Johann Lobstein wird assessor des Polizeÿ gerichts
Herr Secretarius Schrag proponirt, daß Herr Johann Keck geweßter Beÿsitzer E. löbl. Polizeÿ gericht gestorben, und die ordnung wolle, daß Weilen es Noch I Joh. Baptist deßen stelle Wider ersetzt werde Umb Von ihr außzusitzen diesem Nach Zu Mghh. stündte Ob Nicht der Reg. Herr Ammeister Zu ersuchen, daß E. E. Rath auff nechstkünfftig Mittwoch beÿ 10. ß gesendt werden möchte, da als dann Einer Von der Zunfft der Kieffer da der Verstorbene Zünfftig gewesen, darzu zu erwehlen seÿn werde. Erk. Quod Sic & Und ist den 9. huius darzu erkoßen worden
Herr Johann Lobstein d. Kieffer.

Marie Salomé Bær veuve du marchand de vins Jean Lobstein meurt en 1699 en délaissant huit enfants. Les experts estiment la maison 1 025 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 745 livres

1700 (24.1.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab nahrung und gütere, liegend und vahrender, nichts außgenommen, so weÿland die viel Ehren und tugendsame fraw Maria Salome gebohrne Bärin weÿland deß wohl Ehrenvest und Großachtbaren herrn Johann Lobsteins, geweßenen Weinhändlers und E Löbl. Policeÿ Gerichts gewesenen beÿsitzers und burgers zu Straßburg nunmehr hinterlassene fraw wittib und seeliger, nach Ihrem den (-) nächst Zurückgelegtem 1699.gsten Jahrs beschehenen tödlichen hientritt zeitlichen hinterlaßen – Geschehen in Straßburg, beÿwesend aller Interessenten, vnd angefang. den 24. Januarÿ 1700.
Copia d. seelig v.storb. fr. coram notario et testibus vfgerichteten dispositionis matris inter liberos
Die seelig verstorbene fraw hat ab intestato Zu Erben hinterlaßen alß volgt. 1. die viel Ehren und tugendsamen fraw Mariam Salome Gebohrne Lobsteinin, daß Ehrengeachten herrn Johann Wilhelm Schatzen, Zinngießers und burgers Zu Straßburg, eheliche haußfraw, so beneben erstgedachtem ihrem Ehemann dießem geschäfft beÿgewohnt, 2. die Ehr: und tugendsame fraw Annam Margaretham gebohrne Lobsteinin deß wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn Johann Andreä Jacobi treweÿferigen Pfarrherrens Zu Sarbrücken, eheliche fraw liebste welche beede auch persönlich zugegen gewesen, 3. H. Johann Lobstein, Ledigen Küffer, 4. Jungf. Susannam Lobsteinin, 5. H Andream Lobsteinen, ledigen handelßmann, 6. Joh: Daniel, Zinngieser Jung, 7. Jgf. Mariam, 8. Mariam Magdalenam, In welcher fünff Jüngern Kinder nahmen und zugleich ihrer (-) der wohl Ehrenvest vnd Großachtbare herr Johann Friderich Lobstein Handelßmann v. b. Zu Straßburg alß derselben herr vogt dießer Inventation beÿgewohnt. Alle der seelig verstorbenen frawen hinterlaßenen Kinder und zugleichen theilen Erben

Holtz und Schreinwerck. Auff der bühn, In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. obern stuben, In d. obern stub Kammern, Im hauß Ehren vor d. obern stuben, In d. Kuch beÿ der obern stuben, In der Cammer Lit C. In d. Soldaten Stub, Im haußöhren
Eÿgenthumb ane einer behaußung. It. haußn hoffstatt und hoflein m. allen anderen dero gebäwebn begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßb. an der obern stras 1.s. Lorentz Klopfern dem Groß. uhrenmacher, 2.s Antoni Ruffier tabacbereÿter, hinten vf weÿl. herrn Joh: Philipp Ursini gewes. Oberschreibers vf dem Pfenningthurn seel. fraw wittib und Erben stoßend, so allerdings freÿ ledig und eigen und durch d. Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere krafft deß zu mein deß notarÿ concept geschckten Scheins sub dato 28. Janu: 1700. angeschlag. vor 1025.lb. Darüber vorhanden ein teutscher pergamenten Kauffbrieff m. d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt deßen datum der 11. Maÿ aô 1671. mit N° 1. notirt und dabeÿ gelaßen. Darbeÿ sieben unterschiedlichen alte pergamentener Kauff: und abgelößte Zinnß verschreibungen alles in einem paquet zusammen gebunden.
Abzug über dießes Inventarÿ. 1. haußraths 135, 2. Werckzeugs 58, 3. Wein, Eßig v. lähren vaß 321, 4. früchten vf dem Kasten 10, 5. Silber geschirr und Geschmeid 66, 6. Guldenen Ring 10, 7. baarschafft 52, Eÿgenthumb an j. behaußung 1025, 9. Pfenningzinß hauptgüter 939, 10. Schulden 305, Summa summarum 2745 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2745. lb
– Abschatzung. Donnerstags d. 28. Januari 1700. Weillandt der Vill Ehr Vnd Tugendsahmen fraw Maria Sallome Lobsteinin See: hinder laßene Erben behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Straß Ein seits Neben Maister Lorentz Kleber dem Vhren Macher, ander seitzs neben H Antoni Ruffier dem tabackh Macher, hinden auff herrn Orsinius See: wüttib Vnd Erben Stoßend, Welche behaußung sampt hinder gebeÿ Neben Gang und ößig Kammer Werckstatt höfflin vnd bronen, auch überigen begriff Zugehöhr vnd gerechtigkeit wie solches durch die geordnete Werckhleuthe in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen vor Zweÿ Taußend Vnd Vünffzig Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuthe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

La maison revient à son fils Jean Lobstein qui épouse en 1700 Anne Marie Klein, fille de maréchal ferrant

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 95)
1700. Domin: IV post Epiphan: et Septuages. proclamati sunt Johann Lobstein der Kiefer alhier Weÿl. Hr. Johann Lobstein, geweßenen Kieffers V. Weinhändlers W. beÿ Es löbl. Policeÿ gericht alhie alten Beÿsitzers nachgel. H sohn, u. Jfr. Anna Maria hrn David Klein deß huffschmidts V. burgers alhie ehl. tochter, Copulati sont Mittw. d. 10. Februarÿ [unterzeichnet] Johannes Lobstein Alß hochzeider, Maria Kleinin Alß hochzeidrin (i 97)

Les jeunes mariés font dresser quelques mois plus tard un codicille réciproque
1700 (27.12.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 12)
Codicillus Reciprocus – persönlich kommen und erschienen seind, der wohl Edelgeachte Herr Johann Lobstein und beneben Ihme die Viel Ehren und tugendreiche fraw Maria gebohrne Kleinin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, beede von dem Gnaden Gottes annoch auffrecht, gesund, gehend und stehender leiber, auch völligen verstandts undt vernünfftiger rede
(…) alß wollen Sie einander den völligen Usum fructum, Wÿdemb und nießbrauch sambtlicher Ihrer verlaßenschafft, jetziger und Künfftiger, nicht alß Kundliche Schulden daran außgenommen, reciproce hiemit verschafft, vermacht (…)
Geschehen in d. Königlichen Statt Straßburg, in Einer in dem Meÿkäffergäßlein gelegenen von mir dem Notario bewohnenden behaußung den 27.ten Decembris 1700. nachmittag Zwischen 4. et 5. Uhren, war ein Montag [unterzeichnet] Johannes Lobstein, Maria Kleinin

Jean Lobstein s’inscrit pour faire son chef d’œuvre le même jour qu’il demande au nom de sa sœur, mariée à un pasteur de Sarrebruck, de s’inscrire à la tribu des Tonneliers
1696, Protocole des Tonneliers (XI 392, 393)
(f° 45) Monntags den 26. Novembris Anno 1696. ward das Zweÿte Vaßgericht gehalten und volgendes verhandelt worden
Johannes Lobstein erscheint im Nahmen Seiner Schwester Frauen Annæ Margarethæ Lobsteinin, so ane H. M. Andreas Jacobi Pfarrern Zu Sarbrücken verheurathet, bittet weilen Sie hier das burgerrecht erhalten will, Sie beÿ dieser Ehrsamen Zunfft als eine Zünfftige anzunehmen. Erkannt, auff vorgewiesenen Stallschein vom 16. 8.bris 1696., so von den Herren dreÿern der Statt Stall unterschrieben, und auff Erlag der Gebühr so 10. ß 6 d Willfarth.
Idem bittet auch Ihn zum Meisterstück einzuschreiben, Erkannt, auff Erlag der gebühr so 1. lb 10 ß Wurde Ihme Willfahrt.

Jean Lobstein présente son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits. Il est reçu maître tonnelier
(f° 58-v) Sambstags den 11.ten Maÿ Anno 1697.
Hatt Johannes Lobstein, der Ledige Kieffer von hier gebürtig, weÿ: herrn Johann Lobsteins gewesenen Kieffers vnd burgers alhier seel. ehelich hinderlaßener Sohn, in gegenwarth Ihro hochweißheit deß Hn Obmann vnd der 3. Hhn Schauern, sein Meisterstück Zum drittenmahl schauen laßen, vnd wurde durch die Hh. Schauere referirt, daß Sie es in der Ersten Schau, in guter form und spitzung befunden, außer daß es etwas ohnfleißig gestreifft war, so Sie aber in der andern Schau Verbeßert angetroffen, in der andern Schau befunden Sie Zwar die böden vmb etwas, absonderlich den hindern Zue groß, deme Er aber wohl geholffen, jn der Letzten Schau war daß Vaß Wohlabgebunden, vnd sauber außgemacht, allein befande sich an dem Vordern theil in einer daugen in dem Kopff ein Schlifern so Zwar deß Arbeiters Schuld nicht ist, vnd auch dem Vaß an sich selbsten Keinen schaden bringet, allein wäre Zierlicher Wanns nicht wäre, im übrigen weilen daß faß für ein Meisterstück wohl passirlich alß ist derselbe Von den Herren Schauern, für einen Meister erkandt und auch solchergestalten Von dem Hn XV.er darzu confirmirt worden.

Jean Lobstein devient tributaire chez les Tonneliers en mars 1700
(f° 176) Dienstag den 2. Martÿ Anno 1700. Wurde ordinari Gericht gehalten und darbeÿ Verhandelt wie folgt
Mr Johann Lobstein, producirt burger: Schein Von der Statt Stall, Sub dato 29.t Jan. Anno 1700 und bittet mithin Ihme das Zunfftrecht alß leibzünfftiger gegen der gebühr Zukommen Zu laßen, erkandt und angenommen, erlegt gebühr, alß eines Zünfftigen Sohn 10. ß 6 d und für die Zu denen feuer Eÿmern Verordneten 10. ß d

(f° 357) Dienstags den 3. Martÿ Anno 1705. wurde Kauffgericht gehalten und dabeÿ verhandelt wie volgt.
Johannes Lobstein Kieffer klagt wider seinen Knecht Johann Conrad Rudolph (3. p.)

André Dürrbach se plaint que Jean Lobstein a conseillé à une femme d’orfèvre un paysan qui lui a livré du vin et s’est chargé de remplir les tonneaux. Le conseil lui demande de se charger lui-même du travail à l’avenir
(f° 383-v) Montags den 30. Novembris Anno 1705 – Eodem die ist beÿ gehaltenem dritten Vaß Gericht verhandelt worden wie volgt.
Meister Andreas Dürrbach alß Cläger Ctra Johann Lobstein beklagte, meldet es seÿe ohngefähr 6 wochen, daß Fr. Bittnerin die Goldschmidtin Ihne angesprochen, Sie habe Lähre Vaß in dem Keller, Wann Er also bauren wißte die Wein herein flehen wolten, so solte Er Ihro solche Zuweißen, Welches er auch gethan, und Ihro bauren Zugewießen und selbigen auch den Wein hinunder gethan, allein der baur habe nachgehendts noch mehr Wein gebracht, und alß der baur nach deß Kieffers hauß gefragt, habe deß Goldtschmidts Magd Ihme Zu Lobstein geschickt, Welcher dann dem bauren den Wein hinunder gethan, derowegen Er Klagte, daß weilen Er dem bauren den Keller Zugewießen und den Ersten Wein hienunder gethan daß auch Ihme die fernere Arbeith gebürte.
Beklagter præsens replicirt Er hätte nichts darumb gewußt, Wann der baur nicht Zu Ihme gekommen wäre und begehrt hätte, daß Er Ihme den Wein eintäuchlen solte, Er seÿe Zuvor Kieffer in bemeldem Keller geweßen hoffet demnach daß Er befunt geweßenen deß Bauen Anmuthen Zu Willfahren.
Erkandt daß ein Jeder Waß er hienunder getäuchelt auch ins Künfftig ablaßen und füllen solle.

Jean Lobstein demande l’autorisation d’employer, outre les deux apprentis habituels, son beau frère pour qu’il puisse s’exercer dans son métier
Tonneliers (XI 393) (f° 161-v) Dienstags den 26. Julÿ Anno 1712 alß beÿ gehaltenen Ordinari Gericht Wurde folgendes Verhandelt
Meister Johannes Lobstein der Kieffer stehet Vor und bittet Ihme Zuerlauben über seine bereits habende Zween Knecht Vorgedachten Johann Georg Kleinen als sein Schwager beÿ Ihme Zweÿ faß umb sich zu exerciren Zumachen, Erkandt und mit der Condition Willfarth, daß erwehnter Klein Ihme Lobstein über die Zweÿ faß Weder im Keller noch Zu hauß einige Arbeith Zumachen macht haben widrigen fals Er Lobstein in der Straff seÿn solle.

Jean Lobstein se plaint de son apprenti Philippe Feigler qui dilapide ses biens et manifeste peu d’entrain au travail. Le tuteur de l’apprenti l’a déjà menacé de le placer à la maison de correction. L’apprenti déclare ne plus avoir envie d’apprendre le métier. Le Conseil lui fait remarquer qu’il peut se former à un nouveau métier qui aura lui aussi des difficultés, mais qu’il devra alors reprendre toute sa formation. L’apprenti déclare alors qu’il continuera son apprentissage en cours.
(f° 220) Dienstags den 13. Martÿ Anno 1714. als beÿ gehaltenem ordinari Gericht, wurde Verhandelt, Wie Volgt
Mstr Johannes Lobstein, der Kieffer Klagt wieder Joh: Philipp Feigler seinen Lehrjung, meldet daß der Jung seidene band auß einem Laden außgenommen durch seine handschuh Meßer und ander Kleÿdungs stuck Vom Leib Verkaufft und das geld Verspiehlt und Verschenckt habe, und als Hr Faudel sein Vogt und andere seine Verwanthen, Ihme das über Scharff zugesprochen, auch Ihne darinn abgestrafft, darbeneben Ihme getrohen wann Er sich nichts beßern würde, so wolten sie Ihne in d. arbeith hauß setzen. Warüber Er Zwar beßerung Versprochen, Welches Er aber gar schlecht gehalten, In deme Er bald hernach sich Verlauthen Laßen, er wolle sich mit fleiß ein finger von der hand hawen, damit Er nur von dem handwerck käme, deßweg. der Klagende Mstr. beÿ so gestallten sachen den Jung weilen Er Keinen Lust mehr Zum Handwerck hat, Lieber quittieren als Länger behalten wolle, der beklagte Jung welcher nebst H Faudel dem Sattler seinem Vogt zugegen, konnte der anklag nicht in abred sein, meldete der vogt daß Ihm Leÿd seÿ daß sich der Jung nicht beßer auff führet, habe Ihn deßwegen auch schon beÿ E: E: Vogteÿ Gericht vorgestellt, daselbsten Ihme auch scharff Zugeredt worden,
Auff angehorte Klag und verantwortung wurde der Jung befragt, was Er vor mangel an seinem Lehr mstr. hätte, und ob Er mangel an eßen v. trincken habe, Warauff er geantworthet er Könne es Klagen, hat aber dabeÿ beditten daß Er Keinen Lust mehr Zum Handwerck habe, Welchemnach dem Jung. Zugesproch. worden, Nembl. was Er gedächte, daß Er nicht folget in deme er schon ¾ Jahr eingeschrieben seÿe, solte gedencken, daß Er beÿ eines Jedwedern profession etwas Leiden mußte, und wann Er gleich sich resovirte Zu einer andern profession Zugehen, so müßte Er wieder Von Newem 3. Jahr Lernen auff so gethane Zured erklärte sich der Jung mit der hülff Gottes das handwerck folgendts auß Zulernen und Zu folgen.
Erkandt weilen die Klag Von keiner solchen Wichtigkeith daß man den Jungen gleich von dem handwerck stoßen solle, daß der Klagende Meister den Jungen auff sein Wohl verhalten noch ferner behalten , und wann Er ins Künfftige Rechtsmäßige Klag wider den Jungen haben würde, so Kan Er sich ferner wieder beÿ dem Ehrs. Gericht anmelden, da als dann ergeh. soll was recht ist.

Compte que rend le marchand Jean Frédéric Lobstein de la gestion des biens des deux plus jeunes enfants Lobstein depuis le mariage de Marie Madeleine avec le barbier Jean Georges Wœller de Marlenheim
1710 (5. 8.br), Me Rohr (Daniel, 46 Not 25) n° 918
Rechnung Mein Johann Friderich Lobstein handelßmann und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel undt Jgfr. Annæ Mariæ weÿl. Tit. Herrn Johann Lobstein geweßenen weinhändler und E. Löbl. Policeÿ gerichts beÿsitzer auch burgers allhier mit auch weÿl. frawen Maria Salome gebohrner Bärin deßen ehelichen haußfrawen erziehlter Zweÿer noch leediger Kinder, Inhaltend und außweißend was ich vom 1. Maÿ anno 1707 als dem beschluß meiner vorhergehenden Ersten Rechnung biß den 5. Octobris Anno 1710. Ihrentwegen ferner eingenommen undt außgegeben auch sonsten vögtlicher weiße verhandelt habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ
Kurtzer Bericht Zu gegenwärtiger Rechnung gehörig. Nach meiner abgelegten vorigen Rechnung erhellet, daß dazumahlen der Curanden dreÿ geweßen seÿen, dahero zuberichten daß seith deßen die Jüngste Vogts tochter Magdalena sich in Anno 1708. an herrn Johann Geörg Wöller barbierer Zu Marlenheim und burger allhier verheurathet mit welcher ich dann dazumahlen eine aparte ab rechnung beseßen und dieselbe dardurch vergnüglichen contentirt vnd gelüffert (…)

Jean Lobstein loue une partie de la maison à l’étudiant en droit Jean Georges Flach

1727 (10.3.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 195-v
H. Johannes Lobstein weinhändler und Kieffer
in gegensein H. Johann Georg Flach Jurium Candidati
In seiner allhier ahne der Langen: straß, einseit neben weÿl. hannß Jacob haußer tabackhändlers wittib anderseit neben Johann Leonhard Zÿsich dem Chirurgo gelegenen eigenthümlichen behausung, zwo stiegen hoch vornen auff die gaß eine stueb Stuebkammer und Kuchen, Ferner eben daselbst in dem hoff sehend Stueb und Stuebkammer, Mehr dreÿ Stiegen hoch einen Platz zu ohnfegehr dreÿ Fuder holz zu legen, So dann im hindern hauß einen beschlüßigen unterschlagenen Keller – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 40 gulden

Marie Klein meurt en 1727 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 400 livres. La masse propre au veuf s’élève à 964 livres, celle des héritiers à 1 351 livres. L’actif de la communauté s’élève à 890 livres, le passif à 1 770 livres.

1727 (19.5.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 37) n° 963
Inventarium und beschreibung aller der Jeenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und fahrendter, Verändert und ohnveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland die Ehren und tugendsamme Frau Maria Lobsteinin geborne Kleinin des Ehrenhafften und achtbahren H. Johann Lobsteins Kieffers und burgers allhier zu Straßburg geweßene Ehelich haußfrau, nach Ihrem den 9.ten Januarÿ dieses instehenden 1727. Jahrs aus dießer mühesammen Kummervollen und Zergänglichen Welt genommenen tödlichen hientritt, hie zeitlichen verlaßen, welche Verlaßensch. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Wohl Ehrenhafften Vorachtbahren und Kunsterfahrenn herrn Georg Wilhelm Mollen barbierers und Wundartztens burgers alhie Zu Straßb. alß geordnet und geschworenen Tutoris der Verstorbenen Fr. seeligen, mit obgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeugten und hinterlaßenen Vier KK. alß deroselben ab intestato nechster rechtsmäßiger Erben, benantlichen Jungfr. Mariä Salomen, Catharinä Margarethä, Mariä Dorotheæ und Johannis der Lobsteinen Inventirt
Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegenwärtigkeit der Ehren und tugendsamen fr. Maria Salome Schatzin gebohrner Lobsteinin, weÿl. H Joh: Wilhelm Schatzen geweßenen Zinngießers und burgers allhier hinderlaßene Fr. Wittib als deß Wittibers Schwester, Montags d. 17. Maÿ A° 1727.

In einer allhier in der Königlichen Statt Stb. ane der inneren Straßen gelegenen, in diese Verlaßenschafft gehörig und hernach beschriebenen behausung befunden Worden, wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, In der Schwartz tuch Cammer, In der Cammer B, In der Mittleren Stub Cammer, In der Mittleren Stub, Im Haußöhren, In der Cammer C, In der Cammer D, Ins Knechts Cammer, Auff dem Gang, In der Wohnstub
Eigenthumb ahne einer Behaußung (W.) Nembl. eine behaußung, höffl. bronnen und hinderhäußlein, mit Ihren hoffstätten auch übrigen deren gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg, ane der inneren Straßen, oberhalb dem Würthshauß Zum schwartzen Adler genannt, eins. Weÿl. Joh: Jac. hußers deß geweßenen fastenspeishändlers hinterlaßener Wittib, anders. neben H. Joh. Leonhard Zÿßig, dem barbierer und peruquenmacher, hinden auff Tit. H. XV. Elbert stoßend, so gegen Jeedermänniglich freÿ Leedig und eigen, und durch der St. St. geschwornen Werckmeistere Vermög Ihrer Zu dem Conc. gelüfferten schrifftlichen Abschatzung sub dato 23.t Maÿ 1727. angeschl. pro 1400 lb. Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamenten Kbrieff, mit der St. St. anhangendem C. C. Insiegel Verwahrt, deßen datum ist der 11.ten Maÿ A° 1671 m. N. 1 notirt. Darbeÿ ferner Sieben unterschiedliche alte Pergamentene Kauff und abgelößte Zinß Verschreibungen, alles in ein. Pacqueth Zusammen gebund. befund.
Ergäntzung deß Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über des Wittibers zu seiner verstorbenen Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung, durch Weÿl. H. Johann Friderich Schatzen gewesenen Not. publicum in A° 1700 auffgerichtet
– Abschatzung d. 23. May aô 1727. Auff begehren des Ehrenvesten und Vorachtbahren herrn Johann Lobstein Küffer ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg, in der langen straß gelegen, einseits Neben herrn Johann Zisy Perucken macher, anderseits Neben Jacob Hußer gewesenen Kremben seel. hinterlaßenen Wittib, hinden auf H XV. Elber stoßend, welche behausung hinter gebäw Nebens gang, Stuben, officier stub, Kammern, Küchen, hauß Ehren, Werckstatt gewölbter und gebälckter Keller, höffel, brenn offen und bronne sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Tausend und acht hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Wÿdumbs Verfangensch. So Denen dißorts Kinderen und Erben nach Endigung deßelben Eigenthümlich an heim fallet. Es hatt Fr. Anna Maria Kleinin gebohrne Kammin, weÿ: herrn David Kleinen gewesenen Huffschmidts und burgers auch E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers allhier seeligen hinterlaßene Wittib Von demeselben nach innhalt Theil Registers über das Jennige was der Kinder Mutter seel. Von gedachtem Ihrem Vatter seel. in Anno 1713. für einem Neunden Stammtheil in Erbs Weiß bekommen, wie fol. 13. et 14. (…) die allhir ahne der Steinstraßen gelegenen Sterb behaußung Lebens lang Wÿdumbs weiß zugenüßen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers ohnverändertes Vermögen. Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 15, Sa. Lähren faßen 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Eigenthumbs ahne einer behauß. 1400, Erg. (585, Abzug 982, restirt) 398, Summa summarum 1437 lb – Schulden 473 lb Nach deren Abzug 964. lb
Der Kinder und Erben Ererbtes Mütterliches Guth, Sa. hausraths 49, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1, Sa. Goldenen Ringen 5, Sa. der baarschafft 3, Sa. Schulden in das Erb zugeltend 75, Sa. der Ergäntz. (1270, Abgang 54, remanet) 1215, Summa summarum 1351 lb
Das gemein verändert und Theilbar Guth. Sa. haußraths 142, Sa. Werckzeugs Holtz: Reÿff und bänden auch gemachter arbeith Zum Küffer handw. gehörig 57, Sa. Weins, brandenw. Eßig 126, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 42, Sa. der baarsch. 46, Sa. der Schulden 473, Summa summarum 890 lb – Schulden 1770, Compensando 880 lb
Verstallungs und Beschluß summæ Inventarÿ 1345 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 2 700 florins
1727, cote VII 1176 – Livres de la Taille p. 147
Kieffer N° 4246 – Weÿl. Fr. Mariæ gebohrner Kleinin H. Johann Lobstein Kiefers und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfr. Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ößinger.
Concl. fin. Inv. ist Fol. 118.b, 1345 lb 19 ß 3 d
die machen 2700 R. Verstalte 2400. R. alßo Zu wenig 300. R.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird alß von ohnverändertem guht auff acht jahr in duplo à 18. ß, 7 lb 4 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo à 9 ß, 2 lb 14 ß
Extat kein Stallg.
Gebott 2 ß
Abhandlung 1 lb 12 ß 6 s – Summa 11 lb 12 ß 6 d
Auff bitten haben die herren dreÿ nachgelaßen 2 Jahr in duplo und so viel in simplo th. 2 lb 14 ß, rest 8 lb 18 ß 6 d
dt. 6° Aug. 1727.

Jean Lobstein se remarie en 1727 avec Susanne Salomé Müller, veuve du tonnelier François Guthmann : contrat de mariage par lequel le futur époux assure l’habitation viagère à sa femme dans sa maison, célébration
1727 (9. 7.br), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 67
(Eheberedung) entzwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Lobstein, Kieffern, Wittibern und burgern allhier, als dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendbegabten Frauen Susannæ Salome Guthmännin gebohrner Müllerin weÿ: des Ehren und Wohlgeachten herrn Frantz Guthmanns geweßenen Kieffers und burgers allhier seel. hinterbliebener Wittib als der hochzeiterin ane dem andern theil

Siebendens hat der hr bräutigamb zu noch mehrerer contestation der, Zu seiner vielgeleibter frauen hochzeiterin tragenden affection, falls er vor Ihro dießes Zeitliche geseegnen wurde deroselben hiermit zu einem gemeinen lebtägigen und wiederrückfälligen wÿdemb versprochen und Zugesagt, die Obere Wohnung in dem zweÿten Stock seiner ane der langen Straß ohnfern der Saltzmanns gaß gelegenen behaußung bestehend in Zwoen stuben, deren eine auff die Gaß und die andere mit denen fenstern in hoff siehet und daselbst sich befindlichen zwoen stub Cammern, wie auch einer Kuchen, Zwischen solchen beeden stuben und hauß öhren dabeÿ, so dann platz im Keller und platz zum holtz, alßo und dergestalten daß Sie die fraw hochzeiterin vorherbeschriebene Gemach die zeit Ihres Lebens als lang Sie nemblichen in dero Wittiben stand verharren und sich nicht wieder anderwerts oder Zum dritten mahl verheurathen wurde gantz freÿ und ohne einige beschwerden ruhig und ohngekränckt zunutzen, zugenießen, zugebrauchen und zu bewohnen berechtiget seÿn solle, ohngehindert männiglichs, Wabeÿ aber noch ferner wohlbedächtlichen abgeredt und verglichen worden, daß im fall der frauen hochzeiterin obberührter Wÿdembs sitz und genuß nicht mehr anständig seÿn möchte, alß dann des H Hochzeiters Erben schuldig und verbunden seÿn sollen Ihro der frauen braut ane statt solchen Wÿdembs Jährlichen 40 Gulden Zinß – zu Straßburg auff Dienstag den 9.ten Septembris Anno 1727. [unterzeichnet] Johannes Lobsten Als Hochzeiter, susanna salome gutt menin Als hoch zeicherin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 55, n° 213)
1727. Mont. d. 23. 7.bris sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Lobstein der Kiefer, wittber v. b. alhier v. fr. Susanna Salome weÿl. Frantz Guthmanns gewes. b. v. Kiefers nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johannes Lobstein Als hochzeider, susanna sallome gutt menin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. La maison du mari y est décrite de la même manière qu’à l’inventaire après décès de 1727

1728 (8.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 21) n° 211
Inventarium über Des Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Lobsteins Kieffers wie auch der Ehren und tugendreichen frauen Susannæ Salome Lobsteinin gebohrner Müllerin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1728. – welche der ursachen, allweilen deroselben den 9. Sept: 1727. Vor mir unterschriebenem Notario mit einander auffgerichteten Eheberedung austrucklichen Versehen, daß einem jeeden theil seine in die Ehe bringend und wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ, eigen, unverändert und vorbehalten guth seÿe und bleiben – So beschehen in Straßburg in fernerer gegenwart des wohl Ehrenvest Großachtbahren und Kunsterfahrenen herren Georg willhelm Mollen, berühmten chirurgi und wundartzts des Eheherrn Vogts, ingleichem des Wohl Ehrenvest und Wohlgelehren herrn (-) flachen J. Practici und burgers allhier der Fenêtreen erbettenen herren assistenten, auff Donnerstag den 8.ten Aprilis anno 1728.

In einer allhier zu Straßburg ane der langen Straß gelegener dem Ehemann zuständigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden, Wie Volgt
(f° 19) Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Eine behaußung, höfflein, bronnen und hindergebäu mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allh. zu Straßb. ane der langen Straßen, gegen der Rothen Kirch hienüber, oberhalb dem Würthshauß Zum schwartzen Adler, eins. neben weÿl. Joh: Jac. Hußers des gewesenen Fastenspeishändlers hinterlaßener Wittib, anderseith neben H. Joh. Leonhard Zÿßich, dem barbierer und peruq., vornen auff gemelte Straß v. hind. auff Weÿl. H. XIII. Ehlberts Erben stoßend, so freÿ, ledig v. eigen und beÿ weÿl. frauen Mariæ Lobsteinin gebohr. Kleinin des Ehemanns ersterer Ehegattin seel. Verlaßenschafft Inventation den 23.ten Maji A° 1727. durch die allhießige geschworene Herren Werckmeistere taxirt, Warbeÿ es auch dermalen wie wohl ohnpræjudicirlichen wiederumb zulaßen beliebet worden nemblichen pro 1400 lb. Darüber besagt j. teutscher pergament. Kauffbrieff, mit d. Statt Stßb. anhang. Canc. Contr. Ins. Verw. dat. den 11.ten Maÿ A° 1611 mit altem N. 1 notirt. Darbeÿ annoch 7. Verschied. alte Pergamentene Kauff und abgelößte Zinß Verschreibungen, alles in einem pacquet Zusammen gebund.
Wÿdemb Welchen der Ehemann wegen seiner erstern Ehefrauen seel. zugenießen hat. Wie in Ihr beeder geweßter Ehepersohnen den 27.t Dec. A° 1700 Vor Weÿl. herrn Notario Johann Friderich Schatzen seel. auffgerichtetem, Ihro Frauen Lobsteinin seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1727. copialiter einverleibtem Codicillo Reciproco §° 2.do zustehen
Wÿdumbs Verfangenschafft. So Frau Anna Maria Kleinin gebohrne Kammin, weÿl: Hn. David Kleinen, geweßenen Huffschmidts und E. E. Kleinen Raths allhier alten beÿsitzers seel. hinderlaßene Wittib, des H. Lobsteins 4. Kinder erster Ehe Steiffgroßmutter Ihr dieser Kinder halben lebtägig Wÿdembs weiß Zugenießen hat
(f° 24-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung. Sa. haußraths 384, Sa. Werckzeugs Reÿff und holtzes 132, Sa. Wein Eßig und brandenwein wie auch lährer Vaß 288, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 131 Sa. Goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 54, Sa. Eigenthums ane einer behausung 1400, Summa summarum 2393 lb – Und wann hierzu gerechnet wird deßeben ane der haussteuren participirende hälffte 32 lb, So belauffet sich sein des Ehemanns in diße seine Zweÿte Ehe gebrachte Activ Nahrung dem vero pretio nach sammenhafft auf 2426. lb – Schulden 2044, Nach deren Abzug 381 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben. Sa. haußraths 70, Sa. werckzeugs Zum küeffer handwerck gehörig und Vaß 8, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 19, Sa. baarschafft 392, Summa summarum 507 lb – Zurechnen ane gelich hernach beschriebenen haussteuren hoehero gehörige helffte mit 32. lb,daß alßo Ihro der Ehefrauen Völliges in die Ehe gebrachtes Guth sammelthafft dem vero pretio nach anlangt 540. lb
– Zuwißen demnach David Klein der leedige Hueffschmidt Weÿl. H David Kleinen, auch geweßenen Hueffschmidts und E. E. Kleinen Raths allhier akten beÿsitzers sel. hinterlassener Sohn schon Vor Vielen Jahren auff die Wanderschafft sich begeben und man auch schon von langer Zeit her keine Nachricht erhalten können, allwo er seÿn möchte, ob er noch lebendig oder tod seÿe, derowegen dann seine resp° Geschwistrige und Schwester Kinder ihne für verschollen geachtet und um deren Ursach Willen denselben beÿ dem hiesigen löbl. Kleinen Rath außgebürgt (…) Lect. Auff der Statt Stalll d. 22° 9.br. 1728.

Jean Lobstein et Susanne Salomé Müller hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand de cuirs Jean Jacques Bruder

1729 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 274-v
Johannes Lobstein Kieffer weinhändler und Fr. Susanna Salome geb. Müllerin mit beÿstand ihrer geschwistrig Kinder Ehemänner Johann Adam Zinck und Veit Zinck beede brüder Metzgern
in gegensein H. Johann Melchior Vetter Specierers als Vogts weÿl. H. Rathh. Johann Jacob Bruder Lederhändlers dreÿer Kinder letster Ehe Johann, Margarethæ Salome und Johann WIllhelm der Bruder – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit neben Johann Michael Klopffer dem Musico anderseit neben Frantz haußer dem Silberarbeiter hinten auff. H. XV Johannes Ellwert und das Closter zu St Barbara

Jean Lobstein loue une partie de sa maison à Benoît Pernin, employé dans les magasins des grains du Roi

1730 (21.11.), Chambre des Contr ats, vol. 604 f° 498
Johannes Lobstein der Kieffer und weinhändler
in gegensein H. Benoist Pernin Employé dans les magasins des grains du Roy allhier
In seiner ahne der Langen straß einseit neben Johann Michael Klopffer dem Musico anderseit neben H. Johann Jacob häußer Silberarbeiters gelegenen behausung, zwo stiegen hoch vornen auff die gaß Eine stueb und stuebkammer und eben daselbst hinden auff den hoff Eine Stueb und Kammer, darzwischen ein Kuchen, haußöhren und kleine Kammer, dreÿ stiegen hoch eine kleine kammer einen ohnbeschlüßigen platz zum holtz einen besondern unterschlagenen platz im Keller gemeinschaftlichen gebrauch des hoffs Bronnens, Bauchküche und Profeÿ – auff 2 nacheinander folgenden jahren anfangend von weÿnachten fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 45 gulden

Jean Lobstein et Susanne Salomé Müller hypothèquent la maison au profit du diacre Jean Jacques Heuss

1742 (29.5.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 253-v
Johannes Lobstein der kieffer und Susanna Salome geb. Müllerin mit beÿstand Johann Adam Zinck des metzgers und Martin Schwindt des kieffer beede ihrer geschwistrig ehemänner
in gegensein H. M. Johann Jacob Heuß diaconi senioris beÿ der Neuen od. Prediger: Kirch – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Obern straß, einseit neben Frantz Haußer dem silberarbeiter, anderseit neben weÿl. H. Prof. Saltzmanns Fr wittib, hinten auff H. Goll dem handelsmanns und consorten – ihme H. Lobstein als ein vätterliches erbguth

Susanne Salomé Müller meurt en 1743 sans enfant après avoir institué pour ses héritiers les enfants issus du premier mariage de son mari. Les experts estiment la maison 1200 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 547 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1 773 livres, le passif à 2 396 livres.

1743 (24.1.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 361) f° 125
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendsahmen Frauen Susannä Salome Lobsteinin, gebohrner Müllerin, des Ehren: und Wohl Vorgeachten herrn Johann Lobsteins, des ältern, Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier zu Straßburg geweßener ehelicher Haußfrauen nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1743. – als dieselbe Sambstags den 12.ten dießes Monaths Januarÿ dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der seelig Verstorbenen per Testamentum Verlaßener und gleich nach dießem Eingang benahmbster Erben – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 24. Januarÿ Anno 1743.
Die Abgeleibte seelige hat Zu Ihren Erben per Testamentum Verlaßen, wie folgt. 1. Frau Mariam Salome Strohlin gebohrne Lobsteinin, Hn Johann Jacob Strohlen, des Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers in Bischweÿler eheliche haußfrau, welche allhier ohnverburgert, dahero mit assistentz S. T. Hn Gottfried höhlers des Spithalwagners und E: E: Kleinen Raths jetzig Wohlverdienten Beÿsitzers, als aus Ehrengedachten Kleinen Raths Mittel (…) zu dießem geschäfft in specie abgeordneten Hn Deputati hiebeÿ erschienen, 2.do Frau Catharinam Margaretham Hohlweinin gebohrne Lobsteinin Johann Philipp Hohlwein, des Sattlers und burgers allhier so dermahlen in Königlichen Frantzösischen diensten unter dem Regiment la Reine Cavallerie engagirt Ehefrau, Welche mit beÿhülff Hn Johann Friderich Schäffers des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris ad Lites in Persohn dem geschäfft abwartete. 3.do Frau Mariam Dorotheam Dürbachin gebohrne Lobsteinin, H Johann Jacob Dürbachs des Schloßers und burgers allhier eheliche haußfrau, welch mit assistentz besagten Ihres Ehevogt Persönlich dem geschäfft beÿgewohnt, So dann 4.to Johann Lobstein den jüngern Ledigen Kieffer so 24. Jahr alt dahero majorennis und mit beÿhülff Hn Ernst Friderich Moßeders des handelßmanns und burgers allhier seines noch ohnentledigten Vogts in persohn Zugegen geweßen. Alßo alle Vier des hinterbliebenen Wittibers in erster Ehe mit weÿl. frauen Maria gebohrner Kleinin seel. ehelich erzeugter Kinder und der Defunctæ Zu vier gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß Liegenden in diße Verlaßenschafft gehörige behausung befunden Worden, wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Cammer über der Wohnstub, In der obern vordern Cammern, In der Wohnstub, Im Ladenstübel
Eigenthumb ane einer Behaußung (W.) Eine behaußung, höfflin und hoffstatt sambt bronnen und hinder gebäu, mit allen übrigen deroselben gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg, ane der Langen Straß gegen der rothen Kirch hinüber, oberhalb dem Würthshauß Zum schwartzen Adler, einseit neben herrn Johann Jacob hußer dem Silberarbeitern anderseit neben weÿ: herrn Johann Saltzmanns, Medicinæ Doctoris et Professoris publici auch Capituli Thomani Canonici nunmehr seel. hinderlaßener Frau Wittib, hinden auf Herren Goll, Divoux und Cochnat, alle dreÿ handelsgemeinere stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeistere) laut überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 29.ten Januarÿ 1743. angeschlagen pro 1200. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel Verwahret, datirt den 11.ten Maji Anno 1611 mit altem N° 1 notirt. Darbeÿ annoch Sieben Verschiedene alte pergamentene Kauff und abgelößte Zinß Verschreibungen alles in einem pacquet Zusammen gebunden.
Ergäntzung der Erben abgeganenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder durch den zeitlichen todt nunmehro Zertrennter Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch Herrn Johann Daniel Langen Notarium publicum und berühmten Practicum in Anno 1728. auffgerichtet
Wÿdemb Welchen der hinterbliebene Wittiber Von Weÿland frauen Maria Lobsteinin gebohrner Kleinin, seiner Erstern Ehegattin seel. Zeit Lebens zugenießen hat. Wie in Ihr beeder geweßener Ehepersohnen den 27.ten Decembris Anno 1700 Vor Weÿl. herrn Notario Johann Friderich Schatzen seel. auffgerichtetem, Ihro Frauen Lobsteinin seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1727. copialiter einverleibtem Codicillo Reciproco §° 2.do zustehen
Wÿdemb Welchen der Wittiber Wegen Johann Lobsteins des jüngern Ledigen Kieffers seines noch ohnentledigten Sohns erster Ehe annoch in handen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ Copia der heuraths Verschreibung, Copia Testamenti nuncupativi
Bericht und Respectivé Vergleich Wegen der theilbahren Verlaßenschafft. Zu Wißen seÿe, perge supra fol. 12.b biß der Wittiber allein zu überlaßen, In Urkund deßen Sie sich sambtlichen in den Concept eigenhänig unterschriebenenen haben. Actum Straßburg den 24. Januarÿ 1743.
Der Erben ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 74, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldener Ring 8, Erg. Rest 455, Summa summarum 547 lb
Dießem nach wird nun auch des Wittibers ohnverändert und theilbahre Nahrung, weilen die Erben Krafft hiroben inserirten berichts auf das theilbahre guth tam active quam passive renuncirt haben, unter einer Massa beschrieben. Sa. haußraths 224, Sa. Werckzeugs auch holtz Reiff und band zum Kieffer handwerck gehörig 40, Sa. Wein, Eßig, brandenweins und lähre Vaß 190, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 103, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1200, Summa summarum 1773 lb – Schulden 2396 lb, In Vergleichung ergiebt sich daß des wittibers ohnverändert und theilbahre Zu bezahlen habende Passiva deßelben Völlige Vorhandene Activ Massam in allem dem billichen Werth nach übersteigen umb 622. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1725 lb – Stall summ 862 lb
Copia Heuraths Verschreibung (…) den 9. Septembris 1727, Johann Daniel Lang Notarius publicus
– Abschatzung dem 29. Januarÿ 1742. Auff begehren deß Wohll achtbahren und bescheiten Meister Johanneß Lobstein deß Küffers ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straßen gelëgen ein seitß Neben der frau tochter saltz Männin anderseitß ane H Johann jackob haußer dem goltschmidts, hinden auff gemelte frau Saltzmännin stoßend welche behausung und.en daß hauß Ehren hinden daran gegen dem hoff ein Stube, und Kuchell Nebeß Stübell gewölbter Keller oben dar über ein stuben Cammer Kuchen Nebens Stübell und daß hauß Ehren, under dem tach 2. Camren, ein alten tach stull der hoff und bronen die Esig Kamer der bauch offen und holtzhaus Oben dar über der gang und Zweÿ Camren Vor dem officier undt Knecht, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen Wërck Meister sich in dero besichtigung befundten undt Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Zweÿ Tausend und Vier hundert Guldten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckmeistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Lors du contrat de mariage passé entre Jean Lobstein le jeune et Marie Salomé Affel, fille d’un teinturier de Barr, son père lui fait donation de sa maison en s’en réservant la propriété.

1744 (23.6.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) f° 66
(Eheberedung) entzwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Lobstein dem jüngern Ledigem Kieffer des Ehren: und wohlvorgeachten herrn Johann Lobstein des ältern Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg mit Weÿland der Viel Ehren und tugendsamen Frauen Maria, gebohrner Kleinin seiner geweßenen ersteren Ehegattin nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Maria Salome Affelin, Weÿland des Ehre : und Wohlvorgeachten Lorentz Affels, geweßenen Schwartz und Schönfärbers, auch burgers Zu Barr nunmehr seel. mit der Viel Ehren und tugendsamen Frauen Maria Salome gebohrner Müllerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil

Siebendens, hat er Johannes Lobstein der ältere, des herrn bräutigambs geliebter herr vatter Ihme seinem Sohn, seine eigenthümliche behaußung, hoff, hoffstatt, sambt bronnnen und hindergebäud mit allen übrigen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gegen der rothen Kirch hinüber, oberhalb dem Würthshauß zum schwartzen Adler, einseit neben herrn Johann Jacob hußer, dem Silberarbeiter, anderseit neben Weÿl. herrn Johann Saltzmanns Medicinæ Doctoris et Professoris publici auch Capituli Thomani Canonici seel. hinterlaßener Frau Wittib hinden auf herrn Goll, Divoux und Cochnat, alle dreÿ handelsgemeinere stoßend, vor freÿ Ledig und eigen umb 5000. Gulden hießig current eigenthümlichen, Jedoch ehender nicht als naci seinem des herrn Vatters absterben an sich zu ziehen cedirt, übergeben und abgetretten, Ihme aber dabeÿ die freÿe Wahl gegönnet, selbige als dann umb gemelten Preiß anzunehmen oder so es Ihme nicht gefällig wäre, dieselbe wieder zu entschlagen und davon abzustehen
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 23. Junÿ Anno 1744. [unterzeichnet] Johannes Lobstein der Jüngere als hochzeiter, Maria Salome Avelin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 230-v, n° 880)
1744. Mittw. d. 5. Aug. seind nach ordentl. Proclamation Ehel. copul. und eingesegnet worden H Johannes Lobstein der led. Kieffer weinhändl. u. b. allhier H Johannes Lobsteins auch Kieffers, weinhändlers u. b. allhier Ehl. Sohn, und Maria Salomen weÿl. H Lorentz Affels geweßenen schwartz u. Schönfärbers zu barr nachgelaß. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Lobstein als Hochzeiter, Maria Annas Salome Avelin als hochzeiterin (i 236)

Marie Salomé Affel devient bourgeoise à l’ancien tarif
1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 179
Maria Salome Avelin von Barr gebürtig erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johann Lobstein dem Jungern dem burger und Kieffer allhier um den alten burgerschilling und wird dienen beÿ E. E. Zunfft der Kieffer, promis. eod. [17. aug. 1744]

Jean Lobstein garantit sur sa maison la part d’héritage maternel qui revient à son fils
1744 (6.7), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 398-v
Johannes Lobstein der Jüngere kieffer so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte mit beÿstand seines annoch ohnentledigten vogts
in gegensein seines vatters Johannes Lobstein des älteren kieffers
demnach er Lobstein der älter ihme die anerstorben mütterliches gut eine summ von 323 pfund von welcher succession nebst deßen übrigen vermögen auch seine ane der Obern straß einseit neben Frantz Haußer dem silberarbeiter, anderseit neben Fr. Dr Saltzmännin, hinten auff H. Goll den handelsmann gelegenen behausung verpfändet ist

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Lobstein père
1744 (11.8.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 363) n° 162
Inventarium über des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Lobsteins des Jüngern Kieffers und Weinhändlers und der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Lobsteinin gebohrner Avelin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1744. – welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Lobsteins des ältern Kieffers und Weinhändlers deß Ehemanns eheleiblichen Vatters und herren Johann Paul Buschen des Schneiders der Ehefrauen anverwanthen und erbettenen beÿstandts, beeder burgere allhier auf Dienstag den 11. Augustei Anno 1744.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen des Ehemanns eheleiblichen Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung, befunden Worden wie folgt.
Antheil ane einer behaußung. (F.) Der Viertetheil theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung (…) gelegen in dem Flecken Barr in der Storckengaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. Lähren Vaßes 20, Sa. Silbern geschmeids 13, Sa. baarschafft 83, Summa summarum 123. lb – Darzu gelegt der Ihme gebührige halbe theil ane denen verehrten haussteuren 20. lb. Des Ehemanns völlige in die Ehe gebracht Guth, 144 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 61, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. goldener Ring 20, Sa. baarschafft 250. Sa. Antheils ane einer behaußung Nihil, Summa summarum 339 – Hierzu Kombt ferner die helffte ane denen haussteuren 20. lb. Der Frauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 360 lb
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Herr Johann Lobstein der ältere Kieffer und Weinhändler auch burger allhier des Ehemanns eheleiblicher Vatter wegen dießes seines Sohns Lebtägig zu usufruiren hat. Vermög des über weÿland Frauen Susannä Salome Lobsteinin gebohrner Müllerin, sein herrn Johann Lobsteins des ältern geweßener ehelicher haußfrauen als des dießortigens Ehemanns Stieffmutter nunmehr seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium den 24.ten Januarÿ Anno 1743 auffgerichteten Inventarÿ

Jean Lobstein le jeune s’inscrit en 1743 pour faire son chef d’œuvre. Les examinateurs y trouvent de nombreux défauts mais le trouvent acceptable à la troisième inspection. Le candidat est reçu maître. Il devient tributaire en août 1744
1743, Protocole des Tonneliers (XI 394)
(f° 442) Dienstags d. 12. Martÿ 1743 ist beÿ gehaltenem ordinari Gericht folgendes verhandelt worden
Johannes Lobstein der Ledige Kieffer wurdte gleichfalls Zum mstrstück eingeschrieben dt. ut supra [30 ß d pro protoc. 2 ß 6 d]
(f° 448) Sambstags d. 10. aug. 1743 wurdte Johannes Lobsteins verfertigtes Kieffer meisterstück Zum Letztenmahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt, daß sich in d. erstern schau sehr viele außfugen und bickel befunden, in der 2.t schau ware das faß schändlich geendet, der hinter boden Zu wenig gesenckt, und am fordern im gewölb durchsichtig ware, auch waren die böden im Circul Zu klein, in der 3.t schau aber ware das stuck Zimmlich verbeßert und passable. wegen dießen fehlern wurdte ihme 30. ß d straff angesetzt Er aber vor ein mstr Erkandt welches auch also von H Obmann Confirmirt worden.
(f° 448-v) Dienstags den 10. 7.bris 1743
Mstr Johann Lobstein jun. Zahlte ferner werckstatt zinns.
(f° 461) Donnerstags d. 27. aug. 1744 ist beÿ gehaltenem ordinari Gericht folgendes verhandelt worden
Mstr Johannes Lobstein jun. der Kieffer erhalt auff producirten Stallschein vom 19. hujus das Zunfft recht, undt Zahlt als eines Zünfftien Sohn 1 lb 1 ß d pro feureÿmer 10 ß pro protoc. 3 ß 6 d

Jean Lobstein le jeune meurt sans descendance en 1746. L’inventaire est dressé dans la maison de son père. La masse propre à la veuve est de 470 livres, celle de l’héritier de 76 livres. L’actif de la communauté s’élève à 207 livres, le passif à 455 livres.
1746 (3.6.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 365) n° 224
Inventarium über Weÿland des Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Lobsteins des jüngern geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1746. – als derselbe Mittwochs den 6.ten Aprilis dießes Lauffenden 1746.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und Wohl vorachtbahren herrn Johann Lobsteins des ältern Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier des Verstorbenen, seel. eheleiblichen Vatters und ab intestato Verlaßenen Universal Erben ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendsame Frau Mariam Salome Lobsteinin gebohrne Avelin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren und Wohl Vorachtbahren herren Johann Paul Busch des Schneiders und burgers allhier, Ihres geschwornenn Vogts (geäugt und gezeigt) – So beschehen Straßburg auf Freÿtags den 5.ten Junÿ Anno 1746.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen Eingangs gedachtem herrn Johann Lobstein des Defuncti eheleiblichem Vattern und Erben eigenthümlich zuständiger behaußung, befunden worden wie folgt
Antheil ane einer Behaußung (W.) Der Vierte theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung (…) gelegen in dem Flecken Barr in der Storckengaß (…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarium über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1744. durch mich Notarium auffgerichtet
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Herr Johann Lobstein der ältere Kieffer und Weinhändler auch burger allhier des Verstorbenen seel. eheleiblicher Vatter wegen dießes seines Sohns Lebtägig zu usufruiren hat. Vermög des über weÿland Frauen Susannä Salome Lobsteinin gebohrner Müllerin, sein herrn Johann Lobsteins des ältern geweßener ehelicher haußfrauen als des Defuncti Stieffmutter nunmehr seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium den 24.ten Januarÿ Anno 1743 auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli
der Wittib ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Antheils ane einer behaußung 93, Sa. Schulden 75, Erg. Rest 266, Summa summarum 470. lb
Dießem nach Wird auch des Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 29, Sa. Werckzeugs zum Kieffer handwerck gehörig 12, Sa. Lähren Vaßes 10, Sa. Silber geschmeids 5, Sa. baarschafft 6, Erg. Rest 87, Summa summarum 151 lb – Schulden 75 lb, Detrahendo 76. lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbare Guth beschrieben. Sa. haußraths 2, Sa. Holtz, Raiff und bänd Zum Kieffer handwerck gehörig 6, Sa. Wein, brandenwein und Lährer Faß 142, Sa. baarschafft 20, Sa. Schulden 35, Summa summarum 207 lb – Schulden 455 lb, In Vergleichung Theilbares Passiv onus 247 lb
Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall tax nach 470 – Stall Summ 299. lb

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. n° 7, 1719 sqq f° 178-v, n° 16)
1746. Mittw. d. 6. Apr. nachts zwischen 8 u. 9 uhr ist d. Herrn entschloßen H Johannes lobstein der jüngere Kieffer u. weinhändler allhier, s. alters 26 jahr, 3. monath u. 8 tag, wurde am h. Carfreytag Zur erde bestattet auff d. gottes acker St. Hel. [unterzeichnet] Johannes Lobstein als Vatter, Johann Jacob strohl als Schwager (i 186)

Jean Lobstein loue une partie de sa maison au maître d’armes Michel Martin

1747 (16.11.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 781-v
Johannes Lobstein der kieffer
in gegensein H. Michel Martin des Fechtmeisters beÿ hiesiger academie
entlehnt, in seiner ane der langenstraß einseit neben Saltzmännischer Fr. wittib anderseit neben Johann Jacob Haußer dem silberarbeiter gelegenen behausung den ersten stock auff die gaß heraus bestehend in eine stub, stub kammmer, kuchen und noch eine kammer samt einen gang einen unterschlagenen keller und platz zum holtz, auff so lange zeit er der verlehner im leben seÿn wird, anfangend auff letztverwichenen Johannis Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Jean Lobstein vend 3 000 livres la maison au notaire Jean Raoul Dinckel

1748 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 438-v
Johannes Lobstein der kieffer
in gegensein H. Johann Rudolph Dinckel notarii publici jurati und practici
eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten, ane der Obern Straß einseit neben Frantz Haußer dem silberarbeiter, anderseit neben weÿl. H. Rudolph Saltzmann gewesten Med. D. und Professoris wittib, hinten auff H. Johann Nicolaus Goll den handelsmann – als ein vätterliches erbguth – um 3000 pfund

Jean Raoul Dinckel revend la maison 3 250 livres au sellier Pierre Gayneau et à sa femme Marie Madeleine Hammerer

1749 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 466-v
H. Johann Rudolph Dinckel notarius publicus juratus und practicus
in gegensein Pierre Gayneau des sattlers und Mariæ Magdalenæ geb. Hammererin
eine behausung behstehend in vorder und hinder hauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Obern straß, einseit neben Frantz Haußer dem silberarbeiter, anderseit neben weÿl. Johann Rudolph Saltzmann med. Doct. und Professoris wittib, hinten auff H. Nicolaus Goll den handelsmann – als ein am 27. Maÿ 1748 erkaufftes guth – um 1450 pfund capital verhafftet, geschehen um 1800 pfund

Pierre Gayneau et Marie Madeleine Hammerer hypothèquent la maison au profit du marchand Daniel André Gambs pour en payer le prix d’acquisition et les frais de réparation

1749 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 468-v
Pierre Gayneau des sattlers und Maria Magdalena geb. Hammererin mit beÿstand ihres schwagers Johann Georg Weiß des einspännigers und ihres vettern Johann Heinrich Vierschrot
in gegensein H. Daniel Andreas Gambs des handelsmanns theils zu bezalung des kaufschillings theils zu vorhabenden reparationen hernach zu erst beschriebenen behausung – schuldig seÿen 250 lb
unterpfand, erstlich eine behausung behstehend in vorder und hinder hauß, hoff, bronnen und hoffstatt ane der Obern straß, einseit neben Frantz Haußer silberarbeiter, anderseit neben der Saltzmannischen wittib, hinten auff H. Nicolaus Goll den handelsmann
ferner eine behausung und hoffstatt in dem Spiegelgäßlein, einseit ist ein Eck am Allmend, anderseit neben H. Riviere dem perruckenmacher, hinten auff H. Antoine Janin den handelsmann
so dann eine behausung, kutschenhauß und hoffstatt im Finckweiler, einseit ist ein Eck ane dem Blattergäßlein, anderseit ist ein Eck ane dem Hirten oder Fischergäßlein, hinten auff Johann Georg Morgen des schuhmachers wittib und erben – davon gibt man der Commanthureÿ St Johann 1 lb ewigen gelds, dem Stifft St Marx 6 ß 8 d auch ewigen gelds und hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb ane Allmend zinß

La maison est portée au prix de 3 000 livres lors de l’inventaire des biens de Jean Pierre Gayneau et de Marie Madeleine Hammer dressé pour cause de dettes. L’inventaire de 1782 ci-dessous indique que le maison a été vendue par enchère judiciaire le 16 avril 1753 à Joseph Bonnard.
Natif du Cheylas en Dauphiné, le boutonnier Joseph Bonnard épouse en 1741 Anne Marie Hammerer, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration

1741 (26.5.), Me Koch (6 E 41, 498) f° 82
(Contrat de mariage) furent presens le Sr. Joseph Bonnard, natif du Chelas en Dauphiné, boutonnier en étain, fils de f. Sr Pierre Bonnard en son vivant fermier, et de f. Dlle Antoinette Magnon vivante son Epouse, d’une part,
Et Dlle Anne Marie Hammerer, fille de feu Sr Jerome Hammerer, vivant Cordonnier et bourgeois de la dite Ville de Strasbourg et de feuë Dlle Marie Madeleine Hammerer née Gærtner d’autre, lesquelles parties, en presence de leurs Assistans, sçavoir de la part dudit Sr Bonard, du Sr Jean Siccard, Marchand et bourgeois dudit Strasbourg et de Dlle Hammerer, du Sr Jean Pierre Gayneau Marchand sellier et bourgeois dudit Strasbourg son Curateur
Vendredy le 26° May 1751 (signé) joseph bonnard, Anna Maria hammererin

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 259-v)
Hodie 10 mensis julÿ anni 1741 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus josephus bonnard globulorum mercator, oriundus ex parochia Loci Du chelas ex Delphinatu diœcesis Gratianopolitanæ, filius Legitimus defunctorum Conjugum petri Bonnard et antoniæ Magnon, in dictæ parochiâ Sti Ludovici intra argentinam commorans, et honesta ac pudica puaella Anna Maria Hammerin filia legitima defunctorum Conjugum Hyeronimi Hammer civis dum viveret et sutoris hujatis et Mariæ Magdalenæ gärtnerin in hac parochia commorans. Testes aderant joannes petrus guenot civis et ephipparius et sponsæ soceri (signé) jospeh bonnard, Anna Maria hammerin (i 264)

Joseph Bonnard devient bourgeois à l’ancien tarif
1741, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 60
Joseph Bonnard der Zinn Knöpffmacher Von Duchelas in Dauphine gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefrauen Anna Maria Hammerin, weÿl. hieronimi hammers gewesenen burgers und Schuhmachers allhier tochter um den Alten burger schilling, und Wird dienen beÿ E. E. Zunfft der Schmidt, juravit d. 12.t. Aug. 1741.

La tribu du Miroir renvoie Joseph Bonnard aux Quinze pour obtenir l’autorisation de vendre des boucles et des boutons en laiton ou en zinc en se séparant de Georges Weiss, beau frère d’Anne Marie Hammerer. La tribu ne voit pas d’inconvénient à ce petit commerce du moment que les pétitionnaires deviennent tributaires. Les Quinze accordent la permission.
1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
(p. 323) Moss. nôe Joseph Bonnar burgers allhier Cit. E. E. Zunfft zum Spiegel H Zunfft M. prod. Zunfft Gerichts bescheid und bitt Unterth. umb gn. Erlaubnuß einen Cram von Schnällen, Knöpffen und dergleichen Kleinigkeiten halten Zu dörffen. Freund bitt Deput. Erk. Deput. Willfahrt.
(p. 368) Sambstag d. 16 May 1744.
Obere Kauff hauß herren laßen per me referiren, daß Joseph Bonnar der burger allhier den 9. huj. contra E. E. Zunfft Zum Spiegel H Zunfft Meister einen beÿ dieser E. Zunfft den 5. Ejusd. ergangenen bescheid, (besag welches der Implorant mit seinem begehren Ihme zu erlauben allerhand gattung Schnallen, wie auch Mößene Knöpff verkauffen Zu dörffen. Weilen er Weder die Handlung noch Krämereÿ erlernet, ab, und an Gh. die Fünff Zehen Verwiesen worden) producirt, vnd Underth. gebetten Ihne gnädig zu erlauben einen Krahm Von Schnallen, Knöpffen und dergleichen Kleinig Keiten halten Zu dörffen. Auff Welches der Citirte Zunfft Meister umb Deputation gebetten, welche auch willfahret und beseßen worden, da der Implorant petitum wiederhohlet, und beÿgesetzt, Er treibe schon lang die Krähmereÿ, Könne aber Weder Lehrbrieff noch Certificat vorlegen, Nahmens E. E. Zunfft Zum Spiegel seÿe Vorgestanden H Claude Tourny der jetztmahlige Zunfft Meister, welcher gemelt, des Imploranten Ehefrau halte schon Viele Jahr ein dergleichen Kleines Krähmelin mit Schnallen und Meßenen: und Zinnenen: Knöpffen: aber nahmens deren Schwester George Weißen des Einspänigers Ehefrawen, Welche dieße Erlaubnus beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel ehedeßen erhalten, jetzo seÿen diese Zweÿ Schwestern ohneinig, und hätten streit mit einander bekommen, wolle alßo Weißen dieses Krahmlein ins künfftige selbsten fortführen, Die Zunfft consentire in des Imploranten begehren, jedoch daß derselbe beÿ sothaner E. Zunfft Leibzünfftig werde, und weithers nicht un seinem Krähmein halte alß Schnallen und Meßenen: und Zinnenen: Knöpff, auch pro dispensatione etwas erlege und die unkosten erstatten Weilen nun die Zunfft nichts einwend. und es umb eine Kleinigkeit zu (-), alß Werde zu erkennen sein, Wird dem Implorant willfahrt ein Kleines Krähmlein mit Schnallen auch Moßenen: und Zinnenen: Knöpffen: aber weithers nicht Zu halten, jedoch daß Er beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel leibzünfftig Werde, 3. lib pro dispensatione erlege, und dem Imploraten die un kosten Wieder erstatte, die genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Ist bedacht gefolgt, außer daß wegen Armuth die dispensations Gebühr auff 1. lb 10 ß gesetzt. Und ist darauff dießer bescheid wie folgt Zu papier
Bedacht. In Sachen Joseph Bonnar des allhiesigen burgers, Imploranten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Zunfft Zum Spiegel H Zunfft Meister, Imploraten, am andern theil. Auff des Imploranten gethanes Unterthäniges bitten Ihme gnädig zu erlauben allerhand Gattung Schnallen, wie auch Knöpff und dergleichen Kleinig Keiten, halten, und in einem Krahm Verkauffen Zu dörffen. Des Imploraten beÿ gebettener, bewilligter und beseßener Depp. hi,nüber gethane Erklährung, und all übriges angehörte Vor ; und anbringen, Ist der Herrn Depurirte abgelegten Relation nacj Erkandt, Wie dem Imploranten dispensando, ex gratia willfahrt ein Kleines Krähmlein mit Schnallen auch Moßenen: und Zinnenen: Knöpffen: aber weithers nicht Zu halten, jedoch daß Er beÿ ged. E. Zunfft Zum Spiegel leibzünfftig Werde, 1. lb 10 ß pro dispensatione halb der Statt und halb E. E. Zunfft erlege, und den Imploranten die unkosten Wieder erstatte.

Joseph Bonnard loue un logement au doreur Pierre Joseph Noël

1754 (16.8.), Me Laquiante (6 E 41, 1003)
Bail de 6 années consecutives à commencer a La feste de St Michel – Sr Joseph Bonnard Marchand boutonnier
au Sr Pierre Joseph Noël Bourgeois doreur
un appartement au deuxième étage de la maison a luy appartenant dans la grand rüe vis à vis de M Le Stättmestre de Gail aboutissant côté a droite a la maison de Mr le Docteur Saltzmann d’autre le Sr Häußer orphevre, Ledit appartement consistant premierement et de plain pied en deux poeles trois chambres deux cuisines, Le vestibule et les latrines plus de deux autres chambres au dessus dudit appartement un petit grenier separé, deux places closes dans la cour pour servir de bucher, deux caves scavoir une dans la grande cave et l’autre sur le derrière de la maison et Ce avec l’usage d’un grand grenier pour les besoins du menasge et la permission de pendre L’enseigne de Dorreur au premier étage – moyennant un loyer annuel de 120 livres

Joseph Bonnard meurt sans descendance en 1782. la veuve n’est pas en mesure de présenter de document qui établisse ses apports. Les experts estiment la maison 1 250 livres. L’actif de la communauté est de 2 240 livres, le passif de 4 245 livres.

1782 (22.6.), Me Carlier (6 E 41, 974) n° 1
Inventarium und beschreibung aller des Jenigen Haab, Nahrung und Güether so weÿland der Ehren und Vorachtbare Herr Joseph Bonnard der geweßene Zinn Knopffmacher und burger alhier Zu Straßburg, nunmehr seelig, nach seinem bereits den 25. Januarÿ letztens aus dieser welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsamen frauen Annæ Mariæ Bonnard gebohrner Hammerer der hinterbliebenen frauen wittib, unter assistentz des Vorachtbahren Johann Jacob Ulrich des spänglers und burgers alhier, wie auch des Ehren Vesten und wohlgeachten Herrn Johann Michael Saltzmann, als debattirten Rathherrn (…) für die abwesende nächste frunden des entseelten herrn Bonnards (…) inventirt und ersucht durch sie die hinterbliebene fraw wittib, wie auch ane Jungfrau Maria Elisabetha Waltzin die dienstmagd – So geschehen Straßburg Sambstag den 22. Junÿ 1782.
Der abgelebte hat keine leibliche Erben verlassen, allein durch erlangtes missiv schreiben von dem wohl Ehrwürdigen Herrn Laud pfarrherr de tormes nahe beÿ Grenoble in Dauphiné ohne datum wurd beschienen das deßen nächste Erben, bestehend in bruder und schwester kindern, angesehen aber selbe durch gemeltes missiv schreiben, nicht alle eigentlich gemeltet, so kan hier dießfahls auch weiters nichts aingetragen werden (…)
Die hinterbliebene Frau wittib Producirt würcklichen den Zwischen ihro und ihrem abgelebten Hn Eheliebste Vor Notario und gezeugen vor ihrer Verehelichung auffgerichteten Ehe Contract folgenden Innhalts. Contrat de mariage (…) Vendredÿ le 26. Maÿ l’an de grâce 1742, Mathias Koch. Collationné le 14 May 1782. Schweighäusser
declarirt hierauff die hinterbliebene frau wittib, das in ansehung weder das ihrige noch das so ihr verstorbene Hr Eheliebster in dieße ihre abgegangener Ehe zugebracht, nicht inventirt noch beschrieben worden, so könne dannenhero würcklichen von all solchem auch nichts justificirt mithin auch nichts gefordert noch angesucht werden, aus dieser beweg. ursachen dann, wird das Völlige Vorhandene Vermögen als eine Errungenschafft angesehen (…)
angesehen aber das selbe in stehend ihrer Ehe abgegangen und Verkaufft worden, und der Erlöß derselben Zu Zahlung der bauw: und ammelliorations kösten hernach eingeführter behaußung in der langen straß gelegen verwendet worden und wovon sie auch nichts Justificiren kan, dahero gemelte frau wittib deßwegen keine Ergäntzung Zu prætendiren hat, um so viel Zuer nachricht

Sa. haußraths 61, Sa. Zinnene Knopff und dergliechen wahren, wie auch Werckzeug 28, Sa. Silbern geschirrs, Goldenen Ring (-)
Eigenthum ane Haußern so in die gemeinschaftliche Erbschafft gehörig. Nemblichen Eine behausung mit allens deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten alhier ane dem spithalgäßlein gelegen, einseit neben (-) bleÿfueß dem seckler, anderseit neben (-) Rehrloff dem seckler, vornen auff gemeltes gäßlein und hinten auff den allwergraben stoßend (…)
Item eine behausung bestehend in Vorter und Hinterhaus, hoff, Stallung und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier ane der langen straß gegen der Saltzmanns gaß nächst hinüber, einseit neben H. (-) felgraff dem perruckenmacher anderseit neben weÿl. Herrn Johann Gottfried Saltzmann Medicinæ Doctoris frau wittib, hinten auff den sogenannten Colmarerhoff, stoßend, so außer denen darauff hafftenden Passiv Capitalien, so hernach eingetragen werden, freÿ ledig und eigen. Über solche behausung besagt ein teutscher pergamentener Ganth Kaufbrieff durch Hrn Beguin den actuarium unterschrieben de dato 16. Aprilis 1753. das selbe außen denen darauff hafftenden Passiv Capitalien leedig und eigen seÿe und auff dießen fueß ist solche behaußung mit sambt ihren weithen und begriffen durch (die Werckmeistere) ausweißlich des vorangezogenen Abschatzung Zeduls angeschlagen worden pro 1250 lb
Sa. Eigenthum ane häußern 2150, Summa summarum 2240 lb, Kleidung 14 – Schulden 4245 lb, Passiv onus loco der Stall summ 1990 lb
– Abschatzung vom 22.t junÿ 1782. Auf begeren Weÿland Herr Joseph Bonart dem geweßenen Zinn Knopffmacher, ist Eine behausung alher in der statt straßburg in der spithalgas gelegen, Ein seÿts neben Herr bleÿfuß dem seckler anderer seÿts neben Herr Retzeloff dem seckler und Hinten auf den ulmer graben stoßend gelegen, solche behausung bestehet in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etliche Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller Vor und um Ein Tausend Acht Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhir in der statt straßburg in der langen stras gelegen Ein seÿts neben Herr fulgraff dem baruckenmacher anderer seÿts neben frau Doctor saltzmänin und hinten auf N. N. stoßend solche behausung bestehet in Zweÿ boutiquen ferner in Etlichen stuben Kuchen und Kammer darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller Hoff und brunen, Von uns unterschriebene der statt Straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtig Keit dem jetzigem wahrem werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ tausend fünff Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner wkmr

Anne Marie Hammerer meurt en 1804 dans sa maison rue de l’Hôpital

1804 (1 therm. 12), Strasbourg 12 (5), Me Wengler n° 886 – Enregistrement de Strasbourg, acp 93 f° 28 du 6 therm. 12
Inventaire de la succession d’Anne Marie Hammerer veuve de Joseph Bonnard, fabricant de boutons d’étain, décédée le 7 thermidor dernier – a la requête du Sr Pierre Müller, ferblantier, et Herrmann Willig, ci devant musicien, enfants des cousins germains de la défunte par institués par testament nuncupatif reçu Me Übersaal le 19 pluviose 11 – sur l’indication de Marguerite Eck fille native de cette ville servante de la défunte, Barbe Klinger aussy de Strasbourg comme ayant porté des soins à la défunte
Testament 19 pluviose 11 reçu Me Übersaal

dans la maison mortuaire rue de l’hopital n° 35
immeuble, Une maison avec ses appartenances et dépendances trésfond et autres droits et aisancess sise en cette ville de Strasbourg rue de l’hôpital N° 35, d’un côté le Sr Redslob, d’autre Sr Reinhard derrière au fossé appelé Ulmergraben – acquis conjointement avec son mari des femmes de Jean Meyer le vieux et Jean Meyer le jeune, à la Chambre des contrats le 29 décembre 1745, rapporte Le rez de chaussée occupé par Jean Baptiste Henning 108 fr, Le premier étage qu’a habité la défunte 60 fr, le troisième étage loué à Risch 96 fr, ensemble 264 fr, 5280 en acapital
meubles, dettes actives 51 fr, total de la masse mobiliere 813 fr, immeubles 5280 fr, passif 4160 fr [Liasses de quittances]

Anne Marie Hammerer vend la maison 3 500 livres au tailleur François Louis Goucheron et à sa femme Marie Dorothée Roth : vente provisoire devant notaire, vente définitive passée à la Chambre des Contrats

1788 (28.2.), Me Roessel (6 E 41, 938) n° 172
Frau Anna Maria Bonnard geb. Hammerin weÿl. Sr Joseph Bonnard des zinnknöpff machers wittib beÿständlich H. Joh. Arnold Hirth handelsmanns ihres schwagers
So dann Hr. Frantz Ludwig Goucheron der Schneidermeister und Maria Dorothea geb. Rothin verbeÿstandlich H. Johann Theobald Roth des geschwornen Inventier schäzers
Eine behausung bestehend in Vorder und hinterhauß, hoff, stallung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der langen Straß gegen der Saltzmanns gaß nechst hin über, einseit neben weÿl. H. Joh. Gottfried Salzmann Med. D. hinterlassenen Erben anderseit neben H. Maÿbaum dem uhrenmacher hinten auff den sogenannten Colmarer hoff
Und soll mit und unter dem auf dieses haußes begrifen seÿn der kupfernen bauch Kößel und die in den Kellern sich vorfindigen liegerling, ferner im ersten Stock hintern Gebäudes in der Käshammerischen Wohnung (…) in des Schuhachers Kuchen in der Kuchen des ersten Stocks (…) in der Stub dieses ersten Stocks, Im zweÿten Stock der Küchen so dann au rez de chaussée in des Sattlers wohnung – um 7000 gulden

1788 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 264-v
Fr. Anna Maria Bonnard geb. Hammerin weÿl. Joseph Bonnard des zinn knopff machers wittib beÿständlich H. Johann Arnold Hirth des handelsmanns ihres schwagers
in gegensein Frantz Ludwig Goucheron des schneider meisters und Mariæ Dorotheæ geb. Rothin beÿständlich H. Johann Theobald Roth des geschwornen käufflers ihres vatters und Ludwig Bronner des schneider meisters
eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, hoff, hoffstatt, bronnen, stallung mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Langen straß gegen der Saltzmanns gaß über, einseit neben weÿl. Fr. Dr. Saltzmännin erben, anderseit neben H. Maÿbaum dem klein uhrenmacher, hinten auff den sogenannten Colmarer hoff – um 7000 gulden

Louis Goucheron qui souhaite se marier rapidement demande aux Quinze le droit de présenter son chef d’œuvre dans l’année au lieu d’attendre l’année suivante, étant donné que le nombre de nouveaux maîtres est atteint pour l’année en cours. Il argue qu’il est fils de maître et que sa mère renoncera à son atelier en sa faveur. Les représentants du corps de métier objectent que le candidat n’a que 26 ans et que sa mère a déjà renoncé à son affaire en faveur de sa fille et de son gendre. Les Quinze accordent la dispense demandée.
Louis Goucheron s’adresse de nouveau aux Quinze en août. Il obtient que la clause portant cession de son affaire par sa mère soit supprimée de l’autorisation précédente. Les Quinze délivrent en fin d’année la version définitive de leus deux décisions.

1786, Protocole des Quinze (2 R 196)
(p. 27) (p. 80) Sambstags den 28. Januarii 1786
Wilhelm nomine Ludwig Goucheron des hiesigen burgers und schneidermeisters sohns, Contra EE Zunfft der Schneider Hn Zunfft meister producirt unterthäniges memoriale samt beÿlag sub N° 1, um gnädige admission Zum meisterstück dispensando von der ordnung, Claus bitt Copiam & Terminum ordinus obtuit.
(p. 57) Sambstags den 11. februarii 1786
Wilhelm nomine Ludwig Goucheron in actis Contra EE Zunfft der Schneider Hn Zunfft meister in actis erholt memoriale vom 28.sten Januarii jüngst und bitt unterthänig um deputation. Claus producirt unterthänige exceptionibis Juncto petito und bitt unterthänig glichfalls um deputation. Erkandt, deputatio.
(p. 80) Sambstags den 18. februarii 1786
Iidem [Obere Handwercks Hh] laßen ferner per eundem [H Secretarium Widt] referiren es habe Ludwig Goucheron der hiesige burgers und Schneider meisters sohn, Contra EE Zunfft der Schneider Hn Zunfft meister den 18.sten Januarii jüngst ein unterthäniges memoriale mit beÿlag N° 1 übergeben, und darin gebetten Mgh. geruheten zu erkennen daß er dispensando von der ordnung und über die gesetzte Zahl als Meisters sohn Zum Meisterstück und recht für das gegenwärtige jahr zu admittiren seÿe.
Hienwider und diesem entgegen Habe Imploratischer H Zunfft meister in seinem den 11.ten dieses übergeben exceptionibus gebetten Implorant mit seinem begehren ab und an die ordnung Zu erweißen refusis & in hac Instantia expensis.
Beÿ besessener deputation hat Implorant gegenwärtig mündlich widerholet, er seÿe eines Meisters sohn, gedancke eines Meisters tochter welche selbst auf der profession arbeiten könne Zu heurathen, welches ihme sehr ersprießlich wäre, beÿ längerem aufschub aber zu seinem Schaden entgehen könte, da über das seine Mutter die profession noch treibe solche aber Zu seiner gunsten aufzugeben erbietig und also durch sein établissement keine neue boutique eröfnet werde, er auch gegründete hoffnung habe künfftiges jahr seiner Tour nach Zu dem Meisterstück gelangen Zu können als hoffe er von Mgh. gnädiges gehör zu finden.
Nomine Imploratischer Zunfft haben H Johann Jacob Starck als Zunfftmeister, so dann H Johann Georg Klingler und Leonhard Printz bede Schöffen und mit vorstehen der Meisterschafft sich auf ihre exceptiones beziehend erwiedert, wann der vorsatz zu heurathen von der ordnung und articklen dispens veranlassen solte, würden bald alle handwercks gesetz unnütz und Ilusorisch seÿn, indeme das heurathen die allgemeine triebfeder aller derjenigen seÿen, welche auser ihrer Tour zum Meisterstück zu gelangen suchen, der Implorant seÿe jung und erst 26. jahr alt, würde auch seine braut, wann er seine Tour erwartete, noch immer finden, der vorzug seiner mutter auf die profession seÿe gar in keinen betracht Zu Ziehen, maßen sie schon in favor eines tochtermanns ein gleiches Zugesagt, und dennoch des Imploranten eigener geständ aus noch bis dato fortgetrieben, mithin um sich mit ihrem annoch jüngeren sohn Zu ernähren, Continuiren werde, sie wolten dahero gehorsambst um manutenentz der ordnung gebetten haben, und dießes um desto mehr als verschied. andere vorhanden, welche auf gleiche dispens an [-] sich berechtiget glauben würden.
Die Hh Deputirte haben die von dem Imploranten ang[-] so beschaffen befunden, daß sie sich nicht wohl entschließen [-] begehren nach der strenge der artickel zu beurtheilen [-] H XV Dorsner H XV. Mathieu und H XV Mogg ihr gutachten ertheilen wollen, daß der Implorant ex speciali gratia und [ohne] consequenz dispensando von der ordnung annoch dieses Jahr [um] verfertigung des Meisterstück refusis tamen expensis zu admittiren seÿe H XV. Flach hingegen votirte dahin daß die a[nzahl] der jährigen sechs stuck meister bereits ergäntzet, die meister über das Zahl reich und mehreren theils arm, der Implorant anbeÿ noch jung, sich auch selbsten verlauten laßen daß [-] er seiner Tour auf das Künfftige jahr versichert wäre [-] bis dahin in gelduld gestanden wäre, derselbe noch Zur Zeit mit seinem begehren efusis Expensis abzuweißen, ihme hingegen die hoffnung und zusage ertheilt werden könte, als der erste oder Zweite meisters sohn für das künfftige jahr admittirt zu werden.
Erkandt votum H XV Dorsner, Mathieu und Mogg befolgt, unter Imploranten Mutter anerbieten daß sie zu gunsten ihres sohns auf den betreieb des handwercks verzug thue.

(p. 285) Sambstags den 19. Augusti 1786.
Idem [Wilhelm] nomine Ludwig Goucheron des Schneidermeisters sohns producirt unterthäniges memoriale und bitten mit beÿlagen sub N° 1 & 2 puncto Erläuterung E. G. bescheids vom 18.ten februarii jüngst. Erkandt an die Obere handwercks Hh Zur untersuchung verwießen, worzu dem H Zunfftmeister E E Zunfft der Schneider Zu verkünden.
(p. 298) Sambstags den 2.ten Septembris 1786.
Iidem [Obere Handwercks Hh] laßen ferner per Eundem [H Secretarium Widt] referiren es habe Ludwig Goucheron der hieseitige burger und Schneider meisters sohn den 18.ten dieses ein unterthäniges memoriale mit beÿlagen sub N° 1 & 2 übergeben und darinn gebetten MGHh geruheten Zu erkennen daß deroselben bescheid vom 18.ten februarii letsthin dahin Zu erläuteren daß er Sohn Zuthun seiner mutter durch verziehung auf ihr profession Zu Verfertigung des schneider meisterstücks annoch dieses jahr ex speciali gratia Zu admittiren seÿe.
Auf des fals erkanten bedacht, und hierauf eingezogenen Kundschafft habe sich ergeben daß unter der mutter Verzug auf ihren professions betrieb der Implorant Zu dem meisterstück admittirt worden, da aber die mutter solche resignation würcklichen anno 1777 Zu gunsten ihres tochtermanns von sich gegeben, mithin dieselbe in hoc casu als eine Conditio otiosa Zu achten, der Implorant aber Hierdurch an seinem Etablissement wider verschulden gehemmet würde las haben die H Deputirte nach anhörung der hiebeÿ erschienenen H Zunfft vorstehenen und daß der Implorant nicht nur ein meisters sohn sondern auch ein meisters tochter heurathen keinen anstand nehmen wollen ihr gutachten dahin Zu eröfnen, daß der zu gunsten des Imploranten den 18.ten februarii jüngst ergangener bescheid dahin Zu erläutern seÿe, daß derselb ohne rucksicht auf der darin angeregte conditiones welche hiermit als nicht beÿgesetzt anzusehen zu Verfertigung des meisterstücks annoch in diesem jahr zu admittiren seÿe. Erkand, bedacht confirmirt.

(p. 474) Sambstags den 30.sten Decembris 1786. Folgende bescheid sind auf begehren der Parthen aus gefertiget worden
Bescheid vom 18.ten Februarii. In sachen Ludwig Goucheron des hiesigen burgers und schneider meisters sohns Imploranten ane einem entgegen und wider E E Zunfft der Schneider Hn Zunfft meister Imploraten am andern theil, auf übergebenes memoriale samt beÿlag N° 1 mit bitten gnädig Zu erkennen daß er dispensando von der ordnung und über die gesetzte Zahl als Meisters sohn Zum meisterstück und meisterrecht für das gegenwärtige jahr zu admittiren seÿe, exceptiones mit bitten zu erkennen und aus Zu sprechen daß der Implorant mit seinem begehren ab und ane die ordungs Zu Verweißen seÿe idque refusis Expensis
gebetten bewilligte und besessene deputation auch alles überige der Parthel vor und anbringen ist der H Deputirten abgelegte relation nach Erkandt, daß der Implorant ex speciali Gratia und ohne consequentz unter dem anerbieten seiner mutter daß sie Zu seinem gunsten auf den betrieb der profession verzug thue, Dispensando von der ordnung annoch dueses jahr jedoch gegen ersetzung der uncosten, Zu Werfertigung es meisterstücks zu admittiren seÿe.

(p. 488) Bescheid vom 2.ten 7.bris. In sachen Ludwig Goucheron des hiesigen burgers und Schneider meisters Sohns Imploranten ane einem entgegen und wieder E: E: Zunfft der Schneider Hn Zunfft meister Imploraten am andern theil, auf übergebenes Memoriale samt beÿlagen sub Num. 1 et 2 mit bitten wie geruheten zu erkennen daß Unser den 18.t febr. letzthin ertheilte bescheid dahin Zu erlauteren, daß er ohne zuthun seiner Mutter Verzugs auf den betrieb ihrer profession Zu Verfertigung des Schneider meisterstücks ex speciali gratia annoch dieses jahr Zu admittiren seÿe, Erkandten bedacht ist nach eingezogener Kundschafft, wie auch der hierüber Vernommenen Meister anch angehörten Gutachteb der Herren Deputirten Erkanndt, daß der bescheid vom 18.ten febr: dahin Zu erläutern, daß der Implorant ohne Rücksicht der darin angeregten bedingungen, welche hiermit als nicht beÿgesetzt anzusehen ex speciali gratia annoch in diesem jahr zu Verfertigung des Meisterstücks zu admittiren seÿe.

Louis Goucheron présente son chef d’œuvre en septembre 1786. Il est reçu maître. Il devient tributaire en janvier 1787.
1786, Protocole des Tailleurs XI 348 (1784-1791)
(f° 36-v) den 14. Sept. 1786 – Er scheint unter S. T. H. XV. Flach als Obern und H Jacob Starck seinem Informatori Louis Goucheron ein hießiger Meisters sohn prod. bescheid von Gn. Hh d. XV. vom 2. Sept. jüngst mit bitt in gefolg sothanen bescheids ihn Zum meisterstück Zu admittiren sofort ihn das quantum samt den Rißen auf zu geben. Ist denselben mit
2 ¾. stab drap doeul bœuf Zu einen ganzen Kleÿd
N° 10 Ein Metzgergewad,
vnd 14 Ein rathsbotten Rock
willfahrt worden.
facta examinatione et relatione deren Hh Meisterstück schauern daß das Kleÿd so sohn als die Riß nach ordnung und wie recht verfertiget, alß ist derselbe Zu einem Mitmeister auf und angenommen worden.
(f° 43) Donnerstag den 25 Januarÿ 1787
Frantz Ludwig Goucheron erhalt auf prod. Stall schein vom 24. Jan 1787 d. Zunft und und Stubenrecht (dt. 12. ß findl. 9 ß)

François Louis Goucheron épouse en octobre 1786 Marie Dorothée Roth, fille de commissaire priseur : contrat de mariage, célébration
1786 (4.7.), Me Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1311) n° 160
(Eheberedung) persönlich erschienen Hr Frantz Louis Goucheron, lediger Schneider, weÿl. Peter Herrmann Goucheron, geweßenen Schneiders und burgers alhier, mit fr. Francisca Salome geb. Kirweilerin, ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter ane einem,
so dann Jgfr. Maria Dorothea Rothin, H. Joh: Theobald Roth, des geschw. Inventierschätzers, mit fr. Maria Dorothea gebohrner Geroldin, ehelich erzielte tochter, als braut ane dem andern theil – Straßburg den 4 July 1786. [unterzeichnet] Franciscus Loudovicus Gouscherong, Marie Dorothée Roth

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 35)
Hodie die 24 Octobris Anni 1786 (…) sacro Matrimonii vinculo Conjuncti fuerunt Franciscus Ludovicus Goucheron argentinensis civis et sator hujas filius solutus Majorennis defuncti petri Hermani goucheron civis et sartoris dum viveret hujatis et superstitis Franciscæ Salomeæ Kindweiler conjugum, parochianus noster et Maria Dorothea Roth Argentinensis filis soluta Majorennis Joannis theobaldi Roth civis sartoris hujatis et Maria Dorothea gerold conjugum hujatum parochiana nostra (signé) Goucherong, Roth (i 20)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à l’angle de la Grand rue et de celle des Fribourgeois
1787 (16.4.), Me Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1310) n° 234
Inventarium über Meister Frantz Ludwig Goucheron, des Schneiders und Frauen Mariæ Dorotheæ geb. Rothin beder Eheleuthe und burgere alhier einander für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1787. – in ihren den 14. Octobris 1786. angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Welche Nahrungen auf ihr beeder Eheleuth ane heutig. dato beschehenem Ansuchen, der ursach halben, aldieweilen sie in Gefolg ihrer, vor mir Notario unterm 4. July vorged. 1786.ten Jahres errichteter Eheberedung §° 3.tio ein ohnveränderter Guth und Ergäntzung des abgehenden stipulirt haben, inventirt – So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der langen stras am Eck der Freiburger Gaß gelegener behaußung in fernerer Gegenwarth der Ehefr. leiblichen Mutter und H Notarii Heinrich Joseph Wengler als beistandts auf Sambstag den 16. Aprilis 1787.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebracht Guth, Effecten, silber und Gold Posten 11 – adde die helfte der haussteuren 9, des Ehemanns völlig Einbringen 81. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen eingebracht guth, Sa. Haußraths, Silbers und golds 222, Sa. der baarschafft 542, Summa summarum 876 lb – darzu gelegt ihre helfte haussteuren 9, solchemnach bestehet der Frauen völligen in die Ehe gebrachte Vermögenschaft auf 885 lb
[unterzeichnet] Ludwig Gouscherong, Marie Dorothée goucherong née Roth

Vente de meubles d’une locataire, Elisabeth Herzog femme du blanchisseur François Cherrier

1804 (3 vend. 13), Strasbourg 13 (20), Me Bremsinger n° 2033
Vente de meubles de la succession de De Elisabeth née Herzog épouse de François Cherrier, blanchisseur, décédée le 23 thermidor dernier, devant la maison grand rue n° 139
à la requête de Jean Jacques Chrisostome Dieudonné Cherrier le veuf unique héritier par testament reçu Me Bremsinger le 22 thermidor dernier
510 fr, extances 50 fr, reste 460 fr, frais 70 fr, reste 389 fr

Inventaire après décès d’un locataire, François Antoine Willig, employé des chantiers municipaux

1804 (3 nivose 13), Strasbourg 12 (6), Me Wengler n° 1070 – Enregistrement de Strasbourg, acp 95 f° 77 du 8 niv. 13
Inventaire de la succession de François Antoine Willig, Employé au chantier de la commune de Strasbourg, leur parent décédé le 26 vendémiaire dernier – à la requête de Pierre Willig Musicien au 7° Régiment d’artillerie en garnison a Strasbourg, Jean Baptiste Hartmann propriétaire a Dachstein, Catherine Barbe Becker majeure, héritiers du défunt conjointement avec Antoine Willig ingénieur à Paris, André Becker militaire au service de France, Françoise Antoinette Becker majeure, François Xavier Tiebaut Becker menuisier, Thérèse Becker et Marie Thérèse Hartmann née Willig épouse dudit Sr Hartmann
actif 412 fr, passif 1066 fr, déficit 653 fr
vente devant la maison grande rue n° 139 (héritiers du Sr Villig employé au Magasin a Bois)

Inventaire après décès d’une locataire, Catherine Deckert veuve de Jean Weber, cuisinière de l’évêque

1807 (7.1.), Strasbourg 13 (26), Me Bremsinger n° 3561 – Enregistrement de Strasbourg, acp 101 F° 158 du 17.1.
Inventaire de la succession de Catherine Deckert veuve de Jean Weber, cuisinière de Monseigneur l’Eveque de Strasbourg, décédée le 9 novembre 1806 – à la requête de Jean Diebold boulanger de Wilfisheim tuteur des enfants mineurs – en présence de Joseph Weber subrogé tuteur
Dénomination des héritiers, 1. Antoinette 19 ans, 2. Jean Baptiste 14 ans
meubles 601 fr, immeubles ban de Wilvisheim 150 et 150 fr, total 901 fr
Vente de meubles n° 3562, le 8 janvier devant la maison grand rue n° 139

Vente de meubles d’un locataire, le garçon pelletier Michel Daniel Zig

1808 (7.9.), Strasbourg 5 (26), Me F. Grimmer n° 5214
Vente de meubles, de la succession de Jean Michel Daniel Zig, garçon pelletier, grand rue n° 139 – à la requête de Me Knobloch curateur des héritiers absens, en présence de Jean Philippe Brehm passementier tuteur subrogé à l’enfant mineur d’Elisabeth Ohry procréé avec le défunt hors mariage
78 francs, frais 78 francs

Marie Dorothée Roth meurt en 1825 en délaissant un fils prêtre et deux filles

1826 (11.3.), Strasbourg 14 (85), Me Lex n° 4527 – Enregistrement de Strasbourg, acp 177 F° 111 du 14.3.
Inventaire de la succession de Marie Dorothée Roth épouse de François Louis Goucheron, décédée le 27 octobre 1825 dernier – à la requête de ce dernier.
Dénomination des héritiers ses enfants issus du mariage : 1. Jean Louis Goucheron, curé desservant la paroisse de la Robertsau, 2. Françoise Dorothée Goucheron vivant de son revenu, 3. Elisabeth Goucheron vivant de son revenu
Contrat de mariage reçu Me Roessel le 4 juillet 1786
Communauté. Immeubles, une maison ayant bâtiment de devant et de derrière, cour, puits avec appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue n° 139, d’un côté la maison de Ferdinand Zeysolff, d’autre celle du Sr Leinenberger menuisier, devant la grand rue, derrière la maison de M Polty – acquis à la Chambre des Contrats le 20 juin 1788, estimée 12 000 fr
garde robe 96 fr, remploi 4214 fr, dettes actives 300 fr, total 4611 fr, remploi actif du veuf 4324 – mobilier 188 fr, total de la communauté 12 188 fr, passif 8539 fr

Dorothée Goucheron loue une partie de la maison au ferblantier François Xavier Zimmermann

1840 (16.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 78 f° 36, acte ssp du 25.3.1836
Bail – Dlle Dorothée Goucheron, propriétaire de la maison Grand rue n° 139
à François Xavier Zimmermann, ferblantier
le logement et la boutique qu’il occupe actuellement dans la maison sus indiquée pour 3, 6 ou 9 années consécutives à dater de Pâques 1836 – pourra se servir sans être gêné pour l’exploitation de son industrie – moyennant un loyer annuel de 188 francs

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