9, place de la Cathédrale


Place de la Cathédrale n° 9 – VI 296 (Blondel), O 235 puis section 19, parcelle 28 (cadastre)

Autre adresse, 14, rue Mercière
Maison Zum kühlen Lufft (à la brise fraîche) – Maître d’ouvrage, Valentin Humbert, cafetier, 1778 – Rez-de-chaussée refait en 1910 (architectes Henri Backès et Othon Zaché)


A l’angle, maison de Valentin Humbert dont le rez-de-chaussée a été refait en 1910 – Façade place de la Cathédrale (novembre 2016 et mai 2017)

Propriété de David Geiger selon le Livre des communaux de 1587, la maison appelée Zum kühlen Lufft (à la brise fraîche) a sur toute sa longueur de 69 pieds un auvent sous lequel se trouvent trois échoppes. Un oriel placé de biais se trouve à l’angle. Le marchand de fer Daniel Richshoffer agrandit en 1623 son écurie en prenant une surface de 12 pieds sur 9 de la maison voisine dont il s’est rendu propriétaire (actuel 8, place de la Cathédrale), ce qui donne lieu à une inscription sur le Livre des loyers communaux. Daniel Richshoffer vend en 1628 cette maison voisine au cordonnier Adam Ferichen en se réservant le droit de faire passer par la propriété vendue un chenal par lequel s’écoulent les eaux pluviales de son écurie et en concluant un accord sur la vidange des fosses d’aisances. Ambroise Richshoffer obtient en 1658 le droit de louer à son gré les échoppes en réglant une rente foncière de 9 livres à condition que les loyers soient raisonnables. La maison reste aux mains de marchands, Daniel Lienhard puis Geoffroi Hempel qui obtient en 1716 l’autorisation d’ouvrir une école pour y enseigner le calcul et la comptabilité. Il modifie en 1726 la convention relative à la vidange de la fosse en en prenant deux tiers à sa charge. Le marchand et banquier Jean Kornmann acquiert en 1727 par adjudication judiciaire la maison, estimée en 1731 à une valeur minimale de 2 750 florins. Le plan-relief de 1727 montre les échoppes devant la maison, le plan Blondel permet de constater que la façade rue Mercière est en retrait du reste de la rue.


La maison précédée des échoppes sur le plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
La maison (n° 296) sur le plan Blondel (1765) exemplaire portant les propositions de Blondel, (AMS, cote 1 PL 675)

Les héritiers du banquier Jean Kornmann et de ses deux fils morts célibataires vendent en 1778 la maison à Valentin Humbert, ancien boucher luthérien originaire de Hatten devenu cafetier. Le nouveau propriétaire présente une supplique aux Préposés aux affaires foncières parce qu’il croyait savoir qu’il pourrait avancer davantage sa façade vers la rue Mercière et conserver l’ancien alignement vers la rue du Maroquin alors qu’il faudra le reculer en partie. Il obtient en mai 1778 après un premier refus que l’alignement rue du Maroquin soit revu à la baisse. Valentin Humbert construit un nouveau bâtiment en supprimant les échoppes. Le maître maçon Linckenhœlin rend le 9 mars 1779 aux Préposés aux feux son rapport sur les poêles qui se trouvent au rez-de-chaussée et aux trois étages de la nouvelle maison.
Le nouveau bâtiment à chaîne d’angle arrondie comprend trois étages séparés par des cordons. Les linteaux en arc segmentaire des fenêtres (neuf vers la place, trois vers la rue) ont des clés plates vers la place et sculptées vers la rue Mercière. La fenêtre du milieu porte le monogramme VH au premier étage et le millésime 1778 au deuxième étage.
Valentin Humbert fait construire dans la cour un four qui donne lieu à un nouveau compte rendu dans le registre des Préposés aux feux en mars 1783.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 cour D, îlot 177 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (h) : deux fenêtres, une porte et six fenêtres au rez-de-chaussée sur la place, neuf fenêtres à chacun des trois étages, un étage mansardé et un niveau de lucarnes. Vers la rue Mercière une porte flanquée d’une fenêtre de part et d’autre, deux fenêtres à chacun des deux étages. Le mur (k-l) donne la longueur dont la maison a été avancée lors de sa construction en 1778. La cour D à l’extrémité sud de la parcelle représente l’arrière (4-5-6) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (1-2) vers le sud et les murs (2-3-4) des voisins à l’est et au nord.
La maison porte d’abord le n° 1 de la rue Mercière ou 4 place de la Cathédrale (1784-1857) puis le n° 9 de la place de la Cathédrale ou 14, rue Mercière.
La lithographie publicitaire d’Emile Lemaître (1808-1868) montre le rez-de-chaussée tel que doit l’avoir construit Valentin Humbert. Les trois mascarons actuels proviennent sans doute des trois arcades de la rue Mercière.



Lithographie d’Emile Lemaître (document B.N.U.)
Clé millésimée, clé à monogramme – Mascarons rue Mercière et place de la Cathédrale

Originaire de Heidelberg, le libraire Charles Trübner qui vient d’acheter la maison fait agrandir en 1873 six fenêtres au rez-de-chaussée vers la place. Il lègue en 1905 la maison à la Ville qui en devient propriétaire (fondation Trübner). Les architectes Henri Backes et Othon Zache transforment les devantures en 1910 en leur donnant leur aspect actuel. Arthur Blum, copropriétaire du magasin d’art Blum et Baumann qui occupe le rez-de-chaussée, fait ouvrir une communication avec sa maison sise 12, rue Mercière. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde en 1955 un permis de construire pour remplacer définitivement par de nouvelles les anciennes devantures soufflées par les bombardements de 1944. Les locataires Weibel (magasin de souvenirs Les Merveilles de la Cathédrale) posent en 1967 une nouvelle devanture à cadre en aluminium.


Nouvelle façade place de la Cathédrale et rue Mercière – Plan du rez-de-chaussée
(1910, dossier de la Police du Bâtiment)

août 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Daniel Richshoffer, marchand de fer, et (1607) Catherine Trausch – luthériens
1648 h Ambroise Richshoffer, marchand, et (1635) Catherine Bex – luthériens
1672 v Daniel Lienhard, marchand de fruits et légumes, et (1657) Anne Marie Grimm puis (1692) Agathe Ursule Schönenmarck, veuve du pasteur Elie Kolb – luthériens
1699 v Geoffroi Hempel, marchand, et (1697) Marie Ursule Bœhler – luthériens
1727 adj Jean Kornmann, marchand et banquier, et (1703) Elisabeth Leo – luthériens
1731 h (indivision) Jean Frédéric Kornmann, marchand et banquier, célibataire († 1752), institue pour héritière Marie Elisabeth Richshoffer – luthérien
Jean Kornmann, marchand et banquier, célibataire († 1770), institue pour héritier le banquier Guillaume Kornmann – luthérien
1778 v Valentin Humbert, boucher puis cafetier, et (1746) Marie Elisabeth Pfeffinger – luthériens
1803 h (indivision) Susanne Dorothée Humbert et (1767) Georges Frédéric Gerold, ramoneur – luthériens
Valentin Humbert, cafetier, et (1785) Marie Marguerite Helck – luthériens
1818 h Valentin Humbert, propriétaire, et (1814) Marie Reine Victoire Behr
1823 v Charles Frédéric Spielmann, pharmacien, et (1818) Sophie Aimée Karth
1872 v Charles Trübner, libraire-éditeur, et Claire Engelhorn
1905 l Ville de Strasbourg (fondation Trübner)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2 000 livres en 1692, 2 750 livres en 1731, 6 000 livres en 1781, 5 250 livres en 1785

(1765, Liste Blondel) VI 296, M. Kormann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Humbert, 15 toises, 5 pieds et 1 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 235, Spiehlmann, Charles Frédéric, rue Mercière 13 – maison, sol – 2,45 are

Locations

1689, (échoppe) Jacques Schlachtmann, cordonnier
1690, (échoppe) Jean Lohrer, cordonnier
1698, Geoffroi Hempel, marchand (futur propriétaire)
1707, (échoppe) Frédéric Rautenstrauch, marchand
1718, Jean Certain, confiseur
1724, François Imbert, confiseur, et Catherine Demoulin
1724, (étal) Jean Henri Stœber, aiguilletier
1729, Antoine Livio, marchand, et Anne Marie Donner
1729, (cave) Jean Philippe Sinninger, tailleur
1735, Jean Jacques Giesing, marchand
1749, Jean Frédéric Schuler, boutonnier, Jean Frédéric Schatz, fondeur d’étain, et Jean Georges Grossmann, passementier
1753, Jean Frédéric Schatz, fondeur d’étain, et Jean Georges Grossmann, passementier
1754, François Antoine Finck, confiseur
1804, Jean Frédéric Lefevre, cafetier
1820, Bernard Landwehrlin
1820,1822, Denis Fevé, pâtissier, et Barbe Menges
1822, Jean Jacques Dieterlin, cafetier
1824, Jean Pierre Schæffer, tapissier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 40-v
David Geiger est propriétaire de la maison Zum kühlen Lufft à l’angle de la rue du Maroquin, elle a un auvent en saillie de 5 pieds sur tous les 69 pieds de sa longueur, une marche en pierre de 6 pieds 9 pouces sur la même longueur de 69 pieds, la porte de cave a 6 pieds et demi sur 6, le soupirail 2 pieds et demi de long et autant de large, sous l’auvent se trouvent trois échoppes contiguës en bois qui occupent 24 pieds sur 5 pieds et dont l’abattant a cinq pieds sur deux, à l’angle un oriel en pierre en saillie de 4 pieds dont chaque côté a 6 pieds mais dont le milieu repose sur sa propriété, le tout devant toujours faire partie du communal, doit pour la jouissance 4 livres 5 sols

Kurben Gaß die Eine seiten Gegen dem Falckhen

Herr Dauid Geÿger hatt vor seinem Hauß Zue dem Küelen Lufft genandt, Anfangs Vornen Am Eckh Im Kurbengaß die Allmendt 69 schu lang, darüber ein Wettertach auch so lang, Vnd 5 schu herauß, Vnden ein steinerin Tritt 6 schu 9 Zoll herauß, Vnd 69 schu lang, Ein Kellerthüer 6 ½ schu lang 6 schu breit, Ein Kellerfenster 2 ½ schu lang vnd breit, Item mehr Vornen am Eckh Vnder dem Wettertach dreÿ hülzener Gaëdlin aneinander 24 schu lang vnd 5 schu breÿt, daruor dreÿ Vssaz Laëden, Jeder v schu lang, vnd ij schu breÿt, Item mehr vornen am Eckh ein steinerin Erckher so mit beeden Eckhen vf dem Allmendt ix schuh lang, vnd iiij schu herauß, Aber Inn der mitten vf seinem Aÿgenthumb stehn, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, iiij lb ij ß d
[in margine :] dise Gaëdlin vnd. Dauid Geigers hauß seind nit bestrafft worden, vnd hierbeÿ außgesetzt, Soll fürohin ein bestendiger zinß darauf gelegt werden, vnd den 3. vfm Pfenningthurn anbeuohlen werden

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 117
David Geiger doit pour un communal clôturé devant sa maison à l’angle de la place de la cathédrale et de la rue du Maroquin 1 livre de rente foncière, à régler pour la première fois à la Saint-Michel 1569. Le contribuable Daniel Richshoffer en 1627 règle alors deux livres

Item j lb Boden Zinß gibt Dauid geiger von Einem Ingezeuntten Allmendt An seinem Eckhuß vor dem Münster An Kurbengaßen gelegen vnnd gefallet der Erst Zinß vff Santt Michaels tag Anno Lxix. Mns* des Buchs vber Eigen vnd Allmend Inn der Statt fo: 16.
(rub.) Jetz Daniel Reißhoffer Jetz 2 lb d 8 Febr. 27. Gesetzt
Neü 274.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 274
Même loyer porté dans le registre suivant. S’ajoute une livre pour une communication avec la maison voisine (voir plus loin la décision des Quinze en 1623

H. Ambrosius Reichßhofer, Soll gemeiner Statt, bodenzinß Von eingezeüntem Almend des Eckhauß vor dem Münster ahn der Kurbengaßen, Jahrs Vf Michaelis 2 lb d
Alt. d. f. 117
New. fol. 235
[in margine :] j. 608

Idem Vom durchbruch des Eckhauß ahnfangs der Kurbengaßen vor dem Münster, ins nebens Hauß, Jahrs Vf weihnacht. 1 lb d
Man. f. 52
New fol. 235
(Quittungen 1653-1672)

1652, Livre des loyers communaux, VII 1462 (1652-1672) f° 608-v
Autre loyer de 9 livres pour les trois échoppes devant sa maison, à verser pour la première fois en 1659 (voir la décision des préposés aux affaires foncières en 1658)

Herr Ambrosius Reichshoffer Soll gemeiner Statt, Von dreÿen gädlein ahn seinem hauß, so hiebeuor hanß Prigel, Hanß Wehl vndt Jacob Osterieth innengehabt furthin vndt Zwahr vff Johannis A° 1659. Zum ersten mahl Zinßen, 9 lb
[in margine :] F 274, New 235
(Quittungen 1659-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 235
Les trois rentes foncières sont portées à la même page du registre suivant. Les contribuables ultérieurs sont Daniel Lienhard, Geoffroi Hempel puis Jean Kornmann

H. Ambrosius Reißhoffer, Soll bodenzinnß vom eingezäunten Allmend des Eckhaußes vorm Münster an der Kurbengaßen, vff Michaelis ([corrigé en] Joh. Baptæ), 2 lb
Ferner vom durchbruch des Eckhaußes anfangs der Kurbengaßen vor dem Münster ins Nebens hauß, vff Weÿhenachten ([corrigé en] Joh. Baptæ) 1 lb
St. Zinßb. p. 274. Man. f. 52
Weiters von dreÿen Gädlein an dißem hauß vff Joh:: Bapt. 9 lb
St. Zinßb. 608
Jetzt Daniel Lienhard
Jetzt H. Gottfried Hempel
Jetzt H. Johann Kornmann 1728. i.mo

(Quittungen 1673-1741
Neuzb fol 428-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 428-b
Nouveau report. La rente assise sur les échoppes s’éteint en 1768 avec leur démolition. Le contribuable suivant est le cafetier Valentin Humbert

alzb. 235
H. XV. Joh: Kornmann (Erben) soll vom eingezäunten Allmend des Eckhaußes vor dem Münster an der Kurben gaßen auf Joh. Bapt. (id est 24. Junii) 2 lb
Ferner vom durchbruch des Eckhaußes anfangs der Kurbengaßen vor dem Münster ins nebens Hauß auf Joh. Bapt. in Recognit: id est 24. Junii, 1 lb (Vide Erk. der Hh. XV. vom 20. 9.bris 1623)
Weiters von 3. Gädleinen an dißem hauß auf Joh: Bapt. 9 lb (seÿndt in A° 1768. hinweggemacht worden)
(Quittungen 1741-1768, 12 lb.
1769-an X, 3 lb)
C 210
Jetzt Valentin Humbert, Caffesieder, laut (-)

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1658, Préposés aux affaires foncières (VII 1355)
Ambroise Richshoffer demande à être libre de louer les échoppes en réglant une rente foncière de 9 livres comme l’atteste une décision de 1591. Les préposés accèdent à sa demande (la rente est inscrite au Livre des loyers communaux) en lui demandant de louer les échoppes à un prix raisonnable.

(f° 205-v) Dienstags den 6. Euisdem [Julÿ] H. Reißhoffer, Gäden am Reißhofferischen hauß an Kurbengaß
H. Ambrosius Reichßhoffer producirt Supplicationem, darin er sucht, daß er die Jenige 3. gadlein an seinem hauß, so er Krafft Zinß buchs fol. 135. Erbawen, freÿ Verliehen vnd wegen Nießung deß Allmendts ahne statt deß Jährlichen Zinnßes, dem Pfenningthurn 9. lb d abtragen möge, wie es A° 1591. auch erkant worden.
Erk. wirdt Ihme H. Reichßhoffer dergestalt willfahrt, d. er für den genuß deß Allmendts so weit dieße dreÿ gadlein gehen deß Jahrs 9. lb d abstatten hiengegen die gadlein selbsten so gutt er Kahn genißen oder verliehen möge, doch d. er sich dabeÿ Christlichen billigkeit befleißige, vnd niemand vber gebühr beschwere.

1777, Préposés aux affaires foncières (VII 1417)
Le maçon Georges Frédéric Walther demande au nom du cafetier Valentin Humbert qu’on lui indique l’alignement à suivre pour la maison à l’angle de la place de la Cathédrale et de la rue Mercière. Les préposés ordonnent le 16 décembre 1777 une visite des lieux

(f° 285) Dienstags den 16. Decembris 1777. Valentin Humbert Caffée Sieder – Mr Georg Friderich Walther, der maurer nôe. Valentin Humbert, des Caffée-Sieders bittet um Ertheilung des Allignements deßen ane dem Münsterplatz am Eck des Krämer Gässels gelegener behausung. Erkannt, Augenschein

1778, Préposés aux affaires foncières (VII 1418)
Les préposés ratifient le 10 mars 1778 le toisé que l’inspecteur a fait à la maison Kornmann acquise par le cafetier Valentin Humbert

(f° 42) Dienstags den 10. Martii 1778. – Valentin Humbert Caffée Sieder
Herr Bau Inspector berichtet, daß Er dem vorgewißenen: und nunmehro approbirten Alignement nach Valentin Humbert, dem Caffée Sieder, so das Kornmännische Haus am Eck der Krämer: und Kurben Gaß gelegen, käuflich an sich gebracht und zu bauen willens, das Alignement ausgesteckt. Erkannt, Genehmigung.

Valentin Humbert présente un mémoire où il expose que la première enchère de la maison n’est pas allée au-dela de 12 000 livres tournois mais que les enchères sont montées après que l’inspecteur Boudhors a déclaré que la maison pourrait avancer de 18 pieds rue Mercière et garder son alignement rue du Maroquin. Il a acquis la maison 21 000 livres et a ensuite été étonné d’apprendre que l’avance dans la rue Mercière se limitait à 12 pied 6 pouces au lieu des 18 pieds et que la façade rue du Maroquin devrait reculer de 20 pieds à une extrémité et avancer de 2 à l’autre extrémité. Il objecte que les pièces rectangulaires auront une forme irrégulière, qu’il ne lui sera plus possible de poser des billards et que le surcoût de construction atteindra 10 000 livres. Les préposés, estimant que la parole de l’inspecteur Boudhors qui nie avoir indiqué des dimensions précises ne saurait être mise en cause et que les gens de métier n’ont pas suivi la procédure habituelle, déboutent Valentin Humbert de sa demande en le renvoyant à l’alignement.

(f° 47) Dienstags den 24. Martii 1778. – Valentin Humbert der Caffée: Sieder
Valentin Humbert der Caffée: Sieder præsentirt unterthäniges Memoriale vorstellend, daß die behausung ane dem Münsterplatz gelegen, so das Eck an der Krämer: und St Urbans: Gaß ausmachet, beÿ der Ersten Versteigerung nur auf 12.000 Livres gestiegen, weilen die Steigerer damalen nicht wußten, wie sich diese behausung dem Alignement nach in dem Plan befindet. In der Zwischenzeit von der Ersten auf die letzte Versteigerung aber hätten sich die Liebhaber theils selbsten, theils durch dero Maurer und andere Personen beÿ Herrn Boudhor dem bau Inspector um das Alignement solcher behausung erkundiget, welcher dann alle versichert, daß dieselbe dem Plan in die Krämergaß 18 schuh weit vorrucken auf der Seit gegen der St. Urbans gaß aber weder vorrucken noch zurücken weichen solle, dahero es gekommen, daß diese behausung weit höher im Preis gestiegen, also daß dieselbe beÿ der letztern Versteigerung dem Imploranten vor die Summ von 21.000 Livres zuerkannt worden. Weilen aber seine Maurer Meister ohne Erlaubunus Meiner Gnädigen Herren keine Veränderung an solcher behausung machen durfte, so mußte der Implorant mit Erstaunen beÿ Anhaltung um die Erlaubnus vernehmen, daß diese behausung gegen der Krämer Gaß statt 18 nur 12 schuh Ein Zoll 6 Linien vorrucken, hingegen auf der Seit der St Urbans Gaß vornen am Eck um 20 zoll zurück weichen und am andern End in erst berührter Gaß um zween Schuh vorrucken solle, Da aber diese [f° 48] Veränderung des Alignements in die St. Urbans Gaß dem Imploranten sehr nachtheilig in deme 1° das Haus gegen der Krämer Gaß um 20. Zoll schmäler würde, wodurch nicht nur die Haubtzimmer durch alle Stockwerck welche dermalen ordentlich vierecket sind, sehr ungleich würden, sondern auch dadurch der Zu Stellung der Billards benöthigte Platz gehemmet wird. 2° Wäre er genöthiget die völlige Maur in der St. Urbans Gaß, welche er glaubte stehen und nur die Kreutzstöck der Ordnung nach ausbrechen zu laßen, nieder zu reißen. 3° Müßte er sogar die Fundamenten ausbrechen laßen, weilen man dieselbe mit der Maur nach dem neuen Alignement nicht verbinden könte. 4° Könte das Gebälck größten theils nicht mehr gerbraucht werden, weilen solche zu kurtz wäre, Würde also der Implorant durch diese Veränderung des Alignements in der St. Urbans Gaß wenigstens in die 10.000 livres mehrere Bau: Kösten gesetzt werden. Bittet dahero zu erlauben, daß die Maur in der St. Urbans Gaß in dem Alignement, wie sich dieselbe würcklich befindet, gelaßen werden könne. Nach deme nun Meine Gnädige Herren in Ansehung dieses Vortrags Herrn Bau Inspector Boudhor befragt, ob Er diejenige, so Ihn um Anzeig des Alignements dieser behausung gefragt, versichert, daß dieselbe in der St. Urbans Gaß auf dem alten fundament bleibet, mithin dem Plan nach keine [f° 48.v] Veränderung leidet ? Hat derselbe Meine Gnädige Herren versichert, daß er weiter nichts gesagt, als daß berührte behausung auf beeden Seiten Veränderungen unterworfen. Weilen um des Imploranten Vorgeben, daß der H. bau Inspector das Alignement auf seine angebrachte Art angegeben, dar Wahrheit gemäs zu seÿn nicht vermuthet werden könne, besonders aber da sich der Implorant dieser halb niemalen beÿ Meinen Gnädigen Herren, wo es doch ohnumgänglich nöthig ist, die Maurer: und Zimmer Meister sich deßen auch nicht mit der Unwißenheit entschuldigen können, gemeldet, das Alignement in der St. Urbans: Gaß aber nach den würcklich auf dieser Seite neu gebauten Häuser zu vollführen, als wurde Erkannt, Seÿe der Implorant mit seinem begehren ab: und an das angewiesene Alignement zu verweisen.

Valentin Humbert prie les préposés d’entendre les dépositions de plusieurs témoins qui ont entendu les déclarations de l’inspecteur Boudhors. Il est renvoyé à la décision précédente.

(f° 52) Dienstags den 31. Martii 1778. Valentin Humbert Caffée Sieder – Valentin Humbert der Caffée Sieder præsentirt abermalen unterthäniges Memoriale mit bitten ihme und seinem den 24. jüngst übergebenen unterthän. Memoriali enthaltenen begehren gnädigst zu willfahren, angesehen Er bonâ fide der Aussage des Herrn Boudhors geglaubet, welche Aussage er durch eidliche Abhör Herrn Lung, des Paßmentirers, und Mr Nagel des Maurers und Herrn Graf, des Handelsmanns zu erhärten gedencket. Wann Meine Gnädige Herren geruhen wolten diese Abhörung Verordnen. Erkannt, Seÿe der Implorant mit seinem wiederholten begeren ab: und an die Erkanntnus vom 24. jüngst zu verweisen.

Valentin Humbert demande d’être dispensé de reculer la façade de 18 pouces à l’angle, sans quoi il ne pourra pas placer deux billards dans la salle de devant. Les préposés demandent à l’inspecteur Boudhors de donner un nouvel avis sur l’alignement.

(f° 55) Dienstags den 7. Aprilis 1778. Valentin Humbert der Caffée sieder – Valentin Humbert, der Caffée sieder præsentirt abermalen unterthäniges Memoriale mit bitten ihme in seinen critischen Umständen in Ansehung des Alignements seines Hauses auf der Seite der St. Urbans Gaß die Gnade zu erweisen, und Ihme von den 18 Zoll, so er am Eck gegen der Krämergaß zurück weichen soll, zu befreÿen, weilen er sonsten ohnmöglich zweÿ Billards in die vordere Stub stellen könte.
Erkannt, Seÿe Herr Bau Inspector abzuordnen, das Alignement genau zu untersuchen, ob und etwa wieviel dem Supplicanten von der Zurückweichung nachgelaßen werden könte, sofort S.T. Herrn XV Lemp, seinen Rapport abzustatten. Anbeÿ wird Hoch Edelbesagter Herr XV. Lemp bestens ersucht, im Fall die Sach nicht bis zur nächsten Session aufgeschoben werden könte, die gehörige verordnung und resp. Erlaubnus deßfalls ertheilen.

La commission qui s’est rendue sur place conclut qu’il n’y a pas d’inconvénient à reculer la façade de seulement 6 pouces au lieu de 19. Les préposés ordonnent de modifier le plan en conséquence.

(f° 68) Dienstags den 5. Maji 1778. Valentin Humbert Caffée Sieder – Herr Bau Inspector Boudhors trägt vor, Wie daß Er mit S.T. Herrn XV. Lemp untersucht, ob das Alignement am Eck der Krämer Gaß gegen dem Münster nicht etwas abgeändert werden könne, damit Valentin Humbert der Cafféesieder mit seinem neu aufbauenden Haus gegen dem Münster am Eck der Krämer Gaß nicht dem Plan nach um 19 Zoll Zurück weichen muß ? als Hätten Sie befunden, daß man das zurück weichen gar füglich von 19 auf 6 zoll setzen könte. Erkannt, Seÿe Valentin Humbert Zu erlauben mit seinem neu aufbaueden Haus am Eck der Krämer Gaß statt dem Plan nach vorgeschriebenen 19 nur 6 Zoll Zurück weichen, und solle der Plan dißfalls auf diesen Fuß geändert werden.

1778, Préposés aux affaires foncières (VII 1418 (731)
La maison se trouve en partie en avant et en partie en arrière de l’alignement. Valentin Humbert acquerra en définitive 2 toises 3 pieds 9 pouces de terrain moyennant 36 livres la toise, soit 94 livres 10 sols

(f° 177-v) Dienstags den 17. Novembris 1778 – H. Bau Inspector Boudhors referirte, Er habe die in diesem Jahr von verschiedenen Particuliers überbauene Allmend Plätz ausgemeßen und den angesetzten Preißen den Cantons nach ausgerechnet, was jeedes zu bezalen, als (…)
Valentin Humbert der Caffetier – Valentin Humbert, der Cafféesieder so mit seiner behausung am Eck der Krämer: und St Urbans: Gaß gelegen dem Alignement nach theils vor: theils zurück gefahren, hat über Abzug deßen was er zurück gefahren gemachter Abmeßung nach annoch das Allmend überbauen um 2 Klafter 3 Schuh 9 zoll Quadrat Mas ligt im VI. Canton, davor hat derselbe à 36 lb das Quadrat Klafter zu bezalen, 94 lb 10 s

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1779, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Linckenhœlin rend aux préposés son rapport sur les poêles qui se trouvent au rez-de-chaussée et aux trois étages de la nouvelle maison du cafetier Valentin Humbert le 9 mars 1779.

Valentin Humbert der Cafée sieder 495. 571
(p. 494) Dienstags den 9.ten Martii 1779. – H Humbert der Cafée sieder will in seiner ane dem Münster platz gelegenen Behaußung auf dem rez de Chaussée eine Billard Stube mit einem Runden gegossenen offen machen, in den in dem Zimmer eingefeurt wird, und dessen blechene Rohr in ein darüber im ersten stock befindliches vor Camin gerichtet neben dieser stube eine andere mit einem offen wie erstere Hinten daran eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen das Rohr am steinern gäbel Hinauf von allem holtz entfernt neben diese Kuchen eine stube gegen der gaß mit einem gegossenen ofen in den aus der Kuche eingefeurt, und dessen bleichene Rohr in das Kuchen Camin gerichtet.
Im ersten stock Rechter hand des gangs ein vor Camin aus welchem in die billard stube und in eine darneben befindliche stube eingefeurt wird auf einem gewölb wohl versehen, das Rohr mitten durch das gebäud von Allem Holtz entfernt, gegen dem Hoff hinten daran ein Zimmer mit einem frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen, das Rohr am steinern gäbel Hinauf von allem holtz entfernt, neben dis Camin ein Runden gegeossenen offen setzen in den aus dem Camin eingefeurt und dessen Rohr in besagtes Camin gerichtet, vornen daran gegen der gaß ein Zimmer mit einem offen in der in dem Zimmer eingefeurt und dessen Rohr in das Kuchen Camin des rez de Chaussée gerichtet.
Im Zweiten stock der Steeg Rechterhand eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt, neben daran eine stube mit einem offen in den aus der Kuch eingefeurt und dessen blechenes Rohr in das Kuchen Camin gerichtet, in dem gang Rechter hand ein vor Camin auf einem gewölb wohl versehen aus welchem in Zweÿ Zimmer eingefeurt wird das Rohr mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt vornen daran gegen der Krämergaß ein Zimmer mit einem frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Der dritte stock ist em ersten durchaus gleich.
Erkandt mit dem anhang willfahrt, daß die thüren der vor Camin mit eisenblech beschlagen werden – Mstr Linckenhölin.

Nouveau rapport sur le four construit dans la cour, en mars 1783

(p. 571) Mittwoch den 23.sten Martii 1783. – Valentin Humbert der Cafée sieder will in seiner ane dem Münster platz gelegenen Behaußung im hoff einen bauchofen auf den grundboden setzen mit Caminschoß wohl versehen das Rohr am steineren gäbel Hinauf von allem holtz entfernt.
Erkandt Willfahrt – Mstr Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1731 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, le poêle de l’officier, la chambre pour le domestique de l’officier, vestibule, boutique et trois petites échoppes, fourneau à lessive, cave voûtée, le tout estimé avec le puits, la cour, les appartenances et dépendances à la somme de 5500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Mercière

nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Spielmann
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

3° arrondissement ou Canton Sud – Place de la Cathédrale

nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
porte de derrière du N° 1 rue Mercière
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 89 case 1

Spielmann, Charles Frédéric, place de la Cathédrale N° 5

O 235, maison, sol, R. mercière 13 [sic au lieu de 1]
Contenance : 2,45
Revenu total : 586,28 (585 et 1,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus : 27 / 22

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 260 case 2

Spielmann, Charles Frédéric, place de la Cathédrale 10
1874 Trübner, Carl, Buchhändler

O 235, maison, sol, Place de la Cathédrale 9
Contenance : 2,45
Revenu total : 586,28 (585 et 1,28)
Folio de provenance : (89)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 47
fenêtres du 3° et au-dessus : 27

Cadastre allemand, registre 30 p. 223 case 7

Parcelle, 19, n° 28 – autrefois O 235
Canton : Krämergasse u. Münsterplatz Hs N° 14 bzw. 9 / Rue Mercière N° 14 et Place de la Cathédrale N° 9
Désignation : Hf, Whs u. NG. e. T.
Contenance : 2,34
Revenu : 5200 – 7500
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1907), compte 1240
Dr. Trübner Karl
gelöscht 1907

(Propriétaire à partir de l’exercice 1907), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 167 des Merciers (p. 319

1
Pr. Humbert, Valentin, Caffetier – Fribourg
lo. Humbert, Valentin, le Pere – Fribourg
lo. Pijon, Officier retiré

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Münsterplatz (Seite 120)

(Haus Nr.) 9
d’Oleire, Buchhndlg. 0
Trübner, Verl.-Buchhdlg. 1
Dr. phil. Trübner, Kommerzienrat E 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 924 W 94)

9, place de la Cathédrale (1873-1994)

Le libraire Charles Trübner fait agrandir en 1873 six fenêtres qui donnent vers la place. Le pignon vers le voisin (8, place de la Cathédrale) est humide parce que les eaux pluviales s’écoulent mal (voir la convention passée en 1628). La Ville devient propriétaire de la maison en 1905 par un legs de Charles Trübner. Louis Brill (société Wallenfels-Brill, papeterie et articles de bureau), prête-nom de la Ville, charge les architectes Henri Backes et Othon Zache de transformer les devantures en 1910 en leur donnant leur aspect actuel.
L’architecte Auguste Hæntzler construit des cloisons dans l’appartement d’Arthur Blum au premier étage en 1920. Le magasin d’art Blum et Baumann occupe le rez-de-chaussée. Les nouveaux propriétaires font murer en 1940 la communication qu’avait ouverte Arthur Blum entre le magasin et sa maison sise 12, rue Mercière. Les fissures observées en 1949 dans le mur mitoyen avec le n° 12 ne s’agrandissent pas. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde en 1955 un permis de construire pour remplacer les anciennes devantures par de nouvelles. Les locataires Weibel (magasin de souvenirs Les Merveilles de la Cathédrale) posent en 1967 une nouvelle devanture à cadre en aluminium.

Sommaire
  • 1873 – Le libraire Charles Trübner demande l’autorisation d’agrandir six fenêtres vers la place au commissaire de police qui transmet au maire. L’agent voyer note que la façade est alignée et qu’elle n’a pas d’encorbellement. L’architecte de la Ville et le maire donnent leur accord.
  • 1898 (mai) – Le maire notifie Charles Trübner de faire ravaler la façade. Le propriétaire fait remarquer qu’il a fait repeindre la façade en 1891 et promet de faire les travaux à l’automne quand il sera revenu dans la maison – La façade a été lavée, novembre
  • 1898 (septembre) – Les architectes Kuder et Müller (22-24 avenue de la Forêt-Noire) rendent au propriétaire Trübner leur rapport sur l’humidité du pignon, plus grave que ce qu’ils estimaient. L’humidité est due au mauvais écoulement des eaux pluviales par la maison voisine (8, place de la Cathédrale, propriété Heim).
    – L’architecte municipal Nebelung propose un accord entre les deux voisins puisque le raccordement à l’égout du Marché aux cochons de lait tel que le propose le propriétaire n’est pas possible. – Le mur a été garni de ciment à l’endroit de la prise d’eau.
  • 1901 – Le maire notifie Charles Trübner de faire ravaler la façade. – Travaux terminés, octobre
  • 1906 – Le dentiste Lickteig informe la Police du Bâtiment qu’il déménage du 13, Vieux-Marché-aux-Poissons au 9, place de la Cathédrale (deuxième étage). Il retire son enseigne et sa vitrine.
  • 1906 – La société Meess et Nees demande l’autorisation de poser pendant quinze jours devant le 9, place de la Cathédrale une baraque de chantier pour y entreposer des matériaux. Le commissaire de police transmet la demande au maire. Les travaux sont réalisés pour le compte de la Ville.
  • 1907 – Le peintre Hummel et Paul demande l’autorisation de poser un échafaudage pour repeindre la maison. Le commissaire de police transmet la demande au maire. Les travaux sont réalisés pour le compte de la Ville.
  • 1907 – Le maire notifie la Ville, propriétaire du 9, place de la Cathédrale, de faire ravaler la façade. – Travaux terminés, décembre 1907
    1906 – Le maire notifie Charles Trübner puis la Ville de faire ravaler la façade du 14, rue Mercière. – Travaux terminés, décembre 1907 (en marge, acquis contre versement d’une rente viagère par décision du Conseil municipal en date du 10 février 1905) – Travaux terminés, décembre 1907
  • 1906 – Le propriétaire du n° 8 se plaint que le tuyau des cabinets d’aisance de son voisin dégage de mauvaises odeurs. L’enquête montre que les mauvaises odeurs pourraient aussi provenir d’un tuyau non utilisé dans la propriété du plaignant Heim.
    1915 – Commission des logements militaires. Remarques en 5 points
  • 1910 – Les entrepreneurs Bürklé demandent l’autorisation de poser des matériaux devant le 9, place de la Cathédrale pendant sept semaines. Le commissaire de police transmet la demande au maire. – Autorisation d’entreposer des matériaux pour les transformations de la maison – Ils demandent ensuite d’occuper une surface plus importante – Autorisation – Dossier classé, avril 1910.
    1910 (janvier) – Les architectes Backes et Zache transforment les devantures de la maison 9-11, place de la Cathédrale – Pas de travaux (janvier), les travaux sont commencés (février). Les contrôleurs n’ont pas d’objection à faire. Les baies sont terminées (avril). La magasin de droite est occupé mais pas celui de gauche dont l’ouverture qui donne dans une cheminée n’est pas à l’épreuve du feu. Dossier classé, septembre 1910
    Le Service d’architecture note que la parcelle suit l’alignement et appartient à la Ville.
    Les architectes Backes et Zache sont autorisés au nom de Louis Brill à transformer la façade et à poser des volets roulants au rez-de-chaussée du bâtiment propriété de la Ville, 9, place de la Cathédrale (5,60 mètres) et 14, rue Mercière (2,50 mètres) – Droits à payer pour 13 nouveaux piliers, 6 baies de magasin, 2 fermetures de magasin, 3 puits de lumière au sous-sol, 3 volets roulants – Dessins – Calculs statiques
    Louis Brill déclare au nom de la société Wallenfels-Brill (papeterie et articles de bureau) qu’il a convenu avec l’adjoint Emmerich de prêter son nom pour les travaux qui reviendraient ainsi moins cher que si le maître d’ouvrage était la Ville. Les droits à payer sont donc à la charge de la Ville.
  • 1911 – Courrier du tribunal civil dans l’affaire qui oppose des architectes Backes et Zache à la société C. Frenkel.
  • 1912 – Les droits à régler pour les volets roulants en saillie pourraient être à la charge des locataires sauf si leur bail l’empêche. Le bail n’empêche pas que ces droits soient à leur charge.
    1914 – La blanchisserie Edelweiss a été remplacée par une confiserie. Les droits sont inscrits au nom de Charles Cahn
    1914 – La papeterie est autorisée à apposer l’inscription bilingue Andenken – Souvenirs
  • 1915 – Dossier pour établir une petite cheminée dans le logement Lickteig. Accord et conditions
  • 1914 – Le peintre en bâtiment Adolphe Fischer (13, rue des Bouchers) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Droits à payer pour poser un échafaudage et repeindre la façade. Les travaux sont exempts de droits parce que la maison appartient à la Ville
  • 1920 – L’architecte A. Haentzler soumet les plans pour construire des murs de 10 centimètres d’épaisseur 9, place de la Cathédrale. Le bail porte que les travaux dans le logement au premier étage sont à la charge du locataire A. Blum – Autorisation – Travaux terminés, octobre
  • 1928 – M. Wittenberg (bandages et caoutchoucs) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Croquis
  • 1931 – Le magasin d’art A. Blum et R. Baumann demande l’autorisation de poser une enseigne (Blum & Baumann) en lettres dorées au-dessus des devantures – La Police du Bâtiment constate que l’enseigne a été posée sans son autorisation ni celle de la première division, gérante de l’immeuble. La commission des Beaux-Arts estime que l’enseigne pourra être maintenue mais en supprimant le fond peint en noir. – Les commerçants déclarent que les lettres brillantes terniront. La Police du Bâtiment estime qu’il n’y a pas lieu de poursuivre l’affaire du fond noir.
  • 1930 – Mme Maasberg, professeur à l’école municipale de commerce, est autorisée à suspendre une antenne de T.S.F. entre le 9, place de la Cathédrale et le bureau de poste – Croquis – Autorisation
  • 1934 – M. Wittenberg demande l’autorisation de poser une enseigne sur verre – La Commission des Beaux-Arts refuse pour des raisons esthétiques
  • 19 – L’entreprise Jean Ongoro demande l’autorisation de poser un échafaudage pour crépir la façade – Accord
  • 1940 – La propriété sise 9, place de la Cathédrale qui appartient à la fondation Trubner est en partie louée à des Juifs (magasin Blum et Baumann, appartement d’Arthur Blum au premier étage, cabinet des avocats Bloch et Weill au deuxième étage). L’ancien locataire Brill se propose de louer le magasin et le logement correspondant. Arthur Blum avait ouvert entre le magasin et sa maison sise 12, rue Mercière une communication que les nouveaux propriétaires ont fait murer à leurs frais. Le commissaire Ellegring demande au Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire de se rendre sur place pour constater quels travaux de remise en état sont nécessaires
    1941 – Charles Brill se déclare prêt à régler les frais de peinture aux endroits des anciennes enseignes avant d’y placer de nouvelles – Croquis par le peintre Eugène Schuster (rue de Geispolsheim au Neudorf) – L’inscription est peinte, mai 1941
    1943 – La Chambre de Commerce du Rhin supérieur demande de réduire la surface des devantures en les peignant – Travaux terminés, janvier 1944
  • 1945 – R. Manrique demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire en drapeau pour signaler son atelier de photographie – Refus pour raisons esthétiques – Nouvelle demande en 1949 et nouveau refus. Dossier clos en septembre 1949.
    1946 – Le magasin de souvenirs A. Blum et R. Baumann demande l’autorisation de remettre en place son enseigne. La Ville qui s’est réservé le droit d’approuver toute enseigne dans les baux consentis aux locataires se demande si une ancienne enseigne peut être maintenue. La Commission des Beaux-Arts émet un avis favorable. La Division VI fait observer que l’enseigne était déjà posée avant l’autorisation.
  • 1949 (avril) – Arthur Blum, locataire du magasin municipal 9, place de la Cathédrale et propriétaire du 12, rue Mercière signale que le mur mitoyen présente plusieurs fissures. L’architecte Joseph Rech expose qu’on a constaté des dégâts en dressant le devis de destruction du 12, rue Mercière, notamment dans le mur mitoyen du 9, place de la Cathédrale fendu des soubassements jusqu’au deuxième étage. Une visite permet de constater que les fissures dans le mur coupe-feu ne sont pas importantes du côté du 9, place de la Cathédrale. On pose des témoins qui sont intacts en janvier 1950. Dossier classé.
  • 1951 – La Police du Bâtiment constate qu’A. Blum et R. Baumann ont posé sans autorisation deux enseignes sur lambrequin – Demande – Autorisation
  • 1952 – L’entreprise de crépissage A. Carcereri (route de l’Hôpital au Neudorf) est autorisée à poser un échafaudage devant le 9, place de la Cathédrale
  • 1955 – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde un permis de construire (9, place de la Cathédrale) sous la direction de l’architecte Rech.
    1956 – Les anciennes devantures sont remplacées par de nouvelles. L’architecte prétend qu’il a obtenu les autorisations des services compétents
  • 1960 – La Division V écrit à la Division I concernant le ravalement du 9, place de la Cathédrale – Les travaux sont prévus l’année suivante. La Division V propose d’adjuger le ravalement conjointement avec celui des bâtiments voisins (12, rue Mercière et 8, place de la Cathédrale)
    1961 – L’entreprise de crépissage A. Carcereri (route du Rhin au Neudorf) agissant pour le compte de la Ville est autorisée à poser un échafaudage devant le 9, place de la Cathédrale – Travaux terminés, mai 1961
  • 1964 – L’entreprise de constructions métalliques J. Gremmel et Compagnie (239, route de Schirmeck à la Montage-Verte) demande au nom des locataires Weibel l’autorisation de poser une devanture à cadre en aluminium et une enseigne (libellé, Souvenirs) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Le permis est périmé sans que les travaux aient été réalisés, juillet 1965 (section 19, parcelle 28, plan cadastral de situation)
    1967 – La maison Weibel est autorisée à occuper la voie publique. L’entreprise de constructions métalliques J. Gremmel et Compagnie demande l’autorisation de transformer le magasin – Autorisation de transformer la devanture et la porte d’entrée – Travaux terminés, mai 1967
    Autre demande pour l’enseigne en lettres détachées
  • 1975 – Les Merveilles de la Cathédrale demande l’autorisation de remplacer les toiles des stores. – Photographie (rue Mercière) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
  • 1975 – L’eau de pluie tombe sur les piétons. L’enquête montre que la gouttière est obstruée – Travaux terminés, août
    1975 (décembre) – La maçonnerie de la cheminée s’effrite. Les réparations ne sont toujours pas faites, septembre 1976 – Travaux terminés, avril 1977
    1976 – Le service des incendie émet des recommandations à la Division II après une visite de sécurité
    1977 – L’entreprise de crépissage Gino di Pol (rue de la Lys à Eckbolsheim) est autorisée à occuper la voie publique pour ravaler les façades.– L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1978 – Même autorisation – Le ravalement est terminé, mai 1978
    1978 – Le directeur régional des affaires culturelles demande au maire si les travaux subventionnés ont été réalisés dans les délais, c’est-à-dire avant le 30 juin 1978
    1980 – Les Merveilles de la Cathédrale demandent l’autorisation de remplacer la toile de leur store. Photographie, échantillons. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Accord
    1982 – Même demande. Photographie, échantillons. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Accord
    1984 – Les Merveilles de la Cathédrale demandent l’autorisation de poser un nouveau store à lambrequin. Refus, à moins de supprimer l’enseigne au premier étage. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable en posant des conditions – Autorisation
  • 1984 – Visite de sécurité dans les bâtiments de la fondation Trubner – Le maire écrit à Léonie Weibel (Les Merveilles de la Cathédrale) pour qu’elle ôte les emballages des parties communes
    1990 – Une locataire présente une série de doléances quant à l’entretien du bâtiment – Nouvelle visite de sécurité aux Merveilles de la Cathédrale
  • 1994 – Réfection du bâtiment (enduit, peinture, couverture, zinguerie). Propriétaire, Service des Affaires immobilières de la Ville de Strasbourg (section 19, parcelle 186 / 28) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve des teintes – Déclaration de travaux, mars 1994 – Travaux terminés, mai 1995

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme

ADBR, cote 424 D 206)

Les bombardements d’août et de septembre 1944 soufflent les six vitres des devantures du magasin Blum et Baumann. Les fonds alloués aux mesures urgentes ont permis de poser des vitres simples. L’expertise de 1948 conclut qu’il faut les remplacer par des vitres solides et résistantes pour éviter les bris répétés. Les travaux sont terminés en 1954.

Cathédrale n° 9 (place de la)
Compte du sinistre
375.2408 francs, le 22/2/55

(DH 1) Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
N° 15 583 Z
Déclaration de sinistre d’un immeuble d’habitation
Commune de Strasbourg (dépt. du Bas-Rhin)
Nom du propriétaire : Ville de Strasbourg (Fondation Truebner)
Date et lieu de naissance :
Nationalité :
Domicile :
Situation de famille :
Situation de l’immeuble : Place de la cathédrale n° 19
Cause du sinistre : Bombardements du 11.8.44
Fait à Strasbourg le 17 juin 1946

Déclaration d’achèvement de travaux. Je soussigné Jean Muller, Architecte D.P.L.G., Chef du Service d’architecture de la Ville de Strasbourg, déclare entièrement achevés à ce jour les travaux de remise en état des dommages de guerre (dossier N° 15.583 Z) effectués à l’immeuble d’habitation 9, place de la Cathédrale à Strasbourg
Strasbourg le 1.er juillet 1954

Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. Dossier n° 15.583 Z (Modèle DH 6)
Procès verbal d’expertise
Adresse de l’immeuble – 9, place de la Cathédrale Strasbourg
Propriétaire – Ville de Strasbourg
Personne convoquée –
Date de la convocation – 27. I. 1948
Personnes présentes –
Qualité en laquelle agit cette dernière : Architecte de la Ville
Date d’expertise – 29. I. 1948
Origine du sinistre – Bombardement aérien du 25.9.44, Bombes place de la Cathédrale et place du Château
Consistance des dégâts – % inf. à 10 %
Lors du bombardement les 6 glaces de vitrine du magasin Blum et Baumann ont été soufflées. A l’état ancien les glaces étaient d’une seule pièce par devanture soit environ 7 m²
Ces vitrines ont été refaites provisoirement par les mesures immédiates (payé par le M.R.U.). Cette exécution provisoire comporte des cadres en bois et croisillons avec vitrage en verre simple. Vu les grandes dimensions de ces carreaux (env. 1+20 x 0,60) un vent violent peut les casser et le locataire du magasin en a déjà remplacé plusieurs.
La Ville de Strasbourg en accord avec le locataire du magasin propose à titre d’exécution définitive le remplacement des verres simples par des glaces. La quantité de glace à fournir est d’environ 45 m².
Le vérificateur

Plan cadastral


Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1610 au marchand Daniel Richshoffer. Fils de Jacques Richshoffer, il épouse en 1607 Catherine Trausch, fille du marchand Ambroise Trausch : contrat de mariage, célébration

1607 (23.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54) n° (235)
(Eheberedung) zwüschen dem Ehrenhafften vnd fürnehmen herrn Daniel Reißhoffer, weÿland deß ehrenvesten fürnehmen Herrn Jacob Reißhoffers burgers zu Straßburg seeligen hind.laßenen sohn, Ane einem
So dann der ehren vnd tugendreich. Jungfrauwen Catharinen Trauschin deß ehrenuesten fürnehmen hrn Ambrosÿ Trauschen, handelßmanns v. burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am And. theÿl
Vndt Ist solches alles beschehen Vndt Zugangen In des heilig. Reichs freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 23. Aprilis In dem Jar des Herrn als man Zalte 1607.

Mariage, cathédrale (luth. f° 194)
1607. Dominica * Daniel Reißhoffer der handelßmann und J. Catharina Ambrosÿ Druschen des handelßmanns tochter (i 101)

Daniel Richshoffer et Catherine Trausch passent en 1610 des dispositions de dernière volonté après avoir eu deux enfants qui sont morts.
1609 (1.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 58, A)
(f° 28-v) Codicill und Lettster Will Herren Daniel Reichßhoffer vnnd frauwen Catharinen Trauschin beed. ehegemächt
1609 vff Sambstag den 1. Aprilis, Zwüschen 6 und 7 Uhren (…) erschÿnen seindt der Ehrengeachte vnd fürnehm herr Daniel Reichßhoffer der handelßmann, vnnd die ehrenn: vnd tugendreich frauw Catharina Trauschin beede ehegemächt vnnd burgere Zu Straßburg, von dem gaden Gottes deß Allmechtigten gesund gend vnnd stehnder leib auch gutten Verstendiger sinnen Vernunfft gespräch vnd wissens, Zeÿgten Ane sagten und gebent Zuuerstehn, Wie daß sie nuhn beÿ nahe Zweÿ Jar mitt einander In dem ehestand gelebet, Zweÿ Kinder erzeüget, So Aber göttlichem Willenn nach nicht mehr Inn lebenn (…)
minute Not. Strintz (Daniel, 58 not 59) n° 115

Les Quinze visitent la maison de Daniel Richshoffer qui a agrandi son écurie en prenant 7 pieds sur 11 de terrain de la maison qu’il a achetée à côté de la sienne place de la Cathédrale. Il a construit à l’étage une sécherie en prenant 12 pieds sur 9 de la maison voisine, le tout sans solliciter d’autorisation, ce qui est contraire au règlement. Les Quinze infligent au contrevenant 10 livres d’amende et établissent une rente foncière annuelle d’une livre (voir l’inscription au Livre des loyers communaux de 1652)

1623, Protocole des Quinze (2 R 51)
(f° 43-b) Donnerstags den 20. Novemb. – Augenschein. Daniel Reichshofer
Diesen Vormittag haben M. Hrn dreÿ Underschiedliche Augenschein eingenommen, Und nach Verrichtung sich wider In Ihren Stub gegeben und referirt, Erstlichen in Daniel Reichshofers behausung Vor dem Münster gelegen, befunden daß er von seiner erkaufften nebens behausung Vnden im höfflin Zuerweiterung eines Stalls außwendig im liecht 7. Schuh breit, Vnd 11 Schuh in die leng darzugebraucht. Oben eine Drückereÿ erbawen Vnd vom Nebenshauß darzu gezogen 12 Schuh lang Vnd 9 Schuh breitt Hierauff Beide Werckmeister, Niclaus Münch vnd hannß Diebold befragt, Vnd geantwortt, Sie müßen bekennen daß Reichshofer Wieder Ordnung Vnd ohne erlaubnus gebawt, Vnd Ob er sich wohl, wie sie bericht, Verlautten laßen Alß hettens Ihme die Werckmeister Vergont So wollen sie hiemit sein Vorgeben Widersprochen haben, sich vff Hrn Sebastian Goldbachen beziehend, Vnd stellens der Straff halben Zu M Hrn. Georg Schoner der Oberschreiber (weilen Kein dreÿer Vorhand.), Vff befragen helt diß verbrechen Straffwürdig.
Erkant, Reichshofer Soll Zuvorderist 10. lib. Straff erlegen Vnd Von der Zuziehung des gebaws die bewilligung Jhärlichen Ein Pfund Pfenning Vf den Pfenningthurn lliefern.

Daniel Richshoffer vend en 1628 la maison voisine de la sienne rue du Maroquin au cordonnier Adam Ferich en convenant de servitudes. Le vendeur se réserve le droit de faire passer par la propriété vendue un chenal par lequel s’écoulent les eaux pluviales de son écurie et conserve la propriété d’un petit poêle et d’une sécherie construits sur la moitié du bâtiment arrière vendu. La fosse d’aisances sera vidée par la maison vendue, le vendeur contribuant pour un tiers aux frais de vidange, l’acquéreur pour un autre tiers et le cordonnier André Caspar pour le dernier tiers.

1628 (14. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 324-v
(Protocollat. fol. 199.) Erschienen H Daniel Reichshofer d. handelßmann, burger Zu St.
hatt in gegensein M. Adam Ferichen deß schuhmachers burgers Zu St. (verkaufft) mit beÿstand hannß hagensteins seines Stieffvaters vndt Sabinæ Linderin seiner rechten Mueter
Ein behausung sampt d.en hoffstat, höflin vnd Allen anden gebäwen & alhie in Kurbaw gaß neben dem verkäuffern, vnd 2 seit Andreß Caspar Dem schuhmacher, hind. vff H hanß Jacob hasen der handelßmann stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß vff Joh. Baptistæ 4 fl. gelts St. w. dem Mehrern Spitahl alhie in hauptg. mit 100. gld. besagter werung, Item 1 lb 1 ß 8 d Jarß vf Johis v weÿhenachten den Edlen Bleß vnd Friderich von Müllnheim Bodenzinß, Item 5 fl. wer. Jarß vf Matthiæ dem Capit. Zu St Steffan alhie in hauptg. mit 100. gld wer. Item ist dise behausg. auch noch v.hafftet vmb 100. lb. d. H. Wendling Mutz dörffners gewesenen Pfarrers s. Zu Eckboltzheim dochter vf erfordern abzulösen, So dann ist daß hauß auch noch v.bund. vmb 155. lb. d ihme dem Käuffern selbsten sonst ledig, eigen, Vnd ist diser Kauff vber die beschwd. so der Käuffer vff sich genommen, Zugangen vnd beschehen per 740 Pfund
Dabeÿ außtruckenlich abgeredt vnd angedingt, weilen der Verkäuffer von seiner behaußung einen Naach darinn auch daß Waßer von sein deß H. v.keüffers Pferdtstall seinen Außlauff hat, durch die ietz v.kauffte behausung gerichtet, auch er der H. Verkäuffer Vff deß ietzigen Käuffers hindergebäwlin ein Stüblin vnd Trückeneÿ Zum halbentheil vngefehr stehen hat, daß er der Käuffer vnd alle seine Nachkommen, den Nach vnd daß waßer darinn durch sein Käuffers behausung außlauffen zulaßen, auch obiges Stüblin vnd Truckeneÿ Vnd also alles deß ohrt in dem Stand wie es ietzunder ist, Zuleÿden schuldig, da auch es die nothdorff erfordert, d. daß (salvo honore) heimlich gemach gesaubert wd. müesste, daß solche (wie vor disem allzeit) also auch fürohin durch sein deß keüffers ietzerkaufft hauß außgeführt werde, vnd er keüffer am vncosten den driten pfenning d. v.keüffer auch den 3.te Zugeben v.bund. sein solle, den vberig 3.ten pfenning zuleÿd. ist, wie allweg also auch noch Andreß Caspar d schuhmacher vnd deß. Nachkommen obligirt

L’inventaire après décès de Daniel Richshoffer est dressé en 1632 dans la maison qui forme l’angle de la rue Mercière et de la rue du Maroquin. Le défunt délaisse quatre fils issus de sa veuve Catherine Trausch. La masse propre à la veuve est de 9467 livres, celle des héritiers de 830 livres. L’actif de la communauté s’élève à 11 344 livres et le passif à 8483 livres. Par une convention annexée à l’inventaire, la veuve promet à son fils Ambroise Richshoffer et à sa belle-fille Catherine Bex la table et le logis pendant un an.

1632 (26.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 47) n° 808
Inventarium vber Weÿlandt herren Daniel Reichshoffers handelßmanns burgers Zue Straßburg seeligen Verlaßenschafft Vffgerichtet 1632
Inventarium Aller haab vnd Nahrung So Weÿland d. Ehrenvest v fürnehm herr Daniel Reichshoffer handelßmann dahier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem vndg. hienscheÿdenn hind. Ihme Verlassen, So vff erfordern v. begehren deß Ehrenvest. v. fürnehmen herrn Petri Bexenn Auch handelßmanns v burgers Zu Straßburg Alß geschwornen Vogts Ambrosÿ, Daniel, Johannis vnd Jacoben Aller Vier geschwüsterden obehrengemelts verstorbenen H. see: mit Nachgemelt seiner hind.laßen. Wittiben Ehelich erzeugtter Kind. vnd hinterlassenen erben, Durch die Ehr v tugendreichen frauw Catharinam Trauschin die wittib, Mit beÿstandt der Ehrenvesten fürsichtig hochweiß v fürnehmen H Christoph Stedelß deß ältern deß heÿlig. Reichß freÿen Statt Straßburg Alt. wohlverdienten Ammeisters v Johann Georg Wetzelß handelßmann und burgers daselbst Ihres geschwornen ober: v vnd. vögte (…) Actum vnd Angefang. Zu Straßburg Donnerstags den 26. Aprilis A° 1632.
NB Die Eheberedung v Codicill sollen einverleibt werden

In einer hernach specificirten In dise erbschafft gehöriger In d. St. St.Ane d. Kremergaß gelegener behausung befunden worden wie volgt.
Auff d. Oberst. Bünen, Auff d. Andern Bünen, Auff d. dritten bünen, Auff dem Vierdten bod., In d. Ercker Camme mit Litt. A, In der Cammer B, In der Cammer C, In d. Cammer D, In d. hindern stübel, Vorgemelt. gemach., In d. Cammer Neb. der gemelt stuben, In der Cammer E, In der Cammer F, In der Cammer G, In der vnd. groß. Ercker stuben, In d. küch In gemelt haußöhr, In d. hindern wohnstuben, In d. Cammern Neben dieser stuben, In der hindern Kuchen, Inn dem badt Stübell, Vor der Badstuben, In dem hofflein, In den Conthörlen, In dem Keller
Gewerbß behausung so der fr. Wittib Unverändert. (W.) Item die Gewerbß behausung Alß hauß hoffstatt vnd höfflin mitt Allen Ihren gebeuwen begriffen Weÿthen Zugehörd. v. gerechtigkeit. gelegen In d. Statt Straßburg Vor dem Münster Ist ein Eckhauß Ane d. Kremergaß. so Auff einer seiten In d. Kremergaß. neb. H. Johann von d. bruckh. seelig. Wittib, Anderseit Neben d. Kurben gaß. neb. Adam Ferÿden schuhmacher, hind. Auff hannß Jacob haasen den handelßmann stoßend, Daruon gend Jars vff Johannis Baptæ den heÿlig. weÿhnacht tag 10 ß d den Edlen von landsperg, ferner dem closter sanct Margred. v Agneß. Jars vff Johannis Baptæ 1 lb 6 ß d bod. Zinß, Item 16. fl. In goldt Jars vff Adolffi lösig in hauptgut mit 400 fl. In gold. hiehero à 19 ß d gerechnet herrn Caroli Lorchers Alt. Ammeisters sen: seeligen wittib, d Daniel Koleffeln Cartheüser schaffners seelig. erben, Item j lb 11 ß v d Järlich vff Johannis Baptistæ d weÿhnachten fallendt den Edlen von Mülenheim, Weitter 4 guld St: w: gelts Auff Gregorÿ fallendt lösig mitt 100 guld. bemeltter werung hauptgutt dem Mehren Spittahl, Ferner 4 pfundt pfenning gelts vff Johannis Baptæ fallendt lösig mitt ein hund. Pfundt pfenning bemelt. spittahl, Item 2 lb Allmend Zinß d. St. St: von d. behausung ferner 15. lb d weg. 3. gäd. an einander d den* 1 lb d ewig.* * durchbruchß ü. solche beschwerd angeschlagen p. 4000. lb d. Die brieff d.üb. sagen seÿendt In einer besond.en sch*del* In dem gewölb zu befinden.
Wahren Inn dem Gaden (…) 5300 lb
Ergäntzung d fr. Wittib Unverändert guts
Registratur der Jenig. Documenten so herr Daniel Reichßhoffer auch nacher* seelig. alß vogt hanß Jacob Wildermuths Weÿland herrn David Wildermuths mit frawen Gertrud Christin bed. ehegemecht erzeugten Sohns Johann Jacob Wildermuths hind. Ihme in Verwahrung (d. 29.t Januarÿ Anno 1633.)
Abzug In herrn Daniel Reichßhoffer, der Frawen wittib Unverändert Gutt, Summarum Anschlagß haußraths Ist 459, Vaß 56, Silber geschirr und Geschmeids 239, guld. Ketten, Rng vnd Cleinöder 179, Baarschafft 201, Pfenningzinß hauptgüter 1455, gültten Zinß hauptgütter 50, gültten 56, liegenden guts 24, behaußung 4000, Schulden 57, guths Ergäntzung (2785, geth Ab 131, übrig) 2656, Summa summarum 9467 lb
der Erbenn Unverändert Gutt, Summarum Anschlagß haußraths Ist 38, Silbergeschirrs 20, guldiner ring 19, Pfenningzinß hauptgüter 236, Gülth von liegenden güthern 24, liegenden güther 90, guths Ergäntzung (519, geth Ab 168, übrig) 351, lehengefell 51, Summa summarum 830 lb
Theÿlbar gutt, Summarum Anschlagß haußraths Ist 1079, Weins vnd Vaß 359, frücht und Meel 38, Silber geschirr und Geschmeids 225, guldener ring 27, baarschafft 525, wahren In dem Gewerb 5380, Pfenningzinß hauptgüter 812, liegende güther 169, baarschafft 100, schulden 2622, Summa summarum 11.344 lb – Schulden 8483, Nach deren Abzug 2861 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 13.159 lb
(Vergleich) zwischen die viel Ehren: vndt tugendreichen Frauwen Catharina Reichßhofferin gebohrne Trauschin, weÿland deß Ehrenvesten, vnd vornehmen Herrn Daniel Reichßhoffers geweßenen Handelßmanns vndt burgers Zue Straßburg seeligen hinderlaßenen Wittiben, mit beÿstandt undt Consens deß Ehrenvesten, Frommen Fürsichtig vnd wohlweißen Herrn Christoph Stedels deß Ältern, beÿ der Statt Straßburg wohlverdienten kornmeisters, wie auch deß Ehrenvesten vnd fürgeachten Herrn hannß Geörg Wetzels, Handelßmanns burgers Zue Straßburg, beeder Ehrengedachter Frauwen Catharinæ Reichßhofferin wittib geschwornen Ober: vnd Vndervögt, Ane Einem, So dann Herrn Ambrosio Reichßhoffern mehr Ehrengedachter Frauwen Catharinæ Reichßhofferin mitt herrn Daniel Reichßhoffern dem Handelsmann Auch obgedacht Ehelichen erzeugtem Sohne, mit beÿstandt vndt Consens vnndt Consens der Ehrenvesten vnd fürgeachten Herrn Johann Reichßhoffers seines geschwornen Curatoris vndt Petri Bexen seines geliebten Herrn Schwehehr vatters, beeder Handelßleüth vndt burgere Inn besagter Statt Straßburg am Andern theÿll ein sonderbare (weÿl. Herrn Daniel Reichßhoffers seeligen hinterlaßenen gewerbs halben.) gemelts vergleichung vnd gemeinschafft getroffen vnd Auffgerichtet worden (…) 4. wird Fr. Catharina Reichßhofferin die wittib H: Ambrosius Reichßhoffern vndt Catharinam Bexin deßelbig. haußfr. ein Jahr lang von Ostern 1635 Anzurechnen beÿ sich Inn Ihrer haußhaltung vndt Costen Zubehalten Zugesagt vnd bewilligt, Alß sollen die diener, welche daselbe Jahr auß deß gewerbs halben beÿ Ihnen Inn diensten sein werdenn Auser gemeinem gewerb vnd handell bezahlt
Verzeichnüs der Bücher in der wohnstub

1632, Protocole des Quinze (2 R 57, 58)
Daniel Reichßhoffers wittib Catharina Trauschin Ca. Dreÿ des Pfenningthurnß
1631, Protocole des Quinze (2 R 57)
Catharina Trauschin. 251. [weÿland H. Daniel Reichßhoffer seel. wittib]
(f° 251-v) Sambst. 7. Januarÿ 1632 – Catharina Trauschin weÿland H. Daniel Reichßhoffer seel. wittiben wegen Erschienen Dr. Knaff. producirt Unterth. Suppl. mit beÿlaag N° 1 er 2 & Ward nit v.lesen, sondern Erkandt, Oberbawh. er H. XV. Meister sollen sich darin ersehen, bedacht faßen vnd wieder für M. H. bringen.

Catherine Trausch veuve du marchand de fer Daniel Richshoffer conteste devant les Quinze une décision des préposés aux affaires foncières. Les préposés ont accordé à ses prédécesseurs le droit d’établir trois échoppes sous l’auvent moyennant un loyer annuel de 12 livres dont elle tire un revenu de 22 livres et demi, ce qui les a résolu à limiter le loyer des locataires à 60 florins (30 livres) dont la moitié revient au propriétaire et l’autre à la Tour aux Deniers.
Catherine Trausch argue que les locataires ne se sont jamais plaints et que le terrain sur lequel se trouvent les échoppes lui appartient en propre. Les charges qu’on lui impose l’amèneraient à démolir les échoppes. La commission fait remarquer que les trois récentes estimations sont déjà revenues à 150 florins et que les arguments quant à la propriété du terrain ne sont pas confirmés par les registres. Elle estime que le loyer des échoppes est trop élevé et que l’affaire pourrait être renvoyée aux préposés qui confirmeront leur décision. Les Quinze ratifient la proposition des députés.

1632, Protocole des Quinze (2 R 58)
(f° 61-v) Mittw. 28. Martÿ – Daniel Reichßhoffers wittib Catharina Trauschin Ca. Dreÿ des Pfenningthurnß
Jr. XV. Meister, auch H. Meÿer vndt H. Pleß, referiren haben Sich In Catharinæ Trauschin, weÿl. Daniel Reichßhoffers see. wittwen den 7. Januarÿ Jüngsthien vbergebenen Supplication undt beÿlagen Ersehen, beschwert Sich darin daß Ihro von Oberbaw Hh. vnd dreÿ deß Pfenningthurns volgender bescheid Zugeschickht worden, Allso lautend,
Demnach vnsere Herren In glaubwürdige erfahrung kommen, daß Daniel Reichßhoffer der Eÿsenhändler, gemeiner Statt Allmend vnter dem Wettertach seiner Eck behaußung vor dem Münster gegen Kurbawgaß, daruff seinen vorfahren dreÿ gädlin Zubawen gegönt worden, Vndt davon Er Järlich mehr nit allß 12. lb d gelts Zu Zinß gibt, durch verbottenen Mehrschatz vff ein vnpillichen preÿß biß In 90 fl. hierauff getrieben, sich gelußten laßen, daher Sie wohl befugt werden Ihne mit einer Ansehnlichen beßerung Zubelegen, So wollen Sie doch für dißmahl die Milte der strenge vorziehen vndt haben Erkandt Vndt wollen daß hienfort die Inhaber solches platzes vndt der gädlin darauff, mitt Nahmen Samuel Rupp, Stephan Egeman vnd Adam Ferg, alle Schumacher, Järlich mehr nit Allß 60 fl. vndt davon gemeiner Statt zu deß Zinß Meisters handen, den halben theil, nemblich 30 fl. vnd den vbrigen halben theil oder die vbrige 30 fl. Ihme Reichßhoffern, wegen abgewenten Jedoch geringen bawkostens, reichen vnd Zahlen sollen, beÿ straff nach ermäßigung da es sich vber kurtz oder lang befündt, daß Reichßhoffer mehr genommen, oder Sie die Jetzige Innhaber oder deren nachfolger, mehr gegeben haben sollten, Darnach Sie sich Zurichten vndt beederseits vor Schaden Zuhüeten, Act. Zinst. den 19.t Julÿ a° 631. Pfenningthurn
Ob nun wohlen Sie Supplicantin Sich deßen gegen Oberbaw Hh. vndt dreÿ Supplicando beschwert, vndt eingeführt, daß die Innwohner solcher Gädlin vber den gesteigerten Zinß sich niemalen grauirt, Sondern Vilmehr dahin erclärt, eh Sie wolten daß die gädlin abgebrochen vndt Sie vertrieben w.den sollten, noch mehr Zinß Zugeben, weÿlen Sie an dißem ortt Ihre gutte Nahrung gewinnen, Zu dem seÿe der platz vnder dem wettertach biß vff die Steinere platten, kein Allmend, sond. aÿgethumb so von allen beschwerden gefreÿet, wie dann alle die wettertach vff dem gantzen Vischmarckh für aigen gehalten w.den, vndt Ihres wüßens Keine Andere beschwerden haben, es weren dann bodenzinß & dahero gebetten, diße durch gehende gleichheit geg. Ihr auch Zuhalten, vnd beÿ dem Alten Zinß vpleiben Zulaßen & Fals aber Ihr Pitt fehl schlagen solte, Sie getrung. w.den würdt, die besagte Gädlin wider abzubrech. vndt Ihre Wahren vnder den tachtrauff, wie Anfangs gewesen Zustellen vndt Anderwerts nach Ihre gelegenheit Zugebrauch. & So hab Sie doch mit dißen Jetzt erhalten ursachen Anderst nichts erhalten, dann daß Ihr ein noch fernerer sehr beschwerlicher bescheid dißes tenors darauff ertheilt worden, & vff einkommene Daniel Daniel Reichßhoffers Supplication vndt darin eingewente vnerhäbliche vndt vngegrünte Vrsachen, laßens die Bawh. vnd Dreÿ deß Pfenningthurns nachmahlen beim vorigen bescheidt verpleiben, Können Ihme In Nammen gemeiner Statt Kein Aigenthumb diß ortts gestehen, Inmaßen die Alte vndt Newe Allmend bücher, Ein Anders außweÿßen. Er brech auch die Hütten ab, oder laß Sie stehen, Soll Ihme doch ein Järlichen zinß nichts nachgelaßen sein, sondern derselbe ein weeg allß den Andern von Ihme erfordert vndt eingezwungen w.den. Act. den 1. 9.bris A° 1631. Pfenningthurn &
ohnangsehen dißes hartten bescheids, v.pleibe Sie der gewißen Zugesicht*, Man were In gn. consideration Ziehen, wie ein theüres hauß Sie bewohne, die gemeine Statt an Allmend Zinß Stallgelt vndt dreÿ fache Schatzung, allein dißes Jahr 150. fl ertrag. vndt daher vmb dißer vnd oballegirten Vrsachen wegen, es beÿ dem Alten Zinß v.pleiben laßen, & Sie Herren Herren deputirte nun hetten der Sachen reÿfflich nachgedacht, sich auch vß den Allmend büchern genugsamb informiren laß. befünden, daß man der Supplicanten, daß prætendirt aÿgenthumb nit kann geständig sein, seÿen die Jenigen welche die gädlin bewohnen, allzusehr gestaigert vndt beschwehrt, dörffens nit offentlich clagen, müßten Sich sonsten der v.stoßung besorgen & v.meinen, daß daß geschäfft wid. für Oberbaw Hh. vndt dreÿ zu remittiren vndt Zuweÿsen vndt es allso derselben bescheidt allerdings zulaßen, Jedoch Zu der Supplicantin belieben stehen, welchen Sie die gädlin v.lühen wollen, Schuhmachern der And. Handwercks leüth, H. Städel abgetrett. & Erkandt, der Herren bedencken durchauß gevolgt.
[in margine :] welcher gestalt diße Erkantnus in forma vff den Pfenningthurn gelüffert worden, vide bedacht Sextern N° 15 fol. 10.

(f° 70) Sambst. 7. Aprilis – Daniel Reichßhoffers wittib wegen Erschienen Dr. Knaff. pit vmb eröffung bescheidtes, ward ex fol. 61. publicirt.

Catherine Trausch hypothèque la maison d’angle appelée Zum kühlen Lufft au profit du marchand Jean Richshoffer pour lequel agit le valet de chambre du comte palatin de Birckenfeld Michel Thomas

1641 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 652
Erschienen Fraw Catharina Trauschin weÿl. H Daniel Reichßhoffers deß handelßmanns seel. hinderlaßener Wittib mit beÿstand H Ambrosÿ Reichßhoffers deß handelßmanns ihres eheleiblich. Sohns ahne statt eines Vogts, weilen Sie ietzmahlß ohnbevögtigt, So dann erstermeldter H Ambrosÿ Reichßhoffer für sich selbsten,
haben in gegensein H Michael Thomaßen Fürstl. Pfaltzgräffl. Birckenfeldisch. Cammerdieners Befelchhabers H Johann Reichßhoffers auch handelßmanns – schuldig seÿen 1000 Reichßthaler
dafür in specie Vnderpfand sein soll deroselben Gewerbß Behaußung mit allen deren gebäwen & Zum Kühlen lufft genannt, alhier oben an der Krämergaß. gelegen, ist einseit ein Eckh gegen dem Münster, anderseit neben Adam Förichen dem Schuhmacher, hind. uff H hannß Jacob Hasen den handelßmann stoßendt, davon gehen iährlich. 10 ß d. bodenzinß denen Edlen von Landsperg, Mehr 3 fl. 6 ß bodenzinß St. Margreth. Closter alhie, Item 3. fl. 1 ß 8 d bodenzinß denen Edlen von Müllenheim, Mehr 6 fl. Allmendgeldt der Statt Straßburg, So ist diße Behaußung auch noch vff umb 210 guld. hannß Ludwig Zeißolffs seel: wittib, Item umb 125. fl. dem Werckh unser Frawen Münster, Item umb 150. fl. der Gesellschafft deß Armbrust Rhaÿns, Mehr umb 100. fl. der Zunnft Zur Lucern, Item umb 450. fl. H Johann Wenckhern treÿzehnern, Item umb 400. fl. der elend. herberg. alhie, Item umb 800. fl. H Jacob Kipßen und Daniel Kollöffelß seel. Erben, Item umb 400. fl. dem Spittal alhie, Mehr umb 150 fl. der rothen Kirchen, So dann umb 400 fl. weÿl. H Johann Reichßhoffers geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel. wittib, sonst ledig. eig.

Catherine Trausch cède la maison à son fils Ambroise Richshoffer moyennant 941 livres et les charges dont l’immeuble est grevé. L’acte passé en 1650 confirme une cession consentie en 1648.

1650 (2. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 800
(Prot. fol. 160.) Erschienen Fraw Catharina Trauschin weÿl. H Daniel Reichßhoffers deß handelßmanns seel. hinderlaßene Wittib mit beÿstand H Alberti Weßners Ein und Zwantzigers ihres Curatoris und H hannß Jacob Büchelß deß handelßmanns ihres dochtermanns, wie auch H Hannß Ludwig Koben deß handelßmanns und E.E. groß. Rhats Beÿsitzers und H Johann Reichßhoffers deß handelßmanns und alten Treÿers deß Pfenningthurns
hatt in gegensein H Ambrosÿ Reichßhoffers deß handelßmanns ihres Sohns mit beÿstand H Johann Joachim Frantzen Fünffzehen Secretarÿ seines H Schwähers, H Christoph Städelß Fünff Zeheners seines Vetters und H Gerhard Heckhers deß handelßmanns
bekannt, daß Sie die Muter ihme dem Sohn albereit in a° 1648. vffrecht verkaufft und Zu Kauffen gegeben habe ihr Gewerbßhauß mit allen deßen Gebäwen alhie vor dem Münster ahne der Krämer: und Kurbengaß. gelegen, davon gehnd iahrs vff Martini 3 ß 6 d dem mehren hospital, Item vff Joh: und weÿhenachten j.lib. 16 ß dem Closter St Margarethen, Item vff solche Zeit 10 ß den Edlen von Landsperg, Item vff weÿhenachten j. lib. 11 ß 8 d den Edlen von Müllenheim, welche vier iährlich Zinnß der H Käuffer in d. qualität wie sie sich auß denen darüber sagend. Documenten befinden wirt, so seÿe gleich ewig, erschätz, erblehnung, bodenzinßig oder anderst übernohmen, Item vff Michaelis 3 lib 2 ß 6 d lößig mit 62 lib 10 ß der Fabric deß Münsters, Item vff den 3. 7.br 10. lib lößig mit 200. lib weÿl. H H. Reichßhoffers groß. Rhats verwanthens seel. Erben, Item vff den j maÿ 5 lib 5 ß lößig mit 105. lib weÿl. H hannß Ludwig Zeißolffs geweßenen Schaffners Zu St. Margareth seel. Wittib, Item vff Michaelis 3. lib 15 ß lößig mit 75 lib der Gesellschafft der Armbrust schützen alhie, Item vff Michaelis 11 lib 5 ß lößig mit 225. li, H Johann Wenckhern ietzt regirend. Amaÿstern, Item vff solche Zeit 10 lib lößig mit 200. lib. der Elenden Herberg, Item verkäuffer weÿhenachten 2. lib. 10. ß lößig mit 50. lib. H Daniel Braunen, Item vff Joh. Bapt: 30. lib. lößig mit 750. lib. Peter Kammen dem Metzgern, Item uff Michaelis 2. lib. 10. ß lößig mit 50. lib. der Zunfft Zur Lucern, Item vff Georgÿ 4 gold fl. lösig mit golt fl. dem mehren hopital, Item vff Adolphi 16. golt fl. lößig mit 100. golt fl. dem mehren hospital, Item vff Adolphi 16. golt fl. lößig mit 400. golt fl. weÿl. H Johann Jacob Kipßen Ammaÿsters seel. Erb. Item vff Joh. Bapt: 4. lib lößig mit 100. lib dem mehren hospital, Item vff Mich. 3 lib 15 ß lößig mit 75. lib. den armen sonderich., so gehnd auch von dißem gewerbßhauß vff Mich. und weÿhenachten Zusammen 3. lib Allmendgeldts gemeiner statt Straßburg – zugangen umb 941. lib
[in margine :] Erschienen Fr. Jacobea H hannß Jacob Büchels deß handelßmanns eheliche haußfraw mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, hatt in gegensein deß Ehrenvest- Fürsichtig und Weÿsen H Ambrosÿ Reichßhoffers E. E. groß. Rhats Beÿsitzers ihres Bruders, bekannt daß Sie Jacoba Ihme H Reichßhoffern ahne den ienig. 470. lib 12 ß 6 d /:welche dieselbe ahne denen in vorstehender Kauffverschreibung gemeldten 941. lib 5 ß Kauffschillings rest vff ableiben Weÿl. Fr. Catharinæ Transchin ihrer Mutter seelig. geerbt:/ (…) Verglichen H Reichßhoffer, seine Schwester umb alle und iede daß Gegenforderung bester forme rechtens quittirte, Hierauff bekannte mehrgedachte Fr. Jacobea, in gegensein deß ehrenvest- hochgelehrten H Johann Joachim Frantzen deß iüngern V.I. Doctorandi und E.E. groß. Rhats Actuarÿ alß vogts Annæ Margarethæ Kammin, daß Sie demselben 200 pfund in bahrem Gelt empfang, Und Ihro Annæ Margarethæ hingegen, all ihr Jacobeæ, umb die obgemeldte restirende 200. pfund pfenning aus vorstehend. Kauffverschreibung ahne Ihne H Richßhoffern und seine Gewerbß behaußung habende Ansprach Recht und Unterpfands Gerechtigkeit cedirt und übergeben habe – Act. in ædibus Dni Debitoris Dienst. 7.t Xbr. a° 1658

Ambroise Richshoffer épouse en 1635 Catherine, fille du marchand Pierre Bex
Mariage, cathédrale (luth. f° 358)
1635. Doîca Reminiscere 22. Febr. H. Ambrosius Reishoffer der Handelsman H Daniel Reishoffer des Handelsmanns e. sohn und J. Cätherin H. Peter pexen des Handelsmanns tochter. eingesegnet montag 2. martÿ (i 184)

Assesseur du Grand Sénat et administrateur du sel, Ambroise Richshoffer vend la maison au marchand Daniel Lienhard. La vente est annulée par une nouvelle passée le 24 avril 1673

1672 (7. 7.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 464-v
(Prot. fol. 40. Pfundzollbahr 2500 lb) Herr Ambrosius Reichßhoffer E.E. Großen Rhats alter Beÿsitzer und ietzmahliger Saltz Verwalther
in gegensein herren Daniel Lienhardts deß handelßmanns
seine Gewerbß behaußung mit allen deßen Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten undt gerechtigkeiten alhier Vor dem Münster ahn der Krämer und Kurben gaß geleg., davon gehend iahrs uff Joh. Bapt: und Weÿhenachten 1. lb 16 ß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen allhier, Item uf solche Zeit 10. ß den edlen Von Landßperg, Item uff weÿhnachten j. lb. jj. ß. 8. d den Edlen Von Müllenheim, welche dreÿ iährliche Zinnß der Käuffer in der Jenigen qualität und beschaffenheit, wie sie sich aus denen darüber sagenden Documenten befinden wird (übernohmen), Item uff Michael 2. lb 10 ß lößig mit 62. lb. 10. ß der Fabric deß Münsters, Item uff den 3. 7.br 10. lb lößig mit 200. lb weÿl. herren Johann Reichßhoffers großen Rhats Verwanthens seel. Erben, Item uff den j. Maÿ 4 lb 4 ß lößig mit 105. lb weÿl. herren hannß Ludwig Zeißolffs geweßenen Schaffners nunmehr seel. nachgelaßenen Uhr Enckhlen, Item uff Michael. 9 lb s d lößig mit 225. lb der Samblung Zum Offenburg, Item uff solch Zeit 8. lb lößig mit 200. lb der Ellendern Herberg, Item uff Michael 2. lb lößig mit 50. lb der Zunfft Zur Lucern, Item uff Georgÿ 4. Golt fl. lößig mit 100. Golt fl. dem Mehrern Hospital, Item uff Adolphi 16. Golt fl. lößig mit 400. Golt fl. weÿl. herrn Jacob Kipßen alt. Ammaÿsters nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Item uff Joh: Bapt. 4. lb lößig mit 100. lb erwehntem mehrern Hospital, Item uff Weÿhenachten 8. lb lößig mit 200. lb herren Gerhard Von Stöckhen U.I.D. et Instit. Imperial. Profess. so gehend auch Von dießem Gewerbß hauß iährlichen uff Mich. und Weÿhenachten Zusammen 3. lb und ferner von denen Zu dießem hauß gehörigen Gädlen 9 lb Allmend Zinnß gemeiner Stat Straßburg (übernohmen) – umb 832 Pfund
[in margine :] Gegenwärtige Kauffverschreibung ist durch die am 24. April ao. 1673 anderwertlich uffgerichtet, und in Reg. de dicto ao. fol. 235. et seqq. befindliche, uffgehebt

Daniel Lienhard hypothèque la maison au profit de la veuve et du fils de l’orfèvre Jacques Sébastien Gambs

1672 (12. 9.br:), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 578-v
Erschienen herr Daniel Lienhard der Handelßmann
in gegensein herrn M. Johann Conrad Reußners Præceptoris Classici alß Curatoris frawen Susannæ, weÿl. herren Jacob Sebastian Gambßen deß Goldarbeiters nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, wie auch in gegenwart H. Mathis Schmidten deß Jüngern Schaffners alß Vogts Philipp Jacobs ihr fr. Susannæ mit Ihme Jacob Sebastian Gambsen ehelich erziehlten Söhnleins mit assistentz herren Johann Georg Retzlobs Notarÿ – besagter Gambsischen Wittibin 500 Pfund pfenning und ihrem Söhnlein gemeltem Philipp Jacob Gambßen 500 pfund pfenning und also Zusammen 1000. lb straßburger bahr gelühenen Gelts
Unterpfand, Eine Gewerbs behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, und Zugehördten alhier vor dem Münster ahn der Krämer: und Kurben Gaß gelegen, so über die in der am 7. 7.br: jüngsthien ind er Cancelleÿ contract stuben uffgerichteter Kauffverschreibung angegebene und Specificirte beschwärdten

Les enfants d’Ambroise Richshoffer rectifient la vente en mentionnant en particulier les différentes dettes dont elle est chargée

1673 (24. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 235-v
Herr Christoph Diebold Cancelleÿ Vewanther und Policeÿ Gerichts schreiber alß Ehevogt frawen Annæ Margarethæ Reichßhofferin, ferners herr Johann Philipp Kob der Handelsmann alß Ehevogt frawen Salomeen Reichßhofferin, und alß Curator Mariæ Reichßhofferin und dann herr Jacob Christoph Mader U.I. Ddus undt E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer alß Vogt Margarethæ Schachin herrn Claus Conrad Schachen E. E. Großen Rhats alten Beÿsitzers, mit beÿstand frawen Cleopheen Reichßhofferin nunmehr seel. ehelich erziehlten döchterleins, mit beÿstand erstgedachts ihres eheleiblichen Vatters an einem,
So dann herr Daniel Lienhard der handelßmann für sich selbsten, am andern theil
Zeigten an und bekannen freÿ gutwillig offentlich dEmnach herr Ambrosius Reichßhoffer E. E. Großen Rhats alter Beÿsitzer und ietzmahliger Saltz Verwalter, ihr der Reichßhofferischen Kinder und gemelter Schachin resp. eheleiblicher Vatter und Großvatter gedachtem herrn Lienhard nach besag der am 7. 7.br: nechsthien gelegten Jahrs in der Cancelleÿ Contractstuben uff greichteter Kauffverschreibung, H. Johann Adam Schragen U.I.D. et Reipubl. Patriæ Consiliarÿ et Advocati aller dreÿ hierbeÿ Zugegen und aus E. E. Großen Rhats mittel hierzu insonderheit deputirter, sich endlichen und schließlichen dergestalt mit einander Verglichen, daß Zwar beÿ getroffenem Kauff und bestimpten Pretio allerdingß und durchaus Verbleiben, obangezogene Verschreibung aber aus bedeuteten Vrsachen so fern uffgehebt, hingegen alles waß Zum Kauff beÿderseits fürständig, in gegenwärtige gebracht, und selbiger gäntzlich nach gelebt werden solten solchem nach dießen ins werckh Zu stellen, und Zuvorderist die beschwärdt welche uff obgedachter behaußung hafften, in richtiger ordnung anzugeben, so gehend iährlichen uff Joh. Bapt: und weÿhenachten 1. lb. 16. ß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen, Item uff weÿhenachten 1. lb 11. ß 8. d den Edlen Von Müllenheim, Item iährlichen uff Mich. und weÿhenachten. 3. lb Allmend: und 9. lb Gädlen Zinnß Gemeiner Statt Straßburg, welche 5. iährliche Zinnß der Käuffer in der Jenigen qualität und beschaffenheit wie sie sich aus denen darüber sagenden Documenten befind. wird, sie seÿen gleich ewig erschätzig erblehungs, Bodenzinß oder anderst, übernohmen hatt,
Vnd were solcher Verkauff und Kauff über ietzt specificirte fünff zinnß daran der Käuffer gewißen werden geschehen umb 5000. fl. davon seind folgende uff gedachte Behaußung stehende und nachgemelten Creditoribus und hÿpothecarÿs Zugehörige Capitalia Zinnße und Marzahl daran der Käuffer gleicher gestalt gewiesen wird (…)
[in margine f° 238:] Erschienen /:tit:/ herr Abraham von Fridolßheim XV alß Pfleger beed. H. Paul Flachen Oberschhreiber, deß Mehren Hospitals, haben in gegensein H. Johann Friderich Ösingers, J. U. Ddi und E. E Kleinen Raths Referendarii alß Curatoris Fr. Agathæ Ursulæ gebohrner Schönmarckin, deß hierin gemeldt. H. Lienhardts alß Käuffers sel. hinderlaßener wittib, angezeigt und bekandt, d. Sie Lienhardische wittib die hierinn angegebene beschwerde der 4. gold fl. jährlich. Zinß dem Hospital gehörig, ab: und mit Ein hund. gold fl. in specie an sich gelößt habe, maßen dann d. solche 100. gold fl. in specie an sich gelößet habe, maßen an d. solche 100. gold fl. in specie baar erlegt worden, seÿn obehrenged. H. Pfleger beed. d. Obersch. bekandt und darüber Sie Lienhardische Wittib quittirend, deroselben all deß Hospitals darum begabte jura et actiones cedirt, zugleich die darüber besagend. mit deß bischofflich. hoff anhangend. Insigel confirmirt. XV. Kalend. Xb 1513 datirt. brieff, und deßen transfix datirt XI. Kalend. Mart. 1549. extradirend. Verspr. Und.sch. d 5.ten 7.br 1575.

Fils de marchand, Daniel Lienhard épouse en 1657 Anne Marie Grimm, fille de pasteur
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 73) 1657. mehr zum 7. mal eod. [I. Trin.] Daniel Lienhardt der Handelsmann Weiland H Walther Lienhardt, des Burgers v. geweßten handelsmann allhier hinterlaß. ehel Sohn und J. Anna Maria weilandt H. Johann Grimmen Grävlich hanawisch. Pfarrers zu Grießheim beÿ Hagenaw hinterl. Ehel. tochter. Zinst. 9. Junÿ Maur. St. Münster, Thiergarten (i 74)

Le marchand de fruits et légumes Daniel Lienhard rembourse une obligation d’après un titre de 1488

1675 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 523
Herr Andreas Schmidt Notarius seiner anzeig nach constituirter Mandatarius Herrn Georg Basilÿ Geÿers deß geheimen Regiments der herren dreÿ Zehn alß Curatoris Johann Georg Brimmers
in gegensein herrn Daniel Lienhardts deß fastenspeishändlers
bekannt, daß derselbe 1 1/3. Golt fl. mit 33. 1/3. Golt fl. so Er Herr Lienhard, von uff und ab seiner alhier Vor dem Münster ahn der Kurbengaßen gelegener Gewerbs behaußung nach Innhalt eines pergamentinen Latinischen Kalend. Martÿ anno 1488. mit deß Bischofflichen Hoffs anhangendem Insigel gefertigten zinnßbrieffs iährlichen, Zu zinnß Zu raichen schuldig gewesen, abgelöst, wider gekaufft und seine behaußung dießer beschwärdt allerdingß liberirt habe

Le marchand de fruits et légumes Daniel Lienhard rembourse une obligation d’après le même titre

1675 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 525-v
Johann Wolffgang Heßler der Nacht Fourier
in gegensein herrn Daniel Lienhardts deß fastenspeishändlers
bekannt, daß derselbe die Jenige 133. 1/3. Golt fl. von und ahne 400. GoltR. so Er Herr Lienhard Vermög eines latinischen pergamentinen sub dato Calend. Martÿ a° 1488. mit deß bischoff. Hoffs anhangendem Insigel außgefertigten Zinnßbrieffs iährlichen term. Adolphi von seiner alhier Vor dem Münster ahn der Kurben Gaß gelegener Gewerbß behaußung, Zu geben Obligirt geweßenen, mit 293. fl. 3. ß 4. d /:das ist der Golt fl. Zu 22. ß gerechnet:/ abgelöst

Daniel Lienhard rembourse une obligation d’après un titre de 1540

1676 (26. 8.br), 880-v
Johann Martin Dieterlin alß underschreiber deß mehrern Hospitals alhier, und Von den herrn Pflegern In dieser quietanz insonderheit befelcht (…)
in gegensein H. Daniel Lienhardts deß fastenspeishändlers
bekannt, daß Er Lienhard diejenige 100. lb so Er, erwehntem Hospital, Von uff und ab seiner alhier Vor dem Münster Gelegener und Zum Kühlen Lufft genannter behaußung, Vermög eines Latinischen Pergamentinen resp. 11. Calend. Jul. und 15. Calend. 9.br: a° 1540. mit deß bischofflich. hoffs anhangendem Contract Insigel uffgerichteten zinnß brieffs iährlichen ter. Joh. Bapt: mit 4. lb Zu Verzinßen schuldig geweßen, abgelöst, widergekaufft, und dardurch bedeutete seine behaußung solcher beschwärdt allerdingß liberirt habe (…) die in deß Hosp. Prot. sub Lit. A. fol. 98. befindliche Zinnß Verschreibung zu Cassiren befahl

Daniel Lienhard rembourse une obligation d’après le susdit titre de 1488.

1675 (30. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 544 n° 758
deß Edel- Vest- fürsichtig- hochgelehrte Herren Dominici Dietrich dießer Statt alten Ammaÿsters und dreÿ Zehners alß Ehevogts frawen Margarethæ Dietrichin gebohrner Küglerin, Einspänniger und hierzu schriftlich constituirter Mandatarius Christoph Adam Büttner
in gegensein herren Daniel Lienhardts deß fastenspeishändlers, und alten Kleinen Rhats Verwanthens bekannt,
daß derselbe ehrengedachtem Herrn Ammaÿster Dietrich 1 1/3 Golt fl. mit 33 1/3 Gold fl., so Er Lienhard Von uff und ab seiner, alhier Vor dem Münster ahn der Kurben Gaß gelegener behaußung, nach Inhalt eines pergamentinen Latinischen Calend. Martÿ a° 1488. mit deß bischofflich. hoffs anhangendem Insigel geferitigten Zinnß brieffs iährlichen Zu zinnß Zu raichen schuldig gewesen, abgelöst widergekaufft, und seine behaußung dießer beschwärdt allerdingß liberirt habe, auch alle davon Verfallene Zinnße richtig abgestattet und der brieff kosten der j. lb. 2. ß 8. d obgemeltem herren Ammaÿster Dietrich erlegt worden

Daniel Lienhard rembourse une obligation d’après un titre de 1562

1676 (1. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 536-v
H. Johann Friderich Kipß der duchhändler alß vogt Magdalenæ weÿl. hannß Ludwig Zeißolffs deß ferbers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin seiner eheleiblichen dochter
in gegensein Herrn Daniel Lienhardts deß fastenspeishändlers
bekannt, daß Er Lienhardt Ihro der Zeißolffischen Wittibin 200. fl. straßburger wehrung, welche gemelter Lienhard, gedachter Zeißolffischen wittibin, aus einem teutschen pergamentinen sub dato 29.ten april. a° 1562. beÿ dem bischofflichen hoff gefertigten Zinnßbrieff und demselben überschriebener Nachtragß Verschreibung, von uff und ab seiner allhier Vor dem Münster gelegenen Gewerbs behaußung iährlichen term. Philippi et Jacobi Apostolorum Zu Zinß Zu raichen schuldig geweßenen, abgelöst, und alle zinnß richtig abgestattet worden seÿen

Daniel Lienhard et Anne Marie Grimm font un testament qui annule un précédent de 1658. L’épouse malade institue des héritiers collatéraux.
1681 (3. 8.bris), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Testamentum nuncupativum Herrn Daniel Leonhards handelsmanns und Annæ Mariæ beeder Eheleuth v. b. alhier Zu Straßb. 1681, ingrossirt Zollmann
persönlich erschienen seind der Wohl Ehrenvest, Großachtbahre vnd Weiße Herr Daniel Leonhardt E. E. Kleinen Rahtsalter Beÿsitzer b. und Handelsmann und beneben ihme die ehren und tugendsame frau Anna Maria Grimmin, beede Ehegemächte und b. alhier Zu Straßburg, Er der H. testator zwar gesunden gehenden und stehenden, Sie de Frau Testiererin aber kranckhen und schwachen Leibs (…)
Zum andern, sowollen beede Testirende Ehepersohnen Ihre Vor weÿl. Herrn Davidt Ösingern dem Eltern gewesenen Notario Cæs. publ. auch denen damahls anwesenden Gezeügen den 26. Xbris A° 1658. auffgerichtete Testamenta Nuncupativa hiemit gar und gäntzlichen widerumb Cassirt (…)
zu ihren rechten wahren und ohngezweiffelten Erben ihrer nach todt verlaßenden eigenthümlichen haab und güther, hiemit wohlbedächtlichen instituirt benahmbßt und ernennet haben, Nemlichen Er der Herr Testator (…) Wann er ab intestato verstürbe, nach hießiger Statt Löbl. gewonheit ohne dem succedirt hätten Sie die Frau Testirerin aber Erstl. H. M. Samuel Bentz Diaconum Zu St Aurelien allhier in ein dritten, Ferner Weÿl. Abraham Kolben geweßenen burgers zu Neüstatt an d. Hart ehevogt erziehlte und hinterlaßene Kinder so viel deren ihren todtfall erleben werden und frau Ursulam Hämmerlin Wittib gebohrne Kolbin alhier in den andern dritten Stammtheil (…) und dann in den letztern dritten Stammtheil weÿl. Johann Eÿden des Schreiners alhier seel hinterlaßener Zweÿ döchterlin Nahmens Annam und Mariam Margaretham zu gleichen portionen – Montags den 3. 8.bris A° 1681. J. G. Leonhard Zollman Not. publ.
Montags den 3. 8.bris A° 1681

Daniel Lienhard se remarie avec Agathe Ursule Schönenmarck, veuve du pasteur Elie Kolb avec lequel elle s’est mariée en 1673
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 105-v, n° 43)
1682. Zum 2. mahl Hr Daniel Lienhard Handelsmann u. E E. großen Rath Beÿsitzer, fr. Agatha Ursula Weiland Hr M. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers Zum J. St. Peter Nachgelaßene W. Donnerst den 29. 8.bris Zun Predigern (i 107)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 302) 1682. Dom. Ead. Hr. Daniel Lienhardt der Handelsmann Vndt E E. großen rath alhier ietzmahl. beÿsitz. v. fr. Agatha Ursula weÿl. Hrn M. Eliæ Kolben geweßenen pfarrers beÿ dießer Christ. gemeindt alhier Nachgel. Wittib Copuirt in æd Prædic: 29. 8. bris (i 343)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 237-v n° 11)
1673. Dom. Reminiscere 23. Martÿ. M. Elias Kolb Pfarrer Zum Jugen St Peter Vndt Jfr. Agatha Ursula Hrn Joachimi Friderici Schönenmarck Universität Verwandten Zu Heÿdelberg ehl. Tochter, Eingesegnet Donnerst. 6. Aprilis. J.S. P. (i 250)

Daniel Leonhard loue une des trois échoppes (celle du milieu, auparavant occupée par le cordonnier Jacques Schlachtmann) au cordonnier Jean Lohrer

1690 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 30
H. Daniel Leonhard, E.E. Großen Raths alter beÿsitzer
in gegensein Johannis Lohrer, deß Schuhmachers
verlühen, Ein Gädel, nemblich d. mittelste und. dreÿen, außerhalb seiner geg. dem Münster oben an d. Krämergaß gelegenen behaußung, wie solches bißhero hans Jacob Schlachtmann auch Schuemachers genoß. auff ein Jahr lang, Von Annunciationis Mariæ dißjahres An zurechnen umb 8. lb d Zinß

Daniel Leonhard meurt en décembre 1692 en délaissant une fille issue de la veuve. Les experts estiment la maison 2 000 livres. La convention de 1628 quant au chenal et à la fosse d’aisances figure parmi les titres de la maison. La masse propre à la veuve est de 4 468 livres, celle de l’héritière de 5 616 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 036 livres et le passif à 5 619 livres. L’acte cite les héritiers des biens de sa première femme dont il avait l’usufruit.

1692 (14.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 1) f° 13
Inventarium und Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güthere, liegender undt vahrender, Verändert: vndt unveränderter, so weÿl. der Wohl Ehrenveste, Großachtbahre vndt Wohlweiße Herr Daniel Leonhard geweßener vornehmer handelsmann vndt E. E. Großen Raths alter beÿsitzer vndt burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 5. Xbris deß nechst Zurückgelegten 1691.sten Jahrs aus dießem Jammerthal genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß auch Wohl Ehrenvesten, Großachtbahrn vndt Wohlweißen H. Georg Wagners E. E. Großen Raths nunmahligen wohlmeritirten Assessoris und burgers allhier als geschwornen Curatoris Vnd Vogts Jgfr. Annæ Catharinæ deß Verstorbenen herrn seel. mit hernach gemelter Fraw Wittib ehelich erzeugter döchterleins vndt ab intestato hinderlaßener eintziger Erbin, inventirt, durch die viel Ehren vndt tugendreiche fraw Agatha Ursula Leonhardin gebohrner Schönemärckin die hinterbliebene Fraw Wittib (…) Actum vnd angefangen in fernerem beÿsein deß Wohl Ehrenvesten vndt wohlgelehrten herrn M. Israel Dieterlins Præceptoris inferioris gÿmnasÿ, als der fraw Wittibin erster Ehe erzeugten Kinder wohlverordneten Vogts Montags den 14.ten Jan: vnd in volgenden tagen geendet Anno 1692.

Copia Heuraths Verschreibung
In Einer allhier Zu Straßburg oban ane der Krämergaß liegenden in dieße Verlaßenschafft gehörigen deßwegen hernach beschriebenen behaußung befunden worden Wie volgt
Ane Hültzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auff der ohnein obernbühn, Auff der dritten bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In dem kleinen Stüblein, Vor dießen gemachen, In der obern Ercker stub Cammer, In der Cammer E, In der Cammer F, In der Cammer G, Vor dießen Cammern, In der Undern Erckerstub, In der Wohnstub, In der Wohntub Cammer, In dem undern haußöhren, In der Vordern Kuchen, Im Conthor, Im Gaden
(f° 19) Eÿgenthumb ane einer Behaußung (E.) Ein Gewerbs Eck behaußung mit höfflein v. hoffstatt auch allen andern deren Gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten V. gerechtigkeit, sambt denen daran stehenden Gädlein gelegen in der St. St. vor dem Münster, ane der Krämer v. Kurben gaß, j. seith neben H. Hannß Michael Emmerichen dem handelßmann, 2. s. neb. Matern Moscheroschen deß Schuemachers seel. Erben, hinden vff weÿl. H Johann Bernhardt Leÿdeckers deß Handelßmanns seel. Erben stoßend, davon gehen Jährlichen vff Joh. Bapt: undt Weÿhenachten 1 lb 16 ß d bodenzinß dem Closter St. Margarethæ vnd Agneßen, Item vf solche Zeit 10. ß d bodenzinß den Edlen von Landtsperg, Item vf Weÿhenachten 1 lb 11 ß 8 d bodenzinß den Edlen von Müllenheim, Item vf Michaelis v. Weÿhenachten 3 lb d Allmend vndt 9. lb d Gaden Zinß, undt dann endlich vier Gold Gulden auf Geörg dem Mehrern Hospital allhier widerlößig in hauptguth mit 100. Gold Gulden thun à 1 lb 1 ß d 105. lb. s Sonsten gegen männiglich freÿ Leedig v. eigen vndt von den geschwornen Allhießigen Werckmeistern laut dero Abschatzung vnderm 11. febr. dieses lauffend. 1692. Jahre æstimirt für vnd vmb 2000. lb.
Daüber besagt j. teutscher perg: Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget datirt den 24. Aprilis Anno 1673. darauff ubefinden Wie vnderschiedeliche auf dieser behaußung gestandene Capitalia abgelößt & bezalt worden, darbeÿ ein pap: Extractus in ermelter Contract stub gefertiget, de dato den 14. Junÿ et 9. 7.bre 1628. über die Gerechtigkeit des Nachs vnd Secrets an dieser behaußung besagendt, sambt und.schiedlichen cassirten alten perg. Zinnßbrieffen v. Quittung. alles mit altem N° 6 notirt vndt vor dißmahl wid. darbeÿ gelaßen
(T.) It. Ein Hauß, hoffstatt, höfflein auf dem Roßmarckh in der Schiltsgaßen (…)
(f° 43) Ergäntzung der Erbin unveränderten Guths. Inhalts Inventarÿ über dieß verstorbenen H. Rathh. seel. in die Ehe gebrachte Nahrung in Anno 1683. durch weÿl. H. Johann Georg Leonhard Zollmann seel. den Notm. vfgericht
(f° 52) Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Fraw Wittib unveränderte Nahrung betreffendt, Sa. haußraths 189, Sa. der Bibliothec 6, Sa. leeren Vaßen 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 90, Sa. Guldener Ring 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1686, Sa. Schulden 25, Sa. Ergäntz. 2061, Summa summarum 4468 lb
Der Erbin unverändert Vermögen Sa. haußraths 241, Sa. Leeren Vaßen 46, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 109,Sa. Guldener Ring 11, Sa. baarschafft 316, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1734, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 2000n Sa. Schulden 47, Ergäntzung 3530, Summa summarum 8037 lb – Schuld 2420 lb, Nach solchem abgang 5616 lb
Theilbar Verlaßenschafft belangend, Sa. haußraths 150, Sa. Wahren wie auch Schiff und geschirr Zur Handlung gehörig 1306, Sa. Früchten 140, Sa. Weins und leerer Vaßen 277, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Guldener Ring 20, Sa. baarschafft 2602, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1402, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 137, Sa. Schulden 969, Summa summarum 7036 lb – Schulden 5619 lb, Rest 1417 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.749 lb
Wÿdumb Welchen der Verstorbene H. Rathh. seel. von auch weÿl. der Viel Ehren v tugendreichen Fr. Annæ Mariæ gebohrner Grimmin seiner ersten haußfrauwen seel. Verlaßenschafft ad dies vitæ genoßen vndt anjetzo außzulieffern ist. Derselben nun belaufft sich, crafft deß über Fr. Annæ Mariæ Grimmin in A° 1682 durch H. Andream Schmidten Notm. auffgerichtet v. verfertigten Inventarÿ – Daran gebührt forderist frawen Ursulæ gebohrner Kolbin weÿl. H. Clade Hannß Metzgers geweßenen Metzgers v. burgers allhier nunmehr seel. hind. laßener fraw Wittib ane einem völligen dritten Stammtheil, die Helffte. Nota die übrige helffte ist Weÿl. Abraham Kolben geweßenen burgers Zu Newstatt an der hardt nunmehr seel. nachgelaßenen 3. Kindern gehörig, It. weÿl. H. M. Samuel Bentz geweßenen Pfarrherrens Zu St. Aurelien allhier seel. hinterbliebenen 4. Erben, So dann ist weÿl. Johann Eÿden deß geweßenen Schreiners v burgers allhier hinderlaßenen 2. döchtern Jgfr. Annæ und Mariæ Margarethæ

Convention passée avec les héritiers d’Anne Marie Grimm
1692 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 168-v
H. Georg Wagner, E.E. Großen Raths Beÿsitzer, alß Vogt Weÿl. Hn Daniel Leonhard gewesenen handelßmanns und E. E. Großen Raths beÿsitzers seel. hinterlassenen töchterleins Annæ Catharinæ an einem,
So dann Johann Michael Schwing der Pleicher, alß Ehevogt Mariæ Ursulæ gebohrner Bentzin, wie auch alß Vogt weÿl. Hn M Samuel Bentzen, gewesenen Pfarrherrens zu St. Aurelien nachgelaßene noch ledig. Zweÿ Kinder, Ferner Fr. Ursula Kolbin, weÿl. Hn Cladi hans Metzgers gewesenen Metzgers sel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand Hn Philipp Henrich Theus, Notarÿ Publicj Ihres Vogts, und endlich H. Abraham Habrecht, der Klein uhrenmacher, alß Vogt annæ und Mariæ Margarethæ weÿl. Johann Eÿden deß Schreiners sel. nachgelaßenee Töchter, alle am andern,
beede theÿl aber mit beÿstand H. Daniel Dietrichs JUDdi und H. Johann Caspar Francken Notar. Publ. beeder E.E. Großen Raths beÿsitzer, und ad Conctractus minorum ins gemein hierzu aber insonderheit Deputierter, haben hiernach verbotenus eingetragenen, und beÿ E.E. Großen Rath bereits am 7.ten Febr. jüngst und darauff Obrigkeitlich confirmirten respect. bericht und Vergleich producirt und darbeÿ begehrt, daß solcher auch in der Contractstub verzeichnet und enregistrirt werd. möge, maßen dann hiemit geschehen Und lautet der Vergleich von wortt Zu wortt alßo:
Es hatt Weÿl. herrn Rathh. Daniel Leonhards gewesenen haußfr. sel. nahmens Anna Maria Grimmin ged. Hn Rathh. Krafft auffgerichteten Testamenti den Usufructum universalem Ihrer gantzen Verlassenschafft ad dies vitæ verschafft, dahingegen dreÿ Stamm Erben in dießen Widum instituirt, alß 1. weÿl. Hn Mr Samuel Bentzen nachgelaßene Vier Kinder in dem einen dritten Stammtheil, 2. Abraham Kolben gewesenen burgers zu Neustatt an der hard ehelich erziehlten hinderlaßenen Kinder, Zur helffte eines dritten Stamm theÿls, und dann in die übrige helffte Fr. Ursulam Kolbin, weÿl. Hn Cladi hans Metzgers nachgelaßene Wittib, 3. Johann Eÿden deß Schreiners hinterlassene Zwo Töchter nahmens Annam und Mariam Margaretham in den übrigen dritten Stammtheil, Der Widum, so H. Rathh. sel. genoßen und darin obige Erben instituirt worden, besteht in dem dritten theÿl der gantzen Nahrung, so dermahlen beÿ absterben ged. Fr. Grimmin inventirt worden, dergestalten daß so wol an den mobilien alß immobilien wie Sie in dem Inventario beschrieben zubefinden denen widembs Erben ein dritter theil gehörig, so sich dem damahligen Rechten anschlag nach belauffen auff 2195 pfund, Es hat aber H. Rathh. Leonhard beÿ denen Lebzeiten von diesen widembs Erben ein und andern außgekaufft, alß 1. der Kolbischen Kinder von Neustatt Ihre helffte an dem einen dritten Stammtheil, 2. Ein Vierdten theÿll ane dem Benzischen dritten Stammtheÿl (..)

Inventaire des biens qui appartiennent à Agathe Ursule Schœnermarck et de ceux dont son premier mari lui a laissé l’usufruit
1698 (17. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) n° 14 n° 175
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Agatha Ursula Leonhartin gebohrne Schönermarckin, weÿl. des Wohl Ehren Vest, Großachtbahren und Wohlweißen Herrn Daniel Leonhardts geweßenen vornehmen Handelßmanns und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene fraw Wittib, theils eÿgenthümblich, teils aber Wÿdumbs Weiße von Ihrem in erster Ehe mit dem auch weÿl. wohl Ehrwürdig vnd hochgelehrten herrn M. Elia Kolben geweßenen treweÿfferig vnd wohlverordneten Pfarrherrn Zum Jungen S Peter und ebenmäßigen burgern allhier erzeugten beeden Kindern ad dies vitæ Zugenießen berechtiget (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 17. 7.bris Anno 1698.

Eigenthumb ane Einem Garthen und Garthäußlein (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. It. Ein Hauß, hoffstatt, höfflein auf dem Roßmarckh in der Schiltsgaßen (…)
Summarischer Calculus über /:tit:/ Frawen Agathæ Ursulæ Leonhardin gebohrner Schönermärckin weÿl. Herrn Daniel Leonhards geweßenen handelßmann vndt E. E. Grosen Raths alten beÿsitzers burgers allhier Zu Straßburg (…) Vermög Inventarÿ vber besagtes Vermögen durch mich underzeichneten geschwornen Inventier Notm. den 17. 7.br dießen 1698.sten Jahrs gefertigt

Liquidation des biens de Daniel Lienhard (Leonhard)
1698 (15. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) n° 174
Summarische berechnung und respectivé Außlüfferung
Weÿland des Wohl Ehrenvest Großachtbahren und wohlweißen Herrn Daniel Leonhardts geweßenen vornehmen Handelßmanns und E.E. großen Rhats alten beÿsitzers und burgers allhier zu Straßburg nun mehr seel. mit der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Agatha Ursula gebohrner Schönermarckin seiner hinterbliebenen frawn Wittib ehelich erzeugten dochter nahmens Jungfr. Anna Catharina und also nachgelaßene eintziger Erbin, ererbten vätterlichen Vermögens.
Vermög Inventarÿ über Wohlermelten Herrn Rathherrn Leonhards seel. Verlaßenschafft in Anno 1692. durch mich unterzeichneten Notarium auffgerichtet (…)

Le tuteur de la fille Leonhard loue la maison au marchand Geoffroi Hempel
1698 (1. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 554
H. M. Israël dieterlin, Præceptor inferior. Gÿmnasÿ, alß Curator weÿl. Hn. Daniel Lienhards des Handelßmanns und E.E. großen Raths alten Beÿsitzers seel. hinterlaßenen Töchterleins, Nahmens Anna Catharina
hatt in gegensein H. Gottfried Hempeln, des Handelßmanns und Burgers allhier mit beÿstand Hn Johann Jacob Bölers, Diaconÿ senioris in der Neüen Kirchen seines Hn Schwehers
daß Er H. M. Dieterlin curatorio nomine Und Zwar mit Vorwißen und belieben wie Er sagte, Fr. Agathæ Ursulæ geb. Schönemarckin, ged. Hn. Lienhards nachgelaßene Wittib, alß Usufructuariæ deßen Völligen Verlaßenschafft
entlehnt, Eine Gewerbs Behaußung, allhier Vor dem Münster ahne der respectivé Krämer Und Kurben gaßen gelegen, mit allen Gebaüden, begriffen, zugehördten wie auch denen daran Und dabeÿ befindlichen Gädlein, nichts davon außgenommen, außer hernach gemelter Kammer, so sich der H. Curator dicto noe. vorbehaltet, alles auff fünff Jahr lang auff nechstkünfftig Michaelis angehend, umb einen Jährlichen zins Nemblich 140 pfund
(…) drittens soll der Entlehner eine Cammer, des weg. die Parten sich vergleichen werden, denen Verleihern auff einige Zeit ohne Zins laßen, umb einige mobilien darin zu thun

Anne Catherine Leonhard femme du docteur en médecine Jean Philippe Burggraff, de Darmstadt, vend la maison au marchand Geoffroi Hempel et à sa femme Marie Ursule Bœhler

1699 (19. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 477
H. Franciscus Reißeißen J. U. Ddus und E. löbl. Vogteÿgerichts Actuarÿ und H. M. Israël Dieterlin, Præceptor Inferioris Gymnasÿ, beede alß mandatarÿ Fr. Annæ Catharinæ geb. Leonhardin, H. Johann Philipß Burggravens, Medicinæ Doctoris zu Darmstatt haußfrau
in gegensein H. Gottfried Hempels deß handelßmanns, und Fr. Mariaæ Ursulæ geb. Böhlerin mit beÿstand H. Johann Jacob Böhlers Diaconi Senioris der Neuen Kirchen, Ihres H. Vatters resp. Schwehers
Eine Gewerbs behaußung, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeit. allhier vor dem Münster an der Krämer und Curben od. St. Urbansgaß einseit ist ein Eck an der Krämergaß geg. der Hirtzen apotheck über and. seit neben weÿl. H. Matern Moscheroschs gew. Schuhmachers sel. Wittib und Erben, hinden auff Hn Johann Michael Emmerich, den handelßmann, stoßend geleg., darvon gehend jährlich 1 b 16 ß auff Johann Bapt. und weihnacht. dem Closter St. Margarethæ und Agneßen, Ferner auff gleicher Zeit 10 ß d bodenzinß denen Edlen von Landsperg, Item 1 lb 11 ß 8 d bodenzinß denen Edlen von Müllenheim, So dann 12 lb in Zweÿen posten dem Pfenningthurn allhier Alment und Gädlein Zinß – geschehen umb 3250 pfund

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent le même jour la maison au profit de Samuel Silberrad, pasteur à Saint-Pierre-le-Vieux

1699 (19. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 531
H. Gottfried Hempel, der Handelßmann, Und Fr. Maria Ursula geb. Böhlerin, mit beÿstand Hn Johann Jacob Bölers, Diaconj Senioris der Neuen Kirchen allhier
in gegensein Hn M. Samuel Silberrads Diaconj Senioris zu St Wilhelm Und Canonicj zu St. Stephan allhier, im Nahmen H. Samuel Silbarads Pfarrh. Zum alten St. Peter seines leiblichen Hn Vatters – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, Eine Gewerbsbehaußung mit allen deren gebaüen, Begriffen, Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier Vor dem Münster an der Krämer: Und Curben: oder St. Urbans Faß, einseit ist ein Eck in der Krämergaß gegen der Hirtzen Apotheck über, anderseit neben weÿl. H. Matern Moscheroschs gewesenen Schuhmachers seel. Wittib und Erben, hind. auff Hn Johann Michael Emmerich, den Handelsmann stoßend gelegen, darvon gehend Jährlich auff Joh. Bapt: Und Weÿhn. 1 lb 16 ß d. dem Closter St Margarethæ Und Agneßen, Ferner auff gleicher Zeit 10 ß d bodenzinß denen Edlen Von Landtsperg, Item auff weÿhnachten 1 lb 11 ß 8 d bodenzinß denen Edlen Von Müllenheim, So dann 12 lb in Zweÿen Posten dem Pfenningthurn allhier, Allmend und Gädlein Zinnß

Originaire de Zwickau en Misnie, Geoffroi Hempel épouse en 1697 Marie Ursule Bœhler, fille de diacre
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 78-v, n° 418)
1697. Mittx. d. 31. Jul. wurd. nach Zweÿ mahliger außruff. copulirt H. Gottfriedt Hempel, d. ledige Handelßmann v. B. allhier, weil. Hrn Christian Hempels geweßenen schuhl v. schreibmeisters Zu Zwickau in Meiß. nachgelaß. eh. Sohn, V. J. Maria Ursula Hrn Johann Jacob Bölers Diaconi Senioris beÿ dießer Christl. Gemeindt ehl. Tochter [unterzeichnet] Gottfriedt Hempel alß Hochzeitern Maria Ursula Bölerin als Hochzeiterin

Geoffroi Hempel de « Spittau » en Misnie devient bourgeois par sa femme (fiancée) le 3 mars 1697
1697, 4° Livre de bourgeoisie p. 688
H. Gottfried Hempel, der handelsmann, Von Spittaw in Meißen, weÿl. Christian Hempels g: schul meisters daselbst hint. Ehel. sohn empfangt das burgerrecht von Maria Ursula Böhlerin, seiner haußfrawen, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft Zum spiegel dienen. d. 3. Junÿ 1697.

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison face à la pharmacie au Cerf au profit du diacre de la Cathédrale Jean Jacques Bœhler

1699 (14. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 649
H. Gottfried Hempel, der Handelßmann, Und Fr. Maria Ursula geb. Böhlerin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johannis Andreæ Mergileti, Stattrichters Und Schaffners deß Closters S. Mariæ Magdalenæ allhier, und Johann Martin Pracht, deß Schuhmachers ihrer Vettern respect. gewesenen Curatoris
in gegensein Herrn Johann Jacob Böhlers, Diaconi Senioris beÿ allhiesiger Prediger Kirch, ihres respectivé leiblichen Vatters und Schwehers – schuldig seÿen 2000 pfund, Ihnen bereits beÿ erkauffung hernach beschriebener hypothecirter behaußung
unterpfand, Eine Gewerbs behaußung, mit allen deren übrigen Gebaüen, begriffen, zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit. allhier vor dem Münster an der Krämer und Curben- od. St Urbans gaß, einseit ist ein Eck an der Krämergaß, geg. der Hirtzen Apotheck über, anderseit neben weÿl. Hn Matern Moscherosch gewesenen Schuhmachers sel. wittib und Erb. hind. auff Hn Joh: Michael Emmerich den handelßmann stoßend geleg., darvon gehend jährlich auff Joh: Baptistæ und weihnacht. 1 lb 16 ß d den Closter St. Margarethæ und Agneßen, Ferner auff gleiche Zeit 10 ß bodenzinß denen Edlen von Landsperg, Item uff weihnacht. 1 lb 11 ß 8 d bodenzinß denen Edlen von Müllenheim, Sodann 12 lb in zweÿen Post. dem Pfenningthurn allhier, Allmend und Gädlen zinß

Geoffroi Hempel cotise à la tribu des Tonneliers pour avoir le droit de vendre du vinaigre
1698, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 113-v) Montags den 24. Novembris Anno 1698 – Hr Gottfried Hempel der specierer stehet vor, berichtet, daß Er den Eßig Schanckh Zue treiben Vorhabens wäre, derowegen Er gegen der gebühr vmb das Zunfftrecht bittet. Erkandt willfahrt, Zahlt gebühr 2. lb 10. ß

Geoffroi Hempel loue l’échoppe au coin des rues au marchand Frédéric Rautenstrauch

1707 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 287-v
Gottfried Hempel handelsmann
in gegensein Friedrich Rauthenstrauchs auch handelsmanns
in seinem Hauß allhier ahn der Krämergass den eckladen von einem bogen, Item eine wohnstueb stuebcammer sambt zweÿ anderen Cammern, platz im Keller, Item platz zuem holtz – auf 6 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1707, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 lb

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison au profit de Daniel André Kœnig, assesseur des Quinze

1709 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 26-v
Gottfried Hempel handelsmann u. Maria Ursula geb. Bölerin beÿständlich H. M. Christian Böhm Cantoris beÿ St Niclaus u. Joh: Martin Bracht schuemachers
in gegensein S.T. H. Daniel andreæ Königs XV.ners – schuldig seÿen 325 pfund
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhier ahn der Kremergass eins. ist ein eck anderseit neben Emmerich et consorten hinten auf Mötscheln schuem: stoßend gelegen

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison au profit du courtier Jean Ehrmann

1714 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 361
Gottfriedt hempel handelsmann und Maria Ursula geb. Bölerin beÿständlich H. M. Christian Böhmen schuel: beÿ St Nicolas und Joh: Michel himmler peruquenmacher
in gegensein Joh: Ehrmann Courtier – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahn der Kremergass einseit ist ein eck anderseit neben Grauel hinten auf Mötschel

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison au profit des enfants Schatz au nom desquels leur tuteur Jean Nicolas Gambs

1715 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 644
Gottfriedt Hempel handelsmann und Maria Urs geb. Bölerin beÿständlich H. Christian Böhm Cantoris beÿ St Niclaus und Joh: Michael Himmler perruquenmachers
in gegensein Joh: Niclaus Gambs handelsmann alß Vogt Schatzischer KK – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behausung c. appert: allhier gegen dem Münster, einseit neben Grauel anderseit neben Mötschel hinten auf Leideckern

Geoffroi Hempel sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un l’autorisation d’ouvrir une école pour y enseigner le calcul et la comptabilité. Le préteur royal expose que la demande est double, a) celle d’ouvrir une école, b) celle de jouir des privilèges qu’a pu avoir en son temps le comptable Henrici. La commission constate que le pétitionnaire a les compétences nécessaires mais ne trouve pas trace d’une école tenue trente ans auparavant par Henrici. Le préteur est d’avis d’autoriser Geoffroi Hempel à ouvrir une école mais sans créer de nouveau privilège. L’assemblée se range à l’avis du préteur royal.
1716 Conseillers et XXI (1 R 199)
Gottfried Hempel vmb erlaubnuß eine schuhl Zuhalten vmb die jugend im rechnen vnd buchhalten Zu informirten. 48. relation der Herren Deputirten wegen H. Hempel petiti. 50.
(p. 48) Montags den 14. Septembris 1716. K. Ersch. Gottfried Hempel burger vnd handelßmann prod. undth. Memoriale vnd bitten deß Mghh. geruhen wolten ihme Zuerlauben, eine offene schuhl Zu halten und die Jugend im rechnen und buchhalten Zu instruiren.
Herr Prætor Regius sagt es werde von Zweÿen puncten fürnehmlich Zureden sein, der 1.ste betreffend die aufrichtung einer schuhl in rechnen und buchhalten die andere die genießung der freÿheiten, welche vor dießem herr Henrici der allhiesige Rechen Meister gehabt und genoßen haben solle.
Was den Ersten puncten betrifft werde durch die Herren Deputirte das wohlverhalten vnd die Capacität des Imploranten In vorderst zu erkundigen sein, und den 2.ten betreffend auch in dem Protocollen nachzuschlag. sein, was das so genandte Henrici gewesener Rechenmeister allhier für beneficum gehabt haben möchte da dann relatione facta ferner Zusprech. sein werde, was rechtens ist.
Erk. H. Prætori Regio gefolgt.
H. XV Leitersperger und H. Rathherr Merckel deputirt.

(p. 50) Sambstags den 19. Septembris 1716. Herr XV Leitersperger und H. Rathherr Merckel referiren wegen Gottfried Hempels welcher eingekommen vmb erlaubnus eine schuhl im rechnen vnd buchhalten zu instruiren, daß Sie nicht ermangelt hetten, sich so wohl wegen der Capacität des Imploranten, alß auch wegen des beneficien welches so genandt Henrici der alte Rechenmeister welcher vor dießem vor 30 jahren eine schuhl gehalten gehabt habe möchte, derselbe nun hette ihnen von verschiedenen Kauffleuthen attestaten vorgelegt, denen Zuersehen geweß, daß Sie ihne für einen in der Rechen Kunst vnd buchhalten erfahrenen Mann hielten alßo daß Er gantz seine Capacität hette, was aber die beneficien anbetreffe, so der so genandte Henrici gehabt haben solle, hette Herr Registrator Kniebß hin vnd wider in den Protocollen deswegen nachgeschlagen, auch H. Secretarius Wetzel auff dem Pfenningthurn nachgesucht, deßweg. aber nichts gefunden.
Herr Prætor Regius sagt hierauff, auff den vorgelegten Attestaten erscheine Zwar deß der Implorant genugsame Capacität habe in der Rechen kunst und buchhalten Zu instuiren daß daber der sogenandte Henrici der alte rechenmeister einiger beneficium genoßen haben solte, befinde sich kein bericht, deßwegen Er darvorgehalten, daß wann deselbe sich immatriculirt haben werde, ihme in seinen gesuch willfahrt werd. solte, auch durch die herren Deputirte der stunden regulirt das quantum moderirt, vnd in allen stucken das interesse publicum observirt werd. solte, wann aber weg. der gesuchten beneficen beÿ auffschlagen der Protocollen sich auch erbrigen* d. alß werde nichts newes einzuführen vnd das publicum zu begehren sein deßwegen dem Implorant in hoc ptô mit seinem begehren abzuweisen sein werde.
Erk. herrn Prætori Regio gefolgt, vorige herren Deputat.

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste à la Cave profonde Martin Fritsch

1717 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 198
hr Gottfried hempel handelsmann und Maria Ursula geb. Bölerin beÿständlich H. M. Christian Böhm Cantoris beÿ St Nilcaus und Joh: Michael Himmlers peruquenmachers
in gegensein H. Martin Fritsch gastgebers beÿm tiefen keller – schuldig seÿen 220 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier in der Krämer und St Urbans gass, einseit neben Grauel anderseit neben Mötschel hinten auff auch auf sie stroßend, darvon gibt mann jährlich 32 fl. auf den Pftenningthurn

Geoffroi Hempel loue une partie de la maison au confiseur Jean Certain. En marge, location d’une échoppe à l’aiguilletier Jean Henri Stœber

1718 (1.12.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 583
Gottfriedt hempel der handelsmann
in gegensein Johann Certhain des zueckerbeckers und burgers alhier
In sein Hempels allhier theils ahne der Krämer: theils ahne der Curben gaß liegend. Wohnhauß Erstlich dem Specereÿlad. sambt dem Contoir dabeÿ und den platz vor ged. lad. allwo anjetzo ein Paßmentirer ist, Item platz im haußehren am ein gang des haußes einen tisch allda zu stellen, Item einen platz im hoff zu des Entlehners arbeit, Ferner zwo steeg hoch droben eine stueb stueb cammer und noch eine nebens Cammer Und Kuchen so alles ahneinand. und beschlißen ist, Item im dritten stock noch eine Cammer in den hoff sehend, Item auff dem 5.ten stock eine gantze bühn Und endlich platz im keller so unterschlagen ist alles auff 3 jahr lang – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
[in margine :] bemelter Verlehner in gegensein hierin bemeldten entlehners so abweßend mandatarÿ H. Johann Frantz Reineri Exsenatoris und Fr. Maria geb. Cladÿn des entlehners ehefrauen auff 2 jahr lang so auff erstgedachten Weÿhnachten ihren anfang nehmen sollen, 115 fl – den 9. Octobris 1721
[in margine :] immediate supra bemeldter entlehner Jean Certain in gegensein Joh: Heinrich Stöber Jun. nadlers beÿstädlich Heinrich Stöbers Nadlers seines vatters entlehnt ahn dem obbeschriebenen hempelischen hauß das theils gegen dem Münster theils gegen der hirsch apotheck stehende Eck am Laden, sambt der helffte des daselbst befindlichen Vorbancks, auff 2 jahr anfangend von künfftig weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden, den 30. Octobris 1721

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler hypothèquent la maison au profit du secrétaire Daniel Kornmann

1720 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 339-v
hr. Gottfried Hempel handelsmann mit Ursula geb. Böhlerin beÿständlich H. M. Christian Böhm Cantoris zu St Nicolaus und H. Joh. Michel Himmlers Peruquenmachers
in gegensein H. Friedrich Kornmann handelsmanns nahmens H. Daniel Kornmann U.J. Ddi und Rathschreiber – schuldig seÿen 2000 pfund
unterpfand, ihre gewerbs behausung mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten vor dem Münster ahn der Krämer und Curben gaß, einseit ist ein eck an der Krämergaß gegen der hirtzen Apotheck anderseit neben Georg Mötschel dem schuemacher hinten auff Valentin Grauel den handelsmann – davon gibt man jährlich auf Joh. Bapt. und Weÿhnachten 1 lb 16 ß ane bodenzinß denen Edlen von Landtsperg, Item auf Weÿhn: 1 lb 11 ß denen Edlen von Müllenheim, so dann 12 lb in zweÿen posten dem Pfthrn. allmend und Gädlein zinß

Vente de mobilier appartenant à Geoffroi Hempel
1724, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Verkauff Reg. über H. Gottfried Hembelß des Handels M: distrahirte Mobilia

Le comptable Geoffroi Hempel loue une partie de sa maison au marchand confiseur François Imbert et à sa femme Catherine Demoulin

1724 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 69-v
H. Gottfried Hempel der Rechenmeister
in gegensein H. François Imbert Marchand Confiseur und Catharina geb. De mouslin
entlehnt, In sein des verlehners eigenthümlich allhier ahne der Krämergaß einseit ist ein eck ahne der Krämer gaß gegen der hirtzen apotheck über, anderseit neben H. Grauel dem handelsmann gelegenen behausung Unten auff dem boden den Eckladen und Contor beneben dem gebrauch des haußöhrens und hoffs, Ferner zweÿ Stiegen hoch eine Stub Stuebkamler Kuchen und noch eine andere Kammer, Mehr auff dem dritten stock eine Kammer, So dann die zweÿte bühn und endlich einen unterschlagenen platz im Keller rechter hand der Keller stiegen – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Johann Baptistæ fürwährenden Jahres, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund

Geoffroi Hempel loue un étal à l’aiguilletier Jean Henri Stœber

1724 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 338
H. Gottfried Hempel der Rechenmeister
in gegensein Johann Heinrich Stöber des Nadlers
ahn seiner allhier beÿm Münster gegen der hirsch apotheck über gelegenen behausung den gegen gedachter apotheck über ahm eck des haußes in der grämergaß befindlichen Vorbanck – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 11 pfund

Inventaire de faillite de Geoffroi Hempel et de sa femme Marie Ursule Bœhler, signalé par le répertoire (la minute n’est pas conservée)

1725, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 695
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Gottfried Hempels Handelsmanns und Frawen Mariæ Ursulæ geb. Böhlerin beeder Eheleuthe und bürgere allhier der Zeit besitzende Nahrung auch Passiva

Geoffroi Hempel et Marie Ursule Bœhler passent avec leur voisin Chrétien Wolfgang Egelus une convention qui modifie celle passée en 1628. Les frais de vidange seront supportés dans la proportion de deux tiers par le propriétaire de la maison Hempel

1726 (3.6.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 255-v
H. Gottfried Hempel Buchhalter Rechenmeister und burger allhier und Fr. Maria Ursula geb. Böhlerin ahn einem, Ferner Christian Wolffgang Egelus und Johann Jacob Mötschel beede schuemacher eigenthümlich zuständig ahm andern theil
demnach sich in und zwischen ihren dreÿ häußern davon die hempelische behausung allhier ahne der grämer gaß gegen der hirsch: apotheck über ohnfern dem Münster einseit ist ein eck ahn St Urbans: gaß anderseit neben bemeldtem Egelus hinten auff die grauelische wittib und Erben, die Egelußische aber in ged. St Urbans: gaß einseit neben dem hempelischen anderseit neben sein Mötschels hinten auff die Leÿdeckerischer Wittib und erben hauß und endlichen die Mötschelische behausung einseit neben ihm Egelus anderseit neben Gottfried Schmidt dem Schuemacher hinten auff besagtes Leÿdeckerischer hauß stoßend gelegen ist, eine gemeinschaftliche Propheÿ befindet, so in der Egelußischen behausung ausgeführt werden muß zu deren außführung und reparation bißer und zufolg des ahn 14. Junÿ 1628 in allh. Cantzleÿ Contract Stub zwischen H. Daniel Reichshoffer dem handelsmann und Adam Ferichen dem Schuemacher auffgerichteter Kauffverschreibung die eigenthumbs besitzer erstbeschriebener dreÿ häußer jeder zu einer tertz die erforderliche Unkösten beÿzutragen pflichtig waren, dießen außtheilung und repartition aber wegen der weitläuffigkeit der hempelischen behausung und der anzahl der darinn sich auffhaltenden persohnen mit dem kleinen begriff der Egelußischen und Mötschelischen häußer keine proportion hatte, mithin denen eigenthumbs: herren beÿdten letstern haüßern solcher beschwährlich fielen, die hempelische eheleuthe auch sothane ungleichheit behertziget und selbige für unbillig von selbsten erkannt, dahero schon vor verschiedenen jahren dießfalls behöriger maßen zu remedieren versprochen, als hätten sie für sich, ihre allseitige Erben Nachkommende und alle künfftige proprietarios ihrer häußer miteinander dahin verglichen
ahne der säuberungs und reparations oder erhaltungs Kösten besagter zwischen der dreÿen contrahierenden parthen häußer sich befindenden gemeinschaftlichen profeÿ ahn statt bißher erlittener einer tertz künfftig hin zu allen zeithen zwo tertzen beÿzutragen dahingegen die jeweilige proprietarÿ der Egelußischen und Mötschelischen häußer nur einen dritten theil der cösten zu leÿden und jedes hauß ahne solcher tertz die helffte daran zu contribuiren gehalten sein solle, alldieweilen aber die Egelußische behausung den last und beschwärlichkeit der außführung fürohin wie bißher zu ertagen hat, als hat er Mötschel in betrachtung deßen für sich und seine Nachfolgender ahm hauß zugesagt den völligen dritten theil der nöthigten liechter und weins ohne sein Egelus oder deßen nachkommenden beÿtrag anzuschaffen maßen des hempelichen haußes innhaber die übrige zwo terzten gleich wie ahn andern cösten zu tragen haben

Révision de l’inventaire Hempel
1727 (17.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 24) n° 779
Revisio respective Ab: und Zugang über Hn. Gottfried Hempel des Handelsmanns und Frauen Mariæ Ursulæ gebohrner Böhlerin, beeder Eheleüthe und bürgere alhier Zu Straßburg Concurs Nahrung.
Nach anleitung des über solche Falliments Nahrung durch mich den unterschriebenen Notarium underm 21. Junÿ Anno 1725. auffgerichteten Inventarÿ vrogenommen, in gegenwarth Hempelischer Ehefrau alß nunmahlige Wittib /:sintermahlen der Ehemann in Zwischen Verstorben:/ (…) So beschehen Straßburg den 17. Januarÿ Anno 1727

Registre de vente mobilière
1728 (10.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 27) n° 864
Verkauff und Looß Register über Weÿland Gottfried Hempel gewesten Handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. hinterlaßenem und Verkauffte Mobilia, auffgerichtet in Anno 1728.
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg den 10. Februarÿ et Seq. in Anno 1728.

Les inventaires ultérieurs portent que le marchand Jean Kornmann acquiert la maison Hempel par adjudication judiciaire le 11 juin 1727.
Fils du marchand Jean Kornmann, Jean Kornmann épouse en 1703 Elisabeth Leo, fille d’un jurisconsulte de Bouxwiller : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, proclamation à Bouxwiller, célébration à Strasbourg

Copia der Heuraths Verschreibung – entzwischen Herrn Johann Kornmann, dem Ledigen Handelsmann, des Wohl Ehrenvest und hochachtbahren herrn Peter Kornmanns, vornehmen Banquiers und handelsmanns auch burgers allhier Zu Straßburg, ehelich erziehler Sohn, alß dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Wohl Wdel, Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Maria Elisabetha Leo, des hoch Edel Gestreng und hochgelehrten herrn Andreæ Leo, hochberühmten Juris Consulti auch Hochgräfflich Hanau Liechtenbergischen Hochverordneten Regierungs Rath zu Buchßweiler ehelich erzeugter Jungfrauen Tochter als des Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil – Beschehen und verhandelt seind diese ding in der hießiger Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Dienstag den 13. tag des Monats Octobris im Jahr als man nach Jesu Christi unsers einigen Mittlers, Heiland, Erlößers und Seeligmachers heÿl: Fried: Gnaden, und trostreichen Geburth Zahlte 1703. – Johann Reinhard Lang, Notarius juratus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. 81 n° 26)
Mittwochs den 5. Decembr. 1703. seind nach zweÿmahliger außruffung un der Pfarr Kirchen zu St Niclauß in Straßb. alhier copulirt und eingesegnet worden H Johannes Kornmann, der ledige Handelßmann und burger alhier ehelicher Sohn, und Jfr. Maria Elisabetha Leoin, deß hoch Edem, Vest und hochgelehrten H Andreæ Leo, Hochgräfflich Hanau Lichtenbergischen hochmeritirten Regirungs Raths zu Buxweiler eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Kornmann alß hochzeiter, Maria Elisabetha Leoin alß hochzeiterin (i 85)
Proclamation, Bouxwiller (luth. p. 10, n° 16) Anno 1703 Dom: XXIV Trinit: haben sich hie Zum ersten hie proclamiren und den 5.t Decembr. zu Straßb. beÿ St. Nicolai copuliren laßen der wohl Ehren Vest und wohl vornehme Herr Johann Korn Mann Banquier und Handels Mann in Straßburg des wohl Ehren Vest und Großachtbahren Hn Peter Korn Manns auch Banquier und Wohl: Edle; Viel Ehr und Tugendbegabte Jgfr. Maria Elisabetha des Hoch: Edel Vest und Hochgelehrten Herren Andreæ Leo Hochgräffl. Hanaw Lichtenbergisch. hochmeritirten Regirungs Raths allhie eheleibl. Tochter (i 281)

Jean Kornmann est élu échevin au Miroir
1710 Conseillers et XXI (1 R 193)
H. Johann Kornmann würdt Schöff beÿ denen Spieglern. 139.

Marie Elisabeth Leo meurt en 1724 en délaissant deux fils. L’actif de la succession s’élève à 36 418, le passif à 25 927.
1726 (28.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 11) n° 132
Inventarium über Weÿl. des hoch Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Elisabethæ Kornmännin gebohrner Leonin, des hoch Edlen, hochachtbaren und Weißen herrn Johann Kornmanns, Vornehmen Banquier und E: E: kleinen Raths alten wohlverdienten Assessoris auch wohlansehnlichen Burgers allhier gewesener frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1726. – nach deme dieselbe den 23. Aprilis Anno 1724 Von dem lieben Gott aus dießem irrdischen Weltwesen in die immerwehrende ewige freude Versetzet worden, hie zeitlichen hinder sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hoch Edel, Gestreng, hochachtbaren und hochgelehrten herrn Daniel Kornmanns, Vortrefflichen Juris Consulti und allhießiger löbl. Statt Straßburg hochmeritirten geheimen Raths und Consulenten, als geschwornen herrn Curatoris herrn Johannis Kornmanns, des ledigen handelsmanns dermalen Zu Paris sich befindend und Johann Friderich Kornmanns, beeder der in Gott ruhenden frauen Kornmännin mit obhoch Ehren ernandtem Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erzeugter Söhne und ab intestato zu glechen Antheilen Verlaßener Erben inventirt (…) So angefangen in Straßburg auff Dienstag den 28. Maÿ Anno 1726.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
In der Schaffneÿ Behaußung Zu St. Wilhelm woselbsten sich das jüngste Sohn aufhält befindet sich (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung, hoff, hoffestatt und Bronnen, mit allen deroselben begriffen ane der langen Straß (…)
Eigenthumb ane einem Landguth Zu Oberhoffen
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli reciproci
Sa. haußraths 831, Sa. Gutsch 60, Sa. Wein und Vaß 49, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 571, Sa. Goldener Ring 588, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 10.000, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 3000, Sa. Eigenthums ane einem Landguth 750, Sa. Schulden 20.567, Summa summarum 36.418 lb – Schulden 25.927, Nach deren Abgang 10.490 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 10.490 lb, Stall Summ 9659 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) 1703. – Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Copia Codicilli reciproci – 1710 (…) auf Dienstag den 9. Monats tag Septembris Nachmittag Zwischen 7. und 8 Uhren (…) persönlich kommen und erschienen der Wohl Edel und Veste herr Johann Kornmann Vornehmer handelsmann und mit und neben Ihme die Wohl Edle und hoch tugendbegabte Frau Maria Elisabetha gebohrne Leonin beede Eheleuthe und burgere Zu Straßburg von den gnaden des grundgütigen Gottes gesunden: gehend und stehen. leiber (…) Jacob Christoph Pantrion

Le banquier Jean Kornmann loue une échoppe et une partie de sa maison au marchand Antoine Livio et à sa femme Anne Marie Donner

1729 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 89-v
Johann Philipp Lobstein Paßmentirer als mandatarius H. Johannes Kornmann Banquier und E. E. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Antoine Livio des Italienischen handelsmanns und Anna Maria geb. donnerin beÿständlich ihres nachgeschwistrig Kindts Johannes Haffner des Schneiders und deßen tochtermanns H. Dominique Claude Brigadier des gardes allhießigen Umbgeldts
In des H. verlehners eigenthümlicher ahne der Krämer: und St Urbans gaß, einseit ist ein eck ahn ged. gaßen anderseit neben Christian Egelus dem Schuemacher hinten auff die Leÿdeckerischen wittib und Erben gelegenen behausung, unten auff dem boden den in die Krämer gaß sehenden Eckladen /:jedoch den ahn Johann Heinrich Stöber den Nadtler verlehten Standt, so der verlehner sich verbehaltet aus genommen:/ sambt der Laden Stub, Ferner den eingang des haußes die Kuchen, item zwo stiegen hoch eine stueb Stueb kammer Kuchen und eine Kammer, weither dreÿ stiegen hoch die große Kammer und St Urbans gaß sehend, Mehr die dreÿ aller oberste Bühnen und einen beschlüßigen Keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 95 pfund

Jean Kornmann loue une cave du tailleur Jean Philippe Sinninger

1729 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 99
Johann Philipp Lobstein Paßmentirer als mandatarius H. Johannes Kornmann Banquier und E. E. kleinen Raths alter beÿsitzer
in gegensein Johann Philipp Sinninger des Schneiders
In sein des H. Verlehners eigenthümlich ahne der Krämer und St Urbans gaß, einseit ist ein eck ahn zu erstgemeldter gaß anderseit neben Christian Egelus dem Schuemacher hinten auff die Leÿdeckerische wittib gelegenen behausung, den vordern großen theils in die Krämer theils in die St Urbans gaß gehend gewölten Keller sambt darin befindlichen Liegerlingen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Michaelis jüngst abgewichenen 1728.t jahr, um einen jährlichen Zinß nemlich 15 gulden

Jean Kornmann meurt en 1731 dans sa maison rue de l’Epine. Les experts estiment à 2 750 livres la maison rue Mercière dont les titres ne permettent pas de savoir si les charges sont perpétuelles, laudémiales ou rachetables. L’actif de la succession s’élève à 14 652 livres, le passif à 1 858 livres.

1731 (16. 9.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 37) n° 340
Inventarium über Weÿl. des Wohl Edlen, Hochachtbaren und Weißen herrn Johann Kornmanns, gewesenen Vornehmen Banquier und E. E. großen Raths allhier alten wohlmeritirten Assessoris nunmehr seel. Verlaßenschafft – nachdeme derselb den 27.ten Martÿ dieses Jetztlauffenden 1731.ten Jahrs von dem lieben Gott aus diesem Vergängl. Weltwesen in die seelige ewigkeit versetzet word. Zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hoch edlen, Gestreng, hochachtbahren und hochgelehrten herrn Daniel Kornmanns Vortrefflichen Juris Consulti und allhießig. Löbl. Statt Straßburg hochansenhlichen Geheimen Raths und Advocati, des in Gott ruhenden herrn Kornmanns eheleibl. herrn Bruders als geschwornen und noch ohnentledigten H Curatoris deßelben hinderlaßener beder Herren Söhne und ab intestato Erben (…) durch die Wohl Edle, Hoch Erhen und tugendgezierte Frau Johannam Christinam Schmidin gebohrner Leonin des hoch Edel Vest hochachtbahrn und hocgelehten herrn Johann Melchior Schmiden J.U. Ddi und E. E. Kleinen Raths auch anderer höherern Gerichts stellen hochverdienten Advocati et Procuratoris ordinarÿ Frau Eheliebstin, als in deren behaußung sich verschiedene mobilia befinden, wie auch Mariam Salome Winterin die dienstmagd in dem Kornmännischen hauß (…) So beschehen Zu Straßburg in fernerer gegenwarth obhoch edelgedachter Hn Ddi Schmiden desselbig Verstorbenen H. Schwagers auf Freÿtag den 16. Novembris et seqq. diebus A° 1731.
Der in Gott ruhende Hr Kornmann hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. Erst. Herrr Johann Kornmann, lediger handelsmann, dermalen Zu Paris beÿ der Kornmännischen Handlungs Societæt sich auffhaltend Und dann Zweÿtens H. Johann Friderich Kornmann, philisophiæ Studiosum pro nunc beÿ mehr hoch Edelberührtem H. Ddo Schmid in Cost und Losament sich aufhaltend. Beede deßelben mit weÿl. der Wohl Edlen joch Ehren vnd tugendgezierten Frauen Maria Elisabetha Kornmännin gebohr. Leonin seiner seeligen Fr. Eheliebstinin ehelich erzeugte Herren Söhne und ab intestato Zu gleichen antheilen Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Dorns Gaß und trusen Gäßl. gelegenen in deß seel. verstorbenen herrn gemeine Vätterl. Erbschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
(f° 18) In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen Von H. Thresorier aber Lehnungsweiße weiß bewohnten behaußung befunden worden wie volgt
(f° 22) Eigenthum ane Häußern allhier Zu Straßburg. Eine behaußung ane der langen Straß (…)
It. eine behaußung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Zugehörd., rechten v. Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg Vor dem Münster ane der Krämergaß wie auch neben St. Urbans gaßen einseit ist ein Eck ane der Krämergaß gegen der Hirtzen Apotheck hinüber, neben weÿl. H. Valentin Grauels gewesenen Handelsmanns v. beÿsitzers allh. seel. hinderlaßener Wittib v. Erben, anderseith ane der St. Urbans Gaß neben Christian Egelus, dem Schumacher, hinden auf erstgemelte Grauelische Wittib und Erben stoßend, so über hernach gemelte daroben hafftende Onera eigen und durch Vorig ermelte 3. geschwornen Herren Werckmeistere Vermög deroselben ad conceptum schrifftlich gelieffertr Abschatzung Vom 11. Decembris 1731. ohne einige beschwerde angeschl. pro 5500 fl. oder 2750. lb d. Davon reicht mann Jährl. auff Joh. Bapt: und weÿhenachten dem Closter St. Margarethen und Agnesen 1. lb 16. ß d. Ferner auf gleiche zeit denen Edlen von Landsperg ane bodenz. 10. ß d, Mehr auf Weÿhenachten denen Edlen von Müllenheim ane Bodenzinß 1 lb. 11 ß 8 d. Weiter gemeiner Statt Pfenningthurn Jährlichen auf Michaelis und Weÿhenachten ane Allmend Zinß 3 lb, und ane gädlein zinß 9 lb.
Welche auf solcher behaußung hafftende Zinß deren qualitæt ob solche ewig, ehrschätzig, erblehen, boden Zinß oder ablösig, dißorts nicht eigentlich wißend, auch in hernach gemelten Kauffbrieffen nicht exprimirt ist, sammenthaft, antreffen 15. lb 17 ß 8 d und zu doppeltem Capital ohnverfänglich gerechnet dißorts in deduction gebracht werden mit 635 lb 6 ß 8 d. Nach deren Abgang Verbleibt ane obigem haußanschlag annoch per rest übrig und dißorths außzuwerffen 2114. lb 13 ß 4 d. Wie der seelige Hr Kornmann und in deßen Nahmen offthoch Edelbesagter Herr Advocat Kornmann dieses Hauß, so vor diesem Gottfried Hempel dem handelsmann und Mariæ Ursulæ gebohr. Böhlerin, deßen Ehefraun, gehörig ware, in der Ganth ane sich ersteigert, dem selben auch als meistbietendem adjudiciret worden, weißet i. papÿr Extractus allhiesig. Statt Ganth Protocolli von H. Not. Joh: Marbach gefert. datirt den 11. Junÿ A° 1727. mit N° 1 notirt. Dabeÿ eine papÿr Von Hn Ddo Joh: Philipp Heckern, dem Stattrichter außgestellte quittung über 175 fl. 1. ß 6 p. von dem seelig. H. Kornmann bezahlte Ganth v. andere unkosten besagend, datirt den 16. Junÿ Ao 1727. Mehr die Außweisung obged. Gottfried Hempels falliments Massæ, in præsentia H. Rathh. Kammen v. H. Rathh. Gerbers wie auch H. Actuarÿ Fabers vorgenommen den 3. Julÿ Anno 1727.
Weiter 3. alte pergam. Kauffbrieff in allhießig. C. Contractstuben gefert. v mit deroselben anhang. Innsigel corroboriret, davon der Jüngste datirt den 19. Sept. aô 1699. der and. d. 21. Aprilis A° 1673 und der ältiste den 2. Sept. A° 1650. So dann i. papÿr Contract Verschreib. in allhießig. C Contract Stuben den 24. Julÿ Anno 1720 gefertiget über 3000 lb d wie auch eine frantzös. vor H. Not. Robert passirt. Obligat. de dato 25. Octobris 1720. über 1000 lb d ane die Hempelische Massam in Capital Zuerfordern hatte, besagend sambt anderen schrifftlichen bericht mit N° 1 bezeichnet.
Eigenthum ane einem Landguth Zu Oberhoffen
Antheil ane einem Garthen außerhalb der Statt Straßburg, außerhalb der Statt Straßburg dem Fischer v. Judenthor
(f° 34) Series rubricarum hujus Inventarÿ.
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Hiebeÿ ist mit wenigen Zuanden, daß nachdeme S. T. H. Peter Kornmann des beständigen geheimen Regiment Meiner Herren XV. gewesener hochmeritirter Assessor und Vornehmen Banquier allhier, des nun auch seelig Verstorbenen Herrn Johann Kornmann eheleibliche Herr Vatter dem 22. Januarÿ Anno 1727. Zeitlichen tod seelig verblichen, deßelben Verlaßenschafft in beÿseÿn daran gehörige Persohnen den 22.te Julÿ et seqentibus gedachten 1727.t Jahrs Zwar ordnungsmäßig inventirt, æstimirt und beschrieben, auch durch eingangs gedachten darzu requirirten Notarium darüber auffgerichtet außgefertiget, so fort auff löbl. statt Stall producirt (…)
Sa. haußraths 117, Sa. haußraths (vide supra fol. 9.a et 18.a), Sa. Häußern 880, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 631, Sa. goldener Ring 678, Sa. der baarschafft 690, Sa. pfenningzinß hauptgüter 4781, Sa. Eigenthums ane häußern 5243, Sa. Eigenthums ane einem Landguth Zu Oberhoffen 750, Sa. Antheils ane einem Hoff und Gültguth Zu Herrlisheim 116, Sa. Antheils ane Matten im Rohrweiler bann 156, Sa. Antheils ane einem Garthen 23, Sa. Schulden 699, Summa summarum 14.652 lb – Schulden 1858, Nach deren Abzug 12.794 lb
Stall summa 12.890 lb
Abschatzung d. 11. Xbris 1731. Auff begehren Weÿl: des Ehren Vestern und Großachtbahren Herrn Johann Kornmann E. E. Kleinen Raths gewesenen beÿsitzers und Vornehmen Banquier seel: hinter laßene Erben ist Eine behausung allhier in der Statt Straßburg ein Eck hauß an der Krämer gaß gegen dem Münster über gelefen, einseits Neben der fraw Grauelerin, anderseits Neben Christian Eckel Schumacher, hinden auf die fraw Leÿdeckerin Weißhändlerin stosend, welche behausung Stuben, officier stube, Cammern, officier Knechts Kammer, Küchen, Hauß Ehren, Laden sambt 3. Kleinen gädel, bauch offen, höffel gewolbter Keller und bronnen sambt aller gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Tausend und Fünf hundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Le curateur des deux fils Kornmann loue l’échoppe d’angle et une partie de la maison au marchand Jean Jacques Giesing

1735 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 1
S.T. H. Fünffzehner Friedrich Kornmann als mandatarius seines bruders H. Daniel Kornmann Jcti ehemaligen Raths und Advocati als Curator weÿl. H. Johannes Kornmann gewesten Banquier und EE. kleinen Raths alten beÿsitzers beeder söhn
in gegensein H. Johann Jacob Giesing des handelsmanns
In einer denen Kornmannischen Curanden eigenthümlich zuständig ane der Krämer und St Urbans: gaß, einseit ein Eck ane St Urbans: gaß anderseit neben Christian Egelus dem schuemacher hinten auff die. Leÿdeckerische wittib gelegenen behausung, unden auff dem boden den in die Krämer gaß gehenden Eckladen /:jedoch den an Johann Heinrich Stöber den nadler verlehnten denen verlehnern vorbehalten bleibenden standt ausgenommen:/ sambt de Ladenstub, Ferner im eingang des haußes die kuchen zwo stiegen hoch eine stueb, stuebkammer, Kuchen und Nebenskammer dreÿ stiegen hoch die große kammer in St Urbans gaß sehend, die 3 obersten Bühnen, so dann einen beschlüßigen Keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs um einen jährlichen Zinß nemlich 100 pfund
[in margine :] auff 3 nacheinander folgenden jahren von letzt verwichenen Michaelis 180 gulden, den 29. Decembris 1741

Le boutonnier Jean Frédéric Schuler sous-loue aux passementiers Jean Frédéric Schatz et Jean Georges Grossmann les premier et troisième étages.

1749 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 97-v
H. Johann Friedrich Schuler des knopffmachers und seidenhändlers
in gegensein Johann Friedrich Schatz des zinngießers und Johann Georg Großmann des Paßmentirers
afftterlehnungsweiße, in einer alhier ane der Krämer und St Urbans gaß gelegenen Eckbehausung, den gantzen ersten Stock auff dem dritten stock die großen Ercker stub ein klein stüblein und zwo kammern auff dem vierten Stock, die völlige bühn samt holtz hauß und ein kleines kämmerlein, den gantzen keller mit außnahm H. Fincken antheils so dann die samtliche um das hauß befindliche Lädlein – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 320 gulden

Le banquier célibataire Jean Frédéric Kornmann, assesseur au Petit Sénat, meurt en 1752 après avoir institué pour unique héritière Marie Elisabeth Richshoffer. L’actif de la succession s’élève à 10 457 livres, le passif à 8 650 livres

1751 (24.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 98) f° 812
Inventarium über Weÿland S.T. Herrn Johann Friderich Kornmann, gewesenen leedigen Banquier allhier zu Straßburg weÿland S° Tlo. Herrn Johann Kornmann geweßten vornehmen burgers und Banquier auch E:E: kleinen Raths hochverdienten beÿsitzers mit auch weÿl. S. Tlo. Fr. Maria Elisabetha Kornmännin geb. Leonin beeder längst seel. erzeugten jüngern H. Sohns nun auch seel. Verlaßenschafft – (…) nach deme derselbe den 29.ten Februarÿ dieses jetzt lauffenden 1752. Jahrs von dem lieben Gott aus dießer Zeitlichkeit in die seel. Ewigkeit abgefordert worden, hier Zeitlichen hinter sich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen und begehren S. T. Jungfrauen Mariæ Elisabethæ Richshofferin weÿl. S. E. Herrn Johann Christoph Riechhoffer geweßten Kunsterfahrenen Jubelierers und Goldarbeiters auch vornehmen burgers und Es En Kleinen Raths allhier alte Wohlverdienten beÿsitzers mit S. T. Frauen Maria Salome gebohrner Camelin deßen hinterbliebener Frau Wittib, ehelich erzeugter Jüngeren Jungfrauen Tochter, als von dem seel. verstorbenen H. Kornmann, vermög deßen am 18. Hornung Anno 1747 auffgerichteten und hernach diesem Inventario copialiter inserirten Testamenti solennis in Scriptis (…) instituirt: und eingesetzter einiger Erbin welche aber mit Zuziehung S. T. H. Georg Friedrich Bemberg vornehmen burgers und handelsmanns auch wohlmeritirten Kirchenpflegers beÿ der Neuen oder Prediger Kirch allhier Ihres Herr Schwagers und hierzu erbettenen Assistenten (…), inventirt durch S. T. Herrn Friderich Kornmannn vornehmen Banquier und des geheimen beständigen Regiments derer Hh. dreÿzehen allhier, hochansehnlichen Assessorem, ein des Defuncti hochzuehrenden Hn Oncle, ingleichem durch S. T. H. Johann Wilhelm Kornmann, ebenmäßigen Vornehmen Banquier und Es En großen Raths allhier alten hochmeritirten beÿsitzers deßen ebenmäßig geehrten Hn Oncle und S. T. Frau Kunigundam Kornmännin gebohrne Richshofferin seine Werthgeschätzte Frau Eheliebste, als beÿ denen der in gott ruhende Herr Kornmann in seinem Leben sich auffgehalten, So dann durch Mariam Philippinam Krügin von hier und Mariam Catharinam Burgerin von Kaÿl gebürtig deroselben beede Dienstmägd im hauß (…) geäugt und gezeigt – So beschehen zu Straßburg auff Mittwoch den 24.ten Maji et sequentibus diebus Anno 1752.

In einer allhier zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen eingangs hoch Edelgedachtem Hn dreÿzehner Kornmann eigenth. zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 25) Eigenthum ane Häußern allhier Zu Straßburg. Erstlichen die Helffte Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung ane der langen Straß (…)
It. die Helffte vor ohnvertheilt ane einer behaußung v. hoffstatt, mit allen übrigen denen Gebäuden, Begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßb. Vor dem Münster, so ein Eck ane der Krämer gaß gegen der Hirtzen Apotheck hinüber, neben weÿl. H. Valentin Grauel geweßten Handelsmanns allh. Wittib v. Erben, ane der Urbans Gaß aber ehedeßen neben Christian Egelus, dem Schuhmacher, hinden auf erstgemeldte Grauelische Wittib v. Erben stoßend, so über hernach bedittene daroben hafftende onera eigen v. in des Defuncti Vatterl. Verlaßenschafft Inv: fol: 136. fac: 1.a ohne einige beschwerhrde angeschlagen warbeÿ es auch dermahlen nach Anzeig mehr wohlerwehnter Jungfrauen Richßhofferin und denen hochverordneten Obern Stall herren zu laßen gnädig permttirt worden nembl. pro 2750. lb, davon gefallen Jährl. auf Joh: Baptistæ v. Weÿhenachten dem Kloster St. Margarethen und Agnesen 1. lb 16. ß d. Ferner auf eben gleiche zeit denen edlen von Landsperg ane bodenzinß 10. ß d, Mehr auf Weÿhenachten denen Edlen von Müllenheim ane Bodenzinß 1 lb. 11 ß 8 d. Weiter gemeiner Statt Pfenningthurn auf Mich. u. Weÿhenachten ane Allmend Zinß 3 lb und ane gädlein zinß 9 lb.
Welche auf solcher behaußung hafftende Zinß deren qualitæt ob solche ewig, ehrschätzig, erblehen, boden Zinß oder ablösig, dißorts nicht eigentlich wißend, auch in hernach gemelten Kauffbrieffen nicht exprimirt ist, sammenthafft, antreffen 15. lb 17 ß 8 d und in besagtem Inv: zu doppeltem Capital abgezogen worden mit 635 lb 6 ß 8 d. Mithin vor sothane behaußung annoch per rest außgeworffen 2114. lb 13 ß 4 d, Macht hiehero zur helffte 1057. 6. 8. Der andere halbe theil ist mehr wohlberührtem Hn Joh: Kornmann Banquier Zu Paris dißorts H. brudern zuständig. Wie deroselben H Vatter v. in deßen Nahmen hievorn hoch Edelberührter Herr Advocat Kornmann beede burger seel. dieses Hauß so vor diesem Gottfried Hempel dem handelsm: v. Mariæ Ursulæ gebohr. Böhlerin, deßen Ehefr. gehörig ware, in der Ganth ane sich ersteigert dem selben auch als meistbietendem adjudiciret worden, weißet ein papÿr Extractus allhiesiger Statt ganth Protocolli von H. Not. Joh: Marbach gefertiget, datirt den 11. Junÿ A° 1727. Dabeÿ eine papÿr Von Hn Ddo Joh: Philipp Hecker, damahl. Stattrichter außgestellte quittung über 175 guldin, einen Schilling v. 6 pfenning von dem seel. H. Kornmann bezahlte Ganth v. andere Unkosten besagend datirt den 16.t Junÿ Anno 1727. Mehr die Außweisung obgedachten Gottfried Hempels falliments Massæ, in præsentia H. Rathh. Kammen v. H. Rthh. Gerbers wie auch H. Actuarÿ Fabers vorgenommen den 3. Julÿ Anno 1727.
Weiter dreÿ alte perg. Kauffbr in allhies. Cancelleÿ Contract Stuben gefertiget v mit deros: anhangendem Inns: corroboriret, davon der Jüngst datirt den 19. Septembris A° 1699. der andere den 21. Aprilis Anno 1673 v. der älteste den 2.ten 7.bris Anno 1650. So dann ein papÿr Verschreibung besagter Contract Stuben d. 21. Julÿ Anno 1720. über 3000 lb d wie auch eine Frantzösisch obligation über 1000. lb d von H. Not. Robert den 25.ten 8.bris 1720. gefertiget, so beedes der seel.. Hr. Johannes Kornmann ane die Hempelische Massam Zuerfordern hatte, besagende, samt anderen schrifftl. bericht, mit altem N° 1 notirt
(S.T. Herrn Johann Kornmann Banquier in Paris legirt) It: ane der Großmütterl. tertz ein achter v ane denen großvätterl. Zwoen Tertzen ein 14. das seind zusammen 15/168 theil ane der Trußen gaß (…)
Antheil ane einem Garthen außerhalb der Statt Straßburg, vor dem sogenandten becken Wäldel ohnfern der Neuen taback Mühl zwischen dem Fischer v. Judenthor (…)
Eigenthum ane einem Landguth Zu Oberhoffen
Antheil ane einem Hoff und Gültguth Zu Herrlisheim
(f° 35-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 117, Sa. haußraths so zwischen herrn Johann Kornmann und dem defuncto annoch gemeinschaftlich 25, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 279, Sa. goldener Ring 282, Sa. pfenningzinß hauptgüter 4866, Sa. Eigenthums ane häußern 2693, Sa. Antheils ane einem Garthen 11, Sa. Eigenthums ane einem Landguth Zu Oberhoffen 233, Sa. Antheils ane einem Hoff und Gültguth Zu Herrlisheim 62, Sa. Antheils ane Matten im Rohrweiler bann 37, Sa. Eigenthums ane einem hoff und liegenden güthern zu Ballbronn 43, Sa. Schulden 1810, Summa summarum 10.457 lb – Schulden 8650, Sa. Legaten 677, Nach deren Abzug 7973 lb
Beschluß und Verstallungs summa 7151 lb
Copia Testamenti (…)

Les copropriétaires Jean Kornmann et Marie Elisabeth Richshoffer louent une partie de la maison au fondeur d’étain Jean Frédéric Schatz et au passementier Jean Georges Grossmann

1753 (25.10.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 447
H. Wilhelm Kornmann der alte Rathherr und banquier als mandatarius seines neveu H. Johann Kornmann auch banquier und Jfr Maria Elisabetha Richßhofferin
in gegensein H. Johann Friedrich Schatz des zinngießers und H. Johann Georg Großmann des Paßmentirers
verlühen, in einer denen Verlehnern eigenthümlich gehörigen ane der Krämer und St Urbans gaß gelegenen Eck behausung, den gantzen ersten stock auf dem dritten stock die große ercker stub, ein klein stüblein und zwo kammern auf dem vierten stock die völlige bühn samt holtzhauß und ein klein kämerlein, den gatzen keller mit ausnahm H Fincken antheils samt dann die samtliche in hauß bedindliche lädlein – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ, endigen auf solche zeit 1763 – um einen jährlichen Zinß nemlich 320 gulden

Les mêmes louent une autre partie de la maison au confiseur François Antoine Finck

1754 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 72
H. Rathh. Wilhelm Kornmann als mandatarius Jfr. Maria Elisabetha Richßhofferin und H. Johannes Kornmann
in gegensein H. Frantz Antoni Finck des zuckerbecken / H. Jean Rey der handelsmann vor seinen schwager verbürgt
entlehnt, in einer denen verlehnern eigenthümlich zuständigen gegen dem Münster am eck der Krämergaß gelegenen behausung, unten auf dem boden der an die Krämergaß gehende laden samt der ladenstub, ferner im eingang des Haußes die kuchen, zwo stiegen hoch eine stub, stub kammer, kuche und nebenkammer, dreÿ stiegen hoch eine große kammer in St Urbans gaß sehend die dreÿ oberste bühnen und dann einen beschlüßigen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 180 gulden

Le banquier Jean Kornmann meurt célibataire à Paris en 1770 en délaissant pour unique héritier testamentaire le banquier Guillaume Kornmann. La deuxième moitié de la maison à l’angle de la rue Mercière appartient aux héritiers de Marie Elisabeth Brackenhoffer née Richshoffer. La succession s’élève à 9 623 livres

1770 (1.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) f° 563
Inventarium über Weiland S.T. H. Johann Kornmanns, geweßenen ehemaligen vornehmen Banquier in Paris und wohlangesehenen Burgers dahier zu Straßburg, nun seel. Verlaßenschafft errichtet in Anno 1770. – nach seinem den 28. Februarÿ dießen lauffenden 1770.sten Jahrs in Paris erfolgten tödlichen hientritt allhier zu Straßburg und in hießigen Gegenden Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren S. T. H. Wilhelm Kornmanns, Vornehmen Banquier und E. E. Großen Raths alhier alten wohlverdienten Hn Beÿsitzers als des Verstorbenen H. seeligen per Testamentum verlaßenen universal Erbens, inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg angefangen auf Mittwochs d. 1.ten Augusti 1770.

Extrait du Testament de feu Mr Jean Kornmann en son vivant ancien Banquier à Paris, fait à Paris le 5° Maÿ 1766. et deposé à M° Le Bœuf Delebret Notaire sur l’ordonnance de Mr le Lieutenant civil au chatelet de Paris le 28. fevrier 1770. (…) Je fais et institue pour mon heritier universel mon oncle Guillaume Kornmann déjà nnommé cy dessus demeurant à Strasbourg
Extrait Du Codicil de feu Mr Jean Kornmann en son vivant ancien Banquier à Paris fait à Paris le 2° 7.bre 1769. et deposé (…)
Eigenthum ane Häußeren. Erstlich die Helffte Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung ane der langen Straß (…)
It. die Helffte vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung und hoffstatt, mit allen übrigen denen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg Vor dem Münster, so ein Eck ane der Krämergaß, gegen der hirtzen Apotheck über, neben denen leÿdeckerischen Erben, an der St. Urbansgaß aber ehedeßen neben Christian Egelus dem Schuhmacher hinden auf erstgemelden leÿdeckerischen Erben stoßend, davon gehen jährl. auf Joh: Baptistæ und Weÿhenachten, dem Closter St. Margarethä und Agnes 1. lb 16. ß d ferner auf eben dieße zeit denen Edlen v. Landsperg ane bodenzinß 10. ß d, Weiter auf weÿhenachten denen Edlen v. Müllenheim ane Bodenzinß 1 lb. 11 ß 8 d und löbl. Statt Pfenningthurn wegen dem Ercker und einer Communications Thür 3. lb d, sonsten und über dieße beschwerd für freÿ leedig eigen u. in hoch Edelerwehnten s. T. H. Johann Friderich Kornmanns seel. complirten Verlaßenschafft Inventario de A° 1760. æstimirt, dabeÿ es dann auch dermahlen wider mit hochgeneigter approbation der Hh dreÿ löbl. Statt Stalls gelaßen worden pro 2114. lb 13 ß 4 d., th. die hiehero gehörige helffte 1057. 6. 8. Dieße beede häußer helffte hat der verstorbene Hr. seel. Von längst Weil. S. T. H. Johann Kornmann, geweßenen Vornehmen Banquier in Paris und b. dahier zu Straßburg seinem Hn Vatter seel. geerbet
Und participiren weil. S. T. Fr. Mariä Elisabethä Brackenhofferin geb. Richshofferin SSis TTis H. Eliä Brackenhoffers J. Cti und des beständigen geheimen regiments der Hrn XV. in löbl. Statt Straßburg bestverdienten Hn Beÿsitzers geweßener Fr. Ehegattin seel. nachgelaßene Hrn und Fr Erben, die übrige helffte ane solchen häußern maßen sie selbige Von des Defuncti H, Bruder seel. geerbet hat.
Die über solche beede häußer besagende Documenta und brieffschafften seind offt wohlerwehnten weil. H. Johann Friderich Kornmans seel. Verlaßenschafft Inventario umbständlichen beschrieben als wohien man sich dißorths umbn Abscheidung aller Weitläuffig Keit bezieht.
It. j. behaußung ane der Dornsgaß (…)
It. 15/48.ste theil Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung ane der Trußengaß (…)
Antheil ane einem herrschafftlichen Guth in Oberhoffen
(f° 12-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1447, Sa. Gülth von liegenden güthern 326, Sa.Zehenden 360, Sa. Eigenthum aneHäußern 6619, Sa. Antheil ane einem herrschafftlichen Guth 700, Sa. Schulden 170, Summa summarum 9623 lb – Legaten 4500, Nach deren Abzug 5123 lb – Stall Summ 9623 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter 1748 lb, Zweiffelhaffte und verlorene Schulden 1992
(Copie du testament) Me croyant menacé tôt ou tard d’une attaque d’apoplexie et voulant terre de l’ordre à mes petits affaires tandis que que je me trouve encore en santé (…)

Les héritiers des frères Kornmann vendent la maison 5 370 livres au cafetier Valentin Humbert et à sa femme Marie Elisabeth Pfeffinger

1778 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 36
H. Georg Ernst Krafft vor und innahmen SS. TT. H. Friedrich Peter Kormann des banquier zu Paris und H. Wilhelm Kornmann des beständigen regiments hiesiger Statt XXI. und banquier, SS. TT. H. Elias Brackenhoffer des beständigen regiments fünffzehner alß wÿdum nießer, H. Benedict Philipp Kast der handelsmann nahmens seiner Ehegattin Fr. Kunigunda geb. Imlinin, ferner derßelbe alß geordneter vogt weÿl. Fr. Maria Magdalena Ehrmännin geb. Imlinin hinterlaßenen Kinder, H. Johann Jacob Lung notarius publicus ac practicus als gerichtlich bestelleter syndicus weÿl. H. Johann Andreas Bruder des handelsmanns massa creditorum
in gegensein H. Valentin Humbert des caffesieders und Mariä Elisabethä geb. Pfeffingerin unter assistentz H. Johann Jacob Hitschler des wexel courtier und H. Johann Ulrich Graff des handelsmanns
eine behausung bronnen, höfflein und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten vor dem Münster zum theil ane der Krämergaß theils ane St Urbansgaß gegen der Hirtzen apotheck über, einseit neben H. Herrenschneider dem paßmentirer, anderseit ist en Eck, hinten auff Mr Lang den schuhmacher – davon gibt mann d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 3 pfund ane allmend zinß, d. Closter St Margaretha und Agneßen 1 pfund 6 s den Edlen von Landsperg, 10 s, den Edlen von Müllenheim, 1 pfund 11 s 8 p – denen Kornmännischen gebrüder zu sieben 10.del, Fr. Kastin einem 10.del, den Ehrmännischen kindern einem 10.del, der Bruderischen massa creditorum zu einem 10. gehörig – um die meistgebottene summ der 10.740 gulden

Fils d’un maréchal ferrant de Hatten en juridiction de Hanau, le boucher Valentin Humbert épouse en 1746 Marie Elisabeth Pfeffinger, fille de boucher :& contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung (…) entzwischen dem Wohl Ehren und Vorachtbahren herrn Valentin Humbert, ledigen Metzgern von Hatten im untern Elsaß gebürtig, nunmaligen burgers allhier zu Straßburg, des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Georg Humbert, Huffschmidts und burgers zu Hatten, mit der Ehren und Tugendbegabten Frauen Anna Maria geb. Buckin seiner Ehegattin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigam ane einem, So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Elisabetha Pfeffingerin, weÿland des Wohl Ehren und vorachtbaren herrn Johann Friedrich Pfeffingers, gewesenen Metzgers, Viehhändlers und burgers allhier zu Straßburg seeligen mit der Viel ehr und tugendreichen Frauen Susanna Dorothea gebohrner Beckin deßelben geweßter Frauen Eheliebstin und nunmaligen Wittib ehelich erzielten Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern Theil – So beschehen Zu Straßburg auf Dienstag den Estern Februarii im Jahr als man nach unsers einigen Erlösers und Seeligmachers Gnadenreichen Geburt Zahlte 1746

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 76-v, n° 8)
1746 – Eodem die [Mittw. den 2 Martÿ] wurden in den Stand der H. Ehe nach Zweÿmahl Vorherbeschehener Proclamation eingesegnet, Valentin Humbert der ledige Metzger und burger allhie, Johann Georg Humbert des Huffschmids und burgers Zu Hatten, hochfürstl. Heße: Hanauischer Herrschafft ehelicher Sohn und Jgfr. Maria Elisabetha weÿl. herrn Johann Friderich Pfeffinger geweßenen Metzgers u. burgers allhie hinterl. ehel. Tochter [unterzeichnet] Valentin Humbert als hoh zeiter, Maria Elisabetha Pfeffigerin als hohzeiterin (i 79)

Valentin Humbert devient bourgeois deux mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Fleur (bouchers)
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 257
Valentin Humbert der Metzger Von Hatten gebürtig, erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefr. Maria Elisabetha weÿl. Johann Fried. Pfeffingers gewesenen burgers und Metzgers ehel. Tochter um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur blum. jur. d. 27.ten Maÿ 1746.

Marie Elisabeth Pfeffinger fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 743 livres dans une maison de location rue Sainte-Madeleine
1747 (15.7.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 515) n° 45
Inventarium über der Viel Ehr: und Tugendreichen Frauen Mariæ Elisabethæ Humbertin gebohrner Pfeffingerin zu dem Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Valentin Humbert dem Metzger und burger allhier Zu Straßburg ihrem Ehemann, vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1747. – alldieweilen Sie die Ehefrau in der mit ihrem Ehemann den 1.ten Februarÿ 1746. errichteten Eheberedung und des darin stipulirten 6. paragraphi solches expressé reservirt und vorbehalten hat (…) Actum Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwart des Ehemanns vorgedacht, so dann Herrn Johann Jacob Hitschlers des Silberarbeiters und burgers allhier der Ehefraun Schwagers und respectivé erforderten beÿstands auf Sambstag den 15.ten Julÿ Anno 1747.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegenen in dieße Nahrung ô gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 533, Sa. Silbers 61, Sa. Goldener Ring und geschmeid 118 – Summa summarum 713 lb. Hierzu ist ferner zurechnen der halbe theil an denen hernach beschriebenen haussteuren 30, Macht demnach Frau Humbertin Völlig eingebrachtes Vermögen überhaupt 743 lb
(Joint) Eheberedung, Collationirt und mit dem Vorgewießenen aber sogleich zurückgegebenen Original gleich haltend befunden, attestirt Straßburg den 9.ten Martÿ 1750. Euth, Notarius

Le boucher Valentin Humbert se plaint des tonneaux que lui a fabriqués le tonnelier Jean Erard Betz. Le conseil de tribu renvoie les parties à la juridiction compétente.
1763, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 168-v) Dienstags den Eÿllften Octobris 1763 – H Valentin Humbert der Metzger klagt Contra Johann Erhard Betz dem Kübler, daß Er ihme umb Martini Zeit des Vorigen Jahrs herumb, fäßlein gemacht, solche seÿen aber nicht haltbar, bittet ihne in restitution des Schadens, ref. exp. Zu condemniren.
Beklagter zugegen sagt, es hätte Kläger des fäßlin ein gatzes Jahr Liegen Laßen, und in seinem eigenen hauß behalten, über das hätte er Ime solche schon würcklich in gehörigen Standt gestellt, bittet absolutionem, ref. Exp.
Erkand, seÿen die Parthen ad judicam competentem zuverweißen.
dt. prot. 3 ß

Le café de Valentin Humbert sert de garantie
1780 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 302
H. Johann Conrad Sengenwaldt der handelsmann
in gegensein H. Valentin Humbert des caffesieders und Elisabetha geb. Pfeffingerin, 6000 lit
mit dem anhang die caffe behausung ane dem Münsterplatz, so bis anhero als ein general unterpfand einseit neben ist ein eck ane der St Urbansgaß anderseit neben H. Schneider dem seidenhändler

Inventaire de faillite de Valentin Humbert et de sa femme Marie Elisabeth Pfeffinger. Les experts estiment la maison 6 000 livres. La masse propre à la femme est de 2 865 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève 6 867 livres et le passif à 13 829 livres, non compté le droit de café dont on ne sait s’il est cessible ou non

1781 (13. u. 14.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 880) n° 123
Inventarium über Valentin Humbert, des Cafféesieders und Fr. Mariæ Elisabethæ gebohrner Pfeffingerin, beÿder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg Activ: und Passiv Massam, errichtet Anno 1781. – dahero derselbe um das Beneficium flebile Cessionis und die Ehefrau Zu Salvirung ihres unveränderten eigenthümlichen Guths um das Beneficium Cessionis beÿ Em En Kleinen Rath in Unterthänigkeit eingekommen (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter in diese Massam gehöriger behaußung, Dienstags und Mittwochs den 13. und 14. Novembris Anno 1781.

(f° 9) Ergäntzung der Ehefrauen Wwährend der Ehe angegangenen unveränderten Guts. Zufolg des über disortiger Ehefraun vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch Hern Notario Johannes Euth Anno 1747 errichteten Inventarii (…) Ane dem Antheil ane Metzig Bäncken (…), Ane dem Antheil ane einer behaußung
(f° 20) Eigenthum ane einer behaußung, (M.T.) Nemlich eine behaußung hoff hoffstatt und bronnen mit allen übrigen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg am Eck der Krämer: und St urbans: Gaß, einseit neben H. Herrenschneider dem Seiden Knopffmacher, anderseit neben Mr Lang dem Schuhmacher und hinten auf Hn. Bizanello, den handelsmann stoßend, davon gibt man jährlich denen Edlen von Müllenheim 1 lb 11 ß 8 d, denen Edlen von Landsperg 10 ß, dem Stift St Margarethä und Agnetis 1 lb 16 und der Stadt Straßburg Pfenning thurn 3 lb theils Ehrschätzigen, theils allmend: und theils bodenzinßes, sonsten aber ist solche behaußung außer denen daroben hafftenden hernach inventirten passiv Capitalien gegen männiglich freÿ, leedig, eigen und durch hiesiger löbl. Stadt geschwornen Werckmeister, Zufolg ihrer Zu der Minutte dieses Inventarii gelieferten schrifftlichen abschatzung vom 15. Novembris 1781 gewürdiget pro 6000 lb. Dieße behaußung wurde wehrend diesortiger Ehe Von denen Kornmannischen Erben erkaufft und die Verschreibung darüber d. 29. Januarÿ 1778 in hiesiger C. C. Stub vorgenommen, der desfalls verfertigte Kaufbrieff aber hat sich disorts nicht vorgefunden, sondern es soll selbiger der Ehefrauen bericht nach in Johann Ulrich Graff, des von hier absentirten burgers und handelsmannß behaußung sich befinden.
(f° 20-v) (M. T.) Caffée: Recht betreffend. Ohngeachtet der disortige Ehemann das Caffée Recht von weiland François Imbert, des geweßenen Caffée Siders und burgers allhier hinterlaßenen Erben Anno 1773 erkauffte, wie die darüber vor dem hiesigen Königlichen Notario H. Lacombe passirte Verschreibung Maaß gibt, so hat man desfalls dennoch hier nichts in Anschlag bringen können, angesehen Zufolg des beÿ löbl. Policeÿ Gericht eingezogenen berichts nicht gewis ist, ob man disorts berechtiget seÿe solches Cafféerecht wieder zu verkaufen oder nicht.
(f° 21) Schulden in dieße Nahrung Zugeltend. Pro Nota. Es berichtete auch die Ehefrau, daß ihr Ehemann mit Benedict Bamberger dem hießigen Burger und Mahler wegen der Anstrich Arbeit in dosortiger behaußung beÿ E. E. Kl. Rath in Process schwebe, woselbsten es auf Richterlichen Spruch beruhet, ob gedachter Bamberger seine Arbeit Verbeßern oder dem diesseitigen Marito an der Zahlung etwas fallen laßen muß.
(f° 24 v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefrauen unverändert Vermögen, Sa. des hausraths 22 lb, Schuld 75 lb, Ergäntzungs Rests 2768 lb, Summa summarum 2865 lb
Dießemnach Wird auch des Ehemanns unverändert und theilbahr Guth unter einer Mass beschrieben, Sa. hausraths 454 lb, Sa. Liqueurs, Syrops, Zuckers und Caffée 264, Sa. des Weins, Biers und lährer Faß 8 lb, Sa. des Silbers 45 lb, Sa. des Golds 20 lb, dd&& der Baarschafft 75 lb, Sa. des Eigenthums an einer behaußung 6000 lb, Caffée recht & Summa summarum 6867 lb – Schulden 13.829 lb, Passiv Recess 7561 lb
Zweiffelhaffte schulden in des Ehemanns unverändert und theilbare Nahrung zugeltend 200 lb
Eheberedung (…) beschehen Zu Straßburg auf Dienstag den Estern Februarii im Jahr als man nach unsers einigen Erlösers und Seeligmachers Gnadenreichen Geburt Zahlte 1746

Marie Elisabeth Pfeffinger meurt en 1785 en délaissant une fille et un fils. Les experts estiment la maison 5 250 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 2 911 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 5 526 livres, le passif à 11 130 livres

1785 (16.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 886) n° 297
Inventarium über Weiland Fraun Mariæ Elisabethæ gebohrner Pfeffingerin, H. Valentin Humbert, des Cafféesiders auch Burgers allhier zu Straßburg gewesener Ehefraun Verlaßenschafft, errichtet Anno 1785 – nach ihrem d. 15. Octobris jüngst erfolgten Absterben hinterlaßen hat (…) Geschehen alhier Zu Straßburg in hernach inventirten am Münsterplatz gelegen Caffeebehausung, Mittwoch den 16. Novembris Anno 1785.
Die verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen als 1° Frau Susanna Dorothea gebohrne Humbertin, weiland H. Georg Friedrich Gerold, gewesenen Caminfegers u. b. alh. hinterbliebene Wittib, welche beÿständlich H. Joh: Daniel Helck, des Haagknechts und Burgers alhier dieser Inventur persönlich beÿwohnte und ihr Interesse besorgte, in dem Ersten Zweÿten Stammtheil, So dann 2.do Herrn Valentin Humbert, den leedigen Caffesieder so majorennis und ohnbevögtigt und in selbst eigener Person diesem Geschäfft abwartete in den Zweÿten und letzten Stammtheil. Beÿde sind der Defunctæ mit eingangs benahmßten dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu zween gleichlingen Portionen und Antheilern verlaßene Erben.

Eigenthum ane einer behaußung. (W.T.) Nemlich eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, mit allen übrigen derselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg am Eck der Krämer: und St Urbans: Gaß einseit neben H. Herrenschneider, dem Seiden knopffmacher, anderseit neben Mr Bilger dem Schuhmacher und hinten auf H. Bizanello, den Handelsmann stoßend, davon gibt man jährlich denen Edlen von Müllenheim 1 lb 11 ß 8 d, denen Edlen von Landsperg 10 ß, dem Stift St Margarethä und Agnetis 1 lb 16 ß und der Stadt Straßburg Pfenningthurn 3 lb, theils Ehrschätzigen theils allmend: und theils bodenzinßes, sonsten aber ist solche Behaußung außer denen daroben hafftenden hernach inventirten Passiv Capitalien gegen männiglich freÿ, leedig, eigen und durch hiesiger löbl. Stadt geschworene Werckmeistere Zufolg ihres Zu der Minutte dieses Inventarii gelieferten schriftlichen Abschatzung vom 7.ten Septembris 1786. æstimirt und angeschlagen worden, vor 5250, lb. Abgezogen obige in Vier posten auf 6 lb 17 ß 8 d Zinnße, so zu doppeltem Capital à 5 pC° gerechnet, antreffen 275. lb 6 ß 8 d Mithin restiret an obigem Abschlag nur noch 4974 lb. Dieße behaußung wurde wehrend diesortger Ehe von denen Kornmännischen Erben erkaufft und die Verschreibung darüber d. 29. Januarÿ 1778. in hiesiger löbl. C. C. Stub vorgenommen, der desfalls verfertigte Kaufbrieff aber hat sich dermalen nicht vorgefunden
Ergäntzung der Erben wegen der Defunctæ wehrender Ehe abgegangenen unverändertn Guts, Nach Maasgaab des über der Defunctæ zu dem Wittiben für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch weiland H. Notarium Johannes Euth Anno 1747 errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. der Schulden 75 lb, Sa. Ergäntzungs Rests 2836 lb, summa summarum 2911 lb,
Diesemnach wird auch des Wittibers unverändert und das theilbare Guth unter einer Mass beschrieben, Sa. hausraths 136 lb, Sa. Liqueurs, Syrops, Zucker, Caffée und Bier 110 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 37 lb, Sa. der goldenen Ring 28 lb, Sa.der baarschafft 240 lb, Sa. des Eigenthums ane einer behaußung 4974 lb, Summa summarum 5526 lb – Schulden 11.130 lb, Compensando 5603 lb, Endlicher Passiv recess loco der Stall summ 2691 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen zu Straßburg auf Dienstag den Ersten Februarii Im Jahr als man nach Unsers einigen Erlößers und Seeligmachers gnadenreichen Geburt Zahlte 1746.

Valentin Humbert meurt en 1803 en délaissant pour héritiers sa fille et ses petits-enfants issus de son fils

1803 (28 mess. 11), Strasbourg 7 (18), Not. Stoeber n° 1872, 4665
Inventarium über weÿl. burgers Valentin Humbert des ältern ehemaligen Cafféesieders – istgestorben den 30. floréal. letzthin und hat zu seinen erben verlaßen 1. burgerin Susanna Dorote geb. Humbert weÿl. burgers Georg Friedrich Gerold gewesten Caminfegers und Inwohners hinterbliebenen Wittib, beÿständlich bürgers Georg Heinrich Leicht Metzgers, 2. weÿl. burgers Valentin Humbert des jüngern Caffeesieders mit der burgerin Maria Margaretha geb. Helck erzeugte zweÿ Kinder diesorts Enckel namentlich a) Valentin so 14 Jahr alt, b) Margaretha Dorote so 3 Jahr alt, Johann Jacob Schafflützel Saffian fabricant deren Vormund

zu Straßburg in hiernach beschriebener behausung
(f° 7-v) Eigenthum an einer behausung ([in margine :] Jean fred. Lefebre 1800) Nemlich eine behausung hoff hoffstatt mit allen übrigen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten so gelegen zu Straßburg und ein Eck an der Krämer und Carduangaß ausmacht, in der Krämergaß mit Numero 1 und in der Carduangaß mit Numero 4 bezeichnet einseit neben burger herrenschneider dem ältern Knopffmacher anderseit neben burger Bilger Schuemacher hinten auff bu. (be)rth – davon soll man den Müllenheimischen 6 fr 35 c und der hiesigen Commune 12 fr ane bodenzinß, darüber besagt eine Kauffverschreibung in der Cancelleÿ Contract Stub errichtet vom 29. Januarÿ 1778
Summa summarum loosungen 2746 fr, abzuziehen 241 fr, restirt 2504 fr
n° 5307 : Nachlosung 575, 667 fr, Gemeinschafftliche Mobilien 394 fr, schulden aus der Verlassenschafft 22 500 fr, (f° 23) jeedem Stammtheil 2292 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 88 F° 120 du 8 ther 11

Valentin Humbert fils entre en apprentissage de trois ans chez le maître tonnelier Jean Jacques Stædel
1767, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 231) Dienstags den 28. Aprilis 1767 – Meister Johann Jacob Stadel der Kieffer producirt Schein von denen oberen Handwercks Herren von 27. hujus, nimt auf dreÿ Jahr zum Jungen an, Valentin Humbert, H. Valentin Humbert des Metzgers und Burger allhier ehelichen Sohn, gegen Einhundert Thaler Lehrgeld und zwantzig vier Gulden der fraun pro Discretione, die erste Helffte gleich und die übrige Helffte in der Mitte der Lehrzeit zu bezahlen, solche fangt an den 15. Martÿ 1767 und endiget sich auf eben solche anno 1770. Der Jung leidet die unkosten, deßen Bürgen sind H. Georg Friderich Geroldt, und Herr Pick
zahlt pro inscript.1 lb 10 ß, prot. 3 ß

L’apprentissage se termine en 1770 à la satisfaction des parties
(f° 275-v) Dienstags den 13. Martÿ 1770 – Lehrj. delisio
Meister Johann Jacob Städel der Kieffer stehet vor und bittet Valentin Humbert seinen bißherigen Lehrjungen, weilen deßen Lehrzeit zu end geloffen, und Sie bede mit einander zufrieden, der Ordnung nach außzuthun.
Erkannt Willfahrt. Zahlt pro Delisione 1 lb 10 ß, Lehrbrieff 1 lb 10 ß, Sig.. 2 ß, Prot. 3 ß, Findl. 1 ß

Valentin Humbert épouse en 1785 Marie Marguerite Helck, fille de garde-bois : contrat de mariage, célébration
1785 (22.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 135
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Valentin Humbert, der jüngere lediger Cafféesieder, Herrn Valentin Humbert des ältern Cafféesieder auch Burgers alhier ehelich erzeugter Sohn, unter assistentz dieser seines Vaters als Bräutigam an einem
So dann Jungfrau Maria Margaretha Helckin, Herrn Johann Daniel Helck des Haagknechts und Burgers alhier ehelich erzeugte Tochter unter assistentz dieses seines Vaters wie auch Herrn Johann Michael Knörr des Kieffers und Weinhändlers auch burgers alhier ihres geordneten Vogts als Braut
Actum allhier Zu Straßburg Dienstags den 22. Novembris Anno 1785. [unterzeichnet] Valentin Humbert als Bräutigam, Maria Margaretha Helckin als Braut

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 184-v)
Im Jahr 1785, Dominica I. und II. Adv. als den 27. Novembris und den 4. Decembris seind in unserer Kirche zu St Wilhelm Ordnungsmäßig ausgerufen und Montag dne 5. ejusdem ehelich eingesegnet worden Herr Valentin Humbert, der ledige burger und Caffé: Sieder, Herrn Valentin Humbert, des Caffé: Sieders und Burgers allhier mit Elisabetha Pfeffingerin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Margaretha Helckin, Herrn Johann Daniel Helck des Schiffmanns und burgers allhier mit Maria Margaretha Dreÿerin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Valentin Humbert als hochzeiter, Maria Margaretha Helckin als hochzeiterin (i 188) – Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 33) 1785

Valentin Humbert est admis à la tribu des Fribourgeois pour avoir le droit de tenir café
1787, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 169)
(f° 2-v) 1.te Gericht 1787. Samstag den 17.ten Februarii 1787
Valentin Humbert der jüngere Kaffesieder, Valentin Humbert des ältern ebenmäßigen Kaffesieders und burgers alhier ehelicher Sohn ersuchet E. E. Gericht, Ihne dißorths als einen Zudiener leibzünfftig anzunehmen, producirt Zu diesem Ende löbl. Statt Schein vom 18.d Dec. 1786. woraus erhellet, daß er sich nach ordnung allda gemeldet und Zu E. E. Zunft der Freÿburger dienen wolle.
Nach Ersehung dieses Producti ist Erkandt worden, seÿe dem Comparenten in seinem Gesuch zu willfahren, mithin derselbe gegen Erlag der ordinarie Gebühr als ein Zudiener leibzünfftig anzunehmen. Jur. auf die Ordnung (Recept. 2 lb, Stubg. 6 ß, Prot. g.4 ß, dt. 2 lb 10 ß
VI 296 Humbert

Valentin Humbert et Marie Marguerite Helck font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père du mari
1787 (5.2.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 888) n° 342
Inventarium über Herrn Valentin Humbert, des jüngern Caffée sieders und Fraun Mariæ Margarethæ gebohrner Helckin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1787 – in ihrem vor mir unterschriebenem Notario d. 22. Novembris 1785 miteinander errichteten Ehe Contract §° 3° stipuliret haben, daß einem jeeden von ihnen sein in die Ehe bringendes Vermögen vor eigen und ohnverändert vorbehalten seÿn solle (…)
So geschehen alhier zu Straßburg an dem Eck der St. Urbans und Krämergaß gelegenen, in fernerm beÿseÿn Herrn Johann Daniel Helcken des Haagknechts und burgers alhir der Ehefraun geliebten Vaters und ad hoc angesprochenen Beÿstands Montag den 5. Februarÿ Anno 1780.
(sans additions)

Valentin Humbert le jeune meurt en délaissant un fils et une fille. La masse propre à la veuve est de 3 772 francs, celle des héritiers de 2 129 francs. L’actif de la communauté s’élève à 14 859 francs et le passif à 859 francs.
1801 (1 pluviose 9), Strasbourg 7 (13), Not. Stoeber H.
1624, 1806
Inventarium über weÿl. Valentin Humbert des jüngern geweßenen Cafféesieders Verlassenschafft – derselbe starb den 3. prairial 2 und hat zu erben verlaßen seine mit bürgerin Maria Margaretha geb. Helck erzeugten Kinder nammentlich 1. Valentin so den 24. brumair letzthin 12 Jahr alt worden, 2. Margaretha Dorothea so den 25. Germinal letzthin 10 Jahr alt zurück gelegt, zum vormund ernannt burger Johann Jacob Schaflützel, Saffianfabricant, die hinterbliebene wittib beiständlich bs Johann Michael Goenners Practici

Eheberedung vor Not. Greiß den 22. November 1785 errichtet, Inventarium illatorum den 5. Februarÿ 1787 errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib unverändertes Vermögen, hausrath 611 fr, silber 84 fr, gold. Ring 128 fr, ergäntzung 2148 fr, schulden 800 fr, summa summarum 3772 fr
der Erben unverändert, hausrath 1942 fr, silber 40 fr, gold. Ring 306 fr, Ergäntzung 541 fr, summa summarum 2929 fr, schulden 80 fr, Nach deren Abzug 2129 fr
beschreibung des theilbaren Guth, hausrath 667 fr, silber 67 fr, guldenen RIng 574 fr, summa summarum 1775 fr, schulden 2939 fr, In vergleichung 1163 lb
Revisio des Inventarÿ n° 5420, theilbaren Masse, Einem Landguth bestehend in einer behausung in dem dorf Schiltigheim
theilbare activ masse, 14.859 fr, Schulden 859 fr, Verbleibt 14.000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 77 F° 6 du 11 plu. 9

Les deux enfants Humbert louent au cafetier Jean Frédéric Lefevre une partie de la maison et le mobilier servant au café et au billard

1804 (16 pluviose 12), Strasbourg 7 (47), Not. Stoeber n° 688 (5315)
erschienen persönlich Bürgerin Susanna Dorote gebohrne Humbert weiland burgers Georg Friderich Gerold, gewesenen Caminfegers alhier hinterbliebene Wittib und Bürger Johann Jacob Schafflützel Saffianfabricant und Inwoner alhier als Vormund weiland Burgers Valentin Humbert des jüngern geweßenen Caffeesieders alhier hinterlaßener Zweier Kinder
mit dem burger Johann Friderich Lefebre, Caffeesieders und Inwoner alhier
nachfolgende Lehnung (…) beschlossen hätten, als Erstlich verlehnen Geroldische Wittib und der Vormund ihme Bürger Lefebre auf sechs nach einander folgende Jahren, welche mit dem ersten Vendemiaire letzthien ihren Anfang genommen (…) In der Humbertischen Behaußung am Münsterplatz den völligen Rez de chaussée und den erstern Stock, den Bierkeller und einen Weinkeller, dreÿ Kammeren auf dem Mansard, gemeinschaftlichen Gebrauch der Bauchküche und das zum Caffée und Billiard wesen gehörige Schiff und geschirr bestehend in
Eilf gemalte Tisch mit marmorsteinernen Blatten, darunter einer schadhafft
Ein grün gemalt tännene Schaukkästlein mit vier beschlüssiger Thüren, davon Zweÿ verglast
Ein alt tannen schafenschafft* kensterlein
Ein trumeau spiegel von zweÿ Gläsern in einer *uner Rahm
Ein steinerner Murser*
Zweÿ Billiards sembt Tucher, welche Tucher zu 90 francs angeschlagen
34 Gues, vier Cadets und 3 grose Ques
Zweitens verspricht der Entlehner dem Verlehner für den Genuß dieser Lehnung einen jährlichen Zins von 1800 francs tournois (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 90 F° 94-v du 26 pluviose 12

Susanne Marguerite Humbert femme du boucher Georges Henri Leicht vend son quart indivis à sa tante Susanne Dorothée Humbert veuve de Georges Frédéric Gerold

1815 (22.5.), Strasbourg 5 (42), Not. F. Grimmer n° 9198
Georges Henry Leicht, boucher, et Susanne Marguerite Humbert
à Susanne Dorothée Humbert veuve de Georges Frédéric Gerold
le quart par indivis d’une maison, cour, puits, appartenances, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg rue Mercière n° 1 et faisant le coin de cette rue et de celle du Maroquin où elle est marquée n° 4, d’un côté le Sr Böswillwald, d’autre formant coin, derrière la propriété de la veuve Bilger – échue à la covenderesse dans la succession de son père et grand père – moyennant 21.000 francs
enreg. F° 43 du 1.6.

Susanne Dorothée Humbert veuve de Georges Frédéric Gerold lègue les trois quarts qui lui appartiennent de la maison à son neveu Valentin Humbert

1818 (12.7.), Strasbourg 8 (23), Not. Roessel n° 5681
Testament – Susanne Dorothée Humbert veuve de Georges Frédéric Gerold où elle demeure au coin de la rue mercière n° 1 – décédée le 7 septembre
à Valentin Humbert son neveu
les trois quarts qui m’appartiennent de la maison sise en cette ville au coin de la rue Mercière n° 1 et de la rue du marroquin où elle a n° 4 – moyennant 30.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 140 F° 52-v du 8.9.

Susanne Dorothée Humbert meurt en 1818 en délaissant pour héritiers son neveu et sa nièce

1818 (15.9.), Strasbourg 8 (24), Not. Roessel n° 5802
Inventaire de la succession de Susanne Dorothée Humbert veuve de Georges Frédéric Gérold décédée le 7 courant – à la requête de 1. Valentin Humbert, cafettier, administrateur des biens des enfants qu’il a procréés avec Marie Anne Victoire Behr son épouse nommés Victor Valentin 3 ans, Marie Eugénie Clémentine 17 mois, 2. Marguerite Dorothée Humbert mandataire de Georges Henri Leicht son mary administatreur légal des biens des enfants procréés avec ladite De Leicht savoir Marguerite Henriette, Susanne Marguerite et de l’enfant dont la De Leicht est enceinte, héritiers de leur grand tante par testament public reçu par le notaire soussigné le 12 juillet courant

dans une maison sise à Strasbourg au coin de la rue Mercière n° 1
Immeuble. La défunte était propriétaire de trois quarts de la maison sise en cette ville au coin de la rue Mercière n° 1 où elle touche à celle du Sr Boeswillwald passementier et de la rue du Maroquin n° 4 où elle a pour voisin la veuve Bilger. La moitié de cette maison grevée d’une rente foncière 8 fr envers la ville de Strasbourg et 6 fr 30 envers la famille de Müllenheim, échue dans la succession de son père Valentin Humbert, cafetier, suivant inventaire dressé par Me Stoeber le 28 messidor 11. Un quart lui a été vendu par la De Leicht par acte reçu Me Grimmer le 22 mai 1815. C’est ces trois quarts de maison que par son testament la défunte a légués moyennant 30.000 fr à Valentin Humbert auquel appartient le dernier quart de cette maison. Un acte passé à la cidevant Chambre des contrats le 29 janvier 1778 constate la propriété de cette maison dans la famille Humbert
garde robe 277 fr, bijoux 648 fr, argenterie 346 fr, meubles 1357 fr, créances 5000 fr – passif 20 443 fr, créances actives 523 fr
Enregistrement de Strasbourg. acp 140 F° 68 du 16.9.

Valentin Humbert loue le rez-de-chaussée et d’autres parties de la maison au pâtissier Denis Fevé

1820 (13.5.), Strasbourg 6 (44), Me Triponé n° 133
Bail de 3 années à commencer le 1 juillet prochain – Valentin Humbert propriétaire demeurant place de la Cathédrale n° 4
à Denis Fevé, patissier traiteur
tout le rez de chaussée de sa maison place de la Cathédrale n° 4 composé de trois pièces et d’une cuisine avec toutes les draperies qui s’y trouvent lesquelles cependant il ne les lui laissera que 6 mois, plus trois tables à manger (…) aux mansardes de la même maison deux chambres au grenier, une chambre pour le linge sale, une grande cave et une petite à côté dans cette maison la jouissance commune des greniers. De son côté le Sr Humbert promet 4. de faire blanchir à ses frais la grande salle au rez de chaussée, 5. de faire construire à ses frais dans la cuisine un four à patissier – moyennant un loyer annuel de 1200 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 147 F° 94 du 13.5.

Valentin Humbert loue les premier et troisième étages à Bernard Landwehrlin

1820 (1.12.), Strasbourg 1 (37), Me Rencker n° 1279
Bail de 3 ou 9 ans – Valentin Humbert propriétaire
à Bernard Landwehrlin, propriétaire à Rouffach
le premier et troisième étage en entier de la maison dont M Humbert est propriétaire fesant coin de la rue Mercière et de la rue du Maroquin n° 4 & n° 1, plus deux chambres aux mansardes pour les domestiques le linge sale, plus les objets mobiliers ci après désigné savoir
Au premier étage, Dans la grande salle, un billard en bois de chêne (…) 500 fr, un poele en fayence (…), dans la chambre au milieu, dans la troisième chambre total 2280 fr
plus quatre places séparées en lattes dans la cave pour y loger le vin les charbons le bois
Charges, clauses et conditions (…) 2) le preneur aura la jouissance commune avec les autres locataires de la maison du grenier & de la buanderie, (…) 10) à l’expiration des 9 années du bail le Sr Landwehrlin sera tenu de faire remettre de nouveaux papiers & de faire repeindre a neuf les lambris aux trois pièces du pemier étage, estimé 50 francs – moyennant un loyer annuel de 2400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 150 f° 66-v du 11.12.

Valentin Humbert épouse en 1814 Marie Reine Victoire Behr, de Saverne

1814 (15.11.), Strasbourg 5 (40), Not. F. Grimmer n° 8959
Contrat de mariage – Valentin Humbert, maréchal des logis du deuxième régiment des gardes d’honneur retiré, fils de feu Valentin Humbert, Caffetier, et de Marie Marguerite Helck
Marie Reine Victoire Behr de Saverne fille de François Dagobert Behr, ancien jurisconsulte conseiller et Baillif audit Saverne, et Hélène Louise Kien
en la demeure du futur époux place de la Cathédrale
Enreg. f° 72 du 16.11.

1814 (30.8.), Strasbourg, Not. Knobloch
Consentement – Marie Marguerite Helck veuve de Valentin Humbert cafetier au mariage de son fils Valentin Humbert avec Marie Anne Behr de Saverne
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 F° 86-v du 5.9.

Valentin Humbert loue une partie de la maison au cafetier Jean Jacques Dieterlin

1822 (1.3.), Strasbourg 1 (39), Me Rencker n° 1943
Bail pour 9 années à commencer le 25 mars Courant – Valentin Humbert, propriétaire
à Jean Jacques Dieterlin, caffetier, accepant pour son fils de Jean Jacques Dieterlin
1. le premier étage en entier de la maison dont le Sr Humbert est propriétaire faisant le coin de la rue du Maroquin & de la rue Mercière à Strasbourg portant les n° 4 & 1,
2. deux chambres aux mansardes pour les domestiques & le linge sale,
3. quatre places séparées en lattes dans la cave pour y loger le vin, la bierre, les charbons & le bois
Charges, clauses et conditions, (…) 9) Le Sr Dieterlin aura le droit de prendre le 24 juin 1823 en échange du premier étage le rez de chaussée occupé présentement par le Sr Denis Fevès, le Sr Humbert s’oblige en conséquence de faire déguerpir ce dernier pour ladite époque. Le loyer du rez de chaussée sera alors de 1400 francs par an pour tout le temps restant à courir. Le bailleur s’oblige encore de fournir avec le rez de chaussée au preneur une chambre au deuxième ou au troisième étage toutes les autres dépendances du premier étage présentement loué restant au preneur & les dépendances du rez de chaussée retourneront à la disposition du Sr Humbert – moyennant un loyer annuel de 900 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 156 f° 110-v du 2.3.

Valentin Humbert cède le bail précédent au pâtissier Denis Fevès et à Barbe Menges

1822 (13.7.), Strasbourg 3 (68), Me Schreider n° 1187
Cession de bail pour 4 années à commencer le 4 juin prochain – Valentin Humbert propriétaire et Marie Anne Victoire Baehr
à Denis Fevès, patissier, et Barbe Menges
1. le premier étage consistant en trois pièces avec la cuisine de leur maison sise à Strasbourg faisant le coin de la rue du Maroquin et de la rue Mercière avec la grande cave et la petite cave derrière la grande,
2. deux chambres au quatrième l’une à coucher & l’autre pour les servantes, plus quatre tables peintes en gris,
3. et les trois poeles en faiance que les conjoints Humbert feront placer à leurs frais aux lieux qui leur seront indiqués par les preneurs,
Charges, clauses et conditions (…) 6) il est interdit aux preneurs de vendre de la bierre en détail dans le local par eux loué, par contre les conjoints Humbert s’engagent à ne pas consentir qu’il soit débité du vin par le locataire du rez de chaussée.
Il a été convenu 2. Que le bail n’aura son exécution qu’autant que le Sr Dieterlin fils cafetier se sera décidé de prendre le rez de chaussée en échange du premier étage qu’il occupe actuellement, faculté que celui ci s’est réservé dans le bail que les conjoints Humbert lui ont passé par acte reçu Me Rencker le premier mars, 3. que si au contraire ledit Sr Dieterlin se décide à garder le premier étage qu’il occupe maintenant alors les conjoints Fevès continueront d’habiter le rez de chaussée tel qu’ils en jouissent à présent pendant les quatre années commençant au 24 juin 1823 mais en ce cas lesdits conjoints Fevès au lieu de 800 fr auront à payer 1000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 F° 108-v du 16.7.

Valentin Humbert modifie le bail passé au profit de Jean Jacques Dieterlin

1822 (10.8.), Strasbourg 1 (40), Me Rencker n° 2147,
Modification de bail – Valentin Humbert, propriétaire
à Jean Jacques Dieterlin, cafetier, agissant au nom de son fils Jean Jacques Dieterlin, caffetier
que suivant contrat passé devant le notaire soussigné le 1 mars dernier le Sr Humbert a loué au Sr Dieterlin pour son fils le premier étage d’une maison faisant le coin de la rue du Maroquin et de la rue Mercière portant n° 4 et 1 & d’autres dépendances désignées audit bail avec la faculté de prendre le 24 juin 1823 le rez de chaussée occupé présentement par le Sr Denis Fivé outre les dépendances indiquées au susdit bail en remplacement du premier étage. Que les parties ayant trouvé que le loyer fixé pour l’un et l’autre logement étant trop élevé à raison de la stagnation des affaires elles sont convenues de réduire à l’amiable ledit loyer
1. le loyer annuel pour le premier étage ou pour le rez de chaussée avec leurs dépendances, demeure fixé à 800 fr à partir de la St Michel prochaine,
2. le 24 juin 1823 le preneur entrera en jouissance du rez de chaussée & de ses autres dépendances pour 9 années consécutives, sur le pied de 800 francs par an
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 f° 169 du 13.8.

Valentin Humbert et Marie Anne Victoire Behr exposent la maison aux enchères. Le pharmacien Charles Frédéric Spiellmann l’acquiert moyennant 49 000 francs

1823 (24.4.), Strasbourg 3 (69), Me Schreider n° 1516
Cahier des charges du 15 avril n° 1494 – Adjudication préparatoire n° 1498 du 17 avril – Adjudication définitive – Valentin Humbert ci devant cafetier et Marie Anne Victoire née Behr
à Jean Chrétien Arnold, architecte, pour Charles Frédéric Spiellmann, pharmacien
une maison à rez de chaussée et à trois étages batie en pierres de taille et brique sise en cette ville rue Mercière n° 1 et rue du Maroquin n° 4, d’un côté le Sr Boesswillwald, d’autre la rue du Maroquin avec une façade rue Mercière vis à vis la pharmacie du Cerf et l’autre façade sur une partie de la place de la Cathédrale, par derrière la propriété du Sr Barth, avec les redevances & rentes laudémiales ainsi que celle foncière due à la ville de Strasbourg montant à 8 francs par an, celle du Sr Leysz bijoutier comme étant aux droits de la famille des Mühlenheim montant à 6 francs 35 cent.
Charges, clauses et conditions (…) 7) Me Schreider 13 juillet 1822 partie de la maison ci dessus est louée à Denis Fevès et Barbe Mengus patissier pour 4 francs par an commençant le 24 juin 1823 et une autre partie à Jacques Dieterlin fils cafetier par bail reçu Me Rencker le 10 août 1822 pour 9 années à commencer le 24 juin de la présente année pour 800 fr.
Titres de propriété, acquis par le grand père du vendeur à la vi devant Chambre des contrats le 29 janvier 1778, inventaire dudit grand père du vendeur par Me Stoeber le 28 messidor 11 (17 juillet 1803), la moitié d’icelle est passée sur le chef de Suzanne Dorothée née Humbert veuve de Georges Frédéric Gerold ramoneur, un quart à Valentin Humbert covendeur et un quart à Marguerite Dorothée Humbert sa sœur. Par acte Me Grimmer le 22 mai 1815 Suzanne Marguerite Humbert épouse de Georges Henri Leicht boucher a vendu son quart à De Suzanne Dorothée Humbert veuve Gerold. Par testament reçu Me Roessel le 12 juillet 1818 la veuve Gerold a légué à Valentin Humbert covendeur les trois quarts qu’elle possedoit le quatrième quart lui appartenant déjà. Titres anciens, Chambre des contrats le 2 septembre 1650, 24 avril 1673 et 19 septembre 1699 – grevée de deux rentes foncières de 14 fr 35 (en capital 287 fr)
Mise à prix 40.000 fr – Adjugée 49.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 162 F° 142-v du 25.4.

Fils de pharmacien, Charles Frédéric Spielmann épouse en 1818 Sophie Aimée Karth
1818 (22.6.), Strasbourg 10 (34), Not. Zimmer n° 599, 8209
Contrat de mariage, communauté d’acquets et usufruit au survivant – Charles Frédéric Spielmann, pharmacien, né le 25 septembre 1789 fils de feu Charles Frédéric Spielmann, pharmacien, et de Marie Salomé Karth
Sophie Aimée Karth née le 17 prairial an 2 (5 juin 1794) fille majeure de Jean Nicolas Karth, négociant, et de Marguerite Salomé Hennenberg
Enregistrement de Strasbourg, acp 139 f° 88-v du 23.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la pharmacie du Cerf, à l’angle nord de la rue Mercière et de la place de la Cathédrale
1819 (5.3.), Strasbourg 10 (25), Not. Zimmer n° 651 (8450)
Inventaire des apports de Charles Frédéric Spielmann, pharmacien, et de Sophie Aimée Karth – Contrat de mariage reçu Me Zimmer le 22 juin 1818, mariés en cette ville le 11 juillet même année
le mari, mobilier 2222 fr, argenterie 989 fr, fonds de pharmacie délaissé par Charles Frédéric Spielmann son père à l’enseigne du Cerf Place du Dôme n° 5 estimé 17.168 francs
propriété d’une maison à Strasbourg, savoir une maison avec droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place du Dôme n° 5 ayant pour enseigne la Pharmacie du Cerf, faisant le coin de la rue Mercière tenant dans icelle à la maison du Sr Seupel marchand de papier sur le place du Dôme à celle des héritiers de la De Clausel derrière maison Seupel, estimée 30.000 francs. Duquel immeuble le tiers est échu au Sr Spielmann comme héritier pour autant dans la succession de Charles Frédéric Spielmann son père pharmacien et les deux autres tiers cédés par Caroline Frédérique Spielmann épouse de Jean Henri Trawitz propriétaire et Salomé Louise Spielmann fille majeure ses sœurs et cohéritieres par deux contrats de vente reçu Me Hickel et Zimmer le 7 juillet 1818, total général 51.491 fr, dettes 10.000 francs
la femme meubles, 4873 fr, argenterie 1773 fr, créances 20.000 fr, ensemble 26.446 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 142 f° 62-v du 8.3.

Charles Frédéric Spielmann loue une partie de la maison au tapissier Jean Pierre Schæffer

1824 (19.10.), Strasbourg 10 (72), Me Zimmer n° 9941
Bail pour 3, 6 ou 9 ans à partir du 25 déc. prochain – Charles Frédéric Spielmann, pharmacien
à Jean Philippe Schaeffer, tapissier
tout le rez de chaussée de la maison sise à Strasbourg rue Mercière n° 1 ayant son entrée principale dans la rue du Maroquin sous n° 4, composé de trois pièces et d’une cuisine, dans le vestibule deux armoires en sapin peint à deux battants
Plus aux mansardes de la même maison deux chambres pour domestiques, Plus une petite cave, Plus un local dans la cave pour y placer le bois de chauffage, Plus la jouissance commune avec les autres locataires des greniers et de la buanderie de ladite maison – moyennant un loyer annuel de 1050 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 170 f° 55 du 20.10.

Sophie Aimée Karth meurt en 1840 en délaissant six enfants.

1841 (29.3.), Strasbourg 10 (98), Me Zimmer n° 3880, 3897
Inventaire de la succession de Mme Sophie Aimée Karth, décédée à Strasbourg le 25 octobre 1840, épouse de M Charles Frédéric Spielmann, pharmacien en la dite ville
L’an 1841, lundi le 29 mars à neuf heures du matin, à la requête de 1° M. Charles Frédéric Spielmann, pharmacien demeurant à Strasbourg, agissant a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre lui et Mme Sophie Aimée Karth, son épouse décédée aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer père, alors notaire à Strasbourg, le 22 juin 1818, b) comme créancier de cette communauté à raison de ses biens propres qui peuvent avoir été aliénés ou dénaturés pendant le mariage, c) à cause de leurs dispositions en usufruit contenues à l’article sept du dit contrat de mariage, d) comme père et tuteur légal des cinq enfants encore maisons issus de son mariage avec sa dite épouse décédée nommés 1) Julie Cécile Spielmann née le 22 septembre 1820, 2) Charles Frédéric Spielmann, né le 15 août 1822, 3) Charles Edouard Spielmann, né le 27 février 1825, 4) Charles Adolphe Félix Spielmann, né le 9 novembre 1832, 5) Charles Auguste Spielmann né le 15 février 1834, e) et comme ayant l’usufruit légal des biens de ses dits enfants mineurs qui n’ont pas encore atteint leur 18° année,
2° Mlle Sophie Caroline Spielmann, majeure d’ans demeurante à Strasbourg, ladite Dlle Spielmann ainsi que les mineurs Spielmann ci-dessus nommés, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers appelés par la loi de ma dite Dame Spielmann comme seuls enfants délaissés par elle, soit chacun pour un 6°
et en présence de M. Jean Nicolas Karth, négociant demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur (…)
en la maison que la défunte occupait et où elle est décédée sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 5

Contrat de mariage analysé
Mobilier. Chambre d’habitation, Cabinet à côté, Dans la pièce à côté, Salon à côté, Chambre à coucher, Décharge à côté, Chambre de Mlle Julie Spielmann, Dans le corridor, Chambre à côté, Corridor au quatrième, Chambre de décharge au quatrième, Chambre des fils Spielmann, Chambre de décharge au troisième, Chambre des aides pharmaciens, Chambre des provisions, Chambre des domestiques, Couloir et cuisine, Cabnet de M. Spielmann, Bibliothèque, Cabinet derrière la pharmacie, Pharmacie
Masse propre à M. Spielmann, 2) Une maison sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 5 (…)
Masse de la communauté. Immeubles. 1°Une maison sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 4 et rue mercière N° 1 faisant le coin de la dite rue et de la place de la cathédrale, vis à vis la maison pharmacie sus désignée, tenant dans la rue mercière à la propriété du Sr Pickel et vers la rue du maroquin à cette du sieur Irrmann cordonnier. Cette maison été acquise par M. Spielmann du sieur Valentin Humbert, ancien cafetier et de Marie Anne Victoire Behr sa femme demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Schreider, alors notaire à Strasbourg le 24 avril 1823 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 29 dudit moid d’avril vol. 158 N° 136 et inscrit d’office le même jour Vol. 158 N°14. Cette adjudication eut lieu pour la somme de 49.000 francs (…)
Récapitulation de la masse de la communauté. Actif, mobilier 8122, fonds de pharmacie 9702, argent comptant 5381
Immeubles, la maison sise à Strasbourg place de la Cathédrale, Le jardin sis hors la porte d’Austerlitz
Passif 67.265
acp 286 (3 Q 30 001) f° 39, vacations des 29 et 30 mars – Garde robe de la défunte 8122
acp 286 (3 Q 30 001) f° 80, vacation du 23 avril (supra, Récapitulation)

Charles Frédéric Spielmann meurt en 1854 en délaissant cinq enfants. La succession comprend deux maisons, de part et d’autre de la rue Mercière

1854 (24.8.), Strasbourg 10 (127), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.693
Inventaire de la succession de M. Charles Frédéric Spielmann, père, ancien pharmacien, propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 18 août 1854.
L’an 1854 le jeudi 24 août à dix heures du matin, à la requête et en présence de 1° Melle Sophie Caroline Fanny Spielmann, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg
2° Mr Charles Frédéric Spielmann, ancien clerc de notaire, licencié en droit, demeurant et domicilié en la même ville, agissant a) en son nom personnel, b) au nom et comme mandataire de 1° Mad. Julie Cécilé Spielmann, épouse de M. Henri Guillaume Kienlen, ministre du culte protestant qui l’a autorisée, les deux demeurant et domiciliés à Colmar (…), 2° Mr Charles Edouard Spielmann, commis négociant demeurant et domicilié à Saint-Louis canton de Huningue (…)
3° M. Charles Auguste Spielmann, élève en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg où il est né le 15 février 1834, mineur émancipé (…) Ledit mineur assisté de M. Auguste Edmond Trawitz, propriétaire demeurant et domicilié en la même ville, son curateur (…), Lesdits Madlle Spielmann, Dame Kienln, M. Charles Frédéric Spielmann, M. Charles Edouard Spielmann & M. Charles Auguste Spielmann, habiles à de dire et porter seuls héritiers chacun pour un 5° de leur père M. Charles Frédéric Spielmann en son vivant ancien pharmacien, propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 18 août 1854.
(…) en la maison mortuaire sise place de la cathédrale N° 5

acp 432 (3 Q 30 147) f° 73 du 26.8.
Vacation du 14 février 1855. Meubles et objets mobiliers. Antichambre, Grand salon, Petit salon, Salle à manger, Chambre à coucher, Grande décharge, Petite décharge, Cuisine, Corridor, Grande pièce, Cabinet, Chambre des domestiques, Réduit au quatrième étage, Greniers, Cave
Jardin, Maison au jardin (mansarde, salon, première chambre à coucher, seconde chambre à coucher, cuisine)
Immeubles. I. Immeubles dépendant de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui avait existé entre le défunt et Dame Sophie Aimée Karth son épouse prédécédée.
1° Une maison sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 4 et rue mercière N° 1 faisant le coin de cette rue et de la place de la cathédrale tenant dans la rue mercière à la propriété de M. Bickel et vers la rue du maroquin à celle de M. Heim
2° Un jardin de la contenance de 60 ares avec maison, cour, écurie, remise, appartenances & dépendances située dans la banlieue de Strasbourg hors la porte d’Austerlitz à gauche de la chaussée d’Illkirch section G VII. N° 53.a & 53.b du terrier et section F N° 229, 229.bis et 230, 230.bis, 230.2.bis de la matrice cadastrale au canton dit Rehbergergraben tenant d’un côté au jardin des héritiers Karth de l’autre au champ dit le vieux jardin donnant par devant sur un communal occupé par des cordiers et par derrière sur le fossé d’inondation
3. Une pièce de terre au canton dit Altgarten section F N° 236 (…)
Ces immeubles ont été acquis durant la communauté de biens qui avait existé entre les conjoints Spielmann en vertu de leur contrat de mariage passé devant M Zimmer père lors notaire à Strasbourg le 22 juin 1818. Ils appartenaient lors du décès de la Dame Spielmann pour moitié ou pour 122/140 à son époux comme ayant participé pour une pareille portion à ladite communauté & pour l’autre moitié aux 6 enfants & seuls héritiers de la défunte ainsi qu’il résulte de l’inventaire de la succession de cette derniète dressé par M° Zimmer notaire soussigné en date au commencement du 29 mars 1841.
M. Charles Adolphe Spielmann l’un desdits enfants étant décédé le 25 octobre 1841 sa part ou un 12° auxdits immeubles est avenue pour un quart ou pour 5/240 à son père & pour les trois quarts restans à des cinq frères et sœurs survivants, de sorte que M Spielmann père possédait aux dits immeubles 125/240. Et il en appartenant à des cinq enfants survivants tant du chef de leur mère que de celui de leur frère décédé le surplus avec 115/240. L’établissement de la propriété desdits immeubles dont la désignation précède se trouve consigné dans l’inventaire sus relaté auquel les parties se réfèrent à cet égard.
II. Immeubles pour au défunt M Spielmann père
3° Une maison avec dépendances sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 5 formant le coin de la rue mercière à la propriété de M. Seupel & sur la place de la cathédrale à la propriété de Mlle Devigne marchande de modes. Les titres de propriété de cet immeuble se trouvent relatés dans l’inventaire précité
4° Un corps de biens de la contenance d’un hectare 38 ares 91 ca Ban de Hochfranckenheim
acp 437 (3 Q 30 152) f° 51 du 16.2. (succession déclarée le 16 février 1855) – Il dépend de ladite succession 1° Un mobilier estimé 6384, 2) argent comptant 10.500, 3) créances & fermages 12.251, 4) 45 francs de rentes 4 ½ capital 333
Immeubles (supra), 18 ares 20 c prés & vignes ban de Gingsheim
11 ares 55 prés ban de Gougenheim
2 ares 60 ca prés ban de Schaffhausen
24 ares broussailles à Hochfelden
86 ares 48 terres ban de Maennolsheim
La passif de la succession s’élève à une somme de 8830.

Testament par lequel Charles Frédéric Spielmann lègue ses deux maisons à quatre de ses enfants en assurant au cinquième enfant une rente viagère

1856 (23.7.), Me Zimmer
Dépôt du testament olographe de Charles Frédéric Spielmann ancien pharmacien à Strasbourg, ledit testament en date du 20. novembre 1853 enregistré aujourd’hui
acp 452 (3 Q 30 167) f° 27-v du 22.7.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 123 (3 Q 31 622) f° 36 du 23.7.1856
Testament du 20 novembre 1853 – Je soussigné lègue avec dispense de rapport en nature à mes quatre enfants Fanny, Julie, Charles et Auguste mes deux maisons sises en cette ville place de la cathédrale N° 4 et 5 à charge par les légataires de décompter dans ma succession pour prix du N° 4 la somme de 65.000 francs et pour celui du N° 5 celle de fr. 42.000 et sauf à y prendre leur part pour assurer à mon fils Edouard quelques ressources, de plus je veux que le quart de ce dont la loi me permet de disposer sur sa part héréditaire soit prélevé et converti en une rente alimentaire et viagère à son profit incessible et insaisissable (…)
signé Charles Frédéric Spielmann ancien pharmacien

Liquidation et partage dressé en conformité avec le testament
1856 (16.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 123 (3 Q 31 622) f° 32 du 17.7.
Liquidation et partage successions de Charles Frédéric Spielmann pharmacien et de Sophie Aimée Karth
Les soussignés 1° Melle Sophie Caroline Fanny Spielmann, en jouissance de ses droits, demeurant à Strasbourg
2° Mr Charles Frédéric Spielmann, licencié en droit, en la même ville, agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de 1° Mad. Julie Cécilé Spielmann, épouse de M. Henri Guillaume Kienlen, ministre du culte protestant les deux à Colmar (…), 3° Mr Charles Edouard Spielmann, commis négociant demeurant à Strasbourg, 4° M. Charles Auguste Spielmann, élève en médecine, en ladite ville

Masse active. I. Objets mobiliers 6384, 2. argent comptant 10.500, 3. créances 10.000, 4° Rapport de dot par Mde Kienlen 3503
5° Un jardin de la contenance de 60 ares avec maison, cour, écurie, remise, & dépendances au ban de Strasbourg hors la porte d’Austerlitz section G N° 53 et 53.bis du terrier et section F N° 229, 229.bis et 230, 230.bis, 230.2.bis de la matrice cadastrale au canton dit Rehbergergraben, 6° (…)
total 41.668, Passif 8388, reste 33.299
Droits des parties, décomptes et abandonnements (…)
Il reste dans l’indivision entre les parties dans la proportion de leurs droits
1° une maison sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 4 et rue mercière N° 11
2° et une maison sise en cette ville place de la cathédrale n° 5

Les copropriétaires Spielmann hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Michel Rothenbach

1856 (4.8.), Strasbourg 10 (132), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.627
Obligation – Ont comparu 1. Mademoiselle Sophie Caroline Fanny Spielmann, ans état, en jouissance de ses droits, 2) M. Charles Frédéric Spielmann, ancien clerc de notaire, licencié en droit, 3) M. Charles Auguste Spielmann, élève en médecine, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg agissant tant en leurs noms personnels qu’au nom et comme se portant solidairement fort de Mad. Julie Cécile Spielmann, épouse de M. Henri Guillaume Kienlin, ministre du culte protestant, les deux demeurant et domiciliés à Colmar (devoir)
à M Jean Michel Rothenbach, ancien brasseur, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 12.000 francs
hypothèque. Une maison avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 4 et rue mercière n° 1, faisant le coin de cette rue et de la place de la cathédrale, tenant dans la rue merciere à la propriété de M. Bickel et vers la rue du maroquin à cette de M. Heim. Cet immeuble provient aux débiteurs du chef de leurs père et mère M. Charles Frédéric Spielmann, pharmacien et dame Sophie Aimée Karth, conjoints décédés à Strasbourg ainsi qu’il résulte 1° d’un inventaire dressé par Me Zimmer, notaire soussigné en date au commencement du 29 mars 1841, 2° d’un autre inventaire dressé par le même notaire au commencement du 24 avril 1854, 3° du testament olographe de feu M. Spielmann père en date à Strasbourg du 20 novembre 1853 déposé après l’accomplissement des formalités prescrites par la loi en l’étude de M° Zimmer notaire soussigné suivant acte reçu le 23 juillet dernier, 4° du consentement à l’exécution pleine et entière de ce testament par M. Charles Edouard Spielmann, commis négociant à Strasbourg suivant acte reçu cejourdhui par ledit M° Zimmer
Quant à l’établissement de propriété antérieure de l’immeuble susdésigné il se trouve consigné au procès verbal d’inventaire du 29 mars 1841 susrelaté auquel les parties se réfèrent à cet égard

Les consorts Spielmann vendent la maison à Charles Trübner, libraire originaire de Heidelberg

1872 (30.9.), Strasbourg 10 (169), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2903
sind erschienen 1) Herr Karl Friedrich Spielmann, Eigenthümer und Frau Emma Laurette geborene Grimmer seiner hierzu ermächtigte Ehefrau 2) Frau Julie Cäcilia Spielmann Ehefrau des Herrn Johann Wilhelm Kienlen, Pfarrer in der protestanischen Kirche St. Wilhelm in Straßburg, Frau Kienlen hierzu gehörig ermächtigt durch ihren Ehegatten laut Privat Vollmacht von Illenau vom 23. Juni letzthin (…), 3) Fräulein Sophie Karolina Fannÿ Spielmann in Genuß ihrer Rechte, alle mit Ausnahm des H. Kienlen in Straßburg wohnhaft
an Herrn Karl Trübner, Buchhändler wirklich in Straßburg, früher in Heidelberg wohnhaft
Ein Haus mit Zugehörden in Straßburg gelegen am Münsterplatz N° 9 und das Eck der Krämergaßen bildend, woselbst es mit N° 14 bezeichnet ist, einseits in der Krämergaße stößt dieses Haus an das jenige des H. Engel, anderseits auf dem Münsterplatz an das jenige des H. Heim
Eigenthums Recht. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft, welche zwischen dem verstorbenen H Karl Friedrich Spielmann im Leben geweßenen Apotheker in hiesiger Stadt und deßen ebenfalls verlebten Gattin Sophie Aimée geborenen Karth bestanden hatte, erkauft worden von H. Valentin Humbert ehemaligen Kaffeesieder und deßen Ehefrau Marie Anne Victoire Behr, beide in hiesiger Stadt wohnhaft, laut Steigprotokoll durch Notar Schreider in Straßburg errichtet den 24. April 1823, im Hÿpotheken Buch derselben Stadt den 29. nehmlichen Monats, Band 158 N. 136. abgeschrieben (…). Nach dem Ableben der Frau Spielmann gebornen Karth, welches den 25. Oktober 1840 erfolgt ist, fiel diese Liegenschaft zur Hälfte ihrem überlebendem Gatten zu, umb zwar wegen der Gütergemeinschaft welche zwischen ihnen bestanden hatte, und die andere Hälfte ihren sechs damals lebenden Kindern, nehmlich Frau Kienlen damals noch ledig, Karl Friedrich Spielmann, Karl Eduard Spielmann, Karl Adolph Felix Spielmann, Carl August Spielmann und Fräulein Sophie Karoline Fannÿ Spielmann, als einzigen Erben ihrer verstorbenen Mutter, so wie diese Eigenschaften bestätigt sind durch ein Inventarium durch H. Ludwig Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg und Vorgänger des unterschriebenen Notar Körttge den 29. Märtz 1841. Eines dieser Kinder Karl Adolph Felix Spielmann ist noch minderjährig den 25. Oktober 1841 gestorben, und hat als einzigen Erben hinterlassen einen Vater Karl Friedrich Spielmann für einen vierten Theil und für die drei übrigen Viertel seine fünff Geschwisteren (…) So daß nach dem Ableben des Karl Adolph Felix Spielmann das gegenwärtig verkaufte Haus für 125/240 dem H Spielmann Vater gehörte und die übrige 115/240 den fünff Geschwistern des Verstorbenen.
H. Spielmann Vater ist ebenfalls in Straßburg den 18. August 1854 gestorben und hat als einzige Erben seine fünff obengenannten Kinder hinterlassen, so wie dieses durch ein Inventarium bestätigt ist durch obengenannten Notar Zimmer den 24. August 1854 errichtet. Laut seinem eigenhändig geschriebenen Testament inn der Schreibstube des obengenannten Notars Zimmer durch Akt vom 23. Juli 1856 hinterlegt, hat der verstorbene H. Spielmann Vater seinen vier Kindern, Frau Kienlen, Fräulein Spielmann, H. Karl Friedrich Spielmann und H. Karl August Spielmann legatsweise das oben beschriebene Haus nebst einer andern Liegenschaft vermacht, mit Beding in seiner Verlaßenschafft eine Summ von 107.000 Franken zu verrechnen. Ferner hat der Testator verordnet daß der 4.te theil worüber ihm das Gesetz über den Erbsantheil seines Sohns Karl Eduard Spielmann zu verfügen erlaubte, in eine jährliche Leib und Nahrungs Rente zu deßen Gunsten solle verwandelt werden. Laut Privat Akt vom 16. Juli 1856 datirt in Straßburg den 17. nehmlichen Monats folio 32. (…) registrirt haben die Erben des verstorbenen H. Spielmann Vater zur Theilung der Werth&xaaften seiner Hinterlaßenaxaaft geschritten und den Erbsantheil des Karl Eduard Spielmann ist durch diesen Akt auf eine Summe von 214.000 Franken liquidirt worden (…)
H. Karl August Spielmann ist ebenfalls ledig in Algier den 5. Hornung 1863 gestorben und hat seine beiden Schwestern Frau Kienlen und Fräulein Spielmann und seinen Bruder Karl Friedrich Spielmann als Universal Erben eingesetzt laut seinem eigenhändigen Testament in der Schreibstube desselben Notars Zimmer durch Akt vom 2. März 1863 hinterlegt. So daß durch diese verschiedene Sterbfälle das oben beschriebene Haus unvertheilt der Frau Kienlin, Fräulein Spielmann und H. Karl Friedrich Spielmann jedem für ein drittel gehört.
Lasten, Klausulen und Bedingungen. (…) Käufer ist gehalten die bestehenden Lehnungen bis zu ihrem Ende zu erhalten (…) Was die Räumlichkeiten betrifft die H. Elser auf dem Erdgeschoß in dem verkauften Hause innen hat, so verplfichten sich die Verkäuffer auf ihre Kosten spätestens bis zum 25. März nächsten Jahrs diesele Zur Verfügung des Käufers zu stellen.
Civil und hÿpothekenstand. Die Verkäufer erklären, daß die Eheleute Spielmann und Kienlen in erster Ehen unter der Gütergemeinschaft verheurathet sind laut Ihrer Eheverträgen passirt, denjenigen der Eheleute Kienlen von besagtem Notar Zimmer den 13. Januar 1843 und denjenigen den Eheleute Spielmann von Notar Zeÿßolff in hiesiger Stadt den 26. Juli 1861. – Preis 145.000 Franken
acp 609 (3 Q 30 323) f° 33-v du 4.10.

L’éditeur Trübner propose à la Ville d’acquérir sa maison contre une rente viagère annuelle de 8 000 marks à verser tant à lui-même, âgé de 59 ans, qu’à sa femme, âgée de 50 ans. Le revenu annuel de la maison s’élève à 5 900 marks et passera à 7 500 dès que le nouveau bail sera conclu avec le libraire d’Oleire. Les commissions I et II sont d’avis d’acquérir la propriété aux conditions proposées. Le maire fait remarquer que le montant de 8 000 marks résulte d’une entente verbale, les commissions estiment cependant qu’il ne serait pas convenable de réduire la somme puisque la Ville a intérêt à pouvoir contrôler l’aspect des environs de la cathédrale. Le Conseil municipal ratifie la proposition des commissions.

1905 (cote 2 BA) Procès verbal de la séance du conseil municipal en date du 10 février 1905.
2. Sitzung vom 10. Februar 1905 – Erwerb eines Anwesens im Wege der Leibrentenzahlung
Der Herr Beigeordnete Riss trägt vor :
Der Herr Kommerzienrat Dr. Trübner hat in der Voraussetzung, daß die Stadt ein Interesse an der Bebauungsweise in der unmittelbaren Umgebung des Münsters habe, den Vorschlag gemacht, die Stadt möge das ihm gehörige Anwesen Ecke Münsterplatz und Krämergasse à fonds perdu gegen eine jährliche Leibrente von 8000 M, zahlbar bis nach dem Ableben beider Ehegatten, erwerben. Herr Dr. Trübner steht z. Zt. im 59., Frau Trübner im 50. Lebensjahr.
Das Anwesen ergibt z. Zt. folgende Einnahme :
1. Buchhandlung d’Oleire (Mietvertrag bis 1. april 1905) 2400 M
2. I. Stock, Verlag Trübner bewertet mit 1500 M
3. II. Stock Wohnung Trübner 4 Zimmer, III Stock 5 Zimmer, 2000 M (zusammen) 5900 M
Nach Mitteilung des Herrn Trübner soll die Miete für die Buchhandlung vom 1. April 1904 ab auf 4000 M also um 1600 erhöht werden.
Demnach Gesamteinnahme 7500 M
Herrn Dr. Trübner sind bereits für das Haus 165.000 M. geboten worden.
Nach dem zwischen Herrn Dr. Trübner und Herrn d’Oleire abgeschlossenen Mietvertrage vom 24. Dezember 1889 steht dem letzteren für den Fall, daß infolge Ablebens des Vermieters ein Verkauf des Hauses für die Hinterbliebenen wünschenswert sein sollte, das Vorkaufsrecht zu. Diese Voraussetzung trifft indessen im vorliegenden Fall nicht zu. Trotzdem hat Herr d’Oleire bereits die Erklärung abgegeben, daß er von dem Vorkaufsrecht keinen Gebrauch machen werde, diese Erklärung wurde noch vor dem Vertragsabschluß in die schriftliche Form gekleidet werden. Der Tag des Eigentumsübergangs wäre mit Herrn Dr. Trübner noch zu vereinbaren.
Die I. / II. Kommission schlagen die Annahme des Angebots des Herrn Dr. Trübner dabei in hohem Maße bekundeten Gemeinsinnes vor und beantrage ich :
 » Der Gemeinderat wolle dem Vorschlage der Kommissionen entsprechend beschließen.  »

Der Herr Bürgermeister bemerkt dazu, daß Herr Trübner eine bestimmte Forderung in bezug auf die Höhe der Leibrente eigentlich nicht gestellt habe. Der Betrag von 8000 M sei nur gesprächsweise erwähnt worden. Herr Trübner habe sich sogar bereit erklärt, eventuell auch gegen eine gerigere Leibrente das Anwesen abzutreten, falls der Gemeinderat Bedenken gegen die jene Summe haben sollte. Die Kommissionen seien indessen der Meinung gewesen, daß es nicht angängig sei, ein geringeres Angebot zu machen, da die Zahlung von 8000 M. durch die zukünftigen Mieten schon nahezu gedeckt sei. Die Stadt habe ein großer Interesse daran, in den Besitz dieses an einer so hervorragenden Stelle belegenen Anwesens zu gelangen. Würde daselbe in andere Hände kommen, so bestünde keine Sicherheit dafür, daß bei einem etwaigen Umbau auf das Stadtbild und die Umgebung Rücksicht genommen werde. Er glaube, sich in Übereinstimmung mit dem Gemeinderat zu befinden, wenn er erkläre, daß Herr Trübner durch sein Angebot ein hohes Maß von Gemeinsinne betätigt habe.
Der Gemeinderat beschließt nunmehr im Sinne des Vorschlages der Kommissionen und spricht zugleich Herrn Trübner für den durch das Angebot des Anwesens betätigten hohen Gemeinsinne voll Anerkennung aus.

L’éditeur libraire Charles Trübner meurt en 1907 en délaissant sa veuve Claire Engelhorn
Décès, Strasbourg (n° 1426)
Strassburg am 3. Juni 1907. der Baudirektor Karl Engelhorn, wohnhaft in Straßburg Ruprechtsau Hauptstraße zeigte an, daß der Verlagsbuchhändler Kommerzienrat Doctor Karl Trübner, 61 Jahr alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Heidelberg, Baden, Ehemann von Klara geborne Engelhorn, Sohn der verstorbenen Eheleuth Georg Trübner, Juwelier und Anna geborne Koerper, zuletzt in Heidelberg wohnhaft, zu Straßburg Schweghäuserstraße 41 am 2. Juni 1907 vormittags um 9 ein halb Uhr verstorben sei (i 121)



4, rue des Aveugles (ancien n° 11)


Rue des Aveugles n° 4 – IV 88 (Blondel), P 693 puis section 58 parcelle 104 (cadastre)

Maîtres d’ouvrage (anciens n° 8 et 11), Charles Edmond et Joseph Ernest Mœbs – architectes Edmond et Camille Rudloff, 1911


Le n° 4 en juin 2018. L’ancien n° 9 se trouvait à l’avant, l’ancien n° 11 à l’arrière de l’image
Elévations des 4 et 6 rue des Aveugles lors de la réhabilitation de 1984,
(dossier de la Police du Bâtiment)

La petite maison, située à l’arrière de celle qui forme l’angle oriental de la Grand rue et de la rue des Aveugles, appartient au XVII° siècle à des artisans, le tailleur Jean Büchner, le vitrier Gabriel Waldmann puis le tailleur Jean Jacques Herberling qui devient en 1642 messager municipal. La veuve de Matthieu Baumann acquiert le domaine direct du chapitre Saint-Thomas ; la maison reste grevée à son profit d’un chapon et d’un florin de rente foncière. Le charretier Daniel Hœltzel réunit un temps (1697-1701) la maison à celle qui forme l’angle de la Grand rue. Le paveur Jean Siegfried acquiert l’immeuble dans la faillite du pelletier David Dambach. Sa veuve transforme la maison en 1746 en la réparant et en y ajoutant un nouveau logement. Les bâtiments sont estimés à environ 200 livres tout au long du XVIII° siècle.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cours A’ et C’, îlot 146 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment dont le rez-de-chaussée et le premier étage sont en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à droite du repère (z) : deux portes séparées par une fenêtre, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (A’) représente l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (2-3) dont le côté sud (1-2) donne dans la cour (C’).
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 11. Suite à la Grande percée, elle porte ensuite le n° 4 après avoir été réunie au n° 9.


1911. Façade sur rue et façade sur cour (l’étage un moment supprimé est barré)
Plan des propriétés Mœbs rue des Aveugles et Grand rue (dossier de la Police du Bâtiment)

On constate début 1903 que le mur présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Les entrepreneurs Mœbs font démolir en 1911 la maison voisine (n° 9) pour la faire reconstruire sous la direction des architectes Edmond et Camille Rudloff. Comme la partie inférieure du pignon du n° 11 dégagé présente des pans de bois pourris, ils achètent la maison et modifient leur projet pour construire un nouveau bâtiment à la place des anciens 9 et 11. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant. Un avenant accordé en octobre 1911 permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis.

décembre 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1615 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Büchner, tailleur, et (1604) Susanne Kleindienst – luthériens
1622 v Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et (1612) Ursule Bader – luthériens
1625 h Martin Rapp, charretier, et (1625) Ursule Bader veuve de Barthélemy Ostermeyer – luthériens
1631* adj Jean Büchner, supra
1632 v Gabriel Waldmann, vitrier, et (1621) Félicité Sultzer – luthériens
1644 v Jean Georges Weiss, trompette, et Anne Madeleine Wild – luthériens
1649 v Jean Jacques Herberling, tailleur puis messager, et (1629) Rosine Trenner puis (1658) Marie Uffhauser – luthériens
1675 h Matthieu Baumann, tisserand, et (1666) Marie Uffhauser veuve de Jean Jacques Herberling puis (1676) Anne Marie Haag – luthériens
1697 v Daniel Hœltzel, charretier, et (1676) Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter, puis (1689) Anne Scheer, veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck – luthériens
1701 v David Dannbach, pelletier, et (1697) Madeleine Spangenberg puis (1709) Marie Elisabeth Wagenmann – luthériens
1731 adj Jean Siegfried, paveur, et (1714) Anne Susanne Lemorm – luthériens
1744 h Jean Jacques Braun, boulanger, et (1724) Anne Barbe Vogel puis (1744) Anne Susanne Lemorm veuve de Jean Siegfried – luthériens
1761 h Jean Chrétien Eger, ferblantier, et (1754) Catherine Salomé Siegfried puis (1778) Anne Elisabeth Scharbach, veuve du tisserand André Grohberger – luthériens
1802 h Frédérique Salomé, femme (1789) du tailleur de limes Jean Georges Rœmer, (1812) du capitaine Jacques Bosshart puis (1821) du tricoteur de bas Henri Klein
1843 v André Ebel, limonadier, et (1845) Anne Marie Waag
1863 v Georges Mœbs, cordeur de bois, et (1836) Christine Grusenmeyer
Samuel Levy, négociant
1899* v Jean Joseph, peintre, et Maria Grépin
1909* v Eugénie Gauly, modiste
1911* Charles Edouard Mœbs et copropriétaires
1951* Roger Mœbs, installeur à Neudorf et son épouse et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1708, 200 livres en 1760 et en 1777

(1765, Liste Blondel) IV 88, Jean Chretien Eger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Höcher, 3 toises, 4 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 693, Sieffert, Henri, veuve du tourneur – maison, sol – 0,63 are / Ebel / Klein Henri propriétaire

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles

nouveau N° / ancien N° : 4 / 22
Egerd
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 173 case 4

Ebel, André

P 693, maison, sol, rue des aveugles 22
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 856 case 2

Ebel, André
1864, Moebs Georges
Levy, Samuel, Handelsmann
1899/1900 Joseph, Johann Malermeister u. Ehefr. Maria geb. Grépin in GG
1909 Gauly Eugenie, Modistin
(ancien f° 604)

P 693, maison, sol, Rue des Aveugles 11
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Folio de provenance : (173)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 4
Case biffée, report à la case 3 – Les surfaces détachées au folio 342 case 1 sont réunies du 43, Grand rue

Parcelle, section 58, n° 104 – autrefois P 693
Canton : Blindengasse Hs N° 11 – 191/02, 204/12
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,59 – 0,97 – 0,99
Revenu : 600 – 800 – 1100
Remarques : 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Ab. F 3

(Propriétaire), compte 2225
Gauly Eugenie
1921 Kuhn Louis Fahrradhändler Ehefr. geb. Gauly
1926 Gauly Eugénie épouse de Louis Kuhn
1936 Gester Martine Joséphine épouse divorcée de Jean Louis Munchinger
(1598)

Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 3

Parcelle, section 58, n° 103 – autrefois P 692
Canton : Blindengasse Hs N° 6 / Nr 4 – 204/12
Désignation : Hf, Whs, N.G. – Whs u. N.G.
Contenance : 1,24 / 3,11
Revenu : 1000 – 1300 – 4300
Remarques : 1910 Berufung – 1912 Zug. F 4 u. S. 243 F 1, 2 – 1923 modifié – 1913 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 2973
Moebs Karl Edmund und Josef Ernst
(rayé 1932)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 2633
Kieffer Georges, la veuve
1929 Moebs Charles Edouard et son épouse et copropriétaires
1951 Moebs Roger, installeur à Neudorf et son épouse pour ½ et copro.
(2994)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 234)
22
loc. Beyer, Wunibald, fais. de peignes – Miroir
loc. Bolette, Phil., tanneur – Manant
loc.Bürckel, Jean, journalier – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Blindengasse (Seite 14)

(Haus Nr.) 11
Leibbrand, Wwe. 0
Kuhn, Hutmacher. 1
Gaulÿ, Modistin. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 65)

4, rue des Aveugles (1873-1986)

La Police du Bâtiment constate en janvier 1903 que le mur du 11, rue des Aveugles présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Le marchand de cycles Louis Kuhn pose une enseigne en 1908.
Les entrepreneurs Ch. et E. Mœbs chargent début 1911 les architectes Edmond et Camille Rudloff de transformer le 7, rue des Aveugles et de reconstruire le n° 9 en supposant que la rue sera élargie à 9 mètres. Comme la Police du Bâtiment s’oppose à anticiper l’élargissement de la rue, les architectes suppriment un étage. La Commission des Beaux-Arts approuve le projet. Lors du terrassement, on constate que les pans de bois du mur pignon voisin (n° 11) sont pourris dans la partie inférieure. Les entrepreneurs Mœbs acquièrent le n° 11 et font modifier le projet pour reconstruire ensemble les n° 9 et 11. Le préfet approuve en octobre 1911 le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles d’après lequel le sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres à l’extrémité nord. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires). Le maire accorde en octobre 1911 un avenant qui permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis. Les travaux sont terminés en novembre. Le maire demande l’année suivante de démolir les constructions illicites élevées dans la cour.

Sommaire
  • 1873-1910, Partie propre à l’ancien n° 9
  • 1911 (octobre) – Dossier ouvert suit au courrier du Service d’architecture. Le préfet approuve le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles. Plan (le nord du sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres), propriétaire C. et E. Mœbs, installateur sanitaire
  • 1911 (février) – Les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) demandent l’alignement à suivre pour le bâtiment à reconstruire aux 7-9, rue des Aveugles, propriété de Ch. et E. Mœbs. Le service d’architecture répond que le projet d’alignement prévoit que la rue des Aveugles ait 9 mètres de large
    1911 (mars) – La division III déclare que le nouvel alignement n’a pas été arrêté. Dans l’état des choses, (rue de moins de 7 mètres de large), le nouveau bâtiment ne doit pas dépasser 10 mètres de haut.
    1911 (avril) – Les architectes transmettent les plans du nouveau bâtiment. La Commission des Beaux-Arts (composée du conservateur des monuments historiques Knauth, de l’architecte Berst, du conseiller municipal Hurst ainsi que des architectes municipaux Nebelung et Bebo) n’émet pas d’objections. Le conservateur Knauth confirme en mai qui’il n’y a aucune objection d’ordre esthétique.
    1911 (mai) – L’entreprise Ch. et E. Mœbs (pose de canalisations, fondée en 1868) d’une part et les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) d’autre part sont autorisés à construire un nouveau bâtiment au 9, rue des Aveugles et à transformer le n° 7. Plan de situation, plan portant les dimensions de la parcelle et de la cour, dessin (élévation, coupes, structure métallique), calculs statiques
    Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Le mur pignon du n° 11 (propriété d’Eugénie Gauly) est étayé, Une visite des lieux établit que le pignon dégagé du n° 11 est constitué de pans de bois qui sont pourris dans la partie inférieure. Les travaux sont interrompus jusqu’à ce que la propriétaire du numéro 11 ait consolidé le pignon.
    1911 (juin) – Les architectes Rudloff transmettent au nom des consorts Mœbs un projet pour reconstruire les 9-11, rue des Aveugles en supposant que la rue aura 10 mètres de large. La Police du Bâtiment fait six remarques. La hauteur du bâtiment doit prendre en compte la largeur effective de la rue (4,60 à 3,30 mètres), de sorte que le bâtiment devra avoir au plus 10 mètres jusqu’au début de la toiture dont l’inclinaison aura au moins 45 degrés. L’architecte modifie le projet en supprimant l’étage mansardé tout en conservant l’épaisseur des murs pour pouvoir ajouter ultérieurement l’étage supprimé.
    1911 (juillet) – Autorisation de construire du nouveau bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce sur le sol des 9 et 11, rue des Aveugles. Le bâtiment arrière pourra se trouver par dérogation à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires) – Dessins – Calculs statiques – Description. Les fondations sont en béton, les murs en briques, les escaliers en béton revêtu de granito, les encadrements des fenêtres sur rue et des devantures sont en grès des Vosges, le crépi gris clair, les piliers de pierre de taille, la corniche en bois, la toiture couverte de tuiles plates – Droits réglés pour un bâtiment principal de 15,80 mètres de long et un bâtiment accessoire de 13,80 mètres.
    1911 (24 juillet) – Les architectes déclarent l’ouverture du chantier et demandent à suivre le nouvel alignement qui est confirmé début septembre.
    1911 (septembre) – Les architectes et les propriétaires adressent au maire une demande pour pouvoir construire l’étage mansardé. Les consorts Mœbs construisent le nouveau bâtiment pour remplacer leurs locaux sis 12-14, rue des Aveugles sis sur le tracé de la Grande percée. Le projet initial consistait à reconstruire seulement le 9, rue des Aveugles. Les difficultés survenues ont amené à acquérir le 11, rue des Aveugles et le 43, Grand-rue voisins. Comme la rue sera élargie, le nouveau bâtiment pourra avoir la hauteur initialement prévue, d’autant que dans les premiers temps il servira de débit à la brasserie Freysz. – Le maire répond que la rue sera portée à 9,50, ce qui permet de construire l’étage mansardé à condition qu’aucun logement indépendant n’y soit aménagé et que la façade du n° 7 forme une unité avec le bâtiment à construire.
    1911 (octobre) – Avenant au permis de construire autorisant l’étage mansardé – Dessins – Calculs statiques. Droit réglés pour un bâtiment à quatre niveaux
    Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Les murs de séparation sont repris en sous-œuvre (juillet). L’entreprise Urban (au Neudorf) construit les murs du sous-sol (août), du premier étage (septembre), le troisième étage (octobre). L’aménagement intérieur est en cours (janvier 1912)
    1911 (novembre) – Les architectes demandent le réception du gros œuvre. La visite établit notamment qu’il manque les barres de contreventement. Nouveau projet pour les têtes des piliers – Les architectes sont autorisés à commencer le crépi trois semaines après la réception du gros œuvre.
    1911 (décembre) – Les architectes prient le maire de reconsidérer l’interdiction d’habiter dans l’étage mansardé avant que la rue ne soit élargie. Le maire accorde l’autorisation suite aux arguments présentés.
    1912 (mars) – Les architectes demandent la réception finale. Le ramoneur Ph. Vogt atteste que les cheminées sont conformes. La Police du Bâtiment remet de certificat de réception.
  • 1912 (mars) – L’entreprise Rossi et Leja (40, rue Geiler) demande l’autorisation de poser à échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Accord
  • Partie propre au n° 11
    1871 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du plombier Mœbs l’autorisation de faire une prise pour environ trois becs au 11, rue des Aveugles.
  • 1885 – Le maire notifie la veuve Mœbs (domiciliée sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, novembre 1885
  • 1891 – Quittance de droits réglés par l’entrepreneur Matter (9, rue des Lentilles) pour avoir fait un branchement de canalisation pour le sieur Hittler au 11, rue des Aveugles
  • 1895 – Le cordonnier Al. Dresch (demeurant 51, fossé des Tanneurs) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Le pétitionnaire renonce à poser l’enseigne, août 1896.
  • 1903 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que la stabilité du 11, rue des Aveugles n’est pas altérée. Les fissures ne sont pas devenues plus importantes. Dossier classé après plusieurs visites en août 1903.
  • 1905 – Le maire notifie J. Joseph (demeurant 1, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905
  • 1908 – Louis Kuhn (cycles et réparations) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – La double enseigne en fer-blanc est posée.
  • 1906 – Le maire notifie Louis Gauly (demeurant sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905 – Eugénie Gauly répond qu’elle n’est que principale locataire et que la façade a été lavée l’année précédente – La Police du Bâtiment note que la maison appartient à Jean Joseph, demeurant 6, rue Sainte-Barbe – Le maire envoie une nouvelle notification au propriétaire en novembre 1907. La maison a été vendue en mai 1908 à Eugénie Gauly qui obtient un délai – Travaux terminés, novembre 1908
  • Commission contre les logements insalubres demande en 1902 au propriétaire Jean Joseph de faire installer un deuxième cabinet d’aisance – Les cabinets d’aisance ont été raccordés aux canalisations, mai 1904.
    Commission des logements militaires, 1915. Rue des Aveugles –11. Rien à signaler
  • Nouveau bâtiment, n° 4
    1934 – La Police du Bâtiment constate que le négociant Albert Schlüsselblum a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande par Edmond Hirtz (Palais des laines, 4, rue des Aveugles) – Autorisation
  • 1963 – Le locataire Schmitt (deuxième étage, immeuble appartenant à l’indivision Mœbs, géré par René Hug) se plaint que la pluie pénètre dans son logement. Le Police du Bâtiment observe des taches d’humidité. Elle demande au gérant de faire faire les travaux et de vérifier que les cheminées sont en bon état. René Hug déclare être seulement chargé d’encaisser les loyers et renvoie aux copropriétaires, les veuves Jeanne Mœbs et Adèle Mœbs – René Hug fournit un certificat du ramoneur Henri Reppert (4, rue du Fort) – Travaux terminés, octobre 1964
  • 1983 – Roger Mœbs, domicilié à la Wantzenau, offre à la Ville d’acheter les 4 et 6 rue des Aveugles. Le n° 4 (section 58 parcelle 102) fait partie du secteur sauvegardé – La Division II estime que la Ville n’a pas intérêt à acquérir les immeubles.
  • 1984 – François Trau (demeurant à Illkirch-Graffenstaden) demande l’autorisation de transformer des fenêtres (bâtiment non protégé située dans le secteur sauvegardé) sous la direction de G. Ecklé (Arical architecture) – Plan cadastral de situation, élévations
    Description du projet de réhabilitation (4, rue des Aveugles). Les locaux professionnels du rez-de-chaussée restent tels quels. Les appartements des trois étages gardent leur distribution mais seront isolés et revêtus à neuf. Le quatrième étage sera transformé en deux appartements dont les jours seront agrandis. Dessins (deux projets d’élévation, dessins)
    Un avis défavorable, non expédié, portait de conserver les pignon en l’état. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (juillet 1984). La façade devra être aménagée pour poser l’éclairage public. Le maire transmet le dossier au préfet qui accorde le permis de construire en septembre 1984.
    1984 (novembre) – Le maire signale au propriétaire que le panneau de chantier n’est pas affiché
    1984 (novembre) – Déclaration d’achèvement des travaux. la réception finale qui a lieu en janvier 1985 ne donne lieu à aucune objection. Le préfet délivre le certificat de conformité en février 1985.
  • 1985 (octobre) – La Police du Bâtiment qui est entrée dans la cour avec l’architecte des Bâtiments de France a pu constater que le cour est surbâtie depuis peu. Les travaux non régularisables ne doivent pas constituer de précédent. Le maire demande au propriétaire de démolir les constructions illicites. Ce dernier déclare que des constructions précaires existaient avant la réhabilitation, l’agent de la Police du Bâtiment que la cour était dégagée lors de ses visites. Le conseiller général Hervé Busse intercède en mars 1986 en faveur du propriétaire François Trau, gérant de la s.à.r.l. Mœbs.

Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1610 au tailleur Jean Büchner.
Originaire d’Ermershausen en Franconie, Jean Büchner épouse en 1604 Susanne Kleindienst, fille de tailleur, et devient bourgeois quelques jours plus tard

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 92-v, n° 50)
1604. Hans Büchner von Ermeltshaußen im franckenlandt der schneider vnd J. Susanna Hans Kleindienst des schneiders Eheliche tochter, 27. Augusti. (i 95)

2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 846
Hanns Beüchner der Schneider vonn Ermelßhaußen, empfahet das Burg: Vonn seiner Haußfr. Susanna Hanns Kleindiensts dochter, Will Zun Schneidern dienen. Act. vt supra [1. Septemb: 604

Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison à Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et à sa femme Ursule Bader

1622 (vij. Aprilis), Chancellerie, vol. 446 f° 125
(Inchoat. in Prot. fol. 93.) Erschienen hannß Büchener d. schneÿd. burg. Zu Straßburg und Susanna Klein dienstin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Barthell ostermeÿer dem treÿber vff d. Blumen Müelen burg. Zu Straßburg vnd Ursulæ Baderin seiner ehelich. haußwürthin So bede Zugeg.
hauß vnd hoffstatt samt dem schöpffell od. gang Zu dem profeÿ, durch die gerechtigkeit desselb. Profeÿgs, darzu mit Allen Ihren gebewen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß, einseit n. hanß Waltman des schreÿners erb. And. s. h. M. Adami Voltzÿ p.ceptoris classici s. erb. hind. vff Heinrich Mornhinweg des schmÿdts Zu Schaffoltzh. selig erben stoßend. Dauon gnd. x ß d vnd j Kapp. sie seint gleich ewig In Müntz od. gold Ablösig wie d. Brieff d* seÿ solches vßweÿß, Also haben es die Kheuffer vff sich genommen, vffv* sollend den stifft Zu St. Thoman, Mehr j lb d gelts loß mit xx lb d vff Mariä Verkndg soll dem mehren Spittal, Sunst ledig eig. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb 260 pfund
[in margine :] Erschienen hanß büchner der Verkäuffer, hatt in gegensein Georg Rauschenmeÿers alß der hierinn gemeldten Käuffern s. Kindts Ursulæ vogt, bekant, demnach vermög der den 25. Augusti negsthin vor den zu den Nachträgen insonderheit deputirten herren getroffenen v.gleichung, Er büchner dise behausung wider angenommen und dem Vogts döchterlin 45 fl. (…) zu eben schuldig – den 26. octob. 631.
[in margine :] Erschienen hanß Büchner hatt in gegensein Ursulæ Baderin vnd ihres ietzigen Ehevogts Martin Rappen deß holtz karchers (…) q.tirt den 19. Jan. 1627.

Originaire de Merching en Bavière, le meunier Barthélemy Ostermeyer épouse Ursule Bader en 1612. Il devient bourgeois deux mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, cathédrale (luth. p. 2)
1612. Barthol Ostermeyer der Müller von Mörgingen aus dem beyerlandt vnd Ursula Stephan Baders tochter, eingesegnet den 9. Novembris (i 317)

1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 956
Barthel Ostermeÿer von Merching Auß dem Beÿerlandt Empfahet d. Burgerrecht von Ursula Stephan Bader deß holtzhauers dochter wull Zu Mörin dienen, Actum den 21. Januarÿ A° 1613.

Devenue veuve de Barthélemy Ostermeyer alors charretier, Ursule Bader se remarie avec le charretier Martin Rapp originaire d’Eckartsweier (près de Kork) qui devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 179)
1625. Martin Rapp d. Holtzkarcher Geörg Rappen deß bawrsmanns Zu Eckersweier nachgelaßener Sohn, Ursula Barthel Ostermeÿers des holtzkarchers allhier nachgelaßene Wittib, 9. 8.bris (i 182

1626, 4° Livre de bourgeoisie p. 91
Martin Rapp d. holtzkarcher Von Elchardtsweÿer Empfangt d. Burg. recht von Ursula, weÿlandt Barthel ostermeÿers deß holtzkarch. wittiben, wüll Zu Mohrin Zünfftig sein, den 14. Xbris 1626.

Martin Rapp et Ursule Bader hypothèquent la maison au profit de la fille du brodeur en soie Jean Charles Schaumann, pour laquelle agit Jean Büchner. L’acte renvoie à celui passé en 1622 pour l’origine de la dette

1627 (18. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 38
Erschienen Martin Rapp der holtzkarcher burger Zu St. vnd Ursula Baderin sein ehefr.
haben in gegensein Hanß Büchners deß Schneiders alß vogts Maria Magdalenen, hanß Carol Schawmanns deß seidenstickers ehelichen dochter – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand, hauß vnd hoffstat sampt einem schöpffell od. gang, und allen Anderen Zugehörd. alhie in der Blindengaß neben hanß Waldtmanns deß schreiners erben i. vnd 2. seit neben weÿ: H. M Adami Folsÿ gewesenen præceptoris Classici see: erben, hind. vff Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts Zu Schöffholtzh. erben stoßend, dauon gehen x ß d vnd Ein Kapp Järlich Bodenzinß dem Stifft S. Thoma, Item j. lb d gelts dem mehren Spitahl lößig mit 20. lb d, So dann ist d hauß hoff vmb 100. lb ihme hannß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zu nüeßen hat, Item vmb 25. lb d restirend Kauffschillings
Nota. Es hat Büchner, wie in Notÿ Meÿgers Regist. de Anno 1622. fol: 125. zusehen bekannt, alß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v.kaufften hauses Im Kauffschilling 50 lb d empfangen hete, dahero Rapp disse obligation weil er Büchner nichts empfang. vffrichten laß. dieweil aber Er Büchner sein Angeregt. Hauß, v.mög der beÿ den verordnet. Nachtrags herren den 25. Aug. nechsthin getroffenen v.gleich wider an sich genommen, Alß ist hiemit auch dies obligation gefallen vnd solche vß beeder parten geheiß wider cassiert worden Act. 26. Octobris 1631.

Le tuteur de la fille de Barthélemy Ostermeyer hypothèque la maison au profit des enfants de Christophe Rüder dont Jean Büchner est tuteur. L’acte renvoie aussi à celui passé en 1622

1629 (7. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 9-v
Erschienen Georg Rauschenmeÿer d. Holtz Karcher burger alhie alß vogt Ursulæ Barthel Ostermeÿers deß Karchers see. döchterlins
hatt in gegensein Christoff Rüedtern deß schneiders auch burgs s: alhie 2. ehe dreÿer Kindern vogts hanß Büchners deß Käufflers – schuldig seÿe xxv. lb
vnderpfand hauß, hoffstat vnd alle andern deren Zugehörd. alhie in der Blindengassen neben hanß Waldtmans des schreiners s: Erben & neben H. M. Adami Folsÿ gewesenen præceptoris classici see. erben, hind. vf Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts see: zu Schäffholtzh. erben, dauon gehen Jahrß 10. ßd. j. Kapp. bodenzinß dem Stifft S. Thoman It. 1. lb. d gelts dem Mehren Spithal alhie losig mit 20. lb d. Item vmb 100. lb. d ihme hanß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zunüeß hat, So dan vmb 50. lb d Maria Magdalenen Schawmännin
[in margine :] Nota. Es hatt Büchner, wie in Not: Maÿgs. reg. de a° 622 zusehen bekandt, daß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v. kaufften hauses, Am kauffschilling 25. Pfund empfangen (…) Actum 26. 8.bris Anno 1631.

Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison au vitrier Gabriel Waldmann et à sa femme Félicité. L’acte fait seulement état des dettes sans citer l’origine de la propriété (la maison doit avoir été attribuée aux vendeurs pour défaut de paiement)

1632 (XIII. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 466 (expéditions) f° 26-v
(Gabriel Waldtman dem Glaser) Wir ut spâ [Joachim von Berstett der M. &] erschienen vnser Burger vnd geschworner Keüffler hanß Büchner vnd Susanna Kleindienstin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
auch Vnserm burger Gabriel Waldtman dem Glaser vnd Fœlictæ deßen Ehefrawen
hauß, hoffstat, höfflin und ein schöpfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in unserer St. St. in der Blindengaß neben hanß Spitzen dem Amblungmacher ein: und anderseit neben hörman Adam Folsen, hinden vff Mathiß Mornhinwegs s: zu Schaffholtzheim nachgelaßene wittib stoßend, darvon gehen Jährlich auff Weÿhenachten Zehen schilling vnd ein Kapp dem Stifft S. Thoman alhie, sie seÿen ewig, ehrschätzig, fürbietig. bodenzinß (…), Item Ein pfund & gelts verkäuffer Mariæ Verkündigung dem Mehrern Spitahl alhie, in hauptgut mit 20. Pfund d. Item Zweÿ pfund Zehen schilling d. Zinß vff den Neünzehend. Januarÿ, Maria Magdalenæ Schawmännin, mit 50 pfund d., Item Ein pfund fünff schilling gelts vff den 6. Jenner, Christoff Rüeden deß Schneiders see: Zweÿen Kindern, mit 25. pfund & hauptgut abzulösen, vnd solche beede letstere posten vff begehren zuerlegen, So dann ist dise behausung auch noch verhafftet vmb 100. pfund d. ihnen den Verkäuffern selbsten, so Susanna Matheußin hr leben lang wÿdembs weiß Zunüeßen, vnd deren Jährlich vff Pauli bekerung mit fünff pfund d. verzinßt, nach ihrem absterben aber ihnen den Verkäuffern auff ein vorgehende Viertel Järige auffkündigung erlebt werden solle, sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerde, so die Käuffere auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 40 Pfund pfenning

Gabriel Waldmann épouse en 1621 Félicité Sultzer, fille d’oculiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 155)
1621. Gabriel Waltmann d, Glaßer, Fœlicitas Heinrich Sultzers deß gewesenen Oculisten v. Schnittartzt nachgelaßene Tochter. St. Thomas den 30. Aprilis (i 159, pas dans le registre de Saint-Thomas)

Félicité Sultzer veuve de Gabriel Waldmann et le tuteur de son fils vendent le domaine utile de la maison au trompette Jean Georges Weiss, originaire de Dresde, pour le compte de sa femme Anne Madeleine Wild

1644 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 31-v
(Prot. fol. 9 & seq.) Erschienen Felicitas Sultzerin, weÿl. Gabriel Waldmanns deß Glaßers nunmehr seel: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Mosen deß Schneiders ihres Vogts, Wie auch hannß Mockh der Mahler alß Vogt hannß Michaelß, ihr Felicitatis mit Ihme Gabriel ehelich erziehlt. Sohn,
haben in gegensein hannß Georg Weiß. deß Trompeters von dreßden alß Ehevogts Annæ Magdalenæ Wildin mit beÿstand Tobiæ Roth deß Ganth Käufflers – und Zwar mit vßtruckhlich. Consens H Probsts Dechants und Capitulß der Stifft: St: Thoman, denen daß Dominium directum vff nachgemeldter Behaußung gebührt, vffrecht verkäufflich cedirt und übergeben, gedachter Annæ Magdalenæ Wildin, Welche dann vff E. E. groß. Rhats Sambst. d. 16. Xbr. nechsthien, mit dem anhang daß gemeiner Statt Stall davon die iährlich Gebühr abgestattet werde, und Sie sich ihrem Erbiet. gemäß förderlich verburgere, ertheilte obrigkeitliche Bewilligung Käufflich angenohmen habe
das Dominium utile, die Beßerung und Erb lehnungs Gerechtigkeit, vff hauß, Hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen, & alhie in d. Blind.Gaßen: neben Michael Vettern dem Amlungmachern ein: und anderseit neben neben Weÿl. Ulrich Retzlobß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris sel. Erb. hind. vff hannß Wurtzen den Würth Zu Schaffoltzheim stoßend gelegen, Welche Behaußung obgemeldtem Stifft St. Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch iahrs vff Martini ein Cappen und vff weÿhenachten ein guld. gelts Zu 15. batzen Zu ewigem erbschätzig. fürbietigen Erblehenzinnß Zu raich. schuldig, So weit die Beßerung verhafftet dem mehrern Hospital umb 20. lib iährlich vff Mariæ Verkündigung mit j. lib. biß Zur Ablößung Zu verzinnß. (übernohmen) – umb 155 Pfund

Anne Madeleine Wild femme du trompette Jean Georges Weiss vend le domaine utile de la maison à Jean Jacques Herberling, messager au tribunal

1649 (25. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 665
Erschienen Anna Magdalena Wildin Hannß Georg Weisen deß Trompeters eheliche Haußfraw, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts wie auch Tobiæ Roth. deß Ganth Käufflers ihres Vetters,
hatt in gegensein Hannß Jacob Herberling deß Statt Gerichts botten, mit beÿstand Jonas Trenners deß Schuhmachers seines Schwagers – Zwar mit vßtruckhlichem Consens herrn probsts, dechants und Capituls, deß Stiffts Zu St: Thoman denen daß Dominium directum vff nachgeschriebener Behaußung zustehet Verkäufflich. cedirt und übergeben hatt,
daß Dominium utile die Beßerung Und Erblehnungß Gerechtigkeit Vff hauß, hoffstatt, Höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Blinden Gaß. neben Michael Vettern dem ammlungmachern ein: und anderseit neb. weÿl. Ulrich Retzlobß deß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris seel. nachgelaßenen Erben, hinden vff Hannß Wurtzen den Würth zu Schaffoltzheim stoßend gelegen: Welche Behaußung obgedachtem Stifft St: Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch Jahrs Vff Martini einen Cappen Vnd Vff Weÿhenachten einen Gulden gelts Zue 15 batzen Zu ewigen erschätzigen fürbietigem Erblehens Zinnß zuraich. schuldig ist, so ist die Beßerung dem mehrern Hospital annoch Verhafftet umb 20. lib. Jährlichen vff Mariæ Verkünduing mit 1. lb. biß Zu Abloßung Zu Verzinnßen (übernohmen) – umb 75. lib

Tailleur originaire de Seltz, Jean Jacques Herberling, épouse en 1629 Rosine Trenner, fille de cordonnier, et devient bourgeois moins d’un mois plus tard
Mariage, cathédrale (luth. f° 171)
1629. Hans Jacob Herberlin der Schneider Von Seltz, Hans Herberlin des schneiders daselbsten e. sohn, vnd J. Rosina Elias Drenner des schuhmachers tochter eingesegnet montag 29. Junÿ (i 140)

1629, 4° Livre de bourgeoisie p. 110
Hannß Jacob Häeberlin Schneid. Empfangt d. Burg. recht Von Rosina Elias Treners deß Schumach. tochter Wull Zu den Schneid.n dienen, Actum den 20. Augusti 1629.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Jacques Herberling messager de la chambre des Sept en mai 1642. Il est le seul candidat, ce que l’assemblée explique par la rétribution modique. Il sollicite à la fin de l’année le poste de messager au tribunal de la Ville qu’il obtient sur recommandation du greffier. Il prête serment fin janvier 1643
1642, Conseillers et XXI (1 R 125) et 1643 (1 R 126)
1642 – Hanß Jacob Herberlin wird Siebnergerichts bott. 29. 52. 153.
(f° 29-v) Sambstag d. 19. Martÿ
Hanß Jacob Herberlin der Schneider suppl. p. Knaf. Undt d. Siebnergerichts botten dienst. Erk. Soll sich gescheid. geb. die H. XV aber die Besoldung bedenck. – H. Mieg v. H. Gasner

(f° 52) Montag d. 9. Maÿ
H. Frantz Carol berichtet d. sich vmb d. Sibnergerichtß bott dienst nur einer geschrieben geb. nammenß Hanß Jacob Herberling, Zweiffels ohn weg. deß gering. Verdiensts so er demselbig. orth, Dann er nur 2 lb d wan die rechnung abgelegt werdt Vnd 4 d Von dem gebott. Stellt Zu Mh. ob sie dießem d. dienst anvertrawen v. Conferiren wollen. Sonst errinnert er daß der Actuarius bericht, d. nechst alle sach. Vor einem Ehrsamen policeÿ gericht Jetzmahlß außgemacht werd. hetten Vast an den Ihrig. gericht nichts Zu thun.
Beÿ dießer occasion ist Von Vnderschiedlich. H. errinnert worden, daß man Solte die visitationes beÿ d. Untern gerichten reassumiren. Erk; ist angenommen word. Jurat.

(f° 153) Montag d. 19. Decembr. Hanß Jacob Herberlin Supplicirt die Vacirende Statt gerichts botten s[t]ell. Erk. soll sich geschrieben gebeb.

1643 Conseillers et XXI (1 R 126)
1643 – Hanß Jacob Herberling würdt Stattgerichtß bott. 11. 12.
(f° 11-v) Sambstag d. 28. Januar:
H. XV. Reichßeÿß. Und H. Hellbeck laßen per H. Stattschreiber referiren, d. sie einen außschutz gemacht der Jenig. persohnen so sich Vmb die Vacirende Stattgerichts bott stell geschrieben geb. hab. Vnd d. die Treÿ in den selbigen gebracht, Vnder welch. Hanß Jacob Herberling Ihnen Insonderheit von dem Actuario gelobet word.
Erk. Ist der Herberling Zu einem Stattgerichts bott erkandt word.

(f° 12) Montag d. 30. Januar: – Hanß Jacob Herberlin der Stattgerichts bott schwöret uff seine Ordnung.

Le messager du tribunal Jean Jacques Herberling hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Hagenstein, huissier au poêle des Tailleurs

1655 (2 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 4
Erschienen Hans Jacob Härberling der Stattgerichts bott
in gegensein Michael Hagensteins deß Büttels vff der Schneiderstuben – schuldig seÿen 50 Pfund pfenning
Unterpfand sein solle Eine Behaußung alhie in der Blindengaß. einseit neben Michael Vettern dem Karchern, anderseit neben Johann Friderich Retzloben dem wollenwebern gelegen, so Zuvor noch umb 20. lib dem mehren hospital und 10 lib. dem stifft St Thoman verhafftet

Jean Jacques Herberling se remarie avec Marie Uffhauser, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration
1658, Protocolle (64 not 5) f° 374
Eheberedungs Copia – Hannß Jacob Herberling Stattgerichtsbotten und Jungfrawen Mariæ Uffhaußerin
(…) ein ehelicher Heürath undt freündtliche Vermählung Zwischen dem Ehrengeachten Herrn Hannß Jacob Herberling, burgern und E. E. Stattgerichts allhie beampten alß Bräutigam an Einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jungfrawen Mariæ, wÿland Bernhardt Uffhaußers geweßenen Schneiders undt burgers allhier Seeligen nachgelaßenen dochter, alß Hochzeiterin, Andern theils
deßen zu wahren Urbundt undt gezeügnuß haben beede obgemelte Ehe Persohnen mich Davidt Ösinger den Eltern geschwornen Offenbahren Kaÿßerlichen Notarium undt Burgern Zu Straßburg Insonderheit begetten und erfordert, alle vndt iede hievorstehende Puncte gebührlich ad notam Zu nehmen – den 10. 7.bris 1658

Mariage, cathédrale (luth. f° 94, n° LVI)
1658. Joh: Jacob Herberlin Statt gerichtbott Und Jungfr. Maria weÿl. Bernhard Vffhaußer, schneid.s hind.laßene eheliche Tochtern Dienstag d. 21.t 9.bris im Münster (i 95)

Les messagers Jean Jacques Herberling et Jean Schweitzer demandent à être dispensés du service de garde. Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent.
1659, Conseillers et XXI (1 R 142)
(p. 57) Mittwoch d. 30. Martÿ – Hanß Jacob Herberlin vnd Johannes Schweitzer beÿde Stattgerichts bott. vberzeichten per Wild. Undgr. Supplication, Bitt gleichfalls vm erlaßung d. aufferlegten Georg Wachten.
Erk. Soll ihnen d. begehren abgelehnet Werden

Jean Jacques Herberling fait son testament. Il lègue à sa femme la jouissance viagère de sa maison rue des Chandelles, qu’elle se remarie ou non.
1661, Protocolle (64 not 5), Jean Jacques Bœller
(f° 377-382) Testamentum nuncupativum. Herrn Hannß Jacob Herberlings Stattgerichtsbotten Im Jahr 1661
Im Jahr 1661 auff Donnerstag den 31. Octobris alten Calenders abends zwischen Sechs undt Siben uhren (…) der Ehrengeachte Hannß Jacob Herberlings, Stattgerichts bott vnd burger allhier (…) entzwischen seinen inn Zweÿen Ehen erzeugten Kinder, /:deren die Vier in Erster Ehe erzeüget, bereits beÿ ihren Jahren, Verstandt und inn denn Alter begriffen, daß Sie Sich schon selbsten wohl werden ernehren vndt außbringen mögen, das in Zweÿter Ehe gezeügtes Söhnlein hanß Friderich aber noch gar jung undt vnerzogen vndt Zu besorgen, daß wegen Ihme den Vatter obligenden Alters vnd blödigkeit halben ermeltes Kindt beÿ Künffiger Vfferziehung der Vätterlichen hülff nicht als lang vnd viel, wie gemelte seine Vier Geschwüsterdt empfangen, würdt genieß Können (…)
Zum Andern, hat Er Testirer Hanß Friderich Herberling, seinem Jüngsten mit Maria Uffhaußerin ehelich erzeugtem Söhnlein, als welcher vorgedachtermaßen, noch Jung undt unterzogen (…)
Drittens bericht Er der Testator, Er hab Zwar Mariæ Uffhauserin seiner haußfrauen, inn vffgerichteten Ehe pactis, Verschiedene gemach, in seiner behaußung ane d. Liechtergaßen in Straßburg gelegen, alleinst lang Selbige nach seinem Absterben im wittibstandt Verbleibt zu bewohnen verschrieben laßen (…) deßen aber oherachtet (…) ist sein des Testierers will und meinung daß nach seinem tödlichen hintritt gemelte Seine haußfrau, wie inn der Eheberedung Zum wÿdemb verschriebene gemach inn obbesagter behaußung, nicht nur allein so lang Sie ein wittib ist, sondern so lang Sie lebet, besitzen und bewohnen (…)
Fünfftens, dieweilen die institutio Hæredum oder Einsatzung der Erben eines iedwedern Testaments fundament und grundveste ist ohne welvhe auch kein Testament bestehen vnd Krafft haben mag, derowegen hat Er der Testator seine in beeden Ehen erzeügte liebe Kindern nahmentlichen Hanß Paulum, Mariam Salome, Hanß Jacoben, Hanß Carle vnd Hanß Friedriche,n und die Er noch etwan ferner erziehlen möchte, welche ohne das ab intestato seine wahre und ohngezweiffete Erben weren, himit Zu Erben ernennet vndt eingesetzt (…)
Welches alles dann beschehen undt Zugangen inn einer in der Statt Straßburg ane Jungfrauen gaßen gelegenen Zum Junckhern genanten behausung, dero Undern in den hoff außsehenden wohnstuben
Johann Jacob Böller Notarius
Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13), Protocollum Testamentum nuncupativum (f° 12-v) – Hannß Jacob Herberling (début de l’acte)

L’inventaire de ses biens est dressé en 1662 après sa mort. Il délaisse quatre enfants de son premier mariage avec Rosine Trenner et un fils du deuxième avec la veuve. L’inventaire cite deux titres datés de 1644 et 1556 concernant la maison rue des Aveugles, par ailleurs chargée d’un chapon et d’un florin de rente au profit de la fondation Saint-Thomas. La masse propre à la veuve s’élève à 10 livres, celle des héritiers à 133 livres. L’actif de la communauté s’élève à 145 livres, le passif à 73 livres

1662 (6.5.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 4) f° 13 (366)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung undt güttere so Weÿl. der Ehrenthaffte Hannß Jacob Herberling geweßener Schneider undt Statt Gerichtsbott, welcher den Andern Aprilis Innstehenden Jahrs todtlichen Verblichen hinderlaßen, so vff erfordern undt begehren deß Abgeleibten seel. p. Testamentum nominirter undt ane nachgemeltem filio benambster Erben, durch die Ehren und Tugendreiche Frau Maria Auffhaußerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Ehrenthafften Herrn Alexander Kornnecker Schneiders Ihres geordneten Vogts mit Zuziehung deß Ehrenvesten Herrn Johann Christoph Ordtners Notÿ Jurati geeÿgt und gezeigt – Actum und Angefangen Dienstags den 6. Maÿ 1662.
Der Verstorbene seel. hat Zu Erben verlaßen wie Volgt 1. Mariam Salome deß Ehrenhafften Hannß Thomæ Kammen, Metzgers und burgers alhie haußfrawen mit beÿstand deßelben, 2. H. Johann Paulum, Ledigen scribenten, 3. H. Johann Jacobum, Ledigen scribenten, 4. H. Johann Carolum Theologiæ studiosum, dero geordneter undt geschworener Vogt der Ehrenhaffte undt bescheidene hannß Jacob Stahl Schneider undt burger alhie welche dem Geschäfft beneben den Vogt Söhnen in Persohn beÿgewohnt, Alle Vier des verstorbenen seeligen Inn erster Ehe mit weÿlandt Roßina Trennerin Ehelich erzeugte dochter und Söhn,
5. Hannß Friderichen, deß in Gott ruhenden seel. mit Vorgedachter seiner hinderlaßenen Wittib Ehelich erzeigten Söhnleins, deßen geordtneter undt geschworner Vogt der Ehrsamen undt bescheiden Hannß Georg Jung Kieffer undt burger alhie welcher den Geschäfft beÿgewohnt, Alle fünff deß Abgeleibten seel. Test. nominirter Erben.

Auff der Andern bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn der hindern Cammern Inn der hindern stuben, In der Wohnstuben, Im obern haußöhren, Im Vndern haußöhren, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) It: j hauß, hoffstatt undt höfflin sampt j. hinderhauß mit allen deren gebauen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten Inn der Statt Str: Inn der Heiligen Liecht gaßen, ein seith neben einer behaußung der samlung Zur dritten regul gehörig, anderseith neben weÿl. hannß Siebenhorn geweßenen Müllers hinderlaßene Wittib Zum theil, neben H. Dr Nicolao Aggerio hinten uff herrn Friderich Riehel Papÿrhauß, so weÿl. hern Daniel widern XV.ers seel. hinderlaßenen Wittib seel. Erben gehörig, davon geben Jahrs auff Michaelis 8 fl. Straß: wehrung lößig Inn hguet mir 200 fl. bemelter wehrung fr. Mariæ H. N. Herdenstein geweßenen Amptmanns Zu Marlenheim haußfrauen, So dann 1 lb 5 ß Jahrs auf Annunciationis Mariæ abzulößen mit 25. lb d dem großen Almoßen Zu S Marx sonsten allerdings ledig undt eigen undt hihero über bemelte beschwerden angeschlagen p. 130. lb
[[biffé] daran dem Verstorbenen seel. allein Zween drittetheil Zu eigen gehörig, so thun 56. lb, Davon der übrige dritte theil den Kindern Erster Ehe Vor Mütterlich gutt gehörig, vndt hernacher beÿ der Wÿdembs Verfangenschaft eingetr. Zubefinden]
darüber sagt ein Pergam. Kauffbr. mit der Statt Str. Contract Inns. sub dato 22. Junÿ 1654. Dabeÿ ferner ein Perga: Ganthkauffbr. mit deß Stattgerichts Anhangenden Innsigel deßen datum den 1. Junÿ 1652. mit Altem N° 1 notirt undt dabeÿ gelaßen.
(E.) Item j. Hauß, Hoffstatt, undt höfflein mit allen deren gebäu: weithen, rechten, Zugehörden undt gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Str: in der blinden gaßen einseit weÿl. Michael Vettern deß Amlungmachers hinderlaßene Wittib undt Erben, Anderseit neben weÿl. (-) hinden uff hannß Wurtzen gewesen würths Zum tieffen Keller hinderlaßenen Erben, daran gehent dem Stifft Zu Sanct Thoman alle Jahr auff Martini einen Cappen undt auff weÿhenachten 1 fl. gelts Ewigen Erbschätzigen undt fürbietigen Erblehen Zinnßes, So dann 1 lb d gelts Jährlichen auff Annunc. Mariæ widerkäuffig mit 20. lb d sonsten ledig undt eigen undt über obgemelte beschwerden æstimirt p. 50. lb. Darüber sagt 1. Perga: Cession mit der Statt Str. Contr. Inns. verwahret deren datum den 15.ten Januarÿ 1644. darbeÿ ferner j. alter Perga: Kauffbr: mit der Statt Str: Kleinen Secret Inns. deßen datum den andern tag Julÿ 1556. beeder mit alten N° 2 und dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Erben Unverändert Gutts. Vermög Inventarÿ über Weÿland Rosinæ Trennerin deß Abgeleibten Ersyen haußfrawen seel. Verlaßenschafft in Anno 1658. durch herrn David Ößingern Notarium auffgerichtetet
Abzug Inn dißes Inventarium. Der Wittib unverändert guet, Sa. haußraths 15, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Goldener Ring 2, Summa summarum 10 lb
der Erben verändert guet, Sa. haußraths 56, Sa. Leeren Vaß 3, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 3, Sa. Eÿgenthumb Ane heißern 180, Sa. ergäntzung (125, zalt 210), Summa summarum 243 lb – Schulden 109, Nach deren Abzug 133 lb
Theilbar Guet, Sa. haußraths 9, Sa. Weins vndt Leeren Vaß 27, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. der baarschafft 5, Sa. Schulden 99, Summa summarum 145 lb – Schulden 73, Nach deren Abzug 72 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 238 lb

Marie Uffhauser se remarie en 1666 avec le tisserand célibataire Matthieu Baumann : contrat de mariage, célébration

1666 (9.7.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13) N° 19
Eheberedung Entzwischen Mathæo Baumann leinenwebern v. Maria Uffhauserin hannß Jacob Herberlins wittibin auffgerichtet
entzwischen dem Ehrsamen und bescheÿdenen Mathæo Baumann dem ledigen leinenweb. deß Ehrenhafft vndt vorgeachten Mathæi Bawmanns auch Leinenwebers vnd burgers Zu Straßburg ehelich erzeügtem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem,
So dann der tugendsamen Mariæ weÿland Hannß Jacob Herberlings gewesenen Stattgerichts botten vnd burgers Zu Straßburg hinterbliebene wittibin alß der hochzeiterin andern theils
Welche Ehepacta denn Beschehen vndt Zugangen in Straßb. den 9.ten Julÿ A° 1666 [unterzeichnet] Mattes bauman hochzeiter be ken wie ob stet, Joh: Alexander horneckel der hochzeiterin vogt bekenne wie obstett

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137, n° XXV)
1666. Dom. IX. post Trin. Matheus Baumann d. Leinenweber, Matthei Baumanns deß Leinenwebers Ehl. sohn v. Maria Joh. Iacob Herberlings Statt gerichts botten Wittib, Montag (i 138)

Les enfants Herberling vendent les trois quarts qui leur reviennent de la maison à leur beau père Matthieu Baumann

1675 (6. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 775
Maria Salome Herberlinin, hannß Thoman Kammen deß Metzgers Ehewib, mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, ferners H. Johann Jacob Herberling Schaffner der Carthaus, so dann Johann Carl Herberling SS Theol. stud. mit beÿstand erstgedachts herrn Johann Jacob Herberlingß seines noch ohnentledigtenn Vogts
in gegensein Mathis Baumanns deß Leinenwebers
dreÿ Vierte theil, ihnen denen Herberlinischen Geschwisterd. für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß hoffstatt, höfflin und allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit. alhier in der Blinden Gaßen einseit neben weÿl. Michael Vetters deß Amlungmachers, wittibin und Erben, anderseit neben Johann Jacob Redwitzen Not. Erben, hinden uff hannß Wurtzen Erben, daran der übrige ¼.te theil dem Käuffern Vorhien gehörig seÿe, und gehend Von der gantzen behausung iährlichen 10. ß und j. Cappen den Stifft St. Thomä, so seÿe solche behausung auch noch umb 20. lb dem Hospital Verhafftet – umb 150. fl

Matthieu Baumann se remarie en 1676 avec Anne Marie Haag, fille de cordonnier ; contrat de mariage, célébration
1676, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 61
Ehepacta Zwischen Mathæo Baumann, Leinenwebern v. Jfr. Annæ Mariæ Haagin
entzwischen dem Ehrsam v. bescheÿdenen Mathæo Baumann, leinenwebern burgern alhier
v. der tugendsamen Jfr. Annæ Mariæ weÿl. Hannß Caspar Haagen gewesenen Schuomachers, burgers alhier hind.lasenen dochter
So beschehen inn Straßburg utt Sontag den 12. Martÿ A° 1676.
[unterzeichnet] Mattes bauman alß hochzeiter, Johannes Böller, Pfundt Zoller vnd schimrgericht Schreiber

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v, n° 22)
1676. Eodem [29. Martÿ] Matthiaß Baumann leinen weber, Jungfr. Anna Maria Joh: Caspar Hagen des Schuhmachers vnd burgers hinterlassene Wittib (i 171)

Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit du vitrier Jean Georges Brand

1676 (17. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 478
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein hannß Georg Brandten deß Glasers – schuldig seÿe 150. fl.
unterpfand, hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der blindengaß, einseit neben weÿl. Michel Vetters deß Amlungmachers wittibin, anderseit neben H. Johann Friderich Redwitzen Notario, hinden uff hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behaußung auch noch umb 20. lb dem mehren Hospital alhier Verhafftet

Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit de la veuve Agathe Ursule Kolb

1680 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 595-v
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein Herrn M. Dominici Ringen Pfarrers Zu Bärstätt und Olvißheim, alß Curatoris frawen Agathæ Ursulæ Kolbin Wittibin – schuldig seÿe 50 fl
unterpfand, Hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der blindengaß, einseit neben Michael Vetters deß ammlungmachers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben herren Andres Mergilet Schaffners Zu den Rewerin, hinden uff Hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10 ß in geld und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin deß hierinn gemeldten debitoris nachgelaßene wittib, mit beÿstand hans Michael Braunwald deß Leinenwebers Ihres Vogts, angezeigt und bekandt, Nach dem deß debitoris hind.laßene Nahrung Zum falliment gekommen, und sich hervor gethan d. d.selbe an d. hierin verpfändeten behaußung nur dreÿ quart eÿgenthümblich gehabt, auch seiner Kind. darauff habend. prætension verschwigen, alß haben Er sich mit Ihro deß. wittib verglich., ane statt der hierinn verschriebenen 50 fl. Capital (…) Act. d. 22.ten 7.br 1690

Les syndics de la faillite de Matthieu Baumann vendent la maison à sa veuve Anne Marie Haag

1690 (5. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 529-v
H. Carl Obrecht, und H. Johann Caspar Böringer beede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer und auß deßen Mittel Zu Außweißung weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. Falliment insonderhait Deputirte
in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin ged. Baumanns hind. laßener Wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwald, auch Leinenwebers deren Vogts
Krafft der beÿ vorged. E. Ers. Kleinen Rath am 30.ten 7.br. jüngst beschehenen Außweißung Ihro Baumännischer wittib, alß jüngster Creditrici mit consens Übriger darauff versicherte gewesener Creditorum eÿgenthümblich cedirt und Uberlaß. haben, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. recht. Und Gerechtigkeit. allhier in d. Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, and. seit neben H. Johann Andres Mergilet, Schaffnern Zu S. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtzen Erben, auff welche dreÿ vierdte theÿl /:daran der übrige Vierdte theÿl Ihr Annæ Mariæ mit obged. Baumann ehelich erzeugten 2. Kindern gehörig:/ nachfolgender darauff versichert gewesene Creditores krafft vorgemeldter außweißung gewiesen worden, Nemblich das Stifft St. Thomæ allhier umb 10. jährig außstend. ewigen Ehrschätzich. Erblehen Zinß nemblich 5 lb 11 ß 4 d Jährlich à 10 ß, und dann weg. eines jährlich dahin schuldig Cappen, Item dem Mehrern Hospital allhier an 20 lb Capital vmb 15 lb daran die übrige 5 lb ged. Kind. zu leid. Item von 10 jährig verfallenen zinß. 10 lb Item (6 lb, 2 lb, 16 lb, 75 lb, 3 lb, 10 lb, 25 lb)

Anne Marie Haag hypothèque deux jours plus tard les trois quarts de la maison dont le dernier quart appartient à ses enfants au profit de son curateur le tisserand Jean Michel Braunwald

1690 (7. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 534-v
Anna Maria gebohrne Hagin, weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Carl Obrechts und Hn Johann Caspar Böringers beeder E:E: Kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Michael Braunwalds, deß Leinenwebers Ihres Vogts – schuldig seÿe 75 Pfund, daß Sie dreÿ Vierdte theÿl an nachbeschriebener behaußung beÿ außweißung obg. Ihres Verstorbenen Manns Falliment hat übernommen und die angewiesene Creditores damit außweißen können
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen anderen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten Und Gerechtigkeit. allhier in der Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, anderseit neben Hn Johann Andrea Mergileto, Schaffnern Zu St. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtz. Erben, daran d. übrige Vierdte theÿl Ihro der debitricis leiblich. Kindern i. Ehe gehörig, und seÿe gebe mann von d. gantz. behausung jährlich 10 ß und einen Kappen Ewigen Erschätzig. Erblehen zinß

Anne Marie Haag hypothèque la maison au profit des enfants du boucher André Ott

1691 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 33-v
Anna Maria gebohrne Hagin weÿl. Mathæi Baumanns gewesenen Leinenweber, nachgelaßene wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwalds auch Leinenwebers Ihres Vogts
hans Georg Magnus deß Metzgers alß Vogts weil. Andres Otten gewesenen Metzgers nachgelaßene 3. Kind. – schuldig seÿe 100 pfund Ihro Zu erkauffung nach beschriebenen unterpfands
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheilt an hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen den gebäuen, recht und Zugehördt. allhier in d. blindengaß einseit neb. weil. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers wittib und Erben and. seit neben H. Johann Andres Mergilet Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier, hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend, von welcher gantzen behaußung geh. jahr alt 10 ß Erschätzig. Erblehen Zinß, d. übrige Vierdte theil aber d. Debitricis leiblich. Kind. gehörig

Le chapitre Saint-Thomas vend 15 livres le domaine direct à Anne Marie Haag et à sa fille mineure

1696 (27. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 655
H. Johann Heinrich Feltz, J.U. Doctor et Professor, alß Canonicus E. wol Ehrw. Capituli deß Stiffts zu St. Thomæ und am 22.t huj. zu diesem geschäfft deputiret, beneben H. Johann Joachim Moseder dem Scribenten, im Nahmen H. Johann Jacob Moseders Schaffners zu St Thomä seines leibl. Vatters
Annæ Mariæ geb. Hagin, weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E.E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers Ihres Curatoris und Johannis Graffen deß Leinenwebers alß vogts Ihro Annæ Mariæ mit ged. Baumann erziehlt töchterleins Mariæ
d. dominum directum oder die Oberherrschafft eines haußes, hoffstatt eines haußes, hoffstatt und Höfflein, mit allen deren Gebaüen, recht. und zugehördt allhier in der blindengaß, einseit neben Daniel Höltzel dem holtzkarcher anderseit neben H. Johann Andreä Mergilet Schaffnern zu St Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend geleg. von welcher behaußung d. dominum utile oder die Erblehen gerechtigkeit Ihnen denen Kaüffern zu vorhin, und zwar der Mutter zu Sieben achten theilen, der tochter aber zum übrig. achten theil gehörig – das verkauffende Stifft (…) einen jährlich ewig. ehrschätzig. und fürbietig. zinß, nemblich 10 Schilling in geld und einen Kappen, jährlich auff weihnacht. soviel d. geld betrifft, den Kappen aber auff Martini zu lüffern – umb 15 pfund

Anne Marie Haag et sa fille Anne Marie Baumann vendent la maison au charretier Daniel Hœltzel et à sa femme Anne Scheer, déjà propriétaires de la maison voisine à l’angle de la rue des Aveugles et de la Grand rue

1697 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 2
Anna Maria geb. Haagin weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers seel. Nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers ihres Curatoris und Johann Graff auch Leinenweber alß Vogt Ihro Annæ Mariæ, mit ged. Baumann erzielten und Nachgelaßenen Töchlerleins Mariæ Salome
Daniel Höltzels, des Holzkarchers und Annæ geb. Scheerin
hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen übrig. deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten daran Ihro ged. Baumännischen wittib Sieben achte dem Töchterlein aber der übrige achte theil zuständig, und gelegen allhier in d. blind.gaßen, einseit neben denen Kauffenden Eheleuthen, anderseit neben H. Johann Andrea Mergilet, Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ Und Statt Richtern allhier hinten auf hans Würtzen Erben stoßend, davon gehend Jährlich 10 ß d in geld auff weihnachten und ein Kappen auff Martinj ewig Ehrschätzig und fürbietigen zinnßes dem Stifft St. Thomæ allhier, gegen Männiglichen freÿ leid und eÿgen, Inn maßen d. Verkäufer das dominum directum od. oberherrschafft, so ged. Stifft St. Thomæ auff jetzt verkaufftem hauß gehabt vermög CContract verschreibung Unterm 27. Xbr. 1696 an sich erhandelt – umb 175 pfund

Daniel Hœltzel épouse en premières noces en 1676 Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 171-v, n° 41)
1676, Augusti. Eodem [24.] Daniel Heltzel, Daniel Heltzels des Schirms Verwandten hinterl. ehl. Sohn v. Fr. Margaretha Michel Vetters des Burgers v. Holtzkarchers Alhier hinterl. Wittib (i 173)

Le charretier Michel Vetter épouse en 1654 Marguerite Mussler
Mariage, cathédrale (luth. f° 559, n° VI)
1654. Eodem [Dom. 29. Jan.] Michael Vetter der burger vnndt Holtzkarcher alhier, Vnndt J. Margaretha, weilandt Johann Mußlers des burgers vnndt holtzkarchers alhier, hinderlaßene Eheliche Tochter. Mont. 6. Feb. Münster, Spiegell, H. stub (i 307)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105-v, n° 5) 1654. Eod. [Dnca. 60. 29. Jan.] Michael Vetter der holtzkarcher vnd burger J. Margreth Johann Mußlers des holtzkarchers nachgelaßene eheliche Tochter, 6. Feb. im Münster (i 107)

Daniel Hœltzel se remarie en 1689 avec Anne Scheer, successivement veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 18)
den 24. Aug. A. 1689 seindt von mir Copulirt Worden Daniel Höltzel burger Vnd Holtzkarcher alhie Vnd Fraw Anna, Paul Weinschencken deß Weißbecken v. burgers allhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] daniel höltzell als hoch Zeter, dieses hat hiehergesetzt die hochzeiterin (i 19)

Jean Oswald Farrenschon épouse en 1664 Catherine Klettle originaire du canton de Zurich puis en 1676 Anne Scheer, originaire de Mittelbergheim qui devient bourgeoise quelques jours après son mariage
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132, n° XXI)
1664. Domi. Trin. Johannes Oßwald Varrenschon Kemmetfeger v. J. Catharina Joh: Jacob Klettlen bauren von Bonstetten Ziercher gebiets ehl. tochter (i 133)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v)
1676. 16. Eodem [Martÿ] Hanß Oßwalt Varrenschon des Caminfegers vnd burgers allhier v. Jungfr. Anna Scherin von Mittelbercken in d. Herrschafft Parr Caspar Scheren des Reebmanns daselbst Ehl: tochter (i 171)

1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 427
Anna Scherin Von Mittelbergheim, empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann Hanß Oßwald Farenschon dem Caminfeger p. 8. golt fl, welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist zuuor ledigen standts,gewesen, Jur. et promis. d. 20. martÿ 1676.

La veuve de Jean Oswald Farrenschon épouse en 1686 le boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203-v, n° 11)
1686. [1. Maÿ] Zu hauß copulirt worden, Paulus Weinschenck burger v: Weißbeck Fr. Anna Johann ostwald Farrenschons deß Kaminfegers alhie hinterlassene Wittib (i 216)

Fils de manant, Daniel Hœltzel devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
4° Livre de bourgeoisie p. 433
Daniel Höltzel der Holtzkarcher, weÿl. Daniel Höltzels des tagners vnd Schirms verwanthens seel: sohn, empfangt das burgerrecht von Margaretha, weÿl. Michael Vetters des Holtzkarchers seel. wittibin, seines haußfr. p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt ist zuvor ledigen standts gewesen vnd wird Zum spiegel dienen. Jur. 7. 7. br 1676.

Daniel Hœltzel meurt en 1705 dans sa maison Grand rue en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve s’élève à 1 136 livres, celle des héritiers à 445 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 419 livres, le passif à 1 586 livres.
1705 (22.6.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 26) n° 15
Inventarium über weÿland des Ehrenachtbarn und wohl vorgeachten Weißen Daniel Höltzels, geweßenen holtz Karchers und burgers zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1705. – nach seinem Mitwochs den 30. Monathstag Maÿ Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen. Welches alles auf gebührendes erfordern deßen per Testamentum instituirter Erben an nächstfolgendem blath benambßet und beschrieben, ersucht durch die Viel Ehr und tugendsame fraw Annam Höltzelin gebohrne Scheerin die wittib beÿständlich deß Ehren vorgeachten herrn Joachim Gerold, Caminfegers und burgers Zu Straßburg, Ihres geordnet und geschwornen Vogts, auf Zuvor erlaßen von unßern gn. Herren Räthen und XXI. eügens und Zeÿgens wegen ertheÿlte Ordnung, darüber besehen – Actum Straßburg, Montags den 22. Monats tag Junÿ Anno 1705.
Der abgeleibte seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Johann Friedrich Höltzeln; Schneidern und burgers alhier, welcher in Persohn zugegen geweßen, 2. und Johann Höltzeln ledigen Schloßern, welcher beneben Herrn Johann Göbeln Schloßern und burgern alhier deßen geordnet und geschworenen Vogten der Inventation in Persohn abgewartet.
Der verstorbene seel. hat Zwar auch Susannam gebohrne Höltzelin seines bruders dochter, und Mariam von Awenheim seine halb Schwester Zu Erben instituirt, die weilen solche bede aber vor dem abgeleibten seel. Verstorben ist solche Erbsatzung erloschen.
Deßgleichen hat er auch seinen halb bruder Johann Jacob von Auenheim instituirt, dieweilen man aber bereits beÿ Zwantzig Jahren nichts von Ihme vernommen württ derselbe für tod vermuhtet. Dieweilen aber der Wittib das usufructum omnium banorum verschafft, und die Erben ietzmahlen der Erbschafft hebhafft werden können, als würd dießes Zur Nachricht alhier vermeldet, darmit wann derselb wider Vermuhten annoch beÿ Leben sein solte, Ihme nichts præjudicirt, sondern seine Erbsgebühr ihme allenfalls nach geendigtem Wÿdemb gedeÿen möchte.

In hernach eingetragenen ae der langen straßen gelegenen behaußung, befunden worden wie folgt
Höltz: und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stuben, Im Obern haußöhren. In der Soldaten Cammern Auff dem gang, In der Cammer C, In der undern Stuben, In der Kuchen, Im Stall
Eÿgenthumb ane häußern (T.) Item ein vorder: und hinderhauß, sambt dem höffel, hoffstatt und Brunnen, sambt allen übrigen deren gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechten ane der Obern Straßen einseith ein Eck ane der Blindengaß (…)
(T.) Item hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten guths. Auß dem, über der Wittib und deß verstorbenen seel. in die Ehe gebracht Vermögen durch mich Notarium den 8. Septembris Anno 1689. auffgerichteten Inventario
Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 24, Sa. faß 5, Sa. Silber geschemeids 2, Sa. guldiner Ring 10, Sa. Eigenthumbs ane einem liegenden guth 6, Sa. Schulden 15, Sa. Ergäntzung (1167, Abgang 218 verbleibt) 948, Summa summarum 1146 lb – Schulden 10, Nach deren Abzug 1136 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 40, Sa. faß 15 ß, Sa. Schiff und geschirrs Zum Amlungmachen gehörig 1, Sa. Ergäntzung 478, Summa summarum 520 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 445 lb
Theÿlbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 41, Sa. Amlung, Schiff und geschirr dazu gehörig 12, Sa. Weins und Faß 78, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Eigenthum ane häußern 1212, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 66, Sa. Schuld 5, Summa summarum 1419, Schulden 1586 lb, Theilbahre passiv Schulden übertreffen Solch guth umb 167 lb
Stall Summ 278 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1425 lb

Sa veuve meurt en 1709 en délaissant pour unique héritière sa fille Anne Marguerite Farrenschon femme du boulanger Jean Bernard Stieffel. L’actif de la succession s’élève à 1381 livres, le passif à 295 livres.

1709 (24.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 18-a
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Annæ Höltzelin Gebohrner Scheerin Auch Weÿl. Herrn Daniel Höltzels, Geweßenen Holtzkarchers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr beeder seeligen, nachgelaßener wittib Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1709. – nach Ihrem den 12.ten Maÿ Jüngsthien, aus dießer welt Genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsame frawen Annæ Margarethæ Gebohrner Farrenschonin deß Ehrengeachten Johann Bernhard Stüffels, Weißbecken und burgers allhier ehelicher haußfrawen, als der Jetzt abgeleibten frawen seel. in Erster Ehe mit Weÿl. dem Ehrengeachten Johann Oßwald Farrenschon Geweßenen Caminfegern und Alhiesigen burgern auch seel. erzeugter dochter und ab intestato nachgelaßener Eintziger Erbin – Actum Montags den 24.ten Junÿ Anno 1709.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Straaß neben dem Blindengäßlein Gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Gehöriger Behaußung Befunden Worden wie volgt.
In der obern Vordern Cammer,
Eÿgenthumb ane häußern. Item 2/3 theil für ungetheilt Von und ane einerm Vorder und hinder hauß, s. dero höffl. hoffstatt u. Bronnen, auch übrig. gebäuen, begriffen, weithen, Rechten ane der obern straß, i. s. ein Eck ane der Blindengaß (…)
Item ferner 2/3 theil für ungetheilt Von und ane hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Wÿdumb, Welchen die Verstorbene seel. Von Weÿl. H. Daniel Höltzel geweßenen Holtzkarchern und burgers allhier Ihrem Verstorbenen letzten haußwürth seel. ad dies vitæ genoßen, davon das Eigenthum nunmehro auf Mr Johann Friedrich Höltzeln Schneidern und burgern allhier rückfällig erwachßen
Und bestehet dieser Wÿdumb in Volgend. beeden posten (…)
Rubricæ hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 58, Sa. Weins und Faß 36, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 10, Sa. Eigenthum ane häußern 808, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 105, Sa. Schulden 358, Summa summarum 1381, Schulden 295 lb, Nach deren Abzug 1086 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1325 lb

Daniel Hœltzel et Anne Scheer revendent 200 livres la maison qu’ils ont acquise en 1697 au pelletier David Dannbach et à sa femme Madeleine Spangenberg

1701 (14.4), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 200
Daniel Höltzel, der Holtzkarcher und Anna geb. Scheerin [unterzeichnet] daniel heltzell
in gegensein David Dambachs deß Kirschners und Magdalenæ geb. Spangenbergin mit beÿstand H. Georg Friderich Spangenbergs deß buchbinders ihres leiblich. Bruders [unterzeichnet] dauid dambach
Hauß, Hoffstatt und Höfflein mit allen übrigen deren Gebaüen, Begriffen, weithen, Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit allhier in der Blindengaß einseit neben den Verkauffenden Eheleuthen anderseit neben Hn. Johann Andrea Mergiloth Schaffnern zu S. Maria Magdalena und Stattrichtern allhier, hinten auf Hans Wurtz Erben stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 10 ß d in geld auff weÿhnacht. und Einen Kappen auff Martini Ewig, Ehrschätzig und fürbietig. zinßes dem Stifft St. Thomæ allhier – um 200 pfund

Fils du pelletier David Dannbach, David Dannbach épouse en 1697 Madeleine Spangenberg, fille de relieur, après avoir passé un contrat de mariage cité dans l’inventaire de 1708
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 79-v, n° 421)
1697. Mittw. d. 28. Aug. wurd. nach Zweÿmahliger Außruffung copulirt, David Dannbach, der lediger Kürßner v. B. allhier weil. Daniel Dannbachs des geweßenen Kürßners v. B. allhier nachgelaßener ehl. sohn, vnd J. Anna Magdalena, weil. Wohlfarth Spangenbergs geweßenen B. v. Buchbinders allhier nachgelaß. ehl. T. [unterzeichnet] dauid dannbach als hoch Zeiter, + ist der J. hochzeiterin Zeichen (i 79)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Chandelles. Ceux du mari s’élèvent à 143 livres, ceux de la femme à 237 livres.
1697 (3. 8.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 28) n° 31
Inventarium undt Beschreibung Aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheidene Meister David Dambach Kürßner und die Ehren und Tugendbegabte fraw Anna Magdalena Dambachin gebohrne Spangenbergerin, beede Eheleuthe und burgere zu Straßburg einander In den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen halben, weilen in den Zwischen Ihnen beeden auffgerichteten Ehepacten expresse Versehen, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung erservirt und unverändert seÿn und bleiben solle – Actum in der königlich. freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 3.ten Monatstag Octobris anno 1697.

In Einer In der Statt Straßburg In der heiligen Liechten Gaß gegen der becken herberg über gelegenen undt hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Des Manns in die Ehe gebrachte Eigenthümb. Mobilien, Sa. haußraths 53, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 143 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Eigenth. Vermögen, Sa. haußraths 108, Sa. Silbers 9, Sa. gld. Ring 6, Sa. baarschafft 15, Sa. Pfgzß hptguths 76, Summa summarum 237 lb
haussteuren 40 lb

Madeleine Spangenberg meurt sans postérité en 1708 après avoir nommé ses héritiers par testament. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 95 livres, celle des héritiers à 169 livres. L’actif de la communauté s’élève à 111 livres, le passif à 296 livres

1708 (3. 9.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 29
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendreichen Frawen Annæ Magdalenæ Dannbachin, Gebohrner Spangenbergerin, deß Ehrenhafften Mr David Dannbachs, Kürßners und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehelicher haußfrawen seel. Verlaßensch. auffgerichtet Anno 1708. – nach ihrem den 22. 7.br dießes Zuend lauffenden 1708. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der jetzt abgeleibten frawen seeligen per Testamentum instituirter Erben – Act. Sambstags d 3. 9.bris Anno 1708.
Die Abgeleibte Fraw seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Hn Georg Friderich Spangenbergern buchbinder, und burgern alhier, welcher Vor sich selbsten dem geschäfft in persohn abgewartet, für einen, 2. H. Johann Christoph Spangenbergern, auch buchbindern und alhießigen burgern, so ebenmäßig persönlich zugangen, Zum andern, 3. et 4.diejenige welche Eingangs gedachten Mr David Dannbach, deß Wittibers Künfftiger Zeit sive ab intestato sive per Testamentum instituite Erben sein werden, weilen dann Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin weÿl. Hn Johann Daniel Dannbachs geweßenen Kürßners und burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib als des Wittibers Liebe Mutter, und für dieses mahl ab intestato nechste und einzige Erben in persohn Zugegen, so hat dieselbe auch solche Erbschafft sofern sich angenmaßt, für den dritten und Vierten Theil.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Soldaten Cammer In der Wohnstub, In der Stubcammer, In der Küchen, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt und höfflein mit allen übrig dero gebäuwen, begriffen, weith. Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Stb. ane d. Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener W. 2.s. neben hß Martin Steinen dem blinden Mann würth hind. auff H. Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlich auff weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Cap: H. Georg Friderich Spangenbergers der Verstorbenen brud. sonsten ledig und eigen und über obangeregte beschwerden durch d. St. Stb. geschworne Würcklich, Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung Vom 28. 7.br Jüngst hiehero æstimirt per 72. Darüber Vorhanden i. perg. Kb. auß allhies Canc. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. und. schiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren d. 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, d 2. d. 27. Xbr A° 1696, der 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690.
Abschatzung d. 28. 7.bris aô 1708. Auf begehren herrn Davidt danbach Kirsner ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der blindten gaßen gelegen einseits neben Daniel höltzels Wittib, anderseits neben hern Martin Stein Wirt und gastgeber Zum blindtenmann, hienden auf hanns Geörg haubenstricker stosendt Welche behausung undt höffl. sambt aller gerechtigkeit wie solches durch dier statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Vier hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Ergäntzung der Erben abgegangenen unveränderten gutts. Vermög deß über beeder geweßener Eheleüth einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H. Stephan Cornelius Saltzmann den Notm. den 3. 8.br A° 1697. auffgerichteten Inventarÿ
Norma hujus Inventarÿ – Heüraths Verschreibung, perge in Prot: C fol. 734.b, Copia Testamenti nuncupativi, perge in Protocollo F. fol: 224. et seqq.
des Wittibers unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 2, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 4, Sa. Ergäntzung 85, Summa summarum 95 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeid 2 ß, Sa. Guld. Ring 3, Sa. Ergäntzungs Rest 142, Sa. 169 lb
Endlichen wird auch das Gemein verändert und Theilbar Gut beschrieben, Sa. Haußraths 16, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 23, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung 72, Summa summarum 111 lb – Schulden 296, Übertreffen also die Theilbare passiv Schulden der Vorhergeschriebene Gantze theilbar Verlaßenschafft dem Stall tax nach umb 185 lb
Summa finalis Inventarÿ 84 lb
Wÿdumb Welchen Herr Johann Jacob Heinrich der Geweßene Schreiner und burger alhier von Weÿl. Frawen Martha Gebohrner dannbachin seiner Verstorbenen haußfr. seel. ad dies vitæ Zugenießen hat, Wavon das Eigenthumb dem Wittiber pro rato verfangen. Vermög eines den 9. Martÿ 1689. (…) Getroffenen Vergleichs und respê Wÿdumbs auffrichtung

David Dannbach se remarie avec Marie Elisabeth Wagenmann, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1709 (18.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 270
Verglichene Heüraths: Puncten Zwischen dem Ehrenhafften Mr David Dannbach Kürßnern vnd burgers Zu Straßburg Als Hochzeitern an einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Jungfr. Mariæ Elisabethæ Wagenmännin, Weÿl. Mr Hannß Michel Wagenmanns, geweßenen Küeffers vnd burgers alhier seeligen hinderlaßenen Ehelichen dochter alß der Hochzeiterin am andern theil
Montags den 18. Februarÿ Anno 1779 [unterzeichnet] dauid dannbach Als hochithze

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 201-v, n° 894)
1709. Mittwoch den 10.ten apr. seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich copulirt worden, David danbach der ledige Kürschner, weÿland Daniel danbach, gew. Kürschners und burgers allhier nachgel. ehel. Sohn, und J. Maria Elisabetha weÿland Joh: Michel Wagenmanns, b. und Kieffers allhier nachgel. ehel. tochter, unter assistentz david dannbach Als hochzeiter, + (i 201)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari dont les apports présentent un déficit passif de 5 livres, ceux de la femme s’élèvent à 116 livres.

1709 (14. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 24
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Mr David Dannbach der Kürßner und die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Elisabetha gebohrne Wagenmännin beede Eheleuth und burgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung Wegen darnach Zu reguliren haben möchte – Actum Straßburg in fernerer p.senz Hn Johann Knoblochs Küeffers und Weinhändlers der Frawen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts und Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin deß Ehemanns geliebter Mutter Sambstags den 14. 7.br A° 1709

In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und dem Ehemann für unverändert Zuständiger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Eÿgenthumb an einer Behaußung. (M.) Item hauß, hoffstatt u. höfflein mit allen übrigen dero gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Stb. ane der Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener Wb. modo Bernhard Wb. modo Bernhard Stiffel dem Weißbecken ux: nôe. 2.s. neben hß Martin Steinen dem Blinden Mann würth hind. auf Hß Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlichen auff Weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig, Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Capital H. Georg Friderich Spangenberg. dem buchbindern als deß Ehemanns Schwagern sonst ledig eigen. Es ist aber dieselbe deß Orths ô Zu æstimiren, sondern wann Sie stehend. Ehe erkaufft werden solte dem erlößten pretio nach Zuergäntzen, Verglich. worden. Darüber Vorhand. i. perg. Kb. auß allhies. C. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. underschiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren der 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, der 2. d. 27. Xbr A° 1696, d. 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690. Wie auch eine Cessio dominj Utilis meliorationis et Juris Emphytteuitci m. wohlgemeltem C. C. Inns. Verw. und Datirt d. 15. Januarÿ A° 1644.
Norma hujus Inventarÿ – Eheberedung den 18. febr: Anno 1709. vor mir Notario verschrieben Zu befinden
Des Ehemanns unverändert Guth, Sa. haußraths 65, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 2, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. baarschafft 5, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung (-), Sa. Schulden 2, Summa summarum 82 lb – Schulden 87, die passiva übertreffen des Ehemanns unveränderte Nahrung umb 5 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 42, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. Guldiner Ring 5, Sa. baarschafft 5, Sa. der Schulden 59, Summa summarum 116 lb – Haussteuren 12 lb

David Dannbach demande son admission à l’hôpital, que refusent les Conseillers et les Vingt-et-Un parce qu’il a des enfants. Il est renvoyé à l’aumône Saint-Marc
1730, Conseillers et XXI (1 R 213)
David Danbach Wird an St. Marx Verwießen. 171.
(p. 171) Montag d. 19.ten Junÿ. Mosseder Nomine gegenwärtigen David Danbach des hiesigen burgers und Kürßners producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿlagen Sub Num. 1. 2. 3. et 4. umb gnädiger Auffnahm in den Hoßpital handelt innhalts.
Ist Erkandt, wird das begehren abgelehnt, in ansehung der Implorant noch seine frau So eine Wascherin, und dabeneben Kinder hat, welche ihm beÿspringen können, Jedoch derselbe Wegen seiner dürfftigkeit Zu erhaltung eines Wochentlichen Allmoßens an St. Marx Verwießen. Deputati H. Rht. Garand und H. Rht. Brew.

David Dannbach meurt à l’âge de 66 ans en 1734
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1719-1755 f° 51)
1734. Mitwochs d. 3.t Febr. morgens Früh ist in in s. Erlößer J. Xt sanfft u. seelg eingeschlaffen David Dambach b. und Kürschner allhier, wurde Donnerstags darauff ehr. Zur erden bestattet auff d. gottes acker St. Helen. s. alters 66 jahr 8 monath und 6 tag deßen seind Zeugen Johann Daniel Männel als schwager, Johann Niclaus wagenmann (i 55)

La maison est vendue par adjudication judiciaire le 18 juin 1731 (référence à l’inventaire des apports dressé en 1744, infra) au paveur Jean Sigfrid et à sa femme Anne Susanne Lemorm.
Jean Sigfrid fait son apprentissage chez son oncle Jean Frédéric Sigfrid de 1709 à 1712. Il est reçu tributaire chez les Maçons le 27 août 1714.

1710, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
Johann Sÿfrid, Pflästerer
(f° 90-v) Mittwochs den 5.ten Martÿ A° 1710 – Inscription I.s Pflästerer Jungens – Joh: Friedrich Sÿfrid, der Pflästerer stellt vor Johann Sÿfrid, Seines bruders seel. Sohn , bittet Inscription maßen er Ihne auf dreÿ Jahr lang das Pflästerer handwerck Zulernen auf und angenommen, und solle die Lehrzeit den 5.ten 7.br. 1709. Ihren Anfang und auf gemelten termin 1712. Ihre endschafft nehmen, v. verspricht der Mstr. den Jungen Wochentlich 15. ß d. Costgelt, er arbeite ou. nicht.
Erk. gegen erlag der gebühr willfahrt (dt. 13. ß d – außgethan d. 12.ten 7.br. 1712)

(f° 136) Montags den 12.ten Septembr: A° 1712 – Außgethaner Pflästerer Jung
Mstr. Joh: Frid. Sifrid, der Pflästerer erscheind mit Johann Sÿfrid seinem geweßenen Jungen, und bitt, weilen desen Lehrzeit Vorbeÿ, Ihne ledig Zu sprechen.
Erk. und gegen erlag der gebühr Willfarth.

(f° 168) Montags den 27.to Augusti A° 1714 – Neu Zünfftiger
Johannes Sÿfrid, der Pflästerer, Weÿl. Joh: Sÿfrid hinterlaßener Ehel. Sohn prod. Stall schein vom 18.ten Julÿ A° 1714. und bitt umb seines Vatters recht. Erk. und Willfarth (Zunfft 5 ß, Zsch u. b. 4 ß, Summa 9 ß)

Fils du paveur Jean Sigfrid, Jean Sigfrid épouse en 1714 Anne Susanne Lemorm, fille de l’éclusier Pierre Lemorm et de sa femme Anne Marie Schrœderin (filiation donnée par l’inventaire après décès des parents). La minute du contrat de mariage n’est pas conservée. Le mariage est célébré le 26 avril 1714 par le pasteur de Kehl (Jean Siffert, fils de Jean Siffert, et Anne Susanne, fille de Pierre Lemorm, voir BCGA n° 104)
1714, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) N° 74
Eheberedung – Johann Siegfrid, ledigen Pflästerers
und Jungfrauen Annnä Susannä le Morm

Jean Sigfrid et Anne Susanne Lemorm hypothèquent la maison au profit de la mineure Madeleine Brohm

1733 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 607 n° 9
Johannes Siffrid der Pflästerer und Anna Susanna geb. Le Mormin beÿständlich ihres schwagers Alexander Kretzmeÿer des Metzgers und ihres bruders sohns Samuel Le Morme des Porcelan: Mahlers
in gegensein Johann Georg Ernst Nagel als vogts weÿl. Jacob Brohm des Nagelschmidts einigen töchterleins letster ehe Magdalenæ geb. Bromin – 25 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Blindengaß, einseit neben H. Johann Valentin Juncker E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer anderseit neben hannß Martin Stein dem würth zum Blinden Mann hinten auff NN den Kieffer – davon gibt man dem Stifft zu St Thomä 10 ß und einen Capaunen in Federn ahne ehrschätzigen zinnß

Jean Sigfrid meurt en 1742 à l’âge de 51 ans. La minute de son inventaire n’est pas conservée

1742, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1745
Inventarium über Weÿland Meister Johannis Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers alhier zu Straßburg seel. Verlassenschafft

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1714-1780 f° 81-v)
1742. Donnerst. d. 17 Maji 8.. matut. starb Johannes Siegfridt Stadtpflästerer und b. h. l. natus 1690. d. 29. (-) alt 51. j. 7. M. 2. W. 4. tag deme ich M. J. J. Graff diac. Freÿt. seq. Zu St. Helenæ parentirt [unterzeichnet] Johann PeterSiegfriedt als Sohn (i 83)

Anne Susanne Lemorm hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Faust, receveur de l’hôpital

1742 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 489-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme weÿl. Johann Siefferts des Pflästerers wittib mit beÿstand ihres vogts Philipp Albrecht Marzolff des leinenwebers
in gegensein des Mehrern Hospitals schaffners H. Johann Friedrich Faust J.U.L. – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der Blindengaß einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N. N. hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – davon gibt man dem Stifft St Thomä 10 ß in geld und einen Cappen ane bodenzinß

Anne Susanne Lemorm se remarie en 1744 avec le boulanger Jean Jacques Braun.
Boulanger et fils de boulanger, Jean Jacques Braun se marie en 1724 avec Anne Barbe Vogel, fille de barbier : contrat de mariage, célébration
1724, Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 17
Eheberedung – Zwischen dem bescheidenen Mstr Johann Jacob Braun dem ledigen Weißbecken undt burgern allhier hochzeitern ane Einem, So dann der Ehr: undt Tugendsamem Jungfr. Annæ Barbaræ Voglerin herrn Johann Friderich Vogells deß Chirurgi undt Wundartzten auch Burgers allhier Ehelicher dochter der Jfr Hochzeiterin andern theills
actum Straßburg auff Mittwoch den 1. Martÿ a° 1724 [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, Anna Barbara Vogelin als hoch Zeiterin
(grosse, Not. Abraham Kolb, 22 Not 29)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 102-v, n° 11)
1724. Mittw. d. 26. April: wurden nach Zweÿ: mal. proclamation Ehel. copuliret v. Eingesegnet Johann Jacob Braun, lediger burger v. Weißbeck alhien H. Joh: Friderich Braun, burgers v. Weißbecken alh. Ehel. Sohn, vnd Jgfr. Anna Barbara H. Joh: Friderich Vogels, burgers vnd Barbierers alhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, Anna Barbara Vogelin Als hochzeitterin (i 104)

Fils du maître de tribu en fonction, Jean Jacques Braun est reçu tributaire chez les Boulangers en février 1723
1723 (16. Xbr), Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 404) Donnerstags den 16. Xbris 1723 – Neuzünfftiger
Johann Jacob Braun, H. Friderich Braunen deß Nunmahligen Zunfft Meisters Ehelicher Sohn stehet vor undt producirt Stallschein Vom 13. Febr. 1723. mit Ersuchen alß Einen Zünfftigen anzunehmen, undt seines Vatters recht gedeÿen Zulaßen, so ihme uach gegen der gebühr willfahrt worden (4 lb 5 ß)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison près de l’église Saint-Pierre-le-Vieux. Ceux du mari s’élèvent à 404 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1729 (2.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 24) n° 555
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Herr Johann Jacob Braun der Weißbeck und die Ehren: und tugendsahme frau Anna Barbara gebohrne Vogelin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der vrsachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und vorbehalten seÿn solle – So beschehen in Straßb. in præsentia H. Johann Friderich Vogels, barbierers und wundartztens v. burgers allhier Zu Straßburg der Ehefr. eheleibl. Vatters, auf Donnerstag den 2.ten Junÿ 1729.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß nahe beÿ der Kirchen zum alten St Peter gelegener und in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden Word. wie volgt
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Frau Anna Catharina Braunin gebohrne Hohin, Weÿland herrn Friderich Braunen geweßenen Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib des Ehemanns Stieff Mutter Wegen gedachtes Ihres Stieff sohns ad dies vitæ usufruiren hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium illatorum gehörig. Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußrath 85, Sa. weins und lähren Vaßes 2, Sa. Silbers 9, Sa. baarschafft 253, Summa summarum 351 lb – Dazu ist ferner zurechnen die helffte an denen Verehrten haussteuren 53, Des Manns in die Ehe gebracht Guth dem billichen Werth nach 404 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 168, Sa. Silbers 13, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 301 lb – Dazu kombt ferner d. halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 53, Der Frauen in die ehe gebracht Vermögen in vero pretio 354 lb

Jean Jacques Braun obtient le droit de vannage que détenait Thiébaut Hummel en 1741
1741 (17.5.), Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 147-v) den 17. Maÿ 1741 – Johann Jacob Braun meelmann dahier bittet Ihme wegen des gekörns das Wannenrecht zu accordiren.
Erkandt seÿe Ihme Diebold Hummels recht zugestatten, hingegen Er dessen Extantzen mit 6 ß nebst anderer gebühr Zu Entrichten so Er auch gleich Erlangt hatt.

La tribu des Boulangers autorise le farinier Jean Jacques Braun à devenir boulanger
1742, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 12-v) Mittwochs den 5. Decembris 1742 – Handwercks veränderung
Johann Jacob Braun der bißherige Meelmann undt becker will sein Meelweßen in das Schwartzbecken verändern, bittet umb gerichtliche permission, Erkandt, Kan ihme gegen der gebühr nach ordnung willfahrt seÿn (1 lb.)

Anne Barbe Braun meurt en 1742 en délaissant sept enfants dont le plus jeune meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé dans une maison de location à la Krutenau. La masse propre aux héritiers s’élève à 735 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 58 livres, le passif à 791 livres.
1743 (24.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 57) n° 1305
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Ehren und tugendsahme frau Anna Barbara Braunin gebohrne Vogelin, des Ehren und wohl vorgeachten Mr Johann Jacob Braunen des Schwartzbecken und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau, nunmehr seelige, als dieselbe Dienstags den 4. Monatgstag Decembris des Zurückgelegten 1742.sten Jahres dießes Zeitlichein das Ewige Verwechselt nach solch Ihrem aus dießer welth genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Meister Georg Eckel haußfeurers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs, Johann Daniels, Susannæ Barbarä, Mariä Catharinæ, Johann Georgs, Mariä Elisabethä und Johannis der Braunen, alle Sieben der Verstorbenen frauen seligen mit vorgedachtem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßner Erben, davon aber Johannes des jüngste gleich* solch seiner Mutter seel. Ableiben auch seelig verschieden und von seinem vatter als dem hinterbliebenen Wittiber geerbet worden – Geschehen in Straßburg auf Freÿtag den 24. Maÿ Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg ane d. Vorstatt Krautenau gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnveränderten guts. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1729. durch mich unterschriebenenen Notm. auffgerichtet
Abzug In Gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 685, Summa summarum 735 lb
Des Wittibers ohnverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 55, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Summa summarum 58 lb – Schulden 791 lb, In Vergleichung 732 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 630 lb. Wann aber des wittibers Passiv: Schulden Rest hievon abgezogen wird, 627 lb, So wird endlichen an dießes Inventarÿ gantzer Verlaßenschafft in allem annoch per rest übrig verbleiben, welches die Stall Summam deßelbig. außmacht 2 lb

Le boulanger Jean Jacques Braun épouse Susanne Lemorm veuve du paveur Jean Sygfrid : contrat de mariage, célébration
1744 (30.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 39
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Mstr Johann Jacob Braun dem Schwartzbecken burgern undt wittibern dahier Zu Straßburg, alß hochzeiter ane Einem,
So dann der Tugendsamen Fr. Susanna Sÿffertin gebohrne Lemormin weÿl. Johannes Sÿfferts des geweßten Pflästerers auch burgers dahier hinderlaßener Wittib d. hochzeiterin andern theills
Actum Straßburg auff Donnerstag d. 30.ten Julÿ 1744. [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, + der hochzeiterin gemachtes Zeich.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 173-v)
1744. Dom. VIII et IX post Trinit. proclamati sunt Joh: Jacob Braun, Hausfeurer u. burger h. l. u. Fr. Anna Susanna geb. Lemorm, weÿl. Johannrs Siefert, gew. pflästerers u. b. h. l. copulati Mittw. d. 5. Augusti [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, x hiemit Zeügt Fr. hochzeiterin [in margine :] † hæc Sambst. 3. 9.br 1759, † illa Sambst. 29. Mertz 1760. (i 178)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’épouse rue des Aveugles. Ceux du mari s’élèvent à 66 livres, ceux de la femme à 384 livres.

1744 (7.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 4) n° 83
Inventarium über die Jenige Nahrung so Mstr. Johann Jacob Braun der Schwartzbeckh undt Fr. Susanna Sÿffertin gebohrner Mormin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zue Straßburg Einander für Unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgericht a° 1744. (…) und Zwar die Ehefrau mit beÿstand Philipp Albrecht Martzolff deß Leinenwebers und burgers dahier ihres noch ohnveränderten vogts – Actum Straßburg auff Freÿtag den 7. Augusti an: 1744.

In einer allhier Zu Straßb. ane der Blindengaß gelegene der frau Wittib zuständig. behaußung hat sich befunden wie folgt. des Ehemanns Nahrung in deß. wohnbehaußung am gaulstad. in der Crautenaw
Eigenthumb ane einer behaußung, so der Fraw zueständig. Eine behaußung Hoff, Hoffstatt undt höfflein, m. alleen derenselben rechten, undt gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Blindengaß eins. Neben Abraham Schätzell dem würth Zum Blindenmann, 2.s neben Philipp Cortier dem Krempen, hinten auff Johann hardschmidt den Kieffer stoßend davon gibt mann jährlichen 10 ß in geltt undt einen Cappen bodenzinß dem löbl. Stifft St. Thomä, maht Zu doppeltem Capital gerechnet 60. lb
Undt ist sothane behaußung dermahlen allhier ohnpræjudicirlich angeschlagen worden umb 1200. fl. th. 600 lb. Darüber besagt ein perg. ganth Kauffbrieff m. E. E. Kl. Raths anhangendem Insiegell verwahrt datirt den 18.ten Junÿ 1731. mit Lit. A. signirt
deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 57, Sa. Werckzeug Zum beckh. handwerck 6, Sa. Früchten Meeel u. Kleÿen 14, ß Schwein 4, Sa. Silbers 1, Summa summarum 84 – Schulden 18 lb, Compensando 66 lb
Was nun Er der Ehemann seinen Kindteren voriger Ehe ane Mütterlichem guth undt vor paten geltt schuldig so sit deßen annoch zu erkündigen, maßen mir Notario davon nichts ad conceptum angeben worden
der Ehefr. Nahr. Sa. haußraths 92, Sa. Silbers 1, Sa. gold. Ring 10, Sa. behaußung 600, Summa summarum 703 lb – Schulden 319, Verbleiben 384 lb
Was nun ihro der Ehefrau von ihres vorig. Ehemanns seel. Verlaßenschafft wÿdumbs weiß alß auch dero beed. töchteren prælegats undt deß. ab intestato Erben Erbßweiß Zu kommen trag. so berufft sich hr. Nots. Hoffmann welcher deßen Verlaßenschafft in anno 1742. fol. 55.a auff eine anderwärtige berechnung, so zum bericht
haussteuren 2 lb

Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun hypothèque la maison au profit de Jacques Minck pour pouvoir construire un nouveau logement

1746 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 33
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des Haußfeurers ehefrau
in gegensein Jacob Minck des kräutlers – zu bauung einer neuen wohnung in hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihr vor unverändert gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane der behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N. Hartmann den kieffer

Elle hypothèque à nouveau la maison quelques mois plus tard au profit des mineurs Hæss pour pouvoir réparer la maison

1746 (18.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 914
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns ehefrau [unterzeichnet] +
in gegensein Johann Christoph Rooß des huthmachers als vogts Caspar Häß des schiffmanns zweÿer kinder Dorotheæ und Salome der Häß – zur reparation hiernach beschriebener behausung, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihro vor unvertheilt gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N Hartmann kieffer

Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun et sa fille en premières noces hypothèquent les deux tiers indivis de la maison au profit du tailleur Jean Christophe Walch

1747 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 47-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns und dero in erster ehe mit weÿl. Johann Sigfrid des Pflästerers erzeugte tochter Jgfr. Susanna Margaretha Sigfrid mit beÿstand Johann Philipp Martzloff des leinenwebers
in gegensein Johann Christoph Walch des schneider – theils ane repararation hiernach beschriebener behausung theils zu ihrem anderwärtigen gebrauch, schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N dem krempel, hinten auff N. Hartmann den kieffer

L’appariteur Jean Jacques Braun produit un certificat qui atteste qu’il quitte la tribu des boulangers pour pouvoir s’inscrire à celle de la Mauresse en qualité de marchand de fruits et légumes
1756 (20.7.) Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 344) Dienstags den 20.ten Julÿ Anno 1756 – Neuer Leibzünfftiger Gümpel Käuffler
Johann Jacob Braun, der Fausthammer und burger alhier welcher weiland Johann Seÿfridt gewesenen Pflästerers und burgers alhier hinterlaßene Wittib der dißorts leibzünfftig gewesene Gümpel Käuflerin geheurathet, producirt Stallschein vom heütigen dato, vermög deßen er E. E. Zunft der Becker quittiret, bittet ihme das Zunfftrecht Gümpelkäufler Recht Zukommen Zu laßen.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt, dedit.

Susanne Lemorm meurt en 1759 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 200 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 218 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 102 livres, le passif à 942 livres.

1760 (5.2.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 90
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Susannä Braunin gebohrner Lemorm, Johann Jacob Braun des Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1760. – nach ihrem Sambstags den 3. Novembris des Zurückgelegten 1759.ten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern und begehren erstgemelten Johann Jacob Braun des Wittibers wie auch der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit auch weÿland meister Johann Sigfrid dem geweßenen Pflästerer und burgern allhier ehelich erzeihlter noch lebender tochter und Verstorbenen Sohns und töchter seel. hinterlaßenen Kinder alß dißortiger Enckel und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen Straßburg Dienstags den 5.ten Februarÿ Anno 1760.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen weÿland Johann Peter Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers allhier in Zwoen Ehen erziehlte und nach tod verlaßene Zweÿ Kinder alß Enckel 1. Susannam Margaretham Sigfridin welche derselbe in erster Ehe mit auch weÿland frauen Susanna Margaretha gebohrner Häffelin ehelichen erziehler, so sich in allhießigem Evangel. Waÿßenhauß befindet, in deren Nahmen H. Frantz Ludwig Etter des Evangelischen Waÿßen Vatter beÿ dießem geschäfft erschienen und 2. Jgfr. Magdalenam Sigfridin, so ohnefähr 8 Jahr alt dießer Sohn seel. in zweÿter Ehe mit Frauen Anna Maria gebohrner Meÿerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelicher erziehlet davon geordnet und geschworener Vogts ist H. Samuel Lemorm des mahlers und burgers allhier so dießer Inventur beÿwohnete.
Zweÿtens wÿland Frauen Susannä Margarethä gebohrne Sigfridin die ältere Tochter seel. in erster Ehe mit auch weÿland Niclaus Lang dem geweßenen amlungmacher und burgern alhier erziehltes Söhnlein Nahmens Niclaus so sich in allhießigem Evangelischen Weÿßenhauß befindet in deßen Nahmen vorgemelter H. Etter der Evangelische Waÿßenvatter erschienen
So dann drittens Frau Catharinam Salome Eggerin gebohrne Sigfridin mstr. Christian Eggers des Spenglers und burgers allhier eheliche haußfr. beede dießem geschäfft beÿwohnende, Alßo alle der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit eingangs gemeltem Johann Sigfrid ihrem ersten Ehemann seel. erziehlte noch lebende tochter (…) zu gleichen portionen haupt: und Stammtheilen verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane der Blinden gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 5-v) Eigenthumb ane einer Behaußung. (E.) Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung höfflin und hoffstatt mit allen deren gebeüen begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß einseith neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blinden Mann anderseit neben H. Bortmann dem fastenspeishändler hinten auf H. Johann Hartmann den Kieffer stoßend gelegen, von welcher völligen behaußung man Jährlichen 10. ß in geld und einem Kappen bodenzinß Löbl. Collegiat Stifft St. Thomä allhier zu lieffern schuldig, sonsten ist dießelbe über hernach eingetragene passiv: Capitalia gegen männiglichen freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) außweißlich des zu mein Notarÿ Concept geliefferten schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 18. Januarÿ 1760. angeschlagen worden vor 400. lb. Woran dißortiger dritte theil antrifft so hier außzu werffen, 133. 6. 8. Die übrige zween dritte theil seind denen Erben Vor anerstorbenen vätter: und respe. großvätterlich guth zuständig, so hernacher ins besondere beschrieben werden. Über die Völlige Behaußung besagt ein teutscher perg: ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insiegel verwahrt, datirt den 18.t Junÿ Anno 1731.
(f° 6) Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag der über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch nunmehro weÿland Hn Notarium Abraham Kolb seel. in Anno 1744. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 12) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Derer Erben ohnverändert guth, Sa. Haußraths 18, Sa. goldenen rings 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 133, Ergäntzung witd passive übertroffen (97), Summa summarum 153 lb – Schulden 372 b, In Vergleichung, passiv onus 218 lb
Dießemnach wird auch des Wittibers ohnverändert und zugleich das gemein Verändert und theilbar guth weilen die Erben beÿ so übel bestanden umbständern auf das letztere tam active quam passive renunciren werden unter einem titul als deßelben Nahrung gehörig beschrieben, Sa. haußraths 5, Sa. activ Schulden 97, Summa summarum 102 lb – Schulden 942 lb, In Vergleichung 840 lb
Mehr Schulden dann guth 778 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers Nahrung zugeltend 73 lb
Copia der Eheberedung (…) den 30. Julÿ Anno 1744, Abraham Kolb

Vente de meubles quelques mois plus tard après la mort de Jean Jacques Braun
1760 (2.10.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 92
Verkauf und Erlös Register über Weÿland Johann Jacob Braun des geweßenen Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßener Mobilien und Effecten, welche den 21. Octobris Anno 1769 (…) verkaufft worden

Tuteur de la fille issue du deuxième mariage de Jean Pierre Siegfried, Jean Samuel Lemorme vend sa part de maison au ferblantier Jean Chrétien Eger (mari de la fille cadette d’Anne Susanne Lemorm

1761 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 204-v
Johann Samuel Lemorme der mahler als vogt weÿl. Johann Peter Siffert des pflästerers tochter Magdalena Siffert
in gegensein Johann Christian Eger des spenglers
ein 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten ane der Blindengaß, einseit neben N. Portmann dem fastenspeishändler, anderseit neben Abraham Schätzel, hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – um 30 pfund

Chrétien Eger et Catherine Salomé Siegfried hypothèquent la maison au profit du marchand de farine Georges Bubenhoffer

1767 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 258
Johann Christian Eger der spengler und Catharina Salome geb. Siegfriedin mit beÿstand H. Johann Jacob Conrad des fastenspeishändlers und Johann Jacob Conrad des frippier beede ihren nächsten
in gegensein H. Georg Bubenhoffer des meelhändlers – 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Blindengaß, einseit neben N. Portman dem fastenspeishändler, anderseit neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blindenmann, hinten auff Johann Hartmann den kieffer

Les experts estiment la maison 200 livres à l’inventaire dressé en 1776 après la mort Catherine Salomé Siegfried femme du ferblantier Jean Chrétien Eger
Jean Chrétien Eger meurt en 1803 en laissant pour seule héritière sa fille Frédérique Salomé, femme du tailleur de limes Jean Georges Rœmer.

1802 (8 germinal 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 730, 1304
Inventarium über des weÿl. Bürgers Johann Christian Egger gewesenen ehemaligen Spengler Vermögens Nachlassenschafft, nach seinem den 28. nivos X erfolgten Absterben, auf ansuchen deßen Wittib der bürgerin Anna Elisabetha geb. Scharbach beiständlich des brs Johann Wilhelm Rautenstrauch Greffier bei dem Friedens Gericht des ersten Gerichts: bezircks und der bürgerin Friderica Salome geb. Egger des bürgers Johann Georg Roemer Feilhauers Ehegattin des Verstorbenen einiger tochter und Universal Erbin in seiner ersten Ehe mit weÿl. Frau Catharina Salome geb. Siegfried erzeuget hat

der Wittib unveränderten vermögen, hausrath 192 fr, silber 13 fr, goldene ringe 12 fr, angelegtes Capital 978 fr, Ergäntzung Not. Saltzmann 25. maÿ 1781, 134 fr, abzuziehen 114 fr, per rest 20 fr, summa summarum 1217 fr
der Tochter und Universal-Erbin unverändertes Gut, hausrath 335 fr, Werckzeug 42 fr, silber 29 fr
Eigenthum an häusern so der Erbin unverändert. Erstlich zween dritte theile für ohnvertheilt von und ane einer einstöckigten kleinen behausung mit N° 2 bezeichnet samt hoffstatt höfflein Gemeinschafft des bronnens der bauchküche und des s.v. Privets mit allen zugehörden und Rechten an dem Jung St Peter Kirchgäßlein einseit neben des brs Johann Georg Schmid Meelhändler Ehefrau Erben anderseit neben des brs Christian Friedrich Klüpfel Säcklers Wittib und Sohn hinten auf den b. Johann Heinrich Conrad tabakhändler, verlehnt an den br. Wittersom Wurstmacher 168 fr, in capital 3360 fr, für zwo terzten 2240 fr
Item zwo terzten für ohnvertheilt an einer zweÿstöckigten behausung ohne Nummer nebst Seiten: und hinte: Gebäuden hoffstatt höflein Gemeinschafft des bronnens und der bauch küche zugehörden und Rechten gelegen an erstberührtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben dem br. Klüpfel anderseit neben dem hiernach beschriebenen häußlein hinten auff den br Conrad
Item zween dritte theil für ohnvertheilt von und ane einer zweÿstöckigten behausung mit N° 4 bemerckt samt der hoffstatt auch übrigen zugehörden und Rechten an gesagtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben nächst vorstehendem haus anderseit neben br Johann Michael Jost Eisenhändler hinten auf eben denselben, die beÿde letztere häuser sind verlehnet und ertragen jährlich an zinns br. Freÿdinger der Wirth 272 fr, br. Weil der Colporteur 240 fr, br Rother Gremp 100 fr zusammen 612 fr. in Capital 12 240 fr, die zween dritte theil 8160 fr, Über obige 3 häuser lauten 5 Kaufbrieff in der C.C.Stub de dais 28. Aprilis 1695, 8. Aprilis 1774, 10. Decembris 1778 und 12. Martÿ 1779, Mehrer bericht darüber der Eggerischen Eheleute Inventarium illatorum durch Notarium Saltzmann den 25. Maÿ 1781
So dann zwo tertzen für ohnvertheilt von und ahne einer behausung mit N° 22 notirt samt der hoffstatt einem höflein auch allen übrigen zugehörden und Rechten an der Blindengaße einseit neben br Johann Georg Blöchel hauslehrer anderseit neben br. Schäffer Schuemacher hinten auff br. Johann Adam Knab hutmacher, Von der gantzen behausung auf den 6. nivose der hiesigen verwaltung St Thomä 2 fr in geld und einen Cappaun in Federn an ewigem ehrschätzigem und fürbietigem zinnß, ertragt an zinns br. Näß der buchdrucker 60 fr, br. Spinner Schuemacher 60 fr, br. bollet der Gerber: taglöhner 48 fr, br. Spielmann der Schneider 40 fr, summa 208 fr in Capital 4160 fr, für zwo tertzen 2773 fr, darüber vorhanden Ganth Kaufbrieff vom 16. junÿ 1761
die übrige tertz an allen vorbeschriebenen häusern ist der diesortigen tochter als universal Erbin als ererbtes mütterliches Gut gehörig
Summa häusern 13 173 fr, Ergäntzung 7752 fr, abzuziehen 2222 fr, Nach deren Abzug 5529 fr, summa summarum 19 108 fr
Theilbare Masse, hausrath 206 fr, Wein 240 fr, silber 4 lb, Weißblechner waare 98 fr, baarschafft 1341 fr
Eigenthum an einer behausung so in die theilbare Massam gehörig
Nämlich eine behausung mit N° 18 bemercket samt hof hoffstatt bronnen auch allen mit allen deren übrigen zugehörden und Rechten zu Straßburg an der Pergamentergaße ohnfen dem bierhaus zum Rosenkrantz einseit neben br. Johann Daniel busch Gastgeber anderseit neben Johann Jacob Aÿle des beckers Ehefrau Catharina Salome geb. Imber hinten auff gedachten br. busch, an jährlichem zinns erträgt br. Wendling Schuhmacher zahlt 60 fr, Meyer buchdrucher 60 fr, Lux buchhändler 60 fr, Abend Schuhmacher 48 fr, Paulus Schuhmacher 48 fr, Stangel Schreiner 48 fr, Kößler bedienter 48 fr, Waßermann Mahler 40 fr, blind buchdrucker 40 fr, Spahn Maurer 40 fr, summa 492 fr in Capital 9840 fr, über diese behausung Kauf Contract under C. C.Stube de datis 17. Augusti 1602, 1. Martÿ 1654, 28. Julÿ 1687, 17. Sept. 1711, 20. Januarÿ 1780, Mehrere bericht aber ist in der Wittib verstorbenen erstern Ehemann des weÿl. brs Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Verlassenschafft Invetar. durch Notarium Saltzmann im Jahr 1777 aufgerichtet zu finden
summa summarum 11.730 fr, passiv schulden 11.671 fr, Nach deren Abzug 58 fr
(n° 2205) Liquidatio Eroerter: und General Abrechnung – Eigenthum an einer behausung so in die teilbare Massam gehörig alhier in der Pergamenter gaße gelegen mit N° 18 bezeichnet wie der tochter und der wittib abgeredet und verglichen, daß die Wittib für und anstatt des ihr in dem 5.t Punct der Eheberedung von dem Verstorbenen zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spengler Werckzeug auf deßen Genuß die Wittib verzichtet gethan hat, in dieser behausung lebtägig zinnsfrei zu besitzen zu bewohnen und zu geniesen berechtiget seÿn solle auf dem ersten Stock eine Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, diese Wohnung gewürdiget für eine jährlichen zinns von 60 francs, 20 fri 12
Letzten willen, Ich unterschriebener Johann Christian Egger will hiemit daß meine Ehefrau Anna Elisabet geb. Scharbach insofern sie mich überleben wird anstatt meines ihr in unserer Eheberedung zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spenglerwerckzeug bis an ihres lebens Ende in meinem an der Pergamenergaß gelegenen behausung N° 18 auf dem ersten Stockwerk neben dem bäcker zinsfrei bewohnen darf: Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, den 3. ni. 10
(Contestation sur les réparations majeures qu’il a fait faire dans la maison appartenant à sa succession sise Petite rue de l’eglise N° 4 pendant son mariage, 1350 fr)
Copia der Eheberedung vor Notario Saltzmann den 21. sept. 1778, der Ehrengeachte Johann Christian Egger verwittbter Spenglermeister So dann die tugendsame Fr. Anna Elisabetha Grohbergerin geb. Spenglerin des weÿl. Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Wittwe
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 10-v du 9 ger 10

Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger meurt en 1810
1810 (23.6.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1073
Inventaire de la succession d’Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger ferblantier décédée le 9 cinq. dernier – à la requête de 1. Catherine Barbe Groberger femme de Jean Henri Naeff Imprimeur, 2. Marguerite Salomé Groberger femme de Jean Chrétien Gammig Imprimeur, 3. Jean André Groberger ancien ferblanter les trois enfants, suivant testament nuncupatif du 3 février 1808
mobilier 305 fr, déclarations actives 8115 fr, total de la masse 8420 fr, passif 619 fr, reste 7801 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 19 du 2.7.

La maison revient à sa fille unique Frédérique Salomé Eger qui épouse en 1789 le tailleur de limes Jean Chrétien Rœmes : contrat de mariage, célébration. Le père fait donation à son fils de sa maison près de l’église Saint-Louis

1788 (1.7.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 300
Eheberedung – der Ehrengeachte Mr Johann Georg Römer der jüngere hiesige Burger und ledige Feielhauer des Hn Joh: Georg Römer ältern ebenmäßigen Feilhauers und burgers alhier in erster Ehe mit weil. Fr. Maria Dorotea geb. Jungin ehelich erzeugte ältere, anjetzt großjährige Sohn, als Hochzeiter an einem Teil
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Friderika Salome Eggerin, Mstr Johann Christian Egger des Spieglers und Burgers hieselbst mit seiner verstorbenen erstern Ehefrau Katharinaa Salome geb. Siegfriedin erzielte einzige nach hiesiger Stadt rechten majorenne Tochter als Hochzeiterin

Sechstens, gibt Hr. Römer der Vater dem Hochzeiter hiemit das Recht und die Wahl sein in hiesiger Stadt gegen St. Ludwigs Kirche über, eisneit neben H. Stephan Lorentz Lefebvre dem Tapezierer, ander Seit neben Johann Jacob Schmidt dem Schneider gelegene, hinten auf gedachten H. Lefebvre stosende in Vorder- und Nebens-Hauß, Hoffstatt, Höfelin und bronn bestehende eigenthümliche Eckbehausung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allem was darin Badn- Wand- Maur- Nied- und Nagel- vest ist, Vorfenster und Faßliegerlingen, allen eingemaurten und nicht eingemaurten Öfen und dem Bauch kesseln nach seinem dereinstigen Absterben in dem Stand wie solches alles sich als dann befinden wird um 4000 Gulden nebst Uebernahm deren davon Joh. Bapt: al 24. Junÿ und 19 Septembris auf den hiesigen Pfenningthurn zu entrichten habenden drei Gulden vier Schilling Allmendzinses und Zween Schilling jeweilen auf Weihnachten dem Stift St. Thomä schuldigen ewigen Zinses, käuflich anzunehmen
(Werckstatt)
Straßburg den 1. Junius in dem Jahr 1788 [unterzeichnet] Johann Georg Römer der jüngere als hochzeiter, Friederika Salome Eggerin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 10, n° 13)
Im Jahr 1789, Dienstags den 18. Augusti (wurden) ehelich eingesegnet Johann Georg Römer, lediger burger und Feielhauer allhier, weÿl. Johann Georg Römer, gewesener burgers und Feielhauers allhier mit weÿl. Frau Maria Dorothea gebohrner Jungin, ehelich erzeugter nachgelaßener Sohn, 28 Jahr alt, und Jgf. Friderika Salome Eggerin Johann Christian Egger, burgers und Spenglers allhier mit weÿl. Frau Maria Salome gebohrne Siefertin, ehelich erzeugte Tochter, 25 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Georg Römer als Hochzeiter, Friederika Salomé Eggerin als Braut (i 11) – Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 8-v, n° 16) 1789

Jean Georges Rœmer meurt en 1811
1811 (2.8.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1246, 5879
Inventaire de la succession de Jean Georges Roemer, tailleur de limes décédé le 8 juin dernier – à la requête de Frédérique Salomé Egger héritière universelle par testament nuncupatif dressé devant le soussigné notaire le 27 frimaire an 12 (19 décembre 1803) enregistré le 10.6. dernier
propriété d’une maison apportée en mariage, Sçavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Vent ci devant St Louis n° 13, d’un côté le Sr Lefevre tapissier d’autre le Sr Rissler perruquier derrière les même voisins – évaluée 400 fr de revenu en capital 8000 fr
meubles, argenterie 366 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 151-v du 3.8.

Frédérique Salomé Egger se remarie en 1812 avec le capitaine Jacques Bosshart
1812 (6.1.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 635, 5898
Contrat de mariage – Mr Jacques Bosshart, Adjudant Major Capitaine rétiré à Strasbourg membre de la Légion d’Honneur, natif de Berentzweil District d’Uster au Canton de Zuric en Suisse
De Frédérique Salomé Egger veuve du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 157-v du 7.1.

Jacques Bosshart meurt en 1821 en délaissant sa veuve pour unique héritière

1821 (17.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 956
Inventaire de la succession de Jacques Bosshart, adjutant major capitaine retiré décédé le 31 octobre dernier – à la requête de Frédérique Salomé née Egger la veuve héritière universelle testament, contrat de mariage Me Übersaal le 6 janvier 1812, Testament olographe du 25 octobre 1813 déposé au rang des minutes de Me Schreider le 2 novembre
immeubles propre à la veuve non vendus, une maison rue des Parchemins n° 19
une maison rue des Aveugles n° 22
une maison rue du Vent n° 13
dressé au domicile rue du Vent n° 13 – garde robe 645 fr, apports 4205 fr
propres à la veuve 114 fr, vendus pendant le mariage 300 fr, don matutinal 4000 fr ;
communauté meubles 150 fr, total 5000 fr – passif 1460 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 101 du 26.12.

Frédérique Salomé Egger se remarie avec le tricoteur de bas Henri Klein

1821 (27.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 969
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Klein, tricotteur de bas demeurant rue des Bouchers n° 42 veuf d’Elisabeth née Burger
Frédérique Salomé née Egger veuve en secondes noces de Jacques Bossart, adjudant major demeurant à rue du Vent n° 13
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 115 du 2.1.

Frédérique Salomé Egger meurt en 1843 après avoir institué pour seul héritier son mari qui meurt quelques jours plus tard sans postérité.

1843 (8.3.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 237
Inventaire des succession de Henri Klein et De Frédérique Salomé Egger
L’an 1843, le Mercredi 8 mars à neuf heures du matin. A la requête et en présence 1. de De Amélie Martin, femme du Sr Joseph Mosbach, tailleur à ce présent qui l’autorise, demeurant ensemble à Strasbourg, 2. de Dlle Louise Martin, ouvrière passementière, demeurant en la même ville, 3. et de Dlle Madeleine Martin, aussi ouvrière passementière, à Paris et domiciliée à Strasbourg, toutes trois comme habiles à se porter légataires universelles de feu le Sr Henri Klein leur oncle maternel, ancien tricotteur de bas domicilié à Strasbourg, en vertu de son testament reçu par Me Burtz notaire soussigné le 20 février dernier, lequel défunt était lui-même légataire universel de feu De Frédérique Salomé Egger sa femme suivant le testament de cette dame reçu par Me Schreider notaire à Strasbourg le 14 juin 1830. enregistré.
Il va être procédé à l’inventaire fidèle et exact de tous les biens et documents dépendant de la succession desd. Sr et De Klein, décédés tous deux à Strasbourg en leur maison située Quai St Nicolas N° 72 sans laisser d’héritier à réserve, le mari le 23 février dernier et la femme le 20 du même mois. Sur la représentation et la déclaration qui seront faites tant par le Dlle Christine Poetel domestique des défunts habitant de la maison mortuaire et à ce présente que par le Sr Pierre Antoine Zottner, marchand demeurant à Strasbourg gardien des scellés

Les meubles et objets mobiliers évaluée 1080 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 83 du 13.3.
23 mars 1846 n° 242 – Titres et papiers. Cote 1. Première pièce, expédition du contrat de mariage des défunts passé devant Me Schreider le 27 décembre 1821, le Sr Klein était alors veuf en premières noces de feu De Elisabeth Buttler et le De Klein l’était en premières noces du Sr. Jean Georges Roemer tailleur de limes et en secondes du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine en retraite
Seconde pièce, expédition du testament de la De Klein fait devant Me Schreider le 14 juin 1830 (…)
La deuxième est une expédition du testament du Sr Klein reçu par Me Burtz notaire soussigné (…)
Cote 2. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg rue du parchemin n° 18 (…)
La 4° pièce est une expédition d’un testament reçu Me Übersaal le 27 frimaire an XIII par lequel led. Sr Roemer a institué sa femme son héritière universelle en pleine propriété (…)
Cote 3. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg au quai St Nicolas n° 72 (…)
numéraire 10, description des titres et papiers – Passif 16.202 francs
acp 308 (3 Q 30 023) f° 31-v du 29.3.

1843, Me Schreider
le 14 juin 1830 – Testament par lequel Frédérique Salomé Egger veuve en 2° noces de Jacques Bosshart et épouse actuelle de Henri Klein ci devant tricotteur de bas les deux domiciliés à Strasbourg, institue son dit mari comme légataire universel
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27 du 22.2.1843

Frédérique Salomé Egger vend peu de temps avant sa mort la maison au limonadier André Ebel

1843 (18.2.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 230
Ont comparu le Sr Henri Klein, ancien tricotteur de bas demeurant à Strasbourg et le Sr Laurent Peter, propriétaire demeurant en la même ville, ce dernier agissant mandataire de De Frédérique Salomé Egger, épouse autorisée de mond. S. Klein (…)
au Sr André Ebel garçon limonadier au Café Baur demeurant à Strasbourg à ce présent et acceptant
Une maison avec une petite cour, droits et dépendances située à Strasbourg rue des aveugles N° 22 et tenant d’un côté à M. Stuber maître charpentier de l’autre à M. Bader de Haguenau, devant à la rue des aveugles derrière à M. Denni surveillant à la manufacture des tabas.
Etablissement de la propriété. Les comparans déclarent que cette maison est la propriété incommutable et irrésoluble des conjoints Klein mariés ensemble sous le régime de la communauté de biens en vertu de leur contrat de mariage passé devant Me Schreider notaire à Strasbourg le 27 décembre 1829 et qu’elle l’est devenue de la manière suivante, savoir, la De Klein qui, avant son mariage actuel, était veuve en secondes noces du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine retraité et en premières du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes de Strasbourg, a recueilli deux tiers de lad. maison dans la succession du Sr Jean Chrétien Egger ferblantier son père et un tiers dans celle de De Catherine Salomé Sigfried sa mère femme en premières noces dud. Sr Egger desquels défunts la De Klein était seule et unique héritière ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé après le décès de la mère par Me Lobstein notaire à Strasbourg le 15 février 1777, d’un inventaire dressé après le décès du père, dernier décédé, par Me Übersaal notaire à Strasbourg le 9 germinal et 11 messidor an X. Et feu les conjoints Egger l’avaient acquise pendant leur mariage aux enchères publiques de la masse des successions du Sr Jean Jacques Braun garde police et de De Susanne Lemorme décédés avec l’accomplissement des formalités judiciaires à la Cidevant chambre des contrats de Strasbourg le 10 mars, 5, 13 et 20 mai et 16 juin 1761. D’après les actes précités, la maison était anciennement grevée d’une petite rente au profit de la fondation de St Thomas de Strasbourg, cette rente paraît avoir été rachetée depuis fort longtemps et supprimée comme entachée de féodalité car M. Klein déclaré n’avoir jamais eu à la payer pendant son mariage. Et suivant un état d’inscription (…) – Prix, 6000 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27

Originaire de Rumersheim, André Ebel épouse en 1845 Anne Marie Waag, originaire d’Epfig
Mariage, Strasbourg (n° 112) Du 27° jour du mois de mars 1845, acte de mariage d’André Ebel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 novembre 1813 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, limonadier, fils de Joseph Ebel, cultivateur et de Catherine Weil conjoints domiciliés à Rumersheim ci présents et consentants, et d’Anne Marie Waag, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1812 à Epfig (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de François Joseph Waag, charpentier, et d’Elisabeth Legel, conjoints domiciliés à Schweighausen (BasRhin) ci présents et consentants (signé) André Ebel, A M Waag (i 15)

Inventaire dressé après la mort d’André Ebel
1870 (4.6.), Me Becker
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre André Ebel, farinier, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg et de la succession du Sr Ebel décédé le 15 mai 1870, à la requête de la veuve comme commune en biens à défaut de contrat de mariage, 2) Marie Julie Ebel, majeure, 3) Marie Anne Elise Ebel, 4) Marie Joséphine Ebel, majeure, 5) Marie Philippine Ebel, majeure, tous à Strasbourg
Communauté, mobilier estimé 2648
acp 594 (3 Q 30 309) f° 13-v du 8.6. (succession déclarée le 13 août 1870)
(vacation du 15 juillet)
une obligation du chemin de fer Villa Emanuel
37 ares de terre ban de Stützheim
créances 200 francs
acp 595 (3 Q 30 310) f° 6-v du 18.7.

André Ebel et Anne Marie Waag vendent la maison au cordeur de bois Georges Mœbs et à sa femme Christine Grussenmeyer

1863 (9.4.), Me Grimmer
André Ebel, garçon limonadier aujourd’hui marchand de farines, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg
à Georges Moebs, cordeur de bois, et Christine Grussenmeyer sa femme
une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 11 moyennant 7000 francs dont mille francs payés comptant – origine vente Burtz le 18 février 1843
acp 520 (3 Q 30 235) f° 90 du 11.4.

Originaire de Rumersheim, Georges Mœbs épouse en 1836 Christine Grusenmeyer originaire de Surbourg
Mariage, Strasbourg (n° 155) Du 20° jour du mois de avril 1836, acte de mariage de George Möbs, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 avril 1815 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, cultivateur, fils de Florent Möbs, cultivateur domicilié à Rumersheim ci présent et consentant, et de Brigitte Runtz décédée à Rumersheim le 24 mars 1829, et de Christine Grusenmeyer majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 avril 1815 à Sourbourg (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Grusenmeyer et de Marie Anne Sugg, conjoints domiciliés à Sourbourg ci présent et consentants. (signé) Georg Möbs, Christina Grüsenmeier (i 43)

Registre de population (600 MW 300) i 256
Moebs, Georges, Rumersheim 15, homme marié, Journalier, catholique, français (séjour dans la commune) 32
id. née Grussenmeyer, Christine, Surbourg 15, femme mariée, sa femme, catholique, française, 32
id. Victor, Strasbourg 40, garçon, son fils, d. s. n.
id. Charles, Strasbourg 12 mai 1844, id. fondeur, d. s. n.
(demeure) Quai de la Bruch 5 (puis) 1864 rue des Aveugles 11



10, rue Sainte-Madeleine


Rue Sainte-Madeleine n° 10 – IX 149 (Blondel), O 694 puis section 17 parcelle 5 (cadastre)

Reconstruite par le fabricant de chandelles Jean Chapuis, 1737


Façade, bâtiment sur cour, porte à crossettes (octobre 2018)

La maison qui porte aujourd’hui le numéro 10 comprenait jusqu’au XVIII° siècle trois maisons distinctes, réunies en une seule propriété par le fabricant de chandelles Jean Chapuis en 1737. Les deux du nord, appelées ici (a-1) et (a-2), se trouvaient sous un même toit et étaient réputées en 1737 n’en avoir formé qu’une dans les anciens temps ; elles appartiennent au même propriétaire de 1661 à 1676 puis à partir de 1730. Ces deux maisons qui correspondent à la partie actuellement séparée par la courette sont réunies en 1737 à la troisième, appelée ici (b). La première maison que Jean Chapuis a achetée correspond à l’actuel numéro 12. Il en détache un terrain à l’arrière des précédentes où se trouvait son atelier à fabriquer les chandelles. Les parcelles actuelles remontent à 1737, la distribution des bâtiments résulte des reconstructions de Jean Chapuis.

Maison (a-1)
Le charpentier Jean Gretz qui fait divers travaux en 1618 est autorisé par son voisin (actuel n° 8) à poser un corbeau dans son mur. Après avoir appartenu à des artisans (cordonnier, fabricant de capes, graveur de sceaux), elle est réunie à la voisine par le chapelier François von Hipsheim de 1661 à 1676, date à laquelle le confiseur Jean Martin Stroh l’achète. Le tailleur Jean André Gimpel en est propriétaire pendant plus de trente ans. Le fabricant de chandelles Claude François Vernier la réunit à la la maison (a-2) en 1730. La maison comprend trois petits poêles, trois vestibules où se trouvent l’évier et le fourneau, une cour très étroite et une petite cave solivée d’après le billet d’estimation de 1735. En 1742, c’est-à-dire après la reconstruction, la maison comprend au rez-de-chaussée deux poêles, deux chambres, deux cuisines, un vestibule, le premier et le deuxième étages comprennent chacun un logement sur la droite et un autre sur la gauche.

Maison (a-2)
Elle appartient pendant presque tout le XVII° siècle à des chapeliers (Conrad Stumpf, Christophe Spleis, son gendre François von Hipsheim puis Paul von Hipsheim). La femme du fabricant de pâtés infirme Jean Haubenstricker en est propriétaire un an. Son mari demande en 1694 l’autorisation de poser un auvent d’une planche de large qu’on pourrait lever et baisser à l’aide d’une corde. Propriétaire de 1724 à 1726, le maître maçon Philippe Jacques Zell revend la maison au fabricant de chandelles Claude François Vernier en promettant de faire des travaux qui ne satisfont pas l’acheteur. D’après le billet d’estimation de 1735, la maison comprend deux caves dont l’une est voûtée et l’autre solivée, un poêle, une cuisine, un atelier à fabriquer les chandelles, resserre à suif, boutique, à l’étage deux poêles, deux cuisines, passage, dans le bâtiment latéral deux chambres, logement militaire et greniers.
Jean Chapuis achète en 1737 les deux maisons réunies par Claude François Vernier. Son voisin (actuel n° 8) lui cède la même année la partie du cabinet d’aisance et de la fosse qui avance dans sa propriété pour obtenir une limite rectiligne. Il est par ailleurs autorisé à reconstruire d’un seul tenant les deux maisons délabrées qu’il vient d’acquérir et n’en faisaient anciennement qu’une seule. Celle vers le sud a 33 pieds 3 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds, celle au nord a 16 pieds 10 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds.

Maison (b)
Elle appartient au début des années 1620 au potier Daniel Fiedel. Le droit de feu qui y est attaché passe ensuite au boulanger Georges Lentz. La maison revient à nouveau à un potier, Jean Gaspard Ursch, en 1638 puis, après avoir appartenu à des fariniers, au potier Jean Georges Ruff (1687-1695) et Paul Heyer (1695-1728). Déjà propriétaire de la maison voisine (actuel numéro 12), Jean Chapuis l’acquiert puis est autorisé à ouvrir une porte pour faire communiquer les deux maisons. Quand il achète les maisons au nord en 1737, les Quinze l’autorisent à détacher de l’actuel numéro 12 un jardin et un terrain de 50 pieds de long sur 20 de large sur lequel se trouve son atelier à fabriquer les chandelles pour le réunir aux trois autres maisons. En 1742, le rez-de-chaussée comprend une boutique de chandelier, un poêle, une cuisine et un vestibule, un logement à chacun des deux étages et un niveau mansardé, le bâtiment arrière un rez-de-chaussée, deux étages et le logement d’officier sous les combles.
Les maisons (a) et (b) réunies sont toujours considérées comme indépendantes, chacune est donc soumise au logement militaire. Les héritiers Chapuis vendent l’actuel n° 12 au menuisier Jean André Lux et cèdent en 1767 les deux maisons formant l’actuel n° 10 à leur sœur Marie Dorothée Chapuis. Comme il n’est pas bourgeois, son mari André Braulle déclare ignorer les règlements quand les contrôleurs des Maçons lui reprochent en 1779 de faire faire des travaux sans avoir recours à un maître.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cours O et N, plan (îlot 210)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (s) : au rez-de-chaussée une ouverture en arcade à chaque extrémité, séparée par deux fenêtres de la porte au milieu du bâtiment. Comme le nombre de fenêtres aux étages ne correspond pas au nombre actuel, il est probable que le dessin s’écarte de la réalité. La petite cour O entre les deux bâtiments successifs représente l’arrière (3-4) du bâtiment sur rue, l’extrémité nord (2-3) et le bâtiment arrière (1-2), à deux étages moins hauts que ceux du bâtiment avant. La cour N montre la face postérieure (7-8) du bâtiment arrière qui se prolonge en aile (8-9) vers le sud. Le bâtiment (6-7) occupe la face nord, (5-6) la face sud, les autres bâtiments 9-10-1-2-3-4-5) occupant l’angle sud ouest.
La maison porte d’abord le n° 26 (1784-1857) puis le n° 10.


Courette – Plan du rez-de-chaussée (1980, Police du Bâtiment, dossier II)

Maurice Thiebault dont la femme vient de racheter les parts de la maison fait démolir et reconstruire en 1844 un bâtiment, sans doute à l’arrière, ce qui porte le revenu cadastral de 378 à 395 francs et le nombre d’ouvertures imposables au-dessus du deuxième étage de 76 à 91.
Chrétien Greiner installe en 1894 un atelier de menuiserie. Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff fait aménager un magasin en 1973 à gauche de la porte d’entrée en transformant les deux arcades. Le propriétaire fait remplacer en 1980 la porte d’entrée et celle qui donne dans la cour arrière. Le vannier Alain Vogelsperger fait aménager en 1980 un local commercial et transformer les arcades à droite de la porte d’entrée. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage. La société d’ébénisterie Gottfried Muller aménage les combles en 1985 et 1986. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.



Vue en 1973 et en 1980, on y voit l’ancienne porte et le fer forgé dans l’imposte
Transformations des arcades en 1973 (Police du Bâtiment, dossier I)

octobre 2018

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II
Maison (a-1), Maison (a-2), Maison (b) puis maison entière

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1616 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Maison (a-1), correspondant à la partie droite de l’actuel n° 10

Jean Gretz, charpentier, et (1602) Gertrude Træher – luthériens
1621 v Frédéric Lindenberger, cordonnier, et (1614) Barbe Haderbeck veuve du cordonnier Pierre Bleicher – luthériens
1636 v Pierre Brentz, fabricant de capes, et (1618) Madeleine Wilhelm, veuve du fabricant de capes Jean Sontag – luthériens
1643 v Abraham Schiller, graveur de sceaux, et (1635) Ursule Kretz puis (1654) Elisabeth Neher remariée (1666) à Michel Diebold – luthériens
1661 v François von Hipsheim (ci-dessous)
1676 v Jean Martin Stroh, confiseur, et (1671) Marthe Winschel veuve du revendeur Philippe Eusèbe Angelin (ancien locataire) – luthériens
1680 v Jean Weiss, cordonnier, et (1670) Marguerite Scheubel – luthériens
1693 adj Ernest Frédéric Mollinger, adjudicataire par procédure judiciaire, puis le précédent par faculté de rachat
1696 v Jean André Gimpel, tailleur, et (1694) Anne Barbe Schæffer – luthériens
1730 v Claude François Vernier (ci-dessous)

Maison (a-2), correspondant à la partie centrale de l’actuel n° 10

Conrad Stumpf, chapelier, et (1608) Elisabeth Kegereis, veuve du boucher Antoine Mangold – luthériens
1619 v Christophe Spleis, chapelier, et (1611) Anne Thomas veuve du chapelier Jean Ulric Meyer – luthériens
1651 h François von Hipsheim, chapelier, et (1640) Anne Marthe Spleiss, (1651) Marie Madeleine Wagner puis (1662) Susanne Schurer – luthériens
1670 h Paul von Hipsheim, chapelier, et (1682) Anne Salomé Schwenck – luthériens
1694 v Jean Haubenstricker, fabricant de pâtés, et (1684) Anne Marie Wagner – luthériens
1695 v Paul Rœmer, cloutier, et (1673) Susanne Rœmer – luthériens
1703 h Jean Rœmer, cloutier, et (1696) Anne Hildenbrand puis (1704) Anne Catherine Neustœckel – luthériens
1624 v Philippe Jacques Zell, maçon, et (1712) Marie Claire Keller puis (1736) Marie Müller – catholiques
1626 v Claude François Vernier, fabricant de chandelles, et (1723) Marie Eve Reinbold – catholiques
1735 h Jean Guillaume Lender, compagnon maçon puis fabricant de chandelles, et (1735) Marie Eve Reinbold veuve de Claude François Vernier – catholiques
Jean Chapuis (ci-dessous)

Maison (b), correspondant à la partie gauche de l’actuel n° 10 puis maison entière

Daniel Fiedell, potier
Georges Lentz, boulanger, et (1601) Ursule Siebenhorn – luthériens
1638 v Jean Gaspard Ursch, potier, et (1638) Barbe Steigenbock d’abord (1636) femme du potier Jean Adam Rammel – luthériens
1652 h Georges Siler, farinier, et (1638) Salomé Müller, divorcée de Melchior Meyer, puis (1652) Barbe Steigenbock d’abord (1636) femme de Jean Adam Rammel et (1638) de Jean Gaspard Ursch, potiers – luthériens
1662 v Jean Balthasar Hahn, meunier, et Anne Catherine Lauth – luthériens
1664 v Jean Frédéric Linck, farinier, et (1632) Sara Damon – luthériens
puis les héritiers dont Jean Susé et (1677) Anne Marie Linck
1687 v Jean Georges Ruff, potier, et (1683) Anne Marguerite Notter – luthériens
1695 v Paul Heyer, potier, et (1691) Ursule Rantzmer puis (1710) Marie Ursule Cœllner –catholiques
1728 v Jean Chapuis, fabricant de chandelles, et (1712) Antoinette Maury puis (1718) Marie Gasque dite Duportal – catholiques
1767 h François André Braulle, employé pour le roi, et (1772) Marie Dorothée Chapuis – catholiques
1835 v Jean Baptiste Picard, négociant, et (1805) Anne Marguerite Chatelain
1843 h Maurice Thiebault, avocat, et (1840) Hortense Picard puis (1862) Emma Eugénie Stéphanie Bartel
1933* h Emile Oscar Thiebault et copropriétaires
1940- h Georges Pitiot, son épouse et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation.
Maison (a-1), 350 livres en 1721, 285 livres en 1729, 300 livres en 1734, 500 livres en 1735
Maison (a-2), 550 livres en 1713, 500 livres en 1734, 900 livres en 1735 – Les deux maisons (a) 600 livres en 1743
Maison (b), 225 livres en 1710, 375 livres en 1726, 1 700 livres en 1743
Maisons (a) et (b), 1 250 livres en 1757

(1765, Liste Blondel) IX 149, veuve Jean Chappuy
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Broll, 11 toises, 3 pieds et 0 pouce
149 ½ Schweigheimer, 2 toises, 5 pieds et 0 pouce
149 ¾ Lux, 6 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 694, Picard, Marguerite, veuve rue Ste Hélène / rue Ste Barbe – maison, sol – 5,45 are

Locations

Maison a-1

1669, Philippe Eusèbe Angelin, revendeur, et (1658) Anne Catherine Schertzer puis (1666) Marthe Winschel (remariée à Jean Martin Stroh, propriétaire de la maison)

Maison a-2

1695, Gaspard Seyfried, fabricant de pâtés

Maison b

1622, Georges Lentz, futur propriétaire
Etat des loyers en 1743
1792, Joseph Rosetti, marchand épicier
1807, François Joseph Rosset, négociant, et Marie Jeanne Hürstel
1811, Donat Marchal, négociant
1821, Joseph Jacques Antoine Delcominette, négociant, et Marie Claire Pougnet
1825, Guillaume Becker, mécanicien

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

Voir à la rubrique de chacune des trois maisons

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue Ste Madeleine

nouveau N° / ancien N° : 10 / 26
Braul
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 226 case 3

Picard Marguerite veuve négociant rue Ste Barbe N° 3
Thiebaut, Maurice (Subst.on pr. 1845)

O 694, maison, sol, R. Ste Madeleine 26
Contenance : 5,45
Revenu total : 380,84 (378 et 2,84)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1847
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 76 / 73
fenêtres du 3° et au-dessus : 16 / 13

O 694, maison
Revenu total : 395,84 (393 et 2,84)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1847
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 91
fenêtres du 3° et au-dessus : 16
1847, Diminutions – Thiebaut Maurice f° 226, O 694, maison, revenu 378, démolie en 1847
Augmentations – Thiebaut Maurice f° 226, O 694, maison, revenu 393, nlle. construction, achevée en 1844, imposable en 1847, imposée en 1847

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 948 case 1

Thiébault Maurice

O 694, maison, sol, Rue Ste Madeleine 10
Contenance : 5,45
Revenu total : 395,84 (393 et 2,84)
Folio de provenance : (226)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 91
fenêtres du 3° et au-dessus : 16

O 694, atelier
Revenu : 105
Revenu total : 500,84 (393, 100 et 2,84)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée : 1878
Année de sortie : 1879
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1878, Zugang – Thiebaut Moriz f° 1548, O 694, atelier, revenu 105, Neubau, achevée en 1875, imposable en 1878, imposée en 1878
1879, Abgang – Thiebaut Moriz f° 948, O 694, atelier, revenu 105, Abbruch, supp. 1879

Cadastre allemand, registre 29 p. 195 case 5

Parcelle, section, 17 n° 5 – autrefois O 694
Canton : St. Magdalenengasse Hs N° 10
Désignation : Hf, 2 Whs – sol, deux maisons
Contenance : 5,63
Revenu : 3400 – 4900
Remarques :

(Propriétaire), compte 1232
Thiebault Moritz Ww
1911 Thiebault Eugenie für ¼. u. Miteigent.
1933 Thiebault Emile Oscar pour 5/9 et copropriétaires
1940 Pitiot Georges son épouse et copropriétaires
(3237)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 355 Rue de Ste Magdeleine ou R. D’Uton (p. 513)

26
loc: Gigling, Jean Michel, menuisier – Charpentiers
loc: Rühle, Caspar – Tailleurs
loc: Weisbeck, Jean – Moresse
loc: Choula, Dominique, perruquier – Privilégié
loc: Grevillan, graissier – Moresse
loc: Pierret, Jacques Ph. – Privilégié
loc: Pierret, Anne Françoise- (-)
loc: Linder, George, empl, a la Douane – Moresse
loc: Madlon, veuve – Maçons
loc: Hirschel, Caspar, Courtier – Miroir
loc: Colmann, Jean – Maréchaux
loc: Bellicam, Mariane – Moresse
loc: Weickert, Marguerithe – Manante
loc: Rollin, Marguerithe – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Magdalenengasse (Seite 106)

(Haus Nr.) 10
Gräling, Pförtner u. Schuhmachermeister. 0
Morgenthaler, Tagner. 0
Missel, Spezereihdl. 0
Koeber, Verkäufer. 1
Meyer, Tapezierer. 1
Nussbaum, Ladendiener. 2
Rapp, Postschaffner. 2
Schmocker, Bildhauerm. 2
Ernwein, Fab.-Arbeiterin. 3
Guth, Wwe. 3
Merkel, Tagner. H 0
Kitter, Wäscherin. H 1
Müller, Maschinenführ. H 1
Fink, Schuhmacher. H 2
Bächler, Gemüsehdl. H 2
Contram, Wwe. H 3
Broehm, Vergolder. H 3
Lutz, Wochenbettpfleg.H 3
Rinn, Postbote. H 3
Schaffhauser, Monatsfr. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 267)

Sainte-Madeleine 10 (dossier I, 1873-1986)

Le menuisier Chrétien Greiner aménage en 1894 un atelier de menuiserie comportant une machine à vapeur. Le bâtiment est raccordé aux canalisations en 1889.
Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff fait aménager un magasin en 1973. Les deux arcades à gauche de la porte d’entrée sont transformées en supprimant le muret qui occupe une partie de l’arcade à l’extrémité du bâtiment et en partie celui qui occupe entièrement l’autre arcade. Les deux devantures sont à nouveau transformées en 1977. Le propriétaire fait remplacer en 1980 la porte d’entrée et celle qui donne dans la cour arrière. Le vannier Alain Vogelsperger fait aménager en 1980 un local commercial et transformer les arcades à droite de la porte d’entrée malgré l’opposition de l’architecte des Bâtiments de France. La société Portaloff transforme ces mêmes locaux en 1982. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.

Sommaire
  • 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Hommaire soit autorisé à faire une prise pour six becs au nom du menuisier Greiner 10, rue Sainte-Madeleine
  • 1874 – Le menuisier Chrétien Greiner, locataire de Maurice Thiebaut, vient d’aménager un atelier de menuiserie comportant une machine à vapeur. Le voisin Louis Sprauel, propriétaire de l’immeuble sis 13, quai des Bateliers, se plaint que la cave et la glacière qui jouxtent l’atelier deviennent inutilisables – Le maire établit que la plainte est sans fondement puisque les machines sont installées selon le règlement et que les murs ont l’épaisseur et la hauteur réglementaires.
  • 1886 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le sieur Greiner soit autorisé à faire une prise pour environ vingt six becs 10, rue Sainte-Madeleine – Autorisation – Travaux terminés, juin 1886
  • 1890 – Le maire notifie la veuve Thiebault née Barthel, domiciliée 4, rue de l’hôpital au Neudorf, de faire ravaler la façade. La propriétaire qui a l’intention de faire des travaux demande un an de délai. Les services municipaux notent que le rez-de-chaussée est assez propre mais que l’étage supérieur est sale et qu’un simple lavage suffirait. Ils accordent ensuite le délai demandé – Travaux terminés, septembre
    1891 (mars) – Le maître maçon Ludæscher (rue du Coq) demande l’autorisation de crépir et de peindre la façade – Autorisation – Travaux terminés, juillet
  • 1892 – L’agent de police Brunner rapporte que le maçon Botzenhard, demeurant 10, rue Sainte-Madeleine, a déclaré qu’un petit incendie s’est déclaré dans son logement la nuit du 10 janvier, le feu est dû à une étincelle qui a enflammé une poutre. Le commissaire de police transmet le rapport au maire – Les services municipaux qui se rendent sur place font un rapport illustré de croquis et de plans. Le maire demande au propriétaire de faire en sorte qu’il y ait au moins 23 centimètres entre la cheminée et les parties en bois
    1892 (février) – Le maître maçon Ludæscher et l’architecte Stieffel demandent au maire de ratifier leur plan – Dessin
  • 1889 – Le maître maçon Ludæscher demande au nom de madame Thiebault l’autorisation de raccorder le bâtiment aux canalisations par un tuyau en ciment de 25 centimètres de diamètre – Autorisation, octobre 1890 – Dessin
  • 1895 – La Police du Bâtiment constate que l’agence de placement de G. Diemer a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – G. Diemer répond qu’il a obtenu l’autorisation du commissaire de police, ce qui est confirmé
  • 1895 – Un incendie a endommagé les combles le 23 août – Rapport des pompiers
  • 1895 – Le maire notifie le concierge Grænling de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant cinq volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, – Travaux terminés, novembre 1897
  • 1907 (13 août) – L’entrepreneur Imberger, demeurant sur place, demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade. Le commissaire transmet au maire. – Autorisation accordée le 20 août – Travaux terminés, août
    1907 (21 août) – La Police du Bâtiment constate que la veuve Thiebaut (demeurant 147, route du Polygone) a fait poser sans autorisation un échafaudage. Le dossier est mis en rapport avec la demande d’Imberger le 23
  • 1910 – C. Finck informe le maire qu’il transporte son affaire et son enseigne du 7, rue de Rhinau (Neudorf) au 10, rue Sainte-Madeleine
  • 1903 – La veuve Heuer demande une visite de son logement au deuxième étage qu’elle estime insalubre – Une visite constate que le logement n’est pas humide mais que la plaignante, blanchisseuse, y suspend du linge mouillé. La plaignante quittera les lieux qui seront mis à neuf
    1906 – La Commission contre les logements insalubres fait un rapport en 4 points – Le dossier est classé, les travaux ayant été faits – Paul Thiébault (commerce de cigares en gros et en détail, 79, route du Polygone) obtient un délai en arguant qu’il a fait récemment des réparations.
    1908 – Albert Lutz déclare que les travaux ont été faits après son premier courrier où il a omis d’indiquer le numéro de la maison
    1913 – La Police du Bâtiment constate que la plainte du locataire Bapst (12, rue Sainte-Madeleine) est fondée. La petite cour humide et malpropre entre les n° 10 et 12 n’est pas raccordée aux canalisations
    1914 – Rapport en sept points. Propriétaire, Thiebault, demeurant 25, rue Sainte-Madeleine
    1915 – Rapport de la Commission des logements militaires (sol des combles à nettoyer, pièces à rénover)
    1915 – Nouveau rapport. Travaux terminés, juillet 1916
    1917 – Deux locataires élèvent des lapins dans leur logement
  • 1930 – Fr. Mailænder (demeurant 15, quai des Bateliers) signale qu’une cheminée menace de s’écrouler – La Police du Bâtiment constate les faits, elle avertit le propriétaire, le marchand de charbons Thiébault demeurant 1, rue de l’Hôpital au Neudorf – Travaux terminés, février 1931
  • 1959 – L’entrepreneur de construction Ketterer (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) est autorisé à occuper la voie publique
  • 1961 – Mme Pitiot, demeurant sur place, est autorisée à occuper la voie publique pour crépir la façade
  • 1966 – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin signale au nom de Louise Beck que le tirage de la cheminée est mauvais et qu’elle n’a pas obtenu satisfaction auprès de la propriétaire, Mme Pitiot, demeurant 10, rue des Sœurs – La Police du Bâtiment se rend sur place. Elle demande au propriétaire de faire faire des réparations et établir un certificat par un ramoneur – Certificat de René Arnold, de Schiltigheim
  • 1973 – Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (J. D. Wolff, maître tapissier décorateur) – Autorisation
    Le même demande l’autorisation de transformer un magasin, avec l’accord de la propriétaire, Mme Georges Pitiot. Les travaux consistent à supprimer un muret et une devanture pour les remplacer par une nouvelle devanture à châssis en aluminium, à poser un grillage métallique pliant, à remplacer le fer forgé au-dessus de la devanture, à établir une deuxième devanture dans une arcade en supprimant un muret – Plan cadastral de situation – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Les travaux sont presque terminés, mars 1973
  • 1977 – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de transformer deux devantures en supprimant un muret de deux arcades et en remplaçant les fenêtres par une vitre d’un seul tenant, avec l’accord du propriétaire – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet délivre le permis de construire le 6 janvier 1978 – La réception finale a lieu le 31 janvier 1978
  • 1980 (février) – Marie Thiebault (demeurant 6, rue Chopin) demande l’autorisation de remplacer la porte d’entrée et une porte qui donne dans la cour arrière – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
  • 1980 (mars) – Alain Vogelsperger demande l’autorisation de transformer la façade (aménager un local commercial, ouvrir une porte de magasin dans une arcade à droite de la porte d’entrée) sous la direction d’Yves L’Hermitte (25, rue des Frères) avec l’accord des propriétaires, Mme Georges Pitiot et Mme Emile Thiebault – Dessin avant et après transformation – Photographies – Plan
    L’inspecteur du travail émet un avis favorable. L’architecte des Bâtiments de France qui estime que les travaux prévus nuisent à l’aspect du bâtiment émet un avis défavorable. Le préfet refuse d’accorder le permis de construire – Les travaux ont été entrepris avant autorisation. Les poursuites sont laissées à la discrétion des Monuments historiques. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable après s’être rendu sur place. Le préfet accorde le permis de construire le 27 octobre 1980 – La réception finale a lieu le 20 novembre
  • 1980 – La Police du Bâtiment constate qu’Alain Vogelsperger a posé sans autorisation une enseigne plate – Demande, photographie. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Maquette (Alain Vogelsperger, artisan, osiériculteur, vannier) – Autorisation
  • 1980 – Le maire demande au propriétaire de faire ravaler la façade du bâtiment situé dans le secteur sauvegardé – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour poser un échafaudage sur la voie publique et ravaler la façade – Mme Thiébault sollicite une subvention. Devis de l’entreprise Roger Tomat et Fils (78, route de Colmar), de l’entreprise Roeser (rue du Commandant Reibel à la Robertsau)
    1981 (septembre) – L’entreprise Roger Tomat et Fils est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, février 1982 (le crépi tyrolien a été maintenu, les pierres de taille repeintes, les encadrements des baies entièrement décapés, à la satisfaction du contrôleur) – La Ville verse la subvention.
  • 1982 (août) – Isabelle Gangloff, gérante de la société Portaloff (sàrl), magasin Dorothée Bis, demande l’autorisation de transformer les devantures et la distribution intérieure sous la direction d’Yves L’Hermitte (25, rue des Frères). Plans avant at après transformation (magasin à droite de la porte d’entrée, à la place du magasin de vannerie). L’inspecteur du travail et l’architecte des Bâtiments de France émettent un avis favorable. Le préfet accorde le permis de construire le 12 novembre 1982. La réception finale a lieu le 16 décembre 1982
  • 1983 – Jean-Daniel Wolff demande que les droits d’enseigne soient rectifiés. Le tarif double est rectifié en tarif ordinaire, l’objet se trouvant à plus de 3,50 mètres du sol
  • 1984 – Le notaire Jean-Pierre Meyer, à Drulingen, demande des renseignements d’urbanisme (10, rue Sainte-Madeleine, section 17 n° 5, appartenant à Hubert et Bernard Thiebault)
  • 1986 janvier) – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de couvrir la partie sud de la petite cour. La division II émet un avis défavorable. La demande est reprise, il s’agit de couvrir la cour au niveau du plancher du premier étage. Photographie, dessins de l’architecte A. G. Mehl (15, rue Ehrmann). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 269)

Sainte-Madeleine 10 (dossier II, 1984-1988)

La société d’ébénisterie Gottfried Muller, de Weislingen, est autorisée en 1985 à aménager les combles après avoir présenté un premier projet non conforme à la réglementation. Les troisième et quatrième étages sont réunis (duplex) dans le bâtiment arrière. Les travaux sont terminés conformément en septembre 1986. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.

Sommaire
  • 1984 (octobre) – La société Gottfried Muller (ébénisterie à Weislingen) demande l’autorisation d’aménager les combles et de poser des vasistas dans la toiture sous la direction de l’architecte Marcel Keller, de Pfaffenhoffen. Dessins (toiture vers la rue, vers la cour intérieure, bâtiment 1 et bâtiment 2, plan, coupe). Dans le bâtiment arrière, le projet contrevient à l’article 111 du Code de la construction et à l’article 40 du Règlement sanitaire départemental.
    1984 (novembre) – Le propriétaire et l’architecte proposent un nouveau projet en reliant les troisième et quatrième étages (duplex) dans le bâtiment arrière. Les nouveaux plans sont transmis à la Police du Bâtiment en janvier 1985. Plan cadastral, plan de situation, dessins correspondants à ceux ci-dessus. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Le préfet délivre le permis de construire en janvier 1985.
    Les travaux sont en cours (avril 1985), un échafaudage est posé devant le bâtiment. L’aménagement se poursuit, l’échafaudage a été démonté. Les travaux sont terminés conformément aux plans (septembre 1986)
  • 1986 (juin) – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de couvrir la courette au niveau du premier étage. Plan cadastral, plan du rez-de-chaussée. L’architecte des Bâtiments de France donne son accord eu égard que la galerie surplombe une grande partie de la courette. Le préfet délivre le permis de construire en août 1986, le pétitionnaire devant régler une taxe pour dépasser le plafond légal de densité. Les travaux sont réalisés conformément aux plans, janvier 1987.
  • 1991 – Le notaire Jean-Paul Traband de Weyersheim demande des renseignements d’urbanisme pour les lots 14 et 39 du bâtiment
  • 1992 – Le maire autorise la boutique Gris bleu à vendre par liquidation avant transformations
  • 1988 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à la demande de faire ravaler la façade déposée par le décorateur Wolff.

Maison (a-1), correspondant à la partie droite de l’actuel n° 10

Sous le même toit que la voisine (a-2) d’après les actes de 1737

Description de la maison

  • 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, une cave sous solives, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 700 florins
  • 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats et cuisines, une petite cave sous solives, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 575 florins
  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs petits poêles, petites cuisines et petites chambres au rez-de-chaussée, un étroit corridor d’entrée, une petite cave sous solives à demi-toit, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 600 florins
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois petits poêles, trois vestibules où se trouvent l’évier et le fourneau , très petite chambre, une cour très étroite, petite cave solivée, le tout estimé avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 1 000 florins

Relevé d’actes

La maison appartient au charpentier Jean Gretz, originaire de Buchenbach en Allgäu, qui épouse en 1602 Gertrude Træher, fille de charpentier. La mariée a dû porter un voile lors de la cérémonie parce qu’elle avait eu auparavant un enfant.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 155) 1602.Hans Kretz aus dem Allgöw ein Zimmermann, Gertrut Adam Drehers des Zimmermann hind.laßene Tochter. dise * * Zu Kirchgang sein, weil sie aber Zuuor mit ander Zu gehdrn. ein Kind bekommen, ist sie für die Kirch pfleg gestehen, hatt ein schleÿer muß Zu Kirch geh. Eingesegnet Zinst. d. 27. Aprilis (i 81)

Jean Gretz devient bourgeois quelques mois après son mariage
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 620
Hanns Kretz von Buchenbach d. Zimmermann empfahet von seiner Haußfrauwen Gertraudt Treÿherin weÿland Adam Treÿher deß Zimmermanns dochter das B: vnnd will Zin Zimmerleüthen dienen. Act. 9. decemb: 1602.

Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison en 1616 au profit de Joachim Rüderer, receveur des Pénitentes

1616 (ut spâ [2. Augusti]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 356-v
(Inchoat. in Prot. fol. 384.) Erschienen hannß Gretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrudt trägerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Joachim Rüderers schaffners Zu Ruwern burgers Alhier – schuldig sigen 71 pfundt
Zum Vnderpfand verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Jenseit Am gestaden, Inn der Uttengaß, einsit nebent Cunradt Stumpffen dem huettmacher, Andersit nebent Stoffell Retzen des Kappenmachers seligen witwen vnd Erben hinden vff Samson Strintzen seligen erben stoßend, Dauon gend ij lb x ß d gelts Ablößig mit L lb d Michel Ziegler schaffner Zu Sanct Steffen seligen erben Sunst ledig vnd eÿgen

Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Dominique Schilling

1618 (xiij. 8.bris), Chancellerie, vol. 430 f° 402-v
(Inchoat. in Prot. fol. 298.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrudt Treigerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn dominici Schillings burgers Alhier Zu Straßburg – schuldig sigen 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt in specie hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Vttengaß, einseit neben Daniel Büttner dem Notarium Anderseit neben Cunradt Stumpff hinden vff herrn doctori Bechts behaußung stoßend dauon gnd. 2 pfund 10 schilling pfenning gelts Ablößig mit L lb d Cunradt Stumpffen vorgedacht, So dann seind sie verhafftet vmb xxxvij lb x ß d Jacob Koppen dem balbierer sunst ledig vnd eigen

Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Jean Hessler, receveur de l’hôpital

1617 (ut spâ [xxiij. Junÿ]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 281-v
(Inchoat. in Proth. fol: 303.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrud Trägerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Johann Heßlern schaffnern des Mehrern Spittals burgers Zu Straßburg – schuldig sigen 250 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Vttengaß, einseit neben Cunradt Stumpff dem huttmacher, anderseit neben Christoff Retz* des Kappenmachers seligen erben, hinden vff herrn Doctor Becht, Welche behaußung noch verhafftet Ist vmb L lb d Michell Ziegels geweßenen schiffmann Zu Sanct Steffan seligen erben, sunst ledig vnd eÿgen

Même acte joint au précédent

1617 (23. Junÿ), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger), scheda ad fol: 282
Zuwüßen daß Hannß Kretz der Zimmermann burger Zu Straßburg vnd Gertrudt Trägerin sein eheliche haußfrauw
bekhandt haben vndt In gegenwertigkheit herrn Johann Heßlern schaffnern des mehren Spittals burgers Zu Straßburg schuldig sigen 250 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüden, begriffen, Weÿthen, Rechten vnd Zugehörden, gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Uttengaß einseit nebent Conradt Stumpffen dem huttmacher, Anderseit neben Christoff N des Kappenmachers seligen erbenn hinden vff herrn Doctor Bechten stoßend, Welche behaußung noch verhafftet Ist vmb 50 pfund pfenning Michell Ziegels geweßenen schaffners Zu Sant Steffan seligen erben, Sunst ledig vnd eigen – vff den 23. Junÿ Anno xvj C vnd Sübenzehen [unterzeichnet] Hilarius Meÿger Nots

Le notaire Daniel Büttner (propriétaire de l’actuel n° 8) permet à titre de simple tolérance à Jean Gretz et à sa femme Gertrude qui reconstruisent la maison de poser un corbeau dans son mur

1618 (xxix. Januarÿ), Chancellerie, vol. 430 f° 57-v
(Inchoat. in Prot. fol. 49.) Erschienen herr Daniel Büttner Notarius burger Zu Straßburg Ane eim,
So dann hannß Gretz der Zimmermann vnd Gertrudt sein eheliche haußfr. An Andrern theil, Anzeigend
Demnach ermeltte bede ehegemecht Allerhand gebeüw Inn Ihrer behausung vff Zubauwen vnd Zumachen vorgenommen vnd Aber Ihnen mercklich under Anderm gelegen were, Inn sein h. Büttners gerechtigkeit vnd Mauer ein Käpffer vff ein halben stein Zulegen, vnd hienein Zubrechen, damit Aber sie bede ehegemecht oder Ihre nachkommen solche nachbarliche freündtliche Zulassung Inn Kein gerechtigkeit vff vnd Anzunemmen befugt sein sollen, Als hatt hierauf besagter herr Büttner für sich & Angeregter Köpffer Inn seine Mauwr dergestalt ein zu setzen oder Zulegen, Zugelaßen vnd vergönt, das sie nach ihrer nachkommen diß für Kein gerechtigkeit sondern für ein freündlich gönnung vnd halten Belopten

Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Louis Mürsel

1619 (xxiij. Augusti), Chancellerie, vol. 436 f° 455
(Inchoat. in Prot. fol. 326.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zu Straßburg Vnd Gertrudt Trägerin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Friderich Mürsell so Zugeg. Inn nammen seines Bruders herrn Ludwig Mürsells burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L lb
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Vttengaß, einseit neben Cunradt Stumpff And seit n. Martin Heinrich dem schiffman hind. vff doctorÿs Johann Becht behausung stoßend, dauon gnd 2 lb 10 ß d gls loßig mit L lb ermelten Cunradt Stumpff. It. seind sie verhafftet vmb L. lb obgedachtem herrn Friderich Mürsell, Mehr vmb L lb Andreß Dieffebech. Item vmb j C lb Sontag Schilling
(disse Verschreÿbung Ist weg. eines Newern contracts pnt. in Reg. 1621. fol. 314. vß geheÿß bed. parth. cassirt vnd vßgethan, Act. .d. 6. Junÿ Anno 1621.)

Jean Gretz et Gertrude Træher vendent la maison au cordonnier Frédéric Lindenberger et à sa femme Barbe

1621 (v. Martÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 141
(Inchoat. in Prot. fol. 82. – Protocollatum fol. 533) Erschienen Hannß Gretz der Zimmermann burg. Zu Straßburg vnd Gertrud Trägerin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Friderich Lindenberger dem schuomach. burger Zu Straßburg Vnd Barbara seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffestatt vnd höffell, mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Vten gaß, einseit neben Stoffell Spreÿß dem hutmach. Anderseit neb. Martin Heinrich dem Zoller Am Wasserzoll, hind. vff h. Johann Brecht. doctore stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist disser Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C L lb d
[in margine :] Erschienen H, Johann Melchior Cremer Von Wormbs alß Ehevogt Cleophe Mürßlerin bekante in gegensein Magdalenæ Peter Brantzen witwen alß Inhaberin dißer behaußung mit beÿstand Daniel Zipperer ihres Vogts (…) Actum den 19. Augusti 1640.
[in margine :] (…) Rest noch 150. lb vnd Ist er Lindenberg deßhalb. verwisen Ane h. Friderich Mürsell vmb 50. lb Ane h. Andreß dieffenbech. vmb 5. lb. vnd h. Joachim Brackenhoffer vmb die übrige 50. lb – Act. 14. Junÿ 1621.

Originaire de Biberach (sans doute le village de l’Ortenau), Frédéric Lindenberger épouse en 1614 Barbe veuve du cordonnier Pierre Bleicher
Mariage, cathédrale (luth. f° 18)
1614. Dominica Reminiscere den 20. Martÿ. Friderich Lindenberger der Schuhmacher von Byberach vnd Barbara Peter Bleichers des Schuhmachers nachgelaßene wittwe, eingesegnet montag den 25. Martÿ (i 14)

Il devient bourgeois quelques jours après son mariage
1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 974
Friderich Lindenberg. d. Schumach. von Bibrach Empfahet d. Burgerrecht von Barbara Kellerin Weÿlandt Peter Bleich. deß Schumachers hund.laßene wittib wüll beÿ den Schumach. dienen. Actum den 5. Aprilis 1614.

Frédéric Lindenberger et sa femme Barbe Haderbeck hypothèquent la maison au profit du tanneur Chrétien Rœderer le jeune

1627 (24 Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 228
Erschienen Friderich Lindenberger d. schuhmacher vnd Barbara haderbeckin sein eheliche haußfraw
hab. in gegensein Christman Röderers deß Jüngers Rohtgerbers – schuldig seÿen xxv. lb für aberkaufft Leder
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen & alhier in Vtengaßen i. seit neben Stoffel Spleißen em hutmacher 2.seit neben Martin Heinrichs deß Schiffmanns see: wittib, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten d. St. St. Aduocaten stoßend gelegen, vnd ist daß hauß Zuuor v.hafft vmb 50. lb hanß Büchel dem lederbereit. Item vmb 50. lb d Friderich Mürsel sonst ledig eÿgen

Frédéric Lindenberger hypothèque la maison au profit du tanneur Jean Otto

1628 (10. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 592-v
Erschienen Friderich Lindenberg. d. schuemach burger Zu St.
hatt in gegensein hanß Otto deß Rothgerbers auch burgers alhie bekannt – schuldig seÿ xx lb
Vnderpfand hauß vnd hoffstat, höfflin mit allen andern & alhie in Uttengaß. neben Martin heinrichs deß schiffmanns wittib ein vnd 2.seit neben Christoff Schleiß huotmacher, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten stoßend gelegen, Welche Zuuor v.hafft vmb 50. lb. hanß Bühel, Item vmb 50. lb. Friderich Mürsel, Item vmb 25. lb Christmann Röderer dem Jüngern Rothgerber

Frédéric Lindenberger hypothèque la maison au profit du corroyeur Jean Büchel

1629 (9. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 167-v
Erschienen Friderich Lindenberger schuhmach. alhie
hatt in gegensein hanß Büchel deß lederbereiters auch burgers alhie schuldig seÿe 50 pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen andern deren gebäwen alhie in Utengaßen neben Christoph Spleißen dem hutmacher ein vnd and.seit Martin Heinrichs s: wittib, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten, stoßend gelegen, welche Zuuor auch noch v.hafftet ist umb 50. lb. d dem Glaubigern selbsten, Item H. Friderich Müesel umb 50. lb d, Item umb 25. lb d Christman Röderer Rothgerber, Item vmb 20. lb hanß Otto Rhotgerber

Barbe Haderbeck veuve de Frédéric Lindenberger vend la maison au fabricant de capes Pierre Brentz

1636 (ut supra [11. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 714-v
(Protocoll. fol. 53.) Erschienen Barbara Haderbeckin, weÿ: Friderich Lindenbergers deß Schuhmachers alhie see. hinderlaßene wittib, mit beÿstand hanß Georg Löfflers deß Körbmachers ihres Zukünfftigen Eheuogts und hannß Philipp Romels deß Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Vogts (verkaufft)
Peter Brentzen dem Kappenmacher alhie
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen ihren gebäwen gelegen in der St. Str. in der Utengassen, einseit neben Stoffel Spreÿßen dem Huetmacher, anderseit neben Martin Heinrichs deß gewesenen Zollers see. Wittib und Erben, hinden vff H D. Johann Georg Bechten stoßend, so noch verhafftet vmb 50. lb Friderich Mürsels Burgers alhie see. Erben, Item vmb 100. lb hanß Büchels Alten grossen Rhats Verwanth see. Erben, So dann vmb 25. lb hanß dieboldt Rohren dem Rohtgerber alhie – mit dden beschwerden per 275 lb

Originaire de Niedernhall en Franconie, Pierre Brentz se marie en 1618 avec Madeleine Wilhelm, fille du fabricant d’amadou Thiébaut Wilhelm, qui avait épousé en 1614 le fabricant de capes Jean Sontag
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 361-v, n° 1102)
1614. Dominica 15. Trinitatis. Hans Suntag der Kappenmacher Vndt J. Magdalena Tiebold Wilhelms d. Zudelmachers Hinderlaßene Tochter (i 373)

Mariage, cathédrale (luth. p. 64)
1618. Dominica Sexagesima den 8. febr. Peter Brentz der Schneider von Niderhall in Franck. land und Magdalena Hans Sontag des Kappenmachers n. witwe. eingesegnet montag im frügebett montag d 16. febr. (i 37)

Pierre Brentz natif de Niedenhall dans le comté de Hohenlohe devient bourgeois trois mois après son mariage
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1021
Peter Brenn d. Kappenmach. von Niderhall In d. Grauenschafft hohenlohe Empfaht d. Burg.recht von weÿl. hanß Sontag deß Kappenmachers wittib Magthalena Wulhelmin vnd wüll zu den schneid. dienen. Actum den 7. Aprilis 1618.

Le cordonnier Philippe Brentz hypothèque le tiers qui lui revient de la maison au profit de son frère Thomas Brentz

1641 (3. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 182-v
(Mutuum cum speciali) Erschienen Philipp Brentz der Schuhmacher burg. alhie
hat in in gegenwart seines Bruders hannß Thoman Brentzen geschwornen Vogts Christoph Spleiß. deß huotmachers burg. Zu Straßburg – schuldig seÿen 20. Pfund
Unterpfand ein tritter theil Ihme für ohngetheilt gebührend ahne hauß hoffstatt höfflin alhie in der Vttengaß, neben Gabriel Waldeckh dem golt Arbeiter ein und anderseit neben den obgenandt. Vogt hind. vff H Dr Johann Georg Becht stoßend gelegen. daran die übrige zwen tritte theil ihme dem Schuldglaubig. und Jonæ Brentz beed. des bekenners brüdern Zuständig

Les enfants de Pierre Brentz, Jean Thomas, Jonas et Philippe Brentz, vendent la maison au graveur de sceaux Abraham Schiller

1643 (23. Jan:) Chambre des Contrats, vol. 491 (expéditions) f° 350
Kauffbrieff Abraham Schillert deß Pittschier Grabers und Ursulæ Kretzin Eheleuth
Wir Bernhard von Kageneckh & Notario erschienen Weÿl. Vnßers Burgers Peter Pretzen deß Kappenmachers nachgelaßener iüngerer in der Wanderschafft begriffener Sohn hannß Thoman Prentzen deß Schuh Knechts, und Jonæ Prentzen deß huetmacher Gesellen geschworner Vogt Vnßer Burg. Christoph Spleiß der huetmach. mit beÿstand unßerer mitraths Verwanth. Zu der minderjähriger handlungen Von Vnnß insonderheit deputirter, Samuel Spielmanns und Adam Burckhardts wie auch Philipß Prentzen der Vogts Söhn, älten Bruders
hatt in gegensein auch vnsers Burgers Abraham Schillerts deß Pitschier Grabers und Ursulæ Kretzin seiner ehelich. haußfrawen
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen & in vnßerer Statt in d. Vtengaß. neb. vorgenanndt. Spleiß. ein: und anderseit neb. Gabriel Waldeckh dem Golt Arbeiters, hind. vff Weÿl. deß hochgelehrt. Dr. Johann Georg Becht. wittib und Erb. stoßend gelegen, so Verhafftet ist umb 100. lib. hannß Jacob Büchels, sonst. freÿ ledig und eig. dann ob wohlen Johann Wernhard Gambß diße Behaußung umb 15. lib. Nachträglich hauptgut bespricht, So seÿen iedoch dieselbe noch strittig, derentweg. der Verkauffende Vogt Versproch. dieselbe entwed. richtig; und daß verkauffte hauß davon ledig zu mach. od. wa fern es nicht geschehen köndte od. würde, so sollen die Käuffer solche Beschwärdt Zwar Zu übernehmen verbund. hiengeg. aber so viel am Kauffschilling innzubehalt. und abzuzieh. befugt sein – über die angezogene 100. lib so die Käuffer übernohmen (…) zugang. umb 100 lb

Originaire de Meissenheim en Bade, le graveur de sceaux et de monnaie Abraham Schiller épouse en 1635 Ursule Kretz, fille du charpentier Jean Kretz, puis en 1654 Elisabeth Neher, fille de marchand
Mariage, cathédrale (luth. f° 363)
1635. Dominica VIII. Trinitatis, 19. Julÿ. Abraham Schiller von Meÿsenheim, sigel und müntzeÿsen schneider, H. M. Johann Georg Schiller Pfarrers daselbsten ehl. Sohn, vnd J. Ursula Hanß Krätz, Zimmermanns ehl. tochter (eingesegnet Mont. 28. Julÿ) i 186

Mariage, cathédrale (luth. f° 565-v), n° LII)
1654. Dom. 24. Trin. 5. 9.br. H Abraham Schiller der Burger, Sigell vnndt wappenstein schneider alhier, Unndt J. Elisabetha, weiland herrn Sebaldt Neher des burgers Vndt handelßmanns alhier hinderlaßene Eheliche dochter – Mont. 13. 9.br. Münster, Spiegell. H.stub (i 315)

Abraham Schiller devient bourgeois par sa femme
1635, 4° Livre de bourgeoisie p. 150
Abraham Schiller Von Meißenheim der Pütschier graber Empfangt d. Burg.recht von seiner frauwen Ursula weÿl. hanß Kretzen deß Zimmermanns vnd Burg. Alhier hinderlaßene dochter Will Zu den Steltz. Zünfftig sein Actum den 20. August. 1635.

Le graveur de sceaux Abraham Schiller et Elisabeth Næher font leur testament et nomment leurs héritiers respectifs au cas où ils mourraient sans que Dieu leur fasse la grâce d’avoir des enfants
1663 (23.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Testamentum nuncupativum Herrn Abraham Schillers Wappen vndt Sigill schneiders undt frawen Elisabeth Näherin beeder Eheleuth vndt Burgere alhie Zu Straßburg, Act. den 23. Aprilis 1663
Persönlich kommen undt Erschienen seindt der Ehrengeachte, vndt Kunstreiche H. Abraham Schiller Wappenstein vndt Sigelschneid., beneben Ihme die Ehren und Tugendtreiche fr: Elisabetha Näherin beede Eheleüth vndt Burgere alhie Zu Straßburg durch Gottes güethe gesunden gehend. undt stehenden Leibs, auch guter richtiger Sinnen, reden vndt Gesprächs
zuvorderst aber wollen Sie daß Jenige Testamentum nuncupativum so Sie den 2. Feb: 1659 vor mir Notario und Gezeüg angeben wid. gäntzlich annilliret, cassirt vnd auffgehoben (…)
Zum Andern legirt der Herr Testator H. Hanß Geörg Schillern Studioso so sich an Jeto in dem Wilhelmer Collegio enthaltet alle seine nach todt hinderlaßene bücher (…)
Beÿ dem Vierdten Verordnet Sie Fr Testirerin auch auf vorhergedachten Fall Wann Sie ohne hinderlaßung Kind. dieße Weldt gesegnen solte, vnd der hernach bestimbte Wÿdumlb seine endschafft erreicht haben würdt, Johannes Selinger, Paßmentmachers und burgers allhier Kinder (…) undt Veronicæ beeden geschwisterden undt Weÿl. Heinrich Seelingers geweßenen burgers alhie mit auch Weÿl. Fr. Mari Bannwarttin sel. ehelich erzeigten Kindern ihrem Vettern vndt Baßen Jedem Insonderheit 50 Pfundt (…)
Wann dann Achtens die Einsetz: oder benennung derr Erben Eines Jeden in rechten gültig Testaments vornambsten wesentlcih Hauptstück vnd fundament ist (…) derohalben wollen beede Testirende Ehegemächt Ins gesambt Zu ihren wahren, rechten vnd ohnzweifflich. Erben ernennen undt einsetzen Zuvorderst ihre lieben Kind. da Sie erer durch die Gnade Gottes erziehlen und hinder Ihnen verlaßen werden. Solte aber dem Allgüettigen Gott nicht belieben Ihnen einig. Ehe seegen Zu beschehren, (…) So Ernant, vndt bestimbt Herr Testator auf solchen fall Zu seinen rechtsmäßigen Erben Erstichen Mariam Schillerin seine Schwester Zu einem dritten Stammtheil, Item Samuel Schillers seines bruders Kinder so Er bereits hatt oder nach Künfftiger Zeit ehelich erziehlen möchte, Vnd so viel deren seinen Todtfall erleben werd. Zu einem dritten Stammtheil, So dann H. Hans Geörg Schillern Studiosim Weÿl. H. Hanß Geörg Schillers geweßenen Pfarrers Zu Meißenh. seines Bruders seel. nachgelaßenen Sohn auch zu einem dritten Stammtheil (…)
Sie Fr. Elisabetha Neherin die Testiererin setzt undt ordentlich auf den fall da Sie ohne Leibs Erben versterb. Würdt Zu ihrer Einigen Erbin Fr. Veronica Näherin H. Hans Friderich Großmanns deß Paßmentmachers vnd Burgers alhie eheliche Haußfrauw ihre Schwester

Elisabeth Næher veuve d’Abraham Schiller fait un codicille
1666 (14.3.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Codicill, Frawen Elisabethæ Näherin Weÿland H. Abraham Schillers gewesenen Wappen schneiders vndt Burgers alhie seel. nachgelaßener Wittiben. Act. den 14. Martÿ 1666.
Dieses hierinn beschrieben Codicill wie auch das den 23. April. 1663. auffgerichte Testamentum nuncupativum hatt obgedachte fraw in beÿsein 7. Gezeug wie hierin Zu endt Zu sehen gäntzlich cassiren laß. Act. Mont. 19. 9.bris 1666
Persönlich kommen undt Erschienen Ist die Viel Ehren: undt Tugendsame fr: Elisabeth Näherin Weÿlandt Herrn Abraham Schillers geweßenen Wappenstein Schneids. vndt Burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib: etwas vnpäßlich, Jedoch vermittelst göttlicher gnad. guten richtigen Verstandts (…)
Beschehen seind Alle diese ding In einer In der Statt Straßburg ahne dem Schiffleüth Stad. gelegenen Vndt der Fr. Codiillirerin eügenthümlich Zustandig. behaußung dero Obern Stuben mit den Fenstern auff die Breüsch außsehendt

La veuve Elisabeth Neher se remarie en 1666 avec un ancien officier, Michel Diebold : contrat de mariage par lequel le marié fait un legs à sa sœur s’il venait à mourir sans enfant, célébration
1666 (8.8.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten Großachtbaren Vndt Mannhafften Herrn Michel Dieboldt geweßenen Majorn vnder dem Zillerischen Regiment Vnd Jetzmahligen Schirmbs Verwanthen alhie Zu Straßburg Alß Bräuttigam an Einem,
So dann der viel Ehren vndt tugendreichen Frauwen Elisabethæ Näherin Weÿl. des Ehrenvesten Wohlvorgedachten vndt Kunstreichen Herrn Abraham Schillers geweßenen Sigel: vndt Wappenstein Schneiders alhie seel. nachgelaßener Wittiben alß hochzeiterin andern Theils
Vber dießen Vndt Zum Fünfften will mehr ernandter H. Bräuttigamb Zu Anzeig seiner geg. der Fr. Hochzeiterin tragenden ehelichen affection vnd Liebe Ihro auf den fall da Er ohne erziehl: vnd Hind.laßung ehelicher Leibs Erben die Schuld der Nattur vor ihro bezahlen, vndt versterben solte, Alle seine Hinderlaßene Haab, Nahrung vndt Güettere, nichts Als 100 Reichsthaler Welche Er Catharinæ Dieboldin Michel N. des taglöhners alhier ehelich haußfr. seiner Schwester für ein eigenthumb sollen alß bald nach seinem todt abgevolgt werd. davon außgeschloßen, Zu einem rechten und wahren Eigenthumb verschafft
So beschehen In Straßburg Mittwoch den 8.ten Augusti A° 1666. [unterzeichnet] Michel Dieboldt alß hochzeiter, Ehlisabeht Naherin alls hochzeidterin

Mariage, cathédrale (luth. 78-v, n° 36)
1666. Zum 2. mahl hr Michael Diebold geweßener Major unter Weiland H. Obr. Zilhard, Fr. Elisabeth Weiland hr. Abraham Schiller gewesenen Pitschirer und Steinschneiders nachgel: W. Donnerstag den 23.ten Aug: Münster (i 81)

Abraham Schiller et sa femme Elisabeth vendent la maison au chapelier François von Hipsheim, propriétaire de la maison voisine (voir plus bas)

1661 (27. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 374
(Prot. fol. 28.) Erschienen H Abraham Schillerts Pitschier Graber und Elisabethæ sein eheliche haußfrau, beÿde Eheleuth mit assistentz H Michael Großmanns E.E. groß. Rhats Beÿsitzers
in gegensein Frantz von hüpffßheim deß huetmachers mit beÿstand H hannß Jacobs von Zabern deß jüngern wohlgedachten Rhats Beÿsitzers
hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaßen, einseit neben dem Käuffern selbsten, anderseit neben H. Gabriel Waldeckh Treÿern deß Pfenningthurns hind. vff H Johann Melchior Saxen V.I.D. & Instit. Imper. Professorem stoßend geleg. welche umb 25. lib. H Balthasar Friderich Saltzmann SS Theol. Lt. und Pfarrherrn deß Münsters und umb 50. lib. Kauffschillingß rests hannß Thoman und Jonæ denen Prentzen, Gebrüdern, verhafftet (übernohmen) – umb 125. lb

François von Hipsheim revend la même maison au confiseur Jean Martin Stroh. En marge, quittance remise en 1696 à Jean Weiss, alors propriétaire

1676 (11. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 453
Frantz Von Hipßheim der Huetmacher
in gegensein hannß Martin Stroh deß Zuckherbeckhers
hauß, hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Uttengaß einseit neben dem Verkäuffern selbsten, anderseit neben weÿl. herrn Gabriel Waldeckhen dreÿers deß Pfenningthurns nunmehr seel: nachgelaßener wittibin und Erben, hinden uff weÿl. herrn Johann Melchior Saxen U.I.D. et Instit. Imperial. Profess. nunmehr seel. nachgelaßener Erben stoßend gelegen – umb 300. lb
[in margine :] (…) in gegensein Johannis weisen deß Schuemachers, dem d hierin verschriebener hauß nachmals verkaufft word. (quittung) Act. d 14.ten Febr. 1696

Jean Martin Stroh épouse Marthe Winschel veuve du revendeur Philippe Eusèbe Angelin qui a été locataire de la maison.
Originaire de Bergzabern en Palatinat, le domestique Philippe Eusèbe Angelin épouse en 1658 Anne Catherine Schertzer, fille d’un aubergiste de Göppingen
Mariage, cathédrale (luth. f° 94, LVI)
1658. Zum erst. mahl Philippus Eusebius Angelin Von Bergzabern d. hauß knecht Weÿland h. Melchior Angelin pfarrherrn daselbst hind.laßer Sohn, Vnd Jugfr. Anna Catharina Lorentz Schertzers würths Zu Göppingen hinderlaßene Eheliche Tochter. Im münster, fischerstub, am Montag (i 95)

Ils font dresser l’année suivante un inventaire de leurs apports en présence de la mère de l’épouse
1659 (21. 9.br), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 1) n° 11
Inventarium Vndt beschreibung Aller der Jenig. Haab, Nahrung vndt Güettere, Migender vndt Vahrender, So der Ehrengeachte H. Philips Eusebius Angelin, Vndt die Ehren und tugendtsamme Fr. Anna Catharina Schertzerin beede Eheleuth Vndt Schirms Verwanthe Alhie In Straßburg einander in diese Ehe alß ein Vnverändert Guth Zugebracht haben, Welche Zu künfftiger beßerer Nachricht In beÿsein der Fr. Muter (…) So beschehen Zu Straßburg Montags den 21. Novembris 1659.

Philippe Eusèbe Angelin et Anne Catherine Schertzer acquièrent le droit de bourgeoisie en 1663 sans apporter d’enfant. Ils s’inscrivent à la tribu du Miroir
1663, 3° Livre de bourgeoisie p. 968
Philipp Eusebius Angelin von Bergzabern, Weÿl. Melchior Angelin geweßenen Pfarrers Zu Seltz hinderlaßener Sohn, Erkaufft das burgerrecht vor sich Vnd sein Haußfr. Annam Catharinam Störtzerin Vmb 20 gold guld. so vffm Pfenningthurn erlegt, haben bede noch keine Kind. vnd willer Zu EE Zunft der Spiegler dienen. Jurav den 1 Junÿ A° 1664.

Philippe Eusèbe Angelin se remarie avec Marthe-Anne Winschel, fille de confiseur : contrat de mariage, célébration
1666 (27. 7.bris), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16) n° 202
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten vnd nunmehrn H. Philipp Eüsepio Angelin Burgers alhie Zu Straßburg alß bräutgamb an Einem
Vndt der Ehren vndt tugendsammen Jfr Marthannæ, Weÿl. H. Jacob Winschel, geweßenen zuckherbeckhen vnd Formen schneiders alhie seel. nachgelaßener dochter alß hochzeiterin Andern theils – So beschehen Donnerstags den 27.ten Septembris A° 1666 [unterzeichnet] Philip Eusebÿ Angelin Hochzeiter Vnd burger, Mathäus öpp der hochzeiterin vogt vnd schwager

Mariage, cathédrale (luth. f° 80-v, n° 45)
1666. Dom: 17 post Tris. Zum 2 mahl Philipp Eusebius Angelin, becker vndt Burger alhie undt Jfr. Martha einander Jacob Wönschels gewesenen Zuckerbeckers undt Burgers alhie nachgelaßene Tochter. Donnerstags den 18.t 8.bris Münster (i 83)

Philippe Eusèbe Angelin meurt en 1669 dans la maison de François von Hipsheim rue Sainte-Madeleine en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve s’élève à 42 livres, celle des héritiers à 265 livres. L’actif de la communauté qui comprend une maison à la Krutenau est de 90 livres, le passif de 103 livres.

1669 (27.8.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 3) n° 18
Inventarium Vndt Beschreibung aller undt Jeder Haab, Nahrung undt Güethere, Ligender undt Vahrender, Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. der Ehrengeachte H Philipp Eusepius Angelin geweßene Krämer undt Burger alhie Zu Straßburg, nach seinem aus dießer welt zeitlichen genommenen Abschiedt verlaßen Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der auff nachbeschrienem blatt beschriebenen Erbin undt dero beÿständer Inventirt, durch die Ehren vndt tugendsame Fr. Marthan Wünschlerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des Ehrenvesten vndt Wohl vorachtbahren Herrn Matthä(i Eggen Lauttenmacjers undt Burgers alhie Ihres geordneten Vogts (…). So beschehen vnd Angefangen Freÿtags den 27. Augusti A° 1669.
Der In Gott verschidene H. Philipp Eusepius Angelin hatt Zu Erben ab intestato Verlaßen nach eschriebene Persohnen. die Ehren vndt tugendsamme Jfr. Catharina Angelin, Weÿl. H. Melchior Angelins geweßenen Pfarrers vndt Inspectoris Zu Seltz nachgelaßene dochter Zu Einem halben Stammtheil, So dann Mariam Catharinam Schipffin des Ehrenachtbahren vorgeachten H. Egidÿ Schöpffels Handelßmanns und burger meister Zu Bergzabern mit auch weÿl. Fr. Anna Sibilla Angelni seiner haußfr. sel. erzeigt vnd nachgelaßenes döcherlin, Zum And. Stammtheil mit assistentz erstgemelt H. Egidÿ Schöpffels ihres Vatters, In deren aller nahmen Zugegen der Ehrenveste fürsichtig vndt Weißen Geörg Sigmundt Fettich E E. Kleinen Raths Jetzig. Beÿsitzers auß derselben Mittel hirzu Insonderheit erbettener Deputirte

In einer In der Statt Straßburg In der Uttengaßen gelegenen Vndt H. Frantz von Hüpßen dem huetmacher und burgern alhie eigenthümlich zuständig. behaußung Ist befunden worden alß volgt
Eigenthum an Einer behausung so der Erben unverändert. Item ein Hauß vnd hoffstatt
in der Vorstatt Krautenau im hell gäßlin (…)
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Vermög Eines über mehr beditter beeder Ehepersohnen In den Ehestand zusammen gebrachter Nahrung in A° 1666. auffgerichteten Inventarÿ
Sa. der Wittib unveränderten haußraths 7, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Guldener Ring 3, Sa. Baarschafft 6, Sa. Ergäntzung 15, Summa summarum 42 lb
Summa der Erben unveränderten haußraths 119, Sa. Wahren 15, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. ehne einer behaußung 50, Sa. Ergäntzung (105, Abzugs 5, restirt) 60, Summa summarum 265 lb
Sa. Anschlags des Theilbaren haußraths 27, Sa.Wahren 45, Sa. baarschafft 17, Summa summarum 90 lb – Schulden 103. Die Theilbare Passiva übertreffen die Theilbare Verlaßenschafft 67 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 294 lb

Fils d’un cordonnier de Leonberg en Wurtemberg, le marchand épicier Jean Martin Stroh épouse en 1671 Marthe, veuve du confiseur Philippe Eusèbe Angelin
Mariage, cathédrale (luth. f° 138-v, n° 12)
1671. [Dom. Reminiscere] zum 2. mahl Johann Hr. Martin Stroh des Spetzereÿhändler, Martin Stroh des Schuhmachers u. Burgers Zu Leonberg im Hertzogthumb Würtenberg ehel: Sohn, Fr. Martha Weiland Philipp Eusebi Angelins gewesenen Zuckerbecks u. Burgers alhie nachgelaßene Wittib. Montags den 27. Mart: Münster (i 141)

Jean Martin Stroh devient bourgeois quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 385
Hannß Martin Stroh der Specereÿhändler, Martin Strohen deß Schuhmachers Zu Leonberg im Hertzogthumb Württemberg ehelicher Sohn, empfangt das Burgerrecht von seiner haußfrauen Martha, Weÿl. Philip Eusebÿ Angelins deß Krämers und burgers ahie Wittib, umb 8. Goldt fl. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist Zuuor ledigen standts geweßen und Würdt auff E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jurav. den 13. Aprilis A° 1671.

Le tuteur des enfants de Jean Martin Stroh vend la maison au cordonnier Jean Weiss et à sa femme Marguerite. En marge, quittance remise en 1693 à l’administrateur de la Monnaie Ernest Frédéric Mollinger qui a acquis la maison par enchère judiciaire. D’autres capitaux sont ensuite réglés par Jean Weiss après que l’adjudicataire à renoncé à ses droits en vertu d’une faculté de réméré de deux ans (voir la vente de 1696).

1680 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 460
Herr Sebastian Schranckenmüller der Pastetenbeckh und E.E. Sibenergerichts alter beÿsitzer alß Vogt weÿl. hannß Martin Strohen deß geweßenen Zuckherbeckhers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Johann Weißen des Schuhmachers, undt Margarethæ beÿdter Eheleuth
hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten undt gerechtigkeiten alhier in der Uttengaß, einseit neben weÿl. Frantz Von Hipßheim des huotmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, anderseit neben Weÿl. Gabriel Wahldeckhs dreÿers des Pfenningthurns nunmehr seel. hinderblieben Erben hinden uff Weÿl. hans Melchior Saxen V.J. S. et Instit. Profess. Publ. nunmehr seel. nachgelaßene Kinder stoßend gelegen, undt seÿe solche behaußung umb 125. lb Kauffschillings rest obged. Frantz von Hipßheim Kindern Verhafftet – umb 175 fl.
[in margine :] (…) in gegensein Hn Ernst Friderich Mollingers dießer Statt Müntzverwalters alß ietzmahlig. possessoris der hierin verschriebenen behaußung, dem solche an der Ganth Zuerkannt word. (quittung) Act. d. 15.te 7.br. 1693
[in margine :] Erschien obhemeldter H. Mollinger hat in gegensein Johannis Weißen deß hierin gemeldt. Käuffers wie auch Johann Conrad B*eigers deß Schuemachers seiner Kind. Vogts angezeigt und bekandt, d. Er H. Mollinger auff die obgem. Ganth wid. verzug gethan, dargeg. heut dato die hievor auß gelegte 60. fl. Capital empfang. haben – Act. d. 13. Febr. 1696.

Fils de cordonnier, Jean Weiss épouse en 1670 Marguerite Scheubel, fille de boucher : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung. (…) zwischen dem Erbaren und bescheÿdenen Johann Weisen dem ledigen Schuhmacher und burgern allhier Zu Straßburg, Johann weisen des Schuhmachers und burgers allhier ehelicher Sohn, alß bräutigamb an Einem, So dann der Tugendsamen Jungfrauen Margarethæ Christian Scheubels burgers und Metzgers allhier ehelichen tochter, alß hochzeiterin andern theils – So beschehen in Straßburg Sonntags den 3. Julÿ im Jahr alß man nach der geburth Jesu Christi Zahlte 1670

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 14)
1670. Den 8. et 9. Trinit. wurde zum I. und II. mahl außgeruffen Johannes Weiß der Ledige Schumacher, Johannis Weißen deß hießigen Schumachers u. burgers ehelich. Sohn, und Jungfr. Margaretha, Christian scheubels deß Metzgers u. burgers allhier eheliche tochter. Copuati Zu S. Thomæ Mont. post 9 Trinit. (i 9)

Paul von Hipsheim donne quittance de 125 livres à Ernest Frédéric Mollinger

1683 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 13-v
Paulus Von Hipßheim der Huetmacher
in gegensein herren Ernst Friderich Mollingers dißer statt Müntzverwalters
125 lb d Kauffschillingß rest so Johann Weiß der Schuhmacher hierbetiers zugegen Vermög der am 11. April. a° 1676. und 2. Julÿ a° 1680. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Kauffverschreibungen Von seiner alhier in der Uttengaßen gelegener behaußung jährlichen Zu Verzinnßen schuldig Zumahlen erwehnte behaußung gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen

Marguerite Scheubel meurt en 1691 en délaissant trois enfants. L’inventaire ne comprend pas le résumé habituel.

1691 (3. 8.br), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6123) n° 333
Inventarium undt beschreibung, aller undt Jeder Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren: undt tugen.dtsahme Anna Margaretha Scheibelin, deß Ehrsamen Johann Weißen Schuhmachers burgers alhier Zu Straßb. gewesene eheliche Haußfr. nunmehr seelig. nach ihrem d. 9. Jan: Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hind. ihro v.laß. welche verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erford.n und begehren des Ehrenhafft. hanß Conradt Kriegers, eb.mäßig Schuhmachers burgers Zu gerührtem Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christians, Johann Philippßen undt Mariæ Margarethæ, d. verstorb. seel. mit undt ab intestato nachgelaß.er Erb. – Mittwochs den 3. 8.bris 1691.

In einer in der Statt Straßb. in der Uttengaßen gelegenen von dem Wittiber
Haußrath, auf der Ober bühn, In der Cammer A, Cammer B. In der Wohnstub
Eigenthumb ane einer behaußung so Theilbar. Item hauß, hoffestatt höfflein mit allen deren gebeuen begriffen weithen Zugehördten rechten und gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg in der Uttengaßen jenseit der Preüsch einseit Frantz von Hipßen dem Huthmacher, anderseit neben weil. H. Johann Heinrich Waldecks gewesenen Goldarbeiters seel. hinderlaßener Wittib und Erben, hinden neben weil. Hn Hartmann Wörtzen gewesenen weisenschaffners seel. nachgelaßener wittib stoßend gelegen, davon gend jährlichen (-) ablösig mit 125 pfund Ferner (-) ablosig mit 30 pfund Kauffschillings rest, sonsten wäre diese behausung freÿ ledig und eÿgen und hiehero was darauf bezehlt worden angeschlagen umb 57. lb 10 ß. Darüber Vorhanden ein teutscher Pergamentiner Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract stub Verfertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel bekräfftiget sub dato den 2. Julÿ 1680.
Copia der von dem hinterbliebenen wittiber und der Verstorbenen seel. Zu Zeit ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteter Eheberedung. (…) den 3. Julÿ im Jahr alß man nach der geburth Jesu Christi Zahlte 1670.
Copia des Von der Verstorbenen, seel. auffgerichteten Codicilli. 1691 (…) auff Dienstag den 9. Januarÿ neuen Calenders Morgens Zwischen 9 und 10 Uhren in einer in der Statt Straßburg in der Uttengaßen gelegenen der Codicillirerin Zum theil eÿgenthümblich gehörigen und Von Ihro und dero Ehemann bewohnenden behaußung, dero wohnstuben mit den Fenstern auff gemelte gaß sehens Vor mir Benedicto Grosen offenbahrem geschwornem Notario (…) Persönlich erschienen Margaretha gebohrne Schaübelin Meister Johann Weisen des Schuhmachers burgers allhier eheliche haußfrau, Zwar wegen Zugestandener schwehren Kranckheit auff einem bett liegendt sich enthaltend, gleich wohlen aber durch die gnade Gottes richtigen Sinnen guten Verstandts und Vernehmlicher reden (…) Benedictus Groß, Notar: publ. juratus ac requisitus

Jean Weiss et le tuteur de ses enfants vendent la maison au tailleur Jean André Gimpel et à sa femme Anne Barbe Schæffer

1696 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 93-v
(Prot. fol. 14.b) Erschienen Johann Weiß der Schuemacher für sich selbst, So dann Johann Conrad Krieger der Schuhmacher alß Vogt sein weißen mit weil. Margaretha Schüblerin sel. erzielter 3. Kinder
in gegensein Johann Andreæ Gimpels, deß Schneiders und Annæ Barbaræ geb. Schäfferin mit beÿstand Johann Friderich Günthers des Glaßers und Johannis Brechtels deß Schuhmachers ihres repect. Vettern und Schwagers
Hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüen, begriffen, weith. zugehörden recht. und gerechtigkeit. allhier in der Uttengaß einseit neben Paul Römer dem Nagelschmid anderseit neben weil. Hn hans Heinrich Waldecks, gewesenen Goldarbeiters sel. nachgelaßenen Erb. hinten auf die alte Bechtische modo Sachßische behausung, stoßend gelegen – umb 250 pfund
Pro Nota, Es hat Zwar H. Ernst Friderich Mollinger d. Müntzverwalther die hieob. verkauffte behausung, weg. darauff gehabte zweÿ und.schiedlich. Capitalien, und Zinß, bereits A° 1693. in d. Ganth gezog. darüber auch d. biennium reluitionis würcklich verstrich., hat aber heut dato bei d. Contractstub allein sein Capital Zinß und unkost. gezog. und die quittung gehörig. orth gemacht, auch will geg. d.obige verschreibung d.gestalt eingerichtet word.

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de l’administrateur de la Monnaie Ernest Frédéric Mollinger

1696 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 95
Johann Andreas Gimpel, der Schneider und Anna Barbara geb. Schäfferin und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Friderich Günthers deß Glaßers und Johannis Brechtels deß Schuhmachers ihres repect. Vettern und Schwagers [unterzeichnet] Johan Andreas Gimbel, der Schneider und Anna Barbara gimblerin
in gegensein Hn Ernst Friderich Mollinger dieser Statt Müntz Verwalthers, schuldig seÿen 225 pfund zu erkauffung hernach beschriebener behaußung
unterpfand, hauß, hoffstatt, p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung

Jean André Gimpel se marie en 1694 avec Anne Barbe Schæffer qui avait épousé en premières noces le baigneur Jean Georges Hengstein (dit Hengst) en 1691 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 27 n° 140)
Heüt den 10. octob. 1691. ist (…) nach geschehener p.clamation eingesegnet word. Johann Geörg Hengstein (genannt Hengst) der burger undt Bader, undt Jgfr. Anna Barbara Weÿl. H. Philipp Schäffers des gewesten burgers undt Kauffhauß beampten nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Hans georg Hengstein als hochzeiter, Anna Barba Schefferin (i 29)

Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafft und Achtbarhen Meister Johann Andreæ Gimbeln dem Leedigen Schneider, weÿlandt Meister Johann Andeæ Gimbels, des Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen hinderlaßenen eheleiblichem Sohn, als dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamen Frawen Annæ Barbaræ gebohrner Schäfferin weÿland Meister hannß Georg Hänpffen* geweßenen Baders in allhießigem Trusen bad, und burgers allhier nun auch seeligen hinterbliebene Wittib, als der hochzeiterin am andern theil – auff dem Pfingst Montag, So da war den 31. tag des monaths Maÿ stÿli novi im jahr als man nach Christi unsers Einigen Erlößers und Seligenmachers Gebuhrt Zahlte 1694. Johann Reinhard Lang, Notarius juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 46, n° 283)
1694. Dom: 3. post Trinit. seÿnd Zum I. außgruffen worden Johann Andreas Gümpel lediger Schneider weiland Andreas Gümepls geweßenen Schneiders und burgers allhier nachgel. ehl . Sohn, Fr. Anna Barbara weÿl. Joh: Georg Hengsters geweßenen Drußen baders und burgers nachg. Wittib, seÿnd copulirt worden Mittw. den 7. Julÿ deßen seÿn Zeugen [unterzeichnet] hans Andras Gimbel als hoch Zeidter, Annabarbara schefferin Als hochzerin (i 46)

Jean André Gimpel et Anne Barbe Schæffer font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 351 livres.
1694 (29.7.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 36) n° 351 [restitué]
Inventarium und Beschreibung der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrenthafft und Achtbahre Meister Johann Andreas Gümpel, der Schneider und die Ehren: und tugendsame Fraw Anna Barbara Gümpelin, gebohrne Schäfferin, beede Eheleuthe und b. allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht, welche der Ursach. allweilen in iht beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Ehepactis außtrucklich versehen daß einem jeden deroselben seine in die Ehe zubringende Nahrung unverändert sein, auch was davon stehend. Ehe verändert werd. wird mit gebührendem billig. werth wid. ersetzt und ergäntzt werden solle – So beschehen in Straßb. in fernerm beÿsein des Ehrenhafft und Achtbaren meister Andreas Schäffers Schuhmachers und b. allhier der Fr. eheleiblich. Bruders und noch ohnentledigten vogts

In einer in der Statt Straßburg unden ane St: Urwans gaßen gelegenen behaußung hat sich befunden wie volgt
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe Gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 35, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerckh gehörig 4, Sa.Silbers 16 ß, Summa summarum 40 lb – darzu Zu legen die dem Mann ane der haussteuren gebührige Zween dritte theile 13 lb 2 ß, des Manns gantzes zugebrachtes Vermögen 49 lb
der Frawen in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 116, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. goldener Ringe 16, Sa. baarschafft 33, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 166, Sa. Schulden 4, Summa summarum 347 lb – Dazu ist Zu rechnen der Ihro der Frawen ans denen haussteuren gebürige dritte theil ane 13 lb, 4 lb, der Frawen in die ehe gebrachtes gantzes gueth 351 lb

Jean André Gimpel et Anne Barbe Schæffer hypothèquent la maison au profit du boulanger André Fischer

1698 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 418
Johann Andreas Gimpel der Schneider Und Anna Barbara geb. Schäfferin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Johannes Prechtels und Johann Melchior Graudj, beeder Schuhmacher Ihrer Schwägere [unterzeichnet] Johann Andreas Gimbel, Annabar Bara gimblerin geborne ch-, Johannes Brechtel, Johann Melchior Grauti
in gegensein H. Philipp Jacob Erhards, Schaffners alß Vogts Andreä Fischers, deß ledig. becken – schuldig seÿen, 50 pfund
unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier in der Uttengaßen einseit neben weÿl. H. Johann Henrich Waldecks gewesenen Goldarbeiters sel. Wittib, anderseit neben Johann Römer, dem Nagelschmid, hind. auff d. Sachßische behaußung stoßend gelegen

Anne Barbe Schæffer meurt en 1721 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 3 livres, celle des héritiers à 841 livres. L’actif de la communauté s’élève à 267 livres, le passif à 661 livres

1721 (12.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) n° 1072
Inventarium und Beschreibung aller derjenigan haab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren und tugendsamme fraw Anna Barbara Gimpelin, gebohrne Schäfferin, des wohl Ehren und Vorgeachten herrn Johann Andreæ Gimpels des Schneiders und burgers allhier zu Straßb: eheliche haußfrau nunmehr seel. nachdeme dieselbe dienstags d. 27. Martÿ diessen lauffenden 1721. Jahrs Zeitlichen todts verblichen, nach solch Ihrem seel. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vest und wohl vorgeachte H: Johann Schäffers des Knöpffmachers und Seidenhändlers, auch burgers allhier der frawen seel. eheleiblichen bruders als geschwornen Vogts Johann Andreæ Gimpels, der Abgeleibten Frawen seel. mit Vorermeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlt und nach tod verlaßenen einigen Sohns und ab intestato verlaßenen einig. Erben inventirt, durch Ihn den hinterbliebenen wittiber, wie auch Jgfr. Barbaram Kraudiin alhier gebürtig der Frawen seel. eheleiblichen Schwester seel. Tochter – So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 12.ten Augusti Anno 1721.

In einer allhier Zu Straßburg in der Uttengaßen liegenden, in diße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden Wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, In der mittlern Stub, In der Undern Stub
(f° 12) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung hoff, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuwen, begriffen, weiten, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Utten Gaß, eins: neben Johann Römern dem Nagelschmid, and. neben weÿl. Hn Johann Heinrich Wald Ecks gewes. goldarbeiters seel. Erben, hinten auff die alt Bechtische oder Sächsische wohn behaußung, jetztaber Johann heppiche den Liechtermacher stoßend, davon gehen jährlichen 3. lb. d. Zinß weÿl. hrn Ernst Friderich Mollingers gewes. Jur. u. Lti und Müntz Verwalters allhier seel: hinterbliebener fraw wittib, widerlößig in Cap. mit 75. lb. d. Mehr 2. lb d Zinß Fr. Annæ Barbaræ Gümppelin gebohrner Schäfferin der Verstorbenen Fr. seel. Erben ohnverändte Nahrung redimibel in Capital mit 50. lb, Mach. dieße beede beschwährd. Zusammen 125. lb. sonsten freÿ leedig und eigen und über dieße beschwerd. durch (die Werckmeistere) vermög übergebenen Abschatzungs Zeduls Vom 17.ten May 1721. angeschlagen pro 225. lb. Darüber vorhanden 1. teutsches pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Innsiegel verwahrt datirt d. 13. Februarÿ A° 1693. mit jetzigel N° 1 signirt
Ergäntzung des Wittibers ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über eingangs erwehnter beeder Eheleuthe einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch mich Notarium Joh: Reinhard Lang in Anno 1694. auffgerichtet
(f° 15-v) Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, (Sa. haussteuren 1 lb) Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 15 ß, Sa. Ergäntzung (7, abzuziehen 6, per rest) 1, Summa summarum 3 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 2, Sa. golderner ring 5, Sa. pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Ergäntzung (644, abzuziehen 8, rest) 635, Summa summarum 841 lb
Das gemein, verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 38, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 225, Summa summarum 267 lb – Schulden 661 lb, Die theilbare Passiva decediren das theilbar guth 394 lb
Copia der Eheberedung (…) Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Copia des zwischen eingange gedachten Eheleuth mit einander auffgerichteten Codicilli reciprici – 1695 (…) auff Freÿtag den 7. tag des Monaths Aprilis neuen Calenders abends Zwischen Sieben und Aht Uhren (…) persönlich erschienen der Ehrenhafft undt achtbahre meister Johann Andreas Gimbel der Schneider und die Ehren undt Tugendsame Frau Fraw Anna Barbara Gimpelin gebohrne Schäfferin bede Eheleuth und burger allhier zu Straßburg, Von der Gnade Gottes gesunden, gehenden und stehender, Sie die Frau aber hochschwangern Leibs (…) Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Special Theil Register Inhaltens Alles das Jenige was Frauen Annæ Barbaræ Gimpelin gebohrner Schäfferin Herrn Johann Andreæ Gimpels, des Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg ehelicher haußfraww, in weÿland Frawen Annæ Barbaræ Schäfferin gebohrner Fischerin auch weÿland herrn Johann Philipp Schäffers geweßenen Kauffhauß beambten und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderbliebener Fraw Wittib ihrer lieben Mutter seeligen Verlaßenschafft abtheilung vor einen Achten Stammtheil erblichen Zu: und angefallen Zubefinden auffgerichtet Anno 1705.
Inventarium über des Ehrenhafft und Achtbaren Meister Johann Andreæ Gümpels, Schneiders, und der Ehren undt Tugendsamen Frauen Anna Barbara Gümpelin gebohrner Schäfferin beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1694.
Abschatzung: d 17.t Maÿ: ano: 1721. Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheÿten Meister Andreß Gümpel schneider Ist Eine behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Rudten gaßen gelegen Ein seith Neben Johannes Romer, Nagell schmitt, Ander seith Neben Niclauß Elles Wittib, hinden auff Johannes Heppie, Lichter Macher stoßend, Welche behaußung, hoff statt, Stuben, Kammern, Küchen, Ein gebälckter Keller, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, wie solches durch der Statt geschwohren werckh Leüthen, in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen wirt, Vor, undt umb Süben Hundert Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworen werckh leüthen, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean André Gimpel meurt en décembre 1729. Les experts estiment la maison 575 livres. L’actif de la succession s’élève à 403 livres, le passif à 60 livres.

1729 (29.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 27) n° 262
Inventarium über Weÿland des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Andreä Gümpels, geweßenen Schneiders und burgers allhier nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729 – nachdeme dieselbe den 18.ten dießes Monaths von dem lieben Gott aus dießer welt abgefordert worden, Zeitl. hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren herrn Johann Schäffers, Knöpffmachers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Joh. Andreä Gimpels, des Abgeleibten. mit weÿl. der Ehren und tugendsahmen frauen Anna Barbara Gimpelin gebohrner Schäfferin seiner Verstorbenen ehel. haußwürthin ehel. erzeugten Sohns und ab intestato verlaßenen einigen Erben inventirt, durch Mstr: Johann Jacob Nivern den leedigen allhier noch ohnverburgerten Schneider von Lützelstein gebürtig Welcher nun ein Jahr hero beÿ dem Verstorbenen in diensten sich auffgehalten, deßgleichen frau Catharina Sutterin gebohrne Fritschin Frantz Joseph Sutters des bedienten der frembden herren Ehegattin, so schon acht Jahr hero in dem Sterbhauß wohnhaft (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 29.ten Decembris 1729.

In einer allhier Zu Straßburg in der Uttengaß gelegen in diße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung ist befunden worden Wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung hoffstatt und höfflin mit allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg in der Utten gaß, einseit neben François Claude Vernier dem liechtermacher, anderseit neben weÿland Johann Jacob Elleßen Erben, hinten auff Vorbemelten Vernier des liechtermachers behaußung stoßend, so gegen männiglich freÿ leedig u. eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög übergebenen schrifftlichen abschatzungs dedato 9. Januarÿ 1760 angeschlagen pro 287. lb. 10 ß Wie der Verstorbene und seine Ehefrau seel. dieße behausung von Johann Weißen dem Schuhmacher proprio und Johann Conrad Kriegers dem Schuhmacher Curatorio nomine sein Weißen mit weÿland Margarethæ Scheublerin seiner Ehefrauen ehelich erzeugter dreÿer Kinder vor sich erkaufft haben Weiset ein teutscher Perg: Kauffbrieff in allhieß: C C Stuben verfertiget u. m. ders. vorgedr. Kl. Inns: verwahret de dato 13. febr. anno 1696. m. a. N° 1 notirt und dabeÿ gelaßen. dabeÿ i. T. Perg. Ganth Kauffbrieff mit E. E. Kl. Raths d. St. Straßb. anhangendem größ: Inns: corroborirt datirt den 11.t Martÿ anno 1693. Und dan i. a. Pergam. Kaufbr. in obgem: Stuben gefert: u. mit deros. anhang. Inns. verw. datirt d. 2. Julÿ 1680.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 32, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 10 ß, Sa. Silbers 1, Sa. pfenningzinß hauptgüter 80, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 287, Sa. Schulden 1, Summa summarum 403 lb – Schulden 60 lb, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 342 lb
Abschatzung d. 9. Januarÿ 1730. Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahren Meister Andreæ Gimbel gewesenen Schneiders seel. hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Rutten gaßen gelegen, einseits Neben den Ellischen Erben, anderseits wie auch hinden auf Claude François Verny liechtermacher stosend, welche behausung, stuben, Cammren, soldaten Cammern Küchen und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen Wird Vor und Umb Fünff hundert Siebenzig und Fünff gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhofs

Les administrateurs de l’Orphelinat où le fils Gimpel a été admis vendent la maison 362 livres au fabricant de chandelles Claude François Vernier et à sa femme Marie Eve Reinbold, propriétaires de la maison voisine (ci-dessous, a-2).

1730 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 127-v
allhießigen weÿßenhaußes H. Mitpfleger S.T. H. Fünffzehner Johannes Sainctlo und H. Johann Friedrich Heupel Schaffner daselbst
in gegensein Claude François Vernier des Liechtermachers und Mariæ Evæ geb. Reinboldtin
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß einseit denen käuffern selbst anderseit neben weÿl. Johann Jacob Elles fastenspeishändlers Erben, hinten auff bemeldte Käuffer als Rechts: innhaber weÿl. Johann Andreas Gimpel schneiders und deßen sich im weÿßenhauß befindlichen hinterlaßenen einigen kindts Johann Andreas gimpel eigenthümlich zuständig – um 362 pfund


Maison (a-2), correspondant à la partie centrale de l’actuel n° 10

Préposés aux affaires foncières (Bauherren), protocole de tribus et des Quinze

1694, Préposés aux affaires foncières (VII 1376)
Jean Haubenstricker demande l’autorisation de poser un auvent d’une planche de large qu’on pourrait lever et baisser à l’aide d’une corde. Les préposés renvoient l’affaire aux deux chefs de chantier

(f° 7-v) Dienstags den 2. Februarÿ – Johann Haubenstricker
Johann Haubenstricker der Pastetenbeck, haltet an, ihme Zuerlauben, daß er an seinem hauß in der Uthengaß ein Wetterdächlein nur Von einem diehlen machen laßen möchte, welches mann mit einem Seÿl auff: und ablaßen Könte.
Erk. die beede Werckmeister sollen augenschein einnehmen und wiedrumb berichten.

1727, Protocole de la tribu des Maçons (XI 235)
Le fabricant de chandelles Claude François Vernier demande au conseil des maçons d’inspecter le travail qu’a fait Philippe Jacques Zell : les dalles qu’il a posées dans la cour pour éviter au pan de bois de pourrir ne remplissent pas leur fonction, l’encadrement de porte doit être remplacé, le toit du bâtiment en équerre laisse passer l’eau de pluie, le chenal doit être réparé, le chaudron à savon doit être utilisable. Le maître maçon renvoie aux termes de l’accord passé avec le maître d’ouvrage. Le représentant des maçons déclare cependant qu’il n’a pas vu l’accord. La commission ajoute que le défendeur a promis de mettre la maison en état quand il l’a vendue et enjoint au maçon de terminer le travail dans les quatre semaines.

(f° 224) Freÿtags den 31. Januarÿ 1727
Hr Zanger proponirte, daß Er vnd Mr Knott auf Claude François Vernier des Lichtermachers in der Uttengaß Ansuchen von herrn Oberherrn deputirt worden des Mr Zellers arbeit allda zu besichtigen welche sie dergestalten befunden
1) habe im hoff auff dem alten auff Zweÿ seithen Blatten gesetzt welche Vor das holtz damit solches nicht verfaulen gehen solle, allein liege solche nur den holtz Zugleich, daß es in Kurtzer Zeit Verfaulen müße.
2) das thurgestell muße außgebrochen vnd wieder ein anders eingesetzt werden indeme es allweeg nur Von einem halben schuh.
3) das tach auffm Zwerchhauß vnd das übrige tachwerck ist nicht gemacht, daß der Mann im hauß wohnen Kan, Indeme es darein regnet.
4) der Nach hinderm hauß ist frisch Zu legen, Vnd zu Verkutten, daß das waßer seinen ablauff habe.
5) der Seÿffen Keßel in stand Zu setzen daß er denselben brauchen vnd seÿff darinnen sieden könne.
Welches alles Mr Knott ebenmäßig affirmirte, nachdeme Ine solches Vorgelesen worden, vnd referiten beede noch weiter daß alles dießes er Zeller den mann Zumachen vnd in guten stand Zu stellen Versprochen, aber bis daro nicht geschehen habe.
Hr François vernier der Liechtermacher so dieses gericht gekaufft Vnd die Gebühr erlegt, beruffe sich auf dem rapport der Hh. Deputirten.
Beklagter Zeller ad 1. das gängel seÿe schon belegt gewesen, wie die beede Deputirte darauß geweßen, warauff er Verlangt, daß man seine arbeit abschatzen solle, welche dannoch umb 9 ß höher gekommen als sein Verding antraffe, beÿ welcher Abschatzung auch der Klagende verniers bewenden zu laßen, vnd waß er ferner begehre, ein tagloch arbeiten Laßen.
H. Zanger referirte Ihne niemahlen einen Verding Vorgewießen zu haben Vnd habe er Zeller expresse damalen gesagt, daß es muße anders belegt werden.
ad 2) Ja habe er Versprochen einen andern stein, wan ers Verlange, hinein Zu setzen, vernier aber habe Ihm 5. fl. deßwegen in seinem Zedul abziehen wollen.
ad 3) habe Ihme deßelbe machen wollen, der vernier aber seinen gesellen ins teuffels nahmen fortgeschickt.
ad 4) seÿe ein alter nach gewesen, den nie frisch gelegt worden, Vnder auch denselben nicht frisch zu Legen Versprochen, seÿe auch nicht im Verding.
ad 5) seÿe gemacht.
Kläger Replicirte, daß er mit dießem Keßel nunmehro Zufrieden seÿe, die übrige puncten aber instand gesetzt Zu haben Verlange.
Die beede deputirte berichteten ferner mit und beneben dem Kläger daß Beklagter beÿ Verkäuffung des haußes alles in guten stand zu setzen, vnd beÿ Abschatzung seiner gethanen arbeit in specie noch dieße vier puncyen zu befriedigung des Klägers Zu machen Versprochen, dahero vnd weilen Keinen Verding Vorwießen, noch solches in abrede seÿn kan, alß solle derselbe die noch restirende vier puncten von dato innerhalb Vier wochen auff seinen Costen in guten stand setzen vnd verbeßern, Zumahlen sowohl die Kauffgerichts gebühr alß andere unkosten auß dem seinigen erlegen, weilen Er denen beeden Hh. Deputirten die Verbeßerung deselben Versprochen, vnd wan die arbeit gemacht, solle wolche von denen beeden Deputirten wieder besichtiget werden.

1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
Philippe Jacques Zell porte l’affaire devant les Quinze. La procédure engagée n’a pas de suite

(p .39) Sambstag d. 8. Febr. 1729
Gug nomine Philipp Jacob Zell des Maurers und Steinhauers Citavit François Vernier den Lichtermachen producirt Undtg. Appellations klag juncto petito mit beÿlag N° 1. Moss bitt Cop. et T. ord. Gug laßt Copeÿ Zu bitt Deputationem. Erkandt wird Copeÿ und Deputation willfahrt

Description de la maison

  • 1713 (billet d’estimation traduit) La maison est estimée avec sa cave et son atelier à la somme de 1 100 florins
  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, chambre à soldats, deux chambres sous le toit, au rez-de-chaussée cuisine, placard, atelier à fabriquer les chandelles, petite cave en partie voûtée en partie solivée, le tout estimé avec le puits, la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à l’arrière deux caves dont l’une est voûtée et l’autre solivée, au-dessus un poêle, une cuisine, un atelier à fabriquer les chandelles, resserre à suif, boutique, à l’étage deux poêles, deux cuisines, passage, dans le bâtiment latéral deux chambres, chambre à soldats et greniers, estimés avec le puits à bras, la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins
  • (parties a-1 et a-2 réunies) 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée deux poêles, deux chambres, deux cuisines, un vestibule et une cave sous solives ainsi qu’un puits, aux premier et deuxième étages à gauche un poêle, chambre, cuisine et vestibule, à droite aussi un poêle, une chambre, une cuisine, un vestibule, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 1 200 florins

Relevé d’actes

La maison appartient en 1619 au chapelier Conrad Stumpf qui épouse en 1608 Elisabeth, veuve du boucher Antoine Mangold

Mariage, cathédrale (luth. p. 212)
1608. Dominica 17. Trinitatis. Conrad Stumpf der hutmacher, Elisabetha Antoni Mangold des metzigers n: g: witwe

Conrad Stumpf et Elisabeth Kegereis vendent deux maisons contiguës au chapelier Christophe Spleis et à sa femme Anne Thomas. En marge, quittance remise par les enfants et héritiers des vendeurs

1619 (xiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 36-v
(Inchoat. in Prot. fol. 30.) Erschienen Cunradt Stumpff d. huottmach. burg. Zu Straßburg vnd Elisabeth Keger Isin sein ehelich. haußfr. (verkaufft)
Stoffell Spleÿß. dem huttmacher burger Zu Straßburg vnd Annæ Thommin seiner ehelich. haußwürthin
Zweÿ heüser neb. einand. sampt dem höfflin, mit Allen Ihren gebeüw & gelegen Inn d. St. St. Inn der Utten gaß einseit neben Daniel Fridell dem Kachlern And. seit hanß Retz dem Zimmermann, hind. vff h. Johann Bechten d. Recht. doctoris stoßend, dauon v. lb d gelts Abloßig mit j C. lb vff Weÿhenachten fallend, herrn Albanus Ruckus diacono Zu Jung. S. Peter So dann sie verhafftet vmb L lb d wann es gefordert würd. Zuerleg. Julianæ Fißlerin seiner ledig. dochter mit dem Zinß, Wie man sagt, Vnd Alles recht, Vnnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd bescheh. für vnd vmb 200 pfund
[in margine :] Erschienen Christoph Spleiß an j. So dann Conrad Stumpfen s: erben mit nammen hannß Jacob Krimmer alß ehevogt Elisabeth Stumpfin Johann Pauli s. wittib vnd Vincentz Lümberger alß vogt ernts. Pauli s. Kind. 2. theils (Nachtrag) Act. den 22. Aug. 1629.

Christophe Spleis se marie en 1611 avec Anne Thomas, fille du gourmet Georges Thomas, qui avait épousé en 1605 le chapelier Jean Ulric Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 97-v, n° 38)
1605. Hans Ulrich Meier hutmacher, Jr. Anna Thomass Jörgen des Weinstichers tochter. 16. Julÿ (i 109)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125, n° 50)
1611. 29. April. Christoff Spleyß der Hutmacher, Anna, Hans Ulrich Mayr Hutmachers Wittib (i 127)

Christophe Spleis hypothèque la maison au profit du diacre Jean Jacques Rueckus

1621 (xj. Julÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 402
(Inchoat. in Prot. fol. 274.) Erschienen Stoffell Spleÿß der huttmacher burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit des ehrwürdigen vnd wohlgelehrten herrn hannß Jacob Rueckus Diaconi Zum Jungen Sanct Peter Alhie – schuldig seÿe 50 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Zweÿ heüßer nebent einander sampt der höflin Auch Allen Andern Ihren gebeüwen gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Utten gassen, neben Daniel Fidell dem Kachler, anderseit neben einem schuhmacher hanß Kretzen nachkomm. hinden vff herrn Johann Bechden der Rechten doctor stoßend dauon gend v lb gelts Ablößig mit j C lb d dem herrn gläubiger obgedacht Zuuor, So dann sind die heüßer verhafftet vmb j C. Lx lb Cunradt Stumpff dem huttmacher sunst ledig vnd eÿgenn

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1624 (xvj. Augusti), Chancellerie, vol. 452 f° 362-v
(Inchoat. in Prot. fol. 213.) Erschienen Stoffell Spleÿß der huttmach. burger Zu Straßburg
hatt in gegensein des Ehr: wolhelehrt. herrn Johann Jacob Ruckus diaconi Zum Jung. Sant Peter alhie – schuldig seÿe L. lb
vnderpfand Zweÿ heüßer nebent einand. samt den höfflin, Auch Allen Ihren gebaw. & gelegen Inn d. St. St. Inn der Vten gassen, einseit nebent Daniel Fidell dem Kachlern, anderseit n. Friderich Lindenberger hind. vff herrn Johann Georg Bechten der Rechten doctori stoßend, dauon gnd. b. lb d. gelds Ablößig mit j.C. lb dem gläubiger *geht Zuuor
(vide cassaturam in Reg. 1621. fol. 402.)
[in margine :] Erschienen H Urban Kißlin der Nots. alß befehlhaber Fr. Maria Jacobe Ziegelin deß H. Creditoris seel. witwen gralichs* leibs blödikeit halben nit erscheinen kann, bekannte in gegensein Stoffell Spleißes der Deb. (…) q.tirt den 25. 7.bris a° 1631.

Anne, veuve de Christophe Spleis, passe un contrat alimentaire avec son fils Jean Jacques Spleis et sa bru Anne
1654 (8. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 422
Erschienen Anna, weÿl. Christoph Spleÿß. deß huetmachers seel: wittib, mit beÿstand hannß Georg Meÿers deß huetmachers ihres Vogts an einem,
So dann hannß Jacob Spleÿß der huetmacher, und Anna sein Eheweib ihr Annä eheleiblich. Sohn und Sohnsfraw, am andern theil,
haben bekannt, waß maß. sie sich mit einand. dahien vereinbahret, daß Sie beÿde Eheleuthe, ermeldte ihre Muter und Schwig. Zue sich in ihrer Stub und ahne ihrem disch nehmen, darinn und daran so gut sie es selbst. haben werd. versorg. (…)

Anne Thomas veuve de Christophe Spleis et ses enfants, le chapelier Jean Jacques Spleis et Salomé femme du cordonnier Jean Gaspard Griessinger, vendent la maison à François von Hipsheim (veuf de leur fille et sœur respective, voir ci-dessous). La veuve se réserve l’habitation dans un logement de la maison

1651 (2. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 273
Erschienen Anna Thomin, weÿl. Christoph Spleiß. deß huetmachers seel. Wittib mit beÿstand hannß Georg Meÿers deß huetmachers ihres Curatoris, Ferner hannß Jacob Spleiß. der huetmacher für sich selbst. und hannß Caspar Grießingers Schuhmachers alß Ehevogt Salomeen Spleißin
haben in gegensein Frantz von Hipßheim deß huetmachers ihres resp. dochtermanns und Schwagers mit beÿstand Martin Rüdingers deß huetmachers seines Schwagers
ihr d. Mutter 1/3, so dann ahne den übrig. 2/3 hannß Jacobß und Salomeen ahne hauß, hoff, hoffstatt mit all. deren Gebäwen, alhie in d. Utengaß. einseit neben weÿl. Caspar Urschen deß Kachlers seel: Erb. anderseit neben Abraham Schiller dem Pitschiergrabern, hind. vff weÿl. H dr. Johann Georg Becht. seel. Erb. Gart. stoßend geleg., daran dem Käuffern deß übrige vorhien erbßweiß Zustehet, von welcher gantzen Behaußung gehend iahrs vff Jacobeæ 5. lib lößig mit 100. lib. denen armen im Kirchspiel deß Münsters, sonst für eldig und eig. dann ob wohlen solche behaußung dem darneb. gelegenen Schillertisch. hauß H. Lt. Balthasar Friderich Saltzmann noch umb 100. lib. verhafftet seÿe, haben iedoch die verkäuffere die verkauffte antheil d. vorbeschriebenen Behaußung solch. Unterpfands Ansprach vffs fürderlichst Zu entledig. und den Käuffern derentweg. freÿ und schadloß zu mach. zugesagt
die Muter hatt ihro vff ihr Persohn und für ihr leben lang deß Stüblin und Kämmerlin an einander. und in den hoff herauß gebawen, ohne Zinnß Zu bewohnen außtruckhlich auß und dem Käuffern angedingt

Fils du chapelier Jean Jacques von Hipsheim, François von Hipsheim épouse en 1640 Anne Marthe Spleiss
Mariage, cathédrale (luth. p. 433)
1640. Domin: Quinquages: Frantz von Hipsen der Huttmacher, Hanß Jacob von Hipsen Huttmachers Vnd burgers allhie nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfrau Anna Marthan Christoff Spleißen Huttmachers vndt Burgers alhie Eheliche Tochter. Eingesegnet Mont. Im Münster den 24. Febr: (i 221)

François von Hipsheim se remarie en 1651 avec Marie Madeleine Wagner, fille de potier : contrat de mariage, célébration
1651 (12. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 611-v
(Prot. fol. 168. – Eheberedung) Erschienen Frantz von hipß. der huetmacher und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand Daniel Walters deß Metzgers seines Schwagers an einem,
So dann Jungfr. Maria Magdalena H Paul Wagners deß haffenmachers eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand erstermeldts ihres Vatters, wie auch H Johann Schatzen deß handelßmanns und Michael Karchers deß Büttelß vff der Fischer zunfftstuben am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 538, XXXVIII)
1651. Dom. XII. Trinit. den 17. Aug. Frantz vonn Hipßheim Huetmacher vnndt burger alhier vnnd Maria Magdalena, herrn Pauli Wagners des burgers Vnndt haffenmachers alhier Eheliche dochter. den 25. Aug. Münster, Spiegell. Thiergarten (i 286)

Convention entre le barbier Jean Pfort et les pauvres de la paroisse de la cathédrale au sujet du capital assis sur la maison autrefois propriété de Christophe Spleiss et actuellement de François von Hipsheim

1657 (13. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 352
Erschienen H Johann Pfort der Barbierer
in gegensein h Michael Zentgraff deß Golt Arbeiters im nahmen der hauß Armen der Pfarr. deß Münsters, mit beÿstand H Urban Kißelß Notarÿ seines Schwagers
bekannt, Wiewohlen weÿl. Fr. Jacobea Ruckheißin gebohrne Zieglerin, in ihrem vffgerichteten Testamento §. Alß für das tritte & die ienige 100. lib Capital so sie vff einer alhie in der Utengaß. gelegenen dermahl. Christoph Spleiß. dem huetmacher Zugestandenen, anietzo aber Frantz von hipßen dem huetmach. gehörig. Behaußung, gehabte und iahrs vff weÿhenacht. Zinnßbahr. geweß. seind, denen Jeweilig. hauß Armen der Pfarr deß Münsters, der gestalt, legirt, daß der iährliche zinnß ied. Jahrs vff Jacobeæ tag und gemelte haußarmen distribuirt werd. solle (…) So habe eingangßgemelter H Pfort gedachte 100 lib Zu seinen hand. empfang. hiengeg. aner ahne deren statt, den hauß Armen assignirt und Zugeeignet die ienige 100. lib Capital, so anietzo die hohe Schul alhie, vermög der in der Cancelleÿ contract stuben am 11.t maÿ a° 1626. vffgerichteter obligation alle Jahr vff den 11. Maÿ Zu verzinnß. verbunden, von weÿl. Fr. Maria Elisabetha Sommerin, sein Pforten geweßenen Zweÿten ehelich. haußfrau, vff dero ienig. mit Ihme ehelich erzeugtes Söhnlin Johann Wilhelm Pforten, von demselben aber, vff ihme den Vattern erblich gelanget, und sein Johann Pforten geg. männiglich ohnansprüchiges Eigenthum seÿe, (…)

François von Hipsheim se remarie en 1662 avec Susanne, fille du tanneur Martin Schurer
Mariage, cathédrale (luth. f° 19)
1662. Dom: Quasimodogeniti den 6. April: Zum 2. mahl Frantz von Hipßheim der hutmacher vndt Bürger alhier und Jfr. Susanna, Martin Schurers des Rothgerbers vndt Bürgers alhier ehel: Tochter. Dienstags den 15.t April: Spiegel, Münster, Thiergart. (i 20)

Le marié fait dresser l’inventaire de ses apports. L’actif s’élève à 1 663 livres, dettes déduites à 1 232 livres. Il est propriétaire pour deux tiers de deux maisons contiguës rue Sainte-Madeleine, le troisième tiers revenant aux enfants issus en deuxièmes noces (il revend en 1676 la maison acquise en 1661, voir ci-dessus, a-1)

1662 (4. 7.bris), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 11) n° 14
Inventarium und beschreibung aller und Jeder Haab, Nahrung und Gütter, liegend. und vahrend. so dem Ehrenthafften Mr Frantzen von Hipßheim, huthmachern v. burgern Zu Str. eigenthümlichen Zuständig, v. d.selbe seiner geliebten hfr. Susannæ Schurerin in d. Ehestandt Zugebracht, Welches d. Vrsachen beschehen, weilen inn beed. der benanter Ehepersohnen auffgerichteten heuraths verschreibung vnd. and. p. expressum versehen, d. beed.seits Zu bringende v. in wehrend Ehe ererbende Gütter Jedem theil v. seinen Erben ein unverändert v. vorbehalten Gutt sein v. heißen – Actum vnd angefang. in fernerm beysein deß auch Ehrengeacht. H. Martin Schurers Rothgerbers v. deßen Eheprn. alß d. frauwen geliebt. Eltern in Straßburg Donnerstags d. 4 7.bris 1662.

In einer in d. Statt Str. ane Uttengaßen gelegener v. inn dieße Nahrung für unverändert gehöriger behaußg. befund. word. alß Volgt
Eÿgenthumb ane Häußer. Item huß, hoffestatt, höfflin und bronnen mit allen deren Rechten, Zugehördten vndt Gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Str. ane Vdengaßen Einseit etwan neben Abraham Schiller dem Pitschiergraber anizo dißorts selbsten and.seit Georg Sieler der Meelman hinden vff den Edlen und hochgelehrten H. Melchior Sachßen J. V. Drm vnd Professorem stoßend, so gantz freÿ leedig v. eig. Vndt angeschlagen p. 312 lb 10 ß, Daran gebührt erstlichen Ihrer L. Frantzen v. hipßen für unverändert 61 lb 2 ß 2 1/3 s, vnd ane restirenden 351 lb 7 ß 9 1/3 d für 2/3. theil, 167 lb 11 ß 10 d, Vnd alßo in Summa 228 lb 14 ß 3/2 d. Die restirende 83 lb 15 ß 11 1/3 d seind den Kindern mittler Ehe Zuständig. Darüber sagt ein alter Pergament Kauffverschreibung mit d. St. Str. Cantzleÿ Contractstb. anhangendem Insigel v.wahrt datirt den 13. Oct. 1590.
Eÿgenthumb ane Häußern. It. 2/3 theil ane hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen anderen ihren gebäuwen, begriffen, Zugehördten Rechten vnd Gerechtigkeiten geleg. ane obbemelter Vden gaßen, einseit neben deren nechst Vorher beschriebener behausung 2.s neben H. Gabriel Waldeck dem Goldarbeitern hinden H. Dr. Johann Melchior Sachß, dauon gend iahrs vf Weÿhenachten j lb 5 ß d em Wohl Ehrwürdig und hochgeehrten H. Balthasar Friderich Salzman S. S. Theologiæ Licentiato vnd Pfarrern im Münster, wid. lößig in hg. mit 25. lb ferner 2 lb 10 ß d Hanß Thomæ vnd Jonæ den Brantzen Gebrüedern Jahrs vf (-) ablößig mit 50. lb. Sonsten freÿ ledig v. eig. vnd über dieß beschwerden angeschlag. vmb 125. lb. Thun die hiehero gehörige 2/3. theil 83. lb 6 ß. Der vbrige 1/3. theil ist uch ermelten Kindern gehörig. Vnd besagt vber diße behaußung ein teutsch. Prgmtiner brief in d. St. Str. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt vnd mit dero fürhangendem Insigel verwahrt datirt den 27. Maÿ 1661.
Item 2/3. theil ane hauß, hoffestatt, höfflin vnd bronnen in s. Sr. Str. Zuhind.st im Encker gäßel (…)
Künfftige Ergenztung. Vermög Inventarÿ über weiland Frawen Maria Magdalena Wagnerin M. Frantzen v. Hipßen mittlern haußfr. seel. Verlaßenschafft d. 1661. vfgericht
Rubrices In hieuorger geschrieben Inventarium. Haußrath 446, Werckzeug Zum huthmacher handwerck gehörig. 13.
Wein und Vaß 101, Frucht 18, Silber geschirr und Geschmeidt 217, Guldine Ring 14, Baarschafft 172, Pfenningzinß hauptgüter 36, Eigenthumb ane Häußern 562, Schulden in die (Nahrung) Zugeltend 9, Künfftige Ergäntzung 72, Summa summarum 1663 lb, Nach deren Abzug 1232 lb

Les enfants et héritiers de François von Hipsheim vendent leurs parts de maison à leur frère Paul von Hipsheim

1690 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 395
Henrich Seÿler der Rathsbott alß Ehevogt Salome von Hipßen, Mehr Frantz von Hipßen der Huthmacher für sich selbsten, Sigmund Waltz auch huthmacher alß Ehevogt Susannæ von Hipßen, David Schweinle der Riemenschneider alß Ehevogt Marthæ von Hipßen, so dann Johann Martin Schurer der Gerber und Lederbereiter, alß Vogt Martins, Gottfrieds und Mariæ Salome von Hipßen, und Andres Dirrbach alß Vogt Johann Schöttels
in gegensein Johann Paul von Hipßen deß huthmachers Ihres respect. leiblich. bruders und Schwagers [unterzeichnet] Johann Paulus von Hüpßen alß Keuffer
Acht Neundte theÿl Einer behaußung höfflein und dero hoffstätten, mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten, allhier in der Uttengaß, einseit neben Johann Weißen dem Schuhmacher, anderseit neben hans Georg (-) dem Kachler, hind. auff die Sachsische Behaußung stoßend gelegen, daran der übrige Neundte theÿl Ihme Kaüffer zu vorhin Zuständig, Zumahlen die gantze Behaußung umb 137 pfund (so dann umb 25 pfund verhafftet) – geschehen umb 59 pfund

Le Grand Sénat autorise l’aliénation de la maison qui appartient aux enfants issus de deux mariages de François von Hipsheim

1690, AMS cote 94 Z 1 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkannus E E Großen Rhats der Statt Straßburg ist Frantz von Hipßen Kindter, Erster und anderer Ehe Joh: Martin Schurer und Andreß Dürbachs daß gebettene decretum alien. betreff. eine behaußung in der Uttengaß gelegen auff der Kinder Vertrags Hh. angehörte relation und der Vogt gewohnliche behabung ertheilt d. 22. Julÿ 1690 und ist die behabung geschehen Eod.
Scheffmacher Rhatschreib.

Le chapelier Paul von Hipsheim épouse en 1682 Anne Salomé Schwenck, fille de chapelier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 104-v, n° 35)
1682. Domin. 17. post Trinit. Zum 2.mahl Paulus Von Hipsen der hutmacher Weiland Frantz Von hipsen auch geweßenen hutmachers u. Burgers alhier nachgelaß: ehel. Sohn, Jfr. Anna Salome Hans Schwencken hutmachers u. Burgers allhier ehel. T. Mittw. den I. 8.br. Zun Predigern (i 106)

Paul von Hipsheim et Anne Salomé Schwenck hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur de l’Orphelinat

1693 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 148-v
Paulus von Hipßen, der Huthmacher und Anna Salome Schwenckin, deß. Eheliche haußfr. und Zwar dieselbe mit beÿstand Jacob Schwenck auch hutmachers Ihres leiblich. Vatters und hans Daniel Holländers deß huthmachers Ihres Vettern [unterzeichnet] Johann Paluluß Von Hüpßen, Anna Salme Schwenckin
in gegensein H. Johann Friderich Sachßen, Schaffners deß waisenhaußes, schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Ein vord. und hind. hauß, höfflein, sambt dero hoffstätt. und allen deren gebaüen recht. und zugehördt allhier in d. Uttengaß, einseit neben Johann weißen dem Schuhmacher and.seit hans Georg (-) dem Kachler hinten auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen

L’inventaire après décès dressé en 1712 n’est pas conservé
1712, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 40
Inventarium über weÿl. Herrn Johann Paulus Von Hipßheim des huthmachers seel. Verlassenschafft

Anne Salomé Schwenck meurt en 1719 dans sa maison Grande rue de la Grange en délaissant sept enfants. L’actif de la succession s’élève à 314 livres, le passif à 590 livres.
1720 (28. 10.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 10) n° 418
Inventarium über Weÿl. Frauen Annæ Salomeæ von Hipßheim gebohrner Schwenckin auch Weÿl. Hn Paulus von Hipßheim gewesten Huthmachers und burgers alhier nachgelaßener Wittib, beeder nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1720. – nach ihrem am 14. Decembris jüngsthin genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen, Wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deroselben nechstfolgenden blatt benahmbster Kinder und Erben (…) So beschehen Straßb. den 28. 10.br A° 1720.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt. 1. Fr. Mariam Magdalenam gebohrne v. Hipßheim Joh: Conrad Fischbach des jünger Hoßenstrickers u. burgers alhier Ehefrau mit beÿstand desselben 2. Joh: Jacob v. Hipßheim den in der frembde sich befindender lediger Schönferber, in deßen Nahmen u. bettener maßen in gegensein war Mstr. Frantz Waltz der Huthmacher u. burger alhier, 3. Weÿl. Fr. Mariæ Salomeæ gebohrner v. Hipßheim mit Mstr. Lorentz Rißen jun. dem Huthmacher burgern alhier ehel. erzielter 2. Kinder u. dißorts Enckele nahmens Lorentz u. Mariam Dorotheam so bevögtigt mit Mstr. Johann Frid. Dürbach dem Kupferschmid u. burgern allhier welcher neben d. Enckeln Vatter dem geschäfft beÿgewohnt, So dann 4. 5. 6. & 7. Frantz Paul, Annam Margaretham, Joh: Daniel u. Mariam Dorotheam dero geschworner Vogt Mstr Gottfried v. Hipßheim d. hutmacher u. burger allhier so gegenwärtig war. Alle 7. Zu gleichen portionen und Antheilern hinterlaßenen Kind. u. Erben

In einer alhier Zu Straßb. ane der großen Stadelgaß gelegenen in dießen Verl. gehörigen deßwegen hernach fol: beschriebener behaußung folgender maßen befunden.
Hültzenwercks. Cammer A. Obern Gang, Im undern Haußöhren, Wohnstub, Kuchen, Stub Cammer
In Gottes Nahmen ! Zuwißen daß auff (-) den (-) Xbris 1720. zwischen (-) und (-) Uhren in einer alhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen hernach Vermelter Fr. Codicillantin eÿgenthümblich Zuständigen behaußung dero vordern wohnstuben die fenster auff gedachte gaß außsehend fraw Anna Salome gebohrne Schwendin weÿl. Hn Johann Paulus v. Hipsßheim gewesten Huthmachers u. burgers alhier seel. nachgelaßene Wittib, Kranckh (…)
Sa. haußraths 88, Sa. Leehren Faß 9, Sa. Werckzeug Zum hutmacher handwerck gehörig 7, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ringe 10
(f° 9) Eÿgenthumb ane einer behaußung. Ein Behaußung in der großen Stadelgaß gelegen (…)
Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 138, Sa. Schulden 55, Summa summarum 314 lb – Passiva 590 lb, Conferendo 216 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 196 lb

Paul von Hipsheim vend la maison 400 livres à Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker

1694 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 242-v
Johann Paulus Von Hipßen der Huethmacher
in gegensein Annæ Mariæ geb. wagnerin Johannis Haubenstrickers des Pastetenbecks haußfrawen
Hauß, Hoffstatt, Höfflein sambt allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördten allhier in der Uttengaßen, einseit neben Hn Ernst Friderich Mollingern Müntzverwalthern anderseit neben Hanß Georg (-) dem Kachler, hinden auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen, welche behaußung zu vorher um 200 lb dem waißenhauß allhier verhafftet – umb 200 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Paul Römers des Nagelschmids alß ietzigen besitzers der hirin gemelten in der Uttengaß gelegenen behaußung (quittung) den 30. mart. 1696

Fils d’aubergiste, le fabricant de pâtés Jean Haubenstricker épouse en 1684 Anne Marie Wagner, fille d’huilier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 197-v, n° 15)
1684. Majus. den 29. Joh. Haubenstricker der ledige pastetenbeck H. Joh Jacob Haubenstrickers eines Ehrsamen Großen Raths alten Beÿsitzers v. gastgebers alhier ehel. sohn, J. Anna Maria H. Georg Wagners burgers v Ohlmans alhie ehe. Tochter (i 199)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. 26-v, n° 12) 1684. Johannes Haubenstricker der ledige Pastetenbeck Hrn Hans Jacob Haubenstrickers des würths zum Ochsen alhier vnd E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Anna Maria Herrn Georg Wagners deß Burgers und Olmans alhier eheliche Tochter. Copul. Zum Alten St. Peter Montag 19/29 Maÿ

Malade depuis huit ans et paralysé des membres, Jean Haubenstricker demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un un subside pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. La tribu des boulangers à laquelle ressortissent les fabricants de pâtés apportait jusqu’à présent son aide qui devient une charge trop pesante. Le consul propose une recommandation à l’aumône Saint-Marc pour passer outre au règlement qui interdit de subvenir entièrement aux besoins d’une famille
1701, Conseillers et XXI (1 R 184)
Johann Haubenstricker Burger vnd Krempp vmb Eine Wochentliche Beÿsteur. 268.
(p. 268) Sambstagß den 1.ten 8.bris 1701 – G. Ersch. Johann Haubenstricker Burger Vnd Krempp allhier, Berichtet Ew. Gnad. daß Er schon vber 8 Jahr Kranck und Contract und Nichts Verdienen Kann Vmb sein Weib vndt Kinder Zu ernehren, b. deßwegen Ew. Gnd. vmb Eine Wochentliche beÿsteür. herr Advocat Geyger Gantze famillie Zu St. Marx Zu ernehren währe wieder die Allmoßen ordnung vnd ahne den Spithal Zu Weißen, währe auch Nicht Ublich, Er Vermeine daß der Implorant ahne d. Spithal Vnd St. Marx Conjunctim Könte Verwießen Werden.
Herr Stätt Meister Von Wickerßheim, Er Vermeine daß der Implorant ahne St. Marx allein Könte Remittirt Werden.
Herr Am Meister Friderici berichtet daß bede Ehe Leüth bißhero Von E: E: Zunft der Becken, da der Implorant als Ein Pastettenbecken Incorporirt, Viel guthes genoßen, allein wolte es Ihnen Jetzo Nicht Mehr Continuirt Werden, weilen es Ihr allzuschwehr fället, Sie währen Vbrigens Erbarmens würdig, Vnd die Fr. eine ehrliche Fraw, Vndt Muße die Kinder liegen, Unvermögens in dem bittel herumb Lauffen.
Erk. Auff beschehenen bericht herrn Am Meisters Friderici Könd der Implorant Cum Recommandtione ane St. Marx Verwießen.
Herr XV. Scherer, Herr Schäffer

Anne Marie Wagner meurt en novembre 1701 dans une maison sise au Fossé des Tanneurs en délaissant deux filles. La succession est décrite sous une seule masse pour éviter des frais inutiles, le veuf étant fort pauvre et ne pouvant subsister sans l’aide de l’hôpital. L’actif de la succession s’élève à 64 livres, le passif à 60 livres.
1701 (15. Xbris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 7) n° 292, 293
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so weÿlandt die Ehren: und tugendsahme Fraw Anna Maria Haubenstrickerin gebohrne Wagnerin, des Ehrenachtbaren Johann Haubenstrickers vormahls geweßenen Pastetenbecks vnd burgers allhier zu Straßburg geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem den 26.t 9.bris dießes Zu endt eÿlenden 1701.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vnd vorgeachten Meister hanß Geörg Redtsloben hohltreger vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr Mariæ Ester vnd Annæ Mariæ der abgeleibten fraw seel. mit vorermeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter beeder Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein herrn Johann Ludwig Küchel des Kieffers vnd burgers allhier, Donnerstags den 15. Xbris A° 1701.
Pro nota. Es ist Zwahr Zwischen hievorbenanten nun getrennten beeden Eheleüthen Zur Zeit Ihrer angetrettenen Ehe eine formbliche Eheberedung auffgerichtet und darinnen von dem Wittiber der Verstorbenenn Fraw seel. ein gewißes stuck geldt Zur Morgengaab verschrieben (…), alldieweilen aber Er der Wittiber leiter in solchen Elendenstand v. aüßerste armuth gerathen, das er auch ohne Verpflegung gn. hoher Obrigkeit in allhießigem Mehren Hospital sich Künfftighien Zu erhalten ohnmöglich Vermag, also beÿ so gestalter Sachen von demselbigen nichts Zubekommen noch Zuhoffen, als hat mann auch ohnnöthig Zusein erachtet, die Eheberedung hier zu inseriren, noch viel weniger einige ersuchung der Kinder Mütterlichen guths Vorzunehmen, sondern Zu erspahrung weitläuffligkeit vnd unkosten ist Ihnen den Kindern mit verwilligung des Wittiber die gesambt Verheurathet mit Activé et passivé abgetretten, vnd eingelüffert worden, so hier Zur nachricht annectirt würdt.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen hannß David Müller dem Rothgerber und burgern allhier eÿgenthümblich gehörigen behaußung, volgender maßen befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 44, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 9, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. Schuldt 2, Summa summarum 64 – Schulden 60, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 3 lb 19 ß
N° 293. Verkauff und Looß Registerlein – Actum den 29.ten et 30. Xbris Anno 1701.

Jean Georges Reslob, tuteur de Marie Esther Haubenstricker, fait admettre sa pupille infirme à l’orphelinat comme sa mère est morte et que son père est pensionnaire à l’hôpital
1702, Conseillers et XXI (1 R 185)
Johann Haubenstrickers töchterlein pt° receptionis ins Waÿßenhauß. 291.
(p. 291) Sambstags den 23.sten 7.bris 1702. – Künast Ersch. Johann Haubenstrickers des bürgers vndt Krämben allhier töchterleins Maria Ester Vogt Johann Geörg Retzlob weÿllen der Vatter in dem Hospital die Mutter gestorben, Keine Mittlen Vorhandten, Vndt das Kindt wegen leibsblödigkeit nichts Verdienen Kan, als bittet der Vogt seine Curandin in alließiges Weißenhauß gnädig Zu recipiren.
H. Syndicus Regius meldet, Es wären alle angebrachte Umbständt dießem Kind favorable Vndt Verneme Er weÿllen daß weißenhauß eigentlich Vor arme Elteren loße burgers Kindter Vnter welcher Zahl dießes imploranten Curandum auch ist gestifftet, daß Es ohne anstandt könte recipirt wrrdten.
Erk. wirdt der jmplorante Vogt mit seinem begehren denen Hh. Pflegeren des weißenhaußes recommendirt.
H. XV. Dietrich,vndt H. Rathh. Gangolff.

Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker, loue la maison au fabricant de pâtés Gaspard Seyfried

1695 (18.7.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 452-v
Anna Maria geb. Wagnerin Johannis Haubenstrickers, deß Pastetenbecks haußfrau mit beÿstand Friderich Wagers deß Kieffers Ihres Vogts
in gegensein Caspar Seÿfrid deß Pastetenbecks
verlühen, Ihro in d. Uttengaß gelegene behaußung, mit allen deren Gebäuen, außerhalb deß Kleinen stocks den die Verleiherin würcklich bewohnt, auff ein Jahr lang von Joh:is Baptistæ dieß jahrs anzurechnen, umb 14 pfund

Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker pensionnaire à l’hôpital, vend la maison 400 livres au cloutier Paul Rœmer

1695 (24. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 624-v
Anna Maria geb. Wagnerin Johann Haubenstrickers deß Pfründers im Spitahl Haußfrau, mit beÿstand Friderich Wagners, deß Küffers Ihres bruders und Vogts
in gegensein Paul Römers, deß Nagelschmids, mit beÿstand Christoph Hildenbrands deß Feÿelhauers seines Gegen Schwehers
hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebaüen, rechten und Zugehördt. allhier in der Uttengaßen, einseit neben Hn. Ernst Friedrich Mollingern, dießer Statt Müntz Verwalthern, anderseit neben H. Paul Heÿer dem Kachlern hind. auff die Sachßische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 200 lb Capital (und umb 200 lb Capital verhafftet, welche) die Kaüffer übernehmen, und Kein theil dem andern nichts herauß geb. solle

Fils de cloutier, Paul Rœmer épouse en 1673 Susanne Rœmer, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration
1673 (28. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 481-v
(Eheberedung) Paulus Römer der Nagelschmidt Burger zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand Paul Wagners deß haffenmachers seines Curatoris an einem
So dann Jungfr. Susanna weÿl. Alexander Römers gewesenen Schuhmachers Und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene Eheliche dochter alß hochzeiterin mit assistentz Caspar Römers deß Schuhmachers Ihres Vogts und Hannß Georg Kreßen deß Schneiders Ihrer Mutter Bruders beeder Burger zu Straßburg am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 170)
1673. Dom: XV. post Trinit: Zum 2.mahl Paulus Römer der nagelschmid Weiland Johann Römers geweßenen Nagelschmdts u. Burgers alhier nachgelaß: ehel: Sohn Jfr. Susanna Weiland Hr. Alexander Römers gewesenen Schumachers b. Burgers alhier nachgelaß: ehel: T. Dienstags den 18.t 7.br: Münster (i 172)

Paul Rœmer hypothèque la maison au profit du tailleur de limes Christophe Hildenbrand

1696 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 196
Paulus Römer, der Nagelschmid
in gegensein H. Christoph Hildenbrand deß Feÿelhauers, schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüen, Recht. und zugehördt. allhier in d. Uttengaß, einseit neben Andres Gimpel dem Schneider anderseit neben Paul Heÿer, den Kachler, hind. auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen
So dann hauß und hoffstatt, sambt allen deren Gebaüen, recht. und zugehörd. allhier in d. Kalbsgaß so einseit ein Eck am Tränckgäßel, anderseit neben der Färbereÿ Zur blauen hand, hind. auff Mathiß Ensel den Schuhmacher stoßend geleg.

Paul Rœmer meurt en 1713 dans sa maison rue des Veaux en délaissant trois enfants. L’actif de la succession s’élève à 173 livres, le passif à 137 livres.
1713 (30.8.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 18) f° 466

Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, Veränderter und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenhaffte und Achtbahre Mstr. Paulus Römer, der geweßene Nagelschmid v. b. alhier nach seinem den 1.ten Julÿ dieses instehenden 1713.t Jahrs aus dießer welt genommenen seel. hientritt zeitlich. verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen seel. hinterlassenen dreÿen Kindern und ab intestato rechtsmäßigen Erben, Inventirt und ersucht, dh. die Ehren und tugendsame fr. Susannam geb. Römerin, die dießorts Wittib, beÿständlich deß Ehrsamen vnd bescheidenen Mstr. Joh: Michael Scheurings, Nagelschmidts v. b. alhier Ihres geschwornenen Curatoris (…) Actum in der Königl. Statt Straßb. Mittwochs den 30.ten Aug. Anno 1713.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. den Ehrsamen und bescheidenen Meister Joh: Römern Nagelschmidt und burgern alhier, so in persohn zugegen geweßen, 2. die Ehren und tugendbegabte fraw Mariam Magdalenam gebohrene Römerin deß Wohl Ehrenthafften vnd Vorachtbahren H. Abraham Metzgers wohlbestellten Ammeister Knechts und burgers alhier Haußfr, welche mit assistentz erstged. Ihres Ehwürths beÿ dem geschäfft erschienen, 3. die Ehren und Tugendsame Jgfr. Mariam Salomeam Römerin deren geschworner Vogt ist der Ehrsame und bescheidene Mstr. Johannes Römer Schuhmacher und burger alhier so beneben erstewehner seiner vogts tochter die Inventation beÿgewohnet hatt, Alle dreÿ deß Verstorbenen seel. mit eingangs ernannter Wüttib ehel. erzeugte und hinderlaßene Kind. und Zugleich portionen vnd Stammtheilen Erben

In einer in der statt Straßburg ahne der Kalbsgaßen gelegenen In dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung befund. worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, Vor dießer cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Cammer B
Eigenthumb ahne einer behaußung. Hauß, hoffstatt sampt allen deßen gebauen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten Und gerechtigkeit gelegen alhier in der Statt Straßb. ahne der Kalbßgaßen einseit ist ein Eck am trenckgäßel, anderseit neben H. David Schneider, dem ferber, hinden auff frid. Kochen dem Spielmann stoßend, davon gibt man Jährl. 2. lb 12 ß 6 d zinß fr. Fr. Dorothea, weÿl. H. Frantz Rudolph Mollingers geweßenen Stattlohners seel. Wittib auff Michaelis ist in hauptguth abzulößen mit 50 lb. It. 5 lb d Zinß H. Joh: frid. Rebhan auff den 1.t febr. in Cap. ablößig mit 100 lb. Ferner 11 lb zinß weÿl. H. Joh: frid. Spielmanns deß geweßenen dreÿzehn hinterlaßenen Erben Jährl. auff Joh: Bapt. loßig in hauptgut mit 275 lb, Summa der beschwerd. 425.Sonsten freÿ ledig und eig. und über dieße beschwerd. dh. der Statt straßb. geschworne werckleuthe crafft Ihrer Zu dießme, Concept geliefferten Abschatzung sub dato d. 21. Aug. Anno 1713. æstimirt per 125. lb. Dar. ist vorh. i. teutsch perg. Kbr. m. d. St. St. C.C. Stub secret Ins. verwahrt datirt den 8. 8.bris 1668 notirt m. altem N° 1 und dießmahlen wieder dabeÿ gelaß.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 39 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeith zum Nagelschmid handwerck gehörig 7 lb, Sa. Silber und goldenen rings 18 ß, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung, Summa summarum 173 lb – Sa. der Schulden 137 lb, Nach solchem abzug 36 lb
It. so hat H. Abraham hanß metzger in obenangezogener behaußung 10. Jahr lang gewohnt und darinnen eine stub, Stub Cammer Kuchen, sampt noch einer Cammer in gehabt dargeg. aber solche Gemach in seinen Costen gebawen, Weßwegen derselbe 175 fl. baw costen gefordet dannenhero zwischen den Parthen verglichen daß die baw costen geg. den Zinnßen auff gehen und kein theil an des anders etwas zu prætendiren befragt seÿ solle
– Abschatzung den 21.t Augusti 1713. Weylandt des Ehren hafften und bescheidenen Herren Paulus Röhmers des Nagelschmidts seel. hinderlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Kalbßgaßen Gelegen, ein Eck am Tränckgäßl. Ander seith. neben Hn. dauidt Schneider dem Ferber hinden auf Friederich Kochen den spielmann stoßendt, Welche behaußung Keller loch, Werckstatt sampt aller Ihrer recht: und gerechtigkeit sich in der besichtigung durch der Statt Straßburg Geschwohrne Weckhleüthe befunden, undt Jetzigem Preiß nach geschlagen Wirdt Vor und umb Ein Taußend und ein Hundert Gulden. bezeichnus durch der Statt Straßburg geschwohrene werckhleüthe. [unterzeichnet] Jacob Staudacher werck Meister des Maurhoffs

Paul Rœmer et Susanne Rœmer vendent la maison 500 livres à leur fils cloutier Jean Rœmer

1703 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 292-v
(333) Paul Römer nagelschmid u. Susanna geb. Römerin
in gegensein Joh: Römers auch nagelschmids deß. sohns
Hauß, Hoffstatt, Höfflein sambt allen deren gebäuen, rechten u. zugehörden allhier in der utten gaßen, einseit neben andres Gimpel schneidern anderseit neben Paul Geÿer hafnern hinten auf Jacques Maury wachsbohrer stoßend gelegen – um 200, 75 und 150 pfund verhafftet, geschehen um) 75 pfund

Jean Rœmer épouse en 1696 Anne Hildenbrand, fille du tailleur de limes Christophe Hildenbrand : contrat de mariage, célébration
1695 (14.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsamen undt bescheidenen Johannes Römern, dem ledigen Nagelschmidt, deß Ehrenhafften Meister Paul Römers ehelichem Sohn, alß hochzeitern an einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jungfrawen Annæ, des Ehrengeachten Herrn Christoph Hillenbrandts feigelhawers, burgers Zu gerührten Straßburg eheleiblichen tochter der Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil
Welches beschehen inn Straßburg Sontags den 14. Augusti Anno 1695 [unterzeichnet] Johannes Römer als hoch Zeider, Anna Hiller brandtin Als Hoch Zeiterin, Christoph hiellbrandt als der hoch Zeilth vatter
Protocollum tertium, f° 105-v

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 63, n° 355)
1696. Mittw. d. 14. Mart. wird. nach zweÿmahliger außruffungen eingesegnet, Johannes Römer der ledige Nagelschmidt v. burger alhier, Pauli Römers des Nagelschm. v. B. alhier ehel. sohn V. Anna, Christoph Hild.brandts des B. allhier v. feigelhawers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Römer als hochzeiter, Anna Hillenbrandtin als hochzeiterin (i 62)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 89 livres, ceux de la femme à 242 livres.
1696 (14.5.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6314) n° 485
Inventarium undt beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung so d. Ehrenhaffte Johannes Römer Nagelschmidt undt die Ehren: und tug.dsahme Anna Hillenbrandtin, beede Eheleuth burgere alhier zu Straßburg einand. in Ihren Ehestand Zubring. so umb d. ursach. beschrieb. wirdt, weilen inn d. Zwisch. beed. gedacht. Ehe Persohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich verseh. d. eines Jed. inn die Ehe zugebrachte Vermög. einen Jed. theil undt seinen Erben ein freÿ eÿg. Ohnverändt. Vermögen seÿn undt künfftig. Zeit (…) – Beschehen in Straßb. inn beÿein d. Ehrengeacht. H. Paul Römers Nagelschmidts undt H. Christoph Hillenbrandts feigelhawers, beed. burg. alhie, als d. beed.Zeug. Eheleuth geehrten Vättern Montags d. 14. Maÿ anno 1696.
Volgt nun hierauff die Inventation und beschreibung der Verlaßenschafft für und ahne sich selbsten, undt anfänglich des Ehemanns in die Ehe zugebrachte ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 55, Sa. Werckzeug Zum nagelschmidt handtwerck gehörig 26, Sa. Silbers 7, Summa summarum 89 lb
Auff solches wird auch der frawen Zugebrachte ohnverändert eÿgenthümblich guth beschrieben, Sa. haußraths 163, Sa. Silbers u. geschmeids 9, Sa. frücht 3, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 58, Summa summarum 242 lb

Anne Hildenbrand meurt en 1703 en délaissant trois enfants. La maison est portée à son prix d’achat, soit 500 livres. La masse propre au veuf s’élève à 3 livres, celle des héritiers à 205 livres. L’actif de la communauté s’élève à 99 livres, le passif à 299 livres

1703 (19. Xbris), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 4) [partie supérieure détruite par l’humidité]
Inventarium über [Annæ Rö]merin gebohr[ne Hildenbrand]in deß Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Römers deß Nagelschmidts und burgers allhier zu Straßburg gewesener Eheliche haußfraw nunmehr seelige, nach ihrem den 23.ten Septembr. dießen Lauffenden 1703.ten Jahrs auß dieser zeitlichkeit beschehenen tödtlichen hintritt Zeitlichen hinterlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsahmen und bescheidnen Meister Johann Jacob Schweickhardts deß Kachlers auch burgers Zu gedachten Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts der seelig verstorbenen mit dem hinterbliebenem wittibern ehelich erziehlten dreÿer Kinder nach dem eingang dießes Inventarÿ benambßet (…) – Geschehen in beÿsein herrn Christoph Hildebrandts deß feÿlhawers burgers allhier der seeligen frawen eheleiblichen Vatters nun obged. Kindern Vogts und wittibers, Straßburg den 19.te,Decembris 1703.
[die seelig verstorbene hat ab intestato Zu Erben v.laßen alß volgt] 1. Hanß [Christoph] so 7. Jahr alt, 2. Hanß Daniel, so 5. Jahr alt und 3. Susannam so 2 ½ Jahr alt, alle dreÿ der seelig verstorbenen frawen mit dem hinterbliebenen wittiber ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Erben Zu dreÿen gleichlingen portionen und Erbs Antheÿlen, in deren Nahmen eingangs gemeldter meister Schweickhatdt, der geschworene Vogt dieser Inventation von anfang biß zu endt beÿgewohnt hat.

Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebäuwen, rechten und zugehörden gelegen allhier in der Statt Straßburg in d. uttengaß 1.s. andreß Gümpel dem Schneider, 2. s. neben herrn Paul Heÿgern dem hafnern, hinten auf Jacques Maury Wachßpoßierer und vornen vf die Uttengaß stoßend, davon gehen Jährlich 10. lb d Jährlichen Zinnß dem hiesig. weisenhauß, vf Ann: Mariæ fällig lößig in haubtgutt mit 200. lb d, Item 3. lb 15. ß d Jungfr Margarethæ Preußelin, Mstr Jacob Carl Preußels deß Schneiders v. b. allh. ehelichen tochter, auch vf ged. termin fällig lößig in haubtguth mit 75. lb d. So dann 6. lb d Jährl. Zinßes vf ged. termin H. Christoph Hildebrand dem feÿlhawern v. b. allhier ablößig mit 150. lb. d Sonsten freÿ ledig und eÿg und wie sie d. Wittiber den 7.ten Julÿ 1703. an sich erkauft angeschlagen umb 500 lb. Abgezogen obige beschwerden restiret hier außzuwerffen 75. lb.
Hierüber bes. i. t. p. Kbr. mit j. d. St. St. anhang. inns. sub 7. Julÿ 1703. notirt mit N° 1, Ferner j. t. p. Kbr. m. dito de a° 1695. 28. Octobr. m. N° 1 Paul Römers deß nagelschmidts, So dann j. dito m. dito Annæ Mariæ Wagnerin Johann Haubenstrickers deß Pastetenbeckens haußfr. 29. Martÿ 1694. mit Lit. A. signirt
Summa hujus Inventarÿ. Wittiber, 1. haußrath 3, 2. Werckzeug 12, 3. Silber und geschmeid 1, 4. Ergäntzung 24, Summa summarum 41 lb – Passiva 45, Rest 3 lb
d. Erben gutt, 1. haußrathß 43, 2. Silbergeschmeid 4, 3. gold. Ring 1, 4. Ergäntzung 112, 5. Activorum 45, Summa summarum 205 lb
Theilbar, 1. haußrath 21, 2. Gld. Ring 2, 3. behaußung rest 75, Summa summarum 99 – Passivorum 299 lb, übertreffen 200 lb

Jean Rœmer se remarie avec Anne Catherine Neustœckel, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 144, n° 679)
1704. Mittw. d. 16. April. wurden nach ord.tl außruff. copulirt Johannes Römer d. Nagelschmidt v. Burger allhier v. J. Anna Catharina Johann Jacob Newstöckels des Weißbecken v. Burg. allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Römer als hochzeiter, Anna Catharina Neüstocken als hochzeiderin (i 143)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 62 livres, ceux de la femme à 109 livres.

1705 (17.3.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 6)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab nahrung und güther, liegender und vahrendter, so der Ehren und vorgeachte Herr Johann Römer, der nagelschmid und burger allhier, und die viel Ehren und Tugendsahme fraw Anna Catharina gebohrne Newstöcklerin deßen zweÿte eheliche haußfrau, einander vor ohnverändert in den Ehestand gebracht, welche crafft der Zwischen dießen beeden Eheleuthen uffgerichteten Eheberedung ohnverändert vorbehalten sein und verbleiben sollen, dergestalten daß solche mit der Zeit widerumb in natura ersetzt (…). Actum in fernerem beÿwesen herrn Johann Friderich Hucken, deß biersieders Zum Schwehrten der frawen annoch ohnentledigten vogts und herrn Johann Jacob Schweickarts deß Kachlers deß Ehemanns Kinder vogten, Straßburg den 17.ten Martÿ 1705.

In einer in der Statt Straßburg und uttengaß deß Ehemanns ohnverändert behaußung befunden worden.
Holtz: und Schreinwerckh, In der Cammer A, In der Cammer B, vor dießer Cammer, In der Wohnstuben, In der Soldaten Cammer, In d. Küchen, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (M.) It. hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebäuwen, rechten und Zugehörd. gelegen allhier in der Statt Straßburg in d. uttengaß 1.s. andreß Gümpel dem Schneider, 2. s. neben herrn Paul Heÿgern dem hafnern und E. E. Kl. Rathß alten beÿsitzern, hinden auf Jacques Maury den Wachßpoßierer und vornen vf die Uttengaß stoßend, davon gehen Jährlich 10. lb d Jährlichen Zinnß dem allhießigen waÿsenhauß, auff Annunciationis fällig, lößig in haubtgutt mit 200. lb d, Item 3. lb 15. ß d Jungfr Margarethæ Preußelin, meister Jacob Carl Preußel deß Schneiders und burgers allhier ehelicher tochter auch auff gedachtem Termin fällig lößig in haubtguth mit 75. lb d. So dann 6. lb d Jährlichen Zinßes vff gedachtem Termin Herrn Christoph Hildebranden dem feÿlhawern und burgern allhier ablößig mit 150. lb. d. Sonsten freÿ ledig und eÿgen und wie sie der Mann in seiner erstern Ehe den 7.ten Julÿ 1703. an sich erkaufft angeschlagen umb 500 lb. obige beschwerden davon abgezogen restiret hier annoch an dem Kauffschilling 75. lb. Daran participiren deß Ehemanns dreÿen Kindern ersterer Ehe vor mütterlich Gut eine tertz und die überige tertz der Ehemann nemblichen 50 lb
Hierüber besagt i. t. p. Kbr. m. d. St. St. anh. C. C. inns. vw. sub dato 7. Julÿ 1703. notirt mit N° 1, Ferner j. t. p. Kbr. m. dito de a° 1695. 28. Octobr. m. N° 1. So dann So dann j. dito m. dito sub dato. 29. Martÿ 1694. m. L. A. signirt
(F.) So dann ist dem Mann gelüffert worden 100 thaler welche ane einer Mehrern Summ auff dem beckenhauß am Speÿer thor gestanden und der frawen vatter herr hannß Jacob Neuwtöckel der weißbeck und burger allhier in der zwischen beeden Eheleuthen vffgerichteten Eheberedung §° 6.to Ihro mit zugegen versprochen gehabt
Der Kinder Pfetter, Göttel und Geschenck, hannß Christophen gehörig, hannß Danielen gehörig, Susannä
Summa hujus Inventarÿ. des Manns ohnverändert, 1. haußrath 161, 2. Werckzeug 40, 3. Silber 14, 4. behaußung 50, Summa summarum 267 lb – Passiva 329 lb, übertreffen die vorstehende Passiv Schulden deß Ehemanns zugebrachte Nahrung umb 62 lb
der frawen ohnv.änderten. haußrathß 10, 2. Silber 17 ß, 3. gold. Ring 7, 4. baarschafft 78, Summa summarum 109 lb
Summa Haussteuren 14 lb

Jean Rœmer et Anne Catherine Neustœckel vendent la maison 700 livres au maçon Philippe Jacques Zell et à sa femme Marie Claire Keller

1724 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 598 n° 335-v
Johannes Römer der Nagelschmidt und Anna Catharina geb. Neustöckelin, Ferner sein Römer in erster ehe mit weÿl. Fr: Anna geb. Hildebandin noch lebende zweÿ Kinder Johann Christoph Römer der Feÿlhauer und Jfr Susanna Römerin mit assistentz ihres bruders so beede majorennes und ohnbevögtigt zu seÿn versicherten
in gegensein Philipp Jacob Zell des Maurers und Steinhauers und Mariæ Claræ geb. Kellerin
Eine Behausung bestehend in Vorder: Nebens: und hindergebäu hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in der Uttengaß, einseit neben Andreas gimpel dem Schneider anderseit neben Paul heÿer dem haffner hinten auff Jacques Maury modo deßen tochtermann Jean Chapuis beede Liechtermacher – als ein währender Ehe erkaufftes Guth nach deme die Kinder Vogt auff das theilbare verzug gethan angegebene 577 pfund ausmachende onera und 122 pfund

Philippe Jacques Zell et Marie Claire Keller revendent la maison 800 livres au fabricant de chandelles Claude François Vernier et à sa femme Marie Eve Reinboldt

1726 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 600 n° 202-v
Philipp Jacob Zell der Maurer und Steinhauer und Maria Clara geb. Kellerin
in gegensein Claude François Vernier des Liechtermachers und burgers allhier und Mariæ Evæ geb. Reinboldtin
Eine Behausung bestehend in vorder: nebens: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß einseit neben Andreas Gimpel dem Schneider anderseit neben Paul Geÿer dem haffner hinten auff Jean Chapuis den Liechtermacher – um die angegebene 577 pfund hauptsummen und 222 pfund

Originaire de « Lory » près de Porrentruy, Claude François Vernier épouse en 1723 Marie Eve Reinbold native de Steinbach dans le diocèse de Strasbourg : contrat de mariage non conservé, célébration
1723, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
H Claudÿ Francisci Vernier liechtermach: und Jgfr Mariæ Evæ Reinboldin

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 65-v)
die 28 junii 1723 (…) sacro matrimonii vinculo coniuncti claudius Franciscus vernier oriundus del(-) diœcesis Basiliensis et Maria Eva Reinboldin oriunda ex Steinbach huius diœcesis – signum sponsi x, signum sponsæ x (i 65)

Tous deux deviennent bourgeois l’année suivante en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1724, 3° Livre de bourgeoisie p. 1344
Claude François Vernier d. liechtenmacher Von Lory beÿ bruntrudt geb. undt seine ehefr. Maria Eva Reinboltin von Steinbach erhalten das burgerrecht umb die tertz d. Neuen burger schilling, wollen beÿ E. E. Zunfft d. Möhren dienen. Jur. et prom. d. 18.ten Martÿ 1724.

Claude François Vernier se plaint à la tribu des Maçons que Philippe Jacques Zell a mal exécuté les travaux promis lors de la vente (voir plus haut). Il achète en 1730 la maison contiguë à la sienne (a-1).
Claude François Vernier meurt en 1734 en délaissant deux enfants. Une note signale que les conjoints n’ont pas fait dresser d’inventaire de leurs apports. Les experts estiment la maison au nord 300 livres et celle au sud 500 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 216 livres, celle des héritiers à 24 livres. L’actif de la communauté s’élève à 575 livres, le passif à 1770 livres.

1734 (21.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 65)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung so weÿland der Ehrenhaffte Claude François Veurnier, geweßener Liechtermacher vnd burger alhier seel. nach seinem den 16. Aprilis Jüngsthin, aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften Meister Johann Michael Strifflins, Schuemachers vndt burgers alhie, alß geordnet: und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, und Andres Michaels der Veurnier, des Abgeleibten seel: mit der Ehren: vnd tugendsamen Frauen Maria Eva gebohrnen Reinboldin ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch die hinderlaßene Wittib, mit assistentz des Ehren vorgeachten herrn Johann Jacob Newstöckels, weißbecken vnd burgers alhie, dero geschwornen Curatoris – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 21. Junÿ 1734.
Eheberedungs Copeÿ
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. deswegen ist Zuwißen, daß zwar die vorgemelte beede Eheleuthe in vorher geschriebener Eheberedung sich allerseits ein unverändert gutt und deren Ergäntzung vorbehalten, aber folgendts der ordung zu wider auß gewißen verhindernußen dero zugebrachte Nahrung nicht inventiren laßen, dahero dann beÿ so gestalten Sachen vordrist der Wittib gethanen handtreuwlichen bericht (…)

In einer alhier zu Straßburg in der Uttengaßen gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. worden wie folgt.
In der Soldaten Kammer, Im obern Vordern Cämmerlein, In der Vordern Stuben, In der hindern Stuben, In der Kuchen, Im Laden
Eigenthumb ane Häußern. (T.) Eine behaußung, als Vorder: hinder: und Nebenshaus, wie auch hoffstatt und höfflein, mit allen deßen begriffen weithen rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, in der Uttengaßen, einseith neben hernach beschriebener behausung, and.seit neben, Mons. Jean Chapuÿ dem Liechter macher hinden auff erstdachten Chapuy stoßend, davon gehen Jährlichen 15. lb d Zinß dem Weÿßenhauß alhier vff Mathiæ n Capital ablößig mit 300 lb. d, Item 7. lb 10 ß gelts à 5. pro Cento H. Philipp Ramsperger dem Schuhmacher jahrs auff den 13. Julÿ ablößig in Hauptguth mit 150. lb. d, Vnd dann 3 lb 15 ß gelts herrn Johann Georg Reißeißen dem Scribenten, Jahrs vff Johannis Baptistæ in Capital wid. lößig mit 75. lb. Thun vorstehend. Posten zusammen 525. lb d. Sondten eigen, dargegen ist vorstehende behaußung durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere laut überschickten scheins vom 4. Junÿ 1734. allein angeschlag. worden pro 500. lb. ist also höher onerirt dann selbige angeschlagen 25. lb So hernacher fol: (-) beÿ den Passivis angeschlagen befindlich.
Uber vorstehende behaußung besagt j. teutscher Perg. Kauffbrieff mitder Cancelleÿ Contractstuben Anhang. Insigel verwahrt, datirt den 2. Maÿ 1726.
(T.) Item I. behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden vnd Gerechtig keiten, geleg. allhier Zu Straßburg in ermelter Uttengaßen, einseith neben nechst Vorherbeschrieber behaußung, ands. neben Johann Georg Dörffer, dem Küeffer hinden auff gedachte behaußung stoßend, davon gehen Jährlichen 12 lb 10 ß gelts dem Weÿsenhauß alhier vff Annunc: Mariæ in Capital ablösig mit 250. lb. dargegen haben die Herren Werckmeistere besagte behaußung Laut vorhergemelten Scheins æstimirt pro 300 lb. Restiret also annoch außzuwerffen 50 lb. Über vorher geschriebene behaußung besagt ein teutscher perg. Kauffbrieff mit d. Cancelleÿ Contractstuben anhang. Insiegel de dato 13. Martÿ 1730.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung. Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 19 ß, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Schulden 202, Summa summarum 216 lb
Dießemnach würd auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Kleÿder 11, Sa. Schiff und geschirr Zum Liechtermach. gehörig 16, Summa summarum 28 lb – Schulden fol. 7.a, In Compensatione 24 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 34, Sa. Wahren Zum Liechter handel 487, Sa. Silbers 3 Sa. Eigenthumbs an häußern 50, Summa summarum 575 lb – Schulden 1770 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die sambtliche Theilbare Verlaßenschafft umb 1194 lb
Abschatzung dem 4. Junÿ 1734. Auff begehren Weilandt deß achtbahren und bescheitenen Frantz Blott Wernier dëß geweßenen Lichtermachers seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen eins eits Neben die Erben selbsten, anderseits Neben Johann Jörg törffer dem küffer hinden auff getachte Erben Stoßend welche behausung Stübell Küchell und Kleines Cämmerlin auff dem Botten stübell schmaler eingang und Kleines getrëmbtes Kellerlein und mit einen halben tach sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werckhleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen würdt Vor und Umb Sechs Hundert Gulten
Der 2.te begriff ist auh alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen ein seits Neben die Erben selbsten, anderseits und hinden auff Musi Schapi dem Lichter macher Stoßent welche behausung Stuben Cammren Kuchen hauß Ehren sodaten Cammer 2. Cammeren under dem tach auff dem botten Kuchen der Casten Lichter machers werckstatt höffell bronen ein getrëmbtes und gewölbtes Kellerlein, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch dero Statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der biersieder befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausent Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Marie Eve Reinbold se remarie avec le compagnon maçon Jean Guillaume Lender originaire de Kitzingen en Bavière : contrat de mariage dans lequel la future épouse assure à son mari la jouissance viagère des deux maisons, célébration
1735 (12.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 144
(Eheberedung) entzwischen dem Ehrengeachten Johann Wilhelm Lender, ledigem Steinhauer und Maurergesellen von Kitzingen gebürtig, weÿland des Ehren und Vorachtbahren Meister Johann Wilhelm Lender geweßenen Steinhauers und Maurers auxh Werckmeisters allda seel hinderlaßenen ehelichem sohn als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Eva Veurnier gebohrner Reinboldin weÿl. des Ehrengeachten Claude François Veurnier,geweßenen Liechtermachers und burgers allhier nachgelaßener Wittib als der hochzeiterin ane dem andern Theil

Siebendens hat die Frau Hochzeiterin umb besonderer Zu ihrem bräutigams habender Neigung willen demselben auff den fall Sie Zuerst Versterben würde Zu einem gemeinen lebtägigen und wiederrückfälligen Wÿdems bestimmet und Verschrieben Erstlichen die Ihre Vor ohnvertheilt gehörige helffte ane einer behaußung in Vorder: hinder: v. Nebenshaus, mit allen deßen begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseith neben hernach beschriebener behausung, anders. neben, Jean Chapuy dem Liechtermacher, hind. wieder auf denselben stoßend,
Ferner dero ohn Vertheilte helffte ane einer behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weith. rechten, Zugehörden vnd Gerechtig Keiten, auch ane der Uttengaß gelegen, eins. neben Joh. Georg Dörffer, dem Küeffer, anderseith neben obbedeutetem hauß, hinden auf gedachte behaußung stoßend, welche beede heüßer Sie die fr. hochzeiterin und dero erstere Ehemann seel. mit einander ane sich erkauffet haben und Ihro der hochzeiterin beeden Kindern erster Ehe die andere helffte daran gebührig ist, alßo und dergestalten daß Er der bräutigamb die helffte an erstbedittenen beeden häußern und deren Zugehörden die tag seines Lebens ruhig und ohngekränckt Zunutzen Zugenießen, Zubewohnen und Zugebrauchen berechtiget (…)
So beschehen in der Königl. Statt Straßburg in mein des Notarÿ Wohn behaußung ane dem alten Weinmarckt gelegen auff Dienstag den 12.ten Julÿ A° 1735 [unterzeichnet] Johann Willhelm Lendter alß hoch zeitter, MEV Frauen Mariæ Evæ Veurnier der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 171-v)
Hodie die 21 mensis Augusti anni 1735 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes wilhelmus Lender Lapicida filius legitimus wilhelmi Lander et Dorotheæ clauhammerin defunctorum parentum, dum viverent in Kintingen Diœcesis Herbipolensis, natus in dicto Kitzingen et commorans a octodecim annis argentinæ in Parochia ad dictum S. Petrum Seniorem et Maria Eva Reinboldin vidua Francisce vernier dum viveret Civis hujatis et candelarum opificis commorans in hac parochia nostrâ (signé) Johann Wilhelm Lendter, signum sponsæ x (i 173)

Le maçon Jean Guillaume Lender devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1024
Johann willhelm Lenter d. Maurer Von Kitzing. auß francken geb. erhalt d. b. von seiner ehefr: Maria Eva Frantz Vernier gew. b: undt Liechtenmachers wtb. ex gratia gratis, will beÿ E E Zunfft d. Mohrin dienen. Jur. eodem [18.t octob. 1735]

Marie Eve Reinbold, femme du fabricant de chandelles Jean Guillaume Lender meurt trois mois après son mariage en délaissant un fils de son premier mari. Les experts estiment la maison au nord 500 livres et celle au sud 900 livres. Le notaire fait observer qu’il est impossible d’évaluer les apports de la défunte à partir de l’inventaire dressé après la mort de son premier mari puisqu’elle a continué à exercer son métier en contractant plusieurs dettes. La succession est décrite sous une seule masse dont l’actif s’élève à 1 068 livres et le passif à 1 092 livres.

1735 (19. 9.bris), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 56) n° 500
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ Evæ Lenderin gebohrener Reinboldin letztmals des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Lenders Liechtenmachers und burgers allh. geweßener Haußwürthin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet 1735.
Inventarium und Beschreibung allerderjenigen Haab, Nahrung und güthere so weÿl. die Ehren und Tugendbegabte Frau Maria Eva gebohrene Reinboldin, erstmals weÿl. des Ehren und Vorgeachten H. Claude François Vuernier gewes. Liechterm. v. burgers allh. seel. und letztmals des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Lenders auch Liechtenmachers v. burgers allhier geweßene Ehegattin, nach Ihrem d. 10. dießes Monats 9.bris aus dießer welt genommenem tödl. hintritt zeitl. hinder sich Verlaßen, welche Verlaß. nachdeme Mstr. Joh: Mich. Strifflin der Schumach. v. burger allh. als geschworner Vogt Andres Michael Veurnier der abgeleibten seel. in 1. Ehe mit obgedachtem Ihrem erstern Ehemann ehelich erzeugten v. nach tod Verlaß. noch lebenden einigen Söhnleins und Zwar die in denen Kästen sich befindlichen Effecten V. in dem Laden enthaltenen Waaren mit E. E. Kl. Raths sigillo belegen anheute aber reseriren laßen, Zum theil auff sein Mr Strifflins des Vogts und theils auf obgedacgten Joh: Wilhelm Lenders des nunmal. Wittibers Ansuchen vnd begehren inventirt, durch Ihme dem hinderbl. Wittiber deßgl. Hubertum Niccard d. dienst Knecht V. Annam Mariam Doßwaldin die dienstmagd im hauß – So beschehen Zu Straßburg auff Sambstag den 19.ten 9.bris Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befund. worden, wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Soldaten Cammer, Vor der Soldaten Cammer, In der Magd Cammer, Auff dem oberten hindern Bühnell, Im hindern Stübel, In der Kuchen, In der Wohnstub, Im Laden, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. Eine behaußung, als Vorder hinder: und Nebensgebäu, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane der Uttengaß, einseith neben H. Jean Chapuy dem Liechtermacher, anders. neben hernach beschriebener behßg, Vornen auff besagte Uttengaß und hinden auff erstgemelten Chapuy stoßendt, und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftlicher Abschatzung Vom 24.ten Novemb. Aô 1735. angeschl. pro 900 lb.
Davon reicht mann Jährlichen dem Stifft des Waÿsenhaußes allhier auff Matthiæ Apostoli oder den 24. febr. 13. lb 10. ß Zu 4 ½ pro Cento gerechneten Geld Zinßes wiederlößig in haubtguth mit 300 lb. Mehr gefallen davon Jährlich auf dem 13. Julÿ 7 lb 10 ß Zu 5 pro C° gerechneten Geld Zinnßes H ? Philipp Ramsperger dem Schuhmacher und burger allhier redimibel in Capital mit 150. lb. Item dann gehen davon Jeweilen auff Joh. Bapt: oder den 24. Junÿ 3. lb 15 ß à 5. pro Ct° gerechneten Gld Zß H. Joh: Georg Reißeißen Cand. Notar: ablößig in haubtguth mit 75. lb. Welche dreÿ auff solcher behßg hafftende Capitalia zusammen antreffen 525 lb. Solche gegen obiger Abschatzung des haußes gehalten, so Verbleibt an derselben annoch per rest übrig und dißorts außzuwerffen 375 lb
Wie die Verstorbene und dero erstere Ehemann seel. diese behaußung Von Meister Philipp Jacob Zeller dem Steinhauer und Maurer allh. ane sich erkauffet haben, weißet j. Teutscher pergam. Kauffbr. in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit d° anhang. Insigel Verwahret dat. den 2.t Maÿ A° 1726. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergam. Kauffbrieff auch in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit dero anhangend. Insigel verseh, dat. den 17. Julÿ A° 1724. et 7. Julÿ A° 1703. alle 3. stuck mit N° 1 bemerckt
It. eine behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten v. Gerechtig Keiten gelegen auch allhier ane der Uttengaß, einseith neben nechst Vorherbeschrieber behaußung, anderseith neben Meister Joh: Georg Dörffer, dem Küeffer vornen auff gesagte Gaß und hind. auff bemeltes hiehero gehöriges hauß stoßend, so eigen und durch Vorernandte allhießige herren Werckmeistere nach besag Abschatzung Zeduls Vom 24.te Nov: 1735 angeschlagen pro 500 lb. Davon hatt man Jährl. auff Annunc: Mariæ dem Stifft des allhiesigen Waÿsenhaußes 12 lb 10 ß Zu 5. pro Ct° gerechnet, ane Zinß Zurichten so in Capital abzulösen mit 250. lb. Nach deren Abgang restirt ane obigem hauß Anschlag annoch per rest außzuwerffen 250 lb. Dieße behaußung haben die Verstorbene und dero ersere Ehemann seel. Von wohlermeltem Stifft Waÿßenhauß als rechts Inhabern weÿl. Joh: Andres Gimpels geweßenen Schneiders und deßen hinderlaßenen in dem Waÿßenhauß sich befindlich einigen Sohns eigenthümlich ane sich erkauffet, wie der darüber in allhießiger Canc: Contractst. gefert: mit deroselben anhang. Insiegel verwahrte Kauffbrieff de dato 13.ten Martÿ A° 1730. mit mehrerm außweißet, mit N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen Seÿe hiermit demnach man zu gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur geschritten und auß der Eheberedung ersehen daß beede geweßte Ehepersohnen ihr einander in die Ehe zugebrachte Nahrung sich zwar Vor ohnverändert vorbehalten, selbige aber nach Vollerzogener Ehe nicht haben inventiren laßen, sondern durch der Defunctæ bald darauff erfolgte Kranckheit davon Verhindert worden und obwolen erst in Anno 1734. den 21.t Junÿ Ihro der abgeleibten seel. erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft inventirt durch H. Notm. Jacob Christoph Pantrion ein formblich Inventarium darüber auffgerichtet worden, welches Inventarium man endlich in ermanglung eines nährern Documenti hätte sollen vor die hand nehmen und der Defunctæ Nahrung darauß ersuchen, allweilen aber Sie die Verstorbene seel in ihrem Wittwenstand das Gewerb fortgeführt und Von denen in solchem Invent. enthaltenen Vielen passiv schulden biß zu ihrer Zweÿten Verheürathung ein ansehnliches bezahlt (…)
Sa. haußraths 68. Sa. Werckzeug Zum Liechtermachen und handel gehörig 356. Sa. Silbers 4, Sa. Goldenen Ring 1. Sa. Eigenthumbs ane häußern 625, Sa. Schulden 12, Summa summarum 1068 lb – Schulden 1092 lb, Passiv onus 23 lb
Abschatzung dem 24. Nov: 1735. Auff begehren deß bescheitenen willhelm Lënter Lichter Macher, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg inn der rutten gaßen gelegen einseits H schapy dem Lichter macher anderseits neben die Erben selbsten hinden auff Johann Jörg Dörffer stoßend welche behaußung hinden auff dem botten Zweÿ Keller einer gewolbt der ander aber getrëmbt oben dar über eine stuben Kuchen Liecher macher werckstatt unschlig Kestell der Lahten, ihm obern stock Zweÿ stuben Zweÿ Kuchen der gang oben darüber ihm seiten gebeü Zweÿ Camren soltaten Cammer und bienen Klein hoffell und Gompbronnen sampt aller gerechtigkeidt wie solches durch der Statt Straßburg gewesen werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird vor und Umb Ein dausent und acht hundert Gulten.
Der 2.te begrieff ist auch alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen einseits ann die Erben selbst anderseits und hinden auff Meister Johann Jörg Dörffer Stoßend welche behaußung: 3 stübel, 3. hauß Ehren worinn die herd und waßer stein sehr Kleine Cammerlein höffell welches sehr schmall und Kleiner getrembter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird vor und Umb Ein dausent Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworen wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Jean Guillaume Lender qui est devenu propriétaire des deux maisons en vertu d’une cession faite le premier mars 1736 par le tuteur de son beau-fils les hypothèque au profit du notaire Mathias Koch. L’actif s’élève à 1945 livres, le passif à 2096 livres.

1736 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 604
Johann Willhelm Lender der Liechtermacher
in gegensein H. Mathias Koch Notarÿ Publici und Practici – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, dreÿ neben einander liegende Behausungen, deren eine in Vorder: hinder: und Nebenshauß auch höfflein bestehet mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, hoffstätten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß, einseit neben Jean Chapuy dem Liechtermacher anderseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer hinten auff ged. Chapuy, welche beede häußer deren jedes mit einem höfflein versehen ist – als ein durch den am 1. Martÿ jüngst mit vorbemelten seines stieffkindts (Andreas Michael Vernier) vogt errichtet und am 14. ejusdem vor E.E. Großen Rath confirmirten Kinder Vertrag eigenthümlich überlaßenes guth

Les créanciers de Jean Guillaume Lender qui a quitté la ville font dresser l’inventaire de ses biens. Les experts les estiment au même prix qu’à l’inventaire précédent

1736 (27. 9.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 60) n° 528
Inventarium über Mr Johann Wilhelm Lenders, des Liechtermachers und burgers allhier nunmehr habende Activ und Passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1736 – welche umb willen derselbe verwichenen freÿtags alß den 23.ten hujus sich Von hier absentiret und deßen Nahrung mit Passiv schulden merckl. beladen, auf Ansuchen und begehren herrn Eberhard Hartmanns des Metzgers, Viehhändlers und burgers allhier, alß eines derer Herren Creditoren und Von E. E. Kleinen Rath allhier unterm 26.ten hujus constituirten Syndici Massæ, inventirt, durch Peter Knotter von Cronweißenburg gebürtig, des ausgettrettenen geweßenen Gesellen, deßgleichen durch Catharinam gebohrne Frickin Johannes Butschers Steinhauers und Schirmers allhier Ehewürthin, so in dem Hauß wohnet – So beschehen allher Zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwart Mr Johann Michael Strifflins, Schuhmachers und burgers allhier, als geschwornen Vogts Andres Michael Vernier, des außgetrettenen Stieffsohns, welcher über äugen und zeigen ebenmäßig angelobet hat, mit fernerer zuziehnung S. T. Herrn Johann Ulrich Cammerers des Seÿlers und E. E. Kleinen Raths dermahligen wohlverdienteen beÿsitzer, als auß deßen Mittel hierzu in Specie aobgeordneten Deputati, auf Dienstag den 27. Novembris Anno 1736.

In einer allhier Zu Straßburg ahn der Uttengaß gelegenen in dieße Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befund. worden, wie folgt.
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung als Vorder hinder: und Nebensgebäu, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deroselben begriffen, weith. rechten zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseit neben H. Jean Chapuy dem Liechtermacher, anderseith neben gleich hernach beschriebener behaußung, Vornen auff besagte Uttengaß v. hinden auff erstgemelten Chapuy stoßend, so eigen und den 24.ten 9.bris A° 1735 beÿ weÿl. Frauen Mariæ Evæ Lenderin gebohrner Reinboldin, des außgetrettenen geweßter Ehegattin seel. Verlaßenschafft Inventation, durch (die Werckmeistere) angeschlag. auch dermalen, Wiewohl ohnpræjudicirlichen dabeÿ Zulaßen beliebet worden, nemblich pro 900 lb.
Auff solcher behaußung stehet in 3. verschiedenen Posten ane Capital 525 lb d welche hernach umb mehrerer richtigkeit willen passive eingetragen und Wie obgedachte Fr. Maria Eva geb. Reinboldin und Claude François Veurnier geweßener Liechtermach. v. burg. allh. deroselben erstere Ehemann dieße behaußung Von Meister Philipp Jacob Zeller dem Steinhauer und Maurer allh. ane sich erkauffet haben weißet j. Teutscher pergament. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stube, gefert: v. mit deroselben anhang. Insigel Verwahret dat. den 2.tn Maÿ A° 1726. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergament. Kauffbrieff auch in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit deroselb. anhangend. Insigel versehen, datirt den 17. Julÿ A° 1724. et 7. Julÿ A° 1703. alle 3. stuck mit alt.N. 1 signirt
It. eine behaußung, höfflein v. hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten v. Gerechtigkeiten gelegen auch allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseit neben nechst Vorherbeschrieber behaußung anderseith neben Meister Joh: Georg Dörffer, dem Küeffer vornen auff gesagte Gaß und hinden auff bemeltes auch hiehero gehöriges hauß stoßend so eigen und dicto 24. 9.bris 1735 beÿ des von hier sich absentirten geweßter Ehefrauen Verlaßenschafft Inventur (…) æstimirt auch anjetzo Wiewohl ohnverfängl. dabeÿ gelaßen worden, nemblichen pro 500 lb
Auff dießer behaußung stehet auch ein Capital Von 250. lb so aber dißorts von dem pretio desselben nicht abgezogen, sondern umb mehrerer richtigkeit willen hernach passivé eingetragen worden. Dießes hauß haben mehrgemelte Veurnierische Eheleuthe Von dem Stifft des Waÿßenhaußes als rechts Inhabern weÿl. Joh: Andres Gimpels geweßenen Schneiders allhier seel. hinderlaßenen in dem Waÿßenhauß sich befindlich ane sich erkauffet, wie der darüber in allhießiger Canc: Contractstuben gefertigte mit deroselben anhang. Insiegel verwahrte Kauffbrieff de dato 13.ten Martÿ A° 1730. mit mehrerm außweißet mit altem N° 1 bemerckt.
Pro nota. Vorherbeschriebene beede häußer seind dem außgetrettenen nach absterben mehr ernandter seiner Ehefrauen, durch einen mit Ihres Sohns erster Ehe geschwornen Vogten Joh: Michael Strifflin dem Schuhmach. und burgern allh. dere 1.ten Martÿ 1736. Vor Hn Joh: Friderich Lichtenberger, Not: publ. allh. getroffenen den 3.ten ejusdem beÿ einem Löbl. Vogteÿgericht und den 14.ten dießes beÿ E. E. Grosen Raths confirmirten auch darauffhin in allhießig Löbl. Canceleÿ Contract stuben enregistrirten Vertrag umb obig. außgeworfenen preÿß eigenthümlichen entschlagen worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 130. Sa. Werckzeug Zum Liechtermachen gehörig 87. Sa. Wahren Zum Liechterhandel gehörig 257. Sa. baarschafft 68. Sa. Eigenthumbs ane häußern 1400, Summa summarum 1945 lb – Schulden 2096 lb, Passiv onus 150 lb
Ungewiß Zweiffelhafft und Verlohrene Schulden 29 lb

Jean Chapuis, propriétaire de la maison voisine, acquiert les deux maisons de la masse délaissée par Jean Guillaume Lender.

1737 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 874-v
Ganth kauff – Mittwoch d. 6. Februarÿ 1737, zufolg E. E. kleinen Raths Erkanntnus vom 12. Decembris 1736 ist eine in Johann Philipp Lender des ausgetrettenen Liechtermachers fallliments mass gehörige in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt bestehenden allhier ane der Uttengaß liegende behausung einseit neben Jean Chappuy dem Liechtermacher anderseit neben hiernach beschriebenem hauß hinten auff ged. Chappuy
erwehntem Chapuy umb 1850 gulden
Eodem wurde auch die kleiner in ged. Lenders falliment gehörigen einseit neben obbeschriebenem hauß anderseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer hinten auff. bemeldten Chappuy stoßene gelegenen behausung
erst besagtem Chappuy umb 850 gulden
(Jean Chappuy dem Liechtermacher)

Jean Chapuis qui a l’intention de reconstruire la maison achète de son voisin tonnelier Jean Georges Dœrffer (propriétaire de l’actuel n° 8) la partie du cabinet d’aisance et de la fosse qui avance dans sa propriété pour obtenir une limite rectiligne. En contrepartie Jean Chapuis accorde à son voisin le droit de pratiquer dans sa remise une fenêtre grillagée qui donne vers son jardin.

1737 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 274
Johann Georg Dörffer der Kieffer
Jean Chapuis des Liechtermachers
zufolg mit demselben vor H. Not. Johann Jacob Oelinger am 13. hujus getroffen von E. E. kleinen Rath confirmirten vergleichs auch verkauffs
Einen theil sein Dörffers Profeÿ:sitzes gewölbs, zugangs und zugehörden umb so viel solches seinem giebel vorgehet welcher hinten auff sein Chapuis oder ehedeßen auff das gimpelische hauß stoßet und unten auf ged. Chapuis platz 6 schuh und einen halben in der länge und in der breitte 5 schueh im ersten und zweiten stock aber nur 4 schuh lang oder tieff und 5 schuh breitt ist alles in der Absicht damit er Chapuis mit seinem neu auffzuführen vorhabenden gebäu und giebel biß in das fundament so tief es von nöthen grad in einer flucht fahren möge, jedoch nicht weiter als biß an des verkäufers hindern Reiffschopff und mit dem beding daß der verkäufer solchen profeÿsitz und zugang und seinen eigenen costen abbrechen, jedoch auch die abbrechender materialien für sich behalten solle, um 135 pfund
anbeÿ verpflichtet sich der kaüffer die profeÿ dermahlen auff seine Unkosten säubern zu laßen und die scheidmaur ohne des verkäufer beÿtrag auffzubauen und in des verkäufers Reiffschopff so auff sein Chapuis gärttlein stoßet ein wohlvergittert und eng vergrembstes einen weg 2 und en andern weg 3 schuh hoch und 2 schuh breittes fenster von gehauenen steinen auff sein des kauffenden Chapuis cösten machen zu laßen und als ein immerwährendes Recht ohne selbiges verfinstern verstellen oder verlegen zu können in sein Chapuis maur ohngeändert zu laßen: worauff beede theile solche zwischen ihnen und wegen ihrer allhier ahne der Uttengaß einseit neben Georg Heinrich Delscher dem Schwerdtfeger anderseit neben dem käuffer selbst gelegenen behausungen getroffene Kaufverschreibung und vergleich


Maison (b), correspondant à la partie gauche de l’actuel n° 10

Les trois anciennes maisons sont réunies à partir de 1737

Livres des communaux

1730, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 776-v
Jean Chapuis est autorisé à ouvrir une porte de communication entre son ancienne maison (actuel n° 12) et celle qu’il vient d’acquérir (partie de l’actuel n° 10) moyennant un loyer annuel de 10 sols dont il rachète le capital en 1737.

Jean Chappuy der Liechtermacher allhier, soll vor die Erlaubnus eine Communication mit seiner wohn behaußung in sein gekaufftes nebens hauß in der Uttengaß machen zu laßen, laut der H. XV. Erk. de 4. Junÿ 1729. auf Eduardi 1730. I.mo, 10 ß
1737
Ist Laut erk. der H. XV. aberkaufft und im Einnahmbuch de A° 1737. Verrechnet worden mit 10 lb

Préposés aux affaires foncières et protocole des Quinze

1729, Préposés aux affaires foncières (VII 1393)
Même affaire traitée par le Préposés aux affaires foncières. Jean Chapuis demande l’autorisation d’ouvrir une communication avec la maison de potier qu’il vient d’acheter et de décharger le sable nécessaire à sa nouvelle construction près du Pont neuf. Les préposés se rendent sur place et constatent que la porte fera 3 pieds et demi de large sur 7 de haut.

(f° 170-v) Dienstags den 3. May 1729. – Mre Jean Chapuy weg. Bawens
Jean Chapuy der Liechtermacher, sucht erlaubnus einen durchbruch in des Haffners wohnung, so neben Seiner in der Uttengaß ligenden gelegen ist, und Er erkaufft hat, machen Zu laßen, ingleichem daß Er Zum Vorhabenden baw an der newen bruck den benöthigten Sand dörffe außladen laßen.
Erk. wird Implorant mit dem Ersten begehren an Gnd. Herrn die Fünffzehen gewiesen, den Sand aber anlangend, mag Er wohl beÿ der Newen bruck außladen laßen wann er alsobald hinweg und in Seine wohnung geführt wird.

(f° 181) Montags den 30. Maÿ 1729. – Jean Chapuy weg. durchbruchs
Augenschein eingenommen Beÿ Jean Chapuy dem Liechtermacher in der Uttengaß, Welcher beÿ Gnädigen Herren den Fünff Zehen umb erlaubnus gebetten eine 3 ½ schuhe breit und 7 schuhe Hoh Thür in die Scheidmaur seiner Zweÿ Häußern gegen dem Closter Zu der Rewerin über Zubrechen und dardurch eine Communication Von seinem Hauß in das Andere Zumachen.

1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
Les préposés aux affaires foncières transmettent l’affaire aux Quinze qui autorisent la communication moyennant un loyer annuel de 10 sols. Les Quinze délivent une expédition de leur arrêt.

Jean Chappuy pt° Durchbruchs
(p. 212) Sambstag d. 4. Junÿ 1729. Ober bawherren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß referiren daß Jean Chappuy der burger und Liechtermacher allhier in einem gehaltenen recess umb gnädige Erlaubnuß eine Communication in sein gekaufft Nebens hauß in der Uttengaß gelegen machen Zu dörffen Vndthg. gebetten habe.
auff geschehener Remission seÿe der augenschein eingenommen worden, da man ersehen daß Implorant aus seinem wohnhauß unten in der Einfahrt Rechter hand in ermeltes Nebens hauß durchbrechen undt eine thür in dem Liecht 3 ½ schuh breit und 7 schuh hoch machen laßen wolle. Nun finde mann auff seithen der Hh. Deputirten Keinen anstand Ihme hierinn Zu willfahren, jedoch wolte mit der meinung sein, daß er jährlich gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling davon Zu bezahlen gehalten sein allein die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 218) Sambstag den 18. Junÿ 1729. Ober bawherren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß proponiren daß Comm. hienach gesetzten bescheids seÿe begehrt und willfahrt so fort Wie folgt Zu papier gebracht worden.
Bescheid. Sambstag d. 4. Junÿ 1729. Auff Jean Chappuy des burgers und Liechtermachers allhier gethanes Unterthäniges ansuchen und bitten Ihme in seinem gekaufften Nebens hauß in der Uttengaß gelegen eine Communication mit seiner Wohnbehausung allda machen Zu dörffen gnädig Zu erlauben, undt Zwahr dergestalten daß Ihme aus gedachter seiner Wohnbehausung unten in der Einfahrt Rechter hand in ermeltes Nebens hauß durchbrechen, undt eine thür in dem Liecht Vierthalben schuhe breit und sieben schuh hoch machen laßen erlaubt sein möchte. Ist nach genohmenen Bedacht, eingenommen Augenschein und der Oberhauheren hierüber abgelegten relation, Erkandt, wird dem Imploranten in seinem begehren Willfahrt, jedoch mit dem anhang daß er deßwegen gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling Jährlich Zu bezahlen und abzurichten schuldig sein solle.
Zu MGHhn stellend, ob Sie [-]

Mêmes pièces en copie
Cote VII 27 (Plans et décisions)
108-a, b, c – Jean Chappuy in der Uttengaß
N° b 108.a Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1729, Sambstags den 4. Junÿ
N° b 108.c Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1737, Sambstags den 6. Aprilis
N° b 108.b Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1737, Sambstag den 25. Maÿ

1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
Jean Chapuis demande l’autorisation de démolir les maisons qu’il vient d’acheter et de reconstruire un seul bâtiment. Le chef de chantier qui s’est rendu sur place rapporte que les deux maisons acquises, vieilles et délabrées, n’en faisaient anciennement qu’une seule. Celle vers le sud (à côté de l’acquéreur) a 33 pieds 3 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds, celle au nord (à côté de Jean Georges Dœrffer) a 16 pieds 10 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds. Le pétitionnaire a en outre l’intention de détacher un terrain de 50 pieds de long sur 20 de large à l’arrière de son ancienne maison pour le réunir à celle qu’il va reconstruire. Les Quinze donnent leur accord moyennant paiement de 10 livres. Ils délivrent une expédition de leur arrêt.

Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
(p. 159) Sambstag d. 23. Martÿ 1737 Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
Moss. Nôe Jean Chapuy burgers und Liechtermachers bitt Underth. umb gn. Erlaubnuß seine Zweÿ an einander stehende häußer in der Vttengaß gelegen abzubrechen, undt Zusammen alß ein New Hauß Wieder auffzubawen. Erkandt, Oberbawherren.

(p. 174) Sambstags d. 6. Aprilis 1737. Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
Idem laßen ferner per Eundem Referiren Jean Chappuy der burger und Liechtermacher allhier habe umb g. Erlaubnuß gebetten seine Zweÿ aneinander stehende häußer in der Uttengaß gelegen, abzubrechen, und zusammen alß ein New hauß wieder auffzubauwen. Auff geschehene weisung seÿe der Augenschein eingenommen, und besag der beeden Hh. Werckmeister auffgesetzten und eingeliefferten schrifftlichen Relation befunden worden, daß Chapuy an seinem in gedachter Vttengaß gelegenen Wohnhauß Zweÿ an einander stoßende behaußungen erkaufft, welche aber Zuvor nur eine behaußung gewesen, welche beede häußer er, Chappuy willens beede häußer abzureißen und wiederumb eine behaußung daraus zu machen, anbeÿ ein stuck Von seinem Hinder Hauß 50. schuh lang und 20. schuh breit darzu Zu ziehen, das einte erkauffte Hauß, welches an deßen wohnbehaußung anschließt ist gegen der Gaß 33. Schuhe 3. Zoll breit, und gegen dem Hoff biß an die hinder Maur 36 schuh tieff, das andere erkauffte Hauß, welches dem Waÿßenhauß Zuvor gehörig war, so an Ihne, Chappuy, und Meister Johann Georg Dörffer den Kieffer stoßet, befindet sich gegen der Gaß 16. Schuhe 10. Zoll breit, und in der tieffe auch gleich wie das andere 36. Schuh, welche behaußung von unden biß oben auff sehr schlecht, alt, und bawfällig, Auff seithen der Herrn Deputirten Verneme man, daß dem Imploranten gegen einmahliger bezahlung 10. lb. für die Vergönstigung in seinem begehren zu willfahren, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkannt, bedacht gefolgt.

(p. 183) Sambstags d. 13. Aprilis 1737. Bescheid – In Sachen Jean Chapuy des burgers und Liechtermachers allhier Auff deßelben gethanes Underthäniges ansuchen und bitten Gnädig zu erlauben, daß er seine Zweÿ aneinander stehende häußer in der Vttengaß gelegen, abbrechen und zusammen alß ein Neue Hauß Wieder auffbawen dörffe, erkandten und ein genommemen Augenschein, abgeleßenen schrifftlichen Bericht der beeden Werckmeister dahien gehend, daß der Implorant an seinem in ged. Vttengaß gelegenem Wohnhauß Zweÿ an einander stehende behaußungen erkaufft, Welche aber Zuvor nur eine behaußung gewesen, die er beede abzureißen und wiederumb eine behaußung daraus zu machen, anbeÿ ein stuck Von seinem Hinder Hauß 50. Schuh lang und 20. Schuh breit darzu Zu ziehen, willens seÿe, das einte erkauffte Hauß, welches an deßen Wohnbehaußung anschließt, seÿe gegen der Gaß 33. Schuhe 3. Zoll breit, und gegen dem Hoff biß an die hinder Maur 36. Schuh tieff, das andere erkauffte Hauß, welches dem Waÿßenhauß Zuvor gehörig war, so an Ihne dem Imploranten, und Johann Georg Dörffer den Kieffer stoßt, befinde sich gegen der Gaß 16. Schuhe 10. Zoll breit, und in der tieffe auch 36. Schuh, Welche behaußung von unden biß oben auff, sehr schlecht, alt, und bawfällig seÿen. Ist der Herrn Deputirten abgelegten Relation nach, Erkandt, Wird dem Imploranten gegen einmahliger bezahlung Zehen Pfundt d. für die Vergönstigung in seinem begehren willfahrt.
Zu Mghh. stellend, Ob Sie deßen Auffsatz alßo genehmhalten, und dabeÿ erkennen willen, daß selbiger in dieser formb expedirt und ged. Chappuy Zugestellet werden solle. Erk. quod Sic.

Jean Chapuis est autorisé à éteindre les 10 sols de loyer pour le droit de communication accordé en 1727 en payant un capital de 10 livres. Les Quinze délivrent une expédition de leur arrêt.

(p. 207) Sambstag d. 11. Maÿ 1737. Moss. Nôe Jean Chapuy b. und Liechtermachers allhier prod. Vnderth. Mem. pt° eines jährlichen oneris auff seinem hauß. Erkandt, Oberbawherren.

(p. 226) Sambstag d. 24. Maÿ 1737. – Jean Chapuy pt° ablößung 10. ß wegen einer thür
Iidem [Oberbawherren] laßen ferner per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, daß Jean Chapuy burger und Liechtermacher allhier den 11. hujus ein Underthg. Memorial producirt, darinnen Vortragend, Es wurde Mgh. aus dem protocoll vom 4. Junÿ 1729 erinnerlich seÿn, wie daß Ihme, Imploranten, gn. erlaubt worden eine thür unden in sein Nebens hauß durch zubrechen jedoch daß er deßwegen Gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling jährlich bezahlen solle Es wurde aber solch jährlich onus Ihme, Imploranten, Zu beschwehrlich, undt wolte er die behaußung lieber freÿ haben, befinde er sich also genöthiget ehender ged. thür oder Oeffnung Zumachen Zu laßen, alß solche 10 ß jährlich abzurichten, Wann nicht Mghh. gnädigst gelieben wolten, solch onus Zu moderiren, undt auff ein leidentliches einmahl für allemahl Zu bezahlen, Zu setzen, geruheten, Mit demuthiger bitt Mghh. belieben möchten sothane jährliche Zehen Schilling in ein geringes und leidentliches auff einmahl Zu bezahlen, ex gratia Zu Verwandlen. Auff geschehene Weisung habe der Implorant sich auff den jnhalt seines Memorials bezogen.
Auff seithen der Hh. Deputirten vermeine man daß in die ablößung dieses oneris in alle weg gegen einmahliger bezahlung Zehen pfundt zu consentiren, anerwogen wann der Supplicant die thür wegen welcher deselbe jährlich 10 ß bezahle, wieder Zumauren laße, Gemeine Statt alßdann weder Capital noch Zinß mehr bekommen würde, dahienngen solchen falls Gemeine Statt das Völlige Capital à 5 pro Ct° beziehe und bekomme, jedoch stehe zu Mghh. was die erkennen wollen. Erkandt, bedacht gefolgt.

(p. 247) Montag d. 3. Junÿ 1737.
Bedacht – Sambstag d. 24. Maÿ 1737. In Sachen Jean Chapuy des burgers und Liechtermachers auff deßelben producires Unterthäniges Memoriale und bitten, die Ihme wegen einer unden in sein Nebens hauß durchgebrochene thür angesetzte, und jährlich Gemeiner Statt Pfenningthurn zu bezahlen habende Zehen schilling in ein geringes und leidentliches auff einmahl Zu bezahlen, ex gratia Zu Verwandlen. genommenen Bedacht, und der Oberbaw herren abgelegte relation ist Erkandt, Wird der Implorant gegen einmahliger bezahlung Zehen pfund. von diesem onere befreÿt.
Zu Mghh. stellendt, Ob sie auch deßen Auffsatz genehmhalten undt deßen expedition und extradition erkennen wollen. Erkandt, quoadsic.

1737, Préposés aux affaires foncières (VII 1397)
Les préposés aux affaires foncières visitent la maison de Jean Chapuis qui a demandé l’autorisation de réunir les deux maisons sous un seul toit qu’il vient d’acheter et de détacher de son ancienne maison un terrain où se trouve son atelier servant à fabriquer les chandelles en le réunissant à la nouvelle qu’il va construire.
(f° 117-v) Donnerstags den 28. Martÿ 1737. – Augenschein, Jean Chapuy
beÿ Jean Chapuy dem Liechtermacher in der Uttenhaß welcher beÿ Gnädigen Herren den XV. umb erlaubnus gebetten, Zweÿ neben seinem neüerbauten Wohnhauß allda habende, unter einem dach stehende Häußer, So Vor disem nur ein Hauß geweßen, und nochmahls Zu Zweÿen Getheillt und abgesöndert worden, abzubrechen und wieder eines auf den Platz Zubauen, und damit selbiges mehr tieffer bekommen möge, seine hinten daran Habende fonderie Zum Unschlittschmeltzen, welche Zu dem Von jhme bewohnten Hauß gehört, darzu zu ziehen und durch eine Scheidmaur Von diesem abzusöndern und Alle Communication abzuschneiden.
Nota ist ihme den 6. Aprilis 1737. beÿ Gnd. Herren den XV. gegen einmahliger bezahlung 10. lb willfahrt worden.

1779, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
Les contrôleurs de maçons constatent qu’André Braulle fait faire des travaux (blanchissage et peinture, réparation d’une cheminée) par le journalier Jean Guillaume Finck sans avoir recours à un maître. André Braulle déclare que le journalier travaille pour lui au lieu de verser un loyer et qu’il ignore le règlement puisqu’il n’est pas bourgeois. Le Conseil l’exempte d’amende pour cette fois, condamne le journalier aux dépens et à la confiscation de ses outils mais lève aussitôt la condamnation eu égard à sa pauvreté.
(p. 459) Mittwochs den 30.ten ejusdem [Junii 1779] Klag – Vorbenannte E: E: Maurer Meisterschafft pro hoc anno geschworene Rügere ließen citiren Herrn Andream Braulle, ancien Controlleur du droit sur les Cartes alhier wohnhaft, und Johann Wilhelm Finck, den Tagner und Schirmer alhier, klagen wider dieselben, und Zwar vordersamst wider ihn Herrn Braulle, daß er in seiner behaußung ane der Uttengaß alhier durch einen Handlanger ohne Meister noch Gesellen Zweÿ Zimmer mit weicher Kreide und Leim waßer habe weißlen und in dem einen das Getäfel perlfarb anstreichen, auch einen Feurherd und Caminschoos ausbeßern, folglich Maurer arbeit verrichten laßen, so dann wider gedachten Finck den Tagner, daß er solche Arbeit gemacht und also gepfuscht habe, welches alles wider Ordnung, bitten daher beede beklagten den Articklen gemäß abzustrafen, dieselben solidarie in die Unkosten zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisciren.
Weilen aber Herr Braulle der eine beklagte nicht erschienen, sondern sich excusiren laßen, so wurde diese Sache auf künftige Gerichts; Session remittirt.

(p. 461) Freÿtag den 5.ten Novembris. Klag – Meister Johann Jacob Fäßler, Meister Johann Michael Gruber und meister Frantz Marx Spohrer, samtliche Maurer und Steinhauer meistere alhier, als E: E: hiesigen Maurer Meisterschafft pro hoc anno geschworene Rügere ließen Zum Zweÿten mal citiren Herrn Andream Braulle, ancien Controlleur du droit sur les Cartes alhier wohnhaft, und Johann Wilhelm Finck, den Tagner und Schirmer alhier, klagen wider dieselben, und Zwar vordersamst wider ihn Herrn Braulle, daß er in seiner behaußung ane der Uttengaß alhier durch einen Handlanger ohne Meister noch Gesellen Zweÿ Zimmer mit weicher Kreide und Leim waßer habe weißlen und in dem einen das Getäfel perlfarb anstreichen, auch einen Feurherd und Caminschoos ausbeßern, folglich Maurer arbeit verrichten laßen, so dann wider gedachten Finck den Tagner, daß er solche Arbeit gemacht und also gepfuscht habe, welches alles wider Ordnung, produciren demnach den desfalls errichteten Procesverbal vom 5.ten Junii Jüngst und bitten beede Beklagten den Articklen gemäß abzustrafen, dieselben solidarie in die Unkosten zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisciren.
Beeder Beklagte Zugegen seind der Anklag geständig, sagen aber Zu ihrer Verantwortung, und Zwar Herr Braulle daß Ihme, da Er kein hießiger Burger ist, die Ordnungen und Artickel dieser Ehrsamen Zunft unbewußt sind, daher er solche Arbeit durch den Mitbeklagten auf abschlag das an ihn zu fordern habenden Haußzinses habe machen laßen um Zu seiner Zahlung Zugelangen. Bemelter Johann Wilhelm Finck aber hat ihne diesen Fehler Zu verzeihen, indeme ihn seine äußerste Armuth dazu verleitet habe, und Er außer stand sich sehe, seiner schuldigen Haußzins abzurichten, Bitten demnach beede um absolutionem.
Erkannt, Seÿe beklagter Herr Braulle für dieses mal, in Ansehung ihme der Artickel unbewußt, von der Klag gäntzlich Zu absolviren, mitbeklagter Johann Wilhelm Finck hingegen in den aufgelaufene Unkösten ad 17. ß 8 d taxirt Zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisdciren. In Betrachtung aber seiner bedürftigten Umstände und Armuth wurde Ihme die Strafe ex speciali gratia erlaßen, Wobeÿ beÿden Beklagten injungirt worden, sich künftighin dem Artickel Zu conformiren, widrigenfalls Sie mit desto härterer Strafe angesehen werden sollen.
(Procès verbal, Zeugen 6 ß, Transport des Geschirrs 5 ß, 4. Citationes 2 ß 8, Büttel 4 ß, zusammen 17 ß 8 d)

Description de la maison

  • 1726 (billet d’estimation traduit) 1726 la maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, chambre à soldats, atelier de potier avec son four, petit vestibule, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 750 florins
  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à l’avant vers la rue une boutique de chandelier, à côté un poêle, une cuisine et un vestibule, une cave sous solives, dans les deux étages un poêle, une chambre, une cuisine et un vestibule, dans la mansarde sous le toit trois chambres, greniers dalles, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un poêle, une chambre à cheminée, une cuisine et un vestibule, passage avec deux dépenses, au premier et au deuxième étage un poêle, une chambre à cheminée, une cuisine et un vestibule ainsi que deux dépenses, sous le toit logement d’officier comprenant un poêle, une chambre et une dépense pour le domestique, un long couloir, le comble renferme un grenier dallé, estimé pour ce qui est du bâtiment arrière posé sur un terrain de 45 pieds sur 17 pieds ½ à 400 florins, pour ce qui est des deux autres bâtiments, un à l’avant et un à l’arrière, à la somme de 3 000 florins

Relevé d’actes

La maison appartient au début des années 1620 au potier Daniel Fiedell.
Le potier Gaspard Schweickhard loue la maison au boulanger Georges Lentz

1622 (xv. Septembris), Chancellerie, vol. 446 f° 337
(Inchoat. in Prot. fol. 248.) Erschienen Caspar Schweÿckhard d. Kachler burger Zu Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Georg Lentz des weÿßbeckens burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen
das er Jme vonn ermeltem Geörg Lentzen ein gantz Jahr so vff Weÿhenachten Jetz nechst Khünfftig Angehen vnd nit fürbaß desselben Geörg Lentzen behaußung Inn d. St. St. Inn d. Vten gassen & geleg. entlehnet Vnd bestand. hette, für vnd vmb ein Jährlich Zinß Nemmlich xviij ln Straßb.

Georges Lentz devient ensuite propriétaire de la maison. Originaire de Dettwiller, il épouse en juillet 1601 Ursule Siebenhorn, fille de meunier, et devient bourgeois le mois suivant

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 149)
1601. Jerg Lentz von Detweiler ein Beck, Ursula Wolf sibenhorns des müllers hind.lassene Tochter. Eingesegnet Zinst. 28. Julÿ (i 78)

1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 799
Georg Lentz vonn Dettweiler der Beckh empfangt d. B: Von Ursula w: Wolff Sibenhorn deß Müllers seligen dochter will Zun Becken dienen vnd 100 fl für sein v.mogen angeben.Act. 11.t August.

Les enfants et héritiers de Georges Lentz vendent la maison 400 livres au potier Jean Gaspard Ursch

1638 (27. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 890
(Protocollat. fol. 137. f. 2.) Erschienen weÿ: Georg Lentzen geweßenen Weißbecken vndt burgers Zu Straßburg see. nachgelaßene Erben: auch deren Ehe: vnd Vögt mit namen Georg Lentz der Jünger Weißbeck undt hanß Lentz, hauptkann vf der Gartner Vnder Wagner Zunfft stuben, beede gebrüedere für sich selbsten, Mehr herr Georg Mahler Würth Zum Gerttenfisch, hanß Oberle Weißbeck, undt hanß Werner Würth Zum Engel, alß Eheuögt Catharinæ, Barbaræ vndt Annæ Lentzin, So dann Er hanß Werner, alß geordneter Vogt Ulrich Lentz (verkaufft)
hanß Caspar Urschen dem Kachler auch burgern alhie, so Zugegen, ihme & Kauffe
hauß undt Hoffstatt, mit allen and. ihren gebäwen & gelegen in der Statt Straßburg, Jenseit der Breüschen in der Vttengaßen einseit neben herrn D. Johann Georg Bechten anderseit neben Christoff Sprießen, dem huetmacher, hinden vff ernannten herr D. Bechten Scheür stoßend – für und umb 400. lb

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du commissaire priseur Christophe Goldbach

1638 (27. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 892
Erschienen hanß Caspar Ursch der Kachler, burger zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit Christoph Goldbachen der Statt Straßburg geschwornen Käufflers bekannt – schuldig seÿe 25. lb. Str.
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß undt Hoffstatt, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie Jenseit der Breüschen in der Vttengaßen gelegen, einseit neben herrn D. Johann Georg Bechten & Christoff Sprießen, dem Huetmacher, hinden vff ernannten H. D. Becht. stoßend, so Zuuor verhafftet vmb 350. lb rest am Kauffschilling weÿ: Georg Lentzen deß Weißbecken alhie see: Erben

Fils d’un aubergiste de Pfaffenhoffen, Jean Gaspard Ursch se marie en 1638 avec Barbe Steigenbock, fille de boulanger, qui avait épousé en 1636 le potier Jean Adam Rammel.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 218)
1636. Dom. III. Trinitat. 3. Julÿ. Hanß Adam Rammel von Schwäbisch Hall d. Kachler, Balthasar Rammels gewesenen Kachlers v. burgers daselbst Sohn v. J. Barbara Levini Steigenbecks gewesenen weißbecken v. burgers nachgelaßene tochter. Cop. II. Julÿ J. S. Peter (i 111)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 41-v)
1638. Hanß Caspar Ursch d. Kachler Hanß Ursch des Würths Zue Pfaffenhoffen nachgelaßener Sohn, Barbara Hans Adam Rummel deß Kachlers alhie nachgelaßene Wittib. 4. Junÿ (i 43)

Jean Gaspard Ursch devient bourgeois trois semaines après son mariage
4° Livre de bourgeoisie p. 176
Hannß Caspar Urs d. Kachler Von Pfaff. hoff. Empfangt d. Burgerrecht von Barbara Weÿl. Hanß Adam Rumels geweßenen Kachlers vnd Burg. Alhie seel. hind.laßene Wittib vmb 8 goldguld. Wüll Zu den Maurern Zunfftig sein den 27. Junÿ 1638.

Jean Gaspard Ursch hypothèque la maison au profit de la fille du charpentier Jacques Müller

1645 (29. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 655-v
Erschienen Hannß Caspar Vrsch, Kachler Vnd Burger alhie
hatt in gegensein Mariæ Magdalenæ, Jacob Müllers, deß Zimmermanns nachgelaßener dochter Vogts Hannß Georg Schantzen, deß Buchbinders alhie bekannt – schuldig seÿe 25. lib
dafür in specie Vnderpfand sein soll, Hauß Vnd Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen alhie in der Rudengaßen neben H. D. Johann Georg Bechten seel. Wittib Und Erben ein Vnd anderseit neben Christoph Spließen deß Huetmachers seel. Wittibin hinden vff vorgemelts H D. Bechten Gärtlin stoßend gelegen, so zu Vor Verhafftet Vmb 150. lib. Kauffschillings Rest Georg Lentzen deß ältern geweßenen Weißbeckhen alhie seel. Erben, so dann Vmb 25. lb. obgedachten Hannß Georg Schantzen
[in margine :] Erschienen Johann Elbert der Kachler alß Ehevogt hierinngemelter Mariæ Magdalenæ Müllerin, hatt in gegensein Barbara Steigenbockhin deß debitoris ehelicher haußfrawen (quittung) Act. d. 14. Janu. A° 1651.

Georges Lentz cède un capital qui lui reste dû suite à la vente de la maison à Jean Gaspard Ursch

1646 (7. febr.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 69-v
Erschienen Georg Lentz der Weißbeck
hatt in gegensein H Hannß Wörners Würths Zum Engel
vor ohngefährd 1 ½ Jahren cedirt und übergeben habe, einen sechsten theil, ihme gebührend, ahne 200. lib so hannß Caspar Ursch der Kachler, vermög der am 27. Xbr. a° 1638. in der Cancelleÿ Contractstub vffgerichteter Kauff Verschreibung Zur Zeit solch. Cession schuldig verblieben ist, und dann einen sechsten theil ahne d Behaußung, so Marx Rueff der Kachler Zwar hiebevor von denen gesampt. Lentzisch. Erben erkaufft, Sie die Erben aber weg. mangel d. Zahlung wid. durch die Ganth ahne sich gezogen hetten – p. 90 Rthlr

Jean Gaspard Ursch hypothèque la maison au profit du relieur Jean Georges Schantz

1647 (ut supra [10. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 198-v
Erschienen Hannß Caspar Ursch der Kachler Vnd Burger Zu Straßburg
in gegensein Hannß Georg Schantzen deß Buchbinders auch burgers alhie – schuldig seÿe 25. lib
dafür in specie Vnderpfand sein soll Hauß vnd Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen alhie ienseit der Preüsch in der Uttengaßen einseit neben H Johann Georg Bechten dero recht. Doctoris Und deß hochlöbl. Kaÿß. Cammer Gerichts Zu Speÿer geweßenen Advocati seel. Wittib und Erben & neb. Christoph Sprießen seel. Erben hinden vff ernannts H Bechten seel: wittib Und Erben Gart: stoßend gelegen, so Zuvor noch verhafftet ist umb 25. lib Ihne Schantzen selbsten, Mehr vmb 25. lb Mariæ Magdalenæ Müllerin sein Schantzen Vogts dochter Vnd dann vmb 75. lb Kauffschillingß rest obgedacht. Lentzischen Erben

Veuve de Jean Gaspard Ursch, Barbe Steigenbock se remarie en 1652 avec le farinier Georges Siler. Originaire de Wettringen près de Rothenburg sur la Tauber, le meunier Georges Siler a épousé en premières noces Salomé Müller, femme divorcée du farinier Melchior Meyer, et a accédé à la bourgeoisie une semaine après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne

Mariage, cathédrale (luth. p. 408)
1638. Dominica Jubilate 15. April. Görg Sÿler der Müller Von Wetteringen beÿ Rotenburg an der Tauber Michel Syler burger daselbsten n. sohn, Vndt Salome Melchior Meÿer des Meelmanns Vndt geweßenen burgers alhie durch den Ordentlichen Eherichter geschieden, Eingesegnet Mont. 23. April (i 209)

1638, 4° Livre de bourgeoisie p. 174
Georg Sÿler der Müller von Rottenburg an der Tauber Empfangt d. burgerrecht von seiner haußfrawen Salome Müllerin weÿl. Hanß Jacob Müllers des Rothgießers seel. hinderlmaßener tochter vmb 8. goldt fl. würdt Zur Lucernen dienen. Jur. d. 30. Aprilis 1638.

Mariage, cathédrale (luth. f° 546, n° XXXIII)
1652. Dom. 6. Trin. 25. Julÿ. Geörg Siler der burger Vnnd Mehlmann alhier vnndt Barbara, weilandt Johann Caspar Ursch des burgers vnndt Kachlers alhier hinderlaßene Wittib. d. 2. Aug. Münster, Fischerstub, zum Ochßen (i 294)

Le farinier Jean Siler et sa femme Barbe achètent une pension à l’Hôpital
1662 (18. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 183
Erschienen H. Daniel Freÿ als Oberschreiber deß Mehrern hospitals, hatt
in gegensein Georg Silers deß Meelmanns
bekannt, daß die Hh Pflegere besagten hospitals, Ihme Silern und sein Eheweib Barbaram vff dero bitt, Zu mittelpfündern, im mehr gedachten hospital auffgenohmen, daß Sie, darinn ihr lebtag nach der mittel Pfründer ietzig. gleichwohl also underhalten werden, daß sie Zugleich die Jenige Stub und Kammer welche H M Braun seel: inn gehabt genieß: Auch täglich weiß brot, in der woch ein mahl ein stückh Gebratens und auf freÿtag ein eß. fisch haben, hiengeg. sie beÿde Eheleuthe, dem Hospithal, für solche Pfrund 500 Pfund erstatten, wie auch zweÿ halbe bett, einer stangenbettlad und ein klein bettlädlein (…) ahne gemelten 500. lib. 200. lib albereÿt bahr erlegt, und die übrige 300. lib vff ihr beÿder Eheleuth alhie in der Vtengaßen gelegene, nunmehr ahne Balthasar Haanen den Müllern verkauffter Behaußung

Georges Siler et sa femme Barbe vendent la maison au meunier Jean Balthasar Hahn et à sa femme Anne Catherine

1662 (24. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 194-v
(Protocoll.) Erschienen Georg Siler, und Barbara sein Eheweib
in gegensein Hannß Balthasar Haanen deß Müllers und Annæ Catharinæ seines Eheweibs
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaßen, einseit neben H. Johann Melchior Saxen U.I.D. & Instit. Profess., anderseit neben Frantz von hüffßheim dem hutmach. hinden uff gemelten H. dr. Saxen stoßend gelegen – umb 325 Pfund

Jean Balthasar Hahn et Anne Catherine Lauth, assistée de son père meunier Wendelin Lauth, hypothèquent la maison au profit du Chapitre Saint-Thomas au nom duquel son receveur Jean Jacques Moseder. En marge, quittance accordée en 1675 aux enfants du farinier Jean Frédéric Linck, alors propriétaires.

1662 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 509-v
Erschienen Hannß Balthasar Haan der Müller, und Anna Catharina sein Eheweib, und Sie Anna Catharina mit beÿstand Wendling Luten deß Müllers ihres eheleiblich. Vatters Wie auch Wolfgang Sÿbenhorns deß Müllers und hannß Jacob Jundten deß Weißbeckhen ihrer Vettern
in gegensein herrn Johann Jacob Moseders alß E.E. Collegiat Stiffts Zu St. Thomä bestelten Schaffners – schuldig seÿen 200. lb /:darunder 100 lib Zu Völliger bezahung der hierund. beschriebenen behaußung bereits am 2.t. hus. cum acto de insistendo, und die übrige 100. lb. heut dato bahr Vorgelühen worden seÿen:/
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Vtengaßen einseit neben H Johann Melchior Saxen U.I.D. et Inst. Imper. Profess. anderseit neben Frantzen Von Hüpßheim dem huetmacher, hinden uf gemelter H. Dr Saxen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Herrn Hermann Kämpffers deß Lederhändlers alß Vogts hannß Friderich Linckhen deß Meelmanns Kinder alß ietziger besitzer hierinn gemelter behaußung (quittung) Act. 16. 7.br 1675

Jean Balthasar Hahn vend la maison 250 livres au farinier Jean Frédéric Linck

1664 (27. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 528
(Prot. fol. 52) Erschienen hannß Balthasar Haan der Müller
in gegensein hannß Friderich Linckh deß Meelmanns
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaß. einseit neben H Johann Melchior Saxen U.I.D. v. Instrit. Imper. Profess anderseit neben Frantzen von Hupffeßheim den huetmachern, hind. vff gemelten H. Saxen stoßend gelegen, welchen Behaußung umb 200. lib. dem Stifft St. thoman verhafftet (übernohmen) – umb 50 Pfund

Fils du meunier de la Habermühl, Jean Frédéric Linck épouse en 1632 Sara Damon
Mariage, cathédrale (luth. p. 309)
1632. Doîca Jubilat. 22. April. Friderich Linck der Müller Friderich Lincken deß Habermüllers sohn, J. Sara Hans Ludwig Damonn. tochter. eingesegnet Zinstag den 15. Maÿ (i 159)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126) 1632. Eadem [Dom. Voc. Jucundat. 6. Maÿ] Friderich Linck j. Müller Friderich Linck deß eltern v. habermüllers ehelicher Sohn, vnnd J. Sara H. Hans Ludwig Damons gewesenen burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 15. Maÿ Im Münster (i 65)

Leur fille Anne Marie épouse en 1677 Jean Susé, originaire de Lyon
Mariage, cathédrale (luth. f° 51-v, n° 79)
1677. Dom. 1. Adventus. Zum 2 mahl H. Suse Von Lyon Weÿl. Peter Suse geweßenen Paßmentmacher alda nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr. Anna Maria Weiland Friderich Linck gewesenen Mehlmanns u. burgers alhie nachgel. ehel. T., Donnerstags den 13.10.bris (i 53)

Jean Susé et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Biccius

1680 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 30-v
Jean Suse undt Anna Maria beÿdte Eheleuth derer nahrung gemein undt theÿlbahrt seÿe
daß Sie Jgfr. Mariæ Magdalenæ Biccin schuldig seÿen, 25. lb
unterpfand, der Vierdte theÿl ahn einer behausung und deren gebäwen und Zugehördten allhier in der Rewerin gaß einseit neben weÿl. Johann Johann Melchior Sachß V.J.D. et Ino tit: Profess. publ. nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben weÿl. Frantz Von Hipßheim des huotmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff ged. Saxische Erben stoßend gelegen

Anne Marguerite, femme de l’apprêteur de tabac Chrétien Adler, vend le quart de la maison au profit de l’appariteur Jean Susé

1685 (20. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 571-v
Anna Margaretha Christian Adlers deß tabackbereiters eheweib mit beÿstand deßelben
in gegensein Jean Suse deß Geistlichen Rhatspedellen und Schirmbs Verwanthen – maßen Er dann uff den am 15. 10.bis iüngsthien Obrigkeitlich ertheilt. Consens festiglich gekaufft zuhaben geständig war
einen Viertentheil ahne einer behaußung, hoffstatt, sambt allen übrigen deren Gebawen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Uttengaß einseit neben weÿl. H. Johann Melchior Saxen Prof: Juris beÿ hießiger löbl. Universität nachgelaßener wittib, anderseit neben Frantz Von Hipßen deß Hutmachers Seel. Erben, hinden uff obgedachte Saxische behaußung stoßend gelegen – umb 115. fl.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Susé qui n’est ni manant ni bourgeois et dont le seul revenu provient de sa place auprès du vicaire général à acquérir une part de maison de sa belle-sœur. La commission rapporte que la maison est en mauvais état.

1685, Conseillers et XXI (1 R 168)
Johannes Susé. 202. 205. [der geistlichen Rath pedell wegen einer behaußung in der Rauerer Gaß]
(p. 202) Montags den 10. Xbris 1683 – G. nôie Johannes Susé des geistlichen Raths pedell alhier, Will etliche Antheil ane einer behaußung, in der Reuerer Gaß gelegen daran ohne das seine frau participirt, An sich erhandlen, bitt umb gn. erlaubnuß. Werden Zu einziehnung fernern berichts deputirt Herr XXI. Mockel, Herr Mollinger

(p. 205) Sambstags den 15. Xbris 1685. Herr XXI. Mockel, Und Herr Rathh. Mollinger referiren, Sie Auffgetragener Commission Zufolg dasjenige hauß, daran Jean Susé Noch einige Antheil An sich erkaufen wolte, besichtigt, daßelbige seÿe in der Rueuerin Gaß harth An dem Saxischen Hauß gelegen, Von schlechtem wert, ohnerachtet es Sie dießem Umb 500. fl. erkaufft worden. Gedachter Jean habe bereits einen Vierdten theil uxorio nomine daran, und wolte seiner frauen Verheurathete Schwester ihme ihren Antheil Umb 115. fl. überlaßen, die Zweÿ Noch ledige Geschwistern aber wolten ihren halben theil ohnabgelößt behalten, der Käuffer seÿe weder burger, Noch jm schirm, Auch Keinen Anden dienst als daß er beÿ dem Herrn General Vicario als pedell Aufzuwerthen habe. Zu Mghh stellend, was Sie hierinnen erkennen wollen. Erk. Willfahrt.
Herr XXI. Mockel, Herr Mollinger.

Les héritiers Linck dont Jean Susé et sa femme Anne Marie Linck vendent la maison 262 livres au potier Jean Georges Ruff et à sa femme Anne Marguerite Notter

1687 (13. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 640-v
Erschienen H. Jean Susé Schultheiß Zu Bischoffsheim am Saum und Anna Maria gebohrne Linckin, So dann Johann Philipp Bechtold, der Huthmacher, alß Vogt Weÿl. Friderich Lincken gewesenen Mehlmanns hinderlaßenen Sohns und tochter ([unterzeichnet] Jeannsuse Prevot de biche)
in gegensein hans Georg Rueffen, deß Kachlers und Annæ Margarethæ gebohrner Notterin
eine Behaußung und hoffstatt sambt allen deren gebäyen begriffen, weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit allhier in der Vttengaß, einseit neben weÿl. H. Johann Melchior Sachßen gewes. U.J. Doctoirs & Professoris allhier hind.laßene wittib und Erben anderseit neben Daniel von Hipßen dem Huthmacher, hinden auff vorbesagte Sachsische Behausung stoßend gelegen – umb 262 pfund
[in margine :] Erschienen herin gemelte beede Susische eheleuthe, so dann Anna Margaretha gebohrne Linckin Christian Nadlers deß Tabacbereiters haußfr. mit beÿstand deßelben, beede theile im nahmen deß hierinnged. Linckischen sohns so in d. frembde deßen Nahrung Sie beede außge* beÿ E: E: Kleinen Rhat wie auch im nahmen Saræ Linckin so ledigen standts aber majorennisn haben in gegensein deß Käuffers (quittung) den 20. Jun: 1690

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de la fille mineure du potier municipal Georges Nussbaum. En marge, quittance remise à Paul Heyer en 1697

1687 (13. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 557 n° 642
hans Georg Rueff, der Kachler und Anna Margaretha gebohrne Notterin deßen eheliche haußfrau und zwar dieselbe mit beÿstand hans Georg Schlegels deß Küblers und Georg Friderich Spangenbergs deß buchbinders ihres respect. Mutter bruders und leiblich. Schwagers
in gegensein H. Christian Kuhnen, deß Schreiners alß Vogts Anna Maria weÿl. H. Georg Nußbaums gewesenen Statt Kachlers hinderlaßener Tochter – schuldig seÿen 196 pfund Ihnen Zu erkauffung nach beschriebenen Unterpfands
unterpfand, Eine Behaußung und hoffstatt & perge auß vorstehend. Verschreibung
[in margine :] der hierinngemeldten Annæ Mariæ Nußbaumin der Creditricis welche ledig verstorben, hinderlaßen Erben nahmentlich erstlich von wegen Elisabethæ gebohrner Rueffin deroselben Steiffmutter und Ex testamento Erbin, anietzo Johannis Bauren deß Anckerwürths Eheliche haußfraun welche ohnpäßlichkeit halben nicht außgeh. kan vorgedachter deroselb. Ehevogt mit beÿstand deß hierin gemeldt. Hn Kuhnen dero vormahligen Vogts, H Johann Henrich Buck der Schreiner alß Ehevogt Annæ Mariæ Stegmännin und hans Georg Litsche der hohltreher alß ehevogt Barbaræ Wagnerin, hans Philipß Gsell der Schneider und Maria Ursula Gsellin deß. Schwester anietzo hans Jacob Litschen deß Zeugschmids eheliche haußfrau haben in gegensein Hn Paul Heÿers, deß Kachlers und ietzmahlig. besitzers deß Und.pfands (quittung) den 26. Febr. 1697

Les héritiers de la fille mineure du potier municipal Georges Nussbaum s’accordent au sujet du capital assis sur la maison

1689 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 104
Anna Maria Steegmännin Hannß Henrich Bucken deß Schreiners Eheweib, Andreß Steegmann der Schreiner für sich selbst, so dann Catharina Steegmännin Michel Däninger deß Schreiners haußfr. ahn einem,
Elisabeth Ruffin hannß Christoph Wagners deß Hohltrehers Haußfr. mit beÿstand deßelben am andern und beede theÿle mit assistentz H. Sebastian Röderers und H. Hannß Georg Ehrlen beede E.E. Großen Rhats beÿsitzer (verglichen)
[unterzeichnet] Anna Maria buckin, Hannß Heinrig Buckh, Andtres Steg Man, C., Michel dähnichen, E.W., Hanß Christoph Wagner, Sebastian Röderer, Hanß Görg Ehrlen
demnach Weÿl. Georg Nußbaum der Haffner und Barbara gebohrne Huberin deßen Haußfr. in einem durch Weÿl. H. Johann Georg Retzlob Not. Seel. in Anno 1666. uffgerichteten Testamento Nuncupativo §. 5. Ihr eintzige tochter Maria Nußbaumin /:iedoch mit dießer Condition daß Wann selbige ohne Leibß Erben versterben würde alß dann Anna Maria Fischerin mit weÿl. andreß Steegmann auch Schreiner Seel. hinderlaßene obgemelte dreÿ Kind. subrogirt sein sollen:/ Zue Erbin eingesetzt, und Aber Sie Maria Nußbaumin Ledigen standts zwar verstorben, aber in Anno 1687. in einem Von H. Benedicto Großen Not. aufgerichteten Testamento Nuncupativo fr. Elisabetham Nußbäumin gebohrner Rueffin deren Stieffmutter Zu Ihrer Erbin instituirt und eingesetzt habe, Weren Sie hierauff ein process beÿ E: E: Großen Rhat gerathen endlich aber under sich mit einand. dahien guthlichen auff Volgende Weiß, zu abschneidung fernerer verdrüßlichen processes verglich. und solchen Vergleich nachgehend beÿ volgend. Raths obrigkeitlich confirmiren laßen,
Nemblich und zum Ersten soll gemelte Elisabetha gebohrne Ruffin 100 guld. Capital so hannß Georg Rueffin der Kachler Von seiner in d. Uttengaß gelegenen behaußung ahn einer mehrern Summ schuldig zum vorauß habe und dann Versproch Sie deroselben, die Vormahls Maria Nußbaumin gebührende vätter: und mütterliche Legitimam od. dritte theÿl der Verlaßenschafft durch alle rubriquen zu kommen zu laßen, Hingegen soll Sie Elisabetha ahne deren von ged. Maria Nußbaumin Verschaffte legaten denen Legatariis 120 Gulden bahr außzahlen

Les créanciers de Jean Georges Ruff ont été mis en possession le 4 juin 1695 de la maison avec faculté de rachat pendant deux ans. Ils la vendent en septembre au potier Paul Heyer et à sa femme Ursule Rantzmer.

1695 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 562-v
Barbara geb. Wagnerin, Johann Georg Litschen, deß hohltrehers haußfrau, Anna Maria geb. Stegmännin, Henrich Bucken, deß Schreiners haußfrau, Ferner Johann Philippß Gsell, der Schneider, So dann Maria Ursula G’sellin deß. Schwester, hans Jacob Litschen, deß bohrenmachers und Zeugschmids haußfrau, und Sie alle auch im Nahmen Jacob Wagners, deß Schneiders und ietzmahlig. Officier zu Liuorno
in gegensein Paul Heÿers, deß Kachlers, und Ursulæ Rantzmarin
hauß und hoffstatt, samt allen deren Gebaüen, weith. Zugehördt. recht. und Gerechtigkeit allhier in der Uttengaß, einseit neben weil. H. Johann Melchior Sachßen gewesenen U.J. D. Profes. sel. hind. laßen Fr. witt. und Erb. anderseit neben Anna Maria wagnerin, Johann Haubenstricker deß Pastetenbecks hind. auff besagte Sachßische behaußung stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 49 lb (verhafftet), freÿ ledig und eÿg., inmaßen dieselbe auff die am 4.ten Junÿ dießes Jahrs beschehehe Expulsion hans Georg Rueffen, deß Kieffers, Ihnen an d. gantz heimgeschlag. word. Ist demnach solcher Verkauff und Kauff über die angegebene beschwerde, welche die Kauffende Eheleuthe übernommen, auch mit vorbehalt deß exequrt. Rueffen biennÿ reluitionis, Zugegen und geschehen für 325 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Jean Chapuis des Liechtermachers alß Kaüffers und jetzigen proprietarÿ hier beschriebener behaußung, den 29. dec. 1728

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du potier Jean Brunner

1695 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 564-v
Paul Heÿer, der Kachler, und Ursula Rantzmarin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Michael Rebhan und H. Josiæ Städels, beede E.E. Großen Raths beÿsitzer und hierzu insonderheit deputirte
in gegensein Johannis Brunners, deß Kachlers, schuldig seÿen, 100 pfund, daß die damit hernach beschriebene hypothecirte behaußung hab. erkauf. und d. Angeld damit bezahl. Können
unterpfand, hauß und hoffstatt p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung

Fils d’un laboureur de Sélestat, le potier Paul Heyer et sa fiancée Ursule Rantzmer, native de Diessen am Ammersee en Bavière, acquièrent le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1080
Paulus Heÿer der haffner Von Schlettstatt gebürtig Weÿl. Geörg heÿers geweßen Ackermanns daselbst hinterlaß: sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich, Vnd seiner Verlobten Ursulam Ratzmerin, Von Closterdießen auß baÿern gebürtig, weil: hannß Rantzmers des geweßenen Ackermanns daselbst hinterl: tochter p. 6 Gold fl. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt hat, seind beede noch ledigen standes, Vnd werden Zu E.E. Zunfft der Maurer dienen. Jur: d 15. 7.bris 1691.

Paul Heyer devient tributaire chez les Maçons
1690, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
(f° 212) Mittw. 20.t 7.br. 1691 – Neu Zünfftiger
Paulus Heÿer der haffner Von Schlettstatt producirt gehörige Documenta krafft deren Er umb das Zunfftrecht gegen erlag der Gebühr, ansuchen thäte, Erkandt wird besagter maßen sollicitanten willfahrt, erlegt darauff vor E.E. Zunfft Zu ihrer gebühr 1. lb 5 ß d undt auff den Pfgth 1 lb. d so dann die Zschbr und büttel 4 ß.

Paul Heyer épouse Ursule Ratzmer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 69)
Die prima Octobris An. 1691 Honestus Juuenis Paulus Heÿer Selestadianus et pudica virgo Ursula Rantzmerin ex Closterdisem ex Bavaria præhabita unica proclamatione cum dispensatione (…) Matrimoio iuncti sunt (signé) Pauluß heÿer, + (i 55)

Ursule Ratzmer meurt en 1710 en délaissant deux enfants. Le veuf déclare n’avoir pas passé de contrat de mariage. Les experts estiment 550 livres la maison qui est hypothéquée pour une somme supérieure à cette valeur. L’actif de la succession s’élève à 17 livres, le passif à 124 livres.

1710 (13.5.), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) n° 68
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Hab und Nahrung, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Fraw Ursula Heÿerin gebohrne Rambsnerin, deß Wohl Ehrenvesten und Weißen Herrn Paul Heÿers deß Hafners und E: E: Kleinen Raths alhier jetzmahligen Assessoris, gewesene Eheliche Haußfraw, nunmehr seel. nach Ihrem den 18.ten Martÿ dieses fortlauffenden 1710.ten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehren: undt vorachtbahren Herrn Johann Stratzen deß Schreiners und b. alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johannj und Mariæ Franciscæ, der Heÿer, der abgelebten Frawen seel. mit obgemeltem herrn Paul Heÿern, Ihrem hinterlaßenen herrn Wittiber, Ehelich erzeugter Kinder und ab intestato hinterbliebener Erben (…) Actum Straßburg den 13.ten Maÿ Anno 1710.
Bericht Wie dieße Verlaßenschafft Zu inventiren. Demnach ich der adhibirte Inventir: Notarius den Eingang gegenwärtigen Inventarÿ Verfertigt gehabt, so habe den hinterlaßenen herrn Wittiber befragt, ob nicht Zur Zeit der Verheürathung einige Ehe pacta auffgerichtet worden seind und Je eines dem andern Unveränderte Mittel in die ehe zugebracht habe, Warauf derselbe, mir, Crafft abgelegter handtrew, geantworttet, daß Sie Keine Eheberedung auffgerichtet, massen dazumahl Kein theil nichts ane Nahrung gehabt, Auf solch mir dem Notario ertheilten bericht nun habe ich vermög hiesiger ordnung die gesambte Verlaßenschafft, Vor theilbar Inventirt.

In seiner alhie Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt
In der Soldaten Cammer, In deß gesellen Cammer, In der obern Stub
Eigenthumb ane einer Behaußung. It. eine hauß und Hoffstatt s. allen deren Gebäuwen, Weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Strb. in der Uttengaß, eins. neben herrn Moritzen dem Frantzösischen Liechtermacher, 2. s. neben Mstr Johann Römern, dem Jüngern Nagelschmid und hinden auf besagte Moritzische behaußung stoßend, welche gesambte behaußung annoch Mstr. Heinrich Bucken dem Schreiner und b. alhier umb 100. lb d Mehr dem Closter zu den Reweren St Mariæ Magdalenä Vm 128. lb 17 ß 11 d, Sodann herrn Rathherr Rebhaans seel. hiderlaßener Fraw Wittib 75 lb d verhafftet, und durch der St. Strbg. geschworene Werckmeister den 13. Maÿ Anno 1710. æstimirt worden pro 275. lb. Wann nun dießer anschlag von obiger beschwerden abgezogen werden solte, so befindet sich daß die Capitalien so auf der behausung stehen, dem anschlag übertreffen umb 28. lb 12 ß, derowegen in auswurf zu bringen o. Über dieße behausung besagt 1. teutscher pergament. Kaufbrieff mit der Statt Strbg. angangendem Cantzleÿ Contract Innsiegel verwahrt datirt den 26. 7.bris A° 1695.
Werckzeug Zum haffner handwerck gehörig, wie auch gerbrand: und ungbrand Geschirr. die gesambte Werckzeug Zum hafner handwerck gehörig, wie auch etwas wenig gebrandt: v: ungebrandte Geschirr ist durch H. Johann Adam Acker den Statt Kachler und E: E: Groß, Raths alten Beÿsitzern, æstimirt worden per 6. lb
(Scheda) S: T.herrn Paulus heÿer werck Zeuch. betreffet ist der selbige benantlich in dem haubt Stucken 2 scheiben ein müll sambt Und schiedlich mödel Zu einem offen Zu machen, 30 häffin bretter Vndt Vnterschiedliche allerhandt Kleine sachen was sonsten noch Zu handwerck gehörig auch gebrendt vndt un gebrennt geschirr auch noch etwaß wenich weiß undt roth Erdt alles zusammen gerechnet 6 lb [unterzeichnet] Joh: Adam Acker
Norma hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeugs 6 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung, Nihil, Summa summarum 17 lb – Schulden 124 lb, die Passiva übertreffen die vorhandene Activ: Nahrung 107 lb
Abschatzung den 13. Maÿ 1710. Auff begehren deß Ehrenhafften vndt bescheidenen herrn Rathh: Paulus Heÿer Kachler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Uttengaßen Gelegen einseith neben Johann Renner dem Nagelschmidt, Anderseith neben herrn Moritz dem Liechtermacher, hinden auch auf Vorgedachten Liechtermacher stoßendt, Welche behaußung undt Gebälckter Keller, sambt alle Ihrer Recht. und Gerechtigkeiten Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor: und umb Fünff hundert und Fünffzig Gulden. Bezeuchnüß durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.

Assesseur au Petit Sénat, Paul Heyer se remarie avec Marie Ursule Cœllner, fille d’un potier de Sélestat : contrat de mariage, célébration
1710 (3.6.), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Wohl Ehrenvest und Weißen herrn Paul Heÿern, dem Hafnern und E. E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzer, beÿständlich Herrn Johann Strantzen deß Schreiners und burgers alhier deßen Kinder Vogten und
der Viel Ehren und Tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Ursulæ Cöllnerin Weÿl. Herrn Johann Caspar Cölners gewesenen hafners und b. Zu Schlettstatt hinterlassen Tochter beÿständlich herrn Christian Bärthelins des Küefers und b. Zu Schlettstatt Ihres Curatoris v. H. Hans Jacob Newstöckels deß Weißbecken und burgers alhier
Beschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 3.ten Junÿ A° 1710. [unterzeichnet] Pauluß Heÿer alß hochzeiter, + der Jfr. hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 3)
Die 9° Junÿ 1710 a me infra scripto parochi sacro matrimonÿ vinculo copulati sunt Viduus Paulus Heÿer civis argent. cum pudica virgine Maria Ursula Kellnerin Selestadiana (signé) Pauluß Heÿer, signum sponsæ x

Marie Ursule Cœllner fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 156 livres
1710 (3.6.), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) f° 69
Summarische Designation der Jenigen Nahrung so Jungfrawen Maria Ursula Cöllnerin, Weÿl. herrn Johann Caspar Cöllners, geweßenen Haffners und burgers zu Schlettstatt nunmehr seel. hinterlaßener dochter /:welche sich an Herrn Paul Heÿer den hafner und E: E: kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzern, verheurathen wird:/ Eigenthümlichen zuständig, welche dieselbe beÿständlich Hn Christian Bärthelins deß Küefers und burgers Zu gedachttem Schlettstatt, Ihres Curatoris (…) angegeben
Sa. haußraths 50
Item einen tritten theil ane einem garthen Vor der Statt Schlettstatt 25
Item ein tertz ane einem halb acker Veldt 6
Und dann in Capital 75 lb – Summarum 156 lb
Actum Straßburg den 3. Junÿ Anno 1710.

Marie Ursule Cœllner (Kellner) devient bourgeoise un mois après son mariage
1710, 4° Livre de bourgeoisie p. 778
Maria Ursula Kelnerin, Von Schlettstaht, Weÿl. Joh. Caspar Kellner hew. schaffnern daselbst tochter empfangt das burgerrecht Von Ihrem Mann Paul Heÿer p. 2. gold fl. 16 ß Wird beÿ den Maurern dienen. P. 19. Dito [Julÿ 1710]

Paul Heyer meurt en 1726 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment la maison 375 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 130 livres, celle des héritiers à 39 livres. L’actif de la communauté s’élève à 45 livres, le passif à 156 livres.

1726 (10. Xbr), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 13) n° 151
Inventarium über Weÿl. des Ehrenvest, Wohlvorgeacht und weißen Herrn Paul Heÿers, gewesenen Haffners u. E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzers auch burgers allh. nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1726.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, so Weÿl. der Ehrenveste, Wohlvorgeacht und weiße Herr Paul Heÿer, gewesener Haffner u. E: E: Kleinen Raths alter beÿsitzer auch burger alh. nach deme derselbe den 24. 8.bris jüngst Von dem l. Gott auß dieser Zeit und Welt abgefordert worden, Zeitlichen hind. sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern u. begehren deßelben in 2. Ehen erzeugter Kinder u. ab intestato Zu gleichen antheilen v.laßener Erben wie auch d.selben respectivé Hh. Assistenten und geschwornen Vogts aller gleich dem Eingang dießes Inventarÿ benambset, inventirt durch die Ehren: und tugendsame Frau Mariam Ursulam Heÿerin gebohrne Cöllnerin, die hinterbliebene Wittib, mit beÿstand des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Melchior Schröder haffners u. burgers allh. deroselben geschwornen Vogts, wie auch den Sohn u. Tochter erster Ehe selbsten – So beschehen in Strb. Dienstags den 10. Xbr: A° 1720.
Der abgeleibte H. Heÿer seel. hat Zu Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Johann Heÿer und 2. Mariam Franciscam Heÿerin, diese beede in erster Ehe mit Weÿl. Fr. Ursula gebohrner Rambßerin längst seel. erzeugt Kinder, so bereits majorennes und dahero ohnbevögtigt, mit assistentz deß Wohl Ehrenvest und Rechts wohlgelehrten H, Philipp Jacob Marbachs Notarÿ publicj et practicj dem geschäfft persönlich erschienen beÿgewohnet.
3. Mariam Salome und 4. Mariam Catharinam die Heÿerin diese beede in Letzter Ehe mit Eingangs gedachter Maria Ursula gebohrner Cöllnerin der hind.bliebenen Wittib erzeugte Kinder, deren geschwornen, Vogt der Ehren u. Vorgeachte H. Joh: Georg Kießler, Rothgerber und burger alh. welcher im nahmen seiner beÿden Vogt perohnen hiebeÿ Zugegen ware. Also alle Vier des abgeleibten seel. in Zwoen Ehen erzeugte Kind u. ab intestato Zu gleichen Antheilen verlaßene Erben

In seiner alhie Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegener u. hernach beschriebener behaußung befunden worden, Wie volgt
Schrein und Höltzenwerck. In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der Hindern Kuchen Cammer, In der Soldaten Cammer, Auf der Bühn, Im Keller
Werckzeug Zum Haffner Handwerck gehörig. Dieser ist durch Mstr Georg Andream Huck dem burger und haffner alh. angegeben und æstimirt worden wie volgt
(T.) Ertl. 2. a. Scheiben pro 1 lb
2. a. Mühlen, 1 lb
Vor Rothe Erd, 6 ß
Vor Weiße Erd, 7 ß 6
Vor 46. Haffen bretter, 6 ß
Vor allerleÿ Kleinigkeiten ständl. hammer und d.gleichen, 7 ß 6
Vor die Mödel, 15 ß
Vor gebrannnte Kachlen, 15 ß
1. a. Klingelstein s. dem stößel, 3 ß
Vor gebrannt Geschirr, 1 lb 15 ß
Vor 1 eiß. schierstang, 4 ß
Vor 5. lb Kupffer äsch, 5 ß
Ergäntzung der Wittib ohnveränderten Guths. Vermög Extractus aus Mstr Johann Jippon geweßenen haffners und burgers Zu Schlettstatt und auch weÿl. frauen Mariæ Magdalenä gebohrner Steinmetzin, deßelben ehelicher haußwürthin, der Wittib respectivé Stieff Vatters und eheleibl. Mutter seel. Verlaßenschafft haubt Inventario de dato 18. Martÿ 1709. über die Ihro erblich zugefallennen Posten, durch H. Rumpler gerichtsschreiber und Königl. Notarium allda gefertiget (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) eine Behaußung u. Hoffstatt mit allen deroselb. Zugehörden, begriffen, Weith. Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Strb. ane d. Uttengaß, 1. s. neben François Verney dem lichtermacher 2. s. neben Jean Japÿ auch liechtermacher, hinden wider auf denselben stoßend, So über hernach gemelte daroben stehede Capitalia eig. und durch (die Werckmeister) v.mög d.oselben ad Conceptum gelüfferten schrifftl. Abschatzung vom 20. 9.br: 1726. Vor freÿ ledig u. eig. angeschlagen pro 375. lb
Wavon wied. wegzurechnen Erstl. so man Mstr. Heinrich Bucken dem Schreiner und burger alh. ane Capital Jährl. auf Michael. mit 4. lb 17 ß 6 d Zinßl. schuldig, 97. lb 18 ß 4, Mehr so man dem Closter Zur Reüerin Stæ Mariæ Magdalenæ in Haubtguth jeweilen auf Jacobi mit 10. lb d Zinßbar schuldig 125. lb, Und dann so man Weÿl. frauen Susannæ Rebhanin seel. hind. laßen Erben ane Cap. jährlich auff Michael mit 3 lb 15. ß Verinteressirlich Zu entrichten 75 lb. Machen dise 3. auf Vorbeschriebener behaußung hafftende Capitalia zusammen 297 lb 18 ß 4 d. Nach d. abgang v.bleibt ane deren anschlag annoch 77 lb 1 ß 8 d. Waran vor die dem Verstorb. seel. u. nunmehr deßen Erben gebührige 2/3 theil dißorths außzuwerffen 51. lb 7 ß 9 1/3
die übrige tertz ist dem Sohn und tochter erster Ehe vor Mütterl. Guth gebührig auch hernach f° (-) fac (-) des abgeleibten seel. Lebtägig genoßenem Wÿdumb einverleibt befindlich. Wie dieße behaußung wehrendern Ersten Ehe erkauffet worden, weißet 1. teutscher pergament. Kauffbrieff mit d. Statt Strb. angangend. Cantzleÿ Contract Insiegel v.wahrt dat. 26. 7.br 1695. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergament. Ganth und Respectivé Kauffbrieff mit E. E. Kl. raths wie auch vorgemeltem Contract Innsiegel bekräfftiget, datirt d. 6.ten Aprilis A° 1695. und 13. 9.br 1687. alle 3. mit jetzigem N° 1 bemerckt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 10, Sa. gold. Rings 4 ß, Sa. Schuld 25, Sa. ergäntzung (95, Abgang 10 ß, Compensando) 95, Summa summarum 130 lb
Hierauff nun wird auch der Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. Eigenthums an einer behaußung 51, Sa. Ergäntzung 25, Summa summarum 77 lb – Schulden 37, Nach deren Abgang 39 lb
Endlichen wird auch das gemein, Verändert und theilbar Guth beschieben, Sa. haußraths 38, Sa. Werckzeugs Zum haffner handwerck gehörig 7 lb Summa summarum 45 lb – Schulden 156 lb, In Vergleichung 110 lb
Gantze nach abzug der Passivorum restirende Verlaßenschafft 93 lb
Wÿdemb, Welchen der Verstorbene Herr Heÿer wegen Johannis und Mariæ Franciscæ der Heÿer seiner beeden Kindern erster Ehe gegen derselben education und alimentation bis an sein seeliges Ende genoßen
Solcher bestehet, Erstl. in dem dritten theil ane der hievorn fol. (-) fac (-) et seqq. beschriebenen behaußung und deren Zugehördten in der Uttengaß alhier gelegen, deren dasigen anschlag nach über abzug der obensteheder Capitalien zu hiehero gehörigem rato antreffend 25. lb
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung d. 20.t. 9.bris aô 1726. Auff begehren Wÿland de Ehren hafft und bescheidenen H. Johann Paulÿ Heÿer gewesenen Kachlers seel. hinter laßene Fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Rutten gaßen gelegen, einseits Neben Frantz Wernÿ Liechtermacher, anderseits Neben und hinden auf Johannes Schaby liechtermacher stosend, welche behausung Stuben Cammren, Kuche, Soldaten Cammer, Kachler Werckstatt, mit einem offen, ferner bren ofen und hauß Ehrlein sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleithe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und umb. Sieben Hundert und Fünffzig gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les enfants et héritiers de Paul Heyer vendent la maison 550 livres à Jean Chapuis, déjà propriétaire de la maison voisine (actuel n° 12)

1728 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 565-v
weÿl. Paul Heÿer gewesten haffners und deßen ersterer Ehefrau weÿl. Ursula geb. Rantzmarin erzeugt und hinterlaßenen beede Kinder nahmens Johannes Heÿer ledigen standts so majorennis und ohnbevögtigt zu sein versicherte und Fr. Maria Francisca geb. Heÿerin Johann Martin Hörle des haffners Ehefrau, so dann ged. Heÿers in zweÿter Ehe mit Fr. Maria Ursula geb. Kellnerin deßen hinterbliebenen wittib erzeugt und hinterlaßenen zweÿer Kinder Maria Salome und Maria Catharina der Heÿer geschworner Vogt Joseph Diller der Schneider mit zuziehung der Curandi Mutter und dero Curatoris Johann Melchior Schröder haffners
in gegensein Jean Chapuy des Liechtemachers, unter dem 1.t hujus ergangen: und obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß, einseit neben dem käuffer selbst anderseit neben Claude francois Vernier auch Liechtermacher hinten auff bemeldten kauffenden Chapuy – den Kindern erster ehe zu 8/12 theil den beÿden Kindern letzter ehe aber zu 4/12 – um 320 pfund verhafftet, geschehen um 229 pfund

Les maisons sont décrites à l’inventaire dressé en 1743 après la mort de Jean Chapuis.
Marie Duportail veuve de Jean Chapuis hypothèque les trois maisons contiguës au profit de la fondation ottonienne pour pouvoir remettre à son beau-fils Guillaume Chapuis sa part d’héritage

1744 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 423-v
Fr. Marie geb. Duportail weÿl. Jean Chapuis des Lichtenmachers wittib mit beÿstand H. Frantz Ernst Cons des schaffners des Stiffts St Margaretha und vogt, daß sie mit obigem vorschuß ihrem stieffsohn Guillaume Chapuis wegen seinen vätterlichen erbgut ausweißen wolle
in gegensein S.T. H. Johann Friedrich Hammerer regierenden H. Ammeister XIII und scholarchæ als Obmanns der Ottonischen stifftung und S.T. H. Elias Christoph Lantz Jcti und hiesiger Stadt Consulenten als administratoris – schuldig seÿe 1000 pfund
unterpfand, erstlich dreÿ neben einander stehende behausungen samt deren höffen und hoffstätten auch übriger zugehörden ane der Uttengaß, einseit neben H. Georg Dorffer dem kieffer anderseit ist ein eck ane einem Allmendgäßlein hinten theils auff der Fischer Zunfftstub gelegen
mehr eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis auff der Esplanade beÿ denen rothen häußern gegen den backöffen über, einseit neben François Delay dem wirth anderseit neben weÿl. Johann Melchior Klein des huffschmids erben hinten auff eben dieselbe

Marie Anne Gasque veuve de Jean Chapuis hypothèque les trois maisons contiguës au profit du receveur de l’orphelinat Jean Frédéric Heupel

1747 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 879
Fr. Maria Anna geb. Gasque weÿl. Jean Chapuy des lichtenmachers wittib mit beÿstand ihres vogts H. Frantz Ernst Cons des schaffner des Closters zu St Margarethen
in gegensein des Stiffts Waÿßenhaußes schaffners H. Johann Friedrich Heupel – schuldig seÿen 300 lb
unterpfand, dreÿ häußern nebeneinander samt deren höffen und hoffstatt auch übrigen zughörden ane der Uttengaß, einseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer, anderseit ist ein eck am allmend gäßlein, hinten theils auff das Fridische stammhauß theils auff der Fischer zunfft stub

Marie Anne Gasque hypothèque les trois maisons contiguës au profit de l’employé à la halle Jacques Hector Gombault

1752 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 199
Fr. Maria Anna geb. Gasque weÿl. Jean Chapuy gewesten lichtermachers wittib mit beÿstand ihres vogts H. Rathh Frantz Ernst Cons des schaffners des Closters zu St Margaretha und dero sohn H. Jean Pierre Louis Chapuy mit beÿstand seines curatoris ad lites H. Johann Friedrich Heupel des waÿßenschaffners
in gegensein H. Jacob Hector Gombault des beamten hiesigen Kaufhauß – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, dreÿ häußer nebeneinaner samt deren zugehörden und rechten ane der Uttengaß, einseit neben Johann Georg Dörffer kieffer, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein, hinten theils auff den Fridischen stammhauß theils auff die Fischer zunfft

Les maisons sont décrites à l’inventaire dressé en 1757 après la mort de Marie Gasque dite Duportal.
Jean Laurent Barbier et Marie Marguerite Agnès Chapuis hypothèquent plusieurs immeubles au profit du notaire Jean Daniel Schweighæusser

1763 (14.6.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 294-v
H. Jean Laurent Barbier employé dans les affaires du Roy und Maria Margaretha Agnes geb. Chapuis mit beÿstand H. Frantz Antoni Kellermann E. E. großen raths beÿsitzers und H. Ferdinand Blauw des medicinæ doctoris und practici
schuldig seÿen H. Not. Johann Daniel Schweighäußer – 250 pfund
unterpfand, primo einen vierten theil ane dreÿ nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein eck ane einem allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der fischer
den vierten theil ane einer behausung cum appertinentis ane den rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff denselben
eine quart ane einer behausung cum appertinentis ane dem Rooßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken

Autre hypothèque entre les mêmes

1763 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 474-v
H. Ferdinand Blauw medicinæ doctor und practicus und Maria Theresia geb. Chapuis mit beÿstand H. Jean Louis Barbier des employé dans les affaires du roy und H. Rathh. Frantz Antoni Keller E. E. kleinen raths beÿsitzers
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 1. einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein Eck ane dem Allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der Fischer
ferner einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ denen rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff eben denselben
so dann einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1765 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 456
H. Ferdinand Blauw medicinæ doctor et physicis zu Oberkirch und Maria Theresia geb. Chapuis mit beÿstand ihres bruders H. Jean Pierre Cahpuis des geographe und H. Rathh. Frantz Antoni Kellermann E. E. kleinen raths beÿsitzers
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer als mandatarii Jfer Mariæ Magdalenæ Hubmeÿerin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 1. einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein Eck ane dem Allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der Fischer
ferner einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ denen rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff eben denselben
so dann einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken

Le géomètre Jean Pierre Louis Chapuis et sa femme Marguerite Louise Kellermann hypothèquent leur quart de maisons au profit de Marguerite Barbe Hubmeyer

1765 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 615-v
H. Johann Peter Louis Chapuis des geometre und Margaretha Louise geb. Kellermännin mit beÿstand ihres vatters Frantz Antoni Kellermann E. E. kleinen Raths dermahligen beÿsitzers und Louis Kellermann des lieutenant lieutenant au régiment d’Anhalt
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer als mandatarius Fr. Margarethæ Barbaræ Wittwe Herichin geb. Hubmeÿerin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, 1. ein vierdter theil vor unvertheilt ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen cum appertinentis ane der Uttengaß, eins. ane einem allmend gäßel,
ferner ein vierdter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ den rothen häußern auf der Esplanade,
so dann ein vierdter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein

Les héritiers Chapuis cèdent leurs parts de deux maisons rue Sainte-Madeleine (la troisième, actuel n° 12, ayant été vendue la même année au menuisier Jean André Lux) à leur sœur Marie Dorothée Chapuis moyennant 4 400 livres. L’acquéreuse s’engage à faire faire une porte d’entrée au logement qu’occupe son frère Jean Louis Chapuis

1767 (14.10.), Not. Humbourg (6 E 41, 128)
furent presens le Sr Jean Louis Chapuis Geometre demeurant en cette ville, le Sr Ferdinand Blau Docteur en medecine pour et au nom de De Marie Therese Chapuis son Epouse, Et le Sr Jean Laurent Barbier Trésorier du Regiment Suisse de Pfeiffer au nom de De Marie Marguerite Agnès Chapuis Son Epouse (…) d’une part
Et Dlle Marie Dorothée Chapuis leur sœur et belle sœur fille majeure d’ans usante et jouissante de Ses droitsn demeurant en cette ville, assistée, pour plus grande Validité de ce qui suit, du Sr François Antoine Kellermann assesseur au Senat, cy present, et qu’elle en a requis, d’autre part,
Lesquels ont dit, qu’entre autres Immeubles à eux Echus par le deceds de leurs pere et mere ils possedent deux maisons Scituées en cette ville l’une à côté de l’autre dans la rue Ste Madeleine, le Sr Dörffer Marchand de vin d’une part, le Sr Lux menuisier d’autre, Et par derrier la Tribu des Pecheurs, ils sont convenus que celuy d’entre eux quise trouverait vouloir en donner le plus en demeurant adjudicataire par forme de partage et licitation à l’amiable, et S’etant assemblés à cet effet le Jour d’hyer il s’est trouvé qu’après plusieurs mises et encheres faites de part et d’autre personne n’a voulu Surencherir la mise faite par lad. Dle Marie Dorothée Chapuis d’une somme de 17.600 livres, Et fut arreté que lesd. maisons Seroient laissées à lad. De Marie Dorothée Chapuis comme plus offrante et derniere encherisseuse – Lad. De Marie Dorothée chapuis retiendra une somme de 24 livres sur lesd. 17.600 livres a quoy elle a fait monter le prix total de la totalité desd. deux maisons et moyennant ladite somme Elle fera faire à ses frais une porte d’Entrée à celle desdites deux maisons qui est actuellement occupée par ledit Sr Chapuis mais lors du partage definif desd. Successions paternelle et maternelle ell ne tiendra aucun compte de ces 24 livres a ses frere et soeurs (procuration Barbier, demeurant presentement a Metz rue de la Crette paroisse St Gengoulf)
enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 641 /2, f° 574 le 26 octobre 1767

Marie Dorothée Chapuis épouse en 1772 François André Braulle, contrôleur du droit sur les cartes : contrat de mariage, célébration
1772 (7.8.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 619
(Contrat de mariage) fut present le sieur François André Braulle, Controlleur du Droit sur les Cartes fils majeur de defunt le Sr George Henry Braulle, en son vivant Employé dans le affaires du Roy et de feu Delle Felicité Geistodin son Epouse ayant demeuré dans cette ville d’une part
Et Demoiselle Marie Dorothée Chappuis fille majeure d’ans de feu le sieur Jean Chappuis en son vivant Marchand Chadelier et bourgeois domicilié en cette dite ville et de feu Delle Marie Anne Gasque Ses pere et Mere assistée du Sr Luc Schaaff Juriste demeurant dans lad. Ville de Strasbourg d’autre part
Fait lû et passé à Strasbourg cejourd’hui 7° aoust 1772 (signé) Braulle, chapuis

Mariage, Saint-Laurent (cath. 319)
Hodie 11. Augusti Anni 1772 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Dns Franciscus Andreas Brolle Argentinensis in negotiis regiis occuptus, filus legitimus majorennisis et orphanus Dni Georgii Henrici Brolle in negotiis regiis olim occupati et Dnæ Felicitatis Geisdodin conjugum defuctorum ab Anno in parochia nostrâ commorans et Dlla Maria Dorothea Chapuis etiam Argentinensis, filia legitima majorennis et orphana defuncti Domini Joannis Chapuis civis quondam argentinensis et Mariæ Annæ Gasque conjugum defunctorum parochiana nostra. Testes Aderant Dns Joannes Petrus Ludovicus Chapuis Sponsæ frater civis hujas (signé) Braulle, chapuis (i 162)

François André Braulle loue une partie de la maison au profit du marchand épicier Joseph Rosetti

1792 (22.2.) Strasbourg 11 (3), Not. Anrich n° 230
Mr François André Braulle Receveur de le Lotterie cour de France, Bail et loyer d’argent pour 8 années consecutives qui ont commencé à courir à la St Michel dernier
à Mr Joseph Rosetti citoyen et marchand épicier
dans la Maison dudit Braulle sçise rue de la Magdeleine N° 26 consistante ladite Location dans un poel au Rez de chaussée donnant sur la rue dont le Sr Bailleur se charge de faire percer à ses frais une arcade, la munir d’une porte bien conditionnée et de faire murer celle qui donne dans l’allée a droite pour servir de Boutique au Sr preneur, Plus dans une Cuisine derrière ladite Boutique prenant son jour sur la cour dont le Sr preneur disposera pour sa commodité (…), Plus dans une chambre attenant à la boutique y ayant Communication, Plus dans une Cave dont le Sr bailleur fera agrandir L’entrée dont le Sr preneur aura seul la Jouissance, le Vestibule au dessus de ladite Cave doit être libre pour L’entrée et la Sortie des autres Locataires, Plus dans deux pièces au premier Etage attenants prenans Jour sur la rue, Plus dans une Cuisine donnant sur la cour, Plus dans deux chambres à la Mansarde, Le Grenier sera en commun avec un second Locataire et le Sr Preneur Jouira en outre de toutes les autres aisances locatives comme puits, Bouanderie – moyennant un loyer annuel de 300 livres
enregistré le 22 février

Inventaire après décès d’un locataire, le négociant François Joseph Rosset

1807 (20.2.), Strasbourg 15 (17), Not. Lacombe n° 300
Inventaire de la succession de François Joseph Rosset négociant décédé le 13 janvier dernier – à la requête de Jeanne Hürstel la veuve tutrice naturelle d’Auguste Charles leur fils mineur 4 ans, et de Joseph Brentano négociant subrogé tuteur dudit mineur – en présence de Catherine Hügel domestique de la maison
dans le logement du défunt rue de la Madeleine n° 26
meubles, argenterie 2570 fr, marchandises 10.395 fr, numéraire 736 fr, créances 4926 fr, créances 1137 fr, total de l’actif 19.765 fr, passif 47.275 fr, apports et reprises 14.400 fr, total 61.675 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 25-v du 2.3.

André Braulle et Dorothée Chapuis louent une partie de la maison à Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset

1809 (18.7.), Strasbourg 15 (10), Not. Lacombe n° 1022
Bail de 12 années qui commencent à la St Michel 29 sept. prochaine – André Braulle, caissier des articles d’argent à la poste aux lettres de cette ville, et Dorothée Chapuis
à Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset négociant
En la maison des Sr et De Braulle sise en cette ville rue de la Madeleine n° 26, d’un côté les héritiers de la veuve Krenztinger d’autre le Sr Doerfer tonnelier derrière le caffé du Sr Reymann, le tout au rez de chaussée tant de la maison de devant que de celle entre deux cours, des ailes adjacentes et du fond de la seconde cour consistant en deux pièces et cuisine a côté de la boutique, la boutique, comptoir, allée attenante les divers magasins, écurie, appartenances et dépendances avec la seconde cour ainsi que les trois pièces et la cuisine formant le rez de chaussée occupé actuellement par le Sr Schmid dans la maison entre deux cours de manière que tout le rez de chaussée dans tous les bâtiments quelconques soient compris dans le présent bail avec les appartenances et dépendances exprimées ou non cy dessus. En outre dans la maison de devant tout le premier étage consistant en 6 pièces 3 cuisines et l’allée au second étage, les deux pièces, chambre et allée à côté du logement actuel occupé par le Sr Milty père, toutes les chambres en mansardes et les greniers excepté la chambre occupée actuellement par le Sr Milty père, les deux caves attenantes l’une à l’autre, les deux caves dans la maison de devant excepté les deux enclos dans l’une d’elles occupés par la De Poirot et le Sr Villars en outre la cave qui est sous la maison entre les deux cours à l’exception de la partie qui est occupée actuellement par le Sr Milty père – moyennant un loyer annuel de 1037 francs ou 1050 livres tournois
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 5 du 24.7.

Marie Jeanne Hürstel cède son bail au négociant Donat Marchal

1811 (24.12.), Strasbourg 15 (14), Not. Lacombe n° 2314
Cession – Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset ayant un commerce d’épicerie en cette ville
à Donat Marchal négociant
cede le fond de commerce d’épicerie qu’elle fait en cette ville tel qu’il est établi rue de la Madeleine n° 26 avec toutes les marchandises tel que le tout se trouvera exister a l’époque du 14 avril 1812 à estimer par des experts
le bénéfice du bail qu’elle tient de M André Braul et Dorothée Chapuis propriétaires de la maison pour l’espace de 9 ans et demi que le bail aura encore à courir pour 1037 francs de loyer
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 145-v du 30.12.

Consentement au mariage de leur fils
1813 (27.1.), Strasbourg, Not. Knobloch
Consentement – André Braulle propriétaire à Strasbourg et Dorothée Chapuis au mariage de Charles Alexandre Hyppolite audit lieu avec Marie Anne Fischer
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 113 du 29.1.

François André Braulle et Marie Dorothée Chapuis font dresser l’inventaire de séparation

1814 (24.8.), Strasbourg 11 (18), Not. Thurmann n° 2765
Inventaire de séparation, François André Braulle ci devant caissier de la poste aux lettres et Marie Dorothée née Chapuis, par jugement du 9 août dernier
propres de la femme, deux maisons l’une a côté de l autre rue de la Madeleine tenant alors au Sr Dorffer marchand de vin d’autre Sr Lux menuisier derrière Tribu des Pêcheurs
de la maison faubourg de Pierre n° 95 – communauté, meubles 1269 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 f° 84 du 3.9.

Inventaire après décès d’une locataire, Marie Claire Pougnet femme du négociant Joseph Jacques Antoine Delcominette

1821 (22.5.), Strasbourg 8 (32), Me Roessel n° 7860
Inventaire de la succession de Marie Claire Pougnet femme de Joseph Jacques Antoine Delcominète, négociant décédée le 18 janvier dernier – à la requête du veuf, commun en biens en vertu du contrat de mariage passé devant Me Meister à Colmar le 6 avril 1818 père et tuteur légal de Claire Joséphine 2 ans et Françoise Catherine décédée le 11 février 1821 – en présence de Charles Marie Dagobert Pougnet substitut du procureur du Roi près le tribunal civil de première instance de Colmar, subrogé tuteur
dans une maison en cette ville rue de la Madeleine n° 26
propres, mobilier 4792 fr, garde robe 692 fr, bijoux 154 fr, reprises 8400 fr, ensemble 14.038 fr
communauté mobilier 992 fr, marchandises 11.829 fr, créances 4956 fr, numéraire 300 fr, ensemble 18.077 fr, passif 16.721 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 146 du 24.5.

Propriétaire de la moitié de la maison, Charles Alexandre Hyppolité Braulle meurt en 1827

1827 (15.5.), Strasbourg, Me L’Ange
Inventaire de la succession de Charles Alexandre Hyppolité Braulle, employé à la poste aux lettres décédé le 5 mars dernier – à la requête de la veuve Marie Anne Fischer en son nom et mère et tutrice légale de Eugène Emile et Henri Hyppolite
mobilier 541 fr, créance 228 fr
la moitié d’une maison rue de la Madeleine n° 26 estimée 5000 fr ; passif 1608 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 184 F° 14 du 21.5.

Les enfants de Charles Alexandre Hyppolité Braulle louent une partie de la maison au mécanicien Guillaume Becker

1825 (2.7.), Strasbourg 7 (70), Me Stoeber n° 831
Bail de 3 ans à commencer le 29 septembre prochain – Emilie Braulle, fille majeure, Hipolite Braulle, employé à la poste aux lettres
à Guillaume Becker, mécanicien
les localités suivantes dans la maison à eux appartenante sise en cette ville rue Ste Madeleine n° 26, savoir une cave quelconque et une chambre aux mansardes, Dans la seconde cour le rez de chaussée composé de trois chambres et une cuisine ses deux bâtiments latéraux, la jouissance de cette cour avec le droit au profit du preneur d’y faire établir une forge et une cheminée à âtre et tout ce qui s’ensuit
Charges, clauses et conditions, 4. il aura le droit de faire une porte de communication de la cuisine avec le corridor dont il devra laisser l’entrée et sortie libre – moyennant un loyer annuel de 300 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 174 F° 11 du 7.7.

Les héritiers Braulle exposent la maison aux enchères. Marguerite Chatelain veuve du négociant Jean Baptiste Picard se porte acquéreuse

1835 (19.12.), Strasbourg 7 (89), Me Stoeber n° 16.506
Cahier des Charges du 22. 7.bre. n° 16.327 – Adjudication définitive – 1. Françoise Julie Emilie Braulle, rentière, comme poursuivant la licitation d’une maison indivise, propriétaire pour moitié d’une part,
2. Marie Anne Fischer veuve de Charles Alexandre Hyppolite Braulle, mère et tutrice légale d’Hypolite Henry Braulle 19 ans et demi, ayant pour subrogé tuteur Jean Oster, marchand épicier, 3. Angélique Emilie Braulle majeure, propriétaires de l’autre moitié-vente ordonnée par jugement à la première chambre du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 juillet courant, rapport d’experts du 25 août, estimée à 19.000 fr, et jugement du 30 août dernier
à Laurent Schumacher, maître maçon, pour 24.600 fr
Déclaration de command n° 16.507 du 19 décembre, enchéri pour Marguerite Chatelain demeurant rue Mercière n° 3 veuve de Jean Baptiste Picard, négociant
Désignation de l’immeuble, une maison se composant de plusieurs corps de bâtiments avec cour, puits, écurie, petit jardin, autres droits, aisances, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg rue de la Madeleine n° 26, d’un côté la Dlle Scholl, d’autre le Sr Christmann, derrière le Kohlenhof
Origine et Etablissement de l’immeuble à vendre. L’immeuble à vendre provient de la succession de Charles Alexandre Hypolite Braulle, suivant inventaire dressé par Me Lange le 15 mai 1827. Charles Alexandre Hypolite et sa sœur Françoise Julie Emilie sont propriétaires exclusifs chacun pour moitié, échue dans la succession de François André Braulle, employé à la porte de Strasbourg, et Marie Dorothée Chapuis. ladite maison et avenue au Sr Braulle et à ladite Chapuis suivant partage et licitation dans la succession de ses père et mère dressé par Me Humbourg le 14 octobre 1767
Adjudication préparatoire n° 16 407 du 7. 9.br
(Joint) Rapport d’experts du 25 août – Auguste Arnold, Jean Frédéric Klinck, Philippe Jacques Hennenberg tous trois architectes (…) le partage ne peut se faire commodément vu que la construction et la distribution des bâtiments dont le premier est situé entre ladite rue et la petite cour dans laquelle est un puits avec une pompe. Le second est entre la même cour et le petit jardin communiquant à travers ladite cour avec le premier bâtiment à chaque étage. Le troisième est à gauche au jardin et enfin le quatrième est au fond du même jardin.
Le premier contient au rez de chaussée qui est sur trois caves sous solives deux corridors d’entrée, une boutique et trois chambres vers la rue, une cage d’escalier, buanderie et une cuisine vers la cour. Le premier ainsi que le deuxième étage renferment chacun six chambres dont une avec alcove vers la rue une autre l’escalier et cuisine vers la cour. Dessus comble l’un avec mansardes contenant six galetas et l’esaclier, plus un grenier avec deux séparations en planches au dessus l’autre à deux greniers dont l’inférieur renferme trois galetas, un pignon un mur sépare les deux combles et portions de cette maison.
La seconde maison contient un rez de chaussée sur cave sous solives, une cage d’escalier, un bucher, une cuisine et trois chambres vers le jardin, lieux et fosses d’aisances aux deux extrémités. Le premier comme le second étage renferment chacun quatre chambres dont une avec alcove vers le jardin une cuisine et une galerie de communication vers la petite cour. Dessus comble avec mansarde dans laquelle cinq galetas plus un grenier au dessus ayant deux séparations en planches.
Le troisième bâtiment n’a que deux chambres avec rez de chaussée avec un grenier dans le demi toit au dessus.
Le quatrième bâtiment aussi simple rez de chaussée contient une cuisine et un magasin couvert d’un demi toit à un grenier. Dans l’angle une petite étable. Toutes les couvertures sont en tuiles doubles et peu de simples, estimé 19.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 236 F° 93-v du 21.12.

Originaire de Nancy, le coiffeur Jean Picard épouse en 1805 Anne Marguerite Chatelain, native du Fort-Louis
Mariage, Strasbourg (n° 107)
L’an XIII de la République, le 25° jour du mois de Nivôse (…) sont comparus Jean Picard, âgé de 38 ans, coëffeur, domicilié en cette ville depuis 17 ans, né à Nancy, Département de la Meurthe, le 19 avril 1766, majeur, fils de feu Antoine Picard, tailleur de pierres, décédé à Nancy le 6 avril 1777 et de Catherine Petit, consentante (…) et Anne Marguerite Chattelain, âgé de 24 ans, domiciliée en cette ville depuis 10 ans, née au Fort-Vauban, Département du Bas-Rhin le 20 juillet 1780, majeure, fille de feu Jean Jacques Chattelain, ancien militaire mort à Lille à l’hôpital militaire le 15 juin 1793, et de Marie Anne Boymond, ci présente et consentante (signé) Jean Picard, M. Chatelain (i 58)

Jean Baptiste Picard meurt en 1836 en délaissant deux filles
1836 (14.5.), Strasbourg 13 (51), Me Bremsinger n° 7648
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Picard, marchand et fabricant, à la requête de Anne Marguerite Chatelain la veuve, communauté s’étant épousé à Strasbourg le 25 nivose XIII (15 janvier 1805) sans contrat de mariage, marchande et fabricante d’ouvrages, mère et tutrice naturelle de Florentine Eugénie Hortense Picard née le 7 mai 1817 sa fille mineure, 2. Adèle Juliette Picard, majeure, héritiers pour moitié de leur père, en présence de Benoît Joseph Ignace Doss, avoué près le Tribunal Civil mandataire de Felix Chavanne propriétaire à Paris rue d’Alger n° 29 près de celle de Rivoli, subrogé tuteur de la mineure
maison mortuaire rue Mercière n° 3 au rez de chaussée et au premier étage
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 84 du 16.5.

Juliette Picard cède sa moitié de maison à son beau frère et à sa sœur Maurice Thiebault et Hortense Picard

1843 (19.9.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 86 (1875) f° 64
Vente du 25 juin 1843 – Je soussignée Juliette Picard rentière à Paris rue de l’Echiquier N° 4 déclare par ces présentes avoir vendu, cédé, quitté ét abandonné en tous droits de propriété et avec toute garantie de droit et de fait
à Maurice Thiebault, avocat demt. à Strasbourg et De Hortense Picard, son épouse autorisée à cet effet
la moitié d’une Maison que je possède par indivis à l’encontre des acquéreurs rue de la Madeleine N° 26 à Strasbourg, entre Delle Scholl et le Sr Christmann, donnant par derrière sur le Kohlenhoff, Telle ce cette moitié e maison se trouve contient et comporte, me provenant de la succession de Marguerite Châtelain V° Picard notre mère décédée. Cette vente faite pour et moyennant la somme de 10.000 francs en numéraire

Originaire de Puttelange, le licencié en droit Maurice Thiebault épouse en 1840 Florentine Eugénie Hortense Picard
1840 (16.6.), Strasbourg 13 (56), Me Arbogast n° 11
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Maurice Thiebault, licencié en droit à Puttelange (Moselle) fils de Maurice Thiebault, propriétaire, et de Marie Marguerite Riquet
Florentine Eugénie Hortense Picard, fille de feu Jean Baptiste Picard, commerçant, et d’Anne Marguerite Chatelain
Enregistrement de Strasbourg, acp 279 F° 25-v du 18.6.

Hortense Picard meurt en 1861 en délaissant quatre enfants

1861 (18. Xbre), Strasbourg 15 (105), Not. Momy (Hippolyte) n° 7660
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Maurice Thiébault propriétaire Florentine Eugénie Hortense Picard
L’an 1861 le Mercredi 18 décembre à neuf heures du matin en la Maison sise à Strasbourg rue des Orphelins N° 23. ou demeurait Mad. Florentine Eugénie Hortense Picard décédée épouse de M. Thiébault requérant en la Maison de campagne sise hors la porte d’Austerlitz le 22 juin dernier.
A le requête de Mr Maurice Thiébault, propriétaire, Agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg agissant comme ayant été commun en biens avec son épouse défunte aux termes des dispositions de leur contrat de mariage passé devant M° Arbogast et son collègue notaires à Strasbourg le 16 juin 1840. à cause des reproses qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté et des avantages de survie lui ressortant du contrat de mariage ci-dessus relaté. En qualité de père et tuteur légal de de ses quatre enfants mineurs procréés de son mariage avec feue son épouse nommés 1) Marie Hortese Adéle Thiébault née le premier mai 1841, 2) Jules Ernest Maurice Thiébault, né le 21 septembre 1842, 3) Eugène Florentin Marie Thiébault né le 11 septembre 1846, 4) Maurice Ernest Marie Thiébault né le premier septembre 1850. Enfin comme légataire de tous les meubles (…) en vertu du testament de cette dernière fait olographe à Strasbourg le 20 août 1840 (…). Et en présence de Mr Paul Lamache, professeur à la faculté de droit de Strasbourg, Chevalier de la Légion d’Honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits quatre enfants mineurs Thiébault

Contrat de mariage (…)
N° 7664, Continuation du 19 Xbre 1861. Immeuble bâti propre à la défunte
Maison rue de la Madeleine. Une Maison se composant de plusieurs corps de bâtiments, avec cour, puits, écurie, petit jardin, autres droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue de la Madeleine N° 26 ancien et 10 nouveau, d’un côté Mr Laugel de l’autre Mr Grün, devant la rue derrière la Brasserie du poel des pêcheurs. Cet immeuble était la propriété de Mad. Thiébault pour en avoir recueili une moitié, l’autre moitié étant échue à Mademoiselle Picard sa sœur ci après qualifiée, dans la succession de Mad. Marguerite Chateain veuve de Mr Jean Baptiste Picard en son vivant Négociant à Strasbourg, de quelle Mad. Thiébault était héritière pour moitié, et pour avoir acquis l’autre moitié de Madlle Juliette Picard, sa sœur, rentière demeurant à Paris aux termes d’un acte sous signature privée fait en double à Strasbourg le 25 juin 1843, enregistré à Strasbourg le 19 septembre 1846 folio 64
Communauté. Immeubles. Maison rue des Orphelins (…)
Campagne située hors la porte de l’hôpital (…)
Testament de la défunte (…)
Marchandises faisant partie du commerce de Mad. Thiébault
acp 505 (3 Q 30 220) f° 50-v du 21.12. (succession déclarée le 21. Xbre 1841)
Communauté, mobilier 8051
Garde robe de la défunte 405
Une maison rue de la Madeleine N° 10 propre à la défunte
Communauté, Une maison rue des Orphelins N° 21
Une campagne hors la porte d’Austerlitz de Strasbourg
La charge d’agent de change, le cautionnement de 8000 – argent 315, loyers 1735, extances 2948
Indemnités dues à la communauté 46.836
Récompenses dues au veuf par la communauté 57.005. Reprises de la défunte 40.000, Marchandises 24.091 – Passif de la communauté 1543

1861 (17.12.), Me Momy
Dépôt du testament olographe de Florentine Eugénie Hortense Picard épouse Maurice Thiébaut, ledit testament en date du 20 août 1840, enregistré aujourd’hui
acp 505 (3 Q 30 220) f° 36 du 18.12.

Marie Hortense Adèle Thiébault épouse du pharmacien Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent cède ses droits successifs à son père

1862 (29. 8.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8400
Cession droits successifs – Ont comparu Dame Marie Hortense Adèle Thiébault épouse de Monsieur Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent, pharmacien de son mari présent assistée et autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Haguenau (…) héritière pour un quart de feu sa mère Dame Florentine Eugénie Hortense Picard, décédée épouse de M. Maurice Thiébault propriétaire demeurant à Strasbourg
à Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change, son père demeurant et domicilié à Strasbourg
tous droits successifs mobiliers et immobiliers, tant en fonds et capitaux qu’en fruits et revenus échus et à échoir revenant à Madame Laurent dans la succession indivise de Madame sa mère – moyennant la somme de 18.000 francs
acp 515 (3 Q 30 230) f° 50 du 30.10.

Comptes de tutelle
1862 (22. 7.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8321
Récépissé Compte de tutelle – Ont comparu Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, d’une part
et Dlle Marie Hortense Adèle Thiebault, majeure d’ans, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg d’autre part
Lesquels ont dit que M. Thiébault a entendu rendre compte à Madlle sa fille sus dénomée de la gestion et de l’administration qu’il a eues en sa qualité de tuteur légal de la personne, des biens et fortune demoiselle Marie Hortense Adèle Thiebault, depuis le décès de Dame Florentine Eugénie Hortense Picard son épouse défunte (…)
acp 514 (3 Q 30 229) f° 47-v du 23. 7.bre

1862 (28. 8.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 3397
Arrête de compte – Monsieur Maurice Thiebault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, d’une part
et Dame Marie Hortense Adèle Thiébault épouse de Monsieur Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent, pharmacien de son mari présent assistée et autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Haguenau (…)
acp 515 (3 Q 30 230) f° 49-v du 30.10.

Maurice Thiébault se remarie avec Emma Eugénie Stéphanie Bartel
1862 (15. 7.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8309
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf avec quatre enfants de Dame Eugénie Hortense Picard agissant et stipulant comme futur époux
Et Demoiselle Emma Eugénie Stephanie Bartel, sans profession demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille majeure et légitime de feu Mr Conrad Louis Bartel ancien officier et de feue Dame Catherine Schott son épouse les deux décédés à Strasbourg, agissant et stipulant comme future épouse
acp 514 (3 Q 30 229) f° 23 du 16. 7.bre
stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux sont constatés par inventaire reçu Momy le 18 Xbre 1861
Ceux de la future épouse consistent en argent et rentes sur l’Etat, montant à 15.000 francs
Point de donation éventuelle



Plan Blondel : Propriétaires VII – VIII


La partie gauche transcrit la liste de propriétaires qui accompagne le plan Blondel (AMS, cote VI 585, sans date [1765]).
La partie droite une autre liste qui indique la surface des terrains en toises, pieds et pouces pour chaque parcelle portée au plan Blondel, en mentionnant le propriétaire (AMS, cote V 61, sans date, vers 1775).

VII 1 au Sr Mans Max 19 0 8
VII 2 Tribû des Cordonniers à la Communauté Tribu des Cordonniers 26 5 3
VII 3 aux héritiers de Walter Götz 29 3 3
VII 4 aux héritiers du Sr Kamm (supra)
VII 5 à M. Kamm marchand de vin (supra)
VII 6 à Mde la veuve Unselt Montsing 3 2 3
VII 7 au Sr Vignerote Klingler 3 1 0
VII 8 au Sr Braun Gamß Wittib 7 2 5
VII 9 au Sr Vignerote Schmitt 2 5 11
VII 10 Jean Egelus Franck 3 1 5
VII 11 Jean Ourlipp Lipp 3 1 9
VII 12 Sr Richer Rische 3 0 6
VII 13 au Sr Zeittel H. Pfarrer Giesing 3 2 5
VII 14 au Sr Schaeffer Schäffer 2 5 10
VII 15 au nommé Stiber Stieber pere 2 4 7
VII 16 au Sr Braun Stieber fils 2 4 7
VII 17 Jean Balthasar Herns Ernst 3 1 6
VII 18 au Sr Fischer Fischer wittib 25 0 9
VII 19 Sr Choisy sellier Choisi 26 0 6
VII 20 Jean Fréderic Zimmer Notaire H. Not. Zimmer 14 1 6
VII 21 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 0 3
VII 22 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 21 3 9
VII 23 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 35 2 6
VII 24 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 6 – –
VII 25 au Sr Ziegenhagen Ziehehan Wittib 11 2 0
VII 26 Jean Philippe Horn Schlag 2 3 6
VII 27 au nommé Spher Transperger 4 3 0
VII 28 Jean Adam Frentz Münch 7 2 6
VII 29 Ignace Götz Götz Chirur. 3 3 9
VII 30 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 0 6
VII 31 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 – –
VII 32 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 2 10
VII 33 M. de Bergan à la ferme 40 1 10
VII 34 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 3 6
VII 35 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 14 3 6
VII 36 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 13 4 6
VII 37 M. Lafermière Dürrenberger 23 5 2
VII 38 M. Ingel ministre Emmerich 11 0 3
VII 39 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 20 3 6
VII 40 M. de Zugmantel Mde de Zugmantel (noblesse) 15 4 8
VII 41 Mde Oberlet Oberler Wittib 16 – –
VII 42 aux héritiers du Sr Helmstetter Froideveau 8 5 6
VII 43 M. Wackerzapff Clauß 7 2 9
VII 44 Henry Ignace Rumpler H. Rumpler
44 ½ Roth
12 0 9
12 1 7
VII 45 aux héritiers de Mde de Lousteau Mr Gelb 5 1 5
VII 46 Mde Lemp H. XV. Lemp 32 3 2
VII 47 la veuve du Sr Bähr Doct. Michel 3 3 9
VII 48 Henry Adam Riehl Reuhl 4 2 3
VII 49 à la Ville à la Ville 36 0 8
VII 50 Jean Kesshammer Kößhammer 3 5 4
VII 51 au nommé Mangin Chenal 5 4 6
VII 52 au Sr Bruder Bruder 11 4 6
VII 53 M. Colbach Goldbach 4 – –
VII 54 Daniel Schaeffer Schlewer Wittib 5 1 1
VII 55 Mlle Baur Rhein 2 5 5
VII 56 Joseph Antoine Hessler Häßler 2 0 4
VII 57 au Sr Herrmann Ministre Stahl 4 3 0
VII 58 Jean George Jundt Junt 19 0 5
VII 59 Antoine Scharet Wittmann 4 3 4
VII 60 Jean George Fischer Fischer Wittib 4 5 0
VII 61 au nommé Eremann Doct. Ehrmann 5 4 3
VII 62 au Sr St Louis tailleur Käßhammer fils 31 1 4
VII 63 Jean Jacques Ott Knotterer 9 2 10
VII 64 Paul Stelin Stähling Wittib 3 0 7
VII 65 Jean Chretien Röderer Reterer 6 4 7
VII 66 Jean Jacques Burchard Bürry 2 4 2
VII 67 Jacques Hetzel Hetzel 3 2 3
VII 68 Godfroy Hardschmitt Vogt 4 0 6
VII 69 Jean Daniel Oberlet Gerold Wittib 3 5 5
VII 70 Jean Fréderic Ott Ott Wittib 4 3 9
VII 71 George Fréderic Ott Jacob Ott 4 3 9
VII 72 Martin Dasauer Tassauer 5 0 9
VII 73 Abraham Buschard Bouchard 10 1 6
VII 74 Jean André Thar Lux 4 5 5
VII 75 Jean Resch Rösch 8 – –
VII 76 au nommé Ottmann Hüttner 15 4 4
VII 77 aux héritiers du Sr Brandhoffer Zaberer 15 4 6
VII 78 Jean George Beck Bick 11 1 10
VII 79 aux héritiers du Sr Brandhoffer Endsfeld 2 5 4
VII 80 Jean Jacques Jundt Koch 2 1 0
VII 81 au Sr Herrmann Christiani 2 2 2
VII 82 Philippe Fréderic Saltzmann Saltzmann 2 1 3
VII 83 Adam Zwicker Zwicker 13 4 9
VII 84 au Sr Saltzmann Saltzmann 4 2 3
VII 85 Jean Borst Schäffer 4 0 3
VII 86 Jean Jacques Trescher Hoffman 4 0 10
VII 87 Jean Gaspard Lois Fritz 3 5 0
VII 88 Jean Jacques Kapp Daniel Kapp 7 3 6
VII 89 Jean George Garr Gerog Haag 4 4 0
VII 90 Tobie Riedel Riedler Wittib 3 2 6
VII 91 Jean Jacques Schleÿ Beÿer 4 4 0
VII 92 M. de Rathsamhausen Peter Martzloff 20 2 10
VII 93 au Sr Flach Gerog Buck 11 4 0
VII 94 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 17 3 0
VII 95 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 12 2 3
VII 96 Corps de garde Corps de garde
VII 97 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 1 5
VII 98 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 4 5
VII 99 hôtel de la monnaye au Roy La Monnoye 50 1 0
VII 100 à la Ville Balance à farine 14 – –
VII 101 au Sr Reüchlin Zind 13 3 6
VII 102 au Sr Acker Pianko 4 3 0
VII 103 au Sr Fischer Brandhoffer Wittib 6 – –
VII 104 aux héritiers du nommé Krafft Peter Palliet 3 1 0
VII 105 Daniel Lipp Daniel Lipp 15 2 6
VII 106 Jacques Formier Bormier 2 5 7
VII 107 Jean Bechtolff Bechtold 3 0 –
VII 108 Emanuel Reffold Huber 3 2 10
VII 109 Jean Schrott Schott 4 0 4
VII 110 les héritiers Getzel Hetzel 9 4 6
VII 111 Jean Philippe Helbeck Helbeck 8 4 6
VII 112 Jean Kietter Joh. Emmerich 7 5 9
VII 113 Philippe Fréderic Kuntz Allheÿl 3 1 9
VII 114 Jean Daniel Schruder Krafft 2 – –
VII 115 Jean Daniel Reitz Reÿth 7 3 6
VII 116 les héritiers du Sr Schreider Krafft 4 2 0
VII 117 au nommé Guntzer Ginder 8 1 7
VII 118 Jean Philippe Wanner Webers Erben 3 0 0
VII 119 George Jacques Knoll Knoll Wittib 3 0 7
VII 120 André Siffert Starck 11 2 8
VII 121 au nommé Betzloff Gottesmann 2 2 5
VII 122 Philippe Jacques Salomon Salomon 11 1 6
VII 123 Conrad Moor Joh. Stamm 5 1 3
VII 124 Simon Kübelé Kübele 4 0 10
VII 125 héritiers du Sr Beckel Beckler 11 4 6
VII 126 Melchior Wurm Wurm 11 4 2
VII 127 Philippe Henry Windenmeÿer Widemeÿ 2 3 4
VII 128 Simon Vörder Heckmann 6 1 5
VII 129 Godfroy Henrÿ Lang Vogt 4 1 10
VII 130 au Sr Dürninger Engel 2 4 5
VII 131 M. Klein Not. Greiß 3 0 0
VII 132 à la veuve Straubhart Nagel 16 3 11
VII 133 Jean George Acker Kleinmann 19 3 4
VII 134 au Sr Bacquet Pacquet 19 5 0
VII 135 David Schaad Schad 5 0 6
VII 136 Jean Paul Blind Schwartz 8 5 5
VII 137 Chrétien Kessner Daniel Butz 3 5 9
VII 138 Jean Louis Ginder 5 0 0
VII 139 Jean George Hildebrandt Hetzel 3 2 10
VII 140 Philippe Jacques Lutz Jacob Lutz 13 2 4
VII 141 Jean Wilhelm Willhelm 3 8 2
VII 142 au nommé Weissenberger Grimiß 2 5 6
VII 143 Jacques Percelat Georg Antoni 3 1 4
VII 144 André Eberhard Eshörner Eberle 1 1 3
VII 145 Geofroÿ Lichtenfelder Lichtenfelder 2 1 9
VII 146 Jean Henry Ober Jacob Bower 6 3 10
VII 147 Jean Freiss Freÿß Wittib 9 3 10
VII 148 la veuve Philippe Wanner Reterer 4 0 10
VII 149 Jean Nicolas Schmitt Schmitt 5 2 0
VII 150 Jean Michel Starck Gruber 17 3 3
VII 151 au Sr Baur Bauer 6 0 8
VII 152 Chretien Rieffer Müller 15 4 9
VII 153 Jean Jacques Stuber Baldner 4 0 8
VII 154 Jean Jacques Bein Bein 5 1 10
VII 155 Daniel Buchard Juré 14 0 4
VII 156 Jean Schätzel Schetzel 5 1 0
VII 157 Fréderic Küttler Burend 10 4 9
VII 158 Jean Michel Stamm Braun 2 5 0
VII 159 Jean George Weissenmantel Joh. Bahl 2 2 5
VII 160 Jean Gaspard Fuchs Imbert 4 0 3
VII 161 au nommé Zigner Zinßler 7 1 0
VII 162 George Abraham Endlich Endlich 13 3 6
VII 163 George Abraham Endlich (supra)
VII 164 Jean George Burger Speichel 2 1 4
VII 165 Baltasar Ehald Besson 3 4 6
VII 166 Jean Michel Kroh Kaÿser 3 3 6
VII 167 Jean Bersch Börsch 2 0 0
VII 168 Jean Jacques Frick Mohr 2 2 3
VII 169 Philippe Kugler Reÿd 3 5 9
VII 170 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 56 4 7
VII 171 au Chapitre de St Pierre le Vieux (supra)
VII 172 Géofroy Wittenberger Schmitt 3 4 0
VII 173 Melchior Burÿ Bürrische Erben 2 0 0
VII 174 au nommé Eissenmann Geÿer 2 0 4
VII 175 Jean Fréderic Barth Büch 1 4 10
VII 176 Fréderic Küttler Hebeÿß 2 3 5
VII 177 au Sr Rohr Kleinische Erben 2 2 6
VII 178 Jean Fréderic Mengess Menges 9 3 6
VII 179 Bernard Wagner Cunrad Felde 1 4 6
VII 180 Jean Philippe Schaecker Bischoff 3 1 7
VII 181 Jean Charles Hirtz Hirtz 2 0 5
VII 182 Jean George Roth Georg Roth 3 1 1
VII 183 la veuve Jean Kopp Kopp 1 4 8
VII 184 au Sr Gess Rischmann 3 1 8
VII 185 Pierre Jansen Franck 4 0 10
VII 186 Fréderic Küttler Gottler 1 4 0
VII 187 à la veuve Baumann Mercklern Wittib 1 4 0
VII 188 aux héritiers de la veuve Ottmann Heinrich 3 2 0
VII 189 la veuve de Jean Erneste Spiellmann Burgraff 3 3 4
VII 190 au Sr Saum Klein 19 0 6
VII 191 Antoine Chappuy Capuy 1 4 0
VII 192 aux héritiers Karcher Löb 3 1 0
VII 193 Michel Fritsch Stern 4 1 0
VII 194 Sr Bourand ministre de St Guillaume Baumgard Wittib 5 0 3
VII 195 à la Fondation de St Marc à St Marc 22 1 5
VII 196 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 197 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 198 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 199 Jean Daniel Müller à St Marc par Müller 3 1 6
VII 200 Leonard Düllinger à St Marc par Dillinger 3 2 7
VII 201 la veuve Jean Gaspard Müeg à St Marc par Joh. Müh 5 0 9
VII 202 aux héritiers du nommé Ottmann à St Marc par Strintz 28 0 0
VII 203 Jean Philippe Roegner à St Marc par Müller 3 1 0
VII 204 à l’ Abbaye d’Altorff à l’Abbaye d’Altorff 37 2 8
VII 205 Nicolas Sieb Süß
205 ½ Lamasse
4 5 0
10 2 1
VII 206 Martin Albrecht Joh. Daß 4 3 0
VII 207 à la Ville à la Ville 5 2 8
VII 208 Jean Jacques Lohmüller Barthel 3 4 6
VII 209 Martin Widemann Hammer 3 4 6
VII 210 Daniel Leither Tubach 3 4 0
VII 211 au Sr Oberlé Schmitt 3 3 8
VII 212 Jean Léonard Kessig Kößig 3 2 8
VII 213 Jean George Rhiel Lausterer 2 1 8
VII 214 Jean Léonard Linder à la Ville 4 0 0
VII 215 Jean Léonard Linder Seiffert 4 0 3
VII 216 à la Fondation de St Marc à St Marc 3 3 4
VII 217 Jean Michel Schilling Wolf 3 1 8
VII 218 la veuve Jacques Schaeffer Guth Wittib 3 1 8
VII 219 Jean Viguand Güet (St Marc) Himmler 5 0 7
VII 220 Jean Philippe Müller (supra)
VII 221 à la Ville à la Ville 1 2 6
VII 222 Bartolomé Haussmann Hanßmann 3 1 9
VII 223 Jean Charles Strintz Strintz 3 1 1
VII 224 Martin Hegler Florer 6 3 7
VII 225 Martin Holnescher Pfiffer 3 1 9
VII 226 Prisons de la Ville Prison de busch 9 0 6
VII 227 Jean Daniel Inckel Schlegelmilch 10 4 0
VII 228 Melchior Burich Stahl 4 0 4
VII 229 Jean Michel Diebolt Mich. Diebolt 4 3 10
VII 230 Jean Jacques Fritsch Jungf. Moßer 2 3 10
VII 231 Jean Michel Speck Speckische Wittib 9 4 6
VII 232 la veuve de Jean George Müeg Funck
232 ½ Dachert
8 4 6
3 2 10
VII 233 au nommé Ziegler Rathh. Ziegler 16 0 0
VII 234 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 3 9
VII 235 Jean George Müller Contre l’eau appartenant au Sr Helck 16 5 8
VII 236 la veuve Christnacht Foltz 10 3 0
VII 237 au nommé Jost Contre l’eau appartenant au Sr Helck (supra)
VII 238 la veuve de Stoulacher Jost 4 2 2
VII 239 à la Ville (supra)
VII 240 au Docteur Eisenmann Lißbett wittib 3 2 8
VII 241 George Hogriedt à la Ville 4 4 0
VII 242 George Hogriedt Hochrieth 6 1 7
VII 243 George Hogriedt Siffert 8 4 0
VII 244 Jean Jost Jost 2 0 0
VII 245 au Sr Schlenacker Menninger 8 4 8
VII 246 au Sr Zaberer Ruelle d’entrée 0 4 9
VII 247 au Sr Strauss (supra)
VII 248 au Sr Brancourt Brancourt 5 2 3
VII 249 aux héritiers du Sr Barth Baldner 4 1 2
VII 250 Chretien Weglesser Wehlinger 3 1 10
VII 251 Jean Martin Neumann ne toisent pas
VII 252 Philippe Martin Zabern ne toisent pas
VII 253 Jean Wagner ne toisent pas
VII 254 Jean Nicolas Meltzheim Milßheim 4 0 6
VII 255 Jean George Wolck Volck Wittib 3 4 10
VII 256 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 4 4 4
VII 257 Jean Pierre Osser Riehling 3 4 4
VII 258 Jean Fréderic Jäcklé Jäckler Wittib 4 0 3
VII 259 Jean Ulrich Schaffitz Schafflitz Wittib 8 0 6
VII 260 André Schurer Fridel 4 0 10
VII 261 Joachim Gerold Federheim 3 0 4
VII 262 Jean Fréderic Griesbach Grießbach 3 3 1
VII 263 Jean Baquet Paquet 5 2 8
VII 264 aux héritiers du Sr Hetzel Gerold 2 1 6
VII 265 Jean Martin Rauch Müller 3 1 5
VII 266 Jean Martin Rauch Rauch 9 2 5
VII 267 Martin Tagsauer Tassauer 9 4 0
VII 268 Jean Pierre Friedel Friedler Wittib 15 0 3
VII 269 Eglise, Batiments dependants de St Thomas Recette de St Thomas
Temple de St Thomas
24 1 0
73 1 9
VII 270 Mde Marbach Füller 11 0 6
VII 271 Laurent Klopffer Klopffer 6 0 8
VII 272 Jean Daniel Würtz Würtz 3 0 5
VII 273 Jean Michel Trawitz Trawitz 3 4 0
VII 274 Jean George Kürschläger Kirsching 10 5 6
VII 275 Jean Daniel Eberlin Eberle 7 1 0
VII 276 au Sr Reüschling Bick Wittib 11 3 8
VII 277 M. Wachter Wachter 26 0 0
VII 278 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 2 2
VII 279 au Sr Wignerote Chour 6 1 6
VII 280 au Sr Braun Kugler 26 4 7
VII 281 M. Brackenhoffer le professeur Brackenhoffer 27 0 5
VII 282 Bernard Wochler Wollers 6 2 10
VII 283 Jean Martin Papelier Papelier 20 2 6
VII 284 Jean Gabriel Held 3 1 9
VII 285 au Docteur Ottmann Doct. Ottmann 21 1 8
VII 286 au Docteur Ottmann (supra)
VII 287 Philippe Jacques Voltz Foltz 5 1 3
VII 288 Laurent Weber Wöhler 12 5 4
VII 289 aux héritiers du Sr Stuber Osterrieth 6 1 3
VII 290 au Chapitre St Thomas à St Thomas 24 4 0
VII 291 au Sr Kleinclaus Spiehlmann 7 1 4
VII 292 M. Wacquier Bourgard 21 2 6
VII 293 au Sr Sahler M. baron de Haindel (noblesse) 8 1 0
VII 294 Simon Soubry Mde Suprie 21 5 0
VII 295 M. Brackenhoffer le XV H XV Brackenhoffer 14 1 4
VII 296 Jean Schouppart Schubarth 7 4 9
VII 297 M. Kornmann Hollefeld 5 4 0
VII 298 Laurent Dietrich Dietsch 2 0 6
VII 299 Jean Daniel Schweigheuser Not. Schweigheißer 4 0 4
VII 300 au Sr Herff Imling 16 2 9
VII 301 au Sr Haan Stamm 17 0 6
VII 302 M. Hammerer Rath. Gibs 12 5 0
VII 303 Jean Léonard Finck Finck 15 2 3
VII 304 George Fréderic Nestling Nestling Wittib 10 5 0
VII 305 la veuve du Sr Haubenstreit Holtzapffel 6 2 0
VII 306 Philippe Jacques Huber Not. Saltzmann 6 4 2
VII 307 Sr Kornmann Doten 6 2 9
VII 308 M. Lemp apoticaire Martin 13 1 9
VII 309 L’ Hôtel de Ville Neubau (Ville) 65 4 3
VII 310 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 17 5 0
VII 311 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 13 1 0
VII 312 Jean Jacques Stamm Stamm Wittib 4 2 4
VII 313 Jean Jacques Stamm (supra)
VII 314 M. D’Angelo Dangelo 5 2 10
VII 315 M. D’Angelo (supra)
VII 316 George Daniel Meinicken Vaillant 3 4 9
VII 317 la veuve Mde Griess Not. Schatz 2 4 9
VII 318 Joseph Müeg Lemmermann 3 2 9
VII 319 Fréderic Charles Spielmann Kau 19 2 8
VII 320 Jean Bernard Schlegel Fix 2 3 8
VII 321 Jean Jacques Dürbach Rothan 3 2 9
VII 322 Jean George Rothan Holterman 3 1 8
VII 323 Jean George Holdermann Starck 8 0 10
VII 324 Jean Saum (supra)
VII 325 Jacques Bacquet Waquet 7 5 1
VII 326 Sr Reichard Richert 22 3 0
VII 327 au nommé Petmesser Bettmesser Wittib 4 3 6
VII 328 Christophe Würtz Wagner 5 3 8
VII 329 Jean Jacques Siffer Siffert Wittib 2 4 8
VII 330 Daniel Meyer Faußer 4 2 6
VII 331 Jean Martin Schöner Günner 4 2 9
VII 332 Jean Michel Retzlob Ritzelhoff 4 0 6
VII 333 Bernard Reÿ Haussé 4 4 0
VII 334 Daniel Heiligenmeÿer Herlenmeÿer 2 0 0
VII 335 Jean Kamm Kamm 11 3 3
VII 336 Charles Verius Graff 12 1 4
VII 337 Samuel Schrag Schrag Wittib 5 0 0
VII 338 Jean Henry Blessy Bleßi 4 3 3
VII 339 Jean Henry Schneider Ruhland 3 0 4
VII 340 Jean Henriy Blessy Bleßi 11 3 6
VII 341 Fréderic Füesinger Fießinger 12 0 10
VII 342 George Fréderic Weisshar Weißhaar Wittib 4 5 0
VII 343 Jean Michel Freÿtag Amler Wittib 4 2 10
VII 344 Jean Daniel Stamm Stamm 5 5 0
VII 345 Jean Daniel Stamm Paquet 16 4 6
VII 346 Jean Daniel Stamm (supra)
VII 347 la veuve Philippe Hammerer Kamm 16 0 7
VII 348 Jean Henry Böckler Barbenesse 7 4 8
VII 349 Sr Ebertz Schwartz 15 5 0
VII 350 la veuve Mad. Vigera Eberts 23 2 7
VII 351 Jean Fréderic Busch Beckert 6 4 1
VII 352 Jean Léonard Metzger Metzger 1 2 9
VII 353 Jean Daniel Krettler Trettler Wittib 16 1 9
VII 354 au Temple neuf à St. Thomas 9 8 10
VII 355 George Adam Petzel Wunschold 7 3 4
VII 356 M. Barth Barth Wittib 26 2 11
VII 357 Tribû des Tonneliers, à la Communauté Tribu des Tonneliers 23 2
VII 358 Sr Kuntz Weiß 23 2 7
VII 359 Jean Sebastien Weiss (supra)
VII 360 Sr Froereisen Freÿreiß 9 1 10
VII 361 George Géofroy Gambs Gamß 19 2 0
VII 362 Jean Bernard Bernhart 30 4 6
VII 363 M. Staedel XV Saum 12 5 5
VII 364 M. de Baÿer Debeÿer 11 2 2
VII 365 les héritiers du Sr Büchel Robert 21 2 6
VII 366 Jean Fettich Not. Endsfelder 13 2 6
VII 367 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 3 6
VII 368 M. Staedel à la fabrique de Notre Dame 12 3 6
VII 369 Jean Certain Rey 4 3 0
VII 370 M. Dietrich le XV Dietrich Wittib 10 3 6
VII 371 au Sr Williame Williaume 2 1 7
VII 372 au Sr Sapé Dürr 2 2 2
VII 373 Fréderic Daniel Fleck Fleck 2 1 10
VII 374 David Eisenheim Isenheim 2 0 0
VII 375 au Sr Hervé Ervé 17 0 6
VII 376 André Cossa Cossar 9 0 7
VII 377 François Antoine Hueter Antoni Arbogast 3 5 6
VII 378 André Cossa André Cossar 12 0 8
VII 379 Jean Léonard Kuff Schneider 4 0 0
VII 380 Joseph Büchel Büchel Wittib 13 0 3
VII 381 David Harnack Harnack wittib 3 4 6
VII 382 Mde Tournay Dangelo 9 1 8
VII 383 André Schneller Staud 3 4 7
VII 384 George Fréderic Hutter Bahn 7 0 8
VII 385 M. Brackenhoffer Mann 23 0 9
VII 386 Jean Daniel Kolb Kolb 9 1 9
VII 387 Philippe Reishoffer Rißhoffer 11 4 9
VII 388 Jacques Dürninger Dürninger 17 1 7
VII 389 M. André Bruder Hoffseß 11 1 8
VII 390 M. Stolff Stoltz 3 0 3
VII 391 Mde Algoy Dietz 8 1 6
VII 392 Jean Michel Männel Teutsch 2 3 6
VII 393 Jean Géofroi Mann Mann 8 4 8
VII 394 Sr Halbeisen (supra)
VII 395 la veuve Jean Martin Stempfel Knoll 10 1 7
VII 396 Jean George Heffner Häffner 9 8 6
VII 397 Tribû de la Moresse Mähre Tribu 41 2 3
VII 398 Jean Pierre Dürr Dürr 12 8 2
VII 399 Jean Jacques Scarr Scaer 4 1 7
VII 400 George Ebersberger Ewersberger 5 3 5
VII 401 aux héritiers de M. Messel Mannberger 3 3 11
VII 402 Jean Philippe Beickert Hetzel 3 0 0
VII 403 Jean Beck Beck 2 3 8
VII 404 Abraham Gross Christman 2 5 6
VII 405 Jean Philippe Burgert Burgard 2 2 4
VII 406 Joachim Gerold Geroldt 3 3 4
VII 407 Michel Riff Rieff 8 3 0
VII 408 Jean Michel Greüner Greiner 12 5 0
VII 408,1 Jean Illinger Illinger Wittib 2 3 11
VII 409 Jean Daniel Riss Waltz 2 2 8
VII 410 Jean Philippe Friess Hertzog 5 1 3
VII 411 Jean Michel Greüner Greiner 13 3 0
VII 412 Jean Jacques Vogt Vogt 9 5 0
VII 413 aux héritiers du Sr Hartschmidt Bomesse 1 2 9
VII 414 au Sr Osterrieth Bernard 1 5 4
VII 415 Jean George Grimm Spiegelberger 4 0 0
VII 416 M. de Flaxlanden Mde de Flaxlanden (Noblesse) 38 1 0
VII 417 Tribû des Maréchaux, à la Communauté Tribu des Marechaux 7 3 9
VII 418 Sr Chalon Karth 6 3 9
VII 419 Sr Oesinger Eßinger Wittib 10 2 9
VII 420 Jean Michel Stahl Tribu des Marchands 35 0 10
VII 421 Tribû des Marchands, au Corps des marchands (supra)
VII 422 Sr Conigliano Silberath 13 0 9
VII 423 Jean Daniel Staedel Stadler wittib 10 5 7
VII 424 Fondation de St Nicolas à St Nicolas 5 1 2
VII 425 Antoine Hetzel Hetzel 3 3 10
VII 426 Mde Miville Miville 4 5 8
VII 427 les héritiers du Sr Martin Martin 3 4 10
VII 428 Sr Mosseder Doct. Moseter 18 2 8
VII 429 au Chapitre de St Nicolas H. XIII. Hennenberger 11 3 4
VII 430 M. Hennenberg XV (supra)
VII 431 Jean Daniel Ehremann Schäffer 10 1 0
VII 432 aux héritiers du Sr Lechner Schwartzische Erben 4 0 4
VII 433 Joseph Straub Straub 2 0 5
VII 434 à la Ville Allmoßen stub (Ville) 47 0 4
VII 435 Jean François Khun Kuhn Wittib 16 0 6
VII 436 Jean Valentin Sommervogel Sommervogel 4 3 10
VII 437 Jean Géofroy Storr Lutz 2 3 11
VII 438 la Douane à la Ville Kauffhauß (Ville) 52 0 0
VII 439 Jean Philippe Schatz Schatz 13 5 0
VII 440 Henry Wildt Witt 5 1 2
VII 441 Jean Khulmann Gintzroth 12 2 5
VII 442 la couchette, à la Fabrique de N. D. à la Fabrique de Notre Dame 31 4 0
VII 443 Jean Fréderic Pfeler Jungf. Seibin 10 1 6
VII 444 Jean Martin Hoch Martin Husch 3 1 3
VII 445 la veuve de Roemer Röhmers Erben (boutiques adossées contre la Douane) 1 2 6
VII 446 la veuve de Romessen Mohr (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 447 la veuve Heyler Heißler Wittib (boutiques adossées contre la Douane) 1 1 0
VII 448 Jacob Würtz Würtz (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 449 la veuve Ling Knotter
449 ½ Haußer (boutiques adossées contre la Douane)
1 0 10
3 0 6
VII 450 à la Ville Boutiques à la Ville 9 3 0
VII 451 à la Ville Zollkeller (Ville) 17 0 0
VII 452 à la veuve Klein Klein Wittib 4 0 6
VII 453 Jean Bruder Saum 5 2 8
VII 454 Pierre Labelly Kieffer 5 2 10
VII 455 Jean Jacques Haug Beschon 3 0 9
VII 456 Péage à la Ville jauges de la Ville 1 3 2
VII 457 à la Ville Boutique à la Ville 4 2 6
VII 458 Léonard Sollinger Dollinger 2 4 0
VII 459 Conrad Halbermeÿer Fettinger 3 0 8
VII 460 Balance où l’on pèse la poix, à la Ville
VIII 1 Jean Fréderic Arnold Reinhard 13 2 5
VIII 2 Jean Retzlob Ritzelhoff 2 3 4
VIII 3 au Sr Diemert Heÿlische rben 3 – –
VIII 4 Jean Jacques Meyer Meÿer 3 2 9
VIII 5 au Sr Schaeffer Schöffler 3 3 10
VIII 6 Conrad Heil Heÿl 8 0 6
VIII 7 au Sr Braun Braun 3 3 7
VIII 8 à Mde Streling Strähling Wittib 7 1 2
VIII 9 au Sr Sehwisch Moll
9 ½ Seebisch
3 4 6
14 1 4
VIII 10 à Mde Werner à St Nicolas 5 3 6
VIII 11 Temple et maison du Me d’Ecole de St Nicolas Temple de St Nicolas
au même
41 5 0
14 4 4
VIII 12 Michel Thomas Thomas 2 0 2
VIII 13 Henry Friess Cul de sac
VIII 14 Jacques Kieg Krieg 6 – –
VIII 15 au Sr Schaetzel Edler 3 1 1
VIII 16 Mde Untzel Schäffer 4 1 11
VIII 17 Jean Philippe Schmitt Schmitt 13 2 10
VIII 18 Jean Rhoterer au n° 20
VIII 19 au Sr Pürgel Bürckel 4 1 8
VIII 20 Jean George Heim et Henry Reinbold Freÿsinger Wittib 8 3 3
VIII 21 Jean Philippe Piton Bidon 3 2 9
VIII 22 Jean George Heim Heim 13 5 0
VIII 23 Jean Hetzel Schäffer 3 5 6
VIII 24 à la veuve Jean Jacques Rech Rösch Wittib 8 5 7
VIII 25 Philippe Schmitt Finck 8 2 0
VIII 26 Jean Daniel Schmittler Schnittzler 8 4 9
VIII 27 Jean Dietrich Falmer Falmers Erben 28 3 6
VIII 28 M. Franck XXI H. Ameister Franck 7 4 3
VIII 29 à M. le baron de Falckenhayn M. de Falckenhayn (Noblesse) 10 1 6
VIII 30 à M. de Wurmser Logement de M. De Wormser
VIII 31 à Mde Sommer Gochnal 5 5 7
VIII 32 Rotha Spillmann Spiehlman 20 0 0
VIII 33 au nommé Streicher Schäffer 9 3 10
VIII 34 David Siegwald Kercker 3 0 10
VIII 35 Jean Simon Bag Gerold Wittib 8 2 3
VIII 36 Jean Porst Post 7 3 2
VIII 37 Jean George Ziguehar Frick 2 5 6
VIII 38 Laurent Zimmer Arnold 20 5 0
VIII 39 Chretien Kulemann Gullmann 5 4 2
VIII 40 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 0 4
VIII 41 Daniel Pfeffinger Pfeffinger 6 4 6
VIII 42 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 6 5 6
VIII 43 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital (supra)
VIII 44 aux Bénedictins d’Ebersheimmünster à l’abbaye d’Ebersheimmünster 3 3 3
VIII 45 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 21 1 10
VIII 46 à l’ hôpital bourgeois et dépendances jardin au même 12 – –
VIII 47 à l’ hôpital bourgeois dans un cul de sac
VIII 48 à M. Bay dans un cul de sac
VIII 49 à la Ville Mr d’Icherzheim (Noblesse)
son jardin
29 – –
VIII 50 Gaspard Weiller Weÿler 4 1 6
VIII 51 Jean Pierre Morhard Unger 12 0 6
VIII 52 à la veuve d’Auguste Mittmann Démoli
VIII 53 au Sr Reishoffer Geÿer Wittib 5 4 6
VIII 54 Jacques Belly Dans un cul de sac
VIII 55 Nicolas Götzinger Dans un cul de sac
VIII 56 à Mde de Mackau Clavé 16 2 2
VIII 57 aux héritiers de M. Gloxing H. Ammeister Franck 16 – –
VIII 58 à M. Weigen Weÿer Wittib 13 3 6
VIII 59 à M. de Kempfer H. Kempffer 2 5 6
VIII 60 à M. Christophe Bernard Dans un cul de sac
VIII 61 au Sr Gasparÿ Moralle 5 4 2
VIII 62 au Sr Reishoffer XV H.Adam 3 3 0
VIII 63 au Chapitre de St Thomas à St Nicolas 3 3 0
VIII 64 au Sr Hitschler Hittschler 55 3 0
VIII 65 Jean Michel Remond Remund
65 ½ Reinhard
65 ¾ Weiß
19 3 0
8 3 2
7 1 9
VIII 66 à la Ville Hittschler (vide supra)
VIII 67 à la Ville Hittschler 4 5 0
VIII 68 à la Ville Winderer 23 3 3
VIII 69 à l’ hôpital bourgeois (supra)
VIII 70 Jean Philippe Lederlé Lederler Wittib 3 4 5
VIII 71 Jean Schaeffer Bauer Wittib 3 4 9
VIII 72 George Eckert Eckert 3 4 6
VIII 73 Alexis Letournée Letourné 11 3 7
VIII 74 au Sr Kammerer Rathh. Kammerer 4 5 6
VIII 75 Jean Daniel Streiter Stein Wittib 4 0 1
VIII 76 Eglise et Couvent de l’ Ordre des Chanoines réguliers Maison et Eglise de St Louis 49 2 0
VIII 77 à la Ville Blancherie à la Ville 39 2 0
VIII 78 à la Ville (supra)
VIII 79 Salle d’anatomie à la Ville Anathomie (à la Ville) 11 3 8
VIII 80 maison à la Ville Balance à farine 11 1 2
VIII 81 à la veuve du nommé Beck Ritter Wittib 9 4 7
VIII 82 Dieudonné Cherrier Cherrier 4 2 2
VIII 83 à la veuve de Jean Müller Not. Nennter 4 3 2
VIII 84 Sr Philippe Jacques Lauth Blind 6 1 3
VIII 85 au Dintzenmüller Rath. Lauth 7 2 8
VIII 86 Philippe Burger Weigel 6 4 6
VIII 87 Philippe Burger Wagner 4 2 9
VIII 88 Jean George Ehalt Baldner 4 2 8
VIII 89 Charles Baldner Schuhler 4 3 2
VIII 90 Daniel Jung Wendler Wittib 6 – –
VIII 91 à M. de Zorn Mr De Zorn (noblesse) 15 0 4
VIII 92 à la Ville Moulin à la Ville, le Logement dud. moulin 11 3 4
VIII 93 à la Ville le moulin d. Dintzenmühl 10 3 6
VIII 94 à la Ville Spitzmühl le tout ensemble 21 2 0
VIII 95 aux héritiers du Docteur Lorentz Julien 13 – –
VIII 96 maison dite Bladerhaus à la Fondation de St Marc son jardin
VIII 97 aux héritiers de la veuve Hetzel Hetzel Wittib 7 1 8
VIII 98 Jean Daniel Friedel Fridel 11 2 7
VIII 99 à la Ville Logement de l’Eclusier de Navigation
VIII 100 Sr Schweighaeuser Schweigheißer 80 – –
VIII 101 à M. Fridt Prof. Fritt 30 1 9
VIII 102 à M. de Waldner H. von Waltner (noblesse) 10 4 6
VIII 103 à M. de Marcklesy Wolff jud 11 3 9
VIII 104 Logement du Lieutenant du Roy, à la Ville Jardin de Mr Delort
son hôtel
5 3 0
36 – –
VIII 105 Jean Philippe Goll Goll 5 1 7
VIII 106 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg à l’abbaye de Neubourg 9 0 4
VIII 107 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg leur jardin 36 – –
VIII 108 Jacques Ulrich Ulrich 3 4 8
VIII 109 au Sr Walter Hieber 3 5 0
VIII 110 à la veuve de Jean Christophe Gambs Gamß 15 1 6
VIII 111 Remises des fiacres à M. Duboc Magasin derrier l’hotel de Mr Delort
VIII 112 hôtel Royal du Haras Haras 28 3 7
VIII 113 Jean Pierre Albrecht Albrecht 5 5 0
VIII 114 au Sr Kratz Gratz 7 2 0
VIII 115 au Collège de St Guillaume au Temple Neuf 4 1 9
VIII 116 Jean Conrad Küffer Kamm Wittib 4 2 11
VIII 117 Jean Freÿ Weber 4 2 3
VIII 118 Jean Michel Endling Beru 4 3 3
VIII 119 au Sr Staedel H. XV. Städel 4 4 0
VIII 119,1 Jean Weber
VIII 120 la veuve de Jean Daniel Gress Weber 7 0 2
VIII 121 Jean Louis Pilon Pilon 7 3 6
VIII 122 Pierre Antoine Carly Groß – 5 4
VIII 123 Jean Daniel Hetzel Schwing 3 5 2
VIII 124 à l’ hôpital Bourgeois Hornick 5 1 2
VIII 125 Jean Weitkarcher (supra)
VIII 126 le nommé Buck Breÿ 5 2 11
VIII 127 le nommé Gümpel Häffner 2 3 0
VIII 128 le nommé Resch Simler 6 1 6
VIII 129 le nommé Butsch Botz 4 0 0
VIII 130 Jean Michel Schneider Hahn Wittib 3 5 2
VIII 131 Pierre Duboc Dubock 9 2 0
VIII 132 Dominique Germain Germain 3 4 0
VIII 133 M. Kornmann Kornman 6 3 9
VIII 134 à la Ville Gall 3 3 2
VIII 135 à la Ville Römer 10 2 9
VIII 136 au Sr Bourgeois Lefevre 2 – –
VIII 137 à la veuve du Sr Eisentraut H. Ammeister Faust 6 4 4
VIII 138 Jacques Dornet Diehlmann 3 0 3
VIII 139 Chretien Dillmann (supra)
VIII 140 à la veuve de Jean Jacques Burget Granvall 17 3 9
VIII 141 aux héritiers du Sr Fischer Fischer 2 2 8
VIII 142 au Sr Wetzel Wetzel 3 5 10
VIII 143 au Duc de Deux Ponts Serf Behr 13 2 4
VIII 144 au Sr Heissmann Prof. Koch 5 5 2
VIII 145 Jean Martin Bischett Beschett 3 3 9
VIII 146 Joseph Colard Kollar 3 3 4
VIII 147 Abraham Jundt Junt Wittib 3 4 9
VIII 148 Philippe Buck Buck 5 – –
VIII 149 Jean Adam Kugler Dürkauff 2 3 3
VIII 150 Wilhelm Salomon Simon Wittib 1 5 5
VIII 151 à la veuve de Henry Merckel Schützenberger Wittib 5 2 6
VIII 152 au Sr Baur Bauer Wittib 1 1 0
VIII 153 Jean Philippe Mosser Braun 3 4 9
VIII 154 Louis Lasser Laser Wittib 8 1 0
VIII 155 Valentin Beaume Schnell 1 2 3
VIII 156 au Sr Le Comte Liechtenauer 1 3 0
VIII 157 David Karcher Heßler Wittib 10 3 3
VIII 158 la veuve Jean Lamp Lamm 3 5 2
VIII 159 Jean Jacques Strohl Seÿler 5 0 9
VIII 160 Nicolas Meyer Schultz 7 2 6
VIII 161 Henri Pfeffinger Pfeffinger
son jardin
28 4 2
14 1 6
VIII 162 à la Ville jardin de l’Ecuÿer de la Ville 9 1 2
VIII 163 à la Fondation de St Marc à St Marc 47 1 8
VIII 164 George Eber Ebel 28 2 3
VIII 165 Jean Weyler Weÿler 6 2 9
VIII 166 Baltasar Mockau 4 0 4
VIII 167 Fréderic Dürr Dürr 16 1 5
VIII 168 Jean George Morger Weÿler 6 5 2
VIII 169 Jean Weyler (supra)
VIII 170 Philippe Schützenberger Hützenberger 5 0 6
VIII 171 au Sr Lemp Hirth 4 4 7
VIII 172 Remises au nommé Schöffer Saum 4 3 8
VIII 173 Jean Haussmann Scholl 4 0 3
VIII 174 Valentin Hass Haaß 16 2 9
VIII 175 à la Ville Ecurie à la Ville 60 – –
VIII 176 Tour à la question à la Ville (supra)
VIII 177 André Schreibmann Gretschmann
177 ½ moulin de Zorn
177 ¾ Meÿling
177 2/5 Stricker
12 0 0
14 3 10
8 4 5
1 1 4
VIII 178 Jean George Schiecker Heichler 6 4 6
VIII 179 Guillaume Gaul (supra)
VIII 180 George Schmitt Caspar Schlatterer
180 ½ à la fondation de la Chartreuse
16 5 6
5 0 8
VIII 181 Jean Jacques Koch Joh: Koch 8 4 0
VIII 182 à M. Schenck le XIII Charpentier veuve 4 5 0
VIII 183 George Peter Joh: Imberger 7 2 6
VIII 184 Jean Geiger Geÿer Wittib 3 4 9
VIII 185 aux heritiers Leydecker Jungf. Kleÿdecker 3 4 6
VIII 186 Fréderic Dürr Folck 4 0 4
VIII 187 Jean Sébastian Heinold Gretzinger 3 5 0
VIII 188 au Sr Silbermann Silbermann 16 4 6
VIII 189 au Sr Silbermann (supra)
VIII 190 M. de Zorn le XV Jardin à M. de Zorn (noblesse) 14 3 10
VIII 191 Jacques Dürr Dürr 3 1 8
VIII 192 Jean Michel Hürschel Hirschel 3 5 0
VIII 193 Jean Jacques Hürschel Jung 3 3 11
VIII 194 la veuve Kraaf Pallier 3 4 6
VIII 195 André Lung Jung Wittib 3 3 8
VIII 196 Godfroy Weber Weber le pere 4 1 4
VIII 197 Jean Laurent Blasy Krieg Wittib 4 4 7
VIII 198 André Weischel Weichel 4 1 8
VIII 199 Jean Sontag Rath. Sonntag 4 3 3
VIII 200 Jean Laurent Blasÿ Blaßÿ 7 4 5
VIII 201 Jean Laurent Espiner Diemert 5 2 4
VIII 202 Prison royal du Pont Couvert, au Roy Prison des Galeriens 42 1 0
VIII 203 à M. de Güntzer Mde de Gintzer (noblesse) 7 1 9
VIII 204 Jean Jacques Reissner Reißner Wittib 3 0 6
VIII 205 Jean Jacques Dürr Dürr 3 5 7
VIII 206 Mathieu Schletz Schletz 6 3 2
VIII 207 Etienne Bonnet Bonnet 4 3 6
VIII 208 aux héritiers Sarger Sarrier 12 3 6
VIII 209 Jacques Meyer Ehrmann 4 – –
VIII 210 au Sr Lemp Zimmermann 2 5 2
VIII 211 Jacques Koch Jacob Koch 11 1 7
VIII 212 Jean Chrétien Riegel Kieffer 7 2 1
VIII 213 Jean Bex Pex 9 1 4
VIII 214 Louis Müller Müllers Erben 20 1 0
VIII 215 Michel Trawitz Müßel 27 1 9
VIII 216 Sr Beringer Beringer 6 4 10
VIII 217 Philippe Jacques Baur Hertz Wittib 2 3 2
VIII 218 Conrad Heyd Heÿt Wittib 2 4 6
VIII 219 Jacques Richter Richter
219 ½ Joh: Hans
9 1 0
1 5 2
VIII 220 à la Fondation de St Marc Michel Schott 10 1 6
VIII 221 au Sr Krettler Dieterle 7 5 10
VIII 222 au nommé Modelmeyer Memminger 3 4 0
VIII 223 Jean Daumer Danner 10 2 6
VIII 224 au Sr Detrille Dieterle 7 5 10
VIII 225 Jean Jacques Dieterling Bieterle
225 ½ Gräff Wittib
3 2 5
3 3 0
VIII 226 Laurent Strahl Stahl 19 3 9
VIII 227 Jean Koch Walter 6 2 3
VIII 228 Jean Philippe Buck Bock 3 1 8
VIII 229 Jean George Helmstetter Helmstetter 29 2 11
VIII 230 George Michel Baurenschmitt Greiter Wittib 4 4 7
VIII 231 Jean Michel Oberdörffer Daniel Greß 2 5 6
VIII 232 Chretien Kulmann Rath. Gullmann 17 5 0
VIII 233 Ursule Ackerin Daniel Greß 3 2 0
VIII 234 au nommé Rebhan Koch 4 0 0
VIII 235 au Sr Albrecht Albrecht 9 1 0
VIII 236 Jean Jacques Acker Desboeufs veuve 4 5 0
VIII 237 Henri Dubœuf Acker Wittib
son jardin
10 4 9
7 4 9
VIII 238 à Mde Nopfling Knopfling Wittib 7 3 0
VIII 239 Jean Schneider Bick
son jardin
30 3 10
15 5 3
VIII 240 Mathieu Weiner Feder 10 0 5
VIII 241 au Sr Bentz Reibel 9 2 10
VIII 242 Jean Haas Fischer 8 1 6
VIII 243 Henry Tournier Blick 4 – –
VIII 244 Sr Labelly Lettig 10 0 4
VIII 245 Jean George Maurer à la Ville 1 5 6
VIII 246 au Sr Genty Zimmermann 14 4 2
VIII 247 Michel Griess Mich. Roth 14 – –
VIII 248 Jean Michel Kötzel Schneider 14 5 0
VIII 249 à la veuve Bernard à la Ville 16 – –
VIII 250 au Sr Sidon Trawitz Wittib 9 5 0
VIII 251 au Sr Guenau à la Ville 7 2 8
VIII 252 au Sr Guenau Schwing Wittib 9 5 0
VIII 253 Tour à la Ville à St. Louis 29 3 9
VIII 254 Jean Dumay Joh: Isemann
254 ½ Dürr son jardin
254 ¾ jardin de Hartmann
254 2/5 Saum
6 0 0
36 0 0
9 0 0
4 0 0
VIII 255 Jean Braun jardin à la Ville
maison au même
10 1 6
10 0 0
VIII 256 Jacques Anrich Andrich 4 2 10
VIII 257 au Sr Genty Grosche Wittib 2 4 4
VIII 258 Laurent Littner Littner Wittib 2 4 4
VIII 259 Jacques Wernÿ à la Ville 4 1 0
VIII 260 au nommé Bechtold Bischon 2 4 2
VIII 261 Jean Jacques Würtz à la Ville 5 – –
VIII 262 Corps de garde à la Ville Corps de garde 5 – –
VIII 263 Marie Salomée Wöhrlerin Joseph Werler 4 – –
VIII 264 Corps de Casernes, à la Ville quartier des Ponts Couverts 120 – –
VIII 265 à la Ville demeure de l’éclusier de prise d’eau
VIII 266 au Sr Saum Les glacières 16 – –
VIII 267 baraque à la veuve Conrad Kieffer dont l’emplacement est à la Ville La tour y comprise
magasin de Froideveaux derrier les glacières
(-)
16 – –
VIII 268 Tour à la Ville jardin à St Louis 133 2 0
VIII 269 Jardin aux Mrs de St Louis
VIII 270 au Sr Hessel
VIII 271 à la Ville
VIII 272 Moulin à la Ville
VIII 273 Moulin à la Monnoye
VIII 274 à la Ville


Plan Blondel : Propriétaires III – IV


La partie gauche transcrit la liste de propriétaires qui accompagne le plan Blondel (AMS, cote VI 585, sans date [1765]).
La partie droite une autre liste qui indique la surface des terrains en toises, pieds et pouces pour chaque parcelle portée au plan Blondel, en mentionnant le propriétaire (AMS, cote V 61, sans date, vers 1775).

III 1 Jean George Roth Theobald Schott 4 2 3
III 2 aux enfants du nommé Pfauth Klafftzig 4 0 8
III 3 au Sr Bäl Heberle 4 4 0
III 4 au nommé Weber Joh: Phil: Weber 4 1 7
III 5 Jean Philippe Schmitt Schantz 4 3 7
III 6 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 5 2 1
III 7 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 8 1 0
III 8 maison fondée pour deux veuves de Ministres à St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 29 . 6
III 9 Jean Herrmann Meÿer 3 5 6
III 10 au Chapitre de St Pierre le Vieux Mischot 4 1 10
III 11 à la Ville H. Lederle 5 5 6
III 12 Jean Daniel Stöber Not. Stöber 6 1 0
III 13 Jean Jacques Arnold Arnold 4 0 6
III 14 Nicolas Dillemann H: Diehlman 4 2 0
III 15 Géofroy Claus Klein 5 4 9
III 16 la veuve du Sr Denn Wilhelm Hoppe 4 1 3
III 17 Jean Henri Gumpel Gimbel 9 5 3
III 18 à la Ville à St Pierre le Vieux 31 3 2
III 19 au Sr Linckenhöle Linckenheld 19 5 11
III 20 François Joseph Hagios Hagius 3 0 10
III 21 Thiebold Schreiderer Traiteur 3 0 9
III 22 Pierre Schnall Schnall 2 5 3
III 23 à des habitants de Kugenheim Steinbach 6 5 1
III 24 Jean Daniel Bähr Behr 4 3 7
III 25 Jean Fréderic Rebhaan Mr Rahm 3 5 6
III 26 George Detterer Georg Thäter 2 4 4
III 27 Pierre Guillemain Bonnet 8 2 2
III 28 Jean George Vogel Vogel 2 5 3
III 29 la femme du Sr Flach prevot de Kehl Daniel Reit 2 5 4
III 30 la femme du Sr Flach prevot de Kehl Jean Golson 9 1 1
III 31 au Sr Mühlberger H. Mohr 3 5 11
III 32 à M. Werner Gerold 4 0 4
III 33 Antoine Duclos Caffetier Duclot 2 4 4
III 34 Conrad Krieger menuisier Grieger Wittib 3 5 3
III 35 Jean Philippe Meybaum horloger Meÿbaum 3 4 4
III 36 Jean Antoine Jost tonnelier Jost 4 2 9
III 37 M. de Zugmantel noble Mr de Boulach (noblesse) 15 0 5
III 38 au Sr Deimel Controlleur de l’umgeld Deÿmel 5 3 7
III 39 Jean Jacques Metzguer marchand Baldner 6 2 4
III 40 François Antoine Fischer vitrier Fischer Wittib 3 5 2
III 41 Stephan Geiler tonnelier Steffan Geÿler 3 3 4
III 42 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 11 5 0
III 43 Jean Michel Bonhert tourneur Mich. Bonnert 3 4 0
III 44 Jean Nobis cloutier Samuel Dime 1 5 0
III 45 au nommé Rosset Doct. Reterer 2 3 9
III 46 Simon Schmitt Loueur de carrosses Samuels Erben 2 4 6
III 47 Diebold Meyer cordonnier François Reÿ 3 – –
III 48 Jean Fischer cabaretier Fischer wittib 12 5 0
III 49 la veuve du Sr Schlosser Mde Bresler 8 1 3
III 50 Jean Michel Kieffer tonnelier Schott 8 1 4
III 51 Jean George Fautel sellier Boch 10 3 3
III 52 Mde Fritsche Mde Fritsch 18 4 0
III 53 au Sr Gambs archivaire de la Ville Mde Gams 25 2 6
III 54 Mde Biotte Wirtz Wittib 3 0 6
III 55 Jean Fréderic Breÿ Daubenberger 2 3 6
III 56 Jean Jacques Reich Reich Wittib 2 5 0
III 57 Fréderic Kiecher Fridr: Kiehl 2 5 0
III 58 Jean Michel Ohlmann Scheckling 2 3 6
III 59 Jean George Diemer Michel Schmitt 1 4 9
III 60 Jean Christophe Pauly Bick Goldschmitt 3 4 0
III 61 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 11 5 0
III 62 Jean Laurent Götz H: Vogt 3 4 0
III 63 la veuve d’Adam Gährung Gueron 4 2 9
III 64 Jean Samuel Geiler Geÿlische Erben 3 2 2
III 65 Adam Gährung Gueron 5 2 5
III 66 Sr Schübler H. Pfar: Schieber 5 1 9
III 67 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 8 1 5
III 68 hôtel de Neuvillers, à l’Abbaye de Neuvillers Hotel de Neuviller 21 1 0
III 69 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 13 1 6
III 70 la veuve Fréderic Verius Georg Schott 9 3 6
III 71 Pierre Momy Michel Foltz 3 1 6
III 72 M. Streicher le XV H. XV. Streicher 11 4 3
III 73 Jean Burger Joh: Burger 6 1 3
III 74 Jean David Bilger Bürckel 13 2 10
III 75 au nommé Fix Peter Schiff 5 3 0
III 76 Jean Michel Schwantzer Maisons Situées dans un Cul de Sac fermé par une porte
III 77 Jacob Gratzner (supra)
III 78 la veuve du Sr Giess (supra)
III 79 Daniel Baumgärtner (supra)
III 80 Gabriel Nobloch (supra)
III 81 au Sr Faudel (supra)
III 82 Jean Daniel Vix (supra)
III 83 Mde Flach (supra)
III 84 Martin Jugeling (supra)
III 85 Laurent Tetre H. Detterer 4 2 6
III 86 Jean George Teurkauff Dürkauff 4 2 1
III 87 Jean Philippe Wöhrle Werler Wittib 9 5 3
III 88 aux héritiers de Jean Jacques Müller Nagel 2 2 0
III 89 Jean Jacques Dürbach Jacob Dürbach 5 5 3
III 90 André Guerhard Maisons Situées dans un Cul de Sac de St Thomas
III 91 au Sr Hoffmann (supra)
III 92 Jean Daniel Männel (supra)
III 93 Jean Gottlieb Brantz (supra)
III 94 Jean Samuel Fanck Hatzon 3 2 4
III 95 à la Ville Maisons Situées dans un Cul de Sac de St Thomas
III 96 Philippe Guerhard (supra)
III 97 George Fréderic Hüttner (supra)
III 98 à la Fondation de St Marc (supra)
III 99 aux enfants de Jean Michel Fritsch (supra)
III 100 Jean George Rohrer Willig 6 2 2
III 101 Salomé Gaul Heißler 2 4 6
III 102 la veuve Artobeus Maisons Situées dans un Cul de Sac de St Thomas
III 103 Jean Daniel Schöner (supra)
III 104 Jost Bartel (supra)
III 105 Pierre Etter (supra)
III 106 au Sr Staedel (supra)
III 107 André Gerhard (supra)
III 108 au Sr Hessland (supra)
III 109 au Sr Rettslob Gerstschlag 4 2 6
III 110 Pierre Kiechel Werner 3 3 5
III 111 Sr Birr Maisons Situées dans un Cul de Sac de St Thomas
III 112 Adam Weiss (supra)
III 113 Jean Jacques Tenn (supra)
III 114 à la Ville (supra)
III 115 à la Ville (supra)
III 116 Jean Hans (supra)
III 117 Jean Durand (supra)
III 118 Jacques Schnall (supra)
III 119 au Sr Marbach Eßinger 22 1 3
III 120 la veuve du nommé Wagner Teutsch 3 2 5
III 121 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons Rottler
jardin à St Pierre le jeune
jdem la maison
7 1 5
21 3 7
19 1 5
III 122 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons à St Pierre le Jeune 3 0 9
III 123 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons au même
123 ½ au même
10 1 7
2 0 9
III 124 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons au même 14 5 1
III 125 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons au même 1 2 7
III 126 Eglise, Cimetière et Cloître de St Pierre le Jeune et plusieurs maisons nef de St Pierre le Jeune
126 ½ de Eglise de St Pierre le Jeune
34 4 11
17 0 7
III 127 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le Jeune 17 0 7
III 128 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 7 3 9
III 129 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 4 5 3
III 130 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 12 4 11
III 131 Jean Witt tonnelier Wild 9 3 0
III 132 Jean Lutter graissier Lutz 1 5 8
III 133 Louis Millau perruquier Doct: Milhaut 7 1 6
III 134 Jean Greüner boulanger Greiner 5 5 9
III 135 Jean Chrétien Baur fripier Bauer 5 3 0
III 136 Antoine Glotz Me maçon Glotz 8 – –
III 137 Mathias Schuster cabaretier Rapp 3 0 6
III 138 aux enfants du nommé Hoffmann Hoffman Wittib 13 0 11
III 139 au nommé Rieger Reterer 6 1 6
III 140 Philippe Jacques Guerich Jacob Jörges 8 1 9
III 141 Sr Brantz Richert 8 1 5
III 142 Joseph Stephan Steffan 7 0 8
III 143 Jean Pierre Goergens Jörges 5 4 4
III 144 Daniel Boch Boch 18 3 9
III 145 Jean Jacques Röderer teinturier Andres Dietz 28 4 0
III 146 Jean Jacques Tenn brasseur Hatt 6 3 11
III 147 à l’ hôpital bourgeois à l’hopital 16 2 5
III 148 Jean George Busch tailleur Stammler 3 1 4
III 149 Jean Jacques Münch cordonnier Joh: Andres Jost 6 4 3
III 150 au nommé Jost serrurier (supra)
III 151 Abraham Teutsch cabaretier à la haute Montée Teutsch 20 1 6
III 152 la veuve de Jean Philippe Tag paâtissier Tag 7 5 0
III 153 Abraham Schmittmeyer cabaretier Schmittmeÿerische Erben 7 2 5
III 154 Jean Melchior Ziegler perruquier Rath: Ziegler 6 3 2
III 155 Jean George Illé boulanger Georg Jilli 5 4 3
III 156 Sr Kolb secrétaire de la tour aux fénins Guerin de Fleury 8 3 7
III 157 la veuve Schönfelder Meÿer 2 4 2
III 158 Jean Michel Graul Md de vins Rath: Graugel
son jardin
12 0 2
15 2 6
III 159 François Boch cordonnier Echert (Conrad) 17 2 6
III 160 Jean Fréderic Zisig chaudronnier Schmitt 12 4 0
III 161 au Chapitre de St Pierre de Jeune à St Pierre le jeune 10 5 8
III 162 au Sr Busch tailleur Leopold 3 1 6
III 163 Jean Melchior Ziegler perruquier Georg Scheibel 5 5 6
III 164 Jean George Scheübel (supra)
III 165 au Sr Hann Médecin Preßler 12 4 3
III 166 au Sr Wildermuthe ancien receveur de St Thomas Liechtenberger 5 1 6
III 167 la Fondation de Schenkbecher Schenckbecherische stifftung 7 1 3
III 168 Jean Beck la veuve Libraire H. prof. Lorentz 6 5 5
III 169 Jean Nicolas Hartmann Lamasse brasseur Lamasse 5 4 0
III 170 Philippe Fréderic Rautenstrauch perruquier Joh: Klein 18 5 2
III 171 Jean Conrad Berger fourbisseur Berger (Bichy) 4 5 6
III 172 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 10 1 10
III 173 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 27 2 6
III 174 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 23 2 0
III 175 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 4 1 8
III 176 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 4 0 4
III 177 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 4 0 0
III 178 au Chapitre de St Pierre le Jeune au même 4 1 3
III 179 Chrétien Strohl tonnelier Diebold Strohl 8 2 10
III 180 Mr de Berstett Mr de Berstett (noblesse) 18 5 6
III 181 Joseph Kreutzer serrurier Kreutzer 3 2 0
III 182 Jean Bertiny tapissier Riedling 3 3 9
III 183 Charles Dupont caffetier Dupont 3 4 4
III 184 Thiebold Roser boulanger Diebold Roßer 10 3 1
III 185 Arbogast Kohler vitrier Kohler 4 2 4
III 186 Marc Antoine Drouen perruquier Drouin 2 4 0
III 187 au nommé Schwindt tonnelier Schwindt Wittib 3 5 0
III 188 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 7 5 0
III 189 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 14 – –
III 190 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 8 5 3
III 191 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune
191 ½ à St Pierre le jeune
22 1 9
10 5 8
III 192 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 9 1 5
III 193 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 10 0 6
III 194 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 6 1 0
III 195 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 9 3 10
III 196 au Sr Meinel receveur de la Noblesse au Temple neuf 3 3 10
III 197 à la Ville Démoli
III 198 François Jacques Bäuerle farinier Lorentz Lutz 2 3 4
III 199 les enfants de la veuve Retzlob horloger Moseter 5 5 10
III 200 Philippe Christ courtier Merckel 3 1 10
III 201 Laurent Brucker tailleur Guillaume 3 4 0
III 202 Jean Christophe Baum marchand Retzloff 2 1 5
III 203 Jean Streit éventailliste Antoni Streit 3 2 0
III 204 Isaac Dochtermann farinier Dochtermann 3 1 9
III 205 Sr Helderich Hilderi 8 2 9
III 206 Samuel Schwanfelder orfèvre Corvinus 4 – –
III 207 Jean Baptiste Benoit Me cartier Benoit veuve 4 2 10
III 208 Sr Jacquot musicien Jacob 3 3 6
III 209 Jean Henry Härtenstein Md Epicier Knürr 10 3 3
III 210 la veuve du Sr Härtenstein licentié Langs Erben 7 3 6
III 211 Jean Fréderic Laüd farinier Ruff 7 3 4
III 212 au Chapitre de St Pierre le Jeune De Rheinfach 10 2 6
III 213 au Chapitre de St Pierre le Jeune (supra)
III 214 Jean André Schaaff jurisconsulte à St Pierre le jeune 16 5 0
III 215 Sebastian Leichteisen menuisier Hild 2 3 0
III 216 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 2 1 6
III 217 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 2 5 2
III 218 à l’ hôpital bourgeois à l’hopital 2 5 5
III 219 Jean Martin Weber Klaffzÿ 4 1 1
III 220 Jean Martin Weber (supra)
III 221 au nommé Hirschel Trentzer Wittib 1 5 6
III 222 Jean Weber Joh: und Frid. Weber 1 5 9
III 223 Sr Haffner Philipp Lederle 3 2 6
III 224 Elie Martzloff Martzloff 3 2 8
III 225 à la Ville Osterietisch 4 4 3
III 226 au Docteur Ottmann Doct: Ottmann 8 2 6
III 227 au Sr Bock marchand de vin Jean Boch 3 5 0
III 228 M. Dunning officier hollandois Doct. Faust 12 2 0
III 229 au Sr Silcker Glaßer 2 0 3
III 230 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 7 0 8
III 231 aux Religieuses de Ste Marguerithe à Ste Marguerithe 8 1 0
III 232 à la fabrique de N. D. à St Pierre le jeune 6 0 10
III 233 au Sr Guering receveur de la Noblesse Mr Larue
233 ½ Krafft
6 2 6
3 5 2
III 234 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune
jardin au même
4 2 3
7 1 8
III 235 à Mr de Bulach 234 ½ Mr de Boulach (noblesse) 2235 son jardin 15 3 10
8 1 7
III 236 Mde Herter Herterer 19 3 0
III 237 Jean Martin Tanneberger Danneberger 2 2 2
III 238 à la Fondation de St Marc Karcher 3 2 0
III 239 Jean Jacques Münch Münch Wittib 2 2 0
III 240 au Sr Hammerer Hammerer Wittib 4 0 3
III 241 au Sr Schurer Herchler 2 0 4
III 242 Nicolas Geilsdörffer Geißdörffer 1 5 9
III 243 Jean Herrmann Ehmann 9 1 0
III 244 à la fabrique de N. D. Tisseran 4 3 9
III 245 à la fabrique de N. D. (supra)
III 246 au Sr Schaaff jurisconsulte Harle 3 3 2
III 247 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 3 4 6
III 248 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 3 1 9
III 249 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 3 3 0
III 250 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 19 1 5
III 251 au Chapitre de St Pierre le Jeune à St Pierre le jeune 4 0 3
III 252 hôtel de M. le Maréchal, à la Ville hotel de Mgr le Marechal 184 2 9
III 253 à la Ville hotel de Mr. de Vogué 11 3 6
III 254 Tribû des Menuisiers, à la Communauté Tribu des Charpentiers 12 2 4
III 255 M. de Güntzer Colonel du Regt. de Roial allemand Mr de Gintzer (noblesse) 13 0 7
III 256 M. d’Oberkirch Stettmeistre M d’Oberkirch (noblesse) 11 5 0
III 257 M. Garnier Mr Noblat 16 0 9
III 257,1 Mde Stahl
III 258 Tribû des Vignerons, à la Communauté poël des Vignerons 7 2 7
III 259 la Grande Prévoté, à Mrs les Comtes de la Cathédrale au grand Chapitre 16 0 9
III 260 M. Rondvin tapissier Rondoüin 5 0 9
III 261 Mde Lang veuve du XIII Lang Wittib 4 5 8
III 262 la veuve de Claude Dabeind sellier Dapain 10 3 2
III 263 Antoine Lobstein chirurgien Lobstein 3 2 0
III 264 M. Rondouin entrepreneur Rondoüin Veuve 6 4 4
III 265 M. de Dietrich Stettmeistre Mr de Dieterich (noblesse) 6 4 10
III 266 M. baron de Wangen Mr de Wangen (noblesse) 14 2 10
III 267 Mde Saltzmann Abrah: Enderlin 3 1 6
III 268 Marie Dorothée Köbeline Surville Wittib 2 0 0
III 269 Mde Surville Mde Chapeau 2 2 4
III 270 Anne Marguerithe Meyerin Stahl 2 2 3
III 271 au Sr Immeling Wintersheim 7 4 0
III 272 au Sr Poussemann Frühreiß 4 2 10
III 273 au Sr Schübler orfèvre Geÿler 3 4 9
III 274 à Mde Lesage Schenckbecher 3 2 0
III 275 Samuel Koch Koch Wittib 2 1 3
III 276,1 la veuve André Sthal Greiner 3 4 2
III 276,2 André Schott Schott 4 1 0
III 277 aux héritiers du Sr Blümel artificier Engel 6 1 6
III 278 Jean George Fenderich Fenrich 7 1 10
III 279 Jean George Hartschmitt Md de tabac Hartschmitt Wittib 6 4 7
III 280 la veuve Reinerj Schneider 6 3 10
III 281 au Sr Dijon Dijon 6 5 10
III 282 la veuve Laurent Feürstein Dauber 3 4 4
III 283 François Joseph Brunner Bronner 6 1 6
III 284 au Sr Gerold cabaretier Kolb 33 3 0
III 285 la veuve Matthis Hertenstein
285 ½ Mr Besson
12 1 7
4 2 0
III 286 à M. de Dietrich Stettmeistre Mr de Dieterich (noblesse) 6 3 0
III 287 Charles Werthmüller Würtmüller 6 0 9
III 288 Daniel Dress Traiteur Wittib 6 2 6
III 289 au Sr Osterrieth Rathh. Saum 4 1 0
III 290 Guilllaume Steiff H. Steiff 2 5 2
III 291 la veuve Reümann Schoff 2 5 0
III 292 Fréderic Engel Rauchmaul 3 3 10
III 293 Jean Feinling Greischel 2 1 0
III 294 Conrad Moor Mohr 2 1 1
III 295 George Heitz boulanger Heÿtel 4 0 6
III 296 Jacques Breler Preßler 2 1 3
III 297 Sr Reishoffer Reißhoffer Wittib 8 2 10
III 298 George Jacques Wolff Wolff 3 2 4
III 299 Sr Courtener serrurier de la ville Lebrun 8 4 4
III 300 la veuve du Sr Brackenhoffer Beÿgert Wittib 13 1 3
III 301 Lasard Gravenet dt Dijon, comédien Lebrun 3 5 9
III 302 aux Srs Moog avocat général et Cappaun, fiscal Mock 15 4 3
III 303 la veuve de Michel Kappler Kappler 2 4 6
III 304 aux héritiers de Pitsche Elsfelder 2 4 6
III 305 au Sr Moor Mohr 6 1 6
III 306 Joseph Pfeter Michel Peter 4 5 10
III 307 Denis Sporer Garçon maçon Spohrer Wittib 3 3 9
III 308 aux héritiers Münch Buchsbaum Wittib 1 5 0
III 309 George Müller Rathh. Müller 3 5 9
III 310 Mde Bechtolde Doctor Gratz 9 8 6
III 311 Mde Böhm (supra)
III 312 Jean Wacké bedau de la tribû des Maçons Saum 8 3 7
III 313 au Sr Müller Ant. Sedele 3 2 0
III 314 Jean Braun Braun Wittib 3 1 8
III 315 au Sr Reitzer Braun 3 5 6
III 316 veuve Jean Flach Flach Wittib 5 4 5
III 317 aux Orphelins Martzloff Wittib 2 2 0
III 318 veuve Kratz Treÿtler 2 2 6
III 319 Michel Maurer Lantz Wittib 3 4 11
III 320 au Chapitre de la Toussaint Gigandé 2 5 0
III 321 Jean Ziegel Ziegel 3 1 11
III 322 au nommé Brauner Bronner 4 0 6
III 323 Jacques Wolff Walter 1 2 8
III 324 Jean Kohla Hanrang 3 2 0
III 325 au nommé Engel Engel 3 1 0
III 326 Simon Lelarge Large 6 5 3
III 327 Mlle Dumenil Coucheroux 8 3 2
III 328 Jean Philippe Barbenes boulanger Barbeneß Wittib 13 5 6
III 329 au nommé Cornélie (supra)
III 330 Jacques Heisch Stolle Erben 2 4 9
III 331 à l’ hôpital Bourgeois à l’hopital 3 3 2
III 332 à la Fondation de St Marc à St Marc 2 4 11
III 333 la veuve Jean Stahl Stahl Wittib 2 2 9
III 334 Jean Jacques Kientz Kientz Wittib 2 3 3
III 335 Adam Wuun Garde de M. le Préteur Götz 3 3 2
III 336 au Sr Reiss Riß 3 5 9
III 337 à l’ hôpital bourgeois à l’hopital 4 2 0
III 338 à l’ hôpital bourgeois (supra)
III 339 à l’ hôpital bourgeois Braun Wittib 2 2 8
III 340 au Sr Braun à l’hopital 3 3 6
III 341 au nommé Pilger Bilger Wittib 3 4 7
III 342 Jean Godfroy Weber Weber 2 5 9
III 343 Jean Adam Wuun garde de M. le Préteur Seiler 3 2 4
III 344 batiment de l’ Arsenal du Roy Arsenal 143 4 8
III 345 aux héritiers de Mde Lousteau à la Ville 80 – –
III 346 à la Comédie (supra)
III 347 à la Ville (supra)
III 348 à la Ville (supra)
III 349 Srs Ducraÿ et Sarazin (supra)
III 350 à la Ville (supra)
III 351 Boucheries à la Ville Klein 10 – –
III 352 au nommé Heissoum König 3 2 0
III 353 Laurent Stahl Berger 3 3 9 353.b, à la Ville, 8 2 6
353.b, Idem, 16 3 8
353.b, Somme totale des bancs de la petite boucherie appartenant à des particuliers 56 5 –
III 354 Fréderic Pfeffinger Reterer 4 4 0
III 355 Daniel Pfeffinger Sarasin 7 3 0
III 356 Israel Breenÿ Ducrés 11 2 6
III 357 au nommé Helmestre Entre N° 356 et la Tour aux Pfennings Bancs de bouchers appartenant à la Ville
III 358 Laurent Stahl
III 359 au nommé Probeck
III 360 Laurent Stahl
III 361 Fréderic Baur
III 362 au nommé Bernard
III 363 au nommé Boner
III 364 au nommé Kamm
III 365 au nommé Keron
III 366 au nommé Schlenacker
III 367 au nommé Datt
III 368 au nommé Leicht
III 369 au nommé Manges
III 370 Jean Fetter
III 371 David Baumann
III 372 Jean Schoun
III 373 Simon Baptiste
III 374 Henry Manges
III 375 Ignace Baptiste
III 376 au nommé Manges
III 377 Adam
III 378 Jacob Seeder
III 379 à la Tour aux fenins
IV 1 Eglise, Cimetière et Cloitre de St Pierre le vieux Nef de St Pierre le vieux (Confession d’Augsbourg)
Eglise de St Pierre le vieux (Clergé)
54 0 0 et 33 1 0
IV 2 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 2 2 9
IV 3 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 6 4 3
IV 4 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 2 2 6
IV 5 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 2 0 8
IV 6 Daniel Griesinger Daniel Griesing 2 1 10
IV 7 Jean Daniel Würtz Ehrlenholtz 2 2 6
IV 8 veuve Mde Walter Mehn 2 2 10
IV 9 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 2 2 0
IV 10 la veuve du Sr Labiffe Labüff 2 2 3
IV 11 Jacob Bisswal Graff 2 3 1
IV 12 Jean Adam Guillot Schlewer 4 1 6
IV 13 Fréderic Philippy Philippi 4 2 10
IV 14 Jean George Schmitthammer Dan. Ziegenhack 3 2 0
IV 15 Melchior Klein Schützenberger 2 3 8
IV 16 Jean Bradfisch Bratfisch 2 5 6
IV 17 Emanuel Holdboick Hellick 2 1 3
IV 18 Jean George Schitterlé Kieffer 2 2 1
IV 19 Michel Hatzung Hatzon 2 5 3
IV 20 Jean Philippe Gradwol Endling 2 3 7
IV 21 Laurent Scher Schehr 4 3 9
IV 22 Jean Fréderic Molsheim Molsheim 10 2 0
IV 23 Nicolas Binninger Bechtold 1 1 3
IV 24 Jean Philippe Backé Paqué 4 4 6
IV 25 André Stauber Wunderer 3 0 4
IV 26 Abraham Schetzel Schetzer wittib 3 3 6
IV 27 Léonard Bentz Bentz wittib 2 1 6
IV 28 les héritiers Jacques Sehmann Ravailliaty 2 0 2
IV 29 Michel Mähling Meÿling 2 2 0
IV 30 au nommé Schliber Stieber 5 4 0
IV 31 à Mad. Kau Licentiat Kau 3 3 0
IV 32 Jean Charles Traiteur Traiteur 3 3 0
IV 33 Pierre Kahn Kühl Wittib 3 3 3
IV 34 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 6 4 7
IV 35 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 14 5 8
IV 36 Christophe Wölcker Völcker wittib 3 5 6
IV 37 George Jacques Jung Jung wittib 11 1 3
IV 38 George Jacques Jung (supra)
IV 39 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 6 1 2
IV 40 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 4 2 0
IV 41 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 4 0 10
IV 42 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 3 1 0
IV 43 au Chapitre de St Pierre le Vieux St Pierre le vieux (Clergé) 10 0 10
IV 44 Philippe Bathmann Blechel 15 1 10
IV 45 Jean Hartmann Hartmann 2 2 4
IV 46 Jean Jacques Strohl Strohl 2 0 3
IV 47 Wolffgang Graffinger Meÿer 2 3 0
IV 48 François Schenckbecher Schenckbecher 2 4 3
IV 49 Jean Andrés Müller Reterer 2 3 0
IV 50 Jean Fréderic Schlenacker Schlenacker 2 3 3
IV 51 Jean Walther Walter Wittib 14 0 7
IV 52 Jean Walther (supra)
IV 53 Philippe Jacques Oberlé Heßelmeÿer 7 1 3
IV 54 Jean George Dürr Georg Dürr 2 5 6
IV 55 Jean Mosseder Moseter 3 3 3
IV 56 Jean Daniel Albert Albert 3 1 3
IV 57 Antoine Voinesort Woinson
57 ½ Fischer
15 5 0
2 2 6
IV 58 Jean Paulus Bechtold 2 1 0
IV 59 Jean Martin Weissmantel Joh: Wißmantel 7 3 10
IV 60 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 5 3 5
IV 61 à l’ hôpital Bourgeois Weber 9 0 3
IV 62 Jean Freÿ (supra)
IV 63 Chrétien Wessel Cristian Wessel 4 3 0
IV 64 Jean Albert Albert 7 5 4
IV 65 Jean Albert (supra)
IV 66 Jacques Steinhilbert Steinhelm Wittib 13 1 0
IV 67 au Sr Hahn Heller 5 0 6
IV 68 François Antoine Schweigheuser Schweigheißer 1 0 2
IV 69 Jean Haebelé Köbele 3 2 6
IV 70 au nommé Schreder Menges 5 4 2
IV 71 Laurent Merg Dieb: Lößmann 3 0 0
IV 72 à l’ hôpital à l’hôpital 2 3 0
IV 73 Jean Philippe Rapp Rapp 2 3 7
IV 74 la veuve Jean Jacques Lachert Dachert 2 4 3
IV 75 Jean Kessner Keßler 3 4 7
IV 76 Jean Jacques Acker Acker 2 2 7
IV 77 Joseph Arvil Müller 9 4 0
IV 78 Jean Jacques Reidel Riedel 3 0 4
IV 79 Jean George Guerold Gerold Wittib 1 5 1
IV 80 Jean Jacques Klein Klein 6 4 2
IV 81 Sebastien Helmstetter (supra)
IV 82 Jean Jacques Dannenreüter Fischer 34 2 0
IV 83 François Antoine Schweigheuser Schweigheißer 8 2 0
IV 84 Gaspard Ravalliaty Rawailliaty Wittib 3 3 3
IV 85 Jacques Ludin Lutische Erben 3 1 10
IV 86 André Wurm Wurm 3 4 0
IV 87 Abraham Scheitzel Schätzel Wittib 4 3 0
IV 88 Jean Chretien Eger Höcher 3 4 5
IV 89 Jean Jacques Fischer Fischer 34 5 9
IV 90 au nommé Bubenhoffer Bübenhoffer 7 0 2
IV 91 Jean Samuel Rinck Daniel Ring 7 0 11
IV 92 la veuve de Jean Dubach Toubac 17 2 6
IV 93 Jean Jacques Vogel (supra)
IV 94 Pierre Cassel Kaßel 10 0 0
IV 95 Jacques Helmer Michel Jaclou 3 4 0
IV 96 Léonard Walter Leonard Walter 10 0 0
IV 97 Jean Jacques Blindt Blind Wittib 2 3 6
IV 98 Jean Fréderic Küttler Francken Erben 13 5 2
IV 99 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 2 2 5
IV 100 Joseph Lieb Lieb 2 3 9
IV 101 Jean Joachim Guerold Brüner 16 2 0
IV 102 au Sr Cossa Cossar Wittib 17 3 8
IV 103 à Mde Grauel Jacob Jillÿ 2 4 9
IV 104 Jean Chretien Hohn Bettmesser Wittib 2 4 3
IV 105 la veuve Jacques Guerold Obereÿter 1 5 3
IV 106 Jacques Stidel Mechling 1 2 10
IV 107 Jean Gaspard Bohlender Bohlender 2 4 0
IV 108 George Frederic Hertzog Stidler Wittib 2 4 9
IV 109 George Frederic Hertzog Obereÿter 2 3 7
IV 110 George Hatzung Hatzon 3 1 0
IV 111 André Meehl Fleischhauer 12 0 9
IV 112 Jean Martin Hoch Helbert 2 0 8
IV 113 Pierre Georgens Jörges Wittib 6 2 6
IV 114 au Sr Winter David Winder 5 3 6
IV 115 Mde Paÿen Doct. Franck 3 5 3
IV 116 Diebolt Lapp Jacob Kieffer 15 2 0
IV 117 Jean Gross Joh: Groß 6 4 1
IV 118 la veuve de Zacharie Pflatzer Völcker 2 5 5
IV 119 Jean Riedinger Andres Nedel 3 1 0
IV 120 Jacques Fegeois Joh: Ludwig Mohr 3 1 0
IV 121 les héritiers du Sr Schertz Michel Hechler 8 3 6
IV 122 les héritiers du Sr Schertz (supra)
IV 123 les héritiers de Benoît Weber Conrad Diebold 3 0 0
IV 124 Gabriel Meyer Georg Ferius 3 2 0
IV 125 Jean Gaspard Rauch Caspar Rauch 1 4 8
IV 126 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 0 4
IV 127 Jean Jost Müller 1 5 9
IV 128 Jean Michel Güttel Michel Gütel 2 0 3
IV 129 à la Fondation de St Marc Georg Grün 2 3 0
IV 130 à la Fondation de St Marc Frid. Bradfisch 2 2 0
IV 131 à la Fondation de St Marc à St Marc 2 2 7
IV 132 à la Fondation de St Marc Caspar Louis 5 2 9
IV 133 Gaspard Lois Groß 2 5 5
IV 134 Jean Blindt Siffert 9 0 0
IV 135 Joseph Göhmeyer Grebsmeÿer 2 1 3
IV 136 François Paul Hibsen Samuel Dachert 19 4 0
IV 137 Jean Jacques Buchard Hartmann 9 5 4
IV 138 Jean George Dirmer Dürner 11 5 9
IV 139 Jean Henry Buck Buck 8 3 2
IV 140 à Mde Fridt Frid: Reterer 2 3 3
IV 141 Jean Nicolas Meltzheim Beltzheim 3 2 4
IV 142 au Sr Willemann Rathh: Müller 3 2 8
IV 143 Jean Philippe Röderer Reterers Erben 5 2 0
IV 144 Géofroy Bronner Bronner 13 0 9
IV 145 la veuve de George Rothhann Rothan 5 1 10
IV 146 Laurent Reichert Michel Bornert 8 0 10
IV 147 à la Fondation de St Marc Johann Georg Leÿs 6 2 3
IV 148 Jean Gaspard Becker Becker 3 0 4
IV 149 Antoine Henrÿ Meyer Meÿer 4 5 6
IV 150 Corneille Rodelmeÿer Redelmeÿer 2 2 4
IV 151 Conrad Strauss Strauß 5 0 6
IV 152 Jean Samuel Silberhard Silberath 4 4 9
IV 153 Jean Martin Lentz Marbach 5 0 0
IV 154 Sr Keck Keckin Wittib 7 2 2
IV 155 Jean George Faudel Faudel 13 0 0
IV 156 Daniel Bubenhoffer Bubenhoffer Wittib 2 3 3
IV 157 au Sr Hessländer Heßland 3 2 4
IV 158 Nicolas Schlosser Schloßer Wittib 2 5 1
IV 159 Sr Claussmann Cave profonde 11 5 3
IV 160 Mde Sommervogel Sommervogel 8 5 0
IV 161 M. Hold Avocat Général H. Hold 4 4 0
IV 162 au Sr Bresler Preßler 4 4 6
IV 163 aux Chartreux de Molsheim à la Chartreuse de Molsheim 4 2 6
IV 164 au Sr Faber H. Hanno 6 3 3
IV 165 Elie Kleiber Geÿer 11 4 0
IV 166 Jean George Wittmann H. Hanno 6 3 0
IV 167 Marie Salomé Mengesine Menges Wittib 3 0 0
IV 168 Marie Salomé Mengesine (supra)
IV 169 les enfants de Erb Erbe Wittib 3 0 0
IV 170 Michel Ell H. Hanno 2 5 6
IV 171 Jacques Guerold fils de Joachim Gerold wittib 3 5 9
IV 172 Joseph Adam Hannong H. Hanno 28 5 2
IV 173 Jean George Rielé Riehling 1 5 0
IV 174 la veuve Christophe Rosenbaum H. Hanno 11 0 0
IV 175 Joseph Adam Hannong (supra)
IV 176 Abraham Winter Winderer 2 3 5
IV 177 Henry Kreiss à St. Guillaume (Conf. d’Augsbourg) 10 0 8
IV 178 au Chapitre de St Guillaume Wiegel 3 4 2
IV 179 Jean Lemp Rethammer 3 2 1
IV 180 au Sr Jung Roth 3 0 6
IV 181 Arbogast Reiber Reiber wittib 3 0 0
IV 182 Jean Jacques Müller Lieber 4 2 6
IV 183 Jean Daniel Strohl Strohl 8 0 6
IV 184 Jean Jacques Conrad Jacob Conrad 2 1 0
IV 185 Jean Reinhard Otto Bick 2 1 2
IV 186 Jean Martin Meÿer Mürer 2 2 6
IV 187 la veuve Philippe Heister Phil. Meÿer 2 2 3
IV 188 George Adam Nigrin Joh: Berger 2 2 6
IV 189 Jean Wachendorffer Heinr. Walter 1 2 6
IV 190 Jean Bibernick Wagendorffer 1 2 0
IV 191 Jean Theürkauff Bein 3 4 10
IV 192 les héritiers du nommé Bonvalet Riß 2 0 9
IV 193 Jean Hatterer Joh. Hatterer 4 1 8
IV 194 Jean George Ott Ott Wittib 9 5 10
IV 195 Laurent Diss Guckenmuß 2 5 6
IV 196 David Husser Pettermann 1 3 6
IV 197 Conrad Himmer Meÿer 2 4 4
IV 198 Jean Ulrich Schafflützel Schafflitz 9 4 3
IV 199 Jean David Ott Ott 6 4 2
IV 200 Jean Conrad Conrad 2 1 4
IV 201 Adam Lantz Gerig 1 5 1
IV 202 Nicolas Bertois Gannewall 5 2 6
IV 203 George Fréderic Klein Klein Wittib 2 0 5
IV 204 Jean George Louis Georg Ludwig 2 0 8
IV 205 au Sr Stuber Rothan 4 1 0
IV 206 Jean George Wetz Weltz Wittib 2 1 0
IV 207 Jean Michel Meffert Specht 2 0 9
IV 208 Jean David Stamm Stamm 5 1 0
IV 209 Chrétien Erichson Erichsohn Wittib 6 3 6
IV 210 Chrétien Erichson ne faisant qu’une maison (supra)
IV 211 Jean Fréderic Schlenacker Schlenacker 10 4 0
IV 212 Jean Müller Müller 12 0 0
IV 213 au nommé Holler fripier Holler 7 0 0
IV 214 les héritiers Büchel Fibi 10 2 7
IV 215 Jean George Jost Georg Jost 3 0 0
IV 216 Philippe Scholl Scholl 6 3 9
IV 217 Jean Henrÿ Gümpel Heinrich Gimbel 6 1 0
IV 218 Jean Michel Starck Ferrier 8 2 10
IV 219 Jean Henrÿ Fanck Franck 2 2 5
IV 220 Guillaume Fréderic Föchtler Groff 2 5 0
IV 221 Jacques Steinhilber Steinhelber Wittib 2 5 9
IV 222 Jean Gaspard Hürschel Martzholff 5 5 3
IV 223 Jean Baptiste Choisy Kamm 17 2 9
IV 224 Simon Kürschner Steinmann 4 0 4
IV 225 Jean Fréderic Kast Kaste Wittib 3 5 0
IV 226 le Poële des Tanneurs, à la Communauté Gerberstub 24 0 4
IV 227 le Poële des Drapiers, à la Communauté Tucherstub 10 3 1
IV 228 au Sr Langheinrich Heinrich Lang 4 0 0
IV 229 Emanuel Müller Teutsch 3 3 10
IV 230 Christophe Keller Kilbersch 4 5 5
IV 231 Philippe Jacques Kopp Kopp 2 5 6
IV 232 Augustin Kolb Kolb 2 1 2
IV 233 Balthasar Weiller Michel Fiegler 2 2 0
IV 234 André Christophe Buchenthal Osterholt 4 5 0
IV 235 Antoine Ruffier Bick 6 0 0
IV 236 Denis Häussel Heußel 2 5 4
IV 237 la veuve de Jean Jacques Fügner Figner 2 3 6
IV 238 Jean Philippe Geisler Phil. Geißler 4 0 6
IV 239 Jean Daniel Krafft Daniel Krafft 9 0 9
IV 240 Adam Neülinger Neülingers wittib 3 1 9
IV 241 la veuve du Sr Greum hoffrath Grün 3 2 7
IV 242 le Sr Flach Wagner 3 3 3
IV 243 aux héritiers de Chretien Stammler Hanßman Erben 3 4 9
IV 244 Matthieu Edel Edel 13 1 0
IV 245 Martin Mainglet Desbordes 1 4 6
IV 246 Jean Jacques Weber Jacob Weber 2 2 0
IV 247 Jean David Kugler Glüglerische Erben 10 0 0
IV 248 Jean Fréderic Brackenwehr Zeitz 20 0 5
IV 249 Jean Philippe Brandhoffer Brandhoffer
249 ½ Mengle
2 4 0
3 5 6
IV 250 Antoine Beaujean Debiez 3 4 7
IV 251 Pierre Baudé Tardin 3 0 0
IV 252 au nommé Rénélalie Lanier 2 1 0
IV 253 Fréderic Bruder Bruder 2 1 0
IV 254 au Prévôt de Krautergersheim Large 3 0 0
IV 255 aux héritiers de Claude Humbert Grillet Grilliot 8 0 5
IV 256 Jean Michel Schröder Schröder Wittib 4 3 0
IV 257 aux héritiers de la veuve Lagareine Doct. Gratz 6 5 6
IV 258 Sébastien André Bastian Andrich 4 5 7
IV 259 David Modelmeyer Streibich 3 1 4
IV 260 Chretien Bruder Broder 1 5 9
IV 261 Daniel Leschmayer Beschmeÿer Wittib 2 0 3
IV 262 Jean Daniel Stoeber Steiber 3 0 0
IV 263 Jean Michel Wetzel Doppert 1 5 3
IV 264 Chretien Bruder Christ: Bruder 2 0 0
IV 265 Jean Jacques Rinck Jacob Ring 2 5 6
IV 266 Jean Sigmond Schlenacker Schlenacker 6 4 0
IV 267 Jean André Scholl Andr. Scholl 7 5 8
IV 268 la veuve Philippe Schaeffer Schäffer 3 3 9
IV 269 Jacques Godfroÿ Klingenmeÿer Klingelmeÿer 5 0 2
IV 270 Paul Kapp (supra)
IV 271 Fréderic Israel Franck Kapp 2 1 3
IV 272 Sebastien Ernest Willké Wittke 2 2 6
IV 273 Melchior Edel Heinr: Grünwald 2 2 6
IV 274 Thiebaut Sicard Riedling 20 5 7
IV 275 la veuve Philippe Daniel Froschhammer Rauscher 2 4 8
IV 276 François Dubois Clavelle 2 1 6
IV 277 au nommé Bubenhoffer Wittlinger 2 1 7
IV 278 Jacob Seiller Bilger 2 0 3
IV 279 Jean Lemp Kolb 5 2 6
IV 279,1 aux Srs Kornmann Kornmann 8 4 3
IV 280 au Sr Saltzmann Saltzmann Wittib 5 2 1
IV 281 Joseph Bonard Bonnard 5 0 6
IV 282 Jean George Fulgraff Fulgraff 5 3 4
IV 283 Sebastien Fischer Maynoné 7 0 0
IV 284 la veuve Etienne Momÿ Mommy 8 4 5
IV 285 au Sr Pick Buck 10 5 6
IV 286 Jean Nicolas Goll Goll 12 3 0
IV 287 Eglise et Covent des R.P. Capucins Petits Capucins (Clergé) 40 2 0
IV 288 à l’ hôpital bourgeois (supra)
IV 289 à l’ hôpital bourgeois (supra)
IV 290 à l’ hôpital bourgeois (supra)
IV 291 à M. de Wetzel (supra)
IV 292 au Sr Oesinger Receveur Weißhaar 8 0 5
IV 293 la veuve Jean Henri Bürckel Fuchs 3 5 4
IV 294 Jean Henri Bürckel Bouguelin 5 5 4
IV 295 Jacques Braun Brun 13 0 0
IV 296 Simon Kürschner H. Beck 4 4 6
IV 297 Jean Daniel Dubach Dürrbach Wittib 8 1 6
IV 298 Christophe Koblentz Lefevre 3 0 0
IV 299 au Sr Longho le Cadet M. de Neustein (Noblesse)
½ Longo Wittib
5 4 9
8 1 6
IV 300 au Sr Dautel Notaire Dautel 10 3 0
IV 301 le Poële de Fribourg, à la communauté des cabaretiers Tribune de Fribourg 21 5 0
IV 302 François Leinfar l’Enfant wittib 3 1 6
IV 303 Jean Fréderic Butz Frid: Butz 11 2 6
IV 304 Jean Fréderic Küchel Lobstein 3 5 6
IV 305 au Sr Longho le Cadet Wenck 3 5 6
IV 306 Jean Fréderic Küchel Kügel 11 2 10
IV 307 au nommé Favier aubergiste Doct. Pfehler 7 4 3
IV 308 la veuve Jean Jacques Hirschel Sengeiß 4 1 10
IV 309 Jean Fréderic Lobstein Lobstein 7 5 3
IV 310 Jean Godfroy Gross Gottfried Groß 5 4 6
IV 311 Joseph Philippe Sautier Burger 15 4 2
IV 312 au Sr Greiner Rehmann Wittib 4 2 3
IV 313 Jean Pierre Clavet Clawell 2 0 6
IV 314 Jean Baptiste Conigliano Ritter 6 3 8
IV 315 François Longho l’aîné Longo 4 4 0
IV 316 Jean Fréderic Röderer Dan: Reterer 3 3 2
IV 317 au Sr Froereisen Treutel 14 2 11
IV 318 à M. Dietrich Mr. de Dieterich (Noblesse) 8 1 6
IV 319 au Sr Kellermann Hary 5 4 6
IV 320 Geofroy Wittenberger Würtenberger Wittib 16 2 2
IV 321 Mde Weinemer Mde Beau 5 1 0
IV 322 M. Dietrich Haffner 35 4 2
IV 323 la veuve Schuhmannin avec la maison de 311
IV 324 au Sr Oesinger Rehman wittib 22 0 0
IV 325 la veuve du Sr Tournier Bouchott 5 5 1
IV 326 Nicolas Montflambert Wurm 2 2 0
IV 327 Jean Jacques Hammerer Friedel Wittib 2 0 6
IV 328 Jean Fréderic Ströhling Strehlinger 4 3 2
IV 329 la veuve d’André Steinbach Lichtenberger 4 2 6
IV 330 Jean Jacques Riss Riß 10 4 3
IV 331 Samuel Beck Beck Wittib 6 2 2
IV 332 Jean Jacques Schreiber Wittman 3 3 1
IV 333 Jean Gottlieb Eremann Ehreman 3 2 0
IV 334 Jonas Lorentz Lorentz 3 0 0
IV 335 Martin Roth Roth 3 0 11
IV 336 Jean André Greüm Hecht 18 1 7
IV 337 Jean Philippe Martin Busch 3 0 9
IV 338 le nommé Schwing Schwing 3 0 3
IV 339 Herrmann Goucheron Lentz 2 5 4
IV 340 Mde Würtz Mergrés 19 3 3
IV 341 Isle de boutiques à M. Oesinger Eßinger wittib 74 1 1
IV 342 la Tribû de la Lanterne, à la Communauté Tribu de la Lanterne 28 1 0
IV 343 les héritiers du Sr Heiss Rath. Heiß 8 1 11
IV 344 Mde Wilt Metzger 4 3 3
IV 345 Jean Pierre Hebeisen Hebeiß 3 3 0
IV 346 George Fréderic Zeisolff Zeißolff 18 1 0
IV 347 les héritiers du Sr Heiss Heiß 6 2 0
IV 348 Jean Jacques Letz Jacob Letz 9 4 2
IV 349 George Léonard Brunner Pfriemer 2 2 6
IV 350 Thiebaut Metzger Metzger 2 2 2
IV 351 Jean Fréderic Rittner Rittner 19 3 8
IV 352 Jean Kegler Geckler 6 0 11
IV 353 Jean Paul Busch Rathh. Busch 4 2 1
IV 354 Antoine Duclos Duclot 13 3 6
IV 355 Joseph Gross Groß 21 5 5
IV 356 Sebastien Edel Ott wittib 5 1 3
IV 357 à la Ville Herrenstall (Ville) 15 3 6
IV 358 Jean Beck Not. Ficke 15 2 7
IV 359 Adam Zachmann Zachman Wittib 4 3 0
IV 360 Tribû des Pelletiers à la Communauté Tribu des Peltiers 45 0 0
IV 361 Léonard Wörschel Werle 7 1 10
IV 362 Jacob Keiffer Kieffer 3 3 3
IV 363 Jean Erlenholtz Ehrlenholtz 17 0 0
IV 364 Christophe Bogner Bogner 12 0 0
IV 365 Fréderic Wilhelm Bronnerische Erben 2 1 9
IV 366 Daniel Fréderic Masckel Masqué 2 4 8
IV 367 au Sr Sachs Simon 9 2 3
IV 368 Jacques Daniel Fibich Kolb 5 5 1
IV 369 Tobie Krug Krug 3 0 0
IV 370 Jean George Kugler Koch 2 4 6
IV 371 Jean Fréderic Kühl Kiehl 3 2 4
IV 372 Jean Nagel Nagler Wittib 8 5 3
IV 373 Jean Claude Gentet Carré 3 3 6
IV 374 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 12 5 0
IV 375 Daniel Müller Müller 14 1 0
IV 376 Jean Michel Merckel Merckel 2 1 4
IV 377 Jean Fréderic Schmitt Schorg 1 2 1
IV 378 à l’ hôpital Bourgeois Koch 1 4 3
IV 379 Jean Louis Strohmeÿer Strohmeÿer 3 0 6
IV 380 Jean Daniel Rooss Joh. Dürg 1 5 0
IV 381 Melchior Desbordes Brecht 5 4 9
IV 382 Jean Godfroy Hencké Müller
82 ½ Daniel Walter
4 3 8
3 0 4
IV 383 Jean George Mossner Meßler wittib 6 4 9
IV 384 Henry Reissner Reißner 2 5 6
IV 385 Samuel Becké Beck Wittib 4 0 0
IV 386 Jean David Kuntz Kuntz 2 4 2
IV 387 la veuve Jean Fréderic Muss Muß Wittib 2 2 5
IV 388 Christophe Seiler Seÿler 2 3 2
IV 389 Laurent Landgraff Landgraff Wittib 2 2 2
IV 390 Jean Jacques Reissner Reißnerische Erben 2 1 11
IV 391 Martin Meinglet Heÿlmann 5 2 3
IV 392 au Sr Kolb Kolb 3 4 7
IV 393 Abraham Schmitt Schmitt 5 0 5
IV 394 au Sr Saltzmann Oberlin
394 ½ Porst
394 ¾ Grauß
394 3/5 Mohr
7 0 9
3 0 6
3 4 9
7 2 9
IV 395 la veuve Jean Henri Greiff Reiff Wittib 11 1 10
IV 396 à la Fondation de St Nicolas Schartel wittib 12 3 9
IV 397 Jean Schmitt Hastorius 3 1 0
IV 398 Henry Eremann Hanßmann 5 5 4
IV 399 Diebolt Metzger Holl 2 5 9
IV 400 Jean Jacques Keiser Kaÿser 4 3 1
IV 401 Christophe Lichtemberger au temple neuf 2 2 6
IV 402 Jean Jacques Steÿmann Stechmann 2 2 6
IV 403 Jean Fréderic Strauss Struß 2 0 0
IV 404 Jean Bühler Bühler 2 0 10
IV 405 Fréderic Kreschmann Stammler 2 1 0
IV 406 Jean George Kuch Kuch Wittib 2 1 8
IV 407 Jean Godfroy Gross Dans un cul de sac
IV 408 Jean George Kuch Becker Herberg 4 2 4
IV 409 Jean Kieffer Kieffer 3 3 6
IV 410 Jean George Tornarius Tornarius 2 1 4
IV 411 Jean Keffer Kieffer 3 3 6
IV 412 les enfants de Jean Michel Süssel And. Fix 7 3 2
IV 413 George Fréderic Vierling à la Ville 6 2 4
IV 414 Alexandre Brodart Schmitt 2 2 5
IV 415 Henri Adam Reül Rupersberg 1 5 4
IV 416 Catherine Marguerite Quosine Greß 1 5 8
IV 417 au nommé Samarte Dürrbach 3 0 3
IV 418 Jean George Ichlé Jeling 3 3 1
IV 419 Jean David Bury Fichter 4 1 0
IV 420 François Wurm Wurm 3 2 10
IV 421 Mde Marbach Lux 5 0 6
IV 422 Henri Jahreis Jahreiß 2 0 6
IV 423 Jean Jacques Zeissolff Zeißholff 1 5 10
IV 424 Jean Jacques Weyden Bohlinger 2 5 8
IV 425 Jean Daniel Knecht Reterer 3 0 10
IV 426 Matthieu Schmitt Franck als vogt 10 0 8
IV 427 aux héritiers de Kouffes Kuff 13 5 8
IV 428 Jean Ulrich Jungfr. Ulrich 3 2 6
IV 429 Jean Fréderic Theurkauff Theürkauff 4 2 6
IV 430 Jean Aveugle Dorn 4 2 6
IV 431 Jean Fréderic Kessig Käßig Wittib 2 4 6
IV 432 aux héritiers de Jean Fréderic Theurkauff Heinrich Weber 2 3 10
IV 433 Henri Sommer Heinr. Sommer 3 0 4
IV 434 Adam Simbach Sembach 2 5 7
IV 435 Jean Jacques Mosseder Moßeter Wittib 6 1 3
IV 436 Jean Louis Leiss Leÿß 2 0 0
IV 437 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 2 0 9
IV 438 Jean Fréderic Schötterich Cristian Schitteri 2 4 9
IV 439 Jean Christophe Granau Granau Wittib 4 4 3
IV 440 les héritiers de Jean George Dürr Jacob Heitz 4 0 0
IV 441 les héritiers du Sr Pierre Schlosser Flaschon Wittib 13 3 0
IV 442 Daniel Ermann Ehrman Wittib 13 3 0
IV 443 George Fréderic Hirschmann Schlenacker 16 0 0
IV 444 Jean Jacques Litsche Littsch Wittib 2 1 3
IV 445 Etienne Schreiber Weißhaar Wittib 4 5 11
IV 446 Jean Daniel Ehninger Ehsinger 5 0 2
IV 447 Jean David Stamm Stamm 5 1 2
IV 448 Etienne Schreiber Weißhaar Wittib 4 5 11
IV 449 Michel Görger Rieth 6 0 2
IV 450 Etienne Pugein Bouchon 11 2 3
IV 451 Jean Adam Göbel Merckler Wittib 5 3 10
IV 452 Jean Adam Göbel Saltzmann 3 0 6
IV 453 Jean Trautt Lantz Wittib 3 5 2
IV 454 la femme de Jean Philippe Entzinger Endszwingers Wittib 5 1 0
IV 455 Nicolas Bertois Berthois 5 1 11
IV 456 Jean Gerard Wagner Franck
456 ½ Wahlhopter
15 0 9
2 4 9
IV 457 au Sr Sadler Faudel 8 1 6
IV 458 Jean Michel Schaeffer Mich. Schäffer 5 1 6
IV 459 Greniers, à la Ville à la Ville 9 2 9
IV 460 à M. Feter Faudel 16 4 9
IV 461 veuve Michel Petit (supra)
IV 462 au Sr Immeling Keller 6 0 0
IV 463 au Sr Hilbert Sold 12 2 9
IV 464 Corps de Garde et Ecurie de Cavalerie, à la Ville Zix 2 0 8
IV 465 Corps de garde d’Infanterie, à la Ville
IV 466 au nommé Breÿ consigne


6, place Saint-Thomas


Place Saint-Thomas n° 6 – VII 101 (Blondel), P 1003 puis section 8 parcelle 7 (cadastre)


Façades nord vers la place et façade ouest (bâtiment blanc) – Façade sud – Ancienne porte d’entrée et fenêtre convertie en porte en 1975 (mars 2018)

La maison forme l’arrière de l’îlot face au portail de l’église Saint-Thomas. Le chapitre Saint-Thomas la cède en 1648 en paiement de sommes dues au docteur en médecine et professeur à l’université Jean Raoul Saltzmann. Sa fille la vend en 1666 au barbier Jean Pfort. Les propriétaires suivants seront eux aussi barbiers : Jean Frédéric Mægerlin (1677) puis son gendre Jean Reuchlin (1705) et le fils de ce dernier André François Reuchlin (1743), Jean Henri Zinck (1768) et le deuxième mari de sa veuve Jean Chrétien Solger. La maison comprend en 1741 un rez-de-chaussée où se trouve la boutique de barbier et trois étages.
Le plan-relief de 1725 place la maison la plus haute face au portail de Saint-Thomas, contrairement au plan de 1830. Il y a lieu d’en conclure que l’îlot a été mal placé sur la maquette de 1725, la maison qui porte actuellement le n° 6 est donc celle qui se trouve face au portail ; son aspect général et celui qu’on retrouve aujourd’hui.


Plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 131 : plan, élévations

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade vers la place est celle à gauche du repère (f), la face ouest entre (f) et (a), la face sud vers la ruelle entre (a) et (b). Comparé à son aspect actuel, le rez-de-chaussée de la façade vers la place a perdu une fenêtre, une fenêtre de la façade sur rue est devenue une porte.
La maison porte d’abord le n° 10 (1784-1857) puis le n° 6.
Le propriétaire autorise en 1976 de transformer la fenêtre à côté de la porte place Saint-Thomas en porte pour avoir un accès indépendant des autres locataires à la boutique.


Photographie (1976) avant transformation du rez-de-chaussée : les deux fenêtres sont garnies des volets coulissants posés en 1900
Dessin du rez-de-chaussée vers la place (1988, dossier de la Police du Bâtiment)

mars 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1620 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Fondation Saint-Thomas
1648 v Jean Raoul Saltzmann, docteur en médecine, et (1603) Elisabeth Geiger puis (1639) Catherine Berner, épouse (1616) du docteur en théologie Jean Tufferer puis (1627) du marchand Jean Jacques Kast – luthériens
v. 1657 h Anne Ursule Saltzmann, épouse de Daniel Dinckel puis (1636) de Jean Jacques Seubert, docteurs en médecine – luthériens
1666 v Jean Pfort, barbier, et (1634) Elisabeth Ziegel, (1645) Marie Elisabeth Sommer puis (1669) Marie Hurst, veuve de l’huilier Samuel von Thur – luthériens
1677 v Jean Frédéric Mægerlin, barbier, et (1666) Anne Marguerite Hugo puis (1687) Abigaïl von Molsheim, auparavant femme (1671) du maître d’armes Jean Régnard Widt et (1677) du préposé aux grains Wolffgang Daniel Engel – luthériens
1705 h Jean Reuchlin, barbier, et (1699) Anne Dorothée Mægerlin, (1707) Marie Salomé Gnilius, veuve du pasteur Jean Frédéric Geiger puis (1711) Marie Marguerite Mustinger – luthériens
1743 h André François Reuchlin, barbier, et (1746) Anne Catherine Hüttner puis (1753) Henriette Elisabeth Rigoullot – luthériens
1757 adj Jean Philippe Grauel, médecin et chanoine à Saint-Thomas, et (1739) Salomé Barth puis (1749) Dorothée Wencker – luthériens
1759 v Henriette Elisabeth Rigoullot ci-dessus
1768 adj Jean Henri Zinck, barbier, et (1768) Marguerite Salomé Tromer puis (1784) Marie Barbe Weisshaar – luthériens
1795 h Chrétien Solger, barbier, et (1795) Marie Barbe Weisshaar veuve de Jean Henri Zinck
1844 v Jacques Frédéric Richshoffer, bottier, et (1816) Rosine Hélène Seyler
1851 v Frédéric Chrétien Walther, enseignant, et (1840) Louise Julie Mathilde Wittich puis (1860) Julie Gammig
Gustave Adolphe Walther

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 050 livres en 1753, 900 livres en 1783

(1765, Liste Blondel) VII 101, au Sr Reüchlin
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1003, Solger, Jean Chrétien, veuve – maison, sol – 0,84 are

Description de la maison

  • 1741 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une boutique de barbier, une cuisine, une chambre, un vestibule, une petite cave voûtée, au premier étage un poêle, chambre, cabinet et vestibule, au deuxième étage à nouveau un poêle, une chambre une cuisine et un vestibule, au troisième étage sous la toiture une chambre à cheminée pour l’officier, une chambre pour le domestique, deux cabinets, sous la toiture couverte de tuiles plates un grenier dallé et un grenier non dallé, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 100 florins
  • 1783 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Place St Thomas

nouveau N° / ancien N° : 21 / 10
Weishaar
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien P 1003, registre 28 f° 369 case 1

Solger, Chrétien Veuve du charcutier
Richshoffer, Jean Frédéric (subst. 1846)
Walther, Frédéric Chrétien, Instituteur (1852)

P 1003, maison, sol, Place St Thomas 10
Contenance : 0,84
Revenu total : 117,44 (117 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 429 case 2

Walther, Frédéric Chrétien, Instituteur

P 1003, maison, sol, Place St Thomas 6
Contenance : 0,84
Revenu total : 117,44 (117 et 0,44)
Folio de provenance : (368)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

Cadastre allemand, registre 29 p. 97 case 6

Parcelle, section 8, n° 7 – autrefois P 1003
Canton : St. Thomasplatz Hs. Nr. 6 – Place St. Thomas
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,77
Revenu : 1200 – 1500
Remarques :

(Propriétaire), compte 1281
Walther Gustav Adolph / Witwe
(4197)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 236 Place de St. Thomas (p. 383)

10
Pr. Zinck, J. Henri, Chirurgien – Lanterne

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Thomasplatz (Seite 178)

(Haus Nr.) 6
Grün, Rentnerin. 1
Decke, Wwe. 2
Walther, Wwe. E 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 177)

Place St Thomas 6 (1885-1994)

Le dossier s’ouvre par les demandes habituelles de ravaler la façade. Jeanne Ruckebusch qui ouvre en 1976 la boutique Paprika est autorisée à transformer une fenêtre en porte pour avoir un accès indépendant des autres locataires. La boutique est remplacée en 1983 par l’antiquaire et tapissier Serge Houdu, en 1988 par le salon de thé Les Merveilles d’Ameline (Majid Zerdoumi puis Raymond Ostwald en 1992) puis en 1993 par le restaurant Mevlana.

Sommaire
  • 1885 – Le maire notifie Frédéric Walter, demeurant 1, rue de l’Ecarlate, de faire ravaler les façades du 6, place Saint-Thomas. Frédéric Walter, secrétaire de mairie, demande un délai pour raison de famille.
    1886 – Frédéric Walter demande l’autorisation de faire réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1887
  • 1893 – Le maire notifie Adolphe Walter, demeurant sur place, de faire ravaler les façades du 6, place Saint-Thomas. Julie Walter, veuve de Frédéric Walter, répond que ses moyens ne lui permettent pas de faire ravaler la maison tous les sept ans. Le maire accorde un an de délai en faisant remarquer que l’état des façades justifie leur ravalement. – Travaux terminés, juin 1894
    1894 (mai) – L’entrepreneur G. Bender demande au commissaire de police l’autorisation de réparer le crépi. Le maire accorde l’autorisation – Travaux terminés, juin 1894
  • 1895 – Le maire demande à la veuve Walter de se conformer au nouveau règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les six volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée – Rappel en 1898 – Le propriétaire demande un délai en 1899 en estimant les travaux à environ cent marks. – Travaux terminés, janvier 1900
  • 1901 – Rapport d’incendie après un feu de cheminée – La Police du Bâtiment note que la maison n’a subi aucun dommage.
  • 1904– Le maire demande à la fondation Saint-Thomas (1, quai Saint-Thomas) de faire ravaler les façades du 6, place Saint-Thomas. La veuve Walter déclare que ses moyens ne lui permettent pas de faire faire les travaux. Le maire accorde un an de délai
    1905 – L’architecte H. Salomon demande d’attendre que les canalisations soient terminées avant de faire les travaux. Il demande ensuite au nom du propriétaire l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1905
  • Commission contre les logements insalubres – 1906. Les cabinets d’aisances sont raccordés aux canalisations
    Commission des logements militaires. Remarques en trois points
  • 1917 – Dossier ouvert suite au courrier reçu du service des incendies de la garnison. Un fourneau a provoqué un incendie dans la maison Walter
  • 1928 – Une locataire se plaint que l’escalier qui mène à la cave est en mauvais état – La Police du Bâtiment constate que l’escalier ressemble à bien d’autres. Elle conseille cependant des améliorations
  • 1960 – Le maire accorde à Mme Trivi (demeurant 2, impasse de la Pie), l’autorisation d’occuper la voie publique
    L’entreprise Ketterer (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) qui a posé l’échafaudage est invitée à prendre contact avec le service des monuments historiques pour choisir les teintes du crépi – Travaux terminés, octobre 1960
  • 1976 – Jeanne Christiane Ruckebusch demande l’autorisation de transformer une fenêtre en porte dans la propriété de Jules Sorg – Plan cadastral de situation – Photographie, croquis avant et après transformation – Dessin – Le maire transmet le dosser avec avis favorable à l’architecte des Bâtiments de France qui émet un avis favorable
    La Commission de sécurité consultée répond que la circulaire ministérielle du 12 mars 1975 la dispense de donner son avis
    Le préfet accorde le permis de construire le 20 octobre 1976. Le chantier est ouvert le 22 octobre 1976. La déclaration d’achèvement des travaux date du 5 novembre. La réception ne donne lieu à aucune objection
    1976 (avril) – Jeanne Ruckebusch demande l’autorisation de poser une enseigne. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable. Le maire prend le 26 juillet 1976 un arrêté portant refus de poser l’enseigne
  • 1978 – L’entreprise Hagenstein (144, route de la Wantzenau à la Robertsau) demande au nom de la boutique Paprika l’autorisation de poser deux stores en corbeille. Le projet présenté en février est refusé, celui du mois suivant est accepté aussi bien par les services municipaux que par l’architecte des Bâtiments de France – Photographie, dessin – Travaux terminés, mai 1978
  • 1980 – Le magasin Paprika se plaint que la gouttière bouchée abîme ses stores. La Police du Bâtiment constate les faits et écrit au gérant de l’immeuble – Travaux terminés, septembre
  • 1980 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Paprika a posé deux lanternes sans autorisation – Jeanne Ruckebusch demande l’autorisation. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (arrêté portant autorisation de pose d’enseignes)
  • 1981 – Jeanne Ruckebusch transfère son magasin place Saint-Louis et supprime le store et les lanternes place Saint-Thomas
  • 1979 – Le maire demande au gérant de faire ravaler les façades.
    1980 – Le maire prend un arrêté portant injonction de ravalement
    1981 – Le propriétaire Jules Sorg (demeurant 9, rue Clovis) transmet le devis établi par l’entreprise Girard Hickel à Schwindratzheim en sollicitant une subvention
    1982 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable, le maire accorde l’autorisation (avril). Les travaux sont terminés, le crépi est couleur coquille d’œuf, les menuiseries blanches, les volets gris-vert.
  • 1983 – L’antiquaire et tapissier Serge Houdu demande l’autorisation de poser un store à lambrequin et un panneau – Photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (janvier 1984) – Autorisation – Les objets sont posés, mars 1984
  • 1986 (janvier) – Les Antiquités Saint-Thomas demandent l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
    1986 (mars) – Nouveau projet. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour le panneau en bois, favorable pour l’enseigne à côté de la porte – Autorisation délivrée par le maire.
    1986 (juin) – La Police du Bâtiment constate que le panneau peint non autorisé a été remplacé sans autorisation par une enseigne sur panneau. L’antiquaire répond qu’il a respecté les dispositions en vigueur. L’architecte des Bâtiments de France maintient son avis défavorable.
    1987 – L’architecte des Bâtiments de France constate l’infraction. L’antiquaire n’a pas déposé l’enseigne malgré des demandes réitérées. L’architecte retire sa plainte en 1989, l’objet du délit ayant disparu.
  • 1988 – La commission de sécurité se rend sur place pour donner son avis sur l’aménagement d’un salon de thé
    Plans du rez-de-chaussée, élévation du rez-de-chaussée et coupe (propriétaire, Mme Philippart, demeurant rue Cuvier à la Robertsau). Le maire autorise l’aménagement intérieur (décembre 1988)
    1988 (novembre) – Mme Philipart demande l’autorisation de peindre la raison Les Merveilles d’Ameline à la porte du salon de thé. Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – L’enseigne est posée, mai 1989
    1988 (décembre) – Le préfet autorise Majid Zerdoumi à exploiter le débit de boissons de première catégorie Les Merveilles d’Ameline.
    1989 (janvier) – Déclaration d’ouverture – La commission de sécurité se rend sur place
  • 1989 – Majid Zerdoumi demande l’autorisation de peindre la façade – L’architecte des Bâtiments de France l’y autorise à condition que le couleur soit la même que celle des étages
  • 1992 (février) – Raymond Ostwald demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Les Merveilles d’Ameline et de vendre des boissons alcoolisées à emporter – Le préfet accorde l’autorisation en avril
    1992 (décembre) – Mme Denise Ostwald née Dick est autorisée à exploiter le débit de boissons Les Merveilles d’Ameline
  • 1993 – Imam Ivedi (restaurant Mevlana) demande l’autorisation de faire poser une enseigne et un store par l’entreprise Alex Enseignes (3, rue d’Adelshoffen à Schiltigheim) Photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
    1994 – La Police du Bâtiment constate que le même a posé une enseigne sans autorisation – Nouveau projet, photographie (tables disposées sur une estrade devant la façade) – Le service régional d’architecture émet un avis favorable – Autorisation
    1994 (octobre) – Changement de débiteur, les droits au nom des Merveilles d’Ameline sont transférés au Restaurant Mevlana.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1672 W 706)

Place St Thomas 6 (2005)

2005 – Gilbert Sorg, de Lingolsheim, demande l’autorisation de ravaler la façade et de refaire la toiture. L’architecte des Bâtiments de France donne son accord assorti de conditions. Le maire autorise les travaux. Le propriétaire demande une subvention.


Relevé d’actes

La fondation Saint-Thomas vend la maison à côté de la balance à farine au docteur en médecine Jean Raoul Saltzmann l’aîné en paiement d’une obligation avec l’autorisation des Conseillers et des Vingt-et-Un

1648 (14. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 570
(Prot. fol. 152.) Erschienen der Wohl ehrwürdig- ehrenvest- und wohlgelehrte Herr M. Nicolais Ferber Græcæ Linguæ Professor Adilis und Canonicus deß Stiffts St. Thoman, alß auß Einer Wohl Ehrwürdig Capituli selbigen stiffts Mittel am 30. sept. iüngsthien hierzu insonderheit Deputirt mit beÿstand H Philipß Kellers alß solch. Stiffts verordneten Schaffners
hatt in gegensein deß Wohl Ehrwürdig- ehrenvest- hochgelehrten H Johann Rudolph Saltzmanns Senioris Med. Doct. & Profess. Reipublicæ Archiatri und mehrgedachts Stiffts Decani bekannt, daß ehrenerwehntes Capitulum vff unserer gnädigen Herrn Rhät und XXI. ihme am 22. Augusti a° 1646. ertheiles Decretum und mit consens der herren Scholarchen Zu bezahlung der ienig. 300. lib Capital 67 lb 10 ß de 23. april. a° 1644. nach hinderständig. Zinnßes und Marzahl, so mehrgerührtes Stifft vermög einer papÿrinen am 23. aprilis a° 1624. mit deßelben vffgetruckhtem Insigel vßgefertigter (…) obligation, ihme H Dr. Saltzmann Zu thun ist, demselben vffrecht cedirt abgetretten und eingeraumbt habe
hauß und hoffstatt mit allend eren gebäwen & alhier ahne St. Thomans Plan, einseit neben der Meelwag, sonsten gerungß umb neben der Allmend gelegen

Le docteur en médecine Jean Raoul Saltzmann épouse en 1603 Elisabeth Geyer, fille du docteur en droit Philippe Geyer, puis se remarie en 1639 avec Catherine Berner.
Jean Raoul Saltzmann meurt en 1656. Lors de son inventaire après décès, les experts estiment la maison 200 livres. Les titres comprennent une obligation passée le 14 juin 1466.

La maison revient à sa fille aînée Anne Ursule Saltzmann qui épouse Daniel Dinckel puis en 1636 Jean Jacques Seubert, tous deux docteurs en médecine. Jean Jacques Seubert est fils d’un marchand de Durlach. Il devient bourgeois quelques semaines après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 189)
1636. Domin. Misericord. Domini d. 1. Maÿ. H. Johannes Jacobus Seübert, Medicinæ D. H. Jacobi Seübers Burg. vndt handelßmanns Zu durlach Ehelicher Sohn, Fraw Anna Ursula, weÿlandt H. Daniel Dinckels Medicinæ Doctoris nachgelaßenee Wittib Eingesegnet dinstag d. 10. Maÿ zu St. Thoman (i 195)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 375) 1636. H. Johann Jacob Seibert med: d. von durlach, H. Jacob Seiberts burger daselbsten sohn, vnd Anna Ursel, H. Daniel Dünckels med: d. e. witwe, eingesegnet Zu S. Thomas Zinstag den 10. Maÿ (i 192)

1636, 4° Livre de bourgeoisie p. 157
Herr Johann Jacob Seubert Von Durlach Med: Doct: empfahet das Burgerrecht von seiner Haußfrawen Anna Ursuls weÿl. herrn Daniel Dinckels Med. Doct. hinderlaßenen Wittib p. 4. gold fl., Ist Zum Spegel Zünfftig Jur. d. 18. Junÿ Anno 1636.

Le notaire Jean Jacques Schatz délivre en 1669 une expédition de l’inventaire des apports dressé par le notaire Jean Christophe Winter en 1650
1669 (12.1.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 3) n° 147
Designatio vndt beschreibung deß Jenigen hausraths vndt Silbergeschmeids, so dem Edlen vndt hochgelehrten herrn Johann Jacob Seüberten, Philisophiæ et Medicinæ Doctori und vornehmen Practico auch burgern alhie in Straßburg eÿgenthümlich Zuständig, vndt derselbe der Edlen, viel Ehren vndt Tugendreichen Frawen Annæ Ursulæ Dünckelin gebohrner Saltzmännin seiner Vielgeliebten haußfr. für unverändert theils in die Ehe Zugebracht, übrige theils aber stante matrimonio ererbt hat, welches der Ursachen weilen In Ihr beeder Ehegemächt auffgerichteten Eheberedung expressé versehen, daß beederseits Zubringende vnd ererbende Nahrung unverändert sein soll, beschrieben (…) auch weÿlandt herrn Johann Christoph Wintern Notarium Cæareum publicum undt Es. Ehresamen Großenn Raths alhie alten beÿsitzers, selbshändig in A° 1650. d. 30.ten 8.bris consignirt, weilen aber derselbe vor gäntzlicher deßen außfertigung Zeitlichen todts verfahren, Ist solches durch mich unterzeichnet. offenen Notarium, alß deme von Meinen gnädigen Herren Räth undt 21. alle sein Herrn Notarÿ Wintern seeligen hinterlaßene Protocolla, Imbreviaturæ vnd ohnaußgefertigte Notariat geschäfft gnädig conferirt, committirt und anvertrawern auff beschehenes begehren, vollendts expedirt, darüber auch gegenwärtige Désignation Verfertiget vnd auffgerichtet worden, Actum Straßburg den 12. Januarÿ A° 1669.

Anne Ursule (Saltzmann) femme de Jean Jacques Seubert et ses enfants issus du premier mariage avec Daniel Dinckel passent un accord relatif aux reprises

1675 (15. April), Chambre des Contrats, vol. 544 n° 186
fraw Anna Ursula deß Edel-Hochgelehrten herren Johann Jacob Seuberts Med. Doctor. et Practici eheliche haußfraw mit beÿstand erstgedachts ihres ehevogts, an einem, Mehr herr Daniel Harnischter alter dreÿer der Statt Stalls, alß Curator frawen Agnes, weÿl. deß Ehrenvest- hochgelehrten herren Johann Rudolph Dünckhels geweßenen Med. Doct. et Practici nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit assistentz deß hoch ehrwürdig- hochgelehrten herren Balthasar Friderich Saltzmanns Jun. SS. Theol. doct. und freÿ Predigers im Münster ihrer, mit gd. herren D. Dünckheln ehelich erziehlter Kinder Vogts, am andern, ferners der Edel- Vest- fürsichtig- hochweÿß hochgelehrte Herr Nicolaus Jundt Senjor, dießer Statt alter Ammayster und dreÿzehner und Ehrengedachter herr D. Seubert am dritten, So dann herr Joh: Friderich Kraut dreÿer deß Vmbgelts, und herr Johann Balthasar Kraut, Postmaÿster am Vierten theil
Zeigten an und bekannten, freÿ gutwillig offentlich, dEmnach Sie die Dünckhelische frau Wittib wegen der ergäntzung ihres ohnveränderten Guts 645. lb 4 ß 4 ¾. d Vnd gemelter herr D. Seubert über beraits guttwillig gethanen Nachlaß noch ferners 200. lb, gedachter herr Johann Friderich Kraut 150. lb und besagter gerr Johann Balthasar Kraut 100 lb für bahr erwehnten Herren D. Dünckheln beÿ deßen lebzeiten gelühenes Gelt Zu erfordern Rechtmäßig befugt seÿen

Jean Jacques Seubert et Anne Ursule Saltzmann vendent la maison 320 livres à Jean Pfort, assesseur au Grand Sénat

1666 (18. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 43-v
(Prot. fol. 2. fac. 2) Erschienen der Ehrenvest- hochgelehrt Herr Johann Jacob Seubert Med. Doct. et Practicus alß Ehevogt Fr. Annæ Ursulæ Seubertin gebohrner Saltzmännin
in gegensein deß Ehrenvest- weÿsen herren Johann Pforten E.E. Großen Rhats Beÿsitzers
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an St. Thomanns Plan einseit neben der Meelwag sonsten gerinß herumb neben der Allmend gelegen – umb 320 Pfund
[in margine :] (…) in gegensein H Johann Friderich Mägerlin deß barbierers alß ietzig. possessoris der hierin verkaufften behausung (quittung) den 23.ten 10.br 1690.

Fils d’un assesseur au Grand Sénat, le barbier Jean Pfort épouse en 1634 Elisabeth Ziegel, fille du receveur de Saint-Etienne
Mariage, cathédrale (luth. p. 346)
1634. Johann pfort der barbirer, h. Johann pfort alten grosen raths verwandten n. sohn, vnd J : Elisabeth h. Michel Ziegels schafner Zu S. Stephan n. tochter, eingesegnet Zinstag d. 12. Augusti (i 178)

Il se remarie en 1645 avec Marie Elisabeth Sommer, fille du pasteur de Hœrdt
Mariage, cathédrale (luth. f° 490)

1645. Domin: 23. Trinitatis. H. Johann Pfort der Balbierer vnd Burger allhie, vnd Jungfr. Maria Elisabeth, H. M. Balthasar Sommers pfarrers Zu Herth nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster Zinst. 18. Novemb. (i 250)

Jean Pfort passe un accord avec son gendre le vitrier Jean Hammerer après la mort de leur fille et femme respective Marguerite Pfort. L’acte se rèfère à l’inventaire dressé après la mort de la première femme de Jean Pfort en 1654 par le notaire Christophe Kernstock. Jean Pfort hypothèque sa maison place Saint-Thomas.

1668 (28. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 293
Erschienen H Johann Pfort E.E. großen Rhats alter Beÿsitzer an einem,
So dann Johann Hammerer der Glaser sein dochtermann und Michel Zentgraff der Goltarbeiter sein Schwager am andern theil,
Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, dEmnach weÿl. Margaretha Hammererin sein H Pforten eheleibliche dochter und gedachts Hammerers eheliche haußfraw nunmehr seel. in ihrem Testamento § Zum Achten & in legitimam gemelten H Pforten dem Vattern In alle übrige ihre Verlaßenschafft aber, alle die Jenige Kind. so besagter Hammerer in folgend. Ehen erzeugten und nach seinem tod hinderlaßen wirt, od., Fallß Er Hammerer ohne hinderlaßung einig. ehelich. Kinds versterben würde Evam Zentgraffin obernannts Zentgraffen Ehe[frau] od., da dieselbe Zu solch Zeit nicht mehr im leben were, ihre hinderlaßende Kind. Zu Erben instituirt, Vnd dann Er der Vatter vermög deß. über ihr der dochter Verlassenschafft in a° 1667. durch Johann Jacob Stich. Not. vffgerichteten Inventarÿ fol. 74. an der dochter von weÿl. Fr. Elisabetha Pforten ihrer Mutter seel: ererbten Gut der 911. lib. (…)
demnach der Vatter, der dochter Erben, vff abschlag der übrig. 438. lib. 19 ß /:salve tamen Vsufructu:/ die in dem, von H Christoph Kernstockh dem Notario in a° 1644. über die müterliche Verlaßenschafft vffgerichteten Inventario specificirte müterliche Capitalia (…)
Zum sonderbahren Unterpfand außgetruckht wirt, deß Vatters an St. Thomans Plan gelegener und H Dr Johann Jacob Seuberten noch zuvor umb 125. lib. Kauffschillingß rests verhafftete Wohn: und Barbier Behaußung

Jean Pfort épouse en troisièmes noces en 1669 Marie Hurst, veuve de l’huilier Samuel von Thur
Proclamation, cathédrale (luth. f° 111)
1669. Zum 2.mahl Hr Johann Pford Barbierers E. E. Großen Raths alhier Beÿsitzer, Fr. Maria Weiland Hr. Samuel Von Thur gewesenen Ohlmans alhier nachgelaß: W., Donnerstags den 4.ten Febr: St. Thoman. (i 113, pas de mariage à Saint-Thomas)

Jean Pfort vend la maison 675 livres au barbier Jean Frédéric Mægerlin qui a vendu l’année précédente sa maison Grand rue

1677 (3. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 506
herr Johann Pfort E. E. Großen Rhats alter beÿsitzer mit beÿstand Johann Michael Haÿers deß Käufflers
in gegensein H. Johann Friderich Meÿgerlin deß barbierers mit assistentz Herren Balthasar Friderich Stößers Schulschaffners
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier uff dem Thomans Platz einseit neben der Statt Mehlwag, sonst allenthalben neben dem Allmend gelegen, davon gehend iährlichen 12. fl. 5. ß lößig mit 250. fl. Herrn Johann Georg Retzlob Not. so seÿe solche behaußung auch noch umb 168. lb. 8. ß 1. d Johann Hammerer dem Glaser Verhafftet – umb 256. lb

Fils du diacre de Saint-Thomas Jean Mægerlin, Jean Frédéric Mægerlin épouse en 1666 Anne Marguerite Hugo, fille du maître d’école Georges Hugo
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 60)
1666. Dncâ 11. Epiph. d. 14. Jan. H. Johan Friderich Mägerlin der Barbierer, weiland H. M. Johann Mägerlin, Diaconi dießer Kirchen hinterlaßener Ehelicher Sohn, J. Anna Margaretha H. Georgii Hugo, Schulmeister beÿ vnßerer Kirchen Eheliche Tochter. Copulirt Donnerst. d. 25. Zu S. Thomæ (i 64)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 409 livres, ceux de la femme à 123 livres
1666 (11.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 37) n° 2
Inventarium über Deß Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Johann Friderich Megerlins, Barbierers vndt Wundartzts, Zu der Ehrn: undt viel tugendsammen Jungfrau Annæ Margarethæ Hugonin seiner Liebsten in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1666. – als Crafft Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert guth, in den Ehestandt Zugebracht, welche theils durch die wohl Ehren undt viel tugendsame Fraw Annam Lehrmännin sein beliebte fr. Mutter theils Ihne herrn Johann Friderichen – So beschehen auff Freÿtag den 11.t Januarÿ A° 1666.
Inventarium über Der Ehrn: undt viel tugendsammen Jungfrawen Annæ Margarethæ Hugonin zu dem Ehrengeachten vndt Kunstreichen Herrn Johann Friderich Megerlins, Barbierers vndt Wundartzts, Ihrem Liebsten in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1666. -So beschehen auff Freÿtag den 11.t Januarÿ A° 1666.

Designatio vndt Verzeichnus deß Jenigen haußraths so H Georg Hugo, Cantor vndt Lehrmstr. Zu St Thoman, Burger Zu Straßburg seiner dochter Dorotheæ wegen Ihres Mütterlich. guths gelüffert – So beschehen auff Freÿtag den 11. Januarÿ A° 1666.
Deß Herrn Nahrung. Sa. Haußraths 171, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldinen Ring 8, Sa.Bahrschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 187, Summa summarum 409 lib
Der Jfren Hochzeiterin Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 11, Sa. Guldinen Ring 15, Sa. der Baarschafft 5, Summa summarum 123. lib

Jean Frédéric Mægerlin se remarie en 1687 avec Abigaïl von Molsheim, successivement veuve de Jean Régnard Widt et du préposé aux grains Wolffgang Daniel Engel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest, vorgeachten undt Kunstreichen hern Johann Friderich Mägerlin, barbierern vnd Wundartzt, burgern zu Straßburg alß bräutigamb, ane einem, So dann der viel Ehren vnd tugendreichen Frawen Abigail Engellin gebohrne Molßheimerin, Weÿland deß Wohl Ehrenvest und Wohlachtbahren herrn Wolffgang Daniel Engels der Statt Straßburg wohlbestellten Kornmeisters vndt burgers daselbeten seel. hinderpliebene Wittwen, der fraw hochzeiterin am andern theil – So beschehen und verhandelt in der königl. freÿen Statt Straßburg auff freÿtag den 15. Augusti im Jahr deß Herrn alß mann Zahlte 1687 [unterzeichnet] Jch Johann Friderich Mägerlin als Hochzeiter bekenne Wie Obstehet, Hanß Wolff Von Molßheim der hochzeÿterin Vatter – Johann Christoph Stöffel zu dießer heüraths tractation requirirter Notarius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 128)
1687. Dom. 13. et 14 Trinit. 24 et 31 Aug. H. Johann Friderich Mägerlin, Barbierer undt burger allhier, Fr. Abigail weÿl. Wolffgang Daniel Engel der Statt Kornmeist. undt burgers allhier. Cop. Mittwoch den 3. Sept. Zu St. Thoman (i 66)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 152-v, n° XIII) 1687. Dom. 13. post Trinit. Zum 2. mahl hr Joh: Friderich Mägerlin Barbierer Wundarzt u. Burger allhier, Fr. Abigail Weiland Wolffgang Daniel Engel gewesenen Kornmeisters u. Burgers allhier nachgel. W., Mittw. den 3. 7.br St. Thoman (i 154)

Fils de docteur en médecine, le maître d’armes Jean Régnard Widt épouse en 1671 Abigaïl von Molsheim, fille de maître d’armes
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 20, n° 79)
1671. Fest Pasch. et Quasimodo, den 24. v. 30 April. H. Joh: Reinhardt Widt, burger und Fechtmeister allhier weÿland H. Joh: Reinhardt Widten Med. Doct. Pract. Jfr. Abigail H. Joh: Wolff von Moltzheim burgers vndt Fechtmeisters allhier eheliche tochter. Eingesegnet Donnerstag den 4. Maÿ St. Thomas (i 12)

Le préposé aux grains Wolffgang Daniel Engel épouse en 1677 Abigaïl (von Molsheim), veuve de Jean Régnard Widt
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 70, n° 420)
1677. Dom. Miseric. et Jubilate 29. Apr. v. 6. Maÿ. H. Wolffgang Daniel Engel, burger v. Kornmeister allhier, Fr. Abigail, weÿl. H. Johann Reinhard Widt burgers v. Fechtmeisters allhie hind.laßene Wittib. St. Thomæ d. 10. maÿ (i 37) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 42-v, n° V)

Abigaïl von Molsheim meurt en novembre 1699 à l’âge de 51 ans en délaissant trois enfants issus de son premier mariage avec Jean Régnard Widt. L’inventaire est dressé dans la maison de son gendre Christophe Guillaume Liebhaber au Vieux-Marché-aux-Poissons. Comme Abigaïl von Molsheim et son mari s’étaient séparés en liquidant leurs avoirs, la maison de Jean Frédéric Mægerlin ne figure pas dans l’inventaire.
1699 (30. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 46) n° 449
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿlandt die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Abigael Mägerlinin gebohrne von Molßheim, des Wohl Ehrenvest, Vorgeacht und Kunsterfahrenen Herrn Johann Friderich Mägerlins, barbierers und geschwornen Wundartzts auch burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche haußfrau, nach ihrem Freÿtags den 20. dießes heut Zu end gehenden Monats Novembris beschehenen seeligen Absterben Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg den 30. Monatstag Novembris Anno 1699.
Die Abgeleibte Frau seelige hat Zu ihren Erben ab intestato /:salvis ubiqu. titulis:/ verlaßen 1. Frau Coeciliam Abigael Liebhaberin gebohrner Widtin, herrn Christoph Wilhelm Liebhabers jetzmahligen Fastenspeishändler und burgers allhier Fraw Eheliebstin, welche mit assistentz erstgedachten dero herrn Ehevogts dießem Geschäfft beÿgewohnt, 2. Fraw Sophiam Salome Zängerlin, gebohrne Widtin, Herrn Johann Zängels, Specereÿhändlers und burgers allhier eheliche haußfrau, so beneben dero herrn Eheliebsten hierbeÿ persönlich erschienen, Und dann 3. Herrn Johann Wolffgang Widten den ledigen handelsmann, deßen geordnet und geschworener Herr Curator, Herr Johann Carl Leopard der älter Notarius und wohlbestellter Verwalter des allhiesigen Zollkellers, so mit und beneben dem H. Curando Zugegen war. Alle dreÿ der Verstorbenen Frawen seel. mit Weÿland herrn Johann Reinhardt Widten gewesenen berühmten Fechtmeistern und burgern allhier, in ersterer Ehe erzeugte beed. Fraw Töchter und Herr Sohn und ab intestato Zu gleich. antheilen verlaßene Erben.

In einer in d. Statt Straßburg ane dem Fischmarckt gelegenen, von eingangs erwehntem herrn Christoph Wilhelm Liebhabern, dem Tochtermann bewohnten behaußung befund. word. wie volgt
Abzug in dießes Inventarium, Sa. haußraths 134, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 60, Sa. Guldener Ring 54, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1290, Sa. Taxationis der Gülth von liegenden güthern 13, Sa. Schulden 467, Summa summarum 2020 lb – Schuld 500, Nach deren Abzug 1520 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2020 lb, Stall Summa 1995 lb
Wÿdemb berührend. Anangens den Wÿdemb, welch die in Gott ruhende Fraw seelige weg. hrn Johann Wolffgang Widten ihres Sohns ererbt Vätterlich Guths biß in ihr tödliches Ableib. genoßen
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden
Bericht Zu dießem Inventario gehörig. Es ist mit wenigem dißorths anzumercken, daß herr Johann Friderich Mägerlin der hinterbliebene herr Wittiber eingangs gemeldt und die verstorbene Fraw seelige Zwar Zur Zeit ihrer mit einander getroffenen Ehe eine heuraths Verschreibung auffgerichtet und darinnen wie es mit allerseits Nahrung Zu observiren sattsam abgeredet, nach dem aber sich beede Eheleuth, volgends in A° 1693. mit beederseithigem beliegen separirt, haben Sie auch einander der einem jeed. theil gebührig gewesenen Nahrung halbe, biß auß die inn dem 4. und 5. Articul enthaltene Puncten, als welche damahlen außgesetzt word., würcklich. völlige lieffer: und befriedigung gethan, alßo deß deßhalb. hiebeÿ beschehene bericht nach keines ane das and. außerhalb vorgedachter beed. Puncten etwas weiterers Zuerfordern gehabt (…)
Copia der Eheberedung (…) auff freÿtag den 15. Augusti im Jahr deß Herrn alß mann Zahlte 1687

Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. A, 1687-1711, f° 86-v n° 567)
Heut den 22. Novembris 1699 ist Zu Jung. S. Peter die leich predig gehalten word. fr. Abigail gebohrne von Molßheim H. Joh: Friderich Mägerlin Barbierers und geschwornenn Wundartzts ehelich. hfr. welche Ihres alters 51. Jahr 2 monat 3 woch. 3 tag gestorben den 20. Nov. 1699 vormittag vor 9 uhr. Ihr leichnam ist begraben Zu S. Helenen Bezeugens Johann Friderich Mägerlin Als Eheman, Johann Wolffgang Widt als Sohn (i 92)

Jean Frédéric Mægerlin meurt le 10 septembre 1705 à l’âge de 66 ans. Son gendre barbier Jean Reuchlin est témoin de l’acte de sépulture. L’inventaire après décès n’est pas conservé. On constate par les actes ci-dessous qu’il a délaissé deux filles, Anne Dorothée qui a épousé le susdit Jean Reuchlin et Marie Salomé qui meurt célibataire en 1731.

Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. Diac. Sen. A, 1687-1733, f° 47-v n° 15)
Anno 1705 den 10. Septembr. Morgens umb 8. Uhren ist alhie gestorben Johann Friderich Mägerlin gewesener barbierer und Wundartzt alhie seines alters 66 Jahr 11 monath und 11 Tag, gebohren Zu Straßb. von M. Joh: Mägerlin Diaconi beÿ St. Thom. und f. Anna gebohrne Lehrmänin, ist darauf dn 13. Ejusdem auf dem Gotts Acker St Urbani begraben und von mir M. Philipp Strohl Diac. Tho. eine leich Sermon gehalten Worden [unterzeichnet] Johannes Reuchlin als dochtermann (i 50)

Propriétaire de la moitié indivise de la maison, Anne Dorothée Mægerlin épouse en 1699 le barbier Jean Reuchlin, fils du diacre de Saint-Nicolas Frédéric Reuchlin.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 71 n° 384)
Heüt den 6. Maÿ 1699 ist nach geschehener proclamation copulirt word. H. Johannes Reüchlin, Barbirer und Wundartzt, weÿl. H. M. Friderich Reüchlins, gewesenen Diaconi Zu S. Niclaus allhier nachgelaßener ehelicher sohn, undt Jfr. Anna Dorothea H. Johann Friderich Mägerlins, Barbierers undt geschwornen Wundartzts allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Reuchlin alß hoch Zeiter, Anna Dorothea Mägerlinin alß hohzeiterin, M. Fridericus Reuchlin p. t. Evangel. Pfarrer Zu Görstheim alß Bruder (i 73)

Jean Reuchlin se remarie en 1707 avec Marie Salomé Gnilius, veuve du pasteur de Mittelbergheim Jean Frédéric Geiger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 112 n° 638)
Anno 1707 den 7. Septembr. seind nach geschehener doppelter auruffung, in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet worden, hr. Johannes Räuchlin burger und barbierer alhie und fraw Maria Salome weÿl. H. M. Johann Friderich Geigers gewesenen Evangelischen Pfarr Herrn Zu Mitelbergheim hinterlaßene Wittib gebohrne Gniliusin [unterzeichnet] Johannes Reuchlin alß hochzeiter, Maria Salome Geigerin als Hochzeiterin, M. Friderich Reuchlin P. Görsth. Bruder, M. Petrus Gnilius Diac. Aurel. d. fr. Hochzeiterin bruder (i 114)

Jean Reuchlin épouse en troisièmes noces en 1711 Marie Marguerite Mustinger, fille du barbier Jean Gaspard Mustinger : contrat de mariage, célébration
1711 (18.9.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 71)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und Kunsterfahrenn Herrn Johann Reuchlin, Barbierern, geschwornen Chirurgo und burger, alhier als dem Hern brauthigamb ane Einem,
so dann der Ehren und tugendreichen Jungfrawen Mariæ Margarethæ Mustingerin, des wohl Ehren Vesten Vorachtbahren vnd Kunstgelehrten Herrn Johann Caspar Mustingers, auch barbiererssn geschwornen Chirurgi und burgers alhier Ehelich Erzeugter dochtern als der Jungfraw Hochzeiterin anderer theils
Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg, Freÿtags den 18. 7.br. 1711

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 231-v, n° 1013)
1711. Mitwoch den 7.ten 8.br. Sind nach 2.mahl. Proclamation ehl. copulirt worden H. Joh: Reuchling b. chirurgus vnd Wittwer allhier und J. Maria Margaretha H. Joh: Caspar Mustingers auch b. und chirurgi allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Reüchlin als Hochzeiter, Maria Margaretha Mustingerin als hochzeiterin (i 231) – Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 131 n° 756)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison place Saint-Thomas dont le mari a hérité d’un neuvième d’un de ses enfants. Les apports du mari s’élèvent à 1 093 livres, ceux de la femme à 658 livres

1711 (2. Xbris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 27) n° 22
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrnen Herrn Johann Reüchlins Wohlberühmbten Barbierers vnd Wundartzts: und Frauen Mariæ Margarethæ gebohrner Mustingerin, beeder Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1711. – auß der ursach, weilen Sie in ihren mit einander auffgerichteten Ehepactis sich expresse reservirt, abgeredt vnd verglichen haben, daß Jdem theil das seinige als ein ohnverändert guth ihme reservirt und Vorbehalten seÿn vnd bleiben auch die davon Künfftighin ermanglende Stück Jedem theils Ergäntzt und guth gethan werden sollen – Actum Straßburg den 2.ten Decembris Anno 1711.

In einer alhie zu Straßburg In der Münstergaßen gelegenen, der frauen herrn Vattern gehöriger behaußung Ist befunden word. wie volgt
In einer alhie zu Straßburg auff dem Thomansplan gelegenen, vnd in dieße Nahrung gehöriger behaußung Ist befunden word.
Eigenthumb ane einer behaußung (M.) Item ein Neündter theil vor ungetheilt von vnd ane hauß vnd Hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weiten rechten zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßb. auff dem thomans Plan, eins. neben der Statt Meelwaag sonsten allenthalben neben dem Allmend gelegen, davon die übrige 8/9.te theil des Eheherrn Kindern erster Ehe gehörig, ist berichts weiße hiehero Zuvermercken, daß der Eheherr solchen Neündten theil von Weÿland Philipp Reüchlin deßen in erster Ehe erzeugten v. nach der Mutter tod verstorbenen Söhnlins ererbt vnd ist vmb Künfftig richtigkeit willen, ohn angeschlag. gelaßen word. Über die gantze behaußung ist vorhand. i. alt. teutsch. Perg. Kauffbr. mit d. Cancelleÿ Contract stuben Insigel, dedato 3. Julÿ. 1677.
Series Rubricarum. Sa. haußraths 407. Sa. Schiff und geschirr Instrumenta und Werckzeug Zur Barb. Kst. 102, Sa. Wein und vaß 67, Sa. Silber 113, Sa. Goldener Ring 36, Sa. baarschafft 218, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 130, Sa. Eigenthums ane einer behaußung o, Sa. Schulden 115, Summa summarum 1188 lb – Schuld 94 lb, Nach deren Abzug 1093 lb
Diesemnach so wird dan auch der Ehefrauen in die Ehe zugebrachte Nahrung beschrieb. Sa. haußraths 270, Sa. Silbers 37, Sa. Goldene Ring 52, Sa. baarschafft 72, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 225, Summa summarum 658 lb

Marie Salomé Mægerlin, fille célibataire de Jean Frédéric Mægerlin, meurt célibataire en 1731 en délaissant pour héritière testamentaire sa nièce Salomé Reuchlin. L’inventaire est dressé rue des Dentelles dans la maison du marchand de draps Kürschner. L’actif de la succession s’élève à 538 livres.

1731 (26.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 4) n° 180 (1552)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so Weÿl. die Ehren und tugends. Jungfr. Maria Salome Mægerlin, weÿl. des wohl Ehrenvesten H. Johann Friderich Mägerle geweßenen Chirurgi seel. nachgel. tochter nunmehr seel., nach ihrem d. 15. Jüngst aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen ableiben, hier Zeitl. Verl., dato Zu end stehend, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Jgfr. Salome Reuchlinin alß per Testamentum instituirter Erbin, ersucht und inventirt, nach deme sie mit assistentz und beÿstandt H. Joh: Reuchlins Chirurgi v. burg. alhie ihres gel. Vatters – Actum Straßburg d. 26. maÿ 1730.

In eine alhie Zu Straßburg in der Spitzengaß gelegenen H. Kürschner dem Tuchhändler v. burg. alhier Zuständigen behaußung, hat sich befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 10, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 431, Summa summarum 538 lb – Sa. der Legaten 350 lb, rest 188 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 538 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft in dießer Verlaßenschafft gehörig. Zufolg eines Zwischen dem wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten H. Stephan Bertschen Pfarr herrn Zu Rummelsweiler wie auch der nunmehro weÿl. der Viel Ehr und tugendreichen Fr. Anna Margaretha geb. Dummerin den 1. feb. 1703. vor H. Joh: Jacob Baldner Nor. burg. Zu Straßb. auffgerichteten Test. Nunc. §° 7.° hat erstbes. fr. Pfarrerin seel die nunmehro verstorb. Jgfr. Mägerlin seel. Vor einen dritten Stammtheil ihrer Verl.
Copia Testamenti nuncupativi – 1722 (…) auf Sambstag den 28. Tag des monaths Martÿ, abends Zwischen sechs und sieben Uhren beÿ Zweÿ hell brennenden Liechtern in einer allhier Zu Straßburg ane der Ketten gaß gelegener und von mir Zu und unterschriebenem offenbahrem geschwornem Notario bewohnenden behaußung (…) die Viel Ehren und Tugendreiche Jungfr. Maria Salome Mägerlinin, weÿ: des Wohl Ehren Vesten, Großachtbahren und Hocherfahrnen H. Johann Friderich Mägerlen des geweßenen Barbierers und wundtartzts auch burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgel. tochter, (…) Zweÿtens will die Jungfr. Testirerin Johann Reuchlin dem Ledigen Barbierer gesell weÿland Fraun Annæ Dorotheæ Reüchlinin gebohrner Mägerlinin, mit H. Johann Reuchlin dem chirurgo und burg. aljier ehel. erzeugten Sohn Ihrem Vettern Zu einem Legat bestimet und Verschafft haben 350 gulden (…)
drittens ist der Jungfer Testirerin verlangen, daß Friderich Reuchlin vorgedachtem H. Johann Reuchlin des barbierers in Erster Ehe erziehltem Sohn ihrem Vettern gleicher gestalten auß dero Verlaßenen Nahrung 350 Gulden (…)
An dem Vierdten die weilen die einsetzung der Erben eines jedwedern zu recht beständig Testament fundament und Grundveste, ohne dieselbe auch solches in rechten Keines weegs beständig und gültig seÿn mag, alß will die Jgfr. Testirerin Zu ihrer wahren und ohngezweiffelten eintziger Erbin aller ihrer nach Todt über Abzug Kund. Schulden und Vorher verschaffter Legaten, Verlaßender Haab, Nahrung und Güther ernennet und eingesetztet haben, Vorgedachte Jgfr. Salome Reichlinin H Johann Reichlings des Chirurgi und Wundtartztes auch burgers allhier mit vorgemelter Frauen Anna Dorothea Reichlinin gebohrner Mägerlinin, Ihrer der Jungfer Testirerin Lieben Schwester seel. ehel. erziehlte Tochter, will auch wofern dieselbe Vor: oder nach Ihro der Testirerin dieses Zeitliche Gesegnen solte, aber ehelich erzielte Kinder und Leibes Erben Verlaßen, dieselbe in dero Mutter stell substituirt und undersetzt haben, falls aber dieselbe entweder vor oder nach ihro der Jgfr. testirerin ohnverheürathet oder ohntestirt dieses Zeitl. quittiren solte, so will sie vorgemelte ihre beede eheleibliche Geschwüsterde Johann und Friderich die Reichlin in solch Erb omni meliori modo untersetzt haben – Joh: Lobstein Not. jur.

Jean Reuchlin meurt en février 1741 en délaissant deux enfants ou leurs représentants issus de son premier mariage et trois fils de sa veuve. Les experts estiment la maison 1 050 livres. La masse propre à la veuve est de 2 551 livres. L’actif des héritiers et de de la communauté s’élève à 1 556 livres, le passif à 3 324 livres.

1741 (8.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 13) n° 578
Inventarium über Weÿl. des Wohl Ehrenvest und Kunsterfahren herrn Johann Reuchlins gewesenen Wohlberühmbten Barbierers, Wundartzt und bgers alhier Zu Strasb. seel. Verlaßensch., auffgerichtet in Aô 1741. – nach seinem den 29.ten Februarÿ jüngsthin aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt, hier Zeitl. Verlaßen, welche Nahrungs Verl. dato Zu End stehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorb. seel. ab intestato verlaßener auff folgend. blatt benambßter Erben ersucht und unventirt, nach deme die Viel Ehr und tugendbegabte Frau Maria Margaretha gebohr. Mustingerin die hinterbl. Fr. Wittib mit beÿstand Herrn Tobiä Gundlweins, Gastgebers auff E. E. Zunfftstuben derer Gerbern alhie (…) – Actum Strasb. den 8.t May 1741.
Der Verstorbene seel. hat Zu Erben verlaßen als folget. 1.mo Jungfr. Salome geb. Reuchlinin, die aus erster Ehe mit längst weÿl. Fr: Anna Dorothea Megerlin ehel. erzeigte hinterl. dochter mit assistentz u. beÿstand H. Gottlieb Friderich Poppe des strumpffwebers u. b. alh. alß nechsten Anverwanthen,
2.do Weÿl. H. Joh: Reuchlins, gewesenen Chirurgi und b. alh. mit Fr. Maria Dorothea geb. Schmidin ehelich erzeugte nach todt verlaßene 2. KK. dißorts Enckelin nahmentl. Johannem und Mariam Salome in welcher Nahmen S. T. H. Georg Friedr. Eud Chirurgius u. b. alh. deroselben geschwohr. Vogt, mit Zuziehung und fernerem beÿseÿn des Wohl Edel vest und Rechts gelehrten H. Joh: Friderich Lichtenbergs Not. publici et practici auch bgrs alh. dießen Geschäfft abwartete.
3.tio S. T. H. Joh: Caspar Reuchlin, wohlmeritirt Hoffpredigern beÿ dem durchl. Erb: Printzen des durchleuchtigen Fürsten von Schwartzenburg, dannenhero weg. seiner Abweßenheit, H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen, Chirurgus und b. alh. seiner beeder brüderer geschwohr. Vogt, Zugegen war,
4.to, H. Andream Franciscum Reuchlin, ledig. Chirurgum so selbsten Zugegen und dann
5.to Joh: Jacob Reuchlin, leediger Kandengießer, dermahlen in der Frembde sich befindent, diese 3. letztere mit eingangs besagter hinterbl. Fr. Wb. ehelich erzeigte Sohne davon deren 2. letztern vorherbenamsten H. Ziegenhagen, alß Vogt constituirt und geordnet worden, welcher auch in solcher Qualitæt zugegen war, Alle 5. aber des abgeleibten H. Seel. aus ersterer und letzterer Ehe vorhandene resp.tive löbl. KK. u. Enckel und ab intestato Zu gleichen Stamm theilen seel. Erben

In einer alhier Zu Straßburg auff dem Thomans Plan gelegener und in diese Verl. gehörig. behßung Ist befunden worden als, Höltzen; und Schreinwerck, 1. Bühn, 2. Bühn, in der officier Cammer, Gesellen Cammer, Kl. Stübl. im 3. Stock, In d. Knechts Cammer, Im 2. hauß öhren, In der Camin cammer, In der Caminstub, Hauß Öhren im 2. Stock, Stub Cammer im 2. Stock Stub im 2. Stock, (perge fol. 15.a)
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Eine behßung und hoffstatt mit allen dero gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Strasb. auff dem thomans Plan 1. s. neben der Statt Mehl Wag sonsten rings umb Allmend, so annoch umb 75. lb d Capital Jfr. Salome Reuchlinin des verstorb: seel. dochter erster Ehe wie hernacher fol: (-) et fol: (-) Zubefind. unterpfandts weiße verhafftet, sonsten aber freÿ leedig und eig. und vermög Scheins von denen geschwohr: Hh. Werckmstr. alh. de dato 23. Martÿ 1741. æstimirt u. angeschlagen vor und umb 1050 lb ([biffé] die übrige helffte ist der Jgfr dochter ersterer Ehe u. H. Johann Reuchlins junioris seel. KK eigenthümlich zuständig) Und besagt über diese behaußung 2. teutsche Pergamente Kffbrieff in alhies. C. C. Stub gefertigt, deren der eine datirt den 14. Octobris 1648 der andere aber den 3. Julÿ 1677.
Abschatzung dem: 23. Martzÿ 1741. Auff begehren Weillandt ddeß Wohll Achtbahren und bescheitenen H: Johanneß reichling deß geweßenen balbiererß seel: hinter Laßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allher in der Statt Straßburg, auff dem Thomaß blann gelegen, so ein seitzß an die Mëhll wag, anderseitß und hindten auff herren Allmëndt stoßendt: welche behaußung undten die balbier Stuben, Neben dar an die Kuche Cammer und hauß Ehren Kleiner gewölbter Keller, oben darübe, ein Stuben Cammer, Nebenß Cammer und daß hauß Ehren, ihm Zweÿten stock, widerum ein Stuben, Cammer, Küchen und hauß Ehren, ihm tritten Stock undter dem tach, ein Cammin Cammer Vor dem Officier, und Kammer Vor dem Knëcht, Zweÿ nebenß Camren, oben dar über daß tach mit einer besetzten und un besetzten bienen, daß tach mit breit Zieglen belegt, sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister Sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umn Zweÿ Tausent und Ein hundert Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung der Fr. Wb. Wehrender Ehe abgegang. ohnverändert Guths. Nach außweiß deß Invent: über deß verstorb. H. Reuchlin seel. vnd der hinterbl. Wb. zusammen in den Ehestand Zugebrachte Nahrung sub dato d. 8. decembr. 1711 durch nunmehr weÿl. H. Not° Jacob Christoph Pantrion seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Codicilli
der hinterbl. fr. wb. ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 63, Sa. leeren Faß u. bütten 3, Sa. silbers 37, Sa. Gold. Ring 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Activorum 75, Sa. Ergäntzung 2187, Summa summarum 2551 lb
Diesemnach so wird dann auch der Erben ohnverändert und Zugleich d. gemein verändert und theilbahre Vermögen unter einer Maß alß theilbar consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 161, Sa. Weins leerer Faß und bütten 13, Sa. Instrumenten und Werckzeugs Zur barbier Kunst gehörig 23, Sa. Silbers 32, Sa. Golderer o 14, Sa. baarsch. 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1050, Sa. Pfenningzinß hauptgüteres und deren Hptguths 150, Sa. Activorum 107, Summa summarum 1556 lb – Schulden 3324 lb, Übertreffen also die theilbare passiva der Erben ohnverändert und theilbarer activ Vermögen umb 1767 lb

La veuve fait vendre des objets mobiliers devant sa maison
1741 (12.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 13) n° 584
Verkauff register über diejenige hausräthliche Posten so weÿl. herrn Johann Reuchlins geweßenen Chirurgi und burgers alhier hinterlaßene Frau wittib, vor ihrer behaußung auff dem Thomans Plan gelegen (…) feÿl biethen und verkauffen laßen, auffgerichtet den 12. Junÿ A° 1741

Marie Marguerite Mustinger meurt en 1743. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 620 livres, le passif à 767 livres.

1743 (25.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 16) n° 641
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugend begabten fr. Mariæ Margarethæ Reichlinin gebohrner Mustingerin, weÿl. S.T. H. Joh: Reuchling geweß. Chirurgi vnd burgers alhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1743. – nach Ihrem den 22.ten Maÿ jüngsthin aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt, hier Zeitl. Verlaßen, welche Nahr. Verlaßenschafft dato Zu End stehend, auf freundliches ansuchen und begehren S. T. H. Mr. Johann Caspar Reuchllins, Informatoris beÿ Ihro durchlaucht dem Printzen von Sachßen Gotha, so dann alß vogt Joh: Jacob Reuchins ledig. Kandengießer, so in d. frembde sich befindent, vnd H. Andreæ Franciscæ [sic] Reuchlin deß ledig. Chirurgi so selbsten auch Zugegen, ersucht und inventirt, nach deme Jfr. Salome Reuchin die Stieff schwester v. Jr. Magdalena Reuchlin die basse ein solches alles (…) geäugt und gezeigt – Actum Straßb. d. 25. Junÿ 1743.

In einer alhier Zu Straßburg auff dem Thomans Plan gelegenen hiehero gehörig. behßung hat sich befunden als volgt
Höltzen; und Schreinw, Auff der obern Bühn, Auff der untern Bühn, in der Bühn Cammer, In des Officiers Stub, Im Eck Stübel, Ins officiers Knechts Kammer, In der gesellen Cammer, In der Herren Stub Cammer, In der Kleinen Cammer in ersten Stock, In der barbier Stub,
Eigenthumb ane Einer Behaußung. Nehml. eine behauß: und hoffstatt mit allen dero gebäun, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßb. auff dem Thomas Plan eins. neben der Statt Mehl Wag, sonst: ringsumher Allmend, so annoch Jfr. Salome Reuchlinin der Stieff und Weÿl. Joh: Reuchlins des jüngern Kindern weg. Müttlerl. guths und Vorgelieh. Gelds wie hernach unter denen passivis Zufind. Unterpfandts weiße verhafftet, sonsten aber ledig und eigen. und gelaßen beÿ demjenigen anschlag wie dieselbe nach außweißg. deß über Weÿl. H. Joh: Reuchlins des ältern gewes. burgers und chirurgi alh. seel. Verlaßenschafft den 8.ten Maÿ 1741. auffgerichtet Inv. durch die geschwornene Hh. Werckmeistere æstimirt und angeschlagen worden ist. 1050. lb. Und besagent über diese behaußung 2. teutsche Pergamente Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertigt, deren der eine datirt den 14. Octobr. 1648. der andere aber den 3.ten Julÿ 1677.
Sa. haußraths 226, Sa. Weins und leerer Vaß 14, Sa. Werckzeugs, Schiff und geschirrs 20, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 26, Sa. Goldenen Ring 38, Sa. baarschafft 19, Sa. pfenningzinß hauptgüter 150, Activa 74, Summa summarum 1620 lb – Passiva 767 lb, Nach solchem abzug 853 lb – Balbierer Schulden
Summarischer Calculus, Sa. haußraths 63, gewohnliche beßer. 31, Sa. Leerer Vaß und Bütten 3, beßerung 1 – Überbeßerung 18, Zusammen 93 lb
Sa. Gulderner Ring 34, beßerung 34 – Überbeßerung 13, zusammen 82

La défunte a légué la maison à son fils barbier André François Reuchlin moyennant 4 500 florins ou seulement 4 000 florins si elle meurt de la maladie dont elle est atteinte

1743 (10.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 660, 661
Dispositio matris inter liberos – persönlich kommen und erschienen ist die Viel Ehren vndt Tugendbegabte frau Maria Margaretha gebohrne Mustingerin Lt H Johann Reuchlins Sen: geweßenen Chirurgi vnd burgers alhier hinterlassene frau wittib, ohnbäßlichen schwachen vnd Krancken leibes, dahero Zu bett liegend doch aber annoch guten verstandtß (…)
dießemnach vnd vor das andere, aldieweilen Ihr Jungster dermahlen in der frembde sich befindende Sohn Andreas Frantz Reuchlin die chirurgi vnd barbier Kunst erlernet vnd begriffen hat, alß ist deßhalben ihr Mütterlicher willen, befelch vndt Verordnung, daß wafern der liebe gott über die Fr. Disponention solte gebiethen, vnd die auß dießer Zeith vnd welt, doch nicht in dießer Jetzigen Kranckheit absterben, und versterben laßen, Erstbesagten ihrem Jüngen Sohn, die Ihro Zugehörige barbierer behauß. alhier Zu Straßburg auf dem Thomas Plahn neben der Meelwag gelegen, mit all dero recht und gerechtigkeiten auch allen Zur chirurgi v. barbier Kunst gehörig Instrumenten, Vasis, Schiff und geschirr, es habe Nahmen wie es immer wolle, vor vndt vmb 4500 gulden von übrigen seinen geschwüsterd (…) abgetretten und überlaßen (…), wurde aber die Fr. dieponentin unter dißer Jetzigen Kranckheit erliegen bleiben vnd ihr leben schleißen müßen, oder ehe vndt bevor besagter Ihr Sohn sein 24. Jährig alter erlanget haben wurde, Sie versterben solle Er besagte behaußung vmn 500 gulden weniger, vnd also nur vor 4000 gulden haben vnd behalten vndt die übrige 500. fl. ihme nachgelaßen vnd prælegirt seÿn
Actum in bemelter behaußung vnd deme nechsten der barbier Stuben sich befindlichen Kleinen Stublein, mit denen fenstern auff die Straß außsehend in beÿsein undt Persönhlicher gegenwarth (…), Freÿtagß den 10. Maÿ 1743. abendß zwisch. 7. 8. vnd 9. uhren [unterzeichnet] Maria Margaretha Reuchlinin

Le tuteur d’André François Reuchlin qui fait son tour de compagnon à Nuremberg et à Paris s’adresse aux Quinze pour obtenir le droit d’exploiter le fonds de barbier tant que son pupulle n’est pas de retour afin de ne pas perdre la clientèle. La commission estime que les articles de règlement allégués par le corps des barbiers ne s’appliquent pas en le circonstance. Ils proposent d’accorder un délai de six mois. Les Quinze acordent un an. La décision de juin 1743 est expédiée à la demande des parties en 1746.

1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Weÿl. H. Joh: Reuchlin gewes. Chirurgi und burgers Sohns Andreæ Francisci Reuchlin Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
(p. 272) Sambstag d. 15. Junÿ 1743. Römer nôe Weÿl. H. Joh: Reuchlin gewes. Chirurgi und burgers Sohns Andreæ Francisci Reuchlin ledigen Chirurgi Vogts H. Daniel Gottlieb Ziegenhagens auch b. und Chirurgi Cit. E. Löbl. Corps derer Hh. Chirurg. H. Alt Meister H. Joh: Meÿer prod. Extract Zufolg deßen H. Ppal an Mgh. Verwiesen worden, bitt Deput. et Facta relatione diesem petito gn. Zu deferiren. Moss bitt auch Depul. Erk. Deput. willfahrt.

(p. 284) Sambstag d. 22. Junÿ 1743. Weÿl. H. Joh: Reichlins Sohns Vogt Ca. die Hh. Barbierer
Iidem [Obere Handwercks herren] laßen weithers per Eundem [Herren Secretarius Kleinclaus] Vortragen daß Weÿl. H. Johann Reuchlin gewesenen Chirurgi undt burgers Sohns, Andres Frantz Reichlings ledigen Chirurgi Vogt, H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen auch burger und Chirurgus, contra E. Löbl. Corps derer Peruquiers [sic] H. Alt Meister H. Johann Meÿer den 15. huj. einen beÿ ged. Corps den 30. May jüngst ergangenen gescheid (.besag welches auff ged. Ziegenhaben bericht, daß auff absterben gemelt seines Vogts Sohns Eltern die Reichlinische Barbier stub sothanen Vogts Sohns anerstorben, und bitt Ihme, alß Vogt Zu erlauben, solche nahmens seines Curandi mit einem Gesell fort führen Zu dörffen, per majora erkandt, daß ermelte barbier stub solle geschloßen Verbleiben, biß ged. H. Ziegenhagen Vogts Sohn solche selbsten fort Zuführen, sich in stand setzen wird, mithin derselbe Vor Ghh. der XV. mit seinem begehren Zu Verweisen.) producirt, und dabeÿ gebetten deputationem Zu willfahren, et facta relatione dem beÿ ged. Löbl. Corps von Ihme gethanen begehren gnädig Zu deferiren, Auff welches der Citatus auch umb Deputation angesucht. Beÿ bewilligt und beseßener Deputation Habe der Implorant petitum wiederhohlt, mit dem beÿsatz, Er biethe Ihme nomine quo agit gnädig Zu willfahren, damit wehrender seines Vogts sohns abwesenheit die Kundschafft sich nicht Verliere, und habe Er, der Curandus Zu dem ende sich in die Frembde begeben, umb sich etwa Zu Nürnberg oder Zu Paris noch beßer Zu qualificiren, ob gleich er hier bereiths Verschiedene Collegia gehalten habe.
Nahmens derer Imploraten seÿen Vorgestanden Johann Meÿer und Johann Jacob Schneller, welche geantwortet die Meisterschafft halte sich an den 12. 13. und 14. Ihrer Articul /:welche abgeleßen und Zu diesem Casu nicht applicabel gefund. worden:) mit dem beÿfügen, Es seÿe annoch eine ledige Tochter in dem hauß, und wan noch ein Frembder Gesell dahien Kommen wolte, würden Zweÿ ledige Persohnen selbige allein bewohnen, welches sich nicht wohl schicken thäte.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß dem Imploranten auff ein halb Jahr in seinem begehren Zu Willfahren, und wann des Imploranten Curandus alßdann die barbierstub quæstionis biß auff deßen Wiederkunfft geschloßen werden sollen, die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend.
Erkandt, bedacht gefolgt, aiß er daß der Termin ane statt 6. Monats auff Ein Jahr bewlligt.

Protocole des Quinze (cote 2 R 156) (p. 183) Sambstags d. 12. Martÿ 1746. Ego referire, daß communication nachfolgende bescheid begehret, dießelbe auch Zu Papÿr gebracht worden, wie folgt.
Bescheid – Sambstag d. 22. Junÿ 1743. In Sachen Weÿl. H. Johann Reuchlings geweß. Chirurgi und burgers hinterl. Sohns, Andres Frantz Reichlings, ledigen Chirurgi, Vogts, H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen auch burgers und Chirurgi ; Imploranten, an einem, entgegen und wieder E. Löbl. Corps derer Chirurgorum H. Alt Meister, Imploraten, am andern theil, auff den d. 15. hujus von dem Imploranten produciren beÿ gedachtem Corps d. 30. May jüngst ergangenen gescheid, besag welches auf des Imploranten nomine quo agit gethanes begehren, die Reuchlinische barbierstub, welche seinem Curando anerstorben, mit einem Gesellen fortführen Zu dörffen, per majora Erkandt worden, daß ermelte barbierstub solle geschloßen Verbleiben, biß des Imploranten Vogts Sohn solche selbsten fort zuführen, sich in stand setzen werde, mithin derselbe Vor Uns mit seinem begehren Zu Verweisen, Gethane bitte, deputationem Zu erkennen et facta relatione, dem beÿ gedachtem Löbl. Corps von dem Imploranten mündlich Vorgebrachte Verantwortung, Vermög welcher sie sich auf den 12. 13. und 14. Ihrer Artickel beruffen, mit dem beÿgefügtem bitten, dem Imploranten mit seinem begehren ref. exp: abzuweißen.
Gebettene, bewilligte und beseßene deputation auch all übriges derer parthen angehörtes Vor und anbringen, ist derer Hh. depp. abgelegten relation nach Erkanndt, seÿe dem Implorant in seinem begehren auff ein Jahr Zu Willfahren, und wann der Curandus in dießer Zeit sich hier nicht [sistiren wür]de, als dann die barbierstub quæstionis biß auff deßen Wiederkunfft geschloßen werden solle.

André François Reuchlin épouse en 1746 Anne Catherine Hüttner, fille d’un meunier de la Robertsau : contrat de mariage, célébration. Le futur époux assure par contrat de mariage la jouissance viagère de la maison de barbier à la future épouse

1745 (24. 9.br), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 349) n° 194
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvest, Großachtbar und Kunsterfahrenn herrn Andreas Frantz Reuchlin, ledigem Chirurgo, weÿl. S. T. H. Johann Reuchlin, geweßenen Chirurgi und burgers allhier Zu Straßburg, mit auch weÿl. S. T. Frauen Maria Margaretha gebohrner Mustingerin, beder seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem H. Bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Anna Catharina Hüttnerin, weÿl. des Ehren und Wohlvorgeachten H. Conrad Hüttners gewesenen Müllers und burgers allhie mit der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Stammin, deßen hinterbliebener Frau Wittib ehelich erzeugter tochter, als der Jugfr. Hochzeiterin ane dem andern theil

Worbeÿ d. H. Hochzeiter, wann Er Vor seiner Jungfrau hochzeiterin versterben würde, deroselben insonderheit die ihme von seiner Frau Mutter seel. um einen gewißen Preiß prælegirte ane dem St. Thomans Plan allhier neben der Meelwag stehende barbier behaußung cum appertinentÿs et Dependentÿs samt der barbier Gerechtigkeit und allem Zur barbier Kunst gehörigen Vasis et Instrumentis zu einem lebtägigen Wÿdumbs Genuß hiemit Zum Cräfftigstem Verschrieben
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 24. Novembris Anni 1745.
[unterzeichnet] Andreas Frantz Reuchlin als Hochzeiter, Anna Catharina Hüttnerin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 59 n° 314)
1746. Mitwoch den 20. April. seind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausruffung Zu St Thomæ und Zum A. St. Peter auf erhaltene Erlaubnus von regirend. Herrn Ammeisters zu haus copuliret und eingesegnet worden Herr Andreas Franciscus Reuchlin Lediger Chirurgius, Weÿl. Herrn Johannes Reuchlin gewesenen Chirurgi und burgers allhie hinterlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Anna Catharina Hütnerin weÿl. herrn Conrad Hütner gewesenen Müllers und burgers allhie hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Andreas Frantz Reuchlin Chirurg. als Hochzeiter, Anna Catharina Hüttnerin Hochzeiterin (i 60)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari place Saint-Thomas. Les apports du mari s’élèvent à 138 livres, ceux de la femme à 1421 livres

1746 (25.4.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 317) n° 416
Inventarium über des Wohl Ehrenvest, Großachtbar und Kunsterfahren H. Andreas Frantz Reuchlins, Chirurgi, wie auch der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Annæ Catharinæ Reuchlinin, gebohrner Hüttnerin, beeder Ehe Persohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1746. – welche der ursachen halben, allweilen in deroselben den 24.ten Novembris A° 1745. Vor mir Notario mit einander aufgerichteter Eheberedung §° 4.to ausdrucklichen Versehen, daß einem Jeeden derselben und Ihren Erben seine in die Ehe bringende und wehrender Ehe ererbende Nahrung eine freÿ eigen ohnverändert und Vorbehanten Guth seÿn vnd bleiben – So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg in fernerer Gegenwarth H. Johann Stammen, Müllers in der Ruprechtsau und burgers allhier, der Ehefr. H. Vettern und geschwornen annoch ohnentledigten Vogts, als deroselben hierzu in specie erbettenen beÿstands auf Montag den 25.ten Aprilis Anno 1746.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomans Plan gelegener, dem Eheherrn Zuständigen und hernach beschriebener barbier behausung befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, Ins Officiers Zimmer, In der Gesellen Calmmer, In der ohneins untern Stub, Im unterm Hauß öhren, In der Barbierstub, In der Cammer darneben, Im Keller, In der Kuchen
(f° 12) Eigenthumb ane einer Behaußung. (M.) Eine behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Thomas Plan einseith neben der Statt Meelwaag, sonsten ringsumher die Allmend, so außer hiernach passivé eingetragegener darauff hafftender Capitalien freÿ, ledig und eigen. und hiehero ohnpræjudicirl. angeschlagen pro 2000 lb. Deßwegen Vorhanden 2. teutsche pergamentene Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stub gefertigt und mit dero anhangenden Insiegel verwahrt datirt d. 14. 8.bre 1648. und 3.ten Julÿ 1677.
Antheil ane einer behaußung, so die Ehefrau in die Ehe gebracht. Ein sechster theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung (…) gelegen in der Ruprechtsau und deren untern Au im Rad (…)
(f° 24) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 328, Sa. Vasorum et Instrumentorum Zur Barbier Kunst und Chirurgie gehörig 97, Sa. Wein und Faß 36, Sa. Silbers 43, Sa. goldener Ring 17, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2000, Sa. Sa. 53, Summa summarum 2576 lb – Schulden 2491, Detrahendo verbleibt 85 lb, hierzu gelegt die ane hieunden beschriebenen haussteuren 52 lb, So wird sein des Eheherren deren Völliges eigenthümbl. Vermögen sammenthafft ausmachen 138 lb
Dießemnach werden auch der Ehefrau in die Ehe gebrachte Mittel consignirt, Sa. haußraths 639, Sa. Schiff und geschirr zum Fuhrweßen und Ackerbau gehörig 2, Sa. Viehes 7, Sa. Silbers 71, Sa. goldeer Ring und Geschmeids 126, Sa. baarschafft 80, Antheil ane einer behaußung 441, Summa summarum 1368 lb – Und wann hierzu gerechnet wird der Ihro der Ehefr. vi pactorum dotalium §° 6.to zuständige halbe theil 52 lb, Der Ehefraun in die Ehe gebrachtes eigenthümliches Guth 1421 lb

André François Reuchlin hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Heiner, pensionnaire à l’hôpital, et de Marie Madeleine Reuchlin

1748 (6.4.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 334
H Andreas Frantz Reuchlin der chirurgus mit beÿstand seines curatoris ad actum H. Lt Carl Ferdinand Popp procuratoris vicarÿ
in gegensein Anthoni Bitton des unter Pedellen beÿ hiesiger Löbl. Universitæt als vogt H. M. Johann Daniel Heinerin des in dem mehrern hospital befindlichen pfründers und in fernern gegenwart Jfr. Mariæ Magdalenæ Reuchlinin mit beÿstand Heinrich Sylvester Gänßmann des schuhmachers – schuldig seÿen 400 und 300 pfund [unterzeichnet] Antonj Piton ministr: acad.
unterpfand, eine behausung und hoffstatt samt deroselben zugehörden und rechten ane St Thomä plan, einseit neben der meelwaag, auff allen anderen seiten am Allmend – als ein mütterlichen praelegat – wobeÿ auch erschienen des debitoris bruder H. Johann Caspar Reuchlin Prof. Poeseos, die haben sich für diese Schuld verbürgt

André François Reuchlin porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose aux compagnons barbiers
1748, Protocole des Quinze (2 R 158)
Andreas Frantz Reuchlin Ca. E. E. gesellschafft derer Chirurgorum Altgesellen
(p. 394) 1748. Mittwochs d. 11. Septembris. Faust nôe Andreas Frantz Reichlin des Chirurgi, Ca. Eundem prod. recessirt, und bitt ut ante. Erkannt ut ante.
Contra E. E. gesellschafft derer Chirurgorum Altgesellen, prod wiedrigen gerichts bescheid, von welchem pplis. an Mghh. appellirt, bitt deßen Verzeichnuß, und Will ad proximam dazu Verkünden laßen. Erk. Verzeichnet.

Anne Catherine Hüttner meurt en délaissant un fils. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire dressé après la mort de la mère du veuf. La masse propre au veuf s’élève à 1 409 livres, celle des héritiers à 1 409 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1 342 livres, le passif à 3 162 livres.

1753 (13.6.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 26
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Viel Ehren und tugendgezierte Frau Anna Catharina Reuchlinin, gebohrne Hüttnerin, des wohl Ehren Vest und großachtbahr: auch Kunsterfahrenen herrn Andreä Frantz Reuchlins des Chirurgi und Wundartzten allhier geweßene Frau Eheliebstin nun seelige, nach ihrem dienstags den 23.ten Januarÿ dieses lauffenden 1753.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und begehren des Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Stammen, des Müllers in der Ruprechtsau und burgers allhie Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Frantz Reuchlins, der abgeleibten seeligen mit vorgemeltem dem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erziehlten Söhnleins und ab intestato verlaßenen Universal Erben, welcher mit assistentz S. T. Herrn Johann Jacob Ölingers Notarÿ Publicj juratj et Practicj allhier dem Geschäfft beÿwohnete, ersucht und inventirt, durch schon gemelten den hinterbliebenen herrn Wittiber selbsten, beÿständlich S. T. Herrn Georg Mendoche J. V. Lti und E: E: großen Raths Procuratoris Vicarÿ, auf zuvorhin sowohl ane denselben als auch die dienst Magd beschehenen (…) handtreu geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 13.rten Junÿ et seqq. A° 1753.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomans plan gelegenen und in des herrn Wittibers ohnverändert und theilbahre Nahrung gehörigen behausung befunden worden wie volgt
(f° 9-v) Eigenthumb ane einer behaußung. Nemblichen eine behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Thomans Plan, einseit neben der Statt Meelwaag, sonsten rings umb Allmend, so außer denen darauff hafftenden passivis freÿ, leedig, eigen und in w. frauen Mariä Margarethä Reuchlinin gebohrner Mustingerin seel. Verlaßenschafft Inventario des Wittibers frau Mutter seel. Verlaßenschafft Inventario de A° 1743. æstimirt und angeschlagen worden pro 1050. Wobeÿ es sich dißmahlen mit großgünstig ertheilter permission der Hn. dreÿ der Statt Straßburg Stall widergelaßen worden. Darüber besagen 2. teutsche in allhießigen. Cancelleÿ Contract Stub gefertigte pergamentene Kaufbrieff mit denen anhangenden Insieglen corroborirt, davonn der ältere datirt den 14.ten 8.bris 1648. mit Nis 15. et 16. signirt, der letztere aber de dato 3.ten Julÿ 1677. mit altem N° 1 bezeichnet ynter beederseiths beÿ dedachten Nis wider gelaßen.
Ergäntzung des Erben abgegangenen ohnveränderten Guths, Vermög Inventarÿ über der Verstorbenenn seel. und Ihres hinterbliebenen herrn Wittibers einander in die Ehe Zugebrachter Nahrung durch H. Johann Friedrich Lichtenberger, Notarium und berühmten Practicum den 25. Aprilis A° 1746 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 144 lb, Sa. Silbers 30 lb, Sa. goldenen ring und dergleichen Geschmeids 30 lb, Sa. Schulden 102 lb, Sa. Ergäntzung rests 1101 lb, Summa summarum 1409 lb
des Wittibers ohnverändert und theilbare Nahrung, Sa. hausraths 99 lb, Sa. Vasorum et Instrumentorum zur Barbier Kunst und Chirurgie gehörig 18 lb, Sa. lährer Vaß 4 lb, Sa. Silbers 19 lb, Sa. goldene ringe 6 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1050 lb, Sa. Schulden 143 lb, Summa summarum 1342 lb – Schulden 3162 lb, In Vergleichung 1820 lb, Stall summ seu conclusio finalis, Mehr Schulden als Nahrung 410 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 24. Novembris Anni 1745. – Johann Friderich Liechtenberger Notarius publicus juratus

André François Reuchlin se remarie avec Henriette Elisabeth Rigoullot, fille dun diacre de Montbéliard : contrat de mariage, célébration
1753 (19.10.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 13
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seind, der Ehrenvest und wohlachtbare Herr Andreas Frantz Reichlin Kunsterfahrene Chirurgus und burger alhier Zu Straßburg, alß hochzeiter ane einem,
so dann der Ehren und tugendsame Jungfrau Henriette Elisabetha Rigoullot, weÿl. S. T. Herrn Leopold Friderich Rigoullot gewesenen Treueÿfferigen und wohlverdienten Diaconi der Evangelischen Kirch Zu St. Martin in Montbeliard ehelich erzeugte nach Tod verlaßene Tochter als der Jungfer hochzeiterin am andern Theil
auf Freÿtag den 19. Octobris 1753 [unterzeichnet] Andreas Frantz Reuchlin als Hochzeiter, Hanriette Elisabet Rigoullot comme Epouse

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 85 n° 503)
Anno 1753. Montag den 22. Octobr. seind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausruffung Zu St Thomæ auf erhaltene Erlaubnus von regirend. Hrn Ammeisters zu haus copuliret und eingesegnet worden Hr Andreas Frantz Reuchlin der Wittiber Chirurgus und burger allhie und Mademoiselle Henriette Elisabeth Rigoullot weÿl. Hrn Leopold Friderich Rigoulot gewesenen Diaconi Zu Mümpelgard hinterlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Andreas Frantz Reuchlin als Hochzeiter, Hanrette Elisabeth Rigoullot Epouse (i 87)

Les conjoints Reuchlin font dresser l’inventaire de leur fortune grevée d’un fort passif. L’épouse a l’intention de demander le bénéfice de cession. La masse propre à la femme est de 1 148 livres. L’actif du mari et de la succession s’élève à 1 230 livres, le passif à 3 464 livres.

1757 (7.3.), Not. Fické (6 E 41, 754) n° 79
Inventarium über Herrn Andreä Frantz Reichlin des Chirurgi und Frauen Henriettæ Elisabethæ gebohrner Rigoullot, beeder Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg dermalen besitzende activ Nahrung und dagegen zu bezahlen stehender passiv Schulden, auffgerichtet in anno 1757. – welches alles in Ansehug des obhandenen Schuldenlasts heut dato auf Ansuchen und begehren erstgedachter der Ehefrauen die miy beÿhülf S. T. Herrn Johann Georg Mendosche, J U. Lti und E. E. großen Raths wohlverdienten Procuratoris vicarii ihres ane Vogts statt erbettener und hiebeÿ gegenwärtigen Herrn beÿstandts, zu beschütz: und Erlangung ihres unveränderten Vermögens das Beneficium Cessionis et Prælationis gerichtlich Zu suchen gedencket, in beÿseÿn des Ehemanns fleißig ersucht und inventirt worden – So beschehen Straßburg auf Montag den 7.ten Martÿ 1757.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plahn gelegenen und dem dißortigen Ehemann eigenthümlich zuständiger behaußung ist befunden worden als
(f° 12) Eigenthumb ane einer behaußung. Nemblichen eine behaußung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg auf dem Thomas Plahn, einseith neben der Statt Meelwaag, sonsten rings herum die Allmend, so außer der darauf haftender und hiernach passivé eingetragener Capitalien freÿ, leedig und eigen, und beÿ vorgewesener des Eheherrn erserer Ehefrauen Verlaßenschaft Inventur durch die Herrrn Werckmeistere in Anno 1753 angeschlagen worden, vor 1050 lb. Darüber sollen besagen zween teutsche pergamentene Kaufbrief, in alhiesiger C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahret, de datis 14.ten 8.bris 1648. und 3.ten Julÿ 1677. so auch hiebeÿ vorgewießen worden.
(f° 15) Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths, Nach Anleitung des über der Ehefrauen ind ie Ehe gebrachte Nahrung durch mich Notarium den 23.ten Decembris 1754. auffgerichteten Inventarii
(f° 17) Series Rubricarum hujus Inventarii. der Ehefrauen unveränderten Vermögens, Sa. hausraths 215, Sa. Vasorum et Instrumentorum zur Chirurgi gehörig 6, Sa. Silbers 22, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 90, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Sa. Schuld 250, Sa. Ergäntzung 163, Summa summarum 1148 lb
Diesemnach, so wird auch des Ehemanns unverändert und die theilbare Nahrung unter einer Mass beschrieben, Sa. hausraths 108, Sa. leeren faaß und bütten 10, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1050, Sa. Schulden 58, Summa summarum 1230 lb – Schulden 3464 lb, In Vergleichung 2233 lb

D’après les actes ultérieurs, la maison est vendue par enchère publique le 13 octobre 1757. L’acquéreur est le médecin Jean Philippe Grauel qui la revend à Henriette Elisabeth Rigoullot, femme du propriétaire précédent

1759 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 45
ST H. Johann Philipp Grauel Doctor medicinæ und Professor Phys. auch Capituli Thom. Canconicus
in gegensein Fr. Henriette Elisabetha geb. Rigoullot, H. Andreas Frantz Reuchlin des chirurgi eheliebstin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Lt. Georg Mendoche des procuratoris vicarÿ
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane St Thomæ Plan, einseit neben der meelwaag, anderseit und hinten auff das Allmend – als ein d. 13. Octobris 1757 ane der ganth ersteigtes guth – um 1408 pfund

André François Reuchlin s’adresse aux Quinze pour pouvoir vendre le droit de barbier provenant de son grand père Jean Gaspard Mustinger. L’affaire est renvoyée au corps des chirurgiens puis jugée par les Quinze le 25 janvier 1772. Le corps des chirurgiens relève que nul ne peut détenir deux droits de barbier : le pétitionnaire a déjà vendu le sien en 1764 et il lui a été interdit d’exercer en 1766 parce qu’il ne détenait plus de droit de barbier. La commission estime qu’il n’y a pas lieu d’accorder au pétitionnaire la permission de vendre un droit qui est éteint depuis longtemps. Les Quinze délivrent une expédition du jugement en février 1772.
1771, Protocole des Quinze (2 R 182) et 1772, XV (2 R 183)
Andreas Frantz Reuchlin Chirurgus pt° die Mustingische barbier gerechtigkeit
(p. 602) Sambstags den 7.ten Decembris 1771 – Wilhelm nôe Andreas Frantz Reuchlin, des burgers und Chirurgi alhier, producirt unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. Sub N° 1, umb gnädige erlaubnus die Mustingische barbier Gerechtigkeit Verkauffen zu dörffen.
Erkanndt, Solle dieses Memoriale samt adjuncto E. Löbl. Corps der Chirurgorum communicirt werden.

(p. 14) Sambstags den 18.ten Januarÿ 1772 – Wilhelm nôe Andreas Frantz Reuchlin in aîs cit. E. E. Ew. Gn. Erkantnus vom 7. Xbre jüngst Es. Löbl. Corps der Chirurgorum seniorem, erholt Memoriale de dicta die und bitt Deputationem.
Rag prod. unterth. Exceptiones juncto petito, bitt similiter Deputationem. Erkanndt, Deputatio.

(p. 26) Sambstags den 25.ten Januarÿ 1772 – Obere Handwercks Hh. laßen durch Hn Secretarium Stædel reeferiren, es habe H. Andreas Reuchlin der burger und Chirurgus alhier den 7. Xbre jüngst ein Unth. Memoriale samt beÿl. Sub N° 1. übergeben juncto petito, Mgghh. geruheten, ihme gnädig Zu erlauben, daß er die ihm erblich anheim gefallene Johann Caspar Mustingers seines Groß Vaters barbier gerechtigkeit Verkauffen dörfe.
Auf geschehene Communication habe E. Löbl. Corps derer Chirurgorum seine Exceptiones dahin überreichet, Mghh. geruheten, den Imploranten mit seinem wiederrechtl. begehren refusis expensis abzuweißen.
Beÿ beseßener Deputation habe der Implorant præsens Contenta Memorialis et petiti wiederholet.
Nôe Imploratischen Corps seÿen Vorgestanden, Johannes Riedel, als Senior, Wilhelm Friderich Föckler, und Johann Wilhelm Köbel, alle Chirurgi, welche sich auf den inhalt ihrer Exceptionen bezogen.
Nachdeme die Hh. Depp. Zu vorderist den allegirten 7. §.um des erneuert und verbeßerten Artickel des Corps der Chirurgorum de anno 1757. nachgeschagen und darinn wahrgenommen, daß Keinem Chirurgo erlaubt, Zweÿ Gerechtigkeiten Zugleich Zu besitzen, der Implorant aber in besagtem jahr die Gerechtigkeit exercirt, welche er in anno 1764. seinen eigenen geständnus Zufolg Verkaufft, auch ihme in anno 1766. als ihme von dem Corps der Chirurgorum, aus ursachen daß er keine Gerechtigkeit würcklich besitze, das practiciren verbotten worden, von Mgg. auf sein inständiges bitten ex gratiâ erlaubt worden, mit seiner eigenen hand und ohne einiges Chirurgisches Zeichen auszuhencken, seine Kunden Zu bedienen, so hätte, hochged. Hh. Depp. gantz clar ersehen, daß der Implorant damalen schon keine Gerechtigkeit mehr gehabt, mithin die heute neuerdings aus licht gebrachte Mustingerische Gerechtigkeit als ein non cas, Zum wenigesten als längstens erloschen, anzusehen seÿe Wozu annoch komme daß der Implorant seinem Vorgeben nach, diese prætendirte Gerechtigkeit nicht Zu seinem gebrauch, sondern umb solche Verkauffen Zu können, Wieder valiren Zu machen gedenckt, beÿ so bewandten umbständen hätten die Herren Depp. dafür gehalten, daß der Implorant mit seinem begehren refusis expensis abzuweißen seÿe.
Erkandt, bedacht gefolgt.

(p. 59) Sambstags den 8. Februarii 1772. Folgende Bescheid sind auf gebettene und erkandte communication ausgefertiget worden.
Bescheid – Sambstags den 25.ten Januarÿ 1772. In Sachen Andreas Frantz Reuchlin des burgers und Chirurgi alhier Imploranten an einem, entgegen und wider Eines Löbl. Corps der Chirurgorum seniorem Imploraten am andern theil. Auf producirtes unterth. Memoriale mit beÿl. N° 1 juncto petito, Wir geruheten dem Imploranten Zu erlauben, daß er die jhme erblich zugefallene Johann Caspar Mustingers seines Groß Vaters barbier gerechtigkeit Verkauffen dörfe. Übergebene Exceptiones samt beÿgefügtem bitten, den Imploranten mit seinem wiederrechtlichen begehren refusis expensis abzuweißen. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrig der Parthen angehörtes Vor und anbringen, ist der Herren Depp. abgelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant mit seinem begehren refusis expensis abzuweißen seÿe.

André François Reuchlin meurt en mai 1782. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue. Les observations préliminaires exposent que la veuve a été envoyée en possession des biens de son mari en 1757. L’héritière renonce à la succession parce que l’état de la fortune s’est encore dégradé. La succession présente un passif de 67 livres
1783 (20. Xbr), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 394
Inventarium über Weÿland herrn Andreä Frantz Reichlin, gewesenen Chirurgi und burgers allhier Zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet im Jahr 1783 – nach seinem den 14.ten May 1782. aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, hier Zeitl. verlaßen hat, welche Nahrungs Verl. dato zu End stehend auf ansuchen Fraun Heinriettæ Elisabethæ geb. Rigoullot, der hinterbliebenen Wb. beistandl. H. Joh: frid: Krug, des Silberarbeiters u. b. allh. wie auch des Defuncti mit solcher seiner Wb. ehelich erzeugter tochter u. eintziger Beneficial Erbin Jgfr. Margarethæ Salome Reichlin, so 24 Jahr alt u. hierzu mit H. Joh: Martin Lentz dem handels-M. u. b. allh: verbeistandet

So beschehen in Einer allhier ane der Langenstraß gelegenen behausung auf Sambstag den 20.ten Xbris 1783
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Gleich anfangs dieser Inventur declarirte die Wb. u. tochter, wie daß die disortrtige Nahrungs: Umbstanden also beschafen seÿen, daß Sie die Wb. ihre habende unveränderter Guths-Forderung halben bei weitem nicht geliefert werden kann, undt Sie laut producirten Inventarii allein vor ihr in die Ehe gebrachtes guth 914. lb Zu prætendiren habe, ohne das, so dieselbe während nun Zertrennter Ehe von einem bruder geerbt u. der Verstorbene Ihro in der Eheberedung vermacht und Zugedacht hat, weshalben Sie schon A° 1757. beÿ Em En Kleinen Rath das Benef. Cessionis erhalten hat, wobeÿ Ihro die Rubriquen ihres ohnveränderten guths entschlagen, Sie Von denen theilbaren Schulden absolvirt u. die damahls Vorhandene Massam immittirt worden ist, des wegen u. weilen sich die Nahrung: Umstände bis daher noch mehr verschlimmert als gebesert haben folglichen die tochter genöthiget seÿn wird, auf die Väterl. Erbschaft tam active quam passive Zu renunciren, u. diserwegen das Benef. abstentionis Zu suchen
Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. Hausraths 18 lb – Schulden aus gegenwärtiger Verl. Zu bezahlen 105 lb, Compensando, Passiv onus loco Stall summæ 87 lb

La maison est une nouvelle fois vendue par enchère judiciaire le 25 mai 1768. L’acquéreur est le barbier Jean Henri Zinck, originaire d’Oberbronn, qui devient bourgeois en septembre 1768 en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne

1768, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 150
H. Johann Heinrich Zinck, der Chirurgus von Oberbrun gebürtig erhalt das burgerrecht ob favorem artis gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern, Jur. den 12. 7.bre 1768.

Frédéric Dieuloué Saupé vend un droit de barbier à Jean Henri Zinck
1768 (9.2.), Not. Hüttel (6 E 41, 859) n° 38
Interims-Kauffverschreibung – S.T. herr Friedrich Gottlob Saupe der geschworne Chirurgus Examinator und berühmter Practicus auch eines ehrsamen grosen Raths alter wohlmeritirter beÿsitzer
herrn Johann Heinrich Zinck Chirurgiæ Candidati von Oberbronn gebürtig
ad interim die Ihme herrn Verkäufern eigenthümlich zuständige barbier Gerechtigkeit cum appertinentis, um 1500 gulden

Fils de chirurgien, Jean Henri Zinck épouse en 1768 Marguerite Salomé Tromer, fille de pasteur
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 82 n° 32)
1768 Mittwoch den 26. Weinmonath sind nach ordetlich geschehene ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden herr Johann Heinrich Zinck, lediger Chirurgus und burger alhier, weÿland herrn Johann Friderich Zinck, gewesten Chirurgi und burgers Zu Oberbronn mit deßen hinterlaßenen Wittib, Frau Ursula gebohrner Hammin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Margaretha Salome Tromerin weÿland herrn Johann Paul Tromer, gewesten Pfarrers der Evangelischen Gemeind Zu Gottesweiler und Burgheim mit weÿland deßen gewester Ehefrauen Frauen Catharina Elisabetha gebohrner Zeisolffin hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Zinck als Hochzeiter, Margaretha Salome Tromerin als hochzeiterin (i 85) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 116, i 123)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari

1769 (18.4.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 627) n° 5
Inventarium über Herrn Johann Heinrich Zinck, Kunsterfahrenen Chirurgi und der Viel Ehr. und Tugendbegabten frauen Margaretha Salome gebohrner Tromerin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1769. – in ihrem den 26. Octobris in verwichenem 1768.ten Jahr angetrettenen Ehestand einander Zu und eingebracht haben, Welche beederseiths Nahrungen /:angesehen beede Ehegatten in der vor mir Notario unterm 22.ten Septembris A° 1768. errichteten heuraths Abrede § 4.to versehung gethan, daß solch ein ohnverändert eigen und vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle:/ – So geschehen Zu Straßburg mit Zuziehung S. T. Herrn M. Johann Daniel Büttners alten wohlverdienten treüeifferigen Pfarrers Zu Bläßheim und burgers alhier der dißortigen Ehefrauen erbettenen Herren Assitenten, Dienstag den 18.ten Aprilis 1769.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan gelegenen in des dießorthigen Ehemanns eingebrachte Nahrung gehöriger behaußung hat sich befunden Als
Eigenthum ane Häußern. (F.) Erstlichen der Vierte Theil vor ohnvertheilt von und ane einem Vorder und Hinter Hauß ane dem Alten Kornmarckt am Salmen Gäßlein (…)
(M.) Eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan, einseith neben dieser Statt Meel Waag, anderseith und hinten neben dem Allmend stoßend, so außer hernach eingetragenem

Marguerite Salomé Tromer meurt en 1783 en délaissant pour héritiers ses trois neveux, fils du notaire Jean Daniel Ensfelder. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre au veuf présente un passif de 1 610 livres, celle des héritiers s’élève à 2 472 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 319 livres, le passif à 2 401 livres.

1783 (23.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 635) n° 177
Inventarium über Weiland Frauen Margaretha Salome Zinckin gebohrner Tromerin Herrn Johann Heinrich Zinck Kunsterfahrenen geschwornen Chirurgi und burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin nunmehro seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1783 – nach ihrem dem 31.ten jüngst Verfloßenen Märtz Monaths aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf geschehenes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl des hinterbliebenen Herrn Wittibers als auch Herrn Lt. Johann Rudolph Dinckel hiesig. Löbl. Cantzleÿ Contract stub Substituti als der fraun Defunctæ ab intestato hinterlaßener gleich nach diesem Eingang benannter Erben erwählten und in Pflichten genommenen Herrn Theilvogt – Geschehen alhie Zu Straßburg auf Freÿtag den 23. May im Jahr 1783.
Benennung der Erbe. Der seelig Verstorbenen ab intestato verlaßene rechtsmäßigen Erben sind, Weiland Frauen Catharina Elisabetha gebohrner Tromerin mein Notarii Johann Daniel Ensfelders gewesener Ehegattin der dißorthigen frauen Defunctæ vollbändiger Schwester seel. ehelich Erziehlte hinterbliebene dreÿ Kinder alß 1) Johann Daniel Ensfelder Jur. Suudiosus so in das 18.te Jahr seines Alters gehet, 2) Philipp Ludwig Ensfelder, Philos. Studiosus so 15 ½ Jahr alt, 3) Frantz Gottfried Ensfelder, Schuler der 3. Classe so den 1. Junÿ 1783 sein 9.te Jahr errichtet, Einem jeden vor Eine terzt berührend, deren geordnet und geschwohrner ordinarie Vogt ist der dißorthige Herr Wittiber, da aber dieser hiebeÿ sein eigen Interesse zu besorgen hat, so wurde zu einem Theil Vogt ernennet eingangs gedachter Herr Lt. Johann Rudolph Dinckel Löbl. Cantzleÿ Contract Stub substitutus, so hiebeÿ anwesend ware.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan gelegenen dem Herrn Wittiber vor ohnverändert gehörigen behaußung, ist befunden worden als (…)
Ergäntzung des H. Wittibers wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach Maaßgab des über beeder nun Zertrennten Ehegatten einander vor ohnverändert Zugebrachte Nahrungen den 18. Aprilis 1769. durch mich Notarium errichteten Inventarii Concept
(f° 16-v) Eigenthum ane einer behausung (W.) Nämlich eine behaußung und Hofstadt mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan einseit neben dieser Stadt Meelwaag anderseith und hinten Allmend, so außer hernach eingetragenen darauf haftendem Passiv Capital freÿ leedig und eigen. Solche ist durch hiesiger Stadt geschwornen Herren Werckmeister Kraft dero Zu dieses Invent. Concept dedato 2. Junÿ 1783. gelieferten Abschatzung Scheins dem heutigen wahren Werth nach gewürdiget worden vor 1800. fl. oder 900. lb. Über diese behausung meldet ein von seithen E. E. Kl. Raths alhier auf Pergament gefertigter Ganth Kauf brief ded. 25. Maÿ 1768. mit der Stadt Straßburg anhangendem größern Insiegel verwahrt
(E.) Die Hälfte vor ohnvertheilt (…) ane einer behaußung ane der Vorstadt Krautenau ohnfern dem gelben Eck in der feeg Gaß (…)
(f° 18) Norma & Series rubricarum hujus Inventarii. Abschrifft der Heüraths Abrede – Copia Codicilli
Des hinterbliebenen H. Wittibers unveränderten Vermögens. Sa. Haußraths 23, Sa. Bücher Vorrats 5, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 10, Sa. barbier gerechtigkeit 100, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 900, Summa summarum 1039 lb – Schulden 2650 lb, des Wittibers Passiv onus 1610 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Vermögenschafft beschrieben. Sa. haußraths 179, Sa. Silbers und Geschmeids 15, Sa. goldenen Ringen und deergl. Geschmeids 32, Sa. Gülth von liegenden güthern 13, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 30, Sa. Eigenthums ane einer behßg. 225, Sa. Schuld 100, Sa. Ergäntzung 2021, Summa summarum 2617 lb – Davon ist Ihnen dermahlen nach dem Tenor des Codicilli nur außzuliefern 145 ln den überrest hat H. Wittiber Krafft eben solchen letzten Willens nach hießiger Stadt brauch und Wÿdums recht die Tage seines Lebens ruhig Zu nutzen, zu genießen, zu bewohnen und zu gebrauchen 2472 lb
Endlichen so kommt auch die Verzeichnus der gemein Verändert und theilbaren Vermögenschaft, Sa. haußraths 116, Sa. buch Vorraths und des Instrumenten Zur Wundartzneÿ Kunst gehörig 36, Sa. Wein und Faß 78, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 51, Sa. gold Ringen 42, Sa. der baarschafft 145, Sa. Schulden 1850, Summa summarum 2319 lb – Schulden 2401 lb, So erhellet daß die theilbar Nahrung Zu Tilgung derer Passivorum nicht hinreichend seÿe, sondern jene von diesen überwegen werde um 82 lb
Dazu gerechnet des H. Wittibers ohnverändert Passiv onus, anlangend 1610, des H. Wittibers ohnverändert und das theilbar Passiv onus langt mithin an 1692. lb
Beschluß und Stall summa 924 lb
Abschatzung Vom 2.ten junÿ 1783. Auf begeren Herr johann Zinck dem chirurgus ist Eine behausung alhier in der statt strasburg auf dem Thomas Plan gelegen Ein seÿts neben Einem gebäu löbl. statt gehörig, anderer seÿts und Hinten auf das allmend stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben Zweÿ Küchen und Etliche Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworenen Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um, Ein Tausend Acht Hundert gulden [unterzeichnet] Götz Wmstr, Kaltner Wmstr.
Codicill – persönlich erschienen Frau Margaretha Salome Zinckin gebohrne Tromerin Herrn Johann Heinrich Zinck des Chirurgi und burgers dahier Zu Straßburg Eheliebste (…) auf Freÿtag den 7. Maÿ Nachmittags zwischen zweÿ dreÿ Vier und Fünff Uhren Anno 1773, Tobias Schumacher Notarius publicus juratus, Collationirt Straßburg den 5. Aprilis 1783. Schumacher Notarius

Jean Henri Zinck se remarie avec Marie Barbe Weisshaar, fille d’un marchand de vins : contrat de mariage, célébration
1784 (30.7.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 84
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen Herr Johann Heinrich Zinck Kunsterfahrer geschworner Wund Artzt Wittiber und burger alhier als Herr Bräutigam ane einem,
So dann die Viel Ehren und tugendgezierte Jungfrau Maria Barbara Weißhaarin, Weiland Herrn Georg Friderich Weißhaar gewesenen Weinhändlers Kiefers und burgers dahier seel. mit frau Maria Magdalena gebohrner Bleÿfußin ehelich erzeugte Tochter unter berathung und assistentz Herrn Johann Heinrich Gimpel barberers und burgers hieselbst ihrem H. Schwagers und geschwornen Vogts, als Jungfer Braut ane dem andern theil
auf Freÿtag den 30. Julÿ im Jahr nach Chrtisti Geburth 1784. [unterzeichnet] Johann Heinrich Zinck als Bräutigam, Maria Barbara Weißhaarin als Braut

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 95-v n° 23)
1784 Dienstag den 31. Augusti sind nach ordetl. geschehene ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden H. Johann Heinrich Zinck, Chirurgus und burger alh. Weil. Fr. Margaretha Salome gebohrner Tromerin nachgelaßener Wittiber und Jgfr. Maria Barbara Weißhaarin Weil. H. Georg Friderich Weißhaar geweßenen Kieffers Weinhändlers und burgers allhier mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Bleÿfußin ehel. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Zinck als Bräutigam, Maria Barbara Weißhaarin als Braut (i 100) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 155, i 157) 1784

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari.

1784 (28.9.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 636) n° 212
Inventarium über Herrn Johann Heinrich Zinck, Kunsterfahrnen geschwornen Wundartztes und Frauen Maria Barbara gebohrne Weißhaarin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1784. – in Ihren den 31.ten jüngst verfloßenen Augst Monath angetrettenen Ehestand einander Zu und angebracht habe, Welche beederseiths Nahrungen /:angesehen beede Ehegatten in der vor mir Notarii unterm 30. Julÿ 1784. errichteten Heuraths Abrede §° 4.to die Versehung gethan, daß solch ein ohnverändert eigen und verbehalten guth seÿn und bleiben solle:/ – So geschehen Zu Straßburg mit zuziehung Herrn Joh: Heinrich Gimpel Jun : bierbrauers und b. dahier der Ehefrauen geschwornen Vogts und beistandts den 28.ten Sept.. A° 1784.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan gelegenen dem Eheherrn vor ohnverändert Zuständigen behaußung, ist befunden worden als (…)
Barbier Gerechtigkeit (M.) die dem Eheherrn eigenthümlich zuständige Barbier Gerechtigkeit so er vermög eines in allhiesig C. stub den 12. feb. 1768. vorgegangenen Kauff contract von H. Exs. Saupe an sich gebracht ist hier ohnachtheilig angeschlagen word, vor (-)
Eigenthum ane einer behausung (M.) Nämlich eine behausung und Hofstadt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Thomas Plan, eins. neben dieser Stadt Meelwaag, anderseith und hinten Allmend, so freÿ leedig u. eigen. Welche ohnpræjudicirlich æstimirt wird für 2000 lb. Hierüber meldet ein von seithen E. E. Kl. Raths alhier auf Pergament gefertigter Ganth Kaufg brief ded. 25. Maÿ 1768. mit der Stadt Straßburg anhangendem größern Insiegel verwahret.
Schuld aus des Eheherren eingebrachtem Vermögen Zu bezahlend (M.) Nach Anleitung der über weiland Frauen Margaretha Salome Zinckin gebohrne Tromerin des Eheherrn erstern Ehefrauen seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium unterm 21.ten Augusti 1783. gefertigten Summarische berechnung

Jean Henri Zinck meurt en 1794 en délaissant quatre enfants. La masse propre à la veuve est de 47 768 livres, celle des héritiers de 5 749 livres tournois. L’actif de la communauté est de 18 030 livres, le passif de 42 337 livres tournois.

1795 (20 vend. 4), Strasbourg 7 (6), Not. Stoeber n° 1077
Inventarium über Weil. br. Joh: Heinrich Zinck gewesenen Wundarztes alhier so den 1. Vendemiaire lezthin mit tod abgegangen Verlassenschafft, aufgerichtet den 13. Frimaire im 3. Jahr der Republick
der Verstorbene hat zu desen rechtsmäßigen Erben hinterlassen 1. Ludwig Zinck so den 5. Decembr. 1785 zur welt gekommen, 2. Fridericam Sophiam Zinck so den 15. hornung 1787 gebohren worden, 3. Louisam Wilhelminam Zinck so den 17. Septembris 1789 zur Welt gekommen und 4. Friderich Wilhelm Zinck welcher den 19. Aprilis 1792 des tages licht erblicket. Alle vier sind des abgeleibten mit der Wittib erzeugte 4 Kinder, Als Welch Erben (…) bevögiget mit den br. Felix Weißhaar bierbrauer alhier ihrem Oncle, auf diesen Ansuchen sowohl als der Wittib und Mutter Fr. Maria Barbara geb. Weißhaar beiständlich bs. Samuel Reinhard Weber des homme de lettres

So geschehen Straßburg den 13. frimaire im 3.ten Jahr der Republick und in der alhier Zu Straßburg an dem Thomas Plan n° 10 gelegenen und in dies. Verlaßenschafft gehörigen behaußung
Copia der Eheberedung
Ausliefreung desjenigen Widum so weÿland Joh: Heinrich Zinck von seiner den 3. Mart. 1783 verstorbenen erstern Ehegattin weil. Fraun Margaretha Salome geb. Bromerin lebenslänglich zu geniesen gehabt hat, vermög der über der Widemstifterin Verlassenschafft den 21. aug. 1783 gepflogenen Summarischen berechnung
Eigenthum ane einer behaußung. (E.) Nämlich eine behaußung und hoffstatt mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten gelegen alhier an den Thomas Plan N° 10, 1.s neben der Meelwaag 2.s und hinten auf allmend, beÿ demjenigen Anschlag ohnnachtheilig gelaßen word. bei solche in dem über dißortige zusammen gebrachte Nahrung durch Not. Ensfelder errichteten Inventarii concept angeschlagen worden per 8000, hierüber meldet ein Gant Kauffbrieff vom 25. maÿ 1768
Ergäntzung der Fr. Wittib unveränderten Guths, durch Not. Ensfelder den 28. sept. 1784 aufgerichteten Inventarii
hierauf folget die Beschreibung der Verlaßenschafft, Zuerst aber der Wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 13, Sa. leeren Faß 33, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 45, Sa. golden Geschmeids 516, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 8800, Sa. der Activ Schuld 1000, Sa. der Ergäntzung deductio deductionis 37.361, Summa summarum 47.768 livres
Sofort wird auch der Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa.hausrath 3116, Sa. bütten und leeren Faß 142, Sa. Silbers 329, Sa. golden geschmeids 873, Sa. Instrumenten zur Chirurgie gehörig 881, Sa. der Bibliotheque 300, Sa. Eigenthum ane einer behausung 8000, Sa. der Ergäntzung 3576, Summa summarum 17.218 livres – Schulden 11.468 livres, Nach deren Abzug 5749 livres
Endlich wo wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. hausraths 1023, Sa. der bütten und leere Faß 13, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 757. Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 16.236, Summa summarum 18.030 livres – Schulden 42.337, theilbar Passiv onus 24.307 – der Erben passiv onus 18.557 livres
Nach deme non Vorstehendes Inventarium auf Eingangs erwähnter Wittib Frau Mariæ Barbaræ geb. Weißhaar dermalen bs Joh: Christian Solger des Wundartzten alhier Ehefrau gethane gewißenhafte declaration und in Conformitæt obanbeÿgeregter documenten und Eheberedung formirt und bewahret (…) Straßburg den 10. Vendemiaire im 4.ten Jahr
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 117-v du 23 vend. 4

Marie Barbe Weishaar se remarie en 1795 avec Chrétien Solger, originaire de Merzbach (Untermerzbach) près de Cobourg en Haute-Franconie

1795 (18 fruct. 3), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber n° 572
Eheberedung – persönlich erschienen burger Christian Solger, lediger Chirurgus, weil. bs Pangratz Solger gew. Wundartz Zu Mertzbach beÿ Coburg mit auch Weil. Fraun Dorothea gebohrner Schweicherin erzeugter Sohn so großjährigen Alters als hochzeiter ane einem
und Frau Maria Barbara Weishaar weil. bs Joh: Heinrich Zinck gewes. Wundarztes alhier Wittib beiständlich bs. Johann Friderich Wehrlen Meelhändlers – Straßburg den 18. fructidor im 3. Jahr der Republick [unterzeichnet] Christian Solger hochzeiter, Maria Barbara Zinck gebohrne Weißhaarin alß Braut
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 26 du 28 fruct. 3 (revenu industriel, 600 livres)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison place Saint-Thomas. Les apports du mari se limitent à son habillement, ceux de la femme à 29 664 livres

1804 (29 floréal 12), Strasbourg 7 (19), Not. Stoeber n° 1962, 5720
Inventarium über burgers Christian Solger Wundarzt und fraun Maria Barbara geb. Weishaar dermalen besitzende Nahrung
Eigenthum an einer behausung. Nemlich Eine behausung und hofstadt mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden und Rechten gelegen zu Straßburg an dem thomasplan Numero 10 einseit neben der Meelwag anderseit und hinten auf das Allmend, darüber besagt ein deutscher pergamentener Ganthkaufbrief vom 25 maÿ 1767
Berechnung der Mass, der Ehemann declarirt daß er außer seiner Kleidung und weißen Gezeug nichts an Vermögen besitze
der Ehefrau unveränderte Vermögen, hausrath 1751 fr, silber 259 fr, instrumenten zur Chirurgie 350 fr, Bibliotheque 100 fr, Capital 14.000 fr, behausung 10.000 fr, Ergäntzung 3203 fr, summa summarum 29.664 fr
in Gemäßheit der Gesetzes der Ehescheidung vom 30 ventos eilf
erzeugte dreÿ Kinder Johann Christian so den 25 mess. 8, Henriettam so den 5 brumaire 9 und Carolina so den 5 floreal 10 geboren worden
Enregistrement de Strasbourg, acp 92 F° 18 du 9 pr. 12

1804 (17 ventose 12), Strasbourg, Not. Laquiante
Consentement par Marie Madeleine Bleyfuss veuve Weishaar au divorce de Barbe Weishaar sa fille femme de Jean Georges Solger
acp 90 F° 142-v du 17 vent. 12
(Pas de divorce dans les registres de l’état-civil)

L’officier de santé Jean Chrétien Solger meurt en 1822 en délaissant trois enfants issus de la veuve. L’inventaire est dressé dans une maison au Finckwiller

1822 (5.3.), Strasbourg 13 (37), Me Bremsinger
2308 – vacation du 11.4. (acp 157 F° 52-v du 16.4.)
Inventaire de la succession de Jean Georges Chrétien Solger, officier de santé décédé le 9 février dernier – à la requête de 1. Marie Barbe née Weishaar veuve en premières noces de Jean Henri Zinck, chirurgien, et en secondes noces de Jean Georges Chrétien Solger, mère et tutrice légale de Caroline, 2. Jean Jacques Goepp, pasteur et président de l’église consistoriale de la confession d’Augsbourg à Paris, et Marguerite Barbe Solger, 3. Jean Chrétien Solger, candidat en médecine, enfants héritiers pour un tiers – en présence de Frédéric Strohl, rentier tuteur (procuration : Jean Jacques Goepp Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant rue Ste Croix de la Bretonnerie n° 37)
dans la maison mortuaire quai Finckwiller n° 8
Contrat de mariage Me Stoeber le 18 fructidor 3, séparation Me Stoeber 29 floréal 12
garde robe 147 fr, meubles dans le poele au rez de chaussée, dans une chambre au premier étage sur le derrière, dans une chambre au second étage sur le derrière 458 fr
argent et bijoux 154 fr, numéraire 203 fr, créances 2913 fr, ensemble 3876 fr
immeubles à Soultz près Molsheim 150 fr
propres à la veuve 4298 fr, passif avec remploi de la veuve 5148 fr (vacation du 11.4. (acp 157 F° 52-v du 16.4.)
Enregistrement de Strasbourg, acp 156 F° 146 du 15.3.

1834 (19.6.), Strasbourg 13 (50), Me Bremsinger n°7012
Consentement par Marie Barbe Wüsshaar veuve de Georges Chrétien Solger, officier de santé, au mariage que Jean Chrétien Solger, docteur en médecine cantonnal à la Petite Pierre arrondissement de Saverne est dans l’intention de contracter avec Marie Joséphine L’Huillier fille mineure de feu François Joseph et Marie Ursule Dauer demeurant audit lieu
acp 225 F° 107 du 19.6.

1840 (17.7.), Strasbourg, Me Striffler
Consentement par Marie Barbe Weishaar veuve Solger au mariage de son fils Jean Chrétien Solger, médecin à la Petite Pierre
acp 279 F° 97-v du 17.7.

Marie Barbe Weishaar meurt en juin 1843 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants

1843 (20. Xbr), Strasbourg 13 (58), Me Arbogast n° 1531 & 1588
(Liquidation de la succession d’Anne Marie née Weishaar veuve en premières noces de Jean Henri Zinck et en secondes noces de Jean Georges Chrétien Solger)
Sont comparus 1° De Marie Louise Zinck épouse dûment autorisée de M. Charles Edouard Birr, négociant ci présent, demeurant et domiciliée à Strasbourg. 2° Dlle Wilhelmine Emilie Zinck, majeure d’ans, sans état, demeurant et domiciliée en cette ville, 3. M. George Saltzmann, clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de De Wilhelmine Zinck épouse de M. Antoine Baillet avocat à la Cour royale de Colmar, 4. Delle Caroline Solger majeure d’ans, san état demeurant et domiciliée à Strasbourg, 5. M. Philippe Jacques Frantz, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant I. en qualité de mandataire de M. Jean Chrétien Solger, Docteur en médecine demeurant à Brumath (…) et II. de De Barbe Marguerite Solger, veuve de M. Jacques Joseph Goepp vivant pasteur er président de l’église consistoriale de la confession d’Augsbourg, Chevalier de la Légion d’Honneur à Paris, elle y demeurant & domiciliée
Lesdites De Birr et Dlle Wilhelmine Zinck héritieres chacune pour un 10°, ensemble pour un 5° & lesdits De Baillet & Goepp, M. et Melle Solger héritiers chacun pour pareille quotité de un cinquième de De Marie Barbe Weishaar veuve en premières noces de feu M. Jean Henri Zinck, vivant chirurgien, décédée veuve en secondes noces de M. Jean Georges Chrétien Solger, vivant officier de santé à Strasbourg, leur mère et aïeule respective. Lesdites De Birr & Dlle Wilhelmine Zinck par représentation de M. Louis Zinck leur père, vivant secrétaire général des hospices civils de Strasbourg dont elles sont seules et uniques héritières, lequel est issu ainsi que De Baillet de l’union de la défunte avec M. Jean Henri Zinck son mari en premières noces & lesdits De veuve Goepp, Sr Solger et à Dlle Solger, issus de son union avec feu M. Solger père

Observations préliminaires. 1° Mad. Solger est décédée à Strasbourg le 24 juin dernier sans qu’il ait été dressé inventaire de sa succession.
II. Elle a fait trois testaments olographes, le premier en date du 26 septembre 1825 enregistré le 6 juillet 1843 (…), le deuxième du 20 janvier 1837 enregistré le 6 juillet 1843 (…) déposés pour minutes à Me Arbogast l’un des soussignées notaires suivant acte du 27 juin dernier en conséquence de l’ordonnance rendue par M. le président du tribunal civil séant à Strasbourg (…) en date du 27 juin dernier enregistré. Le troisième est daté de Strasbourg du 30 août 1841, enregistré le 14 juillet 1843 (…) déposé audit Me Arbogast suivant acte du 5 juillet dernier (…) Ladite Dlle Sophie Zinck étant décédée avant la testatrice, le legs fait à son profit est devenu caduc
acp 317 (3 Q 30 032) f° 99 du 22.12., Commencement de la liquidation
acp 320 (3 Q 30 035) f° 3-v du 29 février 1844, Liquidation définitive
(suite du 6 mai) Masse active, 1) objets mobilier 933, 2) argent comptant 165, 3) créances 18.167, 4) somme de 14.000 prix de la maison sise en cette ville place St Thomas n° 10 venude suivant acte reçu Becker le 10 février 1844, 5) rapports dus à la succession 4190, total de la masse active 37.457 francs
masse passive 1844, reste à partager 35.572 francs
Abandonnements
acp 323 (3 Q 30 038) f° 24 à 26 du 13.5.

1843 (5.7.), Me Arbogast
Dépôt du testament olographe de Marie Barbe Weishaar veuve premières noces Jean Henri Zinck vivant chirurgien et veuve en secondes noces de Jean Georges Solger aussi chirurgien, décédée à Strasbourg le 21 janvier dernier, ledit testament en date du 30 août 1841
acp 312 (3 Q 30 027) f° 23-v du 14.7.

Les héritiers exposent aux enchères les maisons dont ils ont hérité. Aucune adjudication définitive n’est prononcée

1843 (12. 7.br), Strasbourg 13 (58), Me Arbogast n° 1431
Sont comparus 1° De Marie Louise Zinck épouse dûmment autorisée de M. Charles Edouard Birr, négociant ci présent, demeurant et domiciliée à Strasbourg. 2° Dlle Wilhelmine Emilie Zinck, majeure d’ans, sans état, demeurant et domiciliée en cette ville, 3. M. George Saltzmann, clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire 1) de M. Antoine Baillet avocat à la Cour royale de Colmar & de 2) Wilhelmine Zinck son épouse demeurant à Colmar (…) 4. De Barbe Marguerite Solger, veuve de M. Jacques Joseph Goepp vivant pasteur et président de l’église consistoriale de la confession d’Augsbourg, Chevalier de la Légion d’Honneur à Paris, elle y demeurant & domiciliée présentement à Strasbourg, 5° M. Philippe Jacques Frantz, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de M. Jean Chrétien Solger, Docteur en médecine à la Petite Pierre, arrondissement de Saverne (…), Lesquels comparans èz noms qu’ils agissent ont déclaré qu’étant intentionnés de vendre publiquement par enchère volontaire les immeubles ci après décrits (…)

Description des immeubles à vendre. 1° Une maison sise à Strasbourg, place St Thomas N° 10 tenant d’un côté à la maison du Sr Goff ferblantier, des autres côtés entouré de la place St Thomas,
2° Deux maisons sises en cette ville Rue du Renard prêchant N° 63 à deux étages & N° 64 à un étage, avec fosse d’aisances & cour commune, le tout tenant à Charles Zwick brasseur & à la veuve Erhard.
Etablissement de la propriété. Les comparants, èz noms qu’ils agissent, déclarent que les dits immeubles dépendent de la succession de De Marie Barbe Weishaar veuve en premières noces de feu M. Jean Henry Zinck, vivant chirurgien, décédée veuve en secondes noces de M. Jean Georges Chrétien Solger, vivant officier de santé à Strasbourg, dans laquelle succession ils sont échus indivisément dans les proportions suivantes aux enfants et petits enfants de la dite défunte ci-dessus dénommés, ses seuls héritiers, savoir 1° à Mad. Birr & à Dlle Zinck à chacune pour un 10°, ensuite pour un 5° par représentation de M. Louis Zinck leur père, vivant secrétaire général des hospices civils de Strasbourg, 1/5, 2° à Mad. Baillet pour un cinquième, 1/5, lesdits Sr Louis Zinck et De Baillet enfants du premier lit de la défunt,
3° à De veuve Goepp, 4° à M. Chrétien Solger, 5° Et à Dlle Caroline Solgern enfants du second lit à chacun pour pareille quotité de un cinquième ensemble pour trois cinquièmes, 3/5, sans que les qualités ci-dessus énoncées puissent aucunement préjudicier à cette dernière eu égard aux avantages testamentaires qui lui ont été faits par feu sa mère, total, Unité.
Feu Mad. veuve Solger était devenue propriétaire des dits immeubles de la manière suivante, savoir Maison place St Thomas. Suivant inventaire & liquidation de la communauté de biens d’entre Mad. veuve Solger & M. Zinck son mari en premières noces & de la succession de ce dernier, dressés par Me Stoeber père ci-devant notaire à Strasbourg en date au commencement du 13 frimaire an III, clos den 20 vendémiaire an IV, enregistré, toutes les valeurs dépendantes des dites communauté & succession ont été abandonnées à la veuve en amortissement & paiement des dettes passives qu’elle s’est chargée d’aquitter, & de ses reprises. Or la maison dont s’agit faisait partie de ladite succession comme ayant été enchérie par M. Zinck suivant adjudication tenue à la Chambre des Contrats de cette ville le 25 mai 1768.
Maisons Rue du Renard prêchant Numéros 63 & 64 (…)
Clauses et Conditions de l’adjudication. (…) 2° Ils sont vendus avec leurs droits & dépendancess tels qu’ils se trouvent et se comportent sans en rien excepter ni réserver, avec un fourneau en fayence, ses pierres et tuyaux qui se trouve au rez-de-chaussée & les jalousies qui ganissent les fenêtres du premier étage de la maison place St Thomas (…)
(…) Après quoi lesdits immeubles ont été exposés aux enchères savoir la maison place St Thomas à ladite mise à prix de 13.000 francs & après elle celles de la Rue du Renard prêchant à ladite mise à prix de 3000 francs. Et comme aucune enchère n’ayant été faite par les amateurs présents, MM. Frantz & Birr ont déclaré vouloir prendre les dits immeubles moyennant les dites mise à prix, M. Frantz décarant faire l’offre de 13.000 francs pour la maison place St Thomas pour M. Solger son mandant & M. Birr celle de 3000 francs pour les deux maisons Rue du Renard prêchant pour son compte personnel.
Et à l’instant les vendeurs ont déclaré ne point adjuger définitivement lesdits immeubles aux prix susénoncés & sont convenus entre eux d’il sera reçu d’ici au 25 septembre courant à neuf heurs du matin des surmises sur lesdits immeubles.
acp 314 (3 Q 30 029) f° 40

Les héritiers vendent la maison place Saint-Thomas au bottier Jacques Frédéric Richshoffer

1844 (10.2.), Strasbourg 9 (90), Me Becker n° 2207
Sont comparus 1° Mad. Louise Wilhelmine Zinck épouse de Mr Antoine Baillet, avocat à la cour royale de Colmar demeurant ensemble en cette dernière ville (…), 2° Mad. Marie Louise Zinck, épouse de Mr Charles Edouard Birr, droguiste, à ce présent & qui autorise ladite De son épouse à l’effet de ce qui suit, demeurant ensemble à Strasbourg, 3° Melle Wilhelmine Emilie Zinck, majeure demeurant aussi à Strasbourg, 4. Mr Philippe Jacques Frantz avocat demeurant en cette même ville, agissant en qualité de mandataire de 1) de Mad. Barbe Marguerite Solger, veuve de M. Jean Jacques Goepp en son vivant pasteur & président de l’égliste consistoriale de la confession d’Augsbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, demeurante à Paris (…), 2) de Mr Jean Chrétien Solger docteur en médecine & médecin cantonal à la Petite Pierre, y demeurant, 5. Enfin Melle Caroline Solger, majeure demeurante à Strasbourg,
Lesdits De Baillet, De Birr, Dlle Wilhelmine Emilie Zinck, ces deux dernières comme représentant feu Mr Louis Henri Zinck leur père de son vivant secrétaire en chef des hospices civils de Strasbourg, De veuve Goepp, Sr Jean Chrétien Solger & Dlle Caroline Solger étant héritiers, chaque branche pour un cinquième, de Mad. Marie Barbe Weishaaar leur mère et grand-mère respective, en son vivant épouse en premières noces de Mr Jean Henri Zinck, chirurgien à Strasbourg & en secondes noces de Mr Jean Chrétien Solger, officier de santé en la même ville, le tout ainsi que les comparans le déclarent et qu’ils s’obligent d’en justifier à toute réquisition de Mr Richshoffer ci après nommé & à leurs frais (ont vendu)
à Mr Jacques Frédéric Richshoffer, bottier demeurant à Strasbourg
Une maison à rez de chaussée & trois étages, avec cave & autres appartenances & dépendances, sise à Strasbourg place Saint-Thomas n° 10, tenant d’un côté à M. Hoff, de l’autre & par derrière à une rue, par devant à la place Saint Thomas (…)
Etablissement de la propriété. Ledit immeuble dépendait de la succession du dit Sr Jean Henri Zinck qui en était propriétaire en vertu de l’acquisition qu’il en avait faite de la De Reichling suivant procès verbal d’adjudication prononcée devant M M les Présidens & membres du petit séant de la Ville de Strasbourg le 25 Mai 1768 moyennant le prix de 3600 florins (ainsi exprimé au contrat) faisant d’après le système monétaire actuel 7190 francs (…). Suivant inventaire & liquidation tant de la succession du dit Sr Zinck que de la communauté qui avait existé entre lui & ladite De née Weishaar son épouse, lesdits inventaire & liquidation dressés par Me Stoeber père, Notaire à Strasbourg en date au commencement du 13 frimaire an III, ledit immeuble ainsi que toutes les autres valeurs dépendantes des dites communauté & succession ont été abandonnées à la dite De née Weishaar tant pour la remplir de ses reprises & droits matrimoniaux que sous le condition d’acquitter toutes les dettes passives dont ces mêmes communauté & succession pouvaient être grevées, dettes que Mde Zinck née Weishaar a acquittées (…). Enfin le dit immeuble est avenu aux vendeurs ci-dessus dénommés après le décès de la dite De leur mère & grand-mère respective dans la succession de laquelle ils l’ont recueilli. – Prix, 14.000 francs
acp 319 (3 Q 30 034) f° 96-v

Jacques Frédéric Richshoffer épouse en 1816 Rosine Hélène Seyler, fille de ferblantier
Mariage, Strasbourg (n° 287) le 3 juillet 1816, Frédéric Jacques Richshoffer, mineur d’ans, né en légitime mariage le 27 septembre 1792 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, Cordonnier, fils de feu Philippe Frédéric Richshoffer, portier-consigne à la porte des bouchers, décédé en cette ville le 21 janvier 1808, et de feu Marguerite Barbe Otto décédée en cette ville le 4 mai 1807
Rosine Hélène Seyler, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 août 1793 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Philippe Antoine Seyler, ferblantier décédé en cette ville le 13 novembre 1813 et de Marie Madeleine Hiegler (…) ladite épouse a produit un acte du conseil de famille dressé par Daniel Ehrenfried Stieber ainé, notaire, suppléant au juge de paix du canton Ouest de cette ville, décédé, faisant l’intérim le 13 septembre dernier, par lequel Philippe Maestlé charpentier en cette ville a été nommé tuteur de Marie Madeleine Hiegler sa mère interdite par jugement du tribunal civil séant à Strasbourg le 28 mai année dernière (signé) Friderich Jacob Richshoffer, Rossina Helena Seiller (i 3)

Hélène Rosine Seiler institue son mari pour son légataire universel
1843, Me Stoeber
Stoeber, notaire, le 25 juillet 1819 – Testament par lequel Hélène Rosine Seiler femme de Jacques Frédéric Richshoffer bottier à Strasbourg institue son mari pour son légataire universel
acp 307 (3 Q 30 022) f° 84 du 14.3.

Liquidation de la succession de la défunte qui a délaissé deux fils
1843 (21.3.), Strasbourg 9 (89), Me Becker n° 1890
Liquidation et partage de la communauté légale d’entre Jacques Frédéric Richshoffer père bottier à Strasbourg, et feue Rosine Hélène Seyler sa femme, y décédée le 11 mars courant, et de la succession de lad. défunte
Furent présens 1°M. Jacques Frédéric Richshoffer père bottier à Strasbourg agissant 1° à cause de la communauté de biens légale qui a existe entre lui et Dame Rosine Hélène Seyler son épouse défunte, 2° comme légataire universel de la défunte suivant testament public reçu par Stoeber le jeune notaire à Strasbourg le 25 juillet 1819 enregistré (…) en observant qu’attendu l’existance des enfants ci après nommés de Mme Richshoffer le legs universel dont il est question ci-dessus se trouve réduit à un quart en pleine propriété et à un autre quart en usufruit des biens composant sa succession.
2° M. Antoine Frédéric Richshoffer, employé à l’administration des messageries royales, domicilié à Paris, 3° Et M. Philippe Jacques Richshoffer, bottier domicilié à Strasbourg, ces deux derniers agissant comme héritiers chacun de pour moitié de feue lad. dame Richshoffer leur mère
Les époux Richshoffer se sont mariés sans contrat de mariage à Strasbourg le 3 juin 1816. Ils se sont par conséquent soumis au régime de la communauté légale. Leurs apports ne consistaient qu’en objets mobiliers que ne donnent lieu à aucune reprise de part ni d’autre. La défunte n’a reçu pendant son mariage aucune donation ni recueilli de succession immobilière de manière que ses représentants n’ont aucune reprise à exercer sur la communauté, mais M. Richshoffer veuf a recueilli pendant le mariage la succession de M. Jean Daniel Richshoffer en son vivant propriétaire à Strasbourg son oncle qui l’a institué pour son légataire universel par testament public reçu par Me Hickel notaire à Strasbourg le 20 février 1833 (montant à) 9827 francs
Mde Richshoffer est décédée à Strasbourg le 11 mars courant. Sa succession n’ayant pas été constatée par inventaire, les parties sont convenues que les présentes en tiendront lieu.

La masse active de la communauté consiste en objets mobiliers, extances, créances actives, arrérages et loyers montant ensemble à 9258 francs
Et en une maison à Strasbourg rue Salpêtrière n° 1 avec deux corps de bâtiments, écuries, cour et jardin, évaluée 30.000. francs, Total 39.258 francs
Dont il y a lieu de déduire les reprises en deniers du veuf avec 9841, plus un capital de 12.000, ensemble 21 842 – reste à partager 17.417 francs
Succession, elle consiste uniquement à l’émolument de la défunte dans la communauté, 8708 francs
Abandonnements, Le veuf a droit (…) à 20 727 francs, on lui abandonne en mobilier de la communauté 1500 et la maison pour 30.000 francs
acp 308 (3 Q 30 023) f° 23 du 27.3.

Jacques Frédéric Richshoffer hypothèque la maison au profit de Caroline Rœmer veuve de Jacques Frédéric Knœrr

1844 (23.10.), Strasbourg 9 (91), Me Becker n° 2477
Obligation – Mr Jacques Frédéric Richshoffer, bottier demeurant à Strasbourg (devoir)
à Madame Caroline Roemer veuve de M. Jacques Frédéric Knoerr en son vivant propriétaire à Strasbourg, elle y demeurant à ce présent et acceptant, la somme de 9000 francs (…)
Hypothèque. Une maison à rez de chaussée et trois étages, avec cave et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg place Saint Thomas n° 10, tenant d’un côté à M. Hoff, de l’autre et par derrière à une rue, par devant à la place Saint Thomas. Sur lequel immeuble Madame Knoerr est autorisée à faire prendre aux frais de M. Richshoffer toute inscription nécessaire.
Etablissement de la propriété. M. Richshoffer est devenu propriétaire de la maison sus-désigné au moyen de l’acquisition qu’il en a faite de 1° Dame Louise Wilhelmine Zinck épouse de M. Antoine Baillet, avocat à la cour royale de Colmar, demeurant en ladite ville, 2° Mad. Marie Louise Zinck, épouse de M. Charles Edouard Birr, droguiste, demeurant à Strasbourg, 3° Delle Wilhelmine Emilie Zinck, majeure demeurant en la même ville, 4. Mad. Barbe Marguerite Solger, veuve de M. Jean Jacques Goepp vivant pasteur, demeurant à Paris, 5. M. Jean Chrétien Solger docteur en médecine demeurant à la Petite Pierre, 6. de Dlle Caroline Solger, majeure demeurante à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant ledit Me Becker le 10 février dernier moyennant le prix de 14.000 francs dont 2000 francs ont été payés lors du dit contrat qui en contient quittance, quant aux 12.000 francs restans le Sr Richshoffer les a payés aux vendeurs ainsi que cela résulte de deux quittances passées devant ledit M° Becker les 3 et 17 avril dernier. Quant à la propriété dudit immeuble sur la tête des personnes qui ont vendu à M. Richshoffer, elle est établie dans le contrat de vente ci-dessus relaté auquel le débiteur de réfère à cet égard

Jacques Frédéric Richshoffer veuf de Rosine Hélène Seyler vend la maison à l’instituteur Frédéric Chrétien Walther et à sa femme Louise Julie Mathilde Wittich

1851 (30.4.), Strasbourg 10 (119), Not. Zimmer n° 8970
Vente – Mr Jacques Frédéric Richshoffer, bottier demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf de Dame Rosine Hélène Seyler (vend)
à M. Frédéric Chrétien Walther, instituteur, et à Dame Sophie Louise Mathilde Julie Wittich son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, tous deux demeurant et domiciliés à Strasbourg
Une maison à rez-de-chaussée & trois étages, avec cave & autres appartenances & dépendances sise à Strasbourg place Saint Thomas n° 10, tenant d’un côté à Mr Hoff, de l’autre & par derrière à une rue, par devant à la place Saint Thomas. (…) M. Richshoffer est devenu propriétaire de la dite maison pour en avoir fait l’acquisition des héritiers de Mad. Marie Barbe Weishaas, épouse en premières noces de M. Jean Henri Zinck, chirurgien à Strasbourg & en secondes noces de Mr Jean Chrétien Solger officier de santé de la même ville suivant contrat de vente passé devant Me Becker, notaire à Strasbourg, le 10 février 1844 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 4 mars subséquent volume 410. N° 89 et inscrit d’office le même jour Volume 400 n° 165. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 14.000 francs dont 2000 francs se trouvent quittancés dans le susdit contrat & le surplus a été payé aux termes de deux quittances passées devant ledit M° Becker les 3 et 17 avril 1844. (…) Ledit immeuble dépendait de la succession de M. Jean Henri Zinck, sus nommé, qui en était propriétaire en vertu de l’acquisition qu’il en avait faite de la Dame Reichling suivant procès verbal d’adjudication prononcée devant M M les Président & Membres du petit séant de la Ville de Strasbourg le 25 Mai 1768 moyennant le prix de 3600 florins soit 7190 francs (…). Suivant inventaire & liquidation dressés par Me Stoeber père, alors notaire à Strasbourg en date au commencement du 13 frimaire an III, tant de la succession du dit Sr Zinck que de la communauté qui avait existé entre lui & ladite De née Weishaar son épouse, ladite maison ainsi que toutes les autres valeurs dépendant des dites communauté & succession ont été abandonnées à la dite Dame veuve Zinck, tant pour la remplir de ses reprises & droits matrimoniaux que sous le condition d’acquitter toutes les dettes passives dont ces mêmes communauté & succession pouvaient être grevées, dettes que Mde Zinck née Weishaar a acquittées (…). Enfin le dit immeuble est avenu aux vendeurs de M. Richshoffer après le décès de la dite De veuve Zinck leur mère & grand-mère respective dans la succession de laquelle ils l’ont recueilli, ainsi déclaré. – Prix, 18.000 francs (…)
M. Richshoffer certifie (…) qu’elle n’est grevée d’aucune hypothèque légale attendu que sa femme défunte sus-nommée n’avait aucune reprisse ni créance matrimoniale à exercer soit contre lui, soit contre la communauté qui avait existe entre eux ainsi qu’il est constaté par la liquidation dressée par M. Becker notaire à Strasbourg le 21 mars 1843.
acp 399 (3 Q 30 114) f° 196 du 1.5.

Chrétien Frédéric Walther épouse Louise Julie Mathilde Wittich en 1840 à Weilbourg dans le duché de Nassau
1840 (13.6.), Strasbourg 3 (88), Me Kratz n° 1000 (fantôme)
Consentement par Jean Walther employé, au mariage de Chrétien Frédéric Walther son fils instituteur
acp 279 F° 16 du 13.6.

Mariage, Strasbourg (n° 496)
L’an 1840 le 29 décembre vu pas nous adjoint au Maire officier de l’Etat civil, l’acte de mariage de Chrétien Frédéric Walther et Louise Julienne Sophie Mathilde Wittich, l’avons conformément à la loi trascrit sur le présent registre ainsi qu’il suit. Traduction, Chrétien Frédéric Walther fils légitime de Jean Walther et de Frédérique Caroline née Schad, né à Blaesheim le 21 décembre 1814 professant la religion évangélique célibataire recteur à Strasbourg, et Louise Julienne Sophie Mathilde Wittich, fille légitime du capitaine Werner Wittich au service du duc de Nassau et Amélie Hélène née Wittich, née à Berg-op-Zoom le 8 juillet 1819 demeurant à Weilbourg professant la religion évangélique célibataire, ont été publiés dans l’église de la ville d’ici les 5, 12 et 19 juillet 1840 et unis par les liens du mariage par le soussigné le 23 juillet présente année. Ainsi extrait du registre des publications et mariage de la paroisse de la ville de Weilbourg. Weilbourg au Duché de Nassau, le 9 octobre 1840

Louise Julie Mathilde Wittich meurt en 1859 en délaissant quatre enfants

1859 (20. Xbr), Strasbourg 10 (140), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13 338
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Mr Chrétien Frédéric Walther, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, et Dame Louise Julie Mathilde Wittich son épouse défunte et de la succession de cette dernière décédée à Strasbourg le 23 octobre 1859.
L’an 1859 le mardi 20 décembre à midi, à la requête de Mr Chrétien Frédéric Walther, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville agissant A) en son nom personnel 1° à cause de la communauté de biens légale qui a défaut de contrat de mariage a existé entre lui et Dame Louise Simon Mathilde Wittich sa défunte épouse, 2) à cause des reprises quil peut avoir à exercer sur la dite communauté, 3) comme usufruitier légal des biens de ses enfants mineurs ci après nommés, B) et comme et tuteur légal de ses quatre enfants mineurs issus de son mariage avec sa défunte épouse, et nommés a) Frédéric Jules Walther né le 21 mai 1841, b) Paul Ernest Walther né le 1 octobre 1842, c) Emile Oscar Walther né le 14 janvier 1846, d) Wilhelmine Mathilde Berthe Louise Walther née le 4 décembre 1847, les quatre demeurant avec leur père à Strasbourg (…)
en présence de M. Charles Staehling, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur de ses dits enfants mineurs
De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg en la maison mortuaire place Saint-Thomas n° 6

Communauté, Premier étage, Salon, chambre à coucher de M. Walther, Cuisine
deuxième étage, chambre à coucher, chambre d’habitation, chambre à coucher, cuisine
troisième étage, chambre du pensionnaire, décharge, Cave
Immeuble, une maison avec cave, droits et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg, place St Thomas N° 6, autrefois N° 10, tenant d’un côté à M. Hoff ferblantier, de l’autre et par derrière à la rue St Thomas, par devant à la place St Thomas. Cet immeuble a été acquis durant la communauté de biens qui a existé entre les conjoints Walther de M. Jacques Frédéric Richhoffer, bottier, veuf de Dame Rosine Hélène Seyler, demeurant alors à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Zimmer, notaire soussigné, le 30 avril 1851, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 mai suivant volume 522 n° 128. (…). Cet immeuble occupé en partie par la famille de la défunte est évalué, mais pour la perception des droits d’enregistrement seulement, à un revenu annuel de 1000 francs représentant en denier vingt un capital de 20.000 francs
acp 484 (3 Q 30 199) f° 20-v du 27. Xbr
Communauté, mobilier 2970, argent 50, une maison – Passif 10.500
Succession, garde robe 38 francs

Professeur au gymnase, Chrétien Frédéric Walther se remarie en 1860 avec Julie Gammig
1860 (24.5.), Strasbourg 10 (141), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13 555
Contrat de mariage – Ont comparu Mr. Chrétien Frédéric Walther, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, veuf en premières noces avec quatre enfants de De Louise Julienne Sophie Mathilde Willich, né à Blaesheim du légitime mariage du Sr Jean Walther, employé à Saint Thomas à Strasbourg demeurant et cette ville et de feu De Frédérique Caroline Schad futur époux d’une part
Et Mad. Louise Barbe Julie Gammig, demeurant & domiciliée à Strasbourg veuve sans enfant de Mr Gustave Adolphe Krafft, en son vivant mécanicien née à Strasbourg du légitime mariage du Sr Daniel Michel Gammig marchand de meubles & de De Marguerite Barbe Boppel son épouse, demeurant ensemble en la même ville, future épouse d’autre part
acp 488 (3 Q 30 203) f° 72 du 25.5.
stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura l’usufruit de la moitié des biens de la communauté
Les apports du futur sont constatés par inventaire reçu Zimmer notaire le 20 décembre 1859
Ceux de la future épouse consistent 1) en un mobilier estimé à 4420, 2) dans l’usufruit de la succession de feu son mari constaté par inventaire reçu Zimmer notaire le 22 avril 1854
Donation réciproque par les futurs aux survivant d’eux d’une part d’enfant en propriété

Paul Ernest Walther vend sa part de maison à son père Frédéric Walther

1863 (12.11.), Strasbourg 10 (150), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 15 325
Ont comparu M. Jean Théodore Koerttgé, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, agisant au nom et comme mandataire de Paul Ernest Walther, Etudiant en médecine, domicilié à Strasbourg, demeurant à Toulon, rue Saint-Louis N° 4, majeur étant né le 30 septembre 1742 (…)
à M. Frédéric Walther, professeur au gymnase protestant de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, acquéreur
Désignation. Le huitième indivis d’une maison avec cave, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg, place St Thomas N° 6, autrefois N° 10, tenant d’un côté à M. Hoff ferblantier, de l’autre et par derrière à la rue St Thomas, par devant à la place St Thomas. Cette portion de maison est avenue au mandant de M. Koertgé dans la succession de sa mère ainsi qu’il est expliqué
Etablissement de la propriété. Ladite maison dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage avait existé entre M. Chrétien Frédéric Walther, sus nommé & Dame Louise Julienne Sophie Mathilde Wittich sa défunte épouse en premières noces. Et elle appartient pour moitié à M. Chrétien Frédéric Walther comme ayant participé pour pareille portion à ladite communauté ou pour quatre 8°, pour un 8° à M. Frédéric Jules Walther, pour un 8° à M. Paul Ernest Walther, pour un 8° à M. Emile Oscar Walther,& pour un 8° à Mlle Wilhelmine Mathilde Berthe Louise Walther, les quatre dernier seuls héritiers chacun pour un quart de Deme Walther née Wittich sus nommée qui avait droit à l’autre moitié de ladite maison, ainsi qu’il résute de l’inventaire dresé après le décès de cette Dame par Me Zimmer, notaire soussigné, le 20 décembre 1859.
Les conjoints Walther-Wittich avaient fait l’acquisition du dit immeuble de M. Jacques Frédéric Richhoffer, bottier, veuf de Dame Rosine Hélène Seyler, demeurant alors à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Zimmer, notaire soussigné, le 30 avril 1851, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 mai suivant volume 522 n° 128. (…). L’établissement de propriété antérieure se trouve consigné dans le devant qui vient d’être relaté auquel les parties déclarent de référer à cet égard. – Prix, 2500 francs
acp 527 (3 Q 30 242) f° 11 du 13.11.

Emile Oscar Walther vend sa part de maison à son père Frédéric Walther

1867 (12.3.), Me Zimmer
le mandataire d’Emile Oscar Walther, négociant à Genève
à Chrétien Frédéric Walther professeur au gymnase protestant de Strasbourg
un huitième indivis d’une maison sise à Strasbourg, place St Thomas N° 6, moyennant 10.500 francs
Origine, héritage de Mathilde Wittich femme Walther
acp 561 (3 Q 30 276) f° 69 du 13.3.



1, rue du Bouclier


Rue du Bouclier n° 1 et rue des Dentelles n° 17 – VII 46 (Blondel), P 985 puis section 6, parcelle 47 (cadastre)

Anciennes maisons zum Hirskorn (au Grain de millet), zur Krone (à la Couronne) et zum Korbe (au Panier)
Millésime 1552, maître d’ouvrage Justin Ziegler – Maison rue des Dentelles, 1891, maître d’ouvrage Jean Stiegelmann


Vue générale, rue du Bouclier à droite, rue des Dentelles à gauche (novembre 2017)
Façade rue du Bouclier (juin 2014)
Bâtiment rue des Dentelles, et mur de clôture (août 2015)

Trois maisons sont réunies en une seule propriété par Jérémie Hirskorn en 1522. La maison principale rue du Bouclier était appelée zum Hirskorn (au Grain de millet, dès 1350, ce qui représente un patronyme comme la plupart des noms de maison), la maison rue des Dentelles ou rue Marbach était anciennement appelée zur Krone (à la Couronne), enfin la maison zum Korbe (au Panier) formait l’angle des deux rues. Les deux premières sont réunies en une seule propriété au début du XVI° siècle, Jérémie Hirskorn y adjoint la maison d’angle en 1522. Les chefs de chantiers assermentés de la ville arbitrent en 1553 et en 1554 un différend survenu entre Justin Ziegler et son voisin concernant le pignon entre leurs maisons rue du Bouclier. Une pierre porte encore le millésime 1552. Après avoir appartenu à Meylach de Dettlingen et à ses héritiers (1575-1609), elle passe à Wolffgang Harnister puis à son gendre Jean Paul Reichard, secrétaire à la Monnaie. Jean Daniel Franck, alors propriétaire, est un des bourgeois qui quittent la Ville en 1686 suite à la Capitulation pour s’établir à Francfort après avoir cédé ses biens à sa fille. La maison appartient successivement à Jean François Antoine de Flachslanden (1692), conseiller à la régence épiscopale de Saverne, au capitaine de corps franc Jean Michel de Gschray (1751) puis à Jean Lemp (1767) qui deviendra consul à deux reprises. Le notaire Georges Frédéric Zimmer l’acquiert en 1793 et y établit son étude qu’il transmet à son fils Louis Frédéric Zimmer.



Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 134
Plan de l’îlot – Plan Blondel correspondant (1765, AMS cote 1 PL 675)

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade rue du Bouclier se trouve à droite du repère (a), celle rue des Dentelles à droite du repère (g). Entre les deux, la remise, le mur de clôture et la porte cochère (h-a). La cour A montre la façade sur cour (1-2-3-4) du bâtiment rue du Bouclier avec sa tourelle, le bâtiment (17-18-19-20) à l’angle nord-ouest de la cour, à l’ouest le bâtiment (16-17) dont la façade donne dans la rue des Dentelles et au sud la remise (14-15-16). Le plan montre que la disposition générale des bâtiments est la même qu’en 1765.
La maison porte d’abord le n° 6 (1784-1857) puis le n° 1.


Cour A – Plan, terrain cédé à la Ville en 1901 – Façade rue Dentelles (1901)
(dossier de la Police du Bâtiment)

Jean Stiegelmann fait transformer en 1901 l’aile latérale au nord de la cour et construit une maison qui s’ouvre sur la rue des Dentelles après avoir cédé 1,70 mètre carré de terrain à la Ville d’après les alignements de 1854. Le bombardement aérien du 11 août 1944 endommage légèrement les bâtiments qui sont transformés en hôtel en 2010. Les peintures murales découvertes en 2010 remontent à l’époque d’Ulric von Türckheim (voir Anne Vuillemard-Jenn, Les peintures murales de l’hôtel du Bouclier d’or à Strasbourg – Un décor héraldique du XVI° siècle, dans Cahiers Alsaciens d’Archéologie, d’Art et d’Histoire, 2018, pp. 119-138).


Vue en juin 2007 – Porte rue du Bouclier (juin 2014)
Entrée et cour (novembre 2017)


Elévation rue du Bouclier, façades arrière correspondantes, élévation rue des Dentelles

Plan des bâtiments – Vue lors de la reconstruction du mur de clôture (2011)
(Dossier de la Police du Bâtiment


Millésime 1552 à l’extérieur (cliché Roland Burckel) et au-dessus de la porte qui mène à l’escalier intérieur (cliché Anne Vuillemard-Jenn)

novembre 2017

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, rue du Bouclier dossier I, dossier II, rue des DentellesRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Maison dite zum Hirskorn (au Grain de millet) puis (1522) les trois maisons réunies

Jean de Blumenau
1350 v Raoul d’Andlau
1352 v Otton d’Uttenheim
Jean de Geispolsheim
1483 v chapitre Saint-Thomas
1513 v Wolffgang Merschwein et Madeleine Stingler
1522 v Jérémie Hirskorn d’Issenheim et Madeleine Jungvogt
h Juste Ziegler et Marguerite Hirskorn
1570 v Ulric von Türckheim, aubergiste à la Hache, et Ursule Mœssinger
1575 v Meylach de Dettlingen
Jean Adam Vollmer de Bernshoffen et Richarde de Landsperg, 1596 un tiers à Théophile Goll
h Jean Gaspard de Dettlingen et Euphrosine de Schœnau
1609 v Wolfgang Harnister et (1577) Elisabeth Storck – luthériens
1627 h Jean Paul Reichard, secrétaire à la Monnaie, et (1621) Cléophée Harnister puis (1637) Jeanne Heuss, veuve de Daniel Richshoffer – luthériens
1674 h Jean Christophe Reichard, marchand, et (1663) Susanne Bressler – luthériens
1676* v Jean Daniel Franck, marchand, et (1660) Marie Barbe Haan, (1669) Salomé Asfalck puis (1680) Salomé Richshoffer, veuve du marchand Jean Philippe Kob – luthériens
1687 h Samuel Reuter, marchand, et (1684) Marie Barbe Franck – luthériens
1691 v Jean Paul Gambs, administrateur de la Tour aux deniers, et (1687) Marie Félicité Wencker – luthériens
1691 v Jean François Antoine de Flachslanden, conseiller à la régence épiscopale de Saverne, et (v. 1686) Sabine Marguerite Richarde de Wangen – catholiques
1730* h Jean Henri Joseph de Flachslanden, et (1723) Josephe de Reinach Hirtzbach – catholiques
1751 v Jean Michel de Gschray, commandant de corps franc, et (1722) Marie Madeleine Wagner – catholiques
(cession, 1761) François Guillaume de Gschray et Marie Claire Françoise de Weitersheim – catholiques
1761 adj Georges Frédéric Lemp, pharmacien, et (1717) Marie Madeleine Kornmann – luthériens
1767 h Jean Lemp, consul, et (1761) Marguerite Salomé Flach – luthériens
1793 v Georges Frédéric Zimmer, notaire, et (1790) Marguerite Salomé Trawitz puis (1796) Marguerite Salomé Gintzrot – luthériens
1839 h Louis Frédéric Zimmer, notaire, et (1838) Marie Anne Eve Elisabeth Geither
1867 h Albert Zimmer, clerc de notaire
1889* h Marie Anne Eve Geither veuve de Louis Frédéric Zimmer (supra)
1901* v Jean Stiegelmann, gérant de biens, et Sophie Emma Schlagdenhauffen
1950+ v Jean René Stiegelmann, avocat, et cohéritiers

Maison dite zur Krone (à la Couronne)

Junta, fille de Henri Stampp
1397 v Gertrude, fille d’Erwin von Dürningen
Grand Hôpital
1499 v Nicolas Krug et Sybille
1519 v Chapitre Saint-Thomas, réunie à la maison zum Hirskorn

Maison dite zum Korbe (au Panier)

Jean de Rodesheim (1352)
Jean d’Ingenheim (1465)
h Jacques Pfaffenlapp, de Still, et Eve d’Ingenheim
1480 v Jean Voltz et Odile
Jean Burneissen, boucher (1483, 1499)
Nicolas Immesheim
1522 v Jérémie Hirskorn, réunie à la maison zum Hirskorn

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 700 livres en 1686, 3 000 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) VII 46, Mde Lemp
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 985, Zimmer, Georges Frédéric, les hér. du notaire – maison, sol, cour – 6,7 ares

Locations

1687, Philippe Henri Sachs, marchand de vins
1760, Jean Lemp, secrétaire de chancellerie (ensuite propriétaire)

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1775, Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
Le maçon Michel Gruber est autorisé au nom de l’assesseur des Quinze Lemp à réparer le crépi

(f° 196-v) Dienstags den 9. Maji 1775 – S. T. Herr XV. Lemp
Mr Michel Guber, der Maurer noe. S. T. Herrn XV. Lemp bittet zu erlauben an deßen in der Schilts: und Spitzengaß gelegener behausung gegen der Spitzengaß das bestich zu repariren. Erkannt, Willfahrt.

1780, Préposés aux affaires foncières (VII 1419)
L’assesseur des Quinze Lemp est autorisé à réparer le crépi

(f° 38) Dienstags den 4. Aprilis 1780 – Hr. XV Lemp
S.T. H. XV Lemp bittet zu erlauben ane deßen behausung am Eck der Schilds: und Spitzen Gaß gelegen, den bestrich repariren zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le maçon Müller est autorisé au nom du consul Lemp à peindre la façade

(f° 139) Dienstags den 22. Augusti 1786. – Hr Amstr. Lemp
Herr Müller, der Maurer, nôe SS. TT. Herrn Ammeister Lemp bittet zu erlauben deßen behausung in der Schültz Gaß gelegen, anstreichen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Bouclier

nouveau N° / ancien N° : 12 / 6
Zimmer
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 278 case 4

Zimmer George Frédéric les héritiers

P 985, maison et cour, sol, rue du bouclier 6
Contenance : 6,70
Revenu total : 345,48 (342 et 3,48)
Folio de provenance : (278)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 60 / 48
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 452 case 1

Zimmer Georges Frédéric héritiers
1869 Zimmer Albert, Clerc de Notaire
1889/90 Zimmer Ludwig Friderich Wittwe Maria Anna Eva Geither
1901 Stiegelmann Johann, Reiteneinnehmer und Ehefrau Sophia Emma geb. Schlagdenhauffen in Gütergemeinschaft

P 985, Maison, sol, cour, Rue du bouclier 1
Contenance : 6,70
Revenu total : 345,48 (342 et 3,48)
Folio de provenance : (278)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 60 / 48
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 30 p. 67 case 4

Parcelle, section 6, n° 47 – autrefois P 985
Canton : Schildsgasse u. Große Spitzeng. Hs N° 1 u. 17 – Rue du Bouclier Nr 1 Rue des Dentelles 17
Désignation : Hf, 2 Whs u. NG – sol, deux maisons et bât. acc.
Contenance : 6,60 / 6,59
Revenu : 2500 – 3400 – 4300 – 4000 – 5600
Remarques : 1910 Berufung – II 66 – 1908 Berichtigung

(Propriétaire), compte 1209
Stiegelmann Johann u. Ehefr
Stiegelmann Jean sa veuve
1950 Stiegelmann Jean René, avocat, pour 1/3 et cohéritiers
(3985)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 233 Rue du Bouclier (p. 380)

6
Pr. Lemp, Ltié és lois – Fribourg
loc. Haus, Jean, journalier – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schildgasse (Seite 146)

(Haus Nr.) 1
Ambiehl, Wwe. 0
Forster, Buchhalter. 0
Dr. Dollinger, prakt. Arzt. 1
Stiegelmann, Renteneinnehmer. E 12

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 654 W 48)

1, rue du Bouclier (1893-1977)

Jean Stiegelmann est autorisé en 1901 à transformer l’aile latérale au nord de la cour et à construire une maison qui s’ouvre sur la rue des Dentelles. Il cède 1,70 mètre carré de terrain à la Ville d’après les alignements établis le 11 mars 1854. Comme les travaux ne sont pas conformes aux plans, le maire délivre un avenant au permis de construire. Une ancienne fosse d’aisances commune dégage de mauvaises odeurs en 1902. Le bombardement aérien du 11 août 1944 endommage légèrement les bâtiments.

Sommaire
  • 1893 (mai) – Le maire notifie la veuve Zimmer née Geither de ravaler la façade – Le propriétaire demande un délai en arguant de dépenses engagées pour établir des canalisations dans la cour – La Police du Bâtiment estime que les murs sont trop abîmés pour accorder un délai
    1893 (juillet) – L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom de la veuve Zimmer l’autorisation de réparer le crépi de la façade au 1, rue du Bouclier à l’angle de la rue des Dentelles – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1893
  • 1901 – L’entrepreneur Emile Widmann demande au nom du propriétaire Stiegelmann de poser une clôture de chantier rue des Dentelles pour reconstruire l’aile latérale. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Travaux terminés, avril
    1901 (janvier) – Jean Stiegelmann demande l’autorisation de transformer l’aile latérale et de construire un bâtiment – La Police du Bâtiment demande onze pièces supplémentaires à l’entrepreneur pour compléter le dossier
    1901 (février) – Les services de la préfecture intercèdent auprès du maire pour qu’il accorde une dispense concernant la hauteur du bâtiment
    1901 (février) – La ville acquiert de Jean Stiegelmann un terrain de 1,70 mètre carrés (section P n° 985) le long de la rue des Dentelles pour que le propriétaire puisse construire un bâtiment en suivant les alignements établis le 11 mars 1854. Les plans montrent que le bâtiments sur lesquels portent les travaux sont celui au nord de la cour et celui à l’ouest qui s’ouvre sur la rue des Dentelles. – Autorisation de construire – Plan de situation, plan des différents niveaux
    Suivi des travaux. Le bâtiment rue des Dentelles est commencé, la moitié du rez-de-chaussée est construite, mars. Le mur de clôture est terminé, las combles sont posés. Le toit des mansardes dépasse de 50 centimètre la hauteur maximale au lieu d’être incliné de 45 degrés, avril. Dessin du toit – Le propriétaire répond que le toit dépasse de 35 centimètres et de non de 50 centimètres la hauteur prévue à cause de différences dans les dimensions indiquées par le charpentier. Comme la bâtiment est terminé, les modifications seraient très onéreuses. La Police du Bâtiment est disposée à ne pas exiger de modifications et note que les transformations de l’aile latérale ne sont pas encore commencées (mai). Les transformations sont terminées dans le bâtiment rue des Dentelles à l’exception d’aménagements intérieurs (peinture et tapisseries). Les plâtriers travaillent dans l’aile sur cour. Un couloir non prévu mène à la salle de bains et aux cabinets d’aisance, croquis (juin)
    1901 (septembre) – Avenant au permis de construire – Dessins
  • 1902 – Jean Stiegelmann se plaint qu’une chambre au premier étage de la maison arrière est inhabitable à cause des mauvaises odeurs qui proviennent d’une fosse d’aisances. La Police du Bâtiment constate que les odeurs proviennent de la fosse autrefois commune qui appartient au boucher Weber (demeurant 17, place Saint-Etienne). Le docteur Dollinger, locataire, envoie ses remarques à la Commission contre les logements insalubres – Le voisin fait vider la fosse – Jean Stiegelmann déclare un mois plus tard que les travaux n’ont pas supprimé les nuisances – La Police du Bâtiment attribue les mauvaises odeurs à des matières qui pourraient se trouver dans ces cavités du mur de séparation. La cavité entre le mur pignon et le mur d’isolation a été aérée, l’affaire est classée (avril 1902)
  • 1908 (mai) – Le maire notifie Jean Stiegelmann de faire réparer la façade au 17, rue es Dentelles.
    1908 (septembre) – L’entrepreneur Emile Widmann demande l’autorisation de réparer le crépi au 1, rue du Bouclier – Autorisation
    1808 (octobre) – Le maire adresse un rappel. Le propriétaire déclare que le mur de la maison principale a été ravalé et que le bâtiment rue des Dentelles date de 1902
  • 1907 (novembre) – Le maire notifie Jean Stiegelmann de faire réparer la façade au 1, rue du Bouclier. Autre notification pour le mur de clôture
    1909 – Le peintre en bâtiment Meyer et Reyhle (3, ruelle Saint-Nicolas) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage devant le 1, rue du Bouclier. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Travaux terminés, août
  • 1942 – Rapport d’intervention des pompiers suite à une accumulation de fumée dans la cave
  • 1946 – Demande d’un certificat de sinistré. Les bâtiments ont été endommagés par le bombardement aérien du 11 août 1944 et réparés depuis lors
  • 1954 – L’entreprise Fernand Motz (11, rue de Lucerne) est autorisée à poser un échafaudage devant le 1, rue du Bouclier. Le crépi est en cour de réparation, les travaux sont exempts de droits de voirie au titre des dommages de guerre
  • 1958 – L’entreprise Ketterer (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) est autorisée au nom du propriétaire Bender à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1972 – L’entreprise Fernand Motz (11, rue de Lucerne) est autorisée à poser un échafaudage devant le 1, rue du Bouclier. Dosser classé sans occupation, janvier 1973
  • 1977 – L’entreprise Charles Bilz (8, rue Livio à la Meinau) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture – Travaux terminés, janvier 1978

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 684 W 180)

17, rue des Dentelles (1961-1979)

Le dossier contient des autorisations d’occuper la voie publique pour ravaler la façade et réparer la toiture

Sommaire
  • 1961 (janvier) – Le maire notifie Janine Stiegelmann de faire réparer la façade
    1961 (mai) – Janine Stiegelmann est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour faire crépir la façade – Travaux terminés, juin
  • 1977 – L’entreprise Furst Frères (rue Saint-Jacques à Obernai) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture – Travaux terminés, juin
  • 1979 – Le notaire Bernard Muller de Muttersholtz demande que l’entreprise Motz soit autorisée à poser un échafaudage devant son immeuble. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Travaux terminés, mars 1980
    Le propriétaire demande une subvention qui lui est accordée. Il n’envoie cependant pas de justificatifs

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1689 W 1223)

1, rue du Bouclier et 17, rue des Dentelles (2010-2013)
Changement de destination (aménagement d’un hôtel)

2010 – Le maire accorde le un permis de construire à la société DT Immobilier (représentée par M. Jung, 4, rue des Veaux) – Plans, photographies


Relevé d’actes

Les Archives départementales conservent un fonds d’anciens titres concernant la maison sous la cote 100 J 670. Le plus récent est un original sur parchemin de la vente passée en 1793. Les héritiers de Jean Paul Reichard ont fait dresser dans la deuxième moitié du XVII° siècle un état des titres en leur possession dont la plupart fait partie du fonds actuel. L’état est complété par un feuillet écrit un siècle plus tard. Les anciens titres ont trait à trois maisons par la suite réunies en une seule. La maison (A) rue du Bouclier était appelée zum Hirskorn (au Grain de millet, dès 1350, ce qui représente un patronyme comme la plupart des noms de maison), la maison (B) rue des Dentelles ou rue Marbach était anciennement zur Krone (à la Couronne), celle, ensuite disparue, à l’angle des deux rues était appelée zum Korbe (au Panier). Les deux premières sont réunies en une seule propriété au début du XVI° siècle, Jérémie Hirtzkorn y adjoint la maison d’angle en 1522.
Les titres 5, 11, 18, 19 ne sont pas conservés, ni les papiers de Jean Paul Reichard (pièces 23 à 27)

(ADBR, cote 100 J 670)
Registratura der Jenigen Documenten vndt Brieffen Vber die Eck behaußung Vnd. in der Schültzgassen gelegen Hrn Johann Paul Reichardt kind.en sowohl Erster alß and.er Ehe Zuständig besagendt.

[1] Erstlichen Ein alter pergamentin brieff, also anfangendt, Datum per copiam sub sigillo Curiæ Argent: præsentibus appenso &c. Vndt sich endet A° Dni. millesimo Trecentesimo Quadragesimo In quarum quidem visionis & p.bationis testimonium evidens atq. robur sigillum curæ Argent: p.dictæ p.sentibus c. appensum actum & datum A° domini & sabato Supra Scriptis, ist außwendig mit alten A° 116. Vnndt ietzigem N° 1 signirt.

[2] Item Ein alter Pergam:brieff als anfangendt Coram nobis Judice curiæ Argent: constituit Johannes dictis Hemelin nuncupatus Epfficher presbÿter p.bendarius altarus sanctorum Petri & Pauli apostolor. & Catharinæ Virginis &c. Vnd sich endet Actum XIII. Calend. Aprilis A° Dni. Millesimo Trecentesimo nonagesimo quinto, ist außwendig mit A° 116. v. N° 1 Signirt.

[3] Item Ein alter Pergamentiner brieff also anfangendt Coram nobis Judice curiæ Argent: const: Rudolphus de Andelahe senior miles &c. vndt sich endet Anno Dni. Millesimo Trecentesimo Quinquagesimi secundo, ist auswendig mit altem N° 116. v. N° i. signirt.

[4] Item Ein alter Pergam: brieff also anfangendt Coram nobis Judice curiæ Arg: constit: Joh: dicus Blumenauw filius quindam Hugonus dictis Blumenauw &c. vndt sich endet Datum x Calend. Februarÿ A° dni: Millesimo Trecentesimo quinquagesimo ist aus wendig mit altem N° 116. v. N° i. signirt.

[5] [f° 1-v] Item Ein alter Pergamentiner brieff also anfangendt Coram nobis Judice curiæ Argent: Constituti Venerabiles viri Dni Nicolaus Eberlin Decanus etc. Vndt sich endet Actum vi. calend. 9.bris A° dni Millesimo Quadringentesimo quadragesimo ist aus wendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[6] Item Ein kleines alter Pergamentines briefflein mit hanßen Von Geÿspoltzheim anhagendem Insigel, also anfangendt. Ich hanß Von Geÿspoltzh. burg. Zu Straßburg &c. vndt sich endet, Zu Vrkundt Sohan ich mein eigen Insigel gehenckt an dißen brieff der geben ist Am nächsten Zinstag nach dem H. Ostertage nach Christi geburth 1465. Jare, ist d. briefflein auswendig mit. N° i. signirt.

[7] Item Ein alter Pergamentiner brieff. ohne sigel. also anfangendt Ich Jacob Pfaffenlapp Zu Stÿll, Vnndt ich Eua Von Ingenheim sein Eheliche hußfrauwe &c. v. sich endet. d geben ist auf Montag nechst Vor dem H. Sontag als man zalt nach Christi geburth 1480. Jore, ist d. brieff auswendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[8] Item Ein alter Pergamentiner teutscher brieff mit deß Mehreren Spittals Zu Straßburg anhangendem großen Insigel, Also anfangendt Ich Ruprecht Vÿall Schaffner deß mehreren Spittals Zu Straßburg &c. Vndt sich endet d. geben ist Vf Sambstag nächst der St. Johanß tag Baptistæ Alß man Zalt nach geburth Christi Vnßers lieben herren 1499. Jore, ist der brieff auswendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[9] Item ein alter Pergam: lateinischer brieff, Also anfangendt. Coram nobis Judice Curiæ Arg: constituti nobis Johannes dictus de Geispoltzheim civis Arg:
[f° 2] et Kunigundia Dulerin eius uxor legitima &c. v. sich endet. Actum 8. Idus. Februarÿ A° dni 1483. aus wendig mit N° 116. Vnndt N° i. signirt.

[10] Item ein alter lateinischer Pergam: brieff, also anfangendt. Coram nobis Judice Curiæ Arg: constitutus Venerabilis vir dominus Johannes Onheim vicarius Ecclesiæ sancti Thomæ Argent: &c. Vnndt sich endet. Actum x. Calend. Julÿ Anno Dni 1513. auswendig mit N° 116. Signirt.

[11] Item ein lateinischer Pergam: brieff, also anfangendt. Coram nobis Judice Curiæ Argent: constitute Otilia relicta quondam Nicolai Krug carnificis in Nuwÿler, & marge Krugin soror tam dicti quondam Nicolai Krug uxor legitima Johannis Franck sutoris in Kuttelsheim &c. V. sich endet. Actum 3. Idus. Aug: A° Dni 1517. ist d. brieff auswendig mit N° 116. V. N° 1 Signirt.

[12] Item ein lateinischer Pergam: brieff, also anfangendt. Coram nobis Judice Curiæ Argent: constitutus Honestus Nicolaus Immeßeim civis Argent: p.se et eius hæredibus &c. Vnndt sich endet. Actum 4. Idus. Januarÿ dni 1522. Ist d. brieff auswendig mit N° 116. Signirt.

[13] Item Ein alter teutscher Pergam: brieff mit Wolffgang Mörschweinß ahnhangendem Insigel Also anfangendt. Ich Wolff Merschwein, Vndt ich Magdalena Stinglerin sein Eheliche haußfrauw &c. Vndt sich endet. Vndt wart dißer brieff geben auf monath nach St. Ulrichstag nach Christi Vnßers herren Geburth 1522. ist d. brieff auswendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[14] Item Ein alter Pergamentiner teutscher brieff mit Jeremiæ hirschhorns V. hanß Ebelß anhangenden Insiglen, meldet wie Jeremias hirschhorn v. sein haußfrauw erkaufft haben von Wolffgang Merschwein v. seiner haußtrauw hauß hoff V. hoffstatt mit seinen Zugehörungen Vmb Vier [f° 2-v] hund. V. 80. guld. &c. v. sich endet d. geben ist auf aller Seelentag A° dnt. 1522. Jahr. ist auswendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[15] Item Ein teutscher Pergamentin brieff also anfangendt Wier mit nahmen Heronÿmus fürnkor Werckmeister Vnßerer L. fr Münster Zu Straßb. Clauß Von Andlauw murer &c. V. sich endet der geben ist auf den 27. tags deß monats 8.bris in dem Jahr als man Zalt nach geburt Christi Vnßers lieben herren V. Seligmachers 1553. Vnd seindt diser brieff Zween gleich lautende deren Jede Parteÿ einen beÿ hand hat. ist d. brieff auswendig mit N° 116. v. N° i. signirt.

[16] Item ist durch erst gedachten brieff ein Pergam: Transfix gezog. also anfangendt Wier mit nahmen Jeronimus Fürnkorn Werckmeister &c. v. sich endet der geben ist Vff den 12. tag deß monats Aprilis In dem Jare alß man Zalt nach d. geburt Christi Vnßers & Herrn Vndt seligmachers 1554.

[17] Item Ein teutscher Pergamentiner Kauffbrieff mit deß Kleinen Raths Zu Straßburg anhangendem Insigel, meldet wie Ulrich Von Türckheim, würth vndt gasthalter Zur Axt erkauffet hat von Justen Zieglers, Vndt frauw Margreth hürschkörnin seel. Erben eine behauß hoffstatt, hoff V. gärthlein mit allen v. ieden ihren Weÿthen &c. Vndt fängt d. brieff Ahn Wier Cornemlius Von Lier Statthalter deß Meisters V. d. Raht deß Kleinen Rahts Zu Straßburg &c. Vnd endet isch der geben ist montag den 13. 9.bris nach geburth Christi Vnßers lieben herren Gottes Vndt Seligmachers gezaalt fünff Zehen hund. V. Siebzig Jahr. ist d. brieff auswendig mit N° 1. 14. 26. V. 116. signirt.

[18] [f° 3] Item Ein teutscher Pergamentiner brieff mit Vlrichs Von Türckheim Vndt hanß Willhelm Mössingers anhangenden Insiglen, Also anfangend, Ich Vlrich Von dürckh. Würths gasthalter In d. herrberg Zu d. Ext Zu Straßburg V. ich Ursula Mössingerin sein Eheliche haußfr. &c. V. sich endet Geben Vnndt beschehen Montags den 24. tag deß monaths Martzÿ. nach Christi Vnßers herren Erlößers Vndt Seligmachers geburth alß man Zalte 1572. Jahr, ist d. brieff auswendig mit N° 1. 14. 26. V. 116. signirt.

[19] Item Ein teutscher Pergamentiner brieff mit Vlrichs Von Türckheim Vndt hanß Willhelm Mössingers anhangenden Insiglen, Ahnfangend, Ich Vlrich Von Türckheim Gasthalter Zu d. Axt Zu Straßburg Vnndt ich Vrsula Mössingerin sein Ehl. haußfr. &c. V. sich endet Nach Christi Vnßers H. Erlößers V. Seligmachers geburth alß man Zalt 1572. Jahr, ist d. brieff auswendig mit N° 1. 14. 26. V. 116. signirt.

[20] Item Ein teutsche Pergamentine Kauffverschreibung mit der Statt straßb. ahn hangendem Kleinen Insigel, meldet wie Vlrich Von Türckheim, Jr. Meÿlach Von dettlingen Verkaufft hat eine behaußung mitt aller ihrer Zugehört vnd Gerechtigkeit gelegen in d. Schültzgassen &c. V. fangt d. brieff also ahn, Wier Steffan Sturm d. Meister V. d. Rat Zu Straßburg &c. Vndt sich endet d. geben ist den 12. Februarÿ. alß man Zalt von d. Geburth Christi Lieben Herrn Erlößers V. Seligmachers 1575. Jahr, ist d. brieff auswendig mit N° 1. 14. V. 116. signirt.

[21] Item Ein teutsche Pergamentine Kauffverschreibung mit hanß Adam Vollmars Vnndt fr. Richarden von Landsperg anhangenden Insiglen, meldet wie Jr. Hanß Adam Vollmar V. gedachte seine haußfr. V.kaufft V. Zu kauff. [f° 3-v] gegeben haben dem Ehr venuesten Vndt hochgelehrten herrn Theophilo Gollen dem Jüngern Vndt Fr. Evæ Gloßnerin seiner haußfrauwen, nemblich ihren eÿgenthümblich dritten theil ahne Hoff, hauß, hoffstatt, Stall Vnndt hind.hauß, mit allen and.en ihren gebeuwen &c. gelegen in d. Schültzgassen &c. Vndt endet sich d. brieff also. Geben auf Sambstag den 1. monats Maÿ A° d.mini 1596. d. brieff auswendig mit N° 1. V. 116. signirt.

[22] Item Ein Pergamentine teutsche Kauffverschreibung mit der Statt straßb. Cantzleÿ contract Insigel, meldet Wie Fr. Euphrosÿna Von Dettling wittwe gebohrne Von Schönauw benebenß ihrer Kind. Curatoren V. Vögten V. kaufft Vnndt Zu kauffen gegeben Hrn Wolffgang Harnischtern burg.en Zu Straßburg V. deßen Erben, benantlich eine behaußung in d. Schültzgassen geleg. V. fangt d. brieff also Ahn Wir Sebastian Zorn d. Meister Vnd d. Rath Zu Straßburg &c. V. sich endet Geschehen Vff den 22.tag 7.bris In dem Jahr deß herrn Alß man Zalt 1609. Jahr. d. brieff od. die Kauffverschreibung auswendig mit N° 116. V. 1. signirt.

[23] Item Ein Endliche Abrechnung mit weiland Schw. wolffgang Harnisters Erbin Vogt H. Augustin Glaßeren getroffen den 10. Aug: 1630. darbeÿ die Verweißung ahn Weÿl. H. Geörg Laugingers selig erben Vmb 120. lb & Zugefunden.

[24] Item Eine Quittung für 30. lb d Welche Hn. Augustin Glaßeren alß Vogt Euphrosÿna Elisabetha Harnisterin den 29. Julÿ 1629. bezalt worden seind.

[25] Item 2. abrechnung Von Hr. Johann Paul Reichardts eigener handt gefertigt Hrn. Wolffgang Harnischteren den Jüngern betreffendt.

[26] [f° 4] Item Eine Copia Obligationis Von Hrn Johann Paul Reichardts selbs eigener handt geschrieben deran original Augustin Glaßeren empfang. hat.
[in margine :] Vide Joh: Paul Reichardts Schuld buch A. folio 77. 78. 79. V. 103. 104. 113.

[27] Item d. 25. Julÿ A° 1627. haben Wolffgang, Johannes Vndt Daniel die Harnister gebrüd. meine H. Schwäg. in beÿsein H. Vetter Nicolai Von Türckheim, Vnßere gemeine ahne d. Schültzgassen gelegene behaußung Vmb 2250. lb angeschlagen V. darum Sortirt, V. die weil eine solche Summ einem ieden Vnd. den Erben Zu erleg. auf einmahl zu schwerfallen würde, ist Von dem gelegten looß angedingt word. d. der ienige welchem die behaußung Zufällt 1500. fl. Zum angelt erlegen Vndt den Rest eher nit, alß wan die behaußung allerdings geraumet Verinteressiren solle, darbeÿ auch noch dießen bedingt d. der erstgemelte Rest 4 Jahr à tempore traditarum ædium Verzinßet, V. nach Verfließung d. bestreichten Zeit einem ieden Völlig erstattet werden soll. Was ietz nuhn bar bezahlt V. mit gegen forderungen guth gethan ist hiernach in specie Zu befünd. folio. 78. 79. v. 103. 104. 113.

[28] [Scheda]
1575. Verkaufen Ulrich von Türckheim und sein Frau Ursula Morßingerin dieße behaußung ane Juncker Meÿlach Von Dettlingen um f. 1500.

[29] 1679. Cediren die Reichardische Erben, ihrem bruder und schwager (H Johann Christoph Reichard 3.er auf dem stall und Banquier) dieße behaußung H. XXI. Reichart und seiner frauwen geb. Reichardin ihren eltern gehörig ware, um 4500. f.

[30] 1691 Erkaufft H. Von Flachsland dieße behaußung pro f. 40000. von H. Joh: Paul Gambsen und bezahlt alle darauff stehenden schulden

[31] 1691. Samuel Reuther und seine Ehefrau gebohrne Frandin Verkaufen ane Joh: Paul Gambs und seine Ehefrau gebohrne Wenckerin

[32] 1687. Verschreibt H. Franck Handelßmann Zu ffrt dieße behaußung seiner tochter Frau Reutherin auf abschlag ihrer mütterl. Erbsforderung

[33] 1751. Verkauft H. Von flachsland dieße behaußung an H. Von Gschray um 17 500 livres


Maison dite zum Hirskorn

Maison dite zum Hirskorn (au Grain de millet) jusqu’au XVI° siècle, sise rue du Bouclier

Jean de Blumenau, fils de Hugues de Blumenau, vend en 1350 la maison dite zum Hirskorn sise rue du Bouclier à Raoul d’Andlau, au service de l’évêque Berthold (titre 3)

Raoul d’Andlau vend en 1352 la maison dite zum Hirskorn au chapelain Otton d’Uttenheim (titre 4)

Jean de Geispolsheim, propriétaire de la maison zum Hirskorn, passe en 1465 un accord avec le noble Jean d’Ingenheim, propriétaire de la maison au Panier (zum Korbe), pour pouvoir poser des poutres dans le mur mitoyen

1465, cote 100 J 670 (titre 6)
Ich Hans von Geyspolsheim burger Zu Straßburg Erkenne mich mit disem briefe,
So als ich in minem Huse genant zu dem Hirsekorne in schiltsgasse gelegen vnd das do stosset mit einem ende an das orthuß genant Zum Korbe, etlichen gebuwe getan vnd also die mure die zwischen dem Huse Zum Korbe vnd minnem Huse ist etlicher massen mit In geleyten höltzern gebruchet Han das do der veste Juncker Hans von Ingenheim vmb güter freinschafft willen (mir), das gegünnet vnd erloubt hat wan ich aller ein yedet besizer mÿns huses keine gerechtikeit habent In Soliche mure zubuwend, vnd das zu urkunde So han ich myn eygen Ingesigel gehenckt an disen brieff der geben ist Am nehsten Zistage nach den Heiligen ostertag Nach cristi gebutr vier hundert Sehztig vnd fünff Jare.

Le prébendier Jean Hemmelin dit Eppficher fonde en 1390 un service garanti sur une maison rue du Bouclier jouxtant celle de l’aubergiste Jean von Horenberg et celle de la prébende Sainte-Cécile, (cote 100 J 670, pièce 2).

Jean de Geispolsheim vend en 1483 la maison zum Hirskorn au doyen et au chapitre de Saint-Thomas moyennant 140 florins (titre 9)

Le chapitre de Saint-Thomas vend en 1513 une maison avant (A) qui donne dans la rue du Bouclier et une maison arrière (B) qui donne dans la rue Marbach à Wolffgang Merschwein moyennant 350 florins (titre 10)

Wolffgang Merschwein et sa femme Madeleine Stingler vendent 480 florins une maison qui donne à la fois dans la rue du Boulier et dans celle des Dentelles à Jérémie Hirskorn d’Issenheim et à sa femme Madeleine Jungvogt

1522, cote 100 J 670
Ich Wolff Merschwein vnnd Ich Magdalena Stinglerin sin elich Hußfrow Bekenne vnd mit disem briefe das wihr für vns vns all vnser erben vnuerscheidlich recht vnd redlich verkaufft vnd Zu kauffend geben haben vnd geben In crafft diß briefs
den Ersamen Jheremias Hirßkorn von ysenheim vnd frow Magdalena Jungkvögtinn siner elichen Hußfrowen die Inen vnd iren erben vmb vns gekoufft Habend
Huß Hoff Hoffstat Vnd garten mit gebuw begriff Zu gehörung vnd allen rechten geleg. in der statt straßpurg in schiltzgaß Ein seit neben einne Huse ist der stifft Zü sant thomann andersite neben der ob gemelten köuffern eckhuse stosst hinden in spitzengaß neben Heren diebolt lehemann vicarien Zu sant thoman, Ist leddig eygen Also das die genant elichen gemechde die keuffer sollen vnd mögen (…), beschehen vmb vier Hundert vnd achtzig guld. (…) mit fliß gebetten lienhart stengel mynem lieben bruder sein Insigel für mich hat an zu hencken
Geben vff montag nach sant Vlrichstag Nach Crist vnsers Herrn geburt Tusent fünff hundert zwantzig vnd zweÿ

Jérémie Hirskorn d’Issenheim et Madeleine Jungvogt hypothèquent la maison au profit des vendeurs. Le nom ancien de la maison, zum Hirskorn, y est mentionné alors qu’il ne figure pas à l’acte de vente précédent.

1522, cote 100 J 670
Ich Jeremias Hirßkorn von Ißenheim burger Zu Straßburg Ich Magdalena Junckvogtin sin Eeliche Hußfrauw Bekennen alß wd. vmb*
die Ersamen Wolff Merschwein vnd Magdalena Stinglerin sein eeliche Hußfrauw huß hoff vnd hoffstatt sampt seinen Zugehörungen vmb fier hundert vnd sechzig gld Wgd. Erkufft Haben Inhalt einer kouffbrieffs so wd. von Irren Inhabern do wyd Jmme achzig gld
(…) zu rechten vnderpfandt versetzt Ein Huß, Hoffstat Vnd garten sampt gebuw begriff Zu gehörung. gelegen in der stat straßpurg in schiltzgaß Zum Hirßkorn genant Ein seit neben Eynem Huß Ist der stifft Zu sant thomann in Straßburg ander sÿt an vnsserem Huß Zum Korb genant Ist ein eck Huß vnd stosset hinden vff Her diebolt lehemann vicari gemelts stiffts sant thomann Ist lydig Eygen vnd *gter das Jetz gemelt Eck Huß Zum Korb stosset zu allen syten vff das Vgemelt Huß Zum Hirßkorn Zinset vormalß Zwen schilling vij d boden Zinß vor gemelten Herren Zu sant thomen vnd dreissig zwen schilling gelts vnd gurent* des closters In den fromen brudern Zu Straßburg Ist sonst ledig Eÿgen (…) liß Erpetten den Ersamen Hans Ebell burger Zu Straßburg vnserm liben vettern sein Innsigell von vnserm * heran zu hencken das Ich Hans Ebell bekenn vmb best willen gethan haben (…) Ist vff aller selig tag anno dnj 1522


Jérémie Hirskorn acquiert la même année 1522 la maison d’angle. Il est alors seul propriétaire des trois anciennes propriétés
Les chefs de chantiers assermentés de la ville arbitrent le différend survenu entre les héritiers du chanoine Jacques Bopp et Justin Ziegler concernant le pignon entre leurs maisons rue du Bouclier. Le mur du jardin et le pignon déclarés mitoyens devront être entretenus à frais communs. Le plaignant qui fait édifier un nouveau bâtiment en renforçant et en surélevant le mur devra en supporter seul les frais. Si le passage ou galerie des défendeurs était endommagé par les travaux, le plaignant devra également en supporter les frais et faire en sorte que l’humidité ne l’endommage pas.

1553 (27. Oct.), cote 100 J 670
Wir mit namen Geronimus Fürnkorn Werckmeister vnser Lieben Frauwen Münster Zu Straßburg, Claus vonn Andelauw Murer, Bernhardt von Bitschlen Zimmermann Vnnd Adam Kinig Murer alle geschworne werckleüthe der statt Straßburg. Bekhennent vnd Thunt Khunt meniglichen mitt dißem brieffe, Das vor vnns als wir gerichtlich versammeltt warent erschinen Sindt die fürsichtigen vnnd wißen Herr Justinus Ziegler burger Zu Straßburg an eim. Vnd dann Bastiann Jung der Fünff Zehner als geschworner Vogt Wÿland des Erwürdigen Herrn Jacob Boppen, Dechann des stiffts alhier Zu Sanct Thoman seligenn Verloßnenen Kindern auch Scher Sÿmmon als geschworner Vogt Cleue Yetz gedachten Jacob Boppenn hinderlasene witwen am andern theylenn Vnnd brachtenn vnns gemeinlich füro,
Wie das sie in spann vnnd Irrung einer Muren Vnnd Gebels Halben zwüschen Innen beÿdenn Iren heußern alhier Inn Schiltsgass gelegenn hettent, Mitt begere dasselbig Zubesichtigenn Vnnd ein Veschtlichenn entscheidt darüber Zugebenn. Das wir dann vff Ir beÿder parthenn begerenn gethann dasselbig genugsame vnnd mitt Vleÿß besichtiget haben, Vnndt nach beschehener besichtigung Vnnd aller Irer beÿdersits fürbringen Haben sie beÿde theÿll vonn denselbigen Ihrenn spann mitt vffgebe des Halmen Zu Vnnsern Handen gesttellt beuolhenn Vnnd freÿ übergebenn. Als was wir hier Inne erkhennen, sprechenn, vnnd sie entscheidenn würdent das sie beÿdersits an gutt benügen Habenn, auch solliche dabÿ one einiche Widderredde bleÿben laaßen Wollent geloptt vnnd versprochenn Vnnd also wel* clage, anttwurt redde widderredde vndt allen Nottwendigen fürtragenn, ouch nach verhörung brieff, vnnd vorschung der Khuntschafft vnnd anders obgemelten Spann besagende, die wir vonn beÿden theÿlenn gehörtt vnd gnugsame verstanden ouch Ihrenn gethanen gelübdten, so wir vonn Innen mitt Handtgebener treuwen empfangen. So Haben wir obgenante Werckleüthe (.als sie allein mitt vnns vieren gutt bringen gehaptt.) noch vnnß nun bestenn vortandt, vnnd wissen bÿ denn eÿdenn, die wir vnnsern genedigenn Herren Meister vnd Rhate vndt denn herren Ein vnnd Zwantzigenn der statt Straßburg vmb solliche sachenn geschworenn Hant. Disenn vnnsernn entscheidt gethann gegebenn, geschwohrenn vnnd Zu Recht Erkhannt,
Erstlichen das die scheidmur Imme gärttlin sampt dem gebell Zwüschenn angeregtenn Cleger, vnnd deren beclagtenn behausungen durch vffhin gemein Ist, vnd sein solle, ouch Inn gemeinem costen erhaltten werdenn, Vnnd so Cleger gemeltenn gebell an seiner Newen vffgefürthenn behausung gar, oder Zum theÿll abbrechenn, vnnd Zu seinem buwe höher, oder starcker dann er ÿetzt Jst machen, Vnnd vff fürenn loßenn wolte, Sol er dasselbig Inn seinem costenn ohn Hindernüs deren beclagtenn Zuthun gutt fuge vnnd Recht haben, doch ein gemeiner gebell sein, vnnd blÿben, Vber die Mure Ime gärttlin, Dweÿl dieselbige durch deren beclagtenn gang so sie darann habenn beschwertt werdenn, vnnd dem fall vff clegweiß württ Vrsachen gebenn, So soll dieselb (.damitt schaden fürkhumen.) Inn gemeinen costenn abgebrochenn Vnnd vonn Neuwem vff gefürtt werd. vnnd so die beclagtenn nach dem die Mure vffgefüret würdt, Irenn gang widerumb daselbst Haben Woltent, so sollenn sie denselbigen dermessenn verschein, Vnnd Zuuersorgenn schuldig sein, das denselbig die gemeinschafft ferner nit belestiget, oder Zum fall vrsachen gebenn möge. Zu dem wo sie auch Pfÿler an dißer Muren vff Irer sitenn Zum gang nottürfftig werent, vnndt dieselbige mitt gemelter Muren vff führen Woltent, soll dasselb allein Inn Ihren costenn Zughenn vnnd beschehenn. Vnnd soll cleger sein gestoss, so er an dießer Muren stein Hatt Vnnd daßelbige daßelbst Zubehalten vermeint glicher gestaltt verschann Vnnd mitt einem Halben Murstein zwischenn der Muren vnndt dem gestoß Zu seinem costenn Vff fürenn lossenn damitt gedachte Mur durch feüchtigkeitt des grundts Kheinen schaden nemmen oder empfelenn möge. Alles nach Inhaltt vnnßerer Herrn Ordnung vnd Artickell. Vnnd sollent als hieruff beyde obgemelte partheien obgerürtem Irs gehapttenn Spanns Halben gemelter Meßenn gemacht, geschließt, Vereinigett, vertragenn vnnd mitt deßen Vnßerem Spruch entscheiden sein, Khein theÿll das ander ferner dißes spanns Halben nit bethädingenn, noch anlangenn, Inn Khein wiße nach wege Dise dinge vngeuerlich. Darzu woren Vrkhunde, So habenn wir obgenante Verordnete Werckleuthe vnnßer Insigele thun laßen Heckenn ann disem brieffe. Dar Geben Ist Vff denn Sieben Vnnd Zwantzigst tag des Monats Octobris In dem Jare als man Zaltt nach der geburtt Christi vnnsers lieben Herren vnd Selligmachers Dußentt fünffhundert fünffzigk vnnd dreÿ. Vnnd seindt dißer brieff Zwen gleich luttenden, deren Jede parthen einem beÿ Handen hatt.
Wolffgangus Heÿd Hüttenschriber

Un acte épinglé au prédédent est dressé l’année suivante entre les mêmes parties. Le defendeur qui a posé des pierres dans le nouveau mur plus épais que l’ancien n’a pas contrevenu à l’arbitrage précédent. En contrepartie, le plaignant sera autorisé à faire de même à l’avenir de son côté

1554 (12. Aprilis), 100 J 670 – Transfix
Wir mit namen Jeronimus Fürnkorn Werckmeister vnser Lieben Frauwen Münster Zu Straßburg, Gilg Zies Zimmermann Werckmeister der statt Straßburg, Claus vonn Andelauw Murer, Bernhardt von Bitscheln Zimmermann Vnnd Adam Kinig Murer alle geschworne Werckleüthe gemelter statt Straßburg. Bekhennent vnd Thunt Khunt menniglichen mitt dißem brieffe, Das vor vnns als wir gerichtlich versammelt warent erschinen Sindt die fürsichtige. vnnd wißen Herrn Justinus Ziegler burger Zu Straßburg cleger eins theÿls, Vnd dann Bastiann Jung Fünff Zehener, als geschworner Vogtt Wÿland des Erwürdig. Herrn Jacob Boppen Dechans des stiffts alhie Zu Sanct Thomman seligen nachgelaßnen Kindern, antwurtter anders Theÿls,
bede Inn dem Spruchbrieff dardurch dißer Spruch gezogen benannt, Vnnd bracht vns gemelter Justinus Ziegler clagweiß füro, Wie das Zu denselbig. spruch erkhant were, das obgedachter Vogtt mitt seinem gang die gemein scheidmaur Imme gärttlin Zwüschen Inen beÿd. nach dem sie vonn Neuwemm vffgefürtt würde, ferner nit belästigen solte, Nun Hette er eben denselben gang widerumb Inn dieselbig Mur nachdem sie vffgefürtt word., gesetzt, dadurch sie belästigett wurden das dann Imme nit Zuduld. vnd wider sollichs ergangen Vrthel were, Mitt begere daßelbig nochmoln Zubesichtig. vnd der selbig. Vrthel mitt vnserer Vechtlich spruch (.ob er dasselbig Zuthun macht hette, oder nit.) erclärung Zuthun. Dagegen aber Herr Bastian Jung der beclagtt für wend. thette. Es were die scheidmur vor mals oben auß nitmehr dann eins Halben steins dick geweßenn Aber dieselbig ÿetztmals vonn Neuwemm ein gantz. steine dick gemeinlich vffgefürtt wordenn, Als das dieselbig seinen gang dar Inn Zulegenn starck, vnd gnugsame verschenn Were. Dernhalb. diweil vorergang. vrthell nit In sich Hielte, das er nit dar Jn buwen solte verheffte er Habe darann nit gefreuelt oder vnrecht gethan. Vnd gleicher gestaltt an vns begertt dasselbig Zubesichtig. vnd vor ergangnen Vrthels erclärung thun woltenn. Welchs wir dann vff Ir beder p.thenn begeren, Inhalt vnnserer herrn Ordnung gethan, dasselbig der lenge nach gnugsamme vnd mitt vleÿß besichtiget haben, vnd nach beschehener besichtiging Habenn sie bede p.thenn noch verhärtter clag antwurtt Redde, widderdedde, vnd ermelten vrthel brieffs, ouch allen notwendig. für bringe, vnns denselb. Ihren spann mitt vff heb der p.tenn (.als sitt ist.) vbergebenn, Was wir dar Innen erkhennen vnnd sie entscheiden würdent dasselbig dabeÿ one einiche Widderredden bmÿbenn Zulaß. gelopt vnnd versprochen. Hieauff so haben wir obgenannte Werckleuthe noch vnserem besten Verstandt vnnd wissen beÿ dem eÿdenn so wie vnnsern genedig Herrn Vmb solliche oder der glich. sachenn geschwerenn Hant, Zu erclerung vorergangener Vrthels ferners Zu Recht gesproch. vnd
Erkhant Diweil beclagte scheidmur abgebrochen vnnd vonn Neuwem dicker vnd stercker dann sie vormals geweßen gemeinlich vff gefürtt worden, Vnnd beclagter mitt steinen gang widerumb In, vnd vff den halben theÿl der gemeinschafft angeregter scheid muren gefarenn Ist, darann nit gefreueltt, oder wider angezogen Vrthel (diweil Imme sollicher In dem selbig. nit entwertt.) gehandelt seÿe, sonder deßenn Zuthun gutt fuge vnnd Recht gehapt, doch mitt dem Inhaltt, wie derselbig. Ingelübt, das er denselbenn Zuuerschenn schuldig sein solle, das der gemeinschafft ferner kheinen schad. dardurch erwachßen möge. Dagegen wo cleger über Kurtz oder lang ouch In, oder vff seinen halben theÿl derselbig buwen wolte, sol Imme solliche glicher gestallt zugelaßen vnnd verguntt sein, Wo es steh aber begebe, das khünfftiger Zeitt der gemeinschafft durch clegern, oder beclagten gebüwe Inn wölcherleÿ wege, das were, schaden erwachße, Sol derselbe, durch den sollicher schaden beschehen, derselbenn wider Zu khörenn schuldig vnnd verbunden sein Vnnd sol vor ergangner spruch beÿ seiner crafftenn sein vnnd bleÿb. Alles nach Inhalt vnnserer Herrn Ordnung vnd artickell. Des zu waren Vrkhunde, So habenn wir obgenante Werckleuthe vnnßer Insigele thun laß. Heckenn ann disem brieffe. Dar geben Ist Vff denn Zwölfftenn tage des Monats Aprilis. Inn dem Jare als mann Zalt nach der geburtt Christi vnnsers lieben Herrn vnd Selligmachers Dußentt fünff Hundertt fünffzigk vnnd Vier.
Wolffgangus Heÿd Hüttenschriber

Les héritiers de Juste Ziegler et de Marguerite Hirskorn vendent la maison 3 200 florins à Ulric von Türckheim, aubergiste à la Hache

1570 (10. Nouembris), 100 J 670
Wir Cornelius Von Lier Statthalter der Meisters und der Rhat deß Kleinen Rhat Zu Straßburg Thon Khundt Daß heüt dato vor vns beÿ Offnem Sitzendem Rhat erschienen seindt, Vnser lieber mit Rhats bewandter vnd Burger Georg Mösinger vnd Conrad von Duntzenheim beede als vor Georg Antzen dem Notarien vermög eines vns schrifftlich fürgelegten scheins Von vnd Substituirte Anwäldt, Hanß Jacoben von Garten Burgers Zu Altkirch, fraw Mechgundt von Garten mit gehell vnd beÿstandt Morandt Harnisch Ihres ehelichen vogts, Burgere Zu Reinfelden, So dan Magni Zieglers Burgers Zu Steür für sich vnd als Curatoris vnd vogts Eraßmi Ziegler seines Bruders seligen Kinder, Damian Zieglers für sich, Jodoci Schäffers, als ehelichen Vogts Elisabeth Zieglerin seiner Haußfrawen burgern Zu Lintz, Item Anne Zieglerin mit beÿstandt Andres Gunthainers Ihres Curatoris vnd Oßwaldt Michels als vogts Mathis, Bastian, Steffan, Magdalene, Ursulæ vnd Barbare Weÿland Eüfrasine Zieglerin seligen Khinder burgere Zu Freÿburg In Preÿßgaw, alle als weÿlandt vnsers burgers vnd alten Rhats bewandten Justus Zieglers, vnd fraw Margreth Hürßkörnin beeder ehegemecht seligen hinderlaßener erben vnd
haben in gegenwertigkeÿt auch vnsers burgers Ulrichen Von Dürcken würths vndt gasthalters Zur Axt offentlichen bekhant vnd verjehen, daß Sie In namen vnd von wegen obgedachter Erben Ihrer Principalen deren erben vnd Nachkommen vmb deren beßern vnd kuntlcihen nutzen vnd frommen willen In Krafft angezogenen Ihres habenden gewalts, einer vffrechten Redlichen vnd ohnwiderruefflichen Kauffs wie der vermög der Rechten auch dißer vnsterer Statt Straßburg Prauch herkhommen vnd gewonheÿt vor allen vnd Jeden geitlich vnd weltlichen Rechten an allen enden vnd orthen aller baß gelten bestandt vnd krafft hat haben soll kan vermag, verkaufft vnd Zukauffen gegeb hetten, ermelten Vlrichen von Dürckheim seinen erben vnd nachkhommen (.wiwol Zu Zeÿtt deßen beredung Andreß von wilthart den nammen getragen Aber nachghendts vor vnßerm Rhatschreÿber daß er es vff sein von Dürckheim begheren gethan verhandelt bekhandt vnd dem alß übergeben, entgegen der von Dürckhen selbs angenohmmen hette.)
obgemelter erben behaußungen, Hoffstatt Hoff vnd gärtlin vnd allen vnd Jeden Ihren weÿthen begriffen Recht vnd gerechtigkeit Inn dißer vnserer Statt Straßburg In Marpach gaßen gegen Marpachs Brucken, so ein eckh auß In Schiltzgaß ander seÿts gegen der Spitzengassen, Neben Margreth weÿland Lorentz Beüchlers Scherers Zu Gogenheim seligen wittib vnd Stost daß hinder hauß vff Niclauß Agrams Soldners Kinder vnd Vioxen Dender Schreiner vnd whert dissser Kauff für aller vnd jedern beschwerdten freÿ ledig vnd eigen zugangen vnd beschehen für vnd vmb dreÿ Dausentt Zweÿ hundert gulden vnßer Straßburgischer wehrung (…)
Deß. zu wharem vrkhundt haben wir vnsers Rthats Insigel gehengt an dißem Brieff. Der Geben Montags den dreÿ Zehenden Nouembris Nach der gepurt Chritsi vnsers lieben herrn Gottes vnd Seligmachers gezalt Fünff hundert und Sibentzig.

Ulric von Türckheim et Ursule Mœssinger vendent la maison 3 200 florins à Meylach de Dettlingen

1575 (12. Februarÿ), 100 J 670
Wir Steffan Sturm der Maister und der Rhat Zu Straßburg Thun Khundt Das heüt dato vor vnsern Verrodnetten Inn vnnserer Cantzleÿ erschienen seindt vnserer burger Ulrich Von Türckheim, Vnnd Ursula Mössingerin sein eheliche Haußfraw, vnd
haben In gegenwertigkeit des Edlen vnd Vesten Meÿlach von Dettlingen offentlich bekannt vnd ver Jähen, das sie vnverscheidenlich für sich vnd alle Ire Erben eines vffrechten, redlichen Immerwerenden Kauffs vnd Verkauffs, wie der vermög aller vnd Jeder Rechten Vnd sonderlich nach vnserer Statt brauch vnd Herkommen, aller bast crafft, macht, vnd bestandt hat, haben soll, khan, vnd mag, Vestiglich Verkaufft vnd Zu kauffen gegeben hetten, Verkauffen auch hiemit wissentlich, vnnd freÿwillig In crafft dies brieffs ermeltem Meÿlach von Dettlingen, der Ime vnd allen seinen erben, Zu seinem rechten eigenthumb kaufft,
Ir verkeuffere behausung, Hoff, Hoffstatt, sampt allen derselben rechten, gerechtigkeÿtten vnd Zugehörungen, alhie gelegen beÿ Sanct Thoman In Schiltz gaß einseit In derselben gaß, neben weiland Hieronimio Boppen, der Artzneÿ doctoris seliger Erben, Anderseit In Spitzengaß neben weiland Michel Agrams seligen Kindern, Hinden Vff Viox dondern den Schreiner stoßend, Ist sonsten ein Eckhauß, gegen des Abts Zu Marbach hoff, Davon geht Zuuor 85 gulden gelts, ablößig mit Sibenzehen hundert gulden vnnserer Straßburgischen wehrung, weiland des Edlen Vesten Hanns Jacob von Brumbach seligen Erben, Sonst ledig und eigen, Vnd were dieser Kauff vnd verkauff Zugangen vnd beschehen, für vnd vmb fünff Zehen Hundert gulden ermelter vnnserer wehrung (…) Vnnd des zu waren Urkhundt Haben wir vnnserer Statt Cleiner Insigel gehenckt an diesen brieff. Dar Gegen Ist den Zwelfften Februarÿ Als man Zalt Von der geburth Christi vnnsers lieben Herren Erlosers vnd Seligmachers. Dausend fünff hundert Sibentzig vnnd fünff Jare

Jean Adam Vollmer de Bernshoffen et Richarde de Landsperg, habitants de Lahr, vendent 1 300 florins le tiers de la maison à Théophile Goll le jeune, docteur en droit

1596 (1. Maÿ), 100 J 670
Ich Hannß Adam Vollmär von Bernßhoffen, wohnhafft Zu Lohr, vnd Ich Rÿcharda Vollmerin von Bernßhoffen, Geborne von Landsperg beede Ehegemechdte, Bekennen vns vnnt thun kundt menniglichen, mit diessem Brieff, das wir vmb vnsern besseren Nutz und frommens willen, nit gar Zu beredt, gezwungen, oder getrungen, auch mit keinen listen oder geuerden hindergangen, sondern freÿwillig, mit wolbedachten muth, vnd Rechtem wißen, Auch mit vorgehaptem Zeittigen Rhat, vnserer freündt vnnd Verwandten, Erines vffrechten Redtlichen Verkauffs, wie der vor Allen Richtern vnnd Gerichten Geistlichen vnnd Weltlichen aller best crafft, macht vnd bestandt hatt, haben sollen Kan vnnd mag, Verkaufft vnnd Kauffen gegen haben, Verkauffen auch gemeinlich, vnnd unuerscheidenlich für vns vnnd all unsere Erben, vnd Nachkommen, die wir uns Zu allem Inn dissem Brieff geschrieben, vestiglich verbinden thun, Inn vnnd mit crafft diß brieffs,
Dem Ehrenuesten vnndt Hochgelehrten herrn Theophilo Gollen dem Jüngern der Rechten doctor burgern Zu Straßburg vnd der Tugendasmen Frauwen Eva Gloßnerin, seiner lieben haußfrauwen, vnnd allen Ihren erben, Nachkommen, oder denen, so dißen Brieff, mit Ihrem wissen, vndt gutter Kundschafft glaubhafftig Innhaber worden,
Nemblichen Vnsern Eÿgenthümblichen dritten theil, Ahn Hoff, Hauß, Hoffestatt, Stall vnnd Hinterhauß, mit allen andern Ihren gebeuwen begriffen, weÿthen, Rechten vnndt Zugehörden gelegen Inn der statt Straßburg,Vnden Inn der Schiltzgassen Einseit neben einer Behaußung den Stifftherren Zu Sanct Thoman Zustendig, Anderseit ein Eckh, Vnden ahn der Schiltzgassen stossent Hinden vff Jacob dirren Notÿ. deren die vberigen Zween drittetheil dem Edlen, Vesten, Wernhern von Landtsperg, vnnd Hannß Caspar von dettlingen zustendig seind, Vnnt ist disser Jetzuerkauffte drittetheil, Allerdings unbeschwerdt, freÿ ledig vnnd eigen. Undt Alles Recht, Gerechtigkeit, Besitzung, Eÿgenschafft vnd Herrschafft, oder deren gleichen, so vnns erstgenanten Verkeuffern, Ane Jetzuerkaufften drittentheil vorgeschriebener Hoff (…) für vnd vmb 1300 gulden Straßburger wehrung, die vnns den verkeuffern, von den Keuffern, Also baar seinergelten (…) Geben uff Sambstag den Ersten Monats Maÿ Anno domini Thausendt fünff hundert Neüntzig Sechs.

Euphrosine de Schœnau veuve de Jean Gaspard de Dettlingen et ses enfants vendent 4 000 florins la maison à Wolfgang Harnister

1609 (22. 7.bris), 100 J 670
Wir Sebastian Zorn der Meister Vnd der Rath Zu Straßburg Thun Kundt Daß Heüt dato vor unserem Innsonderheit von vns hartzu verordnetem geschwornem Contractuum Notario hieunden benant, Persönlich erschÿnen Sindt, Die Edle Erenthrÿche Fraw Euphrosina witwe Von Dettling geborne Von Schönauw, Mit beÿstandt vnnd bewilligung der Edeln Vesten Christophel von Wangen vnnd Zu Geroltzegk am Wasichen Amptmann der Pflegd Wantzenauw, Vnndt Rÿßhoffen, Irer erbettenen Curatore, Mehr der auch Edell vest Hannß Jacob von Dettlingen, erstgenanter Frauwen Euphrosinæ Sohn, So dann der Edel, vesten Balthazar vonn Wÿtterßheim Grafelicher Hanawißer Rath vnnd Amptmann Zu Balburn, Philipp Böckle vonn Böcklinsauw, auch Gräfelicher Hanauwischer Rath vndt Amptman Zu Wildtsett, Vnnd vnßer burger Joachim von Berstett alle dreÿ erbettenen Curatoren, vomunden vnnd Vogt, Jungfrauwen Marien Magdalenen, Annen Catharinen, Rÿcharten, Marien Eüphrosinen, Maÿnlachs, Hannß Ludwigs, Hannß Ottmann, Hannß Melchior, Balthazar Friderichen, Hannß Gaude vnnd Hanns Philipßen geschwüsterden Wÿland der Edeln vesten Hanns Caspar vonn Dettlingen seligen mit obenanter Frauwen Eüphrosÿnen ehelichen erzielter döchter vnd Söhn,
Haben Inn gegensein vnsers burgers Wolffgang Harnischtern, Freÿ guthwillig bekhant vnns offentlich verÿehen, Das sie Inn nammen Ihren selbst , vnnd vögtlicher Wÿß, Wie obsteth, für sich obenannte geschwüsterden, vnnd Ir aller erben Vnverscheidenlich Eine Vffrechten redlichen verkauffs Wie der vor allen vnnd Jeden Richtern vnnd Gerichten Sonderlichen aber Vnßere Statt Rechten gebrauch vnd gewonheÿt nach am cräfftigsten Vnnd bestendigsten beschehen
soll Vnns mag, Vorgenanntem Wolffgang Harnischter, allen seinen erben, vnnd nach Kommen Verkhaufft vnnd Zu kauffen geben
Hoff, Huß, Hofestatt, Stallung, vnnd nebenthuß mit allen andern Iren gebuwen, begriffen, Wÿthen, Rechtten vnnd Zugehörden, gelegen Inn bemelter vnserer Statt Vnden Inn Schiltsgaß ein seÿt einer Behaußung den Stifft Herren Zu Sanct Thoman Zugehörig, anderseÿt ein Eck an der Spitzengaß stoßend hinden vff thoman Rÿßhoffer für freÿ ledig eÿgen. Unnd wede dißer Verkauff vnd khauff Zugangen vnd beschehen Für vnnd vmb Vier Thausent gulden
Geschehen Vff den 22.tag 7.bris In dem Jahr deß herrn Alß man Zalt 1609.

Originaire de Fribourg, Wolfgang Harnister épouse en 1577 Elisabeth, fille de Gui Storck
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 276)
1577. Ostertag. Wolffgang Harnster von Freiburg, Elisabeth Her Veÿt Storcken hinderlaßene dochter. Eingesegnet Zinstag 16. Aprilis hora 9.a dne Gasparo (i 141)

La maison revient ensuite en partie à son fils Wolffgang Harnister qui épouse en 1619 Euphrosine Foltz, veuve de Bernard Hippolyte Rœsslin, conseiller aulique à Stuttgart

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 419, n° 1290)
1619. Dominica Septuagesima. Wolffgang Harnister der Jünger, Herren Wolffgang Harnister alhie Ehelicher Sohn, Vndt Fraw Euphrosina weiland Herrn Bernhard Hipoliti Rößlin, fürstlichen Würtenbergischer Cammer Raths Zu Stugarten* nachgelaßene Witwe (i 505)

Jean Paul Reichard acquiert en 1627 la maison estimée 2 250 livres de ses beaux-frères Wolffgang, Jean et Daniel Harnister en s’accordant sur le versement du prix d’achat (titre 27)

Euphrosine Foltz veuve de Wolffgang Harnister, tutrice de sa fille Euphrosine Elisabeth et remariée avec Louis Lœher de Stuttgart passe un accord relatif à la succession de Wolffgang Harnister
1631 (15. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 33-v
Erschienen weÿland wolff harnisters see: mit Fr. Euphrosina Fölsin ehelich erzeugten dochterlins Euphrosina Elisabethen Vogt H Augustin Glaser Kleinen Rhats Verwanther, mit beÿstandt H Johann Paul Reichards, Müntz schreibers, vnd H Daniel Harnisters auch beeder Burgern alhie, alß deß vogts töchterins nechsten v.wanten, An j.
So dann vorermelter Fr. Euphrosina Fölsin ietzig. Ehevogt herr Ludwig Löher, Zu Stutgart wohnhaft, mit beÿstand deß Ehrenvesten hochgelehrten H Johann Walter Fabers der Rechten Doctorn daselbsten am 2. theil, Zeigten an und bekannten gegen einander
demnach in der Zwischen anfangs gedachtem H Wolffgang Harnister vnd Fr. Fölsin auffgerichteten Eheberedung vnder andern auch v.sehen, daß nach sein harnisters absterben auß seiner V.laßenschafft mehrbenannter Fölsein Zum Aigenthumb 1500. fl. gelüffert werd. sollen (…)
So dann 240 fl. St. w. so Veltin vnd Anthoni die Haman, gebrüedere zu Nüffern, nach außweisung einer Verschreibung vnd. deß Bischofflich. hoffs Insigel datirt den 22. 7.bris Anno 1579. von, vff vnd abe einem hauß, alhie an der Steinstraß. geleg. Jährlich vf Michaelis mit 12. fl. w. zu v.zinsen schuldig

Secrétaire à la Monnaie, Jean Paul Reichard épouse en 1621 Cléophée Harnister
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 441, n° 1390)
1621. Dominica Quasimodo. Johann Paulus Reichart Müntz Schreiber alhie vnd Jungfraw Cleophe, Wolffgang Harnisther Eheliche Tochter (i 432)

Il se remarie en 1637 avec Jeanne Heuss, veuve de Daniel Richshoffer qu’elle a épousé en 1625. Le mariage est célébré à domicile parce que le mari est malade
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 209-v)
1637. Domin. XIV Trinit. 14. Sept. Johann Paul Reichart dreÿer der Müntz, Fraw Johanna, weÿl. Daniel Reichshoffers burgers alhie hinterlaßene wittib. NB Auß Erkandt. E. E. Raths wegen des Bräutigambs obligend. Kranckheit Inn deßelben behausung (i 216)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 33 f° 142-v)
1625. Domin. VII. Trin. 1. Vice. Daniel Reißhoffer, Herrn Johann Reißhoffers ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Johanna, Herrn Hannß Michael Heüßen deß dreÿzehners eheliche tochter. Zinst. post 8. Trinit. Zu S. Claus (i 156)

Paul Reichard hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Pierre von Carben

1653 (2. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 635
Erschienen H. Paul Reichart Burger alhie
hatt in gegensein H Johann Peters von Carben Med. Doctorandi – schuldig seÿe 200 Pfund pfenning
Underpfand sein soll sein deß H. Debitoris gebührende antheil ahne einer Vordern und hindern Behaußung sampt allen deren Gebäwen undt zugehördten alhie in der Schiltzgaßen, einseit ein Eckh anderseit neben H. Theodosio Monacho E.E. Sibner gerichts Procuratori hinden vff weÿl. Jacob Borsten geweßenen Meßerschmidts seel. Erben stoßend gelegen

La maison revient à son fils Jean Christophe Reichard qui hypothèque en 1682 la maison au profit de Christophe Stædel, assesseur des Quinze et administrateur du béguinage zum Offenburg

1682 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 103
Erschienen Herr Johann Christoph Reichard der handelsmann undt dreÿer der Statt stall
in gegensein deß Edel Fromb undt wohlweÿßen herrn Christoph Städels deß beständigen Regiments der Herren XV: alß Pflegers der Samblung Offenburg – schuldig seÿe 160. lb, daß Er damit die Karbische Kinder, umb obige Summ so denensenben beÿ Vertheÿlung Weÿl. Herrn Paul Reichardts XXI. nunmehr seel. Verlassenschafft Zu einem vierdten theÿl uff der alhier in der Schiltsgaßen gelegener, hiernach beschriebener und in Vorgewießener Abtheilung Krafft deß sub dato den 21. Febr. 1679. durch weÿl. hrrn Johann Georg Retzloben Notarium uffgerichteten Vergleichß erblich angefallen
unterpfand, Eine behausung mit allen deren gebäwen, begriffen undt zugehördten alhier in der Schiltsgaß einseit ist ein Eckh ahne der Spitzengaß, anderseit neben Frawen Annæ Barbaræ Kirchhofferin, Herrn Philipp Villheckhers Postmeÿsters zu Liechtenaw ehelicher Haußfrawen, hinden uff Hannß Balthasar Hatten den hosenstrickher stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein /:tit:/ Johann Frantz Antonÿ von Flachsland hieß. Straßburg. Bischofflich. Geheimen Raths und Ober Schultheißen zu Elsaß Zabern alß ietzmahligen possessoris der hierinn verpfändeten behaußung (quittung) Act. d. 19.ten 8.br. 1691.

La maison appartient ensuite au marchand Jean Daniel Franck. Originaire de Francfort, il épouse en 1660 Marie Barbe Haan, fille du marchand Michel Haan, et devient bourgeois un mois plus tard en s’inscrivant à la tribu du Miroir

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 117 n° 24)
1660. Zum 2 mahl Hr Johann Daniel Franck der handelßmann Weiland Joachim Franck gewesenen Schneiders und Burgers Zu Ffurth und (-) ehel. Sohn und Jfdr Maria Barbara Hr Michel Haanen handelsmanns und Burgers alhie ehel. Tochter. Dienstags den 5. Junÿ Spiegel Münster (i 118)

1660, 4° Livre de bourgeoisie p. 324
H. Johann Daniel Franck der Handelßmann Von Franckfurth, empfangt d. burgerrecht Von seiner Haußfr. Maria Barbara H Daniel Haanen des Handelßmanns vnd burgers alhie dochter vmb 8. Golt fl. welche er beÿ d. Cantzleÿ erlegt Ist ledigen Standts gewesen würt Zum Spiegel dienen. Jurav. 2. Julÿ 1660.

Jean Daniel Franck se remarie en 1669 avec Salomé Asfalck, fille de marchand
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 283, n° 29)
1669. Dominica 23. et 24 Trin. seu 14 et 24. 9.br Herr Johann Daniel Franck der handelsmann und Burger alhier, U. Jungfr. Salome weÿl. herrn Georgÿ Aßfalcken gewesenen handelsmann und Burger alhier nachgelaßene eheliche Tochter, Copulirt ad S. Nicol. 25. 9.br. post preces Hebdom.

Il épouse en troisième noces Salomé Richshoffer, veuve du marchand Jean Philippe Kob
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 80-v, n° 23)
1680 Zum 2. mahl Johann Daniel Franck der handelsmann und burger allhier, Fr. Salome Weiland Johann Philipp Koben (des handelsmanns) u. Burgers alhier nachgel. W. Donnerst. 13. Maÿ, Münster (i 82)

Etat des sommes que doit Jean Daniel Franck à ses trois enfants issus de son deuxième mariage avec Salomé Asfalck
1684, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 5) n° 85
Designation In sich begreiffend Das Jenige so Herr Johann Daniel Franck der älter, vornehmer handelsmann und burger in Straßburg seinen mit weÿl. Fr. Salome gebohrner Aßfalckin in Zweÿd. Ehe erzeugt. dreÿen Kindern so wohl ins Gemein vor mütterlich Guth als auch sonst. einem jeden derselben insonderheit biß weÿhenachten A° 1683. gerechneten guth Zuthin schuldig, verfertiget Anno 1684
Designatio des jenigen, so Herr Johann Daniel Franck der älter, vornehmer handelsmann und burger in Straßburg seinen in anderen Ehe mit weÿl. Frawen Salome Franckin gebohrner Aßfalckin nunmehr seel. erzeugt. dreÿ. Kindern nahmens Johann Georgen, Maria Salome und Johann Jacoben vor Mütterlich Guth und sonsten biß weÿhenachten 1683. gerechnet, Zuerstatten und guth zuthun schuldig.
Nach besag des Zwischen obehrenermelten Hern Franckhen und Herrn Jacob Spielmann, hochansehnlichem beÿsitzern des beständigen Regiments der Herren dreÿ Zehen alhier vorgedachter seiner dreÿer Kindern geordneterm Hern Vormund beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 7. Febr. A° 1676. auffgerichteten (…) Vertrags

Les bourgeois qui ont l’intention de quitter la ville pour s’établir ailleurs devront préalablement faire dresser un inventaire de leurs biens. Les Quinze estiment le 27 novembre que l’affaire est importante et doit être soumise aux chambres secrètes. Le syndic royal Güntzer déclare n’en pas comprendre la nécessité. Wessner, assesseur des Quinze, rapporte le 30 novembre la conversation qu’il a eue avec un avocat qu’il ne nomme pas. L’avocat estime que si la Ville ne prend aucune mesure, l’autorité royale pourrait penser qu’elle approuve les départs. L’inventaire n’aura pas pour but d’exiger un droit de détraction mais d’informer la chambre de manance des biens que possèdent les non bourgeois.
1686, Protocole des Quinze (2 R 91)
Alle Burger, so von hierweg Ziehen wollen, sollen Zuvor ihr Haab und guth inventiren, 20. 29, 30, 30 H Joh: Daniel Franck d. älter, Johann Jacob Erhardt und Johann Adam Küchel, 48
23 Herr Johann Daniel Franck der älter pt° Inventirens ihrer Haab und güther

(f° 19-v) Mittwoch den 27. 9.bris. Alle Burger, so von hierweg Ziehen wollen, sollen Zuvor ihr Haab und guth inventiren
Ego proponire, daß Herr Syndicus Güntzer Mich dießen Morgen als die Obere Accis Herren Von einand. gegangen, Zu sich beruffen Und beditten habe, Wie daß Obere Stall herren, ohne Verzug diejenige Burger, so von hier weg Zu Ziehen gedächten, als Herren Francken den ältern, Herrn Erhardt, dem Goldarbeither, Und Herrn Küchel auch Goldarbeithern, beschicken Und ihren Anzeigen sollten, daß sie ein Inventarium über haab Und Guth machen solten, darmit Mann sehen Können, Ob sie deßelbige Recht Verstallt Und Gemeiner Statt die gebühr davon entrichtet hätten, Mit fernerem Vermelden, daß dergleichen Leuth, so sich Von hier weg begeben, der Statt gleichsam absterbten, Und Nicht anders, als todte Zu consideriren, Und sie derentwegen also Zu tractiren weren. Nach deme hierauff Ihro Hoch Adel. Herrn Stettmr. Von Kippenheim ich hier Von part gegeben, Und derßelbige es Auch dem Regierendem Herrn Ammeister hinderbracht, so haben beede /:auff Zu Vor enthaltene Nachricht, daß Herr Prætor Regius eben die gedancken, Wie Herr Syndicus führe:/ Vor eine sach Von großer Importantz angesehen Und dannenhero Vor Nöthig erachtet daß es Vor Mghh. ins plenum gebracht werde. Zu welchem ende dann dieße Extra ordinari Zusammen Kunfft anjetzo Angestellt worden seÿe, dahin stellend, Wie Mghh. es Ansehen, Und was Sie darbeÿ erkennen wollen.
Erk. Soll Herrn Synd. Güntzer per me gleich als balden Hinderbracht werden, daß, weilen Mghh. es Vor eine sehr schwehre sach anseheten, Sie es Nicht wohl beÿ sich allein behalten Könten, sondern dahin gestellt haben wolten, Ob nicht Nöthig, daß, ehe und bevor Mann was Vornehme, deren 3. geheimen Stuben hievon part gegeben werde.
Ego referire, daß Mghh. Erkandtnuß Herren Synd. Güntzern ich gehorsambst hinderbracht, welcher jnn andwordt beditten, daß er Nicht Wißen könte, Warumb Mghh. dieße sach Nicht über sich Nehmen wolten, Vermuthlich were einige Herren so beförchteten, daß es sie auch treffen Möchte, allein weilen mann einiges bedencken darbeÿ hätte, so Were Er gar wohl Zu Friden, daß deßwegen Morgens Nach der Bettstund die 3. geheime Stuben zusammen Kämen, ich sollte es dem Regirenden Herrn Ammeiser Nur Zu wißen thun, wollte Er als dann die sach selbsten prponiren.
Erk. Soll dem Regirenden Herrn Ammeister hievon part gegeben werden. Quod factum.

(f° 23) Sambst. den 30. Novembris. Herr Johann Daniel Franck der älter pt° Inventirens ihrer Haab und güther
Herr Johann Daniel Franck, der älter, et Consorten per Künast, prod. Unth. supplic. handelt Wie darinnen.
Herr XV.er Weßner sagt, daß Er dießen Morgen mit einem gewißen Advocaten auß dießer sacht geredt, welcher Ihme beditten, wie daß Mann auff seithen der Statt beÿ denenjenigen so von hier wegziehen wolten, Nothwendiger weiß hätte was thun müßen, Widrigen Falls beÿ Königl. Hoff mann es so, als wann gemeine Statt eing gefallen daran hätte, hätte anseh. dörfen, die Intention seÿe Nicht, einem abzug Zu fordern, sondern geschehe nur Zu dem end, Umb Zu wißen, was ein jeder, der Von hier weggehet sowohl ane häußern Und an anderen hinlaße, Umb es beÿ dem Schirmgericht An Zugeben. Erk. Soll Herrn Prætorj Regio Vnd Herrn Synd. Güntzer das productum communicirt, Und wann de Modo, wie die Inventation Anzustellen, Von denen Obern Stallh. /:Vor welche es hiemit gewießen:/ bedacht Wird, Wohlgemeldten beede Herren, dem geschäfft beÿzuwohnen, ersucht werden.

Jean Daniel Franck l’aîné et Salomé Richshoffer qui ont l’intention de renoncer au droit de bourgeoisie font dresser l’inventaire de leurs biens qui comprennent cinq maisons à Strasbourg. Les experts estiment celle rue du Bouclier à 1 700 livres. En annexe figure un extrait de l’inventaire dressé après la mort de Salomé Asfalck. Les biens de la défunte y sont estimés 5 516 livres, l’actif de la communauté s’élève à 28 624 livres, le passif à 13 875 livres

1686 (23. Dec.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 15) n° 176
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Wohl Ehrenveste und Großachtbahre Herr Johann Daniel Franck der ältere, handelßmann alhier in Straßburg und die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Salome Franckin gebohrne Richshofferin, deßelben Eheliebste, sowohl in eÿgenthumbs als Wÿdembs weiß anjetzo würcklichen haben und besitzen, welche auß ursachen Sie beede Eheleuth das alhießige Burgerrecht würcklichen auffgegeben, vermög der von vnßeren Gnädigen Herren den Fünff Zehen ertheilten Erkandnuß, inventirt, durch vorbedeutete beede Eheleuthe selbsten auff die in beÿsein des Edlen, Wohl Ehrenvest und hochachtbahren Hn Andreæ Kauffmanns als von alhießig. Statt Stall hierzu insond.heit deputirt. Hh. dreÿers – Montags den 23. Decembris Stÿli Novi Anno 1686.

Volgt nun Hierauff die beschreibung der Nahrung vor und ane sich selbsten, So in einer alhier in Straßburg ane der Stallgaß ligenden und hernach beschriebener behausung befunden worden, wie Volgt.
1. Summa haußrath
2. Summa. Wahren und Gewerb, dem Herr allein gehörig 1004 lb
Antheil ane der Zwischen dem herrn und herrn Johann Daniel Franckh dem Jüngern seinen Sohn geführt. Gewerbs Gemeinschafft 17 634 lb
3. Summa. Taback Wahren, so hiehero Zur helffte und Johann Michael Ewingern dem Tabackmacher allhier Zur übrigen helfte gehörig 313 lb
4. Summa. Schiff und geschirr auch allerhand Posten 11 lb
5. Summa. Kühe und Kälber 40 lb
6. Summa. Früchten 1494 lb
7. Summa. Wein und lährer Faß 118 lb
8. Summa. Silber geschirr und Geschmeid
9. Summa. Guldener Ketten, Ring und dergleichen Geschmeids
10. Summa. Baarschafft 105 lb
11. Summa. Pfenningzinß hauptgüter 676 lb
12. Summa. Gülth von liegenden güthern 11 lb
13. Summa. Eÿgenthumb ane häußern und einem Grund platz 2865 lb
Erstlich eine behaußung cum appertinentiis alhier in Straßb. ane s. Stalll gaß geleg. (…)
It. j. Packhauß, Speich. und Keller sambt j. Wohnhauß höfflein vnd hoffstatt, alhier in dem Metzg. gieß. am kleinen Viehegäßl.
It. eine vord. v. hind. behaußung, hoff, hoffstatt cum appertinentÿs alhier in d. Schildsgaß ist eins. ein Eck ane d. Spitz. gaß and. seith neb. H. N. N. Postmeistern Zu Liechtenaw geleg. & davon geh. jährlich. 6. lb 8 ß d Zinß à 4 p. C° d. samblung zum Offenburg, lößig in haubtg. mit 160. lb Mehr 37. lb 12. ß jährl. Zinßes Hn Joh: Wilhelm Reichard handelsmann und E. E. Kl. Rathhsalten beÿsitzern, ablößig mit 940. lb sonst ledig v. eÿg. über solche beschwerd. æstimirt umb 600. lb
It. ein Kleines höfflein vnd hoffstatt geleg. alhier in dem Linßenfelßer Gäßlein (…)
It. eine behausung alhier in Straßburg ane dem Münsterplatz (…)
It. d. 24. theil ane einer behaußung cum appertinentÿs alhier ane d. Knoblochsgaß gelegen Zum Strohl Eck genand (…)
It. ein platz Grunds wor dem Schießrheiner thor geg. d. habermühl so eig. æstimirt pro 20. lb
14. Summa. Eÿgenthumb einer Behaußung, Gärtl. und liegend. güthern Zu Korck 185 lb
15. Summa. Schulden in die Nahrung Zugeldten 83 – Conclusio finalis Inventarÿ 25 656 lb
Zweiffelhaffte und verlohren Capital 10
Wÿdemb, Welchen Frau Salome Franckin gebohrne Richshofferin wegen H. Johann Philipp Koben ihres Sohns erster Ehe bißhero genoßen
Abschatzung dinstags d. 31. Xbris 1686. Auff Begehren deß Ehren Vösten Vnd Vorgeachten Herrn Johann Daniell Franckh deß vornehmen handelsmann behausungen alhier in der Statt Straßburg, in der Stallgaßen (…)
ferner eine behaußung alhier in der Statt Straßburg ein Eckh hauß in der spitzengaßen vnd schiltsgaßen einseits neben frawen Post Meister von liechtenaw, ander seitzs Neben pillips hatten See: fraw Wittib, Welche behaußung Sampt hinder gebew hoff Vnd bronnen, auch aller dero begriff Recht Vnd gerechtigkeit, dem Jetzigen preiß vnd Wahrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Dreÿ Taußent Vier hundert Gulden (…)
Bezeigens der Statt Straßburg geordnete Werckh Leithe, [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager alter Werck Maister deß Münsters, Johann Faÿlotter WerckMeister deß Zimmerhoffs, Mathiß Schmaßmann Werckmeister deß Maurhoffs
– Vertrag Zwischen Herrn Johann Daniel Francken dem handelßmann Vnd Seiner mit Weÿland Frawen Salome Aßfalckin ehelich erzeugter dreÿer Kinder geschwornem Vogt Herrn Jacob Spielmann des beständigen Regiments der Herren Räth und XXI. auffgerichtet – Vermög des Vber ob Ehren gedachter Frawen Salomen Franckin seel. Verlaßenschafft auffgerichteten Inventarÿ thut der haußrath 207, Lääre Vaß 17, Silber geschirr und Geschmeid 71, Guldene Ketten, Ring, Perlen und dergleichen Geschmeidt 295, Baarschafft 174, Pfenningzinß hauptgüter 74, antheil ane einer Behaußung 20, Schulden 6, Ergäntzungs Rest 4446, Summa summarum 5516 lb
Theilbar Gutt, haußrath 332, Waaren und gewicht 43, Gewerb 21 351, Pferdt 13, Gutsch, Wagen, Schütt Karch, Roll Wäglin, Sättel undt Zeüg 74, Früchten 1766, Wein und Mäate Vaß 904, Silber geschirr und Geschmeidt 133, Guldine Ring, Peerlen, Cranathen vnd Edelgestein 46, Pfenningzinß hauptgüter 570, Packhauß 750,wittibers unveränderter behaußung 100, Schulden 916, Summa summarum 28 624 – Davon gehet ab 13 875,Compensando 14 749 lb

Jean Daniel Franck cède quelques jours plus tard plusieurs maisons dont celle rue du Bouclier à sa fille Marie Barbe assistée de son mari Samuel Reuter en règlement de la succession de sa mère

1687 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 17
Erschienen H. Johann Daniel Franck der ältere handelßmann an einem,
So dann Fr. Maria Barbara gebohrne Franckin deßen leibliche Tochter mit beÿstand Hn Samuel Reuthers deß handelßmanns ihres ehevogts am andern theÿl
haben angezeigt und bekandt, demnach in dem durch H. Notarium Johann Reinhard Langen in A° 1684. geführten und außgefertigten Calculo und berechnung alles deßen, so Er H. Franck seinen noch lebenden beeden Kindern erster Ehe, wegen dero ererbten Mütterlichen Guths, zu entrichten und Guth zu thun hat, fol. 36. sich befinde, daß derselbe gedachten seinen beeden Kindern an gem. Mütterlicher Nahrung noch per rest 1917 pfund (…) alßo Ihro deßen tochter zur helffte 958 pfund schuldig verbleibe, welche Zwar derselbe krafft Mütterlicher disposition und darüber in A° 1669. auffgerichteten Kindervertrag Zeit lebens widembs weiß zugenüßen hätte, So hätten dieselbe gleichwol sich darüber folgender maßen mit einander Verglichen respect. außgekaufft und deß. widembs begeben,
Nemblich und Zum ersten, so renunciert und begibt sich Er der Vatter hier durch zum kräfftigsten der erstangezeigten Ihme gebührenden widembs gerechtigkeit (…) Und damit fürs andere, Sie deßen Tochter für erstwiderholte Summ völlig und würcklich außgewiesen und contentirt werden, so will er derselben hier durch in solutum und eÿgenthümblich cediret und resepct. käufflich vbergeben,
erstlich hauß hoff hoffstatt Stallung und Nebens hauß, mit allen and. Ihren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten und zugehördten allhier unden in der Schiltsgaßen einseit neben Fr Anna Barbara geb. Kirchhofferin Hn Philipp Willeckers Postmeisters zu Liechtenau ehelicher haußfrau, anderseit ist ein Eck an der Spitzengaß, hinten auff eine behausung weÿl. Hn Nicolai Juden Med. Doctor. seel. hind.laßenen Erben und Hn Georg Friderich Camehlen alten dreÿern deß Pfenningthurns gebürtig stoßend gelegen, welche behaußung umb 160 pfund Capital der Samblung zum Offenburg, So dann umb 940 pfund Capital Hn Johann Wilhelm Reicharden (…) verhafftet, hierhero angeschlagen für 600 pfund,
Ferner hauß hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebäuen begriffen rechten und zugehördten allhier an der obern straßen im Lindenfelßer Gäßlein einseit neben Christoph Müller dem Kieffer anderseit neben Rudolph Kleinen deß Schuhmachers wittib, hinden auff Georg Pfister den weißbecken zum theil, und zum theil uff Jacob andreßen den Hosenstricker stoßend gelegen, so ganz freÿ ledig und eÿgen, hieher æstimirt ulmb 82 pfund
Mehr einen haußplatz und Gärttlein außerhalb der statt Zwischen dem Schießerrein und Fischer thor ohnweit dem Eselsteg gegen der Lohmühlen über einseit auffs Allmend, anderseit neben hans Carlen Roth dem schneider, hinten auffs waßer stoßend gelegen, für freÿ ledig und eÿgen gewürdiget, umb 20 pfund
Item einen Viedten theÿl an einem Sechsten theÿl an Hauß, hoffstatt und höfflein, mit allend eren Gebäuen, begriffen, rechten und Zugehördten allhier in der Knoblochsgaßen Zum Strohleck genandt, so einseits ein Eck am Schiffgäßlein, anderseit neben Hn Johann Leonhard Fröreÿsen alten Ammeister und XIII.rs hind. auff denselben stoßend gelegen /:daran die übrige antheÿler weÿl. frauen Cleophe Bexin gebohrner Braunin sel. hinderlaßenen Erben und Erbens Erben für unvertheÿlt gehörig:/ umb 300 pfund Straßburger wehrung der fabric deß Münsters verhafftet (…) angeschlagen umb 20 pfund,
Item hauß, hoffstatt, Hoff, sambt allen deren Gebäuen weiten Rechten und zugehördten auch darzu gehörige Güthern im dorff und bann Korck Gräffl. Hanauischer Herrschafft über Rhein (…) angeschlagen umb 185 pfund

Fils de marchand, Samuel Reuter épouse Marie Barbe Franck en 1684
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 26-v, n° 10)
1687. Dominic. Rogate et Oculi. Hr Samuel Reüter Burger und Handelsmann allhier Weÿl. Samuelis Reuters Burgers vnd Handelßmanns allhier Ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Maria Barbara Hn Johann Daniel Francken deß Burgers und Handelßmanns allhier ehel. Tochter. Copul. d. Donnerst. 8 / 18 Maÿ zu St Niclaus (i 27 – Procl. Temple Neuf f° 122-v n° VI i 124)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de la veuve Schaller fossé des Tailleurs. Les apports du mari s’élèvent à 669 livres, ceux de la femme à 3 487 livres (veuve, Marie Barbe Franck se remariera en 1684 avec le marchand Michel Fried)
1685 (27.6.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 10) n° 6 (473)
Inventarium und Beschreibung aller Haab Nahrung undt Güttere, so der Ehrenvest H. Samuel Reutter, handelsmann, wie auch die viel Ehren und tugendsahme fr. Maria Barbara gebohrne Franckin, deß Ehrenvesten undt wohlvorgeachten H Johann Daniel Francken, vornehmen handelsmanns undt burgers alhier Zu Straßburg in erster Ehe erzeugte dochter, beede ehegemächte undt burgere allhier einander in den Ehestandt Zugebracht, welche der ursachen, dieweilen in auffgerichteter Eheberedung expresse Versehen, daß einem Jeeden seine zubringende Nahrung ein unverändert und vorbehalten Guth seÿe (…) In gegenwart der Viel Ehren: undt tugendreichen fr. Margarethæ Reütterin gebohrner Helckin deß herrn geehrten fr. Mutter, Ingleichen frawen Salome Franckin gebohrner Richshofferin der frawen Stieff Mutter geäugt und gezeigt – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 27. Junÿ Anno 1685.

In einer in der Statt Straßb: auff dem Schneider graben gelegener weÿl. Fr. Ottiliæ Schallerin gebohrner Ölingerin seel. nachgelaßenen Erben gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Schulden It. so hat der H. weil. fr. Ottilia Schellerin gebohrne Ölingerin auch weÿl. H. Jacobi Schallers geweßenen D. Professoris seel. hinderlaßene Wittib seiner Großmutter seel. Verlaßenschafftererbt (…)
Abzug in dießes Inventarium. Deß Herrn Nahrung, Sa. haußraths 46, Sa. Silber geschirr und geschmeids 61, Sa. guldener Ring v. geschmeids 63, Sa. der baarschafft 3983, Summa summarum 4154 lb – Schulden 3484 lb Nach deren Abzug 669 lb
Der Frauen Nahrung, Sa. haußraths 58, Sa. Silber geschirr und geschmeids 109, Sa. guldener Ring v. geschmeids 362, Sa. der baarschafft 2956, Summa summarum 3487 lb
Haussteuren 274 lb, daran gebührt dem herrn vor zween dritte theil 182, Vndt der frawen vor den übrigen dritten theil ist 91 lb

Samuel Reuther loue la maison au marchand de vins Philippe Henri Sachs

1687 (13. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 567-v
Erschienen H. Samuel Reuther, der handelßmann
hat in gegensein Hn Philipp Henrich Sachßen, deß Weinhändlers
verlühen, Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und Zugehördten, nichts darvon außgenommen, allhier in der Schildsgaßen, einseit neben Fr. Anna Barbara Kirchhofferin, Hn Philipp Willeckers Postmeisters Zu Lichtenau ehelich haußfrauen, and. seit ist ein Eck an der Spitzengaß, hind. auff eine behaußung weÿl. H d. Nicolai Jundt sel. Erb. & cons. gehörig stoßend gelegen, in maßen H. Johann Matthiß Lamprecht d. Weinhändler dießelbe biß dato in lehnung gehabt, von Vierteljahr Zu Vierteljahr – umb einen Zinß nemblich deß jahrs 60 pfund

Jean Christophe Reichard a accepté la maison provenant de sa mère moyennant 4 500 livres. Il a cédé à Jean Daniel Franck 4 200 livres de capitaux qui étaient garantis sur la maison qu’il lui a ensuite aussi cédée. Il passe un accord avec Samuel Reuther en qualité de propriétaire des biens de Jean Daniel Franck.

1689 (21.7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 471
H. Johann Christoph Reichard der handelßmann an einem,
H. Johann Wilhelm Reichard E:E: Kleinen Raths beÿsitzer deßen leiblichen Bruder, am andern,
So dann H. Samuel Reuther, der handelßmann, alß ehevogt Fr. Barbaræ gebohrner Franckin, am dritten, alle dreÿ theÿle aber mit assistentz /:tit:/ Hn Johann Reinbold Friderici XXI.ers und Hn Michael Boschen beede alß auß E.E. großen Raths Mittel bereits vorig. Jahrs hier zu insonderheit Deputierter
haben freÿ guthwillig offentlich angezeigt und bekandt, demnach ged. H. Johann Christoph Reichard beÿ Vertheÿlung Mütterlicher Erbschafft die an der Schildsgaßen allhier gelegene Reichardische behaußung umb einen gewißen preiß, nemblich Vier tausend Fünff hundert Gulden angenommen, und vbriger Interessenten antheÿler alle Capitalien darauff stehen zu laßen, und zu verzinßen versprochen, hernach aber solche behaußung umb 2200 Gulden darauff stehender Capitalien, und 2000 gulden baaren Gelds an H. Johann Daniel Francken den ältern Sein Hn Reuthers Schwehervatter verhandelt, welcher dieselbe nachgehends seiner Tochter erstged. Hn Reuthers haußfrauen wider cediret, und aber Er H. Johann Christoph Reichard damahls solche behaußung an Hn Francken übergeben worden, beÿ 600 gulden von denen Capitalien verfallene Zinß, so obged. Johann Wilhelm Reichard proprio & tutorio noiê, beneben hn Francken gefordert selbst abzutragen übernommen, darüber die parten in einige Weitlaüffigkeit und vor E.E. Großen Rath angesponnenen process gerathen, Alß hätten nunmehr durch großg. Vermittlung obehrenged. Herrn Deputirter dieselben sich folgender maßen güthlichen mit einander verglichen,
Nemblichen es renunciret hiemit und in Krafft dießes H. Johann Wilhelm Reichard, neben dem, daß Er 360 Pfund Ihme schuldigen, auff obbem. Behaußung stehend. Capitalß auff 320 Pfund schon vormahls reducirt hat (…)

Marie Barbe Franck, femme du marchand Samuel Reuter, vend à Jean Paul Gambs et à Marie Félicité Wencker 2 000 livres la maison que lui a cédée son père désormais établi à Francfort

1691 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 61
Erschienen Maria Barbara gebohrne Franckin Hn Samuel Reuthers deß handelßmanns eheliche haußfrau
in gegensein Hn Johann Paul Gambßen und Mariæ Felicitas Gambßin gebohrner Wenckerin
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung und Nebens hauß, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Zugehördten allhier under in der Schildsgaß einseit neben Fr. Anna Barbara gebohrner Kirchhofferin Hn Philipp Willeckers Post meisters Zu Liechtenau ehelicher haußfrau, anderseit ist ein Eck an der Spitzengaß, hind. auff hans Henrich Meÿer den Wollenweber stoßend geleg, Welche behaußung umb 160 pfund (So dann um 940 pfund verhafftet), Zumahl. Ihro der Verkäufferin von Hn Johann Daniel Francken dem ältern Handelßmann anietzo zu Fforth. wohnhafft Ihrem leiblich. herrn Vatter, vermög der in Cancelleÿ Contractstub am 9.ten Januar. 1687. auffgerichteten Verschreibung in Außweißung Mütterlich. Guths assignirt und eÿgenthümlich überlaß. word. – umb 900 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Paul Gambs à revendre la maison qu’il a récemment achetée à François Antoine de Flachslanden moyennant 4 000 florins. Après visite des lieux, la commission rapporte que la maison se trouve rue du Bouclier, que le bâtiment avant est une belle construction en pierre qui comprend deux caveaux à l’entrée, une belle salle et plusieurs beaux poêles, que le mur coupe-feu est épais et que la vente a été conclue moyennant un versement comptant de 1 200 florins.

1691, Conseillers et XXI (1 R 174)
Hr Johann Paul Gambs will sein hauß Verkauffen. 36. deßen relation. 37.
(p. 36) Montags den 5. Martÿ 1691. Saltz. ersch. Hr Joh: Paulus Gambs der will seiner neulicher Zeith erkauffter behaußung, so in der Schitz Gaßen ligt, an den Vesten Frantz Anthoni Von Flachsland Wider umb 4000 gl. V. kauffen, b. Unterth. deßen g.dige erlaubnuß.
H. Syndicus, er seÿe ein cavalier deme Wohl Zu gratificiren seÿn würde, Mann müße doch hierinn die benöthogte præcautiones nehmen, und die herren Deputirte dahin instruiren, daß der Verschreibung das real schirm geld ein Verleibet, und Von dem Käuffer ein revers Zu dießem end Unterschriben Werden möge, Erk. gevolgt.
H. XV. Friderici und H. Brackenhoffer

(p. 37) Montags de, 12. Marty 1691. Hr XV. Friderici und Hr. Brackenhoffer referiren die beschaffenheith deaß Gambsischen haußes und berichten daß es ein schön steinern hauß seÿe in der Schiltzgaßen gelegen, beÿm eingang habe es ein doppelt gewölb und einen schönen Sahl, Wie auch unterschiedliche schöne stuben in dem Vordern Stock, und stehe das hauß in seinen starcken Feur Mauren, der Kauff seÿe gescheh. Vor und umb 4. M. Gulden darvon stracks 1200. fl. auff Johann Bapt. 600. fl. abgetragen der Rest aber auff dem hauß stehen bleiben und jährlich à 4 p. Cto Verzinßet Werden solten.
Erk. Willfahrt und soll die Verschreibung more solito gescheh.

Jean Paul Gambs et Marie Félicité Wencker revendent deux mois plus tard la maison à François Antoine de Flachslanden, conseiller à la régence épiscopale de Saverne

1691 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 258-v
Erschienen H. Johann Paul Gambs für sich und im nahmen Fr. Mariæ Felicitas gebohrne Wenckerin
/:salv. titt:/ Herrn Frantz Anthonÿ von Flachsland hochfürstl. Straßb. bischofflichen Regierungs Raths und Ober Schultheißen Zu Elsaß Zabern – auff die beÿ HH. Räth und XXI. am 12.ten huj. ertheÿlte permission
hauß hoff hoffstatt Stallung und Nebens hauß, mit allen andern deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier unden in der Schildsgaß, einseit neben Anna Barbara gebohrner Kirchhofferin, Philipp Wilkeckers Postmeisters zu Lichtenau ehelicher haußfrau anderseit ist ein Eck an der Spitzengaß, hinden auff hans Heinrich Meÿer den wollenweber stoßend gelegen, welche behaußung umb 160 pfund (so dann umb 940 pfund verhafftet) – geschehen umb 900 pfund

Acte par lequel Jean Guillaume Reichard, comme héritier de sa mère Jeanne Heus, confirme la cession du capital assis sur la maison que vient d’acheter Jean François Antoine de Flachslanden

1691 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 690-v
Erschienen H. Johann Wilhelm Reichard, E.E. Großen Raths beÿsitzer, für sich selbsten, und alß Vogt weil. Hn Johann Philipp Reichards, J.U. Ddus und Müntzverwalthers sel. hind. laßenen Sohne und tochter, mit beÿstand Hn Johannis Braunen Med. Doctoris alß ietzmahlig. Ehevogts Fr. Margarethæ Salome Reichardin d. ged. tochter
in gegensein /:salv. titt:/ Herrn Johann Frantz Anthonÿ von Flachsland hochfürstl. Straßb. bischoffl. Regierungs Rath und Ober Schultheißen zu Elsaß Zabern mit beÿstand p Hn Daniel Dietrichs J.U Ddi und E.E. großen Raths beÿsitzers
angezeigt und bekandt, demnach auf absterben weÿl. Fr. Johannæ Reichardin gebohrner Heußin sein H. Reichards leiblich. Mutter sel. die von deroselb. in widem biß an Ihr End genoßene Reichardische an Schild gaß gelegene behaußung von gesambten deren Kindern an Hn Johann Christoph Reichard den Handelßmann eÿgenthümlich cedirt und beÿ Vertheilung vätter und Mütterlicher Erbschafft umb 2250 lb d überlaßen word., maßen solche Cession von weil. Hn Joh: Georg Redsloben gewes. Notar. Publ. sel. am 21. Febr. 1674. annotirt und Zu papier gebracht word., von welcher Kauffschillings summ weÿl. H. Paul Reichard XXI sel. Erb. 585 lb, denen Carbisch. Kindern 585 lb, Ihme Hn Reichard 320 lb und Hn Dr Reichards sel. Kindern 360 lb krafft bemeldt auffsatzes zugeschrieben word., obgem. Hn Paul Reichards sel. portion aber Ihme Rathh. Reichard und seinen Vogts Kindern die helffte nemblich 292 lb Zugefallen (…) daß d.selbe die gantze prætension auff 940 pfund gesetzt, welche Summ der 940 lb auch obged. H. von Flachsland beÿ erkauffung solcher behaußung am 21. Mart. dießen lauffend. 1691.sen Jahrs zu bezahlen übernommen

Jean François Antoine de Flachslanden et Sabine Marguerite Richarde de Wangen ont plusieurs enfants qui naissent à Saverne à partir de 1687, parmi lesquels les suivants
Baptême, Saverne (cath. f° 31) 1687. Die 23. Maÿ Baptizata est Künigunda Magdalena von Flacksland. Parentes Præ Nobilis Dnus Joannes Franciscus Antonius von Flacksland Eminentiss. Nri. Episcopi Consiliarius Aulicus et Præ Nob.s dnâ Sabina Margaretha Richardis â Wangen (i 16)

Baptême, Saverne (cath. f° 51) 1688. Die 14. octob. duæ Gemellæ Baptizata sunt, altera ab obstetrice in periculo mortis, altera â me absq. ceremonÿs et hodie die 19 Ceremoniæ completæ sunt ÿsdem data. Parentes Præ Nobilis Dnus Joannes Franciscus Antonius â Flacksland Eminentiss. Nri. Episcopi Consiliarius Aulicus et Præ Nob: Domina Sabina Margaretha Richardis â Flachslandt gebohrne von Wangen. Primæ nomen est Maria Salome Richardie (…) Secundæ nomen est Maria Anna Barbara (i 27)

Baptême, Saverne (cath. f° 81) 1690. Die 25. Maÿ Baptizata est Maria Antonett& Wilhelma et hodie die 17. Septembris modo Ceremoniæ completæ ob Patrinrum Præsentiam. Parentes Præ nob. Dnus Joannes Franciscus Antonius â Flacksland Eminentiss. Principis Consiliarius Aulicus et Præ Nobilis dnâ Sabina Margaretha Richardis â Flachslandt gebohrne von Wangen (i 38)

Baptême, Saverne (cath. f° 109) 1692. Franciscus Antonius Eusebius de flachslanden. Die 28. Januarÿ Baptizatus est per obstetricem Annam Francisci Antoniii Pu(-)gnrt ret hodie1. Martÿ Ceremoniæ per me suppletæ sunt. Parentes sunt Prænobilis dominus Joannes Franciscus Antonius â Flacksland Consilius Aulici Præses et Præ Nobilis dnâ Sabina Margaretha Richardis â Flachslandt gebohrne Freÿfraw von Wangen. patrini sunt (i 47)

Marie Cleophée de Flachslanden née de Herbstheim passe un accord avec sa fille Marie Salomé épouse de François Ernest Bœckel de Bœcklinsau et son fils Jean François Antoine
1688 (19.6.), cote E 904 (Flachslanden)
Ich Maria Cleophe Von Flachsland Wittib gebohrne von Herbstheim bekenne Hiemit für ich und alle meine Erben in Krafft dießes brieffs (…) demnach Zwischen dem Hoch Edelgebohrnen vnd gestrengen Herrn Frantz Ernst Böckell von Böcklins: Aw, vnd frawen Maria Salome Böcklin von Böcklins: Aw gebohrne Von Flachsland meinem dochtermann vnd tochter an Einem
Vnd herren Johann Frantz Anthoni Von Flachsland meinem Sohn andern theils den 23.ten Junÿ dieses annoch lauffenden 1688.sten Jahrs in gegenwarth einigen von dem hochlöbl. Nider Elsäß. Ritter Præsidial darzue insonderheit deputirten Commissarien eine güthliche Abhandlung, Cession vnd Erbsverzicht geschloßen
So geschehen Elsaß Zabern den 19.ten Junÿ 1688.
[unterzeichnet] Maria Clef von flacksland witib gebohren von herbßheim

1726, cote AA 2418 (manance)
(Cn. 73, L.tte 2, N° 4) Estat par ordre alphabetique des particuliers qui possedent des maisons et biens dans Strasbourg et ban Lieue sujets au droit de la manance Réelle (Les possesseurs en l’année 1742 sont marqués avec de l’ancre rouge)
M. de Flaxland (C’est encore) (canton) 7 (n°) 222, Schiltzgass

La maison passe ensuite par héritage à Jean Henri Joseph de Flachslanden qui la vend 4 375 livres à Jean Michel de Gschray (Monheim 1692 – Wemding 1763, notice biographique en allemand sur Wikipédia)

1751 (8.5.), Not. Laquiante (6 E 41, 1000)
fut present Messire Joseph Conrad Antoine Baron de Flachslanden Colonel du régiment royal des Cravattes cavallerie, Lequel en qualité de procureur fondé de Messire Joseph Henry Baron de Flachslanden son père en vertu de son mandat ou procuration sous seing privé (vend)
à Messire Jean Michel Baron de Geschray (signé) de gschraÿ
La Maison appartenante a Mond. Sieur de Flachslanden pere Scituée en cette ville rue ditte Schiltsgaß Bornant lad. rüe du côté de celle qui va a l’intendance Comme elle se contient et se comporte sans en rien Excepter ny reserver et telle que mond. Sr vendeur la occupé Cy devant et qu’elle luy est avenue et eschue par succession paternelle, Cette Presente Vente faite franche et quitte de toutes dettes et hypothèque Et Pour et Moyennant la Prix et somme de 17 500 Livres tournois
([procuration jointe] Fait à Saverne ce 30° avril 1751)

Marié à Marie Madeleine Wagner, Jean Michel de Gschray en a plusieurs enfants dont Marie Jeanne qui épouse Pierre Charles de Beyerlé en 1751, Marie Anne qui épouse Jean Népomucène Georges Schenck de Gravenberg en 1752 et François Guillaume qui épouse vers 1756 Marie Claire Françoise de Weitersheim (habitent le château de Breuschwickersheim, voir le baptême à Achenheim en 1756)
1751 (29.5.), Not. Koch (6 E 41, 499) n° 198
Contrat de mariage – Messire Pierre Charle de Beyerlé, Chevalier de l’Ordre Royal et militaire de St Louis et colonel au Regiment de Gschray, fils de feu Sieur Jean Valentin de Beyerlé, vivant Conseiller du Roy et directeur de la Monoye de Strasbourg et ancien ammeister et assesseur au college de Messieurs les Treize de ladite Ville et de Dame Barbe Schæffer d’une part
et Messire Jean Michel de Gschray, colonel audit Regiment stipulant pour Damoiselle Marie Jeanne de Gschray, sa fille, procréé avec Dame Marie Madeleine Wagner (signé) Pierre Charles Beyerle, Maria Janne de gschraÿ, Edme Ignace Beyerlé, E. Card. de Rohan Soubise Ev. et Pr. de Strasbourg, Johann Michael de gschraÿ Colonel, Frantz Wilhelm de gschraÿ, Johann Michel Chevalier de gschraÿ

1759 (24.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 1008)
Inventaire de feue De Anne Marie de Gschray épouse de M Jean Georges Joseph Schenck de Gravenberg Conseiller du Roy Juge garde des monnoyes de la ville de Strasbourg décédée le 9 octobre 1757 – à la requête du veuf tuteur naturel d’Anne Marie Marguerite, en présence de M Michel Jacques Gombault avocat au Conseil souverain d’Alsace tuteur établi à la mineure
en l’hotel de la monnoye le 10. nov. 1758 (sans additions)
Contrat de mariage, not. René le 5 février 1752 – der hoch Edel gebohrne Herr Johannes Nepomucenus Georgius Schenck de Gravenberg advocat beÿ dem königl. hohen Rath zu Colmar des hoch Edel gebohrnen Johann Frantz Michael Schenck gnadiger Herrn der fünffzehner beÿ allhiesigem Magistrat und der hoch Edel gebohrnen Maria Margaretha geb. von Kellermännin, so dann Gnädige Fräulein Maria Anna von Gschraÿ Ihro Gnaden des hoch Edel gebohrnen H. Johann Michael Obristen des Regiments von Gschraÿ und der hoch -Edel gebohrnen Maria Magdalena geb. Wagnerin

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 429)
Hodie 14 mensis februarii anni 1752 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Prænobilis Dominus joannes georgius jospehus Schenck De gravenberg advocatus in supremâ Curiâ Colmariensi filius legitimus Prænobilis domini joannis Francisci Michaelis Schenck De gravenberg quindecim viri magistratûs argentinensis et Dominæ mariæ margaritæ Kellermann Conjugum et Prænobilis Domicella Maria anna De gschraÿ filia legitima Prænobilis domini joannis Michaelis Baronis De gschraÿ tribunis legionis ejusdem nominis et Dominæ Mariæ magdalenæ Dewagner conjugum, adfuerunt testes Prædictus sponsæ pater, Dominus Johannes Christophorus Kellermann secretarius sponsi avunculus, Dominus Petrus Carolis Beÿerlé eques ordinis militaris sti Ludovici Dux legionis pedestri et equestris De gschraÿ, Dominus Franciscus Antonius Kellermann sponsi avunculus (signé) Jean George Joseph Schenck de gravenberg, Marie anna de gschraÿ, Jean Michael de gschraÿ Colonel, Pierre Charles Beyeler colonel, Baumgartner, Capitaine

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 362)
Anno Dni 1757 die nona mensis Octobris mortua est Maria Anna De Gschray uxor Dno Joannis Georgi Schenck Consiliarii Regii Judicis in camerâ monetæ sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munita & die 11. Ejusdem mensis et anni sepulta in navi ecclesiæ

Pierre Charles Beyerlé hypothèque au nom de son beau père la maison au profit de Marie Madeleine Kornmann veuve de Georges Frédéric Lemp

1760 (28.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 103)
Obligation – M Pierre Charles Beyerlé Chevalier de l’Ordre Royal et militaire de St Louis Colonel au Régiment des Volontaires d’Alsace stipulant au nom de M Jean Michel Baron de Gschray chevalier dudit Ordre Royal et militaire de St Louis Colonel au Service du Roy son beau père
De Marie Madeleine Kornmann veuve de Sr Georges frideric Lemp assesseur à la chambre de MM. les XXI. pour laquelle Sr Jean Lemp son fils licencié ez loix et Secretaire à la Chancellerie de cetted. ville 6467 livres
hypothèque, la maison appartenant au Sr debiteur Scituée en cette ville rue dite Grosse Schiltzgass d’un côté le Sr Behr docteur en medecine d’une part Sr Ehrmann aussi docteur en medecine d’autre

Epouse de Balthasar de Baumgarthen, Anne Marie de Gschray meurt à l’âge de 38 ans
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 66)
Anno omini 1764, Die vero 28 mensis januarii obiit sacramentis Ecclesiæ munita Domina anna maria De geschray 38 annos nata, uxor Domini Balthasar de Baumgarthen, Brustorum reges merentis, die vero 30 ejusdem mensis et anni fuit sepulta in cœmeterio solito (i 67)

Pierre Charles Beyerlé loue la maison au secrétaire de chancellerie Jean Lemp

1760 (28.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 103)
Bail de 4 années qui commencent le 24. mars prochain – M Pierre Charles Beyerlé Chevalier de l’Ordre Royal et militaire de St Louis Colonel au Régiment des Volontaires d’Alsace stipulant au nom de M Jean Michel Baron de Gschray chevalier dudit Ordre Royal et militaire de St Louis Colonel au Service du Roy son beau père
au Sr Jean Lemp Secretaire à la Chancellerie de cette ville et licencié ez loix
De la maison appartenant aud. Sr de Gschray en cette ville rue dite Grosse Schiltzgass, le Sr Behr docteur en medecine d’une part Sr Ehrmann aussi docteur en medecine d’autre avec toutes ses aisances appartenances et dépendances sans la moindre reserve ni exception (moyennant un loyer annuel de) 800 livres

Etat des meubles qui appartiennent à Jean Michel de Gschray et dont jouit la locataire Marie Madeleine Kornmann veuve de Georges Frédéric Lemp

1760 (12.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 796) n° 199
Descriptio Einiger S.T. H. Baron Von Gschray Obristen und Chevalier de l’Ordre Militaire de St Louis zuständigen Meubles, so sich in einer allhier zu Straßburg ane der großen Schiltzgaß liegenden eigenthümlichen behausung befinden und den 12.ten Martÿ 1760. (…) angeschlagen worden, angesehen S.T. frau Maria Magdalena Lempin geb. Kornmännin S.T. Hn Georg Friderich Lemp des beständigen geheimen Regiments der H. XXI. allhier seel. Frau Wittib biß nächst kommenden Annunciationis Mariæ solche behaußung Lehnungsweiße zu bewohnen den anfang machen und solche Meubles Ihro zu gebrauchen durch die Lehnung placidirt worden

La maison de Jean Michel de Gschray est vendue par enchère judiciaire suite à des prétentions mutuelles des héritiers le 11 novembre 1761 à Marie Madeleine Kornmann veuve de Georges Frédéric Lemp (original sur parchemin)

1761 (11.11.), cote 100 J 670
Wir Johann Friderich Faust alter Ammeister der Meister und der Rath des Kleinen Raths der Statt Straßburg bekenne und thun kundt hiemit und in Krafft gegenwärtigen Ganthkauffs, daß Zufolg Erkantnus des Regirenden Herrn Ammeisters vom Neunten Septembris jüngst Vermög deren in Sachen H. Licentiat Gombault tutorio nomine Dlle Marie Anne Schenck Klägers, contra Hern Frantz Wilhelm von Gschreÿ, Officier à la suite de la Place Frau ehegemahlin, beklagte, die der Frau beklagten eigenthümlich zugehörige behaußung wie hienach beschrieben offentlich verkaufft und versteigert werden solle, daraufhin unterm 28. ejudem von seiten E. E. Kleinen Raths ertheilter Ruff Zedul sothane behaußung Hoff und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Großen Schildsgaßen in der langen straß einseit neben Weÿl. Hn Dris Georg Heinrich Behren Frau Wittibin in die Schildsgaß, anderseit ist ein Eck in der Spitzengaß, neben Herrn Statt Physico Ehrenmann, hinden auf des jeweiligen Herrn Majors behaußung stoßend so außer denen daruafff hafftenden Passiv Capitalien ledig eigen ane ort und enden, Wie sichs gebührt, Zum ersten, andern und dritten mal ausgeruffen und offentlich feÿl gethan worden,
Und als auf heut Zu ende gemeltes datum beÿ vorgenommener Versteigerung beÿ erlöschung des dritten und letzten Liechtleins H. Christian Gimmig Meßerschmidt und burger allhier und Zwar wie er declarirte vor und im nahmen S. T. Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Kornmännin weÿl. S. T. Herrn Georg Friderich Lempen geweßenen hochverdienten XXI. und burgers allhier Frauen Wittib die Summam von 8350 Gulden nebst übernahm derer uncosten als pfandzoll Undnterkauff und dergleichen gebotten auch niemandt der weiter ein mehreres bieten wollen, erschienen, Alß ist Ihro S. T. Frauen Mariæ Magdalenæ Lempin gebohrnee Kornmännin sothane behaußung cum appertinentiis als letzt und meistbietender umb die meistgebottene 8350 Gulden so Sie in Zeit acht tagen von dato an, nebst obigen incosten, etwelche baar oder in gültigen Consensscheinen der Ganth Zuerlegen hat, Von Ganthwegen eigenthümlich adjudicirt durch Unß verkaufft und überlaßen worden (…)
So geschehen Straßburg deb Eillften Novembris im jahr Christi 1761 [unterzeichnet] Beguin
[a tergo] Auff abschlagen genanden Ganth Kauffschilling ist in der Ganth den 12. Novembris 1761. baar bezalt worden die Summa von 2475 livres. T. im nahmen der Ganth, Dautel, Notarius jur: (…)

Vente passée devant le notaire royal Humbourg, correspondant à l’enchère précédente. En annexe, acte par lequel Jean Michel de Gschray abandonne la maison à son fils François Guillaume et à sa bru Marie Claire Françoise de Weitersheim

1761 (13. 9.br), Not. Humbourg (6 E 41, 106)
Sr François Guillaume de Gschray Capitaine à la suite de la place de cette ville et De Marie Claire Françoise née de Weytersheim son épouse assistée de Me Jean Charles Fické Notaire juré et public de cette ville, lesd. Sr et De de Gschray ayant été cydevant propriétaires de la maison Scituée en cette ville au coin de la rue dite Schiltzgass et de celle des dentelles en vertu de l’abandon a eux fait par le Sr Jean Michel Baron de Gschray leur pere et beau père respectif par acte s.s.p. du 1. maÿ dernier demeuré cy joint et annexé
à De Marie Madeleine Kornmann veuve du Sr Georges Frédéric Lemp XXI au Magistrat de cette ville pour laquelle le Sr Jean Lemp son fils conseiller au Magistrat de cette ville
tous les meubles meublants et effets existans dans lad. maison adjugée à lad. De Lemp à la chambre des subhastations de cette ville le 11. du courant et dont lad. De Lemp est actuellement propriétaire, pour 1200 livres
– Ich ends Vnd.schriebener bekenne in Crafft diß. mit meiner aignen handtschriffts und Pöttschafft d. ich mit meinem Sohn franz wilhelm von Gschraÿ und dessen frauen ehegemahlin francisca ne de Weittersheim wegen meinen in Straßburg zue gehörige behaussung so ich von herrn Von flaxlandt käuflich an mich gebracht und die brieffschafften in meiner Bapier druchen zu fünden seint Witrumben*, mit betten Eheleithen Einen accort getroffen wie das ich ihnen sowohl mein hauß Mbs. denen darinen sich befündenten Meblen Vmb einen Praÿß d. 25 000 lb abgetretten, den 1. maÿ 1761

Le pharmacien Georges Frédéric Lemp devient tributaire chez les Charpentiers dont son père est prévôt
1716, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 22) Dienstags den 22.ten Decembris 1716 – Neuzünfftiger
Hr Geörg Friderich Lemp Apothecker S. T. Exs. Lempen Unßers hochgebietenden H. Oberherren Ehelicher Sohn, bitt nebst producirten Stallschein, Ihne das Zunfftrecht gedeÿen Zu laßen. Erk. weilen H. Oberherrn sich Umb E. E. Zunfft wohl verdient gemacht, als Ist Ihme sein petitum gratis willf.

Georges Frédéric Lemp épouse Marie Madeleine Kornmann, fille de banquier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Edel Wohl Ehren Vest Großachtbahr und kunstberühmten Herrn Georg Friderich Lempen ledigen Apotheckern, des hoch Edel Vest Fromn, Fürsichtig und hochweißen herrn Andreæ Lempen, des beständigen geheimen Collegÿ der herren Fünffzehen in allhießiger löblichen Statt Straßburg hochansehnlichen Assessoris und Vornehmen Apotheckers allhier ehelich erzeugtem Herrn Sohn, alß dem Herrn bräutigams ane einem, So dann der Edlen, Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Kornmännin des Edel Wohl Ehren Vest und hochachtbahren Herrn Peter Kornmanns E. E. Kleinen Raths allhier alten hochmeritirten beÿsitzers auch vornehmen Banquiers allhier ehelich erzielter Jungfrauen tochter alß der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil (…) Geschehen in der Statt Straßburg auff Freÿtag den 19. Monaths tag Novembris im Jahr nach Christi unsers einigen Erlösers heÿlandts und Seeligmachers gnadenreicher Geburth gezahlt 1717.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 158-v, n° 21)
Mitwoch den 1. Dec. 1717 seind nach Zweÿmahligen offentlichen Außruffung Von die Canzel, in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden, H. Geörg Friderich Lemp der ledige Apothecker vnd burger allhier, H. Andreas Lempen des beständigen Regiments der Herren XV. hochansehnlichen Assessoris, Ehelicher Sohn, Vnd Jfr. Maria Magdalena Kornmännin H. Peter Kornmanns des handelßmanns vnd Banquiers auch E. E. Kl. Rath alten beÿsitzers Ehel. tochter, Welches bezeugen [unterzeichnet] Georg Friderich Lemp als Hochzeiter, Maria Magdalena Kornmännin als Hochzeiterin (i 163)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison rue des Serruriers dans laquelle est établie la pharmacie. Les apports du mari s’élèvent à 1 451 livres, ceux de la femme à 2 300 livres
1718 (5. Xbr) Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 113) n° 1028
Inventarium und Beschreibung, aller der jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Edel, Wohl Ehrenvest Großachtbahre und Kunstberühmte Herr Georg Friderich Lemp, vornehmer Apothecker, und die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte Fraw Maria Magdalena gebohrne Kornmännin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, welche der ursachen allweilen in Ihr eeder Ehepersohnen mit einander auffgerichteten Eheberedung außtrucklichen versehen, daß einem jeden derselben seine in die Ehe bringende Nahrung ohnverändert sein (…)
So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Hoch Edel, Vest, fromb, fürsichtig und hochweißen Herrn Andreæ Lempen des geheimen beständigen Regiments der Herren fünff zehen allhier hochverdienten Assessoris und der hoch Edel und hoch tugendbegabten frawen Mariæ Salome Lempin gebohrner Königin des Herrn hochzeiters und dann des Wohl Edel Großachtbahren und Weissen Herrn Peter Kornmanns, vornehmen Banquiers und E: E: Kleinen Raths allhuer alten wohlmeritirten beÿsitzers auch des Wohl Edel und tugendbegabten Frawen Evæ Magdalenæ Kornmännin gebohrner Reinboldtin der frawen hertzgeliebten Eltern, auff Montag den 3. Decembris 1718.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß gelegenen Apothecker behaußung, befunden worden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachte Rubricen, Sa. haußraths 131, Sa. Silbers 59, Sa. Goldenen Ring und dergleichen Geschmeids 251, Sa. Ehesteur 750, Summa summarum 1193 lb – deme beÿzufügen die ane hernach beschriebenen haussteuren verglichener maßen Ihme gebührige helffte mit 258 lb. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes Vermögen 1451 lb
Dießemnach wird auch der frauen Lempin in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 284, Sa. Silbergeschirr und dergleichen Geschmeids 90, Sa. goldener Ketten, Ring, Peerl dergleichen Geschmeids 572, Sa. Current Geldt 1094, Summa summarum 2042 lb – Dazu gelegt die ane gleich hernach befindlichen haussteuren verabredeter maßen Ihro gebührige helffte mit 258 lb, Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth 2300 lb

Georges Frédéric Lemp est élu prévôt de la tribu de l’Echasse en 1743
1743, Conseillers et XXI (1 R 226)
Zu einem Ober: Herrn beÿ E. E. [Zunfft] Zur Steltz Wird H. XXI. Georg Friderich Lemp erwöhlt. 250.

Georges Frédéric Lemp meurt en 1747 en délaissant cinq enfants. Les biens propres de la femme s’élèvent à 3 142 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 5 825 livres, le passif de 8 591 livres
1747 (20.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 89) n° 759
Inventarium über Weÿl. des Hoch Edelvest, Fürsichtig, Hochweiß und hocherfahrnen Herrn Georg Friderich Lempen, geweßten Kunstberühmten Apotheckers und hochverdienten Ein und Zwantzigers des beständigen Regiments, auch vornehmen burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1747 – nachdeme derselbe den 4. Februarÿ jüngsthin von dem lieben Gott aus dießer welt seelig abgefordert Worden Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchung und begehhren des hoch Edel Vest, Fromb, Fürsichtig vnd hochweißen herrn Friderich Kornmanns vornehmen Banquier und des geheimen beständigen Regiments derer herren Fünffzehen allhier hochansehnlichen Beÿsitzers, als Herrn bruders und erbettenen herrn Assistenten der hoch Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Magdalenæ Lempin gebohrner Kornmännin, des seligen Herrn Ein und Zwantzigers geweßter Frauen Eheliebstin und nunmahligher Frau Wittib,wie auch des Sohl Edlen und hochachrbahren v. weißen herren Johann Lempen, vornehmen Handelsmanns und E. E Kleinen Raths alten hochverdienten, beÿsitzers vornehmen burgers allhier als geschwornen Curatoris des seel. herrn Ein und Zwantzigers hinterlaßener Jungfrauen tochter und dreÿer jüngeren H. Söhne (…) durch obwohlgedachte Frau Wittib wie auch den ältern Herrn sohn und Jungfrau tochter ingleichem durch Catharinam Margaretham Maurerin von Straßburg und Sophiam Schoberin von Buchßweiler gebürtig, die beede dienstmägd – So beschehen Zu Straßburg auff Montag den 20° Martÿ er seqq. diebus A° 1747.
Der in Gott ruhende Herr Ein und Zwantziger hat ab intestato zu Beneficial Erben Salvis ubique Titulis verlaßen wie folgt. 1. Herrn Georg Friderich Lempen, Kunsterfahrnen ledigen Apotheckeren so bereits majorennis und dahero ohnbevögtigt, seine Rechte hiebeÿ selbsten vertretten, 2. Jungfrau Mariam Salome Lempin, 3. Herrn Johann Lempen, Philosophiæ Studiosum, 4. Johann Wilhelm Lempen und 5. Daniel Andream Lempen, beede Zwilling und tertiæ Curiæ discipulos. Welcher vier jüngern annoch minorennen Kinder geordneter Vogt eingangs besagter Herr Johannes Lemp, der selben Herr Oncle (…) Alle fünff des seeligen Herrn Ein und Zwantzigers mit eingangs wohlerwehnter Fr. Maria Magdalena gebohrner Kornmännin seiner nunmahligen Frau Wittib ehelich erzeugte Herrn Söhn und Jungfrau tochter (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem sogenannten Trußengäßlein gelegenen (in dieße Verlassenschafft zum theil gehörigen) behaußung befunden worden wie folgt
(f° 12) Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Schwartz Getüchkammer, In dem understen Bühnel, Auff dem bühnel darneben, Im obersten Haußöhren, In dem Stübel Lit. A, In dem Zimmer Lit. B, In dem Zimmer Lit. C, In der Kammer Lit. D, In der Cammer Lit. E., In dem stübel Lit. F, In dem Haußöhren daselbst – Ane Tafflen und Gemählden
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder gewester Lempischer Ehepersohnen einander in die Ehe gebrachte Nahrung durch weÿl. Notarium Johann Reinhard Langen meinem seel. Vatter den 5.to Decembris 1718. Vergriffen und durch mich Not. Joh: Daniel Langen den 18.ten febr. 1747 expediret
Wÿdembs Verfangenschaft, So weÿl. S. T. Frau Eva Magdalena gebohrne Reinboldin, weÿl. S. T. Hn Peter Kornmanns, geweßten hochmeritirten XV. ds geheimen beständigen Regiments und vornehmen Banquier allhier längst seel. hinderbliebene Frau Wittib nun auch seelig von solch Ihren Zweÿten Eheherrn biß an Ihr Absterben genoßen hatte betreffend
(f° 46) Antheil ane einerm Apotheck Corpore und daneÿ sich befindlichen hauß (…)
(E.) It. eine behaußung und hoffstatt ane der Schloßer und Dorlesgaßen (…)
(f° 51) Copia der Eheberedung – (…) Geschehen in der Statt Straßburg auff Freÿtag den 19. Monaths tag Novembris im Jahr nach Christi unsers einigen Erlösers heÿlandts und Seeligmachers gnadenreicher Geburth gezahlt 1717.
(f° 55) Copia Codicilli reciproci – erschienen der Wohl Edle Großachtbahre und weiße herr Georg Friderich Lemp Kunsterfahrener Apothecker und E. E. Großen Raths allhier alter wohlmeritirter Assessor auch mit und beneben Ihme die Wohl Edle und hoch tugendgezierte Frau Maria Magdalena Lempin gebohrne Kornmännin beede Ehepersohnen und vnd, burgere allhier (…) – den 170 Februarÿ Anno 1736. Johann Daniel Lang Notarius publicus
(f° 61) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frauen Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 77, Sa. Silber geschirr und dergl. geschmeids 74, Sa. Goldenen ring 229, Sa. baarschafft 22, Sa. der Schuld 150, Ergäntzung (3489, Abzuziehen 9, Verbleibt) 3479, Summa summarum 4033 lb – Passiva 891, Nach deren Abzug 3142 lb
Dießem nach werden auch die übrige Effecten sie rühren gleich von des seel. H. XXI. ohnveränderter oder Theilbaren Verlaßenschafft her, in ansehung Keine Errungenschaft noch gewonnenen Guth heraß komnt beliebter Kürtze halben unter einer Massa geschrieben, Sa. haußraths 461, Sa. Chaise 25, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 357, Sa. Weins und Faß 34, Sa. Goldener Ring 169, Sa. baarschafft 15, Sa.helfte ane einer Apotheck und dabeÿ befindlichen behaußung 4660, Sa. Sa. Gülth von liegenden güthern 109, Summa summarum 5825 lb – Schulden 8591 lb, Theilbares passiv onus 3759
Restirende Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 382 lb
Ungewiß und zweiffelhaffte Schulden in des seel. H. XXI. Nahrung Zugeltend 600 lb

Sa veuve Marie Madeleine Kornmann meurt en 1767 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue du Bouclier que les experts estiment 3 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 20 329 livres, le passif à 1 279 livres

1767 (3.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) n° 646
Inventarium über Weiland der Hoch Edel Viel Ehr und Hoch tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä Lempin gebohrner Kornmännin, Längst Weilandt S.T. Herrn Georg Friedrich Lemp des beständigen geheimen Collegÿ derer Herren XXI. geweßten Hochansehnlichen Herrn beisitzers und Vornehmen burgers allhier höchst seeligen nachgelaßener Frau Wittib, nun auch seeligen Verlassenschafft – als dieselbe Sontags den 5. Julÿ dießes lauffenden 1767. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch ihrem aus dießer welt genommenen seeligen Hientritt hie Zeitlichen verlaßen – Beschehen in Straßburg auf Montag den 3.ten Augisti et Seq: Anno 1767
Die seelig Verstorbene Frau XXI.gerin hat ab intestato zu Erben Verlaßen Wie folgt. 1.mo S.T. Herrn Georg Friderich Lemp berümbten Leedigen Apotheckeren so Majorennis, und beÿ der Inventur zu gegen was, 2.do ST. Frau Mariam Salome Silberradin gebohrne Lempin, ST. Herrn Jeremiæ Eberhard Silberrad Wohlverdienten H. Schaffnern Löblichen Corporis Pensionum undt anderer Stifftungen auch eines Ehrsahmen Großen Raths alten wohlverdienten beisitzern und Wohlmeritirten alten dreÿern des allhießigen Pfenningthurn und Vornehme burgers allhier geliebte Ehegattin, 3.tio ST. Herrn Johannes Lemp, J. Cons. des beständigen geheimen Collegÿ derer Herren XXI. Hochansehnlichen Hn Beisitzern und vornehme burgern allhier, so ebenfalls der Inventation persönlich beigewohnt, So dann 4.to ST. Herrn Daniel Andream Lemp den leedigen Handelsmann, so ebenmäßig Majorennis und ohnbevögtigt, dahero in selbst eigener persohn dem Geschäfft persönlich beigewohnt, Alßo alle der seelig verstorbenen Frauen XXI.gerin mit obhoch Edelgedachtem ihrem schon längt Verstorbenen Eheherren seel. ehel. erzielten 3. Hn Söhne und eine Frau Tochter

In einer allhier zu Straßburg ane der Großen Schiltzgaß gelegenen undt in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung befunden worden Wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, auff der Zweiten Bühn, In Herrn Daniel Andreä Lempen zweÿ Zimmeren, Im Haußehren auf dem zweiten Stock, In der Wohn-stub auf dem Ersten Stock, In dem Ersten Neben Zimmer, In dem Zweiten Neben Zimmer, In dem Dritten Neben Zimmer
Eigenthum ane einem Landgut zu Ballbonn
Eigenthum ane einem Gärttlein
in dem sogenandten Beckenwäldlein (…)
Eigenthumb ane Häußern
ane dem Trußengäßlein (…)
It. eine behaußung im Brenten End (…)
It. Eine behaußung Hoff, Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weiten Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg an der Großen Schiltzgaß 1.a neben weÿl. Hn Georg Heinrich Behren Med: Doct: et Pract: fr. Wittib, anders. ist die behaußung ein Eck ane der Spitzengaß neben ST. Hn Stattphysico Joh: Christian Ehrmann hinten auff des jeweiligen Hn Majors behausung stoßend, so gegen männigl. freÿ leedig eigen und ist dieße behaußung durch Hn Samuel Wörner (…) laut Abschatzungs Zeduls vom 23.ten Julÿ 1767 angeschlagen Vor 6000 fl. oder 3000. Hierüber sagt i. teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. Insiegel Verwahret dat: d. 11.ten 9.bris A° 1761. Ferner i. Von H. Lacquiant gefertigte pergam. Kffverschr. Vom 8. Maÿ 1751. weißend wie Hr Von Gschreÿ dieße behaußung Von Hn Flachßland an sich erkaufft. Darbeÿ noch ferner 2. alte perg. Kffbr. mit d. Statt Straßb. anhang. Ins. Verw. dat. den 21. Martÿ 1691. et 16. Jan: 1691.
Antheil ane einer Apotec Corpori und dabeÿ befindlichen Haußhelffte ane der Schloßer und dornsgaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 319, Sa. Wein und lährer faß 537, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 232, Sa. baarschafft 295, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 9298, Sa. Eigenthumbs ane häußern 3780, Sa. Antheils ane einem Apothec Corpore 3000, Sa. Eigenthumbs ane I.m Gärthlein 125, Sa. ane einem Landgut zu Ballbronn 610, Sa. Eigenthumbs ane Matten Rohrweiler banns 300, Sa. Gülth von liegenden güthern 898, Sa. Schulden 942, Summa summarum 20 329 lb – Sa. Schulden 1279 lb, Nach solchem abzug 19 059 lb – Conclusio finalis Inventarÿ, Stall Summ 18 740 lb

Les héritiers cèdent leurs parts à leur frère Jean Lemp, assesseur des Vingt-et-Un

1767 (29.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 725) Joint au n° 646 du 3 août 1767
(Inventarium über Weiland Frauen Mariä Magdalenä Lempin gebohrner Kornmännin, Längst Weilandt S.T. Herrn Georg Friedrich Lemp Frau Wittib Verlassenschafft)
(Abtheilung f° 23) Erschienen Vor mir unterschriebenen geschwornen und zu Weÿl. S.T. Frauen Mariä Magdalenæ Lempin geb.r Kornmännin seeligen Verlassenschaffts Inventur und Abtheilung inspecie requirirtem Notario S.is T.tis S.T. Hr. Georg Friderich Lemp, leediger Apothecker, Frau Maria Salome geb. Lempin, Hn. Schaffner und Rathh.n Jeremiä Eberhard Silberradts fr: Eheliebstin und Hr. Daniel Andreas Lemp leediger Handelsmann aller 3. Geschwistrige, die haben
in gegensein Ihres Hn. bruders S.T. Herren Johannis Lemp, J. Cti. und des beständigen geheimen Collegii derer Hhn XXI. hochansehnlichen beÿsitzers
Ihre Vor unvertheilt gebührige dreÿ Vierte theil Von und ane einer behaußung Hoff Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg an der großen Schiltzgaß einseith neben Weÿland Hn D.ris Georg Heinrich Behren seel. nachgelaßener frau Wittib, anderseith ist die behaußung ein Eck ane der Spitzengaß neben Hn Stattphysico Joh: Christian Ehrmann, hinten auff des jeweiligen Hn Majors bewohende behausung stoßend, Von welcher Behausung Ihrer Hn XXI. Lemp dem H. Cessionario der übrige quart selbsten Vor anerstorben Mütterlich Guth gebührig – vor und umb 11 400 fl. oder 5700 Pfund pfenning – Straßburg den 29. augusti 1767.

Substitut à la Chancellerie, Jean Lemp est reçu tributaire à la Lanterne à titre gratuit eu égard à ses études
1760, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
Gericht Gehalten den 25. 7.bris 1760 – H Lt Johannes Lemp Cancellariæ Substitutus producirt Statt Stallschein Vermög deßen Er Verlangt dießes orthß Zünfftig Zu werden bittet Ihme zu willfahren. Erkandt ob favorem Studiorum gratis willfahrt

Jean Lemp épouse en 1761 Marguerite Salomé Flach, fille du docteur en médecine André Flach : contrat de mariage, célébration
1761 (17.8.), Not. Haering (6 E 41, 1376) n° 268
(Eheberedung) der Hoch Edel gebohrne und Rechtsgelehrte Hr Johannes Lemp J U Ltus u. E.E. großen Raths alhier würcklicher hochansehl. beisitzer wie nicht weniger wohlbestellter Secretarius bei der zu beziehung des vingtieme undergesetzten Cammer, Weiland S.T. H. Georg Friderich Lempen im Leben geweßenen hochverdienten Mitglied des beständigen gehemien Regiments derer XXI. hießiger Löbl. Stadt, ingleichem E. E. Zunfft zur steltz hochgebietenden Ober H. sel. mit S.T. Fr. Maria Magdalena gebohrner Kornmännin ehelich erzeugter Hr Sohn als bräutigam ane einem
Sodann die Hoch Edle viel Ehren und tugendgezierte Jungfr. Margaretha Salome Flachin weiland S.T. H. Andreä Flach im Leben geweßten hocherfahrenen Medicinæ Doctoris und berühmten Practici auch vornehmen Burgers alh. mit auch weil. Frau Margareth gebohrner Leiterspergein, beed. ssel. ehel. erzeugte ohnbevögtigte ihrer eigenen Rechte genießende Jgf. Tochter als braut – den 17. Augusti Anno 1761

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 108 n° 692)
Anno 1761 Sonntag den 23. Augusti seind nach zweÿmaligen ordentlichen Proclamation und Außruffung in der Neuenkirch und Zu St Thomæ zu Hauß mit Erlaubnus ders Regirendern herrn Ammeisters copulirt und eingesegnet worden S.T. Herr Johannes Lemp J.V. Ltus beÿ der Zur Einnahm des zwantzigsten Pfennings bestellten Cammer wohlverordnete Secretarius E.E. Gr. Raths Würcklicher beÿsitzer, weil. S.T. Herrn Georg Friderich Lemp des beständigen Regiments der Herrn Räth und XXI. gewesenen hochansehnlichen Beÿsitzers hinterlassener ehelicher Sohn, und Jungfrau Margaretha Salome Flachin, Weil. S.T. Herrn Andreæ Flach gewesener Medicinæ Doctoris und berühmten Practici wie auch burgers allhie hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Lemp alß bräutigam, Margaretha Salome Flachin alß braut (i 110)

Jean Lemp est élu prévôt de la tribu de la Lanterne en 1767, il devient assesseur des Vingt-et-Un en 1766 et des Quinze en 1770
1760, Conseillers et XXI (1 R 243)
H. Lt. Johannes Lemp wird Zum Schöffen E. E. Zunfft Zur Lucern erwehlt und von Hhen confirmirt. 238.
1766, Conseillers et XXI (1 R 249)
H. Rathh. Johannes Lemp Wird Zum XXI.r erwehlt und schwört auff die Ordnung. 78. wird Ober Cantzleÿ H. ernannt. 104.
1770, Conseillers et XXI (1 R 253)
H. XXI. Johannes Lemp wird Zum XV. erwehlt. 21.

Jean Lemp est élu consul en 1781 et en 1787.
Marguerite Salomé Flach meurt en 1806 en délaissant une fille. Jean Lemp meurt en 1809 rue des Serruriers

1806 (12.12.), Strasbourg 3 (30-1), Not. Übersaal n° 979, 3518
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Flach épouse de Jean Lemp, Jurisconsulte Membre de l’ancien Magistrat de la ville de Strasbourg et juge suppleant a la cour de Justice criminelle du Département du Bas Rhin, décédée le 12 octobre dernier – à la requête du veuf et De Françoise Salomée Lemp épouse de M Jacques Frédéric Brackenhoffer, Jurisconsulte Conseiller de prefecture
succession 27 233 fr (capitaux pour la plupart)
Propriété d’un jardin, Savoir la moitié d’un jardin avec gloriette puits appartenances et dépendances situé entre la porte des Juifs et celle des pêcheurs, donnant à l’orient sur un chemin communal à l’occident de même au septentrion au jardin du ci devant cabaret au cheval d’or appartenant au Sr Luc Schaaff artificier dont feue la De Lemp a jouissance elle-même, estimé 45 900 francs, L’autre moitié du jardin appartient en propriété au veuf, propriété constatée par acte reçu Lex le 30 vendemiaire 13
biens rentiers à Mommenheim, Berstheim, Wittersheim, Molsheim, Wolxheim, Achenheim, Ittenheim et Handschuhheim, Truchtersheim, Atzenheim, Avenheim, Fürdenheim, Marlenheim, Osthoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 101 F° 97-v du 12.12.

Décès, Strasbourg (n° 1031)
L’an 1809 le 17 jour du mois de Juin (…) sont comparus Jacques Frédéric Brackenhoffern âgé de 49 ans, Conseiller de préfecture,n gendre du défunt (…) que Jean Lemp, âgé de 78 ans, 11 mois, Juge suppléant de la Cour de justice criminelle du Département du Bas Rhin, né en cette ville, fils légitime de feu Georges Frédéric Lemp, ancien Magistrat de la Ville de Strasbourg, et de feue Marie Madeleine Kornmann, veuf de Marguerite Salomé Flach, est décédé hier 16 Juin à une heure de relevée en la maison située Ruë des Serruriers N° 27 (i 35)

Jacques Frédéric Brackenhoffer vend au nom de son beau père Jean Lemp qui habite alors Colmar la maison à Marguerite Salomé Trawitz, femme du notaire Georges Frédéric Zimmer

1793 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 668 n° 193 enreg. 21.3.
Erschienen der Burger Jacob Friedrich Brackenhoffer dahier wohnhaft vor und im Namen des burgers Johannes Lemp seines Schwähers zu Colmar wohnhaft
in Gegensein Frauen Margaretha Salome gebohrner Trawitzin, des burgers Georg Friedrich Zimmer offentlichen Notarii dahier Ehegattin, unter autorisation deßelben
eine dem burger Lemp eigenthümlich zuständige Behausung, Hoff, Hoffstatt, bronnen, Stallung und remise, samt all übrigen derselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der grosen Schildsgaß Numero 6 einseit neben burger Michels Avoué Zum theil und theils neben burger Mannberger Handelsmann anderseit neben der Spitzengaß, vornen auf besagte Schildsgaß hinten auf des burgers Johann Christian Ehrmann, Medicinæ Doctoris behausung stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen – mit Einbegriff der im Keller befindlicher Faß, bestehend in neun Stuckfaßen mit Eisen gebunden, und sechs ungleichen Fuhrfaßen mit holtzgebunden, samtlichen bütten, Liegerlingen und Horden, eingemaurten und ohneingemaurten Oefen samt den Rohren Caminspiegeln, Trumeaux und dazu gehörigen Consoletischlein, Dessusportes, Tapezereÿen, Umbhangstangen und Kloben, Schellen und Schellenzügen, nichts ausgenommen – um die summ von 28 000 Livres hiesig Current

Les héritiers de Marguerite Salomé Trawitz cèdent leurs droits qui leur reviennent dans la succession au veuf et usufruitier Georges Frédéric Zimmer

1795 (5 nivose 4), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 115
die bürger 1. Georg Daniel Trawitz, 2. Philipp Jacob Trawitz, 3. Friedrich Ludwig Trawitz, 4. Georg Daniel Trawitz Vater Vor und im Namen seines abwesenden Sohns Heinrich Trawitz, alle sambt Handelsleute allhier wohnhaft, gemelte vier Trawitz’sche Söhne sowohl als Erben vor vier 5.te theile an weÿl. Fraun Annæ Barbaræ geb. Heim obgemalten bürgers Trawitz Vaters im Leben gewesener und Vor hernach erwehnter ihrer Tochter verstorbenen Ehegattin derselben eheleiblichen Mutter verlaßenschafft als auch als erben in vier gleiche theile an weiland Fraun Margaretha Salome geb. Trawitz des bürgers Georg Friedrich Zimmer öffentlichen Notarii Ehegattin Verlaßenschafft derselben eheleiblichen Schwester und mit Erbin vor einen 5.ten theil an gemelten mütterlichen Verlassenschafft ane einem
So dann der bürger Georg Friedrich Zimmer öffentlicher Notarius als General Wÿdums nieser erwehnter seiner Verstorbenen Ehefraun samtlichen hinterlassen Vermögens ane dem andern theil
daß die weil. Trawitz’sche Söhne lieber auf einem theil ihrer Schwesterlichen Erbschafft freÿwillig Verzug thun wollen als die ungewisse todesstunde sein Zimmer des Wÿdems nießers abzuwarten, Er Zimmer auch seinerseits lieber einem theils einer Ehefraun hinterlaßenen Vermögens eigenthümlich annehmen und sich damit begnügen, als das ganz Vermögen un lebtägigem genuß behalten wolte
Namlich so trefen Sie Trawitz’sche Vater und Söhne ihme Zimmer die Von der verstorbenen seiner Ehefraun hinterlaßen Behaußung und Zugehörden gelegen an der großen Schildsgaß N° 6 samt allem Mobilien Vermögen so sich dermalen darinn befindet und gemelter Zimmer’schen Ehefraun ihrer Schwester zuständig war
dagegen tritt Er Zimmer ab ihnen Trawitz’schen Vater und Söhnen, alles dasjenige was gemelter seiner verstorbenen Ehefraun vor ihren 5.t theil an derselben zuerst verstorbenen Mutter verlassenschafft annoch gebührig geweßen wäre (um) 1333 Unzen frantzösisch silber
Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 127 du 7 niv. 4

Les héritiers de Georges Frédéric Zimmer cèdent la maison à leur frère notaire Louis Frédéric Zimmer

1839 (2.3.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 74 F° 63 acte sous seing privé du 27.2.
Etat des immeubles attribués à Louis Frédéric Zimmer dans le partage des biens de la succession de Georges Frédéric Zimmer et de ceux donnés par De Marguerite Salomé Guntzrott sa veuve, Me Bresminger 27 février 1839
une maison, cour, dépendances à Strasbourg rue du Bouclier n° 6

Louis Frédéric Zimmer épouse en 1838 Marie Anne Eve Elisabeth Geither, fille de maréchal de camp
1838 (21.6.), Strasbourg 3 (86), Me Kratz n° 654
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Louis Frédéric Zimmer, notaire à Strasbourg, fils de feu Georges Zimmer, notaire honoraire, et de Marguerite Salomé Gintzrot,
Marie Anne Eve Elisabeth Geither, fille de Jean Michel Geither, maréchal de camp retraité, et Eve Elisabeth née Geither
Enregistrement de Strasbourg, acp 260 F° 55 du 22.6.

Louis Frédéric Zimmer meurt en janvier 1867 en délaissant deux fils. Lors du partage qui clôt la succession, la maison est attribuée au fils cadet Albert Zimmer

1867 (31.1.), Me Holtzapffel
Intitulé de l’inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Louis Frédéric Zimmer, vivant notaire, et Eve Elisabeth Geither sa femme et de la succession su Sr Zimmer décédé le 17 janvier 1867 à la requête de 1) la veuve comme commune en biens aux termes de son contrat de mariage reçu Kratz Nre le 21 juin 1838
2) Léon Zimmer licencié en droit, 3) Albert Zimmer, clerc de notaire, tous à Strasbourg
(succession déclarée le 11 juillet 1867)
acp 560 (3 Q 30 275) f° 77-v du 1.2.
(suite du 8 juillet) Communauté. Mobilier 7819, argent 3203, créances 45 575, rentes 13 764, lettres de gage 1500, obligation de l’emprunt ottoman 241, obligation sur le ville de Paris 533, lots dans l’emprunt de Hesse Darmstadt 22 999, 70 actions comptoir Bonnard 2800, extances 5006, fermages 1768, revenus propres 884
Succession, garde robe 350, office de notaire 120 000, composés propres 32 900, reprises 10 396, bénéfice de la communauté 20 167
1 ha 83 ares 15 de prés à Schaffhausen
1 ha 25 63 ban de Dürningen
9 ha 97 27 terre et prés ban de Griesheim et Pfulgriesheim
1 ha 13 45 ban de Kleinfranckenheim
1 ha 87 71 terres ban de Gougenheim
1 ha 48 65 ban de Barr
1 ha 15 84 ban de Willgottheim
88 ares 80 ban de Willgottheim et Woellenheim
3 ha 47 75 ban de Friedolsheim et Mænnolsheim
1 ha 87 73 terres ban d’Oberhausbergen
une maison rue du Bouclier n° 1
acp 564 (3 Q 30 279) f° 28 du 9.7.
(suite du 14 septembre) Partage. Masse à partager, masse active de la communauté 106 112, à déduire les intérêts rentrés 1149, reste 104 962, déduire le passif y compris les reprises 65 777, reste 39 185
Succession, masse active 300 009, déduire 20 520 reste 279 488
Droits des parties et abandonnements (…)
Albert Zimmer, la maison rue du Boulier n° 1
acp 566 (3 Q 30 281) f° 52 du 16.9.


Maison dite zur Krone

Maison B, dite zur Krone (à la Couronne), sise rue des Dentelles (ou rue Marbach)

Un acte dressé en 1437 copie un acte de vente passé en 1397 d’après lequel Junta, fille de Henri Stampp, vend à Gertrude, fille d’Erwin von Dürningen la maison dite zur Kronen (à la Couronne) sise rue Marbach entre la maison dite Kleinherr et celle zum Korbe (au Panier). A la mort de Gertrude, le service annuel qu’elle a fondé est transféré sur le béguinage établi dans la maison zu Sperwer (à l’Epervier) en citant un acte de 1340 (cote 100 J 670, pièce 1).

Robert Vyall, receveur du Grand Hôpital, vend moyennant 30 livres à Nicolas Krug et à sa femme Bickel (Sybille) la maison sise rue Marbach entre celle zum Korb qui appartient au boucher Jean Birnissen et celle de la veuve von Neuenburg

1499, cote 100 J 670, pièce 8
Ich Ruprecht Vÿall Schaffner des merern Spittals zu Straßburg Bekenne offentlich in dißem brieff vnd thun kunt allen den die in lesent oder hörent lesenn das als für mich vnd mÿne nockhommen schaffner in schaffners wise des gemeltenn spittals vonn des selben spittals wegenn vnd vmb des spittals nutz vnd notdurfft willenn mit wiessen gebette vnd gutten willen der Strengen fürsichtigenn Ersamen vnnd wisenn Herrn Ott Sturm Vatter alt sterrmeister Her Obrecht armbroster der ammeister vnd Her Jacob wÿßbach alt ammeister der statt Straßburg pflegere des genanten spittals mÿner lieben Herrn Verkaufft vnd eines rechten redelichen vestenn stetten kouffs Zu kouggfen geben habe gebe auch zu kauffen In Krafft diß brieffs
dem Erbarn Claus Krug vnd frow Bickel siner Elichem Hußfrowen die In vnnd allenn yren erben vmb mich koufft hant
ein Huß vnnd Hoffstatt mit allenn begriff witen rechten Vnnd Zu gehordenn gelegen in der statt straßburg in martpachs gasse ein sitte nebent Hans Birnysenn des metzigers Huß genant Zum Korb vnd andersitte nebent der vonn Nuwenburg ein witwe für freÿ ledig eÿgen vndt alles recht so dem spittal an dem selben huß vnd Hoffstatt zu gehörem mochte Un welchen wege das ist Vnnd ist dißer Kouff Zu gangen vnd bescheen vmb drissig pfunt pfenning gutter Straßburger werung die ich vonn den obgemelten Claus Krug vnd Buckel siner Elichem Haußfrowenn den Kauffern also bare empfangen (…)
Dar geben ist vff Samstage nechst vor Sant Johannes tag Baptiste Als man Zalt nach der geburt cristi vnnsers lieben Herren Tusent vierhundert Nuntzig vnd Nun Jore.

Les héritiers Krug (Odile veuve de Nicolas Krug, boucher à Neuwiller, et Marguerite Krugin sa sœur épouse de Jean Franck de Kuttolsheim) vendent la maison en 1517 (acte 11 de l’état des titres).
La maison réunie à celle rue du Bouclier est vendue avec elle en 1513.

Maison dite zum Korbe

Maison C, dite zum Korbe (au Panier), à l’angle de la rue du Bouclier et de celle des Dentelles

D’après les tenants et aboutissants, la maison appartient en 1352 au prébendier Jean de Rodesheim puis (1465) à Jean d’Ingenheim.
Jacques Pfaffenlapp, de Still, et Eve d’Ingenheim vendent en 1480 à Jean Voltz et à sa femme Odile la maison d’angle dite zum Korbe moyennant 58 livres

1480, cote 100 J 670, pièce 7
Ich Jacob pfaffenlapp Zu Stille, Vnd Ich Eua von Ingenheim sein eliche Hußfrow Bekennen vns vnd Thunt Kunt allen den So disen Gegenwertigen brieff Jemer insehen oder hören Lesen Das Wir byde mit wolbedechtem mute Vnd vorher wissend, vmb unsert nutzes vnd besten willens vnnerscheidenlich für vns vns alle vnser erben Verkaufft vnd zu kouffen geben hant Recht vnd redlichen eins Rechten steten stonden ewigen vnd vndwiderrufflichen Kauffs [verg]lichen vsser vnsern Handen gewalt vnd gewere mit Rechter fertigung als sitte ist
Den Erbaren Hans Voltzen Burger Zu Straßburg Odilien seiner elichen Hußfrowen vnd allen Ihren erben
Ein Huß Höuel vnd Houestat mit allen gebuwen wyten begriffen Rechten vnd zugehörden gelegen In der Stat Straßburg Ist ein Orthuß genant Zum Korbe Stosset mit ein ort vff Schiltgasse vnd mit dem anderen ort vff spitzengasse vnd list* nebent Hanns von Geispoltzheim Dauon gent Jerlichen Zu Bodenzinß Zwen schilling vnd acht pfenning ewiges geltes, den Hern der Stifft Zu Sant Thoman Zu Straßburg, Vnd alle die Recht so vns den verkeuffern an sollichem Huse Höuel vnd zugehörent oder zugehoren mechtent In wellichen weg das were, Also (…) Vnd ist diser verkauff Zugangen vnd geschehen vmb fünffzig vnd acht pfunt guter Straßburger pfennige die vns den verkouffern von den bestimpter keuffern Bar herumb worden gezalt (…)
Dar geben ist vff mondag nechst vor dem Heiligen Montag Als man Zalt nach Christi geburt Tusent vierhundet vnd achttzig Jar.

D’après les tenants et aboutissants, la maison appartient ensuite (1483, 1499) au boucher Jean Burneissen.
Nicolas Immesheim vend en 1522 à Jérémie Hirskorn la maison dite zum Korbe, voisine de celle qui appartient à Wolffgang Merschwein (cote 100 J 670, pièce 12)



André Schmidt, notaire, et (1672) Anne Madeleine Redslob – luthériens


Fils de Nicolas Schmidt, vitrier à Trübenbach en Franconie, le notaire André Schmidt épouse en novembre 1672 Anne Madeleine Redslob, fille du notaire Jean Georges Redslob et de sa première femme Anne Ursule von Türckheim. Il devient bourgeois un mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Fleur dont il deviendra secrétaire.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un lui remettent les actes de Simon Thomen en 1675 puis ceux de son beau père Jean Georges Redslob en 1679.
André Schmidt meurt le 13 septembre 1707 à l’âge de 64 ans, sa veuve le 26 mai 1726.
Jean Brackenhoffer détient le fonds d’André Schmidt d’après l’enquête de 1739.

Maison en propriété
1680, rue des Frères (VI 105, actuel n° 3)

Enfants

  • Jean Georges, jurisconsulte (célibataire, † 1730)
  • Marie Salomé, épouse (1705) Jean Léonard Faber, secrétaire au Directoire de la noblesse immédiate de Basse-Alsace
  • Frédéric Schmidt, notaire (sans postérité)
  • André, pasteur, épouse Agnès Grünwald
  • Marguerite Madeleine (célibataire, † 1730)
  • Anne Elisabeth, épouse (1715) le fourbisseur Léonard Schwanfelder
  • Marie Dorothée, épouse (1730) le chirurgien Jean Reuchlin


Signature au bas d’un acte de 1701 (AMS cote 64 not 9)


Le notaire André Schmidt demande le 13 septembre 1673 à être dépositaire des actes de feu le notaire Jérémie Ursinus. Les Conseillers et les Vingt-et-Un remettent à André Schmidt les actes de Simon Thomen le 15 novembre 1675 puis ceux de son beau père Jean Georges Redslob le 9 août 1679. Sa nomination de rédacteur d’inventaires doit remonter à 1676 (année dont manquent les protocoles des Conseillers et les Vingt-et-Un).

Fils de Nicolas Schmidt, vitrier à Trübenbach en Franconie, le notaire André Schmidt épouse en novembre 1672 Anne Madeleine Redslob, fille du notaire Jean Georges Redslob et de sa première femme Anne Ursule von Türckheim : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – zwischen Andres Schmiden vonn Trübenbach auß Francken Notario weÿlandt des Ehrenhafften und vorachtbaren herrn Nicolai Schmidt geweßenen Glaßers daselbsten seeligen nachgelaßenem Sohn dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und Tugendsahmen Jungfrawen Anna Magdalena des wohl Ehrenvest vnd Rechtsgelehrten herrn Johann Geörg Redtslobs Notarÿ Cæsarei Publici und burgers Zu Straßburg mit weÿl. der viel Ehren und Tugendreichen Frawen Anna Ursula Von Türckheim seiner erster haußfrawen seel. ehelich erzeugten Tochter, als der Jgfr. Hochzeiterin am andern theil – So geschehen und verhandelt in der heÿl. Reichß freÿen Statt Straßburg Mittwoch den 16. Monaths tag Octobris Anno 1672.

Mariage, cathédrale (luth. f° 158-v, n° 51)
1672. Dom: XXI post Trinit. Zum 2 mahl Hr Andreas Schmidt Not. publ. Weiland Niclauß Schmidt geweßenen Glaßers zu Redwitz in Francken nachgelaß: ehel: Sohn, Jfr. Anna Magdalena, Hr. Johann Georg Redtslob Not: publ. u. Burgers allher ehel. T. Donnerstags den 7. 9.bris. Münster (i 161)

André Schmidt devient bourgeois un mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Fleur

1672, 4° Livre de bourgeoisie p. 401
Herr Andreas Schmidt Notarius Von Trübenbach auß Francken, empfangt daß burgerrecht Von seiner Haußfrauen Anna Magdalena, Herrn Johann Georg Retzlobs Notarÿ und burgers alhier dochter umb 8. gold R. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist Zuuor ledigen standts geweßen, und will auff E. E. Zunfft Zur Blumen dienen. Jurav. den 2. Xbris 1672

André Schmidt meurt à l’âge de 64 ans le 13 septembre 1707 en délaissant sept enfants. Les experts estiment la maison 1 050 livres. La masse propre à la veuve est de 1 622 livres. L’actif des héritiers la communauté est de 1 106 livres, le passif de 1 562 livres.

1708 (24.6.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 19) n° 713
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung vnd Güttere, Liegender vndt Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland der Wohl Ehren Veste Rechtsgelehrt: vnd großachtbahre Herr Andreas Schmid geweßene Vornehme Notarius Publ. und berühmter Practicus burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 14. Septembris deß allererst Zurückgelegten 1707. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) durch die Viel Ehren vndt tugendreichen Fraw Annam Magdalenam gebohrne Retzlobin die hinterbliebene fraw Wittib beÿständlich des Wohl Ehrenvest vnd vorachtbahren herrn Johann Ogier Caspari vornehmen handelßmann vnd burgers allhier, deroselben geliebten herrn Schwagers und geschwornen Vogts – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 24. Januarÿ Anno 1708.
Der nun in Gott seelig ruhende Herr hat ab intestato Zugeben verlaßen wie volgt. 1. Tit. Hern Johann Geörg Schmiden Jurium Candidatum so auch vor sich selbsten dem geschäfft in persohn abgewartet. 2. Tit. Fraw Mariam Salomeam Faberin gebohrne Schmidin Tit. herrn Johann Leonhardt Faber beÿ hochlöbl. Freÿ ohnmittelbahren Ritterschafft im vndern Elsaß wohlverordneten Secretarÿ auch burgers allhier fraw Eheliebstin welche auch beneben deroselben Eheherrn ersternannt persönlich zugegen geweßenen, 3. Tit. Fridericum Schmiden, ledigen Notarium Publicum welcher auch vor sich allein beÿ der Inventation von anfang biß Zu end anweßend war. 4. Tit. Herrn Andream Schmiden, Theologiæ Stodiusum, so gleichfallss als majorennis allein vnd ohnbevögtigt beÿ dem geschäfft erschienen. 5. Tit. Jgfr. Margaretham Magdalenam, 6. Jgfr. Annam Elisabetham Und dann 7. Jgfr. Maria Dorotheamn die Schmidin, welche dreÿ letztere bevollmächtigter mit Tit. herrn Albertho Leÿdeckern, Weiß leinwandgändlern vnd burger, allhie, welcher auch gleichfalls anfänglich biß Zu letzt der Inventur beÿgewohnt, Alle Sieben zugleichen portionen Vnd Antheilern

In einer allhier Zu Straßburg ane der Bruderhoffs gaß gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich folgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der obern Bühn, Auff der vndern Bühn, In der Cammer A, In der Magd Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Im obern Stübel, Vor dießen gemachen, In der wohnstub, In der Stub Cammer, Auff dem Gang, In der Großen Stuben, In der Stub Cammer, In der nebens Cammern Im obern hauß öhren, In der Kuchen, Im Keller
(f° 11-v) Eÿgenthumb ane Einer behaußung (T.) It. hauß, hoffstatt, höfflein mit all vbrig deren gebauen, begriffen, weiten zugehörd Rechten v. gerechtigkeiten allhier beÿ dem Münster ane der bruderhoffs gaß, einseith neben der Neuen Kirchen Zun Predigern Pfarr behaußung, anderseit neben herrn Johann Michel Storcken dem Statt lohner allhier, hinden auff der becken Zunfft stub stoßend gelegen, davon gibt mann Jährlichen vf Adolphi 12. lb d Zinß dem Corpori Pensionum stehet in hauptgut widerlößig mit 300. lb. sonsten gegen männiglichen freÿ leedig vndt eigen V. ist solche behaußung durch die allhießig geschworene Werckmeistern vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung dedato 23. Jan: A° 1708 æstimirt worden pro 1000. lb, davon abgezogen vorstehend passiv onus der 300. lb, So verbleibt allhier annoch außzuwerffen vbrig benantlichen 700. Darüber besagt ein teutscher pergament Kauffbrieff in der St. St. C. C. Stub anhangenden Insiegel verwahrt de dato 19. Apt. A° 1680. m. N° 1 notirt
(f° 13) Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens, Nach besagt special Theil registerleins vber das jenige dieselben beÿ weÿl. Jerrn Johann Geörg Redtslob geweßenen berühmten Notÿ Cæs: publ: vnd vornehmen Practici auch burgers allhier ihres vielgeliebten H. Vatters seel. Verlaßenschafft abtheilung Erb: und eÿgenthümblichen überkomm: in Anno 1679 durch weÿl. herrn Not° Johann Jacob Schatzen gefertiget
(f° 16) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unverändert eÿgenthümblichen Vermögens, Sa. haußraths 5, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptguths 50, Sa. Ergäntzung rests 1512, Sa. Activ Schuld 50, Summa summarum 1622 lb
Solchemnach würd auch die vbrige Verlaßenschafft vnd zwahr vnder einem Titul nemblichen als theilbar consignirt undt beschrieben, Sa. haußraths 188, Sa. Früchten 8, Sa. Wein und leerer vaß 57, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 64, Sa. Goldenen Ring und geschmeids 19, Sa. baarschafft 69, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 700, Summa summarum 1106 – Schulden 1562 lb, Theilbar Passiv onus 455 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1166 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter der Fr. Wittib gehörig
Copia der Eheberedung (…) So geschehen und verhandelt in der heÿl. Reichß freÿen Statt Straßburg Mittwoch den 16. Monaths tag Octobris Anno 1672.

Sépulture, cathédrale (luth. reg. 1687-1728, f° 132, n° 850)

1707. Dienstag den 13. 7.br. ist gestorben und Donnerstag darauff nach gehaltener Leichpredigt in der Neuen Kirchen nach St. Helenam begraben worden H. Andreas Schmid b. vnd Notarius allhier, Vor 65 Jahren, bezeugen solches neben mier [unterzeichnet] Joh: Georg Schmidt alß Sohn, Johann Leonhard Faber als tochtermann (i 133)

Anne Madeleine Redslob meurt le 26 mai 1726 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 444 livres, le passif à 426 livres

1726 (23.7.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 2) n° 26
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿl. die viel Ehren und tugendbegabte Frau Anna Magdalena Schmidin gebohrne Redslobin, weÿl. des wohl Ehrenvest, Großachtbahr und Rechts gelehrten Herrn Andreä Schmidten, geweßten Notarÿ publici und practici auch burgers allh. zu Straßburg nachgelaßene Fr. wittib nun auch seel. nach Ihrem den 26. Maÿ dießes Lauffend. 1726. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitl. verlaßen – So beschehen in der Königl. fr. Statt Straßburg auff Dienstag den 23. Julÿ Anno 1726.
Die abgeleibte Frau seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen. 1. S. T. H. Joh: Georg Schmidten J. U. Ltum so præsens war, 2. Jgfr. Margaretham Magdalenam Schmidtin welche auch zugegen geweßen, 3. S. T. H. Andream Schmidten, p. t. wohlverordneten Pfarrern Zu Freÿstett über Rhein und burgern allhier, so sich beÿ der Inventation eingefunden. 4. Frau Annam Elisabetham Schwanfelderin gebohrene Schmidtin, herrn Lienhard Schwanfelder des Schwerdtfegers und burgers allhier in der Fortification Kaÿl wohnhaft Ehegattin, welche mit assistentz deßelben dem Geschäfft beÿgewohnet, So dann 5. Jgf. Mariam Dorotheam Schmidtin deren geschwornenen Curator, Herr Johann Daniel Bähr, silberarbeiter und burger allhier, so neben seinen beeden Jgfr. Curandin beÿ der Inventation erschienen, Alle fünff Zu gleichen portionen und antheilern

In einer allhier Zu Straßburg ane der Bruderhoffs gaß gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung sich colgender maßen befunden
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Nemblichen hauß, hoffstatt, hoff mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden Rechten und gerechtigkeiten allhier beÿ dem Münster ane der bruderhoffs gaßen, 1. s.neben d. Neuen Kirchen Zu den Predigern Pfarr behaußung, 2. s. neben H. Charraut des handelßmanns wittib, hinten auff der becker Zunfft stub stoßend gelegen, so gegen männiglichen freÿ leedig vndt eigen V. ist solche behaußung durch die allhießig geschworene Werckmeistern vermög übergebener Abschatzung de dato 28. Julÿ 1726 angeschlagen worden pro 1300. lb. Darüber besagt ein teutscher pergam. Kauffbrieff m. der St. Staßb. anh. Insiegel verwahrt de dato 19. Aprilis A° 1680. m. N° 1 notirt.
– Abschatzung d. 28.ten Julÿ aô 1726. Auff begehren Weÿland der Viel Ehr und Tugendsahmen fraw Annæ Magdalenæ Schmidtinn seel. hinter laßene Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der bruderhoffs gaßen gelegen, einseits Neben fraw Schalua anderseits Neben einem Stiffthauß Zur hohen Schuhl gehörig, hinden auf E. E. Zunfft der becker stoßend, welche behaußung hindergang, Stuben, Cammern, worunter einige unterschlag. Küchen, dreÿ hauß Ehren einer mit herd und Waßerstein bauch Küchen holtz Kammer, gewölbter Keller, hoff, bronen und tränckstein sampt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ Tausend und Sechs hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 115, Sa. Silbers 9, Sa. Goldener Ring 19, Sa. Abschlags der behaußung 1300, Summa summarum 1444 lb – Schulden 426 lb, Nach deren Abzug 1017 lb
Copia Codicilli, So die abgeleibte Frau seel. in A° 1718. Vor weÿl. Herrn Notario Daniel Rohren seel. und denen daamahls anwesenden herren Gezeügen auffgerichtet


Jean Georges Schmidt

Le jurisconsulte Jean Georges Schmitt meut célibataire d’une maladie de poitrine le 16 février 1730 à l’âge de 57 ans

1730 (24.3.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 6) joint au n° 129
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Geörg Schmidten gewesenen J. U. Lti und burgers allhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1730 – nach deme er de 8. dieses Zurückgemelten Monats und Jahrs dieses Zeirliche ledigen standts gesegnet, hinder sich Verlaßen – So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. Februarÿ A° 1730.
Der Verstorbene herrn sel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1. Jgfr. Margaretham Magdalenam Schmidtin, 2. Herrn Andream Schmidten p. t. wohlverordneten Pfarrern Zu Freÿstätt und burgern allhier, 3. Frau Annam Elisabetham Schwanfelderin gebohrne Schmidin, herrn Lienhardt Schwanfelders Schwerdtfegers und burgers allhier Ehegattin, 4. Frau Mariam Dorotheam Reuchlinuin gebohrne Schmidin, herrn Johann Reuchlins, Medicinæ Practici und burgers allhier Ehegattin, alle vier des Abgeleibten Herrn seel. Geschwüstrige und ab intestato nachgelaßene Erben, welche auch elle beÿ dieser Inventation zugegen waren
Copia donationis inter vivos, so der verstorbene herr seel. den 12. Septembris A° 1721. gestifftet und eigengändig geschrieben
Activ Schulden 285, Summa summarum 328 lb

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg n° 8 1728-1752, f° 33, n° 98)
Anno 1730. Mittw. d. 8. febr. Vormittag gegen 9. Uhr ist H. Johann Georg Schmidt Juris Consultus an einer Hefftigen Brust Kranckheit gestorben und folgenden Donnerst. auff dem Gottes acker St. Helenæ xtrl. begraben worden, seines alters 57. Jahr, 5 monath und 12. tag. [unterzeichnet] Andreas Schmidt Pfarrer als bruder, leonhart schwanfeld als schwager (i 19)

Marguerite Madeleine Schmidt

Marguerite Madeleine Schmidt meut de suffocation le 24 mars 1730 à l’âge de 55 ans

1730 (24.3.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 6) joint au n° 129
Inventarium über Weÿland Jgfr. Margarethæ Magdalenæ Schmidtin, auch weÿl. Herrn Andreæ Schmidten gewesenen Notarii publici und burgers allhier zu Straßburg nachgelaßenen ehelichen Tochter seel. Verlaßenschafftn auffgerichtet Anno 1730 – welche den 21. dieses Zu end gemelten Monats und Jahrs seel. Verschieden Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 24. Martÿ Anno 1730.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1.. Herrn Andream Schmidten p. t. wohlverordneten Pfarrern Zu Freÿstätt und burgern allhier, 2. Frau Annam Elisabetham Schwanfelderin gebohrne Schmidin, herrn Lienhardt Schwanfelders, Schwerdtfegers und burgers allhier Ehegattin, 3. Frau Mariam Dorotheam Reuchlinin gebohrne Schmidin, herrn Johann Reuchlins, Medicinæ Practici und burgers allhier Ehegattin, alle dreÿ der Abgeleibten Herrn seel. Geschwüstrige und nach abzug der legaten Zu gleichen theilen Erben.
Copia Codicilli So die Verstorbene seel. vor mir Notario und gezeugen auffgerichtet.
Summa des sambtlichen Vermögens 583 lb – Sa. prælegaten 125 lb

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg n° 8 1728-1752, f° 37, n° 110)
Anno 1730. Dienst. d. 21. Martÿ morgens früh umb 1. Uhr ist Margaretha Magdalena Schmidtin Weÿl. H. Andreä Schmidt Notarÿ Publ. und Annä Magdalenä geb. Redsloffin Hinterlaßen Ehel. Jungf. tochter an einem steckfluß gestorben, vnd folgendes Mittwoch auff dem Gottes acker St. Helenæ xtrl. begraben worden, ihres alters 55. Jahr, 2. tag. [unterzeichnet] Andreas Schmidt Pfarrer als bruder (i 22)



81, Grand rue


Grand rue n° 81 – IV 219 (Blondel), N 931 puis section 59 parcelle 69 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Henri Fanck (1772)

Grand rue 81 (juin 2013)Grand rue 81, 1989 Elévations (1197 W 37)Grand rue 81 (clé, avril 2016)
De gauche à droite, les n° 79, 81 et 83
Elévations (1989, dossier de la Police du Bâtiment)
Clé au-dessus de la porte

La maison à bâtiment avant et bâtiment arrière est au XVII° siècle un immeuble de rapport qui appartient au consul Jean Wencker puis à son fils Jacques Wencker, lui aussi consul. Le cloutier Jean Michel Scheuring l’achète en 1688 et y établit son atelier de cloutier. Après être passée aux mains du marchand Jean Frédéric Rebhahn et du tailleur puis commissaire priseur Philippe Jacques Schützenberger, la maison appartient pendant plus de quarante ans au potier Jean Henri Fanck qui en supprime l’encorbellement et la reconstruit en partie en 1772. Outre qu’elle ne figure pas dans les registres des préposés aux feux, l’aspect antérieur de la maison et son prix d’estimation laissent supposer que les transformations se sont limitées à mettre la façade au goût du jour : chaînes d’angle, rez-de-chaussée entièrement parementé de grès, bandeaux entre les trois étages, fenêtres à fausse clé et appuis galbés. La porte d’entrée est surmontée d’une clé de cintre sculptée de l’emblème du potier ; on voit dans la partie inférieure les initiales du maître d’ouvrage et la date de construction (1 7 J H F 7 2).



Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt), la maison est le sixième bâtiment qui s’ouvre sur la rue, à partir de la gauche
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 141

L’Atlas des alignements clos en 1829 signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est le cinquième bâtiment à gauche du repère (b). Le rez-de-chaussée comprend une arcade et une porte, chacun des trois étages trois fenêtres. La toiture a trois niveaux de lucarnes. La cour G montre l’arrière (3-4) de la façade sur rue mais aucun autre bâtiment n’y a de porte. La maison porte d’abord le n° 126 (1784-1857) puis le n° 81 de la Grand rue
La veuve Rathgeber transforme la maison en 1860 en ajoutant un étage (voir le nombre d’ouvertures au troisième dans le cadastre), ce qui porte le revenu de 117 à 218 francs. La maison et sa voisine le n° 83 appartiennent au même propriétaire depuis le début des années 1860.

141 Plan141 Cour G
Plan de l’îlot – cour G

Le local du rez-de-chaussée sert de débit de tabac pendant plus d’un siècle. Auguste Megel pose en 1911 deux vitrines (une de chaque côté de la devanture) qui sont supprimées en 1953 quand le débitant de tabac remplace l’ancienne devanture. La société anonyme d’habitations à loyer modéré Logis social réhabilite les deux maisons 81 et 83 d’après le projet de l’Atelier Robert Jacob et Maurice Lauber de 1989 à1993.

Grand rue 81, 1953 (1197 W 37)
Rez-de-chaussée en 1953.
On voit les vitrines de part et d’autre de la devanture et l’ancienne porte dans le goût du XIX° siècle
(dossier de la Police du Bâtiment)

mai 2016

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1632 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Wencker, consul, et (1613) Elisabeth Berchtold – luthériens
1659* h Jacques Wencker, consul, et (1661) Marie Eve Stemmler puis (1665) Agnès Spielmann – luthériens
1688 v Jean Michel Scheuring, cloutier, et (1681) Anne Marie Rœmer puis (1694) Marie Salomé Redtslob – luthériens
1732 v Jean Frédéric Rebhahn, marchand, et (1730) Catherine Salomé Ichert – luthériens
1745 v Philippe Jacques Schützenberger, tailleur puis commissaire priseur, et (1722) Anne Catherine Auff der Bruck puis (1726) Anne Barbe Kærcher – luthériens
1761 v Jean Henri Fanck, potier, et (1753) Catherine Barbe Litsch, (1757) Susanne Marie Lobstein, (1772) Sabine Federreuter puis (1785) Susanne Marguerite Redslob, veuve du boutonnier Jacques Bourcart Schweigheusser – (non célébré, 1756 Marguerite Dorothée Wetzel) – luthériens
1804 v Isaac Kœbelé, peignier, et (1777) Marie Madeleine Bernhard puis (1814) Marie Dorothée Lang veuve du cordonnier Georges Bilger – luthériens
1849 h Marie Salomé Kœbelé femme (1811) du maître d’école Louis Régnard Rathgeber
1864* h Salomé Wilhelmine Rathgeber femme (1838) du facteur de pianos Jacques Frédéric Bauer
1888* Edouard Koch
1904* h Charles Edouard Koch et cohéritiers
1943 Ernest Glück et cohéritiers
1952* Albert Kornwachs maître-peintre

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 775 livres en 1721, 700 livres en 1730, 750 livres en 1772, 650 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) IV 219, Jean Henrÿ Fanck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Franck, 2 toises, 2 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 931, Koebelé, Isaac, tourneur / propriétaire – maison, sol – 0,92 are (1,22)

Locations

1653, Martin Riedinger, chapelier
1660, Gaspard Kleiber, menuisier
1717, Marie Ursule Redslob
1746, Jean Christophe Nidermeyer, perruquier, et Anne Salomé Dürrbach
1749, Jacques Obeliane, huissier royal
1794, Jean Chrétien Hengel, maître tailleur
1813, Catherine Dorothée Bernhard
1820, Jean Louis Kœbele, tourneur, et Marie Sophie Müller puis (1821) Sophie Ihlé

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Jean Lickenhœl demande l’alignement à suivre au nom du potier Fanck qui a l’intention de supprimer son encorbellement

(f° 49-v) Dienstags den 28. Aprilis 1772. Mr Fanck, der Kachler – Hr. Johannes Linckenhölin der Maurer nôe. Mr Fanck, des Kachlers, weilen besagter Mr Fanck gesonnen seine in der Langen straß gelegene behausung vermittelst wegschneidung des Überhangs aufführen zu laßen, als bittet er um Anweisung des Allignements. Erkannt, Wird Hr. Bau Inspector abgeordnet, das Allignement anzuweisen.
(f° 55) Dienstags den 12. Maji 1772. Mr. Joh. Heinrich Fanck – Hr. Linckenhölin der Maurer stehet mit Mr Johann Heinrich Fanck, dem Kachler vor, bittet Mghh. geruhen möchten zu erlauben, gedachten Fanck zu bauen angefangenes Haus in der Langenstras gelegen, dem durch herrn Bau Inspectorem angewiesenen Allignement nach, aufbauen zu können. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1693 (billet d’estimation traduit) La maison et le bâtiment arrière sont estimés avec leurs appartenances et dépendances à la somme de 975 florins
  • 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles et chambres, forge de cloutier dans le vestibule, réduit à charbon entouré de lattes, cave voûtée, petit bâtiment arrière, bûcher, passage latéral, puits, abreuvoir, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 550 florins
  • 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un vieux bâtiment arrière, un passage latéral, chambre à alcôve, chambre à soldats, vestibule, atelier de cloutier où se trouvent la forge, le fourneau et l’évier, réduit à charbon, cave voûtée, fourneau à lessive, puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 400 florins
  • 1772 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambre, cuisines, comble couvert de tuiles plates, cave voûtée, puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 72 / 126
Koebelé
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 271 case 3

Koebelé, Isaac père propriétaire, grand’rue N° 126 à Strasbourg
Rathgeber Salomé veuve grand’rue 126 (1849)

N 931, maison, sol, grand’rue 126
Contenance : 1,22
Revenu total : 117,64 (117 et 0,64)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 883 case 2

Rathgeber Salomé veuve
1864 Baur, Jacques Frédéric
1875 Baur, Jacob Friedrich, Wittwe geb. Rathgeber, Langstrasse 81
Subst. 88/89 Koch Eduard Wwe. geb. Meyer
1904 Koch Karl Eduard, Koch Friederika, Frédéric August Ehefr. Emma geb. Koch u. Koch Elise Bertha
(ancien f° 631)

N 931, maison, sol, Grand rue 81
Contenance : 1,22
Revenu total : 117,64 (117 et 0,64)
Folio de provenance : (271)
Folio de destination : 631, (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1880
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

N 931, maison
Revenu total : 218,64 (218 et 0,64)
Folio de provenance : 631
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1863
Année de sortie : 1880
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 22 / 18
1863, Augmentations – Rathgeber Salomé f° 631, N 931, maison, revenu 218, augmentation de construction, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Rathgeber Salomé f° 631, N 931, maison, revenu 117, augmentation de construction, supp. en 1863, voir les augmentations

Cadastre allemand, registre 32 p. 368 case 4

Parcelle, section 59, n° 69 – autrefois N 931
Canton : Langstrase Hs. N° 81
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,18
Revenu : 1900 – 1700
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1943), compte 2678
Koch Charles Edouard et cohéritiers
(clos 1943)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1943), compte 6160
Glück Ernst ¼. und Miterben
1952. Kornwachs Albert maître-peintre et son épouse
(2463)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades (p. 201)

126
pr. Fanck, J. Henri, potier – Maçons
loc. Specht, Louis, Chaudronnier – Maréch.
loc. Müller, J. frippier – Moresse
loc. Schaeffer, Carl Wilhelm, boutonnier – Miroir

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 98)

(Haus Nr.) 81
Floner, Zigarrenhdlg. 0
Koch, Prokurist. E A
Kahn, Kaufmann. 2
Dober, Hebamme. 3
Roederer, Buchhalter. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 170)

Grand rue 81 (1876-1994)

Le débit de tabac au rez-de-chaussée est exploité par Paul Henninger (1892), Nicolas Klein (1893-1908), Auguste Megel (1909), Elise Bettin (1925), Jeanne Bougard (1927) puis Monnet (1941, 1950), Simone Volkringer (1953-1959), Jeanne Kahn 1959 (1959-1963), François Recht, Joseph Monsch, Antoine Muckensturm (1968), Cécile Dillenschneider (1970), Eschbach (1986), Michel Wagner (1992). Certaines activités se trouvent aux étages comme la bijouterie de Jacques Lehr en 1946.
Auguste Megel pose une vitrine de part et d’autre de la devanture en 1911. Ces deux vitrines sont supprimées quand Simone Volkringer fait poser une nouvelle devanture en 1953. La société anonyme d’habitations à loyer modéré Logis social qui acquiert la maison et sa voisine le n° 83 en 1986 réhabilite les locaux (1989-1993) d’après le projet de l’Atelier Robert Jacob et Maurice Lauber. Elle verse à la Ville l’indemnité prévue pour n’avoir pas réalisé des places de stationnement.

Sommaire
  • 1876 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Jung que le plombier Zettner soit autorisé à faire une prise d’environ trois mètres de long pour un bec
  • 1887 – L’entrepreneur Th. Wagner (rue des Livres N° 14, actuellement rue Adolphe-Seyboth) demande au nom de la dame Koch, propriétaire du 81, Grand rue, l’autorisation de réparer le crépi de la façade. Autorisation bien que la façade soit en avant de l’alignement légal mais les travaux prévus ne consolident pas le bâtiment – Le crépi et la peinture sont terminés, juillet 1887
  • 1892 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de cigares Paul Henninger (domicilié 3, quai de l’Abattoir) a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation au 81, Grand rue. – Demande – Autorisation
    Note en marge (juin 1892) – L’enseigne qui a été démontée de nuit par malveillance n’est pas remontée, le commerce a été entre temps repris par le frère du pétitionnaire défunt. Une nouvelle enseigne posée en juillet 1892 ne se trouve qu’à 2,40 mètres de hauteur au lieu des trois mètres réglementaires. Août 1892, l’enseigne se trouve maintenant à 2,90 mètres de haut, les volets du premier étage empêchent de la poser plus haut
  • 1893 (10 mars) – Mina Klein demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire au débit de tabac qu’elle vient d’ouvrir – Autorisation
    1893 (23 mars) – Elle demande l’autorisation de remplacer l’enseigne par une autre qui sera seulement suspendue la journée comme celle du coiffeur voisin. Comme l’enseigne est amovible, elle pourra se trouver à 2,20 mètres de haut
  • 1898 – Anne Levy demande l’autorisation de poser un store. Autorisation. La Police du Bâtiment constate que le store de 2,50 mètres de long n’est qu’à 2 mètres du sol au lieu des 2,20 mètres réglementaires – Sa hauteur a été rectifiée, août
  • 1901 – Le peintre Jean Joseph (1, rue Sainte-Hélène successeur de Ch. Sunnes) demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage devant les 81 et 83 Grand rue pendant huit à dix jours. La préfecture transmet la demande à la Police du Bâtiment – Autorisation – Prolongation – Nouvelle autorisation – L’échafaudage a été retiré, juin
  • 1908 – Le marchand de cigares Nicolas Klein demande à la préfecture et à la Police du Bâtiment l’autorisation de poser une enseigne en tôle – Autorisation – L’enseigne est posée, décembre – Nicolas Klein cesse son activité et retire l’enseigne (décembre 1908)
  • 1909 – Le marchand de cigares Auguste Megel demande l’autorisation de poser deux enseignes, l’une pour le commerce de cigares l’autre pour la location de costumes (Strassburger Wäsche Verleianstalt) – Autorisation, en marge de laquelle la Police du Bâtiment note que le pétitionnaire reprend à son nom des enseignes posées par son prédécesseur. L’enseigne du débit de tabac ne se trouve qu’à 2,20 mètres de haut mais pourra être conservée si elle est retirée chaque soir
  • 1911 – Auguste Megel informe la Police du Bâtiment qu’il a fait poser deux vitrines – Autorisation – Pas d’objection
  • 1912 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de cigares Auguste Megel a posé sans autorisation deux enseignes – Autorisation de poser deux enseignes plates, croquis
  • 1912 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Koch de faire ravaler la façade – Elle informe la Police du Bâtiment qu’elle a l’intention de faire les travaux aux n° 81 et 83 l’année suivante – Rappel – Le propriétaire argue que le ravalement n’a pu avoir lieu à cause de la grève des peintres
    1914 (mai) – Le peintre Jean Joseph (6, rue Sainte-Barbe) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord – Le ravalement des deux maisons est terminé, juin
  • 1916 – Commission des logements militaires. Une seule observation, repeindre une cuisine au troisième étage
  • 1925 – Elise Bettin demande au commissariat l’autorisation de remplacer l’enseigne Tabacs, cigares, cigarettes par une nouvelle Plissage moderne, jours, E. Bessin-Simon, en lettres blanches sur fond bleu – Accord
  • 1928 – La Police du Bâtiment constate que l’établissement Teinturerie de l’Est, de Bischwiller, a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
  • 1927 – Albert Back (enseignes, 8, rue Jean Hultz) demande l’autorisation se poser une enseigne lumineuse pour le compte de la débitante de tabac Jeanne Bougard – Croquis (l’enseigne est à la hauteur des fenêtres du premier étage) – Autorisation
  • 1941 – La Police du Bâtiment constate que l’enseigne lumineuse de Mme Monnet a encore une inscription en français. Elle demande de retirer l’enseigne lumineuse et les enseignes plates – Travaux terminés, mars
  • 1946 (mars) – Jacques Lehr (Comptoir des métaux précieux, horlogerie, bijouterie) demande l’autorisation de poser une plaque en émail blanc à lettres noires – Autorisation verbale
    1946 (avril) – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Comptoir des métaux précieux, horlogerie, bijouterie, Achat brillant, or, argent, 3° étage) – Autorisation – L’enseigne est posée
    1947 (juillet) – Jacques Lehr informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne
  • 1950 – La débitante de tabac Monnet demande l’autorisation de poser une enseigne en forme de carotte – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1953 – La débitante de tabac Simone Volkringer dépose une demande de permis de construire pour remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle. Les travaux seront confiés à l’entreprise de constructions Emile Volkringer – Plan de situation (section 59 n° 69), photographie – Dessin
    Rapport de la Division VI. La façade dépasse de 10 à 20 centimètres de l’alignement légal. Elle n’émet pas d’objection au projet et demande de supprimer les vitrines de part et d’autre de la devanture – Autorisation après avis favorable de l’architecte des Bâtiments de France – Travaux terminés, conformes à l’autorisation, décembre 1953
    1954 – La débitante de tabac demande l’autorisation de poser un deuxième présentoir à journaux. Autorisation verbale
    1953 (octobre) – Idem, enseigne lumineuse (Tabac) – Autorisation, dessin par les frères Ott, 1, quai des Bateliers – L’autorisation est périmée avant que l’enseigne soit posée
  • 1955 – Le propriétaire des n° 81 et 83, A. Kornwachs (5, rue des Francs-Bourgeois) demande l’autorisation de poser des échafaudages sur la voie publique pour repeindre les deux façades, celle du n° 81 en gris clair et celle du n° 83 en beige clair – Autorisation après avis favorable de l’architecte des Bâtiments de France – L’échafaudage est retiré, mai 1955
  • 1959 – Albert Kornwachs (5, rue des Francs-Bourgeois) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture
  • 1959 – Simone Volkringer informe la Police du Bâtiment qu’elle a cédé le fonds de débit de tabac à Jeanne Kahn à compter du 15 juillet – Jeanne Kahn est autorisée à conserver l’enseigne et le présentoir
  • 1963 – François Recht qui a acquis le débit de tabac n° 67-622 de Marcel Kahn demande l’autorisation de poser une enseigne (Journaux) – Autorisation de poser une enseigne lumineuse double
  • 1968 – Joseph Monsch informe la Police du Bâtiment qu’il a cédé le fonds de débit de tabac à Antoine Muckensturm
  • 1968 – Albert Kornwachs (10, rue de l’Arc-en-Ciel) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique et demande à être exonéré de droits de voirie
  • 1970 – Changement de débiteur – Les droits d’enseigne d’Antoine Muckensturm passent à Cécile Dillenschneider
  • 1976 – Cécile Dillenschneider est autorisée à poser une enseigne en forme de panneau après avis favorable de l’architecte des Bâtiments de France – L’enseigne est posée
  • 1986 – Le notaire Martin Diener (7, place de Bordeaux) demande des renseignements d’urbanisme concernant les 81 et 83 Grand rue (section 59, n° 69 et 70) pour mutation d’immeuble sans modification de son état – Plan cadastral
  • 1986 – Changement de débiteur – Les droits d’enseigne de Cécile Dillenschneider passent au Tabac Eschbach
  • 1990 (décembre) – L’entreprise B.D.W. (20, rue Contades à Schiltigheim) est autorisée à poser des bennes devant les numéros 81 et 83
    1991 (juillet) – L’entreprise Marbres Laurent (rue Hohl à Weinbourg) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1989 (novembre) – La société anonyme d’habitations à loyer modéré Logis social (9, quai de Paris) dépose une demande pour réhabiliter les bâtiments n° 81 et 83 – Plan parcellaire – Dessins établis par l’Atelier Robert Jacob et Maurice Lauber (8, route de la Fédération) – L’architecte des bâtiments de France émet un avis favorable à condition que les menuiseries soient en bois teinté blanc et les croisillons soient fixes – La Ville transmet le dossier au préfet avec avis favorable
    1990 (janvier) – La société Logis social verse à la Ville l’indemnité prévue pour n’avoir pas réalisé des places de stationnement
    1990 (janvier) – Le service des incendies énumère des prescriptions à respecter étant donné que les studios aménagés dans l’arrière-cour et dans les combles ne sont pas accessibles aux échelles des pompiers
    1990 (janvier) – La Ville délivre une autorisation de travaux. Elle constate en février que l’affichage fait défaut
    Suivi des travaux. L’échafaudage est en place (août 1991), les travaux s’achèvent sauf dans la partie arrière (janvier 1992). Certaines fenêtres ne correspondent pas au permis. La société Logis social répond que les fenêtres sont conformes. L’architecte des bâtiments de France rappelle qu’il a été convenu que les fenêtres du n° 81 seraient refaites comme celle du n° 83. La vitrine du n° 83 est en travaux, la plupart des logements sont occupés (avril 1993)
    1993 (décembre) – Observations du service d’incendie après visite des lieux
    1991 (février) – Autorisation de travaux (réfection des façades) – Devis – Demande de subvention – Travaux achevés, avril 1992 – La Ville verse la subvention, juin 1994
  • 1992 – Les Dernières Nouvelles d’Alsace demandent l’autorisation de poser une enseigne lumineuse chez M. Wagner. L’architecte des bâtiments de France émet un avis défavorable – Photographie de l’enseigne Journaux-Tabac – Pas de nouveau projet
  • 1993 (mars) – Le Maire demande à la bijouterie Diamantine de retirer la guirlande lumineuse qu’elle a fait poser pour les fêtes de fin d’année
  • 1993 – La Police du Bâtiment constate que le débitant de tabac Michel Wagner a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse double – L’intéressé répond qu’il n’a pas modifié les enseignes depuis son entrée dans les lieux en mars 1991 et qu’il paie régulièrement les redevances – Autorisation de poser une enseigne lumineuse double face parallèle à la façade – L’aspect est conforme, avril 1994
  • 1994 – La société Logis social demande l’autorisation de faire ravaler les façades – Autorisation de travaux, février 1994 – Travaux terminés, mai 1994

Relevé d’actes

La maison appartient au milieu du XVII° siècle à Jean Wencker, consul en 1644, 1650 et 1659. Il se marie en 1613 avec Elisabeth Berchtold, fille d’un docteur en droit, avocat au service de la Ville. Après sa mort en 1659, la maison échoit à son fils Jacques Wencker

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 6-v)
1613. Eodem [Dominica Quinquagisma den 14. hornung] H. Johannes Wencker, weylland des Ehrenvesten vnd furnehmen H. Daniel wenckers seligen, gewesenen handelsman alhie, Ehelicher Sohn, vnd J. Elisabeth, des Ehrenvesten vnd hochgelehrten H Stephani Berchtoldi, der Rechten doctor, vnd dieser Statt Aduocat, Eheliche tochter (eingesegnet Zinstag den 23 hornung) i 8

Jean Wencker loue la maison au chapelier Martin Riedinger. Le bail est prolongé de quatre ans en 1656

1653 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 364
Erschienen der Ehrenvest- Fürsichtig- hochweise H Johann Wenckher dißer Statt alter ammaÿster und deß geheimen Regiments der Herren Treÿ Zeh.
in gegensein Martin Rüdingers deß huetmachers
verlüh. haben Eine Behaußung alhie ahne d. Obern Straß. einseit neb. H dr Johann Jacob Sigler anderseit neb. hannß Adam Schwaben dem schwartzbeckh. geleg. vff treÿ Jahr lang von nechst künfftig Michaelis angerechnet, um einen iährlich. Zinnß benantlich. 15 Pfund
[in margine :] (…) die vff Michaelis a° 1656. außgeloffene lehnung noch vier Jahr von erstgemelt Michaelis angerechnet prolongirt habe – Act. 9. maÿ 1657.

Jacques Wencker loue la maison au menuisier Gaspard Kleiber

1660 (4. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 972
Erschienen H Jacob Wenckher, mit assistentz deß Edel- hochgelehrten H Friderich Deckhers U.I.D. & Pandect. Profess.
in gegensein Caspar Klaÿbers deß Schreiners
verlühen habe seine Behaußung alhie ahne der obern Straß., einseit neben weÿl. Johann Jacob Siglers Med. Doct. seel. Erben geleg. vff Neun Jahr lang von Joh. Bapt: a° 1661 angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß benantlich 50 Pfund pfenning

Jacques Wencker vend la maison 475 livres au cloutier Jean Michel Scheuring

1688 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 167-v
(Prot. fol. 19.) Erschienen /:salv. tit:/ Herr Jacob Wencker, dießer statt ietz Regierender Ammeister
hat in gegensein hans Michael Scheuring deß Nagelschmids mit beÿstand hans Ernst Gesensohns, deß hosenstrickers, seines Schwagers (verkaufft)
Eine behaußung, sambt dero höfflein vnd hoffstatt, und sambt allen deren Gebäuen, begriffen, weith. zugehördt, Recht. und Gerechtigkeit, allhier in der Obern Straß, einseit neben weÿl. hans Jacob Schrammen gewesenen Schwartzbecken Erben, anderseit neben weÿl. H. Rudolff Würtzen sel. Erben, hind. auff ged. Würtzische Erben stoßend gelegen – umb 475 pfund

Fils de cordonnier, Jean Michel Scheuring épouse en 1681 Anne Marie Rœmer, fille de cloutier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – weÿl. dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hanß Michael Scheüring dem Ledigen Nagelschmidt weÿland deß Ehrenhafften Meister Philipp Scheüring geweßenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg seel: eheleiblichen Sohn alß dem hochzeiter ane Einem, So dann der Ehren: Züchtig und Tugendreichen Jungfrawen Annä Mariä Römerin weÿland Meister Johann Römers gewesenen Nagelschmidt und burgers Zu besagtem Straßburg seel: hinderbliebener Eheleiblicher dochter, als der Jungfrau hochzeiterin am Andern Theil (…) durch underhandlung der Ehrengeachten Ersamen und bescheidenen Meister Ambrosÿ Kellers Schuhmachers, deß hochzeiters geschwornen Vogts, und Johann Scheürings deß Schloßers seines eheleiblichen bruders auf sein des hochzeiters, so dann auff Ihr der Jungfrau Hochzeiterin Seiten herrn Pauli Wagners Stecknadlers Ihres geschwornen Vogts und Meister Pauli Römers Nagelschmidts ihres eheleiblichen bruders – Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in obgedachts herrn Pauli Wagners in der Uttengaß gelegenen Behausung, Montags den 7. Februarÿ Anno 1681. Elias Winckler Nots: Publ: et Juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 91-v, n° 24)
1681. Zum 2 mal hannß Michael Scheuring der Nageschmid Weiland Philipp Scheurings Sch[umachers] und Burgers nachgelaß. H. Sohn, Jfr Anna Maria Weiland hanß Römers gewesenen Nageschmids u. Burgers nagelschmids u. burgers alhier nachgelaß. Ehl. Tochter. Mittw. den 28.ten April: Münster (i 93)

Anne Marie Rœmer meurt en 1693 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 482 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 86 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 567 livres, le passif à 105 livres.

1693 (23. 9.br), Me Kitsch (Jean, 1 AH 6214) n° 400
Inventarium undt beschreibung aller undt jeder Haab undt Nahrung, Liegend undt vahrend. verändt. und unveränderter, so weÿl. die Ehren: undt tugendtsahme fraw Anna Maria Römerin, deß Ehrengeachten Meister Hanß Michel Scheurings Nagelschmidts, burgers alhier Zu Straßburg gewesene eheliche haußfraw, nunmehr seelig, nach Ihrem d. 29. 8.bris Jüngsthien todtlich genommenen hienscheiden, hind. Ihro verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erfordern undt begehren des Ehrenhafft. Meister Paul Römers Nagelschmidts auch burgers Zu gedachtem Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, Hanß Michels, Susannæ undt Johannis, aller 4. d. verstorb. frawen seeligen mit dem nachgelaßenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder undt ab intestato nachgelaß.er Erb., warvon aber Johannes nach der Mutter gestorben undt vom Vatter undt Wittiber geerbt word. – welches bescheh. inn Straßburg Montags d. 23. 9.bris 1693.
Copia Eheberedung

Inn einer inn d. Statt Straßburg in der mitlern Straß beÿ d. glock gelegenen, inn diese verlaßenschafft gehörigen, hernach beschriebenen theilbahren behaußung befund. word. wie volgt
Auf dem Kasten, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Vor dieser Cammer, Inn der Cammer D, Inn d. Wohnstuben, Im haußöhren vor d. Stuben, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item eine behaußung und ein Klein hind. gebaw sampt d. höfflein undt hoffstatt, u. allen d.en gebäwen begriffen. weit. Zugehörd. Recht. undt Gerechtigkeit alhier in d. Obern Straß, eins. neben Bößwillwaldt dem Schwartzbeck. and.s neb. Herrn Joh: Paul flach dem Specerierer, hind. auff ged. H Flach stoßend gelegen, davon gehen Jahrs auff Annunciat. Mariæ 16. fl. à 4. p. Cento von 400 fl. restierenden Kauffschilling Tit. Hn Jacob Wenckern alten Ammeistern undt. XIII.ern sonst freÿ ledig undt eÿg. undt hiehero üb. angeregte 400. fl. darauff hafftente beschwerdt durch die geschworne Werckmeistere crafft beÿ dem Concept befindlichen Abschatzungs Schein æstimirt Vor 287. lb. Darüb. vorhand. ein teutsch. Pergam. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt de dato d. 12. Martÿ anô 1688.
– Abschatzung Sambstags d. 14.ten 9.beris 1693. Auff Begehren deß Ehrbahren Vnd bescheidenen Meister Johann Michaell Schewring burger Vnd Nagellschmidts behaußung alhier in ser Ststt Straßburg, in der Straß Ein Seitzs dem schwartzbecker, Anderseits Neben herr Johann paullus flach dem Wurtz Krämmer, hinden auff gedachten herrn Flachen Stoßend, Welche behaußung Sampt hinder gebeÿ Vnd hofflin, auch aller dero begriff recht Vnd gerechtigkeit, wie solches durch die georrdnete Werckh Leithe in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Vnd Wehrt, Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Nein hundert Sibentzig Fünff Gulden. Bezeichnis der Statt Straßburg geschworne Werckh leithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.
Copia der Eheberedung (…) Montags den 7. Februarÿ Anno 1681. Elias Winckler Nots: Publ: et Juratus
Volgt nun hierauff die Inventation und beschreibung d. verlaßenschafft vor undt ahne sich selbsten, undt anfänglichen
der Erben ohnverändert. eÿg.thumblich Vermögen, Sa. haußraths 7, Silber 3, Guldener ring 1, Ergäntzung (Auß der rechnung so Paul Preger Stecknadler d. verstorb. fr. seeligen gewesener Vogt abgelegt. und d. 23. 9.br 1682. vor dem wohllöbl. vogteÿgrcht. confirmirt word. über mütter: und vätterlich auch Großvätterlich guth besagend, 103, abgezogen 29, restirt) 75, Summa summarum 86 lb
Auff solches und endtlich wirdt nun auch d. Gemein verändert undt theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 75, Sa. werckzeugs Zum Nagelschmidt handwerck gehörig 84, frucht 18, lehre vaß 5, Silber 2, Guldene Ring 3, baarschafft 76, Eÿgenthumb ane einer behaußung 287, Schulden 14, Summa summarum 567 lb – Schulden 105, Rest theilbaren Guths 462. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 527 / 549 lb

Jean Michel Scheuring se remarie avec Marie Salomé Redtslob, fille de passementier : contrat de mariage, célébration
1694 (3.1.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
(Eheberedung) Zwischen dem Ehrengeachten meister Hannß Michel Scheüring, Nagelschmidt burgern alhier, als hochzeitern, an einem,
So dann der Ehren: undt tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Salome Redslobin, weÿl. des Ehrenhafften Hanß Carle Redtslobs, gewesenen Paßmentirers undt ebenmäßigen Burgers alhier see. nachgelaßenen ehelichen tochter, der Jungfrawen hochzeiterin am andern theil – So geschehen zu Straßburg, Sontags d. 3. Januarÿ Anno 1694 [unterzeichnet] hanß Michael scheüring alß hochzeiter, anna salome redtslobin als hochzeitheri,
Protocollum tertium, f° 69

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 43, n° 267)
1694. Dom.III. post Epiphan. seÿn Zum 1. mahl außgeruffen Johann Michael Scheuring Nageschmid und burger, Maria Salome Weiland Johann Carl Retzlobß Paßmenmachers und burgers nachgel. ehl. tochter Seÿnd copulirtt den 3. febr. [unterzeichnet] hanß Michael scheuring als hochzeiter, Maria salme hochserin (i 43)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison

1694 (14.4.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 6059) n° 408
Inventarium und beschreibung aller d. Jenigen Haab undt Nahrung, so der Ehrenhaffte meister Hannß Michel Scheuring, Nagelschmidt und die Ehren: und tugendtsahme fr. Maria Salome Redtslobin, beede Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg einander inn den Ehestandt Zubring. so umb der ursach. beschrieb. wirdt, weilen inn d. Zwisch. Ihnen beed. seiths mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich. verseh. daß eines Jed inn die Ehe Zugebrachte Nahrung einem jed. undt seinen Erben ein freÿ ohnverändert undt Vorbehaltenen Guth seÿn (…) welches bescheh. in beÿsein der Ehrengeacht. meister Paul Römmers, Nagelschmidts, des Ehemanns Kind. geordnet und geschworenen Vogts undt meister Joh: Michel Redtslob. Paßmentirers der Ehefrauen bruders beeder burgere alhier Zu Straßburg Ostermittwochs d. 14. Apr. a° 1694.

Norma hujus inventarÿ. Sa. haußraths so d. mann in die Ehe gebracht 251, Sa. wahren undt werckzeug Zum Nagelschmidt handwerck gehörig 236, Sa. frucht undt meels 45, sein undt Lehre Vaß 44, Silber 7, baarschafft 42, Schuld. 16, Summa summarum 644 lb – Schulden 9, Nach deren Abzug 635 lb
Pfetter: Göttel und Geschenckt Gelt, Annæ Mariæ gehörig, Hanß Micheln Zuständig, Susanna gehörig
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (Mann) It. ein behaußung undt ein Klein hind. gebaw sampt d. höfflein u. hoffstatt, mit all. and.en d.en gebäwen, begriffen. weith. Zugehörd. Recht. undt Gerechtigkeit. alhier inn d. Obern Straß, eins. neb. Bößwillwaldt dem Schwartzbeck. and.s neb. Hn Joh: Paul flach. dem Specerierer, hind. auff ged. Herrn Flach stoßend geleg., davon gehen Jahrs auff Annunciat. Mariæ 16. fl. à 4. p. Cento von 400 fl. restierenden Kauffschilling Tit. H. Jacob Wenckern nunmahligen Regierenden Ammeistern undt. XIII.ern sonst freÿ ledig undt eÿg. u. hiehero dißmahlen nicht angeschlagen word. Darüb. vorhand. ein teütsch. p.gam. brieff mit d. Statt Straßb. anhang. Cancelleÿ Contract Ins. verwahrt de dato d. 12. Martÿ aô 1688.
der frawen Zugebrachte Nahrung, haußrath 83, Silbergeschmeidt 4, guldene Ring 7, baarschafft 7, Schuld. 37, Summa summarum 140. lb

Jean Michel Scheuring s’adresse aux Quinze parce que le corps des cloutiers l’empêche d’exercer normalement son métier. Il emploie un compagnon qu’on accuse d’avoir rendu enceinte une jeune fille. Comme le maître n’a pas renvoyé le compagnon, le corps de métier a déclaré que son atelier n’était pas honorable. La commission s’étonne que le corps des cloutiers ait pris une telle décision alors que le Grand Sénat ne s’est pas encore prononcé sur l’affaire. Les Quinze approuvent l’amende infligée au maître et à son compagnon pour ne s’être pas rendu à la convocation des cloutiers, lèvent l’opprobre jetée sur l’atelier et permettent au maître d’employer le compagnon jusqu’à ce que la sentence soit rendue

1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
Hans Michael Scheuring Ca. E. E. Meisterschafft der Nagelschmidt
(f° 191) Sambstags den 18.ten Aug. 1708. G. nôe Hans Michael Scheuring burgers undt Nagelschmids alhier Cit. per sched. E. E. Meisterschafft der Nagelschmidt Obermeister, Pplis klagt daß Citirte ihm im handwerckh hinderen, vndt einige difficultät machen, bittet Zu mehrern bericht deputaônem. S. Citatus præs. setzts Zur Depûtation. Erk. gebettene deputaôn willfahrt. Ob. Handwercks Hh.
(f° 217) Freÿtags den 14.t Sept. 1708. Iidem [Ober Handwercks Hh.] per Hn Friden es habe Hans Michael Scheüring der Nagelschmidt Ca. E. E. Meisterschafft der Nagelschmidt geklagt, daß Sie Ihme in dem handwerck hindernus bringen wollen, anbeÿ umb deputaôn gebetten vndt alß man Ihne ferner angehört, berichtet daß Er einen Gesellen, Barthel Hohmann habe, von Mittelbergh. gebürtig, der eine Geschwängert haben solle, deßwegen die Meisterschafft zusammen gekommen, 2. handwerck gehalten vndt Ihme die werckstatt vor untüchtig Erkant hetten, ohngeachtet Er nicht beym Handwerck gewesen, undt die Sach beÿ E. E. Gr. Rhat anhängig vnd noch nicht außgemacht seÿe.
Worauff Joh: Schrad. et cons. geantwortet, daß ged.r gesell sich mit Erinnern übersehen vnd sowohl dem Kläger als dem gesellen Zum 2. mahl gebotten worden seÿe, wobeÿ d. Meister gar nicht, der gesell aber ein mahl erschienen seÿe deßweg. man seine Werckstatt vor untüchtig Erkant habe. Welche man gefragt, wer Ihnen die erlaubnus gegeben, die Werckstatt gleich vor untüchtig Zu erkennen, ehe die sach beÿ EE. Rhat außgemacht seÿe ? Darauff Sie gesagt, daß Gegner sich selbst untüchtig gemacht, weilen Er den Gesellen, so untüchtig, ohngeachtet Er errinnert worden, nicht fortgeschafft habe.
Auff seithen der Herren Deputirten habe man davor gehalten, daß Scheüring wegen Zweÿmahliger nicht erscheinung beÿm handwerckh, vermög articuls, vor iedes mahl, 2 ß. der gesell aber vor einmahl 2 ß erlegen, vndt Künfftighin ohne erhebliche ursach od. ohne sich beÿ dem Obermst. anzumelden, nicht außbleiben sondern erscheinen, in Zwischen Ihme seine werckstatt wider eröffnet werden, und Er dem gesellen, bis die sach auß gemacht seÿn werden behalten, wann aber erwießen werden sollte, daß Er d. mensch geschwängert, Er derselben gleich fortschaffen solle. Erkandt, Bedacht gefolgt.
(f° 238) Sambstags den 10. Novembris 1708. Saltzm. nôe E. E. Meisterschafft der Nagelschmid bittet und.thn deß gtm. Michel Scheuring auch Nagelschmid ergangenen bescheids schrifftliche communication. Erk. willfahrt.
(f° 256) Freÿtags den 23.t Novemnr. 1708. ablesen wie folgt als
Hans Michael Scheuring Ca. E. E. Meisterschafft der Nagelschmidt
Bescheidt. Mittw. den 14. 7.bris 1708. In Sachen Michael Scheüring des Nagelschmidts Klägen an einem, entgegen vnd wider E. E. Meisterschafft der Nagelschmidt beklagte am andern theil, Ist Erkandt, Soll Kläger wegen zweÿ mahliger nicht erscheinung beÿ dem Handwerck, nach inhalt des articuls, vor iedes mahl 2 ß. der gesell aber vor einmahl 2 ß der Laden beÿtragen undt erlegen, auch Er Kläger Künffthin, ohne erhebliche ursachen, vndt ohne Vorwißen des ieweiligen Obermeisters nicht mehr außbleiben, sondern willig erscheinen, in Zwischen Ihme seine werckstatt wid. geöffnet werden, undt Er dem ged. Gesellen, so lang, bis die sach pt° angeklagter schwängerung, Gehöriger Orthen außgemacht seÿn wird, beÿ sich behalten, wann aber solches sich erweißlich finden würde, Er alß dann demselben gleich abschaffen vnd von sich laßen.

Marie Ursule Redslob, belle-sœur de Jean Michel Scheuring, meurt dans sa maison en 1717 en délaissant pour héritiers ses deux sœurs et son frère Redslob, deux demi-sœurs et le demi-frère Kratzer qui ont quitté depuis plus de trente ans Strasbourg étant exclus de la succession. La défunte laisse une fortune de 156 livres

1717 (17.6.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 54 [haut de page abîmé par l’humidité]
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güthere, so Weÿl. die Ehren und tugendsahme Jungfrau Maria Ursula Redslobin burgerin allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach ihrem den 12. Junÿ dießes Lauffenden 1717.ten jahrs aus dießer Weltg genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehrenvest und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Limburgers des Courtagiers und burgers allhier, der Verstorbenen seel. geweßenen geschwornen Vogts auf donnerstag den 17.ten Junÿ Anno 1717.
Die abgelebte Jungfrau seelige hat ab intestato zu Erben Verlaßen, wie volgt, 1.mo Frau Mariam Salome Scheuringin gebohrne Redslobin, Mr Johann Michael Scheuring des ältern Nagelschmidts und burgers allhier eheliche haußfrau, welche mit und beneben ihrem haußwürth dem Geschäfft abwartete in einen Stammtheil, 2.do Meister hannß Michel Redslob dem Paßmentirer und burgern allhier, so sich beÿ dem Geschäfft in Person eingefunden, in dem andern Stammtheil, Und dann 3.tio Frau Mariam Margaretham Hengerin, gebohrne Redtslobin, burgerin allhier, Gabriel Hengels eds Goldstückers verlaßene ehefrau, welche auch dem geschäfft Persönlich beÿgewohnt, in den dritten Stmmtheil. Alßo Alle dreÿ der abgeleibten Jungfrauen seel. eheleibliche geschwüsterde und ab intestato zu gleichlingen antheilern, Verlaßene Erben.
Pro nota. Es hat Zwar auch die Verstorbene Jungfer Redslobin dreÿ halb Geschwisterde mit Nahmen Hannß Conrad Kratzer dem Paßmentirer so zu Bößigheim am Necker, hoch fürstl. Würtembergischer herrschafft wohnhaft, Mehr Annam Barbaram und Margaretham die Kratzerin, so beede noch ledigen standts und in Schwabach, Anspachischer herrschafft sich auffhalt und Verlaßen, welche aber alle würcklich in 32 jahr Von hier verzog. und weilen dann crafft hießig. Statuti die auß.halb d. Statt wohnende halb geschwisterde mit den recht geschwüsterd. so allhier zu Straßburg seßhafft nicht Zu Erb. gehen können, es seÿe dann daß glaubwürdig. Schein und Urkund vorhand. daß die Unßn. in gleichfällen beÿ Ihnen auch Zugelaßen werd. alß hat man ohnerachtet die Erben (-) treten daß Sie solches Keines weegs probiren werd. können, dannoch es berichts weis hieh. an mercken wollen.
In einer in der Statt [Straßbur]g ane der] Straß Liegenden Mr Johann Michael Scheuring dem ältern d. verstorbenen seel. Schwagern eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie volgt
Abzug, Sa. haußraths 33, Sa. Sa. Silbers 33, Sa. Baarschafft 32, Sa. Schulden 91, Summa summarum 161 lb – Schulden 25 lb, Conclusio finalis Inventarÿ156 lb

Marie Salomé Redslob meurt en 1721 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 775 livres. La masse propre au veuf s’élève à 798 livres, celle des héritiers à 141 livres. L’actif de la communauté s’élève à 216 livres, le passif à 359 livres.

1721 (16.4.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 6) n° 140
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und güethere, so Weÿl. die Ehren: und tugendsahme Frau Maria Salome Scheuringin geb. Redslobin des Ehren V. Vorgeachten Joh: Michael Scheurings, des ältern Nagelschmids u. burgers alhier geweß. eheliche hßfrau nunmehr seel. nach Ihrem den 11. Febr. dießes Lauffenden 1721.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein Mr Hß Michael Scheuring des jüngern Nagelschmidts u. burgers allhier des Wittibers Sohns Von erster Ehe, auf Mittwoch den 16. Aprilis Anno 1721.
Die abgelebte Frau seelige hat zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen Wie Volgt. 1.mo Frau Mariam Salome Gÿßbrechtin geb. Scheuringin, Mr Joh: Daniel Gÿßbrechts des Schreiners u. burgers allhier seel. hßfrau, Welche mit u. beneben d. hßwürth dem geschäfft beÿwohnt, Und dann 2.do Mariam Dorotheam Scheuringin, noch ledigen standts, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, Welche aber mit assistentz H. Joh: Heinrich Werckmeisters des Chirurgj u. burgers allhier dem geschäfft abwartete, Alßo alle beede der abgestorbenen Fr. seel. ab intestato Zu gleichen antheilen Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß Liegenden u. in dieße Verlaßensch. gehörigen behausung befunden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auff der Mittlern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießem gemach, In der Cammer D, In der Soldaten Cammer, In der Wohnstub, Im haußöhren vor der Wohnstub, Im Keller.
Eigenthumb ane einer behaußung (W.) Eine behaußung u. jn. Klein hind.gebäu, sambt d. höfflein u. hoffstatt mit allen and. den gebäwen begriffen, Weith., Rechten, Zugehörden u. gerechtigkeiten allhier in d. obern Straß, j.seit neben Mr Balthasar Bößwillwald dem Schwartzbecken, and. s. neben S. Bessieur, dem gastgebern Zum grünen dragoner, hind. auf vorgedachten Sr Bessieur stoßend gelegen, freÿ ledig Eigen u. dh. (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 19.t Martÿ 1721. angeschlagen pro 775. lb. Daran hiehero 11/12.te theil gehörig, th. 710. lb 8 ß 4 d. Der überige 12.te theil ist Mr hß Michael Scheuring dem jüngern Nagelschmid u. burgern allhier des Wittibers Sohn erster Ehe eigenthümlich gehörig, Welches d. Wittiber nicht zu genießen hat. Darüb. Vorhanden j. teutsch. perg. Kffbrff. mit d. Statt Straßb. anh. C Contract Ins. verwahrt, datirt d. 12. Martÿ Anno 1688.
Ergäntzung des Wittibers ermanglenden ohnveränderten guth. Inhalt Inventarÿ über beed. geweßener Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrungen durch hrn hans Kitsch Notm. publicum nun seel. in A° 1694 auffgerichtet
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Guth. Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs um Nagelschmid hdwerck gehörig 8, Sa. Lährer Vaß 5, Sa. Silbers 18 ß Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 710, Sa. Ergäntzung (446, Abzugs 410, In Vergleichung) 36, Summa summarum 798 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. guldener Ring 3, Sa. baarschafft 5, Sa. Ergäntzung (107, Abgang 1, In Compensatione) 106, Summa summarum 141 lb
Das theilbahre Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum Nagelschmidt handwerck gehörig 16, Sa. Meels 3, Sa. Wein u. Lährer Vaß 6, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. guldener Ring 1, Sa. baarschafft 38, Sa. Schulden 92, Summa summarum 216 lb – Schulden 359 lb, Die theilbare passiva übertreffen das theilbare guth 142. lb
Stall Summ 797 lb
– Abschatzung d. 19.t Martzÿ anô 1721. Auff begehren, daß Ehrenhafften Vnd bescheÿdenen Meister Joh: Michäll Scheiring, Nagellschmit, ist Eine behaußung Alhier, in der Statt Straßburg, in der Langen straßen Gelegen, Ein seits Neben Balthasar biswalt, schwartzbeck, Ander seÿth, Neben dem Wirts hauß Zu dem Grinen dragoner genandt, hinden auff Vor gedachten tragoner stoßendt, Welche behaußung, hoff statt, Stuben, Kammern, Hauß Ehren, darin die Nagell schmit Eßen, Vnd Kollen kammern, mit thüllen Zu geschlagen, Ein Gewölbter Keller, Ein Klein hinder gebeÿell darneben Ein holtz schopff Nebens gang,, höffell, Vnd Ein Geßalyer brunen, dar Neben Ein trenckstein, Sampt Allen Ihrer gerechtigkeith, Wie solches, durch der Statt Straßburg, geschwohren Werckh Leüthen, in der besichtigung befundten wirt, Vor, und, umb Ein Tausendt, Fünff, Hundert, Vnd Fünffzig Gulten Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werck Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Copia der Eheberedung – So geschehen zu Straßburg, Sontags d. 3. Januarÿ Anno 1694, Johann Kitsch
Copia Codicilli – Im Jahr 1719 (…) auf Montag den 20. tag des Monats Martÿ Abends Zwischen Sieben ; und Acht Uhren beÿ Zweÿen hellbrennenden Liechtern in der Königlichen freÿen Statt Straßburg und einer ane der langen Straß Ligenden, beeden hernach gemelten Codicillirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung, deren Ober Vordern Stuben mit den Fenstern auf die gaß außsehend (…) persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorgeacht Herr Johann Michael Scheuring des ältere Nagelschmidt und beneben Ihme die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Scheuringin gebohrne Redslobin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, Von der gnade des grundgutigen Gottes (…)

Jean Michel Scheuring et son fils hypothèquent la maison au profit du marchand de soie Jean Jacques Heckel

1727 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 74
Johann Michael Scheuring der ältere Nagelschmidt und deßen Sohn Johann Michael Scheuring der Jüngere auch Nagelschmidt
in gegensein H. Johann Jacob Heckel Seidenhändlers als Vogts H M Johann Michael Eberlin Evangelischen Pfarrers zu gerttweÿler beede Kinder erster Ehe – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinder hauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der obern straß, einseit neben Bezieres dem würth zum grünen Dragoner anderseit neben den Bößwillwaldtischen Erben hinten auff ged. Bezieres zum theil theils auff die gerber zunfft stub – dem vatter zu 11/12 dem sohn aber zu 1/12

Jean Michel Scheuring meurt en 1730 en délaissant un fils de son premier mariage et deux filles du deuxième. Les experts estiment la maison 700 livres. L’actif de la succession s’élève à 216 livres, le passif à 167 livres.

1730 (2.8.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 642
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und güethere, so weÿland der Ehren: und Vorgeachte Meister Johann Michael Scheuring, der ältere, geweßener Nagelschmidt und burger allhier nunmehr seeliger, nach seinem den 5.ten Julÿ dießes Lauffenden 1730.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 2.ten Augusti Anno 1730.
Der Abgeleibte seeliger hat zu seinen Erben ab intestato Verlaßen Wie Volgt. 1.mo Meister Johann Michael Scheuring, den jüngern Nagelschmidt und burger allhier, welcher beneben Meister Johann Baptistæ Jetzhaußen dem bohrenmachern und auch burgern allhier seinen erbettenen Assistenten dem geschäfft abwartete, dießer in Erster Ehe mit auch weÿland frauen Anna Maria Scheuringin gebohrner Römerin seel. ehelich erzeugter Sohn, 2.do Frau Mariam Salome Erichsohnin gebohrne Scheuringin, Meister Christian Erichsohn, des Schreiners und burgers allhier Ehefrau, Welche mit und beneben dero Ehemann dem geschäfft beÿwohnte, Und dann 3.tio Mariam Dorotheam Klaffskÿin gebohrne Scheuringin, Meister Johann Klaffskÿ, des Nagelschmidts vnd ebenmäßig burgers allhier haußwürthin, so mit assistentz gedachten Ihren Ehemanns beÿ dem geschäfft erschienen, dieße beede in Letzter Ehe mit auch weÿl. frauen Maria Salome Scheuringin, geb. Redslobin ehelich erziehlte töchtere. Alßo alle dreÿ des verstorbenen seeligen in Zwoen Ehen ehelich erziehlten Sohns und frau Töchete Und ab intestato Zu gleichlingen antheilern Verlaßene Erben
Copia Nach disposition

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß Liegenden u. in dieße Verlaßenschafft Zum theil gehörigen behausung befunden wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung und ein Klein hind.gebäu, sambt dero höfflein, mit allen andern deren gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten allhier in der obern Straß,einseit neben Mr Johann Georg Großen, dem haußfeurer, anders. neben Sr. Bessieur, des gastgebers Zum grünen dragoner Hinterlaßenr wittib, hind. auf vorgemelten Sr Bessieur hinderlaßene Wittib, stoßend geleg., so freÿ ledig, eig. und dh. (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 20. Julÿ 1730. æstimirt pro 700. lb. Daran gebührt hiehero 11/12.te theil th. 641. lb 13 ß 4 d. Der überige eine Zwölffte theil ist Mr Johann Michael Scheuring, dem jüngern, Nagelschmid und burg.n allhier des verstorbenen seel. Sohn erster Ehe eigenthümbl. vor ohnvertheilt zuständig. Hierüber meldet ein teutsch. pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel corroboriret, dat. d. 12. Martÿ Anno 1688.
Wÿdemb.Welchen der abgelebte seelig Von auch Weÿland Frauen Maria Salome Scheuringin geb. Redslobin seiner geweßene, Zweÿten haußfrauen seel. biß an sein tödliches Ableiben genoßen. Inhalt Summarischen Calculi über Erstgedachter Weÿl. Frauen Mariæ Salome Scheuringin geb. Redslobin seel. Verlaßenschafft den 7. Aprilis Anno 1724. durch mich Notarium auffgerichtet
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 16, Sa. Wein u. Lährer Vaß 9, Sa. Silbers 2, Sa. guldener Ring 6 ß, Sa. baarschafft 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 641, Summa summarum 216 lb – Schulden 167 lb, Detrahendo verbleibt 505. lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall tax nach 579 lb
– Abschatzung d. 20.t July 1730. Auff begehren Weÿl. des Ehren Vesten und Vorachtbahren H Hans Michael Scherning gewesenen Nagelschmidts seel. hinterlaßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß gelegen, einseits Neben dem Wirts hauß Zum grünen Dragoner, anderseits Neben Hannß geörg groß haußfeurer, hinden auf schon gedachtes Wirts hauß stosend, Welche behaußung, alt hinter gebäu, Nebens gang, Stuben, Cammer, Soldaten Cammer, hauß Ehren, Eine Mit einem herdt und Waßerstein, Nagelschmidts Werckstatt, worin eine schmidt Eß, Kohlen Cämmerl. gewölb Keller, bauch offen, höffel und bronnen, sambt aller gerechtigkeith, Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleüthe, sich in der besichtigung befundten und Jetzigem preiß nach angeschlagen Wird Vor und Umb Ein Taüsend und Vierhundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les héritiers Scheuring vendent la maison 1 181 livres à Jean Frédéric Rebhahn et à sa femme Catherine Salomé Ichert

1732 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 207-v
weÿl. Johann Michael Scheuring des ältern Nagelschmiedts seel. hinterlassenen Kinder und Erben und zwar der sohn erster Ehe Johann Michael Scheuring auch Nagelschmiedt, so dann die zweÿ Kinder der letster ehe Maria Salome geb. Scheuring Christian Erichsohn des Schreiners ehefrau wie auch Maria Dorothea geb. Scheuring Johannes Klaffskÿ desNagelschmiedt hausfrau
in gegensein Johann Friedrich Rebhaan des burgers alhier und Catharinæ Salome geb. Ichardin
Eine Behausung hindergebäu höfflein Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Obern straß, einseit neben Georg Leonhard Graff dem haußfeurer anderseit neben der Gastbehausung zum grünen dragoner, weÿl. Antoine Bessiere gastgebers wittib und erben gehörig, hinten auff eben dieselbe – ihme Scheuring dem sohn als erben zu einem vierten Stammtheil seiner mutter weÿl. Fr. Annæ Mariæ geb. Römerin zu einem 12.ten theil oder dreÿ 36. eben demselben als Erben zu einem dritten Stammtheil seines vatters zu 11/36, Erichsohnischer Ehefrau zu 11/36 und Klaffskÿ Ehefrau zu eben so viel – geschehen um 1181 pfund

Fils d’un greffier de la Chambre des Contrats, le marchand Jean Frédéric Rebhahn épouse Catherine Salomé Ichert, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration sans proclamation préalable à Illkirch
1730 (12. 8.br), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 75) n° 668
Eheberedung Zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten H. Johann Friderich Rephan ledigen handelsmann und burger alhier alß hochzeitter an einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Catharina Salomea Ichertin, weÿl. H Johann Jacob Icherts geweßenen Schneiders und burgers alhier seel. nachgelaßener ehel. Tochter, alß hochzeiterin am andern theÿl – beschehen Straßburg den 12.ten Octobris Anni 1730. [unterzeichnet] Johann Friederich Rehban als hochzeiter, Catharina salome Fichertin hochzeiterin

Mariage, Illkirch (luth.)
MDCCXXX. d. 17. Xbris sind auf Erlaubnus Ihro Gnad. H. Ameisters in Strasburg ohn ausgeruff. ehl. copuliret und eingesegnet word. H. Johann Friderich Rebhan der ledige Handelsmann in Strasb. weÿl. H Johann Friderich Rebhanns geweßenen actuarÿ in d. Contractstuben in Strasb. ehl. Sohn, Jgf. Catharina Salome weÿl. H Johann Carl Icherts des geweßenen burg. und schneiders in Strasb. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Rebhan alß hochzeiter, catharina salome ichertin als hochzeiter (i 93)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dont la minute n’est pas conservée
1731, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1114
Inventarium über Frauen Catharinæ Salomeæ Ichterin zu H. Johann Friderich Rebhan dem Handelsmann ihres Ehemanns in die Ehe gebrachtes

Catherine Salomé Ichert meurt en 1757 dans sa maison au Vieux-Marché-aux-Vins en délaissant une fille. La masse propre à l’héritière s’élève à 1406 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 3 128 livres, le passif à 3 750 livres.
1759 (1.2.), Me Elles (6 E 41, 1326) n° 84
Inventarium über Weÿl. der Ehr. v. Tugendsamen Frauen Catharinä Salomeä Reebhanin geb. Ichertin, des Ehren v. vorgeachten H. Johann Friedrich Reebhan des Handelsmanns v. b. dahier Zu Straßburg im Leben geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1759. – nach ihrem den 31. 8.bris 1757 aus dießer Zeit v. Welt genommenen tödl. Hientritt, hie Zeitl. verlaßen, Welche Verl. auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der Ehr v. tugendgeziertes Jungfrauen Catharinä Salome Rebhanin der Verst. frauen seel. mit Vorermelt. Wr. ehel. erziehlter v. nach tod hinterl. einziger tochter v. ab intestato Erben, so majorennis, beÿst. Hn Joh: Daniel Buchs des Wannenmachers v. brs allhier inventirt – So geschehen in der Königl. Statt Str. auf Donnerstag den Ersten februarii Im Jahr 1759.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Alten Weinmarckt gelegenen v. hiernach beschriebenen behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane behaußungen. Erstl. eine noch nicht völlig außgebauene behaußung
ane dem Alten Weinmarckt ane der Kinderspielgaß (…)
It. eine behaußung, Hoff, Hoffstatt v. Gemeinschafft des bronnens am Finckweiler ane dem sogenanndten Hirtengäßel geleg. (…)
Ergäntzung der Erbin wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarii (…) durch H Christoph Michael Hoffmann gewes. Not. publ. et Pract. seel. in a° 1731. gefertigt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung (…) beschehen Straßburg den 12.ten Octobris Anni 1730. Christoph Michael Hoffmann, Not.
Der Erbin Nahrung, so allein in der ihrer Mutte seel. versprochenen Morgengaab v. Erg. derselben unveränderten Guths, Sa. Sa. 750, Sa. Erg. (658, Abzug 2, verbelibt) 656 Summa summarum 1406 lb
Dießemnach wird auch des Wrs. unverändert v. die theilb. Nahrung unter einer Massa beschrieben maßen die Erbin auf Einrathen ihres beÿstandts auf das theilbare Verzug gethan v. solches dem W. ihrem Vatter tam active quam passive anheim geschlagen, Sa. haußraths 80, Sa. Wein v. Leeren Faß 27, Sa. Silbers 2, Sa. goldener ring 2, Sa. Eigenthum ane behausungen 1400, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 190, Sa. Pfenningzinß haupt Güther 1376, Sa. Schulden 49, Summa summarum 3128 lb – Schulden 3750 lb, Conferendo 622. lb
Beschluß und Verstallungs summa 783. lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so theilbar 650 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugeldend 29. lb

Jean Frédéric Rebhahn et Catherine Salomé Ichert vendent la maison au tailleur Philippe Jacques Schützenberger : vente provisoire devant notaire, vente définive à la Chambre des Contrats moyennant 1 850 livres

1745 (6.8.), Me Kolb (Abraham, 22 Not 29)
persönlich kommen und erschienen herrr Johann Friderich Reebhahn der handelßmann und fr. Catharina Salome Rebhahnin gebohrne Ichertin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zu Straßburg
in beÿsein H Philipp Jacob Schützenberger deß Schneiders auch burgers dahier (verkaufft)
ihre allhier in der Langen Straß gelegene Eigenthümlich zuständige behaußung hoff und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten Einseit Neben Mad. Finance der wittib undt würthin Zum grünen Dragoner anderseit neben Geörg Bernhard Grafff dem Schwartzbecken hinden auff Ermeldte Mad. finance stoßend, so freÿ, ledig undt Eigen – umb 3700 gulden

1745 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 540
H. Johann Friedrich Rebhan und Catharina Salome geb. Ichertin
hatt in gegensein Philipp Jacob Schützenberger des schneiders und Susannæ Barbaræ geb. Kärcherin
eine behausung, hinder gebäuden, bronen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten in der obern straß, einseit neben Georg Leonhard Graff dem haußfeurer, anderseit neben weÿl. Louis Finance des wirths zum grünen Dragoner wittib, hinten auff dieselbe – als ein am 5. maÿ 1732 erkaufftes guth – um 1850 pfund

Le commisaire priseur Philippe Jacques Schützenberger loue une partie de la maison au perruquier Jean Christophe Nidermeyer et à Anne Salomé Dürrbach

1746 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 139
Philipp Jacob Schützenberger geschworner käuffler
hatt in gegensein Johann Christoph Nidermeÿer des peruckenmachers und Annæ Salome geb. Dürrbachin mit beÿstand ihres annoch ohnentledigten vogts Johann Michael Fießel des schuhmachers
verlühen, in einer an der obern straß einseit neben dem Wirthshauß zum grünen Dragoner, anderseit neben N. Graff dem haußfeurer gelegenen behausung, unten auf dem boden einen laden, eine stub, im hoff ein kämmerlein, kuchen und bachoffen und platz zum holtz, so viel als der platz unter dem gang begriffen mag im vordern hauß unten dem dach eine Kammer, so dann einen unterschlagenen keller – auff sechs* nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 52 gulden

Le commisaire priseur adjoint Philippe Jacques Schützenberger loue une partie de la maison à l’huissier royal Jacques Obeliane

1749 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 156-v
Philipp Jacob Schützenberger der vice käuffler
hatt in gegensein H. Jacques Obeliane des königl. huissier
verlühen in einer alhier ane der Langenstraß einseit neben dem hauß zum grünen Dragoner anderseit neben Georg Graff dem haußfeurer gelegenen behausung, den gantzen zweÿten Stock, auff dem dritten stock eine kammer auff die gaß herauß und ein unterschlagenen holtzhauß, den gemeinschafftlichen gebrauch der bühn zum wasch tröcknen, so dann den mittleren keller – auff sechs nacheinander folgenden jahren, auff innstehenden Annunciationis Mariæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Philippe Jacques Schützenberger et Susanne Barbe Kærcher hypothèquent la maison au profit de Susanne Catherine Faust, veuve du marchand Jacques Dürninger

1751 (19.10.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 512-v
Philipp Jacob Schützenberger der geschworne käuffler und Susanna Barbara geb. Kärcherin, mit beÿstand Philipp Jacob Schützenberger des nadlers ihres Sohns und ihres Vettern H. Johann Martin Meÿer des schuhmachers und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers
in gegensein H. Jacob Dürniger des handelsmanns, als gewalthabers seiner Mutter Susannæ Catharinæ geb. Faustin weÿl. H. Rathh. Jacob Dürninger des handelsmanns wittib – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, hoff, bronnen und hoffstatt ane der Obern straß, einseit neben Georg Leonhard Graff dem haußfeurer, anderseit neben Louis Finance dem gastgeber zum grünen Dragoner wittib, hinten auff eben denselben

Les enfants Schützenberger cèdent la maison à la veuve

1761 (27.6.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 789) Joint au n° 83 du 21.5.1756
Daß alle in weil. herrn Philipp Jacob Schützenbergers, des geweßenen Käufflers und burgers alhier zu Straßburg nun seeligen ohnverändert und theilbahre Verlassenschafft gehörig geweßene Rubricen,
worunter auch eine behaußung hinter Gebäu, hoff, brunnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier in der obern Straß gelegen 1.seith neben Hn Vöckler dem Chirurgo Ehevögtl. weiß, 2.seith neben weil. Louis Finance geweßenen Gastgebers zum grünen Dragoner hinterlassene Wittib u. Erben hinten wieder auf dieselbe stoßend, begriffen ist, von deßen nachgelaßnen Beneficial Erben Fraun Susannæ Barbaræ Schützenbergerin gebohrner Kärcherin, der hinterbliebenen Wittib auf Abschlag und auf Rechnung Ihrer zu erforden gehabten ohnverändert Guths Ergäntzung eigenthümlich überlaßen worden – Straßburg d. 22. Junÿ 1761.

Susanne Barbe Kærcher veuve de Philippe Jacques Schutzenberger vend la maison 1 300 livres au potier Jean Henri Fanck devant le notaire royal Laquiante. La vente est enregistrée à la Chambre des Contrats le mois suivant

1761 (1.10.), Me Laquiante (6 E 41, 1010)
enreg. Chambre des Contrats, vol. 635 du 20 novembre 1761 f° 338
Dlle Susanne Barbe Kärcherine veuve du Sr Philippe Jacques Schutzenberger priseur juré assitée de Philippe Jacques Schutzenberger son fils épinglier
au Sr Jean Henry Fanck potier
une maison, cour, puit, bâtiment au fond de la cour, appartenances et dépendances scize grand rue, d’un côté le Sr Friderick Foeckler chirurgien, de l’autre la veuve Finance aubergiste du dragon verd, derrière la même – délaissée et abandonnée par les héritiers de son défunt marit pour le remplacement de ses propres, Me Jean Frédéric Lobstein lors de l’inventaire dressé par Zimmer – moyennant 5200 livres tournois

1761 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 338, Not. royal Laquiante, 1.10.1761
auff ansuchen Johann Heinrich Fanck des kachlers, nachstehender kauff
Dlle Susanne Barbe Karcherine veuve du Sr Philippe Jacques Schutzenberger priseur juté assitée de Philippe Jacques Schutzenberger son fils épinglier
au Sr Jean Henri Fanck potier
une maison, cour, puit, bâtiment au fond de la cour, appartenances et dépendances scize grand rue, d’un côté le Sr Frideric Foeckler chirurgien, d’autre la veuve Finance aubergiste du dragon ver, derrière la même – délaissée et abandonnée par les héritiers de son défunt marry pour le remplacement de ses propres, Me Jean Frédéric Lobstein lors de l’inventaire – moyennant 5200 livres tournois

Fils de passementier, Jean Henri Fanck apprend le métier de potier chez Georges Jacques Jung de 1743 à 1747
1743, Protocole des Maçons (XI 237)
(f° 144) Mittwochs den 13.t Februarÿ 1743. War Ein Kauff Gericht
Eingeschriebener Haffner Jung – Mr Geörg Jacob Jung haffner stellt Vor Johann Heinrich Fancken, H Johann Paul Fancken Paßmentirers Und burgers allhier ehelichen Sohn beÿständlich solch seines Vatters, vnd H Christoph Baumen auch Paßmentirers seines Vogts, will denselben das haffner handwerck auff Vier Jahr von weÿhenachten 1742. angehend, biß dahin 1746. sich endigend gratis vnd ohne lehrgeld, Hingegen bezahlt der Vatter oder Jung das Einschreib: vnd außthuungs geld, verspricht den Consens schein Von denen Obern Handwercks herren nach Zu lüffern, bitt umb Inscriptionem.
Erkandt, Willfarth gegen Erlag der Gebühr, cum reservatione der oberen handwercks herren schein ad protocollum nachzulüffern (dt. 15. ß, ausgethan den 15. Feb. 1747)

1747, Protocole des Maçons (XI 238)
(f° 2-v) Mittwochs den 15. Februarÿ 1747. War ein Kauffgericht
Lehrjung – Mr Geörg Jacob Jung haffner stellt Vor Johann Heinrich Fancken, beÿständlich H Johann Paul Fancken Paßmentirers Und burgers allhier ehelichen Sohn beÿständlich deßelben, wolle denselben seiner Lehrjahr halben ledig sprechen, wiß nichts wieder denselbe, bitt um die außthuung.
Erkandt, weilen beede mit einander Zufrieden, gegen Erlag der gebühr außzuthun, so er gleich Zahlte (außthuungs gebühr dt. 15 ß)

Jean Henri Fanck devient tributaire chez les Maçons début octobre 1753
1753, Protocole des Maçons (XI 238)
(f° 202-v) Donnerstags den 4. Octobris 1753. War ein quartal Gericht
E. Neu Zünfftiger – Mr Johann Heinrich Fanck der Haffner producirt stallschein vom 24.t Septembris 1753. daß er eines hiesigen burgers sohn, vnd sich allda der ordtnung nach angemeldet, bitt Ihne als einen Zünfftigen dißorts anzunehmen. Erkandt, Willfahrt. (dt. 2. lb 15 ß, findl. hauß 2 ß)

Jean Henri Fanck épouse fin octobre 1753 Catherine Barbe Litsch, fille d’un fabricant de vrilles : contrat de mariage, célébration
1753 (27.7.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 254
(Eheberedung) entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Meister Johann Heinrich Fanck, ledigem Haffner, des Ehren und Wohlachtbaren Herrn Johann Paul Fanck, Paßmentirers und burgers allhier, mit weÿl. der Ehren und tugendbegabten Frauen Salome gebohrner Baumin, deßen geweßter ersterer Ehegattin seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Catharina Barbara Litschin, des Ehren und wohlachtbaren Herrn Johann Jacob Litsch, bohrenmachers und burgers allhier mit weÿl. der Ehren und tugendbegabten Frauen Catharinæ Barbara gebohr. Farrenschonin deßen geweßter deßen geweßter erstern Ehegattin seel. ehelich erzeugten Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin – So beschehen zu Straßburg (…) auf Freÿtag den 27. Julÿ Anno 1753 [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck Als hochzeiter, Catharina Barbara Litschin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 318, n° 1171)
1753. Mittwoch d. 24. Oct. seind nach ordentlicher proclamation ehl. copulirt und eingesegnet worden Joh: Heinrich Fanck der ledige hafner H Joh: paulus Fancken pasmentmchers und b. allh. ehl. Sohn, und Jfr Catharina Barbara H Joh. Jacob Litschen, bohrenmachers u. b. allh. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck Als hochzeiter, Catharina Barbara Litschin Als hochzeiterin (i 323)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison sise Grand rue face à la rue du Bouclier
1753 (1.12.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 100) n° 822
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Meister Johann Heinrich Fanck, Haffners, wie auch der Ehren: und tugendbegabten Frauen Annæ Catharinæ Fanckin gebohrner Litschin, beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1753. – welche der Ursachen, allweilen in deroselben dem 27. Julÿ A° 1753. mit einander auffgerichteter Eheberedung §. 4.to ausdrucklichen Versehen, daß alles dasjenige, Was dieselbe einander in die Ehe Zubrigen, auch wehrend derselben, auf Ihr Jeedes Seithen und Linien hero, durch oder ohne Testament ererben, deßgleichen in præ: Legats: Schanckungs oder andere dergl. weiß erlangen und überkommen werden, einem Jeden theil und seinen Erben ein freÿ eigen ohnverändert und Vorbehalten Guth seÿn und bleiben – So beschehen Zu Straßb. in beÿseÿn v persöhnl. gegenwarth derer Ehren v. wohlvorachtbaren, H, Johann Paul Fancken Paßmentirers, des Ehemanns Leibl. Vatters v. Hn Joh: Christoph Baum, Seÿdenhändl. deßelben H. Oncle v. nich ohnentledigten Vogts, So dann H, Joh: Jacob Litsch, bohrenmachers der Ehefr. leibl. Vatters v. Fr. Susannæ Salome Litschin gebohrne Späthin Ihrer Stieff Mutter, deßgleiche, H, Joh: Philipp Kiehl, Schloßers, deroselben geschwohr. noch ohnentledigten Vogts, aller burgere allhier auf Sambstag en 1.ten Decembris Anno 1753.

In einer allhier zu Straßburg ane der Langen Straß gegen der Schildtsgaß hinüber gelegenen, Fr. Schmidin der huffschmidin und Fr. Froschhammerin der Meßerschmidin eigenthümlich zuständigen, Von beeden Eheleuthen lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Effecten, Sa. haußraths 57, Sa. Silbers 7, Sa. Schuld 25, Summa summarum 89 lb – Schuld 75, (Nach deren Abzug) 14, Und wann hierzu gerechnet wird die ane denen haussteuren Ihme gebührige helffte 50 lb, Des Ehemanns Völliges Zugebrachtes Guth 65 lb
Dießem nach werden auch der Ehefrauen in dieße Ihre Ehe gebrachte Mittel beschrieben, Sa. haußraths 162, Sa. Silbers 7, Sa. goldenen Ring 20, Sa. baarschafft 117, Sa. Schuld 20, Summa summarum 257 lb – Deme beÿzufügen deroselben ane gleich hernachfolgenden haussteuren participirende helffte 50, Der Ehefrauen zugebrachten Vermögen 407 lb

Catherine Barbe Litsch meurt trois ans plus tard en délaissant pour seul héritier son père. Marie Salomé Kühl, veuve du menuisier Jean Siegfrid a assisté la défunte lors de sa maladie et tient la maison depuis sa mort. L’inventaire est dressé dans la même maison que lors des apports en mariage. Le beau père et héritier cède ses droits au veuf dans un acte annexé à l’inventaire
1756 (24.8.), Me Haering (6 E 41, 1355) n° 35
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendbegabten frau Catharinä Barbarä Fanckin gebohrner Litschin des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Heinrich Fanck haffners und burgers alhie geweßener ehel. Haußfrau nun seel. Vrl. auffgerichtet Anno 1756. – nach ihrem den 6.ten instehenden Monaths aus dießer welt genommenen tödl. Hintritt hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührenden ansuchen derselben hernachgemeldten Herrn Vaters und ab intestato nachgelaßeneen einigen Erben, deßg. Vorgemeldten hinterbl. Wr. inventirt und ersucht, durch dieselbe, Auf Zu Vorhien an Sie, wie auch Frau Mariam Salome Siegfridin gebohrne Kühlin Mr Johannes Siegfried gew: Schreiners und b. alhier seel. hinterbl. Wb. welche die verstorbene seelige in ihrer Kranckheit verpflegtet und seit deren tod die Haußhaltung besorget, dazu auch Jacob Kratzer von Weickersheim hochgräfl. hohenloischer Jurisdiction den Gesellen v. Mariam Salome Steinin die denstmagd von hier, beschehene (…) Handtreu geäugt und gezeigt – So beschehen in fernerer Gegenwarth H Johann Philipp Kühl Schloßers und b. allh der Verstorbenen seel. gew: Vogts, Straßburg Dienstag den 24. Aug. 1756.
Die abgeleibte seelige hat ohne testament zu ihrem einig. Erben nachgelaßen Nahment. H. Johann Jacob Litsch bohrenmacher und br. allhier ihren eheleiblichen Vater

In einer alhier Zu Straßburg an der langen Straß gegen der Schildts gaß hinüber gelegenen Fr. Schmidtin d. Hueffschlmidin u. Fr. Froschhammerin d. Meßerschmidin eigenth. Zuständig, dießirts Lehnungs weiß bewohnend. behaußung befunden word. wie folgt
Werckzeug, Materialien und gemachter Geschirr Zum Kachler Handwerck gehörig. Dieße Rubrick ist durch H Johann Georg Heberlin und H. Georg Jacob Jung beede Kachler Mr. und br. alhie nach mir Notario abgelegter handtreu aufgenommenen und dem Stallpreis nach geschätzt worden, als
das Vorhandene gebrannte geschirr pro 15 ß
2. Scheuben 15 ß
2. Mühlen 1 lb 5 ß 6
die samtl. hafen bretter pro 7 ß 6
½ Wag. Voll Weiß Erd 10 ß
1 Wag. Voll rothe Erd 5 ß
die Weiße geschutt Erd vor 3 ß
Erschienen des Wittibers abgegangenen Vorbehaltenen uths, ach Anleÿtung des über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand Zugebr. Nahrung durch H. Notm. Johann Daniel Lang A° 1753 errichteten Invÿ.
Wÿdembs Verfangenschaft So in d. Verstorbenen seel. Nahrg. gehörig. Zufolg des Zwischen mehrgemeldtem herrn Johann Jacob Litsch dem dermalen erbenden Vater an einem, So dann Eingangs erwähntem Mr Philipp Kühl seiner mit Weiland Frau Catharina Barbara geb. Farrebschonin erzeugter 5. Kr. geordnetem Vogt an dem andern theil, Vor E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 9.ten febr 1743. auffgerichteten Vertrags
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. des Wbr ohnverändert und vorbehaltenen Guth, Sa. haußr. 7, Sa. Silber 2 ß, goldener Ring 9, Sa. Ergäntzungs (58, Abzug 7, Passiv Rest 19) Summa summarum 19 – Schulden 19, Nach deren Abzug 16 ß
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert und vorbehalten Guth beschrieben, Sa. Haußraths 62, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 8 ß, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzungs (155, Abzug 13, Rest) 140, Summa summarum 257 lb
Endlich wird auch das gemeinschafftlich. Verändert und theilbare Gurg beschrieben, Sa. haußraths 22, Sa. Werckzeugs & zum Kachler handwerck gehörig 3, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 5, Sa. Schulden 19, Summa summarum 55 lb – Schulden 206 lb, Theilbares passiv onus 151 lb
Stall Sa. 106 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Freÿtag den 27. Julÿ Anno 1753, Johann Daniel Lang Notarius
Copia Codicilli. Zuwißen seÿe hiermit daß die Ehren und tugendsahme frau Catharina Barbara gebohrne Litschin des Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Heinrich Fanck Kachlers und burgers alhie zu Straßburg Ehegattin (…) zu sich in eine alhier zu Straßburg an der langen Straß gerad gegen der Schilds Gaß über gelegenen, von ihr Lehnungs weiß bewohnende behausung beruffen, kommen und erbetten laßen, welche wir auff unser erschienen in deren Hinterhauß im ersten Stock befindlichen wohnstuben mit den fenstern in den hoff außsehend – den 18. Martÿ 1756 Not. Häring
– (Cession) sind persönlich erschienen Mr Johann Heinrich Fanck Haffner und burger alhier, beiständlich S. T. H. Lt. Johann Georg Albert Notÿ. publ. und berühmten Practici alhier an einem,
So dann H Johann Jacob Litsch bohrenmacher und burger alhier mit assistentz S. T. H. Johann Friderich Lobstein Notÿ. publ. und berühmten Practici alhier, an dem andern theil
die haben angezeigt demnach Sie das durch mich Notm. den 24.ten Aug. 1756. auffgerichtete Invm. über weiland Frau Catharinä Barbaræ geb. Litschin ged. Mr Fancken gew. Ehefrau und sein H. Litschen tochter seel. Verlaßenschafft genau durchgangen und nunmehro Zu Außlüfferung der Väterl. Leg., d aufrichtung des Legats und d. Aufrichtung des Wbs. Wÿdem schreiten solten, daß Sie sich nur ged. Verlaßenschafft unter sich gütlich Zu Vergleichen und zu erörten folgender maßen wißend und willkührlich Vereinbahret haben als
Nemlich und Zum Ersten so will Er Hr Litsch der Vater seinem ged. Tochtermann deßelbe, Ehegattin seeligen Verlaßenschafft so gesucht und ungesucht als ein wahren Eigenthum, so viel ihm daran vor seine rechten und Gerechtsamen würcklich Zustehet und Er daran Künfftig nich zu suchen hat, überlaßen und abtretten (…)
Dagegen und Vor das Andere macht sich ged. Mr Fanck gegen seinem geehrten H Schwäher anheischig ihm über die 50 Pfund Pfenning welche derslebe laut Invÿ. fol: 54.b et 55.b als ruckständ. Ehesteur in die Nahrung schuldig ist, annoch 125 Pfund zu zahlen (…), Womit dann derselbe sich ferner obligirt, das Frau Margarethä Salome geb. Muschculußin H. Johann Walter Koch bohrenmachers und bs. alhier Ehegattin Zuged. Legat außzuweißen (…)
So beschehen Straßburg Sambstags den 9.ten 8.bris 1756.

Jean Henri Fanck passe un contrat de mariage avec Marguerite Dorothée Wetzel, fille de potier. Le mariage ne sera pas célébré. Marguerite Dorothée Wetzel épousera en 1761 le boucher Jean Herrmann
1756 (24. 9.bris), Me Haering (6 E 41, 1375) n° 73
(Eheberedung) der Ehren und Vorgeachte H. Johann Heinrich Fanck, Kachlermeister, Wittiber und burger alhier zu Straßburg alß brautigam, an einem,
So dann die Ehren und tugendsahme Jungfrau Margaretha Dorothea Wetzelin weiland H. Johann Michael Wetzel geweßenen Kachlermeisters und burgers alhier seeligen in Zweiter Ehe mit frau Anna Margaretha gebohrner Neffin, dermahlen herrn Johann Balthasar Darm Kachlermeisters und bs. alhie Ehefrau ehel. erzeugte tochter, als Jgf. Brauth an dem andern theil – So beschehen Straßburg den 24.ten 9.bris 1756. [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck Als Hochzeiter, Margaretha Dorothea Wetzlerin als hochzeiterin

Jean Henri Fanck se remarie avec Susanne Marie Lobstein, fille de boulanger : contrat de mariage, célébration
1757 (29.8), Me Haering (6 E 41, 1375) n° 103
(Eheberedung) Zwischen dem Ehrengeachten Mr Johann Heinrich Fanck Wittiber und br. alhier Zu Straßburg, als hochzeiter an einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrau Susannä Mariä Lobsteinin, weiland Mr Andreas Lobstein geweßenen Schwartzbecken und bs alhier seel. mit Frau Anna Ursula geb. Bortin ehel. erzeugten tochter, als hochzeiterin, an dem andern theil, mit bewilligung sein des hochzeiters Vaters und ihr der hochzeiterin Mutter – Straßburg Montags de, 29.ten Augusti 1757. [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck als Hochzeiter, Susanna Maria Lobsteinin als hochzeiterin, Johann Paulus Fanck als Vatter

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 355-v n° 1318)
1757. Mittwoch d. 5. Oct. seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh: Heinrich Fanck haffner w. und b. alh. und Jfr. Susanna Maria weÿl. Andreas Lobstein Hausfeurers u. b. allh. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck als Hochzeider, Susana Maria lobstein als hohrin (i 361)

Susanne Marie Lobstein meurt en 1772 sans enfant en délaissant le veuf pour son héritier d’après les dispositions du contrat de mariage. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 818 livres, le passif à 750 livres.

1772 (20.7.), Me Haering (6 E 41, 1373) n° 456
Inventarium über Weÿl. der Ehren und Tugendsamen frau Susannä Mariä Fanckin geb. Lobsteinin des Ehrengeachten herrn Johann Heinrich Fanck, Kachler Meisters und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehefr: nunmehr seeliger Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1772 – nach ihrem Sonntags den 5.ten hujus aus dießer Welt genommenen tödl. von Hinnen Scheiden hie zeitlich Verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ebenged. ihres hinterbl. Wittibers, welcher nach dem Siebenden Puncten ihrer (…) Eheberedung, die gantze Verlassenschafft als ein wahres Eigenthum in Handen zu behalten berechtiget ist, weilen seine seel. Ehefrau zu erst ohne ein Kind oder ihre Mutter zu hinterlaßen mit tod abgegagen – Beschehen Straßburg Montags den 20. Julÿ 1772

In einer alhier Zu Straßburg an der langen Straß gelegenen, in dißortige Verlassenschafft gehörige behaußung befunden worden, wie folgt
(f° 5) Eigenthum an einer Behaußung. Nemlich eine behaußung hinter Gebäud Hoff bronnen, brennoffen und Hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, alhier in der obern Straß ein Seith neben weiland Georg Leonhard Graff des Haußfeurers Wittib anderseith neben Herrn Johann Andreas Bruder dem Jüngern Handelsmann alhier, ehemals dem Gasthauß zum grünen dragoner hinten auf eben dießes Hauß stoßend gelegen, so mit keine real beschwerde beladen und über hernach gemeldtes passiv Capital freÿ, leedig, eigen und durch (die Werckmeistere) beede hießiger Stadt geschworne bauverständige Inhalt deren zu mein Notarÿ Concept schrifftlich geliefferter Abschatzung vom 29.ten Julÿ 1772 angeschlagen worden Vor 1500 fl. hier 750. Wie der Wittiber dieße behaußung erkaufft, meldet Vor dem Königl. Not° H. Laquiante am 1.ten 8.bris 1761 Vorgegangene Kauffverschreibung welcher den 20.ten 9.bris ebenged. Jahrs dem Contractuum Protocollo dießer Stadt einverleibt worden. Dabeÿ liegen dreÿ ältere Kauffbr. mit der Stadt Straßburg C.C. Stb anhangendem Insiegel Verwahret Vom 9.ten Augusti 1745, Vom 5.ten Maÿ 1732 u. 12.ten Martÿ 1688
– Abschatzung Vom 29 July 1772, Auff begehren H Joh: Heinrich Fang des Kachlers Mäister ist eine behausung alhir in der Statt Strasburg in Der Lange Stras gelegen Einseits Neben H Falcker anderseits und hienden auff H bruder Stoßent Gelegen, solche behausung besteht in Ferder und hiender gebeÿ warinnen Ettliche Stuben Kammern und Kichen dar jber seindt Die Dach Stull mit breitziglein belegt, hat auch ein gewölbten Keller hoff und brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister und Vorhero Geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Ein thausend Finff hundert gulden. [unterzeichnet] Werner, Hueber
Abzug gegenwärtigen, Invÿ. Copia der Eheberedung perge in mein Notarÿ Schreibstub Sub dato 29. Augusti 1757
Folgt nun hierauf die beschreibung gegenwärtiger Verlaßenschafft an und Vor sich selbst. Sa. Haußraths 56 lb, Sa. Werckzeug 3 lb, Sa. Silber und Geschmeids 5 lb, Sa. goldenen Ring 2 lb, Sa. Eigenthums an einer behaußung 750 lb, Summa summarum 818 lb – Schulden 750 lb, Nach welchem Abzug 68 lb

Jean Henri Fanck épouse en troisièmes noces Sabine Federreuter, fille de marchand : contrat de mariage, célébration
1772 (19. 9.br), Me Haering (6 E 41, 1378) n° 630
(Eheberedung) persönlich erschienen Hr Johann Heinrich Fanck hafner Mr Wittiber und burger allhier, als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendgezierte Jungfrau Sabina Federreuterin herrn Andreas Federreuter handelsmanns und hiesigen burgers mit frau Maria Elisabetha gebohrner Vierlingin ehelich erzeugte Tochter beÿhülflich erstgedachten ihres geehrten Vaters, als Hochzeiterin an dem andern theil – so beschehen Straßburg Donnerstags den 19. Novembris Anno 1772 [unterzeichnet] Johann Heinrich fanck als Hochzeiter, Sabina Federreutherin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 14)
Im Jahr Christi 1773, Montags den 11. Januar nachmittag umb zweÿ uhr wurden (…) copulirt und ehelich eingesegnet Johann Heinrich Fanck, wittwer, burger und Haffner allhier, welcher in der ersten Ehe lebte mit Frau Susanna Maria gebohrner Lobsteinin und Jgfr. Sabina Federreuterin, Hn Andreas Federreuters, Handelsmanns und burgers allhier, und deßen Ehegattin, Fr. Maria Elisabetha gebohrner Vierlingin, ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanckh Als hochzeiter, Sabina Federreutherin als Hochzeiterin (i 65)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari, estimée à une valeur de 2 000 livres

1773 (4.6.), Me Haering (6 E 41, 1374) n° 485
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Johann Heinrich Fanck hafner Meisters und der Ehren: und tugendgezeirten frau Sabina geb. Federreutherin, beder Eheleuth und br. alh. Zu Straßburg, einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1773 – einander in Ihrem den 11. Jenner gegenwärtigen 1773.sten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht, und sich in deren vor mir Not° am 19. Novembris 1772 gepflogenen Eheberedung 4.t. Puncten freÿ und eigen vorbehalten haben – So beschehen, Straßburg Freÿtags den 4.ten Junÿ 1773.

In einer alhier zu Straßburg an der langen Straß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthum an einer behaußung. (M.) Nemlich eine behaußung, hintergebäud., hof, bronnen brennofen und hofstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, alhier in der obern Lang Straß, einseit neben weiland Georg Leonhard Graff des Haußfeurers Wittib, anderseit neben H. Joh. Andreas Bruder dem jüngern handelsmann alhier, ehemals dem Gasthauß zum grünen Dragoner hinten auf eben dießes hauß stoßend, gelegen, somit keiner Réal beschwerde beladen und über hernach gemeldtes Passiv Capital freÿ, leedig und eigen, wird ohne Præjuditz berechnet pro 2000 lb. Wie der Ehemann diese behaußung erkauft meldet vor dem königl. Not° H. Laquiante am 1. 8.bris 1761. vorgegangene Kauffverschreibung, welche den 20. 9.bris ebenged. Jahrs dem Contr. Prot. dießer Stadt einverleibt worden. Dabeÿ ligen 3. ältere Kauffbrief mit der Stadt Straßburg C. C. Stub anhangendem Insiegel verwahrt vom 9. Aug. 1745, vom 5. Laÿ 1732 u. 12. Martÿ 1688
Abzug gegenwärtigen Invÿ. Anfänglich aber des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. hausraths 251 lb, Sa. Waar und Werckzeugs Zur hafner Profession gehörig 30 lb, Sa. Wein und faß 49 lb, Sa. Silbers 20 lb, Sa. Eigenthums an einer behaußung 2000 lb, Sa. baarschafft 50 lb, Summa summarum 2401 lb – Schulden 1118 lb, Nach deren Abzug 1283 lb
diesemnach wird auch der Ehefraun in den Ehestand gebrachte sich vor freÿ und eigen vorbehaltene Vermögenschafft beschrieben, Sa. hausraths 30 lb, Sa. Silbers und geschmeids 32 lb, Sa. gold. O. u. Geschmeids. 32 lb, Sa. der Baarschafft 300 lb, Summa summarum 396 lb – Haussteuren 76 lb, jeedem 38 lb

Inventaire après décès d’un locataire, le maître tailleur Jean Chrétien Hengel

1784 (23.4.), Me Übersaal (6 E 41, 655) n° 85
Inventarium über des Wol: Ehren: und Vorachtbaren Herrn Johann Christian Hengel, Schneidermeisters und Viel: Ehren und tugendreichen Fraun Gertrudä gebohrner Rothin, beeder Eheleute, und bürger allhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaft auffgerichtet in dem Jahr 1784 – (…) einander in ihren Dienstags den 20.sten dieses laufenden Monats und Jahrs angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Solches wurde auf ihr beeder Eheleute freundliches Ansuchen und zwar die Ehefrau unter Verbeÿständung des Wol Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Caspar Roth, des ebenmäßigen Schneidermeisters und burgers von Basel ihres leiblichen und gebiebten bruders

So geschehen alhier zu Straßburg in einer an der mittlern langen straß gelegenen Hn Joh. Heinrich Fanck, dem hieseigen burger und Hafnermeister Zuständigen und diesorts zum Theil Lehnungsweiß bewohnenden Behausung, in fernerer Gegenwart des Wol Ehren und Vorachtbaren Hn Joh: Veit Hengem Schneidermeisters und der Viel: Ehren: und Tugendbegabten Fraun Catharinä Salome gebohrner Roßerin, beeder Eheleute und bürgere hieselbst, des Ehemanns Vielgeliebter Eltern wie auch der Viel Ehren und tugendreichen Fraun Catharinæ Esther Rothin gebohrner Oberlin, weil. des Wol Ehren: und Vorachtbahren Hn Joh: Jakob Roth gewesenen ebenmäßigen Schneidermeisters und burgers in der Stadt Basel seel. hinterbliebener Wittwen der Ehefraun geehrter Mutter auf Freitag den 23.sten Aprilis im Jahr nach Christi Gnadenreicher Geburt 1784.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemans in die Ehe gebrachtes Vermoegen, Sa. Hausraths 7 lb, Sa. Silbers 25 lb, Sa. baarschafft 4 lb, Summa summarum 37 lb – dazu gelegt die Ihme an denen Haussteuren gebührige Hälfte antreffend 32 lb. Des Ehemanns Vermoegen 69 lb
Diesemnach wird auch der Ehegattin zugebrachtes Gut verzeichnet. Sa. Hausraths 67 lb, Sa. Silbers 9 lb, Sa. goldener Ringe 7 lb, Sa. vorherbedittener durch die Ehefrau als mütterliche Ehesteur mitgebrachter baarschafft 60 lb, Summa summarum 144 lb – Und wann diesen beigerechnet wird die Ihro an denen gleichbalden veschriebenen Haussteuren 32 lb, So erstreckten sich der Ehegattin sämtliche beigebrachte Mittel dem wahren Werth nach auf 177 lb
Beeder Eheleute Einbringen 246 lb

Sabine Federreuther meurt sans enfant en 1784 en délaissant pour héritières ses quatre sœurs. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre au veuf s’élève à 176 livres, celle des héritiers à 359 livres. L’actif de la communauté s’élève à 265 livres, le passif à 478 livres.

1784 (23.10.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 885) n° 252
Inventarium über Weiland Fraun Sabinä Fanckin, gebohrner Federreutherin, herrn Johann Heinrich Fanck, Hafnermeisters und burgers allhier Zu Straßburg, Verstorbener Ehefrauen Verlassenschafft, errichtet Anno 1784. – nach ihrem den 11. Septembris jüngst erfolgten Absterben hinterlassen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen erstgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch ad requisitionem der Defunctæ per Testamentum instituiter Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter dem Wittiber für ohnverändert gehörigen behaußung an der Mittlern Langen Straß gelegen, Sambstags den 23. Octobris Anno 1784.
Der defunctæ per Testamentum instituirte Erben, sind, 1° Frau Maria Salome, gebohrne Federreutherin, Weiland herrn Philipp Wilhelm Milius, geweßenen bierbrauers und burgers allhier hinterbliebenen Wittib, der Defunctæ Schwester, welche unter Assistentz ihres Tochtermanns herrn Johann Daniel Edel, des bierbrauers und burgers allhier, dieser Verlaßenschafft Inventur beÿwohnete, in den Ersten Vierten Stammtheil.
2° Frau Maria Magdalena, gebohrne Federreutherin, herrn Erhard Schwing, des bleichers und burgers allhier Ehegattin, der Defunctæ Schwester, welche unter Autorisation dieses ihres Ehemanns gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur abwartete, in den Zweÿten Vierten Stammtheil.
3° Fraun Mariä Elisabethä gebohrner Federreutherin, Andreas Gänßhirt, des hier wohnhaften unverburgerten Seifensieders Ehefrauen, der Defunctæ Schwester ehelich erzeugte bereits lebende zweÿ Kinder nahmentlich a) Andreas, so 3 Jahr zurückgelegt und b) Catharina Elisabetha, so 1 Jahr und 7. Monat alt, dieser zweÿ Gänßhirtischen Kinder geordneter Vogt ist Abraham Gänßhirt, Seiler und burger alhier, welcher ad interim Ssis Ttis de Regierenden Herrn Ammeister behabung gethan, cum injunctione post ferias sogleich beÿ Es. En. Großen Eaths ersterer Session fernere præstanda zu præstiren, weshalben dann sowohl dieser Vogt, als auch der Pupillen Eltern nahmens solcher Kinder beÿ dieser Verlaßenschafft Inventur erschienen, diese Gänßhirtische 2. Kinder in den dritten Vierten Stammtheil. Pro Nota. Wie aber aus dem 6. paragrapho der Defunctæ errichteten Testamenti zu sehen, so ordnete dieselbe, daß vorbenahmßte Frau Maria Elisabetha Gänßhirtin alles dasjenige, was ihren Kinderen aus dieser Verlaßenschafft nach des disortigen Wittibers als Wittums niesers Absterben Erbs weis ausfallen wird, die tags ihres Lebens zu genießen haben solle.
So dann 4° Frau Sophia gebohrne Federreutherin, hern Johann Carl Ott, des Öhlhänlers in Kehl jenseit Rheins Ehegattin, der Defunctæ Schwester, welche unter Autorisation dieses ihres Mariti gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur beÿwohnete, in den letzten Vierten Stammtheil. Pro Nota. Wegen dieser Schwester und Erbin, hat die Defuncta in dem 4. und 5. Punct ihres Testaments geordnet, dafern gedachte Frau Ottin nach ihro der Testirerin ohne hinterlaßung ehelich erzeugter Kinder oder Kinds dieses Zeitliche geseegnen würde, daß in solchem Fall die gesamte ihro disorts Zukommende Erbschafft auf Vorbenahmßter fraun Gänßhirtin als dann am Leben sich befindlichen samtliche ehelich erzeugte Kinder und Leibes Erben den Stämmen nach eigenthümlich rückfällig seÿn (…), Alle Vorbenahmßte Vier Stammtheile sind der Defunctæ Schwestern und Schwester Kinder und Zu Vier gleichlingen Portionen und Stammtheilern per Testamentum instituirte Erben

Eigenthum an einer behaußung. (W.) Nemlich eine behaußung, Hintergebäud. Hoff, Bronnen, brennoffen und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier zu Straßburg an der Mittlern Langen Straß einseit neben herrn Wilhelm Friedrich Föckler dem Chirurgo, anderseit neben herrn Ferrier, dem handelsmann, hinten wieder auf denselben stoßend, so außer hernach inventirten darobe, haftenden Passiv Capital gegen männiglich freÿ, leedig, eigen und durch diesiger löblicher Stadt geschwornenn Werckmeister Zufolg ihrer Zu der Minutte dieses Inventarii gelüfferten schrifftlichen Abschatzung vom 18.ten Septembris 1784. gewürdiget worden pro 650. Diese behaußung hat der hinterbliebene Wittiber für ohnverändert in diese Ehe gebracht, wie er aber solche erkauft, meldet eine Vor dem königlichen Notario Hn. Laquiante am 1. Octobris 1761. passirte Kauffverschreibung, welche d. 20. Novembris eben solchen Jahrs dem Contactuum Protocollo dieser Stadt einverleibt worden. Dabeÿ liegen dreÿ ältere Kaufbrief, mit der Stadt Straßburg C. C. Stub anhangenden Insiegel Verwahrt, Vom 9.t Aug. 1745, vom 5. May 1732. und 12.ten Martÿ 1688.
Ergäntzung des hinterbliebeneen Wittibers wehrend dieser Ehe abgenagnenen unveränderten Guts. Nach Maasgab des über beeder nun zertrennten Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrungen durch weil. Not. Joh: Richard Häring den 4. Junii 1773 errichteten Inventarii (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. hausraths 54 lb, Sa. leerer Fäß 5 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. der goldenen Ring 3 lb, Sa. des Eigenthums an einer Behaußung 650 lb, Sa. der Schulden 50 lb, Summa summarum 770 lb – Schulden 946 lb, Compensando 176 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 65 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. goldenen Rings 3 lb, Sa. des Ergäntzungs Rests 334 lb, Summa summarum 409 lb -Schulden 50 lb, Nach solchem Abzug 359 lb
Endlich folget auch die Beschreibung des gemeinschafftlichen und theilbahren Guts. Sa. hausraths 19 lb, Sa. Werckzeugs zur Hafner Profession gehörig 2 lb, Sa. der leeren Faß 1 lb, Sa. Silbers 11 ß, Sa. der Schulden 241 lb, Summa summarum 265 lb – Schulden 478 lb, In Vergleichung 213 lb – Passiv recess loco der Stall Summ 30 lb
Copia der Eheberedung (…) den 19. Novembris 1772, Joh. Richard Häring
Copia Testamenti clausi – Ich Sabina gebohrne Federreutherin, Johann Heinrich Fanck Hfnermeisters und burgers allhier Zu Straßburg Ehegattin (…) den 10. Augusti 1784. Copia actus Depositionis, (…) in erstgedachten ihres Ehemanns eigenthümliche an der mittlern langen Straß hiesiger Stadt gelegene behaußung berufen lassen, die wir daselbsten eine Stiege hoch in einem Zimmer mit den Fenstern in gedachte Straß aussehend zwar krancken Leibes auf einem Seßel sizend (…) Mittwochs den Eilfften Augusti Anno 1784, Johann Friedrich Greiß
(Documenta) A la requete de Jean henry Fanck potier de terre et citoyen de Strasbourg qui étoit domicilié en sa demeure en cette ville grand rue N° 126, pour terminer le differend qui s’ellève entre eux, signifié le 17. sept. 1773**

Jean Henri Fanck se marie pour la quatrième fois avec Susanne Marguerite Redslob, veuve du boutonnier Jacques Bourcart Schweigheusser : contrat de mariage, célébration
1785 (18.3.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 122
(Eheberedung) persönlich erschienen Herr Johann Heinrich Fanck, der hafner Meister Wittiber und burger allhier als bräutigam an einem
So dann Frau Susanna Magdalena gebohrene Redslobin, weiland Herrn Jacob Burckhard Wittib, beiständlich herrn Johann Michael Redslob des Seidenhändlers u burgers allhier, ihres bruders als braut an dem andern Theil [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck als hochzeiter, Susann Magdalen schweigheußrin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 181)
Im Jahr Christi 1785 Mittwoch den 25. Maÿ abends um Fünff Uhr sind (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Heinrich Fanck, Hafner-Meister und burger allhier, witwer, der in der Vorhergegangenen Ehe gelebet mit Weÿland Frau Sabina Federreuterin und Frau Susanna Magdalena Schweighäußerin gebohrne Redslobin, weÿl. herrn Jacob Burckhardt Schweighäußers geweßenen Seiden Knöpffmachers und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johann Heinrich Fanck als hochzeiter, Susann Magdalena schweigheißer als braud (i 182)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari, estimée à la même valeur de 2 000 livres qu’en 1773

1785 (14.11.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 886) n° 295
Inventarium über Herrn Johann Heinrich Fanck, des Hafner Meisters und Fraun Susannä Magdalenä gebohrner Redslobin, beÿder Eheleuthe und bürgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Vermögenschafft, errichtet Anno 1785. – in ihrem Vor mir unterschriebenem Notario den 18. Martÿ 1785. miteinander errichteten Ehe Contract paragrapho secundo stipuliret haben, daß einem jeden Von ihnen sein in die Ehe bringendes Vermögen für eigen und ohnverändert Vorbehalten seÿn solle

Geschehen allhier zu Straßburg in hernach inventirter an der mittlern langen Straß gelegenen dem disortigem Ehemann für ohnverändert gehörigen behausung, in fernerem beÿseÿn Hn Isaac Köbele des jüngern, Kamm Machers und burgers allhier, als der Ehefraun ad hoc angesprochenen beistands, Montags den 14. Novembris Anno 1785.
Werckzeug zur Haffner profession gehörig
(M.) 12.Hafenbrett 6 ß
2. drehscheib 2 lb
2. Glazure mühl 4 lb
1. Leimen std. Bürst u. Penß. 6 ß
1. Karch Marienthal Erd 1 lb 5
1. Karch Roth Erd 5 ß
½ Karch Sand 3 ß (summa) 8 lb 5 ß
Eigenthum an einer behaußung. (M.) Nemlich eine Behaußung, Hintergebäud, Hoff, Bronnen, Brennoffen und Hoffstatt mit allen übrigen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten gelegen alhier Zu Straßburg in der mittlern langen Straß, einseit neben H. Wilhelm Friedrich Föckler, dem Chirurgo, anderseit neben H. Ferrier dem handelsmann hinten auf denselben stoßend, so auser hernach inventirten Passivis sonsten gegen männiglich freÿ leedig eigen und hier ohnpræjudicirlich gewürdiget und angeschlagen wird, für 2000. Dieße behaußung hat der Ehemann für ohnverändert in die Ehe gebracht, wie er aber solche erkauft, darüber meldet eine vor dem königl. Not° H. Laquiante am 1. Octobris 1761. passirte Kauff verschreibung, welche d. 20. Nov. besagten Jahrs dem Contractuum Protocollo dießer Stadt einverleibt worden ist. Dabeÿ liegen dreÿ ältete Kauffbrieff mit der Stadt Straßburg C. C. Stub anhangendem Insiegel verwahret, vom 9. Aug. 1745, vom 5. Maÿ 1732. und vom 12. Martii 1688.
Antheil an einem Gädlein. (F.) Nemlich der achte theil für ohnvertheilt von und ane einem Gädlein gelegen alhier zu Straßburg auf dem Prediger Kirchhoff, gegen der neuen Kirch über (…)
Wittum, Welchen der disortige Ehemann von weiland Fraun Sabina Fanckin gebohrner Federreutherin, seiner verstorbenen dritten Ehefraun lebtägig Zu geniesen hat, nach deßen absterben aber demselben hinterlaßenen Testaments Erben eigenthümlich anheimfällt. Es hat nemlich borbenahmste des Ehemanns verstorbenen dritte Ehefrau in ihrem den 10. Aug 1784. (…) Testament (…) zufolg der den 20. Novembris 1784 durch mich errichteten Summarischen Ersuch und berechnung
Wittums Verfangenschafft, So die Ehefrau in die Ehe gebracht. Es declarirte nemlich die Ehefrau, daß ihre Stiefmutter Frau Susanna Elisabetha, gebohrne Wiedenmännin weiland H. Johann Ludwig Redslob, gewesenen Paßmentirers und burgers alhier hinterbliebene Wittib aus dieses ihres verstorbenenn Ehemanns als der disortigen Ehefraun Vaters Verlaßenschafft lebtägig wittumsweis zu geniesen habe (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 199 lb, Sa. Werckzeugs zum Hafner Profession gehörig 8 lb, Sa. Weins und leeren Faß 30 lb, Sa. Silbers 26 lb, Sa. des goldenen Rings 1 lb, Sa. baarschafft 6 lb, Sa. des Eigenthums an einer behaußung 2000 lb, Sa. schulden 23 lb, Summa summarum 2295 lb – Schulden 1337 lb, Nach solchem Abzug 957 lb, Wird dazu gerechnet die demselben gebührige Helfte ane denen Haussteuren 29 lb, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 987 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 220 lb, Sa. Wein und Faß 66 lb, Sa. des Silbers 34 lb, Sa. der goldenen Ring 67 lb, Sa. der baarschafft 1241 lb, Sa. Pfenningzinß Hauptgüter 525 lb, Sa. des Antheils an einem Gädlein 56 lb, Sa. der Schulden 331 lb, Summa summarum 2543 lb – dazu die helffte an denen haussteuren 29 lb, Der Ehefraun in die Ehe gebracht Guth 2573 lb

Jean Henri Fanck meurt en 1806 en délaissant des héritiers collatéraux
1806 (20.9.), Strasbourg 3 (30-1), Me Übersaal n° 965, 3415 – Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 172-v du 20.9.
Inventaire de la succession de Jean Henri Fanck potier de terre décédé le 11 août 1806 – à la requête de la veuve Susanne Madeleine Redslob assistée de Jean Geofroi Redslob marchand en soie et des héritiers collatéraux
dans une maison grand’rue n° 126 appartenant au Sr Isaac Koebelé dont le second étage est occupé par le défunt
I. dans la ligne paternelle. 1. Les descendants de son frère Jean Michel Fanck passementier 1. Catherine Salomé Fanck femme de Conrard Pfaff menuisier fille de Jean Daniel Fanck, cabaretier procréée avec Juliane Erb, un tiers 1/6
2. a) Jean Michel Schleifer farinier b) Marguerite Elisabeth Schleifer femme de Jacques Weber farinier, c) Marguerite Madeleine Schleifer femme de Jean David Zwicker farinier issus de Tibaut Schleifer farnier et feu Marguerite Elisabeth Fanck chacun pour 1/18
3. Louis Pflaum, Frédéric et Charles Pflaum enfants mineurs de Louis Pflaum tailleur d’habits procréés avec feue Catherine Salomé Bauer, petits enfants de Jean Michel Bauer journalier et Anne Marie Fanck pour 1/6, Charles Pflaum décédé le 10 septembre 1806,
II. dans la ligne maternelle, Marie Salomé Baum veuve de Jean Michel Redslob, passementier, cousine germaine du défunt, fille de Jean Christophe Baum passementier et de Susanne Madeleine Falckenhauer petite fille, Jean Michel Baum et Ursule (-) père et mère du défunt, Marie Salomé Baum femme de Jean Paul Fanck passementier pour ½ (Arbre joint)

Propriété d’une maison, Scavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’Ecrevisse N° 2, d’un côté la veuve Herrmann, d’autre N Lebrun coëffeur des Dames donnant derrière sur N Martin peseur de farine. Propriété constatée par acte passé devant le soussigné notaire le 8 juin 1791 en vertu duquel 6/7 de ladite maison ont été cédés a la veuve par ses cohéritiers de feue Marguerite Salomé Redslob, décédée veuve de Jean Michel Theurkauf pelletier, le 7° restant appartenant déjà à la veuve, 200 fr
remploi 9922 fr, déduire 1502 fr, restent à remplacer 8419 fr, total général 10&pt°619 fr
propres des héritiers, linge 180 fr, capitaux portant rente 7900 fr, remploi 5898 fr, déduire 4115 fr restent à remplacer 1782 fr, total général 9862 fr, duduire don matutinal 200 fr, propres des héritiers 9662 fr
communauté, meubles 1408 fr, argenterie 433 fr, capitaux et dettes actives 5155 fr, total 6996 fr, passif 12 326 fr, excédent de passif 5329 fr
Contrat de mariage Me Greis le 18 mars 1785, Testament nuncupatif du 21 août 1806
propres de la veuve selon le contrat de mariage, 200 francs

Jean Henri Fanck vend la maison7 900 francs au peignier Isaac Kœbelé

1804 (23 vend. 13), Strasbourg 3 (50), Me Übersaal n° 1374, 2593 – Enregistrement de Strasbourg, acp 94 F° 63-v du 24 vend. 13
Jean Henri Fanck potier demeurant en cette ville grand’rue n° 126 /:pendant la vie du Sr Fanck ou de son épouse Susanne Madeleine Redslob
à Isaac Koebelé faiseur de peignes
Une Maison appartenante au Sr Fanck avec cour puits tous droit appartenances et dépendances située en cette ville grand’rue n° 126, d’un côté le Cit. Fischer tricotteur de Bas d’autre le Sr Cretin – acquis par acte reçu Me Laquiante le 1 octobre 1761 enregistré au protocolle de la Chambre des Contrats le 20 novembre 1761 f° 338 – moyennant 7900 francs

Marie Madeleine Bernhardt femme d’Isaac Koebele meurt en 1808. La maison est décrite lors de son inventaire.

Les meubles délaissés par Catherine Dorothée Bernhard sont vendus aux enchères devant la maison Kœbelé

1813 (17.12.), Strasbourg 3 (36), Me Übersaal n° 1320, 6558
Vente de meubles délaissés par Catherine Dorothée Bernhard fille majeure décédée le 11 novembre 1813, devant une maison grand rue n° 126 appartenant à Isaac Koebelé père, peignier, et à ses enfants – à la requête des héritiers collatéraux savoir 1. Marie Salomé Bernhard sœur germaine femme de Jean Frédéric Verius peignier, 2. des enfants délaissés par Marie Madeleine Bernhard sœur germaine de la défunte, procréés avec Isaac Koebelé peignier sçavoir a) Marie Madeleine Koebelé épouse de Jean Jacques Müller peignier, b) Isaac Koebelé fils peignier, c) Jean Louis Koebelé aussi peignier, d) Marie Salomé Koebelé épouse de René Louis Rathgeber instituteur à Hürtigheim, 3. Susanne Marguerite Bernhard sœur germaine veuve de Jean Daniel Nonnenmann bacquetier
dans une maison sise grand rue n° 126
396, 128, 342 et 318 francs – liquidation n° 6571, total de la succession 2274 fr

Inventaire après décès de Marie Sophie Müller, femme du tourneur Jean Louis Kœbele, fils d’Isaac Kœbelé propriétaire de la maison

1820 (14.11.), Strasbourg 3 (65), Me Schreider n° 560 – Enregistrement de Strasbourg, acp 150 F° 16 du 22.11.
Inventaire de la succession de Marie Sophie Müller épouse de Jean Louis Köbele, tourneur, décédée le 29 septembre dernier – à la requête de le veuf légataire universel par testament passé devant Me Schreider le 29 septembre dernier, communauté établie par contrat de mariage
dans une maison grand rue n° 126 dont M Köbele père est propriétaire
garde robe 67 fr
communauté meubles 206 fr, fonds de boutique 150 fr, numéraire 50 fr, dettes actives 2900 fr, total 3306 fr, passif 258 fr

Jean Louis Kœbele se remarie avec Sophie Ihlé
1821 (25.4.), Strasbourg 3 (66), Me Schreider n° 719 – Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 74-v du 26.4.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Louis Koebele, tourneur, domicilié grand rue n° 126 , veuf en premières noces sans enfants de Marie Sophie Müller, fils majeur d’Isaac Koebele, tourneur, et de feu Madeleine née Bernhard
Sophie Ihle, fille majeure de Valentin Ihle, frippier, et de Marguerite Müller demeurant grand rue

Après la mort d’Isaac Kœbelé dont l’inventaire dressé par le notaire Grimmer n’est pas conservé, la maison échoit à sa fille Marie Salomé femme de l’instituteur Louis Regnard Rathgeber (contrat de mariage). Elle hypothèque ses deux maisons en 1847 au profit du boulanger Gustave Georgen.

La maison reviendra ensuite à sa fille Salomé Wilhelmine qui épouse en 1838 le facteur de pianos Jacques Frédéric Bauer

1838 (9.3.), Strasbourg 8 (67), Me G. Grimmer n° 5410 – Enregistrement de Strasbourg, acp 257 F° 85 du 12.3.
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jacques Frédéric Bauer, facteur de pianos, veuf avec un enfant de Barbe Kieffer
Salomé Wilhelmine Rathgeber majeure feu Louis René Rathgeber, étudiant de théologie, et de Marie Salomé Koebele



20, rue des Hallebardes


Rue des Hallebardes n° 20, au Bon coin (zum Guth Eck), maison Lassia (1748) détruite en 1944
VI 176 (Blondel), O 264 puis section 19 parcelle 1 (cadastre)

Autre adresse, 14, place de la Cathédrale

Cathédrale 14 (février 2016)Cathédrale 20, 22 (1 Fi 67, 74)Hallebardes 18-20 (1003 W 3, 1197)
Bâtiment actuel (n° 18) qui occupe une partie de l’ancien n° 20 (février 2016)
Photographie de Lucien Blumer (années 1930)
le 14, place de la Cathédrale est la deuxième maison à partir de la gauche
(AMS, cote 1 Fi 67, n° 74)
Façade rue des Hallebardes, maison d’angle, la troisième à partir de la droite
(AMS cote 1003 W 3, n° 1197, cliché pris pendant la guerre)

Appelée au Bon coin (zum Guth Eck), la maison appartient successivement à plusieurs orfèvres : Jean Adam Runckel (1677-1734), Samuel Schwanfelder (1734-1744) et Jean Frédéric Bæhr (1758-1811). Jean Adam Runckel remplace en 1723 une partie de sa toiture par un toit à la Mansard, travaux complétés en 1739 par Samuel Schwanfelder qui a fait agrandir les fenêtres des étages quelques années auparavant (1735, voir les directeurs fonciers et la les tribu des Maçons). La maison qui a un encorbellement face à la rue des Orfèvres mais pas sur celle vers la cathédrale est estimée 1 100 livres en 1733, valeur assez élevée pour un bâtiment qui occupe un petit terrain. Le marchand de nouveautés Joseph Lassia l’achète en 1744 et la reconstruit entièrement en 1748. Il est autorisé à avancer des deux côtés son nouveau bâtiment sur le communal, à y placer rue des Hallebardes un balcon qu’il décide de transférer sur l’autre face de la maison quelques semaines plus tard et à creuser une fosse de vidange sous la voie publique. Il charge le maître maçon Gaspard Raballiati d’entreposer les pierres nécessaires à la nouvelle construction qu’il confie au maître maçon Georges Michel Müller. L’accord qu’il passe avec lui le 30 avril 1748 fera l’objet d’un litige clos par la sentence arbitrale rendue en 1753. Le billet d’estimation de 1749 qui évalue maintenant la maison à 4 500 livres la décrit telle qu’elle se présentait avant sa destruction en 1944 : un rez-de-chaussée, trois étages, comble à la Mansard et deux niveaux de greniers.

182 Elévations e-g
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 182

L’Atlas des alignements clos en 1829 signale un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), les repères (g-h) représentent le mur en saillie par rapport à la maison voisine, (h-k) la façade à quatre travées vers la place de la Cathédrale et (k-l) celle à deux travées vers la rue des Hallebardes, le nombre et la disposition des ouvertures étant les mêmes que sur les photographies des années 1930 et 1940. L’élévation dessinée en 1903 avant le ravalement des façades représente des ornements (frontons au-dessus des fenêtres du premier étage) qu’on ne voit pas sur les photographies où seuls figurent les bandeaux entre les étages. Le plan du rez-de-chaussée (1903, avant travaux) montre bien l’arrondi à l’angle de la rue. Le mur qui sépare l’entrée du magasin a été reconstruit peu après en ligne droite.

Cathédrale 14 (façade, 1903)Cathédrale 14 (rez-de-chaussée, 1903) 2116Cathédrale 20 (1003 W 1, 476)
Elévation place de la Cathédrale – Plan du rez-de-chaussée
(1903, dossier de la Police du Bâtiment)
Même façade (AMS cote 1003 W 1, n° 476, cliché pris pendant la guerre)

Charles Raeuber (commerce de vêtements pour enfants fondé en 1853) transforme en 1881 le rez-de-chaussée en remplaçant les murs par des piliers en fer. Il pose en outre des devantures en bois garnies de volets roulants qui seront remplacées en 1903 par des cadres métalliques. On construit en 1903 un mur en briques qui sépare le magasin de l’escalier principal. Le commerce est repris par Charles Jacquin, gendre de Charles Raeuber, puis en 1904 par Léon Scheuer qui cesse son activité en 1914. Le rez-de-chaussée est ensuite occupé par le magasin de matériel photographique de Chrétien Münch (1920) puis par la librairie Sostralib (1930, Société Strasbourgeoise de Librairie) qui devient pendant la guerre la Librairie de la Cathédrale Fischer et Compagnie. La toiture est refaite en 1942. Le bâtiment est entièrement détruit lors du bombardement du 11 août 1944. La Ville modifie ensuite l’alignement à l’angle de la rue des Hallebardes, une partie du terrain est réunie à la voie publique, l’autre à la parcelle voisine (18, rue des Hallebardes) qui devient ainsi la maison d’angle.

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

fondation des Pauvres lépreux de l’Eglise rouge
1638 v Jacques Ensel, cordonnier, et (1634), Barbe Brey – luthériens
1677 v Jean Adam Runckel, orfèvre, et (1674) Susanne Helck, veuve de l’orfèvre Jacques Sebastian Gambs, puis (1689) Marie Catherine Redslob – luthériens
1734 v Samuel Schwanfelder, orfèvre, et (1725) Susanne Grünwald – luthériens
1744 v Joseph Lassia, marchand de nouveautés, et (1724) Nicole Dany – catholiques
1758 adj Jean Frédéric Bæhr, orfèvre, et (1765) Charlotte Louise Wagner – luthériens
1811 v Jean Michel Mertz, savetier, et (1779) Anne Catherine Noll – luthériens
1834 h Jean Michel Mertz, cordonnier, et (1812) Sophie Edelmann
1857 v Louis Birry, boulanger, et (1846) Marie Anne Kutterer
1877* Charles Ræuber, marchand
1894* h Charles Joseph Jacquin, marchand, et Emma Ræuber
1922* h Charles Henri Georges Jacquin, directeur des assurances sociales à Metz
1927* v Adolphe Batt, architecte, et Marie Brückmann
1932* v Société Strasbourgeoise de Librairie et d’Imprimerie, Sostralib (s.à.r.l.)
1944* Librairie de la Cathédrale, Fischer et Compagnie
1947* Société Strasbourgeoise de Librairie Sostralib, Fischer et Compagnie (société en commandite simple)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 850 livres en 1684, 1 100 livres en 1733, 4 500 livres en 1749

(1765, Liste Blondel) VI 176, Jean Fréderic Bähr
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 264, Mertz, Jean Michel fils rue des Hallebardes 1 – maison, sol – 0,54 are

Locations

1659, (boutique à trois arcades) Elie Kürsner, marchand épicier
1749, François Duboux de Maurant, commis principal des fortifications et maître d’arithmétique et géométrie
1797, (boutiques) Jean Louis Schlick, négociant

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 464
Le loyer établi par les directeurs fonciers (voir plus bas) pour une échoppe est réglé le temps de son existence, c’est-à-dire de 1740 à 1745

H. Samuel Schwanfelder der Silberarbeiter, soll Von einem gädlein an seinem Eckhauß in d. Spießgaß geg. d. goldschmidgaß, jahrs vf Mich: und A° 1740. I.mo, L. P. de 1739. fol. 138
(Quittung) 1741
Neuzb fol 323-b

Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 323-b

alzb. 464
Samuel Schwanfelder der Silberarbeiter solle von einem Gädlein an seinem Eckhauß in der Spießgaß gegen der Goldschmidtgaß, Jahrs auf Michael. 1 lb 10. ß
(Quittungen) 1741-1745 mit auffkünd.

Directeurs fonciers (Bauherren)

1723, Directeurs fonciers (VII 1390)
L’orfèvre Jean Adam Runckel demande l’autorisation de remplacer une partie de sa toiture par un toit à la française (à la Mansard). Les préposés se rendent sur place et constatent que le nouveau toit remplacerait une saillie identique à l’encorbellement. Jean Adam Runckel est autorisé à faire les travaux. Un mois plus tard, le charpentier Benoît Fuchs est autorisé à remplacer une pièce du pan de bois au-dessus de l’encorbellement une fois les travaux achevés.

(f° 180-v) Dienstags den 22. Ejusd. [Junÿ 1723] Herr Johann Adam Runckel pt° bawens – Herr Johann Adam Runckel, der Goldarbeiter, will an Seine in der Spießgaß liegenden Nebens behaußung ein Frantzösisches dach machen laßen bittet auch umb deßen Vergönstigung.
Erk. ut ante [solle deßwegen ein Augenschein eingenommen werden]
(f° 184-v) Montags den 19. Julÿ 1723. seÿnd Nachfolgende Augenschein eingenommen worden. Johann Adam Runckel pt° bawens – Endlichen An Herrn Johann Adam Runckel des Goldarbeiters behaußung in der Spießgaßen, An welcher Er eine Auß Ladung, Gleich über dem Überhang hinweg zuthun, auch das Alte Tach abzubrechen, und ein neü Frantzösisches so genantes Tach a la Mansarte bawen zulaßen willens.
(f° 185-v) Dienstags den 20. Julÿ 1723. Joh: Adam Runckel – Herr Johann Tobias Baur der Silber Arbeiter nôe H. Johann Adam Runckel seines Schwehrvatters wiederhohlt Voriges begehren wegen änderung des Tachs An seinem Hauß in der Spießgaß. Erkannt Willfahrt.
(f° 189-v) Dienstags den 3. Ejusd. [Aug. 1723]. H. Johann Adam Runckel pt° bawens – Herr Tobias Baur, der Silberarbeiter, Zeigte in nahmen Herrn Johann Adam Runckel, Seines Schwehers, Mghh. an, daß Benedict Fuchß der Zimmermann, beÿ dem den 9. Julÿ jüngst vor Seiner in der Spießgaß liegenden behaußung eingenommenen augenschein anzuzeig. Vergeßen, daß die oberste Riegelwand faul seÿe, bittet also gantz unterth. daß Ihme möchte erlaubt werden, solche vmb anderthalben Schuh höher setzen Zu laßen. Erk. weilen es in dem obersten theil dieser behausung ist, als wird Ihme hiemit willfahrt, benedict Fuchßen dem zimmermann aber solle ein guther verweiß gegeben werden, daß Er beÿ dem eingenommenen augenschein solches nicht angezeigt.

1734, Directeurs fonciers (VII 1396)
L’orfèvre Samuel Schwanfelder est autorisé à couvrir de planches les parois au-dessous de son encorbellement pour supprimer les toiles d’araignées qui entourent les poutres

(f° 60) Montags den 9.t Augusti 1734. H. Samuel Schwanfelder – H. Samuel Schwanfelder der Silberarbeiter ersucht MGHh. umb erlaubnus unter dem Uberhang seines Haußes in der Spießgaß, Gegen der Goldschmidgaß hinüber, Täffelen Zulaßen, die alte schwarter jeder zeit mit Spinnweben umbegeben Balcken Zubedecken. Erkannt Willfahrt.

1735, Directeurs fonciers (VII 1396)
Samuel Schwanfelder demande l’autorisation d’agrandir les fenêtres des deux étages au-dessus de l’encorbellement. Avertis un mois plus tard que Samuel Schwanfelder fait faire de très grandes ouvertures, les préposés se rendent sur place et constatent que tout danger est écarté puisque les murs sont bien étayés. Ils font une nouvelle visite en mars après que Samuel Schwanfelder a demandé l’autorisation d’abaisser l’un de ses auvents et de remplacer une marche en pierre par deux plus petites

(f° 95-v) Dienstags den 25. Januarÿ 1735. Samuel Schwanfeld. weg. bauens – Herr Samuel Schwanfelder, der Goldarbeiter, bittet MGHh Zuerlauben, daß Er an Seiner in der Spießgaß liegeden wohnung und Zwar deßen beeden obersten Stöcken in der maur, masen, ohngeachtet es einen überhang hat, alles gemaurt ist, die fenster umb Einen Schuh biß 14. Zoll dörffe erhöhen laßen.
Erkand, Solle durch die Herren Werckmeister deßen beschaffenheit examinirt und referirt werden.
(f° 104-v), Donnerstags den 17.t Februarÿ 1735, seind folgende Augenschein eingenommen worden. H. Samuel Schwanfelder – An H. Samuel Schwanfelders des Silberarbeiters Hauß in der Spießgaß, gegen der Goldschmidgaß hinüber woran er bauete, und, wie berichtet worden, so große Öffnungen in der Wand des Überhangs machen Laßen, daß es sehr gefährlich Außsiehet, es fande sich aber beÿ dem augenschein wohl Gesprießet, daß nichts Zubesorgen.
(f° 115-v) Donnerstags den 31. Ejusdem [Martÿ 1735], seind folgende Augenschein eingenommen worden. H. Samuel Schwanfelder – An H. Samuel Schwanfelders des Silberarbeiters Eckhauß gegen der Goldschmidgaß hinüber, welcher das über seiner hinder thür befindlichen Wetterdächel, so etwas höher stehet, als das größere darneben, diesem Zugleich Herab Zulaßen, wie auch anstatt einer steinern staffel Vor gemelter thür so 4. schuhe Lang und 1 schuhe, 9 Zoll breit, 2. steinere staffelen Zusammen 2. schuhe 4. Zoll breit Legen Zulaßen willens und deßwegen umb erlaubnus gebetten.

1739, Directeurs fonciers (VII 1398)
Samuel Schwanfelder est autorisé à occuper un terrain communal près du pont des étudiants pour y faire faire des travaux de menuiserie et faire faire un toit à la Mansard à sa maison pourvue d’un encorbellement. L’automne de la même année, les préposés constatent qu’il a fait bâtir sans autorisation une petite échoppe ; il déclare l’avoir fait construire pour que la veuve du passementier Jean Stuber puisse y vendre ses marchandises. Il est autorisé à conserver l’échoppe à condition de payer un cens annuel d’une livre dix sols (inscrite plus haut au Livre des loyers communaux)

(f° 95-v) Dienstags den 7. Ejusdem [Aprilis 1739], seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden. H. Samuel Schwanfelder – Auf dem Platz beÿ so genannten studenten brückel gegen dem Würths hauß Zum dann Zapffen hinüber, jenseits dem Gerbergraben, wo H. Samuel Schwanfelder der Goldarbeiter etwas Holtz Zimmern Zulaßen, umb erlaubnus gebetten. Erkannt Willfahrt.
(f° 96) H. Samuel Schwanfelder – An Hn Samuel Schwanfelder des goldarbeiters Hauß an der Spießgaß gegen der Goldschmidgaß, welche umb erlaubnus gebetten, auf besagtes Hauß so einen Überhang hat, ein dach a la Mansard machen Zulaßen. Erkannt Willfahrt.
(f° 138) Montags den 28. Ejusdem [Sept. 1739], seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden. H. Samuel Schwanfelder – An Hn Samuel Schwanfelder des Silberarbeiters Eckhauß in der Spießgaß gegen der Goldschmidgaß über, Vor Welches er Ohne erlaubnus ein gädlein bauen Laßen und solches Johannes Stubers deß Paßmentirers Verlaßenen Ehefrauen Verlühen. Schwanfelder entschuldiget sich er Habe es auß Commiseration gethan, damit sich diese frau ernehren Könne, und nicht in mangel der Nahrung dem Spital, und jhr Kind dem Waißenhauß Heimfalle, das Gädlein stehe in seinem Hauß und unter seinem dach, und werde alle Nacht in sein Hauß Getragen. Erkannt solle so Lang MGh. belieben wird das Gädlein da Zulaßen und Stubers Frau darinn seÿ, wird, jährlich 1. lb 10 ß Zinß geben.

1741, Directeurs fonciers (VII 1399)
Les préposés reprochent à Samuel Schwanfelder d’avoir établi un étal sur la voie publique devant sa maison. Il répond que la vannière Reeb a remplacé son panier par un étal sans lui avoir demandé son avis et qu’il serait satisfait s’il disparaissait. Les préposés décident de l’interdire

(f° 117) Dienstags den 2. Maÿ 1741. H. Samuel Schwanfelder – Herr Samuel Schwanfelder der Silberarbeiter ware Citirt und befragt, warumb er einen standt ohne erlaubnus An sein Hauß in der Spießgaß gegen der Goldschmid Gaß über machen Laßen ?
Ille sagt (-) Reeb des Wollspinners frau Hätte Vorhin nur ein Korben Woll Allda feÿl Gehabt, nachgehends aber wieder sein Wißen den standt dahin Gestellt, und wäre jhme Lieb wann solcher wieder Hinweg Erkannt Würde. Erkannt, solle hinweggethan werden.

1747, Directeurs fonciers (VII 1402)
Joseph Lassia demande l’autorisation de construire sur le communal à l’aplomb de son encorbellement. Les préposés refusent mais après qu’il a réitéré sa demande, ils chargent le chef des travaux de se rendre sur place

(f° 179) Dienstags den 28. Ejusdem [Novembris 1747] Joseph Lassia – Augenschein eingenommen an Joseph Lassia des galanterie händlers Eckhauß an der Spießgaß, gegen der goldschmid Gaß über, welcher um erlaubnus gebotten, unter dem Überhang besagten Haußes, auf der seithe gegen der goldschmid gaß, soweit derselbe Vorstehet, Vorzubauen. Erkannt, Abgewießen.
(f° 183) Dienstags den 12. Decembris 1747. Joseph Lassia – Joseph Lassia der Galanterie Waarhändlers ersucht MGHh. nochmahls durch sein Unterthäniges Memoriale, jhme die Unterbauung seines Überhangs Zuerlauben, Indeme solches weder dem publico noch sonsten jemand schädlich.
Erkannt solle Herr Lohner eine Flucht außstecken, um Zusehen, ob jhme ohne Nachtheil des Publici Könne geholffen werden.

1748, Directeurs fonciers (VII 1403)
(Suite de l’affaire) Joseph Lassia demande l’autorisation de construire sur le communal face à la rue des Orfèvres à l’aplomb de son encorbellement (17 pieds de long sur 3 pieds 3 pouces de large) et face à la maison Richshoffer où la maison n’a pas d’encorbellement (30 pieds de long sur 2 pieds 3 pouces de large). Les préposés décident de déterminer l’alignement à l’aide d’un cordeau. L’architecte de la Ville propose en février d’autoriser la construction sur 4 pieds face à la rue des Orfèvres et 2 pieds 3 pouces face à la maison Richshoffer. Les préposés se rangent à son avis, le pétitionnaire devra cependant ne pas poser de marche sur le communal et payer une rente annuelle de deux livres qu’il rachète aussitôt moyennant 80 livres.
Les préposés permettent en mars à Joseph Lassia de garnir la maison d’un balcon déjà autorisé par le préteur royal.
Les préposés autorisent fin mars Gaspard Raballiati à poser les pierres destinées à la nouvelle maison de Joseph Lassia sur la place du Marché-aux-Poissons. Ils autorisent le même jour Joseph Lassia à creuser sous la rue une fosse qui servira à vidanger ses latrines et à entreposer les matériaux provenant de la démolition de sa maison près de la chapelle Saint-Laurent, moyennant une redevance. Quelques jours plus tard, Joseph Lassia souhaite placer son balcon non pas face à la rue des Hallebardes mais face à la maison Richshoffer où il aura 33 pieds de long sur trois pieds trois pouces. Il y est autorisé moyennant 12 livres mais le balcon ne devra pas avoir plus de trois pieds.
En mai, Joseph Lassia renonce à avancer de quatre pouces sa maison face à la rue des Orfèvres pour que son mur reste aligné avec celui de son voisin Jean Stahl qui serait sans cela obligé de reconstruire entièrement sa maison. Il demande en contrepartie d’anticiper de neuf pouces supplémentaires (soit 2 pieds 9 pouces en tout) sur l’autre face de la maison
Voir aussi le marché passé le 30 avril 1748 avec le maître maçon Georges Michel Müller, mentionné à la sentence arbitrale rendue en 1753.

(f° 12) Sambstag den 10. Ejusdem [Februarÿ 1748] seÿnd folgende augenschein eingenommen worden. Joseph Lassia – An Joseph Lassia des Galanterie Waar händler Eckhauß an der Spießgaß, gegen der Goldschmidgaß über, welcher abermahls um erlaubnus Gebotten, seinen 17. schuhe Lang und 3. schuhe 3. Zoll tieffen Überhang Gegen der Goldschmidgaß zuunterbauen. deßgleichen auf der seithe Gegen Herrn XV. Reichßhoffers Hauß, welche seithe Ohne den Überhang 30. schuhe lang ist, um 2. schuhe 3 Zoll mit der Maur gegen dem Allmendt zufahren.
Erkannt solle Vermittelst Ziehung einer schnur die flucht genommen und darauß ersehen werden, wue und was jhme Zu erlauben.
(f° 14) Dienstags den 20. Ejusdem [Februarÿ 1748] Joseph Lassia – Herr Frantz Peter Pflug der Statt Architecte producirt zufolg jüngster Erkanntnus einen Plan der gezogenen flucht An Lassia des galanterie Waarhändlers Eckhauß an der Spießgaß, nach welchem jhme fornen gegen der goldschmidgaß, wo das Hauß 16. schuhe breit ist, 4 schuhe, auf der seithe gegen dem Reichßhofferischen Hauß über aber wo das Hauß 35. schuhe Lang ist, 2. schuhe 3. Zoll auf das allmendt Vorzubauen Könte erlaubt werden.
Erkannt wird Joseph Lassia in dießem Meß Vorzufahren erlaubt, mit dem Anhang jedoch, daß er Keine stafflen Vor das hauß herauß sondern wann er denen benöthigt, jnwendig in daß Hauß Legen, und der Statt jährlich 2. lb d Bodenzinß Von dem jhme ein Zu Zäunen Verwilligten Allmendt bezahlen solle.
Ille offerirt den Bodenzinß mit einem Leÿdentlichen Capital abzukauffen.
Ferner Erkant, wird jhme freÿ gestellt, sothanen Zinß mit doppeltem Capital Nemblich 80. lb abzulößen, so er acceptirt. dt. 80 lb.
(f° 21) Dienstags den 19. Ejusdem [Martÿ] Joseph Lassia – Joseph Lassia der galanterie Waarhändler ersucht MGHh. um erlaubnus, einen Balcon ferner an sein Neubauendes Hauß gegen der goldschmidgaß zumachen, welches jhme Von des Herrn Prætoris Regÿ Excell. auch schon bewilligt worden. Erkannt Willfahrt.
(f° 24) Sambstags den 30. Martÿ 1748. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden. Caspar Rabaliati – Auf dem Alten Krautmark Hinder dem Bischoffs Hoff, wo Caspar Rabaliati der Maurer, die Stein Zu Joseph Lassia Hauß Zulegen um erlaubnus gebotten. Erkant gegen 2. lb Zinß Willfahrt, und weilen Jacques Galay dem Maurer ein gleiches allda erlaubt worden, solle der Platz unter jhme also abgetheilt werden, daß die daßige Tränck und der Stadten nicht Völlig Versperrt werde. dt. 2. lb
Joseph Lassia – An Joseph Lassia des galanterie Waar Händlers Hauß an Eck der Spießgaß, gegen der goldschmidgaß über, welcher um erlaubnus gebotten, auf der seithe gegen dem Richßhofferischen Hauß, ein 2 ½ schuhe in das gevierte großes Loch, Zu außführung des S: V: Secrets, auf das Allmendt Zumachen, so er nicht nur mit einer steinern platt Zu zudecken, sondern auch darüber pflästern zulaßen erbietig. Derselbe bate ferner jhme Zuerlauben, an dem Allmendt brunnen Ohnfern seinen Hauß, und Zu dem Münster beÿ der Lorentzen Capellen stein und Andere Materialien Von seinem abbrechenden Hauß Zulegen.
Erkannt wird das Loch Willfahrt, Gegen 6 lb für ein und alle mahl Zubezahlen, auch erlaubt, Allein an das Münster die Materialien Zulegen, doch so daß es nicht Zuviel Embarrassiere, dt. obige 6. lb.
(f° 25-v) Dienstags den 2. Ejusdem [Aprilis 1748] Joseph Lassia – Joseph Lassia der galanterie Waarhändler, welchem, wie Oben fol: 21 Zusehen, ein Balcon fernern an sein Hauß Zu machen erlaubt worden, declarirt anietzo, daß er solchen nicht fornen, sondern Längst dem Hauß auf der seithe gegen dem Richßhofferischen Hauß, und Zwar 33. schuhe Lang, 3 schuhe 3. Zoll tieff, und 13. schuhe Hoch Vom boden machen laßen wolle, um deßen erlaubnus er gebetten.
Erkannt wird jhme erlaubt den Begehrten Balcon 33. schuhe Lang, aber nur 3 schuhe tieff Zumachen, gegen einmahliger erlag 12. lb. dt. 12. lb den 5. Aprilis 1748
(f° 37) Dienstags den 28. Ejusdem [Maÿ 1748] Joseph Lassia – Joseph Lassia dem Handelßmann Ließen MGHh. anzeigen, daß er fornen an seinem Hauß an der Spießgaß, gegen der goldschmidgaß, an statt der am 20. Februarÿ Letzthin jhme erlaubter 4 schuhe, weiter nicht Hervorzufahren möchte, als sein Überhang Vorstehet, in ansehung H Johannes Stahl der Silberarbeiter sein Nachbar seinen Überhang, der mit Lassia seinem in Gleicher flucht ist, solchenfalls auch Zuunterbauen willens, sonsten Aber nicht Zubauen gesinnet, wann er weiter müßte Verfahren, Indeme Ihme sein gebälck Zu Kurtz würde, und er das gantze Hauß abbrechen, und Neu aufführen müßte. Lassia ist deßen wohl Zufrieden, wofern MGhh. jhme auch der seithe seines Haußes, Zu denen jhme erlaubten 2. schuhe 3. Zoll, noch 6. Zoll geben wolten, und er also 2 schuhe 9 Zoll auf das Allmend fahren Könte.
Erkannt, werden jhme die begehrte 6 Zoll bewilliget.

Protocole de tribus

1735, Protocole des Maçons (XI 236)
L’orfèvre Samuel Schwanfelder se retourne contre son maître maçon Jacques Seemann qui lui aurait promis de lui fournir la chaux à prix préférentiel lors des travaux dans sa maison à l’angle de la rue des Pâtissiers. Des experts ont confirmé que les travaux que le maître d’ouvrage a estimés mal faits ont été mal exécutés. Jacques Seemann tente de justifier son prix. Le conseil condamne le maçon à parfaire son travail et à baisser son tarif

(f° 180-v) Mittwochs den 16. Martÿ 1735. War Ein Kauff Gericht
H Samuel Schwanfelder der Goldtarbeiter Vnd burger allhier stehet Vor Vnd Klaget wider Mr Seemann den Steinhauer und maurer, daß derselbe in seinem ihne H. Schwanfelder übergebenen arbeits Conto den Jenigen Kalck, welcher er Mr Seemann ihne H. Schwanfelder umb den nemblichen Preiß was er Ihne gekostet lüffern wolle, auff einen gantz anderen vnd höheren Preiß nemblichen den erstern Kalck Vnd Zwar den Karch umb 3. R. nachgehends aber den Karch mörtel umb 2. R. 5. ß eingeschrieben, welche Ihne H Schwanfelder nicht Just vnd recht, mithin Zu hoch gedruckt, als habe er sich beÿ Ihm Mr Seemann beschwehret, daß solches nicht der jenige preiß seÿn könne, umb welchen er Ihm den Kalck Zu lüffern Versprochen, weilen aber Mr Seemann sich nichts davon hat abziehen laßen wollen, sondern sich auf eine taxation beruffen, alß habe Er H Schwanfelder, beÿ herrn Oberherrn umb Eine deputation nicht nur allein wegen taxirung des mörtels sondern auch umb völlige examinirung des baus Von Mr Seemann Ihne sehr schlecht gefertigte arbeit in seiner Eck behaußung ane der Fladergaß gegen der goldschmidt gaß hinüber gelegen gebetten, alß hat hochgebiethender herr Oberherr mstr. Niclaus Göbel vnd Mr Johann Carel Hißkÿ dahin als deputirte angeordnet, welche dann solche arbeit durchgangen, Vnd dieselbe als befunden, wie die schrifftlich auffgesetzte Verzeichnus maas gibet.
Der beklagte mstr Seemann Zugegen sagt, was den Kalck anbetrifft, so habe er Ihme H Schwanfelder solchen nicht auff den fuß, was er Ihne Kostet, zu lüffern Versprochen, über das damit man sehen Könne, daß er nicht zu Viel gerechnet, habe er Mr Erlachen dem Jüngern für einen Karch mörtel 28 ß. bezahlet, dem dann sechs Karch waren, welche er H Schwanfelder weilen sie nicht genug mörtel Zur arbeit hatten, ihme Mr Erlacher abgekaufft, da er doch seinen Kalck nur 25. ß für den Karch voll angerechnet, was die arbeit anbelangt, welche nach ausweiß der schrifftlichen relation nicht recht Just gemacht, dergestalten Zu repariren, daß H Schwanfelder mit seinem bau wird zufrieden seÿn Können.
Weßhalben Erkandt, Weillen Mr Seemann sich dahien gutlichen declariret die Jenige arbeit, welche etwaß unfleißig gemacht worden, und in der Expers gethane declaration Specifice schrifftlichen auffgezeichnet, wieder in einen guten stand zustellen, also solle Ihne Mr Seemann die jenige puncten schrifftlichen übergeben werdten damit er dasselbe Verbeßern, vnd in solchen stand stellen Könne, Vnd solle, die passable vnd gültig seÿe. Im übrigen waß die rechnung oder Conto anbelangt, welche Mr Seemann ihme H Schwanfelder für die arbeit gemacht, soll derselbe in soviel in seinem Esse bleiben, außgenommen daß der mörtel anstatt 25. ß nur 22. ß 6 s. vnd die schue stein anstatt 4 ß 6 d und 4 ß 3 d so H Schwanfelder Ihme Mstr Seemann Zu bezahlen taxirt jedoch ohne præjuditz E. E. Meisterschafft, betreffend Endlichen die beÿ E. E. Gericht und der Hh. Expers auffgegangener uncosten, so wird mstr. Seemann selbige Zu bezahlen Condemnirt.

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibule où se trouvent l’évier et le fourneau, un magasin et une cave voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 200 florins
  • 1749 (billet d’estimation traduit, original) La maison comprend au rez-de-chaussée l’entrée et une boutique de nouveautés, au premier étage un poêle, une petite alcôve, cuisine et vestibule, au deuxième un poêle, une chambre et le vestibule, au troisième un poêle, une chambre, une cuisine et le vestibule, au-dessus un comble à la Mansard où se trouvent six chambres et deux greniers dallés, sous la maison une cave voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 9 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des hallebardes (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 33 / 1
Mertz
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 100 case 1

Mertz, Jean Michel fils rue des hallebardes N° 1

O 264, maison, sol, R. des hallebardes 1
Contenance : 0,54
Revenu total : 225,28 (225 et 0,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 12

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 163 case 2

Mertz, Jean Michel
1859, Birry, Louis, boulanger
1877 Raeuber Karl Handelßmann
94/95 Jacquin Karl Josef, die Frau Emma Raeuber

O 264, maison, sol, Rue des Hallebardes 20
Contenance : 0,54
Revenu total : 225,28 (225 et 0,28)
Folio de provenance : (100)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 12 / 10

Cadastre allemand, registre 30 p. 221 case 1

Parcelle, section 19, n° 1 – autrefois O 264
Canton : Spießgasse H. N° 20 – u. Münsterplatz N° 14 – Rue des Hallebardes, Place de la Cathédrale
Désignation : Hf, Whs – Sol, maison
Contenance : 0,62
Revenu : 2500 – 4900
Remarques : 1905 Umbau
à p. 242 c. 10. – de c. 2

(Propriétaire), compte 592 [compte non utilisé]
Jacquin Karl, Ww.

(Propriétaire à partir de l’exercice 1905), compte 1125
Schütterle Emil
1905 Jacquin Karl Witwe
1922 Jacquin Charles Henri Georges directeur
1940 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1922), compte 4475
Jacquin Charles Henri Georges, directeur de l’office supérieur des assurances sociales à Metz
(2158)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1925), compte 4771
Gérardot Alphonse docteur en droit banquier et son épouse Marthe née Linck chacun pour moitié
1927 Batt Adolphe architecte et son épouse Marie née Brückmann en communauté de biens
1932 Sostralib, Société Strasbourgeoise de Librairie et d’Imprimerie, société à resp. limitée
1944 Buchhandlung Zum Dom Fischer & Co.
1947 Société Strasbourgeoise de Librairie Sostralib, Fischer et Cie, s. en commandite simple
(504)

Cadastre allemand, registre 30 p. 242 case 10

Parcelle, section 19, n°203/1
Canton : Place de la Cathédrale
Désignation : sol
Contenance : 0,17
Revenu :
Remarques : de p. 221 c. 1

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, (134) Rue des Hallebardes

(maison n°) 1
Prop. Baehr, Jean Frederic, orfèvre – Echasses

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 134 des Hallebardes (p. 327)

(maison n°) 1
Prop. Baehr, Jean Frederic, Orfèvre – Echasses

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Spiessgasse (Seite 164)

(Haus Nr.) 20
Scheuer, Kinderkonfg.

Münsterplatz

(Haus Nr.) 14
Räuber, Wollwaren- u. Kinderkonfektion. E 01
Scheuer, Kaufmann. 4

Dossiers de la Police du Bâtiment

Dossier 14, place de la Cathédrale (1881-1995) cote 924 W 102

Charles Raeuber (commerce de vêtements pour enfants fondé en 1853) transforme en 1881 le rez-de-chaussée en remplaçant les murs par des piliers en fer. Il pose en outre des devantures en bois garnies de volets roulants qui seront remplacées en 1903 par des cadres métalliques. On construit en 1903 un mur en briques qui sépare le magasin de l’escalier principal. Le commerce est repris par Charles Jacquin, gendre de Charles Raeuber, puis en 1904 par Léon Scheuer qui cesse son activité en 1914. Le rez-de-chaussée est ensuite occupé par le magasin de matériel photographique de Chrétien Münch (1920) puis par la librairie Sostralib (1930, Société Strasbourgeoise de Librairie) qui devient pendant la guerre la Librairie de la Cathédrale Fischer et Compagnie. La toiture est refaite en 1942. Le bâtiment est entièrement détruit lors du bombardement du 11 août 1944. La Ville projette de modifier l’alignement à l’angle de la rue des Hallebardes, de sorte qu’il est impossible au propriétaire de reconstruire sa maison.

Sommaire
  • 1881 – L’entrepreneur J. Klein demande au nom du propriétaire Ch. Raeuber l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée en remplaçant les murs par des piliers en fer, de poser des devantures en bois garnies de volets roulants et de repeindre la façade – Rapport de l’agent voyer et accord
  • 1893 – Le propriétaire Jacquin demande l’autorisation de poser une vitrine arrondie à l’angle de la rue des Hallebardes et de la place de la Cathédrale et deux petites boîtes amovibles aux piliers en bois – Bref rapport de la Police du Bâtiment illustré d’un croquis, la saillie ne devra pas dépasser 16 centimètres – Autorisation – Les vitrines sont posées, octobre 1893
    Bordereau de paiement pour trois vitrines au nom de M. Jacquin
    Bordereau de paiement pour un raccord de canalisation au nom de J. et E. Klein, propriété Jacquin 14 place de la Cathédrale à l’angle de la rue des Hallebardes
  • 1903 – La veuve Jacquin demande l’autorisation de transformer les devantures. Dessins sur fond bleu signés Th. et Ed. Wagner, accompagnés d’une demande, dessins sur papier blanc (rez-de-chaussée sur papier blanc, premier étage sur fond bleu). Quelques jours plus tard, le propriétaire renonce à faire les travaux sauf à remplacer les devantures en bois par des cadres en fer
    1903 (juin) – L’entrepreneur Th. et E. Wagner est autorisé à remplacer les devantures – Dessins – Travaux terminés, septembre – Calcul statique
    1903 (juillet) – Les entrepreneurs Th. et Ed. Wagner demandent au nom de Mme Jacquin l’autorisation de remplacer l’escalier à vis en bois qui se trouve dans l’entrée de la maison par un nouveau en fer à l’épreuve du feu et celui qui se trouve dans le magasin par un nouveau en fer – Autorisation de remplacer les escaliers – Dessin
    1903 (août) – Mme Jacquin demande sur papier à lettres (Ch. Ræuber, fondé en 1859, successeur Ch. Jacquin) l’autorisation de construire le mur en ciment porté en rose sur le plan de la précédente autorisation en en limitant l’épaisseur à 12 centimètres – Travaux terminés, octobre
    1903 (octobre) – Mme Jacquin demande sur papier à lettres l’autorisation de poser une vitrine rue des Hallebardes et une autre place de la Cathédrale. La Police du Bâtiment dresse un croquis – La Police du Bâtiment rappelle la saillie maximale des devantures et la hauteur minimale des stores et des lampes au-dessus de la voie publique – Mme Jacquin fait observer qu’un store de dimension réglementaire ne protégerait plus la devanture du soleil rue des Hallebardes. Elle demande l’autorisation de conserver les lampes bien que leur saillie dépasse les dimensions réglementaires. La société Charles Ræuber ne pose pas la nouvelle vitrine rue des Hallebardes, la Police du Bâtiment accorde un délai pour les trois lampes – Le fabricant d’articles en bronze Eugène Braun fils (9, rue du Dôme, 1 et 3 rue des Echasses) demande un délai pour raccourcir les montants des lampes à cause de la charge de travail – Les lampes ont été transformées, décembre 1903 – Autorisation de poser trois lampes électriques
  • 1904 – Léon Scheuer demande sur papier à lettres (Ch. Ræuber, fondé en 1859, propriétaire Léon Scheuer) un certificat concernant les stores et les vitrines à présenter à l’agent de police – Nouvelle autorisation au nom de Ch. Ræuber
  • 1913 – Le maire notifie Emma Jacquin née Ræuber de faire ravaler la façade 14, place de la Cathédrale – Le peintre en bâtiment Reyhle déclare en septembre que les travaux projetés incommoderaient le propriétaire du magasin, Léon Scheuer. La Police du Bâtiment écrit au propriétaire du magasin qui demande de repousser le ravalement après la rentrée des classes au moment où le magasin sera fermé
    Le peintre Reyle est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, octobre
  • 1914 – Léon Scheuer informe sur papier à lettres (Magasin spécialisé en vêtements pour enfants, Ch. Ræuber, fondé en 1853, propriétaire Léon Scheuer) la Police du Bâtiment qu’il a cessé son activité
  • 1915 – Commission des logements militaires. 20, rue des Hallebardes, propriétaire, Jaquin, 1, rue Sleidan – Rien à signaler si ce n’est un lavabo à poser sous un robinet à l’étage dans un local qui dépend du magasin
  • 1920 – Chrétien Münch (Photo Hall, matériel de photographie) demande l’autorisation de poser une enseigne et un panneau place de la Cathédrale. La Police du Bâtiment constate que le panneau est une simple traduction en français d’un précédent – Autorisation
  • 1924 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur Léon Salomon a posé une enseigne sans autorisation – Demande – Autorisation
  • 1930 – Sostralib (Société Strasbourgeoise de Librairie) domiciliée dans la maison signale à la Police du Bâtiment que la gouttière fuit (chenal et tuyau de descente) – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit au propriétaire Auguste Batt (122, route de Schirmeck à la Montagne Verte)
  • 1934 – Léon Salomon retire son enseigne
  • 1939 – La société Sostralib retire l’enseigne et le store
  • 1941 – Le peintre d’enseignes Eugène Schuster (7, rue de Geispolsheim au Neudorf) demande l’autorisation de réaliser une enseigne pour Meyer et Wanner – La Police du Bâtiment répond qu’il faut réduire la taille des lettres
  • 1941 – L’architecte Bernhard (10, rue du Climont) demande au nom de la Coopérative de consommateurs de Strasbourg et environs l’autorisation de ravaler la façade à l’aide d’une peinture de la société Schreiber
    1941 – La Police du Bâtiment constate que le libraire Fischer et Compagnie (Librairie de la Cathédrale) a posé une enseigne plate sans autorisation – Le fabricant d’enseignes Jean Merkel (11, rue de Sélestat au Neudorf) dépose une demande – Maquette (Imprimerie de la Cathédrale, photographie du rez-de-chaussée) – Autorisation, juillet – Travaux terminés, août
    La librairie confie les travaux au peintre Kehr du Neudorf
    1941 (juillet) – L’enseigne plate est retirée
  • 1942 – L’architecte A. Hæntzler (6, rue du Tabac et 9, rue Simonis au Neudorf) et la Librairie de la Cathédrale demandent l’autorisation de réparer la toiture et de crépir les cheminées – Après avoir été reconnus indispensables, les travaux sont autorisés
  • 1945 – Certificat de sinistré délivré à la Société Strasbourgeoise de Librairie Sostralib (14, place de la Cathédrale), entièrement détruit lors du bombardement du 11 août 1944
  • 1947 – La librairie Sostralib (successeurs Fischer et Compagnie, magasin provisoire 14, place de la Cathédrale) écrit au maire après que le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme a refusé l’agrément de reconstruction parce que la Ville prévoit de modifier l’alignement. La Ville répond qu’elle ne peut pas donner de réponse définitive puisque le projet est encore à l’étude
  • 1952 – Certificat de la Police du Bâtiment pour travaux exécutés à l’immeuble 14, place de la Cathédrale et 20 rue des Hallebardes [version en allemand, voir la version en français dans le dossier 20 rue des Hallebardes]
  • suite 1971 sqq, agence de la Caisse d’Epargne

Dossier rue des Hallebardes n° 20 (815 W 66)

Le dossier se compose de deux pièces, un certificat de sinistré et une attestation délivrée par la Police du Bâtiment.

Sommaire
  • 1946 – Certificat de sinistré accordé pour allocation à Henri Stamm pour le mobilier entreposé au troisième étage, complètement détruit par le bombardement du 11 août 1944
  • 1953 – Le maire atteste à la demande de la société Sostralib (13-14, place de la Cathédrale) que d’après le dossier de la Police du Bâtiment
    le rez-de-chaussée a été transformé en magasin en 1881,
    la devanture transformée en 1903 (encadrements de bois remplacés par des encadrements de fer)
    l’escalier en bois remplacé par un escalier en fer en 1903
    un mur en briques construit entre le magasin et l’escalier qui donne accès aux étages
    un store posé en 1903
    les façades repeintes en 1914
    la toiture refaite en 1942

Relevé d’actes

Le receveur de la fondation des Pauvres lépreux de l’Eglise rouge qui a été envoyé en possession de la maison la vend 1 500 livres au cordonnier Jacques Ensel, assisté de son père Mathias Ensel

1638 (5. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 450-v
(Protocollat. fol. 61.) Erschienen H Johann Friderich Seüpel alß Schaffner der Armen Sondersiechern Zur Rohten Kürchen alhie
hatt in gegensein Jacob Ensels deß Schuhmachers burgers Zu Str. bekannt, demnach er H Seüpel in namen obstehet hernach specificirte Behausung nicht allein mit ordentlichen Rechten An sich gebracht und erganthet, Sondern auch vor E. E. Großen Rhat den 2. Februarÿ 1637. die Expulsion darauff erhalten und würcklich immittirt worden (verkaufft) obgedachtem Enseln, welcher auch mit beÿstandt seines Vatters Mathiß Ensels auch Schuhmachers vnd Isaac Faust deß kannengüeßers
hauß vnd hoffstat mit allen and. ihren gebäwen & alhie obwendig der Sporer: oder Spießgaßen, zum Gutt Eck gent. ist einseit ein Eck 2. seit neben Wilhelm Bitto see. Erben, hind. Zum theil vff ietzberüerte Erben und zum theil vff Friderich Hamerer, dauon Jarß vff Michaelis 2. lb d X. ß d gelts der Samblung Zum Kreütz in hauptgut mit 50 lb d Item 3. lb 15 ß d gelts vff Michaelis Hartliebs gent. Kurtzliebs Seelgerecht, mit 75. lb d hauptgutt, So dann 10. goldgld. geltd vff Joh. Bapt: hanß Caspar Scheiden in hauptgut mit 200 goldguld. abzulösen – vber die beschwerd. geschehen per 725. lb

Fils de cordonnier, Jacques Ensel épouse en 1634 Barbe Brey, fille de boulanger
Mariage, cathédrale (luth. p. 342)

1634. Dnâ 1. Trin : 8 Junÿ. Jacob Ensel der Schuhmacher, Matthes Ensel des Schusters sohn vnd J. Barbara Hans Brey des Schwartzbeck. e. tochter (eingesegnet Zinstag 17. Junÿ) i 176

Vente du capital de 200 florins d’or garanti en 1492 sur la maison Zum Gutheck qui appartient maintenant à Jacques Ensel

1638 (5. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 743
Erschienen Herr Johann Caspar Scheidt burger Zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit deß Hoch ehrwürdigen vnnd Hochgelehrten herrn Jacob. Schallers der Heÿ: Schrifft Doctoris unnd in alhieiger hohen Schulen professoris (verkaufft)
200 goldgulden hauptgut so Jacob Enßel der Schuhmacher burger alhie, Von vff vnd abe seiner alhie obwendig der Sporer oder Spießgaßen gelegenen Behaußung, Zum Gutt Eck gnt. ist einseit ein Eck, anderseit neben Wilhelm Bitto see: Erben, hinden Zum theil vff ietzgemelte Erben vnnd Zum theil vff Friderich Hammerer stoßend, Jährlich vff Johannis Baptistæ, mit 10. goldtgld. vermög eines vnder deß Bischofflichen hoffs Zu Straßburg anhangendem Insigel durch herrn Johann Duwinger Notm. den 9. Calend Aprilis Anno 1492. vffgerichteten Brieffs, dardurch Ein transfix von herrn Johann Heinrich Meÿger, alß Contractuum Notarium see: am 12. 7.bris Anno 1597. verfertiget gezogen, Zuuerzinßen schuldig – vmb 110 Pfund

Jacques Ensel hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de Mathias Wurm

1638 (28. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 898-v
Erschienen Jacob Ensel der Schuhmacher burger Zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit Daniel Wellers auch Schuhmachers alhie alß geordneten Vogts weÿ: hannß Mathiß Wurmen gewesenen gremppen see. 4. Kindern, mit beÿstand ihres eheleiblich. Brudern hanß Mathiß Wurmen deß Jüngern auch Grempen – schuldig seÿ 200. ln d Str.
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß Undt hoffstatt, mit allen andern ihren gebäwen & alhie obwendig der Sporer: oder Spießgassen Zum Gut Eck gnt. ist einseit ein Eck, and.seit neben Wilhelm Bitto s: Erben, hinden Zum theil vff ietz berüerte Erben und zum theil vff Friderich hammerer stoßendt, so Zuuor Verhafftet vmb 50. lb. der Samblung Zum Creütz alhie, Item vmb 75. lb. Hartliebs gnt. Kurtzliebs Seelgerecht, Mehr vmb 200. goldgld. herrn D. Jacob Schaller in alhieiger hohen Schulen professori, So dann vmb 275. lb. weÿl. Gabriel Reinboldts see. Kindern

Jacques Ensel rembourse le capital assis sur la maison en vertu du titre de 1492 (voir la cession de novembre 1838)

1653 (14. 9.br.), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 596-v
Erschienen der Wohl Ehrwürdig- hochgelehrte H Jacob Schaller S.S. Theol. Doctor philos. Pract. beÿ hießig. löbl. Vniversität Professor, alß in crafft der am 5. 9.br. a° 1638. in d. Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter Verschreibung, Cessionarius H Johann Caspar Scheiden
hatt in gegensein Jacob Ennßelß deß Schuhmachers mit beÿstand hannß Kleinen deß Schuhmachers seines Schwagers
bekannt, daß Er Ennßel ehrengedachtem H Dr. Schallern die ienige 10. goltR. so besagter Ennßel, vermög eines pergamentinen latinischen 9. Kal. Aprilis a° 1492. mit deß Bischoff hoffs anhangenden Insigel gefertigt. Zinnßbrieffs, iährlich termino Joh. Bapt: von seiner alhie an der Spießgaß gelegenen Eckh behaußung Zum guten Eckh genannt, Zu Zinnß Zu raÿch. schuldig geweß. ist, mit 187 lib. 7 ß also verglichener Zu genüegen maß. abgelößt, die Zinnß abgerichtet

Jacques Ensel loue une boutique à trois arcades dont deux donnent dans la rue des Hallebardes au marchand épicier Elie Kürsner

1659 (29. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 940
Erschienen Jacob Ensel der Schuhmacher mit beÿstand deß Ehrenvest from und wohweÿsen H. Isaac Fausten deß beständigen Regiments der Herrn Fünffzehen, seines H. Schwagers
in gegensein Eliæ Kürßners deß Specereÿ händlers
Verlühen habe, Einen Gaden mit treÿen Schwibbög. davon Zween in die Spießgaß und der tritten gegen H. Martin Andreß Königs Treÿ Zeheners Behaußung über stehen, sampt einem underschlagenem platz in dem Keller, in sein Enßels alhier an der Spießgaßen gelegener Eck behaußung vff fünff Jahr lang Von Mariæ Verkündung a° 1660. angerechnet für und umb einen Jährlichen zinnß benantlich 25. lb.

Les héritiers Ensel vendent la maison 950 livres à l’orfèvre Jean Adam Runckel

1677 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 652-v
Margaretha Enselin, Isaac Lungen des Schloßers Eheweib, mit beÿstand ietzgedachts Ihres Ehevogts, Ferner Isaac Enßel der Schuemacher, Johannes Ennßel auch Schuhmacher und dießer mit beÿstandt Hannß Georg Ensels des Schuhmachers seines noch ohnentledigten Vogts, hannß Jacob Enßel der Specerirer und Maria Salome Enselin, hannß Georg Lutzen des Schneiders Eheweib, mit beÿstandt erstgedachts Ihres Ehevogts
in gegensein Herrn Johann Adam Runckhels Goltarbeÿters, mit beÿstandt H M. Johann Conrad Reÿßners Præcept. Classicj in infer: Gymnas.
hauß undt hoffstatt mit allen andern Ihren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten rechten undt gerechtigkeiten, obwendig der Sporer: oder Spießgaßen, Zum Gut Eckh genannt ist einseit ein Eckh, anderseit neben hannß Peter Schäffer dem schuhmacher hinden uff H Josien Städels XV.en stoßend gelegen – umb 950. lb

Jean Adam Runckel épouse en 1674 Susanne Helck, fille d’un apprêteur de chapeaux et veuve de l’orfèvre Jacques Sebastian Gambs avec lequel elle s’était mariée en 1669
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 180, n° 35)
1674. dom: 6. post Trinit. Zum 2. mahl Hr Johann Adam Runckel Goldarbeiter Weiland Hr Adam Runckels * Practici nachgelaß: ehel: sohn, Fr. Susanna Weiland Hr Jacob Sebastian Gambsen gewesenen Goldarbeiters alhier nachgelaß. W. Dienstags den 6. Aug: Münster (i 182)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 112, n° 13)
1669. dom. 7.ma Zum 2. mahl hr Jacob Sebastian Gambß Burger undt Goldarbeiter alhier, Weiland Hr Matthiæ Gambsen gewesenen Burgers alhier nachgelaß. ehel: Sohn, Jfr. Susanna Hr Johann Philipp Helcken hutstaffierers u. Burgers alhuer ehel: T. Donnerstags den 18.ten Febr: Münster (i 114)

Jean Adam Runckel et Susanne Helck font dresser chacun l’inventaire de leurs apports
1674 (12.8.), Me Schübler (Christophe, 55 Not 27) n° 1580
Inventarium und Beschreibung der Jenig. Haab, Nahrung undt güthere, so der Ehrenvest undt Kunstreiche H Johann Adam Runckel, Goldarbeither undt burg. allhie, Zu der viel ehren undt tugendreich. Frawen Susannæ Runckelin gebohrner Helckin seiner geliebt. haußfrauen in den Ehestandt gebracht, welche der Ursach. alldieweilen in dero vffgericht. Ehepactis expresse verseh. daß einem jed. sein in die Ehe Zubring.de Nahrung unverändert sein und bleib. – Actum in præsentia des ehrenvest undt wohlgelehrt. Hn M. Johann Conradi Reüßners Quintæ Classis Præceptoris, Alß obbemelt. Frauen Susannæ Runckelin noch ohnentledigt. Vogts. d. 12. und 13.t Aug. A° 1674.
Abzug in dießes Inventarium. Sa. haußraths 186, Sa. früchten 4, Sa. Wein und Lähren Vaß 7, Sa. Werckzeugs 44, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 151, Sa. Gudenen Ring, Geschmeidt und Edelgestein 212 lb, Summa summarum 607 lb

– Inventarium und Beschreibung allerd. Jenig. Haab undt Nahrung, so die Viel Ehren und tugendreicheen Fraw Susanna Runckelin gebohrne Helckin dem Ehrenvest. und Kunstreich. Hn. Johann Adam Runckeln, Goldarbeithern und burg.n allhier zu Straßburg ihrem jetzig. haußwürth in die Ehe zugebracht, welche der Ursach. alldieweilen in dero vffgericht. Eheberedung expresse verseh. daß einem jed. d. beed. Ehegemächd sein in die Ehe Zugebrachtes Guth unverändert sein und bleib. solle – Actum in præsentia obgedachts Hn Johann Adam Runckels der Frawen jetzig. haußwürths wie auch des Ehrenvest undt wohlgelehrt. Hn M. Johann Conradi Reüßners Quintæ Classis Præceptoris, ihr d. Frawen noch ohnentledigt. Vogts. d. 12. undt 13.t Aug. A° 1674.
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Sa. haußraths 199, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 72, Sa. Gudenen Ring 46 lb, Sa. der baarschafft 500, Summa summarum 817 lb

Susanne Helch meurt en 1685 en délaissant un fils de son premier mariage et trois filles du deuxième. Les experts estiment la maison 850 livres. La masse propre au veuf s’élève à 582 livres, celle des héritiers à 376 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 371 livres, le passif à 1 461 livres

1685 (30.7.), Me Schübler (Christophe, 55 Not 10) n° 14 (474)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab, Nahrung und güthere, so weÿl. die viel Ehren : und tugendreiche fraw Susanna Runckelin gebohrne Helckin, deß Ehrenvesten und Kunstreichen herrn Johann Adam Runckels Goldarbeiters und burgers in Straßb. haußfr. seel. nach Ihrem den 26.t Aprilis Instehenden Jahrs tödtlichen Verblichen hinderlaßen, so auff erfordern und begehren hernach gemelter der abgeleibten fr. seel. ab intestato hinderlaßener Erben, auch deroselben herrn Vögten, Inventirt – Actum Montags den 30.ten Julÿ 1685.
Die verstorbene fr. seel. hat ab intestato Zue Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenhafften und bescheÿdenen Philippum Carolum Gambßen, ledigen Goldarbeitern, der abgeleibten fr. see. in erster Ehe mit weÿl. dem Ehrenvesten und Kunstreichen Jacob Sebastian Gambßen, geweßenen Goldarbeitern Ehelich erzeugten Sohn, mit beÿstandt deß ehrenvesten fürsichtig und weißen herrn Mathæi Schmidten E. E. Großen Raths alten beÿsitzers der wohlgebohrnen freÿherren von dahlberg Wohlbestellten Schaffners, deßelben geordnet und geschworenen Vogts welcher dem geschäfft in Persohn beÿgewohnet
2. Susannam Margaretham, 3. Mariam Magdalenam und 4. Mariam Salomeam, alle dreÿ mit dem hinderpliebenen G. Wittiber Ehelich erzeügter Töchter, deren geordnet und geschworener Vogt der Ehrenveste und Vorgeachte herr Johann Carl Feßel Specereÿ händler und burger alhier welcher dem Geschäfft ebenmäßig in Persohn beÿgewohnte, Alle vier der in Gott ruhenden fr. seel. hinderlaßene Erben

Ane Hültzen und Schreinwerckh. Auff der obern bühn, Auff der andern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießer Cammer, In der Obern Stueben, Im Obern haußöhren, In den undern Stueben, In der Werckstatt, Im undern haußöhren, Im Keller
(f° 21-v) Eÿgenthumb ane einer behaußung. (T.) Item Hauß und hoffstatt, mit allen andern Ihren Gebäwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten obwendig der Spohren oder Spießgaßen Zum guten Eck genandt, eins. j. Eck, 2. seit neben hanß Peter Schäffer dem Schuemacher etwann modo Hr Samuel Kauffmann dem Silberarbeiter hinden auff H. Johann Städeln der St. Str. alten ammeistern stoßend so allerdings freÿ ledig und eigen, und ist solche behaußung von den geschwornen werckleuthen, vber abzug 350. lb. restirenden Kauffschilling, so Isaac Lungen dem schloßer gehörig, beÿ dießer Inventation auff übergebener æstimation angeschlagen worden p. 492. lb 10. ß. Darüber sagt j. pergamenene Kauffverschreibung mit der St. str. Contract Ins. verwahrt deßen datum den 20.t 7.bris 1677. mit Lit. A. notirt
(f° 23) Ergäntzung deß H. Wittibers unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über deß H. Wittibers in den Ehestandt zugebrachte Nahrung durch Christoph Schüblern Notarium in Anno 1674. auffgerichtet
(f° 29) Wÿdumbs Verfangenschaft So die abgeleibnte fr. seel. von weÿl. H Jacob Sebastian Gambßen geweßenen Goldarbeiters Ihres Ersten haußwürths seel. Verlaßenschafft ad dies vitæ genoßen
Abzug in Fr. Susanna Runckelin seel. Inventarium. deß herrn Wittibers unverändert Gut, Sa. haußraths 47, Sa. Werckzeugs 8, Sa. Silbergeschirrs 54, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. der Ergäntzung 370, Summa summarum 582 lb
der Erben unverändert Nahrung, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers v. guldener ring 8, Sa. der Ergäntzung 672, Summa summarum 755 lb – Schulden 367 lb, Nach deren Abzug 376 lb
Theilbar Guth, Sa. haußraths 107, Sa. Früchten 10, Sa. wein undt lährer Vaß 14, Sa. werckzeugs Zum Goldarbeiten gehörig 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 373, Sa. guldener Ring und geschmeidt 272, Sa. der baarschafft 12, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 492, Sa. der Schulden 73, Summa summarum 1371 lb – Schulden 1461, Theilbare Passiva übertreffen die theilbare Nahr. umb 90. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3383 lb

Jean Adam Runckel se remarie avec Marie Catherine Redslob, fille de notaire
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 165-v)
1689. Dom: 2. post Trin : Zum 2. mahl hr, Joh: Adam Runckel Burg. und Goldarbeiter, Jfr. Maria Catharina, Weiland Hr Johann Georg Retzlobs, Burgers und Not. publ. nachg: ehel: T., Mittw. den 29. Junÿ N. Kirch (i 167)

L’inventaire après décès de Jean Adam Runckel n’est pas conservé. Le partage de ses biens apprend qu’il a légué à sa veuve la jouissance de la maison et qu’elle reviendra à sa mort à ses cinq enfants et héritiers

1724 (21.6.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 56) n° 1833
Abtheil: und Vergleichungs Concept über Weÿland S. T. Herrn Johann Adam Runckeln geweßenen vornehmen Goldarbeither und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet den 21. Junÿ Anno 1724.
daß beÿ Weÿl. Hrn Joh. Adam Runckel gewesenen goldarbeiters und burgers allhier seel. in A° 1724. vorgenommenen Verlaßenschafft Abteilung deßen hinterlassene fünff Erben die Ihnen Vor unverändert zugeschriebene an der Spießgaß gelegenen Eckbehaußung alß freÿ ledig und eigen crafft codicillarischer verordnung Fr. Mariæ Catharinæ geb. Retzlobin der hinterbliebenen wittib in Lebtägigen Wÿdumbs genuß übergeben worden, alßo davon frauen Susannæ Margarethæ geb. Runckelin hrn Joh: Ludwig Schröder chirurgi und burgers allhier jetztmahliger Eheliebstin ein fünffter theil nach der frau wÿdums Nieserin absterben Zugefallen seÿe, solches bezeugt hiemit nach ersehung des darüber durch herrn Daniel Rohren Notarium sel. Vergriffenen Concepts. Straßburg den 1. Martÿ A° 1734.
Bericht wegen der behaußung. Die in dem Inventario beschriebene ane der Spießgaß gelegene Vätterl. Sterb behaußung cum appertinentiis ist der Frau Wittib von dem abgel. H. seel. in dem mit deroselben auffgerichteten Codicillo reciproco lebtägig wÿdumbs weiße habend zugenießen verschrieben Zumahlen deroselben würde solcher gestalten eingeraumbt worden, und wird finito usufructu frauen Mariä Dorotheä Baurin gebohrner Runckelin der ältern frau Tochter letzter Ehe hievon ein 5.ter theil eÿgenthümblich anfällig seÿn, Zum bericht

Marie Catherine Redslob meurt en 1733 en délaissant deux filles. Les experts estiment 1 100 livres la maison dont elle avait la jouissance viagère. L’actif de la succession s’élève à 1 102 livres, le passif à 473 livres. La défunte était en outre propriétaire d’une maison à Schiltigheim

1733 (11.6.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 21) n° 797 (754)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so weÿl. die Ehren : und tugendsahme Maria Catharina Runckelin, gebohrne Redslobin des auch weÿl. wohl Ehrenvest : und großachtbahren Herrn Johann Adam Runckels, geweßenen Kunstberühmten goldarbeithers und Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seel. hinterbliebene Fr. Wittib auch seel. nach Ihrem Mittwochs den 27.ten Maÿ dießes instehenden 1733.sten jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsamen Fr. Mariæ Dorotheæ Baurin gebohrne Runckelin, Weÿl. Herrn Tobiæ Bauren, geweßenen Silberarbeithers und burgers alhie hinterbliebener Wittib, beÿständl. des Ehrenvesten und Vorachtbahren herrn Johann Kuffer, handelßmanns Undt burgers allhier, So dann der Ehren und tugendsahmen Fr. Mariæ Elisabethæ Herthensteinin gebohrne Runckelin, herrn Johann Heinrich Hertensteins handelßmanns und burgers allhier fr. Eheliebste, mit Assistentz deselben, beede dero abgebleibten seel. mit vorgemeltem Ihrem auch seel. Eheherrn ehelich erzeugter und nach todt verlaßener frauen döchter und nach todt verlaßener Frauen döchter als ab intestato Erbinnen, inventirt, durch sie beede Fr. Erbinnens selbsten, auf Zuvorhin ane dieselbe, wie auch Annam Salome Immendörfferin die dienstmagd (…) geäugt und gezeigt – So beschehen Straßburg Donnerstags d. 11. Junÿ A° 1733

In einer allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß gelegenen und in unten beschriebener widumbs Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Eÿgenthumb an einer Behausung. Nembl. eine behausung (…) in dem dorff Schiltigheim in der Münchgaß (…)
Abzug Gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 104, Sa. Weins und Vaß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. goldene Ringn Ketten und dergelichen geschmeids 67, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüter 575, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behausung 294, Sa. Schuld 14, Summa summarum 1102 lb – Schulden 473 lb, Nach solchem abgang 678 lb
Legaten 80 – Beschluß und Stall Summa 2028 lb
Eÿgenthumb ane einer behaußung in der Verstorbenen seel. Wÿdemb gehörig. Nembl. eine behaußung und hoffstatt mit allen dero gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten obwendig der Spohrer:oder Spießgaßen Zum guther Eck genannt j. seith ein eck 2.s. neben H Johann Stahlen dem Silberarbeither hinten auff H. Friderich Wolffen n Bancquier stoßend gelegen, so gegen männiglichen freÿ leedig eÿgen und ist dieselbe auch durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere, Vermög einer zu meinen des Notarÿ Concept gelüfferten schrifftl. Abschatzung de dato 12.t Junÿ 1733 æstimirt worden pro 1100 lb. Darüber sagt ein pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßb. C. Contract Insiegel Verwahret, deßen datum d. 20.t Septembris A° 1677 signirt mit altem Lit. A et B und dießmahlen wieder dabeÿ gelmaßen.
Abschatzung d. 12. Juny aô 1733. Auf begehren Weÿl. der Viel Ehr und Tugentsahmen fr. Mariæ Catharinæ Runckelin seel: hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Spießgßen gelegen, ein Eckhauß gegen der goldschmidts gaßen über, einseiths Neben H Johann Stahl Silberarbeiter, anderseit Neben herrn Johann Friderich Wolff Banquier, welche behausung, Stuben, Kammern, hauß Ehren, mit herdt und Waßerstein, laden und gewölbter Keller, sambt aller gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg Geschwornne Werckleith sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wirdt Vor undt Um Zweÿ Tausend und zweÿ hundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwornne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauer hosfs
Extractus Aus dem von Weÿl. Hn Johann Adam Runckel und der Verstorbenen seel. d. 30. Xbris 1720. vor weÿl. H Notario Daniel Rohren gestiffteten Codicilli
Copia Eines Von der abgeleibten seel. Verfertigten Testaments Zeduls, Straßburg d. 1. Aprilis 1729
Copia Eines anderwärtigen Von der verblichenen seel. Verfertigten Testaments Zeduls, Straßburg d. 6.ten Maÿ 1732.

Le chirurgien Jean Louis Schrœder et Susanne Marguerite Runckel hypothèquent leur cinquième part de la maison au profit du marchand de vins Etienne Schreiber

1734 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 74-v
H. Johann Ludwig Schröder Chirurgus und Susanna Margaretha geb. Runckelin mit beÿstand H. Stamm und H. Rathh. Pfeiffer beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Stephan Schreiber des weinhändlers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Einen 5.ten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Spießgaß, einseit ist ein eck ahne derselben gegen der Goldschmidts: und Flader: gaß anderseit neben H. Johann Friedrich Wolf hinten auff H. Johannes Stall dem Silberarbeiter – ihro Schröderischer ehefrau zufolg von H. Not. Johann Philipp Lichtenberg am 1. hujus ertheilten attestati als ein von ihrem vatter Johann Adam Runckel dem goldarbeiter ererbtes guth zu einem 5.t theil so dann ihren vier übrigen Mitereben zu 4/5 theil eigenthümlich zuständig

Les cinq filles de Jean Adam Runckel vendent la maison 2 150 livres à l’orfèvre Samuel Schwanfelder

1734 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 608 n° 317
weÿl. H. Johann Adam Runckel gewesten silberarbeiter hinterlassenen Erben deßen Kinder und Enckelin nahmens Fr. Maria Magdalena geb. Runckelin Johann Eberhard Zetzner des handelsmanns hausfrau und ihres Curatoris H. Lt. Johann Ludwig Freund, Procuratoris beÿ Löbl. ammeister audienz, Item Johann Ludwig Schröde, Chirurgus, als ehevogt und mandatarius Susannæ Margarethæ geb. Runckelin, Mehr weÿl. Fr. Mariæ Salome geb. Runckelin mit auch weÿl. Allbert Leÿdecker weißleinhhändtlers erzeugte tochter Maria Salome geb. Leÿdeckerin H. Johann Caspar Kuhn ehefrau, weither Fr. Maria Dorothea geb. Runckelin weÿl. Johann Tobias Baur des Silberarbeiters ohnbevögtigte wittib mit assistentz H. Johannes Kuhff des handelsmanns, so dann Fr. Maria Elisabetha geb. Runckelin H. Johann Heinrich Herttenstein des handelsmanns ehefrau
in gegensein Samuel Schwanfelder des Silber und goldarbeiters
Eine Behausung, gewerbsladen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten ahne der Spießgaß, einseit theils ein eck ane der Fladergaß gegen der goldschmidtsgaß theils H. Johannes Stall dem Silberarbeiter, anderseit und hinten auff H. Johann Friedrich Wolff stoßend gelegen zum guth Eck genannt – als ein von bemeldetem ihrem vatter und großvatter ererbtes guth – 2150 pfund

Samuel Schwanfelder et sa femme Susanne Grünwald hypothèquent le même jour la maison au profit de Susanne Madeleine Wieger femme du marchand Tobie Stædel

1734 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 608 n° 319
Samuel Schwanfelder der gold: und Silberarbeiter und Susanna geb. Grünwaldtin mit beÿstand ihres schwagers Philipp Jacob Christ des Meßerschmidts und ihres geschwistrigkindts H. Johann Daniel Breßler des ledigen handelsmanns
in gegensein H. Lazari Christiani Sahler J.V.Lti und beÿ Löbl. Nieder Elsaßischen Ritter Directoris Procuratoris und Advocati ordinarÿ, als gewalthbers seiner Fr. Schwieger Fr. Susannæ Magdalenæ geb. Wiegerin H. Tobias Städel des handelsmanns eheliebstin – schuldig seÿen 1000 pfund zu erkauffung hiernach beschriebener behausung, bezalung dero restirenden kauffschillings so dann zu derselben melioration
unterpfand, Eine Behausung, gewerbsladen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten ahne der Spießgaß, einseit ist ein eck ane der Fladergaß zum theil theils neben H. Johannes Stall dem Silberarbeiter, anderseit neben H. Johann Friedrich Wolff und hinten auf demselben – als ein gestrigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß vollends bezahltes guth
wobeÿ ferner erschienen H. Leonhard Schwanfelder der schwerdtfeger und Anna Elisabetha geb. Schmidtin mit assistentz ihres schwagers H. Johannes Reuchlin Jun: Chirurgi und ihres geschwistrigkindts Ehemanns H. Johannes Schubhard des handelsmanns (welche sich zu bürgen dargestellt)
unterpfand, Eine Behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt cum appertinentis ahne der Bruderhoffsgaß gegen dem Collegio der H. Patrum Societatis Jesu über einseit neben der zur Neuen Kirch gehörigen Pfarr Behausung anderseit neben Charrotischer wittib hinten auff die Beckerzunfft stub

Samuel Schwanfelder et Susanne Grünwald hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste Abraham Wibmar

1743 (7.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 85-v
H. Daniel Schwanfelder silberarbeiter und Susanna geb. Grünwaldin mit beÿstand S.T. H. XXI Georg Friedrich Lemp und H. Johann Breßler Apotheckers beede ihrer vettern
in gegensein H. Abraham Wibmar vormaligen gastgebers – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Spießgaß, einseit ist ein Eck gegen der Fladergaß zum theil H. Johann Stahl silberarbeiter, anderseit neben H. Rathh. Wolff, hinten auff ebendenselben – als ein am 26. Augusti 1734 erkaufftes guth

Samuel Schwanfelder et Susanne Grünwald vendent la maison 3 150 livres au marchand de modes Joseph Lassia et à sa femme Nicole Dany

1744 (16.10.), Chambre des Contrats, vol. 618 n° 517
H. Samuel Schwanfelder der silberarbeiter und Fr. Susanna geb. Grünwaldin
in gegensein Joseph Lassiat des galanterie händlers /:und deßen erschienener ehefrau Fr. Nicole geb. Danny
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Spießgaß, einseit theils ein Eck ane der Fladergaß theils neben H. Johann Stall dem silberarbeiter, anderseit neben H. Friedrich Wolff exsenatoris gelegen zum gut: eck genandt, hinten auff wieder denselben – um 1000 und 750 pfund verhafftet, als ein am 26. Augusti 1734 erkaufftes guth – geschehen um 2400 pfund

Joseph Lassia et Nicole Dany hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs Cossa pour en régler les frais de construction

1748 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 321
H. Joseph Lassiat der mode: waaren händler und Nicole geb. Danny mit beÿstand H. Rathh. Fleck und H. Lafermiere beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. André Cossa des handelsmanns als vogts seiner geschwister Dominique Hyacinthe Antoine, François und Margaretha der Cossa – zu bauung hiernach beschriebener behausung, 2000 pfund schuldig
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Spießgaß, ist einseit ein eck theils Johannes Stahl dem silberarbeiter, anderseit neben den Wolffischen erben, hinten auff dießelbe – als ein am 16. Octobris 1744 erkaufftes guth

Joseph Lassia meurt en 1749. Les experts estiment alors la maison qui vient d’être reconstruite à 4 500 livres.

Nicole Dany loue le troisième étage à François Duboux de Maurant, commis principal des fortifications et maître d’arithmétique et géométrie

1749 (16.12.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 750-v
Fr. Nicole geb. Danny weÿl. H. Joseph Lassiat des handelsmanns wittib
in gegensein H. François Duboux de Maurant commis principal des fortifications et maître d’arithmétique et géométrie
entlehnt, in einer am eck der Spießgaß gegen der goldschmids gaß über gelegenen behausung, den gantzen dritten stock zwo kammeren in der mansarde, so dann einen unterschlagenen keller – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren auff innstehenden weÿhnachten, um einen jährlichen Zinß nemlich 120 livres

Le marché de construction fait l’objet d’un litige réglé en 1752.
Nicole Dany hypothèque la maison au profit du marchand Jean Roy

1755 (3.3.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 80-v – Not. royal Humbourg, 26.2.1755
auff ansuchen H. Jean Roy des handelsmanns, nachstehende obligation
De Nicole Danÿ veuve de Sr Joseph Lassiat marchand
devoir au Sr Jean Roy marchand, 1000 lit
hypothèque sa maison située en cette ville au coin de la rue des Hallebardes et de la place de la Cathédrale, d’un côté le Sr Stahl orfèvre, d’autre les héritiers Wolff, vis à vis la rue des Orfèvres et la maison de Richshoffer

Nicole Dany fait dresser en 1756 l’inventaire de ses biens qu’elle est intentionnée d’abandonner à des créanciers. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire dressé après le décès de Joseph Lassia. Les créanciers font vendre la maison aux enchères le 13 novembre 1758 (voir l’acte suivant et d’autres dressés par la suite).
L’orfèvre Jean Frédéric Bæhr s’en rend acquéreur et l’hypothèque aussitôt pour en régler le prix

1758 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 351-v
H. Johann Friedrich Bähr der silberarbeiter
in gegensein Fr. Agnes Klockin geb. Schmidtin innamen ihes vatters H. Andreæ Schmidt des pfarrers zu Freÿstadt andern theils, zu bezalung des ganthschillings hiernach beschriebener behausung d. 13 hujus ane der ganth ersteigter behausung – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen und rechten ane der Spießgaß, einseit neben Johann Stall dem silberarbeiter, anderseit ist ein Eck, hinten auff die Wolffischen Erben

Jean Frédéric Bæhr fait son apprentissage auprès de son père Jean Daniel de 1734 à 1738 (on remarquera que le père est appelé par erreur Jean Jacques à l’acte de début d’apprentissage). Il demande en septembre 1745 à faire son chef d’œuvre qu’il présente en février de l’année suivante. Les examinateurs relèvent quelques défauts mineurs à la pièce triangulaire et le reçoivent maître à part entière ; Jean Frédéric Bæhr devient tributaire en mars 1746
1734, Protocole de l’Echasse (XI 103)
(p. 681) Freÿtag den 18. Julÿ Anno 1734 – Johann Jacob Bähr, der silberarbeiter, nimbt Zum lehrknaben an, Johann Friderich Bähr, seinen leiblichen Sohn, Von nechst Künfftigen Johannis Baptistæ an, biß auf solchen Termin in Vier Jahren getreulich zu lehren.
(p. 812) Dienstags den 23. Septembris Anno 1738 – Johann Daniel Bähr, der Goldarbeiter erscheint und berichtet, daß Johann Friderich Bähr seines Leiblichen Sohns Vierjährige Lehrzeit Verwichene Johannis Baptistæ tag bereits Verfloßen, alß bittet er amb gerichtliche Looß Sprächung.
Erkand, wird demselben gegen Erlag der gebühr Willfahrt
(p. 1233) Donnerstag den 30.tens Septembris Anno 1745 wurde das dritte Quartal Gericht gehalten – Johann Friderich Bähr der leedige silberarbeiter, H. Johann Daniel Bähren auch Silberarbeiters und burgers allhier ehelicher sohn, erscheint und thut geziemende ansuchung um Auffnehmung und Verfertigung des Meisterstücks maßen seine Zeit schon überflüßig Verfloßen.
Erkandt seÿe Ihme in seinem begehren gegen Erlag der Gebühr Zu Willfahren, nach ableßung der Meisterstück Ordnung wurde Ihme anbefohlen solches beÿ H. Johann Daniel Otten alß einen der dreÿen Herren Schaueren zu verfertigen.
(p. 1272) Freÿtag den 25.ten Februarÿ Anno 1746 wurde ein Kauffgericht gehalten und dabeÿ verhandelt wie folgt.
Johann Friderich Bähr der Leedige silberarbeiter von hier gebürtig erscheint und præsentirt sein den 30.ten Septembris 1745. auffgenommenes und anjetzo Verfertigtes Meisterstück bittet solches Zu besichtigen und quo facto Ihne Vor einen Meister Zu erkennen und anzunehmen. Die zweÿ Geschworene Herren Gold und silberschauer referiren nach genugsahmer besichtigung daß obmann Zwar ane den vorgewießenen Stuck Verschiedene Geringe fehler, besonders etwelche löchlein Wahrgenommen Welche dahero Kommen, Weilen das Stuck dreÿeckig formirt, dennoch solches Vertrefflich Wohl, Insonderheit Was die Sisilir: und Muntirung anlangt, verfertiget und Künstlich gearbeitet seÿe, dahero Wann Er handtreu ane Äÿdesstatt præstiren Kan, daß Er daßelbe mit eigener Hand gemacht, so wollen Sie Ihne Vor einen Meister erkennen
E: E: Gericht Votirte similiter dedit fidem et pro Discretione 3. lb. d
(p. 1277) Dienstags den 1.ten Martÿ Anno 1746 wurde das erste Quartal Gericht gehalten – Neuzünfftiger. Johann Friderich Bähr der Silberarbeiter erscheint und producirt Stallschein Vom heutigen Dato bittet Ihme das Zunfft und Stubenrecht gedeÿen Zu laßen weilen Er præstanda præstirt hat.
Erkand wird demselben in seinem begehren gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.

Jean Frédéric Bæhr épouse en 1765 Charlotte Louise Wagner, fille d’un métayer de Zinswiller : contrat de mariage, célébration à la Robertsau avec l’autorisation de l’ammestre
1765 (1.3.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 251
(Eheberedung) zwischen Hn Joh. Friderich Bähr, dem leedigen Silberarbeiter und burgern allhier Zu Straßburg
und Jgfr. Charlotta Louisa Wagnerin, Weÿl. Hn Johannes Wagners gewesenen hoffmanns auf dem herrschafftlichen Hoff Zu Zinnßweiler seel. nachgelaßene Tochter unter assistentz S. Tis Herrn Joh: Daniel Cappaun hocherfahrnen J. V. Lti und Löbl. Statt Straßburg wohlverdienten fiscalis
So beschehen in Straßburg auf freÿtag den 1. Martÿ 1765. [unterzeichnet] Johann Friderich Bäer, scharlotta Louisa wagner

Mariage, Robertsau (luth. p. 436)
Sonntag den 3. Martÿ 1765 sind nach gewohnlicher Ausrufung in der Prediger Kirch Zu Straßburg, allhier auf Obrigkeitliche Erlaubnuß Ehelich copulirt und eingesegnet worden, Herr Johann Friderich Bär der Burger Und Goldarbeiter in Straßburg Herrn Johann Daniel Bär Goldarbeiters in Straßburg hochgelehrter Sohn, und Jungfrau Charlotta Louisa weÿland Herrn Johannes Wagner des Herrschafftlichen Meÿers Zu Zinsweiler nachgelaßener Ehelicher Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Bäer als Hochzeiter, Charlotta Louisa Wagnerin nachgelaßener Ehelicher Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Bäer als Hochzeiter, Charlotta Louisa Wagnerin als hochzeiterin (i 229)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 5) A. 1765 Dom: Reminiscere wurden auf schriftliche Erlaubnus des Regirenden H. Ammeisters Zum I. und 2. mal Zugleich proclamirt H Johann Friedr. Bär led. Goldarbeiter allh. weil. H. Johann danj. Bären gewesenen Goldarbeiters und b. allhier mit Frau Margaretha Barbara geb. Ströhlingin ehelich erzeugter Sohn, und Jfr Charlotta Louisa Wagnerin weil. Johannes Wagners gewesenen hschafftl. Meÿers in Zinsweiler mit Anna Maria geb. Cramerin ehelich erzeugte Tochter. Copulirt in der Ruprechtsau (i 7)

Charlotte Louise Wagner devient bourgeoise en avril 1765
1765, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 64-v
Fr. Charlotte Louise Wagnerin von Zinßweiler erhalt das burgerrecht verheurathet mit H. Joh: Friderich Bär dem goldarbeiter und burger allhier, wohlverhaltens wegen gratis, will dienen betiers EE Zunfft Zur Steltz prom. den 27.t Aprilis 1765.

Jean Frédéric Bæhr fait vendre quelques effets mobiliers qui appartiennent au marchand Ignace Hals, de Cologne
1768 (14.6.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 272) n° 1113
Dienstags den 14.ten Junÿ Anno 1768 nachmittag um 2. Uhr zufolg Erkandtnus Ihr Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters vom 7.ten Junÿ hujus Anni, und beÿ meine Notarÿ Concept befindlichen Extractus aus deroselben Hauß Audientz in Sachen Herrn Johann Friderich Bähr des silberarbeiters Klägers, Contra Ignatium Halß den handelsmann von Cölln beklagten ertheilt, innhalt deßen die im oballegirte, Extractu bemeldete Effecten prævia Publicatione (…) versteigt und daraus erlößt worden, wie folgt (…) 49 lb, davon gehen an Unkosten ab (…) 1 lb deductis deducendis verbleibt 47 lb

Jean Frédéric Bæhr meurt en 1795 en délaissant trois fils ou leur représentant.

1795 (2 therm. 3), Strasbourg 4 (5), Me Greis n° 759 altes 575 – Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 33 du 3 therm. 3
Inventarium und Erörterung Weiland burgers Johann Friderich Bäer des ältern gewesenen Silberarbeiters und Inwoners alhier zu Straßburg, so am 4. prairial jüngst verstorben Vermögenschaft, Welche auf Ansuchen der hinterbliebenen Wb. Carolinä Luisä geb. Wagner beiständlich des burgers Joh: Friderich Cladi Zuckerbecken hieselbsten, wie auch des verstorbenen mit ihro der Wb. erzielter nachgelaßener dreier Kinder und respe. des auch entseelten ältesten Sohns hinterbliebenen noch lebenden Söhnleins Vogts und des noch minderjährigen Sohns Vogts benandlich 1° weiland burgers Johann Friderich Bähr des jüngern aber ältesten Sohns gewesenen Silberarbeiters so am 14 floreal jüngst verstorben hinterbliebenen noch lebenden Söhnleins Friderich Carl genannt, so etwa 2. Jahr alt mit deßen zurückgelassenen Wb. Sophia Luisa geb. Kastner ehelich erzeugt, massen deßen Zweites Söhnlein Ludwig genannt bald nach dem Großvater und zwar am 9. prairial auch in die Ewigkeit nachgegangen, also deßen Erbsportion vermög Artick. 72. des Gesetzes vom 17. Nivose des 2. Jahrs der Republick über die Erbrechte redend, dem noch lebenden vorgenannten bruder als diesorts Enckel anheimgefallen, deme (…) zum Vogt ernannt und beeidigt worden burger Frantz Carl Stephan Handelsmann alhier, welcher auch mit und beneben dieses Söhnleins und Enckels vorgenannten Mutter diesem Geschäfft beiwonete
2° brs. Johann Daniel Bähr des großjährigen Sohns Uhrenmachers in Paris wonhafft dermalen aber hier anwesend, und 3° brs. Johann Jacob Bähr so bald 16 Jahr alt des noch minderjährigen Sohns und deßen (…) Vormunds brs. Johann Friderich Bähr des jüngern Silberarbeiters hieselbst, so ebenfakks hiebei in gegensein war

(f° 7) Eigenthum ane einer behaußung. (E.) Neml. I. behßg. und hoffstatt mit allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane der Spiesgaß mit N° 1 bezeichnet I.s neben br Joh: Gottfried Stahl dem silberarbeiter 2.s ein Eck ane de Fladergaß gegen dem Münster zu mit N° 9 bezeichnet Zum theil und theils neben br Joh: Daniel Lauth dem bierbrauer hinten auf ged. br Stahl und Lauth stosend, so frei ledig eigen und hieheri ohnnachteilig angeschlagen pro 13 060 livres. Daruber besagt ein ehemaliger pergam. Ganthkaufbrieff dedato 13. Novembris 1758 mit des vormalig. Kl. Raths alhier Actuarii Beguin Unterschrifft versehen
(f° 13) Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wärender Ehe angegangenen unverändert Guts. Nemlich da beederseitige illata zu inventiren unterlaßen worden, so declarirte die Wb. bei ihrer abgelegten Handtreu gewissenhafft anzugeben (…)
Ergäntzung, des Verstorbenen manglenden unveränderten Vermögens (…) Nach dem am 1. Octobr. 1767 erfolgten Absterben weil. der bin. Margarethä Barbarä geb. Ströhlin auch weil. brs Joh: Daniel Behr senoris geweßten Silberarbeiters alhier Wb. des jetzt verstorbenen eheleibli. Mutter sind ihme dem nun entseelten in Gefolg der über solche mütterl. Verl. durch auch weil. Notar. Joh: Daniel Langheinrich am 9 gesagten Monat Octobris angefangenen (… ) Abteil: und Erörterungs Register
(f° 18 v) Series rubricarum. Der hinterbliebenen Wb. unveränderten Vermögens, Sa. hausraths 89, Sa. Silber Geschmeids 4, Sa. Golden Geschmeids 725, Sa. der Ergäntzung 1518, Summa summarum 2336 livres
Diesemnach wird auch derer Kinder und Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 217, Sa. Werckzeugs, Silber und Goldwaar zur Silbers Kunst gehörig 1363, Sa. Eigentuma ane einer behaußung 13 060, Summa summarum 14 641 livres – Schulden 275 livres, Nach solchem Abzug 14 365 livres
Endlich wird auch das gemein verändert und theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 1550, Sa. tafeln und Gemäld 658, Sa. Leerer Faß 363, Sa. Silbers 78, Sa. baarschafft 2820, Sa. Gultguths 10 800, Sa. Activorum 3462, Summa summarum 19 733 livres – Schulden 3518 livres, Nach deren Abzug 16 215 livres
(f° 12) Abschrifft der Eheberedung ded. 1. mart. 1765, (…) Not. Johann Daniel Langheinrich
Abschrift des Codicilli de dato 20. maÿ 1780 – in einer ane der Schumachergaß gelegen H. Exsenatori Johann Lorentz Götz dem Werckmeister eigenthümlich zuständigen behaußung in der darin zwo stigen hoch sich befindl. von mir Notario lehnungsweiße bewonten Schreibstub, Not. Johann Friedrich Greis

Décès, Strasbourg (n° 1370)
Cejourd’hui quatrième prairial l’an trois de la République française une et indivisible (…) que Jean Frédéric Bæër, Orfèvre, agé de 74 ans, né en cette commune, fils légitime de feu Jean Daniel Bæër, orfèvre, et de feuë Marguerithe Barbe Strehling, époux en légitime mariage de Charlotte Louise Wagner, est mort aujourd’hui à cinq heures du matin en sa demeure située à la Place de lEtre suprême N° 9

La veuve et les enfants de Jean Frédéric Bæhr louent les différentes boutiques de la maison au négociant Jean Louis Schlick

1797 (16 mess. 5), Strasbourg 6 (17), Me Laquiante n° 3 (4. juil. 1797) – Enregistré le 16 mes.
Bail de 6 années consecutives qui ont commencé a courir à la St Michel v. stÿle – Cit. Charlotte Louise Wagner veuve de feu le Cit. Jean Frédéric Baer Marchand Jouailler, Cit. Jean Frédéric Baer Marchand Orfèvre agissant en qualité de tuteur établi par la justice au Cit. Jean Jacques Baer Practisien en cette commune fils mineur dud. feu Cit. Baer, Cit. Ignace Scaramuzza Négociant en qualité de mandataire du Cit. Jean Daniel Baer horloger demeurant à paris, Le Cit. Charles François Stephan Négociant en cette commune en qualité de tuteur établi par la justice au Cit. Charles Frédéric Baer fils mineur de feu le Cit. Jean Frédéric Baer Lieutenant au 3+ Bataillon du Bas Rhin lequel était fils dudit feu Cit. Jean Frédéric Baer Tous Veuve Enfants petits Enfants et héritiers du Cit. Jean Frédéric Baer
au Cit. Jean Louis Schlick Negociant
Les trois Boutiques Scizes au Rez de chaussée ainsi que la petite Boutique derrière qui servoit autrefois à la fonderie de la Maison appartenante à la succession de feu le Cit. Baer Sise en cette commune faisant le Coin de la place de la Cathedrale et de la rue des hallebardes
(article 7) Le Vestibule a Côté des boutiques demeurera libre et le Cit. Preneur ne pourra y placer aucune Marchandise afin que l’entrée de la Cave ne soit pas genée – moyennant un loyer annuel de 672 livres tournois

Nouveau bail au profit des héritiers de Jean Louis Schlick

1803 (15 germ. 11), Strasbourg 1 (25), Me Lacombe n° 3507 – Enregistrement de Strasbourg, acp 87 f° 113-v du 19 germ. 11
Bail de 6 années qui commencent le 5 vendemiaire 12 – De Charlotte Louise Wagner veuve de Jean Frédéric Baer marchand Jouailler, Jean Jacques Baer praticien agissant tant pour eux que pour Jean Daniel Baer horloger à Paris et encore le Cit. Charles François Stéphan Négociant comme tuteur établi par la justice au Cit. Charles Frédéric Baer fils mineur de feu Jean Frédéric baer petit fils dudit Jean Frédéric Baer
aux héritiers de Jean Louis Schlick de cette ville scavoir Xavier Schlick négociant, Louise Schlick, Thérèse Schlick et Madeleine Schlick absente et Joséphine Schlick mineure
Les trois boutiques sises au rez de chaussée ainsi que la petite boutique de derrière qui servoit autrefois a la fonderie de la maison appartenante a la succession dudit feu Jean Frédéric Baer sise en cette ville faisant le coin de la place de la cathedrale et de la rue des hallebardes – (connaissent les lieux) pour les occuper en vertu de bail passé devant Me Laquiante le 16 messidor 5
(charges, clauses et conditions) 5. le vestibule a côté des boutiques demeurera libre et les preneurs ne pouront y placer aucune marchandise afin que l’entrée ne soit pas genée – moyennant un loyer annuel de 672 francs

Charlotte Louise Wagner meurt en 1810

1810 (2.11.), Strasbourg 12 (34), Me Wengler n° 5258 – Enregistrement de Strasbourg, acp 115 f° 179-v du 9.11.
Inventaire de la succession de Charlotte Louise Wagner veuve de Jean Frédéric Baer orfèvre décédée le 3 septembre 1810 – à la requête de François Charles Stephan, négociant, tuteur de Charles Frédéric Baer 16 ans 6 mois, fils de feu Jean Frédéric Baer procréé avec Sophie Louise Kastner, épouse en troisièmes noces de Henri Lützel, aubergiste, Jean Daniel Baer horloger, François Louis Klauhold avoué près le Tribunal Civil fondé de pouvoir de Jean Jacques Baer juris consulte à Mayence, héritiers pour un tiers de leur mère
dans la maison mortuaire place de la cathédrale n° 9
Codicille reçu Me Laquiante le 2 décembre 1806
meubles, argenterie, créances
immeuble, le tiers par indivis d’un bien rentier appelé Gültgut à Bernsheim canton de Brumath, mobilier 10 272 fr, immeuble 5110 fr, ensemble 15 382 fr, passif 7708 fr

Les héritiers vendent la maison par licitation à la barre du tribunal civil. L’acquéreur est le cordonnier Jean Michel Mertz

1811 (4.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 60, n° 5
par devant M François Xavier Herrmann juge au Tribunal de Première Instance commissaire en cette partie nommé par jugement dudit tribunal du 10 novembre 1810, Cahier des charges à la requête de Jean Daniel Baer, horloger, et Jean Jacques Baer, avocat demeurant à Mayence, pour lesquels occupe M Klauhold, avoué près le Tribunal civil, en présence de François Charles Fischer, négociant, tuteur de Charles Frédéric Baer, mineur ayant pour avoué M Laemmermann – vente par licitation et adjudication
à Me Laemmermann – déclaration de command du 15 mars, déclare avoir enchéri pour Jean Michel Mertz, marchand cordonnier
Désignation de la maison, Une maison, appartenances et dépendances sise à Strasbourg place de la Cathédrale n° 9 faisant le coin de la rue des Hallebardes, d’un côté la brasserie du Dauphin, d’autre la maison des héritiers Stahl, derrière les susdites deux maisons – est construite en pierre de taille et briques, elle est composée d’un rez de chaussée, de trois étages et d’une mansarde, elle appartient à chacun pour un tiers au contenu d’un acte passé à la Chambre des Contrats – le 11 novembre 1785 et inventaire de la succession de Jean Frédéric Baer jouailler et Charlotte Louise Wagner – mise à prix 16 000 francs par le rapport d’experts du 5 décembre 1808, fait le 30 janvier 1811
Adjudication préparatoire du 1 mars – Adjudication définitive du 15 mars, moyennant 25 125 francs

Originaire d’Auenheim proche de Kehl, Jean Michel Mertz épouse en 1779 Anne Catherine Noll, originaire de Hugsweier près de Lahr : contrat de mariage, célébration
1779 (29.1.), Me Schatz (6 E 41, 1302) n° 62
(Eheberedung) persönlich erschienen seÿen Michael Mertz, der ledige Schuhmacher Von Auenheim über Rhein gebürtig, weÿ: Michael Mertz, geweßenen Fischers u. burgers daselbst, mit Fraun Margarethæ gebohrner Heÿdin, ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter ane einem,
So dann Jungfer Anna Catharina Nollin, Jacob Noll, Ackersmanns und burgers Zu Hucksweÿer, Naßau Usinigscher Herrschafft, mit Fraun Anna Maria gebohrner Schweinin ehelich erziehlte tochter, als braut ane dem andern Theil – Straßburg d. 29. Januarÿ 1779 [unterzeichnet] Michael Mertz, Anna Chatharina Nollin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 218-v, n° 11)
Im Jahr 1779. Dienstags den 13. Aprilis nach Mittags um zweÿ Uhr sind nach vorhergegangenen gewohlichen Proclamationen Festi Paschalis et dominicâ Quasimodo geniti in offentlicher Kirchen ehelich eingesegnet worden, Michael Mertz, lediger Schuhmacher von Auenheim gebürtig, weiland Michael Mertz gewesenen Fischers und burgers daselbsten und Frauen Margaretha gebohrner Heÿdin ehelicher Sohn, Und Jgfr. nna Catharina Nollin Georg Noll, Ackersmanns und burgers in Huckschweÿher und Frauen (-) eheliche Tochter [unterzeichnet] Michael Mertz als Hochzeider, Anna Chatharina Nollin als hochziterin (i 31)

Le savetier Michel Mertz qui souhaite passer son chef d’œuvre en présentant quatre paires de chaussures pour femme porte l’affaire devant les Quinze en 1780. Les représentants de la tribu non seulement ne voient pas d’inconvénient à accéder à la demande mais souhaiteraient que tous les savetiers en fassent une comparable.
1780, Protocole des Quinze (2 R 190, registre lacunaire complété par les notes du secrétaire)
(Rapiarium p. 7) Oster. Michael Mertz des Altbusers und b. allhier C. EE Zft der Schumacher (Zmstr) prod. unterth. mem. samt beil. sub Lit A. pt° Erlaubnis mit 4 paar weibschuh zu verfertig. b. unterh. dep. Claus b. gleichfalls deput.
(p. 73) Iidem laßen per Eundem referiren, es habe Michael Märtz der burger und altbüßer Contra E. E. Zunfft der Schuhmacher Zunfft meister den 19.ten dieses ein unterthäniges memoriale mit beÿlag litt. A. übergeben und darinn gebetten MGHh. geruheten ihme Zu erlauben das Meisterstück mit vier paar frauenzimmer schuh verfertigen Zu dörfen, sofort ihne als dann das gantze Meisterrecht genießen Zu laßen.
Beÿ besessener Deputation haben H. Rathh. Vix und H Ulrich Lipp beede Schöffen und vorsteher E. E. Zunfft der Schuhmacher in gegenwarth des Imploranten nochmalen mündlich declarirt daß gleich wie nach ausweis extractus gerichts memorialis des Imploranten begehren MGh. beliebigen decision einhellig anheim gestellt worden sie nicht nur nichts darwider einzuwenden hätten, sondern vielmehr wünschten daß alle altbüßer ein gleiches begehren und erhalten möchten, und hierdurch auf einmal abgethan blieben.
Auf diese von E. E. Zunfft der Schuhmacher vorstehere beschehene erklärung, und die laut Gerichts memorialis vorliegender submission haben die H. Deputirte kein bedencken getragen ihr gutachten dahin zu ertheilen, daß der Implorant gegen erlag dreÿ pfund d wie gewohnlich theilbar und ersetzung der uncosten dispensando dem Artickel Zu verfertigung des Meisterstücks mit vier paar Frauen zimmer schuh Zu admittiren sofort nach vollziehung deßen ihme der Genuß des gantzen Meisterrechts zugestatten seÿe. Erkannt, be[dacht con]firmirt.
(p. 82) Sambstags den 26. Februarÿ 1780. Osterrieth nomine Michael Mertz in actis Contra E E Zunfft der Schuhmacher H Zunfftmeister in actis bitt Communicationem sententiæ. Erkannt communicatio.

Le registre de bourgeoisie manque. Michel Mertz figure sur la liste des nouveaux bourgeois
1778, VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780) [p. 6]
Michael Mertz

Inventaire des apports en conformité du contrat de mariage dressé en 1782. Le nom de l’épouse a été par erreur remplacé par le nom de la mère du mari. Les conjoints Mertz habitent alors rue des Orfèvres dans la maison du marchand Schatz
1782 (2.5.), Me Lederlin (6 E 41, 904) n° 184
Inventarium über H. Michael Mertz des schuhmachers und Fr. Margaretha geb. Heidin einander in den ehestand eingebrachte nahrung – vor H. Not. Schatz d. 29. jan. 1779 auffgerichtet Eheberedung
in einer ane dem Goldschmid gaß gelegenen H. Schatz dem handelsmann zugehörigen behausung ; [series rubricarum, non renseigné]

Nouvel inventaire des apports dressé en 1821
1821 (30.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 164-v du 1.6.
Déclaration tenant lieu d’inventaire – Inventaire des apports de Michel Mertz ci devant cordonnier et d’Anne Catherine Noll, selon leur contrat de mariage passé devant Me Schatz le 29 janvier 1779
le mari 6000 fr et la femme 2000 fr

Anne Catherine Noll meurt en 1830 en délaissant trois enfants ou leur représentant

1831 (6.6.), Strasbourg, Me F. Grimmer (actes en déficit), Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 204 F° 83-v du 10.6.
Inventaire de la succession d’Anne Catherine Noll femme de Jean Michel Mertz, propriétaire, décédée le 9 décembre dernier – à la requête 1. du veuf, des enfants 2. Jean Michel Mertz, cordonnier, 3. Anne Catherine Mertz femme Laemmermann, marchand de toiles, 4. Guillaume Gerhard par représentation de Marguerite Mertz femme de Geoffroi Gerhard, boucher
mobilier 900 fr, argent 100 fr, créances 800 fr, totalité 1800 fr
une auberge à la Hohwarth évaluée 800 fr
une petite maison jardin à la Hohwarth cote D évaluée 25 fr
deux bergeries cote H et I évaluée 100 fr
une maison rue des Hallebardes cote F évaluée 1000 fr
une maison au Marché Neuf cote C évaluée 500 fr
une maison à la Hohwarth cote L évaluée 150, totalité 2575 fr, point de passif

Jean Michel Mertz lègue sa maison rue des Hallebardes à son fils du même nom

1834 (27.12.), Strasbourg, Me F. Grimmer (actes en déficit), Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 228 F° 137-v du 2111.
Testament – Jean Michel Mertz père, propriétaire décédé le 21. 9.br, révoquant les testaments antérieurs
à son fils Jean Michel Mertz, la moitié de la maison & dépendances rue des Hallebardes n° 1
à sa fille De Laemmermann, la moitié de sa maison à Strasbourg au Marché Neuf n° 5
à son petit fils Edouard Gerhardt issu du mariage de Guillaume et Marguerite Salomé Mertz, la moitié de l’auberge dépendances sous le nom de la Hohwarth avec 6 ha 60 ares de terres labourables et pré

Jean Michel Mertz meurt en 1834

1834 (27.11.), Strasbourg 8 (62), Me G. Grimmer n° 5045 – Enregistrement de Strasbourg, acp 228 F° 190-v du 6.12.
Inventaire de la succession de Jean Michel Mertz père décédé le 21 novembre dernier – à la requête de 1. Jean Michel Mertz, marchand cordonnier, 2. Anne Catherine Mertz veuve d’Isaac Laemmermann, marchand de toile, 3. Guillaume Geoffroi Gerhardt, boucher, mandataire d’Edouard Gerhardt, trompette au quatrième régiment de chasseurs à cheval en garnison à Sedan par représentation de sa mère Marguerite Salomé Mertz épouse du Sr Gerhard
Observations préliminaires, veuf d’Anne Catherine Noll, inventaire dressé le 10 juin 1831

dans une maison rue des Hallebardes n° 1 faisant le coin de ladite rue et de la place de la Cathédrale
mobilier 247 fr, garde robe 57 fr, meubles communauté 786 fr, déclations actives 2731 fr
Testament Me F. Grimmer le 27 décembre 1828 enreg. le 21 novembre courant (…) à Jean Michel la moitié de la maison & dépendances sise en cette ville rue des Hallebardes n° 1 faisant le coin de ladite rue & de la place de la Cathédrale où elle est numérotée 9
à Mde Laemmermann, la moitié de ma maison au Marché Neuf n° 5 faisant le coin de ladite place & la ruelle Ste Marguerite
à mon petit fils la moitié de l’auberge & dépendances connue sous le nom de Hohwarth avec 6 ha 6 de terres labourables & pré, Adjudication définitive au Tribunal Civil 23.12.1818
A) Titres et papiers, contrat de mariage Me Schatz le 29 janvier 1779
B) Expedition du testament de la femme Mertz, Me F. Grimmer le 27 décembre 1828 enreg. 29 décembre 1830, à son fils Jean Michel [même teneur que ci dessus pour chacun des enfants]
C) Chambre des Contrats le 8 janvier 1785 acquis la maison à Strasbourg au Marché Neuf n° 5, d’un côté Dlle Jordain, d’autre la ruelle dite Allmendgaessel, derrière le Sr Strohmeyer
D) Me Zimmer le 25 mars 1806 acquis une petite maison, appartenances, dépendances à la petite plaine des Bouchers derrière la Hohwarth batie sur un terrain communal près la ci devant bergerie
pat jugement du tribunal civil de première instance rendu le 15 mars 1811, une maison, dépendances sise à Strasbourg place de la Cathédrale n° 9 faisant le coin de la rue des Hallebardes où elle porte le n° 1, d’un côté le brasserie du Dauphin,d’autre la maison des héritiers Stahl, derrière lesdites deux maisons
G) adjudication au tribunal civil le 3 décembre 1818 une auberge dite Hohwarth située hors la porte de l’Hôpital sur la chaussée conduisant à Illkirch avec bâtiment & dépendances de 85 ares de terres y compris le jardin potager attenant à ladite auberge & aux terres arables, de la contenance de 5 ares la cour du bâtiment susdite, d’un côté le canton dit Kritt, d’autre un pré de cette propriété, derrière le Sr Mertz
6 ares de pré y compris le verger planté d’arbres fuitiers à côté de la route, d’un côté le canton Kritt, d’autre le fossé dit Woerthgraben, derrière la terre arable ci dessus désignée (et terres à Illkirch)
H) adjudication Me Lacombe le 23 avril 1823, la Commission administrative des hospices civils de Strasbourg, adjudication d’une bergerie consistant en bâtiment composé d’une petite habitation & étable y attenant, une cour & un petit jardin le tout de la contenance de 11 ares 16 ca près la Hohwarth, d’un côté l’auberge de la Hohwarth, un chemin, d’autre le chemin conduisant à la chausée et en partie propriété de M Mertz, derrière N N anabaptiste
J) Adjudication définitive du 9 ventose 12 à la mairie de Strasbourg, acquis une autre bergerie & dépendances située à côté de la première consistant en un bâtiment & deux étables occupant une superficie de 256 m carrés avec un terrain y attenant de la contenance d’environ 15 ares & un petit jardin situé derrière lesdits bâtiments, d’un côté le chemin commun, d’autre en partie un terrain communal & en partie la maison & l’enclos appartenant au Sr Mertz, derrière un terrain communal, le jardin appartenant au Sr Mertz ;
L) transaction entre le défunt et Simon Küchel, cordonnier à Strasbourg devant Me Grimmer le 20 nivose 8 sur un procès et contestation qui se sont élevés au sujet d’une vente d’immeuble savoir, une maison sise à la Hohwarth à gauche de la route de Colmar avec cour, écurie, appartenances & dépendances & environ 100 ares (5 arpents) de terre, d’un côté et derrière la maison appartenant au Sr Mertz, d’autre le Sr Schulmeister en partie Sr Renaud de la Soudière, derrière fossé lesquels sont par conséquent propriété des héritiers Mertz – passif 19 510 fr

La maison revient d’après les dispositions testamentaires du défunt à son fils cordonnier Jean Michel Mertz qui a épousé en 1812 Sophie Edelmann

1812 (8.7.), Strasbourg 12 (46), Me Wengler n° 6825 – Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 33-v du 10.7.
Contrat de mariage – Jean Michel Mertz, cordonnier, fils de Michel Mertz l’ainé, cordonnier à Strasbourg, et d’Anne Catherine Noll
Sophie Edelmann fille majeure de feu Geofroy Louis Edelmann, faiseur d’instruments, et de défunte Marie Anne Helfrisch

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1812 (3.11.), Strasbourg 12 (47), Me Wengler n° 7102 – Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 192-v du 6.11.
Inventaire des apports de Jean Michel Mertz cadet cordonnier et de Sophie Edelmann mariés le 17.8. dernier, selon leur contrat de mariage en date du 8 juin dernier
dans la maison du Sr Mertz père au marché neuf n° 5
le mari, 2044 fr dont numéraire 1200 fr
la femme, 3364 fr dont créances 2000 fr

Jean Michel Mertz et Sophie Edelmann vendent la maison au boulanger Louis Birry et à sa femme Marie Kuterer

1857 (16.6.), Me Keller
une maison sise à Strasbourg place de la Cathédrale n° 9, moyennant 10 000 francs et une rente viagère de 1500 francs, réductible à 1200 francs au décès du premier mourant, ladite rente estimée au capital de 15 000 francs (total) 25 000 francs
acp 461 (3 Q 30 176) f° 18 du 22.6.

Originaire de Düttlenheim, Louis Birry épouse en 1846 Marie Anne Kutterer, de Molsheim
Mariage, Strasbourg (n° 132)
Du 19° jour du mois de mars l’an 1846. Acte de mariage de Louis Birry, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 août 1820 à Düttlenheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, garçon boulanger, fils de Martin Birry, Cultivateur domicilié à Düttlenheim, ci présent et consentant, et de feu Salomé Heckmann, décédée à Düttlenheim le 10 octobre 1830, et de Marie Anne Kutterer, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 juin 1822 à Molsheim (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg fille de Joseph Kutterer, serrurier, et de Thérèse Peter conjointss domiciliés à Molsheim, ci présents et consentants (signé) Louis Birry, M. Kutterr (i 10)

« Page précédentePage suivante »

Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.