24, rue de la Krutenau


Rue de la Krutenau n° 24 – X 339 (Blondel), O 572 puis section 23 parcelle 75 (cadastre)


Le n° 24 est le maison de droite (avril 2015) – Même endroit vers 1930 (Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 2308) – Vue en mars 2024

Le vitrier Jean Wissinger acquiert en 1594 trois maisons contiguës et conserve celle du milieu. Le batelier Urbain Krieg lègue la maison en 1631 à son beau-frère Jean Bœss contre son entretien. Les propriétaires sont ensuite les cordonniers Jean Conrad Krieger (1691), André Frantz (1698) puis (1733) son fils Adam Frantz qui charge en 1767 le maître maçon Jean Michel Meyer d’aménager le deuxième étage. Le revendeur Jean Martin Gerbersdorff en devient propriétaire en 1769. Les experts estiment en 1798 que le solivage est en mauvais état, notamment celui de la cave.


Plan-relief de 1727 (Musée historique). La maison se trouve dans le prolongement de la passerelle dite Pont-aux-Chats

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 221 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est celle du milieu entre les repères (d-e) : porte et fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux lucarnes. La cour B montre l’arrière (3-4) de la façade sur rue et la façade ouest (1-4). Les trois étages sont mentionnés à l’acte de vente de 1825 par les héritiers du cordonnier Gall Haldenwang.
La maison porte d’abord le n° 26 (1784-1857) puis le n° 24.


Plan, cour B

La maison appartient de 1825 à 1872 au maître de dessin François Léonard Ræis. Elle change à plusieurs reprises de propriétaire jusqu’à ce que le cordonnier Jean Schæfer l’achète en 1900.
L’Association Foncière Urbaine Libre du Grand Chat fait réhabiliter en 1995 et 1996 le bâtiment sous la direction de l’architecte Pierre Moreau de Schiltigheim. L’architecte des Bâtiments de France demande de conserver la porte d’entrée, la porte XVIII° siècle et le lambris au premier étage ainsi que la fenêtre XVIII° siècle dans l’escalier au troisième étage.


Dessins (1994, architecte Pierre Moreau, dossier de la Police du Bâtiment)
Façade sur rue avant et après travaux – Façade sur cour et coupe avant travaux

mars 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Wissinger, vitrier, et (1583) Marguerite Hurlé puis (1598) Sabine Messerschmidt – luthériens
1614 h Laurent Schaffner, vitrier, et (1614) Sabine Messerschmidt, veuve de Jean Wissinger
1618 v Urbain Krieg, batelier, et (1612) Anne Fürstel – luthériens
1631* don Jean Bœss, batelier, et (1612) Madeleine Krieg, auparavant (1608) femme du tailleur de pierres Louis Baur – luthériens
1650* h Jean Bœss, batelier, et (1638) Marguerite Roth – luthériens
1691 v Jean Conrad Krieger, cordonnier, et (1687) Anne Marie Nieffert – luthériens
1698 v André Frantz, cordonnier, et (1692) Barbe Gerber – catholiques
1733 h Jean Adam Frantz, cordonnier, et (1733) Marie Susanne Michot puis (1766) Marie Salomé Riebel, d’abord (v. 1720) femme de Thomas Frédéric Rudolff puis (v. 1725) Thomas Frantz – catholiques
1759 v Jean Martin Gerbersdorff (Germersdorff), revendeur, et (1748) Régule Greiff puis (1764) Catherine Hausmaurer – catholiques
1798 v Gall Haldenwang, cordonnier, et (1783) Anne Marie Gautsch puis (1799) Marie Salomé Hügel – luthériens
1825 v Frédéric Léonard Ræis, maître de dessin, et (1825) Madeleine Mathysz
1872 v Louis Burckhardt, propriétaire, et (1870) Césarine Jacquin auparavant (1858) femme de David End
1880 v Elie May, marchand de meubles, et (1859) Rebecca dite Rosalie Gerschel
1884 v Thérèse Hubrecht († 1892)
1894 v Jean Feser, cordonnier, et (1882) Marie Salomé Huser
1895 v Jacques Dambach, cordonnier, et (1866) Emilie Caroline Gross, (1886) Eugénie Scheute puis (1892) Marie Catherine Litt, originaire de Romanswiller, veuve de Jacques Klein
1900 v Jacques Schæfer, cordonnier, et (1892) Catherine Schrotz
1948* h Henri Schæfer, électricien

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1733, 400 livres en 1761, 200 livres en 1784

(1765, Liste Blondel) X 339, Jean Adam Frantz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Germersdorffer, 2 toises, 0 pied et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 572, Raeiss, Frédéric Léonard, Krutenau 26 et Mathis Madeleine Krutenau 26 – maison, sol – 0,35 are

Locations

1895, Jean Feser, cordonnier, et Marie Salomé Huser, anciens propriétaires

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon (Jean Michel) Meyer expose les travaux qu’il va faire dans la maison d’Adam Frantz, garde auprès du consul régent, sise sur la placette près du Pont-aux-Chats, à savoir au deuxième étage un poêle sur la rue et à l’arrière une cuisine pourvue d’un fourneau et d’une hotte, le tuyau s’appuyant sur le pignon en pierre à distance des pièces en bois.

(p. 116) Montags den 23.t Februarii 1767.
Adam Frantz, der Wächter beÿ dem regierenden H. Ammeister, Will in seinem am plätzel beÿm Katzensteeg gelegenen Hauß im zweÿten stock eine stub gegen der gaß und hinten daran eine Kuch mit herd und Caminschoß machen laßen das rohr am steineren gebel hinauf, von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Meÿer

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, petite cuisine, petit vestibule, petite cour et petits cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
  • 1761 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier de cordonnier, un poêle, une cuisine et trois chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
  • 1798 rapport d’expertise

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de la Krutenau (p. 46)

nouveau N° / ancien N° : 26 / 26
Reiss
Rez de chaussée et 3 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre registre 25 f° 288 case 4

Mathis Magdeleine, Krutenau N° 26

O 572 ½, maison, sol, Krutenau 26
Contenance : 0,18
Revenu total : 17,09 (17 et 0,09)
Folio de provenance :
Folio de destination : 289
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6 ½
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre napoléonien, registre registre 25 f° 289 case 1

Raeis Frédéric Léonard, Krutenau N° 26

, maison, sol,
Contenance : 0,17
Revenu total : 17,09 (17 et 0,09) total 34,18
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6 ½ puis 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 puis 4 / 4

O 572 ½, maison, sol, Krutenau 26
Contenance : 0,18
Revenu total : 17,09 (17 et 0,09)
Folio de provenance : 188
Folio de destination :
Année d’entrée :1845
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6 ½
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1065 case 1

Raeis Frédéric Léonard
1860 Raeis Frédéric Léonard, Veuve et son fils
(1873) Burckhard Ludwig
1882/83 May Elias, Möbelhändler
1886/87 Hubrecht Theresia, Fräulein
95/96 Feser Johann, Schuhmacher
97/98 Dambach Jakob
1901 Schaefer Jakob, Schuhmacher und Ehefrau Katharina geb. Schrotz in Gütergemeinschaft

O 572.p, Maison, sol, Rue de la Krutenau 24
Contenance : 0,17
Revenu total : 17,09 (17 et 0,09), total 34,18
Folio de provenance : (289)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 4

O 572.p, Maison, sol, Rue de la Krutenau 24
Contenance : 0,18
Revenu total : 17,09 (17 et 0,09)

Cadastre allemand, registre 30 folio 300 case 5

Parcelle, section 23, n° 75 – autrefois O 572
Canton : Krutenaustraße N° 24
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,43
Revenu : 500 – 700
Remarques

(Propriétaire), compte 1040
Schaefer Jakob und Ehefrau
1948 Schaefer Henri électricien
(3532)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (353) Rue Crutenau

26
Pr. Kermerstorfer Katrina, Veuve frutier – Moress
Loc. Koch Jacop bouche – Bouche
Loc. Marselofe Sairgent P*uateleur Marie Manant

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 353, Quartier de la Krautenau p. 540

26
pr. Kermersdorf Catherine, Veuve fruitière – Moresse
loc. Koch Jacques boucher – Bouchers
loc. Marzloff, Jean – Manant
(ajout) loc. Wirkenheim Anne M
(ajout) loc. Choanesse* Marie

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Krautenaustrasse (Seite 90)

(Haus Nr.) 24
Schäfer, Schuhmm. E 01
Baumann, Rentner. 2
Pfab, Schlosser. 2
Schilling, Bierbrauer. 2
Wendling, Zimmermann. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 937 W 216)

24, rue de la Krutenau (1886-1996)

Le maire notifie en 1895 le propriétaire Feser de se conformer au règlement de 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. Jean Feser qui a l’intention de remplacer les fenêtres par une devanture demande un délai.
L’Association Foncière Urbaine Libre du Grand Chat fait réhabiliter en 1995 et 1996 le bâtiment sous la direction de l’architecte Pierre Moreau de Schiltigheim. L’architecte des Bâtiments de France demande de conserver la porte d’entrée, la porte XVIII° siècle et le lambris au premier étage et la fenêtre XVIII° siècle dans l’escalier au troisième étage.

Sommaire
  • 1886 – Le maire notifie Thérèse Hubrecht de faire ravaler la façade
    1890 – Idem – Thérèse Hubrecht demande un délai pour ravaler ses deux maisons (24, rue de la Krutenau et 5, rue de la Caserne Saint-Nicolas (aujourd’hui rue de la Tour-des-Pêcheurs). Le maire n’accorde le délai que pour la première, la façade de la deuxième étant trop sale. – La façade a été lavée, octobre 1891.
  • 1890 – Le locataire des mansardes au quatrième étage se plaint de son logement en mentionnant le propriétaire, la dame Burckhardt – Les services municipaux constatent que les pièces en bois sont trop proches de la cheminée – La cheminée a été chemisée, août 1890.
  • 1893 – J. Feser demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, juillet.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire Feser de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Jean Feser qui a l’intention de remplacer les fenêtres par une devanture demande un délai d’un an et demi – Les volets ont été modifiés, mai 1897.
  • 1907 – L’entrepreneur Albert Metzger (3, rue du Brochet) demande au nom du propriétaire Schæfer l’autorisation de ravaler la façade (une demande est adressée au maire, une autre au commissaire de police) – Autorisations de ravaler la façade, d’occuper la voie publique – Travaux terminés, juin
  • Commission contre les logements insalubres – 1906. Les latrines seront raccordées aux canalisations l’année suivante. Seule une personne est autorisée à dormir dans la chambre du troisième étage. La pièce arrière ne doit plus servir de chambre à coucher
    1908, 1910, rien à signaler
    1916, Travaux à faire, en trois points (propriétaire, Schæfer, habitant sur place) – Travaux terminés, juillet 1916
    1917. Le locataire Schæfer tient au sous-sol un clapier qui n’a pas d’écoulement réglementaire
  • 1953 – L’entrepreneur de construction Fernand Motz (11, rue de Lucerne) est autorisé à poser un échafaudage devant le 24, rue de la Krutenau
  • 1956 – La Compagnie Industrielle des Piles Electriques (CIPEL, à Levallois-Perret) demande l’autorisation de poser deux plaques publicitaires (Mazda) chez son client Schweitzer au 24, rue de la Krutenau – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1962 – La propriétaire Elise Baltzer est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
  • 1995 – L’entreprise Fattori (27, rue du Quatorze-Juillet à Hangenbieten) est autorisée à poser une benne devant la maison qui appartient à l’A.F.U.L. du Grand Chat
  • 1994 (décembre) – Claude Bauer dépose au nom de l’A.F.U.L. du Grand Chat une déclaration de travaux exempts du permis de construire (tuiles, pans de bois, crépi). La société civile immobilière Dofra, représentée par son gérant Yves Bourdin (21, avenue de la Paix à Strasbourg), a adhéré à l’association foncière urbaine libre du Grand Chat par acte reçu par les notaires Rieg à Saverne et Bauer à Mulhouse
    1994 (novembre) – L’architecte des Bâtiments de France Catherine Joanny émet un avis favorable à la réhabilitation intérieure et extérieure
    Dossier de l’architecte Pierre Moreau (18, avenue Mendès-France à Schiltigheim) Plan de situation, plan de chaque niveau (existant, projet), élévations, coupe (existant, projet) – Statuts de l’A.F.U.L. du Grand Chat reçus par les notaires Willy Nonnenmacher et Philippe Rieg à Saverne ainsi que le notaire Bauer à Mulhouse les 9 et 15 juin 1994 – Plan de financement – Le bâtiment sis 24, rue de la Krutenau dans le secteur sauvegardé comprend un logement à chaque niveau (rez-de-chaussée, premier, deuxième et troisième étages, combles) – Prescriptions de l’architecte des Bâtiments de France (conserver la porte d’entrée, supprimer le volet roulant au rez-de-chaussée, conserver la porte XVIII° siècle et le lambris devant la fenêtre au premier étage, conserver la fenêtre XVIII° siècle de l’escalier au troisième étage, conserver la charpente et les volets)
    1994 (décembre) – Autorisation
    1994 (septembre) – Autre déclaration de travaux, élévations et coupes comme ci-dessus, photocopies de photographies
    1995 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1995 (février) – Le maire autorise les travaux – Rapport du service des incendies
    Suivi des travaux. Les travaux ont commencé à la toiture, décembre 1995. Les fenêtres sont remplacées, mars 1996. Les travaux sont terminés conformément aux plans, novembre 1996.

Autre dossier, 24, rue de la Krutenau – déclaration de travaux (refus, 1994) cote 937 W 217


Relevé d’actes

Le vitrier Jean Wissinger qui a acquis trois maisons contiguës (voir au n° 22) en vend deux en 1600 et en 1601 et conserve celle du milieu qu’il hypothèque au profit de Pierre Camehl, receveur au Bruderhof

1608 (vt spâ [21. tag Octobris]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 455-v
(Inchoat. in Proth. fol: 357.) Erschienen Hannß Wüßinger der Glaßer burger Zu Straßburg vnd Sabina Meßerschmidtin sein Eheliche Haußfrau, Haben (verkaufft)
Herrn Peter Kamehlen Schaffnern Im Bruderhoff burg. Zu Straßburg
Ein Schuld 50 pfundt pfenning Straßburger so Hannß Stehl den Khüeffer burg. Zu St: vnd Christin Vögelin sein haußfrauw Vonn Ihrer erkhaufften Behaußung, Inn der Statt Straßburg Inn Cruthenouw beÿ dem Katzensteeg geleg. Zu Zweÿen Zÿelen Zuentrichen schuldig (…) Vermög der Verschreibung pro vt Reg: fol: 397.

Jean Wissinger hypothèque la maison au profit du charpentier Jean Seiler

1608 (xxiiij tag 9.bris), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 503-v
(Inchoat. in Proth. fol: 387.) Erschienen Hannß Wüßinger der Glaßer burger Zu Straßburg
Hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Hannß Seÿlers des Zimmermanns burgers Zu Straßburg – schuldig sige 47 Pfund pfenning Straßburg
Zum vnderpfand eingesetzt Hauß, Hoffestatt vnd höfflin mit Aller & geleg. Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ dem Katzensteg geg. dem Engell Vber, einsit nebent Lorentz heintzen dem Plattermacher, Andersit nebent hannß Strehler dem Küeffer hinden vff Samuel steg. Witwe vnd Erben, Dauon gend 2 pfund 10 ß widerkheüffig mit L lb d Ambrosio Schmidt inn Vogts wÿß

Jean Wissinger et Sabine Messerschmidt hypothèquent la maison au profit du fils en premières noces du mari

1611 (ut spâ [16. Martÿ]), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 98-v
(Inchoat. fo: 81.) Erschienen Hans Wÿßinger der Glaßer alhie und Sabina Meßerschmidin sein eheliche Haußfraw
Haben in gegensein H. Urban Steinmetzen Büttels Zum Encker als geschwornen Vogts Hans Adolffs ebemelts Hans Wÿßingers mit wÿland Fr. Margaretha Hürrlerin seiner erstern haußfr. s. ehelichen erzielten Sohns – schuldig sein 20 guldin zu xv batzen Ime den 15. 8.bris 605. gelühen word.
dafür Vnderpfand sein soll hauß hoffestatt höfflin & In s. St : St. In Crutenauw beÿ dem Katzensteg, einseit neben Lorentz Heintzen Plattermach. 2.seit Hans Strehlen dem Küffer stoßend hinden vff Carle Weckerlin den Jüng. Dauon gend 2 lb 10 ß d gelts H Frantz Grasecken vögtlichen weis lösig mit L lb d St. Sunst ledig eÿgen

Jean Wissinger et sa femme Sabine hypothèquent la maison au profit de la fille de Jacques Erhard

1611 (23.tag Julÿ), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 324
(Inchoat. in Proth. fol: 264.) Erschienen Hannß Wÿßinger der glaßer burger Zu Straßburg vnd Sabina sein eheliche haußfrau
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Peter Kamehl burgers Zu Straßburg Als geschwornen Vogt Jungfrauwen Ursulæ Erhardtin wÿland Jacob Erhardt Alhie seligen dochter In Vergleichung – schuldig sigent 25 pfund pfund Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnnd höfflin mit allen Ihren gebeüwen gelegen Alhie Inn der Crautenauw vber dem Katzensteg einsit neben hannß Strehlen dem Küeffer Anderseit neben Lorentz Heÿtzen stost hinden vf Carle Weckerlin den Jüngern mehlmann, dauon gend ij lb x ß d Ablösig mit L lb vff Johannis Baptæ fallend herrn Frantz Graseck Inn Vogts weÿß

Sabine veuve de Jean Wissinger se remarie en 1614 avec le compagnon vitrier Laurent Schaffner, originaire d’Obernai : contrat de mariage, célébration
1614 (ut spâ [xvij. Junÿ]), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 316
(Inchoat. in Proth: fol. 276. [Eheberedung]) Erschienen Lorentz Schaffner der glaßer gesell vonn Oberneheim mit beÿstandt Paulus Schaffner seines bruders vnd Niclaus Peters seines schwagers, bede Zu Oberneheim Ane eim
So dann Sabina Meßerschmidtin wÿland Hannß Wüßingers des glasers burgers Zue Straßburg seelig. witwe mit beÿstandt vnd verwilligung herrn hannß Geörg Gastelÿ glaßmahlers burg. Zue Straßburg Ihres geschwornenn vogts vnd Peter Reimboldt Clein Uhrenmachers Alhie Ihres schwagers Am Andern theil
(…) dagegen vnd hienwiederumb hatt vorgenante Sabina Meßerschmidtin die hochzeiterin Ihme Lorentz Schaffner dem hochzeiter Zue einem freÿen eÿgenthumb verschrieben vnd Zugesagt, Erstlichen den drittentheil ihro für vngetheilt gebürende, vonn vnd Ane hauß, hoffestatt vnd höflin mit Alle Ihren gebeüwen & gelegen In der Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ dem Katzensteg einsit nebent Lorentz heitzen, Andersit hannß Strähel dem küeffer hinden vf Samuel Stehs seelig. witwen vnd Erben stoßend, darann der vberige Zweÿthetheil Ihr Sabinæ Khindern so sie mit Ihrem vorigen haußwürt hannß wüßing. ehelich erziehlt für ungetheilt Zuestendig

Mariage, cathédrale (luth. p. 22)
1614. Dominica XV. den 2. Octobris. Lorentz Schaffner von Ober Ehenheim, vnd Sabina Hans wissinger des glasers nachgelaßene witwe, eingesegnet den 10. 8.bris (i 16)

Laurent Schaffner devient bourgeois par sa femme « Sara » veuve de Jean Wissinger trois jours après son mariage
1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 981
Lorentz Schaffner d. Glaßer von oberehenheim Empfahet d. Burg.recht von Sara weÿlandt hanß wißingers deß Glaßers seellig wittib, will Zu d. Steltz dienen, Actum den 13. 8.bris Aô 1614

Laurent Schaffner et sa fiancée Sabine Messerschmidt hypothèquent la maison au profit du commissaire priseur Martin Replé. En marge, quittance remise en 1630 au batelier Jean Böss

1614 (xviijj. Junÿ), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 318
(Inchoat. in Proth. fol. 276.) Erschienen Lorentz Schaffner der glaßergesell vonn Oberneheim vnd Sabina Meßerschmidtin sein vermehlte eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit M. Martin Reple der statt Straßburg geschwornen Kheüfflers offentlich verÿehen – schuldig sigen 25 pfund
Zum vnderpfand verlegt, hauß, hoffestatt vnd höflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Alhie Inn d St. St. Inn Crutenauw beÿ dem Katzensteg, einsit neben Lorentz Heitzen, vnd Andersit hannß Sträl stost hinden vf Samuel Stegenn s. witwen, Dauon gend ij lb s ß d gelt Abloßig mit L lb Frantz Graseck vögtlicher weiß Sunst freÿ ledig vnd eÿgen
[in margine :] Erschienen Christoff Goldtbach alß Erb Martin Replins seel. an I. So dann hanß Böß der Schiffmann alß ietziger besitzer der hierinn Zu Unterpfandt verlegten Behaußung ane 2. theil Zeigte an, daß sie sich weg. der wie vorzusehen in leichtem geld beschehenen bezahlung mit einander verglichen (…) Actum den 25. Januarÿ 1630.

1614, Protocole des Quinze (2 R 42)
Natif d’Obernai, le compagnon vitrier Laurent Schaffner qui est fiancé à la veuve du vitrier Jean Wisinger produit le 23 juillet un extrait de naissance et un certificat d’apprentissage. Il n’a pas terminé son tour de compagnon mais a fait ses trois années d’apprentissage à Strasbourg avant de voyager pendant un an puis de revenir à Strasbourg où il travaille depuis un an. Comme il faut avoir exercé son métier six ans avant de devenir maître, il demande l’autorisation de travailler chez la veuve sans prendre ni compagnon ni apprenti.
Les Quinze estiment le 10 septembre qu’il faut en référer au Sénat puisque le pétitionnaire ne terminera pas son compagnonnage en état de célibat. Il est en outre de religion catholique et la veuve attendrait en outre un enfant de ses œuvres.
Laurent Schaffner déclare le 22 octobre que la maîtrise des vitriers veut fermer son atelier bien que le Sénat l’ait admis à la bourgeoisie. Les Quinze demandent aux vitriers d’autoriser l’atelier pendant quinze jours jusqu’à ce que le Magistrat ait réglé l’affaire. Laurent Schaffner fait une nouvelle demande le 5 novembre, les vitriers déclarant que l’atelier ne pourrait être toléré même s’il était tenu par un fils de bourgeois puisqu’il faut être tributaire. Les Quinze demandent à nouveau de laisser l’atelier ouvert jusqu’à la fin de la procédure, décision qu’ils confirment le 12 novembre et le 11 mars de l’année suivante.

(f° 110-v) Sambstag den 23. Julÿ – Lorentz Schaffner. Glaßer
Lorentz Schaffner Glaßergesell von Oberehenh. bürtig gepieten laßen Paulo Bertram Zunfftmeister Zur Steltz übergibt ein Splô, p. Rosam sambt Zwoen beÿlagen, bitt g. Willfahrung Ist die splôn verlesen die beÿlag seindt ein urkundt ehelicher geburtt und ein Lehrbrieff, Inn der splôn bringt er für, daß er sich mitt Hannß Wisingers deß Glaßers Wittwen ehelich verlobt vnd versprochen, Weÿl Ime dann an einem einigen Wander Jahr ermanglet, seÿ er Vor Meine herrn remittirt vnd gewißen. nuhn hab er allhie seine dreÿ Lehr Jahr Inhalt seines Lehrbrieffs außgestanden, hab daruff ein Jahr außerhalb In der Wanderschafft vnd seither Wider ein Jahr alhie vff dem handtwerck gearbeitet, erpeütt sich daß sechste vnd letste Jahr. (.Wie einer sechß Jahr vff dem handwerck arbeitten müße, ehe Er allhie Meister werden möge.) dergestalt Zu compliren und Zu erfüllen daß er inn solchem weder gesellen noch Jungen halten, sonder für sich allein, gesellen Weiß beÿ obermelter Hannß Wißingers Wittwen seiner Verlobten arbeuten Wölle, Bitt Ime solche Zu Willfahrten Zubedencken, geordnet H Bischoff vnd H Hugwart.

(f° 113) Mittwoch den 3. Augusti – Laurentz Schaffner. Glaßer
Lorentz Schaffner des Glaßers bedacht Zubefürdern ist angemahnt.

(f° 141) Sambstag den 10. Septembris – Laurentz Schaffner Ca. Steltzer Zunfft od. Glaßer
H. Engler referirt, waß h Bischoff vnd H Hugwarth, wegen Laurentz Schaffners des Glaßersgesellen newlich fürgprachten begehrens, heütigen morgens bedacht vnnd. lißt Zuvorderst den Recesss hieoben fol. 110. ab. da er denn begert, weÿl Ime an einem einigen Wander Jar manglet, mein Hrn wollen mit Ime deßhalben despensiren, vnnd sich erbeüt, solch ermangeltes Jar dergestalt Zuerfüllen, das er inn solchem weder gesellen noch Jung. halten, sonderen für sich allein, gesellen Weiß beÿ Hannß Wißingers Wittib seiner Verlobten arbeitten wolle. Vff solches hette mann sowohl Leonhardt Bauren den Rhattherren Zur Stelzten, waß der Zunfft meinung, alß auch den rhatschreiber, waß Ime Schaffneren beÿ einem Ers. rhat für bescheÿd worden, gehört. der rhatherr berichte, die Zunfft stelle es mein Herren durchaus heim, der rhatschreiber Zeigt an, weÿl es Ordnungen berüere, vnd mein Herren xv darinnen Zu dispensiren, seÿ er für dieselben gewissen worden. Were allso der herren meinung, Mann solt Ihn widerumb für ein Ersamen Rhat weißenn, dann er d. Jar nicht mehr in ledigem stand, sintemahl er sich mit der Wittib verlobt, vnnd dieselb wie die sag gehet, geschwangert, köndte Zupringen, Zu dem er der Bäpstlichen Religion Zugethan vnd dahero ohngewiß, ob er einem Ers: rhat zu einem burger annemblich od. nicht. Nehm Ihn nuhn ein Rhat an, So köndt mitt Ime auch dispensirt werden, damit die Wittib sampt Iren Kinderen erhalten würde, doch daß es der Zunfft sonst an Iren Articulen ohnabrüchig seÿ & Geschieht anregung eines falls, so sich allererst inn newlichkeit Zugeträg. da die vonn Oberehenheim, dannenhero er der Supplicant bürtig, ein burger von Heilgenstein, welcher sich beÿ Inen verheÿrathet, mitt sampt seiner Vertraueten abgeschafft vnnd auß der Statt gewissen, d. köndt mann Jetz mitt dißem wohl wettmachen, Item seÿe Catholisch seÿ Zubefahren, waß er allhier vernimpt, möcht er hienauß berichten, wie solcher gesell noch mehr allhie, darzu er auch den excess begäng. das er sein vertrauwte albereit geschwängert haben soll. Erkant. Inn der andern vmbfrag Mann soll ein Ersamen Rhat Jetz angezogener Puncten erinneren vnnd berichten, darneben Zuverstehen geben, wann mein Hrn berüerter Ursachen halben kein bedenckens Ine Zum burger anzunehmen. So würden mein Herren der Articull halben wohl auch mitt Imm dispensiren Können.

(f° 148-v) Sambstag den 17. Septembris – Glaßer Ca. Laurentz Schaffneren
Innahmen einer löblicher Meisterschafft des Glaser handwercks erschienen Adrian Hack vnnd Michael Scherbaum, Zeigen p. Lt. Bittlingeren ahn, das sie gebieten lassen Laurentz Schaffneren dem glaser gesellen, restituiren Zuvorderist desselben beÿ meinen Herren den 23. Julÿ Jungst, hinderrucks Ihren vbergenene Supplication so Inen allererst vor acht tagen communicirt worden, vnnd produciren darwider ein wahrhafften gegenbericht mit angehencktem begehren mitt bitt denselbenab, vnd anzuhören. Schaffner p. lt. Hüenerer begert Copeÿ darvonn vnnd Zeÿt Vierzehen tag. Lt. Bittlinger urgirt das ableßen, werd sich darauß so vil befinden, das Supplicant Zue seinem begehren gar nicht befugt.
Erkant, Mann soll dem Supplicanten begerte communication vnd Zeÿt Zulassen dieweÿl aber ettliche herren den Inhalt einkommenen Gegenberichts Zuvernehmen begert, Ist derselb nochmahlen abgeleßenn wie auch der Recess hieroben fol. 141. vnnd es doch inn der anderen Vmbfrag, beÿ voriger erkandtnus verpliben. H. Kopp.

(f° 165-v ) Sambstag den 22. Octobris – Glaßer Ca. Laurentz Schaffneren
Der H. Fünffzehenmeister Zeigt ahn, Laurentz Schaffner der glaser gesell begehre auch für mein Herren Zukommen, den wolt er gern herein lassen, wann er es an der Zeÿt der berichte aber, Ob er schon vonn einem Ers. Rhat Zu einem burger angenohmen, woll Ime doch der Zunfft sein werckstatt Zuthun, darumb periculum in mora, vnnd bitt allso vnderthänig, Ime gnedig darvor Zusein.
Erkant Mann soll dem Zunfftmeister anzeigen, das sie Ime die Werckstatt 14. tag offen lassen, Inmittelst aber mag er Schaffner, beÿ meinen Herren sein sach richtig machen. B. Mr.

(f° 172) Sambstag den 5. Novembris – Laurentz Schaffner Ca. Glaßer
Laurentz Schaffner der glaser gesell erscheint, hatt gebieten lassen von wegen eines Ers. handwercks der glaser Adrian Hacken vnnd Niclaus Scherbaum vnd vbergibt &. Tromeren ein vnnderthänigen wahrhafften Nachbericht, sampt angehencktem bitten vnnd begehren Citirte p. Lt. Bittlingeren pitten communication vnd Zeÿt 14. tag. Tromer, Es seÿ Imploranten ahn befürderung dißer sachen Vil gelegen, dann der Meisterschafft vnterstehet Ime den Laden Zusperren, Wann Inen aber Ir begerte Zeÿtt solte gegönt werden. So were sein vnnderthänige bitt, Inen Zugleich vffzulegen, das sie Ihn Inmittelst ohnturbiert lassen, biß mein Herren ein bescheÿdt ertheilen. Lt. Bittlinger, der Implorant hat durch Intercession Zweÿer Kürchendiener, ohngeacht Ires beÿ mein Herren einkommenen Gegenberichts, beÿ einem Ers: rhat erlangt, das man Ihn zu einem burger angenohmen, welches Zwahr ein Ersamer Rhat wohl macht gehapt, Wann er aber auch schon eines Meisters sohn were Köndt Ime doch vermög Irer Articull kein offen Gaden gestattet werden, weÿl er noch nicht Zünfftig, derenwegen der Antwortere bitt, Ime sein begehren des offenen ladens halben abzuschlagen, vnd vffzulegen, der Meisterschafft handlung Zuerwarten. Tromer, der implorant hab Inhalt meiner herren gegebenen bescheÿdts, beÿ einem Ers. rhat das burgerrecht gesucht vnd erhalten, Innmassen dem Zunfftmeister albereit ein Zettul Zukommen, darbeÿ bitt er Ihn verpleiben Zulassen, due Meisterschafft begehr Ine vorsetzlich vffzuhalten vnd Zu verhinteren. Lt. Bittlinger, das burgerrecht seÿ beÿ einem Ers: Rhat, mit hülff vnd beÿstand vorgedachter beeder Kürchendienern erlangt worden so Ime den beÿstand gewiss nicht geleistet, wann sie des handwercks Gegenbericht gesehen, den man Inen aber verhalten. Tromern die gegentheil Köndten das nicht disputiren, waß ein Ersamer rhat dem Imploranten bewilligt vnd Zugelassen. Daruff seind 3. Recess hieoben fol. 141. 148. vnnd 165. abgeleßen, vnd Erkant Mann soll der Meisterschafft communication Zulassen, vnnd vfflegen in acht tagen vff vbergenene schrifft Zuhandlen, Inmittelst auch Imploranten den laden nicht Zusperren. Jr Wormser vnd Mr.

(f° 177-v) Sambstag den 12. Novembris – Glaßer Ca. Laurentz Schaffneren
Vonn wegen eines Ersamen glaser handwercks erschienen Niclaus Mager vnd Daniel Schweinfurter beede Obermeister alß Antworttere, haben gebieten lassen Laurentz Schaffneren dem glaser gesellen, vnd vbergeben wider denselben p. Lt. Bittling. ein beschluss schrifft sampt Zwohen beÿlagen mit literis A. vnnd B. vnnd die weÿl diß die vierde schrifft, derenwegen keinen theil fernere handlung gebüert, Wollen sie damit beschlossen, vnnd die Sach Zu meinen Herren erkandtnus gestelt haben. Schaffner p. J Rosern, Wahfern inn dißer Schrift ettwaß nottwendiges Zuveranworten, bitt er vmb communication derselben, Im fall aber nichts erhebliches darinnen, will er gleicher gestalt submittirt sein einkommene handlungen widerholt, vnd es Zu meiner Herren erkandtnus gesetzt haben. Erkandt Ist die communication abgeschlagen vnnd die sach für beschlossen angenohmen. Solles bedencken. H. Bischoff vnd H. Voltz Mr.

1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 39) Sambstag den 11. Martÿ. – Glaser od. Steltzer Zunfft Ca. Laurentz Schaffner.
Vonn wegen einer Ersamen Zunfft Zur Steltz erschienen Philipp Reübell, Paul Grimm vnd Leonhard Dinckell, die haben gebieten lassen Laurentz Schaffneren dem glaser, vnd vbergeben wider denselben ein Schrifft, anstatt mündlichen Recess, bitten vmb abhörung deselben, vnnd solches p. Lt. Bittlingeren. Daruff erscheint auch Laurentz Schaffner, vnd laßt p. Tromern berichten, das inn dißer sachenn albereit beschlossen, dahero den gegentheilen nicht gebüere ettwaß weitters ein Zugeben, bitt derenwegen disse schriff ab actis Zuverwerffen, oder communication Zu Zulassen vnnd sein Verantwortung auch darüber Zuvernehmen. Lt. Bittlingern Es seÿ darumb Zuthun, das Schaffner in wehrender litis pendentz, vnnd vor ergangenem bescheÿdt ein offenen gaden halt. Tromer bitt wie vor. Ist nach beschehenem abtretten, die Schrifft abgeleßen. Erkant, Mann solls dem gegentheil communiciren. Mr.

Laurent Schaffner et Sabine, assistée de son frère Jean Messerschmidt hypothèquent la maison au profit de Pierre Camehl. En marge, quittance remise en 1622 à Urbain Krieg et à Jean Bœss en 1631

1615 (iiij. Martÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 112
(Inchoat. in Proth. fol. 93.) Erschienen Lorentz Schaffner der glaser burg. Zu Straßburg vnd Sabina sein eheliche haußfr. mit beÿstandt & H. Johann Messerschmÿdt burgers Zu Straßburg, ermelte Sabinæ Bruders vnd Lorentz Boumwoll des huffschmÿdts burgers Zu Straßburg Ihres Vettern
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Peter Kamehls burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 100 guldin Straßburger werung
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, den drittentheil Ime dem Bekhenner für Vngetheilt gebürend von vnd Ahne hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren geb. In d. St. St. beÿ dem Katzensteg, einseit Lorentz Heitz dem plattermach. And. sit hanß Strehell dem küeffer hind. vff Samuel Stegs witwe stoßend, daon gend Zuuor ij lb x ß d glts Abloß. mit L lb wÿland Ambrosÿ Schmidts sel, erb. sunst ledig eÿg. davon der Zweithetheil obgenant Sabinæ Khinder In erster ehe erzielet
[in margine :] Erschienen Peter Kamehl hatt in gegensein Urban Kriecken Als Jetzigen besitzer des vnd.pfandts (…) Actum den 6. Novembris A° 1622.
[in margine :] Erschienen Hanß Böß. der Schiffmann Alß Jetzmahlig. Inhaber hierin geschriebenen Underpfandts an j. So dann gemeiner Kamelischen Erben Wegen Frantz Camel am 2. theill (…) Actum 20. Aug. aô 631.

Laurent Schaffner et Sabine Messerschmidt vendent la maison au batelier Urbain Krieg

1618 (x. Decembris), Chancellerie, vol. 430 (Registranda Meyger) f° 480
(Inchoat. in Prot. fol. 343. – Postea pth. fol : 376) Erschienen Lorentz Schaffner d. glaser burger Zu Straßburg vnd Sabina Messerschmÿdin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Vrban Krieck dem schiffmann burger Zu Straßburg
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. statt Straßburg beÿ dem Katzensteeg einseit neben hanß Strehlen den Kieffer And. seit neb. Lorentz Heitz platt. mach. hind. vff Jacob Reinhardt den Wachtmeÿster stoßend, dauon gnd ij lb x ß d gelts Ablößig mit L lb Frantz Graseck vff Johannis Baptistæ, Sunst eigen, Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. vnd besch. für vnd vmb 200 pfund pfenning Straßburger

Fils du garçon batelier Simon Krieg, Urbain Krieg épouse en 1612 Anne, fille de Georges Fürstel revendeur à Ernolsheim près de Saverne
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 151 n° 24)
1612. Dominica V. Trinitatis 12. Julÿ. Vrban Krieg der Schif Knecht, Simon Kriegen des Schif Knechts Sohn, J Anna, Georg Fürstel des Krempen Zue Erlesheim bei Zabern hinderlaßen tochter. Eingesegnet (i 155)

Simon Krieg et Jean Bœss, frère et beau-frère d’Urbain Krieg qui n’a plus toute sa raison, demandent aux Conseillers et aux Vingt-et-Un de l’admettre à l’hôpital. Ils sont éconduits. Simon Krieg renonce à la succession. Jean Bœss s’engage à entretenir Urbain Krieg dont il sera héritier universel si son fils unique Adam Krieg venait à mourir sans descendance et sans héritier testamentaire. La maison est hypothéquée en garantie.

1631 (22. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 434
Erschienen hanß Boeß der Schiffmann burger Zu St. an einem
So dann Simon Krieg auch Schiffmann vnd burger alhie am andern theil, Zeigten An,
demnach vor zweÿen Jahren ihr respectivé Bruder vnd Schwager Vrban Krieg mehr alß bresthafft, vnd darzu blödhäuptig worden, vnd sie beede Zwar beÿ vnsern gnedigen heren vnd Obern ihne Vrban in den Mehrern Spital Zukommen angehalten, solches aber nicht verwilliget, Sondern ihnen an hand gegeben worden, sich besagten ihres bruders vnd Schwagers vnderhaltung halben so gut sie können und mögen, zuuergleichen, Als heten sie sich darauff mit einander dahin vereinbahret, daß Er Böeß mehrgenten Vrban Kriegen zu sich in seine behausung, denselben die zeit seines lebens (…) zuerhalten genommen
dargegen alle sein Vrbans alßbalden ordentlich inuentirte Nahrung, so sie vff ein geringes erstreckht, ihme Bößen actiue et passiue eigenthümlichen Zustehen vnd verbleiben, Auch da vilgedachten Vrban Kriegen eintzig söhnlein Adam Krieg ohntestiert, vnd ohne hinderlaßung ehelicher Kinder, mit todt abgehen wurde, solches von ihme Bößen vnd seiner ietzigen Ehefrawen od. ihr beed. Kindern allein geerbt werden solle, Inmaßen dann Er Simon Krieg für sich vnd alle seine Erben hiemit vff solche Erbschafft freÿ willig verzug und handabgethan haben will. Versprach Vber daß begannte dickgemelter hanß Böeß, daß Er ihme Simon Kriegen, ihres offbesagtem Brud.s und Schwagers halten, vffrecht schuldig word. auch gelten solle und wolle xxv. lv d gelühenen gelts (…) zu vnderpfand verlegt hauß vnd hoffstat alhie in Crautenaw beim Katzensteeg neben N. N. Pfarer zu Altenheim & N.N. dem Blettermacher, hind. auf Veltin Jäger stoßend gelegen, so Zuuor noch verhafftet vmb 50 lb H Johann Kohlleffel Kauffhauß Verwanten, Im. vmb 75. lb hieobbesagtem Adam Kriegen für sein mütterlich guth, vnd dann vmb 20. lb Peter Camelen s: wittib und Erben
[in margine :] Erschienen H hanß Jacob Fabers deß handelßmanns alß hierinn gemeldts Simon Kriegen dochtermanns hieher beschinnener maß gevollmächtigter Gewerbsdiener Johann Philipp Henrici (…) Act. 28. Aug. a° 1654.

La maison revient à Jean Bœss comme l’attestent les quittances ci-dessus

Fils du scieur Jean Bœss, le batelier Jean Bœss épouse en 1612 Madeleine, veuve du tailleur de pierres Louis Baur
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 151 n° 25)
1612. Dominica V. Trinitatis 12. Julÿ. Hanß Böß der Schifknecht, Hans Bößen des dielen Schneiders seligen sohn, Magdalena, Ludwig Bawren des Steinmetzen hinderlaßene Wittwe. Eingesegnet (i 155)

Louis Baur épouse en 1608 Madeleine, fille du batelier Simon Krieg
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 70 n° 14)
1608. Dominica Quasimodo. 3. Aprilis. Ludwig Bawer der Steinmetz, Niclaus Bawer des becken seliger Sohn J Magdalena, Simon Kriegen des Schifmans alhie tochter. Eingesegnet 12. Aprilis Im Münster (i 72, pas de mariage à la Cathédrale)

L’acte de mariage d’André Bœss relate que son père Jean Bœss fondeur de pichets n’exerce plus ce métier mais qu’il est devenu scieur de planches.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 114 n° 25)
1624. Dca j. & 2 p. Trinitatis 30. Maÿ & 6 Junÿ. Andres Böß, ein Schiffknecht, Hans Bösen des Kanten giesser p. m. Sohn (NB. Es hatt gleichwol dieser Cantengiesser d. handwerck nicht getrieben, sondern ist ein Dühlen Schneider worden.) J Magdalena, Martin Anschelman des Holtztragers vndt Burgers alhie Tochter. Dises par g.firmati 21. Junÿ (i 328)

Le garçon batelier Jean Bœss hypothèque la maison au profit du messager Jean Gerth

1637 (11. Decemb.), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 906-v
Erschienen hanß Böß d. Schiff Knecht alhie
hatt in gegensein hanß Gerthen der St. St. Einspenningers – schuldig seÿ XXV. lb St.
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstat Alhie in Crautenaw beÿm Katzensteeg neben Thoman Fincken den Gremppen & Joachim Köllen gewesenen Pfarrer see: Zu Altenheim, hind. vff N. Meÿer dem Schiff Zimmermann, so zuuor verhafftet vmb 75. lb d Adam Kriegen, Mehr vmb 75. lb d hanß Müller dem Saltzmesser

La maison revient à son fils Jean Bœss qui épouse en 1638 Marguerite, fille du ceinturier Jacques Roth

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 123)
1638. Dominica XXVI Trinitatis. Hanns Böß der Schiff Knecht vndt burger Alhie, weÿland Hanns Bößen des Schiffmanns vnd burgers Alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, vndt Jungfraw Margareth, weÿland Jacob Rothen deß Gürtlers vnd handelsmanns Alhie nachgelaßene Eheliche Tochter (i 306)

Jean Bœss et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit de Jean Philippe Kast, greffier et rapporteur au Petit Sénat

1664 (1. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 427-v
Erschienen hannß Bööß der Schiffmann Und Margaretha sein Eheweib, Vndt Zwar Sie Margaretha insonderheit mit assistentz H Emanuel Waldeckhß Goltarbeiters und hannß Fabians deß Schneiders need. alß deroselben hierzu erbettene nechster Verwanthen
in gegensein deß Edel- hochgelehrten H Johann Philippß Kasten V.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Actuarÿ und Referentis – schuldig seÿen 75 Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten beÿm Katzensteeg einseit neben hannß Bernhard helder dem waÿsenvatter anderseit neben H Jacob Baldnern großen Rhats Verwanth. hind. vff hannß Jacob Brand. Glasers Erben, stoßend gelegen

Jean Bœss, fils du précédent, épouse en 1669 Anne Marie, fille du batelier Philippe Senger, qui se remarie en 1684 avec le marchand de bois André von Zabern
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 81)
1669. Dncis IV et V Trinitatis 4 / 11 Julÿ. Hans Böß der Jünger Schiff Knecht, Hanß Bösen des ältern Schiffmans vnd B. alhie Ehelich. Sohn vnd Jgfr. Anna Maria vorenanth Hans Philipps Sengers, Schiffmanns v. B. alhie Tochter. Cop. Mont. d. 12. (i 59, im 60)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 168 n° 25)
1684. Dom. X et XI d. 6. et 13. Aug. Andreas von Zabern der Holzhändler vnd B. alhie vndt Fr. Anna Maria Wld. Johannis Bösen, gewesenen Schiffmanns v. Burgers alhier hinterlaßene Wittib – W. Mont. d. 14. Aug. (i 104)

Marie Dorothée Kollœffel, veuve du marchand Laurent Ahlenschlager, donne quittance à Jean Bœss de capitaux d’après un titre de 1598 (voir la notice du n° 22)

1691 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 637
Fr. Maria Dorothe gebohrne Kohllöffelin, Weÿl. H. Lorentz Allenschlagers deß Handelßmanns und E.E. Großen Rhats Alten beÿsitzers Seel. Hinderlaßen wittib, so dißmals ohnbevögtigt, So dann Jgfr. Elisabetha Kohllöffelin, mit beÿstand H. Johann Christoph Artopæi Prof. Eloquentiæ beÿ hießiger Universitæt Ihres Curatoris (unterzeichnet) Elisabetta Kollefflen, Maria Dorothea Ahlenschlagerin
in gegensein Hannß Böoß deß Schiffmanns
bekant, daß Er Booß Ihren beeden Schwestern diejenige 100 fl. Str. Wehr. Er deren selben vermög eines perg. Weÿl. H. Johann Henrich Meÿern Not. verfertigten brieff mit der statt anhangend. Contract Insiegel verwahret, den 17. Jun: 1598. datirt und deme durchzogenen transfixes de dato 20. julÿ 1601. Jährlich ab seiner in der Krautenau ohnfern dem Katzensteeg gelegenen behaußung Jährlich auff Joh. Bapt: zu verzinßen schuldig geweßen heut dato abgelöst und bezahlt

Jean Bœss meurt octogénaire en 1694 en délaissant pour héritières les deux filles de son fils Jean Jacques, bourgeois de Mannheim. Sa bru Anne Marie Senger, femme d’André Von Zabern, a la jouissance viagère des biens de son fils Jean Bœss mort sans héritier.
1694 (10. Xbr), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 23) n° 44
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Hannß Böß, Schiffmann und burger allhier, nach seinem den 23. Aprilis dieses 1694. Jahrs beschehenen tödlichem ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen deß Ehrenvesten und weißen Herrn Johann Helcken, Schiffmanns allhier E. E. Kl. Raths alhier beÿsitzer auß Mittel wohlermelten Raths Mittel hierzu deputirten herrens, im Nahmen Annæ Mariæ Bößin, hanß Georg Sigels deß Becken Zu Newstatt an der hart Ehefrauwen, weÿl. hanß Jacob Bößen deß Schiffmanns und burgers Zu Mannheim sel. Ehelicher ältern Tochter, deß Verstorbenen Enckel, ferner deß Ehrenvesten und Vorgeachten H. David Stallen Vornehmen Schiffmanns und burgers allhier alß geschwornen Vogts Margarethæ Bößin, Vorgedachten Hanß Jacob Bößen hinderlaßener Jüngern Tochter, auch deß Verstorbenen Enckel, die ältere von dem Groß Vatter in Legitimam eingesetzte Erbin, und die Jüngere Von dem Großvatter per Testamentum in das übrige eingesetzte Erbin, Inventirt und ersucht durch die Ehren: v tugendsame Fraw Annam Mariam Bößin gebohrene Jungin, obgemelten hanß Jacob Bößen hinderlaßener Wittib, unten dero hand und gewahrsame sich deß vestorbenen wenige Nahrung befund. (…) Actum und angefang. in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Freÿtag den 10. Decembris Anno 1694.

In Einer in der Statt Straßburg Neben der bierherberg Zum Rießen in der Crautenau in dieße Verlaßenschafft nicht gehörige Behaußung
Copia Testamenti nuncupativi. 1694. (…) auf dienstag den 23. Monatstag Februarÿ Newen Calenders, Vormitthag zwischen Neün undt Zehen Uhren in dießer Königlich Statt Straßburg vnd einen in der Crautenau beÿm Engel gegen dem bronnen über gelegenen, nunmahl Mr Hannß Conrad Kriegern dem Schuhmacher eigenthümlich zuständigen behaußung, deroselben undern Vordern Wohnstuben, gegen gemelten bronnen außsehend, der Ehrenhaffte Hanß Böß, Schiffmann burger allhier Zu allhie Straßburg hohen alters, dabeÿ nunmahls Kranck und Schwachen leibs dannenhero in einem bett sich enthalten (…) Johann Kitsch, Notarius
Wÿdemb, So die Ehren und Tugendsame fraw Anna Maria von Zabern gebohrene Sängerin deß Ehrenvesten und vorgeachten H. Andreä von Zabern holtzhändlers und burgers allhier haußfrau, von Weÿl. deß Ehrengeachteen herrn Hanß Bößen, deß Jüngern Schiffmanns v burgers allhier ihres ersten haußwürths seel. V.laßenschafft ad dies vitæ Zugenießen hat, das Eigenth. aber dem Verstorbenen seel. nunmehr deßen Erben Verfangen ist, Vermög Inventarÿ Concept in Anno 1682. durch Vor: und Nachgen. Notm: gefertiget in fine Zu ersehen, daß der verstorbene H Hanß Böß der altere als Erb vorgem. seines Sohns
Sa. Haußraths 9, Sa. d. Zinß hauptgut 50, Summa summarum 59 lb – Passiva 32. lb, verbleibt 27 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 24 lb

Le batelier Jean Bœss meurt à l’âge de 80 ans et six semaines.
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1687-1707 f° 66-v)
1694. Dom. Misericord. d. 25. Aprilis ist Johannes Böß d. Schiffmann vnd B. alhier, Seines Alters 80 Jahr v 6 Wochen auff St Urbans Aw begraben worden (i 67)

Testament de Jean Bœss dans la maison qui appartient à Jean Conrad Krieger
1694 (23.2.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296) et Protholollum secundum, 1 AH 6295
Herr hannß Böß, Schiffmann (…) in Meister hannß Conrad Kriegers des Schuhmachers wohn behaußung inn Krautenaw beim engel gegen dem bronnen gelegen

Jean Bœss vend la maison au cordonnier Jean Conrad Krieger, à l’aide de son beau-frère Jean Philippe Weyland. En marge, quittance remise à Anne Marie Jung, veuve de Jean Jacques Bœss, bru du vendeur.

1691 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 636
Hannß Böoß der Schiffmann
in gegensein Hannß Conrad Kriegers deß Schuhmachers mit beÿstand H. Johann Philipp Weÿland deß Cran Meÿsters seines Schwagers
Eine behaußung, Höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, zugehördt. und Gerechtigkeiten, allhier in der Crautenaw ohnfern dem Katzen steeg einseit neben weÿl. H. M. Johann Henrich Christen gewesenen diaconi Zu St. Wilhelm seel. wittib und Erben anderseit neben Hannß Georg Burghard d. Schneider Hinden auff Hannß Bernhard brand. d. weißgerber – geschehen umb 250 pfund
Darbeÿ ist expresse Verglich. daß dem Verkäuffer in dem Verkaufften Hauß eine besondere Cammer zu bewohnen auch sich in der Stub deß winters uff zuhalten ohne zinnß die übrige Zeit leben gelaßen werden solle
[in margine :] Erschienen Anna Maria gebohrne Jungin, weÿl. Hans Jacob Bößen gewesenen Schiffmanns seel. hinderlaßene wittib, und sohnsfrau hierinn ged. Hans Bößen des Verkäuffers, alß welche obged. Hans Jacob Bößen hinterlaßen Vermögen ihr lebtag zu genüßen d. eÿgenthumb aber ihren Kinder, so nicht verburgert auch ohnbevögtigt sein, gehörig, mit beÿstand Hans Martin Büttners des Riemenschneiders ihres vettern ahne statt vogts, hat in gegensein des hierinn gemeldten Kaüffers (quittung) den 1. Julÿ A° 1694

Jean Conrad Krieger et sa femme Anne Marie Nieffer hypothèquent le même jour la maison au profit de la femme du pasteur Samuel Silberrad

1691 (26.7), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 639-v
Hannß Conrad Krieger der Schuhmacher und Anna Maria gebohrne Niefferin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Philipp Weÿland deß Kornmeÿsters und Hannß Peter Nieffers deß Schneiders Ihrer beeden Vettern
in gegensein fr: Susannæ Mariæ H. Samuel Silberrads Pfarrers zum alten St. Peter haußfrawen – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen in der Crautenaw ohnfern dem Katzensteeg einseit neben weÿl. H. M. Johann Henrich Christen Diaconi zu St. Wilhelm Seel. wittib und Erben anderseit neben Hannß Georg Burghard dem Schneider, hind. auff Hannß Bernhard Branden dem Grempen stoßend gelegen

Fils du tuilier Jean Thomas Krieger à Neuenstadt am Kocher, le cordonnier Jean Conrad Krieger épouse en 1687 Anne Marie Nieffert, fille du maréchal ferrant Jean Jacques Nieffert à Ingwiller en juridiction de Hanau : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten vndt bescheidenen Johann Conrad Kriegern dem ledigen Schuhmacher, weÿland Hannß Thoman Kriegers Zieglers und burgers in der Neüstatt Zu der großen Linden fürstl. Würtenbergischer herrschafft seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn ane Einem, Und der Ehren undt tugendbegabten Jungfrawen Anna Maria Nieffertin, weÿland hannß Jacob Niefferts geweßenen burgers undt Huffschmidts Zu Ingweiler gräfflich Westenburgischer herrschafft seel. hinderlaßenen Ehelichen tochter am andern theil, sich begeben, auch dabeÿ in beÿsein undt auf underhaldlung der Ehren Vorgeachten undt wohlahtbahren herrn Lucas Schaffen deß Schneiders aug sein deß hochzeitern, So dann auf Ihr der Jungfrauw hochzeiterin seiten herr Johann Philipp Weÿlandts Granmeisters Ihres Schwagers in auch beÿsein mein Johann Caspar Francken Zu solcher heuraths tractation requirirten Notarÿ (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auf Sontag den 8. des Monats Junÿ im Jahr als mann Zalte 1687 – Johann Jacob Baldner, Nots. pub. burger zu Straßburg hievorgeschribene heüraths abred auß weÿl. herrn Johann Caspar Francken gewesenen Not. publ. auch burgers alhier (…) auffgerichtetem concepto

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 207-v n° 26.)
1687. Junius. d. 10. Hans Conrad Krieger led. Schumacher auß der newstatt am Kocher Hans Thomas Kriegers burgers und Zieglers daselbsten hinterl. ehel. sohn, Jgfr. Anna Maria, hans Jacob Nieffers burgers und huffschmits Zu Ingweiler Kräfflicher Hanawischer Herrschafft hinterl. el. tochter (i 209)

Anne Marie Niffer d’Ingwiller devient bourgeoise à titre gratuit en mai 1687 en s’inscrivant à la tribu des cordonniers
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 528
Jfr. Anna Maria Niverin von Ingweiler in d. graffschafft hanaw gelegen, empfangt burgerrecht gratis, Schuhmacher Zünfftig promis. 7. dito [maÿ 1687]

Jean Conrad Krieger devient bourgeois par sa femme Anne Marie Niffer en juillet
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 529
Hans Conrad Krieger d. Schuhmacher aus d. Newstatt am Kocher, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Anna Maria Niferin p. 2. golt fl. vnd 16 ß so beÿ d. Cancelleÿ erlegt ist ledig. standts gewesen, Schuhmacher Jur. 12.t. dito [Julÿ]

Jean Conrad Krieger meurt en 1722 dans sa maison place Saint-Etienne en délaissant quatre enfants. L’actif de la succession s’élève à 478 livres, le passif à 78 livres.
1722 (19.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 6) n° 215 (198)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so weÿlandt der Ehren vnd vorgeachte Herr Johann Conrad Krieger, Schumacher vndt burger allhier Zue Straßburg nunmehr seel. nach seinem d. 4.ten Maÿ dieses fortlaufenden 1722.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ersuchen erfordern vnd begehren des Ehrenachtbahren H Johann Jacob Krieger, schuhmachers, der Ehren vnd tugendsahmen fr. Annæ Mariæ Rödererin gebohrnen Kriegerin, H Hs Jacob Röderer schuhmachers vndt Burgers allhier Ehefrau, ferner fr. Annæ Salomeæ Göbelin geb. Kriegerin H Friderich Göbel deß Schloßers vnd burgers allda Ehefrau, So dann Jgfrau Mariæ Elisabetæ Kriegerin, beÿständlich vorermalten H Joh: Jacob Kriegers, Ihres bruders vnd geschwornen vogts, alle vier des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen wittib Ehelich erzeugt vnd hinterlassener Kinder vnd ab intestato rechtmässiger Erben, fleißig inventirt vnd ersucht durch die Viel Ehren und tugendsahme frau Anna Maria gebohrene Nieffertin mit assistentz H Friderich Gloren auch Schuhmachers und burgers allhier Ihres geordnet vnd geschwornen vogts wie auch die Kinder und Erb. selbst (…) Actum Straßburg Freÿtags d. 19.ten Junÿ 1722.
Copia der Eheberedung
Kurtzer bericht. Obwohlen inn Eheberedung wie vor Zusehen Zwischen beeden geweßenen Eheleut auffgerichtet, und darinnen beederseits Nahrung vor unverändert reservirt word. so hat mann demnach kein Inventarium Zugebrachter Nahrung verfertigt (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Stephans plahn gelegenen, vnd eÿgenthümblich hieher gehörigen behaußung sich folgendermaßen befund.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item ein Hauß, höfflein vnd hoffstatt auf dem Stephansplahn (…)
Sa. haußraths 39, Sa. Wein v Leerer vaß 81, Sa. Silbers 1, Sa. goldener ring 5, Sa. Eigm. ane einer behaußung 350, Summa summarum 478 lb – Schulden 78, Nach deren Abzug 400 lb
Copia der Eheberedung (…)

Jean Conrad Krieger vend la maison au cordonnier André Frantz et à sa femme Barbe Gerber

1698 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 358
Hans Conrad Krieger, der Schuhmacher Und burger allhier
Andres Frantzen, des Schuhmachers Und burgers allhier, Und Barbaræ geb. Gerberin
Eine behaußung, höfflein, Hoffstatt mit allen deren Gebaüen, zugehördten Und Gerechtigkeiten, allhier in der Crautenau ohnfern dem Katzensteeg, anderseit neben Daniel Becker, dem Krempen, anderseit neben hans Georg Burckard dem Schneider hinten auf Hans Georg Stadler, den Schuhmacher stoßend gelegen – geschehen umn 300 pfund

Fils de Gabriel Frantz, André Frantz épouse en 1692 à Andlau Barbe, fille de Quirin Gerber
Mariage, Andlau, SS. Fabien et Sébastien (cath.)
Hodie 25. Novembris anni 1692. sacro matrimonÿ vinculo copulati sunt Honestus Adolescens Andreas Frantz, filius legitimus defuncti civis Gabrielis Frantz p. m. olim in Andlaw commorantis et Pudica Virgo Barbara Gerberin filis legitima Quirini Gerber civis Antlavy commorantis (i 8)

André Frantz et Barbe Gerber d’Andlau achètent le droit de bourgeoisie en avril 1698 en apportant deux enfants qui suivent la coutume (ne deviennent pas bourgeois)
1698, 3° Livre de bourgeoisie p. 1204
Andreas Frantz der schumacher Von Andlau, weÿl. Gabriel Frantzen gew: Rebmanns daselbst hint. Ehl. sohn und desen haußfraw Barbara quirin gerbers daselbst Eh : tochter, erkauffen das Burgerrecht p. 2. gold. fl 16. ß so bereits auf dem Pfenningth. erlegt worden, bring. 2 Kinder mit nahmens Andreas vnd Joseph, mit welchen es beÿ ordnung gelaßen Worden, V& Werden beÿ E.E. Zunfft der schumacher dienen Jur: d. 30. Aprilis 1698.

1712, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Montag den 12. Decembris Anno 1712
Andreas Frantz der Schuemacher beclagt

1713, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Andreas Frantz den Schuhmacher wurde vorgestellt

1713, Protocole des Quinze (2 R 117)
Andreas Frantz

André Frantz hypothèque la maison au profit de Marie Charlotte Hamburg

1717 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 468
Andreas Frantz schuemamacher
in gegensein H Frantz Joseph Kratzmeÿer haffners alß vogt Maria Charlotta Hamburgin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Krautenau ahm Katzensteeg, einseit neben Joh: Jacob Bender d. schneider anderseit neben Jean Decret hinten auff Stadler

Litige relatif au compte d’entretien de la fontaine 108 par André Frantz
1718, Protocole des Quinze (2 R 122)
Bronnen n° 108 Rechnung Andreas Frantz Schuhmacher. 9. 33.

André Frantz et Barbe Gerber meurent tous deux en janvier 1733 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 363 livres, le passif à 152 livres.

1733 (26.1.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 696) n° 48
Inventarium u. Beschreibung aller haab u. Nahrung, nichts außgenommen, so Weÿl. der Ehrengeachte Mr Andreas Frantz, geweßener Schuemacher und die tugendsahme Fraw Barbara geb. Gerberin, beede Eheleuthe alh. Zu Straßb. nun seel. nach ihrem u. Zwar nachdeme der Mann d. 2.t Jan. die Fraw aber d. 1. ejusdem hujus anni dießes irdischen gesegnet, Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen in Straßb. d. 26. Jan. A° 1733.
Die verstorbenen beede Eheleuth haben ab intestato Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1° den Ehrengeachten Andreas Frantzen, Gartner Underw. u. b. alh. so in person Zugegen. 2.do Joseph Frantzen, Weißgerber b. Zu Collmar, welcher in person da, u. weilen alh. nicht verburgert, sonst deßwegen ferner Zugeg. der Ehren veste u. weiße H. Peter Herrmann Klein E. E. Kleinen Raths jetzmahliger beÿsitzer, wie auch verschiedener hoch Adel. familien wohlverordneter Schaffnern als aus wohlged. Raths mittel hierzu in Spec: depp: herr, 3.tio die tugendsahme Fraw Annam Mariam geb. Frantzin des Ehrsahmen Zachariæ Langolffs, Schneiders u. b. alhie Ehefrauw, welche mit hülff desselben Zugegen, 4.to Und dann der Ehrengeachte Mr Joh: Adam Frantzen, ledigen Schuemacher u. alh. burgern so für sich selbsten da, Alle 4. leibl. Geschwisterd.

In hernach beschriebener Behaußung sich befunden wie volgt
Eÿgenth.b An einer behauß. – Hauß höfflein u. hoffstatt m. all deßen gebäuen, begr. weith. rechten, Zugehörd. u. gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Straßb. inn der Krautenaw, ohnfern dem Katzensteeg, 1.s. neben N. Decret, 2.s. neben Johann Herrmann dem Kutschern hinden auff N. Woniglichs W. Ziehend, davon gehen jahrs auff d. 24. 8.bris 4. lb 10. ß d Zinß Hn Joh: Ludwig Stuber dem Paßmentirer u. b. alh. in Cap: abz. mit 100. lb, sonst ist dieße behauß. freÿ ledig u. eigen und vermög i: ad Conc: gel. von alhie. Werckmeistern eig. subscrib: schrifft. absch: vom 24.t Jan: jüngst æstim. p. 350. Nach abz. obig. oneris aber Kombt disorts noch in außwurff 250. hieüber sag. 2. undsch. perg. Kbr. in alh. C. Stb gef. und dero anh. Ins. verw. deren i. datirt d. 13.t Januarÿ A° 1698, der andere aber d. 26.t Julÿ A° 1691. der erte Sub N° 1 der andere Sub N° 2.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Haußraths 74, Sa. Werckzeug und gemachte Arbeith 25, Sa. Silbergeschmeid 1, Sa. activ Schulden 11, Sa. Eigenthb. ane j. behausung 250, Summa summarum 363 lb – Passivorum 152, Nach deren Abzug 211.
Summa finalis oder Stall Summ 177 lb
Copia Codicilli – 1720. (…) auff Mittwoch den 21. Tag des Monaths Aprilis nachmittag Zwischen Vier und fünff uhren der Ehrengeachte Meister Andreas Frantz, Schuemacher und die Tugendsahme frau Barbara gebohrene Gerberin, Beede Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg, mich unterschriebenen offenbahren geschwornen Notarium und Zeugen Zu endgemeldt, Zu sich in eine alhie an der langen straß, in der so genannten Schiltzgaß Liegende, Hn Niclaus Lamprecht, Schuhmachern Weinhändlern und allhiesigem Burger gehörige Behaußung erfordern und Kommen laßen (…) gesund gehend: und stehender Leiber auch guter richtiger Sinnen und vernunfft – Christoph Michael Hoffmann
Abschatzung d. 24. Januarÿ 1733. Auff begebren Weÿl. des Ehrenhafften und bscheodenen Mstr. Andreas Frantz, gewesenen Schumachers seel. hinter laßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau beÿ dem Engel gelegen, einseits Neben Mr Degry Krempen, anserseits Neben Johann Hermann Kutscher, hinten auf des Wohnlichs hinterlaßene wittib stosend Welche behausung, Stuben Cammren, Soldaten Kammer, Küchel Zweÿ hauß Ehrlein, Klein höffel und gebälcktes Kellerlein sampt aller gerechtig Keit Wie solches durch der Statt Straßburg Geschworne Weckleuthe durch der Statt Straßburg Geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen würdt Vor und Um Sieben Hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que Joseph Frantz, établi à Colmar, doit régler le droit de détraction.
1733, Livres de la Taille (VII 1177) f° 234
Schuhmacher F. N. 5944. – Weÿl. Andreas Frantzen sen. gewesenen Schuhmachers und Fr. Barbaræ gebohrener Gerberin beeder Eheleute und Burgere alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schmidt.
Concl. Fin. Inv: ist fol. 39, 177. 4. 4, die machen 300. fl. verstallte 500. fl.
Extat das Stallgeltt pro 1733. mit 2 lb 2 ß
Gebott 2 ß
Anhandlung 7 ß 6 d, Summa 2 lb 11 ß 6 d.
Abzug. Joseph Frantz der Weißgerber Zu Collmar hat von angefallenem Vätter und Mütterl. Erb. der 50. lb 18 ß 7 d den Erb Gulden zu erlegen mit 10 ß
dt. 27.° Maÿ 1733.

La maison revient à leur fils Jean Adam Frantz par cession le 30 janvier 1733 (voir plus loin la vente de 1769). Les experts l’estiment à 400 livres lors de l’inventaire dressé en 1761 après la mort de sa femme Susanne Michot. La même somme est reprise à l’inventaire dressé en 1768 après la mort de sa deuxième femme Marie Salomé Riebel.

Jean Adam Frantz hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Aufeld née Loos

1766 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 220
Johann Adam Frantz der schumacher
in gegensein Fr. Mariæ Salome Aufeldin geb. Looßin – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Krautenau, einseit neben Samuel Kempffer dem schneider, anderseit neben Hans Georg Obermeyer dem tapezierer, hinten auff Friderich Bronner

Adam Frantz vend la maison au revendeur Martin Gerbersdorff (ici Germersdorff). L’extrait délivré en 1749 de la cession de la maison au vendeur se trouve dans le fonds des annexes aux actes de la Chambre des Contrats (seul l’inventaire relaté ci-dessus existe encore, les annexes ont disparu depuis)

1769 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 610
Johann Adam Frantz der schuhmacher
in gegensein Martin Germersdorf des krempen
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Vorstadt Krautenau ohnfern der Katzensteeg, einseit neben Georg Obermeyer dem Tapißirer, anderseit neben Samuel Kempfer dem schneider, hinten auff Friedrich Brunner dem Paßmentirer – als ein d. 30. Januarÿ 1733 von seinen geschwistern in ohnvertheiltem erb angenommenes guth – um 568 pfund
(cote 94 Z 4) Die in weiland Meister Andreä Frantz des geweßenen Schumachers und auch weiland Fraun Barbarä geborner Geberin beeder geweßter Eheleuthen und Burgern alhier Zu Straßburg selig Verlaßenschafft gehörig geweste behaußung Höflein und Hoffstatt mit allen deren Gebeüden begriffen, weiten Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg in der Krautenau ohnfern dem em Katzensteeg, einseit neben N. Degré, anderseit neben Johannes Herrmann, beeden Kutscheren, hinten auf N. Woniglichs Wittib stosend gelegen, ist dem jüngsten Sohn Meister Johann Adam Frantz damals ledigen Schumacher und Burgern alhier, von deßen Geschwisterden und Mit Erben in ohnvertheiltem Erb kauflich cedirt und überlaßen worden, wie des über die elterliche Verlaßenschafft, durch Herrn Notarium Andream Schmidt Anno 1733. vergriffene Verkauf und Erlös Register, wie auch Vergleich und abtheilung Concept, so sich anietzo in mein notarÿ Verwahrung befindet zu vernehmen gibt, welches hiermit bona fide attestirt Straßburg den 26.ten Augst Anno 1769 – Johann Daniel Stöber Notarius

Fils du vigneron du même nom, Martin Germersdorff (qui signe Gerbersdorff) passe en janvier 1748 un contrat de mariage avec Marie Madeleine Groner, fille du tonnelier Zacharie Groner, tous de Ribeauvillé
1748 (17.1), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 213
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten Martin Germersdorff dem Ledigen von rappolswÿher gebürtig, Martins Germersdorff des reebmanns und frauen Christinæ gebohrner roßin, beeder Eheleuthe und burgere zu gedachtem rappolsweÿher ehelich erzeugtem Sohn
So dann der tugendsamen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Gronerin, Herrn Zachariæ Groners des Kieffers und burgers zu mehrgemeltem rappolsweÿher, mit weÿl. frauen Anna Maria gebohrner Schmidin, seines geweßenen Ehefrauen seel. ehelich erzeugter tochter
[unterzeichnet] hanß mardin gerbers dorff als hochzeiter, Maria magtalehna granerin als hochzeiterin

Martin Gerbersdorff épouse quelques mois plus tard Régule Greiff, fille du cultivateur Jean Greiff de Schwarzenbach près de Neuravensburg : contrat de mariage, célébration. La mariée est assistée de son oncle maternel Sébastien Mægerlin, emballeur à la douane de Strasbourg
1748 (2.4.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Heuraths Abrede Zwischen dem Ehrs. Johann Martin Gerberdorff, geb. von Rappolsweÿer, des Ehrs. Martin Germerdorff burgers allda mit Fr. Christin geb. Rooßin ehel. erzeugtem Sohn beÿst. S. T. Herrn Frantz Joseph Kruch Exsenatoris vnd gewesenen alten dreÿers deß Pfenningthurn und vornehmen burgers allhier Zu Straßburg, alß Hochzeitter ahne Einem
Und dann Jgfr. Regulæ Greiffin, weÿl. Joh: Greÿffen gewes. Ackersm. Zu Schwartzenbach beÿ Neu Ravenspurg mit auch weÿl. Anna geb. Mägerlinin ehel. erz. Tochter beÿst. H Sebastian Mägerlin des Spanners im Kauffhauß Ihres Mutter bruders wie auch H Joh: Michel Hugers des Caffetier beed. burgere allhier Zu Straßburg alß der hochz. am Andern theil
Actum Straßb. dienst. d. 2. Apr. A° Dni 1748. (unterzeichnet) hanß Mardin gerbersdorff als hochzeiter, regula greiffin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. p. 154)
Hodie 6. Maÿ Anni 1748 (…) sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti sunt Joannes Martinis Germersdorff, Rappolswiranus, filius legitimus Martini Germersdorff Civis ac vinitoris Rappolswirani et Christinæ Rosin, actu in Parochia nostra commorans, et Regula Greiffin, filia legitima defunctorum Josephi Greiff civis dum viveret ac agricola in Schwartzbach Jurisdictionis Neuen-Rafenspurgensis in Suevia et Annæ Megerlin, oriunda ex dicto Schwartzbach sed ab octo annis in hac civitate ac Parochia commorans. Testes aderant Sebastianus Mægelé civis ac mercium in Portorio hujus civitatis compactor sponsæ avunculus Matrinus (…) (Signé) Johann Mardin gerbers dorff, regula greiffin (i 79, im 80)

Jean Martin Germersdorff (ici sous le seul prénom de Jean) et Régule Greiff acquièrent le 11 mai 1748 le droit de bourgeoisie, la femme à titre gratuit, le mari au nouveau tarif.
1748, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 343
Johann Germersdorff der kremp Von Rappolsweÿler und deßen Ehefrau Regula Greiffin Von Schwartzbach St. Gallen gebieth gebürtig Erhalten das burgerrecht und Zwar die Ehefrau wegen wohlverhaltens gratis, der Ehemann aber umb den neuen burgerschilling und wollen beÿ E.E. Zunfft zur Mörin dienen, Jur. et prom. d. 11. Maÿ 1748

Jean Martin Germersdorff devient tributaire à la Mauresse le 18 juin suivant
1748, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 259)
(f° 315) Dienstags den 18.ten Junÿ Anno 1748 – Neuer Leibzünfftiger Gremp R. – Johann Martin Germersdorff, von Rappoltzweiler gebürtig producirt durch seine Ehefrau Schein von allhiesiger Cantzleÿ Pfenningthurn und Stall, deren die Zwen erstere den 11.ten Maji 1748. der letztere aber den 18.ten ejusdem datirt bittet um Ertheilung des Zunfft und Grempen Rechts.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr, jedoch mit dem Anhang willfahrt, daß, sobald der Implorant von seiner Reiß wieder Zurück kommen wird, er dem Herrn Zunfftmeister angeloben solle.
Zahlte vor den Pfenningthurn1 lb, vor das Zunfftrecht 5 ß, vor das Grempenrecht 1 lb 10 ß, vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, Und Einschreib Gebühr 2 ß, (zusammen) 3 lb 4 d. Promisit

Jean Martin Germersdorff sollicite en décembre 1754 auprès de la tribu des Fribourgeois l’autorisation de confectionner et de vendre de la charcuterie et d’autres mets comme les autres revendeurs. La tribu objecte que les revendeurs n’ont pas le droit de pratiquer ce commerce. Il modifie sa demande en juin 1755 et obtient l’autorisation à l’exclusion de tout autre mets.
1754, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 220) Donnertags den 15.ten deß Monaths Decembris in Anno 1754
Johann Martin Germersdorff der Grempp vnd burger stehet vor und bittet Ihme Zu Erlauben, daß Er dörffe wie anderen Grempen vndt diesorthigen Geldt Zünfftigen Ceruelats, Langues fourrées, Ballerons, Suppen, gekochten fleischen vndt Gemüeß appretiren undt verkauffen, offeriret derhalben beÿ dießer Ers. Zunfft sich ebenmäßig geldtzünfftig zu machen undt derselben Jährlich 6 ß d ahne Stubengeldt Zu entrichten.
Hierauff Ist Erkandt worden, daß Citatus, weilen er ein Gremp Mithin Handtierungen Zu treiben willen ist so wieder ordnung mit seinem begehren Abgewießen.

(f° 232-v) Donnertags den 5.ten Junii in Anno 1755
Johann Martin Gerbersdorff, der Grempp vndt burger allhier stehet vor undt bittet dermahlen nur allein vmb Erlaubnus würst, alß Nemblichen Ceruelats, Langues fourrées, Ballerons vndt Andouilles vndt dergleichen gleich wie andere gremppen allhier dießorths auch Erhalten haben, verfertigen vndt auß dem hauß verkauffen Zu dörffen Zu dem Endte Ihne gegen Erlag der gebühr dießotts alß Zudiener geldtzüfftig Zu recipiren.
Hierauff Erkandt worden, daß dem Imploranten in seinem Gesuch dermahlen zu willfahren mithin derselbe gegen Erlag der 2 lb 4 ß d vndt 6 ß d Stubengeldt pro hoc A° alß Zuduener geldtzünfftig zu recipiren, Ihme aber anbeÿ auch keine andere Speißen ,weder gekocht noch ohngekocht, weniger wein, wieder Ordnung Zu verkauffen beÿ Straff der Ordnung Zu verbiethen seÿe. ded. et pro. eodem.

Jean Martin Gerbersdorff se remarie en 1764 avec Catherine Hausmaurer, fille du porcelainier Mathias Husmaurer (Hausmaurer) de Haguenau : contrat de mariage, célébration
1764 (28.4.), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) n° 879
Eheberedung – zwischen dem Ersamen und bescheidenen Martin Gerberßdorff dem wittiber Krempen u. burgern allhier als Hochzeiter ane Einem
So dann der Eren und tugendsamen jgfr. Catharina Hußmaurerin Matthis Hußmaurers des Porteliners u. b. Zu Hagenau mit Elisabethe Bernhardin Ehelich erzeugter Großjähriger tochter als hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen zu Straßburg d. 28.ten Aprilis 1764. (unterzeichnet) Mardin Gerber dorff als hoch Zeider, x Catharinæ Hußmaurerin handt Zeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 121)
Hodie 7. maii anni 1764 in Ecclesia nostra tribus proclamationibus ac totidem in Ecclesia S. Ludovisi hujus urbis (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt martinus germersdorff civis viduus defunctæ reginæ Greiff Et Catharina housemaurer hagenoensis filia Legitima mathei houssemauer et Elisabethæ Bernard conjugum (signé) Mardin germersdorff, + Sponsæ Signum

Catherine Husmaurer devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage
1764, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 40-v
Catharina Husmeÿerin von Hagenau geb. verheur. Joh: Martin Germersdorff den Kremp. u. b. allhier erhalt das Burgerrecht wohlverhaltens weg. gratis, will dienen bey E E Zunfft Zur Mörin. prom. eod. [26. Maÿ 1764]

Martin Gerbersdorff meurt en 1786 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison à 200 livres. L’actif de la succession s’élève à 305 livres, le passif à 99 livres.

1786 (19.4.), Not. Lederlin (6 E 41, 907) n° 325
Inventarium über Weiland Martin Gerbersdorff, des geweßenen Fastenspeishändlers und Burgers dahier in Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, errichtet Anno 1786. – nach seinem den 14. Aprilis dieses gegenwärtigen 1786.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft (…) ersucht durch die hinderbliebene Wittib Frau Catharina geb. Hußmauerin, beÿständlichen H. Michael Schmidt, des Nagelschmidts und burgers dahier – So geschehen allhier Zu Straßburg auff Mittwoch den 19.ten Aprilis 1786.
Bennennung der Erben. Des verstorbenen seeligen ab intestato nach todt verlaßenen Erben sind folgende Persohnen, 1° Johann Georg Gerbersdorff, der Reebmann und burger Zu Rappoltsweÿher und von hier abweßend, 2. Fr. Catharina gebohrene Gerbersdorffin, Herrn Johann Peter Clavelle des Wurstmachers und burgers dahier Ehegattin in deren Namen gedachter ihr Ehemann dießer Inventur abgewartet hat, 3. Fr. Christina gebohrene Gerbersdorffin, Joseph Buch des Burgers und Reebmanns zu Hunnenweÿhr Ehefrau, abweßend, In welcher und vorgedachten Johann Georg Gerbersdoff ihres Bruders Namen beÿ gegenwärtiger Inventation erschienen ist Herr Michael Andreas Stierling E. E Großen Raths und Anderer Hoher Gerichts stellen dießer Stadt Advocatus und Procurator Vicarius auch burger dahier, als Zufolg Sis Tis Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammreisters Erkandnus vom 15.ten Aprilis jüngsthin geordnet und geschworenen Curator, welcher auch deroselben Interesse beÿ dießer Inventarur besorget hat, 4.t° Fr. Anna Maria gebohrene Gerbersdorffin, H. Réné Lanier, des Körbmachers und burgers alhier Ehegattin, so beiständlichen ihres Ehemanns dießer Inventur angewartet hat, So dann, 5.t° Johannes Gerbersdorff, der Trompeter unter dem Königlich. frantzösischen hier in Garnison liegenden Reuter Regiment Perey*, hiebeÿ præsens. Samtliche des Defuncti voll- und halbbändigen Geschwüsterde und ab intestato in gleichlingen Antheilen hinderlaßene Erben. Wobeÿ die Vier erstere Erben als des Defuncti vollbändige Geschwüsterde declariren, daß Sie insofern vorgedachten Johann Gerbersdorff desabgeleibten Habbrudern mit Zu Erben gehen laßen wollen als er durch gültige Certificats Ihnen erweißlich machen wird (…)

in einer allhier Zu Straßburg ane der Crautenau gelegenen hiehero gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine Behausung und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Crautenau beÿ dem Katzensteeg, einseit neben H. Obermeÿer, dem Tapezierer anderseit neben Weiland H. Exsenatoris Kämpffers gewesten Schneiders hinterlaßenen Erben und hinden auf H. Bronner den Tapecirer allhier stoßend, so der Wittib hiebeÿ gethanen Bericht nach freÿ, leedig und eigen, und wird dieße Behaußung, wie solche durch die geschworene Herren Werckleuthe dießer Stadt vermög ihres mir Noratio Zum Concept eingesandten schriftlichen Abschatzungs Zedul de dato 24.ten Aprilis Anno 1786. æstimirt und angeschlagen worden ist hier in Auswurf gebracht pro 200 lb. Hierüber hat sich nichts schriftliches vorgefunden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Hausraths 66, Sa. baarschafft 6, Sa. behausung 200, Sa. Schulden 32, Summa summarum 305 lb – Schulden 99 lb, nach abgang deren verbleibt 205 lb – Stall summa 149 lb
Copia der Eheberedung (…) den 28. Aprilis 1764, Adam Claus, Notarius, Collationnirt, Johannes Lederlin

Les héritiers de Jean Martin Gerbersdorff vendent la maison devant le juge de paix du quatrième canton le 15 pluviôse an VI à Gall Haldenwang auquel ils délivrent une quittance le 29 germinal suivant (les actes de la justice de paix ne sont pas conservés). En annexe, procès verbal d’expertise d’après lequel le solivage est en mauvais état, notamment celui de la cave.

1798 (29 Germinal 6), Strasbourg 7 (41), Jean Daniel Stoeber n° 363
Erschienen (…) weil. bs. Martin Gerbersdorff gewes. Fastenspeishändlers u. auch wei. Catharina geb. hußmaurer Verlaßene Erben benand. 1° br. Georg Martin wohnhaft in Hagenau, als Zufolg der Vor Not. Lambert in Hagenau den 9. Pluvios im sechsten Jahr passirter u. enregistrirter Vollmacht enannter Mandatarius seiner Ehefraun Catharina geb. Hußmaurer, 2° b. Georg Fröschesser Kiefers zu Rappoltsweiler nahmens seiner Ehefrau Annä Mariä geb. Gerbersdorff, u. Zugleich Bevollmächtigter Johann Georg Gerbersdorff Reebmanns Zu Rappoltsweiler u. b. Augustin Gerbersdorff Steinhauers zu Gebweiler krafft des bey diesem Concept befind. Vollmacht von gestrigen tag, 3° weil. Catharinä geb. Gerbersdorff, mit auch weil. Joh. Peter Clavelle gew. Wurstmachers allhier erzeugte sechs Kinder a) Peter Claude Clavelle Chaircuitier, b) Catherine Clavelle b. Michael Schäffer Vergulders Ehefrau, c) Magdalena geb. Clavelle, brs. Johannes Grimm Becks Ehefrau von ihme authorisirt, d) Annä Mariä geb. Clavelle, b. Frantz Guth, Fastenspeishändlers Ehefrau unter deßen authorisation, e) Theresia geb. Clavelle b. Frantz Anton Koller Concierge au tribunal civil Ehefrau von ihme authorisirt, f) Peter Joseph Clavelle, p*ompetier, 4° Christina geb. Gerbersdorff weil. brs. Joseph Busch gew. Reebmanns zu Bennenweÿher Wittib (…), 5° Joseph Lanier Korbmacher allhier, 6° Theresia geb. Lanier b. Frantz Camerzell handelsmanns alhier Ehefrau So unter deßen authorisation, 7° vorgesagter b. Georg Fröschesser Kiefers zu Rappoltsweiler nahmens Eberhard Bürgenhäuser Einwohmer in Rappoltsweiler Curator Johannes Gerbersdorff des abwesenden Von ihme krafft vorallegirter Vollmacht (…) authorisirt,
haben in Gegensein brs. Gallus Haldenwang Schumacher allhier, freÿwillig angezeigt und bekannt
das sie von demselben den Steigschilling der in vorbesagter Gerbersdorffischen Verlaßenschafft gehörigen behausung alhier zu Straßburg in der Vorstadt Krautenau am Katzensteg gelegen, so den 1.ten, 8.ten und 15. Pluviose lezthin vor den Friedensrichter des Vierten Gerichtsbezirks versteigert worden mit 2125 livres erhalten und dato unter sich gehörig Vertheilt hätten (…) Straßburg d. 29. Germinal im sechsten Jahre der Republick.

N° 363. Erschienen b. Michael Schäffler Vergulder nahmens seiner Ehefraun Catharinä geb. Clavelle, b. François Guth Chaircuitier nahmens seiner Ehefraun Mariä Annä geb. Clavelle und b. Joseph Lanier Korbmacher alhier freÿwillig anzeigend, daß Sie die in weiland Martin Gerbersdorff gewesenen Fastenspeishändlers allhier Verlaßenschafft gehörig gewesene behausung Vor dem Friedensrichter des Vierten Geichtsbezirks den ersten Pluviose achten Pluviose u. 15. Pluviose letzthin offentlich hätten Versteigern laßen und seÿe solche dem br. Gallus Haldenwang Schumacher alhier als als letzt und meistbietendem entschlagen worden, da nun die Erben noch nicht ihre Vollmachten Völlig eingesandt so hat Käufer dato in ihr der Gerbersdorffer Erbinteressenten Gegenwarth solcher Steigschilling der 2125 livres baar richtig gemacht und bezahlt (…) Straßburg den 26. Ventose im sechsten Jahre der Republick.

1° Mithin participiren Johann Georg Germersdorff gew. Reebmanns Zu Rappoltsweiler hinterlaßene dreÿ Kinder (…) demnach gebührte Annä Mariä Gerbersdorff, Georg Fröschesser Kiefers zu Rappoltsweiler Ehefrau, Johann Georg Gerbersdorff Reebmann Zu Rappoltsweiler und Augustin Gerbersdorff Steinhauer zu Gebweiler
2° Weil. Catharinä geb. Germersdorff, auch weil. Joh. Peter Clavelle gewesenen Wurstmachers allhier sechs Kinder 1) Peter Claude Clavelle Chaircuitier, 2) Catherine Clavelle br. Michael Schäffer Vergulders Ehefrau, 3) Magdalena geb. Clavelle, b. Johann Grimm Becks Ehefrau, 4) Annä Mariä geborener Clavelle, b. Frantz Guth, Fastenspeishändlers Ehefrau, 5) Theresia geb. Clavelle b. Frantz Anton Koller Concierge au Tribunal civil Ehefrau, 6) Peter Joseph Clavelle, p*ompetier
3° Christina geb. Gerbersdorff mit brs. Joseph Busch Reebmanns zu Bennenweÿher Wittib (…)
4° weil. Fr. Anna Maria geb. Gerbersdorffin, mit auch weil Réné Lanier gew. Körbmachers allhier erzeugt Zweÿ Kinder (…) b. Joseph Lanier Korbmacher So dann b. Theresia geb. Lanier b. Frantz Camerzell handelsmanns Ehefrau (…)
So dann 5° hätte Johannes Gerbersdorff des abwesenden in fränckischen Diensten stehend Trompeter unter dem 17.ten Cavalerie Regiment so mit brn Eberhard Bürgenhäuser Einwohmer in Rappoltsweiler bevögtigt gewesen (…) Straßburg den 29. Germinal im sechsten Jahre der Republick.

Cejourd’hui 17 ventose l’an Six de la République française une et indivisible, Nous Jacques Frederic Arnold architecte et Georges Meyer maçon tous deux experts nommés par les citoyens Pierre Elisabeth Clavel, Joseph Laniel, Schœfflé, Clavel, Jean Grimm et Koller, heritiers des biens appartenans à la succession de feu la veuve Catherine Germersdorf, nous sommes transportés en la maison site rue Krautenau à Strasbourg marquée du n° 26 faisant partie de ladite succession aux fins de reconnaître Si la maison étoit partageable, ou non, et d’en estimer la valeur intrinseque, vu la decadence totale du bâtiment ou etant et après avoir préalablement prêté serment entre les mains du juge de paix du 4° arrondissement de cette commune, nous avons trouvé et estimé ce qui suit, savoir 1° Que la susdite maison étoit insuscesptible d’aucun partage, 2° Que vu le delabrement des murs, du solivage, dont particulièrement celui de la cave, se trouve le plus affecté, ce bâtiment n’auroit pas pu être mis en état d’être logé sans des frais beaucoup au-dessus de la valeur générale du terrin, qu’en conséquence 3° Il a été estimé par nous à la somme de 1500 livres valeur métallique (…) Collationné Jacquet juge de paix
– Verzeichnuß derer Zinssen, so ich eingenommen seit dem Zweiten Germinal im 30.ten Jahr der Republick wie folget (…) Straßburg dem 29.ten Germinal im 6.ten Jahr der fränckischen Republick
– Vor mir dem offentlichem mit Patent versehenem Notario des Niederrheinischen Departement zu Hagenau wonhafft (…) erschien persönlich Elisabetha Hußmännin Ehefrau des Burgers Georg Martin, Burgers von Hagenau unter authorisation gedacht ihres Ehemanns und ferner Verbeÿstandet durch Burger Dominique Ferdinand Mougead burger von erst ewähnten Hagenau, Declarirend und anzeigend, daß sie vorhabe und Willens seÿe den halben antheil der ihr von ihrer verstorbenen Schwester Katharinä Hußmännin gewesenen Ehefrau des weil. Martin Germersdorf gewesenen Bürgers und Krämers zu Straßburg L: Verlaßenschaffts Inventur de dato (-) zugetheilten behausung /:zue hälfte:/ öffentlich durch einen Notaire versteigern zu laßen, In dieser Hinsicht bevollmächtigte sie hiemit durch gegenwärtigen acte gedacht ihren Ehemann (…) Actum Hagenau den 9. Pluviose sechsten Jahre der Rep. – Lambert No.us
Auszug Aus dem Friedensgerichts schreibern Protokoll der Gemeiner Rappoltsweiler (…)

Originaire d’Offterdingen près de Tubingue en Wurtemberg, le cordonnier Gall Haldenwang épouse en 1783 Anne Marie Gautsch, fille du cordonnier Jacques Gautsch : contrat de mariage, célébration
1783 (24.9.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 849) n° 74
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsame Gallus Haldenwang, lediger Schuhmacher, Meister Martin Haldenwangs des Webers und Burgers Zu Offterdingen, fürstlich: Würtembergischer Herrschaft, mit weiland Frauen Ursula, geborner Meÿerin ehelich erzeugter Sohn, so großjährig zu seÿn und seiner Rechten Zu genießen declarirt, anbeÿ sich anheischig gemacht, seines Vaters Einwilligung zu gegenwärtigem mit ehensten in beglaubter Form beÿzubringen, mit beÿstand Meister Johannes Burgers, des dahiesigen Schuhmachers, beÿ welchem derselbe dermahlen in Arbeit stehet, als Hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Anna Maria Gautschin, weiland Meister H. Jacob Gautsch, im Leben geweßenen Schuhmachers und Burgers allhier nach tod gelassene mit Frauen Anna Maria, geborner Neukammin ehelich erzeugte Tochter, so auch großjährig, mit beÿstand Meister Michael Letz des Schuhmachers dahier ihres noch ohnentledigten Vogts, als Hochzeiterin am andern Theil
So geschehen und Abgelesen allhier Zu Straßburg (…) auf Donnerstag den 25. Tag des Monats Septembris Im Jahr der Gnaden 1783 (unterzeichnet) Gallus Haldenwang als Hochzeiter, Anna Maria Gautschin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 166-v)
Im Jahr 1785. (…) und Montag den 28. ejusdem [Februarÿ] ehelich eingesegnet worden Gallus Haldenwang, der ledige Schuhmacher, Martin Haldenwang, des Webers Zu Ofterdingen, Würtembergischer Herrschafft mit weÿl. Ursula Meÿern ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Anna Maria Gautschin, weÿl. Johann Jacob Gautsch, geweßenen Schuhmachers und Burgers allhier mit Anna Maria Neidhammin ehelich erzeugte Tochter (unterzeichnet) Gallus Haldenwang als Hochzeiter, Maria Gautschin als Hochzeiterin (i 170)

Gall Haldenwang devient bourgeois par sa femme dix jours après son mariage
1785, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 70-v
gallus Haldenwang der schuhmacher Von Offterding in dem Württenbergisch. gebürtig, Martin haldenwang des burgers vnd Leinenwebers daselbst erzeugter sohn, verheurathet mit anna Marja gautschin, weÿl. Joh: Jacob gautsch geweßen Burgers vnd schuhmachers allhier hinterlaßener tochter, erhalt das burgerrecht ab uxor vmb den alt. burger schilling will dienen Zue E.E. Zunfft der schuhmacher, juravit d. 7.ten Marty 1785.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison du boulanger Michel Murr près du pont Saint-Guillaume. Les apports du mari s’élèvent à 150 livres, ceux de la femme à 128 livres.
1785 (20.7.) Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 846) n° 134
Inventarium über des ehrsamen Meister Gallus Haldenwang, des Schuhmachers, und Frauen Annä Mariä geborner Gautschin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe Zugebrachtes eigenthümliches Vermögen, auffgerichtet den 20.ten Julii 1785. – einander in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, und sich durch die Vor mir dem Notario am 25.ten Septembris des Jahres 1783. mit einander auffgerichtete Eheberedung als ohnverändert und eigenthümlich Vorbehalten haben
So geschehen Allhier Zu Straßburg in einer ane der Krautenau, nächst der Wilhelmer brück gelegenen, Herrn Michael Murr, dem Becken Zuständigen und Von denen beeden Eheleuthen Zum theil Lehnungs: weiß bewohnenden Behaußung, in Fernerer gegenwart Frauen Annä Mariä Siefertin geborner Neukammin, weiland meister Johann Georg Sieferts, gewesenen Schuhmachers und Burgers dahier in Zweÿt: und lezter Ehe nachgelaßener Wittib, ams der Ehefrauen leiblicher Mutter, beiständlich vorgedachten Hn Murrs, des becken, auf Mittwochs Vormittags den 20. Tag des Monats Julii, Im Jahr 1785.
(f° 7-v) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 17, Sa. Werckzeugs Zum Schuhmacher Handwerck gehörig 7, Sa. der Baarschafft 86, Summa summarum 120 b – Dazu gelegt die ane denen Haussteuren Ihme zukommende Hälfte beträgt 30 lb – Des Ehemanns Vermögen 150 lb
Solchemnach wird auch der Ehefrauen eingebrachtes eigenthümliches Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 16, Sa. Goldenen Rings 12, Sa. der Baarschafft 5, Summa summarum 97 lb – Wann nun darzugerechnet wird, die deroselben ane denen Haussteuren gebührende Helfe mit 30 lb, So bestehet der Ehefrauen Vermögen sammethafft in 128 lb

Anne Marie Gautsch meurt en 1798 en délaissant un fils. La maison est estimée à l’équivalent de 531 livres strasbourgeoises. La masse propre au veuf est de 233 livres celle propre à l’héritier de 188 livres. L’actif de la communauté s’élève à 601 livres, le passif à 693 livres strasbourgeoises.

1798 (1 fructidor 6), Strasbourg 10 (5), Not. Heus n° 303
Inventarium über Weiland Fraun Anna Maria geb. Gautsch des bürgers Gallus Haldenrwang Schuhmachers geweßter Ehefraun Verlassenschafft, nach ihrem den 11. Messidor jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Wittibers, Johann Gottfried Haldenwang so 12 Jahr alt als der defunctæ einigen Kinds
des hinterbliebenenen Wittibers ohnveränderten Vermögensn hausrath 54, Ergäntzung Not. Albert den 20. julÿ 1785 aufgerichteten Inventarii 1046 davon abzuziehen 20, Deducendo verbleibt 1026, Summa summarum 1081 – Schulden 150, Nach deren Abzug 931 Livres
des Kinds und Erben ohnveränderte Nahrung, hausrath 219, silber 37, Ergäntzung 357, abzuziehen 10, Deducendo 347, schulden 150, Summa summarum 754 Livres
Beschreibung des Gemein und theilbaren Guts, hausrath 253, Gold und silber 24
Eigenthum ane einer behaußung so theilbar. Nemlichen Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Vorstadt Krautenau ohnfern dem Katzensteeg gelegen mit N° 26 bezeichnet einseit neben Georg Obermeÿer dem tapezirer anderseit neben Samuel Kempfer dem Schneider und hinten auf Friedrich Brunner den Paßm., ohnpræjudicirlich gewürdiget 2125 L. Daruber besagt einen vor Not. Stöber gefertigten Kaufbrieff sub dato 29 germinal 6, dabeÿ befindet sich einen Kaufbrieff in der C. C. Stuben datirt den 28. Augusti 1769
Summa summarum 2403 – Schulden 2774, Compensado 370
Copia der Eheberedung vor Not. Albert den 25. sept. 1783 Errichteten Ehe Contracts (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 62 f° 149 du 2 fruct. 6

Gall Haldenwang se remarie en 1799 avec Marie Salomé Hügel, fille du sellier Jean Michel Hügel de Barr
1799 (8 prairial 7), Strasbourg 10 (6), Not. Heus N° 154, N° 49
Eheberedung – Erschienen der Bürger Gallus Haldenwang Schuhmacher und Wittiber alhier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem,
So dann Jungfrau Maria Salome Hügel, des Bürgers Johann Michael Hügel Säcklers zu Barr mit weiland Fraun Catharina gebohrener Hügel ehelich erzeugt hinterlaßene Großjährige Tochter, unter assistentz des Bürgers Johann Michael Murr, Becken dahier, als Hochzeiterin andern theils
Zu Straßburg den 8.ten Praireal im 7. Jahr der Francken Republick (unterzeichnet) Gallus Haldenwang, Maria Salome Hügel
Enregistrement, acp 68 F° 107 du 9 prai. 7

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari dont les apports s’élèvent à 487 livres, ceux de la femme à 382 livres tournois.

1799 (27 brumaire 8), Strasbourg 10 (5), Not. Heus n° 342
Inventarium über bürgers Gallus Haldenwang und Fraun Maria Salome geb. Hügel für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, vermög ihrer vor mir Notario unterm 8. Prairial 7 errichteten Eheberedung
in einer ane der Krautenau gelegenen mit N° 26 bezeichneten behausung
des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, hausrath 603 fr, silbers 83 fr
Eigenthum ane einer behaußung so der Ehemann in die Ehe gebracht. Nemlichen die hälfte vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Vorstadt Krautenau ohnfern dem Katzensteeg gelegen mit N° 26 bezeichnet, woran die übrige hälfte seinem Kind erster Ehe gehörig, einseit neben Georg Obermeÿer dem tapezirer, anderseit neben Samuel Kempfer dem Schneider und hinten auf Friedrich Brunner den Paßmentirer, ohnpræjudicirlich hiehero gewürdiget 1200 L. Über die gantze behaußung besagt eine vor Not. Stöber Kaufbrieff sub dato 29. germinal 6 errichtete Kauffverschreibung, wobeÿ befindet sich einen Kaufbrieff in der C.C. Stuben datirt den 28. August 1769
Summa summarum 1887 L – Schulden 1400 L, Nach deren Abzug 487 L
der Ehefraun in die ehe gebrachte Guth, hausrath 182 L, baarschafft 200 L, summa summarum 382 L
Enregistrement, acp 70 f° 100 du 29 brum. 8

Gall Haldenwang et Marie Salomé Hügel ainsi que leur fils Jean Geoffroi Haldenwang et leur bru Catherine Dorothée Reich vendent la maison au maître de dessin Frédéric Léonard Ræis et à sa fiancée Madeleine Mathysz

1825 (17.3.), Strasbourg 8 (39), Me G. Grimmer n° 488
Galle Haldenwang, cordonnier, et Marie Salomé Hügel, Jean Geoffroi Haldenwang, cordonnier, et Catherine Dorothée Reich
à Frédéric Léonard Raeis, garçon majeur maître de dessein, et Madeleine Mathysz majeure sans état
une maison à rez de chaussée surmontée de trois étages avec cour, aisances, appartenances, circonstances, droits et dépendances sise en cette ville au quartier de la Krautenau près de la montée des Chats n° 26, d’un côté la propriété de Samuel Kempfer, de l’autre celle des frères Christophe cordonniers, derrière le Sr Schnéegans passementier – Galle Hardenwang a acquis ledit immeuble acquis conjointement avec Anne Marie Gautschi son épouse en premières noces, mère de Jean Geoffroi Hardenwang, de Martin Germersdorff, graissier, par procès verbal d’enchère devant le juge de paix au quatrième arrondissement le 22 pluviose 6 pour 2105 francs. Martin Germersdorff l’avait acquis de Jean Adam Frantz, cordonnier, par acte pasé devant Dinckel notaire le 28 août 1769 – moyennant 3000 francs
Enregistrement, acp 172 F° 102-v du 23.3.

Frédéric Léonard Ræis épouse peu après Marie Madeleine Mathisz
1825 (17.3.), Strasbourg 8 (39), Me G. Grimmer n° 487
Contrat de mariage – Frédéric Léonard Raeis, maître de dessein, fils majeur de feu Frédéric Léonard Raeis, tailleur d’habits, et de Marie Lintzer
Marie Madeleine Mathisz, fille majeure de Jean Mathisz, menuisier, et de Marie Madeleine Krausz
Enregistrement, acp 172 F° 102 du 22.3. – communauté d’acquets partageable par moitié

Frédéric Léonard Ræis meurt en 1858 en délaissant un fils

1858 (28. 7.br) M° Zeyssolff (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Léonard Raeis, Maître de dessin à Strasbourg et Marie Madeleine Mattisz, sa femme et de la succession du Sr Raeis décédé le 14 juillet 1858, dressé à la requête de la veuve, agissant 1) comme commune en biens en vertu de son Contrat de mariage reçu Grimmer, Nre le 17 mars 1825, 2) comme mère et tutrice de Frédéric Emile Raeis, Etudiant en médecine à Strasbourg
acp 472 (3 Q 30 187) f° 74-v du 2.8.br (succession déclarée le le 7. 8*.bre 1858
Communauté. Un mobilier estimé à 856
Une maison sise à Strasbourg rue de la Krutenau n° 24
Passif 4806

Madeleine Mathisz meurt en 1876 à Phalsbourg où exerce son fils médecin
1876 (11.7.), Strasbourg 8 (97), M° Gustave Edouard Loew
Notoriété. 11 Juli 1876. – (…) daß sie Frau Magdalena Mathis, wohnhaft zu Phalsburg, Wittwe des Kunstmalers Herrn Friedrich Leonhard Raeis zu Straßburg genau gekannt haben, daß dieselbe den 17. März dieses Jahres in Phalsburg verstorben ist und als einzigen Erben ihren Sohn Herrn Emil Friderich Raeis, Doctor der Medizin zu Phalsburg wohnhaft, hintelassen hat.
acp 651 (3 Q 30 366) f° 80 du 17.7.

Marie Madeleine Mathisz, veuve de Frédéric Léonard Ræis, et son fils vendent la maison à Louis Burckhardt et à sa femme Césarine Jacquin

1872 (18.4.), Strasbourg 8 (84), M° Gustave Edouard Loew n° 4234
Du 18 avril 1872. Vente pour 9000 f. – A comparu D° Marie Madeleine Mathisz, veuve de M. Frédéric Léonard Raeis, vivant maître de dessin à Strasbourg, elle demeurant aujourd’hui à Phalsbourg, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire de Mr Frédéric Emile Raeis, son fils, docteur en médecine demeurant et domicilié audit Phalsbourg, Mr Raeis célibataire (…) Laquelle a vendu
à Mr Louis Burckhardt, propriétaire & D° Césarine Jacquin, son épouse qu’il assiste & autorise, demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg hors la porte d’Austerlitz, présents & acceptant
Désignation. Une maison à rez de chaussée & trois étages avec cour, droits & dépendances, sise à Strasbourg, rue de la Krautenau N° 24 anciennement N° 26, d’un côté M Auer, de l’autre M Huth, par devant la rue & par derrière M. Hampé. Cet immeuble est transmis tel qu’il se trouve (…) ensemble cinq fourneaux & accessoires dont quatre en fayence & un en fonte qui s’y trouvent
Etablissement de propriété. Cet immeuble dépend de la communauté de biens qui a existé entre entre Mde veuve Raeis covenderesse & feu son mari, lequel a délaissé pour seul et unique héritier Mr Raeis covendeur son fils, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire de la succession du défunt qui fut dressé pat M° Loew soussigné & un collègue le 28 septembre 1858 enregistré. M. & Mme Raeis en avaient fait l’acquisition du sieur Galle Haldenwang, cordonnier & D° Marie Salomé Hügel, son épouse & du Sr Jean Geoffroi Haldenwang, cordonnier & D° Catherine Dorothée Reich, époux, tous à Strasbourg, en vertu d’un contrat passé devant M° Guillaume Grimmer, lors notaire en ladite ville & un collègie le 17 mars 1825 enregistré. Le sieur Galle Haldenwang, conjointement avec feu Anne Marie Gautschi, son épouse en premières noces & mère du sieur Jean Geoffroi Haldenwang, son unique héritier, ont fait l’acquisition de cet immeuble des héritiers du sieur Martin Germersdorff, vivant graissier à Strasbourg, suivant procès verbal d’enchère dressé par Mr Jacquet, juge de paiw du quatrième arrondissement de la dite ville le 22 pluviose an six, le prix d’adjudication a été quittancé par actes reçus par M° Stoeber vivant notaire à Strasbourg les 26 ventôse & 29 germinal an VI. Et le sieur Germersdorff s’en était rendu acquéreur sur le sieur Jean Adam Frantz, cordonnier à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Dinckel vivant notaire en ladite ville le 28 août 1779.
Situation hypothécaire (…) Prix & délégation. 9000 francs
acp 604 (3 Q 30 319) f° 68 du 23.4.

1869 (11.2.), M° Flach
Consentement par Jean Michel Burckhart fabricant de bas à Strasbourg au mariage de son fils Louis Burckhart bonnetier à Strasbourg avec Césarine Jacquin veuve de David End au dit lieu
acp 580 (3 Q 30 295) f° 73-v du 12.2.

Louis Burckhardt épouse en 1870 Césarine Jacquin, veuve du journalier David End
Mariage, Strasbourg (n° 299)
Du 28° jour du mois de Mai 1870 à neuf heures du matin. Acte de mariage de Louis Burckhardt majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 novembre 1838 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, fabricant de bas, fils de Jean Michel Burckhardt, fabricant de bas domicilié à Strasbourg ci présent et consentant, et de feu Marie Anne Ginss, décédée à Strasbourg le 23 janvier 1848 et
de Césarine Jacquin, majeure d’ans, née en légitime mariage le 25 novembre 1835 à Dingsheim (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, propriétaire, veuve de David End, journalier décédé à Strasbourg le 21 mai 1867, fille de feu Dominique Jacquin, ancien aubergiste décédé à Saverne (Bas-Rhin) le 18 décembre 1854 et de feu Anne Bastien, décédée à Strasbourg, le 12 juillet 1869 (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 34)

David End épouse en 1858 Césarine Jacquin
Mariage, Strasbourg (n° 629)
Du 18° jour du mois de décembre l’an 1858 à dix heures du matin. Acte de mariage de David End, majeur né hors le mariage le 4 novembre 1824 à Walscheid (Meurthe), domicilié à Strasbourg, Journalier veuf de Louise Marguerite Beck décédée à Strasbourg le 26 janvier 1858, fils de feu Marguerite End décédée à Wlscheid le 9 janvier 1842
et de Césarine Jacquin, majeure d’ans, née en légitime mariage le 25 novembre 1835 à Dingsheim (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, journalière, fille de feu Dominique Jacquin ancien aubergiste décédé à Saverne (Bas-Rhin) le 18 décembre 1854 et d’Anne Bastien, sans état, domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante (i 46)

Décès, Strasbourg (n° 1101)
Acte de décès. Le 21 mai 1867 (…) nous ont déclaré que David End âgé de 42 ans né à Valscheid (Meurthe), journalier, veuf en 1° noces de Louise Marguerite Beck, époux de 2° noces de Césarine Jacquin, domicilié à Strasbourg rue du quartier St Nicolas 7, fils de feu Marguerite End est décédé le 21 mai 1867 à une heure du matin en la maison place de l’hôpital Civil [in margine :] Phtysie (i 86)

David End institue sa femme légataire universelle de ses biens
1867, M° Flach
22 mars 1867 – Donation entre vifs par David End, logeur* à Strasbourg
à Césarine Jacquin son épouse
de la généralité de tous les biens meubles et immeubles qu’il délaissera à son décès – Décès du 21 mai 1867
acp 563 (3 Q 30 278) f° 29-v du 24.5.

Louis Burckhardt vend en son nom et en celui de sa femme Césarine Jacquin émigrée en Amérique la maison au marchand de meubles Elie May

1880 (22.12.), Strasbourg 24 (32), M° Joseph Allonas n° 5867
22. Dezember 1880. Kauf – Ist erschienen Herr Ludwig Burckhardt, Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, Ehemann der bei ihm domizilirten und nach Amerika ausgewanderten Cesarine Jacquin, derselbe verkauft (…)
dem hier gegenwärtigen und es annehmenden Herrn Elias May, Möbelhändler zu Straßburg wohnhaft
Beschreibung. Stadt Strassburg. Ein zu Strassburg Krutenaustrasse gelegenen mit N° 24 bezeichnetes Besitzthum bestehend aus einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken Hof, Rechten und Zugehörungen einerseits Herr Auer, anderseits H. Hirth, vorn die gedachte Straße, hinten H. Hampe. Sowie sich die obenbezeichnete Liegenschaft wirklich befindet (…)
Eigenthumsnachweis. Herr Burckhardt erklärt, er habe die obenbezeichnete Liegenschaft zur Rechnung der zwischen ihme und seiner genannten Ehefrau bestehenden Gütergemeinschaft von 1. Maria Magdalena Mathys, ohne Gewerb zu Straßburg wohnhaft, Wittwe des hierselbst verlebten Zeichners Friedrich Emil Raeis, sie nun zu Phalsburg wohnhaft und 2° dem H. Friedrich Emil Raeis Doktor medicinae auch zu Phalsburg wohnhaft, erworben auf Grund eines durch Notar Loew dahier den 19. April 1872 aufgenommenen Aktes von welchem eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte den 22. Mai folgend Band 1344 N° 78 & von Amtswegen Band 1103 N° 7 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 7200 Mark (…)
Früherer Eigenthumsnachweis. Dasselbige obenbezeichnete Immöbel gehörte zu der zur Hälfte theilbar gewesenen zwischen obengenannten Eheleuten Raeis-Mathis bestandenen Gütergemeinschaft und wurde durch diese Eheleute von 1° Gallus Holdenwang, Schuster und dessen für Magdalena Hügel, 2° H. Johann Gottfried Holdenwang, Schuster & dessen Ehefrau Catharina Dorothea Reich alle dahier wohnhaft auf grund eines durch H Wilhelm Grimmer, Notar in hiesiger Stadt den 17. März 1825 aufgenommenen Akt erkauft. Genannter Friedrich Leonhard Raeis ist gestorben & hat als einzigen Erbe seinen mit genannter Wittwe erzeugten Sohn den allenfalls genannten Friedrich Emil Raeis hinterlassen sowie dies erhellet aus dem Eingang des nach Ableben desselben durch Notar Zeyssolff dahier den 28. September 1858 errichteten Inventars
Genannter Gallus Holdenwang und seine erste Frau Anna Maria Gretschi haben das nämliche Immöbel von den Erben von Martin Germersdorf erkauft auf Grund eines von Friedensgericht des vierten Bezirks der Stadt Strassburg den 21. Pluviose Jahr VI der ersten frantzösischen Republick aufgenommenen respektiv abgehaltenen Versteigerung. Dieser Erwerbspreis wurde zugleich außbezahlt sowie dies in einem durch den hiesigen Notar Stoeber den 26. Ventose & 29. Germinal Jahr sechs der ersten frantzösischen Republick aufgnommenen Akte bestätigt worden ist.
Lasten, Clauseln und Bedingungen (…) Kaufpreis 6800 Mark
acp 709 (3 Q 30 424) f° 15-v du 23.12.

Originaire de Muttersholtz, Elie May épouse en 1859 Rebecca Gerschel
1859 (2. 9.bre), Strasbourg 14 (153), M° Ritleng père n° 11.055
Mariage, 2. 9.bre 1859 – ont comparu le Sieur Elie Mey, commerçant demeurant autrefois à St Dizier demeurant et domicilié aujourd’hui à Muttersholtz, fila majeur du Sieur Isaac Mey, commerçant & de Sara Gross sa femme demeurant à Muttersholtz, stipulant sous l’assistance & du consentement de sesdits père et mère, d’une part
& Dlle Rebecca Gerschel, fille majeure de feu le Sieur Abraham Gerschel en son vivant huilier & de D° Caroline Goudcahau sa veuve demeurant à Strasbourg agissant sous l’assistance & du consentement de sa mère & encore sous l’assistance du sieur Aron Gerschel artiste photographe & Samuel Gerschel commerçant demeurant et domiciliés à Strasbourg, ses frères
acp 482 (3 Q 30 197) f° 65 du 3.11. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent 1) en une maison sise à Muttersholtz rue dite Obergasse 2) une place d’homme à la synagogue de Muttersholtz
Donation par la veuve Gerschel à la future épouse sa fille, ce acceptant en avancement d’hoirie 1) d’une somme de 4000 francs, 2) d’un mobilier estimé 380 francs, ensemble 4380 francs
Donation par le futur à la future en cas de survie d’une somme de 1500 francs

Rebecca Gerschel meurt en 1894 en délaissant trois enfants
1895 (25.1.), M° Allonas
Inventar über den Nachlass der am 26. Mai 1894 dahier verlebten Rebekka Gerschel, Ehefrau von Elias May, Kaufmann hier. Erben sind die Kinder 1. Fernand May, Kaufmann hier, 2. Valentine May, Ehefrau von Armand Bernheim, Kaufmann in Mülhausen, 3. Johanna May, Ehefrau von Julius Bernheim, Kaufmann allda. Laur Ehevertrag Ritleng vom 2. November 1859 bestand Errungenschaft gemeinschaft. Laut Schenkung Allonas vom 20. September 1892 schenkte die Verlebte ihrem Ehemann die lebenslängliche Nutznießung an ihrem gantzen Nachlassvermögen. Diese Schenkung soll mit Einwilligung der Kinder ganz vollzogen werden.
acp 895 (3 Q 30 610) f° 77 n° 4775 du 29.1. (Erbschaft Erkl. vom 28.1.1895 Bd. 218, 552) Gemeinschaft. 1. Baares Geld M. 500, 2. Mobilien 2822, 3. Forderung an Eheleute Georg Diebold, Gasthausbesitzer & Maria Gross hier laut Cession Mossler vom 18. Oktober 1895 M. 2622, Zinsen 47, 4. Geschäfftsausstände 1500
Häuser in Straßburg, Karpfengasse N° 6, geschätzt zu 10.000, Kageneckerstraße N° 20 zu 12.400, Alter Weinmarktplatz N° 5 zu 17.600, Thiergartenstraße N° 3 zu 52.000, Große Renngasse N° 6 zu 52.000, Nikolauskasernengasse N° 5 zu 4000
Rückbringen der Ehefrau Julius Bernheim geborene Johanna May (siehe Bd. 817 n° 1298) 56.000, Ersatzforderung des Wittwers 1720, des Nachlasses 3504
Hypothekarschulden 40.128, Chirographarschulden 520
Kleider des Nachlasses 270

Elie May qui demeure à Mulhouse fait un legs à ses deux filles
1898, M° Allonas
20. Mai 1897. Testament – Elias May, früher Kaufmann zu Straßburg, jetzt Rentner und Eigenthümer un Mülhausen † 6. Juni 1898
derselbe vermacht zum Voraus und außer Teil seinen beiden Töchtern Frauen Armand Bernheim geb. Valentine May und Julius Bernheim geb. Johanna May je zur Hälfte (od)er deren Nachkommen den verfügbaren Teil seines Nachlasses. Frühere Testamenten widerrufen
acp 940 (3 Q 30 655, II) f° 43-v du 7.6.

Elie May meurt à Mulhouse en 1898 délaissant trois enfants dont un fils dont le domicile est inconnu. La succession comprend notamment trois maisons à Strasbourg
1898 (21.6.), M° Allonas
Inventar über den Nachlass des Elias May, früher Kaufmann jetzt Rentner gestorben zu Mülhausen am 6. Junÿ 1898. Auf Anstehen von 1. Valentine May, Ehefrau von Armand Bernheim, Kaufmann, 2. Jeanne May, Ehefrau von Julius Bernheim, Kaufmann, alle in Mülhausen, 3. dem Bevollmächtigten von Fernand May, Kaufmann früher in Straßburg, jetzt ohne bekannten Wohn & Aufenthaltsort, die vorgenannten einzige Erben je zu ? am Nachlasse ihres verstorbenen Vaters.
Testament vor dem amt. Notar vom 20. Mai 1897.

acp 940 (3 Q 30 655, II) f° 65-v du 24.6. Nachlass. Aktiv.
I. Immobilien Straßburg 1) P 285 1,25 a. Wohnhaus mit Erdgeschoß Rechten & Zubehör in der Kageneckerstraße N° 20, Werth M 12.400, jährlicher Rohertrag 680.
2) P 186 und 186 0,69 a. Anwesen mit Erdgeschoß drei Stockwerken, Rechten und Zubehör in der großen Renngasse N° 6, Werth M. 22.400, jährlicher Rohertrag 1120
3) O 1089, 1089, 1090 2,25 a. Besitzthum bestehend aus Vorderhaus, Hinterhaus, Rechten und Zubehör in der Nikolauskasernengasse Nr 5, Werh M 4000, jährlicher Rohertrag 480.
II. Miethzinsen. Die vom 25.3.98 bis zu Todestage des May erlaufenen Miethzinsen der drei Wohnhäuser betragen pro Quartal M. 453. Da der Miether des Hauses in der Kageneckerstraße Sattler seinen vierteljährlichen Miethzins mit 170 M. zum Voraus bezahlt hat so ist der entsprechende Betrag mit 136 M. in Abzug zu bringen mit M 135. so daß verbeliben M 329.
III. Forderungen an 1. Joseph Huber, Kohlenhändler und Elisabeth Luise Herrmann, Eheleute in Straßburg M. 13.000 als Restkaufpris laut Urkunde Ritleng dem ältern vom 15. u. 16. April 1896. – Zinsen (2-12), zusammen 61.333 M.
IV. Baares Geld 150 – V. Mobilien geschätzt zu M 400 – VI. Forderung. Fernand Maÿ schuldet an den Nachlass seines Vaters als unverzinßliches Darlehen 6400, 800 und 1600 Summa 8800.
Der Notar hat angenommen M 30.086 und hat ausgegeben 30.318, bleibt Passiv 232.
Passiva. Beerdigungs Kosten 1169, Silbergeschirr geschätzt zu 134, goldene Taschenuhr mit Kette gesch. zu 209

Elie May et Rebecca dite Rosalie Gerschel vendent la maison à Thérèse Hubrecht

1884 (18.11.) Strasbourg 24 (48), M° Joseph Allonas n° 8256
Sind erschienen Herr Elias May, Möbelhändler und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Rebeca genannt Rosalia Gerschel, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselben verkaufen andurch (…)
der hier gegenwärtigen und es annehmenden Fräulein Theresia Hubrecht, großjährig, ohne Gewerbe zu Straßburg Krutenaustrasse N° 24 wohnhaft
Beschreibung. Stadt Strassburg. Ein zu Strassburg Krutenaustrasse gelegenen mit N° 24 bezeichnetes Besitzthum bestehend aus einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Hof, Rechten und Zubehörungen einerseits Herr Auer, anderseits Herr Hirth, vorn die gedachte Straße, hinten Herr Hampe. Sowie sich die obenbezeichnete Liegenschaft wirklich befindet (…)
Eigenthumsnachweis. Verkäufer erklären, Herr May habe die obenbezeichnete Liegenschaft für Rechnung der zwischen ihnen bestehenden Errungenschafts gütergemeinschaft erkauft von H. Ludwig Burckhardt Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft Ehemann der bei ihm domizilirten & nach Amerika ausgewanderten Cesarine Jacquin, laut Urkunde vor unterzeichnetem Notar vom 23. Dezember 1880, von welcher eine Ausfertigung beim hiesigen Hypothekenamte am 13. Januar 1881 Band 1907 N° 72 überschrieben und von Amtswegen Band 1430 N° 224 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 6800 Mark (…)
Früherer Eigenthumsnachweis. Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweises wird dem oben erwähnten Kauffvertrage vom 22. Dezember 1880 folgendes wörtlich entnommen. Herr Burckhardt erklärt, er habe die obenbezeichnete Liegenschaft für Rechnung der zwischen ihm und seiner genannten Ehefrau bestehenden Gütergemeinschaft von 1. Maria Magdalena Mathys, ohne Gewerb zu Strassburg wohnhaft, Wittwe des hierselbst verlebten Zeichners Friedrich Emil Raeis, sie nun zu Phalsburg wohnhaft und 2° dem Herrn Friedrich Emil Raeis Doktor medicinae auch zu Phalsburg wohnhaft, erworben auf Grund eines durch Notar Loew dahier den 19. April 1872 aufgenommenen Aktes von welchem eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte den 22. Mai folgend Band 1344 N° 78 überschrieben und von Amtswegen Band 1103 N° 7 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 7200 Mark (…)
Dasselbe obenbezeichnete Immöbel gehörte zu der zur Hälfte theilbar gewesenen zwischen obengenannten Eheleuten Raeis-Mathis bestandenen Gütergemeinschaft und wurde durch diese Eheleute von 1° Gallus Holdenwang, Schuster und dessen Ehefrau Magdalena Hügel, 2° H. Johann Gottfried Holdenwang, Schuster & dessen Ehefrau Catharina Dorothea Reich alle dahier wohnhaft erworben auf grund eines durch H Wilhelm Grimmer, Notar in hiesiger Stadt den 17. März 1825 aufgenommenen Aktes. Genannter Friedrich Leonhard Raeis ist gestorben und hat als einzigen Erbe seinen mit genannter Wittwe erzeugten Sohn, den allenfalls genannten Friedrich Emil Raeis hinterlassen sowie dies erhellet aus dem Eingang des nach Ableben desselben durch Notar Zeyssolff dahier den 28. September 1858 errichteten Inventars
Genannter Gallus Holdenwang und seine erste Frau Anna Maria Gretschi haben das nämliche Immöbel von den Erben von Martin Germersdorf erkauft auf Grund eines von Friedensgericht des vierten Bezirks der Stadt Strassburg den 21. Pluviose Jahr VI der ersten frantzösischen Republick abgehaltenen Versteigerung. Dieser Erwerbspreis wurde zugleich ausbezahlt, sowie dies in einem durch den hiesigen Notar Stoeber den 26. Ventose & 29. Germinal Jahr sechs der ersten frantzösischen Republick aufgnommenen Akte bestätigt worden ist.
Lasten, Clauseln und Bedingungen (…) Kaufpreis 7200 Mark (…) Standesverhaeltnisse. Die Verkäufer erklären,, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschafft der Errungenschaft gemeinschaft laut ihrem vor Notar Ritleng zu Strassburg am 2. November 1859 abgeschlossenen Ehevertrage verheurathet sind.
acp 756 (3 Q 30 471) f° 22-v du 25.11.

Naissance des trois enfants naturels de Thérèse Hubrecht, native de Diebolsheim, dite couturière en 1879 et sans profession en 1887 et 1890.
Naissance, Strasbourg (n° 2874)
Strassburg am 30. September 1879. Vor dem Standesbeamten erschienen heute Bartholomeus Zorn, Hausverwalter der geburtshülflichen Klinik und von der Verwaltung derselben zur Anmeldung der Geburten ermächtiget, wohnhaft zu Strassburg Blauwolkengasse 21, und zeigte an, daß von der ledigen Therese Hubrecht, Näherin zu Diebolsheim (Unter Elsaß) geboren, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg Krutenau 24, in der geburtshülflichen Klinik am 24. September des Jahres 1879 Mittags um zwölf Uhr ein Klind männlichen Geschlechts geboren sei, welches die Vornamen Paul Alfred erhalten habe (i 164)

Naissance, Strasbourg (n° 2930)
Strassburg am 20. Oktober 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute die Hebamme Caroline Diebold, wohnhaft zu Strassburg Magdalenengasse 3, und zeigte an, daß von der ledigen Eigenthümerin Theresia Hubrecht geboren zu Diebolsheim (Unter Elsaß), katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg Krutenau 24, in deren Wohnung am 14. Oktober des Jahres 1887 vormittags um sechs Uhr ein Klind weiblichen Geschlechts geboren sei, welches die Vornamen, Luise Emilie Theresia erhalten habe
[in margine :] décédée à Saarbrücken (All.) le premier juin 1959. (i 249)

Naissance, Strasbourg (n° 3342)
Strassburg am 7. Dezember 1890. Vor dem Standesbeamten erschienen heute die Hebamme Caroline Diebold, wohnhaft zu Strassburg Magdalenengasse 3, und zeigte an, daß von der ledigen gewerblosen Theresia Hubrecht geboren zu Diebolsheim (Unter Elsaß), katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg Krutenau 24, in deren Wohnung am 8. Dezember des Jahres 1890 vormittags um sieben Uhr ein Klind weiblichen Geschlechts geboren sei, welches den Vornamen Martha erhalten habe
[in margine :] Mariée à Paris (18° arrond.) le 15 juillet 1922 avec Jacquemart Jean François
Décédée à la Tour (Hte Savoie) le 3 septembre 1985.

Thérèse Hubrecht s’engage à régler les capitaux garantis sur la maison à la veuve du médecin Emile Frédéric Ræis et à ses enfants

1891 (6.6.), M° Loew
Verpflichtung durch Therese Hubrecht, großjährig und gewerblos zu Straßburg zur Bezahlung der nachbezeichneten Beträge
1. Zufolg Kauffvertrags vor Notar Allonas vom 18. November 1884 kaufte Frl. Hubrecht von den Eheleuten Elias May, Möbelhändler & Rebekka Gerschel ein Wohnhaus Krautenaustrasse n° 24 und wurde angewiesen zur Entlastung des Verkäufers an Maria Magdalena Mathis Wittwe des verlebten Zeichners Friderich Leonhard Raeis zu Pfalzburg, früher zu Straßburg, und an Emil Friderich Raeis Dr. med. zu Pfalzburg zu bezahlen 3600. M (…)
2. Zufolge Privatakts vom 17. November 1884, registrirt deb 17. Februar 1885 Bd. 193 Bl. 51 F. 16 erkaufte Frl. Hubrecht von der vorgenannten Ehefrau Burckhard ein Wohnhaus Fischergasse N° 5 und wurde angewiesen zur Entlastung der Letzteren an vorgemelten Dr. Raeis, 800 M zu bezalen
Obegenannte Wittwe Raeis ist in zwischen gestorben und wird laut Offenkundigkeigsakt des amtierenden Notars vom 11. Juli 1876 von ihrem einzigen Sohn dem obgenannten Dr Raeis beerbt. Letzterer ist ebenfalls zu Pfalzburg am 23. April 1888 gestorben und wird zufolg Erbverzeichnis vor Notar Beck zu Pfalzburg vom 22. Mai 1888 von seinen 6 minderjährigen Kindern beerbt. Seiner Wittwe Emma Schwerdt hat derselbe in seinem Ehevertrag vor Notar Wantz in Niederrödern vom 9. Juni 1873 die lebenslänglich Nutznießung seines halben Nachlasss geschenckt. Frl. Hubrecht verpflichtet sich an Frau Wittwe Raeis und deren 6 Kinder die vorerwähnten Summen von 440 M (…)
acp 841 (3 Q 30 556) f° 94 n°1038 du 9.6.

Thérèse Hubrecht lègue ses biens à Paul Alfred, Lucie Thérèse Amélie et Marthe Hubrecht (ses enfants)
1892 (17.8.), M° Allonas
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments der am 13. August 1892 dahier verstorbenen ledigen Therese Hubrecht, lautend
Ich vermache mein gantzes Vermögen dem Baul Alfred Hubrecht, der Lucie Therese Amélie Hubrecht und der Martha Hubrecht & und setze dieselben p für ein drittel als meine Universallegataren ein. Strassburg den 11. Juni 1892. gez. Therese Hubrecht
sollte je ein Kind sterben so soll es in zwei theile getheilt werden
acp 861 (3 Q 30 576) f° 67-v n° 2493 du 25.8. (Tab. Bd. 77 Bl. 37 N° 93 – E.E. wurde dies jetzt nicht angegeben 27/6. 94)

Thérèse Hubrecht meurt dans sa maison à l’âge de 35 ans
Décès, Strasbourg (n° 1948)
Strassburg am 13. August 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Oktroieinnehmer Jakob Gramlich wohnhaft zu Straßburg Kuppelhof 17, und zeigte an, daß seine Schwägerin, die ledige gewerblose Theresia Hubrecht 35 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Diebolsheim, Unter Elsaß, Tochter der zu Diebolsheom verstorbenen Eheleute Hÿpolit Hubecht Tagner und Theresia Knobloch, zu Straßburg Krutenau 24 am 13. August des Jahres 1892 vormittags um drei Uhr verstorben sei (i 161)

Le directeur de l’Orphelinat vend au nom des enfants Hubrecht la maison au cordonnier Jean Feser et à sa femme Salomé Huser

1894 (7.4.), Strasbourg 9 (199). M° Jean Mossler n° 13.579
Verkauf – erschien Herr Eugen Kohler, Bureauvorsteher am Secretariate der Civilhospizien der Straßburg daselbst wohnend, handelnd in seiner Eigenschaft als bevollmächtigter von Herrn Dr Wilhelm Gunzert, Staatsrath in Straßburg wohnend in Gemäßheit einer Vollmacht (…) in dieser Vollmacht handelte Herr Gunzert als Vollmachtinhaber des Verwaltungsrathes des Strassburger Civil Hospizien und als solcher Vormund der in die Bezirks Findel und Waisenanstalt aufgenommenen Kinder und speziell von 1) Paul Alfred Hubrecht, geboren den 24. September 1879, 2) Lucia Hubrecht, geboren den 14. Oktober 1887, 3) und Martha Hubrecht geboren den 8. Dezember 1890, alle drei noch minderjährig zu Straßburg domizilirt (verkaufft)
dem hier anweseden dies annehmenden Herrn Johann Feser, Schuhmacher und dessen von ihme hierzu ermächtigten, verbeistandigten Ehefrau Salomea Huser, zusammen in Straßburg wohnende, solidarisch Erwerber
Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß und drei Stockwerken, mit Hof, Rechten und Zubehörungen gelegenen in der Stadt Strassburg in der Krutenau Strasse und daselbst mit N° 24 einerseits Schwartz andererseits Lucht hinten Wittwe Hampé, catastriert Section O N° 572.p, 572.p, 572.p, 572.p für eine Fläche von 35 Quadratmeter. (…)
Eigenthumsnachweis. Das soebenverkaufte Anwesen gehört der Kindern Hubrecht Gemeinschafft zu je einem drittel in der Eigenschaft als Universallegataren am Nachlasse der Frl. Theresia Hubrecht, Rentnerin in Straßburg wohnhaft gewesen und verstorben am 13. August 1892 in Gemäßheit eines eigenhändigen Testaments derselben datirt Straßburg vom 11. Juni 1890 hinterlegt nach Erfüllung der gesetzlichen Formalitäten in das * des Notars Allonas dahier vom 17. August 1892 und registrirt zu Straßburg, Band 861 Blatt 67 N° 2493 den 25. August 1891.
Genannte Kinder Hubrecht sind zwar nach den Erklärungen des herrn Kohler nachricht indem Besitz des Nachlasses der Frl. Hubrecht eingewiesen, es soll aber das Erforderliche veranlaßt werden um die Besitzanweisung zu erwirken. Soebengenannte Fr. Theresia Hubrecht erwarb dasselbe Anwesen selbst von Elias May Möbelhändler und dessen Ehefrau Rebeca genannt Rosalie Gerschel zusammen in Straßburg wohnend in Gemäßheit eines Kaufcontractes errichtet vor dem benannten Notar Allonas am 18. November 1884 überschrieben in hiesigen Hypothekenamte den 8. Dezember nachher Band 2192 N° 8 und amtlich eingeschrieben Band 1549 N° 316. Der Kaufpreis betrug 7200 Mark (…)
Herr May hat dasselbe Hausanwesen für Rechnung der Errungenschafts gütergemeinschaft welche zwischen ihm und seiner Ehefrau bestanden hatte, erworben von Ludwig Burckhardt Eigenthümer zu Straßburg Ehemann der bei ihm domizilirten und nach Amerika ausgewanderten Cesarine Jacquin, laut Urkunde errichtet durch den mehrmals benannten Notar Allonas am 23. Dezember 1880, überschrieben im hiesigen Hypothekenamte am 13. Januar 1881 Band 1907 N° 72 und amtlich eingeschrieben Band 1430 N° 224. In dem soeben relatirten Kauffakte vom 22. Dezember 1880 wurden folgende Erklärungen bezüglich der früheren Eigenthumsherkunft des in Frage stehenden Anwesens gemacht. Herr Burckhardt erklärt, er habe dasselbe für Rechnung der zwischen ihm und seiner genannten Ehefrau bestehenden Gütergemeinschaft erworben von 1) Maria Magdalena Mathys, ohne Gewerb zu Strassburg wohnend, Wittwe des dahier verlebten Zeichners Friedrich Emil Raeis, sie zu Phalsburg wohnend und 2) den Herrn Friedrich Emil Raeis Doktor der Medicin allda wohnend, auf Grund eines durch Notar Loew in Straßburg am 19. April 1872 aufgenommenen Aktes überschrieben im hiesigen Hypothekenamte am 22. Mai darauf Band 1344 N° 78 und amtlich eingeschrieben Band 1103 N° 7. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 7200 Mark (…)
Dasselbe Immöbel gehörte zur Gütergemeinschaft der Eheleute Raeis-Mathis und wurde durch denselben erworben von 1° Gallus Holdenwang, Schuster und dessen Ehefrau Magdalena Hügel und 2° Herrn Johann Gottfried Holdenwang, Schuster und dessen Ehefrau Catharina Dorothea Reich alle dahier wohnend auf grund eines Aktes aufgenommenen von dem damaligen Notar Grimmer in Straßburg am 17. März 1825. Genannter Friedrich Leonhard Raeis ist gestorben und hat als einzigen Erbe seinen mit genannter Wittwe erzeugten Sohn, den oben genannten Friedrich Emil Raeis hinterlassen und seine ebenfalls benannten Wittwe als mit ihme in Güther gemein gewesen hinterlaßen bestätigt im Inventar errichtet durch Notar Zeyssolff damals in hiesiger Stadt am 28. September 1858. (…) Kaufpreis 7200 Mark (unterzeichnet) Jean Feser, Salomé Feser
acp 885 (3 Q 30 600) f° 91-v n° 325 du 17.4. Besitz, Genuß und Lasten am 250 vor. Mts ab.

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Marie Laure Altherr

1894 (7.4.), M° Mossler
Obligation – Eheleute Johann Feser, Schuhmacher & Salome Huser hier
zu Gunsten von Maria Laura Altherr, Retnerin alhier über ein baares Darlehen von 4200 Mark
Es wird das laut nachegistrirter Urkunde erworbene Haus verpfändet, Krutenaustrasse n° 24
acp 885 (3 Q 30 600) f° 91-v n° 318 du 17.4.

Originaire de Falkau près de Fribourg-en-Brigsau, le cordonnier catholique Jean Feser épouse en 1882 Marie Salomé Huser, luthérienne originaire de Pfaffenhoffen
Mariage, Strasbourg (n° 607)
Strassburg am 24. October 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schuhmacher Johann Evangelist Feser, katholischer Religion, geboren den 16. December des Jahres 1855 zu Falkau (Baden) wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des Uhrenmachers Joseph Feser, zur Zeit ohne bekannten Wohn und Aufenthaltsort und der Maria Morath wohnhaft zu Falkau
2. die Näherin Maria Salome Huser, evangelischer Religion, geboren den 28. October des Jahres 1858 zu Pfaffenhofen (Unter Elsass) wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des verstorbenen Schmiedes Jacob Huser zuletzt wohnhaft zu Pfaffenhofen und der Maria Lickel, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg (i 137

Jean Feser et Salomé Huser vendent la maison à Jacques Dambach et à Marie Catherine Litt

1895 (23.11.), M° Mossler
Verkauf – Johann Feser, Schuhmacher und dessen Ehefrau Salome Huser, hier
an Jakob Dambach, Rentner, und dessen Ehefrau Maria Catharina Litt hier
Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß und drei Stockwerken, Mansarden, Hof und Zubehör, Krutenaustrasse N° 24, section O n° 572.p, 572.p, 572.p mit 35 a. Fläche. Besitz, Genuß und Steuren sofort. Preis 14.000 M. hievon sind bar bezahlt 6100 M.
acp 905 (3 Q 30 620) f° 54 n° 3616 du 2.12

Les acquéreurs louent le même jour la maison aux vendeurs

1895 (23.11.), M° Mossler
Verpachtung – Jakob Dambach, Rentner, und dessen Ehefrau Maria Catharina Litt hier
an Eheleute Johann Feser, Schuhmacher und dessen Ehefrau Salome Huser, hier
Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß und drei Stockwerken, Mansarden, Hof und Zubehör, in der Krutenau N° 24 – jährlicher Miethzins 700 Mark
acp 905 (3 Q 30 620) f° 54-v n° 3619 du 2.12.

Originaire de Lingolsheim, Jacques Dambach épouse en 1866 la couturière Emilie Caroline Gross
Mariage, Strasbourg (n° 457)
Du 7° jour du mois d’avril l’an 1866 à neuf heures du matin. Acte de mariage de Jacques Dambach majeur d’ans né en légitime mariage le 2 décembre 1835 à Lingolsheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, menuisier fils de feu Michel Dambach aubergiste décédé à Lingolsheim le 2 août 1841 et de Caroline Heitz sans profession domiciliée à Lingolsheim ci présente et consentante
et d’Emilie Caroline Gross, mineure d’ans, née en légitime mariage le 22 juin 1845 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, couturière, fille de Jean Georges Gross, serrurier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de Marguerite Louise Federhenn décédée à Strasbourg le 28 mai 1848 (…) il a pas été fait de contrat de mariage (i 63)

Caroline Gross institue son mari légataire universel de ses biens
1879, M° Koerttge
24. Mai 1872 – Schenkung durch Caroline Grosz, Ehefrau von Jacob Dambach, Schreiner in Straßburg wohnhaft, ihrem genannten Ehegatten ihrer ganzen Nachlass geschenkt hat. Sind Kinder vorhanden so wird die Schenkung auf den verfügbaren Theil in Genuß reduzirt. † 22 April 1879
acp 690 (3 Q 30 405) f° 4-v n° 328 du 24.4. (Sterb. Bd. 65 Bl. 52 N° 33, Stf. K. 129 n° 91)

Jacques Dambach se remarie en 1886 avec Eugénie Scheuter, fille de l’imprimeur Frédéric Scheuter
1886 (17.3.), Strasbourg 10 (214), M° Frédéric Pierron n° 7624
Ehevertrag 17. März 1886 – Sind erschienen Herr Jacob Dambach, Eigenthümer gebürtig aus Lingolsheim, Wittwer erster Ehe ohne Kinder von Frau Emilie Caroline Gross, handelnd als Bräutigam einerseits
Und Fräulein Eugenie Scheuter, ohne Gewerbe, volljährige Tochter der zu Strassburg verstorbenen Eheleute Herrn Friderich Scheuter, bei Lebzeiten Buchdrucker und Frau Christina Wolff, handelnd als Braut anderseits, beide in Strassburg wohnhaft
acp 775 (3 Q 30 490) f° 32 n° 4594 du 22.3. Annahme des allgemeinen Gütergemeinschaft. Die Gemeinschaft soll dem Ueberlebenden zu vollem Eigenthum zufallen

Jacques Dambach est légataire universel d’Eugénie Scheuter d’après leur contrat de mariage
1887 (11.5.), M° Pierron
Offenkunde über das Ableben der zu Straßburg wohnhaft gewesenen & daselbst am 18. April 1887 gestorbenen Eugenie Scheuter, Ehefrau von Jacob Dambach, Eigenthümer hier, welchem letztern deren ganzen Nachlass zufällt, gemäß Art. 2. ihres Ehevertrages vor dem handelnden Notar vom 17. März 1886.
acp 788 (3 Q 30 503) f° 48 n° 574 du 12.5.

Jacques Dambach épouse en troisièmes noces Marie Catherine Litt, originaire de Romanswiller, veuve de Jacques Klein
1892 (5.7.), M° Lauterbach
Ehevertrag – Jakob Dambach, Rentner hier, Wittwer ohne Kinder von Eugenie Scheiter und Karoline Gross
und Maria Katharina Litt, gewerblos zu Romanweiler, Wittwe ohne Kinder von Jakob Klein
acp 860 (3 Q 30 575) f° 63 n° 1880 du 13.7. Errungenschaft gemeinschaft, welche bei Nichtvorhandensein von Kindern dem Ueberlebenden zu vollem Eigenthum ganz zufallen soll, andernfalls jedoch nur zu ¾ in Volleigenthum und ¼ in Nutznießung
Kleider bleiben persönlich
Gegenwärtige Schenkung auf Todesfall zu Gunsten des Ueberlebenden (:der lebenslänglichen Nutznießung des Nachlasses:) des vollen Eigenthums des Nachlasses des Zuerststerbenden event. herabzusetzten auf ¼ in Eigenthum & ¼ in Nutznießung

Marie Catherine Litt est originaire de Gimbrett
Mariage, Strasbourg (n° 545) Strassburg am 28. Juni 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Rentner Jacob Dambach, Wittwer in 2.ter Ehe von Eugenie Schleuter gestorben den 18.ten April 1887. evangelischer Religion, geboren den 2. December des Jahres 1835 zu Lingolsheim (Unter-Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Sohn der verstorbenen Eheleuge Michael Dambach, Wirth, und Caroline Heitz, zuletzt wohnhaft zu Lingolsheim,
2. die Rentnerin Marie Catharina Litt, Wittwe des Tagners Jacob Klein, gestorben zu Romansweiler den 16.ten Juni 1891, evangelischer Religion, geboren den 14. August des Jahres 1859 zu Gimbrett (Unter-Elsass) wohnhaft zu Romansweiler (Unter-Elsass), eheliche Tochter des verstorbenen Schreiners Andreas Litt, wohnhaft zuletzt zu Gimbrett und der Margaretha Hilbold, ohne Beruf wohnhaft zu Gimbrett (i 86)

Jacques Dambach et Catherine Litt vendent la maison au cordonnier Jacques Schæfer et à sa femme Catherine Schrotz moyennant 14 000 marks

1900 (5.1.), M° Mossler
N° 19.407. Verkauf – Jakob Dambach, Rentner und Maria Catharina Litt, Eheleuthe hier
Jakob Schaefer, Schuhmacher und Catharina Schrotz Eheleuthe allda
Stadt Strassburg. Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken, Mansarden, Hof und Zubehör, Krutenaustraße N° 24, O 572.p, 572.p, 574, O a 35 – Kauf, Mossler vom 23. Novembris 1895. Genuß und Steuer von 1. April 1900 ab. Preis 14.000 Mark, Zahlbar in gleichen Terminen um jährlich 500 Mark. Die Auflassung wird bewilligt und beantragt
acp 965 (3 Q 30 680. I) f° 55-v n° 3659 du 15.1.

Originaire d’Unterreichenbach en Wurtemberg (près de Calw), le cordonnier Jean Jacques Schæfer épouse en 1892 Reine Catherine Schrotz, native de Schönau près de Heidelberg
Mariage, Strasbourg (n° 854)
Strassburg am 8. November 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schuhmacher Johann Jacob Schäfer, evangelischer Religion, geboren den 15. November des Jahres 1864 zu Unter-Reichenbach (Württemberg), wohnhaft zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Michael Schäfer, Flößer, und Regina Katharina Stahl, zuletzt wohnhaft zu Unter-Reichenbach
2. due gewerblose Katharina Schrotz, katholischer Religion geboren den 19. December des Jahres 1868 zu Schönau bei Heidelberg (Baden), wohnhaft zu Schönau, Tochter der verstorbenen Eheleute Michael Schrotz, Schmied, und Regina Weber, zuletzt wohnhaft zu Schönau (i 20)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.