21, rue d’Or


Rue d’Or n° 21 – IX 2 (Blondel), P 1393 puis section 15 parcelle 59 (cadastre)

Maître d’ouvrage Jean Paul Grucker, maréchal ferrant (1769), maître d’œuvre sans doute Georges Christophe Freysinger


Façade à avant-corps central (1769). Le rez-de-chaussée a été refait par la suite
Pignon sud le long de la ruelle de la Farine (avril et octobre 2014)
Angle sud-ouest de la cour, l’arcade fait pendant à la porte cochère au milieu de la façade d’origine (septembre 2017)

La maison fait l’angle de la ruelle qui longe le grenier de l’Œuvre Notre Dame (Grüneck, au XIX° siècle bibliothèque puis archives). Elle a plusieurs encorbellements d’après le Livre des communaux de 1587. Elle appartient alors à la veuve du tonnelier Adam Müller et restera jusqu’en 1754 propriété de ses ayants-droit, tous maréchaux ferrants : Gaspard Graser père et fils, Frédéric Rebmann père et fils et enfin Jean Paul Grucker qui reconstruira la façade. La maison a un étage vers la rue d’Or d’après le plan-relief de 1727. L’atelier de maréchal occupe le rez-de-chaussée. Les préposés approuvent en 1769 le plan que Samuel Werner établit pour la rue d’Or d’après Blondel et autorisent Jean Paul Grucker à avancer sa maison en acquérant un terrain communal. Le maître maçon Georges Christophe Freisinger expose quelques mois plus tard aux préposés aux feux les transformations apportées aux cheminées dans les différents bâtiments. Les étages de la nouvelle façade sont séparés par des bandeaux. La fenêtre au premier étage de l’avant-corps est surmontée d’une moulure arquée. L’encadrement des deux fenêtres latérales au premier étage et la fenêtre centrale au deuxième étage comportent des moulures contrairement aux deux fenêtres latérales au deuxième étage.
Les préposés autorisent en 1780 le maître maçon Jean Régnard Pfauth au nom du maréchal Jean Paul Grucker à ouvrir une porte dans son pignon ruelle de la Farine à condition de la murer si le voisin souhaitait avancer sa maison. Le charron Jean Jacques Schnitzler acquiert en 1795 la maison qui revient en 1839 à son fils serrurier Jean Louis Schnitzler.


Au premier plan, les bâtiments du Grüneck. La maison se trouve sur la gauche, au coin de la ruelle
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 250 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (t’’) et (v’’) : porte d’entrée à droite, porte cochère au milieu puis une fenêtre, trois fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes régulièrement distribuées. Les repères (s’-t’’) marquent l’avance du côté nord. Le pignon (v », y », x ») vers la ruelle comprend une porte (celle ouverte en 1780), une fenêtre au rez-de-chaussée et trois fenêtres à chacun des deux étages. La cour A montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (5-6), le côté nord (2-3-4-5) de la cour en partie occupé par un édicule, enfin le côté sud (6-7-1).
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 21.


Cour A – Angle sud-est de la cour (septembre 2017)
Le bâtiment pendant les travaux (1987, dossier de la Police du Bâtiment)

Le propriétaire fait percer en 1870 une fenêtre au rez-de-chaussée dans la ruelle de la Farine, en 1913 une fenêtre à fermer d’une vitre dormante dans le bâtiment arrière qui donne sur la propriété communale. Le service municipal d’architecture et l’architecte des Bâtiments de France estiment en 1980 qu’il faut conserver le bâtiment frappé d’alignement. L’autorisation accordée par l’architecte des Bâtiments de France en 1984 est complétée en 1986 par un permis de construire quand un des copropriétaires fait aménager des combles sous la direction de l’architecte Charles Englender et fermer l’escalier en bois qui donne accès aux étages. Les photographies prises pendant les travaux montrent que le remplissage des murs de façade est fait de pierres alors que le pignon est en briques.



Elévations de la cour – Façade et pignon
(1986, dossier de la Police du Bâtiment)

septembre 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1612 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Gaspard Graser, maréchal ferrant, et (1620) Ursule Müller puis (1622) Marguerite Schilling – luthériens
Jean Schmidt, maréchal ferrant, et (1635) Marguerite Schilling veuve de Gaspard Graser puis (1641) Marguerite Warmuth – luthériens
1650 h Gaspard Graser, maréchal ferrant, et (1650) Marguerite Krug puis (1680) Anne Barbe Schertzer – luthériens
1684 h Frédéric Reebmann, maréchal ferrant, et (1685) Anne Barbe Schertzer veuve de Gaspard Graser – luthériens
Léonard Schlauchmann, maréchal ferrant, et (1698) Anne Barbe Schertzer veuve de Gaspard Graser et de Frédéric Reebmann – luthériens
1717 h Frédéric Reebmann, maréchal ferrant, et (1715) Susanne Marie Kirschlæger – luthériens
1754 v Jean Georges Vix, maréchal ferrant, et (1754) Catherine Salomé Hetzel, remariée (1758) au tonnelier Jean Joachim Gerold – luthériens
1758 v Jean Paul Grucker, maréchal ferrant, et (1758) Anne Ursule Wild – luthériens
1795 v Jean Jacques Schnitzler, charron, et (1784) Marie Madeleine Rœsch – luthériens
1839 h Louis Schnitzler, serrurier, et (1822) Sophie Elisabeth Nitschel puis (1833) Anne Barbe Walter
1864 v Henri Noll, maréchal ferrant, et (1854) Albertine Arbogast
1871 v Amélie Müntz et Sophie Müntz
François Joseph Scherrer, peintre en bâtiment, et (1872) Sophie Muntz
1907 v Louis Reiner
h François Joseph Reiner

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1754, 600 livres en 1758

(1765, Liste Blondel) IX 2, Fréderic Rebmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Paul Grucker, 3 toises, 5 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1393, Schnitzler, Jean Jacques, ex charron – maison, sol, cour – 1,44 are / Schnitzler Louis

Locations

1689, Jean Jacques Metzger, maréchal ferrant, et (1670) Marie Elisabeth Graser
1786, Jean Frédéric Jost, maréchal ferrant
1807, Jean Georges Wurtz, cordonnier, et Marie Elisabeth Huffschmidt
1841, Joseph Houssemann, quincaillier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (f° 363-v)
La maison qui appartient à la veuve du tonnelier Adam Müller a du côté du grenier de l’Œuvre Notre Dame un encorbellement de 20 pieds en saillie de trois pieds, à l’avant un encorbellement de 27 pieds d’un côté en saillie de deux pieds de l’autre d’un pied. Il y a en outre un petit encorbellement de 7 pieds ½ d’un côté en saillie d’un pied de l’autre d’un pied ½, un auvent de 33 pieds entoure la maison en dépassant de 9 pouces.

Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.
Adam Müller des Küffers Wittwin hatt an Ihrem Hauß vff der seiten gegen Vnser Frawen Speicher ein Vsstoß xx schu lang, iiij schu herauß, Vornen an dem selben Hauß aber ein Vsstoß xxvij schu lang, am Eckh ij schu, Vnd am Andern Ortt j schu Herauß, Weÿter hatt sie auch an disem Hauß noch ein Kleines ausstößlin vii= schu lang, An eim ortt ein schu vnd am Andern i= schu herauß, Vornen an disem Hauß Zeücht auch Rings herumb ein Wettertach xxxiiii= schu lang vj schu ix Zoll herauß, Bessert & xviij ß d.
Und hatt auch vnder dem gemeldten Wettertach ettliche Vaß vnd Taugen vff der Allmendt stehen, bessert & ij ß d.

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1769, Préposés aux affaires foncières (VII 1413)
L’inspecteur Werner présente un plan de la rue d’Or d’après lequel le maréchal ferrant Jean Paul Krucker pourra avancer son bâtiment jusqu’à la ligne (a-e) en acquérant le terrain de 12 toises à raison 12 florins la toise carrée.

(f° 66-v) Dienstags den 14.ten Martÿ 1769. Joh. Paul Krucker, v. dem plan f. 71-b
H. Werner der baw: Inspector producirt beÿliegenden plan vom Goldtgießen, nach welchem Johann Paul Krucker dem huffschmidt Könnte erlaubt werden sein hauß am Meelgäßel nach der mit a e bezeichneten flucht Vorzubauen, solches Mghh. decision anheimstellendt, Erkannt, wird das Allignement a e guth geheißen, und Krucker erlaubt herauß zu fahren, dem H. Bau Insp.ri aber auffgetragen die flucht auß zustecken und das einzuziehende Allmendt außzumeßen, damit der dafür zu bezahlenden preiß regulirt werden könne.

(f° 71-v) Dienstags den 2. Maÿ 1769 – Joh. Paul Krucker, dt. d. 4. 8.br: 1769. 144 fl
Derselbe [H Werner d. baw: Inspector] producirt ferner einen abriß über den Platz Allmend im Goldgießen, welcher Johann Paul Krucker den Schmidt zu seinem hauß einzuziehen und vergönnet worden, vermög deßen solcher 12 quadrat Claffter in sich haltet und à 12 fl. zu bezahlen hatt 144 fl.

1780, Préposés aux affaires foncières (VII 1419)
Le maître maçon Jean Régnard Pfauth est autorisé au nom du maréchal Jean Paul Krucker à ouvrir une porte dans son pignon ruelle de la Farine à condition de la murer si le voisin souhaitait avancer sa maison.

(f° 122-v) Dienstags den 22. Augusti 1781. Joh. Paul Krucker, Huefschmidt
Idem [Johann Reinhard Pfauth Maurer] nôe. Joh. Paul Krucker, des Huefschmidts bittet zu erlauben an deßen im Gold Giesen gelegenen Behausung am Giebel eine Thür ausbrechen zu laßen.
Erkannt : Mit dem Anhang Willfahrt, daß im Fall sein Nachbar bauen und mit seiner Behausung dem Alignement nach gleich des Imploranten behausung heraus fahren wird, diese Thür sogleich wieder zugemaurt werden, und er deßelben sich niemalen ein Recht darzu an zu masen haben solle, dahero dem Nachbar ein Extract von dieser Erkanntnus zu zu stellen

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Freisinger expose aux préposés aux feux les transformations que va faire le maréchal Jean Paul Krucker dans sa maison rue d’Or : établir vers la rue un atelier de maréchal pourvu d’une forge et d’un âtre, dans le bâtiment à gauche au fond de la cour un chaudron à lessive, dans le bâtiment arrière un poêle au rez-de-chaussée et à chacun des deux étages, dans le bâtiment avant un poêle et une cheminée à chacun des deux étages, une cuisine à l’arrière.

1769, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
(p. 200) Sambstags den 25.ten Novembris 1769. – Mr Johann Paul Krucker der Hufschmid will in seiner im Goldgießen gelegenen behaußung eine schmid werkstatt gegen dem gießen, mit einer Eß und Camin schoß wohl versehen setzen, das rohr am steineren gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Hinden im hoff lincker hand einen Bauchkeßel mit einem Camin schoß wohl versehen setzen, das Caminrohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner im hindern gebäu in der rez de chaussée, ersten und Zweÿten stock, jedes mal eine stube gegen dem hof, darneben eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt.
Im ersten und Zweÿten stock im Vordern gebäu jedes mal eine stube gegen der gaß, hinden daran eine Kuchen mit herd und Caminschoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner im ersten und Zweÿten stock nemlichen gebäudes lincker hand jedes mal ein Vor Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkanndt, willfahrt.
[unterzeichnet] Mr Freÿßinger

Description de la maison

  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier de maréchal à côté de l’entrée, aux étages deux poêles, trois chambres et une cuisine, le comble est couvert partie de tuiles plates partie de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour, le puits et autres appartenances à la somme de 900 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue d’Or

nouveau N° / ancien N° : 21 / 11
Schnitzler
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 440 case 3

Schnitzler Louis

P 1393, maison bât. et cour, sol, rue d’or 11
Contenance : 1,44
Revenu total : 126,75 (126 et 0,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 809 case 1

Schnitzler Louis
1865 Noll, Henri
1872 Muntz Amélie et Sophie rentières à Strasbourg
1874 Scherrer Joseph, Maler und Müntz Amalie Goldgießen 21
1891/92 Scherrer Joseph, Eigentümer

P 1393, maison, sol, Rue d’or 21
Contenance : 1,44
Revenu total : 126,75 (126 et 0,75)
Folio de provenance : (440)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

Cadastre allemand, registre 29 p. 175 case 7

Parcelle, section 15, n° 59 – autrefois P 1393
Canton : Goldgießen Hs N° 21 – Rue d’Or
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,38
Revenu : 1400 – 1900
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 1065
Scherrer Joseph
gelöscht 1908

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1502
Reiner Louis und Ehefr
Reiner François Joseph, sa veuve
(3315)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 294 Quartier des Charrons dt. Goldgiessen (p. 460)

Pr. Grucker, Jean Paul – Maréchaux
Loc. Widt, Jean Henri – Maréchaux
Loc. Jost, Jean Frédéric – Maréchaux
Loc. Reedlich, Victoire veuve – Manante
Loc. Besserer, Martin – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Goldgiessen (Seite 50)

(Haus Nr.) 21
Heintz, Friseurgeschäft. 0
Mary, Spezereihändl. 0
Mary, Kaufmann. 1
Bühler, Bankbeamter. 2
Berndt, Sprachlehrerin. 3
Moebs, Tagnerin. H 1
Wolf, Waschschiffbesitzer. H 2
Kraenker, Wäscherin. H 3
Wachter, Wäscherin. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 886 W 86)

21, rue d’Or (1870-1987)

Le propriétaire fait percer en 1870 une fenêtre au rez-de-chaussée dans la ruelle de la Farine. Le pavé inégal dans la cour empêche les eaux usées de s’écouler dans la rue en 1884. Joseph Reiner est autorisé en 1913 à ouvrir une fenêtre à fermer d’une vitre dormante dans le bâtiment arrière qui donne sur la propriété communale. Le service municipal d’architecture et l’architecte des Bâtiments de France estiment en 1980 qu’il faut conserver le bâtiment frappé d’alignement. Le propriétaire refuse de faire toute réparation tant que l’alignement ne sera pas modifié (1984). L’autorisation accordée par l’architecte des Bâtiments de France en 1984 est complétée en 1986 par un permis de construire plus puisque l’aspect est modifié, tant sur rue que sur cour, quand un des copropriétaires fait aménager des combles sous la direction de l’architecte Charles Englender et fermer l’escalier en bois qui donne accès aux étages. Les travaux sont terminés en octobre 1987
Commerces au rez-de-chaussée : épicier Emile Mary (1904), coiffeur Guillaume Heintz (1905), marchand de cycles Eugène Diebold (1911), pompes funèbres (1920), marchand de meubles Jacques Silberstein (1924), tailleur Joseph Parra (1968), antiquaire Schmidt (1986).

Sommaire
  • 1870 – L’entrepreneur Reiner (15, rue de l’Ail) demande au nom de la demoiselle Muntz, propriétaire, l’autorisation de percer une fenêtre au rez-de-chaussée dans la ruelle de la Farine. Rapport de l’ingénieur municipal (la maison est en retrait de l’alignement, la largeur de la ruelle est inférieure à six mètres)
  • 1897 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Mommaire soit autorisé au nom du locataire Creutzberg à faire une prise de 5 mètres pour environ un bec.
  • 1884 – Le maire écrit au commissaire de police que le pavé inégal dans la cour empêche les eaux usées de s’écouler dans la rue
  • 1889 – Le maire enjoint le propriétaire F. Scherrer de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889
    188 (juillet) – L’entrepreneur P. Dürr (17, rue de Bouchers) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1889
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence à une fenêtre et des soupiraux, ainsi qu’une trappe
    1896 (décembre) – Les volets sont modifiés, pas la trappe
    1898 – Rappel – Travaux terminés, janvier 1899
  • 1900 – L’entrepreneur G. Mayer demande au nom du propriétaire J. Scherrer l’autorisation de ravaler la façade au 1, ruelle de la Farine – Autorisation – Travaux terminés, juin
  • 1910 – Dossier sur l’alignement à modifier. propriétaire, Joseph Reiner, ferblantier demeurant 13, rue d’Or. Les pièces sont versées aux dossiers concernant les rues – Plan de l’alignement légal
  • 1913 – Le maire est informé par une lettre que Joseph Reiner a encore un volet qui s’ouvre vers la voie publique ruelle de la Farine – Courrier au propriétaire – Travaux terminés, mai 1913
  • 1904 – Emile Mary (épicerie, vins et spiritueux) demande l’autorisation de poser une machine automatique au commissaire de police qui transmet au maire. – Croquis. La machine fait une saillie de 25 centimètres sur le côté du bâtiment vers le n° 19 – Autorisation – La machine est posée, octobre
  • 1905 – Le maire enjoint le propriétaire François Scherrer (demeurant 45-g route de Colmar au Neudorf) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1905
  • 1905 – Le coiffeur Guillaume Heintz demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. Croquis, le magasin de gauche est occupé par Mary, celui de droite par le pétitionnaire. L’autorisation est refusée parce que les dimensions et la hauteur contreviennent au règlement. Le pétitionnaire réitère sa demande en arguant que son enseigne serait la plus belle enseigne de coiffeur à Strasbourg et cite d’autres exemples qui contreviennent au règlement. Il ne conserve que l’enseigne à l’angle de la ruelle – Autorisation
  • 1907 – Le maire enjoint le propriétaire François Scherrer (demeurant 45-g route de Colmar au Neudorf) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare qu’il a vendu la maison au ferblantier Joseph Reiner et qu’il a fait ravaler la façade deux ans plus tôt par Joseph Gallus – Le maire écrit à Joseph Reiner que les premier et deuxième étage sont sales – Dossier classé
    1909 – Nouvelle injonction – Le propriétaire propose d’attendre que les canalisations soient posées et demande un délai jusqu’en 1914. – Le maire accorde un délai
  • 1911 – Le marchand de cycles Eugène Diebold pose une enseigne perpendiculaire en saillie de 65 centimètres sans autorisation au 21, rue d’Or – Demande (libellé Kaiserl. Automobilklub Stellinstallation, réglage du club automobile impérial) – Autorisation accordée au 22, rue d’Or, la saillie ne devra pas dépasser 45 centimètres puisque le trottoir a 95 centimètres de large
    Eugène Diebold (agréé pour donner des cours aux conducteurs d’automobile) demande à conserver son enseigne en arguant qu’il a obtenu de la Ville l’autorisation d’installer un support pour cycles de 4 mètres sur trois sur la voie publique – Le maire accorde l’autorisation à titre révocable
  • 1913 – Un sieur Finck informe la Police du Bâtiment que les poutres sont abîmées par l’humidité et les champignons – Après visite des lieux, la Police du Bâtiment établit que les poutres dans la cave du bâtiment arrière ne sont pas endommagées mais que le propriétaire devra poser une rambarde autour de l’escalier du grenier et y faire d’autres aménagements – Travaux terminés, mars 1913
  • 1912 – Le maire enjoint le propriétaire Joseph Reiner (demeurant 13, rue d’Or) de faire ravaler la façade – En marge, le ravalement n’est pas nécessaire
  • 1913 – Joseph Reiner demande l’autorisation de faire une ouverture de 50 sur 60 centimètres à fermer d’une vitre dormante dans le bâtiment arrière. La Police du Bâtiment constate qu’il y a trois ouvertures à verre dormant au rez-de-chaussée et au premier étage donnant vers la propriété de la Ville, en l’occurrence le 3, ruelle de la Farine qui a été démoli. L’autorisation peut être accordée à titre révocable jusqu’à ce que la Ville construise sur le terrain.
  • 1914 – Th. Ruthart demande l’autorisation d’apposer une inscription sur la devanture et le pignon – Les inscriptions sont faites
    1914 – Auguste Herrmann demande sur papier à lettre illustré l’autorisation de poser une enseigne pour son atelier de réparation sis 4, rue des Bouchers. L’autorisation est refusée puisque l’atelier ne se trouve pas dans la maison. L’inscription se trouve à l’endroit de celle d’Auguste Diebold qui a quitté son magasin – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police – L’inscription est en partie supprimée, janvier 1916.
    1920 – MM. Reiner et Vonthron demandent l’autorisation de poser une inscription. La Police du Bâtiment refuse parce que le bénéficiaire n’habite pas sur place – Joseph Reiner déclare qu’il est propriétaire de la maison et qu’il y transportera son commerce quand le n° 13 où il se trouve sera démoli. Il est autorisé à conserver l’inscription. Maquette (Electricité Force motrice Sonneries – Installations hygiéniques – Ferblanterie pour bâtiments – Reiner & Vonthron)
  • 1920 – Georges Isler, directeur de la succursale de la société anonyme Pompes funèbres générales, demande l’autorisation de poser une enseigne en bois au-dessus de la porte et plusieurs inscriptions ruelle de la Farine. L’enseigne et l’inscription du haut (raison sociale) sont autorisées – Georges Isler présente une nouvelle maquette pour l’inscription dans la ruelle. Accord à condition que les lettres ne dépassent pas 37 centimètres
    Le peintre en bâtiment Jean Strub (23, rue des Capucins à Kœnigshoffen) demande l’autorisation de peindre des inscriptions – Maquette – A la demande de l’administration de l’hôpital, l’inscription Bureau de l’hôpital devient Bureau pour l’hôpital. Le maire demande que cette nouvelle inscription soit supprimée pour éviter toute confusion. Georges Isler proteste, toutes les autorisations ayant été délivrées. Le dossier est classé après plusieurs échanges de courrier.
    1920 – Le marchand de cycles Sontag (4, rue des Bouchers) demande l’autorisation de poser une enseigne sur le mur vers la ruelle de la Farine. Le maire demande au pétitionnaire de supprimer l’inscription qu’il a déjà fait faire.
    1921 – Georges Isler demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (Couronnes mortuaires) – Autorisation – L’enseigne est posée – Croquis
  • 1924 – Le marchand de meubles Jacques Silberstein demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Accord
  • 1934 – Le tailleur J. Breitbarth demande l’autorisation de poser une enseigne plate Tailleur parisien en français au-dessus de son magasin – Autorisation
  • 1936 – Le locataire Feist est incommodé par la fumée. Le propriétaire déclare que le locataire ne paie plus son loyer et que l’affaire est portée devant le tribunal
  • 1942 – La Police du Bâtiment demande à la veuve Reiner (demeurant 9, rue des Mineurs) de supprimer les enseignes en français. La facture du peintre en bâtiment Mathieu devra être adressée au propriétaire
    1942 – Le locataire Aloïse Untrau signale qu’un volet menace de tomber sur la voie publique. Le gérant Joseph Bintz déclare que le locataire ne s’est pas adressé au propriétaire et qu’il ne paie pas son loyer bien qu’il ait été recommandé par le Bureau de bienfaisance – Travaux terminés, novembre 1942
  • 1968 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur Joseph Parra a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Etienne Vonthron (9, rue des Mineurs) autorise son locataire à poser une enseigne – Demande, maquette (texte Mon tailleur, Dames, Hommes) – Autorisation
    1967 – La société Teintvit (23, rue du Moulin à Bischwiller) déclare plusieurs enseignes lumineuses, dont celle posée chez le tailleur Parra – Autorisation – L’enseigne est déposée en juillet 1969 selon le courrier envoyé en août 1970.
    1972 – Joseph Parra demande l’autorisation de poser une enseigne en trois parties au-dessus des devantures et de la porte (Hommes, Mon tailleur, Dames), la partie centrale étant lumineuse. – Photographie – Il déclare que le bâtiment sera démoli à courte échéance. – Autorisation valable jusqu’au 31 décembre 1974. – L’enseigne est enlevée, mai 1975
  • 1979 – Rapport sur le bâtiment qui est mal entretenu. Le chéneau déborde lors des pluies importantes, le pignon est décrépit
    1980 (février) – Les réparations urgentes sont faites (chenal débouché, maçonnerie jointoyée)
  • 1980 – Demande de certificat d’urbanisme. L’immeuble est frappé d’alignement. Dans le cas où cette servitude serait maintenue, le propriétaire Vonthron souhaiterait acquérir en compensation la parcelle entre sa propriété et l’alignement de la ruelle de la Farine.
    Le service d’architecture estime qu’il faut conserver le bâtiment. La conférence du permis de construire adopte cet avis, de même que l’architecte des Bâtiments de France.
    1982 – Le maire écrit au propriétaire après que des tuiles sont tombées sur la voie publique. Les services municipaux barrent la ruelle de la Farine
    1983 – Le service des incendies constate qu’une cheminée menace ruine – Une visite des lieux établit que des fragments de crépi se détachent – Le maire demande au propriétaire de faire des réparations – Note. Il faut inciter le propriétaire à demander de modifier l’alignement ou que l’administration engage une procédure dans ce sens.
    1984 – Le propriétaire refuse de faire toute réparation tant que l’alignement ne sera pas modifié
    1984 – Le notaire Jean-Marie Ohnet, de Rœschwoog, demande des renseignements d’urbanisme pour une mutation sans modification d’état
    1985 – Rapport de l’assistante sociale en chef sur les conditions de logement de la famille Klein, Bantz, Bruckmann, seuls occupants de la maison depuis sa vente en mars 1984. Les nouveaux propriétaires font remplacer un mur fissuré qui soutient les escaliers – Le rapport de la Police du Bâtiment (ébauche puis version définitive) conclut qu’elle n’est pas habilitée à intervenir puisque les locataires ne courent pas de danger. – L’assistante sociale écrit que la famille a accepté un logement dans une HLM à Cronenbourg.
  • 1984 (septembre) – L’architecte des Bâtiments de France donne un avis favorable à la demande de Henri Bieber, demeurant à Illkirch, de restaurer les bâtiments sis 21, rue d’Or
    1985 (novembre) – L’autorisation accordée par l’architecte des Bâtiments de France ne suffit plus puisque l’aspect est modifié, tant sur rue que sur cour. Les travaux ne doivent pas continuer avant d’avoir obtenu un permis de construire
    1986 (mars) – Roland Mallo (17, rue du Jura) dépose une demande pour aménager les combles sous la direction de Charles Englender, de la Wantzenau. Nouvelle surface habitable, 37,21 m², dessins, plans (demande annulée) – Nouvelle demande, avril 1986, dessins, plan, détail des lucarnes et de la toiture. Devis. Propriétaires, Rolant Mallo à l’avant, Marcel Pini à l’arrière. L’escalier en bois qui donne accès aux étages, jusqu’à présent ouvert, sera fermé par des fenêtres en sapin à double battant garnis de petits-bois – Plan cadastral de situation – Photographies prises pendant les travaux de restauration
    1986 (mai) – Le maire transmet le dossier avec avis favorable au directeur départemental de l’équipement
    1986 (juin) – Le préfet accorde le permis de construire
    1986 (juillet) – Le panneau de chantier n’est pas affiché – L’ancienne couverture est déposée, la nouvelle charpente est en cours, septembre 1986. Le gros œuvre est terminé, novembre 1986. Les travaux sont terminés, octobre 1987
    1984 – La société A. H. A. (8, rue des Francs-Bourgeois) est autorisée à poser un échafaudage au 21, rue d’Or
    1985 – L’entreprise Isiki est autorisée à déposer des matériaux dans la ruelle de la Farine
    1986 – Avis de paiement à l’entreprise Isiki (25, rue des Frères) pour avoir occupé la voie publique
    1987 – La même est autorisée à poser un échafaudage au 21, rue d’Or
    1985 – Le maire écrit à l’agence Stragand que l’entreprise chargée de la restauration a posé des matériaux hors d’usage – Rapport
  • 1986 – La Police du Bâtiment constate que l’antiquaire J.-P. Schmidt a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation
    1987 – Demande de poser trois enseignes – L’agence Stragand, syndic de copropriété, autorise son locataire à poser l’enseigne – Maquette sur photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable en février pour l’enseigne peinte et défavorable pour les autres puis en mars pour celle sur le mur latéral nord – Autorisation

Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux de 1587 au nom du tonnelier Adam Müller.
Ursule, fille d’Adam Müller, épouse en 1620 le maréchal ferrant Gaspard Graser originaire de Neumarkt

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 122-v n° 12)
1620.den 22. Maÿ seind ehelich eingesegnet worden Caspar Graßer von Newmarckh, der Huffschmid weÿland hanß Graßer, des baaursmanns vnd burgers seligen daselbst nachgelaßener Sohn, vnd Jungfraw Vrsula Müllerin, weÿland Adam Müllers des Kieffers vnd burgers seligen alhie nachgelaßene eheliche dochter (i 133)

Gaspard Graser devient bourgeois quelques mois après son mariage
1620, 4° Livre de bourgeoisie p. 24
Caspar Graßern der schmidt Empfangt d. Burg. recht Von Vrsula weÿland Adam Müllers deß Küffers seellig tochter seiner hußfrawen vnd wüll Zu den Schneidern dienen Actum den 29. Maÿ 1620.

Gaspard Graser se remarie en 1622 avec Marguerite Schilling, originaire de Durbach en Bade. Le pasteur note en marge que la rumeur qui court sur les origines de la mariée est confirmée par le registre de baptême
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 27)
1622. den 21. Octob. sind ehelich eingesegnet word. Caspar Graser der Huffschmidt vnd burg. alhie, Vndt Margreta, Weiland Sebastian Schillings deß Baursmannn Im Durbach hinderlaßene eheliche tochter. deßweg. sie beÿde von mir dem pfarrer beschickt Word: gestund. Nichts. NB Mitt diser Braut, so eine Jungfrauw sein sollen, ist nicht recht vndt christlich hergang. wie die sag gieng. Et verum fuit Besihen d. tauffbuch .(i 140)

Marguerite Schilling se remarie en 1635 avec le maréchal ferrant Jean Schmidt, originaire de Hindelang en Allgäu

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 181-v) n° 28)
1635. iisdem diebus [Dom. 17. Trin. 20. 7.bris primâ, Dom. 18. Trin 3. 27 Ejusdem 2.da vice] Hans Schmidt Von Hindenlang auß dem Algeÿ der Huoffschmidt Martin Schmid des Weißbecken Und Burgers daselbst Ehelicher Sohn, Vnd Margaretha Schüllingerin, weÿland Caspar Graßer des Huoffschmidts vnd Burgers alhie hinderlaßene Wittib (i 195)

Jean Schmidt devient bourgeois par sa femme en octobre 1635
1635, 4° Livre de bourgeoisie p. 152
Hannß Schmidt Von Hindenlangen auß del Alltzgauw, der Huffschmidt Empfangt das Burgerrecht von Seiner Hauß fr. Margaretha weÿl. Caspar Graßers deß Huffschmidts alhie seelig. wittib, vnd gegen erlegung vier goldgulden, ist beÿ den Schmiden Zünfftig Geschehen den 10. 8.bris 1635.

Jean Schmidt se remarie en 1641 avec Marguerite, fille du prévôt de Deux-Ponts Philippe Warmuth
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 219-v, n° 18)
1641. iisdem diebus [Dom. 14. Trin. 26. 7.bris prâ vice, Dom. 15. Trin 3. 8.bris A. vice] Hans Schmidt der Huoffschmidt Und Burger alhie, Und J. Margretha Philipps Warmuth gewesenen Schultheißen Zu Zweÿbrücken hinderlaßene Tochter. Mont. 4. Octobris zu S. Claus (i 235)

Le tuteur des enfants issus des deux mariages de Jean Schmidt et celui de sa veuve Marguerite Warmuth vendent la maison au maréchal ferrant Gaspard Graser. Une partie du prix d’achat revient aux deux frères de l’acquéreur, Christophe Graser et Jean Jacques Graser, ainsi qu’aux deux enfants issus du premier mariage de Jean Schmidt pour bien maternel

1650 (31. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 116-v
(Prot. fol. 34.) Erschienen Peter Gÿsel der hueffschmid und hannß Georg Stenger der hueffschmid beede alß Vögte weÿl. hannß Schmidts deß hueffschmidts in erster und anderer Ehe erziehlter und nachgelaßener Kinder, mit beÿstand Matheß Kernen deß hueffschmidts alß Vogts Margarethæ Warmuthin sein hannß Schmidts hinterbliebener wittibin
haben in gegensein Caspar Grasers deß hueffschmidts mit beÿstand hannß Schwagers deß Schloßers
hauß, hoffstatt, höfflin, werckstatt, gemeinschafft deß Bronnens mit allen dren Gebäwen, alhie im goltgieß. neben weÿl. Michael Schreibeisen deß hueffschmidts seel. Erben ein: und anderseit neben der Allmend, hind. vff Weÿl. H. Andreß Schötterlins seel. Erben stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Johannis Baptistæ 2. lib der Carthaußen alhie, welchen Zinnß Er seÿ erb lehnung, bodenzinßig, erschätzig, lößig od. anderst, wie es die darüber sagende Brieff bescheinen werd. also hatt ihn d. Käuffer übernohmen, Item 5. fl. Wehr. vff Weÿhenachten lößig mit 100. fl. Wehr. weÿl. H Georg Obrechts seel. Erben – Und were dißer Verkauff und Kauff, darinn auch d. Zum huffschmid handwerck gehörige und im Schmidtisch. Inventario beschriebene werckzeug begriffen ist (übernohmen) – umb 295. lib
(…) Ferners um 74 lib so mann Christoph Graßern deß Käuffers Brudern schuldig, Item umb 37 lib so mann ebenmäßig hannß Jacob Graßern deßelben Brudern zu zahlen hat, Item umb 64. lib so hannß und Christin die Schmidische Geschwisterd erster Ehe für Mütterlich Gut Zu erfordern haben

Fils de Gaspard Graser (voir plus haut), Gaspard Graser épouse en 1650 Marguerite Krug, fille de boucher
Mariage, cathédrale (luth. f° 525-v)
1650. den 13. Januarÿ. Caspar Graser d. Huff Schmidt, Caspar Graser, deß geweßenen Huffschmidts Vnd Burgers allhier Nachgelaßener ehelicher Sohn, J. Margaretha, Martin Krugin deß geweßenen Metzgers Vnd Burgers allhier Nachgelaßene Eheliche Tochter. Im Münster, Mont. (i 274)

Gaspard Graser se remarie en 1680 avec Anne Barbe Schertzer, fille de fripier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 8-v n° 6)
1680. domin. Sexages. et Quinquages. Caspar Graßer der Burger und Huffschmidt alhier vnd Jungfr. Anna Barbara weÿland Michel Schertzers des Burgers und Altgewænders alhier nachgelaßene Eheliche tochter. Copul. Zu St Niclaus Mittw. 26. Feb. (i 10)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les titres allégués sont l’acte d’achat ci-dessus et une hypothèque de 1569. Les apports du mari s’élèvent à 175 livres, ceux de la femme à 110 livres.
1680 (14.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 14) n° 10
Inventarium undt Beschreibung aller: undt Jeder Ligendter vndt Vahrender Haab, Nahrung vndt Güethere, So der Ehrengeachte Meister Caspar Graßer burger vndt Huffschmidt allhier In des Heÿl. reichs: freÿen Statt Straßburg undt die tugendsame fraw Anna Barbara, weÿl. Hannß Michel Schertzers geweßenen Schneiders undt burgers allhier nachgelaßene Eheleibliche Tochter, beede Ehegemächte als ein unverändert guth zusammen In den Ehestand gebracht, welches alles vndt Jedtes auff erstbenanter beeder Ehepersohnen ansuchen, erfordern vnd begehren In dero beÿsein vndt Zwar der Ehemann mit assistentz Herrn Hannß Georg Hölbecken burgers und Vöchhändlers allhier deßen aus Erster Ehe erzeugter Kinder geschwornen Vogts, auf Ihr selbst beschehenes angeben eigen und Zeügen Inventirt – So beschehen vnd angefangen d. 14. Aprilis A° 1680.

In Einer In der Statt Straßburg Im goldtießen gelegenen vndt hieher gehörigen behaußung hat sich befunden
Vff der obern Bühn Ahne hültzenwerckh, vor dißer Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im Haußöhrn, Im Hindern Stübel, Im Keller
Eugenthumb Ahne Einer behaußung. Ein hauß, Hoffstatt, Höfflein, werkstatt, Gemeinschafft deß Bronnens mit allen deren gebewen, begriffen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen In der Statt Straßburg In dem Goldtgießen, I. s neben weÿl. Daniel Fiedels deß Metzgers Erben, 2.s neben der Allmendt, hinden vff Georg Mehlen den Metzgern stoßend gelegen, davon gehen Jahrs vff Johannis Baptistæ 2. lb d der Carthauß allhier abzulößen In Capital dem Zinß nach gerechnet mit 40 lb d Item 1 lb d Jährlichen Zinnßes d. 30. Decembris H. Mr. Johann Jacob Schnitzlern Diacono Zu St. Thoma, ablößig In Capital mit 20. lb d sonsten allerdings freÿ ledig und eigen Vnd ist solche nach der geschwornen Werckmeister der alten A° 1679 beschehener æstimation hiehero angeschlagen worden pro 112. lb 10. ß th. lasi nach abzug obiger darafff hafftender beschwerdten pro 52. lb 10. ß. Hierüber sagt ein teutscher Pergamentener In allhießiger Cantzleÿ Contractstuben d. 31. tag deß Monaths Jan: 1650. datirter Kauffbrieff mit dero anhangendem Innsigel verwahrt sign: mit Nro 1. darbeÿ noch ferners vorhanden ein teutsche Perg; Zinß verschreibung mit deß bischofflichen Hoffs Innsigel becrefftiget vndt datirt d. 12.ren Aug: Anno 1569. sig. mit altem Nro 17. et 20.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Erstlichen deß Ehemanns zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 147, Sa. Wahren So zur huffschmidt handwerck gehörig 74, Sa. Weins und Lährer vaßen 44, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. Guldener Ring 1, Sa. baarschafft 216, Sa. Eigenthums ahne dißer behaußung 52, Sa. Schulden 113, Summa summarum 685 lb – Schulden 510 lb, Nach deren Abzug 175 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 72, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Guldene Ring 9, Sa. bahrschafft 10, Sa. Schuld 11, Summa summarum 110 lb

Anne Barbe Schertzer se remarie en 1685 avec le maréchal ferrant Frédéric Reebmann, originaire de Rötteln dans le margraviat de Bade

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 32 n° 16)
1685. Domin. XIV et XV. Trinit. Friderich Reebmann der ledige Hueffschmidt von Rötels aus der Obern Margraffschafft gebürtig Friderich Rebmann deß Burgers Und Reebmanns daselbst ehelicher Sohn Vnd Anna Barbara Wÿland Caspar Graßers deß Burgers vnd Huffschmidts alhie nachgelaßene Wittib. Copul. Zu St. Niclaus 3. 8.br. st. N. (i 33)

Frédéric Reebmann devient bourgeois trois mois après son mariage
1685, 4° Livre de bourgeoisie p. 515
Friderich Rebmann d. Schmied von Röttlen empfangt das burger Recht von seiner haußfr. Barbara Schertzerin p. 4. golt fl. so beÿ der Cancelleÿ erlegt, ist ledig. standts geweßen, und wird Zu den Schmiden dienen Jur: eodem [24. 8.bris 1685]

Inventaire après décès d’un locataire, le maréchal ferrant Jean Jacques Metzger qui a épousé Marie Elisabeth, fille de Christophe Graser. La masse propre à la veuve est de 5 livres. L’actif de la communauté s’élève à 30 livres et le passif à 24 livres.

1689 (30.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6352) n° 260
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder haab und Nahrung, v.ändert undt Unveränd.ter Haab und Nahrung, so weÿland d. Ehrsame undt bescheidene Meister Hannß Jacob Metzger Hueffschmidt so inn d. Ruprechtsaw wohnhaft gewesen burg. alhier Zu Straßburg, nach seinem d. 9. 9.bris Vorig. abgewich.en 1688.ten Jahres hind. Ihme verlaß. welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafft. Meister Hanß Bernhardt Rutilÿ, hueffschmidts burgers zu gerührtem Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Hannß Friederichs undt Hannß Jacobs, beed. deß v.storbenen mit d. hind.laß.en Wittib ehelich erzeugter Söhn u. ab intestato nachgelaß.en Erb. durch die Ehren und tugendsahme Mariam Elisabetham Graßerin, die hind.bliebene Wittib, mit assistentz deß Ehrsamen undt bescheidenen Meister Friderich Reebmanns, eb.mäßig. hueffschmidts burgers zu gerührten Straßburg d.oselben geordnet und geschworenen Vogts (…) welches bescheh. inn Straßb. u. inn der Ruprechtsau Dienstags den 30. Augusti Anno 1789.

Inn einer im Goldgieß. geleg.en von Frid.ich Reebmann dem hueffschmidt vorgedacht bewohnend. in dieße V.laß.chafft nicht gehörig. behaußung sich befund. wie volgt
Copia d. Zwischen den verstorb. und seiner hind.blieb.en Wittib Zu Zeit Ihrer V.heurathung mit einander auffgerichteten Eheberedung (…) daß in unserer Cancelleÿ Contract stuben persönlich erschienen Hanß Jacob Metzger d. huffschmidt Von Altenheim gebürtig alß hochzeiter an einem, So dann Jgfr. Maria Elisabetha, unsers burgers Christoph Grasers deß huffschmidts Seel. nachgelaßene eheliche Tochter alß hochzeiterin, mit assistentz unßers alten Rathsverwanthen herrn Sebastian Gerlachs am andern theil (…) so geschehen den 10. tag deß monats Aprilis in Jahr deß herrn als man Zahlte 1670
anfänglich d. wittib ohnverändert eÿgthumblich Vermög., Sa. haußraths 1, Sa. Silb. 3, Sa. Guld. ring 1, Summa summarum 5 lb
Auf solches u. endtlich wirdt nun auch d. gemein v.andert u. theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 19, Sa. Werckzeug Zum hueffschmidt handwerck gehörig 8, Sa. Schuld 1, Summa summarum 30 lb – Schulden 24 lb, Nach deren Abzug 6 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 11 lb

Compte que rend le charron Raoul Schmidt de la tutelle des biens appartenant à son pupille Jean Gaspard Graser, fils de Gaspard Graser et de sa première femme Marguerite Krug, sa deuxième femme Anne Barbe Schertzer s’étant remariée avec Frédéric Reebmann
1692 (6.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 1) n° 23
Rechnung Mein Rudolph Schmidts Wagners vnd burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Hannß Caspar Graßers des Leedigen Hueffschmidts, Weÿl. Herrn Caspar Graßers geweßenen Hueffschmidts vnd burgers allhier Zu Straßburg, mit auch Weÿl. frawen Margaretha gebohrner Krugin in Erster Ehe ehelich erzeugten Sohns, Inhaltendt und außweißend alles dasjenige, was ich vom 30. Julÿ Anno 1687. als da diese Curatel übernommen, biß den 6. Julÿ 1692 im Nahmen ermelts meines Vogts Sohns, so wohl empfangen Und eingenommen, als auch dargegen Wider Außgeben Undt bezahlt, oder sonsten in ein und andere Weege Vögtlicher Weiße, Verrichtet undt Verhandelt habe – Erste Rechnung dieser Vogteÿ.

Bericht Zu dieser Rechnung gehörig. Zuwißen demnach in A° 1679. die Ehren und tugendsame Margaretha Krugin auch Weÿl. H. Caspar Graßers geweßenen hueffschmidts vnd burgers allhier Zu Straßburg seel. erster haußfraw, verstordben vnd darauffhin H Hannß Georg Hellbeckh geweßenen Föchhändler v. burger allhier anjetzo aver Zu Studtgardt wohnhaft, deroselben hinderlaßenen Zweÿen Kindern Nahmentlich Jgfr Anna Margaretha und Hannß Casparn vogt nominirt und bestättiget worden (…, die Verlaßenschafft) dem damahligen Wittiber Vnd Vatter gegen gebührender alimentation vnd education biß Zu jeden Kindts 18. Jährigem alter nießleichen in handen gelaßen worden, Weilen aber darauffhin in A° 1684 dieser Vogts persohnen Vatter verschieden, nachdeme derselbe Zuvor vnd Zwahr in Anno 1680. sich wider anderwertlich mit jetzmahlig. frawen Anna Barbara Rebmännin gebohrner Schertzerin, Mstr Friderich Rebmanns deß hueffschmidts vnd burgers allhier ehelicher haußwürthin verheürathet und in solch seiner Zweÿten Ehe auch 2 lieben Kinder erzeugt und dahero deßelben Verlaßenschafft ordentlich beschrieben worden, hat sich vermög beÿgehenden darüber Verfertigten Inventarÿ Sub Lit. B ereügnet, daß die Kinder wegen allzuvieler Passivorum sich keines Vätterlichen Guths Zugetrösten gehabt (…)

Les héritiers de Gaspard Graser (Raoul Schmidt en qualité de mari de Marguerite Graser et de tuteur de Gaspard Graser) font enregistrer à la Chambre des Contrats une vente et accord d’après lesquels sa veuve, femme de Frédéric Reebmann, devient propriétaire de la maison

1693 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 341
Rudolph Schmidt, der Wagner alß Ehevogt Margarethæ gebohrner Graserin und alß Vogt Caspar Graßers, deß ledig. huffschmidts, welcher in der Frembd, So dann H. Caspar Graßers d. ältere geweßenen huffschmids sel. nachgelaßener Zweÿ Kind. letzter Ehe an einem, So dann Anna Barbara gebohrne Schertzerin, ged. Caspar Graßers deß ältern sel. nachgelaßene Wittib, modo Friderich Rebmann des hueffschmids Eheliche haußfrau mit beÿstand ihres Ehevogts, wie auch H. Johann Conrad Werners, deß Statt schmids, Ihres gewesenen Vogts am andern theil
haben angezeigt und bekandt, demnach auff absterben obged. Caspar Graßers beÿ deßen Verlaßenschaffts abtheÿlung Sie obged. deßen Kinder 1. und 2. Ehe und in deren Nahm. deren damahlige Vögte Ihro der Wittib und Mutter die in dem Inventario fol. 48. beschriebene Behaußung nach inhalt deß in Inventaôn und theilungs Concept fol. 29.a. befindlichen Vergleichs, sambt denen wahren und werckzeug und 305 lb baaren geldts überlaßen und eÿgenthümblich cedirt haben, welcher Vergleich und Kauff Contract aber biß dato nicht in der Contractstub verschrieben word. Alß wolten Sie solchen hiermit anietzo angegeb. und insonderheit soviel die behausung betrifft, zu verzeichnen Gebetten haben,

Ist demnach dieß die Behaußung darvon oben meldung geschieht, Nemblich hauß, hoffstatt, höfflein, werckstatt, Gemeinschafft deß bronnens, mit alen deren Gebäuen, Recht. Und Zugehördt, allhier im Goldgießen, einseit neben hans Georg Magnus, dem Metzger, and. Seit neben dem Allmend ist ein Eck geg. d. Frauen hauß scheur an einem Gäßlein, hind. auff Weil. Georg Mehlen gewesenen Metzgers sel. Erben stoßend geleg., darvon gehend jährlich termino Johannis Bapt. der Carthauß allhier 2 lb ablösig in haubtguth nach inhalt deß Inventarÿ mit 40 lb seithero erhalteten bericht nach aber mit 50 lb d. Capital, So seÿe dieselbe behaußung Zur Zeit beschehehnen vergleichs verhafftet gewesen umb 20 lb Capital weil. H. M. Joh: Jacob Schnitzlers gewesenen Pfarrherrs zu St. Aurelien nachgelaß. Erben welche 320 lb Capital aber bereits seithero A° 1687 abgelößet word., Und habe Sie Graßerische Wittib modo Rebmännische haußfr. mit übernehmung dießer beed. Schuldposten im übrigen für die Behaußung /:nach abzug deß im Vergleich mit begriffenen werckzeugs und waahren:/ versproch. und Zugesagt 238 Pfund, daran gebühret obged. Rudolph Schmidts haußfrau Erstlich 100 lb und ihrem Bruder Caspar Graser 75 lb beedes weg. ihren angewiesenen Mütterlich. Guths, und ane restirenden 63 lb ged. Schmidtische haußfr. ¼. theil nemblich 16 lb, Caspar Graßern ¼ nemblich 16 lb, und ¼. theil Mariæ Salome d. Käufferin leiblich töchterlein auch 16 lb, der übrige ¼. theil ist von Ihr d. Mutter weg. ihres verstorbenen töchterleins Annæ Barbaræ geerbt word.

Anne Barbe Schertzer se marie en troisièmes noces avec le maréchal ferrant Léonard Schlauchmann, originaire de Weissenkirchberg (Brunst) près d’Anspach
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 53 n° 13)
Mittwochs den 12. Novemb. st. n. 1698. seind nach zweymahliger Außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Leonhard Schlauchman, der ledige Huffschmid und burger alhier gebürtig von Weissen Kirchberg beÿ Anspach, weÿl. Adam Schlauchmannß gewesenen Ackermannß daselbsten nachgelaßener ehelicher Sohn, und fraw Anna Barbara weÿl. Friderich Reebmanß geweßenen huffschmids und burgers alhie nachgelaßene Wittwe – [unterzeichnet] + ist das Zeichen Leonhard Schlauchmans, Anna barbra Rebmenin Als hochzedterin (i 56)

Léonard Schlauchmann devient bourgeois en septembre 1698 par sa fiancée, veuve de « Frédéric Grassmann »
1698, 4° Livre de bourgeoisie p. 703
Leonhard Schlauffmann der schmidt von Bronß beÿ Anspach, weÿl. Adam Schlauffmanns gew: ackermann alda hint: Ehl: sohn, empfangt das Burgerrecht, Von Barbara, weÿl. Friedrich Graßmanns gew. huffschmidts hint: Wittib seiner Verlobten gratis Vnd Will beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 3. 7.bris 1698.

Léonard Schlauchmann et Anne Barbe Schertzer hypothèquent la maison au profit de Jean Bechtold, receveur de la Chartreuse

1706 (25.11.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 854
Leonhard Schlauchmann huefschmidt u. Anna Barb: geb. Schertzerin beÿständlich Michel Sigfrids wagners u. Joh. Daniel Ott kiefers
in gegensein H. Joh. Bechtolds Schaffners der Carthaus – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung im goldgießen, einseit neben neben Lorentz Guldenmund messerschmidt anderseit ist ein eck hinten auf die frauenhauß scheur stoßend

Léonard Schlauchmann et Anne Barbe Schertzer hypothèquent la maison au profit de Georges Christophe Meeg

1711 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 711
Leonhard Schlauchmann huefschmidt und Anna Barb: geb. Schertzerin beÿständlich Joh: Daniel Otto Kiefers und Lorenz Reichardt auch Kiefers
in gegensein H. Joh: Winters oberschreibers auf dem frauenhauß als vogts Georg Christoph Meegen – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert. im goldgießen, einseit neben Lorentz Guldenmundts wittib anderseit neben Joh: Wolff Keller hinten auff Joh: Leiboldt

Anne Barbe Schertzer meurt en 1721 en délaissant une fille de son premier mariage avec Christophe Graser et deux enfants de son deuxième mariage avec Frédéric Reebmann. L’inventaire est dressé dans la maison qu’elle a cédée à son fils rue d’Or. La succession s’élève à 163 livres

1721 (1.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 49) f° 1629
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. die Ehren und Tugendsahme Frau Anna Barbara Schlauchmännin geb. Schertzerin auch weÿl. Meister Leonhard Schlauchmann gewesenen Huffschmid und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßene Wittib nun auch seel. nach Ihrem den 19. Januarÿ dießen angehenden 1721. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿn Statt Straßburg in fernerem gegensein H Joh: Peter Immendörffer Krempen und burgers allh. der Verstorbenen seel. gewesenen Curatoris auff Sambstag den 1. Februarÿ A° 1721.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fr. Mariam Salome Ottoin geb. Kraßerin, H. Joh: Daniel Otto des Kieffers und burgers allhier eheliche haußfrau Welche beÿde dem Geschäfft beÿgewohnet. 2. Fr. Annam Barbaram Reichardin geb. Reebmännin, Meister Lorentz Reichard Kieffer und burgers allhier Ehewürthin die auch neben Ihrem Ehemann in persohn dem Geschäfft abgewarth. 3. Hrn Friderich Reebmann den Hueff Schmid und burgern allhier so ebenfalls anwesend war, Alle dreÿ der abgeleibten seel. auß erst und anderer Ehe erzeugte Kinder und Zugleichen portionen und Stammtheilen Erben
Copia Codicilli

In einer allhier zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen, H. Friderich Reebmann vorgedachten einen Erben und burgern allhier eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Eigenthumb ane Einem Garthen. Nembl. ein platz Lehr grund ohngefehr Zween acker groß außerhalb dem Spittal thor (…)
Wÿdumb So die verstorbene seel. biß Zu Ihrem Endt genoßen. Frau Anna Margaretha Siegfridtin geb. Kraßerin dißorths Stieff Tochter hat ane Vätterlichem Guth Zu deren Antheil Zuerfordern (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 12, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einerm Garthen o, Activ Schulden 148, Summa summarum 163. lb
Davon seind wieder weg. Zu rechnen die von der Verstorbenen seel. Verordnete Præ undt Legaten
52 lb Nach deren Abzug 110 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 214 lb
Copia Codicilli (…)

Anne Barbe Schertzer vend la maison pour 333 livres à (son fils) maréchal ferrant Frédéric Reebmann et à Susanne Marie Kirschlæger

1717 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 141
(333) Anna Barb: geb. Schertzerin weÿl. Friedrich Rebmann huefschmidts wittib beÿständlich Joh: Peter Immendörfers gremp ihres Curatoris
in gegensein Friedrich Rebmann huefschmieds und Susannæ Mariæ geb. Kirschlägerin
hauß hoffstatt höfflein werckstatt Gemeinschaft des brunnens und allen deren Gebäuden, rechten und zugehörden im goldtgießen, einseit neben der Guldenmundischen wittib und EE. anderseit neben dem allmend ist ein eck hinten auff Joh: Koller – davon soll man termio Joh. Bapt. der Carthaus allhier 2 lb ablößig mit 50 lb – die Verkäuferin reserviret sich ein Cämmerlein in solchen hauß lebtägig gratis – verhafftet um 34, 17, 34, 17 und 150 pfund, geschehen um 197 pfund

Frédéric Reebmann épouse Susanne Marie Kirschlæger, fille de fabricant de pâtés : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1715, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) N° 129
Eheberedung – Friderich Reebmann, Hueffschmidts
und Jungfrauen Susannä Mariä Kirschlägerin

Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Herrn Friderich Reebmann dem Ledigen Huffschmid und burgern alhier alß bräutigam ane einem, Sodann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Susannæ Mariæ des auch Ehren und Vorgeachten H Johann Georg Kirschlägern Pastetenbecks und burgers allhier ehelich erzeugter Tochter, alß der Jungfer Hochzeiterin am andern Theil. Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg den 10. Septembris Anno 1715, Christoph Michael Hoffmann Notarius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 149 n° 863)
Anno 1715. den 2. Octobr. seind nach geschehener ordentlicher Außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelichen eingesegnet worden Friederich Reebmann der ledige Huffschmid weiland Friederich Reebmann deß gewesenen burgers und Huffschmids alhie hinderlaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Susanna Maria Joh: Georg Kirschläger, deß burgers und Pastetenbecks alhie ehel. tochter [unterzeichnet] Friederich Reebmann alß hoch Zeider, Susana Maria Kirschlägrin Alß hoch Zeitrin (i 152)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1716 (10.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 3) n° 170
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Friderich Reebmanns des Huffschmids und der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Susannæ Mariæ gebohrner Kirschlägerin, beeder Eheleuthe und bürgere alhier zu Straßburg, einander für unverändert in die ehe zusammen gebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1716. – und Crafft der mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben alß ein unverändert und Vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expressé conditionirt und Bedungen (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn auff seithen des Ehemanns Annæ Barbaræ Schlauchmännin gebohrner Schertzerin dero leiblichen Mutter, ane der fraw seithen frauwen Susannæ Kirschlägerin gebohrner Schertzerin auch leiblicher Mutter Straßburg den 10. Februarÿ Anno 1716.
Sa. Haußraths (M 70, F 153) Sa. Silbers, Sa. baarschafft (M 9, F 111) Summa summarum (M 91, F 285)
Haussteuren 32 lb

Frédéric Reebmann meurt en 1753 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 594 livres, le passif à 65 livres

1754 (7.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) n° 568
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohl Vorachtbahren Herrn Friedrich Rebmanns des geweßenen Hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1754. – als derselbe Mittwochs den 10.ten 8.bris des Zurückgelegten 1753.sten Jahrs dieße Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Susannä Mariä Reebmännin gebohrner Kirschlägerin, der hinterbliebenen Wittib, mit assistentz des Ehren: und Wohlvorachtbaren herrn Johann Schätzels, des Weinhändlers und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstandts (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 7.te, Martÿ Anno 1754.
Der Abgelebte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen, wie folgt. 1.mo Frau Margaretham Barbaram Wittmännin gebohrner Reebmännin H Johann Daniel Wittmann des Bürstenbinders und burgers allhier Ehegattin, welche dermahlen in der Kindbett sich befindet, dahero in Ihrem Nahmen besagter Ihr geliebter Ehemann dem Geschäfft abwartete, 2.do Herrn Friderich Rebmann, Medicinæ Licentiatum, welcher Majorennis und ohnbevögtigt mithien in selbst eigener Persohn beÿ diesem Geschäfft sich eingefunden, So dann 3.tio Frau Susannam Mariam Bößwilwaldin gebohrne Reebmännin, H. Johann Michael Bößwilwald des Schwartzbecken und burgers allhier Ehegattin, welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehemanns in Persohn zugegen ware, Alßo alle dreÿ des seelig Verstorbenen, mit eingangs gedachter seiner hinderbliebenen Wittib ehelich erziehlen herrn Sohn und Frauen Töchtere und ab intestato zu dreÿen gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßene Rechtsmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung, Eine Behaußung, Höfflin und Hoffstatt sampt der Gemeinschafft eines Bronnens mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane dem Goldgießen einseit neben Mstr Andreas Recke, dem Schloßer anderseit neben dem Allmend, so ein Eck gegen der Frauenhauß scheur an einem Gäßlein, hinden auf Mstr Johann Martin Bähr den Schloßer stoßend, so Vor freÿ, ledig und eigen, durch (die Werckmeistere) Vermög überschickter Schriffticher Abschatzung vom 21.ten Januarÿ Anno 1754. angeschlagen pro 450. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stuben auffgerichtet und mit dero anhangenden Insiegel corroboriret de dato 1.ten Martÿ 1717.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heuraths Verschreibung
Hierauff Folgt nun die beschreibung der Verlaßenschafft Zufolg vorher eingetragenen Berichts und respectivé Vergleichs unter einer Massa und vor sich selbsten, Sa. haußraths 76, Sa. Werckzeugs und Gemachter Arbeit zum huffschmid handwerck gehörig 23, Sa. Lährer Faß 4, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Schulden 26, Summa summarum 594 lb – Schulden 65 lb, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 529 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 10. Septembris Anno 1715, Christoph Michael Hoffmann Notarius
Abschatzung Vom 24.ten Januarÿ. 1754. Auff begehren Weÿland Herrn Friderich Rebmann deß geweßenen Huffschmidts seel. hinterlaßene Wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Goldgießen, einseits neben Meister Röcke dem Schloßer, anderseits neben Martin bähr dem Schloßer, und hinten an Friderich Oberdörffer den Metzger stoßend gelegen, Solche behaußung hat neben dem Eingang eine Huffschmidts Werckstatt, Ferner oben Zwo Stuben dreÿ Kammer, und eine Kuche, darüber ist der Tachstul, so mit breit und hohl Ziegeln belegt, hat auch einen geträhmten Keller Kleines Höfflein und gemeinschafftlichen bronnen, Von uns den unterschriebenen Werckmeistern nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und umb Neun Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Susanne Marie Kirschlæger meurt en 1770 en délaissant deux filles. La succession s’élève à 345 livres.
1770 (24.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 412) n° 1194
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Susannä Mariä Reebmännin, gebohrner Kirschlägerin, auch Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Friderich Reebmanns des geweßenen hueffschmiedts und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1770. – nachdeme dießelbe Donnerstags den 11. dießes Monats Januarÿ durch einen seeligen Tod von dießer Welt abgefordert worden (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 24. Januarÿ Anno 1770.
Die seelig Verstorbene hat Zu Ihren Erben ab intestato verlaßen als folgt. 1. Frau Margaretham Barbaram Willmännin gebohrner Reebmännin H. Johann Daniel Wittmann des Bürstenbinders und burgers allhier Ehegattin, welche mit Beÿhülff Ihres Ehevogts in Persohn dem Geschäfft abwartete, so dann 2. Frau Susannam Mariam Bößwilwaldin gebohrne Reebmännin, H. Johann Michael Bößwilwald des Schwartzbecken und burgers allhier Ehegattin, welche mit Zuziehung gedachten Ihres Ehemanns in Persohn zugegen ware, Alßo beede der Abgelebten Frauen seeligen mit Eingangs gedachtem H. Friderich Reebmann Ihren geweßenen Ehemann ehelich erziehlte Frauen töchtere und ab intestato zu zweÿen gleichen Portionen und Stammtheilern Verlaßene Rechtsmäßige Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ae dem Spithamgäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen Behausung befunden worden wie fogt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Schulden 300, Summa summarum 345 lb

Susanne Marie Kirschlæger vend la maison 1 250 livres au maréchal ferrant Jean Georges Vix

1754 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 151-v
weÿl. Fr. Susanna Maria geb. Kürschlägerin weÿl. Friedrich Reebmanns des huffschmidts beÿständlich H. Friedrich Reebmann des Med. Lti. ihres sohns
in gegensein Johann Georg Vix des huffschmidts beÿständlich seines vogts David Klein des huffschmidts
eine behausung, hoffstatt, höflein, werckstatt, gemeinschafft des bronnens mit allen deren gebäu und rechten im Goldgießen einseit neben N. Recke dem schloßer, anderseit über dem Allmend ist ein eck gegen dem Frauenhauß speicher zum Grüneck genannt, hinten auff Johann Georg Oberdörffer dem metzger – auff Johann Baptistæ gibr man der Carthauß 2 lb alblößig mit 50 lb capital – geschehen um 1250 pfund

Fils de maréchal ferrant, Jean Georges Vix épouse en 1754 Catherine Salomé Hetzel, fille de corroyeur : contrat de mariage, célébration
1754 (6.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 32
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehren: und wohl Vorgeachte Mr Johann Georg Vix, der hueffschmid und burger allhier als hochzeiter ane einem
und die Viel Ehren und tugendsame Jungfrau Catharina Salome Hetzelin, Weÿl. Hn Johann Georg Hetzels des geweßenen Lederbereiters und burgers allhier nun seel. hinterlaßene Jungfer Tochter, als hochzeiterin
(in beysein) auf Ihro des Jungfer hochzeiterin seithen Hn Johann Jacob Gerold des Caminfegers dero Stieff Vatters, H. Johann Theobald Hetzels des Rothgerbers und Lederbereiters dero Vogts und H. Jacob Friderich Hetzels des Lederhändlers dero H. Oncle aller burgere allhier Zu Straßburg – auf Dienstag den 6. Augusti 1754. [unterzeichnet] Johann Georg Vix, Catharina Salome Hetzelin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 113)
Mittwochs d. 28. Aug. 1754 sind nach vorhergescheher zweÿmahligen Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Vix der ledige Huffschmidt, weÿl. Joh: Georg Vix gewes. Huffschmidts und burgers alher nachgel. ehel. Sohn und Jgfr. Catharina Salome weÿl. H. Joh: Georg Hetzels gewes. Rothgerbers und burgers allhier achgel. ehel. tochter wie solches bezeugen [unterzeichnet] Johann Georg Vix als hohzeyter, Catharina Salome Hetzelin als Hochzeiterin (i 61)

Jean Georges Vix est reçu maître chez les maréchaux le 12 mars 1754
Protocole des maréchaux et des taillandiers (XI 141)
(p. 15) Dienstags den 12. Martÿ 1754 – Meisterrecht (dt 3 lb 10 ß)
Johann Georg Vix, weÿland Mr Johann Georg Vix des gewesenen hueffschmidts und burgers allhier nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt man möge Ihme das Meisterrecht Zukommen laßen, mithin ihme vor einen ehrlichen Meister auf: und annehmen legte auf handwercks Gebühr 1 lb 7 ß d. Erkandt, willfahrt (Aufflaggeld dt 1 lb 7 ß)

Jean Georges Vix est reçu tributaire chez les Maréchaux en mai 1754
1754, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 8) Mittwochs den 29.ten maÿ 1754 – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
Mr Johann Georg Vix, der Hueffschmid, weÿland Mr Georg Vix, des auch geweßenen Hueffschmids und burgers allhier nachgelaßener Sohn, stehet vor und producirt Stall schein de dato 24.ten Aprilis 1754. bitt man wolle Ihne dißorths vor einem Leibzünfftigen auf: und annehmen.
Erkandt, willfahrt, dt. 1. lb 16 ß d

Le maréchal ferrant Jean Weber se plaint que Jean Georges Vix ne lui ait pas demandé d’autorisation avant de travailler chez un de ses clients. Jean Georges Vix nie les allégations. Le conseil des maréchaux demande des preuves au plaignant
Protocole des maréchaux et des taillandiers (XI 141)
(p. 24) Sambstags den 13. Martii 1756 – Herr Johannes Werner, der Huffschmid und burger allhier, stehet Vor und clagt wieder Mr Johann Georg Vix, daß Er Hn Knotterer dem Sattler gearbeitet, und Ihme Cläger nicht darumb gefragt, ob Er nichts darwieder einzuwenden habe, weilen nun solches Wieder Ordnung, als bittet Er, Beklagten an den Articul zu halten isque refusis expensis.
Ille zugegen sagt, Er habe Mr Knotterer dem Sattler nicht gearbeitet, sondern dem Herrn von Dettlingen, bittet dahero umb absolutionem.
Erkannt, Soll Cläger beweißen, daß Beklagter die Arbeith für den Sattler verfertiget, alsdann soll ferner ergehen was Rechtens, reservatis expensis, und ist Beklagtem expressé injungirt worden, strcité E: E: Meisterschafft Articuln nachzugeleben.

Jean Georges Vix se plaint de son ancien employé le compagnon Jean Georges Engelhard qui dort à l’auberge. Le défendeur convient des faits. Le conseil fait saisir le salaire dû au compagnon pour garantir l’amende qu’il lui inflige.
(p. 26) Montags den 15. Martii – Mr Johann Georg Vix, der Hueffschmid und burger allhier stehet vor und clagt wider Johann Georg Engelhard, den Huffschmid Gesellen von Greffensteinwerth aus dem Anspachischen gebürtig, daß Er beÿ Ile i Arbeith eingestanden, nachgehends aber Keine Arbeith thun, sondern auf der Herberg habe über Nacht bleiben wollen, auch sonsten sich gröblich aufgeführt, weilen nun solches wieder Ordnung als bittet Er umb Abstraffung.
Ille Kan die Anclag nicht läugnen, sagt aber Er habe nicht erwarthert, einem Kühndörffer die Pferd aufzuheben hat sich anbeÿ annoch gröblichen aufgeführt, bitt umb absolutionem.
Erkannt, Soll derselbe die auffgeloffene Handwercks Unkösten entrichten und Zum thor hinaus zu wandern obligirt seÿn, auch soll, weilen Er das Aufflag Geld nicht bezahlt, beÿ Mr Johann Jacob Vetter, als wo Er dermahlen arbeitet, deßen Bündel arrestirt werden.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison rue d’Or propre au mari. Ceux du mari s’élèvent à 926 livres, ceux de la femme à 450 livres.

1754 (29.10.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 787) n° 49
Inventarium über Des Ehren: und Wohlgeachten Mr Johann Georg Vix, des hueffschmids und der Viel Ehren und Tugendsahmen Fraun Catharinä Salome gebohrner Hetzelin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1754. – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander Vor mir Notario den 6.ten Augusti hujus Annj errichteten heuraths Verschreibung § 3° expressé enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt vnd ohnverändert seÿn und bleiben solle (…)
So beschehen allhier zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwarth Mr David Klein des hueffschmidts des Ehemanns annoch ohnentledigten Vogts, Hr Johann theobald Hetzels des Rothgerbers und lederbereiters der Ehefrauen geschwornen Curatoris und Hn Johann Jacob Gerolds des Caminfegers dero Stieff Vatters, aller burgere allhier zu Straßburg auf Dienstag den 29.ten Octobris 1754.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen und in des Ehemanns ohnveränderte Nahrung gehörigen Behaußung befunden worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (M.) Nembl. Eine Behaußung, hoffstatt, hofflein, Werckstatt, gemeinschafft des bronnens, mit allen deren Gebäuden, Rechten und Zugehörden, gelegen allhie Zu Straßburg, ane dem Goldgießen eins. neben Mr Joh. Andrea Recke, dem Schloßer, 2. s. ist ein Eck neben dem allmend, gegen dem Frauenhauß Speicher zum Grüneck genand, hinten auf Johann Georg Oberdörffer den Metzger stoßend gelegen, so auser hernach beschriebenen Passiv: Capitalien gegen männig. freÿ, leedig, eigen und hier ohnpræjudicirl. gewürdiget pro 1300. Hierüber meldet ein in allhießiger löbl. C.C. Stub gefertigter pergamentener Kauffbrieff, weißend wie Er der Ehemann solche behaußung den 21. Martÿ 1754. Von weÿl. Mr Johann Friedrich Reebmanns, des geweßenen Hueffschmidts und b. allh. seel. nachgelaßener Wittib ane sich erkaufft hat, mit jetzigem N° 1 notirt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 19 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar zur hueffschmid Profession 112 lb, Sa. des Silbers 26 lb, Sa. der baarschafft 140 lb, Sa. des Eigenthums ane einer Behausung 1300 lb, Summa summarum 1598 lb – Schulden 715 lb, Nach solchem abzug 883 lb, Adde die Ihme an hernach beschriebenen haussteuren gebührige helffte 43 lb, summa 926 lb
Der Fraun in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 106 lb, Sa. Silbers 20 lb, Sa. goldener ring und geschmeids 31 lb, Sa. baarschafft 218 lb, Summa summarum 406 lb – Dazugelegt die helffte ane denen hernach beschriebenen Haussteuren 43 lb, summa 450 lb

Jean Georges Vix meurt en 1758 en délaissant deux sœurs. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 405 livres. L’actif de la communauté et des héritiers s’élève 892 livres et le passif à 1 115 livres.

1758 (29.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 793) n° 153
Inventarium über Weÿland des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Johann Georg Vix, geweßenen Hueffschmidts und burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet in Anno 1758. – nach seinem Sonntags den 19.ten Hornung dieses lauffenden 1758.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Frauen Catharinä Salome Vixin geb. Hetzelin, der hinterbliebenen Wittib, beÿständlich Hn. Johann Theobald Hetzels, des Rothgerbers und Lederbereithers auch Burgers allhier, dero ohnentledigten Vogts, und Hn. Johann Jacob Gerold des Caminfegers und Burgers allhier, dero Stieffvatters, wie auch des seel. Verstorbenen Verlaßener frauen Schwestern (…) So beschehen allhier Zu Straßburg, Mittwochs den 29.ten Martii Anno 1758.
Der abgeleibte seeliger hat ab intestato zu seinen Erben verlaßen wie folgt, 1. Frau Mariam Elisabetham geb. Vixin H. Joh. Reinhard Otto, des Kieffers und burgers allhier ehel. Haußfrau, welche nebst ihrem Ehemann dießer Verlaßenschafft Inventur beÿgewohnt, in den Ersten Zweÿten Stammtheil, Und dann 2.do Frau Margaretham geb. Vixin H. Johann Daniel Lipp des Weißbecken und Burgers allhier Ehefrau, welche gleichfalls beneben diesem ihrem Ehemann dieser Verlaßenschafft Inventation zugegen geweßen, in den Andern zweÿten Stammtheil, Alßo alle beÿde des Verstorbenen seeligen im Leben geweßene Schwesteren und nach deßen Absterben zu zweÿen gleichlingen portionen und Antheileren ab intestato hinterlaßene Erben
Copia der Heuraths: Verschreibung
Bericht und respectivé Vergleich wegen dießer Verlaßenschafft. Es Zeigte nemblichen die hinterbliebene Wittib mit Zueiehung Ihres ohnentledigten herrn Vogts und Herr Stieff Vatters beede im Eingang gedacht an, wie daß Sie auf die Vorhandene theilbahre Verlaßenschafft tam active quam passive gäntzl. Verzug thue, und sich mit demjenigen Vergnüg. was Ihro sowohl die Eheberedung als der Zugebracht Nahrung Inventarium, sowohl für eigen als in Wÿdem bewieße Zueignet (…)

In einer allhier zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
(f° 8) Werckzeug und gemachte Waar Zur Huffschmid Profession gehörig
(f° 9) Eigenthumb an einer behaußung (E.T.), Nembl. eine behaußung, Hoffstatt, Höffl., Weckstatt, Gemeinschafft des Bronnens, mit allen deren Gebäuden, Rechten und Zugehörden gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen, 1.s neben Mr Joh. Andrea Recke dem Schloßer, 2.s. ist ein Eck neben dem Allmend gegen dem Frauenhauß Speicher über, zum Grüneck genant, hinten auf Johann Georg Oberdörffer, den Metzger stoßend, so außer hernach beschriebener passiv Capitalien gegen männig. freÿ leedig eigen und durch löbl. Statt Straßburg geschwohrner Werckhleuthe vermög Abschatzung Zeduls vom 12. Aprilis hujus anni gewürdiget p. 600, lb. Hierüber meldet ein in allhießiger löbl. C. Contract Stub gefertigter pergamentener Kauffbrieff, weissend, wie der Verstorbene seel. solche Behausung d. 21. Martii 1754 von w. Mr Johann Friderich Reebmanns, des geweßeneb Huffschmids und Burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib erkaufft hat, so mit altem N° 1 notirt und dermahlen wieder dabeÿ gelaßen worden.
Ergäntzung der hinterbliebeneen Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Vermög Inventarÿ durch mich in A° 1754 errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 31 lb, Sa. Silbers 7 lb, Sa. goldener Ring 11 lb, Sa. baarschafft 5 lb, Sa. Schulden 75 lb, Sa. Ergäntzungs rests 273 lb, Summa summarum 405 lb
der Erben ohnverändert und theilbahr Guth, Sa. Hausraths 43 lb, Sa. Werckzeugs und gemachte Waar zur Hueffschmid Profession gehörig 99 lb, Sa. lährer Vaß 1 lb, Sa. Chaise 25 lb, Sa. Silbers 8 lb, Sa. der Baarschafft 10 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600 lb, Sa. Schulden 104 lb, Summa summarum 892 lb – Schulden 1115 lb, In Vergleichung 223 lb – Stall summ 180 lb
Wÿdems Verfangenschafft So Fr. Maria Elisabetha geb. Hetzelin weÿl. Johann Georg Hetzel des ältern Rothgerbers lederbeteithers Wittib so dermahlen an H. Johann Jacob Gerold den Caminfeger Verehelichet ist ad dies vitæ zu usufruiren hat, Vermög des durch Not. Johann Philipp Lichtenberger den 12. junÿ 1737 errichteten in C.C. Stub enregistrirten Kinder Vertrags
Wÿdems Verfangenschafft Welche Fr. Anna Barbara geb. Hattin H. Johann Daniel Häß des Schiffmanns Ehefrau Von längst weÿl. Mr Johann Georg Vix dem hueffschmid Ihrem Ehemann als des Verstorbenen seeligen Vatter längst seel. ad dies vitæ zu genießen hat, wovon aber finito usufructu in der dißortigen Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung ein dritte theil gehörig ist, vor Not. Johann Lobstein den 30. Augusti 1735 errichtete Heuraths Verschreibung – nach deme Mr Johann Georg Vix der Vatter d. 24. julÿ 1740 seel. Verschieden wurde beÿ deßen Verlaßenschafft Eröretrung den 12. 8.br 1740
Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden 27 lb

Les deux sœurs Vix vendent la maison 900 livres au maréchal ferrant Jean Paul Grucker

1758 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 632 n° 159
Fr. Maria Elisabetha geb. Vixin Johann Reinhard Otto des kieffers Ehefrau und dero schwester Fr. Margaretha geb. Vixin Johann Daniel Lipp des weißbecken
in gegensein Johann Paul Grucker des huffschmidts
eine behausung, höfflein und hoffstatt, gemeinschafft des bronnens mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten im Goldgießen einseit neben Johann Andreas Recke dem schloßer, anderseit ist ein eck am Allmend dem Frauenhauß speicher über zum grünen eck genandt, hinten auff Johann Georg Oberdörffer dem metzger – als ein von ihrem bruder weÿl. Johann Georg Vix des huffschmidts ererbtes guth – um 50 lb und 650 lb verhafftet, geschehen um 200 pfund

Catherine Salomé Hetzel se remarie avec le tonnelier Jean Joachim Gerold, fils de ramoneur : contrat de mariage, célébration
1758 (31. 8.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 373
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenachtbaren herrn Johann Joachim Gerold, dem ledigen Kübler, herrn Johann Joachim Gerolds des Caminfegers und frauen Mariæ Salome gebohrner Hennischin beeder Ehepersonen und burgere allhier zu Straßburg ehelich erzeugtem sohn, als hochzeitern ane Einem
Sodann der Viel Ehren und tugendsamen frauen Catharinæ Salome gebohrner Hetzelin weÿl. herrn Johann Georg Vixen des geweßenen Huffschmids und burgers allhier seel. nachgelaßeneer Wittib als der hochzeiterin am andern theil
auff der frauen hochzeiterin seithen Johann Jacob Gerolds des Stadt Caminfegers ihres geehrten Stieff Vatters, ferner S.T. Herrn Friderich Wolffgang Reineri bestverdienten Schaffners des Gotteshauses St. Margarethæ und Agneßen allhier ihres Schwagers, und dann herrn Johann theobald Hetzels des Rothgerbers und lederbereiters auch burgers allhier ihres Vettern
[unterzeichnet] Joh: Joachim Gerold Als hochzeiter, Catharina Salome Vixin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 151, n° 2)
1759. Mittwoch d. 24. Jan. wurden, nach Zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai Ehelich eingesegnet Johann Joachim Gerold Kübler v. burger allhier H. Johann Joachim Gerold Statt Camin Fegers v. burgers allhier Ehelicher Sohn, Fr. Catharina Salome Vixin weÿl. Johann Georg Vix gew. Huttschmidts v. burgers allhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Joh: Joachim Gerold als Hochzeiter, Catharina Salomea Viÿin als hochzeiterin (i 153)

Jean Paul Grucker et Anne Susanne Wild hypothèquent la maison au profit du vitrier Jean Michel Fügner

1770 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 171
Johann Paul Grucker der hufschmidt und Anna Susanna geb. Wildin mit beÿstand Johann Wild des kieffers und Johann Michael Fiegner des glaßers
in gegensein David Hieber des lehnkutschers – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane dem Goldgießen, einseit neben Andreas Recke dem schloßer, anderseit neben Jacob Bär dem schloßer, hinten auff N. Oberdörfer dem metzger

Jean Paul Grucker loue la forge et une partie de la maison au garçon maréchal ferrant Jean Frédéric Jost

1786 (7.1.), Not. Lacombe (6 E 41, 201) n° 9
Sr Jean Paul Grucker maréchal ferrant, bail de 9 années à commencer des qu’il sera reçu maitre
au Sr Jean Frédéric Jost garçon maréchal ferrant
La forge de marechal avec les deux soufflets ensemble deux soufflets et une voute derrière pour les charbons de pierre, plus une cave pour des charbons de bois et une cave a côté pour du vin, le tout dans la maison qui lui appartient en cette ville a l’Egou dit Goldgießen près la Pomme d’or, Plus un poel, chambre a côté autre petit poel et cuisine au premier étage sur le devant, Plus trois chambres aux mansardes aussi sur le devant, Plus une place au rez de chaussée et aux mansardes pour mettre le bois, Plus l’usage commun du Puit, de la buanderie et des greniers pour la lessive – moyennant un loyer annuel de 300 livres

Jean Paul Grucker vend aux enchères la maison. Jean Jacques Schnitzler et Marie Madeleine Rœsch s’en portent acquéreurs

1795 (23 nivose 3), Strasbourg, Not. Saltzmann (minutes en déficit) n° 215
N° 215 Enchère de la maison de Jean Paul Grucker maréchal ferrant le 24 Vend. – Deux surmises à la maison de Grucker le 27 Vend: ad 215 – Vente de maison par Grucker à Jean Jacques Schnitzler charron du 1. Pluviose ad. Nm. 215
Jean Paul Grucker et Ursule Wild
à Jean Jacques Schnitzler et Marie Madeleine née Roesch
maison n° 11 rue des fetes nationales, moyennant 18.000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 30 F° 135 du 26 nivose 3

Fils de maréchal ferrant, le charron Jean Jacques Schnitzler épouse en 1784 Marie Madeleine Rœsch, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration. La mère du marié fait donation de sa maison rue d’Or à son fils
1784 (6.4.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 250
Eheberedung – Erschienen der ehrengeachte Herr Johann Jacob Schnitzler, lediger Wagnermeister, des H Joh: Daniel Schnitzler, hiesigen burgers und Hufschmidts, mit weil. Frau Maria Salome gebohrner Dürrin ehelich erzeugte mittlere anjetzt großjährige Sohn, als Hochzeiter an einem Teil
So dann die ehren- und tugend- begabte Maria Magdalena Roeschin, des weil. H. Johannes Rösch, gew. Kiefers u. b. alhie mit seiner hinterbliebenen Wittwer Maria Sara geb. Braunin ehelich erzielte jüngste nunmehr majorenne Tochter, als Hochzeiterin, beiständlich ihres Schwagers H Johannes Haÿnoldt des Metzgers u. b. dahier an dem andern Teil.
Fünftens übergibt der Jgfr. Hochzeiterin Eingangs genannte geliebte Mutter mit Beihilfe ihres einbändigen Bruders H. Joh: Georg Volck, des hies: b: u. vormaligen Schwarzbäckers, die derselben nach ihres Ehegatten Absterben von den Kindern überlaßene, in hiesiger Stadt an dem Goldgiesen (…)
unterschrieben in Straßburg den 6. Aprill des Jahres 1784. [unterzeichnet] Johann Jacob Schnitzler als Hochzeiter, Maria Magdalena Röschin als Hochzeitterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 93 n° 18)
1784. Dienstag den 20. Julÿ sind nach ordentlich geschehenen Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicolai ehel. eingesegnet worden Johann Jacob Schnitzler der ledige Wagner, H. Johann Daniel Schnitzler des huffschmidts u. burgers allh. mit Weil. Fr. Maria Salome Dürrin ehel. erzeugter Sohn u. Jgfr. Maria Magdalena Röschin weil. H. Johannes Rösch geweßenen Kieffers u. burgers allh. mit Fr. Maria Sara gebohrner Braunin ehel. erzeugte tochter, [unterzeichnet] Joh: Jacob Schnitzler als hochzeiter, Maria Magdalena Röschin als Hochzeitterin (i 97)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison rue d’Or. Ceux du mari s’élèvent à 927 livres, ceux de la femme à 1 005 livres.
1784 (9.8.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 606) n° 491
Inventarium über Herrn Johann Jacob Schnitzler, Wagners und Fraun Maria Magdalena geborner Roeschin, beder Eheleut und burger alhier Zu Straßburg in die Ehe gebrachtes Vermögen, auffgerichtet In A° 1784 – in ihren den letztverfloßenen 20. Julius mit einander angetrettenen Ehestand gebracht, und laut des dritten Articuls der den 6. Aprill kurz vorher vor mir Notario errichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Straßburg in hienach inventirter an dem Goldgiesen gelegenen Behausung in fernerm beiseÿn bederseitigen geliebter Eltern, ingleichem H. Joh: Georg Volck des hiesigen burgers und vormaligen Schwartzbäckers als der Ehefrau Beistandts und von ihr hierzu erbetenen beistandts, auf Montag den 9. Augstmonats Vormittag in dem Jahr nach Christi Geburt 1784.

Eigenthümlicher Anteil an einem Garten. (M.) Näml. ein 24.ter Theil a 1. Garten gel: innerhalb hies. St. in dem Quartier der gedeckten Brucken, gegen derer Hh. von St Louis ihrem hinüber, f. d. Wall stosend. Dieser gz. Gart, wird ohnnachteil. massen geschätzt vor 300 fl wovon der hieher gehör: Anteil ausmacht 12. fl., Die übrige 23/24 sind des Ehemanns großelterl: Dürrischen Miterben eigenthümlich zuständ.
Nachricht wegen der Ehefrau Behausung, Es hat zwar der Ehefrau geliebte Mutter ihre an dem Goldgiesen gel: Beh: in dem 5. abschnitt d. Eheb. eigentuml. verschrieb., daß dieselbe solche Summ dermaleins in die mütterl. Verlt. einzuschiesen verbunden u. ihren Antheil wieder davon beziehen soll (…)
Des Manns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. Kommods 18, Sa. silbers 50, Sa. baarschaft 673, Sa. Eigentum. Anteils ane i. Garten 12, Summa summarum 754 fl. – Rechnet man die ihm zuständige Hälfte von nachbeschriebenen Haussteuren 172, des Ehemanns Gut 927 fl.
Diesemnach wird der Ehefrau Zugebrachtes Vermoegen verzeichnet, Sa. hausraths 337, Sa. silbernen Geschmeids 39, Sa. goldener Ringe 36, Sa. baarschafft 418, Summa summarum 831 fl. – Dazugelegt die ihr gebührige Hälfte von nachstehenden Haussteuren mit 173 fl, der Ehefrau Vermögen 1005 fl.

Jean Jacques Schnitzler devient tributaire chez les Charpentiers en septembre 1784
1784, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 54) Dienstags den 21. Septembris 1784. – Neuzünfftiger E: R:
Erschienen Mr Joh: Jacob Schnitzler der Wagner und burger alhier produciret Stall : Schein, de dato 21.ten Septembris 1784. bittend, ihne Zufolg deßelben beÿ dieser Ehrsamen Zunft als einen Zünftigen auf: und anzunehmen unter dem Anerbieten, præstanda zu præstiren und die Gebühr abzurichten.
Erkannt, Gegen Erlag der Gebühr willfahrt, Juravit.

Jean Jacques Schnitzler verse à Jean Paul Grucker un supplément de prix (afin de couper court à l’action en justice pour lésion d’outre moitié, voir l’acte de 1871)

1798 (11 frimaire 7), Strasbourg, Not. Lex
Supplément de prix – Jean Jacques Schnitzler
à Jean Paul Grucker
2200 francs, pour une maison sise quartier des Bouchers acquise le 23 nivôse 3
Enregistrement de Strasbourg, acp 64 F° 113 du 12 frimaire 7

Inventaire après décès d’un locataire, le cordonnier Jean Georges Wurtz

1807 (15.5.), Strasbourg 3 (30), Not. Übersaal n°
1007, 3752
Inventaire de la succession de Jean Georges Wurtz cordonnier décédé le 3 avril dernier – à la requête de Marie Elisabeth Huffschmidt la veuve héritière universelle instituée par testament public 10 mars courant
demeurant rue d’Or n° 11
meubles 253 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 148-v du 16.5.

Marie Madeleine Rœsch meurt en 1731 en délaissant quatre enfants

1831 (26.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 62), Me Hickel n° 3892
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Roesch épouse de Jean Jacques Schnitzler, ancien charron, décédée le 12 mai dernier – à la requête de 1. le veuf, commun en biens suivant contrat de mariage passé devant Saltzmann le 10 avril 1784, 2. Frédéric Daniel Schnitzler, charron, 3. Jean Louis Schnitzler, maréchal ferrant, 3. Philippe Charles Schnitzler, commis négociant, 4. Marie Madeleine Schnitzler épouse de Pierre Frédéric Ehmann, négociant, héritiers pour un quart de leur mère

dans le logement que la défunte occupait dans une maison dépendant de la communauté rue d’Or n° 11
Titres et papiers. Contrat de mariage reçu Saltzmann le 6 avril 1784, art. 5, Marie Sara Braun veuve de Jean Roesch, tonnelier, mère de De Schnitzler a cédé à cette dernière une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg dans la rue d’Or marquée aujourd’hui du n° 20 ainsi que les requérants le déclarent
Par acte passé à la Chambre des Contrats le 25 février 1715, Jean Jacques Roesch père de la défunte est devenu propriétaire de la maison ci dessus désignée
Par acte reçu Saltzmann le 23 nivose 3, Jean Paul Grucker, maréchal ferrant, et Anne Ursule Wild vendent à Jean Jacques Schnitzler et son épouse la maison où il est présentement procédé sise à Strasbourg rue d’Or n° 6 autrefois rue des Fêtes nationales n° 11 chargée d’une rente foncière de 8 francs par an due à la ville, ssp 17 février 1830 quittance de rachat de la rente foncière
garde robe 127 fr, communauté meubles 761 fr, argenterie 43 fr, argent 200 fr, ensemble 1005 fr
apports inexistants du veuf 1832 fr, de la défunte 1875 fr, indemnités dues à la communauté 5102 fr, rapports à faire à la succession de 4780 fr – dettes actives 112 fr et 2000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 205 F° 168-v du 3.10.

Lors de la liquidation, la maison rue d’Or revient au veuf

1834 (10.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 67), Me Hickel n° 4881
Liquidation et partage dressé à la requête de 1. Jean Jacques Schnitzler père, comme ayant été commun en biens avec Marie Madeleine Roesch décédée le 12 mai 1831, suivant contrat de mariage passé devant Me Saltzmann le 6 avril 1784, partageables à 1 et 2 tiers et héritier pour un quart se son fils Pierre Charles, 2. Frédéric Daniel Schnitzler, charron, 3. Jean Louis Schnitzler, maréchal ferrant, 4. Marie Madeleine Schnitzler épouse de Pierre Frédéric Ehmann, négociant, Inventaire soussigne le. 26. 7.bre 1831
communauté, art. 3. une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 11 d’un côté M. Tauflieb, d’autre côté et derrière M. Exel – acquis de Jean Paul Grucker, maréchal ferrant, et Anne Ursule Wild, par acte reçu Saltzmann le 23 nivôse 3, évaluée à 9000 fr
abandonnement au veuf, art. 2, 3, 4
succession de la défunte, art. 2. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 20, d’un côté M. Leyder, d’autre M. Weltz, derrière la rue St Nicolas, dont le veuf à l’usufruit par contrat de mariage laissé en commun
Enregistrement de Strasbourg, acp 227 F° 185 du 20.10.

Jean Jacques Schnitzler meurt en 1838. La maison sise 11, rue d’Or revient à son fils Jean Louis

1839 (30.3.), Strasbourg 9 (75), Me Becker n° 230
Liquidation et Partage, dressé à la requête de Frédéric Daniel Schnitzler, charron, Jean Louis Schnitzler, maréchal ferrant, Marie Madeleine Schnitzler épouse de Pierre Frédéric Ehmann, négociant, les enfants ayant droit à un tiers, héritiers pour un quart de Marie Madeleine Roesch leur mère décédée épouse de Jean Jacques Schnitzler, ancien charron, suivant inventaire dressé par Me Hickel le 26 septembre 1831 et héritiers pour un quart de Philippe Charles Schnitzler, commis négociant leur frère germain, tous trois héritiers pour un tiers de Jean Jacques Schnitzler leur père. Il n’a pas été fait d’Inventaire après le décès de Jean Jacques Schnitzler décédé le 13 novembre dernier
à Frédéric Daniel : la maison rue d’Or n° 20 pour 7000 francs
à Jean Louis : la maison rue d’Or n° 11 pour 14.000 francs
Masse active Art. 8. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 11 estimée 14.000 francs, d’un côté M. Tauflieb, d’autre et derrière M Exel – acquis sur Jean Paul Grucker, maréchal ferrant, et Anne Ursule Wild, par acte reçu Me Saltzmann le 23 nivose III, chargée d’une rente foncière envers la ville de Strasbourg laquelle rente a été rachetée le 17 février 1830 – les conjoints Grucker l’avaient acquis des sœurs Vix femmes de Jean Réné Ott, tonnelier, et Jean Daniel Lipp, boulanger, à la Chambre des Contrats le 15 juin 1758
Art. 9, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 20 d’un côté M. Leyder, d’autre M. Waltz, derrière la rue St. Nicolas, estimée 7000 fr – le défunt a recueilli trois quarts ou 12/16 dans succession de Mme Schnitzler née Roesch et était héritier pour un quart, suivant inventairedressé par Me Hickel le 26 septembre 1831 – 2. et 3 16° dans succession de Philippe Charles leur frère, suivant liquidation et partage dressé le 10 octobre 1834, 3. le 16° restant dans la succession de Jean Jacques Schnitzler leur père héritier pour un quart de Philippe Charles Schnitzler son fils. La De Schnitzler estd evebnue propriétaire par cession de Marie Sare Braun sa mère veuve de Jean Roesch, tonnelier à Strasbourg pour 4500 florins,commune en biens suivant contrat de mariage reçu Me Saltzmann le 6 avril 1784
Enregistrement de Strasbourg, acp 267 F° 45 v du 5.4

Le serrurier Louis Schnitzler épouse en 1822 Sophie Elisabeth Nitschel, fille de sellier
1822 (11.12.), Strasbourg, Me Thurmann (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Louis Schnitzler, serrurier fils majeur de Jean Jacques Schnitzler, charron, et de Marie Madeleine Roesch
Sophie Elisabeth Nitschel fille mineure de Sigismond Sébastien Nitschel, sellier, et de Catherine Madeleine Lauth
les père et mère du futur époux cédent pour 5 années à dater du jour de son mariage, la jouissance de la boutique et du logement au second étage de leur maison rue d’Or n° 11 pour un loyer annuel de 400 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 160 F° 159-v du 23.12.

Jean Louis Schnitzler se remarie en 1833 avec Anne Barbe Walter, fille de cordonnier
Mariage, Strasbourg (n° 71)
Du deuxième jour du mois de Mars 1833. Acte de mariage de Jean Louis Schnitzler, majeur d’ans, né en légitime mariage le 13 octobre 1790 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Maréchal ferrant veuf de Sophie Elisabeth Nitschel décédée en cette ville le 8 juin 1828, fils de Jean Jacques Schnitzler charron domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Roesch décédée ne cette ville le 12 mai1831 et d’Anne Barbe Walter, majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 juin 1807 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg fille de Jean Daniel Walter, Cordonnier, domicilié en cette ville ci présent et consentant et de feu Anne Barbe Flach décédée en cette ville le 14 janvier 1828 (…) Et aussitôt lsdis époux ont dit reconnaîttre et légitimer Frédérique Caroline Walter née d’eux en cette ville le premier novembre 1830 inscrit le même jour sur les registres et Philippe Louis Walter né d’eux en cette ville le 8 juin 1832 inscrit le 9 ensuivant sur lesdits registres (signé) Jean Louis Schnitzler, Anna Barbara Walter (i 2)

Louis Schnitzler loue une partie de la maison au quincaillier Joseph Houssemann

1841 (29.7), Enregistrement de Strasbourg, ssp 81 (1870) f° 9-v, ssp du 15.3.1841
Bail du 15 mars 1841 – Entre le Sr Louis Schnitzler Maréchal ferrant demeurant rue d’Or N° 11 d’un côté
et Joseph Houssemann fabricant de quincaillerie demeurant rue Sr Jean N° 88, les deux domiciliés à Strasbourg
1° Le Sr Schnitzler loue au Sr Houssemann les parties suivantes dans sa dite maison Savoir
toute la boutique faisant le rez de chaussée telle qu’elle se comporte dans ce moment avec réserve d’une place et feu pour deux étaux pour continuer à servir sa pratique et place au milieu pour y mettre un Trein de chantier, et à condition que Mr Housseman pourra se servir des deux objets dans les intervalles ou M Schnitzler pourra en faire personnelement usage. Il est permis à Mr Houssemann d’oter l’enclos qu’occupe Mr Dreyler et d’y établir un troisième feu, pour forger avec un four pour tremper les limes et ce à ses frais
Plus dans l’arrière Maison la cave entière et le rez de chaussée avec trois chambres au troisième et le trou dans la cour comme réserve de houilles, plus le premier Etage fermé par une porte et place pour le bois de chauffage au Grenier – pour un loyer annuel de 448 francs
La présent bail commence a la St Jean prochaine et est fait pour trois, six ou 9 années avec faculté pour chacune des parties de pouvoir le dénoncer trois mois avant chacune de des trois susdites époques

Jean Louis Schnitzler hypothèque la maison au profit de l’interdit Frédéric Schneiter

1862 (4 février), Strasbourg 9 (123), Not. Becker n° 9312
Obligation – A comparu M. Jean Louis Schnitzler, ancien maréchal ferrant demeurant à Strasbourg (devoir)
au sieur Frédéric Schneiter, majeur interdit demeurant à Strasbourg, pour lequel est ici présent et occupe M. Jean Henri Schnitzler, homme de lettres, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant en la même ville, tuteur du dit interdit, la somme de 1500 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque spécialement Une maison sise à Strasbourg rue d’Or n° 21 marquée autrefois du Numéro 11 avec appartenances et dépendances tenant d’un côté à M. Tauflieb de l’autre à une petite place communalg et à M. Raum marchand de houblon et par derrière audit sieur Tauflieb et au dit sieur Raum précédemment à M. Exel. La maison ci-dessus désignée a été abandonnée au débiteur avec d’autres valeurs dans la succession de son père M. Jean Jacques Schnitzler en son vivant ancien charron à Strasbourg suivant partage dressé par le dit M° Becker le 30 mars 1839. Par suite de la dite attribution M. Jean Louis Schnitzler est resté devoir à ses copartageants une soulte de 8023 francs (…) Pour ce qui concerne l’établissement de propriété antérieure les parties ont déclaré se référer au partage sus mentionné. Le débiteur déclare sous les peines de la loi qu’il a dit bien connaître 1) qu’il est veuf en premières noces de De Sophie Elisabeth Nitschel, 2) qu’il est veuf en secondes noces de De Anne Barbe Walter, 3) qu’il n’est ni n’a jamais été ni tuteur ni curateur (…) 5. que ses enfants du deuxième lit qui étaient au nombre de trois n’ont rien recueilli dans la succession de leur mère qui est décédée sans laisser de fortune, que du reste l’un de ces enfants est décédé dès l’année 1842 et que les deux survivants sont majeurs

Jean Louis Schnitzler meurt en 1864 en délaissant quatre enfants

1864 (18.2.), Me Becker (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Jean Louis Schnitzler père maréchal ferrant à Strasbourg, décédé le 9 janvier 1864, à la requête de 1° Jean Louis Schnitzler fils garçon charron, 2° Sophie Julie Schnitzler célibataire, 3° Philippe Louis Schnitzler instituteur, 4° Charles Auguste Schnitzler garçon charron, tous à Strasbourg
Il dépend de ladite succession, Mobilier estimé à 648
Partage d’une partie du mobilier entre les cohéritiers mais sans attribution, vu qu’ils sont tenus de faire la représentation au moment du partage
acp 530 (3 Q 30 245) f° 40 du 25.2. (succession déclarée le 25 mai 1864=
vacation du 14 avril – acp 532 (3 Q 30 247) f° 10-v du 19.4.
Il dépend de ladite succession, une maison rue d’or N° 21 à Strasbourg
description du passif

Liquidation de la succession
1864 (27.9.), Me Becker (minutes en déficit)
Liquidation et partage de la succession délaissée par Jean Louis Schnitzler père vivant maréchal ferrant à Strasbourg, décédé le 9 janvier 1864. Entre 1° Jean Louis Schnitzler fils garçon charron, 2° Sophie Julie Schnitzler célibataire, 3° Philippe Louis Schnitzler instituteur, 4° Charles Auguste Schnitzler garçon charron, tous à Strasbourg
Succession 1) argent 1137, 2) prix de la maison 12.500, total 13.637 francs
Masse passive 6355, reste 7282 francs – Le quart 1820 francs
Droits des parties et abandonnements (…)
acp 536 (3 Q 30 251) f° 51-v du 3.10.

Les héritiers Schnitzler vendent la maison par enchère au forgeron Henri Noll

Me Becker (minutes en déficit) – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 983 (3147) n° 58
Ont comparu 1. Monsieur Jean Louis Schnitzler fils garçon charron et Madame Catherine Moog sa femme qu’il autorise à l’effet de ce qui suit, 2. Mademoiselle Sophie Julie Schnitzler fille majeure sans état, 3. Monsieur Philippe Louis Schnitzler instituteur communal et Madame Marie Wilhelmine Meyer son épouse agissant sous son autorisation, 4. Et Monsieur Charles Auguste Schnitzler, garçon charron et Madame Adeline Geller sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes tous demeurant à Strasbourg, lesquels comparans ont déclaré qu’ils sont intentionnés de faire procéder par le ministère dudit Me Becker à la vente par adjudication publique de l’immeuble ci après désigné, En conséquence ils ont requis le dit notaire de dresser de la manière suivant le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles il sera procédé à l’adjudication sont s’agit.
Désignation. Une maison consistant en un bâtiment de devant, bâtiments latéraux et de derrière avec cour, puits commun entre les propriétaires de la maison voisine, cave, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg rue d’or N° 21 autrefois n° 11, tirant d’un côté à Monsieur Frantz précédemment à Monsieur Tauflieb, de l’autre en partie à la ruelle de la farine où elle porte le numéro 1 et en partie au Sieur Raum et par derrière à différents particuliers.
Au sujet de l’établissement de la propriété de l’immeuble à vendre, les comparants ont fait la déclaration suivante. Cet immeuble qui dépend de la succession de Monsieur Jean Louis Schnitzler père en son vivant maréchal ferrant demeurant à Strasbourg est échu aux dits Jean Louis Schnitzler fils, demoiselle Schnitzler, sieur Philippe Louis Schnitzler et sieur Charles Auguste Schnitzler, seuls héritiers du défunt chacun de pour un quart ainsi que ces qualités sont constatées par l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de Monsieur Schnitzler père par ledit M° Becker en date au commencement du 18 février dernier. Feu Monsieur Schnitzler père était devenu propriétaire dudit immeuble pour lui avoir été abandonné avec d’autres valeurs par le partage de la succession de son père Monsieur Jean Jacques Schnitzler en son vivant ancien charron à Strasbourg suivant acte dressé par le dit M° Becker le 30 mars 1839. Par suite de la dite attribution Monsieur Jean Louis Schnitzler père susnommé est resté devoir à ses copartageants une soulte de 8023 francs (…) Pour ce qui concerne l’établissement de propriété antérieure, ledit partage énonce que la maison ci-dessus désignée a été attribuée à feu ledit Sr Jean Jacques Schnitzler par le partage de la communauté d’entre lui et De Marie Madeleine Roesch de femme défunte dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 2 octobre 1834. Les dits époux Schnitzler Reosch avaient acquis le dit immeuble du Sieur Jean Paul Grucker maréchal ferrant à Strasbourg et de De Anne Ursule Wild sa femme suivant contrat de vente passé devant Me Saltzmann notaire à Strasbourg le 23 nivôse an III, enregistré contenant quittance du prix y stipulé. Les comparants font observer que les époux Grucker ayant été sur le point d’intenter une action au dit Sr Jean Jacques Schnitzler et à son épouse défunte pour lésion d’outre moitié dans le prix, il a été convenu entre les vendeurs et les acquéreurs par acte passé devant ledit Me Saltzmann le 5 frimaire an VII que les acquéreurs paieroient aux époux Grucker à titre de transaction, un supplément de prix de 2200 francs dont ledit contrat contient quittance et se chargeraient dorénavant du service d’une rente foncière et perpétuelle de 8 francs par an dont l’immeuble était grevé et qui était due à la Ville de Strasbourg, laquelle rente a été rachetée le 17 février 1830. Ladite maison appartenait auxdits époux Grucker ainsi que le porte littéralement le contrat de vente dont il vient d’être question. Au moyen de la vente à eux fait par les sœurs Fix femmes de Jean René Ott tonnelier et de Jean Daniel Lipp boulanger passée en la Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg le 15 juin 1748. (…) Fait et passé à Strasbourg l’an 1864 le 19 avril
Adjudication provisoire. Et le jeudi 19 mai 1864 (…) sur la mise à prix de 16.000 francs, différentes mises dont la dernière faite par M Jean Daniel Michel serrurier demeurant à Strasbourg place Saint Etienne N° 9 pour le prix de 22.000 francs (…) attendu que le prix offert ne leur paraît pas suffisant, les vendeurs ou leur mandataire se sont décidés à recevoir der surmises jusqu’au jeudi 26 mai courant (…) Déclaration de command, 20 mai, Monsieur Michel déclare par ces présentes avoir fait l’acquisition dudit immeuble pour le compte de Monsieur Henri Noll forgeron demeurant à Strasbourg rue d’Or n° 14 auquel il n’a fait que prêter son nom
Adjudication définitive. Et le jeudi 26 mai 1864 (…) que pendant ledit délai il n’a été fait aucune surmise sur ledit immeuble, Dans cette position les comparans outre que Monsieur Noll jugeant que ledit prix d’adjudication provisoire offert par Monsieur Michel au nom de ce dernier est assez élevé, se sont décidés à adjuger et ont en effet adjugé définitivement la maison (…) auit sieur Noll pour ledit prix de 22.000 francs
Cahier des charges du 19 avril – acp 532 (3 Q 30 247) f° 27-v du 25.4. – acp 533 (3 Q 30 248) f° 21-v du 27.5.

Originaire de Hertlingshausen près de Bad Dürkheim, Henri Noll épouse en 1854 Albertine Arbogast, fille d’un loueur de carrosses
1854 (27.9.), Strasbourg 10 (128), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.740
Contrat de mariage – Ont comparu Mr Jean Henri Noll, maréchal ferrant demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Hertlingshausen (Bavière rhénane) le 20 mars 1821, du légitime mariage de M. Frédéric Noll et de feue dame Christine Schub son épouse défunte, futur époux d’une part
Mlle Albertine Arbogast, en jouissance de ses droits demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 31 janvier 1819 du légitime mariage des conjoints Arbogast ci après nommés, future épouse d’autre part
Mr Jean Daniel Arbogast, loueur de carrosses et De Marie Catherine Mürsch son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, agissant ès présentes à cause dela constitution de dot
acp 433 (3 Q 30 148) f° 56-v du 28.9. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié des biens de la communauté
Les apports du futur consistent en une valeur de 5732 francs le tout grevé d’un passif de 1157 (reste) 4575
Donation par les conjoints Arbogast à la future épouse leur fille, ce acceptant 1) d’un mobilier estimé 1857, 2) argent comptant 2400 (ensemble 4267)
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de la succession réductible en cas d’existence d’enfants

Henri Noll et Albertine Arbogast revendent en 1871 la maison à Amélie Müntz et à Sophie Müntz

1871 (27.7.), Strasbourg 3 (114), Not. Emile Weiss n° 3401
Ont comparu M. Henri Noll, maréchal ferrant demeurant et domicilié à Strasbourg & De Albertine Arbogast son épouse qu’il autorise, demeurant avec lui (avoir vendu)
à Mesd. Amélie Müntz & Sophie Müntz les deux rentières demeurant et domiciliées à Strasbourg les deux à ce présentes & acceptant indivisément chacune pour moitié
L’immeuble dont la désignation suit, Une maison avec cour & bâtiment de derrière, aisances & dépendances sise à Strasbourg rue d’or N° 21, entre M. Frantz & une ruelle dite rue de la farine où elle porte le N° 1, derrière M. Braun & devant la rue d’or
Origine de la propriété. Les vendeurs déclarent avoir acquis l’immeuble présentement vendu de 1° M. Jean Louis Schnitzler fils charron & Mad. Catherine Moog sa femme, 2° Mad. Sophie Julie Schnitzler fille majeure sans état, 3° M. Philippe Louis Schnitzler instituteur communal & Mad. Marie Wilhelmine Meyer son épousen 4° M. Charles Auguste Schnitzler garçon charron & Mad. Adeline Giller son épouse, tous de Strasbourg, aux termes a) d’un cahier des charges dressé par M. Becker notaire à Strasbourg le 19 avril 1864, b) d’un procès verbal d’adjudication dressé par le même notaire le 9 mai de la même année, c) d’une déclaration de command reçue par ledit Me Becker le 20 du même mois de mai, d) d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par Me Becker notaire susdit le 26 mai 1844, tous ces actes transcrits au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 juin 1864 volume 983 N° 58. cette acquisition a eu lieu pour le prix de 22.000 francs (…). Le même immeuble dépendait de la succession de M. Jean Louis Schnitzler père en son vivant maréchal ferrant demeurant à Strasbourg & est échu aux dits Jean Louis Schnitzler fils, Dlle Schnitzler, Philippe Louis Schnitzler et Charles Auguste Schnitzler, seuls héritiers du défunt chacun de pour un quart ainsi que ces qualités sont constatées par l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de M. Schnitzler père par ledit M° Becker en date au commencement du 18 février 1864. Feu M. Schnitzler père était devenu propriétaire dudit immeuble pour lui avoir été abandonné avec d’autres valeurs dans le partage de la succession de son père M. Jean Jacques Schnitzler en son vivant ancien charron à Strasbourg suivant acte dressé par le dit M° Becker le 30 mars 1839. Par suite de la dite attribution M. Jean Louis Schnitzler est resté devoir à ses copartageants une soulte de 8023 francs (…) Pour ce qui concerne l’établissement de propriété antérieure, ledit partage énonce que la Maison ci-dessus désignée a été attribuée à feu ledit Sr Jean Jacques Schnitzler par le partage de la communauté d’entre lui & De Marie Madeleine Roesch de femme défunte dressé par M° Hickel notaire à Strasbourg le 2 octobre 1834. Lesdits époux Schnitzler avaient acquis le dit immeuble du Sr Jean Paul Grucker, maréchal ferrant à Strasbourg & de De Anne Ursule Wild sa femme suivant contrat de vente passé devant Me Saltzmann notaire à Strasbourg le 23 nivôse an III, enregistré contenant quittance du prix y stipulé. Les époux Grucker ayant été sur le point d’intenter une action au dit Sr Jean Jacques Schnitzler & à son épouse défunte pour lésion d’outre moitié dans le prix il a été convenu entre les vendeurs et les acquéreurs par acte passé devant ledit Me Saltzmann le 5 frimaire an VII que les acquéreurs paieroient aux époux Grucker à titre de transaction, un supplément de prix de 2200 francs dont ledit contrat contient quittance & se chargeraient dorénavant du service d’une rente foncière & perpétuelle de 8 francs par an dont l’immeuble était grevé & qui était due à la Ville de Strasbourg, laquelle rente a été rachetée le 17 février 1830. Ladite maison appartenait auxdits époux Grucker ainsi que le porte littéralement le contrat de vente à eux fait par les sœurs Vix femmes de Jean René Ott tonnelier & de Jean Daniel Lipp boulanger passée en la Chambre des contrats de la Ville de Strasbourg le 15 juin 1748.
Situation hypothécaire. Les vendeurs déclarent & affirment sous les peines de droit que l’immeuble présentement vendu est franc & libre de toutes dettes, droits, rentes, privilège & hypothèque
Prix, 25.000 francs (…) Etat-civil des vendeurs. Les vendeurs déclarent sous les peines de droit, 1° Qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Zimmer notaire à Strasbourg le 27 septembre 1854, 2° Qu’ils n’ont jamais été chargés d’aucune tutelle (…)
acp 599 (3 Q 30 314) f° 79-v du 28.7.

Fils de journalier, le peintre en bâtiment François Joseph Scherrer épouse en 1872 Sophie Muntz, fille d’imprimeur : contrat de mariage, célébration
1872 (25.5.), Auguste Weiss
Ehevertrag – Frantz Joseph Scherrer, Maler in Straßburg
Sophie Muntz, Spitzen Wascherin
Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C.C., Rücknahme des mit gebrachten und ererbten
der Bräutigam bringt in die Ehe eine Summe von 3000 Franken
die Braut bringt in die Ehe 1) Mobilien 1800, 2) Hälfte eines Hauses Goldgiessen N° 21, 3) 58 a. Feld Bann von Strassburg
Gegenseitige Schenkung von der Nutzniesung des ganzen Nachlasses des jüngst versterbenden
acp 605 (3 Q 30 320) f° 49-v n° 1944 du 1.6

Mariage, Strasbourg (n° 420)
Du 28° jour du mois de Mai l’an 1872. Acte de mariage de François Joseph Scherrer, majeur dans, né en légitime mariage le 12 août 1842 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, fils de feu François Joseph Scherrer, journalier décédé à Strasbourg le 10 janvier 1870 et de feu Cécile Huber, décédée à Strasbourg le 15 mai 1852, et de Sophie Muntz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 avril 1840 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu Frédéric Daniel Muntz, imprimeur décédé à Strasbourg le 3 juin 1837 et de feu Barbe Kützel décédée à Strasbourg le 13 août 1852 (…) il a été passé le 25 de ce mois un contrat de mariage devant Me Emile Weiss notaire à Strasbourg substituant Me Auguste Weiss (signé) Scherrer, S. Muntz (i 49)



Jean Georges Scherb, maître maçon, et (1776) Catherine Elisabeth Hatzung – luthériens


Jean Georges Scherb naît à Colmar, fils du chaudronnier Jean Georges Scherb et de sa femme Anne Dorothée Herrmann. Compagnon maçon et tailleur de pierres, il s’inscrit le 11 septembre 1773 aux deux années d’épreuve qu’il s’engage à faire chez Michel Hatzung et Martin Antoine Klotz. Le Corps des maçons puis les Quinze refusent en 1774 de le dispenser de terminer ses années d’épreuve mais ses sept mois de travail à Schutteren en Bade pourront lui être décomptés. Une nouvelle demande est rejetée l’année suivante. Après avoir présenté son chef d’œuvre le 8 février 1776, Jean Georges Scherb est reçu maître à part entière. Il épouse Catherine Elisabeth Hatzung en avril 1776 après avoir passé le contrat de mariage l’année précédente. Il devient bourgeois le 29 avril et tributaire le 26 juin 1776.
Jean Georges Scherb meurt le 19 mars 1784 en tombant d’un mur d’une caserne en construction. Sa veuve se remarie en 1787 avec le maître maçon Jean Michel Meyer.

Maison en propriété
Place du Temple-Neuf (partie de V 131, actuel n° 16)

Enfants

  • Jean Georges, potier, épouse (1805) Anne Marie Thomas
  • Catherine Elisabeth


Signature au bas du contrat de mariage (1774, AMS cote 8 Not 1, n° 2)


Fils du chaudronnier Jean Georges Scherb de Colmar, le compagnon maçon et tailleur de pierres Jean Georges Scherb s’inscrit le 11 septembre 1773 aux deux années d’épreuve qu’il s’engage à faire chez Michel Hatzung et Martin Antoine Klotz
Joh: Georg Scherb, pag: 52. 57. 58. 69. 78. 84. 142.
(p. 53) Sambstags den 11.ten Septembris 1773 – Einschreibung in die Muth
Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell, H. Johann Georg Scherb, des Kupferschmids und burgers in Colmar ehelich erziehlter Sohn, welcher das Handwerck alhier erlernet hat, stehet vor und bittet ihme Zu Herrn Michael Hatzung und Martin Antoni Klotz beeden Maurer und Steinhauer meistern, auf Zweÿ Jahr lang denen Articklen gemäß in die Muthjahr einzuschreiben.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.
(dt. Handwercks gebühr 1 lb 10 ß, Et pro Inscriptione 1 lb 10 ß)

Jean Georges Scherb sollicite le 15 avril 1774 auprès du Corps des maçons une dispense pour faire son chef d’œuvre bien que les années d’épreuve ne soient pas terminées. L’assemblée le renvoie au règlement en ajoutant que les sept mois pendant lesquels il a travaillé à Schutteren en Bade ne pourront être décomptés dans ses deux années d’épreuve.

(p. 57) Freÿtags den 15.den Aprilis 1774. – Petitum pt° admissionis Zum Meisterstück
Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell, Herrn Johann Georg Scherb, des Kupferschmids und burgers in Colmar ehelich erziehlter Sohn, so den 11.ten Septembris letzthin in die Muthjahr eingeschrieben worden, stehet vor und bittet ihne in der noch übrigen Muthzeit Zu dispensiren und ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Erkannt, Seÿe der Comparent, weilen die Zeit seiner Muthjahr noch nicht verfloßen, mit seinem Begehren ab: und ane die von Gnädigen Herren den Fünffzehen den 13.den Aprilis Anno 1771. neuertheilte Artickel /:kraft deren Er Zweÿ Jahr Zu muthen schuldig:/ Zu verweisen, und angesehen Er von der Zeit seiner Einschreibung in die Muthjahr bis dato nicht alhier beÿ seinen Muthmeistern, sondern Zu Schuttern über Rhein gearbeitet, als sollen ihme solche sieben Monat zu denen Muthjahren nicht gerechnet werden.

Le maître des maçons Michel Nagel rapporte que Jean Georges Scherb lui a dit qu’il a engagé une procédure devant les Quinze. Le Corps des maçons prépare ses arguments,(1) Jean Georges Scherb aurait dû faire part de son intention de travailler hors du royaume, (2) il ne s’est pas inscrit parmi les compagnons qui sollicitent du travail, (3) le mémoire par lequel Michel Hatzung se réserve le droit de vendre du plâtre pourrait donner lieu à des abus.

(p. 57) Freÿtags den 29.ten ejusdem [Aprilis 1774.] Meister Michael Nagel der Obermeister referirte, daß Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Colmar gebürtig, Ihme verwichenen Samstag puncto dispensationis vor der noch übrigen Muthzeit und admissionis Zum examen des Meisterstücks vor gnädigen Herren die Fünffzehen habe assignirten laßen, da er dem auch erschienen und copiam deßen producirten Memorialis begehrt, so ihme zugestanden und vorgestrigen tags eingeliefert worden, welche copiam er denen anwesenden Meistern habe communiciren wollen, deswegen Er Sie hiehero zusammen berufen laßen.
Nachdeme nun besagtes Memoriale deutlich vor und abgelesen worden, so wurde nach darüber gehaltener Umfrag erkannt, daß von seithen dießortiger Ehrsamen Meisterschafft eine schriftliche Beantwortung dagegen aufzusetzen, und darinnen einzuführen 1° daß gedachter Scherb sich beÿ Gnädigen Herren den Fünffzehen, oder aber beÿ E. E. Meisterschafft vordersamst hätte anmelden sollen, wofern er seine Muthjahr außerhalb Zu verarbeiten willens gewesen, mithin ihme solche Zeit, da er außer dem Königreich im Teutschland gerabeitet, Zu den Muthjahren nicht dienen möge. 2° daß derselbe noch nicht beÿ dem Gesellen Gebott eingeschrieben, und dann 3° daß durch den von Herrn Hatzung in dem producirten Memoriali sich vorbehaltenen Gipshandel verschiedener Unterschleif geschehen könne, auch seind Zu Besorgung E: E: Meisterschafft Nutzens und Interesse und betreibung dieser Sach, als auch Zu der beÿ Gnädigen Herren den Fünffzehen nachgehends dießfalls Zu haltenden deputation benebst Mstr. Michael Nagel, dem Obermeister und Mstr Bernhard Rottler, dem Untermeister, in specie abgeordnet worden, Herr Rathherr Johann Lorentz Götz, Herr Rathherr Georg Michael Müller, Meister Antoni Klotz und Meister Georg Christoph Freÿsinger.

Jean Georges Scherb passe un contrat de mariage avec Catherine Elisabeth Hatzung, fille du boucher Georges Hatzung et nièce du maître maçon Michel Hatzung

1774 (7.2), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 2
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrenvest und Wohlvorachtbahre herr Johann Georg Scherb lediger Steinhauer und Maurer, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Georg Scherb des Kupferschmids und burgers Zu Collmar mit der Viel Ehren und tugendsahmen frauen Anna Dorothea gebohrner Herrnmännin seiner Ehegattin, ehelich erziehlter Sohn, als Bräutigamb ane einem,
So dann die Ehren und tugendbegabte Jungfrau Catharina Elisabetha Hatzungin, des Ehrenvest: und Wohlvorachtbahren herrn Georg Hatzung, des Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg mit der Viel Ehren und tugendsamen frauen Catharina Margaretha gebohrner Rödererin seiner Ehegattin ehelich erzeugte Jungfer tochter las die Jungfer hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in Straßburg in fernerm beÿsein (…) herrn Michael Hatzung des Steinhauers und E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers der Jungfer hochzeiterin herrn Oncle (…) auf Montag den 7. Februarÿ Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Georg Scherb als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Hatzungin als hochzeiterin

Les Quinze rejettent le 4 juin 1774 la demande de dispense. Ils proposent de décompter les sept mois de travail (à Schutteren) parmi les années d’épreuve si Jean Georges Scherb s’inscrit dans le registre des compagnons et s’acquitte de ses droits. Seule l’expédition de la sentence est conservée, le compte rendu des débats manque.

1774, Protocole des Quinze (2 R 185)
(registre incomplet)
(p. 462) Sambstags den 11.ten Junii 1774.
Bescheid. De eodem [Sambstags den 4. Junii] Inn sachen Johann Georg Scherb des Ledigen Steinhauers und Maurers gesellen von Colmar gebürtig, Imploranten, ane einem entgegen und wider E E Meisterschafft der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer Ober meister, Imploraten, am andern theil, auf producirtes unterthäniges Memoriale mit beÿlagen sub Litt A. B. et C., junctis petitis wir geruheten den Imploranten von der noch übrigen Muthzeit Zu Dispensiren, und ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren, mithien deßen bevorstehendes Etablissement zu befördern, übergebene Exceptiones samt beÿgefügtem bitten, den Imploranten mit seinem so wiederrechtlich als unordentliches begehren refusis Expensis, ab: und an den ergangenen Handwercks bescheid vom 15.ten Aprilis jüngst Zu verweißen, gebettene, bewilligte und beseßene deputation, auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbringen, ist der Hh. Deputirten abgelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant in ansehung der begehrten befreÿung von der übrigen Muthzeit mit seinem begehren Expensis ab: und an die Ordnung und articken Zu verweißen seÿn mit dem anhang, daß wann derselbe sich in das gesell buch nach ordnung würde einschreiben laßen, und dasjenige, was er sowohl in ansehung des wochen Kreutzers, als sonsten schuldig seÿn mag, würde nachtragen haben, als dann die ihme in erster Instantz abgesprochenen Sieben Monath vor gültig Zu halten, mithin deßen Muthzeit von dem 11.ten Septembris vorigen jahrs zu rechen seÿe.

Le maître des maçons Bernard Rotter demande à l’assemblée la position qu’il doit tenir devant les Quinze après la nouvelle demande de Jean Georges Scherb

1775, Protocole du Corps des maçons 1770-1791 (XI 245)
(p. 69) Freÿtags den 31.ten Martii 1775. – Meister Bernhard Rottler der Obermeister meldete, daß Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Colmar gebürtig, Ihme abermakeb puncto dispensationis von der noch übrigen Muthzeit und admissionis Zum Meisterstück vor gnädige Herren die Fünffzehen belangen laßen, wollte also E. E. Meisterschafft befragt habe, wie er sich dabeÿ Zu verhalten habe.
Nach darüber gehalten Umfrag wurde Erkannt, Solle copia von deßen producirten Memoriali begehrt und nachgehends der Meisterschafft communicirt werden.

Jean Georges Scherb sollicite le premier avril 1775 auprès des Quinze d’être dispensé de terminer ses années d’épreuve. Les Quinze rejettent le 13 mai sa demande en le renvoyant à la décision rendue l’année précédente. Seule l’expédition de la sentence est conservée, le compte rendu des débats manque.

1775, Protocole des Quinze (2 R 186)
(p. 145) Sambstags den 1. Aprilis 1775.
Faust nôe Johann Georg Scherb des Maurergesellen cit. E. E. Handwercks der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer Obermr. puncto gnädiger erlaßung übriger muthzeit, prod. unth. Memoriale sub Lit. C. et C. und bitt Deputationem, Osterrieth bitt Cop. et T. O. Obt.

(registre incomplet)
(p. 277) Sambstags den 13. May 1775.
Bescheid, vom heutigen Tag. In Sachen Johann Georg Scherb des Leedigen Maurers gesellen, Imploranten, ane einem, entgegen und wider E. E. Meisterschafft der Maurer und Steinhauer Obermeister, am andern Theil, auf producires unterthäniges Memoriale mit beÿlagen sub Litts. D. et E. juncto petito, wir geruheten dem Imploranten die noch wenige übrige muthzeit gnädig Zuerlaßen folglich Zu erkennen, daß derselben nunmehr Zu dem examen des Meisterstücks derer Maurer und Steinhauer ex gratiâ zu admittiren seÿe, übergebene exceptiones mit beÿgefügtem Bitten Imploranten mit seinem heutigen begehren refusis expensis abzuweißen, gebettene, bewilligte und beschehene deputation, auch all übrig derer Parthen angehörtes vor und anbringen, Ist derer Herren Deputirten abgestatteten relation nach Erkandt, daß den Implorant mit seinem Begehren refusis expensis ab- und an den, den 4.ten Junii 1774. ertheilten bescheid Zu verweisen seÿe.

Jean Georges Scherb demande le 14 septembre 1775 au Corps des maçons d’enregistrer la fin de ses années d’épreuve conformément à la décision des Quinze.

1775, Protocole du Corps des maçons 1770-1791 (XI 245)
(p. 78) Donnerstags den 14.ten Septembris 1775. – Austhuung aus der Muth und Admission Zum Meisterstück
Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Colmar gebürtig, stehet vor und bittet, angesehen nach Inhalt des producirren bescheids von Gnädige Herren den Fünffzehen de dato 13. Maji jüngst, die Muthzeit der Zweÿ Jahren wircklich verfloßen, ihne aus den Muthjahren auszuthun und ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühren willfahrt.
(dt. Handwerck gebühr 1 lb 10 ß, Austhuung gebühr 1 ln 10 ß, pro admissione auch 1 lb 10 ß)

Jean Georges Scherb est admis à faire son chef d’œuvre le 15 septembre 1775. Après avoir réussi les épreuves préparatoires, il obtient le 10 octobre le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente le 8 février 1776. Les examinateurs relèvent quelques défauts mineurs et le reçoivent maître à part entière

1775, Protocole des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
Scherb, Joh: Georg, fol: 37. et 38.
(f° 37) Montags den 15.den Septembris Anno 1775. hora secunda pomeridiana, seind auf E: E: Zunfft der Maurer Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer, Mstr. Jacob Ferdinand Härtelmeÿer Steinhauer, Mstr. Georg Friderich Hüttner, Steinmetz, die dreÿ pro hoc anno geschworene Meisterstück Schauer, in Abweßenheit Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, des Steinmetzen und vierten Meisterstückschauers, als welcher verreißen müßen, beÿsammen erschienen
Und stunde vor Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Colmar gebürtig, bittend, angesehen E: E: Maurer Meisterschafft ihne den 14. hujus Zum Examen des Meisterstücks admittirt hat, solches anjetzo mit ihme vorzunehmen.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu willfahren und gleichbalden der Anfang damit Zu machen.

Dienstags den 10.den Octobris Anno 1775. nachmittags um Ein Uhren haben sich Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer, Mstr. Jacob Ferdinand Härtelmeÿer Steinhauer, Mstr. Georg Friderich Hüttner, Steinmetz und Herr Rathherr Georg Michael Müller Steinmetz, die vier pro hoc anno geschworene Meisterstückschauer auf der Zunftstub einander Versammelt.
Johann Georg Scherb, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Colmar gebürtig, stehet vor und bittet, angesehen Er das Examen überstanden, ihme das Meisterstück aufzugeben.
Erkannt, wird dem Comparenten in seinem Begehren Willfahrt und ist Ihme das Maaß, wie es in einem besonderen darüber führenden Protocollo befindlich aufgegeben worden.

Donnerstags den 8.ten Februarii Anno 1776.- hora ante meridiem octava seind in præsentia S. T. Herrn Fünffzehener Johannes Lemp, des hochgebietenden Herrn Obmanns, Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer meister, Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer Steinhauer, Mstr. Georg Friderich Hüttner, Steinmetz und Herr Rathherr Georg Michael Müller Steinmetz meister, die vier geschworene Meisterstück Schauer, auf Requisition Johann Georg Scherb, ledigen Maurers und Steinhauers von Colmar gebürtig, auf E: E: Zunft der Maurer zusammen gekommen, um deßelben verfertigtes Prob: und Meisterstück, so ihme den 10.den Octobris vorigen Jahrs aufgegeben worden, Zu besichtigen da sich dann befunden
1° daß die Fundament Mauren im ersten Keller grund auswendig keinen Absatz haben
2° daß der Platz des Gebäudes ane der Nebensgaß um dreÿ Zoll Zurück seÿe
3° daß im Grundriß von der Schneckensteeg im Kopf zu wenig tritt eingetheilt worden, so zwar im Auftrag recht gezeichnet ware, worüber Er sich dißfalls gut verantwortet, auch selbsten eingestanden, gefehlt Zu haben
4° daß der Kellerhals nicht nach der Vorschrift schrag in das Widerlager eingeführt, sonden Winckelrecht gemacht worden
Nach darüber gehaltener Umfrag ist durch den Hochgebietenden Herrn Obmann und die vier geschworene Herren Meisterstück schauere Erkannt worden, obwohlen hievor beschriebene Fehler ane dem Meisterstück sich befunden, so aber keine Hauptfehler, alles übrige aber sehr wohl verfertiget und gezeichnet gewesen daß gedachter Johann Georg Scherb als ein vollkommener Meister auf und anzunehmen seÿe, übrigens wurde derselbe, weilen er über die in den Articklen vorbeschriebene Zeit an Verfertigung des Meisterstücks Zugebracht, nach Abzug der ihme gegönnten Meßzeit von dreÿ Wochen, wie auch der eingefallene Feÿer und sonstigen Täge, da Er wegen Zunftgeschäften die Schöffenstub raumen müßen, ex gratia nur Zwo Wochen in eine Straf von dreÿ Pfund Pfenning fällig erachtet.
Und hat der Stuck meister dem Hochgebietenden Herrn Obmann mit Handtreu ane Eidesstatt angelobt, dieses sein Meisterstück eigener Hand verfertiget Zu haben.

Jean Georges Scherb devient bourgeois le 29 avril 1776 par sa femme à l’ancien tarif : inscription au registre, traitement de la demande

1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 149-v
Johann Georg Scherb der Maurermeister von Colmar gebürtig, erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Catharina Elisabetha Johann Georg Hatzungs des Metzgers und burgers allhier ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. der Maurer. Jur. den 29. Aprilis 1776.

(VI 286 bis) p. 332. Maurer. N° 4. den 10. aprilis 1776
Meister joh. georg scherb der ledige steinhauer und maurer Von Colmar gebürtig, Verlobt mit jfr. Cath. elisab. johan geörg Hatzung Sen. des hiesigen burgers und Metzgers ehel. tochter Producirt gehörige attestata welche seine ehrl. geburth augs: Conf. Zugethan, wie auch das beede Verlobte auf Löbl. statt stall alle Möglige Præetsanda Præstirt und der sponsus des Zunfftrechts beÿ E. E. Zunfft der Maurer vertröstet, gnungsahm erproben.
Impl. hat das Zu dem burger recht zu gelangen erforderliche Vermögen in 500. fl. baarschafft bestehend Vorgewiesen und dessen wahres eÿgenthumb eÿdlich bekräfftiget auch 100. fl. 5 ß ad Prot. Depon. mit dem unterthänigen bitten Euer gnaden geruheten ihme mit dem burger recht a Sponsa um den alten burger schilling gnädigst zu willfahren.
receptus a sponsa um den A. B. sch.

Jean Georges Scherb épouse Catherine Elisabeth Hatzung en avril 1776

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 24-v, n° 12)
Im Jahr 1776 sind auf den Ostersonntag und Ersten nach Ostern proclamirt und folgenden 17. Aprilis copulirt worden Hr Johann Georg Scherb Maurer meister H Johann Georg Scherb Kupfferschmids und burgers in Colmar und Fr. Annæ Dorotheæ gebohrner Herrmännin ehelicher Sohn, und Jgfr. Catharina Elisabetha Hrn Joh: Georg Hatzung Metzgers und burgers alhier und fr. Catharinæ Margarethæ gebohrner Rödererin eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Georg Scherb als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Hatzungin als Hochzeiterin (i 28)

La tribu des maçons délivre en mars 1776 une promesse de réception. Jean Georges Scherb devient tributaire le 26 juin 1776

1776 (6.3.), Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 292) Mittwochs den 6.ten Martii – Zunfftschein
Meister Johann Georg Scherb, dem ledigen Steinhauer und Maurermeister, H Johann Georg Scherb, des Kupferschmids und burgers Zu Colmar mit Fraun Anna Dorothea gebohrner Herrmännin ehelich erziehltem Sohn, wurde auf Befehl S. T. Herrn XV. Gangolff, dieser Ehrsamen Zunfft Hochgebietenden Herrn Oberherrn, gegenwärtiger Schein Zugestellt, daß wofern Ein alhießiger Hoch Edler Magistrat denselben vorderistens als burger wird recipirt haben Er auch beÿ dießeitigen Ersamen Zunfft als Zünfftiger auf und angenommen werden solle.

(p. 297) Mittwochs den 26.ten ejusdem [Junii] – Neu Zünfftiger
Meister Johann Georg Scherb, der Maurer und Steinhauer auch burger alhier, von Colmar gebürtig, stehet vor, producirt Cantzleÿ: und Stallschein vom 29.ten Aprilis jüngst, bittet ihn als einen Leibzünftigen beÿ dieser Ehrsamen Zunft anzunehmen.
(Zunfft R. 2 lb 11 ß, Pfthrn 1 lb, Einschrbgeb. 4 ß Findlghs 3 ß Summa 3 lb 18 ß)

Jean Georges Scherb prend part à son premier conseil au Corps des maçons

1776, Protocole du Corps des maçons 1770-1791 (XI 245)
(p. 84) Sambstags den 6. Julii 1776. – Meister Johann Georg Scherb erlegte für seine beÿ E. E. Meisterschafft anheute genonnemen erstern Sitz, 1 lb 10 ß

Il doit payer une amende pour n’avoir pas boutonné sa robe lors d’un conseil

(p. 142) Montags den 8.ten Maÿ 1780. – Meister Johann Georg Scherb wurde angeklagt, den Rockknopf nicht Zugehabt zu haben, deswegen Ihne ein Strubenrecht angesetzt worden mit 2 ß 6 d

Jean Georges Scherb meurt le 19 mars 1784 en tombant d’un mur d’une caserne en construction. Il délaisse trois enfants. Le défunt et sa femme n’ont pas fait dresser l’inventaire de leurs apports contrairement à ce qu’ils ont stipulé à leur contrat de mariage. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 134 livres, celle des héritiers présente un déficit de 35 livres. L’actif de la communauté est de 1 053 livres, le passif de 949 livres.

1784 (19.4.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 636) n° 199
Inventarium über Weiland Herrn Johann Georg Scherb geweßenen Maurermeisters Steinhauers und burgers alhie Zu Straßburg nunmehro seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet in Anno 1784. – nach seinem den 19. Märtzmonaths 1784. aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohl der hinterbliebenen Wittib Fraun Catharina Elisabetha gebohrner Hatzungin unter berathung und assistentz Herrn Johann David Osterrieth des alhier Verburgerten Maurermeisters u. Steinhauers des Defuncti mit erstbesagter Wittib ehelich erzeugter gleich hernach beannter dreÿer Kinder und ab intestato hinterlaßener rechtsmäßigener Erben geordnet und geschworenen Vogts – So geschehen alhier Zu Straßburg auf Montag den 19. Aprilis im Jahr nach Christi Geburth 1784.
Benennung der Erben. Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben hinterlaßen seine mit eingangs gedachter Wb. ehel. erzeugte Kinder alß 1° Johann Georg so 5. Jaht alt, 2° Catharina Elisabetha, so 3 ½ Jahr alt und 3° Maria Dorothea Ein halb Jahr alt.
Bericht in dießes Inventarium gehörig. Es haben zwar beede nun zertrennte Eheleuth in dero vor Herrn Notario Johann Friderich Dinckel unterm 7. Febr. 1774 errichteten bald hernach eingetrettenen Heuraths Abrede §° 3.tio ein freÿ eigen reservirt und ohnverändert Guth stipulirt, allein ihr einander zugebrachtes Vermögen nicht inventiren laßen (…)

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Prediger Kirch Hof gelegenen in diese Succession gehöriger behaußung hat ich befunden
Eigenthum ane einer Behaußung. Eine behausung, Hof und Hoffstatt, samt dem mit einer dielenwand umgebenen Platz, mit allen deren Gebeüden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg auf dem Prediger Kirch Hof beÿ dem Schlupff, einseit neben N. Gärtner dem Zuckerbeck, anderseit neben einer Löbl. Stift Hohen Schul alhier Zuständigen behaußung hinten auf Herrn Engelhard des handelßmanns hauß stoßend gelegen, Von diesem mit der dielenwald umgebenen Platz, Zahlt man jährl. auf Joh. Bapt: löbl. Statt Pfenningthurn 2 fl. bodenzinß auch ist diese behaußung mit der dienstbarkeit Altius non tollendi et ne prospectivi officiatur belegt und behafftet. Darüber meldet ein Löbl. Cantzleÿ Contract stub ausgefertigter deutscher pergamentener Kauffbrief ded. 27. May 1777. ausweisend wie Scherbische Eheleuth solche Behausung von Löbl. Stift Hoher Schul alhier observatis observandis an sich ersteigert. Und ist selbige von hiesiger Statt geschwohrnen Herren Werckmeistern Kraft dero Zu diesem Invent. Concept gelieferten schriftlichen Abschatzung dedato 4.ten May 1784. dem jetzigen Wahren Werth nach angeschlagen worden vor 600. lb. Davon abzurechnen vorherige 2. fl. bodenzinß Zu doppeltem Capital gerechnet mit 40 lb. Nach deren Abzug bleiben übrig 560. lb
Schulden in die theilbare Nahrung Zugeltend. Wegen den Casernen Bau im quartier de St Nicolas stehet dermahlen nichts aus. Solte aber bor die annoch daran Zu verfertigende Arbeit nach gepflogener Abrechnung Zu Gunsten dißeitiger Succession etwas ausfallen, so behaltet sich der Vogt seiner Curanden Antheil bestens vor
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unverändert Guth. Sa. haußraths 44, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 8, Sa. goldener Ringen 6, Sa. Schuld 75, Summa summarum 134. lb
Diesemnach wird auch der Erbe ohnverändert Vermögen verzeichnet. Sa. Kleidung und Weißen gezeugs 38, Sa. Silbers 1, Summa summarum 39 lb – Schulden 75, Passiv onus 35 lb
Endlichen kommt auch die beschreibung des gemein und theilbaren Nahrung. Sa. haußraths 46, Sa. bau Materialien wie auch Schiff und geschirr Zur Steinhauer Profession gehörig 84, Sa. Weins und der faßen 20, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 87, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 560, Sa. Schulden 249, Summa summarum 1053 lb – Schulden 949 lb, Nach deren Abzug 103 lb – Beschluß und Stall summ 203 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zubezahlend 12 lb
– Abschatzung Vom 4.ten Maÿ 1784. auf begehren Weÿland Herr johann Georg scherb dem gewesenen Maurer Meÿster ist Eine behausung alhie in der statt straßburg beÿ der Neu Kirch gelegen, Einseÿts neben Herr Gärtner dem Zuckerbeck, anderer seÿs Neben löbl. stifft Zur hohen schuhl und hinten auf Herr Engelhard stoßend gelegen solche behausung bestehet in Zweÿ stuben, Zweÿ küchen und Etliche Kammern, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller, hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und baujnspector und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetziger wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und umb. Ein tausend Zweÿ Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner, WMstr.
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 7. Februarÿ 1774, Johann Friedrich Dinckel Notarius publicus requisitus Augusti 1780. Johann Lederlin, Notarius juratus

Sépulture, Temple-Neuf (luth. XVI.a 1777-1785, f° 171)
Im Jahr Christi 1784. Freÿtags den 19. Martii morgens zwischen 9 und 10 uhr, starb an einem erbärm. Fall, den er von der Höhe einer Neu zu erbauenen Cazerne gethan, nach dem unerforsch. Rath und Willen des Herrn, H. Johann Georg Scherb, gewesener Maurer: Mstr und burger allhier, von Colmar gebürtig, deßen noch lebenden Eltern sind, H. Johann Georg Scherb Kupferschmidt und burger daselbst, und Frau Anna Dorothea, eine geborhne Herrmännin, der aber allhier in der Ehe gelebet hat, mit Frau Catharina Elisabetha gebohrner Hatzungin, als seiner nun von ihm hinterlaßenen Wittib. Seines Alters 40 Jahr und sechß Monath weniger Sieben Tage.
Sonntags darauf, als den 21. ejusdem wurde sein verunglücker und entseelter Leichnamb nach mittag umb dreÿ uhr nach der Kirche Zu S. Aurelien, von dar aber, nach gehaltener Leichnam Reden auf den Gottes: Acker S. Galli gebracht, und daselbst nach Christziemender Ordnung in sein Ruhestatt zur Erden, biß auf den Tag der Zukünfftig Auferstehung alles Fleisches befördert (i 174)

Les héritiers de Jean David Osterrieth rendent compte de la gestion des biens qui appartiennent à Jean Georges et Catherine Elisabeth Scherb. Le compte fait état des différents loyers encaissés.

1795 (18 germ. 3), Strasbourg 3 (44), Not. Übersaal n° 447
Rechnung Was der weiland bürger Johann David Osterrieth gewesener Maurer und Steinhauer als vogt Johann Georg und Catharinæ Elisabethæ Scherb weil. bürgers Johann Georg Scherb gewesenen Maurers und Steinhauers mit auch weiland der bürgerin Catharinæ Elisabethæ geb. Hatzung erzeugt und hinterlassenen beÿder Kinder seit den 10. Aprilis 1784 da Er zum Vogt ernennt und beÿdiget worden bis den 6. Vend. 3 da er verstorben eingenommen und hingegen wieder ausgegeben

Einnahme – An Haus: Zinnsen von der behaußung an dem Prediger Kirchhof
Von dem br. Storck seit Michaelis 1789 bis dahin 1792 vor 3 Jahr à 300
Von eben demselben von Michaelis 1792 bis den 25. dec. 1793 à 50 d. Quartal
von ebendenselben vor 2 Quartal vom 1. Nivose bis d. 1. Messidor 2 à 68
Von dem bürger Joh: Michael Meÿer Maurer der Curanden Stiefvater an Haus: zinß von Weÿhenachten 1789 bis Joh. Bapt: 1790 vor 6 Monate 150
Von Joh. Bapt: 1790 bis Weihehachten 1791 à 288 des Jahrs
Von dem br Ott an Haus: zinß vom 25. mart. 1792 bis dahin 1793, 200
Von eben denselben vom 25. mart. bis 25. dec. 1793 à 200 des Jahrs
Von eben denselben vor 6 Monate auf d. 1. Mess 2 verfallen à 62 lb das Quartal
enregistré 19 germ. 3

Jean Georges Scherb épouse en 1805 Anne Marie Thomas

1805 (25 fruct. 13), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 482, 2991
Sr Jean Georges Scherb, potier de terre fils de feu Sr Jean Georges Scherb, maçon en cette ville procréé avec feue Catherine Elisabeth Hatzung
Dlle Anne Marie Thomas fille du Sr Jean Georges Thomas, marchand de vin avec feue Susanne Wilhelmine Trentz
Enregistrement de Strasbourg, acp 97 F° 122-v du 26 fruct.



Plan Blondel : Propriétaires VII – VIII


La partie gauche transcrit la liste de propriétaires qui accompagne le plan Blondel (AMS, cote VI 585, sans date [1765]).
La partie droite une autre liste qui indique la surface des terrains en toises, pieds et pouces pour chaque parcelle portée au plan Blondel, en mentionnant le propriétaire (AMS, cote V 61, sans date, vers 1775).

VII 1 au Sr Mans Max 19 0 8
VII 2 Tribû des Cordonniers à la Communauté Tribu des Cordonniers 26 5 3
VII 3 aux héritiers de Walter Götz 29 3 3
VII 4 aux héritiers du Sr Kamm (supra)
VII 5 à M. Kamm marchand de vin (supra)
VII 6 à Mde la veuve Unselt Montsing 3 2 3
VII 7 au Sr Vignerote Klingler 3 1 0
VII 8 au Sr Braun Gamß Wittib 7 2 5
VII 9 au Sr Vignerote Schmitt 2 5 11
VII 10 Jean Egelus Franck 3 1 5
VII 11 Jean Ourlipp Lipp 3 1 9
VII 12 Sr Richer Rische 3 0 6
VII 13 au Sr Zeittel H. Pfarrer Giesing 3 2 5
VII 14 au Sr Schaeffer Schäffer 2 5 10
VII 15 au nommé Stiber Stieber pere 2 4 7
VII 16 au Sr Braun Stieber fils 2 4 7
VII 17 Jean Balthasar Herns Ernst 3 1 6
VII 18 au Sr Fischer Fischer wittib 25 0 9
VII 19 Sr Choisy sellier Choisi 26 0 6
VII 20 Jean Fréderic Zimmer Notaire H. Not. Zimmer 14 1 6
VII 21 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 0 3
VII 22 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 21 3 9
VII 23 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 35 2 6
VII 24 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 6 – –
VII 25 au Sr Ziegenhagen Ziehehan Wittib 11 2 0
VII 26 Jean Philippe Horn Schlag 2 3 6
VII 27 au nommé Spher Transperger 4 3 0
VII 28 Jean Adam Frentz Münch 7 2 6
VII 29 Ignace Götz Götz Chirur. 3 3 9
VII 30 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 0 6
VII 31 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 – –
VII 32 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 2 10
VII 33 M. de Bergan à la ferme 40 1 10
VII 34 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 22 3 6
VII 35 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 14 3 6
VII 36 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 13 4 6
VII 37 M. Lafermière Dürrenberger 23 5 2
VII 38 M. Ingel ministre Emmerich 11 0 3
VII 39 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 20 3 6
VII 40 M. de Zugmantel Mde de Zugmantel (noblesse) 15 4 8
VII 41 Mde Oberlet Oberler Wittib 16 – –
VII 42 aux héritiers du Sr Helmstetter Froideveau 8 5 6
VII 43 M. Wackerzapff Clauß 7 2 9
VII 44 Henry Ignace Rumpler H. Rumpler
44 ½ Roth
12 0 9
12 1 7
VII 45 aux héritiers de Mde de Lousteau Mr Gelb 5 1 5
VII 46 Mde Lemp H. XV. Lemp 32 3 2
VII 47 la veuve du Sr Bähr Doct. Michel 3 3 9
VII 48 Henry Adam Riehl Reuhl 4 2 3
VII 49 à la Ville à la Ville 36 0 8
VII 50 Jean Kesshammer Kößhammer 3 5 4
VII 51 au nommé Mangin Chenal 5 4 6
VII 52 au Sr Bruder Bruder 11 4 6
VII 53 M. Colbach Goldbach 4 – –
VII 54 Daniel Schaeffer Schlewer Wittib 5 1 1
VII 55 Mlle Baur Rhein 2 5 5
VII 56 Joseph Antoine Hessler Häßler 2 0 4
VII 57 au Sr Herrmann Ministre Stahl 4 3 0
VII 58 Jean George Jundt Junt 19 0 5
VII 59 Antoine Scharet Wittmann 4 3 4
VII 60 Jean George Fischer Fischer Wittib 4 5 0
VII 61 au nommé Eremann Doct. Ehrmann 5 4 3
VII 62 au Sr St Louis tailleur Käßhammer fils 31 1 4
VII 63 Jean Jacques Ott Knotterer 9 2 10
VII 64 Paul Stelin Stähling Wittib 3 0 7
VII 65 Jean Chretien Röderer Reterer 6 4 7
VII 66 Jean Jacques Burchard Bürry 2 4 2
VII 67 Jacques Hetzel Hetzel 3 2 3
VII 68 Godfroy Hardschmitt Vogt 4 0 6
VII 69 Jean Daniel Oberlet Gerold Wittib 3 5 5
VII 70 Jean Fréderic Ott Ott Wittib 4 3 9
VII 71 George Fréderic Ott Jacob Ott 4 3 9
VII 72 Martin Dasauer Tassauer 5 0 9
VII 73 Abraham Buschard Bouchard 10 1 6
VII 74 Jean André Thar Lux 4 5 5
VII 75 Jean Resch Rösch 8 – –
VII 76 au nommé Ottmann Hüttner 15 4 4
VII 77 aux héritiers du Sr Brandhoffer Zaberer 15 4 6
VII 78 Jean George Beck Bick 11 1 10
VII 79 aux héritiers du Sr Brandhoffer Endsfeld 2 5 4
VII 80 Jean Jacques Jundt Koch 2 1 0
VII 81 au Sr Herrmann Christiani 2 2 2
VII 82 Philippe Fréderic Saltzmann Saltzmann 2 1 3
VII 83 Adam Zwicker Zwicker 13 4 9
VII 84 au Sr Saltzmann Saltzmann 4 2 3
VII 85 Jean Borst Schäffer 4 0 3
VII 86 Jean Jacques Trescher Hoffman 4 0 10
VII 87 Jean Gaspard Lois Fritz 3 5 0
VII 88 Jean Jacques Kapp Daniel Kapp 7 3 6
VII 89 Jean George Garr Gerog Haag 4 4 0
VII 90 Tobie Riedel Riedler Wittib 3 2 6
VII 91 Jean Jacques Schleÿ Beÿer 4 4 0
VII 92 M. de Rathsamhausen Peter Martzloff 20 2 10
VII 93 au Sr Flach Gerog Buck 11 4 0
VII 94 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 17 3 0
VII 95 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 12 2 3
VII 96 Corps de garde Corps de garde
VII 97 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 1 5
VII 98 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 25 4 5
VII 99 hôtel de la monnaye au Roy La Monnoye 50 1 0
VII 100 à la Ville Balance à farine 14 – –
VII 101 au Sr Reüchlin Zind 13 3 6
VII 102 au Sr Acker Pianko 4 3 0
VII 103 au Sr Fischer Brandhoffer Wittib 6 – –
VII 104 aux héritiers du nommé Krafft Peter Palliet 3 1 0
VII 105 Daniel Lipp Daniel Lipp 15 2 6
VII 106 Jacques Formier Bormier 2 5 7
VII 107 Jean Bechtolff Bechtold 3 0 –
VII 108 Emanuel Reffold Huber 3 2 10
VII 109 Jean Schrott Schott 4 0 4
VII 110 les héritiers Getzel Hetzel 9 4 6
VII 111 Jean Philippe Helbeck Helbeck 8 4 6
VII 112 Jean Kietter Joh. Emmerich 7 5 9
VII 113 Philippe Fréderic Kuntz Allheÿl 3 1 9
VII 114 Jean Daniel Schruder Krafft 2 – –
VII 115 Jean Daniel Reitz Reÿth 7 3 6
VII 116 les héritiers du Sr Schreider Krafft 4 2 0
VII 117 au nommé Guntzer Ginder 8 1 7
VII 118 Jean Philippe Wanner Webers Erben 3 0 0
VII 119 George Jacques Knoll Knoll Wittib 3 0 7
VII 120 André Siffert Starck 11 2 8
VII 121 au nommé Betzloff Gottesmann 2 2 5
VII 122 Philippe Jacques Salomon Salomon 11 1 6
VII 123 Conrad Moor Joh. Stamm 5 1 3
VII 124 Simon Kübelé Kübele 4 0 10
VII 125 héritiers du Sr Beckel Beckler 11 4 6
VII 126 Melchior Wurm Wurm 11 4 2
VII 127 Philippe Henry Windenmeÿer Widemeÿ 2 3 4
VII 128 Simon Vörder Heckmann 6 1 5
VII 129 Godfroy Henrÿ Lang Vogt 4 1 10
VII 130 au Sr Dürninger Engel 2 4 5
VII 131 M. Klein Not. Greiß 3 0 0
VII 132 à la veuve Straubhart Nagel 16 3 11
VII 133 Jean George Acker Kleinmann 19 3 4
VII 134 au Sr Bacquet Pacquet 19 5 0
VII 135 David Schaad Schad 5 0 6
VII 136 Jean Paul Blind Schwartz 8 5 5
VII 137 Chrétien Kessner Daniel Butz 3 5 9
VII 138 Jean Louis Ginder 5 0 0
VII 139 Jean George Hildebrandt Hetzel 3 2 10
VII 140 Philippe Jacques Lutz Jacob Lutz 13 2 4
VII 141 Jean Wilhelm Willhelm 3 8 2
VII 142 au nommé Weissenberger Grimiß 2 5 6
VII 143 Jacques Percelat Georg Antoni 3 1 4
VII 144 André Eberhard Eshörner Eberle 1 1 3
VII 145 Geofroÿ Lichtenfelder Lichtenfelder 2 1 9
VII 146 Jean Henry Ober Jacob Bower 6 3 10
VII 147 Jean Freiss Freÿß Wittib 9 3 10
VII 148 la veuve Philippe Wanner Reterer 4 0 10
VII 149 Jean Nicolas Schmitt Schmitt 5 2 0
VII 150 Jean Michel Starck Gruber 17 3 3
VII 151 au Sr Baur Bauer 6 0 8
VII 152 Chretien Rieffer Müller 15 4 9
VII 153 Jean Jacques Stuber Baldner 4 0 8
VII 154 Jean Jacques Bein Bein 5 1 10
VII 155 Daniel Buchard Juré 14 0 4
VII 156 Jean Schätzel Schetzel 5 1 0
VII 157 Fréderic Küttler Burend 10 4 9
VII 158 Jean Michel Stamm Braun 2 5 0
VII 159 Jean George Weissenmantel Joh. Bahl 2 2 5
VII 160 Jean Gaspard Fuchs Imbert 4 0 3
VII 161 au nommé Zigner Zinßler 7 1 0
VII 162 George Abraham Endlich Endlich 13 3 6
VII 163 George Abraham Endlich (supra)
VII 164 Jean George Burger Speichel 2 1 4
VII 165 Baltasar Ehald Besson 3 4 6
VII 166 Jean Michel Kroh Kaÿser 3 3 6
VII 167 Jean Bersch Börsch 2 0 0
VII 168 Jean Jacques Frick Mohr 2 2 3
VII 169 Philippe Kugler Reÿd 3 5 9
VII 170 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 56 4 7
VII 171 au Chapitre de St Pierre le Vieux (supra)
VII 172 Géofroy Wittenberger Schmitt 3 4 0
VII 173 Melchior Burÿ Bürrische Erben 2 0 0
VII 174 au nommé Eissenmann Geÿer 2 0 4
VII 175 Jean Fréderic Barth Büch 1 4 10
VII 176 Fréderic Küttler Hebeÿß 2 3 5
VII 177 au Sr Rohr Kleinische Erben 2 2 6
VII 178 Jean Fréderic Mengess Menges 9 3 6
VII 179 Bernard Wagner Cunrad Felde 1 4 6
VII 180 Jean Philippe Schaecker Bischoff 3 1 7
VII 181 Jean Charles Hirtz Hirtz 2 0 5
VII 182 Jean George Roth Georg Roth 3 1 1
VII 183 la veuve Jean Kopp Kopp 1 4 8
VII 184 au Sr Gess Rischmann 3 1 8
VII 185 Pierre Jansen Franck 4 0 10
VII 186 Fréderic Küttler Gottler 1 4 0
VII 187 à la veuve Baumann Mercklern Wittib 1 4 0
VII 188 aux héritiers de la veuve Ottmann Heinrich 3 2 0
VII 189 la veuve de Jean Erneste Spiellmann Burgraff 3 3 4
VII 190 au Sr Saum Klein 19 0 6
VII 191 Antoine Chappuy Capuy 1 4 0
VII 192 aux héritiers Karcher Löb 3 1 0
VII 193 Michel Fritsch Stern 4 1 0
VII 194 Sr Bourand ministre de St Guillaume Baumgard Wittib 5 0 3
VII 195 à la Fondation de St Marc à St Marc 22 1 5
VII 196 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 197 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 198 à la Fondation de St Marc (supra)
VII 199 Jean Daniel Müller à St Marc par Müller 3 1 6
VII 200 Leonard Düllinger à St Marc par Dillinger 3 2 7
VII 201 la veuve Jean Gaspard Müeg à St Marc par Joh. Müh 5 0 9
VII 202 aux héritiers du nommé Ottmann à St Marc par Strintz 28 0 0
VII 203 Jean Philippe Roegner à St Marc par Müller 3 1 0
VII 204 à l’ Abbaye d’Altorff à l’Abbaye d’Altorff 37 2 8
VII 205 Nicolas Sieb Süß
205 ½ Lamasse
4 5 0
10 2 1
VII 206 Martin Albrecht Joh. Daß 4 3 0
VII 207 à la Ville à la Ville 5 2 8
VII 208 Jean Jacques Lohmüller Barthel 3 4 6
VII 209 Martin Widemann Hammer 3 4 6
VII 210 Daniel Leither Tubach 3 4 0
VII 211 au Sr Oberlé Schmitt 3 3 8
VII 212 Jean Léonard Kessig Kößig 3 2 8
VII 213 Jean George Rhiel Lausterer 2 1 8
VII 214 Jean Léonard Linder à la Ville 4 0 0
VII 215 Jean Léonard Linder Seiffert 4 0 3
VII 216 à la Fondation de St Marc à St Marc 3 3 4
VII 217 Jean Michel Schilling Wolf 3 1 8
VII 218 la veuve Jacques Schaeffer Guth Wittib 3 1 8
VII 219 Jean Viguand Güet (St Marc) Himmler 5 0 7
VII 220 Jean Philippe Müller (supra)
VII 221 à la Ville à la Ville 1 2 6
VII 222 Bartolomé Haussmann Hanßmann 3 1 9
VII 223 Jean Charles Strintz Strintz 3 1 1
VII 224 Martin Hegler Florer 6 3 7
VII 225 Martin Holnescher Pfiffer 3 1 9
VII 226 Prisons de la Ville Prison de busch 9 0 6
VII 227 Jean Daniel Inckel Schlegelmilch 10 4 0
VII 228 Melchior Burich Stahl 4 0 4
VII 229 Jean Michel Diebolt Mich. Diebolt 4 3 10
VII 230 Jean Jacques Fritsch Jungf. Moßer 2 3 10
VII 231 Jean Michel Speck Speckische Wittib 9 4 6
VII 232 la veuve de Jean George Müeg Funck
232 ½ Dachert
8 4 6
3 2 10
VII 233 au nommé Ziegler Rathh. Ziegler 16 0 0
VII 234 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 3 9
VII 235 Jean George Müller Contre l’eau appartenant au Sr Helck 16 5 8
VII 236 la veuve Christnacht Foltz 10 3 0
VII 237 au nommé Jost Contre l’eau appartenant au Sr Helck (supra)
VII 238 la veuve de Stoulacher Jost 4 2 2
VII 239 à la Ville (supra)
VII 240 au Docteur Eisenmann Lißbett wittib 3 2 8
VII 241 George Hogriedt à la Ville 4 4 0
VII 242 George Hogriedt Hochrieth 6 1 7
VII 243 George Hogriedt Siffert 8 4 0
VII 244 Jean Jost Jost 2 0 0
VII 245 au Sr Schlenacker Menninger 8 4 8
VII 246 au Sr Zaberer Ruelle d’entrée 0 4 9
VII 247 au Sr Strauss (supra)
VII 248 au Sr Brancourt Brancourt 5 2 3
VII 249 aux héritiers du Sr Barth Baldner 4 1 2
VII 250 Chretien Weglesser Wehlinger 3 1 10
VII 251 Jean Martin Neumann ne toisent pas
VII 252 Philippe Martin Zabern ne toisent pas
VII 253 Jean Wagner ne toisent pas
VII 254 Jean Nicolas Meltzheim Milßheim 4 0 6
VII 255 Jean George Wolck Volck Wittib 3 4 10
VII 256 au Chapitre de St Pierre le Vieux à St Pierre le Vieux 4 4 4
VII 257 Jean Pierre Osser Riehling 3 4 4
VII 258 Jean Fréderic Jäcklé Jäckler Wittib 4 0 3
VII 259 Jean Ulrich Schaffitz Schafflitz Wittib 8 0 6
VII 260 André Schurer Fridel 4 0 10
VII 261 Joachim Gerold Federheim 3 0 4
VII 262 Jean Fréderic Griesbach Grießbach 3 3 1
VII 263 Jean Baquet Paquet 5 2 8
VII 264 aux héritiers du Sr Hetzel Gerold 2 1 6
VII 265 Jean Martin Rauch Müller 3 1 5
VII 266 Jean Martin Rauch Rauch 9 2 5
VII 267 Martin Tagsauer Tassauer 9 4 0
VII 268 Jean Pierre Friedel Friedler Wittib 15 0 3
VII 269 Eglise, Batiments dependants de St Thomas Recette de St Thomas
Temple de St Thomas
24 1 0
73 1 9
VII 270 Mde Marbach Füller 11 0 6
VII 271 Laurent Klopffer Klopffer 6 0 8
VII 272 Jean Daniel Würtz Würtz 3 0 5
VII 273 Jean Michel Trawitz Trawitz 3 4 0
VII 274 Jean George Kürschläger Kirsching 10 5 6
VII 275 Jean Daniel Eberlin Eberle 7 1 0
VII 276 au Sr Reüschling Bick Wittib 11 3 8
VII 277 M. Wachter Wachter 26 0 0
VII 278 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 28 2 2
VII 279 au Sr Wignerote Chour 6 1 6
VII 280 au Sr Braun Kugler 26 4 7
VII 281 M. Brackenhoffer le professeur Brackenhoffer 27 0 5
VII 282 Bernard Wochler Wollers 6 2 10
VII 283 Jean Martin Papelier Papelier 20 2 6
VII 284 Jean Gabriel Held 3 1 9
VII 285 au Docteur Ottmann Doct. Ottmann 21 1 8
VII 286 au Docteur Ottmann (supra)
VII 287 Philippe Jacques Voltz Foltz 5 1 3
VII 288 Laurent Weber Wöhler 12 5 4
VII 289 aux héritiers du Sr Stuber Osterrieth 6 1 3
VII 290 au Chapitre St Thomas à St Thomas 24 4 0
VII 291 au Sr Kleinclaus Spiehlmann 7 1 4
VII 292 M. Wacquier Bourgard 21 2 6
VII 293 au Sr Sahler M. baron de Haindel (noblesse) 8 1 0
VII 294 Simon Soubry Mde Suprie 21 5 0
VII 295 M. Brackenhoffer le XV H XV Brackenhoffer 14 1 4
VII 296 Jean Schouppart Schubarth 7 4 9
VII 297 M. Kornmann Hollefeld 5 4 0
VII 298 Laurent Dietrich Dietsch 2 0 6
VII 299 Jean Daniel Schweigheuser Not. Schweigheißer 4 0 4
VII 300 au Sr Herff Imling 16 2 9
VII 301 au Sr Haan Stamm 17 0 6
VII 302 M. Hammerer Rath. Gibs 12 5 0
VII 303 Jean Léonard Finck Finck 15 2 3
VII 304 George Fréderic Nestling Nestling Wittib 10 5 0
VII 305 la veuve du Sr Haubenstreit Holtzapffel 6 2 0
VII 306 Philippe Jacques Huber Not. Saltzmann 6 4 2
VII 307 Sr Kornmann Doten 6 2 9
VII 308 M. Lemp apoticaire Martin 13 1 9
VII 309 L’ Hôtel de Ville Neubau (Ville) 65 4 3
VII 310 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 17 5 0
VII 311 Joseph Antoine Mainonÿ Maÿnoni 13 1 0
VII 312 Jean Jacques Stamm Stamm Wittib 4 2 4
VII 313 Jean Jacques Stamm (supra)
VII 314 M. D’Angelo Dangelo 5 2 10
VII 315 M. D’Angelo (supra)
VII 316 George Daniel Meinicken Vaillant 3 4 9
VII 317 la veuve Mde Griess Not. Schatz 2 4 9
VII 318 Joseph Müeg Lemmermann 3 2 9
VII 319 Fréderic Charles Spielmann Kau 19 2 8
VII 320 Jean Bernard Schlegel Fix 2 3 8
VII 321 Jean Jacques Dürbach Rothan 3 2 9
VII 322 Jean George Rothan Holterman 3 1 8
VII 323 Jean George Holdermann Starck 8 0 10
VII 324 Jean Saum (supra)
VII 325 Jacques Bacquet Waquet 7 5 1
VII 326 Sr Reichard Richert 22 3 0
VII 327 au nommé Petmesser Bettmesser Wittib 4 3 6
VII 328 Christophe Würtz Wagner 5 3 8
VII 329 Jean Jacques Siffer Siffert Wittib 2 4 8
VII 330 Daniel Meyer Faußer 4 2 6
VII 331 Jean Martin Schöner Günner 4 2 9
VII 332 Jean Michel Retzlob Ritzelhoff 4 0 6
VII 333 Bernard Reÿ Haussé 4 4 0
VII 334 Daniel Heiligenmeÿer Herlenmeÿer 2 0 0
VII 335 Jean Kamm Kamm 11 3 3
VII 336 Charles Verius Graff 12 1 4
VII 337 Samuel Schrag Schrag Wittib 5 0 0
VII 338 Jean Henry Blessy Bleßi 4 3 3
VII 339 Jean Henry Schneider Ruhland 3 0 4
VII 340 Jean Henriy Blessy Bleßi 11 3 6
VII 341 Fréderic Füesinger Fießinger 12 0 10
VII 342 George Fréderic Weisshar Weißhaar Wittib 4 5 0
VII 343 Jean Michel Freÿtag Amler Wittib 4 2 10
VII 344 Jean Daniel Stamm Stamm 5 5 0
VII 345 Jean Daniel Stamm Paquet 16 4 6
VII 346 Jean Daniel Stamm (supra)
VII 347 la veuve Philippe Hammerer Kamm 16 0 7
VII 348 Jean Henry Böckler Barbenesse 7 4 8
VII 349 Sr Ebertz Schwartz 15 5 0
VII 350 la veuve Mad. Vigera Eberts 23 2 7
VII 351 Jean Fréderic Busch Beckert 6 4 1
VII 352 Jean Léonard Metzger Metzger 1 2 9
VII 353 Jean Daniel Krettler Trettler Wittib 16 1 9
VII 354 au Temple neuf à St. Thomas 9 8 10
VII 355 George Adam Petzel Wunschold 7 3 4
VII 356 M. Barth Barth Wittib 26 2 11
VII 357 Tribû des Tonneliers, à la Communauté Tribu des Tonneliers 23 2
VII 358 Sr Kuntz Weiß 23 2 7
VII 359 Jean Sebastien Weiss (supra)
VII 360 Sr Froereisen Freÿreiß 9 1 10
VII 361 George Géofroy Gambs Gamß 19 2 0
VII 362 Jean Bernard Bernhart 30 4 6
VII 363 M. Staedel XV Saum 12 5 5
VII 364 M. de Baÿer Debeÿer 11 2 2
VII 365 les héritiers du Sr Büchel Robert 21 2 6
VII 366 Jean Fettich Not. Endsfelder 13 2 6
VII 367 au Chapitre de St Thomas à St Thomas 10 3 6
VII 368 M. Staedel à la fabrique de Notre Dame 12 3 6
VII 369 Jean Certain Rey 4 3 0
VII 370 M. Dietrich le XV Dietrich Wittib 10 3 6
VII 371 au Sr Williame Williaume 2 1 7
VII 372 au Sr Sapé Dürr 2 2 2
VII 373 Fréderic Daniel Fleck Fleck 2 1 10
VII 374 David Eisenheim Isenheim 2 0 0
VII 375 au Sr Hervé Ervé 17 0 6
VII 376 André Cossa Cossar 9 0 7
VII 377 François Antoine Hueter Antoni Arbogast 3 5 6
VII 378 André Cossa André Cossar 12 0 8
VII 379 Jean Léonard Kuff Schneider 4 0 0
VII 380 Joseph Büchel Büchel Wittib 13 0 3
VII 381 David Harnack Harnack wittib 3 4 6
VII 382 Mde Tournay Dangelo 9 1 8
VII 383 André Schneller Staud 3 4 7
VII 384 George Fréderic Hutter Bahn 7 0 8
VII 385 M. Brackenhoffer Mann 23 0 9
VII 386 Jean Daniel Kolb Kolb 9 1 9
VII 387 Philippe Reishoffer Rißhoffer 11 4 9
VII 388 Jacques Dürninger Dürninger 17 1 7
VII 389 M. André Bruder Hoffseß 11 1 8
VII 390 M. Stolff Stoltz 3 0 3
VII 391 Mde Algoy Dietz 8 1 6
VII 392 Jean Michel Männel Teutsch 2 3 6
VII 393 Jean Géofroi Mann Mann 8 4 8
VII 394 Sr Halbeisen (supra)
VII 395 la veuve Jean Martin Stempfel Knoll 10 1 7
VII 396 Jean George Heffner Häffner 9 8 6
VII 397 Tribû de la Moresse Mähre Tribu 41 2 3
VII 398 Jean Pierre Dürr Dürr 12 8 2
VII 399 Jean Jacques Scarr Scaer 4 1 7
VII 400 George Ebersberger Ewersberger 5 3 5
VII 401 aux héritiers de M. Messel Mannberger 3 3 11
VII 402 Jean Philippe Beickert Hetzel 3 0 0
VII 403 Jean Beck Beck 2 3 8
VII 404 Abraham Gross Christman 2 5 6
VII 405 Jean Philippe Burgert Burgard 2 2 4
VII 406 Joachim Gerold Geroldt 3 3 4
VII 407 Michel Riff Rieff 8 3 0
VII 408 Jean Michel Greüner Greiner 12 5 0
VII 408,1 Jean Illinger Illinger Wittib 2 3 11
VII 409 Jean Daniel Riss Waltz 2 2 8
VII 410 Jean Philippe Friess Hertzog 5 1 3
VII 411 Jean Michel Greüner Greiner 13 3 0
VII 412 Jean Jacques Vogt Vogt 9 5 0
VII 413 aux héritiers du Sr Hartschmidt Bomesse 1 2 9
VII 414 au Sr Osterrieth Bernard 1 5 4
VII 415 Jean George Grimm Spiegelberger 4 0 0
VII 416 M. de Flaxlanden Mde de Flaxlanden (Noblesse) 38 1 0
VII 417 Tribû des Maréchaux, à la Communauté Tribu des Marechaux 7 3 9
VII 418 Sr Chalon Karth 6 3 9
VII 419 Sr Oesinger Eßinger Wittib 10 2 9
VII 420 Jean Michel Stahl Tribu des Marchands 35 0 10
VII 421 Tribû des Marchands, au Corps des marchands (supra)
VII 422 Sr Conigliano Silberath 13 0 9
VII 423 Jean Daniel Staedel Stadler wittib 10 5 7
VII 424 Fondation de St Nicolas à St Nicolas 5 1 2
VII 425 Antoine Hetzel Hetzel 3 3 10
VII 426 Mde Miville Miville 4 5 8
VII 427 les héritiers du Sr Martin Martin 3 4 10
VII 428 Sr Mosseder Doct. Moseter 18 2 8
VII 429 au Chapitre de St Nicolas H. XIII. Hennenberger 11 3 4
VII 430 M. Hennenberg XV (supra)
VII 431 Jean Daniel Ehremann Schäffer 10 1 0
VII 432 aux héritiers du Sr Lechner Schwartzische Erben 4 0 4
VII 433 Joseph Straub Straub 2 0 5
VII 434 à la Ville Allmoßen stub (Ville) 47 0 4
VII 435 Jean François Khun Kuhn Wittib 16 0 6
VII 436 Jean Valentin Sommervogel Sommervogel 4 3 10
VII 437 Jean Géofroy Storr Lutz 2 3 11
VII 438 la Douane à la Ville Kauffhauß (Ville) 52 0 0
VII 439 Jean Philippe Schatz Schatz 13 5 0
VII 440 Henry Wildt Witt 5 1 2
VII 441 Jean Khulmann Gintzroth 12 2 5
VII 442 la couchette, à la Fabrique de N. D. à la Fabrique de Notre Dame 31 4 0
VII 443 Jean Fréderic Pfeler Jungf. Seibin 10 1 6
VII 444 Jean Martin Hoch Martin Husch 3 1 3
VII 445 la veuve de Roemer Röhmers Erben (boutiques adossées contre la Douane) 1 2 6
VII 446 la veuve de Romessen Mohr (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 447 la veuve Heyler Heißler Wittib (boutiques adossées contre la Douane) 1 1 0
VII 448 Jacob Würtz Würtz (boutiques adossées contre la Douane) 2 2 0
VII 449 la veuve Ling Knotter
449 ½ Haußer (boutiques adossées contre la Douane)
1 0 10
3 0 6
VII 450 à la Ville Boutiques à la Ville 9 3 0
VII 451 à la Ville Zollkeller (Ville) 17 0 0
VII 452 à la veuve Klein Klein Wittib 4 0 6
VII 453 Jean Bruder Saum 5 2 8
VII 454 Pierre Labelly Kieffer 5 2 10
VII 455 Jean Jacques Haug Beschon 3 0 9
VII 456 Péage à la Ville jauges de la Ville 1 3 2
VII 457 à la Ville Boutique à la Ville 4 2 6
VII 458 Léonard Sollinger Dollinger 2 4 0
VII 459 Conrad Halbermeÿer Fettinger 3 0 8
VII 460 Balance où l’on pèse la poix, à la Ville
VIII 1 Jean Fréderic Arnold Reinhard 13 2 5
VIII 2 Jean Retzlob Ritzelhoff 2 3 4
VIII 3 au Sr Diemert Heÿlische rben 3 – –
VIII 4 Jean Jacques Meyer Meÿer 3 2 9
VIII 5 au Sr Schaeffer Schöffler 3 3 10
VIII 6 Conrad Heil Heÿl 8 0 6
VIII 7 au Sr Braun Braun 3 3 7
VIII 8 à Mde Streling Strähling Wittib 7 1 2
VIII 9 au Sr Sehwisch Moll
9 ½ Seebisch
3 4 6
14 1 4
VIII 10 à Mde Werner à St Nicolas 5 3 6
VIII 11 Temple et maison du Me d’Ecole de St Nicolas Temple de St Nicolas
au même
41 5 0
14 4 4
VIII 12 Michel Thomas Thomas 2 0 2
VIII 13 Henry Friess Cul de sac
VIII 14 Jacques Kieg Krieg 6 – –
VIII 15 au Sr Schaetzel Edler 3 1 1
VIII 16 Mde Untzel Schäffer 4 1 11
VIII 17 Jean Philippe Schmitt Schmitt 13 2 10
VIII 18 Jean Rhoterer au n° 20
VIII 19 au Sr Pürgel Bürckel 4 1 8
VIII 20 Jean George Heim et Henry Reinbold Freÿsinger Wittib 8 3 3
VIII 21 Jean Philippe Piton Bidon 3 2 9
VIII 22 Jean George Heim Heim 13 5 0
VIII 23 Jean Hetzel Schäffer 3 5 6
VIII 24 à la veuve Jean Jacques Rech Rösch Wittib 8 5 7
VIII 25 Philippe Schmitt Finck 8 2 0
VIII 26 Jean Daniel Schmittler Schnittzler 8 4 9
VIII 27 Jean Dietrich Falmer Falmers Erben 28 3 6
VIII 28 M. Franck XXI H. Ameister Franck 7 4 3
VIII 29 à M. le baron de Falckenhayn M. de Falckenhayn (Noblesse) 10 1 6
VIII 30 à M. de Wurmser Logement de M. De Wormser
VIII 31 à Mde Sommer Gochnal 5 5 7
VIII 32 Rotha Spillmann Spiehlman 20 0 0
VIII 33 au nommé Streicher Schäffer 9 3 10
VIII 34 David Siegwald Kercker 3 0 10
VIII 35 Jean Simon Bag Gerold Wittib 8 2 3
VIII 36 Jean Porst Post 7 3 2
VIII 37 Jean George Ziguehar Frick 2 5 6
VIII 38 Laurent Zimmer Arnold 20 5 0
VIII 39 Chretien Kulemann Gullmann 5 4 2
VIII 40 à l’ hôpital Bourgeois à l’hôpital 4 0 4
VIII 41 Daniel Pfeffinger Pfeffinger 6 4 6
VIII 42 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 6 5 6
VIII 43 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital (supra)
VIII 44 aux Bénedictins d’Ebersheimmünster à l’abbaye d’Ebersheimmünster 3 3 3
VIII 45 à l’ hôpital bourgeois à l’hôpital 21 1 10
VIII 46 à l’ hôpital bourgeois et dépendances jardin au même 12 – –
VIII 47 à l’ hôpital bourgeois dans un cul de sac
VIII 48 à M. Bay dans un cul de sac
VIII 49 à la Ville Mr d’Icherzheim (Noblesse)
son jardin
29 – –
VIII 50 Gaspard Weiller Weÿler 4 1 6
VIII 51 Jean Pierre Morhard Unger 12 0 6
VIII 52 à la veuve d’Auguste Mittmann Démoli
VIII 53 au Sr Reishoffer Geÿer Wittib 5 4 6
VIII 54 Jacques Belly Dans un cul de sac
VIII 55 Nicolas Götzinger Dans un cul de sac
VIII 56 à Mde de Mackau Clavé 16 2 2
VIII 57 aux héritiers de M. Gloxing H. Ammeister Franck 16 – –
VIII 58 à M. Weigen Weÿer Wittib 13 3 6
VIII 59 à M. de Kempfer H. Kempffer 2 5 6
VIII 60 à M. Christophe Bernard Dans un cul de sac
VIII 61 au Sr Gasparÿ Moralle 5 4 2
VIII 62 au Sr Reishoffer XV H.Adam 3 3 0
VIII 63 au Chapitre de St Thomas à St Nicolas 3 3 0
VIII 64 au Sr Hitschler Hittschler 55 3 0
VIII 65 Jean Michel Remond Remund
65 ½ Reinhard
65 ¾ Weiß
19 3 0
8 3 2
7 1 9
VIII 66 à la Ville Hittschler (vide supra)
VIII 67 à la Ville Hittschler 4 5 0
VIII 68 à la Ville Winderer 23 3 3
VIII 69 à l’ hôpital bourgeois (supra)
VIII 70 Jean Philippe Lederlé Lederler Wittib 3 4 5
VIII 71 Jean Schaeffer Bauer Wittib 3 4 9
VIII 72 George Eckert Eckert 3 4 6
VIII 73 Alexis Letournée Letourné 11 3 7
VIII 74 au Sr Kammerer Rathh. Kammerer 4 5 6
VIII 75 Jean Daniel Streiter Stein Wittib 4 0 1
VIII 76 Eglise et Couvent de l’ Ordre des Chanoines réguliers Maison et Eglise de St Louis 49 2 0
VIII 77 à la Ville Blancherie à la Ville 39 2 0
VIII 78 à la Ville (supra)
VIII 79 Salle d’anatomie à la Ville Anathomie (à la Ville) 11 3 8
VIII 80 maison à la Ville Balance à farine 11 1 2
VIII 81 à la veuve du nommé Beck Ritter Wittib 9 4 7
VIII 82 Dieudonné Cherrier Cherrier 4 2 2
VIII 83 à la veuve de Jean Müller Not. Nennter 4 3 2
VIII 84 Sr Philippe Jacques Lauth Blind 6 1 3
VIII 85 au Dintzenmüller Rath. Lauth 7 2 8
VIII 86 Philippe Burger Weigel 6 4 6
VIII 87 Philippe Burger Wagner 4 2 9
VIII 88 Jean George Ehalt Baldner 4 2 8
VIII 89 Charles Baldner Schuhler 4 3 2
VIII 90 Daniel Jung Wendler Wittib 6 – –
VIII 91 à M. de Zorn Mr De Zorn (noblesse) 15 0 4
VIII 92 à la Ville Moulin à la Ville, le Logement dud. moulin 11 3 4
VIII 93 à la Ville le moulin d. Dintzenmühl 10 3 6
VIII 94 à la Ville Spitzmühl le tout ensemble 21 2 0
VIII 95 aux héritiers du Docteur Lorentz Julien 13 – –
VIII 96 maison dite Bladerhaus à la Fondation de St Marc son jardin
VIII 97 aux héritiers de la veuve Hetzel Hetzel Wittib 7 1 8
VIII 98 Jean Daniel Friedel Fridel 11 2 7
VIII 99 à la Ville Logement de l’Eclusier de Navigation
VIII 100 Sr Schweighaeuser Schweigheißer 80 – –
VIII 101 à M. Fridt Prof. Fritt 30 1 9
VIII 102 à M. de Waldner H. von Waltner (noblesse) 10 4 6
VIII 103 à M. de Marcklesy Wolff jud 11 3 9
VIII 104 Logement du Lieutenant du Roy, à la Ville Jardin de Mr Delort
son hôtel
5 3 0
36 – –
VIII 105 Jean Philippe Goll Goll 5 1 7
VIII 106 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg à l’abbaye de Neubourg 9 0 4
VIII 107 à Mrs de l’ abbaye de Neubourg leur jardin 36 – –
VIII 108 Jacques Ulrich Ulrich 3 4 8
VIII 109 au Sr Walter Hieber 3 5 0
VIII 110 à la veuve de Jean Christophe Gambs Gamß 15 1 6
VIII 111 Remises des fiacres à M. Duboc Magasin derrier l’hotel de Mr Delort
VIII 112 hôtel Royal du Haras Haras 28 3 7
VIII 113 Jean Pierre Albrecht Albrecht 5 5 0
VIII 114 au Sr Kratz Gratz 7 2 0
VIII 115 au Collège de St Guillaume au Temple Neuf 4 1 9
VIII 116 Jean Conrad Küffer Kamm Wittib 4 2 11
VIII 117 Jean Freÿ Weber 4 2 3
VIII 118 Jean Michel Endling Beru 4 3 3
VIII 119 au Sr Staedel H. XV. Städel 4 4 0
VIII 119,1 Jean Weber
VIII 120 la veuve de Jean Daniel Gress Weber 7 0 2
VIII 121 Jean Louis Pilon Pilon 7 3 6
VIII 122 Pierre Antoine Carly Groß – 5 4
VIII 123 Jean Daniel Hetzel Schwing 3 5 2
VIII 124 à l’ hôpital Bourgeois Hornick 5 1 2
VIII 125 Jean Weitkarcher (supra)
VIII 126 le nommé Buck Breÿ 5 2 11
VIII 127 le nommé Gümpel Häffner 2 3 0
VIII 128 le nommé Resch Simler 6 1 6
VIII 129 le nommé Butsch Botz 4 0 0
VIII 130 Jean Michel Schneider Hahn Wittib 3 5 2
VIII 131 Pierre Duboc Dubock 9 2 0
VIII 132 Dominique Germain Germain 3 4 0
VIII 133 M. Kornmann Kornman 6 3 9
VIII 134 à la Ville Gall 3 3 2
VIII 135 à la Ville Römer 10 2 9
VIII 136 au Sr Bourgeois Lefevre 2 – –
VIII 137 à la veuve du Sr Eisentraut H. Ammeister Faust 6 4 4
VIII 138 Jacques Dornet Diehlmann 3 0 3
VIII 139 Chretien Dillmann (supra)
VIII 140 à la veuve de Jean Jacques Burget Granvall 17 3 9
VIII 141 aux héritiers du Sr Fischer Fischer 2 2 8
VIII 142 au Sr Wetzel Wetzel 3 5 10
VIII 143 au Duc de Deux Ponts Serf Behr 13 2 4
VIII 144 au Sr Heissmann Prof. Koch 5 5 2
VIII 145 Jean Martin Bischett Beschett 3 3 9
VIII 146 Joseph Colard Kollar 3 3 4
VIII 147 Abraham Jundt Junt Wittib 3 4 9
VIII 148 Philippe Buck Buck 5 – –
VIII 149 Jean Adam Kugler Dürkauff 2 3 3
VIII 150 Wilhelm Salomon Simon Wittib 1 5 5
VIII 151 à la veuve de Henry Merckel Schützenberger Wittib 5 2 6
VIII 152 au Sr Baur Bauer Wittib 1 1 0
VIII 153 Jean Philippe Mosser Braun 3 4 9
VIII 154 Louis Lasser Laser Wittib 8 1 0
VIII 155 Valentin Beaume Schnell 1 2 3
VIII 156 au Sr Le Comte Liechtenauer 1 3 0
VIII 157 David Karcher Heßler Wittib 10 3 3
VIII 158 la veuve Jean Lamp Lamm 3 5 2
VIII 159 Jean Jacques Strohl Seÿler 5 0 9
VIII 160 Nicolas Meyer Schultz 7 2 6
VIII 161 Henri Pfeffinger Pfeffinger
son jardin
28 4 2
14 1 6
VIII 162 à la Ville jardin de l’Ecuÿer de la Ville 9 1 2
VIII 163 à la Fondation de St Marc à St Marc 47 1 8
VIII 164 George Eber Ebel 28 2 3
VIII 165 Jean Weyler Weÿler 6 2 9
VIII 166 Baltasar Mockau 4 0 4
VIII 167 Fréderic Dürr Dürr 16 1 5
VIII 168 Jean George Morger Weÿler 6 5 2
VIII 169 Jean Weyler (supra)
VIII 170 Philippe Schützenberger Hützenberger 5 0 6
VIII 171 au Sr Lemp Hirth 4 4 7
VIII 172 Remises au nommé Schöffer Saum 4 3 8
VIII 173 Jean Haussmann Scholl 4 0 3
VIII 174 Valentin Hass Haaß 16 2 9
VIII 175 à la Ville Ecurie à la Ville 60 – –
VIII 176 Tour à la question à la Ville (supra)
VIII 177 André Schreibmann Gretschmann
177 ½ moulin de Zorn
177 ¾ Meÿling
177 2/5 Stricker
12 0 0
14 3 10
8 4 5
1 1 4
VIII 178 Jean George Schiecker Heichler 6 4 6
VIII 179 Guillaume Gaul (supra)
VIII 180 George Schmitt Caspar Schlatterer
180 ½ à la fondation de la Chartreuse
16 5 6
5 0 8
VIII 181 Jean Jacques Koch Joh: Koch 8 4 0
VIII 182 à M. Schenck le XIII Charpentier veuve 4 5 0
VIII 183 George Peter Joh: Imberger 7 2 6
VIII 184 Jean Geiger Geÿer Wittib 3 4 9
VIII 185 aux heritiers Leydecker Jungf. Kleÿdecker 3 4 6
VIII 186 Fréderic Dürr Folck 4 0 4
VIII 187 Jean Sébastian Heinold Gretzinger 3 5 0
VIII 188 au Sr Silbermann Silbermann 16 4 6
VIII 189 au Sr Silbermann (supra)
VIII 190 M. de Zorn le XV Jardin à M. de Zorn (noblesse) 14 3 10
VIII 191 Jacques Dürr Dürr 3 1 8
VIII 192 Jean Michel Hürschel Hirschel 3 5 0
VIII 193 Jean Jacques Hürschel Jung 3 3 11
VIII 194 la veuve Kraaf Pallier 3 4 6
VIII 195 André Lung Jung Wittib 3 3 8
VIII 196 Godfroy Weber Weber le pere 4 1 4
VIII 197 Jean Laurent Blasy Krieg Wittib 4 4 7
VIII 198 André Weischel Weichel 4 1 8
VIII 199 Jean Sontag Rath. Sonntag 4 3 3
VIII 200 Jean Laurent Blasÿ Blaßÿ 7 4 5
VIII 201 Jean Laurent Espiner Diemert 5 2 4
VIII 202 Prison royal du Pont Couvert, au Roy Prison des Galeriens 42 1 0
VIII 203 à M. de Güntzer Mde de Gintzer (noblesse) 7 1 9
VIII 204 Jean Jacques Reissner Reißner Wittib 3 0 6
VIII 205 Jean Jacques Dürr Dürr 3 5 7
VIII 206 Mathieu Schletz Schletz 6 3 2
VIII 207 Etienne Bonnet Bonnet 4 3 6
VIII 208 aux héritiers Sarger Sarrier 12 3 6
VIII 209 Jacques Meyer Ehrmann 4 – –
VIII 210 au Sr Lemp Zimmermann 2 5 2
VIII 211 Jacques Koch Jacob Koch 11 1 7
VIII 212 Jean Chrétien Riegel Kieffer 7 2 1
VIII 213 Jean Bex Pex 9 1 4
VIII 214 Louis Müller Müllers Erben 20 1 0
VIII 215 Michel Trawitz Müßel 27 1 9
VIII 216 Sr Beringer Beringer 6 4 10
VIII 217 Philippe Jacques Baur Hertz Wittib 2 3 2
VIII 218 Conrad Heyd Heÿt Wittib 2 4 6
VIII 219 Jacques Richter Richter
219 ½ Joh: Hans
9 1 0
1 5 2
VIII 220 à la Fondation de St Marc Michel Schott 10 1 6
VIII 221 au Sr Krettler Dieterle 7 5 10
VIII 222 au nommé Modelmeyer Memminger 3 4 0
VIII 223 Jean Daumer Danner 10 2 6
VIII 224 au Sr Detrille Dieterle 7 5 10
VIII 225 Jean Jacques Dieterling Bieterle
225 ½ Gräff Wittib
3 2 5
3 3 0
VIII 226 Laurent Strahl Stahl 19 3 9
VIII 227 Jean Koch Walter 6 2 3
VIII 228 Jean Philippe Buck Bock 3 1 8
VIII 229 Jean George Helmstetter Helmstetter 29 2 11
VIII 230 George Michel Baurenschmitt Greiter Wittib 4 4 7
VIII 231 Jean Michel Oberdörffer Daniel Greß 2 5 6
VIII 232 Chretien Kulmann Rath. Gullmann 17 5 0
VIII 233 Ursule Ackerin Daniel Greß 3 2 0
VIII 234 au nommé Rebhan Koch 4 0 0
VIII 235 au Sr Albrecht Albrecht 9 1 0
VIII 236 Jean Jacques Acker Desboeufs veuve 4 5 0
VIII 237 Henri Dubœuf Acker Wittib
son jardin
10 4 9
7 4 9
VIII 238 à Mde Nopfling Knopfling Wittib 7 3 0
VIII 239 Jean Schneider Bick
son jardin
30 3 10
15 5 3
VIII 240 Mathieu Weiner Feder 10 0 5
VIII 241 au Sr Bentz Reibel 9 2 10
VIII 242 Jean Haas Fischer 8 1 6
VIII 243 Henry Tournier Blick 4 – –
VIII 244 Sr Labelly Lettig 10 0 4
VIII 245 Jean George Maurer à la Ville 1 5 6
VIII 246 au Sr Genty Zimmermann 14 4 2
VIII 247 Michel Griess Mich. Roth 14 – –
VIII 248 Jean Michel Kötzel Schneider 14 5 0
VIII 249 à la veuve Bernard à la Ville 16 – –
VIII 250 au Sr Sidon Trawitz Wittib 9 5 0
VIII 251 au Sr Guenau à la Ville 7 2 8
VIII 252 au Sr Guenau Schwing Wittib 9 5 0
VIII 253 Tour à la Ville à St. Louis 29 3 9
VIII 254 Jean Dumay Joh: Isemann
254 ½ Dürr son jardin
254 ¾ jardin de Hartmann
254 2/5 Saum
6 0 0
36 0 0
9 0 0
4 0 0
VIII 255 Jean Braun jardin à la Ville
maison au même
10 1 6
10 0 0
VIII 256 Jacques Anrich Andrich 4 2 10
VIII 257 au Sr Genty Grosche Wittib 2 4 4
VIII 258 Laurent Littner Littner Wittib 2 4 4
VIII 259 Jacques Wernÿ à la Ville 4 1 0
VIII 260 au nommé Bechtold Bischon 2 4 2
VIII 261 Jean Jacques Würtz à la Ville 5 – –
VIII 262 Corps de garde à la Ville Corps de garde 5 – –
VIII 263 Marie Salomée Wöhrlerin Joseph Werler 4 – –
VIII 264 Corps de Casernes, à la Ville quartier des Ponts Couverts 120 – –
VIII 265 à la Ville demeure de l’éclusier de prise d’eau
VIII 266 au Sr Saum Les glacières 16 – –
VIII 267 baraque à la veuve Conrad Kieffer dont l’emplacement est à la Ville La tour y comprise
magasin de Froideveaux derrier les glacières
(-)
16 – –
VIII 268 Tour à la Ville jardin à St Louis 133 2 0
VIII 269 Jardin aux Mrs de St Louis
VIII 270 au Sr Hessel
VIII 271 à la Ville
VIII 272 Moulin à la Ville
VIII 273 Moulin à la Monnoye
VIII 274 à la Ville


André Müller, maître maçon (1774), célibataire – catholique


Fils du journalier François Müller, André Müller s’inscrit à la période d’épreuve en avril 1778 chez les maîtres Georges Michel Müller et Louis Müller (ses oncles). Comme il a déclaré être fils de bourgeois lors de son inscription alors que ses parents étaient manants, il sollicite une dispense auprès des Quinze puisque la période d’épreuve des étrangers est plus longue que celle des fils de bourgeois ; il déclare étudier le dimanche et les jours de fête pour parfaire ses connaissances. André Müller demande le 5 novembre 1773 à faire son chef d’œuvre qu’il présente le 5 mars 1774. Il est reçu maître à part entière. Il devient bourgeois le 22 décembre 1774 à titre gratuit sur recommandation du préteur Neuenstein. Il devient tributaire le 3 janvier 1775.
André Müller meurt célibataire le 7 vendémiaire V (28 septembre 1796). Il est le frère du maître maçon Michel Müller.

Maison en location
1789, 1796, place des moulins n° 8

Maison en propriété
1793, rue des Dentelles (VII 92, actuel n° 9)


Fils de François Müller, André Müller s’inscrit aux années d’épreuve en avril 1778 chez les maîtres Georges Michel Müller et Louis Müller

Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
Andreas Müller, fol: 14.a, pag. 41. 42. 55. 67. 75.
(f° 14) Mittwochs den 1. Aprilis 1772. – Einschreibung in die Muth
Andreas Müller, lediger Maurer und Steinmetz gesell, weiland Frantz Müller, gewesenen burgers alhier seel. ehelich erziehlter Sohn, stehet vor und bittet ihme Zu H. Rathherrn Georg Michael Müller und Mstr. Ludwig Müller auf ein Jahr lang nach der neuen Verordnung in das Muthjahr einzuschreiben.
Nach beschehener Umfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten gegen Erlag der Gebühr mit 1 lb 10 ß in seinem begehren Zu willfahren (dt. hdwks geb. 1. lb 10 ß pro inscriptione)

André Müller demande l’autorisation de s’inscrire au chef d’œuvre au Corps des maçons qui lui demande de prouver qu’il est fils de bourgeois pour satisfaire au nouveau règlement du 13 avril 1771. Le corps le renvoie dans le cas contraire aux Quinze.

Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 41) Donnerstags den 15. Aprilis 1773 – Petitum Zum Meisterstück admittirt zu werden
Andreas Müller, lediger Maurer und Steinmetz gesell, weiland Frantz Müller, gewesenen burgers alhier seeligen, nachgelaßener ehelich erziehlter Sohn, stehet vor und bittet, weilen die Zeit seines angesetzten Muthjahrs verfloßen ihme Zu dem Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Nach darüber gehaltener Umfrag wurde Erkannt, würde Comparent innerhalb acht tagen durch einen dem Herrn Ober meister zu producirten Schein beweisen, daß er eines hiesigen burgers Sohn, so seÿe Ihme in seinem begehren gegen Erlag der Gebühr Zu willfahren, woferne er aber solchen Schein vorzuwisen außer stand wäre, so solle Er mit seinem begehren ab: und ane die von Gnädigen Herren den Fünffzehen den 13.den Aprilis 1771. ertheilte neue Artickel hiemit verwießen seÿn.

Comme André Müller est fils de manant et non de bourgeois, il s’adresse aux Quinze. Les Maçons nomment leurs représentants pour agir en leur nom.

(p. 42) Donnerstags den 29.ten ejusdem – Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, der Ober meister Zeigte an, daß Andreas Müller, lediger Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, ihne verwichenen Sambstag puncto Dispensationis von dem letztern Muthjahr et admissionis Zum Examen des Meisterstücks von Gnädigen Herren die Fünffzehen habe citiren lassen, woselbsten Er auch vorgestanden und copiam deßen producirte Memorialis begehrt, so ihme auch willfahrt und gestrigen tags Zugestellt worden, wollte also diese copiam denen samtlichen anwesenden Meistern communicirt auch selbige befragt haben, wie Er sich deswegen hiebeÿ verhalten solle.
Worauf deme gemeltes Memoriale deutlichen vor: und abgelesen, auch nach darüber gehaltener Unfrag Erkannt worden, daß von seiten dießortiger Ehrsamen Meisterschafft eine schriftliche Beantwortung auf dieses Memoriale aufgesetzt und darinn insonderheit eingeführet werden solle, weilen heutigen tags es sich äußere, daß gedachter Andreas Müller eines Schirmers und nicht wie beÿ dessen Einschreibung in das Muthjahr ausgegeben worden eines burgers Sohn seÿe ansonsten er dazumal nicht nur auf ein Jahr eingeschrieben worden weÿlen daß derselbe anjetzo mit seinem begehren ab und ane die von Gnädigen Herren den Fünffzehen in Anno 1771. erthelte Artickel neuerdings verwiesen worden möchte und seind Zu Besorgung E. E. Meisterschafft Nutzens und Interesse, sowohl beÿ aufsetzung dieser Exception als auch der beÿ Hoch Edelgedachten Herrn Fünffzehen deßwegen Zu haltenden Deputation in specie ernennt worden, Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, der Obermeister, Meister Michael Nagel der Untermeister, Meister Antoni Klotz und Meister Georg Christoph Freÿsinger.

André Müller porte l’affaire devant les Quinze. Le Corps des maçons argue qu’André Müller a fait une fausse déclaration en prétendant à son inscription aux années d’épreuve qu’il était fils de bourgeois. Il demande que l’inscription soit annulée et remplacée par une nouvelle. André Müller déclare que ses parents sont morts jeunes et qu’il étudie le dimanche et les jours de fête pour parfaire ses connaissances alors qu’il est en pension chez Fæssler. La commission estime les mesures des Maçons sont trop sévères à l’encontre un compagnon digne de foi et propose qu’il travaille encore six mois comme compagnon après quoi il pourra se présenter au chef d’œuvre. La décision du 12 juin fait l’objet d’une expédition le 19 juin.

1773, Protocole des Quinze (2 R 184)
Maurer Andreas Müller Maurergesell
(p. 197) Sambstags den 24. Aprilis 1773. Claus nôe Andreas Müller des ledigen Maurer und Steinmetzen gesellen von hier gebürtig, C. E. E. Meisterschafft der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer alhier obermr. producirt unterth. Memoriale und bitte samt beÿl. Sub Lit. A. puncto dispensationis von übriger Muthzeit und admissionis ad examen. Osterrieth bitt Cap. Mem: ord. obt.

(p. 220) Sambstags den 8.ten Maÿ 1773. Claus nôe Andreas Müller in aîs cit. E. E. Meisterschafft der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer alhier obermeister auch in aîs erholt productum vom 24. Aprilis jüngst und bitt Deput. Osterrieth producirt unterth. Exceptiones junctis petitis sambt beÿm. sub Nis. 1 et 2. und bitt gleichfalls Deput. Claus bitt copiam et ut ante. Erl. mit gebettener Copia und Deputation willfahrt.

(p. 305) Sambstags den 12.ten Junii 1773. Iidem [Obere Handwercks Hh.] laßen per Eundem [Secretarium Stædel] referiren, es habe Andreas Müller der ledige Maurer und Steinmetz: gesell von hier gebürtig, Ca. E. E. Meisterschafft der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer alhier Obermeister den 24.ten Aprilis jüngsthin unterth. Memoriale samt beÿl. A. producirt juncto petito, Ihn dispensando von der übrigen Muthzeit ad examen Zum Meisterstück Zu admittiren.
Desen entgegen habe Implortischer Obermeister in Exceptionibus samt beÿl. N° 1 et 2 vom 8. Maÿ j. gebetten, in rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß gegner mit seinem begehren abzuweisen, und deßen einschreibung in das muthjahr vom 1. Aprilis 1772. wegen deßelben falschen déclaration für null und nichtig Zu erklären und die desfalls Zu ergehende erkantntnus ad marginem Protocolli summarisch durch den Zunfftschreiber Zu verzeichnen, sofort wegen anderwärtiger Einschreibung in die Muthjahr als frembder oder Schirmers sohn an die articulos vom 13.ten Aprilis 1771. Zu Verweisen seÿe, idque refusis ubique expensis.
Auf geschehene Weisung habe der Implorant præsens seinem Memorlali beÿsesetzt, daß er wahrhafftig und bonâ fide geglaubt ein hiesiges burgers Kind Zu seÿn, welches umb so ehender Zu Vermuthen, als er seine Eltern in der Kindheit verlohren, übrigens seÿe er beÿ Meister Fäßler in Kost und losament, nicht aber um Zeichnen zu lernen in der Lehr geweßen, er habe Sonn und Frÿertäge dazu angewendet, umb sich immer mehr wißenschafft und Geschicklichkeit Zu erwerben.
Noîe Imploratischer Meisterschafft seÿen Vorgestanden Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, als Ober: und Michael Nagel als untermeister, werlche sich auf vorgelegten Exceptiones bezogen.
Die Hh. Depp: hätten der Imploratischen Meisterschafft genommene conclusiones, Vermög deren sie dem Imploranten das bereits Verarbeitete muthjahr absprechen wollen, allzustreng befunden, indeme ihme, wann er sich beÿ einschreibung als ein frembder erklärt hätte, solches nicht hätte disputirlich gemacht werden können, weilen aber die ordnung und artickel Vermögen, daß er als ein fremder 2. jahr Vermuthe, Implorant aber scheine bona fide geglaubt zu haben ein burgers Kind zu seÿn, als hätten dei Hh. Depp: geglaubt, daß derselbige einige nachsehung verdiene, mithin der meinung seÿn wollen, daß dem Imploranten gegen ersetzung der uncosten das bereits Verarbeitete eine muthjahr, als wann er als ein frembder eingeschrieben worden wäre, gut zu heißen, sofort wann Er annoch sechs monat als Gesell auf dem Handwerck Würde gearbeitet haben, als dann Zu dem Meisterstück der Maurer admittirt werden solle. Erkandt, bedacht confirmirt.

(p. 339) Sambstags den 19. Junÿ 1773. – [Bescheid] So dann In Sachen Andreas Müller, des ledigen Maurer und Steinmetzen gesellen von hier gebürtig, Imploranten ane Einem entgegen E. E. Meisterschafft der Steinmetzen, Steinhauer und Maurer allhier Obermeister Imploratrn andern Theil,aug übergebenes unterthäniges Memoriale samt beÿl. sub Lit. A. producirt juncto petito, Wir geruheten, Ihn dispensando von der übrigen Muthzeit ad examen Zum Meisterstück Zu admittiren,vorgelegte Exceptiones, samt beÿl. sub N° 1 et 2 vom 8. mit bitten Zu erkennen und auszusprechen, daß Gegner mit seinem begehren abzuweisen, deßen Einschreibung in das Muthjahr vom 1. Aprilis [1772. wegen] deßelben falschen déclaration für [null und nichtig] Zu erklären und die desfalls Zu [ergehende er]kantntnus ad marginem Protocolli sum[marisch durch] den Zunfftschreiber Zu verzeichnen, s[ofort wegen] anderwärtiger Einschreibung in die [Muthjahr] als frembder oder schirmers sohn an [die articulos] vom 13.ten Aprilis 1771. Zu Verweisen seÿe, [idque re]fusis ubique expensis. Gebettene, bewil[ligte und] beseßene Deputation auch alles ügrige [der] Parthen angehörte Vor: und anbring[en, nach] der Herren Deputirten abgelegter [re]lation nach Erkandt, daß dem Implorant gegen ersetzung der uncosten, das bereits Verarbeitete eine Muthjahr, als wann er als ein frembder eingeschrieben worden wäre, gut zu heißen, sofort wann er annoch Sechs Monat als Gesell auf dem Handwerck Würde gearbeitet haben, als dann Zu dem Meisterstück der Maurer admittirt werden solle.

Le Corps des maçons enregistre la fin des années d’épreuve.

Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 55) Dienstags den 2. Novembris 1773. – Außthuung aus der Muth
Andreas Müller, lediger Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, stehet vor, producirt Extract aus Gnäiger Herren der Fünffzehen Memoriali vom 12. Junÿ jüngst, krafft deßen ihne gegen Ersetzung der Unkosten des bereits verarbeitete eine Muthjahr als wann er als ein Frembder angeschrieben werden wäre, gutgeheißen, anbeÿ erkannt worden daß dann Er annoch sechs Monat als Gesell auf dem handwerck würde gearbeitet haben, als dann Zu dem Meisterstück admittirt werden solle, bittet dahero in ansehung Er solche solches Monat verblichen verarbeitet, ihne aus den Muthjahr auszuthun.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr auch Ersetzung der Unkosten willfahrt. (dt. Handwercks gebühr 1 lb 10 ß, Für die Austhuungs gebühr 1 lb 10 ß, Pro admission Zum Mstrstück 1 lb 10 ß, Ane Unkosten dem Obermstr. ersetzt 4 lb 2 ß)

André Müller demande le 5 novembre 1773 à la tribu des Maçons à faire son chef d’œuvre. Comme il a réussi les épreuves préparatoires, on lui indique le 25 novembre le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente le 5 mars 1774. Les examinateurs relèvent deux défauts mineurs et le reçoivent maître à part entière. Il est dispensé de régler l’amende pour ne pas avoir présenté son travail dans les délais réglementaires

1773, Protocole des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
Andreas Müller, fol: 31. 32. et 33.
(f° 31-v) Sambstags den 6.ten Novembris Anno 1773. nach mittags um ein Uhr auf Requisition Andreä Müller des ledigen Maurer und Steinmetz gesellen von hier gebürtig, convenerunt Mstr Philipp Jacob Wolff, Steinmetz, Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer und Mstr Jacob Ferdinand Härtelmeÿer auch Steinhauer, die dreÿ pro hoc Anno geschworene Meisterstück Schauere, wie auch Mstr Bernhard Rottler, der Steinhauer und letzt abgegangene Meisterstück Schauer, vor und im Namen Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, des vierten dießjährigen Meisterstück schauers, welcher aber Zufolg derer Artickel hierbeÿ nicht gegenwärtig seÿn konte, in deme derselbe des Comparenten Lehr: und Muthmeister gewesen.
Da dann Er Gesell Müller vorgestanden und gebetten Ihne Zu dem Meisterstück Examen Zu admittiren und selbiges vorzunehmen.
Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu willfahren.

(f° 32) Donnerstags den 25.ten Novembris Anno 1773. nach mittags um zweÿ Uhr seind vorherbenahmste Meisterstück Schauere auf E. E. Zunfft der Maurer beÿsammen erschienen.
Andreas Müller, lediger Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, stehet vor und bittet, in ansehung Er das Examen wirklich passirt, ihme dermalen das Meisterstück Aufzugeben.
Erkannt, seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu Willfahren und ist demselben das Maaß wie es in einem besondern darüber führenden Protocollo befindlich gleichbalden aufgegeben worden.

(f° 32) Sambstags den 5.ten Martii Anno 1774. hora secunda pomeridiana in præsntia S. T. Herrn Fünffzehner Johannes Lemp, des Hochgebietenden Herrn Obmanns, seind Mstr. Philipp Jacob Wolff, Steinmetz, Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer und Mstr Jacob Ferdinand Härtelmeÿer auch Steinhauer, die geschworene Meisterstück Schauere, wie auch Mstr Bernhard Rottler, der Steinhauer und letzt abgegangene Meisterstück Schauer, vor und im Namen Herrn Rathherrn Georg Michael Müllern des vierten Meisterstück schauers, welcher aber Zufolg derer Artickel nicht hierbeÿ gegenwärtig seÿn konte, in deme derselbe des Stuckmeisters Lehr: und Muthmeister gewesen auf begehren Andreä Müller, des ledigen Steinmetz und Maurers gesellen von hier gebürtig, auf E. E. Zunft der Maurer beÿsammen erschienen um desselben Verfertigten Prob: und Meisterstück, so ihme den 25.ten Novembris 1773. aufgegeben worden, Zu besichtigen, da sich dann befunden.
1° daß au Rez de chaussée im dem rechten Flügel vom Basse Cour an der hintern Gebel Maur ein bauchoffen samt Camin schoß gezeichnet, wovon aber im ersten und Zweÿten Stock das Camin rohr nicht angedeutet worden.
2° daß er den Handhaben stückern an der Schneckensteeg die Fugen Senkelrecht gezeichnet und gestochen seind welche nach er Steigung Winckelrecht sollten gemacht worden seÿn.
Nach darüber gehaltener Umfrag wurde durch den hochgebietenden Herrn Obmann und die vier geschworene Herren Meisterstück schauere Erkannt, daß obwohlen vorherbeschriebene Fehler, so aber keine Hauptfehler, sich ane dem Meisterstück befunden, alles übrige aber sehr wohl verfertiget gewesen, gedachter Andreas Müller als ein vollkommener Meister auf und anzunehmen seÿe, übrigens wurde demselben die Straf so Er vermög dere Artickel Zu erlegen hätte, weilen Er nach Abrechnung der eingefallenen Feÿer: und sonstigen Täge, da Er wegen Zunft geschäfften ane dem Meisterstück nicht verbleiben können und sie Schöffenstub raumen müßen, ingleichem nach Abrechnung der Von Einem löblichen Collegio der Herren Schöffen ihme gegönnten dreÿ Wochen während der Meßzeit, als innerhalb welcher Er die Schöffenstub ebenfalls leeren müßen, annoch Neun täg über die gesetzt Zeit zugebracht, in ansehung seines wohl verfertigtes Meisterstücks und in Betrachtung der Winterszeit, da die Täge am Kürtzesten waren, gütigst erlaßen und Er von deren Zahlung dispensirt.
Und hat der Stuckmeister dem Hochgebietenden Herrn Obmann mit Handtreu ane Eidestatt angelobet, sein Meisterstück mit eigener Hand verfertigt zu haben.

André Müller devient bourgeois le 22 décembre 1774 : inscription au livre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes. Il est reçu à titre gratuit parce que ses parents ont régulièrement réglé leurs droits et qu’il présente une recommandation du préteur Neuenstein.

1774 Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 121
Andreas Müller der ledige Maurer und Steinhauer von hier gebürtig erhalt das burgerrecht auß hoher recommandation gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Maurer. Jur. den 22. X.bris 1774.

(VI 286 bis p. 169) Maurer. N° 37. d. 22. Xbre 1774
Andreas Müller der ledige Maurer u. steinmetz meister von hier geb. weÿl. Frantz müller gew. Schirmers alhier ehel. Sohn, d. schein bewieße, die ehrl. geburt cath. Rel. die gehörige stadt stall caution geleistet.
500 fl. baaren gelts Hat er bescheinigt deßen Eigenthumb mit eÿd erhärtet auf 100 fl. 5 ß beÿm b. Prot. deponirt.
Imp. bittet E. G. unterthänig theils weillen derselben Eltern seit anno 1726. in dißeitigen Schirm gestanden u. die gebühren ordentl. abgereicht theils wegen Hoher Recom. von seiten Ihro G. H. stättmeister Von Neuenstein gratis in E. G. b.recht auf und anzunehmen
p. Rec. gratis gegen Erlag 12. ß im armen Hauß

André Müller devient tributaire le 3 janvier 1775

Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 234) Anno 1775. Dienstags den 3.ten Januarii – Neu Zünfftiger
Meister Andreas Müller lediger Steinmetz und Maurer alhier, von hier gebürtig stehet vor, producirt Cantzleÿ und Stallschein vom 22.ten et 24. Decembris letzthin, und bittet ihne vor einen Leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt (D. Zunftrecht 2 lb 11 ß, Pftg. 1 lb, Einschrbgeb. 4 ß, Zfftscheingeb. 1 lb 10 ß, Findlgh. 3 ß)

Il prend part à son premier conseil au Corps des maçons le 10 mars 1775.

Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 67) Anno 1775. Freÿtags den 10. Martii – Meister Andreas Müller erlegte von seinen beÿ E. E. Meisterschafft genommenen erstern Sitz, 1 lb 10 ß.

1789, Rôles de la contribution patriotique (VII 1295) – Maçons
n° 66, VIII. Place dite Planel n° 8 – Müller, Sr André, M° Maçon, Assesseur du Sénat

André Müller meurt célibataire le 7 vendémiaire V en délaissant pour héritiers les représentants de son frère et de sa sœur.

1797 (6 ventose 5), Strasbourg 2 (9), Not. Knobloch
Inventarium über weÿl. Bs. Andreas Müller gewesenen Maurers liegend und fahrenden Vermögens, nach seinem den 7. vendemiaire letzthin als dieser zeitleichen und jammervollen Welt genommenen tödlichen hintritt – durch die Erben und Barbara büchlerin des verstorbenen seel. haußhalterin
Denominatio haeredum. Der verstorbene seelige hat zu seinen Wahren und rechtsmäßigen Erben hinterlassen 1. Frau Theresia geb. Müller b. Johann Georg Colla Glassers Ehefrau und bürger Michael Maurer maurer gegenwärtig bede weÿl. Joh: Michael Maurers des verstorbenen seel. bruder hinterlassenen Kinder, 2. Ludwig Lefebure burger und handelsmann allhier weÿl. Fr. Margaretha Lefebure geb. Müller des verstorbenen seel. Schwester seel. hinterlassenen Sohn zur andern helfte

hausrath 2816 li, silbers 431 li, Gold 620 li, schulden 4933 livres
Eigenthum Einer behaußung in dieße verlassenschafft gehörig, Nemlich Eine behaußung hoff hoffstatt N° 26 einseit neben br boch den schreiner zum theil und zum theil auf das Gähgässel anderseit neben Fr. Brumbterin Wittib zum theil und theils neben br. Zimmermann dem lichtermacher hinten auf b. Pick den biersieder zum schwartzen bärn, vornen auf die Spitzen gaß, angeschlagen ad 16.000, beweist hierüber auszug aus dem vor dem hiesigen tribunal gericht gehaltenen Versteigerung procès verbal d’adjudication de dato 10. julÿ und Confirmation de 17 dicti 1793
Summa summarum 24.801 li, Zweiffelhaffte activ schulden 5482, 2917, 6842, 1000 livres
(Documenta) Verzeichnus ane Maurer arbeit im großen türcken vor H. Dr Wilhelm verfertigt habe – Etat der Maurer-Arbeit welche in der behaußung des Antonier Klosters durch Müller den Maurer: Meister gemacht worden ist – Etat des Jenigen Maurer arbeit so in der behaußung des H. Müllers des älteren gemacht worden durch Müler dem jüngern – Etat der Maurer-Arbeit beÿ Citoyen Kolb banquier in seiner behaußung in Straßburg ist gemacht worden wie folgt – Etat der Maurer-Arbeit beÿ herr Zollckoffer in einer behaußung in Straßburg durch Müller dem jüngern – Etat der Maurer-Arbeit in den teutschen burger Spithal in Straßburg gemacht worden durch Müller dem jüngern – Etat der Maurer-Arbeit in der behaußung des herrn Levraut in Straßburg gemacht worden durch Müller dem jüngern wie folgt
Enregistrement de Strasbourg, acp 45 F° 98-v du 7 vent. 5

Décès, Strasbourg (n° 28)
Cejourd’hui 7° Vendemiaire l’an V de la République française, une et indivisible (…) Michel Müller agé de 33 ans Maçon (…) neveu du défunt (…) que André Müller agé de 60 ans, Maçon, non marié, né en cette commune fils légitime de feu Michel Müller, Maçon, et de feue Odile Wernerdt, est mort ce jourd’hui à deux heures de relevée en sa demeure située à la Place des Moulins N° 8 (i 9)



Philippe Ketterer, maître maçon, et (1773) Anne Marie Roth puis (1776) Marie Madeleine Louis – catholiques


Fils du maître maçon Jean Ketterer et de Marie Salomé Hammerschmid, Philippe Ketterer est apprenti chez son beau père Jean Michel Meyer de 1755 à 1760. Il s’inscrit le 8 février 1771 au chef d’œuvre qu’il présente le 4 janvier 1772. Les examinateurs qui relèvent plusieurs défauts reçoivent Philippe Ketterer maître avec des restrictions pendant les dix premières années (apprenti, nombre de compagnons). Il est reçu tributaire le 29 décembre 1772. Il épouse en janvier 1773 Anne Marie Roth, fille d’un tonnelier d’Ottersthal. Philippe Ketterer remporte le marché pour graver le nom des rues aux maisons d’angle le 28 juin 1773. Devenu veuf, il se remarie en avril 1776 avec Marie Madeleine Louis, fille d’un boucher de Sarrebourg.

Maison en location
1774, quai des Bateliers, maison du tisserand Weber
1789, Finckwiller n° 69


Signature au bas de l’acte de mariage (1776, Saint-Etienne f° 133-v)


Philippe Ketterer commence son apprentissage de cinq ans le premier février 1755 chez son beau père Jean Michel Meyer

1755, Protocole de la tribu des Maçons (XI 238)
(f° 258-v) Freÿtags den 7. Novembris 1755 – Eingeschriebener Steinhauer Jung
Idem [Mr Johann Michael Meÿer der Steinhauer vnd maurer] stellt vor Philipp Ködterer seinen Ebenmäßigen Stieffsohn, solchen Ihme in die Lehr ein zu schreiben die Lehrzeit solle angehen den 1. februarÿ huius anni vnd sich endigen auff gemelte Zeit Anno 1760.
Erkandt, seÿe Ihme in seinem begehren Zu Willfahren (dt. 1. lb d, Findl. hauß 9 d)

Le Corps des maçons autorise Philippe Ketterer à s’inscrire au chef d’œuvre

1771, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770-1791)
(f° 184) Anno 1771, Donnerstags den 31. Januarii – Philipp Jacob Kötterer, Steinhauer und Maurergesell, weiland Johannes Kötterer, gewesenen Steinhauer und Maurer meisters alhier hinterlaßener Sohn, stehet vor und bittet ihme Zu dem Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Ist nach ersehenem Protocoll, durch welches erwiesen wird, daß er eine geraume Zeit über acht Jahr auf dem Handwerck arbeitet. Erkannt gegen Erlag der Gebühr mit 1 lb 10 ß willfahrt.

Les examinateurs acceptent le 8 février 1771 de faire passer à Philippe Ketterer les épreuves préliminaires. Après les avoir réussi, il reçoit le 14 octobre 1771 le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente le 4 janvier 1772. Les examinateurs y relèvent six défauts dont certains sont graves. Ils reçoivent Philippe Ketterer maître mais lui interdisent d’avoir un apprenti pendant dix ans et plus de six compagnons pendant six ans.

1771, Protocole de la tribu des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
Philip Ködterer p, fol: 28. 29.
(f° 28) Freÿtags den 8.ten Februarii 1771 hora secunda pomeridiana erschienene vor Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, Steinhauer, Mstr Bernhard Rottler, Steinhauer, Mstr Georg Christoph Freÿsinger, Steinhauer und Mstr Philipp Jacob Wolff, Steinmetz die vier geordnete Meisterstück Schauer, Philipp Ködterer, der ledige Steinhauer und Maurergesell alhier, welcher anzeigte, daß Er den 31.ten letzt verwichenen Monats Januarii vermög E: E: Meisterschafft Erkantnus ad Examen des Meisterstücks admittirt worden, begehrend deswegen, es beliebe gedachten Hh. Meisterstück Schaueren also gleich Zu solchem Examine Zu schreiten.
Woraufhin Erkannt, seÿe ihme gemelem Philipp Kedterer hiermit in seinem begehren Zu willfahren.

(f° 28-v) Montags den 14.ten Octobris Anno 1771. nachmittags convenerunt Mstr. Georg Christoph Freÿsinger, Steinhauer, Mstr Bernhard Rottler, Steinhauer, Mstr Philipp Jacob Wolff, Steinmetz und Herr Rathherrr Georg Michael Müller, Steinmetz, die vier pro hoc Anno geschwornen Meisterstück Schauere.
Vor welchen erschienen Philipp Ködterer, der ledige Steinhauer und Maurergesell von hier gebürtig, bittend Ihme das Meisterstück nunmehr auffzugeben.
Worauf Ihme Comparenten in seinem begehren willfahrt und das Maaß wie es in einem besondern darüber geführten Protocollo Zusehen, aufgegeben worden.

(f° 29) Sambstags den 4.ten Januarii Anno 1772. nachmittags um Zweÿ Uhr seind in præsentia S. T. Herrn Fünffzehners Johann Niclaus Dietrich, des Hochgebietenden Herrn Obmanns, obbenahmste vier geschworene Meisterstück Schauere auf E: E: Zunft der Maurer beÿsammen erschienen, um auf Ansuchen Philipp Ködterer, des von hier gebürtigen ledigen Steinhauers und Maurergesellen, deßelben verfertigtes Probier: und Meisterstück Zu besichtigen, da sich dann befunden
Erstlichen, daß zu den Handhaben stückern in der Schnecken die Zweÿ verlängerte Brettungen sowohl in die Hohlung als auswendig an die Rundung anzuhalten um den Stein nach seiner Windung darnach Zu verfertigen, gar nicht gezeichnet seind, noch heraus geschnitten worden.
Zweÿtens fehlen die Brettungen Zu der Höhle und Rundung der Glieder am Schneckenkopf.
Drittens ist das Developpement sowohl von innen als außen das Creutzgewölbs nicht heraus gezeichnet worden, welches aber der Stuckmeister auf beschehenes Befragen auf ein besonder Papier gezeichnet zu haben aussagte und seind an besagtem Creutzgewölbs die Stoßfugen nicht Winckelrecht nach der Vorschrift sondern alle schrag gemacht worden, Zu welchen schragen Fugen auch keine Kopfbretter heraus gezeichnet seind. Ferner seind auf dem aufpitschierten bogen, worauf das Creützgewölb gezeichnet ist, verschiedene Riß aus radirt.
Viertens in dem Auftrag ane dem Windungsstuck von der frantzösischen Steeg seind die Tritt sowohl in als auswendig wornach man sich mit dem Posier: brett richten muß nicht hinerin gezeichnet worden.
Fünfftens ist die frantzösische Steeg völlig ohnfleißig gearbeitet, so daß kein Tritt mit dem andern weder in der Höhe, noch in der Breite nach dem Grund und Auftrag egal ist, auch alle von der Sarg hinweg schregs und nicht Winckelrecht liegen.
Sechstens ist die Oefnung vom Portal in der Höhe gegen der Breite um vier Modell zu niedrig, Ferner is das Modell, so in Kreid verstochen, nach dem Riß auf die gantze Höhe um dreÿ Partes zu niedrig, Weiter ist das erste und Zweÿte Bogenstuck an der arriere vousure nicht nach Ordnung gemacht, und weilen der Bogen ane einer Rundung stehet, so seind die dazu erforderliche Brettungen nicht heraus gezeichnet.
Wegen vorbeschriebenen Fehlern, darunter einige Hauptfehler seind, wurde nach gehaltener Umfrag durch den hochgebietenden Herrn Obman und die vier geschworene Meisterstück schauere Erkannt, daß demselben auf Zehen Jahr lang der Jung gesperret und Sechs Jahr lang nur mit Sechs Gesellen Zu arbeiten erlaubt seÿn solle, übrigens derselbe als Meister anzunehmen, jedoch, weilen er über die in den Articklen vorgeschriebene Artiklen vorgeschriebene Zeit ane seinem Meisterstück gearbeitet, in 3. ln Straf fällig zu erachten.
Und hat dem Hochgebietenden Herrn Obmann der Stuckmeister mit Handtreu ane Eidestatt angelobet, sein Meisterstück mit eigener Hand verfertigt zu haben.

Philippe Ketterer est reçu tributaire le 29 décembre 1772

1772, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 108) Dienstags den 29.ten Decembris 1772 – Neu Zünfftiger
Meister Philipp Kötterer, des Maurers und Steinhauers allhier, Weÿland Johann Kötterers des auch Maurermeisters und burgers allhier nachgelaßener ehelicher erziehlter Sohn, stehet vor, producirt Stallschein vom 18.ten hujus und bittet ihne vor einem Leibzünfftigen zu recipiren.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt (dt. Zftrecht 5 ß, Einsch grb 4ß, Findl.hs 3 ß, Accepit H. Zunffftmstr)

Il prend part au premier conseil des maçons le 4 janvier 1773

1773, Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1750-1770-1791)
Mstr Philipp Kötterer, pag. 37. 75. 158. 225.
(p. 37) 1773. Montags den 4. Januarÿ. Meister Philipp Kötterer und Meister Johann David Osterrieth nehmen ihren erstern Sitz und erlegten dafür jeder 1 lb 10 ß

Philippe Ketterer épouse Anne Marie Roth, fille d’un tonnelier d’Ottersthal près de Saverne : contrat de mariage, célébration.

1772 (5.12.), Not. Lacombe (6 E 41, 148)
Contrat de mariage – sont comparus Philippe Koetterer, Bourgeois M° Maçon de la Ville de Strasbourg y demeurant, fils majeur de feu Jean Koetterer, vivant bourgeois M° Maçon de cette ville, et de Marie Salomé née Hammerschmitt ses pere et mere faisant agissant et stipulant du consentement de de Jean Michel Meÿer Bourgeois Maître Maçon de Strasbourg son Beaupere (…) et Encore de l’avis de Jean Nicolas Koetterer Bourgeois M° Maçon de cette meme ville son frère cy present, d’une part
Et Anne Marie Roth native d’Otterstahl près Saverne présentement en Service en cette ville de Strasbourg, fille majeure de feu Michel Roth, vivant tonnelier aud. Otterstahl et de feu Cunégonde Reib ses pere et mere faisante agissante et stipulante pour elle en en son nom sous l’asssitance de jean adam Schillig bourgeois garçon Battelier de cette ville qu’elle en a requis, d’autre part
(communauté d’acquets partageable par moitié)

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 99)
Die 11 januarii anni 1773 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt philippus Kötterer murator et civis hujas, filius legitimus defunctorum joannis Kötterer muratoris et civis hujatis dum viveret, et Mariæ Salome hamerschmid cnjugum et Maria Anna Roth ex tabernis hujua diocesis oriunda filia legitima defuncti joannis Michaelis Roth civis dicti loci dum viveret et cunegundis Reib superstitis ejus viduæ, ambo in hac parochia commorantes (signé) Philipp Kötterer, + signum sponsæ (i 103)

Anne Marie Roth devient bourgeoise à titre gratuit pour avoir été en service pendant sept ans à Strasbourg, ce dont témoigne le syndic Humbourg : inscription au livre de bourgeoisie et registre de traitement des demandes

1773, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 74-v
Maria Anna Rothin von Zabern gebürtig, verheurathet mit Philipp Kötterer dem Maurermeister und burger allhier, erhalt das burger recht wegen wohl verhaltens gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Maurer, promis. den 23. Jan. 1773.

(VI 286 bis) p. 442. Maurer N° 27. den Xbris 1772.
Jungfr. Maria Rothin Von Otters: thal beÿ Elsaß Zabern gebürtig.
Verlobt ane Philipp Ketterer dem Ledigen burger und Maurer Meister von hier.
Ihre schein Zeigen daß sie ehrl. gebohren Cathol. Religion und daß ihres Sponsi Stall gebührig richtigkeit.
Der Implorantin ihr Vermögen besteht in 507. fl. theils liegenden güthern Ottersthaler banns gelegen wie solches durch schultheiß und gerichts alda schrifftl. attestirt worden, so dann auf gueth. verzinßl. schuld brieffen und handschrifften, wie nicht weniger auch 100 fl. baaren geldts, über sammtlich. Vermögen sie den Eÿdt des wahren und ohnpfändt. Eigenthumbs abglegt auch 102 fl. beÿm burger Proth. deponirt.
Implorantin bittet E: G: unterthänig weilen sie Sieben Jahr schon unter welchen beÿ H. Humbourg dem dermahligen Syndico Eines hochwürdigen dhom Capituls hoher stifft straßb. allhier, so auch Vormahls b. G. b. und schöff waren in diensten gestanden sich auf* währender solcher Zeit bestädig getrew und wohl verhalten und auf geführet, und verhalten, wie solches durch ged. H. Syndicum schrifftl. attestirt worden, wohl verhamtens wegen Gratis in E: G: b. recht gnädigst auf und an zu nemen
Recepta Gratis wohl verhaltens weg. den 23. Xrbris

Le maître tailleur de pierres Philippe Ketterer remporte le marché pour graver le nom des rues aux maisons d’angle le 28 juin 1773.

Anne Marie Roth meurt en janvier 1774 et sa fille peu de temps après, de sorte que le veuf recueille la succession dans sa totalité. L’inventaire est dressé dans une maison qui appartient au tisserand Weber quai des Bateliers

1774 (16.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1501) n° 139
Inventarium über Weiland Fraun Annä Mariä Kettererin gebohrner Rothin, des ehrbaren Johann Philipp Ketterers burgers und Maurermeisters allhier Zu Straßburg im leben geweßener Ehefrau nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet anno 1774 – nach ihrem freÿtags den 7. Januarÿ laufenden Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auff Ansuchen,, Erfordern und begehren Vorernannten Johann Philipp Ketterers des Wittibers und Erbens Annä Mariä seines mit gemeldeter seiner Verstorbenen hausfraun erzeugten einigen Kinds, welches den 7. gegenwärtigen Monats und Jahrs seiner Mutter in die Ewigkeit nachgefolget – So geschehen Zu Straßburg in einer ane der Neuen gaß am Schiffleuthstaden gelegener und Mstr Weeber dem leinenweber eigenthümlich zuständigen Behausung auf Montag den 16.ten May 1774.
Bericht. Es ließe sich der hinterbliebene Wittiber gleich Anfangs Vernehmen wie daß Er Zwar mit der Verstorbenen, seelig coram Notario regio Hrn Lacombe, dahier eine Eheberedung, wovon Er noch Keine Expedition bezogen, errichtet, weilen Er aber das mit der abgelebten seel. erzeugte einige und nach deßen Mutter Verstorbene Kind geerbet, wäre auf beregte Eheberedung im geringsten Keine attention mehr zu machen, dahero auch die samtliche Vorhandene Nahrung, welche dem hinterbliebenen Wittiber theils proprio nomine und theils hæreditario nomine alleinig Zukommet, ohne unterschied sub una massa beschrieben werden wird.
Sa. Hausraths 43 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. goldene ringe 8 ß, summa summarum 45 lb – Schulden 85 lb, In Vergleichung passiv onus loco der stall summ 40 lb

Philippe Ketterer se remarie en avril 1776 avec Marie Madeleine Louis, fille d’un boucher de Sarrebourg

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 133-v)
Anno domini 1776 die vero 22 aprilis (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti sunt Philippus Ketterer civis et cæmentarius hujas viduus Mariæ Annæ Roth et Maria Magdalena Louis oriunda es Saarbourg diœcesis Metensis filia legitima et majorennis defuncti josephi Louis civis ibidem et superstitis Mariæ omer conjugum ibidem ambo in hac parochia commorantis (signé) Philipp Kötterer, Madeleine Louis (i 143)

Marie Madeleine Louis devient bourgeoise à l’ancien tarif : inscription au livre de bourgeoisie et registre de traitement des demandes

1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 152
Magdalena Louis von Saarburg gebürtig erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Philipp Kätterer dem Maurer und burgern allhier umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Maurer, prom den 3. Junÿ 1776.

(VI 286 bis, p. 334) Maurer, N° 6, den 15.ten aprilis 1776
jfr. Magd. Louis Von sarbourg weÿl. Joseph Louis gewesenen burgers und Metzgers daselbst hinter Lasener ehel. tochter Verlobt an Philipp Kötterer den burger und Maurer allhier.
das dieselbe ehel. gebohren Cath. Relig. und der Sponsus auf Löbl. statt stall Præst. Præstirt ist aus beÿkommenden attestatis ersichtig.
Puncto des Zu dem burger recht Zu gelangen benöthigten Vermögen ein gnügen Zu Leisten, hat solche 500. fl. baarschafft Vorgewiesen und deren warhafft ihro Zuständige eÿgenthumb Handtreülich angelobet auch 100 fl. 5 ß ad Prot. Depon. es gehet so fort an Euren gnaden der impl. unterthäniges bitten die in das burger recht a Sponsi um den alten burger schilling gnädigst Zu Recipiren
Recepta a Sponso um den A. b. schilling

Philippe Ketterer évoque devant le conseil des Maçons les injures que lui a adressées Jean David Osterrieth

1789, Protocole du Corps des maçons (XI 245, 1750-1770-1791)
(p. 225) Mittwochs den 3. Junii 1789. – Hofrecht
Nachdeme Mstr. Philipp Kötterer von Mstr Johann David Osterrieth beschimpft und Ihme deswegen beditten worden, sich von dem Handwerck Zu absentiren, so wurde beschloßen, daß Ihme auf nächstes Handwerck vorzugebieten seÿe, um sich desfalls zu rechtfertigen und mit ihme abzufinden.

Philippe Ketterer réside au 69, quartier Finckwiller en 1789

1789, Rôles de la contribution patriotique (VII 1295) – Maçons
Kötterer, Philippe Me maçon – VIII. Quart. de Finckweiler 69



Charles Henri Jung, compagnon maçon (1776) – luthérien


Fils de Chrétien Geoffroi Jung, jardinier à la cour princière de Dresde, et d’Eve Sophie Fischer, Charles Henri Jung apprend le métier de maçon à Dresde de 1763 à 1766 auprès du conducteur de cour Christophe Gothard Schwarz. Il est contremaître chez la veuve du maître maçon Ketterer à Strasbourg en 1776. Il présente en 1777 un certificat, déclaré ensuite non valide, d’après lequel il a appris le métier de tailleur de pierres et de maçon à Stuttgart de 1768 à 1772 chez Jean Evrad Etzel. Il s’ensuit que Charles Henri Jung est maçon sans être aussi tailleur de pierres. Il passe en février 1777 un contrat de mariage avec Susanne Nadler, veuve du maître Jean Nicolas Ketterer. Sur décision des Quinze, il est admis en février 1778 à faire son chef d’œuvre pour lequel il obtient en avril 1779 une prorogation du délai qui lui est accordé sous certaines conditions. Comme il ne les respecte pas, il perd en juin 1779 le bénéfice de pouvoir se présenter à l’examen. Il n’est plus cité à Strasbourg par la suite.


Signatures au bas du contrat de mariage (1777, ADBR cote 6 E 41, 1445)


Charles Henri Jung est contremaître chez la veuve du maître maçon Ketterer

1776 (30.4.), Préposés aux affaires foncières (VII 1417) f° Carl Heinrich Jung der balier beÿ weÿl. Mr Ketterer des Maurers Wittib (…)

Fils de Christophe Geoffroi Jung, jardinier à la cour de Dresde, et d’Eve Sophie Fischer, Charles Henri Jung passe un contrat de mariage le 4 février 1777 avec Susanne Nadler, veuve du maître Jean Nicolas Ketterer.

1777 (4.2), Not. Zimmer (6 E 41, 1445) n° 177
(Eheberedung) persönlich erschienen Hr Carl Heinrich Jung, der ledige Steinhauer und Maurer allhier, weiland H. Christian Gottfried Jung des gewesenen Hoffgärtners Zu Dreßden, mit Frauen Eva Sophia gebohrner Fischerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigamb ane einem,
So dann Frau Susanna gebohrne Nadlerin, weiland H. Johann Niclaus Kötterer, des gewesenen Maurer Meisters und burgers dahier hinterbliebene Wittib beÿständlich H. Johann Michael Meÿer des Maurer Meisters und burgers dahier, als braut ane dem andern theil.
So beschehen allhier Zu Straßburg (…) den 4. Februarii Anno 1777 [unterzeichnet] Carl Heinrich Jung, Susanna Ketterin

Fils de Chrétien Geoffroi Jung, jardinier à la cour princière de Dresde, le compagnon maçon et tailleur de pierres Charles Henri Jung demande le 5 février 1777 au Corps des maçons l’autorisation de s’inscrire au chef d’œuvre pour pouvoir se marier avec la veuve du maçon Ketterer avec laquelle il vient de passer un contrat de mariage. Il présente un certificat d’après lequel il a appris le métier de tailleur de pierres et de maçon à Stuttgart de 1768 à 1772 chez Jean Evrad Etzel. Certains des maîtres mettent en doute le certificat parce qu’ils savent que le maître de Stuttgart était employé comme compagnon à Berlin un an après le prétendu début d’apprentissage. L’assemblée nomme une commission d’enquête et invite le pétitionnaire à prendre patience.

1777, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 97) Mittwochs den 5.ten Februarii 1777 – Petitum pt° Admissionis ad Examen des Meisterstücks
Carl Heinrich Jung, lediger Steinhauer und Maurergesell, weiland Christian Gottfried Jung gewesenen Hofgärtners zu Dreßden hinterlaßener ehelicher Sohn, stehet vor, producirt Lehrbrief von dem Oberherrn und denen Ober meisters des Steinmetz: und Maurer Handwercks in der Hertzoglich Würtenbergischen Haupt: und Residenz Stadt Stuttgard ertheilet de dato 3.ten Januarii 1777. woraus ersichtlich, daß er den 23. Aprilis 1768. Zu erlernung des Steinhauer und Maurer Handwercks allda vor offener Lad ordnungs mäsig aufgedungen, und daraufhin beÿ Johann Eberhard Ezel dem Land: bau: Controlleur und Steinhauer meister Vier Jahr lang in der Lehr gestanden, folglich den 23.ten Aprilis 1772. der Lehrjahr losgesprochen worden seÿn solle, bittet, weilen er gesonnen, weiland Meister Johann Niclaus Kötterer, des gewesenen Steinhauers und Maurers auch burgers alhier nachgelaßene Wittib Zu heurathen, auch würcklichen gestrigen tags mit Ihro die Eheberedung deswegen errichten lassen, ihne gleichbalden ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Nachdeme nun gedachter Lehrbrief deutlichen vor und abgelesen worden, so erwiederten gleichbalden einige der anwesenden Meistere, daß die Wahrheit des Inhalts solchen Lehrbriefs in Zweifel Zu Ziehen, maßen ihnen bewußt seÿe, welchergestalten der angegebene Lehrmeister, Zu deme Er Jung in Anno 1768. soll in die Lehr eingeschrieben werden seÿn, in Anno 1769. annoch als Gesell in Berlin gearbeitet habe.
Erkannt, Seÿe diese Sach genau Zu untersuchen und Comparent dermalen annoch mit seinem Begehren Zur Gedult zu verweisen, bis er seinen Maurer Lehrbrief von Dreßden diesseitigen Ehrsamen Meisterschafft wird vorgelegt haben, worauf als dann ferner ergehen solle was Rechtens, anbeÿ solle der quæstionirte Stuttgarder Lehrbrief beÿ der Lad verwahrlich hinterlegt werden.
Zu vorheriger Untersuchung seind in specie deputirt worden Herr Rathherr Johann Lorentz Götz, Herr Rathherr Georg Michael Müller, Meister Johann Ludwig Müller, Meister Andreas Stahl, Meister Bernhard Rottler, Meister Georg Christoph Feÿsinger, Meister Michael Nagel, Meister Johann David Osterrieth, Meister Andreas Müller, Meister Georg Friderich Walter und Meister Johann Michael Gruber.
(dt. Handwercksgebühr 1 lb 10 ß)

Charles Henri Jung présente le 23 avril 1777 un certificat d’après lequel il a appris le métier de maçon à Dresde auprès du conducteur de cour Christophe Gothard Schwarz de 1763 à 1766. La commision d’enquête déclare invalide le certificat de Stuttgart. Il s’ensuit que le pétitionnaire a seulement appris le métier de maçon, à l’exclusion de celui de tailleur de pierres et d’équarrisseur. Le Conseil rappelle que d’après le règlement tout candidat maître doit être maçon et tailleur de pierres ou maçon et équarrisseur. Il rejette par conséquent la requête de Charles Henri Jung.

(p. 100) Mittwochs den 23.ten Aprilis 1777 – Petitum pt° Admissionis Zum Meisterstück
Carl Heinrich Jung, lediger Maurer und Steinhauer gesell von Dreßden gebürtig, stehet abermahlen vor und producirt in gefold E. E. Meisterschafft Erkantnus vom 5. Februarii jüngst seinen Maurer Lehrbrief von dem Ober meister und Aeltesten des Maurer Handwerck in der Churfürstl. Sächßischen Residenz-Stadt Dreßden den 22. februarii 1777 ausgestellt, kraft dessen er am Quartal Trinitatis 1763. Zu erlernung der Maurer: Profession von H. Christoph Gotthard Schwarzen, dem Hof Conducteur und Maurermeister allda an und aufgenommen worden, beÿ demselben dreÿ Jahr in der Lehr Zugebracht und am Quartal Trinitatis 1766. von seinem Lehrmeister der Lehr entlaßen und Zum Gesell gesprochen werden seÿn solle, und erholt hiebeÿ sein an dießeitige Ehrsame Meisterschafft dicto 5.ten februarii letzthin schon gethanes Petitum, ihne nunmehro auf Meister Kötterers Wittib gleichbalden ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Nachdeme nun gedachten Jungen den 5.ten Februarii jüngst vorgelegter Stuttgardter Steinhauer Lehrbrief seithero genau examinirt und befunden worden, daß selbiger der Wahrheit Zuwider, mithin nicht als ächt und gültig angenommen werden könne, es sich auch geäußert, daß Er Jung nur allein als Maurer und nicht als Steinhauer gesell allhier zugeprochen und gearbeitet, sich auch selbsten beÿ der gewohnlichen Einschreibung in das Gesellbuch nur als Maurer declarirt habe, einfolglichen Er Jung dermalen wegen der Ohngültigkeit des Steinhauer Lehrbriefs nur als Maurergesell anzusehen, und aber diesseitiger Ehrsamen Meisterschafft Ordnungen und Artickel erfordern, daß ein jeder so alhier Meister zu werden willens entweder Steinmetz und Mauer oder aber Steinhauer und Maurer seÿn solle.
Als wurde nach reifer der Sache Überlegung und beschehene Deliberation Erkannt, daß Comparent mit seinem begehren abzuweisen seÿe.
(dt. Handwercksgebühr 1 lb 10 ß)

Le Corps des maçons admet Charles Henri Jung à faire son chef d’œuvre suite à une décision des Quinze (dont les registres de 1777 manquent)

(p. 108) Dienstags den 20.ten Januarii Anno 1778. – Admission zum Examen des Meisterstücks
Carl Christoph Heinrich Jung, Maurer: und Steinhauer gesell von Dreßden gebürtig, stehet vor und producirt Extractum aus Gnädiger Herren der Fünffzehen Memoriale vom 21. Junii 1777. kraft dessen Er, ohnerachtet der von diesseitiger Meisterschaft beschehenen Einwendung und des in Conformitæ derselben den 23.ten Aprilis jüngst ertheilten Handwercks bescheids, als gelernter Maurer und Steinhauer gesell auf weiland Meister Niclaus Kötterers Wittib Zum Examen des Meisterstücks Zu admittiren seÿe, bittet in gefolg desselben um solche admissionem.
Erkannt, gegen Erlag der gebühr
(dt Handwercksgebühr 1 lb 10 ß, pro Admiss. 1 lb 10 ß, pro dispens. 6 lb, zusammen 9 lb)

Charles Henri Jung est contremaître chez la veuve du maître maçon Ketterer

1778 (5.5.), Préposés aux affaires foncières (VII 1418) f° 70
Carl Heinrich Jung balier beÿ weÿl. Mr Ketterer des Maurers wittib (…)

Les maçons admettent Charles Henri Jung à l’examen du chef d’œuvre le 9 février 1778. Il demande le 6 avril 1779 l’autorisation de continuer son chef d’œuvre. Il y est autorisé à la condition expresse que le travail devra être terminé au bout de deux mois, sans quoi il perdra le droit de se représenter à l’examen. L’assemblée constate le 9 juin que Charles Henri Jung n’a presque pas travaillé à son chef d’œuvre.

1778, Protocole des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
(f° 45-v) Montags den 9.ten Februarÿ Anno 1778 hora post meridiana secunda auf begehren Carl Christoph Heinrich Jung des ledigen Maurer und Steinhauer von Dreßden gebürtig, convenerunt Herr Rathherr Georg Michael Müller Steinmetz, Hr Antoni Klotz Steinhauer, Hr Johann David Osterrieth, Steinmetz, die dreÿ pro hoc Anno geschworene Meisterstück schauere, so dann loco des vierten dießjährigen Meisterstück schauers Mstr Georg Christoph Freÿsinger, Steinhauers, welcher seithero verstorben, Herr Johannes Lingenhölin, der letst als Steinhauer E. R. abgegangenen Meisterstück schauer, auf E. E. Zunft der Maurer
da dann Er Gesell Jung vorgestanden und gebetten mit Ihme das Examen des Meisterstücks vorzunehmen, angesehen Er den 20.ten Januarii jüngst von E. E. Meisterschaft hierzu admittirt worden.
Nach darüber gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu willfahren und hat man gleich balden den Anfang damit gemacht.

(f° 47-v) Sambstags den 6.ten Aprilis Anno 1779. morgens um Acht Uhr seind auf E. E. Zunft der Maurer alhiier beÿsammen erschienen Herr Johannes Lingenhölin und Herr Antoni Klotz, beede Steinhauer, wie auch Herr Johann David Osterrieth und Herr Andreas Müller, diese beede Steinmetzen, samtliche vier dießjährige Meisterstück Schauere.
Diese declarirten in Gegenwarth Carl Heinrich Jung, des Steinhauer gesellen, was maßen derselbe dem Hochgebietenden Herrn Oberherrn eine Bittschrift præsentirt habe, um sein ohngefehr vor einem Jahr schon angefangenes Meisterstück vollends verfertigen Zu dörfen, worauf Hoch Edel besagter Herr Oberherr beneben Ihnen den vier Meisterstück Schauere Erkannt haben, daß ohnnachtheilig der Artickel ihme Jung neuerdingen Zu Vollendung seines Meisterstücks eine Frist von Zweÿen Monaten von dato angerechnet Zu gönnen und anzusetzen seÿe, und Zwar beÿ Verlust seines Meisterstück rechts, wie Sie dann auch wircklich solche Zeit ein vor alle mal demeselben hiemit ansetzen und bestimmen, also daß derselbe, wann Er in solchen Zweÿen Monaten sein Meisterstück nicht völlig verfertigen würde, nach deren verfließung nicht mehr dazu gelangen oder gelaßen werden könne, welcher bedingung besagter Carl Heinrich Jung sich wohlbedächtlich unterwerfen und versprochen beÿ Verlust seines Meisterstück Rechts dasselbe in den obbestimmten Zweÿen Monaten Zu verfertigen.
Zu Urkund deßen sich dieser Stuckmeister beneben mit dem Zunftschreiber nach beschehener Ablasung hier eigenhändig unterschrieben hat. Actum Straßburg eodem quo supra In dem Meisterstück Manuali sind unterschrieben Carl Heinrich Jung und T. Lung Notarius und Zunftschreiber mit Handzug.

(f° 49-v) Eodem [Dienstags den 8. Junii Anno 1779] haben die vier geschworene Meisterstück Schauere vermög des den 6.ten Aprilis jüngst errichteten Procesverbals Carl Heinrich Junge, angefangenes Meisterstück wiederum in den Kasten eingeschloßen und verpetschiret, weilen Er die Ihme gegönte Zweÿ Monat fruchtlos verstrichen laßen, und während solcher Zeit fast gar nichts an seinem Meisterstück gearbeitet hat, weshalben Sie sich auf seine gethane submission berufen.



Nicolas Gœbel, maître maçon, et (1777) Catherine Voirot – catholiques


Fils du maître maçon André Gœbel qui a quitté Strasbourg et de sa femme Marie Anne Lambrecht, Nicolas Gœbel fait son apprentissage entre 1760 et 1765 chez le chef de chantier de l’Œuvre Notre Dame. Il est admis à faire son chef d’œuvre en mars 1776. Les examinateurs relèvent onze défauts mais lui attribuent la qualité de maître le 2 août 1776 sans qu’il ait le droit de former d’apprenti les huit premières années.
Nicolas Gœbel passe en 1776 un contrat de mariage non suivi de célébration avec Marie Anne Gefrerer, fille d’un meunier de Horb sur le Neckar en Wurtemberg. Il devient tributaire chez les Maçons le 13 décembre 1776. Il se marie en octobre 1777 avec Catherine Voirot, fille d’un appariteur au service du Directoire de la Noblesse immédiate de Basse-Alsace. Le mariage est célébré quelques jours plus tard. Endetté, Nicolas Gœbel quitte la ville en 1779 en abandonnant sa femme. Le corps des maçons raye le 12 juillet 1780 Nicolas Gœbel de la liste des créances à recouvrir.
Catherine Voirot qui est malade demande en décembre 1781 un certificat pour bénéficier de l’aumône Saint-Marc. Elle meurt le 5 février 1783.

Maison de location
1778, maison qui appartient à l’Hôpital bourgeois sur la placette de la rue de l’Argile


Signature au bas du contrat de mariage passé en 1776 (AMS cote 8 Not 1), n° 8))


Fils du maître maçon André Gœbel qui a quitté Strasbourg, Nicolas Gœbel commence son apprentissage de cinq ans le 18 juin 1760 chez Jean Wagner, chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame

1760, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239, 240)
(f° 87-v) Mittwochs den 18.t Junÿ 1760 – Eingeschriebener Steinmetz Jung
Mr Johannes Wagner der Werckmeister des Münsters stellet vor Niclauß Göbel Mr Andreæ Göbels des abwesenden maurers und burgers allhier sohn, mit bitt denselben Zu Ihme in die Lehr einzuschreiben vnd Zwar vor fünff Jahr vnd gehet die Lehrzeit von heut dato an, vnd Endet sich anno 1765. auff den heutigen tag, vnd verspricht Ihme der Kost vnd losament diese Zeit durch Zu geben, weiters aber wird kein Lehrgelt gegeben.
Erkant gegen erlag der gebühr Willfahrt. (dt. 1 lb d findl. hauß 3 ß)

A la mort de Jean Wagner, son successeur Jean Laurent Gœtz continue l’apprentissage de Nicolas Gœbel

(f° 158-v) Mittwochs den 20. Junÿ 1764 – Auslernender Steinmetz Jung
Ferner Er H. Johann Lorentz Götz bittet Niclaus Göbel Mr Andreæ Göbels des abwesenden maurers und burgers allhier sohn, welcher Zu Mr Johannes Wagner dem Werckmeister seel. den 18. Junÿ 1760. in die Lehr eingeschrieben worden, weillen dan derselbe gestorben und er solchen bis Zu End seiner Lehrjahren außlehren will, Zu ihm außzulehren Zu Zuschreiben.
Erkandt, Willfahrt.

Nicolas Gœbel termine son apprentissage le 19 avril 1765

(f° 172) Freÿtag den 19. Aprilis 1765 – Außgethaner Steinmetz Jung
H. Johann Lorentz Götz Werckmeister des münsters stellt vor Niclaus Göbel Mr Andreæ Göbels des abwesenden maurers und burgers allhier Sohn seinen Lehrjungen selchen Lehrzeit Zu End geloffen, mit bitt denselben der Lehrjungen Zu entlaßen.
Erkant gegen Erlag der gebühr Willfahrt. (dt. 1 lb d findl. hauß 1 ß)

Nicolas Gœbel demande au corps des Maçons à être admis à faire son chef d’œuvre le premier mars 1776

1776, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 80) Freÿtags den 1. Martii 1776. Admission Zum Meisterstück
Niclaus Göbel Steinmetz und Maurergesell Meister Andreä Göbels, Steinhauers und burgers allhier ehelicher Sohn, stehet vor und bittet ihne als eines Meisters Sohn gleichbalden ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt Als dann wurde der bescheid von der Frau Schneiderin abgelesen.
(d. Handwercks gebühr 1 lb 10 ß, Admission 1 lb 10 ß)

Après y avoir été autorisé par le Corps des Maçons, Nicolas Gœbel présente sa requête au conseil des Maçons le 4 mars 1776. Après avoir réussi son examen préparatoire, le conseil lui remet le 3 avril le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente le 2 août suivant. Les examinateurs relèvent onze défauts, dont certains importants. Comme le candidat a rendu un travail assez soigné par ailleurs, ils lui attribuent la qualité de maître mais il devra attendre huit ans avant de pouvoir former un apprenti. Il devra en outre payer six livres d’amende pour avoir outrepassé le délai réglementaire pour présenter son chef d’œuvre.

1776, Protocole des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
(f° 38) Montags den 4.ten Martii 1776. nachmittags um Zweÿ Uhr auf Requisition Nicolai Göbel, des ledigen Maurer und Steinmetz gesellen von hier gebürtig, convenerunt Mstr Jacob Ferdinand Hetelmeÿer, Steinhauer, Mstr Georg Friedrich Hüttner, Steinmetz, Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, Steinmetz und Mstr Georg Christoph Freÿsinger Steinhauer, die Vier pro hoc anno geschwornene Meisterstück Schauere, auf E. E. Zunft der Maurer.
Da dann Er Gesell Göbel vorgestanden und gebetten, mit Ihme das Examen das Meisterstücks vorzunehmen, angesehen er den 1.ten hujus von E. E. Meisterschafft hierzu admittirt worden.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt, seÿe dem Comparent in seinem begehren Zu Willfahren und wurde gleichbalden der Anfang damit gemacht.

(f° 38-v) Montags den 3.ten Aprilis 1776. hora octava matutina seind Mstr Jacob Ferdinand Hetelmeÿer, Steinhauer, Mstr Georg Friedrich Hüttner, Steinmetz, Mstr Georg Christoph Freÿsinger Steinhauer, die dreÿ in dießem Jahr geschwornene Meisterstück Schauere, in Abwesenheit Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, Steinmetzen, des vierten dießjährigen Meisterstück schauers, auff E. E. Zunft der Maurer beÿsammen erschienen.
Niclaus Göbel, lediger Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, stehet vor und bittet, angesehen Er das Examen würcklichen überstanden, ihme nunmehr das Meisterstück aufzugeben.
Erkannt, wird dem Comparenten in seinem begehren willfahrt, und ist Ihme das Maaß wie es in eonem besonders darüber führenden Protocollo inserirt befindlich, gleichbalden aufgegeben worden.

(f° 39) Montags den 2.ten Augusti 1776. vormittags um acht Uhr haben sich in præsentia S. T. Herrn Fünffzehner Johann Lemp des Hochgebietenden Herrn Obmanns, Mstr Ferdinand Hetelmeÿer, Steinhauer, Mstr Georg Friedrich Hüttner, Steinmetz, Herr Rathherr Georg Michael Müller, Steinmetz und Mstr Georg Christoph Freÿsinger Steinhauer, die vuer geschwornene Meisterstück Schauere, auf Ansuchen und begehren Nicolai Göbel, ledigen Maurer und Steinmetz gesellen von hier gebürtig, auff E. E. Zunft der Maurer beÿ einander versammelt, um deßelben verfertigtes Prob: und Meisterstück, so ihme den 3.ten Aprilis letztthin vorgegeben worden, Zu besichtigen, da sich dann befunden
1° daß die lincke Seite der Gaß im Kellergrund oder Fundament Riß um neun Zoll zu lang seÿe.
2° daß im Basse-cour unter dem Bogen, woselbst der Platz die Beßerung zu legen ist, im Fundament Riß keine Fundament Mauren angelegt seind.
3° daß ohngeachtet in den Articklen versehen, daß die Schneckensteeg lincker hand und die Frantzösische Steeg rechter hand anzubringen, der Stückmeister selbige dennoch in samtlichen Riße, verkehrt gezeichnet und angebracht habe.
4° daß die Cammer in dem Grundriß des ersten stocks, welche aus dem Rez de chaussée herauf gehen nach der Feur Ordnung sowohl in der Länge Zu kurtz, als auch in der breite zu eng, ingleichem daß im Grundriß des Zweÿten Stocks im vordern oder Haupgebäud sieben Caminrohr gar nicht gezeichnet seÿen.
5° daß in dem Mittelgebäud sowohl in dem ersten als in dem Zweÿten Stock jedesmal auf Zwoen höltzernen Steegen in die Vor camin, so sich in den Mauren befinden, muß angefeuret werden, so der Feur-Ordnung Zuwider.
6. daß in eben diesem Mittelgebäud in ersten und Zweÿten stock lincker hand jedes mal ein s. h. Privet auf der Steeg angebracht, wodurch entweder die Steeg unbrauchbar gemacht wird oder aber das s. h. Privet weggelaßen werden muß.
7° daß in dem Hauptgebäud neben der Schneckensteeg die Privet Rohr im Rez de chaussée um ins Gewölb Zu reichen gar nicht angebracht seind.
8° daß der Keller vom besetz im Keller im vordern Gebäud bis auf das besetz im Rez de chaussée um 3 Schuh 6 Zoll im Profil, so dann im Auflag vom Kellerhals, auch um 1. Schuh 6. zoll beÿde mal Zu tief seÿe.
9° daß in dem kleinen auftrag oder Profil der Schneckenstiegen von Besetz des Rez de chaussée bis in den Keller, gar keine Steege gezeichnet worden, so sich dennoch in dem Riß des Kellergrunds befindet.
10° Ist am verbürsten Bogen der Schlußstein nichs ins Modell verfertigt worden, ohngeachtet die brettung dazu sich vorgefunden.
11° befindet sich das Haupt Portal ane der Einfahrt Liecht Zu eng, ohnerachtet er kein Postament samt deßen Gesimbs wie Vignol die Anleitung dazu gibt weder gezeichnet noch ins Modell verfertiget, und dahero es freÿwillig nicht nach Ordnung gemacht.
Nach darüber gehaltener Umfrag ist durch den Hochgebietende Herrn Obmann und die vier geschworene herren Meisterstück Schauere Erkannt worden, ohnerachtet vorher specificirte Fehler sich an dem Meisterstück befunden, worunter einige Hauptfehler, das übrige ziemlich wohl verfertigt und gezeichnet gewesen, daß gedachter Niclaus Göbel als ein vollkommener Meister auf und anzunehmen seÿe, übrigens wurde demselben untersagt, während Acht nach einander folgenden Jahren keinen Jungen in die Lehre anzunehmen und weilen er über die in den Articklen vorbeschriebene Zeit eine Verfertigung des Meisterstück zugebracht, nach Abzug der eingefallenen Feÿertäge, auch sonstige tage, da Es wegen Zunft geschäfften nur vor vier Wochen in eine Straaf von Sechs Pfund Pfenning fällig erachtet.
Und hat der Stück meister dem Hochgebietenden Herrn Obmann mit Handtreu ane Eidesstatt angelobt, dieses sein Meisterstück mit eigener Hand verfertigt zu haben.

Nicolas Gœbel passe un contrat de mariage avec Marie Anne Gefrerer, fille d’un meunier de Horb sur le Neckar en Wurtemberg

1776 (9. 9.bris), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 8
(Eheberedung) persönlich erschienen der Ehrenvest Vorachtbahre Herr Niclaus Göbel, lediger Steinmetz und Maurer Meister, des Ehrenvest und vorachtbahren Herrn Andreæ Göbel des ehemahligen Steinhauers Maurers und burgers alhier Zu Straßburg mit der Ehren und tugendsamen Frauen Anna Maria Göbelin gebohrner Lambrechtin seiner Ehefrauen ehelich erzeugter Sohn, als brautigamb ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Maria Anna Gefrererin, Weÿland des Ehren: und vorgeachten herrn Joseph Gefrerers des geweßenen Müllers und burgers Zu Horb am Neckar kaÿßerlicher Jurisdiction mit auch Weÿland der Ehren und tugendsamen Frauen Margaretha Gefrererin gebohrne Fritzin seiner geweßener Ehefrauen seeligen nachgelaßene ehelicherzeiehlte Jungfer tochter, als die Jungfer hochzeiterin ane dem andern theil
[unterzeichnet] Niclaus Göbel Alß hochzeiter, marian gefireirn hochzeiterin

Nicolas Gœbel devient tributaire chez les Maçons le 13 décembre 1776

1776, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(f° 323) Freÿtags den 13.den Decembris 1776 – Neu Zünfftiger
Meister Johann Niclaus Göbel, der Steinmetz und Maurer alhier, Andreas Göbel, des von hier ausgetrettenen burgers und Steinhauers ehelicher Sohn stehet vor und producirt Stallschein vom gestrigen Tag, kraft deßen er sich vermög der Ordnung angemeldet, bittet ihne Zu einem Leibzünftigen beÿ dieser Ehrsamen Zunfft auf und anzunehmen.
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt (dt. Zftrcht 5 ß, Einschrgeb 4 ß, Fdlghs 3 ß)

Nicolas Gœbel assiste à sa première réunion du corps des Maçons le 19 décembre 1776

1776, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 91) Donnerstags den 19.den Decembris 1776
Meister Niclaus Göbel erlegte für seinen ersten Sitz beÿ dieser Ehrsamen Meisterschafft 1 lb 10 ß

Nicolas Gœbel passe un an plus tard un nouveau contrat de mariage avec Catherine Voirot, fille d’un appariteur au service du Directoire de la Noblesse immédiate de Basse-Alsace. Le mariage est célébré quelques jours plus tard

1777 (10.10.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 6
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen seÿen Herr Niclaus Göbel, der leedige Steinmetz und Maurermeister, Herrn Andres Göbel, des Maurermeisters und Frauen Annä Mariä gebohrner Lamprechtin beeder Eheleuthe und burgere dahier in Straßburg ehelich erzeugter Sohn, beiständlichen Herrn Frantz Michael Anstæt, des Mahlers und burgers dahier als Hochzeiters ane Einem
So dann die Tugendreiche Jungfer Catharina Voirau, Weiland Herrn François Voirau Employé auf allhießigem Ritterhauß und auch Weiland Frau Magdalenæ gebohrner Winglerin, beeder Ehepersohnen und hießige Inwohnerne seeligen ehelich erziehlte und nach tod verlaßene tochter unter erbettener assistantz S. T. Herrn Frantz anton Denners J. U. Lti und sowol E. E. Großen als auch E. E. Kleinen Raths dahier alten Wohlverdienten beisitzers und vornehmen burgers dahier als Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen Straßburg den 10. Octobris 1777. [unterzeichnet] Niclaus Göbel, Catherine voirot

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 232)
Hodie 14 Octobris Anni 1777 (…) in facie ecclesiæ sacro matrimonii vinculo conjuncti fuerunt Nicolaus Caspar Gœbel defuncti Andreæ Gœbel civis et Annæ Mariæ Lambrechtin conjugum hujatum filius legitimus et Majorennis, et Maria Catharina voirot defunctorum Francisci voirot Nobilitatis inferioris Alsatiæ apparitoris et Magdalenæ Wincklerin conjugum olim in parochina ad st petrum juniorem commorantium filia legitima et Majorennis a longo tempore ambo parochiani nostri (signé) Nicolaus Göbel, catherine voirot (i 124)

Nicolas Gœbel demande au nom de sa mère qui a cessé son activité de la rayer de la liste des maîtres. Le Conseil demande que la mère présente elle-même sa requête

1778, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 113) Sambstags den 4. Julii 1778
Meister Niclaus Göbel trägt vor, daß seine Mutter das Handwerck aufgeben habe, bittet derowegen selbige von der Meisterschafft auszuthun.
Erkannt, solle deßen Mutter beÿm nächsten Handwerck in Person erschienen und ihre Declaratio, thun.

Marie Catherine Voirot devient bourgeoise

VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780)
Marja Catharin Voirot

Catherine Voirot fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 418 livres dans une maison qui appartient à l’Hôpital bourgeois sur la placette de la rue de l’Argile

1778 (31.10.), Not. Lederlin (6 E 41, 901) n° 61
Inventarium über der Ehren und tugendsamen Frauen Catharina Göbelin gebohrener Voireau zu Herrn Nicolaus Göbel, dem Maurermeisters Steinhauers und burgern dahier ihrem Ehemann eingebrachte Nahrung, errichtet Anno 1778. – und in craft der vor unterschriebenem Notario den 10. Octobris anno 1777 errichteten Heuraths Verschreibung deren Zweiten Puncten vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen allhier in Straßburg auf Sambstag d. 31. Octobris Anno 1778.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Leimengäßlein auf dem sogenannt Plätzel gelegen dem mehrern teutschen Hospital dahier zugehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 187, Sa. Silbers 26, Sa. Golds 2, Sa. baarschaft 155, Sa. activ schulden 48, Summa summarum 418 lb

Nicolas Gœbel a quitté la ville en abandonnant sa femme qui demande le bénéfice de cession. L’inventaire est dressé en décembre 1779 rue de l’Argile. Les biens propres de la femme s’élèvent à 425 livres, l’actif du mari à 27 livres, le passif à 796 livres

1779 (21.12.), Not. Lederlin (6 E 41, 901) n° 89
Inventarium über Nicolaus Göbels des von hier abgetrettenen Maurermeisters und Frauen Catharina gebohrner Voireau beeder Eheleuthe und burgere dahier in Straßburg besitzende besitzende Activ Nahrungen und zu bezalende Passiv Schulden, errichtet Anno 1779 – auf Requisition Ihr der Ehefrau beÿständlichen Herrn Johann Georg Rößels, Notarii publici jurati ac Practici auch burgers dahier um willen dieselbe wegen obwaltend dringenden Passiv schuldig Zu Rettung ihres unveränderten Vermögen pro Beneficio Cessionis coram competente einzukommen gesinnet ist, inventirt – So geschehen allhier in Straßburg auf Dienstag d. 21.ten Xbris 1779.

In einer allhier in Straßburg ane der Blindengaß gelegenen nicht hiehero gehörigen behaußung folgender massen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraun unveränderten Vermögens, Sa. hausraths 21, Sa.versetzter Posten 28, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung Rests 300, Summa summarum 425 lb
des manns unverändert und theilbare Nahrung, Sa.hausraths 7, Sa. Werkzeugs Zum Maurer handwerck gehörig 11, Sa.versetzter articul 7, Summa summarum 27 lb – Schulden 796 lb, compensando 769 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns unveränderte und theilbar Nahrung Zugeltend 5 lb
Copia der Eheberedung (…) den 10. Octobris 1777, Johannes Lederlin Notarius

Le corps des maçons raye le 12 juillet 1780 Nicolas Gœbel qui a quitté la ville de la liste des créances à recouvrir

1780, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 151) Mittwochs den 12.ten Julii 1780.
Wegen denen Extantzen solcher Rechnung wurde erkannt (…)
5.to Mstr Niclaus Göbel, der Steinmetz, solle, als verzogen, mit den schuldigen 1. lb 6 ß nicht mehr in Rechnung nachgeführt werden

Catherine Marguerite naît le 19 avril 1778. Philippe Louis qui naît le 30 mai 1781 alors que son père est absent meurt trois mois plus tard.

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. f° 150-v)
Hodie 20 Aprilis Anni 1778 baptizata est Catharina Margaritha filia Nicolai gœbel civis et cæmentarii et Catherineæ voirot conjugum in hac parochia nata prodie (i 154)

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. f° 46)
Hodie 30 majii Anni 1781 baptizatus est Phillipus Ludovicus filius Nicolai gebel civis et architecti hujatis et Catherinæ voirat conjugum in nostra parochia natus eadem die (i 154)

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 67)
Anno Domini 1781 die 28 Julÿ mortuus est Philippus ludovicus Gebel infans duarum fermé mensium filius Nicolai Gebel civis et architecti hujatis et Catharinæ voirot Conjugum in hac parochia Commorantium (i 37)

Femme abandonnée de Nicolas Gœbel, Catherine Voirot (Boirot) qui est malade demande un certificat pour bénéficier de l’aumône Saint-Marc

(p. 611) Sambstags den 15. Decembris 1781 – Allmoßen schein
Frau Catharina Göbelin gebohrne Boirot, Mstr Niclaus Göbel, des von hier ausgetrettenen Steinmetzen Verlaßene Frau, bittet in ansehung ihrer beständigen Leibes blödigkeiten, wodurch Sie außer stand gesetzt sich und ihr Kind Zu ernähren, ihro einen Schein zum Allmosen von Löblichem Stift St. Marx huldreichst Zu ertheilen.
Erkant, seÿe dieselbe des Allmosens würdig Zu achten und ihro der besagte Schein durch den Zunftschreiber mitzutheilen.

Catherine Voirot meurt le 5 février 1783.

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 114)
Anno Domini 1783 die 5 Februarÿ mortua est Catharina voirot uxor nicolai gebel civis et architecti hujatis circiter triginta annos nata sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munita et subsequente die ejusdem mensis et anni in cœmeterio sanct galli (i 61)



Jean Jacques Fæssler, maître maçon, et (1770) Marie Madeleine Carel – catholiques


Jean Jacques Fæssler naît à Bregenz dans le diocèse de Constance le 12 novembre 1732, fils de Barthelémy Fæssler et de sa femme Elisabeth Suetter. Il fait son apprentissage à Hörbranz entre 1752 et 1755. Il travaille à Strasbourg depuis environ 1762 puis s’inscrit le 16 avril 1765 aux années d’épreuve en ayant pour maîtres Georges Michel Müller et Jean Laurent Gœtz. Le compagnon maçon Jean Jacques Fæssler demande à faire son chef d’œuvre le 11 août 1769, il est admis à l’examen le 12 octobre et présente son chef d’œuvre le 10 mai 1770. Il est reçu maître à part entière mais ne pourra pas avoir d’apprenti pendant les deux premières années.
Paroissien à Saint-Pierre-le-Jeune depuis huit ans, Jean Jacques Fæssler épouse fin mai 1770 Marie Madeleine Carel, fille d’un manant de Strasbourg, qui a été au service d’une marchande de modes. Il devient tributaire chez les Maçons le 26 juin 1770.
Certains maîtres protestent en janvier 1773 que Jean Jacques Fæssler soit nommé examinateur des chefs d’œuvre ; les échevins le remplacent dans sa fonction en précisant que son honneur est sauf. Le compagnon maçon Jean Michel Starck se plaint en 1776 des mauvais traitements que lui inflige son maître Jean Jacques Fæssler.
Jean Jacques Fæssler meurt le 30 août 1788 dans une maison de location rue des Mineurs.

Maison en location
Rue des Mineurs (1773, 1786)


Signature au bas de l’acte de baptême de son fils Jacques Anselme le 6 mars 1771 (Saint-Marc, f° 228)


Originaire de Bregenz, le compagnon Jean Jacques Fæssler demande le 28 février 1765 au Corps des maçons à s’inscrire aux années d’épreuve. Il présente son certificat de baptême d’après lequel il est né à Bregenz et le certificat de son apprentissage à Hörbranz entre 1752 et 1755. Il déclare que ses maîtres seront Georges Michel Müller et Laurent Gœtz ; comme ils sont absents, la décision est ajournée. Le candidat présente à nouveau sa demande le 16 avril, Georges Michel Müller accepte d’être son maître.

1765, Maçons (XI 243, Protocole du Corps des maçons 1750-1770)
(f° 153.b) Donnerstags den 28.ten Februarÿ 1765. – Mr Antoni Klotz der obermeister proponirt die Ursach dieser Zusammenkunfft, Wie daß Johann Jacob Feßler Steinhauer vnd maurergesell von Bregentz gebürtig dieses handwerck erkaufft vnd mit 3 fl. bezaht hat, welcher umb die verarbeitung der muthjahr anhaltet.
Welcher gesell auch alsobald vorstundte, vnd producirt tauffschein von H. Georgio Bleÿle pfarrherrn Zu Bregentz den 29.t Januarÿ Letzthin außgestellt, krafft weßen er comparent von Bartholome Fäßler vnd Elisabetha Suetterin beeden Eheleuthen allda den 12.t 9.bris 1732. ehelich gebohren vnd in der pfarrkirch allda getauft worden, so dann Lehrbrieff von E. E. Handwerck von der oberöstereichischen herrschafft vnd flecken Herbrantz den 5.ten huius außgestellt, vermög welchem der Impetrant den 13. Januarÿ 1752 in die Lehr Eingeschrieben und den gemelten tag anno 1755. Ledig gesprochen worden, mithin gebetten Ihne in die muthjahr einzuschreiben, mit declariren, er wole solche muthjahr beÿ H. Rathh. Georg Michael Müller vnd H. Werckmeister Johann Lorentz Götz verarbeiten.
Worauff unanimiter Erkandt worden, daß in ansehug sie beede H. Müller vnd H. Götz dato beÿ E. E. handwerck sicht nicht befunden, sie aber mündlich hierüber Zu verhören seÿnd, deswegen derselbe liese Sie hierüber angehört werden, mit seinem begehren abzuweisen.

(f° 155.b) Dienstags den 16.ten Aprilis 1765. – Johann Jacob Feßler Steinhauer vnd maurergesell von Bregentz gebürtig stehet abermahlen Vor, vnd saget, wie daß den 28.t feb. Jüngsthin von E. E. Meisterschafft Erkandt worden, daß Ehe vnd Zuvor wegen seiner begehrung der muthjahren willfahrt worden, daß H. Rathh. Georg Michael Müller vnd H. Werckmeister Johann Lorentz Götz alß die vorgegebene muth meistere hieuüber anzuhören, welche beÿde Hh. Zugegen vnd gewaltet haben, vnd Zwar H. Rathh. Mariller, daß er Zu Ihme in die muthjahr kan eingeschrieben werden, mit bedingnuß daß er aber auch beÿ ihme arbeiten solle, vnd H. Werckmeister Götz, alß beÿ welchem er arbeitet, auch consentirt Zu Ihm Einzuschreiben will auch denselben H. rathh. Müller in die arbeit.
Ist dahero unanimiter Erkandt worden, daß Er hiemit gegen Erlag der gebühr Zu beeden obgedachten herren auff dreÿ Jahr in die muthjahr Eingeschrieben werde.

Jean Jacques Fæssler qui vient de terminer ses années d’épreuve demande à faire son chef d’œuvre. Le Corps des maçons accepte.

1769, Maçons (XI 243, Protocole du Corps des maçons 1750-1770)
f° 175.b) Dienstags den 4.ten Julÿ 1769. Jacob Feßler Steinhauer vnd maurergesell von Bregentz gebürtig stehet vor vnd bittet, weillen seine muthjahr verfloßen Ihne ad Examen Zum meisterstück Zu admittiren.
Erkandt, Wann deßen muth meistere, so nicht Zugegen, mit Ihme Zufrieden seÿnd, so solle derselbe ad Examen Zum meisterstück admittirt werden.
(dt. 1 lb 10. ß wegen d. admittirung)

Le compagnon maçon Jean Jacques Fæssler, originaire de Bregenz, demande à faire son chef d’œuvre le 11 août 1769. Les examinateurs lui font passer les épreuves préliminaires. Ils lui demandent d’abord de représenter un terrain de forme irrégulière à plus petite échelle, ce qu’il réussit assez bien, une arrière-voussure de Marseille dont un des deux dessins est assez bon, une voûte qui est assez réussie, une descente de cave inclinée qu’ils lui demandent de recommencer et qui est ensuite assez bonne, une colonne dorique qui est réussie de même que l’escalier à la française, l’escalier en colimaçon est assez bon, l’escalier à dessiner sur trois niveaux est réussi. Les examinateurs lui soumettent le 12 octobre le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente le 10 mai 1770. Ils relèvent plusieurs défauts dont le dernier est un défaut important : l’escalier à la française dont les marches ne sont pas dessinées dans le tournant est deux pouces plus bas, le portail est deux pieds trop bas. Le candidat est néanmoins reçu maître à part entière mais ne pourra pas avoir d’apprenti pendant les deux première années. Il devra aussi payer une amende de 12 livres pour avoir présenté son chef d’œuvre au-delà des délais. Les examinateurs Jean Laurent Gœtz et Georges Michel Müller se font représenter parce que le candidat a été à leur service.

1769, Protocole des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
(f° 24-v) Freÿtags den 11.ten Augusti hora secunda pomeridiana convenerunt Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer, Nomine H. Werckmeister Johann Lorentz Götz, Mstr Georg Christoph Freÿsinger, Steinhauer Mstr. Johann Ludwig Müller, Namens H. Rathherrn Georg Michael Müllers und Mstr Bernhard Rottler auch Steinhauer und Maurer alle vier dießjährig geschwornen Meisterstück Schauere, deren die Zween abwesende nicht beÿwohnen könnten, weilen der Comparent seine Muthjahr beÿ ihnen verarbeitet hatte, beÿ denenselben nun stunde vor
Johann Jacob Fäßler, Steinhauer und Maurergesell von Bregentz gebürtig, bittet mit Ihme das Examen des Meisterstücks vorzunehmen.
Erkannt Willfahrt, und wurde Ihme also bald aufgegeben.
Erstlichen ein irregulairer Platz mit einem großen Maaßstab und einen Riß mit einem kleinern Maßstab Zu Papier Zu bringen.
Welches Er de 12.t dito ausgefrtiget, daraus man ersehen, daß Er ein dergleichen Platz aufzuheben wiße, jedannoch aber haben sich viele Fehler darinn befunden, und ist selbigen sehr ohnfleißig ausgearbeitet worden.
Den 14.den ejusdem ist Ihme die arrirer vousure de Marseille aufgegeben worden, wozu die brettungen sollen gemacht werden, nämlich nach den vorgezeichneten Fugen und Geleiff bögen Höhen.
Mit welchen Er den 16.den dito fertig worden, nach Examination desselben sich befunden, daß die untere Figur nichts nutz gewesen, die obere aber Ziemlich gut, doch hat er sich auch in einigen Puncten darin verfelt.
Den 17.den dicti mensis gabe man Ihme ein irregulaires Creutz gewölb Zu verzeichnen, wozu alle brettungen wie auch alle Bögen in ein Höhe im Schlußstein, so dann die Brettungen, die Bogenstücken, die Winckelfugen sowohl wie dia an den schrgaen Fugen abzubretten und dann die Gradbögen gemacht werden sollen,
Mit welchem Stuck Er den 19.den dito Zu verzeichnen fertig worden, nach Examination desselben sich befunden, daß einieg kleine Fehler darinn sind, jedoch hat man nach dieser Zeichnung ersehen, daß er ein dergleichen Gewölb wohl verzeichnen und verfertigen kan.
Den 21. eijusdem ist Ihme ein schrager Kellerhalß aufgegeben worden, welcher auch die Stirn eines Hufgewölbs stoßet, und sollen darzu alle brettungen gezeichnet werden, nämlich die Posirbretten zu der Länge und dicke der Stein, die Kopffbretten dieße abzubretten, die Gradbretter Zu der in: und auswendigen Schahlung, wie auch die brettungen zu dem verbürsten Bogen.
Mit welchem Stück Er erst den 26.ten dito fertig worden und weilen sich in dieser Zeichnung einige Fehler befunden, so ist Er Gesell Fäßler auf 14. tag verwießen worden.
Den 29.ten Septembris dicti anni, als nach Verfließung obiger Zeit hat Er gemeltes Stuck in etwas verbeßert und demnach ist es mit einigen Fehlern behaftet, die Hh. Schauere glauben aber daß er im stand seÿe, dieses Stück zumachen.
Eodem die wurde Ihme ein fixirte Höhe in die Thorische Säulen Ordnung einzutheilen aufgegeben, mit Modele und partibus beschrieben, so wohl die Ausladungen als auch die Höhe.
Gut befunden.
Den 2.ten Octobris 1769. wurden Ihme der Grundriß zu einer frantzösischen Steege aufgezeichnet, worzu Er die bretter Zu dem vorgezeichneten Sargenstück machen solle, wie auch as Posir: brett, wie groß der Stein, das brett diese Stein auszuhölen und abzurunden, die verstreckte bretter diese Stein oben und unten abzuwinden wo in das auswendige die Stafflen gezeichnet werden sollen.
Ist Ziemlichen maßen gut befunden.
Den 5.ten dito ist Ihme ein Schneckensteeg vorgezeichnet worden, Zu dieser Schneckensteeg sollen alle dazu erforderliche brettungen gemacht und besonders heraus gezeichnet werden, ingleichem sollen 21. tritt darin getheilt werden, auch sollen die tritt verschoben werden, daß der letzte tritt doppelte Breite bekommt, auch sollen der erste, mittlere und letztere Tritt besonders herausgetragen werden, so daß man das untere wie auch das obere Lager sehen kan.
Mit welchem Er den 10.den dito fertig worden, und ist Ziemlicher maßen vor gut befunden worden, ausgenommen, daß das Sergenstück und handhaben stück verkehrt gezeichnet, worüber Er sich Excusirt hat.
Eodem als den 10.den dieses wurde Ihme Zu der Schnecken kleinen Auftrag dreÿ differente Stockhöhe vorgeschrieben von ungleichen Schuhen und Zollen, jeder tritt Zu 6 Zoll 9 Linien hoch.
Gut befunden.
Erkannt, daß Ihme das Meisterstück bis auf künftigen Donnerstag als den 12.ten dieses könne augegeben werden.

(p. 26) Donnerstag den 10.den May Anni 1770 hora prima pomeridiana wurde auf Ansuchen Johann Jacob Fäßler, des ledigen Steinhauers und maurergesellen von Bregentz gebürtig, in præsentia S. T. Herrn Johann Niclaus Dietrich, wohlmeritirten Fünffzehners und Hochgebietenden Herrn Obmanns, deßelben verfertigtes Probier: und Meisterstück durch Mstr. Johann Ludwig Müller, nomine Herrn Rathherrn Georg Michael Müller, Steinmetzen, Mstr Georg Christoph Freÿsinger, Steinhauer Mstr., Mstr Bernhard Rottler auch Steinhauer, und Msstr Philipp Jacob Wolff Steinmetz, die nunmalige vier Meisterstück Schauere, examinirt, Zufolg vorgegebenen Maßes nachgemeßen und folgendes Zu ahnden befinden als
1° Ist die Frantzösische Steeg in der Verstechung um 2. Zoll niederer als der Auftrag.
2° Im Auftrag der frantzösischen Steeg an dem Windungsstück seind die Tritt nicht darinn verzeichnet, um die windung deßelben exacte davon herausziehen zu können.
3° Das Portal ist im Liecht in der Höhe bis unter den Schlußstein, wie Vignol die anleitung darzu gibt, gegen der breite um 2. Schuh 3 Zoll Zu nieder.
Wegen solchen Fehlern, warunter der letztere ein Hauptfehler ist, wurde durch den Hochgebietenden Herrn Obmann und die vier geschworene Meisterstück Schauere Erkannt, daß dem Stückmeister vor Zweÿ Jahren der Jung gesperret seÿn solle, ihme aber das vollkommene Meisterrecht angedeÿet werde, und weilen Er über die in den Articklen bestimmte Zeit an seinem Meisterstück gearbeitet hat, solle Er deswegen in 12. lb d Straff angesehen seÿn.
Wobeÿ derselbe dem Hochgebietenden Herrn Obman mit Handtreu ane Eides statt angelobet, sein Meisterstück mit eigener Hand ohne hülf anderer Personen gemacht Zu haben.

La tribu des maçons délivre le 14 mai 1770 une promesse d’admission à Jean Jacques Fæssler sur présentation de son certificat de baptême d’après lequel il est né à Bregenz dans le diocèse de Constance le 12 novembre 1732 de Barthelémy Fæssler et de sa femme Elisabeth Suetter. Le prévôt de la tribu soutient la demande en rappelant que le pétitionnaire a passé son chef d’œuvre à Strasbourg

1770, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 248) Montags den 14.t Maÿ 1770. – Zunfftschein
Johann Jacob Fäßler der ledige Steinhauer vnd maurermeister allhier Zu Straßburg, in Bregentz gebürtig, tauffschein von H. Bleÿle dem pfarrer allda den 29.t Januarÿ 1765. außgestellt, krafft weßen derselbe von Bartholome Fäßler vnd Elisabetha Suetterin beden Eheleuthen daselbsten den 12.t 9.bris 1732. ehelich gebohren vnd getauft worden, deme auff befehl S: Tit: Herrn XXI.er Johann Heinrich Gangolf dießeitiger Ehrsamen Zunfft hochgebietenden herrn Oberherren umb so viel mehr, da derselbe das meisterstück allhier Verfertiget vnd den 10. dießes nach ordentlicher besichtigung vnd Examinirung desselben alß Ein Vollkommener Meister auff und angenommen worden, Ein schein, daß, wann Ein hoch Edler Magistrat denselben Vorderistens als burger wird angenommen haben, Er auch als Zünfftig beÿ dießeitiger Ehrsamen Zunfft auffgenommen werden solle, mitgetheillet worden.

Jean Jacques Fæssler, paroissien à Saint-Pierre-le-Jeune depuis huit ans, épouse Marie Madeleine Carel, native de Strasbourg

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 50)
Hodie 22. Maji Anno 1770 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Franciscus Jacobus Fessler ex Bregentz Diœcesis Constantiensis oriundus filius legitimus Bartholomæi Fessler et Elisabethæ Suetterin ab octo Annis in Parochia nostra Comorans Et Maria Magdalena Carel filia defunctorum Josephi Carel et Mariæ Annæ Brunet jure et actu Parochiana nostra (signé) fäßler, carel (i)

Jean Jacques Fæssler devient bourgeois à l’ancien tarif et sa femme à titre gratuit pour bon comportement. Le registre de traitement établit que les demandeurs sont catholiques, le mari a travaillé pendant sept ans chez le conseiller Müller, fille d’un manant qui a quitté la Ville, l’épouse a été au service de la marchande de modes Ducland.

1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 14-v
Johann Jacob Fäßler, Maurermeister Von Bregentz gebürtig und deßen Ehefrau Maria Magdalena Carel, von hier gebürtig, erhalten beede das burgerrecht, der Ehemann umb den alten burger schilling, die Ehefrau aber wohlverhaltens wegen gratis, wollen dienen beÿ EE Zunfft der Maurer. Jur. et prom. den 26. May 1770.

(p. 124) den 21.t Maÿ 1771. Maurer. N° 31 et 31.
Johann Jacob Feßler der ledige Steinhauer und Maurer Von Bregentz, Bartholomäi Feßler deß burgers daselbst ehelicher sohn und deßen sponsa Maria Magdalena Carel deß verschollenen Schirmers Von Hier eheliche tochter Erweißen durch scheine ihre eheliche geburt, Catholische relig. geleistetet stall Caution, Vertröstung deß Zunft rechts beÿ E. E. Zunfft Zu denen Maurern, daß der Sponsus 7. jahr beÿ H. Exsenatori Müller alhier in Arbeit gestanden und die Sponsa 9 jahr als magd beÿ Delle Ducland der Marchande de mode und burgerin alhier gedienet, deßen mich diese Handtreülich Versichert.
1000 fl. baar gels haben die Imploranten Vorgewießen, den eÿd deß Eigenthumbs abgelegt und 150 fl. nach ordnung beÿ dem burger protocoll deponirt.
Bitten diesem nach receptionem in alhiesiges burger recht, und Zwar der sponsus ex gratia umb den alten burger schilling, die sponsa aber wohlverhaltens wegen gratis.
Sponsus umb den Alt: burg: schilling, Sponsa Gratis.

Jean Jacques Fæssler devient tributaire chez les Maçons le 26 juin 1770

1770, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 248-v) Dienstags den 26.t Junÿ 1770. – Neu Zünfftiger
Johann Jacob Feßler maurermeister vnd burger allhier stehet Vor, vnd producirt schein von Löbl. Cantzleÿ vnd stattstall beede vom 26.t Maÿ letzthin mit bitt Ihne als Zünfftigen anzunehmen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt
dt vor d. Pfenningthurn 1 lb, Zunfftrecht 2 lb 11 ß, Einschr. gebühr 4 ß (summa) 3 lb 15 ß

Jean Jacques Fæssler assiste à son premier conseil le 6 juillet 1770.

1770, Maçons (XI 243, Protocole du Corps des maçons 1750-1770)
(f° 182.a) Freÿtag den 6. Julii 1770. Mr Johann Jacob Feßler erlegte für seinen ersten Sitz beÿ E E Handwerck, 1 lb 10 ß

Les préposés autorisent Jean Jacques Fæssler à entreposer des pierres près de sa maison rue des Mineurs à condition de ne pas entraver le passage

1773, Préposés aux affaires foncières (VII 1415)
(f° 151-v) Dienstags den 19. Januarÿ 1773 – Joh. Jacob Fäßler, Maurer (Tz. buch fol 64.a)
Johann Jacob Fäßler der Maurer Meister, bittet ihme zu erlauben in der Bergherren Gaß gegen seiner Wohnbehausung über Stein zu legen.
Erkannt In so weit er den Weeg nicht sperret, gegen Erlag eines jährlichen Zinses von dreÿ Gulden und so lang es Mgdhh. beleibig seÿn, wird willfahrt.

Le prévôt du Corps des maçons qui vient d’apprendre que Jean Jacques Fæssler a été nommé examinateur des chefs d’œuvre proteste contre cette nomination en arguant que des maîtres plus âgés attendent ce poste et que Jean Jacques Fæssler pourrait par la suite divulguer les instructions, ce qui serait préjudiciable au corps de métier. L’assemblée estime les arguments fondés et autorise de porter l’affaire à la connaissance du maître de tribu.

1773, Maçons (XI 245, Protocole du Corps des maçons 1770-1791)
(p. 37) Anno 1773. Montags den 4. Januarÿ. Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, der Obermeister proponirte, welcher gestalten Er in Erfahrung gebracht habe, daß Meister Johann Jacob Feßler, der Steinhauer den 29.ten vorigen Monats Decembris von Einem löblichen Collegio derer Herren Schöffen diesseitiger Ehrsamen Zunft Zu einem Meisterstück: Schauer erwählt worden seÿe, da nun verschiedere Meister benebst Ihme darvor hielten, daß durch diese Wahl der gesamten Meisterschafft ein Præjuditz und Nachtheil Zu wachsen möchte, indeme gedachter Meister Feßler, welcher diejenige Gesellen, so Zum Meisterstück admittirt Zu werden begehren, darinnen instruirt und unterweißet, nicht allein einer derer jüngsten Meistere ist, da doch noch mehrere und ältere Meister vorhanden, welche ihme hiedurch nachgesetztet worden, sondern auch derselbe, wofern er Vier Jahr lang, wie gewohnlich, beÿ diesem Amt verbleiben sollte, vollkommen in stantd gesetzt würde, alles dabeÿ einzusehen, was ane Wißenschaft ihme etwa davon annoch abgienge, so daß er nachgehends allen und jeden die nöthige Instructiones Zum Meisterstück ertheilen könnte, welches der gesamten Meisterschafft sehr nachtheilig wäre. Als hatte er die Meistere Zusammen berufen laßen, um zu vernehmen, ob dieselben nicht gesinnet wären eine Bittschrift ane S. T. Herrn XXI. Gangolf, den hochgebietenden Herrn Oberherren aufsetzen zu laßen, und darinnen Hochdenselben gehorsambst zu ersuchen, das hochanehnliche Collegium der Herren Schöffen wiederumb zu seinem berufen Zu laßen und aus obangeführten Motiven einen anden Meisterstück Schauer ane gedachten Meister Feßlers platz Zu erwählen.
Nach darüber gehaltener Umfrag wurde per majora des Obermeisters gethane Vortrag vor genehm gehalten und gebilliget, mithin Erkandt, daß ohnverzüglich eine wie hieoben motivirte Requete ane den hochgebietenden Herren Oberherrn aufgesetzt werden solle, Zu deren Überreichung deputirt worden, Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, der Obermeister, Meister Georg Christoph Freÿsinger nomine Meister Michael Nagel des Untermeisters, Meister Johann Michael Meÿer, Martin Antoni Klotz und meister Philipp Jacob Wolff.

La demande du Corps des maçons est présentée à la réunion que tient la tribu des Maçons le 3 janvier 1773. L’assemblée qui se déclare imcompétente transmet l’affaire au maître de tribu et aux échevins. Les échevins se rangent le 9 janvier aux arguments des requérants et nomment Jean Michel Müller à la place de Jean Jacques Fæssler. Ils précisent expressément que l’honneur de Jean Jacques Fæssler n’est pas en jeu et qu’il pourra à l’avenir occuper le poste dont il est relevé à condition qu’il cesse de donner des instructions relatives au chef d’œuvre.

1773, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 123) Anno 1773. Sontags den 3. Januarÿ – Petitum
Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer E: E: Maurer Meisterschafft Ober meister und Meister Philipp Jacob Wolff stehen vor vnd bitten weilen durch die von Em Löbl. Collegio derer Hn Schöffen ohnlägst beschehener Wahl Meister Johann Jacob Fäßler Zu einem Meisterstück schauer der gesamten hiesigen Meisterschafft ein großer Schaden zuwachßen könnte, angesehen die jenige, so Meister werden wollen, im Meisterstück unterweißet gedachter Meisterschafft behülfflich Zu seÿn, daß ein anderer an deßen Platz ernennet würde.
Erkandt, weilen dieße Sach nicht von E: E: Gerichts Competenz, als seÿe die Comparenten mit Ihrem Petito ane den hochgebietenden H Oberherrn und das sambtliche Löbliche Collegium derer H. Schöffen Zu verweißen.

(p. 125) Sambstags den 9. Januarÿ – Neuerwehlter Meisterstück Schauer
S. T. Herr Ein und Zwantziger Gangolff dießes Ehrsamen Zufft hochgebietender H. Oberherr, truge vor, welchergstallten Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer und noch einige deputirte vor und im Nahmen der gesambten hießigen Steinmetzen, Steinhauer und Maurer Meisterschafft hoch demselben, wegen der durch das Löblichen Schöffen Collegium den 29.ten Decembris jüngst beschehener Wahl Meister Johann Jacob Fäßler des Steinhauers Zu einem Meisterstück schauer die hierbeÿ producirte unterthänige Bittschrifft überreichet haben des Inhalts, weilen er Meister Fäßler nicht alle in diejenige Gesellen, welche Zum Meisterstück admittirt zu werden begehren, darinnen instruirt und unterweißet, sondern auch derselbe eines derer jüngsten Meistern seÿe, ingleichem daß er etwa das jenige, was Ihme ane der Wißenschafft Zum Meisterstück annoch abgienge, in der Zeit von vier Jaren, als er beÿ dießem Ambt Zu bleiben hätte, vollends einsehen könnte, wodurch er dann vollkommen in Stand gesetzt würde, alle und jede sich Zum Meisterstück præstireten, alle nöthighe Instructiones Zu ertheilen und alßo hieraus der gesamten Meisterschafft ein großes Nachtheil und Præjuditz anerwachßen würde, weßwegen dieselbe unterthänigst gebetten, daß ein anderer Meister an sein Meisters Fäßlers Platz Zum Meisterstück schauer erwehlt werden möchte.
Aus dießer Ursach nun hätte hoch Edelgedachter H. XXI. die samtliche H. Schöffen zusammen beruffen laßen um Zu berathschlagen, ob auf diese von der Maurers Meisterschafft eingegebene bittschrifft einige Attention Zumachen seÿe oder nicht, und ob man aus obangezogegen Ursachen einen andern Meisterstück schauer ane sein Meister Fäßlers Stelle erwehlen wolle.
Nach darüber gehaltener Umbfrag nun ist per Majora das Conclusum affirmative ausgefallen, worauf dann alßobalden Zu einer anderwärtigen Wahl eines Meisterstück schauers ane besagte Meister Fäßlers Platz geschritten, und gleicht alles per Majora hierzu erkoßen worden
Meister Johann Michael Meÿer auch Steinhauer von Catholischer Religion
Wobeÿ jedannoch expresse Erkandt, worden, daß dieße jetzige Wahl ihme Johann Jacob Fäßler ane seinen Ehren und gutem Nahmen im gerigsten kein Nachtheil Zufügen, ihme auch ins künfftige sein Recht Zu dießem Ambt ohnbenommen seÿn und demselben bestermaßen reservirt und vorbehalten bleiben solle, insofern er nehmlichen beweißen und darthun wird, daß er keine weitere Instructiones Zum Meisterstück mehr urtheile.

Le compagnon maçon Jean Michel Starck se plaint de son maître Jean Jacques Fæssler qui le bat et a jeté sur lui des outils (une règle) sous un prétexte futile. Le maître répond qu’il n’a pas d’ordres à recevoir d’un compagnon auquel il reproche de travailler parfois pour son propre compte. Comme le maître convient des faits, le conseil autorise le compagnon à changer de maître.

1776, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p. 320) Kauffgericht, Montags den 14. Octobris – Klag
Johann Michael Starck, der Maurermeister und Steinhauer gesell von hier gebürtig, stehet vor und klagt wider seinen Meister Johann Jacob Feßler, den Maurer und Steinhauer alhier, daß er ihn geschlagen und das Richtscheid nachgeworfen habe, einig und allein weilen das Geschirrr so der Meister auf dem Schaltkarch hat wollen führen laßen in Zweÿen malen habe tragen wollen, bittet dahero ihn zu erlauben sich, zu einem andern Meister zu begeben.
Beklagter Meister Feßler Zugegen, sagt Zu seiner Verantwortung, daß Kläger, so annoch ein Steinmetz jung, ihme grob und schicklich begegnet, indeme derselbe ihm geantwortet, Er der meister habe ihn nicht Zu befehlen, weshalben Er ihn bestrafet, übrigens consentire er gern in Klägers begehren, maßen derselbe sich nicht nach Gebühr beÿ ihme verhalten, sondern ohne sein Vorwißen öffters ane statt für ihn den Meister zu arbeiten, für seinen eigenen Nutzen bögelisen, steinlein und anders gemacht hat.
Erkannt, Seÿe dem Kläger auf des beklagten gethane Einwilligung hin erlaubt, sich zu einem anderwärtigen Meister in Arbeit zu begeben.

Jean Jacques Fæssler est nommé à une fonction annuelle du Corps des maçons

1777, Maçons (XI 245, Protocole du Corps des maçons 1770-1791)
(p. 103) Dienstags den 8.ten Julii 1777 – erkosen Zu einem Jungmeister Mrst Joh: Jacob Feßler

Jean Jacques Fæssler devra payer une amende pour n’avoir pas boutonné sa robe lors d’une réunion.

1780, Maçons (XI 245, Protocole du Corps des maçons 1770-1791)
(p. 158) Dienstags den 14. Novembris 1780. – Herr Obermeister Fäßler wurde wegen nicht Zu gehabter Rockknopf ein Stuben Recht mit 2 ß 6 d angesetzt.

Jean Jacques Fæssler meurt le 30 août 1788 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue des Mineurs. L’actif de la succession s’élève à 64 livres, le passif à 913 livres.

1789 (2.3.), Not. Knobloch (6 E 41, 445) n° 53
Inventarium über Weÿl. des Ehren und Wohl vorachtbaren herrn Johann Jacob Fäßlers Maurermeisters Verlassenschafft – nach deme derselbe Sambstags den 30. Augusti 1788 dießes zeitliche mit dem Ewigen verwechslet, An der Ehren und tugendsammen Frauen Maria Magdalena Fäßlerin geb. Carlinin der hinterbliebenen Wittib, mit assistentz des Ehren und Wohl Vorachtbaren herrn Philipp Jacob Steinbach des Sattlermeisters wie auch des Eherngeachten herrn Michael Gabriel Challard des schneidermeisters als geordnet und geschworenen vogts Anselm Jacob Fäßler des seel. mit der wittib erziehlt Sohns und ab intestato Einzigen erben – Anna Maria Stürtzerin von rothenburg am Necker die dienstmagd
In einer ane der Vorstatt Steinstraß in der bergherren gaß gelgenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behausung
Bericht, keine Eheberedung
hausrath 45 lb, werckzeug zum Maurer handwerck 18 lb, silber 13 ß, baarschafft keine, schulden keine, Summa summarum 64 lb – schulden aus dem Erb 913 lb, In Vergelichung 849 lb, Ungewiß und zweiffelhaffte Schulden in das Erb zugeltend 164 lb

Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 231)
Hodie primo Septembris anni 1788 a me infra scripto sepultus est in cemeterio ad St Helenam joannes fæssler civis et cæmentarius hujas nudius tertius mortuus omnibus morientium sacramentis rité præmunitus vidua superstitis Maria Magdalena Carlin, conjugem dum viveret, Parochianum notrum ætatis suæ sexaginta duorum circiter annorum (i 117)



Maurice Engesser, maître maçon, et (1780) Catherine Madeleine Eckert – catholiques


Fils du gardien de la cathédrale Antoine Engesser et de Sophie Kuntz, Maurice (Antoine Maurice) Engesser fait son apprentissage de tailleur de pierres de 1765 à 1769 auprès de Jean Laurent Gœtz, chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame. Il commence son année d’épreuve le 5 février 1777. Le Corps des maçons l’autorise à passer son examen le 27 juillet 1778 après lui avoir demandé d’attendre que le précédent candidat ait terminé ses épreuves. Les examinateurs l’admettent à faire son chef d’œuvre le 17 mars 1779 après lui avoir fait passer à deux reprises l’examen préparatoire. Il est reçu maître le 8 juin 1779 avec des restrictions pendant les six premières années. Il devient tributaire le 30 juin 1779.
Il épouse en 1780 Catherine Madeleine Eckert, fille de batelier, qui meurt en décembre 1781 suite à ses couches. Maurice Engesser meurt le 5 mai 1794 après avoir vendu sa maison aux Ponts Couverts à vil prix à sa gouvernante : les héritiers obtiennent l’annulation du contrat.

Maison en propriété
1781-1793, rue du Faisan (VI 56, partie de l’actuel n° 8)
1792, aux Ponts Couverts, au Jardin des délices (zum Lustgarten)


Signature au bas du contrat de mariage


Fils du gardien de la cathédrale Antoine Engesser, Maurice Engesser fait son apprentissage de tailleur de pierres auprès de Jean Laurent Gœtz, chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame de 1765 à 1769. Le maître prend en charge le couvert et le logis, l’apprenti les frais d’inscription et de fin d’apprentissage

1765, Protocoles de la tribu des Maçons (XI 239, 340)
Moritz Engeßer, Steinmetz Jung
(f° 172) Freÿtag den 19. Aprilis 1765. – Eingeschriebener Steinmetz Jung (dt. 1 lb, findl. hauß 1 ß)
Idem [H. Johann Lorentz Götz Werckmeister des münsters] stellt vor Moritz Engeßer weÿl. Antoni Engeser gewesten münsterknechts allhier ehelich hinterlassenen sohn, mit bitt denselben Zu ihme in die Lehr einzuschreiben und Zwar Vor fünff Jahr, Und ist die Lehrzeit auff weÿhenachten 1765. angegangenen, und Endet sich auff gedachte Zeit 1769. Und Versprcht H. Werckmeister ihme Kost vnd Losament, aber weiters kein Lehrgeld und leidet der Jung die Einschreib: und Außthuungs gebühr, der Jung ist verbeÿstandet mit Frantz Rosenburger dem Käuffler deß. Vogt.
Erkannt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt.

(f° 246-v) Donnerstags den 22.ten Martÿ 1770. – Außgethaner Steinmetz Jung (dt. 1 lb, findl. hauß 3 ß)
Herr Werckmeister Johann Lorentz Götz stellet vor Moritz Engeßer, weÿland Antoni Engeser gewesten münsterknechts ehelichen sohn, mit bitt, weillen seine Lehrzeit auff Weÿhenachten letzthin Zu End geloffen, Vnd beede Parthen alß der meister vnd allbereit außthuender Lehrjung mit einander Zufrieden seiner Legr Zu entlaßen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt.

Antoine Maurice Engesser sollicite le 19 décembre 1776 au Corps des maçons de s’inscrire à l’année d’épreuve d’après le nouveau règlement. Le Conseil lui demande de s’inscrire d’abord dans le registre des compagnons. Il est admis le 5 février 1777 à faire son année d’épreuve chez Jean Laurent Gœtz et Nicolas Gœbel.
Il demande le 6 juin 1778 à être admis à l’examen pour devenir maître. Le Conseil lui demande de patienter pour vérifier si le nouveau règlement stipule que deux compagnons ne peuvent pas préparer en même temps leur chef d’œuvre. Bien que le règlement ne l’interdise pas, le Conseil demande à Antoine Maurice Engesser d’attendre que le précédent compagnon ait terminé son chef d’œuvre avant de commencer le sien. Antoine Maurice Engesser d’adresse aux Quinze qui l’autorisent le 27 juin à préparer sans délai son chef d’œuvre, décision que ratifie le Corps des maçons le 27 juillet.

1776, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
Engesser, Antoni Mauritius, pag. 91. 97. 110. 111. 115. 129. 199.
(p. 91) Donnerstags den 19. Decembris 1776. Petitum pt° Einschreibung in die Muth.
Antoni Mauritius Engesser, weiland Antoni Engeser, gewesenen Münsterknecht und burgers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, welcher das Handwerck alhier erlernet, stehet vor und bittet ihme, Zu Herrn Rathherrn Götz auf ein Jahr nach der neuen Verordnung in die Muth einzuschreiben.
Erkanndt, solle Comparent sich vordersamst beÿ E. E. Maurer Gesellschafft ordentlich in das Maurergesellen buch einschreiben lassen, nachgehends sich zweÿ Muthmeistere aussuchen und deroselben persönlichen oder schrifftlichen Consens beÿbringen, als dann sich wieder beÿ E. E. Meisterschafft geziemend deswegen anmelden. (dt. handwercks gebühr 1 lb 10 ß)

(p. 97) Mittwoch den 5.ten Februarÿ 1777. Einschreibung in die Muth.
Antoni Mauritius Engesser, weiland Antoni Engeßer, gewesenen Münsterknecht und burgers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, stehet vor und bittet, weilen Er anjetzo in dem Gesellenbuch eingeschrieben, ihne Zu Herrn Rathherrn Götz und Meister Niclaus Göbel nach der neuen Verordnung auf ein Jahr in die Muth einzuschreiben.
Erkannt, gegen Erlang deer Gebühr willfahrt, in sofern Er in Zeit von acht tagen erweislich machen wird, daß er eines hießigen burgers Sohn seÿe. (dt. Handwercks gebühr, 1 lb 10 ß, Einschreibgebühr, 1 lb 10 ß)

(p. 110) Sambstags den 6. Junii 1778. Petitum pt° admissionis ad Examen des Meisterstücks
Antoni Mauritius Engeßer, lediger Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, stehet vor und bittet, weilen sein Muthjahr den 5.ten Februarii jüngst verloßen, ihne ad Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Nach beschehener Deliberation da von einigen Meistern die quæstion movirt worden, ob nicht ein von Gnädigen Herren den Fünffzehen ertheilter Artickel, welcher verbindet daß Zween Gesellen Zu gleicher Zeit /:angesehen würcklich ein Gesell an Verfertigung des Meisterstücks begriffen:/ auf der Zunftstub an das Meisterstück gelaßen werden sollen, wie solches seit genauer Zeit observirt worden, vorhanden seÿe ? wurde nach gehaltener Umfrag Erkannt, daß vordersamst die beede Handwercks meistere sich beÿ dem Fünffzehen Protocoll erkundigen sollen, ob ein solcher Artickel existire, als bis wohin Comparent noch Zur Zeit Zur Gelduld Zu verweisen seÿe, quo facto ferner ergelen solle was Rechtens. (dt. Handwercks gebühr 1 lb 10 ß)

(p. 111) Mittwochs den 17.ten Junÿ. Admission Zum Meisterstück
Meister Johann David Osterrieth, der Obermeister, referirt, daß Er in gefolg der den 6.ten hujus von E. E. Meisterschaft ihme aufgetragenen Commission sich mit Meister Jacob Ferdinand Härtelmeÿer dem Untermeister, vorgestern in Gnädiger Herren der Fünffzehen Stub begeben und allda wegen dem Artickel, ob zweÿ Gesellen Zu gleicher Zeit an das Meisterstück gelaßen werden können, Nachsuchung thun lassen, da aber in dem Protocollo sich nichts davion vorgefunden, als hätte er deswegen sowohl E. E. Meisterschaft zukommen berufen, alß auch dem Gesell Engeßer hiehero bescheiden lassen, um nicht allein E. E. Meisterschaft von seinem gehabten Auftrag Bericht abzustatten, sondern auch damit ihme Gesell Engeßen wegen seinem den 6.ten hujus mensis an E: E: Handwerck gethanem petito die behörige Ausweißung gegeben werden möchte.
Nach gehaltener Deliberation und beschehene Umfrag wurde Erkannt, Seÿe der Gesell Antoni Mauritius Engeßer Zwar Zu dem Examen des Meisterstücks dermalen gegen Erlag der Gebühr Zu admittiren, jedoch unter der ausdrucklichen Bedingnus, daß der Anfang desselben, nach der von seiten E: E: Meisterschaft jeweilen observirten Gewohnheit, nicht ehender mit Ihme Gesell Engeßen vorgenommen werden solle, es seÿe dann daß des Gesellen Carl Heinrich Jungen Meisterstück woran derselbe wircklichen auf der Zunft arbeitet, vollkommen Zu End gebracht und geschauet seÿn wird.

(p. 115) Dienstags den 21. ejusdem [Julii] 1778. Admission Zum Meisterstück
Antoni Mauritius Engeßer, der ledige Maurer und Steinmetz gesell von hier gebürtig, stehet vor und producirt Extractum aus Gnädiger Herren der Fünffzehen Protocollo vom 27. Junii jüngst, kraft dessen erkannt worden, daß derselbe gegen Ersetzung der Unkösten alsbalden nach geendigter Johannis Meß /:jedoch ohnpræjudicirlich auf andere Fällen und ohne Nachtheil der bisherigen Gewohnheit und all anderen Rechten, als worüber imploratischer Meisterschafft die besondere Handlung um Ausweisung für das künftige vorbehalten wird:/ zu dem Examen des Meisterstücks Zu admittiren seÿe, bittet also ihne anjetzo in kraft solcher Erkantnus ohne weitere Bedingung zu dem Examen des Meisterstücks Zu admittiren.
Erkannt, wird dem Comparenten in seinem begehren gegen erlag der Gebühr willfahrt, mithin derselbe zu dem Examen des Meisterstücks hiemit admittirt und Zugelaßen.
(dt. Handwercksgebühr 1 lb. 10 ß, admission 1 lb 10 ß.

Les pages du registre des Quinze qui traite de l’affaire manquent

1778, Protocole des Quinze (2 R 188)
Anton Moritz Engeßer Ca. EE Meisterschafft der Steinmetz und Maurer 319, 336 [pages manquantes]

Antoine Maurice Engesser demande à passer l’examen pour devenir maître le 23 juillet 1778. Comme ses réponses ne sont pas satisfaisantes, il est invité à se perfectionner pendant six mois en application du règlement daté du 26 juillet 1771. Après avoir réussi son examen, il est admis le 17 mars 1779 à passer son chef d’œuvre qu’il présente le 8 juin 1779. Les examinateurs relèvent neuf défauts dont certains majeurs. Il le reçoivent néanmoins maître avec des restrictions pendant six ans : il devra se contenter des six compagnons réglementaires sans avoir le droit d’en louer d’autres et ne pourra pas former d’apprenti. Il déclare sous serment n’avoir pas reçu d’aide pour faire son chef d’œuvre.

1778, Protocole de la tribu des Maçons (XI 247, chefs d’œuvre)
Engesser, Antoni Mauritius, fol: 46. 47. 48 et 49.
(f° 46-v) Dienstags den 23.ten Julii 1778. nachmittags um Zweÿ Uhr seind die vier geschworene Herren Meisterstück Schauer zusammen gekommen, nämlich Herr Rathherr Georg Michael Müller, Steinmetz, Herr H. Lingenhölin, Steinmetz ane statt des verstorbenen H. Georg Christoph Freÿsingers, Herr Antoni Klotz, Steinhauer, und Herr Johann David Osterrieth Steinmetz.
Vor denenselben erscheint Antoni Mauritius Engeßer, der ledige Maurer und Steinmetz gesell, bittet anjetzo mit Ihme das Examen des Meisterstücks vorzunehmen, worzu Er den 21.ten hujus von Seiten Er. En. Meisterschafft admittirt worden.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu willfahren, und damit sogleich der Anfang zu machen.

(f° 47) Mittwochs den 5.ten Augusti 1778. vormittags um Zehen Uhr seind die vorherbenahmste vier geschwornene Meisterstück schauere wiederum zusammen gekommen.
Dieselbe declarirten, daß Sie mit. Antoni Mauritius Engeßer, dem ledigen Maurer und Steinhauer gesellen von hier gebürtig, das gewohnliche Examen vorgenommen haben, worinnen Er aber nicht bestanden, dahero dieselbe nach gehaltener Umfrag Erkannt haben, daß derselbe nach dem dritten Artickel Gnädiger Herren der Fünfzehen Decreti vom 26. Julii 1771. auf ein halb Jahr Zu beßerer Erlernung Zu verweisen seÿe.

(f° 47) Mittwochs den 17.den Martii Anno 1779. nachmittags um Zweÿ Uhr, versammelten sich auf E: E: Zunft der Maurer, Herr Johannes Lingenhölin, Steinhauer, Herr Antoni Klotz Steinhauer, Herr Johann David Osterrieth und Herr Andreas Müller diese beede Steinmetzen, samtliche vier pro hoc anno geschworene Meisterstück schauere.
Für welchen erschienen Antoni Mauritius Engeßer, der ledige Maurer und Steinmetz gesell, von hier gebürtig, bittend weilen Er nunmehr das Examen völlig überstanden, Ihme anjetzo das Meisterstück augzugeben.
Worauf nach gehaltener Umfrag demeselben in seinem begehren willfahrt und das Maaß dazu wie es in einem besondern Protocollo befindlich aufgegeben worden.

(f° 48) Dienstag den 8.ten Junii Anno 1779. nachmittags um zweÿ uhr, sub Præsidio S. T. Herrn Fünffzehener Johannes Lemp, des hochgebietenden Herrn Obmanns, versammelten sich auf E: E: Zunft der Maurer die dießjährige vier geschworene Meisterstück schauere, als Herr Johannes Lingenhölin, und Herr Antoni Klotz, beede Steinhauer, wie auch Herr Johann David Osterrieth und Herr Andreas Müller, diese beede Steinmetzen, samtliche vier dießjährige vier geschworene Meisterstück schauere, um auf Ansuchen Antoni Mauritius Engeßer, des ledigen Maurer und Steinmetz gesellen, von hier gebürtig, das Ihme den 17.ten Martii jüngst aufgegebene Prob: und Meisterstück Zu besichtigen, da sich dann befunden
Erstlich, daß die Grundriß nicht regulmäßig und eingetheilt seind.
Zweÿtens, daß weder den Inhalt des 7.ten Punctens der Vorschrifft keine Pavillons gemacht, sondern nur Seitenflügel angebracht und gezeichnet worden.
Drittens, daß der Hintergiebel um acht Zoll zu kurtz ist.
Viertens, daß der Schnecken samt dem Thurn, anstatt solche in den Keller hinab zu führen Zum theil auf das s. v. Privet Gewölb gesetzt worden.
Fünfftens, daß allen Regen und Waßerstein Waßer nicht zum Gebäu hinaus auf die Gaß abgeleitet, sondern in die beßerungs Grub gerichtet worden.
Sechstens, seind sie samtliche in Kreide verstochene Modell unfleißig und schlecht ausgearbeitet.
Siebendens, daß in dem Riß der Schnecken die samtliche Tritt Zu kurtz seind, und nicht in den Sargen oder Mauren aufliegende gezeichnet worden, auch befinden sich die verstochene Tritt um solche Auflag Zu kurtz, daher dieselben durchfallen und also die Stiege nicht versetzt werde kan.
Achtens, ist die Sarge an der frantzösische Stiege Zu schwach, um die tritt tragen zu können.
Neundens, ist der erste Tritt über der ersten Pritsch an gedachter Stiege im Grundriß viereckigt gezeichnet aber rund verstochen, wie auch die Trompe nicht ordentlich, noch nach der Coupe gemacht, folglich daß die gantze Stuebe nicht in das Werck gesetzt werden kan.
Nach darüber gelhaltener Umfrag wurde durch den Hochgebietenden Herrn Obmann und die vier geschwornene Herren Meisterstück Schauere Erkannt, daß ohnerachtet obige Fehler, worunter einige Hauptfehler, ane dem Meisterstück sich befinden, derselbe Zwar zu einem Meister auf und anzunehmen, ihme aber auf Sechs Jahr der Jung Zu sperren und während solcher Zeit nur mit Sechs Gesellen Zu arbeiten, auch deren keine über solche Anzahl zu lehnen erblaubt seÿn solle, die Zeit aber so Er über die in denen Articklen bestimmte acht Wochen, an dem Meisterstück Zugebracht, solle demselben in Ansehung der einfallenden Feÿertäge und anderer Hinterniße nicht angerechnet werden.
Und hat dem Hochgebietenden Herrn Obmann der Stückmeister mit Handtreu eine Eidestatt angelobet sein Meisterstück mit eigener Hand verfertiget haben.

Antoine Maurice Engesser devient tributaire le 30 juin 1779

1779, Protocoles de la tribu des Maçons (XI 240, f° 456-v) Mittwochs den 30.ten ejusdem [Junii 1779] – Neu Zünfftiger C. R.
Meister Antoni Mauritius Engeßer, Steinmetz und Maurer dahier, weiland Johann Antoni Engeßer gewesenen Münsterknechts und burgers allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, stehet vor, producirt Stallschein von heutigem Tag, und bittet ihne beÿ dieser Ehrsamen Zunft als ein Leibzünfftigen Zu recipiren.
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt. (Zunfftrecht 2 lb 4 ß, Einschrbgeb. 4 ß, Findlghaus 5 ß, ded. 3 lb)

Antoine Maurice Engesser participe à son premier conseil le 5 août 1779.

1779, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 129) Donnerstags den 5. Augusti 1779. Meister Antoni Mauritius Engeßer, der Steinmetz erlegte für seinen anheute genommenen erstern Meister Sitz, 1 lb 10. ß

Antoine Maurice Engesser épouse en 1780 Catherine Madeleine Eckert, fille de batelier : contrat de mariage, célébration à Sæssolsheim par un parent de l’épouse

1780 (8.6.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 173
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Anton Moritz Engeßer der hiesige burger Steinmetz und Maurermeister, weiland Hrn Anton Engeßers geweßenen burgers und Münster Knechts dahier mit fraun Sophia gebohrner Kuntzin ehelich erzeugter mehrjähriger Sohn, als hochzeiter ane einem
Sodann die Ehren und tugendbegabte Jungfrau Catharina Magdalena Eckertin, weiland Hrn Frantz Anton Eckerts geweßenen burgers und Schiffmanns allhier mit fraun Maria Catharina gebohrner Kleinin, seiner hinterbliebenen und nun wieder an herrn Anton Sarburger den Schiffmann und Es. En. großen Raths würcklichen wohlverdienten beÿsitzers Verheuratheter Wittib ehelich erziehlte tochter, Von ernannter ihrer frauen Mutter und ihrem ermeldeten herrn Stieff Vatter sowohl als Von Hrn Lt Johann Joseph Bitschnau dem procuratore vicario und burgern dahier verbeÿständet, als hochzeiterin am andern theil – So beschehen (…) zu Straßburg den 8.ten Juny 1780 [unterzeichnet] Antonius Mauritzius Engeßer, Catharina Magdalena Eckertin

Mariage, Sæssolsheim (Chapitre rural, cote 2 E 423-2, f° 3)
Hodie 26 mensis junii anni 1780 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Antonius Mauritius Engesser filius defuncti Antonii Engesser et superstitis Sophiæ Kientz olim conjugum argentinensium et Catharina Magdalena Eckert filis defuncti Francisci Antonii Eckert et superstitis Catharinæ Klein conjugum Argentinæ (signé) Antoniius Mauritzius Engeßer, Catharina Magdalena Eckertin
Proclamation, Saint-Etienne (cath. f° 9)
Anno Domini 1780 die 25 Junii una proclamatione accedente aliarum Legitima dispensatione in Ecclesia nostra parochiali publice facta ac nullo impedimento Canonico aut Civili Antonium Mauritium Engæsser civem hujatem et architectum defuncti antonii Engæsser et superstitis Sophiæ Kientz filium Legitimum et minorennem et Catharinam Magdalenam Eckert defuncti Francisci Antonii Eckert Civis olim hujatis et Catharinæ Klein Conjugum superstitis filiam Legitimam minorennem dimisi ad adm. et D. Klein parochum in Sessolsheim hujus diœcesis Quatenus præfatas partes parochianos ambos nostros tum sponsalibus, tum matrimonio Jungere valeat (i 11)

Catherine Madeleine Eckert meurt en couches le 1° décembre 1781 et l’enfant qu’elle a mis au monde quelques jours plus tard, de sorte que le veuf est héritier de la succession. Les experts estiment la maison 1 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 584 livres, le passif à 4 005 livres.

1782 (9.3.), Not. Anrich (6 E 41, 1507) n° 236
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Magdalenä Engeserin geborene Eckertin, Hrn Antoni Moritz Engesers des Burgers, Steinmetzen und Maurermeisters allhier zu Straßburg im Leben geweßten Ehefraun nunmehr für seeliger Verlaßenschafy auffgerichtet Anno 1782. – nach ihrem den 1. Decembris 1781 aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt dahier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Erfordern und Begehren vorernannten Herrn Antoni Moritz Engesers des hinterbliebenen Wittibers, welcher das mit der defuncta seeligen erzeugtes einige und seiner Mutter am 23.sten Februarÿ jüngst in die Ewigkeit nachgefolgte Kind Nahmens Mauritius Laurentius geerbet.
Zu Straßburg in einer ane der Phasanengaß gelegenen in diese Verlaßenschaft gehörigen und hernach beschriebenen Behausung auf Sambstag d. 9.ten Martÿ 1782

Copia der Eheberedung (…) den 8. Junÿ 1780, Johannes Anrich Notarius
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine behausung bestehend aus Hinder: und Vorder gebäuden, hoff, gärtlein, Stallung, bronnen und hoffstatt mit allen dero übrigen begriffen, gebäuden, weiten Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten allhier Zu Straßburg ane der Fasanen gaß 1. s. Hrn Rathherr Schultz dem Käÿser wirth 2. s. n. der Verwittibten fraun Faberin, hinten auf Fraulein von Kirchheim stosend, Von welcher behausung, die Von alters her zum goldenen Stab genannt wird, man denen Deputaten des hohen Chors allhier 3. lb. 5. ß. d. zu reichen pflichtig, sonsten aber ist selbige außer denen darauf hafftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien gegen männiglichen freÿ leedig und eigen. Und ist sothane behaußung Vermög einer Dem Inventarÿ Concept anliegender (…) Abschatzung de dato 16. Martÿ 1782. angeschlagen worden Vor und um 3500 fl. oder 1750. lb, Wovon die Vor angezeigte beschwerde der 3 lb. 5 ß. so zu doppletem Capital gerechnet ausmacht 130 lb. zu defalciren.Defalcendo Verbleiben noch an Vorgedachtem Anschlag hier außzuwerfen übrig 1620 lb. Hierüber besagt ein in allhiesiger CC.Stub gefertigter pergamentener und dero für getrucktem Insiegel Verwahrter Kaufbrieff de dato 12.ten Februarÿ 1781.
Hierauf un und weilen der hierseitige einige Erb auch mit tog abgegangen, folget die Inventation und beschreibung so wohl der abgelebten seligen Nachlaßenschafft, welche dem Wittiber hæreditario jure Zu gefloßen als auch sein des Wittibers eigenthümlicher Vermögens beliebter Kürtze halben ohnseparirt und promiscué sub una massa. Sa. hausraths 145 lb, Sa. Werckzeugs 41 lb, Sa. silbers 7 lb, Sa. Goldener Ring 12 ß, Sa. pferd 6 lb, Sa. Eigenthums an einer behausung 1620 lb, Sa. schulden 1765 lb, summa summarum 3584 lb – Schulden 4005 lb, Passiv onus loco der Stall summ 420 lb
– Abschatzung vom 16.t Mertz 1782. Auf begeren Herr Moritz Engeßer dem Maurermeister ist Eine behausung alhir in der statt Straßburg in der fasanen gaß gelegen, Ein seÿts neben der gastbehausung Zum Römischen Keÿser, ander seÿts neben Herrn Ammeister Poirot und Hinten auf Herr Hanrard dem Kauffhauß herr stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder und Hinter gebäu, worinnen Etliche stuben Kuchen und Kammern, darüber seÿn die dachstühl mit Holl und breid Zigel belegt, Hat auch zweÿ getremte Keller zweÿ Höff und brunen. Von uns unterschriebenen der statt Straßburg geschworenen Werckmeister und Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Worden Vor und um Dreÿ Tausend fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr

Antoine Maurice Engesser est élu représentant des maîtres auprès des compagnons en juillet 1787

1787, Protocole du corps des maçons (XI 245, 1770-1791)
(p. 199) Freÿtags den 27.ten Julii 1787. (Wahl)
Beÿsitzmeister Zu dem Gesellengebott. Mstr Antoni Mauritius Engeßer C.

Maurice Engesser meurt le 16 floréal II (5 mai 1794). L’actif en immeubles s’élève à 28 390 livres tournois, le passif à 36 160 livres tournois. Les héritiers obtiennent la cassation du contrat par lequel le défunt a vendu sa maison au Ponts Couverts à vil prix à sa gouvernante

1794 (11 brumaire 3), Strasbourg 2 (7), Not. Knobloch, s.n.
Inventaire et Description de tous les Biens Meubles et Immeubles quelconques delaissés par feu le Citoyen Maurice Engesser maçon décédé en cette commune le 16 Floreal 2, après que Marie Agathe Schwebel gouvernante et Claire Schwebel servante ont par serment promis de declarer fidelement (…)
Dénomination des héritiers, Le défunt a delaissé pour ses héritiers Sçavoir 1. François Engesser perruquier frere du deffunt, 2. Catherine Zobel fille mineure de feu Cleve Zobel née Engesser sœur du deffunt Représentant sa dite mere nièce du deffunt présent par André Mühl huillier son tuteur, 3. Catherine Engesser veuve de Louis Petit sœur du deffunt assistée par Frédéric Birckenfeld tailleur

meubles 3325 L, numéraire 65 L, Biens immeubles (corps de biens à Wolxheim enchéri au district de Strasbourg le 12 frimaire 2, Corps de biens à Ergersheim enchéri au district de Strasbourg le 24 frimaire 2)
Les héritiers et tuteur declarent qu’ils se pourvoient en Cassation du Contrat de vente de la Maison et jardin scitué au pont Couvert sur les Cidevant glacieres fait par le deffunt au profit de Marie Agathe Schwebel sa gouvernante, lequel Contrat ils pretendent etre remplis de Nullité 1° puisqu’il a été fait à l’article de la mort du Deffunt hors d’Etat de Contracter ce qui prouve le Vil prix de vent qui surpasse par même la moitié de la valeur qu’offrent led. declarans, 2° se trouvent jnserré dans ledit Contrat une quittance pour un acompte payé de 6000 L tandis qu’après la mort dud. vendeur il ne se trouvait en tout en argent comptant que la somme de 65 L, Cy pour mémoire
total des biens immeubles 28 390 L, Dettes passives 36 160 L, excede de 7769 L
Cejourd’hui 11 Messidor 3, les héritiers et tuteur mentionnés en tête du présent inventaire lesquels ont declaré que par sentence du tribunal du District de Strasbourg du 23 frimaire dernier le Contrat de vente de la maison cour et jardin Ci devant inserrés pour mémoire passé par devant le Notaire Schaeff au profit de Marie agathe Schwebel Cidevant gouernantre Chez le deffunt Engesser a été resilié, (…) requis d’jnserrer a la Suitte de l’jnventaire ladite Maison et jardin comme faisant partie de ladite succession et cela au prix qu’elle a été vendue par Enchere au Susd. tribunal le 3. du Courrant montant à 66 500 L.
Enregistrement de Strasbourg, acp 29 F° 36 du 14 brum. 3



Jean Philippe Heitz, maître maçon, et (1765) Anne Heimburger – luthériens


Fils de l’aubergiste Jean Philippe Heitz, Jean Philippe Heitz est baptisé au Temple-Neuf le 17 juillet 1724. Il est apprenti de 1743 à 1748 chez le tailleur de pierres Zacharie Meyé qui règle les frais de son emprisonnement pour avoir insulté un officier. Jean Philippe Heitz présente en juin 1756 son chef d’œuvre selon l’ancien règlement. Les examinateurs relèvent des défauts mais le reçoivent maître en limitant le nombre de ses compagnons à cinq pendant quatre ans sans qu’il puisse former d’apprenti pendant ce délai. Il devient tributaire le 20 juin 1756. Le Corps des maçons poursuit en justice Jean Michel Starck, Jean Philippe Heitz et Georges Frédéric Hüttner qui n’ont pas réglé l’amende pour avoir présenté leur chef d’œuvre passé le délai réglementaire ; l’affaire est portée devant les Quinze.
Jean Philippe Heitz épouse en janvier 1765 Anne Heimburger, fille d’un cultivateur de Vendenheim.
Il répare en 1768 la maison Huth rue de l’Epine. Il occupe diverses fonctions au Corps des maçons : messager en 1763, maître adjoint en 1768. Malade, il se démet de ses fonctions en juillet 1769 et obtient un subside au Corps des maçons. Jean Philippe Heitz meurt quelques jours plus tard à 45 ans de maladie consomptive dans une maison au Faubourg de Pierre en délaissant deux fils.
Anne Heimburger obtient en octobre 1769 un certificat pour pouvoir bénéficier de l’aumône de Saint Marc. Elle se remarie en 1773 avec le revendeur et brocanteur Ernest Louis Wettlin.


Signatures au bas du contrat de mariage
Remarque, Anne Heimburger signe son acte de mariage d’une croix


Fils de l’aubergiste Jean Philippe Heitz, Jean Philippe Heitz entre en apprentissage à la Saint Jean Baptiste 1743 chez le tailleur de pierres Zacharie Meyé. Le certificat de baptême atteste qu’il a été baptisé le 17 juillet 1724 au Temple-Neuf

1743, Protocole de la tribu des Maçons (XI 237)
(f° 173-v) Mittwochs den 2.ten Octobris 1743. – Eingeschriebener Steinmetz Jung
Mr Zacharias Meÿe stehet Vor mit Johann Philipp Heitzen, weÿl. H. Johann Philipp Heitzen gewesenen gastgebers vnd burgers allhier ehelichen Sohn, beÿständlich Johannes Rincken senioris Küeffers seines Vogts, will denselben das Steinmetzen handwerck auff fünff Jahr Von Johannis Baptistæ 1743. bis dahin 1748. Lehren gratis.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt, der Knab seÿe schon seith ostern beÿ Ihme, producirt tauffschein von Hn Diacono Heußen den 15. Augusti 1743. außgestellet, Krafft deßen er den 17.ten Julÿ 1724. von obgedachten H. Heitzen vnd frauen Susanna Barbara gebohrner Bergnerin beedten Eheleuthen ehelich gebohren, vnd darauff getaufft worden in der neuenKich
[in margine :] dt. 15 ß – außgethan de 28.ten Junÿ 1748.

Jean Philippe Heitz termine son apprentissage à la saint Jean Baptiste 1748. Le certificat aura son plein effet quand il aura remboursé à son maître les frais de son emprisonnement pour avoir insulté un officier

1748, Protocole de la tribu des Maçons (XI 238)
(f° 35-v) Freÿtags den 25.ten Junÿ 1748. – Außgethaner Steinmetz Mr Zacharias Meÿe stehet Vor mit Johann Philipp Heitzen seinem den 2. Octobris 1743. beÿ dießeitigem Ehrsamen gericht Eingeschriebenen Lehrjungen, vnd bittet, weilen deßen Lehrzeit auff Johannis Baptistæ Jüngsthin Verfloßen, derselbe auch bereits beÿ Löbl. haubthütten gericht außgethan, Ihne diesorths gleichfalls Ledig Zusprechen.
Erkandt, Weilen beede der meister vnd Jung mit einander Zufrieden gegen Erlag der gebühr willfahrt, insofern der außgelernte die thurn Kösten, in welchem Er Vor einigen monaten, weilen Er sich gegen Einem officier gröblich Vergeßen, auff befehl herrn Prætoris Zur Correction geseßen, bezahlen werdte, die Kösten bestunden in 14 ß 8 d. welche der meister Vor Ihne so gleich erlegt, vnd Er demselben abverdienen solle, warauff Er dann außgethan Vnd seiner Lehrjahr halben Ledig gesprochen werden.

Jean Philippe Heitz demande au Corps des maçons la permission de faire son chef d’œuvre selon l’ancienne règle

1756, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 93.a) Dienstags den 17.ten Februarÿ 1756. H. Andreas Stahl als Obermeister proponirt die Vrsach dieses Zusammen Kunfft, weilen nemblich Johann Philipp Heitz Steinmetz Vnd maurergesell allhier Zu Straßburg gebürtig begehrt, mann möchte ihme Zum meisterstück admittiren.
Johann Philipp Heitz stehet Vor, Vndt bittet Ihme Zum meisterstück Zu admittiren. Nach gehaltener Umbfrag Wurdte Erkandt, seÿe nach ordnung des articuls in seinem begehren Zu willfahren, doch solle Er Zu Vorderist von denen vier geschworenen meisterstück Schauere den alten meisterstück nach Examinirt, sofort Ihme der benöthigte Schein Von denenselben, daß er nach ausgestandener Examination Vor Ihnen wohl bestanden gegeben werden. Erlegte 3. R. vor die Handwercks gebühr.

Jean Philippe Heitz obtient en mars 1756 le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente en juin. Les examinateurs relèvent des défauts dans les dimensions et estiment que les maquettes manquent de soin. Ils reçoivent Jean Philippe Heitz en limitant le nombre des compagnons à cinq pendant quatre ans sans pouvoir former d’apprenti pendant ce délai. Passé ce délai, il sera maître à part entière. Les examinateurs lui infligent une amende de 7 livres 10 sols (pour n’avoir pas présenté son travail dans les délais prescrits, voir plus loin)

1756, Maçons (XI 246, chefs d’œuvre)
(f° 119-v) Dienstags den 2.ten Martÿ 1756. Convenerunt Mstr Johann Ludwig Müller, Steinhauer, Mstr Johann Heinrich Reinbold Steinmetz, Mstr Johannes Wagner Steinmetz, vnd Mstr Johann Philipp Wöhrlen Steinhauer, alle Vier pro dieses Jahr geschworene Meisterstück Schauere.
Johann Philipp Heitz der Ledige Steinmetz vndt maurergesell allhier Zu Straßburg gebürtig stehet Vor, Vnd bittet Ihme das maaß Zu seinem meisterstück auffzugeben.
Erkandt Willfahrt, Vnd Ihme selbiger gleichbalden Wie es in einem besondern protocollo enthalten auffgegeben.

(f° 120.v) Mittwoch den 23.ten Junÿ 1756. horâ 2.de pomeridiana Wurde auf Ansuchen Johann Philipp Heitz des Ledigen Steinmetzen vndt maurers gesellen, allhier Zu Straßburg gebürtig, in præsentla S. T. Herrn Johann Daniel Schmidt XV.rs Vnd hochgebietenden herren Obmanns, deßelben Verfertigtes Prob: und meisterstück durch H Johann Michael Mülller Loco mstr Johann Ludwig Müller des Steinhauers, so abweßend, Mstr Johann Heinrich Reinboldt den Steinmetzen, Mstr Johannes Wagner, Steinmetzen, vnd Mstr Johann Philipp Wöhrlen, Steinhauern, die dermalige Meisterstück Schauere Examinirt, Zufolg Vorgegebenen maaßes nach gewiesen Vnd nachfolgends Zu anden befunden worden.
1. ist die Inwendige fassade im hoff so wohl Linck: als rechterseith die pfeiler und fenster umb dreÿ Zoll ohngleich außgetheilt.
2. fehlen im Kleinen grundriß des Creutzgewölbs dreÿ zoll, so Zu kurtz.
3. das nembliche gewölb ist umb 3. Zoll zu schmahl.
4. fehlet Eine von den brettungen, Vnd der große aufftrag von der schnecken ist Zwar angefangen aber nicht Verfertiget worden.
5. das große Portal ist gegen dem Kleinen Vier Zoll höher, als wie im Kleinen aufftrag.
6. der Keller halß ist Zwar recht gezeichnet, aber ohne fleißig Verstochen.
7. Was die Frantzösische Steeg anbelangt, ist Zwar das meß daran guth, jedoch auch ohnfleißig Verstochen.
Wegen Welcher begangenen Fehler durch hochgebietenden herrn obmann Vnd die Geschwohren meisterstück Schauer Erkandt worden, daß demselben Innerhalb Vier Jahren nur mit fünff gesell Zu arbeiten erlaubet, hiernechst der Jung einer dieser Zeit gesperret seÿn, nach solchen Vier Jahren aber derselbe als ein Vollkommener meister passiren soll. puncto aber über die in den articul angesetzter Zeit Verfertigten meisterstücks seÿe derselbe aus beweglichen Vrsachen in Sieben Pfundt Zehen schilling Straff anzusetzen. Hierauff gabe er dem herrn obmann die handt mit Versprechen denselben nachzukommen.

Jean Philippe Heitz règle son droit au Corps des maçons

1756, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 100.b) Sambstags den 7. Julÿ 1756. Mr. Johann Philipp Heitz erlegte seinen Einstands Gebühr mit 1. lb 10. ß so in die bux gethan worden.

Jean Philippe Heitz devient tributaire le 20 juin 1756

1756, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 16) Freÿtags den 30. Julÿ 1756. – Neu Zünfftiger
Mstr Johann Philipp Heitz der Maurer und Steinmetz auch burger allhier stehet Vor, vnd bittet Ihne Vor einen Zünfftigen auff vnd anzunehmen, producirt schein der Statt stall vom 20.ten huius.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr willfahrt.

Georges Philippe Schneider et Jean Philippe Heitz sont mis à l’amende pour tenue non réglementaire en mars 1759

Le Corps des maçons décide en mars 1759 de poursuivre en justice Jean Michel Starck, Jean Philippe Heitz et Georges Frédéric Hüttner qui n’ont pas réglé l’amende pour avoir présenté leur chef d’œuvre passé le délai réglementaire

Jean Philippe Heitz est élu en décembre 1759 représentant des Maçons lors des séances d’engagement des compagnons

Jean Michel Starck, Jean Philippe Heitz et Georges Frédéric Hüttner demandent aux Quinze d’annuler l’amende que le Corps des maçons leur a infligé pour avoir présenté leur chef d’œuvre hors des délais réglementaires. Ils arguent qu’ils sont les premiers à encourir une amende pour cette raison, Georges Frédéric Hüttner a pris du retard pour cause de maladie, Jean Michel Starck, Jean Philippe Heitz à cause des séances que l’école militaire a tenues au poêle des Maçons. La fin des débats et la sentence se trouvent dans les pages manquantes du registre.

1759, Protocole des Quinze (2 R 171)
(p 141.) Sambstags den 7. aprilis – [-] nôe Johann Philipp Heitz und Johann Michael Starck, derer burgere und Maurer meistere Ctra Eundem, producirt unterthänige appellations Juncto petito mit beÿlage Sub N.is 1 biß 5 Inclusiue, bitt Deput. Freund bitt ut supra. Cop. et term. ord. obtinuit.

(p. 294) Sambstags d. 23. Junÿ – Iidem [Ober Handwercks Herren] lassen per Eundem [Secretarium] referiren, es hätten Georg Friderich Hüttner, Johann Philipp Heitz und Joh: Michael Starck alle dreÿ burger und Maurermeistere, Ctr. E. E. Meisterschafft der Maurer Obermeister d. 7. Aprilis jüngst jeder einen wiedrigeen bescheid producirt, Vermög welcher, weilen sie alle dreÿ eine längere Zeit als der Artickel erlaubet, Zur Verfertigung des Meisterstücks gebraucht, Meister Hüttner umb 12. lb, Meister Heitz um 7. lb 10. ß und Meister Starck inn 4 lb 10. ß straff condemnirt Worden, Eodem die hätten sie auch ihre unterthänige Appellations Klagen übergeben und darinnen Vorgetragen, es seÿe Zwar dem also, daß sie über die in dem Artickel bestimmte Zeit, an dem Meisterstück gearbeitet in diesem Fall seÿe aber entweder Keine Straf jemalen angesetzt oder aber solche niemalen abgefordert Worden, über daß seÿe Er Hüttner durch eine Zeit etliche Jahren anhaltende Augenblödigkeit an seiner arbeit gehindert, die Appellanten Heitz und Starck aber durch die Ecole Militaire, die Zu der nemlichen Zeit auff der Zunfft stube ist gehalten worden, an dem Meisterstück gestöhret worden, es gelange demnach An Mgnd Hh. der Appellanten unterthänige Bitte dieselbe geruheten Zu erkennen und auß zu sprechen, daß denen Von E. E. Meisterschafft der Maurer d. 23. Junÿ, 7. Aug. 1756. und 15.ten J[-] 1758 gegebene Erkandtnußen übel gesprochen, Wohl aber davon an M Gnd Hh. appellirt Worden, einfolglichen zu verordnen, daß die Erkandtnußen à quibus Zu reformiren und die Appellanten Von der Ihnen andictirten Straf gäntzlichen Zu entladen seÿen.
Auff geschehene Weißung hätten die 3. Appellanten Zugegen Sich auff ihre producta bezogen mit dem beÿsatz daß Vor Ihnen Kein einiges Stuckmeister deßwegen seÿe gestraffet worden, Wann er länger als die Vorgeschriebene Zeit an em Meisterstück geareitet.
Nôe appellaischer Meisterschafft seÿe erschienen Joh: Ludwig Müller und als Ober meister und H. Caspar Theodor Ravalliati als Meisterstück schauer, Welche ihre schrifftliche verantwortung übergeben Vorstellende die neuere Artickel Verlangten positivé daß die gesetzte Zeit [p. 297 manque]

Etat des sommes que doit Jean Philippe Heitz pour amendes au Corps des maçons

1760, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 123.a) Freÿtags den 20.ten Junÿ 1760. Mr Johann Philipp Heitz solle neben den Vnkösten per rest sambt rest Straff über all annoch E. E. Meisterschafft bezahlen 2. lb 13. ß 10. 2/3.d

Idem en 1762

1762, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 132.a) Mittwochs den 23.ten Junÿ 1762. Mr Johann Philipp Heitz Zahlte dato auff seine schuldige Extantzen der 3. lb 1 ß 10 2/3 d die Summ von 1. lb 10. ß Vnd gehen Ihme auch daran umb 15. ß Weillen er in aô 1761. beÿ behaltenem Imbiß nicht erschienen, mithin Verbleibt er nur noch ane Extantzen schuldig 16 ß 10. 2/3 d.

Jean Philippe Heitz est nommé messager du Corps des maçons en juillet 1763

Jean Philippe Heitz épouse Anne Heimburger, fille d’un cultivateur de Vendenheim : contrat de mariage en juin 1764, célébration en janvier 1765 à domicile à cause de la maladie de l’épouse

1764 (27.6.), Me J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 68
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenachtbahren H. Johann Philipp Heitz, leedigen Steinmetzen und Maurer Meister auch burgern allhier, weÿland H. Johann Philipp Heitz geweßenen gastgebers und burgers allhir mit auch weÿland frauen Anna Susanna gebohrner Bergnerin nun beeder seelig ehelich erziehltem Sohn alß dem H. Hochzeiter ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annä Heimburgerin weÿland Ruhlmanns Heimburgers geweßenen ackersmanns Zu Vendenheim mit frauen Anna gebohrner Hammin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielter tochter alß der Jgfr. hochzeiterin unter assistentz Clauß Mühl des burgers und ackersmanns Zu Lampertheim ihres schwagers ane dem andern theil – Straßburg Mittwochs den 27. Junÿ Anno 1764. [unterzeichnet] Johann Philipp Heitz Als hochzeiter, Anna Heimburgerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 4)
1765. Donnerstags den 31. Januarÿ wurden nach ordnungsmäßiger Proclamation so Dom: II et II Epiph: als den 20 und 27 Jan: geschehen, auf obrigkeitlichen Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters schriftlich geschehen, Zu Haus, wegen Zugestoßener Kranckheit der Braut, Ehelich copulirt und Christlich eingesegnet Johann Philipp Heitz der ledige Steinmetz und Maurer Meister Von hier gebürtig, weil: H. Johann Philipp Heitzen gewesenen Gastgebers in der Cron in der Krautenau mit weil, Fr. Anna Ursula gebohr. Bürckelin ehel: erzeugter Sohn, und Jgfr: Anna Heimburgerin, weil. Ruhmannn Heimburgers gewesenen Ackersmanns und burgers in Vendenheim mit Anna Hammin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Heitz als hochzeiter, + der hochzeiterin hand Zeichen (i 6)

Anne Heimburger fait dresser l’inventaire de ses apports en 1765. Un inventaire des biens des conjoints Heitz est dressé la même année. Les minutes des deux inventaires manquent

1765, Me Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 142
Inventarium über Frauen Annä Heitzin gebohrner Heimburgerin zu H. Johann Philipp Heitz, dem Steinmetz und Maurermeisters auch burgers alhier ihrem Ehemann in den Ehestand gebrachte Nahrung

1765, Me Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 143
Inventarium über Johann Philipp Heitz, Steinmetz und Maurermeisters und Frauen Annä Heitzin gebohrner Heimburgerin beeder Eheleute und burgere allhier Activ et Passiv Nahrungen

Jean Philippe Heitz doit régler une amende pour être comparu à une réunion du Corps des maçons en tenue non réglementaire

1766, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 161.a) Montags den 30.ten Junÿ 1766. Mr Johann Philipp Heitz ist Ein stubenrecht verfallen mit 2 ß 6 s weillen er den rockknopff nicht Zuhatte.

Anne Heimburger devient bourgeoise en 1767 à titre gratuit pour bon comportement

1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 119-v
Anna Heimburgerin, von vendenheim, Verheurathet ane Philipp Heitz Maurermeister und burger allhier erhalt das burgerrecht wohl verhaltens Wegen gratis will dienen beÿ EE Zunfft der Maurer, promisit d. 23. Maÿ 1767.

Jean Philippe Heitz répare la maison Huth rue de l’Epine. Les préposés lui reprochent d’avoir consolidé l’encorbellement, ce qu’il nie. Ils demandent un complément d’informations

1768, Directeurs fonciers (VII 1413)
(f° 19-v) Dienstags den 10. Maÿ 1768. Joh. Philipp Heitz – Johann Philipp Heitz der Maurermeister Wurde citirt weilen er an einem Haus in der dornengaß so H. Huth Zuständig einen überhang frisch Zugemauert und unterspreißt hätte.
Citatus præsens sagt die Maur wäre nicht neu gemacht worden, und Er hätte auch nicht den Überhang unterspreißt
Erk. Solle die Sach weiters untersucht werden.

Le Corps des maçons nomme Jean Philippe Heitz maître adjoint en juillet 1768

Jean Philippe Heitz, malade, se démet de ses fonctions et demande un subside au Corps des maçons qui lui accorde six livres.

1769, Protocole du Corps des maçons (XI 243, 1750-1770)
(f° 175.b) Dienstags den 4.ten Julÿ 1769. Mr Johann Philipp Heitz der Vntermeister, so sehr Vnpäßlich sich befindet, Vnd in betrübtem Kräncklichen Zustand ist, bittet Ihme Eine steur Zu Verwilligen.
Erkandt, seÿen Ihme 6. lb Zur Steur von E. E. Meisterschafft Zu Verwilligen, welche Mr Freÿsinger der nunmahlig Obermeister Ihme alsobald Zugestellt hat, so sich darfür bedancke.
(f° 176.a ) Vnd ist dabeÿ Mr Johann Philipp Heitz der Vntermeister Vorgestanden, Vnd gemelder, daß Weillen Er in sehr Kräncklichen stand sich befindet, Vnd Vnvermögend, das Obermeister ambt Zu versehen, mithin seÿnd per Maiora erwöhlt worden

Jean Philippe Heitz meurt en juillet 1769 à 45 ans de maladie consomptive dans une maison au Faubourg de Pierre en délaissant deux fils. La minute de son inventaire après décès n’est pas conservée.

1769, Me Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 177
Inventarium über weiland Johann Philipp Heitz gewesenen Steinmetzen und Maurermeisters auch burgers alhier seel. Verlassenschaft

Sépulture, Temple-Neuf (luth. XIII 1769-1788, f° 8-v)
Im Jahr Christi 1769 Mittwochs den 12. Julÿ abends gegen Vier Uhr starb an einer auszehrenden Kranckheit weiland Johann Philipp Heitz gewesener Maurer-Mstr, und burger allh: so in der Ehe lebte mit jetzmaliger Wittib von Vendenheim gebürtig Anna gebohrener Heimburgerin. Derselbe hat erlebt Fünf und Vierzig Jahr weniger Vier Tage. Freÿtags den 14. Julÿ wurde derselbe auf dem Gottes-Acker St. Helenæ Zu seiner Grabens-Ruhe gebracht.
Parentes Defuncti weil. H. Johann Philipp Heitz geweßener Gastgeber und burger allh. und weil. Frau Susanna Barbara gebohr. Bergnerin. Copul. 1675. den 31. Jan mit Anna Heilburgerin Von Vendenheim Vnn 3. erzeugten Kindern sind noch im Leben Johann Philipp, und Johann Danjel – Domicil, h. t. mitte ane der Stein-straß. (i 12)

Anne Heimburger demande à la tribu un certificat pour pouvoir bénéficier de l’aumône de Saint Marc et subvenir aux besoins de ses deux enfants

1769, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 239) Mittwochs den 11. octobris 1769. – Allmoßen schein
Anna gebohrne Heimburgerin Mr Johann Philipp Heitzen des burgers vnd steinmetz. seel. Wittib stehet vor, vnd bittet angesehen ihrer Großen armuth vnd Zweÿen armen hinterlaßenen Kindern Ein schein in Löbl. Stifft St. Marx umb das allmoßen Zu erhalten, mitzutheillen. Erkannt, Willfahrt.

Anne Heimburger se remarie en 1773 avec le serviteur Ernest Louis Wettlin, originaire du margraviat de Durlach.

1773 (10.7), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 351) n° 574
(Eheberedung) persönlich erschienen Ernst Ludwig Wettlin der ledige bediente Weiland Mathäus Wettlin des gewesenen Schul Meisters in der Margrafschaft Durlach hinterlaßener ehelicher Sohn als Hochzeiter ane einem,
So dann Frau Anna gebohrene Heimburgerin weiland Meister Johann Philipp Heitz des gewesenen Maurers und Steinmetzen auch burgers allhier Zu Straßburg hinterbliebene Wittib als Hochzeiterin ane dem andern theil
auf Sambstag den 10. Julii 1773. [unterzeichnet] Ernst Ludwig Wettlin als Hochzeiter, Johann Niclaus Wöttlin als brudern, Anna Heetzin als hoch Zeiterin

Anne Heimburger obtient sa radiation au rôle de le tribu des Maçons puisqu’elle est mariée depuis plusieurs années au revendeur et brocanteur Louis Wettlin.

Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
(p 259) Dienstags den 27.ten Junii 1775 – Befreÿung des Stubengelds und Petitum aus dem Zunftbüchleins ausstrichen Zu werden
Weiland Meister Johann Philipp Heitzen, gewesenen Steinmetzen und burgers alhier nachgelaßene Wittib Anna gebohrne Heimburgerin, so dermalen ane Ludwig Wedling, den Gimpelkäufler und burger alhier Verheurathet, stehet vor und bittet Ihro das angesetzte und in Extantzen befindliche Stubengeld Zu entlassen, maßen Sie schon einige Jahr anderwärts geheurathet, auch ihren Namen aus dem Zunftbüchlein aus zu streichen.
Erkannt, Willfahrt

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