3, rue du Brochet


Rue du Brochet n° 3 – X 234 (Blondel), O 852 ensuite section 33 parcelle 6 (cadastre)

Débit aux Trois Brochets – Reconstruit en 1623 par le tisserand et cabaretier Jean Jacques Kauffmann – Démolie (v. 1975)


Photographies de Lucien Blumer (années 1930, AMS cote 8 Z 3264 et 1681)

Déjà propriétaire de deux bâtiments voisins dans la ruelle, le tisserand et cabaretier Jean Jacques Kauffmann achète la maison en 1622. Il supprime en 1623 l’encorbellement (39 pieds de long, saillie de 3 pieds) vers la ruelle du Caquet (Klappergässlin, ensuite rue du Brochet) et agrandit d’un demi-pied celui qui donne vers le canal Saint-Jean (27 pieds de long, saillie de 3 pieds portée à 3 pieds ½). Adolphe Seyboth (p. 212) rapporte que la maison porte le millésime 1623. Jean Jacques Kauffmann hypothèque en 1626 la maison qu’il vient de reconstruire. Il achète la même année de ses voisins au nord une écurie qu’il a l’intention de convertir en jardin et une cuisine. Les Quinze refusent en 1624 d’autoriser Jean Jacques Kauffmann à débiter du vin dans sa maison. La maison porte l’enseigne au Brochet d’or (1649) ou au Brochet puis aux Trois brochets (1704). Elle appartient au tisserand Philippe Kayser (1679-1692) puis à l’imprimeur sur toile catholique François Kien (1698-1720) qui devient aubergiste quand son métier initial ne lui permet plus de vivre. François Kien tient un temps le poêle des jardiniers de la Krutenau (1704-1706) puis souhaite retourner dans son auberge au Brochet qu’il louait à un cabaretier françois mais qui a acquis mauvaise réputation. Les Quinze refusent en 1712 d’accorder au manant Nicolas Wang d’exploiter le débit de vin aux Trois Brochets parce que l’enseigne a déjà été retirée et qu’ils craignent que l’endroit devienne un lupanar. Le docteur en médecine Jean Samuel Silberrad charge en 1720 le maître charpentier Jean Jacques Kiel de remplacer par deux fenêtres les trois fenêtres qui se trouvent dans chacun des deux encorbellements au deuxième étage. Le batelier André von Zabern achète la maison en 1735. A sa mort en 1751, elle comprend un logement au rez-de-chaussée et un à chacun des deux étages, la toiture a une double couverture de tuiles plates, la cave est solivée. Sa veuve achète la maison voisine au nord. Les propriétés sont ensuite à nouveau indépendantes, le batelier Jean Jacques Giessbrecht acquiert celle au Brochet en 1764.


Plan-relief de 1725 – Quai aux Fleurs, passerelle au milieu de l’image. La maison fait face à la passerelle
Vue du quai, pignon de gauche au milieu de l’image (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 239 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois (comme la voisine dans la ruelle, ce qui explique l’absence du deuxième étage). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (c-d) vers la ruelle a une porte suivie de deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun et une toiture à deux lucarnes. Le pignon (d-e) vers le canal a deux fenêtres à chacun des trois niveaux et deux petites fenêtres sous comble.
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 3 rue du Brochet et le n° 32 rue de Zurich.


Plan de l’îlot (1830), passerelle du Brochet, quai du Brochet le long du canal, impasse du Brochet (repères h-l), venelle au nord
La passerelle du Brochet en 1868 (série de cartes postales
Strasbourg disparu).

La maison appartient au XIX° siècle à l’officier de santé Jean Thierry (Dieter) Wagner (1824), au tanneur Charles Guillaume Kœnig (1842) puis à l’entrepreneur en bâtiment Charles Emile Schæffer (1856) quii aménage les lieux à l’arrière pour y exercer son métier (fosse à chaux, four à plâtre).

Zurich 54 Brochet (avril 2016)
La maison lors de sa démolition (AMS, cote 1 Fi 147)
La partie droite à droite du porche se trouve à l’emplacement de l’ancienne maison au Brochet (avril 2016)

juillet 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Thiébaut Herlin, marchand et apprêteur de chapeaux, et (1621) Odile Lemmer puis (1650) Anne Marie Dœrrer, d’abord (1839) femme du juriste Jean Georges Eckart – luthériens
1622 v Jean Jacques Kauffmann, tisserand et aubergiste, et (1602) Anne Scheer, (1636) Marie Schmitz d’abord (1607) femme du pharmacien Nicolas Gottwald puis (1612) du tonnelier Daniel Haas, puis (1652) Judith Buschard, d’abord (1648) femme du marchand Hermann Kempffer – luthériens
1651* h Jean Jacques Kauffmann, tisserand, et (1638) Barbe Lissmann remariée (1656) avec le tisserand Abraham Ratzge – luthériens
1668* adj fondation Saint-Marc
1679 v Philippe Kayser, tisserand, et (1645) Susanne Armesohn puis (1665) Rosine Galadig
1692 v Charles Obrecht, boulanger, et (1667) Anne Marie Bindenschuh puis (1684) Madeleine Günther – luthériens
1698 v François Kien, imprimeur sur toile et aubergiste, et (v. 1684) Marie Véronique Conrad – catholiques
1720* adj Jean Samuel Silberrad, docteur en médecine, et (1718) Marie Dorothée Rauch, d’abord (1707) femme de Jean Pastorius, puis (1721) Marie Barbe Caspary – luthériens
1723 v Philippe Henri Hauser, marchand, et (1696) Appolonie Couppé puis (1722) Anne Ursule Schlehenacker, d’abord (1697) femme de Jean Jacques Soder puis (1707) de Jean Philippe Schropp, tonneliers et brasseurs, remariée (1737) avec le remueur de grains Jean Riehl – réformé, luthérienne
1732 adj Jean Jacques Soder, tonnelier et brasseur, et (1721) Anne Marguerite Fischer puis (1729) Salome Rinck – luthériens
et Jean Michel Trawitz, tonnelier, et (1722) Susanne Marie Soder – luthériens
1735 v André von Zabern, batelier, et (1728) Anne Marguerite Weidenmann – luthériens
(cohéritier) Jean Daniel von Zabern, batelier, et (1759) Catherine Salomé Schall – luthériens
1764 v Jean Jacques Giessbrecht, batelier, et (1746) Marie Barbe Engel – luthériens
1824 v Jean Thierry (Dieter) Wagner, officier de santé, célibataire († 1850)
1842 v Charles Guillaume Kœnig, tanneur, et (1814) Marie Joséphine Simon puis (1853) Marie Anne Joly
1855 v Charles Emile Schæffer, entrepreneur en bâtiments, et (1855) Sophie Salomé Gundelwein
1880 h Jules Rhein, médecin aide-major, et (1880) Hortense Schæffer

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1751
Valeur vénale, 825 livres en 1692, 1 050 livres en 1698, 1 000 livres en 1723 et en 1735, 1 050 livres en 1764

(1765, Liste Blondel) X 234, Jean Michel Travitz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Gießbach, 9 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 852, Wagner, Jean Diter, rue du Brochet 11 – maison, sol – 3,1 / Koenig Charles Guillaume

Locations

1687, Jean Jacques Ruff, entrepreneur de pavage
1689, Chrétien Ziegler, passementier
1704, 1705, Jacques Anglois, cabaretier
1712, Nicolas Wang, aubergiste
1720, Jean Nicolas Spæth, apprêteur de tabac
1723, Christophe Boltz, cordonnier
1725, Martin Nutzinger, manant
1757, Jean Thierry Herrmann
1773, Marie Salomé Sachs veuve Gambs
1857, Georges Frédéric Buchmüller, marchand de bois

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Jean Jacques Kauffmann qui supprime l’encorbellement (39 pieds de long, saillie de 3 pieds) vers la ruelle est autorisé à agrandir d’un demi-pied celui qui donne vers le canal Saint-Jean (27 pieds de long, saillie de 3 pieds portée à 3 pieds ½), sans imposition

(f° 129) Mittwoch den 23. Aprilis 1623. – Augenschein
Ferner vff Hans Jacob Kauffmanns begehren vor seinem hauß Inn der Crautenauw, so ein eck disseits der Innern bedeckten brucken, verfüegt, vnd angehört, der pitt weil er den vßstoß Inn dem gäßlein, so dem weißenhauß Zugeht vnnd 39. schu lang, vnnd 3 schu herauß, gar weg Zuthun willens, Ime den vßstoß gegen der bedeckten bruckken oder dem Johannes gießen, so ietzmahlg 27. schu lang vnnd 3. schu herauß vber die Allmendt geht, ein halben schu breitter vnnd also Zun allem Vierthalb schu breitt Zumachen, Zuuergönnen, Ist Inn Ansehung es ein wholstand er auch viel mehr verlängt dann einziehet, vnd der nachparschafft ohne schaden, willfahrt, vnnd mit keinem Zinß belegt worden, hatt für d. Augenschein erlegt, 2. lb d.

1668, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Les préposés de la Tour aux deniers demandent aux héritiers de Jean Jacques Kauffmann de régler des arriérés. Abraham Ratzge qui habite la maison déclare que la fondation Saint-Marc s’est rendue propriétaire de l’immeuble.

(f° 139) Donnerstags den 30. Jan. – Kauffmanns, S. Marx
Hanß Jacob Kauffmanns Erben sollen Von dero Hauß in Crautenaw à 10 ß p. 1663. 64. 1. lb d vnd p. 1665. 66. u. 67. 1 lb 10 ß d in Summa 2. lb 10 ß. Abraham Ratzke der Inwohner berichtet, daß d. Stifft S. Marx d. hauß gezog. Erk. solle H. Schaffner Zu S Marx, darvber gehört, vnd daß dann da deß. Zinsen abgeschrieben werd. H. Schaffner will abschreiben laß.

1714, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Les préposés au bâtiment qui font curer le canal demandent aux riverains (François Kien, Gabriel Meÿer, Jean Adam Siffert, Daniel Hahn. Jean Louis Hermann, Christophe Spæth, Jean Michel Kientz, Frédéric Reimann, Simon Hæs, la veuve du notaire Merckel, Matthias Belßheim et Jean Jacques Kamm) de réparer leur risberme et de ne plus jeter d’ordures dans le canal. Les riverains demandent à la Ville de leur fournir les matériaux et la main d’œuvre. Les préposés acceptent, au tarif en vigueur.
François Kien est autorisé à établir une rigole qui mène les eaux de l’arrière de sa maison dans le canal.

(f° 53) Montags den 4. Junÿ 1714. – Landfesten am Blumen gießen – Frantz Kühn
Hierauff seine nachfolgende Personen, als nemlichen Frantz Kühn, Gabriel Meÿer, der Steÿrmann, Hannß Adam Sÿfert der fischer, Daniel Hahn, der Müller, H. Jacob Ludwig Hermann, Christoph Späth, Johann Michael Küentz, Friderich Reimann, Simon Häß, herrn Not. Merckels Wittib, Mathis Belßheim, und Johann Jacob Kamm, deren Häußer an dem St. Johann oder sogenanten Blumengießen gelegen, vor MGhh. gelaßen und denselben angezeigt werden, daß Sie anjetzo da mann von seithen Gemeiner Statt mit raumung dießes Giesens begriffen ist, förderlich jhro schadhaffte Landvesten, solten repariren laßen, ingleichem daß künfftighien beÿ hoher Straff niemand einigen unraht in diesem Geißen schütten wolle, welche sich dann guthwillig darzu verstanden, anbeÿ aber MGhh. unterth. ersucht haben, daß Ihnen die darzu benötigte Materialien umb der bezahlung möchten abgefolgt werden, solte Ihnen auch erlaubt Sein, der Statt arbeits leuth darzu Zugebrauchen, * woltes Sie selbige gleichfalls vf den fuß wie gemeine Statt selbige bezalt, befriedigen, welches dann beliebt, und Zugleich Herrn Lohnern befohlen worden, die maur an der hechten bruck, auf seithen Christoph Späthen behausung abheben Zulaßen, Späth solle ingleichem schuldig sein, das steeg. an dieser mauren welches an das waßer gehet weg Zuthun.

Frantz Kuhn – Obbesagter Frantz Kühn verlangt auch daß Ihme möchte erlaubt werden, einen dohlen hinden an Seiner behaußung biß an das waßer führen Zulaßen, welches Ihme auff Seinen Uncosten erlaubt worden.

1720, Préposés au bâtiment (VII 1389)
Jean Samuel Silberrad charge le maître charpentier Jean Jacques Kiel de remplacer par deux fenêtres les trois fenêtres qui se trouvent dans chacun des deux encorbellements au deuxième étage

(f° 36-v) Dienstags den 16. Ejusd. [Aprilis 1720] – H. Dr. Johann Samuel Silberad pt° bauens
Johann Jacob Kiel der Zimmermann, bericht MGhh. daß Herr Joh: Samuel Silberrad an Seinem beÿ der Hechtenbruck liegenden Hauß, in dem Zweÿten Stock Zwo außladungen hätte, deren jede dreÿ Liechtig ist. Er wolte aber dagegen Zwo Zwoliechtige machen, bittet also vmb den gnd. erlaubnus. Erk. solle durch den Werckmeister examinirt werden

(f° 40-v) Dienstags den 23. Aprilis 1720 – H. Dr. Silberad pt° bauens
Herr Johann Jacob Biermeÿer der Werckmeister, referirt, daß Er Zufolg jüngster Erkandtnus in Herrn Dr Johann Samuel Silberrads behaußung beÿ der Hechtenbruck gewesen, und gesehen daß nicht nur als in dem Zweÿten Stock, ane statt der dreÿ liechtigen beede außladungen nur Zwo Zweÿlechtige sollen gemacht werden. Erk. Willfahrt.

Description de la maison

  • 1751 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle à côté de l’entrée, une chambre et une cuisine, au premier étage deux chambres, cuisine, vestibule et chambre à officiers, au deuxième étage un poêle, deux chambres, cuisine et vestibule, le comble a une double couverture de tuiles plates, le grenier est dallé, la cave sous solives, le tout estimé avec la cour, le puits à pompe, autres aisances et appartenances à la somme de 1 300 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue du Brochet

nouveau N° / ancien N° : 3 / 11
Giesbrecht
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 276 case 2

Koenig Charles Guillaume rue du brochet N° 11
1856 Schaeffer, Emile menuisier & Schaeffer Charles Emile entrepreneur rue du brochet 11
1858 Schaeffer, Charles Emile entrepreneur

O 852, maison, sol, R. du brochet 11
Contenance : 3,10
Revenu total : 87,61 (86 et 1,61)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1030 case 2

Schaeffer Charles Emile, entrepreneur
1882/83 Schaeffer Hortense Ehefrau Rhein Georg Julius, Stabsarzt in Nevers

O 852, maison, sol, Rue du brochet 3
Contenance : 3,10
Revenu total : 87,61 (86 et 1,61)
Folio de provenance : (276)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre allemand, registre 30 f° 411 case 6

Parcelle, section 33, n° 6 – autrefois O 852
Canton : Hechtengasse Hs. N° 3
Désignation : Hf, 2 Whs u. NG
Contenance : 3,24
Revenu : 1450 – 1900
Remarques

(Propriétaire), compte 985
Rhein Julius Ehefrau
(3347)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 344 Rue du Brochet p. 485

11
Pr. Giesbrecht, veuve – bateliers
loc. Pfeiffer, Jacques Georges – Cordonniere
loc. Zachmann, Jean Guillaume, Tisserand – Drapiers
loc. Weber Elisabethe – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Hechtengasse (Seite 58)

(Haus Nr.) 3
Hertlein, Gemüsehdlrn. 0
Hose, Strassenreiniger. 1
Metzger, Maurerm. E 1
Köhler, Tagner. 2
Münch, Köchin. 2
Vogt, Tagner. 2
Fried, Maurer. 3
Kuntz, Tagner. 3
Hartung, Tagner. H 0
Knauss, Tagnerin. H 0
Nussmann, Tagnerin. H 0
Krug, Maler, H 1
Erdmann, Schreiner. H 2
Hartmann, Tagner. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 654 W 200)

Rue du Brochet 3 (1888-1953)

Le dossier comprend des pièces sur les ravalements et d’autres sur l’entretien (rapports de la Commission contre les logements insalubres, plaintes de locataires). Le propriétaire de la maison qui habite à Nancy est représenté par son père puis sa mère, demeurant au Neuhof. Il revient à Strasbourg après la première guerre mondiale.

Sommaire
  • 1888 – Le propriétaire Schæffer demande de reporter le ravalement d’un an. En marge, la maison appartient à Hortense Schæffer, femme de Jules Rhein, qui habite en France. Son père Charles Schæffer, demeurant au Neuhof n° 2, signe la signification et déclare que la maison sera mise en vente.
  • 1892 –Julie Bausch (30, rue de Zurich) se plaint des fumées qui s’échappent de la maison basse de son voisin et incommodent ses locataires – L’agent de police confirme les dires de Julie Bausch, la cheminée est quatre mètres plus basse que le bâtiment Bausch, elle est en outre en mauvais état et pourrait s’écrouler dans la cour de la voisine. Le propriétaire Schæffer qui habite 2 route du Polygone a demandé au maître maçon Metzger (demeurant 3, rue du Brochet) de faire des travaux.
    Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police, croquis (plan et coupe). La cheminée qui se trouve à moins de quatre mètres de la propriété voisine devrait être rehaussée d’au moins six mètres. – La cheminée a été supprimée, décembre 1892.
  • 1894 (avril) – Le maire notifie Charles Schæffer (demeurant 2, route du Polygone au Neudorf) de faire ravaler la façade. Le propriétaire demande un délai en arguant qu’il a eu beaucoup de dépenses pour l’entretien intérieur et qu’il compte vendre la maison. – L’agent rapporte en marge que les façades 3, rue du Brochet et 32, rue de Zurich n’ont pas l’air d’avoir été ravalées six ans auparavant.
    1894 (juillet) – Le maître maçon Metzger (demeurant 3, rue du Brochet) demande au nom de Charles Schæffer l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation de réparer le crépi – Travaux terminés, septembre 1894
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique.
    1898 – Le maître maçon Metzger demande un an de délai – Travaux terminés octobre 1898.
  • 1898 (mai) – Le maire notifie Charles Schæffer (demeurant 2, route d’Altenheim au Neuhof) de faire ravaler la façade. – Le maître maçon Metzger demande en 1898 puis en 1899 un an de délai qu’accorde le maire – Travaux terminés, juin 1900
  • 1902 – La Police du Bâtiment constate que le maître ferblantier François Hummel (14, rue du Jeu-de-Paume) a accroché une enseigne au 3, rue du Brochet (saillie de 15 centimètres) – Demande – Autorisation
  • 1907 – L’installateur sanitaire Ch. et E. Mœbs (7-9, rue des Aveugles) demande l’autorisation de poser place de Zurich des gravats provenant des travaux de canalisation au 3, rue du Brochet – Autorisation
  • 1907 (juin) – Le maire notifie Charles Schæffer (demeurant 2, route d’Altenheim) au nom de la demoiselle Rhein de Nancy de faire ravaler la façade. – La veuve Schæffer demande un délai en arguant qu’elle a eu d’importantes dépenses pour faire les travaux ordonnés par la Commission contre les logements insalubres – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, août 1908
    1908 (mai) – S. Schæffer-Gundelwein demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisations (29 mai et 9 juin)
  • 1911 – Le locataire du premier étage du bâtiment arrière se plaint de la cheminée. – Elle est réparée lors de la visite
  • 1915 – Frédéric Mayer (Consorts Mayer, successions de J. Bausch, fabrique et mercerie) déclare que la cheminée en tôle menace de s’écrouler – La Police du Bâtiment constate que le tuyau en tôle est endommagé à mi-hauteur, l’endroit d’une jonction. La maison qui appartient à Mme Rhein de Nancy est sous séquestre. – Le maire écrit au bureau des biens français sous séquestre (9, place Kleber) – Travaux terminés, octobre 1915.
  • 1919 – Dossier. Daniel Riehl demande l’autorisation d’exploiter un café au 3, rue du Brochet – La Police du Bâtiment constate que les portes s’ouvrent vers l’intérieur, les salles de débit ont une surface de 10,10 et 9,50 mètres carrés et une hauteur de 2,80 et 2,65 mètres, les plafonds et les murs intérieurs doivent être repeints, les toilettes doivent être mieux éclairées.
  • 1922 – La veuve Rhein (demeurant 9, place du Marché-aux-Cochons-de-lait) est autorisée à occuper la voie publique pour ravaler la façade.
  • Commission contre les logements insalubres, 1900. propriétaire, Schæffer au Neuhof. Locataire Haist, 3 personnes (1 pièce, cuisine), la commission ordonne des travaux de rénovation intérieure, le locataire se plaint des fumées
    Locataire Grosskost, 1 personne de 76 ans, logement mal entretenu (bâtiment arrière)
    Locataire Herttlein, vendeur de légumes, 2 personnes (2 pièces, cuisine), logement à remettre en état. Les cabinets d’aisance dans la cour servent à trois ménages (bâtiment arrière)
    Locataire Seiler, 3 personnes (1 pièce, cuisine), le toit n’est pas étanche (premier étage)
    Le maire demande au propriétaire, conformément à la loi du 13 avril 1850, de faire des travaux dans le mois qui suit réception du courrier
    1900 (décembre) – Charles Schæffer expose les travaux déjà faits et ceux qui restent à faire
    1901 – Un cabinet d’aisance supplémentaire doit être aménagé
    1903 – Nouveau rapport, travaux à faire en 15 points (Bâtiment arrière, logement Haist, premier étage, Schleret, premier étage, Hartmann, deuxième étage – Bâtiment avant, logement Vogt deuxième étage, Gromer, deuxième étage, Fried, troisième étage – Tous les travaux sont faits, sauf un des points
    1905, rapport, travaux à faire en 4 points – Presque tous les travaux sont faits, octobre 1906
    1908, rapport, travaux à faire en 17 points – Travaux terminés, novembre 1908 – Plainte d’un locataire anonyme
    1908 (décembre) – Le maire met en demeure le propriétaire de faire les travaux en souffrance (évier dans les logements Delfosse et Fried, bâtiment arrière, canalisation dans le bâtiment arrière) – Le tribunal condamne Salomé Schæffer née Gundelwein à une amende en janvier 1910
    1910 (octobre) – Plainte du locataire Messner
    1911 – L’entrepreneur veuve Bendler au nom du propriétaire demande une visite
    1911 – Travaux terminés, sauf les abris à poules et à lapins qui ne sont pas supprimés – Affaire classée, 1912
    1913, Rapport en 9 points sur travaux à faire – Plaintes de locataires, rapport de visite – Travaux terminés, 1916
    1916 – Rapport de l’inspectrice de l’orphelinat Salm sur les trois enfants naturels d’Anne Marie Eberlé née Kuntz. Ses courriers à la propriétaire, riche et avare, sont restés sans réponse.
    1920. Liste de travaux à faire en 3 points
    1921. Plainte de locataire. La Police du Bâtiment constate que les cabinets d’aisance sont réglementaires.
    1924 – D. Riehl (Herboristerie moderne, 32, rue de Zurich), gérant de l’immeuble, signale au Service d’hygiène qu’une famille de cinq personnes vit dans une seule pièce dans le bâtiment arrière et qu’elle ne règle pas ses loyers. – Charles Rhein répond au courrier qu’il a reçu que la veuve Schæffer est morte en mars 1922 et que la veuve Rhein, demeurant 9, place du Marché-aux-Cochons-de-lait, est propriétaire. – La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée.
    1926 – Trois locataires se plaignent des cabinets d’aisance. La plainte est fondée. – Affaire classée, avril 1927
    1936 – Les locataires Schlegel et Stoll se plaignent de leur logement (plancher et carrelage, gouttière bouchée) – Le gérant Paul Maurer informe la Police du Bâtiment que les travaux sont terminés.
  • 1934 – Le maire notifie Daniel Riehl de faire ravaler la façade
    1938 – L’entreprise Anstett et Compagnie (à Hœnheim) est autorisée à occuper la voie publique devant le 3, rue du Brochet – Le commissaire de police déclare que les travaux sont terminés depuis juillet.
  • 1940 – Le locataire Robert Gunter informe la Police du Bâtiment que les cabinets d’aisance sont hors d’usage – La Police du Bâtiment constate qu’ils sont en bon état
    1941 – Le locataire Lacroix se plaint de son plafond – La Police du Bâtiment écrit au gérant Paul Maurer (122, Grand rue) qui confie les travaux au plâtrier Rabold. Les travaux sont reportés par manque de main d’œuvre.
    1941 – La locataire Olga Czerug se plaint des cabinets d’aisance – La Police du Bâtiment fait un rapport sur les travaux à faire
    1951 – Le locataire Schlegel se plaint de son logement (propriétaire, Charles Rhein, demeurant 4, rue Lezay-Marnésia) – Travaux terminés, novembre 1952.
    1953 – Les cabinets d’aisance obstrués débordent dans la cour – La Police du Bâtiment déclare que cet état des choses est dâ à la négligence des locataires qui jettent les ordures par la fenêtre.

Relevé d’actes

Jean Thiébaut Herlin vend en 1622 la maison à Jean Jacques Kauffmann (ce sera la premère à la description des immeubles dans l’inventaire dressé en 1636)

1622 (ut spâ [xiiiij. Martÿ]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 89-v
(Inchoat. in Prot. fol. 69.) Erschienen hannß diebold härle d. huttstaffirer burger Zu Straßburg (verkaufft)
hannß Jacob Khauffman burger Zu Straßburg, So Auch Zugeg.
hauß, hoffstatt vnd höfflin mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn Crutenauw Ane d. und. gedeckt. bruck einseit ein Eck Ane eim Allmend gäßlein, anderseit neben weÿland David Friderich geweßen pfarrers zu Freÿstett selig. erb. hinden vff den Kheuffer selbst stoßend, dauon gnd j lb j ß gld Abloß. mit xx lb vff (-) Imm gürtler hoff fallend. Mehr viij gl gld loß. mit j C. L gl werung, Ins platterhauß, Sunst ledig eÿg Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C lb

Fils de Boucard Kauffmann, le tisserand Jean Jacques Kauffmann épouse en 1602 Anne, fille du batelier Bernard Scheer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 70, n° 37)
1602. Hans Jacob Kaufman d. weber, Burckhardt Kaufman des webers selig. Son, alhie, J. Anna Scher, Bernhard des Schifmans selig. tochter. Confirmatio 17. Augusti, hinderm Waisenhaus (i 190)

La tribu des Bateliers vend en 1613 à Jean Jacques Kauffmann une maison à côté de la précédente (ce sera la troisième à la description des immeubles dans l’inventaire dressé en 1636)
1613 (ut spâ [viij. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 92
(Inchoat. in Proth. fol: 86.) Erschienen hanns Ploß der schiffmann burger Zu Straßburg dißer Zunfft meister einer ersamen Zunfft Zu den Fischern mit beÿstandt wüßen willen vnd gehelle des Ersamen fürsichtig vnd erb. Herrn Michael Lempen Fünffzeheners Alhie bemelter Zunfft Oberherren (hatt verkaufft)
Hannß Jacob Khauffmann dem Leinenweber burg. Alhie vnd Anna seiner ehelich. haußfr. So beede Zuegegen
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ der vndersten gedeckten bruck. einsit neben Christoff Scheurer Andersit nebenn einer behaußung dem closter Zu S. Marx Zuständig, hinden vf hannß Schmutz den haag knecht stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 25 pfund
[in margine :] Erschienen H. Clauß Roser alß ietzig. Zunfftmeister einer Ersamen Zunfft der Fischer an eim: So dan der Keüfer hanß Jacob Kauffmann am andern theil (…) Actum den 21. 9.bris 1635.

Jacques Specklin vend en 1621 à Jean Jacques Kauffmann une maison à côté de la précédente (ce sera la deuxième à la description des immeubles dans l’inventaire dressé en 1636)
1621 (28. Septembris), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 546-v
(Inchoat. in Prot. fol. 374.) Erschienen Jacob Speckhlin burger Zu Barr (verkaufft)
H. hannß Jacob Kauffman würth Zur Lungen vnd burger Zu Straßburg
hauß, hoffestatt vnd gärttlin, mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Vorstatt Straßburg In Crutenauw beÿ der vnderm gedeckhten bruckhen, Einseit neben Niclauß Bechtold dem weber, Anderseit ein Eckh Ane dem Klappergäßlin stost Hinden vff N. Härtlin Khinder, dauon gend Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning gelts vonn fünfftzig pfund hauptguett, sie seÿen Ablösig oder nicht dem Vicariat Im Münster empfangt hannß haag sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff vber obbestimpte beschwerde so die Keüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 250 pfund
([in margine :] Nachtrag)

Le tisserand Jean Weiss vend à Jean Jacques Kauffmann, alors aubergiste au Poumon, un terrain qui agrandit son jardin. L’acquéreur s’engage à n’y élever aucune construction qui empêcherait la lumière de parvenir à son jardin

1623 (ut spâ [xxiij. Maÿ]), Chancellerie, vol. 449 (Registranda Meyger) f° 511-v
(Inchoat. in Prot. fol. 316.) Erschienen Hanß Weiß Leinenweber burger Zu Straßburg mit beÿstandt Lorentz Weÿßen gartners Inn Crautenaw burgers Zue Straßburg seines geschwornen Vogts, Vndt Magdalena Zellin mit obgemelts hannß Weißen Mutter, mit beÿstandt Niclauß Bechtel Leinenweber burgers Zue Straßburg Ihres ehewürths (verkaufft)
hannß Jacob Kauffman Gasthalttern Zue Lungen burgers Zu Straßburg
Ein platz Ane sein des Kheüffers gartten, Welcher 11 schuh breith Vnd 20 schuh lang, wie solche bede parthen mit einander Abgemessen Vndt Vßgepfeldt gelegen Inn d. St: St: Im Crauttenauw, Gegen der gedeckten brucken über eins. neben dem Kheüffer Ands. neben dem Verkäuffern, Ob. stoßt mit eim endt vff dem Kheüffern Vndt mit dem Andern endt Vff die Verkheüfferin, So eÿgen & Vnd Alles Recht & Also & Vndt Ist disser Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb j C xxv lb
ferner solle der Kheüffer seine Erben vndt nackhommen Vff dissen platz nichts bauwen, wie Auch die verkäuffere Ihre Erben vnd nachlommen In Ihrem gartten Khein baw vffrichten, vnd dadurch einand. tag. od. licht benemmen

Les Quinze refusent d’autoriser Jean Jacques Kauffmann à débiter du vin dans sa maison aux Ponts couverts, il devra trouver une auberge déjà établie
1624, Protocole des Quinze (2 R 52)
(f° 120) Freÿtag 29. Maÿ – Jacob Kaufmann vmb den Weinschanck
H. Tromer Erschien Hannß Jacob Kaufmann p. supplicationem Vmb den Weinschanck beÿ d. gedeckten brucken in crautenaw. Erkanth, Abgeschlagen soll sich vmb ein Würtschafft vmbsehen.

Jean Jacques Kauffmann qui a pris à bail l’auberge au Cheval demande l’autorisation d’y exercer le métier d’aubergiste. La pétitionnaire est un tisserand qui a trois métiers, il devra préalablement devenir tributaire chez les Fribourgeois (aubergistes)
1626, Protocole des Quinze (2 R 54)
(f° 120-v) Sambstags 20. Maÿ – Hannß Jacob Kauffmann wührt Zum Gaul
Hannß Jacob Kauffmann Erschinen, bericht per Dr. Knaf. hab vf ratification Meiner Herren, von Christoph Gogkemus die Herberg Zum Gaul entlehnet, pit Ihme zu verstatten, daselbst würtschafft Zutreiben, Ermelt Zu bürgen weg. des vngeltd N. Bincklern vnd Geörg Metzgern beede Weißbecken, die wollen v.sprechen, & Guckemus auch vorgestand. bericht seÿ zwar noch etwaß wenig in daß vngeltt schuldig wöllß aber fürderlich richtig mach. Obergelth. gehört, sagen seÿ kein bescheid Zugeb. Es hab dan Zuvorderst der abgehend. würth ein schein vorgelegt, daß er daß Vngeltt völlig befridigt & H Pleß referirt, Supplicant seÿ ein wullenweber, werck mit Vier stulen, begerts neben der würtschafft zu Continuiren & H Gamß pit daß Ihme vferlegt wdt. Zu den Freÿburgern mit dem leib zudienen & Erkandt, Obervngelthh. sollen dem geschäfft sein erledigung Zugeben, befelch haben.

Jean Jacques Kauffmann sollicite en 1617 le poste de péager au pont du Rhin. Il est en 1621 aubergiste au Poumon, en 1628 au Cheval
1617 XV (2 R 62) Hanns Jacob Kauffman [der Leinenweber umb Zollerdienst vff der Rheinbrucken]. 16.
1621 XV (2 R 62) Hannß Jacob Kauffman [Würth Zur Lungen]. 210.
1628 XV (2 R 50) Hannß Jacob Kauffmann [wührtt Zum Gaul, Melchior Schnell]. 227. 232.
1631 Conseillers et XXI (1 R 113) Hanß Jacob Kauffmann der Leinenweber, Schöff. 329.
1636 XV (2 R 61) Hannß Jacob Kauffmann. 256. [früchten von pferden verätzt]

Philippe Rixner et Marie Friderich (voir la notice du 52, rue de Zurich) vendent à leur voisin tisserand Jean Jacques Kauffmann une écurie qu’il a l’intention de convertir en jardin. L’acquéreur s’engage à ne pas y construire de bâtiment de plus d’un étage.

1626 (ut spâ. [xiij. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 205-v
(P. fol. 111) Erschienen Philipß Rixner d. Schiffmann burger Zu Straßburg vnd Maria Friderichin sein eheliche haußfr. für sich selbst, So dann Clauß Roser d. Jüng. fisch. als vogt dauid vnd anna wÿl. dauid Friderich geweßenen pfarrers Zu freüstett s. Khind. vögtlich. weiß (verkaufft)
hannß Jacob Khauffman dem leinenweber burg. Zu Straßburg
ein Stall mit Allen begriff. vnd Zugehördt. geleg. Inn d. vorstatt Straßburg, In Crutenauw beÿ d. Vnderst gedeckht. bruck. einseit nebent der verkäuffern behaußung anderseit vnd hind. neben dem Kheüffer selbst, für led. eÿgen, Vnd Ist diser Khauff & Vmb j. C. lb
vnd Ist hierin Abgered, die weil er d. Khoüffer dissen Stall Zu einem gartt. Zuvert. Vorhabens, das Zu ewig. Zeit. nicht höher als ein eintzig. stock hoch vff dessen platz soll gebauwen werd.

Autre contrat entre les mêmes, portant vente d’une cuisine et d’une petite cour

1626 (ut spâ. [22. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 237-v
(Inchoat. in Prot. fol. 131) Erschienen Maria Frid.ichin mit beÿstand s. Philipß Rixners deß schiffmanns ihres ehevogts burgers Zu St. vnd Clauß Rosers des Jüngern Vischers
bekannte in gegensein hannß Jacob Kaufmanns deß Leinenwebers, auch burgers Alhie (verkaufft)
Ein Küchen vnd höfflin alhie im Crautenaw beÿ der vndersten gedecken Brucken, einseit neben ihr der verkäufferin vnd ihrem eheman 2. seit Niclauß Bechtoldt dem leinenweber hinden vff dem Stall, so er Keüffer allererst von ihme Rixner vnd Clauß Rosern obgedacht den 13. diß, wie hieuornen fol. 205. f. 2. Zusehen, erkaufft, stoßend gelegen, so gantz ledig eÿgen Vnd ist diser Kauff geschehen per xxv. lb
dabeÿ auch angedingt, daß an disen ohrt zu ewigen Zeiten nit höher Alß ein eintzigen stockh hoch soll gebawen werd.

Jean Jacques Kauffmann hypothèque au profit d’Adam Schiffmann la maison qu’il vient de reconstruire

1627 (29. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 571
Erschienen hannß Jacob Kauffman ietzig. Gastgeb Zum Gaul, burger Zu St.
hatt in gegensein H Adam Schiffmanns auch burgers alhiie – schuldig 175 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll Ein New gebawene Behausung sampt deren hoffstatt, hoff vnd garten mit allen anderen zugehörd. alhie in der Vorstat Krautenaw beÿ der vordern gedeckhten Brucken einsit ein Eck neben eim Allmendt gäßlein, Vnd 2 seit neben dauid Friderichs gewesenen Pfarrers Zu freÿstet s: Erben, hind. vff ihne den Bekhennern selbsten stoßend gelegen, vnd ist solche behaußung Zuuor v.hafft vmb 21. lb d der Schulen alhier, So dann vmb 150. fl. St. w. dem Platerhauß alhie

Anne Scheer meurt en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Caquet (Klappergässlin, ensuite rue du Brochet) près du pont moyen de la Krutenau. L’inventaire décrit les trois maisons successivement acquises. L’actif de la succession s’élève à 1735 livres, le passif à 659 livres.

1636 (28.7.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 5) n° 24
Inventarium vnndt Beschreibung aller Haab vnndt Nahrung, so weÿland die Ehren: vndt tugendtsame fraw Anna Scheerin, deß Ehren vorgeachten vndt wohl Achtbahren Herrn Hannß Jacob Kauffmanns burgers Zue Straßburg haußfraw seelige, nach ihrem auß dießer welt tödlichem hinscheÿden Hinder Ihne Verlaßen, Welche durch Ihnnen den Herrn Wittwern selbsten, vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren der Ehrengeachten Achtbahren vndt Ehernhafften herrn Hannß Waldtbaurs Würtzstößers, burgers Zu Straßburg als geschwornen Vogts Frn Margarethæ vndt Herrn M. Johann Jacobs, so beede noch ledigen standts vnndt Daniel Walttern, Metzg. burger Zu Str. als Eheuogts Mariæ Salomeen Kauffmännin, alle dreÿ der abgestorbenen frn. seel. mit obernandtem Ihrem ietz hinderlaßenem Hn Wittwer ehelich erziehlt seel. Sohn, döchter vndt ab intestato hinderlaßener nechster erben geügt vndt gezeigt (…) So beschehen vff Donnerstag den 28.te Julÿ Anno 1636.

Inn einer alhier in d. vorstatt Straßburg in Crauthenauw beÿ d. Mittler, brucken im Klappergeßlin gelegenen behaußung so auch in dieße Erbschafft gehörig ist befunden word. wir volgt
Vff der Bühnen, Inn d. Stuben, Inn der Eck behaußung am Klappergeßlin so auch in dießer Erbschafft gehörig, Inn d. Cammer Lit. A, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammer B, Inn d. Obern stub Cam:, Im obern hauß ohren, In d. undern stub Cam:, Inn d. vndern Stuben, In d. Cam. C, Inn Schreibstübl, Im haußöhren, Im vordern Keller
Wahren und werckzeug Zum Leinenweber handwerck gehörig
Eigenthum ahne Heußern. Item hauß hoff hoffstatt vnd gertl. sampt allen andern ihren gebeuwen begriff. weith. Zugehörden vnndt gerechtigkeit gelegen alhie in der Statt Straßburg in der Krautenaw im Klappergeßl. ahne der vndern gedeckten brucken, j. seit neben hanß dieboldt Philippß deß schiffmans seelig. Erb. 2. seith neben hernach beschriebener behaußung, dauon gehen Jährlich 3 lb 18 ß 9 d dem Blatterhauß Jehrlich. vff Andreæ ablößig mit 78 lib. 19. ß d. ferners j lb j ß d dem Gürtler hoff Jehrlichen vff Joh. Baptæ ablösig mit 21. lb. d. Capit. vber dieße beschwerden hiehero angeschlagen für 550 lb d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbrieff mit d. St. Straßb. anhangendem Contract Insigel, deßen dat. den 5. Martÿ A° 1622.
Item hauß hoff hoffstatt vnndt gertlein mit allen andern ihren gebeuwen begriffen, weitenn, Zugehörden vnndt gerechtigkeiten, gelegen in der voorstatt Crautenauw, beÿ der vndern gedeckten Prucken, j. seith neben vorgeschriebener behaußung 2. seith ein eck ahne dem Klappergeßl. stost hind. vff Hanß Ganßler d. leinenweber, davon gehen Jerlichen 2 lb 10 ß ahn ein Vicariat im Münster ablößig mit 50. lb d vff Weÿhenachten d. Zinß fellig mehr 5. lb Hannß Schötten Burgern Zu Eckbolsh. ablösig mit 100 lb. vff Joh. Baptæ der Zinß velen* vber dieße beschwerd. hiehero angeschlag. p. 150. lb, kein Kauffverschreibung bißhero darüber auffgerichtet [in margine:] ist in d. Contr: stub verschrieben
Item ein behaußung vndt höfflein sampt allen andern seinen gebewen weithen Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen in bemelter vorstadt Crautenaw im Klappergeßl. j. seit neben Gabriel Gerhard schiff Zimmermann, 2. seith neben Johan Scheüerers Erben stost hin. vff Stoffel heßen, dauon gehe Jährlich vff Laurentÿ j lb 10 ß der vischer Zunfft alhier ablößig in hauptgut mit 30. lb d vber dieße beschwerdt angeschlag. wie sie von dem Herrn Erkaufft vmb 125. lb. Darüber ein brieff v.hand.
Sa. haußraths 257, Sa. Werckzeugs Zum leinenweber handwerckh gehörig 489, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 62, Sa. guldinen Ring 26, Sa. Bahrschafft 32, Sa. Eigenthumbs ahne heuß. 825, Sa. Schulden 39, Summa summarum 1735 lb – Schulden 659 lb, Nach deren Abzug 1073 lb

Jean Jacques Kauffmann se remarie en 1636 avec Marie Schmitz, veuve de Daniel Haas l’aîné, assesseur au Petit Sénat. La mari assure à sa future épouse l’habitation dans sa maison ruelle du Caquet. Contrat de mariage, célébration
1636 (11.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 27
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten vndt Achtbaren Herrn Herrn Hannß Jacob Kauffmann burgern alhie Zue Straßburg, ane einem,
vndt der Ehren: vndt viel tugendsamen Frawen Maria Schmitzin, weÿland deß Ehren: vndt fürgeachten herrn Daniel Haaßen, deß Elttern Eines Ehrsammen Kleinen Raths alhie geweßenen beÿsitzers seeligen hinderlaßenen beÿsitzers seeligen hinderlaßener wittwen, am andern theil
Endlichen vndt Zum Vierdten hatt die fraw hochzeiterin Ihrem lieben H Hochzeiter (…) legirt, verschafft vndt verordnet, doch da Ihr Sohn Niclaus noch beim leben sein soltte, will sie demselben sein legitimam vndt Pflichttheil daran in alle weg vorbehalten haben,
dargegen hatt Er der Herr Hochzeiter, der fraw hochzeiterin in seiner ietzt bewohnenden Eck behaußung ane dem Klappergeßlin in Crauthenaw, daß hindere Stüblein, gegen dem Gartten, die Cammer daran, vndt dann die Cammer darüber, die Garn Cammer genandtn wie auch so viel platz Zum holtz vndt wein, alß Sie für Ihr Persohn bedürffig sein möchte, Zusampt 40 Gulden in geltt
So beschehen vndt verhandelt in deß heÿligen Reichs freÿen statt Straßburg, Auff Donnerstag den 11 tag, deß monaths Augusti Im Jahr deß Herrn Alß mann Zahlte 1636.

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 60)
1636. Dom. VIII et IX. Herr Hannß Jacob Khauffmann d. handelsmann vndt burger Alhie vnd Fraw Maria weÿl. herrn Daniel Haasen des Kleinen Raths beÿsitzer allhie nachgel. Wittwe. Vop. Edoem die et loco [Montags d. 15. Aug. Zue St. W.]

Fille du tonnelier Corneille Schmitz, Marie Schmitz épouse en 1607 le pharmacien Nicolas Gottwald puis en 1612 le tonnelier Daniel Haas
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 249 n° 66)
1612. Dom. 16. post Trin. 27. Sept. Daniel Haaß der Kieffer, Maria, Niclaus Gottwalt des Apoteckers Hind.lassene witwe. Eingesegnet Mont. d. 5. octob. (i 129)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 198-v n° 40)
1607. Dominica vocem iucunditatis. Niclaus Gottwalt von Jütterbeck in Sachsen ein Apotecker, Maria Cornelÿ Schmitzen des kieffers hind.lassene dochter. eingesegnet mont. d. 1. Maÿ (i 104)

Marie Schmitz fait dresser l’inventaire de ses apports
1636 (10.8.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 23) n° (1399)
Inventarium vnndt Beschreibung aller Haab, nahrung vnndt güetter so die viel Ehren vndt tugendreiche fr. Maria Schmitzin*, Zu dem Ehrenuesten vndt vorgeachten Herrn Hanß Jacob Kauffmann In den Ehestandt Zugebracht, welche der ursachen, weÿl Inn Ihre beeder eheberedung versehen, daß einem Jeden vndt seinen erben, seine inn den Ehestandt Zubringende Nahrung ein unverändert guet sein (…) Actum Mittwoch den 10.ten Augusti A° 1636

Jean Jacques Kauffmann qui tient l’auberge au Poumon estime que son loyer est trop cher et la concurrence trop importante. Il sollicite le droit de transporter l’auberge dans sa maison aux Ponts couverts de la Krutenau. Le rapporteur estime que la maison ne se prête pas à y établir une auberge et que le pétitionnaire devra trouver à louer une autre auberge.
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
Hanß Jacob Kauffmann [umb würtschafft Zur Lungen]. 8
(p. 300) Sambstags den 9. Xbris. – Hanß Jacob Kauffmann würth Zur Lungen will sein würtschafft transportiren
Hanß Jacob Kauffmann erschienendt. per Dr. Knaff. vnderthänige Supplication, bitt, weil Er In seiner Herberg Zur Lungen, Zu schweren Zinß sitzet, vnnd die Zehrung daselbst wegen anderen nahe gelegenen ortt v. würthshäußer sehr gering; Ihme Zuerlauben daß Er an statt solcher Herberg In seiner In Crautenaw beÿ dem vnderst gedeckten brucken gelegenen eÿgenthümblichen Behaußung, den Schanck treiben vnd Ein Schild außhencken möge. H. Wencker bericht, daß gemelte Behaußung gantz vnbequem vnnd untauglich Zur Würtschafft seÿe, stehe in seinem winckel, also d.. neben anderer vnordnung auch viel vngelts betrug darinnen Vorgehen, könte. Erkand, Sioll Supplicanten sein Begehren abgeleint, doch Ihme ein ander Ledig weinschancken hauß Zubestehen unbenohem sein.

Jean Jacques Kauffmann hypothèque la maison au profit du batelier Jean Jacques Heinrich

1642 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 251-v
Erschienen H Hannß Jacob Kauffmann Kl. Rhats Verwanther
hatt in gegensein hannß Jacob Henrichß daß Schiffmanns mit beÿstand H Andreß Henrichß alten groß. Rhats Verwanthens seins Vetters – schuldig seÿe 250 guld Zue fünff batzen
dafür in spê. Underpfand sein soll hauß, hoffstatt, Garten mit allen deren gebäwen die herberg Zum hechten genannt in Krautenaw an der etwann gedeckht. Bruck. ist einseit ein Eckh am Klappergäßlin, anderseit neben dem H Bekenner selbsten Vornen vffs Waßer, hind. vff Urban Beÿern den iünger, Schiffmann stoßend geleg. davon gehend iahrs 3. lib 18 ß verkäuffer weÿhenachten dem Blaterhauß, So ist diß hauß auch noch verhafftet umb 150. lib

Jean Jacques Kauffmann l’aîné, assesseur au Grand Sénat, et Jean Jacques Kauffmann le jeune, aubergiste hypothèquent l’auberge au Brochet d’or au profit de Jean Garnier Schmitz auquel Marie Schmitz a légué 100 livres

1649 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 544
Erschienen H. hannß Jacob Kauffmann der älter alter großen Rhats Verwanther, Vnd Hannß Jacob Kauffmann der Jünger Leinenweber alhier an einem, So dann Hannß Werner Schmitz der küeffer und Burger alhie Kinder mit beÿstand H. Johann Wolffgang Heßlers Vnd H. Alberti Weßeners beed. alß Vß E. E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, wie auch H Ernst Friderich Mollingers Senioris V. I. D. Comit. palat. cæsar. & Regi Consil. & Advocati am andern theil
zeigten an, demnach weÿl. Fr. Maria Schmitzin vorgemelts H Hannß Jacob Kauffmanns deß eltern geweßene eheliche haußfr. in ihrem vffgerichtet. vnd durch H. Johann Georg Meÿern dem Notarium Vnd Stallschreibern alhiie in A° 1644 Verfaßten Testamento §. Zum Neünten obgedachts Hannß Werner Schmitz. Kindern ins gemein 100. lb. legirt (…)
in specie zu Underpfand einsetzen hauß, hoff, hoffstatt Vnd Gärtlin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw vnd in dem Klappergäßlin, die Herberg Zum guldinen hechten genannt neb. hannß Diebold Philipß deß Schiffmanns seel. Erben, ein: vnd anderseit neb. vorgemelt. hannß Jacob Kauffmann dem Jüngern hind. vff hannß Günßlein den Leinenwebern stoßend geleg. davon gehnd Jahrs 3. lib. 18 ß 9 d dem Blaterhauß ablößig mit 78. lb 19 ß, Mehr 1. lb 1 ß dem gürtlerhoff, Vnd dann ist diße Behaußung noch Verhafftet vmb 150. lb H Daniel Steinbockh alt. groß. Rhats Verwanth., Item hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen & im Klappergäßlin gegen Vorgeschriebener Behaußung über neb. hannß Lipß. dem Schiffmann ein Vnd anderseit neb. Hannß Schmierers seel. Erb. hind. vf hannß Ottmann stoßend gelegen, so Zu Vor Verhafftet Vmb 30. lib. der Fischer Zunfft alhie

Jean Jacques Kauffmann, assesseur au Grand Sénat, se remarie en 1652 avec Judith, veuve du marchand Hermann Kempffer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 31-v n° 23)
1652. Dnica XV. et XVI. Trinit. 26. Sept./3. Octob. Herr Hanß Jacob Kauffman, der Leinenweber E. Ehrs. großen Raths altter Beÿsitzer vndt burger alhier, vndt Frau Judith Weiland Herrmann Kempffers des handelsmanns vndt burgers alhie nachgel. wittib. Cop. 7. ad S. Wilh. (i 27)

Le marchand de cuir Hermann Kempffer épouse en 1648 Judith, fille du brasseur Guillaume Buschard
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 83)
1648. Dncâ 9. Trinit. 30. Julÿ. Herr Herman Kämpffer d. Eltere Burger Vndt Lederhändler alhie, J. Judith Wilhelm Buschardt Burger Vnd Biersieders alhie hinderlaßene tochter (Zinst. 8.t Augusti J S Peter (i 84)

La maison revient à Jean Jacques Kauffmann le jeune qui épouse en 1638 Barbe, fille du pasteur de Wintersbourg Nicolas Lissmann. Jean Jacques Kauffmann l’aîné est aubergiste au Vieux Palais (zur alten Pfaltz)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 139-v)
1639. David XIV. Trinitatis. H. M. Johann Jacobus Kauffmann H. Hanns Jacob Kauffmanns deß Würths Zur Alten Pfaltz vndt burger alhie eheleiblicher Sohn, vndt Jungfrau Barbara weÿl. Herrn Nicolai Lißmann Pfarrers zu Winterspurg Inn der Herrschafft Litzelstein nachgelaßene eheliche tochter, Copulirt Zue St Wilhelm, Montags den 30. 7.bris (i 315)

Jean Jacques Kauffmann le jeune, tisserand, hypothèque la maison voisine de celle au Brochet au profit du tonnelier municipal Daniel Schneider

1651 (16. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 511 n° 712
Erschienen hannß Jacob Kauffmann, der iüng, leinenweber,
hatt in gegensein H. Daniel Schneid. deß statt Küeffers – schuldig seÿen 100. lib
Underpfand sein soll hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen alhie in Krautenaw im Endtenletz, einseit neben weÿl. Andreß Vogelß seel: wittib, anderseit neben Georg Ruperle dem Schreinern, hind. vff gemelte wittib stoßend gelegen,
Ferners hauß, hoff, hoffstatt, Gärtlein, mit allen deren Gebäwen, auch in Krautenaw beÿ der undern, etwann gedeckhten Bruckhen, einseit ist ein Eckh, anderseit neben dem hauß Zum hecht. hind: vff hannß Günnßlin den leinenweber stoßend gelegen

Originaire de Silésie, le tisserand Abraham Ratzge épouse en 1656 Barbe, veuve de Jean Jacques Kauffmann le jeune
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 31)
1656 (W.) Dnicis IX. et X. Trinit, 2/3 Augusti. Abraham Ratzke Von Dernstett aus der Schlesien gebürtig, Leinenweber handwercks Weilandt Abraham Ratzke auch Leinenwebers undt Burgers daselbst nachgel. ehelich. S. Undt Barbara, wld. herrn hans Jacob Kauffmanns des Jüngern geweßenen Leinenwebers undt B. alhier nachgel. Wittib. Beÿstant Adam Witzenlaub tutoris sponsæ Cop P. Montags (i 32)

Abraham Ratzge devient bourgeois quelques jours après son mariage
1656, 4° Livre de bourgeoisie p. 308
Abraham Ratzge d. Leinenweber u. Bernstatt auß Schlesien, Empfangt d. burgerrecht v. seiner fr: Barbara weÿl. Hanß Jacob Kauffmanns des Jüngern leinenwebers witt: Vmb 8. Golt fl. welcher er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Ledigen standts, würd Zu den Tuchern dienen, Jurav: 18.ten Augst. A° 1656

Le receveur de la fondation Saint-Marc vend la maison au Brochet provenant d’Abraham Ratzge au tisserand Philippe Kayser. En marge, quittance remise en 1722 à Jean Samuel Silberrad.

1679 (20. 8.br:, Chambre des Contrats, vol. 548 f° 770
Herr Johann Schmidt alß Schaffner des großen gemeinen allmosens Zue St Marx
in gegensein herrn Philipp Keÿßers des leinenwebers
Eine behaußung, höfflein, hoffstatt, und Garten, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenau, einseit ist ein Eckh, anderseit neben H. M. Johann Güntzlein Pfarrern Zu Dorlisheim Zum theÿl und theÿls neben (-) Schmutzen dem Fischer, hinden uffs Allmend stoßend gelegen, und Zum Hechten genannt, so gegen männiglichen freÿ, ledig undt eÿgen, undt Von Abraham Rhaske dem Leinenweber ahne daß Allmoßen seÿe – umb 800 lb
[in margine :] (…) in gegensein Hn Joh: Samuel Silberad Med. D. et pract. allhier als jetzmahligen proprietarÿ hier beschriebener behaußung (quittung), Actum d. 16. Maji 1722.

Fils du tisserand Melchior Kayser, Philippe Kayser épouse en 1645 Susanne, fille du passementier Ezéchiel Armesohn
Mariage, cathédrale (luth. p. 491) 1645. Domin : 24. Trinitatis. Philips Keÿßer der Weber, Melchior Keÿßer, deß Leinenwebers vnd Burgers allhie ehelicher Sohn, Jungfr. Susanna Gechielis Armesohn, deß geweßenen Paßmenters vnd burgers allhie eheliche tochter. Im Münster Mont. 24. Novembr. (i 250)

Philippe Kayser se remarie en 1665 avec Rosine, fille du revendeur Gaspard Galadig, de Rappolswir (Rapperswil) en Suisse
Mariage, cathédrale (luth. f° 57-v n° 4)
1665. Dom: 7.ma die 22. Zum 2. mahl Philipp Keÿser der ha* Leinen Weber vnd Büttel auff der Thucher Zunfft undt Jfr. Rosina Weiland Caspar Galadig gewesenen Krämers Zu Rappolßwÿer in der Schweitz hinterlaßene ehel. Tochter. Donnerstag den 2. Febr. Münster (i 60)

Philippe Kayser meurt en 1680 en délaissant cinq enfants de son premier mariage et sept du deuxième. L’inventaire est dressé dans la maison au Brochet. La masse propre à la veuve est de 65 livres, celle propre aux héritiers de 11 livres. L’actif de la communauté s’élève à 218 livres, le passif à 238 livres.

1681 (14.5.), Not. Schübler (Jean Philippe, 56 Not 3) n° 7
Inventarium undt beschreibung aller Haab, Nahrung undt Gütter, so weÿlandt der Ehrenveste H. Philipp Kaÿßer geweßener leinenweber vndt E. E. Stattgerichts beÿsitzers Seelig, nach seinem den 19. Decembris verschienen 1680.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, verlaßen, auf erfordern vndt begehren des abgeleibten herrn Seelig hinderlaßener vndt ahne nachgemeltem folio benembster Erben, dero Ehe: vndt vögte Inventirt durch die Ehren vndt tugendsahme fraw Annam Rosinam Gallatinam die hinderbliebene Fraw Wittib mit assistentz deß Ehren vndt wohlvorgeachten H. Johann Ludwig Cuntzen deß Eltern Meßerschmidts vnd burgers Allhier Zu Straßb. dero verordnet undt geschwornen vogts (…) Actum Straßb. sambstag den 14. Maÿ Anno 1681.
Der in Gott ruhende H Seelig hatt ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Erstlich Susannamn Weÿlandt Hannß Martin Klingelmeÿers geweßenen leinenwebers vndt E E Zunfft der tücher hauptkanten Seelig hinderlaßene Wittib, mit Zuziehung H. Hanß Martin von Zabern Leinenwebers burgerss allhier alß verordnet: vndt geschwornen vogts dero mit vorgedachten Ihren Man Selig Ehelich erzeugter Kinder, So ahne Statt Weÿland Hannß Berelmeÿers geweßenen leinenwebers dero Vogt Seelig (weilen Sie noch Zur Zeit nicht wieder* bevögtigt) dießem geschäfft beÿgewohnt, 2. Annam Ursulam Kaÿßerin weÿland Hanß Brüelmeÿers hinderlaßene Wittib mit beÿstand H Georg Heinrich Musculi leinenweber vnd burgers allhier dero geschwornen Vogts, 3. Melchior Kaÿßer, Leinenweber vndt burger alhir für sich selbsten, 4. Hannß David Kaÿßer leinenweber vnd derzeit Mousquetirn vnder der Curfürstlichen Leibguardi Zu Heÿdelberg Vndt 5. Susannam Mariam Kaÿßerin, beede mit beÿstand H Caspar Fischers Leinenwebers vndt Burgers allhier derselben geschwornen vndt verordneten vogts, Alle fünff deß Verstorbenen H Seelig mit Weÿland frawen Susanna Ambrosiußin deßen Erster hußfrawen seelig erzielte Söhn vnd döchter
6. ferner H. Philippum, 7. Annam Rosinam, 8. Barbaram, 9. Hannß Ludwig, 10. Annam Catharinam, 11. Annam Mariam vnd 12. Johann Friderich, Alle sieben mit eingangs gedachter frawen Anna Roßina Gallatra deßen anderer haußfrauen vndt nunmehr höchst betrübter Wittib Ehelich erzeugter Kinder, mit beÿstandt H. Paul Kachlers leinenwebers vndt burgers allhier deselben verordneten vndt geschwornen vogts, Mit fernerer assistentz H Johann Friderich Räuber hoßenstrickers vndt burgers allhier deroselben geschwornen theilvogts weilen vorgemelte H Kachler hievor gedachter Annæ Ursulæ beÿelmeÿerin Kinder geschworner vogt ist. Vnd alle zwölff deß verblichenen H Seelig ab intestato hinderlaßene Söhn vndt döchter auch Erben.

In einer in der Statt Straßburgin der Vortstatt Krautenau beÿ der hechtenbrucken gelegenen vndt in die theilbare Nahrung gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
In der Cammer A,, In der obern Stuben,, In der Nebens Cammer, Im obern haußöhren, In der Obern Stuben, In der Stub Cammer, In der Nebens Cammer, Inn mittllern hauß Ehren, In der wohnstuben, Im undern haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ahne ener Behaußung so theilbar (T.) It. eine Behaußung, höfflein, hoffstatt vndt Garten, mit allen deren Gebewen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg in der vorstatt Krautenau beÿ der hohen brucken einseit ein Eck anderseit neben H M. Johann Güntzlern Pfarrer Zu Dorlißheim Zum theÿl undt theils neben hanß Georg Schmutzen dem fischer hinden vffs Allmendt stoßend, vndt Zum hechten genadt, davon gehen Jahrs dem Gemeinen Allmosen Zu St. Marx 28. lb d in hauptgut widerlößig mit 700 lb d sonst freÿ ledig vnd eÿgen Vnd ist dieße behaußung, gleich wie solche in Anno 1679. vom dem herrn Seelig Krafft hernach benandten Kauffbrieffs erkaufft worden, allhier vber bezalte 100 lb gleichfalls hiehero in außwurff zu bring. verglich. word. 100 lb
Darüber meldet ein Pergamenten newen Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract stub Insigel verwahrt de dato den 20. 8.bris Anno 1679. In sich haltend, welchergestalt dem H Seel. solche behaußung wehrender Ehe von dem H Schaffner deß Stiffts Zu St Marx mit Gn. Consens der Hh. Pflegere daßelbst für freÿ ledig vndt eig. vmb 800 lb d erkaufft vndt so bald 100 lb d darauff abgestattet, mit N° 1 signirt.
Abzug in dießes Inventarium. Der Fraw Wb. unverändert Gutt. Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Ergäntzung 30, Sa. Schuld 25, Summa summarum 65 lb
Der Erben Unverändert Guth, Sa. haußraths 51, Sa. Schiff und geschirrs Zum Leinenweber handwerck gehörig 19, Summa summarum 70 lb – Schulden 58, Nach deren Abzug 11 lb
Theibar Gutt, Sa. haußraths 62, Sa. Garns, woll, werckzeug, Schiff und geschirrs Zum Leinenweber handwerck gehörig 48,Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. guldenen Rings 18 ß, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 100, Summa summarum 218 lb – Schulden 238 lb, Nach deren Abzug 19 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 65 lb
Bericht anestatt der Erben Unveränderten Gutts Ergäntzung. Demnach sich beÿ ersuchung der Erben unveränderten Gutts Ergäntzung auß dem über weÿland frawen Susanna Armsonin deß abgeleibten Herrn erster haußfrauwen Christoff Schüblern Notarium in Anno 1664. auffgerichteten Inventario (…)

Le tuteur des enfants en secondes noces loue la maison à Jean Jacques Ruff, entrepreneur de pavage

1687 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 117
Erschienen Paulus Kachler, der halbleinenweber alß Vogt weÿl. H. Philipp Kaÿßers auch halbleinenwebers sel. Kinder letster Ehe,
in gegensein Hanß Jacob Rueffen, fermier der Pflästerung dieser statt
entlehnt, Eine Behaußung Zum hechten genandt, allhier in der Vorstatt Krautenau beÿ d. sogenandten hechten brucken, so einseit ein Eck geg. ged. brucken sambt allen deren Gebaüen, begriffen vnd Zugehörden nemblich so viel alß Gadinoy d. Schantzmeister bißhero ingehabt, auff Zweÿ jahr lang von nächstkünfftig Annunciationis Mariæ angerechnet, umb einen jährlichen Zinß, nemblich 20 Pfund

Le même loue une partie de la maison au passementier Chrétien Ziegler

1689 (7. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 533-v
H. Paul Kachler, der Leinenweber, alß vogt Weÿl. Philipp Kaÿßers auch gewesenen Leinenwebers nachgelaßener Kind.
in gegensein Christian Ziegler, deß Paßmentirers
entlehnt, In einer in der Vorstatt Krautenau beÿ d. Hechten bruck gelegenen denen Kaiserisch. Erb. gehörig. behaußung, die undere Stub, Stub Cammer, haußöhren und noch eine Cammer, so auch und. ferner eine Cammer oben, auch die oberst. bühn, ins gemen Zu gebrauch. So dann den Keller welcher Und. d. entlehnten gemach ist, samt d. eingang durch d. gart. zum Keller, alles auff zweÿ jahr lang, von Künfftig. weihnacht. an zu rechen, umb 6 Pfund pfenning jährlich. Zinßes

Les héritiers de Philippe Kayser vendent la maison à Charles Obrecht, boulanger et assesseur au Petit Sénat, moyennant 825 livres

1692 (26. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 431-v
Philipß Keÿser der Leinenweber für sich selbst, und H. Georg Henrich Musculus auch Leinenweber alß Vogt weÿl. Philipß Kaÿsers übrige hinderlaßener Vier Kinder anderer Ehe
in gegensein Hn Carl Obrechts deß Weißbecken und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers
Eine behaußung, Höfflein, hoffstatt und Garten mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau enseit ist ein Eck anderseit neben H M. Johann Günzlin Præcept. infer. Gymnasÿ Zum theil und theils neben Adam Sÿfert dem jüngern fischer, hinten auff allmend stoßend gelegen und zum Hechten genandt, welche behaußung dem großen Gemeinen Allmosen zu St Marx allhier annoch umb 700 lb alten Kauffschillings Rest verhafftet – umb 125 pfund

Fils du capitaine Charles Obrecht, le boulanger Charles Obrecht épouse en 1667 Anne Marie, fille du charpentier Sébastien Bindenschuh : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – Zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Carol Obrechten Schwartzbecken vnd Burgern alhier in Straßburg, des Weÿlandt Ehrenvesten vnd mannhafften Caroli Obrechten geweßenen Capitain Lieutenants vnder dem Erlachischen Regiments Zu fuß seel. hinderlaßenem ehelichen Sohn, alß dem Bräutigam, an Einem
So dann der Ehren: und Tugendreichen Jungfrawen Anna Maria, des Ehrsamen und bescheidenen Meister Sebastian Bintenschuhen, Zimmermanns vnd Burgers alhier, Eheleiblichen Tochter, alß der hochzeiterin am andern theil (…) Geschehen vnd verhandelt in der Heÿligen Freÿen Reichs Statt Straßburg, Freÿtags den 25. Monatstag Octobris Anno Christi 1667. [unterzeichnet] Carolus Obrecht Alts hochtzeiter, Sebastian Bindenschuh Alß hochzeiterin vatter

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 173-v n° 31)
1667. Eâdem Dominica [XXI Trinitatis 27. Octob.] Carl Obrecht der Schwartzbeck, Weÿl. Herr Caroli Obrecht gewesenen Capitaine Leutenant Vnder der Erlachischen Companÿ nachgelaßener ehelicher Sohn Vndt Fr. Anna Maria Sebastian Bündenschue deß Zimmermanns Vnd Burgern allhie, Eheleibliche Tochter. Copulavi Mont. 4. Novembris

Anne Marie Bindenschuh meurt en 1684 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans la boulangerie à la Râpe. La masse propre aux héritiers est de 313 livres. L’actif de la communauté s’élève à 423 livres, le passif à 385 livres.
1683 (12.7.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 4) n° 14
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsamen Frawen Annæ Mariæ Bindtenschuhin, deß Ehrenhafften Meister Carl Obrecht, haußfeurers und burgers Zu Straßburg gewester haußwürthin seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1683. (…) nach ihrem Mittwoch den 27. Aprilis Jüngst aus dießem mühesamen trauw: und kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, Welches auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten und Achtbaren Meister Michael Bindtenschuh, Zimmermann und burgers alhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts 1. Johann Carols, 2. Johann Michaels, 3. Philipps Jacobs, 4. Annæ Mariæ und 5. Johann Heinrichs der Verstorbenen Frawen seel. mit vor: vnd nachgemeltem Ihrem hinderbliebenen Wittwer ehelich erzeügter Kinder und nach Tod verlaßener ab intestato nächster Erben Zu einem Fünfftentheil gebüheend, ersucht (…) Actum Straßburg in beÿsein Herrn Gottfried Naundorff, freÿherrl. Holtzapffelischen Ambtmann Zu Odratz: und Behlenheim, als *rs Verwanthen, Montags den 12. Julÿ Anno 1683.
Bericht und respectivé Vergleichung wegen beederseiths Zugebrachter Nahrungen. Demnach gleich Zu Anfang der Inventation nachfrag beschehen, ob bederseiths einander Zugebrachte Nahrungen Inventirt worden, Hat sich der Wittwer vernehmen laßen, daß solches nicht beschehen seÿe (…)

In hernach [-] Verlaßenschafft gehöriger behausung befunden worden wie volgt
Ane Höltz: und Schreinwerck, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Kuchen, In der Cammer D, In der Cammer E, Im obern haußöhrin, In der wohnstuben, In der Cammer F, In der Cammer G – Federwerck, In der Cammer A (…)
Werckzeug, Schiff und geschirr Zum Schwartzbecken handwerckh gehörig
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item ein Schwartzbecken behaußung mit allen deßen gebäwen, begriffen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gegel.. in der Statt Straßburg Zum Rübeißen genannt (…)
Der Verstorbenenn Ergäntzung (356, Abgang 43, verbleibt) 313 lb
Theilbar, Sa. Haußraths 140, schulden Werckzeugs 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. guldener Ring 4, Sa. Eigenthumb ane einer Behaußung 262, Sa. Schulden, Summa summarum 423 lb – Schulden 385, Nach deren Abzug 38 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 351 lb
Ergäntzung aus dem über weÿl. Meister Sebastian Bindtenschuh gewesenen Zimmermanns und burgers Zu Straßburg der Frauen vatter in Anno 1675 durch weÿl. H. Notm. Johann Thoman Tromern seel.verfertigten Theilregister
Eheberedung (…) Geschehen vnd verhandelt in der Heÿligen Freÿen Reichs Statt Straßburg, Freÿtags den 25. Monatstag Octobris Anno Christi 1667

Charles Obrecht se remarie en 1684 avec Madeleine, fille de l’huilier Laurent Günther
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 308, n° 649)
1684. Dom. 3. Epiph. Et Septuag. d. 23. u. 30. Jan. Carolus Obrecht d. Schwartzbeck undt burger allhie Jfr. Magdalena Lorentz Günther burgers vndt ohlmans alhie eheliche tochter, Cop. montag den 31. Jan. St. Thom. (i 56, proclamation Temple-Neuf f° 119 n° 111, i 121)

Charles Obrecht est mis à l’amende pour vendre du pain trop léger et ne pas être comparu lors de sa convocation.
1675, Protocole des Quinze (2 R 90)
(f° 165) Sambstag den 11. Julÿ – Brod Schawer wegen Carlen Obrecht
H Graseck referirt, daß die Brod Schawer ein memoriale ad Prothocollum Gelieffert, darinnen, Sie sich beclagen, daß Sie Carlen Obrecht den Schwartzbecken wegen leuchten brodbachens Zu Vnderschiedlichen mahlen Von sich citirt aber niemalen erschinen. Erkandt, Ober Ungelts herren solten Carlen Obrecht Vnd tho* deßwegen Zu red setzen, so geschehen Vnd weilen Er wegen seines außenbleibens gar liederlich entschudigt auch 1 lb d angestrafft, die abstraffung aber wegen des leuchten burger brod bachens Vor die Brod Schawer Verwißen.

Charles Obrecht tient l’auberge des compagnons boulangers
1695, Protocole des Quinze (2 R 99) 105 Johann Carl Obrecht der Becken knecht Stubenvatter pt° Weinschanck an die Burger, 110, 111
266 Dreÿ des Pfenningthurns müßen Straßburger seÿn, Carl Obrecht, 268, 269 Johann Michael Starck

Charles Obrecht vend la maison à François Kien, assesseur au Grand Sénat, et à sa femme Marie Véronique Conrad moyennant 1 050 livres. Un acte non terminé est suivi de la vente effective le lendemain

1698 ([19/20.6.]), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 380
H. Carl Obrecht, dreÿer der Statt Stall mit beÿstand H. Johann Caspar Francken Not. Publ. und E.E. großen Raths alten beÿsitzers alten Beÿsitzers, sein Obrecht Kinder erster Ehe Vogts
in gegensein Frantz Kühnen E: E: kleinen Raths beÿsitzers Und Fr. Mariæ Veronicæ geb. Conradin, mit beÿstand H. Johann Heinrich Grünschmids ged. E. Kleinen Raths beÿsitzers Und H. Lienhard Hubers der Körbmachers Und ged. Kleinen Raths alten Beÿsitzers
Eine Behaußung, Höfflein, Hoffstatt und Gartten, mit allen deren Gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau enseit ist ein Eck anderseit neben H.M. Johann Güntzlin Præcept. inf. gymnasÿ zum theil, Und theils neben Adam Sÿffert dem jüngern Fischer hind. auffs Allmend stoßend gelegen, und zum Hechten genandt, welche Behaußung annoch umb 700 lb (verhafftet und 50 pfund zinns) geschehen umb 300 pfund [non terminé]

1698 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 386-v
H. Carl Obrecht dreÿer der Statt Stalls, mit beÿstand Hn Johann Caspar Francken, Not. Publ. und E.E. großen Raths alten beÿsitzers sin Obrechts Kinder erster Ehe Vogts
in gegensein H. Frantz Kühnen E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers und Fr. Mariæ Veronicæ Conradin [unterzeichnet] frantz kien
Eine Behaußung, Höfflein, Hoffstatt Und Gartten, mit allen übrigen Gebauen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten Und gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau einseit ist ein Eck anderseit neben H. M. Joh: Güntzlin Præcept: inf. Gymnasÿ, Zum theil Und theils neben Adam Sÿffert dem jüngern Fischer hinden auffs allmend stoßend gelegen Und zum Hechten genandt, welche behaußung annoch umb 700 lb (verhafftet), geschehen umb 350 Pfund

Fils du tisserand Adam Kien de Colmar, l’imprimeur sur toile François Kien et sa femme Marie Vérène Conrad, fille du cordonnier Anton Conrad de Rapperswil (canton de Saint-Gall, voir plus loin) achètent en février 1690 le droit de bourgeoisie en apportant trois enfants. François Kien est tributaire chez les Drapiers
1690, 3° Livre de bourgeoisie p. 1052
Frantz Kühn der tuchtrucker Von Colmar gebürtig, Adam Kühnen des Wollenwebers Zu Rappolsweÿer ehel. sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich und Mariam Verenam Conradin, weÿl. Anthoni Conradts gewesten schumachers zu Rappolsweÿer in der Schweitz hinterlassene tochter, deßen haußfr: p. 2. Gold fl. 16 ß. so er bereits auf dem Pfenningthurn erlegt worden, wegen Ihrer 3. Kinder aber bleibt es beÿ der Ordnung, Vnd werden beÿ E.E. Zunfft der schneider dienen. Jur: d 15. febr: 1690

L’imprimeur sur toile François Kien, échevin chez les Charpentiers, est candidat au poste de péager du Rhin qui revient à un catholique suivant l’alternative. Il est écarté à cause de sa mauvaise écriture.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
Zoller dienst am Rhein ist vacirend
(f° 230-v) Sambs. den 7. 7.bris – Herr Frantz Kühn, der geweßte Weiß Leinwand Trucker, per Saltzmann pro. demüthiges memoriale vnd bitten, Wie jnhalts, Erk. Soll sich gehöriger orthen geschrieben geben

(p. 275-v) Freÿtag den 11. 8.bris. – Zoller dienst am Rhein
Obere Umgelts Herren laßen per me proponiren, das unter den jenigen 31. Personen, so sich ane statt Hn Joh: Niclaus Gambsen, des geweßenen Rhein Zoller geschrieben gegeben, 15. so Catholischer religion Zugethan seind, inn durchgehung derselbigen befunden hätten, darauß denn, weilen anjetzo die alternativ ein dergleichenn subjectum treffe, Mghh. mann sechße in außschuß bringen wollen, welche der erkandtnus de anno 1694. gemäß, der Frantzösischen sprach mächtig seÿen, vnd Zwar (1) Joh: Georg Bahnen (…)
(4) Frantz Kienen, leinw. trucker, vnd Schöff beÿ E.E. Zunfft der Zimmerleüth, der aber eine schlechte hand Zuschreiben hatt (…)

François Kien demande l’autorisation d’ouvrir un débit de vin dans son auberge au Brochet puisque son métier d’imprimeur sur toile ne lui rapporte plus grand-chose. Il déclare n’avoir pas l’intention de loger des chevaux ni d’héberger beaucoup de monde. Il ne compte pas sur une clientèle de Français puisqu’il ne parle pas la langue. La commission estime qu’il pourra y être autorisé une fois que la vivandière aura quitté les localités qu’elle loue dans la maison
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
(f° 170) Sambst. den 2. Aug. – Frantz Kühn, per Saltzmann, berichtet, daß er d. jnn d. Crautenaw an sich erkaufft, Und darinnen eine geringe würtschafft Zu treiben willens seÿe, bitt und.th. umb der jnn seinem Memorial, so annoch diesen Morg. Zur Cancelleÿ gelüffert werden soll, enthaltener Ursach. ime inn d. kleine Umbgeld einzuschreiben, und zu mehrerem bericht Deputationem gn. Zu erkennen. Erk. Vor Oberen Umbgelthh. gewiesen.

(f° 202) Sambst. den 12. 7.bris. – Frantz Kühn pt° Weinschanck
Iidem [Obere Umbgelthh.] per me, daß Frantz Kühn, Jetztmaliger Beÿsitzer E. E. Kleine Raths, jnn einen überrrichten memoriale angesucht, ihme den Weinschanck inn dem Würthshauß Zum Hechten, Nechst d. Hechtenbruck jnn d. Krautenau geleg. gn. Zu vergönnen, und anbeÿ d. Umbgeld gleich denen Frantzoßen auff die 9. ß Zusetzen, jnn ansehung ihme sein handtierung leinwad Zu trucken, gäntzlich dar Nied. geleg. word., so daß er Nichts mehr dabeÿ Verdienen Kann, Auch die gelegenheit die erbe Zu Ziehen will, so beschaffen seÿe, daß er wed. pferd stellen, Noch viel Leüth über nacht logiren Könne, Und er also mit einem kleinen weßen sich begnügen laßen müße, als mann ihn Ferners gehört, habe er beditten, daß Noch ein Marquetänderin inn dem hauß quæstionis wohne, und sie im Vorderen Stock ein außschencken wolte, Anbeÿ Nochmahlen gebetten, ihne inn ansehung seines großen Verlusts ane Leinwand und Formen inn seinem begehren Zu Willfahren, Auff befrag., Ob er Nur Frantzosen setzen, oder jedermann Wein geben wolte, habe er Vermeldt, daß weilen er Kein Frantzösisch verstehet, er Keine Frantzoßen verlangte, sondern burger und wer sonsten Kombt, Zu setzen willens were. Nachdeme mann solches vernommen, habe mann es also angesehen, daß solang die Marquetänderin inn dem hauß bleiben wird, beÿ d. sach Nichts Zu thun seÿn werde, Nach d. hand aber er den schanck allda treiben und ihne die wahl gegeben werden Könte, entweder jedermann Wein auß Zu Zäpffen, und d. große Umbgeld Zu bezahlen, od. allein sich mit den Frantzoßen Zu contentiren, und nur die 9 ß Zu entrcihten, allein stünde Zu MGhh. Ob sie es genehm halten wollen ? Erk. Bdacht beliebt, jedoch, daß Implorant Zuvor mit d. Zunfft d. Freÿburger wegen Zünfftig werdens sich abfinde.

François Kien est autorisé à débiter du vin puisque la vivandière a quitté les lieux.
1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
(f° 119) Sambstags den 21.ten Aprilis – G. nôe H. Frantz Kuhn. E. E. Kleinen Rhats alten beÿsitzers, Mghherren haben demselben schon vor 2 Jahren den weinschanck erlaubt, welchen er aber bis dato nicht getrieben, bittet dahero ihme solchen beÿ der der hechten bruckh gn. Zu confirmiren. Erkandt, ut supra [an die Obern Ungelts Hh. gewießen]

(f° 130) Freÿtags den 4. Maÿ 1703. – Frantz Kuhn pt° Weinschancks
Iidem [Obern Ungelts Hh.] laßen durch herrn Friden referiren, daß Frantz Kuhn auch vmb den Weinschanck beÿ ihnen angemeldet, vnd alß ferner darüber gehört worden, beditten habe, daß Er bereits in aô 1698. darumb angehalten vnd ihme auch damahlen vergönnet worden solchen in seinem hauß beÿ der hechten bruck gelegen Zutreiben, sobald der darinn wohnende Marquetender werde außgezogen sein, nun were derselbe anjetzo würcklich außgezogen, deßweg. Er dann vmb den weinschanck vermög der bereits ergangenen Erkandnuß in solchem seinem hauß Zutreiben vnderth. gebetten haben wolte, Anbeÿ Er auch einen schein vorgelegt, worauß so viel Zuersehen geweßt, daß Er sich mit E. E. Zunfft der Freÿburger abgefunden habe, die herren Deputirte hetten darvor gehalten wann Er die gewohnliche gebühr im Vmbgeltshauß abrichten vnd weg. der Einquartierung sich abfinden, auch eine guthe conduite führen werd, mit seinem begehren ihme willfahrt werden Könte.
Erk. Würdt Zwar Imploranten in seinem begehren pto. deß Weinschancks willfahrt es soll aber derselbe die gewohnliche vmbgelts gebühr abrichten wegen der Einquartierung sich abfinden, vnd eine guthe conduite führen.

Le cabaretier François Kien loue une partie de la maison aux Trois brochets au cabaretier Jacques Anglois

1704 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 229
François Kien Cabaretier (signé) Frantz Kien
bail à Jacques Anglois aussi Cabaretier (signé) +
dans sa maison scize icy faubourg Krautenau proche der Hechtenbruck aux trois brochets, les appartements et Commodités suiuantes, Sçauoir tout le corps de logis de deuant à la reserue d’une chambre de plus le jardin joignant la dite maison à la reserue des arbres qui y sont, le tout pour un an à Commençer à la St Jean de Cette année, Les parties sont encore tombées d’accord que les sept tables qui se trouvent dans la maison seront Comprises dans ce bail – moyennant un loyer annuel de 50 ecus ou 37 lb 10 ß

Jusqu’alors débitant aux Trois Brochets, François Kien est autorisé à exploiter le débit au Poêle des jardiniers de la Krutenau
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
(f° 161) Sambstags den 31. May 1704. – H. Frantz Kuhn, E. E. Kl. Rhats alter Beÿsitzer per G. der bittet unterth. ihme den Weinschanckh auff der Garttnerstub in der Krautenaw gn. Zu willfahren. Erkandt, wie vor [an die Oberen Ungelts Hh gewießen]

(f° 174-v) Freÿtags den 6. Junÿ 1704. – Frantz Kuhn pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Hh] per Herren Friden, es habe Frantz Kuhn, so bißher den Weinschanckh Zu den 3. hechten getreiben, angehalten, daß ihme derselbe auff der der Garttnerstub in der Krautenaw gn. willfahrt werden möcht. Nun habe derselbe zwar die nöthige Requisita, seÿe aber noch ane Vngelt 24. fl. schuldig, und weilen Er solche Zu bezahlen versprochen, also stünde Zu MGHherren wann Er sein versprechen werckstellig gemacht haben werde, Ob Sie Ihme in seinem begehren willfahren wollen. Erk. wirdt dem Imploranten wann er seine außtändige Vngelts gebühr bezahlt haben wirdt, in seinem begehren willfahrt.

Nouveau bail à Jacques Anglois

1705 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 117
Sr François Kien Cabaretier
bail à Jacques anglois aussi Cabaretier
dans sa maison sçize icy fauxbourg Krautenau proche der hechtenbruck aux trois brochets les appartements et commodités suiuantes, Sçavoir tout le corps de logis de deuant à la reserve d’une chambre du jardin et de la moitié de la grande Caue dont le propriétaire fera faire la separation à ses frais et depens pour deux ans à commençer à Pasque de cette année – moyennant un loyer annuel de 174 livres tournois

François Kien hypothèque la maison au profit du libraire Jean Jacques Rauch. Marie Véronique Conrad se constitue garante.

1705 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 52-v
Frantz Kühn E.E. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Joh: Jacob Rauchen buchführers schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, eine behausung, Höfflein, Hoffstatt u. Garten mit allen übrigen Gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden U. Gerechtigkeit allhier in der Krautenau einseit ist ein eck anderseit neben H. M. Joh: Güntzlin Præcept. inf: Gymn: theils neben Adam Sÿffert jun: fischern hinten aufs allmend stoßend gelegen zuem Hechten genant – Worbeÿ ferners erschien Maria Veronica geb. Conradin obigen debitoris haußfr: u. zwar mit beÿstand H. Leonhard Huebers körbmachers u. H. Adam Müllers schneiders die hat sich wegen obigen Capitals (…) verbürgt

François Kien demande à être relevé de l’amende que lui a infligée le bureau des Logements militaires pour n’avoir pas signalé qu’il hébergeait de nouvelles personnes. Il semble que le billet qu’il a transmis se soit perdu. Les Conseillers et les Vingt-et-Un renvoient l’affaire au bureau des Logements militaires.
1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
(p. 70) Montags den 23.ten Martÿ 1705. – Frantz Kien vmb erlaßung der ihme von denen Einquartierungs herren angesetzten straff
K. Ersch. Frantz Kien burger Vndt gastgeber auff E. E. Zunfft der gartner in der Krautenauw prod. Unterthäniges Memoriale Vndt bitten Vmb gnädige nachsuchung vndt erlaßung der Von den Hhn deputaten Zur Einquartierung Ihme angesetzten 5 lb d straff
Die Hh, deputirte meldten hierauff sie hatten nach deme Sie innen wordten, daß verschiedene burger wieder die auffgesetzte Vndt beÿ des regirenden Hn ammeisters Vmbfahrt schon von etlichen Jahren hero abgelaßene ordnung, Crafft deren Sie zu Verhütung bisheriger groser Confusion beÿ 5 lb. d straff schuldig seÿn sollen, so baldten Ihre hauß leüth Von Ihnen außziehen vnd anderer beÿ Ihnen einziehen wurdt. deren Nahmen in der Einquartierung anzugeben, gehandelt haben, eine general visitation vorgenommen, dabeÿ sich vnter anderen mehr der heutige Implorant auch als ein über treffen gedachter ordnung befunden habe, Er habe sich zwar damit entschuldigen wollen, daß Er seines Conductoris nahmen in der Einquartierung angegeben habe, welcher aber wegen damahligen Vielfaltig. geschäfften nicht in das gewohnliche buch eingezeichnet sondern nur auff ein papierlein geschrieben word. were, weÿllen solches aber nirgents Zu findten war Er der Implorant auch nicht sagen können wer den nahmen auffgeschrieb. haben, als hetten Sie Ihme die straff der ordnung angesetzt, mghrn überlaßendts wie Sie die sach ansehen wolten. Erk. wirdt das geschäfft ahn die Hhn Deputirte Zur Einquartierung gewießen vndt denselben die execution der ordnung quæst. bestens recommendirt. H. Rathh. Grießbach vndt H. Rath. Antonius Reichardt.

François Kien souhaite quitter le poêle des Jardiniers et exploiter à nouveau les Trois Brochets. La commission a pensé refuser l’autorisation puisque les Trois Brochets ont mauvaise réputation. François Kien devra préalablement régler une amende non acquittée.
1706, Protocole des Quinze (2 R 110)
(f° 183-v) Montags den 28.ten Junÿ 1706 – Frantz Kühn, Daniel Henning vndt Andreas Roggenbach pt° Weinschancks
Obere Vngelts Herren Laßen per Herrn Friden proponiren es habe Frantz Kühn, so bißhero auff der garttner Stub in der Krautenaw, den weinschanck getrieben vndt anietzo denselben zu den dreÿen Hechten Zu continuiren willens, Sodann
Daniel Henning, welcher auff vorgemelte Garter Zunfft Zu Ziehen gesinnet, vnd
Andreas Roggenbach, so vor dießem würth geweßen vnd Zur Lindt wein außschenken will, vmb continuation deßelben gebetten.
Waß nun dieße Imploranten betreffe, so seÿe Roggenbach allein beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger leibzünfftig, Frantz Kühn auch bißhero ein würth geweßen, Daniel Henning aber habe nicht allein sich ebenmäßig beÿ ged. E. Zunfft angemeldet, vndt einen schein deßwegen producirrt, sondern werde auch heüt d. Burgerrecht erhalten vndt wann Er præstanda præstirt haben werde als werde Zu MGhh. stehen, Ob sie derselben und ihrem begehren willfahren wollen.
Erk. wirdt die sach an die Obern Vngeldsherren gewießen vndt denenselben die händt geöffnet denen Imploranten nach befindung in ihren begehren Zu willfahren.

(f° 192) Sambstags den 7. Augusti 1706. – Frantz Kühn pt° Weinschancks
H. jun. noîe Frantz Kühn bißherigen würths auff der garttnerstub in der Krautenaw, der will im eigenshauß zu den 3. Hechten in der Krautenau wider beziehen, bittet unterth. umb continuation aldasigen schancks. Erkandt, an die Obern Vngeldsherren gewießen.

(f° 309-v) Freÿtags den 19. Novembr. 1706. – die Hh. dreÿ des Ungeldt Ca Frantz Kuhn
Iidem [Obere Ungelts Hh] per Herrn Friden, es habe Frantz Kuhn jüngst umb den weinschanck Zu den dreÿen Hechten angehalten, welches man anfängl. vnd bedencklich angesehen, weilen d. hauß in schlechtem Ruff seÿe, nachgehends aber doch willfahrt, seithero habe derselbe, ohne verwißen des Ungelts einen Juden Zu sich genommen, welcher den Keller unterschlag. laßen vndt 10. ohm. wein hienein gelaß habe, deßweg. die herren dreÿ demselben 5 lb d str. angesetzt, weilen aber derselbe nichts geben wolle, als stünde Zu MGhh. ob Sie es beÿ solcher straff laßen, vndt allenfalls die execution erkennen wolle,. Erk. Bedacht gefolgt.

Les Quinze confirment que François Kien doit renvoyer ses pensionnaires
1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
(f° 237-v) Sambstags den 18. Junÿ 1707 – Frantz Kühn pt° erlaubnus seine haußleuth zu behalten
G. noîe Frantz Kühnen burgers undt Gastgebers Zu den dreÿen hechten in der Krautenaw, Prplen ist angezeigt worden, nach Mghherren Bescheid und Ordnung seine haußleüth weg zu schaffen, weilen aber selbige, auff eine gewiße Zeit gelehnt, undt Keine andere gelegenheit haben können auch nicht Zu besorgen, daß Sie wein in den Keller legen werden, als bittet unterth. dispensiren, gn. Zu erlauben, daß Er sie behalten möge. Erk. wirdt beÿ vorigem bescheidt gelaßen, vnd soll implorant seine Haußleüth bis Michael. wegschaffen.

François Kien loue la maison aux Trois Brochets à Nicolas Wang, aubergiste au Chasseur

1712 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 315
hr Frantz Kühn E.E. Kl. Raths beÿsitzer
in gegensein Niclaus Wangen würts zuem Jäger
sein hauß allhier in der Krautenau beÿ der Hechtenbruk zu denen 3. Hechten samt dem großen garten nichts außgenommen alß eine große Cammer oben, auf 5 jahr lang anfangend auf Joh: Bapt 1712 – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund

Le manant Nicolas Wang demande l’autorisation d’exploiter le débit de vin aux Trois brochets. Les Quinze refusent parce que l’établissement dont l’enseigne a déjà été retirée a mauvaise réputation et qu’ils craignent qu’il ne devienne un lupanar.
François Kien demande l’autorisation de reprendre de débit de vin ß sa maison. Les Quinze lui demandent de prouver que la maison a un droit de débit.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
(f° 140) Sambstags den 11. Junÿ 1712. – Niclaus Wang pt° Weinschancks
S. noîe Niclaus Wangen des Schirmers vnd würths alhier, der bittet unterth. Ihme den Weinschanckh zu den 3. Hechten beÿ der Hechten bruckh, welches würthshauß Er auff Johannis Zu beziehen willens gn. Zu willfahren.
Auff beschehenen Bericht, daß er ein liederliches würthshauß vndt von E. E. gr. Rhat würckl. aberkant worden seÿe, Ist Erkandt, an die Oberen Vngelts Hh. gewießen vmb d. hauß visitiren Zu laßen.

(f° 156-v) Freÿtags den 17. Juny 1712 – Niclaus Wang pt° Weinschancks
Iidem [Obere Vngelts Hh.] per Herrn Friden es Habe Niclaus Wang gewesener Würth Zum Jäger angehalten, daß Ihme der Weinschanckh Zu den 3. Hechten beÿ der Hechten bruckh erlaubt werden möchte, allein seÿe dießes ein schlechtes Hauß vndt abgelegt vndt weilen der Schild davon abgenommen word. der Implorant auch eine liederl. conduite führe, vndt Zu besorgen, daß es ein Bordel abgeben werde, so halte man darvor daß derselbe abgewießen werden könte. Erk. Gefolgt.

(f° 171) Montags den 4. July 1712 – S. noîe H. Frantz Kienen EE. Kl. Rhats beÿsitzers prod. underth. memoriale vndt bitten wie inhalts pt° continuationis des weinschancks in seinem Hauß Zu den 3.en Hechten. Erk. Soll Zuvor dociren daß sein Hauß die Würths gerechtigkeit habe.

L’imprimeur sur toile François Kien et Marie Véronique Conrad hypothèquent la maison au profit du libraire Jean Jacques Rauch

1714 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 129
hr. Frantz Kühn leinwandttruckher und Maria Veronica geb. Conradin beÿständlich H Joh: Gerhardt von Stöcken und H. Joh: Friedrich Walters beder EE Kl: Raths nunmaligen beÿsitzer
in gegensein H. Johann Pastorius buchführers nahmens H. Joh: Jacob Rauch auch buchführers – schuldig seÿen 166 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert: in der Krautenau ahn der hechten bruck, einseit ist ein eck ahm hechten gässlein, anderseit neben Balth: Rafflauff wittib hinten aufs allmendt

François Kien est inscrit comme échevin à la tribu des Charpentiers dans les registres annuels de la Taille
1715, Registres annuels de la Taille (VII 1208) f° 289
Zimmerleuth [Schöff] Frantz Kühn, Jur: 15 febr: 90, 3 fr KK
dt. d. 16: febr

1724, Registres annuels de la Taille (VII 1217) f° 323
Zimmerleuth [Schöff] Frantz Kühn, Jur: 15 febr: 90, 3 fr KK – 1. lb 16 ß
dt. 15. Jan.

Marie Vérène Conrad meurt le 2 février 1739, le veuf François Kien le premier avril. Leurs fils Jean Augustin et François signent l’acte
Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 215)

Anno Domini 1739 die vero 2. Februarÿ prius de votâ susceptis Ecclesiæ sacramentis in Domino obiit Franciscus Kien sexagenarius Civis argentinensis conjux Mariæ Verenæ Kienin Et die sequenti a me infra scripto sepultus est in coemeterio solito præsentibus joanne Augustino Kien et Francisco Kien filiis defuncti qui mecum sunbsripserunt

Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 217)
Anno Domini 1739 Die vero primâ Aprilis Maria Anna Verena Conradin vidua Francisci Kain anno suæ ætatis 83 obiit quam die subsequenti In cœmeterio solito sepelivi præsentibus joanne Augustino Kain filio et Francisco Kain ejus quoque filio

Le bureau de la taille dispense Jean Augustin Kien, enseignant célibataire, et François Kien, garde à la douane, de faire dresser un inventaire de la suxxession de leur père François Kien pour cause de pauvreté.
1739 (16.3.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 354
Johann Augustin der Ledige Informator und Frantz Kühn der Garde im zoll Keller bitten Sie der Inventur ihres Vatters Weÿl. H. Frantz Kühnen dispensando zu befreÿen in ansehung derselbe nichts hinderlaßen. Erkannt wegen Armuht willfahrt.

La maison revient (par adjudication judiciaire) à Jean Samuel Silberrad dont la femme est fille du libraire Jean Jacques Rauch (voir les obligations plus haut).
Il loue un des bâtiments au tourbeur Jean Michel Diebold

1720 (29.2.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 93-v
hr. Joh. Samuel Silberradt Med: Dr und Practicus
in gegensein Joh. Michael Dieboldt Drehers
entlehnt, ein häußel im hechtengäßel beÿ der hechten bruck beder seithes auf ihn H. Dr stoßendt, auff 9 jahr lang anfangend auf Ostern nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 lb

Jean Samuel Silberrad loue un bâtiment à l’apprêteur de tabac Jean Nicolas Spæth

1720 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 178
hr. Joh: Samuel Silberradt Med: Dr und Practicus
in gegensein Joh: Nicolaus Späth tabackmachers
entlehnt, ein hauß ahn der hechtenbruck, einseit ist ein eck anderseit neben einem hauß dem H. Creditor gehörig hinten auch auf ihn – auff 5 jahr lang anfangend auf Joh: Bapt. nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 16 lb

Jean Samuel Silberrad loue le bâtiment avant des Trois Brochets au cordonnier Christophe Boltz

1723 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 232
H. Johann Samuel Silberrad Med: D: et Pract.
in gegensein Christoph Boltzen des schuemachers [unterzeichnet] Christ(ff)off bolsen
In seiner in der Vorstatt Krauttenau beÿ der hechtenbruck gelegen und zu denen dreÿen hechten genannten vorden behausung und dero mittlern Stock eine Stub Kammer und Kuchen, Ferner oben darüber eine Kammer und Bühn, So dann platz im keller, auff dreÿ nacheinander folgenden jahren von nächstkünfftigen Joh. Baptistæ ihren anfang nehmen – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund

Jean Samuel Silberrad vend à Anne Ursule Schlehenacker, femme du marchand Philippe Henri Hauser la maison comprenant trois bâtiments moyennant 1 500 livres. Philippe Henri Hauser déclare n’avoir aucun droit sur l’immeuble bien qu’il soit acquis pendant la communauté

1723 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 489-v
H. Johann Samuel Silberad Medicinæ Doctoris und Praticus
in gegensein Fr. Annæ Ursulæ geb. Schlehenackerin Philipp Heinrich Haußer des handelsmanns Ehefrau
Eine Behausung bestehend in dreÿ unterschiedlichen ahn: und neben einander liegenden häußern einem hoff gärtttlein dero hoffstätten mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten dießeits der hechten: bruck gegen derselben über in der Krauttenau, einseit ist ein eck gegen besagter bruck anderseit neben H. Not. Pantrion hinten theils ebendenselben theils auff weÿl. Gabriel Meÿer gewesten Schiffmanns wittib und erben stoßend und dreÿ unterschiedliche außgäng in das Hechtengäßel habend gelegen, davon das vorderste hauß zu denen dreÿen hechten genannt wird
Anbeÿ hat obgedachter käufferin ehemann sich erklärhret, daß ohnerachtet dießer Kauff durante matrimonio beschehen er dannoch in ansehung seine Ehefrau die erkaufften behausungen aus ihren eigen ohnveränderten mitteln erkaufft (…) gantz keine ansprach ahne dieselbe der deren eigentumb prætendiren – um 1500 pfund

Philippe Henri Hausser épouse à Bâle en 1696 Appolonie Couppé
Mariage, Bâle (cathédrale) – 1696, 15.März, Philipp Heinrich Hauser und Appolonia Couppe (table i 376)

(Réformés), Philippe Henri Hausser et Appolonie Couppé sollicitent le droit de bourgeoisie auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un. L’enquête montre que leur fortune est suffisante. L’assemblée transmet la demande au Grand Sénat avec avis favorable.
1701, Conseillers et XXI (1 R 184)
(p. 22) Montags den 24.ten Januarÿ 1701. – Philipp Heinrich Haußer & Uxor pt° Civilegÿ.
Ersch. Philipp Heinrich Haußer Von Baßel dem handelß Mann vnd Appolonia gebohrner Coppein, prod. unterthäniges memoriale vnd bitten pro impetrando Ciuilegio Mitt Beÿl. A. B. et C. Erk. Werd. H. XV. Keller Mann vnd herr Rhatherr Mockel dieSachen Zu bntersuchen vndt Zu Examiniren, Deputirt

(p. 30) Montagß den 31.ten Januarÿ 1701. – Relation wegen Philipp Heinrich Haußers ey Appolloniæ Vxoris Vermögen
Herr XV. Kelllermann Referirt den Zustand Vndt beschaffenheit Nebst hrn Rhatherrn Mockel, Philipp Heinrich Haußers Von Baßel des handelß Mann, vnd Appolloniæ gebohr. Coppein, seiner haußfrauen, Vermögens, als welche den 24.ten hujus beÿ Meinen herren pt° Civilegÿ Eingekommen, folgender gestalten, daß Sie Nembl. deßen prod. Inventarium examinirt hätten, so sich auff 760. lb d beloffen, darunter aber der haußrath so auf 182. lb angeschlagen, Mittbegriffen geweß. deßgleichen Kleidung Silber, Einige Ringe vnd etwas weniges von gulden geschmeids so etwa 140 lb werth seÿn Möchte, Mann hätte Von der gantzen Summm der 760. lb decourtirt Was üblich vnd herkommens währe, da sichs befunden, daß der Imploranten Vermögen sich annoch auff 670. lb belauffe, Zu Meinen herren belieben außstellend, ob Sie dießelbige In dero Burger Recht auffnehmen wollen. Erk. Werden die Imploranten ahne E: E: Großen Rhat gewißen Mit Recommandation daß Sie daßelbsten Zu burgern Möchten Recipiret Vnd angenommen Werden.

Etat de fortune dressé en janvier 1701 dans la maison de leur beau-frère teinturier Georges Werdemann rue de la Grange
1701 (15.1.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 53) n° 489
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Güthere, welche Herr Philipp Heinrich Haußer, der handelsmann und Frau Appollonia Haußerin gebohrne Cubein, beede Eheleuth anjetzo würcklich haben und besitzen, welche der ursachen alldieweilen Sie beede Eheleuthe des vorhabens sein in allhießiges burgerrecht sich zu begeben, und deßwegen beÿ E. hochlöbl. Magistrat alhier unterthänig einzukommen, und damit man was dero Vermögenschaft haben möchte (…) Actum den 15.ten Januarÿ A° 1701
In einer herrn Georg Werdemann dem Schönfärber und burgern allhier, des Hn. Schwagers zuständigen behaußung ane d. Stadelgaß. in Straßb. geleg. hat sich befund. wie volgt
Summarischer Calculus, Sa. haußraths 182, Sa. Gerbers wahren 713, Sa. Schiff und geschirrs Zur Tabackhandlung 116, Sa. Pferd wie auch Sattel und Zeugs 66, Sa. Silbers 31, Sa. Goldenen Ring 15, Sa. der baarschafft 4, Sa. Schulden 334, Summa summarum 1462 lb – Schulden 702 lb, Verbleibt 730 lb

Fils du fourbisseur Michel Hausser de Bâle, le marchand de tabac Philippe Henri Hausser et sa femme Appolonie, fille du capitaine Benoît Couppé de Bâle, achètent le 14 février 1701 le droit de bourgeoisie en apportant un enfant
1700, 3° Livre de bourgeoisie p. 1228
Philipp Heinrich Haußer der tabachändler Von Basel weÿl. Michael Haußers gew: schwerdfegers daselbst hint: sohn vnd sein Fraw Appolonia H : Benedict Coppé des hauptmanns zu Baßel Ehel. Tochter, erkauffen das Burgerrecht p. 6. gold fl. v. 16 ß so auf d. Pfenningth. erlegt worden, mit ihrem Kind ist es beÿ ordnung gelaßen worden. Vnd wird beÿ E. E. Zur Mörin dienen, Jur: d. 14. Februarÿ 1701.

Baptême (réformés, f° 73-v)
1702. den 30.ten dito ließen tauffen Herr Philipp Heinrich Hauser Burger und tabackhändler in Straßb. Fr. Appollonia gebohrne Coppet, Suscept. Frantz Haußer Burger und tabackhändler in Straßburg, Johann Martin Stähelin Herrn Johannes Stähelins ehel. Sohn, Fr. Margaretha Witenmännin geborne Coppet. Infans Philipp Heinrich (i 63)

Appolonie Couppé meurt le 10 septembre 1720.
Sépulture (réformés, f° 5)
Appollonia Hauserin geborne Couppet von Basel starb d. 10. 7.bris 1720. v. wird den 11. d° auf S Gallen begraben (i 5)

Philippe Henri Hausser fait appel devant les Quinze après que le tourneur Jean Georges Geisstods lui a confisqué les cannes laquées qu’il a importées et qu’il fait vendre par colportage. Il argue que les objets sont d’une sorte spéciale. La commission confirme la confiscation en estimant que le pétitionnaire marchand de tabac n’a pas qualité de vendre des cannes que par ailleurs le colportage est réglementé.
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
(p. 12) Sambstag d. 11. Januarÿ 1721 – Philipp Heinrich Haußer Ca. E.E. Handwerckh der hohl dreher pt° Haußirens
Iidem [Obere Handwerck herren] laßen ferner per Eundem [Hrn Secret. Kleinclaus] referiren, Es habe Philipp Heinrich Haußer der burger und Tabac händler allhier C. E. E. Handwerckh der hohl dreher ein Memorial producirt, und berichtet daß er ein dutzent auff eine gantz besondere arth gemachte spatzierstab von jenseith Rheins anhero bringen laßen, in willens selbige Weil niemand allhier ist, der dergleichen machen Kan, Zu erkauffen, welcher aber Johann Georg Geißtodt der burger undt dreher allhier Ihne vor etwa 4 oder 5 wochen abgenommen, under dem Vorwandt daß Er Implorant selbige nicht allhier Verauffen dörffe mit demütiger Bitt, Weilen Kein Articul oder Verbott, deßwegen Vorhand. Zu erkennen, daß der Beklagte Ihme die 12 oder 13 spatzierstäb so etwa 6 biß 6 fl werth so er wiederrechtlich Saisirt, Ihme innerhalb 24 stund. Zu extradiren schuldig seÿe, Ref. Expensis.
Auff geschehene Remission habe der Kläger nochmahl wiederholt, daß die bek. dergleichen stöck hier nicht machten, 2.do halten sie Ihne gleich gepfändet da Er doch von Keinem Verbott nichts gewußt, 3.tio Seÿen dieße Stöck laquirt undt würden in Sachßen gemacht, die Er gegen Tabac eingetauscht habe, andere Käuffleuth hätten auch dergleichen feÿl. Nomine des Beklagten seÿen Vorgestanden Johann Geißtodt und Christian Hauß welche geantwortet, daß Kläger durch seine buben mit dießen stöcken Haußiren laße, undt alß Er Geÿßtodt alß ober Meister solches gesehen, habe er denen Buben die stöck abgenommen und laut articul auff die Zimmerleuth Stub getragen, Worüber Kläger ihme Geÿßtodt den laden gestürmet, und ein Spiel Kegel und anders weg genommen, seÿe aber auch deßwegen von dem Regirenden herrn Ammeister umb 3. fl. gestrafft worden. In dem übrigen so machten Sie die träher, allhier dergleichen stöck auch. Kläger habe replicirt daß er die stöck denen 17 stuck weren durch seine Kinder umbtragen laßen, Beklagte hette, jhne ja wenigstens warnen sollen, so aber nicht geschehen, so daß er Von Keinem Verbott gewußt.
Weilen nun das haußiren mit wahren in hießiger Statt Vielfältig Verbotten, Kläger aber das gethan Zu haben nicht in abred sein Kan, da er nicht einmahl seiner profession ein träger ist, sondern ein Tabac handler, Alß hätten die Herrn Depputirten davor gehalten, daß die saisirte Stöck Zu confisciren, undt dem Kläger das haußiren mit dergleichen waahr beÿ Thurnstraff zu verbiethen seÿe, die genehmhaltung Zu Mghherren stellend. Erkandt bedacht gefolgt.

Philippe Henri Hausser se remarie avec Anne Ursule Schlehenacker : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1722, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H Philipp Heinrich Haußers deß tabac händlers und Fr. Annæ Ursulæ geb. Schlehenackerin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 284-v, n° 21)
Mitwochs d. 14.ten 8.bris 1722 seÿen nach geschehener 2.maligen ausruffung. Dominica 18. & 19 Trin. in der Kirch Zu W Wilhelm ehelich eingesegnet worden H. Philipp Heinrich Huser, den Tabac Händler v. burger, Reformirter Religion, weiland Fr. Apolloniæ Couppian geweßener eheman v. Fr. Anna Ursula Weiland Joh: Philipp Schroppen, Bierwürths Zum Morenkopf v. b. alhier nachgelaßene Wittib gebohrne Schlehenackerin [unterzeichnet] Philip Heinrich haußer als hoch Zeitter, Anna Ursula schroppin als hohzeiderin (i 242)

Fille du pasteur Jean Louis Schlehenacker, Anne Ursule Schlehenacker épouse en 1697 Jean Jacques Soder puis en 1707 Jean Philippe Schropp, tous deux tonneliers et brasseurs
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 75, n° 403
1697. Mittw. d. 23. Jan. Wurd: nach zweÿmahliger außruffung copulirt Johann Jacob Soder der ledige Kuffer vnd Biersieder auch B. allhie, weil. hrn Joh: Jacob Soders, gewesenen holtzhändlers v. B. alhier nachgelaß. ehel. sohn, v. Fr. Anna Ursula, weil. H. Johann Ludwig Schlehenackers geweßenen Pfarrers Zu Eckboltzheim nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Solder alß hochzeiter, Anna Ursula schlenackerin als hochzeiterin (i 74)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 128-v, n° 18)
1707. Mittwoch den 11.ten Maÿ, seind nach Zweimaligen proclamation, Zue Ehe eingesegnet und copulirt worden, Johann Philips Schropp der ledige Bierbrauer und Kiefer, Weiland H. Philipp Schroppen gewesenen Bierwürths Zum Rosen: Crantz auch burgers Und Fr: Maria Ursula geb. Monfortin nachgelaßener Ehelicher Sohn, und Fr. Anna Ursula, Weiland H. Hans Jacob Soters gewesenen burgers und Bierwürths Zum Mohren Kopf nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johan Philipp schropp als hoßeiter, anna ursula als hochzeiderin (i 133)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Tête de Maure au quai des Pêcheurs. Ceux de la femme s’élèvent à 1826 livres. L’actif du mari s’élève à 11 livres, le passif à 388 livres (dont une partie à son frère Jean Georges Hausser, de Strasbourg) après que feu le marchand Jean Goll a fait saisir ses biens lors de son absence.
1723 (8.4.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 49)
Inventarium über der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Ursulæ Haußerin gebohrner Schlehenackerin, Zu H. Philipp Heinrich Haußern, tabackhändlern und burgern allh. in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1723. (…) zu verhütung künfftigen Streits und damit man sich auff begebende Fällen der Ergäntzung halber desto beßer Zu reguliren wiße, mit beÿstand des Wohl Edel Vest und hochgelehrten H Samuel Silberads, Med: et Practici allhier hochgeehrten H Schwagers inventirt (…) So beschehen in Straßburg Donnerstag den 8. April: Anno 1723.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden gelegener Zum Mohren Kopff genandter behaußung ist befunden worden Wie volgt
Series rubricarum, Sa. haußraths 554, Sa. der lehren biervaß 137, Sa. des Silbers 42, Sa. guldenen Ring 53, Sa. der baarschafft 1040, Summa summarum 1826 lb
Dießem nach solte auch des Ehemanns zugebrachtes vnd unverändertes Guth beschrieben werd. Welcher aber auff befragen worinnen selbiges bestehet, geantwortet, Sein Gantze Nahrung bestünde in wenig. Kleÿder vnd weißem Zeüg, welche ihme sowohl sein herr Bruder alß seine Eheliebste ex misericordia vor der hochzeit machen laßen vnd er nun meistens auff dem leib trage sich damit zu bedecken vnd in seinem wenig. Antheil der hievornen eingetragenen haußsteuren, Seÿe ihme leÿd genug, daß in seiner vormahligen abwesenheit weÿl. Herr Johann Goll der geweßene Handelßmann ihne exequiren vnd ihme alle sein Mobilien vnd Schuldbücher ins Ganthaus führen laßen, die er nimmermehr Zusehen bekommen, auch niemand wißen will, wo Sie sich jetzund eigentlich befinden, Er also tanquam homo miserabiliis Kein Nachricht geben Kan, Was ihme Noch andern leüthe, hingegen er Ihnen /:außer was hernacher specificirt:/ schuldig seÿe, dahero außer obig. haußsteuren Kleÿdern im Geringsten nichts Inventiren Zu laßen
Antheil von denen haussteuren 11 lb – Schulden, H. Johann Georg Haußern dem Jüngern Handelßmann seinem Bruder 125 (…) Sa. 388, Übertreffen also die Passiva des Manns unverändert Guth vmb 376 lb

Philippe Henri Hausser loue une partie de la maison au manant Martin Nutzinger

1725 (15.9.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 468
Philipp Heinrich Haußer Tabackhändler
in gegensein Martin Nutzinger des Seitenmachers und Schirmers
In seinem zu denen dreÿen hechten genannten allhier in der Vorstatt ahne Krauttenau nächst der hechtenbruck einseit ist ein eck ahne del hechten: gäßel gegen ged. bruck über anderseit neben weÿl. gabriel Meÿel gewesten Schiffmanns wittib und erben wohnhauß Unten auff dem boden Eine Stueb Kuchen im haußöhren platz zum holtz einen besondern Keller, so dann zweÿ stiegen hoch eine Kammer auff ein Jahr anfangend von bevorstehenden Michaelis fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 28 gulden

Anne Ursule Schlehenacker hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Samuel Silberrad

1726 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 35
Fr. Anna Ursula geb. Schlehenackerin Philipp Heinrich Haußer ehefrau mit fernernen beÿstand ihres Sohns Johann Jacob Soderer des Bierbrauers und ihres tochtermanns Johann Michael Trawitz des Kieffers wie auch mit genehmhaltung ihres Curatoris ad lites H. Johann Thomas Römer procuratoris vicarÿ
in gegensein H. Johann Samuel Silberrad Med. D. et pract: – schuldig seÿen 60 pfund und wiederumb 60 pfund
hypothecirt, Eine Behausung bestehend in dreÿ unterschiedlichen ahn: und neben einander liegende häußern, einem hof gärttlein und dero hoffstätten mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier dießeits der hechtenbruck gegen derselben über in der Krauttenau, einseit ist ein eck gegen besagter bruck, anderseit neben H. Notario Pantrion hinten theils eben denselben theils auff weÿl. Gabriel Meÿer Schiffmanns wittib und erben

Philippe Henri Hausser demande l’autorisation de débiter le vin dans sa maison aux Trois brochets puiqu’il n’exerce plus le métier de marchand en arguant que deux de ses enfants apprennent le métier d’aubergiste. Les Quinze rejettent la demande parce que le pétitionnaire n’a pas appris le métier et qu’il n’a pas bonne réputation. Ils rejettent un mois plus tard une nouvelle demande qui n’apporte aucun élément nouveau.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 291) Sambstag d. 23. August 1727 – Philipp Heinrich Haußer pt° Weinschancks
Fuchs nôe Philipp Heinrich Haußers des Burgers und gewesenen Handelßmanns allhier prod. Mem. pt° Weinschancks. Erk. Ober Vngelthrn

(p. 311) Sambstag d. 6. Sept. – Philipp Heinrich Haußer pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltherren] laßen ferner per Eundem [Herrn Secret: Kleinclauß] referiren daß Philipp Heinrich Haußer Burger und Gewesener handelßmann allhier den 23. Aug. Jüngst auch ein überreichtes memoriale vnderthänigst Vorgebracht, daß er Vor einiger Zeit Von Hn Samuel Silberrad Med. Doctore, die ohnweit dem Frantzösischen Spital alhier gelegene Würths behaußung Zu denen dreÿen Hechten erkaufft habe, in Welcher er, Weilen er die Handlung nicht mehr treibe, mit MGh. permission die Wurtheÿ selbsten zu treiben gedächte, mit demuthiger Bitt, Weil Ihme sonst Kein mittel Zum underhalt übrig, Ihme mit dem Weinschanck allda beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger alß leibzünfftig soll angenommen werd. Auff geschehener Remission habe der Implorant beÿgesetzt, er wolle sich deßwegen beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger ein Kauffen, habe Zwen Söhn so die Würthey erlernet In deßen biß sie selbsten die Würtheÿ Zu treiben in den stand sein werden, wolte er selbig allda anfangen. Auff seithen der Hh. Depp. habe man gefund. daß erstlich der Implorant Kein Würth, in maßen er die würtschafft nicht erlernet, 2.do So habe er Kein gar guthes Zeugnus laut Mghh. Memoriale Vom 31. May 1723. dahero vermeine man daß derselbe mit seinem begehren abzuweißen seÿe. Erkandt, abgewießen.

(p. 376) Sambstag d. 25. 8.bris 1727 – Philipp Heinrich Haußer pt° Weinschancks
Fuchs nôe Philipp Heinrich Haußers des Burgers prod. Undth. Mem. mit beÿlag N° 1. supplicirt abermahl umb den Weinschanck. Weil er aber nichts neues Vorbringt, alß ist es beÿ der den 6. 7.bris jüngst ergangenen Erkantnus gelaßen, sogleich der Implorant mit fernerm bezahen nochmahl abgewießen.

(p. 396) Sambstag d. 15. 9.bris 1727 – Philipp Heinrich Haußer pt° bescheids
Fuchs nôe Philipp Heinrich pt° des ohnlängst Von Ihme begehrten Weinschancks, bitt Comm. ergangenen bescheidts. Erkannt Willfahrt.

(p. 417) Sambstag d. 22. Novembris 1727
Bescheid. Sambstag d. 6. Sept. 1717. In Sachen Philipp Heinrich Haußers des gewesenen handelßmanns, auff deßelben producirtes Vnd.tges Memoriale und bitte, Ihme mit dem Weinschanck gnädig zu willfahren und Zu dießem end Zu erkennen, daß er beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger alß leibzünfftig angenommen werden solle, genommenen Bedacht, undt der Zu denen ungeltgeschäfften Deputirten herren abgelegte Relation, Ist mit Vrthel Zu Recht erkandt, daß der Implorant mit seinem begehren abgewießen sein solle.

Philippe Henri Hausser et Anne Ursule Schlehenacker hypothèquent la maison aux Trois brochets au profit du préteur François Guillaume de Maccau

1728 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 266
Philipp Heinrich Haußer tabackhändler und Anna Ursula geb. Schlehenackerin mit beÿstand H. Gallus Dietrich und H. Stephan Degeorge Exsenatoris beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein des wohlgebohrnen herrn Frantz Willhelm von Maccau Stättmeisters und dreÿzehners – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, die umb obgedachte 350 ohnedem bereits specialiter und zum theil cum privilegis prælationis verpfändete zu denen dreÿen hechten genannte Behausung hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten dießeits der hechtenbruck in der Vorstatt ahne Krauttenau, einseit ist ein eck gegen besagter Bruck ahm hechtengäßlein anderseit neben Martin Pflster dem Leinenweber theils theils mit dem gartten neben H. Jacob Christoph Pantrion Not. Publ. hinten theils auff ebendenselben theils weÿl. Gabriel Meÿer gewesten schiffmanns wittib und erben

Philippe Henri Hausser demande une nouvelle fois le droit de débiter le vin. Les Quinze renvoient l’affaire aux préposés à l’accise.
1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
(p. 325) Sambstag den 25. Junÿ 1729 – Moss. nôe Philipp Heinrich Haußers prod. Vndtg. Memoriale undt bitten pt° Umgelts und Weinschancks hndelt Inhalts. Nach gesehener ableßung dises Memoriale Ist erkandt, Oberungelt hrn sollens nochmahl examiniren.

Philippe Henri Hausser et Anne Ursule Schlehenacker hypothèquent la maison au profit de l’Hôpital bourgeois

1730 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 422
Philipp Heinrich Haußer tabackhändler und Ursula geb. Schlehenackerin mit beÿstand H. Rathh. Pfeffinger und H. Huck
in gegensein des Mehren hospitals H. Mitpflegers S.T. H. Fünffzehner Johannes Sainctlo und H. Lt. Johann Friedrich Faust Schaffners daselbst – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, Eine zu denen dreÿen hechten genannte in der Vorstatt Krauttenau dißeits der Hechtenbruck, einseit ist ein eck gegen besagter Bruck am Hechtengäßlein anderseit neben Martin Pfister dem leinenweber theils zum theil mit dem gartten neben H. Jacob Christoph Pantrion Not: Publ. hinten theils auff ebendenselben theils auff weÿl. Gabriel Meÿer Schiffmanns wittib und Erben gelegenen behausung hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten

La tribu des Fribourgeois fait grief à Philippe Henri Hausser de débiter le vin alors que ce droit appartient à son beau-fils Jean Louis Schropp qui s’est engagé dans les troupes. Philippe Henri Hausser répond qu’il a la permission du préteur de Maccau. La tribu exige un justificatif qu’il ne fournit pas puis lui inflige une amende
1730, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 109) Donnerstags den 28.ten Dec: 1730
Philipp Heinrich Haußer, citirt daß er Zu denen 3. Höchten würtschafft treibet, da doch nicht Ihme, sondern Johann Ludwig Schroppen, deßen Stieffsohn, welcher nach der Hand Soldat worden der Schanck von Gn. Hh. denen XV conferirt word. thäte alßo wieder ordnung undt Art. handlen, besonders Er auch dißorths nicht einmahl Zünfftig, sondern dienen annoch zu E. E. Zunfft Zur Mörin.
Ille præsens, ist die Anklage geständig, veranthwortet sich aber dahien, daß nach deme obgedachter sein Stieffsohn sich unterhalten laßen, so hätten nicht nur alleine Jhro Gn. Herrn Stättmeister von Maccau und herrn von hürtigheim sondern auch Gn. Herren die XV. Ihm die Erlaubnus wegen dem Schanck so lang ertheilet, biß der Stieffsohn auß dem Soldaten Leben retourniren werde. Erkandt Citatus solle seine Vorgeben nemblichen deß Ihme von Gn. Hrn denen XV.rn der Schanck auf obigerweiße conferirt worden beÿ 3 lb d Straffe authentisch zu probiren schuldig zu dem Ende Ihme Zeit biß nächst Gericht Zu gelaßen seÿe.

(f° 110) Dienstags den 6. Febr: A° 1731 – Philipp Heinrich Haußer, citiret auff bescheid Vom 28. Dec: Jüngst, Ille sagt er hätte Von Herrn XV. Secret. Kleinclaußen den Extractum noch nicht haben können, bittet derhalben nich mehrers Zeit, und gestehet anbenebst* schon über Jahr und Tage würtschafft Zu treiben. Erkandt Weilen Citatus selbst gestandener maßen schon über Jahr und tag würtschafft treibet, und dem Gerichts bescheid Keine parition geleiset, Alß Werden Ihme 3 lb d Straff angesetzt, und Ihme beÿ doppelter straff zu abandoniren, anbefohlen, und Ihme solches zu dociren, annoch Zeit biß nächst Gericht zugelaßen, ult. reserv.

Philippe Henri Hausser meurt en 1733 en délaissant deux fils de son premier mariage. L’inventaire est dressé au quartier des Souabes dans la maison du fondeur Léonard Wehrlé. La masse propre à la veuve est de 1 810 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 9 livres, le passif à 2 039 livres.
1734 (8.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 298) n° 4
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿl. H. Philipp Heinrich Haußer, Tabackhändler nunmehr und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Sontags den 6. Decembris des nechst abgelegten 1733.sten Jahrs aus dießem mühesahmen leben genommenen tödl. Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen ane hernachfolgendem folio benembster beeder Söhne und ab intestato Verlaßener Erben inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Annam Ursulam Haußerin gebohrne Schlehenackerin die hinterbliebene Wittib Mit assistentz H. Joh: Jacob Soders des bierbrauers und burgers allhie ihres leibl. Sohns und ane Vogts statt erbettenen beÿstands (…) So beschehen Straßburg Montags den 8. Martÿ Anno 1734.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt. 1. H Philipp Heinrich Haußer, den gastgeber und nunmahligen Statt Soldaten in Basel, welcher absesend und sein burger Recht Verheÿrathet, in deßen Nahmen der Ehrenveste und weiße H. Joh: Ulrich Cammerer E.E kleinen Raths beÿsitzer erschienen, als ais ged. Ehrs. Kl. Raths Mittel hierzu verordneter Deputatus. 2. H Joh: Friderich Haußer, den ledigen Zuckerbecken, beede mit auch weÿland Fr. Apolloniæ gebohrner Guppe seiner Ersten Fr. seel. ehel. erzeugte Söhne und ab intestato zu gleichen portionen und Antheilen verlaßene Erben, welche aber solche Verheurathet mitanderer gestalten nicht als cum beneficio legis et Inventarÿ angetretten.

In einer allhier zu Straßburg beÿ dem Frantzösischen Spittahl in dem sogenandten Schwaben ländel gelegener H. Leonhard Wöhrle dem Zinn Gießer eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 7) Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarii über das jenige besagend, was die hinterbliebene Wittib zu ihrem verstorbenen Ehemann seel. in die Ehe gebracht, durch Hn Jacob Christoph Pantrion Notm. Publ. et Pract. A° 1723. gefertigtet, hat sich dermahlen manglend befunden
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 29, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Schuld 52, Sa. Ergäntzung (1726, gehet ab 2, Compenando) 1724, Summa summarum 1810 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert und das Theilbare Guth unter einer Massa beschrieben, angesehen die Wittib auff die theilbare Nahrung Verzug gethan und sich allein ihr unverändert Guth und was ihro die Eheberedung zueignet, vorbehalten hat, Sa. haußraths 5, Sa. Silber 3, Sa. Baarschafft (10 Zu den Inventier Costen außgesetzt), Summa summarum 9 lb – Schulden 2039, In Compensatione 2029 lb
so befindet sich, daß solcher passiv rest auch der Wittib Nahrung dem billigen Werth nach übertrifft um 219 lb

Anne Ursule Schlehenacker se remarie en 1737 avec le remueur de grains Jean Riehl
Mariage, Illkirch (luth)
1737. d. 11. aug. sind auf Erlaubnus Hoch Adel. Obrigkeit hier und Herrn Ammeisters in Strasb. Zum 1. et 2. mal zugleich ausgeruffen und d. 13. ejusdem ehl. copulirt und eingesegnet word. H. Joh: Riehl der burg. u. kornwerffer in Strasb. jetzig. Zeit wittwer und Fr. Ursula geb. Schleenackerin weÿl. Philipps Heinrich Haußers gew. burg. und tabackbereiters u. burgers nachgel. wittib [unterzeichnet] Johann Riehl alß hochzeither, Anna Ursula als hochßeiterin schlenackerin (i 136)

Philippe Henri Hausser fait estimer le jardin

1732 (19.7.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 703)
Abschatzung Hrn Phillipp Heinrich Hußers garthen
Zuwißen (…) persönlich kommen und erschienen die Ehrbar: und bescheidene Hh. Johann Jacob Hetzel garthner ahne Krauthenaw, undt Martin Herrmann G: UW: alß Von unßern gnad. Hrn XV. bestelte und geschworne Schätzer und Burger alhier, Vor: und anbringen, waß gestalten, Sie Comparenten auff gebührendes ansuchen und begehren, deß auch Ehrb: und bescheidenen Hrn Phillipp Heinrich Hußers, würths und auch burgers hierselbsten, sich in deßen in der Krauthenaw beÿ seinem Jüngstin Verganth. Zu den dreÿ hechten genanden Würths hauß gelegen, Ihme besagten Hußen Eigenthümlich gehöriges Gärthlein Einseith neben N. Pfister dem Weeber und burger alhier, 2.s neben Hrn Not. Pantrion Garthen Vornen auff ged. Würthshauß zu den dreÿ Hechten, und hinden wider auff bemelten Hrn Pantrion stoßend, begeben und sothannes Gärthlein sowohl den grund und boden alß auch die darin befindliche baüm, Gartnen wahr, Unndt anders nach genaw Eingenohmen augenschen Erfunden und dem Jetzigen werth nach geschätzt, Alß hiernach folgen thuet, Erstl. den grund und boden betreffendt haben berierte H. Schätzer daß Plätzel Vor ohngefahr Ein halb Vierzt. æstimirt und hiehero angeschlagen pro 100 fl
Item befinden sich in dem gärthel 15. undschiedliche Spallier bäum daß stuck durch und durch pro 3 ß th. 3.
Item deßgl. 15. hochstämmig. bäum Jed à 3 ß gerechnet, th. 4. 5
Item Ebenfalls 15. Reebstöckh à 1 ß th. 1. 5.
Item so rechnen Sie für die sambtliche Blumen, Zwibel weiillen mann solche dermahlen nicht sehen nach wüßen Können dem billig Schein macht ohngefähr 6.
Item für deß Sommer gewächß und der Bux 2 fr
Item für daß ahne den Bäumen Vorhand: obß wird gerechnet 4
Sa. gegenwärtiger Abschatzung 121. fl. (…) Sign. Straßburg d. 19.ten Junÿ 1732.

La maison est vendue par adjudication judiciaire le 28 mai 1732 (voir les références ultérieures) à Jean Jacques Soder et à Jean Michel Trawitz, fils et gendre d’Anne Ursule Schlehenacker

Le tonnelier et brasseur Jean Jacques Soder épouse en 1721 Anne Marguerite Fischer, fille de l’aubergiste Georges Fischer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 91-v)
1721. d. 5. Nov. seind Ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Soder der ledige Burger Kieffer vndt Bierbrauer weiland her Johann Jacob Soders gewesenen Biersieders vndt Burgers allhie, nachgelaßener Ehelicher Sohn vndt Jungfrau Anna Margaretha Hn Georg Fischers Burgers vnd Gastgebers allhier Eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Soder als hoch Zeitter, Anna Margareth fischerin als hochzeitterin (i 94)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 227-v) 1721. Eodem d. 6. 9.bris seind auch nach gleicher ausruffung in Tplo D Sen. Petri ehelich eingesegnet Joh: Jacob Soder der ledige bierbrauer Kiefer v. b. patris eiusdem n[omi]nis et Status relictus filius v. Annæ Ursulæ Schlehenackerin v. Jgfr Anna Margaretha Georg Fischers Würths v. gastgebers Zum guldenen Lamb v. b. v. Annæ Barb. Schwendin eheliche dochter (i 235)

Jean Jacques Soder se remarie en 1729 avec Salome Rinck, fille du jardinier Abraham Rinck
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 20-v, n° 14)
Eodem die 24. Aug. 1729 seind nach gleicher ausrufungen in der Kirch Zu St. Wilhelm ehelich eingesegnet H Joh: Jacob Soder der bierbrauer Würth Zum Morenkopf, burger v. witwer, weiland Annæ Margar. Fischerin ehemann v. Jfr Salome, Abraham Rincken deß gartners v. b. v. weiland Mariæ Schärin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Jacob Soder als hoch Zeider, salmö rinckin als hochzeiterin (i 22)

Le tonnelier Jean Michel Trawitz épouse Susanne Marie Soder en 1722
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 231-v, n° 10)
Mittwoch den 20. Maj. 1722. seind nach geschehener 2 maligen ausrufung Dominica Rogate et exaudi in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Joh: Michael Trawitz der ledige Kiefer v. burger Joh: Michael Trawitzen der Statt Straßburg wolverordneten Rathsbotten v. Maria Cleophe Träutlerin ehelicher Sohn v. Jfr. Susanna Maria Weiland H Johann Jacob Soders biersieders Zum Morenkopff v. burgers v. Annæ Ursulæ Schlehenackerin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Trawitz alß hochzeiter, Susanna Maria Soderin als hochzeiterin (i 239)

Jean Jacques Soder et Jean Michel Trawitz vendent la maison aux Trois brochets au batelier André von Zabern et à sa femme Anne Marguerite Weidenmann

1735 (9.9.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 597
Johann Jacob Sodter der Biersieder zum Mohrenkopff und Johann Michael Trawitz der kieffer
in gegensein Andreas von Zabern des Schiffmann und Annæ Margarethæ geb. Weidenmännin
Eine zu denen dreÿen hechten genannte Behausung, höfflein, Schopff, gartten und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿ der hechtenbruck einseit ist ein eck gegen gedachten Bruck anderseit neben Johannes Diebold dem hohldräher hinten auff weÿl. S.T. H. Ammeister Johann Theobald Reißen seel. erben – als ein am 28. maÿ 1732 ane hiesiger ganth erkaufftes guth – (um 750 pfund, verhafftet, geschehen um 250 pfund)

Fils du batelier Daniel von Zabern, André von Zabern épouse en 1728 Anne Marguerite Weidenmann, fille du boulanger Jacques Weidenmann : contrat de mariage, célébration
1728 (21. 8.br), Not. Rith (6 E 41, 947)
Eheberedung – persönlich erschienen der ehrsamb. undt bescheidtene Andreas Von Zabern der ledtige schiffknecht H. Daniel Von Zabern des burgers undt schiffmanns dahier ehelich erziehlter sohn beÿständlichen deßelben als hochzeiter ahne einem
so dann die Viel ehren undt tugendsahmbe Jgfr. Anna Margaretha Weidenmännin Weÿl. Mstr. Jacob Weidtenmanns des gewesten burgers undt weißbeckers dahier ehelich. tochter, beÿständlich. des auch ehrsamb. undt bescheidtenen Johann großen auch burgers undt weißbeckherrs hieselbst dero geordneter Curatoris alß hochzeiterin ahm andtern theill
den 21.ten 8.bris 1728. [unterzeichnet] Andres von Zabern als hochzeiter, Anna Margaretha Weiden Männin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 16-v, n° 20)
Mittwoch d. 3. 9.bris 1738 seind nach 2 maliger ausrufung Dominica XXII et XXIII Trinit. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesgnet worden Andreas von Zabern der ledige Schifknecht Daniel von Zabern, deß Schifmans v. b. v. Ursula von Zabern ehelicher Soh v. Jfr. Anna Margaretha Weiland Joh: Jacobs Weidenmanns Weißbecken v. b. v. Margarethæ Vixin eheliche dochter [unterzeichnet] Andreas von Zabern als hochzeiter, Anna Margaretha Weiden Mannin als hochzeiterin (i 18)

André von Zabern qui vient de devenir tributaire s’adresse aux Quinze pour obtenir une place aux petits trajets. La tribu répond qu’il n’y a pas de place vacante. Il argue qu’il s’est cassé la jambe et que Martin Barthel vient de devenir pilote. Celui-ci ne renonce cependant pas à sa place. Les Quinze confirment la décision de la tribu et demandent au pétitionnaire de prendre patience.
1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134)
(p. 220) Sambstag d. 19. Junÿ 1728. – Gug nôe Andreas von Zabern des burgers und Schiffmanns Cit. erstged. H. Zunfft Mr prod. Underth. Memorial sambt beÿlag N° 1 umb reception in den Kleinen umbgang. Moss Gegner ist erst den 3. huj. Zünfftig word., und in dem Kleinen Umbgang ist Kein locus vacant, Zu folg der æst. gehen Ihme auch verschiedem vor, bitt Ihme an die Ordnung Zu weißen ref. Exp. Gug erholt Contenta product. bitt Deput. Erk. mit Deput. willfahrt (Rapiarum p. 228)

(p. 249) Sambstag d. 26. Junÿ 1728. – Andreas von Zabern Ca. E. E. Zunfft der Encker pt° Auffnahm in den kleinen Umbgang
Iiden [Obere Handwercks Herren] lassen ferner per me referiren daß Andreas Von Zabern der burger und Schiffmann allhier Ca. E. E. Zunfft der Encker ein Undthg. Memoriale mit beÿlag N° 1 so ein Extract auß ged. Zunfft Gerichts Memoriale vom 15. hujus, besag welcher auff des producenten begehen Ihne wegen erlittenen beinbruchs, und weilen Martin Barthel Zu denen Steurleuthen gezogen word. Ihme deßen platz in dem Cleinen umbgang Zu conferiren, erkandt, weil Barthel sich noch nicht erklähret daß er beÿ denen Steurleuthen Verbleiben wolle, daß Implorant Zur gedult Zu verweißen:) eingelegt, undt begehret Ihne in den Kleinen umbgang Zu recipiren, Welches begehren er beÿ gebettener und willfahrter Deputation wiederhohlet, worauff man auch Martin Barthel gehöret, welcher sich aber positiv erkläret, daß er seinen Rang in dem Kleinen Umbgang zu übergeben nicht gesinnet, Nahmens E. E. Zunfft hetten die in voriger Sach benambste dreÿ herrn gemeldt, E. E. Zunfft seÿe dem Imploranten, alß welcher wegen eines Beinbruchs aller commiseration würdig, nicht Zu wider, es genge* Ihme jetzo nur* noch einer vor, wann er Barthels platz bekäme, würde er noch 2. Jahr warthen müßen, biß das fahren an Ihne Kähme, undt Könte nicht fehlen daß er in deßen 2. Jahren in seiner Reÿ undt in guther ordnung in den Kleinen Umbgang Kähme, mit bitt Ihne Zur Gedult Zu Weißen, Vermeine man also daß er beÿ dem beÿ E. E.E Gericht d. 15. huj. ergangenen bescheid allerdings Zu laßen. Erk. Bedacht gefolgt.

André von Zabern meurt en 1751 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans la maison aux Trois brochets. La masse propre à la veuve est de 205 livres, celle propre aux héritiers de 276 livres. L’actif de la communauté s’élève à 911 livres, le passif à 1 027 livres.

1751 (14.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 374) n° 448
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Andreä von Zabern des jüngern, geweßenen Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1751. – als derselbe Sambstag den 27.ten Februarÿ dießen Lauffenden 1751.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des seelig verstorbenen mit seiner hernach gemelter Fünff Kinder alß deßelben ab intestato verlaßener Rechtmäsiger Erben auch respectivé deren Ehe und geschwornen Vögt (…) ersucht und inventirt durch die Ehren und tugendsame Frau Annam Margaretham von Zabern gebohrne Wiedemännin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren und Wohl vorachtbahren herren Andreæ Wiedemanns des Weißbecken und burgers allhier Ihres geliebten bruders und ane vogtstatt erbettenen beÿstands (…) So beschehen Straßburg, auff Mittwoch den 14.ten Julÿ anno 1751.
Der Abgeleibte seeliger hat zu seinen erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Margaretham Salome Arnoldin gebohrne von Zabern, Herrn Jacob Arnold des Schwartzbecken und Burgers allhier eheliche haußfraw welche mit beÿhülff gedachten Ihres Ehevogt in Persohn dem geschäfft abwartete, 2.do Johann Daniel von Zabern, 3.tio Johann Jacob von Zabern, 4.to Mariam Magdalenam von Zabern So dann 5.to Mariam Elisabetham von Zabern, dießer vier letzteren geschworner Vogt Herr Johann Jacob von Zabern Daniels Sohn, Schiffmann und burger allhier, welcher im Nahmen seiner Vogts Persohnen in Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden.

In einer allhier Zue Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck gelegenen in diße Verlaßenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (T.) Eine behaußung zu denen dreÿen hechten genand, sambt höfflin, Schopff, gärthlein und hoffstatt, mit allen deren gebäuwen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein Eck gegen gedachter bruck, anderseit neben Johann Georg Weber dem holtzleger, hinden auf Johann Michael Stein, den Kieffer stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und (durch die Werckmeistere) Vermög überschickter Schrifflicher Abschatzung vom 12.ten Julÿ Anno 1751. angeschlagen pro 650. lb. Hierüber Besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret, de dato 9.ten Septembris Anno 1735. Dabeÿ ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff, mit E: E: Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangeden Insiegel verwahret, datirt den 28.ten Maji Anno 1732.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heuraths Verschreibung
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Schuld 40, Sa. Ergäntzung 150, Summa summarum 205 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderter Nahrung Beschrieben, Sa. haußraths 14, Sa. Erg. 302, Summa summarum 316 lb – Schulden 40 lb, Nach deren Abzug 276 lb
Endlichen wird nun das gemein Verändert und Theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 36, Schiff und geschirr zur Schiffarth gehörig 115, Sa. Silbers 9, Sa. baarschafft 100, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 650, Summa summarum 911 lb – Schulden 1027 lb, In Vergleichung, Passiv onus 116 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 366 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 21. Monatstag Octobris Im Jahr 1728, Rith, Nots.
Abschatzung Vom 12. Julÿ 1751. Auff begehren Weÿl. Andreas Von Zabern deß geweßenen Schiffmanns seel. hinderlaßener Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der hechten bruck einseits neben Meister Steinen dem Kieffer anderseits ein eck auff die hechten gaß machend, und hinten auff Geörg Weber stoßend, gelegen, Neben dem Eingang ist eine Stube, Kammer und Kuchen, in dem Ersten stock ist eine Stube, Zweÿ Kammeren, Kuchen und haußöhren, Item deß officiers Logement, In dem Zweÿten stock ist auch eine Stube, Zweÿ Kammeren Kuchen und haußöhren darüber ist der Tachstuhl so mit breit Ziegeln doppelt gedeckt, darunter eine besetzte bühne hat auch einen geträhmten Keller, höffel und Gumpbronnen, ferner befindet sich ein Schopff, Welcher mit breit Ziegeln einfach gedeckt, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und umb, Ein Tausend und dreÿ hundert Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters,
[unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister

Un garde rapporte que la veuve d’André von Zabern a des pensionnaires et qu’elle leur sert du vin. Elle répond qu’elle héberge trois compagnons menuisiers à qui elle ne sert qu’à manger, qu’elle sert cependant un petit verre de vin au professeur de clavecin de son fils. Les Quinze la condamnent à une livre d’amende, annulée le lendemain quand elle obtient la permission de loger cinq ou six pensionnaires, à condition de ne pas leur servir de vin.
1753, Protocole des Quinze (2 R 163)
(Rapiarium f° 100) Freÿtags d. 27. Aprilis – Lect. Procès verbal von Christian Hien dem Garde Ca. Annam Margaretham Zaberin, weÿl. Andreas von Zabern, geweßten Schiffmanns hinderl. wittib, pt° Kostgänger und Weinschanck.
Denunciaten præsens, sagt sie habe dreÿ Zimmergesellen zu Kostgängern, welchen Sie allein die trockene Kost gebe, außer einem, welcher Ihrem Sohn auff dem Clavier spiehlen lernet, gebe sie den Kosten und ein gläßlein wein, aber umn sonst, Sie habe übrigens nicht gewußt, daß es verbotten ohne erlaubnus Kostgänger halthen Zu dörffen.
Erk. solle die Beklagte sich der Kostgänger enthalten, wegen dem begangenen aber in 1. lb d Straff comdemnirt seÿn.

(p. 218) Sambstags den 28. Aprilis – Faust nôe weÿl. Andreas Von Zabern geweßenen Schiffmanns Wittib die bittet unterth. ihre gnädig zu erlauben 5 biß 6 Zimmergesellen die warme Kost ohne den Wein samt dem nachtlager fourniren Zudörffen, wobeÿ die implorantin als eine arme und mit Kindern beladene wittib die gestern angesetzte und auß unwißenheit auff sich gezogene 1 lb straff gratiose zu erlaßen.
Erk. die Straff ex gratiâ nachzulaßen, auch Ihro zu erlauben 5 biß 6 Kostgängern jedoch nur die trockene Kost geben zu dörffen.

Anne Marguerite Weidenmann meurt en 1754. Les experts estiment la maison à la somme de 175 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 113 livres, le passif à 1 135 livres.

1754 (19.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) n° 562
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Annä Margarethä von Zabern gebohrner Wiedemännin, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Andreä von Zabern des gewesenen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1754. – als dieselbe Donnerstags den 3.to dießes Monats Januarÿ dießes Zeitliche mit dem Ewigenverwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 19.to Januarÿ Anno 1754.
Die seelig verstorbene hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Margaretham Salome Arnoldin gebohrne von Zabern, Herrn Jacob Arnold, des Schwartzbecken und burgers allhier eheliche haußfrau, welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts wie auch S. T. Herrn Johann Heinrich Thenn Notarii publici und Practici Ihren erbettenen Herrn beÿstands, in Persohn dem Geschäfft abwartete, 2.do Johann Daniel von Zabern, welcher die Schiffart erlernt, 3.tio Johann Jacob von Zabern, selectæ Classis alumnum, 4.to Mariam Magdalenam von Zabern, So dann 5.to Mariam Elisabetham von Zabern, dießer Vier letzteren geschworner Vogt Herr Johann Jacob von Zabern Daniels Sohn der Schiffmann und burger allhier

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden Worden wie folgt.
Eigenthumb ane häußern. Erstl. eine behaußung zu denen dreÿen hechten genand, sambt Höfflin, Schopff, gärthlein und hoffstatt, mit allen deren gebäuwen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein Eck gegen gedachter bruck, anderseit neben Johann Georg Weber dem holtzleger, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und in dem über weÿland herrn Andreä von Zabernn des jüngern, geweßenen Schiffmanns und burgers allhier der Verstorbenen, seeligen geweßenen Ehemanns auch seeligen Verlaßenschafft durch mich Notarium in Anno 1751. auffgerichteten Inventario durch der Statt Straßburg Herrn Lohner und Werckmeistere angeschlagen, auch dermahlen dabeÿ gelaßen pro 650. Hierüber Besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret, de dato 9.ten Septembris Anno 1735. Dabeÿ ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff, mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangedem Insiegel verwahret datirt den 28.ten Maji Anno 1732. Ane dießer Behaußung seind danan Fünff Kindern und Erben Ihre vor vätterlich guth gebührige Zween dritte theil in dem unterm 15.ten Novembris Ann 1751. darüber auffgerichteten allerseits approbirt: und unterschriebenen Summarischen Calculo nach dem darinn ausgeworffenen anschlag bonificirt, denenselben aber das Eigenthumb davon expresse reservirt und vorbehalten worden.
It. eine behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit neben Vorherbeschriebener behausung, anderseit neben herrn Johann Helck dem holtzleger, hinden theils auf gedachten herrn helck und theils auf vorbeschriebene behaußung stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schriffticher Abschatzung Vom 31.ten Januarÿ 1754. æstimirt Vor 175. Dieße Behaußung hat die Verstorbene seelige den 1.ten Martÿ Anno 1753. in allhießiger Ganth ane sich erkaufft, worüber aber der Ganth Kauffbrieff noch nicht expedirt worden. Und ist dißorts nur allein vorhanden eine Verziechnus der in allhiesiger Ganth bezahlten Uncösten, durch Herrn Zeis den Statt Richter eigenhändig unterschriebenen, da dato 1. Martÿ Anno 1753.
Wÿdemb Welche die Abgelebte seelige Wegen Ihrer Vier jüngern noch Ledigen Kinder gegen gebührende Education und Alimentation biß an Ihr seeliges Ende genoßen hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Disposition
Sa. haußraths 118, Sa. Silber geschmeids 7, Sa. goldener Ring 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Eigenthums ane heüßern 825, Sa. Schulden 9, Summa summarum 1113 lb – Schulden 1135, In Vergleichung 22 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 676 lb – Stall Summ 653 lb
Abschatzung vom 31. Januarÿ 1754. Auff begehren Weÿland Frauen Margarethæ Von Zabern gebohrne Weidenmännin seel. hinterlaßene Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Hechtenbruck, einseit neben herren Helcken dem holtzleger anderseits neben dem Allmend und hinten auff die Erben selbsten stoßend gelegen, Solche behaußung hat Zweÿ Stuben, Zwo Küchen, Zweÿ Kämmerlin darüber ist der dachstuhl so mit Hohlziegeln belegt, hat auch ein geträhmtes Kellerlein und Kleines höfflein, Von uns unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern, nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb 350 gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Le tuteur des enfants d’André von Zabern loue une maison à Jean Thierry Herrmann

1757 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 631 n° 147-v
Johann Jacob von Zabern der schifmann als vogt weÿl. Andreas von Zabern des schiffmanns 4 kinder Johann Daniel, Johann Jacob, Maria Magdalena und Maria Elisabetha von Zabern
in gegensein Johann Dietrich Herrmann
entleht, in einer denen curanden gehörigen ane der Hechtenbruck gelegenen behausung zum hauß gehörigen garten samt garten häußel – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 3 pfund

La maison appartient pour un quart à Jean Daniel von Zabern qui épouse en 1759 Catherine Salomé Schall, fille du maroquinier Jean Henri Schall : contrat de mariage, célébration

1759 (17.7), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 315
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel von Zabern, dem Jüngern, Ledigem Schiffmann und burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Andreä von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Margaretha gebohrner Wiedemännin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendbegabten Jungfrauen Catharina Salome Schallin, des Ehren: und Wohlvorachtbaren herrn Johann Heinrich Schall des Carduaners und burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrneer Pfundin ehelich erzielter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 17. Julÿ Anno 1759. [unterzeichnet] Johann Daniel von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeitrin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 223, n° 23)
Anno 1759. d. 26.t Septembr. Seind in der Kirche Zu S. Wilhelm, nach zweÿmahliger Ausrufung so am XIV. und XV. Sonntag nach Trinitatis daselbsten geschehen, Zur Ehe eingesegnet worden, Johann Daniel Von Zabern, lediger Schiffer und burger allhie Weÿl. Andres Von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhie und Annæ Margarethæ Wiedenmännin nachgelaßener ehel. Sohn und Jungfr. Catharina Salome, Johann Heinrich Schallen vormahliger Carduaners und Burgers allhier und Annæ Catharinæ Peterin ehelige Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeiterin (i 228)

Compte que rend Jean Jacques von Zabern aux enfants d’André von Zabern. Les loyers des maisons y figurent en détail.

1760 (14.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 396) n° 833
Rechnung Mein Johann Jacob von Zabern, Daniels Sohns, Schiffmanns und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts, herrn Johann Daniels, des Schiffmanns herrn Johann Jacobs, Collegii Wilhelmitani Alumni, Jungfrauen Mariä Magdalenä und Jungfrau Mariä Elisabethä derer von Zabern, Weÿland herrn Andreä von Zabern des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier seeligen hinderlaßener ehelich erzeugter Vier Jüngern Kinder, inhaltend alles desjenige, was Ich von Anno 1751, da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 14. Januarÿ Anno 1760. Ihrentwegen Eingenommen und hingegen wieder Außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße Verrichtet und Verhandelt habe, Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Bericht gegenwärtigen Rechnung. Zuwißen seÿe hiemit, nachdeme Weÿland herr Andreas von Zabern, der geweßene Schiffmann und burger allhier zu Straßburg, nunmehr seeliger den 27. Februarÿ 1751. dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt mit nun Weÿland Fraun Anna Margaretha geb. Wiedenmännin seiner Wittib erziehlten (Kinder), den 14. Julÿ 1751 ordnungsmäßig inventirt durch mich (…)
Corpus der 4 Curanden ins gemein Jährlich zu gewarten habenden Haußzinnß
Aus der Vordern behaußung zu denen dreÿen hechten genand ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Hechtenbruck gelegen gefallen dermahlen Jährlich ane hauß Zinnßen,
Erstl. aus der Obern Wohnung und noch einer darzu gegebenen Cammer von Fuchß dem Weber, 11
It. aus der mittlern Wohnung von herrn Johann Daniel von Zabern dem ältesten Vogts sohn selbsten, 12
It. aus der Undern Wohnung von Christoph Mena dem wagner, 9
It. aus dem Officiers Stüblein von einer wittfrauen, 5
It. aus dem gärtlein von herrn Dietrich Herrmann dem glaßer, 3
Aus der andern darneben Liegenden behaußung gefallen Jährlich ane hauß Zinnßen
It. aus der Obern Wohnung von Jacob Wagner dem Schiff Knecht, 10
It. aus der Undern Wohnung von N. N. einem Schumacher, 8
(…) Ferner habe seithero ane verfallenen Hauß Zinnßen Eingenommen
It. aus der Obern Wohnung liefferte mir Datt der Zundelmacher von Annunciationis Mariæ 1754 biß den 1. dec. 1759 da er ausgezogen vor 5 Jahr 8 1/5 Monath verfallen à 11 lb des Jahres
Und ist anjetzo von Weÿhenachten 1759 angehend dießer Wohnung sambt einer darzu gegebenen Cammer Fuchß dem Weber umb 14 Jährlichen Zinnßes verlühen
It. aus der mittlern Wohnung entrichtete Christoph Mena der Wagner von Michaelis 1754 biß Michaelis 1759 vor 5 Jahr à 60
So dann herr Johann Daniel von Zabern der ältere Vogts sohn von Michaelis 1759 biß Weÿhenachten ejusdem vor ein viertel Jahr 3 lb
It. aus der Undern Wohnung zahlte Frau Roßin von Annunciationis Mariæ 1754 biß Weÿhenachten ejusdem Anni vor ein halb viertel Jahr 3
Ferner dieselbe von Weÿhenachten 1754 biß Annunciationis Mariæ 1756 vor 1 ¼ Jahr à 11 des Jahrs
So dann Fuchß der Weber von Annunciationis Mariæ 1756 biß Weÿhenachten 1759 vor 3 ¾ Jahr à 13 lb des Jahrs
Anjezo aber ist dieße Wohnung ane Christoph Mena den Wagner umb 19 lb Jährlichen zinnßes verlühen
It. aus dem Officiers Stüblein erhielte von einer Wittfrauen von Annunciationis Mariæ 1754 biß Joh. Bapt: dicti anni vor ein viertel Jahr 1 llb
mehr von andres Ott von Joh. Bapt: 1754 biß Annunciationis Mariæ 1757 vor 2 ¾ Jahr à 6 lb des Jahrs
Ferner von dembelben von Annunciationis Mariæ 1757 biß Michaelis 1758 vor 1 ½ Jahr à 6 lb des Jahrs
weiter Von einer Wittfrauen welche zwischen Michaelis 1758 biß Michaelis 1759 4 ¼ Monath lang darinnen gewohnt und die übrige zeit selbiges Lähr gestanden
So dann von Michaels 1759 biß Weÿhnachten ejusdem Anni von Christoph Mena dem Wagner von ein viertel jahtr
Nunmehro aber ist dießes Stüblein an einer wittfrauen verlühen umb 5 lb Jährlichen Zinnßes
It. aus dem gärtlein gienge ein pro Anno 1754 von herrn Lt. Samuel Faust 6 lb
Ferner pro Anno 1756 Von eben dem selben vor ein halb Jahr 3
So dann pro Anni 1758 et 1759 von herrn dietrich herrmann dem glaßer à 3
Aus der Nebens behaußung
It. aus der Obern Wohnung machte Jacob Wolff von Annunciationis Mariæ 17545 biß Annunciationis Mariæ 1755 vor i. Jahr 10
So dann Jacob Wagner von Annunciationis Mariæ 1755 biß Weÿhnachten 1759 vor 4 ¾ Jahr à 10 lb des Jahrs
It. aus der Undern Wohnung liefferte Joh. Georg Matz der Kieffer von Annunciationis Mariæ 1754 biß Michaelis ejusdem Anni vor ein halb jahr 6 lb
Ferner derselbe von Michaelis 1755 biß Michaelis 1755 vor ein Jahr 10 lb,
Weiter Frau Sargerin Von Michaelis 1755 biß Annunciationis Mariæ 1758 von 2 ½ Jahr à 9 lb des Jahrs
mehr dieselbe von Annunciationis Mariæ 1758 biß Annunciationis Mariæ 1759 vor ein Jahr 9 lb,
Noch ferner eben dieselbe von Annunciationis Mariæ 1759 biß Joh. Bapt: dicti anni vor ein viertel Jahr 2 lb
So dann N. N. ein Schumacher von Joh. Bapt: 1759 biß Weÿhenachten ejusdem Anni vor ein halb jahr 4 lb

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison aux Trois brochets qui appartient en partie au mari. Ceux du mari s’élèvent à 798 livres, ceux de la femme à 1 190 livres.

1760 (5.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 397) n° 854
Inventarium über des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel von Zabern, des jüngern Schiffmanns und der Ehren und tugendbegabten Fraun Catharinä Salome von Zabern gebohrner Schallin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1760 – welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So geschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren und wohlvorachtbaren Herrn Johann Jacob von Zabern Daniels Sohn des Schiffmanns und burgers allhier des Ehemanns geweßenen geschwornen Vogts, wie auch des Ehren: und vorgeachten He’rn Johann Jacob Fuchs, des Leinenwebers und Burgers allhier, der Ehefrauen erbettenen beÿstadts, auf sa&& den 5. Julÿ Anno 1760.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck gelegenen, zu denen dreÿen hechten genanden und dem Ehemann zum Viertten theil eigenthümlich zuständigen hieunden eingetragenen behaußung, befunden worden, wie folgt
Antheil ane häußern. (M.) Erstl. der Viertetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung Zu denen dreÿen hechten genand, samt höfflein, Schopff, Gärtlein und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck einseit ist ein Eck gegen gedachter bruck, anderseit neben Johann Georg Weber, dem holtzleger hinten auf hernach beschriebene behaußung stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, ledig, eigen vnd beÿ des Ehemanns Elterlichen Verlaßenschafft Abtheil: Eröretrung mit hernachgemelter Condition ohnpræjudicirlich angeschlagen pro 1600 lb, macht daran der hiehero gehörigen Viertetheil 250 lb
It. der viertetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Hechtenbruck einseit neben vorher beschriebener behaußung, anderseit neben herrn Johann Helck, dem holzleger hinden theils auf gedachten herrn Helck und theils auf vorbeschriebene behaußung stosend, so vor freÿ, ledig und eigen beÿ vorgedachter des Ehemanns Elterlicher Verlaßenschafft Abtheil und Erörterung mit hernachgemelter Condition ohnpræjudicirlich æstimirt vor 350 lb. Hierauf aber ist man Jgfr. Catharinæ Elisabethæ Sebitziußin allhier in Capital schuldig, so Jahres auf Weÿhenachten mit 4. pro Cento verzinßlich 350 lb. Welchemnach in Vergleichung beeder Summen ane besagtem Anschlag nichts übrig verbeiebt, mithin auch vor der hiehero gehörigen Vierten theil außzuwerffen, Nihil
Dieße beede häußer seiend beÿ des Ehemanns Elterlicher Verlaßenschafft Abtheilung Ihme dem Ehemann und seinen dreÿen Jüngern Geschwüsterden ins gemein um obgemelten Anschlag angewießen worden, jedoch mit dem expressen Anhang, daß Ihrer ältern Schwester und zum Fünfften theil Mit Erbin fraun Margarethæ Salome Arnoldin gebohrner von Zabern herrn Jacob Arnold, des Schwartzbecken und burgers allhier Ehegattin das Eigenthum Ihres Antheils vorbehalten, mithin dann künfftiger Zeit mehr oder weniger als besagter Anschlag erlößt würde, sie daran zu participiren oder beÿzutragen haben solle, Die documenta über solche beede häuser besangend sind in des Ehemanns mütterl. Verlaßenschafft Inventario specificirt als wohin sich dißorts bezogen wird
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 38 lb, Sa. Schiff und Geschirrs zur Schiff farth gehörig 374 lb, Sa. Silbergeschmeids 12 lb, Sa. der baarschafft 7 lb, Sa. Antheils ane Häußern 250 lb, Sa. Schulden 12 lb, Summa summarum 756 lb – Darzugelegt der Ihme gebührige halbe theil ane denen verehrten haussteuren 41 lb, Trifft demnach der Ehemann völlig in die Ehe gebrachte Guth in allem in vero pretio an 798 lb,
Dießemnach wird nun auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausrath 88 lb, Sa. Silbergeschmeids 25 lb, Sa. goldener Ring 24 lb, Sa. baarschafft 21 lb, Summa summarum 350 lb – Hierzu kombt ferner der Ihro Zuständige halbe theil ane denen haussteuren 41 lb, Belaufft sich alsi der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen 592 lb – Beschluß summa 1190 lb

Jean Daniel von Zabern meurt en 1760 en délaissant un enfant posthume. Sa part de maison est portée à l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 330 livres, celle propre à l’héritier de 239 livres. L’actif de la communauté s’élève à 363 livres, le passif à 500 livres.

1762 (12.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 400) n° 936
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbaren Herrn Johann Daniel von Zabern des jüngern geweßenen Schiffmanns burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft – nachdeme derselbe Sonntags den 14. Martÿ dießes lauffenden 1762 Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinen aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Ehren und tugendsamen Frawen Catharinæ Salome von Zabern gebohrner Schallin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Hoch Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Georg Albert, J. V. Lti des hochlöbl.Directorii Ritter Præsidials in dem Untern Elsaß hochverdienten Advocati und Notarii jurati publici, Ihres erbettenen Hn beÿstands, Wie auch des Ehrenvest und Wohlvorachtbarn Hn Johann Daniel von Zabern, des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts des seelig verstorbenen, mit vorgedachter seiner hinterbliebeneen Wittib ehelich erziehlten und unter mütterlichen hertzen annoch verborgenen Posthumi als deßelben ab intestato nachgelaßenen einigen Erben ersucht und inventirt durch vorgedachte Fraw Catharinam Salome von Zabern gebohrne Schallin die hinterbliebene Wittib (…) So beschehen in Straßburg, in fernerem beÿsein herrn Jacob Arnold des Schwartzbecken und burgers alhier, als Ehevogts Frauen Margarethæ Salome gebohrner von Zabern, Wie auch im Nahmen gerrn Johann Jacob von Zabern, Philosophiæ Studiosi, So dann herrn Georg Martin, des garthenmans und burgers allhier, als bestelten Mandatarÿ herrn Johann Jacob vo Zabern des ältern Daniels Sohns, Schiffmanns und burgers allhier als geschwornen Vogts Jungfrau Mariæ Magdalenæ und Jungfrauen Mariæ Elisabethæ von Zabern, des Defuncti geschwüsterde und auf dem Fall, da der Posthumus nicht solte lebendig an dießes Welth gebohren Werden, ab intestato nachgelaßener Erben, auf Mittwoch den 12. Maji Anno 1762.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Hechtenbruck gelegenen, Zu denen dreÿen hechten genanden Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung, befunden worden, wie folgt
Antheil ane häußern. (E.) Erstl. der Viertetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung Zu denen dreÿen hechten genand, samt höfflein, Schopff, Gärtlein und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein Eck gegen gedachter bruck, anderseit neben Johann Georg Weber, dem holtzleger hinten auf hernach beschriebene behaußung stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig, eigen vnd in dem über Frauen Annä Margarethä von Zabern, gebohrner Wiedemännin, auch Weÿland herrn Andreä Von Zabern, geweßenen Schiffmanns und burgers allhier seeligen hinterlaßener Wittib des defuncti eheleiblicher Mutter ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft durch mich Notarium Anno 1754. auffgerichteten Inventario durch der Statt Straßburg herrn Werckmeistere angeschlagen auch dermahlen dabeÿ gelaßen pro 650. lb. Macht daran der hiehero gehörige Viertetheil 162. 10.
Über die gantze Behaußung besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret, de dato 9.ten Septembris Anno 1735. Dabeÿ ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff, mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangedem Insiegel verwahret datirt den 28.ten Maji Anno 1732.
It. der viertetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Höfflein und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Hechtenbruck, einseit neben vorher beschriebener behaußung, anderseit neben herrn Johann Helck, dem holtzleger hinden theils auf gedachten herrn Helck und theils auf vorbeschriebene behaußung stosend, so vor freÿ, Ledig und eigen, in vorgedachtem des Defuncti Mütterlichn Verlaßenschafft Inventario de Anno 1754. durch der Statt Straßburg herren Lohner und Werckmeistere æstimirt Vor 175 lb. Macht darab der hiehero gehörige Viertetheil 43. 15.
Und ist darüber nur allein Vorhanden eine verzeichnus der in allhießiger ganth bezahlten Uncösten durch herrn Zeis den Statt Richter eigenhändig unterschrieben, de dato 1.ten Martÿ Anno 1753.
Vorherige beede häußer seind beÿ des Defuncti Elterlicher Verlaßenschafft Abtheilung Ihme dem Ehemann und seinen dreÿen Jüngern Geschwüsterden ins gemein um obgemelten Anschlag angewießen worden, jedoch mit dem expressen anhang, daß Ihrer ältern Schwester und zum Fünfften theil Mit Erbin Fraun Margarethæ Salome Arnoldin gebohrner von Zabern Herrn Jacob Arnold, des Schwartzbecken und burgers allhier Ehegattin das Eigenthum Ihres Antheils vorbehalten, mithin dann künfftiger Zeit mehr oder weniger als besagter Anschlag erlößt würde, Sie daran zu participiren oder beÿzutragen haben solle
Ergäntzung der Wittib angegagenen ohnveränderten Guths, Inhaly Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrunge, in Anno 1760. durch mich Notarium auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 31 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. goldener Ring 7 lb, Sa. baarschafft 8 lb, Sa. Schuld 37, Ergäntzung 234, Summa summarum 330 lb
Dießemnach wird auch des Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Schiff und Geschirrs zur Schiff farth gehörig 124, Sa. Llährer Faß 1 Sa. Silber 5, Sa. der baarschafft 3, Sa. Antheils ane häußern 206, Sa. Schulden 72, Erg. wird von dem abzug übertroffen, Summa summarum 464 lb – Schulden 225 lb, Detrahendo 239 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 7, Sa. Schiff und geschirrs Zur Schiff farth gehörig 3, Sa. Frucht 80, Sa. Weins und Lährer Faß 14, Sa. tabacks 135, Sa. Schaaff 1, Sa. Schulden 121, Summa summarum 363 lb – Schulden 500 lb, In Vergleichung, Theilbar Passiv onus dem Stalltax nach 137 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 431 lb

L’étudiant en droit Jean Jacques von Zabern rachète de ses frères et sœurs les parts de la maison aux Trois brochets

1764 (28.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) Joint au n° 562 du 19 janv. 1754 (enreg. Chambre des Contrats, vol. 638 f° 440-v, 30 juin 1764)
Cession und Überlaßung des Eigenthumbs ane einer behaußung, Zu denen dreÿen hechten genand.
Vor mir unterschriebenen, zu Weÿland herrn Andreä von Zabern, des Schiffmanns und auch Weÿland Frauen Annä Margarethä von Zabern gebohrner Wiedemännin, beede geweßener Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft Inventation und abtheilung in specie requirirtem Notario seind ane Zu end gemeltem dato persönlich erschienen, derselben ehelich mit einander erziehlte Kinder und der Enckein geschworner Vogt, als dero ab intestato nachgelaßene Erben, Nahmentlich 1.mo Frau Margaretha Salome Arnoldin gebohrne von Zabern, Herrn Jacob Arnold, des Schwartzbecken und burgers allhier Ehefrau, von gedachtem Ihrem Ehemann hierzu genugsam autorisirt, 2.do Herr Johann Daniel von Zabern, der Knöpffmacher und Seidenhändler, auch burger allhier, als geschworner Vogt weÿland herrn Johann Daniel von Zabern des jüngern geweßenen Schiffmanns und Burgers allhier nunmehrr seeligen hinterlaßenen, mit Frauen Catharina Salome gebohrner Schallin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlten Töchterleins, Annæ Catharinæ von Zabern, 3.tio Johann Jacob von Zabern, Jurium Studiosus, 4.to Jungfer Maria Magdalena von Zabern, 5.to Jungfer Maria Elisabetha von Zabern, dießer beede töchtere mit zueiehung Herrn Johann Jacob von Zabern Daniels Sohns Schiffmanns und burgers allhier, Ihres geschwornen noch ohnentledigten Vogts, anzeigende, demnach Sie biß dato die in Ihre Eltern und respectivé groß Elterliche Verlaßenschafft gehörige ane der Vorstatt Krautenau beÿ der hechtenbruck gelegene behaußung cum appertinentÿs in ohnvertheilter gemeinschafft beseßen, In das künfftige aber fernerhien in solcher gemeinschafft Zu verbleiben nicht gesinnet, Als wolten Sie dem nachbenanten Sohn
herrn Johann Jacob von Zabern Jurium Studioso
in gegenwärtigem ohnvertheilten Elter: und respectivé großlterlcuhen Erbe, die gedachte behaußung sambt Höfflin, Schopff, gärthlein und hoffstatt, mit allen deren gebäuwen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, ane der Vorstatt Krautenau, beÿ der Hechtenbruck, zu denen dreÿen hechten genand, einseit ist ein Eck gegen gedachter bruck, anderseit neben Johann Georg Weber dem holtzleger, hinden auf Michael Mauderer den Schiff Knecht stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig und eigen, Erb und eigenthümlich Kaufflichen cedirt und überlaßen haben – vor und umb 1050 pfund – So verschreibung in Straßburg den 28. Junÿ Anno 1764

Jean Jacques von Zabern revend quelques jours plus tard la maison au batelier Jean Jacques Giessbrecht

1764 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 n° 449-v
H. Johann Jacob von Zabern studiosus juris
in gegensein Johann Jacob Gießbrecht des schiffmanns
eine behausung, höffein, schopff, gärtlein mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Krautenau beÿ der Hechtenbruck zu denen dreÿ Hechten genannt, einseit ist ein Eck, anderseit neben Johann Georg Weber dem holtzleger, hinten auff Michel Mauderer den schiffknecht – als ein theils von den eltern ererbt theil von seinen geschwisterden in unvertheilt erb cedirtes guth – um 800 pfund

Jean Jacques Giessbrecht hypothèque trois jours plus tard la maison au profit du tisserand Jean Jacques Fuchs

1764 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 548-v
Johann Jacob Gießbrecht der schiffmacher
in gegensein Johann Jacob Fuchß des leinenwebers
verlühen, in seiner alhier beÿ der Hechtenbruck gelegenen behausung unten auf dem boden die werckstatt auf dem dritten stock eine stub, stubkammer, kuche samt nebens kammer und platz für holtz zu legen – auff 18 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Johannis Baptistæ tag anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

Fils du batelier du même nom, Jean Jacques Giessbrecht épouse en 1746 Marie Barbe Engel, fille du batelier Martin Engel : contrat de mariage, célébration
1746 (1.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 104
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Jacob Gießbrecht, jun: dem Leedigen Schiffmann, des Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Jacob Gießbrecht, des auch Schiffmanns und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Maria Barbara Engelin, des Ehren: und Vorachtbahr, Herrn Martin Engels, des Jüngern Schiffmanns und burgers allhier ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 1. Junÿ Anno 1746 [unterzeichnet] Hans Jacob Gießbrecht als hoch Zeiter, Maria Barbara Engelin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 144, n° 24)
1746. d. 6. Junÿ Seind nach zweÿmahliger Ausruffung Dominica III et IV post Trinitatis in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Gißbrecht, der jüngere, lediger Schiffknecht und burger allhier, Johann Jacob Gießbrechts Schiffmanns u. burgers allhie und Salome von Zabern ehl. Sohn, Jungfrau Maria Barbara, Martin Engel Jun. Schiffmanns und burgers allhier und Mariæ Kromerin ehl. Tochter [unterzeichnet] Johan Jacob gießbrecht als hohzeiter, Maria Barbara Engelin als hochzeiterin (i 147)

Jean Jacques Giessbrecht et Marie Barbe Engel hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du marchand Simon Zollikoffer

1769 (20.10.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 733-v
Jacob Gießbrecht der schifmann, Maria Barbara geb. Englerin mit beÿstand Wilhelm Waldbur des leinenwebers und Johann Krieg des weinstichers
in gegensein H. Rathh. Johann Valentin Schneeganß des metzgers als vogt H. Simon Zollikoffer des handelsmanns 3 kinder Simon, Maria Salome und Dorothea der Zollickoffer – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Krautenau beÿ der Hechtenbruck zu den dreÿ hechten genanndt, einseit ist ein Eck, anderseit neben Johann Georg Weber dem holtzleger, hinten auff Michel Mauderer

Jean Jacques Giessbrecht et Marie Barbe Engel louent la maison à Marie Salomé Sachs veuve Gambs

1773 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 174-v
Johann Jacob Gießbrecht der schiffmann und Maria Barbara geb. Englerin unter assistentz Johann Jacob Fuchß des leinenwebers und Wilhelm Waldbaur benemäßigen leinenweber
in gegensein Fr. Maria Salome geb. Sachßin verwittibte Gambßin – schuldig seÿen 500 gulden
verlehnt, eine behausung cum appertinentis ane der Vorstadt Krautenau beÿ der Hechtenbruck zu dene dreÿ hechten genannt, einseit ist ein Eck, anderseit neben weÿl. Johann Georg Weber des holtzlegers erben, hinten auff Michel Mauderer – alß ein währender ehe unterem 2. Julÿ 1764 von H. Johann Jacob von Zabern damaligen studioso juris erkaufftes haus (um 250 lb verhafftet), um 250 lb

Marie Madeleine Giessbrecht et Marie Barbe Giessbrecht vendent la maison qu’elles ont héritée de leurs parents et de leur sœur à l’officier de santé Jean Thierry (Dieter) Wagner

1824 (29.4.), Strasbourg 3 (71), M° Schreider n° 2006
1. Marie Madeleine Giessbrecht, 2. Marie Barbe Giessbrecht toutes deux majeures
à Jean Dieter Wagner, officier de santé demeurant rue Dauphine n° 6
une maison sise à Strasbourg rue du Brôchet n° 11 avec puits, cave, petite cour, échoppe et petit jardin, aisances, appartenances et dépendances, d’un côté le pont du Brochet, d’autre le cabaretier Jost, devant la rue du Brochet, derrière le Sr Schützenberger brasseur – avenu dans la succession de leurs père et mère Jean Jacques et Marie Barbe Engel et feu leur sœur Catherine Salomé Giessbrecht décédée célibataire – pour 3000 francs
Enregistrement, acp 167 F° 200 du 4.5.

Jean Dieter Wagner meurt célibataire en janvier 1850 dans la maison sise rue du jeu des enfants n° 28 en délaissant des héritiers collatéraux
1850 (26.1.), Strasbourg 4 (105), Not. Lauth n° 3864
Inventaire de la succession de Jean Dieter Wagner
Du 26 janvier 1850. L’an 1850 le samedi 26 janvier à neuf heures du matin. A la requête 1. de M. Jean Jacques Wagner, tanneur, 2. de M. François Michel Reisser, négociant au nom et comme fondé de pouvoir de dame Julienne Marguerite Todt, son épouse qu’il a autorisé suivant procuration reçue par M. Jung, notaire à Candel (Bavière rhénane) le 23 janvier courant, 3° de M. Jean Georges Todt, brasseur, 4° de M. Jean Jacques Todt, négociant, tous demeurant et domiciliés audit Candel se trouvant en ce moment à Strasbourg. Lesdits sieurs Jean Jacques Wagner, la dame Reisser & les sieurs Todt, ces derniers trois par représentation de leur mère dame Catherine Julianne Wagner, décédée épouse de M. Jean Georges Todt, aubergiste à Candel, habiles à se dire et porter héritiers de feu le sieur Jean Dieter Wagner, décédé docteur en médecine à Strasbourg, leur frère et oncle respectif, sçavoir le Sieur Wagner son frère pour une moitié et la dame Reisser & les Sieurs Todt ensemble pour l’autre moitié ou chacun pour un 6°
le tout se trouvera en une maison sise à Strasbourg rue du jeu des enfants N° 28 où le défunt est décédé le 18 janvier courant

N° 3886. Liquidation du 6 février 1850 – Lors de la première vacation et en faisant l’inventaire des papiers on a trouvé le testament de M. Wagner qui a été présenté à M le président du tribunal civil de cette ville et déposé en l’étude de M° Lauth. Aux termes de ce testament M. Wagner a institué les quatre comparans et la Dame Reisser pour ses légataires universels et a fait différents legs particuliers. Les comparans ont fait délivrance des objets à deux des légataire particuliers, savoir à M. Jean David Hirschmann, cordonnier à Strasbourg, dans la maison duquel le défunt est décédé (…)
acp 389 (3 Q 30 104) f° 145 – Il dépend de ladite succession I. Argent comptant, 200, 12 et 7088, II. Prix de la maison vendue 7500, III. créances cédées 8634, IV, sommes remboursées par le Sr Hirschmann 3000, Total 26.435
Passif 2406, reste 24.028

Dans une chambre au second étage sur la rue du jeu des enfants, Dans la chambre à coucher, Dans une chambre à côté de la précédente, Dans une commode sous scellés, Dans la cuisine, Dans la chambre au second étage à côté e la chambre à coucher, Au grenier
acp 389 (3 Q 30 104) f° 110-v (Déclaration du 6 février 1850) Il dépend de ladite succession un mobilier évalué 661, argent comptant 7300 déposé entre les mains de M° Lauth, argenterie et autres objets 715
acp 389 (3 Q 30 104) f° 143-v – créances 12.796 – Passif 561
Immeuble. Trois Maisons sises à Kœnigshoffen hors la porte nationale de Strasbourg

Jean Dieter Wagner est né à Langencandel (Kandel) en Palatinat
Décès, Strasbourg (n° 117)
Acte de décès. Le 19 janvier 1850 (…) que Jean Dieter Wagner, âgé de 66 ans, né à Langencandel (Bavière rhénane), docteur en médecine, domicilié à Strasbourg, fils de feu Georges Jacques Wagner, chirurgien et de feu Anne Marie Kauppel* est décédé le 18 janvier 1851 à une heure de relevée en la maison rue du jeu des enfants N° 28 – abcès (i 32)

1850 (6.2.), Strasbourg 4 (105), Not. Lauth n° 3882
Notoriété – Dieter Wagner en son vivant médecin à Strasbourg, & savoir qu’il est décédé en cette ville le 18 janvier dernier. Qu’il était célibataire & n’avait jamais été marié, Qu’il n’a laissé aucun ascendant ni descendant ayant droit à une réserve dans sa succession & qu’en conséquencce le testament fait olographe par lui en cette ville le 3 février 1849, enregistré à Strasbourg le 18 janvier dernier (…) déposé au rang des minutes de M° Lauth l’un des notaires soussignés en vertu d’une ordonnance de M. le président du tribunal de cette ville en date di 21 janvier dernier (…) doit recevoir son entière exécution
acp 141 du 8.1.
acp 140-v du 8.2. Lauth 31.1. – Dépôt du testament olographe de Jean Dieter Wagner
Enregistrement de Strasbourg, ssp 108 (3 Q 31 607) f° 22 du 28.1.1850
(Lauth) Testament du 3 février 1849 – (signé) Jean Dieter Wagner

Jean Thierry Wagner vend la maison à Charles Guillaume Kœnig et à sa femme Marie Joséphine Simon

1842 (4.10.), Strasbourg 15 (72), M° Lacombe n° 3579
Vente du 4. octobre 1842. A comparu Mr Jean Dieter Wagner Officier de santé demeurant et domicilié à Strasbourg, Lequel a (vendu)
à Mr Charles Guillaume Koenig, propriétaire et Dame Marie Josephe Simon, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg
Désignation de l’immeuble vendu. Une Maison sise à Strasbourg rue du brochet n° 11, avec puits, cave, petite cour, échoppe, petit jardin, appartenances et dépendances donnant par devant sur le pont du brochet, par derrière le sieur Jost, cabaretier, d’un côté la rue du brochet de l’autre le successeur du sieur Schützenberger, brasseur
Etablissement de la propriété. Mr Wagner déclare qu’il est légitime propriétaire et tranquille possesseur de l’immeuble qu’il vient de vendre pour l’avoir acquis de Dlles Marie Madeleine Giessbrecht et Marie Barbe Giessbrecht toutes deux majeures d’ans demeurant en cette ville suivant contrat de vente passé devant M° Schreider qui en a gardé minute et son collègue notaires à la résidence de Strasbourg le 29 avril 1824, enregistré. Les Dlles Giessbrecht avaient recueilli cette Maison dans les successions respectives de leurs père et mère Jean Jacques Giessbrecht et Marie Barbe Engel et de leur sœur Catherine Salomé Giessbrecht célibataire décédés à Strasbourg où ils demeuraient. Feu ledit Sr Jean Jacques Giessbrecht en son vivant batelier en cette ville a acquis cet immeuble du Sr Jean Jacques Zabern alors étudiant en droit à Strasbourg suivant contrat de vente passé à la sidevant Chambre des Contrats de cette ville le 2 juillet 1766. – Situation hypothécaire (…) Prix de vente, 6000 francs
acp 303 (3 Q 30 018) f° 3

Le tanneur Charles Guillaume Kœnig épouse Marie Joséphine Simon en 1814
1814 (31.12.), Strasbourg 6 (41), Not. Meyer n° 948
Contrat de mariage – Charles Guillaume Koenig, tanneur fils majeur de Charles Jean Koenig, sellier, et de défunte Madeleine Christ
Marie Joseph Simon, fille majeure de François Xavier Simon, employé dans les domaines, et de Marie Anne née Lottringer
apports de la future épouse 657 francs
Enreg. F° 184 du 5.1.

Marie Joséphine Simon meurt en 1853 en délaissant des héritiers collatéraux

1853 (9.5.), Strasbourg 11 (49), Not. Charles Keller n° 5508
Inventaire après le décès de Dame Joséphine Simon vivante épouse du Sr Charles Guillaume Koenig
L’an 1853 le lundi 9 mai à une heure de l’après-midi, A la requête I. de Mr Charles Guillaume Koenig, ancien tanneur, propriétaire demeurant à Strasbourg place des orphelins N° 14, agissant en son nom personnel a) à cause de la communauté de biens qu’il dit avoir existé entre lui et dame Marie Josephine Simon, sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage dont l’expédition se trouvant sous le scellé sera analysée ci après b) à cause de la donation en usufruit et autres avantages pouvant résuter en sa faveur du même contrat de mariage
II. de Mademoiselle Marie Anne Joly, majeure en service chez M. le Directeur de la maison de détention à Strasbourg où elle demeure, agissant tant en son nom personnel que comme mandataire générale et spéciale de 1° Joseph Joly son neveu, instituteur demeurant à Rouffach (…) 2° Madame Valbourg Joly sa sœur épouse autorisé de Mr Thiébaut Steger, graveur demeurant ensemble à Mulhouse (…) 3° Mademoiselle Nanette Joly, sa nièce, majeure sans état demeurant à Thann (…) 4° et Mad° Agathe Joly, sœur de ladite mandataire épouse autorisée de Mr Jean Baptiste François, serrurier demeurant ensemble à Thann (…)
III. de M. Auguste Théodore Schnall, principal clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire général et spéial de Madlle Marie Marguerite Catherine Mambré, majeure, couturière en robes chez Mad° Barene demeurant à Paris, place Vendôle N° 14 (…) étant la demoiselle Mambré, Agathe Joly femme François, Nanette Joly, Valbourg Joly femme Steger, Joseph Joly et Marie Anne Joly habiles à se porter héritiers partiaires de la D° Marie Joséphine Simon leur tante et grande tanté décédée épouse de Charles Koenig prédénommé, ce décès arrivé à Strasbourg le 19 avril 1853
IV. Enfin à la requête & et présence de Mr Hippolyte Momy notaire à la résidence de Strasbourg où il demeure, agissant au nom et comme représentant tous les héritiers absens (…)
Avant de procéder à l’inventaire du mobilier, le sieur Koenig et la Dlle Marie Anne Joly ont déclaré qu’à leur connaissance les héritiers de la défunte sont les suivants, nous requérant d’en établir la désignation de la manière ci après savoir I. Les représentants de Jacques Simon, frère de la dite défunte de son vivant employé à Paris qui sont 1° Charles Simon vétérinaire au 7° régiment de hussards, 2° Paul Simon, g(raveur) à Paris, 3° Adolphe Simon, employé à Marseille, 4° Pauline Simon demeurant à Toulouse femme du Sr Estrade, parti pour l’Amérique,
II. Les représentants de Joseph Simon, aussi frère de la défunte, de son vivant marchand épicier à Ensisheim lesquels sont 1° Ignace Simon, demeurant à Ensisheim, 2° Joseph Simon, aubergiste au même lieu 3° Charles Simon, employé au chemin de fer de Mulhouse, 4° Xavier Simon, employé demeurant en Algérie, 5° Catherine Simon décédée femme du Sr Mambré aujourd’hui représentée par sa fille unique Marie Marguerite Catherine Mambré, requérante, 6° Claire Simon, décédée femme du Sr Joseph Roth géomètre arpenteur à Ensisheim aujourd’hui représentée par sa fille unique encore mineure Rosalie Roth
III. Les représentants de Barbe Simon décédée veuve du sieur Thiébaut Joly, aussi sœur de la défunte lesquels sont 1° Marie Anne Joly, requérante, 2° Valbourg Joly femme Steger, requérante, 3° Agathe Joly femme du Sr François négociant, 4° Joseph Joly instituteur & Nanelle Joly venant par représentation de leur père Joseph Joly, décédé graveur à Thann ; 5° Madeleine Joly femme duSr François Albrecht imprimeur parti pour l’amérique autrefois domicilié à Thann
IV. Enfin Thiébaut Simon, frère de la défunte parti pour l’amérique depuis 1834 ou ses enfants

Description du mobilier, Chambre obscure au premier étage, Chambre d’habitation, Chambre à coucher, Autre chambre à coucher, Cuisine, Grenier de devant, Grenier de derrière, Buanderie, Cour au fond, Cour de devant, Cave
Titres de propriété. Une liasse renfermant les titres de propriété des divers immeubles appartenant à cette communauté, desquelles pièces la description sera faite ultérieurement. Lesdits immeubles consistent en
1° Une maison avec cour, bâtiment de derrière appartenances & dépendances sise à Strasbourg place des orphelins N° 14
2° Une autre maison avec appartenances & dépendances sise en cette ville rue du brochet N° 11
3° Une autre maison sise en cette ville rue de l’Evêque N° 4
4° Une autre maison sise à Strasbourg rue du foulon N° 19 ancien & N° 17 nouveau
La propriété desquelles maisons est fondée sur les titres susénoncés ainsi qu’il sera établi lors de la description de ces mêmes titres.
Ce fait en présence de Mr François Joseph Risacher, ancien notaire demeurant à Strasbourg intervenu pendant le cours de cette opération en qualité de fondé de pouvoir (…) tuteur établi par justice du St Joseph Ignace Simon, aubergiste à Huningue présentement détenu en la maison centrale de correction d’Ensisheim, et ainsi privé de ses droits civils (…)
Contrat de mariage passé devant M° Meyer alors notaire à Strasbourg le 31 décembre 1814
Titres de propriété concernant la maison place des orphelins n° 14 (…)
Titres de propriété concernant la maison rue du Brochet 11. 1° L’expédition d’un acte passé devant M° Lacombe alors notaire à Strasbourg le 4 octobre 1842 transcrit aux hypothèques de cette ville le 10 du même mois vol. 338* N° 78 au termes duquel Mr Jean Dieter Wagner officier de santé demeurant à Strasbourg a vendu au Sr Koenig et à sa défunte femme une maison sise à Strasbourg, rue du brochet n° 11, avec puits, cave, petite cour, échoppe, petit jardin, appartenances & dépendances donnant par devant sur le pont du brochet, par derrière le Sr Jost, cabaretier d’un côté la rue du Brochet de l’autre la succession du Sr Schützenberger brasseur. Cette vente a été faite moyennant la somme de 6000 francs quittancés audit acte, 2° (…) 3° L’expédition d’un acte passé devant M° Schreider alors notaire à Strasbourg en présence d’un collègue le 29 avril 1824 portant vente en faveur de Mr Wagner de la susdite maison par Marie Madeleine Giessbrecht & Marie Barbe Giessbrecht, sans état, domiciliées à Strasbourg, cette vente faite pour le prix de 3000 francs quittancés audit acte, 4° Une copie sur parchemin en idiome allemand délivrée par la cidevant chambre des contrats de la Ville de Strasbourg le 2 juillet 1764 d’où il résule que la maison & dépendances dont il s’agit a été vendue au Sr Jean Jacques Giessbrecht vivant batelier à Strasbourg par le sieur Jean Jacques de Zabern, étudiant en droit
Titres de propriété concernant la maison rue de l’Evêque N° 4 (…)
Titres de propriété concernant la maison rue du Foulon n° 17 (…)
Déclarations. Mr Koenig déclare qie les maisons cidevant désignées sont louées suivant baux verbaux à différents locataires savoir
La maison place des Orphelins (…)
celle de la rue du brochet pour un loyer annuel de 1250 francs
acp 419 (3 Q 30 134) f° 51 du 17.5. (succession déclarée le 18. 8° 1853) Communauté, meubles estimés 330, créances 4800, argent comptant 109, maisons (supra) – garde robe 91

1853 (25.6.), M° Keller
Dépôt, contrat de mariage Charles Guillaume Koenig et de Marie Joséphine Simon, M° Meyer 31 décembre 1814
acp 420 (3 Q 30 135) f° 70-v du 27.6.

Charles Guillaume Kœnig se remarie avec Marie Anne Joly, native de Thann, nièce de sa première femme
1853 (25.10.), Strasbourg 15 (90), Not. Momy (Hippolyte) n° 954
Contrat de mariage su 25 octobre 1853, Sont comparus M° Charles Guillaume Koenig, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg d’une part
a Demoiselle Marie Anne Joly, majeure d’ans, demeurant à Strasbourg, d’autre part
acp 424 (3 Q 30 139) f° 6 du 26.10. Stipulation de communauté réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le survivant des époux restera propriétaire de la part intégrale de l’époux prédécédé dans les biens de la communauté
Les apports du futur sont constatés par inventaire reçu Keller Nre le 9 mai 1852 lors du décès de sa première femme Josephine Simon
Las apports de la future consistent en ses économies estimées 1200 ff
Donation par le futur à la future, ce acceptant en cas de prédécès 1) de la moitié en toute propriété de toute sa succession, 2° de l’usufruit de l’autre moitié de sa succession, réductible en cas d’existence d’enfants.

Mariage, Strasbourg (n° 481)
Du 27° jour du mois d’octobre l’an 1853 à dix heures du matin. Acte de mariage de Charles Guillaume Koenig, majeur d’ans, né en légitime mariage le 13 juin 1788 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Propriétaire, veuf de Marie Josephine Simon, décédée en cette ville le 19 avril 1853, fils de Charles Jean Koenig, tailleur décédé en cette ville le 5 octobre 1820 et de feu Madeleine Christen décédée en cette ville le 5 août 1808, Et de Marie Anne Joly, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 septembre 1822 à Thann (haut Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Thiébaut Joly, Chapelier décédé à Thann le 5 janvier 1839 et de feue Barbe Simon décédée au même lieu le 26 novembre 1846. (…) il a été passé un contrat de mariage devant M° Momy Notaire en cette ville le 25 octobre derbier (signé) D. H. Koenig, Marie anne Joly (i 50)

Charles Guillaume Kœnig se rend adjudicataire des immeubles acquis pendant la communauté

1854 (17.8.), Strasbourg 15 (91), Not. Momy (Hippolyte)
Cahier des charges du 22 juillet 1854 – Cahier des charges clauses et conditions de la vente de quatre immeubles bâtis, situés dans la Ville de Strasbourg dépendant de la communauté de biens ayant existé entre Mr Charles Guillaume Koenig et Joséphine Simon son épouse en premières noces, décédée à Strasbourg le 19 août 1853, dressé par M° Hippolyte Momy, et l’un de ses collègues notaires à la résidence de Strasbourg, en exécution d’un jugement rendu contradictoirement par le tribunal civil de première instance de Strasbourg le 24 avril 1854 qui a dit et ordonné que par M° Momy, l’un des notaires soussignés, il sera procédé au partage et à la liquidation de la communauté qui a existé entre Mr Charles Guillaume Koenig, sus-nommé, et la défunte sa femme et de la succession de cette dernière, Qu’à et effet il sea procédé à la vente par licitation des immeubles dépendant desdites communauté et succession sue les mises à prix de 20.000 francs pour le premier article, 5000 francs pour le second article, 3000 francs pour le troisième article et 1200 francs pour le quatrième article (…). A la requête 1° de Mr Charles Guillaume Koenig, ci-dessus dénommé et qualifié, 2° de Dame Marie Anne Joly, Epouse en secondes noces dudit Sieur Koenig, de lui autorisée, Ladite dame agissant tant en son nom personnel que comme mandataire de générale et spéciale A. de Joseph Joly instituteur demeurant à Rouffach (…), B. de Demoiselle Nanette Joly, sa nièce, majeure, sans état demeurant à Thann (…), C. de Dame Walburge Joly, sa sœur épouse autorisée de Mr Thiébaut Steger, graveur, demeurant ensemble à Mulhouse (…), D. Dame Agathe Joly, sa sœur, épouse autorisée de Mr Jean Baptiste François, serrurier demeurant à Thann (…)
3) de Mr Charles Frédéric Traut, Avoué près le tribunal civil de Strasbourg demeurant en ladite ville, agissant comme mandataire A. de Mr Charles Paul Xavier Simon, Employé demeurant à Paris rue de Grammont N° 13 (…), B. de Mr Charles Simon, vétérinaire en premier au 7° régiment de hussards en garnison à Montpellier (…), C. de Mr Ernest Adolphe Simon, fondeur en caractères, actuellement gardien des bureaux à l’hôtel des Monnaies à Marseille demeurant en ladite ville (…), Tous les susnommés comparans en personne ou par mandataire ayant agi comme demandeurs dans l’instance en licitation ayant pour avoué M° Traut
4° de M. Auguste Théodore Schnall, principal clerc de notaire, demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire 1. de Marie Marguerite Catherine Mambré, majeure, couturière en robes chez Mad° Barenne, demeurant à Paris, Place Vendôme N° 14 (…)
5° de Mr François Joseph Risacher, ancien notaire demeurant à Strasbourg, agissant en signal de mandataire A. de Mr Joseph Simon, aubergiste à Ensisheim, B. de M. Charles Simon, menuisier à Mulhouse, celui-ci ayant agi tant en son nom personnel q’au nom et comme tuteur établi par justice au Sr Joseph Ignace Simon, autrefois aubergiste à Huningue, présentement détenu en la maison centrale de correction d’Ensisheim, et ainsi privé de ses droits civils, C. de Joseph Roth géomètre arpenteur demeurant à Ensisheim, celui-ci ayant agi en qualité de père et tuteur légal de Rosalie Roth, sa fille encore mineure, procréée de son mariage avec Dame Claire Simon son épouse en premières noces (…), D. de Xavier Simon, garçon de magasin chez Mr Tromy négociant à Sétif en Algérie (…) Les susnommés Demoiselle Mambré et les mandans de Mr Risacher ayant été tous défendeurs dans l’instance en licitation et ayant pour avoués, savoir Mademoiselle Mambré M° Ackermann et les autres M° Schneegans,
et hors la présence 1° de Thiébaut Simon, journalier domicilié à Thann, 2° de Pauline Simon, femme de Jean Joseph Léon Estrade, et de ce dernier domiciliés à Toulouse, 3° de Madeleine Joly épouse du Sr François Albrecht, imrprimeur sur toiles et de ce dernier, domiciliés à Thann
(au profit de Charles Guillaume Koenig)
Descriptions des immeubles à vendre. Ces immeubles consistent en
1° Une maison avec cour, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Rue dite derrière les murs, Place des orphelins N° 14, tenant d’un côté au Sr Rieder, de l’autre à M. Weiler, par devant la rue, par derrière en partie la propriété de Mr Pfaehler, l’hôtel du Corbeau et l’hôtel de l’Ours noir.
2° Une maison en la même ville, Rue du brochet N° 11 avec puits, petite cour, échoppe, jardinet, appartenances et dépendances, ttenant en partie à la dame Charlotte Kopler, à la vendeur Runtz, auSr Weingaertner et au Sr Jost.
3° Une maison sise en la même ville, Rue de l’Evêque N° 4, avec appartenances et dépendances, d’un côté le Sr Geyer, de l’autre la veuve Wagner, par derrière Mr Humann.
4° Une maison sise en la même ville, Rue du foulon, marquée autrefois du N° 19 et aujourd’hui du N° 17 avec petite cour, appartenances et dépendances, d’un côté M. Schurrmann, de l’autre la veuve Wacké, par derrière Messieurs Braunwald et Schleiger, par devant la rue du foulon,
Etablissement de la propriété. Ces immeubles ont été acquis par M. Koenig durant son mariage, savoir (…)
2° la maison rue du Brochet a été acquise pat Mr Koenig du sieur Jean Dieter Wagner, officier de santé domicilié à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Lacombe et son collègue notaires à Strasbourg le 4 octobre 1842, enregistré à Strasbourg le 6 du même mois et transcrit aux hypothèques de la dite ville le 10 octobre suivant vol. 338* N° 78 pour le prix de 6000 francs quittancés audit contrat. M. Wagner était propriétaire de cet immeuble pour l’avoir acquis de demoiselles Marie Madeleine Giessbrecht et Marie Barbe Giessbrecht, toutes deux majeures d’ans, demeurant en cette ville, suivant contrat de vente passé devant M° Schreider et son collègue, notaires à Strasbourg le 29 avril 1824 enregistré. Les demoiselles Giessbrecht avaient recueilli cette maison dans les successions respectives de leurs père et mère Jean Jacques Giessbrecht et Marie Barbe Engel et de leur sœur Catherine Salomé Giessbrecht, célibataire décédés à Strasbourg où ils demeuraient. Feu ledit Sr Jean Jacques Giessbrecht en son vivant batelier à Strasbourg avait acquis cet immeuble de Mr Jean Jacques de Zabern, alors étudiant en droit à Strasbourg suivant contrat de vente passé à la cidevant chambre des contrats de la Ville de Strasbourg le 2 juillet 1766.
3° La maison Rue de l’Evêque (…)
(…) L’adjudication est fixée au Jeudi 17 août 1854
N° 1649. Vente par enchère du 17 août 1854. A la requête (…)
1° Une Maison Rue dite derrière les murs, Place des orphelins N° 14, sur la mise à prix de 21.000 francs (…), mise de 100 francs au profit de Mr Koenig prénommé et qualifié, l’un des colicitants déjà propriétaire dudit immeuble pour moitié
2° Une Maison sise en la même ville, rue du brochet N° 11, sur la mise à prix de 5000 francs (…) mise de 100 francs au profit de Mr Koenig colicitant
3° Une maison Rue de l’Evêque N° 4, sur la mise à prix de 3000 francs (…) 3400 francs au profit de Mr Koenig colicitant
4° Une maison Rue du foulon, marquée autrefois du N° 19 et aujourd’hui du N° 17, sur la mise à prix de 1200 francs (…) 1360 francs au profit de Mr Koenig colicitant
acp 432 (3 Q 30 147) f° 11-v du 29.7. cahier des charges – acp 432 (3 Q 30 147) f° 73-v du 28.8. adjudication

Liquidation et partage
1854 (2.12.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 1967
Etat de Liquidation et partage de la communauté de biens entre Charles Guillaume Koenig et Joséphine Simon
En conformité d’un jugement rendu contradictoirement par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 24 avril 1854, enregistré et signifié, M° Hippolyte Momy, notaire à la résidence de Strasbourg, procédant seul & sans l’assistance d’un confrère, au vœu de l’article 977 du coe de procédure, a dressé comme suit les liquidation et partage de la communauté de biens ayant existé entre Monsieur Charles Guillaume Koenig, ancien brasseur & propriétaire demeurant à Strasbourg et Joséphine Simon son épouse en premières noces, décédée en cette ville le 19 avril 1853.
Exposé des faits (…)
acp 435 (3 Q 30 150) f° 75-v du 11.12. Il résulte de ladite liquidation que l’actif de la communauté s’élève à 36.008, le passif à 1989, (reste) 36.018, moitié 17.009
Succession de la D° Koenig. Son émolument de la communauté 17.009, ses récompenses 1457, garde robe, pour mémoire, total 18.466
Fixation au 23 du courant pour procéder à l’arrêté définitif de lla liquidation cidessus

Testament olographe de Charles Guillaume Kœnig
1870 (10.3.), M° Koerttgé
Dépôt du testament olographe de Charles Guillaume Koenig propriétaire à Strasbourg, décédé le 26 février 1870, ledit testament en date du 20 décembre 1857 enregistré cejourd’hui
acp 590 (3 Q 30 305) f° 29-v du 11.3.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 153 (3 Q 31 652) f° 72-v du 11.3.
Testament, 20 décembre 1857- Je soussigné Charles Koenig lègue par les présentes à mon neveu Auguste Steinbach celles des sommes qui pourront me revenir après décompte de la part des héritiers de feu ma femme pour déboursés et droits

Liquidation de la succession de Marie Joséphine Simon
1855 (8.2.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 2132
Ont comparu I. Mr Charles Guillaume Koenig, ancien tanneur, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg d’une part
II. Mr Mr Charles Frédéric Traut, Avoué près le tribunal civil de première instance de Strasbourg domicilié en cette ville, de seconde part, M° Traut en sadite qualité comme ayant occupé pour Dame Marie Anne Joly, épouse en secondes noces du Sr Koenig, susqualifié comparant, domicilié à Strasbourg, Joseph Joly instituteur demeurant à Rouffach, Nanette Joly, majeure, sans état demeurant à Thann, Walburge Joly épouse de Thiébaut Steger, graveur, demeurant à Mulhouse, Agathe Joly épouse de Jean Baptiste François, serrurier, Charles Paul Xavier Simon, Employé demeurant à Paris rue de Grammont N° 13, Charles Simon, vétérinaire en premier au 7° régiment de hussards en garnison à Montpellier, Ernest Adolphe Simon, Gardien des bureaux à l’hôtel des Monnaies à Marseille demeurant en ladite ville, Madeleine Joly épouse du Sieur François Albrecht, imrprimeur sur toiles domicilié à Thann, tous demandeurs dans une instance dirigée contre Joseph Simon, aubergiste demeurant à Ensisheim, Charles Simon, menuisier demeurant à Mulhouse, Xavier Simon, garçon de magasin à Sétif en Algérie, Rosalie Roth épouse de M. Jean Jules Finance, commis négociant demeurant à Dijon, Thiébaut Simon, journalier demeurant à Thann, Pauline Simon, épouse de Jean Joseph Léon Estrade domicilié à Toulouse, défendeurs pour lesquels a occupé M° Ferdinand , Avoué prèsle tribunal civil de Strasbourg, et contre Marie Marguerite Catherine Mambré, couturière en robes demeurant à Paris, aussi défenderesse pour laquelle a occupé M° Ambroise François Xavier Ackermann, avoué près le siège
III. Mr François Joseph Risacher, ancien notaire demeurant et domicilié à Strasbourg de troisième part, agissant en qualité de mandataire 1° de Mr Joseph Simon, aubergiste demeurant à Ensisheim, 2° de Mr Charles Simon, menuisier demeurant à Mulhouse, ce dernier ayant agi tant en son nom personnel qu’au nom et comme tuteur établi par justice au Sr Joseph Ignace Simon, autrefois aubergiste à Huningue, présentement détenu en la maison centrale de correction d’Ensisheim, et ainsi privé de ses droits civils (…), 3° de M. Xavier Simon, garçon de magasin chez Mr Tromy négociant à Sétif en Algérie (…)
IV. M. Auguste Théodore Schnall, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, de quatrième part, en qualité de mandataire de Demoiselle Marie Marguerite Catherine Mambré, couturière en robes chez Mad° Barenne, demeurant à Paris, Place Vendôme numéro 14 (…)

acp 437 (3 Q 30 152) f° 37-v du 10.2. Communauté. Elle s’élève d’après rectification à la somme de 36.765, moitié 18.382
Succession, moitié de la communauté 18.382, récompenses dues à la défunte 2390, garde robe, pour mémoire, total 20.772
Dans ces sommes il revient I. à Thiébaut Simon, frère de la défunte 5193,
II. Charles, Charles Paul, Ernest Adolphe et Pauline Simon femme Estrade, ensemble pour quart 5193,
III. Joseph Ignace Simon, Joseph Simon, Charles Simon Xavier Simon et Dlle Mambré, Mde Finance ensemble 5193,
Iv. Marie Anne Joly femme Koenig, Mde Steger, Mde François, Mde Albrecht ensemble 4154, V. Nanette Joly et Joseph Joly ensemble 1038
Cette liquidation faite sans attribution, total général 20.772.

Charles Guillaume Kœnig hypothèque au profit d’Eléonore Gæckler les trois maisons sur lesquelles les héritiers de Marie Joséphine Simon n’ont aucun droit

1855 (17.4.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 2291
Obligation du 17 avril 1858 – A comparu Monsieur Charles Guillaume Koenig, ancien tanneur & propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, Lequel a reconnu devoir bien & légitimement
à Demoiselle Eléonore Gaeckler, majeure d’ans, sans état domiciliée & demeurant à Strasbourg, la somme de 5000 francs pour prêt de pareille
constitue en hypothèque 1. une maison sise rue du Brochet N° 11, petite cour, échoppe, jardinet, appartenances & dépendances, tenant en partie à la D° Kopler, à la veuve Runtz, au Sr Weingärtner & au Sieur Jost.
2° une Maison sise rue de l’Evêque n° 4 avec appartenances & dépendances, d’un côté M Hages, de l’autre la propriété de la veuve Wagner & par derrière la propriété de Mr Théodore Humann
3° une Maison sise rue du Foulon n° 17 avec petite cour, appartenances & dépendances d’un côté Mr Schirrmann de l’autre la veuve Wacké par derrière MMr Braunwald & Schleiger par devant la rue du foulon
Ces immeubles sont la légitime propriété de Mr Koenig qui les avait acquis durant son mariage avec Dame Joséphine Simon, son épouse en premières noces & auquel ils ont été adjugés lors de la licitation qui en a été faite entre lui & les héritiers de ladite son épouse devant M° Momy notaire soussigné, commis par justice, suivant Procès verbal en date du 17 août dernier, enregistré. Cette adjudication a été tranchée en faveur de Mr Koenig pour & moyennant la somme de 9920 francs dont 5500 francs dans laquelle il n’a rien à rendre aux héritiers de sa première femme, attendu que les droits de ces derniers ont été définirivement liquidés par acte dressé par ledit M° Momy le 8 février dernier, homologué par Jugement du tribunal civil de première instance de Strasbourg & que les sommes qui reviennent aux héritiers de la Dame Koenig sont assurées par une inscription prise spécialement au bureau des hypothèques de Strasbourg le 16 octobre dernier, Volume 614 Numéro 185 sur un immeuble à lui appartenant autre que ceux affectés à la créance de Madlle Gauckler, lesquels d’après une convention spéciale insérée dans l’acte de liquidation ci-dessus allégué ne peuvent être touchés par une hypothèque du chef des héritiers de la Dame Koenig née Simon

Charles Guillaume Kœnig vend lesdites maisons au menuisier Emmanuel Schæffer et à (son fils) entrepreneur en bâtiments Charles Emile Schæffer

1855 (22.5.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 2399
Vente du 22 Mai 1855. A comparu Monsieur Charles Guillaume Koenig, ancien tanneur & propriétaire, domicilié & demeurant à Strasbourg, Lequel a déclaré vendre (…)
à Monsieur Emmanuel Schaeffer, menuisier en meubles & en bâtimens & à Charles Emile Schaeffer, Entrepreneur de constructions, les deux domiciliés & demeurant à Strasbourg acquéreurs solidaires
Les immeubles ci après désignés, sis dans la Ville de Strasbourg, savoir
1° trois maisons sises rue du Brochet N° 11 avec petite cour, échoppe, jardinet, appartenances & dépendances, tenant en partie à la D° Kopler & à la veuve Runtz, au Sr Weingärtner & au Sieur Jost.
2° Une Maison sise rue de l’Evêque n° 4 avec appartenances & dépendances, d’un côté M Hages, de l’autre la propriété de la veuve Wagner & par derrière la propriété de Mr Théodore Humann
3° Une Maison sise rue du Foulon n° 17 avec petite cour, appartenances & dépendances d’un côté Mr Schirrmann de l’autre la veuve Wacké par derrière MMr Braunwald & Schleiger
Etablissement de la propriété. Ces trois immeubles sont la légitime propriété de M. Koenig qui les avait acquis durant son mariage avec Dame Joséphine Simon, son épouse en premières noces & auquel ils ont été adjugés lors de la licitation qui en a été faite entre lui & les héritiers de ladite son épouse devant M° Momy notaire soussigné dressé par ledit notaire le 17 août dernier, enregistré. Cette adjudication a été tranchée en faveur de Mr Koenig pour & moyennant la somme de 9920 francs dont 5500 francs pour la maison rue du Brochet, 3460 francs pour la maison rue de l’Eveque & 1360 pour celle rue du Foulon. Sur le prix de 9920 francs Mr Koenig n’a rien à rendre aux héritiers de sa première femme attendu que les droits de ces derniers ont été définirivement liquidés par acte dressé par ledit M° Momy le 8 février 1855, homologué par MM du tribunal civil de première instance de Strasbourg suivant Jugement du 6 mars suivant & que les sommes qui reviennent aux héritiers de la Dame Koenig née Simon montant d’après cet acte à 20.772 francs sont spécialement garanties par une inscription prise à leur profit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 16 octobre dernier, Volume 614 Numéro 185 sur une Maison avec dépendances sise à Strasbourg place des Orphelins N° 14, appartenant également à Mr Koenig & qu’une clause spéciale insérée dans l’acte de liquidation ci-dessus allégué interdit aux héritiers de la D° Koenig de prendre aucune inscription sur les immeubles présentement vendus à MM Schaeffer
La maison rue du Brochet a été acquise par Mr Koenig de Mr Jean Dieter Wagner, officier de santé, domicilié à Strasbourgn suivant contrat passé devant M° Lacombe & son collégue notaires à Strasbourg le 4 octobre 1842, enregistré et transcrit aux hypothèques à Strasbourg le 10 du même mois volume 388 numéro 78 pour le prix de 6000 francs quittancé dans le contrat.
La maison rue de l’Evêque (…)
Quant aux titres qui établissent l’origine antérieure de la propriété des trois immeubles en question, ils sont amplement mentionnés dans le cahier des charges dressé par M° Momy Notaire soussigné et l’un de ses collègues le 22 juillet 1854, enregistré. – Situation hypothécaire (…)
La présente vente est faite moyennant une rente viagère de 1600 francs par an (…) évaluée en capital à 11.000 francs
acp 440 (3 Q 30 155) f° 39-v du 30.5.

Charles Emile Schæffer épouse en 1855 Sophie Salomé Gundelwein
1855 (2.5.), Strasbourg 10 (129), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.005
Contrat de mariage, 2 Mai 1855 – Ont comparu 1° Mr Charles Emile Schaeffer, entrepreneur demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Strasbourg le 7 septembre 1832 fils de M. Jean Emmanuel Schaeffer, menuisier et de feue Dame Marguerite Caroline Steinbach son épouse défunte, futur époux, d’une part
2° Madlle Sophie Salomé Gundelwein, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille née à Strasbourg le 15 mars 1830, du légitime mariage de feu M. Charles Frédéric Gundelwein, vivant épicier et de Dame Eve Catherine Blatt sa veuve survivante
acp 439 (3 Q 30 154) f° 61-v du 3.5. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura en outre l’usufruit de la moitié du prédécédé dans les biens de la communauté
Le futur époux ne stipule aucun apport
Les apports de la future épouse consistent en une valeur de 34.808.
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants

Sophie Salomé Gundelwein loue une partie de la maison au marchand de bois Georges Frédéric Buchmüller

1857 (8.6.), Strasbourg 15 (96), Not. Momy (Hippolyte) n° 3991
Bail du 8 juin 1857 – A comparu Mr Charles Emile Schaeffer, Négociant domicilié & demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré donner à bail à loyer pour une durée de 6, 9 ou 12 années qui ont commencé à courir du 25 décembre dernier pour finir au choix respectif du bailleur & du preneur ci après indiqué (…)
à M. Georges Frédéric Buchmüller, marchand de bois domicilié à Strasbourg
Partie d’une maison sise à Strasbourg, rue du brochet N° 11, ainsi que la cour qui en dépend & la jouissance du puits. Cete partie forme deux ailes au fond de la cour, la première aile, en prolongement de la maison principale, renferme, au rez-de-chaussée, une remise avec fosse à chaux, le premier étage, un logement avec cuisine, surmonté d’un grenier, La deuxième aile est perpendiculaire à la première & renferme, au rez-de-chaussée, un four à plâtre avec dépendances, surmonté d’un étage servant présentement de grenier. Le preneur s’obligé à convertir ce dernier grenier en un logement convenable, à la mise en état duquel Mr Schaeffer bailleur sera tenu de contribuer pour 300 francs (…)
Il est convenu qu’il sera dressé incessamment entre les parties un état descriptif des localités louées (…) 3. (le preneur) paiera la Patente à laquelle l’industrie de chauffournier exploitée par lui donnera ouverture et il se fera assurer contre l’incendie pour les risques locatifs (…) 7. Le Loyer est fixé à la somme de 652 francs
acp 460 (3 Q 30 175) f° 78-v du 9.6.

Charles Emile Schæffer et Sophie Salomé Gundelwein font donation de la maison à leur fille Hortense lors de son mariage en 1880 avec Jules Rhein, médecin aide-major à Nevers

1880 (4.11.), M° Holtzapffel
Ehevertrag zwischen Georg Julius Rhein, Stabsarzt zu Nevers, Sohn des verstorbenen Mehlhändlers Georg Rhein und dessen hinterbliebenen Wittwe Caroline Kolb zu Straßburg
und Hortense Schaeffer, ohne Stand zu Straßburg, minderjährige Tochter des Eigenthümers Carl Emil Schaeffer und dessen Ehefrau Sophia Salomé Gundelwein
acp 707 (3 Q 30 422) f° 90-v du 6.11. n° 2617 – unter Annahme des auf Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, mit der Bestimmung daß das Ueberlebende die Nutznießung des Antheils des Erstabsterbenden an der Gemeinschafft haben soll, bei Vorhandensein von Kindern zur hälfte beschränkt
Schenkung durch Eheleuthe Schaeffer ihrer dies annehmenden Tochter der Braut als Vorempfang auf ihre Künftigen Erbschaften, je zur Hälfte
Stadt Straßburg. I. ein Wohnhaus zu Straßburg n der Ecke der Zürcherstrasse und des Hechtengäßels hier N° 3, bestehend in Vorderhaus mit Keller, Bodengeschoß, zwei Stockwercken, Mansarden und Hof, Zwei Gebäuden im Hinterteil des Hofes und zwei Nebengebäuden mit Bodengeschoß und Stock, Pumpe, Remisen, Rechten und Zubehörden, Oberfläche von 3 Aren, Besitz sofort, Genuß und Steurübernahm vom 25. Dezember. Jährliches Ertrag 1400 Mrk, 28.800
II. ein Ausstattung im Wert von 4800, Baares Geld 4000, zusammen 8800 M
gegenseitige Schenkung der Nutznießung des gantzen Nachlasses bei Vorhandensein von Kindern auf die Hälfte beschränkt.

Charles Emile Schæffer et Sophie Salomé Gundelwein déclarent une fortune de 350 000 francs, Hortense Schæffer déclare ses apports parmi lesquels la maison à l’angle de la rue de Zurich et de celle du Brochet

1880 (6.7.), M° Holtzapffel
Offenkunde bestätigend daß Carl Emil Schaeffer, Gutsbesitzer und Frau Sophie Salome Gundelwein Eheleute zu Straßburg ein Vermögen von ungefähr 350.000 Franken besitzen
acp 703 (3 Q 30 418) f° 39-v du 8.7. n° 1087
Erklärung, 2 Juli 1880 – abgegeben durch 1. Frl. Hortense Schaeffer, gewerblos dahier und 2. Carl Emil Schaeffer, Gutsbesitzer und Frau Sophie Salome Gundelwein Eheleute dahier laut welchem das Einbringen der Ersteren in ihrer mit Jules Rhein, médecin aide major zu Nevers beabsichtigter Ehe bestehet a) aus einer Schenkung ihren obgenannten Elter von frcs 11.000 oder M. 8800 in Möbel, Werthschaften und baar und b) aus einem Anwesen, gelegen zu Straßburg an der Ecke der Zürcherstraße und Hechtengasse von einem Jährlichen Reinertrag von mindestens frcs. 1500 oder M. 1200.
acp 703 (3 Q 30 418) f° 39-v du 8.7. n° 1088


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.