13, rue Sainte-Elisabeth
Rue Sainte-Elisabeth n° 13 – VIII 119 (Blondel), P 1317 puis section 9 parcelle 40 (cadastre)
Auberge à la Petite Maison (zum kleinen Haus, 1691-1721)
Reconstruite vers 1840, maître d’ouvrage Michel Heintzen – Démolie en juin 1976
Nouveau bâtiment, 1997 (maître d’ouvrage Jens Beyrich, architecte Paul Mæchel)
Vue des n° 11, 13 et 15 rue Sainte-Elisabeth, mars 2023 – N° 13 (mai 2023)
Le tisserand Simon Buckenheim constitue en 1537 aux Carmes une rente de 4 florins, rachetable pour 100 florins, sur la maison rue Sainte-Elisabeth. La rente revient à l’hospice des Vérolés dont le cartulaire donne copie de cinq actes dont le plus ancien date de 1329. La maison est inscrite au nom du charpentier André Feltz dans le Livre des communaux (1587). Le soldat de la garde André Hæffelé l’achète en 1629 et en transmet la propriété à Jean Kayser, Georges Müller et Gaspard Baumgartner (1629-1676). L’apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck y ouvre vers 1691 une auberge à l’enseigne de la Petite Maison (zum kleinen Haus) qu’il ferme ensuite pour recommencer à préparer le tabac mais qu’il recommence à exploiter en 1699 (deux salles et quatre tables). Il en résulte des querelles avec le tenancier de la Petite Ecurie deux maisons plus loin. Située en face de la demeure du lieutenant de roi, la maison comprend une salle des ordonnances et un atelier de cordonnier selon l’estimation dressée en 1735 après la mort du docteur en médecine Jean Frédéric Stædel qui a acquis la maison en 1721 par adjudication judiciaire. L’estimation dressée en 1777 fait état de trois poêles, trois cuisines, plusieurs chambres, et cave solivée.
Extrait du Canton VIII, plan Blondel (1765, ADBR cote 1 L plan 5). La ruelle des Cornets s’ouvre entre les parcelles 117 et 118 – Plan préparatoire au plan-relief de 1830 (le nord est en bas)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre (p-q exposant v) , une porte séparée de la deuxième par deux fenêtres, étage à trois fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (E’’) représente l’arrière (1-2 et 5-6) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral est (1-10), la propriété (6-7) du voisin à l’ouest et le bâtiment (2-5) adossé à l’arrière du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (9-10) qui s’ouvre sur l’impasse des Cornets en (f-g-h). Le bâtiment est ensuite reconstruit comme le montre la photographie de 1962 et le dessin du rez-de-chaussée en 1928, avant que le cadastre ne soit en usage (1842), sans doute par le menuisier Michel Heintzen.
La maison porte d’abord le n° 10 (1784-1857) puis le n° 13.
Cour E’’
Dessin lors du projet de garage (1928, dossier 233 MW 1978)
Vue vers 1962 (le n° 13 est le bâtiment haut sur la gauche)
Les propriétaires n’habitent pas la maison au cours du XIX° siècle d’après les registres de population. Léon Felden est autorisé en 1928 à transformer le magasin en garage. Les travaux ont lieu en 1931 après une nouvelle autorisation. La partie est du pignon restée libre après la démolition de l’ancien n° 15 menace de s’effondrer en 1973. Un litige entre le propriétaire, l’établissement des Diaconesses, et la société civile immobilière Le Gai Logis (n° 15) conduit la Ville à faire démolir le mur mitoyen aux frais des parties (janvier 1975). La maison est entièrement démolie en juin 1976.
Jens Beyrich achète les immeubles sis 11 et 13, rue Sainte-Elisabeth en janvier 1995 et charge l’architecte Paul Mæchel de construire un nouveau bâtiment de sept logements sur le terrain de l’ancien n° 13. Le permis de construire est délivré le 13 août 1995. Le chantier est ouvert en juillet 1996, le bâtiment est terminé en décembre 1997.
Façade avant et façade arrière (1996, dossier 1198 W 2467)
Etages, un poids pend au milieu de la partie gauche (2005, image Fabien Romary, publiée sur Archi-wiki)
janvier 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1583 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
André Feltz, charpentier, et (1580) Rosine Kopp – luthériens | ||
1601 | h | Amand Heisch, sellier, et (1583) Eve Leugler, d’abord (1579) femme du tonnelier Antoine Schuster puis (1601) Rosine Kopp, veuve d’André Feltz – luthériens |
1602 | v | (copropriétaires) Melchior Christ, soldat de la garde Arbogast Gesell, jardinier, et (1602) Marguerite Christ – luthériens |
1622 | v | Georges Büchel, sergent municipal, et (1617) Marguerite Birr – luthériens |
1629 | v | André Hæffelé, soldat de la garde, et (1603) Barbe Keller, veuve du soldat Jean Jung – luthériens |
1635* | h | Jean Kayser, brasseur, et (1627) Elisabeth Hæffelé – luthériens |
1641 | h | Georges Müller, tisserand, et (1641) Elisabeth Hæffelé, d’abord (1627) femme du brasseur Jean Kayser – luthériens |
1670* | h | Gaspard Baumgartner, tisserand, et (1655) Barbe Kayser – luthériens |
1676 | v | Jean Gaspard Linck, voiturier, et (1655) Ursule Hammerschmidt – luthériens |
1691* | h | Jean Gaspard Linck, apprêteur de tabac, aubergiste, et (1685) Susanne Steuerwald puis (1704) Marie Madeleine Wittmann – luthériens |
1721 | adj | Jean Frédéric Stædel, docteur en médecine, et (1702) Agnès Richshoffer – luthériens |
1777 | h | Jean Daniel Stædel, banquier, et (1736) Marie Salomé Brackenhoffer |
1789 | v | Jean Michel Zeitler, revendeur, et (1785) Anne Marie Huntzinger, manants, (1799) Anne Marie Voltz, (1807) Catherine Diebold, d’abord (1788) femme du passementier François Jacques Übersaal, puis (1817) Guillemette Philippine Marguerite Kælber – catholiques |
1802 | v | Charles Schweitzer, menuisier, et (1790) Sophie von Stochen – catholiques |
1832 | v | Michel Heintzen, menuisier, et (1812) Marie Catherine Imbs |
1859 | v | Louis Charles Metz, farinier, et (1833) Marie Elisabeth Jung (nue-propriété) Sophie Salomé Metz femme (1829) du charron Melchior Merck (usufruit viager) |
1896 | h | Charles Metz, meunier, et (1870) Marie Catherine Hansz |
1902 | v | Maurice Keinert, employé au service d’anatomie de l’hôpital, et (1877) Salomé Lutz |
1920* | v | (Jules) Léon Felden, menuisier, et (1902) Sophie Marguerite Heywang |
(…) | ||
1994 | v | société anonyme SOCOTIM |
1995 | v | Jens (Wolfmar) Beyrich, gérant de société |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1735, 250 livres en 1777
(1765, Liste Blondel) VIII 119, au Sr Staedel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) H. XV. Städel, 4 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1317, Heintzen, Michel, menuisier – maison, sol, cour, bâtiment – 1,35 are
Locations
1720, Michel Pfæler, tisserand
1735, François Mathias Hæssel, cordonnier
1738, Ulric Hertzog, contrôleur de tonneaux
1765, François Henri Hertzog, emballeur adjoint à la halle
1783, Jacques Spahr, maître d’école à Saint-Louis
1893, Florent Marchand, marchand épicier
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 343-v
Le menuisier André Feltz doit 8 sols pour sa maison rue Sainte-Elisabeth, à savoir une marche (4 pieds ½ de long, saillie de 1 pied ½) et un chenal en pierre
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu
Andres Feltz Der Zimmermann hatt vor seinem Hauß ein besetzter Tritt, v= schu lang, i+ schu herauß, sampt einem hültzenen Naach, Bessert &, viij ß d.
Cartulaire de l’hospice des Vérolés
1550, Blatterhaus (1 AH 1186) Brieff Registratur f° 68
Strasbourg, 4 florins dus à l’Annonciation de deux maisons contiguës rue Sainte-Elisabeth
Un acte muni du sceau du greffe arrière en date du 11° jour des calendes de juin 1537 par lequel le tisserand Simon Buckenheim constitue aux Carmes une rente de 4 florins, rachetable pour 100 florins, sur deux maisons rue Sainte-Elisabeth.
Un acte joint muni du sceau de la cour (épiscopale) en date du 6° jour des nones de mars 1508 par lequel Adolphe Mutziger s’engage à verser chaque année 10 sous aux Carmes
Un autre acte joint muni du sceau de la cour en date du 4° jour des calendes de juin 1329 par lequel Nicolas de Düppigheim, prébendier du chapitre de Strasbourg cède par bail emphytéotique la maison au tonnelier Conrad Scheubelin
Encore un acte muni du sceau de la cour en date du 17° jour des calendes de mai 1463 par lequel le barbier Jacques von Zabern vend à Albert Judenbreter la maison moyennant 13 livres
Un autre acte muni du sceau de la cour en date du 8° des calendes d’août 1477 par lequel ledit Albert Judenbreter vend la maison aux Carmes.
Mentions marginales. Payés maintenant par le charpentier André Feltz – Maintenant Jean Gaspard Linck, marchand de vins
Les 100 florins ont été versés le premier mars 1735 selon quittance à la Chambre des Contrats, folio 138 v° des expéditions de 1735
Simon Buckenheim Weber ane Frauwen Brüder Closter (1537). zweÿ heüser uff St Elßbethen gaß, (1508) Adolff Mutziger ane Frauwen Brüder Closter. (1329) Stift zu Strasburg verluhen zu einem Erb Conradt Scheübelin Küeffer. (1463) Jacob von Zabern Scherer ane Albrecht Judenbreter. (1477) Albrecht Judenbreter ane Frauwen Brüder Closter.
Straßburg iiij guldin vff Marie verkündung vonn Zweÿen heüsern nebent einander vff S. Elßbethen gaß gelegen
Item ein Brieff mit des Hindern gerichts Insigell versigelt, dessen datum xj Kalend. Junÿ Anno. xv. C dreüssigk Sübenn Sagt wie Simon Buckenheim der Weber alhie, Verkaufft den Pflegern des Frauwen Brüder Closter Vier guldin gelts Straßburg. werung vff Marie Verkündung fallendt, ablösig mit hundert guldin Straßburger werung, Vonn vff vnnd abe die hernach geschribenn Zweÿen heüsern. Erstlich Huß, Houestatt vnnd gärtlin, mit allen Iren gebeüwen begriffen vnnd Zugehördenn geleg. Inn der Statt Straßburg vff S. Elßethenn gaß, einsit nebent einem Hauß obgedachten keüffern zustendig vndn andersit nebent Einem hauß der Ellenden Herrbergen Zu Straßburg Zustendig, stost hinden vff Thoman Dehsell den Maurer vnnd Hatt Hinden Zu Ein thürlin Zum Brunnen, vnnd vornen vffs Almendt, Seindt freÿ ledig eigen,
Item Huß, Houestatt vnnd gärtlin geleg. Inn Vorgemelter gassen, einsit nebent dem vorgeschriben Hauß, vnnd andersit nebent einer almendt gassenn, stost auch vff Thoman Dehsell, Davon goth ein pfund pfenning gelts, ablösig mit 20 pfundt pfenning, wÿlandt Jacob Ingolts wittwen, Vnd dann ein vnd zwantzig pfenning vnd ein heller Boden Zinß dem Closter Zu S. Margredenn zu Straßburg.
Dabeÿ gebunden ein Brieff mit des Hoffs Insigell versigelt, dessen datum vj Nonas Martÿ Anno xv C Acht, Sagt wie Adolff Mutziger burger Zu Straßburg, Bekent das er gebe, vnnd Imme eigenthumbß weÿß Zugehöre Huß, Houestatt vnnd gärtlin, mit allen Iren gebeüwen, begriffen, wÿthenn, Rechten vnnd Zugehörden, gelegen Inn der Statt Straßburg, vff S. Elßbethen gaß, einsit nebent dem Hauß der Ellenden Herberg vnd andersit nebent Peter Blech dem Weeber Zu Straßburg, Inn Crafft des Kauffs so er vmb Prior vnnd Conuent des Frauwen Brüder Closter gethan, vnnd das dieselben Inenn daruff Vorgehaltenn habenn Zehen schilling pfenning ewigs gelts, verspricht dieselben Alle Jar Zuhandtreichen Vff Johannis Bapte.
Mehr dabeÿ gebunden ein Brieff mitt des Hoffs Insigell versigelt, dessen datum vj Nonas Martÿ. Anno xv C Acht, Sagt wie Adolff Mutziger burger alhier Verkaufft Priorin vnnd Conuent des Frauwen Brüder Closter Ein Pfund pfenning geltts, vff Johannis Baptiste fallendt Zu Zweÿen malen ablösig mit xx pfund pfenning, von huß houestatt und gärtlin vff S Elßbethen gaß gelegen nebent dem hauß der Ellenden herrberg vnnd andersit nebent Peter Blech dem Weber dauon gondt Zuuor Zehen schilling pfenning ewigs gelts Prior vnnd Conuent obgedacht, Noch Zuruck vff dissem brieff, das Zehen schilling gelts ane demselben Pfund gelts, abgelößt seind.
Mehr dabeÿ ein Brieff mitt des Hoffs Insigell, datum iiij Kalend. Julÿ Anno xiij C Zwantzig Neün. Sagt wie Clauß vonn Dubipkheim Prebendarius des Stiffts Zu Straßburg Verlühen Zu einem Erb Conradt Scheübelin dem Küeffer zu Straßburg Huß vnd Houestatt Inn der Statt Straßburg vff S Elßbethenn gaß, nebent den Herren von Ruffach, andersit nebent einem Hauß den Frauwen Zu St. Marx Zustendig für xxx schilling ewigs Zinß vff Johannis vnnd Wÿhenachtenn fallendt.
Aber dabeÿ ein Brieff mit des Hoffs Insigell, dessen datum xvij Kalend. Maÿ. Anno xiij C Sechtzigt dreÿ, Sagt wie Jacob vonn Zabern der Scherer verkaufft Albrecht Judenbreter burgern Zu Straßburg Huß, Houestatt vnnd gärtlin vff S Elßbethenn gaß gelegenn, einsit nebent Einem hauß der Ellenden Herbergen Zu Straßburg, vnnd andersit nebent dem Weber, dauon gondt Zwen Cappen Junncker Bechtoldt Manß von Husemburg, Für vnd vmb xiij lb xb ß d.
Weÿther dabeÿ gebunden ein Brieff mit des Hoffs Insigell, datum viij Kalend. Augusti Anno xiiij C Sübentzig Süben, Sagt wie gemelter Albrecht Judenbreter gerürt Hauß verkaufft dem Prior vnd Conuent F.B. Closter, alle bezeichnet mit N° 81.
[in margine :] Gibt Ietz Andreas Feltz Zimerman.
Modo Johann Caspar Linckh der weinhändler.
Zugegen gemeldte 100 Gulden Straßb. währung wurden am Ersten Martÿ 1735. Zalt und eodem davon quittirt wie in Reg. C. C. de Anno 1735. fol. 138-v Zu sehen ist. C. Contract Stub der Stadt Strassburg
Protocole des Quinze
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
La Petite Maison rue Sainte-Elisabeth où habite l’apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck. On y trouve deux salles et quatre tables, on n’y héberge pas la nuit. Elle est non seulement proche de l’auberge à la Nouvelle Ecurie mais Frédéric Hahn a déclaré que lors d’une patrouille il y a vu une servante et le laquais de M. de La Bastie et que M. de la Bastie leur a dit qu’il ne veut pas avoir affaire dans cette auberge, c’est pourquoi on propose au Magistrat de la supprimer. Voir la Nouvelle Ecurie.
(f° 83) Mittwochs den 11. Aprilis. Visitation der Würthshäußer
Obere Umgeldts Herren laßen her Herren Schragen referiren, daß es jnn Vorigem jahr die meinung gehabt, daß, weilen jnn den Würthshäußern einige desordre vorgegangen, vnd gemeiner Statt wegen des umbgeldts erführt worden, mann eine visitation vernehmen und sehen sollte, Ob nicht einige davon abzuschaffen weren ? deme Zufolg mann nicht ermangelt, die Häußer Zu durchgehen, sie zu besichtigen, und in Formation ein Zu Ziehen 1) Wegen des Nahmens, 2) Wegen der religion, 3° ob die Leuth verheurathet ? 4) Wegen der Kinder, 5) weg. des gesindts, 6° weg. d. hanthierung, 7) Weg. des Schildts, 8) Wegen d. gelegenheit, 9) Wie Viel Zinß d. Würth geben müße, 10) Wem d. hauß zuständig, 11) Wer mehr jm hauß wohne, 12) Wie Viel wein d. Würth habe, 13) wie er ihn Ver Umgelde ? 14) Ob er den Schild Zahle und 15° Ob er burger und jm Schirm seÿe.
37. Klein Hauß jnn d. Elisabethen Gaß, So Hannß Caspar Linck, d. tabackmacher, bewohnet, hat darinnen 2. Stuben und 4. tisch und behalt Niemand über Nacht, allein ist es Nicht Nur dem Würthshauß Zum Neuen Stall gantz nahe, sondern es habe Friedrich Hahn auch berichtet, daß, als er patrouilliren gegang., er ein hau* mägdlein Und des Hn de la Bastie lacquayen allda angetroffen, Und daß Mr La Bastie ihnen, gesagt, daß er nichts jnn dießem Würthshauß Zu Thun hätte, dahero mann Zu Mghh.n stellen wollen, Ob es abgeschafft werden solte. Vide beÿm neuen Stall
Balthasar Vogel intente en 1697 une action contre l’apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck qui a ouvert une auberge à la Petite Maison rue Sainte-Elisabeth en lui faisant concurrence. Jean Gaspard Linck ne devra plus servir de vin dans sa maison mais seulement dans la rue.
1699, Protocole des Quinze (2 R 103) et (2 R 104)
Les préposés généraux à l’accise rapportent en novembre 1699 que l’apprêteur de tabac a demandé huit jours auparavant l’autorisation de débiter du vin rue Sainte-Elisabeth. Il a en outre déclaré que la maison lui appartient, qu’il y a déjà tenu un débit et qu’ il est tributaire chez les Fribourgeois depuis huit ans. Comme le débit ne lui rapportait pas assez, il a été apprêteur de tabac chez le sieur Vigera. Mais comme il n’y trouve pas non plus son compte, il s’est résolu de rouvrir auberge. On a consulté le registre de 1697 dans lequel est consigné le différend qui s’est élevé entre le requérant et Balthasar Vogel, aubergiste à la Nouvelle Ecurie. Comme le requérant s’engage à ne pas tenir salle de débit mais à vendre le vin dans la rue, les préposés sont d’avis d’accéder à la demande, ce qu’approuve l’assemblée.
Balthasar Vogel, aubergiste à la Nouvelle Ecurie, demande le 28 novembre que Gaspard Linck ne serve pas de vin dans sa maison. Gaspard Linck répond que le lieutenant de roi La Bastie lui en a donné la permission. La dispute continue le 11 décembre. Gaspard Linck déclare qu’il habitait la rue avant Balthasar Vogel, Balthasar Vogel que Gaspard Linck fait commerce de tabac et qu’il médit de lui, Gaspard Linck accuse Balthasar Vogel de comploter contre lui et d’entretenir une maîtresse. Considérant que Gaspard Linck est tributaire chez les Fribourgeois et qu’il a présenté un certificat de M. de la Bastie, la commission estime qu’il y a lieu d’accéder à sa requête ; il sera cependant interdit de tenir auberge et enseigne à celui des deux aubergistes qui porterait préjudice à l’autre.
Balthasar Vogel revient se plaindre en avril 1700 que Gaspard Linck fait toujours commerce de tabac. L’affaire n’a cependant pas de suite.
Hanß Caspar Linckh pt° Weinschancks auff der Elisabethæ gaßen, 322, 323, 348
Balthasar Vogel der würth zum stall Ca. Hanß Caspar Lincken, 367, 392
(f° 322) Sambstags den 31. Octobr. 1699 – Hanß Caspar Linckh burger pr Gol. bittet unterth. ihme den weinschanck auff der Elisabethæ gaßen gn. Zu erlauben. Erk. an die obere Ungeltsherren Gewießen.
(f° 323) Freÿtags den 6.ten Novemb. – Hanß Caspar Linckh pt° Weinschancks
Obere Ungelts Hh. laßen per Herrn Friden referiren, daß Hanß Caspar Linckh der tabacm. vor 8 tagen vmb den weinschanckh auff der Elßbethengaß, angehalten, vnd alß man derselbe noch ferners angehört, beditten habe, daß das hauß sein eigen seÿe, und Er hiebevor schon die Würtschafft darin getrieben, auch vor acht jahren beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger sich leibzünfftig gemacht, nachdem aber die Würtschafft dermalen sehr schlecht war, das tabacmachen angefangen, vnd beÿ H. Vigera gerabeitet habe, Weilen nun dießes anietzo auch nicht wohl abgehe, so were er gesinnet, die würtschafft widerumb Zu treiben, wobey man sich errinnert, daß hiebevor schon davon geredet worden, deßwegen vor nothig erachtet das Protocollum de aô 1697. auffzuschlagen, vndt gefunden, daß Paul Vogel der würth Zum Newen Stall so nichtt weit davon wohne, mit dem Imploranten streit gehabt, vndt demselben vorgeworffen, daß er Zweÿerleÿ hanthierungen, nemlich das tabacmachen und die würtschafft, treibe, worauff Linckh sich erklärt, deß er nur wein auff die gaß außschencke, vnd keine Gäst setzen wolle, wo durch auch der ungelegeheit, welcher M. De la Bastie von dießem hauß gehab, vndt sich darüber beklagt, abgeholffen worden seÿe, Vnd weilen Implorant sich nochmahlen erklärt, niemandt im Hauß Zu setzen, sondern nur wein auff die Gaß auß zu schencken, so hette man dafür gehalten, daß Er beÿ seiner Erklärung gelaßen, vndt ihme in seinem begehren willfahrt werden könte. Erkandt, gefolgt.
(f° 348) Sambstags den 14. Novemb. 1699. – Johann Caspar Linckh, burger vnd tabacbereiter per Gol. prod. unterth. Memoriale vnd Bitten. Erk. an die obere Ungeltshhn bewießen.
(f° 367) Sambstags den 28. Novemb. 1699. – Balthasar Vogel Ca. Hanß Caspar Lincken
Balthasar Vogel der würth zum Stall per S. Cit. per schedam Caspar Lincken den tabacm. deme bereits vor etlichen Jahren Gäst zu setzen verbotten worden, bittet, weilen ihme anietzo wein auff die Gaß Zu schencken vergönnt, Selbiger beÿ nahmhaffter straff anzubefehlen, keine Gäst in seinem hauß Zusetzen. G. Citatus præsens, berichtet daß er dem Imploranten im Geringsten keinen eintrag thue, vndt weilen Mr de la Bastie ihme sonderbahre permission Gäst Zusetzen ertheilt, alß bittet Ihne dabeÿ gn. Zulaßen. S. dießes seÿe im unbeschinnenes vorzugeben, vnd werde Hn de la Bastie nichts wider Mghh. Ordnung thun. Goll ged. permission seÿe würckl. beÿ Mghhen Protocoll, erholt deßwegen priora. S. Similiter. Erk. an die Obere vngelts Hh. gewießen.
(f° 392) Freÿtags den 11. Decemb. 1699. – Hanß Caspar Linckh pt° Würtschafft vnd Weinschancks et contra Balthasar
Iidem [Obere vngelts Herren] Laßen per Herrn Friden proponiren, es habe Hanß Caspar Linckh deme jüngst. wein über die Gaß Zu schencken erlaubt worden, sich seithero widerumb angemeldet undt angesucht, daß ihme auch gäst Zu setzen Vergönnt werden möchte. Sobalden deßen nachbar Balthasar Vogel der Würth Zum Stall davor nachricht erhalten, seÿe derselbe auch eingekommen, vnd habe gebetten, ihme Lincken, es nicht Zu verwilligen.
Alß man darauff beede Parten undt Zwar erst den Lincken angehört, habe derselbe beditten, daß er das tabacmachen fahren laßen, vnd allein die würtschafft treiben wolle, vnd verhoffe es werden Mghherrn, ihme solches nicht erschwehren, weilen Er vor dem Vogel in der Gaß gewohnt habe, vndt beÿ E.E. Zunfft der Freÿburg. Zünfftig seÿe. Worauff Vogel geantwortet, daß Jener ihme Großen abbruch thue, sein hauß verschreÿe, vnd beÿ dem tabac woch. 3. Rthlr. verdienen, und sich also wohl ernehren könne, welches Linckh widersprochen, vnd gesagt, er wolle erweißen, daß Vogel sich verlauten laßen, daß er leüth anstellen wolte, die ihme Lincken beÿ nacht wein ins hauß practiciren solten, wann man ihme vom ohmen, ein maß geben würde, neben dem halte derselbe ein mensch auff, so hiebevor ein unehliches Kindt gehabt, vnd wider schwanger seÿe, es finde sich aber nicht, daß dergleichen Geschehen seÿe, Vnd weilen ged. Linck beÿ E E Zunfft der freÿburger Zünfftig, auch einen schein von Mons. de la Bastie gebracht, daß wann Mghh. es ihme erlauben, und derselbe der Ordnung gebührend nachgeleben werde, Ers in seinem orth wohl leiden möge, So habe man dafür gehalten, daß demeselben willfahrt werden könte, iedoch mit dießem anhang, daß welcher von bemelten Würthen dem Andern eintrag thun, oder streit anfangen würde, demselben der Schild vnd schanck genommen werden solte. Erk. gefolgt.
1700, Protocole des Quinze (2 R 104)
(f° 126) Sambstags den 3. Aprilis 1700 – Johann Balthasar Vogel Ca Caspar Lincken
G. noîe Johann Balthasar Vogels des Würths Zum Stall Cit. per schedam Caspar Lincken den Würth Zum Kleinen Häußel, Principalis Clagt daß Citatus wider MGHherren bescheidt, dannoch mit dem tabacmachen vmbgehe, vnd Ihne Zu ruiniren trohe, auch deßwegen in der nachbarschafft das Küchel herumb geschickt habe, alß bittet demselben, des tabac: machens, vnd verkauffens beÿ der Würtschafft müßig Zu Gehen, beÿ empfindlicher straff obrigkeit. anzubefehlen. G. Citatus præsens ist der anklag nicht Geständig, Klagt vielmehr daß Gegner, Ihne, in äußersten ruin Zu bringen trohe, bittet deßwegen Deputationem. s. Similiter, Erkandt, an die Obere Vngelt Hh. gewiesen
1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
Gaspard Linck demande l’autorisation d’entreposer le vin qui se gâte au soleil dans une cave qu’il loue à côté de la demeure de M. de la Bastie. Les Quinze sont disposés à accorder l’autorisation si le fermier de l’accise n’y voit pas d’inconvénient. Le fermier y consent
(f° 161-v) Sambstags den 6. May 1702 – Hans Caspar Linck pt° Nebens Keller
G. noîe Hans Caspar Lincken burgers und Gastgebers alhie, Prplis eine quantität wein an sich erkaufft, so in der Sonnen ligt, und gäntz. verderbe, als bittet unterth. Ihme einen Nebens Keller gn. Zu erlauben. Erk. an die Oberen Ungelthh. verwießen.
(f° 171-v) Freÿtags den 12. Maÿ 1702. – Hans Caspar Linck pt° Nebens Keller
Obere Ungelts herren per herren Friden, es habe Joh: Caspar Linck der Würth Zum Kleinen hauß ansuchung gethan, daß ihme ein Nebens Keller Zu halten, erlaubt werden möchte, und alß man Ihne weiters angehört, beditten daß er solchen Kleinen Keller habe, daß er nur 60. ohmen gekaufft so in der Sonnen liege verderben möchte wann er solchen nicht in einen Keller brächte, deßwegen Er einen bey David Riehlen, neben des Mr de la Bastie hauß, gelehnet habe, mit bitt ihme damit gn. Zu willfahren.
Nun gehe die würths Ordnung dahin, daß Kein würt ohne Mgherren erlaubnus einen Nebens Keller halten, undt daß inen damit behutsam umbgehen solle, weilen man die gefährde nicht allerdings verhüten könne, Zumahlen der fermier sich unlängst über die nebens Keller beklagt habe, stünde demnach Zu Mgherren, ob Sie dem Imploranten in seinem begehren willfahren oder denselben abweißen wollen.
Erkandt, wann der fermier darinn consentire solle dem Imploranten der verlangte nebens Keller solang die ferme noch wehret, willfahrth, wofern aber ged. fermier es difficultiren würde, derselbe abgewißen werd.
Nota, der fermier hat darin consentirt.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Les Quinze exemptent Gaspard Linck de payer la taxe sur dix mesures de vin qu’il a servi aux ouvriers quand il faisaient des travaux chez lui.
(f° 208-v) Sambstags den 16.ten Julÿ – G. nôe Hans Caspar Linckhen, burgers und Gastgebers alhie, der Bericht unterth. daß er eine Zeitlang in seinem hauß gebawen, wobeÿ viel wein auffgegangen, bittet deßwegen unterth. Ihne an dem Ungelt einen nachlaß geb. Zu willfahren. Erk. an die obere Ungeltsherren gewießen
(f° 226) Freÿtags den 22. Augusti 1704. – Hans Caspar Linckh pt° etwan wein vngeltsfreÿ passiren Zu laßen
Iidem [Obere Ungeltsherren] per Herrn Friden, es habe Hans Caspar Linckh der würth zum kleinen Häußel durch einen recess jüngsthin anbringen laßen, daß er in seinem hauß gebawen und Ihme dabeÿ viel wein, so Er den Handwercksleüthen gegeben, auffgegangen seÿe mit unterth. bitt, Ihne dagegen wider etwan ane wein, vngeltsfreÿ passiren Zu lassen, vnd als man denselben weiters darüber angehört, habe Er beditten, daß er eine Stub, Cammer, Küche vnd Keller hette machen laßen, vnd daß Ihme wohl Ein halb fuder wein dabeÿ darauff gegangen. Weilen nun verschiedene præjudicia vorhanden, daß andere Würthen, in dergleichen fällen, wan Sie gebawen, wider etwan wein, vngeltsfreÿ abgefolget worden, alß werde Zu Mghherren stehen, ob Sie dem Imploranten Zehen ohmen freÿ passiren laßen wollen. Erkandt, bedacht gefolgt.
Description de la maison
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, atelier de cordonnier et salle de garde pour les ordonnances, à l’étage un poêle, chambre et vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, sous les combles une chambre à cloisons en planches, item une petite remise où se trouvent un petit poêle et une petite chambre, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour, aisances et dépendances à la somme de 450 florins
- 1777 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour à la somme de 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth
nouveau N° / ancien N° : 28 / 10
Schweitzer
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 355 case 2
Heintzen Michel Menuisier à la Citadelle 10
P 1317, sol, maison bât et cour, Rue Ste Elisabeth 10
Contenance : 1,35
Revenu total : 67,70 (67 et 0,70)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 724 case 1
Heintzen Michel menuisier – Citadelle 10
1861. Merck Melchior Veuve usufruitière et Metz Louis Charles, rue Ste Elisabeth 13
1878. Metz Ludwig Karl, Rentner
97/98. Metz Karl, Müller die Wittwe Maria Katharina Hansz, Eckbolsheim
P 1317, Maison, sol, Rue Ste Elisabeth 13
Contenance : 1,35
Revenu total : 67,70 (67 et 0,70)
Folio de provenance : (355)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre page case 116 case 8
Parcelle, section 9, n° 40 – autrefois P 1317
Canton : St Elisabethgasse Hs. N° 15
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,38
Revenu : 700 – 900
Remarques :
(Propriétaire), compte 833
Metz Karl Ludw. d. Erben und Ww.
1904 Keinert Moritz u. Ehefr.
1920 Felden Leo, Schreinermeister und Ehefrau geb. Heywang je ½
(1389)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe p. 448
9 (-)
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Elisabethgasse (Seite 13)
(Haus Nr.) 13
Leuschner, chir. Instrumentenmacher. 0
Stehly, Korkschneider. 0
Deutsch, Reisender. 1
Lutz, Tagner. 1
Brennstuhl, Schreiner. 2
Schwab, Tagner. H 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1978)
13, rue Sainte-Elisabeth (1884-1976)
Le propriétaire F. M. Keinert fait installer de nouveaux cabinets d’aisance en 1906.
Léon Felden est autorisé en 1928 à transformer le magasin en garage. Le maire accorde l’autorisation à titre révocable puisque le bâtiment dépasse de l’alignement légal. L’autorisation est périmée sans que les travaux aient eu lieu. Les travaux ont lieu en 1931 après une nouvelle autorisation.
La partie est du pignon restée libre après la démolition de l’ancien n° 15 menace de s’effondrer en 1973. Un litige entre le propriétaire, l’établissement des Diaconesses, et la société civile immobilière Le Gai Logis (n° 15) conduit la Ville à faire démolir le mur mitoyen aux frais des parties (janvier 1975). La maison est entièrement démolie en juin 1976.
Sommaire
- 1886 – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer demandent au nom du propriétaire Metz l’autorisation de faire un embranchement aux canalisations municipales – Autorisation – Travaux terminés, novembre. – Dessin
- 1889 (juin) – Le maire notifie C. Metz de faire ravaler la façade
1889 (juin) – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer demandent au nom du propriétaire Metz l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation (la maison dépasse de l’alignement légal) – Le crépi est réparé, la façade repeinte, septembre 1889 - 1894 – Le maire notifie Charles Metz de munir la fosse d’aisances d’un tuyau d’aération
- 1897 – Le maire notifie le cantonnier Marchand de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique – Travaux terminés, juin 1898.
- 1898 – Le maire notifie la veuve Metz, demeurant à Eckbolsheim, et le locataire principal Marchand de faire ravaler la façade – Le maire accorde un délai à la veuve Metz – Travaux terminés, août 1899.
1902 (avril) – Le maire notifie la veuve Metz, demeurant à Eckbolsheim, de faire ravaler la façade – L’architecte municipal Nebelung en novembre 1902 note que la façade qui n’est pas très sale ne justifie pas de poursuites – Travaux terminés, septembre 1903. - 1906 – Dossier. La Police du Bâtiment nomme Stadelhofer pour visiter les bâtiments sis 13 et 15 rue Sainte-Elisabeth
- 1906 – Le propriétaire F. M. Keinert demande l’autorisation de faire des transformations pour installer de nouveaux cabinets d’aisance – Autorisation – Dessin – Travaux terminés, novembre 1906
- 1907 – Le maire notifie Frédéric Keinert de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1907
- Commission contre les logements insalubres. 1901. Propriétaire, Metz à Eckbolsheim. Locataire principal, Marchand 20, rue des Tonneliers. Remarques en quatre points (le propriétaire devra notamment faire faire un deuxième cabinet d’aisance). Le clapier à lapins a été supprimé, 1902
1902, liste en quatre points de travaux à faire
1903, le nouveau propriétaire est Keinert, employé à l’institut d’anatomie. Travaux terminés, juillet 1903
Nouveau dossier au nom de Keinert. Les cabinets d’aisance doivent être raccordés aux canalisations – Le raccordement est fait, 1907.
Commission des logements militaires, 1915, remarques en deux points. Travaux terminés, janvier 1916 - 1913 – Le menuisier J. Haase (locataire) déclare que le puits n’est pas recouvert, qu’il manque des plaques devant les fourneaux et un chapeau sur la cheminée – Après visite des lieux, la Police du Bâtiment demande au rentier Keinert (demeurant 3, rue Manteuffel, ensuite rue du Maréchal Foch) de faire recouvrir le puits. Il n’est pas nécessaire de mettre un chapeau sur la cheminée. – Le propriétaire déclare qu’il tient bien sa maison et qu’il a donné congé au locataire hargneux Haase.
- 1920 – Robert Heywang (bois et charbon, 13, rue d’Obernai et rue d’Andlau) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – La Police du Bâtiment transmet au commissaire de police qui donne son accord. Autre demande au commissaire de police
- 1928 – Léon Felden demande l’autorisation d’aménager le magasin en garage – Le maire accorde l’autorisation à titre révocable puisque le bâtiment dépasse de l’alignement légal mais qu’il ne sera pas consolidé par les travaux. Le propriétaire s’engage à ne pas exiger de plus-value si la municipalité voulait élargir la rue. – Dessin – L’autorisation est périmée sans que les travaux aient eu lieu.
- 1931 – L’entrepreneur Emile Fiedel (114, Grand rue) demande au nom de Léon Felden l’autorisation de convertir une fenêtre en ouverture de bureau
La Division VI note que la maison dépasse de l’alignement légal (de 1,50 à 2,70 mètres). Le propriétaire devra s’engager à ne pas exiger de plus-value si la municipalité voulait élargir la rue. – Autorisation de percer une grande ouverture au rez-de-chaussée – Les travaux sont terminés, le local ne sert pas de bureau mais de garage. La Police du Bâtiment ajoute des clauses à l’autorisation (ouvertures et canalisations) – Le maire délivre le permis d’occupation, février 1932. - 1936 – L’entrepreneur Emile Fiedel (30-a rue de Liepvre) est autorisé à occuper la voie publique aux 13-15, rue Sainte-Elisabeth et impasse des Cornets
- 1954 – L’entreprise de construction Crepito (1, rue du Parchemin) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
- 1973 – Le syndic du 15, rue Sainte-Elisabeth informe la Police du Bâtiment que le pignon est commence à s’effondrer. – Rapport illustré d’un croquis. Les pompiers ont fait tomber le bois et la maçonnerie qui risquaient de se détacher par la suite. Les locataires des combles sont évacués, le premier étage est vide, le rez-de-chaussée sert d’entrepôt au peintre en bâtiment Scheer.
Le maire envoie au directeur de l’établissement des Diaconesses une ampliation de l’arrêté de péril relatif au 13, rue Sainte-Elisabeth
Romain Garnon, avocat de l’établissement des Diaconesses, déclare que le péril est dû à la démolition d’un mur par le propriétaire du n° 15 comme l’établit un arrêt de la cour d’appel de Colmar en date du 27 avril 1971 suite à un litige avec la société civile immobilière Le Gai Logis. En annexe, copie de l’arrêt
1973 (juillet) – La descente sur les lieux établit que le mur comprend trois parties, (a) la moitié ouest (8 centimètres) d’un mur mitoyen de 16 centimètres faisant partie du n° 13, (b) la moitié est du même mur faisant partie de l’ancienne maison 15, rue Sainte-Elisabeth, (c) un mur récent (18 centimètres d’épaisseur) construit lors de la démolition du n° 15. Comme ces murs se trouvent sur un terrain municipal et dépassent de l’alignement, l’ingénieur municipal Kœcher propose la démolition du bâtiment n° 13.
Le maire prend un arrêté de péril relatif au 15, rue Sainte-Elisabeth (mur mitoyen avec le n° 13) appartenant à la société civile immobilière Le Gai Logis et un nouveau relatif au 13, rue Sainte-Elisabeth appartenant à l’établissement des Diaconesses.
Rapport de l’expertise contradictoire lors de laquelle manquait le représentant de la S.C.I.
1974 (janvier) – Le Service du contentieux transmet à la Police du Bâtiment copie des jugements rendus le 18 décembre 1973 par le tribunal administratif, homologuant les arrêtés de péril relatifs à la démolition du pignon. Les propriétaires du mur mitoyen sont condamnés à le faire démolir conjointement.
1974 (février) – La société de gestion de la S.C.I. demande au Diaconat de démolir son bâtiment pour accéder à la partie qui appartient à la S.C.I. – Le Diaconat qui n’a pas trouvé un accord avec la S.C.I. s’en remet au jugement qui prévoit la démolition d’office sur ordre du maire. Le maire fait établir un devis.
1974 (novembre) – Les travaux de démolition sont commencés mais non achevés.
1975 (janvier) – La démolition est achevée. Les frais sont répartis entre les parties.
1976 (juin) – La maison est entièrement démolie
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 2467)
11-13, rue Sainte-Elisabeth (1995-1998)
Jens Beyrich achète les immeubles sis 11 et 13, rue Sainte-Elisabeth en janvier 1995 et charge l’architecte Paul Mæchel de construire un nouveau bâtiment de sept logements sur le terrain de l’ancien n° 13. Le permis de construire est délivré le 13 août 1995. Le chantier est ouvert en juillet 1996, le bâtiment est terminé en décembre 1997. Le maire délivre en avril 1998 au avenant au permis de construire, l’aménagement intérieur et les ouvertures de la façade arrière étant différents des plans initiaux.
Sommaire
- 1994 (décembre) – Le maire répond à l’architecte Paul Mæchel que la hauteur du nouveau bâtiment est limitée à 10,50 mètres
1995 (mai) – Paul Mæchel transmet une notice sur le bâtiment à construire pour Jens Beyrich (7 logements)
1995 (juin) – L’architecte transmet les pièces manquantes dont l’acte de vente par lequel Jens Beyrich est propriétaire du terrain depuis le 18 janvier 1995. – Copie de l’acte de vente
1995 (juillet) – L’Electricité de Strasbourg présente le devis pour huit compteurs dans le nouveau bâtiment – Observations du service des incendies
1995 (13 août) – Arrêté portant permis de construire – Décompte des taxes à payer
1996 (juillet) – Déclaration d’ouverture de chantier
Suivi des travaux – Pas de travaux, juillet 1996. Les travaux sont en cours au troisième niveau, février 1997. Le bâtiment est terminé, décembre 1997. - 1997 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que les travaux ne sont pas entièrement conformes aux plans (aménagement intérieur et ouverture dans la façade arrière)
1998 (mars) – Demande d’avenant au permis de construire
1998 (avril) – Arrêté portant permis de construire modificatif - 1995 (mai) – Jens Beyrich (demeurant 15, avenue de la Paix) dépose une demande de permis de construire pour le 13, rue Sainte-Elisabeth (parcelles 36, 40, 41 et 53 de la section 9)
- 2000 (novembre) – Déclaration d’achèvement des travaux, attestation de conformité établie par l’architecte Olivier Frager (1-a rue du Faisan à Ostwald)
- 2000 (décembre) – Le maire délivre le certificat de conformité
Autre dossier
11-13, rue Sainte-Elisabeth, certificat d’urbanisme (2000), cote 1331 W 435
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du charpentier André Feltz dans le Livre des communaux (1587).
Le charpentier André Feltz épouse en 1580 Rosine Kopp, fille du fabricant de courroies Casimir Kopp
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 128-v n° 7)
1580. den 11. Aprilis sind ehlich eingesegnet worden Andreas Feltz der Zimmermann vnnd Rosina Koppin, Weiland Casimirÿ Koppen deß riemen schneiders seligen hinderlaßne tochter von Straßb. (i 144)
Rosine, veuve d’André Feltz, se remarie en 1601 avec le sellier Amand Heisch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 145)
1601. Doîca 1 post Epiphan: 11 Ianuarÿ. Amandus Heisch d. Sattler vnd Rosina Andres Feltzen des Zimmermanns Hind.lassene wittwe. Ist eingesegnet Zinst. 27. Ianuarÿ (i 76)
Fils du mégissier Henri Heisch, Amand Heisch épouse en 1583 Eve, veuve du tonnelier Antoine Schuster
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 253 n° 58)
1583. 14. Trinitat. M. Amandus Heisch Sattler Heinrich Heischen weisgerbers s. son, Eua Antony Schusters Küfers witwe. eingesegnet 9. Septemb. (i 136)
Originaire de Bœrsch, le tonnelier Antoine Schuster épouse en 1579 Eve, fille du tonnelier Georges Leugler
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 227 n° 40)
1579. Anthonius schuster von Bersch ein Küeffer, Eua gorg leuglers Kuefers Zum Rosenkrantz tochter, Eingesegnet 8 Decemb. (i 122)
Amand Heisch et sa femme Rosine vendent la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière au soldat de la garde Melchior Christ d’une part et au jardinier Arbogast Gesell et à sa femme Marguerite d’autre part
1603 (15 7.bris) Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 303
Erschienen Amandus Heusch Sattler burg. alhie vnd Rosina sein eheliche haußfrauw Haben unverscheidenlich verkaufft vnd Zu kauffen geben
Melchior Christ Quardi Knecht vnd Arbogast Gsell Gartenmann vnd Margred seiner haußfr.
Zweÿ heußer ein Vorders vnd ein hinds. mit Iren hoffestatten vnd hofflin mit Irem gebeuwen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Inn Sant Elßbether gaß einseit neben Hans Sieß Lÿnenweber And.seit vff Suhings gesslin Zum theil vnd Zum theil Adam Herrenwegen Gartenman, dauon gnd 4 guld. gelts, abloßig mit 100 gld. St. W vff Maria Verkundung fallend der Armen des Blaterhaußes, Item Einen schilling eÿlff pfenning boden Zinß dem Closter Zu Sant Margreden Zu Straßburg Alle Zins vff Johannis Baptistæ Sunst ledig eigen und Alles Recht & Vnd besch. d. Khauff vber die beschwerde daran die Khauffer gewissen vnd vber sich genommen Zugang. v. bescheh. vmb 500 gld. Straßburg werung
Originaire d’Altorf, Arbogast Gesell épouse en 1602 Marguerite, fille du soldat Melchior Christ
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 3)
1602. den 1 Martÿ sind eingesegnet word. Arbogast Gesell Von Altorf vnd Margarete Melchior Christÿ des Soldaten tochter (i 2)
Arbogast Gesell devient bourgeois par sa femme quatre mois après son mariage
1602, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 657
Arbogast Gesell von Alttorff der Garttenmann, Kaufft d. B. mit beÿstandt Melchior Christen deß Soldaten, Will Zun Gartner vnderwagnern dienen. Act. 29. ditto [Julÿ]
Melchior Christ cède ses droits sur la maison à son gendre Arbogast Gesell et à sa fille Marguerite
1604 (11. Aprilis), Chancellerie, vol. 350 (Imbreviaturæ Contractuum), scheda
Erschienen Melchior Christ Quardi Knecht
Hatt in gegensein Arbogast Gsellen gartenmanns vnd Margreden seiner haußfrawen seines dochtermans vnd dochter
bekhant vnd offentlich verÿehen Als vff den xv Septembris Anno 603. verschinen bemelter Melchior Christ Arbogast Gesell vnd Margred sein haußfraw
Zweÿ heuser ein vorders vnd hinders & vff Sant Elßbethen Gaß gelegen Inn gemeÿn mit einand erkhaufft vnd Albweÿt 100 gulden darauff bezalt das vff bemelter Ehegemechd Arbogast gsellen vnd Margreden vleyssigk bitten vnd begehren gedachter Melchior Christ vor gedachter sein Theil d. Heüßer Innen Iren Erben vbergeben vnd Zugestelt (…)
Melchior Christ demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un de bénéficier du septième florins. Il est éconduit.
1612 Conseillers et XXI (1 R 91)
(f° 407-v) Montag den XXVIII. Decem. – Melchior Christ vmb Siebenten guldin.
Melchior Christ d. 27. alhie Bediente soldat bitt p. Supplication vmb den 7.ten gld. Erkant Sein begeren abgeschlagen
Jean Christ demande un subside au nom de son père Melchior Christ qui ne peut plus travailler après avoir été soldat de la garde pendant trente-trois ans et au service du Magistrat pendant quarante-trois ans.
1618, Conseillers et XXI (1 R 100)
(f° 363-v) Montag den IV Jan. 1619 – Melchior Christ weil er Kranch wochentlich 6 ß von S Marx
Melchior Christen Sohn Hanß erscheint vbergibt spllôn meldt wie sein vatter Kranch vnd leibeshalben sein dienst nit mehr versehen kan auch 33 Jar hie in d. Guardi geweßen v. 3 hren 43 Jar gedient, Bitt derwegen vmb gn. gelt sich desto besser auszubring.
Erk. Man soll erkundig. ob er also Kranck vnd alsdan von S Marx wochentlich so lang er Kranck v sein dienst nit versehen kan 6 ß luffern laß. – H. Heldt, H. Schallesius.
Amand Heisch et Rosine Kopp (redevenus propriétaires de la maison sans doute par défaut de paiement) vendent la maison à Georges Büchel, sergent au service du consul.
1622 (3. Augusti), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 274
(Inchoat. in Prot. fol. 214.) Erschienen h. Amandus Heüsch beÿsitzer des groß. Raths vnd Rosÿna Koppin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Geörg Biechell Ammeÿster Knecht burgern Zu Straßburg vnd Margred Bierin seiner ehelich. haußfr.
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hindhaußlin sampt der gerechtigkeit Zur Allmend Brunnen, Auch Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Vff Sant Elßbeth. gaß. einseit neben hannß Sÿeß leinenweber, and. seit n. Mathÿß Dächell gartner, hind. vff den Schauwenburg. hoff stoßend vnd zum theil vff Adam hörwags witwen stoßend, dauon gnd 21. ½ d Bod. Zinß vff Johannis Bpstæ Sant Margred closter, Mehr iiij gl gld loßig mit j C gl werung vff Mariæ Verkhundung Ins platt. hauß, Sonst freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen Zugang. v. besch. für vnd vmb 325 pfund
[in margine :] Erschienen H. Anthoni Rauch Schaffner in namen seines Schwehern deß verkäuffers hatt in gegensein H Johann Steinen deß Notÿ Alß vogts Georg Biechels see. wittiben bekant, demnach vor den Nachtrags herren dieses Kaufs halben ihme herrn heischen 164. fl. Zuerkant word (…) Act. den 17. Octobris 1633.
[in margine :] Erschienen Melchior Deüter Zimmermann alhie alß Vogt Elisabetha vnd Christophen, Christoph Felßen auch Zimmermanns vnd Margreth Hetzlerin deßen haußfr. ehelicherJüngerer vnd noch unverheürtater Kind. alß weÿl. Rosina Koppin d. v.käufferin see. Enckeln, Welchen die An Vorstehenden Nachtrag noch per rest außstendige 59. fl. hauptgut eigenthümlich zuständig (…) ane einem, So dann Elisabeth Haffelin weÿ: Hanß Keÿsers Biersieders Zum Rosenkrantz wittib alß ietziger Inhaberin hierin geschriebenen haußes, mit beÿstand Balthasar Sipgen deß Schuhmachers vnd Ruprecht Andreßen Paßmentmachers ihres und ihrer Kind. geordneten Vögten Am andern theil (…) Act. den 4. Martÿ 1639
Georges Büchel hypothèque la maison au profit du peintre Zébédée Müller
1626 (20. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 50
(inchoat. in Prot. fol. 35.) Erschienen Georg Büchel der herren Knecht burger Zu Strßb.
bekante in gegensein Zebedei Müllers deß Mahlers auch burg. alhie – schuldig 66. Reichßthaler
Vnderpfand hauß vnd hoffstat mit allen Zugehörden sampt eim höflin vnd hinderhauß alhie vff Elisabethen gaß neben hannß Süeßen leinenweber j. vnd 2. seit Mathiß dölchle gartenmann hind. vff den Schawenburger hoff stoßend gelegen, dauon geh. Jahrß 4 fl. gelts St. w. ins Blaterhauß alhie mit 100. gld. w. Capital abzulösen vnd xxij d. Bod. Zinß S. Margrethen Closter alhie, Vnd Zu noch mehrer & ist auch erschienen Caspar Winckhler der Keeßgrempp burger alhier, der hat sich neben dem Bekenner für solche schuld Zu rechtem Bürgen Mit und selbst schuldner und Zahler schuld vnverscheidentlich gesetzt
Georges Büchel et sa femme Marguerite vendent la maison à André Hæffelé, soldat à la porte Sainte-Elisabeth, et à sa femme Barbe.
1629 (18. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 458-v
(Protocollat. fol. 56.) Erschienen Georg Büchel burg. Zu St. vnd Margaretha sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Andreß häfelen deß Soldaten vnd.m Elisabether thor auch burgers alhie vnd Barbara deßen Ehefr. (verkaufft)
hauß, hofstat, höflin vnd hinderhäßlein mit allen & alhie vf der Elisabethen gass. neben Mathiß Dolchlein gartenmann & neben hanß Süeß. Leinenweber, hind. vff Adam herwagen deß gartners witib vnd Erben, dauon gehen Jarß 4. fl. gelts St. w. vff Mariæ V.künd. dem Blaterhauß alhie in hauptg. mit 100. fl. w. abzulosen, So dann 1 ß 9 d H Jarß vff Johis ewigs Zinses dem Closter S. Margarethen, sonst eÿg. Vnd ist der Kauff vber die beschwerden, so der Käuffer vber sich genommen, Zugangen per 450. fl.
Vide in Reg. 1622. fol: 274. beÿ Meÿgern
[in margine :] Erschienen Margeretha Georg Büchels see: witib die Verkäufferin, mit beÿstand Johann Steinen Notÿ ihres vogts, hatt in gegensein der käufferin mit beÿstand ihres tochtermans hanß Keisers (…) q.tirt den 31. Julÿ 1630.
Le soldat André Hæffel épouse en 1603 Barbe, veuve du soldat Jean Jung
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 184-v n° 504)
1603. Eodem die [Sonntag 3. Julÿ] Andres Häffel d. Soldat vnd. dem thor, vnndt Barbara hanß Jungen des Soldaten Nachgelaß. Wittib. 18. Julÿ (im 188)
Originaire de Kupferzell près de Stuttgart, le soldat de la garde André Hæffelin devient bourgeois par sa femme Barbe, fille du boulanger Philippe Keller
1604, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 842
Andreas Häffelin vonn Kupffer Zell, der Quardi Knecht, empfahet d. Burg: vonn seiner Haußfrawen Barbara, weÿland Philipps Keller deß Hauß becken, seligen dochter, Will Zu den Schumachern dienen. Actum vf supra [19. Junÿ]
Mathias Jætzel et André Hæffelin, soldats à la porte de Pierre, ont eu une rixe le jour du serment alors qu’ils étaient ivres. Les Conseillers et les Vingt-et-Un les maintiennent dans leurs fonctions à condition qu’ils se comportent bien.
1608, Conseillers et XXI (1 R 87)
(f° 15) XXVII Januarÿ – Matthis Jäcel, Andres Heffelin vmb begnadigung.
Matthis Jäcel von Augspurg, Andres Heffelin soldaten an Steinstraßer thor vbergibt ein Jed. ein supplôn dorin sie Ir mißhandlung d. die auf d. wacht am Schwörtag wein getruncken u. einander geraufft bekennen bitt. vmb gnad d. sie im thurn gebuesset, wollen den weins sonderlich d. Jecel muessig gehen. Erkandt, Man soll sie wid. begnadigen Jedoch der gestalt wo sie im wenigsten und* etwas vbersehen würden, d. sie ietz deß dan u dan als ietz des dienst erlassen sein solten v stelt es Innen d nit angezeugt sond. für die wacht Hhn geniesen werd.
L’administrateur de l’Eglise Rouge qui verse depuis peu un subside à André Hæffelin fait remarquer que le bénéficiaire vient d’hériter de 1 400 florins.
1630, Conseillers et XXI (1 R 112)
(f° 164-v) . Andreß Häffelin [der alte Quardi Knecht] d. Gnadengeldt abgeschlagen.
Herr Amt. Müeg, noîe der Herren Pfleger Zur Rothen Kirch produciren deß Schaffners bericht, wegen Andreß Häffelins des alten Quardi Knechts, neuwlich Erhalten gnadengeldts Zeigt ahn, daß Er Kurtzlich 1400 fl. ererbt vndt selbst genugsam begüettet. Stellens Zur Mgh. ob Ihme d. gnadengelt solte continuirt werden. Erk. abgeschlagen.
La maison revient à Elisabeth, fille d’André Hæffelé, qui épouse en 1627 le brasseur Jean Kayser, fils de Marc Kayser, employé à la halle d’Augsbourg.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 183)
1627. Hanß Keyser Von Augspurg d. Bierbrauer h Marx Keyser deß Kauffhauß Knecht Zue Augspurg nachgelas. Sohn, J. Elisabeth, Andres häffele deß Soldaten vnder dem Elßbethen Thor eheliche Tochter 10. 7.bris (i 188)
Jean Kayser devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers.
1627, 4° Livre de bourgeoisie p. 98
Hanß Keÿßer der Büerbreüer Von Augspurg empfangt d. Burg.recht Von Elisabeth, Andreß Häffelins quardi nechts und. dem Elsbeththor vnd Burg. Alhier dochter Will beÿ den Schuhmachern Zünfftig sein 18. 7.b 1627.
Elisabeth, veuve du brasseur au Mouton Jean Kayser, hypothèque la maison au profit d’Anne, veuve de l’employé à la Tour aux deniers Léonard Reichard
1639 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 278
Erschienen Elisabetha weÿ: Hanß Keÿsers gewesenen Biersieders see: Zum Schaff alhie witib, mit beÿstand Balthasar Sippichen deß Schuhmachers ihres Vogts wie auch ihrer Kindern Vogts Ruprecht Andreßen Paßmentmachers
haben in gegensein Anna weÿ: Lienhard Reichards gewesenen dreÿer knechts see: vfm Pfenningthurn witiben, mit beÿstand hanß hemblers deß Granmeisters, ihres Vogts, ihres tochtermanns, vnd Hanß Georg Zittelens deß Schneiders auch burgern alhie – schuldig seÿ XXX lb d St.
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen and. ihren gebäwen & alhie in d. Elisabethen gaß neben hanß Süeßen deß Leinenwebers see: witib vnd erb. && Mathiß Dölchens deß gartenmanns see. wittib und Erben, hind. vff Adam herrwag wittib und Erben, so zuuor v.hafftet umb 100. fl. dem Blaterhauß
Elisabeth Hæffelin, veuve de Jean Kayser, se remarie en 1641 avec le tisserand Georges Müller, originaire de Veilsdorf (près de Hildburghausen en Franconie) : contrat de mariage, célébration
1641, Protocolle (64 not 5), Henri Geyer f° 478-b
Eheberedungs Copia. Georg Müllers, Leinenwebers, Vndt Elisabethæ Häffein, beeder Ehegemächt
zwischen dem Ehrenhafften vnd bescheidenen Georg Müller, weber Knappen von Vailßdorff, im Land jn franckhen gelegen, bürtigem ane einem
vnd dann der Ehrbahren und tugendsamen Frawen Elisabethæ Häfflin, weÿland deß auch Erenthafften Johannis Kaÿßers, geweßenen biersieders vndt burgers seeligen Zum Schaaff allhie hinderlaßener Wittib am andern Theil
So geschehen in wohlbemelter Statt Straßburg Sambstags den 13. Februarÿ Im Jahr Vo, Christi Jesu Glorwürdigsten und Seeligmachenden Geburth gezahlt, 1641
Heinrich Geÿer Nots. juratus
Facta Collatione durch außeinstimmung befunden worden, Actum Straßburg den 3. Novembris Anno 1665. David Ösinger Jun. Nots.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54)
1641. Eodem [Dncâ Sexag: 28. Febr.] Görg Müller der leinen Weber Balthasar Müller des leinen Webers Von Vogelsdorff im Fürstenthumb Coburg, nachgelaßener sohn, Elisabetha Johann Kaÿsers des Biersieders nachgelaßene Wittib (i 55)
Originaire de « Vogelsdorf » en principauté de Cobourg, Georges Müller devient bourgeois par sa femme Elisabeth, veuve du brasseur Jean Kayser
1641, 4° Livre de bourgeoisie p. 199
Georg Müller der Leinenweber Auß dem Kohberg land von felßdorff Empfangt daß Burgerrecht von seiner haußfrawen Elißabeth weÿland Hanß Keißers geweßnen Büersieders seelig. hind.laßer wittib Vmb Acht gold fl. wüll Zu Tuchern dienen den 20 Martÿ 1641.
Georges Müller fait son testament alors qu’il se trouve à la foire de Francfort en 1665, accompagné de son fils cadet Jean, l’aîné Abraham étant étudiant.
(f° 485) Copia Vätterlicher Testamentlicher Disposition, Georg Müllers des Leinenwebers Vndt burgers Zu Straßburg
Ich Meister Georg Müller Burger Zue Straßburg aber jetzo Zue Franckfort am Maÿn in der Meß begriffen, beÿ mit Jederzeit beuorab in dießer meiner schweren Kranckheit, bedacht, daß Ich auß Gottlichem willen (…)
Dieweil nun zwar der Allmächtige Gott, Mich und Mein Eheweib Elisabetha mit zween Sohnen, Nahmens Abraham und Johannes /:deme ich ietz gegenwertig in meinen diensten beÿ mir habe:/ gesegnet, Jener aber mich mit seinem studiren und überflüßigem Verschwenden ein ahnsehnliches gekostet, Hergegen Mein Sohn Johannes, alß der Jüngere dargegen, für nichts genoßen, überdas mich iederzeit alß seinen Vatter /:wie nicht mehr alß billich:/ kindlich und gehorsambst respectirt, auch meine in dieße langwürdige Kranckheit trewlich gepfleget hatt (…)
so geben und geschehen in dieße des heÿligen Reich Statt Franckfort am Maÿn in der herbst Meß daselbsten den 28. Septembris 1665, Johann Jacob Heÿdiger Notarius Cæsareus Publicus
Partage des biens de Jean Georges Müller après sa mort à Francfort, entre ses deux fils le tisserand Jean Müller et l’étudiant en théologie Abraham Müller.
1665, 63 not 2 (Pièces éparses), Christophe Schübler
Zuwißen, demnach Weÿlandt der Ehrsame und bescheidene Meister Hannß Georg Müller geweßener Leinenweber Vnd burger alhie Zu Straßburg, welcher den 1.ten Octobris Innstehenden 1665.sten Jahrs Zu Franckfort tödlichen Verblichen, deßelben Verlaßenschafft In gegenwart der Zugehöriger Parthen inventirt, darüber auch gebührende Inventaria verfertiget vndt vffgerichtet Worden, daß vff dato wie nachstoht die Ehren: vndt Tugendsame Elisabetha Häffnerin die hinderplibene Wittib, mit beÿstand des Ehrenthafften vndt Bescheidenen Meister Philipps Keÿßers Leinenwebers vndt Büttels vff der Thucher Zunfftstuben deroselben geordneten vnd geschwornen Vogts, Ane einem
Ferner der Ersam vndt Bescheiden Meister Johannes Müller Leinenweber vndt Burger alhier, vor sich Selbsten, mit Zuziehug des Ehrenvesten Herrn Martin Michaels, auch Leinenwebers vnd Burgers alhie, So dann der Ehrenthafft vnd Bescheiden Meister Nicolaus Gleichmann, auch Leinenweber vnd Burger alhie, alß geordneter Vogt Herrn Abrahami Müllers Theologiæ Studiosi beede des verstorbenen seeligen mit obgemelter seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeügte Söhn, vndt per Testamentum instituirte Erben, Andern theils, Inn auch fernerer gegenwart Herren Johann Rimbachen geschwornen der Statt Straßburg Keufflers vndt Mein Christophori Schüblers hierzu dießem Geschäfft Insonderheit requirirten Notarÿ Zusammen Kommen vnd erschienen der Meinung vndt willens In obgedachts Hannß Georg Müllers, Ihres respectivé Haußwürths vnd Vatters seel. Verlaßenschafft eine gebührende separation vnd Abtheilung vor vndt Ane die handt Zu nehmen
Elisabeth Hæffner meurt en 1671 en délaissant trois enfants de son premier mari Jean Kayser et deux de Georges Müller. Les experts estiment la maison à 87 livres outre les capitaux dont elle est grevée. L’actif de la succession s’élève à 389 livres, le passif à 4 livres.
1671 (23.8.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 1) n° 36 (83)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab vnd Gütter, so weÿl. die Ehren vnd Tugendsahme Fr. Elisabetha Müllerin gebohrne Häffnerin, auch weÿl. des Ehrenhafften vnd bescheidenen Meister Geörg Müllers geweßenen Leinenwebers vnd burgers allhie hinderlaß. wittib, welche den 14.ten Junÿ instehenden Jahrs todlichen verblichen hinderlaßen, so auff erfordern und begehren der Verstorbenen hinderlaßene und per Testamentum instituirte auch ane nachgemeltem folio nominirter Erben, dh. die Erben selbsten in specie aber Barbaram Kaÿserin vnd Caspar Baumgartner bede Ehegemächte alß welche beÿ der sel. Ihro wohnung und haußhaltung geeigt und gezeigt (…) Actum den 23. tag Augusti Anno 1671.
Die verstorbene fr. sel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen 1. die tugendsame Annam Mariam Kaÿßerin des Ehrsamen und bescheidenen Jacob Sommerhalter Leinenwebers und B. allh. haußfr. mit beÿstand den selben, 2. die Tugendsame Fr. Barbaram Kaÿßerin des Ehrsamen und bescheidenen Mr Caspar Baumgartners Leinenwebers vnd b. alhier haußfr. mit hülff deßelben, 3. Mr Hanß Jacob Kaÿßern Leinenwebern, dißer Zeit Zu Mudersholtz den Edlen von rathsamhausen gehörig wohnhaft, Aller dreÿen der verstorbenen fr. sel. in erster Ehe mit weÿl. hanß Kaÿsern gewesenen biersiedern Zum Schaff vnd burgern allhie ehelich erzeugten Töchter vnd Sohns,
4. den Ehrwürdigen vnd wohlgelehrten H Abraham Müllern dießer Zeit wohlbestellten Diaconum Zu Lautereck fürstl. Pfalzveldentzisch. herrschafft so dem geschäfft beÿgewohnt, So dann den Ehrsam und bescheidenen Johann Müllern leinenwebern vnd b. allhie beede der in Gott ruhenden fr. in andern Ehe mit auch weÿl. Mr Georg Müllern geweßenen Leinenwebern vnd b. alhie ehelich erzeugter Söhn, vnd alßo alle fünff besagter Fr. sel. in dero auffgerichteten Testamento nominirter Erben.
In einer in der St. Str. auf der Elisabethæ Gaßen gelegenen: vnd in dieße verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Haußraht, Auf der obern bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießen Cammern, In der wohnstuben, In der St Cammer, Im haußöhr, Im hindern Stübel, In der St. kammer, In der bauchküch. Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. Hauß, hoffstätt höfflin und hinderhauß mit allen andern Ihren gebaüen begriffen weithen rechten Zugehördten vnd gerechtigkeiten, geleg. in der St. St. vf der Elisabethæ gaßen, eins. etwan neben Matthiß döcklin ietz Simon Herrnbrand dem Leinenweber, anders. Adam Herrnwagen des Gartenmanns seel. nachgelaßenen Erben hinden auf gemelts Adam Herrnwagens seel. Erben stoßend, davon gehen jährlich vf Mariæ verkhündung 4. fl. gelts Straßb. wehrung dem bläderhauß alhie in htgt. mit 100. fl. ermelter wehrung, ferner 1. ß 9 ½ d ewigs gelts Jahrs auf Johannis Baptistæ dem Closter St. Margarethen, sonsten Ledig vnd eigen vnd uber obgemelte beschwerden angeschlagen p. 87. lb 10 ß. Darüber sagt 1. Perg. Kbrieff mit der St. Str. Contract Ins. verwahret datirt den 18.t Julÿ Anno 1629. mit altem N° 1 notirt vnd darbeÿ gelaßen.
Abzug Zu dißes Inventarium gehörig, Sa. haußraths 100, Sa. Werckzeugs Schiff und geschirrs Zum Leinenweber handwerck gehörig 38, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. g. Ring 8, Sa. Baarschafft 4, Sa. Eÿgenthumbs ane einer Behaußung 87, Sa. Schulden 135 lb, Summa summarum 389 lb – Schulden 4 lb, Uber deren Abzug 385 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 332. lb
Elisabeth, femme de Georges Müller, vend la maison à son gendre Gaspard Baumgartner. Les parties résilient la vente un an plus tard. L’obligation passée en 1676 montre que le même recueille l’immeuble après la mort de la venderesse.
1657 (7. 8.br.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 429
(Protoc. fol. 59.) Erschienen Elisabetha, Georg Müllers deß Leinenwebers Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts wie auch Hannß Jacob Kaÿßers ihres eheleiblich. Sohns und Simon Baumgartners ihres dochtermanns, beed. Leinenweber
in gegensein Caspar Baumgartners deß leinenwebers auch ihres dochtermanns, mit beÿstand Ruprecht Andreß. deß Paßmentmachers
hauß, höff, hoffstatt, hinder häußlin, mit allen deren Gebäwen, & alhie in St. Elisabeth. Gaßen, einseit neben Adam Hörwag dem Gartenmann, anderseit neben Simon Heerbrant dem leinenwebern, hind. vff vorgemelten hörwag stoßend gelegen, davon gehend iahrs 9 ½ ewigs Gelts dem Closter St. Margarethæ und Agneß. alhie, so dann 4 fl. wehr. termino Annunciationis Mariæ lößig – umb 147. lib
[in margine :] (…) demnach Ihme dem Käuffern, den Vorbeschriebenen Kauff Zubehaupten ohnmöglich seÿe, hette Er, Vff die angewendete Bawcosten Verzüg gethan, Zumahlen die erkauffte Behaußung der Verkäufferin wider eigenthümlich abgetretten und eingeraumbt (…) darauff beÿde Parten den beschehenen Verkauff und Kauff dissoluirt – Actum den 6. Decemb. A° 1658
Originaire de « Carolstätten » (ou Candelstätten lors de l’inscription de son frère Simon) en Autriche, Gaspard Baumgartner épouse en 1655 Barbe, fille du brasseur Jean Kayser : contrat de mariage, célébration
1655 (23 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 48
(Eheberedung) Erschienen Caspar Baumgartner der Leinenweber und Burger alhier alß hochzeiter, mit beÿstand H Martin Michaels deß Leinenwebers und Burgers alhie, an einem,
So dann Jungfr. Barbara, weÿl. Hannß Kaÿßers deß Biersieders und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter mit beÿstand Ruprecht Andreß Paßmentmachers ihres Vogts, und Georg Müllers deß Leinenwebers ihres Stieff Vatters am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. f° 20, VIII)
1655. mehr Zum 2. mal Caspar Baumgartner der leinenweber Von Carolstätten laßberger herrschafft in Osterreich Augustin Baumgartner des Burgers vnd leinen Webers Zu Carolstätten loßberger herrschafft in Osterreich vnd Jf. Barbara, Weilandt Johann Keÿsers des Burgers vnd Biersieders allhier. Mont. 29. Jan. Weinstich. Münst. Weinstich (im 24)
Gaspard Baumgartner devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage.
1654, 4° Livre de bourgeoisie p. 298
Caspar Baumgartner der Leinenweber Von Carolstett auß Österreich, empfangt d. burgerrecht Von seiner haußfr. Barbara weÿl. hannß Keÿsers des biersieders alhie dochter vmb 8 gold. fl. ist ledigen stands gewesen, Würd Zu den ducheren dienen. Jur. den 12 ten Februarÿ
Gaspard Baumgartner vend la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière au formier Jean Gaspard Linck et à sa femme Ursule
1676 (15. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 201
Caspar Baumgartner der Leinenweber
in gegensein hannß Caspar Linckhen deß Laÿstenschneiders und Ursulæ beÿder Eheleuth
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen begriffen weithen Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in St. Elisabethæ Gaßen einseit neben Simon Herrbrandts deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, anderseit neben weÿl. Adam Hörwagens deß Gartenmanns nunmehr sel. nachgelaßenen Erben, hinden auch uff dieselbe stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 1 ß 9 ½ Zinnß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen alhier, so seyen solche behaußung auch noch umb 100. fl. wehrung dem Blatterhauß, Item umb 100. fl. à 15 batzen (so dann umb 50. fl.) verhafftet – umb 100 lb
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit des enfants du marchand Jean Kœnig et de Marie Stœhr.
1676 (15. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 202-v
hannß Caspar Linckhen der Laÿstenschneider und Ursula beÿde Eheleuth
in gegensein herrn H. Frantz Königß deß handelsmanns inm nahmen seiner, mit weÿl. frauen Maria Königin gebohrner Stöhrin deßen geweßener haußfrauen nunmehr seel. nachgelaßener ehelich erzeugter Kinder – schuldig seÿen 50. lb
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie uff St. Elisabethæ Gaßen, einseit neben weÿl. Simon Herrbrandts deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßener Wittib, anderseit neben weÿl. Adam Hörwagens deß Gartenmanns nunmehr seel. nachgelaßenen Kinder, hinden auch uff dieselbe stoßend gelegen, welche behaußung Vorhien noch umb 100. fl. Straßb. wehrung dem Blatterhauß allhier Verhafftet seÿe, so gehend auch iährlichen. davon 1 ß 9 ½ Zinnß dem Closter St. Margarethæ und Agneßen alhier
Fils du formier Melchior Linck, le voiturier Jean Gaspard Linck épouse en 1655 Ursule, fille du pêcheur Jean Bernard Hammerschmidt : contrat de mariage, célébration
1655 (24. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 133-v
(Eheberedung) Erschienen hannß Caspar Linckh der fuhr Knecht alß hochzeiter mit beÿstand Melchior Linckhen deß laisten schneiders Und Burgers alhier seines Vatters an einem
So dann Jungfr. Ursula weÿl. hannß Bernhard Hammerschmidts gewesenen Fischers alhier nachgelaßener Eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Sÿfridts deß Fischers alhier ihres Vogts an andern theil
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 248)
1655. Dominica L. Hanß Caspar Linck der Fuhr Kn. Melchior linckhen burgers u. leisten schneiders allhie ehelicher Son, v. Jfr. Ursula Hanß Bernhard Hammerschmid burgers vnd fischers allhie eheliche hinderlaßene tochter (i 266)
Ursule Hammerschmidt meurt en 1691 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 175 livres. Le veuf est pensionnaire à l’hôpital. L’actif de la succession s’élève à 50 livres, le passif à 57 livres.
1691 (27.4.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 28) n° 277
Zuwißen und Kund seÿe hiermit daß auff tödliches Ableiben weÿl. der Tugendsamen Ursulæ gebohrner Hammerschmidin des Ehrenthafften Hannß Caspar Linckhen des Leistenschneiders und burgers allhier welcher sich anjetzo in dem Mehrern hospital, als ein Pfründer sich auffhält, geweßener haußfr. nunmehr seel. welches den 31. Novembris des jüngst v.floßenen 1690.sten Jahrs beschehen, alle deroselben verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erford. und begehren dero mit vorermeldtem ihrem hauswürth ehelich erziehlter beeder Söhne und Tochter auch dero respectivé geschwornen vogts, durch herrn Johann Schmidt Schaffners des Großen Gemeinen Allmosens Zu St Marx inventirt (…) auß ursachen Sie sich mit dem Stifft St Marx allwo die Verstorbene seel. das Almosen genoß. deßhalb. abgefund. und nunmehr dero übrige Erbschafft Ihnen Zustendig ist, beÿsammen erschinnen der Ehrenhaffte Hannß Caspar Linckh der Tabackmach. und brg. allhier, der älteste Sohn vor sich sebsten, So dann der Ehrenhaffte hr hannß Martin Rüegen, Schuhmacher und burg. allhier als noch ohnentledigter vogt der Tugendsamen Frauwen Ursulæ Lorentzin gebohrener Linckhin, des Ehrenhafften meister Hannß Martin Lorentzen huthmachers und burgers allhier ehelicher haußfr. der Tochter auch in dero haußwürths Nahmen der Ehren vnd vorgeachte herr Andreß Dürrbeck der weinhändler und burger allhier als von demselben hierzu in specie abgeordnet Zugegen war und dann hannß Carlen Linckhen des ledig. Nagelschmids d. ab. anietzo leibs blödigkeit halben in allhießigem hospital sich ebenmäßig befindet, des jüngsten Sohns (…) Actum in fernerem beÿsein der Tugendsamen Frauen Marthä Rüegerin gebohrnen Höfflichin obermeldten herrn hannß Martin Rüegers ehelicher haußfr. Freÿtags den 27.ten Aprilis A° 1691.
Inventarium und Beschreibung der Jehnigen Haab undt Nahrung, so weÿland Ursula Hammerschmidin, Hannß Caspar Linckhen deß Leistenschneiders anjetzo in Allhießigen Hospithal befindlich, geweßene haußfrauw seelig, nach Ihrem den 31. Novembris deß nächst abgewichenen 1690. Jahrs genommenen tödlichen hienscheÿden hinderlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hannß Caspar Linckhen deß Tabackmachers für sich selbst, So dann Herrn hannß Martin Riegers deß Schuhmachers alß Geschwornen Vogts Jungfrauwen Ursulä undt hannß Caspar Linckhen deß ledigen Nagelschmidts, so aber anietzo wegen leibsblödigkeit in allhießigen Hospital sich ingleichem befindet, aller dreÿer des verstorbenen Frawen seligen mit ermelten dero geweßenen haußwürth ehelichen erzeugter Kinder (…) Actum Straßburg den 3. Februarÿ Anno 1691, Johann Schmidt
(f° 2) Hausrath So hernach beschriebener in dieße Erbschafft gehöriger, und in dieße Erbschafft gehöriger und in St Elisabethen Gaßen gelegener Behaußung sich befunden wie volgt
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item Zweÿ häußlein nemblichen ein vorder und hinder häußlein mit allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten alhier in St. Elisabethen Gaßen geleg. einseith neben Emanuel Farren dem Leinenweber, und anderseith neben weÿland Adam hörwagens gewesenen Garttmanns seligen Erben, hinden auch auff dieselbige stoßend, davon gehen Jährlich. auff [-] Einen Schilling Neüen und einen halben pfenning Boden zinnß dem Closter St. Margrethen und Agneßen, Ferner Vier gulden Zween Schilling pfenning Zinnß, ablößig inn hauptgut, mit 100 Gulden Straßburger wehrung, dem Allhießigen Blaterhauß Jährlichen auff Annunciationis Mariæ verzinßlich, Weithers Zweÿ Pfund 10 Schilling pfenning Zinnß à Fünff pro Cento gerechnet, Jährlichen auff Faßnacht fällig in Capital lößig mit 50 pfund pfenning, herrn Johann Frantz Königs deß handelßmanns Kindern erster Ehe gehörig, So dann ein Pfund Fünff schilling pfenning Zinnß, auff den 13. Maÿ Jährlichen fallig, und mit 25. Pfund pfenning ablößih herrn Sebastian Röderern dem Rothgerber undt EE Großen Raths Alten Beÿsitzern Zuständig, sonsten gegen Jedemänniglichen freÿ ledig und eÿgen und von der Stifft St: Marx geschwohrnen Werckleüthen angeschlagen vmb 175. lb. Abgezogen obige darauff stehende beschwehrden th. 131 lb 1 ß 8 d Restiert noch so alhero außzuwerffen 43 lb. Darüber sagt ein Teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahrt, undt datirt den 15.ten Februarÿ Anno 1676. mit N° 1 notirt.
Inn der wohnstuben, In der Stub Cammern, Inn der Kuchen
Sa. haußraths 6, Sa. Anschlages einer Eÿgenen behausung 43, Summa summarum 50 lib – Schulden 57 lib, Übertreffen also solche Passiv Schulden den anschlag der gantzen verlaßenschafft vmb 6. lb
La maison revient à leur fils apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck qui épouse en 1685 Susanne, fille du menuisier Jean Steuerwald de Barr. Le pasteur note en marge qu’un enfant naît vingt semaines après le mariage.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 31 n° 11)
1685. Hans Caspar Linck der ledige Tabackspinner Hans Caspar Lincken deß Burgers vnd Leisten schneiders allhier ehelicher Sohn vnd Jungfr. Susanna, weÿland Johannes Stewer Walters deß Burgers vnd Schreiners zu Barr nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St. Niclaus 20/30 Julÿ
[in margine :] Freÿt. dieße Schein s.v. Hur leut in d. 20. Woch hernach schon* laßen ihr jungsten* Kindlein tauffen vide Tauff Buch * St. Nic. 95.
Susanne Stegerwald devient bourgeoise par son mari à titre gratuit en septembre 1685.
1685, 4° Livre de bourgeoisie p. 514
Susanna Stegerwaldin von Barr, empfangt das burgerrecht von Hanns Caspar Lincken den tabac macher gratis, Schuhmacher promis. 13. 7.br
L’apprêteur de tabac Jean Gaspard Linck hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Scherer, notaire et receveur de l’hospice des Vérolés.
1691 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 606
Hannß Caspar Linck der Tabac bereiter
in gegensein Hn Johann Daniel Scherers Not. alß Schaffners deß blatterhaußes – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, Eine behaußung hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebawen, allhier in St Elisabethä Gaß einseit neben Emanuel Farren dem leinenweber, anderseit neben Adam Herwag dem Garttner geleg. so vorhin umb 100 fl. (und umb 150 fl. verhafftet)
[in margine :] (…) in gegensein Hn: Johann Daniel Städel, ledigen handelsmanns, als einigen Sohns weÿl. H Johann Friderich Städel, gewesten Med. D. und Practicj allhier seel. des gewesten proprietarÿ hier verpfändeter behaußung (quittung) den 28. Februarÿ 1735
Jean Gaspard Linck se remarie en 1704 avec Marie Madeleine Wittmann, fille du boulanger Jean Georges Wittmann
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 86 n° 15)
Mittwochs den 2. Julii 1704. seind nach Zweymahliger außruffung in der Pfarr Kirchen Zu S. Niclauß in Sttraßb. copulirt und eingesegnet worden Johann Caspar Linck, der Würth Zum Kleinen Hauß und und alhier, und Maria Magdalena Wittmännin, weÿland Johann Georg Wittmans, gewesenen Schwartzbecken und burgerß alhier nachgelaßene ehel. tochter [unterzeichnet] hans Caspar linck als hoch Zeidter, Maria Maglen Wittmenin Als hoch Zeiterin (i 90
Jean Gaspard Linck, aubergiste à la Petite maison, et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit de Marie Dorothée Emmerich
1707 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 716
Joh. Caspar Linck würt zuem kleinen Hauß u. Maria Magd: geb. wittmännin beÿständlich Joh. Georg Wittmanns Kiefers und Joh. Georg Kahlenbergs schuem:
in gegensein H. Daniel Rohrs Not: publ: alß vogts Jgfr: Maria Dorothea Emmerichin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung allhier ahn St. Elisabeth Gass, einseit neben Emanuel Harr leinenweber anderseit neben Joh. Michel Fuchs tabacb: hinten auf Joh. Grobergern stoßend, darvon gehen jährlichen 1 ß 9 ½ d zinß dem Closter St. Marg:
Jean Gaspard Linck, aubergiste à la Petite maison, et Marie Madeleine Wittmann se lèguent mutuellement leurs biens
1709 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 254-v
Joh: Caspar Linck würt zuem Kleinen hauß und Maria Magd: geb. Wÿdmännin, daß sie folgendes Codicill reciproce hiemit aufrichten wollen
3.tio ist deß Manns will daß Joh: Linck sein sohn nach ihr der frauen todt seine behaußung c. appert: allhier auf St Elisabetha gass zuem kleinen hauß um 400 lb freÿ u. ledig haben solle
Délivrance des biens à Susanne Salomé Linck, fille aînée de Jean Gaspard Linck et de Susanne Steurwald.
1709 (27.5.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 3), 268 (numéro XIX° s.)
Lüfferung weÿl. Frauen Susannæ Linckin gebohrner Steurwaldin deß Ehrsam und bescheidenen Herrn Caspar Lincken deß würths vndt burgers allhier geweß. haußfr. seel. hinderlaßener ehel. undt ältester Tochter Jungfr. Susannæ Salomeä Linckin, ihrer von ged. H. Lincken alß Ihrem lieben Vatter mütterlicher Erbschafft *vor die Legitima vndt Gottel Gelt, beneben waß dieselbe in Nahmen Ihrer baasen seel. Zu heÿligen Stein der Erbschafft nach die vor ihren theil in baaren empf. und zum theil ai* mobilia, so deroselben zum ½ theil mithien Inn außweiß der lüefferug Inn præsentia Ihre annoch ohnentledigten, herrn Vogts Herr hanß Adam werbelo burger, vndt Spengler, alhie Zu Straßburg vnd herrn Johann Micheln Loison alß ged. Jgfr. Susannä Salomeä Lincken herrn hochzeiter, heüt dato Straßburg den 27: Maÿ 1709 gegeben
Eigenthumb ane behausung. in heiligenstein
Actum Straßburg den 27. Maÿ 1709. [unterzeichnet] Susanna lincklin beken wie obsteht, Jean Michel Loison, Johann Adam Werblo Als Vogt, hanß Caspar Linck Alß vatter
Jean Gaspard Linck et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit d’Anne Elisabeth Grass née Conrad
1710 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 27
Joh: Caspar Linck würt zum kleinen hauß u. Maria Magd. geb. Wittmännin beÿständlich andres Wittmanns haußfeurers u. Joh: Georg Kolenberg schuem:
in gegensein Anna Elisabetha Graßin geb. Cunradin – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, ihr hauß c: appert: allhier auf St. Elisabetha gass, einseit neben Emanuel harr anderseit neben Jacob Halbrunn hinten auff Groberger
Jean Gaspard Linck et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit du vitrier Sébastien Eckel.
1714 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 41-v
Joh: Caspar Linck würt zuem Kleinen hauß und Maria Magd geb. Wÿdmännin beÿständlich Andres Wÿdmanns haußfeurers und Johann Wÿdmanns würts
in gegensein Sebastian Eckel glaßers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahn St Elisabetha gass, einseit neben Emanuel Farr anderseit neben Michel Fuchs tabacm: hinten auf Grohberger, davon gehen 1 ß 9 ½ d bodenzinß
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1714 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 715
Caspar Linck würt zuem kleinen hauß und Maria Magd: geb. Wittmännin beÿständlich Joh: und andres der Wittmann ihren brüder
in gegensein Joh: Sebastian Eckel glaßers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, obiges ihr gasthauß allhier auf St Elisabetha gass, einseit neben farren anderseit neben Joh: Georg Greiner tabacb: hinten auff Grobergerin
Jean Gaspard Linck et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Varr, au nom de laquelle son tuteur Jean Pierre Avenarius
1717 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 51
Joh: Caspar Linck würt zuem kl. hauß und Maria Magd: geb. Wittmännin beÿständlich Philipp Wÿdmann haußfeurers
in gegensein Joh: Peter Avenarius leinenwebers alß vogt Maria Salome Varrin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier auf St Elisabeth gass, einseit neben Varrischer wittib anderseit neben Joh: Georg Greiner hinten auff (-), davon gibt mann jährlichen 1 ß 9 ½ d nach St Marg:
Jean Gaspard Linck et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit de Jean Heupel, receveur de l’Orphelinat.
1717 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 39-v
Johann Caspar Linck der Würth zum Kleinen Hauß Und Maria Magdalena geb. Wittmännin mit beÿstand Johann Wittmanns Würths zur Sonnen und andres Wittmanns Haußfeurers ihrer leiblichen brüdere
in gegensein hrn Johann Heupels Schaffners des Waÿsenhaußes für seine eÿgene Person – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, das Gasthauß zum kleinen Hauß genand cum appertinentÿs allhier ahn St Elisabethæ gaß einseit neben Hanns Georg Greiner Tabacbereiter anderseit neben Emanuel Farren Erben hinten auf Johann Grohberger Leinenwebern stoßend
Jean Gaspard Linck loue une partie de la maison au tisserand Michel Pfæler
1720 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 151
Joh. Caspar Linck würt
in gegensein Michel Pfaler leinenwebers [unterzeichnet] pfaller
in seinem hauß auf St Elisabetha gaß eine Stueb unten und zwo cammeren darüber, auf 4 jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb 10 ß
Jean Gaspard Linck et Marie Madeleine Wittmann hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Daniel Stædel
1720 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 592 (Protocoll.) f° 50-v
Joh: Caspar Linck wirth und Maria Magdalena Wittmännin mit beÿstand Johann Schmids weißbecken und Joh. Georg Kallenberg Schuemachers
in gegensein hrn Johann Daniel Städels handelsmanns und E.E. großen Raths beÿsitzers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen gebäuden, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in St Elisabetha gaß, einseit neben den Farrischen Erben anderseit neben Joh. Georg greiner Tabacbereiter hinten auf Joh Georg Thaler leinenweber
Marie Madeleine Wittmann, deuxième femme de Jean Gaspard Linck, meurt en février 1724 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans l’auberge au Joyeux luron (zum Frölichen Mann) près de l’hôpital militaire. La masse propre aux héritiers s’élève à 89 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 24 livres, le passif à 210 livres
1724 (30.3.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 14) n° 338
Inventarium undt Beschreibung aller haab undt Nahrung, so weÿl. die Tugendtsame fr. Maria Magdalena Linckin gebohrene Wittmännin H. Joh: Caspar Linckhen deß gastgebers undt burgers allhier Zu Straßb. geweste 2.te Ehefraw nach ihrem den 11.ten febr: dieses lauffenden 1724.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf ansuchen theills sein des Wittibers undt theills ihr der verstorbenen frawen seel. per Testamentum nuncupativum instituirter undt nachgelaßener Erben inventirt durch ihne den wittiber (…) Actum Straßburg auff Donnerst. den 30.ten Martÿ 1724.
Die Eingangs gedachte verstorbene fraw seel. hatt per testamentum nuncupativum Zue Erben instituirt undt verlaßen alß volgt 1. Weÿl. hannß Geörg Wittmanns des gewesten Kieffers undt burgers allhier nachgelaßene undt noch lebendte fünff Kindter Nahmentlich fr. annam Margaretham gebohrene Wittmännin weÿl. (-) Hes des Kupfferschmidts nachgelaßene Wittib, absens, Mehr hannß Geörg Wittmann, den Schloßer undt burger, allhier, absens, Fr. anna Maria gebohrene Wittmännin, hannß Martin Spechts deß bürstenbindters allhier Ehefrau absens, fr. Dorothea gebohrene Wittmännin, Hannß Geörg leistners deß Kürßners allhier Eheliebste so præsens war, Fr. Maria Martha, gebohrene Wittmännin an H hannß Michel Hirtz den schwb. allhier verheurathet, absens, diese 5. in den Ersten 6. Stammtheil
2. Johann Leonhardt Wittmann den schwb. undt burgern allhier in den andern 6.t Stammtheil deßen Ehefr. Zugeg. war, 3. Jfr. Sybillam Dorotheam Thalerin, Lorentz Thalers deß gewesten leinenwebers so Er mit Susanna gebohrener Wittmännin Ehelich erzeihlt, der verstorbenen Fr. Schwester dochter in den dritten 6.ten Stamm theill beÿständlich H. Joh: Peter Spohnemers adel. Schaffners ihres geschwornen vogts, 4. Fr. Elisabetham Schmidin gebohren Wittmännin Johannes Schmiden deß wb. allhier Ehefr. in den 4. Sechsten Stammtheil die gegenwärtig, 5. Fr. Margaretham güthelin, gebohrene Wittmännin mit assistentz h Andes güethels deß Schuhmachers ihres Ehemanns in den 5. Sechsten Stammtheil, welche præsens war, 6. Catharinam Magdalenam undt Susannam gebohrene Wittmännin, weÿl. Andres Wittmann deß gewesten haußfeurers seel. nachgelaßene dreÿ döchterlein, in den letzten 6. Stammtheil, Also alle der verstorbenen per Testamentum nuncupativum instituirte undt nachgelaßene Erben, so alle verburgert und burgers Kkr., welche aber diese Succession undt Erbschafft anderer gestalten nicht dann mit expressen vorbehalt deß Beneficÿ legis et Inventarÿ acceptirt haben wollen.
Inn Einer allhier in der Statt Straßb. undt Einer daselbst ohnfern dem frantzösisch. Spithal beÿ dem wahl gelegener Gast behausung Zum Frölichen Mann genant, hat Sich befundten alß volgt
Inn der Magdt Cammer, Inn der oberen Stub, Inn der Kuchen, Inn der unteren Stub, In der hinderen Cammer
Passiva. It. hannß Geörg Reicharts seel. Erben soll mann d. hauß Zinnß (…)
Ergäntzung der Erben ohnveränderten guths, Vermög Eingangs gedachter beeder gewester Eheleute, durch Notm. Johann Peter Kolben seel. in aô 1704. auffgerichten und verfertigten Zugebrachten Nahr. Inventarÿ
Norma huj. inv. d. Erb. ohnv. v. Ererbt Eigyh. Guth, Sa. haußraths 15, Silbers 10 ß, Erg. 73, Summa summarum 89 lb
Auff solches und letßl. so wird auch des wit: seine ohnv: v. Zugleich das gem. verändert v. T. g. besch. Sa. Hßr. 19, Silbers 12 ß, weins v vaß 4, Summa summarum 24 lb – Passiva 210 lb, In Vergleichung 185 lb
La maison est vendue par adjudication judiciaire le 20 mai 1721 au créancier Jean Frédéric Stædel , docteur en médecine. Les experts l’estiment à la somme de 225 livres lors de l’inventaire dressé après sa mort en 1735.
Son fils et unique héritier Jean Daniel Stædel rembourse à l’hospice des vérolés le capital garanti sur la maison d’après l’acte de 1537.
1735 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 138-v
des Frauen Brüder Closters und hiesigen Blatterhaußes Schaffner H. Johann Paul Tromer Not: Publ:
H. Johann Daniel Städel ledigen handelsmann als einigen sohns und universal erben weÿl. H. Johann Friedrich Städel gewesten Med. Doctoris und Practici gewesten proprietarÿ
einer allhier auff St: Elisabethæ gaß liegender gegen des jeweiligen H. Commendanten allhier Hostel stehender behausung sambt zugehörden, dem nach erwehntes Blatterhauß auff bedüttenner Behausung zufolg einer XI. Kalend: Junÿ 1537 vor dem Richter des Bischofflichen hoffs auffgerichteter zinnß kauffverschreibung 4 gulden ahne jährlichen mit 100 gulden ablößigen zinß bißher stehen gehabt (…) bezahlt
Jean Daniel Stædel loue la maison au cordonnier François Mathias Hæssel
1735 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 748
H. Johann Daniel Städel lediger handelsmann
in gegensein Frantz Mathias Häßel des Schuemachers
entlehnt, Eine ihm eigenthümlich zuständige Behausung, hindergebäu, hoff und hoffstatt mit allen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff St Elisabethä gaß, einseit neben Johann Georg Greiner dem tabackbereiter anderseit neben hannß Michael Endtling dem Leinenweber hinten auff H. Johann Georg Daler auch leinenweber, nichts davon ausgenommen – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst bevorstehenden weÿnachten, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund
Jean Daniel Stædel loue la maison au contrôleur de tonneaux Ulric Hertzog
1738 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 234-v
H. Johann Daniel Städel der handelsmann
in gegensein Ulrich Hertzog des Faß: Sinners
entlehnt, Eine Behausung, hindergebäu, hoff, hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auff St Elisabethä gaß, einseit neben Johann Georg Greuner dem tabackbereiter anderseit neben Hanß Michael Endtling dem Leinenweber hinten auff Johann Georg Dahler den leinenweber, nichts davon ausgenommen, auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend auff Johannis Baptistæ fürwährenden jahrs
[in margine :] auff 9 nacheinander folgenden jahren pronongirt anfangend von nächstkünftigen Joh. Baptistæ um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund, den. 24. Januarÿ 1747
Jean Daniel Stædel loue la maison à François Henri Hertzog, emballeur adjoint à la halle.
1765 (7.5.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 350
H. Johann Daniel Städel der banquier
in gegensein Frantz Heinrich Hertzog des vicarÿ spanners im kauffhaus
verlühen, seine ane der St Elisabethä gaß gelegene behausung mit allen begriffen und rechten – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Johann Baptistæ tag anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 38 pfund
Les experts estiment la maison à 250 livres lors de l’inventaire dressé en 1777 après la mort de Jean Daniel Stædel.
Marie Salomé Brackenhoffer, veuve de Jean Daniel Stædel, loue la maison à Jacques Spahr, maître d’école à Saint-Louis
1783 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 204
Fr. Maria Salome Städelin geb. Brackenhofferin weÿl. H. Johann Daniel Städel des banquier wittib beÿständlich H. Johann Daniel Saltzmann notarii publici jurati ac practici
in gegensein – H. Jacob Spahr des schulmeisters zu St Louis
(lehnungs weiße) die ihre eigenthümlich zuständig auff der St Elisabetha gaß gegen dem hotel des H. Delors de St Victor behaußung worinnen die wachstub mit allen deren begriffen – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Johannis Baptistæ tag anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 78 gulden
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le journalier manant Jean Michel Zeitler et sa femme Anne Marie Hundsinger à acheter la maison
1789, Conseillers et XXI (1 R 272)
(p. 102) Sambstag den 28. Februarius 1789.
Osterrieth nôe. Joh: Michael Zeitlers des Schirmers und Tagners alhier und deßen Ehefrau Anna Maria geb. Hundsingin diese sind gesinnet ein an der Elisabethä Gaß gelegenes Hauß samt höflin und Zugehörden von weÿl. H Joh: Daniel Städel des gewesenen burgers und Handelsmanns alhier hinterbliebenen Wittib Francisca Salome geb. Brackenhoffer um die Summ von 1350. fl. an sich erkaufen, worauf nun 100 fl. bezalt werden, bitt Zuerlauben also kaufen zu dörfen und dispens vom Augenschein. Rang bitt gleichfalls also Verkaufen zu dörfen und dispens vom Augenschein.
Nach hierauf angehörtem voto des Hn General Advocaten Fischers dahin gehend, daß obwohlen der Kaufschilling beträchtlich seÿe, da dannoch nur 100 fl. baar bezalt werden, so werde es nicht Fall seÿn, den Imploranten an das burgerrecht Zu verweisen, sondern vielmehr demselben in seinem begehren zu willfahren.
Ist vermittelst angestelter Umfrag auf Ansprach des auf dem Oberbank vorsitzenden H. Stett. Christian von Oberkirch Erk. daß dem Implorant mit gebettener Erlaubniß gedachtes Hauß auf angeregte Weiß kaufen zu dörfen, samt dispens vom augenschein zu willfahren, unter dem Anhang, daß der Kauf und verlauf in Löbl. Stadt Cantzleÿ Contrat stub vor den Hh. deputirten Vor sich gehe, damit gemeiner Stadt dabeÿ obwaltendes Interesse in Ansehung des jährlich zu entrichtenden Abgaben durch anszustellende Reversales besorgt werden möge. Depp. H. Rathh. Bogner, H. Rathh. Ohlmann.
Marie Salomé Brackenhoffer, veuve de Jean Daniel Stædel, vend la maison au revendeur manant Jean Michel Zeitler et sa femme Anne Marie Huntzinger
1789 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 663 f° 66
Maria Salome geb. Brackenhofferin weil. H. Johann Daniel Städel gewesten banquier beÿständlich SS T. H XIII. Elias Brackenhoffer ihres H. bruders
in gegensein Johann Michael Zeitler des hiesigen schirmers und krämers, und Annæ Mariæ geb. Huntzingerin auch ferner beÿständlich H. Lt. Johann Georg Lÿdi beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
eine behausung, höfflein und hoffstatt allhier zu Strassburg ane der St Elisabethä gaß, einseit neben Johann Gottlieb Ehrenfeuchter dem kiefer, anderseit neben
N. Berar dem reutmeister auf der königl. Reutschul, hinten auff Philipp Meyer dem reutknecht – außer 1 s 9 ½ d dem Closter St Margarethen und Agnesen allhier jährlich auf Johanni Baptistæ boden zinß – um 1350 gulden
Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Jean Michel Zeitler et sa fiancée Anne Marie Huntzinger à la manance.
1785, Conseillers et XXI (1 R 268)
(p. 78) Montag den 11. Aprilis 1785 – Lectum folgende von Löbl. Schirmgericht ad prptocollum gelüferte gesuch um aufnahm in den Schirm
3. Johann Michael Zeitler et Maria Anna Huntzinger (…)
3. Johann Michael Zeitler der Tagner und deßen verlobte Maria Anna Huntzinger die Bieglerin, beede hiesige Kinder, mit Dispens es Vermögens, unter Caution Johann Martin Rauch des hies. Baumwollfabricanten und Burgers.
Nach Ablesung dieser Memorialien ertheilte H. Generaladvocat Mogg sein Gutachten dahin, daß sämtliche Imploranten Zur Aufnahm in den Schirm an die verordnete OberschirmHh. zu verweisen (…)
Worauf Erkannt worden, daß die 2. 3. 4. und 7 Partheÿen unter der von einigen benöthigten dispens von *gelader Vermögen und gegen Leistung der vorgeschlagenen Bürgschaften ad recipiendum in den Schirm an die Obere Schirmherren zu Verweisen, die 1. 5. u. 6. Partheÿen aber mit ihrem begehren gäntzlich abzuweisen seÿen, worauf sämtliche bürgen vorgestanden und die bürgschaft geleistet. Depp. H.Rathh. Maurer, H. Rathh. Lelarge
Fils d’Ignace Zeitler, Jean Michel Zeitler épouse en 1785 Anne Marie Huntzinger, fille de Nicolas Huntzinger. Tous deux sont natifs de Strasbourg.
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 233)
Hodie 3. maii anni 1785 (…) in facie ecclesiæ sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt joannes michael Zeitler, operarius diurnus, filius minorennis defuncti ignatii Zeitler, in vita tutelaris hujatis, et superstitis Dorotheæ meyelin, parochianus ad stum petrum Seniorem ex una et Maria Anna Hunziger, argentinensis fiia majorennis Nicolai hunziger et annæ diemmedoerfferin, parochiana nostra ex altera partibus adfuere testes (…) georgius Zeiter frater sponsus (signé) Johann Michäl Zeÿtler, + nota sponsæ (i 116)
Jean Michel Zeitler se remarie en 1799 avec Marie Voltz, fille de Georges Voltz, cordonnier à Haguenau.
1799 (19 fruct. 7), Strasbourg 5 (5), Not. Faller n° 45
Eheberedung – bürger Johann Michael Zeitler, handelsmann und Wittiber
bürgerin Maria Voltz weÿl. des bürgers Georg Voltz geweßenen Schuhmachers zu hagenau mit Margaretha Barbara Uhrin großjährige Tochter
Enregistrement, acp 69 F° 156 du 26 fruct. 7
Inventaire des apports dressé dans une maison au Vieux-Marché-aux-Grains. L’inventaire décrit les maisons rue Sainte-Elisabeth et celle rue du Vieux-Marché-aux-Grains.
1801 (9 ventôse 9), Strasbourg 15 (2), Not. Lung n° 275
Inventarium über und beschreibung desjenigen Vermögens so die bgrin Anna Maria geb. Voltz zu ihrem Ehemann bgr Johann Michael Zeitler Kramwaarenhändler und dermalig patentirter becker in ihren den 20. fructidor 7 Jahr angetrettenen Ehestand zugebracht durch deren vor Notario Faller den 19. fructidor passirten Eheberedung
in einer ane dem Alten Kornmarckt N° 23 neben dem Rubenloch gelegenen und in des Ehemanns Nahrung gehörigen behausung
hausrath 1372 lb, baarschafft 11.669 lb, somma 13 041.lb
Enregistrement, acp 77 F° 78 du 11 vent. 9
Jean Michel Zeitler et Anne Marie Voltz font dresser un état de leur fortune. L’actif du mari s’élève à 21 969 francs, le passif à 40 291 francs
1802 (5 germinal 10), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 430
Inventarium über Johann Michael Zeitlers des Kram waarenhändlers und Anna Maria geb. Voltz dermalen besitzende Vermögenschaft, die Ehefrau beiständlich des br Xaveri Voltz Wirths hieselbsten ihres bruders
in einer neben der Gastherberg zum rubenloch gelegenen und in des Ehemanns massam gehörigen hernach inventirten behausung mit N° 28 bezeichnet
der Ehefrauen unveränderten hausrath 1284 fr, schulden 2000 fr, Ergäntzung 9. vend. 9 durch Not. Lung 11.750 fr, summa summarum 15.035 fr
des Ehemanns unveränderten sowohl als die theilbaare Nahrung, hausrath 20 fr, Kram: und Eisen waaren 818 fr
Eigenthum ane behausungen, Nemlichen eine behausung höfflein und hoffstatt zu Straßburg ane der St Elisabetha gaß gelegen und mit N° 10 bezeichnet einseit neben Johann Gottlieb Ehrenfeuchter den Kieffer anderseit neben dem Reutmeister berar und hinten auf Philipp Meÿe den reutknecht,davon soll man auff Johann Baptist 7 sols zween deniers ane bodenzinß, kaufbrieff de dato 28. hornung 1789 um 2700 fr, dermalen jedoch ohnpræjudicirlichen angesetzt vor 3000 fr
Ferner eine becken behausung samt zugehörden rechten und gerechtigkeit dahier auf dem alten Korn Marckt ohnweit dem baarfüßerplatz mit N° 23 bezeichnet und zum rothen Krebs geschildet einseit neben der Gast behausung zum rubenloch anderseit neben des bürgers Wöhrlen zingießers wittib hinten auff die heiligenliechter gaß – der Ehemann ist Eigenthümer worden zufolg einer vor dem friedens richter des hiesigen zweÿten gerichts bezirks vorgenommenen und von dem Niederrheinischen tribunal den 17. frimaire 7 Jahrs homologirten Versteigerung um 16.400 fr von weÿl. Joseph Huders des beckers allhier steigerung weiße an sich gebracht, angesetzt worden für 18 000 fr
summa behausung 21.000 fr, schulden 131 fr, Summa summarum 21.969 fr – schulden aus des Ehemanns Massa zu bezahlend 40.291 fr, In compensatione mehr schulden dann guth 18 321 fr
Verzeichnus und Abschatzung der von Michael Zeitler dem von hier abgetrettenen Kram waaren händler zurückgelaßene Kram und Eißen waaren an die nächst dem Paraden platz neben dem gasthauß zum ruben loch gelegene Boutique worinnen sich sie gedachte Waaren befunden
Copia der Eheberedung (…) Not. Vix den 19. fructidor 7
Enregistrement, acp 84 f° 4-v du 8 germ. 10
Natif de Franckenthal dans le département du Mont-Tonnerre, le marchand Jean Michel Zeitler qui a divorcé de Marie Anne Voltz, se remarie avec Catherine Diebold, veuve du passementier François Jacques Übersaal
1807 (2.10.), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 276
Contrat de mariage – sont comparus le sieur Jean Michel Zeitler, marchand de cette ville, époux divorcé de D° Anne Marie Voltz d’une part
Et D° Catherine née Diebold, veuve de feu le sieur François Jacques Übersaal, vivant passementier à Strasbourg d’autre part
Enregistrement, acp 103 F° 168-v du 7.10.
Mariage, Strasbourg (n° 319)
L’an 1807, le 14° jour du mois d’octobre (…) sont comparus Jean Michel Zeitler, âgé de 46 ans, marchand de merceries, domicilié en cette ville depuis son enfance, né à Franckenthal, Département du Mont-tonnerre le 8 mai 1761, majeur, fils de feu Ignace Zeitler, fabricant de porcelaine au dit lieu, et de feue Dorothée Mayel, divorcé en secondes noces de Marie Anne Voltz, comme il est constaté par acte de divorce, dressé par nous officier de l’état civil le 18 Messidor an 10, enregistré le jour suivant,
et Marie Catherine Diebold, agée de 41 ans, née en cette ville le 17 octobre 1765, y domiciliée, majeure, fille de Georges Diebold, journalier, et de Brigitte Breu, veuve de François Jacques Übersaal, passementier décédé en cette ville le 10 Prairial an quatre (signé) Michael Zeitler, catarindiebolf (i 28)
Le luthérien François Jacques Übersaal épouse en 1788 la catholique Catherine Diebold, fille du laitier manant Grégoire Diebold : contrat de mariage, proclamation au Temple-Neuf, célébration à Saint-Etienne
1788 (10.1.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 235
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Frantz Jacob Übersal der leedige Paßmentirer, weiland Hrn Philipp Ludwig Übersals geweßenen burgers und fastenspeiß händlers dahier mit Fraun Susanna Maria geborner Herbstin deßen hinterbliebener Wittib ehelich erzeugter großjähriger sohn seiner Rechten gaudirend, als Hochzeiterer ane einem
so dann die Ehren und tugendbegabte Jungfrau Catharina Dieboldin des ehrbaren Gregorii Diebolds schirmers und Melckers hieselbsten mit fraun Brigitta geborner Breÿin ehelich erzeugte tochter, Von diesen ihren beeden Eltern Verbeÿstandet, als Hochzeiterin am andern theil
So beschehen (…) zu Straßburg den 10. Januarÿ anno 1788 [unterzeichnet] Frantz Jacob Übersaal, anna Catharina dieboldin
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 24-v)
Im Jahr Christ 1788 sind in der Prediger-Kirch mit Erlaubnus des regierenden Herrn Ammeisters Dominica Quinquagesima Zum Ersten und andern mal zugleich proclamirt und dienst-tag darauf inn der Pfarr-Kirch St Stephan copulirt worden Frantz Übersaal, der leedige Paßmentirer und burger allhier, weÿland Philipp Ludwig Übersaals geweßenen burgers und Fasten-Speiß-händlers allhier und Frauen Susannä geborner Herbsterin ehelicher Sohn, Evangelisch-Lutherischer Religion und Anna Catharina Dieboldt, von hier, Gregorii Diebolds des Schirmers allhier und Frauen Brigittä geborner Breÿin eheliche Tochter, Römisch-catholischer Religion (i 26)
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 106)
Anno Domini 1788 die 5. Februarÿ (…) in facie ecclesiæ sacro matrimonii vinculo conjuncti fuere Franciscus ubersal hujas, defuncti Ludovici ubersal et Susannæ Herbst filius legitimus et majorennis Lutheranæ Religioni addictus commorans in supra nominata parochia ad Templum novum et Anna Catharina Diebold Gregorii Diebold et Brigittæ Breÿ conjugum fimia legitima minorennis, parochiana nostra (signé) Ubersaal, Diebol (i 110)
Jean Michel Zeitler se remarie en 1817 avec Guillemette Philippine Marguerite Kælber, originaire de Karlsruhe.
1817 (2.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 23), Not. Bossenius n° 448, 6971
Contrat de mariage – Jean Michel Zeitler, colporteur veuf sans enfant de Marie Catherine Diebold
Wilhelmine Philippine Marguerite Kaelber, fille de feu Conrad Kaelber, journalier et de feue Marguerite Lichtenfeld domiciliés à Carlsrouhe Grand Duché de Bade domiciliée à Strasbourg
Enregistrement, acp 133 F° 121-v du 7.4. – communauté avec réserve d’apports
apports du futur époux 1178 fr, passif 879 fr
apports de la future épouse 910 fr
Jean Michel Zeitler meurt en délaissant une fille issue de Marie Anne Voltz
1828 (9.7.), Strasbourg 7 (77), M° Stoeber n° 10.892
Inventaire de la succession de Jean Michel Zeitler, fabricant de bretelles décédé le 24 juin dernier – dressé à la requête de 1. Georges Grumpff, cordonnier au Marché Gayot n° 18 mandataire d’Anne Marie Zeitler, majeure, marchande de modes à Lyon place de l’Herberie n° 3 procréée avec Marie Anne Voltz, plus à la requête de Wilhelmine Philippine Marguerite Kaelber la veuve, commune suivant contrat de mariage reçu M° Bossenius le 2 avril 1817
en la demeure du défunt quai des Bateliers près du pont du Corbeau n° 95
mobilier, dans la demeure du défunt au premier étage de la susdite maison dans les trois chambres qui composent le logement du défunt 836 fr (total de l’actif), passif 1548 fr
Enregistrement, acp 190 F° 87-v du 17.7.
Les créanciers de Michel Zeitler qui a quitté la ville exposent ses deux maisons aux enchères. Celle rue Sainte-Elisabeth est enchérie par le juriste Jean Frédéric Lauth le 5 prairial 10
1802 (15 prairial 10), Strasbourg 13 (14), Not. Bremsinger
23. germinal 10 n° 573 – in gefolg der vor unterschriebenem Notario den 9. dieses Monaths gehalteben beratschlagung der Schuldgläubiger des ausgetrettenen bürgers Michael Zeitlers, handelsmanns alhier, ist auf ansuchen dieser Schuldgläubiger zur ersten Versteigerung der in die Credit Masse ged. Zeittlers gehörigen zweÿen häuser
N° 1. Erstlichen eine behausung höfflein und hoffstatt allhier zu Straßburg ane der Elisabethä Gaß gelegen und mit N° 10 bezeichnet Eheberedung Johann Gottlieb Ehrenfeüchter dem Kiefer anderseit neben dem Reittmeister Berar und hinten auf Philipp Meÿer den Reittknecht, davon gibt man jährlich auff Joh. Baptistæ oder den 5. Mess. der Republick 36 centimes ane bodenzinß zu reichen schuldig
N° 2. Zweitens, eine becken behausung samt zugehörden Rechten und gerechtigkeiten auf dem alten Kornmarckt ohnweit dem barfüser Platz gelegen mit N° 23 bezeichnet und zum rothen Krebs geschildet einseit neben der gastbehausung zum Rubenloch anderseit neben bürger Wöhrels Wittib hinten auff die heilgenlichter gaß
n° 581 vom 3 floreal. die behausung am Kornmarckt, Philipp Stahl den becken 10.000 fr
vom 5. prairial 10, Georg Neeß den Schuemacher 15.000 fr
n° 592, die behausung an der Elisabethä gaß, br. Anrich den Notarium 2000 fr
n° 620, 3650 fr bürger Lauth Rechtsgelehrten, In instanti declarirte bürger Johann Friedrich Lauth der vorgemelte Steigerer bürger Johann Ulrich, um 3650 fr
bürger Johann Ulrich Jost der handelsmann zu Langenau bei Bern
Enregistrement, acp 84 F° 133-v du 15 prairial 10
Jean Frédéric Lauth revend la maison deux mois plus tard au menuisier Charles Schweitzer
1802 (1 therm. 10), Strasbourg 13 (15), Not. Bremsinger n° 674
bürger Johann Friedrich Lauth der Rechts gelehrte und avoué bei denen hiesigen gerichten
Carl Schweitzer dem Schreiner
eine in der Elisabethen Gaß allhier gelegen mit N° 10 bezeichnete behausung höflein und hoffstatt, einseit neben Johann Gottlieb Ehrenfeuchter dem Kiefer anderseit neben dem Reittmeister Berrar, fornen ermelte gaß hinten auff Philipp Meÿer den Reittknecht – davon gibt man 36 c. ane bodenzinß der Republick – herrührend von der abandonnirten Masse des ausgetrettenen bürgers Michael Zeittlers, gewesten handelsmanns, laut der vor unterschriebenem Notario den 5. prairial jüngst definitiv Versteigerung – um 2400 fr
Enregistrement, acp 85 F° 22-v du 9 therm. 10
Ancien soldat originaire de Landau, le fabricant de boîtes Charles Schweitzer épouse en 1790 Marie Sophie von Stochen, native de Weinheim près de Francfort (les graphies fautives doivent être remplacées par celles que donne l’acte de décès)
Mariage, Saint-Louis (cath. f° 8-v)
Hodie 19 mensis octobris anni 1790. (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Carolus Schveitzer artifex capsarius solutus majorennis et orphanus oriundus ex Landau diœsesis spirensis miles absoluté dimissus e Legione pedestri alsaticâ, a quatuor annis parochianus noster, et Maria Sophia von Stoltzen soluta orphana et majorennis filia georgii dietrich von stoltzen et Catharinæ Mayerin parentum oriunda ex Wennheim prope francfortum a quibus dam annis parochiana nostra (signé) Carl schweitzer, + nota sponsæ (i 25)
Marie Sophie von Stochen meurt de marasme à l’âge de soixante-quinze ans
Décès, Strasbourg (n° 146)
Déclaration de décès (…) le 28 janvier 1829. Marie Sophie de Stochen âgée de 75 ans, née à Weinheim, Grand Duché de Bade, Epouse de Charles Schweitzer, âgé de 65 ans, Menuisier domicilié à Strasbourg, morte en cette mairie le 28 du mois courant à cinq heures du matin dans la maison située N° 27 rue Ste Elisabeth, fille de feu George Didier de Stochen, Lieutenant au service de Prusse, et de feu Anne Catherine Meyer, premier déclarant, l’Epoux [in margine :] marasme (i 37)
Sophie Stocker meurt en délaissant pour héritier testamentaire son mari François Charles Schweitzer
1829 (13.7.), Strasbourg 12 (112), M° Noetinger n° 1437
Inventaire par déclaration – Sophie Stocker femme de François Charles Schweitzer, menuisier décédée le 28 janvier dernier – à la requête du veuf, la défunte et décédée sans enfants après avoir institué son mari pour légataire universel suivant testament reçu M° Wengler le 8 février 1822, union en 1790
immeuble à Strasbourg, 14. une maison, petite cour, appartenances, droits et dépendances située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 10, d’un côté le Sr Ehrenfeuchter tonnelier, de l’autre les héritiers Berard, devant la rue, derrière (Menckessé) – acquis de Jean Frédéric Lauth, avoué, le 1 thermidor 10 par acte reçu M° Bremsinger, estimée 1650 fr
total de la communauté 1832 fr – mobilier 1832 fr, passif 700 fr, garde robe 52 fr
Enregistrement, acp 195 f° 115-v du 157.
Charles Schweitzer vend la maison au menuisier Michel Heintzen et à sa femme Catherine Imbs
1832 (2.8.), Strasbourg 8 (51 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 4062
Charles Schweitzer, propriétaire
à Michel Heintzen, ménuisier, et Catherine Imbs
une maison avec cour & tous autres droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue Elisabeth n°10, d’un côté le Sr Pierret employé à Saint Marc, de l’autre le Sr Butz tonnelier, derrière partie le Sr Butz & partie le cul de sac dit Zinckengaessel où la maison a une issue et où elle porte le n° 8 – le vendeur est devenu propriétaire de l’immeuble vendu par acte reçu M° Bremsinger le 1 thermidor 10 avec Sophie Stocker sa femme défunte et testament reçu par M° Wengler le 8 février 1822 où il a été institué légataire universel, et inventaire dressé par M° Noetinger le 13 juillet 1829. (…) 4. le vendeur se réserve pendant sa vie durante la jouissance & l’habitation d’une chambre au rez de chaussée dans la maison vendue, ce droit évalué à 20 de rente viagère ou 400 francs de capital – moyennant 4200 francs
Enregistrement, acp 211 F° 169 du 13.8.Zimmer
Originaire de Bergheim dans le Grand duché de Berg, Michel Heintzen épouse en 1812 Marie Catherine Imbs, née à Marlenheim
Mariage, Strasbourg (n° 197)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 13 mai 1812. Michel Heinzen, majeur d’ans, né le 25 août 1782 à Bergheim (Grand duché de Berg), domicilié à Strasbourg, Garçon menuisier, fils de feu Gaspard Heinzen, cultivateur décédé à Bergheim le 12 juin 1794 et de feu Eve Wirtz décédée au même lieu le 25 janvier 1793
Marie Catherine Imbs, majeure d’ans, née le 16 juin 1785 à Marlenheim, Département du Bas Rhin, fille de feu François Xavier Imbs, cultivateur décédé à Strasbourg le 25 août 1806, et de feu Marie Catherine Specht, décédée à Marlenheim le 9 Prairial an 9 (signé) Michael Heintzen, Maria Catharina Imbs (i 9)
Michel Heintzen et Catherine Imbs hypothèquent la maison au profit de Michel Hammer, garçon d’amphithéatre à l’école de médecine à Strasbourg
1843 (19.7.), Strasbourg 10 (101), Me Zimmer n° 4854
Obligation – Le Sr Michel Heintzen, menuisier et D° Catherine Imbs sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont reconnu et déclaré devoir bien et légitimement
à Mr Michel Hammer, garçon d’amphithéatre à l’école de médecine à Strasbourg, une somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison avec cour, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n°10, d’un côté le Sr Pierret, de l’autre le Sr Butz tonnelier, par derrière en partie ledit Sr Butz et en partie l’impasse dite Zinckengaessel où la maison a une issue sous le n° 8
Cet immeuble a été acquis par les conjoints Heintzen du Sr Charles Schweitzer, propriétaire à Strasbourg suivant contrat de vente reçu par M° Guillaume Grimmer, notaire à Strasbourg, le 2 août 1832 moyennant une rente viagère qui s’est éteinte par le décès du Sr Schweitzer. Les débiteurs certifient sous les peines de droit que cette maison leur appartient encore en toute propriété et qu’elle n’est grevée d’aucune autre dette, rente, privilège ni hypothèque que (…)
Michel Heintzen et Catherine Imbs hypothèquent la maison au profit de Claire Jacquet, femme du commerçant Antoine Morlock
1847 (28.7.), Strasbourg 10 (109), Not. Zimmer n° 6696
Obligation, 28 Juilley 1847 – Ont comparu Mr Michel Heintzen, menuisier & Dame Catherine Imbs, sa femme de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont reconnu et déclaré devoir bien et légitimement
à Dame Claire Jacquet demeurant à Strasbourg, épouse de M. Antoine Morlock, commerçant à Schlestadt, créancière ci présente et acceptant, ladite Dame séparée de biens de sondit mari ainsi qu’elle le déclare, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque, Une maison avec cour, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n°10, d’un côté le Sieur Pierret, de l’autre le Sieur Butz tonnelier, par derrière en partie ledit Sieur Butz et en partie l’impasse dite Zinckengaessel où la maison a une issue sous le n° 8
Cet immeuble a été acquis par le débiteur du Sr Charles Schweitzer, propriétaire à Strasbourg suivant contrat de vente reçu par M° Guillaume Grimmer, alors notaire à Strasbourg, le 2 août 1832 moyennant une rente viagère qui s’est éteinte par le décès du Sr Schweitzer. Les débiteurs certifient sous les peines de droit que cette maison leur appartient encore en toute propriété et qu’elle n’est grevée d’aucune autre dette, rente, privilège ni hypothèque que (…)
Testament de Michel Heintzen par lequel il lègue sa part de maison à sa fille Catherine
1858 (28.5.), M° Zimmer
Dépôt du testament olographe de Michel Heintzen, viant Menuisier à Strasbourg, décédé le 7 mai 1858. Ledit testament en date du 15 janvier 1857, enregistré aujourd’hui
acp 469 (3 Q 30 184) f° 73 du 29.5.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 127 (3 Q 31 626) f° 50-v du 29.5.
15 janvier 1857. Je lègue 1° à ma femme la jouissance viagère de la moitié de ma succession 2° à ma fille Catherine Heintzen ma part à notre maison rue Ste Elisabeth à charge par elle de décompter pour cela dans ma succession une somme de 4500 francs à laquelle elle aura toutefois elle-même une part, ce qui aviendra à mon petit fils devra reposer sur la maison sans intérêts jusqu’à sa majorité. (signé) Michel Heintzen
M° Zimmer notaire, (succession déclarée le le 2 9.bre 1858)
Michel Heintzen meurt dans son domicile à la Citadelle.
Décès, Strasbourg (n° 1030)
Acte de décès. Le 7 mars 1858 (…) ont comparu Laurent Kohl, âgé de 43 ans, boulanger, voisin du défunt domicilié à Strasbourg et Athanase Galleto, portier, voisin du défunt, domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Michel Heinzen, âgé de 75 ans, né à Bergheim (Grand duché de Berg), menuisier, époux de Marie Catherine Imbs, domicilié à Strasbourg, fils de feu Gaspard Heinzen cultivateur et de feu Eve Wirtz est décédé le 7 mai 1858 à une heure du matin en la maison Citadelle 10 [in margine :] maladie de cœur (i 10)
1858 (29.10.), M° Zimmer
Renonciation par Marie Catherine Imbs veuve de Michel Heintzer vivant menuisier à la Robertsau, à l’usufruit viager de la moitié de la succession de son mari en vertu de son testament olographe en date du 15 janvier 1817
acp 473 (3 Q 30 188) f° 46-v du 2.11.
Liquidation et partage
1859 (11.7.), Strasbourg 10 (139), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.161
11 juillet 1859. Liquidation et partage des biens de Michel Heintzen et de Marie Catherine Imbs
ont comparu 1) dame Marie Catherine Imbs, veuve de Michel Heintzen, vivant ancien menuisier, 2) Mlle Catherine Heintzen, institutrice, les deux demeurant et domiciliées à la citadelle de Strasbourg, 3) Mr Joseph Pomppé menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, quai des bateliers N° 4 agissant au nom et comme père et tuteur légal de Marie Jacques Léon Pomppé, mineur né le 14 mars 1850, issus du mariage du Sr Pomppé avec feue dame Marie Hélène Justine Caroline Heintzen son épouse défunte, Mlle Heintzen comparante et le mineur Pomppé habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour moitié de feu le Sr Michel Heintzen leur père et grand père respectif susnommé
4) Mr Hubert Oertel, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur (…), lesquels comparants désirant procéder au décompte et partage des biens et valeurs dépendant de la communauté qui a existé entre feu M. Heintzen et sa veuve comparante ainsi que de la succession dudit Sr Heintzen ont préalablement exposé les faits y relatifs ainsi qu’il suit
Observations préliminaires. Mr Michel Heintzen susnommé est décédé à la citadelle de Strasbourg le 7 mai 1858. Après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire, les présentes devant en tenir lieu en tant que besoin. Le défunt et sa veuve comparante ne possédaient aucun mobilier, attendu qu’ils habitaienr chez leur fille Mlle Heintzen comparante, leur fortune consistait uniquement dans une maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth N° 13, autrefois N° 10 qui a été vendue après le décès de M. Heintzen, ainsi qu’il sera dit ci après.
Aux termes de son testament olographe daté de Strasbourg du 15 janvier 1857 (…)
acp 479 (3 Q 30 194) f° 99-v du 15.7. (succession déclarée le 2 9.bre 1858) Communauté, Masse active, néant, Masse passive 8212
Succession, Masse active, prix de la maison 4500, Masse passive, moitié du passif de la communauté 4106, droits d’hérédité 55 total 4161, reste 338
Marie Catherine Imbs et sa fille Catherine Heintzen, chacune propriétaire pour moitié, vendent la maison en nue-propriété à Louis Charles Metz et en usufruit viager à Sophie Salomé Metz veuve du charron Melchior Merck
1859 (30.5.), Strasbourg 10 (139), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.091
ont comparu 1° dame Marie Catherine Imbs, veuve en premières noces de Mr Michel Heintzen, vivant menuisier, 2° Mlle Catherine Heintzen, institutrice, les deux demeurant et domiciliées à la citadelle de Strasbourg, lesquelles ont, par les présentes, vendu (…)
à Mr. Louis Charles Metz farinier la nue-propriété pour y réunir la jouissance après le décès de l’usufruitière ci après nommée et à dame Sophie Salomé Metz veuve de Mr Melchior Merck, vivant charron, l’usufruit viager de l’immeuble ci-après désigné, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs ci présens et acceptant
Désignation, une maison avec cour, droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue Ste Elisabeth N° 13, autrefois N° 10, d’un côté Mr Lamey de l’autre le Sr Butz tonnelier, par derrière le cul de sac dit Zinckgaessel où la maison a une issue et où elle portait autrefois le N° 8.
Etablissement de propriété. Cet immeuble dépendait de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre feu le Sr Michel Heintzen susnommé et dame Marie Catherine Imbs sa veuve comparante, pour avoir été acquis par eux de Mr Charles Schweitzer, propriétaire à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Louis Léopold Guillaume Grimmer, alors notaire à Strasbourg, le 2 août 1832, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 du même mois volume 259 N° 112 et inscrit d’office le même jour volume 219 N° 644. Cette acquisition a eu lieu moyennant une rente annuelle et viagère de 400 francs au profit du dit Sr Schweitzer, rente qui se trouve éteinte aujourd’hui par suite du décès de ce dernier.
Mr Michel Heintzen étant lui-même décédé le 7 mai 1858 en laissant pour seuls héritiers habiles à lui succéder 1° Mlle Catherine Heintzen, sa fille comparante pour une moitié, 2° et pour l’autre moitié le mineur Marie Jacques Léon Pomppé né le 14 mars 1850 son petit fils issu du mariage de feu dame Marie Hélène Justine Caroline Heintzen et de Mr Joseph Pomppé menuisier demeurant à Strasbourg, aujourd’hui son tuteur légal, ainsi qu’il sera constaté ci après. Par son testament olographe daté de Strasbourg du 15 janvier 1857, portant la mention Enregistré à Strasbourg le 29 mai 1858 folio 50 verso (…) ce testament déposé après l’accomplissement des formalités voulues par la loi en l’étude de M° Zimmer notaire soussigné par acte par lui dressé le 28 mai 1858, feu Mr Heintzen a légué à sa fille comparante sa part, soit la moitié dans l’immeuble présentement vendu, à charge de tenir compte dans sa succession d’une somme de 4500 francs sauf à n’y prendre sa part. Par le même testament le défunt Sr Heintzen a encore légué à sa veuve comparante l’usufruit viager de la moitié de sa succession mais par acte reçu par M° Zimmer, notaire soussigné le 29 octobre 1858, Mme veuve Heintzen renoncé purement et simplement à cet usufruit. Par suite l’immeuble présentement vendu appartient aujourd’hui à Mme veuve Heintzen et à Mlle Catherine Heintzen comparantes à chacune pour moitié.
Dans le contrat de vente du 2 août 1832. il est déclare que ledit Sr Schweitzer avait lui-même fait l’acquisition du dit immeuble durant la communauté de biens qui a existé entre entre lui avant la promulgation du code Napoléon et dame Sophie Stocker son épouse aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Bremsinnger, alors notaire à Strasbourg le premier thermidor an dix. Après la dissolution de cette communauté, le deux tiers du dit immeuble sont échus à M. Schweitzer, comme ayant participé pour pareille quotité à cette même communauté, et quant au dernier tiers il l’a recueilli dans la succession de son épouse, dont il était légataire universel, ainsi qu’il résulte d’un testament public reçu par M° Wengler, alors notaire en cette ville le 8 février 1822 et d’un inventaire dressé par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 13 juillet 1829.
Etat hypothécaire (…) Prix, 7000 francs
Notoriété. Aux présentes sont intervenus (…) lesquels ont attesté pour vérité et notoriété à qui il appartiendra 1) qu’ils ont parfaitement connu feu M. Michel Heintzen menuisier, 2) que le dit Sr Heintzen est décédé à Strasbourg le 7 mai 1858, 3) qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire, 4) et qu’il a laissé pour seuls héritiers habiles à lui succéder la dlle Heintzen comparante et le mineur Pomppé, sa fille et son petit-fils, 5) et que feu M. Heintzen et sa veuve comparante étaient mariés sous le régime de la communauté légale sans contrat
acp 479 (3 Q 30 194) f° 3-v du 3.6.
Originaire d’Altenhausen en Bavière, Melchior Merck épouse en 1829 Sophie Salomé Metz, fille du postillon Charles Louis Metz
Mariage, Strasbourg (n° 468)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 16 décembre 1829. Melchior Merk, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 décembre 1784 à Altenhausen, en Bavière, domicilié à Strasbourg, cordier, fils de Jacques Merk, Cultivateur à Altenhausen et de feu Barbe Brenner décédée à Altenhausen le 7 mai 1820
Sophie Salomé Metz, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 5 pluviôse en 8 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Charles Louis Metz, postillon décédé en cette ville le 15 prairial an 10 et de feu Sophie Salomé Hipp, décédée à Freistaett, grand duché de Bade le 30 juillet 1822 (signé) Melchior Merck, Sovie Salome Metz (i 30)
Frère de la précédente originaire de Rhein-Bischofsheim en Bade, Charles Louis Metz épouse en 1833 Marie Elisabeth Jung, fille de l’aubergiste Jean Georges Jung à Hatten.
Mariage, Strasbourg (n° 377)
Du 5° jour du mois d’octobre l’an 1833 à dix heures du matin. Acte de mariage, de Charles Louis Metz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 octobre 1802 à Rhein-Bischofsheim, Grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, garçon Meunier, fils posthume de feu Charles Louis Metz, postillon décédé en cette ville le 15 prairial an 10 et de feu Sophie Salomé Hipp, décédée à Freistett, grand duché de Bade le 30 juillet 1822
et de Marie Elisabeth Jung, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 10 prairial an 12 à Hatten (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Georges Jung, Aubergiste, ci présent et consentant et de Madeleine Rullmann, conjoints domiciliés à Hatten (signé) Karl Ludwig Metz, Maria Elisabetha Jung (i 27)
Marie Emanuel Jung meurt en octobre 1862 en délaissant trois enfants
1862 (4.12.), Strasbourg 13 (88), Not. Flach (Jean Georges) n° 4828
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Marie Elisabeth Jung et Louis Charles Metz
L’an 1862 le jeudi 4 décembre à deux heures de relevée à Strasbourg en la maison mortuaire, à la requête de 1° M. Louis-Charles Metz, farinier demeurant à Strasbourg, agissant en son nom personnel à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre lui et D° Marie-Elisabeth Jung son épouse défunte,
2° D° Caroline Metz, majeure d’ans, sans état, demeurant à Strasbourg, 3° Charles-Louis Metz, garçon meunier demeurant au Neuhoff, banlieue de Strasbourg, 4° Dlle Sophie Salomé Metz, majeure d’ans demeurant à Strasbourg,
lesdits Caroline, Charles-Louis et Sophie-Salomé Metz seuls enfants issus du mariage des époux Metz Jung comme tels habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de leur mère susnommée
(…) dans une maison sise à Strasbourg rue des petites arcades n° 16 où Mad. Metz est décédée le 21 octobre 1862.
Suit l’estimation du mobilier. Dans le poêle au premier, Dans la pièce à côté de la précédente, Cuisine, Magasin
Immeuble. Le Sr Metz déclare qu’il dépend de la communauté qui a existé entre entre lui et feu son épouse la nue propriété d’une maison avec cour, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Sainte Elisabeth N° 13 autrefois N° 10, d’un côté M Lamey, de l’autre le Sieur Butz et en partie le cul de sac dit Zinckengäßel où la maison a une issue et où elle portait autrefois le N° 8. Observation. L’usufruit viager de l’immeuble appartient à Mad. Sophie Salomé Metz, veuve du Sr Melchior Merck, vivant charron à Strasbourg
Titres de propriété. Il s’est trouvé une pièce qui est l’expédition d’un contrat de vente passé devant M° Zimmer et un collègue notaires à Strasbourg le 30 mai 1859 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 7 juin suivant volume 776 N° 7 et inscrit d’office le même jour volume 735 N° 261 et 262 Par lequel Dame Marie Catherine Imbs, veuve de Michel Heinzen, vivant menuisier et Madlle Catherine Heinzen, les deux demeurant à Strasbourg, ont vendu à Mr. Metz corequérant la nue-propriété et à Mad. Sophie veuve Merck née Metz l’usufruit viager de la maison cidessus désignée. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 7000 francs
acp 516 (3 Q 30 231) f° 80-v du 6. Xbr (succession déclarée le 16 janvier 1863)
Communauté, mobilier évalué à 1322, argent 400
une maison rue Sainte Elisabeth N° 13
Louis Charles Metz meurt en 1892 en délaissant deux enfants ou leurs représentants.
1892 (5.4.), Antoine Keller
Inventar über den Nachlaß des am 17. Februar 1892 hier verstorbenen Eigenthümers Ludwig Karl Metz.
Erben sind I. die Tochter Sophie Salome Metz Ehefrau von Joseph Lettscher, Holzhändler in Nancy, zu ½
II. die Kinder des verstorbenen Sohns Karl Metz 1. Karl Ludwig Metz, großjährig, Schneider in Eckbolsheim, 2. Sophie Metz, 3. Emil Metz, 4. Elise Metz, 5. Georg Metz, 6. Emilie Metz, minderjährig, unter Vormundschaft ihrer Mutter Katharina Hansz Wittwe Karl Metz in Eckbolsheim, zu ½
acp 856 (3 Q 30 571) f° 41-v n° 189 du 11.4. (Stbf. Bd 76 – St E v. 19/4. 92Bd 189 N° 93 – Forderung geschuldet durch 1. Wittwe & Kinder Karl Metz laut Schuldschein vom 1/6.80, 1600 & laut Schuldschein vom 1/4. 68, 800, zusammen 2400, 2. Eheleute Letscher auf Grund Schuldscheins vom 23/9 78, 2000 und vom 24/4.80, 400, zusammen 2400. Diese Beträge sind unverzinslich, 3. Xaver Ebel, Tagner & dessen Ehefrau Karoline Stern* in Bettehoffen laut Kauf vor Notar Flach hier vom 20/4.65, 540, Zins 23 (Summe) 5383
Ein Wohnhaus mit Rechten & Zubehörden, dahier St Elisabethgasse N° 13 abhängend von der zwischen dem Erblasser und seiner am 30/9.62 verstorbenen Ehefrau Maria Elisabeth Jung bestandenen Gütergemeinschaft
Rückständige Miethzinsen 159
Schulden 283
La maison reste indivise lors de la liquidation.
1892 (26.8.), Antoine Keller
(Amtsverweser Michel für Notar Keller den 26. August 1892, genenehmigt den 6. Oktober) Theilung des Nachlasses des am 17. Februar 1892 verstorbenen Ludwig Karl Metz, Wittwer Maria Elisabeth Jung, welche letztere gestorben ist am 30. September 1862.
Erben sind 1. die Tochter Sophie Salome Metz Ehefrau von Joseph Lettscher, Holzhändler in Nancy, 2. die Kinder des verstorbenen Sohns Karl Metz a) Karl Ludwig Metz, Schneider in Eckbolsheim, b) Sophie Metz, c) Emil Metz, d) Elise Metz, e) Georg Metz, f) Emilie Metz, minderjährig, unter Vormundschaft ihrer Mutter Katharina Hansz Wittwe Karl Metz in Eckbolsheim
Inventar vor amt. Notar vom 4. April 1892.
acp 864 (3 Q 30 579) f° 7-v n° 3371 du 11.10. – Rechnung des Notars. Einnehmen 796, Ausgaben 274, Rest 522
Activmasse, 1) Mobilien 107, 2) Forderungen 5710
Passivmasse, verschiedene Schulden 750 – bleiben 4952, die ½ 2476
Zutheilungen (…)
Ungetheilt bleibt ein Wohnhaus dahier St Elisabethgasse N° 13
Les héritiers (les enfants du meunier Charles Metz d’Eckbolsheim et Sophie Salomé Metz, femme du marchand de bois Joseph Letscher de Nancy) louent la maison au marchand épicier Florent Marchand
1893 (19.4.), Antoine Keller
Vermiethung – 1. Maria Katharina Hansz Wittwe des Müllers Karl Metz zu Eckbolsheim, handelnd als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer minderjährigen Kinder Emil Metz, Elise Metz, Georg Metz und Emilie Metz, sowie als sich starck tragend der großjährigen Kinder a) Sophie Metz in Diensten zu Fontainebleau, b) Karl Ludwig Metz z. Z. Soldat in Berlin, 2. Notariatsgehülfe hier, handelnd als Bevollmächtigter von Sophie Salome Metz Ehefrau von Joseph Letscher, Holzhändler in Nancy,
an Florentz Marchand, Spezereihändler hier
ein Wohnhaus mit Hof, Rechten und Zugehörden dahier Elisabethengasse N° 13, früher N° 10, auf neun Jahre vom 24. Junÿ 1893 bis 1902. – Miethzins 688 Mark
acp 871 (3 Q 30 586) f° 98 n° 372 du 21.4.
Sophie Salomé Metz, femme du marchand de bois Joseph Letscher de Nancy, vend sa part de maison à Marie Catherine Hansz, veuve de Charles Metz.
1896 (1.9.), Antoine Keller
N° 10.745. Verkauf durch den Bevollmächtigten von Sophie Salome Metz gewerblose Ehegattin von Joseph Letscher, Holzhändler zu Nancy wohnhaft
an Maria Catharina Hansz, ohne Gewerbe wohnhaft zu Eckbolsheim Wittwe des Müllers Carl Metz
der der Ehefrau Letscher gehörende unvertheilte Hälfte an folgendem Grundstück, Stadt Strassburg, ein Wohnhaus und Hof Rechten und Zubehörden in der St Elisabethgasse N° 13, section P N° 1317, Fläche 1 Ar 35. Ererbt im Nachlass ihrer Eltern der zu Straßburg verlebten Ehegatten Ludwig Carl Metz und Maria Elisabeth Jung, und zwar die Ehefrau am 30. September 1862 und der Ehemann am 12. Februar 1872, die genannten Ehegatten Metz-Jung haben die Ehefrau Letscher und den verstorbenen Carl Metz Ehemann der Ankäuferin, ihre beiden Kinder zu einzigen Erben hinterlassen. Kaufpreis 3200 Mark
acp 916 (3 Q 30 631) f° 65-v n° 2804 du 8.9.
(Louis) Charles Metz épouse en 1870 Marie Catherine Hans, originaire d’Eckbolsheim
Mariage, Eckbolsheim (n° 5)
Le 25 juin 1870 à dix heures du matin. Acte de mariage de Louis Charles Metz, âge de 33 ans, né à Strasbourg, Bas-Rhin le 26 janvier 1837, garçon meunier domicilié à Eckbolsheim fils légitime majeur de Metz Charles Louis âgé de 67 ans, farinier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feue Jung Marie Elisabeth, sans profession domiciliée à Strasbourg et y décédée le 21 octobre 1862
et de Marie Catherine Hans, célibataire, âgée de 22 ans, née à Eckbolsheim le 10 janvier 1848 (…) sans profession, fille légitime majeure de Hans Georges, âgé de 54 ans, journalier, domicilié à Eckbolsheim ci présent et consentant et de Schmidt Eve âgée de 47 ans, domiciliée à Eckbolsheim ci présente et consentante (signé) Metz Louis Charles, Hans Marie Catherine (i 4)
Marie Catherine Hansz, veuve de Charles Metz, et ses enfants vendent la maison à Maurice Keinert, employé du service d’anatomie de l’hôpital, et à Salomé Lutz.
1902 (25.10.), Antoine Keller
Verkauf ohne Auflassung, 25 Oktober Nr 19.192 – 1. Maria Katharina Hansz in Eckbolsheim Wittwe von Karl Metz eigenan Namens sowie als Inhaberin der elterlichen Gewalt über ihre minderjährige Tochter Emilie Metz geb. 24. März 1883 Ehefrau Johann Wurtz, Brauknecht in Eckbolsheim, ferner als Bevollmächtigte ihrer Kinder, a) Johann Georg Metz, z. Zt. Soldat in Berlin, b) Sophie Metz in Diensten ledig in Paris, 2. Emil Metz, Mechaniker in Genf, 3. Elise Metz, ledig, 4. Karl Ludwig Metz, Schreiner, beide in Eckbolsheim
an Moritz Keinert, Anatomiebeamter und Salome Lutz, Eheleute in Straßburg, unter der aufschwebenden Bedingung daß der Verkauf von dem Vormundschaftsgericht oder der Minderjährigen Emilie Metz nach erlangter Volljährigkeit genehmigt wird
Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus und Hof, Rechten und Zugehörd in der Sankt Elisabethengasse N° 13 (früher Nr 10) Flur 9 N° 40 (P 1317), 1,38 Ar, Hf, Whs, Nutz 700 M. Preis 9500 Mark
Das Grundstück gehört zum Nachlass der Ehegatten Ludwig Karl Metz, Eigenthümer gest. hier am 17. Februar 1892 und Maria Elisabeth Jung gest. hier 30. September 1862. Dieselbe wurden beerbt von ihren 2 Kindern Sophie Salome Metz Ehefrau Joseph Letscher in Nancy und Karl Metz Ehemann der Eschienenen zu 1. Die der Ehefrau Letschen zustehende Hälfte wurde durch Urkunde amtirenden Notars vom 1. September 1896 an die Wittwe Metz verkauft. Das Grundstück gehört demnachj der Wittwe Metz zur Hälfte und ihren Kinder, zur Hälfte
acp 1003 (3 Q 30 718. III) f° 93 n° 1919 du 30.10.
Originaire de Niederlauterstein en Saxe, Frédéric Maurice Keinert épouse en 1877 Salomé Lutz, originaire de Bischheim
Mariage, Strasbourg (n° 567)
Strassburg am 4. Oktober 1877. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung I. der Anatomie-Diener Friedrich Moritz Keinert, evangelischer Religion geboren den 15. Januar des Jahres 1851 zu Niederlauterstein (Sachsen), wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn der verstorbenen Eheleute Carl Gottlieb Keinert, Zimmermann und der Hermine Christine geb. Troehner, zuletzt wohnhaft zu Einsiedel Sensenhammer (Sachsen)
2. die Salome Lutz, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 16. Juli des Jahres 1854 zu Bischheim (Unter Elsass), wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des verstorbenen Tagners Friedrich Lutz, zuletzt zu Strassburg und der Catharina geb. Heitz ohne Beruf, wohnhaft zu Strassburg (i 80)
Ficher domiciliaire, cote 602 MW 351
Keinert Taglöhner / Anatomiediener Hospital / Rentner
Keinert, Friedrich Moritz, 15.1.51 Niederlauterstein († 13.2.15), Religion Ev.
Frau s. 4.10.77 geb. ([biffé] Heitz) Lutz Salome, 14.4.54, Bischheim († 20.10.08)
Kinder, Julie Mathilde Eugenie° 10/6.78 Straßburg
Albert Moritz 6/8.80 Strassburg, † 8/9.81
Alice° Maria Magdalena, 23.9.83 Strassburg (* Wil. Banspach)
Johanna° Bertha, 25.1.87 dt. († 17.3.87)
Wohnungsverhältniß, (?) Nicolauskaserne, Dätze
20.10.76. Spital v. Anatomie gebäude, Spitalwallstraße 1
4.4.10. u. Manteuffelstr. 3, Banspach
2.9.14 Elisabethgasse 13, R*
Frédéric Maurice Keinert meurt à l’établissement des Diaconesses en février 1913
Décès, Strasbourg (n° 622)
Strassburg, am 13. Februar 1915. Die Oberin des Diakonissenhauses hierselbst hat mitgeteilt, daß der Rentner Friedrich Moritz Keinert, Witwer von Salome Keinert, gebornen Lutz, 64 Jahr alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Strassburg Sankt Elisabethenstraße 13, geboren zu Niederlauterstein /:Sachsen:/ Sohn der verstorbenen Eheleute Karl Gottlieb Keinert, Bauunternehmer und Hermine Christiane gebornen Froehner, beide zuletzt zu Einsiede-Seusenhausen /:Sachsen:/, wohnhaft zu Straßburg + im Bürgerspital (+ statt im Bürgerspital muß es heißen in obengenannten Anstalt) am 13. Februarÿ des Jahres 1915 vormittags um vier Uhr verstorben sei (i 116)
Propriétaire inscrit au cadastre en 1920, le menuisier Jules Léon Felden, fils de l’orfèvre Léon Felden, épouse en 1902 Sophie Marguerite Heywang fille du menuisier Charles Heywang.
Mariage, Strasbourg (n° 531)
Strassburg am 27. Mai 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung I. der Schreinermeister Julius Leo Felden, evangelischer Religion geboren den 3. Oktober des Jahres 1875 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Judengasse 1, Sohn des verstorbenen Goldschmieds Leo Felden zuletet wohnhaft in Strassburg, und seiner Ehefrau Magdalena gebohren Wirotius, wohnhaft in Strassburg
2. die Sophie Margarethe Heywang, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 9. Mai des Jahres 1880 zu Strassburg wohnhaft in Strassburg, Tochter des Schreinermeisters Carl Heywang und seiner verstorbenen Ehefrau Salomea gebornen Schönbacher wohnhaft zuletzt in Strassburg [unterzeichnet] Julien Leon Felden Sophie Felden geb. Heywang (i 135)
La société anonyme SOCOTIM vend les maisons sises 11 et 13 rue Sainte-Elisabeth au gérant de société Jens Beyrich (Jens Wolfmar Beyrich)
1995, Strasbourg, Valentin Schott
Du 18 janvier 1995, N° 3756. Acte de vente
Maître Valentin Schott, soussigné, notaire associé de la société civile professionnelle Jean-Marie Ohnet et Valentin Schott notaires associés (…) a reçu le présent acte de vente
A la requête de 1° Monsieur Jean-Marc Kohlmann, président directeur général, domicilié professionnellement à Strasbourg, 18, avenue de la Forêt Noire, agissant en sa susdite qualité au nom et pour le compte de la société dénommée SOCOTIM, société anonyme au capital de 250.000 francs, ayant siège social à Strasbourg, 18, avenue de la Forêt Noire, immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Strasbourg sous le numéro B 339 732 117, Monsieur Kohlmann ayant tous pouvoirs à l’effet des présentes en vertu de l’article 113 alinéa 3 de la loi du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales (…) d’une part
2° Monsieur Jens Wolfmar Beyrich, gérant de société demeurant à Berlin (Allemagne), Hindenburgamm 76-C, célibataire, né à Sorengo (Suisse) le 30 &12& 1961 (…) d’autre part
lesquels comparants déclarent ce qui suit. Monsieur Jean-Marc Kohlmann, ès qualité (…) vend à Monsieur Jens Wolfmar qui déclare accepter la pleine propriété des biens immeubles sis
Ville de Strasbourg, 11, rue Sainte-Elisabeth cadastrés
section 9 n° 41, rue Sainte-Elisabeth n° 11 – 0,94 are, sol, maison
section 9 n° 39, impasse des Cornets n° 4 – 0,67 are, sol, maison
section 9 n° 40, rue Sainte-Elisabeth n° 13 – 1,38 are, sol, maison
section 9 n° 53, impasse des Cornets – 1 are, voie publique
soit un ensemble d’un seul tenant d’une contenance totale de 3,99 ares surbâti d’un immeuble. Tels que lesdits biens existent, s’étendent, se poursuivent et se comportent avec toutes leurs aisances et dépendances, sans exception ni réserve
Origine de propriété. Les biens présentement vendus sont inscrits sur le feuillet n° 6457 du livre foncier de Strasbourg ouvert au nom de la Société anonyme SOCOTIM. Celle-ci en est devenue propriétaire pour les avoir acquis aux termes d’un acte de vente reçu par le notaire soussigné en date du 9 août 1994. Pour plus de précisions concernant l’origine de la propriété antérieure, il est fait référence aux annexes correspondantes du Livre foncier de Strasbourg.
Propriété, jouissance (…), Charges et conditions (…) Prix de vente
Joint au dossier Sainte-Elisabeth n° 13-11 (1198 W 2467)