21, rue Sainte-Elisabeth (ancien 19)
Rue Sainte-Elisabeth n° 21 – VIII 126 (Blondel), P 1311 puis section 9 parcelle 31 (cadastre)
Auberge du Bœuf noir (1817, 1834) – Transformée en 1846, maître d’ouvrage Antoine Marx, aubergiste – Démolie en 1966 – Nouveau bâtiment à la place des anciens 19-21, architecte Alfred Kronenberger (1966)
Les n° 19 et 21 appartiennent au même propriétaire à partir de 1885
Le n° 19 (à l’ouest) comprenait les anciens n° 17 et 18, parcelles Blondel VIII 124 et 125 (réunis en 1772)
Le n° 21 (à l’est) comprenait les anciens n° 19 et 20, parcelles Blondel VIII 126 et 127 (réunis en 1820)
Le n° 21 vers 1942 (AMS, cote 1003 W 3, n° 1597). L’ancien n° 19 est à gauche (porte et quatre fenêtres au rez-de-chaussée)
Bâtiment construit en 1966 à la place des n° 19 et 21 (anciens n° 17 à 20)
La maison qui comprend un bâtiment avant sans encorbellement et un bâtiment arrière est inscrite au nom du charpentier Christophe Seiger dans le Livre des communaux (1587). Elle appartient de 1615 à 1639 au tonnelier Georges Feigellauel puis à Jean Jacques Bader, fils mineur du meunier à Plobsheim. Elle appartient à nouveau à des Strasbourgeois à partir de 1680 : au tonnelier Jean Caspar Dürr, au boucher Pierre Pfeiffer (1690), aux tonneliers Jean Michel Gœll puis André Heim. Le menuisier Jean Philippe Buck, propriétaire d’une maison au quai Finckwiller, l’achète par enchère judiciaire en 1732. Propriétaire à partir de 1772, le tonnelier Jean Daniel Breu l’habite et la fait repeindre en 1773. L’étage neuf que mentionne l’Atlas des alignements doit avoir été reconstruit par le boucher Théophile Hiller qui achète la maison (n° 19) en 1815 puis sa voisine (n° 20) en 1820. Il y établit l’auberge au Bœuf noir, citée en 1817.
Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) Arrière des maisons entre l’impasse Sainte-Elisabeth (à droite) et la rue Saint-Louis (à gauche).
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (Musée des Plans-relief) 1.
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage neuf. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (p-q) : quatre fenêtres et porte au rez-de-chaussée, étage à cinq fenêtres, toiture à trois lucarnes et treuil. La cour (Z’) montre la façade arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le pignon (3-4) d’un bâtiment à l’arrière.
La maison porte d’abord le n° 19 (1784-1857) puis le n° 21 qui correspond aux anciens 19 et 20.
Cour (Z’) – Plan correspondant, orienté sud-nord comme l’image du plan-relief de 1725
L’auberge est ensuite exploitée par le propriétaire suivant, Philippe Gæckler qui est assassiné en 1841 puis par le deuxième mari de sa veuve, Pierre Antoine Joseph Marx qui la fait en partie démolir et reconstruire en 1846 d’après le cadastre. L’officier de santé François Nagel qui habite place Kleber l’acquiert lors de la vente judiciaire en 1850. Marie Joséphine Paris y établit en 1857 un ouvroir (établissement de charité) qui se trouvait auparavant rue Saint-Louis. Le tourneur et fondeur Jean Jacques Decker s’y établit en 1866. Sa créancière fait vendre la maison par enchère judiciaire en 1885. Déjà propriétaire des bâtiments voisins n° 19, le fabricant de chaises Joseph Hummel l’achète et en transmet la propriété à son fils Alfred Hummel (1909).
La photographie prise vers 1942 (plus haut) montre que le rez-de-chaussée et le premier étage sont ceux représentés sur les dessins de 1830, le deuxième étage a été rajouté sans doute en 1846. Anne Hamm veuve de Richard Schmitz vend le 29 septembre 1964 les bâtiments sis 19 et 21, rue Sainte-Elisabeth à la société civile immobilière Mercure qui y fait construire en 1966 sous la direction de l’architecte Alfred Kronenberger un bâtiment à rez-de-chaussée, trois étages et combles aménagés comprenant 43 studios.
Façade rue Sainte-Elisabeth (1964, architecte Alfred Kronenberger, dossier de la Police du Bâtiment)
Fenêtres percées en 1991 dans le pignon est (dossier II de la Police du Bâtiment)
août 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1592 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Adam Haupt, charpentier, et (1565) Marguerite Wagner d’abord (1559) femme de Martin Doll – luthériens | ||
1576 | h | Christophe Seiger, charpentier, et (1576) Marguerite Wagner d’abord (1559) femme de Martin Doll puis (1565) d’Adam Haupt, (1586) Barbe d’abord femme de Jean Richert puis (1581) du tisserand Jean Martin – luthériens |
1615* | h | Georges Berger, charpentier, et (1594) Marguerite Seiger – luthériens |
1615 | v | Georges Feigellauel, tonnelier, et (1613) Catherine Ratke – luthériens |
1639 | v | Jean Jacques Bader, meunier à Plobsheim puis à Hugsweier – luthérien |
1680 | v | Gaspard Dürr, tonnelier, et (1660) Agnès Hünerer puis (1673) Susanne Füssinger – luthériens |
1690 | v | Pierre Pfeiffer, boucher, et (1688) Marthe Jung – luthériens |
1707 | v | Michel Gœll, tonnelier, et (1697) Susanne Dürr, (1701) Anne Barbe Füssinger puis (1715) Anne Marguerite Weber – luthériens |
1715 | v | André Heim, tonnelier, et (1712) Catherine Salomé Reiber – luthériens |
1732 | adj | Jean Philippe Buck, menuisier, et (1714) Anne Dorothée Waldeck – luthériens |
1772 | v | Jean Daniel Breu, tonnelier, et (1765) Marguerite Salomé Wenger – luthérien et réformée, puis (1799) Anne Marie Meckert, d’abord (1771) femme du peintre Jean Daniel Heimlich |
1814 | v | Jean Michel Haug, tonnelier à Barr, et (1806) Marie Catherine Grimm, veuve du tonnelier George Léonard Stellwag |
1815 | v | Théophile Hiller, boucher, et (1810) Catherine Locker d’abord (1805) femme du boucher Laurent Stahl, remariée (1832) avec Valentin Leicht |
1834 | v | Charles Chrétien Pick, brasseur, et (1807) Salomé Madeleine Brandhoffer |
1834 | v | Philippe Gæckler, tonnelier, et (v. 1832) Marie Friess |
1847 | h | (Pierre) Antoine (Joseph) Marx, tanneur puis aubergiste, et (1843) Marie Friess veuve de Philippe Gæckler puis (1849) Joséphine Stotzenbach |
1850 | adj | François Nagel, officier de santé, célibataire († 1858) |
1858 | h | Sophie Nagel, rentière, célibataire († 1866) |
1866 | v | Jean Jacques Decker, tourneur et fondeur, et (1851) Dorothée Sophie Rosenfelder |
1885 | adj | Joseph Hummel, fabricant de chaises, et (1872) Marguerite Caroline Wœller |
1909 | h | Alfred (Philippe Auguste) Hummel, commerçant, et (1910) Berthe Hamm |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 200 livres en 1761
Valeur vénale : 650 livres en 1707, 750 livres en 1715, 700 livres en 1772
(1765, Liste Blondel) VIII 126, le nommé Buck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Breÿ, 5 toises, 2 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1311, Gaeckler, Philippe, aubergiste – maison, sol – 1,35
Locations
1736, Protais Trampont, peseur à la douane
1857, Marie Joséphine Paris, directrice d’établissement de charité
1875, Etienne Favy, fondeur de cuivre et de laiton
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 343
Le charpentier Christophe Seger règle 2 sols 8 deniers pour sa maison rue Sainte-Elisabeth, à savoir deux marches en bois devant sa porte (4 pieds ½ de long, 2 pieds ½ de large), une cheminée saillante à deux corbeaux (3 pieds de large, saillie de 1 pied ½) et un chenal en bois
Sanct Elisabethen Gassen Einseitten hinauffwerths Dem Thor Zu
Stoffel Seger Der Zimmermann hatt vor seiner Haußthüeren Zwen hültzene Tritt v= schu lang, ii+ schu breit, Item ein Vßgeladen Kemmat mit Zweÿen Kaëpffern iij schu breit, i+ schu herauß, Darbeÿ ein hültzenen Naach, Bessert für das Nießen, ij ß viij d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1773, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Jean Jacques Fausser est autorisé à repeindre la maison du tonnelier Daniel Breu
(f° 213) Dienstags den 8. Junii 1773. Daniel Breu Kiefer – Idem [Mr Johann Jacob Feßler der Maurer] nôe. Daniel Breu, des Kiefers, bittet ihme zu erlauben deßen behausung an der St Elisabethæ Gaß gelegen anzustreichen. Erkannt, Augenschein
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth
nouveau N° / ancien N° : 10 / 19
Hiller
Rez de chaussée et 1° étage neuf en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 357 case 2
Gauckler Philippe, aubergiste
P 1311, maison, sol, rue Ste Elisabeth 19, 20
Contenance : 1,35
Revenu total : 144,70 (144 et 0,70)
Folio de provenance :
Folio de destination : (sol) 357, (maison) démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1848
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 6
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 357 case 4
Marx Pierre Antoine Joseph
Nagel François (substitution, p. 1851), place Kleber 15
P 1311, maison, sol, rue Ste Elisabeth 19, 20
Contenance : 1,35
Revenu total : 160,70 (160 et 0,70)
Folio de provenance : 357
Folio de destination : n. c.
Année d’entrée : 1848, (n.c.) 1849
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 29
fenêtres du 3° et au-dessus :
1849, Augmentations – Marx Pierre Ant. Jh. f° 357, P 1311, maison, revenu 160, reconstruction, achevée en 1846, imposable en 1849, imposée en 1849
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 726 case 1
Nagel François, place Kleber 15
1867 Decker, Jean Jacques, fondeur
1887/88 Hummel Joseph, Stuhlfabrikant
P 1311, maison, sol, Rue Ste Elisabeth 21
Contenance : 1,35
Revenu total : 160,70 (160 et 0,70)
Folio de provenance : (357)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 29
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 p. 115 case 10
Parcelle, section 9, n° 31 – autrefois P 1310.p, 1311
Canton : St. Elisabethhgasse Hs N° (19) 21
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,90
Revenu : 1500 – 2100
Remarques
(Propriétaire), compte 582
Hummel Joseph d. Erben u. Wwe in aufgel. Gg. d. a. R.
1904, Hummel Josef, Ww.
1909, Hummel Alfred
1932, Hummel Alfred et son épouse née Hamm
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe p. 448
19
Pr. – Brey, J. Daniel – Tonneliers
loc. – Reibel, Magd. non mariée
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Elisabethgasse (Seite 30)
(Haus Nr.) 21
Kayser, Schlosser. 0
Waffenschmidt, Maurer. 0
Böllinger, Tagner. 1
Hummel, Stuhlfabrikant. 1
Gauer, Tagner. 2
Heininger, Tagner. 2
Langlotz, Tagnerin. 3
Stolz, Maler. 3
Bernauer, Schlosser, H 1
Götzmann, Maurer, H 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 234)
19-21 rue Sainte-Elisabeth (1875-1982)
Le dossier a trait au n° 19 (sans le n° 21) avant l’achat par la société civile immobilière.
Le propriétaire Hummel fait convertir en 1875 la fenêtre à côté du portail en porte et agrandir la deuxième fenêtre. Les eaux stagnent dans la cour en 1884 parce que la rigole traverse un creux. La veuve Hummel a son principal atelier dans la prison en 1893, celui dans la maison n’occupe que deux vieux ouvriers. Alfred Hummel demande en 1918 l’autorisation de continuer à exploiter un débit de boissons dans une salle à côté de son épicerie (n° 19). Joseph Gestner demande en 1948 l’autorisation d’exploiter une buvette au n° 19. Le grossiste en vins Geyl et Bastian fait apposer une enseigne sur le lambrequin de l’épicerie Kuhn (n° 19).
Anne Hamm veuve de Richard Schmitz vend le 29 septembre 1964 les bâtiments sis 19 et 21, rue Sainte-Elisabeth à la société civile immobilière Mercure (rez-de-chaussée et deux étages, huit logements, soubassement en maçonnerie, structure en bois remplie de briques et recouverte d’un épais crépi). Le maire accorde le permis de démolir en novembre 1964.
La parcelle 32 est en retrait (0,5 mètres) de l’alignement, le propriétaire devra acquérir 2 m² de la voie publique. L’architecte A. Kronenberger fait les plans d’un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages (41 studios) à structure en béton armé, planchers en dalle de béton armé, murs de façade remplis en maçonnerie de briques cellulaires, cloisons intérieures en briques cellulaires (août 1964). Suite à des observations de la Police du Bâtiment, l’architecte modifie la façade, le bâtiment comprend six places de stationnement supplémentaires, un logement de concierge et 43 studios (rez-de-chaussée, trois étages et combles aménagés). La Police du Bâtiment demande de nouveaux plans à l’architecte en décembre 1964. La commission consultative du permis de construire émet un avis défavorable en juin 1965, la distance latérale de vue n’étant pas respectée. L’architecte Alfred Kronenberger transmet en octobre 1965 les plans approuvés par la commission. Le maire accorde une dérogation à l’arrêté municipal du 9 janvier 1961 quant au nombre de place de stationnement. Il accorde le permis de construire un bâtiment d’habitation (44 studios et un logement de concierge). Les anciens bâtiments sont démolis entre le 5 juillet et le 4 octobre 1966. Le maire accorde en octobre 1966 un avenant au permis de construire après que l’aménagement des logements a été modifié (19 places de stationnement, 3 studios au rez-de-chaussée, 7 à chacun de des quatre étages, 2 appartements au rez-de-chaussée, trois à chacun des autres étages, surface totale 1661 m²). Le maire accorde en octobre 1966 le permis de construire pour aménager un ascenseur. Le gros œuvre est achevé au printemps 1967.
Sommaire
- 1875 – Le sieur Haussmann demande au nom du propriétaire Hummel de faire des transformations au rez-de-chaussée du n° 19 : convertir en porte la fenêtre à côté du portail et agrandir la deuxième fenêtre – L’agent voyer note que la façade est alignée et que la largeur de la rue est fixée à plus de dix mètres
- 1884 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police concernant le pavage de la cour au 19, rue Sainte-Elisabeth. L’inspecteur Nebelung constate que la rigole qui conduit les eaux vers la rue a des renfoncements et que des travaux sont nécessaires pour éviter les eaux stagnantes.
- 1886 – Le maire notifie le fabricant de chaises Joseph Hummel, propriétaire, de faire ravaler les façades du 19, rue Sainte-Elisabeth – Travaux terminés, octobre 1886
- 1886 – L’entreprise A. Schoop et G. Mayer demande l’autorisation de faire des raccords aux canalisations municipales aux 2 et 19-21, rue Sainte-Elisabeth – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1886 – Dessin
- 1887 – L’agent municipal Stieffel constate que J. Hummel fait faire sans autorisation des travaux par le sieur Matter
1887 – Le maire notifie Joseph Hummel de faire ravaler les façades du 21, rue Sainte-Elisabeth – Travaux terminés, octobre 1886
Le maître maçon A. Matter (7, rue des Aveugles) demande l’autorisation de réparer la façade – Autorisation de réparer le crépi aux 19 et 21, rue Sainte-Elisabeth et 2, impasse Sainte-Elisabeth, accordée quand les travaux sont terminés - 1893 – Le maire écrit à la veuve Hummel que la maison ne satisfait pas au règlement du 30 novembre 1891. Le fourneau de l’atelier ne présente pas les garanties contre les risques d’incendie. La veuve déclare que les ateliers de sa fabrique de chaises (20 ouvriers) se trouvent dans la prison, de même que son entrepôt de bois. Seuls deux ouvriers âgés travaillent dans sa maison, il vaudrait mieux fermer ce petit atelier que d’y faire des transformations importantes. L’agent municipal suggère de faire certains travaux à peu de frais. Plan du rez-de-chaussée (croquis) – Travaux terminés, décembre 1893
- 1894 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Hummel l’autorisation de faire une prise pour environ 20 becs au 19, rue Sainte-Elisabeth – Autorisation
- 1902 – Le maire notifie la veuve Joseph Hummel de faire ravaler les façades du 19, rue Sainte-Elisabeth – Elle demande un an de délai (papier à lettres Stuhl- & Möbel-Fabrik Hummel, gegründet 1859, Inh. Wwe Caroline Hummel, St. Elisabethengasse 19 – Fabrique de chaises et de meubles fondée en 1859) – Travaux terminés, septembre 1903
1903 (juillet) – L’entrepreneur en bâtiment E.Matter (3, rue de la Broque) demande au commissaire de police de poser des échelles sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire – Autorisation de poser un échafaudage – Prolongations – Travaux terminés, septembre 1903 - 1905 – Le Service d’architecture déclare que le plan des canalisations prévoit deux cabinets d’aisance dans la cour du 19, rue Sainte-Elisabeth. Il demande à la veuve Hummel de faire les travaux. – Les travaux n’ont pas lieu, le dossier est provisoirement classé, mars 1909.
1909 (septembre) – Le propriétaire Hummel transmet les dessins du nouveau cabinet d’aisance – Autorisation accordée à la veuve Hummel – Travaux terminés, avril 1910 – Plan - 1912 (juin) – Alfred Hummel demande l’autorisation de poser un distributeur automatique de chocolats et de bonbons – Le commissaire de police transmet au maire – Croquis (la machine se trouve à l’angle ouest du n° 19, à l’arrière de l’alignement légal) – Autorisation
1912 (décembre) – Alfred Hummel déclare que la machine fournie par Joseph Oberlander (fabrique Kosmos à Fürth) se trouve désormais dans une baie de fenêtre - 1918 – Dossier. Alfred Hummel demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons du 19-21, rue Sainte-Elisabeth – Compte rendu. Le débit se trouve dans une salle de 20 m² (au lieu des 25 m² réglementaires) d’une hauteur de 2,20 mètres (au lieu des 2,50 mètres réglementaires).
1919 – Dossier. Alfred Hummel demande l’autorisation de servir de la bière, du vin et de l’eau-de-vie dans une salle à côté de son épicerie. La salle a 14,90 m² et une hauteur de 3,50 mètres. Liste de travaux à faire en cinq points. - 1919 – Rapport de la Commission des logements. Liste de travaux à faire en cinq points. – Travaux en partie terminés, 1922 – L’immeuble sera surveillé par la division des logements, 1925
- Commission contre les logements insalubres. 1906, remarques en 4 points.
1907, remarque sur le logement Kuntz au rez-de-chaussée
1908, remarques en 5 points.
1909, Alfred Hummel déclare qu’il a acheté la maison de sa mère le 26 janvier 1909 (papier à lettres Alfred Hummel, Spezereihandlung, Flaschenbier, Wein und Branntwein, Tabak und Cigarren)
Rapport au conseil municipal relatif à des mesures coercitives contre les propriétaires de logements insalubres – Le maire transmet le rapport au propriétaire – Les travaux sont en cours
1910. 1912, 1915, plaintes du locataire Wussler – 1915, plainte (non fondée) du locataire Friedel
1915. Commission des logements militaires. Remarques en 9 points
1918. Rapport sur un logement mal tenu par ses locataires, logement Schœnferber, logement Wack
1919, nouveau rapport, travaux à faire en 10 points
1919, plainte (fondée) du locataire Neumüller (toute la maison et les différents logements donnent une impression d’abandon)
1920, plainte du locataire Gothel (rez-de-chaussée)
1920, nouveau rapport, travaux à faire en 5 points
1921, plainte du locataire Wussler (deuxième étage)
1925. la visite des lieux ne donne lieu à aucune observation - 1948 – La Division I (logement) demande de visiter le logement au rez-de-chaussée de la maison arrière que le propriétaire Hummel déclare inhabitable – Le petit logement humide a été interdit à l’habitation avant guerre.
- 1948 – Le préfet demande un rapport. Joseph Gestner (demeurant à Hussein Jays en Algérie) demande l’autorisation d’exploiter le débit buvette au 19, rue Sainte-Elisabeth. La petite salle a 2 mètres de haut au lieu de 3,50 mètres, pour le reste les locaux sont conformes au règlement
- 1955 – Les Vins en gros Geyl et Bastian (à Vendenheim) demande l’autorisation de poser une enseigne sur lambrequin à l’épicerie Kuhn, 19, rue Sainte-Elisabeth – Autorisation – L’enseigne est posée, juin 1956.
- 1964 – Le Ministère de la Reconstruction adresse au maire copie du certificat d’urbanisme adressé au notaire Albert Sonner – La Division VI déclare que les parcelles 31 et 33 suivent l’alignement légal. La parcelle 32 est en retrait (0,5 mètres) de l’alignement, le propriétaire devra acquérir 2 m² de la voie publique. La hauteur des constructions jusqu’à la corniche principale ne devra pas excéder la largeur de la rue. – Plan cadastral de situation
- 1966 – La société civile immobilière Mercure (1, place de Lattre) est autorisée à poser une clôture sur la voie publique – Prolongations jusqu’en août 1967.
- 1964 (août) – Maximilien Mayerl dépose une demande de permis de construire sur un terrain sis 19-21, rue Sainte-Elisabeth et 2, impasse Sainte-Elisabeth. Propriétaire, Anne Hamm veuve de Richard Schmitz, section 9 n° 31, 32, 33
Anne Hamm veuve de Richard Schmitz donne le 20 février 1964 mandat au gérant de société Henri Bronner de vendre les immeubles
Notice sur la construction d’un immeuble d’habitation par l’architecte A. Kronenberger (6, rue Sabine). Sous-sol, aire de stationnement. 41 studios (9 au rez-de-chaussée, 11 aux premier et deuxième étages, 10 au troisième étage), total 1.141 m². Structure en béton armé, planchers en dalle de béton armé, murs de façade remplis en maçonnerie de briques cellulaires, cloisons intérieures en briques cellulaires. Ascenseur.
1964 (octobre) – Remarques de la Division VI. Les places de stationnement (11) sont insuffisantes pour 41 studios. L’aspect de la façade n’est pas satisfaisant, les baies devraient être plus régulièrement réparties. Le retrait du dernier étage devrait être supprimé pour que la toiture ait une pente plus importante.
1964 (novembre) – La société civile immobilière Mercure transmet un nouveau projet. Description sommaire par l’architecte A. Kronenberger. Sous-sol, aire de stationnement de 11 places. Rez-de-chaussée, aire de stationnement de 6 places, logement du concierge un studio. Premier étage 11 studios, deuxième étage 11 studios, troisième étage 10 studios, combles 10 studios, total 1.231 m². Structure en béton armé, planchers en dalle de béton armé, murs de façade remplis en maçonnerie de briques cellulaires, cloisons intérieures en briques cellulaires. Ascenseur.
1964 (décembre) – Remarques de la Division VI qui n’a plus d’objection contre la façade sur rue mais l’étage en retrait devrait être remplacé par un étage ordinaire. - 1964 (septembre) – La société civile immobilière Mercure demande au préfet l’autorisation de démolir les bâtiments sis 19 et 21, rue Sainte-Elisabeth qu’elle a acquis le 29 septembre 1964 de la veuve Schmutz par acte passé devant le notaire Hiff
Questionnaire. 19, rue Sainte-Elisabeth à rez-de-chaussée et deux étages, huit logements, pour cause de vétusté et insalubrité (les photographies citées ne sont pas jointes au dossier).
Extrait du rapport (octobre 1964). Les bâtiments en partie construits sur cave ont une structure en bois à tenons et mortaises sur un soubassement en maçonnerie, remplie de briques et de plâtras. L’épais crépi empêche le pan de bois de respirer. Des étais métalliques et des linteaux IPN consolident les bâtiments. Les murs du 2, rue Sainte-Elisabeth ne sont plus à la verticale.
1964 (novembre) – Le maire accorde le permis de démolir. - 1964 (décembre) – La Police du Bâtiment demande de nouveaux plans à l’architecte
1965 (janvier) – La société civile immobilière Mercure demande que le permis de construire soit établi au nom de la S.C.I.
Elle demande au préfet une dérogation aux articles 3 et 5 du règlement sanitaire départemental. La hauteur prévue du bâtiment est de 12 mètres alors que la largeur de la rue est comprise entre onze et douze mètres
1965 (février) – Le directeur départemental de l’action sanitaire et sociale demande au maire un avis motivé quant à la dérogation
Maximilien Mayerl dépose une demande de permis de construire au nom de la S.C.I. Le Mercure sur les parcelles 31, 32 et 33 de la section 9 (19-21, rue Sainte-Elisabeth et 2, impasse Sainte-Elisabeth
1965 (mars) – Le service d’hygiène estime que la dérogation peut être accordée, la hauteur sous corniche est de 11,75 mètres. Il estime cependant que certaines fenêtres à l’arrière, orientées vers le nord ne satisfont pas au règlement quant à la distance minimale autorisée entre les bâtiments.
1965 (juin) – La commission consultative du permis de construire émet un avis défavorable, la distance latérale de vue n’étant pas respectée.
1965 (septembre) – Nouvel avis défavorable, les façades n’étant pas conformes aux plans
1965 (octobre) – Elle émet un avis favorable après avoir examiné les nouvelles façades – L’architecte Alfred Kronenberger transmet les plans approuvés par la commission
1965 (novembre) – Le Ministère de la construction émet un avis favorable au permis de construire en énumérant les conditions à respecter
1966 (janvier) – Le directeur départemental de l’action sanitaire et sociale estime que la hauteur prévue peut être tolérée et qu’une dérogation n’est donc pas nécessaire.
Le maire accorde une dérogation à l’arrêté municipal du 9 janvier 1961 quant au nombre de place de stationnement. La S.C.I. Le Mercure peut limiter lesdites places à dix-sept.
Le maire accorde le permis de construire un bâtiment d’habitation (44 studios et un logement de concierge)
1966 – Les anciens bâtiments sont démolis entre le 5 juillet et le 4 octobre
1966 (juillet) – Maximilien Mayerl demande un avenant au permis de construire après que l’aménagement des logements a été modifié (19 places de stationnement, 3 studios au rez-de-chaussée, 7 à chacun de des quatre étages, 2 appartements au rez-de-chaussée, trois à chacun des autres étages, surface totale 1661 m² – Description sommaire)
1966 (août) – Le maire transmet le dossier avec avis favorable
1966 (septembre) – Le Ministère de la construction émet un avis favorable
1966 (octobre) – Le maire accorde l’avenant au permis de construire - 1966 (septembre) – L’architecte demande l’autorisation d’installer un ascenseur
1966 (octobre) – Le maire accorde le permis de construire correspondant
1966 (novembre) – Maximilien Mayerl transmet la déclaration d’ouverture de chantier et demande réception de l’alignement et du nivellement - Suivi des travaux. L’entreprise Sultzer et Compagnie creuse la fosse des fondations, octobre 1966. Les murs en béton de la cave sont coulés, novembre. La maçonnerie est achevée, la charpente posée, l’installation intérieure est en cours, mai 1967. La couverture est achevée, les ouvriers posent les fenêtres, juin 1967. Le ramoneur Albert Dorn (20, rue du Général Rapp) délivre un certificat, juillet. La plâtrerie et le carrelage sont terminés, août. L’aménagement intérieur se poursuit, octobre 1967. Les travaux sont terminés, les logements occupée, janvier 1969
1969 (janvier) – Le directeur technique J.-J. Bub transmet au nom de la S.C.I. Le Mercure un jeu de plans
1968 (août) – La direction générale des impôts demande, suite à l’acte du 28 septembre 1964, un certificat qui atteste qu’un bâtiment est construit sur le terrain acquis. – Nouvelle demande, mars 1969 – Le maire délivre le certificat, avril 1969
1969 (décembre) – Le Ministère de la construction délivre le certificat de conformité - 1977 – Chargés de vendre un appartement, les notaires associés Gérard Jost et Jean Nicklès (4, rue de l’Eglise) demandent des documents
1978 – Le notaire Eugène Schneider, chargé de la succession de Cunibert Ziegler, demeurant 26, rue des Carolingiens à la Montagne-Verte, demande des documents
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 217)
Rue Sainte-Elisabeth n° 19-21 (dossier II, 1982-1994)
La co-propriétaire Karine Jund fait percer une fenêtre par niveau, soit cinq fenêtres, dans le pignon est en 1991
Sommaire
- 1982 – Le notaire Pierre Geny (16, rue de la Nuée Bleue) demande des renseignements d’urbanisme
1983 – Le notaire Pierre Schaffar (29, place Kleber) demande des renseignements d’urbanisme au nom de Gabriel Tuchel, de Mulhouse
1986 – Les notaires associés Pierre Geny et Jacques Garnier (16, rue de la Nuée Bleue) demandent des renseignements d’urbanisme au nom des conjoints Gambotti
1987 – Le notaire Philippe Heinrich (9, place Broglie) demande des renseignements d’urbanisme au nom de Chrétien Guth
1988 – Les notaires associés Pierre Geny et Jacques Garnier (16, rue de la Nuée Bleue) demandent des renseignements d’urbanisme au nom de Jules Hoffelt (45, boulevard Petrusse à Luxembourg)
1990 – Les notaires associés Gaspard Hauth et Luc Ehret (2, passage de l’Hôtel de Ville à Mulhouse) demandent des renseignements d’urbanisme
1990 – Le notaire Philippe Heinrich (9, place Broglie) demande des renseignements d’urbanisme au nom de Henri El Haïk (rue du Maréchal Foch à Lingolsheim)
1990 – Le notaire Paul Trienbach (10, quai Kleber) demande des renseignements d’urbanisme (lot n° 10)
1990 – Le notaire Willy Nonnenmacher (4, place du Général de Gaulle à Saverne) demande des renseignements d’urbanisme (lot n° 20) - 1990 – Karine Jund, co-propriétaire, demande l’autorisation de percer cinq fenêtres dans le pignon (à l’est, une fenêtre par niveau d’après le dessin) – Devis de l’entreprise de construction Martino – Plan de l’appartement, coupe du bâtiment ( Juin, le maire autorise les travaux suite à l’avis favorable du préfet et de l’architecte des Bâtiments de France. – Les travaux sont en cours, février 1991, terminés, avril 1991
- 1991 – Le notaire Willy Nonnenmacher (4, place du Général de Gaulle à Saverne) demande des renseignements d’urbanisme (lot n° 17) au nom de la S.A. Béton Rhin (rue du Doubs à Strasbourg)
1994 – Le cabinet d’urbanisme Lambert (33-bis boulevard Sérurier) demande des renseignements d’urbanisme au nom du notaire Revol à Labrousse
Autre dossier
739 W 235 – Demande de travaux (ouverture de fenêtre), refus (1990)
Relevé d’actes
La maison appartient à Adam Haupt en 1576 (la référence de l’acte est donnée ci-dessous en 1620). Originaire de « Besgen » ou « Besgau » près de Heilbronn, Adam Haupt épouse en 1565 Marguerite, veuve de Martin Tholl
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 253 n° 1930)
1565. dnicâ 10. Adam Hopt von Besgen und Margreta, martin thollen verlassene widfrau zum ersten mal sind zu kirchen gangen montag nach Adolphi (i 260)
Martin Doll épouse en 1559 Marguerite, fille de Jean Wagner
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 140 n° 1510)
1559. Martin doll, Margret Hans Wagners seligen verlaßne dochter Zu peßer* ist Zu Kirchen gangen Zinstag nach weihenachten (i 145)
Adam Haupt devient bourgeois par sa femme Marguerite, veuve du charpentier Martin Doll
1565, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 257
Adam Haupt von beßgaw beÿ hallbrun der Zÿmmerman hatt das burgkrecht Empfang. von Margretha Weÿlandt Marthin Dollen des Zÿmmermans sellig wittwen seiner Ehfrawen vnd dient Zu den Zÿmerleutt. Act. Zinstag den 23.t octobris A° & 65.
Marguerite, femme du charpentier Adam Haupt qui s’est engagé dans les troupes hypothèque la maison au profit de Daniel Petri (voir ci-dessous l’acte de 1620).
1576 (vts [x Maÿ]), Chancellerie, vol. 182 (Registranda Kügler) f° 96
Erschienen Margreth Adam Haupten des Zimmermans burgers Zu Straßburg hußfr. mit beÿstand der Ersammen Pauli Kleinen wagnern auch burgers Alhie so durch die bemelte Margreth hierzu Insonderheit Erbetten worden, dieweÿl Ir man Im Krieg gezogen und Ir kein beÿwohnung nit thue, Hatt sich für sich vnd & verschriben
gegen dem Ehrenthafften herrn Daniel Peteri burgern Zu St. so gegenwärtig Ime vnd allen seinen Erben Zu Zinsen j lib x ß d gelts Jehrlichen vff den heiligen Ostertag Widerlösig mit xxx lib d Straßburg vnd Anno & Lxxvi den Ersen Zinß
dafür Verlegt und Ingesetzt hauß hoffestatt höfflin sampt einem hinderhüßlin gelegen In der St. Straßb. In S. Elßbetth. gaßen Einsyth neben Michell Wernern kieffern vnd andersÿt neb. Mathebs Küßlern Zimmerman stoßt hinden vff hans dellen Zimmerman, Dauon gonth 5 guld. gelts Jährlichen vff Nicolai wieder losig mit 50 gl. bemelt. werung Sant Margreden Closter alhie Vnd dan vj ß d boden Zinß dem Stifft Zu Sanct Thoman Jährlich wie man sagt
Marguerite, veuve du charpentier Adam Haupt, se remarie en 1576 avec Christophe Seiger, originaire de Pfortzheim
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 156-v n° 401)
1576. Do. XVIII. Stoffel seÿger von Pfortzheim der Zimmerman Margret Adam Haubter des Zimmermanns nachgelaßene wittwen. 29. octob. (i 159)
Le charpentier Christophe Seiger originaire de Pforzheim devient bourgeois par sa femme Marguerite, veuve du charpentier Adam Haupt
1576, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 425
Stoffel Seiger von Pfortzheim der Zimmermann der Zimmermann empfahet das burgrecht von Margrethen Adam Haupten des Zimmermanns seligen Wittwen seiner Hausfrawen, vnd will mit dem Zimmerleüthen dienen Actum den 20.t Decembris Ao & 1576.
Christophe Seiger se remarie en 1586 avec Barbe, veuve du tisserand Jean Martin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 42-v n° 155)
1586. 9. Trinitat. Christoff Seÿer, der Zimmermann vnd Barbara Hanß Martin des Webers nachgelaßene Witwe eingesegnet 8. Augusti. (i 47)
Le tisserand Jean Martin épouse en 1581 Barbe, veuve de Jean Richert, de Kolmbach (ici Kolnbach)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 391 n° 21)
1581. Hans Martin der weber vnnd Barbara hans Richerts von Kolnbach nachgelaßene witwe. Eingesegnet Zinstag den 9. Aprilis. ausgangen in Kirchgäßlin (i 163)
Originaire de Lauingen, le tisserand Jean Martin achète le droit de bourgeoisie le 12 septembre 1581
1581, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 375
Hans Marthinn von Lauwingen der weber Hatt das Burgrecht Kaufft vnnd will Zuo den duochern dienen. Actt. den 12.t 7.t 81.
Le musicien Emanuel Kehm et sa femme Marguerite vendent une rente de cinq florins assise sur la maison qui appartient à Christophe Seger rue Sainte-Elisabeth
1602 (4. tag Novembris), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) Scheda ad fol: 405
(P. fol. 366.) Erschienen Emanuel Khem der Blaser Burger zu Straßburg Vnd Margred dollin sein ehel. haußfrauw, Haben (verkaufft)
Herrn Ambrosio Schmÿtt Schaffnern des Guttleüth hauses alhie, So auch Zugeg.
fünff guldin gelts, so obgemelte Verkhöuffere sagten fallen haben, Vnd Inen Christoffell Seger der Zimmermann, burger Zu St. Jährl. vffm Sant Niclaus tag, Von seiner Behausung, alhie Inn d. Statt Straßburg, vff Sant Elßbethen gaß & gelegen, Zugeben pflichtig, Inn Ablosungs Weiß mit 100 guldin St. Werung
Les charpentiers Christophe Seger et Urbain Steiger reçoivent un subside pour leur travail important hors la porte des Pêcheurs
1609, Préposés au bâtiment (VII 1324)
(f° 60) Sambstag prima Aprilis – Stoffel Seg. Urban Steig.
Stoffel Seger, Urban Steiger bede Zimmerleuth sag. sie haben grosse Arbeit vorm vischerthor mit hawung der pfäl seie gar alt eich holtz, vnd können nit vff Zimmerhoff kommen bitten vmb 4 d ein tag weiter sie beÿ d. Schindbruck. Ist Erkhant Jed. Wochentlich 13 ß Zu geben so lang diß werck wehrt vnd die ubrig tag nach Zutrag.
La maison revient à Marguerite Seiger, fille de Christophe Seiger, qui épouse en 1594 le charpentier Georges Berger originaire d’Elgersweier (Eltersweiler, Elwersweiler) près d’Offenbourg
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 12-v, n° 49)
1594. Dominica 7. Trinit. 14. Julÿ. Geörg Bürg. von Eltterßwÿler, d. Zimmer Man, vndt Margreta Christoff Segers deß Zimmer Mans tochter. Eingesegnet 22. Julÿ. (i 13)
Georges Berger devient bourgeois par sa femme en juillet 1594.
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 716
Georg Bergh von Ellwerßweÿler der Zimmermann, empfanngt daß burgerrecht von Margred. Christoff Säger deß Zimmermanns dochter, vnndt will Zun Zimmerleütten dienen. Actum den 19.t Julÿ 94.
La ville de Feldkirch fait signer les créanciers de Georges Berger
1601, Conseillers et XXI (1 R 80)
(f° 301) XIX Octobris. – Georg Bergers creditores citirt (Veldkirch schreiben).
Statt Amman u. Rhatt Zu Veldtkirch sch.ben wie sie Georg Bergers creditores auf gewissen tag bescheiden vermog ber*tigenten edicts, domit sich nun auch der hieige so deren etlich weren der Zu*ssenheit* nit Zubehelffen Betten sie anschlag Zulassen. NB sch.ben den 17. septemb. datirt vnd erst vergangenen Sambstag gelieffert. Erkant d. es schon angeschlag. lasse mans dabei pleiben.
Marguerite Seger, veuve de Georges Berger et le tuteur de ses enfants vendent la maison au tonnelier Georges Feigellauel et à sa femme Catherine Ratke
1615 (ut spâ [xiiij. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 73.-v
(P. postea fol. 467.) Erschienen Margredt Sägerin wÿland Jörg Berger des Zimmermanns selig. witwe, mit beÿstand & Adam Hammer des Zimmermanns Alhier Ihres Vogts, mit beÿstand Melchior Küentzell des Zimmermanns Ihrer Khind. Vormünder (verkaufft)
Geörg Feÿgellawell dem küeffer burgern Zu Straßburg vnd Catharinen Rackin seiner ehelich. haußfr. So zugeg.
hauß, hoffestatt, höfflin, hind. hauß mit Allen Iren geb. & glg. Inn d. St. St. vff Sant Elßbeth. gaß, einseit neben Georg Nartz dem gartner, and.sit Antonius Koppen witwe, hind. vff Geörg Fischer dem Metzig. stoßend, dauon gend vj ß d gelts Bod. zinß dem Stifft Zu St. Thoman vff weÿhenachten, Mehr v gl gelts abloßig mit j C gl werung vff Nicolai wÿland Ambrosÿ Schneÿd. des Alten guttleut schaffners s. erben, Mehr j lb iiij ß gls loßig mit xxiiij lb J. Heinrich Bockhen Zu Gersth. Mehr ij gl glts wid.kheuffig mit xxxx gl vff Urbani Sant Margred closter, it. j lb ß ß glts wid loßig mit xxx lb d. der Fr. Eua von Wangen vff ostern, It. xiij ß gelts Loßig mit xiij lb d hannß Michels Reinboldt vff weÿhenachten, So dann iiij lb Abloßig mit Lxxxlb d wÿland h. wolff Schotterles s. erb. vff Michaelis vnd sind sie Wÿther verhafftet vmb xxxxvij lb x ß d obgedachts Jörg Berg. Khnd. Jährlich vff Mariæ Verkhdg.
Fils du tonnelier Pierre Feigellauel, Georges Feigellauel épouse en 1613 Catherine Ratke, fille du prévôt de Hilsprich (Hilsperg, Holsperg) en Westrich (près de Sarreguemines) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung Copeÿ – Zwischen dem Ersamen Geörg Fillaweln dem Kieffer Meister Peter Filawels des Kieffers, burgers Zue Straßburg ehelichem Sohn, Als dem Breütigams ahne Einem, So dann der Tugendsamen Jungfrawen Catharina Ratkhin, Hanß Rathken Zu Holßberg Im Westerich ehelichen tochter, Alß der Hochzeitterin Am Andern theill (…) So dann vff ihr der Jungfr. Hochzeiterin seithen, herren Geörg Zolchers ihres herren, beÿ deme sie bißhero gedienet (…) Beschehen in der Löblichen freÿen Reichsstatt Straßburg den 15. Aprilis Im Jahr des Herren Als man Zahlt 1613.
Mariage, cathédrale (luth. p. 9)
1613. Dominica Exaudi den 16. Maÿ. Geörg Feyellaugel der Küeffer, Peter Feyellaugels Sohn, vnd Cäterin Hans Ratkin, Schultheissen Zu Hilsperg im Westerich nachgelaßene tochter, eingesegnet zinstag den 25. Maÿ (i 9)
Georges Feigellauel hypothèque la maison au profit d’Abraham Berner
1620 (j. Novembris), Chancellerie, vol. 439 (Registranda Meyger) f° 514
(Inchoat. in Prot. fol. 455.) Erschienen Geörg Feÿhellauwell d. Küffer burger zu Straßburg (verkaufft)
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Abraham Berner burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 110 pfund pfenning Straßburger
vnderpfand hauß, hoffestatt, höffell vnd hind.hauß mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. vff d. Elßbeth. gassen, einseit neben jörg Nartz gartner And.seit Agatha Götzin erb. stoßend dauon gnd. iiij lb gld loßig mit Lxxx lb h. Geörg Schütterlin, Mehr seind sie verhafftet vmb xxxxvij lb ß Geörg Segers des Zimmermanns s. Khind. Item xiij ß d gls loßig mit xiij lb d hanß Michell Reinboldt, Item j lb x ß gld wid. kheuffig mit xxx lb fr. Evæ Von Wang. Item ij gl glg loß. mit 40 gl S. Margred closter, It. j lb iiij ß d gelts loß mit xxiiij lb H. Friderich Berß, Item v gl gld loß. mit j C gl Ambrosÿ Schneÿders s. erb So dann j ß gelts Bod. Zinß d. stifft Zu S. Thoman
Marthe Voland, veuve du tonnelier Georges Feigellauel hypothèque tous ses biens au profit de son fils Georges Feigellauel qui a réglé pour elle 161 livres à Abraham Berner (l’acte de mariage porte cependant que Georges Feigellauel est fils de Pierre)
1623 (vts [x.t Julÿ]), Chancellerie, vol. 450 (Registranda Meyger) f° 636-v
(Inchoat in Prot. fol : 363) Erschienen Martha Voland, Weÿland Geörg feÿellauwel des küeffers burgers Zu Straßburg seligen witwe mit beÿstandt H Abraham Berner burgers Zu Straßburg Ihres geschwornen Vogts,
hatt Inn gegensein Geörg feÿellauwel des küeffers Ihres Sohns – schuldig seÿe 1 C Lj lb j ß d. So er der gloubiger für Ihre seine Mutter H. Abraham Berner obgedacht Burgschafftsweiß bezahlt (…)
Zu vnderpfand Verlegt in genere Alle vndt Jede & in specie aber die Expectanz Ane d. Rechtfertigung H Zu Uring. schwebt (…)
Catherine Ratke, femme de Georges Feigellauel s’adresse aux Quinze pour que le préposé au suif lui fournisse du suif à revendre. L’enquête montre que la tribu de la Mauresse lui a accordé le droit de revente en 1623 mais qu’elle n’en a pas fait usage depuis 1624. Comme le suif est rare, le préposé ne lui en a pas fourni ; il s’en remet cependant aux Quinze quant à la décision finale. Les Quinze confirment la pétitionnaire dans son droit de revente mais lui demandent de trouver un autre fournisseur que le préposé au suif.
1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Catharina Rappin, Georg Veilawels haußfr. wegen unschlitts auß der Cammer. 11. 14.
(f° 11) Sambstag den 18. Januarÿ – Catharina Rappin, Georg Veilawels haußfr. wegen unschlitts auß der Cammer – Unschlitt verwalter soll den Grempen unschlitt geben
Catharina Rappin, Georg Veilawels des kieffers haußfraw Erschienen produxit p. Dr. Knafel. demütige Supplication mit beÿlag A, so verlesen, pittet, weilen sie in Anno 1623. daß völlige grempenwerck erkaufft, auch solches bißhero vff der Zunfft erhalten, welches mit beÿgelaßer urkhundt von der Mörin /:so die beÿlag A:/ beschienen werde, vnnd aber der Unschlitt verwalter bißhero Ihr unschlitt auß der Cammer werden zu laßen sich geweigert, es wolten meine herren l* Unschlitt verwalter anbefohlen, ihro gleich andern grempen, vnschlitt vmb die gepühr abfolgen Zu laßen.
Ward auß dem ferndigen protocoll fol. 280. die Erkandtniß so der Gempen wegen dem vnschlitt verwalter angezeigt, verlesen, vnnd dieweil man angestanden, ob supplicantin noch vnder der Zahl der grempen, oder ob sie vielleicht d. grempen werck nicht mehr getrieben, Alß ist Erkandt, daß bericht eingezogen werden solle, wie es mit Ihro bewanth, ob sie noch ein Grempin oder nicht ? inmittelst das geschefft gegen Ihrer persohn Zu bedacht genommen sein.
(f° 14) Mittwoch den 22. Januarÿ – Catharina Rappin, Georg Veilawels des kieffers fr. wegen unschlitts auß der Cammer – Unschlitt verwalter, Grempen
Ego referirte, hannß Carl Ringler der Unschlitt verwalter, seÿe vber Catharinæ Rappin, Georg Veilawels des kieffers haußfraw hienechst den 18. hûs beschehen begehren gehört worden, der habe bericht, hette von den übrigen Grempen vernommen, wie daß ermelte supplicantin bereits seit Anno 1624. das grempen werck nicht mehr getrieben, die weilen nun ohne daß großer mangel ane unschlitt dißmals erscheine, vnnd Er die andere grempen, so die handthierung bißher ordinari getrieben, nicht der notturfft nach vnnd Zur genüge versehen könne, Zumahlen auch meiner herren Erkandtnuß so vom 4. Novembris abgeloffenen Jahres dahin eingenommen, daß der ienigen winckel Grempen, so das grempen werck nicht offentlich in gäden treiben, sondern die liechter heimlich* verpartiren, kein unschlitt auß der Cammer solte abgefolgt werden, Alß hab Er supplicantin abgewiesen, seÿ aber ietzmalen anerpietig dem ienigen, so meine herren Ihme anbefohlen werden, nachzugeleben.
Erkandt Mag Supplicantin Zwar beÿ dem Grempenwerck verpleiben, weilen Sie die Zunfft gerechtigkeit bißher erhalten, soll Ihr aber dazuneben kein unschlitt auß der Cammer gegeben werden, sondern mög sehen, wo sie sonst bekommen.
Georges Feigellauel meurt en délaissant un fils de sa veuve Catherine Ratke. L’inventaire décrit la maison et les dettes dont elle est grevée. La masse propre à la veuve est de 45 livres. L’actif de la communauté s’élève à 323 livres, le passif à 220 livres. La veuve a fait un héritage de sa sœur Marie Ratke, femme de Grégoire Hauser, péager à Benfeld
1636 (30. 7.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 6) n° 39
Inventarium undt beschreibung Aller haab vndt Nahrung, so weÿland der Ehrenhaffte Georg Feiellauwel, Küeffer vndt weinhändler burger alhie Zu Straßburg seel. nach seinem aus dießer weltt tödtlichem hinscheiden hinder Ihme verlaßen, welche durch die Ehren: vndt tugendsame fraw Catharinam Rottkhin, sein hinderlaßene wittib mit rath hilff vndt beÿstandt deß auch Ehrenhafften vnd Achtbahren Hannß Schöttels, Küeffers vndt weinhändlers burgers alhie Zue Straßburg Ihres geschwornen vogts, vff freündliches ansuchen erfordern vndt begehren deß ehrenhafften Hanns Heinrich Dürren, auch Küeffers, burgers alhie, als Hannß Adams, des abgestorbenen seel. mit obernandter seiner ietz hinderlaßenen Wittwen ehelich erziehlten Sohn, vndt ab intestato eintzigen Erbens geeügt vnd gezeigt (…) So beschehen vff Mittwoch den 30.t 9.bris A° 1636.
Eheberedung Copeÿ (…) Beschehen in der Löblichen freÿen Reichsstatt Straßburg den 15. Aprilis Im Jahr des Herren Als man Zahlt 1613.
Inn hernach beschriebener in dieße Erbschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt. Inn d. Cammer Lit. A, Inn d. Cammer Lit. B, Inn d. hinderstub Cam:, Inn d. Stuben, Inn d. vordern Stub Cam: Im hauß öhren, Inn d. Kuch., im Keller
Eigenthumb ahne Einer Behausung (th.) Item hauß hoffstatt hofflein vnndt hinderhauß, mit allen ihren gebewen, begriffen, weith, Rechten vndt Zugehörden, gelegen alhie in d. Statt Straßb. vff Elßbether gaß, einseith neben Niclaus Dilian dem gartenmann, Andernseith neb. H Valentin Jeg. dem Notario, stoß hinden vff Carl Moren des Sporers wittib, dauon gehn Jehrlich dem Stifft St. Thomæ vff Mart: j Cappen vnndt vff Weÿhenachten 5 ß d Bodenzinß loßig mit 5 lb d hauptgut, Item j lb 6ß 6 d Zinß weÿland Fr. Dorotheæ Schmidin H Johann Koloffels seel. wit. vff Mariæ verkhündung fallendt losig mit 50 fl. wehr, Item j lb 4 ß d gelts vff Galli fellig loßig mit 24 lb d Jr Friderich Bockhen Zue Gersth. Item 2 fl. gelts Straßburger wehr. d Zinß den Clost: St: Margarethen vndt Agneß alhie, Jehrlich vff Urbani wieder Keuffig mit 40 fl. berurt. wehr. So dann j lib 10 ß d geltt wid. keüffig mit 30. lib. d Jahrs vf Ostern hiebevor frau Eua von Wangen jetzt Jr Wolff Ludwig Bocken von Bläßh., Sonsten vber dieße beschwerden freÿ ledig vndt eigen hiehero angeschlagen für vnd vmb 218 lib 15 ß. Laut einer Pergament: haußbrieffs mit d. Stat Straß. Cont. Insiegel datirt den 15. Feb: a° 1615 weiset, wie der verstorbene obstehend. Behaußung von Margreth Segerin weÿland Geörg Bergs. wittib. ahne sich erkaufft, Sign: mit N° 1
Ergäntzung der Wittwen Unveränderten Gutts. Item es hatt die wittib neben ihrem ihro hieuor für unverändert zugeschriebenem haußrath in wehrend dießer ehe von weÿl. Maria Ratkhin auch weÿl. Gregorÿ Haußers geweßenen Zollers Zu Bennfelden hfren. Ihrer Schwester seel. in bahrem gelt ererbt 60. fl.
Der Wittwen unverändert Nahrung, Sa. haußrath 5, Sa. unveränderten Guths 40, Summa summarum 45 lib
Die Theilbahre verlaßenschafft, Sa. haußraths 44, Sa. werckzeugs schiff vnd geschirrs Zum Küffer handwerckh gehörig 1, Sa. Silber geschirrs undt guldenen Rings 38, Sa. Bahrschafft 20, Sa. Eigenthumbs ahne einer Behaußung 218, Summa summarum 323 lb – Schulden 220, Nach solchem abzug 103 lib
Conclusio finalis Inventarÿ 148 lib
Rechnung Unßer Hannß Schöttels vndt Hannß Heinrich Dürren, beeder Küeffer, burgere alhier, als weÿl. Georg Feÿellawels ebenmäßig Küeffers vndt Weinhändlers auch burgers alhie Zu Straßburg seeligen hinderlaßener Wittib vndt Sohns geschworner Vögt alß deß Jenigen waß vom 2. 7.bris A° 1637 da d. Erlöß Register (…)v.kaufften haußrath d. H. vogteÿ Richtern producirt worden, sowohl ane hauß v. Keller Zinß als auch was sie in sein Feÿllawells seel. v.kaufften behaußung auff der Elisabethen gaßen alhie von Georg Badern dem Müller Zu Plopßheim als welcher seinem Söhnlein hannß Jacob Bader solche behaußung erkaufft den 22. 8.bris A° 1639 erlegtem angeltt eingenommen, vndt wiederumb davon außgeben vnd bezahlt haben
Catherine Rack veuve de Georges Feigellauel met son fils Jean Adam Feigellauel en apprentissage chez le barbier Jean Kopp. Elle hypothèque sa maison en garantie du droit d’apprentissage
1637 (12. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 367-v
Erschienen Catharina Rackin, weÿ: Georg Feÿellawels deß Küeffers seel. witib, mit beÿstandt ihres Vogts hannß Schötels deß Küeffers, vnd hannß Heinrich Dürren auch Küeffers, alß Vogts ihr Catharinä Sohns hanß Adam Feÿellawels,
hatt in gegensein hanß Koppen deß Barbierers auch burgers alhier bekannt
demnach Er Kopp ihne hanß Adam für Einen Lehrjungen dreÿ Jar lang von Jüngst verschienen Mariæ Verkündung anzurechnen, vff und Angenommen, daß Sie die Mueter ihme Koppen für Lehr gelt 70 lb. (…)
[in margine :] in spê Unterpfand sein solle Ein Vorder: vnd hinderhauß, hoffstatt, höfflin und Stallung, mit allen & alhie in S. Elisabethen gaß., einseit neben Georg Jäger Noto. 2.seit neben deß Stiffts S. Marx Behaußung, hind. vff Carlen N. deß Sporrers witib stoßend, dauon gehen Jährlich dem Stifft S. Thoman j. Cappen uff Martini und Weÿhenachten 5 ß d bodenzinß, So ist diß hauß auch zuuor v.hafftet umb 50. fl. w. Dorothea Schmidin, Johann Kollöffels s. witwen, Item vmb 24. lb d Jr. Friderich Bocken Zu Gerstheim, Item vmb 40. fl. w. dem Closter S. Margrethen, Mehr umb 30. lb Jr. Wolff Ludwig Bocken von Bläßheim – Act. den 30. 7.bris 1639.
Catherine Ratkin veuve de Georges Feigellauel meurt en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans la maison du marchand de vins Laurent Meyer rue des Chandelles. L’actif de la succession s’élève à 96 livres, le passif à 54 livres.
1640 (5.5.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 9) n° 11
Inventarium vndt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿl. Catharina Rottkhin, auch weÿl. Georg Veÿellawells, geweßenen Küeffers vndt Weinhändlers, burgers alhie Zue Straßburg hinderlaßene wittib, nun mehr beede seel. nach ihrem aus dießer weltt tödtlichem hienscheÿden hinder ihro verlaßen, welche vff ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Mr Hanns Heinrich Dürren, Küeffers v. burgers alhie alß Hannß Adam Veÿellawells, der ietz abgeleibten frn. sel. mit obernandtem Georg Veÿellawells ihrem haußwürth seel. ehelich erziehlten Sohns vnd ab intestato hinderlaßenen eintzigen Erbens geschwornen Vogts, Inn beÿsein deß auch Ehrenhafften Hanns Schöttels Küeffers vndt weinhändlers burgers alhier, ihr d. ietz vstorbenen frn. seel. geweßenen Vogts, durch ernandten hans Adam Veÿellawelln den Sohn vnd Erben (…) So beschehen vf dinstag den 5.ten Maÿ A° 1640.
Inn einer alhie in d. Statt Straßburg in d. Helig. Liechtgaßen beÿ d. Becken knechtstub vber gelegenen behaußung so weÿl. Lorentz Meÿers geweßenen weinhändlers burgers alhie seel. hind.laßener wittib undt Erben gehörig Ist befund. worden wie volgt
Inn der Cammer A, Inn der Stuben, Im haußöhren
Sa. haußraths 11, Sa. Pfenningzinß hauptguths 87, Summa summarum 98 lib. – Schulden 54 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 44 lib
Catherine Ratkin veuve de Georges Feigellauel, assistée de son fils Jean Adam, vend la maison à Jean Jacques, fils mineur du meunier de Plobsheim Georges Bader. En marge, quittance remise à Susanne, belle-mère de l’acquéreur
1639 (22. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 788-v
(Prot. fol. 132.) Erschienen Catharina Ratgin weÿ: Georg Feÿellawels deß küeffers see: alhie witib mit beÿstandt ihres Vogts hanß Adam Feÿellawel ihr Catharinæ eheleiblicher sohn, mit beÿstand H Joachim Rüderers deß elter vndt H Rudolff Würtzen alß vß E. E. großen Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt, wie auch seines Vogts hanß Henrich Dürren deß küefers (haben verkaufft)
Wolffgang Macken dem Wurtzstößern vnd Bütel vff der Zunfftstuben Zur Lucern alß Vogt hanß Jacoben, Georg Baders deß Müllers Zu Plopßheim alhie verburgerten söhnleins so zugegen vnd mit beÿstand H Jeremiæ Vrsini deß Notÿ. anstat deß Vogtsöhnleins Vatters, welcher für dißmahl leibs blödigkeit halber nit außgehen kan
Ein Vorder: vnd hinderhauß, hoffstat und höfflin mit allen anden ihren gebäwen & alhie vf der Elisabethen gaßen neben Niclauß Dürian dem gartenmann && Georg Jäger dem Noto. hind. vff weÿl. Carol Moren deß Sporers see. witib, dauon gehen Jährlich vff Martini Ein Capp und 5 ß bodenzinß Vf Weÿhenachten dem Stifft S. Thoman alhie hiehero beede solch Zinß für 6. lb. d hauptgut angeschlag. It. 1. lb 6 ß 3 d gelts vff Mariæ Verkündung Dorotheæ Schmidin weÿl. Johann Kohlöffels gewesenen Kauffhauß Verwanten see: wittib mit 50. fl. St. w. Capital wid. Käuffg, It. 1 lb 4 ß Zinß vff Galli den Edlen Bocken von Gerstheim mit 24. lb d. Mehr 2. fl. gelts St. w. vff Urbani dem Closter S. Margarethen alhie mit 40. gld. wehr. It. 1. lb 10 ß d Zinß vff Herrn Jrn Wolff Ludwig Bocken Zu Bleßheim mit 30. lb Capital abzulösen (vff sich genohmen) geschehen per 187. lb
[in margine :] Erschienen Johann Baldner E. E. Ehe Gerichts Actuarius und Cancelleÿ Oeconomus alß vermög der am 29. aprilis a° 1640. in der Contractstub verzeichnete Übergaab Cessionarius hierneben benambsten hanß Adam Feÿelawelß hat in gegensein Susannæ Georg Baders Müllers Zu Blopßheim und Wolffgang Macken sein Baaders alhie verburgerten Söhnleins hannß Jacob bekannt (…) Act. d. 13. 9.br. a° 1640.
[in margine :] Erschienen H Johann Baldner mehr vorgedacht hat in gegensein Susannæ Georg Baders deß Müllers zu Plobßh. haußfr. deß Keüffers Stieffmutter mit beistand Wolffgang Macken deßelben vogts (…) Act. den 9. 9.bris 1642.
Georges Bader, meunier de Plobsheim, épouse en 1639 Susanne, fille du tisserand Nicolas Carlen
Mariage, Plobsheim (luth. f° 402)
1639. XXX. dieß. [Augustÿ] Jerg Baader d müller vndt Jft Susanna Claus Carlins deß schneids. hind.laße ehel. dochter (i 420)
Jean Jacques Bader, fils mineur de Georges Bader et de Catherine Forthecker (?), devient bourgeois en 1639
1639, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 883
Hannß Jacob Bader, Georg Bader deß Jetzigen müllers Zu Plobsheim mit Catharina fort*heckerin eheliche Erzeugtes Söhn. Erkhaufft d. Burgerrecht vmb 20 golt gulden Ist noch minders Jehrigen Altters hatt sein Muetterrlichß Eÿg. guth Wull Zu Lucernen dienen, den 16. 8.bris 1639.
Jean Adam Feigellauel cède à Jean Baldner, employé à la Chancellerie, la somme qui lui est encore due sur le prix de la maison.
1640 (ut supra [29. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 311-v
Erschienen hanß Adam Feÿellawel der Barbierer mit beÿstand hanß Henrich Dürren des Kieffers seines ohnentledigten Vogts
in gegensein H Johann Baldtners Cantzleÿ V.wanthen, daß Er demselben
v.khaufft Lxxxvij Lib so hannß Jacob, Georg Baders des Müllers Zu Blobßheim Verburgert Söhnlin, wegen der den 22.t octobr. 1639. in der Elisabethen gaßen gelegenen erkhaufften behausung, am kauffschilling noch per rest zubezahlen
vde in Registrand. 1639. fol. 788. wie diße 87. lb 15 ß bezahlt worden
Eve Reine de Sultz, femme de Philippe Louis Bœcklin de Bœcklinsau, et le fils d’Eve Marie Sultz, femme de Henri Christophe Gayling d’Altheim vendent au receveur Jean Gaspard Erhart un capital assis sur la maison qui appartient au meunier Jean Jacques Bader, de Plobsheim, rue Sainte-Elisabeth selon le titre de 1576.
1650 (9. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 477-v
Erschienen Jr. Philipß Ludwig Böckhle von Böckhlinsaw deß beständig. Regiments der Herren Fünffzehen dißer Statt, alß Ehevogt Fr. Evæ Reginæ Böckhlerin gebohrner von Sultz und im nahmen H Heinrich Christoph Gählings von Altheim der Röhm: Kaÿß: Maÿt. unsers Allergnägist. Herren, wie auch der Chur Fst. dhlt. in Baÿern resp. Cammerers Kriegß Rhat Generals über die Cavallerie und Obristen Zu Pferd seines H Schwagers alß Vormundts seines mit weÿl. Fr. Eva Maria Gählingerin von Altheim gebohrner von Sultz nunmehr seel. ehelich erziehlten sohns Jrn Philipß Henrich Gählings von Altheim, deßweg. Er Jr. XV. Böckhlle de ratificatione stipulatâ man cavirte
hatt in gegensein H Hannß Caspar Ehrhardts deß Schulschaffners bekannt, daß Er Jr. XV. Böckhel im nahmen gemeldt ihme H Erhard Zu bezahlung der ienig. 76. lib 9 ß 10 s so weÿl. Fr. Margaretha Strurmin von Sturmeckh wittib gebohrne von Sultz seel. besagten H Erhard alß deroselb. geweßenen Schaffnern in seiner gethanen letzt. sich vff Joh. Bapt: 1649. endenden Rechnung für Rechnungß receß herauß schuldig verbliben und diße Schuld vff Sie die vorgemeldte adeliche Sultzische alß ihro Fr. Margarethæ seel. beneficirte Erben zu bezahlen gelangt ist, vffrecht albereit den 10. Sept: a° 1649. cedirt und übergeben habe
Erstlich j. lib 10 ß iährlich. vff Ostern fallend. und mit 30. lib. widerlößig. Zinnßes, so hannß Jacob Bader der Müller Zu Plobßheim von vff und abe seiner alhie in St. Elisabeth Gaß. gelegener Behaußung vermög eines pergamentinen am 10. Maÿ a° 1576. mit der statt Straßburg anhangenden Contract Insigel durch Weÿl. H Jacobum Kuglern alß deroselb. damahlig. Contractuum Notarium nunmehr seel. verfaßt. Zinnßbrieffs Zu raich. schuldig ist,
Item j. lib so Georg Ferich der Gremp, 10. ß so Daniel von Molßheim der Glaser und 10 ß so hannß Adolph Grohberger der Leinenweber alle jahr vff Joh: und Weÿhenacht. von vff und abe ihren alhie am alten Weinmarckh gelegenen häußern Zu ewigen erschätzigem fürbietigem Zinnß zu lüffern schuldig seind
Jean Jacques Bader, meunier à Hugsweier en Bade-Durach (près de Lahr) hypothèque la maison après s’être porté garant de son frère rebelle Jean Adolphe Bader
1671 (27. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 60
Erschienen Hannß Jacob Bader der Müller Von Hugsweÿhr, Fürstl. Bad. Durlachischer Herrschafft mit beÿstand Hannß Caspar Dürren deß Küeffers Burgers zu Straßburg
in gegensein deß Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen Herrn Philipß Albrecht Bernholdts dießer Statt alten Stättmaÿsters und XV. für sich und im Nahmen der gesampt.Obrigkeit zu Fünff haupt theilen Zu Plobßheim
bekannt, dEmnach sein Baders Bruder hannß Adolph Bader der Müller zu erst ernanntem Plobßheim sich under die Rebellen daselbst nun zum Zweÿten mahl träwloß eingemischt hette, auch darüber von der adel. Obrigkeit ergriffen in hafft gezogen worden seÿe, [er] seine gebührende Straff empfang. sollen, so hette Er Johann Jacob durch seine Eifferige vorb[itten] beÿ der adelich. Obrigkeit so v* erhalten daß besagter hannß Adolph, und Zwar biß Zu Außgang de Rebellionsach wider auff freÿen fuß gestellt werden soll, dieweilen daber derselben, in Ansehung seines schon Zweÿermahl gebrochenen Eides, nicht mehr getrawr werden könnte, So wolte Er hannß Jacob, für dießen seinen Bruders, hiemit dergestalten cavirt haben, (…) nicht allen sein hannß Adolphen Haab und güter, wie es ohne dem von rechtswegen geschehen würde, sondern auch sein hannß Jacobs alhier in St. Elisabetha Gaß, einseit neben hannß Schmiden dem Küblern, anderseit neben den Treütelischen Erben gelegen und hinden uff hannß Jacob Häselin den Sporer stoßende Behausung, welche iährlichen dem Stifft St. Thoman 5 ß und i. Cappen Zu zinnßen schuldig
[in margine :] (…) demnach die Rebellions Sach durch die Kaÿs. herren Commissarios ohnlängst. erörtert, und Von den Rebellen newen gehorsam Versprochen worden, So hetten dieselbe in consideration deßen Ihne hannß Jacob Badern dießer für seinen bruder hannß Adolph Badern dem Müller zu gedachtem Plobßheim Versprochener caution, wider umb aller dingß erlaßen, Actum den 8. 7.br Anno 1671.
Barbe, femme du meunier Martin Diemer de Hugsweier, vend la maison au tonnelier Gaspard Dürr
1680 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 420
Barbara, Martin Diemers Obermüllers Zue Huckschweÿer Eheweib, mit beÿstand erstged. Ihres Ehevogts
in gegensein Johann Caspar Dürren, des Kieffers
Ein Vordere und hindere behausung mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten undt gerechtigkeiten alhier auff der Elisabethen gaß, einseit neben Johann Schmidt dem Kübler, anderseit neben Johann Zitterle des Schneiders nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, hinden uff Jacob Häßelin den Sporer stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen uff Martini ein Kapp. undt uff Weÿhenachten 5 ß d bodenzinß dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behaußung auch noch umb 50. fl. Wehr. Catharinæ Kohllöfflin, Item umb 24 lb (so dann umb 50. fl. verhafftet) – umb 150 fl.
Jean Gaspard Dürr vend la maison au boucher Pierre Pfeiffer
1690 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 489-v
hans Caspar Dürr, der Kieffer
in gegensein Peter Pfeiffers deß Metzgers
Eine vorder und hinder behaußung, mit allen deren gebäuen, begriffen, weiten, Zugehördt. Rechten und gerechtigkeiten allhier an St. Elisabethen gaß, einseit neben Johann Schmid dem Kübler anderseit neben weil. Johann Zittel gewesenen Schneiders sel. Erben, hinden auff weÿl. Jacob Häseln deß Sporers sel. Erben stoßend gelegen, darvon gehen jährlich vff Martini ein Kapp. und auff weihnachten 5 ß d bodenzinß dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behausung auch noch um 50 fl. (Item umb 24 lb, So dann umb 50 fl. verhafftet), geschehen umb 190 pfund
Fils du boulanger Pierre Pfeiffer de Rosstal en seigneurie d’Ansbach, Pierre Pfeiffer épouse en 1688 Marthe, fille du tonnelier Jean Georges Jung
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 160-v)
1688. Dom: 10 post Trin. Zum i mal Peter Pfeifer Weinhändler weiland Peter Pfeiffers gewesenen Becken u. Burgers Zu Rostalle fürst. Anspachischer herrschafft ehl. Sohn, Jfr. Martha Weiland Hanß Georg Jungen gewesenen Burgers u. Kieffers ehelicher T. Mittwoch den 2.ten 7.br. N Kirch (i 162)
Pierre Pfeiffer acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme trois semaines après son mariage.
1688, 4° Livre de bourgeoisie p. 549
Peter Pheiffer von Roßstall, der Weinhändler, Weÿl. Peter Pfeiffers des gewesenen Ackersmanns daselbst hinterlaßener Sohn, empfangt das burgerrecht Von Martha gebohrener Jungin, seiner nunmahligen haußfr. p. 2. gold.fl. unndt 16. ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zuvor leedigen standts geweßen, unndt wird Zu E: E: Zunfft der Weinsticher dienen. Jurav: d. 20. 7.bris 1688.
Compte que rend Isaac Jund de la gestion des biens qui appartiennent aux cinq enfants de Marthe Jung et Jean Pierre Pfeiffer
1710, Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 123) J. Frédéric Schatz
Rechnung mein Isaac Jundten deß Weißbeckens undt burgers Zu Straßburg alß geordnet und geschwornen Vogts Hannß Peters, Hannß Geörgen, Margarethä, Johann und Hannß Michaelen, weÿland Fr. Marthä gebohrnen Jungin, mit weÿland H. Johann Peter Pfeiffers, geweßenen Weinhändlern undt burgern allhier Zu Straßburg in erster Ehe erzielte Kinder, Inhaltend und außweißend, waß ich wegen dießen Curanden vom 22.ten Januar. 1701. biß den 17.ten Mart: 1710. eingenommen außgegeben und sonsten Vögtlicher weiß verhandelt habe. – Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
Le tuteur des enfants de Pierre Pfeiffer vend la maison au tonnelier Michel Gœll moyennant 650 livres
1707 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 267
(650) Isaac Jund weißbecker alß vogt weÿl. Peter Pfeiffers weinhändlers 5 KK
in gegensein Michel Göll Kiefers
seinen Curanden antheil ahn Hauß Hoff Hoffstatt Stall Hinterhauß mit allen gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahn St Elisabetha gass, einseit neben Joh: Schmid dem Kübler anderseit neben weÿl. Joh: Zittelin schneiders E.E. hinten auff weÿl. Jacob Haßlers Sporers E.E. – darvon gehen jährlichen 1 cappen dem Stift St Thomæ und 5 ß d in geld – um 650 pfund
Michel Gœll et sa femme Anne Barbe Füssinger hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit du consul François Reisseissen.
1707 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 474
Michel Göll Kiefer und Anna Barbara geb. Füeßingerin beÿständlich Joh: Jacob Vogt Kiefers und Joh: Jacob Hägelins schlossers
in gegensein S.T. Francisci Reißeißen nunmahligen regirenden H. Ammeisters u. XIII.ners – schuldig seÿen 100 pfund zur reparation v. verbesserung unten versetzten haußes
unterpfand, ihre behaußung allhier ahn St Elisabetha gass, einseit neben Joh: Jacob Schmid küblern anderseit neben denen Zitterlinischen EE. hinten auf die Heßelische Erben
Le garçon tonnelier Jean Michel Gœll règle en juillet 1695 l’amende infligée à son frère Frédéric Gœll qui a quitté Strasbourg
1695, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 18) Dienstags den 26. Julÿ Anno 1695 – Hannß Michael Göll d. ledige Küffer Knecht ward vorgestallt, wegen Seines bruders Friderich Göllen von Landau, welcher von hier hinweg v. Seine Ihme andictirte Straff noch nicht bezahlt daß Er solche bittsweise vor demselben ablegen solle, welches er auch gethan vnd die 5 ß d straff erleget.
Jean Michel Gœll qui a travaillé un an et demi chez le tonnelier de la halle puis un an et demi chez Dürr puis sa veuve demande en juin 1696 de s’inscrire pour faire son chef d’œuvre
(f° 38) Dienstags den 19. Junÿ Anno 1696 – Hannß Michael Göll der ledige Küffer Knecht von Landaw erscheint umb erstgedachter ursach willen, der ward befragt, wie lang Er hier gearbeitet. Ille er habe ein halb Jahr beÿ dem Kauffhauß Küeffer und anderthalb Jahr beÿ H. Dürren Seel. nunmehro aber beÿ deßen Wittib gearbeitet, Verlange auch Seine Jahr acht die dreÿ Jahr aus Zu arbeiten, laße Sich bloß deßwegen einschreiben, damit Er nach verfloßenen dreÿer Jahre ohne lange hindernus auff dem Platz kommen möge. Erkannt, daß Er Zwar hiermit Zum Meisterstückh soll eingeschrieben seÿn, jedoch daß er nicht ehender als biß Seine Jahr acht verloßen, das Meisterst. Zu machen Macht haben und Ihme erlaubtet seÿn, anderer aber, so nach Ihme Zum Meisterstück eingeschrieben werden, Ihr Jahracht aber verarbeitet, solang als Seine Jahracht erforden, vor Ihne Zum Meisterstück machen gelangen, die aber bereits vor Ihme eingeschrieben, ohngeacht Seine Jahr acht verfloßen wäre, doch Ihme vozugehen Macht haben sollen.
Jean Michel Gœll présente en mars 1697 son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits à quelques détails près. Il est reçu maître (le compte rendu est enregistré deux fois)
(f° 55) Dienstags den 12. Martÿ Anno 1697 – Hannß Michael Göll, von Landau gebürthig Weÿland Mr Johann Jacob Göllen ebenmäßigen Kieffers und gewesenen Burgers in erwehntem Landaw seel. ehelich hinderlaßener Sohn, hat sein Meisterstück schauen laßen, referirten die herren Schauere, daß sie in der Ersten Schaw etliche geringe fehler befunden Welche aber in der andern schaw Verbeßert gewesen, und in der dritten Schaw ist Vaß schön außgemacht und sauber abgebund. geweßen außer daß der hindere hauptreiff hätte Vester angelegt sein können, derowegen dann und Weilen sich kein hauptfehler ereügnet alß ist Er von denen herren Schauern für ein Meister passirlich uff und angenommen auch von dem herrn XV.er alß obmann darzu confirmirt Worden d: 6. Aprilis A° 1697.
(f° 57) Dienstags den 2.ten Aprilis Anno 1697 – Hannß Michael Göll der ledige Küffer von Landaw gebürthig, Weÿland Mr Johann Jacob Göllen ebenmäßigen Kieffers und gewesenen Burgers in erwehntem Landaw seel. ehelich hinderlaßener Sohn, hat sein Meisterstück schauen laßen, referirten die herren Schauere, daß sie in der Ersten Schaw etliche geringe fehler, Welche aber in der andern schaw Verbeßert gewesen, vnd in der dritten Schaw ist Vaß schön außgemacht und sauber abgebunden geweßen, außer daß der hindere haubt Reif hätte Vester angelegt seÿn können, derowegen dann, und weilen sich kein haubt fehler ereügnet, alß ist Er von denen herren Schauern für einen Meister passieret, auff vnd angenommen, auch von dem herrn XV.er alß obmann darzu confirmirt Worden, den 6. Aprilis Anno 1697.
Fils du tonnelier Jean Jacques Gœll de Landau, Jean Michel Gœll épouse en mai 1697 Susanne, fille du tonnelier Jean Gaspard Dürr (qui a été propriétaire de la maison)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 82-v, n° 447)
Heut den 9 Maÿ 1697 ist auff vorhergehender außruffung Copulirt worden Johann Michael Göll, der ledige Kieffer, Johann Jacob Göllen burgers und Kieffers zu Landaw ehelicher Sohn, undt Jfr. Susanna, weÿl. Johann Caspar Dürren gewesenen Kieffers und burgers nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Hanß Michael Göll als hochzeiter, Susanna dirrin als hoch Zeiterin (i 85)
Jean Michel Gœll devient bourgeois par sa fiancée en 27 avril 1697
1697, 4° Livre de bourgeoisie p. 688
Joh: Michael Göell, von Landaw, der Kieffer Knecht, Joh: Jacob Göellen gew: Küeffers v. burgers daselbst nachgel. sohn, empfangt das burger Recht von Susanna weÿl. Johann Caspar Dürren gew. Küeffers v. burgers allhier hint. Tochter seiner Verlobten, gratis, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der Küeffer dienen, Jur. d. 27. Dito [Aprilis] 1697.
Jean Michel Gœll devient tributaire le 13 mai 1697.
1697, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 59-v) Montags den 13.ten Maÿ Anno 1697 – Hannß Michael Göll von Landau gebürthig, der Ledige Kieffer, producirt gewohnlichen burgerschein von alhiesiger Cantzleÿ, bittend Ihne dißorths als einen Zünfftigen vmb die gebühr auff vnd anzuenehmen, Erkandt, willfahrt, erlegt 2. lib 5 ß warunder 2. lb so wegen deß fewer Eÿmers auff den Pfenningthurn Zulieffern.
Jean Michel Gœll est dispensé de verser son écot pour 1699
(f° 129) Montags den 30. Martÿ Anno 1699 – Hannß Michael Göll wurde vorgebotten, wegen schuldiger 6 ß d Stuben gelts, de A° 1697. Ille Antworttet, seÿe allererst 2 Jahr Zünfftig, vnd habe bereits 3 Stuben gelter geben Worüber Er befragt wurde, ob Er, daß sein Vorgeben der Warheit gemäß, es mit handtreu behaubten könne, vnd Weilen Er sich darzue Verstanden, alß ist Zwar die handtreü von Ihme nicht genommen, mithin aber deß geforderten Stubengelts erlaßen worden.
Jean Michel Gœll et Susanne Dürr font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Finckwiller près de la Mouche. Ceux du mari s’élèvent à 16 livres, ceux de la femme à 484 livres.
1697 (11.12.), Not. Lang (Jean Henri, classé sous 25 Not 116) N° 38
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung so der Ehrsame Hannß Michael Göll, Küffer vnd die tugendsame Fr. Susanna gebohrne Dürrin beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg, einander für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben, damit mann sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchte, Vorgenommen, ersucht vnd inventirt (…) Mittwochs den 11. Decembris 1692.
Nota. Die Zwischen Beeden Eheleuthen auffgerichtete Eheberedung ist Vor mir Notario den (-) Anno & 1697. verschrieben, Zubefinden
In einer alhier Zu Straßburg im Finckweiler gegen der Mucken hienüber gelegener vndt In dieße Nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie volgt
Holtz, Reiff vnd Band Zum Küffer handwerck gehörig
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderte Nahr. Sa. haußraths 60, Sa. Silbergeschweids 1, Sa. baarschafft 14, Summa summarum 16 lb
Dießemnach Wirdt auch der Frauen in die Ehe gebracht unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 238, Sa. Frucht 15, Sa. Holtz, Reiff vnd Band Zum Küffer handwerck gehörig 31, Sa. Silbergeschmeids 33, Sa. Guldenen Ringen 24, Sa. Wein und Eßig 84, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 484 lb
Jean Michel Gœll se remarie en 1701 avec Anne Barbe Füssinger, fille du cordier Jean Jacques Füssinger : contrat de mariage, célébration
1701 (9.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 190
Verglichene Heüraths: Puncten Zwischen dem Ehrenvorgeachten Mr Hannß Michel Göllen, Küeffern vnd burger, alhier Zu Straßburg, als hochzeitern, an einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Jungfrawen Annæ Barbaræ Füeßingerin, weÿl. H. Johann Jacob Füeßingers, geweßenen Seÿlers vnd burgers Alhier nunmehr seel. nachgelaßener Ehelichen dochter, als der hochzeiterin, am andern Theil
Actum Straßburg in fernerem beÿsein H Johann Ludwig Küchels, Küffers, deß hochzeiters Kinder Erster Ehe geschwornen Vogts, Auff sein deß Bräutigamns, So dann auff der Jfr. bodenzinßin seithen H. Johann Diemars, Seÿlers, derselben Curatoris, vnd Fr. Barbaræ Füeßingerin, Gebohrner Lentzin Wittib, Ihrer Eheleibl. Mutter, Montags den 9. Maÿ Anno 1701. unterzeichnet Hanß Michael Göll als Hoch Zeitter, Anna Barbara fießingerin als hoh Zeiterin
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 45)
1701 Mittwoch den 15. Junÿ wurden nach Zweÿmahliger außruffung zu st Aurelien Copulirt u. eingesegnet, Johann Michael Göll d. Kieffer u. burger alhier, u. Jgfr. Anna Barbara, weÿland Hanß Jacob Füsingers gewes. Seilers u. burgers nachgelasene Ehl. Tochter, [unterzeichnet] Hanß Michael Göll als hochzeitter, Anna Barbara fießingerin als hochzeiterin (i 46)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 60, n° 328), Nach geschehener Außruffung auch Zu S. Thomæ, ist den 15. Junÿ 1701 zu Aurelien copulirt worden Johann Michael Göll der burger und Kieffer, mit Jgfr. Anna Barbara, weÿl. Johann Jacob Füßingers gewesenen burgers undt Seÿlers nachgelaßene ehelich. Tochter (i 62)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Michel Gœll à se remarier avant la fin de son deuil
1701 Conseillers et XXI (1 R 184)
(p. 144) Sambstagß den 28. Maÿ 1701. – Meister Joh: Michael Göll der Kieffer, pt° Dispensat.
S. Ersch: Meister Joh: Michael Göll der Burger vnd Kieffer allhier prod: seiner Fraw seel. Susannæ Durrin Documentum Mortis Vom 13. Jan: Jungst, vndt Weilen Er wegen seiner schwehren haußhaltung Mitt Zweÿ Kindern Vndt Er wegen seines handwercks Zum wenigsten Zu hauß seÿn Kann, hatt Er sich Mitt Jungfr: Anna Barbara Ehelichen Versprochen, bitt darauff Unterthänigst Ihme biß Morgen Uber acht Tag die Erste proclamation Vor Nehmen Zu dörffen, Dispens. vnd. Zu erlauben. Erk. Wurdt dem Imploranten gegen Erlag 1. lb d In das Gemeine Allmoßen In seinem petito dispensando willfahrt.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de la veuve Dürr née Füssinger (belle-mère du mari). Ceux du mari qui a l’usufruit des biens de ses deux enfants du précédent mariage s’élèvent à 191 livres, ceux de la femme à 299 livres.
1702 (8.3.), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 2) n° 15
Inventarium und Beschreibung aller Haab Nahrung so der Ehrsahme Meister Hannß Michael Göll, Kieffer vnd burger alhier undt die Tugendsahme Fraw Anna Barbara gebohrne Fießingerin beede Eheleuth alhier einander für unverändert in die Ehe Zugebracht, welche wegen der in der Eheberedung Stipulirter Ergäntzung halben umb sich küfftiger Zeit darnach reguliren zu können, vorgenommen ersucht und Inventirt word. (…) So gewesen in fernerem beÿsein deß Rechtsgelehrten herrn Johann Jacob Grünwalds Notarÿ Publici alß von Herrn Johann Ludwig Küchel burgern und Kieffern alhier der Kinder erster Ehe vogten welcher unpäßlichkeit halber nicht erscheinen Können hierzu erbettener Mandatarius, Straßburg d. 8. Martÿ 1702.
Volgt nun die Nahrung ahne und vor sich selbsten wie sich dieselbe in einer in dem Finckweiler gelegenen und Frauen Susanna Dürrin gebohrner Fißingerin behaußung befunden worden
Wÿdum Inhalt deß hievor beÿ den schulden auß dem Erb Zu gelten angezogenen vnd den 20. Julÿ 1701 Zwischen H Hanß Michel Göllen dem Kieffer vnd Herrn Johann Ludwig Küchel alß geordneten vogts weÿland Frauen Susanna gebohrner Dürrin mit ermeltem H Göllen ehelich erziehter vnd hinderlaßener Zweÿer Kinder auffgerichteten Kinder Vertrags
Summa summarum deß Manns unverändert guth, haußrath 168, werckzeug Schiff b. geschirr 185, wein brandenwein Eßig 292, früchten 21, Silbergeschirr 17, Schulden in die Nahrung und die helffe an den haussteuren 95, Summa summarum 781 – Schulden auß dem Erb 598, Rest 191 lb
Der Frauen Vermögen, haußrath 145, Silber 5, Gold. Ring 10, baarschafft 122, helffte an den haussteuren 15, Summa summarum 299 lb
Jean Michel Gœll et Anne Barbe Füssinger font dresser l’inventaire de séparation de leurs biens. La maison est estimée à 100 livres outre les capitaux dont elle est grevée. La masse propre au mari est de 317 livres, celle propre à la femme de 374 livres. L’actif de la communauté s’élève à 254 livres, le passif à 776 livres.
1714 (4.6.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 19) n° 493
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung und Güthere, Liegender undt fahrender, Verändert und Unveränderter Keinerleÿ davon außgenommen, auch Schulden und Gegen Schulden welche Meister Johann Michael Göll der Kieffer und fr. Anna Barbara gebohrne Füeßingerin beede Eheleuthe und burgere allhier dermahlen besitzen und haben, Welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgedachter der Göllischen haußfr. indeme dieselbe durch Gnädige obrigkeit Von Ihren erwehnen Ehemann zu tisch und bett geschieden worden, mit beÿstand herrn Joh: Heinrich Francken, des Kieffers Ihres geschwornen, Curatoris
Actum in der Königl. Statt Straßburg, Montags den 4.ten Junÿ Anno 1714. in fernerer gegenwarth H. Johann Knoblochs des Kieffers und Weinhändlers als geordneten Tutoris Johann Michael Göllen des vorgedachten Ehemanns in erster Ehe erzeugten Söhnleins
In einer in der Statt Straßburg ane der St. Elisabethen gaßen gelegenen in diese Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt.
Höltzen: und Schreinerwerckh, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießer Camme, In der Soldaten Cammer, Ind er Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, In der Cammer C
Eigenthumb ane einer behaußung. Hauß, hoff, hoffstatt mit allen deßen gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der St. Str. ane St. Elisabethä gaß, 1.s. einseit neben Mstr. Hannß Jacob Schmidt dem Kübler, 2.s. neben Hn Johann Heupel dem Wäÿsenschaffner, hinden uff N.N. den Spoorer stoßend, davon gehen Jehrl. i. Cappaun und 5. ß in geldt dem Stifft St. Thoman allhier, Item 16. lb. d. Zinnß Jährl. uff Joh. Bapt: ist man Isaac Junden dem Weißbeck Vögtlicher Weiß Zureichen schuldig ist in Cap: ablößig mit 400. lb, It. 4. lb. 10. ß d. Zinnß gibt man Jährl. auff ostern Joh: Luipold dem Metzger so in hauptguth wiederlößig mit 100 lb; It. 5. lb d Zinß gibt man S.T. H. Philipp Caspar Leiterspergern wohlmeritirten XV.nern Jährl. auff Joh. Bapt: in das hauptguth 100 lb. Sonsten freÿ Ledig und eÿgen und über Vorherbeschriebene beschwerden annoch æstimirt per 100. Darüber ist vorhanden i. teutsch. perg. Kbr. in allhießiger C.C.stub gefertiget und m. dero anh. Kl. Cancelleÿ Secret Innsiegel Verwahrt datirt den 9.ten April Anno 1707, Dabeÿ noch ferner 2. ältere Pergament. Kbr. so auch in Vorgedachter Contractstub gefertiget davon der eine datirt den 11.ten Sept: Anno 1690 und der andere den 18.t Junÿ Anno 1680. So dann i. a. pergam. lateinischer abgelößter Zinnßbrieff, so datirt den 8.ten Martÿ Anno 1514.
Ergäntzung, Vermög Inventarÿ durch herrn Not: Johann Martin Brieffen in Anno 1702 gefertigt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefr: unverändert Vermögen, Sa. hausraths 101, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Goldener Ring 10, Sa. Activ Schulden 37, Sa. der Ergäntzung 164, Summa summarum 317 lb
des Ehemanns unverändert guts Sa. haußraths 100, Sa. Werckzeug und reÿff zum Kieffer handwerck gehörig, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Ergäntzung (605, Abgang 89, Rest) 516, Summa summarum 662 lb Sa. der Schulden 287 lb, Nach deren Abzgang 374
das gemein Verändert und theilbahr guth, Sa. hausraths 80, Sa. Werckzeugs Reÿff Zum Kiefer handwerck gehörig wie auch Lähre faß 51, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 100, Sa. der Activ Schulden 16, Summa summarum 254 lb – Sa. der Schulden 776 lb, Compensando befindet sich daß die theilbare Passiva die theilbare Activ Nahrung übergtreffen umb 521 lb
Jean Michel Gœll se remarie en 1715 avec Anne Marguerite Weber, fille du cloutier Jean Gaspard Weber de Bouxwiller : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1715, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) N° 115
Eheberedung – Johann Michael Gollen, Kieffers, und Jungfrauen Annä Margarethä Weberin
Eheberedung. 1715, den 7. Monatstag Junÿ Zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Michael Göllen dem Küffer und Burgern alhier, als hochzeiter an einem, So dann der Ehren und Tugendsahmen Jungfer Annæ Margarethæ Meister Hannß Peter Webers des Nagelschmidts und Burgers Zu Buchsweiller eheliche Tochter Meisterschafft des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johann Zittelin alhiesig. geschwornen ordinario Käufflers und burgers alhier am andern theÿl – Christoph Michael Hoffmann, Notarius
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 148, n° 856)
Anno 1715 den 3. Julÿ seind in der Kirch Zu St Thomas nach geschehener ordentlicher ausruffung ehelich eingesegnet worden Johann Michael Göll der burger und Kieffer alhie und Jungfr. Anna Margaretha weberin, Johann Caspar weber, deß burgers und Nagelschmidts Zu Buchsweiler, ehel. tochter unterzeichnet Hanß Michael Göll als hochzeiter, o die Jungfr. hochzeiterin konte ô schreiben (i 150)
Etat de fortune que fait dresser Anne Marguerite Weber pour accéder à la bourgeoisie
1715 (7.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
Jungfer Anna Margaretha, Hannß Peter Weber des Nagelschmids und burgers Zu Buchweiler ehel. tochter Verlobt an Johann Michael Göllen den Kieffer und burgern alhier hat Eÿgenthümblich in Vermögen wie solches heüt dato selbst nach abgelegter handtrew fleißig geeÿgt und gezeigt
haußrath und Vahrende Haab, ohne die Kleÿder und weis Gezeig um und ab dero Leib gehörig 70, Silber und Guldine Ring 8, Sa. baarschafft 96, Summa 175
Sig. Straßburg den 7. Junÿ Anno 1715.
Anne Marguerite Weber devient bourgeoise à titre gratuit le 22 avril 1716
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 821
Anna Margaretha Weberin Von Bußweiler, Joh: Peter Webern Nagelschmidts daselbst Tochter, emp. das burgerrecht gratis Wird beÿ den Küefferen dienen, Prom: d. 22. Aprilis 1716.
Compte que rend le tonnelier Jean Georges Ehinger de la gestion des biens qui appartiennent aux quatre filles issues du mariage avec Anna Barbe Füssinger
1716, Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 37)
Rechnung Weÿland Johann Georg Ehingers, geweßenen Küeffers und burgers allhier seel. hinterlassener Wittib und Erben, alß geweßenen Vogts Annæ Barbaræ, Annæ Catharinæ, Mariæ Margarethæ und Mariæ Salome Göllin, weÿland Johann Michael Göllen, des Küeffers mit auch Weÿl. Frauen Barbara gebohrner Füeßingerin seiner geschiedenen Zweiten Ehefrauen, Ehelich Erzeugter vier Töchtere Inhaltend alles das Jenige, obgemelter Vogt seel. vom 27. Septembris Anno 1714 alß er dieße Vogteÿ auffgeschwohren biß weÿhenachten 1716. derentwegen in verschiedene Wege eingenommen und dargegen wider außgegeben hat – Erste und letzte Rechnung dießer vogteÿ.
Jean Michel Gœll meurt le 2 avril 1716 en délaissant un fils de son premier mariage et quatre filles du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison proche du pont Saint-Thomas. La masse propre à la veuve est de 155 livres, celle de la communauté s’élève à 17 livres.
1716 (7. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 4) n° 198
Inventarium über Weÿland Meister Johann Michael Göllen, gewesenen Kieffers und burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1716.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung nichts davon außgenommen, so weÿland Meister Johann Michael Göll der gewesene Kieffer und burger alhier nunmehro seel. nach seinem am 2.ten Aprilis ohnlängsthien genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitlichen verlaßen, Wie solche auf freundliches ansuchen und begehren der hinterlaßenen und am nachfolgenden Blatt benambsten Kinder und respectivé deren geschworner Vögte (…) heut dato ordnungsmäßig inventirt und ersucht durch fraw Annam Margaretham gebohrner Weberin die hinterbliebene Wittib, mit hülff und beÿstand Meister Johann Daniel Bucken des Kieffers und burgers alhier deroselben geschwornen Curatoris – So beschehen Straßburg den 7. Septembris Anno 1716.
Des Verstorbenen seel. hinterlaßene Kinder und Beneficial Erben sind Volgende 1. Johann Michael Göll, der ledige Kieffer, so annoch in d. Lehr Mit auch weÿland Susanna gebohrner Dürin in erster Ehe erzielt, deßen geschworner Vogt H Johann Heinrich Knobloch der Küffer und burger alhier
So dann 2. 3. 4. 5. Barbara, Catharina, Margaretha und Salome aller Vier Gollen, so der verstorbenen seel. mit gleichfalls weÿland Frauen Barbara Füßigerin seiner 2.ten haußfrauen seel. ehel. erzeugt, für welche Zum Vogt geordnet H. Johann Reinhardt Ott auch Kieffer und burger alhie so gegenwärtig, Alle Fünff obgemelyer maßen als beneficial Erben
In einer alhier Zu Straßburg Jenseit der Thomanns bruckh beÿm Elephanten gelegenen Lehnbehaußung und dero Inhabenden Gemächern befund. wie Volgt
Ergäntzung der Wittib abgangen unveränderten Vermögens, Nach ausweis einer Verzeichnüs welche Ich Vor und Nachbenambste Notarius über dero damahlig eÿgenthümbliches Vermögen underm 7. Junÿ Anno 1715. auffgerichtet
Schulden aus vorstehneder sogenannter Theÿlbahren Verlaßenschafft Zugeltend (…) Item Mstr. Baltzer Fuchs dem Zimmermann Vor i. quartal Verseßenen hauß Zinnß
Haußrath 16 lb (W 11, T 11), Werckzeug 12, Silber W 7 ß, Schulden T 35, Ergäntzung W 108
Summa summarum der Wittib 155 lb, Theilbarer Verlaßenschafft 17 lb
Schulden aus der Theilbaren Nahrung 163 -Stall Summa 9 lb
Eheberedung. 1715, den 7. Monatstag Junÿ (…) Christoph Michael Hoffmann, Notarius
Barbe Füssinger demande à la tribu des Tonneliers de proposer des tuteurs à ses petits-enfants Gœll
1716, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 293) Dienstags den 28. Apr. Anno 1716) – Barbara Füßingerin stehet vor und bittet weilen Ihrer Verstorbenen Tochter mit weÿl. Mstr: Joh: Michael Göllen, dem Kieffer, ehelich erzeuhte Kinder durch absterben Mstr Joh: Jacob Ehingers Vogt Loß worden, Ihnen ane deßen stell einen andern Zuernennen, in dem man an dem der Freundschafft, welcher solches überbehmen Konte, Erk. solle H Johannes Flach und H Johann Niclaus Häpffel darauf bedacht sein, Ihnen einen Vogt Zuernennen, welche in Vorschlag gebracht haben Nembl. Johann Jacob Rotter, Johannes Rinck und Joh: Reinhart Otten.
Jean Michel Gœll et le tuteur de ses enfants en secondes noces vendent la maison au tonnelier André Heim et à sa femme Catherine Salomé Reiber.
1715 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 294-v
(750) Joh: Michel Göll kiefer und Joh: Georg Ehinger Kiefer alß vogt seiner KK zweÿter ehe
in gegensein Andres Heim Kiefers und Catharina Salome geb. Reÿbelin
hauß hoff hoffstatt Stall hinterhauß mit allen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahn St Elisabeth gass, einseit neben Joh: Schmidt dem Kübler anderseit neben weÿl. Johann Zitterlins E.E. hinten auf weÿl. Jacob haßlers Spohrers E.E. – darvon gehet jährlichen i. Cappen dem Stifft St Thomæ und 5 ß in geldt – um 400, 100, 100 capitalien verhafftet, geschehen um 150 pfund
Le tonnelier André Heim fait un testament en faveur de sa fiancée.
1712 (9. 9.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 231) n° 31
erschienen der Ehren und Vorgeachte Herr Andreas Heim, der Ledige Küfer und burger alhier zu Straßburg (…) nicht nur gesund gehend und stehenden Leibes sondern auch guther richtiger Sinnen, Vernunfft, Verstands und Gespäches, maßen solches abe deßen reden und gebährden genugsam abzunehmen War, Zeigte selbst mündlichen an, wasgestalten er auß gewißen motiven und zwar in betrachtung der Sterb: und hinfälligkeit gesinnet und entschloßen wäre hernach benambster Seiner geliebten Jungfraw hochzeiterin annoch vor Ihrer Copulation einige Vermächtnuß Zuthun und Sie Zubedencken, welches er dann auch hiiemit per modum Codicillj und zwar freÿen eigenen ohngezwungen und ohngetrugenen Willens gethan wie hernach folget. Nemblichen und Zum Ersten so recommendirt derselbe seine Liebe Seele (…)
auf Mittwoch den 9.ten Novembr. Mittags zwischen 12. Vnd 1. Uhren Anno 1712 [unterzeichnet] Andreas Heim
Fils du tonnelier Jean Heim, André Heim épouse en 1712 Catherine Salomé, fille du fabricant de chausses Pierre Reiber
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 244-v, n° 1063)
1712. Mittwoch den 16. 9.mbr. Seind nach 2 mähl. Proclamation ehelich copulirt worden Andreß Haim der ledige Kieffer weÿl. Johann Haimen geweßenen burgers und Kieffers allhier nachgel. ehl. Sohn, und J. Catharina Salome weÿl. Peter Raubers gew. burg. und Hoßenstr. Hinterl. ehl. tochter, bezeichnen solches Andreas Heim Alß hochzeiter, cadarin salme reÿberin Alß hozeiderin (i 244, proclamation Saint-Thomas f° 137, 16. Novembr. 1712, i 139)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Cordiers. Les apports du mari s’élèvent à 59 livres, ceux de la femme à 18 livres.
1713 (13.2.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 8) n° 412 (numéro XIX° s.)
Inventarium über deß Ehrsam undt bescheidenen Andreæ Heimen deß Kieffers undt der Ehr: und tugends: Fr. Catharinæ Salomeæ Heimin gebohrner Reüberin, beede Eheleuthe v. burgere alhier In dießen Ihren Ehestand Zugebrachte Nahrung – der ursachen halben weilen In der zwischen Ihnen beeden Eheleuthen auffgerichteten heuraths verschreibung expresse versehen, daß eines Jeden In die Ehe zubringende Nahrung reservirt und ohnveränd. seÿn V: bleiben solle (…) So beschehen Straßburg auff Montags den 13: febr: 1713.
Inn Einer alhier Inn der Statt Straßburg in der Seÿlergaß gelegenen, vndt von beeden Eheleuthen Lehnungsweiß bewohnend. behaußung sich befunden
Norma, deß Ehemanns Unverändert Guth, haußrath 36, Silber und Geschmeid 5, baarschafft 17, Summa summarum 59 lb
der Ehefrauen in den Ehestandt gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 236, Sa. Silber 34, Sa. Guldenen Ring 14, Sa. baarschafft 18
haussteuren 34 lb – Summa summarum 30. lb
André Heim meurt des suites d’une apoplexie le 14 octobre 1730 à l’âge de 49 ans
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1728-1752 f° 47, n° 142)
1730. Sambt. d. 14.ten 8.bris nachts umb 6. uhr ist Andreas Heim burger u. Kieffer allhier, so von einem schlagfluß Vor einiger Zeit getroffen worden nach Langwiehrig ausgestandenem elend. u. großen schmertzen gestorben u. folgenden Montag auff dem Gottes acker St Helenæ ehrlich begraben worden, seines alters 49. Jahr 1. Monath u. 3. Wochen. (unterzeichnet) Johann Georg Breuer Als bruder, Johann Daniel schäffen als schwager (i 27)
La tribu de la Mauresse accorde à Catherine Salomé Reiber veuve d’André Heim le droit de vendre des fruits
1734, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 87-v) Donnerstags den 9.ten Septembris 1734 – Neue Leibzünfftige Obs Grempin
Catharina Salome Heimin gebohrne Reÿberin, Weÿland Andres Heimen geweßenen Kieffers und burgers allhier hinterlaßene Wittib, producirt Schein Von der Statt Stall Vom 6.ten Septembris 1734. bittet um das Zunfft und Obs: grempen Recht.
Erkandt, gegen erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte Vor den Pfenningthurn 13 ß 4 s, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Obs Grempenrecht 8 ß 4 d Und die Einschreib Gebühr 2 ß, also Zusammen 1 lb 8 ß 8 d
D’après les actes ultérieurs, le menuisier Jean Philippe Buck acquiert la maison par enchère judiciaire
Fils du menuisier Jean Henri Buck, Jean Philippe Buck épouse en 1714 Anne Dorothée Waldeck, fille de l’orfèvre Jean Henri Waldeck.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 171-v)
Mittwoch den 24 Januarÿ 1714 seÿnd nach 2.mahlige außruffung Dom: 2.da et 3.a Epiphan. ehelich zu S. Wilhelm eingesegnet worden Mr Johann Philipp Buck der ledige Schreiner v. burger, weiland Joh. Heinrich Bucken des Schreiners v. burgers allhier v. Anna Maria Stegmännin ehelicher Sohn V. Jfr. Anna Dorothea Weiland H. Johann Heinrich Waldecks Goldarbeiters v. burgers allhier V. Agathæ Ursulæ Habrechtin nachgelaßene eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Philipp Buck als hochzeiter, anna dorothe Waldeckin als hochzeitin (i 177)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 257) Anno 1714. Mittwoch den 24.ten Jan. Sind nach Zweÿmähl. Proclamation ehelich copulirt worden Johann Philipp Buck der ledige Schreiner Weÿl. Johann Heinrich Bucken, gewesenen b. und Schreiners, nachgel. ehl. Sohn und J. Anna Dorothea weÿl. H. Johann Heinrich Walldeck gewesenen b. und Gold Arbeiters hinterl. Tochter. Wurden zu St Wilhelm copulirt (i 256)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au mari au Finckwiller. Les apports du mari s’élèvent à 1 481 livres, ceux de la femme à 1 022 livres.
1714 (20.2.), Not. Mader (6 E 41, 669) n° 139
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Gütter, so der Ehrengeachte Johann Philipp Buck Schreiner und die Ehr: und tugendsame Fraw Anna Dorothea Buckin gebohrne Waldeckin, beede Eheleuthe einander in den Ehestand zugebracht und vermög der mit einander auffgerichteten Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten haben – Actum und angefangen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, in fernerm gegenseÿn des Wohl Ehrenvesten Weiß und Großachtbahren Herrn Abraham Habrecht berühmten Uhrenmachers und E.E. Großen Raths alhier alten Wohlverdienten beÿsitzers der Ehefrauen noch ohnentledigten Herrn Curatoris auff Dienstag den 20. februarÿ 1714.
In einer in der Statt Straßburg ohnfern dem Elephanten gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung ist befunden worden, wie Volgt
Eÿgenthumb ane Haüßern (M.) Item Zweÿ häußer ohnfern dem Elephanten (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii, des Manns Vermögen, Sa. Haußraths 163, Sa. früchten 17, Sa. Weins und faßen 18, Sa. Werckzeugs zum Schreiner handwerck gehörig 230, Sa. Silbers 29, Sa. baarsch. 101, Sa. Häußern 900, Sa. Schulden 20, Summa summarum 1481 lb
der Ehefraun in die Ehe gebracht, Sa. hausraths 474, Sa. goldener ring 50, Sa. baarschafft 100, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 316, Sa. der Schulden 15, Summa summarum 1022 lb
Jean Philippe Buck loue la maison à Protais Trampont, peseur à la douane.
1736 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 547
Johann Philipp Buck der Schreiner
in gegensein H. Protasÿ Trampont des waagmeisters in hiesigem Zollkeller
entlehnt, Eine Behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren gebäuden und zugehörden an St Elisabetha gaß einseit neben hannß Georg Schmidt dem kübler anderseit neben N.N. dem grempen gelegen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von bevorstehend. Johannis Baptistæ anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 34 pfund
Jean Philippe Buck et Anne Dorothée Waldeck meurent à quelques mois d’intervalle début 1761 dans leur maison au Finckwiller en délaissant un fils. Les experts estiment la maison rue Sainte-Elisabeth à 200 livres. L’actif de la succession s’élève à 1932 livres, le passif à 24 livres.
1761 (7.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 718) n° 394
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿlandt der Ehren Vest und Vorachtbahre Herr Johann Philipp Buck der ältere geweßene Schreiner undt weÿl. die Viel Ehren und tugendsahme Frau Anna Dorothea geb. Waldeckin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, als dieselbe und Zwar die Ehefrau Sambstags den 7. februarÿ der Ehemann aber dienstags den 7. Julÿ dießes lauffenden 1761.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben hie zeitlichen verlaßen, auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren der seelig verstorbenen Eheleuthen hinterlaßenen und ab intestato einigen Sohns und Erben Herrn Johann Philipp Buck des ebenmäßigen Schreiners und burgers allhier – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 7.den Augusti A° 1761.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb Ane Häußern. Erstl. eine behaußung bestehend in vorder: und hinterhauß hoff, hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weith. Rechten zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem obern Staden jenseit der Thomans bruck (…)
It. eine behaußung und hoffstatt mit allen übrig. deren Gebäuden, Zugehörden recht und Gerechtigkeiten geleg. allh. Zu Straßb. und d. St. Elisabethä Gaß einseit neben Hn Veit Kärcher dem Schreiner, anderseit neben Fr. Gümpelin hinten auff N. Butz den Schneider stoßend gelegen, davon gibt man Jährl. Löbl. Stifft St. Thomä einen Cappen und 5. ß in Geld ane Ewigem und Ehrschätzig. Zinnß, sonsten freÿ leedig eigen und durch obgedachte der Statt Straßburg geschw. Hn Bau inspectorem und Werck Meister laut Abschatzungs Zeduls vom 5. Julÿ 1761. æstimirt pro 200. Abgezog. obgemelte darauf hafftende beschwährde so zu doppeltem Capital gerechnet dißorts antrifft 11. Restirt alßo ane dem Anschlag solcher behaußung dißorths außzuwerffen 189. Hierüber sagt I. Teutsch. perg. in allh. Cancelleÿ gefertigter Ganth Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Insiegel Verwahret datirt d. 30. Julÿ 1732.
Eigenthumb ane einem Metzgerbanck (…)
Summarische berechnung Sa. haußraths 49, Sa. Weins und lährer faß 27, Sa. Silbers 38, Sa. Goldener Ring 16, Sa. baarschafft 29, Sa. der Vor guth geachten Pfenningzinß hauptgüter 870, Sa. der häußer 789, Sa. des Metzigbancks 112, Sa. der sambtlich. activ Nahrung 1932 lb – Wann aber zu bestreitung d. Inventir, Stall und andere Uncösten dießorts passive außgeworffen wird, 24, Nach solchem abzug, Stall Summ und Hn Joh: Philipp Buck des Sohns und Einzigen Erben anfallendes Erbguth 1907 lb
Jean Philippe Buck vend la maison au tonnelier Jean Daniel Breu et à sa femme Marguerite Salomé Wenger moyennant 700 livres : vente provisoire devant notaire et vente définitive à la Chambre des Contrats
1772 (7.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 292) n° 206
Interims Kauff – Herr Johann Philipp Buck, der Schreinermeister und burger allhier
in gegenseÿn Herrn Johann Jacob Schwing des Metzgers und burgers alhier, wie daß er ihme Herrn Schwingen und wie dieser meldte vor jemand andere als commissions weiß (verkaufte)
das Dominium utile oder nutznießliche Gerechtigkeit der behaußung und Höfflein, mit allen deren Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier ane St Elisabethä Gaß einseit neben Meister Veit Kärcher dem Schreiner anderseit neben N. Häffner dem Zimmergesellen, hinten auf Meister N. Butz dem Schneider stoßend, davon man alljährlichen einen Kappen in Federn und fünf Schilling in Geld ane ewigen ehrschätigen und fürbietigen Zinß dem löblichen Stifft St Thomä allhier zu reichen pflichtig – um 700 pfund – Und weilen zu der Verschreibung in allhießiger Cancelleÿ Contractstub der Consens Schein des Domini Directi erforderlich, so verkündet sich der Käuffer oder wer es als dann seÿn mag denselben von Löbl. Stifft St. Thomä Zur Hand zu schaffen (…)
1772 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 469-v
H. Johann Philipp Buck der schreiner meister
in gegensein H. Johann Daniel Breu des kieffers und Margarethæ Salome geb. Wengerin mit assistentz H. Abraham Wenger des silberarbeiters und Johann Jacob Schwing des metzgers
das dominium utile oder nutzliche herrschafft einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der St Elisabethä gaß einseit neben Mr Veit Kärcher dem schreiner anderseit neben N. Häffner dem zimmer gesellen hinten auff Mr. N. Butz den schneider – löbl. Stifft St Thomä als wohin grund und boden gehörig einen kappen in federn und 5 s in geld ane ewigen ehrschätig und fürbietigen zinß – umb 700 pfund
Les acquéreurs hypothèquent quelques semaines plus tard la maison au profit de leur sœur et belle-sœur respective Marguerite Madeleine Breu
1772 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 546-v
Johann Daniel Breu der kieffermeister und Magdalena Salome geb. Wengerin mit assistentz Johann Jacob Schwing des metzgers und Johann Friedrich Ruff des silberarbeiters
in gegensein Jfer. Margarethæ Magdalenæ Breuin ihrer schwester und schwiegerin – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der St. Elisabethä gaß einseit neben N. Kärcher dem schreiner anderseit neben N. Häffner der zimmer gesellen hinten auff N. Butz des schreiners – (davon soll mann) löbl. Stifft St. Thomä wohin grund und boden gehörig einen cappen in federn und 5 ß ane ewigen ehrschätzigen und fürbietigen zinß
Fils du consigne Jean Frédéric Breu, Jean Daniel Breu fait son apprentissage chez Jean Christophe Gambs de 1753 à 1756.
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 41-v) Dienstags d. 20. Novembris 1753 – Mstr Joh: Christoph Gambß der Kieffer producirt Schein von den obern Handwercks Herren de Dato 9. hujus vermög weßen Er zum Lehrjungen annimmt Joh: Daniel Breu, H Joh: Friderich Breuen, des Consigne und Burgers alhier ehel Sohn, um selbigen vom 9. hujus biß den 9.ten Novembris 1756. also dreÿ Jahr lang das Kieffer Handwerck zu lehren, der Lehrgeld ist accordirt 50 fl. und der Lehrfr. 12. fl. pro Discretione, Worvon die Helffte bereits erlegt die übrige Helffte aber solle Zu End der Lehrzeit erlegt werden, auch leÿdet des Jungen Vatter alle Uncösten. Des Jungen Bürgen seÿnd deßen Vatter obgedacht und Emanuel Müller, der Kieffer. dedit pro Inscriptione 1 ln 5 ß, pro protoc. 5 ß, pro fild. 2 ß
(f° 83) Dinstags d. 9. 9.bris 1756 – Lehrj. delisio
Mstr Johann Christoph Gambs der Kieffer stellet vor Johann Daniel Breu H Joh: Friderich Breu, des Consigne und Burgers alhier ehel Sohn, beÿständl. ged. seines Vatters, meldet daß auf heutigen Datum deßen Lehrzeit verfloßen, auch beede wohl mit einander Zufrieden und bittet Außthuung.
ded. pro delisione 1 lb 10 ß, pro Lehrbrief 1 lb 10 ß, pro Sig. 2 ß, pro prot. 5 ß, pro findl. 3 ß
Jean Daniel Breu s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en février 1764. Il devient tributaire en novembre 1764. Les examinateurs trouvent de nombreux défauts au chef d’œuvre de Jean Daniel Breu lors de la première inspection.
1764, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 173-v) Dienstags den 21. Februarÿ 1764 – Meisterstück
Daniel Breu der Leedige Kieffer Von hier stehet Vor und bittet Ihne Zum Meisterstück einzuschreiben.
Erkandt, Willfarth, dt. Werckstatten zinnß 3. lb, prot. 3 ß, find. 6 d
(f° 202-v) Dienstags den 5. Novembris 1764 – N. Leibzünfftiger
Meister Johann Daniel Breu der Kieffer Evangelischer Religion producirt Stall Schein vom 8.t August jüngst, bittet Ihne als einen neuen Leibzünfftigen anzunehmen.
Erkannt Willfarth. Zahlt pro receptione 2 lb 5 ß, Feuer Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 6 d
(f° 452-v) Donnerstags den 4.ten Julÿ 1765. wurde Johann Daniel Breu des Leedigen Kieffer Meisterstück zum erstenmahl besichtiget, und referiten die Herren Schauer daß das Stuck unfleißig außgericht, und unterschieden taugen Zuflach gestrichen seÿen, unterschrieben J. H. Löchner, Johannes Schätzel, Johannes Breßle
Daniel Breu épouse en 1765 Madeleine Salomé Wenger, fille de l’orfèvre réformé Abraham Wenger : contrat de mariage, célébration
1765 (13.6), Not. Haering (6 E 41, 1377) f° 401 b
(Eheberedung) der Ehrsam und bescheidene Hr Johann Daniel Breu leediger Kieffer, Hn. Johann Friderich Breu Consigne am Steinstraßer thor, und Frau Catharinä Salome gebohrner Neubaurin ehelich erzeugter Sohn, als bräutigam ane einem,
So dann die Ehren und tugendsahme Jungfrau Magdalena Salome Wengerin, H. Abraham Wenger Silberarbeiters und burgers alhier mit weiland Frau Susanna Salome geb. Waagin seel. ehel. erzeugte Tochter als braut an dem andern Theil – So beschehen Straßburg donnerstags den 13. Junÿ A° 1765 [unterzeichnet] Johann Daniel breÿ als hoch zeiter, Magdalen Salome Wengerin als hochzeiterin, Johann Friderich breÿ als Vatter, Catharina Salome breÿin als muter, Abraham Wenger als Vater
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 50)
Anno 1765 (…) den 21 Augusti beÿ uns copulirt worden Joh. Daniel Breÿ lediger Kiefer und burger allhier, Joh. Friderich Breÿ Consigne und burgers allhier ehelicher Sohn und Jungfr. Magdalena Salome Wengerin, des H. Abraham Wengers Silberarbeiters und burgers allhier eheliche Tochter. [unterzeichnet] Johann Daniel breÿ als hochzeiter, Magdalena Salome Wengerin als hochzeiterin (i 52)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 21), Anno 1765. Dom: X et XI p: Trin: als den 11 und 18 Aug: wurden proclamirt Johann danjel Breu der led: Kiefer Von hier, H Johann Friederich Breuen Consigne (am Steinstraser Thor) und burgers allhier mit Fr: Salome gebohr: Neubaurin ehel. erzeugter Sohn und Jungfr. Magdal: Salome Wengertin, H. Abraham Wengerts (Ref: Relig:) silberarbeiters und burgers allh. mit Frau Sus. Salome gebohr. Wagin nachgel: eheliche Tochter. Wurden Mittwochs den 21. Augusti in der Kirch Zum Jungen St. Peter ehelich copulirt (i 25)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à la Krutenau. Les apports du mari s’élèvent à 56 livres, ceux de la femme à 224 livres.
1765 (12. 7.br), Not. Haering (6 E 41, 1366) n° 291
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen H. Johann Daniel Breu Kieffermeisters und der Ehren und tugendsamen Frau Magdalenä Salome Breuin geb. Wengerin, beeder Eheleuthe und Burger allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet A° 1765 – in ihren den 21. Augusti jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht und sich in deren Vor mir Not° am 13. Junÿ 1765 errichteten Eheberedung dritten Puncten, Vor freÿ und eigen vorbehalten haben, Welche Nahrungen auf Ansuchen ihr beeder Eheleuthe vnd Zwar die Ehefrau mit ihrem Vater H. Abraham Wenger Silberarbeiter und b. alhier Verbeÿstandet, inventirt (…) So beschehen in fernerem Gegenseÿn frau Catharinä Salome Breuin geb. Neubaurin des Ehemanns Mutter, und frau Mariä Salome Wengerin geb. Haußin der Ehefrau Pflegmutter, Straßburg den 12.ten 7.bris 1765.
In einer alhier Zu Straßburg an der Krautenau gelegenen dießorts Zum theil Lehnungs weiße bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. Des Ehemanns eingebrachten Vermögens, Sa. hausraths 6 lb, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer Handwerck gehörig und Faß 41 lb, Sa. Silbers 8 lb, Summa summarum 56 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrau in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 97 lb, Sa. Silbers 16 lb, Sa. goldenen Rings 7 lb, Sa. der baarschafft 103 lb, Summa summarum 224 lb
Der Ehefrau müterlich Guth betr. Haussteuren 101 lb Woran infegold der Eheberedung 5.ten Punctens Jeedem der beiden Ehegatten die helffte gebühret mit 50 lb
Ils font dresser l’inventaire de leur fortune pour cause de dettes. La maison est portée à l’inventaire à une valeur de 700 livres. La masse propre à la femme est de 313 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 852 livres, le passif à 1 017 livres
1775 (15.4.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 312
Inventarium über Meister Johann Daniel Breu, des Kieffers, und Frauen Magdalenæ Salome gebohrener Wengerin, beeder Eheleuthen und burgere alhier zu Straßburg dermalen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung, aufgerichtet Anno 1775 (…) auf Ansuchen gedachter Ehefraun so ad hoc mit H. Johann Jacob Schwing, dem Mezger und burger dahier ane Vogts statt verbeÿstandet um den eigentlichen Statum Massæ erkundigen und sofort entweder beÿ E. E. Kleinen Rath pareto* Beneficii Cessionis geziemend ein Kommen, oder sonst anderwärtige dienliche Arrangemens nehmen zu Können, fleißig inventirt und ersucht durch dieselbe und ihren Ehemann – So geschehen alhier in der Königl. Statt Straßburg in einer ane der St. Elisabethengaß gelegenen und hernach eingetragenen behausung, Samstag den Fünffzehenden Aprill im Jahr 1775.
Eigenthum ane einer behausung (M. & T.) Nemlich das Dominium utile, oder die nutzliche Herrschafft einer behaußung, Höflein und Hofstatt, mit allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg ane St Elisabethen Gaß, einseit neben Veit Kärcher dem Schreiner, anderseit neben N. Häffner dem Zimmergesellen, hinten auf Mr Butz den Schneider stoßend, wavon man jährlich dem hiesigen löbl. Stifft St Thoman, alwohin Grund und boden gehörig, einen Kappen in Federn und Fünf Schilling in Geld, ane ewig ehrschätig: und fürbietigem Zinns abzurichtig schuldig, sonsten aber außer denen darauff haftenden und hernach sub rubrica derer Passivorum eingetragenen Capitalien, freÿ,, ledig und eigen, auch hieher ohnpræjudicirlich angeschlagen und ausgeworffen Vor 700 pfund. Über diese behausung besagt ein in alhiesiger CContract stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff de dato 1. Octobris 1772. woraus ersichtlich, daß Breuischer Eheleuth gesagte nutzliche Herrschafft nach bezahltem Laudemio, nebst übernahm obiger beschwerde um den vorher ausgeworffene Preis Von Mr Joh: Philipp Buck dem hiesigen Burger und Schreiner eigenthümlich acquirirt haben. Ferner ist vorhanden ein ohnunterschriebene, und ohnbesigelter teutscher pergamentener Brief, Krafft deßen in Sachen Johann Luipold des Metzgers Klägers: contra weiland Andreas Heimen des Kiefers wittib vogt Johann Jacob Räuber beklagten, gedachte behausung an ihn Mr Buck in alhiesiger Ganth versteigt und eigenthümlich adjudicirt worden um 1160 fl. datirt den 30. July 1732.
Ergäntzung, Nach Anleitung des durch nun weiland H. Not. Johann Richard Häring am 12. Sept. 1765 aufgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefrauen dermaliger unverändertes Guth, Sa. hausraths 92, Sa. Silbers und Geschmeids 9, Sa. goldenen Rings 3, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzung (171, abzug 1 ß, restirt) 170, Summa summarum 313 lb
Hierauf folget auch des Ehemanns unverändert und theilbarer Massa ohnabgesondert, Sa. hausraths 48, Sa. Weins brandenwein und Eßig 9, Sa. Holtzes und Werckzeugs zum Kiefer handwerck gehörig 45, Sa. Silbers 8, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 700, Sa. Schulden 40, Summa summarum 852 lb – Sa. der Schulden 1017 lb, In Compensatione, passiv onus 165 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung zugeltend, so des Ehemanns unverändert und theilbar beträgt 80 lb
Copia Eheberedung (…) So beschehen Straßburg donnerstags den 13. Juny anno 1765, Johann Richard Häring Nots.
La maîtrise des tonneliers déboute Jean Daniel Bæhr de sa plainte contre Jean Daniel Breu qui aurait travaillé chez un de ses clients. Les tonneaux en litige appartiennent depuis un an et demi au beau-frère de Jean Daniel Breu
1787, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 397)
(f° 66-v) Dienstags den 27. Martii 1787 – Klag
Mr Joh: Daniel Behr jun. Kiefer, klagt Ca Johann Daniel Breu den Kiefer, daß beklagter 3. Faß aus einem Keller verlegt habe, in welchen Kläger Kiefer ist, bittet den beklagten in Zahlung des Verlegerlohns, Straff und Unkosten zu condemniren.
Beklagter Zugegen, sagt, solche Faß haben schon anderthalben Jahr vorher ehe er solche verlegt seinem Schwager gehört, bittet absol. ref. exp.
Erkannt seÿe der Kläger mit seinem begehren ref. exp. abzuweißen.
dt. Protoc. 3 ß
Jean Daniel Breu se remarie en 1799 avec Anne Marie Meckert, veuve du peintre Jean Daniel Heimlich
1799 (2 mess. 7), Strasbourg 10 (6), Not. Heus n° 66
Eheberedung – persönlich kommen und Erschienen der Bürger Johann Daniel Breÿ, Kiefer und Wittiber alhier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem
So dann Frau Anna Maria Heimlich geborne Meckert, weiland Bürger Johann Daniel Heimlich, geweßten Malers alhier hinterbliebene Wittib unter assistentz Bürgers Johann Michael Meckert, Eisenhändlers hieselbst, als Hochzeiterin andern theil
Straßburg den 22. Messidor im 7. Jahr der Francken Republick (unterzeichnet) Johann Daniel Breÿ, Anna Maria Heimlichin
Enregistrement, acp 68 F° 173 du 2 mess. 7
Fils du marchand de tabac Jean Jacques Heimlich, Jean Daniel Heimlich épouse en 1771 Anne Marie Meckert, fille du charpentier Jean Michel Meckert de Heiligenstein
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 210-v)
Im Jahr 1771, Dienstags den 26. Novembris morgens umb neun uhr wurden allhier nach vorhergegangenen ordentlichen proclamationen, welche auf Dom. XXV. und XXVI. post Trin. geschehen, in offentlicher Kirche vor denen unterschriebenen Zeugen ehelich mit einander copuliert und eingesegnet, H. Johann Daniel Heimlich, lediger Kunst: Mahler, von hier gebürtig weÿl. H, Johann Jacob Heimlichs gewesenen Tabackhändlers und burgers allhier, und deßen hinterlaßener Wittib, Anna Maria geb. Schmaltzerinn, ehelich erzeugter Sohn, und Jfr. Anna Maria Meckertin, von Heiligenstein gebürtig, Johann Michael Meckerts Zimmermanns und burgers daselbst und deßen ehl. haußfrau Anna Maria geb. Huserin, ehl. erzeugte Tochter (unterzeichnet) Johann Daniel Heimlich als hochzeiter, Anna Maria Mekertin, als Hochzeiterin (i 220)
Anne Marie Meckert devient bourgeoise à titre gratuit pour bon comportement ; registre d’inscription et traitement des demandes
1771, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 47
Anna Maria Meckertin von Heiligenstein verheurathet an Johann Daniel Heimlich den Mahler und burger allhier erhalt das burgerrecht wohl verhaltens weg. gratis, Will dienen beÿ E E Zunfft Zur Steltz, prom. eod. [5. Xbris 1771]
1771, Livre de bourgeoisie (VI 286 bis) p. 295
Steltz, d. 14. 9.bris 1771. No. 4 – Jgfr. Anna Maria Meckertin, die ledige von Heiligenstein Gebürtig Verlobt an Johann Daniel Heimlich, den burger und Mahler allhier, Erweißet durch Vorgelegte scheine Ihre eheliche Geburt, Evang. Relig., das Ihres Sponsi Stallgebüren in richtig Keit, und sie sieben jaht lang in uno continuo beÿ H. Lung dem burger und Knopf Macher alhier treu und redlich gedient.
500 fl hat dieselbe Vorgelegt, darüber den eid des eigenthums abgeschworen und 100 fl. beÿm burger protocoll deponirt. Implorantin bittet in Allhiesiges Burger Recht wohlverhaltens wegen gratis recipirt Zu werden.
Recepts d. 16. 9.bris 1771. gratis
Jean Daniel Breu et Anne Marie Meckert font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison rue Sainte-Elisabeth. Les apports du mari s’élèvent à 2 040 francs, ceux de la femme à 4 361 francs.
1801 (9 frim. 10), Strasbourg 10 (16), Not. Zimmer n° 218, 1008
Inventarium über Johann Daniel Breÿ Kiefers und Fraun Anna Maria geb. Meckert für ohnverändert in die ehe gebrachte Nahrungen, vor Notario Heus untem 2. messidor 7.t Jahrs aufgerichteten Eheberedung
in einer ane der Elisabethä gaß gelegenen mit N° 19 bezeichneten behausung
des Ehemanns vermögen, hausrath 702 fr, Gold und Silber Geschmeid 137 fr, baarschafft 400 fr
Eigenthum an einer behausung so der Ehemann in die Ehe gebracht, Nemlichen das dominum utile oder nützliche herrschafft einer behausung höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg ane der St Elisabethä Gaß mit N° 19 bezeichnet, einseit neben bürger bilger dem Schreiner anderseit neben bürger Feÿle dem Zimmermann und hinten auf bürger baldner den kübler stoßend, davon gibt man dem Stift St Thomas als wohin grund und boden gehörig einen Kappen in Federn und einen francken in geld ane ewig ehrschätig und fürbietigen zins, 2800 fr – darüber ist vorhanden ein Kauffbrieff in der C. C. Stb de dato 1. Octobris 1772
schulden 2000 fr, Nach deren abzug 2040 fr
der Ehefrau in die ehe gebrachte guth, hausrath 622 fr, Gold und Silbernen Geschmeids 127 fr, baarschafft 2091 fr, liegende güther Heiligensteiner banns 1520 fr, summa summarum 4361 fr
haussteur 244 fr
Enregistrement, acp 82 f° 94 du 13 fri 10
Jean Daniel Breu meurt en 1802 en délaissant des héritiers collatéraux. L’actif de la communauté s’élève à 2 438 francs, le passif à 6 095 francs.
1802 (28 flo. 10),
Strasbourg 10 (16), Not. Zimmer n° 230, 1208
Inventarium über weÿl. bürgers Johann Daniel Breÿ gewesten Kieffers Verlassenschafft, nach seinem den 27 germinal jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen Fr. Anna Maria geb. Meckert der hinterbliebenen Wittib unter assistentz des bürgers Leonhard Seÿder Mezgers
der Verstorbene hat ab intestato zu erben verlaßen wie folgt als 1. Frau Margaretha Magdalena Zix geb. Breÿ weÿl. bürgers Johann Georg Zix Meeelhändlers Wittib unter assistentz des bürgers Daniel Baÿ practici, 2. weÿl. Johann Friedrich Breÿ geweßten Traitteur am bareun: fischer hof mit weÿl. Fraun (-) erzeugte zweÿ Kinder Namentlich 1) Johann Peter Breÿ Perruckenmacher und bürger zu Lauffen am Neckar in dem Hertzogtum Würtemberg, 2) Johannna Magdalena Breÿ die leedige mehrjährige alda, in deren beeder Namen bürger Philipp Jacob Breÿ Peruquenmacher (Procuration an herrn Philipp Jacob Breÿ in der steinernen Mannsgasse Nro: 5), 3. weÿl. bürger Reinhard Balthasar Breÿ Peruquenmacher mit auch weÿl. Fraun Maria Magdalena geb. Gambs hinterlassenen vier Kinder Namentlich 1) bürger Philipp Jacob Breÿ Perruckenmacher, 2) bürger Wilhelm Friedrich Breÿ thorschlieser, 3) Fr. Maria Magdalena Baÿ geb. Breÿ des bürgers Daniel Baÿ practici Ehefrau und 4. frau Elisabetha Oppermann geb. Breÿ des bürgers Johann Friedrich Oppermann practici Ehefrau samtlich des defuncti leibliche Geschwüster und respectivé Geschwister: Kinder
der Wittib ohnverändertes Vermögen, hausrath 418 fr, Golden und Silber Geschmeids 132 fr, Ergäntzung (unterm 9. frimaire lezthin errichteten Inventarium 4779 fr, abzuziehen 15 fr, verbleibt ane der Ergäntzung) 4763 fr, Summa summarum 5315 fr
der Erben ohnveränderte Nahrung, hausrath 681 fr, Gold und Silber Geschmeids 90 fr
Eigenthum ane Einer behausung so der Erben ohnverändert, Nemlichen das dominum utile oder die nützliche herrschaft einer behausung höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der St Elisabetha Gaß mit N° 19 bezeichnet, einseit neben dem bürger Bilger dem Schreiner anderseit neben dem bürger feÿle dem zimmermann und hinten auf bürger Baldner den kübler stosend, dem Stift St Thomä als wohin grund und boden gehörig einen Kappen in federn und 1(6) francken in geld ane ewigen ehrschätzig und fürbietigen zinns, aestimirt 2300 fr – C.C.Stb Kaufbrieff de dato 1. oct. 1772
Ergäntzung 3578 fr, Schulden 2000 fr, deducendo 1578 fr
das gemein und theilbahre Vermögen, hausrath 258 fr, schulden 2136 fr, baarschafft 43 fr, Summa summarum 2438 fr – Schulden 6095 fr, Compensando 3657 fr, zweiffhaffte schulden in die theilbahre Nahrung 1300 fr, zweiffelhaffte und verlohrne schulden in der Erben ohnveränderten Nahrung 900 fr
Eheberedung (…) den 2 mess. 6, Not. Heus
Enregistrement, acp 84 f° 111 du 1 prairial 10
Les héritiers Breu vendent la maison au tonnelier Jean Michel Haug de Barr et à sa femme Marie Catherine Grimm
1814 (19.11.), Strasbourg 3 (61), Not. Übersaal
Cahier des charges n° 6708 du 5.10. (enreg. 167 du 6.10.), Adjudication définitive – 1. Philippe Jacques Brey perruquier tant en son nom que se portant fort de Jean Pierre Brey aussi perruquier domicilié à Lauffen près du fleuve appelé Neckar au royaume de Würtemberg et Jeanne Madeleine Brey fille majeure audit Lauffen, 2. Guillaume Frédéric Brey portier consigne à la porte des juifs, 3. Jean Geoffroi Schuler Juris-Consulte et avocat avoué près le Tribunal Civil en qualité de fondé de pouvoir du Sr Guillaume Frédéric Brey passementier natif de Strasbourg présentement à Paris, 4. Sophie Madeleine Oppermann fille de Jean Frédéric Oppermann Praticien et feu Elisabeth Brey assitée de Jean Geoffroi Oppermann pharmacien, tous en qualité de propriétaires (joint acte de naissance de Sophie Madeleine Oppermann fille de Jean Frédéric et d’Elisabeth Brey le 14 prairial 2)
à Jean Michel Haug tonnelier domicilié à Barr et Marie Catherine Grimm – pour 7940 francs
d’une maison avec petite cour, pompe, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue Elisabeth n° 19, d’un côté maison n° 18 appartenant à Jacques Weybel tisserand d’autre celle n° 20 de Henri Feylé compagnon charpentier derrière celle Louis Baldner baquetier – laquelle maison était grevée d’une rente annuelle et laudémiale de 2 francs sçavoir une rente en argent de 1 fr et pour un chapon 1 fr payable à la Fondation de St Thomas – héritée de Jean Daniel Brey tonnelier leur oncle et grand oncle suivant liquidation reçue M° Zimmer le 19 fructidor 10 (6 septembre 1802) dont feu sa veuve Anne Marie Merckel décédée le 25 décembre 1813 avoit la jouissance sa vie durante – propriété constatée par acte à la Chambre des Contrats le 1 oct. 1812 – Charges, clauses et conditions, 4) la susdite rente annuelle et laudémiale de deux francs (en allemand appelée Ehrschätziger zinns), ainsi que de payer à la recette de cette fondation le laudème (en allemand appelé Ehrschatz)
n° 6730 première enchère du 31 10.& – n° 6742 deuxième enchère du 9 novembre
Originaire de Theinselberg (en Allgäu), Jean Michel Haug épouse en 1806 Marie Catherine Grimm, veuve du tonnelier George Léonard Stellwag
Mariage, Barr (n° 32)
L’an 1806 le 9° jour du mois de Septembre (…) sont comparus Jean Michel Haug, âgé de 27 ans né à Theinselberg royaume de Bavière, domicilié en cette ville de Barr, tonnelier, fils majeur de feu Jean Haug en son vivant habitant audit Theinselberg y décédé ainsi qu’il est attesté par les témoins ci après nommés et d’Anne Barbe Schies
Et Marie Catherine Grimm âgée de 43 ans née et domiciliée en cette ville de Barr, fille majeure d’André Grimm l’aîné cordonnier en cette même ville et d’Anne Catherine Kieffer décédée audit Barr ainsi qu’il est attesté par les témoins ci après nommés et veuve respective de George Léonard Stellwag en son vivant tonnelier en cette ville y décédé le 3 thermidor an XIII (signé) Johan Michael Haug, Maria Catharina Grimm (i 22)
Jean Michel Haug et Marie Catherine Grimm vendent en 1815 la maison au boucher Henri Théophile Hiller
1815 (9.1.), Strasbourg 3 (61), Not. Übersaal n° 6790
Jean Michel Haug tonnelier à Barr et Marie Catherine Grimm
à Henri Théophile Hiller boucher demeurant rue du Vent n° 6
une maison avec petite cour, pompe, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue Elisabeth n° 19 d’un côté la maison n° 18 appartenant à Jacques Weybel tisserand d’autre celle n° 20 de Henri Feylé compagnon charpentier derrière celle de Louis Baldner baquetier – grevée d’une rente annuelle de 2 francs payable le 20 déc. à la Fondtion de St Thomas – acquis de Philippe Jacques Brey perruquier et consorts ledit notaire le 19 nov. dernier pour 7940 francs
Originaire de Nördlingen (ici Noerdingen) en Wurtemberg, Théophile Hiller épouse en 1810 Catherine Locker, native d’Uhrwiller près de Pfaffenhoffen, veuve du boucher Laurent Stahl : contrat de mariage, célébration
1810 (6.12.), Strasbourg 5 (32), Not. F. Grimmer n° 6669
Contrat de mariage – Henri Théophile Hiller boucher fils de Henri Théophile Hiller, teinturier à Noerdingen dans le royaume de Würtemberg et de Frédérique Haeuser
Catherine Locker veuve de Laurent Stahl, boucher
Enregistrement, acp 116 F° 29 du 15.12.
Mariage, Strasbourg (n° 570)
L’an 1810, le 10 du mois de décembre sont comparus Théophile Hiller, âgé de 26 ans, boucher domicilié en cette ville depuis quatre ans, né à Noerdingen en Wurtemberg le 17 septembre 1784 comme il est constaté par acte de notoriété dresé par Marie Louis Christmann, Juge de paix du troisième arrondissement de cette ville le premier octobre dernier, homologué par le tribunal de première instance séant à Strasbourg le cinq ensuivant, fils de Théophile Hiller teinturier et de Frédérique Haueisen consentant ainsi qu’il résulte d’un acte passé devant Georges Frédéric Zimmer notaire en cette ville le 23 octobre dernier, Et Catherine Odile Locker, âgée de 29 ans, domiciliée en cette ville depuis cinq ans, née à Uhrwiller Département du Bas Rhin le 23 novembre 1780 fille de feu Bernard Locker, cultivateur & d’Anne Marie Loyson, ladite épouse veuve de Laurent Stahl, aubergiste décédé en cette ville le 21 décembre 1809. (signé) Gottlieb Hiller, Catharina Loher (i 45)
Laurent Stahl épouse Catherine Locker en 1805
1805 (13 vendém. 14), Strasbourg 14 (28), Not. Lex n° 5214
Contrat de mariage – Laurent Stahl, boucher, veuf en secondes noces de Salomé Hetzel
Catherine Locker, fille majeure de Bernard Locker, cultivateur à Urviller arrondissement de Wissembourg, et d’Anne Marie Loison
Enregistrement, acp 97 F° 163 du 20 vend. 14
Théophile Hiller meurt en 1829 en délaissant six enfants. Il a acheté la maison voisine (n° 20) en 1820.
1829 (23.6.) Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Théophile Hiller, aubergiste, décédé le 20 mai dernier – à la requête de Catherine Locker la veuve, mère et tutrice légale de 1. Catherine, 2. Théophile, 3. Sophie, 4. Caroline, 5. Charles et 6. Louis
communauté, mobilier 2255 fr, créances, 2983 fr, numéraire 150 fr
une maison rue Ste Elisabeth n° 19 non estimée, ensemble 5388 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 195 F° 60 du 27.6.
1841 (25.9.), M° Lacombe
Consentement par Catherine Odile Locker veuve de Henri Théophile Hiller boucher à Strasbourg au mariage de sa fille Caroline Hiller femme de chambre à Paris avec telle personne elle jugera à propos
acp 291 (3 Q 30 006) f° 18-v du 27.9.
Catherine (Odile) Locker se remarie en 1832 avec Valentin Leicht, originaire de Neuhausen en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 264)
Du 30° jour du mois de juillet 1832. Acte de mariage de Valentin Leicht, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 février 1796 à Neuhausen, grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, ancien élève en médecine, fils de feu Jean Théodore Leicht, négociant décédé à Neuhausen le 19 novembre 1816 et de feu Jeanne Gall décédée au même lieu le 3 mai 1829, et de Catherine Odile Locker, majeure, née en légitime mariage le 23 novembre 1780 à Uhrwiller (Bas Rhin), veuve de Théophile Hiller, aubergiste décédé en cette ville le 20 mai 1829, fille de feu Bernard Locker, cultivateur décédé à Uhrwiller le 14 février 1807 et de feu Anne Marie Loyson décédée en cette ville le 19 février 1812 (signé) Valentin Leicht, Catharina hiller (i 45)
La veuve et les enfants de Théophile Hiller vendent par adjudication l’auberge à l’enseigne du Bœuf Noir au brasseur Charles Chrétien Pick moyennant 7920 francs. L’auberge est sise au numéro 19 que Théophile Hiller a agrandi du numéro 20 en 1820.
1834 (23.10.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 286, n° 84 du 31.10., Adjudication définitive
M° F. Grimmer 22 octobre – 1. Catherine Locker veuve de Théophile Hiller, vivant cabaretier, épouse actuelle de Valentin Leicht, aubergiste, 2. Philippe Jacques Burand, orfèvre subrogé tuteur de a) Sophie Hiller, b) Catherine, c) Charlotte, d) Louise, tous quatre mineurs, 3. Jean Georges Besenfelder, serrurier demeurant rue du Bain aux Plantes n° 7 mandataire de Henri Théophile Hiller, chasseur au 10° régiment en garnison à Lauterbourg – Jugement du Tribunal Civil le 22 avril dernier, estimation par MM. Henneberg, Haas architectes et Hoffmann charpentier, jugement du 22 avril, adjudication préparatoire le 22 juillet
Désignation de l’immeuble, l’auberge ayant pour enseigne le Bœuf Noir sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth composé de deux maisons portant l’une n° 19 et l’autre n° 20, la première consistant en bâtiment de devant, aile droite, aile gauche et bâtiment du fond, la seconde ne forme qu’un seul corps de bâtiment avec cour, puits et autres dépendances d’un côté le Sr Weibel menuisier d’autre le Sr Deubert tonnelier derrière le Sr Reibel – Etablissement de la propriété, communauté Hiller et Leicht suivant inventaire dressé par M° F. Grimmer le 23 juin 1829, étant observé que c’est par erreur qu’on a mis au nombre des héritiers Catherine Hiller tandis qu’il n’est issu du mariage que les cinq enfants ci dessus dénommés – acquis par deux contrats reçus M° Ubesaal le 9 janvier 1815 et M° Weigel le 19 octobre 1820 – rapport d’experts du 24 mars 1834 estimée 9000 francs, Cahier des Charges du 7 mai 1834
le 22 juillet, ne s’est présenté aucun amateur – le 12 août Adjudication définitive, aucune mise – de faire ordonner que l’immeuble soit adjugé au plus offrant même au dessous de l’estimation, jugement du 28 août
le 26 sept. mise 7900 francs – pour 7920 francs
à François Joseph Clavé, élève en droit principal clerc de notaire
Déclaration de command, M° Weigel le 22 oct., pour Charles Chrétien Pick, propriétaire
Enregistrement, acp 227 f° 199
Charles Chrétien Pick la revend quelques semaines plus tard au tonnelier Philippe Gæckler et à Marie Friess
1834 (6.12.), Strasbourg 4 (80), Me Hatt n° 8304
Charles Chrétien Pick, propriétaire
à Philippe Gaeckler, tonnelier, et Marie Friess
Désignation de l’immeuble, L’auberge ayant pour enseigne le Bœuf Noir rue Ste Elisabeth n° 20 et composé de deux maisons portant l’une n° 19 l’autre n° 20, la première consistant en bâtiment de devant, aile droite, aile gauche et bâtiment du fond, la seconde ne forme qu’un seul corps de bâtiment avec cour, puits et autres dépendances, d’un côté le Sr Weibel menuisier d’autre les conjoints Deubert tonneliers derrière le Sr Reibel – Etablissement de la propriété. acquis par licitation entre la veuve et les héritiers de Théophile Hiller, cabaretier, par acte reçu M° F. Grimmer adjudication le 26 décembre 1834 et déclaration de command reçue M° Weigel le 22 octobre dernier – les conjoints Hiller acquis les deux maisons par deux contrats de vente passés devant M° Ubersaal le 9 janvier 1815 et M° Weigel le 19 octobre 1820 – moyennant 7920 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 229 F° 21 du 15.12.
Arrivé à Strasbourg en 1832 de Pirmasens où il est né, Philippe Gæckler épouse sans doute la même année Anne Marie Friess, native de Still, fille naturelle de Catherine Friess, épouse de l’aubergiste strasbourgeois Jean Wilhammer. Le mariage n’a pas lieu à Strasbourg.
Registre de population 600 MW 137 (1816 sqq) Rue Ponts Couverts N° 10, f° 735 (i 110)
Gaeckler, Philippe, 1810, Pirmasens, Bavière, Cabaretier, marié, (à Strasbourg depuis) 26 Janv. 1832, (carte de sûreté) 5844 32, (auparavant) faubg de Pierre 29, (Entré) 1 Janv. 33, (sorti) Janv. 35, Elisabeth 19
id. née Friess, Anne Marie, 1811, Still, épouse. (à Strasbourg depuis) son enfance, (auparavant) quai St Jean 43
id. Marie Wilhelmine 5. 8.bre, 1833, fille, décédée 15 août 1834
Registre de population 600 MW 28 (1815 sqq) Quai St Jean suite du N° 54, f° 527-a (i 281)
Fries, Anne Marie, 1811, fille nat.lle de Catherine Wilhausner, (née à) Still, (à Strasbourg) depuis son enfance, (auparavant) r. de l’hôpital 8, avril 33
Registre de population 600 MW 169 (1835 sqq) Rue Ste Elisabeth N° 19, f° 388 (i 271)
(prop.) Gaeckler, Philippe, 1810, Primasens, Cabaretier, marié, (à Strasbourg depuis) 26 Janv. 1832, (carte de sûreté) 5844 32, (auparavant) ponts couverts 10-bis, (Entré) 1 Janv. 35, décédé 13. Juin 41
id. née Friess, Anne Marie, 1811, Still, ép. (à Strasbourg depuis) enfance, décédée
id. Philippe Henry, 1833, Strasbourg, fils, (Entré) 7 Janv. 35
id. Marie Augustine, 1837, id., fille, (Entré) 11 Sept. 37
id. Charles Guillaume, 1839, id. fils, (Entré) 14 Jans. 39, décédé 23 avril 39
id. Charles Philippe, 1840, id. fils, (Entré) 22 mai 40
(Prop.) Marx, Pierre Antoine Joseph, 1813, Mertzig, tanneur, M. (à Strasbourg depuis) 25. 8.bre 1842, (carte de sûreté) 7677. 42, (Entré) 9 9.bre 42
id. née Stotzenbach, Marie Joséphine, 1818, Strasbourg, Ep en 2°, (auparavant) route de colmar, (Entré) Janv. 49
id. Pierre Antoine Joseph, 1844, Strasbourg, fils, (Entré) 28 fév. 44, 6 Xbre 49 admis à l’hopsice pendant la détention de son père
id. Marie Pierre Joseph, 1849, id. fils
Philippe Gæckler est assassiné à la Montagne Verte le 13 juin 1841
Décès, Strasbourg (n° 1708)
Déclaration faite le 14 juin 1841 du décès de Philippe Gaeckler âgé de 31 ans, né à Pirmasens, Bavière Rhénane, Tonnelier, Epoux d’Anne Marie Fries, domicilié à Strasbourg mort en cette mairie le 13 du mois courant à dix heures du soir dans la maison située Près la montagne verte, fils de feu Charles Gaeckler, Marchand, et de Sybille Bartel [in margine :] assassiné par un coup de couteau dans la poiitrine (i 99)
Philippe Gæckler délaisse trois enfants
1841 (16.10.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Philippe Gaeckler, tonnelier à Strasbourg et Anne Marie Freiss sa veuve ainsi que de la succession du défunt – A la requête de la veuve tant en son nom que comme tutrice de Philippe Henry, Auguste Marie et Charles Philippe Gaeckler ses enfants mineurs
acp 291 (3 Q 30 006) f° 75 du 18.10. – La prisée du mobilier s’élève à 1112 francs
Garde robe du défunt 103
Immeuble de la communauté, une auberge à l’enseigne du Bœuf Noir à Strasbourg, rue Ste Elisabeth N° 19 et 20
Passif 8611
Anne Marie Friess se remarie avec le tanneur Pierre Antoine Joseph Marx, natif de Merzig en Sarre : contrat de mariage, célébration
1843 (23.5.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Pierre Joseph Marx, tanneur à Strasbourg d’une part
et Anne Marie Friess veuve Philippe Gaeckler, tonnelier à Strasbourg d’autre part
acp 310 (3 Q 30 025) f° 51 du 26.5. – communauté d’acquêts
Les apports du futur consistent en une somme de 1000 francs
Ceux de la future sont constatés en un inventaire reçu Grimmer le 16 octobre 1841
Donation par le futur à la future de l’usufruit viager et gratuit de sa succession en cas de survie
Donation par la future au futur de l’usufruit viager de deux parts d’enfant de sa succession aussi en cas de survie
Mariage, Strasbourg (n° 221)
Du 24° jour du mois de Mai 1843 à dix heures du matin. Acte de mariage de Pierre Antoine Joseph Marx, majeur d’ans, né en légitime mariage le premier avril 1813 à Merzig (Prusse Rhénane), domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Pierre Joseph Marx, Notaire décédé à Merzig le 6 décembre 1831 et de Jeannette Wilbois, domiciliée à Zensweiller (Prusse Rhénane),
et de Anne Marie Friess, majeure d’ans, née le 9 mars 1811 à Still (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, veuve de Philippe Gaeckler, tonnelier décédé en cette ville le 13 mars 1841, fille de feu Catherine Friess épouse de Jean Wilhamer, Cabaretier, décédée à Strasbourg le 18 février 1832 (signé) Peter Anton Joseph Marx, Anna Maria Fries (i 23)
Anne Marie Friess, femme de l’aubergiste Pierre Joseph Antoine Marx meurt en 1846 en délaissant trois enfants de son premier mariage et un du deuxième.
1846 (15.7.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Anne Marie Friess femme de Pierre Joseph Antoine Marx, aubergiste à Strasbourg et veuve en premières noces de Philippe Gaeckler, tonnelier, décédée à Strasbourg le 8 juillet 1846. A la requête 1° du veuf comme commun en biens [et comme père et tuteur de Pierre Antoine Joseph Marx], 2° d’Antoine Gerstner, menuisier à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur datif de Philippe, Augustine et Charles Gaeckler, les trois enfants mineurs de la défunte issus du premier mariage de la femme Marx avec son premier mari
acp 350 (3 Q 30 065) f° 76 du 24.7. Il dépend de ladite succession un mobilier évalué à 1294 francs
acp 350 (3 Q 30 065) f° 91-v du 1.8. (vacation du 1 août) Il dépend de ladite succession un mobilier évalué y compris l’estimation des meubles de la précédente vacation à 2879
Garde robe de la défunte 137, argent comptant 70
Description des titres et papiers
acp 351 (3 Q 30 066) f° 90-v (vacation du 28 août 1856) Sommes dues par la communauté 1993, Indemnités dues à la communauté par la succession 1887, sommes dues par la succession à la communauté 4311, sommes dues par la succession de la défunte 119, sommes payées par la communauté dues par la défunte 1311
Les enfants et héritiers d’Anne Marie Friess exposent la maison aux enchères. Pierre Joseph Antoine Marx s’en rend propriétaire
1847 (12.1.), M° Grimmer (minutes en déficit)
8 décembre 1846. Cahier des charges, clauses et conditions pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 19 et 20
dressé à la requête de Pierre Joseph Antoine Marx, aubergiste à Strasbourg et du tuteur de Philippe, Augustine et Charles Gaeckler, enfants mineurs de feue Anne Marie Friess veuve de premières noces de Philippe Gaeckler et épouse en secondes noces du Sr Marx – acp 355 (3 Q 30 070) f° 54 du 11.12.
Le 12 janvier 1847. Adjudication définitive à la requête de I. Pierre Joseph Antoine Marx, aubergiste à Strasbourg agissant 1° en son propre nom comme donataire contractuel de sa femme défunte Anne Marie Friess veuve en premières noces de Philippe Gaeckler, tonnelier à Strasbourg soit de deux parts d’enfant en usufruit soit d’une part d’enfant en toute propriété de tous les biens qu’elle délaissera aux termes de leur contrat de mariage reçu Grimmer Nre le 23 mai 1843 pour laquelle part en toute propriété le Sr Marx a opté, de sorte qu’il est copropriétaire pour un 10° de la maison prédésignée, 2° comme père et tuteur de Pierre Antoine Joseph Marx issu dudit mariage
II. Antoine Gerstner, menuisier à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur de 1) Philippe Gaeckler, 2) Augustine Gaeckler et 3) Charles Gaeckler issus du mariage de la femme Marx avec son premier mari
acp 357 (3 Q 30 072) f° 16. – Le 12 janvier 1847. Cautionnement par Jean Willhammer propriétaire à Strasbourg de l’adjudication ci-dessus faite au profit du Sr Marx son beau-frère pour la somme de 18.000 francs
Une maison sise à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 19 et 20 ayant pour enseigne le bœuf noir – moyennant 18.000 francs
acp 357 (3 Q 30 072) f° 15-v
Liquidation de la succession d’Anne Marie Friess
1847 (25.3.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Liquidation des biens dépendant 1° de la communauté qui a existé entre Anne Marie Friess et Philippe Gaeckler, tonnelier à Strasbourg son premier mari, 2° de la succession de ce dernier, 3° de la communauté qui a existé entre entre la veuve Gaeckler et Pierre Joseph Antoine Marx, 4° de la succession de ladite dame Marx née Friess
A la requête 1° du Sr Marx susnommé, aubergiste à Strasbourg agissant tant en son nom que comme tuteur de son fils mineur Pierre Antoine Joseph Marx,2° Antoine Gerstner, maître menuisier à Strasbourg en qualité de tuteur datif de 1) Philippe Henri, 2) Augustine Marie, 3) Charles Philippe Gaecker mineurs procréés de la défunte avec son premier mari avec la participation du subrogé tuteur
acp 359 (3 Q 30 074) f° 70-v du 3.4. Observations préliminaires. a) Le Sr Gaeckler est décédé à Strasbourg le 11 juin 1841 et l’inventaire de sa succession a été dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 16 octobre 1841
b) La veuve Gaeckler et son second mari se sont mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts suivant contrat de mariage reçu Grimmer le 23 mai 1843 aux termes duquel le veuf est donataire d’une part d’enfant
c) Ladite Anne Marie Friess est décédée à Strasbourg le 8 juillet 1843 et l’inventaire de sa succession a été dressé par le même notaire le 15 du mois de juillet
d) Le mobilier spécifié en ce dernier inventaire a été vendu suivant procès verbal du commissaire priseur Krafft en date du 3 août 1846.
e) Il dépendait de la communauté qui a existé entre entre la femme Marx et son premier mari une maison à Strasbourg rue Ste Elisabeth N° 19 et 20 qui a été adjugée au S Marx suivant licitation reçue par ledit notaire le 12 janvier dernier
Chapitre 1°. Liquidation de la communauté de biens qui a existé entre entre le Sr Gaecker et sa femme. Elle se compose 1° de l’estimation des effets mobiliers s’élevant à 1112 francs, 2° du prix de vente de la maison s’élevant à 17.748, total 18.860
Masse passive, Elle s’élève à 17.072. Reste en actif 1788 dont moitié pour la succession du Sr Gaeckler et moitié pour la succession de sa femme 894
Chapitre 2°. Liquidation de la succession du Sr Gaecker. Masse active 1° moitié des bénéfices de la communauté 894, 2° estimation de la garde robe 108, 3° moitié des loyers dus par le Sr Marx pour habitation de la maison ci-dessus désignée depuis le décès de sa femme jusqu’au jour de l’adjudication, annuellement 600, pour huit mois 427 dont moitié due par le Sr Marx 213, Total 1213
Masse passive. Elle se compose 1° des intérêts des créances hypothécaires depuis le décès de la femme Marx au jour de l’adjudication et qui sont à charge pour moitié par la succession et pour moitié par celle de la dame Marx 131, 2° des contributions de ladite maison à partir de la même époque 58, 3° des droits de mutation 43, 4° des frais de nomination du subrogé tuteur 22, total 256. Reste en actif 954 dont le tiers à chacun des trois enfants 318
Chapitre 3°. Liquidation de la communauté de biens qui a existé entre entre le Sr Marx et sa femme. Elle se compose 1° du produit de la vente des meubles 3870, 2° de l’indemnité due à cette masse par la première communauté pour dettes payées à a décharge de cette dernière 1311, 3° de la somme due par la première communauté pour réparation de la maison 1863, 4° argent comptant 70, Total 7114
Masse passive. Elle se compose 1° du montant des dettes spécifiées à l’inventaire dressé après le décès de la dame Marx 2001, 2° du remploi dû à la défunte 1215, 3° du remploi dû au Sr Marx 1230,4° des intérêts des créances hypothécaires 1199, 5° des frais d’inventaire et de la présente liquidation 297, total 4943 – Reste 2171 dont moitié pour la succession du veuf 1085
Chapitre 4°. Liquidation de la succession de la Dame Marx. Masse active 1° moitié des bénéfices de la 1° communauté 894, 2° moitié des bénéfices de la 2° communauté 1085, 3°remploi dû à cette succession 1215, 4° produit de la garde robe de la défunte 236, 5° diverses sommes payées à la décharge de la succession 333, Total 3764.
Masse passive. Elle se compose de diverses petites sommes 1652, Reste 2112, dont le 5° pour chaque enfant 422
Chapitre 5° Droits des parties (…)
Pierre Joseph Antoine Marx se remarie avec Joséphine Stotzenbach, file de l’aubergiste Mathias Stotzenbach
1849 (4.1.), Strasbourg 4 (103), Not. Lauth n° 3307
Du 4 & 6 janvier 1849. Contrat de mariage – Furent présens le sieur Pierre Joseph Antoine Marx, auberge natif de Merzig (Prusse Rhénane) demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur & légitime du Sr Pierre Joseph Louis Marx, notaire & de Dame Jeannette Wilbos conjoints audit Merzig et veuf avec un enfant de Dame Anne Marie Friess son épouse défunte, stipulant pour lui et en son nom comme futur époux
Et Dlle Joséphine Stotzenbach, fille mineure de feu le Sr Mathias Stotzenbach, aubergiste & de feue dame Marie Kuntz décédés conjoints à Strasbourg dans la banlieue hors la porte d’Austerlitz canton dit Metzgerau, sous la tutelle du Sieur Antoine Müller cultivateur demeurant et domicilié à Lipsheim, où elle est domiciliée, stipulant pour elle & en son nom sous l’assistance & autorisation de son tuteur & de ses grands parents comme future épouse
acp 378 (3 Q 30 093) f° 66 – régime de la communauté de biens réduite aux acquêts
Les apports du futur époux sont constatés 1° par contrat de mariage reçu Grimmer le 23 mai 1843, 2° par une liquidation reçue Grimmer le 25 mars 1847, 3° et acte de vente reçu Lauth le 12 février 1847
Ceux de la future épouse sont constatés 1° par inventaire reçu Grimmer sans mention de date, 2° inventaire reçu Zeissolff le 9 août 1848
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession en cas d’existence de l’enfant du premier lit du Sr Marx cet usufruit sera réduit quant à la future à une part d’enfant en propriété
A. F. Lauth, 6 janvier 1849 – Consentement par Michel Kientz jardinier et Marie Leimenkoehl conjoints en la banlieue de Strasbourg au mariage de leur petite fille Joséphine Stotzenbach mineure de feu Mathias et de feue Marie Kuntz conjoints décédés, avec Pierre Joseph Antoine Marx aubergiste à Strasbourg
acp 378 (3 Q 30 093) f° 66 du 11.1. lt$ 6.1.
Le créancier fait saisir sur Pierre Antoine Marx l’immeuble qui est vendu à la barre du tribunal civil. L’officier de santé François Nagel s’en rend propriétaire
1850 (11.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 511 (2736)
40, Tribunal civil
République française au nom du peuple français, le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas Rhin séant en cette ville au palais de justice a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit.
Cahier des charges de la vente par expropriation forcée poursuivie contre le sieur Pierre Antoine Marx, aubergiste demeurant à Strasbourg actuellement en faillite et le sieur Frédéric Kuhn négociant domicilié en ladite ville en sa qualité de syndic de la faillite dudit sieur Marx.
M° Valentin Ferdinand Schneegans, avoué du sieur Frédéric Gross, docteur en médecine agissant en qualité de seul et unique héritier de feu le sieur Pierre Frédéric Schneider vivant chirurgien et de Catherine Salomé Koffler veuve en premières noces de feu le sieur Frédéric Gross et en secondes du sieur Schneider domicilié à Strasbourg déclare que ledit sieur Gross est créancier en vertu d’un transport passé devant Maître Zeyssolff notaire à Strasbourg le 28 mars 1843 (…) de Monsieur Buchinger directeur de l’hospice des orphelins de Strasbourg y demeurant en sa qualité de tuteur de Marie Augustine Gaeckler et de Charles Philippe Gaeckler les deux enfants mineurs issus du mariage de feu Philippe Gaeckler vivant sommelier à Strasbourg avec feue Marie Friess épouse en secondes noces du Sieur Marx ci après qualifié dudit sieur Antoine Marx aubergiste demeurant à Strasbourg aujourd’hui en faillite tant en sa qualité de tuteur de Pierre Antoine Joseph Marx son fils mineur procréé avec ladite défunte veuve Gaeckler sa femme qu’en son propre nom comme ayant été commun en biens avec cette dernière et tiers détenteur de l’immeuble saisi et du sieur Frédéric Kuhn, négociant domicilié à Strasbourg en sa qualité de syndic de la faillite dudit sieur Marx d’une somme principale de 3000 francs (…) il a, par procès verbal du ministère du même huissier (Fries) en date du 9 janvier suivant fait procéder à la saisie réelle des immeubles ci après désignés (…)
Désignation de l’immeuble saisi. Deux maisons contiguës contenant auberge et salle de danse à l’enseigne au Bœuf noir, sises à Strasbourg rue Sainte Elisabeth n° 19 et 20 ayant cour, puits, appartenances et dépendances, d’un côté le sieur Michel menuisier de l’autre sieur Durbert menuisier par derrière le sieur Riebel pardevant ladite rue, canton Sud, arrondissement de Strasbourg, département du Bas Rhin, lesdits bâtiments et dépendances occupés et exploités par le sieur Baumann locataire et autres, lesquels immeubles seront vendus sous les clauses et conditions ci après stipulées (…). Mise à prix. Le poursuivant enchérit l’immeuble pour servir de première mise à la somme de 3000 francs (…) Le présent cahier des charges a été dressé à Strasbourg le 20 février 1850
Dire. L’an 1850 le 12 mars au greffe du tribunal civil de Strasbourg est comparu M° Schneegans avoué de la commission administratice des hospices réunis de ladite ville (…) à ce qu’il plaise au tribunal dire et ordonner qu’il sera inséré au cahier des charges la clause suivante. La part du prix qui pourra être attribuée aux enfants mineurs (…) restera affectée sur l’immeuble vendu et ne pourra être remboursée qu’aux époques de leur majorité relatives.
Publication. L’an 1850 le 29 mars (…)
Adjudication. L’an 1850 le 3 mai à l’audience des criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg (…) adjuge l’immeuble audit M° Stoeber avoué pour la somme de 15.000 francs (…)
Déclaration de command. L’an 1850 le 3 mai au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg est comparu M° Stoener avoué en ce siège et a déclaré avoir enchéri à l’audience des criées de ce siège à la date de ce jour pour et au nom du sieur François Nagel, officier de santé demeurant à Strasbourg pour la somme de 15.000 francs
François Nagel meurt célibataire en 1858 après avoir institué sa sœur légataire de ses biens
1858 (17.11.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Dépôt du testament olographe de François Nagel
acp 473 (3 Q 30 188) f° 91 du 18.11.
Testament, 16 avril 1858 – Je soussigné François Nagel, officier de santé à Strasbourg révoque tous les testaments que j’ai pu faire avant le présent
1° Je lègue à la société privée de bienfaisance protestante à Strasbourg pour être placée à intérêts 2000 francs payables après le décès de ma sœur
2° Je lègue à la fondation Blessig à Strasbourg pour être placée à intérêts 2000 francs payables après le décès de ma sœur
Le reste de la fortune que je délaisserai, tant mobilière qu’immobilière à l’exception de ce dont j’aurais disposé par des testaments postérieurs, je le lègue à dlle Sophie Nagel ma sœur, je lui lègue en sus l’usufruit viager des deux legs ci-dessus mentionnés (…)
Si je survis à ma sœur, les legs ci desssus sont maintens
2° Je lègue à mon cousin Auguste Maské fils de Charles Auguste 2000 francs
3° Je lègue à mon cousin Eugène Maské fils de Charles Auguste 2000 francs
4° Je lègue au musée d’histoire naturelle de Strasbourg 500 francs (…). Pour le reste de ma succession à l’exception de ce dont j’aurais disposé par des testaments postérieurs, j’institue pour mes légataires universels en nue propriété les enfants de ma cousine Pauline Maské épouse d’Emile Dürr et je lègue l’usufruit viager des mêmes biens à leur père et à leur mère
Enregistrement de Strasbourg, ssp 128 (3 Q 31 627) f° 49 du 18.11. (M° Grimmer notaire, Test. fol. 115 N° 11, décès du 12. 9.bre 1858, succession déclarée le 18 août 1859 n° 166, N° 13. N. à la préfecture)
François Nagel est propriétaire de la maison rue Sainte-Elisabeth et de la moitié d’une autre place Kleber
1859 (11.1.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par François Nagel, officier de santé à Strasbourg où il est décédé le 12 novembre 1858, déclaré à la requête de Sophie Nagel célibataire à Strasbourg sa sœur légataire du défunt
acp 475 (3 Q 30 190) f° 44-v du 13.1. (succession déclarée le 18 avril 1859 n° 166) Il dépend de ladite succession un mobilier estimé ci 418, créances 35.131
Une maison à Strasbourg rue St Elisabeth N° 19 et la moitié d’une maison plave Kleber N° 15
Décès, Strasbourg (n° 2204)
Acte de décès. Le 12 novembre 1858 ont comparu Louis Eugène Masské âge de 40 ans, commis de culture domicilié à Strasbourg, cousin du défunt, et Jean Klein, employé des tabacs, ami du défunt domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que François Nagel âgé de 67 ans, né à Strasbourg, officier de santé, non marié domiciliée à Strasbourg, fils de feu George Henri Nagel, horloger et de feu Marie Barbe Masské est décédé le 12 novembre 1858 à mars heures du matin en la maison place Kleber 15 [in margine :] Phtysie (i 20)
Sophie Nagel meurt célibataire en 1866 après avoir institué pour héritière sa cousine Sophie Pauline Maské femme du négociant Louis Emile Dürr
1866 (20.4.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Sophie Nagel célibataire
acp 551 (3 Q 30 266) f° 32 du 23.4.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 144 (3 Q 31 643) f° 15 du 23.4.
12 novembre 1859. Testament – Je soussignée Sophie Nagel demeurant à Strasbourg lègue par les présentes 1° à mon cousin Louis Eugène Masské, fils de Charles Auguste ou à ses enfants 4000 francs
2° à Mlle Sophie Haas fille du pasteur Haas Grand Duché de Bade, 2000 francs
1° à Barbe Wilhelm qui était en condition chez moi une rente viagère de 400 francs par an
4° au cabinet d’histoire naturelle de Strasbourg 500 francs
5° pour le surplus de ma succession tant en immeubles qu’en meubles j’institue mon unique héritière ma cousine Sophie Pauline Maské femme Dürr
Je lègue en outre à mon amie Wilhelmine Bruder une rente trimestrielle de 60 francs
(M° Grimmer, succession déclarée le 1. octobre 1866)
Inventaire des biens de Sophie Nagel
1866 (26.4.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Sophie Nagel rentière décédée à Strasbourg le 2 avril 1866. A la requête de Sophie Pauline Masské femme de Louis Emile Dürr négt. à Strasbourg agissant en qualité de légataire universelle de la défunte suivant son testament olographe du 12 novembre 1859 enregistré
acp 553 (3 Q 30 268) f° 97 du 2.5. (succession déclarée le 1. octobre 1866 n° 580) Objets mobiliers 260, créances dues par 1) Jacques Guillaume Freyss principal et intérêts 5091, 2) Georges Peter 1106, 3) les époux Dietz de Barr 5147, 5) Jacques Schultz père et fils 4060
Une maison sise à Strasbourg place Kleber n° 15
Vaqué par double vacation de deux heures à sept heures du soir
Décès, Strasbourg (n° 822)
Acte de décès. Le 2 juillet 1866 ont comparu Albert Baur âge de 43 ans, Marchand de houblons, voisin de la défunte, domicilié à Strasbourg, et Emile Dürr, âgé de 43 ans, Négociant allié de la défunte domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Sophie Nagel âgée de 73 ans, née à Strasbourg, sans état, non mariée domiciliée à Strasbourg, fille de feu Georges Henri Nagel, horloger et de feu Marie Barbe Masské est décédée le 2 juillet 1866 à neuf heures du matin en la maison place Kleber 15 (i 175)
1866 (21.8.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Notoriété constatant que Sophie Nagel, rentière à Strasbourg est décédée le 2 avril 1866 sans délaisser d’ascendants ni descendants
acp 551 (3 Q 30 266) f° 141-v du 25.8.
1866 (6.12.), M° Hoffherr (minutes en déficit)
Délivrance par Salomé Pauline Maské épouse Léon Emile Dürr, négociant à Strasbourg, agissant en qualité de légataire universelle de Sophie Nagel célibataire à Strasbourg, suivant testament olographe du 12 novembre 1859 du legs de 4000 francs fait par ladite Dlle à Eugène Maské, vérificateur des tabacs à Wissembourg
acp 558 (3 Q 30 273) f° 28 du 8.12. (succession déclarée le 28 août 1859 n° 748)
Sophie Nagel vend la maison au tourneur et fondeur Jean Jacques Decker et à Dorothée Sophie Rosenfelder qui entreront en jouissance de l’immeuble à la fin du bail consenti à Marie Joséphine Paris, directrice d’un établissement de charité
1866 (19.3.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1051 (3205) n° 73, M° Grimmer (minutes en déficit)
Le 2 mars 1866 – a comparu Delle Sophie Nagel majeure d’ans, rentière, demeurant et domiciliée à Strasbourg, laquelle déclare avoir vendu
à M. Jean Jacques Decker, tourneur et fondeur et à Dame Dorothée Sophie Rosenfelder, son épouse demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, ci présents et acceptant, la femme autorisée de son mari
deux maisons contiguës avec puits droits appartenances et dépendances, contenant autrefois auberge et salle de danse à l’enseigne au bœuf noir, situées à Strasbourg rue Sainte Elisabeth portant anciennement les numéros 19 et 20 et aujourd’hui le N° 21. Tenant d’un côté au sieur Michel menuisier, de l’autre au sieur Durbert également menuisier par derrière au sieur Riebel et par devant à ladite rue. (…) Les acquéreurs entreront en possession et jouissance du bien acquis le 25 juin prochain, époque à laquelle cessera le bail verbal qui en a été consenti au profit de Dame Marie Joséphine Paris, directrice d’un établissement de charité (…)
Déclare le venderesse qu’elle a recueilli la propriété présentement vendue dans la succession de son frère M. François Nagel, officier de santé décédé à Strasbourg qui l’a instituée sa légataire universelle aux termes de son testament olographe daté de Strasbourg le 16 avril 1858, déposé pour minute au soussigné M° Grimmer suivant acte de dépôt par lui dressé le 17 novembre de la même année. Le défunt François Nagel en est lui-même devenu propriétaire sur le sieur Antoine Marx, alors aubergiste à Strasbourg suivant jugement d’adjudication sur expropriation forcée prononcée à la barre du Tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg le 3 mai 1850 et déclaration de command du même jour moyennant un prix entièrement payé et justifié aux acquéreurs. La présente vente a été faite et consentie pour et moyennant le prix de 18.000 francs
acp 552 (3 Q 30 267) f° 46-v du 3.3.
Fils du journalier Jean Decker, le mécanicien Jean Jacques Decker épouse en 1851 Dorothée Sophie Rosenfelder, fille du tonnelier Philippe Henri Rosenfelder
Mariage, Strasbourg (n° 24)
Du 18° jour du mois de janvier 1851 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Jacques Decker, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 juin 1821 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Mécanicien, fils de Jean Decker, Journalier, et de Marie Barbe Walter, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants
et de Sophie Dorothée Rosenfelder, majeure d’ans, née en légitime mariage le 13 mai 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, fille de Philippe Henri Rosenfelder, tonnelier absent depuis l’année 1834 et de Marie Madeleine Jud, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (…) il n’y a point eu de contrat (signé) J J Decker, Magdalena Rosenfelder (i 13)
Registre de population 600 MW 318 (1850 sqq) (i 95)
Decker, Jean, Strasbourg 22, h.m, tourneur, luthérien, français, (à Str.) d.s.n.
id. née Rosenfelder, Sophie, Strasbourg 23, f.m, a femme, luthérienne, français, (à Str.) d.s.n.
id. Gustave, Strasbourg 53 g son fils, (à Str.) d.s.n.
id. Emile id 56, g son fils, (à Str.) d.s.n.
Kraeh, Georges, Mietesheim 1839, tourneur, Cath. français, (à Str.) 18. 9.br 56, (auparavant) livret de la Walck, (ensuite) rue des Tanneurs 34
Heille, Pierre, Trèves 33, g. tourneur, cath. Prusse, (à Str.) Xbr 56, (auparavant) Nancy, (ensuite) r de l’hôpital 10
Fiche de Marie Joséphine Paris, directrice de l’établissement de charité sis 9, rue Saint-Louis puis 19, rue Sainte-Elisabeth qui devient en 1858 le n° 21.
Registre de population 600 MW 318 (1850 sqq)
Paris, Marie Joséphine, Oberbergheim 14, Directrice, f[ille], cath., (à Str. depuis) 1832
Delabaume, Augustine Joséphine, Schiltigheim 20, f, sœur, cath., (à Str. depuis) 1836
Dienet, Rosalie, Suarce 99, f, sœur, cath., (à Str. depuis) 1818, décédée le 9 X 1857
Dietrich, Joséphine, Strasbourg 29, f, sœur, cath., (à Str. depuis) d.s.n.
Kastner, Félicité, 17, f, sœur, cath., (à Str. depuis) 1839
Wahl, Catherine, Bettlach 02, f, sœur, cath., (à Str. depuis) 1841
Eggenschwiller, Catherine, 93, f. cuisinière, cath., (à Str. depuis) 1854
Beckrich, Marie Elisabeth, Loretzwiller* 1 fev. 22, f, servante, cath., (à Str. depuis) 3 août 53, délogée rue du dragon 27
rue St Louis 9, établt. de charité, (délogement) 20 août 1857
rue St Elisabeth 19 / 21
Jean Jacques Decker et Dorothée Sophie Rosenfelder hypothèquent la maison au profit de Marguerite Madeleine Klein, Caroline Klein et Salomé Klein
1871 (6.11.), Strasbourg 5 (53), Not. Laurent Hoffherr n° 307
Obligation – Ont comparu M. Jean Jacques Decker, tourneur et fondeur, et Mme Dorothée Sophie Rosenfelder son épouse qu’il autorise demeurant et domiciliés ensemble rue Sainte Elisabeth N° 21, Lesquels ont par les présentes, reconnu devoir bien légitimement
à Mlles Marguerite Madeleine Klein, Caroline Klein et Salomé Klein toutes trois majeures, sans profession, demeurant et domiciliées à Strasbourg rue St Louis N° 10, ici présentes et acceptant, la somme principale de 24.000 francs pour prêt de pareille somme
Affectation hypothécaire. Désignation. Deux maisons contiguës avec puits, droits, appartenances et dépendances, contenant autrefois auberge et salle de danse à l’enseigne au Bœuf Noir, situées à Strasbourg rue Ste Elisabeth portant anciennement les Numéros 19 et 20 et aujourd’hui le N° 21, tenant d’un côté à Mr Lobstein, de l’autre à M. Lallemand, pardevant à la rue et par derrière à M. Thoenemann. Sur lesquelles maisons il sera pris inscription au profit de Mesdemoiselles Klein.
Propriété. En la personne des emprunteurs. Les maisons présentement hypothéquées dépendent de la communauté légale de biens qui existe entre M. et Mad° Decker. Elles ont été acquises au cours de ladite communauté de demoiselle Sophie Nagel, rentère demeurant et domiciliée à Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Grimmer, Notaire en cette ville, prédécesseur immédiat du soussigné M° Hoffherr le 2 mars 1866 enregistré. Une expédition de ce contrat de vente a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 mars 1866 vol. 1051 N° 73 et le même jour inscription a été formée d’office contre les sieurs et dame Decker vol. 917 N° 155. L’acquisition sus énoncée a été faite moyennant un prix principal de 18.000 francs (…)
En la personne de Mlle Nagel. Les mêmes immeubles appartenaient à Mlle Nagel en qualité de légataire universelle de son frère Mr François Nagel, officier de santé demeurant et domicilié à Strasbourg aux termes du Testament de celui-ci faite en la forme olographe en cette ville le 16 avril 1858, déposé pour minute à M° Grimmer qui assisté de son collègue, en a dressé acte de dépôt le 17 novembre de la même année en vertu d’une ordonnance rendue le 13 du même mois par Mr le Président du Tribunal civil de Strasbourg. Ce testament a pu recevoir sa pleine et entière exécution, Mr Nagel étant décédé à Strasbourg le 12 novembre 1858 sans laisser d’héritier à réserve.
En la personne de Mr Nagel. M. Nagel était devenu propriétaire des dits immeubles à la suite des poursuites en expropriation forcée exercées contre le sieur Antoine Marx, alors aubergiste à Strasbourg et suivant jugement d’adjudication prononcée à la barre du Tribunal civil de première instance de Strasbourg le 3 mai 1850 et déclaration de command du même jour moyennant un prix entièrement payé et justifié
Assurance contre l’incendie (…), Hypothèque légale (…), Promesse d’emploi (…) Cette somme de 10.000 francs fait partie de celle qui a été payée aux termes de cette dernière obligation sur le prix principal s’élévant à 18.000 francs moyennant lequel les Epoux Decker ont acquis de Mlle Sophie Nagel rentère demeurant à Strasbourg la maison ci-dessus hypothéquée ainsi qu’il résulte du Contrat passé devant M° Grimmer, Notaire à Strasbourg le 2 mars 1866 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 19 mars 1866 vol. 1051 N° 73 avec inscription d’office vol. 917 N° 155. Et elle a été payée à M. Louis Emile Dürr, négociant et M° Salomé Pauline Masské son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg place Kléber N° 4. Ladite dame Durr en qualité de légataire universelle en toute propriété de Mlle Nagel dénommée aux présentes sa cousine germaine aux termes du Testament de celle-ci fait en la forme olographe à Strasbourg le 12 novembre 1849 déposé pour minute à M° Grimmer le 20 avril de la même année 1866 en vertu d’une ordonnance rendue le 3 du même mois par M. le Président du Tribunal civil de Strasbourg. Ce testament a pu recevoir sa pleine et entière exécution, Mlle Nagel étant décédée à Strasbourg le 2 avril 1866 sans laisser d’héritier à réserve, ainsi que le constate un acte de notoriété supplétif d’inventaire dressé par M° Grimmer et son collègue le 25 octobre 1866. M Dürr a été envoyé en possession de son legs suivant une ordonnance rendue par M. la Président dudit tribunal le 31 mai 1 déposé pour minute à M° Hoffherr soussigné suivant acte de dépôt dressé par ce notaire et son collègue le 15 septembre 1866 (…), Etat civil et hypothécaire. M. et Mme Decker déclarent sous les peines du stellionat qui leur ont été expliquées et qu’ils ont déclaré bien comprendre, Qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté (…)
Jean Jacques Decker loue la maison au fondeur de cuivre et de laiton Etienne Favy
1875 (22.12.), Strasbourg 24 (14), Not. Joseph Allonas n° 2399
22. Dezember 1875. Miethvertrag – ist erschienen Herr Johann Jakob Decker, Kupfer Gießer und Drechsler Zu Straßburg wohnhaft, derselbe vermiethet andurch für die Dauer von 6 oder 9 Jahren, am künftigen 25. Dezember zu beginnen, um am selben tag 1881 oder 1884 zu endigen (…)
an dem hier gegenwärtigen und dies annehmenden Herrn Stephan Favy, Kupfer und Messing Gießer zu Straßburg wohnhaft
Nach bezeichneten Räumlichkeiten in dem Hause des Herrn Decker Sant Elisabethen Gasse N° 21 zu Straßburg
der gantze Erdgeschoß bestehend aus drei Zimmer, ein Kabinet und eine Küche,
den ersten Stock, zwei Zimmer mit Aussicht auf die Straße und eine Küche mit Aussicht auf den Hof, zwei Abtheilungen im Keller und zwei Abtheilungen auf dem Speicher.
Dieer Vertrag wurde unter folgenden Bedingungen abgeschlossen nämlich (…) Miethzins von 750 Franken
acp 647 (3 Q 30 362) f° 5-v du 24.12.
Jean Jacques Decker et Dorothée Sophie Rosenfelder hypothèquent la maison au profit de Sophie Wieger veuve du notaire Louis Charles Zeyssolff et de la corsetière Frédérique Blin
1881 (9.11.), Strasbourg 8 (114), Not. Gustave Edouard Loew n° 13.605
Obligation – sind erschienen Herr Johann Jakob Decker, dreher und Gießer, und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Dorothea Sophie Rosenfelder, beide wohnhaft zu Straßburg, dieselbe bekennen hiermit
an die mitanwesende diese annehmende frau Sophie Wieger, wohnhaft Zu Straßburg, Wittwe des Eigenthümers und früheren Notars Herrn Ludwig Karl Zeyssolff, ein Darlehen zu 8000 Mark
ferner an das mitanwesende diese annehmende fräulein Friederika Blin, großjährige Korsettmacherin, wohnhaft zu Straßburg ein Darlehen von 5600 Mark, sohie zusammen 13.600 Mark zu schulden
Hypothek-Bestellung. Zwei aneinanderstoßende häuser mit Erdgeschossen nebst hintergebäude, gelegen Zu Straßburg, Sankt Elisabethhgasse N° 21 vorher 19 und 20, das frühere Gasthaus du bœuf noir, einerseits herrn Lobstein, anderseits herr Lallemand, vorn die Strasse, hinten Herr Thoenemann.
Eigenthumsnachweis. Die Schuldner haben nach ihrer Erklärung das Anwesen gekauft von der Rentnerin fräulein Sophie Nagel zu Straßburg, laut Vertrags vor dem damaligen Notar Grimmer daselbst vom zweiter März 1866 überschrieben am Hupothekenamte Straßburg den 19. desselben Monats, Band 1051 Nr 73, und amtlich eingeschrieben Band 917 Nr 155. Der bedungene Kaufpreis zu 18.000 Franken ist bis auf einen Rest von 10.000 Franken bezahlt wie nachstehend erläutert werden wirt. Hypothek-Belastung (…)
Erklärungen. Es erklären Ehegatten Decker, 1) daß sie beide in erster Ehe und in gesetzlicher Gütergemeinschaft leben
Jean Jacques Decker et Dorothée Sophie Rosenfelder hypothèquent le même jour la maison au profit d’Hélène Frédérique Bœswillwald, veuve du boulanger Auguste Eberlen
1881 (9.11.), Strasbourg 8 (114), Not. Gustave Edouard Loew n° 13.606
Obligation – sind erschienen Herr Johann Jakob Decker, dreher und Gießer, und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Dorothea Sophie Rosenfelder, beide wohnhaft zu Straßburg, dieselbe bekennen hiermit
an die mitanwesende diese annehmende frau Helene Friederika Boeswillwald, wohnhaft Zu Straßburg, Wittwe des dortigen Bäckers Herrn August Eberlen, ein Darlehen von 3200 Mark zu schulden
Hypothek-Bestellung. Zwei aneinanderstoßende häuser mit Erdgeschossen nebst hintergebäude, gelegen Zu Straßburg, Sankt Elisabethhgasse N° 21 vorher 19 und 20, das frühere Gasthaus du bœuf noir, einerseits herr Lobstein, anderseits herr Lallemand, vorn die Strasse, hinten Herr Hoenemann.
Eigenthumsnachweis. Die Schuldner haben nach ihrer Erklärung das Anwesen gekauft von der Rentnerin fräulein Sophie Nagel zu Straßburg, laut Vertrags vor dem damaligen Notar Grimmer daselbst vom 2. März 1866 überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 19. desselben Monats, Band 1051 Nr 73, und amtlich eingeschrieben Band 917 Nr 155. Der bedungene Kaufpreis zu 18.000 Franken ist bis auf einen Rest von 10.000 Franken bezahlt wie nachstehend erläutert werden wirt. Hypothek-Belastung (…)
Erklärungen. Es erklären Ehegatten Decker, 1) daß sie beide in erster Ehe und in gesetzlicher Gütergemeinschaft leben
Jean Jacques Decker et Dorothée Sophie Rosenfelder consentent au mariage de leur fils Gustave Adolphe à Paris avec la cuisinière Marie Wacker
1891 (1.8.), M° Gachot
Eheeinwilligung durch Johann Jakob Decker, Metalldreher und seine Ehefrau Sophie Rosenfelder in Straßburg bezüglich der Ehe ihres Sohnes Gustav Adolph Decker, Meltalldreher in Paris mit Maria Wacker in Paris
acp 844 (3 Q 30 559) f° 60 du 3.8.
30 November 1891 – Einwilligung durch Johann Jakob Decker Metalldreher und dessen Ehefrau Sophie Rosenfelder zu Straßburg in die Ehe welche ihr Sohn Gustav Adolph Decker Metalldreher mit der Köchin Maria Wackern beide zu Paris einzugehen gesonnen ist
acp 851 (3 Q 30 566) f° 17 du 1.12.
La maison est vendue par adjudication judiciaire poursuivie par la créancière Frédérique Blin contre Jean Jacques Decker et Dorothée Sophie Rosenfelder. L’acquéreur est le fabricant de chaises Joseph Hummel
1885 (25.11.), M° Loew
Zwangsversteigerung auf Anstehen von Friederika Blin, ledig, Strohwarenmacherin dahier
gegen Eheleuth Johann Jacob Decker, Messingdreher, und Dorothea Sophie Rosenfelder dahier
auf Grund Beschlusses des Kaiserl. Amtsgerichts dahier vom 8. September 1885. auf Grund Obligation Loew vom 9. November 1881 zur Versteigerung gelangen
Häuser mit Erdgeschossen nebst Hintergebäuden gelegen dahier St Elisabethengasse N° 21, vorher Nr 19 & 20, das frühere Gasthaus du Bœuf noir, erworben wähend der Gemeinschafft laut Act Grimmer vom 2. März 1866.
Besitz und Genuß sowie Steuren vom Tage des Zuschlags
an Joseph Hummel, Stuhlfabrikant um den Preis 16.100 Mark
acp 771 (3 Q 30 486) f° 53-v du 4.12.
Originaire de Barr, Joseph Hummel épouse en 1872 Marguerite Caroline Wœller de Strasbourg
Mariage, Strasbourg (n° 1068)
Du 31° jour du mois de décembre 1872 à dix heures du matin, Acte de mariage de Joseph Hummel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 mai 1841 à Barr (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, fabricant de chaises, fils de feu Georges Hummel, potier de terre décédé à Strasbourg le 27 décembre 1858 et de feu Françoise Meyer, décédée à Barr le 8 octobre 1856
et de Marguerite Caroline Woeller, majeure d’ans, née en légitime mariage le 27 mai 1845 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, rempaileuse de chaises, fille de feu Jean Michel Weller, décédé à Strasbourg le 17 janvier 1851 et de Marguerite Boellinger, rempailleuse de chaises domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 82)
Joseph Hummel meurt en 1892 en délaissant sept enfants. La communauté est propriétaire de plusieurs maisons rue Sainte-Elisabeth, notamment du n° 19 (anciens 17 et 18) et du n° 21 (anciens 19 et 21) contigus.
1892 (18.10.), M° Mossler
Inventar über den Nachlass des am 10. September 1892 hier verstorbenen Stuhlfabrikanten Joseph Hummel, Ehemann von Margaretha Karoline Voeller. Erben sind die minderjährige Kinder 1. Eugen Albert geb. 2/1.73, 2. Ludwig Frantz Georg geb. 13/5.76, 3. Anna Margaretha Elisabeth geb. 18/6.79, 4. Alfred Philipp August geb. 9/5.78, 5. Julius Johann Jakob geb. 12/12.81, 6. Bertha Maria Franziska geb. 20/1.83, 7. Martha Josephine Karoline geb. 22/11.86, unter Vormundschaft der Mutter
acp 864 (3 Q 30 579) f° 32 n° 3552 du 21.10. (SStv 21/10 92 Bd. 194 n° 392) Gesetzliche Gütergemeinschaft. Mobilien 946, Stuhlfabrik im *shaus hier 1413, baares Geld 150, Geschäfftsausstände 35, Hinterlegte Kaution bei der Bodenkreditbank hier 1250,
Zweiffelhafft Forderung auf Ludwig Ulrich, Waschpritschenbesitzer hier 320, Gegen den Schuldner ist Zwangsvollstreckung eingeleitet & ist es noch unbestimmt, mit welchem Betrage diese Forderung befriedigt werden wird.
Liegenschaften 1. Ein Wohnhaus dahier, Elisabethgasse früher N° 17 & 18, jetzt N° 19, bestehend in Vordergebäuden Hintergebäude und Nebengebäude mit Hof, Brunnen, Rechten & Zubehörden, erworben laut Versteigerung Holtzapffel vom 9/3.74
2. Ein Wohnhaus mit kleinem Hof, Rechten und Zugehörden dahier Elisabethgasse N° 2, section P n° 1313, 1313 mit 1 A. 50 Fläche, erworben laut Versteigerung Mossler vom 1/6.82
3. Zwei aneinanderstoßende Häuser mit Erdgeschoß, Hintergebäuden, Elisabethgasse n° 21, früher 19 & 21, das frühere Gasthaus du bœuf noir, erworben laut Versteigerung Loew vom 25/10.85
4. section G n° 40.p, 2 A 30 Feld, Straßburg vor dem Spitalthor, Gewand Schragenfeld, erworben laut Akt Holtzapffel vom 24/4.77
5. section A N° 259, 13 A 15 Reben Gingsheim, Nesenberg* erworben laut Kauf Ritleng pere v. 12/2.74
6. section A N° 251, 6 A 85 Reben Gingsheim zwischen den Ohlgärten, erworben laut Kauf Matter in Hochfelden vom 7/5.77
7. ca 12 A 50 Reben, Gressweiler, Goßen, 8. ca. 5,50 Reben Gressweiler vor dem Wurmberg, 9. ca. 18 Ar Feld Gressweiler Schnelling, 10. ca. 3,50 Wald, Mutzig am Gesch*, erworben laut Urkunde Rohmer in Mutzig vom 28/10.75
Gemeinschaftsschulden 923 – Kleider des Nachlasses 53
Zeitaufwand 9 Stunden
Décès, Strasbourg (n° 2210)
Strassburg am 10. August 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute Anna Büchsenschütz Schwester im Diakonissenhause wohnhaft zu Strassburg im Diakonat und zeigte an, daß der Stuhlfabrikant Joseph Hummel, 41 Jahr 3 Monate alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg Elisabethengasse 19, geboren zu Barr, Unter-Elsass, Ehemann von Margaretha Karoline Woeller, Sohn des hier verstorbenen Haffners Georg Hummel und dessen zu Barr verstorbenen Ehefrau Francisca Meÿer, zu Straßburg im Diakonat am 10. September des Jahres 1892 vormittag um vier Uhr verstorben sei (i 45)
Alfred (Philippe Auguste) Hummel achète les maisons en 1909. Il épouse en 1910 Berthe Hamm, fille du cordonnier Philippe Hamm
Mariage, Strasbourg (n° 507)
Strassburg am 7. Mai 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Alfred Philipp August Hummel, katholischer Religion, geboren am 9. März des Jahres 1878 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Elisabethengasse 19, Sohn des verstorbenen Stuhlfabrikanten Joseph Hummel, zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Margareta Karoline geborenen Woeller wohnhaft in Strassburg
2. die Berta Hamm, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 12. August des Jahres 1890 zu Strassburg wohnhaft in Strassburg Elisabethengäßchen 3, Tochter des Schuhmachermeisters Philipp Hamm und seiner Ehefrau Barbara geborgnen Woerner wohnhaft in Strassburg (i 11)