15, rue Sainte-Elisabeth
Rue Sainte-Elisabeth n° 15 – VIII 120 (Blondel), P 1316 puis section 9 parcelle 38 (cadastre)
Nouveau bâtiment le Gai Logis, architecte Alfred Kronenberger, 1965
Bâtiment construit en 1965
Ancien bâtiment avant démolition. L’ancienne ruelle dite Sickingergessel sur la droite est surbâtie (vers 1962, publié par B. Thierry)
La maison appartient au début du XVII° siècle au tisserand Jean Süss. Adam Herwag, propriétaire de la maison voisine impasse des Cornets, en devient propriétaire vers 1646. La veuve du pelletier Jean Jacques Bæhr achète en 1696 la maison où son gendre Jean Michel Fuchs établit un atelier de tabac continué par Jean Georges Greiner. Le propriétaire doit fermer en 1716 l’ouverture par laquelle il déverse des immondices dans la ruelle communale derrière la maison (Sickingergesslin d’après les litiges soulevés par le propriétaire de la maison sise 4, impasse des Cornets). L’atelier est ensuite exploité à partir 1762 par le réformé Jean Weber. Les anciens habitants témoignent en 1766 que toutes les eaux provenant de la maison, que ce soient celles du toit ou de l’évier, se sont toujours écoulées dans la ruelle communale. Le procès sur la propriété de la ruelle, porté par Jean Jacques Trog devant le Conseil souverain d’Alsace (voir la maison impasse des Cornets), n’est pas terminé en 1781 quand Jean Georges Weber rachète la maison qu’il vend en 1785 au tonnelier Jean Théophile Ehrenfeuchter.
Extrait du Canton VIII, plan Blondel (1765, ADBR cote 1 L plan 5). La ruelle Sickingergessel s’ouvre entre les parcelles 120 et 121 – Cour D’’, plan-relief de 1830
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en pan de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (q-r, exposant v) : une fenêtre, la porte et trois autres fenêtres au rez-de-chaussée, quatre fenêtres au premier étage. La toiture comprend deux niveaux de lucarnes. Le pignon (r-s) borde la ruelle, suivi d’une courette entre (s-t) puis d’un bâtiment arrière (t-u). La cour D’’ montre la façade (1-2) du bâtiment arrière, le bâtiment (2-3) à l’ouest de la cour, (3-4-5) au nord et l’édicule (5-1) qui sépare la cour de la ruelle.
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 15.
Vue vers 1925 (publiée par la Société Ramond) – Vue vers 1942, la maison est la dernière à un étage (AMS, cote 1003 W 3 n° 1592)
La maison inscrite de 1820 à 1902 au nom du tonnelier David Butz traverse le XIX° et le XX° siècle sans transformation. La société civile immobilière le Gai Logis dépose en avril 1962 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Alfred Kronenberger. La partie du terrain qui dépasse de l’alignement légal est cédée à la voie publique. Le projet est plusieurs fois transformé pour adapter la toiture aux quartiers anciens puis pour réduire la hauteur d’un étage. Les travaux commencent en février 1964 (démolition puis construction). Le bâtiment qui comprend seulement des studios est terminé en mars 1965.
Référence des images – Bertrand Thierry des Epesses, Ramond l’Alsacien. Enquête sur l’enfance et la jeunesse de Ramond de Carbonnières, Jérôme Do Bentzinger éditeur, 2021
Lettres inédites de Ramond de Carbonnières à Sarrazin le Jeune, publiées par la Société Ramond à l’occasion du centenaire de la mort de Ramond, Bagnères-de-Bigorre, Maurice Péré, 1927
Vue des n° 11, 13 et 15 rue Sainte-Elisabeth, mars 2023
mai 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Süss, tisserand, et (1684) Anne Müller, veuve du cordonnier Jean Knoll puis (1599) Elisabeth Scheffersheim – luthériens | ||
1645* | h | Adam Herwag, jardinier, et (1627) Ursule von Altenheim – luthériens |
1665* | h | Adam Herwag, jardinier, et (1661) Anne Madeleine von Lampertheim – luthériens |
1693 | v | Balthasar Wagner, barbier, et (1686) Cunégonde Weiss, d’abord (1667) femme de Jacques Jund puis (v. 1679) Jean Charles Vogel – réformé et luthérienne |
1696 | v | Jean Jacques Bæhr, pelletier, et (1665) Barbe Finckler – luthériens |
1708 | h | Jean Michel Fuchs, apprêteur de tabac, et (v. 1685) Madeleine N. puis (1695) Marie Marthe Bæhr |
1722 | h | Jean Georges Greiner, apprêteur de tabac, et (1713) Marie Marthe Bæhr, d’abord (1695) femme de Jean Michel Fuchs, (1729) Susanne Marguerite Schleiffer puis (1740) Marie Salomé Kieffer – luthériens |
1752 | v | Jean Weber, apprêteur de tabac, et (1723) Anne Niffenegger – réformés |
1781 | h | Jean Georges Weber, apprêteur de tabac, et (1767) Marie Elisabeth Griesbach – réformé, luthérienne |
1785 | v | Jean Théophile Ehrenfeuchter, tonnelier, et (1782) Madeleine Barbe Friess – luthériens |
1826 | h | David Butz, tonnelier, et (1820) Madeleine Barbe Ehrenfeuchter puis (1822) Anne Marie Schertz |
1902* | h | Edouard Chrétien Minder, fabricant d’étoffes à Wasselonne, et (1859) Emma Butz |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 237 livres en 1698, 375 livres en 1739, 600 livres en 1770
(1765, Liste Blondel) VIII 120, la veuve de Jean Daniel Gress
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Weber, 7 toises, 0 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) Butz, David, tonnelier – maison, sol, cour, bâtiment – 2,75 ares
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1716, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Les héritiers d’Etienne Gretzinger font grief à Marthe, femme de l’apprêteur de tabac Jean Georges Greiner, de déverser des immondices dans la ruelle communale pour laquelle les plaignants paient un cens annuel. La femme Greiner doit murer l’ouverture par laquelle elle déverse les immondices.
(f° 105-v) Dienstags den 10. 9.bris 1716. – herrn Stephan Gretzingers Erben Ca. Joh: Georg Greinern
Martha, Johann Georg Greiners des Tabacbereiters haußfrau, wird Von Herrn Stephan Gretzingers hinterlaßenen Erben Verklagt, daß das jenige loch welches auß Ihrem hauß in das hinter dem Schauenburger hoff gelegene Allmend gäßlein gehet, Weilen allerhand unraht dadurch in gedachtes Gäßlein gemacht würde welches Ihnen, in ansehung Sie daßelbe Mghh. verzinnßeten, sehr beschwährlich fiele, der Oberen Baw Herren am 25. Aprilis 1713. Erk. Zuvor nicht allein nicht Zu mauren laßen sondern * da es durch Gemeiner Statt Arbeiter Zugemacht worden zu despect Mghh. wider eröffnen laßen. Erk. Soll durch der Beklagtin solch wider Zueröffnen beÿ 5. lb d. straff verbott werden.
Description de la maison
- 1739 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de tabac, un vestibule, une cour où se trouve le chaudron à lessive, une cave sous solives, à l’étage un poêle, cuisine, chambre et vestibule, le vieux comble défectueux est couvert de tuiles creuses, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth f° 37-v
nouveau N° / ancien N° : 26 / 11
Erenfeuchter
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 355 case 4
Butz, David tonnelier
P 1316, sol, maison bât. et cour, rue Ste Elisabeth 11
Contenance : 2,75
Revenu total : 109,43 (108 et 1,43)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 45 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 724 case 2
Butz David tonnelier
1902. Minder Anna Emilie Rentnerin in Waßlenheim zur Hälfte, Minder Heinrich Eduard Buchhalter
P 1316, Maison, sol, Rue Ste Elisabeth 15
Contenance : 2,75
Revenu total : 109,43 (108 et 1,43)
Folio de provenance : (355)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 45 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 p. 116 case 6
Parcelle, section 9, n° 38 – autrefois P 1316
Canton : St Elisabethgasse N° 15
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
Contenance : 2,89
Revenu : 1150 – 1200
Remarques
(Propriétaire), compte 857
Minder Anna Emilie und Heinrich Eduard
(2985)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe p. 448
11
Pr. – Ehrenfeuchter, J. Geofroi, tonnelier – Tonneliers
loc. – Husson, Christophle cidev. sergeant
loc. – Paniel, Marie – Miroir
loc. – Lerouge, Marie veuve – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Elisabethgasse (Seite 30)
(Haus Nr.) 15
Bertrand, Küfermstr. 0
Bossert, Pensionär. 1
Kirchhoff, Wwe. H 1
Fehrenbach, Näherin H 2
Jung, Händlerin. H 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 232)
15, rue Sainte-Elisabeth (1884-1984)
Les divers travaux que demande le maire (ravalements) sont rapidement exécutés. Le bonnetier Gemminger-Bertrand pose en 1932 une enseigne plate.
Une société civile immobilière dont le gérant est E. Geissel (1, rue des Poules) demande en janvier 1962 un avis préalable pour construire un bâtiment d’habitation à rez-de-chaussée et quatre étages. Une partie du terrain dépasse de l’alignement légal (12,50 mètres sur 1,7 à 3,0 mètres). La société civile immobilière le Gai Logis dépose par son gérant Jean-Pierre Leoger en avril 1962 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Alfred Kronenberger. La toiture devra s’harmoniser avec les quartiers anciens. Une dérogation réduit le nombre de garages de dix-sept. La demande de démolir l’ancien bâtiment est déposée en novembre 1962. La Commission départementale de l’Urbanisme approuve en février 1963 la dérogation pour une hauteur maximale de 10 mètres jusqu’à la corniche principale, soit un étage de moins que le projet initial. L’architecte Alfred Kronenberger transmet de nouveaux plans. Le préfet accorde en octobre 1963 le permis de construire à la S.C.I. le Gai Logis : sous sol (aire de stationnement), rez-de-chaussée (4 studios, entrée, cage d’escalier, ascenseur), premier et deuxième étage, (deux fois 5 studios dont deux avec cuisine), troisième étage en retrait (5 studios, quatrième étage (un petit logement) puis en avril 1965 un avenant au permis de construire. Les travaux commencent en février 1964. La réception finale en mars 1965 ne donne lieu à aucune observation.
La société du Diaconat a obtenu en 1971 un jugement que le gérant de la S.C.I. estime contradictoire aux arrêtés municipaux (la dalle haute du sous-sol devrait être démolie à cause d’une servitude de vue). L’établissement des Diaconesses qui a construit un mur de clôture et ravalé la façade du 11, rue Sainte-Elisabeth obtient en 1983 que le pignon opposé, propriété de la S.C.I. le Gai Logis soit crépi (voir aussi le dossier du 4, impasse des Cornets).
N.B. Le dossier ne comprend ni la photographie jointe à le demande de démolition ni l’autorisation de démolir. Il manque en outre l’habituel suivi des travaux du nouveau bâtiment.
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie la veuve Münder, demeurant à Wasselonne, de pourvoir la fosse d’aisance d’un tuyau d’aération – Travaux terminés, octobre 1884
- 1886 – Le maire notifie la veuve Münder, demeurant à Wasselonne, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1886
- 1886 – L’entrepreneur Théodore Wagner demande l’autorisation de raccorder aux canalisations les maisons sises 15, rue Sainte-Elisabeth et 4, impasse des Cornets – Autorisation – Dessin
- 1897 – Le maire notifie la veuve Münter, demeurant à Wasselonne, de faire ravaler la façade et le pignon droit – Travaux terminés, octobre 1897
- 1897 – Le maire notifie la veuve Minder de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence à cinq fenêtres au rez-de-chaussée et un soupirail – Travaux terminés, mai 1898
- 1902 – Le maire notifie la veuve Binder (sic), demeurant à Wasselonne, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1902
1906 – Le maire notifie la veuve Minder de faire ravaler la façade. La propriétaire est malade. Un délai pourrait être accordé puisque la façade n’est pas trop défraîchie – Travaux terminés, mai 1907 - 1907 – Le service d’architecture écrit à la Police du Bâtiment (division V-a) qu’il est prévu d’aménager un cabinet d’aisance au premier étage de l’impasse des Cornets – Le projet n’a pas de suite, le dossier est provisoirement classé, mai 1909.
- 1913 – La Police du Bâtiment demande à Anne Minder, demeurant à Wasselonne, de plâtrer le plafond de la buanderie ou de le revêtir à l’épreuve du feu – Travaux terminés, octobre 1913.
- 1912 – Le maire notifie Anne Münder, demeurant à Wasselonne, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1913.
1915 – L’entrepreneur A. Wieger (30, rue du Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de poser des gravats sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Accord - Commission contre les logements insalubres, 15, rue Sainte-Elisabeth, 1901. Remarques en deux points (trappe dans le vestibule, mur humide dans une chambre) – Travaux terminés, 1902
1904. Remarques en deux points (porte de cave, plafond de cuisine à plâtrer)
Commission contre les logements insalubres, 4, rue des Cornets. 1904. Remarques (plafond de cuisine à plâtrer)
Commission des logements militaires (15, rue Sainte-Elisabeth et 4, rue des Cornets), 1915, remarques en six points – Travaux terminés, octobre 1916
1919, remarques en sept points
1923, Un enfant de sept ans a été atteint de diphtérie - 1932 – Le bonnetier J. Gemminger-Bertrand demande l’autorisation de poser une enseigne plate
- 1964 (février) – M. Leoger, gérant de la société civile immobilière le Gai Logis (22, quai Rouget de l’Isle) est autorisé à occuper la voie publique
1964 (décembre) – La S.C.I. le Gai Logis est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. Prolongations jusqu’en mai 1965
1965 (juillet) – La S.C.I. le Gai Logis est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. - 1962 (janvier) – La société civile immobilière (gérant E. Geissel, 1, rue des Poules) demande un avis préalable pour construire un bâtiment d’habitation (rez-de-chaussée et quatre étages) – Plan cadastral de situation – Note du Service d’architecture (division VI) à la Police du Bâtiment, une partie du terrain surbâti dépasse de l’alignement légal (12,50 mètres sur 1,7 à 3,0 mètres)
Le maire demande l’accord préalable au directeur départemental de l’équipement – Accord
1962 (avril)- La société civile immobilière le Gai Logis dépose une demande de permis de construire – Plan cadastral de situation
1962 (juin) – Note de l’architecte municipal Robert Will (division VI) à la Police du Bâtiment (voir plus haut)
Courrier au gérant. La hauteur du bâtiment ne devra pas dépasser la largeur de la rue augmentée de trois mètres, sauf dérogation préfectorale, il devra y avoir au moins dix-sept garages, la toiture devra s’adapter à l’ancien quartier, le terrain frappé d’alignement sera cédé à la Ville – Le gérant adresse un projet rectifié en faisant remarquer que le bâtiment ne comprend que des chambres d’étudiants et qu’il est difficile d’aménager plus de dix garages. – Le directeur des services techniques (division VI) est d’avis d’accorder une dérogation pour dix garages mais maintient la toiture traditionnelle
1962 (septembre) – L’architecte Alfred Kronenberger (8, rue Sabine) transmet des plans rectifiés.
Le même transmet une demande d’autorisation de démolir adressée au préfet (questionnaire, plan de situation et photographie [manquante]) – Le gérant de la S.C.I. transmet un courrier de même teneur
1962 (novembre) – Questionnaire. 15, rue Sainte-Elisabeth. Propriétaire, S.C.I. le Gai Logis, gérant Jean-Pierre Leoger, demeurant 22, quai Rouget de l’Isle à Strasbourg. Bâtiment à rez-de-chaussée et un étage, insalubre et vétuste. Construction financée par fonds privés - 1962 (juillet) – La S.C.I. le Gai Logis dépose une demande de dérogation aux règlements sanitaires départementaux pour la hauteur du bâtiment (12,95 mètres) – Le maire transmet au préfet avec avis favorable en novembre 1962
1963 (janvier) – Le préfet accorde la dérogation sous condition
1963 (février) – La Commission départementale de l’Urbanisme approuve la dérogation pour une hauteur maximale de 10 mètres jusqu’à la corniche principale
1963 (mars) – Le préfet accorde la dérogation pour 10 mètres (un étage de moins que le projet initial) – L’architecte Alfred Kronenberger transmet de nouveaux plans en conséquence
1963 – La S.C.I. le Gai Logis dépose une demande de prime à la construction
1963 (juin) – Le directeur départemental de la construction qui relève que les cuisines sont petites et privées d’éclairage direct demande de modifier les plans en conséquence
1963 (août) – La S.C.I. le Gai Logis dépose une demande de permis de construire – L’architecte transmet un devis descriptif. Sous sol (aire de stationnement), rez-de-chaussée (4 studios, entrée, cage d’escalier, ascenseur), premier et deuxième étage, (deux fois 5 studios dont deux avec cuisine), troisième étage en retrait (5 studios), quatrième étage (un petit logement)
1963 (septembre) – Le maire transmet avec avis favorable la demande de permis de construire au directeur départemental du ministère de la construction
1963 (octobre) Le préfet accorde le permis de construire à la S.C.I. le Gai Logis
1963 (novembre) – Le maire prend un arrêté portant permis de construire - 1964 (mars) – Le Diaconat fait des objections sur la régularité des travaux
1964 (septembre) – Demande d’avenant au permis de construire – La division VI émet un avis défavorable à cause de la toiture et du pignon asymétrique. La construction devrait correspondre au premier projet présenté le 22 août 1963.
1964 (décembre) – La division VI n’a plus d’objections à faire – Dessin des façades
1965 (mars) – Le maire transmet avec avis favorable le projet rectifié au directeur départemental de la construction
1965 (avril) – Le préfet accorde l’avenant au permis de construire
1965 (février) – Description de l’ascenseur – Permis de construire – L’ascenseur est terminé, mars 1966
1965 (mai) – Déclaration d’ouverture de chantier
1965 (octobre) – L’architecte demande un certificat de conformité
1966 (mars) – La réception finale des travaux exécutés par l’entreprise Mehl de Haguenau ne donne lieu à aucune observation
1966 (avril) – Certificat du ramoneur Albert Dorn (20, rue du Général Rapp)
1967 (novembre) – Le ministère de la construction accorde le certificat de conformité - 1971 – Le gérant de la S.C.I. le Gai Logis demande au maire de confirmer que le stationnement du sous-sol est impératif après que la société du Diaconat a obtenu un jugement contradictoire aux arrêtés municipaux (la dalle haute du sous-sol devrait être démolie à cause d’une servitude de vue). Le gérant a maintenu une servitude de passage au cas où une construction serait édifiée impasse des Cornets.
Le maire répond que la parcelle impasse des Cornets ne semble pas constructible dans l’état actuel. - 1980 – L’entreprise Buchal et Claver (43, route du Polygone) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, juin 1980
- 1983 – L’établissement des Diaconesses a construit un mur de clôture et ravalé la façade du 11, rue Sainte-Elisabeth. Il fait remarquer que le pignon opposé qui appartient à la S.C.I. le Gai Logis n’est pas crépi. – La Police du Bâtiment demande au syndic (Bernard Lobstein, 7, rue des Poilus à Schiltigheim) de faire revêtir le mur – Rappel – Le pignon est crépi, juillet 1984.
Relevé d’actes
D’après les tenants et aboutissant des voisins, la maison appartient au début du XVII° siècle au tisserand Jean Süss.
Originaire de Kirchheim unter Teck en Wurtemberg, Jean Süss épouse en 1684 Anne Müller, veuve du cordonnier Jean Knoll.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2, n° 17)
1584. Dom. Oculi. Hanß Süss von Kirchen an der Eck der Leinen Weber, vnd Anna Müllerin hans Knollen des Schuhmachers hind.lasne Wittwe eingesegnet 30. Martÿ (i 3)
Jean Süss devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 529
Hans Sieß Vonn Kirchen Vnnder Deck der Leinenwäber Hatt das burgrecht empfangen Vonn anna Müllerin Hanß Knollen deß schuomachers seligenn Wittwenn Seiner haußfrawenn Vnnd will Zuo denen duocherern diennen acttum denn 7.t apprilliß 1584.
Jean Süss se remarie en 1599 avec Elisabeth, fille du pêcheur Nicolas Scheffersheim
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 113 n° 293)
1599. Domin. Quasimodo 15. Aprilis. Hans Süess d. leinen Weber vndt Elisabeth, Clauß scheffersheim d. vischers Nachgelaßene tocht. Eingesegnet Zinstag den 24. Aprilis (i 115)
Jean Süss et son beau-fils Jean Knoll s’accordent au sujet de la succession de leur femme et mère respective
1601 (xxv Junÿ), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 258-v
(Inchoat. fo: 296.) Erschienen Jacob Knoll der lÿnenweber burger Zu Straßburg vnd Magdalen Kleÿberin sein eheliche hußfr. haben (verkaufft)
dem Erbaren hanns Sießen dem lynenweber burgern Zu Straßburg sein Jacob Knoll Steffvatter
das Eÿgenthumb v die Verfangenschafft Ime Zum drittentheil gebürende ane viertheÿl Siben Pfund pfenning St Ime Jacob Knoll für Mütterlich Erb für in drittheÿl gebürende vnd gedachter hannß Sieß sein lebenlang wÿdems wÿß Zuniessen v alles recht der Khouff bescheh. vmb 20 pfund pfenning St W
Hiebeÿ v mit sein in gegensein gewesen Georg Fiegner, Lux Spieß, Andres Sieß, Wolff Botzen, hannß hartman alle lÿnenweber vnd Wilhelm Steurman Korbmacher all hierzu erbetten
(vide A 1603. regist* fo. 193)
Anne Knoll femme su vannier Guillaume Steigmann s’accorde avec Jean Süss au sujet de la succession de sa mère
1603 (vt spâ [6. Junÿ]), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 193-v
(Inchoat. fo: 243.) Erschienen Wilhelm Steÿgman Korbmacher vnnd Anna Knollin sein eheliche hußfr. haben unverscheidenlich (verkaufft)
dem Ersamen hanns Sießen lynenwebern burgern Zu S bemelter Annen Knollin Stieffvatters
Ine die Eÿgenthumb vnnd die Verfangenschaft Ir Ein dritten theil gebürende vonn vnd ane 47 pfund d pfenning Straßburger So Ir annen Knollin für Mütterlich Erb Zugehöhren Aber gedachter hanns Sieß sein lebenlang Zunieß. daran Ein drittheyl dem khouffer Zuvor vnd den vberige drittheil hanns Knollen dem schnÿder bemelter geschwüsterden bruder zuständig
(vide St: 1601 In regis. fo. 258)
Jean Süss hypothèque la maison au profit de l’enfant mineur de Jean Knoll
1604 (8. Junÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 172-v
(Inchoat. fo: 182.) Erschienen Hannß Sieß Lÿnenweber
hatt Inn gegensein des Fürnemmen herrn Peter Werners beÿsitzer der herren des grossen Raths alls geschwornen Vogts hansen wÿlandt hans Knollen des Schumachers seligen Sohn – schuldig sein 65 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand huß hoffestatt hefflin v. gartlin mit all Iren gebeu gelegen Inn der S S vff S. Elßbethen gaß einseit neben eim Allmendt gaesslin, anderseit neben Arbogast gsell stoßend hinden vff den Schauwenburger hoff, dauon gend Zweÿ pfund Zwen schilling pfenning gelts ablösig mit 42 pfund pfenning, Mehr Ein pfund 6 schilling Sechs pfenning gelts widerkhouffig mit 26 pfund 13 schilling vier pfenning beÿde Zinß Anthoni Welthers Tuchscherers seligen erben, So dann wyther Ein pfund Ein schilling gelts widerkheuffig mit 21 pfund pfenning den Johannßen herren Zum grienen werd Sunst eÿgen
Vnd zu noch mehrern sicherheit Ist erschienen Andres Kieß der lÿnenweber hat sich für sich & für Zum rechten Bürgen v mit sampt dem hauptschuldner unverscheidenlich gesetzt
Jean Süss sollicite l’intercession du magistrat pour recueillir la succession de son frère Matthieu Süss à Kirchheim unter Teck
1618 Conseillers et XXI (1 R 100)
Hans Siess wegen Erbfalls seines Bruders Matthei. 177. Hans Süeß der Leinenweber. 240. 359. (von seinem bruder Matthis Süsen nunmehr seelg. eine Erschafft Zue ÿsingnen Ambt Kirchen an d. Teck Zugefallen)
Jean Süss et Elisabeth Scheffolsheim hypothèquent la maison au profit de Jean Richshoffer
1619 (ut spâ [xx. Septembris]), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 496
(Inchoat. in Prot. fol. 352.) Erschienen hannß Sieß der leinenweber burger Zu Straßburg vnd Elisabeth Schäffertzheimerin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Daniel Reichshoffers so Zugegen Inn nammen vnd vonn wegen herrn Johann Reichshoffern burgers Inn Straßburg – schuldig seÿen 25 xxx lb Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß hoffestatt höfflin vnd gärtlin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Alhie Inn d. St: St: Inn Sanct Elßbethen gassen seind einseit ein eckhauß, anderseit neben Amandus heüß dem sattler, hinden vff Adam hörwagen stoßend, davon gnd ein pfund ein schilling pfenning gelts Ablößig mit Weÿl. vnd ein pfund pfenning dem Johannßer hern Zum Grünen wördt
Jean Süss adopte son neveu par alliance Jean Finfferlin, fils du boulanger Jean Finfferlin de la Robertsau et d’Esther Scheffolsheim
1619 (27. Xbr.), Chancellerie, vol. 434 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 79-v
Adoptio Hansen weÿland Hans Finfferlins sohns
(Ist extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1617 folio 110. Zubefind.) Erschienen Hans Sueß d Leinen weber burgs Hanß Funfferlen weÿland Hanß Funfferlin gewesenen becken vnd Burg.s alhie so In Ruprechts aw gewondt vnd todts abgangen, sohn, so er mit Ester Schafferßheymin sein Sueß ehelich haußfr. schwester erzeugt Zu adoptiren, vnd ane Kindes stat anzunemm. Lert bey Ime das Handwerck
Nouvelle hypothèque au profit de Jean Richshoffer
1625 (ut spâ. [xviiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 455 (Registranda Meyger) f° 24-v
(Inchoat. in Prot. fol. 16,) Erschienen Hannß Sÿeß Leinenweber burger Zue Straßburg hatt bekhandt Vnd
Inn gegenwärtigkeit h. Daniel Reißhoffer deß Jüngern Inn nammen H. Johann Reißhofer des Elttern seines Vettern – schuldig seÿen L. lb.
Zu vnderpfand verlegt hauß hoffstatt Vndt Gärttlein mit Allen Ihren gebäwen & gelegen in d. St. St. Inn Elßbethen gassen eins: Jörg N: dem herrenknecht, Ands. einem Allmend gäßlin, hinden Vff Adam herrwagen des gartenmanns wittib, dauon gnd. ij lb gelts lößig mit xxiij lb dem Johannsen h. Sodann Ist sie Auch verhafftet vmb xxx lb dem glaubigern obgedacht
Jean Süss et Elisabeth Scheffolsheim hypothèquent la maison au profit de Jean Richshoffer. D’après la mention marginale de 1646, le jardinier Adam Herwag et sa femme Ursule se sont chargés de l’hypothèque en achetant la maison.
1626 (ut spâ. [29. decembris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 761-v
Erschienen hanß Sÿeß d. leinenweber burger Zu Straßb. vnd Elisabeth Schäffertzheimin sein eheliche haußfr. mit beÿst. & herrn Geörg Huob helffer Zu Sant Niclauß und h. Theodosÿ Monachj Notarÿ beede Ihre Elisabeth. nechst. Verwandt.
haben in gegensein h. Johann Reichßhoffers burgers Zu Straßburg schuldig 150. pfund
vnderpfand hauß hoffstatt vnd Gärttlin mit Allen Ihren geb. & geg. Inn d. St. St. vff Sant Elisabeth gaß, einseit n. Geörg Büchell dem herren Knecht, and. s. einem Allmend gäßlen, hind. vff Adam Herwag. des gartenmanns witwe, dauon gnd. j. lb j ß geld loß. mit 26. lb 5 ß d den Johannßen herrn
(vide in Regist. 1636. fol. 600.)
[in margine :] Erschienen H. Johann Reichßhoffers dreÿer deß Pfenningthurns, hieringemelts H. Creditoris seel. nachgelaßener Sohn im Nahmen frawen Susannæ Catharinæ Saalin gedachts H. Creditoris hinderlaßener Wittibin, hatt in gegensein Adam Hörwag deß Gartenmanns Vnd Ursulæ beÿder Eheleuth (…) beÿ erkauffung der hierinn specificirten Behaußung alß ein Beschwärdt Zubezahlen vbernohmen – Act. den 14. Julÿ 1646.
Fils du jardinier du même nom, Adam Herwag épouse en 1627 Ursule von Altenheim, fille du jardinier Jonas von Altenheim (héritiers en 1662)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 70)
1627. Dom: Cantate 22. Aprilis. Adam Herrwagen der gartenmann Adam herrwagens Burgers Und gartenmanns Sohn Undt J. Ursula Jonas Von Altenh. burgers Undt gartners allhie Eheliche Tochter. 29. Aprilis (i 37)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 148 n° 12) 1627. Eodem [Dominica Cantate] Adam Hörrwagen der gartenman, Jungfr. Ursula Jonas von Altenheim des gartners eheliche tochter. Mont. 31. Aprilis Zum J.S. Peter (i 161)
Fils des précédents, Adam Herwag épouse en 1661 Anne Madeleine von Lampertheim, fille du jardinier au jardin des plantes Michel von Lampertheim
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 264 n° 16) Domin : 4.ta vnd 3.ta Trin: seind Zum ersten und and. mahl außgeruffen worden Adam Herr Wagen der Garten Mann vnd Burg. alhier weÿland Adam Heerwags deß gewesenen Burgers vnd Garten Manns alhier ehelicher Sohn, vnd Jungfr: Anna Magdalena Michaelis von Lampertheim, deß burgers und Garten Manns inn hiesig. Doctor garten eheliche dochter, seind Copulirt word. Zu St: Claus den 15. Julÿ (i 283)
Le jardinier Adam Herwag et Anne Madeleine von Lampertheim vendent la maison au barbier Balthasar Wagner. En marge, quittance donnée en 1697 à Barbe Finckler, veuve du pelletier Jean Jacques Bæhr.
1693 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 394
Adam Hörwagen, der Gartenmann
H. Johann Balthasar Wagners, deß barbierers und wundartzts
Hauß, hoffstatt und Gärttlein, mit allen Ihren Gebaüen, begriffen, waithen, Zugehördt. Recht. Und Gerechtigkeiten, allhier in St. Elisabethen gaß, einseit neben Caspar Lincken, dem Markatender, anderseit ist ein eck an einem Allmend gäßlein hinten auff H. Henrich Reichard den Schneider stoßend gelegen, darvon gehend jährlich auff Mathiæ Apostoli 1 lb 1 ß dem Ordenshauß zu St. Johann allhier, in haubt guth mit 26 lb 5 ß s abzulösen, umb 150 pfund
darbeÿ ferner gewesen anna Magdalena gebohrne Von Lampertheim deß Verkaüffers eheliche haußfrau
[in margine :] hierinn gemelter Adam Heerwagen, der Verkaüffer, hat in gegensein Barbaræ gebohrner Fincklerin, weÿland Hans Jacob Bähren gewesenen Kirßners sel. hinterlassener Wittib als ietziger besitzern des hierinn beschriebenen in St. Elisabethen gaß gelegenen haußes, mit beÿstand H. Johann Peter Kolben, Not. Publ. Ihres Curatoris (Quittung), den 2. apr. 1697
Balthasar Wagner vend la maison à Barbe Finckler, veuve du pelletier Jean Jacques Bæhr, assistée de ses gendres Jean Michel Fuchs et Jean Jacques Mathis, tous deux apprêteurs de tabac.
1696 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 442
(prot. fol. 59.b) Erschienen H. Johann Balthasar Wagner, der Barbierer und Wundartzt
hat in gegensein Barbaræ gebohrener Fincklerin, weil. hans Jacob Bähren gewesenen Kirßners sel. Witt. mit beÿstand H. Johann Peter Kolben, Notar. Publ. Ihres Vogts und hans Michael Fuchßen, deß Tabacbereiters, und hans Jacob Matthiß. auch Tabacbereiters, ihrer beed. Tochtermänner [unterzeichnet] Barbara Berin (verkaufft)
hauß, hoffstatt und Gärttlein, mit allen ihren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit, allhier in St. Elisabethen Gaß, einseit neben Caspar Lincken, dem Mockentender, anderseit ist ein Eck an einem Allmendgaßlein, hind. auff henrich reichard d. Schneid. stoßend gelegen, darvon gehend jährlich auff Matthiæ Apostoli 1 lb 1 ß d dem ordens hauß zu St Johann allhier, in hauptguth mit 26 lb 5 ß abzulösen (…) Zugang. vnd geschehen vber die angegebene beschwerd. welche die Kaüffern übernomm. umb 198 pfund
Fils du pelletier Geoffroi Bæhr, Jean Jacques Bæhr épouse en 1665 Barbe, fille du tonnelier André Finckler, de Wertheim en Franconie
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 155, n° 41)
1665. Dom. XIX. Trinitatis. 1. Octobris. Hanß Jacob Beer, der Kürschner Weÿl. Gottfried Beeren deß Kürschners vndt burgers allhie, nachgel. Sohn, Vndt Jfr. Barbara Weÿl. Andres Fincklers deß Küeffers Vndt Burgers Zu Wertheim in Francken nachgel. Eheliche Tochter. Copulavi Mont. 9. 8.br (i 163)
Barbe Finckler devient bourgeoise par son mari
1665, 4° Livre de bourgeoisie p. 346
Jungfraw Barbara Weÿl. Andres Fincklers, deß Küeffers Zu Wörtheim in Francken hinderlaßene eheliche dochter, empfangt daß Burgerrecht von Hannß Jacob Beeren dem Kürßnern und burgern alhie ihrem Hochzeitter umb 8. Goldt fl. so beÿ der Cancelleÿ erlegt. Indic. den 7. Octobris A° 1665.
Jean Jacques Bæhr meurt en 1686 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location place des Moulins. L’actif de la succession qui comprend une maison au Finckwiller s’élève à 114 livres, le passif à 81 livres.
1686 (10.8.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 7) n° 13
Inventarium über Weÿland des Ersamen Hannß Jacob Bähren hievor gewesenen Kürschners und ietzmaligen Krämers seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1686.
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehrsame Hans Jacob Bähr hiebevor gewesener [Kürschner] und ietzmaliger Krämer auch burger allhier Zu Straßburg, nach seinem Freÿtags den 5. Julÿ Jüngst aus dießem mühesamen Traur und Kummervollen leben genommenen tödlichen hientritt hinderlaßen, welches alles auf gebührendes ansuchen und begehren deß Ehrenhafften Mr hans Peter Reÿßners spillentrehers und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Hans Jacobs, Johannæ Barbaræ und Mariæ Marthæ, des verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinderbliebenen wittib Ehelich erzeügter Kinder und nach tod verlaßener ab intestato nägster Erben Ersucht durch die tugendsamee Barbara Fincklerin die Wittib beÿständlich deß achtbahren herrn Johann Georg Theürkauffs Kürschners E. E. Sübner gerichts alten beÿsitzers und burgers alhier Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßburg Sambstags d. 10. August Newen Calenders Anno & 1686.
Bericht ane statt der Eheberedung (…) hat die wittib zu vernehmen gegeben daß Zwischen Ihre und dem verstorbenen seel. Zur Zeit Ihrer Verheurathung eine heuraths abrede schrifftlich verfaßt worden (…)
In einer in d. Statt Straßburg beÿ der Mühlen gelegen eingangs ernantem Herrn Johann Georg Teurkauff gehörig. Behausung befunden worden wie volgt
Auff der Bühn, In d. Stub Cammer, In d. hauß Cammer, In d. undern Stuben, Im Keller
Eigenthumb aen einer Behaußung. It. hauß und hoffstatt im finckwiller (…)
Sa. haußraths 21, Krämer Wahren 17, Gudin Ring 1, Schulden 7, behausung 67, Summa summarum 114 lb – Schulden aus dem Erbe Zu bezahlend 81 lb – Conclusio finalis 33 lb
Barbe Finckler meurt en 1698 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à 237 livres la maison que la défunte a léguée à sa fille aînée Jeanne Barbe femme de Jean Jacques Mathis. L’actif de la succession s’élève à 302 livres, le passif à 97 livres.
1698 (14.8.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 1) n° 43
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme Fr. Barbara Bärin gebohrne Fincklerin weÿl. Mstr Hannß Jacob Bären geweßenen Kürßners und burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßene wittib nunmehro auch seel. nach ihrem Montags den 28.ten Julÿ dießes laufenden 1698. Jahres genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen (…) Actum und angefangen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auf Donnerstag den 14. aug. Anno 1698.
Die abgestorbene Fraw seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenhafften und bescheidenen Hannß Jacob Bären, Krämern und burgern alhier, welcher der Inventation in persohn Zugegen war. 2. die Ehren und tugendsame Fr. Johannam Barbaram gebohrne Bärin deß Ehrenhafften Hannß Jacob Mathißen tabac bereüters auch burgers allhier eheliche haußfr. welche beÿständlich ihres Ehewürths selbsten dem geschäfft beÿgewohnt und dann 3. die Ehren und tugendsame Fr. Martham gebohrne Bärin deß auch Ehrengeachten vnd bescheidenen Mstr Hannß Michael Fuchßen, tabackbereüters und burgers Zu Straßburg haußfr. so eben mäßig unter beÿstand ihres Ehevogts der inventation persönlich beÿgeweßen, Also alle dreÿ der Verstorbenen Fr. seel. per Testamentim zu dreÿ gleichen Stammtheilen nachgelaßene Kinder und Erben
Inn einer alhier in der statt Straßburg in St. Elisabethen gaßen gelegenen in dießer Verlaßenschafft gehörig und hernach beschriebener behausung ist befunden worden wie folgt
Vf der bühnen, In der obern wohn stuben, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im haußöhrin
Eigenthumb ahne einer behaußung. (Frn Johannæ Barbaræ der ältern dochter vmb ein gewißen Preiß prælegirt) It. i. behauß. hoffstatt und gärtlein mit allen ihren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten vnd gerechtigkeiten alhie in der St: Elisabethæ gaßen einseit neben Caspar Lincken dem tabacmacher vnd burger alhie, 2.s. ist ein Eck ane einem almend gäßl. hinden auf herrn Heinrich Reicharden Schneidern vnd burgern alhie stossend geleg., so den 18.ten aug. 1698 durch der Statt Straßb. geschworne Werckmeister angeschlag. word. umb 237 lb Darüber besagt j. teutscher perg. Kbr. mit der Statt anhangend. Cancelleÿ contract Insiegel verwahrt datirt d. 16.ten aug. A° 1696.
Norma hujus inventarii. Copia Testamenti nuncupativi – Hierauff Volgt nun die beschreibung der Verlaßenschafft vor: vnd ahne sich selsbten, Sa. hausraths 32, Sa. krämer wahren wie auch werckzeug Zum Zundelmachen gehörig 19, Sa. Silbers 18 ß, Sa. goldenen ring. 5, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenth. ane j. behauß. 237, Summa summarum 302 lb – Schulden 97 lb, Nach deren Abzug 205 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 205. lb
Abschatzung Montags d. 18.ten Augusti 1698. Weillandt der fill Ehren vnd Tugent Sahmen fraw Barbara bergerin der hinder laßene Erben behaußung allhier in der Statt Straßburg, auff der Elisabeten Gaßen, Ein Eckh ane dem alment geßlein, Ander seitzs Neben Casper Linckh dem tabach Macher, hinden auff H Heinrich Reichardt dem schneider Stoßent, welche behaußung Sampt einem höfflein und holtz hauß vnd überigen begriff recht Vnd gerechtig Keit wie solches durch Die geordnete werckh leuthe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor Vier hundert Sibentzig vinff Gulden. Zeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werck Meister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. hanß Jacob osterriedt Werck Meister deß Zimmerhoffs
Barbe Bæhr femme de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Mathis vend son tiers de maison à sa sœur Marie Marthe Bæhr, femme de l’apprêteur de tabac Jean Michel Fuchs
1708 (13.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 694
Barb: geb. Bährin Joh: Jacob Mathis tabacb: haußfr:
in gegensein Mariæ Marthæ geb. Bährin beÿständlich Joh: Michel Fuchs tabacb:
ihren dritten theil für unvertheilt ahn hauß Hofflein mit allen deren begriffen & allhier ahn St Elisabetha gass, einseit neben Caspar Linck anderseit ist ein allmend gäßlen hinten auff auf Grohbegern (um 77 und 32 pfund verhafftet welche der käuffer) pro rata übernimbt und 92 pfund
[in margine :] Johann Jacob Bähr der Kramer (verkaufft) hierinbemelter Maria Martha Fuchßin der käufferin seiner leiblichen Schwester, seinen dritten theil vor unvertheilt ahne hierinnen beschriebenem Hauß samt zugehörden um 46 pfund – den 22. dec. 1708
Fils du tisserand Jean Georges Fuchs de Strasbourg, l’apprêteur de tabac Jean Michel Fuchs devient bourgeois le 2 mai 1695 en apportant deux enfants.
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1156
Johann Michael Fuchß der tabacmacher von hier weÿl. Joh: Georg Fuchsen gewes: Leinenwebers hint. Ehl. sohn empfangt das Burgerrecht gratis, bringt 2. Kinder mit mit welchen es beÿ ordnung Gelaßen werdenn, unndt Wird Zu E. E. Zunfft d. Möhrin dienen. Jurav. 2. Maÿ 1695.
Jean Michel Fuchs épouse en 1695 Marie Marthe Bæhr : contrat de mariage, célébration. La proclamation mentionne qu’il est veuf.
1695 (8. Maÿ), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung – zwischen den Ehrenhafften und bescheidenen Hannß Michael Fuchßen Tabackbereuter und burgern alhier dem hochzeitern ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jfr. Mariæ Marthæ Weÿl. Meist. Hannß Jacob Bähren geweßenen Kürßners und burgers allhier Zu Straßburg seel. hinderlaßener dochter der hochzeiterin andern theils
So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Sontag den 6. Monats tag Maÿ newen Calendern Anno 1795. [unterzeichnet] Hannß michael fuchs alls hoch Zeiter, Maia Marta bärin, hans peter Reißner Als vogt der hochzeiterin, Spilltröher
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 55-v) Mittwoch d. 27. Julÿ seind nach gewohnl. proclamation Zu St. Wilhelm und St Thomæ in dieser copulirt word. Johann Michael fuchs, der Tabacacher v. b. alhier wittiber v.. Jgfr. Maria Martha, Wld. Hanß Jacob Bären deß Kürßners Vnd B. alhier nachgelaßene eheliche Tochter (i 58)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 49 n° 260)
1695. Heut den 27. Julÿ 1695. ist (…) nach beschehener p.clamation Copulirt word. Johann Michael Fuchß der Tabackmacher undt burger alhier, undt Jfr. Maria Martha weÿl. Joh: Jacob Bären, burgers und Kürßners allhie nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] hannß Michael fuchs als hoch Zeiter, maria martha berin hoch zeiterin (i 51)
Michel Fuchs meurt à l’âge de 52 ans le 8 novembre 1711. Il était fils du tisserand Georges Fuchs et de sa femme Marguerite Maler, marié en premières noces avec Madeleine N et en secondes avec sa veuve
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1687-1711 f° 151, n° 1022) Anno 1711 den 8. Novembr. Nachmittags Zwischen 3 u. 4 uhr ist gestorben Michael Fuchs gewesener burger und tabackbereiters alhie, seines alters 52 Jahr 4 Monat 2 wochen, deßen Eltern waren weil. Georg fuchs der leinenweber und seine Ehefr. Margaretha Malerin, war zumahl verheurathet mit weÿl. Magdalena N. nachmals mit fr. Maria Martha Bährin der Jetzigen hinderlaßene Wittib ist darauf den 10. ejusd. auf dem gottesacker St Galli begraben (…) worden [unterzeichnet] Philipp fuchs als Prutter, hanß Jacob Mattethis ams schwanscher (i 156)
Marie Marthe Bæhr veuve de Jean Michel Fuchs hypothèque la maison au profit d’Elie Brackenhoffer, greffier à l’audience du consul.
1713 (12.10.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 563-v
Maria Martha geb. Bährin weÿl. hanß Michel Fuchs tabacm: Wittib beÿständlich hanß Michel Wagner tabacb: deß Vogts und Philipp fuchs tabacm: deß Schwagers
in gegensein H. Eliæ Brackenhoffers Actuarii beÿ löblichen ammeister audientz – 160 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: allhier auf St Elisabeth gass, einseit neben Caspar Linck anderseit neben dem württhauß zuem Stall hinten auff (-)
Marthe Bæhr se remarie en 1713 avec l’apprêteur de tabac Jean Georges Greiner, fils du cordonnier Jean Georges Greiner : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration. Le marié signe Kreiner.
1713, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Hanß Georg Greiners tabackbereiters und fr. Marthæ geb. Bärin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 140-v n° 814)
Anno 1713 den 1. Novembr. seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirchen Zu St. Thomas ehelichen eingesegnet worden Johann georg Greiner der ledige Tabackbereiter, weÿl. Johann Georg Greiner deß gewesenen burgers und Schuhmachers alhie hinderlaßener Ehel. sohn, und fraw Martha, weÿl. Joh: Michael fuchs deß gewes. burgers und Tabackbereiters alhier hinderlaßene wittib [unterzeichnet] hans gorg Kreiner als hoch Zierer, die hochzeiter konte nicht schreiben (i 143)
Jean Georges Greiner et Marthe Bæhr hypothèquent la maison au profit d’Elie Brackenhoffer, déjà créancier
1714 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 196
Joh: Georg Greiner tabacm: und Martha geb. Bärin beÿständlich Joh: Jacob Bär Kremers und Philipp Fuchs tabacm:
in gegensein H. Eliæ Brackenhoffers Actuarii beÿ löbl. Ammeister audientz – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier ahn S. Elisabetha Gass, einseit neben Caspar Linck anderseit neben dem würthshauß zuem Stall hinten auf Groberger
L’inventaire dressé après la mort de Marthe (Marguerite) Bæhr n’est pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 600 florins
1728, Livres de la Taille (VII 1176) f° 245-v
Spiegel F. N. 9652. – Weÿl. Fr. Margarethæ gebohrner Bährin, Joh: Georg Greiner Tabackbereiters und Burgers alhier gewesener Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventiret H Not. Lobstein.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 62. b, 316. lb 9 ß 11 d, dien machen 600 fl. verstallte nur 500 fl. also Zu wenig 100 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 6 ß – 2 lb 8 ß
und auff Sehs Jahr in simplo à 3 ß – 18 ß
Extat Stallgebott pro 1728 – 2 lb 2 ß – Gebott 2 ß – Abhandlung 10 ß 6 d – summa 6 lb 6 d
Weilen die behaußung dermahlen 200 fl. höher angeschlagen worden alß anno 1712. haben die Herren dreÿ ane dem Nachtrag nachgelaßen 1 lb 16 ß, restirt 4 lb 4 ß 6 d
dt. 4. Decembr. 1728.
Jean Georges Greiner se remarie en 1729 avec Susanne Marguerite Schleiffer, fille de Jean Régnard Schleiffer, cultivateur à Ingwiller : contrat de mariage, célébration
1729 (11. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 77) n° 215
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Mr Johann Georg Greuner dem Tabackbereiter wittiber vnd burgern allhier Zu Straßburg als sem brautigamb ane einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Susannæ Margarethæ Schleifferin, des Ehrengeachten Mr Johann Reinhardt Schleiffers des Ackersmanns Zu Ingweÿler hochgräfl. hanauischer hannß ehelich erziehlter tochter als Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein hernach unterschriebenen Persohnen auf Dienstag den 11.ten Octobris Annno 1729. [unterzeichnet] joan görg Kreiner als hochzeiter, Susanna Margareth Schleifferin als hochzeiderin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 214 n° 1217)
Anno 1730. den 1. Mertz seind nach geschehener ordentlicher außruffung ehelich eingesegnet worden Johann Georg Greiner der burger und Tabackbereiter und Jungf. Susanna Margaretha Johann Heinrich Schleiffer des burgers Zu Ingweiler eheliche tochter [unterzeichnet] johan görg Kreiner als hoch Zeitter, susan marger sieher hozeitefin (i 218)
Susanne Marguerite Schleiffer devient bourgeoise par son mari
1730, 4° Livre de bourgeoisie p. 957
Susanna Margaretha schleifferin Von Ingweiller Geb. erhalt. d. b. Von ihrem ehemann Johann Geörg Greiner b. undt tabac bereiter allhier umb die tertz d: alt. b. will beÿ E E Zunfft Zumspiegel dienen. Prom d. 6.ten May 1730.
Marie Dorothée Fuchs, femme de l’apprêteur de tabac Wolffgang Herr, vend la maison à son beau-père Jean Georges Greiner moyennant 450 livres
1733 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 426
Maria Dorothea geb. Fuchßin Wolffgang Herr des tabackbereiters ehefrau
ihres stieffvatters Johann Georg Greiner Tabackbereithers
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne St Elisabethæ gaß einseit neben S. T H. Fünfzehner Johann Daniel Städel anderseit neben dem würthshauß zum Stall darzwischen ein allmend: gäßlein und ahne denselben ged. hauß ein Eckhauß ist, hinten auff H. Johann Georg Dahler den leinenweber und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers – ihro als ein beÿ abtheilung iher mutter weÿl. Fr. Marthæ geb. Bärin obged. kauffenden Greiners Ehefrau seel. Verlaßenschafft zufolg von Not. Johannes Lobstein am 26. hujus überlaßenes guth – um 450 pfund
Susanne Marguerite Schleiffer femme de Jean Georges Greiner meurt en 1739 en délaissant trois enfants dont un meurt peu de temps après sa mère. Les experts estiment la maison rue Sainte-Elisabeth où se trouve un atelier de tabac à 375 livres. La masse propre au veuf est de 332 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 124 livres. L’actif de la communauté s’élève à 826 livres, le passif à 1 016 livres.
1739 (22.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 51) n° 1157
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Susanna Margaretha Greinerin, gebohrne Schleifferin des Ehrengeachten Meister Johann Georg Greiners, des tabackbereiters und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nunmehr seelige, als dieselbe Freÿtags den 3.ten Aprilis dießes lauffenden 1739.ten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechselt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Philipp Burckardts des Schneiders und burgers allhier els geordnet und geschworenen Vogts Catharinä Margarethæ, Johann Georgs des ältern und Johann Georgs des jüngern, der Greiner, des verstorbenen seeligen mit vorgedachtem Irem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzielter dreÿ Kinder und ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 22..ten Junÿ Anno 1739.
In einer allhier Zu Straßb. ane der St. Elisabethä gaß gelegener und in dießer Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane Häußern. (T.) Ein Klein häußlein und höfflein mit allen übrigen dero gebaüden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allh. in der Statt Straßburg ane St. Elisabethengaß, einseit neben hr Johann Daniel Städeln des beständigen geheimen Regiments der herren XV.en in löbl. Statt Straßb. hochansehnlichem beÿsitzern anders. isy ein Eck ane einem Allmendgäßlein, hinden auf H Johann Georg Dahler den Leinenweber und E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzern, stoßend, davon reicht mann jährl. 3. lb 11 d d. Verglichenen Zinnßes auf ostern den ordens hauß St. Johann allhier redimibel in Capital in 2.en posten umb 77. lb 10 ß. Mehr 6. lb d Zinß a Vier pro Centi gerechnet reicht man jährl. auf den 12. Octobris weÿl. H, Eliæ Brackenhoffers allhier hochverordneten Ammeisters XV und vornehmen burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Wittib ablösig in hauptgut umb 150. lb. So dann 2 lb d Zinß à 4 pro Cto gerechnet gibt mann jährl. auff den 22.ten Martÿ vorhoch edelgedachten weÿl. Hrn Eliæ Brackenhoffers alten hochverordneten Brackenhoffers allhier hochverordneten Ammeisters XV und vornehmen burg.s allh. nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Wittib, redimibel in Cap. mit 50 lb, Sonsten dißorths freÿ Ledig eigen und über Vorstehende beschwärde durch H Johann Peter Pflug (…) lauth Vorherallegirte, Abschatzungs Zeduls vom 22.ten Maÿ Anno 1713. angeschlagen pro 97. lb. Darüber sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. ang. Canceleÿ Contract Ins. verwahrt, datirt d. 28.ten 7.bris Anno 1733.
(E.) It. eine behaußung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen derselben Gebäuden
in der Neuen gaß, hinden auf ein dem allhießigen waÿßenhauß gehöriges hauß (…)
Ergäntzung dew Wittibers ermangelnden ohnveränderten guths.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs Zum Tabackbereiten gehörig 3, Sa. Silbers 8 ß, Sa. ohnveränderten Guths 356, Summa summarum 382 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 332 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 475, Sa. Schulden 50, Summa summarum 563. lb – Schulden 687 lb, In Vergleichung 124 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 3, Sa. Werckzeugs und wahr Zum tabackbereiten 37, Sa. Eigenthums an einer behaußung 97, Sa. Schuld 687, Summa summarum 826 lb – Schulden 1016, übertreffen die theilbare Activ Nahrung dem Stall anschlag nach 190 lb
Gantze Verlaßenschafft und Conclusio finalis Inventarÿ 17 lb
Abschatzung dem 22: Meÿ: 1739. Auff begëren deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johann Jörg Grëiner, deß Doback bereiterß ist eine behaußung ammhier in der Statt Straßburg an dem fischer Statten gelegen ein Eck in die Neugaßen (…)
Der 2:t gebrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg auff der Elßbethen gaßen gelegen ein seitß an H: tocter stettelß seel: frau wittib und Erben, anderseits an ein allmënt gäßlein hinden auff die frau grëtzingerin stoßend welche behaußung undten die Doback Stuben Cammer Hauß Ehren vnd hoff darinen der bauch offen stehet gewölbter Keller oben dar über eine stuben Kuchen Cammer hauß Ehren wor über gleich daß tach welches einen sehr alten und baufeligen tach stull daß tach mit hollziglen belegt sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschornen werckleuth sich in der besichtigung befund. und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Sieben hundert und Vünffzig Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und baw Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmer hofs
daß Mr Joh: Georg Greiner der tabackbereiter und burger allhier ane der seinen 3. n mit weÿl. Fr. Susanna Margaretha Greinerin gebohr. Schleifferin seiner 2.ten haußfr. und seel. ehel. erzielten Kind. eigenthümlich gehörigen behaußung allhier am Fischerstaden 1.s. neben dem bierhauß Zu Mohrenkopff 2.s. ein Eck an d. Neuen Gaß, hinten auff d. hauß dem weÿßenhauß allhier gehörig stoßend, über abzug 250. lb d. si auf der behaußung stehet einen dritten theil von seinem Söhnl. Joh: Georg dem ältern welches wie Er berichtet nach seiner Mutter verstorben geerbet, Nebst dem gebühren Ihme auch ane der in der Elisabethä Gaß gelegenen und in seiner Zweÿten Ehe erkaufften behaußung 1.s neben H. XV. Städel, 2.s. i. Eck an i.m Allmend gäßel hinten auf Hn Joh: Georg Dahler den leinenweber stoßend, so über 277 lb 10 ß d. auf d. g behaußung hafftenden Capitalien freÿ leedig und eigen 2/3.ten theil Vor sich so dann wegen seinem geerbten Sohn 1/9.ter theil alßo in allem 7/9. theil, solches wird von mir endes unterschriebenem als zu obgedachter seiner 2.ten haußfrauen seel. Verl. Inv: in specie adhibirten Notario hiermit beurkundet, Sig. Straßb. d. 27.ten 7.bris 1742.
Jean Georges Greiner se remarie en 1740 avec Marie Salomé Kieffer, fille de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Kieffer : contrat de mariage à l’encre effacée, célébration.
1740, Not. Marbach (Jean 34 Not 8)
Eheberedung Johann Georg Greiner [-]
so dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrau Maria Salome Kiefferin alß hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 29 n° 1144)
1740. Mitwoch den 30. Martii seind mit obrigk. Erlaubnus nach vorher gegangener proclamation und Außruffung Zum ersten und Zum andern mahl zugleich zu St. Thomæ und St Wilhelm Zu St. Thomæ copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Greiner der Wittiber burger und tabackbereiter allhie und Jungfr. Maria Barbara Weÿl. Hans Jacob Kieffer gewesenen Burgers und tabackbereiters allhie hinterlassene ehel. tochter [unterzeichnet] Johann görg Kreiner als hochzeitter, Maria Barbara Kiefferin als hochzeiterin (i 31)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 94-v n° 8) 1740. seind auff erhaltene gnädige erlaubnus deß Regierenden Hn Ammeisters Dom: Lætare Zum I. und II. mahl in der Kirche Zu S Wilhelm proclamirt und am Mittwoch darauff zu S Thomæ ehel. Copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Greiner der Tabackbereider wittiber und burger allhie und Jungfr. Maria Barbara Weÿl. Johann Jacob Kieffers gewesenen Tabackbereiters und burgers allhier und Annæ Mariæ Kälberzahnin egel. Tochter (i 97)
Jean Georges Greiner et Barbe Kieffer hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Hammerer veuve du marchand Frédéric Charles Saltzmann
1742 (9.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 514-v
Johann Georg Greiner der tabacberieter und Barbara geb. Kiefferin mit beÿstand Johann Georg Schwartz des tabacbereiters und Johann Daniel Heckers des schuhmachers beede ihrer schwäger [unterzeichnet] kreiner, +
in gegensein H. Johann Rudolph Saltzmann Abendpredigers beÿ St Nicolaus als Mandatarÿ seiner mutter Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Hammererin weÿl. H. Friedrich Carl Saltzmann des handelsmanns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, den dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis am Fischerstaden, einseit neben dem bierhauß zum Mohrenkopff anderseit ein eck ane der neuen gaß hinten auff ein der Stadt Waÿßenhauß gehörigen hauß – als ein von einem seiner kinder zweÿter ehe ererbtes guth
ferner hypotheciren sie zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt cum appertinentis ane St Elisabethä gaß, einseit neben S.T. H. XV Städel anderseit ein eck ane einem Allmend gäßel hinten auff Johann Georg Dahler den leinenweber – als ein in zweÿter ehe erkaufftes guth, der überrest aner seinen kindern eigenthümlich gehörig
Jean Georges Greiner et Barbe Kieffer font dresser un état de leurs biens pour cause de dettes. La maison est portée au prix de l’inventaire dressé en 1739. La masse propre à la femme est de 104 livres. L’actif du mari s’élève à 224 livres, le passif à 1 505 livres.
1750 (16.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 69) n° 1525
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Mr Johann Georg Greuner, der Tabackbereiter und Frau Barbara Greunerin gebohrne Kiefferin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg anjetzo würcklichen tam active quam passive haben und besitzen, welche der ursachen alldieweilen sein Johann Georg Greuners habenden Nahrung mit Zimblichen Passiv Schulden behafftet auch Ihro Fraunen Barbaræ Greunerin gebohrner Kieffein mit beÿstand Mr Johann Jacob Kieffers, des Tabackbereiters und Burgers allhier als dero geschwornen Vogts gethanes freundliches ansuchen und begehren umb salvirung Ihres ohnveränderten und eigenthümlichen guths willen, Ingleichem Meister Johann Philipp Burckardts des Schneiders und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ Margarethæ und Johann Georgs der Greuner, des Ehemanns Kinder Zweÿter Ehe mit weÿland Frauen Susannæ Margarethæ gebohrner Schleifferin seel. ehelich erziehlt (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 16.ten Monatstag Februarÿ Anno 1750.
In einer alhie Zu Straßburg ane der St Elisabethä Gaß gelegenen und in diese falliments Maß gehörigen behausung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. (M. & T.) Eine Kleine behaußung v. höfflein mit allen derselben Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane St. Elisabethæ Gaß, 1.s neben Hn N. Städel dem Banquier 2. seit ein Eck ane einem Allmend Gaßel. hinten auf Mr Gießen, den Leinenweber stoßend, davon reicht man jährl. respectivé auf Mathiæ et 2.ten Aprilis 3. lb 11 ß d Verglichenen Zinnßes, dem Orthens hauß St. Johann allhier, redimibel in Capital in 2.en posten mit 77. lb 10. ß. It. 8. lb d à 4 pro Cento gerechneten Geld Zinnßes, reicht man ehe dießem weÿl. Hn Eliæ Brackenhoffers alten hochverdientenen Ammaÿsters und XIII.rs auch vornehmen burg.s allh. nunmehr seel. welche allhie nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Wittib jährl. resp: auf den 22.ten Martÿ et 12.ten Octobris, anjetzo aber jährl. auf den 4. Januarÿ Mr Joseph Müeg dem Kübler und burgern allhier Vögtl. weis abloßig in hauptgut mit 200 lb. sonsten dißorths freÿ leedig eigen und über vorstehende beschwerde in weÿl. frauen Susannæ Margarethæ greinerin, geb. Schleifferin, des Ehemanns Zweÿter haußfrauen seel. Verlaßenschafft Inventario de A° 1739. fol. 69. fac. 21. dh. der Statt Straßburg geschwohrne Hrn Werckmeistere angeschlagen, dabeÿ man ab auch dißorths gelaßen pro 97. 10. Darüber sagt 1. teutscher pergament. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, dd 28.t 7.bris A° 1733.
NB Im fall dieße behaußung höher als umb 607. lb 5 ß d verkaufft werden solte, so haben Sie die beede noch lebende Kind. 2.ter Ehe als Catharina Margaretha und Joh: Georg 2/9.de theil Vor Mütterl. guth Zu prætendiren, Zum bericht.
(f° 6) Eigenthumb ane liegenden güetter, Ingweiler banns
(f° 10-v) Wÿdemb Welchen der Ehemann wegen seiner beeden noch lebenden Kindern mit weÿl. frauen Susanna Margaretha Bruckerin gebohrner Schleifferin deßen Zweÿter frauen seel. ehelich erzeugt ererbten Mütterlichen guths theils ad dies vitæ und theils biß zu dero 20. jährigen alter wÿdembs weiße zu genießen hat.
(f° 12) Abzug in gegenwärtig Falliments Inventarium gehörig. der Frauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schuld 35, Sa. was man zu ergäntzen hat 5, Summa summarum 104 lb
Des Manns ohnverändert und theilbahrs guth, Sa. haußraths 115, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums an einer behaußung 97, Sa. Eigenthum ane Liegenden güthern 10, Summa summarum 224. lb – Schulden 1505 lb, Übertreffen also (die) passiva deßelben ohnverändert und theilbare Activa dem billichen werth nach umb 1281. lb
Copia der Eheberedung (…) den 7. Febr. in Anno 1740. Jacob Marbach Notarius publicus jur.
Compte que rend le tailleur Jean Philippe Burckard de la gestion des biens qui appartiennent à Jean Georges Greiner, issu du mariage avec Susanne Marguerite Schleiffer
1753, Not. Fické (6 E 41, 751) n° 28
Liefferungs: Register über Alles dasjenige, so Meister Johann Philipp Burckard der ältere Schneider und burger allhier Zu Straßburg, als bißher gewesener vogt Johann Georg Greuners, des Lehrlings der Spengler Profession, Weÿland Johann Georg Greuners, gewesenen tabackbereiters und Burgers dahier seel. mit längst Weÿland frauen Susannæ Margarethæ gebohrner Schleifferin ehelich erzeugt hinterlassenen Sohns, vor diesem seinen Curandum vögtlicher weiß in Verwahr und respectivé Verwaltung gehabt, und durch ihne anjetzo Mst. Johann Geörg Schwartzen dem Tabackbereiter und ebenmäßigen Burger alhier des ermelten Curandi dermahligen Vogten respectivé zu seinen Handen übergeben und Zu fernerer Verwaltung angewiesen und übertragen worden, auffgerichtet in Anno 1753.
La maison est vendue par adjudication judiciaire au manant Jean Weber, apprêteur de tabac
1752 ([5.10.]), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 501
Ganth:Kauff, donnerstag d. 21. 7.bris 1752, In sachen weÿl. Johann Georg Greiner gew. tabacbereiters falliment betreffend ist in solche mass gehörige behausung, höfflein und hoffstatt mit deren zugehör und rechten ane St Elisabetha gaß einseit neben H. Städel, anderseit neben Frantz Giesin dem barchet händler, hinten auff NN. davon gibt man an St Johann 3 lb 11 ß.
Johannes Weber des schirmers und tabacbereiters
auch am 25. 7.bris 1752 beÿ gn. H. Räth und XXI confirmirt worden, um 910 fl.
1752 Conseillers et XXI (1 R 235)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un confirment la vente au manant Jean Weber
(p. 214) Montag den 25.ten Septembris 1752. – die zu gunsten Johannes Webers des Schirmers, so die Greinerische behaußung ane sich auff dem Ganth ersteigert, allda vorgenommene adjudication wird confirmiret.
Roemer n: Johannes Webers des Schirmers und tabackbereiters dießer hat Zufolg mit kommenden Extract Ganth protocolli die Greinerische behaußung als letzt und Meist biethender ane sich ersteigert, so ihme auch auff E. G. confirmation adjudicirt worden, bitt dießer geschehenen adjudication gnädige confirmation und gratios zu erlauben, daß solche behoriger orthenn ihme Zugeschrieben werden möge. Erkandt wird dem Imploranten mit gebettener confirmation der Zu deßen gunsten geschehenen adjudication willfahrt, sothane Ersteigerung behoriger orthen Verschrieben Zu laßen. Depp. H. rathh. Schneeganß H rathh. Dürr
Fils de l’apprêteur de tabac Jean Weber de Strasbourg, Jean Weber épouse en 1723 Anne Niffenegger, originaire d’Eriswil au canton de Berne, tous deux réformés : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1723, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 411
Eheberedung – Johann Weber, ledigen tabackbereiters
und Jungfrauen Annä Niefennegerin
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Johann Weeber tabackbereiter und Schirmer alhier als bräutigam ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfer Anna gebohrner Nieffennegerin des Ehrsahmen Melchior Nieffennegers Ackersmanns vnd burgers Zu Erisweÿl Berner gebiets eheliche Tochter als hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen und verhandelt in der königlichen Stadt Straßburg den 21. Augusti Anno 1723. Christoph Michael Hoffmann Notarius
Mariage, Strasbourg (réf. f° 137)
1723, Augusti d. 22.ten seind eingesegnet worden, Johannes Weber, Johann Webers, Tabackbereithers V. Schirmers in Straßburg ehl. Sohn, Jgf. Anna Nÿffenegger, Melchior Nÿffeneggers von Eriswÿl berngb. ehl. tochter
Jean Weber et Anne Niffenegger hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Hottinger, veuve de l’apprêteur de tabac Jean Georges Weber
1762 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 8
Johannes Weber der tabacbereiter und schirmer und Anna Barbara geb. Nieffeneckerin mit beÿstand H. Meinichen und H. Berger
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Hottingerin weÿl. H. Johann Georg Weber des tabacfabricanten wittib beÿständlich Johann Christoph Volckert des windenmachers – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der St Elisabetha gaß, einseit neben Fr. Gießin der barchethändler, anderseit neben H. Städel dem handelsmann, hinten auff N.N.
Les contrôleurs des peintres font grief à Susanne Volck, fille de Marguerite Schæffer, d’avoir peint une pièce dans la maison de l’apprêteur de tabac Jean Weber rue Sainte-Elisabeth. Elle est mise à l’amende ainsi que Jean Weber pour n’avoir pas suspendu les travaux après sommation.
1766, Protocole de la tribu des Echasse (Peintres et sculpteurs XI 105)
(f° 25) Mittwoch den 2.ten Junÿ 1766 – E. Löbl. Corps contra Susannam Volckin
Susanna Volckin, Margarethæ Schaefferin der Burgerin Tochter I.r Ehe, Wurde vorgefordert, und Zu Rede gesetzt daß sie beÿ Johannes Weber dem tabackmacher auff der Elisabethengaß Zimmer angestrichen, deßwegen E. E. Meisterschafft mit Zuziehung der XV. Botten dahin gegangen, und die Farben saisiren Wollen, da sie aber gesagt, sie seÿe beÿ H. Hugg in diensten, und er habe ab Ihro Befohlen Zumachen, so hätten sie Zwar nichts saisirt, dennoch aber sogleich Zu Hn. Hugg gegangen und Befragt, ob deme alßo, da er dann schrifftlich von sich gegeben, daß dann nicht alßo, bitten Abstraffung Ref: Exp:
Illa gegenwärtig sagt, Hr Hugg hätte Ihro doch gesagt, Wie die Farben Zu machen, Bitt abs. Ref: Exp:
Johannes Weber, ohnerachtet Ihme durch den XV. Botten gebotten Worden Zu erscheinen, ist nicht erschienen.
Erkandt, Weilen Johannes Weber durch den XV. Botten gewarnet Worden, Er dennoch fort arbeiten laßen, alß solle derselbe und die Beklagte Volckin solidairement in die heutige v. letstere Uncösten verfallen seÿn liquidirt à 10 ß vor den XV. botten sambt Zeugengeld 6 fl. Vor 2. Handwerker versammlungen 4 fl. vor der 4. geschwornen gemachte visite und 8 ß vor die citation des XV. Botten.
Barbe Kieffer veuve de Jean Georges Greiner, l’apprêteur de tabac Jean Georges Greiner et Dorothée Fuchs femme de l’apprêteur de tabac Sébastien Herr témoignent que toutes les eaux provenant de la maison, que ce soient celles du toit ou de l’évier, se sont toujours écoulées dans la ruelle communale.
1766 (30.7.), Not. Lobstein (6 E 41, 840) n° 20 (Declarations)
auf Ansuchen hn Johann Weber des tabackbereiters und schirms: verwanthen
erschienen Barbara Greinerin geb. Kiefferin weiland hannß Georg Greiners des tabackbreiters wittib beiständlich H. Johann Friedrich Greiß notariatus candidati, anzeigend wie daß die ane der St Elisabethä Gaß 1.s dem Allmendgäßel und 2.s neben SSis TTis H. XV Städels gelegenen behaußung so nunmehro vorgedachtem Johann Weber gehörig ehehien ihrem Ehemann zuständig war und in welche behaußung Sie auch schon in A° 1734 gedienet, ihro dahero wohl wißend seÿn, daß alles Waßer sowohl von den dächern solches haußes als auch so sonsten in dem hauß durch die Näch Waßerstein und dergleichen gehet durch das höfflein solchen haußes, in das sogenande Allmend Gäßlein geloffen und selbiges niemalen einen andern weeg genommen, welche ihr gethane declaration dießelbe schrifftlich zu Verzeichnen, mich Notarium requirirt,
Eodem die erscheint ferner in mein Notarÿ Schreibstub Johann Georg Greiner der tabackbereiter so 31 Jahr alt zu sein anzeigte, der gebe zu vernehmen, wie daß Er in Vorgemelter ane der St Elisabethä Gaß gelegenen ehehien seinem Vatter weÿl. hannß Georg Greiner dem geweßenen tabackbereiter und burger dahier seel. gehörig geweßen nunmehro aber ihme Johann Weber zuständigen behaußung auf die welth gekommen v. in derselben erzogen word. auch biß daß er Weber selbige erkaufft darinnen beständig gewohnet, Nun seÿn ihme gar wohl wißend, daß alles waßer sowol von den dächern solches haußes wie auch so sonsten in dem hauß durch die Näch Waßerstein und dergleichen gehet durch das kleine höfflein solches haußes, in das sogenande Allmend Gäßlein geloffen und selbiges niemalen keinen andern weeg genommen, noch von einigen Nachbahren die geringste Einwendung deßfalß gemacht worden, welche seine gethane declaration der wahrheit völlig gemäß seÿe,
Anno 1766 den 31. julÿ erschiene Dorothea geb. Fuchßin Sebastian Herr des tebackbereiters Ehefrau, die zeigte an, wie daß ihre Eltern seelig schon vor 50 Jahr in der ihme Weber zuständig ane der St Elisabethä Gaß gelegenen behaußung gewohnet und ihr wohl wißend seÿe und Sie sich schon beÿ 34 Jahr erinnern könne, daß alles waßer sowol von den dächern solches haußes wie auch so sonsten in dem hauß durch die Näch Waßerstein und dergleichen gehet, durch das darinn befindliche höfflein in d. sogenande Allmend Gäßlein geloffen und selbiges niemalen keinen andern weeg genommen, noch niemanden die geringste Einwendung hierüber gemacht worden, welche dero gethane declaration der wahrheit völlig gemäß seÿe
Anne Niffenegger meurt en 1770 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 1084 livres, le passif à 358 livres.
1770 (11.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) n° 574
Vergleich: Abtheil: und Erörterung Über Weiland Frauen Annä Weberin geb. Nieffennegerin, Johann Weber des Tabackbereiters und Schirmers dahier zu Straßburg geweßener Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft errichtet in Anno 1770
Inventarium über Weiland Frauen Annä Weberin gebohrener Nieffennegerin, Johann Weber des Tabackbereiters und Schirmers dahier zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1770. (…) nach ihrem Montags den j.ten Octobris dießes zu end lauffenden 1770.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in fernerem beisein Hn Johann Nicolai Ottmann des ohlmanns und E. E. Kleinen Raths jetzigen beÿsitzers des H. Deputati auf Dienstag den 11. Decembris 1770.
Die verstorbene Frau seel. hat ab intestato zu Erben Verlaßen, alß Volgt. 1.mo Johann Weber den tabackbereiter und Schirmer dahier, welcher in selbst eigener Persohn bei dießer Verlaßenschafft Inventur zugegen war, In den Ersten dritten Stammtheil, 2.do Fr. Catharinam Margaretham Schaffnerin gebohrene Weberin, Johann Schaffners des tabackbereiters und burgers dahier Ehefrau, welche mit Zuziehung dießes ihres mariti beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventation Zugegen war, In den zweÿten dritten Stammtheil und dann 3.to Hn Johann Georg Weber den tabackfabricanten und burgern dahier, welcher gleichfalß in selbst eigener Persohn beÿ gegenwärtigem Verlaßenschafft Geschäfft Zugegen war, in den dritten und letzten Stammtheil. Alle dreÿ seind der Verstorbenen Frn. seel. mit eingangs gedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Verlaßene Erben.
In einer allhier zu Strassburg ane der St. Elisabethä Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen ein Vorder und Hinter behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, Recht. und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. ane der St. Elisabethä gaß, 1.s. neben H Joh: Daniel Städel den allhiesigen burger, 2.s. neben der Gast behaußung Zur Pariser land Kutsch genant, hinten auf den Schauenburger hoff stoßend, so außer denen darauff hafftenden Passiv Capitalien nunmehro gegen männigl. freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) vermög Abschatzung Zeduls Vom 16. Xbris h. a. gewürdiget pro 600. Dießerwegen ist vorhanden ein pergament Ganth Kauffbrief d.d. 21. 7.bris 1752. Wobeÿ ferer ein alter teutscher pergamenter Kauffbrieff in allh. S. S. Stub gefertiget, d. d. 28. 7.bris 1730.
Pro Nota. Als dieße behaußung in A° 1752. erkaufft wurde, stunde auf derselben 1. lb 1 ß d bodenzinß, so man löbl. Commenthureÿ St. Johann allhier alle Jahr abzurichten hatte, es berichtete aber der hinterbliebene wittiber daß solche bodenzinß bald darauff abgelößt worden seÿe.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia beeder nun zertrennten Eheleuthe d. 21. Augusti 1723. vor weil. Hn Notario Christoph Michael Hoffmann seel. einander errichteter heuraths Verschreibung
Hierauf folgt nun die beschreibung dießer Verlaßenschafft vor und ane sich selbsten, und Zwar Zufolg erst vorher eingetragener Eheberedung §.ph° 3.tio unter einem titul. Sa. Kleÿdung, Sa. haußraths 161, Sa. tabacks 52, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 14, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600, Sa. Schuld 255, Summa summarum 1084. lb – Schulden 358 lb, Nach deren Abzug 725 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 725 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt in der königlichen Stadt Straßburg den 21. Augusti Anno 1723. Christoph Michael Hoffmann Notarius
Jean Weber hypothèque la maison au profit de Marie Elisabeth Schœttel, veuve du marchand Jean Eschenauer
1771 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 168
Johann Weber der tabackbereiter und schirmer
in gegensein H. Not. Johann Friedrich Lobstein mandatario nomine Fr. Mariæ Elisabethæ Eschenauerin geb. Schöttelin weÿl. H. Johann Eschenauer des handelsmanns – 350 pfund
unterpfand, zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung in vorder und hinter haus bestehend mit allen denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der St. Elisabethä gaß , einseit neben H. Johann Daniel Städel, anderseit neben der gastebehausung zur Pariser laur kutsch, hinten auff den Schauenburger hoff – als ein beÿ seiner frauen Verlaßenschafft zugetheiltes guth
L’apprêteur de tabac Jean Georges Weber rachète de ses cohéritiers les parts de la maison. Le procès entre les héritiers et Jean Jacques Trog concernant l’écoulement des eaux est pendant au Conseil souverain d’Alsace depuis 1765
1781 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 n° 134, Not. Lichtenberger, 11.2.1781
auff ansuchen H. Johann Georg Weber des taback fabricanten, nachstehenden erbsvergleich und respective erbscession
1. Johannes Weber der taback bereiter und schirmer, 2. H. Andreas Walter der obsthändler unter assistentz H. Johann Georg Rößel notarii publici ac practici, erben und repræsentanten weÿl. Fr. Catharina Margaretha Schaffnerin geb. Weberin mit Johann Schaffner des taback bereiters ehelich erzeugten dreÿ kinder als Fr. Maria Dorothea Letzin geb. Schaffnerin H. Johann Jacob Letz des goldarbeiters Ehegattin so 24 jahr alt, Johannes Schaffner der perruquenmacher gesell 19 jahr erreichend, Jfr. Magdalena Barbara Schaffnerin welche 17 und ½ jahr alt, 3. H. Johann Georg Weber der taback fabricant, alle dreÿ als erben weÿl. Johannes Weber des taback bereiters und schirmers ihres vatters nachlaßenschafft
1. solle diejenige declaration und renunciation die genanter H. Johann Georg Weber der jüngste sohn vor Not. Johann Friedrich Lobstein unterm 30. julÿ 1776 in favor seinen beeden übrigen geschwistrigen und miterben nemlich Johannes Weber und seiner nun verstorbenen schwester Fr. Catharina Magdalena Schaffnerin geb. Weberin gethan in sofern diese die und deren vatter und deßen auffgerichteten codicill ihnen geschehene begenung* hernach beschriebenen hauses betrifft hiemit abgethan wiederruffen und so anzusehen seÿn als wann solche nie geschehen noch zu stande gewonnen wâre
ihme Johann Georg Weber dero respective bruder und miterben
die von deren mutter erbsweiße überkommene zweÿ 9.te theil alßo überhaupt sechs 9.te theil oder zwo tertz /:wovon der übrige dritte theil auff gleiche weiß dem cessionario eigenthümlich zuständig ist:/ vor unvertheilt von und ane einer ane der St Elisabetha gaß, vordern und hintern behausung, höfflein und hoffstatt samt denen übrigen weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, auch ist den jenigen process und all diejenige angehörigen worin diese behausung schon seit A° 1765 mit Johann Jacob Trog dem Spanner und schirmer wegen einem durch den hoff gehenden waßerlauff verwickelt und noch per appel au Conseil Souverain d’ Alsace anhängig und ohnentschieden ist, einseit neben weÿl. Johann Daniel Städels erben, anderseit neben dem zur Parißer Landkutsch genannte haus, hinten auff den Schauenburger hoff – um 1400 gulden
Jean Georges Weber épouse en 1767 Marie Elisabeth Griesbach, fille du tanneur Jean Frédéric Griesbach : contrat de mariage, célébration
1767 (22.6.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 613) n° 53
Eheberedung – zwischen Herrn Johann Georg Weber, dem ledigen Tabackfabricant und vertrösteten Burger allhier, des H Johannes Webers, Tabackfabricanten und Schirmers dahier mit seiner Ehefrau Anna Barbara gebohrner Nieffeneckerin erzeugten jüngern Sohn, als Hochzeiter an einem Theil,
So dann der ehr: und Tugendsamen Jungfrau Maria Salome Griesbachin, des weiland H Johann Friderich Griesbachs, gewesenen Rothgerbers, Lederbereiters und Burgers hieselbst mit auch weil. Frau Maria Catarins geborener Jungin ehelich erzielten und nach Tod hinterlaßenen mittlern Tochter, als der Jgfr. Hochzeiterin, an dem andern Theil
Straßburg auf Montag den 22. Junii Anno 1767. [unterzeichnet] Joh: Georg Weber alß Hochzeiter, Maria Salome Griesbächin Als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 170 n° 845)
Im Jahr 1767. Mittwoch den 29. Julÿ sind nach dreÿmahliger ordentlicher proclamation und Ausrufung Zu St Thomæ ehelich copuliret und eingesegnet worden Johann Georg Weber, der ledige Tabacfabricant und burgern allhier, Johannes Webers des Tabacfabricanten und Schirmers allhier ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Salome Grießbächin weiland Johann Friderichs Grießbachs gewesenen Rothgerbers und burger allhier hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh. Georg Weber Als hochzeiter,Maria Salome grießbächin als hochzeiterin (i 172)
Jean Georges Weber devient bourgeois par sa femme quatre mois après son mariage
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 128
Johann Georg Weber, taback fabriquant eines hiesigen Schirmers Sohn, erhalt das burgerrecht theils ab uxore Maria Salome weÿl. Johann Friderich Grießbachs gewesenen Rothgerbers und burgers allhier hinterl. ehel. tochter theils es speciali gratia um den halben alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin. Jur. den 9 9.r 1767
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents du marié rue Sainte-Elisabeth. Les apports du mari s’élèvent à 2 310 livres, ceux de la femme à 1 568 livres.
1767 (26.11.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 592) n° 105
Inventarium über Herrn Johann Georg Weber, des Tabackfabricanten und Fraun Mariä Salome gebohrner Griesbachin, beder Eheleut und Burger allhier zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe zugebrachtes Vermögen, auffgerichtet in dem Jahr 1767. – und vermög des dritten Punkts ihrer den 22.ten Junii dieses Jahrs vor dem unterschriebenen Notario auffgerichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Straßburg in einer an der Elisabethen Gaß gelegenen, des Ehemanns Eltern eigenthümlich zuständigen behausung in fernerm beiseÿn des wohl ehrenvesten und wohlweisen Herrn Johann Daniel Stamm vornehmen Weinhändlers und E. E. grosen Raths dahier alten wohlverdienten beisitzers und würcklichen dreiers löbl. Statt Stalls der Ehefrau hochgelehrten Herrn Oncle und hierzu erbetenen H Beistands, auf Donnerstag den 26. Novembris vormittag im Jahr nach Christi Geburt 1767.
Series rubricarum. Des Manns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 48, Sa. Waar wie auch Schiff und geschirr 2391, Sa. Silbers 46, Sa. goldenen Rings 12, Sa. baarschafft 114, Sa. Schulden 2355, Summa summarum 4967 lb – Schulden 26.81, Nach deren Abzug 2286 lb, Dazu gelegt den ihm gebührigen halben theil an haussteuren mit 24, Des Manns Gut 2310 lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun Beibringen beschrieben, Sa. haußraths 144, Sa. Silbers 41, Sa. goldenen Ring 59, Sa. baarschafft 1298, Summa summarum 1544 lb – Dazu ist ebenfalls zu rechnen die ihr anfällige hefte von den geweßenen mit 24, Der Ehefraun Vermögen 1568 lb
Jean Georges Weber vend la maison au tonnelier Jean Théophile Ehrenfeuchter et à sa femme Madeleine Barbe Friess
1785 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 659 n° 145
H. Johann Georg Weber der taback fabricant
in gegensein H. Johann Gottlieb Ehrenfechter des kieffer meisters (…) und deßen ehefrau Magdalena Barbara geb. Frießin unter assistentz Johann Heinrich und Johann Michael Frieß beede windenmacher ihrer leiblichen brüder
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der St Elisabetha gaß, einseit neben Sr Pillon, anderseit neben weÿl. H. Städel des banquier erben, hinten auff den Kellerischen erben – um 2350 gulden
Originaire de Ruit en Wurtemberg, Jean Théophile Ehrenfeuchter épouse en 1782 Madeleine Barbe Friess, fille du fabricant de treuils Jean Henri Friess
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 60-v n° 23)
1782 Dienstag den 3. Septembris sind nach ordentl. geschehener Ausrufungen in der Kirche Zu St Nicolai eingesegnet worden Johann Gottlieb Ehrenfeuchter ledige Kieffer weil. Jacob Friderich Ehrenfeuchter geweßenen Kieffers und Burgers In Ruit im Würtenbergischen mit Fr. Elisabetha gebohrner Leichtin ehel. erzeugter Sohn, u. Jgf Magdalena Barbara Frießin H Johann Heinrich Frieß des ältern Windenmachers und Burgers allhie mit Weil. Fr. Maria Magdalena gebohrner Streicherin ehel. erzeugte tochter [unterzeichnet] Johan Gottlieb Ehrengeuchter als hochzeiter, Magdalena Barbara Frießin als Braut (i 65, proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 178)
Madeleine Barbe Friess fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 2 380 francs
1801 (8 frimaire 10), Strasbourg 15 (3), Not. Lung n° 305
Inventarium über der bgrin Magdalena Barbara Ehrenfeuchter geb. Frieß zu ihrem Ehemann bgr Johann Gottlieb Ehrenfeuchter Kiefer und Wirth in ihren vor 19 Jahr angetrettenen Ehestand zugebrachte Nahrung, Welche Sie sich in den 21. junÿ 1762 vor Notario Joh. Daniel Ensfelder Ehe Contract für unverändert vorbehalten hat
in einer an der Elisabethä gaß N° 11 gelegen in beÿder Eheleuthen Nahrung gehörigen behausung
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 1281 fr, silber: und goldenen Geschmeids 44 fr, baarschafft 982 fr, schulden 72 fr, summa summarum 2380 fr
Enregistrement, acp 82 F° 86 du 9 frim. 10
Madeleine Barbe Friess meurt en 1805 en délaissant trois enfants
1805 (9 brumaire 14), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2816
Inventaire de la succession de Madeleine Barbe née Friess épouse de Jean Théophile Ehrenfeuchter tonnelier décédée le 11 floréal dernier – délaissant pour seuls et uniques héritiers ses enfants procréés avec le veuf 1. Madeleine Barbe âgée de 19 ans, 2. Jean Théophile âgé de 17 ans, 3. Frédéric âgé de 14 ans – en présence du subrogé tuteur Jean Henri Friess, faiseur de crics – Contrat de mariage dressé par M° Ensfelder le 21 juin 1782 (extrait)
dans la maison mortuaire située Rue Elisabeth n° 11
communauté, meubles argenterie 561 fr, remploi propres aux héritiers 1511 fr, déduire 36 fr, reste 1475 fr, total des propres aux héritiers 2453 francs
propres du veuf, moitié des présents de noces 24 fr, remploi 179 fr, total 203 fr, déduire le don matutinal 200 fr, reste 3 fr
communauté, meubles 561 fr, vins 786 fr
Propriété d’une maison et Dépendances appartenante à la communauté, savoir une maison petite cour et Puits avec toutes ses autres appartenances droits et dépendances le tout situé en cette ville de Strasbourg Rue Elisabeth sous N° 11, d’un côté le Sr Birckel journalier d’autre le Sr Schweitzer Menuisier derrière la D° Meyer veuve Laitiere – loués sans bail, Le premier étage avec ses dépendances au Sr Greiff maçon 40 fr, une chambre à la De veuve Stein 22 fr, Et le Rez de chaussée ainsi que le reste de cette propriété occupée par les veuf et héritiers 50 fr total 112 fr de revenu en capital 2250 fr – acquis pendant le mariage mais le Contrat d’achat ne se trouve pas dans les papiers
total de la masse de la communauté 3597 fr
Enregistrement, acp 97 F° 188-v du 11 brum. 14
Jean Théophile Ehrenfeuchter meurt en 1814 en délaissant trois enfants. La succession comprend deux maisons contiguës rue Sainte-Elisabeth et impasse des Cornets
1814 (27.7.), Strasbourg 5 (40), Not. F. Grimmer n° 8798
Inventaire de la succession de Jean Théophile Ehrenfeuchter, tonnelier décédé le 7 février dernier – à la requête des trois enfants procréés de feu Madeleine Barbe née Friess prédécédée le 11 floréal 13, inventaire dressé par M° Bremsinger le 9 brumaire 14, Madeleine Barbe Ehrenfeuchter majeure, Jean Théophile Ehrenfeuchter marchand de vins demeurant rue de la Lie n° 2, Frédéric Ehrenfeuchter tonnelier majeur
Propriété de deux maisons et dépendances appartenant à la succession paternelle Premièrement la moitié par indivis d’une maison, petite cour, et Puits avec tout ses autres, appartenances, droits et dépendances le tout situé en cette ville rue Ste Elisabeth n° 11, d’un côté le Sr Birckel journalier d’autre le Sr Schweitzer menuisier, derrière la maison ci après détaillée – acquis pendant le veuvage du défunt – bail le premier étage avec dépendances loué à Jacques Thomann commissionnaire pour 25 fr, une chambre à la Dlle Schoettel pour 15 fr, Et le raiz de chaussée par les héritiers pour 30 fr, ensemble 70 fr, en capital 1400 francs. La moitié restant appartient aux héritiers pour héritage maternel, suivant inventaire allégué et Contrat de mariage et déclaration d’hérédité mentionné f° 7-v (Contrat de mariage dressé par M° Ensfelder le 21 juin 1782, déclaration d’hérédité au bureau d’enregistrement le 11 brumaire 14)
Et secondement une petite maison, petite cour, communauté de puits avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances situé en cette ville ruelle dite Zinckgaesslein faisant partie de la rue Ste Elisabeth sous le n° 7, d’un côté les héritiers du Sr Auerbach rabin, d’autre le Sr Schweitzer menuisier, devant la maison ci-dessus, derrière ruelle communale dite Zinckgaesslein. Louée sans bail aux personnes ci après, savoir le raiz de chaussée à la veuve Faccard pour 36 fr, le premier étage à la Dlle Marguerite Ra(u) pour 36 fr, et le reste à la veuve Stein pour 24 fr, ensemble 96 fr, estimée 1920 fr. La propriété de ces deux maisons est constatée par actes passés à la Chambre des Contrats les 13 et 21 décembre 1708, 26 décembre 1714, 28 septembre 1733, 9 février 1745, 21 septembre 1752, 21 mars 1785, 4 septembre 1788 et M° Dinckel le 18 février 1793 et le 2 thermidor 8, M° Bossenius le 19 janvier 1808
meubles au raiz de chaussée, (-), dans la cuisine, au premier étage, dans la chambre des garçons, dans la chambre de la servante, dans les deux chambres sur le derrière, total 6775 fr, déduire 3127 fr, reste 3648 fr
maisons 3320 fr, total général 6968 fr, passif 2708 fr, reste 4259 fr
Enregistrement, acp 125 F° 24 du 28.7.
Le tonnelier David Butz épouse en 1820 Madeleine Barbe Ehrenfeuchter
1820 (8.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 41), M° Hickel n° 494
Contrat de mariage – David Butz, tonnelier, fils majeur de feu Philippe Butz, tonnelier à Westhoffen, et de Julie Leibrock
Madeleine Barbe Ehrenfeuchter fille majeure de feu Jean Théophile Ehrenfeuchter, tonnelier, et de feu Barbe Fries – dans la demeure de la future épouse rue Ste Elisabeth n° 11
Enregistrement, acp 147 F° 81 du 9.5. – communauté d’acquets partageable par moitié
Madeleine Barbe Ehrenfeuchter meurt sans enfant en 1821. La succession comprend la moitié des maisons ci-dessus
1821 (30.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 43), M° Hickel n° 834
Inventaire de la succession de Barbe Ehrenfeuchter femme de David Butz, tonnelier, décédée le 10 mars dernier – à la requête de 1. le veuf commun en biens suivant contrat de mariage reçu M° Hickel le 8 mai de la même année – Jean Théophile Ehrenfeuchter, marchand de vins, frère de la défunte
la moitié indivise d’une petite maison ayant bâtiment de devant et de derrière, cour, étbales, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 11 et cul de sac dit Zinckgaessel n° 7, d’un côté en partie le Sr Wernert tonnelier en partie le Sr Schweitzer pharmacien, d’autre le Sr Schweitzer, derrière une ruelle – de laquelle maison la moitié indivise appartient au Sr Ehrenfeuchter – propriété établie à l’inventaire des apports dressé le 28 novembre 1820, estimée 1800 fr
communauté mobilier 165 fr, passif 1650 fr
propre garde robe 129 fr, mobilier 1772 fr, or argenterie 269 fr, créances 2050 fr, ensemble 4220 fr
Enregistrement, acp 153 F° 198 du 1.9.
David Butz se remarie en 1822 avec Anne Marie Schertz. Il apporte en mariage la moitié des maisons qui appartenaient à sa première femme
1822 (1.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 44), M° Hickel n° 1010
Contrat de mariage – David Butz, tonnelier veuf de Madeleine Barbe Ehrenfeuchter, fils de Philippe Butz, tonnelier à Westhoffen, et de Julie Leibrock
Anne Marie Schertz fille majeure de Christine Schertz veuve de Jacques Schneider cultivateur à Mittelhausbergen
communauté d’acquets partageable par moitié – art. 3, apports du futur époux : la moitié indivise d’une maison habitée par le Sr Butz située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 11 et cul de sac dit Zinckengaessel 7, d’un côté en partie le Sr Wernert tonnelier & en partie Sr Wernert pharmacien, d’autre le Sr Schweitzer, non estimée
Enregistrement, acp 158 F° 83-v du 9.7.
Jean Théophile Ehrenfeuchter et Susanne Madeleine Barbe Wolff cèdent les susdites maisons à David Butz et à Anne Marie Schertz qui en deviennent seuls propriétaires
1826 (12.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 51), M° Hickel n° 2196
Jean Théophile Ehrenfeuchter, marchand de vin, Susanne Madeleine Barbe Wolff demeurant rue du Puits n° 13
David Butz, tonnelier, et Anne Marie Schertz demeurant rue Ste Elisabeth n° 11
objets de la succession de Madeleine Barbe Ehrenfeuchter femme en premières noces de dudit Butz coacquéreur, suivant inventaire dressé par M° Hickel le 28 novembre 1820 et déclaration tenant lieu d’inventaire le 30 août 1821 des veins délaissés par la sœur de M Ehrenfeuchter qui est seul et unique héritier – Contrat de mariage reçu M° Hickel le 8 mai 1820 assurant l’usufruit
les conjoints Ehrenfeuchter aux conjoints Butz
une maison avec bâtiments de devant & de derrière, cour, étables, puits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 11 & rue des Cornets n° 7, d’un côté le Sr Wernert tonnelier en partie Sr Wernert pharamacien, d’autre le Sr Schweitzer, derrière une ruelle, plus un pressoir & les poeles et objets mobiliers placés dans cette maison – M. Ehrenfeuchter recueilli la moitié dans la succession de Jean Théophile Ehrenfeuchter, tonnelier, et Barbe Fries ses père et mère, de Frédéric Ehrenfeuchter son frère et l’autre moitié de la succession de la D° Butz – devenus propriétaires de ladite maison qui en formait autrefois deux par la réunion des acquisitions qu’ils ont faites 1. de Jean Georges Weber, fabricant de tabac à la Chambre des Contrats le 21 mars 1785, 2. François Antoine Meyer, Philippe Jacques Meyer, Georges Adam Meyer, Marie Rose Meyer femme de Louis Cayet, Catherine Meyer, majeure, pat contrat reçu M° Bossenius le 19 janvier 1808 – pour 5250 francs
Enregistrement, acp 179 F° 25 du 14.6.
Registre de population 600 MW 169 (1835 sqq). Rue Ste Elisabeth N° 11, f° 339 (i 241)
Propr. Butz, David, 1796, Westhoffen, M.
id. Schertz, Anne Marie, 1790, Hausbergen, Ep
id. Emma, 1838, Strasb.
Registre de population 600 MW 318 (1850 sqq) (i 60)
Rue Ste Elisabeth N° 11 / 15
Butz, David, 97, h.m. maître tonnelier, luth. françois (à Str. depuis) 1814
id. née Schertz, Anne Marie, 99, f.m. sa femme, luth. françois (à Str. depuis) 1815
id. Emma, Strasbourg 39, f, luth. sa fille, françois, dsn, Mariée le 15 septembre 1859 à Minder Edouard à Wasselonne
id. Emile 42, g, son fils , luth. françois
Leibrock, Jacques 87, g, son oncle, luth. françois (à Str. depuis) 1854
Bauer, Charles 36, g, garçon tonnelier, cath. françois (à Str. depuis) 1854
Freitag Joseph 31, g, garçon tonnelier, luth. suisse (à Str. depuis) 1853
Bachmann Marie 26, f, servante, luth. suisse (à Str. depuis) 1849
Nuss Jacques Pierre, Francfort 1836, g, tonnelier, luth., (à Str. depuis) avril 1857, (carte de séjour n°) 7766, délogé Neudorf 23, 2 juillet 57
La maison revient à leur fille Emma Butz qui épouse en 1859 le fabricant d’étoffes Edouard Chrétien Minder. Elle est inscrite au cadastre de 1902 au nom de leurs deux enfants Anne Emilie et Henri Edouard
Mariage, Strasbourg (n° 417)
Du 15° jour du mois de septembre l’an 1859 à dix heures du matin. Acte de mariage de Edouard Chrétien Minder, majeur d’ans, né en légitime mariage le 22 avril 1832 à Wasselonne (Bas-Rhin) domicilié à Wasselonne, fabricant de siamoise, fils de feu Chrétien Minder, fabricant de siamoise décédé à Wasselonne le 7 août 1851 et de feu Elisabeth Gerst décédée à Wasselonne le 22 mai 1835, Et de Emma Butz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 10 juin 1838 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de David Butz, tonnelier, et d’Anne Marie Schertz, conjoints demeurant à Strasbourg ci présents et consentants (…) il a été passé le 10 de ce mois un contrat de mariage devant M° Hummann notaire à Marlenheim (i 8)